77 - = +: = a. ui : SA >] ss Pe UTD 4 — - \ , \ \ | vo \ À } } | Y > NUO Mi ’ "i fa) a DIV LE, 7-0 PAL A ~~ US Ac AVES" “ARES Oe waa ARE RTE UD PERTE pa 2 ; ga; "A + ETS CON Be EC nr Ne LI Dr, rie SERRE E SARRI; CA : er de PERS Par ENT Fee Ae. à ET ee rari a Re gern nk q Ts > Ca nnd a « aS Re Se! i E + “9 A 14 n + n ER CÀ Bic. INA : SEE | 39 RIVISTA INTERNAZIONALE aaa pi CECIDOJOGIA “SoMMARIO: tana REDATTORE : BAYER EB. — Notes sur les Galles de D D A TRO ETER Dryophanta agama. et disticha de V i- ROF. UR. : conographie « Galles de Cynipides » (con fig.). Bezzi M. — Noterelle cecidologiche. Niessen J.— Aphis Cardui L. auf O e- .nothera muricata L.(con fig.) : RUBSAAMEN Ew.H.— Beiträge zur Kennt- ES nis Aussereuropiischer Zoocecidien (con Vor. U. AN, 1908 Nu fig. ; cont. e fine). TROTTER A. — Illustrazione. di alcune FASC I-|| galle einesi provenienti dallo Shen-si settentrionale (cont.). TROTTER A.— Bibliografia e Recensioni. — — Notizie. Cy (PUBBLICATI IL 30 MAGGIO 1908) a) - AVELLINO a Ì TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA | 1908 A fine di render più facile il compito del Redattore : si pregano vivamente i «Signori Collaboratori, avanti I’ invio dei manoscritti, di tenere “Pt nel aay stesso interesse, le seguènti avvertenze : nT geen $ I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. comandazione è rivolta în modo speciale :ai Signori Collaboratori « : Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta ; 5. n. alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza, x usandole possibilmente ed: uniformemente nei contro indicati casii = : : > Vi: ‘ 4 È à | | -carattere grassetto (per i cecidozoi o ‘sine galliferé ‘nec intestazioni; ad. re coriaria, EEE rate à cystis ahnen). ee DI EEE » spaziato (per i substrati nel testo; ad es. Quercus” cocci Li fera, Salvia pratensis). cao = Sigla: MARCELLIA Rivista Internazionale di Cecidologia REDATTORE : mea Or He iO TEN Vol. VII = An. 1908 LIBRARY NEW YORK BOTANICAL GARDEN. AVELLINO TIPOGRAFIA E. PERGOLA 1908 fm © ER + NOTES SUR LES GALLES DE DRYOPHANTA AGAMA ET DISTICHA DE L'ICONOGRAPHIE « GALLES DE CYNIPIDES » LIBRAR NEW YO! ar ÉMILE BAYER, professeur à Brno (Moravie RO’ ] ‚L 1A DE Dans Il’ excellente Iconographie de GIRAUD : « Galles de Cyni- pides » (1), éditée sous les auspices de M. le professeur BOUVIER, avec un texte fait par les spécialistes très connus MM. DARBOUX et HOUARD, ces savants font remarquer qu’ il y a deux sortes de galles sujettes à caution : pour les premières, les producteurs n’ont pu être déterminés jusqu’ à présent (pl. XXV, 3); quant aux autres, I attri- bution de GIRAUD constitue évidemment une erreur. La fig. 4 pl. XXII montre une feuille de chêne avec dix galles subsphériques d’un jaune - grisâtre , insérées sur les nervures laté- rales de la face inférieure du limbe, dà peu près 1 ‘/,-4 mm de diamètre, avec de minimes mamelons sur leur surface. Les figg. 5 et 6 représentent ces mémes galles sous un fort agrandissement. Suivant le texte, ces dessins avaient la notation de GIRAUD : « Galle de Cynips disticha H. ». Les auteurs du texte, en précisant les ca- ractères des galles de Dryophanta disticha Hartig indiquent exacte- ment qu’ il est impossible d’ admettre cette détermination. Ils pro- noncent alors I’ opinion « qu’ il s agit d’ une cécidie nouvelle, qui na plus été revue depuis l’époque où GIRAUD la recueillit et la fit dessiner ». Ces galles ont été trouvées en Autriche. Cependant des galles correspondantes à ces figures me sont con- nues déjà depuis longtemps et je les retrouve chaque année pendant mes travaux systématiques , auxquels je m’occupe dans l intention de donner une œuvre synoptique sur les zoocécidies de ma patrie. Pour cette raison qu’on me permette de faire connaître mon opinion (1) Nouvelles archives du Muséum d histoire naturelle, 4° série, tome IX, 1907, 4. fi. BAYER sur ces formes, et de faire remarquer que VT’ erreur dans les désigna- tions de GIRAUD se rapporte aussi à d’ autres dessins, c'est-à-dire aux figg. 9 et 10, pl. XXIE I. La fig. 9 montre une feuille avec trois galles et la fig. 10 une de celles - ci vue de côté et agrandie. D’ apres V original de GIRAUD elles sont nommées : « Dryophanta agama H. », mais V examen de ces figures persuadera certainement chaque cécidologue que cette détermination n’est pas juste, car ces figures donnent une idée précise de galles typiques de la Dryophanta disticha Hrtg. Pour reconnaître ce fait il n’ était presque pas du tout néces- saire de donner le profil agrandi dans la fig. 10. Les galles de Dr. agama H. sont d’ une forme subsphérique ou ovoidale , elles sont peu luisantes, glabres ou quelquefois avec une surface pourvue de petites verrues, mais jamais elles n’ont le sommet émoussé et enfoncé au milieu, comme le montre la fig. 10, qui représente au pôle supérieur une dépression évidente, — si caractéristique pour la D. disticha, que par ex: KIEFFER (2) emploie cette marque pour séparer, dans sa clé déterminative, la D. agama des autres formes pareilles. En outre les parois latérales de la fig. 10 paraissent coniques et faiblement concaves, ce qui correspond à deux cavités bien connues dans la galle de D. disticha. (Voir la coupe, fig. 2). Ces caractères des galles de D. disticha, de même que les mar- ques contraires de D. agama: —- le sommet convexe, sphérique ou en ovoïde,— sont bien représentées déjà en 1738 par REAUMUR (3). On peut comparer aussi les dessins connus de MAYR (4), KIEFFER (5), DARBOUX et HOUARD (6), et HOUARD (7). Outre cela, le coloris des (2) J. J. Kıerrer : Synopsis des zoocécidies d’ Europe. 1902, pag. 445. (3) M. DE RfAUMUR: Mémoires pour servir à |’ histoire des Insectes. 1738, pl. 35, figg. 3 et 4. (4) G. L. Mayr: Die mittel-europäischen Eichengallen in Wort und Bild. 1871, pl. 5, figg. 52 et 53. (5) J. J. KIEFFER: Les Cynipides, dans: André: Species des Hyménoptères, 1397-1901, pl. 18, figg. 1 et 2. (6) J. Darnoux et C. Hovarp: Catalogue systématique des zoocécidies de l Europe et du bassin Méditerranéen. 1901, pag. 347, figg. 642 et 643. (7) C. Hovarp: Sur quelques zoocécidies nouvelles ou peu connues, recueillies eu France, « Marcellia » vol. 1, 1902, pag. 45, figg. 18 et 19. % a ot NOTES SUR LES GALLES DE DRYOPHANTA AGAMA ET DISTICHA 5 fige. 9 et 10 chez GIRAUD est évidemment rougeñtre, e est ce qui n’est jamais le cas dans la D. agama, comme 1 accentue déjà SCHLECHTENDAL (8), et comme je peux le constater pour ces mêmes galles, très nombreuses, que j’ ai eu l’occasion de rassembler dans notre pays. | Les œuvres citées ci-dessus s’ accordent dans les descriptions des caractères typiques des galles de la Dr. disticha H., et j ajoute des reproductions photographiques de ces galles de mon matérial et un dessin de la section verticale de ces galles elles mêmes. Fig. 1-3. Dryophanta disticha Hartig a) Grandeur naturelle ; 6) Section verticale de deux galles ; e) Deux galles agrandies (x 2) Alors on ne peut pas confondre les galles de D. disticha avec celles de D. agama, et il faut qu’on me permette de constater que les figg. 9 et 10 pl XXII dans « Galles de C y- nipides » représentent exactement des galles typiques de Dryophanta disticha Hartig. (8) R. v. SCHLECHTENDAL: Die Gallbildungen (Zoocecidien) der dentschen Gefässpflanzen. 1891, pag. 32: « nie geröthet ». II. Il s’agit encore des galles figg. 4, 5 et 6, pl. XXII. Dans mes excursions je trouve tous les ans, éparses ca et la, au-dessous des fenilles de Quercus pedunculata et sessiliflora des galles subsphériques on ovoïdales, d’un à trois mm de diamètre, jaune - gri - sâtre, méme brunâtre - clair, peu luisantes, glabres ou avec de mini- mes tubercules sur la surface. et souvent (mais pas toujours!) élargies à leur base en un double bourrelet, qui est épaissi le long de la nervure, sur laquelle ces galles se trouvent insérées. Je reconnais complètement ces galles dans la fig. 5 pl. XXII de « Galles de Cynipides ». Néanmoins les galles ne sont pas attachées sur la nervure par toute leur base longitudinalement épaissie, mais par un point seulement au milieu de celle - ci. Leur parois sont minces et fragiles. J’ ai trouvé ces galles parfois aussi plus petites, que celles que mon- tre le dessin de GIRAUD-STROHMAYER. D’ abord, comme je ne ponvais les identifier avec aucune des galles connues, j étais aussi de I’ opinion, émise maintenant par MM. DARBOUX et HOUARD, qu’ il s’ agissait probablement d’ une cécidie pas décrite jusqu’ à présent. Cependant, poursuivant mes études, je me suis convainen que ces formes appartiennent à Dryo- phanta agama Hartig, gâtée et arrétée, plus tôt ou plus tard, dans son développement par une influence pa thogène étrangère. Voici par quelle raison : 1). J’ ai pu constater toujours, parmi les galles de D. agama, typiques et parfaitement développées, — que je trouve en très grande quantité dans plusieurs contrées (9), — dispersées ça et là, des formes correspondant tout à fait au x types de GIRAUD, pl. XXII fig. 4. Il y en a aussi de plus petites encore (9) Par ex: Dans le bois de « Loreta », près de Jiein (Bohême), les feuilles inférieures des buissons de chêne étaient, eu 1905, tellement convertes de ces galles que e’ était vraiment difficile de trouver une feuille non attaquée. . x NOTES SUR LES GALLES DE DRYOPHANTA AGAMA ET DISTICHA 7 et on peut suivre la progression des passages jusqw aux galles normales. 2). Les expériences , répétées chaque année, d’ élever de ces galles la Cynipide cécidogène , restaient toujours sans résultat, et aucune de ces galles, quoique j’ en aie ouvert beaucoup, ne conte- nait jamais une cavité larvaire intacte, ni la larve elle - même ; au contraire, plus ces galles étaient petites, plus elles étaient des- séchées, et toute leur apparence prouvait, qu’il s’ agissait de for. mes mal développées et prématurément mortes. Les plus petites d’entre - elles n’ avaient pas encore des cavités évi- dentes, étant remplies d’un tissu desséché et irrégulièrement déchiré ; les plus grandes avaient des parois minces et de consistance fragile, comme e’ est en effet caractéristique pour les galles de D. agama. 3). Dans les galles normales de D. agama, qui sont, comme on sait, serrées contre la surface de la feuille (HIERO- NYMUS (10), SCHLECHTENDAL (11), MAYR (12)), on trouve bien sou- vent la partie basale un peu épaissie, de sorte qu’elle forme un bourrelet voùté le long de la nervure. C’est la même « disposition curieuse », que mentionnent DARBOUX et HOUARD (13) et que GIRAUD fit représenter dans les figg. 5 et 6, pl. XXII; cependant elle n’ est pas aussi saillante dans les galles normales, qu’ on l’aperçoit dans ces figures, mais elle est plus faible et plus petite, de même qu’elle n’est pas visible, quand on regarde les galles d’ en haut. Les galles étant moins développées et plus déformées, ce bourrelet devient plus remarquable et il paraît dans les plus petites encore plus grand que dans les dessins mentionnés. 4). La forme et la disposition de ces petites galles, leur in- (10) G. HirroNyMUS: Beiträge zur Kenntnis der europäischen Zoocecidien und der Verbreitung derselben. 1890, pag. 215: « obwohl sie an der Basis abgeflacht und an das Blatt angedriickt sind, nur im Mittelpunkte angeheftet... sind ». (11) R. v. SCHLECHTENDAL: 1. c. pag. 32: « scheinbar dem Blatte fach aufsitzend ». (12) G. L. Mayr: l.c. pag. 38: « an der dem Blatte zugekehrten Seite stark abgeflacht und an das Blatt angedriickt, obwohl sie nur am Mittelpunkte mit dem- selben verbunden... ist ». (13) « Galles de Cynipides » pag. 242, Fig. 4. Dryophanta agama Hartig Grandeur naturelle | 8 M DAVER: o ote a sertion par un point seulement, leur couleur et leur surface lisse ou finement verruqueuse s'accordent tout à fait avec celles de Dryo- phanta agama H. J'ajoute une reproduction pho- tographique des galles typiques de D. agama de mon matériel ; j ai cultivé les cécidozoaires en quantité. C’ est pourquoi je viens croire que les galles de Dr. agama, ar- rétées dans leur développement par une influence quelconque, r e- stent plus petites et se dessèchent; cependant, leur partie basale, se trouvant près du point d’ insertion et par conséquent le plus proche de la source nutritive, reste peut-être le plus long- temps vivante, et c’est pour- quoi, à la base de ces gal. les, se forme un bourre- let épaissi, frappant. Comme on pent le supposer, GI- RAUD n’a pas omis parmi ces fi- gures ni D. agama ni D. disticha ; ces deux noms se trouvent en effet dans ses annotations. De méme on ne peut penser que ce savant hyménoptérologue n° ait pas su distinguer ces deux formes; tout de méme son attribution est fausse, comme le montrent DARBOUX et HOUARD dans les figg. 4, 5 et 6, pl. XXII. Il faut done croire que GIRAUD lui - même reconnut exactement dans les formes représentées sous les N.’ 4, 5 et 6 les galles de D. agama, et que c’ est pour cette raison qu’ il fit exécuter celles -ei, en les accompagnant par les figg. 9 et 10 pour montrer les galles de D. disticha ; cependant il se peut que, par un pur hasard, les signatures de ces galles aient été ér hangées, ce qui expliquerait pourquoi on trouva SRO ANT LEE RE) RCA CITE ANT EEE > = ae, A, T À 0; N INA 7 4 af | ld n " 9 \ epr, ve - Pr é s 9 3 À x 4 L = c u + NOTES SUR LES GALLES DE DRYOPHANTA AGAMA ET DISTICHA 9 ensuite ces annotations originales de GIRAUD attri- buées dans Vordre inverse. III. Enfin je me permets de remarquer que je trouve, bien que très rarement, au-dessous des feuilles du Quercus pedunculata des galles tout à fait arrondies, dures, encore plus petites, à peu près d’ 1 mm de diamètre, brunes, glabres, un peu luisantes et sans le bourrelet basal. Un trou de | sortie bien délimité, circulaire, situé en haut et de côté, montre que Vl’ insecte se développe entièrement dans ces galles. Celles - ei diffèrent de celles dont on a parlé ci-dessus, d’une telle façon qu’ il est difticille de les identifier. Il est done possible qu’il se trouve en- core une sorte de minimes galles sphériques, nouvelles, inapercues jusqu ici, sur les chênes en Europe. Comme ces formes sont tres rares, il me fut impos- Ds orbita spit sible, jusqu? à présent, d’ é- : prey saa e 2 a) Deux galles en grandeur naturelle ; b) Une T . x Ay 1 i à > ae x £ lever la Cynipide. Je pré salle; agrandie (>< 3) sente une reproduction pho- tographique de ces galles, recueillies le 15. VIII. 1905 au - dessous des ruines du château « Trosky » près de Turnov (Bohême). = Li À NOTERELLE CECIDOLOGICHE pel prof. M. Bezzi, Torino 1. Una rivoluzione nella nomenclatura dei cecidomiidi Una sorte uguale a quella che subì, per opera dell’ inesorabile legge della priorità, il genere Phytoptus che dovette, dopo tanti anni di uso generale ed incontestato, cambiarsi in Eriophyes, sta per toc - care al genere Cecidomyia e per conseguenza anche al nome di que- sta importante famiglia. Come è noto il MEIGEN fondo il genere Cecidomyia nel suo la- voro del 1803, intitolato : « Versuch einer neuen Gattungs-Einthei- lung der europäischen zweiflügligen Insekten (in Illiger ’s Magazin, vol. II, p. 259-281), dove a p. 261 lo definì colle seguenti testuali parole : 6. Cecidomyia. Die Fühlhörner vorgestrekkt, aufwärts gekrümmt, knotig, borstig; bei dem Männchen vierundzwanziggliederig; bei dem Weibchen zwölfgliederig. — Die Flügel flach parallel, dreiaderig. — Tipula pini Dee. >». Questa diagnosi è appena sufficiente; ma I’ aggiunta di un tipo le accresce molto valore. È appunto per l’ indicazione di questo tipo che la maggior parte degli autori moderni, dopo la dissertazione inaugurale del Dott. KARSCH (1877), usarono il nome di Cecidomyia in luogo di quello di Diplosis H. Löw. Pare però che in questo , come in altri casi consimili della stessa opera, il MEIGEN abbia in- dicato per tipo un insetto che non gli era noto in natura, ed i cui caratteri reali contraddicevano quelli della sua diagnosi (1); di ciò però io non mi voglio quì occupare. Meno noto è invece che questo « Versuch » del grande ditte- rologo non fu la sua prima opera, come viene generalmente consi- (1) Vedi C. R. v. d. Ostex SAcKEN: On the new nomenclature of the family Cecidomyiae , adopted by Mr. Riibsaamen and others. Entom. monthly Mag. , (2) XII. 40-43. (1901). sè NOTERELLE CECIDOLOGICHE sul derata. Tre anni avanti, e precisamente nell’ anno VIII della Repub- blica (1800), il MEIGEN aveva pubblicato a Parigi un opuscolo di 40 pagine in 8°, intitolato : « Nouvelle classification des mouches à deux ailes (Diptera L.), d’ aprés un plan tout nouveau », nel quale erano descritti ben 88 generi di ditteri, in massima parte per la prima volta proposti. Non si sa per quali ragioni, ma sta il fatto che il MEIGEN rinnegò poi completamente questo suo primo lavoro, che venne così dimenticato quasi del tutto, tanto che in più di un secolo di letteratura ditterologica venne citato pochissime volte (1). I nomi dei nuovi generi, che se sono meno dotti di quelli del 1803 sono in compenso più poetici, rimasero esclusi perfino da tutti 1 Nomenclatori zoologici dell’ AGASSIZ (1846), del MARSCHALL (1873) dello SCUDDER (1882) e del WATERHOUSE (1902), essendo compresi solo nell’ Index animalium dello SHERBORN (1902). Questo si spiega colla eccezionale rarità dell’ opuscolo, che non fu potuto vedere nemmeno dall’ HAGEN, I’ autore della diligentissima Bibliotheca entomologica. E non solo non lo si trova nelle pubbliche biblioteche, ma è anche rarissimo nel commercio librario antiquario, tanto che in questi ultimi anni ne comparvero solo due copie, una proveniente dalla biblioteca di ALPH. MILNE - EDWARDS ed offerta dal DAMES nel suo Catalogo N.’ 74 (p. 30, n. 875), Vl altra da quella del barone OSTEN - SACKEN e riportata dal WEG di Lipsia nel suo Catalogo N.° 105 (p. 21, n. 721). Di queste due copie la prima è probabilmente quella ora in possesso del signor HENDEL di Vienna, e la seconda non so ove sia attualmente. In questi giorni il signor HENDEL pubblicherà appunto una ri- stampa del lav ro, con un commentario ; avendo avuto comunicazione delle bozze, sono in grado di offrire ai lettori della MARCELLIA que- sta primizia. A pag. 19 del mentovato lavoro del 1800 il MEIGEN pubblica un genere 18. Itonida Antennes longues à vingt-quatre articulations, enfilées, herissées de poils : la première grosse, glabre.— 2 espèces. (1) Vedi M. Bezzi: Nomenklatorisches iiber Dipteren. Wien. entom. Zeitung, XXVI, p. 55. (1907). 12 M. BEZZI Se confrontiamo questa brevissima diagnosi con quella più sopra riportata del 1803, si vede la coincidenza del numero degli articoli antennali in 24, numero che il MEIGEN conservò come caratteristico anche nel 1504, e che abbandonò solo nel 1518. Non vi è quindi alcun dubbio che le due diagnosi si riferiscono ad un unico tipo generico, dapprima chiamato Itonida e poi Cecidomyia: malgrado questo secondo nome sia certamente migliore del primo, pure deve cedere a quello più antico. Ed in conseguenza questa importante famiglia di ditteri galligeni dovrà assumere il nuovo nome di Ztoni- didae. 2. Il Ditterocecidio del Cucubalus bacciferus L. Questa galla, che pare rarissima, fu da me per il primo raccolta a Ponte della Selva in Valle Seriana (provincia di Bergamo), addi 23 Agosto 1901, e precisamente nella siepe fiancheggiante a destra la strada provinciale, poco oltre il paese. Una sola pianta, notevole pel suo grande sviluppo, presentava la deformazione, e per vero in numero ragguardevole. In nessun cecidio io potei riscontrare larve o tracce di larve di cecidomiidi, per cui rimasi in dubbio sulla vera natura della deformazione. Comunicai esemplari al dottor ALFREDO Corti, che descrisse accuratamente la nuova galla, come dubbio ditterocecidio, nel suo lavoro sui Zoocecidii italici, in Atti Soc. ital. Sci. nat., XLII, p. 349, n. 46 (1903). Questo medesimo cecidio fu raccolto anno dopo (1902) nella Francia settentrionale a Bourg - le - Comte (Saône - et - Loire) dal si- gnor CHATEAU, e si trova descritto come nuovo nella interessante pubblicazione di MARCHAL e CHATEAU, Catalogue des zoocécidies de Saône - et - Loire, in Mém. Soc. d’ Hist. nat. d’Autun, XVIII, 1905, p. 23 (estratto !). Per la verità conviene ricordare che era già stato segnalato in una nota preventiva degli stessi autori nei Comptes rendus du Con- grés des Societés savantes en 1903, Sciences, p. 387, n. 4 (Paris 1904); ma la priorità spetta pur sempre alla pubblicazione del dott. CORTI. Il signor CHATEAU, che ebbe la ventura di trovare la galla in un’ epoca meno avanzata della stagione estiva, riscontrò che ogni fiore deformato albergava una o più larve di Cecidomia. I mentovati autori riferirono sull’ autorità del KIEFFER la deformazione all’ opera NOTERELLE CECIDOLOGICHE 13 di una Dasyneura (Perrisia). Si vede che la larva abbandona il ce- cidio per trasformarsi nel terreno, almeno per quanto si può arguire dall’ aver io trovato i cecidii senza larve verso il finire d’ Agosto, mentre il signor CHATEAU li osservò alla fine di Luglio ed al prin- cipio del seguente mese. Resta così stabilita la qualità di ditterocecidio per questa che è finora V unica galla osservata sulla singolare Cariofillea, poichè V Aphis Cucubali del PASSERINI forma cecidii solo sulle specie del genere Silene (inflata e nutans). TZ RT I GEE SES 14 Aphis Cardui L. auf Oenothera muricata L. Jos. NIESSEN, Kempen (Rhein). Am 30. Juli 1907 sammelte ich am Rheinufer bei Uerdingen eine vollständig vergallte Oenothera muricata L. Sie unterschei- det sich von der normalen Pflanze 1. durch verkiirzte Internodien, 2. verkleinerte, nach den Seitennerven hin gefal- tete Blätter, 5. vergriin- te und stark verdickte 3lüten und 4. gänzli- che Sterilität, was um so auffallender ist, da Oenothera eine stark fertile Pflanze ist. Während normale Oenothera-Pflanzen eine Höhe von 65 em, eine Blattlänge von 5 bis 8 em und eine Blatt- breite von 1 bis 1,5 em erreichten, betrug die Höhe der vergalltennur 25 cm, die Blattlänge nur 3 bis 3,5 und die Breite nur 0,2 bis 0,5 em. Vergleiche Figur 1, die einen vergallten Blütenzweig in natür- licher Grösse und Figur 2, die einen Längssch- nitt durch eine vergallte Blüte, bei a die Schnittfläche, bei b die Aussenseite der Blüte zeigt. Zwischen den Kelch-, Blüten- und Staub- blättern fanden sich zahlreiche Aphiden, die von Heırn Dr. SCHOU- TEDEN in Brüssel als Aphis cardui L., die man bisher gallenbildend nur an Chrysanthemum leucanthemum L. und Litho- spermum officinale L. beobachtete, bestimmt wurden. COND OT, 15 BEITRÄGE ZUR KENNTNIS AUSSEREUROPAISCHER ZO0CECIDIEN von Ew. H. RUBSAAMEN, Berlin III. BEITRAG: Gallen aus Brasilien und Peru (continuazione ; cfr. MARCELLIA v. VI p. 110) 83. Mikania spec. 111. (74). Cecidomyidengalle auf den Zweigen. Es sind bis 15 mm lange Rindengallen, von denen meist mehrere bei einander stehen. In der breiten Larvenhöhle, welche die Galle fast auf ihre ganze Län- ge durchzieht, lebt eine sehr merkwürdige Cecidomyidenlarve, die wahr- scheinlich den Typus einer neuen Gattung darstellt. Ausser der mäch- tig entwickelten Brustgräte fällt das Analende auf durch die beiden ungemein starken, hornigen und hornförmigen Fortsätze, neben wel- chen sich zwei Papillen mit kurzen Börstehen befinden; eine dritte Analborste habe ich nicht aufzufinden vermocht. Das Halssegment ist ganz glatt; vom 1. Thoracalsegmente an ziehen sich an jedem Segmente an der Basis der Ventralseite Querreihen spitzer Wärzchen hin, wie sie auch bei andern Cecidomyidenlarven regelmässig vor- kommen. Die darauffolgende Partie des Segmentes ist glatt. Auf der Dorsalseite zeigt jedes Segment ebenfalls an seiner Basis diese spit- zen Wärzchen, die hier aber, besonders nach dem hinteren Ende des Segmentes zu, grösser werden ; auf diese Wärzchen folgt in der Mitte des Segmentes eine glatte, von Wärzchen freie Partie, an welche sich eine zweite Gruppe, in Querreihen angeordneter spitzer Wärz- chen anschliesst. Das letzte Segment ist oben ganz glatt. Die Rük- kenborsten sind ziemlich lang; sie stehen auf jedem Segmente in der hinteren Wärzchengruppe. Die Gräte ist hinter den Zähnen, das ist also die sogenannte vordere Platte, mächtig erweitert, so dass sie nach jeder Seite horn- förmig vorragt; auch der Grätenstiel ist sehr stark entwickelt. Der Ausschnitt zwischen den Zähnen ist stumpf dreieckig und erreicht bei weitem nicht die Zahnbasis. Die Verhältnisse sind die folgenden: E = Be en oP = 46 EN 03 Vi 755 /VI = 27. Der Grätenstiel ist circa 72 » breit. Serra dos Orgaos, Estado de Rio de Janeiro, August 1899. 16 Ew. H. RUEBSAAMEN 112. (74). Cecidomyidengalle? auf den Blättern. Linsenförmige etwa 5 mm grosse, auf beiden Blattseiten sichtbare Auftreibungen des Blattes von e. 2 mm Dicke mit ziemlich grosser Larvenkammer. Sämtliche Gallen sind mit runden Fluglüchern versehen. Uberreste des Erzengers wurden nicht aufgefunden , doch halte ich die Defor- mation für eine Miickengalle. Mit voriger auf demselben Zweige. 84. Mourinia ulei PiLGER 113. (262). Cecidomyidengalle, Blütendeformation. Während die normalen Bliiten noch geschlossen sind, fehlen bei den deformierten die Blütenblätter und die Staubgefisse; ob sie bereits abgefallen sind, lässt sich nicht nachweisen. Bei den angegriffenen Blüten ist der Fruchtknoten stark verdiekt und wird von dem normal entwickel- ten Griffel gekrént; die Früchte schlagen fehl und an ihrer Stelle befindet sich eine ziemlich grosse Larvenhöhle, die von einer Ceci- domyide bewohnt wird. Man könnte daher die Deformation auch als Fruchtgalle bezeichnen. In einer der aufgeschnittenen Gallen fand sich eine Gallmiickenlarve von 2 mm Länge, in der andern eine Puppe und in der dritten eine Pteromalidenlarve. Die Gürtelwarzen sind spitz wie die Bauchwarzen und an den vorderen Segmenten kaum kleiner. Alle Papillen mit Börstehen besetzt. Letztes Segment ähnlich wie bei Dichelomyia, jederseits mit 4 kurzen Borsten. Riickenborsten kurz. Die sehr merkwürdige Gräte hat vier Zähne, von denen die bei- den mittleren fast doppelt so lang sind wie die beiden äusseren, also umgekehrt wie bei Asphondylia. I = 368. Die Spitzen der beiden äusseren, kleinen Zähne sind 136 y, die der beiden grösseren, innern 52 » von einander entfernt. Die Höhe des Ausschnittes zwischen den mittleren Zähnen beträgt 56 », zwischen einem grossen und kleinen Zahne, von der Spitze des kleinen Zahnes gemessen, 18-20 p. V= 120, die Aussenlinien der kleinen Zähne divergieren also etwas. IV = 132. Die Querlinie an der Basis der Zähne (= IV) ist etwas nach vorne gebogen. Die Höhe der grossen Zähne von der Spitze bis zu dieser Linie (= VI) ist daher nicht viel grösser, als die Höhe der kleinen Zähne an der Aussenlinie (56 p gegen 48 y). sei der 2,45 mm langen Puppe wiederholt sich die Bildung der Grätenzähne bei den mächtig entwickelten Bohrhörnchen, die eben- PE ce UE TPE A EE SCH Pme eh RL a ee DIL PE Sr SI VA IRE SOT VET NET Ia RAD" Sr ARE i È D RAT “a 3 È ‘ LE AUSSEREUROPAFISCHE ZOOCECIDIEN 17 falls zwei sehr grosse innere (320 |) und zwei kleinere äussere Zähne besitzen (15 1); ausserdem sind noch kleinere Zähnchen an der äussern Basis der grossen Zähne vorhanden. Auch diese Mücke stellt sehr wahrscheinlieh den Typus einer neuen Gattung dar. Börstehen auf dem Scheitel kurz ; von den sehr langen, tiefer stehenden Atemröhr- chen überragt. Die Abdominalstigmen ebenfalls auf langen, hörnchen- artigen Fortsätzen ; ich finde diese Fortsätze aber nur am 2.-7. Ab- dominalsegmente. Die Flügelscheiden reichen bis ans Ende des dritten, die ziem- lich gleich langen Beinscheiden bis ans Ende des 6. Abdominalseg- mentes. Grössere Schiebedörnchen auf dem Rücken der Abdominal- seemente fehlen ; dafür aber zahlreiche feine Dörnchen. Fortalezza, Jurua inferior, October 1901. 85. Myrsine spec. 114. (169). Acaroceeidium , Erineum blattunterseits. Am vorlie- genden Material meist fleckenartig auftretend, seltener grössere Par- tien des Blattes bedeckend. Die rotbraunen bis schwarzbraunen Rasen sind regellos über die Blattfläche verteilt. Sie verursachen keine Aus- stülpung des Blattes, doch ist dasselbe an der angegriffenen Stelle auf der oberen Seite gewöhnlich stark entfärbt, meist rétlichbraun. Die vielzelligen Emergenzen sind meist stark verzweigt, oft die Zweige nach rückwärts gekrümmt, an der Spitze stets abgerundet , meist etwas keulenförmig. Serra do Macahé, Estad. d. Rio d. Janeiro, Januar 1900. 86. Nectandra spec. 115. (16) Hamburg. Helminthoceeidium, Hexenbesenbildung ; Clado- manie verbunden mit Umbildung der Blätter zu e. 5 mm langen Schup- pen. Diese Schuppen stehen dicht gedrängt an der Spitze eines klein- sten Zweigleins und bilden länglich runde Knöpfe von 5-6 mm Länge und e. 3 mm Dicke. Die äusseren Blättehen sind stark behaart und kahnförmig ausgehöhlt und umschliessen die nach innen stehenden, von denen die 2-3 folgenden annähernd dieselbe Form und Behaarung besitzen. Die innersten sind vollständig verwachsen und bilden eine compacte Masse, in welcher die Anguilluliden, für welche ich den Namen Tylenchus nectandrae vorschlage, zahlreich leben. 18 Ew. H. RUEBSAAMEN Der Hexenbesen au «dem vorliegenden Zweige ist 24 em lang und mit hunderten der erwähnten Knépfchen besetzt. Capivary, Prov. Sta. Catharina, Juni 1889. Dieselbe Galle erhielt ich auch von Herrn Dr. D. v. SCHLECHTENDAL, dem sie Herr Prof. HIERONYMUS übergeben hatte. Von der Hand v. SCHLECHTENDALS ist auf dem Begleitzettel notiert : « Hexenbesen durch Tylenchus ». Auch diese Galle wurde von Herrn ULE gesammelt und zwar ebenfalls im Juni bei Tubaräo in der Prov. St. Catharina. 87. Nectandra spec. 116. Objeet gesammelt von REINECK. Ich erhielt die Deformation von meinem Freunde, Herrn Oberlehrer GEISENHEYNER in Kreuznach. Acaroceeidium? Auf beiden Seiten vortretende kleine, pockenar- tige Auitreibungen des Blattes. Auf der Oberseite ist meist in der Mitte die Epidermis breit abgehoben, so dass hier ein niedriger Hohl- raum entsteht. Das Zellengewebe ist sehr weitmaschig und mit zahl- reichen, ziemlich grossen Intercellularräumen durchsetzt. Die Defor- mation macht ganz den Eindruck einer Milbengalle, doch wurden keine Milben aufgefunden. Ältere Gallen scheinen aus dem Blatte aus- zufallen, wenigstens sind bei einer Anzahl dieser Gallen, die oft dicht gehäuft stehen, fast rings um die Anschwellung herum, tiefe, das Blatt oft durchdringende Risse vorhanden. Nach Mitteilung GEISENHEYNERS wird das Substrat in Brasilien mit dem Namen Louns bezeichnet und als Werkholz geschätzt. Das Blatt ist unterseits dicht rötlich behaart. Porto Alegre, Prov. Rio Grande do Sul, Mai 1899. 88. Nectand ra spec. 117. (182). Psyllidengalle auf den Blättern. Schwache Blattaus- stülpungen nach oben; dieselben verlaufen aber nicht, wie dies sonst die Regel ist, senkrecht zur Blattfläche, sondern schief. Das Blattfleisch ist in der Umgebung stark verdickt; an dieser Verdickung nehmen die Blattnerven, auch die feinsten, keinen oder nur geringen Anteil, so dass das Blatt in der Umgebung der blattunterseits gelegenen Gallen- öffnung stark gerunzelt erscheint. Oberseits sind die hier als kleine Höcker vorspringenden Gallen stark entfärbt, meist rotgelb. Sie stehen in der Regel so dicht beieinander, dass sie ineinander übergehen. AUSSEREUROPABISCHE ZOOCECIDIEN 19 Nur in einer dieser Ausstülpungen wurde eine Psyllidenlarve aufgefunden, alle anderen waren leer. Da aber ähnliche Deformationen in Brasilien auf andern Lauraceen von Psylliden hervorgebracht werden, so ist es doch sehr wahrscheinlich, dass auch hier eine Psyllidengalle vorliegt. Die aufgefundene Larve ist von Pteromaliden bewohnt gewesen und teilweise zerstört. Sie ist mit einem Kranze feiner Stäbchen umgeben, wie dies bei den Trioza-Larven stets der Fall ist. Serra do Macahé, Est. d. Rio de Janeiro, Febr. 1900. 89. Nectandra spec. 118. (104). Psyllidengalle auf den Blättern. Die Gallen erschei- nen blattoberseits als spitze Kegel oder Hörnchen ; blattunterseits als braunrote Kugeln von e. 15 mm Durchmesser. Die Oberfläche ist zerstreut behaart und am trockenen Materiale fein gerunzelt. Die Gallen sitzen an einem Blattnerven. Die geräumige Larvenkammer ist von oben etwas plattgedrückt ; bei einer Breite von S mm ist sie nur 5 mm hoch. In den aufgeschnittenen Gallen wurden Psylliden in verschiede- nen Entwicklungszuständen aufgefunden, darunter auch die Imago, die nach dem Flügelgeäder zu urteilen, zu den Triozinen gehört, doch liegt die Flügelspitze, die nicht winklig, sondern breit gerundet ist, nicht in der zweiten Randzelle, sondern in der Discoidalzelle. Die von Dr. FRANZ Löw gegebene Familien Diagnose (Verh. z.b. Ges. Wien 1878 p. 609) muss demnach erweitert wer- den. Da die Stirnkegel bei der Nectandra- Psyllide fehlen, so gehört sie zum Genus Bactericera PUT., doch unterscheidet sich die Art von B. perisiù Pur. durch den Bau der Fühler und der Flügel. Bei ersteren ist bei der neuen Art das 1. Geiselglied nicht verdickt und der Flügel wird nach der Spitze zu wenig schmäler, während er bei Bactericera spitz zuläuft. Möglicherweise ist die Art der Vertreter einer neuen Gattung, für welche ich dann den Namen Aconoza m. vorschlage; da ich aber die Gattung Bactericera nicht durch Autopsie kenne, so halte ich es vorläufig für richtiger, die neue Art bei Bae- tericera zu lassen und ich nenne sie nach dem Sammler 20 3 Ew. H. RUEBSAAMEN BACTERICERA ULEI n. Sp. Männehen und Weibchen werden €. 5 mm lang; sie sind gelb- lichrot mit hellgelben Zeichnungen. Ein breiter hellgelber Längsstrei- fen zieht sich von dem ganz gelben Schildehen über das Mesonotum und setzt sich auf dem Dorsulum fort, wo er entweder in der Mitte allmählich in die rötliche Grundfarbe übergeht oder sich über das Pronotum bis zum Scheitel des Tieres fortsetzt, wo er als spitzer Fleck endet. Auch an der Basis der Flügel ist der Thorax gelb und häufig verläuft an jeder Seite des breiten Mittelstreifs noch ein schmaler seitlicher Längsstreif, der aber nicht immer deutlich ist. Beine rétlichgelb , nach den Füssen zu wie diese bräunlich ; Abdo- men gelbrot. Fühler ebenso ; die Spitzen der Fühlerglieder fast bis zur Gliedmitte oder noch darüber hinaus dunkel rotbraun oder schwarzbraun. Fühler bei beiden Geschlechtern 2 +8 gl., fast so lang wie das ganze Tier (bei B. perisii bis zur Basis der Hinterflügel); die Geiselglieder halb so dick wie die Basalglieder ; das 1. Geiselglied am längsten ; in » ausgedrückt ist I (=1. Geiselglied!) = 1120; TE = 702; DI =414; IV = 666; VEINE 520, NE oon VIII = 160. Von den beiden Basalgliedern ist jedes 120 » lang. Die Glieder sind mit zerstreut stehenden, langen Haaren besetzt, das letzte mit 2 langen Endborsten. Flügel 4,5 mm lang, an der Spitze breit abgerundet. Die Gabelung erfolgt etwa am Ende des 1. Viertels der Flügellänge. Radialzelle lang gestreckt, an der Basis we- nig breiter als an der Spitze. Die Flügelspitze liegt der Fig. 8. Vorderfliigel von Bactericera ulei Riibs. zweiten Zinke näher als der x 13. Miindung des Radius. Die Krallen sind einfach, stark gekriimmt. An der Schienenspitze vier schwarze, kurze, konische Dornen; die Spitze des ersten Fussgliedes aber ohne solche Dornen (1). (1) Dieses Merkmal scheint mir zur Unterscheidung der Arten und vielleicht der Gattungen von Wichtigkeit zu sein ; es ist aber bisher nicht beachtet worden, RUN 18 AS 2 nt tA IE y Pay Fens Se € ah PAC ie ME oz st je pa » AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 21 Genitalapparat des Männchens ähnlich gebaut wie bei Psylla ambi- gua (Vergl. meine Beschreibung in Biblioteca zoologi- Ca) Lo OLS: Dai 1.2 u +13). Die Zangenglieder sind in der Mitte ungemein breit ; an der Spitze ohne Zahn, aber schwielenförmig verdickt und schwarz gefärbt. Die Zangen sowohl wie die obere und unte- re, muldenartig vertiefte Geni- talplatte aussen stark behaart ; am zweigliedrigen Penis das letzte Glied an der Spitze in Form eines Löffels, dessen Spit- ze quer abgeschnitten wurde ; das erste Glied an der Basis hakenförmig zurück gebogen. Beim Weibchen sind beide Platten nach Fig. 9. Genitalien des Männchens von Bactericera ulei Rübs. hinten in eine Spitze ausgezogen, die obere etwas linger als die untere ; beide zerstreut behaart, an der Spitze dichter mit langen Haaren besetzt. Der innere Legeapparat ist auch hier nach demselben Plane gebaut wie bei Psylla ambigua. Wo sich die dort erwähnten Chitinspangen a und b berühren, ist hier jede höckerartig verdickt. Die Leiste a, die an ihrer Basis sehr kräftig entwickelt ist, wird nach der Spitze zu sehr dünn, lamellenartig, während die am entgegengesetzten Ende der dachförmig ausgespannten, hier viel stärker als bei ambigua chi- tinisierten Membran vorhandene Leiste f grade nach der Spitze recht breit wird und nach vorne spitz dreieckig vorragt. Die lamellenartige Endmembran e ist an der Spitze nicht gerundet, sondern stumpf abgeschnitten und kürzer als das vorher erwähnte spitz dreieckige Ende der untern Chitinspange f, die an der oberen Seite in einen nach hinten gerichteten Zahn ausläuft, mit welchem sie mit der Spitze der oberen Spange a verwachsen ist. Die beiden Chitinstäbe d besitzen an ihrer Spitze drei nach unten gerichtete Sägezähne , mit denen das harte Blatt bei der Eiablage offenbar geritzt wird. Die eigentliche Legeröhre endet in einen zurückgekrümmten, stark ehitinisierten Haken, vermittels dessen das Tier das Ei in das Blatt hinein legt. Die Larven haben gar keine Ähnlichkeit mit Trioza-Larven. Der 22 Ew. H. RUEBSAAMEN Kranz von Chitinstäbchen fehlt ihnen vollstiindig. Das Vorhanden- sein dieses Kranzes wird wahrscheinlich durch die Lebensweise der nn en == Fig. 10. Legeapparat des Weibchens von Bactericera ulei Rübs. nach Entfernung der beiden äusseren Platten. Tiere bedingt, so dass alle mehr oder weniger frei an Pflanzen le- bende Larven, deren Körper dann ungemein platt, an den Rändern oft ganz dünnhäutig ist, diesen Kranz von Chitinstabchen, die ihnen als Haftorgan dienen, besitzen. Ich habe wenigstens diese Stähchen nie bei solchen Larven gefunden, die in geschlossenen Gallen leben (1). Die Larven von Bactericera ulei ähneln den Psylla-Larven. Der Kopf ist auch bei jüngeren Larven mit dem Thorax nicht so verwachsen wie bei Trioza, der ganze Körper ist behaart. Die Fühler bei der kleinsten der aufgefundenen Larven 2 + 6 gl., das letzte Glied am längsten ; bei einem älteren Tiere sind sie bereits 2 + 8 gl. Bei allen Larven sowie bei der Nymphe fällt auf, dass das erste Geiselglied ungemein dick, wenigstens so dick als das zweite Basalglied ist, ein Merkmal, das Dr. Fr. Löw für die Imago von Bactericera peristi erwähnt. Serra dos Orgäos, August 1899 und Serra do Macahé, Est. d. Rio d. Janeiro, Februar 1900. Die Imagines im August. (1) Cfr. den Nachtrag N.° 207 dieses III Beitrages. AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 23 90. Nectandra oppositifolia NeES (= N. rigida Nees) 119. (62) Hamburg. Cecidomyidengalle auf den Blättern. Das Blatt ist auf gréssere Strecken stark verdickt und etwas nach unten vor- gewölbt, während blattoberseits dieser Wölbung eine flache Vertie- fung entspricht. Die verdickte Blattpartie ist schwarzbraun. Blattun- terseits sitzen in grubenartigen Vertiefungen von 1,5-2,5 mm Durch- messer etwas platte, spindelförmige Gallen, die mit sehr langen , fuchsroten nach unten gerichteten Haaren pelzartig besetzt sind; nur die Spitze dieser 10-12 mm langen Gallen ist unbehaart. Die Gallen fallen beim trocknen Material und jedenfalls auch bei der Reife leicht ab. Untersucht man die grosse, abgefallene Galle, so wird man ver- geblich nach einem Bewohner oder nach einer Gallenkammer suchen. Gewöhnlich bleibt in der vorhererwähnten Grube der untere Teil der Galle zurück, der mit seiner Behaarung, die nach oben und unten allmählich kürzer wird, als kleine Kugel erscheint. Nach Entfernung der nach rückwärts gerichteten Haare bleibt ein etwas platter Bol- zen zurück, der ganz nahe seinem oberen Ende eine noch sehr kleine, nach unten spitz zulaufende Larvenkammer enthält, die an dem vor- liegenden Materiale, von einer 0,3-0,4 mm langen Cecidomyidenlarve bewohnt wird. Tubaräo, Estado de St. Catharina, Juli 1890. 91. Neea spec. (1) 120. (302). Cecidomyidengalle auf den Blättern, Blattstielen und Jungen Zweigen. Treten die Gallen an den Blättern auf, so durch- wachsen sie dieselben, doch ragen sie blattoberseits etwas mehr vor als unten. Sie sind 4-5 mm lang und €. 3 ‘/,-4 mm hoch, glatt, un- behaart ; die Gallenwandung überall gleich dick und die geräumige Höhlung wird von einer sehr merkwürdigen Cecidomyidenlarve bzw (1) Diese Gattung wurde mir von Herrn ULE zuerst als Pisonia mitgeteilt. Die in meinem zweiten Beitrage unter N.°52 und 53 bei Dalbergia gemachten Bemerkungen, beziehen sich daher nicht auf Pisonia sondern auf Neea, Unter N.° 51 sind beim Drucke die Wörtehen « an den » irrtümlich vom Anfange der 5. Zeile von oben, an den Anfang der vierten Zeile gestellt worden. 24 Ew. H. RUEBSAAMEN. Puppe bewohnt. Alle mir bekanntgewordenen, auf der Gattung Neea Gallen erzengenden Gallmiicken zeichnen sich durch die schwanzartige Verlängerung des letzten Segmentes aus. Die in der vorliegenden Galle aufgefundene Larve ist offenbar erwachsen, da sie die beträcht- liche Länge von 3 mm ohne Schwanz erreicht und weil sämtliche andern Gallen bereits mit Puppen besetzt waren und die in diesen Gallen vorhandenen Larvenhäute kaum grösser sind. Der Schwanz ist über '/, mm lang und mit blossem Auge gut zu erkennen (1). Auch an der macerierten Larve ist dieser an seiner Basis 64, an der Spitze 16 » breite Schwanz schwarzbraun und stark quergerunzelt; an seinem Ende befinden sich zwei sehr lange, meist krallenartig umgebogene Fortsätze. Die Körperwarzen haben alle die Form spitzer, fast senkrecht zum Körper gestellter Borsten; die Bauch- warzen sind nur viel feiner und kürzer als die Gürtelwarzen. Alle Papillen mit Borsten; diejenigen der Sternalpapillen am längsten. An den Thoracalsegmenten vermag ich jederseits nur eine Lateralpapille aufzufinden. Auf jedem Abdominalsegmente finde ich nur zwei Ven- tralpapillen ; das Abdomen ist an dieser Stelle etwas abgeplattet, doch finde ich an der einzigen Larve nicht die Wülste wie bei Uleella. Riickenborsten sehr lang. After oval, quer etwas breiter als lang. Die Puppe ist ebenfalls 3 mm lang. Das 8. Segment auffallend verlängert und dünner als die vorhergehenden ; das letzte ebenfalls ziemlich lang und an beiden Seiten zipfelförmig vorgezogen. Der Rücken der acht vorderen Abdominalsegmente ist mit mächtigen Schiebedornen besetzt, von denen die zwei oder drei äussersten am längsten sind, so lang, das sie seitlich über den Körper hinausragen und auch bei Ventralansicht noch sichtbar sind. Am längsten sind die Dornen an den letzten Segmenten und der Unterschied zwischen den innern und äusseren Dornen ist hier am auffallendsten. Die Flü- gelscheiden reichen bis ans Ende des 3. Segmentes und bis ans Ende des 5., 6. und 7. Segmentes diejenigen der Vorder,- Mittel- und Hin- terbeine. Atemröhrchen ungemein kurz, nur als kleine Wiilste vorra- gend; Bohrhörnchen sehwach entwiekelt, überragt von dem beulenför- mig verdickten Pronotum, auf welchem auf zwei starken Wülsten die ziemlich langen und kräftigen, sogenannten Scheitelbérstchen stehen. Marary Juruä, Sept. 1900. (1) Cfr. pag. 121 dieses Beitrages, Fussnote (MARCELLIA, v. VI). bo Qt AUSSEREUROPAFISCHE ZOOCECIDIEN 121. (302 u. 98). Auf den Blättern desselben Zweiges findet sich noch eine Zweite Cecidomyidengalle ; die wesentlich verschieden ist von N.° 120. Es sind annähernd kugelige 3,5-4 mm Durchmesser haltende Gallen meist dicht neben einer Blattrippe auf der Unter- seite, die mit langen, vielzelligen, abstehenden, braunroten Haaren besetzt und dem Blatte mit breitem Stiele angeheftet sind. Blatt- oberseits ragen sie als gelbliche oder rötliche Pocken vor. Die Lar- ven sind noch sehr jung und inel. Schwanz 0,784 mm lang. Das 3. Thoracalsegment ist das breiteste (264 |); nach hinten werden die Segmente allmählich schmiler; das vorletzte ist noch 138 |, und das letzte an seiner breiten Basis vor der schwanzförmigen Verjün- gung 66 lang. Das ganze letzte Segment erreicht eine Länge von 135 p; der Schwanz allein ist 96 » lang, d. i. noch nicht ganz ‘/, der Gesamtkörperlänge, während er sich bei N.° 120 zur Körperlänge verhielt wie 1:7. Körperwarzen, Borsten, After und Papillen, soweit sich dies fertstellen lässt, wie bei N.° 120. Jede Larve besitzt zwei sehr grosse, runde Augenflecke. Die Larven sind offenbar noch sehr jung, gehören aber ohne Zweifel zu demselben Genus wie N.’ 120. Mit voriger, Eine ganz ähnliche Galle sammelte Herr ULE ausser- dem (98) in der Serra dos Orgaos im August 1599; sie ist aber meist kleiner (1,4 mm) und nicht so lang behaart. Auch die in diesen Gallen gefundenen Larven sind noch sehr jung, gehören aber ebenfalls zu demselben Genus. Ob die Tiere specifisch verschieden sind, lässt sich mit Hilfe des vorhandenen Materials nicht entscheiden. 92. Neea spee. 122. (97). An einer andern N e e a-Art finden sich kugelige Blatt- gallen von 2 mm Durchmesser blattunterseits, die vielleicht von den vorhergehenden verschieden sind. Im Bau gleichen sie N.’ 121, doch sind sie viel dünnwandiger und meist ganz kahl. Da aber auch ei- nige dicht behaarte Gallen vorhanden sind, während an andern die eine Seite kahl, die andere behaart ist, so scheint es mir, dass sich die Behaarung abgerieben hat. Bei jeder dieser Gallen steckt im Flugloche eine zerbrochene Cecidomyidenpuppenhaut, an welcher sich noch erkennen lässt, das die Schiebedörnchen lange nicht so stark entwickelt sind als bei N.° 120. In den Beinscheiden der Puppen wur- den Milben aufgefunden. Insel Cabo Frio, Est. d. Rio de Janeiro, 17 Oct. 1899. 26 Ew. H. RUEBSAAMEN 93. Neea spec. 125. (171). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die annähernd kugelige, glatte Galle befindet sich ebentalls auf der untern Blattseite. Sie ist von der Seite leicht zusammengedriickt und die Gallenhöh- lung annähernd doppelt so breit als hoch (3 mm zu 1,5 bis 1,75 mm). Die Längsaxe der Höhlung verläuft aber nicht parallel zur Blatt- fäche, sondern etwas schief und die Gallenwandung ist oberhalb der Hohlung viel dicker als an den übrigen Seiten. Blattoberseits erscheint die Galle als helle, gelbgraue Schwiele. Die aufgefundenen 1,1 mm langen Larven zeichnen sich von den vorhererwähnten durch das un- gemein stark verlängerte Analsegment aus; das '/, der ganzen Kör- perlänge ausmacht (cfr. Fig. 3 dieses Beitrages, Marc. 1907, V u. VI p. 121). Die Riickenborsten sind sehr kurz. Papillen wie bei N.° 120, doch sind an jedem Thoracalsegmente jederseits 2 Lateralpapillen vorhanden. Vor den krallenförmigen Anhängen an der Spitze des Anal- segmentes noch zwei kurze Borstchen, die ich bei N.° 120 nicht auftinden konnte. Die schwanzförmige Verlängerung bei N.° 122 nicht quergerunzelt. Fabrica bei Rio de Janeiro, November 1899. 94. Neea spec. 124. (50 Hamburg). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die Gallen befinden sich ebenfalls auf der untern Blattseite. Es sind runde, von oben nach unten zusammengedriickte Gallen von e. 2 nm Durch- messer. Die Höhe verhält sich zur Breite wie 1-2,5. Dasselbe Ver- hältnis wiederholt sich bei der ziemlich grossen Larvenhöhle, deren Längsaxe zur Blattfläche parallel gestellt ist. Die Galle ist fast ihrer ganzen Breite nach mit dem Blatt verwachsen und auf der oberen Blattseite als unregelmiissige, schwielige Verdickung zu erkennen. : Die aufgefundenen sehr kleinen Larven sind ebenfalls geschwänzt ; der Schwanz verhält sich zur Körperlänge wie 1:4. Tubaräo, Prov. St. Catharina, September 1889. 95. Neea spec. 125. (Ohne N.°! ex herb. P. MAGNUS). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Flachgewölbte bis halbkugelige Gallen blattunter - AUSSEREUROPAFISCHE ZOOCECIDIEN 27 seits von €. 2-4 mm Durchmesser, die blattoberseits als ebenso breite, flachere, leicht genabelte Buckel auftreten. Es sind Parenchymgallen, mit einer sehr flachen Larvenkammer, die von einer Larve bewohnt wird, die offenbar zu demselben Genus gehört, wie die bei N.° 120-124 erwähnten Larven, die sich aber doch wesentlich von diesen unter- scheidet. Die schwanzartige Verlängerung des Analsegmentes ist hier ungemein kurz (1:20) und die Abdominalsegmente nur an der Basis und dem hintern Ende mit spitzen Warzen bedeckt, während ein breiter Streifen in der Mitte ganz frei davon ist. Die Thoracalsegmente sind unten fast ganz glatt. Analsegment unten von der dreieckigen Afteröffnung (Spitze nach vorne gerichtet!) bis fast ans Ende des Segmentes mit rundlichen , zu kleinen Gruppen vereinigten Warzen besetzt. Die ganze Partie vor dem quergestellten Afterspalt ist glatt. Körperborsten sehr kurz. An jedem Abdominalsegmente nur 2 Ven- tralpapillen; neben den Sternalpapillen jederseits eine Lateralpapille. Ohne Fundort! Prov. St. Catharina (ULE). 96. Ochroma lagopus Sw. (Päo de balsamo der Bevölkerung!) 126. (328). Acaroceeidium, Erineum meist blattoberseits mit Aus- stülpung der Blattfläche nach unten. Die Strahlen der Sternhaare stark verlängert und meist keulenförmig angeschwollen , stark, oft haken- förmig gekrümmt. Das Erineum tritt meist fleckenartig auf und bildet dicke, rotbraune Polster. Von den meist ziemlich grossen Flecken gehen nach allen Seiten unregelmässig strahlenförmige Fortsätze aus, die sich oft wieder bis zu den umliegenden Flecken fortsetzen. An einigen Blättern ist die ganze Oberfläche dicht mit dem Erineum bedeekt, das sich dann zuweilen auch auf die Unterseite fortsetzt ; die Strahlen der Sternhaare sind hier aber seltener verdickt , dage- gen noch länger als auf der Blattoberseite. Juruä Miry, Est. d. Amazonas, Juli 1901. 97. Ocotea spec. 127. (106). Psyllidengalle auf den Blättern. Die Gallen haben Ähnlichkeit mit N.° 115 dieses Beitrages auf Nectandra. Die ebenfalls schief zur Blattfläche gerichtete Einsenkung ist aber viel tiefer und die Ausstülpung blattoberseits daher höher. Die Umgebung der weiten, blattunterseits gelegenen Eingangsöffnung ist nicht runzlig 28 Ew. H. RUEBSAAMEN verdickt; an der Offnung befindet sich aber ein deutlicher, scharfer Miindungswall. Die Gallen scheinen stets an einer Blattrippe zu sit- zen; zuweilen ist eine Seitenrippe ersten Grades oder die Mittelrippe auf beiden Seiten dicht mit Gallen besetzt, deren länglich runde Öffnung €. 2 mm lang und 1,5 mm breit ist. Die aufgefundene Psyllidenlarve hat grosse Ahnlichkeit mit der- jenigen, die bei Neetandra erwähnt wurde. Sie ist mit einem Kranze von hyalinen Stäbchen umgeben und der quergestellte Af- terspalt mit einer doppelten Reihe feiner, in einfachen, wenig ge- schwungenen Linien gruppierter Chitinhöckerchen bekränzt. Jedes Abdominalsegment oben mit einer Reihe von langen Borsten. Die Füsse mit grossen runden Haftscheiben. Cabo Frio, Estado de Rio de Janeiro, 7 October 1899. 98. Ocotea tristis Marr. 128. (105). Psyllidengalle auf den Blättern. Die Gruben auf der unteren Blattseite sind ziemlich flach und weder von einem -Mündungswalle, noch von einer breiteren runzligen Verdiekung umgeben. Blattoberseits treten sie entweder gar nicht vor oder als ganz flache, mit der normalen Nervatur bedeckte Erhöhun- gen, die wenig auffallend sind. Die aufgefundenen Psyllidenlarven sind noch sehr jung und ganz ohne Flügelansatz, zeigen aber auf dem Rücken die für viele Psylliden characteristischen beiden Kreuzli- nien, die mit den beiden Axen des Körperovals zusammenfallen. Ob Galle und Larven nur Jugendstadien von N-° 127 darstellen, vermag ich nicht zu entscheiden, doch scheint es mir nicht so, da 125 zu derselben Zeit wie N.° 127 gesammelt wurde. Cabo Frio, 8 October 1899. 99. Olyra spec. 129. (594). Hexenbesenartige Bildung an der Halmspitze. Erzeuger ? An der Halmspitze tritt abnorme Zweigvermehrung ein; jeder neugebildete Zweig teilt sich wieder in eine Anzahl noch kleinerer Zweige, so dass schliesslich ein Zweig- und Blätterschopf von 10 em. Länge entstanden ist. Die Blätter der Zweiglein sind verkiimmert und erreichen teilweise nur eine Länge von 15 mm. Die Blattscheiden bo © AUSSEREUROPAFISCHE ZOOCECIDIEN sind zum Teil stark aufgetrieben. Hinter den Scheiden der untersuch- ten Zweiglein habe ich nur Anguilluliden in verschiedenen Entwick- lungsstadien aufgefunden. Sie scheinen nicht die Erzeuger der De- formation zu sein, sondern erst nachträglich in die Galle gekommen zu sein, die allem Anscheine noch schon ziemlich alt und etwas verwittert ist. Tarapoto, Peru, Dezember 1902. 100. Ossaea spec. 130. (57). Acaroceeidium, Erineum auf den Blättern. Es hat die grösste Ähnlichkeit mit dem unter N.° 75 (MARC. 1907 p. 153) be- schriebenen Erineum auf Leandra, doch ist dasselbe an dem vor- liegenden Material nie mit einer Ausstülpung nach oben verbunden. Die platten, vielzelligen Haare gleichen fast genau denen auf Lean- dra; sie sind von weissgelber Farbe und bedecken das Blatt in erösseren oder kleineren Rasen, in selteneren Fällen eine leichte tiieckwärtsrollung des Blattes verursachend. Tubaräo, Prov. St. Catharina, Juli 1890. 101. Ossaea spec. 131. (48, -55 und 56). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Es sind annähernd kugelige, das Blatt durchwachsende Gallen von €. 5 mm Durchmesser, die auf beiden Blattseiten ziemlich gleich stark vor- treten und mit 1 mm langen, rötlich weissen, bräunlich gelben oder dunkel carminroten, abstehenden Haaren dicht besetzt sind. In der Regel scheinen die Gallen in der Nähe einer Längsrippe aufzutreten, oft sitzen sie gehäuft am Blattgrunde, selten am Blatt- stiele und zuweilen kommen sie auf einem Blatte so massenhaft vor, dass die Blattspreite total verkümmert. Die Mücke wurde von Herrn ULE im Juli 1899 gezüchtet. Sie ist Vertreter eines neuen Genus, das die Lasioptera-Gruppe mit der Diplosis- und Epidosis-Gruppe verbindet. Herr Prof. TAVARES in St. Fiel (PORTUGAL) hat eine auf Parinarium nobola in Afrika gallenerzeugende Mücke, die wie er mir brieflich mitteilt, dieselben Gattungsmerkmale besitzt, mit dem Gattungsnamen Lopesia n. g. belegt und wird demnächst eine Beschreibung des Tieres in Bro- téria geben. Ich acceptiere den neuen Gattungsnamen Lopesia 30 Ew. H. RUEBSAAMEN Tav. und weisse hier nur darauf hin, dass die neue Gattung Flügel hat, die denjenigen der Epidosis-Gruppe entsprechen, während die Fühler mit ihren einfachen und doppelten Knoten beim Männchen denjenigen der Epidosis-Gruppe gleichen. Die Krallen sind alle mit einem grossen Zahne versehen wie bei der Lasioptera-Gruppe ; die Taster 4-2]. Ich nenne die neue Art LOPESIA BRASILIENSIS n. Sp. Die Färbung ist an dem Alkohol - Material nicht mehr zu be- stimmen. Das Männchen ist 3 mm, das Weibchen 4,5 mm lang. Taster viergliedrig. In Bezug auf das Flügelgeäder verweise ich auf Fig. 12 Die Flügelfläche und der Rand sind behaart und beschuppt ; die Schuppen lang und schmal. Das 1. und 2. Geiselglied verwachsen , so dass das 1. Glied beim Männchen 4, beim Weibchen 2 Knoten hat. Beim Weibchen sind die Knoten in der Mitte leicht eingeschnürt und mit 2 Reihen langer Wirtelhaare besetzt. An den Fühlerknoten des Männehens finden sich ausserdem sehr lange Bogenwirtel. End- glied mit griffelartigem Fortsatze. Zange gross, schlank; das Basalglied an der Basis mit stumpfem zahnartigem Vor- sprung an der innern Seite. Klauenglied lang, leicht gebo- gen und abstehend behaart , an der Spitze mit breiter Klaue, die von der breiten Seite gesehen deutlich ge- rieft und am Rande fein ge- zähnelt ist (1). Obere Lamelle mit gro- ssen, nach der Spitze zu schmäler werdenden Lappen, Fig. 11. Haltezange des Männchens von Lopesia zwischen denen sich ein fast brasiliensis Riibs. Ansicht von oben. e. >< 130. rechtwinkligerAusschnittfin- det. Untere Lamelle wenig (1) Die Klaue ist bei den meisten Cecidomyiden so beschaffen ! AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 31 länger als die obere, in der Mitte mit tiefem, rundem Ausschnitt, der in der Mitte am breitesten ist; die beiden Zipfel der unteren La- ınelle daher etwas nach innen gebogen. Penis die Lamellen weit überragend. Legeröhre des Weibehens wenig vorstreckbar, mit zwei langen und darunter stehender kurzer Lamelle. Die Krallen sind abgebrochen; da aber das Tier sonst in allen Fig. 12. Flügel von Lopesia brasiliensis Rübs. >< 2! Merkmalen der Gattung Lopesia TAv. entspricht, so werden sie wahrscheinlich auch hier gezähnt sein. Das Empodium ist bei Lopesia parinarii TAV., die ich zu untersuchen Gelegenheit hatte, kürzer als die Krallen, doch deutlich länger als die Pulvillen. Abdomen und Schwinger stark beschuppt. Es ist anzunehmen , dass die Beschup- pung im Leben noch stärker gewesen und im Alkohol zum Teil ab- gerieben worden ist. Auch die Larve ist durch sehr auffallende Merkmale gekennzeich- net. Die Gräte scheint sich ungemein spät zu entwickeln. Ich fand in Gallen auf ein und demselben Blatte Larven von 2 bezw. 5 mm Länge, von denen die eine noch keine Spur einer Gräte besass, wäh- rend sie bei der andern gut entwickelt war. Sie besitzt normale Form und erinnert etwas an eine Dichelomyia- oder auch Clinodiplosis-Grate. Die Zähne sind spitz; der Ausschnitt zwischen denselben entspricht in der Form einem Grätenzahne. Die vordere Platte ist unterhalb der Zähne etwas eingeschnürt. Die Verhältnisse sind die folgenden: I — 135; I=9; II — 18 ; IV = 33; V—=27; VI — 16. Rückenborsten fehlen ganz, an ihrer Stelle befinden sich grosse Papillen. Analsegment mit zwei grossen, zapfenartigen Verlängerungen ; auf jedem derselben 4 kurze, derbe Dornen. An den Thoracalsegmenten stehen die Lateralpapillen aut zapfenartigen, kleinen Wiilsten in der normalen Dreizahl, weiter IPF, Ar a bian nach den Pleuren des Tieres zu befindet sich auf einem ebensolchen Wulste die innere Pleuralpapille ; am ersten Thoracalsegmente folgen dann noch drei solcher Wiilste mit Papillen, auf welche dann erst das Stigma folgt. An den beiden folgenden Thoracalsegmenten ist die Zahl und Gruppierung der Papillen dieselbe. Abdominalsegmente mit 4 Ventralpapillen, die ziemlich nahe an der Basis des Segmentes stehen. Die innere Plenralpapille befindet sich nahe dem Hinterrande des Segmentes, die beiden äussern am Stigma. Bauchwarzen fein, in Form kleiner Dörnchen; Gürtelwarzen rund mit aufgesetzter Spitze. 48. Im Walde der Fabrica bei Rio de Janeiro; Juli u. Nov. 1899. 55 u. 56. Tubaräo, Prov. St. Catharina, August 1890. 102. Panicum spee. 132. (595). Triebspitzendeformation, Erzeuger? Die Deformation scheint in der Regel an den Verzweigungen vorzu- kommen. Die Internodien werden stark verkürzt, die Blattspreite verkümmert und wird höchsten 15 mm lang, und die Scheiden sind etwas aufgebläht. Der ganze Zweig wird höchsten 35 mm lang, ist zerstreut mit sehr langen, weissen Haaren besetzt und steckt zum Teil noch in der Scheide des vorhergehenden normalen Blattes. Die Galle macht den Eindruck einer Miickengalle, ähnlich der Mayetiola lanceolatae RÜBS. erinnert aber auch an gewisse Isosoma-Gallen. Ich habe den Erzeuger nicht feststellen können ; alle Gallen waren leer. Yurimaguas, Peru, August 1902. 103. Passiflora coccinea AUBL. 133. (480). Botan. Museum 5112. Cecidomyidengalle auf den Blättern. Es sind auf beiden Blattseiten vorragende Parenchym- gallen, von 3 mm Länge und besonders blattoberseits von halbku- geliger bis hörnchenförmiger Gestalt. In der meist blattoberseits lie- genden Höhlung (nach unten ist die Gallenwand beträchtlich dieker als nach der Gallenspitze zu) befindet sich eine noch sehr junge Ce- eidomyidenlarve. Manäos, März 1901. RATES + ai | AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 33 104. Paullinea spec. 134. (27 Hamburg u. 17 Berlin). Acarocecidium, Erineum blatt- unterseits. Das Erineum tritt tleckenweise auf und ist stets mit sehr starker, oft taschenartiger Ausstülpung nach oben verbunden. Auf- fallend ist, dass oft nur eine ganz kleine Stelle der Ausstülpung mit Filzhaaren bedeckt ist. Das Erineum besteht aus gelbweissen Sternhaaren, die aber oft als solche kaum noch zu erkennen sind. Die Strahlen sind oft ungemein stark verlängert, meist, besonders bei N.” 27 vielfach verzweigt und mehrzellig. Bei N.’ 17 sind es meist straffe, spitze, älchenartige einzellige Haare, die stark geschlän- gelt sind; seltener findet man sehr dünnwandige, dickere, mehrzellige, an der Spitze abgerundete Haare. Bei N.’ 27 sind die Ausstülpungen meist kleiner als bei 17 und dieselben befinden sich häufig nahe dem Blattrande, der dann nach oben gekrümmt wird und die Emergenzen befinden sich dann nicht nur in der Coneavitat , sondern bedecken das Blatt auf grössere Strecken, doch stehen diese Emergenzen hier nicht dicht, wie in der Ausstülpung, sondern sehr zerstreut. Nei N.’ 27 befindet sich das Erineum zuweilen blattoberseits und die Ausstül- pung erfolgt dann von oben nach unten. 27. i Prov. St. Catharina ohne genanere Angabe, April 1890. Gavea, Est. d. Rio de Janeiro, Sept. 1899. 105. Paullinea spec. 135. (242, 341 und 612). Cecidomyidengallen am Stengel. Die Gallen werden bis 6 mm lang und sind dann 4 mm breit und + mm hoch. . Sie praesentieren sich im Längsschnitt als kleine Ellipsen. In der Regel sitzen sie der Rinde nicht mit der ganzen Breite auf, son- dern sie sind an der Basis stark eingeschntirt. Die schmale, lange Larvenkammer, die von einer ungemein festen Wandung umgeben wird, verläuft ebenso wie die Galle mit ihrer Längsaxe stets in der Richtung des Zweiges. Das Flugloch befindet sich immer an einem der schmalen Enden. Sehr selten stehen die Gallen so dicht, dass sie zusammenwachsen ; immerhin sind die Zwischenrinme nicht sehr gross, wenn sie auch oft ein Vielfaches der Gallenlänge betragen; so finden sich z. B an einem Zweige von 40 em Länge e. 140 Gallen. Die Gallen N.° 242 und 612 sind alle leer und mit Flugloch 3 be MT Er TESTER va inzio TEEN debt ‘ | Y. Er lari Tt \ 34 Ew. H. RUEBSAAMEN versehen ; bei 242 ist die Gallenhöhle von Pilzen durchwuchert, doch fand ich zwischen den Pilzfäden Reste junger Cecidomyidenlarven. 242. Sept. 1900 (ohne Fundort. 341 Cachoeira am oberen Juruä, Mai 1901. 612. Bom Fim, Est. d. Amazonas, October 1900. o 106. Pavonia spec. 156. (529 Bot. Museum 6702). Acarocecidium, Erineum auf den Blättern und den Blütenkelchen. Das fleckenweise auftretende Bri- neum bildet in der Regel blattunterseits, seltener auf der oberen Blattseite dicke, gelbweisse Polster, die mit einer starken Ausstülpung der Blattflàche nach der entgegengesetzten Seite verbunden sind. Auch auf der convexen Seite sind die Ausstülpungen stärker behaart als das normale Blatt, doch lange nicht so dicht wie auf der con- ‘aven Seite. Die Filzrasen bestehen aus Sternhaaren, deren Strahlen stark verlängert, gekriimmt, meist verzweigt und oft auf weite Strek- ken verwachsen sind, so dass sie kaum noch den Eindruck von Sternhaaren machen. Tarapoto, Peru, October 1902. 107. Pedicellaria ulei GiLG 137. (525, Bot. Museum 6430). Lepidopteroceeidium, Mittelrippen- schwellung. Die Anschwellung wird €. 10 mm lang und 4-5 mm diek, doch befinden sich häufig an der Mittelrippe 4-5 soleher Gallen dieht hintereinander. Meist sind die Anschwellungen schön gelbrot gefärbt. Jede Galle ist mit einem Flugloche versehen. Die Puppenhäute hängen nicht im Flugloche, sondern liegen in der Höhlung ; der Schmetterling kriecht also offenbar in der Galle > aus der Puppe heraus. Im Walde bei Cumbasso in Peru, März 1903. 108. Peltogyne spec. 138. (253). Blattgallen, Erzeuger ? Es sind annähernd kugelige, zuweilen mehr kegelförmige Gallen von €. 4 mm Höhe mit lang ausgezogener Spitze. Blattunterseits befindet sich eine kreisrunde oder ovale Grube von 2-4 mm Durchmesser, die mit schwachem, aber scharfem Miindungswalle umgeben, und deren Boden bei dem vor- ur U 21200 es dé rt A [EL AUSSEREUROPABISCHE ZOOCECIDIEN 35 liegenden Materiale stets mit einem Loche versehen ist, das den Eingang in die eigentliche Larvenkammer bildet. Bei einigen Gallen finde ich dieht am erwähnten Eingange in der Kammer eine noch ganz junge Cecidomyidenlarve ; in einer andern Reste einer Cynipide ; alle andern Gallen sind leer und die Höhlung von Pilzen durchwu- chert. Allem Anscheine nach liegt hier eine Cynipidengalle vor und die Cecidomyidenlarve ist wohl erst später in die Galle geraten. Bom Fim am Juruä, Nov. 1900. 109. Peperomia controversa C.D.C. 159. (391 Bot. Museum 5793). Cecidomyidengalle. In der Blüten- spindel, zuweilen auch an der Triebspitze befinden sich circa 7 mm lange fleischige Gallen, die oben mit mehreren Reihen unregelmässi- ger, breit angewachsener häutiger Schuppen besetzt sind. Am ge- pressten Exemplare sind die Gallen platt gedrückt und werden auch durch Aufkochen nicht anders in der Form; vielleieht sind die De- formationen als Blütengallen aufzufassen. Die rings geschlossene Lar- venhöhle wird von einer 1,7 mm langen Cecidomyidenlarve bewohnt, die eine eigentiimliche Brustgräte besitzt, die durch ihren sehr kur- zen Stiel auffällt. Die Länge des Stiels bis zu der vorderen, platten- artigen Erweiterung beträgt nur 69 » bei 141 x der ganzen Grate. Der Ausschnitt zwischen den Grätenzähnen hat die Form eines Tra- pezes, dessen kürzeste Seite nach hinten, an der Basis der spitz dreieckigen Zähne liegt. Es ist I= 147: I = 40; II = 60; IV — 84: Vz7s5 Vl=40. Die Gürtelwarzen sind an den vorderen Segmen- ten rundlich, vom 2. Thoracalsegmente an werden die Warzen grösser und nehmen die Form von Dornen an, deren Spitze etwas nach hinten gebogen ist. Die Bauchwarzen stehen in 18-20 Reihen an der Basis der Segmente. Letztes Segment ähnlich wie bei Dichelomyia jederseits mit vier dornartigen Borsten. Die vorderen Sternalpapillen zwischen den Grätenzähnen etwa in Höhe der Zahnspitzen und circa 25 p von einander entfernt; sie sind ohne Borsten. Lateralpapillen jederseit 2 X 3; Pleuralpapillen mit langen Borsten. Jura Miry, am Rio Juruä, Juli 1901. 110. Philodendron spec. 140. (231). Cecidomyidengalle an den Luftwurzeln. Spindelförmige LR CARTE ot). ae “ 36 Ew. H. RUEBSAAMEN Anschwellungen von €. 20 mm Länge und 5-6 mm Dicke. Die lang- gestreckten Larvenkammern verlaufen in der Richtung der Wurzeln. Die ans diesen Gallen herausgeholten Cecidomyidenpuppen zeichnen sich aus durch die sehr langen Beinscheiden. Die Scheiden der Vor- derbeine reichen bis ans Ende des 5. Abdominalsegmentes , die der mittleren Beine bis ans Ende des Körpers, während die Hinterbeine die Hinterleibsspitze überragen. Die Bobrhôrnchen sind sehr stark entwickelt, Scheitelbérstchen und Atemröhrchen dagegen senr kurz. Die Flügelscheiden reichen bis zur Mitte des 5. Segmentes. Die Schiebedérnchen fehlen vollständig. Die Mücke ist offenbar mit La- sioptera nahe verwandt; sie hat sich in der Pnppenhaut schon voll- stärdig entwickelt. Die Klanen sind sehr fein, mit deutlichem Zahne; Fühler. so weit sich dies durch die Puppenhaut erkenenn lässt, 2 + 28 gl.; die Glieder sitzend, kaum länger als breit; Abdomen mit breiten, schwarzen Schuppenbinden. Serra do Macahé, Est. d. Rio de Janeiro. Januar 1900. 111. Philodendron spec. ‘ 141. (229). Cecidomyidengalle? an den Luftwurzeln. An stärkeren Wurzeln sammelte Herr ULE eine andere Deformation, die offenbar von der vorhergehenden verschieden ist. Es sind seitlich etwas zu- sammengedriickte Rindenauftreibungen von €. 7-3 mm Lange und 4-5 mm Höhe und Breite. Diese beulenartigen Auftreibungen stehen meist dieht gedrängt hintereinander, seltener nebeneinander, so dass sie an der Luftwurzel in mehreren, parallel laufenden Längszeilen angeordnet sind; meist stehen die Gallen dann so dicht gehäuft , dass sie in einander übergehen. Alle Gallen sind mit Fluglöchern versehen. Von dem Flugloche erstreckt sich senkrecht zur Längsaxe der Wurzel eine eylindrische Innengalle ,. welche die Larvenkammer umschliesst. Dieser Cylinder ist nur am vorderen und hinteren Ende angewachsen, sonst aber von einem ziemlich grossen Hohlraum um- geben, der offenbar nicht erst durch Schrumpfung beim Trocknen der Galle entstanden ist. Die Gallen sind alle leer; es wurden weder Überreste von Larven noch von Puppenhäuten aufgefunden. Serra do Macahé, Estado de Rio de Janeiro, Januar 1900. AUSSEREUROPAFISCHE ZOOCECIDIEN 37 112. Philodendron spec. 142. (11 Alkohol!). Blatt- und Stengelgallen ; Erzeuger? Es sind fleischige, grosse, eiförmige bis annähernd kugelige Gallen von der Grösse eines Hihnereies (bis 7 em lang!) und im Leben wahrschein- lich von der Farbe des Stengels. An einem Stengel sitzen 2 Gallen ; die eine von 5 em Länge, die andere von mehr kugeliger Form hat 3 em im Durchmesser. Die grosse Galle sitzt an einer Astgabel, die kleinere dieht neben ihr auf dem Seitenzweige, der stark zurückge- krümmt ist. Die Blattgalle ist 7 cm lang und €. 4 em dick. Sie scheint an der Mittelrippe zu sitzen, doch lässt sich dies nicht sicher bestimmen, da vom Blatt nur noch Fragmente vorhanden sind; allem Anscheine nach veranlasst sie eine starke Verbiegung der Blatt- lamina. Die aussen glatte Galle besitzt im Innern mehrere Höhlungen von 7 mm Länge und 5 mm Breite. Meist sind dıe Höhlungen leer und durch ein Flugloch nach aussen gekennzeichnet. In den noch geschlossenen Kammern wurden Hymenopterenlar- ven gefunden. In einer kleineren Galle, aus denen der Erzeuger eben- falls bereits ausgewandert ist, findet sich im Innern eme grosse, mit Mulm und Kot ausgefüllte Höhlung und in dem Mulme eine Chironomidenlarve, mehrere Sciaridenlarven und eine Cecidomyidenlarve, die aber wohl ebenfalls eingewandert ist. Estado de Rio de Janeiro, ohne weitere Angaben. 113. Piper spec. L. 143. (Alkoholmaterial !). Cecidomyidengallen an den Zweigen. Es sind fleischige Gallen von umgekehrt birnförmiger Gestalt, 7-5 em lang und an der dicksten Stelle in der Nähe der Basis 5-6 cm dick. Die mächtigen Gallen sitzen stets an einem Zweigende. Die €. 10 mm langen und 2-2,5 mm breiten Larvenhöhlen befinden sich vorzugs- weise im dieksten Teile der Galle und sind hier strahlenförmig um einen €. 2 cm dieken, massiven Kern gruppiert. Die Larvenhöhlen sind meist ziemlich weit von einander entfernt. Aus diesen Gallen ziichtete Herr ULE die sie erzeugende Mücke, die zur Asphondylia-Gruppe gehörend, mit Asphondylia nahe verwandt, sich von ihr aber doch durch auffallende Merkmale unterscheidet. Ich habe die Gattung wegen der auffallenden Beschuppung des Tieres 38 Ew. H. RUEBSAAMEN g ZALEPIDOTA n. g. (tà, sehr; AemBwrd¢, schuppig) genannt. Die Miicken unterscheiden sich von Asphondylia durch die eingliedrigen Taster und die starke Beschuppung der Beine, Fliigel und Taster. Die Schuppen sind gemischt mit Haaren. Bei dem einzigen vorliegenden Weibchen ist die Spitze der Fiih- ler abgebrochen und die Taster zweispitzig. Ich nenne die Art ZALEPIDOTA PIPERIS D. g. n. Sp. Farbe an dem Alkoholmaterial nieht mehr bestimmbar ; wahr- scheinlich braun. Länge des Männchens 4 mm; des Weibchens bis zum letzten nadelförmigen Gliede der Legeröhre 5,5 mm. Die Fühler sind 2 + 12 gl.; beim Männchen die Geiselglieder nach der Spitze zu allmählich kleiner werdend ; alle Glieder behaart und beschuppt und mit ungemein feinen, geschlängelten, kurzen Bogenhaaren dieht bedeckt. Das erste Geiselglied ist 312, das zweite 256 n lang; die Länge des vorletzten Gliedes beträgt 200 und die des letzten 136 ». Das erste Basalglied ist 176 p und das zweite 64 » lang bei einer Breite von 104 p. Die kurzen Taster sind 1. gl. beim Weibchen an der Spitze tief eingeschnitten, so dass sie in zwei Spitzen endigen, was aber möglicherweise eine Abnormität ist. Die Augenfacetten nicht rund, sondern 6 - eckig. Die Flügel sind ausgezeichnet durch die auffallende Verbreiterung + AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 39 der Zelle zwischen 1. Längsader und Flügelvorderrand; vor der ersten Längsader eine kurze, undeutliche Ader, die an die Hilfsader der Sciariden erinnert. Vorderrand bis zur Miindung der 2. Längsader ziemlich dick. Die 2. Längsader ziemlich grade, an der Spitze sanft nach hinten gebogen und in die Fliigelspitze miindend. Querader sehr zart und sehwer wahrnehmbar, vor der Mitte der 1. Längsader. Der Gabelpunkt der 3. Längsader liegt der Miindung der ersten annähernd gegenüber ; die vordere Zinke sehr zart, an der Basis hakenartig gebogen. Klauen einfach, an der Basis der untern Seite wulstig verdickt. Empodium kürzer als die stark gebogenen Krallen, doch länger als die kurzen Pulvillen. Haltezange des Männchens klein, die K}auenglieder eiförmig mit doppelter Kralle. Die obere Lamelle mit zwei grossen breiten Lappen, zwischen denen sich ein nicht sehr tiefer, spitz dreieckiger Ansschnitt befindet. Die untere Lamelle stark chitinisiert, die obere Lamelle nicht überragend, an der Spitze mit tiefem Einschnitt, wodurch zwei schma- le, wie bei Lopesia etwas nach innen gebogene Lappen entstehen. Die Legeröhre des Weibchens lang vorstreekbar; das letzte Glied nadelförmig, hart, ohne Lamellen, nicht so spitz endend wie bei | Asphondylia. Die Puppe unterscheidet sich von den Asphondylia-Puppen durch die hörnehenartig vorstehenden Stigmen des Abdomens. Die Schei- telstacheln sind weit getrennt; die Schneide ist nicht nach innen gerichtet, wie bei Asphondylia, sondern nach vorne, also nach der Ventralseite des Tieres; an dıeser Seite ist jeder Stachel mit einem kräftigen Zahne versehen. Die grossen Stirnstacheln ebenfalls sehr weit getrennt; sie stehen unmittelbar am innern Augenrande; Brust- stachel kleiner, einfach. Die Flügelscheiden überragen die Basis des dritten Segmentes etwas; die Scheiden der Vorderbeine reichen bis ans Ende des 4., die Scheiden der mittleren Beine bis zur Mitte und die der Hinterbeine bis fast ans Ende dieses Segmentes. Querreihen stark entwickelter Schiebedornen finden sich auf dem Rücken des 2. bis 5. Abdominalsegmentes. Hürnchenartig vorgezogene Stigmen vom 2.-1. Segmente, doch sind sie am 7. Segmente schon viel kleiner als an den vorhergehenden. Atemröhrchen sehr lang. Scheitelbérstchen scheinen zu fehlen. Tijuca, Estado de Rio de Janeiro, September 1899. 40 Ew. H. RUEBSAAMEN 114. Piper spec. 144. (180). Cecidomyidengalle auf den Zweigen. Die hornförmigen Gallen sind 2-3,5 em lang und an der Basis bis 10 mm dick; sie sitzen meist in Gruppen von 2 bis 40 Stück und mehr zusammen und verursachen dann anch meist eine ziemlich auffallende Anschwellung des Zweiges. Nach ihrer Spitze zu verjiingen sich die Gallen all- mählich, doch enden sie selten ganz spitz. Auch wenn sie zu grö- sseren Gruppen vereinigt sind, sind sie nicht rings um den Zweig — gruppiert, sondern sitzen stets an einer Seite desselben und die Spitzen der Gallen sind dann stralilenförmig nach allen Seiten ge- richtet. Die untere Hälfte der Galle -ist sehr dieht behaart; die Haare spitz und aus einer Anzahl hinter einander liegender Zellen zusammengesetzt ; selten ist die Galle bis fast an die Spitze behaart. Gewöhnlich ist die obere Hälfte stark zusammengedrückt und die Spitze hornformig umgebogen. Die Larvenhöhle befindet sieh nahe der Gallenbasis ; sie hat 3-4 mm Durchmesser , annähernd kugelige Gestalt und innen glatte Wandungen. Die Verwandlung der Mücke erfolgt auch hier in der Galle. Möglicherweise gehört auch diese Mücke zum Genus Zalepidota m., doch unterscheiden sich die Puppen in einigen wesentlichen Punkten. Auch hier sind die grossen Scheitelstacheln weit getrennt, besonders an der Basis, aber die Schneide ist nach der Aussenseite gerichtet und mit vielen, weit getrennten, scharfen Zähnchen besetzt. Stirn und Bruststachel rudimentär, die Stirnstacheln als flache Beu- len nahe dem innern Augenrande; der einfache Bruststachel als klei- ner, an der Spitze abgerundeter Kegel vortretend. Stigmen auf etwas vorragenden Trägern, die aber nicht hörnchenförmig sind. Atemröhr- chen nach innen gerichtet; ziemlich lang; Scheitelbörstehen kurz. Die Fliigelscheiden reichen bis ans Ende des 3. Segmentes. Von den Beinscheiden sind die mittleren am kürzesten. Sie erreichen nicht ganz die Mitte des 6. Abdominalsegmentes, bis an dessen Ende die Scheiden der Hinterbeine reichen ; Scheiden der Mittelbeine bis zur Mitte des 6. Segmentes. Die Riickensegmente 1-8 mit sehr stark ent- wickelten Schiebedörnchen. Die ganze Puppe ist ähnlich wie bei Asphondylia stark chitinisiert ; das Abdomen gelblich. Da von Zalepi- dota piperis keine Larven vorliegen, so können Vergleiche mit den Larven von N.’ 143 nicht angestellt werden. Die Larve aus den Horngallen hat mit den bereits erwähnten Uleella-Larven gemein die REA e A NET Cr Oy, a, ee pc ae à ir A \ ’ ! y Ca USS | ‘ : A - ‘ AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 41 eigentiimliche , scheibenartige , von gewulstetem kreisrundem Rande umgebene Abplattung an der Ventralseite und zwar finden sich an den Thoracalsegmenten 3 derartige Platten, an den Abdominalseg- menten nur je eine. Uber Papillen vermag ich nicht geniigende Aus- kunft zu geben. An jedem Segmente scheint stets eine mit einer Borste besetzte Pleuralpapille vorhanden zu sein; die vorderen Ster- nalpapillen sind ebenfalls vorhanden; andere Papillen habe ich aber am Praeparate nicht nachweisen können. In einem Falle glaube ich in einer der erwähnten kreisrunden Wülste eine rudimentäre Papille wahrgenommen zu haben, doch geben auch starke Vergrösserungen und sehr gute Linsen (Zeiss Achromat D* Wasserimmersion und Apochromat, Ölimmersion 2 mm) keinen sicheren Aufschluss , der Jedenfalls an frischem Material zu erlangen ist. Die Rückenborsten sind sehr klein und kaum länger als die stachel- spitzen Gürtelwarzen. Ich finde nur an jedem Segmente jederseits eine kurze Borste. Analborsten oder Höcker scheinen ganz zu fehlen. Die Brustgräte hat keinen Stiel. Der Ausschnitt zwischen den spitzen Zähnen ist fast quadratisch. Die Aussenlinie der Zähne etwas convergierend. Die Spitzen der Zähne sind 80 p von einander ent- fernt; ihre Höhe beträgt 64 n; die Entfernung von der Basis der Zähne bis zum Ende der Gräte beträgt dann noch 56 1. Serra do Macahe, Estado de Rio de Janeiro, Februar 1900. 115. Piper spec. 145. (222). Cecidomyidengalle, Zweigschwellung. Die angegriffenen Zweige sind auf 6-7 cm Linge um die Hälfte dicker als der normale Teil des Zweigs unterhalb der Ansehwellung. In der einen Galle, die vom Sammler bereits aufgeschnitten wurde, finden sich zahlreiche, länglich runde Larvenkammern im Marke, doch schieben sich einige dieser Kammern in den Holzkörper hinein; bei einem anderen Exemplar sind ausser den Markgallen auch ausgesprochene Rindengallen vor- handen, die sich äusserlich als beulige Auftreibungen der Rinde dar- stellen ; die Larvenkammern, die sich in dieser Auftreibung ziemlich nahe bei einander befinden , sind mit ihrer Längsaxe senkrecht zur Längsaxe des Zweiges gerichtet. In einer dieser Kammern wurden Fragmente einer Cecidomyiden- larve aufgefunden. Tijuca, Est. de Rio de Janeiro, September 1899. 423 Ew. H. RUEBSAAMEN 146. (210). Cecidomyidengalle? Zweigschwellung. Die Galle hat vielleicht denselben Erzeuger wie die vorhergehende. Es ist eine ausgesprochene Markgalle. Im Marke wie bei der vorhergehenden eine Anzahl kleiner Kammern, die aber hier alle der Quere nach von einer noch in der Galle aufgefundenen Raupe durchgefressen worden sind. Die Schwellung ist viel kürzer als N.° 145; sie wird höchstens 2 em lang. Palmeiras, Estado de Rio de Janeiro, April 1900. 116. Piper spec. 147. (388, 572). Cecidomyidengalle, Rosetten an der Zweigspitze. Die Internodien verkürzen sich, die verkümmerten Blätter werden dicht zusammengeriickt und bilden eine Art Rosette. Die äusseren Blätter der Rosette sind e. 4 em lang, haben aber noch Form und Nervatur der normalen Blatter; nach innen werden die Blätter kür- zer und schmäler; der im Vergleich zu den normalen Blättern lange Blattstiel ist an seiner Basis schuppenartig verbreitert. Diese braun- häutige Schuppe ist bei den äussern Blättern 10 mm lang und 3 mm breit und an der Spitze verschmälert und unregelmässig gezackt ; ungefähr von der Mitte der Schuppe an wird der Blattstiel auf der äusseren Schuppenseite frei und nimmt auf eine Strecke von €. 5 mm normale Blattstielgestalt an, um dann in das eigentliche Blatt, das nicht breiter ist als die braune Schuppe, überzugehen. Bei den innern, kleinern Blättern der Rosette werden die angegebenen Ver- hältnisse entsprechend geändert, immer aber liegt der Blattgrund annähernd in der Höhe der Schuppenspitze, so dass sich die Schup- pen dem Zweige dachziegelartig anlegen und einen kleinen Zapfen bilden können, ohne dass die Blattstiele und Blätter dieselbe Richtung annehmen müssen. In der Regel stehen dann die Blattstiele und Blätter in mehr oder weniger spitzem Winckel von diesem Zapfen ab. Mit dieser sehr merkwürdigen Bildung ist eine Verdiekung der Zweigspitze verbunden und die Larvenhöhle befindet sich im Marke des Zweiges. Die aufgefundene Larve hat noch keine Gräte. Sie hat spitze Griirtel- und Bauchwarzen. Das hintere Ende der Segmente ist auf der Ventralseite glatt. Körperborsten ungemein kurz. 388. Belem und Juruä Miry, Est. de Amazonas, Oct. 1901. 572. Pongo, Peru, Sept. 1902; Cerro de Escaler, Peru, Nov. 1902 und Tara- poto, Peru, Januar 1903. AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 43 117. Piper spec. 148. (102). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die annähernd kugeligen Gallen erreichen einen Durchmesser von 4 mm; sie befin- den sich auf beiden Seiten des Blattes, regelinässig an den Rippen, doch auch am Blattstiele. Die auf der Blattlläche an einem kleineren Nerven sitzenden Gallen erscheinen auf der entgegengesetzten Seite als sehr schwache Verdickung der betreffenden Rippe. Blattoberseits sind die Gallen viel seltener als auf der Unterseite. Beim getrockneten Materiale sind sie schwarz, im Leben wahrscheinlich rot. Die fleischige Wandung ist ziemlich diek und umsehliesst eine Larvenkammer, die annähernd die Form der Galle hat. Die in diesen Gallen lebende Cecidomyidenlarve gehört unbedingt derselben Gattung an wie die N.° 144 erzeugende Larve. Alles dort Gesagte wiederholt sich hier, nur finde ich bei einer Larve am 1. Brustsegmente 3 einfache Lateralpapillen und eine Pleuralpapille. Auch dieses Praeparat giebt keine ganz sicheren Aufschlüsse über Papillen und die Bildung des Analsegmentes. Brustgräte ähnlich wie DORA AE ie de) FE er, DE = 68 5 TV 108, Serra dos Orgäos, Est. d. Rio de Janeiro, August 1899. 118. Piper spec. 149. (389). Cecidomyidengalle auf den Blättern und den Zweigen. Die sonderbare Galle (1) wird €. 10 mm lang aber nur 1,5-2 mm breit und hoch ; auf den Blättern kommt sie regelmässig an einer Blatt- rippe vor, doch verläuft ihre Längsaxe nicht immer in der Richtung der Rippe. Die langgestreckte niedrige Galle ist ungefähr in ihrer Mitte angewachsen und endet an dem einen Ende mit einem, am andern Ende meist mit zwei hornartig vorstehenden, abgerundeten Zipfeln. An den Blättern scheinen die stark behaarten Gallen selten, am Zweig stets gehäuft vorzukommen. Die geräumige Larvenkammer, die sich stets in den einfachen Fortsatz hineinzieht, wird von einer 1,25 mm langen Gallmückenlarve bewohnt, die, obwohl am vorlie- genden Materiale offenbar noch nicht ausgewachsen, doch erkennen (1) Cfr. N. 137, Galle auf Swartzia. UT ARE BAI SU AN OS ES ae by A TO ENTER 44 Ew. H. RUEBSAAMEN lässt, dass sie einem andern Genus als die bei N.’ 144 und 148 erwähnte Larve angehört. Die Brustgräte fehlt, wenigstens noch in diesem Entwieklungsstadium. After wie bei den genannten Larven nieht auf der Ventralseite, sondern ganz am Ende des Körpers nach hinten gerichtet. Das hinten Nach ausgerandete Analsegment jeder- seits mit 4 starken, dornartigen Borsten. Gürtel- und Bauchwarzen spitz; die Dorsalseite mit kräftigen Borsten. Bocca do Tejo am oberen Juruä, April 1901. J ; 119. Piper spec. 150. (181). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die linsenförmigen Parenchymgallen, die auf beiden Blattseiten vortreten, blattunter- seits aber etwas stärker als auf der Oberseite, sitzen stets an einer Blattrippe und erreichen einen Durehmesser bis zu 6 mm; zuweilen stehen sie dicht nebeneinander, so dass sie in einander übergehen. Blattoberseits sind die Gallen grösstenteils in der Mitte mit einem Flugloche versehen; in den noch gesehlossenen Gallen finden sich Pteromalidenpuppen oder Bruchstücke von Cecidomyidenlarven mit Resten von Pteromalidenlarven. Im Walde der Fabrica bei Rio de Janeiro, November 1899. 120. Piptadenia communis Bru. 151. (33 Hamburg. 196 und 197). Cecidomyidengalle auf den Blät- tern. Die Fiederblättchen werden in flach kugelige, seltener spitz kugelige Gebilde von e. 2,5 mm Höhe und 3 mm Querdurchmesser umgebildet, die dicht mit nach allen Seiten starr abstehenden, dicken gelbroten oder carminroten, seltener gelbgriinen steifen Borsten besetzt sind. Auf der Gallenspitze stehen die Borsten dieht gedrängt und die innersten erreichen eine Länge von 6-7 mm. Bei äusserlicher Betrach- tung erscheint daher die Galle nicht kugelig, sondern als spitzer Kegel. Die Borsten an den Seiten der Galle sind viel kürzer und an der Spitze hakenartig zurückgekrümmt. Die wunderhiibsche Galle sitzt oft in grossen Mengen auf einem Blatte, das dann ein ganz merkwiirdiges Aussehen bekommt. Nur in einer der untersuchten Gallen fand ich eine Cecidomyi- denlarve mit bereits entwickelter Brustgräte, während alle anderen PIA SARRI TETTO Ce MR ER ES eT ee PRE EE UN Ni; ae Li ae . $< ces + Pi sa A < : St ÄUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 4 Larven noch sehr jung waren. Die Gräte ist von sehr sonderbarer Form. Der Ausschnitt zwischen den schmalen , spitzen Zähnen ist sehr breit. Die mit IV bezeichnete Breite hinter der Basis der Grä- tenzähne beträgt 76 x. Diese vordere Platte geht nach hinten ziem- lich plötzlich in den 32 u breiten Grätenstiel über, der sich fast sofort wieder nach hinten mächtig erweitert, so dass also von einem Stiel kaum noch die Rede sein kann. Die ganze Gräte (I) ist 136 4 lana. di 6 =82; III, = 40:; IV- dod. V =76 und Vi= 40: Das Analsegment ähnlich wie bei Dichelomyia. Gürtelwarzen rundlich ; Bauchwarzen kaum von ihnen zu unterscheiden. Borsten ungemein kurz, nur schwer wahrnehmbar. 33. Tubaräo, Prov. St. Catharina, Januar u. Juli 1890. 196 und 197. Palmeiras, Estado de Rio de Janeiro, April 1900. 152. (141). Cecidomyidengallen auf den Blättern. Kreisrunde, gelb- braune Parenchymgallen der Fiederblättchen. Blattoberseits ist der Rand der Galle aufgebogen und die Gallenmitte etwas vorgewölbt. An dieser Stelle sitzt oft noch ein Stück der abgehobenen Epidermis. Blattunterseits erscheinen die Gallen als gelbgrüne, schwielige Ver- dickungen. Am vorliegenden Material haben die offenbar noch nicht ausgewachsenen Gallen einen Durchmesser von 1 mm. Die aufgefun- denen Larven sind noch sehr jung. Fabrica bei Rio de Janeiro, November 1899. 153. (198). Cecidomyidengalle? auf den Blättern. Kugelige, im trok- kenen Zustande schwarzbraune, mit kleinen gelben Flecken versehene Gallen auf den Fiederblattchen oder der Rhachis. Die trocknen Gallen sind stark runzlig. eingeschrumptt, zuweilen sogar becherfòrmig. Ob- gleich ich in den Gallen weder eine Larve noch überhaupt eine Lar- venhöhle gefunden habe, glaube ich doch, dass es sich um ein Gail- miickenproduet handelt. Palmeiras, Est. de Rio de Janeiro, April 1900. 154. (140, 141, 196, 197). Cecidomyidengalle auf den Blittern. Parenchymgallen. Die Basis der Blättchen ist sehr stark erweitert und verdickt. Die Anschwellung ist von braunrötlicher Farbe und durch die zum Teil gesprungene und etwas Josgeléste Epidermis rauh. Gewöhnlich ist sie etwas gekrümmt und zwar meist so, dass die convexe Seite der Oberfläche des Blattes entspricht. Zuweilen ist sie PER TOR i + 46 Ew. H. RUEBSAAMEN sichelförmig nach einer Seite gebogen. Die Spitze des Fiederblätt- chens ist meist normal entwiekelt. Die rundliche Larvenkammer liegt ziemlich nahe an der Blattoberseite; sie enthält bei N.’ 141, d. i. die in der Entwicklung am meisten vorgeschrittene Galle eine sehr kleine, annähernd kugelige Cecidomyidenlarve. 140. Corcovado, Est. de Rio de Janeiro, Dezember 1899. 141. Fabrica bei Rio de Janeiro, November 1899. 196 und 197 (zusammen mit den Gallen N.° 151) Palmeiras, April 1900. 121. Piptadenia? spec. 155. (140). Cecidomyidengallen am Zweige und der Rhachis. Die gelbbraunen €. 2 mm grossen Gallen sind kugelig oder länglich rund und dann mit einer Schmalseite angewachsen. Meist ist die Galle nahe dem oberen Ende mit einer kreisrunden Abplattung, dem zu- künftigen Flugloche, versehen. Gewöhnlich sitzen die Gallen auf der oberen Seite der Rhachis in langen Reihen, oft so dieht zusammen, dass sie verwachsen. In der geräumigen Gallenhöhlung lebt eine 2,5 mm lange Cecidomyidenlarve, die stark gekrümmt in der Galle liegt. Von allen mir bekannten Cecidomyidenlarven unterscheidet sich die Larve durch eine grosse, etwas nach oben gerichtete lappige Erweiterung an jeder Seite der beiden letzten Segmente. Auch diese Larve ist sıcher Vertreter einer neuen Gattung. Die sehr stark entwickelte Gräte hat einen langen, in der Mitte etwas erweiterten Stiel. Die Zähne sind spitzdreieckig, der Ausschnitt zwischen den Zähnen an der Basis etwas gerundet, es ist I= 256; Il = 40-45 ; LIT = 60-665 ETW 1102120 5.0 10-120 = Vi 40-45: Der Stiel der Gräte ist bei einigen Larven noch nicht voll ent- wickelt. Die Haut des Tieres ist glatt, ohne Gürtelwarzen ; Bauch- warzen ungemein fein. Auf dem Rücken sind keine Borsten vorhan- den, jedes Segment besitzt aber eine Reihe äusserst feiner Papillen ; über die Anzahl derselben geben die etwas faltigen Praeparate kei- nen sichern Aufschluss; dasselbe gilt von den Papillen auf der Ven- tralseite. Lateralpapillen auf deutlichen Höckern ; Ventralpapillen habe ich nicht auffinden können. Palmeiras, Estado de Rio de Janeiro, April 1900 und Corcovado, » « « , Dezember 1899. Auf den bei Corcovado gesammelten Zweigen kommt auch die «è AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 47 Galle N.° 154 vor. Es ist demnach wahrscheinlieh, dass auch das vor- liegende Substrat (N.° 155) Piptadenia communis ist. 122. Piptocarpha spec. 156. (70). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Kugelige An- schwellung der Mittelrippe von €. 12 mm Durchmesser. Meist stehen eine Anzahl dieser Gallen dicht beieinander. so dass sie an einer Seite vollständig mit einander verwachsen, doch ist an dieser Stelle die Anschwellung deutlich eingeschnürt, so dass die Einzelgallen leicht zu erkennen sind. Die mit graugrünen, gestielten Sternhaaren dieht bedeckte Anschwellung ist auf beiden Blattseiten sichtbar . tritt jedoch unten viel stärker vor als oben. In der geräumigen Larvenhöhle befindet sich eine Cecidomyidenlarve, die wieder die be- reits vorher bei Mikania, Piper ete. erwähnten plattenartigen Wiilste auf der Ventralseite besitzt. Bei dieser Larve findet sich aber an jedem Segmente nur ein einziger Wulst. Mit Ausnahme der beiden Kopfpapillen tragen alle Papillen bei dieser Larve Borsten und die Riickenborsten sind ungemein lang und dick. Die Gürtel- warzen unterscheiden sich von den Bauchwarzen nur dadurch, dass sie grösser sind. Der Übergang von der einen Form in die andere findet ganz allmählich statt. Das schmale Endsegment in Form eines einfachen, an der Spitze nicht gebuchteten, sondern vorgewölbten Zapfens mit 8 Borsten, davon vier sehr lange am hintersten Rande und 4 kiirzere nach der Ventralseite zu. Auch das letze Segment mit einem Plattwulst, der dem vorletzten Segmente fehlt. Die Platten- wülste an den Abdominalsegmenten mit 4 deutlichen Papillen, die nicht in einer Querreihe stehen, sondern sich an den Ecken eines Trapezes befinden; von welchem die kleinste der parallelen Seiten nach vorne gerichtet ist; nur beim vorletzten Segmente, das mit keinem Wulste versehen ist, stehen sie in einer Querreihe. Auf dem Riicken der Abdominalsegmente befinden sich zwischen den Stigmen vier lange Borsten. Brustgräte ohne Stiel, kurz, die grösste Breite in der Mitte an der Zahnbasis. Zähne spitz dreieckig, der Ausschnitt zwischen denselben an der Spitze gerundet. Es ist 1 — 180: II u. VI=76; III = 88; IV u V — 176; am Hinterrande ist die Gräte 96 p breit. Serra dos Orgäos, Est. de Rio de Janeiro, August 1899. wi > : 13 2% = 5 A he + ‘i is ~~ i, + 48 Ew. H. RUEBSAAMEN 123. Pithecolobium glomeratum Bru. 157. (255. Bot. Museum 5063). Cecidomyidengalle auf den Blät- tern. Kegelförmige bis cylindrische Gallen neben einer stärkeren Rippe blattunterseits. Die Seiten der Deformation sind dicht mit fuchsroten , vielzelligen, borstenförmigen Haaren bedeekt. Meist ist die Galle an der Spitze mit einem unregelmässig rundlich geformten graugelben, nicht behaarten Stücke der ausgehobenen Epidermis be- deckt, das in der Mitte leicht genabelt ist; seltener fehlt dieses Stück und die Spitze der Galle trägt daun ebenfalls die erwähnten borste- nartigen Haare, die 3-4 mm lang und nicht nach oben, sondern nach unten gerichtet sind oder fast wagerecht abstehen. Blattoberseits ist die Galle an einer breiten , gelbgrauen, glatten, schwieligen Verdi- ckung zu erkennen. Bei der Larve scheint die Analôffnung ebenfalls nach hinten , nieht nach unten gerichtet zu sein. Der Stiel der Brustgräte verbreitert sich ganz allmählich nach vorne; die Grätenzähne sind dreieckig, an der Spitze etwas abgerun- det; der Ausschnitt zwischen denselben übertrifft die Zähne an Länge, so dass II grösser ist als VI. Es ist I — 141; II = 39; III AR (IV —=805 Vz 69: Vedi Neben den verdern Sternalpapillen jederseits nur zwei Lateral- papillen ; die innere Pleuralpapille deutlich mit Borste. Alle anderen Papillen der Ventralseite nieht nachweisbar, da das Praeparat leider sehr faltig geworden ist. Rückenborsten deutlich, nicht sehr lang. Körperhaut glatt; nur am letzten Segmente leicht granuliert Bauch- warzen sehr fein und borstenartig. Bom Fim am Rio Juruä, November 1900. 124. Polypodium crassifolium L. 158. (16 MICHAELIS, 52, 120, 447 und Hamburg 226). Cecidomyi- den oder Coccidengalle auf den Blättern. Es sind breite Blattausstülpungen nach oben, die zuweilen so dicht stehen, dass ihre Wandungen verwachsen. Die weite Offnung auf der unteren Blattseite, deren Rand etwas wulstig verdiekt ist, ist häufige durch eine dünne, weisse Membran geschlossen, die sich bei genauerer Untersuchung als zu einer Coceidenart gehörig, aus- weist. In fast allen Gallen finden sich diese Cocciden in verschiedenen AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 49 Entwicklungsstadien, so dass die Annahme, dass die Galle ein Coc- cidenproduet sei, sehr nahe liegt. Ausser diesen Coceiden findet sich aber in den Gallen häufig eine sehr merkwiirdige Cecidomyidenlarve, die vielleicht nur eingewandert ist und als Inquilin oder Parasit in den Gallen lebt. In einer andern von Herrn MICHAELIS bei There- sopolis gesammelten Galle stecken in den Offnungen noch zerbrochene Puppenhäute von Gallmiicken, die offenbar zu den vorher erwähnten Larven gehören. Diese Larve ıst platt, hinten viel breiter als vorne, das Analsegment ebenfalls breit und nach hinten gerundet. Körper- haut glatt, nur mit sehr feinen spitzen Dornwarzen versehen. An den Abdominalsegmenten habe ich nur je 2. Ventralpapillen auftinden kön- nen. Eine ähnliche Gräte wie bei dieser Larve ist bisher noch nie beobachtet worden; sie weicht vollständig in ihrem Bauplane von allen bekannten Grätenformen ab. Auf einer e. 50 langen und am hintern etwas nach hinten gebogenen Ende 54 u breiten Chitinplatte, die nach vorne spitz ausläuft, erhebt sich in der Mitte annähernd in Form eines halben Kreises ein Grat, der nach oben in eine Anzahl scharfer, platter, nach vorne gerichteter Zähne ausläuft. Von der Mitte des erwähnten Grates zieht sich eine Verdiekung der Platte nach vorne und endet hier ebenfalls als nach vorne gerichteter scharfer Zahn. Am vorderen Ende der erwähnten Längsleiste befindet sich jeder- seits in der Grundplatte ein kreisrundes Loch, offenbar der Sitz der vorderen Sternalpapillen. An jeder Seite der halbkreisförmigen Ver- diekung sitzen drei Zähne, von denen jeder- seits der äussere Zahn von den beiden innern dureh einen ziemlich tiefen. Einschnitt ge- trennt ist, während die innern Zähne bis in die Nähe ihrer Spitze verwachsen sind. Die Ent- fernung der Spitzen dieser beiden Zähne be- trägt circa 4 p. Nach hinten ist der Quer- erat etwas gewölbt, fällt aber ziemlich steil zur Grundplatte ab. Fig. 14. Brustgräte der Lar- ve aus Gallen auf Po- lypodium. >< 800. 16. MicuagLis, Theresepolis, St. Catharina, Sept. 1904. 52. Minas, Prov. Sta. Catharina, Mai 1890. 120. Floresta da Tijuca, Estado de Rio de Janeiro, Juli 1899. 226. Estado de Sta. Catharina, ohne Fundort, October 1890. 447. Juruä Miry, Belem, Estado d. Amazonas, Sept. 1901. 50 Ew. H. RUEBSAAMEN 125. Ponteria laurifolia RADLK. (= Lacuma lamrifolia A.D.C.) 159. (76). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die Gallen dureh- wachsen das Blatt und sind stets mit einer Öffnung versehen , die durch Haare geschlossen ist. An der einen Seite des Blattes ragt sie als Zapfen von 1,5-2 mm Länge vor, auf der entgegengesetzten in Form einer Halbkugel; die Öffnung befindet sich stets an der Spitze des Zapfens, der sich bald auf der oberen, bald auf der unteren Blatt- seite befindet. In den Gallen wurden Überreste von Cecidomyiden in allen Entwicklungsstadien gefunden, alle jedoch so lädiert, dass ge- nauere Angaben nieht möglich sind. Der Ausschnitt zwischen den spitz dreieckigen Grätenzähnen scheint sehr breit, fast quadratisch mit etwas gerundetem Hinterrande zu sein; der Stiel ist kurz. Die Mücke scheint zur Diplosis - oder Asphondylia - Gruppe zu gehören ; die zweite Längsader mündet in die Flügelspitze. Copacabana, Estado d. Rio d. Janeiro, Juli 1899. 126. Ponteria spec. 160. (77). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Es sind Paren- “hymgallen von kreisrunder oder länglichrunder Form, die aber nur blattoberseits als flache, schwarzbraune Wölbungen vortreten. Blatt- unterseits sind sie an der dunkleren Farbe kenntlich und an dem etwas runzligen Aussehen. Die Gallen scheinen an jeder Stelle des Blattes auftreten zu können. ‚Jede Galle wird bewohnt von einer sehr merk- würdigen Cecidomyidenlarve. Dieselbe besitzt keine Brustgräte und hat statt der Riickenborsten zwischen den Stigmen 8 halbkugelige Wül- sten. Bauchwarzen spitz, entfernt stehend, am Vorder-, und Hinterrande eines jeden Segmentes. Die Segmente sowohl an der Dorsal- wie Ven- tralseite stark gewulstet. Gürtelwarzen fehlend ; der Raum zwischen den vordern und hintern Ventralwarzen nicht glatt, sondern rauh, aber wie bei gewissen Epidosis-Arten mit Längsstreifung ; auf jedem Abdominalsegment an der Ventralseite 4 Papillen , die offenbar als Ventralpapillen aufzufassen sind. Die Thoracalsegmente auf der Un- terseite mit 6 stärkeren Wiilsten, für die Sternal-, Lateral- und Pleu- ralpapillen, die aber am Praeparate nicht nachweisbar, aber wohl si- cher vorhanden sind. AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 51 Analsegment jederseits mit emer grossen zapfenartigen Verlän- gerung, an welcher eine grosse und drei kleine Borsten stehen. After- spalt längs gerichtet, gross. Copacabana, Estado de Rio de Janeiro, Sept. 1899. 161. (77). An den Blättern desselben Zweiges findet. sich noch eine andre Parenehymgalle, die wahrscheinlich auch von Cecidomyiden erzeugt wird. Die Gallen sind aber entweder leer und mit Flugloch versehen, oder es finden sieh in den noch geschlossenen Gallen Pteromaliden. Die Gallen sind so gross oder etwas kleiner als die vorher erwähn- ten, aber sie treten auf beiden Seiten ziemlich gleich stark vor. 127. Pouruma cuspidata Warp. 162. (406), Bot. Mus. 5719. Cecidomyidengalle ? auf den Blättern. Sie ist ebenfalls eine Parenchyingalle von brauner Farbe, die auf beiden Blattseiten stark hervortritt und einen Durchmesser von 2-3 mm erreicht. Auf der unteren Seite ist sie rauh wie das Blatt, und die Blattnerven treten aut der Galle noch deutlich hervor. Auf der oberen Blattseite bricht sie durch die Epidermis des Blattes und auf dieser Seite befindet sich stets das praeformierte Flugloch, das einen dünnhäutigen Verschluss hat. Bei fast allen Gallen ist der Bewohner bereits ausgewandert und in den noch geschlossenen Gallen fanden sich Pteromaliden. Juruä Miry, August 1901. 165. (406). Cecidomyidengalle, Die zierliche, wachsartige gelbgrane Galle sitzt stets an einer Rippe; sie ist von annähernd kugeliger Gestalt, erreicht einen Durchmesser von €. 2 mm und sitzt dem Blatte nicht breit auf. Die sehr sonderbare Larve ist 1,15 mm lang. Der Grätenstiel scheint sich auf dem zweiten Thoracalsegment fortzuset- zen, doch ist er am Praeparat nur bei tiefer Einstellung sichtbar und nie so deutlich in seinen Contouren wie der vordere Teil; die Ver- diekung des Tegumentes scheint demnach mehr nach innen zu liegen. Die Zähne sind spitz dreieckig ; der Ausschnitt zwischen den Zähnen n) ös ist I (d.h. bis zum Ende des 1. Tho- gleicht einem Grätenzahne. I racalsegmentes gerechnet) = 80 mit dem II. Thoracalsegment = 122; 22712. 46; IV.w VE= 22; VE —148. Die Sternalpapillen S : i ae SCOPUS RER ET eh A * = v $ x 5 52 Ew. H. RUEBSAAMEN befinden sich aussen neben den Zähnen, nahe der Basis derselben. Papillen regelmässig. An «der Basis eines jeden Segmentes vom 2. Thoracalsegmente an gerechnet, finden sich enorm grosse, klanenar- tige, gekriimmte Warzen, die allmählich in die normaien, stachel- spitzigen Bauchwarzen übergehen (1). Letztere sind circa 1 p lang, während die krallenartigen Warzen 7 mal länger sind. Gürtelwarzen fehlen. Analsegment in der Mitte tief gebuchtet; jederseits mit 3 sehr langen, gebogenen und einer kürzeren Borste. Fundort wie vorher. 123. Psidium Guayava Rapp. 164. (359). Psyllidengalle auf den Blättern. Die Deformation be- steht in einer Rollung des Blattrandes nach oben, wodurch das Blatt, da sich die Rollung meist nur auf kurze Streeken des Randes ans- dehnt, tief eingebuchtet wird. Erzeuger dieser Deformation ist eine Psyllide, von welcher Nym- phen-Häute und Larven gefunden wurden. Die Nymphenhaut teilt sich beim Ausschlüpfen der Imago auf dem Rücken nicht in Kreuzform sondern in der Mediane, die mit zwei Längsreihen — an jeder Seite des Spaltes also eine! — längerer und einigen Reihen feiner kurzer 3örstehen besetzt ist. Diese Reihen setzen sich über den Rücken des Abdomens bis an den Hinterrand fort, während der Spalt selbst etwas vor Beginn des Abdomens aufhört. Der Kopf ist oberseits dicht, die Flügelscheiden und das Abdo- men zerstreut behaart. An den Seiten der Nymphe stehen abwech- selnd längere und kürzere, derbe Haare. Die langen Haare sind wenig dünner als die kurzen, die man am Kopfe und hinter dem After als dornförmig bezeichnen könnte und einen Übergang zu den hyalinen Stäbehen der Trioza - Arten bilden. An den Segmenten des Abdomens bemerkt man 5 Reihen zapfenartiger Chitinvorspriinge, die aber im Innern des Körpers liegen und jedenfalls, ähnlich wie bei Phylloxera, zur Anheftung von Muskeln gedient haben. After quer- gestellt mit doppeltem Kranze von Ohitinwarzehen, die ungefähr eewissen Larven > (1} Ähnliehe Bildungen sind meines Wissens bisher nur bei der £pidosis-Grup pe aufgefunden worden, AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN do halbmondförmig, mit der convexen Seite nach hinten, gruppiert sind; der äussere Kranz viel derber als der innere und an der tiefsten Stelle der concaven Seite leicht vorgezogen. Vom After zieht sich an dieser Stelle, also in der Mediane, eine kurze Chitinleiste, an welche sich ein längsgestellter Spalt anschliesst. Beine plump mit starkgekrümmten Krallen und Digitulen. Fühler nach vorne gerichtet, von der Mitte an nach aussen gebogen ; die Geisel noch vollständig ohne Gliederung. Die jüngeren Larvenstadien entsprechen im Wesent- lichen der vorher gegebenen Beschreibung. Jurua Miry, Est. d. Amazonas, Juni 1901. 129. Psidium spec. 165. (143). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Annähernd horn- formige, 3-4 mm' lange Gallen blattunterseits, die an der Basis ein- geschnürt sind, sich «dann etwas bauchig erweitern und allmählich in eine lang ausgezogene Spitze übergehen. Sie sind überall, beson- ders aber an der Spitze mit kurzen, derben Emergenzen bedeckt. Die Galle macht ganz den Eindruck eines Milbenproduetes, doch wurde im Innern keine Spur von Milben, sondern regelmässig eine noch sehr junge Cecidomyidenlarve aufgefunden. Blattoberseits ist die Galle nur an der rötlichen Färbung des Blattes zu erkennen. 166. (195, 603). Zweigschwellung, Erzeuger? Es sind knotige Anschwellungen, die bis 2 em lang und 1,5 em dick werden können. Die Obertläche ist borkig, rauh, von gelbrötlicher Farbe. Die 5-4 mm langen Larvenkammern sind mit ihrer Längsaxe senkrecht zur Liingsaxe des Zweiges gestellt. Sie sind entweder mit Fluglöchern versehen und leer oder mit Pteromaliden besetzt. Ohne Fundort. 130. Psychotria spec. 167. (160). Cecidomyidengalle aut den Blättern. An dem vorlie- genden Material besteht die Deformation in einer e. 10 mm langen Anschwellung der Mittelrippe, die c. 4 mm dick wird, vorzugsweise nach unten vortritt und nicht in der gewöhnlichen Form allmählich, 54 Ew. H. RUEBSAAMEN sondern ziemlich plötzlich in den normalen Teil der Rippe übergeht. Alle Gallen sind mit Fluglöchern versehen. In einigen derselben sit- zen noch die Puppenhäute von Gallmiicken, an welchen sehr stark entwickelte Bohrhôürnchen vorhanden sind. Ausser diesen Scheitel- stacheln finden sieh noch kleinere spitze Bohrhörnchen an der Basis der Fiihlerscheiden wie sie bei den meisten Cecidomyidenpuppen vor- kommen. Atemröhrehen lang; Schiebedörnehen auf dem Rücken der Abdominalsegmente fehlen. In einer Galle fanden sich ausserdem Überreste der Haut einer Gallmiickenlarve mit schwarzbrauner, kurz gestielter Gräte und spitzdreieckigen Grätenzähnen, die an der Basis der Innenseite eine beulenförmige Verdiekung besitzen. Der Aus- schnitt zwischen denselben ist ungemein breit, trapezförmig. Von den beiden parallelen Seiten ist die vorderste, d. i. die Entfernung zwi- schen den Spitzen der Grätenzähne 72, die hinterste 48 n lang. Die übrigen Verhältnisse wie folgt: [= 168; IIu, Vi = 40; III = 72; Nic 88. Serra do Macahé, Est. de Rio de Janeiro, Februar 1900. 131. Qualea Glaziovii WARNG. 168. (4). Acarocecidium auf den Blättern; Erineum blattunter- seits. Das dunkelbraune Hrinewm tritt fleckenweise auf und ist mit einer starken Ausstiilpung nach oben verbunden. Die nach der Spitze zu etwas keulig verdickten Haare sind oft verzweiet und zwar fin- det häufig eine dichotome, trichotome, seltener polytome Teilung statt, während monopodiale Verzweigung nicht vorzukommen scheint. In seiner Arbeit: Mémoire sur le groupe des Phyllé- riées et notamment sur le genre Erineum, Paris (Strasbourg) 1834 erwähnt FEE ein Erineum auf einer Qualea-Art aus Brasilien, das mit N.° 168 vielleicht identisch ist. Tijuea, Estado de Rio de Janeiro, November 1899, 132. Rivea corymbosa Hatt. 169. (570) Bot. Museum 6872. Acarocecidium, Erineum auf den Blättern. Das Prineum tritt in grossen gelbweisen Flecken auf der untern Blattseite auf und ist nieht mit einer Ausstülpung nach oben verbunden. Es hat mit dem vorhergehenden hinsichtlich der Haarbil- ~t AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN De dung viel Ähnlichkeit. doch ist die Verdickung der Zweige an der Spitze meist viel stärker. Yurimaguas, Peru, August 1902. 133. Sapium hippomane G.F.M.Mey. 170. (28. Bot. Museum 5355). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Kreisrunde Gallen bis zu 5 mm Durchmesser und 3,5-4 mm Hohe, die an der Basis ein wenig eingeschniirt sind. Sie sind platt, oben etwas vertieft und in der Mitte deutlich genabelt ; die Oberflache ist ziemlich stark gerunzelt. Diese Gallen können auf beiden Blattseiten vorkommen ; auf der entgegengesetzten Seite ist dann das Blatt etwas eingesenkt und in der Mitte der Vertiefung ebenfalls genabelt. Jede Galle wird von einer in diesem Entwicklungsstadium, noch sehr klei- nen Cecidomyidenlarve bewohnt. Marary Jurna, Est. de Amazonas, Sept. 1900. 171. (281). Cecidomyiden- Frucht- oder Blütengalle auf derselben Ptlanze. Am vorliegenden Materiale lässt sich mit Sicherheit nicht mehr bestimmen , ob es sich tun eine Deformation der Blüten oder der Früchte handelt; es sind eirunde, etwas von den Seiten zusam- mengedrückte fleischige Bildungen von 4-15 mm Länge, die eine ziem- lich grosse Höhlung umschliessen , in welcher eine äusserst winzige Cecidomyidenlarve aufgefunden wurde. Die Gallen sind zum Teil an der Spitze aufgesprungen und in diese Gallen ist dann offenbar spä- ter ein anderes Tier eingedrungen , da sich in denselben meist Kot befindet. Mit voriger. 134. Senecio ellipticus D. C. 172. (163). Runzlige Ausstülpung der Blattspreite nach oben, verbunden mit leichter Verdickung des Blattes. Einige dieser unre- gelmässigen Ausstülpungen, die einen Durchmesser bis zu 7 mm haben, sind in der Höhlung zerstreut behaart, andere kahl; in allen Höhlungen finden sich Fragmente von Tarsonemus oder einer verwand- ten Gattung; diese Milben bringen vielleicht die Gallen hervor. Serra do Macahé, Est. d. Rio de Janeiro, Febrnar 1900. 56 EW. H. RUEBSAAMEN 135. Serjanea inscripta RApLKFR. 175. (241, 357). Acaroceeidium , Erineum auf den Blättern. Das gelbrote Erineum tritt fleckenweise auf mit Vorliebe blattunterseits an der Mittelrippe der Fiederblättchen. Es ist mit einer sehr star- ken Ausstülpung der Blattspreite nach oben verbunden. Die Haare sind stark gekrümmt und geschlängelt und in der Mitte meist bau- chig aufgetrieben, zuweilen hie und da mit kurzen Älstehen versehen. Seltener finden sich an einem Haare mehrere bauchige Auftreibungen und meist enden die Haare ziemlich spitz. 241. Bom Fim, Juruä Miry, Est. de Amazonas, Oct. 1901. 337. (Bot. Museum 5644). Lago de Esperanca, Jurua Miry, Aug. 1901. Auf einer anderen nicht näher bestimmten Serjanea-Art, die bei Urs die N.° 180 führt und bei Nova Friburgo, Est. de Rio de Janeiro im Januar 1900 gesammelt wurde, kommt ein ganz ähnliches Erineum vor, bei welchem aber die Haare viel weniger bauchig aufgetrieben sind und meist stumpfer enden? 136. Serjanea leptocarpa Rap.Lkrr. 174. (340). Cecidomyidengalle, Blütendeformation. Die Blüten sind zu 10 20 mm langen, spindelförmigen Gebilden umgewandelt, die ihre grösste Dicke (3 mm) etwas unterhalb der Mitte erreichen. Es ist offenbar die Stelle, wo der Blütenstiel, der bei Bildung der Galle beteiligt ist, aufhört und die eigentliche Blüte beginnt. Blüten: und Kelchblätter sind verwachsen, an der Spioze vou leizieren nur zwei oder drei Zipfelchen frei, die löffelartig gehöhlt, sich zusammenlegen und so die Galle, die an der Spitze offen, und deren Eingang dicht behaart ist, teilweise schliessen. Fruchtwerkzeuge vollständig fehlend. Die Larvenhöhle beginnt erst am Ende des Blattstieles, also in der eigentlichen Blüte. Die Mücke gehört ohne Zweifel dem Genus Oli- nodiplosis an. Bei der Larve ist der Grätenstiel noch nicht entwickelt. Die dreiekigen Zähne sind an der Spitze abgerundet ; der Ausschnitt zwischen den Zähnen ist nicht ganz so breit wie ein Zahn, entspricht aber einem solchen annähernd in der Form. Es ist II = 24; HI= 24 und IV = 57. Bauchwarzen dornfôrmig ; Gürtelwarzen. gross, rund. Die 3 zapfenförmigen Fortsätze am Analende nicht sehr gross; die Borste kaum so lang als der grösste dieser Zapfen. Jurni Miry, Est. de Amazonas, August 1901, AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 57 137. Serjanea communis Camp. 175. (14). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die 3-4 mm hohen Gallen haben etwas Ähnlichkeit mit denen von Mikiola piligera auf Fagus. Sie sind an der Basis eingeschnürt, erweitern sich dann plötzlich , erreichen sogleich ihre grösste Dieke und nehmen nach der Spitze zu allmählich an Dieke ab. Oft sind sie oberhalb der Stieles mit wulstiger , ringförmiger Verdiekung versehen. Sie sind überall mit abstehenden, langen fuchsroten Haaren besetzt, die be- sonders an der Spitze dieht stehen. Auch diese Gallen scheinen sich bei der Reife vom Blatte zu lösen. Die Gallen kommen auf beiden Blattseiten vor und kennzeichnen sich auf der entgegengesetzten Seite durch eine pockenartige Verdickung des Blattes. In den unter- suchten Gallen wurden nur vervilzte Cecidomyidentarven, die offenbar die Erzeuger der Galle sind, und Pteromaliden aufgefunden. Copacabana, Estado de Rio de Janeiro. Sept. 1899. 138. Serjanea? spec. 176. (183). Zweiggallen auf einer Sapindacee, die wahrscheinlich eine Serjanea ist. Auf eine Strecke von c. 25 cm ist der Zweig rings mit gedrängt stehenden, braunroten Gallen besetzt, die bis 15 mm hoch werden. Ausserdem kommen an dem Zweige auch einige vereinzelt stehende Gallen vor. Dieselben sind ebenso hoch als die gedrängt stehenden, aber viel dicker und länger. Ihre Längsaxe ver- läuft meist in der Riehtung des Zweiges und erreicht 10-14 mm, wäh- rend sie nur 5 mm breit und hoch sind und erinnern in der Form etwas an die unter N.’ 105 dieses Beitrages beschriebenen auf Paullinea. Die gedrängt stehenden Gallen sind nach oben meist unregelmässig keulenförmig verdickt. Die vorliegenden Gallen sind beim Einsammln offenbar noch sehr jung und weich gewesen; beim Trocknen sind sie daher stark geschrumpft. In der geräumigen Larvenhöhle finde ich stets nur eine noch sehr junge Wespenlarve. Allem Anscheine noch handelt es sich bei dieser sehr interessanten Galle also um ein Hy- menopterocecidium. Ohne Fundort und Datum. Le PUY PAR Po JAVA Ce NO TO ES v IA, } ‘À + 58 Ew. H. RUEBSAAMEN 139. Siparuna Apiosyce Marr. 177. (211). Acarocecidium, Erineum auf den Blättern. Das gelb- weise Erineum tritt auf beiden Blattseiten auf und ist meist mit bauchiger Ausstülpung der Blattspreite verbunden ; in einzelnen Fällen ist die Ausbauchung nach der Seite gerichtet, auf welcher sich das Erineum befindet, so dass dieses nicht auf der concaven, sondern auf der convexen Seite der Ausstülpung steht. Häufig neh- men auch die stärkeren Rippen und sogar die Mittelrippe, die dann ebenfalls dicht behaart ist, an dieser Ausstülpung teil, wodurch dann starke Verzerrungen der Spreite hervorgerufen werden. Blattoberseits folgt das Prineum oft auf längere Strecken einer Rippe. Das Erineum wird aus Sternhaaren gebildet, die aus 7-10 ziemlich dünnen, spitzen Strahlen bestehen , die meist nach der Seite umgebogen sind. Eine Verwachsung der Strahlen wurde nicht beobachtet. . Palmeiras, Estado de Rio de Janeiro, April 1900. 140. Siparuna spec. 178. (575). Acarocecidium , Erineum auf den Blättern. Das Hri- neum tritt ebenfalls auf beiden Blattseiten auf aber stets in rundli- chen Flecken von 1-10 mm Durchmesser ; auch dann, wenn das Blatt dieht mit diesem Erineum bedeckt ist, sind die einzelnen Flecken immer noch deutlich zu erkennen. Die Blattlläche ist regelmässig nach der Seite ausgestülpt , auf welcher sich das Erineum befindet, das ebenfalls aus Sternhaaren besteht. Die Strahlen sind aber viel derber wie bei N.° 177, fast doppelt so diek, an der Spitze breit abgerundet, meist nach oben gerichtet und oft auf grössere Strecken verwachsen. Ob diese Ver- schiedenheit bedingt wird durch die verschiedenen Substrate oder ob sie auf verschiedene Erzeuger zurückzuführen sind, vermag ich nicht zu entscheiden. Iquitos, Peru, Juli 1902. 141. Solanum spec. 179. (378. Botan. Museum 5845). Acaroceeidium, Erineum auf den Blättern. Es tritt meist in grossen zusammenhängenden Flecken auf. An einem Biatt, dessen Oberfläche ganz frei von Erineum ist, sind ur Hei AUSSEREUROPABISCHE ZOOCECIDIEN die stärken Haare in der Mitte winklig umgebogen und der obere Teil an der Basis leicht blasig erweitert; an den Rippen und dem Blattstiele befinden sich lang gestielte Sternhaare mit getrennten feinen, spitze Strahlen; ab und zu seigt ein Haar an der Spitze eine stark blasige Erweiterung und es sieht dann aus wie ein kleiner Glasballon. Das Erineum besteht nur aus Haaren die, wenn sie auf den Rippen stehen, den Character der vorhererwähnten normalen Sternhaare noch gewahrt haben, aber die Strahlen sind untereinander ganz verschieden ; einzelne derselben sind lang , schlank und zuge- spitzt, andere an der Spitze dıek und plötzlich angeschwollen, andere sind in der Mitte verdiekt während wieder andere die Verdiekung an der Basis haben oder zu kleinen kugeligen Blasen ohne Stiel gewor- den sind. Derartige Gebilde finden sich nicht nur an der Spitze des Haarstieles, sondern überall an demselben. Bei den übrigen Haaren ist der Character als Sternhaare verloren gegangen. Sie sind viel kleiner und dünnhäutiger und von ganz unregelmässiger Gestalt , meist aber einfach und an der Spitze stark keulenförmig verdickt. Auf den Partien zwischen den Rasen sind die zuerst erwähnten um- gebogenen Haare zu Sternhaaren geworden, die mit dem erwähnten Eri- neum Ähnlichkeit haben. Das vorliegende Material reicht nicht aus, um zu bestimmen, ob diese Bildungen auf den Angriff der Milben zurückzuführen sind oder ob sie auch normalerweise vorkommen. Juruf Miry, Est. d. Amazonas, August 1901. 182. Solanum spec. mit breit lanzettformigen Blättern und silbergraner Behaarung blattinuterseits 180. (629). Psyllidengalle auf den Blättern. Die Deformation be- steht in einen flachen Randrollung von e. 1 ‘/, Windungen nach oben. Die Rollung erstreckt sich auf kurze Streeken des Randes und das Blatt ist an dieser Stelle eingebuchtet. Der gerollte Teil des Blattes ist abnorm verdiekt. In den Rollungen wurden Psylliden in verschie- denen Entwicklungsstadien aufgefunden. Eine Nymphe ist offenbar grade im Momente des Ausschlüpfens in die Pflanzenpresse geraten; der eine Flügel ist bereits entwickelt und zeigt, dass das Tier zu den Triozinen gehört und wahrscheinlich der Vertreter einer neuen Gattung ist. Der Radius mündet vor dem Gabelpunkte der 3. und 4. Zinke und die Flügelspitze fällt mit der Mündung der 4. Zinke zusammen. Bei der Nymphe und den Larven ist das 1. Geiselglied Ew. H. RUEBSAAMEN so dick wie die beiden Basalglieder ; anch das zweite Geiselglied ist dicker als die folgenden. Das Tier gehört also offenbar ebenfalls in die Verwandtschaft von Bactericera und ich belege es vorläufig mit dem Namen Bactericera solani n. sp. Bei den jüngsten der aufgefun- denen Larvenstadien besteht die Geisel aus zwei Gliedern, dem dik- ken 1. Gliede und einem längern geringelten Endgliede. Bei der Nym- phe sind die Fühler 2 + 7 gliedrig; das 3. Geiselglied ist am kürze- sten, das letzte am längsten; die 4 letzten Glieder sind geringelt ; sie scheinen aus dem letzten Gliede der jungen Larve ällmählich durch Teilung hervorgegangen zu sein. An den Hinterschienen der älteren Larven finden sich die für Bactericera (Aconoza) ulei erwähnten 4 kurzen, schwarzbraunen Dornen. Ganz abweichend ist der After ge bildet, der nicht auf der Bauchseite, sondern ganz an der Spitze des Abdomens mündet. Das Tier ist überall, anch an den Körperseiten behaart. Krallen stark, Haftlappen scheint zu fehlen.’ Bei einigen Larven steckt in der alten Larvenhaut bereits eine vollentwikkelte neue. Serra dos Orgäos, Est. de Rio de Janeiro, August 1899. 143. Solanum argenteum 151. (86). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die Deformation besteht in einer spindelförmigen Anschwellung der Mittelrippe. An einem Blatte befinden sich zwei solcher Anschwellungen, von denen die grössere an der Blattbasis sitzt, 4 mm dick und 13 mm lang ist. In der Galle lebt eine Cecidomyidentarve, deren schwarzbraune Grate drei Zähne hat, von denen der mittlere um die Hälfte länger ist als die Seitenzähne. Die ganze Gräte ist 296 p, der mittlere Zahn 30 und die Seitenzähne 15 p lang. Die vordere Platte erweitert sich nach den Seiten noch bedeutend über die Basis der Zähne hinaus. Während die Spitzen der Aussenzähne 135 p von einander entfernt sind, ist die plattenartige Erweiterung (IV) 162 y breit. Die Giirtelwarzen und Bauchwarzen sind in der Form fast gleich; aus breiter Basis laufen sie spitz zu. Rückenborsten ziemlich kurz. Die Papillen sehr klein und am Praeparate oftenbar nicht alle nach- weisbar. Lateralpapillen jederseits 2 + 2. Analsegment jederseits mit vier sehr kurzen Börstchen. Tijuea, Estado de Rio de Janeiro, Sept. 1899. i N Fi e 3 A LV ENTER bee eae Che Ww PROSA Hate AUSSERRUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 61 144. Sterculia? spec. (Blätter dreilappig, glatt !) 182. (330). Cecidomyidengalle, Anschwellung einer feineren Blatt- rippe; die Anschwellung erfolgt ziemlich plötzlich und hört ebenso auf. An dem einem Ende geht die Deformation oft in einem Winkel auf die Blattflache über, Die e. 5 mm lange Galle, die auf der un- tern Blattseite etwas stärker vortritt als oben, umsehliesst eine nicht viel kürzere langgestreckte Larvenkammer. Jede Galle ist mit einem Flugloche versehen; in einer Galle wurde ein Cecidomyidencocon auf- gefunden. Jurua Miry, Juli 1901. 183. (330). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Auf demselben Blatte findet sich noch eine Cecidomyidengalle, die das Blatt durch- wächst, , blattoberseits aber viel stärker vortritt als blattunterseits. Sie erreicht einen Durchmesser bis zu 5 mm, ist blattoberseits annähernd halbkugelig, am getrockneten Material stark gerunzelt , frisch wahrscheinlich glatt, und tritt blattunterseits als gelbliche Pu- stel, selten stärker vor. Die fleischige Gallenwandung, enthält viele grössere Spalträume und umsehliesst eine derbwandige, halbkreisförmig gebogene Larven- kammer, in welcher sich eine noch junge Cecidomyidenlarve befindet. 154. (330). Galle der vorigen ähnlich, doch viel kleiner ; sie sitzt vorzugsweise auf der untern Blattseite und ist auf der entgegenge- setzten Seite nur an einer etwas runzligen Schwiele zu erkennen. Die Larvenkammer ist fast kugelig; sie wird von einer noch sehr jungen Larve bewohnt. Wie vorher. 145. Sterculia ? spee., Blätter wie vorher, grösser, unterseits behaart. 155. (331 und 532). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Harte, holzige, das Blatt durchwachsende Gallen meist an einer Rippe. Die zapfenartigen Gallen sind 4 mm hoch und 3 mm diek und mit sehr langen rotblonden Haaren dicht besetzt. Häufig stehen zwei Gallen dicht beisammen. Sie sind auf der Blattunterseite breit offen, aber durch die tief in die Öffnung hineinsteigenden Haare wird diese wieder. geschlossen. Die Nährschicht ist hart holzig und am vorlie- genden Material an der Basis meist von der Schutzschicht etwas 62 Ew. H. RUEBSAAMEN losgelöst, was aber vielleicht eine Schrumpfungserscheinung ist. Die Gallen sind von den Bewohnern bereits verlassen ; nur in einer Galle fanden sich verpiltzte Überreste einer Cecidomyidenlarve und ein Cocon. > Nor. 2. Yurimaguas, Peru. August 1902. 531. Puritisal, Jurna Miry, Juli 1901. 146. Sterculia? spec., Blätter glatt, fiinffingerig. 186. (379). Cecidomyidengallen auf den Blättern. Die Gallen haben Alnlichkeit mit den unter N.° 185 u. 184 beschriebenen Gallen und bilden fast einen Übergang zwischen beiden; sie treten blattunterseits meist nicht so stark hervor wie N.° 155 und sitzen auf einem Blatte so massenhaft und dicht beisammen, dass das Blatt hierdurch stark gekriimmt wird. Die Larvenkammer erinnert mehr an die von N- 154. Die Galle ist aber viel grösser als jene und wird mindesten so gross wie N.° 183. x Juruä Miry, Sept. 1901. 147. Swartzia- stipulifera Harms 157. (520). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die zierliche Galle sitzt stets am Blattrande der Unterseite, der am vorliegenden Ma- teriale dieht von ihnen gesäumt ist, wodurch blattoberseits flache Austülpungen entstehen. Die Galle teils sich fast sofort nachdem sie sich über die Blattfliche erhoben hat in zwei Hörnchen, die fast stets genau entgegengesetzte Richtung haben und ganz an die Blatt- Näche angedrückt sind. Dort wo sich die Hörnchen teilen, befindet sich genan über dem Anheftungspunkte am Blatte die kugelige Larvenkammer, in der sich eine noch sehr kleine Cecidomyidenlarve ‚findet. Die Hörnchen selbst sind nicht hohl; blattoberseits treten die Gallen als schwache, meist kreisrunde Pocken auf. Die Hörnehen sind mit liingern, zerstreut stehenden Haaren besetzt. Cachoeiras des Marmellos, Estado de Amazonas, Maerz 1902. 148. Swartzia spec. ISS. (471). Cecidomyidengalle? auf «den Blättern. Es sind Blatt- einsenkungen von unten nach oben. Blattoberseits treten sie als AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 63 halbkugelige Verdickungen vor, die von den stärker verdickten fei- neren Nerven überzogen werden und wodureh die Galle ein runzliges Aussehen bekommt. Blattunterseits ist die Galle in ihrer ganzen Breite offen, die Mündung aber mit einem hohen kreisrunden, glatten Ring- wall umgeben, der €. 1 mm im Durchmesser hat. In der Umgebung dieses Walles ist das Blatt auf eine Strecke von 1-1,25 mm meist etwas entfärbt und leicht schwielig verdiekt. Ganz in der Mitte, am Boden der Einsenkung, findet sich eine ganz junge kugelige Larve, an welcher noch keine Segmentierung unterschieden werden kann. Sie scheint eine Cecidomyidenlarve zu sein, obgleich die Galle gar nicht den Eindruck einer Miickengalle macht. Sao Joaquim, Rio Negro, Jannar 1902. 149. Symmeria spec. 189. (354). Cecidomyidengalle auf den Blättern, Randumklappung nach unten. Es ist die wunderbarste Deformation dieser Art, die ich je gesehen habe. Jede Umklappung ist cirea 4 mm lang und mit einer mächtigen Verdicknng des umgeklappten Blatteiles verbunden. Jede Klappe besitzt in der Mitte einen hohen -Kiel, der zum Blatt- ‘ande senkrecht gerichtet und von unten geschen, von seiner Mitte an gespalten ist. Anfangs liegen die so entstandenen Teile des Kieles noch dicht aneinander, divergieren dann aber stark nach aussen, wer- den allmählich flacher und verlieren sich endlich ganz. Vor dem Ein- gang in die Klappgalle ist das Blatt wulstig verdickt. An dem vorlie- genden Blatte stehen derartiger Umklappungen an beiden Blätträndern in grosser Anzahl dicht neben einander, doch lässt sich jede einzelne Klappe leicht erkennen. In einigen dieser Gallen wurden grosse ver- pilzte Pteromalidenpuppen, in andern kleine, offenbar noch junge Ceci- domyidenlarven von 0,5 mm Länge und 0,35 mm Breite gefunden. Diese Larven sind ebenfalls verpilzt, doch lässt sich noch deutlich erken- nen, dass sie auf dem Rücken mit sehr kräftigen Borsten besetzt sind, Trotz der Kleinheit der Larve ist die Brustgräte bereits gut entwickelt. Es ist eine Gräte ohne Stiel, welche viel Ähnlichkeit mit der bei © y- nometra im II. Beitrag unter N.’ 46 beschriebenen hat. Das Ba- salstück ist blass, die beiden klauenartigen Zähne mächtig entwickelt, weit getrennt und etwas convergierend. Es ist 1 = 75; Il= 27: I 36: IV 45; V = 39; VI =24: Estrema am Jurna, Sept. 1901. 64 Ew. H. RUEBSAAMEN 190. (384). Auf demselben Blatte findet sich noch eine sehr merk- wiirdige Deformation, leider nur in einem Exemplar. Es sind gelb- weisse, holzige bis 1 mm dicke, kantige Emergenzen, die ans dem Blatt hervorbrechen und sich, etwas nach unten gebogen, nach allen Seiten sternförmig ausbreiten; die in der Mitte stehenden sind auf- gerichtet. Die Entfernung von der Spitze eines Strahles bis zu der des entgegengesetzten beträgt e. 5 mm. 191. (384). Cecidomyidengalle. Es sind 2-3 mm lange, etwas blasige Parenchymgallen meist in der Nähe einer Rippe. In der 1,5-2 mm langen Larvenkammer wur- den Überreste einer Cecidomyidenlarve gefunden. 150. Tecoma spec. 192. (491). Acarocecidium, Brineum blattunterseits. Das braune Erineum tritt Heckenweise auf und ist auf der obern Blattseite durch eine leichte Constrietion des Blattes und eine gelbbräunliche Ent- färbung kenntlich. Es besteht ans korallenartig verzweigten Haaren; die Zweige sind an der Spitze keulenförmig verdiekt und abgerundet. Manos, Est. de Amazonas, Februar 1901. 151. Tetrathylacium macrophyllum Porpp. et ExpL. 193. (579). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Runzlige, grau- braune Blattgallen von 2-3 mm Durehmesser. Die Gallen treten auf beiden Blattseiten aus der Blattfliche heraus, oben jedoch stärker als unten. Das vorliegende Blatt ist dicht besetzt mit diesen Gallen, die meist oben in der Mitte mit einem Flugloche versehen sind. Die Larvenkammer befindet sich in dem blattoberseits vorragenden Wul- ste, während der unterseits vorspringende Teil nur ein massiver, un- regelmässig geformter Zapfen ist. In geschlossenen Gallen wurden Pteromaliden und in einem Falle eine Cecidomyidentarve aufgefunden, die sich dadureh auszeichnet, dass sich am Hinterrande des schwach ausgebuchteten Analsegmentes zwei kurze, stumpfe, gelbe, also stark chitinisierte , abgerundete Zäpfehen befinden, die ziemlich nahe bei einander stehen; nach aussen befindet sich neben jedem dieser Zäpf- chen eine kleine Borste ; weitere Borsten vermag ich nicht aufzufin- den, doch ist das Praeparat durch Verpilzung unsauber , westhalb AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 65 dasselbe auch keine Aufschlüsse über Papillen giebt. Die Bauch- warzen sind borstenförmig, Gürtelwarzen fehlen. Die Grate zeigt die bei Dichelomyia gewöhnliche Form, doch ist der Ausschnitt zwischen den Zähnen nicht dreieckig, sondern trapez- formig.. Es: ist T= 228; HI = 30; Til 335 IV_63; V — 60; NET: Yurimaguas, Peru, August 1902. 152. Theobroma spee. 194. (329). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die Gallen haben viel Ähnlichkeit mit den vorhergehend beschriebenen: sie treten blattunterseits aber viel stärker vor als blattoberseits, sitzen stets an einer, wenn auch feinen Rippe und sind hart und holzig. Sowohl der blattunterseits vorstehende Teil, wie anch derjenige, der auf der Oberseite des Blattes vorragt, ist an der Basis stark eingeschnürt. Die Oberfläche der Galle ist borkig, rssig ; der auf der Unterseite vorragende Teil oben abgeplattet und in der Mitte meist grubig vertieft. In der noch winzigen Larvenkammer befindet sich eine noch sehr junge Cecidomyidenlarve, die als solche aber schon an der Kopf- bildung zu erkennen ist. Cachoeira am oberen Juruä, Mai 1901. 153. Tibouchina spec. und T. granulosa CoGx. 195. (44 u. 45). Lepidopteroceeidium auf den Blättern. Die 10-18 mm dieken, meist von oben etwas zusammengedrückten Gallen wer- den 10-18 mm dick und sind mit kurzem, ziemlich diinnem Stiele einer Längsrippe angeheftet. Ihre holzige, 3-7 mm dicke Wandung umschliesst eine glatte, geräumige Larvenkammer, in welcher die Puppenhaut eines Schmetterlings aufgefunden wurde. Der Schmetter- ling, dessen Flügel noch nicht ausgebildet sind, lag merkwürdiger- weise neben dem Puppengehäuse ; ausserdem fand sich in derselben ralle noch eine Pteromalidenpuppe. Die Galle ist bedeckt mit 10-14 mm langen Auswüchsen , die an der Basis zwiebelartig verdiekt und überall stark behaart sind. Diese Auswüchse bilden feste, compacte, holzige Massen; nur eine der erwähnten zwiebelartigen Verdiekungen scheint hohl zu sein und der Schmetterling scheint an dieser Stelle die Galle zu verlassen. Die 2 66 Ew. H. RUEBSAAMEN dicke, holzige Gallenwand ist also an dieser Stelle durchbohrt, doch scheint der entstandene Hohlraum nicht mit der eigentlichen Larven- kammer zu communicieren und einen abgeschlossenen Vorhof dersel- ben zu bilden. An einigen Blättern sitzt die Galle auf der Mittelrippe, ohne das die Blattlamina merklich verändert worden ist; in einem Falle ist die Blattlamina jedoch vollständig verschwunden und die grosse Galle sitzt an der Spitze des Blattstieles. Mit ihren zum Teile auf die Blatttläche zurückgekrümmten langen Fortsätzen, macht die auf der Unterseite der Mittelrippe sitzende graue Galle bei obertlächlicher Betrachtung den Eindruck einer grossen, haarigen Spinne. Von T. granulosa liegt nur eine Galle auf der Blattmittelrippe vor. 14. u. 45. Serra dos Orgaos, August 1899. 154. Tibouchina Hieronymi CoGx. 196. (165). Lepidopteroceeidium, Triebspitzendeformation. Die Trieb- spitze ist stark angeschwollen, die Internodien verkürzt, so dass eine eiförmige Keule entsteht, die ziemlich dünnwandig ist und eine geräumige Höhle umschliesst, in welcher eine Raupe aufgefunden wurde. Die Laubblätter sind an der deformierten Triebspitze ver- kiimmert, schuppenartig und überall, besonders aber am Rande mit langen Haaren besetzt, wodurch die Schuppen fast ganz verdeckt werden. Die erwähnten Knöpfe werden mit den Schuppen, bezw. Haa- ren 6-5 mm lang und fast ebenso dick. An demselben Zweige finden sich auch einige viel grössere , ähnlich gebaute Deformationen , die eine Länge von 15-15 mm erreichen. Die Blätter, welche auch hier die Zweigverdiekung schuppenartig einschliessen, sind kaum kürzer als die normalen Blätter , wenigstens die unteren dieser Schuppen , während sie nach der Zweigspitze zu kleiner werden. Sie sind aber viel breiter a!s die normalen Blätter und der Rand wie bei diesen gekerbt; die Nervatur ist aber verschwunden und die Schuppen sind meist schön rosenrot oder carminrot gefärbt. Die aufgeschnittenen Gallen waren vom Erzeuger verlassen, aber mit Kot gefüllt. Ein Le- pidopteroceeidium liegt ohne Zweifel auch hier vor, wahrscheinlich sind beide Gallen identisch. Serra Geral, Est. de Sta. Catharina, April 1891. Tio AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 67 155. Tibouchina granulosa Cocx. 197. (45 u. 46). Lepidopterocecidium, Triebspitzendeformation. Der Zweig ist nicht so stark an der Spitze angeschwollen, und die Inter- nodien nicht so sehr verkürzt wie vorher. Die Blätter sind breit, ohne Stiel und kürzer als die normalen, aber mit deutlicher, norma- ler Nervatur und bilden nach oben verlängerte grosse Rosetten. Die Blätter im Innern der Rosette, also an der Zweigspitze sind schmal, borstenförmig. In der grossen Höhlung wurde eine Raupe, deren Körper unförmlich aufgetrieben und dicht mit Pteromalidenlarven be- setzt war, aufgefunden. Serra dos Orgäos, Angust 1899, 156. Tibouchina spee. 198. (151). Gallen der N.’ 196 ähnlich aber noch grösser, rosen- ähnlich, rotblättrig. Die Zweigschwellung selbst ist bei dieser grossen Galle ebenso wie bei den beiden vorhergehenden wenig auffallend ; die Larvenkammer eng, die Wandungen viel dicker als bei den an- deren. Im Innern der Höhlung eine winzige, jedenfalls noch sehr junge Raupe von 1 mm Länge. Serra do Macahé, Est. d. Rio de Janeiro, Febr. 1900. 157. Tibouchina spec. 199. (Coll. MICHAELIS). Lepidopteroceeidium, Knospengalle. Auf einer Tibonehina-Art, die Herr MICHAELIS am Paraflusse in Surinam sammelte, befindet sich eine Knospengalle, die Ähn- lichkeit mit N.’ 196 hat, aber grösser ist. Es sind länglichrunde Zapfen von €. 15 mm Länge. Die Blätter sind alle schmal lanzett- förmig und borstig behaart; die Zweigschwellung ist ziemlich dick und die Larvenkammer geräumig. An den vorliegenden Zweigen sitzen diese grünen, nie roten Gallen nicht an der Spitze , sondern stets in einem Blattwinkel. Ob die verschiedenartigen Substrate die Abweichungen in Grösse und Form der vorher erwähnten Lepidopteroceeidien bedingen , oder ob diese Gallen verschiedenartige Erzeuger haben, lässt sich vorder- hand nicht entscheiden. ee RS ES ae oo ne ee a 45 a = ie ee + n 27 > - » + 68 Ew. H. RUEBSAAMEN In den kleineren Gallen ist der Erzenger aber älter als in den grossen. 158. Tibouchina granulosa Cox. 200. (43. 46). Cecidomyidengallen auf Blättern, Blattstielen und Zweigen. Die Deformation der Blätter besteht meist in einer Rippen- schwellung, seltener tritt sie als Parenchymgalle auf. Die Rippen- schwellung wird €. 5-6 mm lang und 3 mm dick sieht durch die dich- tere Behaarung manchmal gelbrot aus und ist gewöhnlich mit einer leichten Constriction des Blattes verbunden. Meist sitzt diese Defor- mation an einer Längsrippe, seltener an einer Querrippe. Als Paren- chymgalle tritt sie auf beiden Seiten ebenfalls gleichstark vor; sie erhebt sich iiberrall ziemlich plötzlich über die Blattfläche und macht, besonders, wenn sie an einem Ende mit einem Flugloche versehen ist, fast den Eindruck eines Insectencocons. Sie ist dünnwandiger als die tippengalle, hat mit ihr aber sonst viel Ähnlichkeit. In den Rippengallen wurde eine Cecidomyidenlarve von 1,5 mm Länge gefunden, die möglicherweise die Erzengerin dieser Deforma- tion ist. Diese Larve hat keine Gräte; das Analende ist stumpf je- derseits mit 4 kleinen, zarten Zäpfehen und kurzen dieken Börstchen. Afterspalt langsgestellt. Banchwarzen spitz, Gürtelwarzen fehlen. Pa- pillen regelmässig. In den Parenchym- Blattstiel- und Zweiggallen, von denen auch die beiden letzteren den Rippengallen sehr ähnlich, aber meist mehr- kammerig sind, wurden Pteromaliden und Puppen- Überreste eines anderen Inseetes aufgefunden, von denen nieht mit Sicherheit ange- geben werden kann, ob es sich um Fragmente einer Cecidomyiden- puppe handelt. Ausserdem fanden sich Überreste von Cecidomyiden und zwar Larven und Puppen. Die 5-6 oberen Blätter der Triebspitze eines Zweiges sind total verkiimmert und zu Gallen umgebildet und auch an dem jungen Zweige finden sich derartige Auftreibungen. Alle «diese dieht rotgelb behaarten Gallen sind mit Fluglöchern ver- sehen. An dem Zweige befindet sich das Netz einer Spinne und in diesem Netze, in der Nähe eines Flugloches, hängt eme vertrocknete Puppe, die sich beim Aufpraeparieren als eine Sciara - Puppe, in welcher sich die Mücke bereit entwickelt hat, ausweist. Die Puppe ist offenbar aus der Galle herausgeschlüpft. Da die Sciaridenlarve erst nach dem Ausschlüpfen des Gallenerzeugers bezw. i . > # AUSSEREUROPAEISCHE ZOOGECIDIEN 69 der Parasiten desselben in die nun offene Galle hinein gelangt sein kann, so ist die Galle offenbar schon längere Zeit von dem Erzeuger verlassen worden. Da nun aber in den Rippengallen jetzt noch Ceeidomyidenlarven zu finden sind, so liegt allerdings die Ver- mutung nahe, dass die erwähnten Gallen auf verschiedene Urheber zurückzuführen sind. Bestärkt werde ich in dieser Ansicht dadurch, dass sich in den Blattstielgallen eine Larve mit Brustgräte vorfand, obgleich das Auffinden verschiedenartiger Larven noch kein Beweis für die Verschiedenartigkeit der Gallen ist, besonders da die eine dieser Gallen nicht mehr geschlossen war. Die Puppen zeichnen sich aus durch stark entwickelte Bohrhörn- chen und grosse Schiebedürnchen; Atemröhrchen sehr lang; die Schei- den der Hinterbeine wenig länger als die der übrigen. Die Larve, von welcher eine lädierte Haut gefunden wurde, ge- hört sicher zu demselben Genus wie die unter N.’ 155 dieses Beitrags bei Piptadenia erwälnte. Sie gleicht ihr fast vollständig, doch sind die lappigen Erweiterungen an den Seiten der beiden letzten Segmente nicht ganz so gross. Körperhaut glatt, Bauchwarzen sehr fein. Brustgräte in der Form ganz wie bei der Piptadenia-Larve; auch die Verhältnisse sind annähernd dieselben und die Abweichun- gen sind so gering, dass sie sehr gut als individuelle angesehen wer - den könnten, was ja sicher nicht der Fall ist. Es ist I= 256; LI — 48; Be Ve EN HE V b= 45, 43. Morroda Nova Cintra. Estad. d. Rio d. Janeiro, Sept. 1899. 46. Serra dos Orgäos » » » Aug. 1899. 201. (43). Acaroceeidium, Erineum blattunterseits. Das Hrinewm bildet, gelbrote, krümelige Überzüge, die aus kurzen Haaren bestehen, die an der Spitze stark verdickt und meist unregelmässig verzweigt sind. Die normalen Haare nehmen an dieser Verbildung nicht teil ; sie sind um ein Mehrfaches länger als die von den Milben hervor- gebrachten Deformationen. Mit voriger. 159. Tococa setifera PiLG 202. (265 Bot. Museum 5095). Anguillulidengalle, Blatt- und Trieb- spitzendeformation. Die Triebspitzendeformation gleicht ganz der blu- menkohlartigen Galle, welche unter N.’ 100 dieses Beitrages für M i- =. 4 ” “n = < 70 iw. H. RUEBSAAMEN conia stenostachya D.C. erwähnt wurde. Auch die Blatt- deformation hat mit der dort beschriebenen grosse Ähnlichkeit. Sie tritt bei Tococa am vorliegenden Materiale stets in rundlichen Plätzen von e. 10 mm Durchmesser auf und verursacht eine starke Constriction des Blattes. Marary Juruä, Est. d. Amazonas, September 1900. 160. Tococa spec. 203. (367). Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die Deformation besteht in einer wulstigen Verdiekung der Längsrippen, verbunden mit äusserst dichter und langer pelziger, gelbroter Behaarung auf beiden Seiten. Die Rippen sind meist auf grosse Strecken, zuweilen ihrer ganzen Länge nach von der Krankheit befallen; in der Nähe der Rippe ist das Blatt meist leicht gekraust. Unterhalb der oberen Epidermis finden sich Cecidomyidenlarven, die zweifellos zum Genus Clinodiplosis gehören. Die Larve ist 1,75 mm lang und zeigt alle Merkmale der Larven dieser Gattung. Die Grätenzähne sind spitz ; der Ausschnitt zwischen denselben ist dreieckig. Es ist I = 129; LE ASS II ara IV = 39 VS Be WE = 16: Belem, Jurud Miry, Sept. 1901. 161. Tococa juruensis PırG 204. (261 Bot. Museum 5914). Lepidopteroceeidium an den Blät- tern. Die Galle befindet sich stets an der Blattbasis in der von Amei- sen bewohnten Tasche dieser Ameisenpflanze, in welche sich die Schmetterlingsgalle von der Mittelrippe her hineinschiebt. Sie ist hart, mit etwas holzigen Wandungen ; die erwähnte normale Tasche wird in der Gestalt geändert; sie verliert ihre gestreckte Form, geht nicht mehr so allmählieh in die Blattfläche über und wird derb- wandiger. Trotzdem die Galle einen sehr grossen Teil der Tasche einnimmt, ist letztere doch noch von Ameisen bewohnt (1). Fortaleza am unteren Juruä, 5. November 1901. (1) Uber die an Pflanzen lebenden Ameisen , die ULE in Brasilien gesammelt hat, vergl. FOREL, Zoolog. Jahrbücher Bd. XX. “ ÄUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN al 162. Tococa ulei PILG 205. (ohne Nummer !). Lepidopteroceeidium. Dieselbe Deformation wie vorher. Leticia, Peru (Grenze nach Brasilien !) Juli 1902. 163. Tococa spec. 206. (361). Lepidopterocecidium an den Zweigen. Bei dieser nicht näher bestimmten Ameisenpflanze tritt die sonst ähnliche Schmetter- lingsgalle als Zweigschwellung auf. Sie wird bis 20 mm lang und ist nach der Zweigspitze zu meist am dicksten; sie ist also spindel- formig bis keulenförmig, meist aber von der Seite etwas zusammen- gedrückt und die Verdiekung ist in der Regel nach einer Seite ge- richtet. Die Larvenkammer hat eine Breite von e. 5 mm, während die holzige Gallenwandung ungefähr 2 mm diek wird. Juruä Miry, Est. de Amazonas, Juli 1901. 164. Toccyna bullata Marr. 207. (65). Acaroceeidium auf den Blättern. Das gelbweisse Eri- neum tritt zuweilen teckenweise auf, scheint aber meist die ganze Blatttliche zu überziehen ; es besteht aus langen, hyalinen, spitzen Haaren, die teils grade, teils stark gebogen oder schlangenförmig gewunden sind. Bei fleckenweisem Auftreten des Hrinewm ist mit ihm gewöhnlich eine Ausstülpung der Blatttläche nach oben verbunden; überzieht das Erineum das ganze Blatt, so ist oft eine starke Ver- breiterung und Verdiekung des Blattes damit verbunden; das Blatt wird beulig aufgetrieben, die Nervatur verzerrt. Die abnorme Behaa- rung tritt stets an beiden Seiten des angegriffenen Blatteiles auf. An einem Zweige sind sämtliche Blätter in des angegebenen Weise deformiert. Zwischen den Haaren scheinen zwei Arten von Gallmil- ben zu leben, doch wurden sie nicht sehr zahlreich beobachtet. Cabo Frio, Est. d. Rio d. Janeiro, 27 October 1899. 165. Triplaris Schomburgkiana bru. 208. (273). An den Blittern dieses Ameisenbaumes (1) findet sich (1) Bewohnt von Pseudomyrma dendroica Forel. 72 Ew. H. RUEBSAAMEN eine Cecidomyidengalle, die in einer starken Auftreibung des Paren- chyms besteht. Es sind flache, auf beiden Seiten vortretende Gallen von €. 6 mm Linge und 5 mm Breite, die aber häufig dicht zusam- men stehen und dann auf dem Blatte Längsstreifen von 3-3 ‘/, mm Dicke bilden. Alle diese fleischigen Verdickungen enthalten eine kleine linglich runde Larvenkammer, in denen ich nur Hymenopterenlarven auffinde. An einem andern Blatte befindet sich eine mächtige, 5 mm dicke und mehrere cm breite Blattauftreibung, die im Innern ein grosse Anzahl von kleinen Hohlräumen besitzt in denen sich Cecido- myidenlarcen und sehr grosse, zum Teil bereits zur Imago entwickelte Pteromaliden vorfinden. Ob beide Gallen identisch sind, vermag ich mit Sicherheit nicht anzugeben „ doch nehme ich dies vorläufig an. Die massenhaft in einer Blattauftreibung vorkommenden Cecidomyiden- larren gehören zwei verschiedenen Gattungen an, nämlich den Gatt- ungen Clinodiplosis und Contarinia. Die Vertreter des letztgenannten Genus sind aber viel seltener als die Clinodiplosis-Larven, von denen mindestens 5-6 auf eine Contarinia-Larve kommen. Bei den Clinodiplosis-Larven fallen 2 mächtig grosse Zapfen am Ende des Analsegmentes auf, die noch von der an der Aussenseite derselben stehenden Borste an Länge übertroffen wird. Oberhalb der beiden grossen Zapfen findet sich dann noch ein kleinerer Zapfen mit kurzem Börstchen. Gürtelwarzen gross, spitz. Brustgräte mit abgerundeten Zähnen. Es ist I=135; II = 13; WES 19 51S; Vi— 42:9 495: Die Contarinia - Larven haben die bekannten Merkmale dieser Tiere. Bei der Brustgräte scheinen hier hinsichtlich der Verhältnisse grosse Abweichungen vorzukommen. Ich gebe sie nachfolgend für die beiden gemessenen Gräten: I=144 (150); II — 15 (18); III = 27 (27); IV == 45 (45); V — 42 (42); VI = 16 (21). Welche von diesen Larven Erzeuger der Galle ist und welche Inquilin, lasst sich an dem Herbarmaterial natiirlich nicht nachweisen. Bom Fim, Juru4, November 1900. 166. Vallinosmopsis spec. 209. (168). Acaroceeidium, Blattgallen. Cephaloneonartige Blatt- ausstiilpungen nach unten mit mächtig entwickeltem Mündungswall blattoberseits. Wie das normale Blatt, so ist auch die Galle auf der Unterseite viel stärker behaart als oben; nur der Galleneingang AUSSEREUROPARISCHE ZOOCECIDIEN io ist dicht mit hyalinen Haaren besetzt. Das Innere der Galle ist ganz glatt und enthält zahlreiche Milben. Zuweilen stehen einige Gallen so dicht beieinander, dass sie verwachsen. An einem Blatte befinden sich die Gallen vorzugsweise in der Nähe des Blattrandes, während sie sonst regellos über die Blatttliche verteilt sind. Gavea, Estado de Rio de Janeiro, Januar 1900. 167. Vernonia Tweediana Bak. 210. (66). Acarocecidium, Erineum blattunterseits, verbunilen mit Blattausstülpung nach oben. Das Erineum tritt stets fleckenweise auf und bildet Rasen von 1-3 mm Durchmesser. Die Ausstülpung ist mit starker Verdickung der Lamina verbunden. Die dieses Pri- neum bildenden Haare sind von rostbrauner Farbe nnd sehr verschie- den in der Form. Meist sind sie unregelmässig verzweigt, und dann ein oder mehrzellig; bald sind sie an der Spitze keulenformig ver- diekt oder in der Mitte oder einer andern Stelle bauchig erweitert, oder sie sind einfach, bald an der Spitze, bald an einer andern Stelle mit kurzen oder längern, oft dieht gehäuft stehenden Zweigen besetzt. Gavea und Serra dos Orgäos, Est. de Rio de Janeiro, Januar und Aug. 1900. 168. Vernonia spec. ZII. (203). Acarocecidium auf den Blättern. Erineum blattunter- seits mit schwacher Ausstiilpung nach oben. Die rostroten Filzrasen sind meist noch kleiner wie bei N.° 210 und die Ausstiilpungen viel schwächer. Die Haare sind meist einfach sehr stark geschlängelt und in einander verfilzt. Palmeiras, Estado de Rio de Janeiro, April 1900. 212. (205). Acarocecidium, Deformation der Blätter und der gan- zen Pflanze. Die Deformation besteht vorzugsweise in knotigen, klei- nen Verdickungen der Rippen. An einem Zweige sind sämtliche Rip- pen, bis zu den feinsten mit derartigen unregelmissigen, winzigen Geschwülsten behaftet, womit eine Verkümmerung, Verzerrung und Rollung nach oben verbunden ist; die kleinen Beulen befinden sich auch am Stengel und bewirken hier ein unregelmässiges Hin - und Herkrümmen desselben. Der obere Teil des Triebes ist auffallend 74 Ew. H. RUEBSAAMEN verdickt und die Blatter und Bliitenorgane an der Zweigspitze total verkiimmert. Palmeiras, Estado de Rio de Janeiro, April 1900. 169. Xylopia spec. » 215. (322). Blattgallen ; Erzeuger ? Die 5-12 mm langen, flaschen- formigen Gallen sitzen auf der Blattoberseite und treten blattunter- seits als annähernd halbkugelige Benlen vor. Es sind holzige Gallen von 3-5 mm Durchmesser an der Basis, die sich nach oben stark verjüngen und an der Spitze offen sind. Die eigentliche Larvenkam - mer befindet sich in dem bauchigen Basalteile der Flaschengalle. Alle Gallen sind offenbar bereits seit längerer Zeit vom Erzeuger verlassen worden, denn sie sind zum Teile innen und aussen mit Algen bewachsen. In den Gallen, die an gewisse Coccidengallen erin- nern, fanden sich Kot, Überreste von Cocciden (—die aber später in die Galle hineingekommen sein können !) — und S-beinige Milben, die als Erzeuger der Gallen nicht in Betracht kommen. Ausserdem fand sich eine noch junge Cecidomyidenlarce, die wahrscheinlich ebenfalls eingewandert ist. Juruä Miry, Est. de Amazonas, August 1901. 170. Zanthoxylon spec. 214. (10). Psyllidengalle auf den Blättern. Flache Griibehen aut beiden Blattseiten, verbunden mit gelbroter Entfärbung des Blattes Fig. 15. Psyllide anf Zanthoxylon, Brasilien, lg. ULE. Die Bezeichnnngen wie bei Fig. 16. = ><. 250. 5 1 “I uo AUSSEREUROPAFISCHE ZOOCECIDIEN in der Umgebung des Grübchens. Jedes Griibehen wird ausgefüllt von einer Psyllidenlarve, die Almliehkeit hat mit der von mir in den Berl. Ent. Nachrichten 1899 p. 275 abgebildeten Larve, unterschei- det sich aber von diesen Larven dadurch, dass der Kopt vorne nicht so tief eingekerbt ist, die Fühler am Vorderrande nicht eingebuchtet kerbt und in der Form ganz anders gebildet und nur an der Basis mit vier hyalinen Stäbchen besetzt sind. Auch die Form der hyalinen Stäbchen ist anders wie bei den Larven auf Schinus (cfr. 15-17). Die Larven auf Zanthoxylon und Schinus gehören wahr- scheinlich demselben Genus an. Tijuca, Estado de Rio de Janeiro, Juli 1899, Nachträglich erhalte ich von Herrn PROFESSOR USTERI in S. PAOLO noch eine kleine Sammlung von Zoocecidien aus der dortigen Gegend, die eine wertvolle Ergänzung der ULE ’schen Sammlung bilden. Mit Ausnahme der Cynipidengalle auf Eugenia bezw. Myrciaria (cfr. die Fussnote auf p. 135, MARC. v. VI) sind die Gallen nicht in der ULE’schen Sammlung enthalten. Ich gebe nachfolgend die Beschreibung dieser Gallen mit den von Herrn Prof. USTERI beigefügten Nummern. Miconia minutiflora D.C. 215. (8). Acaroceeidium, Erineum blattunterseits, verbunden mit ziemlich starker Ausbauchung nach oben; in der Concavität vielzelli- ge Trichome, die wohl eine entfernte Ähnlichkeit mit den bei Mi- conia N.’ 98 (51) erwähnten haben, sich von ihnen aber doch auffallend unterscheiden. Sie sind ebenfalls vielzellig. Aus schmaler Basis entspringend, schwellen sie stark bauchig an, verjüngen sich dann wieder und enden in einer meist lang ausgezogenen Spitze. Die einzelnen Zellen sind an der Spitze der Auswiichse länger ‘als unten und in der Mitte; die äusseren ragen meist mit abgerundeter Spitze seitlich vor, wodurch das ganze Gebilde ein rauhes Aussehen erhält. Häufig sind die Haare in der oberen, dünneren Partie stark gekrümmt, S. Paolo, Villa Marianna, 26. Nov. 1906. 76 Ew. H. RUEBSAAMEN Nectandra spec. 216. (4). Psyllidengalle auf den Blättern. Die Galle hat etwas Ähnlichkeit mit den von Bactericera (Aconoza) ulei Riibs. (efr. N.’ 118 dieses Beitrages) unterscheidet sich aber von ihr dadurch , dass sie anscheinend stets blattoberseits sitzt und blattunterseits viel weniger vorragt als N.’ 118. Sie ist ebenfalls brannrot , aber nicht behaart, und die Gallenwandung viel dünner als bei jener. Auch die in diesen Gallen lebende Psyllidenlarve sieht ganz anders aus als die Larve von B. ulei und gehört sicher zu einer ganz andern Gattung. Es ist eine Larve mit einem Kranze hyaliner Stäbchen. Derartige Stäbchenbil- dungen kommen also nicht nur bei frei oder in Grübehen lebenden Psyllidenlarven vor, wie ich früher anzunehmen geneigt war. Die Stäb- chen stehen hier aber sehr weit von einander entfernt, so weit wie ich dies bei keiner andern Art bisher beobachtet habe. ‚Die Larve in diesen 6 mm dieken Gallen ist noch sehr jung und nur 0,7 mm lang; die Fühler sind daher noch wenig entwickelt und nur 3-glie- drig; ebenso sind die Fussglieder noch nicht von der Schiene ge- trennt. After mit doppeltem, quergestellten Hofe von Chitinwärzchen Die 6 hinteren Abdominalsegmente mit je einer Reihe grösserer Borsten. Villa Leopoldina, 12 Mai 1905. Ocotea spec. (1) 217. (7). Flachkugelige, fleischige Parenchymgallen, die auf beiden Seiten des Blattes vortreten und 5 mm Durchmesser erreichen. Die Gallen befinden sich an ganz jungen Blättern und sind noch nicht voll entwickelt. In der winzigen Larvenhöhle findet sich eine 0,15 mm lange Larve, die wahrscheinlich einer Cecidomyide angehört. Avenida, 5. November 1906. Psidium spec. 218. (5). Blattgallen die etwas an diejenigen von Xylopia (1) Herr Une hat an einer ganzen Anzahl nicht näher bestimmter Lauraceen eine Menge der merkwiirdigsten Gallen mitgebracht, anf deren Beschreibung ich lei- der wegen des nicht bestimmten Substrates vorlänfig verzichten muss. AUSSEREUROPAKISCHE ZOOCECIDIEN 77 (efr. N.° 213) erinnern aber kleiner sind. Sie treten blattunterseits als breite, stumpfe Kegel auf, von deren Spitze sich eine eylindrische, am Ende abgerundete Höhlung in die Galle einsenkt. Blattoberseits erscheint die Galle als unregelmiissiger, rundlicher Wulst. Im Blatte erreicht die Galle e. 4-5 mm Durchmesser und ist auch so hoch. Wie bei Xylopia, so sind auch diese Gallen anscheinend schon ziemlich alt und in der offenbar normalerweise an der Spitze stets offenen Galle finden sich Überreste von Cocciden, Ceeidomyidenlarven, Ptero- maliden und achtbeinigen Milben, Wer Erzeuger der Galle ist, lässt sich aus diesen Fragmenten nicht bestimmen. Möglıcherweise sind die Tiere, von denen Überreste gefunden wurden, alle eingewandert, Die Gälle macht den Eindruck einer Coccidengalle. Ipiranga, 15. August 1905. Schinus spec. . (10). Psyllidengalle auf den Blättern. Im Jahre 1599 habe ich Er p. 277 in den Berliner Entomolos. Nachrich- ten eine Psyllidengalle auf Sehinus molle L. beschrieben, die Fig. 16. Psyllidennymphe auf Schinus molle aus Bolivia (lg. KUNTZE). = Scheitel ; ant = Fiihler ; oc = Auge; pt = vorderer Teil des Flügels. mit der vorliegenden viel Ähnlichkeit hat, von ihr aber sicher ver- schieden ist. Die Einsenkung erfolgt, wie es scheint, regelmässig von der Blattunterseite (1); sie ist tiefer als bei Schinus molle (1) Von den Gallen auf Sehinus molle hab ich nachträglich noch mehr Material erhalten. Die Einsenkung erfolgt hier bald von unten bald von oben und kommt auch an den Blattstielen und dem Zweige vor. 78 Ew. H. RUEBSAAMEN und mehr trichterformig, d. h. also nach unten meist viel enger wer- dend. Der Miindungswall ist nicht so hoch wie bei Sch. molle. Die Ausstiilpung auf der oberen Blattseite ist dunkelcarminrot und von starker Verdickung der Lamina in der Umgebung der direct an- gegriffenen Stelle begleitet. Die Lingsaxe der Einsenkung scheint stets mit einer Seitenrippe 1. Grades parallel zu lauten und die vor- her erwähnte Verdiekung setzt sich in der Längsaxe der Galle in derselben Riehtung fort und läuft allmählich spitz zu. Diese Bildung scheint ganz characteristisch zu sein und ist an dem vorliegenden Materiale keiner Ausnahme unterworfen. Auch die Psylliden sind sicher verschiedene Arten derselben Gattung; beide Arten unterscheiden sich als Larven und Nymphen deutlich durch die Bildung der Fühler, des Kopfes und der Stäbchen. Der Kopf ist bei der Nymphe auf Schinus molle aus Boli- via zwischen den Augen tief herzförmig eingekerbt (cfr. die Fig. 17 auf p. 278, Ent. Nachrichten 1899 und Fig. 16 dieses Beitrages) ; bei der Nymphe aus Brasilien ist dies nıcht der Fall (efr. Fig. 17). Bei letzterer sind die Fühler ganz frei von hyalinen Stäbehen, von Fig. 17. Psyllide auf Sehinus spec. ans Brasilien, 1g. UsTERI. Die Bezeichnungen wie vorher. >< 250. denen bei der Bolivia- Nymphe 5-6 auch an den Fühlern sitzen. Ich habe 1. e. angegeben, dass diese Fühler von eigentümlicher ge- kriimmt buckliger Form seien; bei der Nymphe aus Brasilien fehlt der tiefe Einsehnitt an der Vorderseite, wie sich aus der beigegebe- nen Figur 17 ergiebt. Ferner sind die hyalinen Stäbchen bei der in » (Ci eee APT CRE A ni SSA bd ANT TE ira N, PISA PI ie de Be ~*~ la ’ < x er x AUSSEREUROPARISCHE ZOOCECIDIEN 79 Nymphe auf Schinus molle ganz anderes gebildet wie bei der Nymphe aus Brasilien (efr. Fig. 15 und 16). Trotzdem von der Schinus-Galle aus Brasilien nur einige Blätter vorliegen , giebt das Material einen interessanten Aufschluss. Die Nymphen haben offenbar kurz vor der Verwandlung gestanden; bei einem dieser Tiere ist bereits ein Flügel entwickelt, der das Geäder von Psylla , nicht von Triozu aufweisst; meine Annahme, dass Larven und Nym- phen mit einem derartigen Stäbchenkranze wahrscheinlich za den Triozinen gehören möchten , ist demnach nicht zutreffend. Noch auf eine sehr merkwürdige Bildung der Nymphen der S e hi nu s-Gallen aus Brasilien, die in geringerem Grade auch bei den Nymphen auf Schinus molle vorkommt, sei hingewiesen. Damit das Tier die tiefe trichterförmige Grube auf dem Blatte auszufüllen vermag, finden sich zwischen den Hüften «der Mittel- und Hinterbeine vier mächtige, fleischige, zapfenartige Verdickungen, die bis auf den Boden des Trichters hinabreichen. Derartige Zapfen habe ich bisher nur bei einer Nymphe aus Blattgallen auf Populus euphratica gefunden (1). Bei den Larven auf Zanthoxylon (cfr. N.° 214 dieses Beitrages), die wahrscheinlich mit denen von Sehinus zu ein und derselben Gattung gehören, sind diese Zapfen nicht vorhan- den und auch nicht nötig, weil dort die Blattgruben sehr flach sind und der Boden derselben ganz eben ist; dafür sind aber die Stäb- chen, mit denen sich das Tier offenbar am Blatte festhält, viel stär- ker entwickelt (cfr. Fig. 15). | Ipiranga, 21 Maerz 1905. LIZ re ED a ET eee ET (1) Zoolog. Jahrbiicher 1902 p. 287 und Fig. P. p. 284. sO A. TROTTER ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI provenienti dallo Shen-si settentrionale Tl materiale illustrato nel presente lavoro fu raceolto, nella quasi totalità, nella Cina orientale, provincia di Shen-si sett., dal defunto, sagace raccoglitore, Padre GIUSEPPE GIRALDI. ; Tali raccolte vennero in Italia a merito del Signor BIONDI e furono di poi regalate all’ Istituto botanico di Firenze. Il presente x materiale, favoritomi già da vari anni dal Prof. BARONI, per V inde- terminatezza di molti substrati, solo oggi può venir pubblicato; e qui ringrazio il Prof. P. BACCARINI che gentilmente si prestò alla loro determinazione, col confronto delle importanti collezioni fanerogami- x che cinesi, raccolte dallo stesso GIRALDI e già riunite nell’ Erbario Centrale di Firenze. Il grande Continente asiatico, per il quale conosciamo solo al- cuni saggi cecidologici, si rivelerà, non vi è dubbio, una inesauri- bile miniera, destinata a mostrare fatti interessantissimi, anche in ragione della remota antichità della sua flora. Come ho già fatto in alcuni miei lavori, concernenti galle esoti- che, provenienti dall’ Africa, dall’ America settentrionale e meridio- nale, credo interessante anche nel presente caso, riunire, non una completa bibliografia cecidologica relativa al Continente asiatico ed isole finitime, ma solo un saggio, persuaso come sono che molte in- dicazioni, però non molto importanti, debbano essermi sfuggite. Avellino, maggio 1908. . Domandedicambi,indirizzi, domande e risposte diverse,etc. Es Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati; per domande od offerte d’in- ae 4 teresse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia. e __ G. DARBOUX et C. HOUARD 5 Galles de Eynipides fi. Reuel ie figures originale executees Sous Ja direction le feu Be cca le Dr. JULES GIRAUD EN 90 pp, avec 18 pl. in-4°, dont 15 col. Les tirages à part sont en nombre minime et mis en vente à 50 fr.s par 1 MASSON et Co., Paris, Boulv. St. Germain 120. 8 HOUARD Dai Et ele a LATE 05 Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée 3 > Description des Galles — IMustration — Bibliographie détaillée Répartition géographique — Index bibliographique 1365 figures. dans le texte — 2 planches hors texte 2 vol. in 8° raisin (25 1 7) de 500 pages environ chacun, sur papier glacé.— Prix de Souscription aux deux volumes: 40 fr. . Aucun volume ne sera vendu séparément — Le Tome I paraîtra le 1er Juin 1908 — Le Tome II paraîtra le 12 Octobre 1908. .__N.B.— Le tirage étant limité, nous prions les Naturalistes, désireux des assurer un exemplaire, de se faire inserire an plus tôt. Librairie Seiönttfigie A. HERMANN — 6, Rue de la Sorbonne, Paris (VA) PSE IO PT : 4 . "" FR è 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle galle e dei x » produttori di esse. Pubblica , su tale argomento, lavori originali , di istologia , Bus Ds. morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene _ inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando. fi xt : anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o meno estese. SANT 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati. hanno però. Cc ia precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono ‘essere inviati af Redat- tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli © no alla stampa. Si accettano ter lavori in inglese, tedesco ed in tutte le lingue delle nazioni latine... > 43° e La . 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro D si ER TE sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di. Cda copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito, il Redattore con 2’ invio del n ma- ; noscritto. — | 4. Le spese per tavole o figure nel testo. sono, pet. ora, a carico degli epee . Usciranno 6 fascicoli all’ anno, complessivamente almeno 15 fogli di stam- | 4 pa, RER un fascicolo ogni due mesi, cioè: Febbraio, Aprile, Giugno, ar È Agosto, Ottobre, Dicembre. PRE x ES 6. Gli abbonamenti cominciano dal: 1 Gennaio e si Mid ee BR SR per l anno successivo, qualora non venga data rinuncia al Redattore. entro il mese di Dicembre. i 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (= 15 Fr.—12 Mk.=12 Sh.) — x da pagarsi anfecifatamente.-- Si pregano i Signori Associati esteri di effettuare > i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con lira cambiarii (Chèque). Per abbonanienti, informazioni, RIRES di lavori, cambii na - al Redattore prof. A. TROTTER, Æ. Scsola di Viticultura e di Enologia, ping (Italia). TROTTER A. e Cecconi G.