ОА А СОК REN с а A "à ea Е р о 0 à au EEE Е rage я ne or ge FD EAN па Bi ve мя Br ec fr мм Ра» вне un EME ко es er ЕЕ ne Pan ES à ae TI Pre Pare Istatie Te u а Dre ann em #14 = ae der À СН зар, ретро, tons С Da Da en PE a vos ana LA NEN CENT DES . > REKEN Gone ы рвы : We 5 $ + ee Inn p ы Er $ 4 à art « + per 0 ana aa Ph Sa Pa De Do De sten Bet no a fe ne - DS SEEN ICH BRIEF NE 2 =. 7 я x x к à Е ев еще = - - San ы es ie 2 BE a u À = QE L ES N sue 5 22 x - 3 - wi À et Е - = ee PE ade P - R < - Ч ко ee +. В £ Bear ce ER 5 , SRE : < к r dore a . Le A5 ete rt ; « x Я % ги ETES Sn Lire 43 Amine a nenne he ae Зе. Je ER SE RER À EN WR) Sal a u Se ES ua te tt ee PRESSE tat Se rs reset 4 у | 44710 в JUS ; | \ a и у Kt (4 А Au Я En l | 5 р Das | Lu ait 1 À у у р й т II, re р Ури Е 1 IS D | | р у И И Le В \ } u L x ah j | ] 70 | р | N , 1 Г" Г 1 1 ' 4 L О { а 1 j р a 1 р р ' Г 1 4 Fr à | 1 р LEUR Ne er | f ' — О 1 nl И ий | En Г р ÿ ‹ В : \ VER tt \ | | ANNO: PA N LU var ил. AE D: fi IND N Te AL NT US м | CON N |. Aka MÉMOIRES DE C'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE SAINT-PETERSBOURG VIT SERIE. fe f и TOME XXII. (Avec 36 planches) SAINT-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: M. une M. а EN Vos»’ Re Haessel). Prix: 19 Roubl. 45 Cop. = 47 Mk. 90 Pf. Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des Bu RS | | I A. Strauch, Secrétaire pe nérie de l’Académie Impériale des sciences. Vass.-Ostr. 9° ligne, № 12 ; Ne TABLE DES MATIERES DU TOME ХХХУИ. N 1. Mémoire sur l'intégration des équations différentielles symétriques. Par B. Iınchenetsky. 38 pages. № 2. Ueber die Ammoneen der Artinsk-Stufe und einige mit denselben verwandte carbonische Formen. Von A. Karpinsky. (Mit 5 lithogr. Tafeln). 104 pages. № 3. Wissenschaftliche Resultate der von der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften zur Erforschung des Janalandes und der Neusibirischen Inseln in den Jahren 1885 und 1886 ausgesandten Expedition. Abtheilung I: Die paläozoischen Versteinerungen der Neusibirischen Insel Kotelny. Von Baron Eduard v. Toll. (Mit 5 Tafeln). 56 pages. N 4. Neue Form magnetischer Variationsinstrumente und zugehörender photographischer Registrir-Apparate mit Scalenablesung. Von H. Wild. (Mit 12 Holzschnitten im Text und einer Tafel). 50 pages. { № 5. Wissenschaftliche Resultate der von der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften zur Erforschung des Janalandes und der Neusibirischen Inseln in den Jahren 1885 und 1886 ausgesandten Expedition. Abtheilung II: Tertiäre Pflanzen der Insel Neusibirien. Von 3. Schmal- hausen. Mit einer Einleitung von Baron E. v. Toll. (Mit 2 Tafeln). 22 pages. № 6. Nadel-Inclinatorium modificirter Construction. Von Ш. Wild. (Mit 3 Tafeln). 28 pages. № 7. Die Pockenkrankheit der Tabakspflanze. Von Юма. Ewanowsky und W. Poloftzoff. (Mit Tafeln). 24 pages. Syrisch-Nestorianische Grabinschriften aus ee Herausgegeben und erklärt von D. Ch Nebst einer Beilage: Über das türkische Sprachmaterial dieser Grabinschriften vom A miker Dr. WW. Radloff. (Mit drei phototypischen Tafeln und einer ebensolehen, Prof. Dr. Julius Euting ausgearbeiteten Schrifttafel.) 168 pages. № 9. 9: Mémoire sur la transformation des séries peu convergentes en séries très convergentes. Par André — Markoff. 18 pages. Li ES 10. Ueber das Gesetz der Veränderlichkeit der Winde. Von A. Gadolin. (Mit 8 Tafeln). 90 pages. M 11. ео с d'histogénie végétale. Développement des tissus dans les organes végétatifs des Oryptogames Vasculaires. Par №. Georges Poirault. (Avec 5 planches). 26 pages. | № 12. | Ueber die Abhängigkeit der Wärmeleitungsfähigkeit von der Temperatur. Von ®. Choc ss pages. № 13 ET DERNIER. Beiträge zur Craniologie der Ainos auf Sachalin. Von Dr. А. Tarenetzky. 56 pages. MÉMOIRES | Г. L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, УП" SÉRIE. Tome XXXVII, N° 1 MÉMOIRE #1 TECRAUN DES EULATIONS АРАРАТ SYMÉTRIQUES ` PAR à B. Imchenetsk y. (Lu le 14 février 1889.) EN И. Sr.-PETERSBOURG, 1889. Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences: à St.-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: M. Eggers & Ci° ct J. Glasounof; М. М. Kymmel; Voss’ Sortiment (С. Haessel). Prix: 60 Кор = 1 Мик. 50 Pf. й : Imprimé par ordre de PACA Imperiale des sciences. Mai 1889 —— ÿ de Définition des équations différentielles symétriques. 1. Considérons un système d'équations différentielles de la forme 2 ; 8 =Х,, @=1,2,..., я) (1) où des fonctions données X, des n + 1 variables $, 3,,..., x, sont soumises aux conditions suivantes. Soient h, 4, à des indices différents pris dans la suite des nombres 1, 2,..., 7; (Х,), (X,), (X,) designent, pour abréger, се que deviennent respectivement X,, X,, X, quand on y échange entre elles les lettres x, et x. Cela posé, supposons que les égalités (Х,) == Х,, (X, — X,, (X,) —= x, (2) soient verifiées, pour toutes les valeurs différentes des indices h, №, à non superieurs à и. Il est facile de voir qu’en vertu des conditions (2) le système d’équations (1) reste toujours le même, quand on y fait une transposition de deux variables x,, 2.,..., x, quelconques. En effet, par la transposition des variables ©, et x,, par éxemple, les équations dan __ dan _ а X, et te X, s’echangent l’une contre l’autre, les autres équations du système (1) n’éprouvant aucun changement, en vertu des conditions (2). Si la variable $ n’entre pas dans les fonctions X,, vérifiant les conditions (2), le sy- stème de, _ de, _ dan pa —= Ра, — el sp > (3) aura la même propriété que le systeme (1), par rapport aux transpositions de toutes les variables. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. JL 2 - В. IMCHENETSKY, La propriété, qu’on vient de décrire, des systèmes (1) оп (3), vérifiant les conditions (2), suffit, il nous semble, pour les désigner sous le nom d’équations différentielles symétriques; le choix de cette dénomination sera justifié encore d’avantage par le role important qu’ont dans la théorie de leurs intégrations les proprietés des fonctions symétriques, comme nous nous proposons de le demontrer dans ce qui suit. Propriété caractéristique des intégrales des équations symétriques. à. Si DE %,-.., D; ee, бр». .-2,) == Const, est une intégrale des équations symétriques (1), la fonction o satisfait identiquement à l’é- quation aux derivées partielles 99 Och 09 0p tn Art N En faisant la remarque que la dernière identité ne cesse d’éxister quand on y fait la transposition des variables quelconques x, et x,, on aura д% д д д д (*)- (2) (RS + (22) BARS + (2) a (>) (Х)=0, si l’on continue, comme si-dessus, de mettre entre parenthèses les fonctions ой on suppose la transposition des lettres x, et «,. D’après cette convention (+) representera la fonction intégrale ф après la même transposition et nous aurons 9 — (=) Я = (=) (>) 06 \&/? ox \oxx/? Om \dan et généralement 9(Ф) __ (4% le) h, k, à étant des indices différents non superieurs à и. A cause de ces dernières égalités et des conditions (2) l’indentité précédente peut se mettre sous la forme 0 ($) 0h DANONE а 9(®) ух _ De Tige TI EN ion, Ху... НХ, —0 tn п et elle montre, que (p) = Const. est une intégrale des équations symétriques (1). : жа (#7 MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFERENTIELLES SYMÉTRIQUES. 3 Si, donc, on fait toutes les transpositions possibles des variables 21, ,,..., x, dans l'intégrale quelconque ф — Const. des équations symétriques (1), les resultats ainsi obtenus seront aussi des intégrales de ces équations. Mais au moyen des transpositions successives on peut toujours obtenir toutes les per- mutations possibles de n variables 2, &,,.. ., %,, dont le nombre N—1.2...n. Sion designe par À,, À,,..., Ay toutes les ие différentes, les valeurs a de la fonction intégrale ф pourront être exprimées par P (6, À), ® ($, Le ae) P (é, À). Il ne peut y avoir parmi ces N fonctions intégrales qu’un certain nombre №, non su- perieur à n, dont les valeurs sont différentes. Soient Ф (6, An), Ф (6, Аз), © (6 4е,),. CHAR) ® (6, Я) la serie complète de différentes valeurs que peut prendre la fonction intégrale @ par toutes les transpositions des variables x,, 2,,..., x,; alors par l’effet de ces dernières les mem- bres de la série précédente ne feront que s’echanger entre eux. Donc, en posant Ф (+64), p (6, 4i),..., o (6, 4, )) = Const. B—1 on a une intégrale des équations symétriques (1) et cette intégrale sera symétrique en 1, 2.,..., %,, Si D designe une fonction symétrique par rapport à œ(#, 4;),..., œ(f, Asa) On peut, par consequent, énoncer la propriété caractéristique des intégrales des équations différentielles (1) ou (3), qui verifient les conditions (2), par la proposition suivante: Théorème. Chaque intégrales du système d’équations symétriques (1) ou (3) s’ex- prime immédiatement par une fonction symétrique de #,, «,,...,4,, ou se reduit à une pareille expression par de simples transpositions de ces variables. En d’autres termes, le système complet d’integrales d'équations différentielles symétriques (1) et (3) est toujours exprimable par des fonctions symétriques de x,, %,,...,%,. Changement des variables propre à fournir les intégrales symétriques des équations différentielles symétriques. 3. Les intégrales symétriques des équations différentielles symétriques (1) ou (3) peuvent être obtenues en introduisant des nouvelles variables s’exprimant par des fonctions symétriques en x, &,,..., %,; Car Chaque intégrale des équations transformées s’exprimera alors en fonctions symétriques des variables primitives. 1* 4 B. IMCHENETSKY, Nous allons considérer deux systèmes de variables qui ont l’avantage de donner la possibilité de s’appuyer sur certaines propriétes des fonctions symétriques, en effectuant la transformation des équations différentielles symétriques de forme assez générale. En posant Г (2) = (4—2) (&—%,)...(x —2,) Ах ‘р *...- р, оп aura un système des variables symétriques définies par les équations: D HU +... = — p, (Р) 9 ee + oe. + « ee. eee 0 00° ee ee | AR here Es T, =, I { DR... (СР, par lesquelles on peut remplacer x,, x,,...,x, dans les équations différentielles symétriques. Au même but peut servir un autre système des variables symétriques donné par les équations: На, На... 5, | D + 2) +. a) —Ss, (5) | n nn п ДН т... — 5, Après avoir integré completement les transformées еп p, des équations différentielles symétriques (I), on peut généralement exprimer en fonctions connues de # les coéfficients de l'équation algebrique: 2" + p, д" ‘р x" ‘+...