MÉMO TRES DK LA SOCIÉTÉ GÉOLOGIQI K DE FRANCE NTOLOG I K TOME IX. - FASCICULE I SOMMAIRE MHMOIRK N" il f' ,n R. ZEILLER — Élu«lr sur l.i 11»»*-, i I > d’Héraclée (Asir Mim’urr IM \\l • « Wll MÉMO I K b N° % * f>aul PALLARY. Snr ! - mrtH,,-,,»,™ fluviatiles nt ^anm Hrrs V \\ : >-r^ - TM I * *> ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN MOUILLER D III l:\i.LM SPHENOPHYLLUM EMARGINATUM Bh-n,a U , , PL VI, fig. 3. 1822. — Sphenophyllites emarginatus Brongniart, Cla de 1 I ’ I . \ I comme quelques-uns de ceux du Pas-de-Calais, hms plu** au groupement des feuilles en trois paires, dont un<. < n . i \ . ■ . r . * ■ que les deux autres, celles-ci laissant entre elles I figure 3 de la Planche VI, la tige étant dirigée horizontahimt t l< f 1 antérieures, placées à gauche, sont un peu moins longue** qm* h • passage à la disposition qui a servi de base à lY t.iLli--. m< i . ! i . ■ . / Les échantillons de Sphen. emarginatum que j’ai eu** n ire L »» i été recueillis par M. Ralli à Tchaouch-Agzi, dans les < aîi < ~ m. .1. ~ ' Trizygia; les autres, comme celui de la I à bien peu près, et régulièrement réparties autour de l’axe Quclqucs-un» n trent des feuilles plus profondément échancrées, A lobes i '• supérieur profondément d ont é. sm-lu-miiumi la (ormequadri Idum (1) G. Ralli, loc. cit., p. 224, 225 , 227. (2) G. Ralli, loc. cit., p. 234 - ( 3 ) R. Zeiller, Flore foss. bass. houil. et perni. de Briv. . p. SOCIÉTÉ GÉOLOGIQUE. — PALÉONTOLOGIE TOMI l\ Mfvaiat •• 58 ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN MOUILLER DTIÉRACLÉE Le Sphen. oblongi folium a été trouvé, cl une part de l'étage des Caradons, d'autre part à Seefedler. à Coslou sur les anciens terris SPHENOPHYLLUM MAJUS Bronn. Pl. VI, fig. 8. 1828. — Rotularia major Bronn, in BischofF, Kiyplog. Gewtichse, p. 89, i 3 i ; pl. XIII, fig. 2 a, b. 1 835 . — Sphenophyllum majus Bronn, Leth. geogn., \ , p. 32 , pl. VIII, fig. 9 a, b. — Zeiller, Flore foss . bass . liouiller de Valenciennes, p. 4 2 °, pl. LXIV, fig. 1, 2. Outre les formes à grandes feuilles bilobées, comme celles de la figure 8, Planche VI, qui sont les plus fréquentes, le Sphen . majus s’est montré parfois dans la région d’Héraclée, notamment à Cavedjoglou, représenté par des formes à feuilles un peu plus petites, de 12 millimètres seulement de longueur, presque entières ou du moins à peine émarginées, mais qui se relient au type normal par des passages graduels et ne peuvent en être séparées. Le Sphen. majus a été trouvé par M. Ralli à Coslou sur les anciens terris de l’étage des Caradons, et à Cave Tarla-Agzi. cljoglou. Schlehan en a mentionné la présence à ÉQUISÉTINÉES Genre ASTEROCALAMITES Sc Il IM PE R. ASTEROCALAMITES SCROBICULATUS Schlothe.m (sp.). Pl- V, «g. .. ■8-8. _ Aslerocalamites scrobiculatus Zeiller ’ Exil’ Cartl' 6 p”’ ^ P ‘ IV > 1 î P< V, fig. ■ ’ Jsxpl. Carte geol. Fr., IV. pl. CLIX, 11g. 2; £ lois dichotomes, que reproduïla^me “eT Phncl ^ Vméaires P lus 'e«rs cu/atus est représenté dans les récoltes de M 1 Id “? he VJ Asterocalamües scrobi- b.en caractérisés, ainsi que par des tronçons de t' ' P3r des fra gments de feuilles ■ncomplcls et imparfaitement conservés ma ‘ 8 Ie ph,s auvent les figures 4 et 5 de la planche I de la /J r d Cntre eux Présentent l’aspect lations de racines garnies elles-même Tl * ^ à leur, ar icu- rad, I Celles l § ’ SlU t0Ute leur longueur, de nombreuses bes échantillons d 'Aster, srr,,/,; . , localités suivantes • Aladia A cu ^us qu e j’ai reçus de M Ralli v ; couche Vli M il , ' adj a ’Agzi, couche Daadii • , Ualh Vlennent des - -Mollah; /ongouldak, schistes du Cidm ' *’ C ° UChe Uiza : Coslou, superposes au calcaire carbo- ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN HOUIM.KIl h lli K \« l 1.1 ni fore. M. Ralli a reconnu en outre la présence de cette espè< e à i • h ioucI \ clans les couclies Joakim et Atchma, et aux environ» d’Amaara « Genre CALAMITES Sciii.otiii.iii CALAMITES OSTRAVIENSIS Sri». iS'j’j . Calamites ostraviensis Stur, Culm-Flora , II. p. *07, |» 1 . V I. f'h' *•» Je rapporte à cette espèce quelques fragmenta d< iIwkwkU, è côtes assez larges, régulièrement pourvues «!«■ m. 1 2 3 comme au-dessous de l’articulation, et exactement conforme*, en eomme. figures publiées par Stur. Ces échantillons ont été recueiUis par M. Ralli à TeOenli, dan. la < Nia CALAMITES SUCKOWI B»oxcm»«> ,8,8 _ Calamites Suciomi Bron K niarl, //ni. fn... I, |. < • i. !•> ’* 1 in Zeiller, Plon ». kouilUr io f ••>. H «g. a, 3 ; pl. L\\ flg. * . fJJetu'TS.un -I ■ «T. Je Coslou, et à Armoustchouk (ai. CALAMITES UNDULATUS s,,,-.. 18^6. - Calamites undulatus \ , — - «' . . Sclilehan . CALAMITES CISTI B«ox.îSI»»i , . , ,1,«H ..loi Ml.-- .b Gorfon. •• M. R. Etheridge avait cite, dans k (1) G. Ralli, loc. cit., p. i 65 , p. (2) G. Ralli, loc. cit., p. 19 1 * P- 11 8< ( 3 ) G. Ralli, loc. cit., p. 219. „ ETUDE SUR l* PEORE FOSSII'E DU BASSIN I.OU.LLEB D’HÉRAOLÉE « ams a» « H , M. ÏÏîÆSiïï). POS ' UVe ' ment reconnue par lui dans le faisceau des couches a 4 CALAMITES DUBIUS Artis. , . . , _i ,3 Brongniart, Ilist. végét. foss., I, p. > 3 °' 1825. — Calamites dubius Artis, Anted. Phyt., pi. ® pl. 18, fig. i-3- Brongniart et, plus tard, M. R. Etheridge ont fait figurer dans leurs listes des plantes fossiles de Coslou le Cal. dubius , que j incline pour ma paît ainsi que je l’ai dit ailleurs (2), à regarder comme identique a 1 espece piececen e. CALAMITES RAMOSUS Artis. .825. - Calamites ramosus Artis, Anted. Phyt, pl 2. - Z, ailler, Flore foss. hass. houille,- de Valen- ciennes, p. 345, pl. LV, 11g. 3 ; pl. LA I, lig. 3. Un échantillon bien caractérisé de cette espèce, avec deux larges cicatrices raméalcs, a été recueilli par M. Ralli dans le faisceau des couches de Coslou. CALAMITES RAMIFER Stur. 1877. — Calamites ramifer Stur, Culm-Flora, II, p. 188; p. 192, fig. 18 ; pl. III, fig. 3, 4 ; pl. IV, fig. 2, 3 (an fig. 4 ?). Les fragments clc tiges que je rapporte au Cal. ramifer présentent, avec leurs cotes assez étroites, à mamelons à peine visibles, tous les caractères indi- qués par Stur, et l'un d’entre eux montre à une de ses articulations une assez forte cicatrice raméale, bien semblable à celles du grand échantillon représenté à la p. 192 de la Culm-Flora. Ces échantillons proviennent de la couche Ali-Mollah, à Coslou. Peut-être faut-il également rapporter au Cal. ramifer un autre fragment de tige, fort incomplet, à côtes seulement un peu plus larges, recueilli par M. Ralli à Aladja- Agzi dans la couche Daadji. CALAMITES DISTACHYUS Sternberg (sp.). 1825. — Volkmannia distachya Sternberg, Ess. Fl monde m-/,» T f , .877- - Calamites distachyus Stur, Culm-Flora, II, p. ivjtia '' P ‘ XX *’ P ’ XLYI1I > % *■ i833. — Volkmannia arborescens Sternbero- f,, ri innn j a & - ’ TT „ ...I, _ "cJ:z tr Z "‘riTiï ■- «î'vvi'r 8 ' I: Pl ’ VIU ’ % - 3: pl - X 'V; pAv; rr, C " > “° •'“* ,,0 " Vé0 rePréMMée - *“ — <• q- j’.! reçus de (1) O. Ralli, loc. cit,, p. 191. W R - Z *' LLEK ’ KlorC foss - bass - ho >' ip or de Valenciennes, p. 34,, 344 . ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN ROUILLER D RÊIt \< I u M M. Rail i , par d’assez nombreux échantillons consistant en fragments d.- h-.- d. diamètre variable, à entrenœuds plus ou moins longs, parfaitement idn ti«| u - ceux qui ont été figurés par Weiss et par Stur. L'un d eux, 1 1 *< »j > un put ut. -un-ut conservé malheureusement pour être figuré, porte, à quatre artiml.it i> ni" * «.us, , , tives, des épis en mauvais état, mais semblables à la foi*. avec leur eum i p«di« « R et leurs longues bractées, à ceux des échantillons île la Basse-Sil, u.- , ? des échantillons de Swina. Je ne vois d’ailleurs aucune raison pour séparer l'cspr. <• .le .s Bohème, le principal caractère sur lequel Stur s appuie p.uir les - savoir l’absence de feuilles sur les tiges spicifères de la . ! ment contredit par l’une des figures publiées par \Vei>s i : (piant a !.. dit d’âge qui s’opposerait, suivant Stur, à l'identification d « -|.< . . d« ! ments, j’ai déjà fait remarquer ailleurs ( 2 ) qu’il y a, en réalité, un i.m.l * d’espèces communes aux couches de Radnitz et a celles de N liai /I n . t . loin d’indiquer pour les unes un âge nettement postérieur t eelm d. n. l’étude de la flore conduit au contraire à assimiler tout au moins I . /.* I e inférieure de Radnitz à la zone supérieure, ou même à la zone iiio\emtr. d. Schatzlar. Quant au nom spécifique à attribuer à l’espèce dont je \ien* de pail. ; >1 1 évidemment, à l’exemple de Stur, substituer a celui iVarlntn - - «« I plu* ancien, de distachyus, l’identité des deux formes décrit ch par Shinbei paraissant pas discutable. Le Cal. distachyus a été trouvé par M. Hall i clans le faisre.m d< . 