— Cecidotheca italica ou Collection de Galles italiennes, | séchées et préparées, y-compris les formes nuisibles aux plantes agricoles.— Ont paru jusqu'ici 18 fasc.- 450 espèces -; le prix de chaque fasc. est de 10 fr. — En préparation fasc. 19%-20°.— Pour achats s'adresser’ au Prof. A. ~~ TROTTER. RES RIVISTA INTERNAZIONALE Lace CECIDOJOGIA Poor CR PT, tint i Ao cae, SA Spin DR Kal, tiri - SOMMARIO: REDATTORE: TROTTER A. — Illustrazione di ‘alcune Pror. Dr, AIAR galle cinesi provenienti dallo. Shen-si settentrionale (con fig. ed 1 tar.) (cont. E SASSI e fine). | TROTTER A.-- Bibliografia e Recensioni a Notizie, Vor. Ull.- An. 1908 Fasc. Ill C2 : (PUBBLICATO IL 28 LUGLIO 1908) we AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA 1908 Dal 15 agosto al 15 settembre si prega indirizzare la corrispondenza a CORNUDA (Treviso) A fine di render più facile il compito del Redattore si pregano Winaibente d CS Signori Collaboratori, avanti l'invio dei manoscritti, di tenere presenti, nel loro stesso interesse, le seguenti avvertenze: _ ; | (ae : em. Lu Lt NT PP al - +94 NO 1. I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rac- comandazione è rivolta in modo speciale ai Signori Collaboratori esteri. — 2. Le bozze di stampa verigono, di regola, inviate una sol volta; una seconda (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente - ‘fatte sieno state di una certa importanza. o invii non saranno fatti che dietro richiesta. degli interessati. 3. Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero superiore ai 30, concessi 4 _ gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l’ invio del manoscritto. _ = 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non quando ne sia stato - x > espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. : 2 5. Per I’ uniformità del giornale si pregano i Signori Collaboratori di attenersi alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza, e usandole possibilmente ed uniformemente nei contro indicati casi : carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad WERTE es. Cynips coriaria, Fagus silvatica). x > MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo; Sa es. Lôw, Boca eee, GIRAUD). ‘ pi; » corsivo (per i cecidonti nel testo; ad es. Perrisia affinis, Uro- Se | x cystis Anemones). + SR Br L 3 sd Pte > PE me oe » spaziato (per i substrati nel En: ad es. Quercus cocci- fera, Salvia pratensis). SUOI oe ‘44,4 PAT. PERO, RANA VI rta 4 y e SIE" wor ESA i ‘ (00) © ® Le zZ < = > < È E ©) rc < = A. Tae "DAY, ER, Galle cinesi ELIUT CALZOLARI & FERRARIO -FAILANO en BA e we; sp Lure. LÉ”. “ner 3 Pr « 4 a A CEI ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 81 MATERIALI PER UNA LETTERATURA SULLE GALLE DEL CONTINENTE ASIATICO ED ISOLE LIMITROFE LIBRARY NEW Y EOT Galle commerciali di Querens e Rhus: GARDEN. Bargagli-Petrucci G.— Cfr. « Galle su piante diverse » Beauvisage G. E. Ch.— Les galles utiles. Thèse de Paris 1883. Bernardin — Classification de 350 matières tannantes. Gand 1880. Boehmer — Tech. Geschiehte der Pflanzen. Leipzig 1794. Brande W. Th.— in Philosoph. Transact. P. I, an. 1817, p. 39-44. Credner — Eichengallen. Archiv d. Pharmacie p. 83; an. 1841. Curtis — Gardn. Chron., an. 1855, n. 8, p. 116, fig. 6. Doubleday — in Pharmac. Journal, VII, an. 1848, p. 310; X, an. 1851, p. 128. Descrizione dell’ Aphis sinensis. Duhalde — Descript. géogr. et hist. de la Chine, t. III, p. 496. Paris 1735. Dymock — Materia medica of western India, p. 191, an. 1885. Eckstein K.— Pilanzengallen und Gallentiere, p. 78. Leipzig an. 1891. Eitner W.— Der Gerber. 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TrOoTTER n 000 —m—m———mm_€___m___——€—__——___————__mmm_TT—_—rrltlgP1l1_ di _- Massalongo C.— Di due galle raccolte in Siberia ed in Lapponia da S. Sommier. Bull. Soc. bot. italiana, an. 1899, p. 162-164. Mayr G.— Feigeninsecten. Verh. k. k. zool.-bot. Ges. Wien Bd. XXXV, an. 1885, p. 147-250, con 3 tav. Mayr G.— Der Erzenger der Sodom’s Aeptel. Wien. Entom. Zeitg. XX Jahrg. IV Heft, an. 1901, p. 65-68. Mayr G.— Zwei Cynipiden. Marcellia, v. VI, an. 1907, p. 3-7, con 1 fig. Mueller Alb. — Note on a Chinese Artichoke Gall (mentioned and figured in D.r Hance’s paper « On Silkworm Oaks ») allied to the European Arti- choke Gall of Aphilothrix gemmae L. Journ. of the Linn. Soc. London. Zool., v. XI, n. 55, an. 1872, p. 428-431. Mueller Alb. — Cynips Curtisii. Gardeners Chron. an. 1870 P. 40, p. 1312-1313 ; Mitth. d. Schweiz. entom. Gesellsch. V, an. 1878, n. 7, p. 384. N. N. — [Galle di Psylla cistellata Buckt. so Mangifera indica]. Miscella- neons Notes. Indian Museum Notes V. 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Lief. 1-5, an. 1875-1879. Cfr. THOMAS, in Just’s Bot. Jahresb. VI n. 87, VII n. 91. Treub M.— Abnormal gezwollen ovarien von Liparis latifolia Lindl. Ne- derland. Kruidk. Arch. 2 ser., III, an. 1882. p. 404-407 con 1 tav. Treub M.— Notes sur l embryon le sac embryonnaire et I’ ovule. Ann. Jard. bot. de Buitenzorg, III, 2, an. 1883, p. 120-127. Si accenna alla deformazione precedente. Treub M. — Quelques mots sur les effects du parasitisme de | Heterodera javanica dans les racines de la canne à sucre. Ann. Jard. bot. de Buitenzorg, VI, I., an. 1886, p. 93-96, con 1 tav. Tschirch A.— Ueber durch Astegopteryx, eine neue Aphidengattung, erzeugte Zoo- cecidien auf Styrax Benzoin Dryand. Ber. deutsch. bot. Ges., Bd. VIII, an. 1890, p. 48-53, con 1 tav. Trotter A. — Per la conoscenza della cecidoflora esotica. Bull. Soc. bot. it. 1901, p. 66-73. Trotter A. — Description de deux nouveau Æriophyes de Chine. Bull. Soc. Entom. de France, an. 1900, p. 179-181. Trotter A. — Galle della Penisola balcanica e Asia Minore. Nuoro Giorn. bot. it. N. Si v. X, an.- 1903; p. 5-86. con 2 tav. Vi è raccolta, sino al 1902, la Bibliografia riguardante V’ Asia Minore che perciò omettiamo. Trotter A.— Miscellanee cecidologiche I. Marcellia vy. II, an. 1903, p. 29 e 34. Trotter A.— Miscellanee cecidologiche II. Marcellia v. IV, an. 1905, p. 57. Trotter A.— Miscellanee cecidologiche III. Marcellia v. V, an. 1906, p. 77. Trotter A. — Cynips Fortii n. sp.. Descrizione ed istologia di una nuova galla di Asia Minore. Marcellia v. VI, an. 1907, p. 12-23 con 5 fig. Zehntner L.— De Gallen der Djamboehladern. De Indische Natuur, Jaarg. I, an. 1900, Afl. I, p. 3-11 con 8 fig. Zimmermann A.— Ueber einige javanische Thysanoptera. Bull. Inst. bot. de Bui- tenzorg n. 7, p. 6-19 con 9 fig. Zimmermann A.— Sammelreferate über die tierischen und pflanzlichen Parasiten der tropischen Kulturpflanzen. Centralbl. f. Bakter. Parasitenk, ete, II Abt., VIII Bd. pp. 774-776, 798-805. 86 A. TROTTER Galle sulle COMPOSITE Sulle Artemisia Le galle sulle Artemisia sono molto varie e molto comuni in tutta l’Asia, come ne fanno fede le specie già a quest’ ora a più ri- prese segnalate; non meno di quanto accade nell’ Europa, nell’ Ame- rica settentrionale e nell’ Africa mediterranea. In ragione di questa ricchezza cecidologica, per la quale le affinità morfologiche si compli- cano notevolmente, regnano ancora non poche incertezze sulla esatta delimitazione delle specie ed una revisione monografica delle galle delle Artemisia sarebbe quando mai desiderabile. Le specie prove- nienti dal materiale del Padre GIRALDI sono le seguenti : Su Artemisia annua L. - 1. Forte ipertrofia, subglobosa o subellissoidale , dei ramoscelli, specialmente nella regione superiore, in qualche caso sensibilmente unilaterale; dimensioni 10-14 mm. di lunghezza per 7-10 di larghezza. La sua consistenza è legnosa, la sua superficie è qua e là longitudinal- mente striata e di un colorito soveroso. Nell’ interno trovasi un’ unica cavità, abbastanza ampia, subellittica, e le pareti di mediocre spessore, un po’ fibrose, sono talora ocenpate da piecole logge di commensali. È probabile possa trattarsi di un lepidotterocecidio. Una deformazione non molto dissimile fu segnalata da FRAUEN- FELD per Artemisia judaica, da RÜBSAAMEN per Artemi- sia persica, quest’ultima però, che è pluriloculare, sarebbe dovuta a Cecidomie. Le presenti galle cinesi sono del pari diverse dalle affini europee, prodotte dal Dittero Oxryna tesselata H. Löw, mentre sarebbero piuttosto da assimilarsi a quelle di Artemisia gallica prodotte dal microlepidottero Conchylis clavana Const. Lao-y-san, Shen-si sett.; primavera 1897 (Padre G. GIRALDI). 2. Deformazioni vistose nella regione dell’ infiorescenza. Esse offrono notevole analogia con quelle che una Rhopalomyia , tutt’ ora indeterminata, produce su Artemisia scoparia, Art. au- striaca, Art. campestris, descritte, per il primo substrato da FR. Löw (1), per gli altri da RÜBSAAMEN (2). (1) Verb. k. k. zool.-bot. Ges. Wien, Bd. XXVII, an. 1877, p. 25, taf. I fig. 8-9. (2) Bull. Soc, Imper. Nat. de Moscou, an. 1895, n. 3, Estr. p. 38 n. 57. ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 87 Queste galle risultano costituite da piccole logge subellittiche, alte 2-3 mm., a pareti sottili, sublegnose, agglomerate in vario nu- mero, aderenti all’asse dell’ infiorescenza e ricoperte, sin dalla base, da squame subtriangolari, rivestite a lor volta, specialmente alla base, come le stesse pareti della galla, da una fitta pubescenza fulva. Que- ste galle con la loro riunione costituiscono dei glomeruli di 1-2 em. di diametro, assai visibili (Tav. fig. 1) tra i quali sì vedono apparire tratti più o meno estesi di infiorescenze normali, a seconda del grado dell’ infezione. Dalle galle più sopra accennate, si differenziano sopra- tutto per la pubescenza fulva, nè bianchiccia, per le squame piuttosto brevi e subtriangolari, anzichè lunghe, lineari o filiformi. Lun-san-huo, Shen-si sett.; ottobre 1895 (Padre Pro Nest). Su Artemisia vulgaris L. 3. Galla di Rhopalomyia Giraldii Kieffer et Trotter, Bull. Soc. Entom. de France, an. 1900 p. 233 con 1 fig. (galla). L’ insetto come la galla furono già da me in altra occasione de- scritti. Queste galle, più o meno sferoidali, di dimensioni variabilis- sime, da 3 a 15 mm., si sviluppano sui fustieini, generandosi a spese o dei fusticini stessi, oppure di germogli fogliari o talora anche di foglie. Spesso, densamente concrescenti, costituiscono un’ unica massa abbracciante il fusto. Sono subspugnose , a pareti piuttosto molli e rivestite da breve ma denso tomento biancastro. (Tav. fig. 2, 3). Nello interno, in prossimità del supporto, trovansi una o più celle larvali, a seconda delle dimensioni della galla ed a pareti sublegnose. La trasfor- mazione avviene nella galla stessa, come accade nella più parte delle Rhopalomyia. Quando queste galle sono solitarie, perciò piccole ed uniloculari, offrono notevole analogia con le galle di Artemisia, frequenti in Europa, prodotte dalla Rhopalomyia baccarum. Galle molto simili a queste cinesi furono segnalate dal RUBSAA- MEN (l. €. 1902) per Artemisia cinae Berg, provenienti dalla Persia meridionale, dal FRAUENFELD (I. €. 1859) per Art. juda i- ca, dalla penisola sinaitica, da GIARD (1) e da HOUARD (2) per A r- (1) Bull. Soc. Entom. de France, an. 1900, p. 260. (2) Bull. Soc. Entom. de France, an. 1901. p. 92, fig. HOUARD pare esistano due forme; una a peli molto brevi ed un’ altra a peli molto lunghi, 1-2 (galla).— Secondo 88 A. TROTTER temisia herba-alba Asso, dall’ Algeria, e per lo stesso sub- Strato anche da KARSCH (1. e. p. 299) e da FOCKEU (1. e. p. 36), dalla Siria, Mesopotamia e deserto di Palmira. Ma una segnalazione ancora più antica, di questa stessa galla 0 di altra assai affine, la dobbiamo al VIVIANI, il quale ne dà un cenno ed una figura (tab. III fig. 5) nella sua Opera Florae Libycae specimen (Genova 1824, p. 54). A proposito dell’ Artemisia pyromacha egli ha il seguente passo: Obs. Hane Art. speciem memoratam tantum volui, ut de cà nue peri viatores pleniora referant. Omnia quae possideo specimena flore destituuntur, neque florentem viatori nostro unquam videre contigit ; Jortasse insecti cuiusdem puncturam lacessitam , qua eiusdem caulis , ramique glomeribus tenso tomento gossypino cunpactis hine inde obvesti- untur. Hisce glomeribus, fomitis vice, scintillas silice excussas excipiunt Arabes Deserti ad ignem excitandum.— Hab. in deserto Magnae Syrteos. Huo-tria-zaez; Shen-si sett., 11 giugno 1897 (Padre G. GIRALDI). 4. Un’ altra curiosa galla, essa pure secondo ogni probabilità prodotta da una Cecidomia, offre il materiale raccolto dal Padre GI- RALDI. Di primo acchito sembrerebbe trattarsi della specie prece- dente, dalla quale in apparenza si differenzierebbe solo per i peli più abbondantemente sviluppati e più eretti. Esaminandone però la interna struttura si scorge come la piccolissima loggia larvale, sub- legnosa, sia direttamente rivestita da ciufti di peli. Nel caso prece- dente invece, un distinto parenchima avvolge la camera larvale, pa- renchima che a sua volta è circondato dal tegumento piligero. Queste gallette si addensano in numero vario e formano spesso dei glomeruli assai perspicui all’ estremità della pianta. A differenza delle precedenti, prendono quasi sempre origine dalle foglie, special mente le più giovani, ed in qualche caso queste ne risultano com- pletamente trasformate. Circa i peli questi sono molto sottili, nastri- formi, semplici, qua e là interrotti da qualche setto ed all’ infuori della loro maggiore lunghezza non sono inolto diversi da quelli che rivestono le galle della Rhopalomyia Giraldii. Uan-teia-fen; Shen-si sett.; 16 gingno 1897 (Padre G. GIRALDI). 5. Galle rameali, derivanti dalla trasformazione di un germoglio, sublegnose, pluriloculari, glabre, irregolari di forma ed a superficie raggrinzata e serepolata per il disseccamento. Da giovani molto pro- babilmente dovevano essere subcarnose, nel qual caso offrirebbero > TATOO s ph ll) ae a VA ey 1 * “i; > 0 ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 89 molta analogia con le galle pluriloculari, conerescenti, di Rhopalo- myia baccarum, quali furono da me descritte per questo stesso sub- strato e rinvenute, nel Mantovano prima (1) e posteriormente anche nel Veronese. Su Achillea sp. (od altra Composita aftine ; Tav. fig. 4). 6. Nella parte terminale dei ramoscelli trovansi dei glomeruli sub. globosi, di 10-20 mm. di diam., costituiti da un densissimo e molto compatto agglomeramento di foglioline deformate, ma non anormal mente pubescenti, intorno a piccole logge, lunghe mm. 1,5, situate in prossimità dell’ asse che è più o meno ipertrofizzato. Anche qui trattasi, secondo ogni probabilità, di una galla di Rhopalomyia. ‘ Lao-y-san, Shen-si sett. (Padre G. GIRALDI). Su Senecio aconitifolius Turez. (Tav. fig. 11). 7. A spese dell’ asse ed all’ ascella di una foglia si formano uni lateralmente dei grossi cecidii subellissoidi, lunghi 3-4 em. per 2 em. cirea di larghezza. Le loro pareti sono durissime e ta massa interna delle galle è fornita di alveoli e di cavità irregolari per lo più con fluenti. Nell’interno delle nicchie su ricordate ho trovato solo qual- che frammento di pupario, di colorito bruno, appartenente a Ditteri ciclorati, forse produttori della galla. Facendo una sezione, parallela all’ asse maggiore della galla, è dato scorgere come i tessuti costi tuenti il cecidio sieno assai poco differenziati. Il tessuto fondamen- tale è un parenchima omogeno, costituito da cellule per lo più ellis- soidi, di dimensioni variabili, le quali verso il centro assumono una forma per lo più tondeggiante, mentre si appiattiscono verso la pe- riferia, ed in special modo subito al di sotto dell’ epidermide. Le loro pareti, attraversate da canalicoli, sono di mediocre spessore, però nelle galle adulte si mostrano completamente lignificate. I tessuti midollari del fusto devono aver larga parte nella costituzione di questa galla, la quale perciò è da porsi nella categoria dei mielocecidii (THOMAS 1887), così ben studiati dal lato istologico dall’ HOUARD (2). ‘ Lun-san, Shen-si sett.; 30 giugno 1891 (Padre G. GIRALDI). (1) Atti Soc. Nat. di Modena, Ser. III v. XVI, an. 1898, p. 24. (2) Recherch. anatom. sur les Galles de Tiges: Plenrocécidies, Bull, Seient. France et Belgique t, XXXVIII, an, 1903, p. 274, 90 A. TROTTER Galle sulle ROSACEE Su Prunus armeniaca L. S. Eriophyes sinensis Trott., Bull. Soc. Entom. de France, an. 1900, p. 150 (corr. E. chinensis).— Galle fogliari ipofille (fig. 1 a), spiccata- mente clavate, cioè notevolmente ingrossate superiormente, ristrette invece alla base in un sottile collo che le tiene aderenti alla foglia. La loro superfice è di colorito rossastro, talora sfumato di giallo, glabra, leggermente rugosa. L’ o- Stiolo strettissimo, appena appa- riscente, Sapre a guisa di piccolo cercine sulla pagina superiore, più o meno circondato da peli brevi e diritti. Sono alte 4-6 mm. con un diametro massimo di 2-3 mm. Que- ste galle si presentano talora in gran numero cosicchè le foglie ne sono in questo caso completamente Fig. 1: a. Due galle fogliari di Erioph. rivestite. Facendo una sezione tra- sinensis; b. cecidozoo, visto dal lato ven- trale ; e. sendo dorsale del cecidozoo. sversale della galla, passante per il suo massimo diametro, se ne osserva la struttura istologica, del resto assai semplice salvo qualche particolare come ora dirò (fig. 2). Sono costituite da un parenchima formato da cellule tondeggianti o subpoligonali, di mediocri dimen- sioni, limitato esternamente da un’ epidermide per quanto ho potuto osservare astoma, con cellule a pareti discretamente robuste. Il pa- renchima si differenzia in un ipoderma, con cellule scarse 0 prive di contenuto, ed un tessuto mediano con cellule giallo - brune, ri- frangenti, per la presenza di sostanze albuminoso-tanniche le quali danno una pronta reazione coi sali di ferro. Qui si vedono scorrere anche aleuni fasci vascolari, essenzialmente costituiti da tracheidi, che poi confluiscono in basso formando un grosso fascio che occupa, as- sieme alle cellule a tannino, piuttosto allungate in confronto delle altre, l’intero sottile peduncolo che unisce la galla alla lamina fo- gliare. La cavità della galla è tappezzata da caratteristiche cellule di dimensioni gigantesche, specie se confrontate con le cellule del ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 91 parenchima le quali in vicinanza della cavità della galla si mostrano ancor più piccole delle altre. Queste grosse cellule si allungano in peli cilindrici, irregolari, grossi, fortemente ottusi all’ estre- mitä, a pareti sottili, privi talora di contenuto, ma più spesso riechi di sostanze le quali si addensano special. mente verso VT apice e pur esse ricche di principi albu- minoso-tannici. È una specie di erinosi interna ad elementi differenziati con uno scopo essenzialmente nutritivo, co- me riscortrasi in qualche al- tro acarocecidio fogliare. Le galle cefaloneiformi , esistenti in Europa sui Pru- nus (Ceph. molle, Ceph. con- fluens, Ceph. hypocraterifor- me), sono ben diverse dalle presenti e lo stesso Cerato- neon attenuatum dei Pru- x h Fig. 2.— Sezione trasv. di una galla di Erioph. nus, che pur offre caratteri sinensis : pn. tessuto nutritore e peli; ct. cel- di maggiore affinità, se ne lule a tannino; p. parench. fondamentale. diversifica notevolmente per la forma superiormente più assottigliata. Sul Prunus serotina agli Stati Uniti esiste invece un acaro- cecidio molto simile. L’unica differenza consisterebbe nell’essere epi- fillo anzichè ipofillo. Il BEUTENMÜLLER, che ne ha dato una molto sommaria descrizione, ma una buona figura (1), chiama I ipotetico produttore di tali galle Acarus serotinae. Questa stessa galla è ripor- tata e figurata anche da M. T. Cook, in The Insects Galls of Indiana (2) senza ulteriori ricerche sul suo produttore. Shen-si sett. (Padre G. GIRALDI). (1) Bull. Americ. Mus. of Nat. Hist., v. IV, pag. 278, pl. XVI fig. 7. (2) 29th Ann. Rep. of the Dep. of Geol. and Nat. Res. of Indiana, an. 1904 p. 858 fig. 49, 92 A. TROTTER 9. Aphis Sp.— Foglioline terminali di un ramoscello ripiegate verso la pagina inferiore, più spesso accartocciate od increspate. Tale de- formazione è accompagnata da una decolorazione più 0 meno sensibile della lamina la quale può anche assumere un colorito rossatro. De- formazione in tutto simile a quella che si riscontra anche in Europa su vari Prunus, nè sempre, come nel presente caso, sufficente per i suoi caratteri ad essere diagnosticata col nome specifico del ceci- dozoo, giacchè specie diverse di Afidi, per quanto tra loro affini, son» capaci di indurre sullo stesso substrato reazioni somiglianti. Shen-si sett. (Padre G. GIRALDI). Su Rosa (R. sericea Lindl.?, R. macrophylla Lindl.?) 10. Rhodites bicolor (Harr.) O. S. (Tav. tig. 9). Galle rameali, rossicce da giovani, quindi brune, sferoidali, solitarie o rimnite in vario numero ed in tal caso spesso concrescenti, provviste di lunghi aculei cilindrici, diritti, regolar- mente disposti tutto all’ intorno, tra i quali poi, col sussidio di una lente, se ne possono osservare altri più piccoli, ghiandoliferi. Que- ste calle hanno un diametro di 15-20 mm. compresi gli aculei i quali sono lunghi 4-5 mm. La consistenza di queste galle è sub- legnosa, le loro pareti sono robuste (3-5 mm. di diametro) e nell’ interno trovasi un’unic: cavità. ampia, del diam. di 4-5 mm., abitata dalla larva del cecidozoo, 0 talora invece più logge, radialmente disposte, abitate da com- mensali o parassiti. Le pareti di queste galle sono essenzialmente costituite da un paren- chima costituito da cellule poliedriche, dissi- Fig. 3.— Sez. tangenz. di una mili nelle loro dimensioni, a membrane piut- galla di Rhodites bicolor : parenchima esterno ad ele- menti robusti e lignificati. alle cellule di molti tessuti midollari. Que- tosto sottili, distintamente punteggiate, simili sto parenchima è attraversato qua e là da piccoli fasci vascolari e tanto verso il centro della galla che alla pe- riferia, in prossimità dell’ epidermide, i snoi elementi si fanno più piccoli, a pareti più spesse, più lignificate, attraversate qua e là da pori - canali (fig. 3). Questa struttura istologica è in tutto simile a sett a at te LO ~~ aot ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 93 quella delle galle europee di Rhodites Mayri, alle quali le galle cinesi si accostano anche per la loro esterna morfologia. Queste galle sembrano essere identiche a quelle che, agli Stati Uniti d’ America, il Rhodites bicolor (Harr.) O. S. produce su varie specie di Rosa, galle già descritte e figurate da più Autori. Rite- niamo che uno studio più approfondito della cecidologia dell’ estremo nord della Cina, mostrerà altre analogie con 1’ America del Nord, analogie che già esistono per altri rami della Biologia. Kiu-ha-san, Shen-si sett., 10 luglio 1897 (Padre G. GIRALDI). 11. Rhodites sp. — Ispessimento della lamina fogliare, a forma sublenticolare o subgloboso-depressa , emergente da ambedue le pa- gine, del diametro di 2-4 mm., a colorito giallo-rossastro. Galle in tutto simili a quelle europee di Rhodites spinosissimae. Kin-hua-san, Shen-si sett.; 10 luglio 1897 (Padre G. GIRALDI). 12. Rhodites sp. — Piccolo rigonfiamento della rachide fogliare, oppure del picciolo, subcilindrico o subfusiforme, lungo 3-4 mm., largo 2-2,5 mm. Non è improbabile possa trattarsi dello stesso produttore ricordato per la specie precedente. Kin-hua-san, Shen-si sett.; 10 luglio 1907 (Padre G. GIRALDI). Su Sorbaria sorbifolia A. Br. (Tav. fig. 8, 3a). 13. Ditterocecidio. — Questa pianta è sede di una interessante galla fogliare e 1’ insetto produttore dev’ essere così abbondante che è più difficile trovar foglioline normali di quello che non sia foglie gallate; almeno a giudicarlo dai numerosi esemplari raccolti dal Padre GT- RALDI. Qualche cosa di analogo lo si riscontra in Europa per i ditterocecidii delle Querce, spe- cialmente Quereus Cerris e Q. Ilex, Fig. 4.— Sez. trasv. di una dovuti a varie specie di Dryomyia ed Arnoldia. u a Le galle di Sorbaria sono in forma di piccole borsette, spor- genti sull’ ipofillo, subreniformi, lunghe 2-3 mm, larghe 1,5-2 mm., a superfice glabra, quasi lucida, e di un colorito caratteristico giallo- ocraceo sfumato di rosso. Sulla pagina opposta si nota 1 ostiolo al- lungato, in forma di fenditura largamente aperta a maturità (fig. Sa) e limitato da un cercine giallastro della stessa natura del tessuto che costituisce la galla. Queste galle aderiscono alla costa od alle 94 A. TROTTER nervature secondarie le quali tutte devono partecipare in larga parte alla cecidogenesi. Queste galle sono dovute, secondo ogni probabilità, all’ opera di Cecidomie, le eni larve però, le quali dovrebbero essere solitarie in ogni singola galla, io non ho potuto osservare per I’ e- poca troppo tardiva nella quale furono raccolte le galle. Le loro pareti sono molto re- EC sistenti al taglio, come lo giu- 5 ST stifica la struttura istologica di oe una galla adulta che è la se- Se guente : allo esterno trovasi un mantello scleroso costituito da un numero variabile di assise cellulari, a seconda della re- gione, pit o meno prossima alla lamina, attraverso la quale fu praticata la sezione, esterna- mente limitato da un’ epider- mide costituita da piccole cel- lule appiattite, pur esse, come le altre, fortemente sclerosate. Più all’ interno trovasi un pa- Fig. 5. — Sez. trasv. di una galla di Sor- renchinis costıtugg da aa AU baria: e. epidermide; se. sclerenchima Serie di cellule irregolari, a pa- Crete Rie AEREA amilifero; si. scle- Loti di mediocre spessore, più o meno sinuose, abbondante mente provviste di granuli amilacei subglobosi. Più all’ interno an- cora, due o tre serie di cellule, anche queste fortemente sclerosate , limitanti la camera larvale. Tanto le cellule del mantello scleroso quanto quelle del parenchima mediano amilifero si mostrano ricche di sostanze tanniche, Shen-si sett., (Padre G. GIRALDI). Galle sulle SALICACEE Su Salix Caprea L. (o speci» affine). Tre specie di galle furono raccolte su questo Salice, tutte tre note e comuni anche nell’ Europa media. Furono raccolte dal Padre GIRALDI a Lao-y-san nello Shen-si sett. ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 95 14. Oligotrophus Capreae Winn.— Le ben note galle fogliari, sub- legnose, visibili su ambedue le pagine, aprentisi sull’ ipofillo a mezzo di un piccolo foro circolare. 15. Rhabdophaga rosaria H. Low — Anche questa specie è assai diffusa in Europa. Questa forma del Salix Caprea si accosta di più morfologicamente alla var. strobilina Bremi, molto comune sul Sali x purpurea. 10. Pontania vesicator Br. -— Grosse galle fogliari, rosso-brune, vesicolose, lunghe 10-13 mm. per 7-8 mm. di larghezza, subreniformi, sporgenti su ambedue le pagine, a pareti sottili limitanti un’ ampia cavità. Galle sulle ANACARDIACEE Su Rhus sp. 17.? Schlechtendalia sinensis Licht. (Tav. fig. 7).— Grosse galle subel- lissoidi, lateralmente compresse, aderenti ai ramoscelli, derivanti da una trasformazione delle foglie. Nell’ interno trovasi un’ ampia cavità occupata dalla colonia degli Afidi. La loro superfice è vellutata, gri- gio-olivacea e ricorda quelle delle mandorle immature. Queste galle (il cui nome indigeno è « ou-poi-tze ») sono note da più secoli essendo oggetto, per la notevole quantità di tannino che contengono, di un esteso commercio in tutto 1’ estremo Oriente ed importate allo stesso scopo anche in Europa. Di esse troviamo diffuse descrizioni e figure in tutti i principali trattati di Merceologia, e la loro istologia, studiata da PLANCHON e COLLIN, ci è anche rappresentata da una eccellente figura nel loro ben noto Trattato. Queste galle dei Rhus dell’ estremo Oriente domandano ancora non poche ricerche riguardo alla loro etiologia. Esistono varie forme, non ancora studiate a questo riguardo, le quali possono essere pro- dotte da specie diverse di Afidi, mentre tuttora si attribuiscono sem- pre collettivamente all’ Afide Schlechtendalia sinensis su ricordato. Shen-si sett.; (Padre G. GIRALDI). 18. Galle di Eriophyes Giraldii Trotter, Bull. Soc. Entom. de France, an. 1900, p. 179.— Di queste galle ho già dato un cenno 96 A. Trorrer sommario. con la descrizione dell’ Acaro, cosiechè ora mi limito a fornire alcune notizie complementari corredate da figure (Tav. fig. 15). Per Vl azione degli Acari i tessuti fogliari proliferano formando delle emergenze subparenchimatiche, pubescenti, le quali possono obli- terare l’intera lamina, specialmente nelle foglie più giovani. Nelle foglie più adulte invece la proliferazione si limita a tratti più 0 meno estesi, specialmente in prossimità della costa. Anche i piecioli- e la ra- Fig. 6: a. Sezione semischematica praticata attraverso ad una foglia deformata dall’ Eriophyes Giraldii ; b. tessuto costituente la galla; ce. Acaro; d. scudo dorsale ; e. apparato sess. Y. chide, in questo caso accompagnate da ipertrofia, possono presentare le stesse alterazioni, le quali nel complesso ricordano quelle dell’ £- riophyes Fraxini quando l’ infezione sia localizzata alle foglie. Facendo una sezione che interessi i tessuti i quali furono sede della prolifera- zione, si osserva com’ essì sieno costituiti essenzialmente da un pa- renchima a grosse cellule subellittiche , derivato da una deviazione nello sviluppo e da una moltiplicazione delle cellule del mesofillo. .. ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 97 PERA AA i cir dirigo bali _ —— Questi tessuti costituenti la galla sono abbondantemente rivestiti di peli semplici, rigidi, plurisettati (fig. 6 a, b). Shen-si sett. (Padre G. GIRALDI). Galle sulle CUPULIFERE Le Querce, anche nell’ estremo Oriente, non sono meno ricche di galle di quanto non avvenga nelie altre parti del continente asia- tico, nell’ Europa e nell’ America settentrionale, ma il materiale rac- colto ed inviato dal Padre GIRALDI è però relativamente scarso per questo genere di piante. Su Quercus aliena BI. Imenotterocecidii : 19. Galle subgloboso-depresse originatesi per lo più a spese del picciolo , talora della costa fogliare in prossimità del picciolo, meno frequentemente a spese di un ramoscello (Tav. fig. 10). Sono legnose, pluriloculari, a superfice bruno-rossiccia , ineguale, provvista talora qua e là di qualche emergenza o cresta a forma poco definita. Sono probabilmente prodotte da qualche Andrieus e ricordano molto, per forma e collocazione, le galle nordamericane di Andricus similis Bass. e A. petiolicola O. S. Monte Thoe-pei-san; Shen-si sett.; agosto 1893 (Padre G. GIRALDI). 20. Leggera ipertrofia della costa fogliare, dalla quale, nella pa- gina inferiore, si sviluppa lateralmente una galla in forma di emer- genza subreniforme ehe ricorda le galle europee di Andricus ostreus. Queste galle perd di Quercus aliena si mostrano incompleta- mente sviluppate e perciò sono assai poco caratteristiche. Nella stessa località. 21. Piccola ipertrofia di una nervatura secondaria, larga circa 1 mm., all’angolo formato con la costa che rimane inalterata. Sull’ e- pifillo, in corrispondenza della nervatura, si nota pure una leggera ipertrofia. Monte Tin-kio-san, Shen-si sett.; ottobre 1893 (Padre G. GIRALDI). 22. Galle fogliari situate in prossimità del picciolo, salienti su ambedue le pagine, molto simili a quelle di Andricus eurvator con 7 98 A. Trorrer le quali sarebbero probabilmente da identificarsi se il materiale non fosse scarsissimo ed imperfettamente conservato. China borealis, Pekin; leg. SKATSCHKOFF, ex Herb. Horti Petropol. 25. Andricus Targionii Kieff. (1) — La presente galla, già da me in altra occasione fuggevolmente ricordata, per la sua genesi è da ritenersi come una delle più singolari della Quercia, la quale pur così tante ce ne offre di singolarissime. Essa è perfettamente confrontabile con le galle europee di Andrieus fecundator; come queste cioè ha 1 appa- renza di una grossa gemma (Tav. fig. 12, 13, 14) costituita da numerose squame nascenti regolarmente all’ intorno di un corpo legnoso note- volmente sviluppato, il quale porta nella sua porzione inferiore, incu- neata ed inseparabile, la galletta interna, di forma subellittica, a pa- reti sottili e protetta poi dalle squame ravvicinate. Nelle galle di An- dricus fecundator invece, il corpo legnoso centrale è più depresso, la galletta interna è libera superiormente, inoltre caduca e di forma ovoi dale allungata. Altre notevoli differenze fra le due galle ci sono offerte dalle squame, le quali in Andr. fecundator sono di due sorta: le centrali lineari e più brevi, le esterne irregolarmente romboidali, regolarmente embriciate, verdi da giovani, scariose ai margini, pubescenti sulla fac cia esterna. Nelle galle cinesi le squame sono invece tutte lineari, più lunghe, specialmente le esterne, rossigne, numerosissime, fittamente appressate le une alle altre. L’ altro fatto poi, per il quale le galle cinesi si diversificano dalle europee, fatto che interessa non solo la cecidologia ma anche la biologia generale, riguarda Vorgano dal quale esse si sviluppano. Le galle di Andricus fecundator aderiscono, come ognun sa, ai ramoscelli dai quali è facile lo staccarnele, derivando ssse da una trasformazione delle gemme; fatto, ovvio del resto, am- messo dagli osservatori più antichi, accettato dai più recenti, espe- rimentalmente dimostrato. Le galle cinesi traggono origine invece, nel maggior numero dei casi, dalla costa fogliare ed anche quando esse si trovano aderenti al fusto non è da escludersi possano aver origine da una giovane foglia, della quale poi non resterebbe più traccia evi- dente perchè completamente impiegata alla formazione della galla. Un (1) Marcellia, v. II, an. 1903, p. 5; Species d’ Hyménoptères d’ Europe et d’ Algerie t. VII bis, an. 1904, p. 553, pl. X fig. 10-11 (galla); CrccoNI, Marcellia v. III, an. 1904, p. 86. + ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 99 ‘amoscello che ho sott’ occhio porta alla sua estremità quattro foglie normali e subito sotto, tra grandi e piccole, non meno di 16 galle ‘avvicinate in un sol mucchio, solo separate qua e la da qualche porzione di foglia incompletamente svilappata; così da lasciar supporre che, anche in questo caso, V organo che ha dato origine alle galle sia stata la foglia e più di una. Qual’ è la deduzione morfologica e fisiologica che si può trarre da questo singolare sviluppo? Una produzione gallare, morfologica- mente paragonabile ad una gemma (le galle europee dell’ Andricus fe- cundator sue strette parenti ne sono una bella dimostrazione) può prender origine da una nervatura fogliare, cioè da un organo termi- nale, decisamente somatico. Cid mostrerebbe , in questa specie di Quercia, un’ energia plasmatrice non comune, confrontabile con quella ben nota delle Begonia; energia plasmatrice forse latente, ma che si manifesta in forma singolare solo in sèguito allo stimolo cecidogenetico. Avrebbe poi anche il suo riscontro, nello stesso campo della cecidologia, coll’attitudine delle salle fogliari di Nematus a pro- durre radici, come già fu osservato da BELJERINCK e come io stesso ho potuto verificare. Il che mostra come nei processi che danno luogo alla formazione delle galle vi sia nna nuova e particolare attività di protoplasti, i quali possono inoltre mantenersi vitali nei tessuti della galla, all’ infuori di ogni rapporto fisiologico con V organo dal quale essa hanno avuto origine, e capaci di determmare delle nuove e particolari manifestazioni organiche. Nel caso del Nematus le radi- chette non si sviluppano sulla pianta stessa, ma anzi quando le galle sì trovano, assieme alla foglia, completamente separate dalla pianta genitrice. In altre galle poi, anche separate dallo stesso loro immediato supporto (una foglia ad esempio) e cadute nel terreno, Vattivita vitale non cessa, anzi nuove per quanto lievi modificazioni avvengono nella loro costituzione. Ce ne offre un esempio la « galletta interna » dello stesso Andricus fecundator qui ricordato, e di qualche altra specie di Imenotterocecidio della Quercia. Queste galle cinesi furono già bre- vemente menzionate in un articolo di AL. MULLER, al quale pure non isfuggì V analogia con le galle dell’ Andricus fecundator. Com’ è noto, i cecidi di Andr. Targionii Kietf. ed il loro produt- tore furono descritti per la prima volta su materiale raccolto nei dintorni di Firenze! Questa identità di due galle, così singolari e vistose, scopertesi solo in questi ultimi anni quasi contemporaneamente nell’ Estremo oriente e in Italia, mi indussero a qualche particolare 100 A. TROTTER ricerca, sembrandomi questo, come in altra occasione accennai (1), un fatto corologico dei più strani. Ho potuto così assodare che in causa di nno scambio di etichette le galle italiane di Andricus Targionii sono invece.... cinesi; cosicchè And. Targionii è da radiarsi dalla fauna cecidologica d’ Europa. Zu-lu, Shen-si sett., sett. 1897; monte Tio-kio-san, Shen-si sett. ; dalle falde alla meta del monte Thoe-pei-san, Shen-si sett., agosto 1903 (Padre G. GIRALDI). Ditterocecidii : 24. Stretta ripiegatura del margine togliare verso la pagina su- periore, in corrispondenza di nn seno, accompagnata da sensitile iper- trofia e da decolorazione. Galla in tutto simile a quella europea di Macrodiplosis volvens. « Monte Tin-kio-san ; Shen-si sett., settembre 1893 (Padre G. GIRALDI) Sn Quercus sp. (? @. Fabri Hance, ? Q. Baroni Ikan). 25. Imenotterocecidio — A spese di una gemma fiorale, destinata a produrre dei gattini, si originano delle galle sferoidali, carnose, rossicce, di 8-10 mm. di diametro. In prossimità di queste galle si osservano gattini normali ed alla superfice della galla stessa si può notare in qualche caso la presenza di qualche piccolo ciuffo di peli, simili a quelli che abbondantemente rivestono i vari organi tiorali. Due soli esemplari di questa galla , per di più disseccati e compressi, non mi permettono di poter fornire su di essa ulteriori notizie. Non è improbabile sieno dovute all’opera di nn qualche Andricus, ad ogni modo di un Cinipide certamente. Sul Monte Hnan-ton-san, Shen-si sett.; 8 maggio 1898 (Padre G. GIRALDI) Galle sulle SAPINDACEE Sn Acer pictum Thumb. (Tav. fig. 5, 6). 26. Imenotterocecidio — Galle fogliari epifille, sferoidali, originatesi in contatto di una nervatura e comprendenti nel loro sviluppo anche un piecolo tratto del lembo fogliare, da un lato e dall’altro della nervatura (1) TROTTER A.— Miscellanee cecidologiche, Marcellia v. II p. 34. + ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESI 101 interessata. Esse perciò aderiscono alla lamina fortemente, sporgono com- pletamente sull’ epifillo, attaccate alla lamina per una larga base di- scoidale ben visibile sull’ ipofillo, molto più perchè situata sul fondo di una sensibile depressione attraversata dalla nervatura leggermente ipertrofizzata. Queste galle sono solitarie 0 spesso anche conerescenti, rosso-porporine da giovani, rosso-brune coll’ invecchiare, glabre, un po’ rugose alla superficie, del diametro, prese singolarmente, di 4-5 mm. Il loro tessuto è duro, sublegnoso; le 5-6 galle da me sezionate non mi hanno rivelato nell’ interno aleuna cavità ben evidente, da poter esser interpetrata come una camera larvale, per quanto le galle in sè abbiano V aspetto di esser normalmente sviluppate. Non v° ha dubbio però che una cavità dovrebbe esistere e se io non V ho po- tuta constatare ciò deve dipendere da influenze esteriori di parassiti, o per le condizioni del materiale, forse troppo precocemente raccolto. Le galle da me esaminate, in una sezione condotta normalmente alla superficie fogliare, offrono la seguente struttura: all esterno una epidermide leggermente cutinizzata, quindi un parenchima subepider- mico: costituito da 7-8 assise di cellule quasi isodiametriche. AT di sotto un parenchima amilifero, distinguibile anche per le maggiori dimensioni delle cellule ed oceupante una porzione notevole dello spessore della galla; più all’ interno ancora, un mantello seleroso pro- tettore, costituito da più serie di cellule a pareti fortemente ispessite, rifrangenti, provviste di numerosi canalicoli; finalmente un parenchi- ma centrale con cellule rieche di contenuto ed a pareti sottili, pro- babilmente limitanti la cavità larvale, della quale, come ho detto sopra, non mi fu possibile riscontrare evidenti tracce, salvo una sot- tile rima trasversale in corrispondenza di questo parenchima, il quale, analogamente a quanto avviene in molte altre galle chiuse, compie una funzione nutritiva. Per la loro forma e struttura ricordano gli imenotterocecidi, nè è perciò improbabile possano essere l’opera di un qualche Cinipide, affine ai Pediaspis degli Aceri europei. Shen-si sett., località non precisata. APPENDICE Su Distylium racemosum Sieb. et Zuce. 27. Galle fogliari attraversanti il lembo d’ambo le parti, alte > 7-8 mm., con una massima larghezza di 3-4 mm.; per ?/, sporgenti 102 A. TROTTER sull’ ipofillo per ‘/, sull’ epifillo. Sono subcilindriche, più 0 meno atte- nuate alle due estremità, specialmente sull’ epifillo ove sono in forma di cono a larga base e quivi a superfice leggermente soleata. Sul- l’ipofillo sono invece più irregolari ad estremità più ottusa e talora leggermente ineurvata. Le loro pareti, di consistenza sublegnosa, sono sottili e limitano un’ ampia cavità larvale a superfice di un colorito nero più o meno lucente. Nagasaki in Giappone; leg., an. 1862, R. OLbLYAM (Comunicatami dal Prof. ADR. FIORI). Su di nna Moracea indeterminata. 28. Su foglie di una Moracea indeterminata, raccolta da BALANSA a Tu-Fhasi (?) e distribuita nell’ Exsiecata « Champignos da Tonkin (1887-89) », ho osservata una erinosi assai caratteristica che breve- mente descrivo : cespuglietti ipofilli, fulvo-rossicci, di un aspetto gra- nuloso, situati tra le nervature secondarie e più o meno diffusi sulla lamina che non è punto deformata. L'esame microscopico permette fa- cilmente di riconoscere che non si tratta di tricomi bensì di emer- genze parenchimatiche, appiattite, nastriformi, più o meno contorte, specialmente verso l’ apice. Sembrano essere costituite da molte cel- lule allungate, strettamente appressate le une alle altre, cosicchè la superticie di tali emergenze sembra quasi striata per il lungo. Anche sulle foglie di vari alberi europei (Acer, Populus, Alnus, etc.) furono già notate delle produzioni consimili, ben di- stinte dalle vere erinosi, con le quali a tutta prima, macroscopica- mente potrebbero confondersi. Tra queste anormali produzioni ho trovato qualehe frammento di Acaro indeterminabile. ILLUSTRAZIONE DI ALCUNE GALLE CINESÌ 103 ELENCO DEI CECIDOZOI ACARI : Eriophues sinensis Trotter, su Prunus armeniaca nn Eriophyes Giraldii Trotter, su Rhus sp.. » 18 ? Eriophyidae, sa Moracea indeterminata » 28 DITTERI : Rhopalomyia Giraldii Kiett. et Trott., su Artemisia vulgaris » 3 ? Rhopalomyia sp., su Artemisia annua. È » 2 ? Rhopalomyia sp., su Artemisia vulgaris » 4 ? Rhopalomyia sp., su Artemisia vulgaris yD ? Rhopalomyia sp., sa? Achillaea sp. » 6 Oligotrophus Capreae Winn., su ?Salix Caprea » 14 Rhabdophaga rosaria H. Löw, su Salix Caprea DLS ? Macrodiplosis volvens Kieff., su Querens aliena » 24 ? Cecidomyidae, su Sorbaria sorbifolia » 18 IMENOTTERI : Pontania vesicator Br., su ?Salix Caprea » 10 Andricus Targionii Kieff., sa Quercus aliena. » 23 ? Andricus curvator Hart., su Quercus aliena. » 22 8 Andricus sp., su Quercus aliena . = . se 116 Rhodites bicolor (Harr.) O. S., su Rosa sp. » 10 ? Rhodites spinosissimae Gir., su Rosa sp. » 11 ? Rhodites spinosissimae Gir., su Rosa sp. » 12 Cynipidae, sa Quercus aliena » 20 Cynipidae, sa Quereus aliena » 21 Cynipidae, su Quercus sp. » 25 Cynipidae, su Acer pictum » 26 OMOTTERI : Aphis sp., su Prunus armeniaca DIO ? Schlechtendalia sinensis Licht., su Rhus sp. » 17 PRODUTTORI INCERTI : Su Artemisia annua : È : è x È DIR Su Senecio aconitifolius » Su Distylium racemosum . È È : : » 27 Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. SPIEGAZIONE DELLA TAVOLA (tutte le figure sono in grandezza naturale ) 1.— Infiorescenze di Artemisia annua L. deformate da una Rhopalo- myia indeterminata. 2,3.— Galle di Rhopalomyia Giraldii Kiett. et Trott. su Artemisia vul- Faris sh: 4. — Germogli terminali di ? Achilleae sp. modificati da una Rhopalo- myia. ë 5, 6.— Foglie di Acer pietum con alenni Imenotterocecidi ; efr. n. 26. 7.— Ramoscello con una galla di ? Schlechtendalia sinensis Licht. su Rhus sp. 8.— Ramoscello di Sorbaria sorbifolia A. Br. con foglioline rico- perte dalle galle descritte al n. 13; in 8a si pnò vedere l’ostiolo della galla che si apre sull’ epifillo. 9.-- Galle di Rhodites bicolor (Harr.:) 0. S. su Rosa sp. 10. — Ramoscello di Querens aliena BI. con varie galle prodotte da un ? Andricus e descritte al n. 19. 11. — Galla canlinare di Senecio aconitifolius Turc. deseritta al 17% 12.— Un ramoscello di Quereus aliena BI. portante alenne galle agglo- merate di Andricus Targionii Kieff. 13.— Una galla fogliare tipica di Andricus Targionii K. 14.— Sezione long. di una galla isolata di Andricus Targionii K. 15 — Una foglia di Rhus sp. deformata dall’ Eriophyes Giraldii Trott. Domande dicambi,indirizzi, domande e risposte diverse,etc. Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’ in- teresse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia. + DARBOUX et €. HOUARD Galles de Cynipides Recueil de figures originales executées sous la direction de fu ; le Dr. JULES GIRAUD 90 pp., avec 18 pl. in-4°, dont 15 col. Les tirages à part sont en nombre minime et mis en vente à 30 fv.s par Masson et Co., Paris, Boulv. St. Germain 120. e. HOUARD Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée Ppaseription des Galles — Illustration - — Bibliographie détaillée Répartition i i, — géographique — Index bibliographique È - i 1365 figures dans le texte — 2 2 planches hors texte pe vol. in 8° raisin (25 >< 17) de 500 pages environ chacun, sur papier glacé.— Prix de Souscription aux deux volumes : 40 fr. Aucun volume ne sera vendu séparément — Le Tome I° paraitra le 1% Juin 1908 — Le Tome II paraîtra le 1°" Octobre 1908. N. B.— Le tirage étant limité, nous prions les Naturalistes, désireux de s’ assurer „un exemplaire, de se faire inserire an plus tôt. Librairie Scientifique A. HERMANN — 6, Rue de la Sorbonne, Paris (V°) RIVISTA INTERNAZIONALE DI CECIDOLOGIA reattore: rror. A. TROTTER (AVELLINO) 1. La MARCELLIA sr occupa esclusivamente dello studio delle galle e dei produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori originali, di istologia , morfologia, sistematica etc., talora-corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene © inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o meno estese. 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli A%sociati hanno però la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si accettano. lavori in inglese, tedesco ed in tutte le lingue delle nazioni latine. 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori, sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore con 2’ invio del ma- noscritto. 4. Le spese per tavole o figure nel testo sono, per ora, a carico degli Autori. 5. Usciranno 6 fascicoli all’ anno, complessivamente almeno 15 fogli di stam- pa, possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè: Febbraio , Aprile, Giugno , Agosto, Ottobre, Dicembre. 6. Gli abbonamenti cominciano dal 1 Gennaio e si intendono rinnovati anche per l’ anno successivo, qualora non venga data rinuncia al Redattore entro il mese di Dicembre. 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (= 15 Fr. = 12 Mk. =12 Sh.) da pagarsi antecipatamente.-- Si pregano i Signori Associati esteri di effettuare i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con vaglia cambiarii (chèque). Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, cambii ecc., RS al Redattore prof. A. TROTTER, /?. Scuola di Viticultura e di Enologia, Avellino (Italia). i - TROTTER A. e CECCONI G. — Cecidotheca italica vu Collection de Galles italiennes, séchées et préparées, y-compris les formes nuisibles aux plantes agricoles.— Ont paru jusqu'ici 18 fasc.- 450 espèces -; le prix de chaque fasc. est de 10 fr.— En préparation fasc. 19%-20%.— Pour achats s'adresser au Prof. A. TROTTER. A Ni ae LES Two ILA SO, a am à Un MNT ENT az: 4 Ve NE RU CRT LUN PNEU oe r "A A ani ici ae i hay va A id Er À = TROTTER A.— Bibliografia e Recensioni. SE V.— Nuove galle dell’ Erbario RIVISTA INTERNAZIONALE 2. 2 DI CECIDOLOGIA REDATTORE: Sommanio del R. Orto botanico di Palermo. «MARIANI G.— Nuovo contributo alla Ce- cidologia italica. m] Vor. Ull.- An, 1908 Fasc, IU (PUBBLICATO IL 26 NOUEMDRE 1908) -TROTTER A, — Nuovi Zoocecidii della flora italiana. Ottava serie. (continua). CD e AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA 1908 - Prof. Dr. A, TROTTER i gennaio 1909 imi I fascicoli 5°-6° usciranno uniti ai pr A fine di render più facile il cOmpito del Redattore si pregano vivamente i ; Signori Collaboratori, avanti l’invio dei manoscritti, di tenere presenti, nel loro — i stesso interesse, le SPERO avvertenze : 1. I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rac- comandazione è rivolta in modo speciale ai Signori Collaboratori esteri. 2. Lè bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta; una seconda (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte sieno state di una certa importanza. Ulteriori invii non saranno fatti che dietro richiesta degli interessati. uan 3. Coloro che desiderano ‘avere gli Estratti in numero superiore ai 30, concessi gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l'invio del manoscritto. 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non quando ne sia SR espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. 5. Per I’ uniformità del giornale si pregano i Signori Collaboratori di attenersi alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza, usandole possibilmente ed uniformemente nei contro indicati casi : carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad | es. Cynips coriaria, Fagus silvatica). 1» |. MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo; ad es. Löw, VITAE LT DIRE GIRAUD). | » corsivo (per i cecidonti nel testo; ad es. Perrisia affinis, Uto: cystis Anemones). » spaziato (per i substrati nel testo; ad es. Quercus cocci- cca fera, Salvia pratensis). u —. nn , INNA DEC | NUOVE GALLE DELL ERBARIO DEL À, ORTO BOTANICO DI PALERMO Dott.2 VINCENZINA SALEM Incoraggiata dai consigli del Chiar.mo Prof. T. DE STEFANI e giovandomi non poco del di lui valevole aiuto, mi accingo a mettere insieme queste notizie intorno ad alcuni zoocecidii che si ritrovano nella ricca collezione di piante seeche dell’ Orto Botanico di Palermo, in cui è Direttore VIllmo Prof. A. BORZI, comprendendo in questa mia nota aleune deformazioni di piante Indiane, Australiane ed Ame- ricane. .) ‚E questo elenco una continuazione di quello già pubblicato dal Prof. DE STEFANI (1), il quale ci spinge, quasi senza avcorgercene, a seguire il suo esempio, per dare maggiore sviluppo a questi studi da lui iniziati in Sicilia. 1. CECIDII DELLE INDIE ORIENTALI Getonia floribunda Roxb. (Indie orientali). — Galla delle gem- me, grossa quanto una nocciola, di forma irregolare, a superficie vellutata per la presenza di brevi peli, pluriloculare; camere larvali sferiche, del diametro di appena 1 mm. | Terminalia sp.? (Indie orientali). — Piccola deformazione fusi- forme dei giovani rami, lunga circa 10 mm. con un diametro. mas- simo di 2 mm. contenente una sola. camera larvale nel, centro, cioè nella parte di maggior diametro del cecidio ; questa camera larvale misura un millimetro per uno e mezzo ed è separata dalla porzione legnosa del piccolo ramo, dagli elementi midollari di esso; le pareti della cella larvale sono sottili ma legnosi. (1) A proposito di alcune galle dell’ erbario secco del R. Orto botanico di Paler- mo (MARCELIIA, Riv. intern. di Cecidologia, v. VI-1907. Avellino). 8 LIBRARY NEW YOR BOTANIC/ GARDÎ IN 106 | V. SALEM Terminalia sp.? (Indie orientali).— Ipertrofia del piecinolo della foglia, della forma e della grossezza di nn seme di pisello, contenente una camera larvale sferica del diametro di 1 mm., situata verso il basso del cecidio, cioè alla base del picciuolo ipertrofizzato che si attacca al ramo. Terminalia sp.? (Indie orientali).— Sollevamenti sulla pagina superiore della foglia, grossi quanto nn piccolo seme di pisello, sfe- rici, con la superficie riccamente coperta di Innghi peli setacei. Sulla pagina inferiore della foglia, in corrispondenza di questi sollevamenti, vi sono degli insaccamenti, il eni bordo è ricoperto fittamente da un erineo di color ferrugineo, come i peli che rivestono la superficie rilevata del cecidio nella pagina superiore. . Terminalia glabra R. Br. (Indie orientali). — Sollevamenti sulla pagina inferiore della foglia, grossi come grani di eanapuceia, cilindrici, troncati e pianeggianti superiormente. In questa porzione esiste una piccola apertura centrale, sfinteriforme, che immette dentro il cecidio, che è glabro e par sia l’opera di un Eriophyide. Sulla pagina superiore questo cecidio non si manifesta che per un leggiero ispessimento imbrunito nel punto di attacco al substrato. Terminalia crenulata Roth. (Indie orientali) — Cecidio sferico o subsferico, isolato o riunito in gruppi di esemplari più o meno numerosi, a superficie ferruginea, glabra, irregolare, della grossezza di piccole avellane, nascente sui giovani rami. Esso presenta consi- stenza legnosa e raechinde una sola camera larvale nel centro, ampia, sferica, come quella di nn Cinipide. Pentaptera glabra Roxb. (Indie orientali). — Leggiero solleva- mento subsferico sulla pagina superiore della foglia, di color bru- niecio, a cui sulla pagina inferiore corrisponde una larga apertura crateriforme , a bordi rilevati e spessi, che immette in una cavità avente il diametro di circa 2 mm. Questa cavità è glabra, sprovvista assolutamente di peli e più che V opera di un Eriophyide eredo che potrebbe essere quella di un Omottero. NUOVE GALLE DELL’ ERBARIO R. ORTO BOTANICO DI PALERMO 107 2. CECIDII DELLE INDIE OCCIDENTALI Bucida buceras Linn. — S. Tommaso (Indie occidentali). — Piccoli sollevamenti cefaloneiformi sulla pagina inferiore della foglia, alti appena tre mill., glabri, diritti o ripiegati, più o meno cilindrici, anche testati, di un diametro medio di appena 1 mm. ed anche meno. Ad essi, sulla pagina superiore, corrisponde un insaccamento che si prolunga per tutta 1’ altezza del cecidio, e presenta una svasatura di 1 mm., chiasa da un erineo di color fulvo, formato di peli brevi e tozzi. Bucida buceras Linn. S. Tommaso (Indie occidentali). — Sollevamenti tubercoliformi sulla pagina inferiore della foglia, grossi poco meno di un cece, simili a quelli che I’ Eriophyes ilicis origina sulle foglie del Quercus Ilex. A ciascun sollevamento corrisponde, sulla pagina opposta, un infossamento della lamina, coperto di una pelosità a tricomi brevi e tozzi. Bucida buceras Linn. — S. Tommaso (Indie occidentali). — Ispessimenti fogliari fusiformi, visibili egualmente su l’una e l’altra pa- gina. diritti o curvi, glabri, lunghi 4 mm., con un diametro massimo di ‘/, mm., posti sempre accanto alla nervatura mediana, o ad una gelle nervature secondarie, contenenti all’ interno una camera larvale grande quanto il cecidio, con foro di uscita del cecidozoo sulla pa- gina inferiore. - Cassipourea ellittica Poir.— Porto Enrico (India). — Erineo laminare sul dorso delle foglie, formato di peli ferruginei, fittamente intrecciati, brevi e contorti. 3. CECIDII DELL’ AUSTRALIA Eucalyptus pilularis Sm. — Sollevamenti sulla pagina supe- riore delle foglie, ellittici, legnosi, alti 1 mm., del diametro di 1 per 3, a superficie raggrinzita, racchiudente da tre a quattro camere lar- vali sferiche, subsferiche o allungate secondo la direzione del dia- metro minore della galla, cioè trasversali ad essa. Sulla pagina in- feriore corrisponde un sollevamento pustolare nero, a contorni legger- mente rilevati. 108 V. SALEM Eucalyptus tereticornis Sm.— Sollevamenti sferici sulla pa- gina inferiore, legnosi, grossi come grani di canapuccia, a superficie ‘aggrinzita, contenenti una sola camera larvale sferica a cui corri- sponde, sulla pagina superiore della foglia, un piecolissimo solleva- mento. Il foro di uscita del cecidozoo è praticato sul contorno della galla, in forma perfettamente circolare. Eucalyptus viminalis Labill. — Grossi sollevamenti come ceci, sul lembo fogliare, legnosi, sferici 0 subsferici, comparenti in egual misura sulle due pagine, a superficie bruna, ruvida e contenenti all’ interno una o diverse eamere larvali, del diametro di 2 mm., sparse irregolarmente nella massa galligena. Eucalyptus melliodora A. Cunn.— Cecidii sferici, grossi co- me granelli di canapuecia 0 come semi di pisello, sporgenti molto sulla pagina inferiore della foglia, impiantati sul lembo o sul nervo mediano. In quest’ultimo caso, essi si manifestano alla parte opposta, cioè sulla pagina superiore per nn lievissimo ispessimento del nervo mediano, mentre quelli del lembo sono appariscenti in maggior pro- porzione e in forma sferica. La loro superficie è glabra e rosso-bruna. Contengono all’ interno una piccola camera larvale, sferica, situata alla base della galla, cioè al punto più vieino alla foglia; le sue pareti sono molto spesse e legnose. Eucalyptus melliodora A. Cunn.— Galle del parenchima fo- gliare, piccole come semi di canapuccia, comparenti in egual misura sulle dne pagine della foglia, sferiche, a superficie bianchiccia e le- vigata, contenenti una sola camera larvale, sferica e tapezzata da un finissimo strato sericeo bianchissimo. Foro di uscita del cecidozoo dalla parte superiore della foglia. 4. CECIDII DEL NORD AMERICA Tilia americana L. — Sul dorso del lembo fogliare, cecidio semisferico di colore rossastro-bruno , del diametro di 2 mm., a su- perficie glabra, leggermente coriacea, a cui corrisponde, sulla pagina superiore, un piccolo cono appuntito di color bruno, circondato da una aureola gialliccia, della medesima grandezza della semisfera' su- NUOVE GALLE DELL’ ERBARIO R. ORTO BOTANICO DI PALERMO 109 periore. Questo cecidio racchiude una camera larvale grande, sferica, del diametro di 1 mm. Cecidomide. Quercus obtusiloba D. Don. — Piccolissimo cecidio incuneato nel parenchima fogliare, ovale, di 1 mm. per '/,, sul dorso della foglia e manifesto sulla pagina superiore per una piccola macchia bruna. Cynipide. Quercus palustris Du Roi - Cecidio sulla pagina inferiore della lamina fogliare, subsferico , della grossezza di un seme di pi- sello, di color ferrugineo, legnoso, ricoperto di brevi peli setacei ce- nerini e rubiginosi, contenente una larga camera larvale a pareti carnosette. Cynipide ? Quercus ilicifolia Wangenh.— Piccoli cecidii sferici come gra- nelli di canapuccia, in vicinanza del nervo mediano, a superficie glabra e visibile sulla pagina superiore della foglia per un piccolo sollevamento di essa. Camera larvale unica, ellittica. Quercus ilicifolia Wangenh.— Galla lenticolare del parenchi- ma fogliare, del diametro di 5 mm., di color gialliccio. Quercus coccinea Wang. — Galla sferica, della grossezza di un seme di pisello, rilevata sulla pagina superiore della foglia, le- gnosa, contenente una sola camera larvale, grande 2 mm. Superficie della galla ruvida, di’ color bruno. Quercus falcata Michaux — Galla del parenchima fogliare, presentante un leggiero rilievo sulla pagina inferiore della foglia, simile a quella della Quercus ilicifolia. Quercus falcata Michaux — Cecidii della foglia, alti 4 mm., visibili sulle due facce della lamina, dall’ una parte e dall’ altra in forma di semisfera, ed elevati in egual misura. Il loro diametro è di 3 mm., presentano superficie ruvida e di color bruno, con camera larvale centrale, piccola, di appena 1 mm. e con pareti piuttosto spesse. Entomocecidio. Quercus falcata Michaux —Galla di ?Macrodiplosis volvens Kieft. 110 NUOVO CONTRIBUTO ALLA CECIDOLOGIA ITALICA Dr. GIUDITTA MARIANI Alcune ricerche cecidologiche da me fatte in Valtellina, nella stagione estiva, mi permettono di aggiungere nn nuovo contingente di specie a quelle già state segnalate dal Dr. CORTI (1). Fra le mie galle valtellinesi ve ne sono parecchie nuove per V Italia, una è anche nuova per la scienza: le altre sono pure inte- ressanti perchè contribuiscono a dimostrare come la fauna della Valle d’Aosta e quella della Valtellina si assomigline. Il che emergerà anche meglio da un mio prossimo , terzo contributo allo studio della ceci dologia valdostana. ( Tutte le volte che ho trovato stretta somiglianza fra gli esem- plari della Valtellina e gli esemplari di una stessa specie della Valle d’ Aosta, mi sono riferita, per una sommaria descrizione dei primi, alle mie pubblicazioni su le galle valdostane. (2) Credo poi opportuno avvertire che per lo studio del materiale della presente nota, ho consultato soltanto il primo volume della re- centissima opera cecidologica del sig. HOUARD (3), essendo il secondo tutt’ ora in corso di stampa. 1 (1) Corti A., Le Galle della Valtellina. Primo contributo, Milano 1901. in Atti della Società Italiana di Scienze naturali, vol. XL). — Le Galle della Valtellina. Secondo contributo. Milano 1902. (in Atti della Società Italiana di Scienze naturali, vol. XLI). — Nuove specie di Eriophidi, (in Marcellia vol. II. an. 1903, fas. V. pag. 111). (2) MARIANI G., Primo contributo allo studio della Cecidologia Valdostana, dal n. 1 al n. 60. (in Bollettino della Società la Flore valdötaine, n. 4. Aosta, 1907). — Secondo contributo allo studio della Cecidologia Valdostana, da) n. 61 al n. 174. Milano 1908. (in Atti della Società Italiana di Scienze naturali, vol. XLVI). _ Contributo alla Cecidologia italica (in Marcellia v. VI, 1907, p. 62). (3) Hovarp C., Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée, Tome premier. Paris 1908. CONTRIBUTO ALLA CECIDOLOGIA ITALICA 111 Alnus incana DC. 1. Perrisia Alni Fr. Low. — MARIANI, oper. c., n. 69. Valtellina (Chiesa, Lanzada, Caspoggio) Agosto 1907. Betula alba L. 2. Massalongia rubra Kieff. — MARIANI, oper. c., n. 71. Valtellina (Albosaggia) Settembre 1908. Campanula trachelium L. 3. Eriophyes Schamardai Nal. — DarBoux et HOUARD, Catalog. Zoocécid. Europ. Paris 1901, num. 625, fig. 142. Deformazione corrispondente alla citata figura. Valtellina (Chiesa) Luglio 1907. Centranthus ruber DC. 4. Trioza Centranthi Vallot.—DarBoux et HOUARD, Catalog. Zoocécid. Europ., Paris 1901, num. 783. Galla baccelliforme formatasi per piegatura, lungo la costa e dal lato della pagina superiore, del lembo fogliare, il quale si ipertrofizza e la porzione ipertrofizzata scolorisce poi, assumendo, in certi punti, una tinta rosa. Talora la deformazione consiste nel parziale ripiega- mento di un lato del margine, o anche di tutti e due, sempre verso la pagina superiore, e accompagnato da ipertrofia e dalla solita tinta giallo-rossastra. I due diversi aspetti della galla sono contemporanei. Dopo l’uscita dei cecidozoi le galle anneriscono disseccando e marcendo. Valtellina (Colda) Settembre 1908. Aegopodium podagraria L. 5. Cecidomyide ? -- DarBoux et Hovarp, Catalog. Zoocécid. Europ. , Paris 1901, num. 139; KıEFFER, Synopsis d. Zoocécid., Paris 1902, pag. 246. Foglie a lembo raggrinzato, specialmente verso la base, e rivol- 112 GIUDITTA MARIANI tato dal lato inferiore. Le foglie così deformate sono colorate un po’ più intensamente delle altre. Questa galla è nuova per 1° Italia. Valtellina (Torre S. Maria) Settembre ‘1908. Galeopsis Tetrahit L. 6. Cecidomyide. — KıEFFER, Synopsis d. Zoocécid., Paris 1902, pag. 323 per G. ochroleuca Lam. Ipertrofia della foglia alla sua base, che appare arricciata e con- torta; contorto è, per un certo tratto, anche il picciuolo. Anche questa è galla nuova per I’ Italia. Valtellina (Albosaggia) Agosto 1907. Heracleum Sphondylium L. 7. Macrolabis corrugans F. Lüw.— MARIANI, oper. e., n. 92. Valtellina (Torre S. Maria) Settembre 1908. Hieracium murorum L. 8. Aphis Hieracii Kalt. — MARIANI, oper. c., n. 93. L’ avvolgimento del margine fogliare si forma sempre verso l'alto. Valtellina (Mossini) Settembre 1908. Lychnis dioica DC. 9. Perrisia Lychnidis Heyden.— HOuARD, oper. c., n. 2292, fig. 684-685. é | Galla voluminosa e abbondante. Valtellina (Albosaggia) Luglio, Agosto 1907, 1908. Malva rotundifolia L. 10. Aphis Malvae Koch. — MARIANI, oper. e., n. 104. Valtellina (Montagna) Agosto 1907. CONTRIBUTO ALLA: CECIDOLOGIA ITALICA 113 Mentha silvestris L. 11. Aphis [Capsellae Kalt.] — MARIANI, oper. e., n. 105. Valtellina (Sondrio) Estate 1907, 1908. Origanum vulgare L. 12. Aphis Origani Pass. — MARIANI, oper. c., n. 108. Valtellina (Mossini) Settembre 1908. Pimpinella Saxifraga L. 13. Aphis Anthrisci Kalt. — DarBoux et Hovarbp, Catalog. Zoocécid. Europ., Paris 1901, num. 1989 per P. magna L. Havvi torsione, ma non decolorazione delle foglioline piegate verso l’ alto. Per I’ Italia il substrato è nuovo. © © Valtellina (Albosaggia) Agosto 1907, una sola piantina. 14. Eriophyide. — DarBoux et Hovarp, Catalog. Zoocécid Europ., Paris 1901, num. 1994; KIEFFER, Synopsis d. Zoocécid., Paris 1902, pag.+378. Foglie atrofiche, inoltre le lacinie delle foglioline sono assai pro- nunciate e sempre d’un color giallo-rossastro. Aleune piantine nella stessa località ed epoca, in cui fu raccolta la precedente. Pirus communis L. 15. Myzus Oxyacanthae Koch.— MARIANI, oper. c., n. 111. Valtellina (Albosaggia) Agosto 1907. Populus nigra L. 16. Pemphigus bursarius L. — MARIANI, oper. e., n. 119. Valtellina (Montagna) Agosto 1907. Populus Tremula L. 17. Harmandia cavernosa Riibs. — MARIANI, oper. c., n. 123. Valtellina, ovunque diffusa. 114 GIUDITTA MARIANI 18. Perrisia populeti Rübs. — HOUARD, oper. e., num. 503. Il margine della foglia si arrotola alquanto verso la pagina su- periore e la parte arrotolata presenta lunghi peli bianchi facilmente visibili quando sia svolta. La foglia assume poi, nel suo complesso, la forma di un cucchiaio con la concavità pure dal lato superiore. Un sol esemplare, che essendo secco, fui costretta di frantumare per accertarmi dell’ anormale presenza di peli. È galla nuova per l’ Italia. Valtellina (Albosaggia) Agosto 1907. Quercus sessiliflora Sm. 19. Andricus testaceipes ( ? vel trilineatus) Hartig. — HOUARD, oper. c., num. 1318 e n. 1317, fig. 428b. Ipertrofia del picciuolo o della nervatura mediana corrisponden- temente alla figura citata per A. testaceipes Hartig. Talvolta il pic- ciuolo appare notevolmente contorto. Valtellina (Albosaggia) Agosto 1907, Settembre 1908. Galla abbondante. 20. Dryophanta agama Hartig. — MARIANI, oper. c., num. 30; HOUARD, oper. c., n. 1327, fig. 45%. Una sola galla non raggiungente i 3 mm. di diametro, e a su- perfice in parte verrucosa. Valtellina (Albosaggia) con la specie precedente. Settembre 1908. 21. Dryophanta distica Hartig. — HovaRD, oper. c., n. 1329; E. Bayer, Notes sur les galles de Dryophanta agama et distica de V iconografie.« Galles de Cyni- pides », fig. 1-3 (in MarcELLIA, Vol. VII — An. 1908, fase. I-II). Le dimensioni di questa galla non oltrepassano i 5 mm. in lar- ghezza, e i 4 circa in altezza: il polo superiore presenta una depres- sione marcatissima, senza però una manifesta verruca centrale. È lucente, di color giallognolo, e a superfice non liscia soltanto nella zona cireumpolare. Valtellina (Albosaggia), con la galla precedente. Ribes rubrum L. 22. Aphis Grossulariae Kalt. -- MARIANI, oper. e., n. 139. Valtellina (Albosaggia, Ponte). CONTRIBUTO ALLA CECIDOLOGIA ITALICA” 115 Rubus (species variae) 23. Perrisia plicatrix H. Löw. — HOUARD, oper. e., pag. 518, num. Ru. 7, fig. 781. Contorcimento della foglia dovuto a ipertrofia delle nervature. Nello scorso giugno ho trovato questa specie anche in Aosta. Valtellina (Montagna, Albosaggia) Luglio e Agosto 1907 e 1908. Rumex obtusifolius L. 24. Aphis Rumicis L. — MARIANT, oper. c., n. 145. Valtellina (Sondrio) Agosto 1908. Solanum nigrum L. 25 Aphis Rumicis L. — Tavares, Synopse das Zuocecidias portuguezas (in Bro- teria, vol. IV, an. 1905, fase. I e II, pag. 102; MassaLoxGo, Nuovi Zooceeidi della flora veronese IV Serie, (in MaRcELLIA vol. V. an. 1906, fase. VI, pag. 157). Anche questa galla è stata da me ultimamente riscontrata nella valle d’ Aosta. | Urtica urens L. 26. Eriophydeo ? Atrofia delle foglie e delle brattee fiorali , asse delle spighe ri- dotto e arrotolamento delle parti fiorali. | om Galla nuova per la scienza. Spero, con materiale fresco, di poter, in avvenire, determinarne il cecidozoo. Valtellina (a circa 550 m. s. m.) Luglio 1908. Aosta, ottobre del 1908. 116 NUOVI ZOOCECIDII DELLA FLORA ITALIANA. OTTAVA SERIE © per A. TROTTER 1. Abies alba Mill.— Ditterocecidio — Le foglie, d’ ordinario in prossimità della loro base, ma talora anche a metà circa della loro lunghezza, presentano un’ ipertrofia subgloboso-ellittica , vesicolosa , di un colorito verde-pallido nel fresco, invece giallo-fulvo © brunic- cio, lucente, a completa maturità. Essa sporge, quasi in egual mi- sura, sulle due pagine, talora un po’ più sull’ una che sull’ altra, e la foglia, in corrispondenza della galla, si mostra anche spesso sen- sibilmente allargata, in qualche caso di una larghezza quasi doppia della porzione normale. Queste galle sono lunghe 4-5 mm., solitarie, ed in questo caso uniloculari, però frequentemente anche concrescenti e perciò plurilo- eulari ed allora lunghe 10-12 mm. così da interessare quasi l’ intera lamina fogliare. Le loro pareti da giovani sono molli e facilmente ce- dono alla pressione, mentre adulte sono completamente rigide ed hanno una consistenza sublegnosa. La larva del cecidozoo , secondo ogni probabilità, si trasforma nel terreno, ad ogni modo esiste nelle pa- reti della galla una stretta fenditura, per lo più ipofilla, longitudi- nale, collocata cioè in direzione parallela all’ asse maggiore della fo- glia. Le galle che ho avuto a mia disposizione, in ‘verità abbondanti cosicchè saranno distribuite in « Cecidotheca italica *, erano però tutte già abbandonate dal cecidozoo e perciò con 1° ostiolo aperto. Questa interessantissima galla ritengo sia senz’ altro da identi- ficarsi con quella descritta ed anche figurata pochi anni addietro dai Signori ESCHERICH e WIMMER (2), scoperta sulla stessa specie di Abies, da uno degli Autori, nei boschi della Foresta Nera. Gli esem- plari raccolti erano largamente parassitizzati da Imenotteri e solo aleuni (1) Cfr. la « Settima Serie » in MARCELLIA v. VI, an. 1907, p. 102. (2) Ueber eine Galle an der Weisstanne, Abies pectinata. Allg. Zeitschr. f. Entomol. BA. VIII, an. 1903 p. 119-122, con 4 fig. NUOVI ZOOCECIDII DELLA FLORA ITALIANA il — eontenevano aleune larve di Ceeidomie da riferirsi, secondo il parere di RÜBSAAMEN cui vennero sottoposte, al genere Lestodiplosis. Avendo però le specie di questo genere abitudini zoofaghe, non è escluso che tali larve possano essere state esse pure parassite del vero cecidozoo, un Cecidomide però indubbiamente. Bosco di Serra S. Bruno (Catanzaro), giugno 190% (racc. D. Senni, Sotto-Isp. forest., inviò Sig. Teod. De Stefani). ** 2. Calycotome spinosa Lk. — Entomocecidio — I giovani ramoscelli presentano delle sensibili ipertrofie affusolate, lunghe 2-3 cm., massicce, cioè sprovviste nell’ interno di una qualsiasi cavità, e dovute perciò, probabilmente, all’ azione di un qualche parassita che agisce dall’ esterno e del quale, forse in causa della stagione, io non ho potuto riscontrare traccia. Presso il bosco della « Fienzza » in prov. di Palermo, 1 gennaio 1901 (A. Trotter). * 3. Campanula fragilis Cyr. var. Cavolini (Ten.)— Miarus Cumpanulae Linn. — Ovario più o meno fortemente ipertrofizzato , trasformato in una galla subeonica, uniloeulare. La corolla si svi- luppa normalmente, ma poi rimane più o meno chiusa e prestamente dissecca. Trasformazione nella galla. Ho ottenuto I’ insetto perfetto durante il mese di agosto.— L’ insetto era stato catturato più volte in Italia; la deformazione però era solo fuggevolmente ricordata da PIRAZZOLI, ROSSI (cfr. BARGAGLI, Rincof. europ. p. M4, BERTOLINI, Cat. Coleott. d’ Italia p. 10). Una buona figura di questa galla trovasi in RUBSAAMEN, Die Gallmiick. u. Gallen d. Siegerlandes, taf. Il fig. 1 (Verh. d. nat. Ver., Bonn, Bd. XXXXVII, an. 1890 p. 33). Molto comune nelle gole del Sagittario presso Anversa (Abruzzo), tanto sulla forma incana Ten. quanto sulla glabra Ten.; agosto 1908 (4: Forti ed'A. Trotter). 4. Cerastium arvense L. — Trioza Cerastii H. Löw. — Ger- mogli, fiorali o fogliari, deformati, costituiti da un fitto glomerulo di foglie più o meno allargate, tra le quali si annidano i parassiti. Era nota in Italia per Cerastium triviale e C. vulgatum. Frequente sul « Gran Sasso d’ Italia » (sopra Assergi, al Passo Portella, Campo- pericoli, Val Maone ete.); agosto 1908 (4. Forti ed A. Trotter). 118 A. TROTTER Erigeron alpinus L.—Cecidomyide.— Sui rizomi, e perciò più o meno coperte dal terreno, si sviluppano delle galle carnosette, subglobose, uni-o pluriloculari, della grossezza di nn pisello 0 poco più, di colorito giallognolo, con tutta probabilità dovute alla modi- ficazione di un germoglio ipogeo. In qualche caso sembra possano originarsi dalla porzione basilare di una foglia radicale ed allora si presentano come un’ ipertrofia earnosa che interessa porzione più 0 meno notevole della lamina. Una galla molto simile alla presente, su Aster alpinus ed Erig eron uni florus, fu descritta e figurata da THOMAS nel suo interessante lavoro Alpine Muckengallen (Verh. k. k. zool.-bot. Ges. Wien. Bd. XLII, an. 1892, p. 361, taf. VII fig. 7-10. Zona alpina del Gran Sasso d Italia, al Passo Portella e Campopericoli, ago- sto 1908 (A. Trotter ed A. Forti). : * 6. Euphorbia Lathyris L.— Ipertrofie radicali prodotte da Heterodera radicicola. Nel R. Orto bot. di Napoli, 30 aprile 1908. Fraxinus excelsior L. var. oxycarpa (W.), f. rostrata Guss.— Galle fogliari in forma. di. borsette turgide, allungate, emer- genti dalla pagina inferiore, in corrispondenza della costa 0 dei pic- civoli, aprentisi sul lato opposto a mezzo di una lunga fenditura. Sono prodotte dalla Perrisia Fraxini‘e sin qui non erano mai state segnalate nell’ A ppennino. rc Staiti, in Calabria, e bosco di Persano in prov. di Salerno, giugno 1846 (G. Gussone). -8. Fraxinus Ornus: L. — Phyllocoptes epiphyllus N. + Erinosi fogliare, appressata ordinariamente alla costa fogliare, presso la base della lamina. Sulla pagina opposta si osserva una leggera decolora- zione od ingiallimento di forma lineare. Questa deformazione era già nota per Fraxinus excelsior; per Fraxinus Ornus era stata fuggevolmente ricordata dalla Marchesa MISCIATELLI (Mal- pighia, v. XIII, an. 1899, Estratto p. 12 n. 26). Isola Minore del Lago Trasimeno, Monteluco presso Spoleto, Monte Rocca presso Cornuda in prov. di Treviso; agosto-settembre 1908 (A. Trotter). Galium hercynicum Weig. (= saxatile Sm.). — Cecido- myidue. — Piccola galla situata all’apice dei germogli, consistente in NUOVI ZOOCECIDII DELLA FLORA ITALIANA . 119 - = una ipertrofia carnosetta cui aderiscono alcune foglioline più o meno deformate. Galla molto affine a quella della Perrisia Galii. Gran Sasso d’ Italia in Val Maone a circa 1800 m. s. m.j agosto 1908 (A. Trotter). * 10. Gardenia florida Linn.— Ipertrofie radicali prodotte da Heterodera radicicola. È pianta della Cina coltivata nel R. Orto bo- tanico di Padova. * 11. Linum tenuifolium L.— Perrisia Sampaina Tavares 1902, Zoocecid. Portuguez. Addenda Rev. de Se. Naturaes v. I, p. 118 ; Synopse das Zoocecid. Portuguez., an. 1905, p. 34, tav. I fig. 14 (galla). I germogli, per la presenza di un’ unica larva che si fissa nel punto di vegetazione, cessano di allungarsi e si trasformano in una galla gemmiforme costituita da numerose foglioline ravvicinate, rico- prentisi, delle quali le più interne si pre sentano diritte, strettamente ravvicinate, più larghe delle altre, specialmente alla base, inoltre un po’ coriacee e di un colorito pallido od anche, a maturità, più o meno giallognolo. Esse limitano la nicchia larvale, e la larva, giallo-aran- ciata quand’ è adulta, occupa verticalmente la piccola cavità interna. Una galla molto simile alla presente fu già indicata da PERRIS (1870) per Linum usitatissimum e più di recente da LIE- BEL (1891) per L. alpinum e da RUBSAAMEN (1876) per L. a u- striaeum. L’insetto fu descritto dal TAVARES e fu ottenuto, du- rante il mese di giugno, da galle di LL angustifolium in Portogallo. Io ho scoperto queste galle in ottobre, trovando anche in aleune la larva vivente, indizio che questa specie possiede due generazioni. La larva non fu ancora descritta. Essa è rimasta ignota al TAVARES, ed il RÜBSAAMEN ne ebbe sott’ occhio una sola, per-di più guastata da funghi. Nei miei esemplari essa è lunga 2-2,5 mm., adulta è di color giallo-aranciato, coi tegumenti tutti verrucosi e qua e là spinulosi. Manca di spatula sternale, il qual carattere sembre- rebbe farla escludere dal gen. Perrisia. Il RUBSAAMEN, che nell’esem- plare imperfetto da lui esaminato aveva potuto egualmente notare V assenza della spatula sternale, riteneva, forse per analogia nella costituzione delle galle, potersi trattare di una specie del gen. Oli- gotrophus. Luoghi rupestri presso Bagnoli (Avellino), ottobre 1908 (A. Trotter). * 12. Medicago litoralis Rohde.—? Perrisia ignorata (Wachtl).— 120 A. TROTTER mir è _ gg he. Germogli trasformati in una galla ovoidale o subglobosa, giallognola, costituita dalle foglioline e dalle stipole deforinate ed ipertrofiche. Arene marittime presso il Lazzaretto di Messina, 29 febbraio 1908 (Prof. G. Zodda). * 13. Moehringia Ponae Fenzl. f. collina Goir. — Briophyes sp. — Deformazioni dei fiori 6 talora dei germogli fogliari. Per Pa- zione degli acari i fiori vanno soggetti a eloranzia e si trasformano in piccoli glomeruli verdastri, costituiti dai verticilli trasformati in bratteole imbricate, le quali nel loro insieme gli conferiscono un aspetto di piccola gemma. Questa deformazione non è accompagnata da alcun pilosismo anormale. Galla in tutto simile a quella già nota per Moeh. polygonoides e M. muscosa, sin qui però a distribuzione limitatissima. Per il primo substrato fu segnalata ed anche figurata dal THOMAS (N. Acta k. Leop.- Carol. Ac. d. Naturf. XXXVIII, n. 2, an. 1876, p.'261 n. 5, taf. IX fig. 10; Verh.*k. k. zool.-bot. Ges. Wien, Bd. XXXVI, an. 1886, p. 302). Rupi calcaree al « Vajo Borago » presso ‘Avesa (Verona), 17 giugno 1908 (Dr. A. Forti). * 14, Rumex Acetosa L.— Trioza Rumicis Fr. Löw.— Foglie accartocciate ed ipertrofiche, fiori con deformazioni più 0 meno pro - fonde nei diversi verticilli. Luoghi aridi rupestri. nelle -gole del Sagittario presso Scanno e sui monti di Bagno (Abruzzo); agosto 1908 (A. Trotter ed A. Forti). ** 15. Spergularia Dillenii Lebel.—Entomocecidio. — Detorma- zioni fiorali. I fiori anormali si riconoscono facilmente dagli altri per le loro maggiori dimensioni; «misurando circa 6 mm. di altezza per 4-5 di larghezza. I sepali, sensibilmente più lunghi e più larghi in confronto dei normali, sono’ ravvicinati per la loro porzione libera e nascondono più o meno i verticilli più ‘interni. La corolla e 1’ an- droceo si mostrano notevolmente atrofizzati, mentre |’ ovario, di co- lore gialliccio e di forma più o meno globosa, contiene nell’ interno ‘una camera larvale abbastanza ‘ampia, di circa 1-2 mm. di diametro. Mi è completamente ignoto il produttore di questa deformazione, sia pure allo stato larvale. La galla, per la sua sede, si accosta, pur diversificando nei dettagli, a quella della Perrisia Moraviae (Wacht]) di bychnis viscaria. E perciò probabile possa trattarsi di una galla di Cecidomide. Valli salse del Padovano a Santa Margherita ; 28 giuguo 1908 (Prof. Aug. Béguinot). PRE Or EN CARTONS a der EEE Le à e PAR ù HIESTE ED OFFERTE Domande dicambi, indirizzi, domande e risposte diverse, etc. Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’ in- teresse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia, G. DARBOUX et C. HOUARD Galles de Cynipides _ Reel de figures originales exerutöes sous la direction de fev le Dr. JULES GIRAUD | 90 pp., avec 18 pl. in-4°, dont 15 col. x Les tirages à part sont en nombre minime et mis en vente a 30 fr.* ‘ par Masson et Co., Paris, Boulv. St. Germain 120. vient de paraitre : : €. HOUARD _ Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée. ]{|} |? Description des Galles — Illustration — Bibliographie détaillée Répartition géographique — Index bibliographique 1365 figures dans le texte — 2 planches hors texte 2 vol. in 8° raisin (25 >< 17) de 500 pages environ chacun, sur papier glacé.— Prix de Souseription aux deux volumes : 40 fr. es ON N, — Aucun volume ne sera vendu séparément — TE Tome II paraitra prochainement. N. B. — Le tirage étant limité, nous prions les Naturalistes, désireux de s’ assurer un exemplaire, de se fairé inscrire au plus tôt. Librairie Scientifique A. HERMANN — 6, Rue de la Sorbonne, Paris (V°) RUISTA INTERNAZIONALE Di CECIDOLOSIA à RASATTORE: Por CA IROTTÉR CAUELLINO) Le. 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello. studio’ delle. galle e dei. produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori originali, di istologia, morfologia, sistematica etc., talora corredati da. tavole o da figure nel testo. Tiene e. inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando. anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o meno estese. 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno però la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- tore, il quale si riserva il diritto dì ammetterli o no alla stampa. Si SCENE lavori in inglese, tedesco ed in tutté le lingue delle nazioni latine. 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori ; sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore con l” 11019 del ma- noscritto. 4. Le spese per tavole o figure nel testo sono, pas ora, a carico degli Autori. 5. Usciranno 6 fascicoli all’ anno, ‘ complessivamente almeno 15 fogli di stam- pa, possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè: Febbraio , et, Giugno: ; Agosto, Ottobre, Dicembre. i 6. Gli abbonamenti cominciano dal r Gerade: ‘© si intendono rinnovati anche per l anno successivo, qualora non venga data rinuncia al Redattore entro at; mese di Dicembre. 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (di 15 Fr.= 12. Mk. == 212 Sh.) da pagarsi antecipatamente. -- Si pregano i Signori Associati esteri di effettuare i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con vaglia COIMGIIE, (chèque). Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, cambii ecc., rivolgersi al Redattore prof. A. TROTTER, À. Scuola di Viticultura e di Enologia, Avellino (Italia). TROTTER A. e CECCONI G.— Cecidotheca italica ou Collection de Galles italiennes, séchées et préparées, y-compris les formes nuisibles aux plantes agricoles.— Ont paru jusqu’ici 18 fasc.- 450 espèces -; le prix de chaque fasc. est de 10 fr. — En préparation fasc. 199-20°,— Pour achats s'adresser au Prof. A. TROTTER. paci à xs UNS 2 we Ber il o bea dai 5-4 a 7° PUR dai farti PRIA NE EEE 26 PI Pt (Ke RDS fedi = (08 Tee N Ore Len om Me 44 - TROTTER ¢ RIVISTA INIERNAZIONALE 2 2 2 pi CECIDOLOGIA SOMMARIO: A.— Nuovi Zoocecidii della flora italiana. Ottava serie (cont. e fine). DaLLa-ToRRE K. W. v.— Prof. Dr. Gn- stav Mayr (con ritratto). KIEFFER J. J.— Description de quelques Galles et d’ Insectes gallicoles de Co- lombie (con 1 fig.). ; DE STEFANI PEREZ T.— I primi Zooce- cidii della Somalia italiana. KIEFFER J. J. — Description de Galles et d’ Insectes gallicoles d’ Asie (con fig. nel testo e 2 tav.). TROTTER A. — Rapporti funzionali tra le galle di Dryophanta folii ed il loro supporto. TROTTER A.-- Bibliografia e Recensioni. Notizie necrologiche. Indici dell’ annata 1908. DI iia REDATTORE: Pror. Dr. A. TROTTER = Vor. Ull.- An. 1908 Fase, U-UI (PUBBLICATI IL 3! GENNAIO 1909) CASS AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA 1909 Il primo fascicolo dell’annata 1909 uscirà tra breve A fine di render più facile il cOmpito del Redattore si pregano vivamente Signori Collaboratori, avanti l’invio dei manoscritti, di tenere presenti, nel lori stesso interesse, le seguenti avvertenze : I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rae comandazione è rivolta in modo speciale ai Signori Coltaboratori esteri. 2. Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta; una secon i (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte sieno state di una certa importanza. Ulteriori invii non saranno fatti che dietro richiesta degli interessati. : Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero superiore ai 30, concessi gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l'invio del manoscritto 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non quando ne sia state espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. 5. Per I’ uniformità del giornale si pregano i Signori Collaboratori div attenersi alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza 2 12 usandole possibilmente ed uniformemente nei contro indicati ‘casi : a "à Pr carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad È pp Cynips coriaria, Fagus silvatica). ‘i 4 A 2: » MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo; ad es. Low + PONT TI TI GRACE A i “7 » corsivo (per i cecidonti nel testo; ad es. Perrisia affinis, Uro: ae cystis Anemones). 6 a » spaziato (per i substrati nel testo; ad es. “Quercus cocci. Fa b fera, Salvia pratensis). | È FED IV 1909 NUOVI ZOOCECIDII DELLA FLORA ITALIANA 121 16. Tamarix africana Poir.— ? Nanophyes pallidus Oliv.— Gli ovari, in seguito alla presenza del cecidozoo, si trasformano in una galletta subglobosa , di colore bruno-rossiceio , uniloculare , a pareti esili, la quale sporge in modo visibile al di sopra del calice e della corolla, quasi sempre persistente. Però, a completa maturità, la galla si stacca ed il cecidozoo esce nel mese di giugno attraverso un pic colo foro circolare. Questa galletta è all estremità leggermente atte- nuata, spesso sormontata da un corpuscolo rossastro il quale sembra essere un rudimento di stili concrescenti. Non ho potuto ottenere Vl’ insetto, però, in base ai caratteri mor- fologiei offerti dalla galla, credo di poterla identificare con quella di- ligentemente descritta dal TAVARES il quale ebbe precisamente ad allevare il Nanophyes pallidus Oliv. Le presenti galle differiscono un poco da quelle già segnalate in Italia su Tamarix gallica ed attribuite allo stesso Coleottero; e ciò sopratutto per la loro forma, che in T. gallica è più slanciata, di poco dissimile da quella delle cap- sule normali e di un colorito pallido, eguale a quello delle restanti parti del fiore (cfr. « Cecidotheca italica » fase. VIII. n. 190). Nelle ghiaie del finme Ofanto presso la Stazione di Monticchio, nel maggio 1908 (4. Trotter). LIBRARY NEW YOR BOTANIC/ GARDEN Prof. Dr. GUSTAV MAYR Ein Nachrut von Prof. Dr. K. W. v. DALLA-TORRE (1) (Mit Porträt) GUSTAY MAYR wurde in Wien am 12. Oktober 1830 als der einzige Sohn eines Advokaten geboren. Seine Eltern bewohnten ihr eigenes Hans in der Vorstadt Landstrasse, an welches sich rückwärts ein langer Garten anschloss. Ebenso waren damals und fast bis in die jüngste Zeit noch die Nachbarhäuser mit grossen Obst- und Zier- gärten versehen, so dass vielfach grüne Laubbrücken zu dem nahen Prater hinzogen, der in der Mitte des vorigen Jahrhunderts noch viel ursprünglicher war, bevor ihn die Neuzeit in einen Park um- wandelte. Dieser innige Zusammenhang der Gärten auf der Land- strasse mit den prachtvollen Prateranen brachte es mit sich, dass sich auch in diesen Hausgärten ein reiches Tierleben entwickelte : Bienen, Käfer, Schmetterlinge gab es da in bunter Auswahl und noch in den letzten Lebenstagen G. MAYRS fing sein jüngster Enkel in diesem heuer mit Rosen überreich geschmückten Garten ein kräftiges Hirsch- kiiferminnchen und einen Ligusterschwärmer. So ist es denn auch begreiflich, dass sich in einer derartigen Umgebung bei MAYR schon in der frühesten Jugend eine grosse Begeisterung für die Natur ein- stellte, die ihn dann auch während seiner Gymnasialferien zu bota- nischen Exkursionen und Fussreisen veranlasste und ihn schliesslich auch dem Studium der Medizin zuführte. Diese Reisen dehnten sich manehmal trotz der damals sehr mangelhaften Beförderungsmittel und trotz der knappen Reisekasse sehr weit, bis nach Kärnten, Krain und Istrien, aus, führten aber auch bei dieser Art der Wanderung zu einer viel intimeren Kenntnis der durchstreiften Gegenden sowie der heimischen Pflanzen- und Tierwelt. Einen grossen Teil dieser Reisen legte er in Gesellschaft seines Freundes ANTON KERNER zurück, des (1) Den beiden Herren Schwiegersöhnen, den Universitätsprofessoren Dr. FR, DimMER in Graz und Dr. A. FELSENREICH in Wien, verdanke ich die weitestge- hendete Mithilfe. MARCELLIA, v. VII an. 1908 " RAN IR Pror. Dr. Gustav Mayr - 123 später so berühmt gewordenen Botanikers, in dessen Elternhaus er auch wiederholt verweilte; zweifellos hat der Verkehr mit diesem erossen naturwissenschaftlichen Talente in vieler Richtung auf G. MAYR befruchtend gewirkt und. oft kam er im späteren Leben auf diese unvergesslichen Tage zu sprechen. Im Schuljahre 1546-47 absolvierte er das Gymnasium und im darauffolgenden Jahre die damalige philosophische Fakultät, worauf er im Jahre 1848-49 als Mediziner an die Universität übertrat und sich nebenbei auch naturwissenschaftlichen Studien widmete. Er hörte während dieser Studienjahre bis 1553-54 Mineralogie bei Prof. KNER, Zoologie bei Prof. SCHMIDT und Botanik bei Prof. BILL, UNGER und FENZL, ferner Chemie bei Prof. REDTENBACHER und HELLER, Physik bei Prof. KUNZEK und Astronomie bei Prof. SCHAUB, In den medizinischen Fächern waren die Professoren HyRTL, BRUCKE, SKODA, V. DUMREICHER, ROKITANSKY , OPPOLZER u. a. m. seine Lehrer. Schon als Student trat er im Jahre 1851 als gründendes Mitglied dem zoologisch - botanischen Verein in Wien bei und ver- öffentliche 1852 in den Schriften desselben seine ersten Arbeiten, Die Beschreibung von zwei Wanzen (1) aus Kordofan, Pilzbildungen bei Insekten (2), Pflanzen aus Krain (3) und die Beschreibing neuer _ Ameisen (4), welche von R. v. FRAUENFELD, dann von SCHMIDT aus Krain und von GREDLER aus Tirol zugesandt worden waren. Im folgenden Jahre 1552 trat er der Gesellschaft Lotos in Prag und der Entomologischen Gesellschatt in Stettin bei, 1855 wurde er Mitglied des Naturwissenschaftlichen Vereins in Siebenbiirgen. wo er sich sofort mit einer entomologischen Arbeit einführte (5), und des Vereins für Naturkunde in Nassau; ferner veröffentlichte er in diesem Jahre drei Arbeiten über Ameisen, welche das Materiale von E. Vv. SISMONDA und M. LOSANA (6), österreichische Arten (7) und die Behandlung der Myrmiciden betrafen (8); hierin wurde die neue Gattung Stron- gylognathus aufgestellt. Im Jahre 1554 veröffentlichte er eine kleine Arbeit (9) über die Synonymie zweier Ameisen (Myrmica rubriceps Nyl = Acrocoelia ruficeps Mayr) und bestand im November sein erstes Rigorosum. Hierauf trat er in das physiologische Institut und als externer Präparand in das allgemeine Krankenhaus in Wien ein, wo er in der Cholera-Abteilung bis Ende August 1555 verblieb. Dieses Jahr war ein wirkliches Arbeitsjahr. Abgesehen von ein paar kleinen Publikationen über den Wert des Flügelgeäders für die Gattungs- diagnosen (10) und über die Anwendung de HasExowschen Dika- 124 Pror. Dr. K. W. v. DaLLa-TORRE topteres fiir die Mikroskope (11), erschien in diesem Jahre seine erste grosse Arbeit, die Formicina austriaca (12), « eine höchst bedeutsame Arbeit, welche die nenere Myrmekologie begriindete ». Uberdies voll- endete er seine medizinischen Studien und wurde nach abgelegtem zweitem Rigorosum am 6. Juli 1855 zum Dr. med. promoviert. Im Diplom erscheint Dr. theol. Jos. SCHEINER als Rektor, Dr. med. Jon. DLAUHY als Dekan und Dr. med. C. ROKITANSKY als Promotor ; iiberdies finden sich noch Dr. theol. FR. ZENNER, Dr. med. Jos. JOAN. KxoLz und Dr. med. A. MASSARI unterschrieben. Doch blieb er der Medizin nicht treu, da ihn bereits zarte Bande an ein Mädchen, ALEXANDRINE PAZZANI. fesselten, dessen Eltern im gleichen Hause mit G. Mayrs Mutter wohnten. Der junge Doktor wollte eben dasselbe so rasch als möglich heimführen, und da er die Mittel zur Gründung eines Hausstandes selbst aufbringen musste, als praktischer Arzt ohne längeren Spitalsdienst aber keine Aussicht auf genügende Sub- sistenzmittel hatte, so beschloss er, sieh sofort zur Lehramtsprüfung aus Naturgeschichte für Oberrealschulen und Chemie für Unter- realschulen zu melden, weshalb er hiefür noch Chemie, Experimental- physik, Anatomie der Pflanzen und populäre Astronomie hörte und die Übungen im chemischen Laboratorium mitmaehte. Da er als Frucht seiner Studien und Reisen eine Reihe von Abhandlungen, namentlich entomologischen Inhalts, vorlegen konnte, die er zum Teil schon als Studierender der Universität publiziert hatte, wurde ihm « in Aner- kennung der von ihm veröffentlichten Druckschriften naturgeschicht- lichen Inhaltes » die häusliche Bearbeitung einer naturhistorischen Aufgabe erlassen. Dagegen erhielt er aus Chemie die Aufgabe, eine Abhandlung über die Industrie des Chlors zu liefern; diese wurde als genügend zur Fortsetzung der Prüfung anerkannt. Bei der Klausurprüfung erhielt er folgende Aufgaben: « 1. Es ist die Lehre von der Teilbarkeit der Individuen des Mineralreiches zu erörtern. 2. Der Atmungsprozess im Tierreiche und die Verschieden- heit in der Bildung der Atmungsorgane, auf dessen Klassen bezogen, ist zu erklären. 5. Welche Pflanzenfamilien sind durch giftige oder narkotische Stoffe ausgezeichnet und welche Spezies sind in dieser Hinsicht besonders wichtig ? ».Während die erste und dritte Aufgabe zur Zufriedenheit beantwortet worden waren, wird bei der zweiten noch ganz besonders hervorgehoben, dass der Kandidat am Schlusse noeh einige selbständige Untersuehungen beigefügt hat, aus welchen neue Erfahrungen über die Funktionen der Tracheen der. Insekten è PROF. DR. Gustav MAYR TA 125 hervorgehen. Auch die beiden Fragen aus Chemie: « Auseinander- setzung des Verfahrens der qualitativen Analyse eines starren Körpers und Ausführung einer solchen an einer schwarzen, zu Pulver zerrie- benen Substanz » wurden auf entsprechende Weise gelöst. Die münd- liche Prüfung wurde am 12. Juli vorgenommen. Dieselbe erstreckte sich namentlich auf die Bestimmung von Objekten aus dem Pflanzen- und Mineralreiche sowie auf Charakterisierung von Familien, Gattun- gen und Arten; in der Zoologie wurde eine Auseinandersetzung der Charaktere der Hymenopteren sowie ihrer Familien nebst Angabe der wichtigsten Verschiedenheiten in ihrer Lebens- und Fortpflanzungs- weise verlangt. Der Kandidat genügte dieser Forderung in ganz ent- sprechender Weise, so dass sich aus der ganzen Prüfung eine « aus- gezeichnete Befähigung » für das Lehrfach ergab. Auch die Fragen befriedigend beantwortet. Von der Probe- Monate das aus der Chemie wurden lektion wurde abgesehen, da der Kandidat dureh einige Lehrfach der Naturgeschichte an der Realschule in Gumpendorf sup pliert hatte, worüber ihm von der Direktion derselben das Zeugnis erteilt wurde, « dass sein Vortrag klar und fasslich , die Stimme auch in einem grossen Hörsaale vernehmlich sei ». Die Unterschriften des Priifangszeugnisses zeigen die Namen M. ZıppE, Dr. REDTEN- BACHER, A. STEINHAUSER, J. KOLBE, J. ENGEL und VERNALEKEN. Bald darauf wurde er laut Erlass des Unterrichtsministeriums ddo. 9. September 1556 mit Nachsicht des Probejahres an die städtische Realschule in Pest versetzt, wo man damals tüchtige deutsche Lehr- kräfte gerne aufnahm, allerdings unter der Bedingung, dass sie nach Ablauf eines Jahres den Unterricht in ungarischer Sprache besorgen wollen. Am 24. September 1856 vermählte er sich mit seiner kaum 16 jährigen Braut und zog dann seiner neuen Heimat zu, nachdem er vorher noch der neugegriindeten Geographischen Gesellschaft in Wien beigetreten war. In dieses Jahr fällt auch die Publikation eines Ausfluges nach Szegedin, welchen er im Herbste 1555 unternommen hatte (13); er widmete auf demselben der Herbsttlora und den Amei- sen seine besondere Aufmerksamkeit; ferner berichtete er über die Ameisenfauna Ungarns (14), über welche er insbesondere über Veran- lassung EM. v. FRIVALDKYS eingehende Studien gemacht und der er im folgenden Jahre einen besonderen Aufsatz widmete. Da er von diesem auch veranlasst worden war. die Tingiden des Museums zu bestimmen, erschien 1858 unter Zuziehung der Sammlung E. HEE- GERS eine faunistisch-geographische Arbeit über diese Gruppe (15). 126 Pror. Dr. K. W. v. DALLA-TORRE In demselben Jahre wurde er Mitglied der Geologischen Reichsan- stalt in Wien. Am 30. September 1858 erhielt er von der Statthal- terei in Ofen die Aufforderung, an dem neu errichteten deutschen Gymnasium zu Pest bis zum Eintreffen der betreffenden Lehrkräfte zu supplieren, welehem Wunsche er auch bereitwilligst Folge leistete. Während dieser Zeit erschien noch eine kleine Notiz über neue Stahl- Pfanzenpressen (16) — ein neuer Hinweis auf den gleichzeitig mit ihm in Pest weilenden Freund A. KERNER — und ein ziemlich umfang- reicher Beitrag zur Ameisenfauna Russlands (17). Inzwischen hatten sich die Ungarn selbst einen Lehrkörper herangebildet, wodurch die Entlassung der ohnehin wenig beliebten Deutschen ermöglicht war; infolgedessen musste MAYR mit seinem Direktor und mit seinen Kolle- gen wieder nach Wien wandern, wo er bei dem stets steigenden Bedürf- nisse nach Lehrkräften und seiner anerkannten Tüchtigkeit laut Besch- luss des Gemeinderates der Stadt Wien ddo. 17. September 1861 unter dem Bürgermeister Dr. ZELINKA eine Lehrstelle an der neuerrichteten selbständigen Kommunalunterrealschule in der Rossau erhielt. Damit war er seiner Heimat bleibend wiedergegeben. Am 15. April 1565 wurde er definitiv angestellt. Wahrlich , er war seiner Heimat blei- bend wiedergegeben und einer Schule, welcher er bis zum Ablauf seines 60. Lebensjahres treu blieb. Er war während dieser Zeit ein begeisterter Lehrer und Freund der Jugend, die er mit wahrem Feue- reifer in den Bereich der gesamten Naturwissenschaften und der Chemie einführte. Auch zählte er nicht zur Zahl jener Lehrer, wel- che nur der Hass der Götter ihrem Berufe zuführte. Vielmehr kaunte er keine höhere Freude, als befähigte Schiller in seinem aus eigenen Mitteln bedeutend vergrösserten « Museum » in die Geheimnisse des Mikroskopes einzuweihen, wozu keinerlei amtliche Verpflichtung vor- lag. Auch deshalb war ihm der geordnete, von Zufälligkeiten freie 3eruf eines Mittelschullehrers sympathisch , weil er, meist nur an Vormittagsstunden in der Schule beschäftigt, den übrigen Tag für seine eigenen wissenschaftlichen Arbeiten freibehalten konnte und ihm dabei auch die langen wiederholten Schulferien gesichert waren, die er zu Exkursionen und Reisen verwenden konnte. Der letzte, Grund war ihm auch massgebend für die Ablehnung einer Stelle am k. k. naturwissenschaftlichen Hofmuseum. So begann tatsächlich für MAYR mit der Anstellung in Wien ein neues Leben. Hatte er wäh- rend seiner Studienzeit eine Reihe systematischer Untersuchungen auf dem Gebiete der Hemipteren und Hymenopteren gemacht, die Pror. Dr. GUSTAV MAYR ae 127 = te er namentlich in den Schriften des Zoologisch-botanischen Vereins, dessen Mitbegründer er ja war, publiziert hatte, so konnte er nun seine volle freie Zeit diesem Studium widmen und so finden wir denn, dass er von nun ab, mit Ausnahme einer einzigen Programmarbeit, sich vollständig auf diese beiden Insektengruppen konzentrierte. In diesen aber wirkte er vielfach bahnbrechend und die ersten Autori- täten jener Zeit, BREMI und O. HEER in Zürich, FAIRMAIRE, SI- GNORET und NYLANDER in Paris, SMITH in London, HAGEN, HER- RICH SCHAEFFER, KRIECHBAUMER, KIRSCHBAUM, ZADDACH U. S. W. in Deutschland sowie die grössten Museen Europas: Wien, Paris, Turin u. a. m., stellten sich mit Freuden in seinen Dienst. Zunächst erschien 1861 als eine Erweiterung der Publikation vom Jahre 1555 sein grundlegendes Werk über Ameisen (15). in welchem er die Cha- rakteristik der europäischen Genera schärfer umschrieb, dann begann er (1562) neben dem Novara-Materiale die Ameisen des Universitäts- museums zu beschreiben (19) und deren Orismologie kritisch zu erör- tern (22). Erstere Arbeit ist namentlich für die Kenntnis der Gatt- ungen, insbesonders der exotischen, sehr wichtig. In demselben Jahre 1863 erschien auch sein sehnlichst erwarteter systematischer Katalog (24) aller bis dahin beschriebenen Ameisen, ferner.ein- Vorläufer einer Monographie der grössten aller Wanzen, der Belostomiden (25) und endlich eine anziehend geschriebene Schilderung seiner Reise nach den südlichen Inseln des Quarnero, in welcher er verschiedene Tier- gruppen des Adriatischen Meeres mehr oder weniger eingehend be- handelte (20). Im Anschluss daran beschrieb er einen gefahrlosen Wasserstoffapparat aus seiner Schulpraxis (21). In populärer Weise behandelte er 1864 die Biologie der Ameisen nach dem damaligen Wissensstande (25). Im Jahre 1865 erschien die prächtig ausgestat- tete Monographie der Ameisen der Novara-Expedition (27), welcher später (1566) nach einigen vorläufigen Mitteilungen (26) eine eben- solche der Hemipteren folgte (28). « Dass die Akademie G. MAYR mit der Bearbeitung des reichen , durch die Novara-Expedition ge- sammelten Hemipterenmaterials betraute, beweist wohl am deutlich- sten, welcher Wertschätzung sich der junge Forscher schon zu jener Zeit erfreute », schreibt HANDLIRSCH. « Die betreffende Abhandlung enthält wie jene der Ameisen ausser vielen kritischen Bemerkungen und Tabellen die Beschreibungen von 25 neuen Gattungen und 50 neuen Arten aus verschiedenen Abteilungen «der Heteropteren und aus den verschiedensten Faunengebieten. Leider unterliess es die 128 Pror. Dr. K. W. v. DALLA-TORRE — — — _ 5 i ee Akademie infolge eingetretenen Geldmangels, MAYR auch mit der Bearbeitung der Novara-Homopteren zu betrauen, so dass das Mate- rial aus dieser Gruppe bis jetzt überhaupt nicht wissenschaftlich verwertet wurde ». Weiters erschienen 1566 zwei myrmekologische Arbeiten (29, 30). Im Jahre 1867 veröffentliche MAYR die Resultate seiner Studien über die fossilen Ameisen von Radoboj (31), welche in der Sammlung der Geologischen Reichsanstalt deponiert waren , ferner eine Monographie der indisch-niederländischen Ameisen (32), wofür er von der niederländischen entomologischen Gesellschaft in s’Gravenhage zum Ehrenmitglied ernannt wurde. Auch eine kleine Notiz über eine abnorme Tulpenzwiebel stammt aus diesem Jahre (35). Von hervorragender Bedeutung ist die im Jahre 1868 erschie- uene Abhandlung über die Ameisen des baltischen Bernsteins (34), indem durch dieselbe der Nachweis erbracht wird, dass sich die vie- len gut charakterisierten fossilen Gattungen und Arten sehr wohl in das System der rezenten Formen einordnen lassen. Weiters beschrieb er in diesem Jahre neue amerikanische Ameisen und zählte die Arten auf, welche Prof. STROBEL aus Argentinien mitgebracht hatte (35). Eine von RANSONNET aus Ceylon eingesandte Ameise wurde Crema- stogaster Ransonnetii genannt. Waren bisher die Ameisen und Wanzen die Hauptobjekte seiner Studien, so zeigte er sich als feiner Beobachter und gründlicher Kenner der Cynipiden in der höchst bedeutsamen Arbeit über die europäischen Eichengallen (1570-1871), ein Werk (37), welches auch ins Englische übersetzt wurde und das wegen der vielfachen Nach- frage im Jahre 1907 eine durch ein Register erweiterte Faksimile- Ausgabe durch W. JUNK notwendig machte, ein Faktum, das in der Entomologie fast einzig dasteht. Überdies erschienen im Jahre 1570 zwei Arbeiten mit Neubeschreibungen von Ameisen (38, 39) und im Jahre 1571 ausser einer kurzen Notiz über SràLs Bearbei- tung der Hemipteren (40) eine prächtige Monographie der Belosto- miden (41), welche dureh DUFOURS Aufsätze angeregt worden war. Im folgenden Jahre 1872 erschien, gewissermassen als Nachtrag zu obiger Arbeit über die Cynipidengallen, eine Monographie der Ein- mietler derselben (43), « die erste glückliche , auf gründlicher Beo- bachtung und Untersuchung fussende Bearbeitung von Aftergallwe- spen, Inquilinen », wie sie F. KOHL so treffend nennt, sowie ein Überbliek über die von J. DoRIA und 0. BECCARI um Sarawak auf sorneo in den Jahren 1865-1867 gesammelten Ameisen (42). Zieht man PROF. Dr. Gusrav MAYR 2% 129 in Erwägung, dass den zahlreichen Typen , welche seinen Untersu- chungen und Beschreibungen zu Grunde gelegt worden waren, auch eine äusserlich höchst anziehende Form durch die Sorgfalt der Aus- stattune und Aufstellung gewährt worden war, so ist es nicht zu ver- wundern, dass ihm von der internationalen Jury für seine Sammlungen bei der Wiener Weltausstellung die goldene Verdienstmedaille zuge- sprochen wurde. Im Jahre 1574 erschien ausser einer kleinen Notiz über die Galle von Dryophunta scutellaris (44) ein erster Aufsatz über parasitische Gallenbewohner aus der Gruppe der Chalcididen, eine Monographie der europäischen Torymiden (45), dem im darauffolgenden Jahre als zweiter eine Monographie der europäischen Eneyrtiden (46), im Jahre 1577 ein dritter, die Gattung Olynx (51), im Jahre 15785 ein vierter, die Gattung Eurytoma (53) und im Jahre 1579 ein letzter, die Gattung Telenomus (Teleas) (55) betreffend, folete. Im Jahre 1575 trat MAYR als Mitelie. dem Naturforschenden Verein in Hamburg bei. Im Jahre 1576 erhielt er laut Allerhöchster Entschliessung ddo. 14. Mai 1876 in Anerkennung seines verdienstlichen Wirkens im Lehramte und der Leistungen auf dem Gebiete der Wissenschaft das goldene Ver- dienstkreuz mit der Krone. Noch immer war eine "Ergänzung der gallbildenden Cynipiden mit Ausschluss der Eichen bewohnenden ausstàndig. Das Jahr 1376 brachte sie uns in gleicher Griindlichkeit und Ausstattung wie ihre Vorgänger (47) in den Jahren 1570 und 1571; überdies erschien in demselben Jahre eine Beschreibung der australischen Formieiden (45) auf Grund der Sammlungen GODE- FROYS sowie im Jahre 1877 die Bearbeitung der Formiciden Turke- stans nach dem von A. P. FEDTSCHENKO mitgebrachten Material in russischer Sprache (49); drei Jahre später folgte die deutsche Über- setzung (56). Auch die von Prof. TRAIL aus Brasilien mitgebrachten Ameisen (52) fanden in Prof. MAYR ihren Bearbeiter und Dr. EME- RYS Gruppierung der Myrmieiden ihren Kritiker (50). Insbesonders durch ROTHNEY angeregt, verfasste MAYR weiters Beiträge zur Amei- senfauna Asiens (54), welche im Jahre 1578 veröffentlicht wurden. Im Jahre 1579 trat Prof. MAYR der neugegründeten Entomologischen Gesellschaft in Stockholm bei und erhielt das Ehrenmitgliedsdiplom der Academy of Natural Sciences in Philadelphia, desgleichen im Jahre 1550 «dasselbe der Natural Hystory Society of Glasgow. In diesem Jahre beschrieb er eine neue Cynipidenart , welehe er im Hinblick auf die Verdienste Dr. ADLERS in Kiel, die er in der Sit- 130 Pror. Dr. K. W. v. DALLA-TORRE zung der Zoologisch - botanischen Gesellschaft am 4. April 1877 in anerkennendster Weise gewürdigt hatte, Andricus Adleri benannte (57). Im folgenden Jahre 1881 ernannte ihn die Deutsche Entomolo- gische Gesellschaft in Berlin zu ihrem Ehrenmitgliede. Durch seine Untersuchungen über Pediaspis sorbi Tischbein gedrängt, sprach er sich in diesem Jahre als der erste über die Heterogonie mit Bathya- spis aceris Förster aus (59) und was konnte nun dankbarer erschei- nen, als zunächst einen Überblick der bis dahin bekannt gewordenen Genera inklusive der exotischen (58) und dann (1882) einen solehen der europäischen Arten der gallenbewohnenden Cynipiden unter Be- riicksichtigung des eben entdeckten Generationswechsels zu geben (60)? MAYR hat diese Aufgabe vortreflich gelöst und in diesen beiden Arbeiten eine wissenschaftliche Grundlage für die ganze Zukunft der Gallforschung geboten. Das folgende Jahr (1885) brachte uns drei kleine Aufsätze: der eine betrifft eine Liste der Ameisen aus Ca- venne (61), der zweite die Neubeschreibung dreier ostindischer Arten (62) und der dritte die Angabe, dass Chilaspis Loewii Wachtl als einheimische Art zu betrachten sei (63). Im Jahre 1554 erschien eine kleine zoogeographische Notiz über Æpitritus argiolus (64), im Jahre 1555 aber eine biologisch und systematisch gleich wichtige, grundle- gende Arbeit über die Feigeninsekten (65), deren Artenzahl nun plötzlich eine ungeahnte Höhe erreichte und unter denen er auch sekundäre Parasiten nachwies. Im Jahre 1886 ernannte ihn die Bel- gische entomologische Gesellschaft zu ihrem Ehrenmitg'iede. In dem- selben Jahre veröffentlicht er unter dem bescheidenen Titel « Noti- zen » an der Hand der Typen im British Museum (66), das er im Sommer 1581 besucht hatte, Aufklärungen über 167 von Fr. SMITH in London ungenügend beschriebene und zum Teil bei den Gattun- gen unrichtig eingereihte Ameisenarten. Ferner beschrieb er eine neue, von Prof. DUGES aus Mexiko eingesandte Cynipide als Dryo- phanta Dugesi (67) und gab auf Grund der Einsendungen von TH. PERGANDE, W. H. AsHMEAD, A. FOREL, M. TREAT und Ep. NORTON ein absehliessendes Bild der Formieidenfauna der Vereinigten Staa- ten (65); endlich nahm er auf Grund biologischer Beobachtungen die Vereinigung der Gattungen Beiton und Labidus vor (69) und gab eine analytische Bestimmungstabelle für die bis dahin bekannt geworde- nen Arten. Im Jahre 1557 wurde die für die Kenntnis der neotropi- schen Ameisenfauna sehr wichtige Arbeit veröffentlicht (70) und For- miciden aus Thibet bescrieben (71), welehe PRZEWALSKI mitgebracht PROE. Dr. Gustav MAYR pré 131 hatte. In diesem Jahre wurde er Mitglied der russischen entomologi- schen Gesellschaft in St. Petersburg.- Anlässlich seines Übertrittes in den bleibenden Ruhestand erhielt er lant alleıhöchster Entschliessung ddo. 1. September 1892 den Titel eines Kaiserlichen Rates — und damit war sein Leben in der Öffentlichkeit abgeschlossen. Nicht aber für die Wissenschaft! Darin arbeitete er noch mit dem eisernen Fleiss des einstigen Jünglings und mit der gewohnten Gründlichkeit weiter. Hier darf ich wohl des frenndlichen Interesses gedenken, welches er meinem Cynipidenbande des Catalogus Hymenopterorum zu teil werden liess, wofür ich ihm dureh die Widmung desselben meinen Dank zum Ausdruck brachte. Von wissenschaftlichen Arbeiten sei zunächst die Beschreibung von Formieiden erwähnt, welche Dr. F. STUHLMANN aus Ostafrika mitgebracht hatte (72), dann der Mitteilung, dass Stru- migenys saliens MAYR, wie der Name besagt, zu den springenden Ameisen gehört ; ihr dürften sich die ähnlich langkieferigen Gattun- gen Daceton und Acanthognathus anreihen (73). In den folgenden Jahren erschienen Neubeschreibungen afrikanischer Arten (74) sowie solcher speziell aus Kamerun, welche YNGVE SJÜSTEDT (75) und Prof. Dr. R. BUCHHOLZ (78) gesammelt hatten; ferner wurde Teleno- mus Sokolowi als nsp. (76) in Südrussland aus den Eiern von Eury- gaster beschrieben (1596). Die von J. v. MADARASZ auf Ceylon und von L. Biré auf Ceylon und Singapur gesammelten, dem ungarischen Nationalmuseum eingesandten Ameisen fanden gleichfalls (1897) in G. MAYR ihren Bearbeiter (77). Im Jahre 1595 wurde er Mitglied der American Entomological Society in Philadelphia. Anlässlich der fünfzigjährigen Jubelfeier wurde G. MAYR als einer der wenigen noch lebenden Gründer der Zoologisch-botanischen Gesellschaft mit Prof. FR. BRAUER (+), Gerichtspräsidenten Josef KERNER (+), Generalstabs- arzt Dr. E. CHIMANI (+) zum Ehrenmitglied dieser Gesellschaft er- nannt, eine Ehrung, die er wohl in Anbetracht der wertvollen wissen- schaftlichen Publikationen in den Schriften derselben redlich ver- dient hat. Überdies war er im Jahre 1856-57 als Sekretär, 1569 als Vizepräsident gewählt worden und wie sehr er an «dieser Gesellschaft hing, geht wohl am besten daraus hervor, dass er bei seiner Pensio- nierung die im Musenm aufgestapelten Präparate der Schulsammlung, seine grosse Insektensammlung mit den zahlreichen wertvollen Typen sowie seine reiche Bibliothek dieser Gesellschaft zusprach. Von Pu- blikationen aus dem Jahre 1901 sind drei zu nennen. Die eine betrifft siidatrikanische Ameisen, welche Dr. H. BRAUNS gesammelt hatte (79), 132 Pror. Dr. K. W. v. DALLA-TORRE die andere stellt fest, dass der Erzeuger des Sodomsapfels (Mala so- domitica) noch unbeschrieben ist; er wird als Cynips insana in die Wissenschaft eingeführt (50); eine dritte behandelt nomenklatorische Fragen über Cynipiden (51). Am 2. Jänner 1902 traf ihn das Unglück, seine Frau, mit wel- cher er dureh fast ein halbes Jahrhundert in einer selten glücklichen Ehe gelebt hatte, zu verlieren und wie ein letztes Aufllackern des Könnens und Wissens mutet es uns an, was er als siebzigjähriger Greis nun veröffentlicht : es sind dies seine « Hymenopterologischen Miszellen » (82), welche schon dureh ihre bunte Mischung der The- mata gewissermassen den Charakter des Zusammenraffens tragen : über nordamerikanische Uynipiden , eine neue Encyrtus - Art, west- afrikanische Formieiden (I.), einiges über Pteromalinen, zur Kenntnis der Gattung Telenomus Hal., neue Formiciden (IL), die Ormyrus- Arten Europas, neue Chaleididen und . Proctotrupiden, Formiciden (IIT.) die europäischen Arten der Gattung Decatoma Spin. (dureh Zucht erhal- ten), iiber Perilampiden, eine neue mexikanische Cynipide, Bemerk- ungen über zwei Chalcididengenera (IV.) sind die Untertitel dieser Abhandlungen. Im Jahre 1905 wurde er zum Ehrenmitgliede der Sociedad cientifica Antonio Alzate in Mexiko ernannt: 1904 besch- rieb er noch Ameisen aus Ägypten und dem Sudan, von JAEGERS- KIOLDS Expedition herstammend (83), 1905 schrieb et über Cynipiden zwei (84, 55), 1906 und 1907 über dieselben je einen Aufsatz (37, 55) und beschenkte die Literatur mit zahlreichen neubeschriebenen Feigeninsekten aus allen Erdteilen (86). Noch im Jahre 1907 trat er der Physikalisch - ökonomischen Gesellschaft in Königsberg als Mit- glied bei und bearbeitete die von Dr. RECHINGER aus Samoa mitge- brachten Ameisen (89) — dann legte er seine Feder nieder für immer: dies war sein Schwanengesang! Am 14. Juli 1908 brachte ihm der Tod die ersehnte Erlösung von seinem langen, entsetzlichen Leiden. dr hinterlässt drei Töchter, welehe an drei Universitätsprofes- soren verehelicht sind: JULIE an Hofrat Dr. ERNST FUCHS, Rosa an Prof. Dr. ANTON FELSENREICH, beide in Wien, und MATHILDE an Prof. Dr. Fritz DIMMER in Graz. Und nun zum Schlusse noch eine Bemerkung ! In ©. LOMBROSOS « Genie und Irrsinn », übersetzt von A. COURTH (Leipzig, Phil. Reclam jun.) findet sich Seite 29 die Bemerkung, « dass geniale Menschen oder, besser gesagt, dass Gelehrte sehr oft zu jener Ka- tegorie von Menschen gehören , welche WACHDAKOFF diejenige der Pror. DR. Gustav MAYR m 133 Monotypen nennt. Unter soleher Bezeichnung fasst man alle dieje- nigen zusammen, die sich ihr ganzes Leben hindurch nur mit einem einzigen beschränkten Zweige des menschlichen Wissens beschäftig- ten und aus dem Bannkreise dieser Einseitigkeit sich nicht mehr zu befreien vermochten. So studierte BECKMANN sein ganzes Leben hindureh weiter nichts als die Rippenkrankheiten, FRESNER den Mond, MEYER die Ameisen. Eine grosse Ähnlichkeit herrscht zwi- schen diesen Monotypen und den Monomanen ». Man wird wohl nicht fehlgehen, wenn man in dem angeführten MEYER, wenn auch in anderer Art geschrieben, unseren GUSTAV MAYR vermutet, um so mehr, als er sich tatsächlich bei der sprichwörtlichen Häufigkeit seines Namens lange Zeit des Übernamens « Ameisenmayr » erfreute. GUSTAV MAYR hat nie davon erfahren, dass er von LOMBROSO als Monotype aufgefasst, den Vorwurf der Einseitigkeit bei sonstiger Anerkennung seiner Gelehrtheit erhalten habe. Obwohl die in seiner Nähe Lebenden hievon Kenntnis hatten, blieb diese schmerzliche Kinreihung von seiten eines sonst geachteten Schriftstellers ihm ver- borgen. « Ich hatte » — schreibt Prof. FELSENREICH — « dieselbe auch hier nieht erwähnt, wenn sie mir nicht in hohem Grade unge- recht erscheinen würde. Zunächst bezeichnete er sich selbst stets als Zoologen und Botaniker. Die kurze Anführung eines Teiles seiner Publikationen zeigt schon, dass er ganz verschiedene Tiergruppen in den Kreis seiner Arbeiten einbezog. Als Lehrer hatte er die gesam- ten Naturwissenschaften, die Chemie und öfters auch Geographie zu betreuen. Wer wie ich das Glück hatte, in mehr wie zwanzigjähriger Freundschaft mit ihm zu leben, oft und oft in seiner Gesellschaft in die Bergwelt der Alpen oder an das Meer zu ziehen, kann berichten von dem umfassenden Wissen und von dem Interesse, welches er nicht nur für die jetzt lebende Tier- und Pflanzenwelt, sondern auch für die von längst entschwundenen Zeiten hatte und wie er nie den Zusammenhang mit dem gesamten Naturreiche über seinen speziellen Arbeiten verlor. Gustay MAYR war ein selten allgemein gebildeter Naturforscher , keineswegs ein Monotype. Bei einer strengeren Prü- fung seiner Persönlichkeit vermöchte ich nur die Lücke in seinem Wissen anzggeben, dass er als Doktor der Medizin keine genauere Kenntnis über den kranken Menschen hatte. Dazu fehlte ihm der notwendige lebendige. Kontakt mit der Medizin. Aber als reichen Ersatz gewann er den seltenen Überbliek über die gesamte Natur, wie ihn die Mediziner leider nur zu oft entbehren. Die Forderung 134 Pror. DR. K. W. v. DALLA-TORRE des Lebens hatte ihn von der medizinischen Laufbahn weggedringt und auf den ruhigen Weg eines Lehrers und Forschers gestellt, wo ihm weniger staatliche Ehren, wohl aber eine reichliche innere Be- friedigung und die Anerkennung seiner Berufsgenossen der ganzen Erde erbliihten ». Schliesslich sei noch bemerkt, dass drei Gattungsnamen der Hy- menopteren seinen Namen tragen: Mayria Forel (1579), Humayria Ashmead (1887) und Mayriella Forel (1902). Die Zahl der Spezies- namen Mayri in den verschiedensten Insektengruppen — in diesem Falle wohl stets ein Zeichen der Hochschätzung oder des Dankes — erreicht wohl leicht ein halbes Hundert. Chronologisches Verzeichnis der Publikationen Dr. G. Mayrs. 1. Zwei neue Wanzen aus Kordofan. Verh. Zool.-bot. Ver Wien, II. (1852) Sitzungsber., p. 14-19. 2. Abnorme Haargebilde an Nebrien. Wie vor. p. 75-76. 3. Neue Pflanzen der Krainer Flora. Wie vor. p. 76-77. 4. Einige neue Ameisen. Wie vor. Abh., p. 143-150. 5. Beiträge zur Insektenfauna Siebenbürgens. Mitteil. siebenbürg. Ver. f. Naturwiss. IV. (1853) p. 141-143. 6. Beiträge zur Kenntnis der Ameisen. Verh. Zool.-bot. Ver. Wien, III. (1853), Abh., p. 101-114. i. Beschreibungen einiger neuer Ameisen. Wie vor. p. 277-256. S. Über die Abteilung der Myrmieiden und eine neue Gattung der- selben. Wie vor. p. 387-394, Taf. 9. Synonymie von Myrmica rubriceps Nyl. oder Acrocoelia ruficeps Mayr. Wie vor. IV. (1854) Sitzungsber. p. 30-32. 10. Über den Wert bestimmter Merkmale zur Charakteristik der Gattungen der Insekten. Wie vor. V. (1855), Sitzungsber. p. 8-10. 11. Über die Anwendung des Hagenowschen Dikatopteres. Wie vor. BD. 105 12. Formicina Austriaca. Beschreibung der bisher im österreichischen Kaiserstaate aufgefundenen Ameisen, nebst Hinzufigung jener in Deutschland, in der Schweiz und in Italien vorkommenden Arten. Wie vor. Abh. p. 273-478, 1 Taf. — SEPARAT: Wien, Braumüller 1855. 5°. 306 p., I Taf. Pror. Dr. Gustav MayR = 135 20. 28. Die Hemipteren der Reise der österr. Fregatte 30. 31. Ausflug nach Szegedin im Herbste des Jahres 1855. Wie vor. VI. (1856). Abh. p. 175-178. Die Ameisen Ungarns. Progr. Oberrealsch. Pest 1857, 4°. p. 5-26. . Beitrag zur geographischen Verbreitung der Tingiden. Verh. Zool.- bot. Ges. Wien. VIII. (1858), Abh., p. 567-572. Eine neue Pflanzenstahlpresse. Wie vor. IX. (1859) Sitzungsber. p. 41-42, Fig. 7. Beiträge zur Ameisenfauna Russlands. Stettin. Entom. Zeitg. XX. (1859) p. 37-90. Die europäischen Formiciden. Nack der analytischen Methode bearbeitet. Wien, ©. Gerolds Sohn, 1861. 5°. S0 p. 1 Taf. . Myrmekologische Studien. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XII. (1862), Abh. p. 649-766, Taf. XIX. Ein Ausflug nach den siidlichen Inseln des Quarnero. Jahresber. Wien. Kommunal-Realsch. im IX. Gem.-Bez. (Rossau) für 1862-63, p. 3-21. Ein gefahrloser Wasserstoffapparat. Wie vor. p. 22-24, 1 Taf. 2. Beitrag zur Orismologie der Formieiden. Archiv f. Naturgesch. XXIX. (1863), I. Bd. p. 103-118. Hemipterologische Studien. Die Belostomiden. Verh. Zool. - bot. Ges, Wien XIII. (1863), Abh. p. 339-364, Taf. XI. . Formieidarum Index synonymiens. Wie vor. p. 355-460. Das Leben und Wirken der einheimischen Ameisen. Osterr. Revue II. Jahrg.. 5. Bd. (1864), p. 201-209. Diagnosen neuer Hemipteren. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XIV. (1864); Abh. p. 903-914 (L.); XV. (1865); p. 429-446 (IL); XVI. (1866) p. 361-366 (III.). . Die Formiciden der Reise der österreichischen Fregatte * No- vara . um die Erde in den Jahren 1857-1859. Wien, C. Gerolds Sohn 4°. Zoolog. Teil, II. Bd., 1. Abtlg. A. (1865), 119 p., 4 Taf. Novara . etc. Wie vor. zoolog. Teil, II. Bd., 1. Abtle. B. (1866), 205 p., 5 Taf. 29. Mirmekologische Beiträge. Sitzungsber. Akad. d. Wissensch. Wien. Mathem.-naturwiss. Klasse LIII., 1. Abtle. (1566), p. 454-517. Diagnosen neuer und wenig bekannter Formiciden. Verh. Zool.- bot. Ges. Wien XVI. (1866), Abh. p. 3885-908, Taf. XX. Vorläufige Studien über die Radoboj - Formiciden in der Samm- lung der k. k. geologischen Reichsanstalt. Jahrb. Geol. Reichs- 136 Pror. Dr. K. W. v. Daura-TORRE 38. anst. Wien XVII. (1867), p. 47-62. — ENGLISCH : Quart. Journ. geol. Soc. XXIII (1867), P. 2, p. 7. . Adnotationes in Monographiam Formicidarum Indo-Neerlandica- rum. Tijdschr. v. Entom. N. (1867), p. 33-116, 2 Taf. . Missbildete Zwiebel einer Tulpe. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XVII (1867). Sitzungsber.. p. 65. . Uber die Ameisen des baltischen Bernsteins. Beiträge zur Na- turknnde Prenssens. Physik.-ökonom. Ges. Königsberg 1868. 4°, 102 p.. 5 Taf. — Extr. Jahrb. f. Mineralogie ete. 1869, p. 620-625. 5. Formicidae novae americanae collectae a prof. P. de Strobel. Annuario Soc. natural. Modena. III (1868), p. 168-178. . Cremastogaster Ransonneti n. sp. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XVIII. (1868). Abh., p. 287-288. . Die mitteleuropäischen Eichengallen in Wort und Bild. 10. Jah- resber. Kommunal-Oberrealsch. Rossan in Wien 1870, p. 1-38, Taf. LIV (L): 11. Jahresber. etc. p. 1-36, Taf. V-VII (II.). — Sep. Wien, ©. Gerolds Solin, 8°, 1871, p. 1-38, Taf. I-IV (I.); 1ST1 p. 39-70, Taf. V-VIL— FAKSIMILE-AUSGABE: Berlin, W. Junk, 8°. 1908. 70 p., 7 Taf. u. Register. ENGLISCHE ÜBERSETZUNG von Miss A. Weise - Herkomer mit Zusätzen von E. A. Fitch in Entomologist, vol. VII (1874), p. 1-4. 50-56, 73-75, 98-99, 145-146, 170-171, 193-195, 217-218, 241-252, 264267; Fig. 1-20, VIII (1875); p. 73-76, 97-99, 121-122, 145-147, 169-170, 254-255, 289 291; Fig. 21-33; IX. (1876) p. 1-3, 26-33, 50-54, 74-78, 115-117, 121-124, 146-150, 171-172, 194-197, 219-221, 245-247, 268-269, Fig. 34-61; X (1877), p. 67-70, 86-89, 121-124, 160-162, 172-173, 206-209, 234-235, 249-251, 297-299, Fig. 62-76: XI (1878), p. 14-16, 31-33, 87-88, 114-115, 133-136, 145-147. 180-183, 204-207, 220-226, Fig. 77-96. Formicidae novogranaden ses. Sitzungsber. Akad. d. Wissensch. Wien, Mathem.-naturwiss. Klasse, LXI, I. Abt. (1870), p. 370-417, Taf. . Nene Formiciden. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XX (1870), Abh. p. 939-996. . Bemerkungen zu Stals Enumeratio Hemipterorum. Wie vor. XXI (1871), Sitzber., p. 22. . Die Belostomiden. Monographisch bearbeitet. Wie vor. Abh. , p. 399-440. . Formicidae Borneenses collectae a J. Doria et ©. Beccari in PROF. Dr. Gustav MAYR 13 Territorio Sarawak annis 1865-1867. Annali Mus. civ. Genova II (1872), p. 138-155. 43. Die Einmietler der mitteleuropäischen Eichengallen. Verh. Zool.- bot. Ges. Wien XXII (1872), p. 669-726. 44. Gallen von Dryophanta seutellaris. Wie vor. XXIV (1874), Sit zungsber. p. 37. | x 45. Die europäischen Torymiden, biologisch und systematisch behan- delt. Wie vor. Abh., p. 53-142. 46. Die europäischen Encyrtiden. Biologisch und systematisch bear- beitet. Wie vor. XXV (1875), Abh., p. 675-778. 47. Die europäischen Cynipidengallen mit Ausschluss der auf Eichen vorkommenden Arten. 15. Jahresber. Kommunal-Oberrealseh. im IX. Bez., Wien 1576. 5°, p. 1-24, 3 Taf.— SEP. Wien, A. Hölder, 1876, 8°, 24 p., 3 Taf. 48. Die australischen Formiciden. Journ. Mus. Godettroy XII (1876), p. 96-116. 49. Formiciden in Voyage au Turkestan par A. P. Fedtschenko. Soc. Amis Natural, Saint-Petersbourg 1877. 4°, 20 p. [russisch; siehe Nr. 56]. 50. Über Dr. Emerys Gruppierung der Myrmiciden. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XXVII (1877), Sitzungsber., p. 23-26. 51. Die Chalcidiergattung Olinx. Wie vor. Abh.. p. 155-164. 52. Formiciden gesammelt in Brasilien von Prot. Trail. Wie vor. p. 867-878. 53. Die Arten der Chalcidiergattung Eurytoma durch Zucht erhalten. Wie vor. XXVIII (1878), Abh., p. 297-334. 54. Beiträge zur Ameisenfauna Asiens. Wie vor. p. 645-686. 55. Über die Schlupfwespengattung Telenomus. Wie vor. XXIX (1879), p. 697-714). 56. Die Ameisen Turkestans, gesammelt von A. Fedtschenko. Tijdsehr. v. Entom. XXIII (1880), p. 17-40 [Übersetzung von Nr. 49). 7. Beschreibung einer neuen Gallwespe: Andricus Adleri n. spec. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XXX (1880), Sitzungsber., p. 5-8. 58. Die Genera der gallenbewohnenden Cynipiden. 20. Jahresber. Kommunal-Oberrealsch. im I. Bez. Wien 1881. 5°, p. 1-35, 2 Fig. — SEP. Wien, A. Holder 1881, 8°, 35 p. 59. Die mutmassliche Heterogonie von Pediaspis sorbi Tischb. und Bathyaspis aceris Forst. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XXXI (1851), Sitzungsber. p. 4. 10 138 Pror. Dr. K. W. v. DALLA-TORRE 60, ib. Die europäischen Arten der gallenbewohnenden Cynipiden. 21. Jahresber. Kommunal-Oberrealseh. I. Bez. Wien 1882, 5°, p. 1-44. — SEP. Wien, A. Hôlder. 1882, 5°, 44 p. Fourmis de Cayenne (par. 0. Radoszkowsky). Horae Soc. entom. ross. XVIII (1883), p. 30-39. Drei neue ostindische Formicidenarten. Notes Leyden Mus. V. (1883), p. 245 247. Über Chilaspis Loewii Wachtl. Wien. entom. Zeitg. II (1883) , p. 7-5. Über das Vorkommen der Epitritus argiolus genannten Ameise Ungarn. Termész. Füzet. VI. (1884), p. 196-197. Feigeninsekten. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien XXXV (1885). Abh., p. 147-250, Taf. XI-XIIL Notizen iiber die Formicidensammlung des British Museum in London. Wie vor. XXXVI (1886), Abh., p. 353-368. Eine neue Cynipide aus Mexiko: Dryophanta Dugesii. Wie vor. p. 369-372, Taf. ET, Die Rociiotten der Vereinigten Staaten von Nordamerika. Wie vor. p. 419-464. Uber Eciton-Labidus. Ein myrmekologischer Beitrag. Wien. entom. Zeitg. V (1886), p. 33-36, 115-122. Siidamerikanische Formiciden. Verh. Zool.-bot.Ges.Wien XXXVII (1887). p. 511-652. Insecta in itinere cl. Przewalskii in Asia centrali novissime lecta XVII. Formiciden aus Tibet. Horae Soc. entom. ross. XXIV (1889), p. 278-280. Formiciden, von Herrn Dr. Fr. Stuhlmann in Ostafrika gesam- melt. Jahrb. Hamburg. Wissensch. Anstalt. X (1595), p. 195-201. Ergänzende Bemerkungen zu E. Wasmanns Artikel über sprin- sende Ameisen. Wien. entom. Zeitg. XII. (1893), p. Afrikanische Formieiden. Annal. naturhist. Hofmus. Wien X. (1895) p. 124-154, 3 Fig. >eiträge zur Kenntnis der Insektenfauna von Kamerun. V. For- mieiden, gesammelt von Herrn Yngve Sjöstedt. Entom. Tidskr. XVII, (1896), p. 225-256; Taf. IV un. V. Telenomus Sokolowi n. spec. Horae Soc. entom. ross. XXX. (1896), p. 442. Formiciden aus Ceylon und Singapur. Termész. Füzet. XX. (1597), p. 420-436. 19. S50. sl. 26) € Pror. Dr. Gusrav Mavk È 139 Drei neue Formiciden aus Kamerun, gesammelt von Herrn Prof. Dr. Reinhold Buchholz. Entom. Tidskr. XXI. (1900), p. 273-279. Südafrikanische Formiciden, gesammelt von Dr. mist Brauns. Annal. naturhist. Hotmus. Wien XVI. (1901), p. 1-30, Taf. I AE à Der Erzeuger der Sodomsäpfel. Wien. entom. Zeitg. XX. (1901), p. 65-68. Notiz über Cynipiden. Marcellia I. (1902), p. 103. 2. Hymenopterologische Miszellen. Verh. Zool.-bot. Ges. Wien, LIT. (1902), Abh., p. 287-303 (IL); LIII. (1903), Abh., p. 387-403 (IL); LIV. (1904), Abh., p. 559-598 (III.); LV. (1905), Abh., p. 529-575, Taf. II. (IV.). . Formieiden aus Ägypten und dem Sudan. Results Swedish zool. Expedition to Egypt and the White Nil 1901 under the Direc- tion of L. A. Jaegerskiöld. Nr. 9 (1904), 11 p. Über Andrieus theophrasteus. Marcellia IV. (1905), p. 51. Eine neue gallenerzeugende er pneu aus Paraguay. Wie vor. p. 179-181. . Neue Feigeninsekten. Wien. ent. Ztg. XXV. (1905), p. 153-187. Über Aulax graminis. Marcellia V. (1906), p. 74. 3. Zwei Cynipiden. Marcellia VI. (1907), p. 3-7, 1 Fig. . Formiciden in: Botanische und zoologische Ergebnisse einer wissenschaftlichen Forschungsreise nach den Samoainseln, dem Neuguinea - Archipel und den Salomonsinseln ete. vom Mai bis Dezember 1905. Denkschr. Akad. d. Wissensch Wien LXXXI. (1908), p. 313-314. TS — | 140 DESCRIPTION DE QUELQUES GALLES ET D' INSECTES GALLICOLES DE COLOMBIE par J. J. KIEFFER, Dr. phil. nat. Les galles que nous allons décrire, ont été recueillies aux envi- rons de Bogota, par le Cher Frère APOLLINAIRE. Sur Baccharis bogotensis 1° Rhopalomyia Herbsti Kieff. Galles de V inflorescence sembla- bles à celles que j’ ai décrites pour Baccharis rosmarini- folia Hook. du Chili (Revista Chil. Hist. Nat. 1903 vol. 7 p. 227). 2° Muscide. Renflement ellipsoïdal de la tige, long de 20 mm. et gros de 19 mm., la tige normale ayant une épaisseur de 4 à 5 mm.; paroi épaisse de 5 à 4 mm.; cellule allongée et unique. Chaque cel- lule renfermait un puparium de Muscide. Sur Eupatorium sp. ? Lépidoptérocécidie. Renflement de la tige long de 30 à 40 mm. et gros de 10 à 14 mm., la tige normale ayant une épaisseur de 2 à 3 mm.; ces renflements ont la forme de ceux des galles d’Aulax hieracii, étant tantôt allongés et arqués, portant quelques bourgeons ou quelques petits rameaux ; paroi mince, épaisse de 2 mm.; cavité larvaire très grande, renfermant une chrysalide longue de 9 mm., à segments lisses et brillants ; segments abdominaux 2, 3 et 4 jaunes dans leur quart apical, tout le reste brun; stigmates sous forme de petites verrues; septième segment abdominal arrondi au bout. Le parasite de ces chenilles est un Bethyline, dont la description suit : Parasierola bogotensis n. sp. D'un noir brillant, y compris les mandibules ; tibias antérieurs et tous les tarses d’un roux brunätre ou bruns. Tête un peu plus longue que large, avec une courte arête entre les antennes, chagrinée, parsemée de rares points; yeux deux fois aussi longs que les joues, un peu plus longs que leur distance DESCRIPTION DE GALLES ET D’ INSECTES DE COROMBIE 141 .) du bord occipital. Antennes de 15 articles; les articles 2 et 3 aussi longs que gros et subeylindriques, les suivants globuleux ou trans- versaux. Thorax finement chagriné; sillons parapsidaux nuls. Fossettes du seutellum ponetiformes, très distantes l’une de l’autre. Segment médian sans arête, non marginé, sa partie médiane un peu relevée, Ailes hyalines, à nervures jaunes; stigma et prostigma noirs; ce dernier plus petit que le premier; première partie de la nervure basale égale aux deux tiers de la seconde; cellule sous-costale s° élar- gissant graduellement ; la costale aussi large que la médiane, celle- ci presque d égale largeur sur tout son parcours. Taille ©: 2,5 mm. J’? ai obtenu cing exemplaires d’ une des galles du Lepidoptere. Cha- cun des parasites s’ était formé un cocon long de 5 mm. et gros de 2,5 mm., composé de fils d’ un blanc jaunatre ; ces cocons étaient fixés P un à côté de l’autre, à la paroi de la cavité larvaire. Sur Rubus bogotensis Lépidoptérocécidie. Semasia (?) cecidogena n. sp. (Fig. 1, aile). Imago. Papillon gris, long de 10 mm., à abdomen mince, gros de 2 mm. Ailes supérieures triangulaires, d'un gris brun, parsemées de quelques écailles d’un rouge brique, avec deux lignes et trois taches d'un jaune clair ou d’un blane jaunatre; les trois taches occupent presque tout le bord inférieur de Vaile et ont la forme de triangles confluents à leur base; du sommet du dernier de ces triangles part une ligne Fie. 1 . Aile de Semasia cecidogena oblique, qui aboutit à l'angle supérieur de l’extrémité alaire et se bifurque très brièvement au bout; l’autre ligne, faiblement arquée, part du bord antérieur au quart basal de V aile, descend près du sommet de la seconde tache trian- gulaire et s’ arréte un peu au dessus du sommet de la troisième ta- che. Ailes inférieures d’un gris uniforme. Eperons des pattes couver- tes d’ecailles blanches, presque aussi longs que le métatarse. Chrysalide sans enveloppe, longue de 15 mm. Premier seg- ment thoracique lisse; 2° et surtout le 3° portant sur la partie dor- 142 J. J. KIEFFER sale, des rangées transversales et espacées, composées de minimes spinules. Six premiers segments abdominaux rétrécis à chaque extré- mité, portant sur le milieu de leur surface dorsale, deux rangées transversales composées de spinules et séparées l’une de V autre par un enfoncement ; sur les segments 5 et 6, la rangée postérieure est faiblement marquée ; septième segment dépourvu de spinules, trans- versal, avec quelques longs poils, presque tronqué à son extrémité, dont chaque angle est proéminent en dehors sous forme de dent ; dessous de tous les segments lisse. Galle. Elle consiste en un renflement de la tige, de forme irré- eulierement arrondie, ressemblant extérieurement à la galle de La- sioptera rubi, Sauf que l’écorce n’est pas fendillée; la section montre une grande cavité larvaire. Métamorphose dans la galle. I PRIMI Z00CRCIDII DELLA SOMALIA ITALIANA per T. DE STEFANI PEREZ I cecidii che oggi descrivo sono stati trovati a caso tra le rac- colte botaniche fatte nel Benadir dal Dott. CESARE MACALUSO, Di- rettore dei Servizi agrarii in quella colonia, e dallo stesso gentil- mente donate al R. Orto Botanico di Palermo. Questo primo mate- riale cecidogeno, non raccolto appositamente, è povero e deficiente ; povero perchè si tratta di pochissime deformazioni, dovute ad insetti e ad alcuni eriofiidi ; deficiente perchè, oltre alla scarsità degli esem- plari, manca, meno in un caso solo, il cecidozoo. Trattandosi però delle prime notizie che possiamo, dal nostro punto di vista, raccogliere da una delle regioni africane inesplorate, credo ben fatto renderle note agli studiosi. La cecidologia africana è pochissimo conosciuta; solo di alcune regioni, dove la civiltà europea si è aperta il passo, comincia a cono- scersi qualche cosa; ma mentre è saputa la ricchezza della lussu- reggiante vegetazione spontanea del grande continente, il materiale cecidogeno giunto a noi è invece troppo povero, e d’ altro canto re- I PRIMI ZOOCECIDIT DELLA SOMALIA ITALIANA 145 = — — _ Sa = = cet = stano vaste zone inesplorate delle cui flore sappiamo nulla o troppo poco. La Somalia meridionale è una di queste zone e i pochi cecidii odierni iniziano la conoscenza della patologia vegetale di questo lembo africano. La loro illustrazione quindi acquista una certa im - portanza e credo doveroso, a questo punto, tributare al Dott. MA- CALUSO una lode sincera nell’ aver voluto, tra i disagi, attraverso un paese selvaggio, interessarsi alla Scienza per la quale ha raccolto anche in altri campi della Storia Naturale, aumentando un materiale preziosissimo che man mano verrà da diversi studiosi illustrato. 2. Acacia Macalusoi Marr. (1). Local. Giumbo (Goseia) Sett. 1907. Nom. volg. Dammal, ? Entomocecidio.— Piccola galla legnosa delle foliole, in forma di doppia coppa, di cui, una sulla faccia e V altra sulla pagina oppo- sta, così che la base comune traversa il lembo fogliare; ma questo, mentre sulla superficie della pagina inferiore è leggermente infossato, sulla pagina superiore invece è sollevata in piccolo cercine. La sva- satura di questa specie di coppa è appena di 1 mill. il suo margine lievemente frastagliato e la sua superficie delicatamente striata da costoline. Osservazione — Questa deformazione però la ritengo di età molto giovane, sia perchè la maggior parte degli esemplari sono sformati, credo per effetto della disseccazione, sia perchè nel loro interno, al punto di congiunzione delle due coppe, ho trovato una piccolissima ‘avità così sformata che non è possibile dire con sicurezza se essa rappresenta o meno la camera larvale. 2. Acacia sp.— Località — Merca. — Epoca ? Galla subsferica della grossezza di una noce, in tutto simile a (1) G. E. MarttEI — Contribuzione alla Flora della Somalia Italiana (Centuria prima) Bull, del R. Orto Botanico e Giardino Coloniale di Palermo. Vol. VII, 1908, 144 l. DE STEFANI PEREZ quella da me descritta al N. S per V Acacia verek (1) e dovuta pro- babilmente ad un imenottero. 3. Acacia tortilis Hayne — Local. Giumbo (Goscia) Sett. 1907. Nom. volg. Agap. Eriophyide — Gemme fogliari ipertrofizzate e trasformate in una massa irregolare fortemente pubescente, di dimensione variabile, ma mai molto pronunziata. Foliole, nelle foglie già sviluppate, similmente alterate dalla parte della pagina superiore, gambo della foglia e delle foliole punto alterato; pubescenza, tanto nell’ una che nell’ altra al- terazione, bianca. I. Avicennia officinalis L. — Local. Giumbo (Goscia). Agosto 1907. Nome volg. Sciovri. ? Cecidomyidae.—Pustole delle foglie comparenti su Puna e Paltra superficie del lembo, lenticulari, di circa 3 mill. di diametro, isolate 0 concrescenti, con la superficie, dalla pagina superiore della foglia li- scia, piana, di color bianchiccio e nuda, superficie della porzione sporgente sulla pagina inferiore più elevata dell’altra, segnata, verso il centro, da un anello nerastro, nel resto cenerina e vellutata come la superficie del dorso della foglia stessa. Camera larvale ampia, circoscritta dall ampiezza di tutta la pu- stola. Il cecidozoo vien fuori bucando nel centro la galla dal dorso della foglia. Osservazione — Questo cecidio potrebbe riferirsi a quell’ altro descritto dal TROTTER per ’Avicennia officinalis del- l’ Egitto (2); ma pare che ne differisea por il fatto che in questa deformazione da me notata, gli elementi della galla nella pagina dor- sale siano più fortemente ipertrofizzati, mentre in quella notata dal TROTTER succede perfettamente il contrario. 5. Ficus sycomorus L. — Local. Kaitoi (Merca) Luglio 1907. Nom. volg. Mukai. Emitterocecidio — Piecoli sollevamenti come grani di canapuccia > (1) T. De STEFANI PEREZ — Contributo alla conoscenza degli Zoocecidii della Colonia Eritrea. Marcellia, Riv. int. di Cecidologia, v. VI, 1907. (2) A. Trotter — Per la conoscenza della cecidoflora esotica (Bull. della Soc, botan. italiana, 1901). I PRIMI ZOOCECIDII DELLA SOMALIA ITALIANA 145 _- —— FE | sulla pagina anteriore delle foglie, a cui, sulla pagina dorsale, cor- risponde una relativa fossetta. Osservazione — Anche quest’ altro cecidio pare essere uguale a quello descritto dal Trorrer dall’ Egitto e sulla stessa specie di Ficus (Le), è uguale anche a quella citata da me per I’ Eritrea (1. e.), ma non credo uguale a quello del RÜBSAAMEN per Ficus sp. dell’ Arcipelago Bismark (1). 6. Ficus sycomorus lL. — Local. Kaitoi (Merea) Luglio 1907. Nom. volg. Mukai. ? Cecidomyidae — Ipertrofia fusiforme di un nervo secondario della foglia iù pronunziata sul dorso di questa )oco apparente sulla > ’ ’ pagina anteriore, glabra; lunga circa sette millimetri, con un dia- 1 metro massimo di appena uno. 7. Ficus sycomorus L.— Local. Kaitoi (Merca) Luglio 1907. Nom. volg. Mukai. Imenotterocecidio ? — Ipertrofia rameale fusiforme, legnosa, della grandezza d’ una nocciola e disposta sui rami intercalatamente; essa ha molta somiglianza apparente con la galla prodotta dalla Perrisia rufescens De St. su Phyllirea variabilis e con Valtra del. POlea chrysophylla della Colonia Britrea attribuita ad un microlepidottero; ma essa è tutt’ altra cosa e non è riferibile ad un lepidottero, nè credo, per la forma delle camere larvali e la loro di- sposizione, si possa attribuire ad una cecidomide. Queste galle, disposte così a nodi sui rametti, spesso si riuni- scono e ne vengono a formare una sola più vistosa, irregolare nel contorno, in cui le camere larvali, piccole, rotonde e numerose, sono disposte in fila doppia ed anche tripla nel midollo del ramo. Anche le galle isolate contengono diverse camere larvali con la stessa di- sposizione. Queste galle sono legnose e a superficie glabra; il cecidozoo ne vien fuori tracciandosi un passaggio cuniculare attraverso il legno e venendo ad uscire da un punto qualunque della superficie gallare per un piccolo buco rotondo, circondato da un leggiero cercine. (1) Ew. H. RÜBSAAMEN — Beiträge zur Kenntnis ausserenropäischer Zooceci- dien (Marcellia, Riv. Int. di Cecidologia, v. IV-1905). 146 T. DE STEFANI PEREZ S. Grewia populifolia Vahl.— Local. Giumbo,(Goscia) Agosto 1907. ? Cecidomyidae.— Piccoli sollevamenti, grossi come granelli di ca- napuceia, sparsi sul lembo fogliare tanto dalla pagina superiore che da quella dorsale, chiusi, subeonici, glabri e contenenti una piccola camera larvale a pareti piuttosto doppie. La foglia, sulla parte op- posta delle piccole galle, non presenta nessun segno della altera. zione. 9. Grewia sp. — Local. Giumbo (Goscia) Agosto 1907. Entomocecidio — Galla fogliare, sferica, della grossezza di un pisello, di consistenza subspugnosa, producentesi sul bordo della fo- glia in continuazione di una nervatura secondaria, di colore bruna- stro ed a superficie leggermente pubescente; nel suo interno sono diverse camere larvali, sparse irregolarmente per tutta la massa, pie- cole e rotonde. 10. Grewia sp.-- Local. Giumbo (Goscia) Agosto 1907. Eriophyidae — Piccolo erineo, disposto in ciuffetti di color fer rugineo sul dorso della foglia Inngo il nervo mediano e 1 nervi se- condarii, costituiti da trieomi unicellulari, brevi e acuminati. Osservazione — Il FÉE, al n. 2 della sua memoria (1), cita un Erineum grewianum F. dell’ India, ma la sua descrizione non si at- taglia a quello da me oggi descritto e di più V erineo del FEE è indicato come epifillo, mentre quello odierno è ipofillo. 11. Grewia sp.— Local. Giumbo (Goscia) Agosto 1907. Eriophyidae — Cecidio ceratoneiforme sulla pagina superiore del lembo, di 5-6 mill. d’ altezza, leggermente fusiforme o clavato o at- tenuato verso | apice, vnoto internamente sino all’ apice; ad esso , sulla pagina dorsale della foglia, corrisponde 1 ostiolo otturato da un ciuffetto di peli ferruginei. Osservazione — Questo cecidio corrisponde esattamente a quello (1) A. L. A. FÉE — Mémoire sur le groupe des Phyllériées ete..... 1834. - I PRIMI ZOOCKCIDII DELLA SOMALIA ITALIANA 147 descritto dal TAVARES (1) dallo Zambese per la Grewia bico- lor Juss. 12. Heliotropium sp.— Local. Deg-dega (Brava). Epoca? Eriophyidae — Foglie all’ estremità del gambo molto ipertrofiz zate, deformate e agglomerate in una massa subsferica compatta, spugnosa, della grossezza di una piccola noce, divisa in setti. Queste divisioni corrispondono alle singole foglie che si sono spostate allo innanzi per concorrere alla formazione della massa con la quale, pur venendo a contatto, non si sono saldate. Superficie di questa altera- zione coperta di brevi peli bianchi. 13. Sideroxylon sp.— Local. Giumbo (Goscia) Sett. 1907. Nom. volg. Garas. Ipertrofia del parenchima fogliare, della grossezza di una favetta, di forma subsferica, comparente su Puna e Valtra pagina del lembo in ugual misura, resistente, a superficie glabra, ancora immatura è verdastra, cioè dello stesso colore della foglia con la quale si con- fonde e riesce poco distinta allo sguardo, anche per lo spessore ordi- nario molto della foglia; quando è matura invece acquista un color brunastro di foglia secca ed allora diviene molto distinta. Interna- mente, al centro, essa porta una camera larvale molto ristretta e tubiforme, riparata da pareti molto doppie e resistenti. Il cecidozoo buca la galla nel centro, dalla parte della pagina superiore. Su le foglie, di queste galle se ne incontrano parecchie, sparse irregolarmente sulla lamina, e questo pare essere il caso più ordina- rio, mentre su qualche foglia solamente ne ho trovato di isolate. Osservazione — I cecidozoi, come ho detto, bucano la galla nel centro per venir fuori e tracciano un bucolino relativamente grande, rotondo e col margine un po’ saliente. Per ogni galla non è che un solo bucolino di uscita, come all’ interno una sola camera larvale ; ma alcune di queste galle presentano altri bucolini di diversa con- formazione, piccolissimi e per lo più in numero di tre o di quattro e (1) J. Da SILVA Tavares — Contributio prima ad cognitionem Cecidologia Regionis Zambeziae (Brotéria, Vol. VII; 1908). 148 T. DE STEFANI PEREZ costantemente verso il loro margine; la galla in questo caso è sfor- mata, cioè raggrinzita, irregolare e disseccata prima che sia giunta al suo completo sviluppo. Tutto ciò mi fa supporre che tali galle siano quelle che vennero parassitizzate allo stato giovanile e che, morto il cecidozoo, per opera del parassita, anche esse siano morte. In aleune galle ben sviluppate ho trovato nell’ interno, sebbene morto, ma in buone condizioni per essere studiato, V insetto perfetto di un imenotterino del genere Isosoma, che riferisco ad una nuova specie e che ritengo essere il vero autore della deformazione. In omag- gio al raccoglitore delle sue galle lo deserivo col nome di Lsosoma Macalusoi. Isosoma Macalusoi n. sp. 2. Di color giallo, meno il segmento mediano dell’ addome che è bruno. Testa giallo-chiara, con senltura indistinta, cancellata, antenne gialle lieve- mente imbrumte, palpi giallo-chiari, mandibole con Vestremita bruna. Torace spar- samente segnato di punti impressi, leggermente pnhescente, di color giallo chiaro, col bordo esterno dei diversi pezzi bruno. Ali ialine con due macchie brunicce , una, la più grande, ha origine dallo stigma e si allarga di molto sul campo alare, specialme::te in direzione dell’ estremità dell’ ala, V' altra, sulla parte caratteristica, è più piccola e trasversale, cioè si estende dalla nervatura costale a quella infe- riore; in prossimità della nervatura costale questa macchia oscura porta un cinf- fetto di peli bruni. Piedi tutti di unico colore giallo-pallido. Addome levigato, col peziolo, il primo segmento, il secondo e V anale giallo- chiari, tutti gli altri bruni. Lung. 2 5/4 mill. 14. Solanum sp.— Local. Mogadiscio (Zona littoranea) Maggio 1908. Nom. volg. Arundo-deheh. Galla simile a quella già nota pel Solanum coagulans, pel Sol. polyanthemum (1), pel Sol. sodomaeum (2) e pel Sol. campylacanthum (3) della Colonia Eritrea e dovuta ad un mierolepidottero. (1) A. Trorrer — Galle della Colonia eritrea (Marcellia, vol. III, fase. IV-V 1904). (2) G. DEL GUERCIO — Intorno ad un cecidio del Solanum sodomaeum raccolto nella Colonia Eritrea (Nuove relazioni intorno ai larori della R. Stazione di Entomologia Agraria di Firenze. Ser. I, n. 6-1903). (3) T. DE STEFANI |. ce. I PRIMI ZOOCECIDII DELLA SOMALIA ITALIANA 149 15. Tamarindus sp.- Local. Mogadiscio. Giugno 1907. Aphididae — Foliole piegate in forma di baccello, cioè le due metà del lembo combaciantisi anteriormente lungo il nervo mediano, leggermente ipertrofizzate e racchiudenti una rieca sostanza cotonos: bianca dovuta, io ritengo, certamente a colonie di qualche afidide. DESCRIPTION DE GALLES ET D INSECTES GALLICOLES D ASIE par l'abbé J. J. KIEFFER, Docteur ès sciences (Avec 2 Planch. et 4 figures dans le texte) Les galles décrites dans ce travail proviennent toutes, sauf une seule, des Indes Orientales et im’ ont été envoyées par le Rev. P. A. HAAS, S. J., professeur de chimie au College St. Joseph à Trichi- nopoly. Cette étude forme la quatrième Contribution à la cécidologie du Bengale (1). I. CÉCIDOMYIDES Sur Symplocos theaeformis L. ? Contarinia pulcherrima Kieft. Cet insecte forme sur les rameaux dune plante nommée Kharani par les indigènes et qui est probablement Symplocos theae- formis L. un renflement irrégulier en forme de bosselette unilaté- rale ou entourant le rameau ; ce renflement est parfois presque deux (1) Etude sur les insectes gallicoles et les Phytoptides du Bengale (Ann. soe. scient. Bruxelles 1905 vol. 29 p. 143-200 avec 1 pl. et 15 fig. dans le texte); Eine neue gallenerzeugende Psyllide aus Vorder-Indien (Zeits.-wiss. Insektenbiologie vol. 11, 1906, P. 987-390, mit 5 fig.); Description de quelques nouvelles Cécidomyies des Indes (Re- cord of the Indian Museum 1908 vol. 2). 150 J. J. KIEFFER fois aussi gros que le ramean normal, dont ’épaisseur est de 5 à 10 mm. Sous Vécorce se trouvent de nombreuses loges situées sans ordre dans la couche ligneuse. Les larves sont d’abord blanches, puis vitellines ; leur corps est lisse et n° a d’autres verrues que les verrues spinifor- mes; papilles dorsales, latérales, pleurales et ventrales sans soie, les terminales conformées comme d'ordinaire dans ce genre. Spatule jau- ne, longuement pétiolée ; la partie évasée est divisée par une incision arquée, en deux lobes transversaux. Ces larves arrivent à leur matu- rité vers la fin de décembre et se rendent en terre pour y subir leur métamorphose, L’ insecte parfait éclot quinze jours plus tard; il fait partie du sous-genre Stictodiplosis. Bengale: Kurseong. Sur Mangifera indica L. 1° Oligotrophus (?) mangiferae n. sp. Pl. III fig. 1, galle Galle et nymphe. Les rameaux du Manguier offrent par- fois des bosselettes unilatérales, longues de 10 à 30 mm., larges de 8 à 10 mm. et hautes de 5 à 10 mm.; à l’intérieur se trouvent de nombreuses cellules larvaires alignées ou disposées irrégulièrement , longues de 2 mm., ovoïdales et entourées chacune d’ une mince paroi blanche , ligneuse et très fragile; toutes ces cellules sont très rap- prochées les unes des autres. La métamorphose à lieu dans la galle. L’ éclosion a probablement lieu en décembre, car les galles recueillies le 12 janvier étaient déjà abandonnées par leurs auteurs ; dans une des cellules j’ ai trouvé une nymphe morte, non entourée d’ une en- veloppe, mais nue. La peau nymphale w est pas chitineuse ; les deux armures frontales très longues, pointues, étroites et juxtaposées; les articles antennaires que j'ai extraits de leur fourreau étaient à peine pédicellés et presque deux foix aussi longs que gros. Bengale : Man- resa House, près Ranchi. 2° Oligotrophus (?) tenuispatha n. sp. Pl. III fig. 6 et 7, galle; PI. IV fig. 1, spatule Galle située sur le dessous des feuilles du Manguier, globu- leuse, d'un diamètre de 2,5 mm., à surface glabre et réticulée, paroi DESCRIPTION DE GALLES FT D’ INSECTES GALLICOLES D’ ASIE 151 : assez épaisse ; à la face supérieure de la feuille correspond une tache jaunâtre (Fig. 6 et 7). Larve solitaire, blanche, très petite, lisse, à verrues spiniformes très petites, remarquable par sa spatule (fig. 1 P1.IV) qui est entièrement jaune, à tige très longue et grêle, à partie évasée non incisée mais largement arrondie à l'extrémité ; la forme de la spatule indique que l’insecte forme probablement un nouvean genre. Les antennes de la larve sont petites; les papilles pleurales internes disposées par grou- pes de deux et non de trois. Manresa House, près Ranchi, en janvier. 3° Cécidomyide Galles foliaires, en forme de pustules cireulaires faisant éga- lement saillie sur les deux faces des feuilles da Manguier, mais très faiblement, d’un diamètre de 1,5 mm., uniloculaires, à paroi très mince, Manresa House. 4° Cécidomyide Pl. III fig. 4 et 5, galle Galles situées sur le dessous des feuilles du Manguier, en cone obtus, hautes de 2,5 mm., et larges d’ autant à la base, d’ un noir brillant, glabres, lisses, renfermant une galle interne ligneuse, mince et soudée au tissu environnant ; cellule larvaire grande, coni- que et solitaire. A leur extrémité, ces galles sont marquées ‘dun cercle rouge qui détermine une calote noire, que insecte soulève et fait tomber à la maturité. A leur base, ces galles sont entourées plus ou moins distinetement d’ un tissu foliaire qui parait avoir été soulevé pendant la formation de la galle. A la face opposée du limbe, on voit une pustule circulaire. Manresa House, en janvier. Sur Maesa indica Oligotrophus (?) quadrilobatus n. sp. Pl. III fig. 2 et 3, galle; Pl. IV fig. 4, spatule Galle située sur le dessous des feuilles d’ une plante appelée Bilauni par les indigènes, fixée à la nervure médiane , uniloculaire, en cône pointu, hante de 3 mm. et grosse de 1,5 mm. à sa base, 152 J. J. KIEFFER verte, assez dure; paroi mince; à la partie supérieure de la feuille, ces galles sont proéminentes sons forme de disque convexe d’ un diamètre de 1,5 mm. (Pl. III fig. 2 et 3). Larve dun jaune vitellin, longue de 1,5 mm.; corps convert de verrues assez planes. Spatule brune, graduellement élargie de la base au sommet qui est divisé par trois incisions anguleuses, en quatre lobes pointus, dont les externes sont les plus courts (fig. 4, Pl. IV) Segment anal à papilles terminales pen distinctes. Bengale : Kurseong. décembre. Snr Tabernaemontana coronaria? . n) Galle sur une plante qui ressemble à un Framboisier (T a- bernaemontana coronaria’). Elle consiste en un renflement d’un rameau ressemblant exactement à celui de Diastrophus rubi, atteignant aussi les pétioles, les nervures principales des feuilles et parfois même les nervures secondaires qui forment résean ; en ce cas, la feuille entière ne présente plus qu’ une masse épaisse coriacée , rétienlée, plus on moins contournée. Ces renflements contiennent un grand nombre de petites cellules ovalaires renfermant chacune une larve blanche, encore immature. Kurseong, en décembre. Snr Capparis viminea Oligotrophus (?) indianus n. Sp. Pl. III, fig. 9 et 10 galle; PI. IV fig. 3, spatule Galle. Cette plante, nommée Tzinde où Chinli par les indigè- nes, porte des galles consistant en un renflement formé aux dépens d’une nervure médiane ou axillaire des feuilles, d’ une couleur jau- nâtre, faisant également ,saillie sur le dessous et le dessus, long de 5-12 mm, large de 5-8 mm. et gros de 65 mm.; paroi épaisse, char- nue, mais dure, et multiloculaire; cellule pas plus longue que la larve. Ces renflements apparaissent aussi sur le petiole et sur les rameanx. Larve dun jaune vitellin, couverte de verrues grandes et granulées, sauf sur le dessous de la tête, du con et du premier seg- ment thoracique, ainsi que sur la partie antérieure du dessus de ces mémes segments. Verrues spiniformes formant de nombreuses rangées; papilles DESCRIPTION DE GALLES ET D’ INSECTES GALLICOLES D’ ASIE 153 ventrales antérieures situées dans les rangées de verrues spiniformes, un peu après le milieu; papilles ventrales postérieures, les quatre papilles ventrales du dernier segment abdominal , papilles dorsales, latérales et terminales avec une soie très courte, ce qui est aussi le cas pour les papilles pleurales externes et le second groupe des papilles pleurales internes, qui n’ est composé que de deux papilles ; les quatre papilles anales simples. Spatule (fig. 3, Pl. IV) brune; sa partie évasée divisée par une profonde incision anguleuse, en deux lobes triangulai- res et un peu plus larges que longs. Ces larves quittent leur plante nourricière vers la mi-janvier et se rendent en terre pour y subir leur métamorphose. Une des galles renfermait un Bracon sp.? qui avait véeu aux depens de la larve de la Cécidomyie.— Kurseong. - Sur Eurya japonica Les indigènes désignent cette plante du nom de Jhingui. On y trouve plusieurs sortes de galles, dont les deux suivantes m’ ont été communiquées. 1° Schizomyia (?) incerta PI. III fig. 8, galle; Pl. IV fig. 2, spatule Galle charnue, molle, subglobuleuse, uniloculaire, brièvement pédicellée, haute de 8 à 12 mm. et large de 6 à 8, glabre, et ayant un peu l’ apparence d’un bouton de fleur (fig. 8). Larve solitaire, rouge, grosse, couverte de verrues circulaires, ombiliquées au centre et se touchant; sans verrues spiniformes ; pa- pilles ventrales antérieures très petites; les postérieures avec une courte soie, ainsi que les dorsales et les latérales. Segment anal muni de deux crochets bruns. Spatule (fig. 2, Pl. IV) à tige très longue ; partie évasée divisée par une large incision anguleuse, en deux lobes triangulaires et aigus. Ces larves se rendent en terre, en janvier, pour $ y métamor- phoser. Kurseong. 