+p,—0, qui définit alors les va- riables primitives x, comme des fonctions implicites de #. Les variables р, s’exprimant par des formules connues en s,, la remarque precedente s’applique aussi aux équations diffé- | rentielles symétriques transformées en s,. Introduisons encore les fonctions 3 р. И аи о en) où le coéfficiént.de х”_", donné par la division, est ($) _ mhk—i k—2 k—3 Pr —=T; р, 2, 7.2; РЕ MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES SYMÉTRIQUES. 5 et il peut aussi être exprimé comme la somme de différents produits de n— 1 racines . ` . .r k—ı ое... prises de k— Тай 1, multipliee par (— 1) :. Maintenant, en differentiant les équations (P), on aura de, +...+ dt, +...+ de, = —dp,, \ р da, +...+ ра... рп dx, = — dp,, | | ро da... ро аа... 0 de, = —dp,, N (P) de, dp”, dx, = —dp, | Ajoutons ces équations multipliées respectivement par 2,” ', 2," ",...%,, 1; à cause de К, (= . RC) OC) . = (&)—= 0 et 7 Бе) =Ё (@;); on trouve 27 тар”? dpe ++ ри арт - Mi FAC) G) П suit de là р да Le ant dk — 7 (6) et des équations (Р”) on obtient д ke = dur vB — pP, , = HU о. +9, + Py_)) (7) où on peut faire k=1,2,...n,i=1, 3,...n, en posant p "= 1. De même, en différentiant les équations (S), on a da, +...+ dr, +... + dx, = ds, 2 ФН... 2 d2,+...+ 2 di ds, 8) == n— Nn— 1 и В О Par addition de ces équations multipliées respectivement par po DC N CD El, comme ci-dessus, on obtient Е БЕН AU SPP AR EE Su (8) 6 B. IMCHENETSKY, De la dernière formule et les équations (5') on a ©) dx ha д SE an (10) ke, г ol De 4. Application des propriétés des fonctions symétriques au changement des variables dans les équations différentielles symétriques. Après avoir obtenu les éxpressions (5) et (8) de dx,, dx,,..., dx, par dp,, dp,,. . .,dp, ou par ds,, ds,,..., ds, il faut les substituer dans les équations (1) ou (3); mais, pour achever leur transformation à des nouvelles variables (P) ou (5), il resterait encore à у introduire les valeurs de x,, 2,,..., 2, en fonctions explicites de p,, p,,...,p, ou de $1, 8...) 8, Ce qui est impossible, dans les cas n > 4, ou, quand n <4, amenerait des expressions compliquées des radicaux. Cela nous oblige à nous borner à de telles formes d'équations différentielles symétriques, dont la transformation mentionnée s’effectue à l’aide de certaines propriétés des fonctions symétriques, sans demander la resolution de l’équation Г (2) = 0. Soit ф une fonction quelconque des variables $, x,,..., %,; en la différentiant on a д 8 99 92 = tn, 4, +... den nt + HA. Hi @ dk 2 d dans la fonction ф et ses derivées, on aura et, en designant de nouveau par ($), | h ( =), les resultats de la transposition de x, et x, $ d @=(%) dt (32) da, +... + (2) dx, +.. .+(2) HAE (>) ат», \ en vertu des égalités (4). Si l’on suppose maintenant х = ($), с. à d. que ф est une fonction symétrique de ий ., 2, оп aura 2° do— ($), et de 15, on conclu que, pour tous les indices différents Ah, №, à pris dans la suite 1, 2,...,%, on à identiquement LEE One OUEN RER 2 _% 90%) 1 би Nds) 13.0067) ОО Ces égalités étant analogues à (2) оп voit que le système d’équations différentielles de la forme CL; О 5 (A) mm @=1,2,..., п) est symétrique, si la fonction donnée ф elle même estsymétrique par rapport à 2, æ,,...,4,. MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES EQUATIONS DIFFERENTIELLES SYMETRIQUES. 7 Nous supposerons de plus que w, v, w,... étant des fonctions rationelles et symétriques de x,, 2,,... %,, Ф est une fonction quelconque de $, u, v, w,... Cela posé, nous allons nous occuper de та transformation des équations (A) en у et les variables s,, s,,...s, зе: de 2, %,... 2. On peut écrire les equations (S’) comme il suit N 48 N k—ı dx mh т; dt? (1: 2,...n) il et en y portant les valeurs de @ о ‚ des équations (А) оп obtient 45} k—1 = р р. el, 2,..., 0) (A) = Les seconds membres des dernières équations s’exprimeront en £, $1, 5,,... S,, à l’aide d’une formule donnée par Raabe *). On trouve sa démostration avec un corollaire, qui nous sera utile, dans un ouvrage de Faà de Bruno (Théorie des formes binaires, р. 33—35), d’où nous l’empruntons. Considérons ©, comme une fonction de p,,... р, et en y portant les valeurs de ces variables, exprimées par les équations (P), nous aurons une identité qui différentiée partiel- - lement par rapport à x, et à х,, h étant différent de 2, donne 0 pi 0%; др» 07; бр Pr 0 др» 0% BE AE Pr 095 = 0%; ОР 0x; др дх; др, др: 0h OP» OR On ICh Si l’on ajoute ces deux équations, la première multipliée par ни, la seconde — par а et si l’on fait en même temps # = 1, 2,...—1,i+ 1,...n, on aura № n N п 9%; k—1 00): 04 k—10p _,_ 0%; k—1 07% k—1 mt Sa a a Poe Mais d’après l’équation (7) on а Op Er (h) ur 1—1 1—2 —— A OT N, 9); *) Crelle Journ. 48 B. 170. S. Wurzeln alg. Gleichungen durch differ. Gleichungen ausgedrückt. 8 B. IMCHENETSKY, donc, en posant généralement FREIE: r г T $ = + +... HE, pour des valeurs de r entières et positives quelconques, on a ® р | = > т, a (GR DIS Пе pre $). h=1 2 En posant (11) N re, De) on aura la formule de Raabe GE 95; 9% __ „Ё— (В) и бр, k—1 , 2 0p, IE non — № ' Multiplions maintenant l’équation (В) par 2 = ze sommons toutes les équations que l’on obtient en faisant varier l’indice de = 1 à à AN: il viendra N k—ı 99 0$ 9p 8 (12) У т, р =, И т a a LEN np 1—1 А l’aide de la formule (12) les équations (A’) prennent définitivement la forme suivante 4% 99 99 (A,) blu, > 1 др. || Оп peut regarder la transformation comme terminée, en sousentendant que dans les seconds membres des équations (A,) sont substituées au lieu de p,, p,,... р, et aussi de s,, pour r > п, leurs expressions en fonctions entières de 3,, 85)... S,. Si l’on veut avoir séparément les différentes équations du systeme (A,), on y fait suc- cessivement 4 — 1, 2, 3,... et on trouve facilement = [re -=®— Пр. нЕ pe pue 2 mE +2 + Dt] Le — — 3 CE +) Da (р. SP) + + - (PSP Ben En 8, ] et ainsi de suite. ' de la deuxième equation se reduit tout simplement à 209. *) Si la fonction ф exprimée en ру, Pa: Ри est ra- tionelle et isobarique du poid ©, alors le second membre MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFERENTIELLES SYMETRIQUES. 9 5. Nous avons transformé les équations différentielles (A) en (A.), en utilisant les for- mules connues de la théorie des fonctions symétriques. Mais il serait à désirer de se deba- rasser des variables auxiliaires p,, p,,..., p,, dans les seconds membres des equations transformées (A,), en n’y laissant que 5,, 5,,..., s, et les derivées partielles de ф par rap- port à ces variables. Ce qui est possible en effet, moyennant une formule nouvelle, analogue a celle de Raabe que nous allons obtenir maintenant en imitant la démonstration précédente de la formule (В). Considérons, à cet effet, ©, comme une fonction de $1, 5.,...,5,, en y n? mettant les valeurs (3) de ces variables, on obtient 0x5 05] дз 08% __ ds, баз о аа ee LI Е Er 38 0) 95. 07h т Sn 0х о р @—1. 2. ее! 9). De là, en multipliant la première équation par @," ' et la seconde par 2,” ', par ad- dition des résultats on a Mais, d’après (10), п k k—ı 08, __ kti2 __ . Da DL =; h=1 h=1 done on aura k—ı__ 0%; CL 9% 7 7; —1. 105 +28 PRÉ era (В) une formule analogue à celle de Raabe. En la multipliant par = et en faisant la somme des resultats pour = 1, 2,... п on (2 obtient k—1 99 __ 0 dp 0x De дж — lp Be eg eee Mono Du (13) une formule analogue à (12). Au moyen de (13) les équations (A’) recoivent la forme Ash __ Ip 0p дф Er hs, +2 +. RS = (A,) & = 1, 2,..., п) qui est évidemment plus simple que (А, ). Il ne reste plus qu’à exprimer tous les s,, pour r>n, en fonctions de s,, 5,,... s, par des formules connues. Mémoires de l'Acad, Гир. d. sc, VII Serie. r 2 CE LS 10 | В. IMCHENETSKY, Il est facile de vérifier l’identité des équations (A,) et (A,) par la formule 0 op op =—-[y PP Pr A due & M-r Brioschi а de В. Théorie des formes binaires, р. 22). x On en tire facilement | дФ дФ (16) Ip Lee I Min qe, | 0p op 0p — feu, Zu —+($, +9, $) т + (к + Di Sy + Do Sy) т Ip AL (SRE 71:0; Зи ТРО FD 57. Л $) = | ы Ce qui montre que les seconds membres des équations générales (A,) et (A,) sont iden- tiquement égaux; puisque, d’après la formule (11), on a т к Ав (Я )) А rn NET (SH FD: Sp FD 1) Aa nn т Gras ан ED Sy). 6. On exprimera aussi facilement les équations (A) en variables p,, р.,..., p,, de- finies par les équations (P); mais les équations transformées seront un peu plus compliquées que les précédentes. La méthode directe d’obtenir les équations demandées au moyen des équations (A,) ou (A,) est la suivante. Si on prend du systeme d’&quations (3) les k premières, % étant un nombre non supé- rieur à я, оп à N 5 ' | N" k—2 1 k—ı 1 > dx, = ds à = dB. BAR > 2 dr, =; 4, > 1; dvw—=-ds,. = 8—1 8—1 = En ajoutant ces équations multiplées respectivement par p}_,, Pis: + Pr, 1, et en ayant égard aux équations (P’) on trouve ds ds, ds ds (14) об Ен о ВИ 5 la formule qui а déjà été signalée par nous dans une autre occasion *). *) Записки Академи, T. LVIII, 1888. MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES SYMÉTRIQUES. 11 Maintenant on se rend facilement compte de la complication plus grande des équations différentielles en p comparativement à celles exprimées en s; car la formule (14) montre que la k-ième équation du premier systeme se compose par l’addition de toutes les k pre- mieres équations du second système, multipliées respectivement par р, Py_,,.-., Pi, 1. De cette manière on obtient aisément du système (A,) les équations dpr _ 19 Ip 09 с urn Ben op où Ben = Ps do, FM on ee D ds, Pl — | 2: в} et du système (A,) оп aura les équations ар __ dp дф 0p am en а, 1, № Yen Фра Sp pe За ТЕР, Зо Au PRE AL LE а En substituant les valeurs de № ,, À, ,;... À, tire de (15) —1,й? в = В Pr So (Pi Pi + Pr Pr) 81 и (Pr Pr Die 7 ne D Вы) 82 DE DEAD SD ое ЕР DS: рев HD 25-Е Di Ds) Sr. + (D, D ED Pi + D D.) Зы a (р: Do +D D) Shops ur Serh—2 (A,) (15) ‚ (А) (16) obtenues par la formule (11), on (17) l'expression isobarique de Ur du poids k-+h— 2, où sont introduites les quantités s,—n et p,— 1, pour mieux faire voir la loi de sa composition. Enfin, la formule (16) des coéfficients v;,„ peut être simplifiée comme il suit. 2* 12 B. IMCHENETSKY, 10. Sik+k—1 | (B;) nn 2 = Mix 1 sy k,2 + eo VE à аа | (В, а analogues aux équations (A,), (A), (A,), (A,). $. Nous allons chercher maintenant les conditions nécessaires et suffisantes pour que les équations symétriques d’une forme générale MX, (Ü—1,2,...,9) (1) soient susceptibles de réduction à la forme (A) ou (B). La symétrie des équations (1) suppose, d’après sa définition ($ 1), les conditions (2). Il est évident que les équations (1) se réduisent à la forme (A) si l’équation X, dx, + X, da, +...