2 à \L\ de Goslou ; je crois devoir lui attribuer également qiicl.pu 1 tiges provenant de la couche Kutchuk-Kilits du faisceau vérin d ' CALAMITES SCHUTZEI Su , 1881. — Calamites Schützei Stur, Sitzungsber. I. Akl. H'is s.. I.WMil . , e |»l I. |i £ | . f'ttrfam > Flora , R, p. x 3 1 ; pl. III, lig. • ; pt. IV j .1 IV r i \ ’• Je rapporte à cette espèce, caractérisée notamment par -< - • •« ain. • -i disposées en verticille sur des articulations séparées par un luniibn d’entrenœuds sans rameaux, quelques fragments de tiges. .■ r..tes plu- moins marquées et plus ou moins larges, provenant < I «i fn-< «-au d. - . . . lu - i4 de Coslou. M. Ralli la mentionne également » à L.mdilK pn - •; Vm. tchouk. (i) Weiss, loc. cit., pl. XVI, fïg. i. (a) R. Zeiller, Flore fossile du bassin houillcr de Valencienne-, p. '•< * ( 3 ) G. Ralli,. loc. cit., p. 219. Genre CALAMOPHYLLITES GhWEu.y. CALAMOPHYLLITES VAGINATUS n. sp. Tiges de 3o à 35 milUmèUes de lotgiSnales peu accen- côtes, mais marquée de très fines ci tuées. Entrenœuds longs de 2 A foUaires elliptiques, de 1 mm. 5 environ Articulations marquées d 1 ^ autres par des inter- de largeur sur . millimètre de hauteur, ”^**^^*1 ,5 à ,8 mil- * «. ~ «*" ..... Ic,„. I'.cc •«* — - ...Ire. iueufÂu fier, rie leur longueur, séparée, par .les sinus arionJis. cUle, rtiménlee eireuluire, ou eUipUguee, .le 5 111, mitres de longueur sur 5 à 8 millimètres de hauteur, non contiguës. Le fragment de tige que représente la figure i3 de la Planche \ , tout en se rap- prochant du Calamophyllites varions Sternberg (sp.), me paraît s’en distinguer par scs feuilles très rapprochées, creusées sur leur face ventrale d’une gouttière limitée par deux lignes saillantes, finement striées en long, et soudées entre clics sur le tiers environ de leur longueur. Les cicatrices raméales étant situées au-dessus de la ligne de cicatrices foliaires qui suit l’articulation 7 , on voit que les feuilles sont renversées vers le bas, ce qui est certainement accidentel. L’échantillon ne porte de feuilles qu’à l’articulation la plus basse ; il se compose de deux entrenœuds seulement, dont le plus élevé, long de i5 millimètres, n est représenté que sur sa moitié inférieure. Ce fragment de tige provient du faisceau de Coslou. Genre A.STEROPHYLLITES Brongxiart. ASTEROPHYLLITES EQUISETIFORMIS Schlotheim (sp.). Cas uar mites equisetiformis Schlotheim, Peirefactenkunde , p. 397; Fl. d. Vonvclt , pl I. - Asteropliy llites equisetiformis Brongniart^ Prodr Ü p.' ,5 9 . - Zeillcr, Flore foss. base, houille r de Valenciennes, p. 368 , pl. LV11I, fig. 1-7. Ibdli a ia m illi dansl étage de Coslou plusieurs échantillons de cette espèce, I Z l e „7 a» * °" m , 01 r, T eS ’ 1>lus 011 moins dressées > offrant, en somme, les y , , qu on est habitué à rencontrer chez VAst. equisetiformis; j’avais tout d abord rapporté certains d’entre i va , • . , {, / , ’ 1 entie eux a 1 Ast. ngidus Sternberg (sp.) (i), lequel ( i ) H. Z mille», Sur la flore des dénAfc i n depôts l.ou, Hors d'Asie Mineure (C. R. Ac. Se., CXX, p. ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN IIOUILI EH D lll KACLI I « n’est peut-être, du reste, qu’une forme delVL?/. equisetifhrmis , et certain* autre*. - YAst. longifolius Sternberg (sp.), que M. Ralli a fait, d'après cette indu .0 nm hgu rer dans ses listes (i); mais un examen attentif m'a montré qu’ils ne p«»»i\.tn être séparés les uns des autres et qu’ils devaient être considères ne ppoi. nant tous à un seul et même type spécifique. L'un des mieux caractérise.» «m accompagné d’épis de fructification, dont quelques-uns encore en pl u <• I « i ■ mité des ramules latéraux : les uns ont les bractées très étalées et presque n II. chies en arrière à leur base, offrant un aspect très analogue à celui des épis »! un échantillon fructifié dont j’ai donné la figure dans la Flore fossile du bi Rouiller de Valenciennes; d’autres ont les bractées dresfi troitemeni contre le corps de l’épi, et ressemblent à certains échantillon» ligures p.»r \\ • - comme pouvant appartenir à YAst. rigidus (2) ; mais la comparaison de ui des autres montre que ces différences dépendent simplement du degré »!»• m rité auquel ils étaient parvenus. YiAst. equisetifonnis a été observé, d’une part dans le faisceau «les « ou» lu verticales, dans la couche Bouyouk-Kilits, d’autre part dans le lais» eau de 1 *»*d* » à Kilimli dans la i/f couche, et à Tchatal-Agzi dans la iH". ASTEROPHYLLITES GRANDIS Sti:iimii:h«. p PL V, fig. «4. !8 2 6. — Bechera grandis Sternberg, Ess. Flore monde prim. y I,fa»c. f. |» 1 - »•» i ! xil ï855. — Asterophyllites grandis Geinilz, Verst.d. Steink. in Sachs., p H. pl WH t , ■ 1 Zeiller, Flore foss. hass. /touiller de I imnr . . j*. . pl ! lx «g. 4-7- h'Ast. grandis n’est représenté, parmi les échantillons «lu I. . — d II. » •* >• < que j’ai eus entre les mains, que par de petits les détachés, tels que ceux que reproduit la figure 14 de la Planche V, mais pn -eutant. «•••■mu. I. cette figure, les petites feuilles en crochet presque lililorme- qui 1 '• cette espèce. lia été observé, d’une part dans le faisceau des COUi hes l idel onloti part à Kilimli dans la couche Sinork, à 90 mètres au-dessus de U < !.. I’< Genre ANNULARIA Sti.iimii »>«•. ANNULARIA GALIOIDES Lindu:\ i IL « > i Pl. V, fig. 16, 17. i 83 a, 1891. — Asterophyllites galioides Lindley et Hutton, - Annularia galioides Kidston, Proc. Roy Phys. marnock, Galston and K il" un XXXVII, p. 317 , pl. IL fig. 4). thr Ait* Fdtnh . Les figures 16 et 17 de la Planche \ reproduiront «1* ,IX échantillon» «le celle (1) G. Ralli, loc. çit., p. 191. (2) Weiss, Stemkohlen-Calamarien, I, p. 56 , pl. VII. fig. 1 A. 64 ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN MOUILLER D’HÉRACLÉE espece à laquelle il faut, ainsi que l’a établi M. Kidston, réunir l’Ann, microphylla Sauveur. Le fragment de rameau de la figure 17 marque le passage entre les formes à feuilles extrêmement petites, telles que les montre la figure 16, et les formes à feuilles plus grandes, telles que celles qu’a figurées M. Kidston; M. Ralli a, d'ailleurs, trouvé à Coslou des échantillons à feuilles tout aussi grandes que ces dernières, mais demeurant toujours sensiblement plus petites que celles de Y Ann. radiai a. I j Ann. galioides a été rencontré à divers niveaux dans le faisceau de Coslou, particulièrement dans la 4° et la 12° couche. ANNULARIA RADIATA Bbongniart (sp.). PL Y, fig. i 5 . 182a. — Astcrophyllites radiatiis Brongniart, Clans, vêgét. foss., p. 35 , 89, pi. II, fig. 7 a , b. 1826. — Annulariu radiata Sternberg, L'as. Fl. monde prim. . , I, f’asc. 4 i p. xxxi. — Zeillcr, Flore foss. bass. /touiller de Valenciennes, p. 394, pl. LIX, fig. 8 : pi. LXI, fig. i,a. le représente sur la figure i > de la Planche V un échantillon bien reconnais- sa ^ e < <’Mc espèce, dans le but surtout ass. /touiller • » 1 * °°°> pl. La fig. 5 6 1 armi les échantillons nui ... ’ l u ' m ont été envoyés du bassin d’Héraclée, quelques ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN' BOULIER IVIIÉHACLI I . uns de ceux provenant des anciens terris de l’étage des Caradoni, à Coalou, n'ont offert des empreintes bien nettes d'Ann, sphenophylloidea. M Ralli reconnu la présence de cette espèce à Tchaouch-Ag i dans les | et à Cavedjoglou (i). Genre PHYLLOTHECA Bik.m.m uu . PHYLLOTHECA RALLII /.uni. PI. V, fig. 2 il 12. iSgS. — Phyllotheca Rallii Zeiller, Sur lu fl. des Imuitl. I . - • / j p. ia3o). Tiges principales mesurant de 3 à *> centimètre" .1. 1 i. . ü ' longs de 5 à 7 centimètres. Côtes peu marquées, larges « lt 1 m II m< 1 ne présentant pas de mamelons à leur sommet. Hameau 1 / pu m / sant au nombre de deux , peut-être parfois de trois ou drqu «tu* n lation , alternant d’un nœud à l’autre, dressés / millum-t 1 . elles sur une étendue variable en gaines plus ou mat ns lu* h, s , n .. m. puis étalées dans un plan perpendiculaire à celui du rame m «m d - de lui, à surface marquée de courtes stries fortement ae« eut u-e- fois des nervures parallèles. Feuilles des tige s principales , non vont une gaine de 2 à 5 millimètres de hauteur, séparées le" une*» < 1 < - .mi 1 « - s sinus arrondis; feuilles des rameaux contiguës , formant de*. - .