11 154 J. J. KIEFFER 2° Cécidomyine Pl. III fig. 11, 12, galle Galle subglobuleuse, @ un diamètre de 5 à 8 mm., fortement velne, biloculaire, à paroi mince. Ces galles sont fixées aux nervures, sur le dessous des feuilles (fig. 11 et 12). Kurseong, en décembre. Snr « Lahara » Une plante grimpante, commune et très jolie, désignée du nom de Lahara par les indigènes, porte des galles de la grosseur et de la forme d’ une noisette et consistant en un renflement de la tige; elles sont multiloculaires, à cellules éparses dans la substance de la salle. Larves jaunes. Kurseong, en décembre. | Sur une plante grimpante Nchizomyia (?) indica n. sp. Pl. 1V fig. 10, spatule Galles très nombreuses, globuleuses, d’ un diamètre de 4 à 6 min., blenätres, lisses, mates, parsemées de poils dressés, blanchatres, et longs de 1 à 2 mm., fixées par un pédicelle extrêmement petit, a une des nombreuses nervures formant réseau sur le dessous des feuilles on aux nervures principales. Certaines galles sont ombiliquées an pôle supérieur. A la face opposée, leur présence est indiquée par un point brun. Leur paroi est double; elle se compose d’une couche externe et charnue qui se rétrécit et se dessèche à la maturité, et d'une couche interne, ligneuse, mince, et adhérente a la couche externe. A la maturité, c'est à dire, en novembre, la galle tombe à terre. Cellule larvaire grande et unique. Sur une plante grimpante, an jardin du Séminaire de Kurseong; feuilles et rameanx comme chez Aristolochia, mais la longueur de la feuille ne dépasse euere nn décimètre. Larve grosse, d'un jaune vitellin. Tête petite, antennes courtes. Dessus du corps, côtés des segments et moitié postérieure de la partie ventrale des segments couverts de verrues planes qui se ter- minent subitement en une pointe conique ; les trois derniers segments sont déponrvus de verrues, sauf une bande transversale située entre DESCRIPTION DE GALLES ET D? INSECTES GALLICOLES’D’ ASIE 155 les deux stigmates sur l’ antepenultieme segment. Les soies dorsales ne sont qu’au nombre de 4; les latérales au nombre de 2 de chaque côté ; les papilles ventrales au nombre de 4, dont les deux antérieures sont simples et situées au milieu des rangées de minimes verrues spiniformes; les deux postérieures sont munies d’une courte soie. Au segment pénultième, les papilles dorsales sont au nombre de deux et changées en deux prolongements côniques, jaunes et chitineux à V extrémité. Segment anal recourbé par en haut, terminé par deux crochets bruns ; les autres papilles terminales tres petites, globuleu- ses, non chitineuses. Spatule jaune (fig. 10); la partie évasée profon- dément découpée en are; les deux lobes ainsi formés sont pointus et plus longs que larges. Papilles sternales du 1° segment thoracique grandes et granulées. Le premier groupe des papilles pleurales in- ternes se compose de quatre minimes papilles portant une soie très courte et très fine; le second groupe se compose de deux papilles semblables ; papilles pleurales externes à soie un peu plus forte. Kurseong. Sur « Tshiplay » Clinodiplosis (?) nodifex n. sp. Pl. IV fig. 8, spatule Galles sur un arbrisseau abondant à Kurseong et appelé Tshiplay par les indigènes. Elles consistent en des renflements de rameau, de forme irrégulière, gros de 3 à 20 mm. et longs de 5 à 30 mm., renfermant de nombreuses cavités larvaires. Larve rouge, lisse, sauf sur les côtés de tous les segments et le dessus des trois derniers segments qui sont couverts de larges verrues planes. Les verrues spiniformes de la partie ventrale sont grandes dans la moitié antérieure des séries, très petites dans la moitié postérieure. A partir du second segment thoracique inclusive- ment, la partie dorsale des segments offre aussi des verrues spini- formes, qui sont plus grandes que celles de la partie ventrale. Pa- pilles sans soies et disposées comme d’ordinaire chez les Diplosariae. Seginent anal terminé par deux grands crochets jaunes, deux fois aussi longs que larges à la base, séparés par une profonde incision arquée , et portant chacun trois soies, l’une à sa base, 1 autre au côté interne un peu au-dessus du milieu; cette dernière est courte, \ 156 J. J. KIEFFER les deux premières fortes et assez longues. Spatule jaune et confor- mée comme dans le genre Contarinia ; les deux lobes de la partie évasée sont obtus, transversaux et séparés par une incision arquée (tig. 5). Kurseong. Sur Artemisia sp.? Ulinodiplosis (?) artemisiarum n. sp. La larve de Clinodiplosis nodifex a le segment anal conforme exactement comme celle qui provoque des renflements sur les tiges d’un Artemisia voisin d'A herba-alba et que j ai décrite en 1905 (Etude sur de nouveaux insectes et phytoptides' gallicoles du Bengale, Ann. soe, scientif. Bruxelles vol. 29 p. 155, fig. 2), mais sans la dénommer ; je la désigne ici du nom de Clinodiplosis (2) ar- temisiarum : toutes deux forment probablement un genre distinet , voisin de Clinodiplosis. Sur un arbrisseau inconnu Ilinodiplosis cellularis n. sp. Pl. IV fig. 9, spatule Galle sur un arbrisseau dont les fibres servent aux indigènes pour faire des cordes; ses feuilles ont la forme et la dimension de celles de Ulmus montana, sauf que leur base est amincie et qu’elles sont longuement pédonculées. La galle consiste en un ren- lement unilatéral et irrégulier d’ un rameau, long de 50 mm. et large de 15 mm., de substance brune et spongieuse, renfermant des galles internes dures, irrègulièrement arrondies, d'un diamètre de 3 mm., ' uni-ou biloculaires. Larve dun blanc jaunâtre, couverte sur le dessus et sur les côtes, de verrues larges et coniques ; verrues spiniformes petites , très aiguës ; papilles pleurales comme d'ordinaire dans ce genre ; papilles ventrales antérieures petites et situées dans la série des verrues spiniformes, les postérieures sans soie; papilles dorsales et latérales à soie forte et assez longue; les huit papilles terminales offrent le caractère des espèces de ce genre, 1 externe étant rem- placée par une soie longue et forte; les deux basales sont petites, de chaque côté pas plus longues que grosses et terminées par une DESCRIPTION DE GALLES ET D? INSECTES. GALLICOLES *D’ ASTE #5 minime papille; les quatre autres jaunes, chitineuses, petites et re- courbées par en haut. Spatule (fig. 9 Pl. IV) jaune, à extrémité brune ; les deux lobes de la partie évasée sont triangulaires et séparés par une incision anguleuse. Vallée de Balason. aux environs de Kurseong. Sur Camellia drupifera Louc. Lasioptera longispatha n. sp. Gallie sur Camellia drupifera, arbuste ressemblant au Thé et nommé Hingua par les indigènes. Elle est formée aux dépens d’une pousse ou d’un bourgeon lateral; elle est arrondie ou ovoïdale, d’un diamètre de dix millimètres, à surface bosselée et garnie d’ un assez grand nombre d’ appendices’ pointus ou inenrvés, longs de 2 à 3 mm. et qui sont à considérer comme des feuilles déformées. L’ intérieur de ce renflement offre une substance molle et d’un brun sombre, contenant des galles internes dures , brunes, irregulierement arrondies, grosses de 3 mm., uni-ou bilotulaires, et disséminées sans ordre dans la substance environnante. Larve dun jaune vitellin, couverte de verrues assez petites et coniques. Antennes de forme ordinaire. Verrues spiniformes faisant défaut. Papilles sternales et pleurales sans soie ; environs de la spa- tule granulés. Papilles ventrales très petites, sans soie. Papilles dor- sales, latérales et terminales également très petites, à soie indistincte. Spatule brune, à tige très longue et linéaire ; partie évasée transver- sale, divisée par une incision arquée, en deux lobes triangulaires et au moins aussi larges que longs. Kurseong. Sur Schima Walchii ou Echinocarpus dasycarpus Lasioptera trilobata n. sp. PI. IV fig. 6, spatule Galles. Le substrat en question est ou bien le Chilauni des indigènes (Schima Walchii) ou bien le Gobria des indigènes (Echinocarpus dasycarpus); les feuilles non coriaces sont lancéolées, simples, entières, semblables à celles de Prunus Pa- dus, mais longues de 8 à 12 em. et larges de 4 à 5 em. Les galles 158 J. J. KIEFFER qui sont éparses sur le dessous du Jimbe, sont globulenses, vertes, lisses, glabres, charnues, d’un diamètre de 5 à 6 mm., à parei de 2 mm.; cellule centrale et unique. Après la sortie de la larve, la sub- stance externe entre en décomposition et on trouve à l’intérieur d'une masse molle et noiratre, une galle interne, globuleuse et à paroi trés mince. Larve solitaire, blanche ou jaunâtre, couverte partout de ver- rues pointues ; papilles ventrales, dorsales, latérales et terminales très petites et à peine distinctes; papilles pleurales internes dispo- sées par groupes de deux et de trois, très petites et munies d’ une soie très fine et très courte. Spatule d’un brun sombre (fig. 6), grande, à long pédicelle, à partie évasée trilobée ; lobe médian le plus long, largement échancré à son extrémité par une incision arquée; lobes externes obtus, plus minces et plus courts que le médian. Kurseong, en décembre. Sur une plante inconnue Pl. III fig. 13 et 14, galle Galle cylindrique, tronquée au sommet, haute de 5 mm. et grosse de 1,5 à 2 mm., brièvement pubescente, à paroi mince; une lamelle longitudinale et plus épaisse que la paroi, divise la galle en deux cavités égales, habitées chacune par une larve. Ces galles sont fixées à la surface du limbe (fig. 15 et 14). Sur Fagus sp.? . Mikiola orientalis n. sp. Pl. IV fig. 7, spatule. Galle assez semblable a celle de Mikiola fagi Hart., mais blan- che, dure, à sommet obtus et arrondi, à base rétrécie ; elle est située à la face supérieure des feuilles du Hêtre, à Vaisselle des feuilles, dans lesquelles elle laisse, en se détachant, une sorte de cupule , comme chez M. fagi. Larve blanche, grosse, longue de 2 mm. et grosse de 1,5 mm. couverte de verrues fortement ombiliquées ; papilles pleurales exter- nes, et ventrales postérieures munies d’ une longue soie; papilles ventrales antérieures situées sur deux mamelons très grands, traversés DESCRIPTION DE GALLES ET D? INSECTES GALLICOLES D’ ASIE 159 par de nombreuses lignes et se touchant l'un V autre. Papilles ter- minales petites, à soie courte. Spatule (fig. 7) d’un brun clair, guère plus longue que large, rétrécie au milieu, sans tige, terminée par deux dents d’un brun sombre, pointues et séparées l’une de l’autre par une larze et profonde incision arquée. Asie-Mineure (Dr. A. TROTTER). Il. HÉMIPTÈRE Les galles produites par Daphnephila glandulae Kieff. sur M a- chilus Gamblei, sont souvent couvertes de Tingitides qui les sucent. Le Docteur HoRVATH, à qui j ai envoyé de ces Tingitides, y a reconnu une espèce nouvelle, qu'il a décrite sous le nom de Ste- phanitis gallarum (Ent. M. Mag. 1906 p. 53). III. PSYLLIDES Cecidotrioza baccarum n. sp. Pl. IV fig. 13, tête vue d’ en haut; fig. 14, aile; tig. 12, pince anale D'un beau vert; antennes brunes; pince du male jaune. Tete (tig. 13) à peu près glabre, avec des poils très courts et très clair- semés, converte de petites rides transversales, arquées et fines qui Ini donnent un aspect écailleux; vertex convexe en arrière, avec un sillon longitudinal ayant son origine à l’ocelle antérieur, et de. cha- que côté, un sillon transversal et arqué, qui entoure un des ocelles postérieurs. Les deux prolongements faciaux sont de moitié plus longs que larges; sur leur dessous, vers le milieu, ils portent une rangée transversale de cing soies, dont la longueur égale celle des prolon- cements. Antennes longues de 1,5 mm. et composées de dix articles; les deux premiers articles lisses, et à peine plus longs que gros; les huit suivants carénés transversalement, avec quelques rares et courtes soies; 3° article antennaire cing fois aussi long que gros, distincte- ment plus court que le 4°, qui est égal au 5°; 6° presque deux fois aussi long que le 5°; 7° égal au 3°, un peu plus court que le 5° ; 9° et 10° plus gros que les précédents, le 9° deux fois aussi long que gros, un peu plus long que le 10°. Thorax peu convexe. Pro- notum très étroit. Dorsulum graduellement élargi d'avant en arrière, 160 J. J. KIEFFER deux fois anssi long que le mesonotum ; celui-ci transversal, non dé- coupé en are à son bord antérieur. Côté externe de la base des tibias postérieurs avec deux dents ; leur extrémité avec trois spinules noires situées du méme côté, Ailes sans tache, minces et pointues (fig. 14); nervure basale aussi longue que la tige de la discoïdale, se divisant en trois branches à son extrémité; nervure intermédiaire deux fois aussi longue que 1’ humérale, avec laquelle elle fait un angle; radius tres long, parallele au bord antérieur, son extrémité plus rapprochée de la pointe alaire que l extrémité du rameau inférieur du cubitus ; rameau supérieur du cubitus à peine arqué, presque deux fois aussi long que Vinférieur, aboutissant immédiatement au-dessus de la pointe alaire; un peu en dessous de cette pointe se voit un petit trait com- posé de spinules microscopiques ; rameau inférieur droit; à égale distante de ce rameau et du rameau supérieur de la discoïdale, se trouve un second trait de spinules; un troisième est situé entre les deux rameaux de la discoïdale, à peine plus rapproché du supérieur que de l’ inferieur ; rameau supérieur de la discoïdale fortement arqué et plus de deux fois aussi long que Il’ inférieur qui est faiblement arqué. Pince du male (fig. 12) composée de deux lamelles allongées et amincies au bout, en avant desquelles se voit une pièce presque deux fois aussi longue, amincie à la base, prolongée en angle au milieu de son bord postérieur, obtuse au sommet. Valves génitales de la femelle subconiques, atteignant le cinquième de la longueur de l’abdomen. Taille 7 ©: 2,5 mm. Nymphe dun bean vert; trait transversal sur le milieu du thorax, bord antérieur de l’abdomen ainsi que deux traits obliques, deux petits traits transversaux sur le milieu du premier segment , dessus des segments suivants sauf les bords latéraux , noirs. Corps très déprimé, parsemé de poils courts, un peu plus longs sur les bords. Galle. Cet insecte forme, sur les rameaux de Symplocos theaefolia (?), appelé Kharani par les indigènes, des galles for- mées aux dépens d’un bourgeon et ayant I’ apparence d’ un grain de raisin; elles sont globuleuses, ou irrégulièrement arrondies, dun diamètre de huit à dix millimètres, ombiliquées au pôle supérieur , lisses, glabres, vertes, violacées ou bleues, charnues, à paroi de 2 3 mm., renfermant au centre deux cellules ovalaires, longues de 1,5 mm., ou une seule cellule centrale d’ un diamètre de 2 mm. Après DESCRIPTION DE GALLES ET D’ INSECTES GALLICOLES D’ ASIE 161 la maturité, elles se rident et prennent l'apparence d’un grain de raisin desseche. Kurseong. ’syllide sp. ? Galles sur un arbre appelé Tarsing par les indigènes. Elles consistent en des bosselettes d’un rameau, longues de 6 10 mm. et iarges de 4-7 mm., avec un enfoncement allongé en leur milieu ; ces bosselettes sont ordinairement agglomérées et forment parfois un renflement uniforme du rameau ou encore d’un pétiole. Ces mêmes salles se rencontrent encore sur les feuilles; elles sont alors longues de 8-10 mm. et larges de 6, charnues, traversant le limbe qu’ elles dépassent peu, se touchant V une V autre; souvent toute la feuille est hypertrophiée et courbée ; chaque galle offre, à la face inférieure du limbe, une cicatrice allongée. Ces galles renfermaient dans une cavité unique, une larve de Psyllide. Kurseong. ’syllide Sp. ? talles sur les feuilles d’ une plante appelée Ambakai par les indigènes. Elles sont éparses sur les feuilles dont elles traversent le limbe, et ont quelque ressemblance avec les galles de Pontania pro- rima Lep. des feuilles de Saule; elles sont longues de 7-5 mm., larges de 5 mm., également proéminentes sur les deux faces, qu’elles dé- passent de 2 mm., vertes, lisses, uniloculaires, ombiliquées au milieu sur le dessous. Chacune renferme une larve de Psyllide. Elles paraissent identiques à celles que j’ ai décrites en 1905 et dans lesquelles j ai trouvé une larve de Cécidomyie (Ann. Soc. scientif. Bruxelles vol. 29 p. 158). IV. APHIDE Pemphigus indicus n. sp. Fig. 1, p. 164 Corps rougeñtre ; tête, antennes et pattes brunatres ; dessus du thorax, une tache sur les pleures et sur le sternum dun brun som- ‘ bre, Antennes composées de 7 articles; articles 1 et 2 lisses et a 162 J. J. KIEFFER peine plus longs que gros; article 3° aussi long que les deux sui vants reunis, six fois aussi long que gros, parcouru transversalement par une douzaine d’ arêtes perenrrentes ; article 4° d'un quart plus long que le 5°, avec cing ou six arêtes transversales et percurren- tes; 5° article trois à quatre fois aussi long que gros, avec trois arêtes transversales et non percurrentes ; article 6° d’un quart plus long que le 5°, avec deux arêtes transversales et non percurrentes; 7° article en forme de petit appendice, à peine deux fois aussi long que gros, terminé par trois courtes soies, pas de moitié aussi gros que le 6° et le 5°, qui sont eux-mêmes un peu plus minces que les précédents. Chez Pemphigus affinis Kalt., les antennes ne different que par les caractères suivants; le 3° article est beaucoup plus long que les deux suivants réunis, onze fois aussi long que gros; le 4° est distinctement plus court que le 5°, qui est cinq fois aussi long que gros, et egal au suivant; 5° et 6° avec 7-3 arêtes transversales et percurrentes. Ailes avec la même nervation que chez Pemphigus affi- nis; 1° et 2° nervures très rapprochées a leur origine ; la 3° oblité- rée à sa base, dirigée vers la partie basale de la 2°; la 4, qui est arquée, a son origine au-dessus du milieu du grand stigma et abou- tit à l’extrémité alaire ; les ailes inférieures ont deux nervures obli - ques rapprochées à leur base, et la nervure sous - costale atteint l'extrémité alaire; leur surface est brunätre, plus sombre vers la base des ailes inférieures, tandis que les ailes de P. affinis sont hyalines. Abdomen relativement plus gros que chez P. affinis. Taille G: 2,5 mm. Moeurs. Cet insecte vit en société dans de grosses galles , formées aux dépens d’une feuille d’un arbre; ces feuilles sont glabres, allongées, terminées en pointe et à bord entier. Les galles (fig. 1 p. 164) sont irrégulièrement arrondies, d’ un diamètre de 40 à 50 millime- tres, à surface inégale et bosselée, à paroi mince, et s’ ouvrant irré- gulierement à la maturité ; elles ont beaucoup de ressemblance avec les galles de Schizoneura ulmi L. Patrie. Indes orientales : Kurseong. Psyllide où Aphide Fig. 3, p. 164 Les feuilles de Maesa indica (Bilauni des indigènes) offrent parfois une boursoufflure occupant, sur un des côtés du limbe, un DESCRIPTION DE GALLES ET D’ INSECTES GALLIUOËES D’ ASIE 163 tiers ou toute la moitié de la feuille, rarement occupant presque toute la feuille; la partie boursoufflde est jaune, agrandie, incurvée par en bas, coriacée, hypertrophiée et formant bourse ; sa surface est traversée par des enfoncements irréguliers. Toutes ces galles étaient abandonnées par leur auteur et renfermaient une substance coton- neuse et jaunâtre, exsudée par les larves. Patrie. Bengale : Manresa House, près Ranchi. 1; V. COCCIDE Leachia festiva n. sp. Pl. IV. fig. 11, mâle Male. D'un rouge vif; antennes noiràtres, la partie rétrécie des articles plus claire; une ligne arquée et transversale située sur le dessus de la tête, avant le milieu, et cinq lignes situées sur le dessous de la tête et formant une étoile, noires; une courte ligne longitudinale sur chaque côté du pronotum, mesonotum sauf une tache médiane, mesosternum, une ligne oblique sur les propleures, hanches et pattes noirs. Tête transversale, triangulaire en avant; yeux gla- bres, rouges, ressortant fortement, subglobuleux. Antennes dépassant le milieu de I’ abdomen, composées de dix articles; les deux articles basaux sont subeylindriques et deux fois aussi longs que gros, avec quelques courts poils; articles du flagel- lum formés par deux nodosités ornées chacune d’ un long verticille de poils; les quatre premiers articles ont une forme allongée, avec un rétrécissement au milieu; les quatre suivants ont leur nodosité basale séparée de la nodosité terminale par un rétrécissement en forme de pédicelle et aussi long qu’ elle; la nodosité terminale se termine elle même par un pédicelle semblable, sauf celle du dernier article. Ailes nues, hyalines, avee un petit lobe basal et traversées par deux grosses nervures longitudinales, dont la le longe le bord et y aboutit assez près de l'extrémité ; la 2e nervure sort de la Le, assez près de la base, et se dirige obliquement vers le bord postérieur de Vaile mais sans V atteindre. On remarque en outre deux fausses nervures indiquées par des lignes blanches ; lune, droite, est située entre la 1° et la 2e nervure; elle sort de la base de la 2° et atteint le bord postérieur de V aile, assez près de Vextrémité alaire ; Vautre, 164 J. J. KIEFFER arquée, sort de la base de la 1° nervure, se dirige vers le bord po- stérieur de l'aile qu’ elle longe jusqu’ an dernier tiers alaire, mais sans | atteindre. Les ailes postérieures sont remplacées par un moi- Fig. 1. Galle de Pemphigus indicus n. sp. Fir. 2. — Galle de Cecidothrips bursa- rum n. gen. et n. sp. Fig. 3. — Galle sur Maesa indica (Psyllide ou Aphi- de). Fig. 4. — Galle de Cecidothrips bursa- rum n. gen. et ne Sp. gnon très court, ne dépassait que peu le lobe des ailes Supérieures, trois à quatre fois aussi longues que larges, à bords presque paral- léles, obtuses à l'extrémité qui est armée de trois longues et grosses soies incurvées au bont. Pattes avec des soies assez longues et assez denses ; tibias 2-3 fois aussi longs que 1 article tarsal; crochet tarsal simple, avec une courte soie latérale à sa base. Abdomen plus long que le reste dw corps ; 8° segment mince et petit, portant un faisceau de poils trois fois aussi longs que lui, Taille: 3 mm. DESCRIPTION DE GALLES ET D’ INSECTES GALLICOLES D’ ASIE 165 Larve. Rouge, sans yeux distinets ; hanches pales; pattes et extrémité des antennes noiratres. Corps avec une pilosité éparse. Antennes petites, composées de neuf articles graduellement allongés et amincis, les premiers transversaux, les derniers un peu plus longs que gros, le 9° presque deux fois aussi long que le 5° et paraissant formé par la réunion de deux articles. Pattes comme chez 1 imago. Moeurs. Ces insectes se trouvent en société sous des amas floconneux blancs, épars sur le dessous des feuilles du Manguier (Mangifera indica L.) et y occasionnent parfois un reploie- ment. Patrie. Bengale: Manresa House près Ranchi. VI. THYSANOPTÈRES Cecidothrips bursarum n. g. et n. sp. è Fig. 2 et 4, p. 164, galles ; PI. IV fig. 15, mâle Ce nouveau genre appartient à la famille des Phloeothripsidae ou Tubulifères. Ses caractères sont les suivants. Corps linéaire depuis le pronotum jusqu’ au 6° segment abdominal, faiblement aminci aux deux bouts. Tête pas plus longue que largé. Antennes presque aussi longues que la tête et le thorax réunis, composées de 8 articles. Pronotum à peine plus court que la tête, faiblement élargi en arrière, où il atteint la largeur du mésothorax ; il porte avant le milieu, de chaque côté de la ligne médiane, une longue soie dirigée en arrière, et à chaque angle postérieur, une soie courte dirigée en avant. Ailes à peu près linéaires, dépourvues de nervure. Fémurs épaissis, Surtout les antérieurs ; les quatre tibias postérieurs munis d’ une forte soie au côté externe, près de son extrémité ; tarses antérieurs sans dent. Abdomen aussi long que le reste du corps, aussi large que le tourax; 7° segment dépourvu de dents triangulaires à son bord postérieur ; les sept segments abdominaux portent de chaque côté, en arrière du milieu, trois soies, et plus en avant, une soie très courte plus rap- prochée de la ligne médiane; aux segments 6° et 7° les trois soies latérales sont deux fois aussi longues que celles des autres segments, égales à la moitié de la longueur du tube; celui-ci plus de trois fois aussi long que large à la base, à peine aminei à l'extrémité qui porte une couronne de 12 longues soies divariquées. Imago. D’ un noir brillant; flagellum, yeux, les trois ocelles, 166 J. J. KIEFFER = les tibias antérieurs et tous les tarses jaunes ; parfois le bord posté- rieur des segments abdominaux d’un brun jaune. Tête arrondie en avant, graduellement elargie en arriere ; ocelles postérieurs touchant presque les yeux qui sont glabres et ne ressortent pas. Les deux premiers articles antennaires à peine plus longs que gros; le 3e ob- conique, un peu plus long que le 4% articles 4 à 6 ellipsoïdaux, un pen amincis à la base, distinetement plus longs que gros surtout chez la femelle; 7e aussi long que le 3°, subeylindrique, un peu aminci à la base; 8° de la longueur du 7° mais un peu plus mince et légèrement aminei aux deux bouts; les articles 3 à 6 portent, au tiers supérieur, au côté interne et au côté externe, un appendice sensoriel, semblable à une grosse soie conique et atteignant presque la moitié de la longueur de V article; immédiatement en-dessous de ces appendices se trouve un verticille de quatre soies plus courtes que les appendices et peu distinctes. Pronotum finement granulé , strié transversalement au tiers antérieur, presque égal à la demie longueur du reste du thorax qui est finement granulé, avec la partie médiane réticulée. Femelle aptere. Chez le mâle, les ailes atteignent la base du tube; elles sont hyalines, linéaires, avec les deux extré- mités un peu amincies, dix fois anssi longues que larges, à frange presque deux fois aussi Jongne que leur largeur. Bord antérieur des segments abdominaux strié transversalement sur le dessus. Taille gf: 1,6 mm.; ©: 2 mm. Galle (fig. 2 et 4 p. 164). Ces insectes se trouvent en trés grand nombre, an delà de cent, enveloppés de débris noirâtres et filamen- teux, à l’intérieur de grosses galles qu’ on trouve abondamment sur un arbre, dont le nom ne m’a pas été communiqué. Ces galles affec- tent deux formes: lune (fig. 2), que je considère comme forme ty- pique, est transversale ; elle est fixée sur le dessous de la feuille , presque toujours à côté de la nervure médiane, comprimée, bursi- forme, longue de 30 à 40 mm., haute de 15 à 20 mm. et grosse de 6 à 10 mm.; sa surface est lisse, glabre, la partie dorsale avec quel- ques enfoncements en ligne transversale ; paroi dure, épaisse de 2 à 3 mm.; ouverture en fente, située a la face opposée de la feuille et toujours moins longue que la longueur de la galle. L’ autre forme (fig. 4) est allongée, hante d’ environ 25 mm., large de 12 mm. et comprimée ; ouverture en fente, à la face opposée de la feuille ; je nai pas pu trouver de différence entre les habitants de ces galles ANR 1908 MARCELLIA, v. VII AN. gallicoles d’ Asie Kieffer, Galles et Insectes Tav. IV. MARCELLIA, v. VII AN. 1908 ) ) = INN S %t%—\(A(\|@\-++ YQ \ T(|;\[wès SQV VO NN Kieffer, Galles et Insectes gallicoles d Asie a i | è 2, = Tru | | i ring i} LE Ni h 4 LI ‘ TE | UN ® et ceux de la forme précédente. Les feuilles affectées sont toujours plus ou moins déformées. Trichinopoly, collége St. Joseph. VII. PHYTOPTOCÉCIDIE Pl. III fig. 16 et 17, galles Galle sur une plante appelée Maranseh par les indigènes, supra- foliaire, haute de 6 à 10 mm., irrégulièrement cylindrique, rétrécie à la base, s’ élargissant plus ou moins au sommet qui est toujours obtus et plus ou moins incurvé ; l’épaisseur de la galle à la base, est de 1 mm., au sommet, de 2 à 4 mm.; surface brunätre, glabre, presque lisse; ouverture sur le dessous de la feuille ; paroi très mince, épaisse de 0,5 à 0,75 mm. [7 intérieur de ces galles est garni de poils bruns. brillants, dirigés obliquement par en bas, longs, eylin- driques, denses et remplissant toute la cavité. ES Me D. RAPPORT! FUNZIONALI TRA LE GALLE DI DAYOPHANTA FOLI ED IL LORO SUPPORTO Osservazioni di A. TROTTER Le ricerche sulla fisiologia delle galle sono ancora in sull’ inizio. Ed è peccato perchè un tale indirizzo colmerebbe una lacuna nella cecidologia generale, la quale però, ad onor del vero, in questi ulti- mi anni ha fatto passi giganteschi. Tali ricerche prospetterebbero poi una nuova luce, oltre che sul fenomeno tuttora misterioso della ceci- dogenesi, anche sulle intime ragioni della specificità morfologica delle galle e, forse, per via indiretta, un qualche contributo da esse po- trebbe giungere anche alla fisiologia e biologia normale della pianta. Era forse nel vero il MAC LAcHLAN quando, in un breve articolo, facente parte di una polemica cecidologica, che risale oramai al 1889 168 A. TROTTER e della quale ebbi diffusamente ad intrattenermi (1), osservava che forse 1 intima ragione della specificità delle galle era da ricercarsi nel dominio della fisiologia. («..... But I am quite sure it could be answered on purely physiological grounds if carefully studied »). Di studi concreti e speciali sulla fisiologia delle galle, o per lo meno ad essa strettamente attinenti, non saprei ricordare che il la- voro del VON GUTTENBERG (2) intorno ad aleuni micocecidii ; le os- servazioni generiche e suecinte del KÜSTER, sparse in vari capitoli della sua opera di anatomia patologica (3), tratte più che altro da constatazioni anatomiche ; le poche osservazioni che io stesso (4) ho consegnato in un precedente lavoro, intorno al sistema secretore di talune galle di Cinipidi, ove è posta anche in rilievo I’ importanza di quegli adattamenti atti a mitigare nelle galle i danni di una troppo forte traspirazione; infine il lavoro del VANDEVELDE (5) che è forse quello più strettamente fisiologico di tutti, giacchè negli altri trattasi, più che di vere e dirette osservazioni fisiologiche , di constatazioni anatomo - fisiologiche, poggiate sulle possibili analogie con i tessuti normali della pianta. * * * Le osservazioni che in via preliminare sono affidate alla presente Nota, benchè assai semplici, mettono però in chiara luce i rapporti funzionali che intercedono tra la galla ed il suo supporto, di fronte ai complessi fenomeni della traspirazione. Le galle da me prese in esame sono quelle della ben nota Dryo- phanta folii, le quali traggono origine dalle nervature, sulVipofillo di Quercus pedunculata-Ehr. e Q. sessiliflora Sm, e sono diffuse in tutta Europa media. Più che per la forma, la quale (1) Le ragioni biologiche della cecidogenesi. Nuovo Giorn. bot. it., N. S. ve VIII an, 1901, p. 560. 12) H. V. GUTTENBERG Beiträge 2. physiologischen Anatomie der Pilzgallen. Leipzig, W. Engelmann an. 1908, 70 pp. in-8 e 4 tav. doppie. (3) E. Küster — Pathologische Pflanzenanatomie. Jena, G. Fischer 1903. (4) A. TroTTER — Contributo alla conoscenza del sistema secretore in alcuni tes- suti prosoplastici. Annali di Botanica v. I, an. 1908, fase. III, 11 pp. con 5 fig. (5) A. J.J. VANDRVELDE — Bijdrage tot de physiologie der gallen. Het aschgehalte der aungetaste bladeren. Bot. Jaarb. Dodonaea, VIII, an. 1896, p. 102-118. RAPPORTI FUNZIONALI TRA LE GALLE DI DRYOPH. FOLII ED IL SUPPORTO 169 non ha nulla in sè di particolare, salvo una quasi perfetta sfericità, come galle fogliari, sono notevoli per il volume e di conseguenza per il peso. Non è raro il caso di fronde di Quercia pendenti per le nume- rose galle sviluppatesi dalle loro foglie, nè più nè meno di quanto potrebbe accadere in una pianta carica di frutta. Una foglia di Quercus sessiliflora, di mediocre dimen- sione (1), da me raccolta il 25 agosto nel bosco del « Fagaré » presso Cornuda, portava attaccate alla pagina inferiore sei galle di Dryoph. Joli, quattro delle quali avevano un diametro non inferiore ai 2 em. Il peso della foglia perciò, carica delle sei galle, era di grammi 26,40! (2). Una foglia normale, approssimativamente della stessa dimensio- ne (3), da me raccolta per controllo, non pesava invece, freschissima, che grammi 0,70! Quindi, per eguagliare il peso della foglia galli fera, sarebbero occorse circa 38 foglie della stessa dimensione. Di quale enorme attività formativa non fu sede perciò quella foglia men tre durò lo stimolo cecidogenetico , attività poi tanto più singolare in quanto si esplicò in un organo somatico ed in un’ epoca (luglio- agosto) nella quale di norma Il’ accrescimento ‘degli organi è meno attivo. Proseguii per altra via le mie indagini supponendo che il no- tevole peso, più che a compattezza di tessuti e perciò a formazione di sostanza, fosse da attribuirsi ad un forte immagazzinamento d’acqua. La foglia normale e la foglia gallifera furono esposte a naturale disseccamento all’ombra. Dopo due giorni, la foglia normale era quasi secca, mentre la foglia gallifera era tuttora freschissima. Dopo poc’altri giorni la foglia normale, completamente disseccata, aveva perduto più di metà del suo peso primitivo (da gr. 0,70 a gr. 0,30) mentre la foglia gallifera, pur avendo subìto una notevole riduzione in peso, di grammi cioè 2,20 (da gr. 26,40 a gr. 24,20), si manteneva sempre, contro ogni aspettativa, freschissima e verde. Staccai allora accuratamente, da una delle nervature secondarie (1) Massima lunghezza, compreso il picciolo, mm. 117; massima larghezza mm. 62. (2) Alcune poche cifre, relative ai peso delle galle di Dryoph. folii, trovansi anche in KIEFFER, Cynipides I p. 185. (3) Massima lunghezza, compreso il picciolo, mm. 116; massima larghezza m. 58. 12 17 0 A. TROTTER una delle sei galle (del diam. di circa 2 em.) che abbandonai a dissec ‘amento naturale, contemporaneamente e nello stesso luogo delle altre cinque, che lasciai invece attaccate alla foglia. Col passare dei giorni le cinque galle cominciarono a rammollirsi (1) corrugandosi sensibil- mente alla superficie, mentre la foglia a cui aderivano continuava a mantenersi turgida e verde! Questo avveniva il 17 settembre ,, cioè dopo 24 giorni dalla raccolta, mentre la foglia normale, sprovvista di galle, in meno di una settimana si era completamente disseccata! Più tardi,la sola foglia, si disseeeo completamente, mentre nelle cinque galle un certo turgore era tuttora sensibile. Nella galla staccata invece un pari fenomeno non si ebbe che più tardi, alla distanza di quasi 15 giorni. Il completo disseccamento, tanto delle galle attaccate quanto della galla separata, non avvenne che assai più tardi, cioè dopo eire: quattro mesi, con più di un mese di antecipazione per la galla, se- parata! Le fasi graduali di tale disseecamento, che io controllai re- golarmente con pesate accuratissime, durante i quattro mesi di osser- vazione, trovansi registrate in apposita tabella. La galla separata, raccolta, unitamente alle altre, il 25, agosto e che il giorno 10) settembre, in cui fu staccata, aveva um peso di gr. 4,40 (2), il giorno 16 decembre soltanto finì di perdere completa- mente la sua acqua, riducendo il proprio peso a gr. 0,60. Può dedursi perciò che Vacqua vi si trovi nella proporzione dell’ 87 °/, circa. Una foglia normale, in agosto, contiene invece dell’ acqua nella propor- zione del 57 °/, circa. Perciò quella galla, con un peso ad, essie- ‘azione normale di gr. 0,60, contiene tanta sostanza secca, pari a quella di due foglie, pure essiccate, ed eguali a quella raccolta per controllo, il cui peso, come dissi, si ridusse da gr. 0,70, a gr. 0,50. (1) Molti Antori danno le galle della Dryophanta folii come molli al tatto. È certo invece che durante il mese di agosto, nel pieno loro turgore, esse si presen- tano durissime, quasi da sembrare costituite da tessuto veramente resistente. Il rammoliimento non avviene che più tardi, quando cioè hanno perduto spontanea- mente parte dell’ acqua immagazzinata, come è dimostrato dalle presenti ricerche. (2) Il suo peso iniziale, il. giorno cioè in cui fu, raccolta la foglia, gallifera , non costatato perchè, naturalmente, la pesata fu cumulativa , doveva essere certo superiore : lo possiamo arguire dai 2 gr. e 20 d’ acqua, perduta nell’ insieme. e che, approssimativamente, le dovrebbero spettare per circa '/. Cosiechè possiamo, rite- nere che il peso iniziale della galla, sia, stato di, gr. 4,84 (cioè gr. 4,40 + 17, di gr. 2,20). RAPPORTI FUNZIONALI TRA LE GALLE DI DRYOPH. FOLIT ED tL supporto 171 Perciò le sei galle, supposte tutte di dimensione eguale, danno un peso di sostanza secca pari a quella di 12 foglie e non di 35 come si doveva supporre dalla pesata iniziale. Quindi nelle galle fogliari pur così voluminose della Dryophanta folii, la formazione di sostanza non è così grande quale lo farebbe credere il peso iniziale, peso che aveva indotto il BEYERINK (1) a supporre che tale sostanza fosse fabbricata dalla galla stessa, in seguito ad un lavoro di sintesi quale esiste nei tessuti assimilatori normali. 2 Le galle di Dryophanta folii anno una strattura istologica ca- ratteristica, in causa di un abbondante parenchima corticale , ricea- mente vascolarizzato, costituito da cellule irregolari, allungate radial- mente, un po’ ramose, lascianti delle notevoli lacune. Trattasi eviden- temente, per i fenomeni da me posti in luce, di un vero pare n- chima aquifero e non di un tessuto a ere atore come viene interpretato dai cecidologi che si sono oceupati dell’ istologia di que- sta galla. Essi assimilarono un tale tessuto a quello, di analog: struttura, che costituisce la massa parenchimatica fondamentale delle galle di Cynips Kollari, Biorhiza terminalis ete., nelle quali, indub- biamente esso ha V ufficio di un vero tessuto aereatore, come il peso limitatissimo di tali galle lo lascia a priori supporre. Nelle galle della Dryophanta folii invece si dimostra come un tessuto atto ad un sin- golarissimo immagazzinamento d’ acqua. * * * Dalle osservazioni da me compiute possiamo far emergere i se- guenti fatti generali in rapporto alle galle di Dryophanta folii : 1°) che la traspirazione, da parte delle galle aderenti alla foglia, deve avvenire in natura in modo del tutto insensibile, 2°) che in una foglia gallifera, separata dalla pianta, 1’ emissione d’acqua per un certo spazio di tempo si effettua quasi esclusiva- mente attraverso il parenchima fogliare e non attraverso le pareti delle galle attaccatevi, (1) M. W. BEYERINOK — Beobacht. ib. die ersten Entwieklungsphasen einiger Cynipidengallen, an. 1882, 172 A. TROTTER 3°) che perciò in una foglia gallifera, separata dalla pianta, la turgescenza e la vitalità possono mantenersi per una quantità di tempo assai più grande, in contronto di una foglia normale, in grazia cioè dell acqua immagazzinata nelle galle, acqua che viene ceduta alla foglia, che funge da emuntorio, man mano che in questa dimi- nuisce la pressione per I’ acqua che lentamente vaporizza attraverso le sue epidermidi, . 4°) che in una galla staccata dalla foglia, la perdita di acqua avviene, proporzionatamente, in misura assai minore e con pit grande lentezza, cosicchè , almeno sull’ inizio, essa può mantenersi turgida , in confronto delle galle attaccate, per uno spazio di tempo assai più grande (1). La spiccata facoltà da parte di queste galle di trattenere l’acqua, risulta anche dai confronti tra le varie pesate. Di fatti la foglia gallifera nei primi 7 giorni perdette gr. 4.20 mentre durante lo stesso spazio di tempo la galla isolata non perdette che gr. 0,33, cioè circa il 27 °/, del peso totale nel primo caso, solo il 7.5 °/, nel secondo. Si comprende facilmente come, nel primo caso, la maggior perdita d’acqua dipen- desse dal persistere dell’ attività traspiratrice da parte della foglia, tutt’ ora vegeta, attività la quale era in rapporto non del peso to- tale, ma bensì della superficie di traspirazione. Quindi una foglia normale, in base alle cifre da me raccolte, traspirerebbe in una pro- porzione circa quattro volte maggiore di una galla; il che è del resto giustificato non solo dalle disposizioni anatomiche esistenti nelle galle, atte ad intrenare la traspirazione, ma anche dalla superficie traspi- rante che, proporzionatamente al suo peso, nella galla è assai più piccola. Di fatti, ad una galla di circa 2 em. di diametro, il cui peso secco è equivalente a quello di due foglie, possiamo assegnare una superficie di circa 12 emq. e ‘/,, mentre due foglie, supponiamo quelle (1) È però singolare il fatto che la galla staccata, tenuta in osservazione, ab- bia poi finito per disseccarsi completamente prima delle altre, cioè il 16 dicembre anzichè il 27 gennaio. Molto facilmente il fenomeno è da attribuirsi alla piccola interruzione di continuità, in corrispondenza della sna inserzione, la quale ha certo facilitato V emissione d’ acqua; ciò che naturalmente non è avvenuto nelle galle rimaste attaccate alla nervatura fogliare, RAPPORTI FUNZIONALI TRA LE GALLE DI DRYOPH. FOLII ED IL SUPPORTO 173 raccolte per Vesperimentazione, hanno invece in totale una superficie di circa 85 em. quadrati. Può anche dedursi, come non improbabile, che Vacqua contenuta nei tessuti della galla possa in natura venir utilizzata dalla foglia stessa e quindi indirettamente dalla pianta, quando le condizioni meteoriche spingano gli organi ad una troppo attiva traspirazione. È certo poi che la presenza di quest’acqua, immagazzinata nei tessuti gallari ed utilizzabile da parte della foglia, può spiegare la più lunga persistenza sulla pianta delle foglie, quando, in linea generale, sono affette da galle, fenomeno più volte segnalato e che trova il suo riscontro anche in altri casi di parassitismo (1). È certo del pari, sempre in linea generale, che le galle più evo- lute, o per la precoce lignificazione dei loro tessuti, o per i rivesti- menti di peli o di sostanze gommose o resinose, o per la natura delle loro epidermidi o dei loro succhi cellulari, o per la forma tondeggiante che riduce la superficie di traspirazione, 0 vuoi ancora, come nel caso presente. per delle forti riserve d’acqua, le galle, ripeto, sì mostrano come delle entità plasmate ad un adattamento xerofilo, al pari degli organi che caratterizzano le piante così dette xerofile. Una più stretta analogia strutturale mostrano le galle con i frutti, al pari dei quali esse sono capaci di immagazzinare riserve d’ acqua che, allo stesso modo di quanto accade nei frutti, possono essere trattenute per lungo spazio di tempo. Cosicchè I’ analogia più volte invocata delle galle con i frutti, non è semplicemente morfologica e biologica, ma poggia anche sopra precise constatazioni fisiologiche. Segue il quadro delle pesate : (1) Fr. Cavara — Intorno agli effetti dell’ azione irritante delle Cocciniglie sui tessuti assimilatori, Rend. R. Acc, Sc. Fis. Mat., Napoli, fase. 1-2, an. 1908, 3 pp. 174 A. TROTTER TABELLA DELLE PESATE (dal 25 agosto 1908 al 29 gennaio 1909) Epoca Peso in grammi Epoca Peso in grunmi seg ie) 2 = = RE D 3 3 oe E I £% | 22 = = DE Leo Mis. | „25 = > Lao ME = | 1. e = = LE "3 = 2 | Do. = | L Jr DA Par A fi =) D | cn | = > all ie ‘ir TEN ui I m | 25 | VAI] 0,70 | 26,40 |?21,56| 24,84 127| XI} 4,62 | 0,68 | | | | 4 IX 0,30 24,20 = SOs). XI 4,50 0,66 | 11,40 4,07 5| XIt 4,29 | 0,63 | | | 10) IX st loto gage” |: 14280 3| XII 4,37 0,64 | | 23| IX » — | 9,85 2415: 440 x 4,12 0,62 ae) 1K) ed am 4,09) ore | | | | | FI % PAIE 8,95 3,26 | 16| XII| 3,93 0,60 SX,» | — 845 | 3,02 | 191 xii 3,84 ’ reti NOE » | + 8,20 | 2,87 22 x 3,76 » 11 X » 1,85. | 205.725 XII 3,68 » PRE" Pure FE 1,58 | 250 |20| xul 362 |» 16; X » | — 7,42 | 2,40 | 31| KE] 359 || » 121 ee N. eh ROS | 2,16 3 (909) 1) 3,54 | » Baar oa ER 6,83 2:08 AG), cl. Sa lie» 25 X » NS 1. 1,88 9 | 3,48 » | 28 X » | _ 6,37 1,72 | 12 Il 3,39 | » 1 XI » WER 6,00 1,48 15] | 3,97 | » Py ee 7 | > > 5,84 | 1,38 | 18 Il 3,34 | ; 7) XI » = 5,62 1,25 | 21| Bi 10| XI » = 5,45 1.11: 21 23 I 3,28 | » 14 | XI » = 5,23 097 125! il 3,275] » ‘kg XI » | - | 5,06 | 0,87 27 Il 3,27 » 23 | XI » | — 1,80 | 0,75 | 29 | | » » BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI MARCELLIA, Riv. Intern. di Cecidologia (Yol. VII, an. 1908) BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI —-— e +0 2 — ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 1. Burdon E. R.— Influence of Chermes on Lerch Canker (Garden. Chron., London 1907, 9 pp. con 6 fig.). 2. Chodat M. R.— Rapport au nom de la Commission chargée de faire une étude sur la maladie de la vigne nommée, à Genève, Court-noué (Bull. Cl. Agricult. Soc. des Arts de Genève, 4 ser., 4 vol. an. 1905, p. 125-138) Trattasi della malattia della Vite, già descritta da FAES, MULLER-THURGAU ete. [efr. Bibl. IV 106, 113, 115, V 8] che lV’ A. ritiene prodotta da un Phytoptus pullu- lans, molto aftine al Ph. Vitis. 3. Del Guercio G.— Sulla importanza della Fillossera gallicola e della sua comparsa in Toscana (Il Progresso agricolo an. V, n. 5 1908, Estratto di 14 pp.). Sulle Viti americane, coltivate in Toscana, era sconosciuta sino a poco tempo addietro la forma di Fillossera distinta col nome di gallicola o fogliare. Secondo afferma Y A. i recenti e copiosi ritrovamenti di galle fogliari su viti ame- ricane dei dintorni di Fauglia sono dovuti all’ importazione fattane dal Prof. G. B. Grassi. La presenza perciò di queste galle fogliari avendo servito a completare il ciclo di sviluppo dell insetto vi è a temere per una più larga diffusione della Fil- lossera ed un maggior danno per le Viti potendo essere attaccate contemporanea- mente anche le parti aeree della pianta. 4. Demokidow K. E.— Cecidomyia (Mayetiola) destructor Say (Ar- beit. d. Entom. Bureau, IV, n. 10, 28 pp. con 2 tav. e 2 fig., Pietroburgo 1904). Nella Russia meridionale, di questo insetto, si hanno d’ ordinario due genera- zioni. Sono noti poi colà i seguenti parassiti: Merisus destructor Say., Entedon epi- il MARCELLIA gonus Walk., Eupelmus karschii Lind., Tetrastichus riley Lind., Polygnatus minutus Lind., Trichacis remulus Walk. i 5. Felt E. P. — Observation on the Biology and Food Habits of the Cecidomyidae (Journ, Econ. Entomol., an. 1908, v. I p. 18-21). Sistematica, distribuzione geografica, galle nuove, etc. 6. Beutenmüller W.— New Species of Gall-producing Cecidomyi- dae (Bull. Amer. Mus. Nat. Hist., v. XXIII, an. 1907, p. 385-400, tav. XIII-XVII). Questo opuscolo contiene la descrizione, accompagnata da figure e da notizie biologiche e bibliografiche riguardanti la galla o l insetto, di 31 specie di Cecido- mie e delle loro galle. Le specie nuove sono le seguenti : Asphondylia autumnalis, sa Heleninm antumnale (germogli ad asse iper- trofizzato). » patens, su Aster patens (germogli deformati). Cecidomyia Ulmi, su Ulmus americana (foglie ripiegate ed ipertrofizzate lungo le nervature). 5 » nyssaecola, su Nyssa silvatica (ripiegature ipertrofiche dei mar - gini fogliari). » unguicula, su Celtis occidentalis (galle fogliari in forma di conì bruscamente acuminati). » Rudbeckiae, su Rudbeekia hirta (deformazione delle calatidi). Cecidomyia? chinquapin, su Castanea pumila (galle dei frutti). » ? Vernoniae, sn Vernonia noveboracensis (ipertrofia globulosa della costa fogliare). » ? pustuloides, su Quereus var. sp. (galle fogliari pubescenti). » ? Meibomiae, su Meibomia var. sp. (gemme trasformate in galle glo- boso-allungate). » ? semenivora, su Viola var. sp. (galle globulose derivanti da una tra- sformazione del frutto). » ? eupatoriflorae, su Enpatorinm ageratoides (galle globulose, carnose delle infiorescenze). » ? Verbesinae, su Verbesina alternifolia (rieettacoli deformati). » ? ramuscula, su Aster dumosus e patens (ipertrofie canlinari). Lasioptera tumifica, su Solidago rugosa (ipertrofie caulinari). » cornicola, sa Cornus stolonifera (ipertrofie eanlinari). » asterifoliae, sn ? ? (galle fogliari). » nodulosa, sn Rubus villosus (ipertrofie canlinari). » riburnicola, su Viburnum dentatum (ipertrofie rameali). Lasioptera ? Linderae, su Lindera benzoin (ipertrofie rameali). ws BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI III i. Beutemuller W.— On some apparently new Cecidomyidae (Ca- nadian Entomologist, XL, 2, an. 1908). 8. Gillette C. P.— The Poplar Bark Aphid, Schizoneura Populi n. sp. (Entomological News, XIX, 1-2, an. 1908, con 1 tav.). 9. Hieronymus G. et Pax F. — « Herbarium cecidiologicum », continuato da DIETTRICH et PAX (fasc. XVI, marzo 1908, nn. 426-450). Cfr. Bibl. V n. 239.— Contiene le seguenti galle : Agrostis alba L.: 426. Tylenchus Agrostidis Steinb. — Alnus viridis DC. : 427. Eriophyes brevitarsus Fock. — Asperula cynanchica L.: 428. Phyllocoptes minutus Nal.— Clematis alpina (L.) Mill.: 429. Epitrimerus heterogaster Nal.— Berberis vulgaris L.: 450. Trioza Scotti F. Löw. — Betula pubescens Ehrh. : 431. Callipterus oblongus Heyd. — Bromus tectorum L.: 432. Eriophyes tennis Nal. — Cotoneaster integerrima Medik: 433. Eriophyes Piri Nal. [queste pustole hanno un habitus un po’ diverso da quello solito]. — Epilobium angustifolium L.: 484. Perrisia Kiefferiana Rübs. — Fraxinus excelsior L.: 435. Perrisia acro- phila Winn. — Helicteres isora L.: 436. Galle simili a quelle di Eriophyes Po- puli Nal., Kamerun (Africa). — Lonicera coerulea L.: 437. Hoplocampa Xylostei Giraud.— Lonicera nigra L.: 438. Aphid., accartocciamenti involutivi delle foglio- line terminali. — Lonicera Xylosteum L.: 439. Contarinia Xylostearum F. Löw — Medicago sativa L.: 440. Perrisia sp., foglie ripiegate a bacello ed ipertrofizzate. — Mitragyne macrophylla Hiern.: 441. Acarocecidio , emergenze fogliari in forma di erinei, Kamerun (Africa). — Myrianthus arboreus P. B.: 442. Cecidomyide , galle fogliari globoso-cilindriche, Kamerun (Africa). — Pastinaca sativa L.: 443. Schizomyia Pimpinellae F. Löw. — Quercus pubescens Will. : 444. Aspidiotus Salix alba x fragilis: 445. Ditterocecidio, deformazione dei germogli. — Salix incana Schr.: 446. Eriophyes sp., piccole galle fogliari cefalo- neiformi.— Salix triandra L.: 447. Cryptocampus testaceipes Brischke — Sorbus chamaemespilus (L.) Cr.: 448. Eriophyes Piri Pag.— Viola biflora L.: 449. E- riophyes sp., accartoceiamento dei margini fogliari. — Viola canina L.: 450. Dit- terocecidio, germogli e fiori deformati.—Juncus lamprocarpus Ehrh.: 188 a. Livia quercicola Bouché. juncorum Latr. 10. Jarvis T. D. — Additional Insect Galls of Ontario (38. Ann. Rep. of Entom. Soc. of Ontario, 1907, Toronto an. 1908, con 4 tav.). 11. Mariani G. — Secondo contributo allo studio della Cecidologia raldostana (Atti Soc. it. Sc. Nat., v. XLVI, an. 1908, p. 289-323, con + fig.). L’ Egregia Autrice, degna di lode e di incoraggiamento per aver imiziato e IV MARCELLIA proseguito con alacrità e successo le sue esplorazioni cecidologiche nell’ interessante Valle d’ Aosta, a breve distanza [efr. Bibl. VI 18] presenta un nuovo e copioso contributo riguardante la segnalazione di 107 zoo secidii e 7 micocecidi, nuovi per la regione, cosicchè le galle valdostane raccolte dall’ A. ammontano oramai a 174. Le galle più interessanti, contenute nel presente lavoro, talune ora figurate , fu- rono dall’ A. segnalate in una nota preventiva, stampata in MARCELLIA v. VI p. 62. 12. Silvestri Fr.— Descrizione e cenni biologici di una nuova spe- cie di Asphondylia dannosa al Lupino (Boll. del Laboratorio di Zoologia gen. e agraria R. Scuola Super. agric. Portici, v. IT, an. 1908, Estratto di 11 pp. con 11 fig). Asphondylia Lupini n. sp., possiede larve le quali vivono per lo più solitarie entro i giovani baccelli di Lupinus albus (dintorni di Nola). La presenza di questo parassita induce una notevole atrofia ed i baccelli in- fetti sono facilmente riconoscibili dai normali per essere molto più piccoli, defor- mati e per lo più vuoti nell’ interno. Trasformazione entro la galla; gli adulti cominciano a mostrarsi nella prima quindicina di giugno. Gli allevamenti di queste galle, oltre Y’ insetto, hanno dato anche in abbondanza due parassiti: Eurytoma dentata Mayr e Pseudocatolaccus Asphondyliae Masi n. sp. Questo secondo parassita fu dall’ A. allevato anche da galle di Asphondylia Borzii De Stef. 13. Trotter A.— Relazione intorno alle principali osservazioni ese- guite nel Laboratorio di Botanica e Patologi vegetale della R. Scuola Enologica di Avellino dal nov. 1903 al dec. 1907 (Giorn. di Viticoltura ed Enologia, v. XVI, an. 1908, nn. 7-8, 16 pp.). Vi sono ricordati anche alcuni commi z00 - e micocecidii di piante coltivate. Degne di ricordo sono però le galle del Susino (Prunus domestica), pro- dotte dall’ Eriophyes phloecoptes Nal., riscontrate assai abbondanti e discretamente dannose nel Padovano e nell’ Avellinese e quelle nuove, almeno come substrato , dell’ Asparago coltivato (Asp. officinalis), segnalate dei dintorni di Roma. L’ A. vi si intrattiene con molti particolari e così pure intorno ad una rara mo- struosità di nn grappolo di Vite raccolta in Puglia e molto simile a quella già de- scritta sopratutto da C. POLLINI e da MASSALONGO. 14. Zimmermann C.— Contribution à la connaissance des Cécidies du Kent (Broteria, v. VI, an. 1907, P. I). FITOCECIDII 15. Evans J. B. P.— Peach Leaf Curl, Æroascus deformans (Fekl. Transv. Agric. Journ., an. 1908, v. VI, p. 259-260 con 2 tav.). 3IBLIOGRAFIA E RECENSIONI M 16. Fuhrman Fr.— Biologie der Knöllchenbakterien der Legumino- sen im Lichte neuerer Forschung (Mitth. d. naturw. Ver. f. Steier- mark, Jahrg. 1907, Graz 1908, p. 54-56). Kern Fr. Dun.—New western species of Gymnosporangium and Roestelia (Bull. of Torrey Bot. Club,v. XXXIV an. 1907, p. 457-463). 15. Niessen J.— Krebs an Canadapappeln (Natur. Ztschr, f. Land.- u. Forstw., V, an. 1907, p. 502-503). Deformazioni cancerose sui fusti di Pioppo del Canada. Vi si riscontrarono Nectria ditissima e Diplodia gongrogena. fsbist«Frotter A. — Cr 38; Gironi 12. ARGOMENTI AFFINI Teratologia Blanchard R.— Nouvelles observations sur une Labiée à tige hexagonale (La Nature, 35° an., n. 1975, 19 oct. 1907). 20. Fiori A.— Anomalia di sviluppo nel Boletus edulis (Bull. Soc. bot. it., an. 1907, p. 119, processo verbale). 21. Gutzeit.— Zur Verbänderung der Runkelriiben (Naturw. Zeitsehr. J. Land. - u. Forstwirtsch., V Jahrg. an. 1907, p. 75, con 3 fig.). 22. Hildebrand Fried.— Ueber weitere zygomorphe Bliiten einer Knollenbegonie (Ber. deutsch. bot. Ges., Bd. XXVI, an. 1908, p. 16-19 con 1 fig... Lachman P.— Sur Vl’ anomalie de 1° épi sporangifère des Préles appelée « digitation » et sur les causes de sa production (C. R. Ass. franc. Avance. d. Sc., 33° Sess. Grenoble 1904, Paris 1905). bo DI 24 Pampanini R. — | Bratteomania in Dianthus Caryo- phyllus| (Bull. Soc. bot. it., an. 1908, p. 20, processo verbale). 25. Sommier S. — Intorno alla Platanthera bifolia var. tricalcarata Somm. (Bull. Soc. bot. it., an. 1908, p. 21-23). raté u‘ a LT An PES i NET TC APP APTE DE in Aye. i | de VI MARCELLIA 26. Trinchieri G. — Osservazioni sopra anomalie fiorali del Cr i- num Cooperi Herb. (Rend. R. Acc. Sc. Fis. e Mat. di Na- poli, fasc. III, marzo 1908, Estratto di 10 pp). Varia 27. Baccarini P.— Intorno ad aleuni Miceti parassiti sulla Fillos- sera della Vite (Bull. Soc. bot. it., an. 1908, p. 10-16 con fig.). Descrive e figura diverse forme di funghi parassiti, rinvenuti abbondantemente su cadaveri di Fillossere gallicole della Vite, funghi i quali, in seguito a colture, si sono mostrati appartenere a Sferopsidei ed Ifomiceti. 28. Blaringhem L.— Action des traumatismes sur la variation et I hérédité (Bull. Sc. France et Belgique, t. LI, ser. VI, v. I, an. 1907, con 8 tav.). Cfr. Bibl. VI 155. 29. Hedgcock G. G. — Cross-inoculation of Fruit Trees and Shrubs with Crown-gall (Bull. Dep. Agric. Washington, an. 1908, 6 pp.). Cfr. Bibl. V 3, 186, 190. 30. Lopriore G.— Ueber bandférmige Wurzeln (N. Acta Acad. Leop. Car. Nat. Cur. Halle 1908, con 16 tav.). 30bis. Trotter A.— Cfr. n. 13. Segnala una intensa e particolare localizzazione di verruche in piante di V i- tis vinifera (coltivate in serra), unicamente sui peduncoletti dei frutti. A. TROTTER BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI VII NOTIZIE Si è di recente costituito in Ferrara, presso quella Università, un Comitato per festeggiare il 30° Anniversario d’ insegnamento del Prof. Caro MASSALONGO che ricorre in quest’ anno. MARCELLIA, che è ben lieta di associarsi al tributo di stima che si vuol rendere a Colui che in Italia ha così tanto contribuito agli studi cecidologici, fa appello ai Cecidologi italiani ed agli associati a MARCELLIA, aftin- chè vogliano portare il loro contributo per questa simpatica attestazione di stima, allo Scienziato valoroso, all’ Uomo modesto ed integro, vanto dell’ Ateneo Ferra- rese. Diamo posto alla seguente circolare, mandata dal Comitato, avvertendo che le adesioni e le offerte dovranno essere inviate al più presto al Prof. E. CAVAZZANI: Libera Università di FERRARA. « Onorevole Signore, il Comitato ordinatore dei festeggiamenti nel trigesimo anniversario d’ insegnamento del Chiarissimo Prof. Caro Massalongo , lustro e decoro di Ferrara e della Sua Università, deliberava, come modo migliore di onorare lo scien- ziato tanto valoroso quanto modesto, di costituire un piccolo capitale, i cui frutti ser- vissero all’ assegnazione di un premio annuo o biennale agli studenti, che frequentano l'Ateneo Ferrarese, eccellenti per diligenza e profitto. La proposta utilissima, improntata a spirito moderno, meriterà, senza dubbio, il plauso e V appoggio di tutti coloro, cui preme sommamente U’ incremento degli studi. Il Comitato ordinatore si rivolge perciò a Vossignoria per quell’ offerta, che riterrà meglio assegnare, onde degnamente sia onorato Chi tutta 1’ attività ha dato alla Scienza in questa Università, la quale Egli ama come e più di cittadino ferrarese, e che non volle abbandonare mai, nonostante le lusinghiere offerte del Governo. Con la fondazione del suddetto premio, oltre al vantaggio che ne risentirà la gio- venti. studiosa, grande onore verrà all’ Illustre Festeggiando. Nella fiducia che la S. V. Ill.ma accoglierà la domanda, anticipa i più vivi rin- graziamenti. Ferrara, 10 Aprile 1908 ». Siaino ben lieti ci sia offerta l opportunità di lasciare in questo Periodico una traccia indelebile del tributo di onore che si vuol rendere all’ illustre Cecidologo, al quale ci sentiamo legati da tanto simpatici vincoli di stima, amicizia e riconoscenza. A. TROTTER * * * Siamo lieti di poter annunciare essere prossima la pubblicazione del lavoro dell’ Houarp, Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée. L’ Egregio A, che, yell’ occasione di un suo recente viaggio in Italia, volle ono- VIII MARCELLIA rarci, assieme alla gentile sua Signora , di una graditissima visita in Avellino, ei forni al proposito varie notizie, le quali non saranno discare ai cecidologi. Quest’ Opera, compiuta dal solo HOUARD, non è, come si potrebbe supporre, una nuova edizione del Catalogue ete, di DARBOUX et HOUARD, bensì un completo rifacimento, dal quale tutto il piano primitivo dell’ Opera subì radicali modificazioni. Anzitutto 1’ ordinamento delle galle non è alfabetico, bensì secondo V ordine siste- matico dei substrati, avendosi con ciò una disposizione non solo pratica ma al tempo stesso scientifica. La descrizione d’ ogni galla è questa volta accompagnata da estese notizie bibliografiche e corologiche, le quali mancavano invece del tutto nel Catalogue; cosicchè quest’ Opera non solo faciliterà la determinazione delle galle, ma renderà anche possibile, per ognuna di esse, quelle ricerche più approfondite le quali non erano consentite nè dal precedente lavoro nè da altre opere consimili. Siamo certi che il lavoro dell’ HOUARD, oramai impazientemente atteso, avrà una notevole influenza sul progresso degli studi cecidologici e sarà indubbiamente destinato ad una grande diffusione. ARE: x PROSE Mrrata-corrige.— In causa di una svista tipografica, avvenuta alla fine dell arti- colo dei Signori DOCTERS VAN LEEUWEN-REYNVAAN (v. VI, an. 1907, p. 100, linea 12), è necessario sostituire alla parola « Stengelgallen » la parola « Triebspitzen- gallen » (prodotte da Isosoma graminicola Giraud). ALFRED RICHE n. 5 febbraio 1829 ; m. ?, 1908 Chimico di molta rinomanza, assieme al Lacaze-Duthiers studiò la Noce di galla del commercio, risolvendo anche V interessante problema biologico della pro- duzione del grasso nelle larve dei Cinipidi, a spese delle sostanze amilacee conte- nute nella pianta (Mémoire sur l'alimentation de quelques insectes gallicoles et sur la production de la grasse, Aun. Sc. Nat. 4° sér. Zool. t. II, an. 1854, p. 81-105). (AG TI BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI IX. ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 31. Börner C. — Eine monografische Studie über die Chermiden (Arbeiten aus d. k. Biolog. Anstalt f. Land-u. Forstwirtsch., Ber- lin Bd. VI, Heft, 2, an. 1908, 239 pp., con 3 tav. doppie e 101 fig. nel testo). In questi ultimi due anni specialmente, i Chermidi hanno richiamato I’ atten- zione degli studiosi, tantochè ai precedenti e molti lavori del CHOLODKOVSKY si aggiunsero quelli del BURDON (a. 1907-1908), quello più recente del CHOLODKOVSKY stesso (a. 1908) e quello recentissimo, del BORNER qui recensito [Bibl. VI 98-100, 202]. L’ A., nell’ occasione di una forte invasione manifestatasi nel 1902 nella fo- resta sperimentale di Dahlem, annessa all’ Istituto Biologico di Berlino, da parte del Chermes piceae, che aveva messo in serio pericolo i giovani abeti bianchi, si era proposto di studiare profondamente la biologia di questi insetti per poter dopo proporre i mezzi per combatterli. Egli incominciò col tentativo di propagare questa specie di Chermide su altre conifere e specialmente su specie del sottogenere A bies, nella quale occasione ebbe agio di conoscere le altre specie di Chermes che nume- rose si presentavano sulle conifere di quelle foreste. Ma per quanto lo attirasse molto lo studio di questi polimorfi animaletti, altrettanto insoddisfatto lo lasciò la relativa bibliografia, nella quale egli invano cercò la risposta. a varie domande. Specialmente manchevole egli trovò l’ indicazione di caratteri precisi per la determinazione dei Chermidi, che hanno tanta importanza pel principiante. Da ciò VY A. vide la necessità di un nnovo studio di questi insetti, non solo dal lato bio- logico, ma specialmente da quello della sistematica. E quanto più il sistema natu- rale dei Chermidi gli si veniva delineando con chiarezza, tanto più vedeva la inattendibilità dei gruppi-biologici delle specie stabiliti nel frattempo dal NÜBBLIN sulle tracce del CHOLODKOVSKY, (nella sua Leitfaden der Forstinsektenkunde), i quali gruppi stabiliti su caratteri biologici, ma non morfologiei, nascondono la vera fi- logenia dell’ insetto e confondono il profano. Nel corso dei snoi studi, l A. ebbe la sorpresa di constatare che i gruppi mor - fologici delle specie (che poi risultarono formati da 3 generi e 2 sottogeneri) erano al tempo stesso dei gruppi biologici, per quanto in senso diverso da quello de’ suoi predecessori. Invertendo la direzione della migrazione, che V A. trovò necessario per spiegare taluni fenomeni biologiei, le generazioni sulle piante intermedie (di passaggio), che finora, furono trascurate, acquistarono per lui grande importanza, portandolo alla suddetta constatazione. La sua nuova divisione dei tipi originari (i migratori degli altri autori) in forme estive e forme invernali, dimostrò che il genere Pineus è più primordiale dei generi Cnaphalodes e Chermes ; che le forme estive dapprima appariscono come vicini parenti delle forme sessupare simili alle invernali e solo gradatamente approssimano questo tipo ben delineato ; che per , conseguenza la divisione dei gallicoli in monoici e in dioici dev’ essere una nuova scoperta filogenetica e biologica, da poi che non si vede applicata ai generi Pineus x MARCELLIA EROI ALII SR e Dreyfusia. Così pure si spiegherebbe filogeneticamente il fatto che le specie del x genere Pineus non producono galle colle squame connate, che appariscono soltanto presso i Chermidi aventi ben distinte le forme invernali ed estive. ME) Cosi lA. ebbe tracciata la via per spiegare teoreticamente, mediante la filo- Sy genia, la biologia dei Chermidi. E questa filogenia doveva portare alla constata - fe, zione che ciascuna forma, ciascuna generazione di qualsiasi specie deve al tempo stesso contenere le qualità (i caratteri) di tutte le sue rimanenti forme e generazioni allo stato latente, il cui sviluppo può bensì in certi stadi essere impedito da condizioni esterne 5 di vita, ma la cui potenza non può senz? altro essere spenta come vorrebbe CHo- LODKOWSKY. Dovevo, dice 1’ A., contraddire la supposizione dello scienziato russo, non già per la credenza ad una azione spossante di una, diciamo così, pura partenogenesi, ma per dubbi d'ordine filogenetico e biologico che nessun fatto nella biologia dei Cher- midi ha potuto dissipare. Forse che è possibile che una specie, la quale in certi tempi si riproduce normalmente per partenogenesi, perda la proprietà di riprodurre V altro sesso? Di questo appunto si tratta nel valutare le così dette specie parte- nogenetiche. La possibilità della loro conservazione significa ben altra cosa che la possibilità di perdere il sesso maschile : la prima dobbiamo ammettere perchè lo dimostra la esperienza, la seconda invece, per le specie bisessuali, non sembra da È escludersi assolutamente. La separazione dei sessi è un fenomeno molto più antico che la presente forma della grande maggioranza di tutti gli organismi : non do- vremo perciò ammettere che i due sessi non abbiano , nel seno della specie, radici più profonde della loro veste esterna col suo carattere specifico ? Ma ciò non sarebbe se potessimo ammettere |’ esistenza di un Chermes abietis e di un Chermes lapponicus nel senso loro dato dal CHOLODKOWSKY. Così veniva stabilita filogeneticamente la teoria di DrEYFUS sulla serie paral- lela dei fillosseridi. Come l’ ermafroditismo presso gli esseri schiettamente monomorfi , così una speciale polimorfla in un ciclo eterogenetico più 0 meno semplice 0 complicato, è la caratteristica della famigtia e delle specie dei Chermidi. Le nostre future esperienze devono mirare a far sì che le specie, delle quali sono note le sole forme partenogenetiche , mediante cambiamento delle condizioni di vita, riacquistino 1’ eterogenia. Non è invece possibile, "come afferma CHOLOD- KOWSKY, di ottenere nnove specie e nuove razze coll’ aumentare della partenoge- nesi; imperocchè la partenogenesi, al pari della amfigonia, è incapace di diventare la cagione principale di una mutazione; al contrario questi due fenomeni, quali maniere naturali di propagazione, sono le condizioni preliminari di uno sviluppo organico. Questo è quanto il BÖRNER dice nella prefazione al suo lavoro. dichiarando inoltre di aver tralasciato lo studio delle forme sessuali, che formeranno oggetto di una appendice, per mancanza di materiale sufticiente, e perchè non poteva ser- virsi degli studi fatti da altri. Il lavoro di 239 pagine, accompagnato da ricca bibliografia, è diviso in cinque capitoli: viene trattato nel 1° la posizione filogenetica e la morfologia esterna dei Chermidi ; nel 2° la loro sistematica ; nel 3° 1’ effetto delle loro punture sulle co- nifere che li ospitano ; nel 4° la biologia; nel 5° si considerano i Chermidi sotto l’ aspetto forestale e del giardinaggio, rilevando i metodi per combatterli. G. CECCONI BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XI 32. Faes H. — La désinfection antiphylloxérique des plants de vi- gne racinés (Bull. agricole, XIV, 5, an. 1908). 33. Foà A. e Grandori R.— Studi sulla Fillossera della Vite. Dif: ferenze tra la Fillossera gallicola e la Fillossera radicicola (Boll. Uff. Ministero Agric., Industria e Comm. an. VII, v. II, fase. 3°, Roma, 19 marzo 1908, p. 305-309; Atti R. Acc. Lincei, an. 1908, I, 5). 34. Fuschini C. — Contributo allo studio della Phylloxera quercus Boy. Nota preliminare (Redia, v. IV fase. II, an. 1907, p. 360-368). 35. Garbaglia L. — Le Cecidomie del Pero (Giorn. di Agricoltura pratica, v. XXXII, n. &29, Asti 17 maggio 1908, p. 313-314). La precisione di linguaggio e 1’ esattezza scientifica non sono certo una dote del presente articoletto ; sono è vero due qualità elementari, ma necessarie sempre, anche quando si seriva in forma popolare. L’A., il quale pone il gen. Cecidomia (sic) nell’ordine degli Imenotteri, dice di voler « richiamare l’attenzione dei lettori sulle tre specie di Cecidomie che attaccano il pero e cioè salle Cecidomie piri, piricola, è nigra. Le due prime specie producono delle larve che accartocciano le foglie. Ma esse non sono molto temibili. Invece la Cecidomia nera attacca special- mente i frutti, li rende bacati e può compromettere gravemente il raccolto ». Che insetto sia questa Cecidomyia piricola che accartoccia le foglie noi non lo sappiamo certo. Una €. pyricola Nöral. è ritenuta quale sinonimo di Contarinia pyrivora Ril. che è poi la Cecidomyia nigra Meig. ricordata dall’articolista, nome che oramai non è più accettato da aleuno.— Per maggiori e più precise notizie intorno alla Conta- rinia pyrivora, il lettore potrà invece consultare il recente lavoro del MARCHAL già recensito [Bibl. VI 212]. 36. Grassi G. B.— La lotta contro la Fillossera (Boll. Uff. Ministero Agricolt., Ind. e Comm., an. VII, v. II, fase. 8°, Roma 19 marzo 1908, p. 309-328). 37. Nüsslin O. — Zur Biologie der Gattung Chermes (Biolog. Cen- tralbl., Leipzig 1908, 10 pp. con fig.) 38. Petri L.— Studi sul marciume delle radici nelle Viti fillosserate (Roma, Tip. Bertero, an. 1908, vol. in-8 di VII-148 pp., con 9 tav. in parte col. e 25 fig. nel testo). Il presente lavoro è il risultato di interessanti ed originali ricerche sul mar- ciume delle radici fillosserate e sui vari organismi vegetali ed animali che col mar- ciume stesso hanno un qualche rapporto. L’ A. studia in modo dettagliato i pro- _cessi che conducono alla formazione delle nodosità e delle tuberosita radicali, le modificazioni istologiche e citologiche dei tessuti, il diverso grado di virulenza degli organismi incontrati. Sistematica, distribuzione geografica, galle nuove, ecc. 39. Cecconi G. — Contributo alla fauna delle Isole Tremiti (Boll, Musei Zool. Anatom. compar. R. Università di Torino, v. XXIII, n. 583, an. 1908, Estratto di 53 pp.). Vi sono elencati anche alenni pochissimi zoocecidii, abbastanza comuni o già. noti di altre parti d’ Italia, raccolti dall’ A. aile Isole Tremiti. 40. Chretien P. — Description de nouvelles Géléchides d’ Algérie (Bull. Soc. Entom. de Frange, n. 8, an. 1908, p. 140-144, con 4 fig.) Descrizione di Selerocecis pulverosella n. gen. n. sp., produttrice di speciali galle caulinari su Limoniastrnm Guyonan um, raccolte presso Biskra in Algeria. Zeco la descrizione delle galle quale è data dallo stesso A.: « Les galles affectent différentes formes: sur les tiges minces, elles sont d’ordinaire allongées, fusiformes en nn renflement régulier comme si 1 axe de la tige et celui de la galle étaient communs; sur les tiges plus fortes, les galles sont le plus souvent placées sur un côté, de sorte que la tige, dans sa direction normale, est apparente de 1’ autre côté. lequel ne semble pas intéressé par la cécidie. Néanmoins on peut constater dans l'intérieur de la galle que la moelle a été touchée par la chenille. Parfois les galles sont très rapprochées, même connées. En glafral, les vicilles galles oat piutòt la forme sphérique que celle d nn fusean; ce qui prouverait qu’ elles se modifient à la longue. « L’ orifice par lequel le papillon doit sortir est tantôt au sommet de la galle, tantôt à la base; cela tient sans doute à la direction des branches plus ou moins inclinées on couchées horizontalement. | « Dans le bas de la cavité cylindrique dans laquelle a véen la chénille, il y a un petit résidn de couleur brunätre, tassé et maintenu au fond par un tissu soyenx. On ne tronve anenn cocon dans les galles. Les parois sont très lisses, comme par- cheminées, mais revétnes d’ un très lèger tissu de soie à peine visible ». Dal complesso della descrizione si può desumere che queste galle sono ben diverse da quelle prodotte sulla stessa pianta dall’ Oecocecis guyonella. ’ 41. Cockerell T. D. A. — A new Gall on Aster (Canadian En- | tomologist, XL, an. 1908, n. 3). 42. Cosens A.— A new Lepidopterous Gall-producer (Canadian En- tomologist, XL, an. 1908, n. 3). BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XIII 43. Couden F. D. — A Gall-Maker of the : Family Agromyzidae (Agromyza tiliae n. sp.) (Proceed. Entomol. Soc. of Washington , IX, an. 1908, 1-4, con fig.). 44. Cuboni G.— Relazione sulle malattie delle piante studiate du- rante il biennio 1906-1907 (Roma, Tip. Bertero , 1908, vol. di SO pp.) Vi sono anche segnalati parecchi zoo-e micocecidii e precisamente : Zoocecidii: Cecidomyia oenophila, con galle sviluppantisi sui peduncoli dei frutti, a l’achimo. ? Mytilaspis fulva Targ., determina una proliferazione centrifuga del fillogeno peri- dermico radicale, il quale dà origine in tal modo ad un tessuto suberoso di un notevole spessore. Phytoptus piri sul Pero, a S. Martino al Cimino. Oligotrophus Bergenstammi, sui rami del lero a Fermo Phylloxera vastatrix, riassunto di uno studio originale del Dr. L. Perri sulle lesioni del sistema radicale [efr. n. 38]. Micocecidii: Bacillus Olcae % .— Lavoro bacteriologico originale del Dr. L. Perri [efr. Bibl. VI n. 223] sulla rogna: dell’ Olivo. Exoascus deformans, su Pesco e Mandorlo Bacillus Pini, rogna del Ginepro. Exobasidium discoideum, su Azalea indica a Roma ed Albano Laziale. Studio originale del Dr. L. Perri [efr. Bibl. VI n. 149]. 45. De Stefani T.— L’ insetto dei frutti del Pistacchio e modo di limitarne i danni (Palermo, Tip. Sciarrino, an. 1908, 63 pp. in-S con 18 fig.) In questo interessante studio intorno al Trogocarpus Ballesterii Rond., dannoso parassita dei frutti di Pistacia, sono anche ricordate le diverse galle che si sviluppano su questo genere di piante. 46. De Stefani Perez T. — L’ Asterolecanium variolosum Ratzb. (Nuovi Annali di Agricoltura siciliana, v. XIX fase. II, an. 1905, p. 120-124). Descrive le lesioni, molto comuni in Palermo ed in Sicilia, provocate da que- sta Coceiniglia sul Pittosporum Tobira, ‘aggiungendo vari cenni morfolo- gici sul cecidozoo [efr. III 18]. LA BAS CET TU Ut Ss DIOR ee ; voi "a IR DR gee - x x XIV MARCELLIA 47. Foex E. et Molinas E. — Maladies et insectes du Cerisier (Progrès Agricole et Viticole, Montpellier an. 1908, nn. 19-20, con 1 tav. col.). Vi si ricordano aleuni comuni mico-e zoocecidii del Ciliegio. 48. Houard C. — Les Zoocécidies des plantes d’ Europe et de la Region méditerranéenne. Nouvau catalogue de Galles, en cours d’ impression (C. R. Assoc. frang. p. VAvancement d. Sc., Congrès de Reims 1907, p. 526-528). Notizie riguardanti il metodo tenuto dall’ A. nella redazione del suo lavoro , in corso di pubblicazione, del quale abbiamo già tenuto parola. Cfr. p. VII. 49. Kieffer J. J.— Beschreibung neuer parasitischer Cynipiden aus Zentral-u. Nordamerika (Guben , Entomol. Ztschr., an. 1907, 45 PPiNe dig) 50. Kieffer J. J. — Nouveaux Proctotrypides et Cynipides d’ Amé- rique recueillis par Baker (Ann. Soc. scientif de Bruxelles an. 1907, 60 pp.). 51. Lemée E. — Les Ennemis des Plantes. 3° Ser. n. 3: Plantes d'ornement de Serres et de Pleine terre (Bull. Soc. d’ Hortic. de V Orne, Alençon 1908, p. 253-308). L’ A. continua alacremen‘e la segnalazione dei casi patologici osservati in gran parte nei dintorni di Alengon, ed anche nel presente scritto, come nei precedenti [efr. Bibl. VI 22] trovansi descritti vari mico-e zoocecidii e qualche caso teratologico. 52. Rolfs P. H.— Tomato diseases (Florida Agricult. Station, Bull. n. 91, an. 1907, p. 14-34). Vi si ricorda, tra i molti parassiti, I’ Heterodera radicicola talora assai dannosa alla coltura del Pomodoro nella Florida ed un nuovo Phytoptus (Ph. calacladophora) che provoca delle escrescenze pelose sui fusti della stessa pianta. 53. Trail J. W. H. — Mite-galls on the Beech, Fagus silva. tica, in Scotland (ibidem, an. 1907, p. 252). Ricorda qualehe comune acarocecidio fogliare del Fagus, 54. Trail J. W. H.— Galled Flowers of Field Gentian, Gentiana campestris L (Ann. Scott. Nat. Hist., an. 1907, p. 252-258). Trattasi dei fiori deformati dall’ Zriophyes Kerneri, ow BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XV FITOCECIDII 54" Cuboni G.— Cfr. n. 44. 54°" Foex E. et Molinas E.— Cfr. n. 47. 54°" Lemée E.-- Cfr. n. 51. 55. Perotti R. — Per una nota di G. De Rossi « Sui mierorganismi produttori dei tubercoli radicali delle Leguminose » (Malpighia, v. XXI, an. 1907, p. 255-262). Cfr. VI 140. 56. Smith Erw. F.— Recent studies of the olive-tubercle organism (Boll. of Bur. of Plant industri U. S. Dep. of Agrie., n. 131, an. 1904, p. IV). ARGOMENTI AFFINI Teratologia 57. Guéguen F.— Enations hypophylles du Colocasia esce u- lenta Schott. (Bull. Soc. bot. de Prange, t. LV, an. 1908, p. 26-32 con 5 fig.). 57” Lemée E.— Ctr. n. 51. 58. Siracusa Jannelli G. — Sopra alcune interessanti anomalie vegetali (Malpighia, v. XXI, an. 1907, p. 533-538 con 1 tav). 59. Trinchieri G. — Un nuovo caso di « caulifloria » (Bull. Orto bot. R. Università di Napoli, t. Il, fasc. 2°, an. 1908, Estratto di 5 pp. ed 1 tav.). Caulifloria in una vecchia pianta di Citrus Bigardia Risso var. mul- tifarme coltivata nel R. Orto bot. di Napoli. Varia‘: ı 60. Cobelli R.— II Ficus Carica L. nel Trentino (Verh. k. k. Zool.-bot. Ges. Wien, Bd. IIL, an. 1908). Parla anche della caprificazione. 61. Leclerc du Sablon — Osservations sur les diverses formes du : Figuier (F. Carica) (Rev. Gen. de Bot. t. XX, an. 1908, nn. 232-233, p. 129-150, p. 207-216, con 15 fig.). Vi si parla anche del Caprifico e della « caprificazione ». A. TROTTER: NO’TIZIE All’ ultimo momento ci giunge Ja dolorosa notizia della morte del Professore Dr. GUSTAV MAYR, avvenuta in Wien il 14 luglio all’ eta di anni 78. Nella impossibilità materiale di commemorare degnamente in questo fascicolo Y Illustre Cecidologo ne diamo frattanto Vannunzio, addolorati di questa perdita irreparabile. Alla Famiglia le nostre sincere condoglianze. AcE. Il 17 Inglio e., all’ eta di 46 anni, è morto AUGUSTE DAGUILLON, Pro- fessore-Aggiunto di Botanica nella Facoltà di Scienze di Paris. È Autore di vari articoli, corredati da diligenti figure, sulla struttura morfo- logica ed istologica di vari ditterocecidi, articoli pubblieati nella Revue Gen. de . Botanique (1898, 1904, 1905, 1907). i ALT. BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI > XVII ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. ° 62. Bail Th.— Ueber Pflanzenmissbildungen u. ihre Ursachen, vor- nehmlich über mannigfaltige : Entwickelung der Fiederblätter (30. Ber. Westpreuss. Bot. Zool. Ver., Danzig, an. 1908, p. 239). 63. Bonfigli Bianca — Ancora sul ciclo della Phylloxera quereus Boyer: Nota preliminare (Atti R. Ace. Lincei, an. 1908, ser. V, v. XVII, fasc. 5°, 2° sem. p. 248-256). 64. Gillanders A. T.— Forest Entomology (Will. Blackwood et Sons, Londra 1908, pp. XXII-422 e 351 fig.). Vi sono ricordati anche molti insetti galligeni. In questo Trattäto sono inclusi anche gli Æriophyidi, gon notizie però molto imperfette od errate. 65. Grassi G. B. e Grandori R.— Ulteriori ricerche sulla fillossera gallicola della Vite (dalla fine di maggio alla metà di luglio 1908) (Rend. R. Ace. Lincei , v. XVII, 2° sem., an. 1908, fase. 3°, p. 99-106). Riferiscono intorno ai risultati avuti da ricerche sulla morfologia e biologia delle varie generazioni di fillossere gallicole. 66. Ritzema Bos J.— Het stengelaaltje (Tylenchus devastator) oor- zaak van rot in den bieten (Tijdschr. v. Plantenz. an. 1908, p. 65. Sulla malattia della Barbabietola prodotta da questa Anguillula. L’ alterazione s’ inizia nei fasti e procede sino alla radice. Fu riscontrata nel Baden. 67. Taylor E. P.— Life-history notes and control of the Green Peach Aphis Myzus Persicae (Journ. Econ. Entomol., v. I, an. 1908, p. 83-91). XVII MARCELLIA Sistematica, distribuzione geografica, galle nuove, ecc. 68. Chretien P. — Description de nouvelles espèces de Microlépi- doptères d’Algerie (Bull. Soc. Entom. de France, an. 1908, n. 11, p. 201-203). Proactica echiochilonella n. sp. fa ottenuta da un rigonfiamento dei fusti di Echiochilon fruticosum Desf. Non è però certo si tratti di specie ceci- dogena. 69. Collinge Wait. E. — Second annual Report of the honorary consulting Zoologist (Journ. of the Land Agents’ Society, Juli 1908, 14 pp. e à fig.). Trovano posto anche varie notizie, in parte corredate da figure. riferibili ad Eriophyes rudis, Chermes Abietis, Anthonomus pomorum, Eriophyes Ribis. 70. Cook Mel Th. — The hypertrophied fruit of Bucida Bu- ceras (Bull. Torr. bot. CL, XXXV an. 1908, p. 305-306 con 2 fig.) Deformazioni dei frutti prodotte da Eriophyes. 71. Felt E. P.— Contarinia Gossypii n. sp. (Entomolog. News XIX an. 1908, 5-6). 72. Felt E. P.— Observations on the genus Contarinia (Journ. Econ. Entomol., v. I, an. 1908, p. 225-227). 73. Gerber Ch.— Fleurs virescentes de la Valeriane Chaussetrape (C. R. Soc. biol. Paris, LX, an. 1906, p. 593-595). Cine” vin: TS: 74. Guillaume A.— Notes sur les Diptéres de Belgique (Ann. Soc. Entomol. de Belgique, t. LII, an. 1908, n. 9, p. 297-298). Ricorda Tephritix plantaginis Halid. [insetto indicato per la prima volta come cecidozoo] deformante le infiorescenze di Aster Tripolium. 75. Houard C.— Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bas- sin de la Méditerranée. Tome premier (A. Hermann, Paris, vol. di 570 pp. con 824 fig. nel testo e 2 tav.). BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XIX Riserbandoei una recensione diffusa all’ apparsa del 2° ed ultimo volume , il quale sarà distribuito entro ]’ anno, ei affrettiamo frattanto ad annnneiare la di- stribuzione del primo, il quale comprende le galle delle piante Crittogame, delle Gimnosperme, delle Monocotiledoni, e di parte delle Dicotiledoni. 76. Leonardi G.—Seconda contribuzione alla conoscenza delle Coc- ciniglie italiane (Bull. Laboratorio zool. gen. ed agraria R. Scuola Sup. Agricoltura Portici v. III, an. 1908, p. 150-191 con 64 fig.). Sono ricordate anche alcune Cocciniglie cecidogene e cioè : Asterolecanium algeriense (Newst.) Cokll. su Phagnalon sp. e Templetonia retusa (Sicilia). Asterolecanium arabidis (Licht.) Cockll. su Arabis collina (Avellino), Asterolecanium Thesii (Dougl.) Cokll. (== Ast. variolosum De Stefani) su Pitto- sporum Tobira (Sicilia, Sardegna). 77. Molz E.— Contarinia viticola, ein wenig bekannter Blütenschäd- ling der Reben (Geisenheiner Mitt. üb. Weinbau u. Kellerwirtsch., Jahrg. XIX, an. 1907, n. 8). Cir Vin. 129. 78. Molz E. — Einige Bemerkungen über die durch Chermes piceae var. Bouvieri auf Abies nobilis herforgerufenen Triebspit- zengallen (Naturw. Zeitschr. f. Forst-u. Landwirtsch., an. 1908, p. 151). 79. N. N. — Bericht über die Verbreitung der Reblaus (Phylloxera vastatrix) in Oesterreich in d. J. 1904-1906, sowie über die behufs Wiederherstellung d. zerstörten Weinpflanzungen getroffenen Massnahmen und die hierbei gemachten Erfahrungen. Veröffent- licht in Auftrage d. k. k. Ackerbaumministeriums. Wien an. 1907, in-8, 332 pp. con 1 tav. col. 80. Newstead R.— On a Collection of Coccidae und other Insect, affecting some cultivated and wild Plants in Java und in tro- pical Western Africa (Journ. of Econom. Biol. v. III, an. 1908, n. 2, p. 33-42, con 2 tav.). Per la cecidologia riesce solo interessante una Psylla sp., la quale produce delle fossette fogliari in Kickxia elastica (a Soppo, Cameroon). xx MARCETLIA 81. Paoli Guido — Intorno a galle cansate dalla puntura del Dacus oleae (Rossi) Meig., sulP oliva (Redia, v. V, fase. I, an. 1908, p. 27-30, con 1 fig.) Le punture del Dacus oleae producono spesso, nella varietà ogliarola coltivata nel Leccese , per cause fin’ ora non determinabili, delle piccolissime protuberanze subtriangolari di mm. 0,4-0.6, corrispondenti al punto ove avvenne la, puntura della Mosca e situate nel centro di un’ areola circolare depressa di 2 mm. di diam. « Praticando nna sezione lungo Y asse maggiore della puntura, in senso normale alla superficie dell’ oliva si riconosce la galla rappresentata da un tessuto di neo- formazione, molto abbondante, che riempie o riveste tutta la cavità prodotta dalla trivella, e per la sua abbondanza produce 5] rilievo sulla superficie del frutto ». | [A nostro avviso, a questa e ad altre consimili alterazioni dovrà essere in sè- guito riserbato nn posto speciale negli studi patologici non sembrandoci possano rientrare nel vero dominio della cecidologia. Riteniamo che a definire una produ- zione gallare non basti Il’ esistenza di nn processo patologico neoformativo 0 co- munque progressivo, ma che al fatto anatomico debba sempre andar congiunto anche il fatto ecologico , cioè che la morfòsi debba costituire sempre, se non nna necessaria protezione per |’ animale, almeno una temporanea dimora per sè 0 per la sua prole ; che è poi il concetto classico di galla]. 82. Puttemans A. — Molestias da Alfafa em Sao Panlo (Revista Agricola, S. Paulo Brazil, an. 1905, estr. di 23 pp. e 17 fig.). Descrive anche e fignra le deformazioni prodotte da Tylenchus devastator su Medicago sativa al Brasile. 83. Rey Eug. — Die in der Umgebung von Berlin von mir aufge- fundenen Eichengallwespen-Gallen (Entomol. Zeitschr. XXI Jahrg., an. 1907, 3 pp.). Dà alcune brevi notizie, senza importanza, sulla sessualità, generazione alter- nante ed allevamento dei Cinipidi della Quercia; quindi elenea varie specie rac- colte presso Spandau. 84. Schmidt Hugo — Cecidiologisches Herbar. (4 fascicoli n. 1-200; an. 1908) prezzo 42 Mk.— Cfr. WEIGHEL, « Herbarium » n. 4 (1908) p. 30. È una pubblicazione la quale non ha carattere di vera Opera exsiccata, ma piuttosto quello di collezione privata! Di fatti gli esemplari non sono numerati e le indicazioni specifiche sono tutte manoscritte. Di stampato nelle schede non vi è che questo: « Cecidiologisches Herbar, Hugo Schmidt, Griinberg.— Name des Er- zeugers.... Wirtspflanze.... Fundort.... ». I 4 fascicoli in distribuzione contengono 200 galle. BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI 2.34: 85. Seitner M. — Die Fichtensamengallmiicke (Plemeliella abietina) (Centralbl. f. d. ges. Forstwesen, Jahrg. XXXIV, an. 1908, Heft 5, p. 185-190, con 13 fig.). Cfr.. V n.211. 86. Tavares da Silva Joaq.— Contributio prima ad cognitionem Cecidologiae Regionis Zambeziae (Broteria , ser. zool., v. VII, an. 1908, p. 133-171, con 10 tav. in eliotip. e 7 fig. nel testo). È un importante contributo alla conoscenza cecidologica dell’ Africa tropicale, ricco di fatti nuovi e di diligenti e minute osservazioni. Il materiale fu raccolto con molta acenratezza dal Padre Lopes, lungo lo Zambese (Africa orientale) in una località detta Zumbo; egli potè allevare anche numerosi cecidozoi così da render questo Contributo del massimo interesse. Le galle descritte nel presente lavoro, in tutto 54, magnificamente illustrate in 10 tavole, sono le seguenti, disposte secondo le famiglie vegetali cui appartengono le matrici : ACANTHACEAE : Disperma dentatum C. B. Clarke, galle fogliari cefalonei- formi, Eriophyes sp. ANACARDIACEAE: Lannea fulva Engl., ipertrofie rameali situate in corrispon- denza di un germoglio, pluriloculari, Stephodiplosis lanneae n. gen. n. sp. ANONACEAE: Anona senegalensis Pers., ipertrofie rameali unilaterali, uni- loculari, Lasioptera anonae n. sp.— Xylopia acutifolia A. Rich., forti ipertrofie subglobose dei ramoscelli, pluriloculari, Cecidomyide. APOCYNACFAE: Diplorrhynchus mossambicensis Benth., ipertrofie rameali subglobose, subunilaterali, uniloculari o pluriloculari. Cecidomyide. AURANTIACEAE : Citrus Aurantium Riss. e Citrus medica L., foglie incurvate, Aphis Tavaresi Del Guercio n. sp. COMBRETACEAE: Combretum Galpinii Engl. et Diels., galla subcilindrica, situata normalmente ad un ramoscello, rivestita da lunghi peli bruni e bianco- giallastri, ? Rhopalomyia. - Ipertrofia rameale, Cecidomyide. — Margini fogliari ripiegati ed ipertrofici, Cecidomyide. — Galle fogliari globose, (8 mm. diam.), anfigene , papillutate, uniloculari ad ampia cavità larvale, Lopesiella combreti n. gen. n. sp.— Combretum oblongum F. Hoffm., ipertrofie rameali fusiformi, pluriloculari, Cecidomyide.— Combretum olivaceum Engl, ipertrofie rameali, unilaterali, uni-o pluriloeulari, ? Muscide.— Pteleopsis myrtifolia (Laws.) Engl. et Diels., ipertrofie rameali unilaterali, plurilo- culari, Cecidomyide.— Terminalia glaucescens Planch., pustole delle foglie o dei frutti, pubescenti, Eriophyes sp. — Ipertrofie rameali ellittiche , pluriloculari, Entomocecidio. - Grosse galle fogliari cefaloneiformi o per lo più subelavato-capitate, epifille, uniloculari, Eriophyes sp. -- Terminalia se- ricea Barch., ipertrofie subglobose all’ estremità dei rami, pluriloculari, ? Lepidotterocecidio. — Ipertrofie rameali fusiformi, voluminose, uniloculari, ? Lepidotterocecidio. — Forti ipertrofie subglobose od obconiche dei rami, unila- terale, pluriloculari, Polystepha terminaliae n. sp.— Ipertrofie rameali subellit- XXII MARCELLIA tiche, pluriloculari, Cecidomyide.— Pustole fogliari, ? Eriophyes sp.— Galle fo- gliari globose, ! mm. di diam., unilpenlari, Eriophyes sp.-- Ipertrofie rameali, pluriloculari, Lasioptera terminaliae n. sp.— Terminalia spinosa Engl., ipertrofie rameali, uniloculari, ? Lepidotterocecidio. EBENACEAE: Diospyros mespiliformis Hoest., prominenze fogliari per lo più epifille, cui corrisponde una piccola cavità ipofilla , Psyllidium. — R o- yena sp., galle fogliari subcefaloneiformi, o subclavato-capitate , pelose, E- riophyes sp., commensale Microdiplosis zambezensis n. gen. n. sp. EUPHORBIACEAR: Flueggea obovata (L.) Wals., ipertrofie rameali fusifor- mi, uniloculari, Agromyzina ? LEGUMINOSAE: Copaiba Mopane (Kirk) O. Ktze., ipertrofie irregolari dei ramoscelli, unilaterali, concrescenti, Delodiplosis copaibae n. gen. n. sp. — Dalbergia melanoxylon Guill. et Pers., galle subglobose rameali derivate da un germoglio, uniloculari, solitarie od agglomerate, Cecidomyide. -- Derris Stuhlmannii (Taub.) Harms., galle fogliari globose (2 mm. di diam.) attraversanti il lembo, uniloculari, Cecidomyide.— Derris violacea Harms, erinosi situata in depressioni della lamina fogliare, Zriophyes sp. - Iper- trofie rameali, unilaterali, appena evidenti, ? Agromyzina.— Dierostachys nutans Benth., grosse ipertrofie rameali pluriloculari, ? Agromyza tuberculata Beck. MELIACEAE: Khaya anthotheca C. DC., galle fogliari subglobose, attraver- santi il lembo, uniloculari, Cecidomyide. — Galle fogliari snbeoniche, attraver- santi il lembo, uniloculari, Cecidomyide. ROSACEAE : Parinarium Mobola Oliv., galle fogliari subglobose, traversanti il lembo, pelose, uniloculari, Cecidomyide. — Galle sferoidali ipofille pelose, con ostiolo epifillo, uniloculari, ? Eriophyes sp. — Galle fogliari pustuliformi, sul- l’ epifillo mucronate, Lopesia parinarii n. gen. n. sp. — Galle rameali subglo bose, 2 mm. di diam. , unilaterali, pelose, spesso eonerescenti , uniloculari, Calodiplosis parinarii n. gen. n. sp. — Galle fogliari sublenticolari pelose, at- traversanti il lembo, operculate, uniloculari , ? Cecidomyide. — Galle fogliari subconiche attraversanti il lembo, pubescenti, uniloenlari , ? Cecidomyide. — Ipertrofie rameali , pluriloeulari , Cecidomyide. — Pustole fogliari, sull’ epifillo sormontate da una colonetta ostiolare , Eriophyes sp. — Galle fogliari subglo- bose, traversanti il lembo, pelose, sull’epifillo mammelliformi, uniloculari, Ce- cidomyide. RUBIACEAE : Vanguiera sp., galle fogliari clavato-capitellate, Hriophyes sp. SAPINDACEAE : Deinbollia sp., galle subeoniche, pelose, uniloculari, nascenti dalle foglie, piocioli, ramoscelli e frutti, Cecidomyide. — Fossette fogliari, Cocci- niglia. SAPOTACEAE: Mimusops ? Menyhartii Engl., galle fogliari attraversanti il lembo, da un lato subconiche, uniloculari, Cecidomyide. SOLANACEAE: Solanum sp., galle irregolari, voluminose, derivate da una tra- sformazione del germoglio, pluriloculari, Asphondylia solani n. sp. TILIACEAE: Grewia bicolor Juss., galle fogliari corniculate , uniloculari , Eriophyes sp. — Tubercoletti rameali subemisferici , ? Cecidomyide , ? Eriophyes [? Ustilago Grewiae]. BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI : XXIII FITOCECIDII 87. Bottomley W. B. — The structure of root tubercles in Legu- minous and other plants (Rep. 77 meet. Brit. Ass. f. the Advane. of Sc., Leicester an. 1907, p. 693). ss. Griggs R. F.— On the cytology of Synchytriwm (Ohio Nat., VIII, an. 1908, p. 277-286 con tav.). 89. Köck G. — Die Exoascus - Krankheiten unserer Ostbiiume und ihre Bekämpfung (Mitt. k. k. Pflanzenschutzstat. in Wien, in Vest. Landw. Wochenbl.). 90. Mattirolo O.— Species novae in excelsis Ruwenzori in expedi- tione Ducis Aprutii lectae (Annali di Botanica, v. VII, an. 1908, fase. I, p. 143-145). Trovasi anche descritto un nuovo fungo sferiaceo ( Aloysiella ruwenzorensis Matt. e Sacc., n. gen. n. sp.) il quale produce delle notevoli ipertrotie sui rami di Erica arborea. 91. Müller K.— Exenbesen aut Pinus silvestris L. (Naturw. Wochenschr. N. F. Bd. VII, an. 1908, p. 134-136, con 3 fig.). 92. Pammel L. H.— Cedar Apple Fungi and Apple Rust in Jowa (Bull. Exp. Station Jowa, n. 84, ag. 1905, 36 pp. e fig.) Descrive e figura vari micocecidii prodotti da Uredinee. 93. Pammel L. H. — Some diseases of Rocky mountain plants (Jowa Ac. of Sc., v. XIII, p. 89-114, con 1 tav.) Descrive e figura vari micocecidii prodotti da Uredinee. 94. Severini G. — Ricerche fisiologiche e batteriologiche sull’ H e- dysarum coronarium IL. (vole. Sulla) (Annali di Bo- tanica v. VII, an. 1908, tasc. I, p. 33-70, con 2 tav.). Si occupa dei tubercoli radicali di questa importante foraggera e del loro bac- terio il quale sembra notevolmente discostarsi da quello delle altre Leguminose. 95 dici XXIV MARCELLIA . Trotter A.— Un nuovo parassita ipogeo del gen. Entyloma (An- nales Mycologici v. V, an. 1908, n. 1. p. 19-22, con 3 fig.). Entyloma crepidicola n. sp. prodnce sui sottili rizomi od anche sulle sottili ra- fibrose di Crepis bulbosa nell’Avellinese, delle galle subglobose, unila- terali, biancastre, ricche di masse sporigere, non polverose, inframezzate al paren- chima fondamentale della galla. 96 99. 100. 101. 102. 105 ARGOMENTI AFFINI Teratologia . Ahlborn Fr.— Eine merkwiirdige Vergriinang der Schachblume (Fritillaria Meleagris) (Vers. Naturw. Ver. v. Hamburg, 3 Folge, Heft XII, an. 1905, p. 98-100, con 5 fig.). . Anderson J. R.— Curious natural freak (Ottawa Naturalist, XX, an. 1906, p. 81). . Bessey C. E.— Two and three pistils in Cassia Cha maecrista (Science, N. S., XXIV, an. 1906, p. 572). Brennan Q.— Notes on abnormal flowers of Lilium Mar- tagon(Proc. Univ. Durham phil. Soc. II, 5, an. 1906, p. 199-204, con fig.). Bruckman L.—Fasciations in Arisaema, Rudbeckia and Viola (Torreya, VI, an. 1906, p. 193-195, con 2 fig.) Buchet S. et Gatin C. L.— Un cas de polyembryonie chez le Triglochin palustre L. et une germination anormale de l'Arisarum vulgare Targ. Tozz. ( Bull. Soc. bot. de France, LI, an. 1908, p. 164). Capitaine — Une violette virescente (Bull. Soc. bot. France, 4. VIIL an. 1908, p. 405-407). . Chifflot J.—Floraison de l'Agave coccinea Roez et sur les anomalies qu’ elle présente (Bull. Soc. Se. Nat. de Saône et Loire, sept.-oct. 1906). BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXV 104 1 05. 106. 107. 105. 109. 110. +11. . Christ H.-- Biologische und systematische Bedeutung des di» morphismus und der Missbildung bei epiphytischen Farnkräutern, besonders Stenochlaena (Verh. Sch. Naturf. Ges. St. Gallen an. 1906, 11 pp. con 12 tav.). Davis W. T.— Aberrant forms ot Rudbeekia hirta (Proc. Staten Island Ass., I, an. 1906, p. 35-37). Döring E. — Ueber ein Fall von Internodienverkürzung bei Seabiosa alpina (Allg. Bot. Ztsehr., XII, an. 1906, p. 195 con 1 fig.). Esteva J.— Casos de proliferacion en la Bellis perennis espontänea (Bol. R. Soc. Espan. Hist. nat., VI, an. 1906, p. 96-97). Esteva J. — Hongos anomalos (ibid. p.- 98). Esteva J.-- Anomalias en las hojas de la:Onobryehis sativa (ibidem, p. 349). Fernald M. L.— Some anomalous plants of Tiarella and Mitella (Rhodora VIII,.an. 1906, p. 90-92). Ferry R. — Quelques formes eetypiques du Tricholoma portentosum (Rev. Mycol. XXVIII, an. 1906, p. 11-13; tab. CCLX, fig. 9-12). 112. Fobe F. - Ueber die sogennanten Hahnenkammformen bei den Kakteen (Monatschr. f. Kakteenkunde, XVI, an. 1906, p. 57-88). 113. Fortier E. - Plusieurs cas de synearpies observées sur des pom- mes à cidre (Bull. Soc. Amis Sc. Nat. Rouen, ottobre 1906, p. 8-9). 114. Fortier E.— Notes sur quelques raretés et anomalies observées à Barneville-sur-Seine et aux environs (ibidem, luglio 1906, p. 5-9). 115. Fortier E.—Notes tératologiques. Dipsacus silvestris Mill. (Soc. Amis Se. nat., Rouen, maggio 1908, p. 5-6). 116. Friedel J.— Quelques remarques physiologiques sur une varieté virescente du Ranunculus asiaticus (Bull. Soe. bot. Franc. LIII, an. 1906, p. 129-132). XXVI MARCELLIA 117 115. 119. 120. 122. 124. . Gage A. T.— A case of lateral floral prolification of the inflo- rescence of the Pineapple, Ananas sativus Schult. f, (Journ. asiat. Soc. Bengal., III, 9, an. 1908, p. 593). Gager C. S.— Tuber-formation in Solanum tuberosum in daylight (Torreya, V1, an. 1906, p. 181-186 con 1 fig.). Gilbert B. D.— Two anomalies and a curious sight (The Bryo- logist, IX, an. 1906, p. 72). Goebel K. — Die Bedeutung der Missbildungen für die Botanik früher und jetz (an. 1906, 32 pp. in-d). . Graebener L. — Monstrôse Anthurium-Scherzeria- num- Blüte (Gartenwelt, X, an. 1906, p. 547 con 1 fig.) Griffiths D.— Abnormalities in the fruiting habit of O pu n- tia (Torreya, VI, an. 1906, p. 57-63). 3. Gürke M.— Echinopsis multiplex Zucc. var. mo n- strosa (Monatschr. f. Kakteenkunde , an. 1906, p. 85-59, con 1 fig.) Hagen J.— Geschichtliche Notiz über die « Acrosynearpie ren- versée » der Laubmoose (Hedwigia XLV, 4, an. 1906, p. 239-240). . Harris J. A— Synearpy in Martynia lutea(Torreya, VI an. 1906, p. 25-28). 26. Harris J. A.— The fruit of Opuutia (Bull. Torr. bot. CL, 128 XXXII, an. 1905, p. 531-536). . Lehbert Rud.— Ueber den lusus subbiflorus und andere Ab- weichungen oder Abnormitàten der Bliite bez. des Ahrchens der Gattung Calamagrostis Adans. (Thürr. Bot. Ver., N. F., XX, an. 1904-1905 p. 74). . Lopriore G. — Zwillingswurzeln (Wiesner Festschrift, Wien, an. 1908 p. 535). Cfr. n. 30. 129 150. 132: 133. 154. 156. 137. 138. 140. 141. BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI i XXVII . Migliorato E.—Contribuzione alla Teratologia vegetale (Annali di Botanica, v. VII, an. 1908, fase. I, p. 139-141, con 3 fig). Migliorato E. — Fillomi e sinfisi fogliari all’ apice del fusto (corifillia e corifisinfillia) (Annali di Botanica, v. VII, an. 1908, fase.sfhtp. 170) . Morini F.— Intorno ad un caso teratologico nel’ Aspidium lobatum (Rv.) Mett. f angulare Mett. (Rend. Ac. Sc. Bo. logna N. S. v. XI, an. 1907, p. 36-40 con 1 tav.). Muth F.—Ueber Bildungsabweichungen an der Rebe (Mitt. d. deutsch. Weinbau-Ver. I, an. 1906, 25 pp. con 19 fig.). Parish S. B.— Teratological Notes (Torreya, VI, an. 1906, p. 32-34, con fig.). Poisson H.—Note sur des fruits d’Ananas fasciés (Bull. Soc. bot. France, LAIT, an. 1906, p. 293-294, con 1 tav.). 5. Potier de la Varde — Note sur une anomalie de V Atri- chum undulatum P. B. (Bull. Ac. Intern. Géogr. bot., XV, an. 1906, p. 287-288, con 4 fig.). Robbins W. W. — Tubular ray-flowers in Gaillardia ari- stata (Torreya, VI, an. 1906, p. 190-191, con 3 fig.). Schilbersky K.— Teratologiai Esetek (A Kir. Magy. Term. Tud. Türs., 10 genn. 1906). Schroeter C.—Ueber die Mutationen der Hirschzunge (Verh. Schw. Naturf. Ges., Luzern 88 Jahresvers, 1906, p. 321-323, con 1 tav. doppia). . Schwerin Fr. von — Geschleehtsyerinderung bei didicischen Gehölzen (Gartenflora, an. 1906, p. 283-287). Starki V.— Notes on Martynia (Ohio Nat., VI, an, 1906, p. 444-447). Tavares da Silva Joacq. — Monstruosidades (Broteria, IV, an. 1906, p. 230-235). AXVHI MARCELLIA 142. Terracciano N.— Descrizione di una novella varietà di Li- 145. 144. 145. 146. 147. 143. 150. lium bulbiferum e di an caso di fasciazione (Atti Istit. Incoragg. Napoli, ser. VI. vol. III, an. 1906, 6 pp. e 2 tav.). Tobias — Eigenartige Bildungen von Hntpilzen (Ztschr. d. Na- turw. Ver. in Posen, XII, an. 1906, p. 79-82). Toumey J. W. — Notes on the fruits of some species of O. puntia (Bull. Torr. bot. CL, XXXII, an. 1905, p. 255-259 , con 2 tav.). Trinchieri G.— Della canlifloria nel Fico domestico (Bull. R. Ort. bot. Univers. Napoli, t. II fase. 2° 2 pp.) Weisse A.-- Bildungsabweichnngen in Blüten von Bi 1) be r- gia nutans (Ver. bot. Ver. Brandenburg, XLVIII, an. 1906, p. XXXIII-XXXVII). Went a. Blaauw.— A case of apogamy with Dasylirion acrotrichum Zucc. (Rec. trav. bot. Neerl., IL, an. 1906, p. 223-234, con 1 tav.).. Wilhelm K. —Ueber einen merkwiirdigen Fichtengipfel ( Wiesner Festschrift Wien, an. 1908, p. 528). . Woodruffe-Peacock E. A.— A budded Ash (The Naturalist, an. 1906, p. 153). Zacharias E. — Ueber Nymphaea micrantha (Verh. Naturw. Ver. Hamburg, 3 Flge. XIV, an. 1906, p. 124-127, con 1 tav.) . Zederbauer E.— Ein schlauchartiges Blatt von Pin guicu- la alpina (Oest: bot. Ztschr., LV, an. 1905, p. 176-178, con 2 fig.). 2. Zederbauer E. — Schlangen-Schwarzfohre, Pinus nigra var. virgata (Ztschr. f. d. ges. Forstw. an. 1906, Heft 2, 3 pp. con fig.). ‘A. TROTTER BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI N XXIX ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 153. Charvot J.— Note sur la destruetion du Phylloxera (C. R. Ac. d. Sc. Paris, an. 1908, IL 3-14): 154. Felt E. P. — Circumfili of the Cecidomyidae (New York State Mus., Bull. n. 124, an. 1908, p. 305-307). S’ intrattiene intorno alla singolare struttura delle « setole ad arco » esistenti nelle antenne di molte Cecidomie e pensa possano essere degli organi di senso ad ufficio uditivo. 155. Jaeger Jul.—Ueber Kropfmaserbildung am Apfelbaum (Zeitschr. J. Pflanzenkrankh., XVIII Bd., an. 1908, Heft 5, p. 257-272, con fig. nel testo ed 1 tav.). Deserive minutamente, anche dal lato istologico, alcuni tumori irregolari svi- luppantisi sui rami di alcune piante coltivate di Pirus Malus. Egli mette anche in raffronto tali produzioni patologiche con quelle di analoga apparenza e struttura già segnalate da vari Autori su piante arboree diverse. Quanto alle cause, intorno alle quali ben poco si sa di preciso, giacchè si propende a ritenere tali anomalie come conseguenza di influenze meteoriche o di fatti traumatici non ben delimitati, 1’ A. pensa sieno invece da attribuirsi ad influenze parassitarie. A questo proposito egli ricorda molte galle già note del sistema legnoso , prodotte senza alcun dubbio da particolari cecidozoi o cecidofiti e vorrebbe trovare in ciò un appoggio alla sua tesi, confortata dal fatto d’ aver egli trovato, in corrispon- denza di questi tumori, vari Acari, come Tetranychus sp., e rappresentanti indeter- minati di Tyroglyphidae ed Oribatidae. 156. Marlatt C. L. — The Wolly Aphis of the Apple. Schizoneura lanigera Hausm. (U. 8. Dep. of Agric. Bur. of Entomol. Cire. n. 20 an. 1908, 6 pp. e 2 fig.). 157. Thomas Fr. — (Kritik von) F. Rupow, Einige merkwürdige Gallenbildungen (Centralbl. f. Bakter. ete. II Abt., XXI Bd., an. 1908, p. 174-175). Il lavoro del Rupow fu già registrato nella Bibliografia [VI n. 6]; erediamo ora utile riportare integralmente la critica fattane dal THOMAS nel periodico citato: « Wer nur einen Blick in dieses Verzeichnis von 5-600 Gallen (die der Cyni- piden hat Verf. ausgeschlossen) wirft, wird, falls er etwas von Gallen versteht , XXX MARCELLIA glauben, eine Arbeit aus recht alter Zeit, nicht aber ans dem 20. Jahrhundert vor sich zn haben. Von den Resultaten der neueren Forschungen ist fast nichts anfge- nommen, die so verdienstvollen Arbeiten von NALEPA existieren fiir den Verf. nicht. So finden wir, um ein paar Beispiele ganz gemeiner Milbengallen herauszugreifen, bei Acer campestre noch Bursifec aceris Am. angegeben, wo seit 1889 Phy- toptus (jetzt Eriophyes) macrorhynchus Nal. zuzufügen wäre, bei Prunus pa- dus nur Ceratonenm attennatum Bremi, nicht aber Zriophyes padi (Nal.) Bei Populus tremnla schreibt Verf. den veralteten Namen Batoneus populi Kirchner und nichts von Eriophyes populi (Nal.) Aber auch mit den alten Namen und Antoren nimmt es Verf. nicht genan. Als Urheber der gemeinen von Eriophyes laevis (Nal.) erzeugten Blattgallen von Alnus steht Cephaloneon pustu- latum Am., wo dann wenigstens BREMI statt AMERLING als Autor zu schreiben wäre. Unter Prunus finden wir Cephaloneon molle Bremi neben Ceph. molle Am. auf einer und derselben Seite. Das sind für den Verf.. wie es scheint, gleichgiiltige Dinge. Telenchus (statt Tylenchus), auf derselben Seite dreimal, kann nieht wohl Druckfehler sein; zu T. agrostidis setzt Verf. als Antor « Mühlb. » statt Steinbach, n. s. f. Fast ebenso wie die von NALEPA sind auch die zahlrei- chen seit etwa 30 Jahren erschienenen Arbeiten über andere Gruppen von Ceeido- zoen fast ganz unberücksichtigt geblieben. Von RUBSAAMEN aufgestellte Gallmiie- kenarten finde ich nur bei 5 australischen Gallen. KIEFFER als Antor sehe ich nur bei 3 siidenrepäischen Arten (Urheber von Gallen an Atriplex Halimns), und bei zweien davon steht er nicht einmal richtig, denn es müsste lauten Coleo- phora Stefanii Joannis und Cecidomyia trinacriae Stefani. Begreiflicherweise laufen anch falsche Dentungen unter. So werden die Ermergonzen der Biätter von Ari- stolochia sipho (ich verweise auf PENZIGS Ptlanzenteratologie Bd. II p. 269) vom Verf. abermals, wie schon in der Zeitschr. f. Pflanzenkraukheiten Bd. I. p. 333, als Milbengallen gedeutet. Ich greife dieses Beispiel heraus, weil mir kein Referat iiber Rupows Arbeit von 1891 bekannt geworden ist, welches den Irrtum berichtigt hätte. Nicht gering ist endlich die Zahl der Fälle, in denen man gar nieht sicher sagen kann, worauf die Angabe des Verf. hinansläuft, welches Objekt er eigentlich | vor sich gehabt habe, z. B. wenn er von Psylla alni L. erzeugte gerstenkorngrosse Gallen auf der Unterseite der Erlenblätter aufführt oder Lachnus fagi Htg. branne, glatte, unterseitige Blattgallen erzeugen liisst u. a. m. Mangel an Sorgfalt und Zuverlässigkeit kennzeichneten schon vor 30 und mebr Jahren des Verf. Arbeiten iiber Gallen. und dieser nenesten muss derselbe Vorwurf gemacht werden. ‘ Um môglichste Vollständigkeit zu erzielen ,,, so schreibt der Verf. in den einleitenden Zeilen, habe er ‘ anch die interessantesten Missbildungen ansländischer Gewiichse eingezogen ,,, aber Angaben über den Kontinent, in dem das Objekt vorkommt, fehlen bis auf einige ganz vereinzelte Fälle. Die amerikanischen und anstralischen Gallen ‘fast nur nm solche handelt es sich) erkennt man ja meist sofort am Sub- strat oder an dem Autor hinter dem Namen des Cecidozoon. Aber besser wären an diesem Ort die von WALSH, FITCH, OSTEN-SACKEN n. a. sowie die von FROGGATT beschriebenen Gallen weggeblieben und dafiir die deutschen vollständiger gebracht worden. Dann wiirde der Verf, noch eher, wenn auch schwerlich der Wissenschaft, so doch den Besitzern des Entomologischen Jahrbuchs einen Dienst geleistet haben ». BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI Sistematica, distribuzione geografica, galle nuove, ecc. 158. Cameron P.— Description of a new Species of Parasitic Cyni- pidae from Kuching, Borneo (Deutsch. Entom. Zeitschr. an. 1905, V). 159. Cockerell T. D. A. — A remarkable Cecidomyiid Fly (Cana- dian Entomologist, XL, an. 1908, 11, p. 421-422, con fig.). Hormomyia coloradensis n. sp., notevole per la particolare conformazione della nervatura alare. 160. Docters van Leeuwen W. — Een Mijtgal op Cinnamo- mum zeylanicum Breyn (Cultuurgids, Salatiga (Giava) an. 1908, Tweed. gedeelt. Atl. n. 6, -Estratto di 12 pp. e 2 tav.) Galle ordinariamente fogliari, raramente rameali, in forma di borse irregolari, a robuste pareti, sporgenti sull’ ipofillo; sono terminate da piccolo ostiolo e nello interno presentano delle anfrattuosità rivestite da peli. Sono prodotte da una nuova specie di Eriophyes studiato dal Naterpa e denominato Er. Doctersi. 1’ Autore com- pie intorno a queste galle , raccolte presso Salatiga nell’ Isola di Giava, un dili- gente studio anatomico, corredato da numerose figure. 161. Felt E. P. — New Species of Cecidomyidae. II (New York St. Mus. Bull. n. 124, an. 1908, p. 286-304). 162. Felt E. P.— Studies in Cecidomyidae. II (New York St. Mus., Bull. n. 124, an. 1908, p. 307-422, fig. 29-49, tav. 33-34). Sono descritti come nuovi i seguenti generi: Microcerata, Neolasioptera, Camp - toneuromyia, Diarthronomyia , Walshomyia, Sackenomyia, Cineticornia , Lobodiplosis, Karshomyia, Youngomyia, Prodiplosis, Odontodiplosis, Adiplosis, Hyperdiplosis, Giar- domyia, Metadiplosis, Epidiplosis, Paradiplosis, Obolodiplosis, Johnsonomyia. 163. Kirby W. F.— A Gall-producing Dragon-Fly (Nature, an. 1905 p. 68). 164. Mordvilko A. — Tableau pour servir à la determination des groupes et des genres des Aphididae Pass. (Bull. Ac. Imp. Sc. S. Petersbourg, an. 1908, 11-14). XXXII MARCELLIA FITOCECIDII 165. Atkinson G. F.— A parasitic Alga Rhodochytrium Spilanthidis Lagerh., in North America (Botan. Gazette, v. XLVI, an. 1908, p. 299-301). Questo interessante parassita di dubbia collocazione, tra le Protococcacee e le Chitridiacee, scoperto da LAGERHEIM nel 1889 nell’ Ecuador, il quale produce delle evidenti deformazioni negli organi fogliari, fu di recente scoperto anche nelle Ca- rolina del Nord su piante di Ambrosia artemisiaefolia. 166. Sydow H. et P. et Butler E. J. — Fungi Indiae orientalis (Ann. Mycol. V, an. 1907, p. 486 con fig.). Descrive e fignra i micocecidii di Pologonium glabrum, raccolti a Busa (India orientale), prodotti dall’ Ustilaginea Melanopsichium austro-americanum (Speg.) G. Beck. ARGOMENTI AFFINI Varia 167. Carpentier L.— Observations sur trois Curculionides parasites des galles du Saule (Bull. Soc. Entom. de France, an. 1908, p. 262). L’ Apion minimum Herbst si nutre, durante lo stato larvale, delle galle dei Sa- lici, prodotte da Pontania prorima Lep. e Pont. Carpentieri Kon.; la ninfosi avviene nel terreno. — Balanobius salicivorus Payk. si nutre delle stesse specie di galle ed anche di quelle di Pontania Salicis Chr.— Balanobius crux F. vive egualmente nelle galle di Pont. prorima, P. Salicis e Cryptocampus venustus Zadd. 168. Cavara Fr. — Intorno agli effetti dell’ azione irritante delle Cocciniglie sui tessuti assimilatori (Rendic. R. Ace. Se. Fis. Mat. Napoli fase. 1°-2°, an. 1908, 3 pp.). In seguito alla presenza di una Cocciniglia, ancora indeterminata, un esemplare di Quercus castaneaefolia C. A. Mayer coltivato nel R. Orto botan. di Napoli, non solo manteneva più a lungo le foglie, ma le foglie stesse, nei punti at- taccati dall’ insetto, conservavano la loro colorazione verde, mentre le restanti parti della lamina erano giallognole o giallo-brune. BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXXIII 169. Guérin P. — Sur les domaties des feuilles de Diptérocarpées (Bull. Soc. bot. de France, LAIT an. 1906, p. 186-192, con 7 fig.). 170. Hedgcock G. G.— Some stem tumors or knots on apple and quince trees (U. S. Dep. of Agric., Bur. of Plant-Industry, Cire. n. 3, an 1908, 16 pp. e fig.) Cfr. n. 29. 171. Laubert R.— Rostpilzevertilgende Mückenlarven (Deutsch. Land. wirtsch. Presse, an. 1907, n. 78 p. 618). 172. Meijere J. C. H. de — Cecidomyia-Larven in Psylla (Entomol. Tijdschr., D. 49, an. 1906, p. XXI-XXII). 173. Severini G.— Particolarità morfologiche ed anatomiche nelle radici del’ Hedysarum coronarium L. (Annali di Bo- tanica v. VII, an. 1908, fase. I, p. 75-81, con 2 tav.). Tratta di alcuni organi particolari esistenti sulle radici di questa pianta, de- nominati « palette » e ben diversi dai tubercoli. 174. Thomas Fr.— Die Tambacher Zypressenfichte (Aus den coburg- gothaischen Landen, 6 Hett, Gotha 1908, p. 58-60 con 1 tav.). Appendice ad una precedente comunicazione dell’ A. [efr. Bibl. VI 230] in se- guito ad altre notizie di interesse locale. 175. Ugrenovic Alex.— Ueber einige Angriffe der Vögel auf Pflan- zengallen (Centralbl. f. d. ges. Forstwes., Jahrg. XXXIII an. 1907, Heft 12, p. 529-531). Secondo le osservazioni dell A. molte galle di Quercia, sieno esse ancora ade- renti alla pianta oppure cadute sul terreno, vengono ricercate dagli necelli che le rompono o perforano per mangiare le larve contenute nell’ interno. 176. Wildeman E. De— Notes sur quelques Acarophytes (Ann. Soc. sc. Bruxelles, XXX, 2 P. an. 1906, Estratto di 20 pp.). Descrizione ed osservazioni sn numerosi domazii di piante della regione con- golese. A. TROTTER XXXIV m rn TLL NR A -- ALFRED GIARD Morto 1 8 agosto 1908, alletà di anni 62; professore alla Sor- bonne di Parigi, ove teneva la Cattedra speciale dell’ Evoluzione de- gli esseri organizzati; zoologo di grande fama, biologo geniale, erano a Lui famigliari i più svariati argomenti delle Scienze naturali, nei loro più minuti dettagli. La sua produzione scientifica è perciò co- piosissima e varia, anzi troppo varia per poter essere immune da talune inevitabili mende. A. GIARD non può dirsi, nello stretto senso della parola, uno specialista negli studi cecidologici, però a questo giovane ramo della biologia egli si era grandemente interessato, come ne è prova la sua calda e brillante prefazione al Trattato di DAR- BOUX ed HOUARD, Zoocécides de U’ Europe etc. (1901), la quale solo basterebbe a raccomandarlo alla considerazione dei cecidologi. Egli fu, direttamente od indirettamente, l ispiratore di molti dei lavori cecidologici apparsi in Francia in questi ultimi anni; anzi egli non si ristava dal consigliare le ricerche cecidologiche, a quanti si rivol- gevano a Lui, conscio del loro alto valore scientifico e didattico.« Cela, sono sue parole, n° a pas été sans provoquer quelque étonnement et même certaines inquiétudes. — “ Encore un que vous lancez sur les galles!, me disait un jour un de mes collègues de l Université, prenez garde, ils vont se manger !,, — Soyez tranquille, ai - je ré- pondu , j en voudrais voir plus grand nombre encore attaquer ce précieux gisement. Car je connais peu de territoires scientifiques en- core si insuffisemment explorés, ou les facultées propres de chaque travailleur puissent se manifester avec plus d’ originalité et d’ indé- pendance en des sens multiples, avec plus de chances de travailler, sans concert préalable et sans courir le risque de se contrecarrer, à une oeuvre d’ ensemble d’ une valeur inestimable ». Ricordiamo i seguenti suoi lavori di diretto interesse cecidolo- gico, apparsi anteriormente al 1901, rinviando, per i pochi altri pub- blicati posteriormente, alla Bibliografia di MARCELLIA : 1885 Note sur V Lurytoma longipennis. Bull. scient. Fr. et Belg. XVI p. 285. 1888 Sur la castration parasitaire du Lyehnis dioica L. par Vl Ustilago an- therarum Fr. C. R. Ac. d. Sc. Paris CVII p. 757. 1889 Première liste des galles du nord de la France par M. Fockeu. Analyse cri- tique. Bull. scient. Fr, et Belg. XX p. 84. XV Note sur la castration parasitaire du Melandryum vespertinum. Ibidem XX p. 150. Sur une galle preduite chez le Typhlocyba rosae L. par une larve d’ Hyme- noptère. C. R. Ac. d. Sc. Paris CIX p. 79. Sur la castration parasitaire de V Hypericum perforatum L. par la Cecidomyia hyperici Br. et par V Erysiphe Martii Lev. Ibid. CIX p. 324. Sur la castration parasitaire du Typhlocyba par une larve de Diptère (Atelene- ura spuria Meig.). Ibid. CIX p. 708. 1893 Sur l organe appelé spatula sternalis et sur les tubes de Malpighi des larves de Cécidomyes. Bull. Soc. entom. de Fr. LXII p. LXXX. Sur quelques Insectes hémiptères et liste des Cochenilles trouvées aux euvirons de Paris. Ibid. LXII p. CXCIX. Sur Hormomyia fagi. Ibid., LXII, p. CCLX. Sur les Nematodes parasites des Cécidomyidae. Ibid. LXII, p. CCCXI. Un genre nouveau et une espèce de Cecidomyide: Drisina glutinosa. Ibid . LXII p. CCCXLII. 1894 Note critique à propos des « Observations sur les galles produites sur S a- lix babylonica par Nematus salieis par le Dr. F. Heim ». Ibid. LXII PIENE. Sur Cecidomyia destructor Say. Ibid. LXIII p. CXXXIX. 1895 Note sur le genre Octodiplosis. Ibid. LXIV p. CCCLV. 1901 Sur V existence probable de Rhopalomyia Giraldii Kiett. et Trott. dans le Sud oranais. Bull. Soc. Entom. de Fr., p. 260. ACTE, Dobbiamo lamentare anche la prematura perdita del Prof. W. H. ASHMEAD addetto al Museo Nazionale di Washington, morto il 17 ottobre 1908, all’ età di anni 53. Entomologo, ma sopratutto imenotterologo di valore, contribuì grandemente a far conoscere gli Imenotterocecidii nordamericani. Egli istituì anche un gran numero di nuovi generi e specie di Cinipidi, completandone V illustrazione con la ricerca e la descrizione dei nu- merosi loro commensali o parassiti. I suoi lavori sulle galle norda- mericane, studiate sopratutto dal lato zoologico, trovansi in vari periodici come: The Canadian Entomologist, Trans. Amer. Ent. Soc., Proceed. U. S. National Museum, Bull. Colorado Biol. Ass., ete. AI i e ee e + 7 OS TA TOI EE : HP an Oe. a eat 4 IR Ra 4 u vs A tai Dan ‘ IUT ET ) +4 AR? EL rite sii nil ax Mea Meg 900. i Salo 7,4 oh a ol sed roi i pipe } N rere , Agr Lew pese alia nee Tile Di LTE tot * ee ILE “n no vw aA si “ui ¥ in‘ ‘) pi Pri 11 nl ne 2 1 Di ad it i , oil a i | ii ik: forca. vr kan vi AI Mises NUTS) DE TAN EH: 1908 INDICE dei lavori pubblicati —+- e+ BAYER E.— Notes sur les galles de Dryophanta agama et disticha de I’ Iconographie « Galles de Cynipides » (con 6 fig.) . Bezzr M. — Noterelle cecidologiche . c . o ; ; DALLA TORRE K. W. von. — G. Mayr. Ein Nachruf (con ritratto) . De STEFANI T. — I primi Zoocecidii della Somalia italiana KIEFFER J. J. — Description de quelques galles et d’ insectes galli- coles de Colombie (con 1 fig.) . + AN » » — Description de galles et d’ insectes gallicoles ( Asie (con 4 fig. e 2 tav.) 3 , MARIANI G. — Nuovo contributo alla cecidologia italica . NIESSEN Jos.— Aphis Cardui L. auf Oenothera muricata L. (con 2 fig.) . RÜBSAAMEN Ew. H.— Beiträge zur Kenntnis Aussereuropäischer Zoo- cecidien. III Beitr.: Gallen aus Brasilien und Peru (con 7 fig. SALEM V. — Nuove galle dell’ Erbario secco del R. Orto botanico di Palermo È - Trorrer A. — Illustrazione di alcune galle cinesi provenienti dallo Shen-si settentrionale (con fig. nel testo ed 1 tav.) » » -— Nuovi Zoocecidii della Flora italiana. Ottava serie » » — Rapporti funzionali tra le galle di Dryophanta folii ed il loro supporto » » — Notizie necrologiche . è ; : pag. VIII, » » — Notizie diverse . ; . £ 7 MRS) pag. 3 » 10 » 122 » 142 » 140 » 149 » 110 » 14 DS 15 » 105 » 80 » 116 » 167 Ma Vil REX? VII Data di pubblicazione dei singoli fascicoli Fasc. I-II, p. 1-80, 30 maggio 1908. Fasc. III, p. 81-104, 28 luglio 1908. Fasc. IV, p. 105-120, 26 novembre 1908. Fasc. V-VI, p. 121-177, 30 gennaio 1909. XXXVIII INDICE dei generi e delle specie nuove di cecidozoi descritti nel presente Volume DirrerI: Clinodiplosis (?) nodifer n. sp. Kiefter. Clinodiplosis (?) artemisiarum n. sp. Kieffer Clinodiplosis cellularis n. sp. Kieffer Lasioptera longispatha n. sp. Kiefter Lasioptera trilobata n. sp. Kiefter Lopesia brasiliensis n. sp. Riibsaamen . Mikiola orientalis n. sp. Kiefter . Oligotrophus (?) indianus n. sp. Kieffer Oligotrophus mangiferae n. sp. Kieffer. Oligotrophus (?) quadrilobatus n. sp. Kieffer Oligotrophus (2) tenuispatha n. sp. Kiefter Schizomyia (?) incerta n. sp. Kietter Schizomyia (?) indica n. sp. Kietter Zalepidota piperis n. gen. n. sp. Riibsaamen IMENOTTERI : Lsosoma Macalusoi n. sp. De Stefani Parasierola bogotensis n. sp. Kieffer LEPIDOTTERI: Semasia (?) cecidogena n. sp. Kieffer PSILLODI : ? Aconoza n. gen. Riibsaamen Bactericera solani n. sp. Riibsaamen. Bactericera Ulei n. sp. Rübsaamen Cecidotrioza baccarum n. sp. Kiefter . AFIDI: Pemphigus indicus n. sp. Kieffer COCCINIGLIE : Leachia festiva n. sp. Kiefter F THYSANOTTERI : Cecidothrips bursarum n. gen. n. sp. VERMI: Tylenchus nectandrae n. sp. Riibsaamen Kiefter INDICE degli Autori menzionati nella Bibliografia Allborn Fr., 96. Anderson J. R., 97. Atkinson G. F., 165. ‘Baccarini P., 27. II, VI. Bail Th., 62. Bessey C. E., 98. Bentenmüller W., 6, 7 [IIL, VI]. Blaauw, 147. Blanchard R., 19 [I]. Blaringhem L., 28 [IV-VI]. Boerner C., 31. Bonfigli B., 63. Bottomley W. B., 87. Brennan Q., 99. Bruckman L., 100. Buchet L., 101. Bitto ge sera IGVieee Wale] Butler E. J., 166. Cameron P., 158 [I, IV]. Capitaine, 102. Carpentier L., 167. Cavara F., 168 [II]. Cecconi G., 39 [I-III, V-VI]. Charvot J., 153, Chifflot J., 103 [IV-VI]. Chodat M. R., 2 [I]. Chretien P., 40, 68 [I-II, V]. Christ H., 104. Cobelli R., 60 [V]. Cockerell T. D. A., 41, 159 [I-IV, VI]. Collinge Walt. E., 69 [VI]. Cook Mel. T., 70 [I-V]. Cosens A., 42. Couden F. D., 43. Cuboni G., 44 [I]. Davis W. T., 105. Del Guercio G., 3 [I-II, IV, VI]. Demokidow K. E., 4. De Stefani Perez T., 45, 46 [I, IMI-VI]. Docters van Leeuwen W., 160 [V-V1]. Doering E., 106. Esteva J., 107, 108, 109. Evans J.. B. P., 15. Faes H.. 32 [IV]. Healt Be 5.71, 727154, L61,. 162 UE ABLE Fernald M. L., 110. Ferry R., 111. Fiori A., 20. For A., 33 [VI]. Fobe F., 112. Foex E., 47. Portier bs, 115, LES TV: Friedel J., 116 [V]. Fuhrman Fr., 16. Fuschini C., 34 [1V, VI]. Gage A. T., 117. Gager CSS 1138. Garbaglia L., 35 Gerber Ch., 73 [I-V]. Gilbert MD MU Gillanders A. T., 64. Gillette C. P., 8 [VI]. Goebel K., 120 [V]. Graebener L., 121 [VI]. Grandor’ R., 33, 65. Grassi G. B., 36, 65 [VI]. Griffiths L., 122. Griggs R. F., 88. Guéguen F., 57 [II]. Guérin P., 169. Guillaume A., 74 [III]. Giirke M., 123. Gutzeit, 21. Hagen J., 124. Harris J. A., 125, 126 [VI]. Hedgeock G. G., 29, 170 [V]. Hieronymus G., 4 [II-V]. Hildebrand Fr., 22 [III, VI]. Houard C., 48, 75 [I-VI]. Jaeger Jul., 155. Jarvis 2. AD TION Ev.1]. Kern Fr. Dun., 17. Kieffer J. J., 49, 50 [I-VI]. Kirby W. F., 163. Kock G., 89. Lachman P., 23. Laubert R. 171, [III]. Leclere du Sablon, 61 [VI]. Lehbert Rud., 127. Lemée E., 51 [Il, V-VI]. Leonardi G., 76. Lopriore G., 30, 128 [III-VI]. Mariani G., 11 [VI]. Marlatt C. L., 156 [I]. Mattirolo O,, 90. Meijere J. C. Migliorato E., 129, 130. H. de, 172 (I, VI]. XL — TIT e eee ll — Molinas E., 47. Molz E., 77, 78 [VI]. Mordwilko A., 164 (I, VI]. Morini F., 131. Miiller K., 91. Muth F., 132 [V]. N. Ni 79 (Vir Newstead R., 80 [II]. Niessen J., 18 [II-VI]. Niisslin O., 37 (IV]. Pammel L. H., 92, 93. Pampanini R., 24 [III-1V}. Paoli G., 81 [VI]. Parish S. B., 133. Pax F.,,9 [1I-V]: Perotti R., 55. Petri L., 38 [VI]. Poisson H., 134. Potier de la Varde, 135. Puttemans, 82. Rey Eug., 83. Ritzema Bos J., 66 [I-III, V]. Robbins W. W., 136. Rolfs P. H., 52. Schilbersky K., 137 [IV]. Schmidt H., 84 [VI]. Schroeter C., 138. Schwerin Fr. von, 139. Seitner M., #5 [V]. Severini G., 94, 173 [VI]. Silvestri F., 12 [V-VI]. Siracusa Jannelli G., 58. Smith Erw. F., 56 [IV, VI]. Sommier S., 25. Starki V., 140. Sydow H. et P., 166. Tavares da Silva J., 86, 141 (I-II, IV-VI]. Taylor E. P., 67. Terracciano N., 142. Thomas Fr. 157, 174 (I, II-VI). Tobias, 143. Toumey J. W., 144. Trail J. W. H., 53, 54 [I-III, V]. Trinchieri G., 26, 59, 145 [VI]. Trotter A., 13, 30 bis, 95 [I-VI] Ugrenovie Al., 175. Weisse A., 146 [I]. Went, 147. Wildeman E. de, 176 [IV, VI]. Wilhelm K.. 148. Woodruffe-Peacock E. A., 149. Zacharias E., 150. Zederbauer E., 151, 152 [V-VI]. Zimmermann C., 14 [V]. Domandedicambi,indirizzi, domande e risposte diverse, etc. a: * Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’ in-. teresse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la-Cecidologia. G. DARBOUX et C. HOUARD Galles de Cynipides i | Recueil de figures originales executées sous lu direction de feu È le Dr. JULES GIRAUD | 90 pp., avec 18 pl. in-4. dont 15 col. Les tirages à part sont en nombre minime et mis en vente a 30 fr.® par Masson et Co., Paris, Boulv. St. Germain 120. vient de paraître : GC. HOUARD | Les Zoocécidies des Plantes d'Europe | et du Bassin de la Méditerranée. T(jj,[" — Description des Galles — Illustration — Bibliographie détaillée Répartition . géographique — Index bibliographique 1365 figures dans le texte — 2 planches hors texte 3 2 vol. in 8° raisin (25 x 17) de 500 pages environ chacun, sur papier | glacé.— Prix de Souscription aux deux volumes : 40 fr. | a Aucun volume ne sera vendu séparément — Le Tome II paraitra prochainement. NB. - Le tirage étant limité, nous prions les Naturalistes, désirenx de s’ assurer +8 40 nn exemplaire, de se faire inserire an plus tôt. os Librairie Scientifique A. HERMANN — 6, Rue de la Sorbonne, Paris (V°) vu RIUISTA INTERNAZIONALE DI CECIDO revartore: rror. A. TROTTER (AVELLINO) ri + ge SE 4 LOG + E 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle galle e dei. produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori eriginali, di istologia, — morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene … inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando — Ex anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o mene estese. "4e 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno però 4 a la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- De tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si accettano i lavori in inglese, tedesco ed in tutte le lingue delle nazioni latine. Be 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori, | i sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di | copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore con l’invio del « manoscritto. i, - 5 | 4. Le spese per tavole o figure nel testo sono, per ora, a carico degli Autori 5. Usciranno 6 fascicoli all'anno, complessivamente circa 15 fogli di stampa, i possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè : Febbraio, Aprile, Giugno, Ago- sto, Ottobre, Dicenbre. = 6. Gii abbonamenti cominciano dal 1° Gennaio è si intendono rinnovati an che per l’anno successivo , qualora non venga data rinuncia al Redattore entro | a X SE il mese di Dicembre. 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (= 15 Fr. = 12 Mk. = 12 Sh.) ri; da pagarsi antecipatamente.— Si pregano i Signori Associati ssteri di effettuare ; i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con vaglia cambiarit (chèque). ns * + he ss | Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, cambii ecc., rivolgersi i al Redattore prof. A. TROTTER, R. Scuola di Viticoltura e di Enologia, Avellii 1 ” AR (Italia). a og +0 > 20 +> 2% +e ++ 0 0 I de ev eo LA u a Trotter A. e Cecconi G. — Cecidotheca italica ou Collection de Galles ite Z liennes, séchées et préparées, y-cumpris les formes nuisibles aux plantes" à £- agricoles.— Ont paru jusqu’ici 18 fasc. — 450 espèces — ; le prix de chaque. se E î 2124 =! fasc. est de 10 fr. — En préparation fase. 19°-20°.-- Pour achats s’adresser CAI ot au Prof. A. TROTTER. f. | Sommanio: ALEPA A.— Eine Gallmilbe. als RER 3 gerin der Blattgallen von Cinna- ‘mom um zeylani eum Breyn. _ DE STEFANI PEREZ T.— Altri Zoocecidii E dell’ Eritrea. “Prof. A. Costa. - REIJNVAAN — Einige Gallen ans Java : (con fig.). ER E.- “Di basicornis n. sp. = (con fig.). GREVILLIUS A. Y.— Ein Thysanpplero- * cæidinmanf Vicia eraeea E. {con | fig). KA ALEPA A.— Der Braelger des Erineum Be, Duv. (eont.). xè Notizie: © RIVISTA INTERNAZIONALE | eee m ŒCIPOIOGIA | UND W/ DocTERS van LEEUWEN-. REDATTORE: Pror. Dr A. TROTTER. Yor. Vill An. 1909 Fasc. {il (PUBBLICATIHL 31 MAGGIO 1909) ==> AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA 1909 ro EN : eu # PAS u È Signori Gétléboratart avanti l’invio dei manoscritti, di | ee presenti, n stesso interesse, le seguenti avvertenze : - . I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza: Tale. comandazione è rivolia in modo speciale ai Signori Collaboratori esteri: 2. Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta ; ; una Sec si (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte sieno state una certa importanza. Ulteriori invii non saranno Tatti che dietro. richie degli interessati. — 3} Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero Superiore. ai ‘30, ‘conce gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l'invio del manost 1 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se. non: quando. ‘ne sia. st espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. i et a, 5. Per |’ uniformità del giornale si pregano i Signori | Collaboratori ae atter € ‚alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequien uBandOIE possibilmente ed HRNGEBERIEHES nei contro indicati casi. ST AT ” N carattere State (per i cecidozoi | (6) Hate gallifere nelle intestazion TEE es. Cynips coriaria, FAEUR silvatica). » MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo ; ad es. GT a Tr Fe GIRAUD). | » corsivo (per i cecidonti nel testo; ad. es. Perrisia affini. Mat cystis Anemones). — 7 RE “» spaziato (per i substrati nel testo; ad es. Quercus :c0@ fera, Salvia pratensis). “a MARCEILIA ivista Internazionale di Cecidologia REDATTORE: Pror. Dott. A. TROTTER Vol. VIII = An. 1909 AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA 1909 Sr = * sto: 105 6 7 : Î N n Pi, ar 195 ‘ , e (WAST tire: re dA Mia) Uplate Er æ PI Le. à nn BT QT | 4 ri « N N eat de ’ 4 Le pare pdf PL ' 4 di ; , x gr > > 4 L . Ins 4 Mya tht N + A Ù - ¥ 4 j PAT 0 iL ry 4 i 4 + f ed + L + =. i 194 - » at "LPFART di iu is — miri ee TT 4 ET N uf le x Ù of whe - r LE. » a nd Spalten, durch welche die Milben die vertrocknete Galle ver- 4 A. NALEPA lassen. Zu Hunderten sieht man sie dann auf den Blättern, Zweigen und Knospen umherwandern. Eine Anzahl dringt in die Knospen ein und verursacht durch ihre Angriffe auf die in Entwicklung be- griffenen Blattorgane die Bildung neuer Gallen. Die Gallmilben, welche das geschilderte Cecidinm des Zimmtban- mes erzeugen, gehören einer noch unbeschriebenen Art der Gattung Eriophyes an, die ich nach dem ersten Untersucher desselben, Herrn Dr. W. DOCTERS VAN LEEUWEN, Eriophyes Doctersi n. sp. nenne. Der Körper dieser Art ist im allgemeinen gestreckt, zylin- drisch, beim Weibehen etwa viermal so lang wie breit, beim Männ- chen gedrungen, zuweilen tonnenförmig. In dem von Herrn DOCTERS eingesendeten Untersuchungsmaterial finden sich indessen auch auf- fallend viele weibliche Tiere mit einem gedrungenen, fast walzenför- migen Rumpf. Erfahrungsgemäss nehmen auch Gallmilben mit schlan- kem Körper diese Gestalt infolge voa Wasserverlust an, wenn sie durch längere Zeit in trockner Luft gehalien werden und hungern. Der Hinterleib solcher Tiere zieht sich stark zusammen, wird nicht selten um mehr als die Hälfte kürzer und die Ringe rücken enger aneinander. Der Kopfbrustschild ist klein, halbkreisförmig und läss die ersten Beinglieder (Coxa, FR. Löw; Trochanter , ©. BÖRNER) sowie das Capitulum völlig unbedeekt; nach hinten ist er gut be- grenzt. Der stumptwinklige, abgerundete Vorderrand bedeckt die Basis des Capitulums, die Seitenränder sind nur wenig nach ausse gebogen. Nicht immer leicht ist die Schildzeichnung zu er kennen; sie gehört dem streifigen Typus an. Das Mittelfeld sowi B | die Seitenfelder zeigen eine ungemein feine und enge Längsstreifungs die im Mittelfeld dadurch zustande kommt, dass zahlreiche Linien, welche von vorn nach hinten ziehen und sich beiläufig in der Mitte des Schildes gabeln, dieht aneinander gedrängt sind. In den Seiten: | feldern ist die Streifung schwächer ; die Linien ziehen vom Vorder-' ‘and nach hinten und biegen an den Seiten etwas nach aussen. In. einem von der Streifung freigelassenen Winkel stehen die grossen, walzenförmigen Höcker der Schildborsten, welche den Hinterrand ein wenig iiberragen; sie tragen schwache, nach hinten gerichtet Schildborsten (s. d.), die die Länge eines Beines kaum errei- chen. Das Capitulum ist sehr kurz (16 y), schwach gebogen u schräg nach vorn gerichtet. EINE GALLMILBE 5 Die Beine fallen durch ihre Kürze auf; sie haben etwa die Länge des Schildes. Das 4. und 5. Glied (Tarsus 1 und 2, FR. Löw; Tibia und Tarsus, BORNER) sind annähernd gleich lang und in ihrer Stärke von den vorhergehenden Beingliedern wenig verschieden. Die Beinborsten sind im allgemeinen schwach ; nur die Aussenborsten und die Borsten an der Riickenseite des 3. Gliedes (Tibia, FR. Löw; Patella, BORNER) sind kräftig. Ziemlich lang und zart sind die Bor- sten an der Unterseite des 2. Gliedes (Femur). Die Kralle ist an ihrer Basis schwach gebogen und überragt die vierstrahlige Fi e- derborste (Praetarsus, BÖRNER). Die Sternalleiste erreicht die inneren Stützleistenwinkel nicht; sie ist sehr schwach und daher nur an gut aufgehellten Priparaten zu sehen. Die Gabelung ist sehr tief und die Gabeläste sind gerade. Die Brustborste (Coxalborste , BÖRNER) des ersten Paares ist sehr kurz und randständig, die des zweiten Paares weit nach vorn gerückt, so dass sie den Scheitel eines sehr stumpfen Winkels bildet, dessen Schenkel Gerade sind, die “zu den Insertionspunkten der. beiden anderen Brustborsten gezogen werden. Auffallend schmal geringelt und fein punktiert ist das Abdo- men. Die Ringelung ist so schwach, dass die Dorsalseite bei ober- Hlächlicher Betrachtung gleichmässig fein punktiert erscheint (1). Die Ringe selbst sind sehr schmal, kaum 1.9 » breit. Im Endabschnitt des Abdomens werden sie allmählig breiter und unmittelbar vor dem Schwanzlappen erreichen sie eine Breite von 3 p. Diese Ringe sind auf ihrer Dorsalseite in der Regel glatt, selten undeutlich punktiert im Gegensatz zu den übrigen Rückenhalbringen, die Reihen von sehr kleinen, dieht neben einander stehenden Punkthöckern tragen. An der Bauchseite ist die Punktierung weniger dicht und die Ringelung etwas breiter. Die Seitenborsten (s. 1.) sind von allen Bauchborsten am schwäch- Sten; sie sind kaum länger als der Schild und etwas hinter dem Epigynium inseriert. Die Bauchborsten des ersten Paares (s. v. I.) haben sehr zarte Enden und sind beiläufig 1'/, mal so lang wie der Schild, Nur wenig näher aneinander gerückt als diese stehen die etwas kürzeren Borsten des zweiten Paares (s. v. IL); sie haben (1) Die Anzahl der Ringe ist sehr gross (98-102). 6 A. NALEPA ungefähr die Länge eines Beines. Die Borsten des dritten Paares (s. v. IIL.) haben etwa die Länge der Schildborsten und sind stärker als die übrigen Banehborsten. Die Schwanzborsten (s. €.) sind auf- fallend kurz und fädlich; sie werden von Nebenborsten (s. a.) beglei- tet, die so kurz sind, dass sie leieht der Beobachtung entgehen. Der Schwanzlappen ist klein und zeigt keine besonderen Eigen- tiimlichkeiten. | Das Epigynium ist flach, 23 p breit, und liegt ziemlich weit hinter den Stützleisten des zweiten Beinpaares. Die Deckklappe er- scheint in der Regel glatt, doch wird bisweilen eine undeutliche Längsstreifung beobachtet. Die Genitalborsten (s. g.) sind grundstän- dig und sehr kurz, kaum so lang wie das letzte Beinglied. Das Epiandrium ist ein stumpfwinkliger, 18 » breiter Spalt mit starken Chitinrändern. Mittlere Länge des Weibchens 0.2 mm, mittlere Breite, 0.05 mm ; mittlere Länge des Männchens 0.15 mm, mittlere Breite 0.015 mm. Eriophyes Doctersi erzeugt grosse, unregelmässig kegelförmige , unbehaarte Gallen an der Unterseite der Blätter, seltener an den Blattstielen und jungen Zweigen von Cinnamomum zeylani- cum BREYN. Java. Wien, im Dezember 1908. ED nt estes # ALTRI ZOOCECIDIT DELL'ERITREA per T. DE STEFANI PEREZ Grazie alle raccolte fatte dal Dott. L. SENNI nella Colonia ita- liana dell’ Eritrea, sono al caso di portare un altro contributo ai ce- eidii di questa regione. Il Dr. SENNI, ritornando dall’Asmara, porto un buon numero di piante delle quali fece dono al R. Orto Botanico di Palermo, ma precedentemente mi invitava, della qual cosa gli sono gratissimo, a prelevare dalle sue raccolte tutte quelle alterazioni che potevano interessarmi ; frugando in esse infatti sono venuto in pos- sesso di aleuni zoocecidii inediti che qui descrivo. In questa nota, oltre i zoocevidii raccolti dal SENNI, ne anno- vero tre che altra volta da quelle regioni aveva riportato il Profes- sor TERRACCIANO ; a distinguere questi dagli altri ho posto loro ac- anto il nome del raccoglitore. Devo infine un sincero ringraziamento all’ egregio Prof. G. BE. Marre che ha voluto incaricarsi della determinazione dei substrati. DESCRIZIONE DEGLI ZOOCECIDII 1. Acacia etbaica Schw. — Zaulot (Hamasen) Sett. 1907. | Eriophyidae — Ipertrofie proteiformi, specialmente sulla porzione ‘anteriore del peduncolo delle foliole e la base di queste, per lo più in forma di tubercoli subsferici; questa forma è data specialmente per l’ alterazione della base delle foliole ; la porzione distale, più o meno influenzata, sovrasta all’ ipertrofia séries altra volta V iper- trofia invade tutto il picciuolo che si trasforma in un tubercolo in cui vengono complicate anche le foliole meno qualeuna che sporge dal tubercolo in forma di acuto uncino. In un’altra forma, e questo @ il caso più ordinario, I’ alterazione è limitata ad un trattino della estremità del picciuolo della foglia, complicando anche la porzione dorsale relativa di esso, in questo caso V alterazione acquista una forma più o meno sferica, con consistenza soverosa, (come de! resto 8 T. DE STEFANI PEREZ sono anche le altre forme) della grossezza di un pisello e dalla cu superficie compariscono molte foliole così che V alterazione acquista Vaspetto d’una piccola mazza ferrata come nsarono antichi guerrieri. Tra queste forme più caratteristiche ne esistono altre meno mar- cate, ma non è possibile descriverle tutte perchè esse variano all’ in. finito, non solo nella forma, ma anche nelle dimensioni, ma non ne ho riscontrato mai nessuna più grossa di un pisello. L’interno di queste ipertrofie costituisce un sistema di anfrat tuosità e di lacune abitate dal cecidozoo. Osservazione — Questa deformazione è tutt’ altra cosa da quell da me descritta e illustrata per Acacia abyssiniea (1); igno se ne sia diverso il cecidozoo, potendo la diversa conformazione di pendere dal diverso substrato o da altre cause. 2. Acacia Verek Guill — Filfit — 24 maggio 1906. ? Lepidotterocecidio — Galla del rachide fiorale, legnosa, fusiforme lunga 11 mill. con un diametro di 2 ‘/,, di color bruno, a superfich ruvida, contenente un’ unica cavità larvale allungata nel senso de l’asse maggiore e relativamente ristretta. 3. Adhatoda (Genolarussa) — Addi Nefas — Settembre 1907. Cecidomyidae — Ipertrofia delle gemme fogliari, foglioline espans e saldate insieme, così da formare un corpo sferico della grossezz di un’ avellana, racchiudente un’ unica camera larvale, ampia, a pas reti carnosette, internamente rivestita da uno strato bianchiceio 4 fibre dilacerate di consistenza spugnosa; questo cecidio mostra chié ramente, alla superficie, la saldatura delle diverse foglioline fra esse mentre dalla sua superficie sì distaccano aleune foglioline regolarmen sviluppate. In questo cecidio devono vivere in società diverse larve, e ci è evidente pel fatto che i fori d’ uscita del cecidozoo sono diversi tutti della stessa conformazione; d’ altronde, in due bucolini di uscita ho trovato impigliate le spoglie di crisalide di una cecidomide. | (1) T. DE STEFANI — Contributo alla conoscenza degli Zoocecidii della Col Eritrea (Marcellia, VI, n. 3) 1907. ALTRI ZOOCECIDII DELL’ ERITREA 9 4. Aeluropus brevifolius Nees var. longifolius Chiov.— Isola Scek-Said.— Marzo 1882 (Legit Prof. TERRACCIANO) ? Eriophyidae - Culmo della pianta ipertrofizzato, nodi molto raccorciati, germogli apicali esili, guaine assai dilatate e imbricate così che il tutto viene a formare un cecidio gemmiforme più o meno allungato. Osservazione — Questa alterazione è molto prossima a quella de- scritta dal Dr. V. PEGLION in Marcellia, 1905 p. 103. 5. Arthrocnemum (Salicornia) glaucum Ung. Sterub.— Assab — Febbraio 1903. Baldratia salicorniae (?) Kiefft. — Galla in tutto simile a quella descritta dal BALDRATI per Salicornia fruticosa L. (1). Ma tutt’ altra cosa da quella descritta e figurata dal TROTTER per il Marocco (Marcellia, 1904 p. 14). 6. Cadaba farinosa Forsk. — Agordat e Damba — Marzo 1906. Cecidomyidue ? — Pustolette lentieolari , perfettamente circolari , appiattite, comparenti in ugual misura sulle due superficii delle fo- glie, con la differenza, che mentre su quella anteriore la pustoletta giace in un leggiero avvallamento della foglia, sulla pagina dorsale invece viene a trovarsi sopra un relativo rialzo. Questa galla, è ap- pena elevata sulla lamina e porta nel centro un piccolo punto gial- liccio ; la sua superficie è un po’ zigrinata e di color più chiaro di quello della foglia; essa misura.un diametro di circa 3 mill. 7. Carissa edulis Vaul.— Zaulot — Settembre 1907. Cecidomyidae — Galla rameale, simile di forma e in grossezza a quella che la Perrisia rufescens De St. occasiona su Phillyrea media, e simile all’altra della Colonia Eritrea sui rametti di Olea ehrysophylla. Nell’ interno essa racchinde una camera larvale sferica di 2 mill. di diametro, e nell’ unico esemplare in alcool che ho avuto, ho trovato la crisalide di una cecidomide di color giallo, portante due cornetti toracici diritti e appuntiti. (1) BaLDRATI I.— Appunti di Cecidologia — Nuovo Gior. Bot. Ital., n. 8, v. VII an. 1900, 10 T. DE STEFANI PEREZ 8. Combretum petitianum Rich. — Bogos — Febbraio 1893 (Leg. Prof. TERRAC- CIANO). Eriophyidae — Erineo ipotillo o epifillo, laminare, costituito di tricomi brevi e serrati, di color ferrugineo ; lamina fogliare apparen - temente non deformata. 9. Ehretia abyssinica R. Br. -- Zaulot — Settembre 1907. Eriophyidae — Cefaloneoni sferici, della grossezza di un granello di canapuceia, comparenti sui due lati della foglia, di color rosso oscuro e adorni di breyi peli sparsi, bianchi, rigidi e diritti; nel centro di questi granelli, sulla pagina dorsale, si apre un piccolo ostiolo ostruito di peli bianchi. 10. Ficus sycomorus L.-- Stretta di Sciabat - Luglio 1906. Eriophyidae — Erineo ipofillo, formato di peli lunghi e contorti, fittamente lanoso, di color bianchiccio o ferrugineo, situato sempre in vicinanza dell’ ascella tra il nervo mediano e un nervo secondario; ad esso, sulla pagina anteriore, corrispondono delle gibbosita più o meno grandi, somiglianti a quelle che si osservano sul dorso delle foglie di Juglans regia causate dall’ Zriophyes tristriatus var. erinea Nal. 11. Ficus sp. — Elabaret, Ottobre 1907. Psyllidae — Piccoli infossamenti’ ipofilli della lamina fogliare ad apertura circolare e svasata ed a cui, sulla pagina superiore, corri- spondono dei sollevamenti come granelli di senapa di color più 0 meno bruni, circondati da un’ anreola irregolare di tessuto necrosato gialliccio. Osservazione — Nella concavità di queste deformazioni, ho tro- vato una larva seudiforme, di color gialliccio, molto depressa, tra- sparente, circondata da una frangia a raggi diafani piuttosto lun- ghetti, con V estremità intiera, uno vicinissimo all’ altro e divisi in due corpi di cui, la parte vicinale è di */, più corta della distale ; inoltre questi raggi non sono tutti di ugual lunghezza, ma spesso (non sempre) uno più corto e i’ altro più lungo di metà. La guaina della proboscide giunge sino a livello del secondo paio di anche ed è glabra. Teche alari, nelle crisalidi, anche esse glabre. ALTRI ZOOCECIDII DELL’ ERITREA dt Antenne corniformi che si protraggono di circa un terzo oltre i raggi della frangia, esse verso la loro estremità, sono adorne, sul lato interno, di due peli appaiati piuttosto lunghetti; sono composte di quattro articoli di cui il vicinale, il più robusto di tutti è poco meno lungo del distale, questo coniforme e incurvo, il secondo breve, il terzo di metà più corto del secondo. Gambe robuste, femori provvisti di pochi e corti peli, estremità del tarso, avanti I’ unghietta, con un lungo pelo sottile, incurvo e ad estremità testata. 12. Ficus sp. — Elabaret, Ottobre 1907. Entomocecidio — Vistose deformazioni della lamina fogliare, sub- legnose, reniformi, a superficie ruvida e di color ferrugineo-bruno , comparenti su luna e V altra pagina, maggiormente sulla dorsale, dove si elevano per circa 5 mm. e sono costantemente situate accanto il nervo mediano. L’interno di queste deformazioni è fibbroso e racchiude diverse camere larvali subsferiche, piccole e del diametro di 1 '/, mm. per 1 mm. 13. Gnaphalium luteo-album L.— Filfil, 24 Marzo 1906. Muscidae — Cecidio gemmiforme dei gettoni, racchiudente una larga camera larvale di circa tre millimetri di diametro, dentro alla quale ho trovato la spoglia di pupa di un muscide. Questo cecidio è poco più grosso, ma molto simile a quello che la Tephritis tristis occasiona sul Gnaphalium rupestris e G. saxatilis in Sicilia. 14. Gymnosporia senegalensis Lam. var. spinosa Engl.-- Zaulot, verso i pozzi di Mahabar — Settembre 1907. Entomocecidio — Galla legnosa dei rami, della grossezza di una avellana, bruna, a superficie scabrosa, sferica o subsferica, portante alla sua superficie qualche foglia a sviluppo normale ed emettente dalla sua estremità la continuazione del rametto. Le camere larvali sono diverse di numero, piccole e rotonde, ubicate verso la sua parte centrale, 12 T. DE STEFANI PEREZ 15. Gymnosporia senegalensis Lam. (Nome volg. At-at) Addi Nefas — Sett. 1907. Entomocecidio — Galla rameale, nascente alle ascelle delle spine, legnosa, della grossezza e della forma di un’ oliva, lunga circa 12 mill. con un diametro massimo di 9; ha superficie ruvida, brunastra come il substrato, durissima e contenente una sola camera larvale verso la sua base di forma allungata e piccola. 16. Grewia bicolor Juss.— Cheren, 13 Maggio 1907. Eriophyidae — Piccoli ceratonei a superficie più tosto ruvida e adorna di pochi peli lunghetti, bianchi; la dimensione di queste escrescenze, di poco meno di un millimetro, mi fanno supporre che possano essere giovanissime o che ancora non abbiano raggiunto il loro completo sviluppo; V ostiolo, che si apre sulla pagina dorsale, è ricco di peli nutritivi. Osservazione — Il Prof. TAVARES, nella sua contribuzione ceci- dologica dello Zambese, cita una simile deformazione su Grewia bicolor, se non che assegna ad essa la dimensione di 6 mm., e questo pare essere il solo carattere che differenzia V alterazione da me indicata e che d'altronde, come ho detto, ritengo non completa mente evoluta. 17. Odina fruticosa Hochst. — Az Tecleran — Gennaio 1906. Eriophyidae — Erineo feltrato, di color ferrugineo, sulla pagina dorsale e sui teneri rametti, a tricomi molto lunghi, ritorti e aggro- vigliati fra di loro, pluricellulari. A questo erineo, sulla pagina an- teriore corrispondono dei bassi sollevamenti varicosi più o meno estesi e sui quali spesso si riscontra anche I’ erinosi. 18. Olea laurifolia Lam. -- Zaulot, verso i pozzi di Mahabar — Settembre 1907. Eriophyidae — Piccoli e scabri sollevamenti sulla lamina fogliare, di uno o due millimetri di diametro comparenti su V una e V altr: pagina su cui indifferentemente, nel centro del cecidio, si apre V o- stiolo rivestito di brevi peli di color ferrugineo. 19. Olea laurifolia Lam.-- Zaulot (Hamasen), Settembre 1907. Lepidotterocecidio — Cecidii simili a quelli rameali dell’ Ole: chrysophylla, ALTRI ZOOCECIDII DELL’ ERITREA 13 20. Olea laurifolia Lam.— Zaulot (Hamasen), Settembre 1907. Entomocecidio — Forte ipertrofia sferica o subsferica del nervo mediano, comparente su luna e V altra pagina della foglia, uniloeu- lare e ben diversa da quella delle foglie di Olea ehrysophylla e dell’ altra che descrivo più sotto al n. 21. Essa è molto turgida, a superficie levigata e racchiude una camera larvale sferica nel centro e di appena un millimetro. Quando è isolata, questa galla ha presso a poco la grossezza di un pisello, ma spesso diverse galle sono a contatto, si pressano fra di loro e si sformano. La sua consistenza è legnosa, il colore gialliccio. Il foro di uscita del cecidozoo è ro- tondo, molto grande, quasi così grande come la camera larvale, e sempre dalla parte dorsale della foglia. Osservazione — Come si vede, questi caratteri la allontanano dalla galla delle foglie di Olea chrysophylla, la quale, oltre ad avere forma sfusata, consistenza diversa ed altre particolarità, ha le camere larvali allungate e strette. 21. Olea laurifolia Lam.— Zaulot (Hamasen), Settembre 1907. x ? Imenotterocecidio — Galle simili a quelle già note delle foglie di Olea chrysophylla e da me descritte dal Monte Bisen (Eritrea) al n. 22 1. c. 22. Panicum semiundulatum Hochst. —- Cheren (Luoghi sabbiosi) Agosto 1906 ? Imenotterocecidio — Piccole ipertrofie del gambo, fusiformi, al- lungate, di cirea 8 mm., con un diametro massimo di un mill., di color verde, o gialliece come di paglia secca, ubiquate tanto in vi- cinanza di un nodo, quanto in un punto qualunque dell’ internodio, levigate. Camera larvale lunga e stretta, pareti molto delicate e sottili. Osservazione — Si tratta di un cecidio esilissimo, nel quale sono complicate tanto 1° asse della piantina, quanto la guaina, ma linter- nodio non subisce raccorciamento aleuno. 23. Pistacia falcata Becc.— Addi-Nefas, Mai-Dorfù — Settembre 1907. Galle assolutamente simili a quelle del Pemphigus utricularius Pass. e del P. semilunarius Pass. 14 T. DE STEFANI PEREZ 24. Rosa abyssinica R. Br. var. microphylla R. Al. — Asmara, Maggio 1906. Eriophyidae — Pliche fogliari, in corrispondenza delle nervature secondarie, salienti sulle due superficii della foglia ; su quella ante- riore meno elevate e di forma varicosa, sulla posteriore invece di- sposte come fitto reticolato, spesso anche per tutta V espansione della lamina; nervo mediano normale. Questa alterazione della lamina fogliare è di color gialliccio 0 rosso vinoso e molto caratteristica per 1’ intreccio di linee e di in- fossamenti che presenta. 25. Salvadora persica Gare.— Agordat, Maggio 1907. Entomocecidio — Galla fogliare, sublegnosa, comparente su luna e Vl altra pagina, sferica, del diametro di circa 2-4 mm., camera lar- rale sferica, piccola, con foro di uscita laterale sulla pagina superiore. Superficie della galla levigata, di color gialliccio. Questa galla pare essere simile a quella indicata dal TROTTER per I’ Eritrea dalla stessa pianta (1). 26. Solanum sp.— Cheren, Agosto 1906. Galle sul campo della foglia, sulla nervatura mediana e sul pic- ciuolo, più o meno vistose, di color fnlviecio, di consistenza spu- gnosa, abbondantemente rivestite di brevi peli stellati, ma più fasci- colati di come si osservano sul dorso delle foglie normali, così che formano un fitto strato lanuginoso che dà alla galla un’ apparenza erineiforme. La conformazione di queste galle sul picciuolo è irregolarmente vesciculare cioè, più o meno lobata, o allungata; sulla lamina fogliare invece, dove si sviluppano indifferentemente ora sul nervo mediano, ora sui nervi secondarii, ora su un punto qualunque del campo e sul margine fogliare, la loro forma è più regolare; esse sono molto pro- nunziate sulla pagina dorsale; sulla pagina anteriore invece compa- riscono pochissimo e più spesso per un piccolo tubercolo bruno di uno o due millimetri quasi glabro. Le galle più vistose (Mill. 20 x 5) contengono diverse camere (1) Marcellia 1904 p. 102. > +? ALTRI ZOOCECIDII DELL’ ERITREA À 15 larvali, le più piccole e sferiche (Mill. 1'/, >< 1'/,), una sola; le camere larvali sono sempre sferiche e a pareti sottili. Nelle grosse galle le camere larvali sono sparse irregolarmente nella massa galli gena e collocate una accanto V altra, divise da setti di consistenza spugnosa. In queste camere ho trovato aleuni insettueci appartenenti ai Braconidae e che ritengo parassiti del cecidozoo e riferibili ad un nuovo genere e ad una nuova specie. Il cecidozoo, con molta probabilità, potrebbe essere un cecido- mide. Sono infatti note altre due galle sul genere Solanum cau- sate da questi ditteri; il RUBSAAMEN riporta ad un cecidomide la galla fusiforme del nervo mediano delle foglie di Solan. argen- teum (1); ma si tratta di una galla ben diversa da questa che io descrivo ; il TAVARES, alla sua volta, da un Solanum sp. nota un cecidomide nuova specie che descrive col nome di Asphondylia solani, la quale produce le sue galle all’ estremità dei rametti (2); ma anche questa galla differisce grandemente da quella sopra de- scritta; ma tanto questa del TAVARES quanto quella del RUBSAA- MEN, contribuiscono a giustificare la mia supposizione che la galla odierna da me citata possa appartenere anche essa ad un cecido- mide. Lorenzoa n. gen. (nome proprio) Questo genere è molto vicino al genere Torares e da questo si distingue spe- cialmente per il numero degli articoli dei palpi mascellari che sono quattro in Torares e tre nel genere Lorenzoa, per i solchi del mesonoto poco distinti e, nel proposto nuovo genere, punto convergenti, ma paralleli; si distinguono ancora i due generi dal numero degli articoli delle antenne che in Toxares sono da 19-22, inentre sono 24 in Lorenzoa, dalla brevità del picciuolo che in questo genere è molto breve, più breve che nel genere Toxares. Essendo però il proposto genere basato esclusivamente su esemplari maschi , esso resta stabilito come provvisorio. Dedicato al carissimo amico Dott. LORENZO SENNI. (1) Ew. H. RÜBSAAMEN — Beiträge zur Kenntnis Aussereuropiiischer Zoocecidien (Marcellia, vol. VII, p. 60, n. 148) 1908. (2) J. DA SILVA TAVARES — Contributio prima ad cognitionem Cecidologiae Re- gionis Zambeziae (Broteria, v. VII, p. 170) 1908. 16 T. DE STEFANI PEREZ Lorenzoa solani n. sp. <. Testa trasversale, antenne setacee , lunghe quanto tutto il corpo, di 24 articoli, questi subeilindriei , più sottili e arrotondati inferiormente, troncati alla loro estremità superiore, ultimo articolo o articolo distale, fusiforme , appuntito ; facce carinata, mandibole bidentate, poco eurve, allo stato di riposo inerociantisi alla loro estremità, questa nera; palpi labiali lunghi, di cinque articoli. testaceo- pallidi; palpi boccali di tre articoli, lunghi quanto * primi tre labiali dei quali hanno il colore, gli uni e gli altri portanti poche setole ; clipeo largamente inciso in forma di semiluna, così che tra esso e le mandibole allo stato di riposo resta una larga apertura circolare. Ali superiori con la prima cellula discoidale completa, separata dalla prima eubitale; nervo cubitale trasverso distinto, tre cellule cubitali; ali posteriori con due nervature longitudinali, cellula costale completa. Addome orbieulare, sabpeziolato. 27. Stellaria media L.-- Filfil, Aprile 1906. ? Cecidomyidae — Macchie parenchimatiche lentieulari di color verde, da due a tre millimetri di diametro, portanti nel centro un piccolo tubercolo gialliccio racchiudente la piceoia camera larvale molto ispessita; porzione della lamina vicinale inerespata. 28. Sterculia tomentosa Guille et Perr. (Nome volgare Tumbuk) — Fall-Ghinda, Marzo 1906. Eriophyidae — Brevi e crassi ceratonei di color rosso - bruno, a superficie ruvida, elevati sulla pagina superiore per circa tre millime- tri, loro base molto ricca di peli fulvi e lunghetti; ad essi, sulla pa- gina dorsale, corrisponde un’ insaccatura a larga apertura rivestita molto abbondantemente di peli lunghi intrecciati di color bianco 0 ferrugineo , unicellulari, acuminati. 29. Suaeda monoica Forsk.— Assab, Febbraio 1906. Ipertrofia rameale, cilindrica, lunga circa 30 mill. e con un dia- metro di 3 mill,, sublegnosa, glabra e racchiudente diverse camere larvali cilindriche, piccolissime e molto allungate, sparse irregolar- mente nella massa galligena. 30. Suaeda monoica Forsk.-- Baia di Arafali, Settembre 1906. ? Cecidomyidae — Foglioline fortemente ipertrofizzate e cambiate ora in forma di elava, ora ad estremità nodiforme, altra volta 1’ iper- ALTRI ZOOCECIDII DELL’ ERITREA at trofia nodulosa è limitata verso la loro parte mediana, oppure tutta la foglia è cambiata in un rigonfiamento sessile. Le porzioni nodose o vesciculari di queste foglioline hanno forma “ellittica con una lunghezza di 6 mm. su una larghezza di 3; la loro ‘consistenza è spugnosa e racchiudono nel centro una piccola camera larvale ellittica di appena un millimetro di diametro. 31. Suaeda monoica Forsk.— Baia di Arafali, Settembre 1906. Cecidomyidae — Elementi fiorali cambiati in una ipertrofia sub- i sferica, della grossezza di un seme di pisello, portante alla sua estre- mità un piccolo cono formato dallo stelo ipertrofizzato. | Galla di forma irregolare, di color gialliecio, cono rosso-bruno ; camera larvale, situata appena sotto al cono, di forma sferica e molto | larga. M2. Suaeda monoica Forsk.— Baia di Arafali, Settembre 1906. È Entomocecidio — Sulla costa delle foglioline piccoli tubercoli di color rosso-vinoso, uno accanto l’ altro ma ben distinti, grossi come | semi di canapuccia, subsferiei o conici. 14 Osservazione — Lo stato di conservazione di questi cecidii non ' mi permette una più esatta descrizione. » | ls . Tamarindus indica L. (Nome volgare Humor) — Cheren, Maggio 1907. $ Psyllidae —- Leggiere impressioni di forma ellittica sulla pagina dorsale, di circa 2 mm. per meno di 1 mm.. a cui, sulla pagina an- | teriore corrispondono leggieri sollevamenti della stessa forma degli infossamenti, cioè ellittici. 4 Queste deformazioni sono disposte sulle foglioline parallelamente al nervo mediano da un lato e dall’ altro e una dietro V altra ad i ugual distanza. Il cecidozoo, una Psyllidea, allo stato di larva ricopre, come un eoperchio, la concavità della deformazione della quale ha perfetta- mente la forma. Questa larva è di color bianco, depressa, pellucida, ellittica, cir- | Condata da una frangia raggiata di bastoncini discretamente lunghi e molto ravvicinati uno all’ altro, terminati con 1’ estremità ottusa , brevissima, immediatamente sotto della quale i bastoncini si uniscono, } Si saldano cioè per un piccolo tratto fra di loro. Il contorno di que- 18 T. DE STEFANI PEREZ sta larva, che sembra essere giovanissima, è continuo, cioè, non sono distinti in esso le regioni cefalica, toracica e addominale, come si osserva in larve più adulte di questo tipo; invece nel corpo centrale dell’ insetto queste regioni sono visibilissime. Guaina della proboscide giungente a livello della base inferiore | del secondo paio di anche, glabra. Antenne crasse, articoli indistinti. Gambe crasse, brevissime, mammillonari, rieche di brevi peli setolosi, sprovviste di unghietta. 34. Tephrosia nubica Baker — Eritrea (Località? Epoca?) (Leg. Prof. TERRAC CIANO). Microlepidottero — Frutti cambiati in un cecidio in forma di botticina, della grossezza di un frutto di bianco-spino, pubescenti, 2 pelosità brevissima, come vellutata fittamente (non a peli Innghi come quelli che rivestono 1’ epicarpo dei frutti normali). Nell’ interno trova una larga camera larvale a pareti carnosette e della forma de cecidio. Il cecidozoo vien fuori bucando la parete gallare nella parte | superiore, praticando un forellino di appena 1'/, mm. Dentro una di queste galle ho trovato la spoglia di un micro lepidottero. 35. Terminalia Brownei Fresen -— Stretta di Sciobah, Luglio 1906. Eriophyidae —- Sollevamenti varicosi sulla pagina dorsale, gross come ceci, a cui, sulla pagina anteriore, corrispondono delle insacca; ture ripiene di un erineo feltrato di color bianchiccio 0 di color fe rugineo a seconda che esso è più o meno adulto. Tricomi lunghi unicellulari. 36. Trichilia emetica Vahl.— Filfil, Settembre 1906. Psyllidae — Piccole pustolette lenticulari sul lembo della foglia di color verde intenso, con un diametro di 3 mm., leggermente in fossate sulla pagina superiore e leggermente rilevate sulla dorsale: portano nel centro una piccola zona giallastra di tessuto necrosate ie n <> e a e cao ab È 19 GLI SCRITTI CECDOLOGIC DEL PROF. À. COSTA pel prof. M. BEZZI, Torino Nello scorrere la ricca e diligente Bibliografia cecidologica teste pubblicata dal Dr, C. HOUARD, a p. 1068-1190 del secondo volume della sua opera monumentale sui Zoocecidii europei, sono rimasto dolorosamente sorpreso nel constatarvi 1 assoluta mancanza del no- me di ACHILLE COSTA. Dovrebbe tuttavia sembrare inesplicabile che il grande naturalista e zoologo napoletano, la cui attività nel campo dell’ entomologia fu così varia e così estesa, avesse trascurato com- pletamente lo studio dei cecidii, tanto più che gli ordini di insetti “da lui prediletti furon quelli che appunto contengono i maggiori ar- tefici di galle. Credo perciò doveroso richiamare V attenzione degli studiosi an- che su questa parte dell’ opera scientifica del nostro grande compa- triota; nè intendo con questo mnover critica all’ opera del signor HOUARD, di cui riconosco V immensa cura ed il grande valore. Ma in lavori di tal vastità riesce impossibile di non cadere in qualche dimenticanza; e questa nel caso presente è tanto più scusabile , in quanto che aleune delle pubblicazioni qui ricordate sono sfuggite perfino all’ attenzione degli entomologi, e furono completamente di- | menticate. Già in parecchi lavori entomologici, nell’ occasione di parlare di Specie di insetti cecidogeni, il prof. COSTA tratta incidentalmente di i galle; così anche nel lavoro del 1877 sugli insetti nocivi (che è la | Seconda edizione di quello pubblicato nel 1857) descrive e figura nella tavola X le galle della Fillossera. In questi casi non si tratta però che di cenni fugaci, che possono anche venir tralasciati nelle biblio- grafie cecidologiche, sopratutto se stese con indirizzo botanico ; lavori invece che devono essere assolutamente citati sono i tre seguenti : 1. Monografia degl’ Insetti che ospitano su talune specie di quercie (quereus pubescens e peduneulata) nel regno di Napoli. Atti della Sesta Riunione degli scienziati italiani riuniti in Milano, p. 441. Milano 1844 (1). (1) Manca nella Bibliotheca entomologica dell’ HAGEN. 20 M. Brzzı In questa memoria sono brevemente descritte od accennate molte galle di cinipidi. 2. Storia della Tentredine produttrice delle galle del salice. Atti del- l'Accademia Pontaniana di Napoli, VI, p. 281-296, con una ta- vola, Napoli 1854. Questa memoria venne presentata dall’ Autore all’ Accademia Pon- taniana gia nel 1549; e gli estratti di 17 pagine con una tavol uscirono nel 1852, cioè due anni prima del volume ufficiale. In questa memoria sono descritte e figurate le galle vescicolari che sono prodotte sulle foglie del Salix Russelliana dall’imenottero Pontania gallicola. Questa galla non è |ricordata da HOUARD, p. 152. 3. Contribuzione alla storia generale e particolare delle galle. Annali scientifici, 1, p. 222-236. Napoli 1854. Anche questa memoria, malgrado la sua importanza, non si trova ricordata nella Bibliotheca dell’ HAGEN. In essa 1’ Autore ricorda di aver approntato un grande lavoro sulle galle, che era però ancora” nel 1854. e rimase sempre, inedito; a p. 228 dichiara che deseriverà molte galle parlando degli insetti gallicoli nella Fauna del regno di Napoli, ma anche questo non potè avverarsi. L’ Autore prende occasione dal lavoro del LACAZE-DUTHIERS (Recherches pour servir à l’histoire des galles), comparso nel prece dente anno 1853, per esporre preventivamente il risultato dei suo studi sulle galle. Divide la sua memoria in due parti. Nella primé si occupa delle « Generalità », p. 223-228, e precisamente della « De finizione delle galle », della « Genesi delle galle » e della « Classi ficazione delle galle ». Quest’ ultima è quella proposta dal LACAZE: DUTHIERS, e ne viene presentato uno schema sinottico. La seconda parte (p. 225-236) tratta delle « Specialità ». In ess seguendo la classificazione suddetta, ricorda e deserive anche molti galle osservate nel Napoletano. A p. 233 ricorda le galle del Vi tex Agnus-castus, che furono poi descritte da F. Löw sol nel 1885. A p. 234 descrive due ditterocecidi del Salix Russel liana e del S. Caprea, che sono dovuti con tutta probabilit a due specie di Rhabdophaga; di essi il primo manca in HOUARD. EINIGE GALLEN AUS JAVA von J. UND W. DOCTERS VAN LEEUWEN-RELINVAAN Salatiga — Java —— e ——_@ ——_ + _— Whärend des Jahres 1908 sammelten wir verschiedene Gallen aus des Umgebung von Salatiga; einige stammen aus anderen Ge- genden von Java. Es ist aber nicht leicht, das gesammte Material zu bearbeiten. Wir nehmen uns vor, nur diejenigen Gallen zu be- schreiben, von denen uns die Wirtspflanze bekannt sind. Sind diese nicht oder nur unvollkommen bekannt, so ist es für jeden, welcher die Gallen derselben Gegend nachher studieren sollte, in den mei. sten Fällen unmöglich, sicher zu sein, um welche Pflanzen es sich handelt. Mitteilungen über Gallen ohne Nennung der Wirtspflanze können darum fast niemals als Angabe von Arbeitsmaterial für weiteren Forschungen Dienste leisten. So weit es uns möglich war haben wir die Tiere gezüchtet, und werden wir uns auch bemühen , | sie determinieren zu lassen. Das züchten ist uns aber nicht immer gelungen, und ist über- haupt in den Tropen, und speciell auf Reisen nicht leicht. Die Ziich- tung der Erzeuger bildet, so meinen wir, ein Gebiet weiteren Forsch- ungs, und bei der Beschreibung der Galle, ist der Name des Erzeu- gers nicht absolut nötig. Hier folgen also nur die Exemplare, wovon die Wirtspflanzen uns bekannt sind. Herr Dr. TH. VALETON in Buitenzorg war so freundlich, uns bei der Determination zu helfen, wofür wir ihm zu grossen Dank verplichtet sind. Viele Gallen werden erst, wenn wir ‚die Blüte der Pflanzen kennen, beschrieben werden können. Studien über Anatomie und Entwicklung werden wir an anderer | Stelle publizieren. | So viel, wie möglich werden wir Zeiehnungen beifügen, welche oft mehr sagen, als la ge Besprechungen. Die meisten Beschreibun- gen sind nach lebendem Material, nur wenige nach Alcohol- oder Formolpräparaten gemacht worden. Die Mehrzahl der Gallen stammen von Salatiga, das + 600 Me- 22 DoctERS v. LEEUWEN-REIJNVAAN ter hoch liegt. Die Umgebung besteht hier hauptsächlich aus Reis- feldern und Cacao- und Kaffeeplantagen. Einige Fliisse durchschnei- den in tiefen Tälern diese schône Gegend. Auf den Sawahs findet sich nar sehr wenig, an den feuchten Dessahwegen und dem Rand der Flüsse ist die ursprüngliche Vegetation artenreicher , üppiger und die Ausbeute an Gallen reicher. N. 1. Cinnamornum Zeylanicum Brehn. Eriophyes Doctersi Nalepa Acarocecidium — Blatt-, Blattstie!