MÉMOIRES DE LA SOCIÉTÉ GÉOLOGIQUE DE FRANCE PALÉONTOLOGIE TOME XVII. — FASCICULE 4 Feuilles 19 ù tO ; Pliinches XVU à XIX Mémoiue N® 43 Robert DOUVILLÉ Céphalopodes A u g e n t i n s Pages 1 à 24; planches I à HL PARIS AU SIÈGE DE LA SOCIÉTÉ GÉOLOGIQUE DE FRANCE 28, Rie Serpente, VI lUlO m K MÉMOIlUîS DI! LA SOOIBTÉ GÉOLOGIQUI! DE FRANCE paléontoi^ooie PUBLICATION FONDKE EN 1890 Les mémoires de Paléontologie sont publiés par tomes (format in-quarto raisin), renfer¬ mant environ 1 ( 1(1 pages de texte et envii'on 20 planches hors texte. 11 paraît environ un tome par année. On peut les acquérir par souscription, avant l'apparition du volume complet, aux prix réduits suivants : France. volume annuel 25 fr, J Franco Étranger. — — 28 fr. ) déport- Après rachèvement du volume^ le prix est élev:; à 40 francs (franco) ; une remise de 20 ‘’/o est accordée aux Membres de la Société. Dès son apparition, chaque Mémoire est mis en vente séparément aux prix indiqués ci- dessous. l'iie remise de 20 est consentie aux Membres de la Société. LISTE DES MÉMOIRES PARUS Mènmires Francs I . — .\ll)crt (iAi Ditr, ï^e Drpopiihèque^ 1 pl., 11 p. 3 » '1. — J. Si-CM-is, (lontnbulioiîs à Vétude des Céphalopodes du Crétacé supérieur de P'rance (en cours), 0 pL, 22 p. 10 » 3. — (di. Les aufmaux pliocènes du Roussillon^ 17 pb, 198 p. GO » i. — lî. XicKLKs, Contributions à la Paléontologie du Sud-Est de VEspagne ^^en cours). D® livraison seulement : pl. I-IV, p. i-30 (en vente). •>. (i. de S.vpOHTA, Le Nelumbiiim provinciale des lignites crétacés de Fuvcaii en /Voee/ïce,.3 pl., lOp. 5 » t». Henri DouvirxÉ, htudes sur les Rudistes; Révision des principales espèces d'Ilippnrites, 3i pl.. 236 p. 70 » /. \I, Im.ot, Description de deux Oiseaux nouveaux du Gypse parisien. p. 3 » -^Iht'rt (tauduv, Quelques remarques sur les Mastodontes à propos de Vani- mat du Chérichira^ 6 p. 3^50 Recherches sur tes véqétaiix du niveau aquitanien de Manosqae, 20 pl., 83 p.). 35 10 . — A. (rAui.uv, LesPgthonomorphesde F/-cnïce, 2 pb, 13 pT. 5 » b. htude sur ta constitution de Vappareil fructificaleuv des >plieuophvlbini, 1 pl., 39 p. 7 50 l'V r 1 Aycii'H, hlndes sur quelques Cétacés du Miocène. y ^ î Description des Echinides miocènes de ta Sardaigne. AI. bossMANN, Contribution A la Paléontologie française des terrains jnrassupws {en cours); Etudes sur les Gastropodes des terrains juras- r> — ^ -'^if/nes : Opisthobranches, 6 pb, 168 p.'. 14,50 fy sut les terrains tertiaires de la Roumanie, ^ I étude des faunes sarmatique, ponfique et levantine., (Voir la suite, paj?e 3 de la coin erture. ) MÉMOIRE 43 CÉPHALOPODES ARGEN TINS MACON, • PROTAT FRÈUES, IM PR IMEURS MEMOIRES DE LA SOCIÉTÉ GÉOLOGIQUE DE FRANCE PALÉONTOLOGIE MÉMOIRE I%I“ 413 CÉPHALOPODES ARGENTINS PAR ROBERT DOUVILLÉ PARIS SOCIÉTÉ GÉOLOGIQUE DE FRANCE 28, Rue Serpente, VI 1910 CÉPHALOPODES ARGENTINS A\ EirnSSEMENT r.es fossiles éUuliés clans ce mémoire ont été récoltés par notre confrère M. Récopé, ingénieur civil des Mines, au cours d’explorations dans les Andes argentines. lisent été étudiés au Laboratoire de Paléontologie de l’École des Mmes de Pans, sous la direction de M. le professeur Henri Douvillé et font actuellement partie des collée- lions (le cel élahlissement. 110 La ixMMon dont ils proviennent se trouve sur les premiers contrelorLs de la Cor- dillcre. entre le rio Agrio ^atlluent du no Neucjuen, et l’arroyo Picnii Leufu (affluent du rio Liniay) [renseignements de M. Récopé]. Les terrains secondaires de la Cor¬ dillère chilo-argentine ont été étudiés, dans ces dernieres années, par c assez om¬ breux géologues. Les matériaux rapportés par MM. Burckbardt, Bodenbeder Haii- tbal et autres ont été étudiés en détail dans les monograpbies de MM. Burckbardt, Bebrendsen, Steuer, Ilaupt et F. Favre, pour ne citer ciiie es principales. Ces dill’érenls travaux nous ont appris cpie le Titlioniqiie et le Crétacé inferieur, entre autres terrains, possédaient un important développement dans la legion. L’envoi de notre confrère n’était accompagné d’aucune coupe stratigrapbiciue, mais la géologie de la région du Rio Neiiqiien est aiijourd’liui assez bien connue fBurck- bardt en P104 en a donné un résumé très complet) pour que 1 on n ait pas d incer¬ titude sur l’existence des étages auxquels appartiennent ces diverses Ammonites. I.es Virannles proviennent, comme en Europe, du Portlandien inferieur les hirshHes,\ \JlMcodiscm du Barrémien. Quant aux Poïyplychües ils doivent vraisemblablement être d’âge valanginien, époque à laquelle a heu le maximum e dévelopiienient de ce genre. • r. / r- /• ; />«/ On Lit il est vrai, d’autre part, que Pavlow cite Pol. keyserhmj e, 1 ol. y ar est formis immédiatement au-dessous de la zone valangmienne a Hoplües pexiptychus Il -unhliyionius IL reqalh ce qui ferait débuter le genre Polyptychiles avec a zone à n'iioissieri (=Berriasien sensu Kili.vn). D’autre part, Pol. bidicholonius se rencontré, en France, dans le bassin de Pans et dans les Alpes dans 1 Haiiterivien a ROBERT DOUVILLÉ 6 Hoplites radiatus. Mais ce sont en quelque sorte des exceptions et quand on a affaire à un faciès à Polyptychiles bien développé, il n’admet en général tout son dévelop¬ pement que dans le Valanginien '. 