+X, dx, = de (20) est possible. On a alors X, = a m) et le premier membre de l’équation (20) ne variant pas par des transpositions des variables D, Dose +) D, la fonction ф en est symétrique. L'existence de l’équation (20) а les conditions de la forme NE = 0, ею | (21) р 1 : { 3 dont le nombre est égal а — п m — 1). Mais, comme on sait, ces conditions, pour n > 3, ne sont pas toutes distinctes entre elles et leur nombre se réduit généralement à 2n — 3. Nous allons voir que dans le cas présent, en vertu des conditions (2), les conditions distinctes de la forme (21) se réduisent à une seule et que les autres en découlent par de simples transpositions des variables x,, &,,...,,. Supposons, en effet, que l’indentité (21) existe pour quelques valeurs particulieres différentes des indices % et à. Elle continuera d’avoir lieu après la transposition des variables x, et æ,, h étant différent de k et de &, ce qu’avec notre notation on peut exprimer par l'égalité (8) 0x; Oi 14 B. IMCHENETSKY, Mais des conditions (2) il résulte que Donc, l'égalité précédente a la forme OR OR à PNR Da; Om —(h; 1) = 0: Maintenant, en désignant par j un indice non supérieur à n different de 4, №, № et en transposant les variables 2,, x; dans la dernière identité on en déduit, de la même manière comme ci-dessus, la suivante No aire BITTEN! Par conséquent: si les fonctions X,, X,,..., X, satisfont aux conditions (2) et verifient une seule des conditions de la forme pour des valeurs particulières des indices k et i, non supérieurs à п, l’éxpression différentielle Х, dr, + X, da, +... +X, dx, est une différentielle éxacte d’une certaine fonction ф symétrique en x, , x, EC ©, que Гоп peut toujours obtenir par la quadrature, en cosidérant la variable t, qui peut être contenue dans les X, comme une constante. Telles sont les conditions de réduction immédiate à la forme (A) des équations diffé- rentielles simétriques de la forme générale (D). 9.11 peut arriver que les conditions (2) étant satisfaites par les fonctions X, les con- ditions d’intégrabilité (21) ne le sont pas, alors il reste encore à faire Геззме d’obtenir la fonction ф, symétrique en x,, &,,... æ,, en intégrant l’expression différentielle X, dr, X, di, +... + Х, dx, multipliée par un facteur inconnu x. Soit donc | #40 (X, da, X, day... X, de) = de. MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFERENTIELLES SYMETRIQUES. 15 De là il suit que 50 | д д р Хы В Ха ых, = (22) ’ x $ h, k, à étant des indices différents non supérieurs à и. D’après les proprietés des derivées partielles de la fonction symétrique ф (n° 4), еп trans- posant x, et 4, nous aurons (2) (Х,) == X, (PR) (X)= IR ER (te) (X,) = X, d’oü, en vertu des conditions (2), il suit = c’est à dire que le facteur p doit être une fonction symétrique. Par l'élimination de ф et de des équations (22), il vient 0%, __ 0% ох; ох 2х, __ 9%) _ Xi (os m Х, Fe a) (23) h, k, à étant des indices différents quelconques pris dans la suite 1,2,..., п. Le nombre des conditions (23) est égal à = п (п— 1) (n— 2); mais ces conditions ne sont pas toutes indépendantes les unes des autres. En écrivant les quatre équations (23) renfermant trois _ des quatre indices différents 1, k, 2, 7, non supérieurs à п, on trouve, comme on sait, que _ chacune d’elles est la conséquence des trois autres. De là on conclut que généralement le nombre des conditions (23) distinctes ou indépendentes se réduit à 5 (n — 1) (n — 2). Dans le cas que nous considérons, c’est à dire quand les conditions (2) ont lieu, les conditions (23) se réduisent à une seule, d’où l’on peut obtenir, comme on le fera voir, toutes les autres, de la même éspèce, par des transpositions des variables 21, 2.,... u En effet, supposons que l’égalité (23) ait lieu pour quelques valeurs particulières de h, k, à différentes entre elles et non supérieures à n. Avec la notation déjà employée plus haut ou peut l'écrire Х, (9) Х, (i, h)+X, (M, k)—=0 . ou plus brièvement gr à (h, k, i) — 0. Cette identité en donnera d’autres si l’on y fait des transpositions des variables % 5 2,,..., %,. Mais en transposant +, et x, 9 étant un indice différent de k, k, à, on obtient X, (k, 8) + X, (6, 9 + Х, (9, k) = 0, 16 B. IMCHENETSKY, ou (9, k, 3) = 0, en ayant égard à (2) et à се qui est demontré plus haut (n° 8). De la même manière de cette dernière égalité on tirera (g, 5 i) = 0 et enfin (g, £, ÿ = 0, L étant un indice différent de k, $, g et j de $, д, 1. Donc nous avons demontré que si les fonctions X,, Х,,..., X, satisfont aux conditions de symétrie (2) et verifient en même temps une seule des conditions (23), il existe alors un facteur №, fonction symétrique de x,, 2.,..., %,, tel que l’éxpression в (Х, di, + Х, dt, + ... +X, da,) soit une différentielle éxacte d’une certaine fonction ф symétrique en 21, &,,...,4,. On obtient ce facteur en intégrant une équation différentielle du 1-r ordre à deux va- riables, p. ex. X, dx, + X, dx, = 0 еп y regardant $, х,,..., 2, comme des constantes. Quand оп aura obtenu la fonction symétrique ф par la quadrature | в. Х X, dx,, on pourra mettre les équations (1) sous la forme (0) Ber 2,1) qui n’est qu’un cas particulier des équations (B), correspondant aux suppositions: 1 PN y) 0, =.. 0, — 0; Donc, quand on passe des variables primitives aux variables р ou $ du #° 3, on aura les transformées des équations (С) par les formules (B,)...(B,). 10. Au lieu des conditions (2) qui définissent la symétrie des systèmes d'équations (1) et (3) et d’où découlent leurs proprietés communes démontrées plus haut, on peut assujetir les fonctions données X à d’autres conditions, telles qu’en vertu d’elles le système (3) restera symétrique tandis que les équations (1) ne le seront plus. Imaginons pour cela de nouveau une transposition dans les fonctions X de deux quelconques des variables Di, Toys %,, Par ex. ©, et х,, et supposons que l’on obtient (2°) (X,)= — X,, (ХХ) =—Х, (X;)= —X, у MÉMOIRE SUR L’INTÉGRATION DES ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES SYMÉTRIQUES. 17 h, k, à désignant des indices différents non supérieurs à n; alors par l'effet de la même transposition les systèmes d'équations (1) et (3) se changeant respectivement en а | MX, (—1,2,...") (1°) et dx а. 0 —х = =; (= 2, 3, . п) (3) montrent que seulement le système (3) est symétrique. Il est facile de faire voir, comme au n° 2, que le système complet d’integrales des équations (3) s’exprime par des fonctions symétriques de #,,%,,... æ,, si les conditions (2') sont verifiées. On peut obtenir ces intégrales symétriques en introduisant dans les équations (3) les variables (P) ou (S) du n° 3 au lieu de %,,%,,...x,. Mais cette transfor- mation ne peut être efféctuée, sans demander la résolution générale de l'équation algébrique Г (x) = 0 du degré и, que pour certaines formes d'équations différentielles symétriques ana- logues à (A) ou (B). Pour obtenir les équations demandées il suffit de’supposer: 1)que la variable # n’entre pas dans (A) et (B) que par sa différentielle dé de sorte qu’elle peut en être eliminée; 2) que 1, 0.,..., 0, étant des fonctions symétriques, comme auparavant, les fonctions 9, ®,..., Ф, au lieu d’être aussi symétriques sont maintenant des fonctions rationelles et alternées. En effet il est facile de montrer l’éxistence des égalités: Li es О PE 1109 (= ORTE OL д GENE N дх;? en supposant que ф soit une fonction alternée de %,, 7.,...,2,, et que par parenthèses on indique, comme ci-dessus, les résultats de transposition des variables x, et x,, h, k, à étant “des indices différents non supérieurs à я. Or toute fonction ф rationelle et alternée de x, фФ= Э.П, S étant une fonction symétrique et l’autre facteur II de ф pouvant être mis sous une des formes suivantes: %,,.-., 2, 001 avoir la forme П= (8, —%,) @— 2) %—2,) . . ; ae Ma NE due), au в а Te Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 3 18 B. IMCHENETSKY, = $1 So 53 Sn 52 So Sy = 5, Le Sn—1 ? Sn? Sn+-12 ... San On voit par là qu’on peut toujours exprimer les fonctions rationelles et alternées P: Di5- 5) Ф, 30 END Penn 7 Dis SOLL ENS) 54, $ Donc, aux équations diff. symétriques (A) её (В) modifiées, comme il vient d’être indiqué, s’appliquent les mêmes transformations (n°n° 4 — 7) qu’aux équations (A) et (B) non modifiees. 11. Exemples d'application de la théorie des équations différentielles symétriques. Ex. I. Soient "РТ. а 1 Lo dan == = «+ = =0 = = X | Li da Lo AL zh dan 0 - — 1) 1 2 An } | я т In 2 den 0 | x x; 1.0 où Kann MN 0, до „weh 2,0) 01, Case + 0, désignant des fonctions données d’un ou de plusieurs arguments и, v, m Pa qui sont des bois rationelles et symétriques de ©, %,,...,4,. Le système (1) n’eprouvant aucun changement par des transpositions des variables 71, Laye «+ %,, est symetrique (n° 1). Pour le réduire à la forme normale, posons, comme au n° 3, Г@=@—=) &—2) ...(&@—2,) ан"... +p,, Г, (x) TE и DUR + p,® a+ Ehen. ED, hd) = ah "mo MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES EQUATIONS DIFFÉRENTIELLES SYMETRIQUES. 19 Par l'addition des équations 1) multipliées respectivement par q,_,, 4, .,..., 1; on aura Ji, k < Axe _, Firk ze nn ou, en multipliant par x, — %,, Fila) da; _ Fran) En X; X Enfin, en désignant par dé la valeur commune des deux rapports précédents, on réduit les équations différentielles données à la forme Вх, и, m. En y introduisant les variables (P) du »° 3 au lieu de @,,..., x,, par les formules (5) du »° 3 et 2) de ce n°, on aura d’abord а a3 dq, d (+0) а" Ho) x +. Яо, — (ml N). En éliminant de ces » équations toutes les quantités eo, BR en. с, une seule, d Е . par ex. 7 + 0,, excepté, on obtient Mais le facteur IT, ayant la même valeur que dans le n° précédent, peut être supprimé; donc les équations définitives en p,,..., p, sont 3) M+o—0,(i—1,2,...n) où on peut supposer que les fonctions symétriques 6,,..., o, soient exprimées en p,,...,2,. Si au lieu de la formule 2) les fonctions X, dans les équations 1) étaient définies par la formule | : i i Le Re Hop, +0, + ,(n—=1,2,...,n) Gp... 0, et D), ,..., 21° ayant les mêmes valeurs que ci-dessus; alors, après avoir obtenu les équations Г, (1 о. а des il faut y introduire les variables (S) du n° 3 au lieu de 7, в г. „, ce qu'en vertu des for- mules (7) du n° 3 et 4) donne 3* 20 B. IMCHENETSKY, - ds; (О) 1 ds, 0) (2—6;) we. nat Es 1 4—1 LEO) ER ee dt — 5, ,)# Ty at И @=1,9,.:..%). > . 921: . . x 1 ds, 1 ds De ces п équations, par l'élimination de toutes les quantités 4 — 9... — In 4 , 1 d 7 . . éxcepté — = — c,, il vient (1) (1) (1) р n—1 D n—2r °° 5 D т: (2) (2) (2) о р пл? D п) ** +) D ‚1 . 0 00008 080210010 210000200 © (n n n р по И ; 1 Par cette expression on remarque facilement que ©, tout aussi bien que II, est une fonction alternée, entière du degré и On en conclut que le rapport ©: П est constant. Donc des équations précedentes on tire Me d8; . . 