-, Stengel- und Knospengalle. Bis 1 cm messende Gebilde an der Ober- und Unterseite der Blatte Der Gipfel jeder Galle ist Offen und miindet nach innen in einer Raum, welcher von vielen, nach innen ragenden Wülsten in Kamm: ern verteilt ist; die Kammern bleiben immer in offener Verbindung mit einander. Die Gallen sitzen auf beiden Seiten der Blätter. Nach det freien Seite hin sind sie keilformig, an der Basis nur schwach gewölbt. Die Scheidewände und auch jeder andere Teil der Gallenkamme: wand ist mit langen, silberglänzenden Haaren bedeckt. zwischen de Haaren liegen die Milben und ihre Eier Die Aussenseite ist stark gerunzelt, gelmässig und von dunkelgrüner Farbe Die stark infizierten Blätter kriimmen sie und werden oft ganz verunstaltet (Figur I Bei stark infizierten jungen Zweige werden auch die terminalen und die tenknospen in Gallen, welche sich wen von den Blattgallen unterscheiden , gewandelt. Auch die Blattstiel-, und gelgallen sind ähnlich gebaut. Wir keunen diese Galle von Salatig Blatt von Cinnamomnm U2d aus der Umgebung von Soerakarta Zeylanicum Brehn. x*/, Literatur: W. DOCTERS VAN LEEUW Een mytgal op Cinnamomum Zeylan Mededeelingen van het Algemeen-Proefstation. Cultuurgids. X. 190% S. 109. Nalepa A., Marcellia Vol. VIII, 1909, S. 3, Fig. 1. Milbengallen auf einem EINIGE GALLEN AUS JAVA 23 N. 2. Commelina communis L. Stengelgallen, erzeugt von einer Lepidoptere, nämlich einer Se- | siide: (Parenthema ?). |, Die Gallen bilden Anschwellungen an den Stengeln, und sitzen meistens unmittelbar über einem Knoten, und sind dann auf der einen Seite von einem Schutzblatte umgeben. Sie können bis 1 em im Dia- meter messen und - 1 bis 2 em lang wer- den. Die Anschwell- | ungen sind meist auf 3 einer Seite stärker -gekrümmt, haben ei. | neglatte Oberfäche, | und dieselbe Farbe | wie der Stelgel, kön- nen aber auch, wie | dieser, ganz rot sein. | Es können eine oder i anch mehrere an ei- i mem Stengel vor- “kommen. An den alten Gallen findet man in der oberen Hälfte eine Öffnung, i das Flugloch des Schmetterlings , i durch welches die | Puppenhaut teilwei- se heraussteckt. Wir | haben die Tiere ge- | ziichtet und eine | grosse Anzahl Männ- “chen und Weibchen (b) erhalten, welche Fig. 2. Sesiidengalle auf Commelina commu- aber nie zur Copu- nis L. Jation oder Eiablage °° u altari x b. Parenthema (?) spec. en zu bringen waren. e. Längsdurchschnitt der Galle 3%, Die Gallen zeigen d, Larve, e und f. Puppe Mal 24 DOCTERS V. LEEUWEN-REIJNVAAN im Innern je eine Larvenkammer, welche in der Längsrichtung der Galle verlaüft (e). An feuchten Stellen findet man diese Gallen oft massenhaft bei einander. N. 3. Crotalaria saltiana Andt. I. STENGELGALLE Lepidopteroceeidium von Grapholita subrufillana Snellen gebildet. Die Zweige sind an verschiedenen Stellen und zumal an ihren Enden un- regelmässig zu Gallen auf- gesch wollen. Fig. 3.4. Die Gallen messen 1 bis 3em. und sind + 1 em. dick. | Die jüngsten Exem- plare sind von liehtgriiner — Farbe und glatt, später zeigen sie ôfters Risse und braune Narben. Im Innern zeigen sie einen Längskanal,worin von den Wanden fortwährend klei- — ne Pfropfen von Callus gewebe wachsen, welche die Nahrung für die Larve | bilden. Der Erzeuger ist eine anfangs grüne, spà- ter weinrote Raupe (b). Der Schmetterling legt seine Eier zwischen die jungen noch nicht entfalteten | Blätter, die junge Raupe Fig. 3. Galle von Grapholitha subrufillana Snellen. ; : auf Crotalaria saltiana Andt. kriecht nach der Basis a. Habitusbild = >< ?/, eines jungen Blattes und b. Raupe x 2 bohrt dort einen Kanal in c. Puppe <2; 4d. Schmetterling eee den Stengel hinein. Die Verwandlung zur Puppe geschieht in der Galle (0). Cc In der Umgebung von Salatiga iiberall sehr allgemein, > * YINIGE GALLEN AUS JAVA 25 N. 4. Crotalaria saltiana Andt. II. BLATTGALLE Acarocecidium — Die jungen Blätter und Bliithenteile sind von einem grauweissen Haarfilz bedeckt. Die infizierten Teile entwickeln ihre Form nicht normal. Die Blätter bleiben klein und schrumpfen etwas zusammen. Die Blüthen bleiben geschlossen. Salatiga, hier und da. N. 5. Erythrina lithosperma Mia. Dipterocecidium von Agromyza erythrinae de Meyere gebildet. Blattstiel- Anschwellungen ; an der Basis des Blattstieles , und an den Stiel des Hauptblättchens sitzen meist nach einer Seite stark hervorgewölb- ten Gallen. Fig. 4. Sie sind meistens ein- kammerig, zuweilen aber auch zwei-, sel- ten mehrkammerig. Der Blattstiel ist dann entsprechend an mehreren Seiten verdicht. Die Galle ist ungefähr 9-10 mm. lang. Auch die Haupt- und primären Seiten- nerven des Blattes tragen diese Galle , welche spindelformige Anschwellungen dieser Nerven bildet, die an der Unterseite der Blätter am deutlichsten zu Tage tre- Fig. 4. Blattstielfuss Anschwell- ten. Die Galle entsteht im Innern eines ng von der Larve von Agro- Gefässbündels. myza erythrinae de Meyere ge- bildet. natürl. gr. Über ganz Java allgemein. N. 6. Ficus ampelas Linn. Psyllidengalle — An der Oberseite des Blattes sitzen harte, ke- gelformige Gallen, ungefähr 4 mm. hoch und von lichtgriiner Farbe. Die Oberfläche der Galle ist glatt, während das Blatt sich sehr rauh anfühlt. An des Unterseite des Blattes wölbt sich die Galle nur 26 DOCTERS V. LERUWEN-REIJNVAAN schwach hervor. Hier findet sich eine kleine Offnung, welche, nach- dem die Tiere die Gallen verlassen haben, weit offen klafft. RUBSAAMEN (1) nennt eine Psyllide als erzeuger an Blättern von Ficus sp. N. 7. Ficus retusa Linn. var. nitida I. LUFIWURZELGALLE Cynipidengalle — Wir fanden Gallen an den diinnen niederhängenden Luftwurzeln dieser Fieus-Art. Es sind ziemlich un- regelmässige Anschwellungen von einigen Millimetern Dicke und einer Länge von 1 bis 3 cm. Fig. 5. Meistens sitzen viele Gallen bei einander und zwar in einer Reihe über einander. Es kònnen 2 oder 3 von diesen Reihen neben einander vorkom- men. Doch ist diese Stellung nur an den jungen Gallen äusserlich zu erkennen ; werden sie älter, so verwachsen sie zu einer unregelmässige Anschwellung, deren Oberfläche runzelig aussieht. Im Innern findet man die verschiedenen Larvenkam- mern regelmässig unter und neben einan- der, jede von einer Larve bewohnt. Der Erzeuger dieser Galle ist eine Cynipide. N. 8. Ficus retusa Linn. var. nitida Fig. 5. Luftwurzeln von Ficus II. BLATTGALLE retusa Liun var. nitida x sha Cynipidengalle — Blattgallen. Es finden sich nahe an der Blattbasis Anschwellungen der Blattnerven, welche (1) Ew. H. RÜBSAAMEN — Gallen vom Bismark-Archipel. Marcellia Vol. IV 1905. Bill. E° 3 EINIGE GALLEN AUS JAVA 2 an der Blattunterseite am stärksten hervortreten. Fig. 6. Sie sind dick- spindelförmig und glatt, unterscheiden sich in der Farbe nicht von normalen Teilen. Zuweilen sitzen sie auch am Blattstiel. Jede Fig. 6. Blattgallen auf Ficus retusa Linn. var. nitida ar) Galle enthält verschiedene Larvenkammern, welche in zwei ziemlich regelmässigen Reihen angeordnet sind. Jede Kammer ist von einer Cynipidenlarve bewohnt. Die Larve verpuppt sich in der Galle, das geflügelte Insect nagt sich eine Öffnung, durch welche es ausschlüftt. N. 9. Hemigraphis rosaefolius Sm. Acarocecidium — An der Oberseite des Blattes finden sich kleine circa 2 mm. lange behaarte Beutelgallen, welche nach Unten etwas eingeschnürrt sind. Ani der Unterseite des Blattes sind die Gallen fast nicht entwickelt. Die Miindung befindet sich an dieser Seite und ist von langen grauweissen Haaren umgeben. Salatiga 28 DOCTERS v. LEEUWEN-RELINVAAN N. 10. Ipomaea batatas L. Acarocecidium — Die Blatter dieser Pflanze sind oft ganz von cer, kleinen Pusteln bedeckt, welehe nach 2 Oben vorwölben und an der Unterseite % des Blattes weniger stark entwickelt x sind. An dieser Seite findet sich auch sa eine Offnung, welche nach einen geräu- migen Gallenkammer fiihrt. Fig. 7. Ab- d BR weichend von den meisten Phytoptus- Gallen sind die Haare wenig entwickelt. Fig. 7. Durchschnitt einer Erio- Salatiga phyidengalle auf ein Blatt von Ipomaea batatas L. x 20 N. 11. Justicia procumbens L. Cecidomyidengalle — Endknospengalle, die aus zwei einander ge- genübergestellten Blätter gebildet wird. Die Blattbasis ist aufgeschwol- len und vou licht gelblicher Farbe. Die jüngsten Blätter und das Vegetationspunkt im Innern der Galle bleiben sehr klein und bleich. Die Galle ähnelt der in N. 19 auf Pouzolzia indica beschrie- bene, ist aber von zarten Haaren filzig bedeckt. Mehrere Larven leben gleichseitig in einer Gallenkammer und wandeln sich hier zu Puppen und Gallmücken um. Salatiga. In der Regenzeit N. 12. Litsea polyantha Juss. Acaroceeidium — Auf der Ober- und Unterseite der Blätter, sowie auf den jungen Stengelteilen sitzen weisse Erineen, welche nach oben, seltner nach unten dunkelgrüne blasige Anschwellungen bilden. Die weissen Krusten sind von sehr wechselnder Grösse. Salatiga A N nea "re > “se be +2 co EINIGE GALLEN AUS JAVA N. 13. Melothria perpusilla Cogn. I. STENGELGALLE Cecidomyidengalle — Die jungen Stengel > Blattstiele und manchmal auch der Hauptnerv eines Blattes tragen sehr lange mehrkammerige Gallen. Fig. 8. Uber eine Liinge von einigen em. ist der Stengel stark verdiekt und die infizierten Blättstiele krümmen sich oft und führen eine Drehung um ihre Achse aus. Im Innern finden sich zahlreiche Larvenkammern, in denen je eine Orange-gelbe Larve lebt, welche sich in der Galle verpuppt und zu einen sehr kleinen, sehwarzen Cecidomyide wird. Wahrscheinlich wird auch die folgende Galle von derselben Mücke gebildet. Auf vielen Stellen von Java allgemein. Fig. 8. Stengelgalle von einer Cecidomyide auf Melo- thria perpusilla Cogn. gebildet = N. 14. Melothria perpusilla Cogn. II. FRUCHTGALLE Cecidomyidengalle — Die normalen Früchte dieser Cucurbitaceae sind ungefähr 10 mm lang und 5 mm breit. Die infizierten Früchte dagegen 15 >< 10 mm. Fig. 9. In den meisten Fällen ist die ganze Frucht verän- dert, linke Figur (a). Eine eigenartige Galle ist in den rechten Figur (b) abgebildet. Hier ist die Frucht normal ausge- hs Fig. 9. Fruchtgalle auf Melo- thria perpusilla Cogn x 1 30 DocTERS v. LEEUWEN-REIINVAAN wachsen, und ihre Form ist gut erhalten geblieben. Die Galle ist nun aus der Blumenkrone gebildet worden. Die Galle ist mehrkam- merig. ihr Bewohner eine Orangefarbene Cecidomidenlarve , welche wahrscheinlich identisch ist mit dem Erzeuger der Stengelgalle an derselben Pflanze. Salatiga N. 15. Musaenda frondosa Linn. Cecidomyidengalle — Die Basis der Blüthenröhre ist bauchig An- Fig. 10. einer Cecidomyidenlarve ge- Blütenrohrgalle von bildeten auf Musaenda frondosa Linn. | geschwollen; die ganze Blü- the bekommt dadurch eine “ deutliche Flaschenform, be- sonders, wenn die Blumen- krone noch geschlossen ist. Die Wand des aufgeblasenen Teiles, worin die Staubgefässe liegen, ist etwas verdickt. In der geräumigen Höhle findet Fig. 11. a. Blatt von Nephrolepis acuta sich eine weisse Cecidomyi- mit Phytoptengallen u denlarve. Diese Galle ist im >. Querschnitt einer Galle >< 12 Urwalde zu Tji-njiroean bei Bandoeng, auf circa 1600 Meter über Meer stellenweise sehr allgemein. Dr EINIGE GALLEN AUS JAVA 31 N. 16. Nephrolepis acuta Acarocecidium — Die Gallen sitzen in grosser zahl an den Rän- dern der Fiedern und sind wahrscheinlich aus Soris entstanden. Fig. 11. Der Rand des Blattspreite teilt sich und die beiden - Lappen lassen eine Kammer zwischen sich, welche von nach Innen wachsenden Gewebepartien in verschiedene, mit einander communizierende Kam- mern verteilt wird. Zahlreiche verzweigte Haaren füllen die Galle fast ganz und verschliessen die Öffnung (b). Zahlreich an fenchten sowie an trocknen Stellen. Uns bekannt von Buitenzorg und Salatiga N. 17. Paederia foetida L. Cecidomyidengalle — Die Blätter dieser häufigen Kletterpflanze werden durch den Gallenreiz nur zum Teil verunstaltet. Es tritt eine Blattrandrollung | auf, wie sie in dem linken Blatt der Fi- gur 12 gut siehtbar ist. Meistens sind die beiden Seiten der Blatter gegen einander angerollt. Die infizierten Blätter sind von weisser Farbe, oft etwas purpurn ange- haucht und mit langen weissen Haaren bedeckt. Die deformierten Blätter sind da- bei verdickt und fleischig geworden. Im Imnern leben ein oder zwei Cecido- Fig. 12. Cecidomyidengalle auf myidenlarven zwischen den saftigen Gal Pace foctiaan Di lenhaaren. Auch die Blattstiele sind mit x 1 weissen Haare bedeckt. Selten ist nur ein Blatt eines Blattpaares infiziert, meistens weisen beide einander gegenüber gestellte Blätter Gallen auf. Eine in Salatiga sehr häufige Galle, 32 Docrers Vv. LEEUWFN-RELINVAAN N. 18. Panicum nodosum Kunz. Cecidomyidengalle — Diese sehr hiibschen Gallen sind wahrschein- lich identisch mit den unter N. 102 von RUBSAAMEN (1) angebenen Gallen auf Panicum spec. aus Brasilien. Es ist aber keine echte Triebspitzengalle. Auf den ersten Blick ist es nicht deutlich aus wel- chen Teilen der Pflanze die Galle gebildet worden ist. Auch wir dachten erst eine Triebspitzengalle gefunden zu haben. In Figur 13 findet man sie abgebildet. Die Galle besteht aus einer stark blasig aufgetriebe- nen Blattscheide, die Blattspreite bleibt kurz und verkiimmert und sitzt an der Spitze der Galle. Fig. 13. Die ganze Oberflache ist von Fig. 13. Cecidomyidengalle anf Panicum nodosum Kunz. x 1 langen weissen Haaren bedeckt. Unter Einfluss des Gallenreizes treiben die Achsel- und Endknospen aus, in den meisten Fällen än- dert sich schon das erste Blatt, in einigen Fällen wird ein kurzes Zweiglein gebildet, und wird das jüngste Blatt zur Galle. Der Ve getationspunkt wird von der deformierten Blattscheide eingeschlossen, man findet die Reste dieser Stengelteiles auf dem Gallenboden. Die Galle ist also keine echte Triebspitzengalle, denn obwohl sie durch (1) Ew. H. RÜBSAAMEN — Beiträge zur Kenntniss der Aussereuropäischen Zooceci- dien. III Beitrag: Gallen aus Brasilien und Peru. Marcellia Vol. VII. 1908. Seite 32. EINIGE GALLEN AUS JAVA 35 das Auswachsen einer Knospe entsteht, bildet doch nur ein Blatt dieser Triebe die Galle. Der Erzeuger ist eine kleine Cecidomyide , die aber von Para- sieten -stark infiziert wird. Auf beschatteten Stellen, speciell unter Bambusgebüsch sehr häufig. Salatiga. N. 19. Pouzolzia indica Gaud. Cecidomyidengalle — Die End- und Achselknospen, (doch diese _seltner als die ersten) sind zu Gallen geworden, etwas verdickt und aufgeschwollen. Die Galle wird eigentlich von zwei einander gegenü- berstehenden Blättern gebildet, welche an der Basis aufgeschwollen und von weisser Farbe sind. Fig. 14. Im Innern der Galle finden sich Fig. 14. Endknospengalle auf Pouzolzia indica Gaud. noch einige wenig entwickelte saftige ehlorophylfreie Blätter. Auch die Blätter, welche die eigentliche Galle tragen , sind an der Basis ‚des Blattstieles geschwollen und weiss gefärbt. In jeder Hinsicht sind diese Gallen denen der Perrisia Veronicae auf Veronica | Arten sehr ähnlich. Im Innern leben verschiedene Cecidomyidenlar- Ven, welche in der Galle sich verpuppen und zu kleine Gallmiicken werden. (| Salatiga. In den Regenzeit 34 DocTERS v. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 20. Rubus rosaefolius Sm. Acarocecidium -— Blätter und jungen Stengelteile sind mit Eri- neen von grauweissen Haaren bedeckt. N.:21. 7. Fig. 15. Cecidomyiden- galle an Friichten von Sambueus java- nica Reinw. | N. 22 Fig. 16. Fliegengalle auf Stephania corym- bose Meg. el Salatiga Sambucus javanica Reinw. Cecidomyidengalle — Fruchtgallen. Die Früchte sind stark angeschwollen und fleischig gewor- den. Dabei hat die Farbe sich etwas geändert, sie ist mehr gelbgrün geworden. Die Galle wird von einer Orangefarbenen Cecidomyidenlarve bewohnt. In Tji-njiroean bei Bandoeng auf + 1600 Me- ter über Meer ist diese Galle im Urwalde sehr” allgemein. Stephania corymbose Meg. Dipteroceeidium — Stengel- und Blattstielgal len. Die kriechenden Stengel und die meist auf- gerichteten Blattstiele tragen vielfach spindel formige Anschwellungen von ‘/, em Dicke und 1-1 '/, cm. Länge. Die jungen Gallen sind glatt und grün, die älteren werden etwas unregel mässig und ihre Oberfläche ist mit braunen Rissen, welche in der Längsrichtung der Galle, N verlaufen, versehen. Es stellte sich heraus, dass” sich hier echte Lenticellen gebildet hatten welche sonst an den krautigen Stengeln nie vorkommen. Jede Galle birgt in ihrer Mitte VA eine kleine Larvenh6hle, parallel mit der Langs richtung, worin eine kleine Larve lebt. Beschattete Stelle in der Nähe von Soerakarta Utica n D > EINIGE GALLEN AUS JAVA 39 N. 23. Urena lobata L. Acarocecidium — Die Blätter dieser Pflan- ze sind oft an Ober- und Unterseite mit einen roten, wolligen Haarbeleg stellen- weise oder ganz bedeckt, und deformieren unter dem Einfluss der sich entwickelnden Gallen. Figur 17. Salatiga. Ungemein hiiutig. i LA * 3 È = Fig. 17. Blätter von Urena lobata L. mit Acarocecidien. Sen PHYSOPUS BASICORNIS n. sp. von Dr. ENZIO REUTER ©. Körperfarbe dunkel graubraun bis schwarzbraun. Kopf deut- lich breiter als lang, mit beinahe parallelen Wangen. Augen nicht merklich her- vorgequollen. Erstes Fühler- glied stark, deutlich breiter als lang; das 2. Glied dop- pelt so lang als das 1., vom Grunde allmählich distal er- weitert, am Ende quer abge- stutzt, erscheint bei Sei- tenansicht besonders Stark ausgebildet und viel robuster als die übri- gen Glieder; die Glie- er 3-6 oval nach, beiden Enden ziemlich stark ver- üngt, merklich schlanker notum von Oben; B. die drei ersten Fühler- als die beiden ersten Glie- glieder von der Seite gesehen. Fa Physopus basicornis n. sp.: A. Kopf und Pro- 36 E. REUTER der; das 3. Glied etwas länger, das 4. Glied beinahe 1'/, mal so lang und das 5. Glied etwa gleich lang wie das 2.; das 6. Glied gleich lang wie das 4.; Stylus ziemlich schlank , das Endglied beinahe doppelt so lang wie das vorhergehende, allmählich ve- rjiingt. Das 1. Glied gelblich graubraun, das 2., 3. und 4. lichter , gelblich, das 3. am lichtesten, 5.-8. graubraun, 5. am Grunde gelblich, Prothorax etwa gleich iang oder Kaum länger als der Kopf; au | seinen Vorderecken keine, auf den Hinterecken je zwei mässig nee Borsten, am Hinterrande ausserdem drei kleine Borstenpaare , von denen das innerste linger ist als die beiden äusseren. Alle Schenkel graubraun, die vorderen am Ende zelblich ; Vordertibien gelblich | die übrigen graubraun, bisweilen am Ende trüb gelblich; alle Tarsell > | A gelblich. Oberfliigel etwas gebogen, gleichmässig gelbgrau ri Die obere Längsader der ganzen Länge nach und auch die Neben: ader gleichmässig mit Borsten besetzt. Körperlänge 1,3 mm (9). Nach | sieben Exemplaren beschrieben. Männchen unbekannt. Ph. basicornis steht der Ph. inconsequens Uzel am nächsten, une terscheidet sich aber von ihr u. a. dadurch, dass die obere Längsader des Oberflügels fast der ganzen Länge entlang mit Borsten gleich- mässig besetzt ist, durch die kaum hervorgequollenen Augen, dureh die Gestalt des Kopfes, welcher deutlich breiter als lang ist, sowie : N : | durch die starke Ausbildung des 2. Fühlergtiedes. | | 4 : 1 È oe 37 EIN THYSANOPTEROCECIDIUM AUF VICIA CRACCA L. von Dr. A. Y. GREVILLIUS Am 17. Mai 1908 bemerkte ich auf einem Ackerraine bei Kem- pen (Rhein) eine Deformation der oberen Blätter von Vicia era e- ca L., die mit keiner von den bekannten Cecidien dieser Pflanze übereinstimmte. Vicia wuchs hier am Rande eines Gestriippes von Q uercus pedunculata Ehrh. und anderen Laubbäumen und bildete mehrere kleine, gegen Süden exponierte, reine Bestandsflecken. “ig. 1.— Oberer Sprossteil eines durch Thysanopteren deformierten Exemplares von Micra cera cca lu. Ja sämtliche Individuen deformiert waren, fiel die Erscheinung schon ron weitem anf, 38 A. Y. GREVILLIUS Die deformierten Blättchen (s. Fig. 1) blieben in der Grösse hinter den normalen zurück und zeigten sich unregelmässig gekrümm oft sichelförmig gebogen, und stellenweise gebleicht ; im Niveau dieser bleichen Flecken war das Wachstum der Blättchen gehemmt worder so dass sie an diesen Stellen eingeschnürt erschienen mit mehr oder weniger vollständig nach oben zusammengefalteten Rändern. Manch mal war das ganze Blättchen von der Wachstumshemmung betroffen und hatte die nach oben gefaltete Knospenlage gänzlich beibehalten eine unregelmässige Krümmung war aber auch in diesem Falle ein getreten. Entweder waren alle Blättchen eines Blattes oder nur einige von denselben deformiert. In der durch die zusammengeneigten Blatthälften gebildeten?) Höhlung waren regelmässig Thysanopteren in mehreren Exemplarer vorhanden. Auch fanden sich mehrere Thysanopteren-Eier in je einen Blättchen. Diese waren von der Blattoberseite her in das Blatt hin eingeschoben worden und lagen mit ihrem grösseren Teil zwischel dem Mesophyll und der unteren Epidermis (s. Fig. 2). Weiler andere Tiere noch Pilze wurden an den Blättern gefunden. Fig. 2. — Querschnitt eines Blättchen mit einem quer durehschnittenen Thy sanopteren-Ei zwischen Mesophyll ur unterer Epidermis. Fig. 3.—Querscbnitt des normalen Te) les eines Blättchens. Fig. 4. — Querschnitt des durch Thys nopteren-Angriff veränderten Teils er nes Blättcheus. Von der oberen Epi dermis sind nur undeutliche Res vorhanden. EIN THYSANOPTEROCECIDIUM AUF VICIA CRACCA L. ” 39 Die Deformation kommt offenbar dadurch zustande, dass die Thysanopteren die Oberseite der jungen Blättehen angreifen. Die Epidermis wird an den befallenen Stellen zerstört; die Zellen des oberseitigen Mesophyliteils werden nicht zu Palissaden ausgebildet, sondern behalten die isodiametrische Form bei, und verlieren ihr Chlorophyll; dadurch entstehen die gebleichten Flecken (vel. Figg. 3 und 4). Später (am 22. Juni, zur Blütezeit) waren die im Frühjahr ver- bildeten Blätter zum Teil mehr oder weniger eingetroeknet, wodurch die Pflanzen in ihren (unteren und) mittleren Teilen verwelkt aussa- hen. Im oberen Teile der Pflanze war aber zu dieser Zeit, sowie auch am 6. und 14. Juli, der Verbildungsprozess noch im vollen Gange. Eine Beeinträchtigung der Blütenbildang durch die Angriffe der Thy- sanopteren auf die Blätter konnte (am 22. Juni, 6. und 14. Juli) nicht konstatiert werden. Ob die Samenbildung durch die Verbildung der Blätter geschwächt wird, kann ich nicht angeben. Auch an den unteren Blättern waren ab und zu weissliche Fle- cken vorhanden, aber ohne begleitende Deformation. Hier waren offenbar die Angriffe erst dann erfolgt, als die Blätter schon ausge- wachsen waren — eine Illustration zu dem bekannten, von THOMAS formulierten allgemeinen Gesetze bezüglich der Gallbildung. Ausser an dem oben erwähnten Standorte kam die Deformation an Vicia cracca L. auch an verschiedenen anderen, offen expo- nierten Stellen in der Umgebung von Kempen vor; überall war ein massenhaftes Auftreten derselben zu konstatieren. An Vicia sepium L. und V. angustifolia All., sowie Ervum tetraspermum L., die oft in der Nähe von verbilde- ten eracca-Exemplaren wuchsen, wurden keine Verbildungen beo- | bachtet. Dagegen zeigte Lathyrus pratensis L. (an der Chaussee zwischen Vorst und Siichteln, Kreis Kempen, am 14. Juli 1905 in der Nähe von deformierten era e € a-Individuen wachsend) eine Verbildung der Blittchen, die ganze ähnlich aussah wie die an cracca; Tiere wurden aber an Lathyrus nicht gefunden. Die Bestimnung der an den deformierten V. crae c a-Blittern gefundenen Thysanopteren hat der bekannte Thysanopteren-Kenner, Herr Dr. Enzio REUTER, Helsingfors, in liebenswiirdiger Weise über- nommen. Nach ihm bestand das von mir eingesandte Material zum grössten Teil aus einer neuen Physopus-Art, deren Beschreibung er In diesem Hefte von Marcellia veröffentlicht. Ausser dieser Art, 10 A. Y. GREVILLIUS Physopus basicornis E. Reuter n. sp. in litt., waren in dem Bestimm- ungsmaterial vereinzelte Exemplare von Physopus vulgatissima (Hal.) und Thrips communis Uzel vorhanden. Die Deformation scheint, obwohl meines Wissens in der Litte- ratur noch nicht erwähnt, jedoch sehr verbreitet zu sein. Ich schliesse (dies aus folgenden Angaben, welche Herr Ew. H. RÜBSAAMEN mir giitigst brieflich mitgeteilt hat: « Angriffe von Thrips auf Vicia sind mir schon seit langer Zeit bekannt, » und « Ich besitze ganz ähnliche Angriffe wie die mir von Ihnen übersandten an 1) Vicia eracca a) Halle, Mai 1884 leg. Dr. v. Schlech- tendal, b) Remagen, August 1902 Riibs. Dieser Angriff ist aber weit verbreitet und auch an anderen Stellen der Rheinprovinz 6fter von mir beobachtet, aber nicht weiter ge- sammelt worden. 2) Ervum tetraspermum, Dölauer Heide, Halle leg. v. Schlechtendal, 3) Orobus spec. Altenahr, Sept. 1904. Rübs. 4) Lathyrus pratensis, Langenlonsheim (Nahe) 18. VIII — 1908 Riibs. 5) Stellaria holostea, Langenlonsheim 1. VIII 1900 Riibs. ». THOMAS fasst bekanntlich (Marcellia 1902, S. 157 ft.) alle akti- ven, hypertrophischen Neubildungen der Pflanze, die dureh einen Symbionten erzeugt werden und fiir denselben von Nutzen sind, un- ter dem Begriffe Cecidium zusammen. Neben diesen echten Cecidien stellt er eine Gruppe von Deformationen auf, die keine hypertrophi- schen Bildungen zeigen, sondern Wirkungen eines ausschliesslich destruktiven Reizes sind, im übrigen aber die Merkmale eines Ceci- diums tragen, also von Nutzen für den Erzeuger sind. Diese Gruppe bezeichnet er als Pseudoceeidien ; als Repräsentanten derselben nennt er einige durch Gallmücken erzeugte Blattgrübchen. Zu den Pseudoceeidien möchte ich nun auch die oben beschrie- bene Deformation der Blättehen bei Vicia cracea zählen. Wie aus dem Obigen hervorgeht, besteht diese Deformation in einer Wach- stumshemmung (Hypoplasie), die sich darin kund giebt, dass keine vollständige Gewebedifferenzierung eintritt und dass die Blättchen — EIN THYSANOPTEROCECIDIUM AUF VICIA CRACCA L. 41 auch bezüglich ihrer Grösse und Gestalt wenigstens in gewissen Teilen auf einem niedrigen Entwicklungsstadium beharren. Ferner ist zu bemerken, dass die Blattehen ihren Angreifern eine schützende Wohnung bieten dadurch, dass ihre Hälften an den befallenen Stellen nach oben zusammengeneigt bleiben ; es wurde erwähnt, dass Thy sanopteren im ausgebildeten Zustande in diesen Wohnungen reichlich vorhanden waren. Logischerweise wäre wohl diese Deformation dann nicht als Thy- sanopterocecidium , sondern als « Thysanopteropseudoceeidium » zu bezeichnen ; ebenso würden z. B. die von THOMAS (l. €.) beschriebe- nen Blattgrübehen an Vaccinium uliginosum als « Dipte- ropseudoceeidium » genannt werden müssen. Die konsequente Benut- zung dieser Bezeichnungen würde aber auf praktische Schwierigkeiten stossen. Es giebt verschiedene durch Gallmücken bewirkte Blattgrüb- chendeformationen, von denen es noch» nicht bekannt ist, ob ein hy- pertrophisches Wachstum bei ihrer Bildung tätig ist oder nicht (vgl. THOMAS 1. ¢.); solche Deformationen würden — will man die beiden Termini streng auseinander halten —, so lange sie nicht näher be- kannt sind, weder als Dipterocecidien noch als Dipteropseudocecidien bezeichnet werden können. Ubrigens dürfte es auch verschiedene an- dere Deformationen geben, die allgemein unter den Cecidien aufge- führt werden, aus deren Beschreibung man aber nicht sicher entneh- men kann, ob sie als echte Cecidien oder Pseudocecidien aufzufassen sind; ich denke dabei besonders an die durch Aphiden verursachten Deformationen. In Anbetracht dieser Schwierigkeiten würde es m. E. am praktischsten sein, wenn man die Bezeichnungen « Dipteroceci- dium », « Hemipterocecidium » etc. auch für die Fälle benutzen würde, dass es sich um Pseudocecidien handelt oder um Bildungen, deren Natur als echte oder falsche Gallen noch nicht aufgeklärt ist (1). Dazu kommt noch ein Gesichtspunkt, den man nach meiner Ansicht nieht ausser Acht lassen darf. THOMAS hebt (l. c.) bezüglich der Blattgrübchendeformationen hervor, dass « in einer natürlichen (2) (1) Aus den oben angegebenen Gründen habe ich anch in der 4ten Lieferung der Sammlung « Zoocecidia et Cecidozoa imprimis provinciae Rhenanae » von GRE- VILLIUS und NıessEN die darin verteilte Deformation an Vicia eracea als Thysanopteroveeidium bezeichnet. (2) Kursiviert vom Verf. 42 A. Y. GREVILLIUS Gruppe von Blattdeformationen ächte Cecidien und hypertrophielose Objecte zugleich sich vorfinden ». Da also die hypertrophischen Bil- dungen in diesem Falle wohl gewissermassen als eine hôher differen- zierte, die hypertrophielosen Deformationen als niedrigere Stufe ei- ner und derselben natürlichen Reihe betrachtet werden können (vel. namentlich die von THOMAS behandelten Frühjahrsgrübehen — echte Cecidien — und Sommergriibchen — Pseudocecidien —an Acer eam- pestre und anch an A. psendoplatanns), so scheint es mir am natürlichsten za sein, solche Bildungen im Zusammenhang mitei- nander zu behandeln und nicht zu viel Wert auf die Trennung der hypertrophischen von den hypertrophielosen Bildungen zu legen, um so mehr als die echten Cecidien (in diesem und in anderen Fällen) oft nicht ausschliesslich durch Hypertrophie, sondern gleichzeitig anch durch Hypoplasie zustande kommen (vgl. THOMAS ]. €.). Wie bei den Blattgrübehen kommt nun auch bei den durch Thysanopteren verursachten Deformationen eine Reihe von Bildungen vor. von denen einige hypertrophielos, andere hypertrophisch (hyper- plastisch) sind, im übrigen aber eine unverkennbar ähnliche Organi- sation besitzen. Ich werde gleich darauf zurückkommen. Durch Thysanopteren verursachte Cecidien wurden wohl zuerst von RÜBSAAMEN entdeckt; die betreffenden Funde sind in seinem « Bericht über meine Reisen durch die Tucheler Heide in den Jahren 1896 und 1897 » (Schriften d. Naturforsch. Gesellsch. in Danzig, N. F. Bd. X, H. */, Danzig 1901) veröffentlicht worden. Es werden in dieser Arbeit Deformationen der Blätter vonGalium verum L. und Stellaria media Cyr. beschrieben und als durch Thrips- Arten erzeugte Cecidien aufgefasst. Ansserdem wird von RÜBSAAMEN 1. e. eine Deformation an Veronica chamaedrys L. erwähnt, die sich durch « rothbeulig aufgetriebene Blätter » zu erkennen giebt, und als deren Erzeuger « Thrips spec.? » angegeben wird. Bei den beiden erstgenannten Pflanzen sind die Blätter gedreht und ge- rollt. Die Missbildung an Galinm vernm ist, nach RÜBSAAMEN’S seschreibung zu urteilen. unzweifelhaft ein echtes Cecidium, da die Blätter « schwach benlig verdickt » sind. Ob dasselbe von der De- formation an Stellaria media gilt, scheint mir aber aus der Beschreibung nicht deutlich hervorzugehen, da keine Merkmale an- gegeben werden, aus denen man schliessen könnte, dass diese De- formation eine aktive hypertrophische Neubildung der Pflanze wire. " EIN THYSANOPTEROGECIDIUM AUF VICIA CRACCA L. 43 Dies sind die einzigen mir aus der Litteratur bekannten euro- päischen Funde von Deformationen, die durch Thysanopteren bewirkt und als Cecidien aufgefasst werden (1). Dagegen sind aus anderen Weltteilen, besonders aus den Tropen, in den letzten Jahren mehrere Thysanopteren-Cecidien bekannt geworden. ZIMMERMANN (Über einige durch Tiere verursachte Blatttlecken. Ann. du Jardin botanique de Buitenzorg,-2. Ser. Vol. II, 1901, 5. 117) beschreibt eine in der Umgebung von Buitenzorg auf fast allen kleinblättrigen Fieus-Arten vorkommende , durch eine Physopode verursachte Galle, die dadurch zustande kommt, dass die jüngeren Blätter sich mit den Hälften nach oben zusammenneigen, oder dass weniger als die Hälrte umgeschlagen wird, und die zusammengesch- lagenen Partien bis 3, 2 mal so diek als das normale Blatt werden. In den verdiekten Partien ist an Stelle des Palissaden parenchyms ein kleinzelliges, fast chlorophyllfreies, teilweise intensiv rot gefärbtes Gewebe getreten, das nach unten zu in grosszelligeres Gewebe über- geht. Zwischen den dünnwandigen Zellen finden sich zahlreiche , schwach verdickte, verholzte, getüpfelte Zellen. Zwischen den zusam- mengeneigten Blatthälften findet man mehrere Exemplare der Gallen- tiere. Der Erzeuger wurde von ZIMMERMANN (in Bull. de V Inst. sot. de Buitenzorg, Nr. 7, 1900) unter dem Namen Mesothrips Uzeli ’ beschrieben. Diese hyperplastische Gallbildung erinnert durch das Zusammen- geneigtsein der Blatthälften an das Pseudocecidium an Vicia craeca; ausserdem ist aber auch eine Hemmungserscheinung — das Ausbleiben der Palissadenbildung — gemeinsam für beide Defor- mationen. Im Übrigen ist est bemerkenswert, dass auch bei der F i- (1) HouarD erwähnt in dem ersten Bande seines neuesten Werkes « Les Zoo- cécidies des Plantes d'Europe et du Bassin de la Méditerranée », Paris 1908, unter Nr. 332 eine von LAUBERT (Nlustr. Landw. Zeitung 1904, Nr. 78, S. 886) beschrie- bene Deformation des Halmes bei Tritieum und giebt als Erzeuger [ Thrips] — also mit Reservation — an. Die Halme sind nach LAUBERT (1. e.) abnorm gekrümmt ; L. hat an denselben sowohl Siphonophora cerealis als Blasenfüsse gefunden. Nach der von LAUBERT gegebenen Beschreibung und Abbildung zu urteilen, dürfte aber die Missbildung nicht als Cecidium (auch nicht als Psendoceeidium) aufzufassen Sein, und so viel ich aus LAUBERT’s Ausführungen entnehmen kann, deutet er auch selbst diese von ihm am « Ohio-Weizen » (Triticum durum oder tur- gidum) beobachtete Missbildung nicht als Galle. 44 A. Y. GREVILLIUS eus-Galle die älteren Blätter auf den Angriff der Tiere in anderer Weise reagieren, als die jüngeren, indem an jenen nur dunkel kar- minrote bis fast schwarze Flecken entstehen, die nicht oder nur wenig dicker sind als die normale Blatttliche. Aus der Umgebung von Buitenzorg beschreibt ZIMMERMANN (I. : 1900) auch 4 andere Mesothrips-Arten und eine Gigantothrips, die in zusammengeschlagenen Blättern, resp. in umgeschlagenen Blatträn- dern von Ficus-Arten, Chavica densa und Melastoma polyanthum leben. Ob Veränderungen in der anatomischen Struktur auch bei diesen Deformationen eintreten, wird nicht erwähnt. Die übrigen von ihm aus Buitenzorg erwähnten, an Blättern lebenden Thysanopteren verursachen nur Fleckenbildung. Eine aus der Beschreibung zu urteilen hoch entwickelte, durch Phloeothrips Tepperi Uzel verursachte Galle kommt nach LUDWIG (Allg. Ztschr. für Entomologie, Bd. 7, 1902, S. 451; s. auch 43. bis 45. Jahresbericht d. Gesellsch. v. Freunden d. Naturw. in Gera (Reuss), 1900-1902. Gera 1903) an den Blattspindeln von Acacia aneura F. vy. M. in Zentralaustralien vor. Sie ist kngelig, kirschkerngross, mit dünner aber harter Wand; im frischen Zustande ist sie geschlossen, beim Trocknen Öffnet sie sich an der Befestigungsstelle und entlässt die zahlreichen Tiere.—Tysanopteren-Gallen an Acacia aneura werden von REH in SORAUERS Handb. d. Pflanzenkrankheiten, Bd. III, 1909, S. 215 (nach FROGGATT) abgebildet. Auf Ceylon hat UZEL (nach LUDWIG, 1. €. 1902) mehrere gallen- bildende Thysanopteren-Arten beobachtet. Aus dem Bismarck-Archipel beschreibt RÜBSAAMEN in Mareellia 1905, S. 15-16, an Macaranga sp. eine hülsenartige, verdickte Blattfaltung längs der Mittelrippe ; er hält es für möglich, dass Thy- sanopteren, die in dieser Galle gefunden wurden, deren Erzenger sind. Umklappungen und Verdickungen der Blätter, in welchen Thy- sanopteren leben, kommen anch bei Engenia sp. und Miconia sp. nach RUBSAAMEN (I. e. S. 170) vor. Derselbe erwähnt aus Bra- silien (I. e. S, 133) eine wahrscheinlich ebenfalls von Thysanopteren erzeugte Galle an Eugenia sp.: Blatter an der Zweigspitze total eingerollt, benlig aufgetrieben, verdreht nnd zu Klumpen deformiert. Schliesslich hat KIi£FFER (Marcellia 1908, S. 165) aus Ostindien eine von Cecidothrips bursarum Kieff. n. g. et n. sp. vernrsachte, wie es scheint hoch entwickelte, taschenformige Galle an einem nicht näher bestimmten Banm beschrieben und abgebildet. EIx THYSANOPTEROCECIDIUM AUF VICIA CRACCA L. 45 Es geht aus Obigem hervor, dass ein beträchtlicher Teil der bis jetzt bakannten Thysanopterocecidien durch Faltungen der Blätter gekennzeichnet ist, und dass diese näturliche Reihe teils hypertro- phielose, teils mit Hypertrophie (resp. Hyperplasie) verbundene De- formationen umfasst. Kempen (Rhein), Landwirtschaftliche Versuchsstation, März 1909. DER ERZEUGER DES ERINEUM PADINUM DU, von Prof. A. NALEPA CANESTRINI (Acarof. ital., 5., S. 661) gibt an, dass er den Phy- toptus padi Nal. sowohl im Ærineum padinum Duy. als auch im Ce ratoneon attenuatum Bremi auf Prunus Padus L. gefunden habe; S. 705 (No. 113) bezeichnet er ihn ausdrücklich als den Erzeuger des Erineums. Auf Grund dieser Angabe CANESTRINIS wird Briophyes padi (Nal.) als Erzeuger des Erineum padinum in mehreren Fach- schriften angeführt, so von mir im « Katalog » (1) und im « Tier- reich » (2), von DARBOUX und HOUARD im « Catalogue systématique des Zoocécidies » (3) u. a. a. O. Ich konnte die Richtigkeit der Angabe CANESTRINIS, die von anderer Seite Widerspruch erfuhr (4), bisher aus Mangel an entspre- chendem Untersuchungsmaterial nicht prüten. Das Ceratoneon attenua- tum Bremi ist in Niederösterreich sehr verbreitet, dagegen wurde das Erineum padinum Duv. (E. padi Rebent., E. padineum Fr., Rubigo padi Mart.) noch nicht beobachtet. Sehon FR. Löw (Beitr. z. Kennt. (1) SpenGev’ s Zoolog. Jahrb., Bd. 7, 1893, p. 299, unter Hinweis auf den Befund CANESTRINIS als ersten Untersuchers des Ceeidiums. (2) Das Tierreich. 4. Lief.: Eriophyidae, p. 30 [38]. (3) p. 278 [2264]. (4) KIEFFER, Synopsis des Zoocécidies d’ Europe. Ann. de la Soc. entomol. de France, LXX, 1901, p. 398: Phytoptus distinguendus Kiett. (nulla deseriptio). 46 A. NALEPA d. Milbengallen , in: Verh. d. zool.-bot. Ges., Wien 1878, S. 140) klagt, dass über die Verbreitung dieses Phytoptocecidiums so viel wie nichts bekannt sei, weil alle Autoren, die sich mit demselben beschäftig haben, es unterliessen, Fundorte anzugeben. Meines Wis- sens wurde das Erineum von Prunus padus in Osterreich nur von REICHARDT bei Iglau in Mähren (Nachtrag z. Flora v. Iglau, in: Verh. d. zool.-bot. Ges., Wien 1855, S. 490) und von MAGNUS in der Pertisau am Achensee gesammelt (vgl. HIERONYMUS, Beitr. z. Kennt. d. europ. Zoocecidien, in: 68. Jahrb. d. Schles. Ges. f. vaterl. Cultur, Breslau 1890, S. 154). Auf meine Anfrage teilte mir Herr Prof. E. BAYER (Brünn) mit, dass er es in Böhmen südwestl. von Prag (bei Dobris), wo es zusammen mit dem Ceratoneon auftritt, gesammelt habe. Im Sommer 1908 fand ich das Erineum in Alt-Aussee in Steier- mark, wo ich es am wenigsten vermutete, da die Traubenkirsche dem Florengebiet von Aussee nicht angehört (vel. FAVARGER-RECHIN- GER, Die Vegetationsverhältnisse von Aussee in Obersteiermark. Abhandl. d. zool.-bot. Ges. in Wien, Bd. 3, H. 2; Wien 1905). Der Strauch befindet sich in einer Gartenanlage und ist hier vor etlichen Jahren mit anderen von auswärts (wahrscheinlich aus Böhmen) be- zogenen Ziersträuchern angepflanzt worden ; er fiel schon von weitem dadurch auf, dass zahlreiche Blätter schwach gerollt waren und ihre vom weissen Haarfilz fast vollständig überzogene Unterseite nach aussen kehrten. Das Ceratoneon war nur vereinzelt auf einigen Blättern anzutreffen. Schon Löw hat die Ansicht ausgesprochen , dass gleichzeitiges Auftreten morphologisch verschiedener Gallenformen auf einem be- stimmten Pflanzenorgan, z. B. auf demselben Blatt, auf die Verschie- denheit der Erzeuger hinzuweisen scheine, da wohl nicht anzunehmen sei, dass eine Gallmilben-Art auf demselben Blatte so abweichende Gallbildungen zu erzeugen im stande sei (Verh. d. zool.-bot. Ges., Wien 1885, S. 466). Die vergleichende Untersuchung der Erzeuger verschiedener Gallformen, welche auf demselben Substrat vorkommen, haben in der Mehrzahl der Fälle die Annahme Löws bestätigt; dort, wo dies nicht der Fall ist, liegt sehr wahrscheinlich ein Beobach- tungsfehler oder ein Irrtum vor. Er ist umso leichter möglich , als Gallmilben, die verschiedene Gallenformen auf einer bestimmten Nährptlanze erzeugen, häufig genetisel. demselben Formenkreis an- gehören und, obwohl physiologisch bereits scharf voneinander geschie- ". x DER ERZEUGER DES EKINEUM PADINUM Duy. 47 den, morphologisch noch wenig differenziert sind. Solange diese Er- kenntnis nicht vorlag, war der Untersucher leicht geneigt, die in der Tat wenig auffälligen Merkmale, welche solche genetisch zusamnien- gehörige Formen trennen, zu gering einzuschätzen, um auf diese eine Art, bzw. Unterart zu gründen ; er beschränkte sich darauf, auf die Variabilität gewisser Charaktere hinzuweisen oder Varietäten anzu- nehmen. Zu dieser Annahme wird der Untersucher leicht dadurch verleitet, dass sehr gewöhnlich nahe verwandte, aber verschiedene Gallen erzeugende Formen nebeneinander in einer Galle — die eine als Einmieter und Kommensale der anderen — angetroffen werden. Dies ist fast regelmässig der Fall, wenn auf derselben Pflanze oder gar auf demselben Spross zwei oder mehrere Gallenformen gleich- zeitig auftreten. Unter solchen Verhältnissen kann die Zahl der Ein- mieter zu gewissen Zeiten so beträchtlich sein, dass sie bei Bestim- mung des Gallenerzeugers zu Täuschungen Anlass geben kann und dies ganz besonders dann, wenn spärliches Untersuchungsmaterial zur Verfügung steht oder dasselbe einzelnen Gallen entnommen wird. Es ist deshalb von grösster Wichtigkeit, schon beim Einsammeln des Untersuchungsmaterials auf diese Verhältnisse Rücksicht zu neh- men und Gallen nur von solehen Pflanzenindividuen zu nehmen, die gleichzeitig ein anderes Cecidium nicht beherbergen. Nur wenn diese Vorsicht beachtet wird, ist die Möglichkeit vorhanden, voraussichtlich reines, d. i. von Einmietern freies Material zu erhalten. Diese Vor- aussetzung traf im vorliegenden Falle beim Einsammeln des Erineum padinum zu: fast alle Blätter waren an ihrer Unterseite teilweise oder vollständig von dem Erineum bedeckt, nur wenige trugen das Ceratoneon in vereinzelten Exemplaren (sie wurden natürlich bei der Verarbeitung des Materiales ausgeschieden). Wo zwei verschiedene Gallmilben-Arten auf demselben Pflanzen- individuum gallbildend auftreten, ist ein Interspezialkampf unver- meidlich, der lange Zeit von äusseren Faktoren bald zu gunsten der einen bald der anderen Art beeinflusst, unentschieden geführt wird. Im vorliegenden Falle ist es die das Erineum erzeugende Art, welche, durch lokale Verhältnisse begünstigt, das Feld behauptete. Es ist aber nicht ausgeschlossen , ja sehr wahrscheinlich, dass sie in dem Konkurrenzkampf unterlegen wäre, wenn der Strauch in eine Gegend, wo die herrschenden klimatischen Faktoren die Entwicklung des Ce- ‘atoneon-Erzeugers begünstigen und das Ceratoneon ausschliesslich auftritt, verpflanzt worden wäre. 48 A. NALEPA Wie die mikroskopische Untersuchung ergab, war das gewonnene Material in der Tat frei von. Einmietern, so dass der Erzeuger des Erineum padinum wit Sicherheit bestimmt werden konnte. Er ist mit dem Erzeuger des Ceratoneons nicht identisch, sondern eine neue Art, die ich Eriophyes paderineus n. sp. nenne und deren Diagnose lautet : Der gestreckte. zylindrische Rumpf des Weibchens ist mehr als viermal so lang wie breit und verjüngt sich erst im letzten Vier- tel. Der Kopfbrustschild ist halbkreisförmig, nach hinten deutlich begrenzt und über dem Capitulum etwas vorgezogen ; die Seitenränder bedecken die ersten Beinglieder nicht und lassen häufig auch den distalen Abschnitt der Coxen unbedeckt. Die Scehild- zeichnung ist gewöhnlich gut erkennbar und gehört dem linea. ren Jypns an: das Mittelfeld wird von Längslinien begrenzt. welche vom Hinterrand an der Aussenseite der Borstenhöcker zum Vorder- rand konvergieren und unmittelbar über den Borstenhöckern einen kurzen Ast gegen den Hinterrand senden. Im Mittelfeld verlaufen fünf nach vorn konvergierende Längslinien. Das äussere Paar dersel- ben tritt nieht immer deutlich hervor ; die Medianlinie erreicht den Vorderrand gewöhnlich nicht und steht durch je einen kurzen Seiten- ast mit der rechten und linken Längslinie in Verbindung. In den Seitenfeldern sind kurze, längs den Seitenrändern hinziehende Bo- genlinien sichtbar. Etwa zwei Ringbreiten vor dem Hinterrand stehen die grossen, stumpfkegelförmigen Borstenhöcker, auf welchen kurze, steife, nach aufwärts gerichtete Riickenborsten (s. d.) sitzen ; diese errei- chen eine Länge, welche ungefähr der Entfernung der beiden Bor- stenhöcker voneinander gleichkommt (24 1). Das Capitulnm ist kurz, 17 p lang, nur an der Basis vom Vorderrand bedeckt und nach abwärts gerichtet. Die Tibialborste ist lang und nur wenig kürzer als die Femoralborste. Die Beine des ersten Paares sind merklich stärker als die des zweiten Paares; ihre Tibialborsten sind lang und kräftig, während die des zweiten Beinpaares zart und kaum länger als die Femoral- borsten sind. Das fünfte Glied ist nur wenig länger als das vierte und trägt die fünfstrahlige Fiederborste und eine schwach ge- bogene Kralle. Die Krallen der Beine des ersten Paares sind etwas länger (12 ») als die des zweiten Beinpaares (11,5 p). Die Sternalleiste reicht an die inneren Coxalwinkel, ist 9 Domande dani indirizzi, don de € lissone verse. etc. Set. Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’ in- e “teresse individuale o generale, sempre ARA aventi attinenza con la Cecidologia. : Schedae a « Cecidothecam italicam » (1902- 1909) | . Autkore A. TROTT ER QUE IDE nn MM. les ‘écidologues qui n’ étant pas associés à « Cecidotheca italica » de TROTTER A. et CECCONI G. désirent cependant assurer A leur Bibliothèque les « Schedae Vai bibliographie, observations ete.) qui illustrent, cette Collection — dont le prix pom les 20 faseieu- les (500 numeros) publiés jusqw ici est de 200 fr.s— pourront s'adresser a PAuteur, Prof. A. TROTTER, qui expédier a franco la Serie complète, dés 500 « Schedae », avec préfaces, index double ete., contre man- dat-poste ‘de LO fr. seulement. — Numeros specimen. sur demande. ANNUAIRE DES BOTANISTES RECUEIL > des noms et adresses des Botanistes actuellement vivents de tous les pays, der Jardins botaniques = Sr et des Établissements, Sociétés et. Publications périodiques ‘ayant trait à la Botanique Publié par J. DORFLER Troisième edition, Wien 1909, revue ed augmentée En vent chez V Auteur, Barichgasse 36, Wien III 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle ei produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori originali, di istologia» fi x morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole 0: da figure nel testo. Tiene inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando. % anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più © meno estese. — È 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gl Associati hanno però la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- | tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli 0 no alla stampa. 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TROTTER. | od e cele PT NS PE TT a va, ca ‚> ‘ 2 pendant le mois de août, Selva di Volpago (Treviso) pendant le mois de septembre, Vittorio Veneto. RIVISTA INTERNAZIONALE bee CECIDOIOGIA REDATTORE: ~ Sommario: | Pror. Dr. A. TROTTER NALEPA A.— Der Erzeuger des Erineum padinum Duv. (cont. e fine). TROTTER A. — Nuovi Zoocecidii della Flora italiana. Nona serie (con fig.). CA TROTTER A. — Breve descrizione di al- cune galle europee ed esotiche. TROTTER A.— Bibliografia e Recensioni. Wo. U. = AN. 1909 | Fasc. Ill C2 (PUBBLICATO IL 24 LUGLIO 1909) I —— AVELLINO . TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA 1909 Adresse du Redacteur : bi & GES, 4 LI 4: . si né; el VEN TA en E y me A fine di render più facile il compito del Redattore si pregano vivamente 1:5 | Signori Collaboratori, avanti l’invio dei manoscritti, di tenere. present, nel loro © stesso interesse, le seguenti avvertenze : re dd f “, ta È PeR 1. I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rac- # comandazione è rivolta in modo speciale ai Signori Collaboratori esteri. we 2. Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta ; una seconda | È (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte. sieno state di SH una certa importanza. Ulteriori invii non saranno fatti che dietro richiesta 2 degli interessati. : | x ae A 3. Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero superiore ai 30, ses gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con I’ invio del manoscritto. 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non uandp: ne sia stato ar : 7 espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. — È a TOS 5. Per I’ uniformità del giornale si pregano i Signori Collaborator di attenersi. à alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali | di maggior frequenza, ag usandole possibilmente ed uniformemente nei contro indicati casi: = + _° ‘ carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad zu TRE CS es. Cynips coriaria, Fagus pe a » MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo? ad es. Low, — + BT RS GIRAUD). RISE Ca E | . Be » - corsivo .. (per i cecidonti nel testo; ad es. Pervisio, afinis, Uro- | ER Dene cystis Anemones). . | er | SR . “9 x Re a a » spaziato (per i substrati: nel testo; ad es. Quercus cocci- es: fera, Salvia pratensis), = AHI : = ACRI LS “È À mai” 4 A + DER ERZEUGER DES ERINEUM PADINUM Duv. 49 kurz und tief gegabelt; die Gabeläste sind gebogen. Die Coxalbor- sten des ersten Paares sind kurz und sehr zart und vor der Ster- aares sitzen knapp an den inneren Coxalwinkeln. An der Riickenseite des breitgeringelten Abdomens werden sind. Die Bauchseite ist eng und ziemlich kräftig punktiert. Die Seitenborsten (s. 1.) sind um zwei Ringbreiten hinter das Epigynium gerückt und beiläufig so lang wie die Bauchborsten des dritten Paa- res (s. v. 3.) Die Bauchborsten des ersten Paares (s. v. 1.) besitzen sehr zarte Enden und sind mehr als doppelt so lang wie die Seiten- borsten. Die sehr zarten Bauchborsten des zweiten Paares (s. v. 2.) messen ungefähr die Hälfte (13 p) der s. v. 3. Die Schwanzborsten (S. e.) zeichnen sich durch sehr feine Enden aus und erreichen die lreifache Länge der Seitenborsten ; Nebenborsten fehlen. Das Epigynium ist weit nach vorn gerückt, 23 » breit, flach yeckenformig und besitzt eine glatte Deckklappe und grundstiindige, arte Genitalborsten von beiläufig 20 1 Länge. Das Epiandrium ist ein 16 breiter, bogentörmiger Spalt. Mittlere Länge des Weibchens 195 u, mittlere Breite 46 4; mitt- lere Länge des Männchens 165 », mittlere Breite 38 |. Die Schildzeichnung der Nymphe zeigt nur die 3 Mittellinien ind die Grenzlinien deutlich ; die Seitenfelder sind punktiert. Von E. padi unterscheidet sich 2. paderineus sehr auffallend, wie aus der nachstehenden differenzierenden Diagnose desselben zu ersehen ist. Körper des Weibehens grösser (1. 240 u br. 56 4), plump, valzenförmig. Schild halbkreisförmig, über dem Capitulum nicht vor- yezogen. Beine schlank, Glied 4 der Beine des zweiten Paares deut- ich länger (12 ») als Gl. 3 (8 w).Fiederborste zart, breit, vierstrahlig. 3). cox. 2 weiter vor den inneren Hüftwinkeln gestellt. Abdomen reiter geringelt (55 Rg.), an der Rücken- und Bauchseite glatt. S. . 1 etwa so lang wie der Schild und wenig länger als s. v.3 und l. Erstere oft auffällig lang mit zarten Enden. Nebenborsten vor- handen und kurz. Nymphen im Gegensatz zum reifen Tier mit deut- icher Schildzeichnung. Wien, 1. Mai 1909. LIBRA NEW Y BOTANI GARDI 50 NUOVI ZOOCECIDII DELLA FLORA ITALIANA. NONA SERIE © per A. TROTTER * 1. Acer monspessulanum L.— Cecidomyidae.— Piccole mac- chie fogliari tondeggianti, giallognole, 3 mm. larghe, senza fossetta centrale e probabilmente senza ipertrofia. Sono simili a quelle già da me segnalate per Acer Pseudoplatanus L. (efr. « Ceci. dotheca italica » fase. XIII n. 305) ed a me note anche per Acer campestre L. E probabile sieno dovute allo stesso insetto che determina le fossette fogliari od una specie affine. Queste, secondo GIARD (Bull. Soc. Entom. de Fr. 1595) e THOMAS (Mareellia I, 1902, p. 155) offrono due forme, una primaverile, cecidogena, |’ altra estiva, con fossette a pareti quasi punto ipertrofizzate. Bosco di Sassano, presso la sta- zione di Aquilonia (Avellino), pri- mavera-estate 1908 (A. Trotter). * 2. Asplenium Filix- foemina (L.) Bernh. var. dentatum — Il Prof. P. A. SACCARDO, ancora nell’ au- tunno 1862, scopriva, nel bosco Montello, una interes- sante deformazione di questa Felce, ma in due soli esem- plari, sufficienti però a sta- bilirne i caratteri morfologici più salienti. La deformazione N è localizzata all’estremitä di IM Fie. 1. — Galla di asplen. Filıx-foemina i 5 he meramento di laminette de- 2 | una fronda, in eorrisponden- za della rachide, ha un dia- 4 metro di circa 2 em. ed è costituita da un fitto agglo- (L.) Bernh. var. dentatum. (1) Cfr. « Ottava Serie » in Marcellia v. VII, 1908, p. 116. NUOVI ZOOCECIDII DELLA FLORA ITALIANA. NONA SERIE 51 formi che le conferiscono un aspetto abbastanza caratteristico, quale potrebbe essere quello di una rosa virescente. Tale deformazione è certo dovuta ad una atrofia nell’ apice di accrescimento della fronda e ad una conseguente atrofia dei segmenti laterali, rimasti perciò ac- corciatissimi ed affastellati. La scarsità del materiale non mi con- sente una più approfondita analisi, però la deformazione è così ca- ratteristica da poter essere riconosciuta anche per il poco che ho detto e sopratutto per la figura, pur imperfetta, che unisco. La presente deformazione non può essere identificata con aleuna di quelle già note per le Felci, del resto in numero assai limitato, ed anche la stessa galla prodotta su varie Felei dall’ Anthomyia si- gnata, che più le si avvicina, è così diversa che debbo ritenere co- me nuova quella da me descritta. Pensando potesse trattarsi di un :aso teratologico, per quanto non ne abbia 1’ aspetto, ho voluto con- sultare talune opere teratologiche, nelle quali, però, non ho riscon- trato nulla di confrontabile. Nel Bosco Montello in Provincia di Treviso, autunno 1862 (Prof. P. 4. Saccardo). 3. Ballota nigra L.— Contarinia Ballotae Kieft. 1898, Syn. d. Cé- cidom. ete. Estratto p. 60.—Synops. d. Zoocécid. etc. p. 267; Kertész, Cat. Dipt. v. II 1902, p. 91; Houard, Zoocécid. d’ Europe ete. 1909 p. 546 n. 4545. Le foglioline situate all’ estremità dei germogli sono atrofiche, più o meno decolorate , coi margini ripiegati od accartocciati verso la pagina superiore, ove si trovano delle piccole larve di color giallo- earnieino. Deformazione accompagnata da leggera ipertrofia e talora anche da torsione. L’ altra galla segnalata da SCHLECHTENDAL (1883) su questo stesso substrato, è forse da identificarsi con la presente, almeno per i suoi caratteri morfologici, per quanto nei trattati soglia tuttora tenersi distinta. Nelle siepi presso Avellino, primi di giugno 1909 (Dr. M. Romano) *4. Campanula fragilis Cyr. « typ., form. glabra Ten. e hirta Ten. — Cecidomyidae. — Foglie, specialmente basilari, coi margini ripiegati od accartocciati verso la pagina superiore. Tale deforma- zione è accompagnata da ipertrofia e da una colorazione rossastra 52 A. TROTTER abbastanza sensibile, non pero da anormale pilosismo. Talora, nelle piccole foglie, la deformazione interessa V intero margine, da ambe- due i lati, ed in tale caso la fogliolina è trasformata in una piccola galla turgida, leggermente corniculata. Nell’ interno della deforma- zione vive ordinariamente un’ unica larva, di color giailo-rossastro. Galla in tutta simile a quella già segnalata da THOMAS (Verh. zool.- bot. Ges. Wien. XLII, 1902, p. 337) per Camp. pusilla e C. Schenehzeri. Cfr. anche HOUARD, Zoocécid. d’ Europe ete. an. 1909, n. 5519 e 5523, fig. 1265-1266. Rupi sotto il M. Terminio (Avellino), presso il Salvatore, giugno 1909 (A. Trotter). #5. Campanula fragilis Cyr. var. Cavolini (Ten.) f. incana Ten.— ? Asterolecanium sp.—Fusticini con leggere ipertrofie fusiformi, simili a quelle già note per altre Campanula od altre piante di famiglie diverse. Cfr. n. 11. Rupi nelle gole del Sagittario presso Anversa (Abruzzo), agosto 1908 (A. Trotter). 6. Cichorium Intybus L.—Ælmintocecidio — Deformazioni più o meno appariscenti dell’ asse, e così pure dei germogli e rami se- condari. Consistono essenzialmente in irregolari ipertrofie, lunghe ta- lora parecchi centimetri, con nno spessore doppio 0 triplo di quello dell’ asse normale e talora anche più, in corrispondenza delle quali i germogli o i rami secondari sono per lo più raccorciati e pur essi irregolarmente ipertrofizzati. La deformazione presenta ordinariamente una colorazione generale pallido-giallastra più o meno soffusa di un tenue colorito rosso - vinoso. Tali fusti deformati si mantengono cavi nello interno e le Anguillule (caratteristiche per le notevoli dimen- sioni) si trovano riunite qua e là entro i tessuti ipertrofizzati. Questa galla mi pare corrisponda a quella deseritta da GEISEN- HEYNER per lo stesso substrato e nota sin qui solo della Germania (Allg. Ztschr. f. Entomol. Bd. VII, 1902, p. 197 n. 17). Pascoli della « Matina » sopra Calitri (Avellino), a circa 950 m. s. m.; ab- bondante ; gingno 1908 (A. Trotter). * 7. Cytisus alpinus Mill. — Cecidomyidae. — Foglioline dei germogli colle due metà ripiegate a cerniera verso la pagina supe- riore, leggermente atrofiche ed increspate, verdi-pallide o giallognole, ea 4 + 9 4 ¥ * = NUOVI ZOOCECIDI DELLA FLORA ITALIANA. NONA SERIE 5 = appena ipertrofizzate in prossimità della costa. Tipo di galla assai frequente in moltissime specie della famiglia delle Leguminose. Boschi sotto la Raja Magra (Cervi:lto) nell’ Avellinese , giugno 1909 (A. Trotter). S. Festuca duriuscula L.—? Isosoma depressum Walk.— Iper- trofia dei culmi, subgloboso-allungata, fuoruscente dalla guaina foglia- re, lunga circa 10 mm., 5 mm. larga. M. Colle di Basso sotto il Terminio : Avellino), giugno 1909 (A. Trotter). 9. Galium cruciata Scop.— Phyllocoptes psilocranus Nal. 1895, Neue Gallmilben 11. Forsetz. in Anz. k. Ak. d. Wiss. Wien n. III p. 21; id. 1896 in Denkschr. d. k. Ak. d. Wiss. Wien Bd. LXIV, p. 359 taf. III fig. 3-4 (cecidozoo); id. 1898, Tierreich IV Lief. Erio- phyid. p. 57 n. 46.— Sehlechtendal, Marcellia v. II, an. 1903, p. 131. Foglie coi margini aceartocciati verso l alto od anche semplice- mente ripiegati, sempre rivestite, in corrispondenza della deforma- zione, da peli bianchicci, lunghetti. La ripiegatura o I’ accartoccia- mento sogliono sovente iniziarsi all’ apice e talora in direzione nor- male alla nervatura principale anzichè parallelamente ad essa. Questa deformazione era nota sin qui solo per la flora germanica. Luoghi erbosi ombreggiati intorno al Laceno (Avellino), a circa 1100 m. s. m.; maggio 1908 (A. Trotter). * 10. Helianthemum Chamaecystus Mill. var. serpyllifo- lium (Mill.)..— Eriophyes Rosalia Nal.— Deformazione delle foglie e «delle infiorescenze. Sul Monte Pergolo presso S. Agata (Avellino), primavera 1908 (4. Trotter). 11. Pimpinella Tragium Vill. I. * Eriophyes sp.— Foglioline a segmenti frastagliati, suddivise in sottili lacinie lineari o più spesso a margini ripiegati od accartoc- eiati, specialmente verso la pagina inferiore, leggermente ipertrotizzate, decolorate o rossastre. Questa deformazione è in tutto simile a quella là indicata per Pimp. magna e P. Saxifraga. M. Colle di Basso sotto il Terminio (Avellino), giugno. 1909 (4. Trotter). 54 A. TROTTER II. * Asterolecanium sp.— Picciolo fogliare provvisto in sul mezzo di una notevole ipertrofia fusoideo-globosa. Da un lato vi è una leg- gera depressione a fossetta precedentemente occupata dalla Coccini- glia. Cfr. n. 5. M. Colle di Basso sotto il Terminio (Avellino), giugno 1909 (4. Trotter). 12. Populus Tremula L.—Perrisia populeti (Riibs.) Kieff. 1898, Syn. Cécidom. Europ. ete. Estratto p. 12, Cecidomyia p. Riibsaamen 1389, Berlin. Entomol. Ztschr. XXXIII, p. 57 n. 10. Verh. preuss. Rheinl. ete. XLVII, an. 1890, p. 21 Nota, e p. 41 n. 101, taf. ILL fig. 30 (cecidozoo, ala). Margini fogliari, specialmente in prossimità della base, grosso- lanamente accartocciati verso la pagina superiore, a superficie ruvida, rugosa e pubescente. Larve sociali biancastre, trasformazione nel terreno. Vallombrosa (Firenze), settembre 1905 (Dr. G. Cecconi). 13. Quercus Cerris L.—Alenne recenti erborizzazioni mi per- mettono di arricchire la cecidologia italiana di alcune interessantissi- me specie, tra le quali Andricus rindobonensis, noto sino ad ora solo dell’ Austria e descritto solo in questi ultimissimi anni. Le specie da me raccolte sono le seguenti : I. Asterolecanium variolosum Ratz.— Leggere ipertrofie corticali, provviste di distinte depressioni a fossetta, subellittiche, ove è fissato il cecidozoo. Per il Cerro erano già state indicate di Vallombrosa dal Prof. LEONARDI (Bull. Labor. zool. gen. ed agraria, Portici v. III, 1908, p. 150). Bosco presso la stazione di Aquilonia (Avellino), 28 maggio 1909 (A. Trotter). Il. Andricus burgundus Giraud 1859, Verh. k. k. zool. bot. Ges. IX p. 359 n. 6; Beijerinck, Cécidiogénèse et génération alternante chez Cynips calicis 1897, Extr. p. 27, p. 31 et passim, pl. III fig. 7 (galla); Kiefter, Les Cynipid. v. I p. 433 pl. XXIV fig. 6 (galla) v. II p. 561; Tavares, Syn. Zooceeid. portuguez. 1905 p. 58 tav. III fig. 16 (galla); Darboux et Houard, Galles de Cynipides etc. 1907, p. 182 pl. XII, fig. 2-3 (galla); Houard, Zoocécid. d'Europe ete. 1908, p. 325 n. 181 fig. 539 (galla). QI NUOVI ZOOCECIDII DELLA FLORA ITALIANA. NONA SERIE 55 Questa specie fa parte di un gruppo di galle molto aftini tra loro, le quali sono distinte da piccoli caratteri intrinsici, ma sopra- tutto da caratteri estrinseci, come sarebbero qualità e condizione dell’ organo dal quale si sviluppano, rapporti ch’ esse contraggono tra loro e con I’ organo che fa loro da supporto, epoca del loro svi- luppo ete. Le galle di Andricus burgundus (molto attini a quelle di Andr. circulans) sono alte circa 2 mm., uniloculari, di forma ovoidale, di- stintamente assottigliate verso l’ apice, quivi più o meno ineurvate, talora leggermente schiacciate da un lato per la mutua pressione. Sono giallognole, lucide, glabre, talora con qualche lieve soleo lon- gitudinale. Il foro di uscita è situato da un lato, poco al di sotto dell’ apice. Si originano dalle gemme fiorali 4 ed i gattini sono ta- lora completamente impiegati nella cecidogenesi; talora invece essi sì vedono sporgere tra le galle in uno stato più o meno rudimentale o talora anche completamente sviluppati ed evoluti come i gattini uscenti dalle gemme normali. Queste galle sono strettamente riunite in ogni gemma, le cui squame si allontanano notevolmente, e formano un glomerulo ordinariamente costituito da non meno di una decina di galle e talora sino a cinquanta. L'imsetto esce verso la meta di maggio ed è una forma bisessuata. Da me raccolte le galle, già abbandonate dall insetto, il 28 maggio 1909, nel bosco presso la stazione di Aquilonia (Avellino). Questa galla è fuggevolmente ricordata dal DE STEFANI per la Sicilia, nè è nota di altre località italiane (Agricolt. Calabro-Sic, XXIII 1898, Estratto p. 29 e 57 e Naturalista Siciliano v. XVIII, 1906, Estratto p. 25). III. Andricus vindobonensis Müllner 1901,Verh. k. k. zool.-bot. Ges, “Wien Bd. LI, p. 529 taf. IV fig. 7-13 (galla). — Hieronymus et Pax, Herbar. cecidiolog. 1905, fase. XIII n. 362; Kiefter, Les Cynipid. an. 1904 v. II p. 560; Houard, Zoocécid. d’ Europ. ete. 1908 p. 325 n. 1813 fig. 545-548 (galla). Le galle di questo interessante Cinipide si sviluppano a spese dei fiorellini e perciò aderiscono ai gattini allo stesso modo delle galle di Andricus grossulariae. Anzi, su materiale deficiente, potreb- bero quasi ritenersi per galle abortive di quest’ ultima specie. Un esame però più attento mette subito sott’ occhio numerosi caratteri 56 A. TROTTER differenziali, tutti perfettamente costanti e tali da permettere una perfetta separazione delle due specie. Le galle di Andr. vindobonensis hanno la forma di piccoli ed irregolari cilindretti, un po’ rigonfi nel mezzo, più o meno fortemente rieurvi, lunghi 4-6 mm. circa 2 mm. larghi, leggermente attenuati verso l’apice e quivi irregolarmente troncati. Sono subearnose e verdi da giovani, più o meno suffuse di rosso facendosi adulte, a superficie leggermente striata per il lungo, sotto la lente, e più o meno fittamente rivestita di peli bianchi, minuti, semplici, o fascicolato-stellati. Nel- l’ interno esistono ordinariamente due camere sovrapposte, separate da un tenue setto, l’ inferiore oceupata dalla larva. Queste galle sono solitarie, oppure spesso concrescenti 2 a 3 con le loro basi e con estre- mità divergenti, oppure possono essere anche saldate in tutta la loro lunghezza e quindi disposte parallelamente dalla base all’ apice. Ho raccolte queste galle in notevole quantità il 28 di maggio su di un unico individuo (alto appena 4 metri) il quale era del pari carico di galle di Andrieus burgundus! Vi erano invece rare le galle di Andri- cus grossulariae, Neuroterus glandiformis, Chilaspis Loewi. Altre galle di Cinipidi non mi venne fatto di vederne. È facile immaginare come in causa di queste numerose galle, che attaccano organi sessuali ma- schili o femminili della pianta, ne fosse per quest'anno del tutto abo- lita la fruttificazione. La coincidenza delle due specie, Andricus burgundus ed Andr. rindobonensis sullo stesso individuo e per di più tutte e due egual- mente abbondanti, mi hanno fatto sorgere il dubbio possa trattarsi di entità riunite da rapporti genetici. Le galle di Andricus burgundus, da me raccolte il 28 maggio, erano già tutte abbandonate dall’ insetto, il quale in regioni più nordiche suole svilupparsi nella prima quindi- cina di maggio, ma nel mezzogiorno certo un po’ prima. Cosieche da questo lato vi è tutta la possibilità che Andr. burgundus , appena uscito dalla galla, possa tosto infettare i fiori maschili essendovi lo intervallo di circa un mese tra Jl uscita dell’ insetto e lo svilnppo delle galle di Andricus vindobonensis. Questi poi prende il volo alla fine di giugno o primi di luglio quando le gemme fiorali / della nuova annata sono di già pronte pur non avendo nell’ interno i gat- tini ancora formati. Del resto, come accade in altri Cinipidi, è pos- 7 sibile che tra la deposizione dell’ novo e V useita delle larve interce- dano molti mesi, cioè sino alla fine dell’ inverno ; cosicchè quest’ ul- " NUOVI ZOOCEGIDII DELLA FLORA ITALIANA. NONA SERIE 57 time al momento opportuno avrebbero a propria disposizione degli organi già avviati nel loro sviluppo. Questa che io ho enunciata, non è che un’ ipotesi, confortata solo da una coincidenza abbastanza suggestiva, cosicehè può anche darsi che io non sia nel vero; molto più che tale alternanza verrebbe a stabilire un fatto inusitato nella biologia dei Cinipidi, cioè il colle- gamento di generazioni ambedue bisessuate; mentre nei casi noti sin qui, le colleganze genetiche sogliono avvenire tra forme partenogene- tiche da un lato e forme bisessuate dall’ altro. Non mi è neppure ignoto che secondo Vl’ opinione di BEIJERINCK (Marcellia v. I, 1902 p. 15) molte delle forme bisessuate di Andrieus, viventi sulla Que r- cus Cerris (ad es. Andricus grossulariae , vindobonensis , adleri , aestivalis ete.), potrebbero essere collegate alle specie partenogenetiche del gen. Cynips, viventi sulle Quercus del tipo Robur. Anzi BELJERINCK, secondo le cui esperienze Andricus circulans sarebbe la forma bisessuata di Cynips Kollari (1), ritiene che Andricus burgundus possa essere la generazione bisessuata di Cynips tinctoria-nostras. Per mio conto non ho argomenti contrari all’opinione di BELJERINCK, solo parmi fosse opportuno richiamare V attenzione dei cecidologi, che si trovano nelle regioni della Quercus Cerris, anche sulle cireo- stanze da me riscontrate e che a priori non mancano di una qual- che probabilità. Bosco presso la stazione di Aquilonia (Avellino), 28 maggio 1909. IV. Chilaspis Loewi Wachtl 1882, Wien. Entom. Ztg. I p. 291 taf. IV fig. 2 (galla). — Kieffer, Cynipid. t. I, p. 52, n. 64 et p. 600, pl. XX, fig. 12 (galla); Schlechtendal, Wien. Entom. Ztg. VII, 1555, p. 345, XIII, 1894, p. 237. Al posto delle gemme fiorali g si osservano dei glomeruli pe- losi di color fulvo, di circa 10-15 mm. di diam., costituiti da un cu- mulo di piccole galle obovate, alte 2-3 mm., assottigliate sensibil- (1) Non dubito punto sulla reale esistenza di tale metagenesi ed eteroecia, sta- bilita dall’ illustre cecidologo olandese, solo avrei motivo a dubitare sulla sua as- soluta costanza. Mi sono note delle località italiane nelle quali abbonda la Cynips Kollari (il Montello ad esempio in prov. di Treviso) mentre vi fa difetto comple- tamente la Quercus Cerris. Ecco un altro fatto che meriterebbe di essere ristudiato e controllato in qualeun’ altra delle regioni che costituiscono 1° area geo- grafica di Cyn. Kollari. 58 A. TROTTER mente verso il loro punto d’ inserzione, per lo più biloculari, ciascuna rivestita fittamente da lunghi peli bianchicei, semplici, per lo più unicellulari. L’ insetto, che è una forma bisessuata, esce dalle galle durante il mese di maggio e secondo le osservazioni di SCHLECHTEN- DAL ha per forma agama Chilaspis nitida Giraud. Ne ho raccolto tre esemplari nel bosco presso la stazione di Aquilonia (Avel- lino) il 28 maggio 1909, sullo stesso albero che mi fornì le galle di Andr. vindo- bonensis ed Andr. burgundus. V. **? Dryocosmus sp. — Piccola galla subovoide alta 4-6 mm., 3-4 mm. larga, leggermente acuminata all'apice, o quivi provvista di una breve appendice a guisa di mucrone, diritta o ricurva. La sua superficie, di colorito rossiccio-bruno, è cosparsa, sotto la lente, di mi- nutissimi peli; le sue pareti sono piuttosto grosse, legnose, e limita- no nell’interno 1-4 logge subeilin- driche disposte in direzione verti- cale. La presenza di queste logge è contraddistinta esternamente da una lievissima prominenza e se le logge prevalgono più da un lato che dall’ altro della galla, questa può presentarsi sensibilmente as- simmetrica. Queste galle si originano a spe- se delle toglie e quando sostitui- scono un’intera foglia possono tro- rarsi in prossimità del ramo, rav- vicinate in numero di 2-3, quasi fossero galle delle gemme. Più spes- so però sogliono svilupparsi alla base della lamina, in prossimità del picciolo, oppure anche al mar- gine della foglia che ne resta più Fig. 2.— Ramoscello di Q. Cerris con © Meno atrofizzata. In qualche galle rameali e fogliari di ? Dryoco- Caso ancora la galla si è comple- smus sp. Xx 1. tamente sostituita alla lamina ed allora è portata da una nervatura funzionante da picciolo, NuovI ZOOCECIDII DELLA FLORA ITALIANA. NONA SERIE 59 Queste galle non hanno alcun rapporto nè con le galle di Dryo- cosmus Mayeri Miilln. nè con quelle di Andr. singulus Mayr e sono probabilmente il prodotto di qualche nuova specie di Cinipide. Non mi fu possibile allevare I’ insetto, cosicchè l'attribuzione sistematica, quale è sopra indicata, è soltanto ipotetica. Ai « Ferrari » presso Serino (Avellino), maggio 1905 (4. Trotter). * 14. Quercus Thomasii Ten.— Nel R. Orto botanico di Napoh vi furono raccolte dal Dr. G. TRINCHIERI le galle di Biorhiza ter- minalis e Cynips aries. La presenza di quest’ultima specie è un indizio della stretta parentela di questa Quercia con Q. pedunculata, del resto evidente anche per le affinità morfologiche esistenti tra le due piante. BREVE DESCRIZIONE DI ALCUNE GALLE EUROPEE ED ESOTICHE per A. TROTTER Le galle qui segnalate provengono dalla revisione di aleuni Er- bari di Orti botanici ed in parte mi furono comunicate dall’ amico Dr. G. CECCONI. EUROPA : Phlomis Samia L. Eriophyidae — Piccole galle fogliari sparse o riunite in vario numero, talora concrescenti e deformanti più o meno il lembo. Si mostrano su ambedue le pagine, sono subemisferiche sull’ epifillo, con un diametro di 1.5-2 mm. La loro superficie è ruvida, quasi rugosa e cosparsa di pochi peli dal lato della pagina superiore, mentre invece la concavità della pagina opposta ne è fittamente rivestita. Tali peli 60 A. TROTTER sono molto più lunghi e più grossi dei normali, inoltre come questi ramoso-stellati alla sommità. Queste gaile furono gia descritte e figurate da RÜBSAAMEN, Ueb. Zoocecid. d. Balkan-Halbinsel (Ul. Ztsehr. f. Entomol. 1900, p. 215, fig. 12-13) ma sono note sin qui solo del M. Athos in Greeia. « Inter Pterides in regione sylvatica M. Korthiaeti Macedoniae austr. 30-4800’, 13 jul. 1851 ». Leg. DE HELDREICH. Staehelina uniflosculosa Sibth. * Eriophyidae — Pustolette fogliari del diam. di circa 2 mm., appariscenti su ambedue le pagine, meglio evidenti però sull’ ipofillo, simili, salvo le loro minori dimensioni, a quelle che si riscontrano frequentemente sulle foglie di talune Centaurea. Queste galle furono indicate di Creta da HIERONYMUS per Staeh. fruticosa L. (Europ. Zoocecid. ete. 1890, n. 244). Sulla stessa Staeh. unifiosculosa fa da RUBSAAMEN (I. e.) deseritto e figurato un acarocecidio fogliare di forma però subconica e quindi notevolmente diverso dalle pustole qui segnalate. « In saxosis reg. inferioris et mediae in Olympi Thessaliae iufra et supra Coe- nobinm St. Dionysii, 20-23 jul. 1851 ». Leg. DE HELDREICH. AFRICA : Fagonia cretica L. ** ? Eriophyidae — AV estremità di un ramoscello glomeruli sub- globosi, di dimensioni variabili (5-15 mm.), costituiti da una fitta riu- nione di minuti fillomi verdastri, profondamente deformati, subspinu- osi all’ apice. Galla diversissima da quelle, meglio note, sin qui deseritte per questo genere di piante ed indicate del bacino mediterraneo nell’ O- pera dell’ HOUARD, Zoocécid. ete. p. 655. Pare invece possa identifi- carsi con quella segnalata da KARSCH per Fagonia sp. (Neue Zoo- cecid. u. Cecidozoén 1880, p. 302 taf. VI fig. 11) e meglio descritta da A - 0 * £ "A BREVE DESCRIZIONE DI ALCUNE GALLE EUROPEE ED ESOTICHE 61 RUBSAAMEN per Fagonia thebaica (Entomol. Nachr. XXV, 1899, p. 273). Deserto libico al piede delle Piramidi (Egitto), 18 marzo 1847; dall’ Herb. L. KRALIK. ? Pittosporum sp. ** Eriophyidae — Galle fogliari consistenti in estroflessioni irre- golari, subellittiche, epi-od ipofille, cirea 5 mm. lunghe, talora con- fluenti e lunghe sino a 10 mm., fortemente prominenti, cui corrisponde, dal lato opposto, una cavità rivestita da peli, semplici, unicellulari, cilindrici, variamente lunghi, ottusi all’ estremità. Spiaggia marina a Meisland presso Cape Town (Africa austr.), marzo 1904 ; leg. P. BoxoMI. AUSTRALIA : Banksia marginata Cay. ** Entomocecidio — Ipertrofie dei rami in forma di protuberanze mammellonari, unilaterali, non molto prominenti, talora numerose ed interessanti il ramo tutto all’ intorno e per una lunghezza di 5-6 em. Alla superficie si osservano qua e là alcuni fori assai piccoli, i quali comunicano con una camera larvale indistinta, situata entro il paren- chima ipertrofizzato. Sandringham , Victoria Australia, agosto 1904; mandò G. WEINDORFER da Melbourne. Casuarina suberosa Ot. et Dietr. #* Entomocecidio — Piccole ipertrofie sferoidali delle foglie, del diam. di 1-2 inm., uniloculari, provviste nell’ interno di un’unica ca- vità relativamente ampia. Sandringham, Victoria Australia, luglio 1903; mandò G. WEINDORFER da Mel- bourne. 62 A. TROTTER Casuarina suberosa Ot. et Dietr. ** Entomocecidio — Nella parce terminale di un ramoscello, iper- trofia fusoideo-conica, lunga 7-5 mm. per 4-5 mm. di spessore. Camera larvale unica, foro di uscita basilare. Sandringham, Victoria Australia, luglio 1903 ; inviò G. WEINDORFFR da Mel- bourne. Kunzea Muelleri Benth. ** Entomocecidio — Galle fiorali. Fiori abortivi, privi di corolla e di organi sessuali, trasformati in galle subeilindriche, alte 5-6 mm., le eni pareti sono costituite dal calice leggermente ipertrofizzato, un po’ strozzato alla fauce, sotto i denti calicini. Buffalo Mountains, Victoria Australia, dec. 1903; mandò G. WEINDORFER da Melbourne. AMERICA DEL SUD: Weinmannia latifolia Presl. (= rugosa Benth.) * Eriophyes sp.— Piccolo erineo ipofillo, pulvinato, rossiccio, di aspetto un po’ grumoso, situato all ascella delle nervature. Dal lato opposto non vi è aleuna evidente estroflessione, anzi la-lamina vi si mostra invece un poco depressa. Tricomi unicellulari, espansi all e- stremità e quivi lobulosi, coralloidei. Montagne di Loxa Peron; leg. HARTWEG 1844; in Herb. Webb, De Candolle et Boissier, mi ft BREVE DESCRIZIONE DI ALCUNE GALLE EUROPER ED ESOTICHE 63 AMERICA DEL NORD: Persea gratissima Gaert. (volg. Almacate) ? Omottero — Galle fogliari molto caratteristiche. Sono epifille , di forma cilindrica, sensibilmente acuminate verso 1’ apice, alte sino ad 8 mm. per 3-4 mm. di diametro. Sono uniloculari, con pareti piuttosto sottili ma resistenti, limitanti un’ ampia camera avente la stessa forma della galla. La loro superficie è glabra, levigata, giallo- rossiccia quando sono giovani, in seguito bruna. Sull’ ipofillo s’ apre l’ostiolo, del diametro di circa 1 mm., limitato da un leggero ispes- simento giallognolo un po’ prominente. Tale ostiolo, quando le galle sono ancora giovani, è chiuso trasversalmente da una membrana che poi si lacera e si distrugge per il passaggio del cecidozoo. Tenancingo presso Mexico, America bor., nov. 1905 (inviò Dr. S. Bonansea). Populus sp. Pemphigus sp.— Piccioli fogliari provvisti, ordinariamente in sul mezzo, di una galla subgloboso-conica, di circa 15-20 mm. di altezza per 14-18 mm. di lunghezza alla base, laddove si origina dal picciolo. Queste galle, salvo le dimensioni un po’ maggiori, corrispondono a quelle europee di Pemphigus bursarius o meglio di Pemph. piriformis. Nel Nord-America su Populus balsamifera, deltoides, monilifera furono descritte galle simili alle presenti, però pro- dotte da Pemphigus Populi-transversus Ril. Sarebbe molto opportuno che gli entomologi americani, in casi come il presente, cioè di fronte a galle molto simili con le galle eu- ropee, riguardanti e riferibili ad uno st... substrato, istituissero degli accurati confronti anche tra i cecidozoi, a fine di evitare delle dannose sinonimie ed affinchè da più approfondite osservazioni ne venisse anche una maggior luce per la distribuzione geografica dei cecidozoi. Dintorni di Mexico, America bor., 13 luglio 1905 (leg. Dr. S. Bonansea). PRES - db Es: =; x = > u 64 A. TROTTER Bacteriocecidio — Escrescenze rameali, irregolari, di dimensione variabile, molto simili, se non identiche, a quelle già segnalate in Europa e recentemente illustrate, sopratutto dal lato morfologico ed anatomico, dal Prof. BRIZI (1), prodotte, secondo le particolari ricer- che di DELACROIX (2) dal Micrococcus Populi. Dintorni di Mexico, America bor., 13 luglio 1905 (leg. Dr. S. Bonansea). e gino i ee ce (1) Brızı U, — Ricerche su alcune singolari neoplasie del Pioppo e sul Bacterio che le produce (Atti Congresso Naturalisti italiani, Milano 1906). (2) DELACROIX G.— Sur quelques maladies bactériennes observées à la Station de Pathologie végétale (Ann. Inst. Nat. Agron. Paris an. 1906, ser. II t. V, p. 353-568 con 5 fig.) ‘ “bedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’in- | teresse individuale. o generale, SERIA però aventi attinenza con la Sa … Schedae ad « Cecidothecam italicam » (1902-1909) | Auctore A. TROTTER fi Ne RS DE | MM. les Cécidologues, non abonnés à « Cecidotheca italica » Bibliothèque les « Schedae » (avec. bibliographie, observations ete.) à qui illustrent cette Collection — dont le prix pour les 20 fascieules (500 numéros) publiés jusqu’ ici est de 200 fr.S— pourront s’ adresser | à Auteur, Prof. A. TROTTER, qui expédiera franco la Série com- 3 plète des 500 « Schedae », avec préfaces, index double ete., contre mandat-poste de 10 frs — Numéros spécimen sur demande. È: ANNUAIRE DES BOTANISTES SG É E RECUEIL, des noms et adresses des Botanistes actuellement vivents de tous les pays, der Jardins botaniques > et des Établissements, Sociétés et Publications périodiques ayant trait à la Botanique Publié par J. DORFLER Troisième edition, Wien 1909, revue ed augmentée En vent chez l’ Auteur, Barichgasse 36, Wien III de TROTTER A. et CECCONI G., désireux cependant d'assurer à leur Ls. LITTA): - a + d a G Ne Las > > é "È 1.2 pae ee = 4 à “3 | is à = Ae RX A ~ 4 Yin we x ‘ < È N y Les | : È ae 4 de ‘ Wig, iso | vi Fe FRET ri Sa % - - ; mx i RIUISTA INTERNAZIONALE DI CECIDOLOGIA | reoartore: rror. A. TROTTER (AVELLINO) 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle galle e dei produttori di esse. Pubblica, su tale argomento ; lavori originali, di istologia, morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando anche, della maggior parte dei lavori, «delle recensioni più o meno estese. — 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno però la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si accettano lavori in inglese, tedesco ed in tutte le lingue delle nazioni latine. 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori, “sara però in loro facoltà di farne tirare , a loro spese, un maggior numero di — copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore cow 1’ invio del manoscritto. 4. Le spese per tavole o figure nel testo sono, per ora, a carico degli AUTO 5. Usciranno 6 fascicoli all’anno, complessivamente circa 15 fogli di stampa, | possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè : Tebbrata, Aprile, Giugno, Ago- sto, Ottobre, Dicembre. 6. Gli abbonamenti cominciano dal 1° Gennaio e si intendono rinnovati an- 4 che per l’anno successivo , CRANE non venga data rinuncia al Redattore entro ». Sur un rameau de Quercus Cerris, encore muni de ses feuilles et de ses bourgeons, renflements Caractéristiques engendrés par ce Cyni- pide; larges trous d’ éclosion. Un deuxième échantillon, plus petit, 68 fixé sur un mince rameau, montre des trous d’ éclosion très petits ; il porte l’étiquette suivante: « Galla. Cyn. cerricola Giraud. Austria. N° 10 (Mayr) ». Cynips amblycera Giraud. — Étiquette : « N° 12. 0. amblycera m. ». Trois petits rameaux supportent plusieurs galles bien caractéristi ques. Une cécidie isolée est accompagnée de deux papiers avec les indications suivantes ? « N° 2. Gal. Cyn. amblycera Giraud (Mayr) » ; « Galle Cyn. amblycera Gir. Austria ». Cynips galeata Giraud.— Etiquette: « N° 13. C. galeata m. ». Deux rameaux, encore munis de leurs feuilles, avec 5 galles tres nettes, écloses. N° 14. C. serotina m. ». Andricus serotinus Girand. — Étiquette : « Rameau portant deux petites galles chevelnes. Deux autres cécidies sont fixées sur des lambeaux d’ écorce. Andricus glandulæ Girand. — Etiquette: « N°16. 0. glandulæ m. ». Quatre petites galles isolées et écloses. Andricus radicis Fabr.— Etiquette: « N°17. C. radicis Bose. ». Gros échantillon ovoïdal, de 40 mm. de longueur, à surface terreuse. Andricus rhizomæ Hartig.— Étiquette : « N°18. C. rhizome Hart. ». Deux rameaux portant de nombreuses cécidies, dont quelques unes écloses, les autres tombées n’ étant plus représentées que par leur cupule d’ insertion sur la tige. Andricus callidoma Giraud — Étiquette : « N° 19. 0. callidoma Hart. m. ». Trois galles écloses, isolées, encore un pen velnes. Cynipide. - Etiquette: « N° 20. 0. Catilla m. ». A cette inserip- tion correspondent 13 galles isolées, de petite taille (10 mm. comme plus grande dimension), quelques unes écloses ; elles ont presque toutes les bords tranchants et repliés par en haut en forme de coupe étroite et irrégulière ; plusieurs cécidies sont cependant étalées. Jai représenté dans les figures 2 à 5 quatre échantillons caractéristiques : ceux-ci montrent avec netteté le large pied par lequel ils s inserent —— ug u L’ HERBIER DU D' SICHEL 69 et les stries longitudinales qui ornent aussi bien la surface externe des galles que leur concavité superieure. Ces petites cécidies offrent évidemment quelque ressemblance avec la galle du Cynips Stefanii, qu’elles soient étalées ou non (com- parer les figures 2 à 5 aux figures 6 à 9). Le petit exemplaire figuré en b rappelle tout particulièrement une très petite cécidie de Cynips Stefanii que j ai trouvée dans I’ Herbier cécidologique de Fairmaire, dont je parlerai un jour, et que j’ ai représentée ici, de face et de profil (fig. S et 9, h et i). Notons cependant que le pied de cette dernière galle est plus étroit et plus élégant que celui de la galle du Cynips catilla (fig. 2, b). Si les échantillons de I’ Herbier Sichel laissent quelque peu indeeis sur lV identification des galles du Cynips catilla avec celles du Cynips Stefanii, les belles figures que nous avons publiées, Dar- boux et moi, en 1907 (p. 213-215, pl. XIV, fig. 9 et 10), d’après une splendide aquarelle de Giraud, permettent, sinon de lever définitive- ment le doute, tout au moins d’ ajouter deux faits précis à cette difficile identification. En effet, les cécidies du Cynips catilla repré- sentées dans les figures 9 et 10 de la planche XIV possèdent comme les galles du Cynips Stefanii un disque convexe, muni d'un petit inucron central, et un pédoneule allant en rétrécissant vers le point d’ attache; d’ autre part leur couleur vert d’eau, si caractéristique, serait absolument comparable à la teinte des galles fraiches du Cy- nips Stefanii ainsi que me 1’ écrivait M. Trotter, à l apparition de l’ Iconographie des dessins de Giraud signalée plus haut. Andricus lucidus Hartig.— Etiquette: « N° 21. C. lucida Hart. ». Gros échantillon sphérique, de 20 mm. de diamètre, marron, fixé à un rameau de Chêne encore garni de feuilles. Une autre cécidie, plus petite, d’ un jaune clair, à prolongements courts, munie de gros trous d’ éelosion, est accompagnée de V inscription suivante: « Galle. Cyn. lucida. Austria ». Neuroterus macropterus Hartig. — Étiquette : « N° 28. C. macroptera Hart. ». Échantillon éelos et en mauvais état. Dryophanta folii L.— Étiquette : « N° 24. 0. folii L. ». Quatre jolies galles, de 10 mm. environ de diamètre, à surface lisse, marron clair ; trous d’ &elosion volumineux.— Une cinquième cécidie, un peu fripée, irregulierement arrondie (diamètre de 20 mm.), à surface noir rou- geätre, est accompagnée d'une étiquette: « N’ 25. C. scutellaris Oliv. ». Enfin, le dernier échantillon est complètement ride et fripé, teinté de rougeatre comme le précédent ; il porte les mots snivants : « Galla. Cyn. scutellaris (non folii). Austria (Mayr) N° 8 ». Dryophanta agama Hartig. — Étiquette: « N° 26. C. agama Hart. ». Feuille de Chêne de petite taille portant an voisinage de la nervure médiane trois galles bien caraetéristiques engendrées par le Dryo- phanta agama (fig. 10 à 14, k à 0): elles sont de teinte marron jau- natre clair; leur surface lisse laisse apercevoir, comme par transpa- rence, de petites protuberances arrondies d'un jaune plus clair que la surface de la cécidie. Chaque galle, ovoidale, mesure environ 5 mm. de long sur 4 mm. de large et 4 mm. de hauteur. Elle est placée à cheval sur la nervure médiane ou sur les nervures latérales (fig. A) et solidement appuyée sur le limbe par deux larges bourrelets parallèles à la ner- vure, qui immobilisent la cécidie en I’ empéchant de s’ineliner a droite ou à gauche. Ainsi posée sur la face inférieure du limbe, la galle a quelque ressemblance avee un test d’Oursin, du groupe des Spatangues, reposant sur le sel. Si l’on détache la cécidie on voit qu’ elle est fixée sur la nervure, au fond d’une fente de un mm. en viron de longueur (fig. J), par un pédicule très court, allongé dans le sens même de la nervure. La figure 12 (m) représente une galle vue par la face inférieure : elle met en évidence les deux bourrelets signalés plus haut ainsi que le mode d’ insertion de la galle sur la nervure ; ces particularités sont également visibles dans les schémas des figures suivantes (n et 0) qui représentent deux sections longi- tudinales d’une galle de Dryophanta agama, V une perpendiculaire à la nervure, l’autre parallele à celle-ci. Les observations que j'ai pu faire sur les échantillons de 1’ Her- bier Sichel sont en parfait accord avec celles qui ont été exposées par Bayer, l’année dernière (in Marcellia, 1908, t. 7. p. 3-9), au sujet des figures 4 à 6 de la planche XXII du « Reeneil de figures ori. ginales exécutées seus la direction de feu le D" Jules Giraud » pu- blié par Darboux et Houard en 1907. Il semble nettement démontré maintenant que les légendes des fignres ont été interverties par Gi- raud lui-même dans la planche originale conservée an Laboratoire d’ Entomologie du Muséum; cette erreur était d'autant plus facile + + L’ HERBIER DU D' SICHEL 71 à commettre que sur l’aquarelle de Giraud les dessins des galles du Dryophanta agama et du Dryophanta disticha sont placés les uns à côté des autres (pl. IX, fig. 2 et 4). On peut enfin remarquer, comme Bayer Va fait lui-méme sur les galles de sa collection, que les bourrelets situés à la base des échantillons de I’ Herbier Sichel sont beaucoup moins développés que ceux figurés par Strohmayer sous la direction de Giraud, qui consti- tuent évidemment un cas extrême de développement. Dryophanta disticha Hartig.— Etiquette: « N° 27. C. disticha Hart. ». Deux petites galles bien caractéristiques, fixées à la face inférieure d’un lambeau de feuille de Chêne. J’en donne ici trois dessins (fig. 15 à 17) afin de mettre en évidence le mode d’ insertion de la cécidie et le renfoncement muni d’ nn petit mucron (fig. r) qui existe à son pôle supérieur. Dryophanta cornifex Hartig.— Étiquette: « N° 28. C. cornifex Hart. ». Deux feuilles ‘entières de Chêne portant chacune une cécidie fixée à leur face inférieure, Dryophanta divisa Hartig. — Étiquette : « N° 29. C. divisa Hart. ». Cinq belles galles, en forme de sphéroïde aplati, de 7 mm. environ de diamètre, à surface lisse, munies de trous d’éclosion. Le pédicelle d’ insertion est court, un peu allongé dans le sens de la nervure et bordé par deux simples soulèvements qui se fusionnent peu à peu avec le corps de la galle (fig. 18, s) et qui ne rappellent en rien les bourrelets si caractéristiques de la cécidie du Dryophanta agama. L’ une des galles est fendue en long: elle montre une cavité interne un peu aplatie (fig. 19, #) limitée par une coque interne, dure, peu épaisse, entourée par le tissu rayonnant d’ aspect soyeux qui constitue la paroi de la galle. La cavité larvaire est excentrique et assez rapprochée du point d’ attache. Trigonaspis synaspis Hartig. — Étiquette : « N° 33. Biorhiza synaspis Hart. ». Deux petites cécidies, parfaitement spériques, de 7 AS mm. de diametre, à surface lisse marbrée de jaune et de rouge: trous d’ éelosion petits. Attache courte et cylindrique, comme le montrent les figures 20 et 21 (w, v). L’un des échantillons, fendu, met en évidence la coque interne arrondie, de 3 mm. environ de diamètre, entourée par du tissu spongieux, Agglomération arrondie (20-25 mm. de diamètre) de galles à surface d’un noir rougeatre. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Tontes les cécidies grandeur natur. : tig. 14 nn pen grossie. Andricus grossulariæ Giraud. — Etiquette: « N° 36. Andricus grossu- lario m. ». garnis de galles noiratres. Andricus æstivalis Giraud. — îti quette: « N° 34. Andricus astiralis m.». I GALLES DE LA COLLECTION SICHEL 1 (a). — Cynips truncicola. 2-5 (b-e).— Cyuipide. 6-9 (f-i).— Cynips Stefani (collection Fairmaire). 10-14 (k-0).— Dryophanta agama. 15-17 (p-r). — Dryophanta disticha. 18, 19 (8, 1).— Dryophanta divisa. 20, 21 (u,v).— Trigonaspis synaspis 22, 23 (1.4). — Cécidies de Salvia triloba ? Rameau de Quercus Cerris avec nombreux chatons mâles "è L’ HERBIER DU D» SICHEL — 73 PALO Andricus inflator Hartig. — Étiquette : « N° 38. Andricus inflator Hart. ». Gros échantillon contourné, avee large ouverture à la partie supérieure. Andricus multiplicatus Girand.— Etiquette: « N° 39. Andricus mul- tiplicatus m. ». Galle volumineuse, de 40 mm. sur 30 mm., provenant de Giraud. Un autre éehantillon plus petit et en très mauvais état porte l’indication suivante: « N° 5. Andricus multiplicatus anne error (Mayr). ». Biorrhiza pallida Oliv.— Étiquette : « N° 40. Andricus terminalis L.», avec grosse galle éclose. Une autre cécidie, plus volumineuse encore, est portée par un rameau de Chêne muni de feuilles et accompagnée d’ étiquettes peu lisibles. Enfin, un dernier échantillon en mauvais état, situé à la base de plusieurs rameaux, possède 1° inscription suivante: « Galle du Teras terminalis (Mayr) N° 1 ». Andricus ramuli L.— Etiquette: « N° 41 bis. Andricus ramuli L. ». Cécidie de 22 mm, de diamètre fixée à un rameau feuillé de Chêne pédoneulé. Rhodites eglanteriæ Hartig.— Étiquette: « N° 51. Rhodites eglunteria Hart. » Trois galles écloses. Rhodites rosarum Giraud.— Etiquette : « N° 52. Rhodites rosarum m. ». Six jolis échantillons munis de pointes. Rhodites spinosissimæ Giraud.— Etiquette: « N° 53. Rhodites spino- sissimæ m. ». Deux cécidies contournées, avec trons «d’ éelosion. Aulax scabiosæ Giraud, — Etiquette: « N° 54. Diastrophus scabio- se m. ». Gros renflement d’une tige de Centaurea Scabiosa , à sur- face bosselée, éclatée par places, mesurant 50 mm. de longueur sur 25 mm. de diamètre transversal. Aulax Latreillei Kieft.—Étiquette: « N° 55. Diastrophus glechoma L. ». Cécidie velne du Lierre terrestre, commune partout. Diastrophus rubi Bouché— Etiquette : « N° 56. Diastrophus rubi Be. ». Renflement caulinaire, contourné et bosselé, de 30 mm. de long; nombreux trous d’ éclosion, Synophrus politus Hartiz. — Etiquette: « N’ 57. Synophrus politus Hart. ». Deux beaux échantillons éclos de cette galle du Chêne Cer- ris; 10-12 mm. de diamètre, Un autre exemplaire plus gros, mais aplati et de forme moins caractéristique, est accompagné d’ une pe- tite étiquette: « Galla. Synophrus politus Giraud. Austria (Mayr). LR MY Xestophanes potentillæ Retz. — Etiquette: « N° 58. Aular potentillæ de Vill. ». Trois petites galles d’un noir terreux sur stolons de Po- tentille rampante. Aulacidea hieracii Bouché.— Etiquette: « N° 59. Aulax hieracii Bé. ». Deux cécidies très velues sur tiges d’ Épervière. Aulacidea scorzoneræ Giraud. — Etiquette : « Aulax scorzonere m. sur Scorzonera austriaca. Galle encore habitée ». Rentlement allongé de Vaxe d’ inflorescence ; surface noduleuse ; l’extrémité supérieure porte nne collerette retombante de bractées sèches. Neuroterus numismatis Oliv.— Etiquette: « Galla Neuroterus Reau- muri Hart. Boruss. N° 11 (Mayr) ». Petit lambeau de feuille de Chêne, portant quatre galles. Neuroterus lenticularis Oliv.— Trois cécidies écloses collées sur un carton; étiquettes : « Neuroterus longipennis Fabr. » ; « Cynips longi- pennis de la galle à champignon »; « Cyn. longipennis F. (1855) et galla Querce. fongiform. ». Cynipide? — Etiquette: « 649. Syra 67. E. Gallia salviae. Erber. Decatoma biguttata. » accompagnant six exemplaires d’ une belle galle irrégulièrement sphérique (fig. 22, x), d’un diamètre variant de 10 à 20 mm.; sa surface blanchatre est couverte d’une pilosité courte très serrée et garnie de quelques feuilles petites, fortement velues , non pétiolées. Ces feuilles forment dans presque toutes les cécidies, a Vopposé du pédonenle, une sorte de couronne qui permet de pen- ser que l’on a affaire à une galle terminale de tige. L’une des galles, sectionnée en long (fig. 23, y): a montré plusieurs cavités parfaite- ment sphériques, de 2 min. de diamètre, plongées dans un abondant parenchyme comparable à de la moelle de sureau. - On ne peut rapprocher cette très jolie galle de celle qui est con- È TI & I’ HERBIER DU D' SICHEL ii nue en Syrie et en Crète sur Salvia pomifera et dont Focken (1595, p. 198-205, pl. XV, 3) nous a donné une description assez détaillée et une figure caractéristique (ef. Howard, 1909, t. 2, p. 545-549, n° 4869, fig. 1195-1196). Le sillon longitudinal que Fockeu décrit sur ses échantillons n’ existe pas dans les exemplaires de 1° Herbier Si- chel puisque les cécidies sont parfaitement sphériques et situées a l'extrémité des rameaux; de plus, les pilosités des deux sortes de cécidies ne sont pas comparables. Les galles de Syra de I’ Herbier Sichel correspondent très exac- tement, au contraire, à la description donnée par Rübsaamen (1902, p- 323, n° 131) de cécidies arrondies, fortement velues, couronnées à leur sommet par quelques feuilles courtes, non pétioiées, récoltées en Palestine sur Salvia triloba L. (ct. Houard, 1909, t. 2, p. S5L, n° 4880). La seule différence à signaler résiderait dans la taille des échantillons, ceux de Sichel étant les plus volumineux, si Rübsaamen n'avait soin de nous prévenir que les siens étaient fort jeunes. Com- me |’ Auteur allemand, je pense que le producteur des galles est certainement un Cynipide, probablement un Aula. ANCIENNE COLLECTION DE GALLES Il existe encore au Laboratoire d’ Entomologie du Museum un herbier plus ancien que celui du D* Sichel; son origine est incon- nue. Il se compose d’une seule boite à insectes portant à Vextérieur la mention « Diplolepis » et dans laquelle se trouvent quelques galles et un assez grand nombre d’ Hymenopteres. Les insectes sont en fort mauvais état et proviennent presque tous des environs de Paris; l’un deux cependant porte la mention Brives, ce qui permettrait de supposer que la collection a appartenu an célèbre entomologiste Latreille. Sur les 28 étiquettes qui accompagnent les insectes on ne re- lève guère que l’annotation : « Diplolepis. Paris ». Neuf d’entre-elles portent cependant des indications assez précises pour qu’on puisse indiquer les noms modernes qui y correspondent. Ce sont les sui- vantes : 1° « Diplolepis gallæ-tinctoriæ. Aix-Prov. »; actuellement : Cy- nips tinctoria Oliv. ; 2° « Diplolepis umbraculus Oliv. Paris. »; actuellement : Sy- nergus umbraculus Oliv. ; € 3° « Diplolepis rose, Paris »; actuellement: Rhodites rose L. ; 4° « Diplolepis seutellatus (Oliv.). Paris »; actuellement : Dryo- phanta folii L. ; 5° « Diplolepis quercus-petiolii. Galle fongueuse du Chêne. Pa: ris. »; actuellement : Cynips Kollari Hartig ; 6° « Diplolepis quercus-folii. » ; actuellement : Dryophanta fo- lii L.; 7° « Diplolepis quercus-radicis. Paris. »; actuellement : Andricus radicis Fabr.; 8° « Diplolepis glechomæ ? Paris. »; actuellement : Aulax La- treilei Kietf. ; 9° « Diplolepis aptera. Paris. » ; actuellement : Biorrhiza aptera Bosc. A côté de ces insectes sont piquées quelques galles dont voici la liste : 10° Sur tige de Ronce, cécidie de 40 mm. de longueur, munie de trous d’ éelosion, engendrée par Diastrophus rubi Bouché ; 11° Galle du Rhodites rose L., sèche, brisée en partie, éclose, accompagnée de plusieurs échantillons plus petits fixés sur des fo- lioles ; 12° Deux jolis exemplaires de la galle du Cynips tinctoria Oliv. ; ils mesurent 12 à 15 mm. de diamètre et sont situés à l’ extrémité d’un rameau (Voir plus haut 1°); 13° Sur un lambeau de feuille de Lierre terrestre, galle assez informe engendrée par VAulax Latreillei Kieff. (Voir plus haut 8°) ; 14° Fragment irrégulier d’ une galle de Biorrhiza aptera Bose, avec grandes cavités larvaires visibles (Voir plus haut 9°); 15° Deux exemplaires de la belle cécidie du Cynips quercus- tozæ Bose, Vun d’eux étant fendu ; 16° Gros échantillon, de 20 mm. de diamètre, de la galle du Rhodites Mayri Schl. sur un Rosier ; 17° Galle assez volumineuse engendrée par Rhodites spinosissime Giraud. À côté se trouve un exemplaire très joli d’une déformation florale due au même parasite; cette déformation porte sur presque toutes les pièces du calice et de la corolle et rappelle I’ anomalie un peu plus simple représentée par Gustav Mayr, en 1876 (pl. II, 13 f) ; 18° Lambean de feuille de Chêne portant sur la face inférieure quelques galles du Neuroterus leviusculus Schenck var. reflera Kieff. ; L’ HERBIER DU D° SICHEL 77 19° Autre morceau de feuille garni de galles du Newroterus numismatis Oliv. ; 20° Enfin, une feuille de Chêne entière, très velue, présente sept ou huit cécidies du ? Neuroterus lenticularis Oliv.; sur cette feuille est inserite A Venere Vannotation suivante: « Oynips numis- malis (Oliv.) », certainement erronée, CITATIONS BIBLIOGRAPHIQUES Bayer É.: Notes sur les Galles de Dryophanta agama et disticha de 1’ Iconographie « Galles de Cynipides » (Marcellia, Avellino, 1908, t. 7, p. 3-9, fig. 1-6). DarBoux G. et Houarp C.: Galles de Cynipides. Recueil de figures originales exé- cutées sous la direction de feu le Dr Jules Giraud (Nouv. arch. Muséum , Paris, 1907, (4) t. 9, p. 173-262, pl. XI-XX VIII, dont 15 coloriées). Fockku H.: Études sur quelques Galles de Syrie. Galle de Sauge (Rev. biol. Nord France, Lille, 1893, t. 5, p. 198-205). Hovarp C.: Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée. Description des Galles. Illustration. Bibliographie détaillée. Répartition géo- graphique. Index bibliographique. (Paris, 1909, 89, Tome second : Dicotylé- dones (2° Partie). Index bibliographique. N°5 3320 à 6239. Pages 571-1247, fig. 825-1365, pl. Il). Mayr G.: Die europaeischen Cynipiden-Gallen, mit Ausschluss der auf Eichen vor- kommenden Arten (15. Jahresber. Comm, Oberrealsch. IX Bez. Wien, 1876, p. 3-24, pl. I-III). RÜBSAAMEN E. H.: Mittheilung über die von Herrn J. Bornmiiller im Oriente ge- sammelten Zoocecidien (Zool. Jahrb., Jena, 1902, t. 16, p. 243-336, 39 fig., pl. XII-XVI). TABLE DES CÉCIDOZOAIRES ET DE LEURS GALLES Andricus :estivalis p. 72, callidoma 68, glandulæ 68, grossulariæ 72, infla- tor 73, lucidus 69, multiplicatus 73, radieis 68, 76, ramuli 73, rhizome 68, seroti- nus 68; Aphelonyx cerricola 67; Aulacidea hieracii 74, scorzonerw 74 ; Aulax Latreillei 73, 76, 76, scabiose 73; Biorrhiza aptera 73, 76, 76, pallida 73; Cy- nips amblycera 68, calicis 66, Caput-medusæ 66, conglomerata 67, conifica 67, corona- ria 67, galeata 68, glutinosa 67, Hartigi 67, hungarica 66, Kollari 66, 76, ligni- cola 66, polycera 66, polycera var. subterranca 66, quercus-tozie 66, 76, tinctoria 65, 75, 76, truncicola 67; Diastrophus rubi 73, 76; Dryophanta agama 70, cor- © : " { 78 C. HouarD = lenticularis 74, 77, macropterus 69, numismatis 74, 77; Rhodites eglanteriæ 73, Mayri 76, rosæ 76, 76, rosarum 73, spinosissimæ 73, 76; Synophrus politus 74 ; Trigonaspis synaspis 71; Xestophanes potentillw 74. nifex 71, disticha 71, divisa 71, folii 69, 76, 76; Neuroterus leviuseulus 77, a 7 TABLE DES VEGETAUX Centaurea Scabiosa p. 73; Glechoma hederacen 73, 76; Hieracium 74 ; Potentilla reptans 74; Quercus Cerris 67, 72, 74; Robur 65-77; Rosa 73, 76 Rubus 73, 76; Salvia 74; Scorzonera austriaca 74. DER HELIOTROPISMUS DER GALLMILBEN UND SEINE BIOLOGISCHE BEDEUTUNG Von Prot. A. NALEPA in Wien. Die Gallmilben gelten allgemein als sehr lichtscheue Tiere (1). Diese Ansicht schien durch die Beobachtung gestützt zu werden, dass Gallmilben , welche in einem Glaszylinder dem direkten Son- nenlicht ausgesetzt werden, sich alsbald verkriechen ; viele verlassen die Gallen überhaupt nicht und gehen zu grunde. Ich Konnte mich jedoch überzeugen, dass nicht das Sonnenlicht , sondern die hohe Temperatur im Glase die Ursache dieser Erscheinung ist. Hinter der gekrümmten Glaswand werden die Wärmestrahlen ähnlich wie in einem Brennglas gesammelt, so dass der Grad des Wärmezustan- des innerhalb des Getässes beträchtlich höher als ausserhalb dessel- ben ist. Man erkennt dies deutlich an der raschen Verdunstung des in dem sukkulenten Gallengewebe aufgespeicherten Wassers und an der Kondensation der Dünste an den kühleren Gefässwänden. Auch die Beobachtungen, welche PEYRITSCH vor mehr als 20 Jahren machte (1), lassen sich mit der Annahme, dass die Gallmil- (1) cf. THOMAS, Uber Phytoptus Duj. ete. in: Zeitsch. f. ges. Naturwiss. , Bd. 33, p. 363. (1) Prvyrirscn J., Uber die künstl. Erzeugung von gefüllten Blüten und an- deren Bildungsabweichungen, in: Sitzungsber. d. kais. Akad. d. Wiss. in Wien, 1889, Bd. 97. p. 600. rs x pa = , È LA HELIOTROPISMUS DER GALLMILBEN ~ 79 ben lichtscheue Tiere sind, kaum vereinen. PEYRITSCH sah, dass Gallmilben in grosser Zahl zum Vorschein kamen, wenn man die infizierten Pflanzen früher dem Sonnenlicht aussetzte. « Dies ist überhaupt eine geeignete Methode », sagt PEYRITSCH welter, « um den Phytoptus aus den verborgenen Teilen der Knospe herauszulo- cken. Ich wendete dieses Verfahren an, um die Aufenthaltsdauer der Parasiten auf der Pflanze annähernd zu ermitteln, ohne dieselbe zu beschädigen ». In den letzten Jahren sind mir endlich freilebende Phyllocoptes- Arten bekannt geworden, die sich bei hellem Sonnenschein und ho- hem Sonnenstand mit Vorliebe auf der Blattoberseite herumtreiben, während sie bei trübem regnerischen Wetter träge an der Blattun- terseite sitzen (Phyllocoptes comatus). Diese und manche andere einander zum Teil widersprechende Wahrnehmungen veranlassten mich, das Verhalten der Gallmilben zum Lichte zu studieren. Ich begann meine Untersuchungen im Sommer 1908 und setzte dieselben in diesem Jahre fort. Obwohl dieselben durchaus nicht als abgeschlossen gelten können, halte ich doch die bereits gewonnenen Resultate der Mitteilung wert. Sehr häufig konnte ich die Beobachtung machen, dass die Mil- ben, welche die vortrockneten Gallen verliessen, sich an den Wän- den des Glases ansammelten und dort sitzen blieben. Stand das Glas mit dem Gallenmaterial in einem nicht zu hellen Zimmer, dann war die dem Fenster zugekehrte Gefässwand von ihnen zumeist stärker besetzt als die Rückwand. Diese Beobachtung brachte mich auf den Gedanken zu untersuchen, ob nicht das Licht die Ursache dieser Erscheinung sei. Darüber suchte ich durch einen Vorversuch Aufschluss zu erlan- gen. Ich brachte einen ca. 12 em weiten Glaszylinder in einen ent- sprechend grossen Kasten, in dessen Seitenwand sich ungefähr 4 cm über dem Boden eine runde Öffnung von 1 mm Durchmesser befand. Der Glaszylinder wurde so eingestellt, dass seine Wand ungefähr lem von der Öffnung abstand. Der Kasten war an der Innenseite geschwärzt und gestattete einen vollkommenen Lichtabschluss. Blickte man von oben in denselben, so salı man auf der der Öffnung gege- nüberliegenden Wand des Zylinders eine hell erleuchtete Kreisflache. Nun wurden in den Glaszylinder mit Erineum purpurascens besetzte Blattstückchen von Acer pseudoplatanus gebracht, so dass der Boden derselben von einer etwa 2cm hohen Schichte bedeckt 80 A. NALEPA war; der Kasten wurde verschlossen und vor das hell erleuchtete Fenster so gestellt, dass die Öffnung in der Kastenwand demselben zugewendet war. Schon nach sechsstündiger Expositionsdauer war die belichtete Stelle der Zylinderwand von Milben dicht besetzt. Unter der Lupe sah man die Tiere teils lebhaft umherlaufen , teils bewegungslos sitzen ; auch auf den nicht beleuchteten Wänden waren Milben vereinzelt zu sehen. Daraus ging unzweideutig hervor, dass Eriophyes macrochelus nieht (wenigstens nicht immer) heliophob ist , ja, die Möglichkeit war nicht ausgeschlossen, dass die Richtung seiner Progressivbewegung in diesem Falle vom Licht bestimmt worden war. Bei den folgenden Versuchen benützte ich weite Probierröhren, die in passende Hülsen geschoben werden konnten. Diese waren aus schwarzem Papier gefertigt und besassen in der Wand ein kleines Fensterchen (1:2 mm); sie wurden, nachdem die mit Gallen besetz- ten Tuben eingeschoben worden waren, an ihren beiden Seiten mit passenden Deckeln verschlossen. Um die Absorption der Wärme- strahlen möglichst zu verhindern , erhielten sie aussen einen Über- zug von weissem Glanzpapier. Zur Exposition wurden die in jedem chemischen Laboratorium gebräuchlichen Retortenhalter verwendet , die überdies den Vorteil boten, dem Apparat jede beliebige Stellung gegen das einfallende Licht geben zu können. Bei Versuchen in di- rektem Sonnenlicht wurde den Tuben eine solche Stellung gegeben, dass die Sonnenstrahlen beiläufig unter einem Winkel von 40-50° einfielen. Es ist notwendig, das Vertrocknen der Gallenteile ın den Tuben möglichst zu beschleunigen, um die lästige Schimmelbildung hintan- zuhalten, die jeden Versuch verdirbt. Ganz besonders leiden darun- ter die wasserreichen Gallen, Knospendeformationen, Vergrünungen u. v. a.; sie liefern daher kein günstiges Versuchsmaterial. Am tau- glichsten erweisen sich Filzgallen. Sie erfordern überdies keine zeit- raubende Präparation; es genügt, die mit Haarfilz besetzten Blätter in schmale Streifen zu zerschneiden, um den Tieren den Austritt zu erleichtern. Je rascher er sich vollzieht und je grösser die Zahl der Tiere ist, desto überzeugender sind die Versuchsergebnisse. Aber auch die Blätter dürfen nicht frisch oder gar nass verwendet werden. Es ist ratsam, dieselben vor der Präparation welken und etwas ab- troeknen zu lassen. Am besten geschieht dies, indem man sie nach dem Einsammeln in flachen Pappschachteln oder zwischen zwei Pa- ++ | Hkiio'iROPISMUS BER GALLMILBEN : 8i pierbogen ausbreitet. Wie lang dies zu geschehen hat, hängt von der Art der Blätter und der Feuchtigkeit der Luft ab; jedenfalls darf das Abtroeknen nicht soweit getrieben werden, dass die Blätter brü- chig werden. Auch während der Dauer des Experimentes empfiehlt es sich, öfters für Lufterneuerung und Abfuhr der Wasserdünste zu sorgen, indem man den oberen Verschluss öffnet und leicht über die Mündung hinwegbläst. Ich begann meine Versuche anfangs Juli 1908 in Alt-Aussee (Ober-Steiermark). Während im Wiener Wald um diese Zeit das Eri- neum purpurascens Schon stark gebräunt und von zahlreichen Milben bevölkert war, war es in den nordsteierischen Alpen zwar bereits gut entwickelt, beherbergte aber noch wenig Milben. Diese zeigten keine phototropische Reaktion ; sie verliessen wohl den eingetrockne- ten Haarfilz, blieben aber in der Nähe bewegungslos sitzen. In der letzten Hälfte Juli enthielt das Erineum bereits eine ansehnliche Zahl Milben ; ein Teil derselben zeigte eine grosse Beweglichkeit und lief ruhelos an den Gefässwänden umher. Bei den mit diesem Gallenma- terial vorgenommenen Versuchen erwiesen sich schon viele Tiere po- sitiv heliotropisch. Die Versuche wurden im direkten Sonnenlicht angestellt; schon nach einer Exposition von einer Stunde zeigten sich Milben am Fensterchen. Ihre Zahl nahm in den nächsten Stun- den zu und blieb dann bei gleicher Belichtung während der ganzen Dauer des Experimentes annähernd konstant. Das Fensterchen bot ein Bild lebhaften Treibens : immer zeigten sich an demselben Mil- ben, die das Beobachtungsfeld eilig durchliefen oder kurze Zeit inne- hielten, um alsbald wieder in der Dunkelheit zu verschwinden. Dass es sich hier um eine heliotropische Wirkung handelt, ergab sich unzweifelhaft als der Apparat gegen das wenig erleuchtete Zimmer gekehrt wurde: die Zahl der Milben, welche das Fensterchen besuch- ten, nahm rasch ab, die Milben erschienen jetzt nur mehr verein- zelt und oft erst nach längeren Pausen. Auffallend war es, dass nicht jeder Versuch zu dem eben geschil- derten Ergebnis führte; es kam wiederholt vor, dass bei der Ver- wendung desselben Gallenmateriales und bei derselben Versuchsan- ordnung die Milben das belichtete Fensterchen nicht aufsuchten und an den Gefässwänden sitzen blieben. Fast immer war dies der Fall, wenn die Versuche an kühlen, regnerischen Tagen vorgenommen wurden ; es liegt daher die Vermutung nahe, dass die Temperatur einen wesentlichen Einfluss auf die heliotropische Reizbarkeit übt. 82 | A. NALERA ı Die grösste Intensität zeigte der positive Heliotropismus der Gallmilben während der Wanderperiode. Diese fiel in dem kihlen Sommer 1908 in die erste Hälfte des Monates August. Das Wetter war heiss und trocken, das Erineum bereits gebräunt. Durch die Lupe sah man viele Tiere an den Blattnerven und den Stielen hin- und herlaufen. Die Zahl der Milben, welche die eingetreckneten Gallen verliessen, war so gross, dass die Wände «des Versuchsgefässes das Aussehen hatten, als wären sie mit leichtem Stanb bedeckt. Die mit diesem Material vorgenommenen Versuche brachten ein über- ‘aschendes Resultat. Schon nach halbstündiger Exposition im direk- ten Sonnenlicht war das Fensterchen von Milben besucht. Die Tiere sassen bewegungslos und so dicht gedrängt, dass, wenn die Glastube aus der Hülse gezogen wurde, das Bild des Fensterchens an der Wand derselben als ein kleines, gelblichweisses Rechteck ausgezeich- net war. Brachte ınan vor das Fensterchen einen Schirm, etwa ein Stück Pappe, so verliessen die Tiere dasselbe sofort und nach we- nigen Minuten war kaum eines mehr zu sehen. Wurde der Schirm entfernt, so dass das Fensterchen wieder von der Sonne beschienen wurde, so war es schon nach kurzer Zeit von neuem mit Milben dicht besezt. Der Vorgang konnte mit gleichem Erfolg beliebig oft wiederholt werden; er gelang auch, wenn der Apparat nicht dem direkten Sonnenlicht ausgesetzt, sondern im Zimmer so aufgestellt wurde, dass die Öffnung gegen das hell erleuchtete Fenster gerichtet war. Es genügte dann, den Apparat einfach zu drehen und gegen das Zimmer zu kehren, um die Tierchen zum Verlassen des Fen- sterchens zu veranlassen. Auch am folgenden Tag gelangen die Ver- suche, doch wie leieht zu erkennen war, weniger prompt; am dritten Tag waren selbst bei starker Belichtung in der Sonne nur melır wenige Milben im Beobachtungsfeld zu sehen. Die Tiere sassen zumeist regungslos an den Wänden des Gefässes. Dieser rasche Wech- sel in der Intensität, vielleicht auch im Sinne des Heliotropismus ist, wie ich zeigen werde, von grosser biologischer Bedeutung. Versuche, welche ich im September anstellte, hatten fast durch- wegs ein negatives Resultat. In den Erineen waren nur mehr wenige Milben anzutreffen und diese zeigten — einzelne Individuen ausge- nommen — kein Bestreben , sich der Lichtquelle zuzuwenden ; sie krochen zwar aus dem vertrockneten Haarfilz hervor, zeigten aber grosse Trägheit in ihren Bewegungen und blieben in der Nähe der Gallen sitzen. Ähnlich verhielten sich die Gallmilben des Haselstrau. va À DRE MA A il LES DAI > Le, fh : iv MEME 1 5 = | = HELIOTROPISMUS DER GALLMILBEN 83 x Ss SO LE = _ + = = ches, die während des Winters und zeitliek im Frühjahr den Kno- spen entnommen wurden. Diese Versuche lassen erkennen, dass das Verhalten der Gallmilben zum Licht nieht immer dasselbe ist. ES ist kein Grund vorhanden anzunehmen, dass sich die Milben des Hrineum purpurascens gegen das Licht wesentlich anders verhal- ten sollten als andere Gallmilben ; Ausnahmen mögen ja immerhin vorkommen. Unter dieser Voraussetzung wird man die Gallmilben nicht schlechtweg liehtsehene Tiere nennen dürfen ; sie brauchen es wenigstens nieht während ihres ganzen Lebens zu sein. Der Wechsel der Intensität und des Sinnes der heliotropischen Reaktion ist eine bei Tieren oft beobachtete Erscheinung, die sehr wahrscheinlich von inneren , durch den Stoffwechsel eingeleiteten Vorgängen abhängt. Manche Tiere ändern den Sinn ihres Heliotropismus in bestimmten Entwicklungszuständen, bei anderen erfolgt der Wechsel unter dem Eintluss der Temperatur, ja, wie es scheint, des Lichtes selbst, u.s.f. Wie LOEB wahrscheinlich gemacht hat, sind es bestimmte Stoffe, wie CO, und andere Säuren, welche im tierischen Körper auftreten und auf die Lichtempfindlichkeit Bintluss ausüben. Unter den zahlreichen Milben, welche an das belichtete Fen- sterchen des Apparates kamen, waren immer auch zahlreiche Lar- ven und Nymphen zu sehen. Der Entwicklungszustand scheint also auf den positiven Heliotropismus der Gallmilben keinen Einfluss zu üben. Wahrscheinlich hängt derselbe von inneren Veränderungen ab, die in irgendeiner Beziehung zur Nahrungsaufnahme stehen. In der Tat erreicht er seine grösste Intensität während der Wanderperiode, also zu einer Zeit, wo die Ernährungsverhältnisse infolge der Über- völkerung der Gallen und der Abnahme des Zellturgors in den Gal- lenwänden eine Änderung erfahren haben und die Gallenerzeuger zur Auswanderung gezwungen sind. Gerade zu dieser Zeit aber gewinnt er für die Erhaltung des Lebens die grösste Bedeutung: aus den engen, labyrinthartig versehtungenen und nicht selten von dichtem Haarfilz ausgekleideten Gängen und Spalten vieler Gallen gäbe es kein Entrin- nen. Der Untergang der Gallen wäre gleichbedeutend mit der Vernich- tung ihrer Erzeuger, wenn diese sich nicht geradlinig in der Richtung der Liehtstrahlen, welche von aussen durch die zahllosen Risse und klaffenden Spalten der vertrockneten Gallen eindringen, zu bewegen gezwungen wären und so auf dem kürzesten Weg ins Freie kämen. Die Gallmilben müssen in die Knospen ihrer Wirtspflanzen, sei es desselben oder eines anderen Individuums eindringen, um zu Ret x è > 84 A. NALEPA überwintern und den Fortbestand ihrer Art zu sichern. Auf den Holzgewächsen finden sie dieselben in den Blattachseln; nur eine kurze Wanderung an den Blattstielen abwärts bringt sie zu densel- ben. Sie würden aber dorthin niemals gelangen und den gerade ent- gegengesetzten Weg zu den Blattspitzen nehmen, wenn sie ausserhalb der Gallen positiv heliotropisch blieben. Dies ist aber nicht der Fall: ausserhalb der Gallen nimmt die Intensität des Heliotropismus (wahrscheinlich unter dem Einfluss des Lichtes) rasch ab und Mil- ben, die in die Knospen eingedrungen sind, haben ihren positiven Heliotropismus gänzlich eingebüsst. Ob ein Wechsel im Sinn des Heliotropismus stattgefunden hat oder bloss in der Intensität und die Tiere bei ihren Wanderungen stengelabwärts in der Richtung ihrer Progressivbewegung von der Schwerkraft bestimmt werden, sind Fragen, deren Lösung späteren Untersuchungen vorbehalten bleibt. Fast scheint letzteres der Fall zu sein, denn es ist auffallend, dass Milben, , welche in einem Glaszylinder zum Verlassen ihrer Gallen gebracht worden sind, nahe am Boden bleiben und nur vereinzelt an den senkrechten Wänden des Zylinders hinauflaufen, gleichgiltig, ob der Zylinder im Licht oder im Dunklen steht. Das Eindringen der ausgewanderten Gallmilben in die Spalten und Ritzen der Rinde, ir die Knospen u. s. w. hat gewiss eine Än- derung in der heliotropischen Empfindlichkeit zur Voraussetzung ; möglicherweise kommen dabei aber noch andere Umstände in Be- tracht (Stereotropismus, bestimmte von der Knospe ausgehende Reize). Die Gallmilben sind, wie wir erfahren haben, unter Umständen sehr lichtempfindliche , obwohl augenlose Tiere. Dies mag anfangs befremdend erscheinen. Wir dürfen aber nicht vergessen, dass pho- tosensitive Substanzen nicht auf die Augen beschränkt sind und dass das Licht den Körper und alle Organe dieser mikroskopisch kleinen Tierchen zu durchdringen und bei Vorhandensein lichtempfindlicher Stoffe im Organgewebe heliotropische Reaktionen auszulösen vermag. Wien, im Oktober 1909. 85 EINIGE GALLEN AUS JAVA. ZWEITER BEITRAG.” von J. UND W. DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN Samarang — Java +. + Wenn man sich mit dem Studium der auf Java vorkommenden Gallen befasst, so fällt der ausserordentliche Reichtum dieser Insel an Milben- und Cecidomyiden-Gallen auf. Schon in unserem ersten Beitrag zur Kenntniss der Gallen Javas beschrieben wir davon eine Anzahl und in diesem Artikel werden wir ihnen auch wieder häufig begegnen. Damit ist ihre Anzahl aber noch lange nicht erschöpft. Denn in unserem Gallen-Material, das wir noch nicht bearbeiten könnten, weil es bisher nieht möglich war die Nahrpflanzen zu be- stimmen, nehmen die Milbengallen an Häufigkeit die erste Stelle ein. Die Zahl von Cynipidengallen ist gering, doch werden derer mehr gefunden werden, wenn die höheren Gebirgsgegenden von Java, die sehr reich an verschiedenen Eichenarten sind, untersucht werden. Anderseits ist merkwürdig die relatieve Häufigkeit au Lepidopteren- und speciell Thripsidengallen. Von diesen Gallen sind erst sehr we- nige bekannt; die, welche wir hier gefunden haben, sind einander sehr ähnlich, dadurch dass sie hauptsächlich entstehen dureh Zu- sammenfaltung der Blattfläche nach oben und Verdickung dieser Fläche unmittelbar um den Hauptnerv oder Seitennerv. Ehe wir an die Beschreibung von neuem Material gehen, wollen wir einige nähere Besonderheiten und Verbesserungen zu unserem ersten Aufsatz nachtragen. N. 2. Commelina communis L. Der Erzeuger dieser Galle ist Aegeria uniformis Snellen. (Die Figuren D, E und F sind nicht 1 >< sondern 2 x vergrössert dargestellt). N. 5. Erythrina lithosperma Mig. Literatur zu dieser Galle: (1) Erster Beitrag: Marcellia, vol. VIII, 1909, S, 21, 8 86 DOCTERS V. LEEUWEN-REIJNVAAN W. DOCTERS VAN LEkuwEx. Een gal op de bladsteelen en de bladnerven van de dadap, door cen vliegje, Agromyza erythrinae de Meijere gevormd. Mededeelingen van het Algemeen Proefstation. II Serie. No. 19. Cultunrgids. Jaarg, 11, tweede gedeelte. 1909. S. 227-240. N. 7. Ficus vetusa Lvar Mitida Kine. Die Galle, die im vorigen Artikel besprochen und abgebildet wurde, ist nicht von Ficus retusa var. nitida, sondern von Ficus pilosa Reinw. Die Gallen an der ersten Pflanze sind viel dünner, etwa 117, > so dick wie die Wurzel. Auch die Luftwurzeln dieses Baumes selbst sind viel zarter. Die Galle entwickelt sich in der Regenzeit, die Wespen schlüpfen in Mai aus. Um Irrungen zu vermeiden, fügen wir hier noch eine Zeichnung dieser Galle bei Fig. 18; bemerkt kann noch werden, dass die Gallen an Fieus retusa mehr an den ‘hs Wurzelenden sitzen, während die an Fiens pilosa mei- Fig. 18. Luftwurzel- stens etwas höher sitzen. Die jungen Gallen an letzgenann- galle auf Ficus tem Ficus sind braun, während die an Ficus retusa retusa var. ni- im Anfang hellgelbbraun gefärbt sind. badia: ei Salatiga, auf verschiedenen Stellen. b. Längsschnitt der- selben Galle. N. 10. Ipomoea batatas Lam. Die Zeichnung (Ki- gur 7) stellt eine junge Galle dar, in den älteren Gallen fin- den sich viele Gewebswiilste. N. 14. Melothria perpusilla Cogn. Diese Galle ist eine Blütengalle; Figur 9a stellt eine Galle an einem männlichen Blütenstand vor, Figur 95b die an einer weiblichen Blüte. N. 16. Nephrolepis wcwha Pr. (syn. N. biserrata Schott). Die "Galle ° ist eine Verdiekung des Blattrandes, welehe nicht aus Sorien entsteht. N. 24. Acacia pennata Willd. Acarocecidium — Blattgallen. Die Gallen sitzen speciell an den Blattfiedern. Man findet alle Über- giinge von einzelnen, kleinen Blatt- pusteln, welche die Seitenblättehen nur teilweise ändern, bis zu gròs- seren Gallenklumpen, die viele Seitenblättehen zusammen verun- ‘ts à ” (A à lio ( j a € x]. Fig. 19. Milbengalle auf den Blattfiedern stalten können (Fig. 19). Die klei von Acacia pennata.. <1 nen Gallen besitzen eine Offnung Vv i + EINIGE GALLEN AUS JAVA. II. BEITR. 87 an der Spitze. Die grösseren, wie die an der linken Seite der Figur, erreichen oft eine Länge von 7 m.m., enthalten eine geräumige Kammer, die nach aussen mündet, und eine von Längsfurchen durch- zogehe Aussenwand. Ganze Blätterteile können bis zu fast vollkom- mener Unkenntlichkeit umgeändert werden. Tempoeran im Djattiwald. N. 25. Breynia racemosa Muell. Arg. I. STENGELGALLE Lepidopterocecidium. An den jungen Trieben spindelförmige Ansch- wellungen, die meistens zwei Internodien lang sind, sodass eine Knospe oder ein hieraus entstandener Trieb auf der Mitte der Galle sitzt. Diese ist un- gefähr 50 m.m. lang und 5 m.m. dick, von brauner Farbe, mit vielen Längsrissen. Die Gallenkammer ist sehr lang und dünn, ròhrenformig und enthält eine grüne Raupe. Die Triebe oberhalb der Galle vachsen normal aus, tragei Blüten und Früchte, ohne dass man eine grosse Schädigung bemerken pio, 20 Lepidopte æ 5° U. DUC = kann. (Fig. 20). rocecidium auf Brie hyena) 1 a Ist tiberall zu finden, (Salatiga, Semarang, Tegal). cemosa, nat. Gr. N. 26. Breynia racemosa Muell. Arg. II. FRUCHTGALLE Cynipiden-Galle 1. AX Wie die Figur zeigt, wächst die Frueht Fig. 21. Cynipidengalle 1. auf selbst zu einer annäherend kugeligen, et- Breynia racemosa. <1 Dieselbe Pflanze trägt auch eine Galle 2 an den Früchten. In Figur 21 a sieht man eine unveränderte junge Frucht und bei b eine Galle. 88 DOCTERS V. LEEUWEN-REIINVAAN was unregelmässigen Galle aus. Diese ist auch rötlich gefärbt und > enthält 2 oder 5 Kammern, worin die Cynipiden-Larven leben. Die Samen sind ganz oder zum Teil obliteriert. Salatiga. N. 27. Breynia racemosa Muell. Arg. III. KNOSPENGALLE 3 Cynipiden Galle 2. Die Achseiknospen der jungen Triebe sind zu kurzen, dicken Gallen umgestaltet. Man findet drei Formen. Entweder wird die ganze Seitenknospe zur Galle oder nur die Ba- sis— die Galle sitzt dann am Fuss eines mehr oder weniger entwickelten Sprosses — oder man findet die Galle als kleine. runde Anschwellung an einem Spross ge- rade an der Stelle, wo ein Blatt inseriert ist. Die Gallen, die eine ganze Knospe wngebildet haben (Figur 22 4) sind etwas grösser, wie die beiden anderen Gallenar- ten, ungefähr 7 >< 4 mm. Die Oberfläche ist unregelmiissig , die Blattanlagen sind als kleine Hocker zu erkennen. Einige Male findet man an soleh einer Galle ein gut entwickeltes Blatt (a). Die Galles, die Fig. 22. Cynipidengalle 2. auf am Fuss eines Sprosses sitzen , sind die Breynia racemosa. x 1 häufigsten (Figur 22 b). Sie haben Kugel- form und sind ebenfalls mit Unregelmäs- sigkeiten auf der Oberfläehe versehen. Der Spross ist im Übrigen normal gewachsen. Die dritte Art Gallen bildet kugelförmige Ansch- wellungen am Spross und trägt immer ein mehr oder weniger zurück- geschlagenes Blatt mit etwas verdiektem Blattstiel. An der Lichtseite haben die Gallen eine rote Farbe. Die erste Gallenart wird von meh- reren, die beiden anderen nur von einer oder zwei gelb-orange gefärb- ten Larven bewohnt. Salatiga. Et e Nel» GATE TER RN NEVIO a N 1 i oem wr ì Lol r 2 \ EINIGE GALLEN AUS Java. Il. BEITR. 89 N. 28. Bridelia stipularis BI. Cecidomyidengalle (?).— An der Unterseite der Blätter sitzen zahl- reiche 2 oder 3 mm grosse Gallen, die etwas weniger hoch als breit und dieht braun behaart sind. Auf der Oberseite sieht man nur kleine dunkelbraune schwachgewölbte Fleckchen , die nicht behaart sind. Die von uns gefundenen Gallen waren schon alt, bereits von den Tieren verlassen, und auf der Blattunterseite durch einige Spal- ten geöffnet. Das Galleninnere ist mit Haaren ausgekleidet. Samarang, Tempoeran. N. 29. Cinnamomum Burmanni Bl. Psyllidengalle — Diesen Baum, der im Urwalde von Java wach- sen soll, findet man bei Salatiga hänfig in den Dessahs, die am Fuss des Vulcans Merbaboe liegen. Die Bäume haben viel zu leiden von einer Psyllide, die Gallenbildungen auf den Blättern verursacht. Die Tiere sitzen auf der Unterseite der Blatter und füllen mit ihrem ovalen Körper gerade eine Vertiefung im Blatte aus. Um den Rand der Vertiefung herum findet sich ein schwacher Ringwall und an der Oberseite des Blattes eine kreisrunde flache Emporwölbung, die rot gefärbt ist. Hält man eine von den Tierchen verlassene Galle gegen das Licht, dann sieht man in der Mitte der Gallengrube ein helles Fleckehen ; an dieser Stelle, gerade im Mittelpunkte der Galle, ist das Blatt nur sehr wenig verdiekt. Die ganze Galle wird hauptsäch- lich von länglichen, unregelmässigen Zellen gebildet, die an der Ober- seite des Blattes mit einem roten Farbstoff gefüllt sind. Dieses Cecidium errinnert an die von RÜBSAAMEN (1) beschrie- bene Psyllidengalle auf Alstonia scolaris. Salatiga, Dessah Tinkir. (1) Ew. H. RÜBSAAMEN — Gallen vom Bismarck-Archipel. Marcellia, Vol. IV, 1905, Seite 3. Tele PPT „a N. 30. Cinnamomum iners BI. Acaroceeidium — Herr Wigman, Hortulanus des botanischen Gar tens zu Buitenzorg, war so freundlich uns Blätter dieser Pflanze zu schicken, worauf Phytoptengallen vorkamen. Die Gallen sitzen ein- zeln auf der Unterseite, häufig auf einem der starken Nerven und Fig. 23. Acaroce- cidium auf Cin- namomum i- ners. x 2. sind ungefähr biruförmig, bis 1 c.m. lang und im Durchschnitt 3 mm. Der breitere Teil liegt nach dem Blatt zu, die Basis ist eingeschnürt, sodass die Galle nur mit einer kleinen Strecke an dem Blatte befes- tigt ist. De Gipfel ist stark zugespitzt. An der Ober- seite des Blattes bildet die Galle einen gelblichen Fleck, in dessen Mitte der Mündungswall liegt, der bei die ser Galle röhrenförmig und ziemlich lang ausgewachsen ist, und wie ein kleiner Stachel nach oben ragt. Die Oberfläche der Galle ist gelblichgrün und etwas runzelig, aber nicht behaart. Im Innern wird die Gallenkam- mer durch Wülste in viele kleinere Kammern verteilt; auf diesen Wülsten sitzen einzelne kurze, dickwandige Haare. (Fig. 23). Äusserlich gleicht sie der Galle, die wir auf Cinnamomum zeylanicum Breyn. (N. 1) fanden, aber sie ist doch deutlich von dieser unterschieden, wohl am meisten dadurch, dass die andere ihre Öffnung an der Gallenspitze trägt. während sie eine echte Beutelgalle ist mit der Öffnung an der anderen Seite des Blattes. Buitenzorg, Wigınan leg. N. 31. Clerodendrum serratum Spreng. Acaroceeidium — Bis 10 m.m. grosse flache Blasen an der Ober- seite der Blätter, die purpern gefärbt sind. An der Unterseite findet man eine der an der Blattoberseite sitzenden Blase entsprechende Einstülpung, die mit kleinen Haaren bedeckt ist und viele Gallmil- ben enthält. Salatiga, Unternehmung Soekamangli bei Weliri. + EINiGr GALLEN AUS Java. IT. BEITR. 91 N. 32. Crotalaria alba Heyne. Acarocecidium — Die Endblätter der jungen Triebe sind nach oben zusammengerollt, und mit weissen Haaren dicht besetzt. Bei starker Intektion verkiimmern die jüngsten Blätter ganz, und bilden mit den ältern zusammen einen be- haarten Blätterschopf, wozwischen die Milben ben (Fig. 24). Seno) Fig. 24. Milbengalle Salatiga. 7 i datiga auf Crotalaria E ie I N. 33. Crotalaria verrucosa L. . Acarocecidium — Blattgallen. Aut Herbarmaterial, das wir von Herrn Zeijlstra aus Buitenzorg bekamen, sass eine Milbengalle. Die jungen Blätter waren mit einem weissen, etwas granen Erineum be- deckt , welches der schon auf Crotalaria saltiana Andr. beschrieben Galle (N. 4) ganz ähnlich ist. H. H. Zetsusrra leg. Tandjong Priok bei Batavia. N. 34. Cynodon dactylon Pers. Cecidomyidengalle — Dieses Gras ist eines der häufigsten Unkrau- ter, das fast unausrottbar in allen Gegenden von Java wächst, und in den Plantagen viel Mühe und Sorgen verursacht, von den Einge- borenen aber mit Vorliebe als Futtergras für die Pferde geschnitten und verkauft wird. Die Pflanze wächst sehr schnell, und bildet oft meterlange, kriechende Stengel, die an jedem Knoten wieder neue Sprosse entwickeln, welche teilweise über den Boden weiter kriechen, teilweise senkrecht emporwachsen. Letztere Sprosse tragen viel schmä- lere Blätter, als die kriechenden. Die Galle sitzt sowohl an diesen Sprossen als auch an den krie- chenden Stengeln und findet sich gelegentlich auch am Ende des Hauptstengels. Die Galle in Figur 25 ist nach einer solchen gezeich- net, die andere war an einem aufgerichteten Spross gebildet. Diese Galle ist eine der interessantesten, die wir hier gefunden haben, und wir hoffen später noch ausführlicher darüber schreiben © to Docrers v. LEEUWEN-RELINVAAN zu können. Die Stengelachse ist sehr verkürzt, die Internodien fast nicht entwickelt, sodass ein Blätterschopf entsteht, der ungefähr rund, bei den liegenden Stengeln etwas zusam- mengedrückt ist. Bei allen Gallen liegen die Blätter in einer Fläche, die auch die Symmetriefläche der Galle selbst ist, wie die Figur deutlich zeigt. Die Scheiden der Blätter sind etwas kurzer geblieben , als bei den normalen Blättern und sehr stark verbreitert. während die Blattspreiten klein und schm al bleiben. Die Scheiden schlies- sen eng an einander und bilden ein festes, umgekehrt kegelförmiges Gebilde, das nach der Spitze zu wieder etwas dünner wird. Die Spreiten der letzten noch siehtbaren Fig. 25. Junge Cecidomyidengalle Blätter sind sehr klein, um so kleiner je auf Cynodon dactylon, höher sie inseriert und je mehr sie von nat. Gr. e : F den übrigen Scheiden umschlossen sind. Was man dusserlich von der Galle sieht, sind also nur die ver- kiimmerten Spreiten, und die stark verbreiterten Scheiden der Blätter, von denen ungefähr 7-8 zu sehen sind. Bei den meisten Exemplaren sind sie mit kurzen, steifen Härchen besetzt. Halbiert man die Galle der Länge nach, so wird der verkürzte Stengel sichtbar, das Mark ist verbreitert, die Blätter unansehnlich. Die Achselknospen der Blitter sind teilweise zu kleinen Geb...len ausgewachsen, von denen man in der einen Galle mehr in der ande- ren weniger findet. Aus diesen Gebilden entstehen die eigentlichen Gallen. Sie sind in der Jugend sehr klein und bergen je eine Ceci- domyiden-Larve; was wir zuerst Galle nannten, ist also eigentlich nur die Hiille mehrerer Gallen. Ein Teil der Achselknospen wird ganz normal angelegt, man findet also neben einander normale und zu Gallen umgebildete Achselknospen. Merkwiirdig ist es nun, dass die Larve im Jugendstadium nicht in der Achse einer infizierten Achselknospe lebt, sondern zwischen den jüngsten Blättern oberhalb des Vegetationspunktes sitzt. Erst später findet man sie im Stengelteil der Achselknospe. Weitere Stu- dien müssen ergeben , wie die Vorgänge im einzeln sich abspielen , LE VIT, I eager aw. ae 5 LI PE _ ÉINIGE GALLEN AUS Java. Il. BEITR. 53 doch errinnert diese Galle hierin sehr stark an die, welche Lipara lucens auf Phragmites communis verursacht (1). In Figur 25 ist die grösste Galle, die wir bis jetzt gefunden haben, abgebildet; sie misst ungefähr 2><1'/, em, während die meisten Gallen 1'/, <1 cm oder noch kleiner sind. Bisher haben wir nur das Jugend stadium der Galle beschrieben. Nach einiger Zeit treten verschiedene Verän- derungen auf. Die Achselknospen trei- ben aus, sowohl die infizierten wie auch die anderen ; eine ältere Galle besteht also aus der Blattscheidenhülle, die an der Spitze weit auseinander gesprengt ist, um den austreibenden Achselkno- spen Raum zu geben. Es ist nun inter- ressant, dass während der grösste Teil der Knospen einfache, normale Sprosse mit normalen Blättern und einer soliden Pr . à wi” Fig. 26. Erwachsene Galle von Achse bildet, dazwischen auch einige einer Cecidomyide auf C y no- dickere, mehr rotgefärbte Gebilde sit- don ductvlon gebildet, zen, die keine Blätter tragen , Keine nat. Gr. Knoten zeigen und von oben bis unten hohl sind. Zur Zeit, wo die Mücken auskommen sollen, verlängern die Gallen sich stark, und diese ausgetriebenen Gallen sind es, die wir in der Figur 26 punktierten und mit g bezeichneten. Die älteren Gallgebilde, deren Bewohner schon ausgesehlüpft sind, wachsen weiter, sie bilden Wurzeln, die zwischen den grossen umschliessenden Blattscheiden hervorkommen. Die ausgetriebenen , normal gebauten Achselknospen bilden einen diehten Büschel von vertikalen Sprossen, die später wieder infiziert werden können. Tat- sächlich fanden wir eine solche alte, bewurzelte Galle, deren Sprosse wieder Gallen trugen. Die kleinen, braunen Gallmücken schlüpfen morgens bis neun (1) J. REIJNVAAN und W. DOCTERS van LERUWEN — Die Entwicklung der Galle von Lipara lucens. Recueil des Travaux Botaniques Néerlandais. Vol. Il. 1906. Seite 240. 94 Docters v. LERUWEN-REISNVAAN Uhr aus und sitzen still an den Gräsern. Sie legen ihre Kier abends oder in der Nacht ab. Diese werden an den jiingsten Blättern eines Triebes befestigt , meistens an der Blattoberseite, Sie sind */, mm lang und sehr dünn, gelbbraun mit einer dunkelbraunen Kappe am Ende, die nach der Spitze des Blattes gerichtet ist. Weitere Besonderheiten werden wir später bei der Beschreibung einiger anderer Grasgallen nachtragen. Die Zucht der Grasgallentiere ist leider nieht sehr leicht. Salatiga, Semarang, Tegal. N. 35. Desmodium pulchellum Bth. Lepidopterocecidium — Stengelgallen. Die + mm starken Zweige sind zu ungefähr 6 mm grossen Gallen angeschwollen. Das Holz ist hier nur wenig verändert , die Rinde dagegen ziemlich stark auf- geschwollen. Die Larvenkammer bildet ein dünnes Rohr, das auf der srenze von Holz und Rinde ungefähr spiralfürmig in der Galle ver- läuft. Salatiga. N. 36. Erythrina lithosperma Miq. Il. BLATTGALLE Cecidomyidengalle — Die kranken Blätter sind um den Hauptnerv nach oben zusammen geklappt. Der Hauptnerv selber ist nur wenig verändert, die starken Seitennerven ebenso, nur haben sie eine etwas unregelmässige Oberfläche bekommen. Die Blattfläche zwischen den Nerven ist nicht flach, sondern zeigt überall gelbe Buckel, die nach aussen vorragen und 0,5 bis 0,7 mm gross sind. Der ganze infizierte Teil des Blattes bekommt also ein unregelmässiges , gelbgeflecktes, gebuckeltes Aussehen. Der Hauptnerv krümmt sich, sodass die Blatt- tläche oft um den Hauptnerv gedreht und gebogen ist. Dicht neben dem Hauptnerv und den stärkeren Seitennerven, im Innern der zu- sammengeklappten Blätter, leben mehrere Cecidomyiden-larven. Salatiga. 37. Eugenia malaccensis Lam. (In der Publication von ZEHNTNER (1) Jambosa domestica Rmph. genannt). Psyllidengalle — An den grossen glatten Blättern dieses Baumes werden bis 8 mm grosse, runde, fleischige Gallen gebildet. An der Oberseite des Blattes sind sie nicht stark entwickelt, an der Unter- seite dagegen wölben sie sich rund kegelförmig vor. Sie besitzen eine Öffnung, die aber nur bei den erwachsenen Gallen, wenn sie bald von den Tieren verlassen werden sollen, gut sichtbar ist. Die Gallen werden oft rosenrot oder bleiben gelbweiss, wodurch sie be- sonders dentlich zu sehen sind. Die Blätter der infizierten Bäume sind oft ganz mit diesen Gallen bedeckt, die darum sehr schädlich werden können, Die Lebensweise des Gallentieres ist von ZEHNTNER ausführ- lich beschrieben worden in Holländischer Sprache in einer populären Zeitschrift, die nur kurze Zeit bestanden hat, und darum wohl den Cecidologen fast unbekannt sein dürfe; Daher entnehmen wir dieser Abhandlung das Folgende. Die jungen Gallen sind scheiben- oder linsenförmig (Figur 27 b) und durch. ihre rote Farbe leicht aut den Blättern zu sehen. Später wachsen die Gallen nach unten kegeltör- mig aus, wobei sie auch an der Oberseite etwas höher werden. Die Gallenkammer IA): Seo ist ein birn förmiger Raum. der bei jun- (la NEC gen Gallen mit einer äusserst engen Off- je e- nung nach aussen mündet. Bei den älte- ren Gallen wird diese Öffnung viel grös- N ser. dadurch dass die Unterseite vertrock- U net, und die Öffnung aufklafft. Die Eier €. sind graugelb, fast transparent. Sie sind Mo. Dorcheohnitt einer birnförmig (Figur 27 e) und messen unge- | erwachsenen Galle auf Euge- fähr 0,3 mm Die Weibchen formen kleine nia malaccensis. b. Durchschnitt einer jangen Galle c. Ei der Psyllide. Grübchen, worin sie die Eier ablegen. Die Jungen ungefähr 0,3 mm grossen Larven (1) L. ZEHNTNER — De Gallen der Djamboebladeren. De Indische Natuur. Al- : gemeen Natuurwetenschappelijk bijblad van het Archief voor de Java-suikerindu- strie. V. Jaargang. Afl. 1. 1990. Seite 3-11. Mit 15 Figuren im Text. bewegen sich einige Zeit iiber die Blätter; haben sie sich aber einmal fest gesaugt, so verlassen sie ihre Stelle nieht mehr. Durch einen Reiz, welchen die Larve auf das junge Blattgewebe ausiibt, wachst um die Larve herum ein Ringwall, der sich allmählieh über der Lar- ven bis auf eine enge Öffnung schliesst. Nach vier Häutungen sind die Larven erwachsen. Die Gallôffnung wird dann so gross, dass die Tiere bequem ausschliipfen können. Salatiga, Tegal. N. 38. Ficus ampelas Burm. ll. STENGELGALLE Cecidomyiden-Galle — Spindelförmige Anschwel- lungen an den jungen Zweigen, besonders der kleinen aus Samen aufgegangenen Bäumehen, oder an den saftigen Stammsprossen der älteren Bäume (Fig. 25). Die Länge der Galle beträgt + 2'/, cm, während sie nur 3 bis 4 mm Durchmesser hat. Sie befindet sieh zwischen zwei Blattstielen. Der ab- gebildete Zweig trug scheinbar zwei Gallen, über einander, indessen zeigt sich, dass nur eine Lar- venkaminer vorhanden war, die sich in den beiden Anschwellungen etwas erweiterte und von drei hellroten Cecidomyidenlarven bewohnt war. Die Gallenkammer liegt im Mark. Die Gewebe, die Fig. 28. Ceeidomyi- unmittelbar um sie heram liegen, sind braun ge- dengalle auf Fi- färbt, während die Rinde wie im normalen Fall cus ampelas. ‘ bei den jungen Sprossen hellgriin ist, spater aber $< 1. braun wird. Salatiga. N. 59. Ficus Benjamina L. Thripsidengalle (Mesothrips Uzeli Zimm.) — ZIMMERMANN gibt an, dass auf den Blättern dieses Baumes eine von Thripsiden gebildete Galle vorkommt, die der folgenden Galle auf Ficus retusa ähnlich ist. (Literatur bei N. 41). " . EINIGE GALLEN AUS Java. Il. BerrR. 97 N. 40. Ficus pilosa Reinw. Cynipidengalle — Diese Galle ist irrtiimlicher Weise schon im vorigen Beitrag (unter N. 7.) als gehörend zu Ficus retusa far, nitida beschrieben worden. Wir bitten dort nach zu sehen. (Figur 5). N. 41. Ficus retusa L. var. nitida King. III. BLATTGALLE Thripsidengalle (Mesothrips Uzeli Zimm.) — Diese von ZIMMER- MANN (1) schon beschriebene Galle fanden wir auf obengenannter Ficus- Art. Die Blätter sind um den Hauptnerv nach oben gebo- gen, oder der Rand des Blattes klappt nach oben um. Altere Blätter bekommen nur braune bis karminrote Flecken. Die Gallen, die wir fanden, waren beim Hauptnerv gelblich und erst mehr nach oben rotbraun gefärbt. In dem Artikel von ZIMMERMANN findet man auch einige Noti- zen über die Histologie der Gallen. Am Stelle des Pallisadenparen- chyms ist ein kleinzelliges, fast chlorophylfreies Gewebe enstanden. das an der Unterseite des Blattes allmählich in ein grosszelligeres Gewebe übergeht. Die Gallentiere wurden von ZIMMERMANN besch- rieben. Salatiga, Tegal. N. 42. Ficus retusa L. var. nitida King. IV. BLATTGALLE Cecidomyidengalle — Auf den Blättern zerstreut sitzen verschie- dene Gallen, die auf der Oberseite dunkelgrün und glatt sind und (1) A. ZIMMERMANN — Uber einige durch Tiere verursachte Blattflecken. 3. Physapoden an den Blättern von Ficus sp. Annales dn Jardin Botanique de Buitenzorg. Vol. XVII, s. 117. Farbige Abbildungen der Blattgallen auf Tafel XVI Fig. 16-18. (2) A. ZIMMERMANN — Uber einige Javanische Thysanoplera. — No. 5. Meso- thrips Uzeli sp. n. — Bulletin de V Institut Botanique de Buitenzorg. Num. VIL 1900. Seite 12-13 mit Abbildung Figur 4. + VE 4 98 Docrers V. LEEUWEN-RELINYAAX flach-rund emporragen. Ofters sitzen einige Gallen dicht neben einan- der und sind jede fiir sich oder alle zusammen von einer untiefen Grube umgeben. Auf der Unterseite der Blätter stehen sie stumpf- kegelformig, 2 mm hoch hervor. Sie sind blassgrün und glatt und zeigen einen kleinen Punkt auf der Spitze. In jeder Galle wird eine kleine Larvenkammer von einer Cecidomyidenlarve bewohnt. Tempoeran. N. 43. Fluggea virosa Bth. Acaroceeidium — An der Ober- sowie an der Unterseite der Blätter kleine rotbraune Pusteln, meist weniger als 1 mm gross. Sie erhalten durch zahlreiche Höckerchen ein unregelmässiges Aussehen und sind an der Basis eingeschnürt. An der anderen Seite des Blattes ist von jeder Galle nur ein Pünktchen zu sehen da wo sich die Off- nung befindet. Salatiga. N. 44. Gomphostemma phlomoides Acarocecidium — Die Unterseite der Blätter und die Stengelteile sind von weissen Haaren dieht bedeckt. Auch die Gallen, die halb- kugelförmige. ungefähr 2 mm grosse Erhöhungen der Blattoberflache bilden, sind dicht behaart. An der Unterseite der Blätter bilden die Gallen kleine kugelförmige Erhebungen. Sie besitzen einen deutlichen Mündungswall. Tempoeran, im Djattiwald. N. 45. Glochidion molle BI. I. BLATTGALLE Acarocecidium 1.— An der Oberseite der Blätter flache Empor- w6lbungen , die dunkelgrün, mngefàhr rund oder oval und 3-5 mm gross sind. An der Blattunterseite ist die wenig tiefe Blase mit weissem Erineum bedeckt. Tempoeran im Djattiwald. + N. 46. Glochidion molle BI. II. BLATTGALLE Acarocecidium 2. - An der Unterseite der Blätter kleine, glatte Pusteln. Sie sind ungefähr 3 mm lang und 1 ‘/, mm breit. An der Blattoberseite liegt eine kleine mit Haaren verschlossene Öffnung ohne Mündungswall. Tempoeran im Djattiwald. N. 47. Glochidion molle Bi. III. BLATTGALLE Cecidomyiden-Galle — An der Unterseite der Blätter an den Haupt- und kräftigen Seiten- nerven kleine harte, hellgelberüne Gallen, die steif behaart sind (Figur 29). Sie haben einen In ihrer Form ähneln sie sehr den bekannten Gallen von Mayetiola fagi auf Fagus sil- zugespitzten Gipfel, und messen ungetahr 5 mm. ) | l Fig. 29. Cecidomyiden- calle auf Glochi- dionmolle. <1 vatica. Im Innern besitzen sie eine Kammer mit einer weissen Cecidomyiden Larve. Tempoeran im Djattiwald. N. 48. Glochidion molle Bl. IV. KNOSPENGALLE Lepidopterocecidium 1.—In den Achseln der Blät- ter sitzen kleine, ungefàhr 6-7 bei 4 mm grosse Gal- \ De EIN 5 len. Das Merkwiirdige ist, dass die Obertläche dieser Gallen dicht besetzt ist mit kurzen. oft stumpfen H Emergenzen, die mit ihren Spitzen nach den Gipfel ee nie 7 s : A = : Fig. 30. Lepidop- der Galle gerichtet sind (Figur 30). In der Galle be- ee : terocecidinm ant findet sich eine geräumige Kammer. die von einer e I grünlichen Raupe bewohnt wird. Verpuppung findet molle x 1 in der Galle statt. Tempoeran im Djattiwald. N. 49. Glochidion molle BI. V. STENGELGALLEN Lepidopteroceeidium 2. — Eine unregelmässige, knorrige Ansch- wellung, etwas mehr als 1 cm lang und ungefähr ebenso breit, sitzt an der Basis der jungen Zweigen. Die Galle ist holzig und braun , wie die Zweige selbst. Im Inneren findet sich eine längliche Larven- kammer, worin eine Ranpe lebt. Tempoeran. N. 50. Glochidion molle BI. VI. BLATTGALLE Lepidopterocecidium 3. — Die Gallen sitzen einzeln oder zu meh- reren zusammen auf der Unterseite der Blätter. Sie sind ungefähr bohnenformig und mit der schwach concaven Seite auf dem Blatte befestigt. An der Oberseite des Blattes sieht man denn auch” eine längliche Vertiefung. die hellgrün ist und von einer feinen braunen Narbe in der Mitte, der Länge nach durchzogen wird. Die von uns gefundenen Gallen enthielten jede nur eine sehr kleine Raupe und waren noch sehr jung: sie waren ungefähr 10 mm lang und 3-4 mm im Querschnitt. Sie sind bleichgriin und stark behaart, wie die ganze Pflanze. Die Larvenkammer verläuft der Länge nach und ist ziemlich hoch aber sehr schmal. Tempoeran im Djattiwald. N. 51. Glochidion obscurum Bl. I. BLATTGALLE Lepidopteroceeidium — Die Gallen sitzen meist einzeln auf den Blättern, und bilden längliche, ovale Verdickungen , die blassgrün und sehr kurz -behaart sind, während die Blätter selber kahl sind. ~ An der gegeniiberliegenden Seite sind die Gallen schwach gewölbt und der Länge nach von einer braunen Narbe versehen. Die Tiere entschlüpfen dureh ein Loch, das auf der starkgewölbten Seite der Galle gebildet wird. Tegal, Tempoeran im Djattiwald. EINIGE GALLEN AUS JAVA. II. BEITR. 101 N. 52. Glochidion obscurum BI. Il. BLATTGALLE Acarocecidium 1.— Die unter No. 46 beschriebene Galle an G lo. chidion molle fanden wir auch auf den Blättern dieser Pflanze. Tempoeran, Salatiga. N. 53. Glochidion obscurum BI. III. BLATTGALLE Acarocecidium 2. — Auch die unter No. 45. beschriebenen Eri- neengallen fanden wir in gleicher Beschaffenheit auf dieser G1o- chidion-Art. Salatiga. N. 54. Hibiscus similis BI. Acarocecidium — Ausstülpungen an der Oberseite der Blätter, die in grosser Zahl in den Nervenwinkeln beisammen sitzen, 2-3 oder 4 mm gross und an der Spitze rotbraun gefärbt sind. An der Blatt- unterseite befindet sich eine geräumige Öffnung; ein Mündungswall ist nur äusserst schwach entwickelt. Hierdurch unterscheiden sich diese Gallen von den durch RÜBSAAMEN (1) von Brasilien und dem Bismarck - Archipel beschriebenen Gallen auf Hibiscus tilia- ceus, das dem H. similis sehr änhnlich ist, und auch oft mit diesem verwechselt wird. H. similis wird auf Java überall in Hecken und den Wegen entlang angepflanzt. Salatiga, Magelang, Semarang. (1) H. RÜBSAAMEN — Beiträge zur Kenntniss aussereuropäischen Zooceeidien. 1. Gallen vom Bismarck-Archipel. — Marcellia , 1905, Vol. IV, Seite 13, No. 12. 3. Gallen von Brasilien und Peru,— Marcellia, 1907, Vol, VI, Seite 144, No, 57, 102 Docrers V. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 55. Hibiscus tiliaceus L. Acarocecidium — Dr. PEDRO ARENS in Bandoeng war so freund- lich uns eins der sehr grossen Blätter dieser Hibiscus zu zu- senden, das auf seiner Unterseite ganz mit kleinen Pustela bedeckt War. Die Gallen sind steeknadelkopfgross, etwas unregelmässig nnd mit ziemlich langen , zerstreut stehenden Haaren bedeekt. An der Unterseite findet sich die Öffnung «der Galle, die von einem gut entwikkelten reich mit weissen Haaren besetzten Miindungswall um- geben ist. Das Innere der Galle ist mit dickeren Haaren ansgeklei- det und von Phytopten bewohnt. Bandoeng, P. ARENs leg. N. 56. Hibiscus macrophyllus Roxb. +» Acarocecidium — Diese Gallen sitzen zu vielen beisammen auf den Stengeln und auf den Blättern auch auf den Hochblättern, Sie sind 3 mm breit, 5-6 mm lang und 2 mm hoch, hellgriin mit oberflächli- chen Einschnürungen, dabei sanft behaart (Figur 31). Innerlich sind sie durch Wülste in verschiedene kleine Räume verteilt, die mit Haaren ausgekleidet und von Fig. 31. Aearoce- viele Milben bewohnt sind. eidium auf Hi- | biseus ma- Salatiga. erophyllus. 7 | N. 57. Imperata cylindrica Beauv. (= arundinacea Cyril.) Cecidomyiden-Galle — Die Achse eines gerade an die Erdoberflä- che getretenen Sprosses, der seine Blätter zu bilden beginnt , wird von der Larve einer Gallmiicke in eine lange röhrenförmige Galle umgewandelt. Die Achse entwickelt keine Blätter mehr, sondern nur Blattscheiden, die fest um einander schliessen, wächst aber doch nach oben weiter, bis sie mit ihrer Spitze einige (bis 7) em über den Bo- den ragt. Die Galle besteht aus einem Rohr, das eine saftige Wand hat. unterirdisch weiss, oberirdisch rot gefärbt ist mit Ausnahme der EINIGE GALLEN AUS JAVA. II. BEITR. 103 Spitze, die wieder weiss ist. Die ganze Galle erreicht bisweilen eine Liinge von 15 cm, je tiefer in der Erde das Rhizom wächst, desto liinger ist sie. (Das abgebildete Exemplar | (Figur 32) war zufälligerweise ein sehr kurzes). Die Larve lebt in einer Kammer; die von unten (von dort ungefähr, wo der Stengel in das Rhizom übergeht) bis zur Spitze reicht; nur die äusserste Spitze ist nich hohl. Die Larve verpuppt sich im unteren Ende der Kammer, und arbeitet | sich am Ende des Puppenstadiums nach / oben. Die grossen Gallmücken schlüpfen dann bald aus, die Puppenhülse bleibt in der Öffnung hängen. Salatiga und Selokaton bei Soekoredjo. N. 58. Justicia adhatoda 1. BLATTGALLEN Acaroceeidium — Die Ränder der jun- gen Blättehen sind dicht bei der Spitze nach oben umgeschlagen, im Innern der Galle ist die Oberfläche des Blattes etwas ranh von kleinen, kurzen Haaren. ; : RA à Fig. 32. Cecidomyidengalle auf Salatiga. Imperata cylindri- ca, nat. Gr. N. 59. Justicia procumbens L. Il. BLATTGALLE Acarocecidium — Einfache Blattrandfaltung. Die nach oben um- geschlagenen Ränder sind ungefähr 1 '/, mm breit. An der Innen- seite sitzen kurze, weisse Haare, wodurch die Oberfläche rauh ist. Salatiga. 104 Docrers V. LEKUWEN-REIJNVAAN N. 60. Justicia procumbens 1. III. BLATTRANDROLLUNG Thripsidengalle — Die Ränder sind nicht wie bei der vorigen Galle nach oben gefaltet, sondern gerollt, sodass eine viel geräumi- gere Kammer entsteht. Die Innenwand ist nicht verändert, wie auch das ganze Blatt, von der Rollung abgesehen, nur sehr wenig unter Einfluss der Tiere zu leiden scheint. Salatiga. N. 61. Leea sambucina Willd. BLATTGALLEN . Cecidomyiden-Galle — An der Oberseite der Blätter sitzen zumal neben den Seitennerven ziemlich zahlreiche, hellgriine Gallen, die ungefähr 2 oder 3 mm gross, ovalrund sind und eine glatte unbe- haarte Oberfläche haben. An der Unterseite des Blattes zeigt jede Galle eine Vertiefung, in der sich jedoch meistens auf einer Seite eine kleine Auftreibung findet. Die Larvenkammer hat eine eigentümliche Form ; sie ist lang und schmal und läutt schräg von unten nach oben durch die Galle. Diese Galle hat sehr viel Ähnlichkeit mit der von RÜBSAA- MEN (1) beschriebene Galle auf Leea naumanni Engl. Nur ist bei unserer Galle die Ober- sowie die Unterseite ganz kahl. Wir haben nur sehr junge oder alte, schon von dem Gallerzenger ver- lassene Gallen gefunden. Die Larve gehört zu einer Cecidomyide. Tempoeran, Djattiwald. N. 62. Leucas Javana Benth. Acarocecidium — Die Unterseite der Blätter und die jungen Stengelteile sind mit einem weissen Filz bedeckt. Die älteren Blätter (1) Ew. RÜBSAAMEX — Beiträge zur Kenntniss ausserenropäischer Zoocecidien, — Marcellia, Vol. IV, 1905, No, 14, Seite 14, EINIGE GALLEN AUS JAVA. IT. BEITR. 105 werden nur wenig durch diese Infection verändert, die jüngeren können dagegen ganz verunstaltet werden. Auch der Trieb wird oft stark in seinem Wachstum gehemmt und weist Drehungen auf. Im Djattiwald von Tempoeran. N. 63. Loranthus Schultenii Don. I. BLAUNGA LIRE Cynipidengalle 1.— Der Blattrand ist stellenweise stark angesch- wollen. Die Blattspreite ist dort dann nur sehwach oder sehr wenig entwickelt, sodass die Gallen zuweilen am Mittelnerv zu sitzen scheinen. Die Gallen FRS treten an beiden Seiten des Blattes gleich stark hervor. Die kleineren, mehr regel- missig runden Gallen, wie die an der obe- ren Hälfte des gezeichneten Blattes. haben nur eine Larvenkammer, in der eine Cy- ini à Arve ‘io a! 49 à Fa nipidenlarve lebt. (Figur 33). Pi! 33, Oyninidengalle te auf Meist aber findet man grössere Gallen, Loranthus Schulte- die etwas unregelmässig, bis 1 '/, cm lang Dai, ps | und etwa ‘/, em dick sind und mehrere Larvenkammern enthalten, die ungefähr in einer Reihe hinter einan- der liegen. Die Gallen sind von denselben eigentümlichen Haaren bedeckt, wie die jungen Blätter, und zeigen dadurch eine gelbbraune Farbe. Die Blätter verlieren später diese Haare und werden dunkel blaugrün. Die Tiere wurden gezüchtet, wobei nur Weibehen aus den Gallen zum Vorschein kamen. Diese legten in Gefangenschaft sehr leicht Eier auf jungen Blättern ab, sind also parthenogenetisch. Der Leg- bohrer wird am Blattrand gerade in der Mitte des Blattquerschnittes, parallel zu den beiden Epidermen eingeführt. Das wird meistens verschiedene Male an einem Blatte wiederholt und jedesmal ein Ei abgesetzt. Dabei werden sehr junge aber auch etwas ältere Blätter aufgesucht. Salatiga, Soember Pitoe bei Weliri. DOCTERS V. LEEUWEN-RELINVAAN N. 64. Loranthus Schultenii Don. Il. STENGELGALLEN Oynipiden-Galle 2.— Ausser den Blattgallen von Cynipiden ver- ursacht, findet man an derselben Loranthus-Art Anschwellungen an den kleinen Zweigen, die aus Achselknospen der Hauptzweige ent- N 4 VÀ ; standen sind. Die Zweiglein sind N LE Se N / dann zum gròssten Teil verdickt und “€ br | e tragen nur noch einige kleine Blätter | am Ende der Galle. Das ganze ist stark filzig behaart (Figur 34). Wir haben die Tiere aus diesen Gallen 3 nicht züchten können, und sind da- Fig. 34. Cynipidengalle 2. auf L o- È ranthus Schultenii, nat. Gr. ben Species verursacht werden, wie her nicht sicher, ob sie von der sel- die Blattgallen an dieser Pflanze. Die kleinen Gallen enthalten nur eine Larvenkammer, die grösseren zwei oder mehrere hinter einander. Die Kammer nimmt den Markteil des Stengels ein und ist von einer dieken Schicht von Nährgewebe um- geben, während der Gefässbündelkreis fast nicht entwickelt ist. Soember Pitoe bei Weliri. * N. 65. Loranthus Schultenii Don. III. BLATTGALLE Psylliden-Galle — In grosser Zahl kom- N men auf den Blättern Gallen vor, die sich an der Oberseite nur schwach halb- kugelförmig hervorwölben, an der Unter- seite aber kegelförmige ungefhär ‘/, em hohe Verdiekungen bilden. Sie zeigen den gewöhnlichen Bau der Psyllidengallen mit Fig. 35. Psyllidengalle auf Lo- . ; ‘ SE : Ù .. je einer birnförmigen Larvenkammer, von ranthus Schultenii, : = der aus ein Kanal nach der Spitze des Kegels führt. (Figur 35). nat. Gr. EINIGE GALLEN AUS JAVA. II. BEITR. 107 In den jungen wachsenden Gallen ist die Offnung des Kanals äusserl ch nicht zu sehen, weil sie fast geschlossen ist. Zur Zeit wo die Gallen verlassen werden, erweitert sich der Spalt, indem die Gallenwand eintrocknet, die Offnune wird dann gut siehtbar. Die Gallen sind, besonders an der Unterseite von denselben mehrzelligen und verzweigten Haaren bedeckt. welche den jungen Blättern ihre gelb-braune Farbe verleihen, Salatiga. N. 66. Mangifera indica I. I. BLATTGALLE Cecidomyidengalle 1. — Zahlreiche Gallen sitzen auf der Oberseite der Blätter; sie sind fast eylindrisch , 1 mm hoch und oben flach. f Die Galle ist griin, das obere Ende, von dem ein kreisrundes Deckelchen abgesprengt wer- den kann braun; aber unter dem Deckel findet sich keine Öffnung. An der Blattunterseite ist Fig. 36. Durchschnitt ce die Galle stumpfkegelförmig aufgetrieben mit Cecidomyidengalle 1. auf etwas eingebogener Spitze. Um jede Galle hat den Blättern von Man- sich das Blatt etwas gehoben, wodureh die Galle gifera indica, verg. an der Blattoberseite scheinbar viel stärker hervortritt und an der Unterseite in eine Ver- tiefung zu liegen kommt (Figur 36). Unsere Gallen waren noch sehr jung und enthielten eine sehr kleine Larvenkammer, gerade auf einer Höhe mit dem Blatt, worin eine kleine Larve, sehr wahrscheinlich einer Cecidomyide, sich befand. Salatiga. N. 67. Mangifera indica L. II. BLATTGALLE Cecidomyiden= Galle 2.— Auf derselben Pflanze und oft auf demsel- ben Blatt sitzen noch kleinere Gallen, meist zu mehren beisammen, die an der Oberseite wie kleine Schornsteine sich erheben, und einen 108 DOCTERS V. LEEUWEN-REIJNVAAN Kanal umschliessen, der nach unten geschlossen ist. An der Unterseite wölben sich die Gallen schwach kegelförmig hervor. Im Innern sitzt eine Fig. 37. Durchschnitt der Larvenkammer mit einer sehr kleinen Ceeido- Cecidomyidengalle 2. auf myiden-Larve (Figur 37). Mangifera indica, ; i Ss Salatiga. verg. N. 68. Melastoma polyanthum BI. I. BLATTGALLE Acarocecidium — Die Blätter weisen an der Unterseite viele, sehr kleine (1 mm) Pusteln auf, Diese werden gebildet dureh Ver- dickungen des Blattes und sind mit mehrzelligen, weissen Haaren bedeckt. Die Verdiekungen haben die Form von kleinen Kissen und bestehen aus aneinander schliessenden Parenchymzellen. Die Tiere leben nieht in denselben sondern zwischen den sie bedeckenden Haaren. Unternehmung Soeka Mangli bei Weliri. N. 69. Melastoma polyanthum BI. II. BLATTGALLE Thripsidengalle — Blattrandrollung. Das Blatt besitzt einen star- ken Hauptnerv, zwei kräftige und zwei diinnere Seiten-nerven, die vom Blattfuss nach der Spitze verlaufen. Zwischen diesen Nerven findet man viele dünne secundäre Nerven, die ungefähr senkrecht auf den ersteren stehen. An der Oberseite des Blattes läuft eine un- tiefe Längsgrube über jeden Nerv, die an der Blattunterseite heller gefärbt ist und stark vorspringt. (Figur 38). Die Thripsiden verursachen eine Blattrandrollung. Der Teil des Blattes, das ausserhalb des diekeren secundären Nervs sitzt, wird nach oben umgebogen, sodass der Rand der Umklappung ganz von diesem Nerv gebildet wird. wie man in Figur 38 deutlich sehen kann. Der infizierte Blatteil nimint gelbgrüne Farbe an, die feineren Nerven laufen blutrot an, währen« die kleinen, weissen Haare, die überall 4 L Lt” dd UT = 2 "e EINIGE GALLEN AUS Java. II. Berrr. ~ 109 zerstreut auf der Blattobertfliche vorkommen, dicker und kraus wer- den. Der umgeschlagene Blatteil wird noch ein- mal umgebogen, und zwar gerade bei dem diin- neren Nerv, der dicht neben den Blattrand verläuft; dieser ist in der Habituszeichnung nicht zu sehen, wohl aber auf dem Durchschnitt (Figur 38 a) wo mit 1 der Hauptnerv, 2 der diekere und 3 der dünnere Nerv bezeichnet ist. In der so gebildeten Gallenkammer leben die Thripsiden in allen Entwicklungsstadien in gros- ser Zahl zusammen. Die Gallbildner sind von ZIMMERMANN (1) beschrieben worden. Er fand zwei Thripsarten in den eingerollten Blättern dieser Pflanze: Mesothrips Melastomae Zimm. und Mesothrips Chavicae Zimm. Salatiga. N. 70. Melothria perpusilla III. BLATTGALLE Acarocecidium —An der Spitze der Blät- ter ist der Rand an beiden Seiten des Hauptnervs nach oben gerollt. Die Gal- len fallen auf dureh die hellgrüne Farbe der Blattunterseite, die bei der Randrol- lung nach oben zu liegen kommt (Figur 39). Die Innenseite der Galle, die von der Fig. 3 Fig. 38. Thripsidengalle auf Melastoma polyan- thum. ><1. a: Durch- schnitt der Galle. x 2. Cogn. 9. Acarocecidinm auf M e- Blattoberseite gebildet wird, ist unregel- lothria perpusilla. x1 missig buckelig und mit kurzen weissen (1) A. Zimmermann --Über einige Javanische Thysanoptera. Bulletin de VIn- situt Botanique de Buitenzorg. No. VII, 1900. Seite 17 und 14. 110 DOCTERS V. LEEUWEN-REIJNVAAN Haaren bedeckt. Auf ihr leben die Gallmilben. Die Rollung fanden wir nur an den Spitze der Blatter, sie ist 20 mm lang und 2 mm dick. Salatiga. N. 71. Momordica charantia Linn. Cecidomyidengalle — An den Stengelenden dieser Kletterpfianze entstehen lange Gallen, welche stark an die Galle der Melothria perpusilla (No. 13, Figur 8) erinnern. Doch ist die Galle auf dem Querschnitt nicht rund, sondern mit schwach vorspringenden Längs- leisten versehen. Die Triebe erhalten durch die Galle oft eine Achsendrehung , und werden nach unten gebogen, ihr Wachstum Hört dann auf da- durch, dass der Vegetationspunkt verkümmert. Die bis 10 em langen Gallen enthalten viele Larvenkammern mit je einer oranje Larve einer kleinen Cecidomyide. Sokoredjo bei Weliri. N. 72. Ocimum canum Sims. Aphidengalle — Die Blütenstengel deformiert. Die Blüten selbst bleiben klein und entwickeln sich nicht weiter, der ganze Blütenstand bleibt wie eine Knospe zwischen den infizierten Blättern sitzen. Diese werden dunkler grün, schrumpfen, und bekommen Runzeln. Die äl- teren umschliessen, doch nicht vollkommen, die jüngeren ganz ver- krüppelten Blätter und den Blütenstand. In dem so gebildeten Blät- terschopf sitzen zahlreiche Läuse. Unternehmung Soember Pitoe bei Weliri. N. 73. Oplismenus compositus Beauv. Aphidengalle — Dieses Gras wächst unter Zäunen und an Dess- ahwegen. Es hat ein kriechendes Rhizom , aus welchem die unverz- weigten Sprosse, fertiele sowie vegetatieve, entspringen. Die Gallen findet man an den vegetatieven, gelegentlich auch an den fertielen - EINIGE GALLEN AUS Java. II. BFITR. lli Sprossen. Es ist nun merkwürdig, dass nicht nur die Endknospe zu einer Galle wird, sondern dass auch die Achselknospen austreiben und in Gallen umgewandelt werden , während die Achselknospen unter nor- ‚malen Verhältnissen nur selten zum Vorschein kommen. (Figur 40). Die Endknospe ist sehr oft infiziert. Die Blätter wachsen wohl noch etwas, bleiben aber um einander cerollt, und bilden so einen länglichen Blätterschopf; zwischen den Blättern findet man die Läuse. Wenn eine Seitenknospe aus- treibt, drückt sie das Blatt, in dessen Achsel sie steht, beiseite, die Blatt- scheide wird vom Stengel abgebogen. Wenn die Seitenknospen auch zu Gal- len werden, sind ihre Blätter in der- Fig. 40. Aphidengalle auf Oplis- menus compositus, nat. selben Weise umeinander gerollt, wie Gr. bei den Endknospen-Gallen. Ist die Infeetion im Anfang nicht sehr stark, dann entwickeln sich noch einige normale Blätter, wie in der Mitte des abgebildeten Zweiges. Ist die Infeetion eine sehr starke, dann nehmen alle Blätter des Sprosses an der Bildung der Galle teil. Das ist der Fall bei der untersten Seitenknospe der Figur. Salatiga, Tempoeran. N. 74. Paederia foetida L. II. BLATTGALLE Acarocecidium 1.