1 « M. Hau^' fait ressortir l’intérêt qu’offre la présence des genres Polyplychites et Simhirskites dans le Néocomien de la Hépublique Argentine. Il y a là une éclatante confirmation de l’hypothèse d’une province australe symétrique d une province boréale, qui était le point faible de la théorie des zones climatiques, énoncée par Neumayr et souvent com¬ battue depuis. En elTet, aucun argument paléontologique ne peut encore être mis en avant, en faveur de l’existence d une province australe à l’époque jurassique et, pour ce qui est du Néocomicn, on ne pouvait guère invoquer jus¬ qu’ici, à l’appui des vues de Neumayr, que la localisation de certaines Trigonies dans les dépôts éocrétacés de l’Amé¬ rique du Sud et de l’Afrique australe, ainsi que la présence, dans les couches d'Uitenhage, d’une espèce de Cylindro- leuihis » [Observations de M. le professeur Haug à la suite de la pi'ésentation à la Société géologique des fossiles rapportés de l'Argentine par M. Uécopé, le 21 juin 1909(71. S. G. F.^ 14), IX, p. 296, 1909.] CÉPHALOPODES ARGENTINS 7 Genre VIRGATITES^ Pavlow 1892 1892. Pavlow. Ammonites de Speeton et leurs rapports avec les Ammonites des autres pays, in Pavlow et Lamplugh. Argiles de Speeton et leurs équivalents, p. 113. Virgatites andesensis n. sp. PI. I, fig. 4 a, b, c, d, e, f (type) ; fig. 3 a, A [type complémentaire). 1903. Virgatites scÿlhiciis Visch>. Burckhardt. Beitrâge zur Kenntniss der Jura- und Kreideformation der Cordillère, pl. VU, fig. 1-8. En 1903 Burckhardt a rapporté avec doute à l’espèce européenne scythicus toute une série de formes [loc. cit., pl. vu, fig. 1-8). Nous trouvons les mêmes (pl. I, fig. 3, 4) dans les récoltes de Récopé. D’après Burckhardt et des communications de Pavlow à Burckhardt [loc. cit.^ p. 46) les principales dilférences entre les V. scythicus argentins et les V. scythicus russes seraient les suivantes : « l“) La section des tours est plus arrondie chez les échantillons argentins ; au point de vue de la section ceux-ci se rapprochent le plus de la variété de Michalski à large section (Mic.iiai.ski 1894, pl. v, fig. 7-8 et p. 121). « 2") Les faisceaux virgatiques [des formes argentines] sont formés généralement de 3, rarement de 4 branches alors que chez les formes russes les faisceaux de 4 branches sont nombreux. En outre les branches postérieures des faisceaux de côtes sont plus fortement courbées en arrière chez les échantillons russes que chez les argentins » [Traduit]. Le caractère tiré de la forme de la section nous semble de peu de valeur. Il est du reste très peu marqué. Au contraire l’allure des faisceaux de côtes, plus raides, moins contournés, est bien caractéristique des échantillons argentins. Les côtes sont beaucoup moins espacées que chez les F. scythicus russes. Le jeune est extrême¬ ment périspliinctoïde (pl. I, fig. 4 a, b, c). Si nous le comparons à la figure des pre¬ miers tours de F. scythicus donnée par Michalski (1894, pl. vu, fig. 3 a, h) nous voyons que la section du jeune Virgatites argentin est beaucoup plus surbaissée. L’or¬ nementation est formée uniquement de côtes bifurquées avec 3 ou 4 étranglements bien marqués par tour. Ces étranglements sont beaucoup moins nets chez les jeunes Virgatites russes dont l’ornementation est aussi formée de côtes beaucoup plus fines. L’évolution, avec l’âge, des formes russes et argentines est différente. Les tours agrs possèdent bien la même ornementation de côtes bi- ou trifurquées. Mais inimedia- lenient avant ce stade nous en trouvons un autre, chez les formes russes, caracté¬ risé par une ornementation virgatiqne absoluineiit nette, les faisceaux de cotes en comprenant jusqu’à .3 (Miciulski 1894, pl. vu, fig. 1 c, d). L’ornementation de la coquille rappelle alors tout à fait celle de 1 espèce type du genre . . virga us. 1. A propos ae cette atU-ibulion générique, voir : RonunT Dorv.,...K. Un VirgMes du Ca^^^dc^ntaU Orig- mediten-anéennede ce genre ; AU^iocera.. P^eudovirgMles et Vtrgnto.pluncles. CR. Somm. Seanoes S.G.F,... noi . ,JtO. ROBERT DOUVILLÉ 8 Puis les côtes redeviennent bi- ou trifurquées, puis bifurquées seulement dans le cIe/\l'LCrrrgen1hîÏ^ contraire la phase à faisceaux de côtes nombreuses n’existe pas Les deux autres stades, adulte et jeune, sont comparables bien que les tours jeunes argentins soient un peu dilférents des tours russes correspondants comme nous venons de le voir. . -ni ^ i’ Ces différences nous semblent assez importantes pour justifier la création d une nouvelle espèce andesensis. Le type sera notre échantillon figuré planche I, iig. 4, qui montre bien l’évolution individuelle avec l’âge et les types complémentaires l’échantillon 3 de la même planche et ceux figurés par Burckhardt (1903, pl. mi, Iig. I-H). La ligne siiLurale ne paraît pas fournir de caractères distinctifs entre les deux espèces sciflhicus et Rïideserisis, Autant cjue Ion peut s en rendre compte siii les dessins fragmentaires donnés par Burckhardt (1903, pL vu, lig. 7, II) la ligne sulurale des échantillons argentins possède les mêmes caractères que celle des échantillons russes correspondants (voir par exemple : Michalski 189i, pl. vu, lig. 4). La ligne suturale des échantillons