«me- d étroites qu elles appartiennent à des rameaux d ordre | » 1 1 1 - ele\« d< •» niers ramilles soudées seulement sur o mm. 7 » de hauteui Epis de fructification plus ou moins longuement |»« du ell* ** . longs de 2 à 4 centimètres sur 2 à 3 millimètres mi Ni mètre", n ,1 — t ■ 1 •»< articulations des grosses tiges. (1) G. Ralli, loc. cit., p. 233, 235. SOCIÉTÉ GÉOLOGIQUE. — PALÉONTOLOGIE. — TOME IX. — ). mImmm %• n 66 ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN ROUILLER D’HERACI.EE M Ralli a recueilli clans le faisceau des couches de Coslou de très nombreux échantillons de cette plante, qui en montrent toutes les part.es, depu.s les grosses tiges jusqu'aux derniers ramules, en relation directe les unes avec les autres; d était malheureusement impossible de reproduire les pr.nc.paux d entre eux dans toute leur étendue, et j'ai dû me borner à en faire figurer les portions les plus instructives et les mieux conservées, en m’efforçant cependant, dans la mesure du possible, de mettre en évidence la dépendance mutuelle des membres succes- sifs de la plante et de permettre au lecteur d’en suivre les variations d un point à un autre. Les figures 2 à 12 de la Planche V et la description que je viens de donner montrent quon a affaire ici à un type très analogue, comme constitution générale, à Y Ann. radia/a , mais différant des Annularia par la forme et la disposi- tion de ses feuilles, qui, au lieu de se présenter en verticilles étalés tous dans un même plan passant par le rameau et les ramules, se dressent ou s’étalent symé- triquement autour de l’axe qui les porte, mais en formant à leur base, par leur soudure mutuelle, une gaine plus ou moins haute, en forme d’entonnoir plus ou moins ouvert. Les grosses tiges ressemblent beaucoup, sauf que leurs cotes sont moins accentuées et moins larges et sont dépourvues de mamelons, à celles de Y Ann. radiata, c’est-à-dire au Calamites ramosus ; en général, les rameaux de premier ordre, ou les cicatrices rameales qu ils ont laissées, sont disposés par paires à chaque articulation, et alternent de I une à l’autre; mais sur quelques échantillons ces insertions de rameaux paraissent espacées de moins de i8o°, et il semble bien que, comme chez le Cal. ramosus (i), on ait quelquefois trois, peut-être même quatre insertions raméales équidistantes sur une même articulation. La figure 2 de la Planche \ reproduit une portion d’une de ces grosses tiges, avec un rameau laté- ral partant de 1 articulation et portant lui-même deux rameaux opposés garnis de ven,,, c. Je feu. le.; .todemu. ,1c l'insertion ,1e ce rameau on voit s'aVu.hor à issir Mr 4 a “— -*■>*. -i- f °°‘ '° ir ■»>«» «me.- ,1c premier ordre, l'échantillon ,| 0 h, lim.ro " w'!T!! , ‘l kl ™“ | >luS ° U isolés aux articulations mai* I * 1 ^ U ° ( ! lies au ti*es, ces rameaux semblent est fort probable, lorsqu’on n’en vokT.u'un ° P ?° 8é8 K.ac en avant, entre les deux, sans 1 2o° les unes des autres. q Les ligures .>, 7 et 9 montrent les feuilles espacées, au nombre de vinY* aux tiges, formées de * le, a ce qu il semble, soudées si (I) Wkiss, Slcitikohlcn - Calamari sur une lcn ’ D> p. 103-104. ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN IIOUILLER D IILR \(1 1 I «U assez faible hauteur et séparées par des sinus arrondis. Sur les raimniv d<«>ir mu I- - i.m d< situés à gauche de la figure 4 (i)- Quelques échantillons ont présenté des épis de fructification em «u-e n pl .. « constitués comme ceux des Annularia , c’est-à-dire appartenant <>n typt ( staclnjs de Weiss ; le meilleur d’entre eux est représenté mii* la figure m de I Planche Y : outre son association avec de nombreux vertu illes de lemllcs «!.• /’ Rallii, l’axe principal porte, à ses articulations supérieures, dont une - ni. *< trouve représentée sur la figure, des feuilles attachées «pii ne penm th ni p i** de douter de son attribution ; de même, le rameau isolé de droite porte vers son milieu, à la naissance des raniules Icr- tiles, un verticille de feuilles bien reconnaissables. L'un des épis est représenté grossi sur la figure 1 1 A, et 1 on peut voir sur cette figure, au moins à la loupe, la disposition des spo- rangiophores, normaux à l’axe, et dilatés au sommet en un disque pelté bien visible. Le dessin ci-contrc fig. i montre un sporange attaché au bord de la partie élargit* d un j ; de ces sporangiophores, et fait voir la réticulation d«- paroi, formée de cellules à contours légèrement onduleux, » iii et paraissant constituée par la prolongation de I «pulenne du sporangiophore, graduellement modifié. Ces sporange* * quatre pour chaque sporangiophore, deux au-dessus «lit pl m L par Taxe de celui-ci, et deux au-dessous. On peut remarquer la grande ressemblance que présentent ccs i mi ramules fertiles de la figure n avec ceux de I Annulât in mdùUü figurés Weiss ( 2 ). Ainsi, dans toutes ses parties, dans son mode de ramification et de fructification, le type que je viens de décrire présenté <\* * < < * • - ; remarquable affinité, les feuilles seules faisant exception, p.u b par leur forme et par l’absence de nervure médiane bien m.iiqucc I (1) J 'avais indiqué à tort ,rt ( C . R. je. .sv..CX\,p. 19 lo) le» fi uilie» d< » U 1 à celles de Y Ann. galioides, ayant tout oslou, avec scs feuilles soudées en gaine, puis étalées dans leur partie libre tout autour de l’axe qui les porte, vient évidemment se ranger dans le genre P/iyllotheca, avec certaines espèces duquel elle offre d’ailleurs des affinités marquées. Compa- rée au Phyl. australis Brongniart, dontj’ai pu examiner le type au Muséum d'his- toire naturelle de Paris, elle en diffère par ses gaines très évasées, o< o-cnre ; mais dans 1 état actuel olui-ci ayant au contraire des gaines étroitement dressées et appliquées contre la tige; mais dans leur partie libre les feuilles offrent exactement le même aspect, et les verti- cilles du /V////. australis vus à plat ressemblent beaucoup à ceux du Pli///. Hallii. La même ressemblance se retrouve chez le Phyl. ramosa M’Coy, pour les vertieilles vus à plat; il semble de plus que chez celui-ci les rameaux .soient éga- lement, du moins à certaines articulations, disposés par paires alternant d’un nœud A l’autre (i). Parmi les espèces que Schmalhausen a décrites de la Tongouska Inférieure, et qu il a considérées comme jurassiques, mais que je suis porté à regarder comme permiennes^), je mentionnerai le Phyl. stellifera et le Phyl. equisetitoides (3) comme oilrant une ressemblance marquée avec 1 espèce de Goslou, principalement ce dernier, dont il me paraît fort douteux que les gaines couvrent d’abord les entrenœuds sur toute leur hauteur avant de s’étaler, ainsi que l’a admis Schmal- liausen : les figures <|u il en donne semblent bien plutôt indiquer des gaines lar- gement évasées dès leur base, et très analogues à celles du Phyl. Hallii , sauf la longueur plus grande et le nombre plus considérable de leurs feuilles. Les fructi- lications du Phyl. deliquescens des mêmes gisements, la seule espèce du genre «U.".'.!»' S 1 »' C i, lr0 7 ée * rét “ *»«, » «xi vrai, ,ré» différente» eüt su,vre ^ cs variations ollon de la figure 12, Planche V et la norti T f S coussmets foliaires. L’échan- ■l- H,, figure 16 ropiotluisent U^orme’typ^uueH^r 6 ‘‘T 11 * ‘'«o f.if.,,- p.n d t tioites bandes planes faiblement ond V e es P ece > à coussinets séparés Kam hc de la figure «fi! contre iT^sL a f ^ 16 B >' Su '* hl lotion de on xo.t un ou deux coussinets de forme rhoml° C - C ^ e ° miheu dc •échantillon, """" identiques à eeus de l,7rti»7, dÏÏ! * ««■" te, tandis que sur la branche ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN HOIILLIR D IR HAM I I 71 gauche delà bifurcation les coussinets sont plus courts, et marque- d< * nd< - lu. « plus accentuées (fig. 16 A). L’échantillon fig. i3, .3 A, est on quelque sorte intermédiaire entre ces deux formes ; il montre, de plus, le* bande- -rp ,» it i \ < - des coussinets réduites à de simples sillons très étroits, plus leceutm - Mu- les bords latéraux qu’aux extrémités supérieure et inférieure do coussin, t- de sorte que ceux-ci semblent, par endroits, former des lilrs \erti« de- pu ».j continues. Les figures i4 et i5 reproduisent des portions des deux Lut- • >pp. , assez grosse tige bifurquée, large d’au moins io centimètres au-dt — is d. bifurcation, autant qu’on peut en juger en l'absence de se- Lords L.i. i , le haut de la figure 1 5 , les coussinets présentent à peu près I.i Immi- t\j. ? . mais ils sont cependant un peu moins effilés, et offrent une forme mt< nm d entre ceux des deux régions, gauche et droite, de la ligure ib . il- -e n Leni j i la plupart les uns aux autres dans le sens vertical, séparés seulement l.iiei.d. m. t par des sillons assez régulièrement ondulés. Etant de plus grande* dmu n-n. et appartenant sans doute à un tronc ou à un rameau plus âgé que n . figures 12 , i3 et 16 , ils se montrent plus fortement ridés, et les fines p..m tu • tions dont est marquée leur surface se voient plus facilement on peut h - . tinguer, du moins à la loupe, sur quelques points de la figure gio--u- 1 . \ Sur la face opposée (fig. i4, i4 A), les coussinets forment de- file- vertu de- encore plus nettes, étant à peine séparés les uns des autre- mu* mu nu me ld« par une ride transversale un peu plus accentuée que scs voisine- Sm i « 1 l’autre face, les rides de la moitié supérieure du coussinet ravonneut ' n • la cicatrice foliaire, comme sur un échantillon d’Altwasser .• ment de Lepidostrobus, composé d’un axe de 1 millimétré de larg« «n j- bractées disposées en hélice, étalées d’abord presque à angle «Ir« * 1 1 -m • mètres de longueur, puis relevées verticalement en un limbe étroit d« t mètres de longueur; sur chacune d’elles est fixé un sporange de » imlln cin-- d. hauteur, contigu vers le haut à la bractée voisine. La couche dont pio\n >»m nt «• - échantillons n’ayant pas fourni d’autres Lepidodendron . d « -t p«nm- d turer que ce Lepidostrobus appartient au Lep. acummatmn. d e-t m q « même échantillon renferme des LepidophyUum , auxquels m ...rie-p.