—Über die ganze Blattunterseite zerstreut doch am zahlreichsten in der Nähe der Hauptnerven ungefähr 2-3 mm grosse Pusteln von gelbgrüner Farbe. An der Oberseite des Blattes sind sie nur schwach entwickelt, und ist die Farbe nur : È 3 3 1 Fig. 41. Milben- wenig anders als die des Blattes. An der Unterseite ; 2 d galle auf P ae- erheben sie sich etwas mehr iiber die Blattspreite. dehnen Die Gallenkammer wird gebildet von kurzen Lamel- da. ><1 . wo. ui à f À be al Ei gi ET) Er AR, RE do 112 Docrers V. LEEUWEN-BELINVAAN len, die an der Unterseite der Blattspreite herabhängen, nnd von denen verschiedene dieht neben einander sitzen und einander umfas- sen. Wenn sie etwas grösser geworden sind, verwachsen sie mit einander. Die Lamellen verursachen dann an der Aussenseite der Gallen Unregelmässigkeiten und Faltungen 1er Oberfläche. Die Un- terseite des Blattes trägt hier und da kurze Haare, die auf der Galle etwas mehr zur Entwieklung gekommen und länger geworden sind. Die Öffnung liegt an der Spitze der Galle. (Figur 41). Salatiga, Samarang, Tempoeran, Tegal. N. 75. Paederia foetida L. Ill. BLATTGALLE > Acarocecidium 2. — Noch eine zweite Milbengalle fanden wir auf den Blättern dieser Schlingpflanze. Die Gallen sitzen sowohl an der Ober- wie an der Unterseite der Blätter, und bilden eine Art Hörnchen von 2 mm Höhe und ‘/, imm Durchmesser. Der Gipfel der Galle ist oft schwach gabelig verzweigt. Eine Öffnung liegt an der Seite des Blattes auf der die Galle weniger entwickelt ist. Fig.42. Milbengalle Die Farbe dieser hübschen, kleinen Gallen ist dun- auf Paederia kelgrün oder bräunlich. (Figur 42). foetida, nat. Gr. Salatiga. N. 76. Panicum uncinatum Radli. Cecidomyidengalle — Knospengallen. In der Achsel der Blätter entwickeln sich einige Triebe: von diesen können mehrere je zu einer Galle werden. In «dem abgebildeten Fall (Figur 45) waren drei Triebe entstanden von denen zwei in Gallen verändert waren. Sie bestehen aus einem langlichen Blätterschopf,, der entsteht, dadurch dass die Internodien kurz bleiben, und der Stengel anschwillt, während die Scheiden Fig. 43. Ceeidomyiden- galle anf Panicum 2 x a ; ancinatum. nat. “er Blätter diesen Stengel diekt umschliessen, Gr. und die Blattspreiten sich nicht entwickeln. Die Pisa RES > iran “ bi a na * Vs A f 4 + tee EINIGE GALLEN AUS Java. IL. BEITR. 113 cito — Blattscheiden endigen in einer Spitze, die sich etwas von der Galle abbeugt. Im Innern befindet sich in der Stengel- eine geräumige Hôhlung in der eine Cecidomyidenlarve lebt. Salatiga, N. 77. Piper bettle L. I. BLATTGALLE Thripsidengalle — Die beiden Seiten eines infizierten Blattes werden nach oben gebogen. Der Teil der Blattspreite, der dicht ne- ben dem Hanptnerv liegt, ist: stark ver- dickt und runzelig und nach oben umge- klappt. Der Hauptnerv selbst bleibt fast unverändert. Die verdickten Blattspreiten- teile biegen sich etwas nach aussen, und dann wieder gegen einander (Figur 444); so entsteht ein Rohr, das so lang wie das Blatt ist. Die Galle ist hart, und nur ge- waltsam zu öffnen, dabei bricht sie mei- stens im Hauptnerv auf. Junge, früh in- fizierte Blätter können so stark verunstal- tet werden, dass die Blattspreiten sich nur äusserst wenig entwickeln. Auch die Spit- zen der meisten Blätter sind wenig ent- faltet und oft ganz um ihre Achse gedreht. Über die ganze Länge der Galle findet man Querfurchen und Querwiilste, von denen die ersteren den secundären Nerven Fig. 44. Thripsidengalle auf entsprechen. In der langen röhrenförmigen Piper bèttle, nat. Gr. Gallenkammer findet man die verschiede- ‘* Bee es nen Entwicklungsstadien der Thripsiden gesellig in grosser Zahl ne- ben einander (1). Salatiga, (1) Literatur: W. DocreRrs van LKéEUWEN. Ben door Thripsen veroorzaakte Misvorming der Peperbladeren. Mededeelingen “/n. Algemeen Proefstation te Sala- tiga. Serie II N. 25. Cultuurgids 1909. Bd. XI. Teil 2. Seite 348-353. RETI REN ati San dé. we * ; À ; = * © ‘ 2 - "PE Pr. SI 4 7 3 114 Docrers v. LEEvwEN-RELINVAAN N. 78. Piper bettle L. II. BLATTRANDROLLUNG Thripsidengalle (?) — Einige Male fanden wir einfache Blattrand- rollungen von derselben Pflanze. Das Blatt war nach oben umgebo- gen, etwas fleischig geworden und leicht gefärbt. Auch ber war die Oberfläche des infizierten Blatteiles mit Wölbungen und Vertiefungen versehen, sodass wir glauben, dass diese Galle von derselben Tierart verursacht wird wie die erstgenannte Galle an dieser Pflanze. Die Tiere hatten die Galle schon verlassen. Salatiga. N. 79. Piper nigrum L. Thripsidengalle — Aut den Blättern dieser Pflanze kommen die- selben Gallen vor, die wir auf Piper bettle L. (N. 75) gefun- den haben. Salatiga. N. 80. Pluchea indica Less. Acarocecidium — Kleine, ungefähr ‘|, bis 1 mm grosse Gallen an der Oberseite der Blattspreiten, die kugelig sind und an der Un- terseite des Blattes eine kleine Offnung ohne Miindungswall haben. Salatiga, Bringin, Tempoeran, Bedono. N. 51. Ruellia repens 1. (= Dipteracanthus lanceolatus Nees) Acarocecidium — Blattgallen. at 5 \ 4 Auf den Blättern dieser Pfianze, Vo i À N, | die häufig an schattigen Stellen a N wächst, findet man kleine nach oben gerichtete Ausstülpungen Fig. 45. Milbengalle auf einem Blatte (Blasen). von Ruellia repens, nät. Gr. Die Oberseite ist selten dun- kelgrün meistens sind die Gallen dunkelpurpurn. + EINIGE GALLEN AUS JAVA. II. BEITR. 115 Die Gallen auf den Blattspreiten sind ungefähr rund, nur hier und da findet man zwei neben einander. Die, welche dicht neben dem Hauptnerv sitzen, werden oft lang und schmal. Nähere Betrach- tung ergibt, dass sie aus mehrere kleinere Gallen zusammengesetzt sind, die hinter einander liegen. (Fig. 45). An der Unterseite der Blätter findet man eine untiefe Einbuch- tung, die von einem weissen Haarfilz bedeckt ist und von den Phy- topten bewohnt wird. Samarang, Salatiga. N. 82. Saprosoma arboreum Bl. Cecidomyidengalle ? -— Blattstiel und Nervengallen. Am Blattstiele und an der Basis der Hauptnerven finden sich kleine Gallen, die, dieht neben einander sitzend, unregelmässige spindelförmige Verdiekungen an den infizier- ten Teilen bilden. Jede einzelne Galle besitzt eine starke, harte Wand, die eine läneliche, ovale Lar- venkammer umschliesst. An der Spitze der Galle findet man ein kleine kegelförmige Erhöhung, durch die das erwachsene Insekt aus der Galle ausschlüpft. Die Beschreibung Fig. 46. Ceeidomyidengalle : : )aut Sa $ a ar- und die Zeichnung wurde nach Herbarmate- Mau Saprosoma ar # ehi ' TV LP boreum, nat. Gr. ‘jal gemacht, sodass einige Details nicht ganz Fa dn SU | ar { i a. Durchschnitt der Galle. sicher festgestellt werden konnten. Der Gall. bildner ist sehr wahrscheinlich eine Cecidomyide. Diese Galle verdan- ken wir Herrn Dr. VALETON in Buitenzorg, der so freundlich war sie uns zu überlassen. TH. VALETON leg.— Gesammelt auf dem Vulkan Salak bei Buitenzorg. N. 83. Schoutenia ovata Korth. À Aphidengalle — Die infizierten Blätter werden ganz verunstaltet, dadurch dass verschiedene Teile der Spreite sich nicht gut entwickeln, und die Nerven nach unten umgebogen werden. Die Blätter werden unregelmässig gedreht, buckelig und blasenartig, da die Blattränder we RI ae ; E TES 116 DOCTERS v. LEEUWEN-RELINVAAX a stellenweise weniger auswachsen, als der mittlere Blatteil. In den so gebildeten Faltungen leben die Länse in ihren verschiedene Ent- wicklungsstadien bei einander. Im Djattiwald bei Tempoeran. N. 54. Semecarpus heterophylla Bi. Acaroceeidium — An der Blattoberseite finden sich harte Pu- steln, die annäherend Kugelform haben, und mit etwas verschmäler- ter Basis auf dem Blatte festsitzen. An der Unterseite des Blattes sieht man starke Vertiefungen. Die ganze Galle wird also von einer Blase gebildet, die auf der Blattoberseite emporwölbt ist und am oberen Ende etwas breiter wird. Die Innenseite der Blase ist mit einem weissen. bei erwachsenen Gallen gelblichweissen, Haartilz be- deckt. Tegal, Salatiga. N. 85. Stachytarpheta jamaicensis Valıl. Aphidengalle — Triebspitzendeformation. Die Zweige der infizier- ten Sprosse sind dieker und saftiger. Die Endknospe und die aller- jüngsten Blätter sind ganz misbildet, und die etwas älteren Blätter nach oben umgekrümt und von bleichgrüner Farbe. Die weissen Haare, die überall auf der Pflanze vorkommen, sind auf den infizier ten Stellen sehr lang und stehen dicht neben einander, sodass der ganze Spross wie mit einem weissen Filz bekleidet erscheint. Selbst die Blattfliche., die sonst fast kahl erscheint , ist dicht mit diesen Haaren bedeckt. Die ganze Pflanze kann infolge dieser Infektion ein krüppelhaftes Aussehen erhalten. Hunderte von Lan- sen leben auf den Zweigen und zwischen den jüngsten Blättern. Salatiga. N. 86. Triumphetta rhomboidea Jack. I. BLÜTENGALLE Acarocecidium 1. — Fruchtknotengalle. In der normalen Blüte ist der Pruchtknoten ungefähr 1 mm gross. Er schwillt aber unter «è EINIGE GALLEN, AUS Java II. BEIR. 117 dinfluss der Gallmilben zu einem bis 6 mm grossen blasigen Ge- bilde an. Die Galle ist entweder rund oder mehr länglich keulen- firmig. Die Aussenfläche ist von feinen, mit einander anastomosie- renden, purpernen Gruben versehen, wodurch sie buckelig aussieht. An den oberen Ende findet sich eine kleine Öffnung, die Griffel bleiben oft noch bestehen. Im Innern befindet sich eine sehr geräumige Höhle, die durch einige schmale Längsleisten auf dem Durchschnitt unregelmässige Form bekommt. Hier entwickeln sich steife, kurze, weisse Haare, die zer- streut auf den Kammerwand sitzen und wo zwischen die Milben leben. Merkwiirdie ist bei dieser Galle, Fig. 47. Acarocecidinm auf Trinm- dass die übrigen Blütenorgane mehr Phetta rhomboidea. x : da ° a. Acarocecidinm 1. x 1.; cor = Blü- oder weniger vergriinen. Die Anthe- o = ; tenkrone. ren bleiben unverändert, wie das ,. idem 1. > 2 aus den Figuren 47 a und b zu sehen c. idem 2. >< 1.3 cal = Kelch. ist, die fiinf langen gelben Kron- blätter (cor) werden in runde, für diese Pflanze ganz normale nur sehr kleine Blittchen umgewandelt, während die aussen roten, innen gelben Kelchblätter (cal) ihre längliche Form (doch nieht immer) be- halten, aber grün werden. Doch ändet man die verschiedensten Ver- grünungs- Stadien, die wir hier nieht ausführlich beschreiben können. Salatıga. N. 57. Triumphetta rhomboidea Jack. II. GALLE AUF FAST ALLE ORGANEN Acarocecidium 2.— Auf fast alle Organen : Stengel, Blattstielen, Blättern, Blüten, finden sich starke Filzbedeekungen von roter Farbe, die sowohl auf der Blattunterseite als auf der Oberseite vorkommen. Die infizierten Organe biegen sich und bekommen ein krüppelhaftes Aussehen. Diese Galle errinnert stark an die Galle auf Urena lobata (No. 23), die Farbe des Filzes ist aber etwas mehr rosa udn die Behaarung etwas dicker und weicher. Die intizierten Blüten 118 DocTERS v. LEBUWEN-REIINVAAN bekommen ganz andere Form, als die von der obengenannten Milbe verunstalteten, Figur 47 e. Salatiga, Semarang, Tegal. N. 88. Vitis trifolia L. Cecidomyiden-Galle — An den Stengeln und bisweilen an den Blattstielen kommen seitliche Anschwellungen vor, die verschieden gross sind je nach der Zahl der sie verursachende! Larven. Die meisten Gallen sind ungefàhr 1 em lang und etwas kleiner in Querschnitt, die grössten bis 2 em lang und 1 em dick. Die Zeichnung (Figur 48) ist nach einem noch nicht erwachsenen Exemplar angefertigt. Die Gallen sind braun und enthalten ein bis zahlreiche Larvenkammern, von denen jede durch eine rothe Larve oder, bei fortgeschrittener Entwicklung, von einer rothbraunen Puppe bewohnt wird. Auf dem Querschnitt zeigt sich, dass das Holz bei der Bildung der Galle fast unverändert bleibt. Die Markstrahlen sind an der Seite der Schwellung stark verbreitert, besonders nach der Peripherie zu Fig. 48. Noch nicht ganz erwachsene Galle auf Vitis trifolia, nat. ~ Gr. O1 oder Stärke gefüllt sind. und gehen hier in das parenchymatische Gewebe der Galle über. Dieses Parenchym wird von concentri- 1 schen Reihen von Zellen durehzogen, die ganz mit Semarang, Salatiga und Soember Pitoe bei Weliri. N. 89. Wedelia asperrima Benth. I. BLATTGALLE Acarocecidien 1. — Die Gallen stellen ungefähr 2-3 mm grosse Kiigelehen dar, die sich an der Oberseite der Blattspreiten empor- wölben und ganz mit weichen, weissen Haaren bedeckt sind. An der Unterseite des Blattes findet sich ein kleines Loch, das in einer sehr kleinen kugelförmigen Erhöhung sitzt. Die jungen Blätter, die stark - Erice GALLEN aus Java. IL Berrr. 119 infiziert sind, bleiben in ihrer Entwicklung zurück und sind durch den üppigen Haarwuchs weissfilzig, während ein normales Blatt eine sehr rauhe Oberfläche besitzt. Sitzen die Gallen am Rande der Blätter, dann entwickelt sich die Spreite oberhalb der Galle nur kümmerlich. Salatiga, Tempoeran im Teakwald, Weliri. N. 90. Wedelia asperrima Benth. II. BLATTGALLE Acarocecidium 2. — Sehr kleine, nur 1 mm grosse Gallen, die sich in den Winkeln, die von dem Hauptnerv und den Seitennerven gebildet werden, nach oben vorwölben. Sie sind im Gegensatz zu der vorigen Galle dieser Pflanze nicht behaart, sondern fühlen sich rauh an wie das normale Blatt. An der Unterseite haben sie eine kleine Öffnung. Tempoeran im Djattiwald. Den Herrn J. J. Smith und C. A. Backer, aus Buitenzorg welche die Pflanzen für uns detemniniert haben und Herrn Dr. P. Arens aus Bandoeng, welcher uns geholfen hat beider Übersetzung in Deutscher Sprache, sind wir zu grossen Dank verptlichtet. UBERSICHT DER GALLERZEUGER Br, HYMENOPTERA. da 1. Cynipide auf Ficus retusa L. var. nitida King. NNT Fe Di » » » » » NAS SR 3: » » Breynia racemosa Muell. Arg. N. 26 o AR 4. » » » » » N. 27 bas 5. » » Ficus pilosa Reinw. N. 40 Tag 6. » » Loranthns Schultenii Don. N. 63 - = Ti » » » » N. 64 vi DRG is”: LEPIDOPTERA wn ‘300 1. Aegeria uniformis Snellen auf Commelina communis L. Ni +3 a 2. Grapholita subrufillana Snellen auf Crotolaria saltiana Andt. N. 3 de 3. Lepidopterum auf Breynia racemosa Muell. Arg. N. 25 = 4. » » Desmodium pulchellum Bth. N. 35 aS 6 > Pe Giochidion BL: Tee N. 48 ne ‘ 6. » » » » ; 3 . + N. 49 eo Te » » > = — N. 50 Pr ; 8. » » » obsenrum BI. N° 51 74 à PHYSOPODA. : 1. Mesothrips Uzeli Zimm. auf Fieus Benjamina L. I N. 39 ; 2. » » » » » retusa L. var. nitida King. N. 41 3. Thripside auf Justicia procumbens L. : N. 60 4. Mesothrips melastomae Zimm. anf Melastoma Dyna BI. N. 69 5. Thripside auf Piper bettle L. N; 77 6. » (?) » » » 5 : » ‘ : | : * N. 78 2 » » » nigrum L. N. 79 DIPTERA. à Il. Agromyza erythrinae de Meyere auf Erythrina lithosperma Miq. N. 5 3 2. Cecidomyide anf Justieia procumbens L. N. 11 3. Melothria perpusilla Cogn. N. 13 4. » » N. 14 one 5. Musaenda frondosa L. N. 15 % > fi h . Domandedicambi,indirizzi, domande e risposte diverse, etc. Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’in- teresse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia. è Schedae ad « Cecidothecam italicam » (1902-1909) Auctore A. TROTTER rà org Ollio MM. les Cécidologues, non abonnés à « Cecidotheca italica » de TROTTER A. et CECCONI G., désireux cependant d’assurer à leur Bibliothèque les « Schedae » (avec bibliographie, observations ete.) qui illustrént cette Colleetion — dont le prix pour les 20 fascicules (500 numéros) publiés jusqu’ ici est de 200 fr.S— pourront $ adresser a l’ Auteur, Prof. A. TROTTER, qui expédiera franco la Série com- plete des 500 « Schedae », avec préfaces, index double ete., contre mandat-poste de 10 fr. — Numéros spécimen sur demande. © ANNUAIRE DES BOTANISTES RECUEIL «les noms et adresses des Botanistes actuellement vivents de tous les pays, der Jardins botaniques ; A Wet des Établissements, Sociétés et Publications périodiques ayant trait à la Botanique Publié par J. DORFLER Troisième edition, Wién 1909, revue ed augmentée En vent chez I’ Auteur, Barichgasse 36, Wien HI re ho fe TROTTER UELLNO) | 27% + * x | Seri. + è à x a mi. Ji tage ” : Der x OST "> E MO. pr 2 2... æ ai 2 2 ra È > - La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello. studio delle ali e dé eat Pb di esse, Pubblica , su tale argomento , lavori originali , di istologia, A morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. “Tiene. inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo. della Cecidologia, dando anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più ‘o meno estese. 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno pero la precedenza. sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si. acceitan — lavori in inglese, tedesco ed in tutte le lingne delle nazioni latine. 3. Agli Autori terranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori, sarà però in loro facoltà di farne tirare , a loro spese, un maggior numeru di copie : nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore con u invio. del ie manoscritto. ? N . Le spese per tavole o figure ia testo sono, per ora, a carico degli Au as Per, 2 3 Usciranno 6 fascicoli all’anno, complessivamente circa 15 fogli di stampa, — ‘Ta ge , possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè : Febbraio, Aprile, Giugno, Ago- © n i» sto, Ottobre, Dicembre. È, sà; vi: ; 6. Gli abbonamenti cominciano dal Pi Gennaio CA ie an- pa che per l’anno successivo, qualora "n venga data rinuncia al Redattore entro ot x Pi Rn oP SES è gr tre à Pi AR KT pe A RAZR Pigs a ~> TRS 4 Mr N Lita "ei n il mese di Dicembre. $ À x ve: À . Ii prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (13 Fr. = 12 Mk. — 12 Sh) 4 da FR antecipatamente.— Si pregano i Signori Associati esteri di effettuare > ‘ i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poele € non con vente cambiarit fe | (chèque). ; PTT Rada TE OE Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, “cambii ecc., vlc ER al Redattore prof. A. TROTTER, R. Scuola di Viticoltura è di ERBE Avellino - a > (Italia). J - ji aca Wa; TroTTER A. e Cecconi G. — Cecidofheca. italica ou Collection de ’Galles.ita- “ liennes , séchées et préparées, y-Compris les formes nuisibles aux plantes agricoles.—Ont paru jusqu'ici 20 fasc: — 500 espèces — ; le prix de chaque _ fasc. est de 10 fr. — En préparation fase. 21°-22°.-- Pour achats s'adresser — au Prof. A. TROTTER. LEE | RIVISTA INTERNAZIONALE ame CECIDOLOGIA SOMMARIO | | REDATTORE : DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN — A TREIEFER Einige Gallen aus Java. Zweiter Bei- Pror. DR. ' trag (cont. e fine). KIEFFER J. J. u. DOCTERS Vv. LERUWEN- . REWNVAAN— Beschreibung neuer Gall- miicken aus Java (con fig.). | MassaLONGO ('.— Galle e simili. produ- ee zioni anormali (con fig.). PANTANELLI E.— Un Eriofiide nuovo Lou. UIIL.- An. 1909 _ sull’ Olivo (con fig.). ; 3 De STEFANI T.— Reliquie Delpiniane. Corte J. — Cécidies récoltées à Mone- FASC \]| stier-de-Clermont (Isère). . “TROTTER A.— Bibliografia e Recensioni, (PUBBLICATO IL 20 MARZO 1910) Indici dell’ annata 1909. Errata-Corrige. CD RS AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA IQIO ile, 1 april ti, alla fine d rlunl i I fascicoli I-II dell’ annata 1910 usciranno, A fine di render più facile il compito del Redattore si pregano vivamente i. Signori Collaboratori, avanti l'invio dei manoscritti, di tenere presenti, nel loro stesso interesse, le seguenti avvertenze : 1. I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rac- Le comandazione è rivolta in modo speciale ai Signori Collaboratori esteri. 2. Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta; una seconda impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte sieno state di à una certa importanza. Ulteriori invii non saranno fatti che dietro richiesta degli interessati. 2 3. Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero superiore ai 30, concessi gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l’invio del manoscritto.. a 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non quando ne sia stato - espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. 5. Per |’ uniformità del giornale si pregano i Signori Collaboratori di attenersi alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza, usaudole possibilmente ed uniformemente nei contro indicati casi : carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad Gr es. Cynips coriaria, Fagus silvatica). - £ » MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo; ad es. Löw, E Perla | LES GIRAUD). > 2 » COYSIVO (per i cecidonti nel testo; ad es. Perrisia affinis, Uro- cystis Anemones). » spaziato (per i substrati nel testo; ad es. Quercus cocci- fera, Salvia pratensis). + Der allgemeinen und angewandten Entomologie wie» | Zei me der Jnsekten-Biologie gewidmet . che Chrif} Für par censchaffli | Erscheint Monsticn a wiss. ent jedes Heft etwa 38 - Bi des Jruhuslandes en 10 nsek! Wertvolle ologj le Original Abhandiungen aus dem Gesamtgebiete. Ci Umfassende jährliche Sammelreferate nach Finzelgebieten. Die ganze Literatur erschopfende Berichte. Ein vielseitiger Anzeigenteil. | Ansichtexemplare versendet kostentrei Dr Christoph Schröder,Schoneberg-Beriin D : 6. Paederia foetida L. 7. Panicum nodosum Kunz. 8. Ponzolzia indica Gaud. 9. Sambuens javanica Reinw. 10. Stephania corymbose Meg. li. Bridelia stipularis Bl. 12. Cynodon dactylon Pers. 13. Erythvina lithosperma Miq. 14. Ficus ampelas Burm. 15. » retusa L. var. nitida King. 16. Glochidion molle Bl. 17. Imperata cylindrica Beauv. 18. Leea sambneina Wilid. 19. Mangifera indiea L. 20. » » . Momordica charantia L. — . Panienm uncinatum Raddi. Ww N bo = bo Saprosoma arboreum BI. Vitis trifolia L. te = APHIDAE. 1. Aphide auf Ocimum canum Sism. 2 2. » » Oplismenus compositus Beaur. He » » Schoutenia ovata Korth. 4. » » Stachytarpheta jamaicensis PSYLLIDAE. 2 3 4 1. Auf Ficus ampelas L. . » Eugenia malaccensis Lam. » Loranthus Schuitenii Don. ACARI. 1° 2. Auf Crotalaria saltiana Andt. 3. » Hemigraphis rosaefolius Sm. d. » Ipomaea batatas Lam. 5. » Litsea polyantha Juss. GS Nephrolepis acuta » Cinnamomum Burmanni Bl. Eriophyes Doctersi Nal. auf Cinnamomum Zeylanieum Breyn. A = 4 222 4 > AAAALZAULAAULI 2 24.2 AZ A aA iA 72 Mato 85 . 85 = DIET LATE pe AE zu 21. 22. .» ie Rubus rosaefolius Err. Urena lobata L. Acacia pennata Willd. Cinnamomum iners Bl. Clerodendrum serratum Spreng. Crotalaria alba Heyne » verrucosa L. Fluggea virosa Bth. Gomphostemma phlomoides . Glochidion molle Bl. » » » obseurum » » Hibiseus similis Bl. » tiliacens L. » maerophylius’ Roxh. Justicia adhatoda L. » proeumbens L. Leucas Javana Benth. Melothria perpusilla Cogn. Melastoma polyanthum Bl. Paederia foetida L. Paederia » Pluchea indiea Less. Ruellia repens L. ; 2 Semecarpus heterophylla Bl. Triumphetta rhomboidea Jacq. » » » Wedelia asperrima Benth » » AAA AAA EEE EEE min A A ARE TR IO SVI NE LR e Te RE tt HET >> i> 2 Le + 123 BESCHREIBUNG NEUER GALLMUCKEN AUS JAVA von Prof. Dr. J. J. KIEFFER und W. DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN (Bitsch) (Salatiga, Java) Lasioptera javanica n. sp. IMAGO. % ©. Rot: Flagellum, Mesonotum und Sternum braun ; Mesonotum mit schwarzen Schuppen ; Schwinger weiss; Beine dicht schwarz beschuppt; Abdomen dorsal schwarz beschuppt, Hinterrand der Tergite mit je einer, schwach bogigen , sehr schmalen meissen LIBRARY NEW YOR BOTA NICA GARDEN, Querbinde ; Sternite mit kurzen, breiten Querbinden die aus sehwar-. zen Schuppen bestehen. Taster 4 gliedrig; 1. Glied nicht auf einem Vorsprung sitzend, aber der Gesichtsfläche entspringend, quer, oboval, der ganzen Breite nach mit dem 2. verbunden; das 2. we- nig länger als dick, 3. und 4. etwa 2 '/, mal so lang wie dick. Antennen 2 + 24 gliedrig; Flagellumglieder des © quer, ohne hals- artige Einschnürung, mit 2 kaum sichtbaren Bogenwirteln, die ge- staltet sind wie bei Perrisia; beim 5 sind die Flagellumglieder dentlich aber wenig länger als dick. Fliigelvorderrand sowie die 1. Liingsader und der Cubitus dicht schwarz beschuppt, am Ende des Cubitus betindet sich ein weisser Punkt; der Cubitus ist fast 2 mal so lang wie die 1. Längsader und überragt die Flügelmitte ; die Po- stiealis ist vor der Flügelmitte gegabelt, distale Zinke am Grunde stark gebogen, länger als der Stiel der Postiealis ; proximale Zinke zuerst die Richtung des Stieles fortsetzend , dann schräg zum Hin- terrand laufend. Vordere Femora so lang wie die Tibien, diese dem 2. Tarsenglied gleich ; 3. Glied halb so lang wie das 2., um die Hälfte länger als das 4.; 5. halb so lang wie das 4., 5 mal so lang wie dick ; Krallen zweispaltig, so lang wie das Empodium, Pulvillen fehlend. Zange wie bei Lasioptera iiblich, die mittlere Lamelle kaum länger als die obere, linealförmig, am Ende abgerundet, wenig kürzer als der Griffel, welcher die Länge der Basalglieder nicht erreicht. Legeröhre des © lang hervorstreckbar, dorsal mit zahlreichen gelben, aufrechten Häckchen und Stacheln. Länge: 1,5 mm. 124 NEUE GALLMÜCKEN AUS JAVA LARVE orangegelb, 2 mm. lang; Gräte dunkelbraun und lang gestielt, Erweiterung so lang als breit, vorn breit abgestutzt und in der Mitte mit 2 kurzen, stumpfen, fast queren Zähnen ; Stiel 3 mal so lang wie die Erweiterung. Körper mit diehten, in der Mitte stumpf keglig hervorragenden Wiirzchen; Borsten 3 mal so lang wie ihre Papille; Brust beiderseits von der Gräte fein gekörnelt. LEBENSWEISE. Diese Art erzeugt auf einer Cucurbitacea, M e- lothria perpusilla Cogn., langgestreckte, mehrkammerige Schwellungen der jungen Stengel, Blattstiele, und manchmal auch der Blattmittelrippe. Larve einzeln in den Kammern, wo auch die Meta- morphose zu stande kommt. Imago im Juli aussehlüpfend. — Salatiga und an vielen Stellen in Java gemein. Beschrieben und abgebildet wurde diese Galle in dieser Zeitschrift Vol. VIII (1909), p. 29, fie. 8. Asphondylia viticola n. sp. Imago. Fleischrot; Flagellum schwarzbraun ; drei Längsbinden auf dem Mesonotum und einige Flecken auf den Pleuren schwarz ; 3eine dicht schwarz beschuppt ; Zange schwarz. Taster dreigliedrig, 1. und 2. Glied so lang wie dick, 3. fast doppelt so lang wie die zwei ersten zusammen. Flagellumglieder beim Männcheu etwa 5 mal so lang wie dick, dieht und wenig abstehend behaart, mit den bei dieser Gattung gewöhnlichen, geschlängelten Bogenwirteln (12. Glied abgebrochen !) Beim © sind die Flagellumglieder allmählich kürzer , walzenrund wie beim 5%, ohne Bogenwirteln, das 1. etwa 6 mal so lang wie dick, das 10. noch 2 */, mal, das 11. um die Hälfte länger als dick, das 12. vollkommen kuglig. Flügel ohne deutliche Quera- der; Cubitus gerade und in die Flügelspitze mündend, der Vorder- rand an dieser Stelle unterbrochen , proximale Zinke der Postiealis sehr schräg. Femora unterseits mit langen, abstehenden Haaren, die hinteren Femora bis zur Hinterleibsspitze reichend, kaum länger als die Tibien, welche so lang als das 2. Tarsenglied sind; 5. Tarsen- glied 3-4 mal so lang wie dick. Zange und Legeröhre wie gewöhn- lich. Länge %: 3 mm. NYMPHE. Von den meisten Asphondylia-Nymphen unterscheidet sich diese Art durch die stärkeren aculei ; die beiden aculei frontales bo a KIEFFER UND LEEUWEN-REIJNVAAN 1 sind lang und spitz, der aculeus facialis , die beiden nebeneinander liegenden aculei sternales , sowie der aculeus pectoralis sind etwas kleiner, gleiehlang und sehr scharf. Scheitelborsten schwach und nur halb so lang wie die aculei frontales; Stigmen des Thorax wenig kürzer als die aculei frontales, sehr dünn und bogig nach aussen gekrümmt. Körper gestreckt, 5: 4 mal so lang wie dick. LEBENSWEISE. Diese Art erzeugt Stengelschwellungen auf V i- tis trifolia L. Dieselben erscheinen als einseitige Knoten oder 3eulen, mit einem Durchmesser von etwa 10 mm.; in der inneren, braunen und schwammigen Substanz liegen mehrere kleine Larven- kammern. Oft sind mehrere Schwellungen zusammenstossend oder zusammenfliessend ; es entsteht alsdann eine einzige, unregelmässige, bis 50 mm. lange Schwellung. (Vel. dieser Zeitschrift Vol. VIII p. 118 n. 88 fig. 48). Die Metamorphose findet in der Galle statt und die Imago erscheint gegen Ende Oktober. — Salatiga. Orseolia javanica n. sp. IMAGO. Fleischrot; Flagellum, Thorax mit Ausnahme der Pleuren, und breite Querbinden auf den Tergiten, dunkelbraun ; Beine bräun- lichgelb. Augen breit zusammenstossend. Palpen 3 oder 4 gliedrig , das 1. Glied kaum länger als dick, von einem kurzen, queren Fort- satz ausgehend; 2. Glied 2'/, mal so lang wie das 1.; 3. Glied beim 9 wenigstens doppelt so lang wie das 2., aus zwei miteinander verwachsenen Gliedern zusammengesetzt, deren proximales etwas kürzer als das distale ist; beim 5 ist das 4. Glied von 5. deutlich getrennt. Antennen 2 + 12 gliedrig, mit einem kurzen Anhang, der als 15. Flagellumglied aufgefasst werden könnte; 1. Glied umgekehrt keglig, fast doppelt so lang wie das 2., welches kaum quer ist; 1. Flagellumglied mit dem 2. nicht verwachsen. Beim g sind die An- tennen länger als der Körper ; Flagellumglieder (Fig. 1) aus zwei Knoten zusammengesetzt , deren unterer kuglig, der obere dagegen langgestreckt und etwas unter der Mitte stark eingeschnürt ist, die stielartige Einschnürung zwischen den beiden Knoten, sowie am Ende des oberen Knotens etwa gleichlang, an den ersten Gliedern so lang wie der kuglige Knoten, an den übrigen aber deutlich länger ; die 3 Bogenwirtel, von denen 1 am unteren Knoten und 2 am oberen 126 NEUVE GALLMÜCKEN AUS JAVA vorkommen, sind ebenfalls gleichlang, hyalin, und nur etwa so lang wie der kuglige Knoten; die Borsten sind dagegen gelb, kräftig, Lì 2-3 mal so lang wie die Bogenwirtel, sie bilden aber keine eigent- L k J fa J f Fig. 1. 12. Flagellumglied des 5; Fig. 2 und 3, 2. und 12, Flagellumglied 4 des 9; Fig. 4, Zange. liche Wirtel, sondern kommen an beiden K noten zerstrent vor; der | Anhang ist vom 12. Glied "getrennt, seine Gestalt elliptiseh und in einen langen griffelartigen Fortsatz verlängert (Fig. 1). Beim & sind die Flagellumglieder (Fig. 2) lang gestreck, 3-4 mal so lang wie dick, nach dem proximalen Viertel schwach eingeschniirt , der proximale Teil etwa so diek wie der distale, die halsartige Einsehnitrung am Distalende etwa ein Drittel der Länge des Gliedes erreichend ; Bor- sten auf dem ganzen Gliede zerstreut, ausgenommen an der Einseh- nürung; Bogenwirtel in den 2 distalen Dritteln der Glieder vorhan. KIEFFER UND LEEUWEN-REIJNVAAN 127 den und gestaltet wie bei Asphondylia, etwa 5 geschlängelte Ringe bildend, welche untereinander durch geschlängelte Längsfiden ver- bunden sind; Anhang des 12. Gliedes spitz eirund, mit zahlreichen, sehr langen Borsten (Fig. 3), Flügel glashell, Vorderrand behaart , Querader scbief und die 1. Längsader wenig vor der Mitte treffend ; Cubitus schwach bogig, hinter die Flügelspitze miindend ; Vorderrand nieht unterbrochen ; Zinken der Postiealis kurz, die proximale fast senkrecht, die distale stark bogig und wenig deutlich. Beine des œ doppelt so lang wie der Körper, Hintertibien so lang wie die Fe- mora, 2. Tarsenglied um '/, länger als die Tibien, fast um die Hälfte länger als das 3. Glied ; dieses kaum doppelt so lang wie das 4.5 5. halb so lang wie das 4., etwa 8-10 mal so lang wie dick; Krallen einfach, kaum kürzer als das breite Empodium ; Pulvillen fehlen. Abdomen des 5 doppelt so lang wie der übrige Korper; Zange (Fig. 4) dick, Endglieder gleichbreit, 3-4 mal so lang wie dick, fein behaart ; obere Lamelle kurz und 2 lappig; mittlere Lamelle länger, fast die Spitze der Basalglieder erreichend, am Ende abgerundet ; Griftel kürzer als die mittlere Lamelle aber länger als die obere. Abdomen des © 3 mal so lang wie der übrige Körper, nach hinten allmählich verengt, mit 2 kleinen, von einander abstehenden, im Umriss eirun- den Lamellen. Lange 0: 4 mm., ©: 6 mm. LEBENSWEISE. Diese mit der in Italien vorkommenden Orseolia eynodontis sehr nahe verwandte Art, lebt auf Imperata cy lin- drica Beauv. (I. arundinacea Cyr.), unter den Blattscheiden, in der Nähe des Halmgrundes. (Vgl. die Beschreibung und Abbildung in dieser Zeitschrift Vol. VIII, p. 102, n. 57, fig. 32). Die Imago erscheint im Januar.— Salatiga. BEMERKUNG. Wegen der grosser Aehnlichkeit dieser Gallmiicke mit O. cynodontis vermute ich, dass beide Arten auch in der Lebens- weise iibereinstimmen und dass die mir mitgeteilten Angaben über die Nährpflanze auf einem Irrtum beruhen. Clinodiplosis graminicola n. sp. IMAGo. 79. Fleischrot ; Flagellum und Beine bräunlieh, Dor- salseite des Thorax von unten gesehen und breite Binden auf der 128 NEUE GALLMÜCKEN AUS JAVA dorsalen und ventralen Seite des Abdomens braun; die dorsalen Binden sind quer und werden noch hinten allmählich breiter; die 1. ventrale Binde ist ebenfalls quer und bandförmig, die 4 folgenden so lang wie breit, hinten abgestutzt, vorn keglig, 6. und 7. Sternit nur mit Spuren einer Querbinde. Augen breit zusammenstossend. Palpen 4 gliedrig, 1. Glied kaum länger als dick, 2. etwas länger als das 1. kürzer als das 3., welches 2 mal so lang wie dick ist, 4. doppelt so lang wie das 3. Die beiden ersten Flagellumglieder verwachsen ; beim 5 haben die Flagellumglieder (Fig. 5) 5 Bogenwirtel und 2 Borstenwirtel, die Bogenwir- tel erreichen die Länge des proximalen Knoten, die Borstenwirtel sind dreimal so lang wie die 3ogenwirtel; proximaler Knoten am 1. Gliede eirund, an den übrigen kuglig ; distaler Knoten etwas mehr als 2 mal so lang wie dick, unter der Mitte stark eingeschniirt ; Einschnürung zwischen den beiden Knoten am 1. Glied kaum länger als diek, an den folgenden so lang oder etwas länger als der proximale Kno- ten, Einschnürung am Dista- lende der Glieder kaum län- ger als die Einschnürung Fig. 5. Mittleres Flagellumglied des 5; zwischen den beiden Kno- Fig. 5. Flagellumglied des © ; ss. Po ni g sind die. Flagell- Fig. 7. Zange von unten gesehen. umglieder (Fig. 6) fast wal- zenformig, unter der Mitte nur sehr schwach eingeschnürt , wenig- stens 3 mal so lang wie dick, mit 2 langen Borstenwirteln, ausserdem mit kürzeren und zerstreuten Borsten zwischen den 2 Wirteln; Bo- genwirtel zu 2 und gestaltet wie bei Perrisia. Flügelvorderrand behaart ; Querader blass, sehr schief, die 1. Längsader nach dem proximalen Drittel treffend ; Cubitus bogig, hinter die Flügelspitze miindend, Vorderrand an dieser Stelle unterbrochen ; proximale Zinke der Posticalis fast senkrecht. Beine 2 mal so lang wie der Körper ; vordere Tibien wenig länger als die Femora, so lang wie das 2. Tar- senglied ; 3. Glied halb so lang wie das 2., um die Hälfte länger als das 4.; 5. kaum die Hälfte des 4. iiberragend, 8 mal so lang N° Dre pete À 7 TA „0“ ai 4 . KIEFFER UND LEEUWEN-REIJNVAAN 3 129 wie dick; Krallen einfach, se lang wie das Empodium, Pulvillen fehlen. Abdomen des © 2%, mal so lang wie der übrige Körper ; Legeréhre wenig länger als dick, die 2 Lamellen 2 mal so lang wie in der Mitte breit. Zange (Fig. 7) ziemlich dick; Endglieder halb so lang wie die Basalglieder, dünn, bogig, allmählich verengt ; obere Lamelle durch einen spitzen Einschnitt in 2 zugespitzte Lappen ge- teilt; mittlere Lamelle kaum linger als die obere, linealisch, am Ende abgerundet ; Griffel die mittlere Lamelle kaum überragend, so lang wie die Basalglieder. Länge o: 2,5 mm., ©: 3,5 nm. LEBENSWEISE. Erzeugt auf Cynodon Dactylon L. Trieb- spitzengallen , welche mit den, auf derselben Pflanze, von Orseolia eynodontis Kiett. & Massal. erzeugten Missbildungen vollkommen übe- reinstimmen. (Vel. die Bemerkung bei Orseolia javanica n. sp.). — Salatiga. Clinodiplosis paederiae n. sp. IMAGO. Blassgelb oder weisslichgelb ; Flagellum braun. Palpen 4 gliedrig, die Glieder allmählich verlängert, das Endglied 4 mal so lang wie dick. Antenne beim Männchen etwas länger als der Körper; 1. Grundglied umgekehrt keglig. das 2. fast kuglig ; die 12 Flagellumglieder bestehen aus zwei Knoten: am 1., welches mit dem 2. ver. wachsen ist, zeigt der proximale Knoten eine eirunde Gestalt, der distale Knoten ist dagegen walzenrund wie an den folgenden und 1 ‘|, mal so lang wie diek : die stielartigen Einschnürungen zwischen den beiden Knoten sowie zwischen dem 1. und 2. Gliede sind bedeutend kürzer als der distale Knoten; an den folgenden Gliedern ist der proximale Knoten fast kuglig, kaum quer; der distale Knoten des Endglie- des ist doppelt so lang wie diek, und trägt einen Fig. 8, die 2 End- STA TENZA fein behaarten, kegligen, getrennten Anhang, der als glieder der An- WE f è is dos: 13. Glied aufgefasst werden könnte; an allen 12 Flagellumgliedern ist der proximale Knoten dureh einen hyalinen , feinen Bogenwirtel und einen kräftigeren , doppelt so langen, gelben Borstenwirtel geziert, während der distale Kno- ten basal einen Bogenwirtel, apical einen Bogenwirtel und einen > ; È doppelt so langen Borstenwirtel trägt (Fig. 5); diese drei Bogen- > ? > 130 NEUE GALLMÜCKEN AUS JAVA wirtel eines jeden Gliedes sind verhältnissmässig kurz und errei- chen nicht die Liinge eines distalen Knotens. Beim Weibchen, sind die 12 Flagellumglieder walzenrund, wenigstens zweimal so lang wie dick, mit zwei langen Borstenwirteln geziert und in einen stiel- artigen Fortsatz auslanfend, welcher die halbe Länge des Gliedes erreicht. Flügel mit behaartem Vorderrand ; Querader in der Mitte der 1. Längsader ; Cubitus bogig gekrümmt, weit hinter der Flügel- spitze mündend, die Costa an dieser Stelle nicht unterbrochen ; Postiealis kaum sichtbar. Beine mit anliegenden schwarzen Haaren, Hintertibia so lang wie der Femur, etwas kürzer als das 2. Tarsenglied , dieses um ?|, länger als das 3.; 4. um ‘|, kürzer als das 3., 2 ‘|, mal so lang 12 2 wie das 5.; welehes 5-6 mal so lang wie dick ist; Krallen einfach, länger als das Empodium. Fig. 9, Zange. Kndglieder der Zange (Fig. 9) lang und diinn, schwach bogig; obere Lamelle mit zwei schief von innen nach aussen ansgeschnittenen Lappen ; mittlere Lamelle einfach, die obere weit überragend , schmal, an der hinteren Hälfte etwas breiter und eirund ; Griffel viel länger als die mittlere Lamelle. Legeröhre des Weibehens nicht ausstülpbar, mit zwei schmalen, lan- zettlichen und parallelen Lamellen. Länge %: 1,5 mm., ©: 2 mm. NYMPHE. Stirn ohne deutliche aculei frontales; Stigmen des Thorax sehr lang, bogig nach aussen gekrümmt und allmählich ve- rengt. Spinulae dorsales einfach, gelb, nur 1 oder 2 Querreihen vor der Mitte der Tergite bildend ; im übrigen sind die Hinterleibsseg- mente mit feinen, stumpfen und zerstreuten Wiirzchen gekörnelt. LEBENSWEISE. Die von dieser Micke erzeugte Galle befindet sich auf Paederia foetida L. und wurde in dieser Zeitschrift (Vol. VIII p. 31 n° 17 fig, 12) beschrieben und abgebildet. Dieselbe besteht aus einer Deformation eines Blattes, welches stark verdickt, sehr dieht und abnorm behaart , und von beiden Seiten nach oben so eingerollt ist, dass seine Gestalt einer Oypraea-Muschel ähnlich erscheint ; meist aber nimmt die Blattspitze keinen Anteil an der Hypertrophie noch an der übrigen Missbildung; manchmal zeigt nur eine Blatthälfte die involutive Randrollung und die andere Hälfte Er ANT + er CS KIEFFER UND LEEUWEN-RELINVAAN RE NT PEN UT bleibt normal. Die innere Gallenwand , an der die Larven saugen, ist unbehaart und glänzend.— Salatiga. Courteia (n. g.) graminis n. sp. Imago. ©. Rot; Flagellum und 3 Binden des Mesonotum braun, die mittlere Binde hinten abgekürzt: Beine blass rötlich. Kopf von vorne gesehen höher als breit, Augen oben breit zusammenstossend, Mund sehr kurz. Palpen 2- gliedrig; 1. Glied quer, umgekehrt keglig, dem flachen Gesicht und nieht einem Vorsprung desselben aufsitzend; 2. Glied 2 mal so lang wie dick, die Spitze des Mundes nicht errei- chend. Antenne 2 + 12, respective 2 + 13 gliedrig; 1. Glied wenig länger als dick, umgekehrt keglig; das 2. kaum quer; die beiden ersten Flagellumglieder miteinander verwachsen, das 1. ein wenig langer als das 2., walzenrund, 4 mal so lang wie dick, die folgenden etwas mehr als 3 mal so lang wie dick, alle mit 3 Borstenwirteln , welche die Länge eines Gliedes erreichen, und mit 2 kaum vorragenden, wie bei Perrisia ge- stalteten, durch je 1 geschlängeten Längsfaden verbundenen Bogenwirteln (Fig. 10); vom 2. ab, sind die Geisselglieder über dem Grunde kaum merklich eingeschniirt; halsartige Einschnürung am Distalende des 1. und 2. Flageilumgliedes ein Drittel der Gliedlänge erreichend , an den übrigen erreichen sie wenigstens die Hälfte, mit Ausnahme des 12. Gliedes, dessen Hals quer und vom Anhang deutlich getrennt ist; Fig, 10, die 2 Endglie- der Anhang ist spindelförmig,, länger als die der der Antenne. Hälfte eines Gliedes, fein behaart, mit einem langen Borstenwirtel. Flügelvorderrand behaart; Cubitus gebogen, hinter die Spitze mündend, Vorderrand an dieser Stelle unterbrochen ; distale Zinke der Posticalis die Richtung des Stieles fortsetzend, die proximale kurz und fast senkrecht. Vorderbeine fast 2 mal so lang wie der Körper, ihre Femora wenig länger als die Tibien; 2. Tarsenglied halb so lang wie die Tibien, fast 2 mal so lang wie das 3.; 4. Glied kaum länger als die Hälfte des 3., fast 2 mal so lang wie das 5., dieses 5 mal so lang wie dich; Krallen einfach, fast 132 NEUE GALLMÜCKEN AUS JAVA gerade, so lang wie das Empodium, Pulvillen fehlend. Abdomen 2 "|, mal so lang wie der übrige Körper, nach hinten allmählich verengt ; Legeröhre wenig länger als dick; Lamellen abstehend, etwas mehr als 2 mal so lang wie breit. Länge : 3,5 mm. -—- Diese Gattung ist meinem ehemaligen Kollegen, Domherrn COURTE (Metz) gewidmet. LEBENSWEISE. Die Larve dieser Gallmücke lebt auf Panieum nodosum Kunz., in walzigen oder verlängert eiförmigen, lang und abstehend behaarten, S mm. langen und 3 mm. breiten, am Ende in eine lange Spitze auslaufenden Gallen, welche einzeln, zwischen dem Halm und einer Blattscheide vorkommen ; Imago am 10. April. Diese Gallen wurden beschrieben und abgebildet in dieser Zeitschrift Vol. VIII p. 32, fig. 13.— Salatiga. er ee ° 133 Dott. C. MASSALONGO (ALLE E SIMILI PRODUZIONI ANORMALE. Le galle qui descritte furono in parte da me raccolte durante lo scorso anno, ed in parte mi vennero comunicate da altri. Tutte offrono un certo interesse sia per il loro substrato, sia per la loca- lità nuova; la descrizione di alcune di esse trovasi per la prima volta corredata da disegni. Oltre a queste produzioni di origine pa- rassitaria ho descritto ed illustrato nel presente articolo una cloranzia di Pisum sativum L., di natura molto dubbia, nonchè delle escrescenze e tumori caulini o rameali di Phlox paniculata L., che sebbene di carattere teratologico, però per il loro aspetto potrebbero facilmente scambiarsi per delle vere galle. Athamanta cretensis L. 1. Asterolecanium sp. — (Fig. 1 e 2). Ingrossamenti più o meno allungati e sempre variamente con- torti, situati sul picciuolo, piccioletti o rachide delle foglie. In cor- rispondenza della concavità della regione ipertrofizzata giace il pa- rassita. Rupi del mt. Baldo presso il Santuario della Madonna della Corona; 17 Luglio 1909 (A. Forti). Campanula Trachelium L. 2. Eriophyes (Phytoptus) sp. — Houard, Zoocécid. Pl. Europ. et du Bassin de la Meditérr. II, p. 949 n. 5500. Foglie dell’ estremità del fusto di giovani piante, accartocciate verso la pagina superiore, ed affette da anormale pilosismo. Mt. Baldo sopra il paesetto di Ferrara; 17 Luglio 1909. € 4 we Re ss ae à eos oh ee 134 C. MASSALONGO Fraxinus Ornus I. 3. Eriophyes (Phytoptus) sp. — Honard, Zoocécid. Pl. Europ. et du Bassin de la Meditérr. II, p.,804 n. 4653. Anormale pilosismo sul rovescio delle foglioline, lungo la costa mediana e la base delle nervature secondarie, il quale interessa di solito la metà inferiore della lamina delle stesse. I tricomi del ce- eidio, fra i quali vivono i fitotti, sono di color fulvo, pachidermici, assottigliati alla loro estremità (analogamente a quelli dei Phylle- rium), nonchè formati da più cellule uniseriate. L’ area da essi oe- cupata, specialmente sulla pagina dorsale delle foglioline, è seolorata. Comunemente nella valle di Tregnago, prov. di Verona. Oss. Sebbene da tempo fosse a me nota questa produzione anor male, però esitai a considerarla di natura parassitaria, perchè fino ad ora non ero riuscito di constatarvi la presenza del cecidozoo. Quì ricorderò che i tricomi del cecidio sono pressochè identiei ai peli decidui che proteggono le giovanissime foglie appena uscite dalle gemme. Per questo motivo, come pure avuto riguardo alla situazione di tali trieomi, ritengo che quest’ ultimi non siano da ritenersi delle neoformazioni, ma piuttosto rappresentino quei peli che rivestivano le giovani foglioline, i quali sotto VP azione del parassita divennero persistenti e più o meno ipertrofici. Galium baldense Spr. 4. Phyllocoptes anthobius Nalepa.-— Massal. C,, Sopra alenne milbogalle nnove per la FI. d’ Italia, in Malpighia vol. XV n. 33, Genova 190i; Kieff., Syn. Zoocécid. Europ. p. 327; Honard, Zoocécid. PI. Europ. et du Bassin de la Mediterr. TI, p. 909 ar. 5247, I fiori di questa pianta venendo nei primordi del loro sviluppo infetti dal cecidozoo, degenerano in glomeruli di gemme fogliacee ‘cloranzia), costituiti da minuti fillomi embricati. Sul mt. Baldo non lungi dalla « Cima Telegrafo » ; 15-16 Luglio 1909. H GALLE E SIMILI PRODUZIONI ANORMALI 135 Galium lucidum All. 5. Aphido-cecidio. — Fiori anormalmente agglomerati, per arresto di sviluppo in lun- ghezza dei pedicelli e ramificazioni delle infiorescenze ; corolla in di. verso grado virescente, la quale inoltre rimane per lo più chiusa. Falde del mt. Belloca sopra il paesetto « Finetti » prov. di Verona, giugno 1909. Galium sylvaticum L. 6. Phyllocoptes anthobius Nalepa. — Kieff., Syn. Zoocécid. Europ., p. 32 Houard, Zooeeeid. Pl. Europ. et du Bassin de la Meditérr. II, p. 903 n. 5241. Cloranzia od agglomerazioni di minuti fillomi densamente em- bricati, prodottisi in luogo dei fiori per impulso del parassita. Mt. Baldo, prov. di Verona, sopra il paese di Ferrara: 17 Luglio 1909. Genista cinerea DC. 7. Perrisia genisticola Fr. Löw ? (Fig. 3). Acrocecidio gemmiforme, ovato o subfusiforme, circa 8-14 mill. lungo e 5-8 mill. di diametro; esso è costituito da fillomi mostruosi, molto più grandi delle foglie normali, embricati ed anormalmente pu- bescenti. Di questi fillomi gli esterni dalla basé verso V apice del cecidio aumentano gradatamente di grandezza, mentre gli interni sono al paragone piccoli ed in parte scolorati. E° nell ascella di questi ultimi che si annidano alcune larve del parassita, di cui la spatula sternale è profondamente divisa in due denti i quali, del pari dell’ insenatura ad essi interposta, sono triangolari. Metamorfosi nel terreno. Colle Ferrion presso Nizza; ott. 1908 (A. Goiran). Inula britannica L. 8. Urophora Maura Franenf. o Myopytes tenella Franenf. — Kietf., Syn. Zoo- eéeid. Europ. p. 343; Houard, Zoocéeid. PI. Enrop. et du Bassin de la Me- ditérr. II, p. 970 n. 5618-5619. Il ricettacolo © elinanto dell’ infiorescenza subisce un ingrossa- mento più o meno grande ed irregolare, nello spessore del qnale tro- vansi scavate per lo più 2-3 loggie larvali, di cui la situazione è resa palese d’ ordinario, da altrettante sporgenze emisferiche 0 co- niche, sulla superficie del ricettacolo infetto dal parassita. Le cala- tidi gallifere di solito appariscono più o meno sformate, però por- tano, come sembra, flosculi e semiflosculi normali. Dintorni della città di Ferrara; autunno 1909 (A. Ferrioli). Oss. Le galle da me esaminate su questa pianta erano di già abbandonate dal cecidozoo e perciò non ho potuto verificare se fos- sero il prodotto dell Urophora Maura, ovvero della Myopytes teneila, essendochè queste due specie di ditteri, provocano identiche defor- mazioni. Medicago tribuloides Desr. 9. Perrisia ignorata Wachtl. Gemme ascellari, più di rado terminali, ipertrofizzate, di forma ovoidea e costituite essenzialmente da stipule dilatate ed embricate, ma senza anormale pilosismo. — Larve gregarie. Luoghi sabbiosi lungo il mare presso Viareggio; Maggio 1895 (S. Sommier). Moehringia Ponae Fenz. 10. Eriophyes (Phytoptus) sp.— (Fig. 4).-- Trotter, in Marcellia vol. VII (1908), p. 120 n. 13; Houard, Zooeécid. Pl. Europ. et du Bassin de la Meditérr. II, p. 1063 n. 6222. Per impulso del cecidozoo, le foglie più o meno carnose di que- sta pianta, invece di presentarsi allungato - cilindriche, appariscono bratteiformi, subovate, di poco più lunghe che larghe, nonchè fra loro embricate per arresto di sviluppo degli internodii. I germogli infetti LE Ex re) Dr | oe) RER IR ee PE PRODUZIONI ANORMALI prendono perciò aspetto gemmaceo. Sovente vengono influenzati dal parassita i bottoni fiorali ancora giovanissimi, i quali degenerano in gemme o glomeruli fogliacei (cloranzia), oppure i fiori che ne deri- È ja Ta Athamanta cretensis L. — Fig. 1-2, foglia e parte di essa col rachide o base delle sue ramificazioni qua e la anormalmente inspissite per azione del cecidozoo. Genista cinerea DC. -- Fig. 3, due rami che portano all’ apice il ceeidio di P e r- risia sp., descritto al n. 3. Moehringia Ponae Fenz. — Fig. 4, germoglio coi rami, foglie e fiori deformati da Phytoptus sp. Pisum sativum L. — Fig. 5, frammento di fusto con una foglia fiorale nell’ascella della quale il peduncolo invece di terminarsi con dei fiori, porta un glomerulo anormale di minuti fillomi bratteiformi. Phlox paniculata L. — Fig. 6, frammenti di fusto e rami portanti alla loro super- ficie delle escrescenze e tumori galliformi. NB. Le fig. 1-6 a-d sono riprodotte pressochè in grandezza naturale, la fig. 6d è ingrandita circa 6 volte. DA ur VO E fr TT | | ( LÀ vano sono mostruosi e coi petali in diverso grado virescenti, e gli stami atrofici. A cio si aggiunga che, di solito. tali fiori deformati sono proliferi, danno cioé origine, per prolificazione centrale od ascel- lare, ad altri fiori, oppure a germoglii fogliiferi tanto gli uni che gli altri mostruosi. Rupi presso il Santnario della Madonna della Corona, sul Mt. Baldo, provincia di Verona; Luglio 1909 fA. Forti). Oss. Questo cecidio scoperto da A. ForTI ad Avesa presso Ve- rona, fu per la prima volta descritto da A. TROTTER (in L s. €.). I miei saggi provenendo da un’ altra località della stessa provincia, ho creduto opportuno io pure di fare un breve cenno di questo raro cecidio, aggiungendo alla descrizione un disegno illustrativo. Pisum sativum L. 11. Zoocecidio ? (Fig. 5). Sopra una pianta coltivata di questa faseolacea, all’ estremità di tutti i peduncoli delle infiorescenze in luogo dei fiori si era svi- luppato un glomerulo più o meno lobato, che risultava di nnmerosi fillomi bratteiformi, ed era della grandezza d’ una piccola avellana. Nella ascella di tali fillomi prolificavano delle produzioni gemmiformi costituite da minute squame ed escrescenze carnosette, assai poli- morfe. Nel sno complesso la deformazione simula le cloranzie che p. e., sopra varie specie di Campanula, sono il prodotto di fi- toptidi; per questa rassomiglianza Ja considero come un zoocecidio, quantunque molto dubbiosamente , essendoche non rinvenni traccia di fitoptidi, nè di altra sorta di parassiti, a cui con certezza si po- tesse attribuire questa anomalia di sviluppo. Soltanto una volta trovai fra i fillomi del supposto cecidio, la larva di un coleottero che era fornita di zampe bene sviluppate, ma questo reperto lo ri- ritengo affatto accidentale e perciò senza aleun rapporto coll’eziologia dell’ alterazione in parola. Ricordero che ia forma o varietà coltivata di pisello sulla quale osservai la mostruosità surriferita, era fornita di foglie fiorali semplici, pressochè delle dimensioni delle stipule ri- spettive. Dintorni di Modena in un orto: Gingno 1909 (V. Peglion). + / GALLE E SIMILI PRODUZIONI ANORMALI 139 Polygonum Convolvulus L. 12. Aphido-cecidio.— Kiett., Syn. Zoocécid. Europ. p. 386; Houard, Zoocécid. Pl. Europ. et du Bassin de la Mediterr. I, p. 385 n. 2172. Arricciamento verso la pagina inferiore del margine delle foglie o pressochè di tutta la lamina delle brattee. Tanto le une che le al- tre in corrispondenza dell’anormale ripiegamento, sono qua e là sco- lorate e più 0 meno increspate. Dintorni di Verona « al Porto » ; estate 1909. 7 Salix arbuscula I. 13. Rhabdophaga salicis H. Löw.; Kiett., Syn. Zoocécid. Europ. p. 491; Houard, Zoocécid. Pl. Europ. et du Bassin de la Mediterr. I, 178 n. 950 et fig. 170. Per lo più verso I’ estremità dei ramoscelli annuali, genera delle galle pluriloculari, subglobose, ovate od anche irregolarmente oblungo- subfusiformi, che misurano in diametro da 8-10 mill. e circa 1-1.5, cent. di lunghezza. Sono di consistenza carnoso-coriacea, glabre e di color verde-giallognolo, come la corteccia dei ramoscelli su cui tro- vansi; col diseccamento però assomono una tinta subrubiginosa. Le foglie che si incontrano qua e là sulla loro superficie sono punto o poco atrofiche e sviluppano all’ ascella sovente una gemma. Le larve rossastre del cecidozoo si metamorfosano entro il cecidio e gli insetti alati sciamano attraverso altrettanti tori praticati sulla parete della galla. Sul mt. Baldo, prov. di Verona, sotto la Cima Tetegrafo; Luglio 1909 (A. Forti). Silene nutans L. 14. Aphido-cecidio. Le foglie apicali dei germogli sterili o stoloni della base del fusto, sono scolorate ed accartocciate verso la pagina superiore. Mt. Baldo, prov. di Verona, al di sopra del paesetto « La Ferrara »; 17 Luglio 1909. 140 C. MASSALONGO Vicia Cracca L. 15. Contarinia craccae K.eft., Syn. Zooedeid. Europ. p. 50: Massal. C., Nuova Joutrib. alla conoscenza zoocecid. Nizzardo in Marcellia vol. VI, p. 43 n. 41; Houard, Zoocécid. Pl. Europ. et du Bassin de la Meditérr. II, p. 636 n. 3721. Deformazione ipertrofica dei fiori. Il calice presentasi il doppio più grande del normale, ed è longitudinalmente aperto da un lato; la corolla resta chiusa ed è globoso-rigonfiata alla base, coi petali in questa regione anormalmente inspissiti, ciò che si osserva ancora per la guajna formata dalla conerescenza dei 9 stami adelfici, nonchè per il filamento dello stame libero superiore. Larve gregarie, sub- aranciate, che si metamorfosano nel terreno. Luoghi elevati del mt. Belloca sopra il paesetto Finetti, prov. di Verona; Giu- gno 1909. APPENDICE - Phlox paniculata L. 16. Sopra alcuni fusti e rami (Fig. 6) di questa specie di pianta, i quali però non so se provengano da uno 0 più individui, osservai la anormale produzione di nodosità od escrescenze emisferiche sub- globose e sovente lobate (Fig. 6 a), che erano di grandezza divers: e distribuite differentemente. Queste escrescenze galliformi infatti , talvolta si trovavano irregolarmente disperse, isolate od anche con- fluenti, oppure esse erano allineate, 6 spesso concrescenti, in serie longitudinali sopra uno od i due lati opposti dei fusti o rami (Fig. 6 0). In ogni caso queste anormali produzioni misuravano in diametro da 1-6 mill. Più di rado, ed allora sempre in prossimità delle ramifica- zioni del fusto, si incontravano invece dei tumori (Fig. 6 e-d) al pa- ragone molto più voluminosi, che interessavano pressochè tutta la periferia dei rami, ed erano più o meno fortemente tubercolosi alla superficie. Tali tumori, della grandezza di una avellana, evidente- GALLE E SIMILI PRODUZIONI ANORMALI 141 mente risultavano dalla agglomerazione e conerescenza delle surri- ferite escrescenze. Non avendo trovato veruna traccia di parassiti , ai quali si potessero ascrivere le alterazioni in questione, ritengo che esse sieno di carattere teratologico e riferibili ad un caso di incipiente rizomania caulina. Tratterebbesi cioè dell’ anormale proli- ferazione di primordi di radici avventizie, solitari od affestellati, nonchè sovente concrescenti, i quali unitamente alla corteccia iper- trofizzata, degenerano nelle teratologiche formazioni quì descritte. Va però notato che simile degenerazione, specialmente nelle esere - scenze isolate, non raggiungeva sempre un grado tale da masche- rarne completamente la loro natura. Esaminando infatti numerose sezioni mediane longitudinali delle anzidette escrescenze (Fig. 6 c-d), ne rinvenni aleune dove chiaramente si constatava che in loro cor- rispondenza il tessuto corticale più o meno ipertrofizzato, ricopriva a mò di sacca coleorizica un primordio o rudimento di radice, il quale traeva la sua origine in vicinanza della zona cambiale del ramo. A maggior dimostrazione di quanto fu esposto, ricorderò infine che sebbene rare volte, tali primordi ulteriormente crescendo , dopo aver rotto la guajna corticale, si sviluppavano in vere radici avven tizie aeree (Fig. 6 a, c d). Il Ch. prof. E. KÜSTER nella sua classica opera « Pathologische Pilanzenanatomie » segnala delle patologiche escrescenze che vengono definite quali: « Wurzelanlagen zu Knolligen Geschwiilten ausge- wachsen »; come sembra, il caso quì descritto dovrebbe subordinarsi a questa categoria di alterazioni. In un giardino di Torino ; antunno 1909 (0. Mattirolo). E. PANTANELLI UN ERIOFIIDE NUOVO SELL OLIVO Nella regione Piedimonte presso Terni numerosi oliveti, appar- tenenti a parecchi proprietarii, sono stati colpiti quest’ anno da una malattia, che le persone del Inogo dànno per nuova. Sotto la gnida del Prof. SEGARELLI, direttore della Cattedra di Agricoltura di Terni, il quale richiamò per primo I’ attenzione della nostra Stazione sopra questo nuovo flagello, ho visitato quella contrada nell’ Agosto 1909. Si trattava di circa 20000 olivi malati, tutti riuniti in una zona longitudinale, in forte pendìo, a pie del monte, fra 250 e 300 m. di altitudine, esposta a S e riparata dal monte contro i venti di N, non tanto contro quelli di E. Il terreno è nn residuo di antichi detriti sub-lacustri, argilloso-caleareo, ma molto ghiaioso e profondo, poroso ed asciutto, eccellente per lV’ olivo. Da lontano si riconoscevano gli oliveti malati per un colore ros- sastro-rugginoso delle chiome, che contrastava col verde cupo degli oliveti sani sottostanti, gli uni e gli altri a base di olivo morajolo. Da vicino colpiva } aspetto rachitico e strano di quasi tutti i germogli, tanto bassi come alti. Essi mostravano nanismo, fascia- zione, Cladomania, frequente dicotomia. Al posto dei rametti fiorali si trovavano per lo più brevi germogli vegetativi (fig. 1), rachitici , a foglioline minuscole deformate, con numerose gemme irregolarmente distribuite, più 0 meno sviluppate. La perdita del frutto era quindi totale. Dove qualche rametto fiorale non era stato colpito da vire- scenza, Si osservavano alenne olive verdi, piccole, ma col pericarpio fortemente grinzoso. Esse però costituivano un’ eccezione e si trova- vano solo al confine dell’ oliveto malato con I’ oliveto sano. Le foglie, tanto quelle dei rami vegetativi normali, come quelle dei rametti virescenti, e specialmente queste, si presentavano defor- mate, bollose, accartocciate lungo i margini verso il basso; se ab- bastanza lontane dall’ apice del ramo, erano normalmente verdi e grandi, se prossime all’ apice erano rimpiccolite, più biancastre, più pelose delle normali, x È È % | UN ERIOFIIDE NUOVO SULL’ OLIVO 143 Sulle foglie così deformate si notavano spesso, ma non sempre, macule depresse, rotondeggianti, larghe fino a 2 mm., prodotte dalla Phyllosticta oleae, come il mio Collega Dr. PETRI ha dimostrato (1). In corrispondenza di esse si arresta 1° accrescimento della lamina, specialmente se sono marginali, e ciò determina appunto le bollosità, deformazioni, accartocciamenti nella foglia. Ma tutto eid non può aver relazione con le predette alterazioni morfologiche dei germogli. Più tosto è da tener pre- sente che alla base di questi rametti erano molto frequen- ti, oltre a tubercoletti di vera rogna, piccoli caneri prodotti con tutta probabi- lità dal freddo e i tumori che si sviluppano in seguito alle punture della eoceiniglia Pollinia Pollinii Costa, che il Dr. PETRI ha illustrato sn questo stesso materiale, come pure su abbondanti campioni raccolti in molte località dell’ Italia superiore e media. (2). Erano dunque già tre cau- se patogene, che certamente ‘avevano influito sul cam- : ; : ‘ Fig. 1.— Estremità di un germoglio. bium di questi rami, e pro. © Este gradi babilmente quindi anche sul- lo sviluppo dei germogli. Però, proprio sui diversi organi dei teneri germogli deformati non si notavano lesiom di sorta, superficiali 0 interne, e lo stesso valeva per gli altri organi, picciòli, gemme ete. Naturalmente gli assi fasciati avevano una corrispondente struttura diversa dalla normale. (1) Osservazioni sopra alcune malattie dell’ olivo, Rend. Ace, Lincei, (5), XVIII, 1909. II. p. 635. (2) Ibidem, p. 637, 144 E. PANTANELLI Nell estate erano spuntati dal legno di uno o più anni nume- rosi germogli avventizii, anche questi gravemente colpiti da rachi- tismo, cladomania e fasciazione, così che erano lunghi appena 0,5-2 em., mentre i loro coetanei sani avevano 15-20 em. di lunghezza. Invece sui germogli normali dell anno sembrava che la malattia fosse cessata o diminuita, perchè già stavano sviluppandosi foglie normali per forma e grandezza. Sulla pagina inferiore delle foglioline dei teneri germogli defor- mati ho trovato alcuni acari, appartenenti alla famiglia degli Erio- fiidi (fitoptidi), a cui si potrebbero forse attribuire le alterazioni nello sviluppo dei germogli stessi, ma puramente per analogia morfologica con altri fitoptocecidii apicali, perchè finora manca qualsiasi dimo- strazione diretta che la causa di quelle alterazioni sia questo Erio- fiide e non piuttosto. qual- cuno dei su ricordati agenti che ha studiato il Dr. PETRI, some per - diverse ragioni sembra più probabile. Intanto il nuovo acaro è interessante, perchè non è un Æriophyes ( Phytoptus). In fatti esso ha meno anelli sul lato dorsale dell'addome, che sul ventre, cioè è nettamente dorsiventrale, anzi è talmen- te appiattito, che si insinua sotto i peli malpighiani che sorgono fitti su tutti gli or- gani teneri dell’ olivo. Gli anelli dell’ addome sono lisei sul dorso, finamente punteg- giati sul ventre, e la parte terminale dell’ addome, uni- Fig. 2. — Germoglio deformato che va risanando in alto. formemente anellata, è poco distinta dal resto dell ad- dome. Il corpo è assai largo sul davanti e subito dietro lo sendo ; si restringe poi rapidamente verso il lobo caudale. ni i è UN ERIOFIIDE NUOVO SULL! OLIVO 145 = Sono tutti caratteri di un fillocoptino, e non di un eriofiino (1). Data la stagione avanzata, ho trovato solamente alenne femmine ed un maschio, adulti, con i seguenti caratteri. Corpo tozzo, molto largo in avanti, sopratutto subito dietro lo scudo che ri- copre dorsalmente il capotorace, poi conico fino alla parte terminale dell’ addome, che è un po’ più ristretta, fortemente appiattito, tranne in corrispondenza della regione mediana sul dorso subito dietro lo sendo, in ambedue i sessi, e dell’ epi- ginio sul ventre della femmina. Scudo (del capotorace) non o poco rialzato nel campo mediano sul dorso, col margine anteriore pochissimo incurvato, non sporgente in avanti, nè ricoprente il rostro, di forma trapezoidale, largo, con rigatura poco chiara sui lati e due linee lon- gitudinali nel campo mediano. Setole dorsali assai brevi e situate più avanti del margine posteriore dello sendo. Rostro lungo 0,025 mm, con mascelle forti e mandibole aghiformi, prominente in avanti ed in basso. Zampe nettamente articolate, pressochè eguali ; i primi due articoli larghi e tozzi, gli articoli tar- sali brevi, sottili. Setola pennata con quattro raggi per parte. Artiglio robusto. Sterno breve indiviso. À J eh ; Setole laterali lunghe, forti, inserite all’ altezza Fig. er en a Dr mar dell’ epiginio. Sino A di sopra. Ne Addome assai largo dietro lo seudo , poi si re- EUR ZO She eee stringe conicamente fino all’ altezza del II paio di ha a PARO TIER TI setole ventrali, di qui alla coda è più ristretto. SCANNERS ARENENE Sul dorso 20-25 mezzi anelli, assai larghi e spor- genti a dente più o meno nen minato sui lati, nella prima porzione, e da 10 a 15 più stretti nella porzione candale, poco sporgenti sui lati; tutti sono lisci, Mezzi anelli ventrali assai più numerosi, tinamente punteggiati. Sul dorso, subito dietro lo sendo, gli anelli sono interrotti da due solchi longitudinali, che delimitano una porzione mediana, sollevata, del dorso. Setole rentrali del INI paio sono le più lun- ghe; quelle del I e II paio sono brevi. Flagelli caudali sottili, non molto lumghi, con setole accessorie brevi. Epiandrio costituito da una fessura poco evidente. Epiginio largo 0,032 mm, a calotta sporgente sul ventre, margini della valva (1) Secondo la classificazione del Prof. A. Nalepa, Eriophyidae, in « Das Tier- reich », 4. Lief. Berlin, 1898, p. 4 e 45; Zur Kenntniss der Gattung Lriophyes, Denkschr. d. Wiener Akad., Math. Nat. Klasse, Bd. LXVIII (1900) p. 201, Fig. 4. — Schizzo di una femmina vista dal ven- tre. Ingran. 285. (Un 4° paio di setole ventrali è stato agginnto per errore nelia riproduzione). in teratologia (2). posteriore ravvicinati sulla linea mediana, valva snperiore (anteriore) finamente striata. Setole genitali inserite basalmente, Iunghe quanto quelle ventrali del I e II paio. 2 Innga 0.140 mm, larga 0.075 mm. J Inngo 0.110 mm, largo 0.060. Per la forma dell’ addome e degli anelli dorsali si sarebbe tentati a classificare questo nuovo Eriofiide nel genere Anthocoptes, ma il Prof. A. NALEPA da me interpellato ha con la sua ben nota gentilezza risposto che molto probabilmente si tratta di un Epitri- merus, e difatti sono visibili sul lato dorsale dell’ addome, snbito dietro Jo scudo, i due solchi longitudinali che hanno meritato il nome a questo genere. Non è escluso che si tratti di un genere nuovo, ben distinto per la forma del corpo e per i caratteri del- Vepiginio, ma i pochi individui che ho a di- sposizione non mi consentono per ora di de- finire tale questione. Sull’olivo finora si conosceva un solo erio- fiide, Eriophyes oleae, descritto ed illustrato dal Prof. NALEPA (1), il quale determina la formazione di ammassi di peli brevi, giallo-rossa- stri alla pagina inferiore delle foglie. Quanto alle alterazioni determinate dal nuovo eriofiide, si potreb- bero ascrivere ad esso le deformazioni morfologiche dei germogli, ma la concomitanza delle altre canse patogene che ho ricordato non per- mette per ora un sicuro giudizio. Alterazioni di questo genere sull’ olivo sono del resto già note ; (1) Beiträge zur Systematik der Eriophyiden. Denkschr. d. Wiener Akad., Math. 4 Nat. Kl., Bd. LXXVII, 1905, pag. 139. Tav. II. figg. 9-10. > (2) Penzig, Pflanzenteratologie, 1894, II. p. 149. LUE .. T. DE STEFANI RELIQUIE DELPINIANE Dopo la morte del Prof. FEDERICO DELPINO, avvenuta in Na- poli il 14 maggio 1905, la sua biblioteca e il suo erbario privato furono acquistati dal Prof. A. Borzì qual Direttore del R. Orto Bo- tanico di Palermo; in quel materiale fu rinvenuto un fascicolo di piante galligene delle quali, in omaggio all’ illustre estinto, credo opportuno far conoscere quanto si riferisce agli zoocecidii. Dell’ opera scientifica del fondatore della Biologia vegetale non spetta a me parlare; questo articoletto non ha lo scopo di tessere la sua vita, nè io potrei farlo con quella competenza di come già altri più valenti e più degni hanno scritto del botanico studioso e profondo scienziato. Io, intendo solamente presentare un altro saggio della sua instancabile operosità in quella scienza che lo attrasse irresistibilmente facendogli superare difticoltà che avrebbero avvilito qualunque altro meno tenace, e dove seppe lasciare profonde e im- periture tracce del suo poderoso ingegno. Gli zoocecidii raccolti dal DELPINO non sono nè numerosi nè rari e meno ancora inediti, ma essi hanno una qualche importanza per la distribuzione geografica e più, ripeto, perchè dimostrano, an- cora una volta, come egli non traseurasse nulla dei diversi rami della Botanica. ELENCO DEGLI ZOOCECIDII RACCOLTI DA FED. DELPINO 1. Acer campestre L. — Eriophyes macrorrhynchus Nal. — Pracchia, Sett. 1891. bo . Acer campestre L. — Eriophyes macrochelus Nal. — Pracchia, Sett. 1891. 3. Acer campestre L. — Phyllocoptes acericola Nal, — Chiavari, Sett. 1886. . Alnus glutinosa Giirtu. — Eriophyes laevis Nal, — Chiavari, boschi di S. Sal- vatore, Sett. 1886, _ ot 148 T. DE STEFANI . Alnus glutinosa Giirtn. - Eriophyes nalepai Focken — Chiavari, boschi di San Salvatore, Sett. 1886. 6. Alnus glutinosa Giirtn.— Æriophyes brevitarsus Nal. — Chiavari, boschi di San Salvatore, Sett. 1886. 7. Atriplex sp. — Eriophyes haimi Nal.— Castiglione de’ Pepoli, Sett. 1889. 8. Campanula trachelium L. — Lriophyes schmardai Nal. — Pracchia, Sett. 1891. 9. Campanula medium L. — Eriophyes schmardai (?) — Chiavari, Agosto 1887. 10. Centranthus ruber D.C. — Trioza centranthi Vallot — Chiavari, Agosto 1890. 11. Euphorbia Cyparissias L.— Perrisia subpatula Bremi. -— Pracchia, Sett. 1891. 12. Fagus communis L. Mikiola fagi Hartg. — Pracchia, Sett. 1891 — Casti- glione de’ Pepoli, Sett. 1889. 18. Genista sp. — Perrisia genistamtorquens Kieff. — Chiavari, Sett. 1890. 14. Hypericum perforatum L. — Vhecodiplosis giardiana Kieff. — Chiavari, Set- tembre 1886 -- Castiglione de’ Pepoli, Agosto, 1889. 15. Juncus sp.— Livia juncorum Latr. — Castiglione dei Pepoli, Sett. 1889. 16. Linaria vulgaris Miller. — Meeinus (Gymnetron) pilosus Gyll. — Pracchia. Set- tembre 1891. 17. Linaria minor Desf. (Capsule rigonfiate) — Mecinus (Gymnetron) noctis Herbst.— Chiavari, Sett. 1886. 18. Populus tremula L.— Harmandia globuli Riibs.— Piemonte (Leg. G. E. Mattei). 19. Quercus sp.— Cynips conifica Hartg.— Boschi di Mazzabotto, Ag. 1898. 20. Quercus sp. — Neuroterus lenticularis Oliv. — Dintorni di Bologna — antunno 1889 (Leg. G. E. Mattei). 21. Quercus sp.— Andricus fecundatrix Harte. 22. Quercus sp.— Cynips coriaria Haimh. 23. Quercus (pubescens Willd.) robur L. - Cynips polycera Gir. — Chiavari , Agosto 1890. 24 Quercus Cerris L. -- Arnoldia cerris Koll. — Castiglione de’ Pepoli, Sett. 1889. Quercus Cerris L. — Dryomyia circinnans Gir. — Castiglione dei Pepoli, Lu- glio 1889. > «+ RELIQUIE DELPINIANE 149 26. Quercus (?) Cerris L.— Neuroterus numismatis Oliv.— Castiglione de’ Pepoli, Sett. 1889. 27. Quercus Cerris L. — Aphelonyx cerricola Gir. — Castiglione de’ Pepoli, Set- tembre 1889. 28. Rosa sp. — Rhodites rosae L. -- Bologna, Luglio 1889 — Pracchia, Sett. 1891. 29. Rosa sempervirens L. -- Perrisia rosarum Hardy. — Collina di Ri sopra Chia- vari, Ott. 1887. 30. Rubia peregrina L. — (Foglie accartocciate) ? Eriophyes rubiae Can. 31. Rubus sp. — Lasioptera rubi Heeger. — Castiglione de’ Pepoli. Sett. 1889. 32. Rubus fruticosus L. — Diastrophus rubi Hartg. — Castiglione de’ Pepoli, Sett. 1889. 33. Salix sp.— Rhabdophaga rosaria H. Lòw.— Castiglione de’ Pepoli, Sett. 1889. 34. Salix sp. — Nematus viminalis L. — Chiavari, Sett. 1886. 35. Scrophularia canina L. — Asphondylia verbasci Vailot. — Castiglione de’ Pe- poli, Luglio 1889. 36. Sisymbrium sp. — Zriophyidae — Rocco, Agosto 1588. 37. Sonchus sp.— Contarinia Schlechtendali Rübs. — Chiavari, Sett. 1886. 38. Teucrium chamaedrys L. — Phyllocoptes teucrii Nal. -— Chiavari, Ott. 1890. 39. Thymus serpyllum L. — Eriophyes thomasi Nal. — Boschi di Castiglione de’ Pepoli, Agosto 1889 — Pracchia, Sett. 1891. 40. Trifolium sp. — Eriophyes plieator-trifolii Nal. — Vallombrosa 1873. . Trifolium repens L. — Zriophyes plicator-trifolii Nal. — Pracchia, Sett. 1891. Urtica dioica L. — ; errisia urticae Perris. — Castiglione de’ Pepoli, Sett. 1889. 150 ¢ LI LI CECIDIES RÉCOLTÉES À MONESTIER-DE-CLERMONT (ISÈRE) par J. COTTE Les cécidies dont je donne ici la liste ont été récoltées pendant le mois d’ aoùt 1909, à Monestier-de-Clermont (Isère) et dans la ré- gion qui lV entoure, mais dans un rayon assez court autour de ce pays. La majeure partie des déterminations ont été faites, ou véri- fiées, avec l’aide de 1° excellent Catalogue de HOUARD: Les Zoocéci- dies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée. Ainsi que l’on pourra $ en rendre compte, plusieurs de ces cé- cidies constituent des acquisitions pour la fore française. La partie de l’Isère que j’ ai explorée présentait d’ailleurs un certain intérêt. Dominée à l Quest par le massif du Vercors, à l Est par ceux du Pelvoux et du Champsaur, située à une altitude comprise entre 650 et 1200 mètres, il était permis d'espérer que des espèces gallico- les de Provence, ou du moins du Sud de I’ Europe, viendraient s’ y rencontrer, après avoir franchi les cols de la Croix-Haute et du Fau, avec des espèces à habitat alpin ou plus spéciales au centre de la France. Mais, avouons-le, nos connaissances sur l aire de dispersion des cécidozoaires sont encore trop insuffisantes pour qu un travail de comparaison de cette nature puisse être appuyé, à l’heure actuelle, sur des bases sérieuses. Nous pouvons dresser avec assez de préci- sion des cartes de géographie botanique pour la plupart de nos Pha- nérogames ; mais nous ne pouvons le faire pour presque aucun de leurs parasites. Les listes du genre de celle que j’ ai dressée permet- tront de combler plus tard cette lacune: e’ est, en somme, leur seul mérite et leur seule raison d’être. J'ai cru bon de citer les localités où j’ ai fait mes récoltes, car ce renseignement pourrait être utile à d’autres cécidologues qui parcourraient la même région et parce qu’on peut en déduire quel- ques renseignements sur labondance des espèces. Toutefois, afin d'éviter la répétition fastidieuse des noms de lieu, j’ ai cru devoir employer les abréviations suivantes : HT ET PP ET HR res ri, e" | vati — I Ve ‘A dati ei 4 va Corres DE MONESTIER-DE-CLERMONT * 151 Ba gorges dn Baconnet Mi Miribel-et-l Anchàtre Bo bois des Beaumettes P Saint-Panl-les-Monestier Ga Le Gua R Roissard Gm Saint-Guillaume S Sinard Gr Gresse 1% Treffort M Monestier-de-Clermont Pteris aquilina L.— 1 Anthomyia signata Brischke (M, R) 2 Eriophyes pteridis Moll. (M, R) 3 Perrisia filicina Kietf. (M, R). Juniperus communis L. — 4 Oligotrophus Sp. (M, Mi, Ga). Il s’ agit de la cécidie inscrite sous le numéro 127 dans le Catalogue de HOUARD ; elle possédait, sur des pieds différents, les deux formes sur les quelles insiste cet auteur: la forme de plaine, beaucoup plus courte, et la forme alpine qui était la plus répandue. En ce qui concerne la forme de plaine, il semblait s'agir, en réalité, d’un cas de nanisme, sans intervention apparente de double parasitisme ou d’ hyperparasitisme. 5 Oligotrophus juniperinus L. (M, Mi, Ga) Larix europea DC.— 6 Adelges geniculatus Ratz (M). Abies excelsa DC. — 7 ? Adelges strobilobius Kalt. (M). Les cécidies étaient sèches, aussi ai-je cru devoir laisser un point d’ interro- gation accolé au nom du cécidozoaire. 5 Adelges abietis Kalt. (M). Triticum sativum L.— 9 Aphis padi L. (M). Alnus incana DC.- 10 Perrisia alni F. Löw (R, M, Gm, Ga) 11 Eriophyes laevis Nal. (M, Gr, Ba) 12 Eriophyes brevitarsus Fockeu (M). Salix caprea L.—- 13 Rhabdophaga heterobia H. Löw (M, Mi) 14 Oligotrophus capreae Winn. (M, R). Sortie des adultes le 16 août 15 Oligotrophus capreae Winn. var. major Kieft. (M) 16 Perrisia marginemtorquens Winn. (M) 17 Eriophyes tetanothrix Nal. (M) 18 Pontania proxima Lepel. (R) 19 Pontania pedunculi Hartig (M, R). Salix incana Schrank. — 20 Oligotrophus capreae Winn. var. major | Kieff. (R). à 21 Perrisia marginemtorquens Winn. (R, Gr) 22 Eriophyide (Cécidies céphalonéiformes du limbe. HOUARD, 1. CL" 710) (BG). 23 Pontania femoralis Cameron (Gr) 24 Pontania pedunculi Hartig (M, S, R, Mi, Gr). Salix purpurea L.— 25 Perrisia terminalis H. Low (Ba) 26 Eriophyes truncatus Nal. (M) 27 Pontania vesicator Bremi (Gr) 28 Pontania femoralis Cameron (M) o 29 Pontania salicis Christ. (M, Bo, Gr. Mi, S, R). ; Salix triandra L.— 30 Rhabdophaga heterobia H. Löw (M). Salix alba L.— 51 Perrisia terminalis H. Low (M, S) = 32 ? Cryptocampus venustus. Gadd. (S). J’ hésite à attribuer a ce cécidozoaire des rentiements du pétiole, rappelant celui dont il Fe. est l’auteur sur d’autres saules. Je ne crois pas que cette espèce ait été indiquée comme appartenaut à la faune française. 33 ? Rhabdophaga salicis Schrank (S). Renflement de la nervure médiane. J’ ai moins d’ hésitations pour cette cécidie, parce que | Rhabdophaga salicis a été déjà signalé, hors de France (Hou- ARD, |. €. n.° 623) comme étant un des parasites de Salix 6 alba, et que ce Cécidomyide ubiquiste a été observé en France sur d’autres saules. 54 Eriophyide (Enroulement marginal du bord de la feuille) (M. 5) 35 Eriophyes salicis Nal. (M. S) 36 Pontania prorima Lepel. (M.S, Mi). Salix vitellina L.— 37 Perrisia terminalis H. Low (M) 38 Eriophyide (Enroulement marginal du bord de la feuille) (M) 39 Pontania prorima Lepel. (M, Gm) Populus tremula L.— 40 Æriophyes dispar Nal. (M) 41 Eriophyes populi Nal. (M, Gm). Peut envahir le pétiole, le bord des feuilles et les glandes de la base du limbe. Cette der- nière cécidie pourrait étre confondue avec celle d’Eriophyes di- versipunctatus ; mais elle est bien moins colorée que cette der- CÉCIDIES DE MONESTIER-DE-ÜLERMONT © 153 nière, et coexiste avec la déformation des bourgeons qui sont situés à l’aisselle des feuilles atteintes. 42 Saperda populnea L. (M) 45 Harmandia petioli Kieff. (M). Sur le pétiole et à la base du limbe 44 Eriophyes diversipunctatus Nal. (M, R) 45 Perrisia populeti Riibs. (M, R) 46 Harmandia globuti Rübs. (M) 47 Harmandia cavernosa Rübs. (M, S, R) > Harmandia tremulae Winn. (M, Bo, S, R) 49 Phyllocoptes populi Nal. (M,S, R) Ho x Populus nigra L.—50 Pemphigus bursarius L. (R) 51 Pemphigus spirothecæ Pass. (R) 52 Pemphigus populi Courchet (Mi) 53 Pemphigus marsupialis Courchet (R) 54 Reploiement du limbe de la feuille en arrière, avec colora- tion anormale, due sans doute à Pemphigus affinis Kalt. (R, Mi). Populus pyramidalis Rozier — 55 Pemphigus bursarius L. (sur les bourgeons et les pétioles) (M, Gr, Gm) 56 Pemphigus spirothecae Pass. (Gr, Gm) 57 Pemphigus populi Courchet (Gr) 55 Pemphigus marsupialis Courchet (Gr, Gm). Fagus silvatica L.— 59 Mikiola fagi Hartig (M, R, T, 8, Bo) 60 Oligotrophus annulipes Hartig (M, R, T, 8) 61 Oligotrophus fagicolus Kieff. (M). 62 Cécidomyide. Pustules du limbe (HOUARD, 1. ¢., n.° 1156) (M, R) 63 Eriophyes stenaspis Nal. (M, R). Enroulement marginal du bord du limbe; la lésion peut progresser le long des neryures et les feuilles d’un même rameau peuvent être attaquées simultane- ment, à l’état jeune, et rester fortement crispées. 64 Phyllaphis fagi L. (M, R) 65 Eriophyes nervisequus Can. var. maculifer Trotter (R). 11 154 J. Corre Quercus pubescens Willd. sessiliflora Smith pedunculata Ehrh. 66 Andricus inflator Hartig M 67 Andricus fecundator Hartig M M,S 65 Cynips Kollari Hartig M M, S 69 Trigonaspis megapterop- sis Wriese (1) M 70 Biorrhiza pallida Oliv. M M, Bo, S 71 Macrodiplosis dryobia F. Löw M M, kh M 12 Macrodiplosis volvens Kiett. M 73 Andricus testaceipes Hartig rar. nodifex Kieff. M, R 74 Heliozela stanneella Fish v. R. a 75 Phylloxera acanthochermes Lich. M M 76 Dryophanta agama Hartig M M 77 Dryophanta folii L. M, R M, S, R M, S 78 Trigonaspis synaspis Hartig M, KR M, 5 M, Bo 79 Andricus ostreus Giraud M M, KR M, S 80 Neuroterus lenticularis Ov. M.R M,S, R M. S 81 Neuroterus numismatis Oliv. M M, S, Bo 82 Andricus curvator Hartig M, 5, R M, 8, Bo 83 Neuroterus tricolor Hartig M M 84 Cécidomyide (HOUARD, I. €. n.° 1354). Cécidies vides M Corylus avellana L.— 85 Eriophyes avellanae Nal. (M, S, Mi) 86 ? Diplosine (S). La larve qui avait déterminé le plissement des feuilles de cette espèce est-elle bien celle qui figure sous le n.° 1062 dans le Catalogue de HOUARD ? 87 Aphide (S). Crispation du limbe des feuilles. Juglans regia L.— SS Eriophyes tristriatus Nal. var. erinea Nal. (M, R, Gm, Ga). (1) Les cécidies étaient encore jeunes et leur surface était verte avee un pi- queté brun. Si je les rapporte à cette espèce, plutôt qu’ à Trigon. megaptera Pan- zer, e’ est parce que les cécidies foliaires attribuées à Trigon. synaspis Hartig sont abondantes dans la région. + CÉCIDIES DE MONESTIER-DE-CLERMONT 155 Urtica dioica L.— 89 Perrisia urticae Perris (M) 90 Trioza urticae L. (8). Ulmus campestris L. (et var. suberosa Ehrh.) — 91 Tetraneura ulmi de Geer (R) 92 Schizoneura ulmi L. (M, S. R). Ulmus montana With. — 95 Tetraneura ulmi de Geer (Gr) 94 Schizoneura ulmi L. (M, Gr). Buxus sempervirens L.— 95 Psylla buxi L. (R) 96 Eriophyes Canestrinii Nal. (R). Euphorbia silvatica Jacq.— 97 Perrisia subpatula Bremi (M). Euphorbia cyparissias L. — 98 Perrisia capitigena Bremi (Ga, Gm). Hippophae rhamnoides L.— 99 Eriophyes hippophaenus Nal.(R,Mi, Gm). Rumex patientia L.— 100 ? Aphis rumieis L. (M). Feuilles erispées, - parasites morts, représentés seulement par des peaux vides. Chenopodium album L.— 101 Aphis atriplicis L. (M). Atriplex patula L.— 102 Aphis atriplicis L. (M). Mentha silvestris L.— 103 Aphide vert foncé (Ga). Il s’ agit évidem- ment d’ Aphis capsellae Kalt., qui a été observé sur la même plante par PASSERINI en 1862. Origanum vulgare L.— 104 Aphide (M). Feuilles crispées ; les puce- rons étaient morts. SCHOUTEDEN, en 1903, s’ est demandé si la déformation attribuée a Aphis nepetae Kalt. ne doit pas étre rapportée à A. origani Pass. Si son opinion est exacte, © est cette dernière espèce que je devrais citer au sujet de la lésion que j’ ai observée. Thymus serpyllum L.— 105 Janetiella thymicola Kieff. (M, T, R, Mi), 156 Salvia pratensis L. — 106 Eriophyes salriae Nal. (M, R, Ga). On a imprimé une légère erreur au sujet de cette déformation : les boursouflures sont indiquées comme saillantes à la face inférieure du limbe. Je les ai vues, au contraire, faire saillie presque un- iquement sur la face supérieure , chez les espèces de Salvia attaquées par ce parasite. Galeopsis tetrahit L.— 107 Porte à Monestier la lésion signalée en 1905 par C. MARCHAL ET CHATEAU, et dont le parasite ne m’à pas été plus visible qu’à ces observateurs. Est ce bien une z00- cécidie ? Ballota nigra L.— 108 Aphide (Gm). Entre noeuds des inflorescences très serrés, le sommet de la plante prend la forme d’un ponpon. Entre les fleurs évoluait un Aphide vert clair. Teucrium chamædrys L.— 109 Copium claricorne L. (M, R, Mi) 110 Phyllocoptes teucrii Nai. (M. Mi). Teucrium montanum L.-- 111 Copium teucrii Host (Ga, T). Linaria striata DC.— 112 Mecinus linariae Panzer (Ga). Veronica chamædrys L.— 113 Perrisia veronicae Vallot (M). Melampyrum nemorosum L.— 114 Aphide (M). Le limbe des feuilles était crispé, la tige tordue. Le cécidozoaire doit être voisin, s’il ne lui est pas identique, de celui qua signalé TAVARES sur Me- lampyrum sp. (J. TAVARES, Primeiro appendice a Synopse das Zoocecidias portuguezas. Broteria, Rev. sc. nat. coll. 8. Fiel, t. VI, p. 118, 1907). Ligustrum vulgare L.— 115 Khopalosiphum ligustri Kalt. (M). Fraxinus excelsior L.— 116 Eriophyes frarini Karp. (M, Gr, Mi) 117 Pemphigus nidificus F. Löw (M, P, Bo, Gr, R, S, Gm, Mi) 118 Psyllopsis fraxini L.(M, R, S, Gm, Mi) 119 Perrisia frarini Kieff. (M, Gr, 8, Gm) 120 Eriophyes fraxinicola Nal. (M). ns SENTE Pe MORI 2 the CÉCIDIES DE MONESTIER-DE-CLERMONT 157 Vaccinium myrtillus L.— 121 Eriophyide (HOUARD, |. ¢., n.° 4565) (M). Senecio vulgaris L.— 122 Aphis jacobeae Schrk (M). Gnaphalium leontopodium Scop.— 125 Tylenchus nivalis Kühn. C’est à M. SAMUEL, pharmacien a Monestier-de Clermont, que je dois la comnaissance de cette cécidie. Il l’a récoltée, pendant deux années consécutives, au Pas-de-la-Selle, entre le Mont Aiguille et le Grand Veymont. Je n'ai pas pu la retrouver sur un assez grand nombre d’edeliweiss provenant de la fontaine des Bachas- sons; on a en vain essayé de la recueillir an Pas-de-la-Bériève, à l'Ouest de Gresse. La seule station connue actuellement, dans les environs de Monestier-de-Clermort, est donc celle que je viens d’ indiquer. Artemisia camphorata Vill.— 124? Rhopalomyia Kiefferi Trotter (Ga). Le nom du cécidozoaire doit être regardé comme provisoire, car la cécidie n’a pas exactement la forme de celle qui à été figurée par TROTTER, et dont le Catalogue de HOUARD reproduit le dessin. Celle que j’ ai récoltée était ovoide-cylindrique, brusque- ment atténuée en une longue pointe. Leucanthemum vulgare Lmk.— 125 Trioza chrysanthemi F. Löw (M). Cirsium arvense Scop. — 126 Urophora cardui L. (M) 127 Macrosiphum sonchi (KR). Hieracium (groupe du murorum L.) — 128 Macrosiphum hieracii Kalt. (M). Galium silvaticum L. — 129 Perrisia galii H. Löw (M). Galium silvestre Poll.— 130 Perrisia galii H. Löw (M,S, Gr) 151 Eriophyes galii Karp. (M, Gr). : Sambucus nigra L.— 132 Epitrimerus trilobus Nal. (M, Gm, Bo). Sambucus ebulus L.— 133 Epitrimerus trilobus Nal. (Bo). Viburnum opulus L.— 134 Aphis viburni Scop. (M, S). 158 J. Corre Viburnum lantana L.— 135 Aphis viburni Scop. (M) 136 Oligotrophus Solmsii Kieff. (M, R, 5) 137 Eriophyes viburni Nal. (M). Lonicera xylosteum L.— 153 Pemphigus xylostei de Geer (Gr) 159 Aphide (Gr, S, R). Aphide vert, a queue égalant environ la moitié des cornicules ; feuilles atteintes rouge violet, repliées par en haut. Je suis amené à caractériser 1 espèce comme étant Siphocoryne lonicerae Sieb., d’après le tableau dichotomique donné par SCHOUTEDEN (Les Aphidocécidies paléaretiques. Ann. Soc. Entom. Belg., t. XLVII, p. 167-195, 1903, p. 178). Cependant SCHOUTEDEN, d’après KALTENBACH, et HOUARD, à leur exemple indiquent que les feuilles se crispent surtout et se plissent quand elles sont attaquées par cette espèce. Hedera helix L.— 140 Aphis hederae Kalt. (M). Cornus sanguinea L.— 141 Oligotrophus corni Giraud (M, S) 142 Aphide. Déformation des jeunes feuilles, à 1° extremite des rameaux (HOUARD, 1. c., n.° 4544) (M, B). Eryngium campestre L.— 143 Lasioptera eryngii Vallot (M, R, Mi). Daucus carota L.-- 144 Schizomyia pimpinellae F. Löw (M, Gm, Mi, Ga) 145 Lasioptera carophila F. Low (M, Gm, Ga). Laserpitium gallicum L. - 146 Aphide (Ba, Mi) Aphide brun noiratre, à queue dépassant les cornicules ; le développement des feuilles est un peu entravé, mais la déformation porte surtout sur les pétiolules des folioles, qui s’ enroulemt sur eux-mêmes. Il ne faut pas confondre cette déformation avec celle que produit une espèce de Trioza sur Laserpitium siler L. Ægopodium podagraria 1.— 147 Trioza aegopodii (M) 148 Aphide (M). Les feuilles sont enroulées et déformées, mais sans production d’ excavations ni de bosselures sur le limbe. Ribes uva crispa L.-- 149 Aphis grossulariae Kalt. (M). Ribes nigrum L.— 150 Aphis grossulariae Kalt. (M, Gr). “o CÉCIDIES DE MONESTIER-DE-CLERMONT | 159 Bryonia dioica Jacq.— 151 Perrisia bryoniae Bouché (S, M). Prunus domestica L.— 152 Eriophyes similis Nal. (M, Gr, T.) Prunus spinosa L.— 153 Eriophyes similis Nal. (M, R, S, Mi) Spiræa ulmaria L.— 154 Perrisia ulmariae Bremi (feuilles et fleurs) (M, Gr). Par juxtaposition des cécidies il peut se faire des plis- sements qui déforment profondément la feuille, i 155 Perrisia Engstfeldi Rübs. (feuilles) (M). J’ ai été tenté d’at- tribuer aussi à ce cécidozoaire une déformation des fleurs d’ul- maire, avec hypertrophie des pieces externes, rappelant par con- séquent celle que MOLLIARD avait signalée (MOLLIARD, Recher- ches sur les Cécidies florales. Thèse Fac. se. Paris, 1895, p. 187). Mais J ai trouvé des fleurs qui portaient sur leurs pièces perian- thiques la cécidie caractéristique de Perr. ulmariae, et e’ est à ce dernier que je rapporte finalement ces lésions. 156 Aphis spiraeella Schouteden (M). Geum urbanum L.— 157 Eriophyes nudus Nal. (M, Gr, Ga) Rubus idæus L.— 158 Lasioptera rubi Heeger (M). Rubus cæsius L.— 159 Diastrophus rubi Hartig (M) Rosa sp.-- 160 Perrisia rosarum Hardy (M, Bo, R) 161 Rhodites rosae L. (M, R, S, Bo, Mi) 162 Rhodites Mayri Schl. (R, M, Ga) 163 Khedites eglanteriae Hartig (M, S, Mi) 164 Ihodites spinosissimae Giraud (M, S). Poterium dictyocarpum Spach (et var. glaucum Spach).— 165 Erio- phyes sanguisorbae Can. (M). Poterium muricatum Spach.— 166 Æriophyes sanguisorbae Can. (T). Cratægus oxyacantha Giertner — 167 Perrisia erataegi Winn. (M, R) 168 Aphis pyri Fonse. (M, S, R) 169 Eriophyes goniothorax Nal. (M, Bo, Ga, S, R, Ba). Il y a lieu de faire à part V’etude des deux espèces, ou sous-espèces 0 x y a- 160 canthoides Thuill et monogyna Jacq. dont la suscep- tibilité à V égard de ce dernier parasite est fort différente. ©. oxyacanthoides, en effett, est attaqué bien plus rarement par un Eriophyes déterminant un plissement de son limbe, diffé- rent de Venroulement marginal que présente C. monogyna. Sorbus torminalis Crantz.— 170 Eriophyes piri Pagenst. (M). Sorbus aria Crantz.— 171 Eriophyes piri Pagenst. (M, Gr, R). Genista pilosa L.-- 172 Perrisia genisticola F. Löw (M, R, Mi). Cytisus laburnum L.— 173 Aphis genistae Scop. (Ba, M). Cytisus sessilifolius L. — 174 Eriophyes sp. (M). Il s’ agit de la dé- formation des feuilles due a Eriophyes cytisi Cat. ou a Er. gran- dipennis Can. (HOUARD, ]. c. n.° 3465 et 3466) 175 Asphondylia bitensis Kieff. (M). Ononis repens L.— 176 Eriophyes ononidis Can. (Ga). 177 Asphondylia ononidis F. Low (M). Medicago sativa L.— 17% Perrisia ignorata Wachtl (M). Lotus corniculatus L. — 179 Contarinia loti De Geer (M, T) 180 Contarinia Barbichei Kieff. (M). Vicia cracca L.— 181 Perrisia viciae Kieff. (M, R) 182 Contarinia craccae Kieff. (R). Lathyrus pratensis L.— 183 Perrisia lathyricola Riibs. (M) 184 Perrisia (HOUARD, L e., n.° 3775) (M). Coronilla varia L.— 185 Phyllocoptes coronillae Can. et Mass. (M, Ga), Coronilla minima L.— 186 Asphondylia coronillae Vallot (T). Onobrychis sativa Lmk.— 187 Perrisia onobrychidis Bremi (Ba, M). CÉCIDIESD E MONESTIER-DE-CLERMONT 161 Epilobium hirsutum L. — 155 Insecte (Monestier-Audière, 12 août). Acrocécidie vide, formée par une hypertrophie du bourgeon ter- minal et rappelant les cécidies produites par des Perrisia Sur de nombreux végétaux. Mais précisément les deux Perrisia eités das le Catalogue de HOUARD comme parasites des E pilobiu m n’y sont pas signalés comme produisant une déformation de ce genre. Evonymus europea L.— 189 Aphis evonymi Fabr. (M). Vitis vinifera L. et sp.— 190 Eriophyes vitis Landois (M). Acer pseudoplatanus 1.— 191 Æriophyes macrochelus Nal. var. erinea Trotter (Gr, Bo, Mi) 192 Eriophyes macrorrhynchus Nal. (Gr, Bo - Veynes, H. Alpes) 193 Contarinia acerplicans Kieff, (Gr, Bo). Acer opulifolium Willd.— 194 Eriophyes macrorrhynchus Nal. (Bo) 195 Perrisia acercrispans Kieff. (M). Acer campestre L.— 196 Phyllocoptes gymnaspis Nal. (M) 197 Eriophyes macrorrhynchus Nal. (M, Bo, S, R, Mi) 198 Eriophyes macrochelus Nal. (M, B, S, R, Mi) 199 Eriophyes macrochelus Nal. var. erinea Trotter (Bo) 200 Perrisia acererispans Kieff. var. rubella Kiett. (M, S, Mi, Gm). Malva rotundifolia L.— 201 Aphis malvae Koch (M). Tilia platyphylla Scop.— 202 Eriophyes tiliae Pagenst. (M, Bo, S, R) 203 Eriophyes tiliae Pagenst. var. evilis Nal. (M, Bo) 204 Oligotrophus Reaumurianus F. Löw (Bo). Tilia silvestris Desf.— 205 Eriophyes tiliae Pagenst. (S) 206 Eriophyes tiliae Pagenst. var. liosoma Nal. (S) 207 Perrisia tiliamvolvens Rübs. (S). Silene inflata Smith.— 208 Perrisia floriperda F. Low (M) 209 Aphis cucubali Pass. (M). Cerastium vulgatum L. — 210 Trioza cerastii H. Low (NM), 162 J. COTTE Reseda lutea L. — 211 Aphide (Ba). Plante déformée, entrenœuds terminaux courts, plus ou moins aplatis, tordus sur eux-mêmes, recourbés en point d’ interrogation, inflorescences en têtes den- ses. Nombreuses peaux d’Aphide. Viola odorata L.— 212 Perrisia affinis Kieff. (M). Viola silvestris Lmk.— 213 Perrisia affinis Kieft. (Mi). Helianthemum vulgare Giertn.— 214 Æriophyes rosalia Nal. (M, R). Ranunculus sp. — 215 Perrisia ranunculi Bremi (M, Mi, Gm) Clematis vitalba L.— 216 Eriophyes vitalbae Can. (M, Bo, Ga) Clematis flammula L.— 217 Eriophyes vitalbae Can. (Ba). RES FER vs . RE ~ er ‘ _ BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI ‘4 MARCELLIA, Riv. Intern. di Cecidologia (Vol. VIII, an. 1909) BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 1. Del Guercio G.— Ancora sulle forme autunnali della Phylloxera acanthochermes Kol. (Redia v. V, an. 1908, p. 138-143, con 8 fig.). 2. Del Guercio G.— Le vicende della fillossera del leccio nei ter- reni aridi e in quelli irrigui (Redia v. V, an. 1908, p. 144-154, con 1 tav.). 3. Del Guercio G.— Sull apparizione di una particolare forma lar- vale nella Phylloxera acanthochermes Kol. (Redia v. V, an. 1908, p. 92-97 con 6 fig.) 4. Kahle W.— Die Paedogenesis der Cecidomyiden (Zoologica, Stutt- gart an. 1908, 80 pp. 6 tav. e 38 fig.). Ct Laubert R.— Rätselhafte Kropfbildungen an Eichen, Birken und | Rosenzweigen (Deutsche landwirtsch. Presse Bd. 36, an. 1909, 11 | pp. e 3 fig.). L’ A. descrive e figura vari casi di tnbercolosi nei rami di Quercia, Betulla e Rosa ad eziologia indeterminata. Nel caso della Quercia egli riscontrò un micelio, probabilmente saprofita, non però degli agenti qual furono constatati in casi so- miglianti ; per le Rose vi trovò qualche Phytoptus, ma in modo non costante; nulla invece gli risultò dall’ esame delle Betulle. li MARCELLIA 6. Molliard M.-- Sur la prétendue trasformation du Pulicaria dysenterica en plante dioique (Rer. Gen. de Bot. t. XXI, an. 1909, p. 1-7). Secondo le ripetute osservazioni dell’ A., le modificazioni fiorali di Pulica- ria dysenterica (a individui separatamente e ©), già segnalate, descritte e commentate da GIARD, sono da attribuirsi all’ azione parassitaria di Baris analis - Oliv., vivente entro gallerie nei rizomi della suddetta pianta. i. Moritz J. — Beobachtungen und Versuche, betreffend die Re- blaus, Phyllorera vastatrix Pl. und deren Bekämpfung (Arb. d. k. Biolog. Anst. f. Land-u. Forstwirtsch., Berlin Bd. VI, an. 1908, p. 407-571 con 3 fig.). 8. Neger F. W — Ambrosiapilze (Berichten d. deutsch. bot. Gesellsch. Bd. XXVI, an. 1908, Heft 10, p. 735-754, con 2 fig. nel testo e 1 tav.). È un dettagliato studio sulla biologia e sistematica dei funghi viventi nell’ in- terno di aleune galle di Asphondylia ; [questi, assieme a molti altri, furono già oggetto di nn esteso lavoro da parte di TROTTER [Bibl. V n. 77], evidentemente ignorato dall’ Egregio Antore]. Col nome di Ambrosia lo SCHMIDBERGER (1836) designò la sostanza gra- nulare la quale serve di nutrimento alle larve di aleuni Coleotteri minatori del le- gno, sostanza la quale più tardi si è riconoscinto essere di natura fungina. Questo fatto ricorderebbe l’altro analogo di funghi esistenti nei nidi di molte Formiche e di molte Termiti che se ne giovano per loro nutrimento. Tali fanghi perciò, aventi un ufficio nutritivo di fronte a determinati artropodi, coi quali vivono in simbiosi, vengono dall’Autore chiamati Ambrosia-Pilze, ed Ambrosia-Gallen,, le galle contenenti nell’ interno funghi aventi nn tale rapporto simbiotico. Tali funghi ambrosiaci dal punto di vista sistematico, possono non aver tra loro alcuna affinità, spettando a gruppi micologici diversi, simili solo per una con- vergenza di caratteri di origine biologica. Le galle ambrosiache, segnalate come nuove dall’ Autore, sono quelle di Asphon- dylia Coronillae su Coronilla Emerns, Asph. tubicola Rübs.? su Saroth a m-« nus scoparins, Asph. Mayeri Lieb., su Sar. scoparius, e due altre in- determinate su Genista tinctoria e Cytisns sp. Secondo le ricerche dell’ Autore sarebbero invece senza funghi le galle di Asphondylia umbellatarum. Galle ambrosiache segnalate da altri osservatori sono quelle di Asphondylia Capparis Rübs. [Baccarını 1893], Asphondylia Prunorum Wachtl [TROTTER 19007, Asphondylia Scrophulariae Schin. [Trortter 1903], Asphondylia Verbasci Vall. [BARGAGLI - PE- TRUCCI, TROTTER, 1905]. Secondo le attuali osservazioni del NEGER, il micelio fungino esistente nell’ in terno di tali galle, si nutrirebbe a spese dei tessuti gallari, a mezzo di austori in- tercellulari o di uno speciale strato psendoparenchimatico assorbente, applicato con BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI Ill tro le pareti della galla, mentre le larve a loro volta si nutrirebbero della sostanza fungina tapezzante la cavità della galla. Secondo le riceréhe dell’ Antore i funghi delle galle da lui studiate, spettano a nuove specie del gen. Macrophoma, i cui pienidi si sviluppano tardivamente sulla superficie esterna della galla, quando cioè l in- setto V ha già abbandonata. Cosicchè riesce molto oseuro il modo eome può essere inoculato il fungo, entro le galle della nuova stagione, per il fatto che gli organi riproduttori del fungo si mostrano molto tempo dopo avvenuta 1 uscita del ceci- dozoo. 9. Reynier A. — La prétendue espèce Medicago ononidea De Coiney n’ est qu une forme pathologique du M. minima Lmk. Demonstration concluante (Bull. Soc. bot. de France t. LV, an. 1908, p. 553-557 con fig.). Una forma: di Medicago minima, a internodi raccorciati, più abbondan- ‚ temente ramificata, a foglie più addensate e maggiormente pelose, fu dal DE Coincy ‘ ritennta come un’ entità distinta e da Ini chiamata Med. ononidea. Si tratta invece (secondo MOLLIARD) di una deformazione provocata da Afidi | viventi sugli organi sotterranei o sulle parti aeree della pianta. Una analoga ori- gine parassitaria è da attribuirsi con tutta probabilità ad Alyssum mariti- mum Lmk. var. densiflorum Lagen [Acarocecidio di Eriophyes Drabae ?]. 10. Sjöstedt Yngve —Akaziengallen und Ameisen aut den ostafri- | kanischen Steppen (in SJOSTEDT Kilimandjaro-Meru Expedition 1905-1906 ; herausgegeben v. d. k. schwed. Akad. d. Wissensch., Upsala an. 1908, p. 97-118, taf. VI-VIID. Le Acacia a spine rigonfie alla base, vnote nell’ interno, e comunicanti “all esterno a mezzo di fori, caratteristiche delle regioni equatoriali dell’ Africa e dell’ America, erano già note a HERNANDEZ (1651), HERMANN (1689), COMMELIN (1697), PLUKENET (1720), JACQUIN (1763), e in tempi più prossimi a noi furono ri- studiate più profondamente da SCHWEINFURTH (1867), BeLT (1874), BECCARI (1884), Huu (1886) etc. Le cavità di queste spine rigonfie, trasformate cioè in sorta di galle, sono abitate quasi sempre da Formiche (Cremastogaster) le quali su ciascheduna pianta vanno a stabilirsi in forte colonia, cosicchè in grazia della loro indole aggressiva ‘respingono attivamente i numerosi nemici della pianta. Una tale constatazione fece | subito nascere il pensiero che le Formiche e le Acacia fossero riunite da una sorte di simbiosi e che perciò tra le Formiche e le galle vi fossero dei rapporti di \ causa ad effetto. Le osservazioni compiute dall’ Autore, durante nn Inngo viaggio Nelle steppe circostanti il Kilimandjaro , portano alla conelusione che le galle si | sviluppano senza V influenza delle Formiche, le quali invece subentrano solo più ‘ tardi, vi praticano i fori, penetrano nell’ interno e scavano V ampia cavità quale Sì riscontra in tutte le galle adulte. Perciò queste enriose formazioni, che non pos- Sono d’ altra parte ritenersi quali dirette emanazioni della pianta, sono, secondo ‚ ogni probabilità, da attribuirsi all’ azione di qualche altro animale, molto probabil- |, mente un insetto [il quale perciò deve compiere la sua metamorfosi o la sua mi. Iv MARCELLIA grazione nel terreno, prima che subentrino le formiche]. Intorno perd al vero pro- duttore delle galle le ricerche deil’ Autore non hanno potuto portare alcun lume. Le piante sulle quali si sono estese le sne ricerche sono: Acacia zanziba- rica Taub., A. drepanolobium Harms, A. Bussei Harms. È noto come le galle secche e vuote, quando il vento imperversa nella steppa, a causa dei fori che ne attraversano le pareti, mandano suoni caratteristici, e che perciò tali Acacie furono anche chiamate « sibilanti » e dai tedeschi « Flötenakazien ». 11. Wulff T.—Ueber heteroplastische Gewebswucherungen am Him- beer-u. Stachelbeerstrauch (Arkiv for Botanik, Bd. VII, an. 1908, Heft 3-4 nn. 11-14, con 7 tav.). Sistematica, distribuzione geografica, galle muove, ecc. 12, Chadwick Georg. H.— A Catalogue of the « Phytoptid » Galls of North America (N. Y. State Mus. Bull. n. 124, 234. Rep. of the State Entomol. 1907, Albany 1908 p. 118-155, con 5 fig. nel testo ed 1 tav.). a È nna utile compilazione relativa agli acarocecidi nordamericani, che vorremmo estesa anche agli altri gruppi di cecidozoi. Gli Acarocecidii registrati nel presente. lavoro ammontano a 170, cifra, come è facile immaginare, assai scarsa. Ogni galli è accompagnata da breve descrizione e dalla relativa bibliografia. Tutte le galle sono poi distribuite secondo |’ ordine alfabetico dei substrati. 13. Connold E. T.— British Oak Galls (London, Adlard et Som an. 1908, vol. di pp. XVIII-169 con 68 tav. e 17 fig. nel testo prezzo lire 12,50). Il presente lavoro, che comprende le galle inglesi riscontrate sulla Quercia, un complemento a quello precedentemente pubblicato dallo stesso A. « British ve getable Galls » e già da noi a suo tempo recensito [Bibl. I, 27, 80 ter, 160]. Ad una breve prefazione storica sulla cecidologia inglese — la quale può farsi risalire al 1668, in seguito a talune notizie abbastanza precise contenute in un lettera di TH. BrowNE diretta al Dr. MERRETT — l’ A. fa seguire alenni Capitol | dedicati alla parte generale. In essi troviamo notizie più o meno note, molte delli | quali furono tratte dalla traduzione inglese della ben nota Opera di ADLER. In un intero Capitolo sono riunite alcune notizie riferentisi al nnmero di galle, di un | determinata specie, le quali possono trovarsi sopra un determinato organo vegetale Così egli ha potuto numerare su di una sola foglia di Quercia sino a 698 galle d Neuroterus numismatis, e su altra, 489 galle di Neuroterus fumipennis, ete. ete. U " BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI Y i È ntero Capitolo è dedicato anche alla conoscenza botanica delle Querce inglesi, e Y ultimo, al modo di raccogliere, preparare, conservare le galle. 7 Fa seguito la descrizione delle galle quercicole inglesi, in tutto non più di 58 specie !, elencate secondo 1’ ordine alfabetico, generico e specifico, dei cecidozoi. Vi “sono comprese anche le leggere deformazioni rameali prodotte, su Quereus pe “dunculata e sessiliflora, dall’ Asterolecanium rariolosum Ratzb. ed aleuni grossi tumori dei tronchi di Quercia secondo l A. dovuti ad un fungo, Dichaena quercina Fries. È Come lo si vede dal numero , la flora cecidologica inglese è assai povera, es- ‘sendo costituita soltanto da una piccola parte delle galle più comuni dell’ Europa ‘media, e vi mancano inoltre tutti gli elementi meridionali, mediterranei. Si com- prende poi facilmente come non esistendo spontanee nell’ Inghilterra la Quercus erris e la Q. Ilex — la prima introdottavi solo intorno il 1735 — vengano a mancare degli ospiti importantissimi per l’ esistenza di molti Cinipidi e Cecidomie. Il lavoro si chiude con un elenco alfabetico di parassiti o commensali che si po- _trebbero ottenere anche dalle galle inglesi, citati perciò unicamente sulla fede di altri cecidologi che li ottennero sul continente dalle stesse specie di galle. Un altro ere e n elenco (accompagnato da sommarie note descrittive) è dedicato alle galle quercine — enropee, le quali potrebbero in seguito rinvenirsi anche in Inghilterra. Anche questa nuova Opera del CONNOLD mostra, come l’altra, mancanza di co- noscenze bibliogratiche, tanto più dannosa in quanto avrebbe valso ad aumentare il numero delle galle inglesi. Sembra ad esempio essergli ignota 1’ importantissima ‘monografia del KIEFFER (Les Cynipides) la quale non solo gli avrebbe permesso di poter aggiungere con tutta sicurezza nuove entità (cito solo Cynips lignicola e 5 euroterus Schlechtendali), ma anche di conseguire un più sienro orientamento nella nomenclatura e sistematica dei Cinipidi. Come ognuno potrà facilmente convin- — ersi, scorrendo le tabelle dei cecidozoi europei viventi sulle Quercie del continente (pag. 155-159), VA. mostra di non aver aleun preciso concetto della nomenclatura scientifica e del! importanza della sinonimia generica o specifica. Ne viene di con- Seguenza che nna stessa specie figura spesso due volte in tali elenchi, come si trattasse di entità veramente distinte. Ad es. Cynips argentea e C. tozae — Neuro- smi, e en rus saliens, N. saltans — Andricus lucidus, Aphilothrix lucida, ete. ete. Una tabella i chinde poi con questa curiosissima osservazione : « The following galls are also mentioned by various Continental authors, but without descriptions »; e qui fa % — seguire un elenco di 22 specie, terminato per di più da un « ete. ete. », in cui tro- vansi, per citare solo alcuni nomi, Andricus suflator, Cynips Tozae, Trigonaspis sy- naspis, Cynips Mayri, Arnoldia Cerris !! L’ elegante volume, rilegato in tutta tela all’ inglese, al quale neppur manca “una smussatura dorata, è accompagnato da 68 bellissime tavole fotozincografiche. Ci rallegriamo per V apparsa di quest’ opera, come di ogni altra la quale valga RT ton gr “à richiamare l’attenzione sugli studi cecidologici, ma, francamente, dobbiamo con- fessare ch’ essa non colma una lacuna, nè la sapremmo perciò consigliare ai nostri « Autori continentali ». ER ren SP VI MARCELLIA 14. Ghigi A.—Catalogo dei Tentredinidi del Museo zoologico di Na- Le] Le) poli con osservazioni critiche e sinonimiche (Ann. Museo zool. R. Università di Napoli, v. I an. 1904, n. 21, 28 pp.) Vi sono ricordate anche talune comuni specie galligene. 15. Grevillius G. Y. u. Niessen J.— Zoocecidia et Cecidozoa im- primis provineiae Rhenanae (Lieferung IV, Nr. 76-100; Céln, Verlag d. Rhein. Bauern-Vereins, an. 1908-1909). Fu testè distribuito, nel mese di febbraio, il quarto fascicolo il quale completa così la prima centurie di galle e cecidozoi [efr. Bibl. VI n. 209]. Le specie conte- nute sono le seguenti : 76. Eriophyes brevitarsus Fock. (Erin. alneum), Alnus glutinosa Gaertn. 77. Eriophyes laticinctus Nal., Lysimachia vulgaris L. 78. Eriophyes piri Pag. var. variolata Nal., Sorbus aria Crantz. 79. Eriophyes stenaspis plicator Nal. n. subsp. in litt., Magus silvatica L. 80. Eriophyes truncatus Nal., Salix purpurea L. 81. Eriophyes vitis Land., Vitis vinifera L. 82. Physopus basicornis E. Rent. n. sp. in litt., Vicia cracca L. (deformazioni fo- gliari). 83. Aphis persicae Boy. de Fonse., Prunus Persica L. | 84. Aphis rumicis L., su Amarantus retroflecus L. | 85. Aphis rumicis L., Rumex obtusifolius L. | 86. Aphis spiraeella Schout., Spiraea ulmaria L. | 87. Cnaphalodes strobilobius (Kalt.) Ch., Picea excelsa Link. 88. Myzus ribis L., Ribes aureum Pursch. 89. Nectarosiphum rubi Kalt., Rubus fruticosus L. 90. Pemphigus spirothecae Pass., Populus pyramidalis Roz. 91, 92. Livia juncorum Latr., Juncus lampro-ırpus Ehrh. e J. supinus Mönch 93. Urophora cardui L., Cirsium arvense L. | 94, Perrisia veronicae Vall., Veronica chamaedrys L. | 95. Isosoma graminicola Gir., Triticum junceum L. | 96. Dryophanta folii (L.) Mayr, Quercus pedunculata Ehrh. | 97. Dryophanta taschenbergi (Schl.) Mayr, Quercus pedunculata Ehrh. 98. Neuroterus fumipennis Hart., Quercus pedunculata Ehrh, 4 99. Neuroterus tricolor (Hart.) Mayr, Quercus pedunculata Ehrh. | 100. Xestophanes potentillae Vill., Potentilla reptans L. | | 16. Leonardi G.— Chermotheca italica (iniziata da A. BERLESE @ G. LEONARDI). Fase. IV, nn. 76-100, Portici 1908. — Prezzo 1 lire 10. Dopo eirca 10 anni viene ripresa la distribuzione di questa interessante Opera essiccata della quale sino al 1898 erano usciti 3 soli fascicoli (75 specie). Bere... LE BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI VII Le specie di Cocciniglie galligene contenute nel presente fascicolo sono le se- guenti : n. 76 Asterolecanium hederae (Licht.) Ckll. sa Hedera Helix (Padova). n. 87 Asterolecanium thesii (Dougl.) Ckll. su Pittosporum Tobira (Palermo) (= Ast. variolosum De St. nec Ratz.). 17. Mantero G.—Materiali per un catalogo degli Imenotteri liguri. P. 5.° Supplemento ai Formieidi, Crisidi, Mutillidi, Braconidi e Cinipidi (Ann. Museo Civ. di Storia Nat. Genova ser. 3*, v. IV (XLIV), an. 1908, p. 43-74, con 4 fig.). Il Supplemento che si riferisce alla fam. Cinipidi, va dalla pag. 55 al fine ed è corredato da 4 fig. Il precedente lavoro dell’ A. fu già da noi recensito a suo tempo [efr. Bibl. V 207]. Nel presente lavoro sono segnalate 53 galle di Cinipidi, di queste, 26 nuove per Ja Liguria; tutte sono poi accompagnate da più o meno diffuse notizie biblio- grafiche, biologiche e per molte vengono anche segnalati quei parassiti che |’ A. stesso ha potuto allevare. Nuove per |’ Italia sono poi le seguenti specie: Andricus occultus Tsch. (sn Querens pubescens), 4. serotinus Gir. (Q. sessili flora), A. ranthopsis Schl. (Q. pubescens), Aular Scorzonerae Gir. (Scorzo- nera austriaca), Neuroterus aggregatus (Quercus Cerris). Le osservazioni più interessanti si riferiscono alle seguenti galle : Aulax Pilosellae K. su Hieracium florentinum All. var. litoraneum Belli. Aulax Salviae, ottenuto V insetto da galle fiorali di Salvia officinalis. Andricus sp., segnala per la Lignria ed anche per il Piemonte alcune interessanti galle delle gemme, descritte e figurate per la prima volta da TROTTER (1902). Cfr. HouarD 1908 p. 233 n. 1246, fig. 329-330. Cynips Korlevici Kiett., questa specie già segnalata nel precedente contributo è ora ripresentata assieme ad una figura ed alla descrizione dell’insetto, sin qui ignoto, giacchè da KIEFFER era stata istituita la nuova specie nnicamente in base ai caratteri della galla. Neuroterus saltans Gir., potè constatare il caratteristico saltellamento di queste galle, provocato dai movimenti della larva. Cynips coriaria Heimh. e Andricus solitarius Fonsc., le due galle intimamente con- sociate. 18. Mariani Giud.— Terzo Contributo allo studio della Cecidologia Valdostana (Bol. Soc. la « Flore Valdotaine » n. 5 an. 1909, Estratto di 20 pp. con 2 fig.). + Con questo nuovo contributo sono aggiunte altre 48 galle alla Flora cecido- logica della Valle d Aosta, la quale perciò, a merito dell’ Egregia Antrice, ne VIII MARCELLIA enumera fino ad oggi 222. Le galle più interessanti di tale Contributo sono le seguenti: Contarinia sp., su Brassiea Erucastrum (silique deformate) , Aphis Epilobii Kalt. sn Epilobinm montanum, dphide su Lathyrus pratensis, Zrioza dispar Fr. Löw, sn Leontodon hispidus?, Tylenchus sp., su Leontodon hispidus (ipertrofia della costa fogliare), Cecidomyide ?, su Lythrum Salicaria (deformazione dell infiorescenza), Aphis Cardui L.?, sn Oenothera biennis, Tenthredinidae, su Salix alba (margine fogliare ripiegato), Pontania pedunculi Hart., su Salix phylicifolia, Bacteriocecid.?, su Salix purpurea (tumori rameali), Aphide?, Solanum Dulcamara L. (deformazione fogliare), Aphide, su Spiraea Uimaria (deformazione fo- gliare), Trioza Urticae L., su Urtica urens. 19. Nalepa A.— Eriophyiden, in RECHINGER Botan.-zoolog. Ergebn. v. d. Samoa-Ins., Neuguinea-Archipel u. d. Salomonsinseln VI, (Denk. k. Ak. d. Wissensch. Mathem.-Naturw. Cl, Wien, LXXXIV Bd., an. 1908, Estratto di 14 pp. con 2 fig. nel testo e 2 tav.). Vi si trovano descritte le seguenti nuove specie di acarocecidii ed Eriofidi : Eriophyes hibisci Nal., bollosità tappezzate da peli, su Hibiscus rosa si- nensis L.— Isola Upolu. Galle già deseritte dall’ A. in altro periodico [efr. Bibl. V 208]. Iriophyes hibiscitileus n. sp., galle fogliari subcefaloneiformi, su Hibiseus ti- liacens L.— Isola Upolu ed Isola Savaii. Eriophyes altus n. sp., galle fogliari subcefaloneiformi, su Ipomoea dentien- lata Ch.— Isola Upolu. Eriophyes aoecus n. sp., galle fogliari sacciformi, a superficie interna ed esterna ondu- lata, provviste di ostiolo ostruito da peli, su ? Evodia hortensis Forst.— Isola Upolu. Eriophyes samoensis n. sp., galle fogliari subcefaloneiformi di ? mm. di diam., su Spiranthemum samoense A. Gray.— Isola Upolu. Eriophyes pauropus n. sp., deformazioni ipertrofiche dei margini delle pinnule, su | fronde di Nephrolepis hirsntula Presl.— Isola Upolu. Eriophyes cingulatus n. sp., germogli deformati ed affetti da cladomania, su Euge- nia Wightiana Wight.-— Isola di Ceylon. Phyllocoptes Rechingeri n. sp., inquilino nelle galle di Eriophyes samoensis. Oxypleurites bisetus Nal., inquilino nelle galle di Eriophys hibisci [cfr. Bibl. V 208] 20. Nüsslin O.— Zur Biologie der Ohermes piceae Ratz. (Verh. de Zool. Gesellschaft, Leipzig 1908, 20 pagine e 4 figure). BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI N IR 21. Patch E. M.— Pemphigus tessellata : Alternate Host, Migrants and Frue sexes (Hntomological News XIX, an. 1908, nn. 8-10, con tavola). 22. Peyerimhoff P. de — Une nouvelle diptérocécidie des Saules (Bull. Soc. Entomol. de France an. 1909, n. 2, p. 42-45 con 2 fig.). Descrive una nuova galla su Salix pedicellata, scoperta a Camp-du- Maréchal in Kabylia (Africa bor.) e dovuta probabilmente ad una nnova specie di Oligotrophus. È una galla fogliare molto caratteristica, la quale trae origine dalla costa o dalle nervature secondarie, E sublegnosa, ostiolata e provvista di ampia camera larvale. E di forma subsferica, con un diam. di 2-3 mm., ed à superficie provvista lateralmente di vari prolungamenti subcilindrici, diritti o contorti. 23. Ritzema Bos J.— Verslag over onderzoekingen, gedaan in- en over inlichtingen, gegeven vanwege bovengenoemd Institut in het jaor 1907 (Mededeel. van de Rijks Hoogere Land - Tuin - en Boschbouwschool, deel 1., Wageningen an. 1908, di pp. 105. In questa relazione sull’ attività del Laboratorio fitopatologico di Wageningen trovano posto anche talune notizie più o meno diffuse su taluni parassiti galligeni di piante coltivate, cioè : Heterodera, Tylenchus , Aphelenchus, Cecidomyia piricola, Contarinia torquens, Schizoneura lanigera, Chermes Piceae, Phytoptus Piri, Phyllocop - tes Azaleae, e tra i fitocecidii : Urophlyctis Alfalfae, Exobasidium Azaleae, 24. Rübsaamen Ew. H.—Sciariden und Zoocecidien, in L. SCHULT- ZE Forschungsreise im westlichen und zentralen Südafrika ausge- führt in den Jahren 1903-1905, Bd. I (Denkschr. d. medizin.-n«- turwiss. Gesellsch. Bd. XIII, an. 1908, p. 449-458, con 1 fig. nel testo e tav. XXIII-XXIV). Asphondylia salsolae n. sp., produce delle galle subellittiche lunghe 5 mm. , 2'/,-3 mm. larghe, situate d’ ordinario all’ estremità di un germoglio laterale , uniloculari, glabre, a pareti carnose. Su Salsola aphylla L. f.: Gross - Na- malande presso Chamis nell’ Africa meridionale. Lasiopterina sp., galle situate all’ estremità dei germogli, pluriloculari, rivestite da abbondante pelnrie biancastra, inframezzata a numerose foglie ipertrofiche. Su Salsola aphylla L. f.: Gaianb Namalandes, Africa meridionale. Lasiopterina sp., ipertrofie tiorali. Sulla stessa pianta e nella stessa località della precedente. 25. Russel M. H. et Hooker C. W.--A new Cecidomyid on Oak (Entomological News XIX, an. 1908, nn. 8-10, con tavola). x MARCELLIA 26. Tavares da Silva Joag.— Contributio prima ad cognitionem Cecidologiae Braziliae (Broteria ser. zoolog. v. VIII, an. 1909, p- 5-29, con 8 tav. in eliotip.). Le contribuzioni del Prof. TAVARES non hanno più oramai bisogno di una particolare presentazione, tanto s’ assomigliano nei loro pregi, oramai ben noti ai cecidologi. Anche il presente lavoro, come l’ altro suile galle dello Zambese [Bibl]. VII n. 86), è completamente redatto in lingua latina, cosicchè anche le descrizioni delle galle assumono una veste classica e sopratutto quella precisione e quella chia- rezza concisa che non si disgiungono mai dall’ uso di questa lingua. Le galle illustrate nel presente lavoro furono raccolte dai Padri J. RICK e J. BRUGGMANN nei dıntorzi di San Leopoldo, prov. di Rio Grande do Sul; sono in numero di 40 e nell'ordine alfabetico delle famiglie vegetali cui debbonsi aserivere, sono le seguenti : ACANTHACEAE: Justicia sp., galle rameali in forma di piccole protuberanze subemisferiche uniloculari, Cecidomyidae. ANACARDIACEAE: Duvana dependens Ort., galle fogliari ipofille, subemi- sferiche aprentisi dal lato opposto in quattro valve; camera larvale ampia, Omettero.— Duvaua weinmanniaefolia Engl., galle rameali subglo- bose o subpiriformi, legnose, glabre, pluriloculari, ? Cynipide. BIGNONIACEAE : Bignonia sp., ipertrofie caulinari, pluriloculari, Cecidomyidae. — Bignoniacea indeterminata, ipertrofia unilaterale dei cauli, pluri- loculare, Cecidomyidae. Compositae: Chuquiragua tomentosa Bak., galle subglobose spesso con- crescenti, sviluppantisi a spese delle nervature e del picciolo , Cecidomyidae ; ipertrofie irregolari dei rami, piccioli, nervature, pluriloculari, Cecidomyidae. — Mikania hirsntissima DC., galla mammellonare dei rami, uniloculare, Cecidomyidae. — Mikania Guaco H. B. K., ipertrofie rameali per lo più unilaterali, spesso concrescenti, Asphondylia. — Mikania sp., ipertrofie dei rami e dei piccioli, pluriloculari, Cecidomyidae. LAURACEAE : Goeppertia hirsuta Nees, galle rameali subemisferiche di 3 m. di diam., uniloculari, talora concrescenti, Cecidomyidae.— Nectandra sp., ipertrofie unilaterali dei rami, nniloculari, spesso concrescenti , Cecidomyidae ; galle ipofille subrotonde, umbilicate, rugose, 3 m. di diam., uniloculari, Ceei- domyidae ; ipertrofie rameali subunilaterali, pluriloculari, Cecidomyidae. LILIACEAE: Smilax sp., pustole fogliari di 3 m. di diam., Cecudomyidae; iper- trofie rameali irregolari talora unilaterali, pluriloculari, Cecidomyidae.— ? S m i- lax sp., galle fogliari attraversanti il lembo, più o meno increspate, glabre, striate, uniloculari, Asphondylia sulphurea n. sp., Compsodiplosis luteo-albida n. gen. n. sp. (commensale). LyvrHgacgare: Lithraea brasiliensis L. March., ipertrofie rameali più o meno unilaterali, nniloenlari, spesso concrescenti, ? Agromyzina. BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI o XI MALVACEAE: Pavonia sepium St. Hil., ipertrofie rameali unilaterali, unilo- culari, ? Agromyzina. MELASTOMAC AR: Tamonea sp., galle rameah o fogliari, subglobose o subeilin- driche (alte 4-5 mm.) rivestite da lunghi peli di color vinoso, provviste di un’ ampia cavità larvale, Cecidomyidae. MELIACEAE: Guarea (trichilioides L.), galle per lo più ipotille, globose, 1,5-2 mm., mmiloenlazi, pubescenti, Guarephila albida n. gen. n. sp. MONIMIACEAE : Mollinedia (elegans Tull.), ipertrofie irregolari dei rami, pluriloenlari, Cecidomyidae. MoRACEAE: ?Sorocea ilicifolia Miq., ipertrofie rameali irregolari, spesso unilaterali, pluriloenlari, Brugmanniclla braziliensis n. gen. n. sp. MYRSINACEAE: Myrsine sp., gaulle per lo più ipofille, sferoidali, tomentose, 2,5 mm., di diam., uniloculari, Brugmannia braziliensis Tav.; galle ipofille larga- mente aderenti al lembo, sferoidali, glabre, 5 mm. di diam., uniloculari, Ceci- domyidae ; prominenze cortieali dei rami, Cecidomyidac ; deformazioni dei ger- mogli, Cecidomyidae ; ipertrofie rameali subfusiformi, uniloenlari, ? Lepidottero. MyRTACEAR : Eugenia uniflora L., galle fogliari antigene, ellissoidi o fu- siformi acuminato-aculeate, uniloculari, Cecidomyidae. PIPERACEAE : Piper (Luschnathiana Miq.), galle rameali o fogliari di grandezza varia, molli, irregolarmente lobate, Zalepidota n. sp. ROSACEAE : Spiraea sp., gallo mammellonari dei rami, pubescenti, specialmente all’ apice, molli, uniloculari, Cecidomyidae. RUBIACEAE : Psychotria sp., galle fogliari, o rameali, subemisferiche, glabre, se fogliari attraversanti il lembo, nniloenlari, Cecidomyidur. SAPINDACKAE: Urvillea uniloba Radlk., galle rameali subeoniche, unilocu- lari, Lasioptera urvilleae n. Sp. SOLANACEAE: AGnistus sp., ipertrofie rameali spesso unilaterali, pluriloeulari, Cecidomyidae. - Cestrum sp., galle nascenti all’ ascella delle foglie, di for- ma irregolare, grandi, pelose, pluriloculari, Cecidomyidae. VERBENACEAE: Lantana sp., galle fogliari attraversanti il lembo, subglobose, tomentose, uniloculari, Clinodiplosis lantanae Riibs. Segue inoltre la descrizione di tre galle sviluppantisi su piante indeterminate, e dovute probabilmente a Cecidomie. 27. Trotter A. e Cecconi G.— « Cecidotheca italica » (Avellino, marzo 1908, fase. XIX-XX, nn. 451-500; prezzo lire 20). I presenti fascicoli, coi quali le galle pubblicate raggiungono ora il mezzo mi- gliaio, contengono le seguenti specie : Abies pectinata DC.: 451 Cecidomyidae (galle fogliari vesicolose). —Aesculus Hippocastanum L.: 452 Eriophyes Hippocastani (Foek.) Nal. — Artemisia vul- XII MARCELLIA garis L.: 453 Eriophyes Artemisiae (Can.) Nal., 454 Rhopalomyia baccarum (Wachtl) Kieff. — Atriplex hastatum L. var. patulum (1): 155 Aplonyx Chenopodii De Stef..— Campanula fragilis Cyr. var. Cavolini (Ten.): 456 Miarns Campanulae L.— Cerastium arvense L.: 457 Trioza Cerastii (H. Löw) F. Löw — Chrysan- temum Leucanthemum L.: 453 Rhopalomyia hypogaea (F. Lüw) Kieff.—Clematis Vitalba L.: 1459 ? Eriophyidae (? Eriophyes Vitalbae Can.). — Cytisus scoparius (L.) Lk.: 460 Asphondylia Mayeri Lieb. - Diplotaxis tenuifolia (L.) DC. : 461 ? Contarinia sp. (deformazioni fiorali). — Dyospyros mespiliformis Hochst.: 462 ? Psyllidae (fossette fogliari, Colonia Eritrea). — Fraxinus Ornus L. : 463 Erio- phyidae (erinei fogliari) — Galium cruciata Scop.: 464 ? Trioza sp. (germogli de- formati), 465 Cecidomyidae (ipertrofie canlinari subglobose). — Galium lucidum All.: 466 Eriophyes galiobius (Can.) Nal., 467 Eriophyes Galii (Karp.) Nal. — Ga- lium Mollugo L.: 468 Eriophyes galiobins (Can.) Nal.— Galium verum L.: 469 Eriophyes Galii (Karp.) Nal. — Genista aethnensis L.: 470 ? Agromyza Schineri Gir. — Hieracium florentinum All. : 471 Cecidomyidae (ipertrofie caulinari). — Lotus corniculatus L.: 472 ? Contarinia Barbichei (Kieft.) Kieff.— Lychnis alba Mill.: 473 Perrisia Lychnidis (Heyd.) Kieft.— Mentha (? aquatica L.): 474 Erio- phyes megacerus (Can. et Mass.) Nal.— Morus sp.: 475 Hysteropterum grylloides Fabr.— Peucedanun Oreoselinum Moench: 476 Macrolabis eorrugans (Fr. Löw) Kieff. — Phillyrea media L.: 477 Schizomyia Phillyreae Tav.— Pirus Aucuparia Ehrh.: 473 Aphis Sorbi Kalt.— Plantago Serraria L.: 479 Eriophyes sp. (defor- mazioni fiorali glabre). — Populus nigra L.: 480 Pemphigus affinis Kalt. , 481 Pemphigns vesicarius Pass., 482 Taphrina aurea (Pers.) Fr.— Poterium Sangui- sorba L.: 433 Eriophyes Sanguisorbae (Can.) Nal. - Prunus Amygdalus Stok.: 484 ? Eriophyes distinguendus Kieff, (Erineum amygdalinum Dub.). — Quercus pedunculata Ehrh.: 485 Asterolecaninm variolosum (Ratz.) News., 486 Andricus trilineatus Hart., 487 Cynips corruptrix Schl. — Quercus Pseudo-Suber Santi : 48% Aphelonyx cerricola (Gir.) Mayr — Quercus sessiliflora Sm. var. pubescens Will.: 489 Pelatea festivana Hübn., 490 Cynips coronata (Gir.) Trott.— Quercus Suber L.: 491 Synophrus politus Hart. — Rosa Seraphini Viv.: 492 Rhodites Mayri Schl. — Rubus ulmifolius Sch.: 493 Perrisia plicatrix (H. Löw) Kieff. — Rubus glandulosus Bell.: 494 Eriophyes gibbosns (Nal.) N. — Rumex Acetosa L.: 495 Trioza Rumicis Fr. Low.— Salvia pratensis L.: 496 Aulax Salviae Gir. — Tila cordata Mill. : 497 Eriophyes Tiliae (Pag.) Nal. var. liosoma Nal. — Tilia platyphylia Scop.: 498 Oligotrophus Hartigi (Lieb.) Kieff. — Urospermum picroi- des Sch.: 499 Timaspis Urospermi (Kieff.) Kieff. —Vangueria abyssinica A.Rich.: 500 Eriophyes sp. (galle fogliari clavato-capitate, Colonia Eritrea). 23. Webster F. M.— The Joint-Worm, Isosoma tritici Fitch (U. 8. Depart. of Agricult. Bureau of Entomol., Circular, an. 1903). 6 BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XIII FITOCECIDII 29. Buchman Earle Rob. — The gum produced by Bacillus ra dicicola (Centralbl. f. Bakter. ete. II Abt. Bd. XXII, an. 1909 p. 371-396). 30. Hall van C. J. J. e Drost A. W. — Les balais de sorcière du Cacooyer provoqués par Colletotrichum lurificum n. sp. (Rec. trav. bot. Neerland. v. IV, an. 1908, 4, p. 243-319, con 17 tav.). 31. Lemée E.— Les ennemis des Plantes, 3° et 4° ser. Suppl. n. 1: Balais de sorcière, Exoascus, Taphrina (Bull. Soc. d’ Hortic. de VOrne, Alençon 1908, Estratto di 11 pp.). Sono descritti numerosi micocecidii riscontrati nell’ Orne su venti specie di piante arboree. Notevole sopratutto un rieco e colossale « scopazzo » su Ulmus campestris che V A. pensa possa attribuirsi all azione di Eriofiidi.— [Per le precedenti pubblicazioni dell’ A. cfr. Bibl. VII n. 51]. 32. Maire R. et Tison A.-— Sur le développement et les affinités du Sorosphaera Veronicae Schr. (C. R. Ac. d. Sc. Paris, 21 dec. 1908, Estratto di- 3 pp.). In seguito a recenti osservazioni fatte dagli AA. in Francia, confermate anche da altre osservazioni indipendenti di LAGERHEIM in Svezia, sembra accertato che la Sorosphaera Veronicae da taluni ritenuta come una Ustilaginea, sia invece una Phytomyxinea; ciò in seguito alla constatazione dei plasmodi entro le cellule della pianta ospite, durante lo sviluppo dei caratteristici tumori [pubblicati in « Ceci- dotheca italica » fase. XV n. 373 e XVIII n. 449]. 32bis Ritzema Bos J.— Cfr. n. 23. 33. Spieckermann, Ueber das Vorkommen von Chrysophlyctis en- dobiotica Schilb. (Prakt. Blätt. f. Pflanzenschutz u. Pflanzenbau Jahrg. VI an. 1908 Heft 10). Deformazioni dei germogli, in forma di piccolo cavolfiore, nascenti dai tuberi di Patata, dovute al fungo Oomicete suddetto. XIV MARCELLIA 34. Sydow H. — Ueber Paepalopsis deformans Syd. (Annales Myco- logici v. V an. 1907, p. 395; Mycoth. germ. n. 633). Questo Ifomicete deforma gli organi fiorali e specialmente le antere dei Ru bus. 35. Trotter A.— Un caso di « tuberizzazione parassitaria » in piante di Amarantus silvestris Desf. Nota preliminare (Bull. Soc. bot. it. an. 1908, p. 117-120). Ipertrofie canlinari unilaterali ed a superficie di nna colorazione rosso-vinosa erano già state segnalate anni addietro dal MASSALONGO (1904, efr. Bibl. III 142) e recentemente poi distribuite in « Cecidotheca italica » fase. XVI n. 382. L'A. ha potuto trovare in varie località del Veneto e con notevole frequenza, delle sin- golari ipertrotie ipogee in corrispondenza del colletto radicale o della porzione su- periore della radice, spesso assai regolarmente sviluppate, da giovani di color rosso e perciò paragonabili a tuberi di Ravanello. Le parti aeree della pianta, negl’ in- dividni ad ipertrofie ipogee, erano quasi sempre immuni da ogni infezione nè of- frivano segni di deperimento, cosicchè sembrava quasi trattarsi di organo normale. L’ A. potè assodare però che anche per tali ipertrofie | agente produttore era il Cystopus Blitti, o forse una specie biologica distinta, per quanto negli organi sot- terranei talora non sporifichi affatto e si mostri solo allo stato di micelio. L’A. mette poi in raffronto tale nuovo caso, con la tuberizzazione delle così dette piante formicarie , delle Orchidee ete., senza alcun dubbio provocata da de- terminati organismi, animali o vegetali, e si domanda se il caso di tuberizzazione accidentale da lui constatata, evidentemente parassitaria e perciò patologica, non possa eventualmente esser destinata ad nna futura fissazione. 36. Zach Fr. — Ueber den in den Würzelknöllchen von Elaea- gnus angustifolia und Alnus glutinosa leben- den Fadenpilz (Sitzb. k. Ak. d. Wiss. Wien, Mathem.-naturw. Kl. Bd. CXVII, Abt. I, an. 1908, p. 975-954, con tavola doppia). Notizie originali sulla natura ed il comportamento del fungo micelico che vive entro i tumori radicali di Eleagnus angustifolia ed Alnus gluti- nosa. ARGOMENTI AFFINI Teratologia 37. Bernard Ch.— Sur une anomalie des fruits de Carica pa- paya (Ann. Jard. bot. Buitenzorg 2° ser. 1908, p. 56-68). BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XV 38. Blaringhem L. — Production d’ une varietés nouvelle d’ epi- nards: Spinacia oleracea var. polygama (C. R. Ac. d. Sc. Paris t. CXLVII, an. 1908, p. 1331-1333). 39. Dauphiné A. — Sur un cas de cohésion foliaire chez le M a- honia (Bull. Soc. bot. de France t. LV, an. 1908, p. 696-700, con 1 fig.), L’ anomalia in parola (saldatura di foglioline attigue) si manifesto nello svi- luppo delle nuove foglie in un individuo di Mahonia Aquifolium var. repens che era stato trapiantato, e tagliato. 40. Gillot X.— Notes de Tératologie végétale (Soc. Hist. Nat. @ Aw tun an. 1906, 53 pp. con fig. e 2 tav., an. 1907, 22 pp. e 11 fotoine.). 41. Guillaumin A.— A propos de la trasformation des pétales en étamines chez un Lis et d’ une feuille anormale de Caoutchouc (Bull. Soc. Entom. de Fr. t. LV, an. 1908, p. 558-561). 42. Lolli A. — Osservazioni su una varietà di Mais ramificato (Le Stazioni sperimentali agrarie ital. v. XLI, fase. XII, an. 1908, p. 761-767 con 1 tav.) 43. Roux Ci.— Observations générales et particulières sur la Téra- tologie des Champignons (Ann. Soc. Bot. Lyon XXX, an. 1905 p. 205-214 con 1 tav.) I fenomeni teratologici dei fanghi superiori (Basidiomiceti) sono dall A. riuniti nei seguenti gruppi : 1. Coalescenza, concrescenza o saldatura ; 2. prolificazione, ramificazione 0 super- posizione; 3. ipertrofia o gigantismo; 4. atrofia o nanismo ; 5. eteromorfla © deformazione. L’ A. fornisce, per ciascheduno di questi gruppi, numerosi esempi tratti anche da personali osservazioni. 44. Schmidt H.— Herbarium teratologicum. Fase. I an. 1908 (Prezzo Mk. 20). 45. Sykes M. G. — Note on an abnormity found in Psilotum triquetrum (Ann. of Bot. XXII, an. 1908, p. 525). XVI MARCELLIA Varia 46. Adier, Beitrag zur Biologie von Inostemma (Platygaster) Boseii Jur. (Ztschr. J. wiss. Insektenbiol. Bd. IV an. 1908, p. 306-307, con 1 fig.). Cfr. Bibl. n. 47. 47. Kieffer J. J.— Bemerkungen über Adler’s Beitrag zur Biologie von Inostemma Boseii (Ztschr. f. wiss. Insektenbiol. Bd. IV an. 1908, p. 465-466). Secondo Y A. non si tratta di Inostemma Boscii Jur. come è seritto nella no- terella di ApLER [efr. n. 46], bensì di Inostemma piricola Kieff., parassita non di Sciara piri Schm., ma di Contarinia pirivora Ril. 48. Kohl Fr. Fried. — Dr. Gustav Mayr +. Ein Lebensbild (Verh. d. k. k. zool.-bot. Gesellsch. Wien Bd. LVIII, an. 1908, p. 512-529, con ritratto). A. TROTTER NOTIZIE.— In questi giorni fu pubblicato anche il 2° ed ultimo volume della grossa Opera dell’ HOUARD, Les Zoocécidies des Plantes d'Europe et du Bassin de la Méditerranée. Riserbandoci al prossimo numero una dettagliata analisi dell’ Opera, nell’ interesse dei Cecidologi ne annunziamo subito avvenuta distribuzione. ione BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XVII ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. . Boerner C.— Ueber Chermesiden. Zucht des Reblaus-Wintereies in Deutschland (Zoolog. Anzeig., Leipzig 1909, 16 pp. con 3 fig.). . Bonfigli — Ulteriori ricerche sulla Phyllorera quercus Boy. (Atti KR. Acc. Lincei II, 1-2, an. 1909). . Felt E. P.— The economie Importance and Food habits of A- merican Gall Midges (39. Ann. Rep. of Entomol. Soc. of Ontario 1908, Toronto 1909). . Frémicourt A.— Contribution à I’ étude du Phylloxéra et des agents antiphylloxériques (Le Mans 1909, 35 pp.). . Goethe R. — Die Blutlaus, Schizoneura lanigera Hausm. ihre Lebensgeschichte und Bekämpfung (3 Ediz., Berlin 1909, in-S, 24 pp. e 21 fig., prezzo lire 1,25). . Grassi G B. e Foa — Sulla classificazione delle Fillossere (Atti R. Acc. Lincei VII, 1-2, an. 1908). . Keller C.— Remarques sur une collection de galles (Arch. Se. phys. et nat. de Genève t. XXII, an. 1906, p. 382). . Nüsslin O. — Zur Biologie der Chermes piceae Ratz. (Verh. d. Zool. Ges. Leipzig 1908, 20 pp. e 4 fig.) . Petri L. — Ueber die Wurzelfäule phylloxerierter Weinstöcke (Ztschr. f. Pflanzenkrankh. XIX Bd., an. 1909, Heft I, p. 15-48 con 13 fig.). i A A = . È - +: > E il riassunto di un precedente lavoro cià da noi ricordato (efr. Bibl. VII 38). » 8. Reukauf E.— Wie legt die Gallwespe Dryophanta divisa Htg. ihre Eier ab? (Prometheus, Jahrg. XVI, 1905, p. 809 con 6 fig.). XVIII MARCELLIA 59. Rübsaamen Ew. H.— Die wichtigsten deutschen Reben-Schäd linge und Reben-Nützlinge (vol. di VII-126 pp. con 41 fig. ne testo e 15 tav. in eromolit.; Edıt. dalla Deutsch. Verlagshau Bong et C., Berlin-Leipzig-Stuttgar 1909). È una interessante pubblicazione atta a diffondere la conoscenza dei parass animali e vegetali più diffusi in Germania sulle piante di Vite; nonchè di talui degli organismi parassiti o predatori più ntili nel limitare lo sviluppo degli org nisimi dannosi. Tutte le specie sono accompagnate da accurate descrizioni morfe biologiche e sono corredate da bellissime figure. Anche i vari organismi cecidoge della Vite vi sono estesamente illustrati. 60. Taylor Adel. M. — Descriptions and life-histories of two ne parasites of the Black currant Mite, Eriophyes Ribis N. (Journ of Econom. Biol. v. IV, 1909, p. 1-8, con fig. e 2 tav. doppie Notizie morfologiche e biologiche su dne parassiti dell’ Eriophyes Ribis, cioè u nuove imenottero calcidide , Tetrastichus eriophyes ed un nuovo fungo ifomicete Botryiis eriophyes Massee. 61. Wolff Max. — Ueber dass Auftreten der Mayetiola destruct Say (Hessenfliege) im Jahre 1905, nebst Bemerkungen über La ve, Puppenhiille und Imago (Centralbl. f. Bakter. ete. 11 Abt. XXIII, 1909, p. 109-119). Sistematica, distribuzione geografica, galle muove, ecc. 62. Aldrich — Catalogue of North American Diptera (an. 1905) 63. Bayer Em.— Die Zoocecidien der Insel Bornholm (Verh. k. zool.-bot. Ges. Wien, LIX Bd. an. 1909, p. 104-120). È un contributo contenente la segnalazione o sommaria descrizione di 112 ga raccolte nell’ isola danese Bornholm nel Mar Baltico, tra la Scandinavia e la G mania. Si tratta per lo più di galle abbastanza comuni e largamente distribni tutta Europa. 64. Beutenmuller W. — Species of Amphibolips and their Ga (Bull. Amer. Mus. Nat. Hist. New York 1909, 20 pp. con 6 tay _ -* 4 wt Beutenmuller W.— The species of Holcaspis and their Ge (Ibidem, an. 1909, 27 pp. e 3 tav.). nm de : BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI si XIX 166. Brodie W. — Lepidopterous Galls collected in the vicinity of Toronto (Canadian Entomologist XLI, nn. 1-2, an. 1909). 67. Cameron P. — Description of a new Species of Parasitic Cy- nipidae from Borneo (Deutsche Entomol. Ztschr. 1909, n. 1). 68. Cook Mel. T. — The Insect Galls of Indiana (Proceed. of the Acad. of Se., an. 1907, Estratto di 11 pp.) Col presente contributo | A. aggiunge altre 17 galle a quelle già note per il erritorio d’ Indiana [Bib]. IV 114, V 79]. Le galle qui riportate sono accompagnate da descrizioni e da una copiosa bi- liografia. 59. Dangeard P. A.— Note sur une Zoocécidie rencontrée chez un Ascomycète : P’Ascobolus furfuraceus (Bull. Soc. bot. de Fr. t. LV, 1908, p. 54-56). Per azione di Anguillule indeterminate sul micelio di Ascobolus furfu- raceus, in luogo del peritecio normale si forma una specie di tubercolo con una avità centrale occupata da un numero variabile di parassiti. 70. Faber F. C. von — Die Krankheiten und Schädlinge des Kof- fees (Centralbl. f. Bakter. etc. IL Abt., Bd. XXI, 1905, p. 97-117 fig. 1-12, Bd. XXIII, 1909, p. 193-219 fig. 13-40. ‘ Alla pag. 215 sono ricordati con varie notizie, accompagnate da alenne figure, i Nematodi del Caffe. 71. Felt E. P.— New Species of Cecidomyidae (N. York State Mus. 1908, 60 th. ann. Rep. Appendix.). ‘72. Gossard H. H.— The Catalpa Midge, Cecidomyia Catalpae Const. (Ohio Agric. Exper. Stat. Bull. n. 197, an. 1908, pp. 1-15, con 9 fig.). ‘73. Herrick G. W.— Notes on Contarinia sorghicola (Entom. News Î XX, 1909, 1-3 con tav.). 74. Houard Cl.— Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée (Edit. A. Hermann, Parigi 1908-1909, 2 vol. di complessive pp. 1247 con 1365 fig. nel testo, 2 tavole fuori testo e 4 ritratti; prezzo dei due vol. fr. 45). MARCELLIA Questa nuova Opera dell’ HovaRD, che è un completo rifacimento del Catalo- que ete. di DARBOUX et HOUARD (1901), costituisce un vero avvenimento nella Storia della sistematica Cecidologica, e può rappresentare in Europa la terza delle pietre migliari che ne hanno segnato il progresso, in precedenza fregiate dai nomi di VON SCHLECHTENDAL (Gallbildungen ete. 1891-1896), KIEFFER (Synopsis des Zoocécid. 1896, 1902, Cynipides 1897-1904). L’ impazienza con la quale la sapevamo attesa da tutti i cecidologi, mentre ne dimostra la necessità, derivante dal continuo diffondersi dei nostri studi, è al tempo stesso un lusinghiero attestato di fiducia al valente cecidologo i cui meriti sono oramai ben noti ed apprezzati. Apprendiamo poi anche con piacere che in questi giorni al Dr. Hovuarp fu conferito dalla Società Entomologica di Francia, per la sua Opera, il premio CONSTANT con grande suffragio di voti. Dire dettagliatamente del contenuto dell’ Opera dell’ HOUARD ci pare quasi un lavoro superfluo, convinti come siamo ch’ essa è oramai in possesso di ogni ceei- dologo. Ci pare solo utile richiamare l’attenzione, con le stesse parole dell’ Autore, su quanto essa presenta di diverso da tutte le altre Opere analoghe : « Notre Ouvrage se distingue de tous les Catalogues de Galles d’ Europe pu- bliés jusqu’ ici par une méthode d’ exposition entièrement nouvelle et par les nom: breux renseignements de bibliopraphie et de répartition géographique qu’il con- tient : 1° Les cécidies, longuement décrites, y sont groupées par familles végétales ; chaque famille est précédée d’ un résumé dans lequel ont été signalés les caractè- res généraux des galles qu’ elles renferment, les points litigieux sur lesquels doit se porter l’ attention des Cécidologues et les recherches qui restent à entreprendre ; 2° Les figures, très claires, originales pour la plupart ou eopiées d’ après les meilleurs auteurs, complètent le te te descriptif ; leur ensemble constitue la collec- tion la plus considérable de dessins de galles qui ait été publiée jusqu’ à ce jour; 3° Chaque cécidie est accompagnée de nombreuses indications bibliographiques, avec renvoi au volumineux Index qui terminera | Ouvrage; ces indications ont été choisies, de préférence, parmi les travaux modernes qui contiennent les meil- leures descriptions des galles ou des céciduzoaires ou encore qui possèdent d’ ex- cellentes figures; les échantillons publiés dans les herbiers cécidologiques n’ ont pas été oubliés ; 4° La répartition géographique se trouve indiquée, à propos de chaque cécidie, par quelques lettres placées dans la marge de droite ». Mi auguro, anzi sono certo, che ’ Opera dell’ HOUARD sia destinata ad influire grandemente snl progresso degli studi cecidologici, cosicchè mi sia lecito esprimere anche la speranza che I’ HOUARD possa darci fra non molto un ricco Supplemento ed io credo di interpretare il desiderio dei Cecidologi facendogliene le più vive sol- leeitazioni ! 75. Jarvis T. T.— Catalogue of the Gall Insects of Ontario (39. Ann. Rep. of Entomol. Soc. of Ontario, an. 1908, Toronto 1909, con 16 tav.) BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXI 76. Kieffer J. J. — Zwei neue Cecidomyiden aus Russland (Revue Russe d’ Entomologie VII, n. 4, an. 1907). 77. Kieffer J. J. u. Herbst P.- Ueber einige neue Gallen und Gallenerzeuger aus Chile (Centralbl. f. Bakter. ete. II Abt. XXIII 1909, p. 119-126. con 7. fig.). Baccharis eupatorioides Hook. et Arn., ceeidii rameali derivanti da modificazione di gemme ed essi stessi gemmiformi. Larva solitaria, trasforma- zione nella galla. Cecidozoo : Scheueria longicornis n. gen. n. Sp. (Cecidomyi- dae). — Sulla stessa pianta cecidio simile al precedente ; ne differisce perch® le galle sono fittamente agglomerate in modo notevole intorno al ramoscello e per le squame che le costituiscono le quali sono di forma oblungo-lanceolata. Cecidozoo : Trypetidae. Baccharis rosmarinifolia Hook. et Arn. Deformazione dei germogli in forma di fiore costituito da foglioline deformi tra le quali vivono socialmente le larve. Cecidozoo : Perrisia chilensis n. sp.— Sulla stessa pianta galle ovoidi od ellissoidi, (10-15 >< 5,8 mm.) chiuse, uniloculari , a pareti grosse, situate all’ ascella di una foglia o nel centro di un germoglio. Cecidozoo : Cecidomyi- dae.-~ Deformazioni caulinari con trasudazioni resinose : Cecidozoo : Lecanium resinatum n. sp. — Deformazioni fogliari prodotte da Afidi e da Psyllodi. Escallonia pulverulenta Pers.— Galle fogliari attraversanti la lamina, pubescenti, talora però si sviluppano anche sui piecioli e sui ramoscelli. Ce- cidozoo : Coccide. Gymnophyton polycephalum Clos.— Ipertrofie irregolari dei rami, plu- riloeulari. Cecidozoo : Lasioptera monticola n. sp. Hydrangea scandens — Galle fogliari globose, glabre, uniloculari, attra- versanti la lamina. Cecidozoo : Angeiomyia spinulosa n. gen. n. sp. Myrteugenia stenophylla Berg. — Galle subovoidi acuminate, situate all’ ascella di una foglia od in corrispondenza di un germoglio, uniloculari. Cecidozoo : Oligotrophus ? eugeniae n. sp. Pernettya furens — Galle subgloboso-depresse, nascenti a spese di un ger- mogllo. Cecidozoo: Pernettyella longicornis n. gen. n. sp. 78. Lagerheim G. et Paim Björn. — Zoocecidien fran Bohnslän (Svensk. Bot. Tidskrift Bd. II, an. 1908, p. 340-349). Vi sono segnalati 4 Elmintocecidii, 42 Acarocecidii, 18 Ditterocecidii, 14 Ime- notterocecidii, 30 Emitterocecidii, 3 Coleotterocecidii. 79. Massalongo C.— Nuove osservazioni fitologiche (Madonna Ve- rona vol: IIT n. 1 (fasc. IX), an. 1909; p. 3-23, con 17 fig.). In queste nuove miscellanee botaniche [efr. Bibl. VI, 214] sono anche conte- nute varie interessanti osservazioni di teratologia (p. 6-10), cecidologia (p. 13-15 XXII MARCELLIA e p. 23) nonchè la deserizione di intumescenze fogliari in piante di Helleborus viridis (p. 12). Le galle descritte sono le seguenti: Eriophyes Cytisi Can. su Cytisus purpurens Scop. (nel Veronese). Eriophyes sp. so Genista corsiea DC. (M. Cinto in Corsica), deformazione dei ramoscelli accompagnata da erinosi. Eriophyes sp. su Picridium vulgare Desf. (marina di Goro nel Ferrarese), galle fogliari cefaloneiformi, di 2-3 mm. di diam. sporgenti inegnalmente sulle due pagine, solitarie o concrescenti, uniloculari. Oligotrophus Bergenstammi (Wachtl) K., su Pirus communis L. (Bologna). Eriophyes Oxalidis Trott. sn Oxalis corniculata L. (Verona). so. Nalepa A.— Nene Gallmilben. 30. Fortsetzung (Anz. d. k. Ak. d. Wiss. Wien, mathem.-naturw. kl. n. X, aprile 1909, 2 pp.). Sriophyes macrochelus Nal. crassipunctatus n. subsp., produttore delle pliche care- niformi, rivestite da erineo, sulle foglie di Acer campestre. Eriophyes macrochelus Nal. megalonye n. subsp., produce il Cephaloneon solitarium su Acer campestre. Eriophyes paderineus n. sp., produttore dell’ Erineum padi Reb. su Prunus Pa- dus L. (cfr. Marcellia VIII, 1909, p. 45). 81. Niessen J. — Ueber Zoocecidien und Cecidozoen des Nieder - rheins (Ber. uh. Vers. Bot. u. Zool. Ver. Rheinl. u. Westf., Bonn 1907 p. 91-94). Nota preliminare intorno alle galle raccolte dall’ A. nella regione renana, le quali, in numero di più che 500, saranno illustrate in un lavoro più ampio, di prossima pubblicazione. Vengono segnalate e brevemente descritte anche le seguenti nuove galle : Aphis Symphiti Schr. (?) su Symphitum officiuale L., foglie accartocciate verso la pagina superiore. Aphis sp., sù Ulmus campestris, foglie deformate. Aphis sp. (Sipha polgoni Schont.), su Polygonum aviculare, accartoceia- menti fogliari. Aphis sp., Cantaurea Cyanus L., accartocciamenti fogliari. Aphis sp., Ranunculus repens L., deformazioni fogliari. Aphis Cardui L., Oenothera muricata L., deformazioni fogliari. Cryptorhynchus Lapathi L., Alnus glutinosa L., deformazioni dei rami. Deformazioni dovute a cansa ancora ignota sono le seguenti : Polygonum amphibium var. terrestre, accartocciamenti marginali delle foglie senza decolorazione. Myosurns minimns, deformazioni dei fiori. Polystichum Thelypteris, deformazioni delle pinnule fogliari. ve BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXIII Q bo . Spindler M. — Nematoden-Gallen auf Webera nutans (Schrb.) Hedw. (Hediigia Bd. XLVITI, Heft. 4., 1909, p. 203-204, tav. VIII). 83. Thomas Fr. — Neue Miickengallen (Mitt. Thür. Bot. Ver. an. 1909 Heft XXV, p. 29-31). Polygonatum anceps Mnch., deformazione delle gemme fiorali, le quali si mostrano ingrossate e con elementi fiorali ipertrofizzati. Cecidomyidae: presso Signa (Firenze); raccolse E. LEVIER. Convallaria majalis L., deformazione delle gemme fiorali, dovuta a larve di Contarinia sp., forse le stesse di Poly gonatum, in seguito alla migra- zione dell’ insetto da nn substrato all’ altro. Ohrdruf (Sassonia). Fagus silvatica L., piccole fossette fogliari, Cecidomyidae, Thüringerwalde. Alla pag. 56 dello stesso periodico (processo verbale) l'A. indica anche le galle di Cynips Mayri K. raccolte a Bormettes Dép. Var. (Francia). S4. Williams F. X.— The Montery Pine Resin Midge - Cecidomyia resinicoloides n. sp. (Entomol. News XX, 1909, 1-3, 1 tav.). FITOCECIDII 85. Ball O. M.— A contribution to the life history of Bacillus ra- dicicola Beij. (Centralbl. f. Bakter. ete. II Abt. XXIII, 1909, p- 47-59). 86. Buchman Rob. Earle — The Bacteroids of Bacillus radici cola (Centralbl. f. Bakter. etc. II Abt. XXIII, 1909, p. 59-91, con fig.). 87. Guttemberg Herm. v.— Cytologische Studien an Synchytrium- Gallen (Jahrb. f. wiss. Bot. Bd. XLVI, Heft 3, an. 1909, p. 453-477, tav. XITI-XIV). In questo accurato studio, il quale può dirsi una continnazione di un altro similare pubblicato dall’ Autore anni addietro [efr. Bibl. IV, 31], sono prese in esame, dal lato istologico ma sopratutto citologico, le ienui deformazioni verrucifor- mi prodotte da Synchytrium Mercurialis Fuck., Synch. anomalum Schr., Synch. Ane- mones Wor., rispettivamente su Mereurialis perennis L., Adoxa Mo- schatellina L., Anemone nemorosa L. In questo lavoro non mancano auche vari dettagli citologici sulla costituzione delle specie fungine studiate e qualche cenno sul loro sviluppo. XXIV MARCELLIA Ss. Miyake J.— On the « Hexenbesen » of Bamboo (Bot. Mag. Tokyo XXII, an. 1908 p. 35-37). 89. Raciborski M.— Ueber die javanischen Hypocreaceae und Sco- lecosporae (Bull. Ac. d. Se. de Cracovie an. 1906. p. 901-911, con tavola doppia). Vi si trovano descritti ed in parte figurati aleuni micocecidii di Giava. 90. Tubeuf K. v.— Hexenbesen von Prunus Padus (Nature. Ztsehr. f. Land-u. Forstwirtsch. 1908, Heft 7, p. 372). Il produttore sarebbe un fungo, probabilmente lo stesso che produce gli « sco- pazzi » del Ciliegio. ARGOMENTI AFFINI Teratologia 91. Delacroix G.— Recherches sur quelques maladies du Tabac en France (Ann. Inst. Agronomique 2° ser. t. V fasc. 1%, an. 1906, 92 pp. e 17 fig.). Le chancre Bactérien du Tabac, p. 1.— Contiene anche osservazioni teratolo- giche. 92. Gabelli E.— Alcune anomalie osservate nella Syringa vul- garis L. in relazione a moltiplicazione e contrazione di organi (Atti Pontif. Ac. Nuovi Lincei LXI, an. 1908, p. 156-162 con fig.). 93. Kirsch A. M.— Teratological Notes. I An Abnormal Specimen of Taraxacum (The Midland Naturalist y. I, an. 1909, n. 1, p. 24-26, con 1 tav.). 94. Mussa E.—Deviazioni di struttura fiorale in Gagea Liot- tardi (Malpighia v. XXII, 1908, p. 99). 95. Niessen J. — Sind für die Durchforschung der Flora des Ve- reinsgebietes anch die fasziirten Pflanzen zu berücksichtigen ? (Ber. üb. Vers. Bot. u. zool. Ver. f. Rheinl .-Westf., Bonn Jahrg. 1908, p. 8-16). A. TROTTER - LI BIBLIOGRAFIA E RECENSI ZOOCECIDII Be 7 7 _ she’ Va: Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. ON è ry 7 \ fr a 96. Ballou H. A.— The Flower-bud Maggot of Cotton (W. J. Bull. ae - "€ YR a pe > 40 1309, v. X pp. 1-28: com 9 fig.). aa Notizie su Contarinia Gossypii Felt [efr. VI 62, VII 71]. È 4 ] 2 Pi * G yi DRE de sé $ La È P Das Le ra N n aren ‘ à i ss ni 6 LI ie ae, F? 2 a né vis im . XXVI MARCELLIA © , 4 103. Ritzema Bos J. — Over de vermoedelijke oorzaak van het veelvuldig mislakken der Hyaeintenbloemen in dezen winter (Tijdschr. Plant. Ziekten Bd. XIV, 1908, p. 96-100). Sistematica, distribuzione geografica, galle nuove, ecc. 104. Bayer M. — Hemipterocecidie zemi ceskych (VIII. Vyroeni zpdny II. Ceského Statniho Gymnasia v Brne 1909, 57 pp.) Elenco descrittivo e bibliografico intorno ad un centinaio di Emitterocecidii raccolti in Boemia, Moravia e Slesia austriaca. Lavoro redatto completamente in lingua czeca. 105. Brodie W.— Galls found in the vicinity of Toronto (Canadian Entomologist XLI, 1909, n. 5). 106. Cockerell T. D. A.— A new Gall-gnat on Artemisia (Ca- nadian Entomologist XLI, 1909, n. 5). 107. Del Guercio G.— Intorno ad un nuovo genere ed a tre note specie di Afidi dei Rhamnus (kirista Patologia vegetale v. IV, 1909, pp. 1-5). L’ Aphis Rhamni Boyer può costituire il tipo di un nuovo genere, che VA, pro- pone sia intitolatn Macchiatiella , distinto dal gen. Myzus per la codetta ver- ruciforme, rudimentale oppure nulla. 108. Del Guercio G. — Intorno ad un nuovo genere di Pemfigidi americani (ibidem, pp. 10-12). L’ A. ritiene che il Pemphigus vagabundus Walsh. d’ America possa costituire il tipo d: un nuovo genere, che egli intitola Mordwilkoja, distinto per il processo esi- stente nel sesto art. delle antenne, molto più breve che nel gen. Pemphigus. 109. Del Guercio G. — Osservazioni preliminari intorno ad una nuova e grave alterazione dei rami vegetativi e riproduttivi dell’ Olivo (ibidem pp. 17-22) 1” A. ha potuto constatare un abbondante e dannoso sviluppo di galle di Per- risia oleae non solo sulle foglie dell'Olivo, ma anche sui ramoscelli, sugli assi pri- mari e secondari dell’ infiorescenza e sui peduncoli fiorali. *. » BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXVII 110. Del Guercio G.— Il Pemphigus fraxinifolii Thom. è diverso dal Pemphigus nidificus Löw (ibidem pp. 50-52). Mette in rilievo le principali differenze morfologiche tra questi due insetti gal- ligeni, che però deformano in modo analogo i germogli apicali del Frassino : Pemph. fraxinifolii nel? America d:1 Nord, Pemph. nidifieus in Europa. Secondo l’A. le più importanti differenze sono le segnenti : PEMPH. FRAXINIFOLII Thomas, femmina fondatrice verdastra , piriforme raccorciata, con antenne di 6 articoli; femmina alata col sesto articolo delle antenne più lungo di ciascuno dei precedenti. PEMPH. NIDIFICUS Löw , fondatrice di color cioccolatto , orbicolare, ed untenne di 5 articoli ; femmine alate col sesto articolo delle antenne più corto di ciascuno dei due precedenti. 111. Docters van Leeuwen W. — Een gal op de bladstelen en de bladnerven van de Dadap door een vliegje, Agromyza ery- thrinae de Meijere gevormd (Culturgids Bd. XI, 1909, 15 giugno, pp. 227-240, con 2 fig. nel testo ed 1 tav.). E un completo studio morfologico ed anatomico su alenne galle dei piccioli e nervature fogliari di Erythrina lithosperma Miq., prodotte dal nuovo dittero Agromyza erythrinae, già dal’ A. brevemente segnalate e figurate [cfr. Mar- cellia 1909 p. 25]. 112. Ducomet V.— Recherches sur quelques maladies des plantes cultivées :... IV. Une maladie vermienlaire du Chéne-Liège (Aun. Ecole nat. Agricult. Rennes II, 1908, 94 pp. e 53 fig.). Deformazioni nelle micorize di Quercus Suber, dovute ad Heterodera ra- dicicola. 113. Felt E. P.— Gall Midges of the Goldenrod (Ottava Nat. v. XXII, 1909, pp. 245-249). 114. Friederichs K.— Die Schaumzikade als Erregerin von Gallen- bildungen (Ztschr. f. wiss. Insektenbiol. Bd. V, an. 1909, p. 175-179, con 2 fig.). L’ Aphrophora spumaria L., il ben noto Cicadario polifago, che su moltissime piante non determina aleuna reazione dei tessuti, in talune speeie invece provoea delle reazioni abbastanza sensibili, come in Epilobium, oppure delle reazioni vistose, di forma costante e da potersi perciò considerare come galle. Ciò avviene sulle foglie di Sambueus nigra, in Germania. ad esempio, secondo |’ A., EL 1 ra a SNE A TE RU + 1 pd y A . 4 % à PER RARA IE te ER OMR : , | XXVIII - MARCELLIA | 115. Giesenhagen K. — Ueber zwei Tiergallen an Farnen (Ber. deutsch. bot. Ges. XXVII, 1909, pp. 327-334, tav. XV). Sulla Felee H ymenophyllum lineare var. brasiliense furono dal ROSENSTOCK scoperti, nella prov. di Rio Grande (Brasile) e nell’ Eenador, due zoocecidii, V uno nascente dalla lamina, | altro dalle gemme sitnate sul rizoma. Queste galle sono globoso-ellisoidali, uniloculari, glabrescenti oppure pelose. Nel- Y interno trovasi una larva di insetto [Cecidomia] la quale poi esce da un ostiolo situato ad uno dei poli della galla. Secondo VA. anche sui rizomi di Hyme n o- phyllum Ulei esisterebbero nel Brasile delle produzioni paragonabili a quelle più sopra segnalate. 116. Lindinger Leonh. — Beiträge zur Kenntnis der Schildliiuse nnd ihrer Verbreitung (Ztschr. f. Wiss. Insektenbiol. BA. V, 1909, pp. 105-110, 147-152, 220-225 con 9 fig. nel testo). Vi è ricordata anche qualche specie gallicola. 117. Molliard M.— Une phytoptocécidie nouvelle surle Cuscuta Epithymum Murr. (Bull. Soc. bot. de Fr. LVI, 1909, p. 168-170, con 2 fig). Eriophyes Cuscutae Moll. n. sp. deforma gli organi fiorali di Cusenta Epi thymum che si colorano anche vivamente in rosso per la presenza di antocia. nina. Questa nuova galla fn dall’ Antore scoperta a Saint-Cast (Côtes-du-Nord) in Francia. Vi si aggiungono alenni cenni deserittivi del nnovo Acaro e alenne brevi indicazioni istologiche sulla deformazione. 118. Nüsslin O. — (hermes funitectus Dreyf. oder Chermes Piceae Ratzb. (Zool. Anz. Bd. XXXII an. 1907, pp. 440-444). 119. Ritzema Bos J. — Eenige merkwaardige misvormingen, ver- oorzaakt door Galmijten (ibid, Bd. XIV, 1908, p. 101-116, con tav.). 120. Schmidt H. — Baris laticollis Marsh. — Gallen an Erysi- mum cheiranthoides (Ztschr. f. wissensch. Insektenbiol. By. V, 1909, p. 198 con fig.). Baris laticollis determina delle ipertrofie e delle torsioni nelle radici di E r y- simum cheiranthoides, “a. 2 1 BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXIX FITOCECIDII 121. Chifflot J.— Sur la castration chez Zea Mays L. var. tu- nicata, produite par V Ustilago Maydis (0. R. Ae. d. Se. Paris t. CXLVIII, 1909, pp. 426-429). Quando questo fungo attacca le infiorescenze provoca la formazione di fiori ma- schili anormali e di fiori ermafroditi. 122. Hariot P. et Patouillard N. -- Coniodictyum, nouveau genre de Mucédinées (Bull. Soc. Mycol. de France t. XXV, an. 1909, p. 13-14, con fig.). Coniodictyum Chevalieri n. gen. n. sp. è una nuova mucedinea scoperta nella regione del Chari Tchad (Africa bor.) la quale deforma i frutti dello Zizyphus Baclei. 123. Maire R. et Tison Adr.— La cytologie des Plasmodiophora- cées et la classe des Phytomyxinas (Annales Mycologici v. VII, > an. 1909, p. 226-253 con 5 tav.). È nno studio completo sullo sviluppo, morfologia e biologia della Sorosphaera Veronicae, Plasmodioforacea cecidogena, già ricordata in una precedente pubblica- zione degli stessi AA. [Bibl. n. 32] ed ora accompagnato da vari cenni morfologici ed istologici sulla deformazione e da copiosa bibliografia. 124. Mattirolo Or. — Il Ruwenzori. Relazioni scientifiche : Fungi. (Torino 1909, 23 pp. con 1 fig. nel testo e 3 tav.). Vi è contenuta anche la descrizione del nuovo fungo Aloysiella ruwenzorensis Matt. et Sacc. n. gen. n. sp. il quale produce delle caratteristiche ipertrofi:»: rameali che |’ A. descrive e figura dal lato morfologico ed istologico; si sviluppano sn Erica arborea nella regione del Ruwenzori (Africa equat.). 125. Molliard M. — Une nouvelle Plasmodiophorée, parasite du Triglochin palustre L. (Bull. Soc. Bot. de France t. LVI, 1909, p. 23-25). Tetramyxa Triglochinis Moll. n. sp. provoca nei fusti li Cri glochin pa- lustre la formazione di tumoretti che 1’ Autore studia anche dal lato istologico e citologico. 126. P. V.— La rogna della Vite (Italia agricola, Piacenza an. 1909 pp. 252-253 con 1 tav. col.). ee be NET the F Xxx MARCELLIA ARGOMENTI AFFINI Teratologia 127. Cortesi F. — Osservazioni teratologiche (Annali di Botanica v. VII, 1909, fasc. 3°, p. 511-513). 128. Migliorato E. — Contribuzioni alla Teratologia vegetale (An- nali di Botanica v. VII, 1909, fase. 3°, p. 331337, tav. XV). Anomalie nei fiori e nei frutti di Encalyptus. 129. Trinchieri G.— Su di un caso teratologico conservato nell’ Er- bario Gussoniano (Bull. Orto bot. R. Univ. Napoli t. II (1909) fasc. III, 4 pp. ed 1 fig.) Prolificazione fiorale in piante di Apargia saxatilis Ten. Varia 130. Kupfer Els.-- Studies in Plant regeneration (Faculty of Pure Se. of Columbia University. New York 1907; Ztschr. f. Pflanzen- krankh. Bd. XIX, an. 1909, Heft 2, p. 91-94). 131. Longo B.—Osservazioni e ricerche sul Ficus Carica L. (Annali di Botanica t. VII, 1909, fase. II, p. 235-236 con 3 fig.). In questo interessante lavoro hanno larga parte anche tutte le questioni rela- tive alla caprificazione. 132. Magnus Werner — Ueber di Formbildung der Hutpilze (Ar- thir f. Biontologie Bd. I an. 1906 p. 85-161, tav. 5-13). . Pantanelli E.— Ricerche fisiologiche su le Viti americane op- presse da galle fillosseriche (Le Stazioni sperim. agr. ital. v. XLII, 1909, p. 305-336). Oe ue Dalle ricerche ed osservazioni compinte dall’A., sull’ influenza esercitata dalle galle fogliari fillosseriche sn] loro supporto, risulta : Arresto o rallentamento nell’ acereseimento delle foglie e tralei ; quest ultimi lignificanti incompletamente per la minore quantità di emicellulosa depositata sulle pareti delle tibre legnose. Foglie e tralei galliferi contengono azoto organico in maggiore quantità dei normali e le foglie anche albumina ; contengono però amido ed emicellnlosa in minor quantità, lo zuechero è invece in quantità egnale o di poco BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXxi superiore negli organi galliferi. Ferro, calce, magnesia e talora anche le ceneri sono più abbondauti negli organi sani menire il contrario accade per la potassa e 1 a- cido fosforieo. Risulta da tali constatazioni che le sostanze alimentari solubili, fa- cilmente assimilabili, vengono rapidamente elaborate, mentre la deposizione dei materiali di riserva insolubili è ostacolata, specialmente nei tralci. 134. Petri L.— Contributo alla conoscenza dei microrganismi viventi nelle galle fillosseriche della Vite (Annales Mycologici v. VIT, 1909, p. 226-253 con 9 fig.). L’ A., studiando numerose galle fogliari fillosseriche , entro le quali 1’ insetto era soggetto ad una moria abbastanza estesa, completando le analoghe ricerche del BACCARINI [efr. VII n. 27], ha potuto riscontrare entro le galle 17 specie fungine e precisamente : Acremonium sp., Cladosporinm Aphidis Thüm., Hormodendron cladospo- rioides (Fres.) Sace., Hormodendron sp., Cladosporium herbarum (Pers.) Link, forma, Hormodendron sp., Dematinm pullulans D. By., Macrosporium commune Rath. forma, ‘Alternaria sp., Botrytis sp., Oospora ovorum Trab., Neetria sp., Bacterium (4 forme), Sarcina. Di tutte queste entità VA. descrive i caratteri morfologici più salienti e di quasi tutte presenta alcune figure esplicative. 135. Techet C.—Su talune forme aberranti di Alghe marine allevate in colture artificiali (Nuova Notarisia XIX, an. 1908, p. 171-184 con fig.). A. TROTTER NO'LIZIE 11 1.2 Congresso internazionale di Entomologia sarà tenuto dal 1.9 al 6 agosto 1910 a Bruxelles, durante |’ esposizione internazionale che vi avrà luogo in detto anno. Il programma definitivo verrà pubblicato durante V inverno 1909-1910, frattanto però sembra opportuno di far conoscere al pubblico entomologico i seguenti parti- colari sull’ organizzazione del Congresso. Gli argomenti da sottomettersi alle adunanze generali o delle sezioni , com- prenderanno Sistematica, Nomenclatura, Anatomia, Fisiologia, Psicologia, Ontoge- nia, Filogenia, Ecologia, Mimetismo, Etologia, Bionomia, Paleontologia, Zoogeo- grafia, Entomologia medica ed economica, Museologia. I comitati di Bruxelles prenderanno le disposizioni per 1° accoglienza dei membri del congresso. Il Congresso si comporrà di : 1.° Membri vitalizi, i quali pagano, per una volta tanto, almeno 250 lire, per coprire le spese di tutti i futuri congressi di Entomologia. Essi riceveranno gra- tuitamente tutte le pubblicazioni dei singoli congressi. La somma pagata dai membri vitalizi sarà impiegata come fondo permanente i eui soli interessi saranno messi a disposizione del comitato internazionale permanente da eleggersi al Congresso. a “hy A | NEN a € eS ee Le PARA ae v 7 F ‘ . Gh had Bi ge! Tr Fr: gati Se bi N DA. à re LA } a XXXII MARCELLIA 2.9 Membri ordinari, che pagano una somma di 25 lire e riceveranno tutte le pubblicazioni del Congresso. Le signore ed i giovanetti che accompagnano i membri, col pagamento di L. 12,50 per ciascheduno avranno tutti i privilegi dei membri, meno il diritto di ricevere le pubblicazioni. Per aintare il comitato eseentivo internazionale nel lavoro estensivo prelimmare pel 1° Congresso di Entomologia sono stati nominati dei Delegati locali nei diversi paesi. Questi Delegati, di eni uniamo una lista preliminare. daranno agli Entomo- logi le informazioni del caso. DELEGATO LOCALE PER LIrALIA: Prof, A. Berlese, Firenze, Via Romana, 19. N.B. Tutte le sottoscrizioni sono da inviarsi al Sig. A. H. Jones, Exg. 11 Chandos Street, Cavendish Square, LONDON, W. ELENCO PRELIMINARE DEI DELEGATI LOCALI Australia: W. W. FrocGarr, Entomologist, Departm. of Agriculture, Sydney — Austria: A HANDLirscH, K. K. naturhist. Museum, Vienna — Belgio: H. ScHou- TEDEN, 31 Rue de Vautier Bruxelles. — Canada: C. J. S. BETHUME, Guelph. — Danimarca: A. KLÖCHER, Copenaghen-Valby. — Francia: A. GROUVELLE, 126, Rue de la Boétie, Parigi, VIII. — Germania: S. SCHENKLING, Thomasius-Strasse, 21, Berlino. — Giappone: S. Marsumura, Imp. Agricult. College, Sapporo. — Inghil- terra: G. B. LoNGsrarr, Higlandes, Putney Heat, Londra L. W. — Italia: A. Ber- LESE, Via Romana, 19, Firenze. — Norvegia: W. M. SCHévEN, Josetinegt, 43, Cri- stiania. — Olanda: J. C. H. pk MkIyERE, K. Zool. Gonootschap Nat. Art. Mag., Amsterdam. — Russia: N. J. Kusnerzow, Università, log. 21, Pietroburgo. — Sve- zia: Y. Ssöstper, naturhist. Riksmuseet, Stocolma. — Svizzera: VON SCHULTHESS, Thalacker, 22, Zurigo. — Spagna e Portogallo: J. BoLivar, 74, Calle de Alphonso XII, Madrid. — Stati Balcanici: P. BacumMursew, Sofia (Bulgaria). — Stati Uniti d’ America: H. SrIxNER, Logan Square, Filadeltia. — Sud-Africa: L. PÉRINGUEY, South African Museum , Capetown. — Sud-America: H. v. JHERING, Sao Paulo (Brasile). — Ungheria: G. HorwarH, Mus. Nat. Hongr., Budapest. CAI: a ET AGOSTINO GOIRAN n. a Nizza (Francia) il 24 sett. 1835 — m. ivi il 30 ott. 1909. Vecchio. amico di AGOSTINO GOIRAN debbo con dolore segnalarne la morte in queste pagine. Ricercatore instancabile, appassionato, della flora veronese, può ve- ramente dirsi sia il degno continuatore di Seguier e di Pollini. A Lui, osservatore acutissimo, mon sfuggirono nella raccolta delle piante anche le varie deformità cui queste possono andar soggette e che in buon numero furono poi illustrate negli seritti del Massalongo e nei miei. Cosicchè può ben dirsi che Egli abbia portato un contributo indiretto sì, ma notevole, alla conoscenza dei feno- meni cecidologici e teratologici. Dobbiamo poi anche ricordare un suo antico lavo- retto cecidologico, dal titolo Di alcune galle della Quercia (Firenze 1890), e che a Lui, scopritore della galla, fu dedicata la nuova Cecidomia del Carpesium cernuum (Janetiella Goiranica Kiett. et Trott. 1905). AS BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 136. Bail Th. — Ueber Pflanzenmissbildungen und ihre Ursachen vornehmlich über mannigfaltige Entwicklung der Fliederblatter unter dem Einfluss der Raupen der Fliedermotte Gracilaria sy- ringella (30. Ber. d. Westpreuss. Bot.