rapportés par Bécopé n’est pas conservée. Nous figurons (pL III, lig. 2 a, b) un fragment d’une grande forme périsphinctoïde (pii est vraisemblablement radulte d’une de nos espèces de Virgalites. L’ornementa- tio'n formée de côtes régulièrement bi- et trifurquées n’est pas, en effet, une ornemen¬ tation normale de Perisphincfes. Les tours à section basse rappelant un peu ceux de l’espèce dorsoplanus Visghn. nous la feraient rapprocher volontiers de L. /tnde- sefhsis. On considère généralement que l’adulte de l'espèce européenne sctfihicus est orné de côtes uniquement dichotomes, mais l’adulte de l’espèce argentine n est pas forcément identique. En tous cas un point de doute subsiste puisque les stades intermédiaires reliant la forme adulte qui nous occupe et rune quelcomjue des espèces de T argentins, ne sont pas connus. Virgatites mexicanus Bcuckhardt 1906 PL ï, fig. 1, 2. 1006. HimcKHAKOT. La Faune jut-assique de Mazapil.avec un appendice sur les fossiles du Crétacé inférieur, pl. XXXI, fi};. 5-9. Lette espèce est très voisine de certains échantillons russes rapportés par les auteurs lanlota \ ugafites scylhiciis Visghniakofi-, tantôt à Virgatites Qnensfedti Uouilleiî. Parmi les nombreuses figures de V. scythicus données par les ailleurs russes on peut (hslinguer deux groupes de formes, l’un comprenant celles dont le jeune possède une ornemenlalion proporlionnellement équivalente à celle de l’afiiilte, les côtes étant encoie asï-ez épaisses. C est à ce premier groupe que correspomleiil les \ . .scu/hicus MH, ,,1. v„, lig. 1, 7 ; pl. v.„, lig. | el IS82, \ ’ etpl. III, fig. 1 et 2j. C’est de ces V. scythiciis types que se icq^piocit e plus notre nouvelle espèce andesensis. V I K t^ioupe 1 ornementation du jeune est beaucoup plus fine que celle de 1 adulte. Le jeune est alors connu sous le nom de L. Quenstedti Houillfh. Nous cite- CÉPïIALOPODES ARGENTINS 9 TOUS de ces tours jeunes, d’abord la figure du type (Rouiller, Etudes progressives.., 1849, Bull. Soc. Nfit. Moscou., t. xxii, pl. l, fig. 87) puis celles données par Visch- niakoff(1882, pl. iii, fig. 5 et 6). Les adultes de ce deuxième groupe correspondent aux figures de V. Quensfedti données par Vischniakoff (1882, pl. iii, fig. 3 et 4). C’est de ce deuxième groupe de V. scythicusy rangé par VischniakofF dans l’espèce Qiiensteclti que se rapprochent le plus les échantillons mexicains figurés en 1906 par Burckhardt sous le nom de V. mexicanus. Nous rapportons à cette espèce deux échantillons récoltés par Récopé. L’ornementation virgatique de l’adulte est plus particulièrement nette sur l’échantil¬ lon de la planche I, figure 1. Les grosses côtes ombilicales prennent naissance dans un ombilic abrupt, se dirigent nettement en arrière sur une faible portion de tour puis reviennent tout droit en avant. Elles se bifurquent 3 ou 4 fois sur le tiers médian des flancs en donnant naissance à des branches d’épaisseur égale toutes dirigées en avant. Toutes les branches franchissent normalement la région siplionale sans montrer la moindre tendance à former de sinus. Des étranglements sont toujours visibles sur la portion adulte de la coquille. Quand ils sont bien nets (pl. I, fig. 2, 3, 4J ils sont toujours bordés en avant par une côte simple et en arrière par 1 ensemble du faisceau, exac¬ tement comme chez l'espèce virgatus elle-meme. Parfois ces étranglements sont à peine marqués en profondeur, les côtes simples et antérieures en révèlent alors seules l’existence. D’après leur écartement il paraît en exister 6 par-tour. Nous n en avons pas vu trace sur la partie jeune de la coquille où l’ornementation est formée unique¬ ment de minces faisceaux de côtes bi- ou trifurquées. Les figures 6, 7 (pl. x) et 9 (pl. vii)de Michalski et toutes celles de Virgalites Quensledti données, tant par Rouiller que par Michalski et Vischniakofl, n en montrent pas non plus. Dans ce groupe de scythicusk ^cwne de forme Quensledd la disparition des étran¬ glements paraîtcorrespondre exactementau chaiigenientd’ornementation. \ ischniakoft a montré (1882, pl. iii, fig. 3 et 4) que ce changement n’était pas en relation avec le commencement de la loge d’habitation. Burckhardt, en 1906, rapproche uniformément de l’espèce mexicanus tous les échantillons qu’il avait rapportés en 1903 à l’espèce-çciy/Afci/.v. Pour nous, ces der¬ niers se rangent presque tous dans notre nouvelle espèce andesensis. Quelques échan¬ tillons argentins rapportés par Récopé correspondent seulement à 1 espèce mexicanus. Cette espèce se distingue de l’espèce andesensis: D par la forme des tours qui est moins surbaissée; 2« par rornementation de l’adulte dont les faisceaux de côtes sont plus serrés, la côte principale étant également plus incurvée en arrière au voisinage de l’ombilic qui est très abrupt. L’ornementation du jeune, tout en étant uniforme comme chez andesensis ( tandis que chez \es scy/hiciis européens on distingue un stade virgatique à faisceaux de ± ou D branches et un stade à côtes hi- ou tridicliotomées) est ici formée de côtes fines au lieu des côtes épaisses de cette dernière espèce. C’est pourquoi nous rapprochons mexicanus de V. Qaensfedfi fs. LL L’adulte de V. mexicanus Ÿvé'^eule avec celui de E. (Visghniakoif 1882, pl. ni, fig. 4) exactement les mêmes ditférences que celles existant entre les adultes de V. andesensis et de L. scyfhicus. L’allure des faisceaux de côtes est diffé- Société géologique t>e Fraisce.