-i «I fragment de rameau, ce qui prouve que les organes végétatif* d um p •" t v Lycopodinées dont nous avons sous les yeux h‘s organe- fructifi» ■•!« >0 - ■ pas venus jusqu’à nous, ou du moins n'ont pas encore etc rem «»nti« - peut-on, dans ces conditions, rien affirmer quant à rattnlmtion du /. / en question. 72 ÉTUDE SUR LA FLORE 1 FOSSILE DU BASSIN ROUILLER L> HÉRACLÉE Les échantillons de Lep. couches Riza, à Teflenli ; il tal-Déré, près de Coslou, acuminatum que j’ai reçus de M. Ralli viennent des signale en outre la présence de cette espèce à Tcha- dans des schistes superposés au calcaire carbo- nifère (i). LEPIDODENDRON VELTHEIMI Sternberg. ,8*6. — Lepidodendron Velthcimii Sternberg, Ess. Fl monde prim., I, fasc. 4, P- 48, pl. LII, fig. 3. — Zeiller , Flore foss. bass. houiller de Valenciennes , p. 45 1 , pl. LXVII, fig. 2 . Le Lep. Veltheimi n’est représenté, dans les échantillons du bassin d'îléraclée que j’ai eus entre les mains, que par quelques lambeaux d’écorces âgées, à cous- sinets foliaires espacés, séparés par d’assez larges bandes ridées et reliés les uns aux autres par le prolongement de leurs carènes. Ces fragments d'écorces, bien caractérisés malgré leur faible étendue, proviennent de la couche Sinork, près de Kilimli. LEPIDODENDRON ACULEATUM Sternbe SRG. i8ao. — PL VI, fig. 9. lepidodendron aculeatum Sternberg, Ess. Fl. monde prim., I, fasc. i, p. a., a5 ; |,1. VI, lig u ; pl. VIII, fig. 1 B: fasc. 2 . p. 28 , pl. XIV, fig. 1 - 4 . _ Zeiller, l lore foss. bass. houillerde Valenciennes, p. 435 , pl. LXV, fig. 1 --. I étÏÏ‘,Ic C C«ï™, r le» type on a réellement affaire. fgure, et 1 on reconnaît à quel Le Lep. aculeatum s’est montré n • à Zongouldak et à Coslou. M Rail; r " lveaux dans le faisceau de Coslou, des couches verticales, dans la couche Rn,? ° en outre dans le faisceau que .Brongniart a signale à Coslou sous le non ^ C ° St P robablen »ent lui nommée par Sternberg paraissant représenter s ° i Caudatum > la forme ainsi aculeatum. «présenter snnplement une écorce Agée , 1 e lep (')G. R»lu, / oc . c «/., p . I97i , 98 (a ) G Ral “> loc. ait., p. ï 99 . ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN ROUILLER D HLItALI 1.1 7. LEPIDODENDRON OBOVATUM Stehxiieiu;. PL YI, 6g. n. 1820. — Lepidodendron obovatum Sternberg, Ess. Fl. monde prim .. I, f.« *. < . i. p i . , j,| \ | i pi. VIII, fîg. 1 A. — Zciller, Flore fois /> humtlrr Je I . ciennes , p. 44 2 j pl. LXVI, «g. .-8. Cette espèce a été, comme la précédente, trouvée* à divers m\r.-m\ dm*. Létage de Coslou, en échantillons nettement caractérise*,; |.i fj-me 11 d< I Planche VI en reproduit un, à coussinets de petites dimenm .ns. r\.n i< mn • semblable aux petites formes de l’espèce, correspondant .1 d» -s r.mn < - ou de faible diamètre, qu’on rencontre souvent dans h* bassin de Y.dem . • . - Le Lep. obovatum s’est montré à Coslou et nZongouldnk. abondant ;■ ■ toit de la couche 7 è, dans cette dernière localité 1 1. Je l ai vu ( g.ilrim ut s couches Rutchuk-Rilits et Bouyouk-Rilits dans le faisceau < 1 * •** * um lu s ,.1 ticales. LEPIDODENDRON DICHOTOMUM Sti hnhi iu. 1820. — Lepidodendron dichotomum Sternberg, Ess. Fl. monde prim I. f.i*« • t ; I II II, fasc. 7-8, p. 177, pl. LX VIII. Ii^. 1 . / -ill ' . / ! ■■ l houillcr de Valenciennes, p. 446, pl. LX VII, fife 1. Le Lep. dichotomum est représenté, dans la série des récoltes d. M I; Il quelques lambeaux d’écorces, bien reconnaissables à la forme ili«»ml.«>id lière de leurs cicatrices comme de leurs coussinets foliaires. (•-..! ' viennent de la 1 4 e couche du faisceau de Coslou, à Zongnuldak • LEPIDODENDRON JARACZEWSKII Ziai.u > Pl. YI, fig. 10. 1886. — Lepidodendron Jàraczewskii Zeillcr, Flore foss. // Flore f oss . bass.houiller de Valenciennes, p‘f 464, pi- LXIX, (ig. 2,3 ; pl. LXX, fig. ■ . à c-Ptte esDèce sont exactement semblables ù Les échantdlons que je îapi bassin de Valenciennes ; mais il l’un de ceux que j ai figurés (pl. L-MA, n g. o/ n’ a nas été trouvé avec eux de rameaux ieuilles. , Hs viennent de la couche Bouyouk-Ivilits, du faisceau vertical de Coslou. Genre LEPIDOPHLOIOS Sternberc. LEPIDOPHLOIOS LARICINUS Sternberg. ,8,0. _ Lepidodendron laricinum Sternberg, Ess. Fl. inonde prim., I, fasc. I, p. 23 , 25 , pl. XI, (ig. 2-4. 1816. - Lepidofloyos laricinum Sternberg, ibid., 1, fasc. p. xm. — Zeillcr, Flore foss. base. I touiller de Valenciennes , p. 47 1 » pl- LXXII, (ig. i-3. .le n’ai pas vu d’échantillons de cette espèce, mais M. Hall i en a reconnu la présence dans le faisceau des couches de Coslou (i), où Drongniart 1 avait, du reste, déjà mentionnée. Genre LYCOPODITES Brongniaht. LYCOPODITES GARBONAGEUS O. Feistmantel. 1875. — Lycopodites carbonaccus O. Feistmantel, Palæontogr XXIII, pl. XXX, (ig. i, a ; p. 1 (Erk. d. laf.). — Zeiller, Flore foss. bass. houiller de Valenciennes , P- 49 ^ pl. LXXIV, (ig. 1. Je rapporte au Lycop. carbonaccus quelques ramilles feuilles, exactement sem- blables à ceux que j’ai figurés sous ce nom du bassin de Valenciennes, mais sans pouvoir affirmer qu’ils ne proviennent pas du Bothrodendron punctatum L. et 11., qu .1 serait naturel de rencontrer à Coslou, ou même peut-être de quelque Lepi- dodendron. Ils ont été trouvés par M. Halli dans le faisceau de Coslou. uenre LEPIDOSTROBUS Brongniaht. J ai mentionné plus haut un fragment de Lepidostrobus associé au Lepidoden- dron acununaturn dans les échantillons dp TVn,;. 1 • . I ■animons île leflenh, et sur lequel il est inutile de . P- > 9 '. (i) G. Halli, loc. cit. — ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN ROUILLER D’IIE RACLEE 7 , revenir. En dehors de lui, je n’ai observé qu’un autre spécimen de cône* de L t j n- dodencLron , que je signale ci-dessous. LEPIDOSTROBUS GEINITZI Schimper. i 855 . — Lepidostrobus variabilis Geinitz (non Lindley et Hutton), Verst. d Steinl n Sa ht j . pE II, fig. i, 3, 4 . 1870. — Lepidostrobus Geinitzi Schimper, Trait, de pal. vég., II, p. Ga, pi. LXI, G (an fig - Je rapporte au Lepidostrobus Geinitzi un fragment d'un cùnc d.- 17 milli- mètres de largeur, à axe épais de i3 millimètres, à bractées d almrd rt.iln s même légèrement réfléchies vers le bas sur 1 centimètre de longueur, puis 1 « ! « vées verticalement en un limbe assez large. Ce fragment de rutie mesure - « «*nt mètres de longueur, mais ne montre ni sa base ni son sommet Il a été recueilli par M. Ralli dans le faisceau de Coslou. Genre LEPIDOPHYLLUM Brongniaih LEPIDOPHYLLUM LANGEOLATUM Lindi i y et Ht ti n Fig. 11, supra , p. 5 o. i83i. — Lepidophyllum lanceolatum Lindley et Hutton, Foss. Fl. (Ir. Itrit., I, pi. 7 . I*.; .. , /■ Flore foss. bass. /touiller de Valencienne •, j. 101, pi I.WVII fig. 7 . 8. J’ai reproduit plus haut le dessin d’un échantillon appartenant au l.'pobj lanceolatum , et rapporté de Coslou par l’amiral Spratt. M. Ralli .1 reeiinlh d. son côté un certain nombre de bractées de cette espèce, de largeur 'md.L depuis 6 mm. 5 jusqu’à io millimètres, les plus grandes se rapprm haut - peu du Lepidopli. majus Brongniart, mais se rattachant aux Lû mes pins j». t t< par de nombreux intermédiaires. Ces échantillons proviennent, les uns du faisceau des couche* de < d’autres de la couche Bouyouk-Rilits dans le faisceau des couches vertu d< - • * les autres des couches Riza, à Teflenli, dans l'étage d Madja- \g/i. Ce- • • ! 1 * > s indiqueraient donc la présence, dans la flore du Culm. < ! si c’est bien à lui, comme tout le donne à penser, que « orrespondent les Lêptdo- phyllum . Genre SIGILLARIA Bronc.niart. SIGILLARIA ELONGATA Brom;mart. 1824. — Sigillaria elongata Brongniart, Ann. 8C . nat , IV, p 13, pl II ! p. 4 7 3 , pl. i45 ; pt. 146, «g. a. — Zcillcr. Flore foss. knss. komtUeré* Valenciennes, p. 545 , pl. LXXXI, fig. 1-9 Le Sig. elongata est représenté à Coslou par des échantillon* minor , d’ordinaire assez mal conservés, mais suffisamment bien de la forme caractérisé* 76 ÉXUDE sur la flore fossile du bassin MOUILLER D'HÉRACLÉE néanmoins pour que leur attribution ne puisse laisser place au doute. Ils viennent du faisceau de Coslou, les uns de Coslou même, les autres de la 5° couche à Zongouldak. SIGILLARIA EUXINA n. sp. PI. VI, fig. 23. Côtes légèrement bombées, larges de 3 à 4 millimètres, séparées par des sillons plus ou moins ondules. Cicatrices foliaires assez espacées sur une meme file , distantes de 17 à 20 millimètres, occupant toute la largeur des côtes, hautes de 2 millimètres à 2 mm. 5, larges de 3 mm. 5 à 4 millimètres, en forme d' c.ragone surbaissé , à angles latéraux saillants, à côté inférieur arrondi, convexe vers le bas, à côté supérieur remplacé par un sinus prononcé en forme de v; munies en dedans, au-dessus de