- zool. Ver. Danzig, 1908, pp. 239-256, con fig. nel testo e 6 tav.). L’ A. illustra le varie deformazioni che possono presentare le foglie di Sy- ringa persica, vulgaris etc. in seguito all’ azione indiretta delle larve minatriei di Gracilaria syringella. Egli mette in raffronto tali deformazioni, per lo più postume, con le deformazioni o neoformazioni che si hanno in via diretta in seguito all’ azione di parassiti, cecidogeni o no, oppure deformazioni postume in seguito ad azioni meteoriche come ad es. il gelo. 137. Bonfigli B.— Nuove osservazioni sulla Phyllovera quereus Boy. d.: Fonse. (Atti R-:-Ace.. Lincei,; 1909,11, 1-7). 138. Escherich K. u. Baer W.— Tharandter zoologische Miszellen (Nature. Ztschr. f. Forst-u. Landi. Jahrg. VI, pp. 509-523 con 6 fig.). Notizie biologiche su Saperda populnea e sui bruchi di un Lepidottero abitatore di galle rameali del Pioppo. 139. Foà A. e Grassi G. B.— Le nostre ultime ricerche sulla Fil- lossera della Vite (Atti R. Ace. Lincei, 1909, I, p. 1-7). 140. Grassi G. B.— Ulteriori ricerche sui Fillosserini (Atti R. Ace. Lincei 1909, I, 1-7). 141. Küster D. — Beiträge zur Kenntnis der 'Gallenfarbstoffe. Ueber Bilirubin, Biliverdin und ihre Spaltungsprodukte (Ztsehr. physiol. Chem. LIX, 1909, p. 63). . 142. Laubert R.— Die Knospensucht der Syringen und die Wider- standsfähigkeit von Pflanzenschädlingen (Gartenwelt Jahrg. XI, 1907, 1 Abt., pp. 436-437). Parla dei danni prodotti dal Phytoptus Loewi Nal. MARCELLIA 143. Lüstner G. — Beobachtungen über das Auftreten von Milben an Obstbäumen und Reben und Vorschläge für die Bekämpfung derselben (Ber. k. Lehranst. f. Wein-Obst u. Gartenbau z. Geisenh. a. Rh. f. d. J. 1907, an. 1908, pp. 286-291 con 3 fig.). Notizie su Eriophyes Piri, Vitis, malinus ed Epitrimerus Piri. 144. Lüstner G. — Ueber obnorme Aufenthaltsorte der Blutlaus , Schizoneura lanigera Hausm. (Deutsche Ostbauzeitg. 1909, Heft 7). 145. Manea Andr. — Sur les acides gallotannique et digallique (These de I’ Univers. de Genève, an. 1904; 55 pp.). 146. Marchal P.— Contributions à l'étude biologique des Chermes. La generation sexuée chez les Chermes des Pins aux environs de Paris (C. E. Ac. d: Sc. Paris 1909, I, IE-1-18). 147. Petri L.— Nodositätenbildung auf den Rebenwurzeln durch die Reblaus in sterilisiertem Mittel (Centralbl. f. Bakter. ete. II Abt., XXIV Bd. 1909, pp. 146-154 con 5 fig.). L’ A., col sussidio di nn apparecchio da lui ideato, potè ottenere delle nodo- sità radicali fillosseriche , in piantine di Vite ottenute da seme e coltivate in ter- reno sterilizzato. 148. Wulff Th.— Studien über heteroplastische Gewekwncherungen am Himbeer-und am Stachelbeerstrauch {Arkiv för Botanik, Sto- ckholm v. VII, n. 14, con 7 tav. ed 1 fig. nel testo; sunto in Ztschr. f. Pflanzenkrankh. XIX Bd., 1909, pp. 410-415, con 3 fig. ed 1 tav.) Studio istologico sopra alcune escrescenze rameali di piante di Ribes e Ru- bus, dovute a cause ancora non ben definite. Sistematica, distribuzione geografica, galle muove, ecc. 149. Alderson E. M. et Connold E. - On the occurance of Oli- gotrophus Leméei Kieff. in England (Entomolog. monthi. Mag. , 236-239, an. 1909). 150. Beutenmuller W.— Descriptions of the new Cynipidae (En- tomolog. News XX, 1909, 4-7). [a BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXXV 51. Bois D. et Gerber C.— Zoocécidies foliaires du Cinnamo- mum Zeylanicum (Bull. Ass. frang. Avane. d. Sc., 15, 1909). 152. Bois D. et Gerber C. — Quelques maladies parasitaires du Cannellier du Ceylan (C. R. Ac. d. Se. Paris t. CXLIX, 1909, pp. 405-407). Descrizione di Eriophyes Boisi Gerber n. sp. il quale produce delle pustole di color bruno nelle foglie di Cinnamomum Zeylanicum. 153. Brocq - Rousseu et Gain Ed. — Les ennemis de |’ Avoine (Paris, Asselin et Houzeau 1910, 184 pp. e 24 tav.). Sono ricordati ed illustrati anche i cecidozoi e gli zoocecidii dell’ Avena e le corrispondenti loro deformazioni (pag. 106-123, tav. XVI-XVII). 154. Cockerell T. D. A. et Rohwer S. A.— A new gall-making Coccid on Atriplex (Proceed. Entomol. Soc. of Washington X, 3-4, an. 1909). 5. Docters van Leeuwen W.— Een door Thripsen veroorzaakte misvorming der Peperbladern (Culturgids, t. XI, 1909, pp. 348-353 i or Qt con 5 fig.). Diffusa deserizione di aleune deformazioni fogliari di Piper nigrum L. e P. Bettle L., rinvenute a Giava, e dovute ad una Thripside indeterminata. 156. Felt E. P. — New Species of West-Indian Cecidomyidae (En- tomolog. News XX, 1909, 4-7). 157. Gillette C. P. — American Snowball Louse Aphis viburnicola n. sp. (Entomolog. News XX, 1909, 4-7). 158. Hayhurst P.— Observations on a Gall Aphid, Aphis Atriplicis L. (Ann. Ent. Amer. Soc., Columbus Ohio, vol. II, 1909, pp. 88-89 ed 1 tav.). 159. Hieronymus G. et Pax F. — « Herbarium cecidiologicum » continuato da DIETTRICH et PAX (fase. XVII, ottobre 1909, nn. 451-475). Cnfr. Bibl. VII n. 9.— Il presente fascicolo contiene le seguenti galle : XXXVI MARCELLIA Aegopodium podagraria L.: 451. Cecidomyide, deformazioni fogliari. — Ar- temisia campestris L.: 452. Eriophyidae, germogli deformati e pubescenti. — Ar- temisia vulgaris L.: 453. Lepidottero [non si tratta di galla ma di lesione mee- canica !] — Athyrium alpestre (Hoppe) Nyl.: 454. Anthomyia signata Bris.— Be- tula verrucosa Ehr.: 455. Contarinia betulina K.— Campanula pusilla Haen.: 456. Dichelomyia Campanulae Riibs. n. sp.— Chrysanthemum vulgare (L.) Bernh.: 457. Aphidae, deformazioni fogliari. — Festuca ovina L.: 458. Isosoma depressum Walk.—Hieracium Pilosella L.: 459. Macrolabis Hieracii K.— Hieracium um- bellatum L. var. dunale (G. F. W. Meyer): 460. Aulacidea Hieracii Bouch. [?; ha piuttosto l’ aspetto di una fasciazione che di una galla !]. — Inula britannica L.: 461. Acodiplosis Inulae H. Löw.— Larix decidua Mill.: 462. Adeiges geniculatus Ratz. - Prunus domestica L.: 463. Eriophyes Padi Nal., Cephalon. molle Br.— Quercus pedunculata Ehr.: 464. Andricus ostrens Gir. — Quercus pubescens Willd.: 465. Eriophyes quercinus Can.; 466. Andricus pseudo-infiator Tav.- Rubus caesius L.: 467. Diastrophus Rubi Hart.— Rubus caesius x Idaeus: 468. La- sioptera Rubi Heeg. — Salix cinerea L.: 469. Pontania sp., margini fogliari ri- piegati.— Salix daphnoides Vill.: 470. Pontania Salicis Chr. — Salix purpurea L.: 471. Rhabdophaga rosaria H. Löw.— Salix repens L.: 472. Pontania Salicis Chr.— Sorbus americana Marsh.: 473. Aphis Sorbi Kalt.— Tilia cordata >< ru- bra : 474. Eriophyes tetratrichus Nal.— Tilia platyphyilos Scop.: 475. Eriophyes Tiliae var. exilis Nal., Erineum bifrons.— Hedera Helix L.: 304 a. Emitteroceci- dio, deformazioni fogliari ed ipertrofie peziolari [Asterolecaninm Hederae].— Boeh- meria platyphylla Don. : 381a. Ditterocecidio, galle fogliari, Kamerun (Africa). 160. Kieffer J. J.— Beschreibung einer neuen Gallwespe der Kork- eiche (Natur. Ztschr. f. Forst-u. Landwirtsch. VII, 7, an. 1909, pp. 390-391 con 1 fig.). Andricus Peyerimhofi n. sp. produce delle galle nei fiori di Quercus Su- ber in Algeria. ? 5 161. Marcinowski K. — Zur Kenntnisnehme von Aphelenchus Or- merodis Ritz. Bos (Arb. k. Biol. Anstalt f. Land-u. Forstwirtsch. Bd. VI, 1908, Heft 4, con 16 fig.). Parla della morfologia e biologia di questa Anguilla specialmente in rapporto ad altre specie affini. 162. Marcinowski K.— Untersuchungen über Nematoden (Mitt. aus d. k. biolog. Anstalt Heft 4, Berlin 1909, p. 41). Si intrattiene anche sui caratteri morfologici e biologici del Tylenchus Tritiei e Tyl. Millefolii, molto attini tra loro ma distinti per piccoli caratteri morfologici. * ” BIBLIOGRAFIA F RECENSIONI XXXVII 163. Marcinowski K.— Parasitisch und semiparasitisch an Pflanzen lebende Nematoden (Arb. aus d. k. Biolog. Anst. f. Land- u. Forst- wirtsch. Bd. VII, 1909, Heft I, pp. 1-192 con 1 tav. e 76 fig.). Pud dirsi senza esagerazione fosse vivamente sentito il bisogno di un lavoro riassuntivo, contenente, esposte con una certa larghezza, tutte le cognizioni morfo- logiche, biologiche, sistematiche e pratiche relative alle specie oramai numerose di Anguillule che contraggono un qualche rapporto nutritivo col mondo vegetale. Cre- diamo che il lavoro della Signora MARCINOWSKI, malgrado qualche lieve omissione, dipendente dalla grande dispersione della letteratura sull’ argomento, soddisfi egre- giamente a queste molteplici esigenze e colmi davvero una lacuna nella letteratura scientifica. E questo lavoro è tanto più necessario in quanto che la conoscenza dirò così zoologica delle Anguillule, per i non specialisti, non va oltre la semplice desi- gnazione di « Anguillula », senza alcun’ altra indicazione, sia pure solo generica, la quale possa permettere, con un migliore accertamento sistematico, una più com- pleta conoscenza sulla diversa importanza patologica dei numerosi generi che costi- tuiscono la famiglia delle Anguillule. Alcune pagine del lavoro, del quale non ci è possibile dare più che una sommaria analisi, sono dedicate alla morfologia generale ed alla sistematica delle Anguillule. Da esse si rileva I’ importanza sistematica della forma e della varia cutinizzazione della cavità boccale per la distinzione delle sottofamiglie e dei generi. Una chiave analitica, nella quale sono utilizzati questi ed altri caratteri, permette il più facile riconoscimento dei generi presi in esame dall’ A. come più importanti per il suo soggetto. Essi sono: Diplogaster, Cephalobus, Mononchus, Plectus, Rhabditis, Dory- laimus, Tylenchus, Aphelenchus, Heterodera. Sono quindi passate in rassegna le dı- verse specie comprese in questi generi e per ognuna vengono assegnati i caratteri morfologici e biologici, e spesso le descrizioni sono accompagnate da accuratissime figure del verme o della deformazione. Una maggior copia di notizie è dedicata alle specie aventi importanza economica, come Tylenchus Dipsaci, T. Tritici, Aphelenchus Ormerodis, Heterodera Schachtii, H. radicicola. Ira le specie galligene di piante selvaggie, la meglio illustrata è Tylenchus Millefolii. À proposito del Tylenchus Tritici, al quale taluni vorrebbero attribuire anche le deformazioni analoghe di altre Graminacee , ’ A. in base ad estese prove di infezioni artificiali non riuscite, in varie specie di Agrostis, Bromus, Festuca, Poa, propende a ritenere doversi trattare di Tylenchus specificamente diversi. Il lavoro si chiude con alcune utilissime tabelle, contenenti la distribuzione delle diverse Anguillule sulle diverse specie vegetali e richiami all’ Autore che per primo le segnalò, ed infine con una copiosa Bibliografia, 164. Massart J.— Essai de Géographie botanique des districts lit- toraux et alluviaux de la Belgique (Bull. Soc. K. Bot. de Belg. t. XLV, an. 1909, pp. 205-320). Alle pp. 262-263 sono segnalate alcune delle più diffuse galle raccolte sulle piante caratteristiche del distretto botanico che YA, aveva preso in considerazione dal punto di vista geobotanico, Le ALES Al Ae Me der |. L'ARIA OP ‘2h 4 ihe ten? ; Pi WE SU 3 4 Mai ped LITÀ LR NL RP A CT ST ES Ei Ne ) è 1 vn AT, ENV ET a, Er ~ i = i, ’ a e TP. XXXVIII MARCELLIA 165. N. N. — Denksehrift betreffend die Bekämpfung der Reblaus- krankheit 1906 und 1907, soweit bis Ende nov. 1907 Material dazu vorgelegen hat (Beard. in k. Biolog. Anst. f. Land-u. For- stieirtsch. 1908). Cir. Bibl. VI 190. 166. Osterwalder A.— Unbekannte Krankheiten an Kulturpflanzen und deren Ursachen (Centralbl. f. Bakter. Parasitenk. ete. Il Abt. XXV Bd. an. 1909, pp. 260-270, taf. I-II). Viene anche descritta e figurata (pp. 267-269, taf. II) una malattia di Che- lone glabra L. e barbata, accompagnata da notevoli deformazioni, pro- dotta da Tylenchus devastator Kühn. 167. Patch M.— Pemphigus venafuseus n. sp. (Entomolog. News XX, 1909, 4-7, con tav.). 168. Peck C. H. — Report of the State Botanist 1904 (New York State Mus. Bull. n. 94 an. 1905). A pag. 42 viene segnalata una galla sferoidale, situata in prossimità dei fiori in piante di Rudbeckia laciniata L., proveniente dalla contea di Wa- shington. 169. Schmidt H. — Beitrag zur Verbreitung der Käfergallen in Schlesien (Ztschr. f. wiss. Insektenbiolog. V, 1909, pp. 42 49). L’A. segnala per la Slesia e brevemente deserive, con | aggiunta di varie notizie biologiche, numerosi coleotterocecidii (cirea 40), ch'egli distribuisce secondo gli organi della pianta sui quali la galla si sviluppa e subordinatamente secondo le famiglie eni la pianta ospite appartiene. 170. Schmidt H.— Nachtrag zu meiner Arbeit « Zur Verbreitung der Gallwespen in der niederschlesischen Ebene » (Ztschr. f. wiss. Insektenbiol. Bd. V, 1909, pp. 49-50). Vengono segnalati 6 imenotterocecidii in aggiunta ad nna precedente Nota dell’ A. [efr. Bibl. VI 216]. 171. Wachtl F. A. — Aufzählung der auf einigen Formen von Quereus peduneulata auftretenden Cynipidengallen (Zen- tralbl. f. d. ges. Forstwes. Wien 1909, 3 pp.) ++ BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI DOSELR FITOCECIDII 172. Clinton G. P.— Notes on Fungous Diseases for 1908 (Bull. Con- necticut Agricult. Exper. Station an. 1909, pp. 866-867, tab. LXV). Segnalazione di grossi tumori rameali di Quereus probabilment: di origine batterica. 173. Diedicke H. et Sydow H.— Ueber Paepalopsis deformans Syd. (Ann. Mycol. VI, 1908, pp. 301-305, con 12 fig.). Questo fungo cecidogeno, indicato con tal nome da H. e P. Sypow (Ann. Mye. V, 1907, p. 398) e pubblicato anche in « Mycoth. germ. » n. 633, non è un Ifo- micete bensì nno Sferopsideo appartenente al nuovo gen. Hapalosphaeria Syd. e perciò da indicarsi col nome di Hapalosphaeria deformans. Il micelio vive nelle gemme fiorali di Rubus dumetorum (in Germania) ed i fiori che se ne svi- luppano sono più o meno profondamente deformati ed in tutti i verticilli di cui essi risultano costituiti. 174. Edwards G. F. and Barlow B.-- Legume Bacteria. Further studies in the nitrogen accumulation in the leguminosae (Ontario Hap. Stat. Bull. n. 169, febr. 1909; 32. pp.). 175. Faber F. C. von — Untersuchungen über die Krankheiten des Kakaos (Arb. k. Biolog. Anstl. f. Land-u. Forstwirtsch. Bd. VI, an. 1908, p. 385). Lavoro sulla Taphrina Bussei e sugli « scopazzi » da essa prodotti sul Cacao, nonche sopra aleune altre deformazioni (cancri) della stessa pianta osservate nella colonia di Kanıerun. 176. Griggs Rob. F.— Mitosis in Synehytrium with some observa- tions on the individuality of the Chromosomes (Botanical Gaz- sette XLVIII, 1909, pp. 339-358, pl. XVI-XVIII). Studio citologico sul Synchytrium decipiens. 177. Kotte lenaz — Einige neue Fälle von Nebensymbiose (Para- symbiose) (Centralbl. f. Bakter. etc. II Abt., XXIV Bd., 1909, pp. 74-93 con 1 fig. nel testo e 3 tav.). Zopr (1897) chiamò col nome di parasimbiosi il rapporto biologico che un fungo estraneo può contrarre col tallo di un lichene, senza nuocere menoma- mente all’ esistenza dei due simbionti lichenogeni, cioè V alga ed il fungo, Tra i ST MARCELLIA = diversi casi illustrati dall’ A., merita essere segnalato quello dell’ Abrothallus Ce- trariae Kotte (= Ab. Smithii Tal.) il quale assieme a Nesolechia oxyspora (Tul.) produce delle deformazioni gallari bene evidenti sul tallo di Cetraria glauca (L.) (fig. 1 e tav. III fig. 26-27) segnalate in varie regioni e tra queste anche presso Paneveggio nel Trentino. 178. Kusano S. — On the nucleus of Synchytrium Puerariae Miyabe (Botan. Mag., Tokyo, v. XXI, an. 1907, n. 245). 179. Kusano S. — A new Species of Taphryna on Acer (Botan. Mag., Tokyo, v. XXI, n. 243, an. 1907). 180. Kusano S.— Exobasidium of Symplocos japonica (Bo tan. Mag., Tokyo, v. XI, 1907, pp. 138-139, v. XII, 1908, p. 92). 181. Lüstner G.— Ueber ein stärkeres Auftreten des Birnengitte- rostes (Gymnosporangium Sabinae) auf Birnfrüchten (Ber. k. Lehr- anst. f. Wein-Obst-und Gartenbau zu Geisenheim a. Rh. f. d. Jahr 1907 (1908), pp. 323-324, con fig.). 182. Petch T.— New Ceylon Fungi (Ann. R. Bot. Gard. Paradeniya v. IV Pt. V, 1909, pp. 299-307). Vi sono descritti aleuni nuovi Aecidium galligeni e due nuovi Exobasidium (Cinnamomi è ceylanicum) producenti galle rispettivamente su Cinnamomum zeylanicum e C. Cassia, e su Rhododendron arboreum. Nel l’ Isola di Ceylon. 183. Raciborski M.—Azalea pontica im Sandomierer Wald und ihre Parasiten (Bull. Ac. Se. Cracovie, luglio 1909, pp. 385-391 con 2 fig.). Contiene numerose notizie sull’ Exobasidium discoideum Ell. e sulle galle da esso prodoite e molto abbondanti in una località nuova per Azalea pontica L. (Sandomierer Wald). 184. Stampfli Ruth — Untersuchungen über die Deformazionen , welche bei einige Pflanzen durch Uredineen hervorgerufen wer- den (Inaugural-Dissertation Univ. Bern 1909, 42 pp. e 27 fig.; in Hedwigia XLIX, 1909, pp. 230-267). L’ A. studia diffusamente diversi micocecidii, dovuti ad Uredinee , sopratutto dal lato morfologico ed istologico. Egli anzitutto distribuisce le galle — oggetto MA i ET ER, Nr BR RR LEE NE ul A ms © 4 pe : ‚ DEUX n 6 L Wy 4 } vr INES ; af BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XLI go I = = PA £ N 3 . J 2 del suo lavoro — in tre categorie : 1° mieoceeidi tipici (secondo VA. quelli i È) y che hanno dimensioni ben determinate conseguenza di una infezione localizzata) ; 24 micucecidii fiorali; 34 micocecidii dei’ fusti. e delle Sil foglie. È I micocecidii studiati dall’ A. sono : + 1° gruppo; Uredo Loesneriana P. Henn. su Rubus brasiliensis i se 2° gruppo; Uromyces Pisi (Pers.) De B. ed U. scutellatus Sehv.) Wint. su E u- PUS. phorbia Cyparissias. — Puccinia Ribsaameni P. Magn. su Origa- - o num vulgare. AR 3° gruppo; Endophyllum Sempervivi Lev. sn Sempervivum montannm.— SA A Uromyces Phyteumatum (DC.) Ung. su Phyteuma spieatum.— Puceinia 158 Anemones-virginianae Wint. su Anemone montana Hop.—Puce. Bupleuri- "À : 2 = 5 LR falcati (DC.) Wint. sn Bupleurum falcatum L.— Uromyces valesiacus ad E. Fisch. su Vicia onobrychioide Bol Puceinia caulincola Sehn. su 7 der Thymus Serpyllum L.— Puce. Rubsaameni P. Magn. su Origannm ets vulgare.— Zaghouania Phillyreae (DC.) su Phillyrea media. , À 5 x È - 185. Thomas M.— Le cancer chez les animaux et chez les végé 4. taux (Rev. gén. de Botanique t. XXI 1909, pp. 241-247). ; ‘ : € » 147 DOCTERS VAN LEEUWEN-RELINVAAN J. U. W. — Einige Gallen aus Java (con 17 fig.)-. 5 È ; ; à : : » 21 — — Einige Gallen aus Java. Zweiter Beitrag (con 31 fig.) . » 8d XREVILLIUS A. Y. -- Ein Thysanopterocecidium auf Vicia Crac- Gala. (Con Auto). ‘ E È ; : : È » 37 Hovarp C. — Les collections cécidologiques du Laboratoire d’ Ento- mologie du Muséum d’ Histoire naturelle de Paris (con Dolo). È : È : 4 3 5 > È » 65 KIEFFER J. J. u. DoctERS v. LEEUWEN-REIJNVAAN —- Beschreibung nener Gallmiicken ans Java (con 10 fig.) ‘ 3 7 » 123 MASSALONGO C. -- Galle e simili produzioni anormali (con 6 fig.) . » 133 NALEPA A.— Eine Gallmilbe als Erzeugerin der Blattgallen von € i n- namomum zeylanicum Breyn. : : ; » 3 = — Der Erzeuger des Erineum padinum Duv. . ; A » 45 — — Der Heliotropismus der Gallmilben und seine biologische Bedeutung ; È 3 : 3 À x = ; » 78 PANTANELLI E.— Un Eriofiide nuovo sull’ Olivo (con 4 fig.) . » 142 REUTER ENZIO — Physopus basicornis n. sp. (con fig.) o : - » 35 TROTTER A.— Nuovi Zoocecidii della Flora italiana. Nona Serie (con 2 fig.) » 50 — Breve descrizione di alcune galle europee ed esotiche . » 59 INDICE dei generi e delle specie nuove di cecidozoi descritti nel presente Volume IMENOTTERI: Lorenzoa solani n. gen. n. sp. De Stefani i = pag. 15-16 Drrrekxi: Asphondylia viticola n. sp. Kieffer et Docters-Reijnvaan . » 124 Clinodiplosis graminicola n. sp. Kieffer et Docters-Reijuvaan » 127 Clinodiplosis paederiae n. sp. Kieffer et Docters-Reijnvaan » 129 Courteia graminis n. gen. n. sp. Kieffer et Docters-Reijnvaan » al Lasioptera javanica n. sp. Kieffer et Docters-Reijnvaan . » 123 Orseolia javanica n. sp. Kieffer et Docters-Reijnvaan - » 125 THYSANOTTERI: Physopus basicornis n. sp. E. Reuter. - 2 » 35 ACARI: Eriophyes Doctersi n. sp. Nalepa. : 3 ; > Ì » 4 Eriophyes paderineus n. sp. Nalepa 2 : - ; : » 48 Data di pubblicazione dei singoli fascicoli Fase. I-IT, pp. 1- 48, 31. maggio 1909. Fasc. III, pp. 49- 64, 24 Juglio 1909. Fasc. IV-V, pp. 65-120, 20 decembre 1909. Fasc. VI, pp. 121-164, 20 marzo 1910. Varia Notizie È ; x : : . : E : A : p. XVI, XXXI Necrologia: AG. Goran . : : i ; : ‘ ; » XXXII INDICE degli Autori menzionati nella Bibliografia Adler, 46. Alderson E. M., Aldrich, 62. Baer W., 138 [VI]. Bail Th., 136 [VII]. Ball O. M., 85. Ballou H. A., 96 [V-VI]. Bargagli-Petrucci G., 186 [V1]. Barlow B., 174 [VI]. Bayer Em., 63, 104. Bernard Ch., 37. Beutenmiiller W., 64, 65, 150 [III, VI-VI1]. Blaringhem L., 38 [IV-VII]. Boerner C., 49 [VII]. Bose D: lot 152: Bonfigli B., 50, 137 [VII]. Brocq-Rousseau, 153. - Brodie W., 66, 105. Buchman Earl. Rob., 29, 86. Burnat J., 97. Cameron P., 67 [I, IV, VII]. Cecconi G., 27 [I-1II, V-VII]. Chadwick Georg. H., 12. Chifflott J., 121 [IV-VII]. Chaton Ge oF, 112. Cockerell T. D. A., 106, 154 [I-IV, VI-VII]. Collinge W. E., 98 [VI, VII]. Connold E. T., 13, 149 [I]. Cook Mel T., 68 [I-V, VII). Cortesi F., 127 [III, IV]. Dangeard P. A., 69. Dauphiné A., 39. Davis R. A., 99. Delacroix G., 91 [I-III, VI]. Del Guercio G., 1-3, 107-110 [I-II, IV, VI-VII]. Diedicke H., !73. Diettrich R., 159 (II-III, V]. Docters van Leeuwen W., 111, 155 [V-VII]. Drost A. W., 30. Ducomet V., 112 [V]. Edwards G. F., 174. Escherich K., 138 [11]. Faber F. C. von, 70, 175 [IV, VI]. Felt E. P., 51, 71, 113, 156 [II, VI-VII]. Foà A., 54, 139 [VI-VII]. Franceschini F., 100. Fremicourt A., 52. Friederichs K., 114. 149. Fuschini C., 100 [1V, VI, VII]. “ Gabelii E., 92. Das Gain Ed., 153. | Gerber C., 151,152 [I-V, VII}. ; Ghigi A., 14. noe. Giesenhagen K., 115 [1]. a Gillette C. P:, 157 [VI-VII]. | Gillot X., 40 [III, V]. 5 Goethe R., 53. Sa Gossard H. H., 72. | Grassi G. B., 54, 139, 140 [VI-VII]. ; Grevillius G. Y., 15 [VI]. DS Griggs Rob. F., 176 [VII]. gx Guillaumin A., 41. Lire Gunn D., 101. Guttemberg H. v., 87 [IV]. D Hall C. J. J. van, 30. = Hariot P., 122 [IV]. >) Hayhurst P., 158. Be, Herbst Pi, 77 [IV]. a Herrick (G., W., 78. Hieronymus G., 159 [II-V, VII]. Hooker C. W, 25. Houard Cl., 74 [I-VII]. Re Jaccard P., 97. i tà Jarvis T. T., 75 [VI-VII]. Kahle W., 4. E Keller C., 55. Kieftfer Je 47, 76, Kirsch A. W., 93. Klein Ed. J., 187. + Kotte Ign., 177. | Kohl Fr. Fr., 48. 2 Kuester D., 141. M Kupfer Els., 130. Kusano S., 178-180 [III, IV, VI]. Lagerheim G., 78 [ILI-IV]. Laubert R., 5, 142 [III, VII]. Lemée E., 31 [II, V-VII]. Leonardi G., .16 [VII]. Lindinger Leh., 116 [V]. Lolli A., 42. Longo B., 131 [IV-V]. Liistner G., 143, 144, 181, 188 [IV]. Magnus Wern., 132 [II]. Maire R., 32, 123. Manea Andr., 145. Mantero G., 17 [V]. Marchal P., 146 [I, III-VI]. Marcinowski K., 161-163. Mariani G., 18 [VI-VII]. Massalongo C., 79 [I-VI]. 77, 160 [I-VII]. SE eit... Massart J., 164 [!, IV]. Mattirolo O., 124 [VII]. Migliorato E., 128 [VII]. Miyake J., Molliard M., 6, 88. Molz E., 102 [VI-VII]. Moritz J., 7 [II, V]. Mussa E., 94. N. N., 165 [I-VI]. Nalepa A., 19, 80 [I-VI]. Neger F. W., 8 [VI]. Niessen J., 81, 95 [II-VII]. 117, 125 [I-IV, VI]. Nüsslin O., 20, 56, 118 [IV, VII]. Osterwalder A., 166 [I-III]. 7. Vo A Palm Björn., 78. Pantanelli E., 133. Patch E. M., 21, 167. Patouillard N., 122. Pax °F... 159 [HI-V; VIII. Peck C. H., 168. Petch T., 182. Petri L., 57, 134, 147 [VI-VI1]. Peyerimhoff P. de, 22. Raciborski M., 89, 183. Rapaics R., 189. Renkauf E., 58. Reynier A., 9 [IV, VI]. Lea i we re Ta < pi ig A é { sel sÙ att, À, ri ra , Ritzema Bos J., 23, 32 bis, 103, 119 HI :V, WE: Rohwer S. A., 154. Roux Cl., 43. Riibsaamen Ew. H., 24, 59 (I-II, V]. Russell M. H., 25. Schmidt H., 44, 120, 169, 170 [VI-VII]. Sjostedt Yngv., 10. Spieckermanr, 33. Spindler M., 82. Stiimptli Ruth, 184. Sydow H., 34, 173 [VII]. Sykes M. G., 45. Tavares da Silva J., 26 [I-1I, IV-VII]. Taylor Ad. M., 60. Techet C., 135. Thomas Fr., 83 [I, IIl-VII]. Thomas M., 185. Tison A., 32, 123. Trinchieri G., 129 [VI-VII]. Trotter A., 27, 35 [I-VII]. Tubeuf K. v., 90 [I, III-V1]. Wachtl F. A., 171. Wagner Rud., 190. Webster F. M., 28 [VI]. Williams F. X., 84. Wolff Max., 61. Wulff Th., 11, 148. Zach Fr., 36 [V]. ERRATA - CORRIGE Causa una dimenticata revisione delle bozze impaginate, nell’ articolo dei Si- gnori DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN (pp. 21-35), sono rimasti vari errori di stampa, di cui non correggiamo che i più importanti, per gli altri chiedendone ve- nia agli AA. ed al Lettore. p- » p- Xv 21 Ci » » » » 22 » 23 » » » 24 » 27 » 28 » 32 » n. 41 in luogo Whiirend aus des das ziichten Brehn. Parenthema ? 2 | Wanden ausschlüfft auf ein angebenen leggi Während » aus der » das Züchten » Breyn. » Parentherene ? » >< iad » Wänden » ausschlüpft » auf einem » angegebenen di « Bull. Soc. Entom. » leggi « Bull. Soc. Bot. » dal Ded Domande dicambi, indirizzi, domande e risposte diverse, etc. 4 _ Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’ in- | teresse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia. D due ad « Cecidothecam italicam » (1902-1909) LE Auctore A, TROTTER 9CDeE è _ MM. les Cécidologues, non abonnés à « Cecidotheca italica » de TROTTER A. et CECCONI G., désireux cependant d’assurer à leur Bibliothèque les « Schedae » (avec bibliographie, observations etc.) qui illustrent cette Collection — dont le prix pour les 20 fascicules (500 numéros) publiés jusqu’ ici est de 200 fr. pourront 3’ adresser iV Auteur, Prof. A. TROTTER , qui expédiera franco la Série com- plete des 500 « Schedae », avec préfaces, index double etc., contre mandat-poste de 10 fr. — Numéros spécimen sur demande. . M. HOUARD, désirant publier prochainement un Supplément là ses « Zoocécidies des Plantes d'Europe et du Bassin de la Méditerra- née », recevra avec reconnaissance toutes les corrections et additions que voudront bien lui envoyer les Cécidologues. M. HovarD se permet de faire remarquer que l Index bibliographique du to- me II ne contient, à dessem, que les travaux des Auteurs cités dans le texte du Catalogue. Cet Index, avec ses treize cents numéros bibliographiques, n° a nulle- ment la prétention de constituer une Bibliographie complète des galles d’ Europe, qui comporterait certainement plus de trois mille fiches, C. HovARD, Docteur-es-Sciences 12. rue Cuvier Paris 5. RIVISTA eee dit DI CECIDOLOGIA | revarrone: ror. A. TROTTER (AVELLINO) =. i 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle ga/le e dei | produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori originali, di istologia, morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando Fa anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o meno estese. | 4 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno però = : la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- 4 tore , il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si accettano lavori in inglese, tedesco ed in tutte le lingue delle nazioni latine. 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori, 4 sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di 3 copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore com 2° invio del manoscritto. | < 4. Le spese per tavole o figure nel testo sono, per ora, a carico degli Autori. | 5. Usciranno 6 fascicoli all’anno, complessivamente circa 15 fogli di stampa, possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè : Febbraio, Aprile, Giugno, Ago- sto, Ottobre, Dicembre. 6. Gli abbonamenti cominciano dal 1° Gennaio e si intendono rinnovati an- che per l’anno successivo , qualora non venga data rinuncia al Redattore entro © il mese di Dicembre. 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (= 15 Fr. = 12 Mk. = 12 Sh.) da pagarsi antecipatamente.— Si pregano i Signori Associati esteri di effettuare i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con vaglia cambiarii (chèque). Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, cambii ecc., rivolgersi. al Redattore prof. A. TROTTER, A. Scuola di Viticoltura e di Enologia, Avellino (Italia). -—_—_o_.vo_ Lt oe oe Lt. .0 0 0 e Lt Let ee ee ee. 9 eee Trotter A. e CECCONI G. — Cecidotheca italica ou Collection de Galles ita- liennes , séchées et préparées, y-cumpris les formes nuisibles aux plantes agricoles.— Ont paru jusqu’ ici 20 fasc. — 500 espèces — ; le prix de chaque fasc. est de 10 fr. — En préparation fase. 21°-220.-- Pour achats s'adresser — au Prof. A. TROTTER. MARCEILI "i ra 2 C } o a | RIVISTA INTERNAZIONALE REDATTORE: À |: SOMMARIO: by nis Aussereuropäischer Zoocecidien — ir IV. Afrikanische Gallen (con fig.). | DOCTERS VAN LEEUWEN-REIINVAAN — | … Einige Gallen aus Java. Deitter Beitrag — SE (con fig.). | nn PIERRE Abbé— La cécidie d’hiverde Chlo- rops lineata, Fahri.—Taeniopus, Meig. = + ‘ BAYER É.— Les Zoocécidies de la Bohême : VoL. IX. An. [910 (cont.). Trorrer A.-— Bibliografia e Recensioni. FASC H _ — — Notizia necrologica. - AS Soe RÜBSAAMEX Ew. H.— Beiträge zur Kennt- Pror.: Dr. A ERCHEIER (PUBBLICATI IL 20 MAGGIO 1910) ed e AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA CA IQIO | mae pi ŒCIDOIOGIA 14 i Put ~ A fine di render più facile il compito del Redattore si pregano vivamente i Signori Collaboratori, avanti l'invio dei manoscritti; di tenere presenti, nel loro stesso interesse, le seguenti avvertenze : 1. I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rac- comandazione è rivolta in modo speciale ai Signori Collaboratori esteri. 2. Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta; una seconda (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte sieno state di una certa importanza. Ulteriori invii non saranno fatti che dietro richiesta degli interessati. 3. Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero superiore-ai 30, concessi gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l'invio del manoscritto. 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non quando. ne sia stato espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. | 5. Per 1’ uniformità del giornale si pregano. i Signori Collaboratori di attenersi alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza, usandole possibilmente ed uniformemente nei contro indicati casi: carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad — uri es. Cynips coriaria, Fagus silvatica). » MAIUSCOLETTO (per i nomi propri: di persona nel testo; ad es. Löw, a era GIRAUD).. » corsivo (per i cecidonti nel testo; ad es. Perrisia affinis, Uro- cystis Anemones). » spaziato (per i substrati nel testo; ad es. Quercus cocci- fera, Salvia pratensis). ® Der allgemeinen und angewandten Entomologie wie » | der Jnsekten-Biologie gewidmet. Ze itsche nschaflich® Erscheint monetiicn If} Bir wisse Verbreitetste wiss. ent | ‘odes Heft etwa 3 Bose eo né ru Auslandes seh Dem 010 gi ns Wertvolle | | Original Abhandlungenaus dem Gesamtgebiete è | Umfassende jahrliche Sammelreferate nach Finzelgebieten | | Die ganze Literatur erschopfende Berichte. Ein vielseitiger Anzeigenteil. | Ansichtexemplare vesendet sten Dr Christoph Schroder Schoneberg Beri = | i a no Pa a DRE np ai MARCELLIA Rivista Internazionale di Cecidologia REDATTORE : ProreDon: A: FROTTER wwe BRARY Vol. IX = An. 1910 New vo BOTANICAL GARDEN YW4YW™YYWYYYXYYXfYYY AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA E. PERGOLA 1910 - ’ Pr A PA oe 5 riale ey Ft ee! eee e Va “ e ie EN SEE BEITRAGE ZUR KENNTNIS AUSSEREUROPAISCHER ZOOCECIDIEN von Ew. H. RUBSAAMEN, Berlin IBRARY NEW YORK BOTANICAL GARDEN. IV. BEITRAG: Afrikanische Gallen Die nachfolgend besprochenen Gallen wurden mir im Laufe der letzten Jahre von verschiedenen Seiten zur Bearbeitung übergeben, einige derselben bereits vor annähernd 10 Jahren; doch war es mir bisher nicht möglich, die Beschreibung dieser Cecidien zu veröffent- lichen. Ein Teil der von Herrn Dr. WINKLER in Kamerun gesam- melten Gallen wurde bereits von den Herren Prof. Dr. PAx und Prof. DITTRICH zu Breslau in dem Herbarium cecidiologicum heraus- gegeben. Die dort veröffentlichten Diagnosen dieser Gallen, die von mir herrübren, werden hier ergänzt. In vielen Fällen erhielt ich das Material nicht vom Sammler ; ich habe dann jedesmal angegeben, von wem mir die betreffende Galle übergeben wurde und ich spreche den genannten Herren an dieser Stelle für das in mich gesetzte Vertrauen meinen besten Dank aus. 1- Acacia arabica WILLD. 1. Cecidomyidengalle, Knospen bezw. Zweigdeformation. Die zu napfförmigen Gebilden umgeformten, meist gehäuft stehenden Knospen sind 6-10 mm lang und am oberen Rande 5-20 mm breit. Dieser harte, holzige Teil der Galle, der als verkürzter Zweig aufzufassen und meist mit einem verkümmerten Dornenpaar versehen ist, trägt an der napfförmig vertieften Spitze eine grosse Menge €. 15 mm lan- ger borstenähnlicher, graugrüner Auswichse, wodurch die Galle ein pinselartiges Aussehen bekommt. Diese Gebilde tragen die Behaarung der Rhachis der Fiederblätter und sind offenbar auch nichts anders als. Blattspindeln, an welchen die Fiederblattchen stets zu fehlen scheinen. Ausser diesen verkümmerten Blättern erhebt sich aus der napfförmigen Vertiefung ein spindelförmiger Auswuchs von 5-6 mm Länge und ce. 2 Dicke an der breitesten Stelle, der an seinen Seiten 4 Ew. H. RUEBSAAMEN und der Spitze ebenfalls mit den vorher erwähnten verkiimmerten, borstenartigen Blättspindeln besetzt ist, die aber hier etwas diinner sind. Dieses diinnwandige Gebilde umschliesst die ziemlich grosse Larvenhö- hle. Nicht selten enthält ein Napf mehrere von die- sen Larvenwohnungen, in welchen die Mückenlarve ihre ganze Verwandlung besteht. Spuren von Lar- venbälgen konnten in den Gallen nicht aufgefunden werden, wohl aber steck- ten in einigen dieser spin- delförmigen Gallen noch die zerbrochenen Puppen- häute, die aber einen Schluss auf die Gattungs- zugehörigkeit der Mücken nicht zulassen. Es fällt auf, dass, soweit sich dies Fig. 1. — a. Cecidomyidengallen auf Acacia: rain: mit Hilfe der aufgefunde- b. Schnitt durch eine etwas vergrös- nen Fragmente feststellen serte Galle. lässt, die stark entwickel- ten Bohrhörnehen nicht an der Fühlerbasis stehen , sondern weiter nach hinten, etwa an der Stelle, wo sich in der Regel die Scheitelbörstehen befinden. Die Galle wurde am 14. Januar 1904 dureh v. Prirrwirz bei Kilimatinde in Deutsch Ost-Afrika gesammelt. Ich erhielt dieselbe von Herrn Prof. Dr. H. HARMS vom Botanischen Museum in Dahlem bei Berlin. 2. Acacia, anscheinend mellifera BrxTH. 2. Cecidomyidengalle der vorigen Ähnlich, die Vertiefung an der breiten Spitze des holzigen Basalteiles der Galle fehlt jedoch ganz oder ist doch nur wenig auffallend. Die Larvenwohnungen befinden sich in diesem holzigen Basalteile in der Nähe der verbreiterten AUSSEREUROPAFISCHE ZOOCECIDIEN [SA Spitze, die dicht mit rötlichen, 8-10 mm langen und sehr feinen Haaren besetzt ist. Von diesen rotblonden Haaren sind immer eine Anzahl an der Basis breit verwachsen oder verklebt und sie bestehen aus mehreren hinter ein- ander liegenden Zellen. Dort, wo sich zwei Zellen berühren, ist das Haar etwas verdiekt. Die Gallen scheinen noch nicht voll entwie- kelt zu sein, die Cecidomyidenlar- ven, welche ich in diesen Gallen auffand, waren wenigstens noch so jung, dass über die Gattungs- Fig. 2. — a. Ceeidomyidengallen auf zugehörigkeit derselben keine An- Acacia mellifera. gaben gemacht werden künnen. pe Echitisduzeh cine (etwas vergrösserte Galle. Die Galle wurd von Dr. E. JAEGER am 25. Nov. 1906 gesammelt. Ich erhielt sie mit voriger von Herrn Prof. Dr. HARMS. 3. Alchornea hirtella Bru. . 3. Acarocecidium , hexenbesenartige Deformation an der Zweig- spitze, die wohl als Deformation des Bliitenstandes aufzufassen ist. An den Seiten, der fadendünnen Zweige, befinden sich unregel- mässig verteilt, oft in Knäueln zusammensitzende , kleine knospen- artige Gebilde von 1-2 mm Linge, die aus winzigen, stark behaar- ten, schuppenförmigen Blättehen bestehen, hinter welchen die Milben sitzen. Der ganze, wirr in einander verfilzte Hexenbesen hat dem Anscheine nach meist eine kugelige Form und erreieht an den vor- liegenden Exemplaren einen Durchmesser von 7-12 cm. Nur an einem Exemplar besteht die Deformation aus einigen langegestreckten fa- denförmigen, wenig geteilten Zweigen. Die Deformation wurde von Herrn Dr. WINKLER bei Victoria, Kamerun, am 4. Juni 1904 gesammelt ; ich erhielt das Material durch den Sammler und Herrn Prof. R. DrrrricH in Breslau. 4. Cecidomyidengalle. Blattdeformation. An drei Blättern eines Zweiges dieser Pflanze finden sich dieht neben der Blattmittelrippe 6 Ew. H. RUEBSAAMEN schwielige, tlache Blattauftreibungen, deren Oberfläche im trocknen Zustande runzlig rauh ist. Alle diese Deformationen befinden sich im untern Drittel des Blattes und zwei derselben sind blattunterseits mit einem Flugloche versehen, während die dritte, noch geschlossene Galle eine noch sehr junge Cecidomyidenlarve beherbergt. Ich zweifle nicht, dass alle drei Gallen denselben Erzeuger haben. Die grösste Dicke der ziemlich flachen Auftreibung, die €. 3 mm erreicht, liegt nicht in der Mitte derselben , sondern etwas näher der Blattmittel- rippe, während die geräumige Larvenhöhle mehr nach der entgegen- gesetzten Seite verschoben ist. 4. Allanblackia floribunda Orıv. 5. Blattpocken, Erzeuger ? Die 0,5-1 mm grossen braunen Pok- ken, die auf beiden Seiten des Blattes hervortreten, machen den Eindruck von Milbengallen, doch habe ich bei sorgfältigster Unter- suchung nie eine Spur von Milben aufzufinden vermocht, was natürlich kein Beweis dafür ist, dass die Galle einen andern Erzeuger hat. Die Form der Auftreibung ist meist unregelmässig kreisförmig, ihre Ober- fliche etwas gerunzelt und meist entweder blattoberseits oder blatt- unterseits leicht genabelt und schwarzbraun : seltener in der Mitte mit kleinem Loche versehen. Jede Galle umschliesst eine kleine, glatte Höhle, die meist von Pilzen durchwuchert ist. Die Gallen sind un- regelmässig über die ganze Blattflache verteilt und sitzen nicht selten an einer stärkeren Seitenrippe, ja sogar an der Blattmittelrippe. Es scheint mir nicht ausgeschlossen zu sein, dass die erwähnten Pilze an dem Entstehen der Galle beteiligt sind, dass es sich also hier möglicherweise um ein Mycocecidium handelt. Die Galle (N° 1294 bei WINKLER) wurde von Dr. H. WINKLER im Urwald bei Molive (Kamerun) am 13. Mai 1905 gesammelt. 5. Allophylus africanus (P.B.) RADLKFR. 6. Acarocecidium, Erineum auf der unteren Blattseite. Das Eri- neum bildet unregelmässige Plätze von 2-6 mm Durchmesser, die regellos über die Blattfläche verteilt sind und die sich auf der Blatt- oberseite durch starke Ausstülpung kenntlich machen. Die Haare , AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN vi aus denen das Erineum besteht sind straff, meist spitz zulaufend und unregelmässig gedreht und in einander verschlungen. Botanischer Garten bei Victoria, Kamerun, 3 August 1904. Dr. H. WINKLER. 6. Baphia spec. 7. Cecidomyidengalle auf den Früchten. Die in der Entwicklung - stark zurückgebliebenen Hülsen sind angefiillt mit kleinen 2-2,5 grossen Gallen, die sich äusserlich als flache Beulen kennzeichnen. Die Wandung der dicht gedrängt stehenden Gallen ist 0,25-0,50 mm dick und umschliesst eine ovale Höhlung von 1,5-2 mm grösstem Durchmesser, von welchen jede von einer Cecidomyidenlarve bewohnt wird. Mit einer einzigen Ausnahme waren die aufgefundenen Larven noch sehr jung. Ihre Länge betrug höchstens 0,5 mm und die Brust- ORDRE TI ba LL FAN, A Ve bya. | MTV Fig. 3.— a. Brustgrite der Larve aus Gallen auf Baphia (Kamerun), b. auf Blütengallen auf Mourinia, Brasilien, e. auf Barteria (Kamerun), d. auf Dalbergia (Brasilien). grate fehlte noch ganz. In einem Falle wurde eine 1,35 mm lange Larve mit eigentiimlich entwickelter Brustgräte aufgefunden. Die Grate trägt an ihrer Spitze 4 Ziihne und erinnert hierdurch etwas an die Gräte der Miickenlarve , die ich in Gallen der Hülsen von Dalbergia monetaria L. f. (cfr. MARCELLIA, 1907, p. 119, N° 16) auffand oder an diejenige aus deformierten Blüten auf M o u- 8 Ew. H. RUEBSAAMEN rinia ulei Pilger (ibid. 1908, p. 16, N° 34) unterscheidet sich aber doch wesentlich von diesen Gräten, wie sich aus den beigefüg- ten Abbildungen ergiebt. Bei der Larve aus den Ba phi a-Friiehten sind die beiden äusse- ren Zähne etwas länger als die innern und die Zähne selbst an der Spitze etwas abgerundet. Der Teil unterhalb der Grätenzähne, also die plattenartige Verbreiterung, ist ungemein stark entwickelt, wäh- rend der. Stiel verhältnismässig dünn ist. Die Verhältnisse sind die folgenden: 1 — 176; II=20; Illa (Entfernung der Spitzen der innem (1) Grätenzähne von einander) = 20; Ib = 48; IV = 120 ; V=64; VI = 32. Die Sternalpapillen stehen auf stark entwickelten Wiilsten. Die Körperhaut ist an dieser Stelle verdickt und die Wülste daher gelb- braun. Die Lateralpapillen mit Börstchen ; an jeder Seite der Griite befinden sich 2 x 2, nicht wie dies sonst meist die Regel ist, 2 >< 3 Lateralpapillen. Körperhaut chagriniert ; Borsten kurz. Einige der Gallen sind mit grossem Flugloche versehen und machen ganz den Eindruck, als ob ein von den erwähnten Gallmü- eken durchaus verschiedenes Insect an dieser Stelle die deformierte Hülse verlassen hätte. Die Deformation wurde am 13. Dezember 1904 von Herrn Regierungsrat Dr. Busse in Togo gesammelt. 7. Barteria nigritiana Hook f. 8. Ceeidomyidengalle auf den Blättern. Die dunkelbraunen, im Leben vielleieht roten Gallen können bis 7 mm lang, 4,5 mm dick und 4 mm hoch werden, sitzen mit breiter Basis stets auf einem Blattnerven so, dass der Längsdurchmesser stets die Richtung der Blattrippe hat. Meist sitzen die Gallen an einer Seitenrippe ersten Grades. Auf der unteren Blattseite ist die Galle daran zu erkennen, dass das Blatt an dieser Stelle leicht nach oben ausgebaucht ist. Diese (1) Bei allen hier abgebildeten Brustgräten wurde dieselbe Vergrösserung an- gewendet, nämlich Zeiss Apochromat 8 mm Objectiv 6. Die Vergrösserung ist hei 87 . : 125 . Die Textfigur anf ?/, rednziert = €. —. der Zeichnung AUSSEREUROPAFISCHE ZOOCKCIDIEN 9 flachen Höhlungen werden von den an dieser Stelle stark verdiekten und meist etwas längsrissigen Blattnerven durchzogen. Die flache Larvenhöhlung verläuft parallel der Oberseite der Galle, sie ist also an der Oberseite con- vex, an der unteren Seite concav. In den aufgeschnittenen Gallen wur- den offenbar verschiedenartige Gallmüc- kenlarven aufgefunden, nämlich eine 1,45 mm lange, glatte Larve ohne Gräte und in einer von Pteromaliden besetzten Galle Fig. 4. — Blattgalle auf B a r- teria nigritiana. Überreste einer Larvenhaut mit sehr stark entwickelter , dunkelbrauner Brustgräte , die sich dadureh auszeiehnet, dass an der Aussenseite der stark entwickelten Grätenzähne noch ein Ansatz zu einem Aussenzahne vorhanden ist, so dass diese Gräte an die von mir in MARCELLIA, 1905, p. 67 bei Acacia beschriebene Gräte erinnert. cfr. Fig. 3. Die Verhältnisse sind die folgenden I = 320; I = 24; Ula = 82 (d. i. die Entfernung der Spitzen der beiden mittleren Zähne voneinander !); IL] b= 64 (d. i. die Entfernung der beiden äusseren. kleinen Zähne voneinander); IV = 72; V= 72: V LAS) — io Am 24. September 1904 bei Campa in Kamerun von Herrn Regierungsrat Dr. BUSSE gesammelt. 8. Beilschmidia Gabunensis (Mrissx.) B. et Hook. 9. Psyllidengalle aut der Blattunterseite. Die annähernd halbku- gelige Galle ist an der Spitze stets mit rundem Flugloche versehen ; sie hat an der Basis einen Durchmesser von annihernd 2 mm und ist 1-1,3 mm hoch. An der Basis ist die Gallenwandung annähernd 0,5-0,6 mm dick, wird aber nach der Gallenspitze zu auffallend dünner. Die Obertlache der im trockenen Zustande braunen Galle ist rauh und etwas rissig. Blattoberveits tritt sie als schwielige, scharf be- grenzte, am Rande etwas gewulstete Verdickung hervor. Die Gallen sind regellos über das Blatt verteilt, sitzen aber am vorliegenden Material nie an einer grösseren Blattrippe. In jeder Galle befindet sich eine Psyllidenlarve bezw. Nymphe, die sich durch das stark entwickelte erste Fühlerbasalglied auszeich- 10 Ew. H. RUEBSAAMEN net. Das zweite Fühlerglied sitzt nicht in der Mitte des ersten, son- dern am Rande an der nach innen gerichteten Seite. Die Fiihler sind bei den aufgefundenen Entwicklungsstadien 6 bzw. 7 gliedrig. Die Beine sind kräftig entwickelt und an der Fussspitze mit der bekann- ten Scheibe bewehrt. Die ganze Dorsalseite des Tieres ist dicht mit feinen, stumpfen Dérnchen besetzt, die in der Form annähernd den Randdürnchen oder Stäbchen entsprechen und wahrscheinlich ebenso wie diese zur Absonderung eines wachsartigen Sekretes dienen, also als Drüsen anzusprechen sind. Die Randdörnchen sitzen auf kurzen, zapfenartigen Fortsätzen, die sich nach aussen leicht in der in Fig. 5 dargestellten Weise gabeln. An der Basis des zapfenartigen Fortsat- zes ist das Tergit in der Regel leistenartig verdickt; meist gehen von jedem dieser Zapfen zwei dieser Leisten aus, die nach der Me- diane des Tieres etwas divergieren und sich ganz allmählig verlie- ren. Der von den im Zapfen offenbar beweglich eingelenkten Dörn- chen oder Stäbehen ausgehende weisse, wachsartige Faden umschliesst die Spitzenhälfte des Dörnchens von allen Seiten. Ausser diesen ab- gestumpften Stäbchen, finden sich überall besonders aber am Rande Fig. 5. — a. Durchschnitt der Blattgalle anf Beilschmidia Gabunensis vergr. b. Psyllidenlarve aus dieser Galle. Dorsalansicht, vergr. Riissel und Beine durchscheinerd. e. Fiihler derselben, vergr. d. Randdörnchen, vergr. auf der Oberseite des Kopfes und den Fliigelscheiden längere Bor- sten und feine Härchen. Der After ist mit dem gewöhnlichen doppelten Kranze feiner Längsleistchen umgeben, + AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN al Die Galle wurde von ZENKER bei Bipindi in Kamerun gesammelt (Datum fehlt !) europäische Galle verdanke, übergeben. 9. Berlinia bracteosa Bru. 10. Coccidengalle auf den Blättern. Die kegelförmigen 4.5 mm hohen Blattgallen, die etwas an diejenigen von Mikiola fagi auf Fa- gus silvatica erinnern, befinden sich aut der Blattoberseite und besitzen auf der Blatt- unterseite eine nicht ganz ‘/, mm Durchmesser haltende Offnung. Die Umgebung derselben ist bis auf 1,5 oder 2 mm glatt und etwas glänzend, worauf eine ebenso breite, etwas verdickte und leicht gerunzelte, ringförmige Zone folgt. Fig. 6.—Cocciden-Blatt- Die sehr merkwiirdigen Cocciden wurden galle auf Berlinia von mir Herrn Dr. LINDIGER zu Hamburg zur bracteosa. Untersuchung übergeben. Die Galle wurde von den Herren Dr. WINKLER und HANKE am 12. Februar 1905 im Urwalde bei Victoria in Kamerun aufgefunden. Ich erhielt sie von Herrn Dr. WINKLER. 10. Boehmeria platyphylla Don. 11. Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die Galle bildet in dem von DITTRICH und PAX herausgegebenen Herbarium cecidiologieum die N° 381 und wurde dort von mir bereits kurz characterisiert. Die Gall- miicke erzeugt meist an einer der schwächeren Adern pockenartige, auf beiden Blattseiten wenig hervortretende , nicht abnorm behaarte Gallen, die bei oberflächlicher Betrachtung den Eindruck von Mil. bengallen machen. Die trockne Galle hat die dunkle sehwarzgriine Farbe des getrockneten Blattes , wird aber von einer rôtlichen Ring- zone umgeben, in welcher sich, ge- gen das Licht gehalten, die feinen Blattadern als leuchtenden Linien abheben. Sie hat bei einem Durch- più. 7.— sehnitt durch die Galle anf messer von e. 2 mm eine Dicke Boehmeria No 11. Sanh = er de re» - Ta “et 2 Pa 12 , Ew. H. RUEBSAAMEX : von €. 1.5 mm und umschliesst eine der Form der Galle entsprechende Larvenhöhle. Die Gallenwand ist annähernd 0,5 mm dick. Die aufgefundenen Larven waren fast alle von Pilzen durchwu- chert und lassen Einzelbeiter nicht mehr erkennen, besitzen aber eine sehr sonderbar gebildete Brustgräte. Die ganze Grate ist nur 60 y lang: der Stiel ist ungemein kurz und der hintere Rand derselben leistenartig ver- dickt. Die Spitzen der beiden, ziemlich unregelmässig geformten Zähne liegen 24 y von einander entfernt und in dem Winkel, der von dem innern Rande der beiden Zähne gebildet wird, befindet sich noch ein dritter, rudimentärer Zahn (cfr. III Beitrag 1. ce. Diodia N° 24° Fig. 8.— a. Brustgräte der Larve n». 125 und Solanum N°181 p. 60). meat. auf Solanum 4n der Aussenseite setzt sich die Gräte b. Brustgräte der Larve aus Gallen @n der Basis der grossen Zähne horn- auf Boehmeria (Kamerun). artig nach jeder Seite fort. Diese horn- e. Brustgräte der Larve aus Gallen artigen Fortsätze sind etwas nach vorne auf Diodia (Brasilien). gerichtet und ihre Spitzen sind 96 y weit von einander entfernt. Die Larve ist nur 0.65 mm lang und 0,40 mm breit. Die Galle wurde am 13. Juli 1904 im botanischen Garten zu Victoria in Ka- merun von Dr. H. WINKLER gesammelt. 11. Brachylaena elliptica Less. 12. Cecidomyidengalle, Zweigdeformation. Die eiförmige Deforma- tion sitzt stets am Zweigende, erreicht eine Länge bis 2 ‘|, cm und ist mit einer starken Verkürzung des angegriffenen Zweiges verbun- den. Der Zweig selbst ist nur auf eine Länge von 8-10 mm verdickt und erreicht an der dicksten Stelle der Deformation €. 4-5 mm ge- gen 2 mm unmittelbar unterhalb der Galle. Die an der deformierten Zweigpartie sitzenden Blätter sind stark verkürzt. Bei den an der Spitze der Galle stehenden Blättern ist die Lamina noch deutlich zu erkennen; die Blattstiele sind meist sehr stark verbreitert und - wie die ganze Galle mit e. 5 mm langen gelbweissen Haaren dicht = = ÄUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 13 besetzt. Die Deformation erscheint daher zusammen mit diesen lan- gen Haaren als eine Zweigschwellung von €. 1,5 em Dieke: sie ver- jiingt sich an der Basis meist plötzlich, während sie sich nach oben allmählich verjiingt. Diese Haare unterscheiden sich von der dicht wolligen Behaarung der nor- malen Blatter und Zweige durch ihre grüssere Dicke , vor allem aber dadurch, dass sie viel straffer und lange nicht so stark ineinander verfilzt sind. Sie bestehen aus einer Anzahl hinter ei- nander liegender Zellen und sind an der Querwand der Zellen deutlich verdickt. An der Spitze der Zweigverdic- kung sind die hier besonders Fig. 9. — Brustgräte langen Haare fast ganz gra- der Larve aus Zweig- de, während die Seitenbe- gallen auf Brachy- haarung noch den Character TROTA: der Wolle hat. In der Regel sind mehrere Haare an der Fig. 10.— Galle anf Brachylaena elliptica. Basis breit verwachsen. Die glatte Larvenhöhle ist €. 5-6 mm lang und 2 mm breit und beherbergt in der Regel mehrere Larven von 5-6 mm Liinge, deren Körper mit sehr feinen, rundlich Giirtelwarzen bedeckt ist. Papillen und Bauchwarzen wie bei der Dasyneuragruppe. Die Grite hat die Form der beigebenen Figur. Es ist I = 400; II = 72; II > 120; I und 436 3. VE 7% Die Galle wurde von Herrn Prof. Dr. VANHÖFFEN gelegentlich der Südpolar- Expedition in Siidafrika gesammelt. 12. Cajanus indicus SPRENG. 13. Acarocecidium, Knospenwucherung und Cladomanie. Die ge- häuft stehenden Knospen bilden Knäuel bis zu 1,5 em Dicke. Die schuppenformigen Blättehen sind dicht gelbweiss behaart. Nicht sel- ten entwickeln sich aus diesen Knospen Zweiglein ven einigen em 14 Ew. H. RUEBSAAMEN È Länge, an welchen sich aber statt der normalen die vorerwähnten schuppenförmigen Blättehen befinden, hinter den die Milben in ziemlich grosser Anzahl leben. Von Reg. Rat Dr. Busse 1900 auf der Plantage Dunga (Zanzibar) gesammelt. 13. Calligonum comosum L’ Hér. 14. Lepidopterocecidium leichte Stengelschwellung, die von einer kleiner Schmetterlingsranpe bewohnt wird. Die Deformation wurde von Herrn Prof. Dr. ASCHERSON in der Libyschen Wiiste am Brunnen Kerani gesammelt und mir von Herrn Prof. Dr. P. MAGNUS übergeben. Das Datum fehlt. 14. Commelina scandens WELW. 15. Lepidopterocecidium , tleischige Stengelschwellung von meist dunkelroter Farbe (Herbarium cecidiologicum N° 354 und 384 a) Zu- weilen ist die Deformation einseitswendig. Sie erreicht bei dem vor- liegenden Materiale im Maximum eine Länge von 3 em bei 0,7 mm Dicke. Die Gallen sind fast alle mit ziemlich grossem Flugloche vorsehen. In einer der geschlossenen Gallen fand sich eine Microle- pidopterenpuppe. Auf Commelina communis L. wird in die- ser Zeitschrift, 1909, p. 23 unter N° 2 von LEEUWEN-REIJNVAAN eine Lepidopterengalle erwähnt, die mit der auf ©. seandens sehr grosse Aehnlichkeit hat. Botanischer Garten von Vietoria in Kamerun ; 6. August 1903. H. WINKLER. 15. Corynanthe spec. 16. Coleopterocecidium , Fruchtgalle. Die Früchte zeigen kreis- runde Fluglöcher von €. 1 mm Durchmesser, die von einem 2-2,5 mm Durchmesser haltenden Ringwalle umgeben sind. Die harte, holzige Schale umschliesst einen stark zerfressenen Kern, in welchem sich zahlreiche braune Borkenkäfer aufhalten, die ich für die Erzeuger des wulstigen Ringes der Fruchtschale halte. Die Käfer wurden von mir dem Kaiserl. Rate, Herrn E. REIT- TER zu Paskau zur Untersuchung bezw. Beschreibung übergeben und ou AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN © 1 von ihm als neue Art erkannt, die er unter dem Namen Stephanoderes Winkleri beschreiben wird. Die Deformation wurde von Dr. WINKLER am 23. October in Kamerun zwischen Victoria und dem Kriegsschiffshafen aufgefunden. 16. Dalbergia hecastophyllum (L.) TauB. (== Hecastophyllum Brownei PERS.) 17. Cecidomyidengalle auf den Blättern. Herb. cecidiolog. N° 386. An der angegebenen Stelle habe ich die Galle kurz wie folgt cha- racterisiert : « Gestielte, die Epidermis der Blattoberseite durchbre- chende Gallen. Die eiförmige Galle, die in eine feine Spitze ausläuft, beherbergt eine Cecidomyidenlarve. Der Stiel ist als Schutzvorrich- tung für den Gallenbewohner anzusehen ». An dem mir damals vorliegenden, etwas dürftigen Materiale be- fanden sich in der Tat die Gallen alle auf der oberen Blattseite obgleich Dr. WINKLER auf dem beiliegenden Zettel die Galle als auf beiden Blattseiten vorkommend bezeichnete. Ich habe mich später , als ich durch die betreffende Lieferung des Herb. cecidiotog. in den Besitz reichlicheren Materials kam, davon überzeugen können, dass die Galle auch blattunterseits vorkommt, doch scheint dieses Vor- kommen verhältnismässig selten zu sein. Die e.3 mm lange, eiförmige. im trocke- nen Zustande braune Galle sitzt auf einem e. 7 mm langen, fadendünnen Stielchen und umschliesst ınıt ihren dünnen Wänden eine ziemlich geräumige Larvenhöhle. Es ist eine der reizendsten Cecidomyidengallen, die ich kenne, die jedenfalls auch entwicklungsge- schichtlich besonders interessant sein wird. Die c. 1 mm lange Larve ist grätenlos. Die Segmente sind überall mit feinen, nicht sehr dicht stehenden Dörnchenwarzen besetzt; nur der hintere Teil des letzten Segmentes ist ganz glatt und ebenso findet sich an jeder Seite der einzelnen Segmente in der Nähe der Stigmen eine ziemlich ausgedehnte, ganz Fig. 11. — Blattgalle auf Dalbergia. Bei a. jugendstadium derselben. 16 Ew. H. RUEBSAAMEN glatte Stelle. Die Körperborsten sind sehr kurz und nur schwer von den erwähnten Dörnchen zu unterscheiden. Kamerun; zwischen Vietoria und Bota am Strande. 25. September 1904. Dr. H. WINKLER. 17. Derris Stuhlmanni (Tavs.) 18. Fruchtdeformation, Cecidomyidengalle ? Die Hülsen sind zu 1-2 em grossen, braunen, annähernd kuge- ligen, von den Seiten jedoch etwas zusammengedrückten Gallen um- gebildet, die an dem dem Stiele gegenüberliegenden Ende mit einer mehr oder weniger lang ausgezogenen Spitze versehen sind. Die dicke Gallenwandung besteht aus einer porösen mit zahlreichen grösseren, unregelmässig geformten Hohlräumen durehsetzten Masse. Ein grö- sserer, mit einer schwarzbraunen, glatten Haut ausgekleideter Hohl- ‘aum befindet sich im Centrum der Galle, doch steht derselbe mit den vorhererwähnten Hohlräumen der Gallenwand durch zahlreiche Spalten und Risse, die vielleicht erst durch Austrocknen der Galle entstanden sind, in Verbindung. Es ist unmöglich, in diesem Gewirr von Spalten, Rissen und Hohlräumen eingetrocknete, vielleicht noch swinzig kleine Insectenlarven aufzufinden. Die Galle wurde 1904 von HoLrtz in Bagamoyo (Deutsch-Ostafrika) gesammelt und mir von Herrn Regierungsrat Dr. Busse übergeben. 18. Detarium senegalense GEL. 19. Cecidomyidengalle, Fruchtdeformation. Der Fruchtknoten ist zu einem annähernd kugeligen, 1 em langen und €. 9 mm dicken Gebilde von rötlichgelber Farbe umgebildet. An der Basis, also dort, wo sie dem Fruchtstiele ansitzt, findet sich zuweilen eine ringförmige wulstige Verdiekung und die Galle verliert hierdurch mehr oder weni- ger ihre Kugelform. Die harte Gallenwand umschliesst einen grossen, ziemlich glatten Hohlraum, in welehem sich bei dem vorliegenden Materiale eine offen- bar noch sehr junge, 0,7 mm lange Cecidomyidenlarve befindet. Die Brustgräte fehlt in diesem Entwieklungsstadium ; die dunklen Augen- flecke sind sehr deutlich, der Fettkörper weiss und der Darm gelb, ‘ po ‘nl ps «Je % AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN © 17 Die Galle wurde von CHEVALIER 1899 (N° 279) bei Kéniégué im Niger-Gebiete und 1902 im Territoire du Chari in Westafrika gesammelt. 1901 fand sie KERSTING (N° 488) bei Sokodé Basari in Togo. Ich erhielt siimmtlich Gallen von Herrn Reg. Rat. Dr. BUSSE. 19. Dioscorea minutiflora ENGL. 20. Cecidomyidengalle auf den Blittern. Die 4-5 mm dicke, harte Galle durchwiichst das Blatt und tritt auf beiden Blattseiten annäh- ernd gleich weit hervor. Die Gallen sitzen an dem vorliegenden Blatte neben einer der Längsrippen und am Rande, aber immer in Reihen, oft so dicht nebeneinander, dass sie vollständig mit einander verwachsen sind. Blattoberseits ragen die einzelnen Gallen mit ; 4 - ENG ca Fig. 12. — Schmitt durch kleiner, höckerartiger Spitze vor, die am vorh- Di Witty - ; A È È die Galle N° 20 auf Di o- audenen Material stets mit einer in die Lar- ER venkammer führenden Öffnung versehen ist. Die Gallen haben eine entfernte Ähnlichkeit mit denjenigen von Oli- gotrophus corni auf Cornus. Alle un- [VV tersuchten Gallen waren leer oder mit Sa 4 \ >= x Pteromaliden besetzt. In einer der letz- J RANE; 4 | teren fanden sich noch Uberreste einer TR ES ; Cecidomyidenlarve, darunter die Brust- ( gräte, die sich dadurch auszeichnet, dass | ihre Spitze mit drei Zähnen bewehrt ist. Brustgriten mit drei Zähnen sind bei € er gallenbildenden Cecidomyidenlarven = à wiederholt beobachtet worden z. B. von | mir in Brasilianischen Gallen auf C e- c reus setaceus (Lasioptera cerei IT. Beitrag N° 24, MARCELLIA, 1905, p. 80), 1 1 6 D aitrao NO 9 ‘ 3 Diodia (III. Beitrag N° 24, MARCEL Fig. 18, 0. Brusigrite der Larve LIA, 1907, p. 126), Ipomoea (ibid. aus Stengelgallen auf Jpomoea p.149 N°69) und Solanum argen- (Brasilien). teum (ibid. 1908, p. 60, N° 181), die b. Brustgriite der Larve aus Blatt- ich zum Vergleich mit der Griite der gallen a Dioscorea (Ka- È 2 î merun). arve aus Dioscore: ar abbilde. i i Harve aus DI réa hie e. Brustgräte der Larve aus Sten- Der mittlere Zahn ist der längste: Bei gelgallen auf Cereus (Brasi- der aufgefunden Gräte ist I — 248. lien). 2 Der mittlere Zahn ist 9 » lang, die Seitenzähne sind nur wenig kür- zer. Die Entfernung der Spitzen der beiden Seitenzihne von einander beträgt 30 ». Von der vorderen plattenartigen Verbreiterung gehen jederseits zwei Chitinleisten aus, die allmählig in die normale Kör- perbaut übergehen. Kamerun, Molive, 23. Juli 1905. Dr. H. WINKLER. (N° 1469). 20. Ficus spec. 21. Psyllidengalle auf den Blättern. Im Herb. cecidiolog. unter N° 387 herausgegeben und dort von mir kurz wie folgt charakteri- siert: « Kurzgestielte Blattzallen, gewöhnlich an einer der stärkeren Blattrippen ansitzend. Die meist zur Seite gebogene Spitze der Galle leicht genabelt. Jede Galle wird von einer Psyllidenlarve bewohnt ». Die 0,75-2 mm Durchmesser haltenden Gallen sind etwas deprimiert ; bei 2 mm Querdurchmesser erreichen sie nur eine Höhe von 1-1,25 min. Bei ganz jungen Gallen sitzt die erwähnte genabelte Spitze noch oben auf der Galle, also annähernd dem Stiele gegenüber. Die unmittelbare Umgebung der genabelten Spitze ist etwas abgeplattet oder sogar leicht vertieft. Bei weiterer Entwicklung der Galle schiebt sich die Spitze immer mehr zur Seite und zwar bei denjenigen Gallen, die seitlich an einer stärkeren Rippe sitzen , immer nach der nach oben liegenden Seite der Galle zu. Die ganze Oberfläche der im trockenen Zustande dunkelbraunen Gal- len ist seidenartig weiss behaart; Die Haare liegen der Galle dicht an und ihre Spitze ist immer nach der Gallen- basis gerichtet. Die untere, dem Blatte anliegende Seite der Galle ist gelb und die Behaarung an dieser Stelle mehr wollig. Die Gallen sitzen vorzugsweise auf der unteren Blattseite; auf der ent- gegenzesetzten Seite macht sich die Fig. 14. — a. Psyllidenlarve aus ‘ Blattgallen auf Ficus. Galle nicht bemerkbar. b. Schnitt durch diese Galle. Jede Galle wird von nur einer Psyl- + AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 19 lidenlarve bewohnt, die am vorliegenden Materiale noch sehr jung und kaum 0,35 mm lang ist bei 0,29 mm Breite. Sie scheint sich dem Psylla-Typus zu nähern. Der Stäbchenkranz an den Kôrpersei- ten fehlt also hier vollkommen ; statt der Stäbchen finden sich aber lange Haare, die sich in einer Reihe über den Riicken des Segmen- tes fortsetzen. Auf der Bauchseite finden sich an jedem Abdominal segment vier kürzere Borsten, von denen je eine nahe dem Körper- rande, die beiden andern mehr auf der Segmentmitte sitzen. After rund, von einem halbmondförmig gruppierten Kranze kleiner Papillen umgeben. Die Füsse mit zwei deutlichen Krallen. Kamerun, Botanischer Garten in Vietoria. 6. August 1905. Dr. H. WINKLER. 21. Gardenia spec. 22. Lepidopterocecidium , Zweigschwellung. Die keulenförmigen Deformationen erinnern etwas an diejenigen von Andricus inflator sind aber grösser als diese. Die Galle scheint noch weiter zu wach- sen, nachdem der Erzeuger sie bereits verlassen hat, denn von der Gallenwand entspringen nicht nur verkiimmerte Zweige, sondern das eine oder andere dieser Zweiglein ist selbst wieder zu einer kleinen Galle derselben Art umgebildet. An einem der vorliegenden Zweige wiederholt sich dieser Vorgang sogar zweimal. Bei den älteren, grös- seren Gallen befindet sieh an einer Seite ein ziemlich grosses Flu- gloch; die geräumige Larvenhöhle ist daher, wie zu erwarten war, vom Erzeuger verlassen. In einer der kleineren Gallen fand sich eine noch sehr junge Raupe, die ich für den Erzeuger der Galle halte. Togo, Weg zwischeu Assahun und Tove-Gä, 8. Nov. 1904. Ich erhielt die Galle von dem Sammler, Herrn Regierungsrat Dr. BUSSE. In der Bussr’schen Sammlung führt die Pflanze die Nummer 3289. 22. Gymnosporia spec. 23. Zweigschwellung , Dipterengalle ? Die einseitswendige Galle ist €. 15 mm lang und erinnert an diejenige von Agromyza Schineri auf Salix. An dem vorliegenden Zweige sitzen 3 dieser Schwellun- gen dieht beieinander. Sie sind alle mit Flugloch versehen. In einer Galle fanden sieh Überreste einer Larve, die zu einem Dipteron zu eehören scheint. Capland, Simonstown, VANHÖFFEN. 20 Ew. H. RUEBSAAMEN 23. Helicteres isora L. 24. Acarocecidium. Die Galle wurde in Herb. cecidiolog. unter N° 456 herausgegeben und von mir daselbst wie folgt kurz beschrie- ben: « Blumenkohlartige Wucherungen an den Knospen , Zweigen und Blattstielen, verbunden mit abnormer Behaarung. Die Deforma- tion wird von Gallmilben verursacht und hat sehr grosse Ähnlich- keit mit der von Eriophyes populi Nal. auf Populus tremula und P. nigra hervorgebrachten Deformation ». Es handelt sich hier jedoch nicht wie bei den Populus-Gallen um Knospendeforma- tionen, da diese Wucherungen überall am Zweige hervorbrechen und auch überall am Blattstiele vorkommen können. Kamerun , Victoria, Mai und August 1907 A. WEBERBAUER. Ich erhielt die Galle von Herrn Dr. WINKLER. 24. Indigofera tristis E. MEG. 25. Coleopterocecidium, Deformation der Hülsen. An dem vorlie- genden Zweige sind die angegriffenen Hiilsen 5-7 mm diek und nicht wie die trocknen normalen Hiilsen braun mit feiner, weisser Behaa- rung und von den Seiten zusammengedriickt, sondern gelbgran, fast kahl und etwas deprimiert. Es ist möglich , dass bei den vorliegen- den Gallen die Haare abgerieben worden sind, da sich an einigen, mehr geschützten Stellen der Galle noch die merkwürdigen , zwei- spitzigen Haare wie sie auf den normalen Hiilsen vorkommen, finden, während aber hier diese Haare meist weiss, seitener braun sind, kommen an der deformierten Hülse vorzugsweise braune Haare vor. In einer Hülse befinden sich ein bis mehrere Larvenkammern. Ist letzteres der Fall, so ist die Hülse zwischen zwei Kammern etwas eingeschnürt, so dass man schon von aussen die Anzahl der Larvenkammern leicht feststellen kann. Die Spitze der Hülse ist meist normal. Die Gallen besitzen Fluglöcher und sind also leer; nur in einer Galle fand sich eine Rüsselkäfer-larve. Transvaal, District Lydenburg, bei der Stadt am Flusse 1894-1895 Dr. F. Wırms. Ich erhielt die Galle von Herrn C. ScHEPPIG in Berlin. Y sd AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 21 25. Landolphia spec. ? 26. Blasige Cecidomyidengalle an den Zweigen. Die Larve sitzt in einer Höhlung im Hoize, das in der Umgebung der Kammer beu- lig aufgetrieben ist. Diese Beule wird jedoch erst nach Entfernung der Rinde sichtbar. An der angegriffenen Stelle ist der Zweig aller- dings auf 2 em Länge stark aufgetrieben. Beim Querschnitt zeigt sich aber, dass sich die Rinde vom Holzhörper vollständig losgelöst hat, so dass also zwischen beiden ein Hohlraum entstanden ist, der nicht zum Aufenthalt der Gallenbildner dient, sondern nur als Schutz- vorrichtung aufzufassen ist. An einem Zweige beträgt die Dicke dieser Blase 15 mm während der normale Zweig nur 6 mm stark ist. Da der Zweig auf 6 cm Länge aufgetrieben ist, so ist anzunehmen, dass sich an dieser Stelle im Holzkörper mehrere Larvenkammern vor- finden werden. Die Larve ist 1,40 mm lang, grätenlos und scheint noch sehr jung zu sein. Kamerun , Neu-Tegel am Kamerun-Berg bei 600 m Höhe. 13. Juli 1904. Dr. H. WINKLER. 26. Listrostachys bidens RoLrE 27. Coleopterengalle ? Deformation der Luftwurzeln. Auf 1,5-2 cm Länge verdickt sich die Luftwurzel ungemein rasch und erreicht am Ende der angegriffenen Partie eine Breite von i 1-2 em, um dann plötzlich wieder zu normalen Verhältnissen zurückzukehren. Wenn sich die Deformation nicht am Ende der Luftwurzel be- findet, so fällt dieser plötzliche Übergang ganz besonders auf. Im Innern der Schwellung finden sich bis zu 12 Larvenkammern von €. 8-10 mm Länge, die nach der Gallenspitze zu an Breite zunehmen und hier €. 2 mm Durchmesser haben. An der Spitze sind sie nur von einer verhältnis- mässig dünnen Haut bedeckt, die an den ge- trockneten Gallen durch Schrumpfung etwas ins Innere der Larvenhöhlung hineingedrückt Fie. 15.— Schnitt durch ‚nn ct " AL jeser Stelle ae a \nııh. = worden ist, so dass an dieser Stelle flache Grüb Aid | Gallo an) de But wurzel von Listro- zahl der Larvenkammern erkennen kann. stachys. N° 27, chen entstanden sind, an welchen man die An- ed > a la i 2 PEPATI = en 41 \ FFE N ir LA Pig ROSI pet . me ar y Tr Hast. È , A r k 4 ae a % L na Pr \ 4 a È ° è 22 Ew. H. RUEBSAAMEN An dieser Stelle wird das reife Cecidozoon allem Anscheine nach die Galle verlassen. Die im frischen Zustande offenbar saftige, glatte Galle ist getrocknet stark gerunzelt. Die aufgefundenen Larven. von denen sich in jeder Höhlung eine befindet, sind noch sehr jung nnd lassen mit Sicherheit keinen Schluss zu, welcher Inseetengruppe sie angehören. Es sind beinlose Larven mit deutlich entwickeltem Kopfe. Ob es sich hier aber um Larven von Rüsselkäfern oder Cynipiden handelt, wage ich nicht zu entscheiden. Kamerun, Victoria, 19. Mai 1904. Dr. H. WINKLER. 27. Lonchocarpus Barteri Brn. 28. Blattgallen, Erzeuger? Hinsichtlich des Erzeugers dieser Gallen bin ich hier in derselben Verlegenheit wie bei der vorherge- henden, doch neige ich hier mit grössern Bestimmtheit zu der Ansicht, dass es sich um Cynipiden-Gallen handelt. Dieselben durchwachsen das Blatt, treten aber auf der obern Blattseite weniger vor als auf der untern. Sie erreichen 2-3 mm Durch- messer, sind von gelbweisser Farbe und ein- bis mehrkammerig. Die unbehaarten, unterseits etwas mehr als halbkugelig vor- BR RE tretenden Gallen haben ein runzliges Aus- Gallen anf Lonchocar- Sehen, was aber vielleicht nur eine Folge pus. a. N° 29., b.N°28&. der Schrumpfung beim Trocknen der Gal- le ist. Kamerun , Victoria, Urwald am Botanischen Garten, 24 März 1905. Dr. H. WINKLER. 29. Cecidomyidengalle. Auf denselben Blättern finden sich blatt- unterseits wenig auffallende helle Blattflecke von €. 1-2 mm Durch- messer, deren Farbe am Rande allmälig in das Grün des normalen Blattes übergeht. Im Centrum dieser Flecke befindet sich ein kreis- rundes Grübchen von 0,5-0,75 mm Durchmesser, das sich an seinem Rand plötzlich, also senkrecht in das Blatt hineinsenkt. Das Griibchen ist annähernd halb so tief als das normale Blatt dick ist und zeigt auf te. AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 23 seinem Boden eine schwach kegelförmige Erhebung, doch ist die Spitze des Kegels zuweilen wieder etwas eingesenkt. Beim Querschnitt zeigt sich, dass das Blatt an dieser Stelle leicht verdickt ist und dass sich unterhalb der kegelförmigen Erhebung auf dem Boden der Blatt- grube eine flache Larvenkammer befindet. In dieser Höhlung fand sich eine Cecidomyidenlarve von 0,3 mm Länge. Möglicherweise ist die hier erwähnte Detormation nur das An- fangsstadium einer Mückengalle. 28. Loranthus verrucosus ENGL. var. Winkleri LixGrLsH 30. Psyllidengalle, Bliitendeformation , die von mir im Herb. ce- cidiolog. folgendermassen beschrieben wurde (N° 390): « Stark ver- kiirzte, bauchig angeschwollene Blüten. Die verkurzten Staubblitter sonst annähernd normal ». Die normalen Bliiten erreichen bei voller Entwicklung eine Länge von durchschnittlich 3 em., die deformierten nur von 2 cm; letztere bleiben in der Regel geschlossen. In jeder der deformierten Blüten finden sich eine Anzahl Psyllidenlarven, die sehr viel Ähnlichkeit mit den mir bekannten Larven der Gattung ’sylla haben, und die ich als Vertreter dieser Gattung glaube ansprechen zu dürfen. Ich benenne daher das Tier nach dem Sammler : PSYLLA WINKLERI n. Sp. Die Unterschiede zwischen den Larven auf Loranthus und anderer Psylla-Arten, besonders auch dia Bildung des Afters und seiner Umgebung scheinen nur spezifische zu sein. Die aufgefundenen Larven varieren hinsichtlich ihrer Länge zwischen 0,5 und 2 mm. Alle Formen stimmen darin überein, dass sie auf dem Rücken , besonders aber am Rande des Abdomens mit nicht dicht stehenden, ziemlich langen Haaren besetzt sind. Bei den jüngeren Entwicklungsformen sitzen derartige Haare auch am Kopfe, den Flügelscheiden und an den Beinen, während bei dem ältesten Stadium hier nur ganz kurze, wenig auffallende Härchen vorhanden sind. Bei dem jüngsten Entwicklungsstadium sind die Füsse mit den Schienen noch vollständig verwachsen und die Fühler sind 2 + 3- gliedrig. Die Geissel besteht aus 3 Gliedern , von denen das letzte am längsten ist. Bei diesem Stadium verhalten sieh die Fühlerglie- 24 Ew. H. RUEBSAAMEN der wie 6:6:15:5: 20 d. a. das erste Glied ist 45 p lang, das 2. ebenfalls 48, das dritte 120, das vierte 40 und das fünfte 160 p. Bei der ältesten Larve sind die Fühler 246 gliedrig und die Ver- hältnisse der Glieder zu einan - der sind die folgenden: 9: 10: 15 : 43:10:12 112 28 oder: in u Ausgedriickt: 72, 80, 120, 104, 50, 96, 388, 224. Sinnesgru- ben finden sich am letzten Glie- de zwei und am 2. und 4. Geissel- gliede je eine. Der Afterspalt ist langsgestellt und bei der ältesten Form jeder- seits mit eine Anzahl halbmond- förmig gruppierter, flacher Griib- chen umgeben, während bei der Fig. 17.— Psylla winkleri n. sp. aus Blü- i a Ai A À D jüngsten Larve jederseits nur a. Nymphe È ; ee i eine Reihe halbmondférmig ges- b. Analende derselben, e. Jüngstes Larvenstadium, tellter Grübchen vorhanden sind. d. Analende dieser Larve. Die Taschen der Vorderflügel sind bei letztgenanter Form braun, bei der ältesten Larve hingegen in den Mitte deutlich mit hellerer Binde versehen. Kamerun, Vietoria, botanischer Garten 3. Juni 1904. Loranthus verrucosa var. Winkleri schmarotzt anf Spondias dulcis Forst. 29. Millettia spec. 31. Acaroceeidium, Erineum blattunterseits, verbunden mit star. ken Ausstiilpungen nach oben. Das Erineum bildet Plätze von 5-7 mm Durchmesser, die regellos über das Blatt verteit sind. Es besteht aus glashellen, zugespitzten oder am Ende abgerundeten, gekriimm- ten und oft spiralig gedrehten Haaren. Congostaat, Leopoldville 18. Mai 1907 VANDERYST (N° 115). Ich erhielt die Galle von dem verstorbenen Prof. HENNINGS vom Bot. Musenm zu Berlin-Dahlem. dr PEUT ARENA OL er un Pr u e NI & & L A f \ n " Lo I AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 80. Mitragyne macrophylla Hirrn. 32. Acarocecidium aut den Blättern. Herb. cecidiolog. N° 441. Ich habe dort die Vermutung ausgesprochen, das die auf den normalen Teilen des Blattes und auch auf den Gallen aufgefundenen, zu den Trombidiiden gehörenden Milben vielleicht die Erzeuger dieser Gallen seien. Ich habe damals an dem mir von Herrn Dr. WINKLER über gebenen Blatte keine Spur von Gallmilben aufzufinden vermocht und finde auch jetzt daran keine. Durch die Herausgeber des Herb. cecidiologi- cum habe ich nummehr einige jüngere Blätter mit diesen Gallen erhalten und bei diesen Gallen ist der Nach- Fig. 18.— Schnitt durch die Galle weis leicht zu führen , dass es sich à Dari N° 32 auf Mitragyne. tatsächlich um das Product von Gall. milben handelt. Die Deformation besteht aus vielzelligen, unregelmässig geform- ten Auswüchsen von 0,5-1 mm Höhe, die auf beiden Blattseiten vorkommen und meist zu kleinen, rundlichen, €. 2-3 mm grossen, un- regelmässig über das Blatt verteilten Rasen vereinigt sind; zuweilen sind diese Rasen um ein Mehrfaches länger als breit und bilden sogar manchmal Streifen von einigen em Länge. In der Regel sind die Emergenzen, aus denen die Rasen bestehen recht plump gebaut; zuweilen sitzen sie dem Blatte mit breiter Basis auf, zuweilen ver- breitern sie sich nach oben sehr stark, endingen aber meist mit breiter stumpfer Spitze. Die Gallmilben leben in den kleinen Zwi- schenräumen, die sich zwischen diesen Auswüchsen finden. Dem Ra- sen entspricht meist eine leichte Vertiefung auf der entgegengesetzten Seite. Zuweilen entwickeln sich an derselben Stelle des Blattes de- rartige Auswiichse auf beiden Blattseiten. Kamerun, Vietoria, Mai 1907. A. WEBERBAUER. Ich erhielt die Deformation wie alle im Herbarium ceeidiologieum herausgegebenen Gallen, die hier besprochen werden, zuerst dureh Herrn Dr. WINKLER und später in der betreffenden Lieferung dieser Sammlung. 31. Monsonia spec. 33. Cecidomyidengalle, Stengelschwellung. Es ist eine 2 em lange und an der breitesten Stelle 11 mm dicke, spindelförmige Stengel- ne NL RENE TES FA 26 Ew. H. RUEBSAAMEN schwellung, die an die Galle von Aular hieracii auf Hieracium umbellatum erinnert. In der Galle, von der nur ein Exemplar vorhanden ist, fand sich eine zerbrochene Puppenhaut und eine ganz junge Larve, beide zur Familie der Cecidomyiden gehörend. Die Larve scheint aber als Inquilin in der Galle gelebt zu haben. Transvaal, Lydenburg, (Flora Africae australis N° 97) zwischen IX 1826 und Ill 1887 von Dr. F. WiLMs gesammelt. Ich erhielt die Galle von Herrn C. SCHEPPIG. 32. Myrianthus arboreus P. B. 34. Cecidomyidengallen aut den Blättern Herb. cecidiolog. N° 442. Die Galle wird daselbst unter N° 1 fol- gendermassen beschrieben : « Unregelmäs- sig kugelige, kahle, fleischige Gallen von 5-10 mm Durchmesser auf der oberen Blattseite. Die Galle sitzt stets an oder dicht neben einer grösseren Blattrippe. Blattunterseits erscheint die Galle als Fig 19, — Schnitt anroh die schwielige Verdickung. Die dieke Gallen- Galle auf Mvrianthus Wand umschliesst eine Höhlung, die von N° 34. | einer Cecidomyidenlarve mit grosser, lang- stieliger, zweizähniger Brustgräte bewohnt wird ». Die vorliegenden Gallen sind meist mit Flugloch versehen und | also vom Erzeuger bereits verlassen. Es à I 5 i ist aber an den durch das Eintrocknen (ta BeAr stark gerunzelten Gallen nicht leicht, das : FAVA ê ) Flugloch aufzufinden. In einer dieser Gal- \ len steckte im Flugloche eine Puppenhiille von 3,2 mm Länge mit stark entwickelten | Bohrhörnchen an der Basis der Fiihlerseh- | eiden. Scheitelbòrstehen kurz. Die Flügel- Ce y 5 scheiden reichen bis zur Mitte des 3. Seg- E i mentes. Jedes Abdominalsegment auf der Fig. 20.— Brustgräten der Lar- Dorsalseite mit mehreren Reien stark ent- ven aus a. Blattgallen auf Wickelter Dörnchen. In den Gallen konn- Myrianthus, b. und e. ten ferner Reste von Cecidomyidenlarven ‘ 4 Ig « à je te a}. Ù » LI auf Psoralea: b. Stengel anfoefunden werden, darunter zwei Brust- galle. e, Blütengalle, 2 : : sa x x griten, die offenbar derselben Art angehö- AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 27 ren, trotzdem die Grössenverhältnisse verschieden sind. Bei den bei- den aufgefundenen Gräten ist [= 340; II 24 und 20; III = 40 und 262 EV = S 0 nndi 104 4,72 und 88, VI ==82! Kamerun, Victoria, Mai 1907, A. WEBERBAUER. Ich erhielt die Galle von Herrn Dr. WINKLER. 35. (Herbar. cecidiolog. 442 N° 2). Stumpfkegelförmige Cecidomyi- dengallen auf den Blättern, behaart, holzig von 3-4 mm Durchmesser blattunterseits. Die Galle ist dem Blatte mit dünnem, kurzem Stiel- chen angeheftet. Die Gallen sind teilweise be- reits mit einem Flugloche versehen. Die noch geschlossenen enthalten je eine noch unentwie- kelte Cecidomyidenlarve. In der vorstehend re- produzierten Beschreibung muss es heissen 3-4 mm Höhe statt Durchmesser. Der Durchmesser der grösssten der vorliegenden Gallen beträgt an der dicksten Stelle der Galle nur 2 mm. Die weissgelben Gallen sind leicht lingsgerieft, übe- Fig. 21.— Schnitt darch rall mit weissen, abstehenden Haaren besetzt die Galle N° 35. auf und in der Mitte meist leicht eingeschnürt. Das Myrianthus. Flugloch befindet sich stets am Scheitel der Galle. Auch bei dieser Galle lässt sich die bei tropischen Gallen nicht grade seltene Beobachtung machen, dass auf ein und demselben Blatte die eine Galle eine noch ganz unentwickelte Cecidomyidenlarve enthält, während sich in der andern, ihr vollkommen gleichenden, bereits vol- lentwickelte Pteromaliden enthalten sind. Diese Wespen sind so gross, dass die kleine Gallmückenlarve ihnen unmöglich allein zum Aufbaue ihres Körpers gedient haben kann. Die in den noch geschlossenen Gallen aufgefundene Larve ist 1,25 mm lang und in diesem Stadium noch ohne Brustgräte. Mit voriger. 33. Nessaea sagittaefolia var. glabrescens Hörnx® 36. Coleopterengalle, Triebspitzendeformation. An der vorliegen- den Pflanze sind eine Anzahl Zweige stark im Wachstume zurück - geblieben und an der Spitze kugelig verdickt. Die etwas verkümmer- ten Blätter stehen an der Verdiekung dieht gedrängt und umgeben 28 Ew. H. RUEBSAAMEN dieselbe schuppenförmig. Bei einer dieser Gallen ist der Zweig an der Gallenspitze weitergewachsen so dass die Galle also hier nieht mehr am Zweigende sitzt. Mit den Schuppenblättchen zusammen erreicht die Deformation einen Durchmesser bis zu 8 mm. Der Erzeuger der Galle ist ein Rüsselkäfer, der seine ganze Verwandlung in der Galle besteht und zum Genus Nanophyes gehort und nach einer Mitteilung des Kaiserl. Rates, Herrn E. REITTER in Paskau wahrscheinlich eine neue, N. niger Walk. nahestehende Art ist, die ich nach der Nährpflanze benenne : NANOPHYES NESSAEAE n. Sp. Das pechbraune Käferchen ist 2-2,5 mm lang, stark gewölbt, der kopf schwarz. Fühler 9-gliedrig. Die Glieder wie in Fig. 22. Rüssel] oberseits bis zu den Fiihlern mit zwei deutlichen Furchen. Hinter- schenkel an der unteren Seite jen- seits der Mitte mit 3 Dörnchen. Halsschild glinzend, weissgrau behaart. Flügel deutlich längsge- streift, grau behaart, die Schwielen glänzend. In jeder Galle befindet sich uur ein Käfer. Fig. 22.— Nanophyes nessaeae n. sp. aus Gallen auf Nessaea N° 56. Transvaal, Lydenburg, Januar 1894, Dr. F. WiLms. Ich erhielt die Galle von Herrn SCHEPPIG. 37. Coleopterengalle , Blütendeformation. Auf derselben Pflanze kommt auch eine von einem Rüsselkäfer erzeugte Blütendeformation vor, doch ist der Erzeuger sehr wahrscheinlich nicht Nanophyes nes- saeae, da beide Gallen sich an demselben Zweige befinden und in der Bliitendeformation eine noch unentwickelte Larve lebt zu derselben Zeit, zu welcher sich in der Triebspitzendeformation bereits der Käfer entwickelt hat. Die Blüte ist ungefähr doppelt so diek wie die normale. Die Larve lebt in dem stark verdiekten Fruchtknoten. PSR Tee Rhee RE EEE NA O eS oi ST AUSSEREUROPABISCHE ZOOCECIDIEN ‘ 29 34. Omphalocarpum Radlkoferi Pierre 38. Sehr kleine, pockenartige Blattgallen, von denen regelmässig eine grössere Anzahl dicht beineinander stehen. Diese Pocken sind nur auf der Blattunterseite wahrnehmbar; sie sind annähernd kreis- rund und erreichen höchstens 0,25 mm Durchmesser. Sie machen den Eindruck von Milbengallen, doch habe ich we- der bei Schnitt-noch Zupfpräparaten den Erzeuger aufzufinden ver- mocht. Kamerun, zwischen Kukne und Edea. 18. November 1904. Dr. H. WINKLER. 35. Parinarium spec. 39. Cecidomyidengalle auf den Blättern. Die Gallen befinden sich auf der untern Blattseite ; sie sind flach und erinnern etwas an die- jenigen von Neuroterus lenticularis auf Eichen und haben auch annä- hernd dieselbe Farbe. Die Stelle, an welcher die Galle dem Blatte mit kurzem Stiele angeheftet ist, tritt auf der oberen Blattseite als kleine Beule hervor. Auf der obe- ren Seite ist die € 5 mm breite Galle flach, am Rande deutlich ge- wulstet und in der Mitte schwach gebuckelt. Der von dem Randwul- Fig. 23.-- Schnitt durch die Galle N° 39 ste umgebene Teil, der ebenso wie auf Parinarium. die Seiten der Galle mit starken braunen Haaren besetzt ist, springt bei der Reife der Galle offenbar als Deckel ab. Die kleine Larvenhöhle liegt unmittelbar unter dem vorhererwähnten Buckel des Deckels. Es ist möglich, dass die Galle mit der von TAVARES unter N° 43 p. 166 erwähnten (Contributio prima ad cognitionem Cecidolo- giae Regionis Zambeziae in Brotéria, Serie Zologica, vol. VII 1908) identisch ist, doch scheint hier die Larvenhöhle anders gebildet zu sein, doch es ist aber möglich, dass die mir vorliegenden Gallen ihre volle Entwicklung noch nicht erreicht haben. 40. Cecidomyidengalle blattunterseits. Die annähernd kugelige Galle ist dicht mit dunkelbraunen, starken Haaren besetzt. Die c. 1 nr + > ul CAI Ps RE i ae” he m bia - - N ER TE Er ae VAN e a AD ‘ ET A Vis) SUNSET u M ‘ , x eS 30 Ew. H. RUEBSAAMEN mm dieke Gallenwand tmschliesst eine geräumige Larvenhöhle, die von einer dünnen scharfbegrenzten, holzigen Zellschicht umgeben ist, während der übrige Teil der Gallenwandung aus einem lockeren Zellgewebe besteht. An der Blattoberseite ist die Larvenhöhle aber nur von der erst erwähnten harten Zellsehieht begrenzt, so dass hier eine Grube entsteht, die aber durch sehr lange, dicke, grade nach oben gerichtete dunkeibraune Haare ausgefüllt wird. An dieser Stelle durehbohrt die Cecidomyidenpuppe offenbar die Gallwand, wenn sie sich zur Mücke verwandeln will. Fig. 24.— Schnitt durch die Galle N° 40 auf Parinarium a. Vollentwickelte Galle. b. Jugendstadium derselben. Bei beiden Gallen ist die Unterseite des Blattes als obenliegend dargestellt. Die Galle hat die grösseste Ähnlichkeit mit der von TAVARES l. e. unter N° 40 erwähnten Galle und ist meiner Ansicht nach mit derselben identisch , trotzdem TAVARES es für wahrscheinlich hält, dass die von ihm beschriebene Galle von Gallmilben erzeugt wird. Wahrscheinlich hat die Puppe die Galle bereits verlassen und es ist leicht möglich, dass durch die so entstandene Öffnung Milben einge- drungen sind. In den Gallen fand ich eine Cecidomyidenlarve von 3,25 mm Länge. Die Gräte fehlt, die Haut ist ganz glatt. Die Bauchwarzen ungemein fein und nur bei ziemlich starker Vergrösserung wahrnehm- bar. Ausser diesen Gallen finden sich auf andern Zweigen kleinere, welche die Form der Fig. 24) haben. Es sind offenbar nur die Jun- gendstadien der vorher erwähnten Deformation. > cdd. Ia rise o RIP AA à A EE LR ds L'ONU eee. N “VM » à è = AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 3 31 41. Cecidomyidengalle blattunterseits dicht neben einer der grö- sseren Blattrippen, am vorliegenden Materiale stets neben der Mittel- rippe. Die etwas deprimierte Galle ist 6 mm dick und dieht braun- grau behaart. Sie ist dem Blatte mit ziemlich dickem Stiele ange- heftet ; sie ist schief. d. h. sie erreicht ihre grösste Höhe nicht an dem dem Stiele gegenüberliegenden Punkte, sondern seitlich von demselben bei dem vorliegenden Ma- teriale immer an der dem Blattnerven zugekehrten Seite. An dieser Stelle ist die Behaarung etwas schwächer und eine lebhaft rot gefärbte schwache Beule bezeichnet allem Anscheine nach die Stelle, an welcher die Mücke die Galle verlassen wird. Beim Schnitt durch die Galle zeigt sich wenigstens die Gallen- Fig. 25.— Schnitt durch die Galle N° 41 auf Parinarium. wand an dieser Stelle am dünnsten. Die Galle umschliesst aber zwei Höhl- ungen, von denen sich die eine unmittelbar unter der erwähnten Beule befindet, wihrend die andere grade über dem Gallenstiele liegt. Ich habe nur in der ersterwähnten Höhlung spärliche Uberreste einer Cecidomyidenlarve gefunden. Die Gallen N° 39-41 entstammen dem Herbier de HYAC. VANDERYST und wur- den bei Hindu, Congostaat, im Juni 1906 gefunden. Ich erhielt dieselben von dem verstorbenen Prof. HENNINGS. 36. Phialodiscus unijugatus (BAK) RADEKFR. 42. Cecidomyidengalle auf den Blättern. Es sind kreisrunde, platte braune Gallen von 5-4 mm Durch- messer auf der obern Blattseite. Blattunterseits erscheint die Galle als annähernd kreisrunde , grau- gelbe, schwielige, in der Mitte ge- abelte Verdickung. Bei (Quer- 4 arta : ae nabelte Verdickun Beim Quei Fig. 26.— Schnitt durch die Galle N° 42 schnitte praesentiert sich die Galle auf ne de LEO CN wie in Fig. 26. Bei der Reife löst sich der obere Teil der Galle vom Blatte. Die Deformation gehört also zu den sogenannten Deckelgallen. Auf dem mir vorliegenden Blättern sind die Deckel bei einigen Gallen bereits abgefallen, während die in andern, auf demselben Blatte sitzenden, noch geschlossenen Gallen enthaltene Cecidomyidenlarve noch sehr Jung ist. Die Larve sitzt aber wenigstens in diesem Entwichlungsstadium nicht auf dem Boden der Galle in der dort befindlichen kleinen Grube, sondern in einer ihr gegenüberliegenden Grube im Deckel. Kamerun, Urwald am Botanischen Garten, 22. Januar 1905. Dr. H. WINKLER. 37. Psoralea pinnata L. 43. Cecidomyidengalle, Blütendeformation. Die Galle erinnert sehr an die von Contarinia eraccae auf Vicia erzeugte Blütengalle, doch gehört der Erzeuger derselben offenbar zum Genus Schizomyia. Zu dieser Ansicht werde ich veranlasst durch die Bildung des Analseg- mentes, das auf der Dorsalseite zwei stumpfkegelförmige Zapfen be- sitzt, die allerdings weich und fleischig sind. Dasselbe ist jedoch auch bei einer andern Schizomyia-Art der Fall, die in Süd - Afrika (Tafelberg) auf Erica Triebspitzendeformationen hervorbringt und von der ich durch Herrn Dr. D. VON SCHLECHTENDAL in Halle alle Entwicklungsstadien besitze. Ich möchte daher für die Mücke, welche die Blütengalle an der oben genannten Pflanze hervorbringt , der Namen SCHIZOMYIA PSORALEAE n. Sp. vorschlagen. trotzdem von dieser Art nur die Larve bekannt ist und ich die Benennung einer Mücke nur auf Kenntnis der Larve für ver- fehlt halte, wenn nicht wenigstens die Gattung, zu der das Tier gehört, mit Sicherheit festgestellt werden kann. Die feinen Gürtelwarzen sind glatt ; die Papillen wie bei der vo- rerwähnten Gattung. Die Brustgräte ist zweizähnig. Der Ausschnitt zwischen den Zähnen entspricht in Form und Grösse annähernd einem Zahne; die Verhältnisse sind die folgenden I = 224; II = 27; III =44; IV=(64; V = 64; VI 32 (fr. Mig. 20); Transvaal, District Lydenburg: bei der Stadt am Flussufer. 1894-1895. Ohne genaueres Datum. Dr. F. Wırms. Erhalten von Herrn C. SCHEPPIG. Mer; | | AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 33 44. Ceeidomyidengalle , kugelige Stengeldeformation von 9 mm Durchmesser gegen 2 mm des normalen Stengels unterhalb der Galle. Die Spitze der Galle ist gekrönt von der total verkiimmerten und zurückgebogenen Zweigspitze, so dass die Deformation den Eindruck einer Triebspitzendeformation macht. Auch diese Galle wird von einer Gallmücke erzeugt, die mög- licherweise mit der vorhergehenden identisch ist. Ich habe in der Galle nur eine, von Pteromaliden zu einem Tönnchen umgebildete Larve aufgefunden, deren Hinterleibsende fehlt. Die Gräte hat jedoch in ihrem Baue und in ihren Verhältnissen sehr grosse Ahnlichkeit mit der von Schizomyia psoraleae m. Es ist: I == 186; IL = 24; HI — 537; IV=60; V=60; VI= 2%. Mit voriger. 38. Psychotria spec. 45. Cecidomyidengalle blattunterseits. Es sind 2-3 mm grosse, braune, etwas längliche Gallen mit rauher Oberfläche. Auf der entgegengesetzten Sei- — te ist das Blatt etwas grubig vertieft. Die mR sehr dieke, ziemlich weiche Gallenwand umschliesst eine kleine Larvenhöhle, die a= etwas excentrisch liegt. Die in diesen Gallen aufgefundene Larve ist platt 0,45 mm lang und fast : ebenso breit. An den beiden vorliegenden RME Sn De ans à È a 4 pe 30 à = | 7 e | = ¥ RS > ; Galle N° 45 auf Psycho- Blättern befinden sich die Gallen stets in bas a der Nähe des Blattgrundes. Kamerun, Victoria, 13. Juni 1904. Dr. H. WINKLER. 46.Winzig kleine Blattgallen blattunterseits von 0,5-0,7 mm Durch- messer. Die platten Gallen enthalten eine ebensolehe sehr kleine Höhlung, in welcher ich jedoch den Erzeuger nieht aufzufinden ver- mochte; die Galle macht den Eindruck einer Milbengalle, doch scheint es auch nicht ganz ausgeschlossen zu sein, dass es sich um das Anfangsstadium einer Insectengalle handelt. Dass Blatt ist auf der. entgegengesetzten Stelle leicht gebuckelt , was aber erst bei mikro- skopischen Praeparaten zu erkennen ist. Ausser diesen blassgrünen 3 34 Ew. H. RUEBSAAMEX Gallen finden sich auf demselben Blatte auch noch zahlreiche braune Gallen, die noch erheblich kleiner offenbar aber auf denselben Urhe- ber zurückzuführen sind. Die Gallen finden sich auf einer andern Ps ychotria-Art. Fig. 28.— Schnitt durch die Galle N° 46 auf Psychotria. Kamerun, Bnschwald am Strande zwischen Victoria und Bota. 25 September 1905. Dr. H. WINKLER. 39. Rhabdotheca chondrilloides ? 47. Erineum blattunterseits, das aller Wahrscheinlichkeit nach von Milben erzeugt wird. Das weisse Erineum befindet sich auf der unteren Blattseite und besteht ans verhältnismässig dicken, äusserst diinnwandigen ein- bis mehrzelligen Haaren die, wenn sie einzellig sind eine annähernd kugelige Form haben. Die Deformation wnrd im Jannar von CHR. GOTTFR. EHRENBERG bei Alexan- drien in Egypten auf einer Reise (1820-1826) gesammelt. Ich erhielt die Galle von Herrn Prof. Dr. P. MAGxuUSs. 40. Sterculia spec. 48. Cecidomyidengalle blattoberseits. Die braungelbe Galle wird 5 mm hoch und ist annähernd kegelförmig mit abgerundeter Spitze. An der Basis der Galle ist das Blatt etwas nach oben gehoben, so dass auf der Rückseite eine ziemlich starke Grube entsteht, die aber durch stark ineinander verfilzte Sternhaare, deren Strahlen sehr stark entwickelt, gedreht und in der Nähe ihrer Spitze oft bajonettartig ge- bogen sind ausgefüllt wird. Zwischen diesen 1-1,3 mm langen Haaren befinden sich auch noch halb so lange, so dass der Haarfilz hier ganz besonders dicht wird. Durch diese Haare wird, wie gesagt, die vorhererwähnte Grube auf der Blattunterseite ganz ausgefüllt und die Haare hängen so dicht zusammen, dass man sie bei älteren Gallen leicht von Blatte trennen kann ohne ihren Verband zu lösen. Allerdings hebt sich bei dieser Gelegenheit regelmässig auch die dünne Haut ab, auf welcher die Haare sitzen und die die Larven- d NE M apte Te rant ere ON D NOUS SOUL EE i OR 2 à Rte BRE ROTTI ad han È z J'TE ER | ara 2 ¥ ~ N 1 à van pes 4 + N - $ 1 + AUSSEREUROPAEISCHE ZOOCECIDIEN 35 höhle nach unten abschliesst ; aber auch nach Entfernung dieses gemeinsamen Bodens verbleiben die Haare in ihrem Zusammenhange. Nach Entfernung der Haare wird auf dem Grunde der Grube ein kräftiger Wulst sichtbar, der die entstandene Öffnung ringförmig umgiebt. Ich fand in einer dieser Off- nungen noch dieÜberreste ei- ner Cecidomyidenpuppe und in den Larvenhöhlen Frag- mente von Larvenhäuten, die aber immer von Pilzen durch- wuchert waren. Die Galle wurde von KERSTING im März 1902 im Togo bei Sokode gesammelt (N° 636) und mir von Herrn Reg. Rat Dr. Busse iiber- geben. Fig. 29.— a. Galle N° 49., b. Galle N° 48, beide auf Stereulia; c. Haarformen der Galle N° 48. x 49. Auf demselben Blatte findet sich noch eine andere Cecido- myidengalle von annähernd derselben Grösse und Form. Der Kegel ist aber hier in das Blatt hineingesenkt, so dass um ihn herum eine scharfe Furche entstanden ist und die Galle sieh infolge der Ein- senkung blattunterseits halbkugelig vorwölbt. Die kleine Larvenkam- mer ist auch hier nach unten durch eine dünne Zellschieht abge- schlossen ; sie liegt also wie bei N°48 am Grunde der Galle. Auch in dieser Galle fand ich nur diirftige Fragmente von Cecidomyiden- larven. 41. Stoebe cinerea THBG. 50. Cecidomyidengalle, Triebspitzendeformation. An den Zweig- spitzen verkiirzen sich die Internodien ; die Blitter stehen gedrängt, bilden einen kugeligen Knopf von 3-8 mm Durchmesser, sind stark verbreitert und verkiirzt und mit langen weissen Haaren besetzt. Die Larvenhöhle befindet sich im Zweige. Ich fand in diesen Gallen eine Cecidomyidenpuppe und Überre- be, L e RE Qu ATEI II Le 51 : ws < ae be | “ 36 Ew. H. RUEBSAAMEN ste einer Larve, darunter die Brustgräte derselben. Die Puppe hat unmittelbar vor der Verwandlung gestanden. pe Die Fiihler und Beine sind daher in ihren Scheiden schon vollständig entwickelt nnd hiernach zu urteilen gehört auch diese Art dem Genus Schizomyia an für welche ich den | Namen 3 SCHIZOMYIA SCHEPPIGI n. sp. wähle. Die Griite ist schwach entwickelt, der Fig. 30.— a. Puppe, Stiel nahezu so breit wie der vordere Teil b. Brustgräte der Larve È CA 2 È RSS ARIE .. der Gräte. Der Winkel zwischen den beiden von Schizomyia Scheppigi È _ È : x 9 È n. sp. auf Stoebe. Grätenzähnen ist stumpf. Die Verhältnisse N° 50. sind die folgenden: 1 —150; II=8; III —=.483 IV =34 HN NE D) Die Puppe ist 3 mm lang. Bohrhörnehen schwach entwickelt ; Scheitelbörstschen kurz ebenso die Atemréhrchen. Die durehscheinen- den Krallen einfach aber ziemlieh lang; Fühler 2 + 12 gl; wie bei Schizomyia gebildet. Das Abdomen ohne stärkere Dornen. 42. Trichilia rubescens OLIv. 51. Cecidemyidengalle. Deformation des Fruchtk- notens, der zu einem e. 15 mm langen, hornförmi- gen Gebilde umgeformt ist, das nahe seiner Basis 5 mm Durchmesser besitzt. An dieser dicksten Stelle der Deformation befindet sich an einer Seite der Galle also nicht in der Mitte derselben, eine e. 2 min grosse, annähernd kugelige Höhlung, in welche von der innern Seite her ein ziemlich dik- Fig. 31.— Deformier- ten Fruchtknoten auf Trichilia No 51. in diesem Entwicklungszustande noch äusserst ker, nahezu die ganze Höhlung ausfüllender, flei- schiger Zapfen hineinwächst, in welchem sich die kleine Larvenwohnung befindet, die von einer €. 0,4 mm langen, jungen Ceeidomyidenlarve bewohnt vird. Kamerun, Zwischen Mundame und Johann-Albrechts-Héhe. 6. Dezember 1904. Dr. H. WINKLER. «+ 37 EINIGE GALLEN AUS JAVA. DRITTER BEITRAG. von J. UND W. DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN Samarang — Java sumo.» N. 2. Commelina communis L. Literatur: J. u. W. DOCTERS VAN LEeRUWEN-REIJNVAAN. Kleinere cecidol. Mitteilungen. N. I. Eine von der Sesiide : Aegeria uniformis Sn. an Comm. communis L. verursachte Stengelgalle. Bericht. d. Deutschen Botan. Gesellsch. Bd. 27. 1909. S. 573-581, mit 6 Fi- guren. N. 5. Erythrina lithosperma Miq. Literatur: W. und J. DocTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN. Beitr. zur Kenntn. der Gallen von Java. N. I. Ueber die Anatomie und Entw. d. Galle auf Er. lithosperma von einen Fliege Agromyza erythr. gebildet. Rec. d. Travaux botan. neerland. Vol. VI. 1909. S. 67-98. mit Tafel IV. N. 9. Hemigraphis rosaefolius Sm. muss sein: Hem. confi- nis And. N. 79. Piper nigrum L. Literatur: W. DOCTERS VAN LEEUWEN. Een door Thripsen veroorzaakte misvorming der peperbladeren. Cultuurgids. Jaarg. 11. 1909. Tweede gedeelte. Seite 348-353, mit 5 Fig'iren. N. 91. Acacia leucophloea Wild. 3LATTGALLE Acarocecidium — Die kleinen schmalen Blättehen dieses Baumes tragen die Gallen auf der Mitte ihrer Oberseite, meistens nahe am Fusse. Die Gallen sind länglich oval, von dunkelgrüner Farbe und glatt, ohne Behaarung ; sie liegen mit ihrer grössten Länge (+ 2 mm) in die Länge des Blättehens. Auf der Blattunterseite sind sie wenig gewölbt, aber mit gelblichen Erineen überdeckt. Kemantran bei Tegal, TEA VND PEN at I CS 38 DOCTERS V. LEEUWEN-RELINVAAN N. 92. Ageratum conyzoides L. BLATTGALLE Aphidengallen — Bisweilen ist ein grosser Teil der Blätter einer Pflanze infiziert, die Blatthälften sind nach oben umgeklappt und krause. Die Blätter sind dabei weniger üppig ausgewachsen und stärker behaart, als die normalen. Die ganze Pflanze entwickelt sich kriippelhaft. Samarang. N. 93. Alstonia scholaris R. Br. BLATTGALLE Psyllidengallen — Die Gallen sitzen zu vielen auf den Blättchen, am meisten dem Hauptnerv entlang, und treten auf beiden Seiten vor. Aut der Unterseite des Blattes sind die Gallen rundlich gewölbt; auf der Oberseite aber sind sie kegelförmig mit abgetlàchter Spitze, worin eine feine Spalte Zugang zur Larvenkammer gibt, welche sich im unteren Teil der Galle befindet. In den SÙ erwachsenen Gallen ist die Kammer, die von [ 52. ” . . DI D OC einer Psyllide bewohnt wird, mit einem Band RE von Steinzellen umgeben (Fig. 49. S. Z.), wie das auch in der Figur angegeben ist. (Die- Fig. 49. Längsschnitt einer Da - A ; i 5 selbe Galle ist von RUBSAAMEN beschrieben erwachsenen noch nicht geöffneten Galle auf Al- worden). stonia Scholaris Diese Galle kommt anch vor an den jun- R. Br. < 2!/2. S. Z.= gen Früchten, und bildet hieran kleine ke- a sn thc gelformige Pusteln mit einer kleinen Offnung an der Spitze. Salatiga, Kemantran bei Tegal. Literatur: RÜBSAAMEN. Gallen vom Bismarck-Archipel. Marcellia. Vol. IV. S. 7. N. 94. Apluda varia Hack, TRIEBSPITZENGALLE Cecidomyidengalle.—In den Blattachseln dieses Grases, das am häu- figsten zwischen den Zweigen von kleinen Sträuchern hindurchwächst, EINIGE GALLEN AUS JAVA. III. BEITR. 39 entwickeln sich auch im normalen Fall mehrere Achselknospen. Die Gallen entstehen aus diesen Achselkno- spen, sodass meistens 2 oder 3 bei einan- der in einer Achsel sitzen, und die Scheide des Blattes nach aussen gedrückt wird. | Man findet also nebeneinander infizierte | und gesunde Sprosse. Die Gallen selbst bestehen aus einem hohlen verkiirzten Stengel, sodass die | Blitter dicht bei einander sitzen, wobei die Blattspreiten ausserdem kurz bleiben, wie das auch bei anderen Grasgallen schon öfters beschrieben worden ist. In dem ab- gebildeten Fall (Figur 50) war nur ein Trieb in einer Galle umgebildet (g). N Der Erzeuger dieser Galle ist eine Ce- eidomyide ; leider schlüpften fast nur Pa- 3 rasiten aus. Semarang, Salatiga. Fig. 50. Galle einer Gallmücke auf Apluda varia Hack, g. eigentliche Galle. Nat. Grösse. N. 95. Avicennia alba Bl. BLATTGALLE Acarocecidium—Die Gallen sind unregelmässig kugelförmig,2 mm gross und erheben sich meistens auf der Blattunterseite. Sie sind an der Basis etwas eingeschnürt und an der Spitze etwas eingesunken ; ihre Oberfläche ist durch die Anwesenheit von sehr kurzen Häarchen rauh. Die Öffnung befindet sich an der Oberseite des Blattes, wo sonst nichts von der Galle zu sehen ist. Die Kammer ist von sehr zahlreichen verzweigten Haaren ausgefüllt, zeigt aber keine Wuche- rungen. H. H. ZELJLSTRA, leg. Insel Noesa Kembangan, N. 96. Avicennia officinalis L. I. BLATTGALLE Cecidomyidengalle 1.— Die 1 cm grossen Gallen sitzen auf oder dicht neben dem Mittelnerv, sind unregelmässig rund und beulen nach oben sowie nach unten aus (die jüngeren am meisten nach der Unterseite). Die gelblich - grüne Oberfläche der Oberseite ist glatt, Fig. 51.— Gallen auf Avicennia officina-. lis L. Nai. Gr. a. Habitusbild der ersten Cecidom.-Galle N. 96. b. Durchschnitt dieser Galle. e. Durchschnitt der kleinsten Cecidomyiden-Galle N°07: während die Unterseite grau und matt aussieht, wie die Blätter an dieser Seite selbst. Die Blattspreite ist neben den Gallen weniger gut entwickelt und der Blattrand dadurch wellenartig gebogen. Die Gallen enthalten mehrere Kammern, in denen je eine Cecidomyiden- larve lebt. Meistens sind die beiden gegeniiberstehenden Blatter in- fiziert. (Figur 51 a und J). Samarang. N. 97. Avicennia officinalis L. II. BLATTGALLE Cecidomyidengalle 2.— In der Blattfläche entsteht unter Einfluss des Gallentieres ein rundes Fleckchen, das 3 mm gross und höch- stens 1 mm dick ist (Figur 51 c). Blattoberseits ist die Galle gelblich- grün, unterseits gelb; sie enthält 2 Larvenkammern. An der Unter- seite entstehen zwei Öffnungen, woraus nachher die Puppenhäute der Cecidomyiden hervorstecken. Samarang. - i Ja 0; 7 © (vu 4: P v À EN Kan Fr. oe as, de 3 Fi > Roxb. Der Schnitt geht gerade durch die Galle. Nat. Grosse. eine ziemlich tiefe Einbuchtung, die mit einem weissen Haarfilz be- kleidet ist (Figur 53). Einige Male erheben sich die Gallen auf der Oberseite der Blätter. Samarang, Tempoeran. N. 102. Eugenia polyantha Wight. I. BLATTGALLE Thripsidengalle — Die jungen Blätter sind der Länge nach nach unten umgebogen. An der Oberseite sind sie gelb gefärbt mit rot- braunen Punkten , welche die Stelle andeuten , wo die erwachsenen Tiere gestochen haben. Salatiga. N. 103. Eugenia polyantha Wight. II. STENGELGALLE Cecidomyidengalle — An den Keimlingen von ungefähr 30 cm. Höhe entstehen schwache Schwellungen des Hauptstämmehens , die ungefähr 2-3 em lang und im Durchmesser nicht viel stärker als die EINIGE GALLEN AUS JAVA. III. BEITR. 43 normalen Stämmehen sind. Im Innern findet man eine Anzahl hinter einander liegender Kammern, worin die Cecidomyiden-larven leben. Salatiga. N. 104. Eugenia polyantha Wight. Ill. BLATTGALLE Psyllidengalle — An der Unter- und Oberseite der Blätter sitzen Gallen, die an der einen Seite des Blattes schwach gewölbt sind, an der anderen Seite mit abgestumpfter Spitze kegelfürmig vorragen. Sie sind etwa °/, em gross. An den jungen Sprossen findet man sie in grosser Zahl neben einander auf den Blättern. Diese sind dann oft ganz verdickt und fleischig. Wenn das Tier die Galle verlassen soll, entsteht ein tiefer Riss an der Spitze der Galle. Nach dem Ausschlüpfen des erwachsenen Tieres klafft diese Öffnung weit offen, wie das schon bei den Psyllidengallen von Eugenia malac- eensis (N. 37) beschrieben worden ist. Die hier behandelten Gallen unterscheiden sich von diesen vornehmlich durch ihre ganz bleiche Farbe, die nur äusserst selten hell-rosa angehaucht ist, und dadurch dass sie erheblich kleiner sind. Es ist ungefähr eine der gemeinsten Gallen, die jederman kennt, und die diesem geschätzten Fruchtbaume sehr schädlich werden kann. Salatiga. N. 105. Eugenia subglauca K. et V. l. BLATTGALLE Ceeidomyidengalle — Die Gallen finden sich meistens an der Un- terseite der Blätter und sind sehr flach kegelförmig fast scheibenftör- Fig. 54. a. Galle einer Cecidomyide auf Eugenia sub- glauca K. et V. von oben gesehen. Lea 4 b. Längsschnitt derselben Galle. Nat. Gr. —=— 6. mie. Ihr Durchmesser ist 3 bis + mm (Fig. 54 a) und ihre grösste Höhe 1 ‘/, mm (Fig. 54 b). Die Galle ist grau-braun und sieht aus 44 DOCTERS V. LEEUWEN-REIJNVAAN wie Holz, da sie auf ihrer Oberfläche feine konzentrische Kreise zeigt, als wäre sie schiehtenweise gewachsen. Sie enthält eine Kam- mer. An der Blattoberseite ist die Galle nicht sichtbar. Wir fanden diese Gallen in grosser Zahl im Djattiwald. Tempoeran. N. 106. Eugenia subglauca K. e V. II. BLATTGALLE Acarocecidium — Die infizierten Blätter zeigen auf ihrer Unter- seite sehr unregelmiissige Flecke von grau-weissen Erineen. Auf der Blattoberseite entstehen braune Flecken, die eine Rauhe Oberfläche 9 bekommen. Tempoeran. 107. Ficus ampelas Burm. III. BLATTGALLE Acarocecidium — Die Gallen bilden kleine Pusteln von 1 mm Höhe und 1 mm Breite. An der Oberseite des Blattes sind sie flach-rund, an der Unterseite mehr kegelförmig mit feiner, behaarter Spitze. Karang Anjar bei Samarang. N. 108. Ficus pisifera Wall. 3LATTGALLE Vecidomyidengalle? — Herr ZEIJLSTRA aus Buitenzorg war so freundlich uns Material dieser Galle zu übergeben. Die Gallen sitzen an der Blattunterseite und bilden kleine runde Kissen, welche mit dieken, langen, braunen Haaren (vielleicht im Leben weiss) besetzt sind. Die grössten waren 5 mm im Durchschnitt und 2 mm hoch. An der Oberseite des Blattes sind die Gallen nieht sichtbar. H. H. ZEWLSTRA leg. Tji-Bodas, EINIGE GALBEN AUS JAVA. III. BEITR. 45 N. 109. Ficus quercifolia Roxb. INFLORESZENSGALLE Cecidomyidengalle —W ihrend die normalen Blütenstände dunkel- grün und etwa 8 mm gross sind, sind solche, welche in Gallen um- gewandelt wurden, ungefàhr 15 mm lang und ebenso oder etwas weniger breit. Die Farbe ist heller, gelblich grün, oft etwas rötlich. Die Schwellung ist un- regelmässig, sodass die Oberfläche der Galle uneben und bucklig aussieht. Die Eingang zum Rezeptaculum und dessen Hüllblätter sind nicht zu sehen. Die normalen Blütenstände sind im Innern ganz von den fest an einander schlies- senden Blüten gefüllt; in der Galle ist dies aber nicht der Fall. Der Blütenboden hat sich stark gedehnt auch der Wand selbst ist dieker Fig. 55. Intloreszens- salle von Ficus quer- geworden. Die Blüten sind nun aus einander Far A n : n cone cifolia Roxb., rechts geriickt. Wohl sind sie, sowie auch ihre Stiel- Sine: ; normaler Blütenstand. chen etwas länger geworden, bald aber werden __ 1. sie gelblich und hart. Zwischen ihnen leben zahlreiche Cecidomyidenlarven. Salatiga. N. 110. Ficus subulata BI. I. STENGELGALLE Hymenopterocecidium ? — Junge Zweige sind bisweilen über eine Strecke von 3 oder 4 em verdickt. Die Verdickungen sind ungefähr 5 mm stark, bräunlich und von einigen Löchlein versehen. Ausser- dem fanden wir auch einige jungen Gallen, die 3 mm im Durehsehnitt und ganz von parenchymatischen Gewebe gefiillt waren. Hierin wurde ein gestieltes ei, also wahrscheinlich eines Hymenopterons gefunden. Salatiga. 16 Docrers v. LEEUWEN-REIINVAAN N. 111. Ficus subulata BI. II: WURZELGALLE Cecidomyidengalle — Diese Pflanze bildet oft lange kriechende Ausläufer, welche an den Knoten nebst Blätter, überall wo sie die Erde berühren oder in sehr feuchter Umgebung wachsen, kleine Wurzeln bilden. Diese fadenför- migen Wurzeln können zu Gallen umgebildet sein. Es sind kleine eiförmige Gebilde mit scharfer Spitze, ungefähr 3 mm breit und 5 mm lang, hell- braun wie das Wurzelchen selbst. Die Oberfläche ist von mikroskopisch feinen Häarchen besetzt. Die Galle enthält eine geräumige Kammer, worin eine Cecidomyiden-Larve lebt. Die Wand der Galle re È ist sehr dünn. Die Mücke entschlüpft durch ein Fig. 56. Cecidomyi- dengalle auf den Loch an der Basis der Galle. Wurzeln von F i- Salatiga. cus subulata Bl. Nat. Gr. N. 112. Ficus variegata BI. 3LATTGALLE Cecidomyidengalle — An der Oberseite der Blätter sitzen 5 mm grosse Gallen, die gelblichgrün sind und am Ende ihrer Entwicklung unregelmässig spalten. An der Unterseite sieht man keine Verdic- kung. Wenn die Gallentiere ihre Wohnung verlassen haben, bleibt nicht viel mehr über als ein brauner Flecken. Salatiga. N. 113. Flacourtia Ramontchii l Her. I. BLATTGALLE Acarocecidium — Die Blattriinder sind nach oben eingerollt. Ausserdem wird die ganze Blattspreite meistens in dieser Rollung ” EiniGE GALLEN AUS Java. Iii. BEITR. 47 aufgenommen. Die Öffnungen zwischen den Blatteilen werden von Phytopten bewohnt. Samarang, Kemantran bei Tegal. N. 114. Flacourtia Ramontchii |’ Her. II. TRIEBSPITZENGALLE Coccidengalle — Die Blätter an dem Gipfel des Stengels bleiben dicht bei einander sitzen. Es entsteht auf dieser Weise eine Galle, welche einige Ähnlichkeit mit der Galle von Perrisia erataegi auf Crataegus in Europa hat. Der Stengel ist nicht ausgewac hsen, und die Blätter sind dabei grosser als im normalen Fall. Der Sten- gel, die Blattstiele und auch die jüngsten Blätter sind mit Cocciden (wahrscheinlich eine Dactylopius-Art) besetzt. Samarang, Kemantran bei Tegal. N. 115. Gymnopetalum quinquelobum Mid. BLATTGALLE Aphidengalle — Die Blätter werden unter Einfluss der Läuse ganz verunstaltet, indem die Blattspreiten sich nieht gut entwickeln. Die Blätter werden runzelig durch kleine Auftreibungen zwischen den Nerven und wachsen unregelmässig in einander. Samarang. N. 116. Harpullia cupanoides Roxb. BLATTGALLE >syllidengalle -— Die Galle ähnelt der im zweiten Beitrag unter N. 29 beschriebenen , ebenfalls von einer Psyllide gebildeten Galle auf Cinnamomum Burmanni Bl. Es bilden sich runde rot- gefärbte Flecken , von ‘/, em Grösse an der Oberseite der Blätter. Bisweilen ist der Umriss der Galle mehr oder weniger eckig. An der IR DocTERS Vv. LEEUWEN-REIINVAAN Blattunterseite befindet sich eine Vertiefung, die von der Psylliden- Larve eingenommen und genau ausgefiillt wird. TH. WURTH aus Malang leg. ; Seladjambe-Tjirandji bei Bandoeng. N. 117. Hemigraphis confinis And. II. BLATTROLLUNG Aphidengalle — Die beiden Hälften der Blattspreiten sind nach oben zusammengerollt, sodass die behaarte Blattunterseite allein siehtbar ist. In den so gebildeten Röhren leben zahlreiche Läuse. Die Gallen kommen vornehmlich an dem Zipfel des Sprosses vor, oft jedoch werden ungefähr alle Blätter einer Pflanze infiziert. Tempoeran im Djattiwald. N. 115. Heptapleurum rigidum Seem. BLATTGALLE Acarocecidium — Die infizierten Blätter tragen blasige Auftrei- bungen von unregelmässiger Grösse und Form. Die meisten sind oval und 2-15 mm lang; ihre Farbe ist dieselbe wie die der Blatt- oberseite. An der Unterseite der Blätter finden sich entsprechende Vertiefungen, welche keine besondere Behaarung haben. Die Gallen sitzen am meisten neben und in der Riebtung der Seitennerven. Tu. WurrH aus Malang leg. — Tangkoeban Prahoe bei Bandoeng. N. 119. Hygrophila salicifolia Nees. I. STENGELGALLE Lepidopterocecidium — Die Knoten dieser Pflanze sind deutlich zu sehen. Der Stengel ist gerade über einem Knoten in allen Rich- tungen verdickt. Der Durchschnitt der Galle ist 6 mm, der des nor- malen Stengels dagegen nur 3 oder 4 mm. Dicht über den Knoten ist die Galle am stärksten entwickelt und nach der Spitze zu wird EINIGE GALLEN AUS Java. III. Brire. 49 sie allmählig dünner. Die Farbe ist rötlich. Im Innern ist eine lange Kammer, welche von einer Raupe bewohnt wird. Der Schmetterling -entschüpft durch ein Loch im obersten Teil der Schwellung. Samarang. ‘ . . . N. 120. Hygrophila salicifolia Nees. II. BLATTROLLUNG Thripsidengalle — Die beiden Halften der Blattspreite sind nach oben eingerollt. Bei älteren grossen Blättern ist oft nur ein Teil des Randes gerollt, bei ganz jung infizierten Blättern aber ist die ganze Spreite deformiert. Ofters sind an den Pflanzen die Gipfel mehrerer Stengel ganz infiziert. Die Nerven sind, speziell an den grossen Blättern besonders deutlich zu sehen und die dazwischenliegenden Teile der Blattspreite sind etwas aufgeblasen. Samarang. N. 121. Ipomoea batatas Lam. II. BLATTGALLE Acarocecidium 2 — Die Blatter haben an verschiedenen Stellen auf der Unterseite, besonders in den Achseln zwischen Haupt- und Seitennerven, Erineen, die von langen, weissen Haaren gebildet sind. Die jungen Blätter sind bisweilen ganz von diesen weissen Haaren überzogen. Oengaran bei Samarang, Salatiga. N. 122. Ipomoea carnea Jack. BLATTGALLE Aphidengalle — Die Blätter sind verkrüppelt, nach unten einge- rollt und in einander gedreht, dabei ist die Spreite zwischen den Nerven unregelmässig blasenartig aufgetrieben. Die infizierten Blat- teile sind dunkelgrün. Samarang, Kemantran bei Tegal. 4 50 Docrers v. LEEUWEN-RELINVAAN N. 123. Laportea stimulans Mia. BLATTGALLE Acarocecidium — Die Blätter sind, am zahlreichsten auf der Un- terseite, mit vielen sehr kleinen runden Pusteln bedeckt. Die Gallen sind höchstens 1 mm gross und tragen schöne Häarchen. Eine Off- nung findet sich an der Seite des Blattes, wo die Galle nicht ent- wickelt ist. Salatiga. N. 124. Leea sambucina Willd. II. BLATTGALLE Psyllidengalle — Die Oberseite der Blätter zeigt 1 mm grosse, grüne, runde Erhabenheiten, denen an der Unterseite kleine Vertie- fungen entsprechen, welche von einer Psylliden- larve oder Puppe ausgefiillt werden. Tempoeran im Djattiwald. N. 125. Leea sambucina Willd. III. STENGELGALLE Lepidopteroceeidium — Die jungen Zweigen haben bisweilen Ver- diekungen, welche 35 mm lang sein können und 8 mm Durebsehnitt haben, während die normale Zweige nur 5 mm dick sind. Die Galle ist braun, von Längsrissen versehen und zeigt im Innern eine lange Larvenkammer. Tempoeran im Djattiwald N. 126. Leucaena glauca Benth. 3LATTGALLE Acarocecidium — Ein kleiner oder ein grösserer Teil des Blätt- chens ist nach oben aufgetrieben. Die Längsrichtung der Galle liegt EINIGE GALLEN ats Java. III. BErrr? 5] in der Längsrichtung des Blättchens. Die entsprechende Unterseite ist vertieft und mit braunen Erineen bedeckt, wozwischen Phytopten leben. Die Gallen können 2 bis 10 mm lang und 1 bis 3 mm breit sein. Semarang, Kemantran bei Tegal. N. 127. Macaranga Tanarius L. BLATTGALLE Acarocecidium — Diese Gallen, die unregelmässig kugelförmig sind, sitzen mit verschmälerter Basis auf der Blattoberseite oder- unterseite. An der anderen Seite der Blätter ist nur eine Öffnung sichtbar. Die Gallen sind 1 oder 1'/, mm gross und innen behaart. Tempoeran im Djattiwald. N. 128. Mikania volubilis Wild. BLATTGALLE Acarocecidium — Die grünen Gallen sind spitz kegelförmig, 1 mm gross. Sie sitzen meistens auf der Unterseite, bisweilen auch auf der Oberseite der Blätter und auf den Blattstielen. An der gegeniiberlie- genden Seite ist fast nichts von den Gallen zu sehen. Sie haben eine Offnung in der Spitze, welche dicht mit Haaren besetzt ist. Salatiga. N. 129. Moschosma polystachum Benth. I. BLÙTENSTANDGALLE Aphidengalle — Die langen Blütenstände werden ganz oder teil- weise (dann vornehmlich an dem Gipfel) infiziert und dadurch defor- miert. Die Blüten selbst werden nicht geändert, aber der Stengel bleibt kurz, wodurch Blüten und Blitter dich in einander gedrungen werden und einen dichten Propfen bilden, der mit zahlreichen Läusen überdeckt ist. Die Blätter werden runzelig und entfalten sich wenig. Kemantran bei Tegal. 52 Docters V. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 130. Moschosma polystachum Benth. Fig. 57. Rispe von Mo- schosma polysta- chum Benth. Die oberen Blüten normal (nur der Kelch ist gezeichnet), die unteren mit aufgeschwol- lenem Kelch, bewohnt durch Eriophyiden. Nat. Gr. N. 131 II. BLÜTENGALLE Acaroceeidium — Die von diesen Phytopten infizierten Rispen fallen gleich ins Auge durch die abnormale Grösse ihrer Blumen. Es ist aber nur der Kelch, der sich beson- ders entwickelt hat, alle sonstigen Blüten- teile bleiben darin geschlossen und sind ver- kümmert. Der Kelch ist auch im normalen Fall überbleibend und dann 2-3 mm lang mit 4 Zähnchen am Rande. In den zu Gallen umgewandelten Blüten aber ist der Kelch 3 bis 4 mm lang und bis zu 5mm im Durchschnitt, aufgeblasen, dabei schmutzig grün und runzelig, während sie nur sehr wenig geöffnet ist. Die Gallen sind in derselben Weise behaart, wie der normale Kelch ausgenommen an dem Zipfel, wo sich längere und dickere Haare befinden. Oft sind alle Blumen einer Traube infiziert, die Gallen dicht aneinander gedrängt, und dadurch seit- lich abgeflächt. Bisweilen aber sind die Blu- men an dem Gipfel der Rispe, sowie einzelne zwischen den Gallen, normal, wie das auch bei dem abgebildeten Exemplar der Fall war. Samarang, Kemantran bei Tegal. . Petunga longifolia D.C. I. TRIEBSPITZENGALLE Lepidopteroceeidium — Die Achse einer terminalen Knospe ist stark hypertrophiert und keulenförmig geschwollen. In dieser Anschwellung befindet sich eine sehr geräumige Höhle, worin eine Raupe lebt. Das merkwürdige dieser Galle ist, dass an ihrer Basis, somit auch auf der Schwellung zahlreiche kleine Blättchen stehen, wodurch eine Galle re + EINIGE GALLEN AUS JAVA. III. BEITR. 53 entsteht, die den bekannten Weidenröschen sehr ähnlich ist. Die normalen Blätter sind hart, lang und ziemlich schmal, sie sind ungefähr 10-12 em lang, und zugespitzt. Die Blättchen, die auf der Galle sit- zen, sind sehr viel kleiner , äusserst zart und fast rund, oft mit deutlich eingesunkener Spitze. Sie werden von unten nach oben allmählig grös- ser, bis zu lem zu, und dann wieder kleiner, sodass der Blätterschopf von oben gesehen flach erscheint. Am merkwürdigsten sind aber die höchsten Blättchen. Diese haben oft eine Becher- form, und man findet alle Übergänge von Blätt- chen, die nur schiefe, ganz offenen Becher bilden bis zu denen, die ganz zu kleinen Tüten umge- ändert sind; diese sind dann viel kleiner mei- stens nur 2 mm, und sie sitzen auf sehr lan- gen Stielen. Die Galle ist speziell auf jungen Fig. 58. Längsschnitt der von einer Raupe bewohnten Galle auf Petunga longi- folia D.C. Nat. Grosse. Bäumchen (Keimliugen) oft in erstaunlichen Mengen zu finden. Tempoeran im Djattiwald. N. 132. Petunga longifolia D.C. II. BLATTGALLE Cecidomyidengalle —- Die hellgriinen Gallen sind ungefàhr 5 mm im Durchsehmitt und den Gallen von Neuroterus baccarum auf Quereus robur sehr ähnlich. Sie sehen aus wie eine Beere, saftig und halb- durchsichtig. Allein an der Spitze tragen sie ein kleines Zipfelchen. Die Gallen sitzen einzeln an der Oberseite der Blätter und haben im Innern eine kleine Larvenkammer, worin eine Cecido- myidenlarve lebt. Ein feiner Kanal führt von der Larvenkammer nach aussen. Fig. 59. Längssehnitt einer Cecidomyidengalle auf dem Blättern von Petunga longi- folia D.C. x<4. 9. db. Gefässbündel. Tempoeran im Djattiwald, 54 DOCTERS v. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 133. Piper retrofractum Vahl. BLATTGALLE Thysanopterocecidium — Die beiden Hälften der Blattspreiten sind um den Mittelnerv zusammengeklappt. Die Blattteile neben dem Nerv sind runzelig, indem die Ränder glatt bleiben. Oft ist dazu noch die Blattfläche um die Seitennerven zurückgeschlagen. Bei dieser Pflanze sind die fertielen Teile sehr stark von den sterielen verschieden ; während die letzteren echte Kletterpflanzen bil- den, sind die ersteren oft strauchförmig. Die Gallen kommen an beiden Formen vor, aber ihr Aussehen ist etwas verschieden. Gallen, wie die oben beschriebenen finden sich an den Blütentragenden Zweigen. Die Gallen an den sterielen Ästen bilden mehr unregelmässige Blat- trollungen, wobei die Blatteile oft ganz eingebogen und spiralförmig um die Mittelnerven gedreht sind. Die Nerven, die auch an normalen Blättern rötlich sind, sind bei den infizierten Blättern viel stärker rot gefärbt. Samarang, Kemantran bei Tegal. N. 134. Pithecolobium umbellatum Bth. BLATTGALLE Acaroceeidium — Auf den Blättchen dieses Baumes findet man ungefähr 4 mm grosse nach oben gerichtete Ausstülpungen. Diese sind halbkugelförmig oder mehr länglich und ihre Oberfläche ist glatt und dunkelgrün. An der Unterseite des Blättehens findet man eine sehr untiefe Einbuchtung, die von einem braunen Erineum bedeckt ist. Langeran bei Tegal. N. 135. Pluchea indica Less. II. STENGELGALLE Dipteroceeidium — Der Gipfel eines jungen Triebes ist zu einer 10-15 mm dieken und etwas mehr als 10 mm langen Galle ange- ” EINIGE GALLEN AUS JAVA. III. BEITR. ~ 59 schwollen. Der Vegetationspunkt ist verkümmert, zuweilen sind einige sehr kleine Blättehen oben auf der Schwel- lung zu finden. Die Galle ist grün und trägt meistens noch verschiedene Blätter, die Achselknospen derselben sind oft zu kurzen Zweiglein ausgewachsen. Auch die Zipfel der fertielen Zweigen können Gal- len tragen, dabei können sich die Blüten- stände mehr oder weniger entwickeln, je nachdem sie ganz oder nur teilweise in der Gallenbildung aufgenommen sind. Die Gallen sitzen z. B, oft an einem Seitenz- weig einer Infloreszens, daneben findet man solche, die aus der Hauptachse des Fig. 60. Stengelgalle auf La ; : Pluchea indica Less. Bliitenstandes entstanden sind, sodass die wa | Galle kleine Zweiglein mit Blüten tragen kann. Im Innern sind mehrere Kammer unregelmässig im unteren Teil der Galle gelegen. Der Gallenbildner ist eine Bohrfliege. Samarang. * N. 136. Pothos longifolium Presl. BLATTGALLE Aphidengalle — Die Blätter und bisweilen auch die geflügelten Blattstiele werden von Läusen befallen und sehen dann sehmutzig gelblich, runzelig und unregelmässig aus; vielfach sind sie auch tütenförmig gedreht. Zumal sind einige Blätter zu einer Spirale um einander gedreht, wobei dann die innersten blass und gelb gewor- den sind. Karang Anjar bei Samarang. N. 137. Premna cyclophylla Mia. BLATTGALLE Acaroceeidium — Die Blätter tragen auf ihrer Oberseite sehr kleine gelblichgrüne Püstelehen , von ‘/, mm Grosse. An der Ober- So ì YE es SERRE ETES ; : 43 56 DOCTERS V. LEEUWEN-RELINVAAN a fläiche bemerkt man kleine Erhabenheiten , wodurch die Galle unre- gelmässig rund aussehen. An der Unterseite des Blattes sieht man nur gelbe Fleckchen, welche jedes einen braunen Punkt in der Mitte zeigen. In diesem Punkte ist die Gallenéffnung gelegen. Die Ober- fliche der Gallen ist unbehaart, auch im Innern finden sich keine Haaren, obschon deutliche Wandwucherungen entstanden sind. Samarang. N. 135. Quisqualis indica L. Acarocecidium — An beiden Seiten des Blattes entstehen unre- gelmässige weisse Erineen, die an der gegeniiberliegenden Blattseite nur schwach angedeutet sind. Die Erineen selbst sind im Leben weiss, werden aber beim Trocknen der Blätter zitronengelb. Sehr stark infektierte Blätter entwicklen sich krüppelhaft und bleiben klein. Kemantran bei Tegal, Samarang. N. 139. Randia longiflora Lam. 1 KNOSPENGALLE Lepidopterocecidium -- An dieser Pflanze fanden wir sehr eigen- tiimliche Gallen, die ans einer Achselknospe entstanden waren. An dem abgebildeten Zweig sassen drei Gallen in einem Kreis (Fig. 61). Fig. 61. Knospengalle auf Randia longiflora Lam. A. Längsschnitt dieser Galle. Nat. Gr. “» EINIGE GALLEN AUS Java. III. BEITR. 57 Die Pflanze hat paarweis gegenständige Blätter, unter den drei Gallen aber war ausser den zwei gewöhnlichen Blättern noch ein drittes kleines Blättchen zu sehen; in der Tat sass jede Galle in der Achse je eines Blattes. Die Gallen sind grosse zwiebelförmige Gebilde, die mit der breiten Basis an der Seite des Zweiges sitzen, doch. mit einem verschmählerten Stiel an den Stengel verbunden sind, wäh- rend die dünnere ziemlich lang auslaufende und etwas umgebogene Spitze schräg nach oben und aussen gerichtet ist. Die Galle ist von der Basis bis zur Spitze 3 em lang, indem ihre grösste Breite 2 cm ist. Die Oberfläche ist grün, etwas gelblich und von braunen Längs- rissen versehen , wie auch in der Zeichnung angegeben ist. Im In- nern findet sich eine sehr geräumige Kammer, worin eine dicke Raupe lebt. Die Wand der Kammer ist 4-5 mm diek und hat in den alten Gallen im oberen Teil ein rundes Loch, wodureh der Schmetterling entschlüpft ist. Mangkang bei Samarang, Tempoeran im Djattiwald. N. 140. Ruellia repens L. II. BLATTGALLE Acarocecidium — An der Spitze des Blattes sind die Ränder nach oben eingerollt. Diese Rollungen werden von Phytopten bewohnt. Samarang. N. 141. Salacia prinoides D.C. BLATTGALLE Aphidengalle — Die beiden Blatthälften sind ganz nach oben eingerollt. Meistens sind dabei alle Blätter am Ende eines Zweiges infiziert. Tempoeran. aa 58 DOCTERS V. LEEUWEN-RELINVAAN 142. Sarcocephalus cordatus Mid. BLATTGALLE Cecidomyidengalle — Die Gallen sitzen an beiden Seiten der Blätter und bilden auf der einen Seite unregelmässig- runde, gelblich- grüne Flecken von 3-4 mm Durchmesser, welche etwas verdickt sind. An der anderen Seite sind sie dicker , flach-rund und hier entsteht bei den alten Gallen die Öffnung. Jede Galle enthält eine Kammer. Kemantran bei Tegal. N. 143. Schoutenia ovata Korth. II. BLATTGALLE Thysanopterocecidium — Zuweilen findet man Blätter , die noch viel stärker missgebildet sind als die von den Läusen bewohnten (siehe N. 83). Sie sind zu einem grünen Propfen in einander gedreht. Die Nerven sind schlecht entwickelt und nach unten umgebogen, die Blattspreite bildet dazwischen unregelmässige Unebenheiten. An der Unterseite des Blattes leben viele Thripsen zwischen diesen Uneben- heiten. Tempoeran im Djattiwald. N. 144. Sonneratia acida L. fil. 3LATTGALLE Lepidopterocecidium — Die Gallen wölben an der Blattunterseite vor. Auf der Oberseite des Blattes treten sie nicht hervor, im Ge- genteil an dieser Seite ist eine entsprechende längliche Vertiefung zu finden, welche der Liinge nach von einer feinen braunen Narbe versehen ist. Im ganzen ähnelt diese Galle den Lepidopteren-Blatt- gallen auf Glochidion obseurum (N. 53) sehr; sie sind aber viel kleiner, und zarter. Die Gallen werden 6 mm lang, 1 mm breit und können 2 mm hoch werden. An dem einen Ende sind sie immer etwas höher als an dem anderen Ende, Im Innern haben sie eine + EINIGE GALLEN AUS JAVA. III. BEITR. 59 ziemlich geriumige Kammer, worin eine Raupe lebt. Die Gallen sitzen gewöhnlich an den Rändern der Blätter und haben dieselbe Farbe wie diese. Strandsümpfe bei Langeran unweit Tegals. N. 145. Tectona grandis L. fil. BLATTGALLE Coccidengalle — Die Blätter werden unter Einfluss der Cocciden vornehmlich am Fusse verunstaltet. Weder die Haupt-, noch die Seitennerven wachsen vollkommen aus und die zwischen diese gele- genen Blatteile werden demzufolge auf und nieder gebogen und sehen runzelig aus. Das ganze Blatt kann ausserdem mehr oder weniger gedreht sein. Auch der Zweig, worauf die infizierten Blätter sitzen, wächst weniger aus als normal der Fall ist und dadureh findet man meistens mehrere dieser verunstalteten Blätter dieht über einander gehäuft. Samarang, Kemantran bei Tegal. N. 146. Thunbergia fragrans Roxb. BLATTGALLE Thysanopterocecidium — Die zarten jungen Blätter sind nıcht ganz glatt entfaltet und haben dadurch ein etwas buckeliges Aussehen. Die Ränder sind einfach nach oben zugeklappt, nicht wirklich gerollt Die Tiere leben in diesen + 2 mm grossen Faltungen. Tempoeran im Djattiwald. N. 147. Unona discolor Vahl. BLATTGALLE Acarocecidium ?—Teile der Blattscheibe sind nach oben oder nach unten blasig aufgetrieben. Meist sind es länglich runde Blasen, un- gefähr 5 mm gross, aber öfters sind es grössere Blattpartien , die 60 DOCTERS V. LEEUWEN-REIJNVAAN stark gedehnt sind und zwischen den Nerven hervorbeulen. Die In- nenseite der Galle ist dieht mit langen gelbbraunen Haaren besetzt, auch die Aussenseite ist behaart, aber spärlicher. Wahrscheinlich wird diese Galle von einer Gallmilbe gebildet , wir konnten die Tieren in unserem sehr reichlichen Material leider nicht entdecken. Kemantran bei Tegal. N. 148. Vitis lanceolaria Vahl. 3LATTGALLE Thripsidengalle — Die grossen Blätter sind am Rande teilweise oder ganz nach unten zurückgeschlagen. Der Spitze zeigt eine stär- kere Rollung; das Blatt kann an dieser Stelle auch um seine Achse gedreht sein. Tempoeran, Salatiga. N. 149. Vitis trifolia L. II. BLATTGALLE Aphidengalle — Die Blätter werden ganz verunstaltet, nach unten um- und eingebogen ; die Blattspreite wird unregelmiissig, runzelig und dunkelgrün. Nicht nur die drei Blättchen eines Blattes werden zu einem Propfen umgewandelt, sondern oft auch ein ganzer Zweig, wobei dann Reste der verkiimmerten Ranken an der Galle noch zu- riickzufinden sind, Samarang. N. 150. Wedelia asperrima Benth. III. BLATTGALLE Cecidomyidengalle — Die Gallen sind kugelförmig und treten an beiden Seiten des Blattes hervor. Sie sind 2 mm gross und die Ober- * ÉINIGE GALLEN AUS Java. Ili. Beier. © 61 fläche ist mit weichen, grauen Haaren besetzt. Oft sitzen zwei oder drei Gallen neben einander und bilden zusammen äusserlich eine etwas grössere Galle. Die Flugöffnung entsteht auf einer Seite der Galle in nächster Nähe der Blatttläche. Mangkang bei Samarang, Tempoeran. Lu cécidie d' hiver de CHLOROPS LINEATA, Fabri. = TAENIOPUS, Mel. par l abbé PIERRE. Ce diptère très connu abonde en ce moment dans les cultures de céréales du centre de la France. Depuis longtemps les troubles qu’ il produit dans la végétation des blés ont été minutieusement décrits, et les cécidologues ont enregistré comme cécidie le retard apporté dans le développement de 1’ épi, et son avortement partiel. Mais, à ma connaissance, la modification beaucoup plus profonde qu’ éprouve Ja jeune tige de blé par suite de la présence de la larve de Chlorops n’a pas été classée comme cécidie. C’est un pur oubli sans doute, car depuis G. A. OLIVIER (Premier mémoire sur quelques insectes qui attaquent les céréales, Paris 1813), plusieurs naturalistes des plus di- stingués en ont causé. Jusqu’ ici on s’ est done contenté de signaler la cécidie qui se forme d’Avril en Août, et qui est due à la ponte de la première gé- nération de Chlorops, celle précisement qui éelot des cécidies d’hiver. Voici la diagnose que je donnerai pour la cécidie due à la ponte d’ automne sur Triticum vulgare, Vill. Larve unique blanche dans cavité axiale près du collet. Entre noeuds non développés ; gaines foliaires se recouvrant mutuellement ; panache (1) GuéRrIN MÉNEVILLE, Notice sur quelques insectes nuisibles au froment, ete, Paris, 1#43, pp. 12-14. i cool — s g. O yy è ue LA “ AT + = Fr Da vi si RL TIM Irirz 62 LA CÉCIDIE D’ HIVER DE CHLOROPS LINEATA | libre des limbes extérieurs ; feuilles centrales épaissies et un peu durcies. Ensemble de la tige affectant la forme d'un poireau conique de 6 à 9 ctm. de longueur, non compris le panache. Evolution de Septembre à Avril. Mét. dans la cécidie qui se dessèche après éclosion. Cette diagnose convient aussi à la déformation du jeune plant de Secale cereale L.. Je ne Vai pas observée personnellement ; mais i] est facile de la voir 4 la description des ravages exercés par ce Chlorops sur le seigle, qu’ on lit dans les auteurs. Ces jours ci, diverses graminées fourragères d’une pelouse m’ont permis de capturer un grand nombre de Chlorops que je crois de la méme espèce. Mais je n’ai pas pu découvrir les cécidies d’ hiver, d’où ils venaient d'éclore. Les cécidies d’été développées pres de 1 épi de ces graminées me sont connues. En Août 1909 elles abondaient en particulier sur Arrhenatherum elatius, Mert. Je donnerai plus de details dans l article que je me propose décrire sur plu- sieurs cécidies inédites récoltées dans le centre de la France au cours de ces dernières années. Moulins 5 Mai 1910. LCL PPP PAP LL SA SST + 63 LES ZOOCECIDIES DE LA BOHEME par ÉMILE BAYER à Brno (Moravie) Jusqu’ aux dernières années le territoire du Royaume de Bohe- me,— e’ est à dire la Bohême, la Moravie et la Silésie, occupant le centre de 1’ Europe et formant à plusieurs égards un territoire na- turel de l’histoire naturelle, — n’ a pas presque été exploré quant aux Galles. Et pourtant, il y a longtemps, qu’ en Bohême on a donné le commencement à ces études, car déjà au milieu du siècle précé- dent, on prenait un vif intérêt à ces formes pathologiques des plan- tes, sous les auspices de I’ « Association pour la physiocratie » à Prague, et ce furent surtout deux explorateurs, qui travaillaient en ce sens: KIRCHNER et AMERLING. LÉOPOLD ANTOINE KIRCHNER, magister de chirurgie à Kaplice, publia, en 1855, la première liste des Zoocécidies, dans laquelle il citait 135 formes de Galles sur 85 plantes, et il les attribuait à 136 espèces de Cécidozoaires ; il a publié ensuite encore quelques com- pléments dans ses oeuvres suivantes. Le D' CHARLES SLAVOJ AMERLING, ce médecin, naturaliste , philanthrope, pédagogue et philosophe bizarre, publia de 1858 à 1869 toute une série de travaux, de plus petits et de plus grands, où il s occupait surtout de I’ oecologie des Mites, et il arriva ainsi à reconnaître de nombreux Phytoptocécidies. Par malheur, les oeuvres de ces deux auteurs contient des er- reurs considérables; il faut constater que tous les deux se conten- taient d’ une négligence frappante de la littérature spéciale et d’une détermination des formes très superficielle, créant eux-mêmes de nom- breuses, et souvent de très fantastiques dénominations des genres et des espèces probablement nouvelles, sans en donner une diagnose précise, de sorte que ces noms restent « nomina nuda ». Outre cela, les descriptions de KIRCHNER sont souvent tellement incomplètes , (parfois elles manquent absolument), que certaines formes, citées par lui, ne peuvent point être identifiées avec des Galles connues à pré- sent avec certitude; aussi la mesure, que l’auteur a notée, était souvent si étrange, que ses indications demandent parfois à être 64 É. BAYER confirmées, ce que d'autres auteurs (KIEFFER) ont fait déjà remar- quer avec raison; KIRCHNER indique p. ex.: sur la gousse de Cytisus laburnum un renflement de la grosseur d’ un oeuf de pigeon (!), €? est ce que personne n° a trouvé après Ini. Outre ces deux auteurs, personne, à cette époque, n’a contribué aux travaux de Zoocécidies tchèques; après la dernière oeuvre d’A- MERLING, en 1869, tout intérêt de ces études cessa complètement en Bohême, et ce ne fut que depuis 1883, dans les travaux de FR. LOw et en 1890, dans l’oeuvre connue de G. HIERONYMUS, que parurent aussi quelques contributions de ce pays. Quant aux propres travaux tchèques, consacrés à ce ressort, il y en a deux, e’ est ce qu’ il faut bien remarquer, car on les omet à tort, même dans les listes les plus recentes de la littérature de Zoocécidies. En 1893, le professeur D" L. J. CELAKOVSKY , botanicien et morphologue publia dans « Ceska Akademie pro vèdy, slovesnost’ a umeni » (| Académie tchèque des sciences , littérature et arts) une oeuvre sur la formation morphologique des Galles des pins, où il prouva leur nature de pleurocécidies des feuilles; il est important de remarquer ceci, puisque, dans le dernier temps, on fit apparaître une autre opinion — (BORNER 1908 les prenant pour des pleurocécidies des tiges!) — sans avoir réfusé les indications de CELAKOVSKY. En 1897, le professeur ALEXANDRE KRIZEK publia une oenvre, dans laquelle il fit le premier essai d’assortir sy stémati- quement toutes les destructions et mangeures produites sur nos plantes par les Arthropodes. Sa répartition est la suivante : A. Destructions et mangeures sur des feuilles particulières. a) La forme de la feuille n’ est pas altérée ni déformée par néoplasmes. I. Limbe mangée du bord ou de la surface. 1. Limbe mangée du bord. 2. Limbe mangée de la surface. II. La feuille à coloris divers ou converte d’ une matière étrangère. 111, La limbe de la feuille mangée en mines. . Mine petite, tachetée. N ii Mine vaste, tachetée. Mine en galerie. = ww Mine tachetée avec galerie. Les ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÈME - 65 b) La forme de la feuille est altérée ou déformée par les formations nouvelles ou pullulantes. I. Feuille courbée et crispée. . Feuilles placées !’ une sur l’autre ou liées en gousses. III. Feuilles pliées en gousses. IV. Enroulements des feuilles. 1. Enroulements des feuilles complètes. 2. Enroulements des bords ou du bout d’ une feuille. 3. Enroulements des parties coupées d’ une feuille. V. Pilosité anormale ou feutrage des feuilles. VI. Galles (cécidies) sur les feuilles. 1. Galles sur les feuilles de chêne. 2. Galles sur les feuilles d’ autres plantes. a) galles d’ une grandeur d’ un pois jusqu’ a une pomme. b) galles menues, de 2-3 mm de diamètre. B. Destructions et mangeures sur toutes les groupes de feuilles et sur des bourgeons. I. Bouquets des feuilles et feuilles agglomérées en rosette au bout des bran- ches. II. Feuilles enroulées ou liées en des grumeanx fermes ou en des touffes plus légères. III. Destructions et mangeures sur des bourgeons, 1. Bourgeons mangés. 2. Bourgeons en forme de galles et des cônes. 3. Galles dans les bourgeons. C. Destructions et mangeures sur les branches et les tiges. I. Rameaux (tiges) tordus ou rabougris. II. Rameaux (tiges) mangés en galeries. III. Plaies (incissions, ouvertures) et matières étrangères attachées aux rame- aux (tiges). IV. Renflements de galle et exeroissances sur des rameaux (tiges). V. Galles sur des rameaux et des tiges. D. Destructions et mangeures dans l’inflorescence et dans la fleur. I. Destructions dans lV’ inflorescence (outre des galles). lI. Destruetions dans les fleurs (outre des galles). III. Renflements de galle et des galles dans V inflorescence et dans les fleurs. E. Destructions et mangeures dans les fruits. Dans ce système, de nombreuses Zoocécidies ont été rangées dans les chapitres leur convenantes. 66 É. BAYER Quelques entomologues tchèques ont contribué après à la con- naissance des Zoocécidies de Bohême par les travaux, publiés surtout dans les « Acta Societatis Entomologicae Bohemiae » à Prague. Une contribution directe a donné en 1906 V. BREHM des envi- rons de Loket, et moi, je fis paraitre en 1909 une publication syn- thétique des Hemipterocécidies, déterminées jusqu'alors dans tous les trois pays du Royaume de Bohéme. La littérature actuelle, comprenant les dates des Galles du pays de Bohéme, est, dans l’ordre chronologique, la suivante : 1.) 1855. LEOP. ANT. KIRCHNER: Die Gallenauswüchse des Budweiser Kreises, nebst nomineller Angabe der Gallenerzeuger und deren Schmarotzer. Lotos, Zeitschrift für Naturwissenschaften, Bd. V. p. 127-137, 157-161, 202-205, 236-244. Prag. 2) » » » Zur Morphologie der Pflanzengallen. Lotos, Bd. V. p. 218-220. Prag. 3.) 1858. D" CARL AMERLING: Noch einige physiokratische Beobachtungen an den Obstbäumen in der Umgegend von Prag. Lotos, Jhrg. VIII, p. 27-29, 99-100, 1 pl. 4.) » » » Ueber Hibernakel-Ringe der Büume und Sträucher. Lotos. Jhrg. VIII. p. 120. 5.) 1859. » » Ueber Asynapta lugubris auf Pflaumenbäumen. Lo- tos, Jhrg. IX, p. 60-63, 140-142, 1 pl. 69 > » », Die Phylleriaceen und ihre Ursachen, die Acariden. Lotos, Jhrg. IX, p. 161-3. 7.) 1860. » » Einige neu entdeckte Feinde der Birkemwaldungen . Lotos, Jhrg. X, p. 3-7, 1 pl. 8.) » Lxor. Kirchner: Drei neue Arten Hymenopteren aus der Umgegend von Prag. Lotos, Jhrg. X. 9.) 1861. D' CARL AMERLING : Nachträgliche Notiz über die Cecydoptes pruni. Lo- tos, Jhrg. XI, p. 169-170. LOY. > » » Ueber die Naturökonomie der Milben , insbesondere der Trombidieen. Sitzungsberichte der königl. böhmischen Gesell- schaft der Wissenschaften in Prag., Jhrg. 1861, Juli-December , p. 54-56. + LES ZOOCECIDIES DE LA BOHEME 67 11.) 1862. » » Bedeutsamkeit der Milben in der Land-, Garten - und Forstwirthschaft. Centralblatt für die gesammte Landeskultur, herausg. v. d, k. k. patriotisch-ökonomischen Ges. im Königreiche Bohmen, Jhrg. 1862, Nr. 5, 6, 7, 9, 20, 22, 25, 27. Prag. 12.) » » » Naturökonomische Mittheilungen nebst Demonstration der Parasiten. Sitzuugsber. d. k. böhm. Ges. d. Wiss. in Prag , Jhrg. 1862, p. 95-98. 13.) 1863. LEOP. KIRCHNER: Beitrag zur Naturökonomie der Milben. Lotos, Jhrg. 1863, p. 41-47, 84-86. Prag. 14.) 1865. D" CARL AMERLING : Microscopische Präparate zoologischer Gegenstände. Sitzungsber. d. königl. böhm. Ges. d. Wiss. in Prag, Jhrg. 1865 p. 1-4. 153)» » » Ueber Chlorops laeta. Lotos, Jhrg. 1865, p. 144. 16.) 1869. » » Physiokratische Bemerkungen über Excursionen um Prag im Jahre 1868. Lotos, Jhrg. XIX. p. 10-13, 75-79, 107-109. 17.) 1883. D" FRANZ LOw: Ein Beitrag zur Kenntniss der Milbengallen (Phytopto- Ceeidien). Verhandlungen d. k. k. zool. - botan. Ges. in Wien, XXXIII Bd., p. 129-134. 18.) 1888. » » Uebersicht der Psylliden von Oesterreich- Ungarn mit Ein- schluss von Bosnien und der Herzegowina nebst Beschreibung neuer Arten. Verhandlungen d. k. k. zool.-botan. Ges. in Wien, XXXVIII Band, p. 5-40. 19.) 1890. G. HIERONYMUS : Beiträge zur Kenntniss der europäischen Zoocecidien und der Verbreitung derselben. Ergiinzungsheft zum 68. Jahresber. d. Sehlesischen Ges. f. vaterländ. Kultur, p. 49-272. Breslau. 20.) 1893. D' LADISLAV J. CELAKOVSKY : O nekterych zrudnostech na habru a smrku se objevujicich. (Quelques déformations se trouvant sur le charme et le pin.) IL.: O morfologické tvorbe halek smrkovych (La forma- tion morphologique des galles de pin), p. 24-31, fig. 30-45. Roz- pravy Ceské Akademie cis. Frant.-Jos. pro vèdy, slovesnost a umeni v Praze, Roc. II, trida II, cis. 37. 21.) 1894. FERDINAND Kowarz: Fliegen (Diptera) Bohmens. Catalogus insectorum faunae bohemicae, II., 42 pp. Prag. 22.) 1897. ALEXANDER KRIZEK : O kazech a pozercich na rostlindch a o clenovcich, kteri je cint. (Destructions et mangeures sur les plantes, et des arthropodes producteurs). Program e. k. réal. a vys. gymnasia y Chrudimi pro rok 1896-1897, p. 3-74, 4 pl. mee PR ee Ta Poe 68 E. Bayer Ars a 23.) 1904. Fr. MATOUSCHEK : Ueber Nematoden-Gallen bei Laubmoosen. Hedwigia , Organ für Kryptogamenknnde und EEE vol. XLIII. p. 343-345. Dresden. 24.) 1905-1906. D" KarEL Sure: Revise Psyll sbirky Dudovy. (Revision des Psylli- des de la collection de M Duda). Acta Societatis Entomologicae Bohemiae, vol. II. nro 1. et vol. III nro 4. Praha. 25.) 1906. D" V. BrEHM: Zooceeidien gesammelt in den Jahren 1903 und 1904 in der Umgebung ron Elbogen (Böhmen). Marcellia, Riv. intern. di Cecidologia, vol. IV, p. 182-183. Avellino. 26.) » ANT. VIMMER: Doplnky ke Kowarzovu seznamu ceskych Dipter. (Supplé- ments à la liste des Diptères de la Bohéme par Kowarzı. Acta Societatis Entomologicae Bohemiae, vol. III. p. 88-89. Praha. 27.) 1908, ÉmiLe Bayer: Notes sur les galles de Dryophanta agama et disticha de V iconographie « Galles de Cynipides ». Marcellia, Riv. intern. di Cecidologia, vol. VII, pp. 3-9, fig. 1-6. Avellino. 28.) » ANT. VIMMER: 0 musi faune Krkonosské. (La faune de Diptères de Krko- nose). Priroda, vol. VI, p. 331. Olomone. 29.) » P. AuGusTIN KUBES : Prisperek k zualosti fauny ceskych Hymenopter. (Con- tribution à la connaissance de la faune des Hyménoptères de la Bohême). Acta Societatis Entomologicae Bohemiae, vol. V, pp.15-17. Praha. 30.) 1909. ANT. VIMMER: Seznam ceského dvojkridlého hmyzu. (Liste des Insectes diptères de la Bohême). Acta Societatis Entomologicae Bohemiae, vol. VI, pp. 37-49. Praha. 31.) » Emit Bayer: Hemipterocecidie zemi ceskych. (Les Hemipterocécidies des pays de la Bohême). Osmä vyr. zpräva II. ceského stät. gymna- sia v Brne, pp. 7-61. 32.) 1910. Em. BAYER: Ein Beitrag zur Kenntnis der Weidengallen. Hedwigia, Organ für Kryptogamenkunde und Phytopathologie, Bd. XLIX, p. 392-395, 3 Fig.— Dresden. Dans le travail suivant, je présente une liste des Zoocécidies du Royaume de Bohéme, en sens restreint, sans y compter la Moravie et la Silésie, — et je ne cite pas les découvertes pubiiées déjà dans les oeuvres nommées ci-dessus, mais seulement toutes cel- les que j’ ai déterminées moi-méme, et pour la plus grande partie, aussi recueillies par moi-même. iii TR dt TOP CIPE e; LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME 69 A part mes propres découvertes on m’a confié à déterminer aussi d’autres collections, dont le contenu est compris dans ce traité ; ce sont : 1. La collection du Musée du Royaume de Bohême à Prague, qui J > ? m’a été custode de la section zoologique. Elle comprend par la plupart les recueillements du défunt entomologue, le professeur LAD. DUDA, mais, par malheur, les localités n° y ont pas été annotées ; tout de même, selon les indications de M VAVRA, il est proba- ble qu’elles proviennent de Houstka, pres de Brandys nad La- bem, et par suite, j ai annoté partout cette localité, en y ajou- tant un point d’ interrogation (?). me par la bienveillance de M le Dt V. VAVRA, 2. La collection riche de M le D' HENRI UZEL, professeur de 1’ E- cole technique tehèque à Prague, qui comprend surtout des for- mes recueillies dans les alentours de Kralové Hradec, de Prague et de Dobris. 3. La collection de M ANT. VIMMER, maître professionnel à Kra- lovské Vinohrady, — des environs de Ceska Trebova et de Zam- berk. 4. La collection de M FR. MALOCH, maitre professionnel à Plzen, — des environs de Plzen et de Rokycany. Mes propres collections contiennent par la plupart des décou- vertes des alentours de Jiein, mais outre cela une quantité d’autres des plus divers confins du Royaume. Je marque dans le texte suivant ces collections par des abré- viations : Col MER. B. Col. Col. Col. Col. U. Vis M. B. = collection du Musée du Royaume de Bohéme. » de M le prof. D' HENRI UZEL. » de M A. VIMMER. = » de M Fr. MALOCH. | == mes propres collections. Dans chaque collection les découvertes sont rangées dans un ordre chronologique. Comme presque à toutes ces collections nommées ci-dessus, di- vers recueilleurs ont contribué, je place le nom du reccolteur après chaque découverte, mais pour les noms qui se repètent plus souvent, je me suis servi des abréviations : J. U. = JINDRICH (HENRI) UZEL, F. M. Fr. MALOCH, A. V. = ANT. VIMMER, Em. B.— ÉMiLE Bayer. Aussi les formes des galles sont marquées par des abréviations seulement, e’ est à dire par les mêmes dont se sert C, HOUARD dans son oeuvre fondamentale : « Les Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerranée » : Pl. ra. = pleurocécidie déformant la racine. EL — » » la tige. Pi. fe: = » » la fenille. Ac. ti. = acrocécidie déformant l extrémité de la tige. Ae hg = » le bonrgeon. Ac. inf. = » » V inflorescence. Ae fi » » la fleur. ci e » » le fruit. Des découvertes nouvelles, qui ne se trouvent pas encore dans VY oeuvre de HOUARD, sont marquées par un astérisque *, mis au devant. Athyrium alpestre Milde. Anthomyia signata (Brischke), pl. fe. Col. B.: Les pentes du nord de Riruree et de Plöckenstein à Snmava, 26.-28. VIII. 1904 (Em. B.). Picea excelsa Link. Chermes abietis L., pl. fe. partout commun, surtout abondant dans les contrées plus montagneuses. Col. U.: Krälov& Hradee ct le bois de Novy Hradec, printemps 1904 (J. U.). — Kosätky près de Kropäcova Vrutice, 6. VII. 1904 (A. VLASAK). — Sovo- jovice près de Brandys nad Labem, 15. IX. :904 (B. KOZAKOVA). Col. B.: Loreta près de Jicin, 26. VIII. 1905 (Em. B.).— Le bois de Tur près de Jiein, 11. IX. 1905 (Em. B.). — Le pare de Havlicek à Krélovské Vino- hrady, 1. VIII. 1907 (Em. B.).— Chasse-gardée « Klokocka » près de Klä- ster nad Jizeron, 2. VIII. 1907, très abondant (Em. B.).—Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.). — Blatna, 5. VIII. 1907 (J. REZNA). A A hel ~ a als I RSS à m rt vee dti vu 2 Pr A alt © , ’ 11e *+ Les Z00CÉCIDIES DE LA BOHÈME 71 Cnaphalodes strobilobius (Kaltenb.), ac. ti. partout très abondamment étendu, surtout aux petits arbres qu’il détruit quelquefois com- plétement. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Kralové Hradec, 26. VII. et 2. VIII. 1904 (J. U.).--Vrané près de Prague, 30. V. 1905 (VITEK). Col. B.: Au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.).— Le bois de Tur près de Jicin, 11. IX. 1905 (Em. B.). — Près de V étang Darko dans le pays montueux de Bohéme-Moravie , partout abondant, 13. VII. 1907 (Em. B.). —Rochers de Prachov près de Jicîn, 21. VII. 1907 (J. REZNA), 24. VII. 1909 commun (Em. B.). — Près de Blatna, 31. VII. 1907 abon- dant (J. REZNA).— Le parc de Havlicek à Krälovské Vinohrady, 1. VII. 1907 abondamment aux petits arbres (EM. B.).—Chasse-gardée « Klokocka » près de Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 abondant (Em. B.).— Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 fréquent (Em. B.).— Le bois de Miliceves pres de Jiein, 2. IX. 1907 abondant (EM. B.). -- Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 très abondant (EM. B.).— Dans les bois au-des- sous de Strelecskîa Hura et près de la station de Hrdonovice près de Jicin les petits arbres dans les taillis si fortement atteints, qu’ ils périssent ; 8. IX. 1908 (Em. B.).— Brada près de Jicin, 19. VII. 1909 trés abondant (Em. B.). Picea alba Link. Chermes abietis L., pl. fe. Col. B.: Rochers de Prachov près de Jicin, 31. VII. et 3. VIII. 1905 (Em. B.). Larix decidua Mill. Grapholitha zebeana Ratz., pl. ti. Col. U.: Kralové Hradec (J. U.). Pinus silvestris L. Eriophyes pini (Nal.), pl. ti. Col. U.: Le bois de Novy Hradee près de Krälové Hradec, 1904 (J. U.).— Le bois entre Bèchovice et Ouvaly près de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Retinia resinella (L.), pl. ti. Col. B.: Privysina près de Jiein,, 16. VII. 1905 (Em. B.). — Rochers de Klokoe au-dessous de Kozäkov près de Turnov, 8. IX. 1905 (0. HEINDLOVA).— La chasse de Bel au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 fréquent (Em. B.).— Au pied sud des Rochers de Prachov près de Jicin, 16. VII. 1909 ça et là (Em. B.). 72 E. BAYER Juniperus communis L. Oligotrophus panteli Kieffer, ac. ti. Col. B.: La chasse de Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 très fréquent (Em. B.). Juncus lamprocarpus Ehrh. Livia juncorum Latr., ac. ti. Col. B.: Auprès de 1’ étang Svet près de Trebon, 25. VIII. 1905 (A. Bayer). *Juncus bufonius L. Livia juncorum Latr., ac. ti. Col. B.: Les prairies dans la vallée Nebäkov au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (A. BAYER). Poa nemoralis L. Mayetiola poae (Bosc), pl. ti. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). — Zävist près de Prague (V. VAVRA). Col. U.: Cernosice près de Prague, 1. VII. 1905 (J. U.). Col. M.: Une pente boisée à Zäbelä près de Plzen, 3. VII. 1909 (F. M.). Col. B.: La chasse-gardée an mont Tabor près de Jicîn, 15. VI. 1893 (Em. B.). Phragmites communis Trin. Lipara lucens Meigen, ac. ti. Col. B.: Les marais « blata » de Borkovice près de Veselî nad Luznici, 25. VIII. 1905 très fréquent (A. BAYER). Salix alba L. Uryptocampus testaceipes Zadd., pl. fe, Col. B.: Une prairie près de Zeleznice près de Jicin, 15. VII. 1906 (Em. B.). Perrisia inchbaldiana (Mik), pl. fe. Col. B.: Une prairie prés de Zeleznice près de Jicin, 15. VII. 1906 (Em. B.). Pontania puella (Thoms.), pl. fe. Col. B.: La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 (Em. B.). Domandedi cambi,indirizzi, domande e risposte diverse, etc. Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande 6d offerte d’ in- teresse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia. Schedae ad « Cecidothecam italicam » (1902-1909 3 Auctore A, TROTTER oO ER MM. les Cécidologues, non abonnés à «.Ceceidotheca italica » de TROTTER A. et CECCONI G., désireux cependant d’assurer à leur Bibliothèque les « Schedae » (avec bibliographie, observations ete.) qui illustrent cette Collection — dont le prix pour les 20 fascicules (500 numéros) publiés jusqu’ ici est de 200 fr.S— pourront s’ adresser à P Auteur, Prof. A. TROTTER, qui expédiera franco la Série com- plete des 500 « Schedae », avec préfaces, index double ete., contre mandat-poste de 10 fr.s — Numéros spécimen sur demande. M. HOUARD, désirant publier prochainement un Supplément à ses « Zoocécidies des Plantes d’ Europe et du Bassin de la Méditerra- née », receyra avec reconnaissance toutes les corrections et additions que voudront bien lui envoyer les Cécidologues. M. HovaRD se permet de faire remarquer que I’ Index bibliographique du to- me II ne contient, à dessem, que les travaux des Auteurs cités dans le texte du Catalogue. Cet Index, avec ses treize cents numéros bibliographiques, n'a nulle- ‚ment la prétention de constituer une Bibliographie complète des galles d’ Europe, qui comporterait certainement plus de trois mille fiches. C. HOUARD, Docteur-es-Sciences 12. rûe Cuvier Paris: 5° ——___——mm_—————r———2121211=121111214_é_ __@ i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con vaglia cambiarit | RIVISTA INTERNAZIONALE DI CECIDOLOGIA | REDATTORE: PROF, AA. TROTTER EL 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle: \ galle € dci à | produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori originali, di Bols r morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene ~ inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando | anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o meno estese. 4 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno perd — À la precedenza sugli altri. I-manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- — tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si accettano — lavori in inglese, tedesco cd: in tutte le lingue delle nazioni latine. ce 3. Agli Autori verranno © corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori; 3 sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di i copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore con U’ invio o del manoscritto. 4. Le spese per tavole o Ga nel testo’ sono, per ora, a Carico degli Antonis 3 5. Usciranno 6 fascicoli all’anno, complessivamente circa 15 fogli di stampa, — possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè : Febbraio, Aprile, SIERO: Ago: — sto, Ottobre, Dicembre. i 6. Gti abbonamenti cominciano dal 1° Gennaio e si RESET rinnovati an- 4 che per l’anno successivo, qualora non venga data rinuncia 2 al Redattore entro il mese di Dicembre. È “4 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (= 15 Fr. = 12 Mk. = 412 Sh.) da pagarsi antecipatamente.— Si pregano i Sigriori Associati esteri di effettuare | (chèque). Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, cambii ecc., rivolger: al Redattore prof. A. TROTTER, À. Scuola di Viticoltura e di Beaton th, navel} (Italia). 2000 00 0 00 00.00 00 00.00 00 00 0 00 00.00 00 20 20 0 oe TROTTER A. e- CECCONI G. — Cecidotheca italica où Collection de Galles ita- liennes., séchées et préparées, y-cumpris les formes nuisibles aux plantes. agricoles.— Ont paru jusqu’ ici 20 fasc. — 500 espèces — ; le prix de chaque 3 fasc. est de 10 fr. — En préparation fase. 219-229.— Pour achats S ’adresser au Prof. A. TROTTER. U ®MARCEILIA i N RIVISTA INIERNAZIONALE e 2 2 pi CECIDOJOGIA SOMMARIO: BAYER É.— Les Zoocécidies de la Bohème (cont.). NALEPA A. —Die Besiedlung neuer Wirts- pflanzen durch die Gallmilben. Trorrer A. — Sulla possibilità di una omologia caulinare nelle galle proso- plastiche. TROTTER A.— Le cognizioni cecidologi- che e teratologiche di Ulisse Aldro- vandi e della sua Scuola. TROTTER A.-— Bibliografia e Recensioni. THOMAS Fr.— Eine Mahnung an Auto- ren, Referenten und Redaktionen. eq) REDATTORE: Pror. DR. A. TROTTER 2 Vor. IX.- An. 1910 Fasc. Ill (PUBBLICATO IL 20 LUGLIO 1910) ==> AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA 1910 1S0 Vittorio Veneto : Trev de août pendant le mois pendant le mots Adresse du Redacteur E ih de septembre AVVERTENZE Al COL A fine di render più facile il cömpito del Redattore si pregano vivamente i Signori Collaboratori, avanti l’ invio dei manoscritti, di tenere presenti, nel loro stesso interesse, le seguenti avvertenze : I. I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rac- comandazione è rivolta in modo speciale ai Signori Collaboratori esteri. 2. Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta; una seconda (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte sieno state di una certa importanza. Ulteriori invii non saranno fatti che dietro richiesta degli interessati. 3. Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero superiore ai 30, concessi gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l’invio del manoscritto. 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non quando ne sia stato espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. 5. Per |’ uniformità del giornale si pregano i Signori Collaboratori di attenersi alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza, usandole possibilmente ed uniformemente nei contro indicati casi : carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad Se a Err es. Cynips coriaria, Fagus silvatica). » MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo; ad es. Löw, ee BONES GE GIRAUD). » corsivo (per i cecidonti nel testo; ad es. Perrisia affinis, Uro- cystis Anemones). » spaziato (per i substrati nel testo; ad es. Quercus cocci- fera, Salvia pratensis). a ME A a a EE te EE Pe SS | * Der allgemeinen und angewandten Entomologie wie . Chrifp fi sens Verbreitetste wiss. ent Zeitschrift des Jru Auslandes Erscheint monatlich Original-Abhandlungen aus dem Gesamtgebiete. “= Umfassende jährliche Sammelreferate nach Finzelgebieten. Die ganze Literatur erschopfende Berichte. Ein vielseitiger Anzeigenteil. Par Les ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME n 13. Eriophyes salicis (Nal.), pl. fe. = cephaloneon. Col. B.: Svatä Trojice pres de Jiein, 30. VIII. 1906 (A. BAYER). Pontania proxima (Lepel.) (= Nematus gallicola Steph.) pl. fe. Col. U.: Stvanice à Prague, 14. VI. 1904 (J. U.). Col. B.: Loreta près de Jicin, 26. VIII. 1905 (Em. B).— Rotstyn pres de Turnov, 23. VII. 1907 (Em. B.).— Les bois près de Mladejov et Hrdonovice près de Jicin, 9. IX. 1907 partout abondant (Em. B.). Pontania salicis (Christ.) (= Nematus viminalis auct.), pl. fe. Col. U.: Stvanice à Prague, 14. VI. 1904 (J. U.). Perrisia terminalis (H. Loew), ac. ti. Col. B.: Nemyceves près de Jicin, 27. VIII. 1908 (Em. B.). Rhabdophaga rosaria (H. Loew), ac. ti. Col. B.: Nebakov au-dessous de Trosky près de Turnov, 17. VIII. 1905 (Em. B.).— La chasse « Klokocka » près de Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 abon- dant (Em. B.). Salix vitellina L. Pontania proxima (Lepel.), pl. fe. Col. B.: Klaster nad Jizerou, 1. VII. 1907 (Em. B.). Pontania vesicatrix (Bremi), pl. fe. Col. B.: Kläster nad Jizerou, 1. VII. 1907 (Em. B.). * Rhabdophaga rosaria (H. Loew), ac. ti. Col. B.: Kläster nad Jizerou, 1. VII. 1907 (Em. B.). Salix fragilis L. Cryptocampus testaceipes Zadd., pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jiein, 8. VII. 1906, renflement de la nervure médiane de la feuille, de 9 mm de longueur sur 5 mm de largeur, joint de denx galles et renferment deux larves. (EM. B.). Pontania proxima (Lepel.), pl. fe. ’ Col. B.: La chasse-gardée à Tabor au-dessus de Lomnice près de Jicin, 6. IX, 1906 * * partout abondant (Em. B). — Bela au-dessous de Bezdez , 2. VIII. 1907 6 LIBRARY NEW YORK BOTANICAL GARDEN. — 74 E. BAYER fréquent (Em. B.). — Nemyceves près de Jicîn, 2. IX. 1907 partout fré- quent (K. SCHMIDOVA). — Les bois près de Mladèjov et Hrdonovice près de Jicin, 9. IX. 1907 partout très fréquent (EM. B.). — Kyje au-dessous de Tabor près de Jicin, 29. VIII. 1908 (Em. B.). Pontania salicis (Christ.) pl. fe. Col. B.: Rochers de Klokoe au-dessous de Kozakov près de Turnov, 8. IX. 1905 (Em. B.). Salix pentandra L. Pontania proxima (Lepel.) pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 8. VII. 1906 (Em. B.). Salix amygdalina L. (=S. triandra L., —S$. discolor Koch). Pontania proxima (Lepel.) pl. fe. Col. U.: Zävist’ près de Prague, 24. IX. 1904 (J. U.). Col. B.: Soberaz près de Jicin, 8. VIII. 1907 abondant et 30. VII. 1908 très fré- quent (jusqu’ à 24 galles sur une seule feuille, en deux rangs par douze). (Em. B.). Pontania salicis (Christ.) pl. fe. Col. B.: Les bords du « Grand étang » près de Doksy an-dessous de Bezdez, 19. VIII. 1905 (A. BAYER). Rhabdophaga heterobia (H. Loew), ac. fl. Col. B.: Près de ruisseau Bukovec dans une forêt près de Plzen, 29. V. 1907 (F. MALOCH). Salix purpurea I. Rhabdophaga salicis Schrank, pl. ti. Col. U.: Près de l’étang de Bechovice près de Prague, 5. IX. 1905 très nombreux. (G5 SE Col. B.: Près de la ferme Horensko près de Turnoy, 23. VII. 1907 fréquent (EM. B.). Près de l’ étang « Knize à Jiein, 31. VIII. et 10. IX. 1907 et 15. VII. 1908 fréquent (Em. B.). Rhabdophaga nervorum Kieffer, pl. fe. Col. U.: Près de |’ étang de Bèchovice près de Prague, 5. IX. 1905 (J. U.). % go gta Ma IT de O * TA Be eo 7 = ER Pe ee care? feb ha 4 ht } = : = via ; LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÈME =» 75 Eriophyes truncatus (Nal.), pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?, (L. DUDA). Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 21. VIII. 1905 (Em. B.).— Des prairies près de Prîhrazy au-dessous de Muzsky, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Pontania viminalis (Hartig) pl. fe. Col. B.: Des prairies près de Prihrazy au-dessous de Muzsky, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Eriophyidarum sp.?, pl. fe.: les bords des feuilles enroulés en bas ; les enroulements coriacés d’ une surface mamelonée, jaunes ; en bas de nombreuses mites; (voir nro S 56 et S 59, pp. 144-145. et figg. 184-185 dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jiein, 21. VIII, 1905 et 8. VII. 1906 fréquent (EM. B.).— Des prairies près de Prihrazy an-dessous de Muzsky, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Eriophyes (salicis Nal.?), pl. fe. = cephaloneon, Souvent accompagné par des enroulements des bords ; voir nro. S 62, dans 1’ oeuvre de HOUARD : « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. B.: Près de l’étang « Knize » à Jicin, 10. IX. 1907 et 15. VII. 1908 fréquent (Em. B.). Pontania vesicatrix (Bremi), pl. fe. Col. V.: Ceskä Trebovä. VIII. 1906 (A. V). Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 12. VII. 1905 fréquent (Em. B.). — Loktus au-dessous de Kozakov près de Turnov, 8. IX. 1905 en foule (Em. B.). Moraveice près de Jiein, 24. IX. 1905 (J. Reznä et O. Heindlovä). Près de l’ étang « Knize » à Jicin, 10. IX. 1907 rare (Em. B.). Pontania proxima (Lepel.) pl. fe. Col. U.: Près de V étang de Bechovice près de Prague, 5. IX. 1905 très nombreux (JU): Col. B.: Moraveice près de Jicîn, 24. IX. 1905 (J. REZNA et O. HEINDLO VA). -- La faisanderie de Libosad près de Jiein, 8. VII. 1906 (Em. B.). - Skrdlovice près de Darko dans le pays montueux de Bohéme-Moravie, 13. VII. 1907 rare (EM. B.). Pontania salicis (Christ.) pl. fe. Col. V.: Cesk4 Trebovä, VIII. 1906 (A. V.). £ ue + ; 76 É. BavER Col. M.: Le long du ruisseau an-dessous de Sedlecko près de Rokycany, 6. VII. 1908 (F. M.). Col. B. La faisanderie de Libosad près de Jicin, 12. VII. 1905 fréquent et 8. VII. 1906 (Em. B.).— Moraveice près de Jiein, 24. IX. 1905 (J. REZNA et O. HEINDLOVA).— Près de l’étang « Knize » à Jicîn, 10. IX. 1907 rare (Em. B.).— Blatna, 31. VII. 1907 très fréquént (J. REZNA).