— Paléontologie. T. XVII. — 20. Mé.moire n® 43. — 2 ROBERT DOÜVILLÉ i () renie, la côte poslérieure étant toujours beaucoup plus incurvée en arrière dans tous les échantillons européens. Virgatites Burckhardti n.sp. 1903. Virg. air. Qnenstedti Rouiller. Burckhardt. Beitrage leur Kenntniss der Jura- und Kreideformation der Cor- dillerc. pl. VI, pp- Bnrckhardt a rapporté à l’adulte de V'. Quenstedti une forme à ornementation virgatiqne uniformément fine dans le jeune comme dans l’adulte, à section élevée, (pii nous paraît plutôt être du groupe de V. mexicanus Burckh.. L’ombilic est éga¬ lement abrupt, le jeune, comme celui de mexicanus rappelle seul 1'. Quenstedti. ,Ie propose d’appeler V. Burckardli cet échantillon de Virgatites rapporté avec doute par Bnrckliardt à V. Quenstedti (la figure type sera donc: Burckiiardt 1903, pl. vi,lig. 1-i). Virgatites austraîis Burckiiardt 1900 PI. I, fi^. 5 a, b. 1003. Bi hckiiauiit. HcMtrüffC zup Kenntniss der Jura- und Kreideformation der Cordillère, pl. ^T. fijf. 5-7. Nous rapportons a celle espèce une forme, à section élevée, à ornementation encore assez line mais moins que celle de V. Burckhardti. Elle est caractérisée par un ombilic très pen abrupt, beaucoup moins que ceux de mexicanus et iVandesensis. Les cotes sont peu marquées a Eintérieur de Tombilic et sont médiocrement incur¬ vées eu arrière. Les cotes sont bifurquées dans le jeune et généralement trifiirqnées dans radulte avec intercalation de côtes simples. Les cotes l)ifur(piées du jeune sont, dans notre échantillon, un peu plus serrées que dans la ligure de lîurckhardl. Cloisons non conservées. Genre POLYPTYCHITES Pavlow 1892 I A Lo\> . .Vmmonitt-s dt Speeton et leursrapportsavec lesAmmonites des autres pays, in Pavi.ow et Lampi.it.h. Arjfiles de Speeton et leurs équivalents, pag:e 1J3. Polyptychites neuquensis n. sp. Pl. Il, 2 a, h (type de l’espèce) et 5, 7. elte tonne ie|nésenlée par 3 échantillons, est la plus curieuse de toutes celles II te a légion du lio Neuquen par M. llécopé. Les tours adultes de cette I, » f. * ' ’ PBilie âgée; fig. 5 et 7) présentent une ornemenlation de rndf tl 2, partie jeune) rappellent an contraire ÏIlol- codisctis liecopei n. sp. el r' ■■emlé <1,. de Gro,ru.„i i,.hr 1 : - r- n»,,» ( n- •), /), de gros Inbercules bordent l’ombilic de très près; de cbacun CÉPHALOPODES ARGENTINS M partent deux ou trois côtes dont parfois une ou deux se bifurtpient. Entre les fais¬ ceaux de côtes qui partent des tubercules s’intercalent en outre deux ou trois côtes descendant jusqu’à l’ombilic sans se tuberculer et qui peuvent également se bifur¬ quer. Toutes les côtes traversent normalement la région siphonale en conservant toujours la meme grosseur. Cette disposition de côtes atteignant l’ombilic entre les tubercules est spéciale à l’espèce et anormale chez Polyptychites^ car dans ce genre les tubercules s’éche¬ lonnent régulièrement autour de l’ombilic et toutes les côtes en partent sans excep¬ tion. Chez Polypfychites^ d’autre part, les tubercules existent dès le jeune, bien qu’atténués (cette atténuation étantbien visible, par exemple chez P.Keyserhngi N. et UiiL.). Sur l'échantillon américain au contraire, la disparition des tubercules chez le jeune n’est plus atténuée, elle est complète. Les premiers tours de rAmmonite figu¬ rée (pl. II, fig. 'la) montrent qu’il ny en a pas trace et que rorneinentation com¬ porte uniquement des côtes prenant naissance dans ün ombilic abrupt, se bilurquant régulièrement et traversant normalement la région externe, exactement comme chez Ilolcodiscus Hecopei. A part les tubercules, rornementation du jeune est identique à celle de l’adulte. D’après un fragment écrasé rapporté par M. Récopé, ce dernier conserve la même ornementation à gros tubercules au moins jusqu à un diamètre de 15 centimètres. Les caractères rapprochant cette espèce du ^enve Polyptyckites sont les suivants : 1" disposition très caractéristique des côtes groupées pour la plupart en faisceaux à partir des tubercules ; 2® forme et disposition des tubercules, également spéciale au genre. Ces tubercules se trouvent juste au ]>ord de l’ombilic, dirigés vers 1 intérieur, comme par exemple chez Brancoi N. et U., Keyserlinyi N. et U., Carterojii d Oiïb. L'ornementation de P. Carteroni est, par son exagération, un peu anormale pour le genre, mais l’aspect des tubercules faisant saillie à l’intérieur de 1 ombilic est d autant plus caractéristique. L’irré(Tularilé de rornementation est par contre un caractère éloignant Amm. neu- qiiensis du genre Polypiy- chites, mais sans la rapprocher d’ailleurs d’aucun des autres groupes d’Ammonites. — Quant à l'apparition plus ou moins tardive des tubercules, ce caractère varie beaucoup suivant les espèces. Si l’on ne veut pas ranger Anim. neiiquensis parmi les I^oh/pluchiles il faudrait alors . créei' pour cetle espèce une nouvelle coupure générique. La di ference euLre forme jeune qui rappelle llolcodiscus Hecopei et la forme adulte a ornemenla- tiou typique de Poh/ptychiles en ferait un genre intermédiaire entre Holcochscus Polyptychiles. 