leur milieu, de trois cicatricules, la médiane ponctiforme, les deux latérales ovales-allongées, parallèles ou convergeant légèrement vers le haut. Surface /tes côtes marquée , entre les cicatrices, de fines rides longitudinales //exueuses irrégulièrement anastomosées et, entre ces rides sivenient fines. , de ponctuations excès- 1 m Ue , C8, w CC ’ l ' 0|,ri> ‘' Hent 1 ée l )ar ,c 8Cul échantillon que reproduit la figure *3 de les lr t es et IVsn, "‘‘‘'"T ,° ‘ lu Sf ? as f >era Goldenberg (,) par les ondulations de *2 espacement de scs cicatrices foliaires ; mais elle ne présente nas les aspérités signalées par Goldenberg et d’où il a tiré rn ,, ^ ^ 1 n a tue ce nom soecilioue ■ nllr» #»n vers le lias, et profonde, ne^ surbaissées, arrondies étant beaucoup plus accentuée qu elle ne l’est ché ^ échllncrure d 8 enre ‘ A cet égard elie rappelle a fLg ( ^ 8 autres ® 8 1 * avec ce caractère encore plus prononcé. • eticulata Lesquereux ( 2 ), mais cette échancrure, une très petitecL^tiT' i" d ‘ SUn ? ue à la loupe, au milieu de ment à la ligule. ' U 1 ponctiforme qui correspond évidem- Coslou sur le bord de l'a Mei^Noirc "a ét" 'T" ^ d ® la situation ‘les mines de ‘les couches verticales, dans la couôm BouyoT^ir M ’ ^ ' C foi8C0aU SIGILLARIA SCHLOthkimi Brongniart. V I, fig. 22 . % '“™ j £=: sss?» - ► -■ -, «, ; " es ““ * co8iou ' y • t i. * ; _ - -vX\ III, fig. 2 g * ^liller, Flore fossile du ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN HOUILLE H DIII.HACI I I été retrouvé par M. Ralli en échantillons bien caractérisés, dont l un de- m. il- leurs est en partie reproduit sur la figure 22 de la Planche VI; l.i , omp.u.u- son de cette figure avec la figure 18 représentant le Sig. scuUllata mo caractères distinctifs indiqués par Brongniart, et consistant notamiin nt m . que le Sig. Schlotheimi a les cicatrices plus régulièrement hexagonale- j,|„- échancrées sur leur bord supérieur, dépourvues d'are transversal .m-des-us d’elles, et les côtes marquées de rides beaucoup plus fines Cette espèce a été rencontrée par M. Ralli dans h* faisceau des , ou. h. *. <’ Coslou, notamment dans la 9 e couche, et à Zongouldak dan- la 1 , « «nu l»«- d 1 même faisceau. SIGILLARIA SCUTELLATA Biio\«.waih . PL VI, fig. 18. 1822. — Sigillaria scutellcita Brongniart, Class. végét. foss , p. a2.89.pl. I. 1., , /h I, p. 455 , pl. i 5 o, lig. a. 3 : pl. 16J. li^ i /.« «II. r A/. bass. ho ni lier de Valenciennes , p. pl. I. XXXII. Le Sig. scutellata s’est montré à Coslou, comme ailleurs. a\e« des , a, , , foliaires de forme assez variable, à angles latéraux tantôt bien accentues. . . u , sur la figure 18 de la Planche VI, tantôt presque effacés, ces van. liions < pi.. dm sant souvent sur un seul et même échantillon d’une région à I autre J« pr< 1 que ce doit être une de ces formes à cicatrices presque ovales que Bro eue en vue lorsqu’il a signalé à Coslou le Sig. Candollei . qui parait *pp ' en propre à la flore stéphanienne, et qui est, au surplus, lie- m du s scutellata. • Ce dernier a été rencontré par M. Ralli dans le faisceau de Cos|..u , . niveaux, notamment dans la 5 e et la 12 e couche à Zongouldak SIGILLARIA TESSELLATA Bhmn.mvi . 1828 — Sigillaria tessellata Brongniart, Prodr p. 6 : > : Itist. vêget />> ■ I p ■ j — Zeiller, Flore foss. bass. houillrr de Va'na nnn< «.p •*«i pi I \ \ \ ’« fig. 1-9; pl. LXXXVI, lig. 1-6. Cette espèce ne s’est pas montrée jusqu'à présent dans l< lai-* < m < qui correspond, semble-t-il, à un niveau inférieur à relui où app.11 u-s, • . - premiers représentants ; mais M. Ralli en a recueilli un petit * « liantill«>u i' samment bien caractérisé sur les anciens terris d(* l'étage de- C.u-adoiis < Il est en outre plus que problable que c'est le Sig. tessellata que s, | ' signalé à Tarla-Agzi sous le nom de « Sig. alcoolat a ». le N/g I ; gniart n’étant qu’une de ses nombreuses formes. 78 liTUDE SUR' LA FLORE fossile du bassin mouiller d héraclée i 836. SIGILLARIA DAVREUXI Brongniart. PL VI, fig- ai. . , vé „ét. foss., I, p. 464, pL >48. - Zoillcr, Flore SigiUaria Davreux» Brongn.art, Valenciennes> p . 569 , pI . LXXXVI, fig. 7 -.o. L’échantillon dont une petite portion est reproduite sur la figure 2, de là Planche VI est exactement conforme à quelques-uns de ceux que J a. hgu.es du bassin de Valenciennes et que j’ai montré devoir être rapportes au Sig. Davreuxi de Brongniart, malgré l’absence apparente, sur la figure type, des plis transver- saux qui surmontent les cicatrices foliaires. Cet échantillon, qui établit la présence de cette espèce dans le faisceau de Coslou, a été recueilli par M. Ralli dans la 4 e couche à Zongouldak. SIGILLARIA BOBLAYI Brongniart. x 836 . — SigiUaria Roblayi Brongniurt, flist. végét. foss., I, p. 446, pl. 1 54- — Zeillcr, Flore foss. bass. houiller de Valenciennes, p. 572 , pl. LXXXIII, lig. i-3. Bien que les échantillons que j’ai eus entre les mains soient assez imparfaite- ment conservés, ils m’ont paru cependant assez bien caractérisés pour me per- mettre d'affirmer la présence de cette espèce à Coslou; ils proviennent du faisceau des couches 2 à il\. Pl. VI, fig. 19. ■ 8,4. - SigiUaria ma m illaris Brongniart, Ann. sc. nat., IV, p. 33, pl. II, fig. 5 ; Hist. végét. foss.. p. » >i, pl. 149 , lig. i (an pl. i63, fig. i ?). — Zeiller, Flore foss. bas .< houiller de Valenciennes, p. 577 , pl. LXXXVII, fig. 5-io. maifcsfement 9 „fr y V une forme tout en se rattachan du type habituel par^a^noindre^aîllie^Ie's^s'^n^in^o^ tdlon, les (îles de cicatrices s’inlléchisscn^foT 8 ' ^ U ' le . partie du même échan hères, peut-être par suite de l’intercalation F T dev,ennent très ,rré S u du voisinage de l’insertion d’épis de fructification 0016 P *' peUt ' ètre par suit< de Coslou. ma ' nd,ans n 6te trouvé à divers niveaux dans le faisceau des couche* — — — — ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN ROUILLER D IIERACU I SIGILLARIA GERMANIGA Weiss. Pl. VI, fig. i 7 . 1887. — Sigillaria germanica Weiss, Die Sigillarien d. preuss. Steiniohl., I Abhandl. I /„. desanst., VII, p. 264, pl. XI, üg. 5--5g). L’échantillon en partie reproduit sur la figure 17 de la Planche V! npp.irtu ut évidemment au groupe du Sig. mamillaris , et peut-être ne représente- 1- il qu m . forme particulière de celui-ci, à mamelons moins saillants. .1 cieatriees |«.l s , . plus arrondies, occupant presque toute la surface des mamelons, .1 l r\« . ja . , d’une bande étroite à la partie inférieure. Au-dessous de chacun des deux .m-l» > inférieurs de la cicatrice, cette bande est marquée de quelque* rides tr.ms\n-- d« - peu prononcées. Weiss a distingué sous le nom de Sig. gemmait a des . «. dentiques, à mamelons tantôt dépourvus de rides, tantôt légèrement ruh s sm eurs arêtes inférieures (var. Loretzicma , fig. 07), de sorte que l'empreinte de I. figure 17, Planche VI, doit être rapportée à ce Sig. germanica , toutes n s« im s faites sur sa valeur spécifique, laquelle ne pourra être établie que par I ex. mu n de spécimens plus nombreux permettant de se rendre compte des limites de ses variations et de s’assurer s’il passe ou non au Sig. mamillaris . Cet échantillon a été trouvé à Coslou, dans la couche Kulchiik-Kilits. du Lus ceau vertical. SIGILLARIA ELEGANS Biiom.mahi. Pl. VI, fig. 20. 1826. — An Favularia elegans Sternberg, Ess.Fl. monde prim., I, i.<-> . é . p. xn.j , - . j 1 1828. — Sigillaria elegans Brongniart, Prodr., p. 65 ; Hist. vègêt. /»»*.%.. I, p » IH . j.l pl. 1 55 ; pl. i 58 , lig. 4 - — Zcillcr, Flore i tiennes, p. 582, pl. LXXXVII, fig. 1-4. Cette espèce, dont la figure 20, Planche VI, représente un h ’ caractérisé, avait été indiquée à Coslou par M. Etheridge sous le muu de hexagona. Elle a été retrouvée par M. Ralli à divers ni\c aux d.n - I • 1 de Coslou, notamment dans la 1 4 e couche à Zongouldak, et dans la <«>m lu* 1 • youk-Ivilits du faisceau vertical de Coslou. Genre STIGMARIA Bronumart. STIGMARIA FIGOIDES Stbrmierc (sp. 1820. — Variolaria ficoides Sternberg, Ess. Fl. monde prim.. I. t.«»c i . j» - p! . \II. *». 1822. — Stigmaria ficoides Brongniart, Class. végét. foss.. p. 28, 8 <>. pl. I, lig ?• / ' ‘ • : • 1 bass. houiller de Valenciennes , p.611. pl. XCI. lu « a. Le Stigmaria ficoides, qui représente l’appareil souterrain, r»« nu - • u ib 80 ÉTUDE sur LA flore fossile du bassin mouiller d-héraclée de d i w r ^nidodendrons, a été observé assez fréquemment les Similaires et peut-être des Lé P dode ; d 2 t V attendre . Signalé d’al,ord par lans le bassin d’Héraclée, a, ns qu on devait s y J f ai * „ dans le bassin c crac < y a été retrouvé par M. Halli dans le faisceau Hromrniart, puis parM. btnericige, n i des couches 2 à i 4 de Coslou, et en outre à Armoustchouk (1). CORDAÏTÉES Genre CORDAITES Unger. CORDAITES BORASSIFOLIUS Sternberg (sp.). 