5) = 0, @=1, Des, M) où on suppose с, exprimées en S,, 55,...-, Su Cas particuliers. 1) Soient da, da, . GES LS GR Ses CURE ле ES Sons re 0, = x Zar Em 200 Inn, ЗПР, даа: ЛХ T° x œ, dt > %5 ато хз Ua у 212 EL, За» Xi м, Ня 25? I 0-0, 27 Lo LE T3? 2%] 4% 2 LE Li? La 0 Par l'introduction des variables: = —- + +2) — 220,9, = 2%, 1,9; = —% %, %; et en ayant égard aux égalités: 2 I N RR 2 zer 22 = Pi — 22, 2% y — 3 Ps — Pi Ps; le système d'équations proposé devient dpi us dp, En dpa Pi 2 Po—Pr? 21 22—85 Ps MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES EQUATIONS DIFFÉRENTIELLES SYMETRIQUES. 21 On trouve aisément les deux intégrales de ce système: Pe PE 72 + 105 DC, 3 la PER Grp 1 D Ps с MP — 3 В: = 6, c et с’ étant des constantes arbitraires. En introduisant les variables primitives 21, 2,, &,, оп a > т Lo (Хх, En в, 2—5 x) 30, % — (32,) = cd les intégrales symétriques des équations symétriques proposées. Les équations intégrales donnent c! я 1 Ps =." (c— log 1), в. = И. = 108 р) р? d’où Гоп conclut que les inconnues x,, 25, x, sont définies, commes des fonctions de p,, par les trois racines de l’équation du 3-me degré en x a - ти 1 4 D + p, D + pP? (c—log р.) C++? (c++ — log P)+ 23 = 0. 2) Soient ` da de ах а =0 La пз— (23) Х 8-2 2? 2—2) Х 213 61? % 2.— (1-2) 2 дз > 12 ’ x, da, 2 Lo Cg— (Lg) E02 0? . 00000... Ba NE LA EB SA RB A RE A AE RS JA Exprimées en variables les équations proposées seront MOSS: Е ее, En les intégrant on aura Dan 3002 2 5°, | 3 log (6, +8, V2)-s V6=c, $ { 22 B. IMCHENETSKY, N. d’où l’on obtient 3 92 2 = (24°) —(2%7) = log [22°+y3 Ex) — V6 3x, —c les intégrales symétriques du systéme proposé d'équations différentielles symétriques. Il est facile aussi d'écrire une équation du 3-me degré dont les racines sont des va- leurs de x, , х,, x, exprimées en fonctions de 5, р. ex. et de deux constantes arbitraires с et с’. Ex. II. Soient dti © n° 2 2 FR == З-на HR +20 20,0 = Х, Ч ar. 2 2 2 RH На +20, M +20 2, = Х, day; _ „2 2 2 ES а + +80 +224 + 24, %—X; PO XEROX й Fa à La condition —,, ==0 étant satisfaite, on trouve, d’après une formule de 2 1 М. Combrescure *) X - Хх, л.н X,% | (X, da, + X, ах, + X, ах.) = DE PRE = (ина, 2.) (ден 2) =. Donc, le système d’équations donné а la forme de, _ 9 dm _ 09 du _ 0 at № д MER 402, lab made où la fonction ф est symétrique en %,, 2%, %,- D’après la méthode d’integration des nn? 4 et 5 on introduit les variables (S) du n? 3 et, remarquant que ca Оф DEEE О Фф— 51 54, os. 92 ОЕ И бей on aura, par les formules (A.), les équations transformées: ds, _ а а == 33 26 — 65. 5, 1 re, En divisant la première équation par la deuxième, on а *) Bull. des. Sc. math. t. XI, Note sur les différentielles exactes homogènes. р. 243. d’où par l’intégration on obtient | G = ye 8 +38), c étant une constante arbitraire. Par division de la troisième équation par la deuxième, on a l’équation dés ты, в ds, 2 5 52 еп y portant la valeur précédente de s, et en l’intégrant on trouve ИИ 1 3 3 3 2 N $8 == $5 = С+о$5 $5 eue + C |. Enfin, nous avons encore = а. 2 2 — 65) 8 —65, (csi+3s,) i dt - ou. 1 2 a 1 sine (e+ 85) ds, d’où l’on obtient | 3 ] Ус-+3 si+Ve 1 Vers! Do jo Peru $ Vos 8,3 ae 2° 823 Maintenant il ne reste qu’à substituer les valeurs pbs EX 2 ee 3 о ET) ie pour avoir le système complet d’intégrales des équations différentielles proposées. | Ex. III. Soient = y + +90) = À dx 1 м == 5-5 +L + 2.) M =Х,, (GREEN | ле nm == 5 (НН 2.) №. 9%, 9% CEA GER On s’assure d’abord que les expressions calculant l’expression (x x) (x x) a = =) 1 2 3 me 03 0x, 05 0% OR, CA on trouve qu’elle est égale à zero identiquement. MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES SYMÉTRIQUES. 23 ne s’évanouissent pas, mais en 24 FN Il faut chercher maintenant le facteur propre à rendre différentielle exacte Ге; pr Х, di, +X, а. Ха. 0 _ Mais elle est égale à т 5. (da, + da, + das) + (2, +2.) (x, da, +2, dr, +, dis) ne ou bién, à = | р и à 1 A > (ds, +5, 45.), À si l’on y introduit les variables _ м . | к dote ae НВ 2 2 EN. $1 = FF @ 1$, = 2 FT. т _ On voit par là qu’en désignant le facteur cherché ar, ma 0.0 2 à ОА re а 2 Пе нс LE ‘ 4 4 A l’aide de ce facteur on obtient ^^ с и ER LANGE re EN Гы (X, da, + X, da, + X, da) = 1 ARTS (д нана) =. Donc, les équations différentielles données peuvent s’écrire de, _ 19 de, _ 19 dm _ 10 °С BEN 08,2. Е On du рб, Pour les intégrer on peut introduir, d’après les #n° 7 et 8, les variables 5, =, _ 8 —2%", $$ = 20 et appliquer les formules générales de transformation (B,). En re “ _ marquant, que RTE Bes ren ee > x à | Fe и î NT US ОФ Te, Op MES Lee OR AL TEE 1 фе 51, Е бо № D MINES У fe a on obtient d’abord les équations différentielles suivantes: Ba Я » т à MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES SYMÉTRIQUES. 25 и д ou bien, еп y portant les valeurs précédentes de 1x, ER or, 5 1 2 ds, __ 3 2 482 Ass = a 9 Н 81, pal +28), р ==, 8 + 35; 8; L'intégration de la première équation donne — уз tg (1 уз — с) с — ©0150 En substituant cette valeur de $, dans la seconde équation опа. Rasa. Br = =Узе (уз с) di d’où en intégrant on obtient : log (1+25s,)— log Zi (a) en supposant 6’ = Const. et u—=t V= CA Donc ec’ — cos? u ns 2 cos? и (5) Enfin, en substituant les valeurs trouvées pour 3, et s, dans la troisième équation et en y introduisant la variable и au lieu de $ on aura l’équation linéaire 483 УЗ с’ — cos? u du —3 1.5 moe cos? и dont l'intégrale est UE ( ’ a вши ns el To pe СИ (c) 37 979 7 8/co$u 276 5 cos? и с” étant une constante arbitraire. Pour avoir les intégrales symétriques des équations différentielles symétriques pro- posées il n’y а qu’à écrire Хх, 2%’, Zx,° au lieu de s,, s,, s, dans (a), (6), (©). On peut encore définir les trois fonctions %,, %,, 2. de £ comme les racines de l’équation 3 2 Ben Хр % + Pa 0-90, Mémoires de l’Acad. Гор. d. sc. VII Série. 4 26 _ В. IMCHENETSKY, dont les coéfficients s'expriment par les formules 1 № Ро GS), Dog (S° — 38, 8 +28;) où il faut mettre les valeurs (a), (b), (с) de s,, 5, s. Ex. IV. Soient dc, dx, dx; == АГА EIS 2 Е . D? — Kg? — 28, Lo + 2 Li т; La? — Dj? — 2 Lo La + 2 Lo La D — 8 — 20, 0% + 2 La Lo Si l’on pose } en 2 Е 2 оо. — 72 2 N, U 02 я, K=% — 0% — 2%, нах, on voit que la transposition des variables x, et x, donne les égalités (X)=— XL, = — X, (Х) = — À, et on obtient des resultats semblables pour les transpositions x, et x,, x, et z,. Donc le sy- stème d'équations données appartient au type d'équations différentielles symétriques du n° 9. On trouve que l’expression X, dx, + X, dx, + X, dx, est une différentielle éxacte et que Ха + X, Lo + X ах. | (% di, + X, du, + X, ав) = Re Se hit О 2 REN 2 RS D =, 1, — DE HR — Un De 0,0 — I — 2. Donc, les équations différentielles proposées ont la forme 4х __ 4х. __ dx; Dr 0 TE NS) CEA д. CEA où ф est une fonction alternée que l’on peut écrire comme il suit Pie (2, Er 11) (х. m 1) (CA NT Te) — |2 % 8 MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES EQUATIONS DIFFERENTIELLES SYMÉTRIQUES. 27 Done EN MUR 2 9 LRO ER} о MO Ne 2 1 о $. — 2:8, 8) 09 1 2 о о 53—95.) 0 1 о оо (108 878 82) Si l’on introduit les variables s,, $5, s, au lieu de x,, x,, æ,, les équations proposées, se transformant d’après les formules (A,), seront où on à дф 4 0 99 En substituant les valeurs de Dal ПИ 8. dans les expressions précédentes de 8, , 5,, 8, on obtient SD О EL BEE 2 9 2 о 2 Este $3 8) 85 5, — 385; 8, + SH Sù + 3 So 8 — 8 $,) 38 5. AP Ur) со о $1 85 53 09.8, 4* 28 B. IMCHENETSKY, De la valeur 5, = 0 il suit que ds, = 0 et, par conséquent, que (a) . S = Const, = c est une des intégrales du probleme considéré. Sa seconde intégrale s’obtiendra par l'intégration de l’&quation 5, ds, — 5; ds, — 0 où d’après (a) il faut regarder s, comme une constante. En y portant les valeurs de 5, et 5, et en la multipliant par >, оп aura ф* ds, —Ф ds, = 0 ой опа 358 3.8, $ Ее Еф PS SNS Re Е So 53 Sy 53 84 S5 Mais, еп se rappelant que Son Di Sarre Da Sı m 3 Ps) 54 —= —_ 2: $; — Pa Sa — ВР: 31, 55 —= — D $. — Da Sa — Pa So si l’on considére %,, &,, х, comme des racines de l’équation 3 2 Pe: (b) ния нра HP, —0, on trouve 3 8, $, 3 $1 $ 3 8 % = ps % 855, |095 8 $2 83 $4 81 Sg 83 3 $1 8 ou y=cg parce que — р, = $, = с. Donc l’équation différentielle considérée а la forme p°? (ds, — с ds,) = 0. MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFERENTIELLES SYMÉTRIQUES. 29 En supprimant le facteur ? l’intégration donne $; —С $, == Const. — c (с) Les intégrales du système d'équations différentielles IV peuvent donc être présentées sous la forme symétrique par les équations #2. — C et 8 3 3 2 3 On). DEL +0 — (м-н на.) @ т) = с, d’où il est facile de conclure que x,, &,, 2. sont les racines de l’équation 1 I Le CN ОЕ 0 (CE 2 Ci eue CE) par laquelle ces racines sont définies comme des fonctions de la variable indépendante s, et de deux constantes arbitraires с et с’. Nous aurons l’occasion de montrer, un peu plus loin, qu’une autre manière d’intégrer les mêmes équations se déduit de ce qu’on à identiquement X,+X,+X;— 0. Remarquons encore que dans le système ах __ dx, __ ах А EN ой опа x — La 23 AREA 231 Li Lo Lo 7 Х, = 2 ЕН ENT, 2. La 23 21 т ея 2 2 X, Е Е ENT Eon, ih x l’expression X, de, + X, di, + X, de, n’est pas une différentielle exacte, mais on la rend telle en la multipliant par un facteur symétrique et on retombe sur l’exemple précédent. 30 В. IMCHENETSKY, 12. De l'équation différentielle du 1-r ordre à deux variables admettant une inté- grale symétrique ou alternée. De nos conclusions générales, obtenues plus haut, sur la forme des systèmes d’équations différentielles symétriques il suit immédiatement que, dans le cas le plus simple, quand le nombre des variable n se reduit à deux, la forme de }’&quation du premier ordre admettant une intégrale symétrique ou alternée est la suivante (a) X dy (X) de — 0 où on designe par X une fonction quelconque de x et de y et par (X) ce qu’elle devient quand on y permute les variables x et y. On peut tirer directement cette conclusion des considérations fort simples. Soit en effet (b) dy + f (x, y) dx = 0 une équation admettant une intégrale symétrique ou alternée и, que Гоп peut obtenir au moyen d’un facteur p., de sorte que u [dy + f (x, y) dx] = du. Si l’on fait la permutation des variables х et y dans la dernière egalité, en ayant egard а ce qu’on а (и) =-ч selon que и soit, d’après la зирроз от, une fonction symétrique ou alternée, on aura (2) [def (y, 2) dy] = à Сны. Des deux egalités précédentes on conclut que д == NC 9) == (6) d’où il suit que On voit par là: 1) pour que l'équation différentielle du 1-er or. de la forme (b) admette une intégrale symétrique ou alternée il est necessaire que Î (&, y) Г, 2) = 1; 3) le facteur № de cette équation ne peut être ni une fonction symétrique ni une fonction alternée, que dans les cas li (д, y) === 1; MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES EQUATIONS DIFFERENTIELLES SYMÉTRIQUES. 