— Doksy au-dessons de Bezdez, 19. VIII. 1905 (A. BAYER). Salix viminalis L. Pontania leucosticta (Hartig), pl. fe. Col. B.: Kläster nad Jizerou, 1. VIII. 1907 (Em. B.). Salix cinerea L. Rhabdophaga salieis Schrank, pl. ti. Col. U.: Krälove Hradec (V. UZrL). Oligotrophus capreae Winn. var. maior Kieffer, pl. fe. Col. B.: Privysina près de Jicin, 16. VII. 1905 et 16. VII. 1909 (Em. B.). Une petite prairie près de Vinec au sud de Mlada Boleslav, 22. VII. 1897 dans la f: typica et f: umbrosa (J. PoppEra). — « Loucka » au-dessous de Chlum (de même dans la f: obovata) et le bord de la Jizera pres de Mlada Boleslav, 25. VII. 1907 (J. PopPÈRA). Perrisia murginemtorquens Winn., pl. fe. Col. B.: Repov près de Mladä Luieslav, 26. VII. 1897 (J. PODPÈRA). Pontania viminalis (Hartig) pl. fe.: une partie du bord de la feuille repliée en bas. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 8. VIII. 1906 (Em. B.).— Muzsky près de Mnichovo lirudiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.).— Le bocage de Mi- liceves ‘près de Jicin, 2. IX. 1907 fréquent (Em. B.). Oligotrophus capreae Winn., pl. fe. Col. B.: Privysina près de Jicin, 16. VII. 1909 rare (EM. B.) }« Eriophyes tetanothrix Nal., pl. fe. = cephaloneon. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly, VIII. 1905 fréqnent (J. U.). Col. B.: Les marais « blata » de Borkovice près de Trebon, 24. VIII. 1905 (les formes e et d nro. S 62 dans l’ oeuvre de Houarp; Zoocee. des Plantes) (A. BayER).— Privysina près de Jicîn, 16. VII. 1909 par endroits tres abon- dant (Em. B.). nF. mn | Pat STATI x Ar er 4 ME -, y = LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME 77 Pontania peduneuli (Hartig) pl. fe. Col. B.: Privysina près de Jiein, 16. VII. 1905 (Em. B.).— Près de « Svata Trojice » près de Jicin, 30. VIII. 1906 (Em. B.). Perrisia iteobia Kieff., ac. ti. Col. B.: Holîn près de Jicin, 23. VII. 1909 abondant (Em. B.). * Salix calodendron Wr. Oligotrophus capreae Winn. var. maior Kieffer, pl. fe. Col. B.: Le bord de la Jizera près de Debr, au nord de Mlad Boleslav, 19. VIT. 1897 (J. PODPÈRA). Salix caprea L. Rhabdophaga salicis (Schrank), pl. ti. Uol. U.: Le bois de Novy Hradec près de Kralové Hradec, 1904 ıJ. U.), Grapholitha servilleana Dup., pl. ti. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly près de Prague, IX. 905 (J. U.). Oligotrophus capreae Winn. var. maior Kicfier, pl. fe. Gok. V.: Ceska Trebova, VII. 1906: (A. MA Col. B.: Dans V ancien tir au-dessous de Zebin près de Jicin, 15. VII. 1906 fré- quent et 17. VIII. 1907 (Em. B.). Rhabdophaga nervorum Kiefter, pi. fe. Col. B.: Moravcice près de Jicin, 24. IX. 1905 (J. Rezna et O. HEINDLOVA). Perrisia marginemtorquens (Winn.), pl. fe. Col. B.: L'ancien tir an-dessous de Zebin près de Jiein, 15, VII. 1906 (Em. B.).— La chasse-gardée de Mankovice près de Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Em. B.).-- Les bois entre Särovä Lhota et Koneechlum pres de Jicin, 9. IX. 1908 par endroits (EM. B.). * Pontania leucosticta (Hartig), pl. fe.: une partie du bord de la feuille repliée plat en bas. Col. B.: La faisandarie près de Libosad, 21. VIII. 905 et 9. VIII. 906 (Em. B.). Kozakov près de Turnov, 23. VII. 1907 (Em. B.).— La chasse-gardée de Mankovice près de Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Lx. B.).— Muzsky près de Mnichovo Hradiste et des prairies près de Prihrazy, 3. VIII. 1907 78 É. BAYER Em. B.).— Rochers de Prachov près de Jicîn, 6. VIII. 1907 (Em. B.).— La forêt de Bradlee an-dessus de Zeleznice près de Jicin, 30. VII. et 26. VIII. 1908 (Em. B.).— Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 (Em. B.).— Perrisia iteobia Kietfer, a.) pl. fe. : sur les feuilles des pousses de racines, une pilosité blanche, anormale, formant des tàches feu- tragées ; dans les endroits de plus grand feutrage se produisent même des constrictions du limbe, des quels se séparent de tous côtés des cils, toujours se rarifiant. Les larves vivent à la face inférieure dans ces feutrages. C’est cette pilosité qui fut prise, par erreur, pour un erineum, produit par des Acariens (voir: SCHLECHTENDAL, Zeitschr. f. Naturw. 1882, p. 547. et HIERO- NYMUS 1890, p. 167, nro. 521). Col. B.: Le bois de Bradlec au-dessus de Soberaz près de Jicin, 30. VII. 1908 assez fréquent (Em. B.). b.) ac. ti. Col. V.: Ceskf Trebovä, VIII. 1906 (A. V.). Col. B.: Près de Novä Paka, 15. VIII. 1906 ca et là (Em. B.). — Kozäkov près de Turnov, 23. VII. 1907 fréquent (EM. B.).— La forêt de Bradlec près de Jicin, 30. VII. et 26. VIII. 1908 assez fréquent (Em. B.). Oligotrophus capreae Winn., pl. fe. Col. V.: Ceskä Trebova, VII. 1906 (A. V.). Col. M.: Litohlavy près de Rokycany, 4. IX. 1907 (F. M.). Col. B.: Le tir militaire près de Mladä Boleslav, 3. VII. 1897 dans la f: cuspi- data (J. Poppbra).— Les alentours de Jicin: Rochers de Prachov, 6. VIII. 1907 fréquent (EM. B.).— Au-dessous de Zebin près de Valdice, 17. VIII. 1907 abondant (EM. B.).— La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 assez fréquent (Em. B.).—Des bois près de Mladejov et Hrdonovice, 9. IX. 1907 abondant (Em. B.).—Le bois de Bradlee au-dessus de Zeleznice, 30. VII. assez fréquent et 26. VIII. 1908 fréquent (Em. B.).— Libosad, 23. VIII. 1908 assez nombreux (EM. B.), 1. VIII. 1909 abondant (M. BAYER). — Des bois entre Särovä Lhota et Konecchlum , 9. IX. 1908 par endroits (Em. B.).— Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.).— Blatna, 5. VIII. 1907 fréquent (J. REZNA) Eriophyes tetanothrix (Nal.), pl. fe. = cephaloneon. r Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly près de Prague, VIII. 1905 rare (I. U.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME 79 Pontania proxima (Lepel.) pl. fe. Coi. U.: Le bois entre Bechovice et Onvaly près de Prague, VIII. 1905 fréquent (AU): Col. V.: Zelezny Brod, VIII. 1901 (A. V.). Col. B.: Kozäkov près de Turnov, 23. VII. 1907 fréquent Em. B.). — Bèla au- dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). — Muzsky près de Mnichovo Hradiste et des prairies près de Prihrazy, 3. VIII. 1907 (Em. B.). — La forêt de Bradlec au-dessus de Zeleznice près de Jicin, 8. VIII. 1907 rare et 30. VII. 1908 dispersé (EM. B.).— La vallée Plakanky près de Sobotka Se 0 0Prare EM) Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 très rare (EM. B.). Pontania peduneuli (Hartig), pl. fe. Col. V.: Zelezuy Brod, VIII. 1901 (A. V.).— Cesk& Trebova, VIII. 1906 (A. V.). Col. B.: Muzsky près de Mnichovo Hradisté, 3. VIII. 1907 (Em. B.). — Rochers de Prachov près de Jicin, 6. VIII. 1907 (Em. B.).— La forêt de Bradlec près de Jicin, 8. VIII. 1907 (Em. B.).— La vallée Plakänky près de So botka, 8. IX. 1907 rare (Em. B.).— Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 : assez nombreux (Em. B.).— Privysina près de Jicin, 6. IX. 1908 ca et là (Em. B.). Rhabdophaga rosaria (H. Loew), ac. ti. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly près de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Près de Nova Paka, 15. VIII. 1906 fréquent (EM. B.).— Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.). — La forêt de Bradlec au- dessus de Zeleznice près de Jicin, 8. VIII. 1907 et 26. VIII. 1908 assez fréquent (Em. B.). Salix aurita L. khabdophaga dubia Kieïter, pl. ti. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly près de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Pribram, 29. V. 1906 fréquent (A. BAYER). Rhabdophaga karschi Kiefter, pl. ti. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly près de Prague, VIII. 1905 assez nom- breux (J. U.). Cryptocampus venustus Zadd., pl. fe. Col. B.: Les bois près de Hrdonovice au-dessous de Strelecskä Hura près de Jicin, 8. IX. 1908 (EM. B.). Généralement V unique renflement sur la nervure médiane ; dans un cas même sur le petiole un renflemeat de 8 mm de longueur sur 1 °/ ? épaisse /, mm d’ épaisseur. 80 É. BAYER Oligotrophus capreae Winn. var. maior Kieffer, pl. fe. Col. B.: Privysina près de Jiein, 16. VII. 1909 rare (Em. B.). Perrisia marginemtorquens (Winn.), pl. fe. Col. B.: Des prairies près de Prihrazy an - dessons de Muzsky près de Mnichovo Hradistè, 3. VIIL 1907 (Em. B.).— Les bois près de Hrdonovice au-des- sous de Strelecské Hura pres de Jicin 8. IX. 1908 (Em. B.). Pontania leucosticta (Hartig) pl. fe. Col. B.: Des prairies près de Prihrazy an-dessous de Muzsky, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Bradlec près de Jicin, 26. VIII. 1908 (Em. B.).— Le bocage de Popovice près de Jicin, 1. IX. 1908 (Em. B.).— Privysina près de Jicin, 16. VII. 1909 ca et là (Em. B.). Oligotrophus capreae Winn., pl. fe. Col. B.: Trebon, 15. VIII. 1905 (A. BayER). — Les bois près de Hrdonovice an- dessons de Strelecsk4 Hura près de Jicin, 8. IX. 1908 assez fréquent (Em. B.)— Privysina près de Jicîn, 16. VII. 1909 rare (Em. B.), Eriophyes tetanothrix Nal., pl. fe. = cephaloneon. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Onvaly près de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. M.: Kostelék près de Dolni Bela près de Manetin, 5. VI. 1906 (F. M.). Col. B.: Trebon, 5. VIII. 1905 (A. BAYER).— Pribram, 29. V. 1906 rare (la forme c, p. 146., fig. 193. dans l’ oeuvre de Hovarp: « Les Zoocécid. d. Plan- tes etc. » (A. BAYER).— Le bocage de Picîn près de Pribram, 14. VI. 1906 très fréquent (A. BAYER). — Les bords de lV étang Darko dans le pays montuenux de Bohéme-Moravie, 13. VII. 1907 (Em. B.).— Bradlee près de Jicin, 26. VIII. 1908 (la forme a p. 146., fig. 191) (Em. B.).— Les bois près de Hrdonovice au-dessous de Strelecsk4 Hura pres de Jiein, 8 IX. 1908 assez fréquent (Em. B.).— Privysina près de Jiein, 16. VII. 1909 par endroits très fréquent (Em. B.). Pontania pedunculi (Hartig) pl. fe. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly près de Prague , VIII. 1905 (J. U.). Col. M.: La forêt près de V étang « Kamenny rybnik » près de Bolevec près de Plzen, 13. VIII. 1909 (F. M.). Col. B.: Près de V étang Darko dans le pays montneux de Bohéme-Moravie , 13. VII. 1907 fréquent (Em. B.). — Kozäkov près de Turnov , 23. VII. 1907 très nombreux (Em. B.). — Privysina près de Jicin, 31. VIII. 1907 assez rare (EM. B.).— Rochers de Prachov près de Jiein, 13. IX. 1907 (Em. B.). Les forêts près de Hrdonovice au-dessous de Strelecské Hura près de Jicin, 8. IX. 1908 ça et là (Em. B.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME 81 Rhabdophaga rosaria (H. Loew), ac. ti. Col. U.; Le bois entre Bechovice et Ouvaly près de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Privysina près de Jicin, 8. IX. 1904 (Em. B.). Salix lapponum L. Pontania femoralis (Cameron) pl. fe. Col. B.: A Krkonose sur la prairie de la Pancava , près de V eau, 9. VIII. 1895 (J. LUKES ; ex herb. PODPÈRA). Salix purpurea L. x viminalis L. = §. rubra Huds., = S. elaeagnifolia Tausch = d Forbyana Sm.) * Pontania proxima (Lepel.), pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 8. VII. 1906 (Em. B.). Salix purpurea L. x amygdalina L. * Pontania salicis (Christ.), pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 9. VIII. 1906 (Em. B.). Salix fragilis L. x< alba L. (=S. viridis Fries, = S. Russeliana Kocb). Pontania prorima (Lepel.) pl. fe. Col. B.: Le bocage de Popovice près de Jiein, VIII, 1904 (Em. B.).— Au-dessous de Loreta près de Jicin, 27. VIII. 1905 (Em. B.). — La faisanderie de Libosad près de Jicin, 8. VII. 1906 (Em. B.). * Salix capreae L. =< viminalis L. = SS. sericans Tausch) Oligotrophus capreae Winn., pl. fe. Col. B.: « Hillerova strain » près de Mladä Boleslav, 21. VI. 1897 (J. PopPÈRA). Neuperk près de Mlada Boleslav, 22. VII. 1897 dans la forme: bre v i- folia (J. PODPÈRA). * Salix caprea L. x cinerea L. (=S. Reichardti Kerner): Oligotrophus capreae Winn., pl. fe. Col. B.: Une prairie au-dessous de Chlum près de Mlada Boleslav, 25. VII. 1897 (J. PODPÈRA). Oligotrophus capreae Winn. var. maior Kieffer, pl. fe. Col. B.: Repov près de Mlad4 Boleslav, VII. 1897 (J. Poprkra). — Une prairie près de Kolomuty près de Mlad4 Boleslav, 14. VIL 1897 (J. Poprkra). * Salix supercaprea x aurita L. Oligotrophus capreae Winn., pl. fe. Col. B.: Le tir militaire près de Mlad4 Beleslav, 3. VII. 1897 (J. Popréra). * Salix aurita L. « cinerea L. (=$. multinervis Doll, ==8. Jutescens Kerner). Perrisia marginemtorquens Winn., pl. fe. Col. B.: Un jardin à Mlad4 Boleslav, 29. IV. 1896 (J. PoppÈra). Salix sp. Il a été impossible de déterminer spécifiquement, dans les col- lections anciennes, quelques fragments des branches et des feuilles de saules sur lesquelles j’ ai constaté des galles suivantes : Ehabdophaga salicis (AH. Loew), pl. ti. Col. U.: Le bois de Novy Hradec près de Krélové Hradee (J. U.). Ehabdophaga saliciperda Dufour, pl. ti. Col. M. R. B.: Rokycany, 1899 (V. Vavrai. Pontania sp.?, pl. fe. — nro. S 54, p. 143 dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécid. d. Plantes ete. ». Col. U.: Krélové Hradee (J. U.). Eriophyidarum sp.?, pl. fe. = cephaloneon , nro. S 62., p. 146., les formes a et b, figg. 191 et 192 dans l’oeuvre de HOUARD : « Les Zoocécid. d. Plantes etc. ». Col. U.: Krélové Hradee (J. U.). Pontania prorima (Lepel.) pl. fe. Col. M. R. B.: « Honstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Duna). Col. U.: Krélové Hradec (V. Uzer et J. U.). — Zävist’ près de Prague, 24. IX. 1904 (J. U.). + LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME 83 Pontania salicis (Christ.), pl. fe. Col. U.: Krälové Hradee, 1898 (J. U.).— Près de l’étang de Bechovice à Vest de Prague, 5. IX. 1905 (J. U.). Rhabdophaga rosaria (H. Loew), ac. ti. Col. U.: Krälové Hradec (V. UZEL). Eriophyidarum sp.? — Aphis amenticola Kaltenb.?, ac. fl. = nro. S 1 et S 2, p. 132., fig. 147. dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. U.: Kralové Hradec, 1904 (J. U.). Rhabdophaga heterobia (H. Loew), ac. fl. Col. U.: Krälové Hradec (J. U.). Populus tremula L. Saperda populnea L., pl. ti. Col. B.: Kyje au-dessous de Tabor pres de Jiein, 29. IX. 1908 ça et là (Em. B.). Harmandia petioli Kieff, pl. ti. et fe. Col. U.: Krälov& Hradec (V. Uzer et J. U.).— Cernosice près de Prague, 1. VII. 1905 (J. U.). — Le bois entre Bèchovice et Ouvaly à V est de Prague, VETS! 1905>( 5. U): Col. V.: Zelezny Brod, VII. 1901 (A. V.). Col. M.: Dans le pare près du puits de mine « Moguntie » à Dobrany , 9. VI. 1907 (F. M). Col. B.: Les alentours de Jicin: Rochers de Prachov, 16. V. 1905 et 6. VIII. 1907 assez nombreux (Em. B.).— Privysina, 16. VII. et 3. IX. 1905, 24 VIII. et 6. IX. 1908 ca et là (Em. B.), 18. VIII. 1908 (O. HEINDLOVA), 16. VII. 1909 assez fréquent (Em. B.). — Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 (Em. B.).— Tesin au-dessus de Seleznice, 10. VIII. et 5. IX. 1905 (EM. B.). — Kyje au-dessous de Tabor, 29. VIII. 1908 (EM. B.). Krälove Dvur, 30. VII. 1905 (A. Bayer). Chasse de Belä au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 rare (Em. B.).— Blatnä, 5. VIII. 1907 très frequent (J. REZNA). Eriophyes diversipunctatus (Nal.), pl. fe. Col. V.: Ceské Trebovä, VIII. 1906 (A. V.). Col. B.: Les alentours de Jiein: Remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 (Em. B.). -- Cerovka, 22. VIII. 1905 (Em. B.). — Privysina, 3. IX. J905 et 31. VIII. 1907 fréquent (Em. B.), 18. VIII. 1908 (0. HEINDLOVA).— ONE DTA Fe 84 FE. Bayer Krälové Dvur, 30. VII. 1905 (A. Baver).— Au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.).— Les bords de l’étang Darko dans le pays mon- tueux de Bohéme-Moravie, 13. VII. 1907 (EM. H.). Perrisia populeti (Rübs.), pl. fe.: sur les pousses des racines, des feuilles montrent des euroulements par en haut, laches, pileux, régulièrement disposés sur la base de limbe de tous les deux côtés du pétiole. Col. U.: La forêt entre Bechovice et Ouvaly près de Prague, VIII. 1905 J. U.). Col. B.: Le bocage de Miliceves près de Jicin, 27. VIII. 1908 (Em. B.). Contarinia sp.?, pl. fe. = nro. 502, p. 121 dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies d. Plantes etc. ». Enroulements des bords des feuilles comme dans Perrisia populeti (Rübs.), mais glabres, brillantes. Col. B.: La forêt de Bradlee au-dessus de Zeleznice près de Jicin , 30. VII. 1908 (Em. B.). Harmandia globuli (Riibs.), pl. fe. Col. V.: Ceska Trebova, Vil. 1906 (A. Vi). Col. M.: Dans le pare près du puits de mine « Moguntie » à Dobrany , 9. VI. 1907 (F. M): Col. B.: Les alentours de Jicin ; Tesin au-dessus de Zeleznice, 15. VII. 1905 (EM. i.) « Pohrebiste » dans les rochers de. Prachov , 6. VIII. 1907 rare (Em. M.).— Privysina, 31. VIII. 1907 et 16. VII. 1909 rare (Em. B.).— La vallée Plakänky prés de Sobotka, ©. IX. 1907 par endroits pas nom- breux (Em. B.).— Bradlec, 26. VIII. 1908 rare (Em. B.).— Kyje au-dessous de ‘Tabor, 29. VIII. 1908 (Em. B.). Kralové Dvur, 30. VIT. 1905 (A. BAYER). Blatnä, 5. VIII. 1907 rare (J. REZNA). Harmandia tremulae (Winn.), pl. fe. Col. U.: Bechovice à l’est de Prague 5. IX. 1905 (J. U.). Col. B.: Les alentours de Jicin: Tesin au-dessus de Zeleznice, 10. VIII. 1905 (Em. B.).— « Pohrebiste » dans les rochers de Prachoy, 6. VII. 1907 rare (EM. B.). — La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 ça et là (Em. B.). — Privysina, 18. VIII. 1908 (0. HrrxpLova) et 6. IX. 1908 (Em. B.). Lasioptera populnea Wachtl, pl. fe. Col. B.: « Pohrebistè » dans les rochers de Prachov , 6. VIII. 1907 assez nom- breux (Em. B.),— La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 rare nr RARES: A in RETE. # “ 85 (Em. B.). — Valdstyn pres de Turnov, 11. IX. 1907 rare (Em. B.). - Pri- vysina pres de Jiein, 18. VIII. 1908 (O. HEINDLOVA) et 16. VII. 1909 rare (EM. B.). Diplosine sp.?, pl. fe. = nro. 513, pl. 123., fig. 132 dans V oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. B.: Kyje au-dessous de Tabor près de Jiein, 29. VIII. 1908 (Em. B.). Harmandia cavernosa Riibs., pl. fe. Col. U.: Près de Kralové Hradee (V. UZEL et J. U.). Col. V.: Zelezny Brod, VII. 1901 (A. V.). — Ceskä Trebova, VII. 1906 (A. V.). Col. B.: Les alentours de Jicin: Privysina, 16. VIl. 1905 et 31. VIII. 1907 rare (Em. B.), 18. VIII. 1908 (O. HENDLOVA). — Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 (Em. B.).— Tesin au-dessus de Zeleznice, 10. VIII. et 5. IX. 1905 (Em. B.). — Dans les bois près de Mladejov et Hrdonovice, 9. IX. 1907 ca et là (Em. B.). — Kyje au-dessous de Tabor, 29. VIII. 1908 assez nombreux (EM. B.).— Le bocage de Popovice, 1. IX. 1908 (Em. B.). Kralove Dvur, 30. VII. 1905 (A. BAvER). — Au-dessous de Trosky près de Tur- nov, 12. VIII. 1905 (Em. B.).— Les bords de 1’ étang Darko daus le pays montueux de Bohème-Moravie, 13. VII. 1907 (Em. B.). Cecidomyidarum sp.?, pl. fe. == nro. 509.. p. 122., figg. 129-130. dans l’ oeuvre de HOUARD: « Les Zooc. d. Plantes ete. ». Col. B.: Kyje au-dessous de Tabor près de Jiciu, 29. VIII. 1908 (Em. B.).-- Pri- vysina près de Jicin, 6. IX. 1908 ca et là (Em. B.). Phyllocoptes populi Nal., pl. fe. — Erineum populinum Pers. Col. U.: Mala Chuchle près de Prague, 16. VII. 1904 (J. U.). — Malsovice près de Krälové Hradec, 3. VIII. 1904 (J. U.). —Jindricuuv Hradec, 1905 (B. REZNIK). Col. V.: Zelezny Brod, VII. 1901 (A. V.). — Ceskä Trebovä, VIII. 1906 (A. V.). Col. M.: Le bois de Vysokä près de Dobrany, 16. VI. 1909 (EF. M.). Col. B.: Les environs de Jicin: Au pied sud de Privysina, 16. VII. 1905, 31. VIII. 1907, 8. et 16. VII. 1959, partout abondant aux arbustes à l’ombre (Em. B.). — Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 (Em. B.).— Tesin an-dessus de Zeleznice, 5. IX. 1905 (Em. B.). — Rochers de Pra- choy, 6. VIII. 1907 et 8. VII. 1909, très fréquent aux arbustes à 1’ om- bre (Em. B.).— La vallée Plakänky pres de Sobotka, 8. IX. 1907 fréquent (Em. B.). -- Bradlee, 26. VIII. 1908 très fréquent (EM. B.).—Kyje au-dessous de Tabor, 29. VIII, 1908 ca et là (Em. B.). Kralové Dvur, 30. VII. 1905 (A. BayER).— Au-dessous dé Trosky près de Turnov, 15. VII. 1905 très fréquent (Em. B.).— Les bords de l’étang Darko dans,, le pays montueux de Bohéme-Moravie, 13. VII. 1907 (Em. B.).— Bela au- . TR RE TS ® ; =. 86 É. BavER dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.).— Entre Valdstyn et Hruba Skala près de Turnov, 21. VII. 1909 abondant (Em. B.). Eriophyes varius (Nal.), pl. fe. Col. U.: Dobris, 6. VI. 1904 (O. BOHUTINSKY). Col. B.: Privysina près de Jicin, 18. VIII. 1908 (0. HerxpLOVA), 8. et 16. VII. 1909 abondant (EM. B.). — Au pied sud des Rochers de Prachov, 8. VII. 1909 fréquent (Em. B.). Eriophyes dispar (Nal.), ac. ti. Col. U.: Krälové Hradec (V. UZEL).— Kobylisy pres de Prague, 30. V. 1905 (B. NEMAC). Col. M.: Dans le pare près du puits de mine « Moguntie » à Dobrany, 9. VI. 1907 (F. M.).— Le bois « Cerny les » prés de Radkovice prés de Prestice, 16-2V- 1909 (F..M.). Eriophyes populi (Nal.), ac. bg. Col. U.: Horice, 29. VIII. 1904 «J. U.). Col. V.: Ceskä Trebovä, VII. 1906 (A. V.). Col. M.: Le bois sur la côte de Zäbelä près de Plzen, 3. VII. 1909 (F. M.). Col. B.: Les alentours de Jicîn: Privysina, 24. VIII. 1906 abondant. - Aux buissons dans |’ ombre de la forêt en telle quantité, que toutes les branches sont couvertes de ces déformations, par la plupart sans feuilles, et les arbustes en périssent. Des touffes surgissent aussi aux pétioles, qui en sont to- talement raccourcis, même aux nervures des feuilles, de sorte qu’elles saillent de la limbe comme des petits arbustes ligneux, raides, jaune-brun, duvetés en velour.— 31. VIII. 1907 (Em. B.), 18. VIII. 1908 (O. HEınD- LOYA), 6. IX. 1908 aussi abondant, 16. VII. 1909 en masse énorme (Em. B.). Rochers de Prachov, 13. IX. 1907 (A. BayER).—Kyje au-dessous de Tabor, 29. VIII. 1908 assez fréquent (Em. B.). Krälove Dvur, 30. VII. 1905 (A. BayER).— Pribram, VII. 1906 (A. BAYER). Populus canescens Sm. (= P. alba L. x tremula L.) * Harmandia globuli (Rübs.), pl. f.: des galles bien typiquement dé. veloppées, sur la face supérieure des feuilles. Col. B.: Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 (Em. B.). Pupulus nigra L. Pemphigus bursarius (L.), pl. f. et ac. bg. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Kralové Hradec, 1894 (J. U.). DST CN fe dt REI eh ete ne a ds , 2 = A x . Les ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME =» 87 Col. B.: Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Em. B.).— La pépinière de M. Ma- ZANEK à Soudnä près de Jicin, 7. VIII 1907 (Em. B.). Pemphiqus spirothecae Pass., pl. fe. et pl. ti. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Strebes près de Krälove Hradec, 31. VIII. 1904 (J. U.).— Kralové Hradec, 1904 pl. ti. à un rameau de cette année , !’ embrassant de */,; au-dessus de la galle le remeau est tordu presque en angle droit. (J. U.). Col. B.: Leskov et Rovensko au-dessous de Kozäkov près de Turnov 8. IX. 1905 (Em. B.). — Au-dessous de Kralicky Sneznik, 19. VII. 1906 nombreux (Em. B.).— Klaster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 fréquent (Em. B.). Pemphigus populi Courchet, pl. fe. Col. B.: Klokoc au-dessous de Kozakov près de Turnov, 8. IX. 1905 (Em. B.). Pemphigus marsupialis Courchet, pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Dobris, 29. VIII. 1904 (B. BOHUTINSKA).— Les cimetières « Olsany » à Prague, 21. X. 1905 (J. U.). Col. B.: Klokoc au-dessous de Kozäkov près de Turnov, 8. IX. 1905 (Em. B.).— Rozdalovice , 21. VIII. 1907 (Em. B.). — Rybnicek au-dessous de Brada près de Jicin, 31. VIII. 1907 (Em. B.). Pemphigus affinis Kaltenb., pl. fe. Col. B.: Klokoc au-dessous de Kozäkov près de Turnov, 8. IX. 1905 (Em. B.).— Au-dessous de Krälicky Sneznik, 19. VII. 1906 nombreux (Em. B.). Eriophyidarum sp.?, pl. fe. = Erineum populinum Pers. = nro. 543., p. 129. dans l’ oeuvre de HOUARD: « Les Zooe. d. Plantes ete. ». Col. B.: Klokoc au-dessous de Kozakov près de Turuov, 8. IX. 1905 (Em. B.). Populus italica Moench. (= pyramidalis Rozier) Pemphigus bursarius (L.), pl. fe. et ac. bg. Col. B.: Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 assez nombreux (Em. B.) et 14. IX. 1908 abondant (J. REZNA). — Près de l’ étang « Knize » à Jiein, 6. IX. 1908 fréquent (Em. B.). Pemphiqus spirothecae Pass., pl. fe. Col. B.: Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 très fréquent (Em. B.). — Près de l’étang « Knize » à Jicin, 6. IX. 1908 assez nombreux (EM. B.). ii et ae ie , r A Fan x8 E. Bayer Pemphigus marsupialis Courchet, pl. fe. Col. B.: Libosad près de Jicin, 23. VIII 1908 ça et là (EM. B.) et 14. 1X. 1908 rare (J. REZNA). Pemphigus affinis Kaltenb., pl. fe. Col. B.: Libosad près de Jiein, 23. VIII. 1908 ça et là (Em. B.). * Eriophyidarum spec.?, pl. fe. = Erineum populinum Pers. , défor- mation identique à celle de Populus nigra L. = no. 543, p. 129 dans Y oeuvre de HOUARD: « Les Zooc. d. Plantes ete. ». Col. B.: Libosad près de Jicin, 14. IX. 1908 fréquent (J. REZNA). Alnus glutinosa Giirtner. Perrisia alni (Fr. Löw), pl. fe. Col. B.: Rochers de Prachov près de Jicin, 31. VII. 1905 rare, 6. VIII. 1907 nom- breux (Em. B.).— Kadlin pres de Mseno, 26. VIII. 1906 (J. REZNA). Eriophyes laevis (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon pustulatum Bremi. Col. U.: Kralové Hradec, 22. V. 1904 et le bois de Novy Hradec, 4. VIII. 1904 (J. U.). — Zavist près de Pragne, 6. VII. 1904 (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ouvaly à lV est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. V.: Zamberk, VIII. 1900 ‘A. V.). Col. M.: Kostelik près de D. Belà près de Manetin, 5. VI. 1906 F. M.). Col. B.: Rochers de Prachov près de Jicin, 31. VII. 1905 très abondant (Em. B.). — Nebäkov au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 très fré- quent (Em. B.).— Les bord de l’étang Zofinsky près de Pribram, 14. VI. 1906 abondant (A. Bayer).— Privysina près de Jicin, 24. VIII. 1906 fré- qnent et 16. VII. 1909 très abondant (Em. B.). — Les bords de l étang Darko dans le pays montueux de Bohême - Moravie, 13. VII. 1907 très abondant (EM. B.). -- La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 abondant (Em. B.). Epitrimerus trinotus (Nal.), pl. fe. Col. V.: Zamberk, VIII. 1900 (A. V.). Col. B.: Privysina près de Jicin, 24. VIII. 1906 assez fréquent (Em. B.).-- Kadlin près de Mseno, 26. VILI. 1906 (J. Rezna).— Le pare de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 5907 fréquent (Em. B.). — Les forêts au-dessous de Bradlec près de Jicin, 26. VIII. 1908 abondant (Em. B.). Eriophyes nalepai (Fockeu), pl. fe. = Erineum axillare Schleeht. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). LES Z00CÉCIDIES DE LA BOHÈME * 89 Col. U.: Kràlové Hradee (V. UZEL et J. U.). — Zavist pres de Prague, 6. VII. 1904 (J. U.).- Malsoviee près de Kralové Hradec, 3. VIII. 1904 (Ie U). Le bois entre Bechovice et Ouvaly près de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. V.: Ceska Trebova, VIII. 1906 (A. V.). Col. B.: Près de I’ étang « Knize » à Jiein. 16. VII. et 1. VIII. 1905 (Em. B.). — Rochers de Prachov près de Jicin, 31. VII. 1905 rare (EM. B.). -— Les bords de I’ étang au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 tâches d’ erinenm très étendues, de sorte que les feuilles s’ enronlent en cuiller (EM. B.).— Privysina près de Jicin, 3. IX. 1905 et 31. VIII. 1907 rare, 6. IX. 1908 pas rare et 19. VII. 1909 assez nombreux (EM. B.). - Dans ‘les rochers de Klokoc au-dessous de Kozakov près de Turnoy , 8. IX. 1905 (Em. B.). — Près de Nova Paka, 15. et 16. VIII. 1906 très abon- dant (Em. B.).— Les bords de V étang Darko dans le pays montueux de Bohéme-Moravie, 13. VII. 1907 (Em. B.).— Rochers de Prachov près de Jiein, 21. VII. 1907 (J. ReZNA).— Au-dessous de Kozakov près de Turnov, 23. VII. 1907 fréquent ‘Em. B.). — Dans la chasse-gardée « Klokocka » près de Klaster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 assez nombrenx (EM. B.). — Le pare de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 fréquent (EM. B.).— Blatna, 5. VIII. 1907 fréquent (J. REZNA).— Des prairies entre Ostromer et Sob- sice près de Jicin. 31. VII. 1909 (Em. B.). Eriophyes brevitarsus (Fockeu), pl. fe. Col. M.: Au bord de la Mze près de Tichodol près de Stribro, XI. 1905 (F. M.). Col. B.: Rochers de Prachov près de Jiein, 31. VII. 1905 abondant (EM. B.). -- Près de l’ étang « Knize » à Jicin, 25. VIII. 1905 et 14. VIII. 1906 (Em. B.).— Les bords de l’étang Darko dans le pays montueux de Bohé- me-Moravie, 13. VII. 1907 (Em. B.). Alnus incana DC. Perrisia alni (Fr. Low), pl. fe. Col. B.: La lisière de la forêt près de la station Hrdonovice au-dessons de Stre- leeska Hura près de Jicin, 8. IX. 1908 assez nombreux (EM. B.). Eriophyes brevitarsus (Fockeu) pl. fe. = Phyllerium alnigenum Kunze. Col. B.: La lisière de la forêt près de la station Hrdonovice, 8. IX. 1908 très rare (Em. B.).— Horni Lochov près de Jicin, juillet 1909 abondant (Em. B.).— Entre Valdstyn et Hrubä Skala près de Turnov, 21. VII. 1909 rare (Em. B.). — Au pied sud de Privysina près de Jicin, 25. VII. 1909 rare (Em. B.). Briophyes laevis (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon pustulatum Bremi. Col. B.: Entre Valdstyn et Hrubä Skäla près de Turnov, 21. VII. 1909 très abon- dant (Em. B.). 7 90 FE. Bayer Betula verrucosa Ehrh. Epiblema tetraquetrana Haworth, pl. ti. Col. U.: Les forêts entre Bèchovice et Ouvaly, à l’est de Prague, IX. 1905 (J. U.). Eriophyes betulae (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon betulinum Bremi. Col. B.: Le bord de V étang Zofinsky près de Pribram, 14. VI. 1906 assez nom- breux (A. BAYER). Jriophyes lionotus (Nal.), pl. fe. = Phyllerium tortuosum Greville. Col. B.: Le bord de lV étang Zofinsky près de Pribram, 14. VI. 1906 très rare (A. BAYER). Eriophyes rudis (Canest.), pl. fe. = Erineum betulinum Schumm. Col. B.: Le bord de l’ étang Zofinsky près de Pribram, 14. VI. 1906 très rare (A. BAYER). — Au-dessus de Horni Lochov et à Privysina près de Jicin, 16. VII. 1909 par endroits très abondant (Em. B.). Eriophyes rudis (Canest.) var. longisetosus Nal., pl. fe. = Erineum ro- seum Kunze. Col. B.: Le bord de V étang Zofinsky près de Pribram, 14. VI. 1906 rare (A. BA- VER). — Au dessus de Harni Lochov et à Privysina près de Jicin, 16. VIII. 1909 assez fréquent par endroits (EM. B.). Betula pubescens Ehrh. Contarinia betulina (Kieffer), pl. fe. Col. B.: Loreta près de Jicin, 27. VIII. 1907 très rare (EM. B.). Eriophyes lionotus (Nal.), pl. fe. = Phyllerium tortuosum Greville, Col. B.: Le bois de Miliceves près de Jicin. 2. IX. 1907 assez abondant (Em. B.). Corylus avellana L. Eriophyes avellanae (Nal.), ac. bg. Col. B.: Le bocage « U strizného andelicka » au-dessous de Loreta près de Jicin, 16. IV. 1908 commun (A. BAYER et Em. B.). Carpinus betulus L. Perrisia carpini (Fr. Löw), pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Duna). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME 91 Col. U.; Zavist près de Prague, 24. IX. 1904 (J. U.). Col. B.: Privysina près de Jicin, 24. VIII. 1906 nombreux (EM. B.). — Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Eriophyes macrotrichus (Nal.), pl. fe. = Legnon confusum Bremi. Col. U.: Le parc de Dobrîs, 22. V. 1904 (B. BOHUTINSKA) et 6. VI. 1904 (O. BOHUTINSKY).— Radotin près de Prague, 18. VI 1905 (J. U.). Col. B.: La vallée Mezihori d’ Ostromer à Belohrad près de Jicin, 2. VIII. 1904 abondant (EM. B.). — Les remparts « valy » de Cesov près de Jicin, 4. VIII. 1905 (Em. B). — Au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 et 2. IX. 1906 abondant (Em. B.).—Brada près de Jicin, 3. IX. 1905 (Em. B.). — Privysina près de Jicin, 3. IX. 1905 et 24. VIII. 1906 (Em. B.).— Tesin au-dessus de Zeleznice près de Jiein, 5. IX. 1905 et 15. VII. 1906 très abondant (Em. B).—Pribram, 29. V. 1906 fréquent (A. BAYER). Le bocage de Picin près de Pribram, 14. VI. 1906 abondant (A. BAYER). Eriophyes tenellus (Nal.), pl. fe. = Erineum pulchellum Schlecht. Col. B.: Privysina près de Jicin, 24. VIII. 1906 (Em. B.). Quercus pedunculata Ehrh. Andricus trilineatus Hartig — radicis (Fabr.). PI. ti. (A. trilineatus) : Col. B.: Pribram, 29. V. 1906 (A. BAYER). Pl. ra. (A. radicis) : Col. B.: Privysina près de Jicin, 24. VIII. 1906 rare (EM. B.).— Le bois de Mi- liceves près de Jicin, 27. VIII. 1908 (Em. B.). Andricus rhizomae Hartig, pl. ti. Col. U.: Le bois « Vidrholec » entre Bechovice et Ouvaly à V est de Prague, 9. VII. 1905 (J. U.). Andricus testaceipes Hartig — sieboldi Hartig. PI. fe. (A. testaceipes) : Col. B.: Les remparts « valy » de Cesov près de Jicîn, 4. VII. 1905 (Em. B.).— Le bois de Bradlee près de Zeleznice, 8. VIII. 1907 rare (Em. B.). (A. testaceipes var. nodifex Kieffer). Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). 92 É. Bayer PI. ti. (A. sieboldi) : Col. B.: Le bois de Bradlee près de Zeleznice, 8. VIII. 1907 rare (EM. B.).— Les bois de Miliceves près de Jicin, 27. VIII. 1907 fréquent (Em. B.). Pelatea festivana Hübner, pl. ti. Col. B.: Cerovka pres de Jiein, 19. IV. 1908 tres rare (Em. B.). Phylloxera coccinea (Heyden), pl. fe. Col. U.: Le bois « Vidrholee » entre Bechovice et Ouvaly à V est de Pragne, VIII 1905 RT UN: Col. B.: Le bois de Bradlee près de Jicin, 8. VIII. 1907 et 26. VIII. 1908 très fréquent (EM. B.). Macrodiplosis dryobia (Fr. Löw) pl. fe. Col. B.: Les alentours de Jicin (EM. B.): Cerovka, 24. VIII. 1906 nombreux. — Le bois de Miliceves, 2. IX. 1907 ça et là, 27. VIII. 1908 assez nombreux. Le bois de Bradlec an-dessus de Zeleznice, 30. VII. 1908 très fréquent.— Libosad , 23. VIII. 1908 nombreux. Rotstyn et Klokoe au-dessous de Kozäkov pres de Turnoy, 8. IX. 1905 (Em. B.). Kläster nad Jizerou , 2. VIII. 1907 assez nombreux (Em. B.). — Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.). . Macrodiplosis volvens Kieffer, pl. fe. Col. U.: Cernosice près de Prague, 1. VII. 1905 (J. U.). Col. B.: Les alentours de Jicin (Em. B.): Le bocage an-dessons de Loreta, 27. VIII. 1905. — Cerovka, 24. VIII. 1906 rare. — Le bois de Miliceves, 2 IX. 1907 ça et là. — Les bois près de Mladejov et Hrdonovice, 9. IX 1907 rare.— La forêt de Bradlec au-dessus de Zeleznice, 30. VII. 1908 fréquent. Libosad, 23. VIII. 1908. Klaster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 assez nombreux (Em. B.). Dryophanta taschenbergi (Schlecht.) — folii (L.). PL fe. (D. foi): Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Zävist près de Prague, 24. IX. 1904 (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. M.: La lisière de la forêt à la rive gauche de la Mze au-dessous de Nemelka près de Touskov, 4. IX, 1909 (F. M). Col. B.: Les alentours de Jiein (EM. M.): Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905.— Cerovka 22. VIII. 1905.—- Le bois de Tur, 11. IX. 1905. Les pépinières de M, Mazänek à Soudna, 9. VIII. 1906. — Le bois de LES ZOOCÉCIDIFS DE LA BOHÊME + 93 Bradlec près de Zeleznice, 8. VIII. 1907 abondant.— Rozdalovice, 21. VIII. 1907 nombrenx. — Les foréts de Miliceves, 2. IX. 1907 partout très fré_ quent.— Les bois près de Nemyceves et Butoves, 27. VIII. 1908 en énor- me quantité. — Le bocage de Popovice, 1. IX. 1908 en quantité énorme.— Zelejov au-dessons de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.).— Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Em. B.). Dryophanta similis (Adler) — longiventris (Hartig). PI. fe. (D. longiventris) : Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?, (L. DUDA). Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. et 17. IX. 190513. U.). Col. B.: Les alentours de Jicin: Le bocage de Popovice. VIII. 1904 et 1. IX. 1908 un à un (Em. B.). — Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 (A. BAYER et Em. B.)— Le bois de Tur, 11. IX. 1905 (Em. B.).—Cerovka, 22. VIII. 1905 et 24. VIII. 1906 (Em. B.). — La pépinière de M. Mazä- nek à Soudnä, 9. VIII. 1906 assez nombreux (Em. B.) — Rozdalovice, 21. VIII. 1907 assez fréquent (EM. B.).— Les bois près de Mladejov et Hrdo- novice, 9. IX. 1907 rare (EM. B.). — La forêt de Bradlee près de Zelez- nice, 30. VII. 1908 rare (Em. B.).— Libosad, 23. VIII, 1908 (Em. B.).— Les forêts près de Miliceves et Nemyceves, 27. VIII. 1908 rarement di- spersé, même à la face supérieure de la feuille (Em. B.). Près de Zelejov au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.). Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Andricus furunculus (Beyer.) — ostreus (Gir.). PI. fe. (A. ostreus) : Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Zävist pres de Prague, 24. IX. 1904 (J. U.). Col. B.: Les alentours de Jicin : Cerovka, 22. VIII. 1905 (Em. B.).— Le bois de Tur, 11. IX. 1905 (Em. B.).— Privysina, 24. VIII. 1906 et 31. VIII. 1907 (Em. B.). — Les bois près de Svatä Trojice, 30. VIII. 1906 ça et là (Em. B.).-- Bradlec, 9. IX. 1906 rare, 8. VIII. 1907 assez fréquent (Em. B.).— Le bocage de Miliceves, 2. IX. 1907 assez fréquent, 27. VIII. 1908 par- tout nombreux (Em. B.). — La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 assez nombreux (EM. B.). — Libosad, 23. VIII. 1908 très fréquent (Em. B.), 28. IX. 1908 (J. Rezna).— Kyje au-dessous da Tabor, 29. VII. 1908 pas rare (EM. B.).— Le bocage da Popovice, 1. IX. 1908 assez nom- breux (Em. B.). Au-dessus des étangs à Nebäkov au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VII. 1905 (Em. B.).— Le bocage près de Poricany, 6. VIII. 1906 (Em. B.).— La chasse-gardée de Mankovice près de Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 très fréquent (Em. B.).— Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII 1907 fréquent (EM. B.). Dryophanta agama (Hartig), pl. fe. (généralement à des branches les plus basses près de la terre). Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. B.: Les environs de Jicin (EM. B.): Les remparts « valy » près de Cesoy, 4. VIII. 1905.— Le bois de Tur, 11. IX. 1905.— Les forêts près de Svata d Trojiee, 30. VIII. 1906 fréquent. — Bradlee , 9. IX. 1906 nombreux. — Rozdalovice, 21. VIII. 2907 ga et là. — La vallée Plakanky près de So- botka, 8. IX. 1907 rare, dispersé. — Les bois pres de Mladejov et Hrdo- novice, 9. IX. 1907 rare. Kadlin près de Mseno, 26. VIII. 1906 (J. REZXA). — Muzsky pres de Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Ex. B.). Dryophanta verrucosa (Schlecht.) — dirisa (Hartig). > - PL fe. (D. divisa): a | Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Krélové Hradec, 2. XI. 1903 (J. U.). — Zävist près de Prague, 24. IX. et 24. X. 1904 (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ouvaly à F est de (e Prague, VIII. 1905 (J. U.). À Col. B.: Les environs de Jicîn (EM. B.): Privysina, 15. VIII. 1904 fréquent.— Le L bois de Miliceves, 2. IX. 1904 et 27. VIII. 1908 très rare. Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905.— Cerovka, 22. VIII. 1905 et 24. \ VIII. 1906 fréquent. — Le bois de Tur, 11. IX. 1905. — Les forêts près Ly : de Svata Trojice, 30. VIII. 1906 rare.— Le bois de Bradlec an-dessus de > Zeleznice , 9. IX. 1906 fréquent, 8. VIII. 1907 abondant. — La vallée u Plakänky pres de Sobotka, 8. IX. 1907 rarement dispersé. A Nebakov au-dessons de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 fréquent (Em. B.). Neuroterus albipes (Schenck) — laeriusculus Schenck. PI. fe. (N. albipes) : Col. U.: Cernosice pres de Prague, !. VII. 1905 (J. U.). PI. fe. (N. laeviusculus): Espèce se trouvant partout, mais rare seulement et tout dispersée, par régle seulement à la face supérieure des feuilles et d’une teinte jusqu’ au rouge-foncé, généralement 1 galle seulement, rarement 2-4 sur une feuille. Jamais elles ne paraissent aussi amoncelées au-dessous des feuilles que les galles de N. lenti- eularis, N. numismalis ou N. fumipennis. Col. M. R. B:: « Houstka » près de Brandye nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Piletice près de Krélové Hradee (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. n è Me] Qt LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME B.: Les environs de Jicin: Cerovka, 22. VIII. 1905 (Em. B.). — Le bocage de Miliceves, 2. IX. 1907 rare et dispersé (EM. B.).— Tesin au-dessus de Zeleznice, 5. IX. 1905 (Em. B.). —-Privysina, 3. IX. 1905 (Em. B.), 18. VIII. 1908 (J. Rkzxa) et 6. IX. 1908 un à un (EM. B.). — Le bois de Tur, 11. IX. 1905 (Em. B.). — Bradlec, 9. IX. 1906 ça et là rarement (EM. B.). — Rozdalovice, 21. VIII. 1907 dispersé (EM. B.). — La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. 1X. 1907 rare (EM. B.). — Les forêts pres de Mladejov et Hrdonovice, 9. IX. 1907 (Em. B.). — Les bois près de Nemyceves et Miliceves, 27. VIII. 1908 bien rare (Em. B.). Au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 pas fréquent et 2. IX. 1906 très rare (EM. B.). — Klokoc au-dessous de Kozakov près de Turnov, 8. IX. 1905 (Em. B.). Neuroterus baccarum (L.) — lenticularis (Oliv.). Col. Col. Col. Col. Col. Col. PI. fe. (N. baccarum, galles déjà sèches) : U.: Zävist près de Prague, 6. VII. 1904 (J. U.).-- La forêt entre Bechovice et Ouvaly à l’ est de Prague, VIII. et IX. 1905 (J. U.), B.: Pribram, 29. V. 1906 ça et là (A. BavER).— Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.).— Le bois de Bradlee au-dessus de Zeleznice près de Jicin, 30. VII. 1908 frèquent (Em. B.). PI. fe. (N. lenticularis) : M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). U.: Krälove Hradec, 2. XI. 1903 (J. U.). — Malä Chuchle près de Prague , 10. IX. 1904 (J. U.). — Zavist? près de Prague, 24. IX. et 24. X. 1904 (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). — La forêt à Hvezda à l’ouest de Prague, 29. X. 1905 CEE): M.: Le bois Kyjov près de Malesice près de Plzen, X. 1906 fréquent (F. M.). La lisière du bois à la rive gauche de la Mze au-dessous de Nemelka près de Touskov, 4. IX. 1909 (F. M.). B.: Les alentours de Jicin : Le bocage de Popovice, VIIL. 1904 et 1. IX. 1908 ça et là (Em. B.).— Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 (Em. B.).— Le bocage de Miliceves, 2. IX. 1904 et 2. IX 1907 abondant (Em. B.). — Tesin au-dessus de Zeleznice, 14. IX. 1904 fréquent, 5. IX. 1905 (Em. B.).— Cerovka, 22. VIII. 1905 (Em. B.).— Le bocage au-des- sous de Loreta, 26. VIII. 1905 (J. REZNA).— Privysina, 3. IX. 1905 et 24. VIII. 1906 (Em. B.).— Le bois de Tur, 11. IX. 1905 (Em. B.).— Les pépinières de M. Mazänek à Soudn4, 9. VIII. 1906 nombreux (Em. B.). Les bois pres de Svatä Trojice, 30. VIII. 1906 fréquent (Em. B.).— Roz- dalovice, 21. VIII. 1907 (Em. B.).— La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 fréquent (EM. B.).— Libosad, 23. VIII. 1908 frèquent (Em. B.), 28. IX. 1908 (J. REZNA).— Le bois près de Nemyceves et Miliceves, 27. VIII. 1908 partout abondant (Em. B.). i 96 É. Baver Au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 fréquent (EM. B.).— Kadlin près de Mseno, 26. VIII. 1906 (J. REZNA). Neuroterus tricolor (Hartig) — fumipennis Hartig. Pl. fe. (N. fumipennis) : Col. U.: Zavist’ près de Prague, 9. VII. 1904, galles jeunes encore, assez abon- dant (J. U.).—Le bois entre Bechovice et Ouvaly à Vest de Prague, VIL. 1905, galles jennes, jusqu’ a 134 à une feuille (J. U.). Col. B.: Le bois de Tur près de Jicin, 12. IX. 1905 rare (Em. B.). — Bradlec pres de Jicin, 9. IX. 1906 (Em. B.). Neuroterus vesicator (Schlecht) — numismalis (Oliv.). Pl. fe. (N. numismalis) : Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly à Vest de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. M.: La lisière du bois à la rive gauche de la Mze au-dessons de Nemelka près de Touskov, 4. IX. 1909 (F. M.). Col. B.: Les alentonrs de Jicin (EM. B.): Le bocage de Popovice, VIII. 1904.— Le bocage de Miliceves, 2. IX. 1904 très frèquent, 2. IX. 1907 dispersé. Tesin au-dessus de Zeleznlce, 14. IX. 1904 fréquent, 5. IX. 1905. — Ce- rovka, 22. VIII. 1905.— Privysina. 3. IX. 1905. Trigonaspis megaptera (Panzer) — renum (Giraud). Ac. bg. (T. megaptera) : Col. B.: Pribram, 29. V. 1906 (A. BAYER). Pl. fe. (7. renum) : Col. M. R. B.: « Honstka » pres de Brandys nad Labem (?) (L. Duna). Coi. U.: Kralové Hradec (V. UZEL) Col. B.: Bois de Tur près de Jicîn, 11. IX. 1905 (Em. B.). Andricus curvator Hartig — collaris (Hartig). PI. fe. (A. curvator) : Col. U.: Krälové Hradec (V. UZEL).— Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Les remparts « valy » de Cesov près de Jicin, 4. VIII. 1905 (Em. B.).— Loreta près de Jicin, 26. VIII. 1905 (Em. B.). — Pribram , 29. V. 1906 fréquent (A. BAYER).— Les pépinières de M. Mazänek à Sondna près de Jicin, 9. VIII. 1906 rare (Em. B.). — Les bois près de Rozdalovice, 21. + LES ZOOCKCIDIES DE LA BOHEME 97 VIII. 1907 nombreux (Em. B.). — Klaster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Em. B.). — Le bois de Bradles au-dessns de Zeleznice près de Jicin, 30. VII. 1908 très fréqnent (EM. B.). Andrieus inflator Hartig — globuli (Hartig). Ac. ti. (A. inflator) : Col. M. R. B.: « Houstka » pres de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Krälové Hradec (V. UZEL) et le bois de Novy Hradec, 1904 (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ouvaly à Vest de Prague, VILL. 1905 (J. U.). Col. B.: Des jardins à Jiein, 7. VII. 1905 (A. Baver). — An-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.). — Pribram, VII. 1906 (A. Ba- YER). - Kläster nad Jizerou et la chasse-gardée Klokocka, 2. VIII. 1907 fréquent (EM. B.). -- Les bois près de Hrdonovice et Mladejov près de Jicin, 9. IX. 1907 (Em. B.). Ac. bg. (A. globuli) : Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (1?) (L. DUDA). Col. B.: Le bois de Bradlec au - dessus de Zeleznice près de Jicin, 8. VIII. 1907 (EM. B.). — Les forêts près de Rozdalovice. 21. VIII. i907 (Em. B.). — La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 (Em. B.). — Libosad près de Jiein, 23. VIII. 1908. (Em. B.). — Les bois au dessous de Tabor près de Zeleznice, 29. VIII. 1908 (Em. B.). Andricus pilosus Adler — fecundatrix (Hartig) Ac. bg. (A. fecundatrix) : Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Le bois de Novy Hradec près de Kralové Hradec, 1904 (J. U.). Col. B.: Les alentours de Jiein (EM. B.): Le bocage de Popovice, VIII. 1904 très fréquent, 1. IX. 1908 ça et là. — Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905.— Les pépinières de M. Mazänek à Soudna, 9. VIII. 1906 très fréquent.— Privysina, 13. IV. 1906 rare. -- Le bois près de Rozdalovice, 21. VIII. 1907. — Le bocage de Miliceves, 2. IX. 1907 par endroits très fréquent.— La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 rare. — La forêt de Bradlec au-dessus de Zeleznice, 30. VII. 1908.— Le bois près de Nemyceves et Miliceves, 27. VIII. 1908 pas rare. Au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.).— Le bocage près de Poricany , 6. VIII. 1906 : Em. B.). — Le bois près de Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.).— Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII 1907 (Em. B.). Cynips kollari Hartig, ac. bg. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). SUR in! v a en eae à “< s a ni à EL NT + È è æ Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l est de Prague, 19. IX. 1905 (J. U.). Col. B.: Les pépinières de M. Mazänek à Soudn4 près de Jicin, 9. VIII. 1906 (Ex. B.).— Les bois pres de Rozdalovice, 21. VIII. 1907 très rare (Em. B.). Le bocage de Miliceves près de Jiein, 2. IX. 1907 Es. B.). Cynips corruptrix Schlechtendal, ac. bg. Col. B.: La pépinière de M. Mazänek à Soudn4 près de Jicin , 30. III 1906 fré- quent (Em. B.).— Pribram, VII. 1906 (A. BAYER). Andricus solitarius (Fonse.), ac. bg. Col. B.: Bois de Tur près de Jiein, 11. IX. 1905 (Em. B.). Biorhiza terminalis (Fabricius) — aptera (Bose). Ac. bg. (B. terminalis) : Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Kralové Hradee (J. U.).— Dobris, 22. V. 1904 (B. BoHUTI=SsKA).— Cer- nosice près de Prague, 24. VI. 1905 (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ouvaly à V est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Alentours de Jiein (Em. B.): Le bocage de Miliceves, 2. IX. 1904 et 27 VIII. 1908 fréquent.— Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 fréquent. — Cerovka, 22. VIII. 1905. — Tesin au-dessus de Zeleznice, 5. IX. 1905. — Les pépinières de M. Mazänek à Soudn4, 9. VIII. 1906. — Le bois près de Rozdalovice, 21. VIII. 1907 nombrenx. Cynips lignicola Hartig, ac. bg. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Les alentours de Jiein (Em. B.): Les remparts « valy » pres de Cesov, 4. VIII. 1905.— Privysina, 13. IV. 1906 assez nombrenx.— Le bocage de Miliceves, 2. IX. 1907 rare, 27. VIII. 1908 pas fréquent. — La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 par endroits assez nombreux. — Les mines du château Trosky près de Turnov, 2. IX. 1906 (Ex. B.). — Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 rare (Em. B.). Cynips conglomerata Girand, ac. bg. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Cynips glutinosa Giraud, ac. bg. Col. B.: Nové Mesto nad Metuji, 10. IX. 1908 (A. Bayer). DO Re UE On ae PRET D AP PES TU LAN AO VAT > © LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME * Cynips cerri (Beyerinck) — calicis Burgsdortt. Ac. fl. et fr. (C. calicis) : Col. U.: Le bois de Novy Hradee près de Kralové Hradec, 1902 et 2904 RU): Col. B.: Dans les environs de Jiein partout assez nombreux (EM. B.). — Hlubokä près de Ceské Budejovice, 23. VIII. 1904 (Em. B.). Quercus sessiliflora Smith. Aspidiotus quereicola Bouche, pl. ti. Col. B.: Le bocage « U strazného andelicka » au-dessous de Loreta pres de Jiein, 16. IV. 1908 fréquent (EM. B.). — Cerovka pres de Jicin, 19. IV. 1908 rare (Em. B.). Phylloxera coccinea Heyden, pl. fe. Col. B.: Bois de Bradlee près de Jicin, 26. VIII. 1908 par endroits nombreux (Em. B.). Macrodiplosis dryobia (Fr. Löw), pl. fe. Col. B.: Loreta près de Jiein, 26. VIII. 1905 (EM. B.). Privysina près de Jicin, 5. IX. 1903 (Em. B.).— La chasse de Bela au-dessous de Bezdez, 2. VII. 1907 (Em. B.). — Bradlee près de Jiein,.26. VII. 1908 par endroits tres fréquent (Em. B.). Macrodiplosis volvens Kiefter, pl. fe. Col. B.: La chasse de Belä au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.).— Les bois près de Miliceves et Nemyceves près de Jicin, 27. VIII. 1908 rare J (Em. B.). — Le bocage au-dessous de Loreta près de Jicin, 15. IX. 1908 (J. REZNA). Andricus testaceipes Hartig — sieboldi Hartig. Pl. fe. (A. testaceipes var. nodifex Kietter) : Col. B.: Le bocage au-dessous de Loreta près de Jicin, 15. IX. 1908 (J. REZNA). Dryophanta taschenbergi (Schlecht.) -— folii (L.). Pl. fe. (D. folii) : Col. U.: Krälové Hradec (V. UZEL). Col. B.: Bradlee près de Jicin, 26. VIII. 1908 par endroits fréquent (EM. B.). — Le bocage au-dessous de Loreta près de Jicin, 15. IX. 1908 (J. REZNA). entire 5 PRE 100 É. BAYER Dryophanta similis (Adler) — longiventris (Hartig). PI. fe. (D. longiventris) : Col. B.: La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 rare (Em. B.). Andrieus furuneulus (Beyer.) -- ostreus (Giraud). Pl fe. (A. ostreus): Col. B.: Privysina près de Jicin, 3. IX. 1905 (Em. B.). — Bradlec près de Jicin, 26. VIII. 1908 assez fréquent (EM. B.).— Libosad près de Jiein, 15. IX. 1908 fréquent des croûtes restées après des galles tombées (J. REZNA). Dryophanta agama (Hartig), pl. fe. Col. B.: Le bocage au-dessous de Loreta près de Jicin, 26. VII. 1905 en quantité énorme ; presque toutes les feuilles inférieures des buissons couvertes des galles (Em. B.), 15. IX. 1908 très abondant (J. REZXA , K. SCHMIDOVA et M. KouBKOVa). — Rozdalovice, 21. VIII. 1907 ça et là (Em. B.). — Bradlee près de Jicin, 26. VIII. 1908 rare (Em. B.).— Les bois entre Sä- rovi Lhota et Konecchlum près de Jicin, 9. IX. 1908 ca et là, pas fré- quent (Em. B.). Dryophanta disticha (Hartig), pl. fe. (Plusieurs de ces galles restent toujours rabougries, prématurément desséchées) : Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. B.: Les environs de Jicin: Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VII. 1905 assez fréquent (EM. B.).— Privysina, 3. IX. 1905 et 31. VIII. 1907 (Em. B.). — Le bois de Tur, 11. IX. 1905 (Em. B.). — Les bois près de Svata Trojice, 30. VIII. 1906 dispersé (Em. B.). — Bradlec, 9. IX. 1906 rare, 26. VIII. 1908 par endroits fréquent (EM. B.).— Le bocage de Mi- liceves, 2. IX. 1907 assez nombreux, 27. VIII. 1908 pas rare (EM. B.).— Kyje au-dessous de Tabor, 29. VIII. 1908 ga et là assez fréquent (EM. B.).— Les bois entre Särovä Lhota et Konecchlum, 9. IX. 1908 ça et là pas fréquent (Em. B.). — Le bocage au-dessous de Loreta, J5. IX. 1908 rare (J. REZNA). Neuroterus albipes (Schenck) - laeviusculus Schenck. Pl. fe. (N. laeviusculus) : Col. B.: Les bois près de Nemyceves et Miliceves près de Jicin, 27. VIII. 1908 rare (EM. B.).— Le bocage de Popovice près de Jiein, 1. IX. 1908 un à un (Em. B.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME 101 Neuroterus baccarum (L.) — lenticularis (Oliv.). Pl. fe. (N. baccarum ; galles desséchées) : Col. U.: Les bois entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Les bois près de Miliceves et Nemyceves pres de Jicin, 27. VIII. 1908 (Em. B.). PI. fe. (N. lenticularis) : Col. B.: Le bocage de Miliceves près de Jicin, 2. IX. 1907 fréquent (Em. B.).— Le bocage au-dessons de Loreta près de Jicin, 15. IX. 1908 fréquent, pour la plupart déjà tombées (J. REZNA). Neuroterus tricolor (Hartig) — fumipennis Hartig. PI. fe. (N. tricolor) : Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly à Vl’ est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Andricus curvator Hartig — collaris (Hartig) PI. fe. (A. curvator) : Col. U.: Le bois à Hvezda près de Prague, 29. X. 1905 (J. U.). Col. B.: Le bocage de Popovice près de Jicin, VIII. 1904 (Em. B.). — Les rem- parts « valy » de Cesov près de Jicin, 4. VIII. 1905 (Em. B.)— Le bo- cage « U strazného andelicka » au-dessous de Loreta près de Jicin, 26. VIII. 1905 et 16. IV. 1908 (Em. B.). — Blatna, 5. VIII. 1907 abondant (J. RezNa).— Privysina près de Jicin, 31. VIII. 1907 fréquent (Em. B.). Bradlee près de Jicin, 26. VIII. 1908 fréquent (Em. B.).—Kyje au-dessons de Tabor prés de Jicin, 29. VIII. 1908 un à un (Em. B.).— Libosad près de Jicin, 3. VI. 1909 (J. REZNA). Andricus inflator Hartig — globuli (Hartig). Ac. ti. (A. inflator) : Col. B.: Libosad près de Jicin, 28. IX. 1908 et 3. VI. 1909 assez fréquent (J. REZNA). Ac. bg. (A. globuli) : Col. B.: Cerovka près de Jiein, 19. IV. 1908 (A. BAYER).— Libosad près de Jicin, 28. IX. 1908 (J. REZNA). Neuroterus aprilinus (Giraud), ac. bg. Col. B.: Cerovka près de Jicin, 19. IV. 1908 (Em. B.). 102 É. Bayer Andricus ramuli (L.) — autumnalis (Hartig) Ac. bg. (A. autumnalis) : Col. B.: Le bocage « U sträzncho andelicka » au-dessous de Loreta près de Jicin, 16. IV. 1908 galles de l’automne, ne pas tombées des bourgeons, très rare (Em. B.). Cynips kollari Hartig, ac. bg. Col. U.: Le bois de Novy Hradec près de Kralové Hradee (V. UZEL). Andricus solitarius (Fonse.), ac. bg. Col. B.: Privysina près de Jicin, 16. VII. 1905 (Em. B.). —- Dans le bocage « U strizného andelicka » au-dessous de Loreta près de Jicin, 16. IV. 1908 (Em. B.). Andricus glandulae Schenck, ac. bg. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. B.: Doksy au-dessous de Bezdez, 19. VIII. 1905 (A. BAYER). Biorhiza terminalis (Fabricius) — aptera (Bosc). Ac. bg. (B. terminalis) : Coll. M.: Le bocage « Haj » près de Plzen, 29. V. 1907 (F. M.). Cynips lignicola Hartig, ac. bg. Col. U.: Le bois de Novy Hradec près de Krälové Hradec, 1904 (J. U.). Col. B.: Privysina près de Jicin, 16. VII. 1905, galles jeunes (EM. B.).— Loreta près de Jiein, 26. VIII. 1905 (0. HEINDLOVA).— Le bocage « U strâzného andelicka » au-dessous de Loreta près de Jicin, 16. IV. 1908 assez fré- quent (Em. B.), 15. IX. 1908 (J. REZNA). — Bradlee près de Jicin, 26. VIII. 1908 rare (Em. B.). Cynips conglomerata Giraud, ac. bg. Col. U.: Krälové Hradec (J: U.). Col. B.: La vallée de la Luznice près de Bechyne, 24. VIII, 1905 (A. BAYER). Andricus clementinae Giraud, ac. bg. Col. U.: Krälov6 Hradec (J. U.). Cynips caput-medusae Hartig, ac. fr. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Les ZoocÉcipiES DE LA BOHÊME à 103 Col. B.: Dans les environs de Hlubok: près de Ceské Budejovice, 23. VIII. 1904 ca et là (Em. B.). Quercus sp. Comme il n’y a qu un morceau d’ écorce dans la collection, il est impossible d’ indiquer I’ espèce de chêne. Andricus gemmatus Adler — corticis (L.). PI. ti. (A. corticis): Col. U.: Strebes près de Kralové Hradec, vers 1895 (J. U.). Fagus silvatica L. Mikiola fagi (Hartig), pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Les alentours de Kralové Hradec, surtout le bois de Novy Hradec (V. UZEL et J. U.). Col. M.: Le bois au-dessous de « Obora » près de Krälovice près de Plzen, 10. VII. 1909 (F. M.) Col. B.: Blansky les à Sumava, 25. VIII. 1904 (Em. B.).— Plöckenstein à Sumava, 27. VIII. 1904 (Em. B.). Les alentours de Jicin (Em. B.): Bradlec, 1904 abondant, 8. VIII. 1907, 30. VII et 26. VIII. 1908 fréquent.— Rochers de Prachov, 31. VII. 1905 fréquent, 6. VIII. 1907 ca et là, 23. VII. 1909 rare.— Tesin au-dessus de Zeleznice, 10. VIII. et 5.IX. 1905.— Dans les bois entre Särovä Lhota et Konecch- lum, 9. IX. 1908. Les alentours de Turnov (Em. B.): Au-dessous de Trosky, 15. VIII. 1905 abon- dant.— A Kozäkov, 23. VII. 1907 nombreux.— Près de Prihrazy au-dessous de Muzsky, 3. VIII. 1907. Oligotrophus annulipes (Hartig), pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka « près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. V.: Ceskä Trebovä, VII. 1906 (A. V.). Col. M.: La faisanderie de Osek près de Rokycany (F. M.). Col. B.: Blansky les à Sumava, 25. VIII. 1904 (Em. B.).— Les environs de Jicin (Em. B.): Rochers de Prachov, 31. VII. 1904 et 6. VIII. 1907. — Tesin au-dessus de Zeleznice, 14. IX. 1904, 10. VIII. et 5. IX. 1905 fréquent. Le bocage au-dessous de Bradlee près de Soberaz, 9. IX. 1906.— Bradlec, 8. VIII. 1907 abondant, 26. VIII. 1908 fréquent.— Les bois entre Särovä Lhota et Koneechlum , 9. IX. 1908 assez rare. hot = PE à ovr rn eet UE rs DÉS RITI PRE 104 É. Baver Les ruines Trosky près de Turnov, 15. VII. 1905 et 2. IX. 1906 (Em. B.,.— Près de Prihrazy an-dessons de Muzsky près de Mnichovo Hradiste, 3. VIII 1907 abondant (Em. B). Cecidomyidarum sp.?, pl. fe. = nro. 1156 dans l'oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies d. Plantes ete. » Col. V.: Cesk4 Trebovä, VII. 1906 (A. V.). Eriophyes stenaspis (Nal.), pl. fe. — Legnon cirenmseriptum Bremi. Col. B.: Les alentours de Jicin (EM. B.): Rochers de Prachov, 6. VIII. 1907. — Bradlec, 26. VIII. 1908. — Kyje an-dessons de Tabor, 29. VIII. 1908. — Les bois entre Särovä Lhota et Koneechlum, 9. IX. 1908 rare. Eriophyes nervisequus (Canest.), pl. fe.= Erineum nervisequum Kunze. Col. B.— Hlubokä près de Darko dans le pays montnenx de Bohéme-Moravie, 13. VII. 1907 (Em. B.). — Près de Prihrazy an-dessons de Muzsky pres de Mnichovo Hradiste , 3. VIII. 1907 (Em. B.). — Rochers de Prachov près de Jicin, 8. IX. 1908 et 23. VII. 1909 rare (Em. B.). — Les bois entre Särovä Lhota et Konecchlnm près de Jicin, 9. IX. 190% par endroits abon- dant (Em. B.). Juglans regia L. Eriophyes tristriatus (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon bifrons Bremi. Col. U.: A Nebozizek à Pragne, 2. X. 1904 (J. U.). Col. B.: Brada près de Jicin, 10. VIII. 1905 (Em. B.). — Soberaz près de Jiein , 8. VIII. 1907 assez nombrenx (Em. B.). — Prachov près de Jieîn, VII. 1909 rare (Em. B.). — Horni Lochov près de Jicîn, 19. et 30. VII. 1909 rare (Em. B.). Eriophyes tristriatus (Nal.) var. erinea Nal., pl. fe. = Erinenm juglan- dinum Pers. = Phyllerium juglandis Rab. Col. B.: Dans les jardins à Jiein et dans ses environs commun (Em. B.). Ulmus glabra Mill. Oligotrophus leméei Kieffer, pl. fe. Col. M. R. B.: « Honstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jiein, 24. VI. 1906 (0. HEINDLOVA), 8. VII. 1906 (Em. B.j.-— Rozdalovice, 21. VIII. 1907 rare (Em. B.). Eriophyes filiformis (Nal.), pl. fe. Col, B.: Rozdalovice, 21. VIII. 1907 (Em. B.). (continua) Die Besiedlung neuer Wirtspflonzen durch die Gollmilben. Von Prof. A. NALEPA in Wien. Durch ihre parasitische Lebensweise sind die Gallmilben in ihrer individuellen Existenz im hohen Grade vom dem Leben ihrer Wirts- pflanze abhingig geworden. Darin liegt eine Gefahr für die Erhal- tung der Art; die Besiedlung neuer Nährpflanzen ist daher im Leben der Gallmilben von grösster Bedeutung. Den Gallmilben, die weder als Larven noch als ausgebildete Tiere für weite Wanderungen gerüstet sind, ist die Besiedlung neuer Wirtspflanzen und das Eindringen in neue Wohngebiete durch aktive Wanderung äusserst erschwert, ja, vielfach unmöglich gemacht, wie- wohl ihre Beweglichkeit keineswegs so unbedeutend ist, als man anzunehmen geneigt wäre (1); sie ist vollkommen ausreichend , um bei diehtem Stand und niedrigem Wuchs der Nährpflanzen — günstige Boden- und Witterungsverhältnisse vorausgesetzt — den unmittelba- ren Übergang der Parasiten von einer Pflanze zur anderen mit Hilfe der eigenen Bewegungsorgane zu bewerkstelligen. Die Ausbreitung der Gallmilben von einem Infektionszentrum aus wird daher durch Pflanzen, welche sich durch grosse Individuenzahl auszeichnen, mit Vorliebe dichte Bestände bilden oder gesellig leben, besonders be- giinstigt. Immer sind es jedoch kleine Entfernungen, die der Parasit durch aktive Wanderung zu bezwingen vermag: die Höhe des Stammes, die Breite des Weges sind für ihn, wie der aufmerk- same Beobachter lange weiss, bereits unbezwingliche Hindernisse. Die Besiedlung neuer Nährpflanzen in entfernten Wohngebieten ist aus diesem Grunde nur durch passive Wanderung, durch Übertragung, möglich. (1) Die Glockenblumen - Gallmilbe (Eriophyes Schmardai Nal.) durchmisst auf einem horizontal liegenden Papierblatt in einer Minnte eine Strecke von durch- schnittlich 12 mm, d. i. ungefähr das Fünfzigfache ihrer Körperlänge mit der Ge- schwindigkeit eines marschierenden Soldaten, der in 12 Min, 1 km zurücklegt. 8 106 A. NALEPA Das Auftreten ausgedehnter Gallenkolonien in den Baumkronen scheint für die Annahme einer Übertragung unter Vermittlung flie- vender Kerfe zu sprechen (1). In neuerer Zeit treten WARBURTON und EMBLETON, nachdem sie sich anfangs gegen diesen Übertragungs- modus ablehnend verhielten , für denselben ein, indem sie auf ihre 3eobachtung hinweisen, dass sich Gallmilben an Insekten anzuhän- gen pflegen , wenn sie auf ihren Wanderungen mit solchen zusam- mentreffen (2). Nun ist leicht einzusehen, dass nur jene Milben Aus- sicht haben, auf entfernte Nährpflanzen zu gelangen, die fliegende Insekten und zwar solche, die in irgendeiner Beziehung zu derselben stehen, als Träger wählen. Da nieht anzunehmen ist, dass die Milben unter den sich darbietenden Transportmitteln eine Auswahl treffen , so könnte es immer nur eine verschwindend kleine Zahl sein, die zufällig ihr Ziel erreicht. Käme fliegenden Kerfen tatsächlich die Haupt- rolle als Vermittler der Infektion zu, wie wäre es dann möglich, dass Bäume, die viele Jahre Nachbarn eines gallentragenden Artgenossen sind. nicht schon längst infiziert worden sind ? Soweit heute die Beobachtungen an unseren Waldbäumen reichen, spielt bei der Übertragung der Gallmilben auf räumlich entfernte Nährpflanzen der Wind eine hervorragende Rolle. Hettige Windstösse reissen im Sommer das gallentragende Laub von den Zweigen und führen es weit fort, bis es beim Nachlassen des Windes oder beim Zusammentreffen mit Hindernissen niederfällt und im Windschatten liegen bleibt. Umgeben von der schützenden Galle können ihre Bewohner tagelang den schädlichen Witterungs- einfliissen und allen Fährlichkeiten einer weiten Luftreise trotzen. Sobald die auf dem Boden herumliegenden Blätter zu vertrocknen beginnen, verlassen die Milben in Schaaren die Gallen und wandern ziellos nach allen Richtungen. Viele gehen bei diesen Wanderungen zu grunde und nur eine kleine Zahl erreicht ihr Ziel: sie gelangen auf passende Nährpflanzen und werden Gründerinnen neuer Kolonien, die wiederum neue Infektionszentren bilden, von denen aus die Ausbreitung weiterschreitet. (1) NALEPA, Anat. d. Phytopten in: Sitzber. Akad. Wiss. Wien 1887, v. 96, p. 159. (2) WARBURTON & EMBLETON, The Life - History of the Black - Currant Gall- Mite in: Linnean Soc. Journ. Zool. 1902, v. 28. p. 369. SR rene BE ur gl Mat | te a, + 40 ET AA ii fi thee REIN Er, Sete eos ESS a = ++ n a sa A ~~ a = è F fat 4 va - ; : > = > = . = = n M ‘vas > + BESIEDLUNG DURCH DIE GALLMILBEN 107 Das Vordringen einer Art wird sich um so rascher vollziehen, je individuenreicher und verbreiteter ihre Nährpflanze im Gebiete und je grösser die Zahl der Substrate ist, auf welchen sie zu leben ver- mag. Ausserdem kann die Bodengestaltung die Übertragung dureh den Wind sehr begünstigen und den Zufall auf ein Minimum ein- schränken. Es darf nicht übersehen werden, dass die in einer Ge- gend vorherrschende Windriehtung in der Regel eine bleibende Verbindung zwischen den Mutterpflanzen und ihren Sämlingen schafft, welche die Ausbreitung der Gallmilben ausserordentlich zu fördern im stande ist. Örtliche Ver- hältnisse wehren vielfach den Winden, die mitgeführten Blätter und Samen, die beim Nachlassen des Windes zu Boden gefallen sind, weg- zublasen und weiterzutragen. Im Laufe der Jahre entwickeln sich an solchen windgeschützten Örtlichkeiten, an Hecken, Zäunen, Berg- lehnen, in Gräben, Mulden u. dgl., aus den Samen, den die Herbst- stürme aus der Ferne dahin brachten, dichte Bestände von Sämlingen und jungen Pflanzen ; heftige Gewitterstürme im Sommer bringen an dieselben Örtlichkeiten das von den Zweigen der Bäume gerissene Laub und lagern es zwischen den jungen Stimmchen ab. Samen und Laub stammen gar oft von denselben Bäumen; dadurch wird die Wahrscheiniiehkeit, dass der Parasit seine Wirtsptlanze erreicht, ausserordentlich gesteigert. In der Tat haben durch Jahre tortgesetzte Beobachtungen zur Erkenntnis geführt, dass sehr allgemein die Infektion der Sämlinge durch das gallentra- gende Laub der Mutterbäume erfolgt; sie haben aber auch unzweifelhaft dargetan, dass die Bäume nicht als Hochstämme durch Vermittlung fliegender Kerfe, sondern bereits zu einer Zeit, wo sie noch niedrige, glattrindige Stämmcehen waren, von den Gall- milben besiedelt worden sind, die vom Boden her einwaaderten und zumeist aus den Gallen der Samenbäume stammten: die Gallen- kolonien in den Kronen alter Bäume sind da- her in den meisten Fällen kaum weniger alt als diese; ihr Ursprung reicht bis in die ersten Lebensjahre ihrer Träger zurück. Eine Infektion der Bäume in späterem Alter ist selten einwand- frei nachweisbar und überhaupt nur unter ganz besonders günstigen Umständen möglich, so z. B. durch gallentragende Zweige, die in die Krone eines Nachbarbaumes derselben oder einer nahe verwand- 108 A. NALEPA ten Art ragen, durch Stammausschläge nahe am Boden, endlich durch Aste, die bis zum Boden herabreichen. Für die Ausbreitung der Gallmilben der Nutz- und Ziergewächse sorgt nicht selten unbedacht der Mensch, indem er die zur Vermeh- rung derselben bestimmten Augen, Reiser, Stecklinge und Ableger von infizierten Mutterpflanzen nimmt. Diesem Umstand ist die starke Verbreitung der Filzkrankheit des Weinstockes, der Pockenkrankheit der Birnbaums, der Knospenverbildung von Ribes nigrum IL. und Syringa vulgaris L., des « Wirrzopfes » der Salix babylonica L. u. a. zuzuschreiben. Über die Verbreitung der Gallmilben, welche auf krantigen Pflanzen leben, liegen Beobachtungen nicht vor; wahrscheinlich spielt auch hier der Wind eine grosse Rolle. Es ist ganz gut denkbar, dass Milben, welche sich während ihrer Wanderungen gerade auf unter- liegenden Blättern, Rindenstücken und ähnlicher Bodenstreu befin- den, von Winden mit diesen weggeblasen werden; aber auch die Möglichkeit, dass von Stiirmen gallentragende Teile einer Pflanze abgerissen , ja, ganze Pflanzen vom Boden getrennt und fortgeführt werden, ist nicht ausgeschlossen. Gewiss ist es keine zufällige Er- scheinung, dass an Orten, wo bei Stürmen grosse Mengen von Laub und Bodenstreu zusammengetragen werden, wie in Mulden, an Zäu- nen, Waldrändern , im Hochgebirge zwischen Felsblöcken gallentra- gende Pflanzen häufiger zu finden sind als im offenen Gelände. Zahlose Gallmilben unterliegen Jahr für Jahr auf ihren Wande- rungen der Ungunst der Verhältnisse und nur wenigen gelingt es, auf eine andere Nährpflanze zu gelangen. Da die Ausbreitung nicht durch Eier, sondern zum allergrössten Teil durch geschlechtsreife Weibehen erfolgt, die auf andere Nährpflanzen übersiedeln, so ist für die Erhaltung der Art die Entwicklung einer möglichst grossen Zahl von Eiern zu geschlechtsreifen Tieren von grösster Bedeutung. Die Grundbedingung hiezu ist durch den ausgiebigen Brutschutz gegeben , den die Gallen ihren Erzeugern gewähren : er drückt die Verniehtungsziffer auf ein Minimum herab, so dass bei einigermassen günstigen Verhältnissen die Vermehrungsziffer der Adultenziffer (PLA- TE) gleichkommt, er ermöglicht anderseits eine starke Verkür- zung der ontogenetischen Entwieklung und damit indirekt eine Steigerung der Fadividuenzahl während einer Fort- ptlanzungsperiode. Ein weiteres, für die multiplikative Vermehrung bedeutungsvolles Moment ist der Überschuss an weibli- = u. BESIEDLUNG DURCH DIE GALLMILBEN - 109 chen Geburten. Die Zahl der Männchen in einer Galle ist verschwindend klein; sie beträgt im Durchschnitt kaum mehr als 2-3 °/,, nur in vereinzelten Fällen begegnet man einer grösseren Zahl. Dieses Missverhältnis zwischen beiden Geschlechtern, welches die Bedentung des männlichen Geschlechtes zu Gunsten des eipro- duzierenden weiblichen Geschlechtes immer mehr zurückdrängt, muss schliesslich zur Parthenogenesis führen; ob eine solche fakultativ nicht schon besteht, kann zurzeit weder bejaht noch verneint werden. Wien, im Mai 1910. SULLA POSSIBILITÀ di uno omologio coulinare nelle galle prosoplastiche. Nota preliminare di A. TROTTER Il Prof. E. KÜSTER in un recentissimo lavoro (1), adattando allo studio delle galle aleuni concetti tratti dall’istologia dei tumori x animali, chiarisce più largamente Vl opportunità, già da lui fuggevol- mente accennata in una precedente pubblicazione (2), di dividere anche le galle, in due grandi categorie naturali, e cioè, allo stesso modo dei tumori, in organoidi ed istioidi. Galle organoidi son quelle derivanti da una evidente trasformazione di organi ben definiti (le galle fiorali del Copium Teu- erii, i germogli deformati dalla Livia juncorum), oppure costituite da una neoformazione di organi (le galle della Mayetiola Poae), o intine quelle risultanti da una atrofia dei germogli (Rhabdophaga rosaria, ete.) (1) Erx. KÜSTER, Ueber organoide Gallen, Biologische Centralblatt, Bd. XXX, 1910, pp. 116-128. (2) ErN. KÜSTER, Ueber zwei organoide Gallen: Die Wiederholung blattrandartiger Strukturen auf Blattspreiten, Marcellia v. V, 1906, pp. 44-48, 110 A. TROTTER o da una iperproduzione di organi, come gli « scopazzi » (Taphrina), ete. Tutte queste varie sorta di galle dal lato istologico si mostrano co- me punto od assai poco differenziate dai tessuti normali, e costitui- scono in via principale quell’ insieme di tessuti patologici per i quali il KÜSTER stesso ebbe a proporre il nome di ipoplasie (1). Le galle istioidi si differenziano invece dalle organoidi per essere costituite da tessuti determinanti una galla la quale non si presta a comparazioni morfologiche con gli organi normali della pianta. Il KÜSTER suddivide questa grande categoria di galle in due gruppi: galle cataplastiche e galle prosoplasti- che. Le prime, di forma non sempre ben determinata, di dimensioni variabili, di costituzione istologica più semplice, posseggono tessuti i quali si prestano ad un diretto confronto con i tessuti normali dai quali esse derivano (galle di Heterodera radicicola, Trioza Lauri etc.). Le altre invece posseggono una forma costante, dimensioni limitata- mente variabili, una struttura interna altamente differenziata ed ele- menti talora mancanti alla pianta ospite; sono perciò produzioni ben distinte, ben limitate nel loro sviluppo, delle vere neoformazioni , quasi organi appendicolari della pianta, se si volesse conservare, ma con altra interpetrazione, il concetto degli antichi naturalisti sul significato morfologico delle galle (galle di molte Cynips, Dryophanta, Nematus, Rhodites, ete., inoltre di Cecidomie, di molti Acari e Rincoti). Mi sono sembrate necessarie queste premesse, cioè queste no- zioni di organogenia ed istologia generale delle galle, affinchè abbia a risultare ben chiara l ipotesi che fra poco esporrò. Le galle cataplastiche, per essere dotate di tessuti aventi una evidente corrispondenza coi tessuti normali dell’ organo, sul quale si trovano largamente e fortemente innestate, per mancare d’ ordinario di una propria simmetria d’acereseimento, mentre conservano quella dell’organo tutore, escono dalla nostra trattazione e perciò parmi non richieggano una ulteriore discussione. Non così le galle prosoplastiche, aventi forme e tessuti alta- (1) Erx. Küster, Pathologische Pflanzenanatomie, G. Fischer Jena 1903, p. 21. OMOLOGIA CAULINARE NELLE GALLE * 111 mente differenziati ed una simmetria d’accrescimento d’ordinario lor propria e diversa da quella dell’ organo tutore. Tali galle, sieno esse rameali, fogliari o di qualsiasi altro organo della pianta, traggono origine non da un tessuto o da gruppi di tessuti già più o meno dif- ferenziati, ma dovunque da elementi meristemali, il plaste ma gallare, come BEIJERINCK ebbe a chiamarlo. In segnito ad una attiva moltiplicazione di tale plastema e successiva sua differen- ziazione, si organizza una galla la quale possiede, d’ ordinario, una struttura anatomica ed una coordinazione di tessuti del tutto diversa da quella esistente nell’organo generatore, 0 tale per lo meno da non renderne immediatamente afferrabile alcuna evidente corrispondenza. In rapporto ad un taie singolarissimo tipo di galle conviene, io crederei, proporci un quesito: se cioè la loro organizzazione sia davvero accidentale, uscente del tutto da una qualunque legge organogenetica, da un qualunque piano di struttura proprio al vegetale, o se piuttosto esse pure non sieno passibili di una qualche interpretazione omolo- gica. In altre parole pur essendo tali galle, secondo le precedenti de- tinizioni ed il concetto di KÜSTER, delle vere galle istioidi, non sareb- bero esse pure, per quanto lontanamente, delle galle organoidi ? La soluzione positiva di una tale ipotesi, parmi sarebbe destinata a fornire in molti casi una più facile interpretazione della genesi e della struttura, così misteriosa e singolare, di molti prosoplasmi. Riser- bandomi una più completa illustrazione di questa mia ipotesi in un lavoro in preparazione, sull’ istologia generale delle galle, mi limito ad accennarne quanto basta per una preliminare discussione. Accenno, solo di passaggio, alla comparazione già istituita da taluni naturalisti tra le galle ed i frutti, comparazione la quale parmi, anche nell’ in- tenzione di coloro che V anno affacciata, debba essere più biologica che morfologica. Di fatti, tra le galle ed i frutti, così variabili e per- ciò così poco schematizzabili nella loro struttura, non vi ha possibi- lità di alcuna comparazione la quale possa dirsi veramente omologica. Io ritengo invece che le galle istioidi prosoplastiche, qualunque ne sia la forma e la sede, possano trovare la loro omologia in una struttura caulinare. Perciò nell’ istogenesi dei prosoplasmi, i plastemi iniziali tenderebbero ad evolversi e differenziarsi in una struttura caulinare sui generis. Questa ipotesi, che, per quanto mi consta, non fu mai affacciata da alcuno, troverebbe il suo appoggio nei seguenti fatti, anche a non voler tener conto del concetto aprioristico che in nna deviazione di l be. TE tr A. TROTTER ; 4 sviluppo, ed in una così forte proliferazione qual’ è quella che da origine alla galla, non dovrebbero i tessuti non organizzarsi in un qualche cosa che non rientri nelle possibilità organogenetiche del vegetale : 1.) Non può di-conoscersi come in moltissimi prosoplasmi esistono una struttura ed una disposizione istologica paragonabili a quelle del fusto e cioè, a cominciare dall’ esterno : a. un tessuto tegumentale , b. un parenchima sottoposto, sull’inizio clorofilligero, c. una zona va- scolare, d. un parenchima centrale amilifero, che tien luogo del mi- dollo e dei raggi midollari, parenchima occupato dalla larva; cosiche in ultima analisi, stando all’ipotesi, una galla prosoplastica sarebbe paragonabile ad una galla caulinare di tipo midollare. 2.) Tale omologia caulinare riesce più evidente ed intuitiva al lorchè i prosoplasmi traggono origine dagli apici vegetativi, nel qual ‘aso V omologia caulinare pare debba essere fuori di disenssione. Le salle di Synophrus politus ce ne offrono un perspicuo esempio. L’ omologia caulinare esiste però anche nelle galle prosoplasti che le più indipendenti dai tessuti generatori, e cioè in molte galle laterali dei fusti e nelle stesse galle nascenti dalle foglie. Quest’ ul- time possono avere, malgrado la loro sede, una struttura concordante con quella dei prosoplasmi delle gemme. I prosoplasmi fogliari si accostano poi tanto più alla struttura caulinare per quanto più si generano a spese delle nervature maggiori, e tanto più se ne allon- tanano per quanto più divengono, nella loro sede e nella loro origine, parenchimatiche. 3.) Una stessa specie di galla conserva la sua struttura istolo- gica qualunque sia V organo dal quale trae origine. Quindi la sua ontogenesi è indipendente dalla natura dell’ organo ma obbedisce ad un fatto più generale. 4.) La stessa possibilità che hanno le foglie di esser sede di galle organoidi è anche istruttiva per il nostro assunto. Ricordiamo Il’ esem- pio delle galle fogliari di Zriophyes Fraxini, ma sopratutto quello of- fertoci dalle galle gemmiformi di Andricus Targionii (1). Quindi, po (1) Cfr. TROTTER A., Illustrazione di alcune galle cinesi ete., Marcellia v. VII, 1908, p. 98, tav. fig. 12-13-14. | ~ OMOLOGIA CAULINARE NELLE GALLE ._ - 113 tendo le foglie, sotto uno stimolo particolare, generare altre foglie, o meglio ancora una gemma, si intuisce la possibilità di generare an- che un caule. 5.) Varie galle prosoplastiche si mostrano capaci di produrre (normalmente, o talora solo accidentalmente) degli organi i quali non sogliono svilupparsi di regola che da un fusto. E questo il caso di talune galle di Rhodites (Rh. rosae, Rh. mayri, Rh. rosarum ete.) pro- ducenti spine o foglie alla ioro superticie. Interessantissimo il feno- meno offertoei dalle galle del Nematus gallarum, le quali sono prov- viste non solo di lenticelle, ma sono capaci, se messe in condi- zioni propizie di umidità, di generare anche delle radici! Possiamo quindi concludere, in via preliminare, che un tessuto qualsiasi, divenendo sede di un processo cecidogenetico, che s’ inizia con la formazione di nuove cellule meristemali atipiche, può generare un organo anormale, ad accrescimento chinso, non indefinito ma de- tinito, cioè una galla prosoplastica, la quale, sia dal lato anatomico che da quello fisiologico, trova il suo riscontro nella struttura e nella capacità funzionale del fusto. 114 A. TROTTER Le cognizioni cecidologiche e teratologiche di ULISSE ALDROVANDI e della suo Scuola. +. + I meriti botanici di ULISSE ALDROVANDI (1549 - 1605), lunga- mente ignorati, furono messi in chiara luce solo in questi ultimi anni, all’ approssimarsi od in coincidenza delle feste per il terzo Centenario dalla sua morte (1). I ben noti e ponderosi volumi delle sue opere a stampa lo ave. vano dimostrato uno zoologo geniale (2), 0 meglio un naturalista eclet- tico, un insigne erudito, esempio non raro ai suoi tempi. Le sue cogni zioni botaniche malamente invece apparivano attraverso due soltanto delle sue Opere, per di più pubblicate dopo la sua morte, e cioè: Monstrorum Historia, a cura di BART. AMBROSINI, e Dendrologia , cattivo rifacimento del MONTALBANO. Le sue più ampie cognizioni, i suoi meriti reali nella botanica, le sue idee originali in questo campo, più chiaramente deduconsi dallo studio delle sue Opere tut- t’ ora inedite, dalla Syntazis plantarum, dalla Zconographia plantarum, infine dal suo ingente Erbario, del quale solo i tre primi volumi eb- bero sin qui un’ accurata illustrazione, a merito dei professori O. MATTIROLO (I vol.) e G. B. DE Toni (II-IIl vol.) * * * tiferendomi anzitutto a quanto solo è contenuto nelle due Opere postume sopra citate, può affermarsi che PALDROVANDI abbia seritto (1) Cnfr. FRATI L., GHIGI A., SORBELLI A., Catalogo dei manoscritti di Ulisse Aldrovandi (Bologna, Zanichelli 1907).— MATTIROLO O., L’ opera botanica di Ulisse Aldrovandi (Bologna, Merlani 1897). — BaLpaccr A., DE TONI E. ete., Intorno alla vita ed alle opere di Ulisse Aldrovandi (Bologna, Beltrami 5907).— Onoranze a Ulisse Aldrovandi nel terzo centenario dalla sua morte celebrate in Bologna (Imola, Galeati 1908). (2) ANDRES A., / meriti zoologici di Ulisse Aldrovandi che fu il più grande 200- logo del Rinascimento (Atti Congr. Soc, it. Progresso Se. Parma 1907, ULISSE ALDROVANDI E LA SUA SCUOLA « 115 il primo e per il tempo più completo capitolo di teratologia vegetale. Per di più corredato da numerose figure le quali illustrano quasi tutti i casi teratologiei a lui noti, molti da lui stesso raccolti ed in gran parte conservati, forse tra gli oggetti naturali del suo famoso Museo, ma in maggior copia, come vedremo, nel suo prezioso Erbario. Tale capitolo, contenuto nella Monstrorum Historia, è sfuggito all’ osservazione dei botanici e dei biografi, o quanto mai non ne fu sufficientemente rilevato l interesse seientifico e storico; tanto che tale opera, oltre mancare all’ antico e copioso Catal. Biblioth. Jos. Banks del DRYANDER (v. III Londini 1797), ai nostri giorni non fu citata nè da PRITZEL (Thesaurus ete. 1872), nè da PENZIG, che pur riunì nella sua PAanzen-Teratologie (1594) una bibliografia «opiosis- sima (1) nella quale figura il solo MONTALBANO con il suo Hortus botanographicus (1660). In passato fu solo eitata dall’ HALLER (Biblio theca botanica, an. 1771 p. 405) che VP accompagno con questo sem- plicissimo cenno: « In historia monstrorum Bonon. 1642. fol. multae plantae fasciatae aliisque modis monstrosae dipinguutur ». Sarebbe egli giusto, sol perchè vi fu nell opera Monstrorum Historia un illogico e favoloso rimaneggiamento, togliere all? ALDRO- VANDI il merito di aver compiuto tra i primi osservazioni originali di teratologia vegetale, mentre queste stesse osservazioni, come cer- cherò di dimostrare, trovano una larga documentazione e nell’ Zcono- graphia plantarum e nei volumi di quel famoso Erbario che scienti- ficamente e senza discussione gli appartiene ? Non riescirà quindi inutile, io credo, a comodità degli studiosi e per meglio mettere in evidenza V importanza storica delle osserva- zioni aldrovandiane, offrire una compendiosa analisi delle osservazioni teratologiche ed anche cecidologiche da lui fatte, col riscontro , fin che sarà possibile, del materiale da lui raccolto e tuttora conservato nel suo Erbario. Sarà la migliore documentazione della parte da lui avuta nella redazione di quel Capitolo botanico nell’ Opera Monstro- rum Historia. Ed a cid molto mi giovarono le illustrazioni già sta - pate dei tre primi volumi dell’ Erbario, ma sopratutto vari interes- santi appunti gentilmente comunicatimi dal Prof. G. B. DE TONI, (1) Ne richiamò opportunamente V attenzione il Prof. G. B. De Toxt, qualche anno addietro nella « Malpighia » (vol. XX, 1906, p. 303: Ricordi di Teratologia vegetale nelle opere aldrovandiane). M AIT OA : % * 116 A, TROTTER cosi benemerito degli studi aldrovandiani e ch’egli trasse dall’esame dei restanti fascicoli dell’ Erbario. Nella Monstrorum Historia (1) noi troviamo riunito il maggior numero di notizie e rappresentazioni teratologiche, le quali io verrò enumerando, non secondo |’ ordine del testo, ma secondo le loro mag- giori affinità : MOSTRUOSITÀ DEGLI ORGANI FIORALI Brassica monstrosa, p. 666. Monstrificum spicarum quiusdam culmus, p. 667 fig. II. Urtica monstrosa, p. 679 fig. III. Bellis major flore monstroso, p. 699 fig. XVII [è nn Lencanthemum vulgare ad infio- rescenze deformate] Rosa monstrosa, p. 696 fig. XV [virescenze fiorali in piante di Rosa; nel tomo XIII f. 117 dell’ Erbario sono rappresentati due ramoscelli assai danneggiati con la seguente epigrafe: « Rosa flore supra florem insidente ». Ranunculus polyanthemus multiflorus Lobellij monstrificus, p. 700 fig. XVIII; Erb. t. XIV f. 114* contiene una foglia e fiori accompagnati dalla segnente dicitura: « Ranuneulus duplex bulbosus florem e flore emittens. Ranunculus magnus an- gliens polyanthos Lobell. ». Aquilina monstrosissima, p. 700 fig. XIX [è Aquilegia vulgaris]. Amellus belgicus monstrificus, p. 703 fig. XX. FASCIAZIONI, TALORA COMPLICATE DALLO SVILUPPO DI NUMEROSI FIORI Intubum sylvestre caule monstroso, nempe lato et compresso, p. 682 fig. V [fasciazione di Cichorium Intybus. La stessa mostruosità figurata nell’ Iconographia plan- tarum t. III, piccolo, f. 105 ed accompagnata dalla seguente dieitura: « Intybus sylvestris caule lato compresso et monstrifico ». Hieracium monstrificum, p. 684 fig. VI [fasciazione accompagnata dalla presenza di molti fiori, in ? Crepis]. (1) Mi riferisco all’ Ed. del 1642 (p. 663 Cap. XII). PLUS ULISSE ALDROVANDI E LA SUA SCUOLA 117 Genista monstrifica, p. 685 fig. VII; Erb. t. XIV f. 186° offre un esemplare di « Genista caule lato monstrifico » [fasciazione di Spartium junceum). Leucoium luteum sylrestre, caule lato compresso et contorto , p. 687 fig. VIII ; Ico- nographia plantarum t. IV, grande, f. 304: « Lencoinm sylvestre flora Inteo caule monstrifico lato compresso » [fasciazione di Erysimum lanceolatum]. Tragopogon canle latissimo, p. 688 fig. IX: Iconographi . plantarum t. X, piccolo, f. 176: « Tragopogon monstrifienm canle lato »; Erb. t. XV f.66: un esem- plare con eaule fasciato, assai deteriorato, accompagnato dalla epigrafe, « Trago- pogon seu barba hirci caule lato monstrifico ». Tithymalus cupressinus monstrosum , p. 689 fig. X [fasciazione di Euphorbia Cypa- rissias]. Medium Matthioli caule lato et monstroso , p. 690 fig. XI (fusto di Campanula Me- dium, contorto alla base, ipertrotizzato e fasciato]. — Questa stessa deformazione è forse anche rappresentata nell’ Erbario dove al t. XV f. 10! è contenuto un « Rapunculus caule lato monstrifico ». E così nei manoscritti inediti aldrovan- diani n. 106 (Observationes variae) t. XIV a €. 27 è ricordato: « Medium flore albo monstrif. anuo MIOXC [mato nell’ horto publico a Bologna]. Hune in ta- bella lignea atramento pingi curavimus ». Anchusa purpurascens figura ventilabri, p. 692 fig. XII; lconographia plantarum t. IV, grande, f. 307: « Anchusa onoclea, coerulea, monstrifica instar venti- labri » [? Anchusa tinctoria]. Anchusa caule monstroso purpurascentibus floribus, p. 693 fig. XIII ; lconographia plantarum t. X, piccolo. f. 53, « Anchusa monstrifico caule lato compresso, floribus purpurascentibus ». Non è improbabile che tale mostrnosità sia quella stessa pervenuta all’ALpro- VANDI dai dintorni di Cesena, inviatagli da GIOAN FRANCESCO BUDI, come rilevasi da una lettera inedita direttagli da quest’ ultimo, il 22 giugno 1572 , segnalatami recentemente dal Prof. G. B. DE ToxI che la rinvenne tra i manoseritti aldrovan- diani (38, t. IV p. 298). Ne riporto il passo allusivo : «....Cirea il fusto mostrnoso mandatole, intorno ’1 quale ricerca il mio parere, Le dico (rimettendomi però al suo giudizio) che lo credo fusto d’ Anchusa, et lo chiamo TÉPATAVADUTOY componendo questa voce da TEAC , che significa mostro , et Zyyover. che altro non rileva, chè Anchusa, come la sà benissimo, e che sia d’Anchusa non dubbito punto havendo considerato chè in ogni parte le corrisponde benissimo ; però lo potrà fare dipingere con fiori d’ Anchusa, ho cercato haverne un’ altro simile ma la Natura nelli altri ha ritrovato la materia così obbediente alle sne operazioni, che gl’ è parso inconveniente, partendosi dal primo suo intento, fare cosa fuori di specie. Fu trovata dietro il nostro fiume, et in un gran cespo questo solo se ne stava nel mezzo maggiore di tutti li altri fusti, secondo mi vien detto da colui, che lo mi portò ; questo è quanto al Mostro mandatole ». Lycopsis caule latissimo, p. 614 fig. XIV; Erb. t. XII f. 197: un caule fasciato con la dicitura « Lycopsis canle latissimo et compresso ». x 118 A. Trorrer Martagon monstrificum quinquaginta florum , p. 617 t. XVI [fasciazione di Lilium Martagon). Fructus monstrificus Cardui fullonis satiri, p. 704 fig. XXI. DEFORMAZIONI FOGLIARI Amygdali folia monstrifica, p. 677-678 fig. II. Mali Assyri folium monstrificum, cum folio legitimo Mechoacani, p. 681 tig. IV [Pru- nus Armeniaca). Moly folium monstrificum, p. 693 [Allium]. Numerose «deformazioni dei frutti sono poi descritte e figurate dalle pag. 705 alla 715, riferibili a piante di Fava, Noccinolo, Noce, Pomacee, Agrumi, Onenrbitacee. Però la sola impronta di un « Ci- trium monstrifienm » trovasi nell’ Erbario al t. XIV f. 171$. Tra le mostruosità, | ALDROVANDI riproduce nella sua Opera anche : Monstrificum frumentum in arboribus natum, p. 664-665 fig. I [è questa molto pro- babilmente la prima rappresentazione fignrata di nna pianta arboricola]. Monstrosa uva barbis insignita, p. 666, fig. III a p. 668 [trattasi senza aleun dnb- bio di un caso di Cuscuta su grappoli d’ nva]. In molto minor numero sono le osservazioni teratologiche con- tenute nella Dendrologia (1). Di nuovo, oltre una quasi precisa ripe- izione delle mostruosità degli alberi f iferi, specialmente agrumi tizione dell t tà degli all fruttiferi, cialmente agru (p. 513 et seq.), contenute nell’ Opera precedente, non vi sono che gli ascidii fogliari dell’ Olmo, rappresentati anche da una figura alla p. 83. Non pochi altri nuovi casi teratologici sono invece contenuti nel- Erbario aldrovandiano. Già nel III voi. illustrato dal DE TONI vi è (1) Dendrologiae libri dno, Bononiae Ferroni 1668. ULISSE ALDROVANDI E LA SUA SCUOLA 119 contenuta la ben nota fasciazione della Celosia cristata, che di nuovo viene rappresentata anche nel t. IX f. 15 da un esemplare ben con- servato, con fiori, e con la dicitura: « Amarantus ex Creta, lato caule ». Gli altri fatti teratologici inediti, perchè contenuti nei tomi sue- cessivi dell’ Erbario e segnalatimi dal Prof. DE TONI, sono i seguenti : Amellus flandricus monstrificus, t. XII f. 195 [un canle fasciato]. Primula veris seu Paralyticae flore ex quo alter erumpit, t. XIV f. 1145 [però foglie e fiori in cattivo stato di conservazione]. Bellis minor monstrifico caule, t. XIV f. 293.” Allium ursinum monstrificum caule candido, t. XV f. 32! [un esemplare completo ma con infiorescenza in pessimo stato]. Esso è anche rappresentato nella già citata Iconographia plantarum, t. X, piccolo, a e. 161 ed accompagnato da un’ identica epigrafe. Osiris sive Linaria lato caule monstrifico, t. XV f. 135 [un esemplare con caule fa- sciato]. Alcuni altri nuovi casi teratologici, oltre i già ricordati a suo luogo, sono figurati nella Zconographia plantarum e precisamente i seguenti : Ocymoides ruber monstrificus n. 1. Ocymoides flore albo monstrifica ac tumore praeter naturam laborans n. 2., t. III, grande, e. 113. Cotini ramus in summo planus et in modum pastoralis..... eircumflexus, t. IV, grande c. 227. Bellis minor flore purpureo flosculos cum suis cuuliculis emittens, t. X, piccolo, a e. 142. Bellis major Plinii monstrifico caule, t. X, piccolo, a ce. 170. Minore è invece il numero delle osservazioni cecidologiche repe- ribili nelle opere aldrovandiane; in taluni casi anzi, evidenti deforma- zioni parassitarie, mal interpretate, furono ritenute quali semplici mostruosità. Del resto non può non tenersi conto che nel secolo XVI, i concetti sulla natura delle galle erano tuttora confusi, e probabil- mente lo stesso ALDROVANDI accoglieva Videa del MATTIOLI e di altri ALA ni ? \ e aa À 120 naturalisti di quel tempo. che cioè le galle quereine ad esempio fossero una naturale appendice della pianta allo stesso modo delle foglie e dei frutti, tanto vero che nell’opera Dendrologia se ne parla al Cap. « Foecunditas et proliticatio ». Tale ignoranza dei rapporti causali tra galle ed insetti spiega come ALDROVANDI nella sua opera magistrale De Insectis non ab- bia in alenn modo ricordato le galle, neppure nel Capitolo « De Plan- tarum verminibus » (Lib. VI Cap. IV), le quali invece non mancano mai di essere ricordate nelle antiche opere generali entomologiche , posteriori però a quella dell’ ALDROVANDI. Comunque tra i casi teratologici più sopra citati, contenuti nella Monstrorum Historia, sono da ritenersi probabilmente quali deforma- zioni d’origine parassitaria le fasciazioni di Cichorium Intybus (? elmin- tocecidio), di ? Crepis (? ditterocecidio), di Spartium junceum (? Eriophyes Spartii); inoltre le deformazioni fogliari del Mandorlo (? micocecidio, ? rincotocecidio). Maggiori e più interessanti notizie troviamo invece nella Dendro- logia (p. 153 e p. 205). Dell’ utilità pratica di talune specie fa cenno brevemente alla pag. 182: « Gallam ipsam, serive, Querens suppedi- tat pro Atramento, et pro Arte fallonia ad Sapientiam ipsam deli- neandam per Chartas atque ad modestiam pingendam super lanas »; mentre la loro grande variabilità morfologica è ricordata alla p. 165 riconoseendone i segnenti tipi: « Tuberosas, Tubereulatas, Fungosas, Capitatas, Sessiles, Gallericulatas, Angulosas, Cornutas, Radiatas , Echinatas, Aquosas, Gemmeas, tam foliis infixas, quam Ribeis modo pendentes a ramis, Umbiliculatas, Coronatas, Grandes, Minimas, Ba- lanomorpheas, Radicales ete. ». Non è però sempre agevole stabilire quanto in quest’ Opera spetti all’ ALDROVANDI e quanto al MONTALBANO. Ad esempio, alle pagine 220-221 trovasi una lettera del Prof. G. D. CASSINI (1) diretta real (1) Secondo mi comunica il Prof. P. A. SACCARDO questo CASSINI è il celebre Giov. DOMENICO (n. a Perinaldo 1625 m. a Parigi nel 1712) che dalla Universita di Bologna passò a Parigi direttore di quella specola astronomica nella quale compì Domandedicambi,indirizzi, domande e risposte diverse, etc. Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’in- teresse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia. Schedae ad « Cecidothecam italicam » (1902-1909) Auctore A, TROTTER ene e ERA MM. les Cécidologues, non abonnés à « Cecidotheca italica » de TROTTER A. et CECCONI G., désireux cependant d’assurer à leur Bibliothèque les « Schedae » (avec bibliographie, observations ete.) qui illustrent cette Colleetion — dont le prix pour les 20 fascicules (500 numéros) publiés jusqu’ ici est de 200 fr..— pourront s’ adresser à l’ Auteur, Prof. A. TROTTER, qui expédiera franco la Série com- plete des 500 « Schedae », avec préfaces, index double etc., contre mandat-poste de 10 fr.s — Numéros spécimen sur demande. M. HOUARD, désirant publier prochainement un Supplément à ses « Zoocécidies des Plantes d'Europe et du Bassin de la Méditerra- née », recevra avec reconnaissance toutes les corrections et additions que voudront bien lui envoyer les Cécidologues. M. HoUARD se permet de faire remarquer que l’ Index bibliographique du to- me II ne contient, à dessein, que les travaux des Auteurs cités dans le texte du Catalogue. Cet Index, avec ses treize cents numéros bibliographiques, n’ a nulle- ment la prétention de constituer une Bibliographie complète des galles d’ Europe, qui comporterait certainement plus de trois mille fiches. C. HOUARD, Docteur-es-Sciences 12. rue Cuvier Paris 5.° RIVISTA INTERNAZIONALE DI CECIDOLOGIA- reattore: rror. A. TROTTER (AVELLINO) 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle galle e dei produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori originali, di istologia, morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o meno estese. 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno però la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si accettano lavori in inglese, tedesco ed in tutte le lingue delle nazioni latine. 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori, sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore con l’ invio del manoscritto. 4. Le spese per tavole o figure nel testo sono, per ora, a carico degli Autori. 5. Usciranno 6 fascicoli all'anno, complessivamente circa 15 fogli di stampa, possibilmente un fascicolo ogni due ‘mesi, cioè : Febbraio, Aprile, Giugno, Ago- sto, Ottobre, Dicembre. 6. Gli abbonamenti cominciano dal 1° Gennaio e si intendono rinnovati an- che per l’anno successivo, qualora non venga data rinuncia al Redattore entro il mese di Dicembre. 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (= 15 Fr. = 12 Mk. = 12 Sh.) da pagarsi antecipatamente.— Si pregano i Signori Associati esteri di effettuare i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con vaglia cambiarii (chèque). | Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, cambii ecc., rivolgersi al Redattore prof. A. TROTTER, X. Scuola di Viticoltura e di Enologia, Avellino (Italia). 1040400004000 000040000 909 oe 0» 000 0 0 oe TROTTER A. e CECCONI G. — Cecidotheca italica ou Collection de Galles ita- liennes, séchées et préparées, y-compris les formes nuisibles aux plantes agricoles.— Ont paru jusqu’ ici 20 fasc. — 500 espèces — ; le prix de chaque fasc. est de 10 fr. — En préparation fasc. 21°-220.— Pour achats s’adresser- au Prof. A. TROTTER. "MARCEILIA NS RIVISTA: INTERNAZIONALE eee pi (ECIDO[OGIA TROTTER A.— Le cognizioni cecidologi- che e teratologiche di Ulisse Aldro- vandi e della sua Scuola (cont. e fine). A ROGER lo BAYER É.— Les Zoocécidies de la Bohème Pror. Dr. ; (cont. e fine). KUsrer E. — Ueber die Sprossaehnlich- keit der Prosoplasmatischen Gallen. REDATTORE: GREVILLIUS A. Y.— Notizen neber Thy- TERZA sanopterocecidien auf Stellaria media Cyr.. S. graminea L. und Polygonum convolvu- Uor. IX.- An. 1910 lus L. (con fig.). DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN — Fasc IU-U Einige Gallen aus Java. Vierter Bei- trag (con fig., continua). TROTTER A.— Bibliografia e Recensioni. (PUBBLICATI IL 3 DICEMDRE 1910) NALEPA A.— Berichtigung. C2 LPS AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA 1910 CASE RI el eh nn à AUVERTENZE AI COLLA CS BORATO! A fine di render più facile il cOmpito del Redattore si pregano vivamente i Signori Collaboratori, avanti l’invio dei manoscritti, di tenere presenti, nel loro stesso interesse, le seguenti avvertenze : 1. I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rac- comandazione è rivolta în modo speciale ai Signori Collaboratori esteri. 2. Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta; una seconda (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte sieno state di una certa importanza. Ulteriori invii non saranno fatti che dietro richiesta degli interessati. j 3. Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero superiore ai 30, concessi gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l’invio del manoscritto. 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non quando ne sia stato ‘ espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. 5. Per l’ uniformità del giornale si pregano i Signori Collaboratori di attenersi alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza, usandole possibilmente ed uniformemente nei contro indicati casi : carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad PRE es. Cynips coriaria, Fagus silvatica). » MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo; ad es. Lôw, see EI So Fe GIRAUD). » corsivo (per i cecidonti nel testo; ad es. Perrisia affinis, Uro- cystis Anemones). » Spaziato (per i substrati nel testo; ad es. Quercus cocci- fera, Salvia: pratensis). ‘© Der allgemeinen und angewandten Entomologie wie » jedes Heft bee 3 Boges sek | Umfassende jahrliche Sammelreferate nach Finzelgebieten. | Die ganze Literatur erschöpfende Berichte. Ein vielseitiger Anzeigenteil. | Ansichtexemplare versendet ostene Dr Christoph Schroder Schoneberg-Berin = a SIR ITALA a + rt p La var =: 2"; : ‘ x Ot Pete oe LT ie Da AA AR oi Li CI NS ULISSE ALDROVANDI È LA SUA SCUOLA * 121 mente al MONTALBANO, alla quale tu dato il seguente titolo : De successiva generatione seu transformatione animalculorum variorum in pilulis querneis ete.. In essa viene confermato che entro le galle di Quercia s’ incontrano sempre insetti od uova di insetti, che vi su- biscono le loro metamorfosi, ma non è però detto se tali insetti sieno i produttori delle galle ! In modo più particolare troviamo invece descritte, e rappresen- tate anche da figure, le seguenti galle : I. Tumori tubercolari dei rami di Quercia (p. 85) che il MONTALBANO , com’ era sua frequente abitudine, accompagna col seguente distico : Uberio Lignum foetura eviscerat ; istud Cum fructus nequeat, Viscera nuda parit. È questa una deformazione dovuta probabilmente a bacteri, simile a quella della Vite, dell’ Olivo, del Pioppo, e descritta pure da recenti autori. II. Alla pagina 218 una figura rappresenta le galle quercine di Andricus radicis. segnalate anche, ma assai posteriormente, da FABRICIUS (1798) e probabil- mente ignote a MALPIGHI, VALLISNERI ete. III. Alla pagina 219 troviamo invece le altre galle radicali della Quercia prodotte da Biorhiza aptera, deseritte e tigurate posteriormente anche da MALPIGHI (1686). Il MONTALBANO oltre che da una figura le accompagna dalle seguenti indi- cazioni : Rhizostaphidris seu radicalis uva quercina. Autumni noviss. observ. an MDCLXIV. IV. Alla pagina 222 sono riprodotte le galle di Biorhiza terminalis, col nome di Leuconocicis, pur queste solo più tardi di nuovo «descritte e figurate da MAL- PIGHI. Il MONTALBANO le accompagna col seguente distico : Fructificat floretqne simil fidissima Quercus Nonne datorem hilarem diligit ipse Deus ? V. Finalmente, alla stessa pagina 222, troviamo figurate anche le galle di Cynips calicis, queste pure solo posteriormente descritte e figurate dal MALPIGHI. celebrate scoperte. Durante la sua permanenza a Bologna compì un’ escursione sui vicini colli assieme al Signor ERCOLE BUTRIGARI ed ivi osservò « quereus tubera multa, seu globos ramuseulis haerentes , cen poma mespilorum magnitudine et fi- gura cum coronae vestigio ». 9 LIBRAR) NEW YOR BOTANIC. GARDE! 122 A. TROITER Risulta quindi che per le cinque galle quercine qui ricordate , la più antica segnalazione è precisamente quella contenuta nella Dendrologia. Talune galle trovansi poi anche conservate nell’ Erbario aldro- vandiano. Nel volume terzo, illustrato dal Prof. DE TONI, ve ne ha una piccola, sferoidale, dei ramoscelli di Quercia che senza la visione di- retta mi riesce impossibile precisare quale essa sia. Anche nel se- condo volume vi ha un ramoscello di Salix rubra con le galle del Nematus gallarum. Nel t. XI dell’ Erbario, al f. 59, ora mancante, stando ai cata loghi avrebbe dovuto trovarsi « Salvia glandifera. Elelisphacos. Sal- via pomifera Scalig. Salvia gallas producens e galifera ». È certo V interessantissima galla, frequente nella Grecia, Arci- pelago, Creta, studiata anche da recenti autori e dovuta probabil- mente ad una specie ancora non descritta di Aular. Essa è talora abbondantissima, tanto che se ne può raccogliere a sacchi e per certo suo sapore gradevole viene persino mangiata ed alla pianta ospite ha valso il nome specifico, impostole da LINNEO, di Salvia pomifera. Il più antico ricordo di questa galla trovasi in BELLON, Pluri- marum singularium et memorabilium rerum ete. observationes (Antver- piae 1559) che la rinvenne sul monte Ida nell’ isola di Creta. « In illis inter stirpes (vegetales) memoratu dignas, scrive il BELLON, ereseit Salvia poma ferens esui apta, quae rustici legere solent, his- que saccos plenos in proximas urbes venales deferunt. Initio Maij foliis inhaerentia inveniuntur gallarum magnitudine, lanugine obducta duleia, et grati saporis » (Lib. I Cap. XVII p. 41). Non so a quale epoca si possa far risalire il t. XI dell’ Erbario, nè so se il BELLON possa aver fornito all’ ALDROVANDI il materiale contenuto nell’ Erbario. Quanto alla galla più sopra ricordata del Nematus gallarum, debbo accennare com’ essa, assieme a qualche altra specie, si trovi anche in due antichi Erbari della Biblioteca angelica (1532-1550, 0, secondo CHIOVENDA, 1545-1560). Secondo il Prof. PENZIG che ne fece illustrazione (1), questi Erbari sarebbero stati composti da GHE- (1) Contribuzioni alla Storia della Botanica, Genova 1904.— Gli Erbari sono due e le galle contenute sono le seguenti: ERBARIO A, Mikiola Fagi, Pemphigus corni- * ULISSE ALDROVANDI E LA SUA SCUOLA ” 123 RARDO CIBo, mentre secondo il DE TONI e il CHIOVENDA (1), almeno il secondo è da attribuirsi ad altro antore e precisamente al medico viterbese FRANCESCO PETROLLINI. Che poi Vesistenza delle galle di Nematus gallarum , tanto nell’ Erbario ALDROVANDI quanto nell’ Er- bario CrBo, valga a dimostrarne la identità di origine, non lo pen- serei, giacché non trattasi di galla rara o poco frequente ma di una specie assolutamente ovvia; è forse più difficile trovare pianticelle di Salix purpurea che ne sieno prive, piuttosto ehe il trovarnele cari- che. E data una tale condizione può presupporsi che il raccoglitore nell’ imbattersi in piante gallifere di Salix purpurea abbia anzi, per la loro singolarità, preferito raccogliere i ramoscelli galliferi piuttosto gli altri che ne fossero stati sprovvisti. La coincidenza invece di due galle rare 0 poco comuni avrebbe potuto fornire in questo caso un argomento più probativo e perciò più valido. Ed una tale specie di galla parmi potrebbe essere invece la deformazione di Eriophyes Spar- tii, la quale trovasi nell’ ERBARIO II° B, e che nell’ Erbario ALDRO- VANDI (t. XIV f. 186?) è rappresentata da un ramo fasciato ; purchè tale fasciazione abbia realmente i caratteri delle fasciazioni provocate dall’ Zriophyes Spartii e non sia invece d’altra natura, ciò che potrà vagliarsi col diretto confronto dei due esemplari. A E da ritenersi che le osservazioni teratologiche e cecidologiche del? ALDROVANDI, raccolte nelle sue Opere ed il materiale conservato nel suo Erbario e nel suo Museo, abbiano anche per via indiretta tenuta desta VT attenzione dei naturalisti d’ allora sopra un così in- teressante argomento di morfologia vegetale ed abbiano anche influito ad inspirare ricerche analoghe, mantenendo quella continuità di in- dagine che è così necessaria per il progresso del sapere. Ad una tale categoria appartengono senza alcun dubbio i lavori seguenti di AMBROSINI e di MONTALBANO : cularius ; ERBARIO B, Eriophyes Spartii ,. Diplosis mediterranea, Perrisia Ericae-sc0- pariae, Rhodites Rosae, Lonchaea lasiophthalma, Schizoneura lanuginosa, Rhabdophaga rosaria, Nematus viminalis. (1) Vedasene la completa bibliografia in SACCARDO, Cronologia della Flora ital. , Padova, 1909, p. XIX-XX. 124 A. TROTTER AMBROSINI GIACINTO: Novarum plantarum hactenus non seulptarum historia (Bononiae, J. B. Ferronij an. 1657, 36 pp. e fig.) Vi sono descritte e figurate le galle di Neuroterus baccarum dei gattini di Quer- cia; quelle di Pemphigus bursarius o spirothecae sui piecioli di Populus nigra ; inol- tre un caso di virescenza fiorale nei capolini di Yrifolium pratense. Tutte e tre queste deformazioni furono raccolte nel Bolognese. MONTALBANUS OvIDIUS: Hortus botanographicus herbarum ideas et facies etc., (Bononiae 1660, vol. in-16 di 110 pp. con fig.). 100 con fig., ascidii fogliari di Ulmus campestris: « Ulmi folia cucullata » 102 con fig., ascidii fogliari di Citrus: « folium Citri scyphoide » 104-107 con fig., anomalie diverse nei frutti degli agrumi. PES 109 con fig., ramoscello con galle di Biorhiza terminalis: « Leuconocicis quer- cina racemifera floreus ». Raccolto a Farneto. Rammento come varie mostruosità degli agrumi erano già state descritte e fi- gurate nella Menstrorum Historia e che le galle della Biorhiza terminalis erano già state figurate anche nella Dendrologia. MONTALBANUS OVIDIUS : Curae analyticae aliquot naturalium obser- vationum aldrovandicas circa historias etc. (Bononiae 1671, in-4 di 56 pp. con fig.). Alla pag. 5, con fig., troviamo nuovamente riprodo tte delle anomalie nei frutti delle Auranziacee pag. 29, con fig. a pag. 30, ramoscello di Clematis Vitalba con Aecidium Clematidis D.C. accompagnato dal distico : Eruit erncas proprio de Viscere serpens Atragena, nt vigeas ustio tetra diû Questo Micocecidio fn figurato anche da REDI alla tav. II delle sue Esperienze intorno alla generazione de gl’ Insetti. p. 31 con fig., ramoscello di Rubus con le galle di Diastrophus Rubi ed il distico : Non erit egreginm nune lactatura stuporem Fert ubi pro spinis Ubera mille Rosa ? pp. 34-35 e 43-44, anomalie nei frutti di noci e noccinole p. 45, galla di Biorhiza terminalis accompagnata dal distico : Aera per liquidum volitantia femina QUTOV Incerti Patris dixeris esse Genus 3 7. "o ULISSE ALDROVANDI E LA SUA SCUOLA 125 p. 48 con tig., Tilia europea con le galle ceratoneiformi dell’ Zriophyes Tiliae, la cui forma suggerì al MONTALBANO il distico : Arboris erripias totum Eole, Physica Virtus Una tibi clavis clauditur innumeris p. 48, con fig., gli ascidii fogliari di Ulmus già illustrati nella Dendrologia e nel- V Hortus botanographicus, ma qui con il distico : Arborea haec facies sinuosis plurima gyris Ignotum foliis edocet esse nihil. E che i lavori sopra citati possano rappresentare una perspicua emanazione dell’ influenza aldrovandiana lo si può anche dedurre dalla comparazione di varie incisioni. E noto che i disegni e le silografie già allestite dal? ALDROVANDI erano in numero grandissimo (1), nè tutte forse erano state utilizzate con la stampa delle sue opere po- stume, le cui figure con ogni probabilità dovevano esser quelle lasciate dall ALDROVANDI e non aggiunte da coloro che ne avevano curata la stampa. Ora nelle due operette qui analizzate del MONTALBANO troviamo evidentemente molte figure le quali sono perfettamente identiche a quelle della Dendrologia e perciò con quasi certezza ricavate dagli stessi clichés xilografici, la cui esecuzione è probabile sia stata prece- dentemente curata dall’ ALDROVANDI. Tali figure, per quanto riguarda gli argomenti terato-cecidologici, mi risultano essere le seguenti : Curae analyticae , p. 6 prima figura = fig. 4* p. 83 e 2? p. 515 in Dendrologia. Hortus botanographicus, p. 102 = » 1” p. 513 in Dendrologia » » p. 105 AZIO do » » » P24108 Ss RR DIT aces » » » Pero = p. 487 » » » p. 109 = > JD ae » * : * Dall’ insieme dei fatti qui riportati e delle osservazioni poste a suo luogo può dedursi che lo studio delle galle, dal semplice empi- (1) efr. MATTIROLO 1. e., p. 78. 126 A. TROTTER rismo degli serittori greci e latini, continuatosi nei medievali (AL- BERTO MAGNO) e in taluni anche del Rinascimento (MATTIOLI), entra con |) ALDROVANDI nella sua prima e vera fase scientifica ; studio che doveva sol pochi anni dopo, con il MALPIGHI, acquistare una vera antonomia, e per la fama di lui imperitura una dignità storica quale ben pochi temi botanici di recente specializzazione possono vantare 1’ eguale. E lo studio delle galle e dei fatti teratologici in generale dal. l’empirismo era passato alla scienza allorehè i naturalisti si erano proposti per la prima volta il quesito della vera natura di questi organi peculiari; da quando cioè, a cominciare dalla Scuola di LUCA GHINI, |’ organogratia vegetale era entrata essa pure nella sua fase scientifica e l’interpretazione degli organi, nei primi passi della mor- fologia e della sistematica, diveniva una reale necessità di progresso scientifico. Non è senza interesse, per la storia della Scienza, il notare ad esempio che quel R. J. CAMERARIO, che con il BOBART divide lo- nore d’ aver scoperta la sessualità del fiore, include la sua Orazione De Quercuum gallis, quasi appendice, nel suo lavoro De seru planta- rum epistola (Tubinga 1694). Ed anzi, appoggiandosi esclusivamente alle geniali osservazioni del nostro MALPIGHI, nega contro la suppo- sizione di molti dotti d’ allora, in occasione di un enorme sviluppo di galle di Neuroterus baccarum sui gattini di Quercia, la possibilità nelle piante di una naturale trasformazione morfologica degli organi riproduttori, quale era nata alla loro mente nel constatare la rasso- miglianza di queste galle con le bacche di Ribes. Eravamo ancora in un periodo di transizione, ed il concetto della natura parassitaria delle galle, e quindi il loro significato morfologico, non erano ancora entrati a far parte del patrimonio universale della Scienza. Questo passo gigantesco nel cammino del sapere Vl’ aveva fatto e nel modo più completo il nostro grande MALPIGHI. Wa a 2 2 N en 127 LES ZOOCECIDIES DE LA BOHEME par EMILE BAYER à Brno (Moravie) (seguito) Tetraneura ulmi (Degeer), pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Chuchle près de Prague, 25. V. et 12. IX. 1904 (J. U.). — Zavist près de Prague; 6. VII. 1904 (J. U.). Col. M.: Le pare à Mirosovy près de Rokyeany, 9. VIII. 1908 (F. M. sur la va- riété aux feuilles rayées de blanc.). Col. B.: Les alentours de Jicin : Le bocage de Popovice, VIII. 1904 et 1. IX. 1908 en foule (Em. B.).-— La faisanderie de Libosad, 12. VII. et 21. VIII. 1905 en immense quantité (Em. B.), 24. VI. 1906 (O. HEınpLova), 6. VII. 1906 les branches toutes déformées (Em. B.).— Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 (Em. B.). -- Libosad , 23. VIII. 1908, très fré- quent (EM. B.).— Près de Rybnicek au-dessous de Brada, 6. IX. 1908 en foule (Em. B.). Hlinsko, 13. VIII. 1907 assez nombreux (Em. B.).—Kläster nad Jizerou, 1. VITI. 1908 rarement (Em. B.). — Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 fré- quent (Em. B.).— Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Schizoneura ulmi (L.), pl. fe. Col. U.: Chuchle près de Prague, 28. V. 1904 (J. U.). Col. B.: Les alentours de Jicin: La faisanderie de Libosad, 12. VIII. 1905 (Em. B.), 24. VI. 1906 (O. HxINDLOVA). — Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905 (Em. B.). — Le bocage de Popovice, 1. IX. 1908 en foule (Em. B.,.— Près de Rybnicek au-dessous de Brada, 6. IX. 1908 fréquent (Em. B.). Hlinsko , 13. VII. 1907 fréquent (Em. B.). — Le pare de Havlicek à Krälovské Vinohrady 1. VIII. 1907 assez nombreux (EM. B.). —Kläster nad Jizerou, 1. VIII. 1907 rarement (Em. B.). — Mnichovo Hradiste, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Schizoneura lanuginosa Hartig, pl. fe. Col. U.: Krälove Hradec , 1904 (J. U.). — Mala Chuchle près de Prague, 12. IX. 1904 (J. U,). Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 12. et 18. VII. et 21. VIII. 1905 (Em. B.), 24. VI. 1906 (0. HrixDLOVA), 8. VII. 1906 (Em. B.).— Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Em. B.). 128 È. BAYER Eriophyes ulmicola Nal. (= Er. ulmi Nal. 1890, non Garman 1852), pl. fe. Col. U.: Le pare à Dobris, 6. VI. 1904 (0. BoHxTINSKy). — Krälové Hradec, dans les pares, 26. VII. 1904 (J. U.). — Zävist près de Prague, 24. IX. 1904 (Ben): Ulmus montana With. Tetraneura ulmi (Degeer), pl. fe. Col. M.: Stählavy près de Rokycany, 15. VII. 1909 (F. M.). Col. B.: Tyniste, 31. VII. et 14. IX. 1909 fréquent (Em. B.). Schizoneura ulmi (L.), pl. fe. Col. B.: Orlik au-dessus de la Vltava, 29. V. 1906 (A. BAvEr).— Tyniste, 31. VII et 14. IX. 1909 fréquent (Em. B). Ulmus effusa Willd. Eriophyes brevipunctatus (Nal.), pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » pres de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. M.: « Studeny dul » pres de Bukovee pres de Plzen, 13. VI. 1903 (F. M.).— « Häj » pres de Bukovee pres de Plzen, 9. VI. 1906 (F. M.). Col. B.: Près de V étang « Knize » à Jiein, VIII. 1904 et 30. VII. 1908 assez fréquent (EM. B.). — Kadlin pres de Mseno, 26. VIII. 1906 nombreux (J. REZNA). Colopha compressa (Koch), pl. fe. Col. U.: Zävist’ près de Prague, 24. IX. 1904 «J. U.). Col. B.: Près de l’étang « Knize » à Jiein, VII. 1905 ct 30. VII. 1908 (Em. B.). -- La faisanderie de Libosad près de Jiein, (4. VII. 1905 (Em. B.). Urtica dioica L. Perrisia urticae (Perris), pl. fe. Col. U.: Stvanice à Prague, 14. VI. 1904 (J. U.). Col. B.: Des jardins à Jicîn, VIII. 1904 et 1905, VII. 1906, VIII. 1909 commun (Em. B.). — Près de l’ étang « Knize » à Jicin, 7. VIII. 1906 fréquent (Em. B.).— Libosad près de Jiein, 25. VILL. 1906 (Em. B.).— Blatna, 31. VII. 1907 très fréquent (J. REZNA).— La vallée Plakänky près de Sobetka, 8. IX. 1907 commun (EM. B.). va LES ZOOCKCIDIES DE LA BOHEME 129 Chenopodium album L. Aphis atriplicis L., pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad et la prairie au-dessous de Sibenäk près de Jicin, 8. VII. 1906 (Em. B.).— Ostromèr et Chocen, 15. 1X. 1908 fréquent (Em. B.).— Tynistè, 31. VII. et 14. IX. 1909 partout fréquent (EM. B.).-- Entre Ostromèr et Sobsice près de Jicin, 31. VII. 1909 commun (Em. B.). Les alentours de Jicin, VII. 1909 commun (Em. B.). Rumex obtusifolius L. Aphis rumicis L., pl. fe. Col. B.: La chasse de Béla au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). - Val- dice près de Jicin, 30. VII. 1908 (Em. B.).-- Près de 1’ étang « Knize » à Jicin, en été de 1908 (Em. B.). Polygonum persicaria L. Perrisia persicariae (L.), pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad, près de Jicin, 9. VIII. 1906 fréquent (Em. B.). Près de |’ étang « Knize » à Jicin, 14. VIII. 1906 abondant (EM. B.).— Dans les fossés des prairies au-dessous de Sibenak près de Jicin, 26. VII. 1907 très fréquent (Em. B.). — Blatna, 31. VII. 1907 fréquent (J. REZNA). Des prairies près de Radim, Tuzin et Nova Paka, 16. VIII. 1906 partont fréquent (EM. B.). — Des fussés de champs au-dessous de Privysina près de Jicin, 25. VII. 1909 fréquent (Em. B.). Polygonum amphibium L. Perrisia persicariae (L.), pl. fe. Col. M.: Des marais de champs près de Korunni Porici près de Prestice, 10. VI. 1906 (F. M.). Col. B.: Les bords de l’ étang « Knize » à Jicin, 12. VII. 1905 (Em. B.). — Le fossé de prairie au-dessous de Brada près de Jiein, 1. IX. 1905 (Em. B.). Les bords de l étang « Darko » dans le pays montueux de Bohème-Mo- ravie, 13 VII. 1907 fréquent (Em. B.). Euphorbia cyparissias L. Perrisia capsulae Kietfer, ac. ti. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Perrisia subpatula (Bremi), ac. ti. Col. B.: Kyje au-dessous de Tabor près de Jiein, 29. VIII. 1908 (Em. B.). 130 É. BAYER Perrisia capitigena (Bremi), ac. ti. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?, (L. DUDA). Col. V.: Ceska Trebovä, VIII. 1906 (A. V.). Col. B.: Les alentours de Jicin : A Zebin, 1904-1909 toujours abondant (EM. B.). Rochers de Prachov, 31. VII. 1905 (Em. B.).— Les remparts « valy » pres de Cesov, 4. VIII. 1905 (Em. B.). — Loreta, 26. VIII. 1905 (Em. B.). — Tèsin au-dessus de Zeleznice, 1. VII. 1906 (0. HeinpLOVA) et 17. VIII. 1907 très fréquent (Em. B.).— La prairie au-dessons de Sibenak, 8. VII. 1906 fréquent (Em. B.). Poricany , 6. VIII. 1906 (Em. B.). — Kozakov près de Turnov, 23. VIII. 1907 portont très abondant (Em. B.).— Klaster nad Jizerou et la chasse de Béla au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). Buxus sempervirens L. Psylla buri L., ac. ti. Col. B.: Dans les jardins à Jicin, tonjours abondant (EM. B.). Papaver dubium L. Aulax papaveris Perris, ac. fr. Col. B.: La rive de la Strela près de Chyze près de Zlutice, 1. VII. 1906 (F. M). Turritis glabra L. Aphidae (sp.?), ac. ti. et fi. = nro 2697, p. 471. dans VT’ oeuvre de HOUARD : « Les Zoocécidies des Plantes etc. ». Col. B.: Un chemin creux sur la pente au-dessus de la Mze près de Krasov, 16. VII. 1906 (F. M.;.— Le taillis sur la côte au-dessus l’ étang de Kornatice près de Rokycany, 15. VII. 1909 (F. M.). Sinapis arvensis L. Ceuthorhynchus contractus Marsh., pl. ra. Col. U.: « Bohéme », 2. VI. 1905 (VITEK). Viola tricolor L. Perrisia violae (Fr. Low), ac. ti. Col. B.: Au-dessons des rnin«s du châtean Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.). — Jarosov à Jicin, 9. IX. 1905 (A. BAYER). — Entre Ostromer et Horice, 1. IX. 1906 fréquent (A. BAYER).— Des jardins à Jicin, 3. IX. 1907 (Em. B.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÈME © 131 Hypericum perforatum L. Perrisia serotina (Winn.), ac. ti. Col. B.: La chasse de Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 partout nombreux (EM. B.). — Tèsin au-dessus de Zeleznice près de Jicin, 17. VIII. 1907 fréquent (EM. B.). — Privysina près de Jicin, 31. VIII. 1907 nombreux (EM. B.). Tilia parvifolia Ehrh. Eriophyes tiliae (Pagenst.) var. liosoma (Nal.), pl. fe. a. Erineum s. Phyllerium nervale Kunze : Coi. U.: Krälove Hradec, 22. V. 1904 (J. U.).-- Stèchovice sur la Vltava, 2. VI. 1904 (B. BOHUTINSKA). Col. M.: La forêt près de Bukovee près de Plzen, 25. V. t901 (F. M.). - Une pente boisée près de Korunni Porici près de Prestice, 10. VI. 1906 rare (F. M.).— Zäbelä près de Plzen (F. M.). Col. B.: Loreta près de Jicin, 26. VIII. 1905 (Em. B.). — “ b. Erineum tiliaceum Pers. = Phyllerium tiliaceum Fr.: Col. U.: Le parc à Dobris, 22. V. et 4. VIII. 1904 (B. BOHUTINSKA).— Stechovice sur la Vitava, 2. VI. 1904 (B. BOHUTINSKA).— Bubenc à Prague, 27. V. 1904 (J. U.). — Kralové Hradec, 2. XI. 1903 et 22. V. 1904 (J. U.). — Stromovka à Prague, 5. VII. 1904 (J. U.). Col. V.: Zamberk, VIII. 1900 ‘A. V.). Col. M.: Une pente boisèe près de Korunni Porici près de Prestice, 10. VI. 1906 très fréquent, K. M.). Col. B.: Les environs de Jicin (EM. B.): Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905.— Les bocages près de Loreta, 26. VIII. 1905 — La faisan- derie de Libosad, 8. VII. 1906. — I, allée de tilleuls de Jiein à Valdice, 15. VII. 1906. - La forêt de Bradlec près de Zeleznice, 8. VIII. 1907. — Rozdalovice, 21. VIII. 1907.— Libosad, 23. VIII. 1908 ça et là. — Brad- leckä Lhota, 26. VIII. 1907. Zehrov près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 très abondant (Em. B.). Eriophyes tetratrichus (Nal.), pl. fe. = Legnon erispum Bremi — Er. marginale Schlecht. Col. U.: Le pare à Dobris, 6. VI. 5904 (0. BOHUTINSKY). — Cernosice près de Prague, 1. VII. 1905 (J. U.). Col. M.: La forêt près de Bukovee près de Plzen, 25. V. 1909) et 17. VIII. 1909 (F. M.). Col. B.: Libosad près de Jicîn, 22. VIII. 1908 (Em. B.), 1. VIII. 1909 (M. BAYER). 132 É. BAYER Perrisia tiliamvolvens (Rübs.), pl. fe. Col. U.: Petrin à Prague, 21. VI. 1905 (J. U.). — Cernosice près de Prague, 1. VII. 1905 (J. U.). — Novy Vestec près de Stara Boleslav, VIII. 1908 (I. Da) Eriophyidarum sp.? pl. des bractées = nro. 4149, p. 719. dans l’oeu- vre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes etc. » (doit être identique à Legnon erispum ou à Erineum marginale). Col. U.: Nebozizek à Prague, VI. 1905 (J. U.). Eriophyes tiliae (Pagenst.), pl. fe. = Ceratoneon extensum Bremi. Col. U.: Krälové Hradec, 2. XI. 1903 (J. U.). — Le pare à Dobris, 6. XI. 1904 (0. BOHUTINSKY).— Cernosice pres de Pragne, 1. VII. 1905 (J. U.). Col. V.: Zamberk, VIII. 1900 (A. V.). Col. B.: Orlik au-dessus de Vitava, 29. V. 1906 (A. BAYER).— La faisanderie de Libosad près de Jicin, 8. VII. 1906 (Em. B.). — L’ allée de tilleuls de Jicin à Valdice, tous les ans, ga et là (Em. B.). — Blatna, 31. VII. 1907 rare (J. REZNA).— Zehrov près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 rare (Em. B.). — Le bois de Bradlec au-dessus de Zeleznice près de Jicin, 8. VIII. 1907 (Em. B.). — Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 ca et là (EM. B.), 3. VI. 1909 abondant (J. REZNA). Oligotrophus réaumurianus (Fr. Low), pl. fe. Col. U.: Cernosice près de Prague, 1. VII. 1905 (J. U.). Novy Vestec près de Starä Boleslav, VIII. 1908 (J. U.). Col. B.: Cerovka près de Jicin, 22. VIII. 1905 (Em. B.).— La faisanderie de Li- bosad près de Jicin, 8. VII. et 9. VIII. 1906 (Em. B.). — Rozdalovice, 21. VIII. 1907 (Em. B.). Tilia grandifolia Ehrh. Eriophyes tiliae (Pagenst.) var. liosoma (Nal.), pl. fe. == Erineum ti- liaceum Pers. — Phyllerium tiliaceum Fr. Col. U.: Stechovice sur la Vltava, 2. VI. 1904 (B. BOHUTINSKA).— Kralové Hradec, 5. VIII. 1904 (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ouvaly à 1’ est de Prague, VIII. 1905 (J. U.) Col. M.: Une pente près de Korunni Perici près de Prestice, 10. VI. 1906 (F. M.). Col. B.: Zeleznice près de Jicîn et le bois de Bradlec an-dessus de Zeleznice, 30. VII. 1908 partout abondant (Em. B.). Zriophyes tetratrichus (Nal.), pl. fe. = Legnon crispum Bremi. Col. U.: Stechovice sur la Vitava, 2. VI. 1904 (B. BOHUTINSKA). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME x 133 Perrisia tiliamvolvens (Rübs.), pl. fe. Col. U.: Le pare à Dobris, 6. VI. 1904 (0. BOHUTINSKY).— Klamovka à Prague, 15. VI. 1905 (J. U.).— Petrin à Prague, 21. VI. 1905 (J. Ur): Eriophyes tiliae (Pagenst.) var. exilis (Nal.), pl. fe. = Erineum bifrons Lepel. Col. B.: « Pod zämkem » à Jicin, 22. VII. 1907 fréquent (Em. B.). Eriophyes tiliae (Pagenst.), pl. fe. = Ceratoneon extensum Bremi. Col. U.: Des carrières de Strahov près de Prague, 14. V. 1904 (J. U.).— Dobrîs, 6. VI. 1904 (©. BOHUTINSKY). Horice , 5. X. 1904 (exposé à l’ exposition de la Société agricole - industrielle du distriet de Horice). Col. M.: Une pente près de Korunni Porici près de Prestice, 10. VI. 1906 (F. M.). Col. B.: La forêt de Bradlee au-dessus de Zeleznice pres de Jicin, 30. VII. 1908 (EM. B.). Oligotrophus réaumurianus (Fr. Low), pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (lL. Dupa). Col. M.: « Haj » près de Plzen, 3. VII. 1909 (F. M.). Malva rotundifolia Huds. (= vulgaris Fries = neglecta Wallr.) Aphis urticaria Kaltenb., pl. fe. Col. B.: Dans les champs près de Jiein, VIII. 1907 et 1908 pas rare (EM. B.). Malva alcea L. Eriophyes geranii (Canest.), ac. ti. Col. B.: La crête au-dessus de Zdiree près de Blovice, 25. VII. 1909 (F. M.). Silene nutans L. Lita (= Gelechia) cauliginella (Schmid), pl. ti. Col. M. R. B.: Buda près de Mirotice, 29. X. 1900 (BRABENKC). Aphis cucubali Passerini, ac. ti. et fl. Col. B.: Le long de la voie ferrée près de Smecice près de Plzen, 24. VII. 1909 (F. M.). 134 É. BAYER Cerastium arvense L. Trioza cerastii (H. Loew) ac. ti. Col. B.: Bolevec près de Plzen, 1904 (F. M.). - A Kozakov près de Turnoy, 25. VII. 1907 ca et là (Em. B.). Cerastium triviale Link Trioza cerastii (H. Loew), ac. ti. Col. M.: Le long de la route de Prestin à Zelezny Ujezd près de Blovice, 17. VI. 1906 {F. M.). Col. B.: Chlum près de Hlinsko, 13. VII. 1907 (Em. B.). Stellaria holostea L. Brachycolus stellariae (Hardy), pl. fe. Col. B.: Le taillis d’un bois de pins près de Kornatice près de Rokycany, 8. IX. 1909 (F. M.). Rhus cotinus L. Calophya rhois Fr. Low, pl. fe. Col. B.: Pare à Hlubokä près de Ceské Budejovice, 23. VIII. 1904 rare (EM. B.). Contarinia cotini Kieffer, ac. fl. Col. B.: Pare à Hlnbokä près de Ceské Budejovice, 23. VIII. 1904 (Em. B.). Aesculus hippocastanum L. Eriophyes hippocastani (Fockeu), pl. fe. Col. V.: Zamberk, VII. 1996 (A. V.). Col. B.: Belä an - dessous de Bezdez , 2. VIII. 1907 assez nombreux (EM. B.). — Lomnice nad Popelkon, 6. IX. 1907 nombreux (Em. B.). Acer campestre L. Eriophyes macrorhynchus (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon myriadeum Bremi. | Col. M. R. B.: « Honstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Zävist près de Prague, 6. VII. et 24. X. 1904 (J. U.).-- Cernosice près de Prague, 24. VI. 1905 (J. U.), Col. M.: Tuhost’ au-dessus de Mezhori près de Prestice, 10. VI. 1906 (F. M.). Les Z00CÉCIDIES DE LA BOHRME * 135 Col. B.: Ktovä au-dessous de Trosky près de Turnov, 16. VIII. 1904 (Em. B.).-- Tesin au-dessus de Zeleznice , près de Jicin , 10. VIII. 1905 fréquent (Em. B.), 1. VII. 1906 (J. REZNA), 15. VII. 1906 (Em. B.).— Le bois de Bradlee près de Zeleznice, 30. VII. 1908 abondant (Em. B.). Eriophyes macrochelus (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon solitarium Bremi. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUpa). Col. U.: Zävist’ près de Prague, 6. VII. 1904 (J. U.). Col. B.: Tesin au-dessus de Zeleznice près de Jicin, 10. VIII. 1905 (Em. B.), 1. VII. 1906 (J. REZNA), 15. VII. 1906 abondant (EM. B.).— Le bocage de Popovice près de Jicin, 24. IX. 1905 (J. REZNA et O. l[EINDLOvA!. — Privysina près de Jicin, 24. VIII. 1906 nombreux, 19. VII. 1909 fréquent (Em. B.). — Bradlee près de Jicin, 9. IX. 1906, galles seulement sur la base de limbe auprès du pétiole (EM. B.).— Rochers de Prachov près de Jiein, 6. VIII. 1907, galles sur la base de limbe auprès de pétiole (Em. B.). Acer platanoides L. Eriophyes macrochelus (Nal.), pl. fe. = Erineum platanoideum Fries. Col. B.: « Haj » près de Plzen, 3. VII. 1909 (F. M.). Acer pseudoplatanus L. Eriophyes macrochelus (Nal.) var. erinea Trotter, pl. fe. = Erineum purpurascens Girtner. Col. U.: Pare à Dobris, 6. VI. 1904 (O. BOHUTINSKY). Co!. B.: Rochers de Prachov près de Jiein, 31. VII. 1905 rare (Em. B.). Phyllocoptes acericola Nal., pl. fe. = nro. 3975, p. 684 dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes etc. ». Col. U.: « Bohême », 1903. Eriophyidarum sp.?, pl. fe. = Phyllerium pseudoplatani Schmidt = nro. 3977. p. 684 et fig. 983. dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. B.: Rochers de Prachov près de Jiein, 8. IX. 1908 ga et là (EM. B.). (Sur la face supérieure du limbe il n’ y a point de vestige de la bosse ni de la teinte). 136 É. Bayer Jriophyes macrorhynchus (Nal.), pl. fe. = Ceratoneon vulgare Bremi. Col. M. R. B.: « Honstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Bubene à Prague, 27. V: 1904 (J. U.).— Parc è Dobris, 6. VI. 1904 (0. BOHUTINSKY). — Zävist’ près de Prague, 6. VII. et 24. X. 1904 (J. U.). Col. V.i Zamberk, VII. .1900 (A. V.).— Zelezny Brod, VIII. 1901 (A. V.). Col. M.: Hreben au-dessus de Zdirec près de Blovice, 7. VI. 1905 (F. M.).— Presin près de Blovice, 17. VI. 1506 (F. M.). Col. B.: Les remparts « valy » de Cesov près de Jicin, 4. VIII. 1905 (Em. B.).— Loreta près de Jicin, 26. VIII. 1905 (Em. B.).— Pare « Brezina » à Rad- nice, 14. IX. 1905 et 13. IX. 1906 sur la variété aux feuilles rayées de plus clair (F. M.). — Rochers de Prachov près de Jicin, 21. VII. 1907 fréquent (J. REZNA), 6. VIII. 1907 très abondant ; galles très minces et de la même forme que Cephaloneon myriadeum Bremi (Em. B.).—Hlubokä près de |’ étang Darko dans le pays montneux de Bohême - Moravie, 13. VII. 1907 (Em. B.).— Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). Evonymus europaea L. Aphis evonymi Fabr., pl. fe. Col. B.: Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.).— Pare de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Eriophyes convolvens (Nal.), pl. fe. ‚Col. U.: Le bois de Novy Hradec près de Kralové Hradec, 22. V. 1904 (J. U.). Vitis vinifera L. Eriophyes vitis (Landois), pl. fe. = Erineum vitis Fries. Col. U.: Un jardin à Klänovice, 15. VIII. 1905 (J. U.). Rhamnus cathartica L. Trichopsylla walkeri Forster, pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Dans les pares de Petrin à Prague, 21. VI. 1905 (J. U.). Col. M.: Mydlovary près de Bezdruzice, 9. VII. 1907 (F. M.).— La lisière du bois à la rive gauche de la Mze au-dessous de Nemelka près de Touskov, 4. IX. 1909 (F. M.). Col. B.: Le pare à Hlubokä près de Ceské Budèjovice, 23. VIII. 1904 assez fré- quent (Em. B.). Trioza rhamni Schrank, pl. fe. Col. B.: Le pare à Hlubokä près de Ceské Budèjovice , 23. VIII. 1904 très rare (Em. B.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHRME É 137 Eriophyes annulatus (Nal.), pl. fe. = Exineum rhamni Pers. Col. B.: Le pare à Hluboka pres de Ceské Budèjovice, 23. VIII. 1904 rare (Em. B.). Vicia sativa L. Perrisia vieiae Kieffer, pl. fe. Col. B.: Dans les champs entre Zeb'n et Tesin près de Jiein , fréquent (EM. B.). Medicago falcata I. Perrisia ignorata (Wachtl), ac. ti. Col. B.: La prairie au-dessous de Sibenäk près de Jicin, 8. VII. 1906 (EM. B.).— Dans les champs entre Zebin et Tèsin près de Jicin, 15. VII. 1906 (Em. B.). Medicago sativa L. Perrisia sp.2, pl. fe.= nro. 3518., p. 606 dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. B.: Dans les champs entre Zebin et Tesin pres de Jicin, 15. VII. 1906 (EM. B.). Contarinia medicaginis Kieffer, ac. fl. Col. B.: Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 fréquent (EM. B.).— Rozdalovice près de Jicin, 21, VIII. 1907 (Em. B.). Lotus corniculatus L. Contarinia loti (De Geer), ac. fl. Col. U.: Les carrières de Strahov près de Prague, 30. VI. 1904 (J. U.).— Zävist’ près de Prague, 6. VII. 1904 (J. U.). Col. B.: Pribram, 1907 (A. BavEr). — La chasse de Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 ça et là assez fréquent (EM. B.). Genista germanica L. Asphondylia genistae H. Loew, ac. bg. Col. M. R. B:: « Houstka » pres de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Genista tinctoria L. Perrisia genisticola (Fr. Löw), ac. ti. Col. U.: La lisière du bois près de Sestajovice à Vest de Prague, 13. VIII. 1905 (J. ‘U.). 10 138 É. Bayer Col. B.: « Haj « (?) près de Plzen, 1905 (F. M.).— Osek près de Rokyeany , 29. VIII. 1905 (F. M.). Eriophyes genistae (Nal.), ac. bg. Col. B.: Les lands au pied de la montagne « Sv. Krize » près de Stod, 19. VIII. 1900 (F. M.). Cytisus nigricans L. Cecidomyidarum sp. (Perrisia ?), ac. ti. et infl. = nro. 3459. p. 597. dans l’oeuvre de HOUARD : « Les Zoocécidies des Plantes etc. ». Col. B. : Rochers de Prachov et Privysina près de Jiein, 16. VII. 1905 (A. Ba- YER).— Au-dessus du village Prachov près de Jicin. 6. VIII. 1907 et 8. IX. 1908 (Em. B.).— La forêt de Bradlec au-dessus de Zeleznice près de Jicîn, 30. VII. 1908 (Em. B.). — Au pied sud des Rochers de Prachov près de Jicin , 16. et 24. VII. 1909 assez nombreux (Em. B.) Asphondylia sp.?, ac. bg. = nro. 3460., p. 597, dans V oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes etc. ». Col. B.: Au pied sud des Rochers de Prachov près de Jicin, 19. VII. 1909 (Em. B.). * Diptera, pl. fe. = nro. 3474., p. 599., pour Cytisus biflorus L’ Hérit dans l oeuvre de HOUARD : « Les Zoocécidies des Plan- tes etc. ». Col. B.: Au pied sud des Rochers de Prachov près de Jicin, 16. VII. 1909 (Em. B.). Au dedans une larve blanche, hyaline. Onobrychis sativa Lamk. Contarinia onobrychidis Kieffer, ac. fl. Col. B.: Soudn4 près de Jicin, 23. VII. 1907 fréquent (Em. B.).— Dans les champs entre Zebin et Tesin près de Jicin, 17. VIII. 1907 rare (Em. B.). Rosa canina L. Blennocampa pusilla (Klug), pl. fe. Col. B.: Dans les environs de Jicîn ça et là, 1904-1908 (Em. B.). Perrisia rosarum (Hardy), pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Cel. B.: Des jardins à Jicin, 17. VII. 1905, 7. VIII. 1906 très fréquent, et 27. VII. 1907 (Em. B.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME + 139 Les alentours de Jicin, (EM. B.): Zebin, 10. VIII. 1905.— Sibenak, 11. VIII. 1905.— Le bois de Bradlec, 8. VIII. 1907 et 26. VIII. 1908 rare.— Roz- dalovice, 21. VIII. 1907.— La forêt an-dessus de Soberaz, 30. VII. 1908. Les bois près de Nemyceves et Miliceves, 27. VIII. 1908 rare. Au-dessous des ruines du château Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 et 2. IX. 1906 assez fréquent (Em. B.). — Kozäkov près de Turnov, 23. VII. 1907 assez nombreux (Em. B.).—Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Em. B.). Muzsky près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Rhodites rosae L., pl. fe., ac. bg. et ac. fr. = bédégnar. Col. U.: Krälové Hradec (V. UZEL et 1904 J. U.). — Zävist’ près de Prague, 6. VIE 119042 (]:702)- Col. B.: Dans les jardins à Jicin et dans les environs de Jicin (Zebin , Sibenäk , Loreta, les remparts « valy » près de Cesov, Prachov, Trosky, Bradlec), 1903-1909 partout commun (EM. B.).— Poricany, 6. VIII. 1906 (Em. B.). Blatnä, 31. VII. i907 (J. REZNA). — Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Em. B.). — Muzsky près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 abondant (Em. B.). Rhodites mayri Schlechtendal, pl. fe. et ac. fr. Col. U.: Zävist’ près de Prague, 16. IV. 1904 (J. U.). - Col. B.: Chuchle près de Prague, 12. IV. 1900 (Em. B.). — Pribram, VII. 1906 (A. BavER).— Le chasse-gardée de Mankovice près de Kläster nad Jizerou, I VERTE 1907 (Em, B.). Rhodites rosarum Giraud, pl. fe. Col. U.: Krélové Hradec, 3. VII. 1904 (J. U.). Col. B.: Des jardins à Jiein, 17. VII. et 13. VII. 1905, 27. VII. 1907 (Em. B.). Dans les champs près du magasin à poudre militaire à Jicin, 26. VII. 1905 (Em. B.). — Pres de l étang « Knize » à Jicin, 14. VIII. 1906 fréquent (Em. B.). Rhodites eglanteriae Hartig, pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Krälové Hradee (J. U.).— Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Zebin et Tèsin près de Jiein, 10. VIII. 1905 (Em. B.). — Sibenäk près de Jiein, 11. VIII. 1905 (Em. B.).— Au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. V111. 1905 (Em. B.).— Klokoe près de Turnov, 8. IX. 1905 (Em. B.).— Kozäkov près de Turnov, 23. VII. 1907 rare (Em. B.).— Dans les champs près de Prachov près de Jicin, 23. VII. 1909 un à un (Em. B.). 140 É. BAYER Rhodites spinosissimae Giraud, pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Krälové Hradec, 25. XII. 1903 (J. U.). Col. V.: Zelezny Brod, VII. 1901 (A. V.). Col. B.: Alentours de Jicin (EM. B.): Privysina, 16. VII. 1905.— Rochers de Pra- chov, 31. VII. 1905.— Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIIT. 1905. Zebin, 10. VIII. 1905.— Sibenak, 11. VIII. 1905.— Loreta, 27. VIII. 1905 assez nombreux.— Zabinek, 10. IX. 1907 rare. — Le bois de Bradlec, 30. VII. et 26. VIII. 1908 rare.— Kyje au-dessous de Tabor, 29. VIII. 1908. Blansky les à Sumava, 25. VIII. 1904 (Em. B.).—Au-dessous des ruines « Trosky » près de Turnov, 15. VIII. 1905 et 2. IX. 1906 nombreux (Em. B.).— Près de Poricany. 6. VIII. 1906 (Em. B.). Rosa glauca Vill. Perrisia rosarum Hardy, pl. fe. Col. B.: Au-dessous de Kozinec près de Jilemnice, 12. VII. 1905 (Em. B.). Rhodites eglanteriae Hartig, pl. fe. Col. B.: Au-dessous de Kozinec près de Jilemnice, 12. VII. 1905 (Em. B.). Rhodites spinosissimae Giraud, pl. fe. Col. B.: Au-dessous de Kozinec près de Jilemnice, 12. VII. 1905 (Em. B.). Rosa dumetorum Thuill. Blennocampa pusilla (Klug.), pl. fe. Col. B.: Zaly à Krkonose, 28. VII. 1903 (Em. B.). Rhodites spinosissimae Giraud, pl. fe. Col. B.: Zaly à Krkonose, 28. VII. 1903 (Em. B.). Rosa rubiginosa L. Rhodites rosae L., pl. et ac. = hédéguar. Col. B.: Les pépinières de M. Mazänek à Soudnä près de Jicin, VIII. 1908 (Em. B.). Khodites mayri Schlechtendal, pl. fe. Col. B.: Des jardins à Jicîn, VII, 1909 (Em. B.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME 141 Rhodites eglanteriae Hartig, pl. fe. Col. B.: Hreben au-dessus de Zdirec près de Blovice, X. 1904 (F. M.). Rhodites spinosissimae Giraud, pl. fe. Col. B.: Des jardins à Jicin, VII. 1909 (Em. B.). Rosa cinnamomea L. Rhodites eglanteriae Hartig, pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, tous les ans de 1904 à 1908 assez fréquent (Em. B.). *Rhodites rosarum Giraud, pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 12. VIL. 1905 (Em. B.). Rubus caesius L. Diastrophus rubi Hartig, pl. ti. et pl. fe. Col. B.: Libosad près de Jiein, 25. VIII. 1906 toujours à la base des petites bran- ches et sur les pétioles des feuilles près du sol (EM. B.). Lasioptera rubi Heeger, pl. ti. Col. B.: Libosad près de Jicin, 9. VIII. 1906 rare (Em. B.). — Près de Bèla au- dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). Perrisia plicatrix (H. Loew), pl. fe. Col. B.: Bradlee près de Jicin, 26. VIII. 1908 (Em. B.). * Rubus Schleicheri W. et N. Eriophyes gibbosus (Nal.), pl. fe. = Erineum rubeum Pers. = Phylle- rium rubi Fries. Col. B.: Le bois « Pytel » près de Plzen, 13. VI. 1906 (F. M.). Rubus plicatus Weihe (= R. fruticosus autt.). Lasioptera rubi Heeger, pl. ti. Col. B.: Les remparts « valy » de Cesov près de Jicin, 4. VIII. 1905 (Em. B.).— Muzsky près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.). 142 - É. Bayer Rubus idaeus L. Lasioptera rubi Heeger, pl. ti. Col. B.: Des jardins à Jicin, tons les ans 1900-1909 très commun (Em. B. et J. Rezxa).— La vallée Plakänky près de Sobotka, & IX. 1907 (K. ScHMI- DOVA). Rubus saxatilis L. Siphonophora (= Nectarosiphum) rubi Kaltenb., pl. fe. Col. U.: Krälové Hradee (V. UZEL). Col. B.: Au-dessons des ruines du chatean Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.).— Kadlin pres de Mseno, 26. VIII. 1906 (J. Rezxa}.— La chasse de Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). — Strelecsk4 Hura an nord-onest de Jicin, 3. VIII. 1907 (Em. B.). — Rochers de Prachov près de Jicin, 6. VIII. 1907 (Em. B.).— Privysina près de Jicin, 19. VII. 1909 partout dispersé (Em. B.). Rubus sp. Comme on n’ obtient tres sonvent les cécidies de cette plante qu'à une partie dune branche ou feuille morte, sans fleurs, ni fruits, il était impossible de déterminer, dans des cas suivantes, I’ espèce de la ronce. Diastrophus rubi Hartig, pl. ti. Col. U.: Krälove Hradec (V. UZEL et J. U.). Col. B: Privysina pres de Jicin, 24. VIII. 1906 (Em. B.), — Kozi Hura près de Zehun, X. 1907 (envoyé par F. KLAPALEK). Lasioptera rubi Heeger, pl. ti. Col. U.: Le bois de Novy Hradec près de Kräloré Hradec, 1904 (J. U.).— Zavist’ pres de Pragne, 16. IV. 1904 (J. U.). — Le bois entre Bechovice et Ou- valy à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Rochers de Prachov près de Jiein, 1. VIII. 1905 (Em. B.). — Nebäkov au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 fréquent (Em. B.). Kadlîn pres de Mseno, 26. VIII. 1906 (J. REZXA). — Les bois près de Rozdalovice, 21. VIII. 1907 nombrenx (Em. B.).— Libosad près de Jicin, 28. IX. 1908 (J. REZNA). Eriophyes gibbosus (Nal.), pl. fe. = Erineum rubenm Pers. = Phylle- rium rubi Fries. Col. B.: Radec près de Zbiroh, VII. 1907 (F. M.). À, LR LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME * 143 Fragaria vesca L. Phyllocoptes setiger Nal., pl. fe. Col. B.: Velk& Hora près de Karluv Tyn, 9. V. 1909 (A. BAYER). Potentilla argentea L. Diastrophus mayri Reinhard, pl. ti. Col. U.: Sur les fortifications de Krälové Hradec, 1893 (J. U.). Col. B.: Kozinec près de Jilemnice, 12. VII. 1905 (A. BAYER). — Le bocage près de Poricany , 6. VIII. 1906 (Em. B.). — Les remparts entre Prachov et Privysina près de Jicin, 16. VII. 1909 rare (Em. B.). Perrisia potentillae (Wachtl), ac. fl. Col. B.: Blatna, VIII. 1907 (J. REZNA).-- Les remparts entre Prachov et Privysina près de Jicin, 16. VII. 1909 assez fréquent (Em. B.). Geum urbanum L. Eriophyes nudus (Nal.), pl. ti. et fe. = Erineum s. Phyllerium gei Fries. Col. M.: Dans les buissons sur la pente près de la maison du garde - forestier de Pytel près de Plzen, 14. VII. 1909 (F. M.).— Un verger sur la pente près de Racice près de Plzen, 12. VIII. 1909 (F. M.) Poterium sanguisorba L. Eriophyes sanguisorbae (Canest.), pl. ti. et fe. = Erineum poterii DC. Col. B.: Les bords du ruisseau près du moulin de M. Koza près de Zbiroh, J. IX. 1908 (F. M.). Spiraea salicifolia L. Nectarophora (= Macrosiphum) ulmariae (Schrank), pl. fe. et ac. ti. Col. B.: Les marais « blata » de Borkovice près de Treben , 24. VIII. 1905 (A. BAYER). — Sedmihorky près de Turnov, 11. IX. 1907 fréquent (Em. B.). Filipendula ulmaria Maxim. Perrisia pustulans (Riibs.), pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jicin, 8. VII. 1906 rare, 1908 plus fréquent (EM. B.).— Pelesany au-dessous de Valdstyn près de Turnov, 11. IX. 1907 rare (Em. B.). 144 É. BAYER Perrisia ulmariae (Bremi), pl. fe. Col. B.: La faisanderie de Libosad près de Jiefn, 8. VII. et 9. VIII. 1906 fréquent (Em. B.).-— Pelesany au-dessons de Valdstyn près de Turnov, 11. IX. 1907 assez nombreux (EM. B). — Kyje au-dessous de Tabor près de Jicin, 29. VIII. 1908 (Em. B.).— Dans les ravins au-dessous de Krälicky Sneznik, 19. VII. 1906 assez fréquent (EM. B.). Prunus avium L. Myzus cerasi (Fabr.), pl. fe. et ac. ti. Col. B.: Rotstyn, Loktus et Tatobity au-dessous de Kozäkov, pres de Turnov, 23. VII. 1907 fréquent (EM. B.). — Le pare de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.).— Kyie au-dessous de Tabor près de Jicin, 29. VIII. 1908 (Em. B.). Prunus padus L. Eriophyes padi (Nal.), pl. fe. = Ceratoneon attenuatum Bremi. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Jindriehuv. Hradec, 2. IX. 1903 (J. U.). — Krälove Hradec, .9. .V. .1904 (J. U.).— Dobris, 22. V. 1904 (B. BoHUTINSKA) et 6. VI. 1904 (O. BoHU- TINSKY). Col: V.: Zamberk, VII. 1900 (A. V.). Col. M.: Le bois près de Bukovec près de Plzen, 25. V. 1901 (F. M.). Col. B.: Orlik au-dessus de la Vitava, 29. V. 1906 très abondant aux jeunes feuil- les, rare aux plus vieilles; parmi les formes du Ceratoneon sont parse- mées de même des formes globuleuses (Cephaloneon) ; souvent les feuilles entières sont tordues (A. BAYER). - Blatnä, 31. VII. 1907 (J. REZNA). Eriophyes paderineus Nal., pl. fe. = Erineum padinum Duval =, Erin. Padi Rebent. ‘ol. B.: Dobris, 6. VI. 1904 (0. BOHUTINSKY). Eriophyidarum sp.?, pl. fe. = nro. 3316., p. 565. dans I’ oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. V.: Zamberk,..VII. 1900 (A. V.).. Prunus domestica L. Aphis pruni Fabr., pl. fe. Col. B.: Au-dessons de Kozäkov près de Turnov, 23. VII. 1907 fréquent (Em. B.). Valdice près de Jiein, 30. VII. 1908 (Em. B.).— Kamenny Ujezd près de Jicin, 9. IX 1908 surtout frèquent aux petits arbustes bas et sauvageons, et aux pousses des racines (EM. B.). ee LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME 145 Eriophyes similis (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon hypocrateriforme Bre- mi et confluens Bremi. Col. U.: Jardin près de la station Jirna à Vest de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Des jardins à Jicin, 1905-1908 partout fréquent aux différentes espèces de prunes cultivées (EM. B.). — Les alentours de Jiein: Moraveice, 24. IX. 1905 (J. REZNA et O. HEINDLOVA).— Valdice, Tesin et Zeleznice, 15. VII. 1905 (EM. B.).— Libosad et Sibenak, 9. VIII. 1906 fréquent (Em. B.).— Prachov, 3. VIII. 1907 fréquent (Em. B.).— Des jardins à Horni Lochov, 30. VII. 1909 rare (Em. B.). Loktus au-dessous de Kozäkov près de Turnov, 23. VII. 1907 fréquent (Em. B.). Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (Em. B.). Eriophyes padi (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon molle Bremi. Les alentours de Horice (exposé 1904 à l exposition de la « Société agricole et industrielle du district de Horice »). Col. U.: « Bohême » (J. U.). — Kourim, 23. V. 1904 (Li. NADENIK). Col. B.: Moraveice près de Jicin, 24. IX. 1905 (J. REZNA et O. HEINDLOVA). — Des jardins à Horni Lochov près de Jicin, 30. VII. 1909 par endroits assez fréquent (Em. B.). Prunus insititia L. Eriophyes similis (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon hypocrateriforme Bre- mi et confluens Bremi. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 fréquent (AU): Col. B.: Le bocage de Miliceves près de Jicin, 2. IX. 1907 (Em. B.). Eriophyes padi (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon molle Bremi. Col. V.; Zamberk, VIII. 1906 (A. V.). Prunus spinosa L. Eriophyes phloeocoptes (Nal.), pl. ti. Col. U.: Le bois entre Bechovice et Ouvaly, VIII. 1905 (J. U.). Perrisia tortrix (Fr. Löw), pl: fe. Col. B.: Pribram, 29. V. 1906 les bords des feuilles enroulés en haut (A. BAYER), Eriophyes similis (Nal.), pl. fe. = Cephaloneon hypocrateriforme Bre- mi et confluens Bremi. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). 146 É. BAYER Col. U.: Malä Chuchle près de Prague, 12. IX. 1904 (J. U.). — Le bois entre Bèchovice et Ouvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. M.: Hreben au-dessus de Zdirec pres de Blovice, 18. VI. 1904 (F. M.).— Chlum près de Manetin, 1. VII. 1906 (F. M.). — La lisière de la forêt dans la vallée de Tremosnä, 19. VIII. 1909 (F. M.). Col. B.: Le bocage de Popovice près de Jicin, 24. IX. 1905 (J. REZNA et O. HEINDLOVA). — Pribram, 29. V. 1906 (A. BAYER). — Tèsin au-dessus de Zeleznice près de Jicin, 17. VIII. 1907 fréquent (Em. B.).— Rozdalovice, 21. VIII. 1907 (Em. B.).— Le bocage de Miliceves près de Jicin, 2. IX. 1907 (Em. B). Putoniella marsupialis (Fr. Low), pl. fe. Col. B.: Une pente au-dessous de Bila Hora près de Plzen, 18. VI. 1907 (F. M.). Pirus communis L. Epitrimerus piri Nal., pl. fe. Col. U.: Krälové Hradec, 22. V. 1904 (J. U.).— Le parc à Dobris, 4. VIII. 1904 (B. BOHUTINSKA). ; Col. B.: Le bocage près de Rozdalovice, 21. VIII. 1907 (Em. B.). Perrisia piri (Bouché), pl. fe. Col. M.: La forêt près de |’ étang « Kamenny rybnik » près de Bolevec près de Pizen, 13. VIII. 1909 (F. M.). Aphis oxyacanthae Koch. pl. fe. Col. U.: La forêt « Vidrholec » entre Bechovice et Ouvaly à l’est de Prague, 5. IX. 1905 :J. U.). Eriophyes piri (Pagenst.), pl. fe. Col. U.: Kralové Hradec, 3. VII. 1904 (J. U.).— Jeleni prikop à Prague, 21. VIII. 1904 (J. U.).— Jardin à Klänovice, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Le bocage près de Poricany, 6. VIII. 1906 fréquent (Em. B.). — Dans les jardins à Jicin, 7. VIII. 1906 aux poires cultivées commun (Em. B.). — Kyje au-dessous de Tabor près de Jicin, 29. VIII. 1908 (Em. B.). Eriophyidarum sp.?, pl. fe. = Erineum pirinum Pers. = nro. 2873, p. 504, dans l oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plan- tes etc. ». Col. U.: Le bois entre Bechovice et Onvaly à l’est de Prague, VIII. 1905 frèquent (5, a); 4 < — * LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME 147 Pirus malus L. wär . Ca » D Perrisia mali Kieffer, pl. fe. Col. B.: Mantov près de Stod, 23. V. 1906 (F. M.). Aphis mali Fabr., pl. fe. Col. B.: Kläster nad Jizerou, 1. VIII. 1907 (EM. .B.). Eriophyes piri (Pagenst.), pl. fe. Col. U.: La pare à Dobris, 7. VIII. 1904 (B. BOHUTINSKA). Myzoxylus laniger (Hausm.), pl. ra. Col. U.: Le jardin de Troja près de Prague, automue 1903 sur les racines de deux petits arbres de trois ans, dont les branches étaient couvertes de pucerons (J. FORST). Sorbus aucuparia L. Eriophyidarum sp.?, pl. fe. — Erineum sorbeum Pers. = E. aucupa- riae Kunze. Col. U.: Dobris, 6. VI. 1904 (0. BoHUTINSKy). — Le bois de Novy Hradec près de Kralové Hradec, 22. V. 1904 (J. U.). Col. V.: Zamberk, VIII. 1900 (A. V.). Col. B.: Au-dessus de Zaly à Krkonose, 28. VII. 1903 (Em. B.). Eriophyes piri (Pagenst.), pl. fe. Col. U.: Jablonné nad Orlici, 15. VIII. 1903 (J. U.).— Zavist’ près de Prague, 9. VII. 1904 (J. U.). Col. B.: Près de Lomnice nad Popelkou, 6. IX. 1907 (Em. B.). Aphis sorbi Kaltenb., ac. ti. Col. V.: Ceskä Trebova, VIII. 1906 (A. V.). Col. B.: Les bords de l’étang Darko dans le pays montueux de Bohême-Moravie, 13. VII. 1907 fréquent (Em. B.).— Près de Hlinsko, 13. VII. 1907 abon- dant (Em. B.).— Autour de Kozäkov et Rotstyn près de Turnov, 23. VII. 1907 partout assez nombreux (EM. B.). — Le parc de ville à Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 fréquent (EM. B.). — Kost’ près de Sobotka, 3. VIII. 1907 assez fréquent (EM. B.).— Lomnice nad Popelkou, 6. IX. 1907 par endroits abondant (Em. B.). — Privysina près de Jicin, 6. IX. 1908 ça et là (Em. B.). 148 É. Bayer Sorbus torminalis Crantz. Eriophyidarum sp.?, pl. fe. = Erineum (nro. 2904., p. 508., dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. U.: Cernosice près de Prague, 1. VII. 1905 (J. U.) Eriophyes piri (Pagenst.), pl. fe. Col. U.: Zävist près de Prague, 9. VII. 1904 (J. U.:. Crataegus oxyacantha L. Aphis oryacanthae Koch, pl. fe. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. B.: Pres de l’ étang « Knize » à Jiein, 16. VII. 1905 (Em. B.). — Rochers de Prachov à Jicin, 30. VII. 1905 fréquent (Em. B.). — Muzsky près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.).— Bradlec près de Jicin, 26. VIII. 1908 (Em. B.).— Kyje au-dessous de Tabor près de Jicin, 29. VIII. 1908 pas rare (Em. B. . Eriophyes goniothorax (Nal.), pl. fe. = Erineum clandestinum Grév. — E. oxyacanthae Pers. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Perrisia crataegi (Winn.), ac. ti. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. U.: Cernosice près de Prague, 24. VI.-1905 (J. U.). — Le bois entre Bècho- vice et Ouvaly, à l’est de Prague, VIII. 1905 (J. U.), Col. V.: Zamberk, VII. et VIII. 1900 (A. V.). Col. B.: Les digues de l’étang « Knize » à Jicin, 1904-:909 toujours très abondant (Em. B.).— Au-dessous de Zebfu près de Jicin, 10. VIII. 1905 (Em. B.).— La faisanderie de Libosad près de Jicin, 21. VIII. 1905 (Em. B.).— Lo- reta près de Jicin, 26. VIII. 1905 (Em. B.).— Bèl4 au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.).— Le parc de ville à Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.). — Le bois de Miliceves près de Jicin, 27. VIII. 1907 ga et là (Em. B.). Ribes rubrum L. Myzus ribis (L.), pl. fe. Col. M.: Un jardin à Osek près de Rokycany, 27. VII. 1906 (F. M.). Col. B.: Dans les jardins à Jicin et dans les alentours partout abondamment ré- pendu (Em. B.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME ® 149 Philadelphus coronarius L. Aphidarum sp. (viburni Scop.?), pl. fe. et ac. ti., les bouts des ra- meaux déformées ; feuilles rapprochées et enroulées en bas for- ment une touffe ; au-dessous des feuilles vivent les pucerons. Col. B.: Le pare de Havlicek à Krälovské Vinohrady , 1. VIII. 1907 abondant (Em. B.). Epilobium angustifolium L. Perrisia kiefferiana (Rübs.), pl. fe. généralement aux plus jeunes feuil- les au bout de la tige pres de 1’ inflorescence. Col. B.: Rotstyn près de Turnov, 23. VII. 1907 ça et là (Em. B.).— Chasse-gardèe à Tabor près de Jicin, 6. IX. 1907 assez abondant (EM. B.).— Kyje au- dessous de Tabor près de Jicin, 29. VIII. 1908 (Em. B).— Privysina près de Jicin, 19. VII. 1909 (Em. B.). Cornus sanguinea L. Oligotrophus corni Giraud, pl. fe. Col. U.: « Bohême », 1905 (B. NEMEC). Col. B.: La faisanderie de Libesad près de Jicin, 8. VII. et 9. VIII. 1906 frèquent (Em. B.).— Des forêts au-dessous de Bradlee près de Jicin , 9. IX. 1906 et 8. VIII. 1907 (Em. B.).— Le bocage de Miliceves près de Jicîn, 2. IX. 1907 (J. REZNA).—Zeleznice près de Jicin, 30. VII. 1908 fréquent (Em. B.). Aegopodium podagraria L. Trioza aegopodii Fr. Löw, pl. fe. Col. M.: Ulice près de Stribro, 4. VII. 1904 (F. M.). — Le bois de pins près de Kornatice près de Rokycany, 8. IX. 1909 (F. M.). | È Col. B.: La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 fréquent (Em. B.). — Libosad près de Jicin, 23. VIII. 1908 commun (Em. B.).— Des forêts de Bradlec près de Jicin, 26. VIII. 1908 partout abondant (Em. B.). — Pri- vysina près de Jicin, 16. VII. 1909 très frequent (Em. B.). Pimpinella magna L. Schizomyia pimpinellae (Fr. Low), ac. fr. Col. B.: Voskovrch près de Podèbrady, 4. IX. 1906 (A. BAYER). 150 É. Bayer Pastinaca sativa L. Schizomyia pimpinellae (Fr. Löw), ac. fr. Col. B.: Les prairies à Miliceves près de Jicin, 2. IX. 1907 fréquent (Em. B.). Eryngium campestre L. Lasioptera eryngii Vallot, pl. ti. Col. M. R. B.: Stechovice sur Vitava (O. RAISNER). Daucus carota L. Schizomyia pimpinellae (Fr. Löw), ac. fr. Col. M. R. B.: « Honstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Près de Krälove Hradec (J. U.). Col. V.: Zelezuy Brod, VII. 1901 (A. V.). Col. B.: Dans des jardins à Jiein, 5. VIII. 1905 (Em. B.),— Dans les champs près de Kbelnice près de Jicin, 13. VIII. 1905 (Em. B.).— La vallée Nebäkov au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (Em. B.). — Dans les champs près de Sondnä près de Jicîn, 9. VIII. 1906 abondant (Em. B.). Au-dessous de Privysina près de Jicin, 31. VIII. 1907 (Em. B.). Lysimachia vulgaris L. Eriophyes laticinetus (Nal.), pl. fe. et ac. ti. Col. M.: La tourbière près de Hurky près de Manetin, 28. VIII. 1906 (F. M.). Col. B.: Doksy au - dessous de Bezdez, 19. VIII. 1905 (A. BAYER). — Privysina près de Jicin, 31. VIII. 1907 (Em. B... Verbascum phlomoides L. *Gymnetron asellus Grav., pl. ti.: renflement allongé, ovoide ou fusi- forme, peu marqué; une larve; métamorphose dans la galle. Col. B.: Hora près de Jächymov, VIII. 1904 (V. VavRA). Veronica chamaedrys L. Perrisia veronicae (Vallot), ac. ti. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). Col. B.: Les environs de Jicin: La faisanderie de Libosad, 24. VI. 1906 (O. HEIN- DLOVA).— La prairie au-dessous de Sibenäk, 9. VIII. 1906 et 7. IX. 1908 très fréquent (Em. B.). — Privysina, 24. VIII. 1906 (Em. B.). — Libosad, 23. VIII. 1908 (Em. B.).— Kamenny Ujezd, 9. IX. 1908 frèquent (Em. B.). ad LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME : 151 Kozakov pres de Turnov, 23. VII. 1907 partout très fréquent (Em. B.). Dans les forêts au - dessous de Valdstyn près de Turnov, 11. IX. 1907 fréquent (Em. B.).—Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 nombreux (Em. B.). Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.).— Lomnice nad Popelkou, 6. IX. 1907, partout commun (Em. B.). Veronica officinalis L. Perrisia veronicae (Vallot), ac. ti. Col. B.: Les remparts « valy » de Cesov près de Jicin, 4. VIII. 1905 (Em. B.). — Prihrazy au-dessous de Muzsky près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.;.— Moraveice près de Jicin, 1. IX. 1908 (Em. B.). Veronica arvensis L. Perrisia veronicae (Vallot), ac. ti. Col. B.: Hlinsko, 13. VII. 1907 (Em. B). — Près de Belä au-dessous de Bezdez , 2. VIII. 1907 (Em. B.). Linaria vulgaris Miller Gymnetron (= Mecinus) linariae Panzer, pl. ra. Col. B.: Sur la ligne du chemin de fer à Blatna, VIII. 1908 (0. HEINDLOVA). Lamium galeobdolon Crantz. Perrisia galeobdolontis (Winn.), ac. ti. Col. B.: Rochers de Prachov près de Jicîn, 6. VIII. 1907 assez nombreux (EM. B.). Au-dessous des ruines du château Valdstyn près de Turnov, 11. IX. 1907 (Em. B.). Glechoma hederacea L. Oligotrophus bursarius (Bremi), pl. fe. Col. B.: Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907 (EM. B.).— La vallée Plakänky près de Sobotka, 8. IX. 1907 rare (Em. B.). Aulax glechomae (L. nec Latr.), pl. fe. Col. B.: La prairie entre Sibenak et Libosad près de Jicin, 7. IX. 1908 (Em. B.). Thymus serpyllum L. Janetiella thymi (Kieffer), ac. ti. et inf. Col. B.: Zeleznice près de Jicin, 30. VII. 1908 (Em. B.). er Ai 152 E. BAYER Eriophyes thomasi (Nal.), ac. ti. et inf. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. B.: Les alentours de Jicin : Ostruzno, 17. VII. 1905 fréquent (A. BAYER). — Rochers de Prachov, 31. VII. 1905 (Em. B.).— Près de Kbelnice, 17. VI. 1906 (0. HEINDLOVA).— Sur les raies entre Zebin et Tesin, 15. VII. 1906 fréquent (EM. B.).— Près de I’ étang « Knize ». 14. VIII. 1906 (Em. B.). Privysina, 19. VII. 1909 (Em. B.).— Les sentiers dans les champs pres de Prachov, 24. VII. 1909 rare (Em. B.). Des prairies pres de Skrdlovice près de V étang Darko’ dans le pays montueux de Bohéme-Moravie, 13. VII. 1907 fréquent (EM. H.).— Kozäkov près de Turnov, 23. VII. 1907 frequent (Em. B.).— Bukov pres de Bel4 au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). Janetiella thymicola (Kieffer), ac. ti. et inf. Col. B.: Des sentiers dans les champs près de Prachov pres de Jicin, 24. VIL. 1909 rare (Em. B.). Origanum vulgare L. Eriophyes origani (Nal.), ac. inf. Col. B.: Près de Roketnice au-dessous de Trosky près de Turnov, 15. VIII. 1905 (A. BAYER). Salvia pratensis L. Eriophyes salviae (Nal.), pl. fe. = Erineum salviae Vallot. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. Dupa). Col. U.: Les carrières de Strahov près de Prague. 14. V. 1904. Syringa vulgaris L. Eriophyes liwi (Nal.), ac. bg. Col. U.: Nebozizek à Prague, 7. IX. 1904 (J. U.).— Smichov près de Prague, 24. IX. 1904 (J. U.). Fraxinus excelsior L. Psyllopsis fraxini (L.), pl. fe. Col. V.: Zamberk, VII. 1900 (A. V.). Col. B.: Les alentours de Jicin (EM. B.): Rochers de Prachov, 6. VIII. 1907 assez nombreux.— Rozdalovice, 21. VIII. 1907.— Soberaz, 30. VII. 1908 fréquent. LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÊME + 153 Perrisia fraxini Kieffer, pl. fe. Col. U.: Le jardin de Kinsky à Prague, 5. XI. 1905 (J. U,). Col. B.: La chasse-gardée de Mankovice pres de Kläster nad Jizerou, 2. VIII. 1907, (Em. B.). - Près de l’étang « Knize » à Jicin, 31. VIII. 1907 (Em. B.). Pemphigus nidifieus Fr. Löw, ac. ti. Col. U.. Krälové Hradec (J. U.). Col. B.: Près de l’étang « Knize » à Jiein, 14. VIII. 1906 aussi sur la var: mo- nophylla (EM. B.). Eriophyes fraxinivorus Nal., (= Er. fraxini Karp. non Garman), ac. inf. Col. B.: Le jardin « Na Slovanech » à Prague, 1905 (Em. B.). — Jicin, 12. VII. et 26. VIII. 1905, 15. VIII. 1906 et 20. IV. 1908 (Em. B.). Campanula trachelium L. Eriophyes schmardai (Nal.), ac. ti., bg. et fl. Col. B.: Les remparts « valy » de Cesov près de Jicin, 4. VIII. 1905 (Em. B.).— Dans le chemin creux entre Ostruzno et Svatä Trojice près de Jiein, 30. VIII. 1906 (Em. B.). Miarus campanulae L., ac. tr. Col. B.: Les alentours de Jicin (EM. B.): Holîn, 6. VIII. 1907. — Zeleznice , 8. VIII. 1907 fréquent. — Kyje au-dessous de Tabor, 29. VIII. 1908. Cecidomyidarum sp. (Perrisia?), ae. ti. = nro. 5497. dans l’oeuvre de Hovarp: « Les Zoocécidies des Plantes ete. » p. 949, fig. 1260. Col. B.: Tèsin au-dessus de Zeleznice près de Jicin, 15. VII. 1906 (Em. B.). Lonicera xylosteum L. Eriophyes æylostei (Canest.), pl. fe. = Legnon laxum Bremi. Col. M.: Une pente au-dessous de « Bilä Hora » près de Plzen, 1905 (F. M.). Lonicera tatarica L. Siphocoryne (== Rhopalosiphum) lonicerae (Koch), pl. fe. Col. B.: Bèla au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.).— Pare de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.). ai 154 Er É. Baver E RE dica» Sambucus nigra L. Epitrimerus trilobus (Nal.), pl. fe. Col. B.: Les alentours de Jicin (EM. B.): Les remparts « valy » près de Cesov, 4. VIII. 1905.— Prachov, 6. VIII. 1907.— Sobèraz, 8. VIII. 1907 frèquent. Rozdalovice, 21. VIII. 1907. Kamenny Ujezd, 9. IX. 1908 pas frèquent. Au-dessons des ruines du château Valdstyn près de Turnov, 11. IX. 1907 (Em. B.). — Kläster nad Jizeron, 1. VIII. 1908 (Em. B.). Sambucus racemosa L. Epitrimerus trilobus (Nal.), pl fe. Col. B.: Les alentours de Jiein (EM. B.): Privysina, 31. VIII. 1907 ca et là, 6. IX. 1908 très fréquent. — Chasse - gardée à Tabor au-dessus de Lonmice, 6. IX. 1907 rare. — Rochers de Prachov, 8, IX. 1908 ça ct là dans les ravins. Sambucus ebulus L. *Schizomyia nigripes (Fr. Löw), ac. fl.: fleur gonflée, fermée. Larves grégaires, jaune orangé pale, non sauteuses. Col. B.: Jardin de M. Bayer à Jicin, 30. VII. 1907 (A. BAYER et Em. B.). Viburnum opulus L. Aphis viburni Scop., ac. ti. Col. B.: Au-dessous de Brada près de Jicin, 3. IX. 1905 (Em. B.).