18^3. — E'iabellaria borassifolia Sternberg, Ess. El. monde pvim ., I, fasc. 2, p. 3i, 36, pl. WIIIj fasc. 4, p. xxxiv. i85o. — Cordaites borassifolia Unger, Gen. et sp. pl. foss., p. 277. — Zeillcr, Flore foss. bass. houiller de Valenciennes , p. 625, pl. XCII, fig. 1-6. Cette espèce, répandue dans la zone supérieure du bassin de Valenciennes, ne parait pas représentée dans l'étage de Coslou, mais elle a été rencontrée par M. Halli dans l'étage des Caradons, sur les anciens terris au voisinage de Coslou (2). CORDAITES PRINCIPALIS Germar (sp.). jHJH — Flabelluria priori palis Germar, Verst. d.Steink. v. JVettin u. Lôbejün, p. 55, pl. XXIII. i 855. — Cordaites principalis Geinitz, Verst. d. Steink. in Sachs., p. 41, pl. XXI, fig. 1, 2. — Zeillcr, Elorc foss. bass. houiller de Valenciennes, p. 629, pl. XCIII, lig. 3; pl. XCIV, fig. I. Je rapporte au Cor d. principalis d'assez nombreux fragments de feuilles de Cordaites, caractérisés par l'espacement assez irrégulier des nervures fortes, coin- I (liant cntit t ll< s d( une a cinq nervures fines, et tout à fait semblables aux échantillons du bassin de Valenciennes que j'ai classés sous ce même nom. Les uns viennent du faisceau des couches de Coslou, un autre de la couche rrïirn t t “■»**• «• mm : k. .««. de, 1 de 1 «*«• Caradons, aux environ, de Coslou Genre DORYGORDAITES Grand Lury. DORYGORDAITES PALMÆFORMIS Gœppbpt ( S p.). I 85 î. _ Naggerathia palmteformis Gœppert, p oss F , . ... lig ,-3 Vehersgangsgeb., p. 216, pl. XV: pl. XVI, 1877. — norycordaites palmæformis Grând’Éurv Fl , 7 fig. ,; Vl v'e carb. du dép. de la Loire, p. 214, pl. XVIII, p. 632, pl XCIIi°fi F ^° Ve f oss ' ! >ass houiller de Valenciennes. WG- «m, .loc. ci ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN MOUILLER D III RACI.LI M v lire s fines, serrées, et toutes égales, a été trouvé à divers niveaux dans le tu, ceau des couches de Coslou. M. Ralli le signale en particulier comme abondant au toit de la couche 7 0 b , à Zongouldak (1). GRAINES DE GYMNOSPERMES Les graines fossiles, assez rares en général dans le Westphalicn et surtmit dans les couches inférieures de ce terrain, sont particulièrement rare*» . <:,,s|, M i.et il ne s’est trouvé jusqu’à présent, dans les récoltes de M. Ralli, aucun -, n tant du genre Trigonocarpus , qu’on aurait pu s’attendre à y rencontrer; les -, il. - graines que j’aie observées sont les suivantes, appartenant suivant toute vr.usrm blance à des Gordaï tées. Cette rareté extrême des graines de Gymnospermes dans le bassin ,1 II, 1 clée, où l’on rencontre en grande abondance, suivant les niveaux, de- S/>h< nopteris du groupe du Sph. Hœninghausi, des Alethoptcris, des An-mpt, / 1\ et ,|« - Odontopteris, c’est-à-dire des frondes de Lyginodendrées et de Médullosècs. est assez intéressante à constater, en ce qu’elle paraît peu compatible a\ee I .itinl.ii tion aux Gymnospermes de ces types encore problématiques. Il semble, en ellet. que, si l’on avait réellement affaire là à des Gymnospermes, les graines de\ r uent se montrer avec un peu plus de fréquence. Genre CORDAICARPUS Geimt/ CORDAIGARPUS CONGRUENS Gham» Li n\ 1877. — Cordaicarpus congruens Grand’Eury, Flore carh. du cttt h du 1866. — Cardiocarpon fluitans Dawson, Quart. Journ . XXII, j». i6>. pi. XII. I, k * 1871. — Samaropsis fluitans, Weiss, Foss. Fl. d. jiingst. Steinkohl. p. • pl. XXIII. l't » • — Z eiller, Flore foss. bass. houiller de Valmncnnr* j- | i X « I \ J . Une graine de cette espèce, large de 3 millimètres, et bordée «I une .nie mem braneuse élargie x r ers le haut, s’est trouvée associée au Nevropieriê rwùu 1 au Linopteris obliqua , sur une plaque de schiste recueillie par M. R-dli Seefedler. (1) G. Ralli, loc. cit., p. 208. SOCIÉTÉ GÉOLOGIQUE. — PALÉONTOLOGIE. — TOME IX. — i. 82 ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN HOUILLER D’H ÉR ALLÉE Kl 2SUMÉ ET CONCLUSIONS GÉOLOGIQUES j’ai, dans les pages qui précèdent, décrit ou mentionné 122 espèces, en lais- sant de côté le Mariopteris Dernoncourti, dont la présence n est pas assez sûre- ment établie pour qu’il y ait lieu de le faire entrer en ligne de compte. Sur ce chiffre, 1 1 espèces étaient nouvelles : Sphenopteris [Discopteris) Rallii, Sphen. (Kidstonia) heracleensis, Sphen. Limai , Sphen. bithynica , Pecoptcris Armasi, Alethopteris / ton tira , Linopteris elongata, Sphenophyllum Sewardi , Calant o- phyllites vagi na tus , Phyllotheca Rallii, Sigillaria euxina ; la plus intéressante d'entre elles et la mieux représentée est assurément le Phyllotheca Rallii , qui, en même temps qu elle est la plus ancienne de ce genre et la première qui ait été signalée au milieu d’une flore houillère de type normal, montre que les Phyl- lotheca, ou du moins certains d'entre eux, étaient étroitement apparentés aux Annularia. Le Pec. Armasi oflre aussi un réel intérêt, en ce qu’il semble établir un passage des Pecoptcris vrais aux Galliptcridium , à ce point qu’on serait tenté même de voir en lui la souche de ces derniers. J’ai reconnu en outre trois types génériques nouveaux de fructifications: d une part, Kidstonia , fondé sur le Sphen. heracleensis , et dont les sporanges rappellent ceux des Osmondées; d’autre part, Pot on ica (t ! tint hiothcca, d attribution encore incertaine, mais que j’incline à regarder comme devant probablement appartenir aux Filicinées. pliant aux 1 oq espèces déjà observées ailleurs, elles se répartissent en trois groupes correspondant aux trois étages que M. Ralli a désignés sous les noms 7 ,y° >/ t at ummofum qui n’a été observé que dans deux localités de la Basse-Silésie, ne pouvant entrei en balance avec les espèces, beaucoup plus communes et plus caractéristiques, que je viens de citer; la seule conclusion qu’il y ait à tirer «h* prcsrncc Teflenli, c'est que, comme les Sphen. hermudensiformis, Sphen. thetunutn Cardiopteris polymorpha , Aster o calamites scrobiculatus , il passe d un étage dans l'autre. Au même niveau appartiennent évidemment les schistes, entremêlés de filets charbonneux, superposés au calcaire carbonifère, où M. Ralli a recueilli, pies d< Kirat et de Tchatal-Déré : Sphenopteris hermudensiformis , Diplotmema dtwe* tam, Pecopteris aspera (?) , Sphenophyllum tenerrimum . Aster 'nealamitt -v biculatus et Lepidodendron acuminatum, ainsi que la couche A I i- .M < » I l.i I » ><(ilnmit< ^ ■.< / >•!■>.< u latus et Calamites ramifer , et en outre deux types spécifiques nouveaux. Sjdie- nopteris bithynica et Sphenophyllum Sewardi. Enfin, la même flore s’est montrée à Kilimli dans les couches IVr»» et Tckk* représentée seulement par trois espèces, Sphen. bermudensiformi . < a / / 1 v polymorpha, et Adiantites oblongifolius, mais celle-ci suffisant pour attestei que ces couches appartiennent bien au même niveau que le^ précédentes, au Uulm supérieur. Au-dessus de la couche Péro et en stratification concordante a\« •« clic, d apr* - les observations de M. Ralli, mais séparée d’elle par une épaisseur tic- ,<> nu très de grès et conglomérats, se trouve une autre couche de charbon. I< *oml»c Sinork, dans laquelle il n’a été possible de récolter qu un très petit mmihI.it <1 • m- preintes, pour la plupart mal conservées, consistant en fragments de pennes Fougères qui me paraissent devoir être rapportées au Martoptrns utu. m i «mul* - détachés d ’ Asterophyllites grandis , et en lambeaux d'écorces de £ i y N V eltheimi. De ces trois espèces, les deux premières appartiennent » la ll**rc westphalienne et n'ont jamais été rencontrées dans le Culm ; la troisième Lut parti* delà flore du Culm, mais elle s’est quelquefois montrée dans h - cou* b* - v. -i phaliennes les plus inférieures, notamment à Annœullin dans le l\i«*-de-< ..d u- I a couche Sinork me paraît donc, d'après ces quelques empreintes, devoir . tu* « **n sidérée comme d'âge westphalien, la puissante masse de grès et < onglom* rat** hui (i) G. Ralli, loc. cit., p. i63. ftTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN ROUILLER D’IIÉRACLÉE assez SÛT, ST <“•», «>• ;=»">“■ ^'7“' ‘ =,,d. k « |,,v« de Kilimli. et le fai.eeau » -» le Culm, et séparé de 1 un comme de 1 autre par des compris entre le précédent et le Culm, et séparé de 1 un comme tic i autre pai t.es failles, lequel parait, d’après sa position même, devoir être, comme Age, inter- médiaire entre eux. ... Ces deux faisceaux possèdent en commun 18 ou 1 9 espèces : Sphenoptens obtusi- loba (sa présence dans le faisceau des Kilits restant un peu douteuse), Sphen. Schillings i, Sp/i. ttœumlcri, Sphen . (. Renaultia ) schatzlarensis, Sphen. bella; Mariopteris acuta, Mar. muricata ; Alethopteris decurrens , Al. lonchitica ; Xevro- pteris gigantea, Ncvr. Schlehani; — Sphenophyllum curia] folium ; — Calamites Suckowi , Cal. dis tac ht/ us ; Asterophyllites equisetiformis ; — Lepidodendron acu- leatum, Lep . obovatum ; Lepidophyllum lanceolatum ; Sigillaria elegans. Le faisceau des Kilits a fourni en outre : Sphenopteris Frenzli , Sphen. (Cr os- sot heca) schatzlarensis , Sphen. ( Renaultia ) Crcpini , Sphen . Laurent i ; Pointa- topteris c*f. élégant if or m