31 3) excepté ces cas particuliers on peut poser généralement = 20634 en designant par Х et У deux fonctions de x et y, dont l’une X par ex. n’est ni symétri- que ni alternée, et l’autre У est au contraire ou symétrique ou alternée. On а donc X Rz, y) = Sure et l’équation différentielle (b) par cette valeur de f (x, y) se réduit à la forme (a) ce qu’il fallait démontrer. Ce qui concerne le facteur de l’équation (a) il est aisé de montrer qu’il est ou immé- diatement symétrique ou doit conduire à un facteur symétrique. Soit À le facteur et и l’inte- grale corréspondante de l’équation (a); on a À [Х dy E(X) dx] = du d’où on tire, en transposant les variables x et y, A) IX dy (X) dx] =а. [== (| Des deux signes == retenons d’abord le signe supérieur; alors À et (A) étant des fac- teurs de la même équation différentielle satifont à la même équation aux derivées partielles, de sorte que l’on a à log À à log à __ d(X) 0 X Хр: о тЫ on О x® u BE (X) д log (à) __ RE, 2 Ha ду ду 0% Ces deux équations sont identiques si (à) =, c'est-à-dire si le facteur À est une fonction symétrique; dans le cas contraire en faisant leurs demi-somme on а d log УХ (А) _ (X) HO RADEON: 0x ду в Оу 0x ce qui montre que l’équation différentielle considerée a un facteur symétrique р. = VAN). Mais il est facile de voir que l’équation (a) prise avec le signe superieur, с. à 4. X dy +(X) dx — 0 (a) étant intégrée au moyen du facteur symétrique x fournit une intégrale symétrique #; d’où l’on voit que tout facteur de cette équation est de la forme p. ф (и), qui represente toujours une 32 B. IMCHENETSKY, fonction symétrique, @ (и) étant une fonction arbitraire. Donc, tout facteur de l'équation (a') est une fonction symétrique. Cette consclusion ne s’etend pas sur l’équation (a”) X dy— (X) dx — 0 Étant integrée au moyen d’un facteur symétrique y l’&quation (a”) fournit une intégrale alternée v; donc tout son facteur étant de la forme p @(v) est une fonction symétrique, si © (v) est une fonction pair, ou bien —une fonction alternée, si ф (v) est une fonction impair. Il est clair qu’integr& au moyen d’un facteur alternée l’équation (a”) fournira une intégrale symétrique. Il faut remarquer du reste que la distinction entre les intégrales symétriques et al- ternées de l’équation (а”) n’est pas essentielle, car élevée au carré l'intégrale alternée de- vient une intégrale symétrique. 15. Exemples particuliers de l'intégration de l'équation (a). Considérons d’abord l’équation (a) X dy+(X) dx = 0 Si les coéfficients X et (X), que l’on déduit l’un de l’autre par la permutation de x et y, sont rationels par rapport à ces variables, on les fera entiers en chassant les denomi- nateurs. Posons donc | (Е) Х=о-на, дна, у dB, ay, PV LT, а YEN, WHY Wr... en supposant le polynôme X terminé aux termes d’un certain degré et ses coéfficients ®, &, &,... Constants, si on ne change par cette hypothèse ce qui sera dit expréssement. Par l'introduction des nouvelles variables „a ee l’équation (a’) devient пех Ок, Mais comme оп а (Х) = она у-на В у - В ay +R, + VS AN À Y HN TP + PH... on trouve facilement y—x а, + (Be — Пр PE a X)æ—X ; = — nu р (В, —в + В) 9 — 83 + — Yo 25) 9 VD] р... MÉMOIRE SUR L’INTEGRATION DES ÉQUATIONS DIFFERENTIELLES SYMETRIQUES. 33 Ainsi les coéfficients de dq et dp dans l’équation (a,) s’expriment par les fonctions entières de р et 4. _ On sait intégrer immédiatement l’&quation (a) si le polynôme X est du 1-er degré; en le supposant du 2-d degré on aura l’équation transformée La, — a, + (В, — 8) p] da +[—o+a, p+ (8 — В, +8.) 9— В, p°] ар = 0, ou GX Bo — 81 + В» а= ©— a р В p° dp ao — а, +(B2— Bo) P ao — а, + (8, —В р’ On trouve son intégrale au moyen du facteur Bo — В, + Br В, — Bo I ВВ] Si Go, @,, Ву, В,, В, Sont des constantes; mais, si ces quantités au lieu d’être constantes sont des fonctions quelconques de zx + y, on pourra encore exprimer par des quadratures l’inté- grale de l’équation précédente en la multipliant par le facteur | Bo—Bı + В» een м où @,, &,, Ву, В,, В, Seront des fonctions données de р. Dans ces deux cas les facteurs et les intégrales s’exprimeront par les fonctions symé- triques des variables primitives x et y, et ces variables seront les racines d’une équation du 2-d degré L + pr +q—=0 où 4 est une fonction explicite de р, donnée par l'intégrale de l'équation précédente. _ Nous allons appliquer ce resultat au problème IV du #° 11, pour obtenir sa solution d’une nouvelle manière. En remarquant qu’en vertu de l'identité X,+X,+X,—0 on à une de ses intégrales % E80, = Const =с et en éliminant au moyen de cette équation x, de l’équation différentielle X, dx, — X, dx, = 0 Q Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 34 В. IMCHENETSKY, on aura ( b ER [Ssamaraı- | fen stellenweise von mehr als 100 Kilometer Breite bilden. | Die beigelegte Karte (Fig. 1) zeigt in anschaulicher Weise | die Verbreitung der Artinsk-Schichten. 1) Geinitz, Carbon-formation und Dyas in Nebraska 1866. Fig. 1. an sul ue 4. europäi- 2) Stache, Verh. d. k.-k. Geol. В. Anst. 1874, 87. Jahrb. 4. k.-k. G. ET Ve R. Anst., 1874, II. Maasstab — 2010001000. 3) Toula, Permo-Carbon-Fossilien у. 4. Westküste у. Siptzbergen. N. ОЕ Jahrb. f. Min. etc., 1875, 225. Zwischen der Petschora und dem Fluss 4) Etheridge, On a collection of fossils from the Buwer River Ural ist die Verbreitung der Artinsk- Coalfield etc. R. phys. Soc. of Edinburgh. 1880, 1881. Schichten ziemlich genau bekannt. Ueber diese Schichten östlich von der Petschora sind nur wenige Daten vorhanden; in der Kirgisen-Steppe sind sie fast gar nicht untersucht worden. 5) Die näheren Details und die Litteratur s. in Krotow’s « Artinski- sche Etage». 4 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE BESCHREIBUNG DER ARTEN. PROLECANITIDAE Hyatt. Pronorites у. Mojsisovics. Goniatites (de Haan, p.) Phillips. Geology of Yorksh. 1836. 237. Goniatites (de Haan, р.) Verneuil, Bronn, Brown, Morris, Eichwald, Remer, Grünewaldt, Karpinsky, Bigsby, de Koninck, Barrois etc, Aganides (Montfort, p.) d’Orbigny, Prodr. de pal. strat. 1850, I, 115. Ammonites (Bruguière, р.) Giebel, Fauna der Vorwelt, 1852, Ш, 410. Pronorites v. Mojsisovics. Die Cephalopoden d. Mediterr. Triasprovinz. 1882, 201. Pronorites (у. Mojsisowics). Hyatt, Karpinsky, Krotow etc. Zwei Arten der angeführten Gattung (Pr. cyclolobus und Pr. mixolobus) sind schon von Phillips im Jahre 1836 aufgestellt worden !). Später hatte dieser Autor aus den Carbonab- lagerungen von Devonshire unter der Bezeichnung Goniatites mixolobus eine Form be- schrieben, welche unzweifelhaft eine besondere Art darstellt”). Die von Roemer’) mit С. cyclolobus und G. mixolobus verglichenen Formen gehören, nach der Bemerkung dieses Fachgenossen selbst *), nicht zu diesen Arten und zwar stellt die letztgenannte Form @. cyclolobus dar. Im Jahre 1874 habe ich zu diesen Formen noch zwei neue Arten (Pr. prae- permicus und Pr. postcarbonarius) aus den Schichten der Artinsk-Stufe hinzugefügt). Schliess- lich ist später noch von Barrois, wie mir scheint, eine neue Pronorites-Art aus den Pyre- neen (marbre griotte) unter dem Namen Gon. cyclolobus beschrieben worden, mit welchem sie in der That die grösste Aehnlichkeit hat°). 1) Phillips, 1. с., р. 237, pl. XX, f. 40—42. 2) Phillips, Figures and descript. of the palaeoz. fossils of Cornwall, Devon etc. 1841, р. 123, pl. II, f. 235 a,f, ©. De Konninck führt mit Unrecht diese Form, welche ich als Pr. Phillipsi zu benennen vorschlage, aus den devonischen Schichten an. (Faune du calcaire car- bon. de la Belgique, p. 122). 3) F. A. Römer, Beitr. z. geol. Kenntn. d. n. w. Harz. Palaentogr. III, В. 51. ТЕ, 8, Fig. 14; 5.95, T. XIII, F. 34. 4) Palaeontogr. IX, S. 71. 5) Verh. d. Miner. Gesellsch. St. Petersb. IX. 6) Barrois, Ann. 4. 1. Soc. géol. du Nord. 1879, VI. p. 281. Bull. com. map. géol. d’Esp. VIII, 1881, f. 21. Recherches s. ]. terr. anc. d’Asturies et de la Galice, 1882, р. 295, pl. XIV, Ё 2. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 5 In meiner Arbeit über die Artinsk-Schichten!), und auch später?) ist schon nachge- wiesen worden, dass die in Rede stehenden Goniatiten eine besondere Gruppe oder Gattung darstellen. Abgesehen davon ist auch Mojsisovics zu derselben Ansicht gelangt, indem er zugleich für sie den Gattungsnamen Pronorites vorschlug und ausserdem den genetischen Zusammenhang zwischen dieser Gattung und den triasischen Ammoniten, die er zur Gattung Norites brachte, nachwies. Endlich sind in letzter Zeit von Prof. Gemmellaro Mittelformen zwischen Norites und Pronorites untersucht und in der neuen Gattung Parapronorites ver- einigt worden. Die Beschreibung noch einiger verwandten Ammoneen soll weiter unten ge- geben werden. Die Gattung Pronorites kann durch folgende allgemeine Merkmale characterisirt werden: Schale discoidal, glatt, bei vollständigem Erhaltungszustande sind nur die Anwachs- streifen zu bemerken. Auf die ellipsoidale Anfangskammer folgen die wenig umfassen- den Umgänge mit elliptischem Querschnitt (schwach ausgeschnitten durch den vorhergehen- den Umgang). Die Entwickelung einiger Arten (Pr. mixolobus Phil., Pr. Phellipsi п. sp. Pr. cyclolobus Roem. non Phill.) endigt mit diesem Stadium. Die nächstfolgenden Umgänge erscheinen zusammengedrückt oder auf den Seiten abgeflacht mit abgerundeter, flachgewôlbter oder flacher Siphonalseite, wobei die Umgänge immer stärker anwachsen und bisweilen so- gar ganz umfassend erscheinen, indem sie nicht nur den vorhergehenden Umgang, sondern auch einen Theil des Nabels bedecken, dessen Diameter bei ausgewachsenen Exemplaren kleiner als bei verhältnissmässig jungen Individuen ist. Allein der grösste Theil der Arten erreicht nicht dieses Stadium der Einrollung. Bei einigen Arten entwickelten sich die stark umfassenden Umgänge schon bei einem kleinen Durchmesser der Schale (z. B. Pr. praeper- micus), bei anderen — bei verhältnissmässig grossem (Pr. cyclolobus var. uralensis). Bei einigen Arten (Pr. postcarbonarius und praepermicus) erscheint schon auf der Sipho- nalseite der jungen Windungen in der mittleren Schnittfläche derselben von der Innenseite der Schale ein feiner Längskiel (Taf. I, Fig. 2 d), welcher auf dem Steinkern eine sehr deut- lich ausgeprägte und regelmässige Längsfurche hinterlässt (Taf. I, Fig. 3c). Der Kiel und die Furche erscheinen auch auf der Wohnkammer, indem sie nur in der Nähe der Apertur ver- schwinden. Dieses Merkmal ist nicht mit derselben Erscheinung zu verwechseln, welche auf dem Anfangstheile der Wohnkammer einiger Nautiliden und Ammoneen (z. B. Pinacoceras, Didymites) beobachtet wird. Ueber die Bedeutung dieser Furche soll das Nähere weiter unten besprochen werden. Die Wohnkammer nimmt, nach den untersuchten Exemplaren (von Pr. postcarbonarius und Pr. praepermicus), 3/, des letzten Umganges ein. Contractionen oder Einschnürungen sind auf der Schale nie beobachtet worden. 