1-2 ROBERT DOUVILLÉ bien oonser- Cloisons — Les cloisons de l’échaiilillon figuré (pl. II, fig- '2) sont assez b véei bien qu’aucune ne le soit dans son ensemble. Le dessin reproduit ci-contre {Rpor^^^^^^^^ nTtrelo^'^f loiiles autres est de couleur jaune clair et re recouvert par le test, qm Cloisons non visibles. ' exactement rorueiiientalioii du moule. au point de vue de la section, Holcodiscus a eunesi. ornementation est uniformément formée [in- de CÉPHALOPODES ARGENTINS 13 côtes fines dicholomes (l à 2 par tour à peine sont simples), raides comme dans toutes les formes à ombilic large et par suite ne dessinant pas de sinus sur la région siphonale. Il existe 8 constrictions par tour, bordées en avant par une côte simple un peu épaissie en bourrelet, et en arrière par un faisceau virgatique de 4 côtes, faisceau pro¬ venant de la réunion de 2 côtes dichotomes. Les formes les plus voisines de notre nouvelle espèce sont Holcodisciis interme- dius d’Orb. in XicKLÈs (1890, partie, pl. ix, fig. 12), H. Morleti Kilian 1888 et//. L/i%i Karakasch 1907. Notre nouvelle forme se rapproche beaucoup, au point de vue de la forme générale, de l’échantillon rapporté à //. intevmediiis par Nicidès [loc. cil., fig. 12). Mais elle possède un ombilic un peu plus large et, surtout, 3 constrictions au lieu de 4, ces constrictions étant beaucoup plus profondément marquées sur VHolcodiscus espagnol. L’ornementation de ce dernier est moins fine et moins régulière. Sauf pour la grandeur et pour les constrictions, elle correspond presque exacte¬ ment à //. UhÙ(fi Kar. L’ornementation de côtes régulièrement dichotomes est très analogue dans les deux formes, mais les côtes forment un léger sinus siphonal chez IL L'Idixfi.'En outre cette dernière forme ne montre pas trace de constrictions. C’est de IL Morleti Kili.w qu’elle se rapproche le plus : même forme générale à part une légère différence dans la grandeur de l’omhilic, mêmes constrictions à peine marquées et peu nombreuses (3 par tour au plus). . Nous avions d’abord pensé à ranger VHolcodiscus du rio Neuqiien dans 1 espèce Morleti, mais M. Kilian, auteur de l’espèce, ayant bien voulu nous confirmer qu’il s’agissait, cà son avis, d’une nouvelle espèce, nous nous sommes décidé à le décrire sous le nom A'Holcodiscus Wilfridi n. sp. Holcodiscus Recopei n. sp. Pl. H, fig. 1 .7, b. 1897. llopUles. Cf. Seccoi Rarona : Descrizione cli alcuni ammoiiiU ciel Xeocomiano veiieto, pL.III, fig. 3. Un seul exemplaire à l’éUil de moule calcaire avec lest conservé. Grosso Aminonile i, tours épais et moyeimeinenl recouvranls. L'oniemeiitahoii consiste imiqoemen en de très grosses côtes partant de rinlérieiir de rombilie. ou elles ont déjà tonte eui grossenr. se polyfurqnant très irrégulièrement et franchissant norm. emenl la région externe. Certaines des côtes, environ 4 ou 5 par tour, sont bordées d un sillon asser nettement marqué comme el.es les Ilolcodiscs les plus typiques. Comme dans le groupe de i'Mermedius la grosse côte qui suit le sillon „ a pas la meme -olinaiso que les urécédenles et en sectionne 2 ou .3. Clies les formes voisines de H. Pe, e.mn® an contraire les côtes comprises entre les étranglements sont presque parallèles a ceux-ci. L'aspect général en devient tout autre. Ce caractère des etranglcinents se - tionnant très nettement un certain nombre de côtes est du reste 1res lreque.it cl.er, les Ilolcostephanus, Holcodiscus, elc. Il est pai'liculièremenl net dans le groupe ancien des Spiticeids. I ^ visible chez les Astieria et chez les Holcostcphanus et Holcodiscus du groupe 14 ROBERT DOUVILLE Vintermedius. Chez les Craspedites, formes à ornementation atténuée, seule la forme de la bouche qui est bordée d’un étranglement et d’une bande lisse bien nets (Vis- cbniakoff 1878), comme chez Astieria, pourrait peut-être le rappeler. Il s’atténue en tous cas dans les genres plus récents. Chez Polyptychites l’ornementation en faisceaux seule rappelle dans une certaine mesure ce caractère qui n’est plus visible que chez le jeune dans le genre Simhirskites, le plus récent, et encore pas dans tonies les espèces. La principale difFérence entre notre forme et les Holcodiscus typiques est la forme de ronibilic où les côtes sont fortement marquées et forment d’épaisses saillies. Dans ce genre au contraire l’ombilic est, en général, en pente adoucie, les côtes ne prenant toute leur épaisseur qu^à la base des flancs. Mais cette différence tient sans doute à la grosseur exceptionnelle des côtes dans la nouvelle espèce dont la saillie dans l’om- bilic devient ainsi tout de suite plus considérable. La largeur de l’ombilic est très variable dans le genre. Elle est plus étroite dans le groupe de Vinlermediiis et c’est encore un caractère qui en rapproche la forme américaine. « Ilopliles » Seccoi PauOxNA [pars) est la seule forme figurée qui se rapproche un peu de llolcod. lîecopei, Parona la rapproche d’une forme à côtes interrompues sur la région siphonale et en fait un Hoplites. Nous conformant à une remarque de M. llaug nous rangerions volontiers .Imm. Necco/(Parona 1897, pl. m, lîg. 3) parmi les//o/- codiscus. toutefois la présence de tubercules ombilicaux sur la partie jeune des tours serait exctq)tionuelle dans le genre Holcodiscus. Ces tubercules ombilicaux AWmm. Seccoi sont ronds et petits, à peu près comme chez Amm. ClemetUinus n'Onn. du Gault. Peut-être la forme du x\éocomien vénitien est-elle une forme intermédiaire entre Holcodiscus, Polyplychites et Asfieria... pré¬ sentant par suite des caractères de passage. Peut-être aussi est-ce simplement une anomalie, une forme tératologique ? Bien qu’on connaisse quelques exemplaires à'Holcodiscus dans le Val véritable développement du genre a lieu dans le Ba angimen, le ri’emien. Holcodiscus Magdalenæ n. sp. Pl. II, fifi:. 