is ; Pecopteris plu/n osa , Pec. aspera ; — Lepidodendron lycopodioides ; Sigillaria germon ica ; avec deux types nouveaux, Potoniea adian - tiformis et Sigillaria eu.rina. Dans le faisceau de Coslou ont été récoltés : Sphenopteris Souveuri , Sphen. Ifœninghausi , Sphen. tenel/a, Sphen. Aschenborni, Sphen. Schwcrini, Sphen. kar- t vinensis, Sphen. I ü/lcrsi, Sphen. Sternbergi ; Rhacopteris subpet iolata ; Pointa - topteris furcata ; Pecopteris pennæ for mis ; Alethopteris Davrcu.vi; Lonchopteris eschweileriana ; Nevroplcris heteropliylla ; — Calamites undulatus (P), Cal. Cisti , ( al. ; a/nosus, ( al. Sthiif^ei; Asterophyllites grandis ; Annularia galioides, Ann. kk inta , 1 \a ' 1 ' les caractères delà flore . {Bull. Soc. Géol. Fr., 3 e série, XXII, p.5oo). Wi étude sur la flore fossile du bassin rouiller D'HÉRACLÉE Si i "nt aria fi coides ; elles permettent de rapporter sans hésitation les couches d’Armoustchouk à l’étage de Coslou ; mais, contrairement à l’opinion de M. Ralli i i nc |inc à les paralléliser avec le faisceau des Kilits (i), l’absence dans ce faisceau du Sphen. Vüllersi et surtout du Phyllotheca Rallii, qui semble carac- téristique de la région moyenne du faisceau de Coslou, me porterait à les assi- milcr de préférence à ce dernier. Ouant aux couches ou lambeaux de couches de l’étage des Caradons, la com- paraison de leurs flores respectives conduit à les ranger sur un seul et même hori- zon, les différences qu’on peut observer d’une localité à l’autre ne pouvant être attribuées qu’à la plus ou moins grande richesse des gisements, au plus ou moins de continuité des récoltes qui y ont été faites : c’est ainsi que sur un total de .U) espèces trouvées dans cet étage des Caradons, six seulement semblent manquer sur les terris ou aux affleurements des couches qui le représentent au voisinage de Coslou et qui sont celles que M. Halli, à raison même de leur proximité, a explorées le plus à fond. Voici d’ailleurs la liste de ces espèces, pour chacune des- quelles je rappelle, parleurs initiales, le nom des localités où sa présence a été constatée (2). Sphcnopteris (Crossut heca) Crepini (TI.) ; Sphen. Bronni (C.); Palmatopteris alat'i (C.) : Pecoptcris Miltoni (Tl. Th. S. Cv. A.) ; Pec. oreopteridia (C .),Per. imita iC. Tli.), Pec. Jtwhli (C. Tl. S.), Pec. plumosa (C.), Pec. Pluckeneti (C. Th. S.), Pec. Neicberryi (C.); Ale t hop ter is Scrli (Tl.), Al. Grand in i (C. S.); Odontopteris bru, „m,ca (C.), ()d. Heichiana (C.); Nearopteris Scheuchzeri (C. TI. Th S A ) fr^TI ,H ’^ r . 0pl ' !llln (C ' Th ' Cv ' A )> Hevr. rarinends (C. Th. S. A.), Nevr. tenuifolia ! h - A) : L "yz tx /Ua (CTL S - Cv - A -). Lin. Mü ns t cri (Tl. A.); Cau/o- (c'iVThT £ 1 TlTZtl a Z°t CU i F) Sphenophyllum cuncifoliutn IP ti xi, c / . cuncirouum £. rgmatum (C. Th. S ?. A.) ; Sphen. oblongifolimn (C. S.) (|) Ci. tUui, toc. cil., p. 51 J. ^ : s = Seefod.cr ; c7= ™ = Tchaouch- Iiaru-Agz, ou mine Serkis-Bey). ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN ROUILLER D IIERACLEI .*7 nophyllum cuneifolium, Sphen. emarginatum, Amasra et Tchatal-Agzi *.■ rehaut d’autre part à Lune ou à l’autre des localités précédentes par des espères telles que Pec. Miltoni, Nevr. heterophylla , Nevr. rarinervis, Nevr. tenui folia, Sphe/mph. majiis, Sigillaria tessellata, étayant elles-mêmes en commun entre elle*, certaine*, formes moins fréquentes, Sphenopteris Limai et Linopteris Münsteri. Il est donc impossible d’établir une distinction entre ces diverses localité*, et il n’y a, pour déterminer leur niveau commun, qu’à envisager I ensemble de la flore sans chercher à particulariser. Or cette flore se compose d'un mélange co- dent d’espèces westphaliennes, comme Sphenopteris (Crossothe* a ( 'repin i, P pteris Miltoni , Alethopteris Serli, Nevropteris heterophylla, Vi tenuifolia, Sphé - nophyllum cuneifolium , d’espèces stéphaniennes comme Pevopteris n/mpternlm , Pec, unita, Pec. Pluckeneti , Alethopteris Grand ini , Odontopteris Prit hiana . i au lopteris patria, Ptychopteris macrodiscus, Sphenophyllum < dtlangifdium . U. - ula riastellata, Ann. sphenophylloides , et enfin d’espèces spéciales au \Yc*tphalien supérieur ou tout au moins peu répandues en dehors de cet étage, comme Patma topteris alata , Pec. Rœhli , Pec. Newberryi , Nevropteris Scheuchzrri . Ver/ forint t vis, Linopteris obliqua, Lin. Münsteri, Sphenophyllum emarginatum . Il i » \ a don* pas de doute qu’on ait affaire ici au Westphalien supérieur, et à sa zone la plu* élevée, à raison de la place déjà considérable occupée par les espèces stépba- niennes, Pecopteris et Odontopteris notamment. Les couches des Caradons viennent ainsi se ranger, non sur I horizon de* , h.u bons flénus du Pas-de-Calais comme je l’avais cru tout d’abord i «I âpre* h * espèces, trop peu nombreuses, que j’avais eues entre les mains, mais immédiate ment au-dessus, au niveau des couches de Radstock, en Angleterre. a\e< le* quelles elles ont par leur flore une extrême ressemblance -• ; elle* correspondent en même temps, entre autres niveaux connus, aux couches de (iei*l autei n «I m* le bassin de la Sarre, à la région moyenne du bassin de Zwiekan. aux «■••m h. * .!.• Schwadowitz en Basse-Silésie, à celles de Mazon-Creek aux 1. 1 a t **- 1 m*. Il \ .» p.u conséquent, entre elles et le faisceau de Coslou, une lacune importante cou, * pondant à la plus grande partie du Westphalien moyen et .1 la premn n • . environ du Westphalien supérieur. (1) R. Zeiller, C. R. Acad, sc., CXX, p. ia 3 i. (2) R. Kidston, On the fossil Flora of the Radstock Séries (Trans . /?<-;. / p. 405-409). TABLE ALPHABETIQUE DES GENRES ET DES ESPÈCES DÉCRITS OU CITÉS ('). Pages. G. Adiautites Adiuntites oblongifoliu» . — Icntiifolius. ^ G. Alethopteris 3g Alclhopleria Davrcuxi 3^ — dccurrciiM — Crandini .... 38 3 • • 80 Odontopleris britannica . . . 4® Odontopteris Münsteri . . . 4® Odontopteris Ueichiana • . . 4* Palmatopteris (Calymmalolheca) alata . j H — rf. eleganlifonnis • • . • • • )f| G. Pecopteris - TOM F. IX. — 5. «ifMomr V »». — 90 ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE DU BASSIN HOUILLER D IIERACLÉE Pages. 3a 35 34 39 34 Pecopteris abbreviata Pecopteris — (Dactylotheca) aspera Pecopteris Davreuxii — dentata. . Grandini *9 Pecopteris (Aslerotheca) Miltoni 3a — (Dicksonitcs ?) Newberryi 37 — (Asterotheca) orcopteridia .... 33 — penmeformis 34 (Dicksonitcs) Pluckoncti 37 (Dactylolhcca) plumosa 34 (Danæitcs?) Rochli 33 Pecopteris Serlii. . 39 Pecopteris (Ptychocarpus) imita 33 G. Phyllotheca 65 Phyllotheca australis 68 — deliquesrens 68 — equisetitoides 68 — Rallii 65 — ramona 68 — Hlcllifcra 68 Pinnulnrin cotumnaris G. Plinthiolhcra .... 69 54 Plinthiolhcra anatolica 5^ G. Potonica .... 5 a Potonica adiantiformis ^ Pseudapecoptcris Newberryi 3 G. Pt vcliontcriM . . 5i 5i 9 6 9 69 16 >7 a 7 Ptyebopteria Ptychoptcris macrodiscus Rachioptcris aspera .... G. Radicitcs Radicitcs columnaria Rena 11 Ilia chærophylloidos — rotundifolia .... Itkacopt'ru ( Sphenopteris ) subpeliolata t*. Rhodca Rhodes filifcra ... 28 — Stachci .... 2 7 — subpetiolata 27 Kotularia cuneifolia 27 — major * * * * 38 — ohlongifolia Sagennrin acuminata. . . ^7 G. Saniaropsis .. 7 ° Sainaropsis fluitans. . . 81 SchDUia 81 Senftenbcrgia clegans 53 G. SigilJaria * a3 Sigillaria a Solaris . 75 _ aleeolata Sigillaria aspera. 8oblayi . Candollei. Davreuxi. ulegans. . 77 77 76 78 77 78 79 Pages. Sigillaria elongata 75 — euxina 76 — germanica 79 Sigillaria hexagona 79 — ( Caulopteris ) macrodiscus , .... 5 i Sigillaria mamillaris 78 — reticulata 76 — Schlothcimi 76 — scutcllata . . . 77 — tcsscllata 77 Sphenophyllites emarginatus 57 G. Sphenophyllum . 55 Sphenophyllum cuncifoliuin 56 — cmarginatum 57 — majus 58 — oblongi folium 57 — Scwardi 55 — tenerrimum 55 G. Sphcnopteris Sphenopteris acuta . — alata Sphcnopteris (Renaullia ?) Aschcnborui . . — Bæumlcri, — (Renaullia) bclla — bcrmudcnsiforniis — bithynica — (Hymcnophyllitcs) Bronni . . . (Crossolhcca) Crcpini — (Renaullia) Crcpini — cristala — dicksonioidcs Sphenopteris dissecta — dis tans Sphenopteris divaricala — Essinghi (Zcilleria) Krcnzli Sphenopteris furcata Sphenopteris (Kidslonia) hcraclccnsis ! . . (Calymniatotheca ?)Hocninghausi. (Discopteris) karwinensis. . . . (Calymmatotheca ?) Larischi. . . Sphenopteris latifolia Sphenopteris (Renaullia ?) Laurenti . . Limai Sphenopteris Newberryi Sphenopteris obtusiloba ......'* pachyrrhachis (Discopteris) Rallii Sauveuri .... (Crossolhcca) schatzlarensis . . (Renaullia) schatzlarensis • Schillingsi .... (Discopteris) Schumanni .... (Renaullia) Schwerini e . (Corynepteris) Sternbergi Sphenopteris stipulala. . 4 3i 28 »4 12 i5 6 a6 a3 13 i5 a5 6 3o 6 12 *4 12 28 21 10 *9 1 1 3i 16 a5 37 5 26 >7 6 i3 15 5 21 16 a 4 16 ÉTUDE SUR LA FLORE FOSSILE Pages. Sphenopteris (Urnatopteris) tenella i 3 — (Discopteris ?) Vüllersi 20 Spirorbis Aramonis 45 Spirorbis carbonarius 45 G. Stigmaria 79 Stigmaria ficoides 79 Trigonocarpus 81 DU BASSIN HOUILLER D'Il K RACLÉ K >JI P«fN. Urnatopteris tenella . il Variolaria ficoides . . . . . 