1) Verh. d. Miner. Ges. St. Peterb. IX, 295. | 2) Abh. 4. Gesellsch. а. Naturf. St. Petersburg, X, 70. 6 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Die erste Lobenlinie bildet einen breiten Ventralsattel (Fig. 2a), wie bei den Goniatiten (und Ammoniten), welche Branco als Latisellati bezeichnet hat. Die zweite Suturlinie be- 4 steht aus einem Ventrallobus und zwei Externsätteln (Fig. 2 b). Auf о sehr jungen Umgängen bildet die Lobenlinie einen einfachen schma- Е len und tiefen Siphonallobus und zwei (auf jeder Seite) einfache fla- chere Lateralloben (Fig. 3). Bei der weiteren Entwickelung der Schale Fig. 2. Erste (a) nd yeründert sich die Gestalt des Siphonallobus, indem von den Seiten zweite (b) Lobenlinien ’ des Pronorites prae- an seinem Grunde kleine, anfangs breite und abgerundete Secun- a därsättelchen (Fig. 4, a) erscheinen, welche allmählig einen schärfer ausgeprägten und winkligen Umriss annehmen, wo- Sl. durch der Siphonallobus in drei Theile zerfällt, von welchen der mittlere am Grunde offen erscheint (Fig. 5). Fig. 3. Pron. eyclolobus Phil. Die Laterralloben sind anfangs einfach, aber später v. uralensis Karp. р flacht sich das Ende des ersten Laterrallobus ab; bei den folgenden Lobenlinien erscheint an seinem Grunde ein Secundärsattel, wodurch der Lobus zweitheilig wird (Fig. 6). No Von diesem Moment an wird der erste Laterallobus breiter, ER ра fast zwei mal, und noch breiter als der zweite Laterallobus, Fig. 4. Pr. cyclolobus welcher wie alle anderen Lateralloben stets einfach und am v. uralensis. и 4 ; ö Grunde abgerundet oder spitzig erscheint; eine derartige Zu- spitzung ist, wie es scheint, nur einigen Arten im ausgewach- senen Zustande eigen. Alle Loben sind durch verhältnissmäs- sig schmale am oberen Ende abgerundete Sättel verbunden. Mit Fig. 5. Pr. eyelolobus dem Wachsthum der Schale prägt sich die weitere Entwicke- О lung der Lobenlinien nicht nur durch die Bildung neuer einfacher Lateralloben und Sättel am Na- à PUY belrande der Umgänge aus, sondern auch durch eine schwache Veränderung in der Fig. 6. Pr. cyclolobus Fig. 7. Pr. cyclolobus Gestalt des Siphonallobus. Diese Verände- Dunn Е rung besteht darin, dass die Linien, welche den mittleren offenen Theil des Siphonallobus begrenzen, kürzer werden, sich begegnen und einen geschlossenen, spitzen Secundärlobus bilden (Fig. 7 a). Schliesslich werden bei ausge- wachsenen Exemplaren einiger Arten die secundären Seitenloben (Fig. 8, b) En tiefer als der secundäre Mittellobus (a), so dass am Grunde des Siphonallo- А bus ein Medianhöcker entsteht, welcher am Ende durch einen Einschnitt И getheilt wird. Fig. 8. In Bezug auf die Lateralloben ist noch Folgendes zu bemerken. Wie Pr. praepermicus. zus dem Obigen zu ersehen ist, theilen sie sich in zweispitzige (bei Pr. mixolobus — dreispitzige) und einfache. Von den ersteren erscheint von dem Moment UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 7 -ibrer Bildung bis zur Endform der Schale stets nur einer von jeder Seite. Die Anzahl der einfachen Loben ist nicht constant und vergrössert sich mit dem Wachsthum der Schale. Die Lateralloben bilden ihrer Lage nach auch zwei Gruppen, welche nicht mit ihrer Ein- theilung in der Form zusammenfallen. Ein Theil der Lateralloben liegt ausserhalb der Pro- jectionsspirale des vorhergehenden Umganges, der andere innerhalb derselben. Die Wichtig- keit einer solchen Eintheilung der Loben bei den Ammoneen ist von Buch, Sandberger u. A., in letzter Zeit namentlich von Mojsisovics nachgewiesen worden. Die Anzahl der Loben der ersten Gruppe für jede Pronorites-Art erscheint unabhängig von der Höhe der Umgänge constant; die Anzahl der Loben der 2. Gruppe ist verschieden und nimmt desto rascher zu, je mehr die Umgänge sich umfassen. In der untenfolgenden Beschreibung werde ich der Kürze und Bequemlichkeit halber den Theil der Umgänge, welche sich ausserhalb der die Siphonalseite des vorhergehenden Umganges berüh- renden Oberfläche befindet, als evoluten Theil der Umgänge (Fig. 9, ab a’) bezeichnen und den Theil innerhalb dieser Oberfläche — als involuten (a с, ас’). In Folge dessen befinden sich die Loben, die ausserhalb der Projecti- - onsspirale liegen, auf dem evoluten Theile des vorhergehenden Umganges; auf dem involuten Theile dagegen die Loben, die innerhalb dieser Spirale liegen. Aus der obenangeführten Beschreibung der Entwickelung der Prono- rites-Schale ersieht man, dass sie im Jugendzustande nach dem Character der Umgänge, ihrer Sculptur und den Lobenlinien (Fig. 3) im höchsten Grade dem Gon. tetragonus Roem. (aus dem Ibergerkalk) gleicht und sich hauptsächlich durch die viel geringeren Dimensionen unterscheidet). Gon. tetragonus gehört zur Gomatites-Gattung, welche dem Prolecanites so nahe steht, dass die Characteristik des letzteren auch fast vollständig der in Rede stehenden Art entspricht. Der wesentlichste Unterschied besteht darin, dass der Siphonallobus dieser Art viel tiefer als die Lateralloben erscheint und die letzteren zwei von jeder Seite eine breite flache Form haben. | Die typischen Prolecaniten stellen höchst wahrscheinlich die nächste Abzweigung der- selben Gattung dar, zu welcher Gon. tetragonus gehört und die man mit dem Namen /bergi- ceras bezeichnen könnte, was auf den geologischen Horizont hinweisen würde, zu welchem diese Form gehört. In dem weiteren Entwickelungsstadium (Fig. 5) wird die Pronorites-Schale der von Sandberger?) unter dem Namen Gon. mixolobus beschriebenen sehr ähnlich und in Fig. 9. 1) F. A. Römer, Palaeontogr. III, 39, T. VI, Fig. 9. | dem Alter einer und derselben Art verändert, in den Der letzte Umgang von @. tetragonus hat einen vierecki- | hier betrachteten Formenreiche ein Merkmal dar, wel- gen Querschnitt, wie in der Stadium der bekannten Pro- | ches nicht zur Unterscheidung der Gattung dienen kann. norites-Arten mit complicirteren Suturen. Jedenfalls 2) Sandberger. Versteiner. 4. rhein. Schichten-Syst. stellt der Querschnitt der Umgänge, welcher sich mit | in Nassau, В. 67, ТЕ. IX, Fig. 6; Tf. Ш, Fig. 13 (?). 8 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE genereller Beziehung sogar identisch; die letztere gehört aber weder zu dieser Art noch zu der Gattung Pronorites, indem sie sich durch den einfachen ersten Laterallobus und von der Gattung Prolecanites Mojs. durch den zusammengesetzten Siphonallobus unterscheidet. Es scheint mir daher zweckentsprechend zu sein diese Gattung mit einer besonderen Bezeich- nung Paraprolecanites aufzustellen '). Bei weiterem Wachsthum der Schale erhält Pronorites die Merkmale, die für diese Gattung typisch sind. Auf diese Weise durchläuft die Schale von Pronorites, angefangen von dem zweiten Umgange bis zum ausgewachsenen Zustande drei Entwickelungsphasen: Zbergiceras (Pro- lecanites)-Stadium, Paraprolecanites-Stadium und Pronorites-Stadium. Pronorites cyclolobus Phill. var. uralensis, n. var. (Taf. I, Fig. 4 a—n). Goniatites cyclolobus Phillips. Geol. of. Yorksh. I, 237, pl. XX, f. 40—42. Goniatites cyclolobus (Phill.) Verneuil. Russia and the Ural m. II, 370. Goniatites cyclolobus (Phill.) Brown. Illustr. of the foss. Conch. of Gr. Brit. 29, pl. XXI, f. 19, 20. Aganides cyclolobus (Phill.) d’Orbigny. Prodr. de pal. strat. II, 115. Ammonites cyclolobus (Phill.) Giebel. Fauna d. Vorwelt. Ш, 410. Goniatites mixolobus (Phill.) Е. A. Römer. Palaeont. ПТ, 51, Tf. VIII, Fig. 14. Goniatites cyclolobus (Phill.) Grünewaldt. Mém. de l’Acad. 4. Sc. а. St, Pétersb. VII ser., II № 7. 1860, 137. Goniatites cyclolobus (Phill.) Eichwald. Lethaea Rossica, I, 1326. Goniatites cyclolobus (Phill.) Е. A. Roemer. Palaeontogr. IX, 167, Tf. XXVII, Е. 1. Pronorites cyclolobus (Phill.) у. Mojsisovics. Cepbal. 4. Medit. Triasprov. 201. Goniatites cyclolobus (Phill.) de Koninck. Faune du cale. carbon. de la Belgique II, 121, pl. L, fig. 5 et 6. Ann. du Musée R. Serie palaeont. T. V. In der in der @eol. of. Russia gegebenen vortrefflichen Beschreibung dieser Art aus dem Kohlenkalk von der Schartymka am Ostabhange des südlichen Urals kann ich nur folgende Data hinzufügen. Auf die walzenförmige Anfangskammer folgen sehr wenig umfassende Umgänge, deren Involubilität allmählig grösser wird, aber anfangs nur in sehr geringem Grade. So z. B. umfasst der 4 Umgang am Anfange ungefähr nur '/, des vorhergehenden Umganges, wobei die Höhe des evoluten Theiles dieses 4 Umganges 6 oder 7 mal die Höhe seines involuten Theiles übertrifft, oder mit anderen Worten die Höhe des Ausschnittes von dem vorher- gehenden Umgang. Mit dem späteren Schalenwachsthum nimmt die Involubilität der Umgänge immer mehr und mehr zu, so dass die Umgänge sich schliesslich ganz umfassen und wie es scheint sogar einen Theil des Nabels verdecken. Im Zusammenhange mit diesem 1) Paraprolecanites und Prolecanites stehen in densel- | zu Sandbergeroceros Hyatt. ben Beziehungen zu einander, wie Triainoceras Hyatt. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 9 Wachsthum der Umgänge erscheint der Nabel anfangs verhältnissmässig sehr breit und rasch zunehmend, dann aber wird sein Durchmesser nur allmählig grösser und bleibt schliesslich von gleicher Grösse, während dagegen die Höhe der Umgänge stark zunimmt. Auf diese Weise erreicht der Nabel bei einem Durchmesser der Schale von 4—5 Mm. die Hälfte dieses Durchmessers und bei 30 Mm. nur '/, des letzteren. Der erste und zweite Umgang haben einen querelliptischen Umriss (mit einem schwachen Ausschnitt vom vorher- gehenden Umgang), der Querschnitt der folgenden Umgänge wird anfangs länglich elliptisch und dann auf den Flanken durch fast parallele Linien, auf der Siphonalseite aber von einer flach abgerundeten Linie begrenzt. Die Medianfurche wird auf der Siphonalseite der Steinkerne selten beobachtet und er- scheint auf gut erhaltenen Exemplaren viel schwächer, als auf der Schale der untenbeschrie- benen permo-carbonischen Arten. Auf den jungen Umgängen ist sie dem Anscheine nach nicht vorhanden und wird (unter der Lupe) nur bei ungefähr 3,5 Mm. Höhe der Umgänge sichtbar. Nach dem in Fig. 4c, d abgebildeten Exemplar zu urtheilen, welches unzweifelhaft ein Fragment der Wohnkammer der in Rede stehenden Art darstellt, erscheinen in der Nähe der Apertur schwache abgerundete Rippen, die auf der Siphonalseite deutlicher zu bemerken sind, wo sie in entgegengesetzter Richtung zur Einrollung schwach ausgebogen sind und auf den Seitenflächen der Schale allmählig verschwinden. Der Character und die Entwickelung der Lobenlinien sind zum Theil schon oben erwähnt worden. Sie sind in auf einander folgender Weise in Fig. 4 4—1, Taf. I dargestellt. Wenn die Entwickelung der Umgänge das Pronorites-Stadium erreicht, wird die Anzahl der auf dem evoluten Theile befindlichen Lateralloben constant und zwar befinden sich von jeder Seite des Siphonallobus ausser dem ersten zweitheiligen Laterallobus noch zwei einfache Loben. Die Anzahl der übrigen Lateralloben (Auxiliarloben, welche sich auf dem involuten Theile der Umgänge befinden), welche anfangs fehlen, nimmt allmählig zu, so dass an aus- gewachsenen Exemplaren bei einer Höhe der Umgänge von 10—15 Mm. die ganze Anzahl der Lateralloben 5 oder mit dem auf der Nabelwand liegenden Lobus 6 beträgt. Die Basis des Siphonallobus der jungen Exemplare, die tiefer als die des ersten Laterallobus liegt, erscheint bei grossen Exemplaren im gleichen Niveau mit der letzteren. Das Entwickelungs- stadium des Siphonallobus bei Pronorites, bei welchem der mittlere Theil seiner Basis sich in einen Medianhöcker verwandelt, ist bei Pr. cyclolobus nicht beobachtet worden. Drei- viertel der Breite der ersten Lateralloben befindet sich auf den Seitenflächen der Schale. Die Externsättel sind ungefähr zweimal niedriger als die ersten Lateralsättel. Dimensionen. Die da 0 м м Ducschmessen ns a, 2.2.2... 9029122 211148. Mm. Hôhe des letzten Umganges.. 15 11210 Sn or. Эл» Breite » » » A ANA) = 60.164. 25.» Durchmesser des Nabels.... 6 — 6 BB ВВ 1) 30 Мш. in der Richtung des verticalen Durch- | abgebildeten Exemplars = 33 Mm. messers auf der Abbildnng; der grösste Durchmesser des Mémoires de l'Acad. Гор. 4. sc. VII Série. 2 10 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Vergleichung. Eine genaue Vergleichung der Ural’schen Formen mit den Exemplaren des Gon. cyclolobus von Yorkshire ist nach dem gegenwärtig vorhandenen Material ziemlich schwierig, da die von Phillips gegebene Beschreibung sehr kurz und die Abbildungen skizzenhaft sind. Nimmt man an, dass die Abbildungen den Dimensionen des Originals entsprechend gegeben sind, so muss man schliessen, dass die englische Form sich von den Ural’schen Exemplaren bei gleichem Durchmesser durch die weniger umfassenden Umgänge unterscheidet und folglich einen verhältnissmässig breiteren Nabel darstellt. Die belgischen Exemplare und das vom Harz, welche von de Koninck und Roemer beschrieben worden sind, entsprechen ganz den englischen. Bei einem Durchmesser der belgischen Exemplare von 30 Mm. erreicht der Durch- messer des Nabels 9 Mm., während er bei den Ural’schen Exemplaren 1'/, mal geringer (6 Mm.) ist. In Betreff der Medianfurche auf den Steinkernen der belgischen und englischen Exemplare kann man einstweilen nichts Bestimmtes sagen, da sie nur bei sehr guter Erhaltung zu bemerken ist und an den meisten der Ural’schen Exemplaren auch nicht zu sehen ist. In der von Phillips gegebenen Abbildung (1. с. pl. ХХ, f. 41) ist längs der Siphonalseite eine Linie angegeben, die wahrscheinlich nach der auf dem Originalexemplar vorhandenen Medianfurche abgebildet ist, welche im Text gar nicht erwähnt wird. Auf dem gut erhaltenen Exemplar vom Harz erscheint eine deutliche Medianfurche, die von Roemer im Text und in der Abbildung (Pal. IX, p. 11, pl. IV, f. 1) angeführt wird, Der oben angeführte Unterschied der Ural’schen Form, welcher in ihrer grösseren Involubilität besteht, veranlasst diese Form als eine besondere Varietät oder Mutation zu betrachten, da der Schartym’sche Kalkstein jünger als die englischen, belgischen und ger- manischen Ablagerungen mit dem typischen @. cyclolobus ist. Es bleibt noch die Ural’sche Form mit der von Barrois aus dem marbre griotte in den Pyrenäen unter der Bezeichnung Gon. cyclolobus beschriebenen Art übrig. Die letztere stellt meiner Ansicht nach eine neue Art dar, welche ich zu Ehren des talentvollen fran- zösischen Geologen als Pron. Barroisi zu benennen vorschlage. Von der Ural’schen Varietät des Gon. cyclolobus zeichnet sie sich hauptsächlich durch folgende Merkmale aus: 1) Bei gleichem Durchmesser der Schale erscheinen die Umgänge weniger umfassend. Nach der Abbildung der Pyrenäischen Form zu urtheilen nimmt die Breite des Nabels bei einem Schalendurchmesser von 48 Mm. rasch zu, während bei der Ural’schen Form die Umgänge bei einem Durchmesser von ungefähr 20 Mm. sich ganz umfassen. Die Nabel- grösse nimmt rascher zu als bei dem typischen Pr. cyclolobus. 2) Die Form der Lobenlinien, welche aus breiteren Loben und Sätteln, als bei den Ural’schen und typischen Pr. cyclolobus bestehen. Die eckigen Theile, in welche der erste Laterallobus sich spaltet, gehen bei der Pyrenäischen Form nach zwei verschiedenen Rich- tungen auseinander, dagegen verlaufen sie bei der Phillips’schen Form parallel in der entgegengesetzten Richtung zur Einrollung. Die beigefügten Copien von den, von de Koninck und Barrois gegebenen Abbildungen in einem und demselben Maassstabe UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 11 (Fig. 10) zeigen einen auffallenden Unterschied im Umriss der Lobenlinien bei beiden be- trachteten Formen. 3) Bei dem typischen Pr. cyclolobus und der Ural’schen Varietät bemerkt man schon bei einer Höhe der Umgänge von 13 Mm. vier einfache Late- ralloben, während bei den Pyrenäischen Exemplaren bei einer Höhe, welche nach der Abbildung zu urtheilen an 22 Mm. erreicht, N nur drei einfache Lateralloben vorhanden sind. Bei einer solchen _ Höhe, die bei Pr. cyclolobus noch nicht beobachtet worden ist, wäre die Anzahl der einfachen Lateralloben bei dem letzteren (bis zum Nabelrande) nicht weniger als fünf. 4) Nach der Abbildung des Pron. Barroisi zu urtheilen ist die Anzahl der Lateralloben, welche sich auf dem evoluten Theile der Umgänge befin- den, grösser als bei Pr. cyclolobus. Fundort. Pr. cyclolobus var. uralensis findet sich im oberen Kohlenkalk an der Schar- tymka auf dem Ostabhange des südlichen Urals und am Westabhange desselben bei der Stadt Sterlitamak '). / Pay ENT Fig. 10. Pronorites cyclolobus (Co- pie nach de Koninck). Pr. Bar- roisi (Copie nach Barrois). Proncrites praepermicus Karp. (Taf. I, Fig. 2, a—n). Goniatites praepermicus. Karpinsky. Verh, 4. К. Min. Ges. 1874, IX, 293. Tf. XII, Fig. 15—17. Pronorites praepermicus. (Karp.) v. Mojsisovics. Cephal. d. Med. Tiasprov. 201. Pronorites sp. indeterminatus. Karpinsky. Verh. d. K. Min. Ges. XVIII, 216. Permo-carb. Sch. in Darwaz. Goniatites (Pronorites) praepermicus (Karp.). Krotow. Artinskische Etage, 201, Tf. 1, Fig. 16—21. Goniatites (Pronorites) praepermicus (Karp.). Krotow. Geol. Forsch. in d. Gebiet. v. Tscherdyn u. Ssolikamsk. Mém. du Com. Géol. VI, 473. Zu der Beschreibung, die von mir und Krotow gegeben worden ist, wie auch zu den obenangeführten Daten, welche sich auf alle Arten der Gattung Pronorites beziehen, kann man Folgendes hinzufügen. Der erste Umgang berührt kaum die Anfangskammer, der zweite Umgang ist nur wenig umfassend, der dritte verdeckt bis zur У, den vorhergehenden, der vierte bis ®/,; der nächstfolgende Umgang wird ganz umfassend, und die späteren verdecken sogar einen Theil des Nabels*). Von allen bekannten Pronoriten hat die in Rede stehende Art bei gleichem 1) Auf dem einzigen hier aufgefundenen Exemplare sind die Medianfurche und die Lobenlinien vorzüglich zu sehen. Der einzige Unterschied von den Schartym’schen Exemplaren, welcher nur an der Lobenlinie zu beob- achten ist, besteht im grösseren Contraste zwischen den Dimensionen des ersten hohen Lateralsattels und des zweiten Sattels. 2) Aus diesen Zahlen ersieht man, das die Involubili- tät ziemlich rasch in den Grenzen eines und desselben Umganges zunimmt. In dieser Beziehung bemerkt man bei verschiedenen Individuen einige Schwankungen; da- her kann die Involubilität des 2ten, Sten und überhaupt der jungen Umgänge nicht in ganz genauen Zahlen aus- gedrückt werden. DES A 13 A. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Schalendurchmesser die involutesten Umgänge und den kleinsten Nabel, welcher an ausge- wachsenen Exemplaren ungefähr '/, des Schalendurchmessers erreicht. Die Breite der jün- geren Umgänge ist grösser als ihre Höhe; das Umgekehrte bemerkt man, wenn die Um- gänge sehr involut werden. Dabei werden die abgerundeten Flanken der Schale flach und parallel zu einander. An gut erhaltenen Exemplaren ist auf den Steinkernen die Medianfurche, welche durch den feinen Längskiel (Fig. 2 d, Taf. р) auf der Innenfläche der Siphonalseite der Schale entsteht, deutlich zu erkennen. In Betreff der Lobenlinien, die den allgemeinen Character der Suturen der Pronoriten besitzen, ist Folgendes zu bemerken. Die erste Suturlinie besteht aus einem breiten Ven- ralsattel (Taf. I, Fig. 2f,c), die zweite aus einem Ventrallobus und zwei Externsätteln (Fig. 2 9). Die Suturen, welche dem Ibergiceras-Stadium entsprechen, sind am Ende des ersten Umganges (Fig. 2 &) beobachtet worden; ungefähr in der Mitte des zweiten Um- ganges erkennt man die Suturen, die dem Paraprolecanites-Stadium (Fig. 2%) entsprechen; schliesslich nehmen am Ende des zweiten oder zu Anfang des dritten Umganges die Sutu- ren den Character der Pronoriten (Fig. 2 7) an. Die weitere Entwickelung der Suturen, welche in Fig. 2 m dargestellt ist, zeigt, dass der offene mittlere Theil des Siphonallobus mit dem Wachsthum der Schale sich schliesst, wobei er allmählig kürzer wird, so dass bei ausgewachsenen Exemplaren an der Basis ein Medianhöcker mit einem Einschnitt am Ende (Fig. 2 n) entsteht. Die Basis des Siphonallobus, welche bei den jungen Exemplaren unter der Basis des ersten Laterallobus liegt, erreicht allmählig mit dem Wachsthum der Schale fast dasselbe Niveau. Die Externsättel sind stets niedriger als die ersten Lateralsättel. Der erste Laterallobus liegt grösstentheils (ungefähr °/, desselben) auf den Lateralseiten der Umgänge. Beide Theile, in welche dieser Lobus am Grunde zerfällt, haben in jedem Alter einen abgerundeten oder eckiggerundeten Umriss. Die Anzahl der einfachen Lateralloben beträgt bis 5 (ohne die Loben, welche sich auf der Nabelwand befinden). Die einfachen Loben sind am Grunde abgerundet, bei ausgewachsenen Exemplaren eckiggerundet, wobei aber die dem Nabel zunächst liegenden abgerundet bleiben. Auf dem evoluten Theile der Schale befinden sich auf jeder Seite zwei Lateralloben, ein zweitheiliger und ein einfacher. Der von mir beschriebene kleine Pronorites aus dem kieselig- ) Л thonigen Kalkstein in Darwaz (Centralasien) gehört nach den detail- lirten Untersuchungen der Lobenlinien (Fig. 11) wahrscheinlich zu Pr. Fig. 11. Pr. praepermicus yyaenermicus. Darwaz. Praep Dimensionen. Die Dimensionen sind schon von mir und Krotow angeführt worden. Zur Vervollständigung dieser Data sind hier die Dimensionen der Schale in verschiedenem Alter gegeben: UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 13 (Fig. 2 b, Taf. I. Fig. 2 c). IE TEE EIER У. VI. VII. VIII. Durchmesser. 