3 a. b, c ; fig. i a, h. \iuninnii' 1 PoiPine venant se ranger près de la forme précédente une netil élr» I * ^ PP peu plus petite, provenant du meme gisement et qui en est IHut-ctie le jeune. Les tours internes ont pu être démontés (iu, h). nnicmemlm'l,?’?’ rappelle beaucoup celle de //. liecopei: elle consiste bifumuautvers G inclinées en avant, quelques-unes se la ré-iùn sinho' r'T’' ‘ traversant normalement et sans s’interrompre Pécbanfillon cou i I ' ""l “qu’elles apparaissent. Ce caractère éloigne pI.Ksr,atZ r Hecope.^^n vsl l’asiiect iielteineiil"T"^^ >'!’ aplatie, la principale dilférence avec celte dernière se hifu ; „ ^ le--tes sont pins droites, 1 plus leguhereinent, enfin à ce stade il nV pas d’étranglemoiils visibles. CÉPHALOPODES ARGENTINS in Les tours internes ( pl. 11, 4 a, L) présentent une forme générale tout à fait voisine de celle réalisée au stade de la figure 3^7, />,c. Gequi est particulièrement intéressant, c’est qu’ils présentent 4 ou 5 étranglements par tour comme chez la forme épaisse à forte coslulation, que nous avons décrite plus haut sous le nom de Holcodiscus Recopei. La forme à section élevée, réalisée chez ces tours jeunes, est bien typique pour le genre Holcodiscus, Cloisons. — Elles sont seulement partiellement visibles sur les tours jeunes de réchantillon liguré (pl. II. fig. 3, 4). La partie ombilicale n’est malheureusement pas conservée, de sorte que le plan général de la cloison n’est pas visible. Nous figu¬ rons la portion de la cloison voisine de la région externe, malheureusement très fragmentaire. La cloison présente alors un aspect bien différent de celui qu’elle a normalement lorsque les lobes décroissent régulièrement de profondeur vers l'ombilic. Générale¬ ment, les lobes ombilicaux, tout en diminuant rapide¬ ment de profondeur, remontent en même temps vers l’ombilic, comme cela a toujours lieu dans les cloisons inverses. Voir par exemple P. Lnmpliighi Pav. (Pavlow 1892). G est du premiei type (pl. vu, lig. l, etc.) que se rapproche le plus la ligne suturale de notre PolijplychUes neuquensis. Les lobes et G encadrent le tubercule. Le lobe l- est a peine indiqué. n 3 . — Holcodiscus Magdalenæ n.sp. Ucgioii durio Neuquen. Par- iie siphonalc de la cloison. — X 2,3. Genre SIMBIRSKITES Pavlow 1892 1892. l>.vvi.„w. Ammonites de Speeton et leurs rapports avec les Ammonites des autres pays, in P,vvLO^v et Lampi.ugh. Argiles de Speeton et leurs équivalents, p. 113 et 141. 1901 . — F.,e Crétacé inférieur de la Russie et sa faune. ^ Ce genre a été créé en 1892 par Pavlow pour les Ilolcosféphanidés du groupe de II. Decheni\\vie.\\v.ï\. En 1901, il en a précisé la signification, montrant d’une part que les formes rangées dans le genre se répartissent très naturellement en trois groupes : I) Perisphinctoidea. II) Unibonati, III) Discofalcafi; d’autre part que cer¬ taines espèces établissaient la liaison entre ces trois subdivisions du genre : Decheni entre I et II, pseudobarboti entre II et III. Simbir.skUes prenait dès lors une ampli¬ tude supérieure à celle attribuée généralement à un genre et c’est pour ce groupement tpie Pavlow introduit le terme nouveau de (/é/ié/vi/ûm, c’est-à-dire groupement d es- pèces intimement liées les unes aux autres, mais aux loi mes extiêmes pou\ant très difiérentes; par exemple S. coronaùformis M. Pav. et S, discofalcatus Lah. Il est très possible que les groupes I, II et III n’aient pas la même origine et que Smildrsldtes soit un genre fayof. Peut-être les Llmbonali dérivenl-ils des I olyply- chiles I Eu tout cas nous pensons à peu près démontré que les Discofalcali sont ni i- meiiieiit liés aux Holcodiscus non tuberciilés, à section élevée et côtes tlexiienses dont on connaît un certain nombre d'espèces dans la région méditerranéenne. ^ oici les faits sur lesquels nous basons notre conviction : Le caractère essentiel des Discofalca/i réside dans la forme surélevée de leur tour, leur ornemeiitatioii décotes tlexiienses, épaissies à l’ombilic et lormaiit sinus ROBERT DOUVTLLE sar la région siphonale, enfin de l’absence très fréquente de constnctions. « Il est très rare”qu’on observe des étranglements, qui, parfois, ne sont distincts que dans la région externe », dit Pavlow dans son mémoire sur Speeton (1892). Chez Astieria les constrictions sont assez fréquentes. Elles n’existent jamais chez roh/pti/chites. Elles se rencontrent très fréquemment au contraire chez une partie (les Ilolcodiscus. Dans tout le groupe du vâJi-deii-HGckci^ du SGiincsi et de 1 intcriTiedius^ en effet, elles font partie intégrante de rornementation. Elles sont également caractéristiques des Ilolcodiscus iwhevcvûé^ (groupe du Perezianus), mais nous ne nous occuperons pas pour rinstant de ces derniers. Le fait qui nous paraît d’une importance capitale et propre à indiquer des rapports de parenté entre Ilolcodiscus et Simbirskites est le suivant: Certains Ilolcodiscus du groupe inlerniedius se distinguent de la masse des espèces par une absence totale de constrictions, et, ce qui est le plus curieux, c'est que cette disparition se produit généralement dans les formes à section élevée. 