79 Volkmannia arborescens . . .... 60 — distachya 60 Zeilleria Frenzli t* Zygopteris cornuta .... >4 — pinnata iS ER RATA Page 12, ligne 10, au lieu de: Teflenli, lire : Kirenlik. Page 16, ligne 3 i, au lieu de : SPHENOPTERIS (RENAULTIA) LAURENTI, lu, SPHENOPTERI (RENAULTIA?) LAURENTI. Page 70, ligne 32 , au lieu de : Planche Y, lire : Planche VI. Page 76, ligne 9, au lieu de : d’exagone, lire : d'hexagone. ik f\ tîJK >r/jit/ v a il ; j !> J'MjjukkI hjj i - >il ijjiîi » 'ftiMOl-iwi .li ' /J»,| jh.uiu, t f'iqq ■ , ol »„ *j V t - 1 . *ih .|;f .•••Jfiiitj .)by{fjiil'i*37 b> .^-ytuAnnn^ /.jumihi < Jii| î »».q '•.-il . i., t ,.U * • > . 1 ■ i ■ . .• ‘'b J ’i.f' J — '■} ! iiifj 1*Ü ‘ »fij tu > • ■jfc.n* . .'fu^'jiîjidibqfVbij Çpri.j» ir» *»-».«! m V % 1-m, - |l P .. # .,|i, *, / .:u. /- ,4rï»l*tO ■ I* i <• / | -îo?) . iro 1 'i v l »} I — ;*> /.w.'-min )■> ->^ij m • m> u-i . ♦ . » / 'tfofêôD : uoïavJ ‘>}b tynlïl - n > ■ - 1 . 1 **ji .J ■ . .. iilWii V *4i «Uk * i« / ifioiaoL) wfèo*) jI> - /.yii * i • . ij « • ». um.u- n, ( . . I >»|. »V .y/ïoüo:/' •: VoîfeoÜ ■ib'jynjÀ .m. ( m. i un n lm.ii .j j,. . .Ij , ^ UiAV i 'IOf nfiim I I i I. . i It . m yfountri im >; iu».uyii*;qqj; ^l/i if. . > _* i J mui j. lui, h i ( .qq,. .flin*-» ,r> y 1 I c^n 'jl>- uityiaii.l itt.l^PT) *»|< . y*J, f , , ' I ' ' ' 1 m) : noIaoD r»J> . irlïiuo-j uitltoDyb ogulM - — ,-tiinuf|jjfiMlii.; : i^19vji3-i ,7 JLr;>i r>liii i«’ : . • • il **. * • • 1 ' ) 9 . m t . ( Aj « ) o >i i a /•rçW ^ sibnxT^i ^'Uruviiqon-'^ A hoI^m? ) «b >F .Jt. i 4 «: w ; r< q.q^p^i/ i/.i/Tm.! ÉîiîïbBT ühcfuiiiiA ^ ' .liffiijo i *}. «ijoIkoI »• > •! i -rf r AUv l *1 z&?' - .( ,ioiii>> r.iiiJiibff A S„* i,'’ ■ •-■*- *^vV! ^ ^ . Mifoinro' ( 4 ,ih»I : jio' > '*!• | |f \itf > i y ■ a * ISi£' < - * MEMOIRE N° 21 PL A N G II E V Fig. ». — Astorocalamitos scrobiculatus Schlotueim (sj>. Rameau f * * ■ i i 1 1 • — Étage «I Aladja-Agzi Coslou, couche Ali-Mollah. Phyllotlioca Rallii Zeillek. Fig. j. — Portion d’une grouse tig«* portant un rameau latéral, lui-meme ramifié, et un bouquet de racine». — Plage de Coslou : Coslou, 8" couche. Fig. J. — Rameau de premier ordre, portant de» rameaux secondaire», et verticille de feuille», — Étage de Coslou Cosloii , 8'' couche. 1 i. — Verticille» «le feuille» aoudée» à leur hase en gaine infundibuliformc, et ra mules feuille». — Étage de Coslou faisceau «le CohIou. Fi^. ». — Verticille de feuille» appartenant à une grosse tige et rameaux fouillés. — Étage de Coslou : Cos- lou, K 1 ' couche. Fig. 0. — Verticille «le feuille» soudée» à leur base en gaine infiiiidilnililonue. î : i . -l- c ;..^l«.u Co 8*' couche. Fig. — Fig. 8. - Eig. y. — Fig. h». _ Fig. h. - Fig. 1 1 A Eig. la. - g. »/|. Fig. t 5 . - V,., ti, illr de feuille» appartenant à une grosse lige. — Étage de Coslou : Coslou, 8- couche. '" ,H ,llc fcui,,eH appartenant à un rameau. — Étage de Coslou : Coslou, 8" couche Nerh, de feuilles appartenant à une tige, et verticille appartenant à un rainulc de dernier I lage «le Coslou (.oslou, 8" couche. Ram,. au fouillé. — Étage de Coslou : faisceau de Coslou -VT 3 .'L* '"ru"' ,ll! ' ‘ ;p - 8 ''.'•. rrttc,i ' lc « ü ’>“- - Étage de Coslou : Co.lou, 8‘ couche. *-* P» du meme «'chantilloii, grossi a lois. V ° rtlci,IC * dC f, ' Ui " CT T''* 1 " 8 “ ' CUr baSC en > ' ai " 0 in'undibuliformc. - Étage do Co.lou : 8« couche. Calamophyllites vaginatus n. sp. '' "7^ t 'r"\ * l’arlieulalion inferieure — litage de Co.lou lui.ceau «le Co.lou. „ Asterophyllites grandis Stkrhberg (sp ) Ituinule. détaches. - Étage de Coûta, : faisceau de Co.lou,' mais renversées vers le bas. Fig. 16 — Fig. Annularia radiata Bao..o.i»H T ( 5p ) V erlieillos de fouilles k»i»„ 1 r- 1 • LlaRt do Cosl »" •• Coslou, 4« couche. » 'rr •'"-'••(•p). * oi! : &X, r i'&M P *■ { fi il , Mk Mém. Soc. Géol. de France ^KJinoUc 5e 9TÎ,. cit. %ci{(c i paléontologie Mém. N° 21. PI. V Georges CARRÉ et C. NAUD, Éditeurs, Paris. m "W :im m )i/; 11 / I / ü u;>/./ j'i i H ;. ih'UiWoët. f/MiJi ^i 4 qt)/t*fÜ 4 jci /;!//!■ - ■ mI-m. j , ,}jj n .,| i-. i .J> »Hc.iii«»v -, . .. .1 t| , | . ' 1 - •*•&$•# ^ ‘ ji. *l*.’JK»K^d/ Mi-an» • ♦*#>!•«».» ' t ni tiviiii 'i ; l 1* .fAH-j/.iw/.t r*Ti mi/mmoxiüJ muliy/lqouf*Jq2 >:'*!lf»iK*D ,>lilil ’J-.aî/! ’• i Av,. j !•,.!/. |, | • / ' .1 ji/.ixoz:ojiIT aiutéxti^tpm» môll^dcjouofiqg •>l». lil-i»/ > mI »m> » -ihni.j ihT ' -ty.l , 1 i.! ) - 4 ) •..»*! -li, „ . / 4 ', ÿ'4-uj.A>l to h/ ; i:.> rtiuilcrti^auJdo inuity ilqoiif •'!((<■ ‘ ( 'l‘)li ‘il ■m'-', 8ff«,i)i;'l I * ) W-,|, > !.»*( — .fclflw • • » . • Jl . >tiiohnn .iinko. » ^biioIm.-h.! ► * 1< - 1 1 • ,,,*J| lairjloiiourri iimlI^iUjou'ultjri .uol-'ol) il> m; » i on.l *»l «Il .m .( - , . . ç: I i I i /I -/1 11 il>Jiiy] m ! • > : 1 # »:• : > -I» I ■« «««il .//.o:iîl p.u’ir.in muIi'((i«{ouoil«f<2 . -ênoj ^iiij ifr»; .uolfci* ) if « >l> • m < *•>!■ •_ 'J l « - .t • .i)suny.'HAT^'mtJtB 9 Uta& acnbmljobiqoJ > I “ , S»ç»J - >rnàifji£ ; .n «oJ/ufifrïiij^noî al/r I ^ >|. q ». », , • : • >• I m. 1 u «»iS» 4 » * eu iu\. iriaw0Sî)Bij;l, uoibaebàblqoJ »i ‘3 fc orl:njjop • Tii'Wf ,]irf JaiJj^rjo") JJ J » li>l <>n in-iiu »•* I ■> . «««I diamt «Jf'ji'Hii; no l>"[) ■ - n«*l -0 1 «;» > - •!■ ^i.l I ••.«,. I i*î -e *. * | .onauxii itH rnuifivodo aoibnîfbobi(fo.I J i !n X ; .$ : jjoIxiO • »I * • ■ is 1 ; ! I ■ .mo »-» b irt’ • 1 • f -r >«■*’ .(.(jx, th-i-im i».' > matjsaiinuos ao'ibcwbohiqoj , i.lùl — '• - jjo r u 1 <>*'1*1 *ii {y gu ioo'j 1108 ’.*b oi.H >;q uni !• Iio.d >1 ->t,« Jlni.-t' ■•«. >.*. -m . » 1 1 « jll 1 I» ‘ 1 ,1 ►**■«■ | «> "‘I i.\^A-i qluilA b -if .^iiynfloçjwfl-J •> mi> uh *r»-'»»l«| illio -q ,! , - I » r- .«►\iîl Jll» • U- • / ,J\:i/ » jMfcl/ ! Jji V I >f n »»I*«n»»*» Jà^I* I .81,01 1 iimivùfl . « m • 1 1 i » « »*.f ,«u «m «•!- i»-ul|«>*| t <- ? ■ v ■ A-i,| I ».«;JVv Ji •‘i.oijÿ o b ( Jnonisris'i't . ■ « 1 1 1 •'» ru n > I « • • iq, • ■ •, ; *» i\ . T ,<>ioJ s.* tvùecfofi t uuJ^I i > iru «!'•• > 'MH ur î > •’< 1 / 1 * . tixiH -od^iioo JlriufioT i.v»j /.-j»; j I >yl /. !■ - . *j j. T I np»nii«l 1 .1 . 1 ) 811)} ■ si) 8 llloill W'Vj JW .flolli 1 1 1 «;«fl V • •' *m f\ ■ *j-, >8^ // eomennos ftifr.lli jjiR * )iliÀ.*Àuihlu‘A oiI-ji.io-, : i«)l 8 o!> iM ^ ,, •! )|t- té- pfîîîwr . i m/ iv'.ii'oifil; xdfillf>îi;cvfi /iilmo ./lj;l)inoï:rroX |j»)l«i«.' > -J»' I - ! , . I ii‘l f .i a/ryvO'oijH P.hr,Uhnnn\ téi& .uoIeoO *jI* 1 1 «i • > > -■ i 1; I ifo'l 1 , 4 I 0 ' ' K ^ «V V .i »/i/o 4 «.i»iif eerK^oIa . ï .'jilrmoy 9 }; 1 . duldijSo^ijoX 1» « »l ** * »-j« 1 I **üit *H» lfl'*iil)i* 1 ^ * ' Di/.î^,>icoHtl jLxu'Viv.fiCl i;n«iü^i8 *■ j — % »i * "1 )!!( ■ : J .! . I ' I I M > flüS • "■ ) * I • • ■ ■ ,T»l / 1 - .ixnio(lîolflo 8 •iaRlTi^i^ •«l uioô «i 1 ,ÿJnl,||j0^iroN Iiol 1 * I.ri - 1 iit -ni ! *•’ "" 1 " ■ d AI,. Ij-AgU Coslou, couche Ali-Molluh. J-’ig. i A et i II. — Portion» «lu même échantillon, grossie» 2 loi». Splionophyllum tenerrimum Ettixgshause.n. Fig. a. — VerticiUes «le feuille». — Étage d Ala«lja-Agzi : Kirctchlik, couches lladji-Bckir-Ogluti Sphenophyllum emarg-inatum Brongmart. 1 ig. 3 . — Yerlicille de feuille». — Etage de» Caradons : r«:haouch-Agzi, couche v«»rlic.*lo Sphenophyllum oblongifolium Gehmak et K \ri.it *v »p Fig. 4. — Rameau feuille. — Etage des Caradons ; Sccfcdlcr, anciens terri». Fig 5. — Rameau feuille. — Etage de» Caradons : Coslou, anciens terris. Sphenophyllum cuneifolium Stekmh hg sp. . fig. 6 . — Rameaux leuillé». — f.tage île (Coslou : faisceau «le Coslou. I'*K- “• — Rameau leuillé. — Etage «h- Coslou : couche Kutchuk-Kilils. Fig. H. — Rameau feuille. Sphenophyllum majus IJronk. l'Auge des Caradons ; Coslou, anciens terris. Lopidodendron aculeatum Stiîuxuekg. Empreint, d m, fragment d'écorce présentant «les fente» longitudinale» régulière», t.oslou : lai sceau d«* (ioxlou, — Etage de Fig. 10 Fig. Fig. Fig. Eig. Fig. Fig Fig. Fig. Fig. Eig. •'g. fig. 'ig. Pig. xaopidodondron Jaraczowskii Zuillek ■- - *%Z * Lopidodendron obovatum Sternuehg. 11. — Empreinte d un fragment d écorce _ lh„ m , ,1.. ni ... Clag« de Coslou : couche Kutchuk-Kilils Lopidodendron acuminatum Gœppkkt fsp ) 12. — Fragment de rameau, dépouillé vers le haut ,1 , d Alndja-Ag/.i Tclleiili, couches Riz , ' 80,1 eCorc: ° charlnmneu .• I i.. k , ii. — Fragment de rameau, dépouillé ,.iV. , Teflenli, couches Riz,,. ’ 08 0 son ecorce charbonneuse. — Étage d Abdj, Ag/i i l A. — Portion du même échantillon «««. • 1 i «’l 1 3 . — Portions des .1 , ^ ss, c environ 2 fois. , . a ,, Jt*as: süZ " - *— " >“■ q; -ii • g* ossies un pcu moni8 r rn. u 7 U . ^ -tage de Coslou • V 13 - Kr.go.ra. de «... Bi | laria eUX “ a "• “1- ' ’ ' 40 — ktage de Coslou : couche B ouyouk- K jHt s Georges CARRÉ et C. NAUD Editeurs, Paris Mém. Soc. Géol. de France SHiéineize 3e 911. £il. Zci{ùt PALEONTOLOGIE Mém. N° 21. PI VI