— Kadlin près de Mseno, 26. VIII. 1906 (J. REZNA).— Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). Viburnum lantana L. Oligotrophus solmsi Kieffer, pl. fe. Col. B.: Le parc à Hlubok4 près de Ceské Budèjovice. 23. VIII. 1904 (Em. B.). Galium verum L. Perrisia galii (H. Loew), pl. ti. et ac. inf. Col. M.: Près du ruisseau Bukovez dans une forét près de Plzen, 29. V. 1907 (F. M.). Col. B.: An-dessous de Kozäkov près de Turnov, 23. VII. 1907 (J. REZNA). — La chasse-gardée de Belä au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 (Em. B.). - Muzsky près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.). LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHÈME * 155 Aphis bicolor Koch, ac. inf. Col. B.: La chasse-gardée de Béla au-dessous de Bezdez, 2. VIII. 1907 assez nom- breux (Em. B.).— Au-dessous de Velis près de Jicin, 18. VII. 1909 (J. REZNA). Schizomyia galiorum Kieffer, ac. fl. Col. U.: Le bois entre Bèchovice et Ouvaly à l’ est de Prague, VIII. 1905 (J. U.). Col. B.: Les alentours de Jicin (EM. B.) : Le bord de la carrière à Sibenäk , 26. VII. 1907 rare. — Rochers de Prachov, 6. VIII. 1907 rare. — Des forêts au-dessons de Bradlec près de Zeleznice, 8. VIII. 1907 assez fréquent. -— Kyje au-dessous de Tabor, 29. VIII. 1908 isolé.— Des carrières au-dessus de Kamenny Ujezd, 9. IX. 1908. Au dessous de Kozakov près de Turnov, 23. VII. 1907 bien rare (EM. B.). — Muzsky près de Mnichovo Hradistè, 3. VIII. 1907 (Em. B.). Phyllocoptes anthobius Nal., ac. fl. Col. B.: La prairie entre Sibenäk et Libosad près de Jicin, 8. VII. 1906 (Em. B.). Eriophyes galiobius (Canest.), ac. inf. Col. B.: La pente au-dessus du village Cidlina près de Jicin, 10. VIII. 1905 (A. BayER).— Les bords de la carrière à Sibenäk près de Jiein, 25. VIII. 1906 et 26. VII. 1907 fréquent (Em. B.). Galium mollugo L. Perrisia galii (H. Loew), pl. ti. Col. U.: Radotin près de Prague, 19, VI. 1905 (J. U.). Col. B.: La prairie au-dessous de Sibenäk près de Jiein, 7. VI. 1906 (0. HEINDLOVA). Au-dessous de Kozäkov près de Turnoy, 23. VII. 1907 (J. REZNA). Schizomyia galiorum Kieffer, ac. fl. Col. B.: Au-dessous de Kozakov près de Turnov, 23. VII. 1907 (Em. B.). Galium aparine L. Eriophyes galii (Karp.), pl. fe. Col. B.: Une forêt de hetres au - dessus de Zdiree près de Blovice, 18. VI. 1904 (F. M.). Valerianella dentata antt. (= V. Morisonii DC.) Trioza centranthi Vallot, ac. ti. et fl. Col. B.: Dans les champs près de Kolvin près de Rokycany, 18. VIII. 1903 (F. M.) 156 É. Bayer = Crepis biennis L. Eriophyes rechingeri Nal., ac. inf. Col. B.: Dans les champs près de Rybnicek au - dessous de Brada près de Jicin, 16. et 25. VII. 1909 fréquent (Em. B.). Hieracium pilosella L. Cystiphora pilosellae Kieffer, pl. fe. Col. B.: A la côte près de Manetin, 4. VI. 1906 (F. M.). Tylenchus (sp.?), pl. fe. = nro. 6206 dans l’oeuvre de HOUARD: « Les Zoocécidies des Plantes etc. » p. 1059. Col. B.: Brada près de Jicin, 19. VII. 1909 (Em. B.). Hieracium murorum L. Cystiphora hieracii (Fr. Löw), pl. fe. Col. B.: Le bois de Bradlec au-dessus de Zeleznice près de Jicin, 30. VII. 1908 nombreux (Em. B.). Macrosiphum hieracii (Kaltenb.), pl. fe. Col. B.: Rochers de Prachov près de Jicin, 30. VII. 1905 (Em. B.). Aulacidea hieracii (Bouché), pl. ti. Col. B.: Blansky les à Sumava, 25. VIII. 1905 (Em. B.).— Blatn4, 5. VIII. 1907 (J. REzxA).—Les forêts à Hrdonovice près de Jicin, 9. IX. 1907. (Em. B.). Hieracium vulgatum Fries Cystiphora hieracii (Fr. Löw), pl. fe. Col. M.: La pente près de Manetin, 4. VI. 1906 (F. M.). Col. B.: Rochers de Prachov près de Jicin, 23. VII. 1909 partout dispersé (Em. B.). Hieracium umbellatum L. Aulacidea hieracii (Bonché), pl. ti. Col. B.: La vallée de la rivière Luznice près de Bechynè, 25. VIII. 1905 (A. BAYER). Hieracium laevigatum Willd. (= boreale Fries) Aulacidea hieracii (Bouché), pl. ti. Col. M. R. B.: « Houstka » près de Brandys nad Labem (?) (L. DUDA). "e ~ LES ZOOCÉCIDIES DE LA BOHEME 157 Col. U.: Chuchle près de Prague, 1. X. 1904 (J. U.). Col. B.: Doksy au-dessous de Bezdèz, 19. VIII. 1905 (A. Bayer). Hieracium sp. div. Aulacidea hieracii (Bouché), pl. ti. Col. V.: Zelezny Brod, VIII. 1901; Sumava, Mrklov dans les Krkonose, Orlické hory (A. V.). Taraxacum officinale Web. Cystiphora tararaci Kieffer, pl. fe. Col. B.: Près de Lomnice nad Popelkou, 6. IX. 1907 (Em. B.). Achillea millefolium L. Rhopalomyia millefolii H. Loew, ac. bg. Col. B.: La place d’ arme à Jicin, 21. VIII. 1906 sortout sur des plantes basses de 2-3 cm, brontées par le bétail (A. BAYER). — Chemin champêtre de Sibenak à Robousy près de Jicin, 25. VIII. 1906 rarement (M. BAYER et Em, B.).— Prairies près de Ohavec et les bords des étangs près de Ostruzno à l’ouest de Jicin, 30. VIII. 1905 assez fréquent; galles en groupe de 2-4 à VP aisselle de feuilles sur des tiges Lautes (Em. B.). Achillea nobilis 1.. *Tylenchus millefoliù Fr. Low, pl. fe. Col. B.: Velkä Hora près de Karluv Tyn, 9. V. 1909 (A. BAYER). Artemisia vulgaris L. Aphis gallarum Kaltenb., pl. fe. et ac. ti. Col. M.: Au chemin près de Liblin près de Radnice, 9. IX. 1904 (F. M.). Artemisia campestris L. Eriophyidarum sp.?, pl. fe. = nro. 5800., p. 997., dans l’ oeuvre de HOUARD : « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. B.: Velkä Hora près de Karluv Tyn, 9. V. 1909 (A. BAYER). Rhopalomyia artemisiae (Bouché), ac. ti. .: « Horka » près de Bela au-dessous de Bezdez, 2. VIII, 1907 (Em. B.), 158 É. BAYER Rhopalomyia sp.?, ac, ti. = n. 5782, p. 996. dans l oeuvre de Ho U- ARD: « Les Zoocécidies des Plantes ete. ». Col. B.: Velkä Hora près de Karluv Tyn, 9. V. 1909 (A. Bayer). Gnaphalium silvaticum L. (== rectum Sm.) Pemphigus filaginis Fonscol. (= gnaphalii Kaltenb.), ac. ti. Col. B.: Des landes boissenses près de Tremosna près de Plzen, 28. VIII. 1909. (F. M.). Gnaphalium uliginosum L. Pemphigus filaginis Fonse. (= gnaphalii Kaltenb.), ac. ti. Col. B.: Kyje au-dessous de Tabor près de Jicin, 29. VII. 1908 très abondant (Em. B.). | Inula britannica L. Acodiplosis inulae (H. Loew), pl. ti. Col. B.: Des prairies au - dessous de Prachov près de Jiein, 13. IX. 1907 rare (Em. B.). Centaurea scabiosa L. Löwiola centaureae (Fr. Löw), pl. fe. Col. B.: Les pentes au - dessous de la forêt de Bradlec près de Zeleznice près de Jicin, 8. VIII. 1907 rare (Em. B.). Cirsium arvense Scop. Urophora cardui L., pl. ti. Col. U.: Le bois de Novy Hradec près de Kralové Kradec, 1893 (J. U.). PSPSPS 159 VEBER DIE SPROSSAEHNLICHKEIT DER PROSOPLASMATISCHEN GALLEN ERNSt KUSTER Im letzten Heft seiner « Marcellia » hat A. TROTTER in einer Nota preliminare einige Gedanken « sulla possibilità di una omologia caulinare nelle galle prosoplastiche » geiiussert, nach wel- chen sich die prosoplasmatisehen Gallen auf ihre histologischen Charaktere hin mit einem Achsenorgan, insbesondere wohl mit dem Achsenorgan einer dikotylen Pflanze vergleichen lassen (1). TROTTER findet, « che le galle istioidi prosoplastiche, qualunque ne sia la forma e la sede, possono trovare la loro omologia in una struttura saulinare. Perciò nell’ istogenesi dei prosoplasmi, i plastemi iniziali tenderebbero ad evolversi e differenziarsi in una struttura caulinare sui generis ». Auch ich glaube, dass der Vergleich zwischen Gallen prosoplas- matischer Natur und Achsen besser begründet ist und fruchtbarer werden kann als der schon wiederholt gezogene Vergleich zwischen Gallen und Früchten, und gestatte mir darauf aufmerksam zu ma- chen, dass ich bereits vor einigen Jahren über die Sprossähnlichkeit vieler Gallen mich geäussert habe: « Die Folge der verschiedener Gewebe in der Galle muss wohl auch irgend wie durch die Eigen- tümlichkeiten der Pflanzenzellen selbst, vielleicht ihre physiologische Abhängigkeit von den Leitbündeln oder durch irgend welche vom Gallenerzeuger direkt nicht abhängigen Faktoren mitbedingt werden ; dafür spricht die Ähnlichkeit zwischen dem typischen Gallenbau und dem Typus eines (dikotylen) Stengels: das stoffreiehe Parenchym in der Mitte der Galle entspricht dem Mark, die Hartschicht, an welche sich in den Gallen auch die meist wenig entwickelten Leitbündel anschliessen, entspricht dem Xylem und Phloém der Achsenteile, die in der Galle nach aussen folgenden weichen Teile der primären Rinde » (2). (1) TROTTER A., Sulla possibilità di una omologia caulinare nelle galle pro- soplastiche (Marcellia, vol. IX 1910, fase. III p. 109). (2) Küster E., Neue Ergebnisse auf dem Gebiet der pathologischen Pflanzenana- tomie (Ergebnisse der allgem, Pathologie u. pathol. Anatomie, Bd. XI Abt. 1. 1907), 160 ERNST KÜSTER Unzweifelhaft sind es die mit einem mechanischen Mantel aus- gestatteten prosoplasmatischen Gallen, welche den Vergleich mit Achsenorganen nahe legen. Die grosse Zahl der prosoplasmatischen Gallen, welchen ein solcher Mantel fehlt und damit auch der auffäl- ligste Anteil ihrer konzentrischen Gewebeschichtung abgeht, warnt uns davor, die neuerdings von TROTTER betonte Homologie zu über- schätzen. Es giebt eine ganze Reihe wichtiger Erscheinungen, welche sich nicht mit ihr in Einklang bringen lassen, ja ihr nach meinem Erachten durchaus widersprechen : ich nenne hier nur den radialen Verlauf, den in vielen Gallen die Leitbiindel nehmen, und die aus- gesprochen dorsiventrale Gewebestruktur, wie sie besonders deutlich z. B. an jungen Gallen von Oligotrophus annulipes studirt werden kann. Es würde zu weit führen, das Pro und Contra in dieser Ange- legenheit eingehender zu diskutiren — das mag für spätere Gelegen- heit verspart bleiben — ; nur darauf darf ich hier noch kurz einge: ben, dass ich TROTTER’ s Vorschlag die von mir (1) als histioide be- zeichneten Gallen wenigstens « lontanamente » als organoide gelten zu lassen, nicht akzeptiren möchte. Die von mir und TROTTER fest- gestellte « omologia caulirare » scheint mir vielmehr den Unterschied zwischen organoiden und histioiden Gallen nicht auszugleichen oder zu überbrücken, denn die Differenz zwisehen diesen und jenen basirt auf morphologischen, nicht auf histologischen Eigenschaften : bei den organoiden Gallen lassen die abnormalen Teile der Wirtspflanze Achsen, Blätter, Wurzeln unterscheiden , die histioiden Gallen aber sind gleichsam kleine Thallome, gleichviel welches ihre innere Struk- tur sein mag. Dass zwischen organoiden und histividen Gallen eine grosse Menge Zwischenformen stehen , welche zwischen den beiden Hauptgruppen vermitteln, und eine konsequente Einteilung der Gallen nach den angeführten Gesichtspunkten ungemein erschweren , soll natürlich nicht in Abrede gestellt werden. Kiel, August 1910. (1) Küster E., Über organoide Gallen (Biolog. Zentralbl. Bd. XXX, 1910, p. 116); vergl. TROTTER, a. o. 0. 161 NOTIZEN VEBER THYSANOPTEROCECIDIEN AUF STELLARIA MEDIA CYR, 5. GRAMINEA L, UND POLYGONUM CONVOLVULUS L, von Dr. A. Y. GREVILLIUS 1. Stellaria media Cyr. Im Jahre 1901 gibt Ew. H. RÜBSAAMEN (1) eine kurze Beschrei- bung einer von ihm an dieser Art gefundenen Gallbildung, deren Erzeuger er als « Thrips spec. » bezeichnet. K. hat die Galle in der Nähe von Berlin, ferner in Westpreussen und bei Winzenheim in der Nahe von Kreuznach beobachtet. Da aus der Beschreibung —« Blät- ter verdreht, gerollt, die Pflanze im Wachsthum etwas zuriickgeblie- ben » — nicht hervorgeht, ob es sich um eine echte, durch aktive, hypertrophische Neubildungen charakterisierte Galle handelt, erschien es von Interesse, dieselbe darauf hin etwas näher zu untersuchen. Eine Deformation, die mit der von RUBSAAMEN erwähnten iden- tisch zu sein scheint, wurde von mir in den Jahren 1909 und 1910 an verschiedenen Stellen bei Kempen (Niederrhein) angetroffen. An den verbildeten Teilen waren Thysanopteren — Larven und ältere Stadien — in den Sommermonaten bis in den September hinein in Menge regelmässig vorhanden. Andere Organismen, die am Zustan- dekommen der Deformation beteiligt sein könnten, wurden nicht beobachtet. Die Thysanopteren greifen meistens die obere, seltener die untere Blattepidermis an. Die befallenen Teile des Blattes bleiben im Wachs- tum zurück, und zwar an der angegriffenen Seite — also gewöhn- lich an der Oberseite — mehr als an der entgegengesetzten. Infolge- dessen entstehen an einer oder an beiden Blattrandern stellenweise (1) Bericht über meine Reisen durch die Tucheler Heide in den Jahren 1896 und 1897 (Schriften der Naturforschenden Gesellschaft in Danzig. N. F. X, %,, p. 132). 162 A. Y. GREVILLIUS Falten und Rollen (vgl. Figg. 1 u. 2), die den Tieren als schützende Wohnungen dienen. Wenn nur die eine Blatthälfte befallen ist, ent- wiekelt sich diese schwächer als die Sn andere, das Blatt wird gedreht und Wan einseitig gefaltet. Ofters erscheint — Fe dir i wohl bei früheren Angriffen — die Blatt- SI spitze zusammengefaltet oder vollstän- da A] dig eingerollt, während der untere Sprei- NS e tenteil flach ausgebreitet ist; bisweilen HA | ER ist die ganze Spreite tütenförmig ein- Ne = | G2 > gerollt. Auch der Blattstiel kann befal- e Geo len und verbildet werden, indem die normal flügelartig ausgebreiteten Rän- der im Wachstum mehr oder weniger gehemmt werden. ai: Nachträglich kônnen auch Teile des Mesophylls , sowie auch an den nicht deformierten Teilen des Blattes die E- Fig. 2 _pidermis und das unterliegende Gewebe zerstört werden, wodurch weissliche Fleeken entstehen. Wenn die Blätter erst im ausgebildeten Zustande angegriffen werden, erscheinen nur weissliche Flecken ohne beglei- tende Formveränderungen des Blattes. Auch die Blüten können angegriffen werden und kommen mit unter nicht zur Entwicklung. Die Pflanzen sind öfters, besonders an exponierten Standorten, stark befallen ; oft erstreckt sich die Deformation auf ganze Bestände und wird dann durch den niedrigen, gedrungenen Wuchs der Pflanzen recht auffällig. Fig. 3 Fig. 4 . ~ NOTIZEN UEBER THYSANOPTEROCECIDIEN 163 Die deformierten Blätter erleiden keine progressiven anatomi- schen Veränderungen (vgl. F. 3 u. 4). Das unter den zerstôrten Epi- dermiszellen liegende Mesophyll zeigt nur eine Wachstumshemmung, wovon besonders die an jene grenzenden Zellen — also in den meisten Fällen das Palissadenparenchym — betroffen werden. Es kommen infolgedessen meistens keine deutlich palissadenförmig gestreckten Zellen zur Ausbildung, und die Grösse sämtlicher Mesophyllzellen bleibt hinter der der normalen Blattpartien mehr oder weniger zu- rück; auch erreichen die Interzellularräume nicht die gewöhnliche Ausdehnung. Die unter den zerstörten, resp. kollabierten Epidermis- teilen liegenden Mesophyllschichten sind manchmal deutlich ärmer an Chlorophyll als in normalen Fällen. Die Anzahl der Zellschichten ist ungefähr dieselbe, wie in nicht befallenen Teilen, jedenfalls nicht grösser als in denselben. Diese Verbildung würde also zu den Pseudoceeidien zu zählen sein. Welche Thripside diese Galle verursacht. bin ich nicht in der Lage, angeben zu können. Herr Dr. ENZIO REUTER- Helsingfors hat mit gewohntem Entgegenkommen das von mir eingesandte Thysa- nopterenmaterial untersucht und mehrere Arten darin gefunden. Die eine Probe (Kempen 19. 7. 1909) enthielt: Physopus atrata (Hal.) 11 99,5 TI, Thrips tabaci Lindem. (= communis Uzel) 19, 3 Larven, wahrscheinlich von Physepus atrata (Hal.). die andere Probe (Kempen 1. 8. 1909): Physopus atrata (Hal. 8 GQ, Pachythrips subaptera (Hal.) 19, Thrips tabaci Lindem. 2 99. Stellaria graminea L. Auch an dieser Art habe ich bei Kempen in den Sommern 1909 und 1910 an exponierten Stellen — an Chausseen und offenen Flecken in Eiehengebüschen — eine Deformation beobachtet, die mit Thysa- nopteren — Larven und ausgebildeten Tieren — regelmässig besetzt war. Sie dürfte in der Litteratur bis jetzt nicht erwähnt sein. 164 A. Y. GREVILLIUS Die von den Thysanopteren befallenen Blätter (F nen, ähnlich wie bei der Verbildung an S. media, infolge gehemm ten Wachstums stellenweise eingeschniirt, zuweilen gedreht, mit nach oben, seltener nach unten gefaltetem oder gerolltem Rande und zum Fig. 7 Teil gebleicht. Auch die Blüten waren ab und zu von Thysanopteren befallen. In anatomischer Hinsicht zeigt diese Deformation (vgl. F. 7-9) grosse Übereinstimmung mit der oben erwähnten an S. media. Gleich wie diese ist sie als ein Pseudocecidium zu betrachten. Fig. 8 Herr Dr. E. REUTER hat in der an ihn gesandten Probe (Kem- pen 31. 7. 1909) nur Pachythrips subaptera (Hal.), 5.99, 2070; 8 .5, 6) erschei- NOTIZEN UEBER THYSANOPTEROCECIDIEN 165 C2 Larven gefunden. Ob diese Art der Erzeuger der Verbildung ist , scheint, wie mir Dr. REUTER, gestiitzt auf Beobachtungen in Finland über diese Thysanopteren-Art, mitteilt, nicht sicher zu sein; er hält es für möglich, dass sie als Inquilin in dieser Verbildung lebt. Der- selben Ansicht ist er betreffend die oben erwähnten Arten an Stel- laria media. Wenn dies der Fall ist, müssen nach meiner Über- zeugung diese beiden Deformationen durch irgend eine andere Thy- sanopteren-Art (oder Arten) verursacht sein, da Thysanopteren in verschiedenen Stadien an denselben regelmässig vorhanden sind und keine anderen Insekten, die dabei in Betracht kommen künnten, von mir beobachtet wurden. 3. Polygonum convoivulus L. An jungen Pflänzchen dieser Art fand ich am 10. 6. 1910 an einer exponierten Stelle am Hülserberg (Niederrhein) eine auf Wachs- tumshemmung beruhende, bis jetzt nicht beschriebene Verbildung : die Blätter sind (vgl. F. 10) aus der revolutiven Knospenlage nicht vollständig in die definitive, ausgebreitete Lage herausgewachsen, sie sind gedreht und gekräuselt mit nach oben zwischen den Rippen ausgestülpten Spreitenpar- tien. An der Unterseite der deformierten Blätter, also in geschützer Lage, fanden sich Larven von Thysanopteren in reich- licher Menge. Die Art oder Arten kann ich nicht angeben, da keine ausgebildeten Tiere gefunden wurden. In anatomischer Beziehung (F. 11) stimmt die Verbildung ın der 166 A. Y. GREVILLIUS Hauptsache mit den beiden vorigen iiberein. Da keine progressiven Veränderungen wahrzunehmen sind, ist auch diese Galle nach meiner o Auffassung ein Pseudoceeidium. Bei der Beschreibung eines Pseudoceeidiums auf Vieia erac- ca L. (1) habe ich auf Grund verschiedener Litteraturangaben her- vorgehoben, dass dieses mit einem grossen Teil der bis dahin bekann- ten echten Thysanopterengallen namentlich bezüglich der äusseren Form — Blattfaltung — übereinstimmt. Auch die oben beschriebenen Pseudoceeidien, besonders an Stellaria media und grami- nea, zeigen eine ähnliche Form. Es erscheint der Erwähnung wert, dass auch die in letzter Zeit entdeckten echten Thysanopterengallen derselben natürlichen Reihe angehören. J. und W. DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN bemerken (2): « die Thripsidengallen, welche wir hier (auf Java) gefunden haben, sind einander sehr ähnlich, da- durch dass sie hauptsächlich entstehen durch Zusammenfaltung der Blattfläche nach oben und Verdickung dieser Fläche unmittelbar um den Hauptnerv oder Seitennerv. Kempen (Rhein), Landwirtschaftliche Versuchsstation, September 1910. ERKLÄRUNG DER ABBILDUNGEN Fig. 1. Stellaria media Cyr.— Das unterste Blattpaar des gezeichneten Sprossteiles normal, die oberen Blätter von Thysanopteren befallen und verbildet. — Nat. Gr. Fig. 2. » » » Querschnitt durch im linken Teil deformier- tes Blatt. — >< 20. Fig. 3. » » » Querschnitt durch normalen Blattteil. >< 170 Fig. 4. » » » Querschnitt durch verbildeten Blattteil. Von der Epidermis der Oberseite sind nur kol- labierte Reste vorhanden. — x 170. (1) Marcellia, VIII, 1909, p. 37. (2) Einige Gallen aus Java, II. Beitrag. Murcellia, VIII, 1909, p. 85. Fig. 5. Stellaria graminea L.— Sprossstück mit verbildeten Blittern. Nat. Gr. RAR. Fig. 6. « ala Querschnitt durch im rechten Teil deformier - tes Blatt. — x 20. ; Me: » » Querschnitt durch die oberen Zellschichten \ eines Blattteiles.— x 330. Fig. 8. » » Entspricht Fig. 3.— >< 170. igs 19 » » Entspricht Fig. 4.— >< 170. Fig. 10. Polygonum convolvulus L.— Die Keimblätter und das unterste Laubblatt normal. Nat. Gr. Fig. 11. » » Querschnitt durch teilweise verbildetes Blatt- stück. — x 170. >< = die Grenze zwischen dem zerstörten und dem nicht befallenen Teil der Epidermis. 168 EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG. von J. UND W. DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN Samarang — Java Einige Gallen dieses vierten Beitrages wurden in den sehr feuchten Tälern des Berges Oengaran auf 700-1000 M. Höhe gesam- melt. Während in der direkten Umgebung von Samarang, wo echte Urwälder nicht mehr vorkommen, nur sehr wenig Beerengallen von uns gesammelt wurden, waren diese Gallen in dem Urwalde genann- ten Gebirges äusserst häufig. Die grossen, saftigen Gallen waren sehr dickwandig, die Wand fast nur aus grossen wasserreichen Pa- renchymzellen gebildet. Beim Trocknen schrumpfen diese Gallen fast zur Unkenntlichkeit zusammen. Das Material musste auf einer Exkur- sion, welche nur zwei Tage dauerte, gesammelt werden. Leider findet man dann auch mehrere Gallen auf Pflanzen, deren Bliitezeit noch nicht angebrochen oder bereits wieder abgelaufen ist. Verschiedene Formen miissen daher auf Bearbeitung warten, bis wir diese Gegend wieder einmal besuchen können. Während in der Umgebung von Samarang die Milbengallen in Häufigkeit die erste Stelle einnehmen, findet man in den feuchten Urwäldern mehr von Cecidomyiden gebildete Gallen. Die Zahl der von uns gesammelten Lepidopteren- und Thripsidengallen vermehrt sich immer mehr, in diesem Beitrage können wir ausserdem eine Beschreibung einer Rüsselkäfergalle aufnehmen, die wir auf Cordia suaveolens fanden. Schon 16 Thripsidengallen sind uns nun von Java bekannt, d. i. also 8 °/,. N. 151. Allophylus cobbe BI. I. BLATTGALLE Acaroceeidium 1. Die Blätter zeigen auf ihrer Oberfläche Erha- benheiten von gelber Farbe, die von sehr verschiedener Grösse sind. è Domande dicambi, indirizzi, domande e risposte diverse, etc. Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’in- teresse individuale-o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia. chedae ad « Cecidothecam italicam » (1902-1909) Auctore A. TROTTER ST MM. les Cécidologues, non abonnés à « Cecidotheca italica » de TROTTER A. et CECCONI G., désireux cependant d'assurer à leur Bibliothèque les « Schedae » (avec bibliographie, observations etc.) qui illustrent cette Collection — dont le prix pour les 20 fascicules (500 numéros) publiés jusqu’ ici est de 200 fr.S— pourront s’ adresser à l’ Auteur, Prof. A. TROTTER, qui expédiera franco la Série com- plete des 500 « Schedae », avec préfaces, index double etc., contre mandat-poste de 10 fr.s — Numéros spécimen sur demande. M. HOUARD, désirant publier prochainement un Supplément à ses « Zoocécidies des Plantes d'Europe et du Bassin de la Méditerra- née », recevra avec reconnaissance toutes les corrections et additions que voudront bien lui envoyer les Cécidologues. M. HOUARD se permet de faire remarquer que |’ Index bibliographique du to- me II ne contient, à dessein, que les travaux des Auteurs cités dans le texte du Catalogue. Cet Index, avec ses treize cents numéros bibliographiques, n’ a nulle- ment la prétention de constituer une Bibliographie complète des galles d Europe, qui comporterait certainement plus de trois mille fiches. C. HOUARD, Docteur-es-Sciences 12. rue Cuvier Paris 5.0 Ent "hy oa Rae LEE CAN JS a: À Li 7 AN os I LIRE 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle galle e dei produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori originali, di istologia, morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o meno estese. 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno però la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si accettano lavori in inglese, tedesco ed in tuite le lingue delle nazioni latine. 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori, sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore con l’ invio del manoscritto. F 4. Le spese per tavole o figure nel testo sono, per ora, a carico degli Autori. 5. Usciranno 6 fascicoli all’anno, complessivamente circa 15 fogli di stampa, possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè : Febbraio, Aprile, Giugno, Ago- sto, Ottobre, Dicembre. 6. Gli abbonamenti cominciano dal 1° Gennaio e si intendono rinnovati an | che per l’anno successivo , qualora non venga data rinuncia al Redattore entro s il mese di Dicembre. 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (= 15 Fr. = 12 Mk. = 12 Sh.) da pagarsi antecipatamente.— Si pregano i Signori Associati esteri di effettuare i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con vaglia cambiarii 3 (chéque). 2 + Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, cambii ecc., rivolgersi al Redattore prof. A. TROTTER, À. Scuola di Viticoltura e di Enologia, Avellino (Italia). 0. 2> 9-20 > 902 022-020. 20 =_= o» >_> _-—___oo_e_o Trotter A. e Cecconi G. — Cecidotheca italica ou Collection de Galles ita- liennes, séchées et préparées, y-cumpris les formes nuisibles aux plantes agricoles.— Ont paru jusqu’ ici 20 fasc. — 500 espèces — ; le prix de chaque fasc. est de 10 fr. — En préparation fasc. 21°-22°.— Pour achats s’adresser- au Prof. A. TROTTER. fe g r ir IN ” Ù x PARTS a Ù RA; EA] a N A Ta a TE re, tn eles He yet NN Pa ey Spee TANT ee ca RN 07 15 ara Pat 5 2 ; ur Pere es BF EN e ee RR FE RE SEE a “a Pe 5 pet x > ‘ 4 n vi = Seo AN F - — ARCEILIA DO RIVISTA INTERNAZIONALE ® @ DI CECIDOJOGIA SOMMARIO : DOCTERS VAN LEEUWEN-REIJNVAAN — Einige Gallen aus Java. Vierter Bei- trag (con fig., cont. e fine). TROTTER A.— Pugillo di Galle raccolte dal Dr. A. Forti in Asia minore. ScHMIDT HUGO — Neue Zoocecidien der niederschlesischen Ebene. TROTTER A.— Bibliografia e Recensioni. Notizie. Indici dell’ annata 1910. CZ REDATTORE: Proc Br. FL TROTTER SS Vor. IX.- An. 1910 Fasc, Ul (PUBBLICATO IL 29 DECEMDRE 1910) LES AVELLINO TIPO-LITOGRAFIA PERGOLA I9IO M rs PE _AUVERTE la NZE AI A fine di render più facile il compito del Redattore si pregano vivamente i Signori Collaboratori, avanti l'invio dei manoscritti, di tenere presenti, nel loro stesso interesse, le seguenti avvertenze : 1. I lavori sieno scritti ed ordinati colla maggior possibile chiarezza. Tale rac- comandazione è rivolta in modo speciale ai Signori Collaboratori esteri. 2. Le bozze di stampa vengono, di regola, inviate una sol volta; una seconda (impaginate) solo quando le correzioni precedentemente fatte sieno state di una certa importanza. Ulteriori invii non saranno fatti che dietro richiesta degli interessati. 3. Coloro che desiderano avere gli Estratti in numero superiore ai 30, concessi gratuitamente, devono farne richiesta al Redattore con l’invio del manoscritto. 4. Con le bozze non si restituiscono i manoscritti se non quando ne sia stato espresso il desiderio all’ atto dell’ invio. 5. Per |’ uniformità del giornale si pregano i Signori Collaboratori di attenersi alle seguenti indicazioni tipografiche convenzionali di maggior frequenza, usandole’ possibilmente ed uniformemente nei contro indicati casi : carattere grassetto (per i cecidozoi o piante gallifere nelle intestazioni; ad vie" es. Cynips coriaria, Fagus silvatica). » MAIUSCOLETTO (per i nomi propri di persona nel testo; ad es. Lòw, BENI GIRAUD). » corsivo (per i cecidonti nel testo; ad es. Perrisia affinis, Uro- nee C4 cystis Anemones). » spaziato (per i substrati nel testo; ad es. Quercus cocci- fera, Salvia pratensis). che © : Erscheint mont, pil Ro Wertvolle | ‚Die ganze Literatur Ent Berichte. Ein viso OI | Ansichtexemplare versenet sen kostentrei Dr Christoph Schroder Schoneberg: Bertin EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 169 Die kleinsten Gallen sind ungefähr 1 mm gross, oft findet man aber blasige Gebilde von 5 mm Grosse. Die entsprechende Stelle an der Blattunterseite ist vertieft und von weissen Erineen ausgefiittert. Semarang, Tegal. N. 152. Allophylus cobbe Bl. II. BLATT: UND STENGELGALLE Acarocecidium 2. Eine zweite Art von Phytopten gebildeten Gal- len, die wir auf diesem Strauche fanden, besteht nur ans Erineen, die die jiingeren Teile mit einem silberweissen Flaum fast ganz über- decken. Auf älteren Blättern bilden sie grosse weisse Flecken. Semarang. N. 153. Ardisia elliptica Thunb. BLATTGALLE Thysanopterocecidium. Die Blätter sind um den Hauptnerv zu- sammengeklappt. Die Spreitenteile, welche neben dem Hauptnerf he- gen, sind verdickt und haben eine dunkelgefärbte und unebene Ober- fläche bekommen. Sie bilden auf diese Weise eine Rinne, worin die Thripsen leben. Oft liegt diese Rinne auch auf einer Seite des Blattes neben dem Hauptnerv. (Vergleiche hiermit die Galle auf Piper-arten NH. £.). H. H. Zeijlstra leg. Insel Noesa Kembangan. N. 154. Cassia mimosoides L. BLATT- UND BLÜTENKNOSPENGALLEN ..?.. Diese Pflanze, die lange, dünne, wenig verästelte Zweige bildet, worauf die Blätter in verhältnissmässig grossen Abstand an- geheftet sind, zeigt bisweilen ganz deformierte Äste. Die abnormalen = Aste sind kurz und stark und dicht verzweigt, sodass kleine Sträuch- a wil y peer iii 170 DocTERS v. LEEUWEN-REIJNVAAN lein gebildet werden (Figur 62). Die Blatter sind klein und sitzen dicht gedrängt bei einander. Die Blüten wachsen auch nicht normal aus, sondern die meisten Blü- tenteile entwickeln sich kümmer- lich. Der Kelch bleibt ziemlich normal. Die Kronblätter, die bei den normalen Blüten fast kreis- rund und hellgelb sind, sind in den abnormalen Blüten zu ziem- lich schmale, grüne Blättchen ge- worden. Die Staubfäden sind nicht viel geändert, aber von grünlicher Farbe. Der Fruchtknoten ist äus- serlich gut entwickelt, und ragt über die übrigen Blütenteile her- vor. Obschon die Gallen in grosser Zahl zu finden waren, zeigten sie sich als sämmtlich von ihren Be- wohnern verlassen. Allem Anschein Fig. 62. Knospengalle auf Cassia mimosoides L. x» 1. nach wird der Gallenbildner woh) eine Eriophyide sein. Semarang. N. 155. Cinnamomum iners Reinw. II. BLATTGALLE Acaroceeidium 2. Die Gallen sitzen auf der Blattunterseite und sind obschon sie sehr klein sind besonders deutlich sichtbar, da der umliegende Teil des Blattes nach unten vorgewölbt ist. Die Gallen sind fast zylindrisch, nur 1 mm hoch und ist ihr Querschnitt oval- rund, oft auch ziemlich unregelmässig oder etwas eckig, und misst ungefähr 3-5 mm. Die Oberfläche zeigt an dem Aussenrand eine schwach entwickelte vorspringende Leiste und im Zentrum eine gebräunte Stelle, welche die Öffnung Fig. 63. Durchschnitt der von einer Eriophyide auf den Blät- tern von Cinnamomum iners gebildete Galle. x 8. Po EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG TL der Gallenkammer darstellt. An der Blattoberseite bildet die Galle nur eine kleine glatte Wölbung, die durch. die hellere Farbe beson- ders deutlich auf der dunkelgrünen Blattoberfläche zur Geltung kommt. Ringsum die Galle ist die Blattfläche ziemlich tief eingesunken. Man kan sich die Form dieser Galle am leichtesten dann vorstellen, wenn man die Beschreibung derselben mit der beigefügten Figur 63, worin die Galle auf Querschnitt abgebildet ist, vergleicht. Die Gallenkam- mer ist breit und ziemlich niedrig und enthält kleine Wandwuche- rungen. Srondol bei Semarang. N. 156. Clitoria Ternatea L. I. BLATTGALLE Cecidomyidengalle 1. Die orangeroten Larven einer Cecidomyide bilden Gallen an den Blättern. Bei den infizierten Blättern sind die beiden Hälften nach oben geklappt; die Blattfläche streckt sich zumal am Rande weniger als normal und die Mittelnerve wird da- durch bogenförmig nach oben gekrümmt. Das Blatt bekommt dadurch die Form eines Schiffchens, wobei aber die Seiten nahe neben einan- der liegen. Die Larven befinden sich in dem so gebildeten, ziemlich abgeschlossenen Raum. Die Nerven sind an den Aussenseiten der Blätter mit vielen kleinen Erhabenheiten bewachsen ; diese sind hellgrüner Farbe und bilden einzelne kurze Stachelchen von höch- stens 1 mm Länge, oder sie sitzen dicht hinter einander, sodass Leisten gebildet worden sind. Semarang. N. 157. Clitoria Ternatea L. II. FRUCHTKNOTENGALLE Cecidomyidengalle 2. Auch die Blüten dieser Pflanze werden von einer orangeroten Cecidomyidenlarve infektiert, wahrscheinlich die- selbe, die auch die Blattgallen verursacht, denn beide Gallen kamen neben einander auf einer kräftigen Pflanze vor. Die infektierten Blü- ten können in sehr verschiedenem Grade verändert sein. In Fig. 64 Pre 172 Docrrrs v. LEEUWEN-RELIN VAAN sind darum vier Beispiele davon gezeichnet. Die normale Blüte kenn- zeichnet sich durch ihr sehr grosses Vexillum, das ungefähr 5 em lang und in der Mitte 3 ‘/, em breit ist. Die an- deren Blütenteile liegen am Anfang des Vexillums dicht gedrängt bei einan- der. Die am meisten in’s Auge fallenden Verände- rungen, die die Larven verursachen, bestehen in der Reduktion dieses Ve- xillums. Diese Reduktion kann aber sehr verschie- den ausfallen. In Fig. 64 b ist das Vexillum (Ve) ziemlich gross und von ungefähr normaler Form, es ist noch viel länger Fig. 64. Clitoria Ternatea L. a, b und e . in Gallen umgewandelte Blüten ; d eine nor- male Blüte von der Seite gesehen. Al = Alae; Ca = Calix; Ve = Vexillum. Nat. Grösse. und breiter, als die übri- gen Blütenteile. In e aber ist das Vexillum nur wenig entwickelt und das kleinste der Blüten- teile geworden. Wir wollen jetzt die Veränderungen der verschiede- nen Teile nach einander besprechen. Die zwei Hochblätter, die jede Blume am Fusse umgeben blei- ben in der Galle unverändert, sie fallen aber schon öfters frühzeitig ab, sodass sie dann auch nur bei zwei der abgebildeten Blumen (b und d) zu finden sind. Der Kelch (Ca) ist ziemlich normal geblieben, nur etwas grösser und unregelmässiger geworden, durch die Schwel- lung der ihn umhüllenden Teile. Bisweilen, wenn diese Schwellung sehr stark wird, ist der Kelch in zwei Teile gespalten, so z. B. ın b, wo dem mit Ca bezeichneten grösseren Teil noch ein kleines freies Stückchen gegenüberliegt. Bemerkenswert ist noch, dass die nämlichen kleinen grünen Verdiekungen, welche bei der vorigen Galle beschrieben worden sind, auch auf dem Kelch der infektierten Blüten entstehen , sodass wir hieraus wohl schliessen dürfen, dass beide Gallen von einem und demselben Gallentier gebildet werden. "o. EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 173 Die Krone ist in verschiedener Masse verändert, wie das schon bei der Besprechung des Vexillums erörtert worden ist. Die dunkel- blaue Farbe des Vexillums bleibt immer bewahrt. Auch die Alae und die Carina sind mehr oder weniger reduziert und gelblichgrün gefärbt anstatt blau. Die zu einem Rohre verwachsenen Staubblätter sind innerhalb der Krone zu finden, aber der Staubbeutel ist sehr schlecht entwickelt und grünlichgelb gefärbt. Bis jetzt haben wir nur die Teile der Blüte besprochen, die die eigentliche Galle umgeben , denn es ist der Fruchtknoten , der von den Cecidomyiden-larven bewohnt wird. Dieser Fruchtknoten ist sehr stark bauchig angeschwollen und zu einer unregelmässigen, schwam- migen Masse ausgewachsen und von zahlreichen Wülsten im Innern versehen. Hier leben die Larven. Das Innere des Fruchtknotens steht durch verschiedene Risse und Löcher mit der Aussenwelt in Verbin- dung, sodass man in den erwachsenen Gallen die Tiere von, Aussen sehen kann. Auf der Spitze des Fruchtknotens steht der Griffel mit der Narbe, die mehr oder weniger verändert sein können. Semarang. - N. 158. Coccinia cordifolia Cogn. I. STENGELGALLE Cecidomyidengalie. Die Gallen ähneln sich derjenigen auf M e- lothria perpusilla Cogn., die in unserem ersten Beitrag zur Kenntniss der Javanischen Gallen unter N. 13 beschrieben und ab- gebildet wurde, sehr. Auch hier findet man unregelmässige spindel- förmige Verdiekungen von einigen cm Länge und ungefähr '/, em Dicke. In der Galle liegen einige sehr englümige und lange Larven- kammern, welche je von einer Cecidomyidenlarve bewohnt werden. Die Galle auf dieser Cucurbitaceae, wie auch die auf Melothria perpusilla und auf Momordica charantia (N. 71) sind Ambrosiagallen im Sinne NEGERS (1). Die Gallenkammerwand ist mit einer Lage von eigentümlichen , stellenweise angeschwollenen Myzelfäden eines Pilzes ausgefüttert. Semarang. (1) F. W. NEGER — Ambrosiapilze. Ber, d. Deutsch. bot, Gesellschaft. Jahrg, 1908. Bd. XXVI a, S, 735, 174 DOCTERS Vv. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 159. Coccinia cordifolia Cogn. II. TRIEBSPITZENGALLE Aphidengalle. Die infizierten Blätter sind krause geworden und in einander gedreht. Ihre Nerven sind nicht normal ausgewachsen , modurch die Blattfliche ganz unregelmässig geworden ist. Semarang. N. 160. Cordia suaveolens BI. I. BLATTSTIELGALLE Riisselkifergalle. Die Blattstiele und auch die Hauptnerven sind in spindelförmige Gallen umgewandelt. Die Schwellungen sind meistens etwas unregel- mässig, ungefähr 1 '/, em lang und in der Mitte ‘/, em dick. Ihre Farbe ist lichtgriin. Im Innern befindet sich eine geräumige Kam- mer, die von einer Käferlärve bewohnt wird. Das erwachsene Tier entschlüppft durch ein rundes Löchlein. Die Gallen an den Nerven bilden mehr dünnere und länglich spindel- Fig. 65. Zweigspitze von förmige Schwellungen. In der Figur 65 ist Cordia suaveolens ein Zweigspitze zu sehen, dessen linker Blatt mit Blattstiel- und Blatt- eine Stiel- und dessen rechtes Blatt eine Mit- nervengallen von einem : telnervgalle trägt. Riisselkiifer gebildet. nat. > > MES Semarang. Grosse. i 8 N. 161. Cordia suaveolens BI. II. BLATTGALLE Acarocecidium 1. Die Blätter tragen auf beiden Seiten, doch am meisten an der Unterseite unregelmässige ungefähr 3-4 mm grosse Flecken, welehe dureh Erineen bedeekt und nach der nicht infek- tierten Blattseite blasig erhaben sind. Ganz junge Blätter können oft verkümmern und um ihre Achse gedreht werden. Semarang, Tegal. EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 175 N. 162. Cordia suaveolens BI. III. BLATTGALLE Acarocecidium 2. Der Blattrand zeigt über seine ganze Liinge oder nur über einen Teil seiner Länge eine feste nur 2 mm dicke Rollung, die von Phytopten bewohnt wird. Semarang. N. 163. Cudrania javanensis Trec. I. BLATTGALLE Cecidomyidengalle. An den jungen Sprossen findet man gelegent- lich Blattrandfaltungen. Der Rand der jungen Blätter ist dann nach unten umgeklappt. Die umgeklappte Stelle ist ungefähr 1 ‘/, mm breit und nimmt, wenn sie erwachsen ist, eine bleichere Farbe an. In der Gallenkammer findet man ein oder zwei weisse Cecidomyiden- larven. In Figur 66 ist bei b ein Querschnitt dieser Galle abgebildet. Selokaton bei Weliri. N. 164. Cudrania javanensis Trec. II. BLATTGALLE Acarocecidium. Nebst den oben beschriebenen Gallen, wobei der Blattrand nach unten gefaltet ist, kom- men an dieser Pflanze noch Gallen vor, wobei der Blattrand nach oben einige Male eingerollt ist. Dieser Teil ist mit feinen Haaren besetzt und birgt viele Phytopten. Fig. 66. Zweig von Cudrania javanensis mit Gallen von einer Eriophyide auf den Blättern gebildet. >< 1. Bei a Durchschnitt dieser Galle, bei b Durchschnitt der unter N. 163 beschrie- benen Cecidomyidengalle. a und b vergrössert. CTR SIERO - (UV Ly ; @ DI 176 Docrers v. LEEUWEN-REIJNVAAN Einen infizierten Zweig und einen Querschnitt der Galle findet man in Figur 66 und in Figur 66 a. Selokaton bei Weliri, Salatiga, Semarang. N. 165. Erioglossum edule BI. BLATTGALLE Cecidomyidengalle. Die Gallen sind am starksten an der Unter- seite des Blattes entwickelt. Hier sind sie kegelförmig 3 mm hoch und 2 mm breit, mit gelblich-weissen Haaren überdeckt. An der Blattoberseite sind die Gallen stumpf-kegelfirmig, nur 1 mm hoch und gelbbraun behaart. Da die Blattspreite in der Umgebung der Galle in ihrer Ent- wicklung gehemmt wird, und die übrigen Teile normal weiter wach- sen, ist die Blattfläche in der Umgebung der älteren Gallen ganz gefaltet, und dadurch liegen die Gallen in diesen Falten mehr oder weniger verborgen. Die Galle besitzt eine Larvenkammer , worin eine rote Cecido- myidenlarve lebt. E. JacoBsox leg. Tjandi bei Semarang. N. 166. Erythrina lithosperma Mid. III. NEKTARIENGALLE Cecidomyidengalle 2. Die Nektarien, die am Fusse der Seiten- blättehen vorkommen , sind zu unregelmässig- kugelförmigen Gallen von 5-7 mm Durchmesser angeschwollen. Die Einbuchtung , welche die normalen Drüsen an ihrer Aussenseite haben, bleibt auch bei der Galle deutlich sichtbar. Die Galle enthält eine Kammer, wor in eine (vielleicht bisweilen 2) weisse Cecidomyi-denlarve wohnt. Fig. 67 gibt eine Abbildung eines Blattstieles, der ein normales und ein in eine Galle umgebildetes Nektarium trägt. Urwald auf dem Oengaran. — 800 M. Fig. 67. Galle von einer Cecidomyide auf den Nektarien von Erythrina lithosperma gebildet. x 1. EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 177 N. 167. Erythrina lithosperma Mia. IV. BLATTGALLE Aphidengalle. Die Blätter werden unregelmässig. Obgleich die Nerven ziemlich normal auswachsen, so ist doch das dazwischenge- legene Blattgewebe stärker ausgedehnt und blasig aufgetrieben. Bis- weilen ist dazu der Hauptnerv gebogen oder auch wohl das ganze Blatt in einander gedreht. Die Aphiden sitzen an der Unterseite dieser Blätter. Kemantran bei Tegal. N. 168. Evodia accedens BI. I. BLATTGALLE Acarocecidium 1. An der Oberseite der Blatter sitzen zahlreiche hellgriine Gallen, die ungetähr 1 oder 2 mm gross sind. An der Unterseite der Blitter gibt es auch eine kleine Schwellung, welche mit weissen Haaren dicht besetzt ist, dazwischen liegt die Offnung der Galle versteckt. In Figur 68 ist diese Galle auf Querschnitt abgebildet. Semarang, Tempoeran, Tegal, Mangkang. ¥ Fig. 68. Blattgalle von Evodia acce- dens. vergr. N. 169. Evodia accedens BI. II. BLATTGALLE Acarocecidium 2. Die Gallen ragen nur an der Blattoberseite empor, sind dunkelgriin, un- regelmässig von Form und meistens etwas grös- ser, als die vorigen Gallen. An der Blattunter- seite ist nur eine ziemlich weite Öffnung zu finden ohne dass ein Mündungswall oder Haare entwickelt seien. Das Innere der Galle ist mit Sa Fig. 69. Acarocecidium 2 auf einem Blatt von Evodia accedens, Vergr. einigen kurzen verzweigten Haaren ausgefüttert. Siehe Figur 69. Semarang, Tempoeran. 178 DOCTERS Vv. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 170. Fagraea litoralis BI. BLATTGALLE Thysanopterocecidium. Von den dieken saftigen Blättern werden eine oder beide Hälften infektiert. Jede angesteckte Blatthälfte wird röhrenförmig nach oben eingerollt. Bei den in Figur 70 abgebildeten Blättern, war nur eine Seite gerollt. Die Oberfläche wird sehr uneben Fig. 70. Zweigspitze von Fagraea litoralis mit zwei in Gallen umge- wandelten Blättern, welche von Thripsiden bewohnt sind. Nat. Grösse. und ist mit zahlreichen Runzeln bedeckt. Ausserdem bekommt der infektierte Blatteil eine gelbe oder weisse Färbung. Das ganze Blatt kann zuweilen spiralförmig um seine Achse gedreht sein. Auf Quer- schnitt zeigt sich, dass der infektierte Blatteil sehr verdiekt und saf- tiger geworden ist. Salatiga. N. 171. Ficus glomerata Roxb. var. elongata King. I. BLATTGALLE Cecidomyidengalle ?. Die 3-4 mm grossen Gallen sind linsenförmig. Die Oberseite ist fast flach, die Unterseite dagegen mehr werdickt und äusserst schwach kegelförmig. Im ganzen ist die Galle nur 1 mm dick. Die Farbe der Galle ist gelblich - grün. Im Innern enthält sie eine kleine Larvenkammer. Tjandi bei Semarang. EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 179 N. 172. Ficus glomerata Roxb. var. elongata King. II. BLATTGALLE Psyllidengalle. Diese Gallen, die sich an der Blattunterseite bil- den, haben sehr verschiedene Formen. Einige sind ungefähr eiférmig, andere sind an der Basis breit und laufen gipfelförmig nach oben zu aus, während die Mehrzahl der Gallen eine unregelmässige Form aufweisen. In Figur 71 sind verschieden geformte Gallen abgebildet. Im allgemeinen sind die Gallen an der unteren Hälfte dicker als Fig. 71. Blatt von Ficus glomerata mit Gallen von einer Psyllide gebildet. Bei a Durchschnitt einer Galle. Nat. Grösse. mehr nach oben, bisweilen sind sie aber an der Basis eingeschnürt. Das zugespitzte obere Ende ist vielmals nach einer Seite umgebogen, oft auch ist die ganze Galle gekrümmt. (z. B. rechts unten auf der Figur). Die Länge ist 5-6 mm, die Dicke 4-5 mm. Die noch jungen Exemplare sind ziemlich glatt und von gelbli- cher Farbe; die älteren werden dagegen braun und erhalten der Länge nach verlaufende, untiefe Gruben, die auch in den jüngsten Stadien schon ein wenig angedeutet sind. Die erwachsenen Tiere ent- schlüpfen durch eine Öffnung, die an der Oberseite der Gallen ent- steht. Auch in den noch unreifen Gallen ist diese Öffnung zu finden, sie bildet dann eine sehr feine Spalte, welche die Gallenkammer mit der Aussenwelt in Verbindung bringt. Siehe Figur 71 bei a. An der Oberseite des Blattes, sind die Gallen nur werig ent- wickelt, hier findet man eine kleine bräunliche Verdickung .in der Mitte eines gelben Fleckchens. Tjandi bei Semarang. 180 DOCTERS V. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 173. Flemingia lineata Roxb. BLATTGALLE Cecidomyidengalle. Die Blättchen der dreiblättrigen Blätter dieser Papilionaceae sind nach oben eingerollt und in jeder dadurch gebildeten Rühre leben ein oder mehrere weisse Cecidomyidenlarven. Die Blättehen werden weiter nur sehr wenig in ibrer Entwicklung gehemmt, denn wenn die Tiere die Gallen verlassen haben, können letztere wieder auswachsen und sich fast normal entfalten, sie blei- ben nur etwas gerunzelt. Semarang. N. 174. Glochidion molle BI. VII. ‘ KNOSPENGALLE Cecidomyidengalle 2. Auf dieser Pflanze fanden wir noch eine sehr hiibsche, kleine Knospengalle. Die in Gallen umgebildeten , Knospen sind kegelförmig 3 mm breit und ebenso hoch, bisweilen mit einem spitzen umgebogenen Zipfelchen versehen. Ihre Oberfläche ist glatt und grün-gelb gefärbt; an der Unterseite der Galle sitzen noch einige kleine Knospenschuppen. In Fig. 72 ist ein Zweig dieser Pflanze mit zwei Gal- len abgebildet. Im Innern besitzt jede Galle nur eine geräumige Larvenkammer, die von einer Fig. 72. Junger zweig von Glo- schmutzigweissen Cecidomyidenlarve be- ehidion molle mit zwei wohnt wird. kleinen Knospengallen. » 1. Tempoeran im Djattiwald. N. 175. Hibiscus Rosa sinensis L. TRIEBSPITZENGALLE Coccidengalle. Die Cocciden infizieren die Spitzen der Zweige und hemmen das Wachstum derselben. Die Zweige schwellen auf, die EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 181 Internodien bleiben kurz, sodass die Blätter sehr dieht beisammen zu sitzen kommen wodurch ein Blätterschöpf gebildet wird. Die Blätter selbst sind ganz oder nur am Fusse unregelmässig und krause, da ihre Nerven nicht normal auswachsen können. Bisweilen werden auch die Blütenzweige infiziert. Später können die entzündeten Zwei- ge wieder auswachsen, sie verhalten sich dann weiter normal. E. JAcoBson leg. Tjandi bei Semarang. N. 176. Hibiscus similis Bl. II. BLATTGALLE Acaroceeidium 2. Die Unterseite der Blätter ist ganz oder mit grossen unregelmässigen Flecken von weissen Erineen, die später braun werden, überdeckt. Das Blatt bleibt fast immer ganz flach ; bisweilen sind an der Blattoberseite Erhabenheiten sichtbar, die sehr schwach entwickelt sind und eine etwas hellere Färbung besitzen als der übrige Teil des Blattes. Semarang. N. 177. Hibiscus similis Bl. III. BLATTGALLE Acarocecidium 3. Die Gallen sind am stärksten an der Unter- seite des Blattes entwickelt, und sitzen am meisten längs den Ner- ven, und zwar dort, wo zwei oder drei Nerven zusammen kommen. Sie bilden warzenähnliche Erhebungen von sehr verschiedener Form und Grösse, die noch unregelmässiger aussehen, als sie sind, indem ihre Oberfläche ganz von kleinen Höckerehen überdeckt ist. Die kleinsten Gallen sind ungefähr 1 mm, die grössten bis zu 4 mm breit und eben hoch. In Figur 73 ist ein Teil eines infizierten Blat- tes abgebildet, worauf die verschiedenen Gallenformen gut sichtbar sind. Viele laufen zipfelförmig nach oben zu aus, wie z. B. bei a, und sind oft zur Seite gebogen. Die Oberfläche ist mit einigen sanf- ten Haaren überdeckt, und öfters etwas rötlich oder rot gefärbt. An der Blattoberseite ist die Ausbildung der verschiedenen Gallen noch mehr verschieden, als an der Unterseite. Einige sind hier fast ebenso 182 DOCTERS V. LEEUWEN-REIJNVAAN gross, wie an der Unterseite, andere an der Blattoberseite fast gar nicht entwickelt. Und einige besitzen an dieser Seite des Blattes bisweilen eine kleine Ver- tiefung. An dieser Seite sind die Gallen graubraun behaart und warzig, aber nicht mit solchen deutli- chen, vorspringenden U- nebenheiten überdeckt ; als an der Unterseite des Blattes. In a und b sind zwei halbierte Gallen abgebil- det, wovon die eine an der Blattoberseite stark, die andere schwach ent- wickelt ist. Die Gallen- kammer ist durch einige Wandwucherungen in un- regelmässige Räume ver- teilt und zeigt nur wenig Fig. 73. Teil der Unterseite eines Blattes von Hibiscus similis mit vielen Zriophyi- 5 dengallen. a und b Durchschnitte durch zwei Behaarung. Die Offnung verschiedenen Gallen. x 1 befindet sich an der Un- terseite des Blattes. Semarang, Plaboean bei Weliri. N. 178. Impatiens Balsamina L. WURZELGALLE Aelchengalle. An den zarten Wurzeln von jungen Keimpflanzen, welche sich nicht normal entwickelten, fanden wir die schon öfters beschriebenen spindelförmigen Anschwellungen der Seitenwurzeln , welch unter Einfluss von Wurzelälchen entstanden waren. Semarang. EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 183 N. 179. Lantana camara L. TRIEBSPITZENGALLE Aphidengalle. Die Tiere infizieren die Spitzen des Stengels, wo- durch die Internodien nur wenig auswachsen und die Blätter dieht bei einander sitzen bleiben. Diese Blätter bleiben klein, erleiden doch nur wenige Veränderungen, sie bekommen eine rote oder orangerote Farbe. N. 180. Laportea stimulans Mig. II. BLATTSTIELGALLE Cecidomyidengalle 1. Die Blattstiele tragen grosse Gallen, die mei- stens aus mehreren runden ovalen Anschwellungen bestehen, welche durch undeutliche Gruben von einander getrennt sind. Diese zusam- mengesetzten Gallen von ungefähr 17 mm Dicke und 30-40 mm Länge sind schmutziggelbgrün , oft von feinen Narben bedekt und enthal- | ten mehrere Larvenkammern. Es gibt auch kleinere Exemplare, die By € nur einkammerig sind. Auch die Hauptnerven der Blätter tragen } diese Gallen, die ungefähr 7 mm \i \ breit und 8-9 mm lang sind, wobei À an der Blattoberseite nur eine kleine Wölbung sichtbar ist. Die Kammerwand ist sehr dick und besteht aus grossen wasserreichen Parenchymzellen. Da sämtliche Gallen nur Parasieten enthielten, können wir die Art der Gallbildner nicht angeben, wahrscheinlich wird sie sich als eine Cecidomyide herausstellen (1). Fig. 74. Grosse wasserreiche Gallen auf Laportea stimulans. nat. Grösse. Urwald auf dem Oengaran. — 1000 M. Höhe. (1) Auf einer neuen Exkursion in Mai, fanden wir, dan der Gallbildner wir- klich eine Cecidomyide ist. 184 DocTERS V. LEEUWEN-REIINVAAN N. 181. Laportea stimulans Miq. Ill. BLATTGALLE Acarocecidium. An der Oberseite der Blatter entstehen unregel- miissig geformte, blasige Erhebungen, die 3-7 mm breit und 1 oder 2 mm hoch sind. An der Blattunterseite finden sich entsprechende Vertiefungen, die mit weissen Erineen überdeckt sind. Bisweilen liegt die Erhebung an der Unterseite und ist das Erineum nach der Ober- seite des Blattes gekehrt. Urwald auf dem Oengaran. — 1000 M. N. 182. Laportea stimulans Miq. IV. BLATTGALLE Cecidomyidengalle 2?. Die hörnerförmigen Gallen sitzen mit brei- ter Basis auf der Blattoberseite angeheftet. Sie sind etwas unregel- mässig, meistens nach einer Seite gekriimmt und immer scharf zuge- spitzt. An der Basis sind sie 5-6 mm dick; die Länge beträgt mei. stens 7 mm, kann aber bis zu 10 mm werden. An der Blattunterseite ist nur eine undeutliche Einbuchtung zu finden in deren Mitte das Schlupfloch entsteht. Die Galle sind dunkelgriin gefärbt. Urwald des Oengarans. — 1000 M. N. 183. Laportea stimulans Miq. V. BLATTGALLE Cecidomyidengalle 3. Auch diese Gallen sind hörnerförmig, aber doch leicht von der vorigen zu unterscheiden. Erstens sitzen sie meistens auf der Blattunterseite und in so grosser Zahl beisammen, dass das Blatt dadurch ganz verunstaltet ist. Zweitens ist die Form verschieden. Diese Gallen sind an ihrer Basis weniger breit als die ersteren nur 2 ‘/, mm im Durchschnitt, Fig. 75. Längsschnitt einer Ceeidomyidengalle auf den Blättern von Laportea stimulans gebildet. vergr. EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 185 während ihre Spitze stumpf sind, sodass sie bisweilen fast zylindrisch erscheinen. Ihre Länge beträgt 8-9 mm. Drittens besitzen sie eine hellgrüne Farbe. An der Blattoberseite bildet die Galle nur eine schwache Wölbung mit einer kleinen Einbuchtung im Zentrum. Fig. 75. In der langen Larvenkammer lebt eine Cecidomyidenlarve. Urwald auf dem Oengaran. — 1000 M. N. 184. Laportea stimulans Mig. VI. BLATTGALLE Cecidomyidengalle 4.? Die Gallen befinden sich an der Unterseite des Blattes und sitzen den Haupt- und Seitennerven entlang, bis- weilen sind zwei oder drei Gallen seitlich mit einander verwachsen. Sie sind stumpfkegelförmig mit einer kleinen Einbuchtung in der Spitze, 3 mm hoch und 24 mm dick. Die Gallen sind gelbgrün und sehen aus wie Glas; dunkelgrüne Adern verlaufen über ihre Ober- fläche von ab der Unterseite nach der Spitze zu. Die entsprechende Stelle an der Blattoberseite ist etwas verdickt und von einer untie- fen Grube umgeben. In der Mitte der Verdickung entsteht ein klei- nes Schlupflöchlein. Urwald auf dem Oengaran. — 1000 M. N. 185. Leucas linifolia Spr. BLATT- UND TRIEBSPITZENGALLE Aphidengalle. Der Gipfel eines infizierten Stengels ist verunstal- tet, indem die Zweige weniger auswachsen, sowie auch die Mittel- nerven der Blätter. Diese entwickeln sich demzufolge spiralförmig und sind oft an ihren Rändern nach unten zu umgeklappt. Die Blü- ten werden ausserdem in ihrer Entwicklung gehemmt und verküm- mern meistens. Semarang. 13 186 Docrers Vv. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 186. Loranthus pentandrus L. I. STENGEL- UND BLATTSTIELGALLE Lepidopterengalle. Die Stengel sind an verschiedenen Stellen spin- delförmig angeschwollen. Diese Anschwellungen können 10 20 mm lang und in ihrem breitesten Teile 7 mm dick sein. In Figur 76 ist bei a eine junge Galle, in der Nähe der Stengelspitze sitzend, | gezeichnet. Diese jungen Gallen Fig. 76. Lepidopterengallen auf den sind glatt und griin, die älteren Zweigen von Loranthus pen- a A . à y vi or Sig tandrus. Beia eine junge Galle, werden graubraun und hart. Sie bei b und e zwei alten Gallen. nat. enthalten nur eine ziemlich lange Grosse. Larvenkammer, worin eine Raupe lebt. Bei e sieht man solch eine ältere Galle, die in b auf Längsschnitt dargestellt worden ist. Auch die Blattstiele und die Blattnerven können bisweilen in Gallen um- gewandelt werden. Semarang und Tjandi. N. 187. Loranthus pentandrus L. II. BLATTGALLE Aphidengalle. An den infizierten Zweigen sind gewöhnlich aile Endblätter verunstaltet. Die beiden Hälften eines Blattes sind nach unten eingerollt und das ganze Blatt ist dazu spiralförmig gedreht, während seine Oberfläche unregelmässig und von gelblicher Farbe ist. Tjandi bei Semarang. N. 155. Loranthus pentandrus L. III. BLATTGALLE Thripsidengalte. Die beiden Blatthälften sind verdiekt und hart geworden und dabei nach oben zu eingerollt, sodass das infektierte : SAS PPT DL er Se NAME 21 7 ha Lal te" > Abe * + m si, E ts "= > aes mod 5 a da < Pari » ch > = n ©» EINIGE GALLEN AUS JAVA. VIERTER BEITRAG 187 Blatt in zwei lange Röhren umgewandelt ist. Seine Oberfläche ist dabei ein wenig unregelmässig. In Fig. ist eine Stengelspitze gezeichnet, wobei ein Blatt in eine Galle verändert ist. Bei a findet man einen Querschnitt dieser Galle. Tjandi bei Semarang. Fig. 77. Zweigspitze von Loranthus pen- tandrus mit einem normalen und einem in einer Thripsidengalle veränderten Blatte. Bei a Durchschnitt der Galle. nat. Grösse. N. 189. Mangifera indica L. III. BLATTGALLE Cecidomyidengalle 3.? Die Gallen treten «uf der Blattoberseite 1 mm hervor; sie sind halbkugelförmig mit abgeflachtem Gipfel, wo- rin später gerade in der Mitte das Ausschlupfloch entsteht. An der Unterseite des Blattes sind die Gallen stumpf-kegelförmige und un- gefähr 1 ‘/, mm hoch. Kemantran bei Tegal. N. 190. Melastoma polyanthum BI. III. BLATTGALLE Acarocecidium 2.2 Die Ränder der Blätter sind über deren gar zen Liinge etwas nach oben eingerollt, zeigen weiter aber keine Ver- änderungen. Diese Gallen sammelten wir nur in einigen Exemplaren, sodass wir nicht ganz sicher sind, dass sie von einem Phytoptus gebildet werden. Oengaran. — 600 M. 188 DOCTERS Vv. LEEUWEN-REIJNVAAN N. 9. Memecylon intermedium Bl. BLATTGALLE Thysanopterocecidium. Die beiden Blatthälften sind ganz nach oben eingerollt. Sie sind dick geworden und von blutroten Flecken überdeckt. Meistens werden die jungen Blätter infiziert; wenn ältere Fig. 78. Gallen von einer Thripside auf den Blättern von Memecylon intermedium gebildet. Bei a Durchschnitt der Galle. Blätter angesteckt werden, so werden diese nur wenig, öfters fast gar nicht gerollt, aber ihre Oberseite wird rauh und von gelben und roten Punkten bedeekt. (Figur 78). Die Unterseite dieser Blätter zeigt auch blutrote Pünktehen, aber weniger deutlich und ist sonst nicht geändert. Die Einrollung geschieht auf dieselbe Weise als bei der Thripsen- Galle auf Loranthus pentandrus (Biehe Fi- gur 77). Djattiwald bei Kemantran (Tegal). à LAS 4 sd =" Tre | sd. > de . ha. EINIGE GALLEN AUS Java. VIERTER BEITRAG 189 N. 192. Momordica charantia L. ll. TRIEBSPITZENGALLE Aphidengalle. Die Läuse infektieren die Stengelspit- zen, welche unter Einfluss dieser Tiere in ibrem Wach- stum gehemmt werden. Die Internodien verlängern sich wenig, wodurch die Blätter dicht beisammen sitzen. Die- se Blätter werden krause und unregelmässig gebogen. Schliesslich wird ein grosser dichter Knäuel gebildet, wo- raus Blatteile und auch ver- kümmerte Ranken und Blü- ten hervorstecken. Fig. 79. Srondol bei Semarang. Fig. 79. Aphidengalle am Sten- gelspitze von Momordica charantia. Nat. Grösse. N. 193. Pluchea indica Less. Ili. BLATTGALLE Acarocecidium 2. Im Gegensatz zu der unter N. 80 auf dersel- ben Pflanze vorkommenden und bereits besehriebenen Galle, welche nur nach einer Seite des Blattes entwickelt ist, wölbt diese Galle sich nach beiden Seiten hervor. Im Ganzen ist sie doch nur 1 mm dick. Die Galle ist unregelmässig rund mit etwas unebener dunkel- grüner Oberfläche. Die Öffnung liegt einmal an der Ober- andermal an der Unterseite des Blattes. Semarang, Kali Woengoe. 190 DOCTERS V. LEEUWEN-RELINVAAN N- 94. Saccharum officinarum L. I. WURZELGALLE Nematodengalle. An den düunen Seitenwurzeln des Zuckerrohres werden durch Heterodera javanica TREUB, Gallen gebildet. Diese sind von TREUB (1), genau untersucht worden, und VAN DEVENTER (2) schreibt in seinem Buche, die Feinde des Zuckerrohres, darüber das folgende. Die Larven dringen in eine junge Wurzel, indem sie die Zellen der Wurzelhaube und des Meristems aus einander dringen ohne eine Verwundung zu verursachen, sodass später von einer Narbe nichts zu finden ist. Die eingedrungene Larve kriecht eine Strecke im Marke vor und in diesem Gewebe entstehen, namentlich in näch- ster Nähe des Kopfes dieses Parasiten, Riesenzellen mit mehreren Kernen. Zunächst finden Zellteilungen im Marke statt und entsteht eine Schwellung der Wurzel. Die Larve entwickelt sich weiter, bei dem Weibehen entsteht ein Eiersack, der so gross wird, dass die Galle schliesslich platzt und die jungen Tiere frei kommen. Kemantran bei Tegal. N. 195. Saccharum officinarum L. II. BLATTGALLE Thysanopteroceeidium. Die Blätter des Zuckerrohres können sich in eine Galle umwandeln, und ist die Beschreibung dieser Galle bei VAN DEVENTER (3) zu finden. Die Gallenbildner sind: Thrips sae- chari und T. serrata von denen der letztere dunklerer gefärbt ist als der erstere. Sie leben zwischen den jungen noch eingerollten Blättern und kriechen bis in das oberste Ende. Die Spitzen der Blätter wer- den gerollt und braun. Wir fanden selbst auch ältere Blätter , die ganz eingerollt waren und eine rotbraune Farbe angenommen hatten. Kemantran bei Tegal. Literatur: (1) M. TREUB. Quelques notes s. 1. effects du parasitisme de 1’ He- terodera javanica A. 1. racines de la canne à sncre. Ann. Jard. Botan. d. Buiten- zorg. 1887. T. VI. S. 93. (2) W. vax Deventer. De dierlyke vanden van het suikerriet en hunne pa- rasieten. 1906. S. 297. Tafel 42. Figur 6. (3) Literatur: W. VAN DEVENTER. loc. cit. S. 280 Tafel 38. Figur 1 und 2. EINIGE GALLEN AUS Java. VIERTER BEIFRAG 191 N. 196. Smilax spec. div. BLATTGALLE Thripsidengalle. Diese Gallen kommen auf verschiedenen Sm i- la x-arten vor. Da sie sich am liebsten auf den jungen nicht blü- henden Sprosslingen entwickeln, ist es niemals mö- glich die Speziess Name der Wirtspflanze zu bekom- men. Diese Galle ist aber eine der allgemeinsten For men auf diesen verschiedenen Smilax-arten und sehr karakteristisch, sodass wir sie doch beschreiben wollen. Die Blätter dieser Pflanzen haben einen starken Fig. 80. Von Thripsiden gebildete Blattgalle auf Smilax spec. Bei a Durchschnitt der Galle. nat. Grösse. Hauptnerv und zwei kräftige Seitennerven, die von der Biattbasis nach oben bis an die Blattspitze ver- laufen. Der Teil der Blattspreite der unmittelbar an beiden Seiten des Hauptnerven liegt, schlägt nach oben zusam- men und so entsteht ein Rohr in der Länge des ganzen Blattes, wie wir solch eines auch bei der Thripsidengalle auf Piper Bettle beschrieben haben (Siehe N. 77). Auch die Blatteile an beiden Sei- ten der Seitennerven bilden solche Röhren. Dazu dreht sich das verunstaltete Blatt ein oder zwei Mal um seine Achse. Die Aussen- seite der Galle ist ganz mit unregelmässigen Höckerchen versehen und hat eine rote, oder weissrötliche Farbe angenommen. In den Röhren leben Hunderte Thripsiden in allen Stadien ihrer Entwick- lung. Figur 80. Tempoeran, Semarang, Mangkang. N. 197. Solanum torvum Swartz. BLATTGALLE Aphidengalle. Die infizierten Blätter entwickeln sich krüppelhaft. Die Nerven wachsen nicht aus und krümmen sich, während die Spreite dazwischen uneben und bisweilen blasig aufgetrieben wird. Die Blätter bilden zusammen oft einen diehten Knäuel. Semarang. 192 Docrers v. LEECWEN-REIJINVAAN N. 198. Trevesia sundaica Mia. BLATTGALLE Cecidomyidengalle ?. Die Gallen treten an beiden Blattseiten her- vor, sind nach oben stumpfkegelförmig, ungefähr 3 mm hoch: und nach unten zylinderférmig und 4 oder 5 mm lang. Die Blattfläche sinkt ringsum die Gallen etwas nach unten ein, sodass diese an der Oberseite des Blattes von einer Grube umgeben werden und an der Unterseite langer zu sein scheinen, als sie in der Wirklichkeit sind. Die Galle ist 3 oder 4 mm dick und enthält eine lange Larvenkam- mer. Ihre Oberfläche ist im Anfang dunkelgriin und wird spater ganz oder nur stellenweise von einem korkigem Gewebe überdeckt. Urwald auf dem Oengaran. — 1000 M. N. 199. Vangueria spinosa Roxb. BLATTGALLE Acarocecidium. Die infizierten Blätter sind meistens am Fusse eingerollt. Die beiden Spreitenhälften schlagen nach oben auf und werden auf ihrer Oberfläche, welche also die Innenwand der Galle bildet, stark behaart. Die Spreite entwickelt sich weniger und sieht öfters gelblichgrun aus. . Kemantran bei Tegal, Semarang. N. 200. Wedelia asperrima Benth. IV, STENGELGALLE Cecidomyidengalle 2.? Der Stengel tragt Gallen von verschiedener Form, etwa keulenförmig. In Fi- gur 81 sind einige Gallen gezeichnet. Sie sitzen mit einem kurzen Stielchen am Stengel, indem der brei- teste Teil, der 4 oder 5 mm dick ist, vom Stengel Fig. 81. Cecidomyiden (?)-gallen auf einem Zweige von Wede- lia asperrima. x]. GALLE RACCOLTE IN ASIA MINORE 7% 193 abgewendet ist. Im Ganzen sind sie 8 oder 9 mm lang. Sie sind wie der Stengel selbst mit grauen Haaren bedeckt. Sehr wahrscheinlich werden diese Gallen von derselben Gallmiicke gebildet, welche auch als Larve die unter N. 150 beschriebene Blattgalle bewohnt. Wir fanden beide Arten nebeneinander auf einem Zweig einer Pflanze, der ganz von diesen Gebilden überdeckt war. Alle Exemplare waren aber bereits von den Tieren verlassen und wir konnten leider keine anderen, noch geschlossenen Gallen finden. Tempoeran im Djattiwald. \vw\yvv\yvvwwvvv\vvv\w A. TROTTER PUGILLO DI GALLE RACCOLTE DAL D.* A. FORTI IN ASIA MINORE Debbo le galle qui elencate alla cortesia dell’ amico D.r A. FORTI che per me le raccolse in un viaggio da lui recentemente compiuto (settembre 1910) nella regione oceidentale dell’ Anatolia, al nord di Smirne; gentile pensiero suscitatogli da una ricca raccolta cecidolo- gica da me fatta, assieme a lui, in quella stessa regione, in un me- morabile viaggio compiuto nell’ estate del 1900 e di cui già da anni sono ben noti i risultati (1). Il presente elenco porta nuova conferma alla diffusione nel ba- cino orientale mediterraneo di talune specie già descritte ma non ancor molto note; per la Q. Aegilops, se ne segnalano talune non an- cor indicate di questo substrato, che fu sin quì assai poco sfruttato dai cecidologi ; le ho contraddistinte da un asterisco. Alcune altre specie riescono poi del tutto nuove per l’ Asia Minore come apparirà a suo luogo. Quercus Aegilops L. (= Q. vallonea Kosch) © Arnoldia sp. ? Galla pustoliforme; sull’ epifillo discoidale , del diam. di 2 mm. (1) Galle della Penisola balcanica ed Asia Minore. — Nuovo Giorn. bot. it. an. 1903, con 2 tav. 194 A. TROTTER e brevemente mucronata nel centro, glabra, sull’ ipofillo prominente, sublentieolare, minutamence umbonata, pubescente. Ricorda le galle già da me in altra occasione descritte e figurate per Q. Cerri s (efr. Galle della penisola balcanica ed Asia Minore, n. 99, tav. I fig. 14 ter, a.) dalle quali non differirebbe che per una più scarsa pube- scenza nella regione ipofilla. Soma. Arnoldia Cerris (Koll.) Kieff. Differisce dalle galle del Cerro unicamente per le sue dimensioni leggermente più piccole Soma. * Arnoldia (? nervicoia Kiett.) Tenui ipertrofie della costa o delle nervature secondarie. Diffe- riscono da quelle della Q. Cerris per le loro più piccole dimen. sioni. Soma. * Dryomyia circinans (Gir.) Kieff. Anche queste differiscono da quelle della Q. Cerris per le dimensioni un po’ più piccole e per la pubescenza un po’ più bian- ‚astra. Soma. * Andricus Cecconii Kieffer. Questa galla era nota sin qui solo dell’Italia meridionale (Leccese) per cui la presente segnalazione, oltre stabilire un nuovo substrato (era nota solo di Q. macedonica), allarga notevolmente l’area di- stributiva di questa interessante specie. Differiscono, da quelle tipiche di Q. macedonica, unicamente per essere in modo distinto pube- scenti, ciò in rapporto con la natura diversa del substrato. Soma. * Aphelonyx cerricola (Gir.) Mayr. Differiscono dalle galle enropee pe le loro minori dimensioni, per essere spesso solitarie e perciò subsferoidali. Concordano con le 20 GALLE RACCOLTE IN ASIA MINORE © 195 galle da me già altra volta descritte per I Asia Minore su Q. Ce r- ris: Soma. Neuroterus sp. Galle ipofille, sferoidali, argenteo-lanuginose, eguali a quelle da me già descritte per lo stesso substrato, ma rinvenute in Grecia, cosicchè anche per questa specie viene ad estendersi notevolmente V area geo- grafica (cfr. Galle della Penisola balcanica ed Asia Minore n. 114). Soma, * Synophrus politus Hart. Già indicata d’ Asia Minore, però su Q. Libani. Soma. Eriophyes sp. Erinei per lo più ipofilli, ferruginei, in cespugli tondeggianti © leggermente allungati, situati in depressioni più o meno pronunciate della lamina. Soma. Quercus lusitanica Lam. (s. 1.). Andricus fecundator (Hart.) Mayr. Differisce dal tipo, cioè dalle galle dell’ Europa media su Q. pedunculata, per la sua dimensione un po’ più piccola, la sua forma più arrotondata, le squane più piccole, tomentose. Magnesia. Andricus lucidus (Hart.) Mayr. Presso Gingo lungo la strada da Soma a Pergamo. Andricus lucidus (Hart.) Mayr. var. orientalis n. var. Differisce dal tipo per le appendici molto più lunghe, 10-12 mm, (anzichè da 4-8 mm.), più o meno appiattite anzichè cilindriche, sub- 196 A. TROTTER clavate e non capitate, tortuose od ineurvate verso il corpo gallare non rigide e diritte. Corrisponde ad una forma dell’ Albania alla quale avevo già fatto cenno in altra occasione (efr. 1. e. n. 135). Presso Soma. Andricus Panteli Kieffer. Presso Soma. Andricus Seckendorffi (Wachtl) Mayr. Questa galla ha molte analogie con quella di Andricus Magrettit Kieff. Presso Gingo lungo la strada da Soma a Pergamo. Cynips Caput-Medusae Hart. Presso Gingo lungo la via da Soma a Pergamo. Cynips insana Mayr. L’ insetto fu deseritto solo nel 1901, ma la galla è nota da tempo immemorabile, coi nomi di galla di Bassorah, pomi di Sodoma, pomi del Mar Morto ete., anzi si è cercato un tempo di identificare queste galle con alcune singolari produzioni già ricordate nella Bibbia. Assai diffusa nell’ Anatolia, Palestina, Albania. DALLA TORRE e KIEFFER (Cynipidae, in Tierreich an. 1910, p. 423) l’ indicano an- che di Vallombrosa in Italia, ma parmi che tale località meriti con- ferma. Alle descrizioni sin qui pubblicate, è da aggiungersi che le galle giovani, od anche quelle non completamente mature, sono provviste di un indumento glutinoso più o meno sensibile. Magnesia, ed a Gingo tra Soma e Pergamo. Cynips mediterranea Trotter. Presso Pergamo. Cynips Theophrastea Trotter. Frequente presso Gingo lungo la strada da Soma a Pergamo. Cynips tinctoria (Oliv.) Brandt et Ratz. Frequente presso Gingo lungo la strada da Soma a Pergamo, GA) LE RACCOLTE IN ASIA MINORE . 197 ? Cynips tinctoria (Oliv.) Brandt et Ratz. Assieme agli esemplari tipici su riportati ne ho osservati aleuni che se ne differenziano per i seguenti caratteri: sono subpiriformi cioè abbastanza distintamente assotigliati verso la loro inserzione, di dimen- sioni maggiori, cioè alti sino a 26 mm. per 20-25 mm. di diam., foro di uscita del diametro di 3-3.5 mm., appendici ben prominenti, talune alte sino a 5 mm., d’ ordinario indipendenti le une dalle altre cioè non congiunte da creste superficiali. Con le precedenti. Cynips tomentosa Trotter. Abbondantissima; a Magnesia e presso Gingo lungo la strada da Soma a Pergamo. Cynips sp. Galla delle gemme terminali, di forma suburceolata, assai dila- tata verso la sua base, quivi larga circa 8-9 mm. alta invece 5-6 mm., legnosa, glabra, di un colorito rossiecio-bruno sfumato di giallo; su- periormente troncata, umbilicata, provvista di una strozzatura peri- ferica che determina un brevissimo collo. Ricorda per la forma le galle di Cyn. gracilicornis, le quali però sono del tutto diverse per i caratteri della loro superficie. Ho potuto avere un solo esemplare percui mi è ignota la sua strut- tura interna. Presso Soma. Neuroterus leviusculus Sch. Presso Soma. Rosa sp. Rhodites sp. alle affini a quelle di Rh. Mayri, dalle quali sopratutto si dif- ferenziano per mancare di una qualunque appendice aculeiforme. Ta- luni esemplari, sviluppantisi a spese del frutto, corrisponderebbero a Rh. fructuum Riibs. Presso Gingo lungo la via da Soma a Pergamo. D re o gie © ie) 198 NEUE 200CECIDIEN DER NIEDERSCHLESISCHEN EBENE Von Hueco SCHMIDT — Grünberg Schlesien. 1. Avena sativa L. (1) Spitzen der Blatter schraubig eingerollt und hakig herabgebo- gen. Meist ist damit eine Entfärbung (rot oder gelblich) verbunden. Unter der an der Blattfläche des darunterliegenden Blattteiles anlie- genden abwärts gebogenen Spitze sitzen die Erzeuger, Aphiden, in ziemlicher Anzahl. Diese Veränderung. die am Standorte fast an allen aim Feldrand von mir gesehenen Pflanzen vorkam, betraf immer nur das oberste, unter der Rispe stehende Blatt. Fundort : Grünberg in Schlesien, 27. 6. 08. Im Jahre 1908 eine häufige Erscheinung. 2. Equisetum limosum L. (2) a. Zusammentreten der Zwischenwände am obern Stengelteil infolge starker Verkürzung der obern Internodien. Die befallene Stelle leicht spindelförmig angeschwollen und hart. Öffnung etwa 1 mm im Durch- messer, kreisrund. Oft ist die betreffende Stengelpartie schlingenför- mig gebogen. Die befallenen Pflanzen bleiben dünn und im Wach- stum zurück. Im Innern der Bildung krümliche Exkremente. Fundort: Grünberg i. Schles., Parchwitz i. Schles. Nicht selten. b. In Gesellschaft mit der vorigen Galle noch eine andere, bei der die Stengel aber zu voller Grösse auswachsen: Dieht über einzelnen Stengel abschnitten findet sich eine charakteristische Knickung des Stengels mit einer länglichrunden „ oft bis */, cm langen Ausgangs öffnung. Bis 6 Öffnungen an einem Stengel. Fundort: Wie bei a. Gleichfalls nicht selten. (1) Jahresbericht der Geseilsch. für vaterl. Cultur 1909: Nachtrag zu dem Verzeichnisse der schlesischen Gallen I, Nr. 55. (2) Ebenda, Nr. 9. | 4 AN DA 7 H. SCHMIDT : 199 In dem unten als Fussnote vermerkten Nachtrage zu dem Ver- zeichn. sehles. Gallen sind @ und d von mir in eine Nr. zusammen- gezogen worden. Nach nochmaliger Untersuchung meines Materials ergab sich aber dass beide Erscheinungen zu trennen sind. a diirfte ein Diptero -,b vielleicht ein Coleopterocecidium sein. Leider waren die Gallen, als ich sie sammelte (August), bereits von ihren Bewoh- nern verlassen. 3. Pinus silvestris L. (1) a. Die Zapfen erreichen nur etwa */, ihrer Grösse und werden sehr hart und harzig. Auch zeigen sie sich leicht gekrümmt. Ihre Schuppen bleiben geschlossen. Im Innern entwickelt sich ein zu den Curculioniden gehöriger Käfer, Pissodes notatus, der vom September an den Zapfen durch ein kreisrundes Loch, zumeist in der Nähe des Stieles, verlässt. Oft finden sich mehrere Käfer in einem Zapfen. In diesem Falle ist gewöhnlich das Innere Zum grössten Teile ausge- höhlt. Im September fanden sich ausser bereits verlassenen Zapfen auch noch zahlreich solche mit Puppen des Käfers vor, so dass sich dessen Entschlüpfen mutmasslich noch durch den Oktober hinzieht. Die besetzten Zapfen fallen ausser durch ihre Krümmung dureh ihre braune Färbung auf. (Normale Zapfen sind in dieser Grösse und zu dieser Jahreszeit grün). Auch sitzen sie ausserordentlich locker und fallen bei leiser Berührung ab. Fundort: Grünberg, Schlesien. 3esonders in Schonungen häufig. b. Neben Pissodes notatus werden die meisten der eben beschrie- benen Zapfen noch von einer Schmetterlingraupe bewohnt. Dieselbe ist etwa 1'/, em lang und von dunkelaschgrauer Farbe, mit schwarz- braunem Kopfe. Sie ist jedenfalls an der Verbildung der Zapfen durch ihren Frass stark beteiligt. Fundort und Vorkommen : Wie oben. (1) Jahresbericht des Gesellsch. f. vaterl. Cultur 1909: Nachtrag zu dem Ver- zeichnisse der schles. Gallen I, N. 11 200 ZOOCECIDIEN NIEDERSCHLESISCHEN EBENE 4. Apera Spica Venti P. B. (1) Rispenspindel und besonders die Rispenenäste geschlängelt. Da- mit ist eine dichte Knäuelung einzelner Partieen verbunden, die in einer starken Verkiirzung der zu den betreffenden Rispenquirlen gehörigen Astchen ihren Grund hat. Diese Knäuelung zeigt sich am ausgeprägtesten am Grunde der Rispe. Mitunter besteht die ganze Rispe nur aus solchen etagenartig übereinander liegenden Knäueln. Fundoit: Grünberg, Schlesien, u. Leschwitz bei Liegnitz. Nur vereinzelt. Erzeuger : Jedenfalls eine Tylenchus-Art. 5. Arrhenatherum elatius Mert. u. Koch. (2) Kopfförmig geknäuelte Rispen mit verkürzten und geschlän- gelten Ästehen. Der vorigen Nr. sehr ähnlich. Fundort: Grünberg (Augusthöhe). Erzeuger : Wohl gleichfalls eine Tylenchus-Spezies. 6. Phragmites communis Trin. (3) An den Rändern locker eingerollte Blätter; oft ist die Rollung bis zur Tutenbildung mit gleichzeitiger Drehung vorgeschritten. Die Stengelspitze stirbt ab, und die ganze Pflanze zeigt einen verküm- merten Wuchs. Erzeuger sind spangrüne und violette Aphiden, die in grosser Anzahl in den Blattscheiden und auf der Blattfläche sitzen. Fundort : Grünberg (Oberwald). wWwwvwyv\vvyvvvvvyvwyvWw (1) Ebenda, Nr. 43. (2) oo 5 NICO, (3) Pi es MARCELLIA, Riv. Intern. di Cecidologia (Vol. IX, an. 1910) BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 1. Baccarini P.— Sui micozoocecidii od « ambrosiagallen » (Bull. Soc. bot. it. 1909, pp. 137-145, con fig.). Osservazioni dettagliate intorno alla posizione sistematica di alcuni funghi vi- venti in simbiosi, allo stato di micelio, entro alcune galle di Asphondylia di C a p- paris, Cytisus, Sarothamnus. In seguito a colture, pare che i funghi rinvenuti possano ascriversi ai generi Sterigmatocystis, Aspergillus, Fusarium. — Cir Bibl Veit Vil 8, 2. Cook Mel. T.— Cecidology in America (Botanical Gazette, v. IL, 1910, pp. 219-222). Accenna all’ importanza generale degli studi cecidologici ed al loro ineremento in Europa. 3. Docters van Leeuwen W. u. Reijnvaan J. — Kleinere ce- eidologische Mitteilungen (Ber. deutsch. bot. Gesellsch. Bd. XX VII, 1909, pp. 572-581, con 6 fig.). È un completo studio sullo sviluppo ed istologia delle galle caulinari di C o m- melina communis L., prodotte dal Lepidottero Aegeria uniformis Snell. nel- l’ isola di Giava. 4. Fulmek Leop. — Die Hessentliege und ihre Bekämpfung (Wien. Landwirtsch. Ztg. Jahrg. 59, 1909, p. 881). Tratta della lotta contro la Mayetiola destruetor. 5. Goethe R. — Schizoneura (Aphis) lanigera Hausm., ihre Lebens- geschichte und Bekämpfung (Berlin 1909, P. Parey, vol. in-8 di 24 pp., 1 Mk.). 6. Klein E. J.—Wesen und Bekämpfung der Reblaus, Phylloxera va- statrix (Bull. Soc. naturalistes Luxembourg. N.S. II, 1908, con fig.). 1 il MARCELLIA 7. Küster Ern. — Ueber organoide Gallen (Biolog. Centralblatt , sd. XXX, n. 3, an. 1910, pp. 116-128). Appoggiandosi sulla distinzione anatomica dei tumori, già in uso in patologia umana, i quali possono essere od organoidi o istioidi, VA. ritiene che la stessa divisione possa introdursi anche nella classificazione generale delle produzioni gallari delle piante. Galle istioidi perciò sarebbero quelle derivate dalla pro- liferazione più o meno palese dei tessuti; galle organoidi quelle invece ri- sultanti dallo sviluppo di organi anormali, oppure di organi mancanti alle parti normali della pianta ; le prime, più costanti nelle dimensioni e nei caratteri mor- fologici, le seconde, più variabili nella forma e nell’ampiezza. I calici del Te n c- rium montanum ipertrofizzati dal Copium Teucrii, i germogli di Juncus deformati dalla Livia juncorum, le foglie di Populus Tremula dall Eriophyes dispar, molti acarocecidii, micocecidii ete. sono altrettanti esempi di galle orga- noidi. Sono inoltre esempi dello stesso gruppo, le galle di Cecidomyia Poae deri- vanti dallo sviluppo anormale di radichette , inoltre le eloranzie, gli scopazzi, le galle gemmiformi della Rhabdophaga rosaria, Perrisia capitigena ete. L’ A. si sofferma quindi ad esaminare le canse che determinano i fenomeni teratologici nelle piante (i quali, in molti casi, si presentano come assai affini alle galle organoidi) ad esem- pio ferite ed altri tranmi, disturbi nutritivi ete., e ne conclude che tale gruppo di gallo è distinto dalle istioidi anche per un meccanismo eziologico probabilmente di- verso. Fa quindi alenni accenni ed aleune considerazioni intorno al finalismo delle © galle organoidi e così pure delle istioidi ed alla possibilità della loro fissazione ere- ditaria. Sistematica, distribuzione geografica, galle muove, etc. 8. Bayer Em.— Ein Beitrag zur Kenntnis der Weidengallen (Hed- wigia Bd. XLIX, 1909, pp. 392-395, con fig.). Con la presente Nota 1’ A. segnala la presenza di alenne conoscinte galle dei Salici sopra talune delle entità critiche, cioè varietà, ibridi ete., esistenti in questo difficile genere di piante. Il materiale proviene da varie località, enropee (Austria e Germania) ed extraeuropee (Persia). 9. Beutenmuller W.— The North American species of Diastro- phus and their Galls (Bull. Amer. Mus. Nat. Hist. v. XXVI, 1909, pp. 135-145, tav. XXVI-XXIX). 10. Beutenmuller W. — The species of Biorhiza, Philonix and al- lied Genera, and their Galls (ibid., pp. 243-256, tav. XLI-XLITI). 11. Beutenmuller W.— Some North American Cynipidae and their Galls (ibid., pp. 277-281, tav. LI). BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI 3 III - ~ -2. Boerner K. — Uber Chermesiden (Zoolog. Anzeig. Bd. XXXIV, 1909, pp. 478-511, pp. 554-560). 13. Cockerell T. D. A. et Rohwer S. A. — A new gall-making Coccid on Atriplex (Proceed. Entom. Soc. Washington an. 1909, pp. 169-170). 14. Connold E. T.— Plant Galls of Great Britain. A nature-study Handbooch (Adlard and Son, London 1909, in-8 piccolo, XI1-292 pp. con 354 fig.). Chi conosce i due precedenti lavori dell’ A., già da noi recensiti [I 27, VIII 13] può già immaginare il contenuto del presente lavoro, il quale può considerarsi perciò come una fusione dei British Vegetable Galls (1901) e British Oak Galls (1908). Contiene la deserizione di circa 350 galle, chè tante pare ne enumeri sin qui l’ In- ghilterra, quasi tutte figurate da clichés, non sempre nitidi, intercalati nel testo. La incerta identificazione di varie galle ben note, la non corretta nomenclatura di molte altre, l'inclusione di deformazioni non gallari, continuano a mostrare nell’ A. il dilettante privo delle cognizioni fondamentali per affrontare uno studio così com- plesso com’ è quello delle galle. Comunque gli riconosciamo il gran merito di aver diffuso con queste sue opere, certo compiute non senza difficoltà, gli studi cecido- logici nell’ Inghilterra. 15. Cook Mel. T. — Some Insect Galls of Cuba (II. Rep. Estacion Central Agronomica Cuba, 1909, pp. 143-146, tav. XXXIX-XLII). Supplemento al precedente lavoro sulle galle cubane pubblicato dall’ A. e da noi già segnalato a suo tempo [efr. Bibl. V 131]: I nuovi cecidozoi descritti (nomina nuda) sono i seguenti : Eriophyes calophylli n. sp., bollosità fogliari di Calophyllum calaba Jacq. Eriophyes cordiae n. sp., grumi cellulari epidermici suberineiformi in Cordia sp. Eriophyes lantanae n. sp., deformazione delle gemme fiorali in Lantana ca- mara L. Eriophyes ricinellae n. sp., piccole bollosità fogliari, pubescenti nella concavità, in Ricinella ricinella L. Eriophyes ipomoeae n. sp., galle fogliari subcefaloneiformi in Ipomaea. Cecidomyia pisoniae n. sp., noduli fogliari numerosi, sparsi, su Pisonia sp. Cecidomyia eupatorii n. sp., ipertrofie rameali su Eupatorium villosum Sw. Cecidomyia cecropiae n. sp., pustole fogliari minutissime su Cecropia obtusa Tr. Cecidomyia fici n. sp., pustole fogliari, di 5-6 mm. di diam. papillate, su Ficus sp. Cecidomyia avicenniae n. sp., galle fogliari anfigene di 3-5 mm. di diam. su A v i- cennia nitida Jay. Cecidomyia portulacae n. sp., galle caulinari sferoidali o subfusoidee su Portu- laca sp. IV MARCELLIA Cecidomyia cocolobae n. sp., piccole galle fogliari nodnlose di 2-5 mm. di diam. su Cocoloba nvifera L. Cynips eugeniae n. sp., frutti deformati e fortemente ipertrofizzati di Eugenia axillaris. Cynips curateae n. sp., galle fogliari suburceolate alte 3 mm. su Curatea ili- cifolia. Cynips phlebotaeniae n. sp., ipertrofie rameali snbglobose, su Phlebotaenia lamarckii. 16. Cotte J.— Nouvelle acarocécidie de Crataegus oxyacan- thoides Thuill. (C. RE. Soc. biol., Marseille t. LX VIII, 1910. pp. 643-645 con fig.). Eriophyes crataegumplicans n. sp. produce sulle foglie di Crataegus oxya- canthoides delle piccole estroflessioni ipofille , un po’ allungate, sparse sulla lamina oppure lungo il margine, che in questo caso si ripiega verso la pagina su- periore. La mancanza di ogni traccia di pilosismo anormale distingue queste galle da quelle consimili prodotte da Eriophyes goniothorax. Il cecidozoo è pure diverso. 17. Cotte J.— Différences de susceptibilité des Crataegus mo- nogyna Jacq. et oxyacanthoides Thuill. à l’égard des Eriophyides qui attaquent leurs feuilles (1. €. pp. 645-646). Secondo le osservazioni dall’A. pare che Eriophyes goniothorar attacchi di pre- ferenza Crataegus monogyna, ed Erioph. crataegumplicans soltanto Cra t. oxyacanthoides. 18. Dittrich R. — Nachtrag zu dem Verzeichnisse der schlesischen Gallen. I. (Jahresb. d. Schles. Gesellsch. f. vaterl. Cultur, an. 1909, pp- 77-105). Il presente lavoro può considerarsi quale un elenco supplementare al ben noto lavoro di HIERONYMUS (1890) e contiene la concisa segnalazione di 364 zoocecidii, o provenienti da località della Slesia non segnalate, o mancanti al contributo di HIERONYMUS. Inoltre parecchie galle figurano come nuove giacchè non si trovano segnalate, sia pure per il solo substrato , nella recente opera dell’ HovarRp, Les Zoocécidies etc. (1908-1909). 19. Felt E. P.— Additional rearings in Cecidomyidae (Journ. Eco- nom. Entomol. vol. II, 1909, pp. 268-293). 20. Grassi G. B.—Ulteriori ricerche sui fillosserini. Di alcune que. stioni d’ indole generale collegantisi con lo studio delle fillosserine (Atti R. Acc. Lincei 1909, II, nn. 10-11). BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI > v 21. Green E. Ern.— On some Coceid pests of economie importance (Journ. of Econom. Biol., vol. V, 1910, n. 1, pp. 1-5, con 2 tav.). Viene deseritto ed illustrato Asterolecanium pustulans Ck]l. var. seychellarum n. var., delle Isole Seyehelles.— Ast. pustulans Ckll. produce sui ramoscelli di Hevea brasiliensis delle verrucosità simili a quelle dell’ Ast. variolosum sulla Quer- cia. La stessa attitudine posseggono anche due altre specie congeneri e cioè A. ven- truosum Mask. e A. Thespesiae Green 22. Grevillius G. Y. u. Niessen J.— Zoocecidia et Cecidozoa im- primis provinciae Rhenanae (Lieferung V, Nr. 101-125; Leipzig, O. Weigel an. 1910). Per il precedente fascicolo efr. Bibl. VIII n, 15. Le specie contenute nell’attuale sono le seguenti : 101. Eriophyes fraxinicola Nal., Frurinus excelsior L. 102. Eriophyes Geranii Can., Geranium sanguineum L. 103. Eriophyes macrorrhynchus, Nal. (Ceph. myr.), Acer pseudoplatanus L. 104. Eriophyes schmardae Nal., Campanula trachelium L. 105. ? Eriophyes tetanothrix Nal., Salix retusa L. 106. Eriophyidae (Phyllerium acerinum), Acer pseudoplatanus. 107. Phyllocoptes teucrii Nal., Teuerium chamaedrys L. 108. Thysanopterocecidium, Stellaria graminea L. (foglie e germogli deformati). 109. Thysanopterocecidium, Stellaria media L. 110. Copium clavicorne L., Teucrium chamaedrys 111. Aphide, Aegopodium podagraria L. 112. Aphide, Cirsium arvense Scop. 113. Aphide, Mercurialis annua L., 114. Aphis Evonymi Fabr., Evonymus europaea L. 115. Aphis Ilicis Kalt., Ilex aquifolium L. 116. Brachycolus Stellariae Hardy, Holcus mollis L. 117. Brachycolus Stellariae Hardy, Stellaria holostea L. 118. Macrosiphum solani Kalt., Solanum tuberosum L. 119. Pemphigus pallidus Hal., Ulmus campestris L. 120. Tetraneura ulmi L., Ulmus campestris L. 121. Janetiella thymicola Kiett., Thymus serpyllum L. 122. Perrisia stachydis Bremi, Stachys silvatica L. 123. Neuroterus laeviusculus Schenck. (inel.var. reflecus Kiett.), Quercus pedunculata Ehr. 124. Neuroterus albipes Schenck, Quercus pedunculata Ehr. 125. Miarus campanulae L., Campanula rapunculoides L. 23. Horn P. — Beitrag zur Kenntnis der Moosbewohnenden Tylen- chus-Arten (Arch. d, Ver, d. Freunde d. Naturgesch. in Mecklenburg, Jahrg. 63, 1909, Abt, I, pp. 67-77 con 1 tav.), si VI MARCELLIA 24. Kieffer J. J. — Description de nouveaux Hymenoptères ; I. E- vaniides ; II. Oynipides (ibid. pp. 105-117). Vi sono deseritti molti generi e specie nuove di Cinipidi, per lo più americani, senza indicazioni biologiche essendo stati tutti catturati. 25. Mac Dougall R. S. — The Genus Chermes in its Relation to Forestry (Journ. Bd. Agric. vol. XVI, 1909, pp. 441-453, con 2 tav. e 2 fig.). - 26. Mirande M. — Sur la présence de nématocécidies chez deux plantes phanerogames parasites (C. R. Soc. biol. Marseille t. 67, an. 1909, n. 32 pp. 519-521). 27. Ritzema Bos J.— Eenige merkwaardige Misvormingen, veroor- zaakt door Gallmijten (Tijdschr. ov Plantenziekten XIV Jahrg., 1908, pp. 101-116). Cenni sulla biologia dei Fitoptidi e prospetto sistematico delle varie deforma- zioni da essi prodotte. 38. Schmidt H.— Zoocecidien an Anchusa officinalis L. (Ztschr. f. wiss. Insektenbiol. BA. V, 1909, p. 402, con fig.). Descrive brevemente alcune modificazioni e deformazioni prodotte da Emitteri indeterminati nei fiori e nelle foglie di Anchusa officinalis L. presso Griinberg nella Slesia (Germania). Malgrado le analogie morfologiche , in causa del cecidozoo diverso , parrebbe non fossero da assimilarsi con quelle prodotte sulla stessa pianta dall’ Acaro An- thocoptes aspidophorus Nal. 29. Swezey O. H. — Notes on some Cecidomyidae not previously reported in Hawaii (Proc. Howaiian Entomol. Soc. v. 1, 1907, p. 79). 30. Tidswel Fr. and Johnston Harvey T.— Gall-worm or Eelworm (Agricolt. Gazette of N. 8. W. v. XX, an. 1909, pp. 1011-1012, con 1 tav.). Il Tylenchus derastator produce alla superficie dei tuberi di Solanum tu- berosnm delle nodosità che gli AA. descrivono e fignrano nella presente Nota. "è BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI vii 31. Tullgren Alb.— Aphidologische Studien. I. (Arkiv für Zoologi Bd. V, Stockholm an. 1909, n. 14; 190 pp. con 92 fig. nel testo). È questo il primo saggio di un lavoro più ampio destinato ad illustrare gli Afidi della Svezia, condotto, lo si scorge subito, con largo spirito critico ed inte- grato da grande copia di osservazioni originali. Premesse alcune notizie storiche sulla afidologia svedese, passa a trattare della sotto famiglia Pemphiginae, di cui espone la morfologia generale e la sistematica, mettendo anche in rilievo le precedenti classificazioni di KALTENBACH, KOCH, Pas- SERINI, etc. Molti concetti sistematici nuovi sono qui introdotti, anche per quanto riguarda la nomenclatura e la limitazione delle specie cecidogene , come appare dal segnente elenco, nel quale riportiamo tutte le specie svedesi (cecidogene) de- scritte dall’ A., quasi sempre accompagnate da figure del cecidozoo e della galla : Asiphum tremulae (DG.) = Schizoneura tremulae Kalt. Mindarus abietinus Koch. Pachypappa lactea n. sp.: foglie di Populus tremula colle due metà ri- piegate per il lungo, rossastre, deformate. Prociphilus bumeliae (Schr.): deformazione dei germogli di Fraxinus, simile a quella prodotta dalla specie seguente. Prociphilus nidificus (Löw) = Pemphigus nidificus Löw. Prociphilus xylostei (DG.) = Pemphigus xylostei (DG). Thecabius affinis (Kalt.) — Pemphigus afinis Kalt. Pemphigus bursarius L. = Pemph. pyriformis Licht. (galle conoidee dei piccioli foghari di Populus). Pemphigus filaginis (Boy. de Fonsc.) = Pachypappa marsupialis Koch = Pemphi- gus ovato-oblongus Kessl.— Le fondatrici le quali producono le note galle lungo la costa fogliare del Populus nigra, migrano su varie specie di Gna- phalium e vi costituiscono quella serie di generazioni cui spetta la più an- tica denominazione di Aphis filaginis Boy. (= Pemph. Gnaphali Kalt). Pemphigus borealis n. sp. = Pemph. bursarius Lichts. et Auct. p. p. nee Linn. Galle dei ramoscelli subgloboso-allungate, provviste di ostiolo per lo pit api- cale; sono di grandezza mediocre, circa 20 mm., col loro maggior asse ordina- riamente normale al ramoscello. Pemphigus Lichtensteini nom. nov., galla dei ramoscelli subgloboso-ellissoidea, provvista di un ostiolo laterale o talora inserito presso V inserzione della galla; asse maggiore ordinariamente parallelo al ramo, dimensioni 3-4 em. — Anche questa galla è ordinariamente indicata col nome di Pemphigus bursarius. Pemphigus protospirae Licht.— ; Pemphigus spirothecae Pass. Schizoneura ulmi (L.) e Schiz. lanuginosa Hartg. quest’ ultima specie non an- cora rinvenuta im Svezia. Tetraneura ulmi (Geoffr.), Tetran. pallida (Hal.) quest’ultima ascritta dall’ A. al sottogenere Byrsocrypta (Hal.) Vill MARCELLIA FITOCECIDII 32. Fanales F.— La rogna o tubercolosi dell’ Olivo (Nuovi Annali 39. SA. 36. 35. 39. di Agricoltura Siciliana XX, 1910, fase. I, pp. 26-33). Hayunga — Die Kohlhernie und ihre Bekämpfung (Mitt. d. deu- tsch. Landw. Gesellsch. 1909, pp. 677-678). Johnson T.— Chrysophlyctis endobiotica Schilb. — Potato-wart or black scab-and other Chytridiaceae (Scient. Proceed. of It. Dublin Soc., XII, 1909, p. 131). . Juel O.— Om Taphrina-Arter po Betula (Svensk botan. Tid- sckr. v. III, 1909, pp. 183-191 con 5 tav.) Kusano S.— Contribution to the Cytology of Synchytrium and its Hosts (Bull. Coll. Agric., Tokyo 1909, 69 pp. e 4 tav.). 7. Percival J. — Potato « Wart » desease: The life history and cytology of Synchytrium endobioticum (Schilb.) Perel. (Centralbl. f. Bakter. ete. II Abt., 25 Bd. 1909, pp. 440-447, con 3 tav. doppie). ARGOMENTI AFFINI Teratologia Cook Mei. T.— Notes on Teratology in Tropical Plants (II. Rep. Estacion Central Agronomica Cuba, 1909, pp. 140-142, tav. XXXVIIXXXVIID. Goebel K. — Abnorme Blattbildung bei Primula Arend- sii Pax (Flora Bd. 99, an. 1909, pp. 370-372). A. TROTTER OE Te EDWARD T. CONNOLD Morto alla fine di gennaio del corrente anno ; benemerito per la diffusione e popolarizzazione degli studi cecidologici in Inghilterra. Era Segretario della « Ha- stings and St. Leonards Natural History Society ». AT re + BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI Toe ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 40. Docters van Leeuwen W. u. Reïjnvaan J. — Beitriige zur Kenntnis der Gallen von Java. Ueber die Anatomie und Entwi- cklung der Galle auf Erythrina lithosperma Miq. von einer Fliege Agromyza erythrinae de Meyere gebildet (Recueil Travaux botan. Néerlandais. v. VI, 1909, pp. 67-98, con tav. dop- pia e fig.) Agromyza erythrinae De Meyere n. sp. produce delle ipertrofie nei piccioli, pic- cioletti e nervature fogliari di Erythrina lithosperma ed è specie assai comune nell’ isola di Giava. Dallo studio accurato ed interessante degli AA. emer- gono i seguenti fatti istologici. Queste galle traggono origine dai fasci vascolari e probabilmente I’ novo viene deposto in corrispondenza di un fascio vascolare, entro il quale la larva pratica d’ alto in basso un piccolo canale. Le cellule limitanti questo canale, cioè xilema cambio e floema, generano un nuovo tessuto, omogeneo, una specie di callo, che gli AA. designano col nome di callo gallare (« Gallen callus »). La porzione lignificata, dal lato interno è prodotta dallo xilema del fascio vascolare , dal lato esterno dalle cellule giacenti tra la guaina fibrosa ed il tessuto nutritore. Le galle delle nervature hanno invece origine dai fascetti più piccoli superiori e la galla si accresce verso la pagina inferiore. Il tessuto nutritore primario è formato di piccole cellule seriate trasversalmente intorno la camera larvale. Tra queste, trovansi anche delle cellule più grosse, ricche di sostanze albuminoidi ed oleose. Questo tessuto nutritore viene ordinariamente distrutto dalla larva per la sna alimentazione, co- siechè si forma un nuovo tessuto nutritivo (tessuto nutritore secondario), in parte originatosi dalle cellule nutritive primarie , rimaste illese, in parte per V attività delle cellule dei raggi midollari. La larva, prima della ninfosi, pratica il canale di uscita, lasciando intatta la sola epidermide della galla, e quindi di nuovo si ritira nella camera larvale e dopo poche settimane si trasforma in insetto perfetto. 41. Docters van Leeuwen W. u. Reijnvaan J.— Kleinere cecido- logische Mitteilungen. II. Ueber die Anatomie der Luftwurzeln von Ficus pilosa Reinw. und. F. nitida L. var. retusa King und der von Chalciden auf denselben gebildeten Gallen (Ber. deutsch. botan. Gesellsch. BA. XXVIII, 1910, pp. 169-181, con 9 fig.) Una specie ancora ignota di Caleidide produce delle ipertrofie nelle estremità delle radici aeree laterali di Ficus retusa, oppure nelle più vecchie in Fic u 8 pilosa. La galla si forma prima ancora che la larva sia uscita dall’ novo, Si forma a spese del parenchima corticale, mentre il cilindro centrale rimane intatto. 2 x MARCELLIA Il parenchima nutritivo delle galle si circonda di nn astuecio sclerenchimatico, nella eni parte interna possono formarsi parecchi fasci vascolari secondari. Se il cecido- zoo viene a morire, la camera larvale può riempirsi di un tessuto parenchimatico e può formarsi un nuovo cilindro centrale in prossimità di quello della radice. 2. Lustener G. u. Junge.— Bekämpfungsversuche gegen die Birn- gallmiiche, Diplosis pirivora (Ber, d. k. Lehranst. f. Wein-Obst und Gartenbau z. Geisenheim a. Rh. f. A. J. 1907 (1908), pp. 348-352). 43. Muller-Thurgau H.— Zur Bekimpfung des Schwarzbrenners, des rotem Brenners und der Milbenbrankheit der Reben (VIZI. Congrés Intern. d’ Agricult. Vienne 1907 (1908), Rapp. Sect. VIII. XI t. 4. Sect. X Rapp. 2 e. pp. 1-9). Parla anche dei mezzi chimici di lotta contro 1’ Eriophyes Vitis ed il Phyllocoptes Vitis. 44. Nüsslin — Neuere Ergebnisse der Chermes Forschung (Naturwiss. Ztschr. f. Forst- u. Landwirtsch. 1910, Heft 2). 45. Pantanelli E — Gommosi da ferita, Thrips ed Acariosi nelle viti americane in Sicilia (Atti R. Ace. dei Lincei, 1910, I, 6-8, pp. 344-353 con 3 fig.) Accenna alle deformazioni della vite (rachitismo) provocate in Sicilia dal Phyl- locoptes Vitis. . 46. Pierre Abbé — Les Chlorops des Blés (La Croix de l’Alier, an. XVIII, nn. 1112-1114; 8, 15, 22 maggio 1910). Cenni storici, biologici, pratici intorno a Chlorops lineata, che in quest’ anno ha recato notevoli danni al Frumento nel Centro della Francia. 47. Steck Th.— Ueber die an Stengeln des Schilfrohrs (Phragmi- tes communis Trin) öfter zu beobachtenden Anschwellungen (Mitt. Naturforsch. Gesellsch. Bern. a. d. Jahre 1908, n. 1665-1700, 3ern 1909 p. V. Tratta delle galle di Lipara lucens ma sopratutto dei snoi commensali e pa- rassiti. T- le Piga e tipe 1 RE de e ae la lag + 2 a À À PP LT. le: 5 £ ; nd Pa Pent na ee x Ke = a I BIBLIOGRAFIA E. RECENSIONI “ts XI - Sistematica, distribuzione geografica, galle nuove, etc. 48. Cockerell T. D. À: — A new Gall-making Psyllid on Hack- berıy (Entomological News, XXI, 1910, n. 4). 49. Crawford D. L.— Thysanoptera of Mexico and the South. IT (Pomona College Journ. of Entomol., v. II, 1910, n. 1, pp. 149-170, con fig.). Liothrips bakeri n. sp. produce delle deformazioni nelle foglie e fiori di Ficus nitida e. F. religiosa nell’ Isola di Cuba. 50. Felt E. P.— Two new Cecidomyidae (Entomological News, XXI, 1910, 1-3). 51. Felt E. P. — Schizomyia ipomeae n. sp. (Entomological News, XXI, 4910, n: +4). 52. Felt E. P.— West Indian Cecidomyidae (Entomological News XXI, 6, 1910). 53. Lemée E. — Les ennemis des arbres et arbustes forestiers et d’ ornement, arbres resineux de pleine terre (Bull. Soc. d’ Hortic. de V Orne, Alengon 1910, pp. 312-449). Oltre la segnalazione di numerosi parassiti o predatori non cecidogeni, YA. elenca pure numerosissime gallo di piante arboree, accompagnandole da sommarie descrizioni, e così numerose deformazioni teratologiche, come scopazzi, fasciazioni ete.— Per le precedenti pubblicazioni dello stesso A. cfr. VIII 31. DA. Lounsbuiy C. P. — Lucerne Tylenchus (Agricult. Journ. of the Cape of Good Hope, v. 36, 1910, nn. 1-4, con 1 tav.). 55. Lounsbury C. P.-- Giant Twig-galls of Willow, Poplar, Peach, Apple a. o. Trees (I. ¢.). 56. Patch E. M. — Chermes of Maine Conifers (Bull. Maine Agrie. Exper. St. Orono 1909, 32 pp. e 14 tav,). XII MARCELLIA 57. Stebbins Fan. A. — Insect Galls of Springfield Mass. and vi- cinity (Bull. Spring. Mus. of Nat. Hist., Springfield 1909 (1910), n. 2, pp. 3 64, 131-139, con 112 fig. in 32 tav.). Elenco descrittivo, accompagnato da cenni bibliografici e sinonimici di circa duecento galle, raccolte su piante diverse nei dintorni di Springfield Mass. Nume- rose figure zincografiche, distribuite in 32 tavole, illustrano le galle più interessanti. Varie nnove galle sono pure descritte e così pure vengono poste, a molte specie ri- tenute come nuove, dei nomi nudi, non accompagnati cioé da alcuna descrizione dell’ insetto. Taluni di questi nomi sono poi da rigettarsi facendo nn doppio im- a A a un piego con altri già consacrati dalla sistematica e riferibili a cecidozoi produttori di galle del tutto diverse.- Le specie od i nomi nuovi sono i segnenti: Pemphigus ? riley (galle fogliari globulose, agglomerate, su Populus tremnloides); Cecidomyia ? irregularis „a Dé (galle fogliari globose, uniloculari, su Pop. grandidentata); Eriophyes coryli POSE Pres (deformazione fogliare di Corylus americana); Cecidomyia ? squamulicola (amenti ipertrofizzati; galla simile od eguale a quella di Contarinia Coryli); Eriophyes betulae (gemme deformate di Betnla lutea); Cynips ? cristata (galle fogliari epifille, globulose, pubescenti, su Querens coccinea e nana); C. ? oborata (gemme deformate di Q. coccinea); C. sera (piecole galle fogliari ipofille, glo- bulose, su Q. coccinea); C. ? aspera (galla ovoide, uniloenlare, delle gemme di Q. nana’; Cecidomyia ? lappa (galla mnschiosa dei germogli di Spiraea sali- cifolia); Cecidomyia ? muscosa (galla pluriloculare, subglobosa, coperta di filamenti, su Rubus nigrobaceus); Cecidomyia ? reniformis (galle reniformi plurilocu- lari sui piecioli di Fragaria virginiana); Cecidomyia ? potentillaecaulis (iper- trofie canlinari pluriloculari so Potentilla canadensis); (Rhodites sphaericus (galle fogliari sferoidali, pluriloenlari, sa Rosa carolina); Eriophyes amelanchieri (galle fogliari globulose di Amelanchier canadensis); Cecidomyia ? venae (galle ovoidi carnose delle nervature fogliari di Crataegus sp.); Cecidomyia ? racemi (ipertrofie dell’ asse dei racemi di Prunns virginiana); Cecidomyia ? crotalariae (ipertrofie rameali di Crotalaria sagittalis); Eriophyes rhois ” (foglie corrugate, su Rhus radicans); Ceeidomyia ? celastri (ipertrofie plnrilo- culari delle radici di Celastrus scandens); Eriophyes spicati (galle ipofille, all’ascella delle nervature di Acer spieatum); Cecidomyia ? parthenocissi (galle della costa fogliare di Parthenocissus quinquefolia); Cecidomyia ? tuba {galle fogliari, superiormente emisferiche, al di sotto corniculate, su Cornus amo- | m um); Phylloxera ? frarini (galle epifille, carnose, globulose, di Fraxinus ame- 4 ricana); Eriophyes viburni (corrugamenti fogliari di Viburnum dentatum); | Cecidomyia ? inaequalis (ipertrofie dei frutti di Diervilla diervilla); Ceei- domyia ? bifolia (galle fogliari globulose, nniloculari, su Solidago); Cecidomyia ? euthamiae (galla delle gemme, fusiforme, uniloculare, su Enthamia grami- nifolia); Cecidomyia ? gemmaria e strobiligemma (galle gemmiformi di Aster ericoides). se BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI - È XIII 58. Tobler F.— Von Mytiliden bewohnte Asceophyllum-Blasen. Heteroplasie und passive Wachstum (Jahrb. f. wiss. Bot. Bd. 46, 1909, pp. 568-585 con 1 tav.) Le larve dei Mitilidi vivendo nelle vesiche di Ascophyllum nodosum, nel Porto . ’ di Trondhjem, determinano una reazione dei tessuti. a9. 60. Trabut L. -- Les Galles du Tlaia (Tamarix articulata) (Bull. Soc. hist. nat. Afrique du Nord, v. IL, 1910, n. 3 pp. 34-35 con 1 fig.). ARGOMENTI AFFINI Teratologia Knox Alice — The induction, development and heritability of fasciations (Carnegie Institution Washington n. 95, an. 190$, pp. 3-18 con 5 tav.). Secondo VA. le fasciazioni studiate, in piante di Oenothera, sarebbero state determinate dall’ azione di insetti sull’ inizio dell’accrescimento. 61. 65. 64. Maige A. — Note sur quelques cas teratologiques observés aux environs d’ Alger (Rev. Gen. de Bot. t. XXI, 1909, pp. 312 522, con 11 fig.) Miyoshi M.— Ueber das Vorkommen gefüllter Blüten bei einem wildwachsenden Japanischen Rhododendron (Journ. Coll. of Sc. Tokyo v. XXVII, 1910, n. 11, 13 pp. e 3 tav.). Pampanini R.— Fasciazione nelle piante erbacee (Bull. Soc. bot. it. 1909, p. 220). Penzig O. — Sopra alcune anomalie fiorali di Orchidee (Atti Soc. Ligust. Se. Nat. XX, 1909, pp. 105-109, con 1 tav.). Preda A.— Fasciazione in una infiorescenza di Digitalis purpurea L. (Bull. Soc. bot. it. 1909, pp. 217-220 con fig.). XIV : MARCELLIA — Varia 66. Felt E. P.— Cecidomyia acarivora n. sp. (Entomol. News v. XVIII, 1907, p. 242). 67. Kieffer J. J. — Description de deux nouveaux Cynipides d’ Eu- rope (Ann. Soc. Scient. de Bruxelles t. XXXII, 2° P., an. 1907, pp. 65-66). Kleidotoma myrmecophila n. sp. (Londra) e Aulorysta Silvestrii n. sp. (Portici). Non sono specie galligene ma ambedue carnivore. 68. Kieffer J. J. — Description de nouveaux Cynipides zoophages (Bull. Soc. Hist. Nat. Metz, an. 1909, 40 pp.). A. TROTTER 3 EINE MAHNUNG AN AUTOREN, REFERENTEN UND REDAKTIONEN Von Prof. Dr. Fr. THomas (Ohrdruf) Zu den Dingen, die oft gesagt worden sind und doch leider immer wieder gesagt werden müssen, gehört die Forderung: Kein Sonderdrnek ohne Herkunftsangabe (kein Separatum ohne Angabe der Provenienz) und kein Sonderdruck ohne Angabe der Originalseitenzahlen, oder noch besser: auch die Sonderdrucke nur mit den Seitenzahlen der Originalveröffentlichung. Der Mangel der Herkunftsangabe führt zu unzureichenden Hinweisen , nicht selten auch zu irrtümlichen Ergänzungen. Ich gebe aus der cecidologischen Lite- ratur einige Beispiele solcher Irreführung. T. DE STEFANI versandte 1900 den Sonderdruck semer Mitteilung: « Due galle e i loro autori » ohne jede Herkunftsangabe. APPEL hob in seinem Referat (Bot. Centralbl. 87 1901, 107) diesen Mangel durch den Zusatz « ohne Angabe des Druckortes » hervor. KIEFFER setzte im Centralbl. f. Bakteriol., Abt. 2, 6 137 als Herkunft hinzu « Il Natural. Sieil. 1900 », was falsch ist. Die Mitteilung erschien vielmehr, wie anch schon DALLA TORRE im Botan. Jahresber. für 1901, 2, 473 richtig angegeben hat, im Bollett. del Naturalista, Siena 20 1900, 65-66. KIEFFER veröffentlichte im Bull. Soc. d’ Hist. nat. Metz 21 1901 zwei Arbei- ten, « Suite à la Synopse des Cécidom. » und « Descript. de quelq. Cécidom. nouv. », für welche FRIEDLAENDER’ s Naturae Novitates 1901 unter n, 8028 und 8029 dei BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XV falsche Quellenangabe « Caen. Revue d’ Ent. » machen. Ob dies nur der Redak- tion der Nat. Nov. anzurechnen oder vielmehr dadurch zu erkliiren ist, dass die Quellenangabe in den ihr zugegangenen Sonderdrucken gefehlt hat, wird entschei - den können, wer in den Besitz des Separatums gelangt ist. Franz Löw gehörte zu den gewissenhafteren Referenten. Sicherlich war es eine fehlende oder unzureichende Herkunftsangabe auf dem Separatum, die ihn als Re- ferenten im Botan. Centralbl. 28 1886, 147 veranlasste KeLLeR (betr. Entstehung der Chermesgallen) als Quelle zu setzen: « Zeitschrift , bei einer Arbeit von C. für das schweizerische Forstwesen. Bd. X. » statt: « Schweizerische Ztschr. für das Forstwesen 1885 ». Die Angabe « Bd. X.» ist unberechtigt, weit diese frühe- ren Jahrgänge (laut gefälliger Auskuuft des jetzigen Herausgebers, Herrn FANK- HAUSER in Bern) noch gar keine Ordnungszahlen trugen Die Jahreszahl 1885 aber durfte eben deshalb nicht fehlen. Der Titel ging mit denselben Ungenauigkeiten in den Bot. Jahresb. für 1884 (!), 2, 455 über. Bei zu referierenden Arbeiten sollte das Jahr des Erscheinens stets angegeben werden. Ich selbst habe das früher nicht immer befolgt, die Bereehtigung der For- derung aber durch besondere Fälle einsehen gelernt. Wieviel Mühe aus dem Man- gel der Jahreszahl für denjenigen erwachsen kann, der das Original einzusehen wünscht, mag das folgende Beispiel zeigen. In der Allgem. Zeitschr. für Entomologie 9 1904, 115-117 referierte CAR. SCHRÖDER über BALBIAN! s Mitteilung « Sur les conditions de la sexualité chez les Pucerons » mit der Quellenangabe : « L’ Intermédiaire des Biologistes, 1. Ann., pp- 170-174 ». Das ist korrekt, aber unzureichend. Ich wünschte, da B.’s Beobach- tungen nach ScH.’s Referat sich besonders auf Schizoneura jaceae, also ein Ceci- dozoon , beziehen, jene Quellenangabe wenigstens durch Jahreszahl und Erschei- nungsort zu vervollständigen. Vergeblich suchte ich in meinen eigenen Hülfsmit- teln von 1904 an rückwärts bis 1900, dann in der Königl. Bibliothek in Berlin, im Journal general de l imprimerie et de la librairie, in dem Zeitschriftenkatalog des British Museum u. s. w. Alle Libliographischen Hülfsmittel liessen mich im Stich. Endlich erfuhr ich bei R. FRIEDLAENDER u. SOHN in Berlin, dass die Zeit- schrift in Paris erschienen, aber wieder eingegangen, sowie dass Année I Novemb. 1897 bis Octob. 1898 gelaufen sei. Wer, frage ich, kann das bei einem 1904 ge- schiiebenen Referat vermuten oder erraten? Wird nicht jeder Entomologe, der das Original von BALBIAN! s Arbeit einsehen möchte, ähnliche Irrfahrten anzutreten haben? Und ob er bis zu der oben gegebenen Lösung der Frage vordringen wird, ist sogar recht zweifelhaft ; denn selbst der Zoological Record für 1904, Ins. p. 40 bringt den Titel derselben Abhandlung von BALBIANI mit dem gleichen Mangel und nur mit dem Hinweis auf ScHRODER' s Referat! Der betr. Fach-Redakteur des Zool. Ree. würde die Herkunftsangabe doch sicher ergänzt haben, wenn er es leicht vermocht hätte. Noeh mehr zu missbilligen ist es, wenn in einem Referat die Jahreszahl des Erscheinens vom Original als eine spätere fälschlich angegeben ist. So steht in Orro’s im Botan. Centralbl. 95 1904, 618 gegebenem Referat über Srırr’ s Ar- beit betr. Hetevodera radicie. auf egyptischen Zuckerrüben 1904 statt 1901. Gewiss kann das Druckfehler sein. Leider ging die falsche Zahl 1904 dann auch in den Bot. Jahresb. 1904, 2, 982 n. 125 über. XVI MARCELLIA Aneh bei Citaten ete. sichert die zweifache Bezeichnung eines Zeitschriften- bandes dureh Ordnungs- und Jahreszahl bei etwaigen Fehlern gegen völlige Ratlosigkeit des Suchenden, wie sie z. B. dem Neuling erwachsen kann aus KIEF- rer s Angabe (in seiner Bibliographie der Cynipiden-Literatnr in ANDRE, Spee. des Hyménopt. 7 1897, 39 n. 130) betreffend Gıraup’s Communications... aus den Ann. Soc. Entomol. France. KIEFFER gibt nur die Jahreszahl und diese falsch, nämlich 1886. Druckfehler ist das nicht; denn der Titel ist der chronologischen Folge entsprechend an das Ende gestellt. Wer GIRAUD’ s Arbeit nicht schon kennt, wird unmöglich erraten können, dass statt 1886 hier 1866 stehen müsste, Wäre « 4° Sér., T. VI » (oder nur kürzer « (4) 6 ») hinzugefügt, so würde die Arbeit trotz falscher Jahreszahl gefunden werden können. Keine Separata ohne OriginalSeitenzahlen. Wieviel Zeit- verlust würde erspart werden, wenn Autoren und Druckereien das beherzigen woll- ten! Wer in seinem Separatum nur Sonderseitenzahlen gibt, auch wer nur nach solchen eitiert , sollte sich doch vor Augen halten, dass nicht jeder Forscher das Separatum zur Verfügung hat, und dass ferner die Sonderdrucke mit den Jahren verwehen , die Originalbände aber bleiben. Wenn durchaus das Separatum eigene Paginierung erhalten soll, so setze man zu den Sonderseitenzahlen noch ausserdem die Originalseitenzahlen in Klammern auf jede Seite, wie es z. B. vor 50 Jahren schon die Botan.-Zoolog. Gesellsch. in Wien getan hat und gleich ihr viele andere Zeitschriften tun. Aber selbst die k. k. Hof- und Staatsdruckerei in Wien begniigt sich, bei den « Sonderdrucken ans dem Akademischen Anzeiger » die Nummer an: den Sitzungstag anzugeben. Wieviel kürzer lässt sich eitieren, und wieviel schneller wiirde man das Gesuchte finden, wenn die Seitenzahlen des betr. Jahrganges an- gegeben würden. Man darf sich nicht wundern, dass ein Mangel, der von der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften in Wien geduldet wird, auch anderswo sich findet, und aus fast aller Herren Ländern könnte ich eine recht grosse Zahl von Beispielen für solche Sonderdrucke anführen. Hier nur eines. Die Arbeit von TRAIL : The gall-making Hymenoptera of Scotland 1888 erhielt ich vom Verfasser als Son- derdruck ohne Angabe der Originalseitenzahlen und war (weil die betr. Zeitschrift in den Berliner Bibliotheken fehlt) nieht im Stande, festzustellen, ob sie (wie zu vermuten) mit der Arbeit gleichen Titels und Umfangs identisch ist, die im Zoo- logical Record für 1892 (!), Ins. p. 58 (und hier ohne Jahreszahl des Erscheinens !) aufgeführt ist. Der verstorbene J. MıK in Wien hat schon mit Eifer gegen solche Unterlas- sungen gekämpft. Die Druckereien, soweit es noch nötig ist, aufzuklären, ist Auf: gabe der Autoren, und die schädigen sich selbst, wenn sie der billigen Anforderung nicht gerecht werden. Ohrdruf b. Gotha, den 4 Juli 1910. "ee 2 2 "2 IO , 2 Pr BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI : XVII ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 69. Adcock G. H. — Erinose of the vine (Journ. Dep. Agric. Vie- toria VIII, 1910, pp. 203-205). 70. Baer W.—Zur Bekämpfung der Eschengallmücke (Naturw. Ztschr. f. Forst- u. Landw. VIII, 1910, p. 299). 71. Baer W. — Die Galle von Cryptocampus amerinae L. I. Abh. (ibidem, pp. 209-304). 12. Massee Georg.— Diseases of cultivated Plants and Trees (Lon- don, Duckworth and ©. 1910, vol. in-8 di X11-602 pp. con 171 fig.). Vi sono ricordati anche taluni dei più frequenti eecidozoi e zoocecidii di piante coltivate (specialmente Acari e Vermi) illustrati anche da qualche figura nel testo. 73. Nalepa A. — Die Milbengallen in den Kronen unserer Wald- bäume (Natura. Ztschr. f. Forst- u. Landw. VIII, 1910, n. 7, p. 331). 74. Ross Herm. — Beiträge zur Kenntnis der Anatomie und Bio- logie deutscher Gallbildungen I. (Ber. deutsch. bot. Gesellsch. Bd. XXVIII, 1910, pp. 228-243, con 9 fig.). È un accurato studio sullo sviluppo e 1 istologia delle seguenti galle : Tychius crassirostris Kirsch. sulle foglie di Melilotus alba (abbondante sviluppo di un tessuto parenchimatico e camera larvale limitata da cellule nutritive in forma di peli); Oligotrophus carpini (F. Löw) sulle foglie di Carpinus betulus (ipertrotia delle nervature derivante da una neoformazione formatasi a spese della porzione cribrosa dei fasci, camera larvale limitata da cellule selerosate e da un lato, verso la parte interna, provvista di tessuto nutritore); Rhabdophaga heterobia H. Léw sui gattini di Salix triandra (ipertrofia di tutti gli organi fiorali con forte sviluppo di peli nei filamenti staminali) 75. Tubeuf C. von.— Aufklärung der Fichten- Hexenbesen (Nature. Ztschr. f. Forst- u. Landw. VIII, 1910, n. 7, p. 349). XVIII MARCELLIA 76. Tubeuf C. von -- Knospen-Hexenbesen u. Zweigtuberkulose der Zirbelkiefer (Naturw. Ztsehr. f. Forst- uw. Landw. VIII, 1910, p..50, con 4 fig.). 77. Wright H. — Some notes on the galls of Cynips Kollari (Lan- cashire Nat. II, 1910, n. 22, pp. 305-307). Sistematica, distribuzione geografica, galle nuove, etc. 78. Beauverd G.— Sur un cas cécidologique de Calluna vul- garis (Bull. Soc. Bot. Genève 2° sér., II, 1910, p. 55). Semplicissimo accenno al prodursi di fasciazioni, forse parassitarie, in una piantina Calluna da poco sviluppatasi. 79. Beutenmüller W. — The North American Species of Aglas and their Galls (Bull. amer. Mus. nat. Hist. XXVIII, an. 1910 pp. 137-144 con 1 tav.). 80. Beutenmuller W.— The North American Species of Neurote- rus and their Galls (Bull. Amer. Mus. nat. Hist. XXVIII, 1910, pp. 117-136, tav. 8-13). 81. Beutenmuller W.— The North American Species of Aulacidea and their galls (Bull. Amer. Mus. nat. Hist. XXVIII, 1910, pp. 253-258 con 3 tav.). 82. Boodle L. A. — Galls on an indian Grass (Kew Bull. 1909, pp. 69-73 con 1 tav.). 83. Cook Mel. T.— The Insect Galls of Michigan (Michigan Geolog. and Biolog. Survey, Publ. I, Biol. I, an. 1910, pp. 23-33). Elenco deserittivo di 59 galle raccolte nello Stato di Michigan ascrivibili a eeeidozoi appartenenti ad ordini diversi, sopratutto Imenotteri. Non vi sono rap- presentate galle nuove. Nella breve introduzione VA. osserva che i cecidozoi noti sin qui per l’ America del Nord oscillano intorno a 1200 specie soltanto. 84. Cuboni G.— Relazione sulle malattie delle piante studiate du- rante il biennio 1908-1909 (Vol. di 92 pp. in-8, Tip. Bertero , Roma 1910). Sono anche qua e là ricordate alcune comuni galle provenienti da varie parti d’ Italia. BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XIX 85. Kieffer J. J.— Contributions à la connaissance des Insectes gal- licoles (Bull. Soc. Hist. Nat. Metz, 26€ cah. (3° ser. t. II) an. 1999, pp. 1-35). Il presente lavoro, del quale è difficile dare un conveniente sunto senza ri- produrlo quasi per intero, contiene la descrizione di circa 170 specie muove di insetti, per lo più Cecidomyidi e cecidogeni. Moltissime delle nuove specie si rife- riscono a galle già note, delle quali rimaneva inedintificato il produttore, ma che il KIEFFER ora denomina, per lo più sulla sola conoscenza e descrizione della larva ; molte specie sono anzi per ora dei nomi nudi, ma l A. ci dice che saranno più largamente descritte in un lavoro di prossima pubblicazione. Le piante gallifere , elencate alfabeticamente ed accompagnate da un breve cenno sul carattere della galla, sono quasi 150. Vi è descritto anche ‘im nuovo gen., non galligeno, di Ce- cidomide (Geodiplosis) e si propongono due nomi generici nuovi per generi già noti, e cioè: Meunierella Kieff. = Meunieria Rübs., non Kieft.; Pristocerella Kieff.= Pri- stocera Ragonot non Klug 1801. Crediamo far cosa utile riportando l’elenco completo delle nuove specie galli- gene e per brevità, onde evitare la descrizione della galla, ci riferiamo ad essa ci- tando il numero che la contraddistingue nella ben nota opera dell’ Houarp , Les Zoocécidies des. Plantes d' Europe etc. (1908-1909) : Acacia vera, Perrisia ? acaciue, HOUARD 3321 — Acer campestre ete., Perrisia tympani 4028 — A. Pseudoplatanus , Perrisia vitrina 3989 — A. tataricum , Oligo- trophus Szepligetii 403L — Achillea Ptarmica, Psylla ptarmicae 5710 — Arabis alpina e hirsuta, Perrisia ? alpestris 2699, 2708 — Asperula cynanchica, Perrisia ? asperu- larum 5185 —- A. tinctoria, Contarinia? asperulae 5184 — Aster alpinus, Perrisia ? astericola 5567 — Astragalus arenarius e glyeyphyllos, Perrisia ? astragalorum 3652, 3654 — Atriplex patula, Stefaniella Cecconii 2195 [?=Aplonyx chenopodii De St.) — Berberis vulgaris, Perrisia ? berberidis 2460 — Brunella vulgaris, Perrisia brunellae 4816, 4818 -- Calamagrostis lanceolata, Mayetiola calamagrostidis 205, M. bifida 207, M. spinulosa 208 — Calamintha alpina, Asphondylia? calaminthae — Campa- nula glomerata, Perrisia campanularum 5491 — C. pusilla e Scheuchzeri, Cecidomyia Thomasi 5518, 5523 — C. Rapunculoides, Perrisia Szepligetii 5505 — C. Trachelium, Perrisia? Cecconiana 5497 — Cardamine silvatica, Perrisia? umbrosa 2660 — Carex arenaria, Oligotrophus? Löwianus 357 — C. Davalliana, Hormomyia Billoti 355 — C. pallescens e stricta, Hormomyia Frireni 377, 383 — C. rostrata, Hormomyia Hieronymi 389 — C. stellulata, Hormomyia Kneuckeri 368 — Carpesium cernuum, Perrisia carpesii 5638 [? = Jannetiella Goiranica Kieff. et Trott. 1905] — Carpinus Betulus, Contarinia Trotteri 1051, Perrisia? Rübsaameni 1041 — Celsia orientalis, Asphondylia celsiae 5022 — Centaurea Scabiosa, Perrisia Miki 5981 — C. montana, Centaurea sp., Perrisia Centaureae 5976, 6020 — Cichorium Intybus, Aulax? cichorii 6027 — Cirsium arvense, Clinodiplosis ? eirsii 5931 — Clematis viticella, Perrisia ? clematidis 2395 — Corylus Avellana, Contarinia coryli 1062, Oligotrophus tympanifex 1061 — Cucubalus baccifer, Perrisia cucubali 2296 — Cytisus biflorus, Perrisia ? bursifex 3474 — C. sagittalis, Perrisia cylisi 3385 — Daphne striata , Perrisia ? daphnephila 4314 — Dianthns earthusianorum, Perrisia dianthi 2300 — Erica vagans, Perrisia vagans 4599 — Erigeron uniflorus , Perrisia ? erigeronis 5074 — Euphorbia SCE MARCELLIA Cyparissias, Agromyza euphorbiae 3881, Perrisia euphorbiarum 3878 — Euphorbia sp., Perrisia ? cornifer 3905 — Fagus silvatica, Oligotrophus ? fagineus 1156 — Gale- opsis tetrahit, Perrisia tetrahit 4831 — Genista corsica, Janetiella genistae 3355 — G. pilosa, Perrisia ? genistarum 3361 — G. scorpius, Perrisia ? scorpii 3352, Perrisia? rosifer 3350 —- Gentiana campestris, Perrisia ? gentianae 4696 — Geum rivale, Con- tarinia? gei 3091 — Gnaphalium leontopodium , Otigotrophus? gnaphalii 5595 — Hieracium auricola e Pilosella, Perrisia ? nervicola 6194, 6205 — Hordeum vulgare, Mayetiola hordei 347 — Hyssopus, Perrisia? hyssopi 4899 — Kochia prostrata, Rho- palomyia ? kochiae 2232 — Lamium album, Perrisia? corniculata 4842, 4845 — L. galeobdolon, Contarinia galeobdolontis 4847 — L. maculatum, Contarinia lamii 4838, Perrisia? lamii 4836 — Lathyrus pratensis, Perrisia lathyri 3775, Perrisia ? pratensis 3769, Contarinia lathyri 3770 — L. silvester, Perrisia silvestris 3761 — Leontodon hastilis, Cystipkora leontodontis 6049 Lepidium draba, Contarinia lepidii 2490 -- Lilium Martagon , Contarinia lilii 410 — Lonicera coerulea , Contarinia ? lonicerae 5384 — L. Xylosteum, Perrisia ? Xylostei 5375, Perrisia ? ercavans 5376 — Lotus corniculatus, Perrisia loti 3622 — Medicago lupulina, Asphondylia lupulinae 3506 --- Mimosa nilotica, Perrisia ? mimosae 3327 — Myosotis palustris, Perrisia fructicola 4735, Perrisia palustris 4736 — Onobrychis sativa, Aula» ? onobrychidis 3688 — Ononis spinosa, Asphondylia Frauenfeldi 3495 O. columnae, Perrisia columnae 3502 — Pirola minor, Perrisia pirolae 4548 — Polygala alpestris, Perrisia ? poly- galae 3855 — Polygonum Bistorta , Perrisia ? Bistortae 2170 - Populus alba, Per- risia? populnea 4T1 — P. Tremula, Contarinia trem ulae 502, Harmandia pustulans 513 — Quercus pedunculata e sessiliflora , Arnoldia quercicola 1211, Perrisia ? pan- teli 1315, P. libera 1310, P. Malpighii 1354 — Q. Cerris, Arnoldia? dryophila 1824 , A. nervicola 1854, A. plicans 1859, A.? pustularis 1873, A. Trotteri 1874, Perri- sia? tubularis 1881 — Q. Hex, Contarinia minima 1562, Arnoldia ? tympanifex 1559 — Q. faginea, Arnoldia? Panteli 1731 — Q. ostryaefolia, Arnoldia Baldratii 1925 —- Ranunculus acer e repens, Perrisia ? Traili 2420, 2429 — R. Auricomus, Perrisia ? auricomi 2417 -- Rhododendron ferrugineum , Perrisia Rhododendri 4551 — Ribes grossularia, Contarinia ribis 2786, Perrisia? ribicola 2790 — Rubus, Contarinia ru- bicola 2993 - Ruta graveolens , Asphondylia rutae 3854 — Salix aurita, Perrisia Pierreana 42 — S. reticulata, Rhabdophaga? amenticola 682, 1015 e p. 133 8. 6 — Salvia pratensis, Perrisia? salviae 4871 — Scorzonera humilis, Cystiphora scorzonerae 6082 — Senebiera nilotica, Perrisia? senebierae 2497 — Seseli, Lasioptera umbellife - rarum 4463 — Silene inflata, Perrisia ? subterranea 2267, Contarinia cucubali 2266 — Sisymbrium Zannonii, Perrisia Zannonii 2541 [== Perrisia Fiorii Cecconi 1904 !] — Sonchus oleraceus, Clinodiplosis subleris commensale di Contarinia Sonchi 6097 — Sorbus ancuparia, Perrisia ? aucupariae 2907 — Spiraea Ulmaria, Perrisia? Rostru- piana 2836 — S. filipendula, Perrisia ? filipendulae 2828 — Stachys recta, Perrisia granulata 4865 — Stellaria Holostea, Perrisia silrioola 2311 — Suaeda vermiculata, Asphondylia? Suaedae 2249 — Symphytum officinale, Contarinia symphyti n. sp. , assieme a Perrisia Symphyti 4729 — Tamarix africana, Perrisia ? tamaricina 4235 — Taraxacum officinale, Aular? taraxaci 6089, ? 6088 — Tenerium Chamaedrys , Per- risia teucriicola 4771 -- Tragopogon officinalis, Contarinia trogopogonis 6077 — Tri- folinm medium, Clinodiplosis trifolii (forse commensale di Perrisia flosculosorum) — Ulex europaeus, Perrisia ? ulieis 3396, P.? gallica 3394 — Ulmus campestris , Oli- nr” BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI ; XXI gotrophus? ulmi 2046, Perrisia? ulmicola 2055 — Vaccinium Vitis idaea, Perrisia Vitis idaea 4570, P.? anglica 4571 — Valeriana alliariaefolia, Perrisia ? valerianae 5425 — V. officinalis, Contarinia crispans 5422 — Verbascum Lychnitis , Perrisia verbasci 5008 — Veronica spicata, Perrisia spicatae 5076 — Vicia lutea, Contarinia Trotteri 3703 — V. sepium, Clinodiplosis longiventris 3694 — V. villosa e varia, Clinodiplosis Massalongoi 3733, 3741 — Vincentoxicuin officinale , Contarinia vinee- toxici 4710 — Zilla myagoides., Perrisia ? Zillae 2552.— Mancano all’ Opera dello HOUARD, e perciò forse nnove, le seguenti: Aquilegia vulgaris, Perrisia aquilegiae (larve rosse sociali entro i fiori poco o punto deformati, Nancy) — Betonica offici- nalis, Clinodiplosis betonicae (larve sociali bianche o giallastre entro i fiori non ri- gonfiati ma chiusi, dintorni di Bitche) — Centanrea Jaceae, Trypeta Lemei (ipertrofie del fusto con cavità centrale umica) — Erigeron uniflorus, Perrisia? alpicola (ger- moglio trasformato in una galla spugnosa , ovoidea, della grossezza di un pisello ad una nocciola, aderente al snolo, Thomas 1892) — Galeopsis tetrahit, Clinodiplosis tetrahit (larve sociali bianche tra gli ovari, senza produrre deformazione apparente, Lorena) — Galium Incidum , Contarinia galii (germoglio deformato , internodi rae- corciati, foglie ravvicinate subembricate, fiorı atrofici, dimensioni 10-15 mm., larve tra le foglie) — Lilium martagon , Contarinia Martagonis (fiori atrofizzati rivestiti di lanngine anormale, larve numerose giallastre, Budapest) — Querens pubescens, Contarinia amenti (gattino deformato, raccorciato ed ingrossato) — Salix pedicellata, Oligotrophus Peyerimhofi (galle fogliari ipofille subsferoidali larghe 3 mm. provviste di appendici caratteristiche, Algeria, cfr. Marcellia Bibl. VIII 22) — Stellaria Ho- lostea, Perrisia holosteae (ovario atrofizzato , larva bianca lunga 2-3 mm.) — Tilia grandifolia, Perrisia tiliae (giovani foglie increspate verso V alto 8 contorte, galle simili a quelle di Perrisia Thomasiana, Italia). 86. Kieffer J. J. u. Jörgensen P. — Gallen und Gallentiere aus Argentinien (Centralbl. f. Bakter., Parasitenk. etc. II Abt., XXVII Bd., 1910, nn. 13-16, p. 362 444, con 61 fig.). Le novità contenute in questo lavoro sono tante, sia dal lato botanico (deseri- zione delle galle) che da quello zoologico (descrizione dei cecidozoi e dei loro pa- rassiti) che dovremmo riprodurre per intero il lavoro se ne volessimo dare una cognizione adeguata. Ci limitiamo ad una semplice elencazione delle piante gallifere e dei rispettivi cecidozoi descritti come nuovi. Quasi tutto il materiale fn raccolto dallo JORGENSEN nella provincia di Mendoza nella Rep. Argentina. COLEOTTERI : Prosopis Alpataco, Apion prosopidis n. sp. — DITTERI CECIDO- MYIDI: Baccharis ? coridifolia, Lasioptera ? cordobensis n. sp.; B. salicifolia, Rhopa- lomyia globifez n. sp., Asphondylia crassipalpis n. sp., Lasioptera ornaticornis n. sp.; B. subulata, Lasioptera interrupta n. sp.; Gourliaea decorticans, Allodiplosis crassus n. gen. n. sp.; Grabowskiya obtusa, Cystodiplosis longipennis n. gen. n. sp.; Helio- tropium currasavicum , Lasioptera tridentifera n. sp.; Lippia foliosa, Rhopalomyia lippiae n. sp.; Lycium chilense, Rhopalomyia bedeguaris n. sp., Centrodiplosis cras- sipes n. gen. n. sp., Oligotrophus ? lyciicola n. sp.; L. gracile, Centrodiplosis falci- gera n. sp., Lyciomyia gracilis n. gen. n. sp., Oligotrophus ? lyciicola n. sp.; Nec- tandra megapotamica, Oligotrophus ? nectandrae n. sp. Kiefter ; Prosopis Alpataco e > XXII MARCELLIA P. campestris, Tetradiplosis serdentatus n. gen. n. sp., Rhopalomyia prosopidis n. sp.; P. strombnlifera, Liebeliola prosopidis n. gen. u. sp., Lasioptera graciliforceps n. sp.; Senecio mendocinus , Janetiella montiraga n. sp. ; Swaeda divaricata , Asphondylia swaedicola n. sp.; Trieyela spinosa, Rhopalomyia tricyclae n. sp.; Verbena aspera, Rhopalomyia verbenae n. sp.; V. serphyoides, Rhopalomyia oreipluna. n. sp.— DIT- TERI Trypetip: Baccharis salicifolia, Aciura baccharidis n. sp., A. falcigera n. sp., Trypeta cuculi n. sp.; Eupatorium patens, Acidia eupatorii n. sp.; Grindelia pul- chella, Trypeta cuculi ; Senecio mendocinus, Tephritis (Urellia) pubescens n. sp.; Senecio pinnatus , Trypeta oreiplana ; Tessaria absinthoides , Urophora tessariae, — IMENOTTERI CINIPIDI: Prosopis Alpataco e Pr. campestris, Eschatocerus myriadeus n. sp.; Esch. niger n. sp. — IMENOTTERI CALCIDIDI : Gourliaea decorticans , Pro- seurytoma gallarum n. gen. n. sp.— LEPIDOTTERL: Atriplex lampa, Gnorimoschema (Tuta n. subg.) atriplicella Strand n. sp.: Baccharis serrulata, Tecia mendozella Strand n. gen. n. sp. B. subulata, Fapua albinerrella Strand n. sp. ; Dnvana dependens, Clistoses artifer n. gen. n. sp. [? = Cecidoses eremita], Dieranoses capsulifer n. gen. n. sp.; Ephedra americana, Alapa cordillerella n. gen. n. sp.; Grindelia pulchella, Tecia (Lata, n. subg.) Kiefferi Strand n. sp.; Prosopis Alpataco e Pr. campestris, Cecidolechia maculicostella Strand n. gen. n. sp. — EMITTERI PsıLLobi : Baccharis salieifolia, Cecidotrioza mendocina n.sp.; Duvaua dependens, Trioza ? gallifer n. sp. — Emitter: Cocci: Prosopis adesmioides, Opisthoscelis ? prosopidis n. sp.— ACARI Exrıorıbı : Heterothalamus spartioides, Eriophyes heterothalami n. sp. Vengono inoltre descritte quasi 80 tra nuove specie e varietà di Imenetteri parassiti dei cecidozoi, molte delle quali appartenenti a nuovi generi. 87. Hall H. V. M. — A Phytoptid Gall on Artemisia cali- fornica(Pomona College Journ. of Entomol. II, n. 3, Claremont Cal. 1910, pp. 280-281, con fig.). Eriophyes californica n. sp., produce sulle foglie di Artemisia califor- nica delle ripiegature ipertrofiche, spesso confinenti, tomentose. L’acaro, per quanto si può desumere dalla imperfetta figura e dalla inconipleta descrizione, non appar- tiene al gen. Eriophyes bensì a qualche altro della famiglia dei Fillocoptini. 85. Jaap O. — Zoocecidien- Sammlung. Serie I, nn. 1-25 (settembre 1910; presso |’ Antore in Hamburg. — Prezzo di ogni fascicolo Mk. 8). È una nuova Exsiccata cecidologica la quale va ad aggiungersi a quelle di HiEROXYMUS et Pax, TROTTER et CECCONI, GREVILLIUS et NIESSEN. Usciranno 1-2 Serie all’ anno. Il materiale è ben preparato e copioso ; ogni specie è contenuta in busta di carta e su ognuna vi è incollata la scheda a stampa, contraddistinta da un numero progressivo, fornita delle seguenti indicazioni : nome del cecidozoo e del substrato, località, data, nome del raccoglitore. Le specie contenute in questa prima serie sono le seguenti : 1. Anthomyia signata Bri. su Pteridinm aquilinum ‘Sehleswig-Holstein) ; 2. Oli- gotrophus Panteli Kieff. sn Juniperus communis (Brandenburg) ; 3. Poomyia Poae Le a nn Le, nun BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI È XXIII (Bose.) Rübs. in litt. su Poa nemoralis (Rheinprovinz) ; 4. Eriophyes tristriatus N. var. erinea Nal. su Juglans regia (Brandenburg); 5. Phyllocoptes Populi N. su Po- pulus Tremula (Brandenburg) ; 6. Rhabdophaga heterobia H. Löw su Salix amygda- lina (Brandenburg); 7. Oligotrophus Capreae (Winn.) Rubs. su Salix grandifolia (Sviz- zera); 8. Pontania pedunculi Hart. su Salix incana (Svizzera); 9. Eriophyes levis N. sn Alnus glutinosa (Brandenburg); 10. Eriophyes Altumi Lieb. su Alnus glutinosa (Brandenburg) ; 11. Ærioph. breritarsus Fock. su Alnus glutinosa (Brandenburg) ; 12. Andricus inflator Hart. sn Quereus Robur (Brandenburg); 13. Dryophanta divisa Hart. su Quercus Robur (Schleswing-Holstein); 14. Neuroterus lenticularis (Oliv.) Sch. su @. Robur (Schleswig-Holstein); 15. Neur. numismatis (Oliv.) Mayr su Q. Robur (Schleswig-Holstein); 16. Brachycolus Stellariae Hardy su Stellaria holostea (Bran- denburg); 17. Eriophyes Ribis Nal. su Ribes nigrum (Brandenburg) ; 18. Erioph. Ca- nestrinii N. su Buxus sempervirens (Rheinprovinz); 19. Zrioph. macrochelus N. var. carinifeæ (K.) Trott. su Acer campestre (Rheinprovinz) ; 20. Oligotrophus Réaumu- rianus (F. Löw) K. su Tilia platyphylla (Svizzera) ; 21. Erioph. Fraxim su Fraxi- nus excelsior (Svizzera); 22. Eriophyes Löwi N. su Syringa vulgaris L. (Branden- burg); 23. Erioph. Origani N. su Origanum vulgare (Rheinprovinz) ; 24. Erioph. Thomasi su Thymus Serpyllum (Brandenburg); 25. Trioza dispar F. Löw su Tara- xacum officinale (Svizzera). 89. Patch Ed. M. — Gall Aphids of the Elm (Bull. Maine Agrie. Exper. Station Orono, n. 181 (Entomol. n. 43), maggio 1910, pp. 193-240 con 15 tav.). È una interessante monografia delle galle, ma sopratutto degli Afidi galligeni dell’ Olmo, dei quali espone criticamente la storia, la bibliografia, morfologia, bio- logia etc. Le specie prese in esame sono le seguenti : 1. Colopha ulmicola (Fitch) Monell = C. compressa (Koch) Licht.; produce delle galle vesicoloso-compresse e suberistate sulla pagina superiore delle foglie : 2. Tetraneura graminis colophoidea How.; produce galle simili a quelle della specie precedente; possiede generazioni migranti sulle Graminacee. 3. Tetraneura ulmisacculi n. sp.; galla fogliare epifilla molto simile a quella europea di Tetraneura Ulmi, solo il cecidozoo è un po’ diverso. 4. Tetraneura Ulmi ; la stessa che in Europa. 5. Pemphigus ulmifusus Walsh ; galla affine à quella di Tetraneura Ulmi, però assai più: grande, con collo più allungato e con apice acuminato. 6. Schizoneura americana Ril., parte della foglia bolloso aceartocciata verso la pa- gina inf.; galla in tutto simile a quella europea di Schizoneura Ulmi, V insetto però è ben distinto. 7. Schizoneura Riley Thom., determina una specie di cancro sui rami giovami 0 vecchi. 90. Watt Georg. and Mann H. H. — The Pests and Blights of Tea Plant (Ed. II, an. 1903). Phytoptus Theae Watt, produce deformazioni ed un disseccamento della lamina fo- gliare di Thea coltivata nelle Indie. I cecidozoi adulti assumono una colora - zione rossastra. € XXIV MARCELLIA Phytoptus carinatus Green, atrofizza e fa disseceare parimenti le foglie di Thea coltivate a Ceylon e nelle Indie. I cecidozoi adulti sono pure di colore ros- sastro. Cfr. anche Green E. E.— Roy. Bot. Gard. Ceylon. Cirenlar Ser. I, n. 17, an. 1900. 91. Wrigt H.— Gall on Speedwell (Lancashire Nat. 11, 1909, n. 19, pp. 207-208). FITOCECIDII 92. Bubäk Fr. — Eine nene Ustilaginee der Mohrenhirse (Ztschr. f. landwirtsch. Versuchswesen in Oesterreich, 1910, pp. 53-56, con fig.). Ustilago bulgarica n. sp. produce una evidente deformazione nei frutti ed in- fruttescenze di Sorghum vulgare, presso Sadovo in Bulgaria, diversa da quella prodotta dall’ Ust. Sorghi e dall’ U. cruenta. 93. Bubak Fr. et Kabat J. E.— Mykologische Beiträge (Hedrigia Bd. L, 1910, pp. 38-46, con 1 fig. ed 1 tav.). Gloeosporium intumescens n. sp. determina una notevole ipertrofia nella costa fogliare di Querens Cerris in Boemia, figurata alla pagina 45. [Trattasi però non di un fungo galligeno bensì cecidieolo, cioè sviluppantesi sulle nervature iper- trofizzate dalle larve di una Arnoldia). A. TROTTER PAPA DD PLD DD I ALI» BERICHTIGUNG (A. Nalepa, Die Besiedlung neuer Wirtspflanzen durch Gallmil- ben. Marcellia 1910, v. 9 p. 105). Beim Umbrechen des Satzes fiel in der Fussnote auf S. 105 eine Zeile aus; die vollständige Note lautet: (1) Die Glockenblumen- Gallmilbe (Eriophyes Schmardai Nal.) durchmisst auf einem horizontal liegenden Papierblatt in 1 Minute eine Streeke von durchschnitt- lich 12 mm, 4. i. ungefähr das Fiinfzigfache ihrer Kôperlänge. Sie bewegt sich demnach im Verhältnis zu ihrer Körperlänge mit der Geschwindigkeit eines marschierenden Soldaten, der in 12 Min. 1 km zurücklegt. A. NALEPA BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI à xxv ZOOCECIDII Generalità, istologia, biologia, danni, rimedii, etc. 94. Dean W. H. — The Sorghum Midge, Contarinia (Diplosis) sor- ghicola Coq. (Bull. Dep. Agricolt. Washington n. 85, 1910, pp. 39-58, con tav. I-II fig. 20-31). 95. Docters van Leeuwen W. u. Reijnvaan J.— Beiträge zur Kenntnis der Gallen auf Java. II: Uber die Entwicklung einiger Milbengallen (Ann. Jardin Bot. Buitenzorg, 2e. Ser. t. VIII, 1910, pp. 119-183 tav. XXIV-XXXI). È un esauriente studio sullo sviluppo e l’ istologia di tre diffusi acarocecidi dell’ Isola di Giava e cioè Eriophyes Doctersi Nal. su Cinnamomum zeyla- nicum, Eriophye sp. su lpomoea Batatas, Eriophyes sp. sa Nephrole - pis biserrata. Una buona parte dell’ interessante lavoro è dedicata alla discussione di que- stioni generali, che riguardano l'apprezzamento delle prime fasi di sviluppo delle galle in generale ed in particolare degli acarocecidii. Gli AA. assimilano poi il « pla- stema gallare » di BEIJERINCK al « callo da ferite » ben noto nell’ anatomia pato- logica delle piante. 96. Kùster E. — Neue Ergebnisse auf dem Gebiet der pathologi- schen Pflanzenanatomie (Hrgb. d. Allg. Pathol. u. pathol. Ana- tom. d. Menschen u. d. Tiere XI Jahrg., 1907, I.Abt., pp. 387-454, con 16 fig.). E un interessante riassunto dello stato attuale delle nostre cognizioni sulla morfologia della cellula e dei tessuti vegetali allo stato patologico. L’ A. si diffonde in modo più speciale sulla patologia della cellula, adattando i vari fatti della anatomia patologica delle piante alle cognizioni ed alla nomen- clatura in uso nel campo dell’ anatomia patologica degli animali. Molte delle no- tizie contenute in questo lavoro erano già state esposte dall’ A. nel suo ben noto lavoro Pathologische Pflanzenanatomie [efr. Bibl. II n. 38]. Anche qui sono oppor- tunamente collocati a loro posto numerosi esempi tratti dal campo della cecidologia. 97. Marchal P. — Contributions à Il’ étude biologique des Cher- mes..(O, E. Acc. Se. Paris II, 1910, nn. 1-16). XXVI MARCELLIA 98. Molliard M. — Remarques physiologiques relatives au determi. nisme des galles (Bull. Soc. bot. de France LVII, 1910, pp. 24-31). In seguito ad accurate analisi in rapporto alle sostanze azotate, eseguite com- parativamente sugli organi normali e le loro galle, rispettivamente in Phyllocoptes Convolvuli N., Eriopliyes Geranii Can., Livia juncorum Latr., V A. ha potuto stabi- lire che l’ azoto totale, riferito all’ unità di peso secco, aumenta sensibilmente nelle foglie attaccate, cioè circa da gr. 1.2 a g. 1.8; quanto alle altre combinazioni a- zotate si nota quanto segue: nelle foglie attaccate 1’ azoto proteico totale è meno elevato e perciò vi si trova in maggiore quantità 1’ azoto amidico, V azoto ammo- niacale manca nelle foglie normali mentre mostrasi in quantità considerevole nelle foglie attaccate e I’ azoto proteico vi è meno abbondante o vi manca del tutto. Tutto ciò lascia pensare, che nelle foglie attaccate le sostanze albuminoidi si tra- sformino sotto l’ azione d’ un fermento digestivo, cosicché si può supporre che il cecidozoo introduca nelle cellule una sostanza contenente una diasta si proteolitica; il che si accorderebbe con altre ricerche dell’A. per le quali pare che l’asparagina, accumulandosi nei tessuti, determini dei fatti di ipertrofia ed iperplasia confron- tabili con le galle prodotte da organismi parassiti. 99. Pantanelli E. — L’ acariosi della vite in Svizzera (Bull. Mi- nistero Agricoltura Roma, an IX, v. II, 1910, 6 pp.) È la relazione di una visita fatta ai vigneti di Losanna allo scopo di studiare quella malattia della Vite ivi indicata dal Fars col nome di acariasi, dovuta al Phyllocoptes Vitis [cfr. Bibl. IV 106, 113, 115]. 100. Schmidt H. — Biologische Bemerkungen zu einigen gallener- zeugenden Schmetterlingen (Societas Entomologiea XXV Jahrg. 1910, pp. 57-58). Brevi cenni sulla presenza nella Slesia Inf. dei due cecidii delle Conifere, tra loro assai affini, prodotti dai lepidotteri Retinia Resinella K. e Retinia buoliana. 101. Schmidt H. — Deformationen an Brassica oleracea L. und Raphanus Raphanistrum L., hervorgerufenen durch Aphis brassicae L. (Prometheus XII, 1910, pp. 170-172 con 6 fig.) Descrive diligentemente, dal lato morfologico, le deformazioni fiorali (virescenze etc.) riscontrate su tali piante nei dintorni di Griinberg (Schlesien) e prodotte dal- V Aphis brassicae L. BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI = XXVII Sistematica, distribuzione geografica, galle muove, etc. 102. Borcea J. — Matériaux pour Il’ étude de la Faune des Aphides de Roumanie (Ann. scient. Univers. de Jassy, an. 1908, 43 pp.). Vi sono anche segnalate molte delle specie galligene su Populus, Ulmus ete. con accenni alle deformazioni da essi prodotte. 103. Daecke E. — Trypetid-galls and Ewrosta elsa n. sp. (Entomo- logical News XX, 1910, nn. 7-8). 104. Dalla Torre K. W. v. u. Kieffer J. J.— Cynipidae (Das Tier- reich, Lief. 24 an. 1910, vol. di XXXV-891 pp. e 422 fig.; Prezzo Mk. 56.). La trattazione della sotto-famiglia Cynipinae, che comprende cioè tutte le specie gallicole e galligene, costituisce da sola buona parte del volume, dalla pag. 296 alla pag. 843, con la quale si inizia l’ indice generale delle specie, seguito dal « No- menclator generum et subgenerum ». Quest’ Opera, ai cecidologi riesce sopratutto interessante perchè rappresenta il primo e riuscito tentativo di riordinamento sintetico dei Cinipini extraeuropei, che contano un notevole contigente di generi e di specie (oltre 350) per massima parte appartenenti all’ America del Nord, e le cui descrizioni erano sin qui sparse in un numero notevole di pubblicazioni non tutte facilmente accessibili. Per ogni specie vi è una completa descrizione sia del cecidozoo che della galla; nè fu trascurata la segnalazione delle specie dubbiose od anche di quelle destituite d’ ogni descri- zione e note soltanto per il cecidio che producono. L’ enumerazione descrittiva e sistematica dei cecidozoi è completata poi da alcuni prospetti descrittivi delle galle, distribuite in chiavi analitiche, secondo le diverse matrici; complemento utilissimo il quale, se non riesce nuovo per le specie europee, è però lavoro del tutto origi- nale e perciò prezioso per le galle di Quereus dell’ America del Nord. Per le specie a generazione alternante, in conformità alle leggi della nomenclatura, adottate dal Tierreich, figura in prima linea la sola generazione bisessuata, ed è perciò essa sola che ha l’ attributo di specie; nondimeno vi si fa seguire immediatamente anche la descrizione della generazione partenogenetica e delle rispettiva galla. In omaggio alle stesse regole della nomenclatura, vengono ripristinati i nomi specifici con la loro grafia originale, non quale per brevità era stata posteriormente modifi- cata; per cui deve dirsi Cynips quercus-calicis e non Cynips calicis, etc. ete. Le numerose figure intercalate nel testo sono sopratutto destinate all’illustra- zione delle galle, in numero assai minore quelle illustranti gli insetti, queste per lo più riunite nelle prime pagine dedicate alla morfologia dei Cinipidi. 105. Del Guercio G. — Intorno a due nemici nuovi dell’ Olivo e XXVIII MARCELLIA alle gravi alterazioni che determinano (Redia v. VI, 1910, fase. II, pp. 202-297, con 8 fig.). Vi si descrivono due nuove Cecidomie galligene dannose all’ Olivo, e cioè : Lasioptera Kiefferiana n. sp. e Dasyneura Lathiérei n. sp. Ambedne posseggono delle larve le quali vivono entro i giovani ramoscelli e così entro le rachidi principali e secondarie delle infiorescenze, che ipertrofizzano e deformano in vario grado, 0 spesso anche entro tumoretti fogliari molto simili a quelli della Perrisia oleae. Anzi dapprima tutte queste varie deformazioni erano state attribuite a quest’ultimo Ce- cidomide [efr. Bibl. VIII n. 109]. 106. De Stefani T. — I Zoocecidii sin’ ora noti della Eritrea e della Somalia italiana (Boll. R. Orto bot. e Giardino Coloniale, Pa- lermo 1910, an. IX, 8 pagine). Elenco alfabetico dei substrati galliferi e delle rispettive galle, desunti da pub- blicazioni di DeL GUERCIO, DE STEFANI, RÜBSAAMEN, TROTTER. 107. Felt E. P.— Gall Midges of Aster, Carya, Quercus and Salix (Journ. Econom. Entomol. v. III, 1910, pp. 347-356). 108. Hieronymus G. et Pax F.—« Herbarium cecidiologicum » continuato da DIETTRICH et PAX (fase. XVIII, settembre 1910, nn. 476-500). Conf. Bibl. VIII n. 159 — Il presente fascicolo contiene le segnenti galle : Aegopodium podagraria L.: 476. Trioza Aegopodii F. Löw. — Artemisia campestris L.: 477. Cryptosiphum artemisiae Pass. — Art. pontica L.: 478. E- riophyidae (galle fogliari cefaloneiformi pelose). — Athyrium Filix-femina (L.) Roth. : 479. Anthomyia signata Brisch. — Campanula latifolia L.: 480. Cecido- myidae [fiori chinsi, rigonfi]. — Cirsium arvense (L.) Scop.: 481. Eriophyes an- thocoptes N. -- Dorycnium decumbens Jord. : 482. Ditterocecidio (frutti defor- mati]. — Erica scoparia L.: 483. Perrisia ericae-scopariae Daf. — Evonymus europaea L.: 484. Aphis evonymi Fabr. —Galium vernum Scop.: 485. Erio- phyes galii Karp. — Gal. Schultesii Vest. : 486. Perrisia galii H. Low? — Geum urbanum L.: 487. Cecidomyidae [deformazioni fogliari]. — Helleborus niger L.: 488. Monophadnns monticola Hart. — Inula viscosa Ait.: 489. Myopites Olivieri K. — Lepidium Draba L.: 490. Ceuthorrhynehus pleurostigma Marsh. — Limo- niastrum Guyonianum Coss. et Dur.: 491. Oecocecis Guyonella Guen. — Phy- teuma spicatum L.: 492. Perrisia Phyteumatis F. Löw. — Populus Tremula L.: 493. Harmandia cavernosa Riibs. — Quercus Cerris L.: 494. Andricus cerri Beij. — Quercus macranthera Fisch. et Mey.: 495. Aphis suberis Tav. ? — Quer- cus pedunculata Ehr.: 496. Dryophanta longiventris Hart. — Rhamnus cathar- tica L.: 497. Eriophyes anuulatus Nal. — Rubus sulcatus Vest. : 498. Lasioptera LP a E FRA. x rn = FAP à wae, x > > Mu e, e. - > Pa, BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI XXIX rubi Heeg. — Salix daphnoides Vill. : 499. Pontania viminalis Hart.? — Stellaria Holostea L.: 500. Aphis cerastii Kalt. — Lonicera Xylosteum L.: 19a. Eriophyes xylostei Can. 109. Peklo Jar. — Die pflanzlichen Aktinomykosen (Centralbl. f. Ba- kter. ete. II Abt. XXVII Bd., an. 1910, pp. 451-579, con 163 fig.). Importante studio sulla natura dell’ endofita che produce le note escrescenze radicali su Alnus glutinosa e Myrica Gale. Trattasi in ambedue i casi di microrganismi da ascriversi al gen Aktinomyces (Ak. Alni e Ak. Myricae) assai affini al microrganismo della tubercolosi degli animali, che è egualmente da consi- derarsi come un Aktinomyces. 110. Tavares da Silva J.— Cecidias do Gerez (Broteria, v. VIII 1909, 3° fase.). FITOCECIDII 111. Faber F. C. von — Pilzgallen an Wurzeln von Kiekxia elastica Preuss. (Ann. Mycologici VIII, 1910, pp. 449-451, con 1 fig.). Sulle radici di Kiekxia elastica Preuss., a Camerun, si sviluppano delle ipertrofie abbondantemente invase da un micelio fungino, caratterizzate da un tessuto in cui abbondano cellule giganti plurinucleate, che |’ A. descrive e figura, paragonabili a quelle già segnalate nei tumori radicali prodotti da Anguillule od anche da un fungo, il Dendrophagus globosus. 112. Magnus P.— Ein neuer krebsartige Auswiichse an der Wirts- pflanze veranlassender Pilz aus Transvaal (Ber. deutsch. bot. Ges. XXVIII, 1910, pp. 377-380, tav. XI). Hyalodema Evansi n. gen. n. sp. (Mucedinea dietiospora) produce sui ramo- scelli e piccioli di Zizyphus sp., nei Transvaal, delle galle globuloso-depresse, rugolose, di 3-10 mm. di diam. L’ A. fornisce anche alenni cenni sulla struttura istologica della galla. 113. Schwartz E. J. e Blomfield J. E. — Some observations on the tumours on Veronica Chamaedrys caused by So- rosphaera Veronicae (Ann. of Bot., London 1910, v. XXIV, pp. 35-45, con 1 tav.). Cfr. Bibl. VIII 23, 132. XXK MARCELLIA 114. Schwartz E. J. — Parasitie root diseases of the Juncaceae (Ann. of Bot., London 1910, pp. 511-522 con 1 tav.). Notizie intorno a Sorosphaera Junci ed Enthoriza cypericola, quest’ ultima pro- ducente tubercoletti sulle radici. 115. Severini G.—Sulle formazioni tubercolari nello Juniperus communis (Annali di Botanica v. VIII, 1910, pp. 253-262, tav. XII). Descrive e figura, anche dal lato istologico, le escrescenze rameali di Ju n i- perus communis, dovute al micelio del Ceratostoma juniperinum Ell. et Ev., che inoculato in ramoscelli sani riproduce la malattia. In natura le escrescenze sono sempre in rapporto con lesioni preesistenti nei tessuti della pianta, specie in cor- rispondenza delle tracce fogliari. Questo micocecidio era già stato studiato anche dal BACCARINI [III 57]. 116. Willdeman E. De — Les « balais de sorcière » du Cacaoyer (L’ Agronomie tropic. t. I, P. II, 1909, pp. 1-5). ARGOMENTI AFFINI Teratologia 117. Bloch E. — Sur quelques anomalies de structure des Plantes alpines (Lille 1910, 13 pp. e 7 fig.). 118. Darbishire A. D. — A contribution to vegetable Teratology (New Phytologist VII, 1908, pp. 205-206, con fig.). 119. Deane W. — Teratological forms of Trillium undula- tum (Rhodora X, 1908, pp. 21-24, 214-216). 120. Deane W. — Teratology in Trillium (Rhodora XII, 1910, pp. 163-166). 121. De Gasperi G. B. — Un caso di fasciazione caulina e fiorale in un Leucanthemum vulgare (Malpighia v. XXIII, 1910, pp. 241-243 con fig.). BIBLIOGRAFIA E RECENSIONI È XXXI 122. Farmer J. B.— Fasciation in a Holly, Ilex Aquifolium (Gard. Chronicle, XLIII, 1908, con fig.). 123. Finet A. — Fleurs anormales de Megaclinium colu- brinum Reich. f. (Bull. Soc. bot. de France, t. LVII, 1910, n. 4, pp. 240-242 con fig.). 124. Geisenheyner L.— Ueber eine Blütenmissbildung Ampfer (Aus der Heimat 1908 Heft I, 7 pp. con 10 fig.). Virescenze di Rumex obtusifolius consociate alla presenza di Afidi. 125. Malme G. OÖ. — Atvikande Taloch ställnings forhällande 1 blomman hos Gentiana campestris (Svensk Bot. Tidskr. I, 1907, pp. 353-361). 126. Mettier D. M. — Some anomalies in the female gametophyte of Pinus (Proceed. Indiana Ac. of Sc. 1908, pp. 95-97). 127. Ortlepp R.— Der Einfluss des Bodens auf die Blütenfüllung der Tulpen (Flora XCVIII, 1908, pp. 406-422). 128. Parish S. B. — Other teratological Notes (Torreya VIII, 1908, pp. 164-167 con fig.). 129. Peglion V. — Anomalie di vegetazione delle bietole zuccherine porta-seme (Atti R. Acc. Lincei v. XIX, fase. 5, 1910, pp. 253- 256). 130. Pfuhl — Absonderliche Blüten von Salix Capraea (Ztschr. f. Kunst u. Wissensch. in Posen XV, 1908, fase. I). 131. Raciborski M.— Coreopsis tinetoria var. proli- fica eine unzweckmässige Mutation (Wiesner-Festschrift Wien 1908, pp. 417-420). 132. Raybaud L.— Les formes teratologiques provoques par V os- mose chez les Mucorinées (C. R. Soc. Biol. LXVI. 1909, pp. 1118-1119). È 133. Rees B.— Note on an abnormal development on leaves of XXXII MARCELLIA Prunus Cerasus (Proceed. Roy. Soc. Victoria XXI, 1908, pp. 247-248 con tav.). 134. Reuter E. — Pflanzenteratologische Notizen (Meddel. Soc. pro Fauna et Fl. fenn. XXXIII, 1906-1907, pp. 41-43 con fig.). 135. Romine H. R. — A teratological note on Timothy (Torreya VIII, 1908, p. 220. 136. Rubner K. — Ueber anormale Sprossbildung und Vermehrug der Epilobien (Mitt. Bayer. bot. Ges. II, 1908, pp. 109-112, con fig.). 137. Schuster J. — Ueber einen monströsen Orchis purpu- rea (Mitt. Bayer. Bot. Ges. Il, 1908, 8, pp. 129-130). 138. Smith J. J. — Een merkwaardige Klapper (Teysmannia I, 1908 pp. 8-10 con 2 tav.). 139. Stiles W.— Ona branched cone of Equisetum maximum Lam. (New Phytologist VII, 1908, pp. 113-116 con 2 fig.). 140. Tagg H. F. — Note on abnormal leaves of H i ppuris (Trans. and Proceed. Bot. Soc. Edinb. XXIII 1908, p. 237-241). 141, Thomas Fr.— Ein hervorragendes Erzeugnis unseres heimi- schen Waldes (Thüringer Monatsblätterrn, XVII Jahrg, n. 5, an. 1909, pp. 66-70, con fig.). Intorno al Cipresso piramidato. Cfr. Bibl. VI 230, VII 174. 142. Thomas Fr.— Die Verbreitung der gefeldert- rindingen Buche, Fagus silvatica var. quercoides Pers. (Naturwiss. Zeitschr. f. Forst- u. Landwirtsch., VIII Jahrg. 1910, Heft 7, pp. 344-346). 143. Weewers Th. — Einige Blütendeformationen und Anomalien (Ann. Jard. Bot. Buitenzorg III, Suppl. 1910, pp. 307-313). XXXIII Varia 144. Beauverie J.— Les Champignons dits Ambrosia (Ann. Se. Nat. Bot. IX sér. t. XI, 1910, nn. 2-4, pp. 31-73, con 10 fig. e.5 tav.). Qnesto studio riflette sopratutto ambrosia di Tomicus dispar, ma è pre- ceduto da alcuni paragrafi riguardanti le ambrosia delle galle e contenenti no- tizie tratte esclusivamente dal lavoro del NEGER [efr. Bibl. IX 1., e sopratutto VIII 8.]. 145. Hedgcock G. G. — Field-studies of the Crown-galle of the Grape (Bull. Dep. Agric. Washington 1910, 40 pp. e 4 tav.). 146. Kieffer J. J. — Beschreibung neuer in Blattliusen schmarotz- ender Cynipiden (Naturwiss. Ztschr. f. Forst.-u. Landwirtsch. Bd. VII, 1909, pp. 479-482, con 2 fig.). 147. Kieffer J. J. — Description d’ une espèce nouvelle de Triconta- rinia (Cecidomydae) (Boll. Labor. Zool. gen. e agraria R. Se. Sup. Agric. Portici, v. IV, 1910, pp. 71-72). Probabilmente parassita di Diaspis pentagona. 148. Kieffer J. J. — Cécidomyies parasites de Diaspis sur le Mùrier (ibid. pp. 128-133 con fig.). Per questa e la seguente pubblicazione trattasi di Cinipidi non gallicoli. 149. Kieffer J. J. — Serphidae, Cynipidae, Chalcididae, Evaniidae und Stephanidae aus Aquatorialafrika (in Wissensch. Ergeb. Deutsch. Zentral.-Afrika-Exped. 1907-1908, Bd. III, Lief. II, 1910, 29 pp. con 14 fig.). 150. Leclerc du Sablon M.— Sur un cas de parthénogénèse du Fi- guier de Smyrne (Rev. Gen. de Bot. t. XXII, 1910, pp. 65-69). 151. Petri L. — Ricerche istologiche su diversi vitigni in rapporto al grado di resistenza fillosserica (Atti R. Ace. Lincei I, 1910). XXXIV 152. Petri L. — Nuove osservazioni sopra i processi di distruzione delle tuberosità fillosseriche (Atti R. Acc. dei Lincei, 1910, I, 6-7). 153. Pinoy — Les champignons des Mycétomes (C. R. Congr. Soc. Sav. Paris 1909). A. TROTTER Il giorno 22 novembre 1910 il Prof. FR. THOMAS compì felicemente il suo 70° anno di vita. Sicuro d’ interpetrare il pensiero dei lettori, amici ed ammiratori di Lui, che tante benemerenze ha saputo acquistare nel campo della Cecidologia , mando da questa Marcellia, che Egli salutò bene auspicando al suo apparire, gli auguri vivissimi per molti anni ancora di proficua e prospera esistenza. A. TROTTER INDIEI DELL’ ANNATA 1910 INDICE dei lavori pubblicati BAYER EM. — Les Zoocécidies de la Bohême : DOCTERS VAN LEEUWEN — REIJNVAAN J. u. W. — Einige Gallen aus Java. Dritter Beitrag (con 13 fig.). x È DOCTERS VAN LEEUWEN — REIJNVAAN J. u. W. — Einige Gallen aus Java. Vierter Beitrag (con 20 fig.). : : GREVILLIUS A. Y. — Notizen über Thysanopterocecidien auf Stel - laria media Cyr., S. graminea L. und Polygo- num Convelvulus (con 11 fig.) . KÜSTER ERN. — Ueber di Sprossaehnlichkeit der Pr CHATS schen Gallen . NALEPA A. — Die Besiedlung neuer Wirkapliancan a Gallmilben » » — Berichtigung : PIERRE ABBE — La cecidie d’ hiver = Chloroy ops linonia Fabri = taeniopus Meig. 4 : £ : RUBSAAMEN Ew. H. — Beitriige | zur AA aussereuropäischer Zoocecidien. IV. Beitr. : Afrikanische Gallen (con 31 fig.). pag. 63,127 » 37 » 168 » 161 » 159 » 105 » XXIV » 61 » 3 198 » 109 » 114 » 193 IVETE » XXXIV SCHMIDT H. — Neue Zoocecidien der niederschlesischen Ebene . THomas Fr. — Eine Mahnung an Autoren, Referenten und Redaktionen » XIV TROTTER A. — Sulla possibilità di una omologia caulinare nelle galle prosoplastiche - ; : » » — Le cognizioni cecidologiche e ie di Ulisse Aldrovandi e della sua Scuola È = : » » — Pugillo di galle raccolte dal Dr. A. Forti in Asia Minore » » — Necrologia: EDWARD T. CONNOLD » » — Notizie e e a “ln. dE, Data di pubblicazione dei singoli fascicoli Fasc. I-II, pp. 1-72, 20 maggio 1910 Fase. III, pp. 73-120, 20 luglio 1910 Fasc. IV-V, pp. 121-168, 3 decembre 1910 Fasc. VI, pp. 169-200, 29 decembre 1910 XXXVI INDICE dei generi e delle specie nuove di cecidozoi descritti è COLEOTTERL: Stephanoderes Winkleri n. sp. Reitter Nanophyes Nessaeae n. sp. Rübs. . OMOTTERI : Psylla Winkleri n. sp. Riibs. DITTERL: Schizomyia Psoraleae n. sp. Riibs. Schizomyia Scheppigi n. sp. Rübs. nel presente Volume pag. 15 » 28 pri 23 Di OZ » 36 XXXVII INDICE degli Autori menzionati nella Bibliografia Adcock G. H., 69. Baccarini P., 1 [III, VI, VII]: Baer W., 70, 71 [VI, VIII]. Bayer Em., 8 [VIII]. Beauverd G., 78. Beauverie J., 144. Beutenmüller W., 9-11,79-81[II,VI-VIII]. Bloch E., 117. Blomfield J. E., 113 [VI]. Boerner K., 12 [VII]. Boodle L. A., 82. Borcea J., 102. Bubàk Fr., 92, 93 (I, II]. Cockerell T. D. A., 13, 15, 38, 48 [I-IV, VI-VIII]. Connold E. T., 14 [I, VIII]. Cook Mel. T., 2, 15, 38, 83[I-V, VII-VIII]. Cotte J., 16, 17. Crawford. D. L., 49. Cuboni G., 84 [I, VII]. Daecke, E., 103. Dalla Torre K. W. v., 104 [II]. Darbishire A. D., 118. Dean W. H., 94. Deane W., 119, 120. De Gasperì G. B., 121. Del Guercio G., 105 (I-II, IV, V-VIII]. De Stefani T., 106 [I, III-VII]. Dittrich R., 18 [II-III, V, VIII]. Docters van Leeuwen W. 3, 40, 41, 95 [V-VIII]. Faber F. C. von, 111 [IV, VI, VIII]. Fanales F., 32. Farmer J. B., 122. Felt E. P., 19, 50-52, 66, 107 [II, VI- VIII]. Finet A., 123. Fulmek Leop., 4. Geisenheyner L., 124 [I-III, V]. Goebel K., 39 [V, VII]. Goethe R., 5 [VIII]. Grassi G. B., 20 [VI-VIII]. Green E. Ern., 21. Grevillius G. Y., 22 (VI, VIII]. Pla EVs Mo 8%. Hayunga, 33. Hedgcock G. G., 145 [V, VII]. Hieronymus G., 108 [II-V, VIL-VIII]. Horn P., 23. Jaap O., 88. Johnson T., 34. Johnston Harvey T., 30. Jorgensen P., 86 [V-VI]. Juel O., 35. Junge, 42. Kabat J. E., 93. Kieffer J. J., 24, 67, 68, 85, 86, 104 146-149 [I-VIII]. Klein E. J., 6 [VIII]. Knox A., 60. Kusano S., 36 [III, IV, VI, VIII]. Kiister Ern., 7, 96 [I-V]. Leclerc du Sablon M., 150 [VI-VII]. Lemée E., 53 [II, V-VIII]. Lounsbury C. P., 54, 55 [IV]. Liistener G., 42 [IV, VIII]. Mac Dougall R. S., 25. Magnus P., 112 [I-IV]. Maige A., 61 [IV]. Malme G. O., 125. Mann H. H., 90 [VI]. Marchal P., 97 [1, III-VI, VIII]. Massee Georg., 72 [II]. Mettier D. M., 126. Mirande M., 26. Miyoshi M., 62. Molliard M., 98 [I-IV, VI, VIII]. Müller-Thurgau H., 43. Nalepa A., 73 [I-VI, VIII. Niessen J., 22 [II-VIII]. Nüsslin O., 44 [IV, VII-VIII]. Ortlepp R., 127. Pampanini R., 63 [III-IV, VII]. Pantanelli E., 45, 99 [VIII]. Parish S. B., 128 [VII). Patch E. M., 56, 89 [VIII]. Pax F., 108 [II-V, VII-VIII]. Peglion V., 129 [I-II, V]. Peklo Jar., 109. Penzig O., 64 [III-IV]. Percival J., 37. Petri L., 151, 152 [VI-VIII). Pfuhl, 130. Pierre Abbé, 46 [I-VI]. Pinoy;eto05 (lV, Will: Preda A., 65. Raciborski M., 131 [VIII]. Raybaud L., 132. ? XXX VIII Rees B., 133. Rejnvaan J., 3, 40, 41, 95 [V-VI]. Reuter E., 134 [Il-III, V]. Ritzema Bos J., 27 [I-III, V, VII-VIII}. Rohwer S. A., 13 [VIII]. Romine H. R., 135( Ross Herm., 74 [II, V]. Rubner K., 136. Schmidt H., 28, 100, 101 [VI-VIII]. Schuster J., 137. Schwartz E. J., 113, 114. Severini G., 115 [VI-VII]. Smith J. J., 138 [III]. Stebbins Fan. A., 57. Steck Th., 47. Stiles W., 139. Swezey O. H., 29. Tagg. H. F., 140. Tavares da Silva J., 110 (I-II, IV-VIII]. Thomas Fr., 141, 142 [I, III-VIII]. Tidswel Fr., 30. Tobler F., 58. Trabut L., 59. Tubeuf C. von, 75, 76 (I, III-VIII). Tullgren Alb., 31. Watt Georg, 90. Weewers Th., 143. Willdeman E. De, 116 (IV, VI-VII]. Wright H., 77, 91. BET: D Domande di Pine indirizzi, dapeides e risposte diverse, des | Dedichiamo questo spazio gratuitamente ai Signori Abbonati, per domande od offerte d’in- cre esse individuale o generale, sempre però aventi attinenza con la Cecidologia. Schedae ad « Cecidothecam italicam » (1902- 1909) | - Auctore A, TROTTER "glio mese: cuor SIERT, MM. les Cécidologues ; non abonnés à « Cecidotheca italica » de FRS A. et CECCONI G., désireux cependant d’assurer à leur ee ibliothèque les « Schedae » (avec bibliographie, observations etc.) qui illustrent cette Collection — dont le prix pour les 20 fascicules (500 numéros) publiés jusqu’ ici est de 200 fr.S— pourront s’ adresser _ à l Auteur, Prof. A. TROTTER, qui expédiera franco la Série com- tae des 500 « Schedae », avec préfaces, index double etc., contre 3 mandat- -poste de 10 fr.s — Numéros spécimen sur demande. ce - £ ; à M. HOUARD, désirant publier prochainement un Supplément _ à ses « Zoocécidies des Plantes d'Europe et du Bassin de la Méditerra- | née », recevra avec reconnaissance toutes les corrections et additions _ que voudront bien lui envoyer les Cécidologues. = M. Hovarp se permet de faire remarquer que l’ Index bibliographique du to- _ me II ne contient, à dessem, que les travaux des Auteurs cités dans le texte du _ Catalogue. Cet Index, avec ses treize cents numéros bibliographiques, n’ a nulle- ment la prétention de constituer une Bibliographie complète des galles d’ Europe, qui comporterait ecrtainement plus de trois mille fiches. Des ©} C. HOUARD, Docteur-es-Sciences 12. rue Cuvier 14/4 Paris 5.° RIVISTA INTERNAZIONALE DI CECIDOLOGIA reattore: rror. A. TROTTER (AVELLINO) 1. La MARCELLIA si occupa esclusivamente dello studio delle galle e dei produttori di esse. Pubblica, su tale argomento , lavori originali, di istologia, morfologia, sistematica etc., talora corredati da tavole o da figure nel testo. Tiene inoltre al corrente di tutto quanto si pubblica nel campo della Cecidologia, dando anche, della maggior parte dei lavori, delle recensioni più o meno estese. x ‘ A «ig 7 x 74 2. Tutti possono collaborare alla MARCELLIA ; gli Associati hanno però — la precedenza sugli altri. I manoscritti dei lavori devono essere inviati al Redat- _ tore, il quale si riserva il diritto di ammetterli o no alla stampa. Si accettano lavori in inglese, tedesco ed in tutte le lingue delle nazioni latine. 3. Agli Autori verranno corrisposti gratuitamente 30 Estratti dei loro lavori, sarà però in loro facoltà di farne tirare, a loro spese, un maggior numero di copie: nel qual caso dovranno renderne avvertito il Redattore con l’ invio del se manoscritto. 4. Le spese per tavole o figure nel testo sono, per ora, a carico degli Autori. 5. Usciranno 6 fascicoli all’anno, complessivamente circa 15 fogli di stampa, possibilmente un fascicolo ogni due mesi, cioè : Febbraio, Aprile, Giugno, Ago- sto, Ottobre, Dicembre. 6. Gli abbonamenti cominciano dal 1° Gennaio e si intendono rinnovati an- che per l’anno successivo, qualora non venga data rinuncia al Redattore entro il mese di Dicembre. 7. Il prezzo d’ abbonamento è di Lire 15 (= 15 Fr.= 12 Mk. = 12 Sh.) da pagarsi antecipatamente.— Si pregano i Signori Associati esteri di effettuare i loro pagamenti con vaglia postali (mandat poste) e non con vaglia cambiarit (chèque). Per abbonamenti, informazioni, accettazione di lavori, cambii ecc., rivolgersi al Redattore prof. A. TROTTER, £. Scuola di Viticoltura e di Enologia, Avellino (Italia). ee 30 40 Oo OO Oe Oe ns Me OO SO OO Oe ee @- PO Oo 0 o ri” Trotter A. e Cecconi G. — Cecidotheca italica ou Collection de Galles ita- liennes, séchées et préparées, y-cumpris les formes nuisibles aux plantes agricoles.— Ont paru jusqu’ ici 20 fasc. — 500 espèces — ; le prix de chaque fasc. est de 10 fr. — En préparation fasc. 219-22°.— Pour achats s’adresser- au Prof. A. TROTTER. / (? “oat here © be er ‘ Li New York Botanical Garden 3 5185 00290 22€ ¢ pere, val Mad *