11 y a donc, chez ces Ilolcodiscus aberrants, apparition des caractères les plus lyi>iques des Discofalcati. Ilolcodiscus h caractères de Simbirskites sont les suivants: Douvil/ei Nicklès, Seitumeri Kahakascii, alcoyensis ^ jodariensis R, Douv., nieucjlonensis (.*es foi’ines sont tontes à ombilic étroit et à côtes par conséquent flexueuses, dépourvues de toute trace de tubercules. L’étude des cloisons n’infirine nullement notre hypothèse. CeWe à'alcoyensis, parfaitement donnée par Nicklès (1890, pL iv, lig. d) ressemble beaucoup à celles des Discofalcati figurées par Pavlow. Il faut la comparer avec une forme a cloison profondément découpée car dans ce cas, les cloisons sont relativement peu inverses, ce qui est le cas chez alcoyensis. Des cloi¬ sons très découpées comme chez barbotanus (Pavlow 1900, pl. ly, fîg. 3 a) des¬ cendent plus vers 1 ombilic (|ue des cloisons moins découpées ccmme celles de disco- falcatus, pseudobarboti, Koivaletvskii {ibid., vi, I d; iii, 1 d; ii, 1 c),etc. Quant aux dillërences de détail dans la découpure des éléments que l’on peut remarcjuer entre les cloisons des Simbirskites russes et des Simbirskites andalous, on se rendra faci¬ lement compte que de tout aussi considérables existent entre celles des espèces les p us \oisines de Discofalcati, pour peu que l’on veuille examiner avec soin les des¬ sins ( ( c oisons, donnés par Pavlow, Lahusen, etc. Il est impossible du reste (Lexa- (1 un ^land nombie de dessins de lignes suturales, sans arriver à la conclusion ^ ' T ultime des éléments perd, dans beaucoup de genres, toute valeur speci ique, (les que ron a a sa disposition un nombre sufFisant (î’échantillons '. fi I, I. ’^'Ient tiès généralement, dans toute la région méditerranéenne avec les r/ms- P typiques tant du groupe Perezianus que du groupe internie- Ivarak'iseh i^^M^ortance capitale est qu’à Riassala, en Crimée, selon meiil airrcsm) ^ ^ associées à des Simbirskites typiques. Ce célèbre gise- S ^n"^^ -lation de parenté. Les ' CheiPerisphinctes, au contraire Vil lipo ntoff rap h ica inoi est-il seulement en relation avec la section ? dans/‘ii/.poni(H/rap/i(ca montrent (lue le des G. SiEixMAx/: Beitrüge zur Geologie und Palaeontologie von Sudamerika (XII). Amènes buc/i./-. .Win., Geo/. U. XXIII, p. 187-236, pl.MI-X, 190,. Ieo4skv (Davio). - Le Mésozoïque du pays de Ziai-iiie (Oui^l du Nord). Bull. Soc. géol. t ), 1903 p. 292-293 [avec observations de É. Haug, t/jû/., p. 293-294]. ri., PanuRse et leur K:nAKAsr,H(N.). - Dépôts crétacés du vc-rsant septentrional de la chaîne principale du Caucase faune. In-4", 205 p., 7 fig., 8 pl. (en russe, résumé en derheuligen Kaiisten (IIEK.MANN). — Ucbcr diC geogiioslisclieii V erhal tiiissc Vers-Deutsch. Naturf. u. Ærzle Republikeii Neu-Granada und Equador. Amllichcr Ber. ueher die • zu Wien^ p. 80-117, 7 pl., 1858. 22 ROBERT DOUVILLÉ Keidel (II.). _ Ueber die Geolog-ie einzelner Telle der argentinischen Anden. 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S. — Partie centrale de l’échantillon de la fig. 3. Fig-. 6. — Holcodiscus Wilfridi n. sp. p. 12 Mém. Soc. géol. Fr., Paléontologie, XVII, pl. XVIII. Mémoire de M Robert Douvillé Mém. Soc. géol. de France PALÉONTOLOGIE Mémoire 4â; PI. II T. XVII; PI. XVIII PhotocolloKi*. Tortellier. Arcneil (Seine^. Clichés Robert Douvillé. 7 * r-v V i-.*' » > >■ t ♦ ' t i:,;. I. *' *• 'itC i -'.* .‘J •l- ' ^ . î>^ 'V V- . 'V v' ' V . • 1 ? I MÉMOIRE N" 43 PLANCHE III Ki^. 1. — Perisphinctes coluhrinoides Burckhardt 1902. . p. 19 Mg. 2. — Virgatites sp. [stade adulte voisin de V. dorsopîanus Vischn. in Michalski, loc. ci(., pl. xi, lïg-. 2 et de V. Lomonossovi, ihid., pl. xi, fig. 1, maie pouvant également être l'adulte de VirgalUes mexicanus ou andesensis] . ^ . . .. |). 9 Kîk. 3. - Simbirskites Payeri Toula 1874 . . |). 18 1* ifç. -i. SiiïibivskitGs Barbotanus Lahusen 187i ' . . P- » ^ Mém. Soc. géol. Fl*., Paléontologie, XVIl, pl. XIX. Mém. Soc. géol. de France PALÉONTOLOGIE Mémoire uk M. Robert Douvillé Mémoire N° 43; PI. III T. XVII; PI. XIX CUchfts Robf'rl Donvillp Photocollogr. Apcubü (Seine) t i i Mémoires Francs rs'°® !(). — !).-P. (JEiilert, Uralichas Ribeiroi des schistes dWiigers^ 1 pl. double, 1-^ P. 3.50 17. — A. Peron, Les Ammonites du Crétacé supérieur de VAlgérie. 2““* livraison seulement : pl. VII-XVIIÏ, p. 25-88. 20 » 18. — Km. Haug, Eludes sur les Gonialiles^ I pl., 114 p. 10. — M, CossM.WN, Conlnhution à la Paléontologie française des terrains juras¬ siques (en cours); Gastropodes: Nérinées, 13 pL, 180 p. 35 » '20. — y. Popovigi-Hatzeg, Conirihulion à l'étude de la faune du Crétacé supérieur de Roumanie ; Environs de Campnlunq et de Sinaia., 2 pL, ' 22 p.... 6 » 21. — K, Zeilleu, Etudes sur la flore fossile du bassin hoiiiller d'IIéraclée [Asie Mineure).^ 6 pl., 91 p. 15 » 22. — P. Pallauv, Sur les Mollusques fossiles terrestres^ fluviaiiles et saumâtres de rAlgérie, 4 pl., 218 p. 26 » 23. — G. S.WN, Les Ammonites pyriteuses des marnes valanginiennes du Sud-Esl de la b'rance (en cours), 26 fig., 6pl., 69 p. 17 » 2i. — .1. I..AMBERT, Les Echinides fossiles de la province de Barcelone^ 9 pl., 128 p..... 25 « 25. — II.-17. Sauvage, Recherches sur les Vertébrés du Kiniéridgien supérieur de Eumel \ Lot-et-Garonne)., 5pl., 36 p. ' 12 » 2r>. — Ch. Depéhet et F. Roman, Monographie des Peclinidés néogènes de l'Eu¬ rope et des régions voisines partie ; genre Pecteu), 11 pl,, 104 p. 27 » 27. — G. Doli.füs et Ph. Dautzenberg, Conchyliologie du Miocène moyen du Bassin de la Loire ; Description des gisements fossilifères Péléci/podes partie) (en cours), 22 pl., 296 p. 63 » 28. — Marcellin Boule, LePacliyæiia de Vaugirard^ 2 pl., 16 j). 5 » 29. — \\ Paquier, Les Rudistes urgoniens [E^el parties)., 13 pL, 102 p. 28 » 30. — Ar. Aovc.k?,., Etudes sur la dassifîcafion et révolution des llippurites, 17 pl., 128 p. 38 » 31. — Albert Gaudrv, Fossiles de Patagonie ; Dentition de quelques Mammifères, 28 p., 42 fig. dans le texte.. . 4 » 32. — Paul Le.moine et Robert Douvillé, Sur le qenre Lepidocvclina Gümbel, 3 pl., 42 p.'... 10 » 33. — Ferdinand Ga'nu, Les Bryozoaires du Putagonien. Echelle des Bryozoaires pour les Terrains tertiaires, 5 pl., 30 p. 11 » 31. — Charles R. Eastman, Les types de Poissons fossiles du Monle-Bolca au Muséum d'Histoire naturelle de Paris, 5 pl., 33 p. Il » 35. — V. Pouovici-IIatzeg, Les Céphalopodes du Jurassique moyen du Mt Strunga [Roumanie), 0 pi., 28 p. 12 » 30 , — Ar. Toucas, Eludes sur la classification et sur l'évolution des Badioliiidés, 24 pl., 132 p.'.c. 48 » 37 . _ Edm. Pell.ut et M. Coss.mann, Le Barrêmien supérieur à faciès urgonien du BrouzeL les-Alais [Gard), 9 fig. dans le texte; 6 pi., 42 p. 13 » 3S. — Charles Jacob, Études sur quelques Ammoniles du Crétacé moyen, 44 fig., 9 pl., 64 p. -0 » 39 . _ A. Pezant, fJlude iconoqraphique des Pleurotomes fossiles du Bassin de Paris, 5 pl., 30 p. I- » 40 _ — P.-II. pRrTEL, Éludes sur les végétaux fossiles de l'étage sparnacien du Bassin de Paris, 3 pl., 37 p. 10 » 11. — Henri Douvillé, Études sur les Rudistes. Rudistes de Sicile, d'Algérie, d'Éqypte, du Liban et de la Perse, 7 pl., 81 p. 20 » 42. — Léon Pervinquière, quelques Ammoniles du Crétacé algérien,! pL, 86 p. » EXTKIITS ül llÈGLEMEPiT DE LA SOCIÉTÉ (iÉOLOGlüüE DE FRANCE 28, Rue Serpente. Paris, VI. Aht. 2. — l/ol>jel «le la Sociélé est de concourir à l'avaucernent de la Géolog:ie en f^énéral et parti¬ culièrement de faire connailre le sol de la France, tant en lui-même que dans ses rapports avec les arts industriels et l’a^^idculture. nombre des membres de la Société est illimité. Les Français et Ftrangers peuvent également en faire partie' I! n’existe aucune distinction entre les membres. AuT. -L _ Pour faire partie de la Société, il faut s'étre fait présenter dans une de ses séances par deux membres «pu auront si^^tié la présentation*, et avoir été proclamé flans la séance suivante par le Président. .\ht. —La Sociélé tient ses séances liabituellesà Paris, de Novembre à Juillet. Aht. 3lb — La SacJélé se réunit deux fois par mois (Habituellement le P'' lundi du mois à 8 heures ! 2 flu soir et le 3" lundi à cinq heures). Aut. PJ. — Pour assister aux séances, les personnes étrangères à la Société doivent être présentées cha(|iie fois [)ar un de ses nicml)res. Aht. Ib. — I.es memlires de la Société ne peuvent lire devant elle aucun ouvrage déjà imprimé. Aht. 18, — .Vueune communication ou discussion ne peut avoir lieu sur des objets étrangers à la (îéologie ou aux sciences (pii s’y l'attachent. Aht. .)U. — Cliaquc année, de Juillet à Novemi>re, la Société tiendra une ou ]>Iiisieurs séances extraordinaires sur un point qui aura été préalablement déterminé. .Aht. .),L L n bulletin périodi(jue des travaux de la Société est délivré graluitemcnl à cluupie ’au prix de Ja colisa- mciubre. .Art. ... II ne peut être vendu aux personnes étrangères à la Société qu’ tion annuelle. Aht. ,),S. — Les membres n'onl droit de recevoir que les volumes des années du ILilIeliii pour ■leures à un Ic.squellos ils ont payé leur cotisation. Toutefois, les volumes correspondant aux années antériei a leur entrée dams la Société, leur sont cédés, après décision spéciale du Conseil et conformément à tarif déterminé. Am . tiu. _ Quelle que soit la lo,ny:ueur des notes on des mémoires insérés au bulletin, les auteurs pourront en faire faire à leur frais un tirage à part. .Aht r.i. — Cltaffue membre paye : /■> un droit d'entrée; 2° Le droit li entrée est fixé k la somme de 20 francs. Ce droit pourra être auymenlé par la suite, mais seulement pour les La cotisation Runuellc est invariablement fixée k 30 francs. P'^r le cersemeut en une cotisation annuelle -. s nienihres à élire. (minimum : 1.000 francs). i.r. ne fa •''OCieté 'tfin Un fn 'ï'/ MAlUi.N hotat niFHKs, iMpniMKuns.' Le Géranl : h. MÉMIN.