2.2 ..... 2 109. 16 168- 2,361 0,71 Höhe des letzten Umganges. 12 12 11 9 81 2.10.85 № 0.23 Breiten en... ее а 7 8 1,86 6 SAUT 10 0:71 Durchmesser des Nabels. .. 3 — 3 ЗАТО 0,25 Vergleichung. Pronorites praepermicus könnte am meisten mit Pr. cyclolobus verwech- selt verden, von welchem er sich jedoch durch die umfassenden Umgänge und folglich durch einen bedeutend engeren Nabel scharf unterscheidet (Fig. 12). Dieser Unterschied in der Involubilität der Umgänge äussert sich schon an sehr jungen Exemplaren und erscheint mit dem Schalenwachsthum immer schärfer ausgeprägt. Bei gleichem Durchmesser ist die Anzahl der Umgänge geringer als bei Pr. cyclolobus; die Höhe der Umgänge bei der letzteren Art wird beim 2. oder 3. Umgange Fig. 12. Pr. cyclolobus Pr. praeper- u R с с с : Е v. uralensis. micus. grösser als die Breite; bei Pr. praepermicus ist die Breite dieser Umgänge grösser als die Höhe. Die Medianfurche ist schärfer ausgeprägt als bei Pr. cyclolobus. Auf dem evoluten Theile der Schale des Pr. praepermicus befin- den sich von jeder Seite zwei Lateralloben, bei Pr. cyclolobus drei. Bei einer Höhe der Umgänge von ungefähr 11—12 Mm. verwandelt sich der mittlere Theil des Siphonallobus in einen Medianhöcker; der Siphonallobus erreicht bei Pr. cyclolobus weder bei dieser, noch bei einer grösseren Höhe dieses Entwickelungsstadium. Schliesslich spitzen sich die Lateralloben bei Pr. cyclolobus an ihrem Grunde ziemlich früh zu, während bei der Artins- kischen Form die Loben am Grunde abgerundet oder eckiggerundet erscheinen. Vorkommen. Pr. praepermicus gehört zu den gewöhnlichen Formen der Artinsk-Stufe. Die von mir untersuchten Exemplare stammen aus dem Kalkstein an der Ssakmara bei Kun- drowka; aus dem Sandstein am Grossen Ik (unweit von dem Dorfe Jangibaewa und Berg Chanysch), an der Oka (unweit von dem Dorfe Ssuchanowa) an der Ttchussowaja, unterhalb der Kleinen Waschkur, an der Uswa (zwischen den Felsen Nawisschij Kamen und Maloje , Brewno), an der Koswa unterhalb der Mündung der Chaldina und an der Wischera (Kuminy Wody); aus dem kieselig-thonigen Kalkstein an der Petschora unterhalb der Mündung der Unja; aus dem ähnlichen Kalkstein von Darwaz in Buchara. Pronorites postearbonarius Karp. (Taf. I, Fig. 3 a—d). Goniatites postcarbonarius Karpinsky. Verh. 4. К. Min. Ges. IX, 291, ТЕ. XII, Е. 6—5. Pronorites postcarbonarius (Karp.) у. Mojsisovics. Cephal. 4. Med. Triaspr. 201. 14 А. KARPINSKY. ÜHBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Goniatites (Pronorites) postcarbonarius (Karp.) Krotow. Artinskische Etage 203. Tf. I, Fig. 22—24. Goniatites (Pronorites) postcarbonarius (Karp.) Krotow. Mém. du Com. Géol. VI, 474. Zu der von mir und Krotow gegebenen Beschreibung als auch zu dem bereits Gesag- ten über den allgemeinen Character der Schale der Pronorites-Gattung bleibt nur wenig hinzuzufügen. | Alle bei Kundrowka an der Ssakmara gefundenen Exemplare haben solche Umgänge, welche schon bei einer Höhe von 2 Mm. einen fast viereckigen Querschnitt, mit fast flachen Siphonal- und Seitenflächen darstellen, während in den nördlicheren Theilen des Urals eine Varietät auftritt, die sich durch eine abgerundetere Siphonalseite auszeichnet, wobei an den jüngeren Umgängen diese Abrundung mehr hervortritt, was übrigens ein allgemeines Merk- mal der Schalen der Pronorites-Gattung bildet. In der Umgegend der Artinsk-Hütte finden sich nicht nur die Formen des Ssakmar’- schen Typus, sondern auch mit flachabgerundeter Siphonalseite. Der angeführte Unterschied lässt zwei Varietäten unterscheiden, von denen die seltenere mit fast viereckigem Quer- schnitt der Umgänge als Pronorites postcarbonarius var. tetragonus und die gewöhnlichere, als Pr. postcarbonarius var. vulgaris bezeichnet werden könnten. Die erstere ist in meiner oben eitirten Arbeit in Fig. 6—8, Taf. XII, die zweite bei Krotow und in Fig. 3, Taf. I der vorliegenden Abhandlung abgebildet. Die Breite der Umgänge ist in jedem Alter grösser als die Höhe, was bei keiner anderen bekannten Pronorites-Art beobachtet wird. Je jünger der Umgang, desto grösser ist die Breite im Verhältniss zur Höhe. Dieses Merkmal ist übrigens allen Arten der in Rede stehenden Gattung eigen, doch während bei den meisten derselben dieses Verhältniss schon an sehr jungen Umgängen als Bruch erscheint, bleibt es bei Pr. postcarbonarius an den grössten beobachteten Exemplaren stets mehr als 1. So ist bei der Höhe der Umgänge von 0,35 Mm. die Breite = 0,74. » » » » » DS » » » — 4 De) » » » DO » » » — 8 » » » » » DIN » » » — 8,7 о» » у » » 8 » » » — 9, Das Verhältniss der Breite der Umgänge zur Höhe ihres evoluten Theiles bleibt fast gleich und erreicht ungefähr 1,8—2. Die auf der Siphonalseite der Steinkerne vorhandene Medianfurche, welche durch den feinen Längskiel auf der Innenseite der Schale entsteht, erscheint bei wohlerhaltenen Exem- plaren stets scharf ausgeprägt (Taf. I, Fig. 3 c). Die Lobenlinien sind nach dem allgemeinen Typus des Pronorites gebildet. Die Sutur, welche dem Ibergiceras-(Prolecanites)-Stadium entspricht, ist nur einmal auf dem halben zweiten Umgange (bei einer Höhe derselben — 0,35 Mm.) beobachtet worden. Das Para- prolecanites-Stadium hat man nicht beobachten können. Im Pronorites-Stadium erscheint der UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 15 mittlere Theil des Siphonallobus anfangs offen. Auf einem ausgezeichnet erhaltenen einzigen Exemplare aus der Umgegend der Artinsk-Hütte kann man durch die dünne durchsichtige Schale die Lobenlinien deutlich erkennen, welche in Fig. 3 d Taf. I dargestellt sind; aber an einem Exemplare von der Koswa ist bei derselben Höhe des Umganges der Siphonallobus am Grunde geschlossen. Daher erscheint meiner Ansicht nach dieser Umstand bei einigen Individuen früher, bei anderen später. Der erste (zweitheilige) Laterallobus liegt haupt- sächlich auf der Siphonalseite, so dass er auf den Seitenflächen nur !/, ihrer Breite einnimmt. Die Anzahl der einfachen Lateralloben nimmt von 1 bis 3 zu; mehr derselben sind nicht beobachtet worden. Auf dem evoluten Theile des Umganges befinden sich jeder- seits zwei Lateralloben, ein zweitheiliger und ein einfacher. Die Höhe des Ex- ternsattels erreicht fast die Höhe des ersten Lateralsattels. Die Wohnkammer nimmt, wie auf dem Exemplar in Fig. 3 zu schen ist, fast °/, des letzten Umganges ein. Vom Nabelrande verlaufen gegen die Siphonalseite sehr feine und nicht ganz gleichmässige ‚Anwachsstreifen, welche etwas schief nach vorn gerichtet und schwach ausgebogen sind; auf der Siphonalseite erscheinen sie fast gerade und bilden einen kaum bemerkbaren Bogen nach hinten. Einen ebensolchen Umriss zeigt auch die Apertur. Dimensionen. Taf. I, Fig. 3. Diutehmesser sr N ur, 18 Mm. Höhe des letzten Umgangs ........ 8 » Breite » » DA MANS О У» Durchmesser des Nabels. ......... 4 » (Andere Beispiele in Verh. der Miner. Gesellsch. IX, 292). Vergleichung. Von allen anderen bekannten Arten zeichnet sich Pr. postcarbonarius durch die Form des Querschnittes der Umgänge aus (Fig. 13), deren Breite die Höhe über- trifft. In den meisten Fällen aber kann diese Art auch nach kleinen Stücken der Umgänge unterschieden werden, wenn auf den letzteren die Lobenlinien zu beobachten sind. So ist nur bei der in Rede stehenden Art die Höhe der Externsättel fast der der ersten Lateralsättel gleich; bei allen anderen Arten sind die =; Externsättel bedeutend niedriger. Ausserdem befindet sich nur в. a не а bei u ао der grösste due (ungefähr /,) des un Fig, 19, Seite Fi zweitheiligen Laterallobus auf der Siphonalseite. Was die An- zahl der Lateralloben im Vergleich mit der bekannteren Form Pr. cyclolobus anbetrifft, so ist sie bei gleicher Höhe der Umgänge bei Pr. postcarbonius um einen Lobus geringer. Z. В. bei der Höhe der Umgänge von 4 Mm. erscheinen bei der letzteren Art ausser dem zweitheiligen Laterallobus zwei einfache Lateralloben und bei Pr. cyclolobus — 3 derselben. Vorkommen. Die untersuchten Exemplare des Pr. postcarbonarius stammen aus dem Artinskischen Kalkstein an der Ssakmara bei Kundrowka (var. éetragonus), aus dem Sand- 16 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE stein: an der Ik, in der Umgegend der Artinsk-Hütte (у. teiragonus und у. vulgaris), an der Koswa, unterhalb der Mündung der Chaldina (v. vulgaris) und an der Wischera (Kuminy Wody, v. vulgaris). - In der folgenden Tabelle sind einige Hauptunterscheidungsmerkmale der bis jetzt be- kannten Pronorites-Formen zusammengestellt. Ошо. Involubil. der letzten Оше. 2). Erster La- terallobus. der Umg. Steinkolen- system Querschnitt Höhe der Zahld. Late- rallob. auf а. evolut. Theil Pronorites mixolobus Phill. ... » Phillipsi п. sp.!) ... » cyclolobus Phill. . .. » » 5. uralensis » Barroisi п. sp. .... » praepermicus Karp.. » posicarbonarius v. te- tragonus Karp..... » postcarbonarius v. vul- garisı m Dreispitzig. © m © © "> .> ЕН: eme are Grösser als а. Breite. . a © + О © un D Zweispitzig. 52 О a S En d — < | a © — © — = S я < = — я Kleiner als die Breite Parapronorites Gemmellaro. Parapronorites Gemmellaro. La fauna dei calcari con Fusulina della valle del fiume Sosio. 1887, р. 60, Т. У, Е. 16—19; T. УП, f. 26—28. Unter dieser Bezeichnung sind unlängst von Prof. Gemmellaro permocarbonische Ammoneen beschrieben worden, welche, wie zu ersehen ist, in engem Zusammenhange mit Pronorites stehen. Bei sehr ähnlicher Form der Schale unterscheiden sich diese Gattungen durch die Lobenlinien. Der Siphonallobus bleibt bei Parapronorites wie bei Pronorites drei- theilig. Der erste Laterallobus zerfällt ebenfalls in zwei Theile, aber jeder Theil ist zwei- spitzig; der 2te, 3te und die folgenden Lateralloben erscheinen zweispitzig. Die Anzahl dieser Loben nimmt mit dem Wachsthum unzweifelhaft zu, wobei die einfachen Laterallo- ben in der Richtung von der Aussenseite bis zum Nabel allmählig durch zweispitzige er- setzt werden. Die Sättel erscheinen wie bei Pronorites. Ebenso wie bei vielen Pronoriten, 1) Die Umgänge sind wie bei Pr. mixolobus mit ellip- | of Cornwall, р. 122, pl. Ш, Е. 235. tischem Querschnitt, aber sie wachsen sehr rasch an. 2)s — alle Umgänge sind im Nabel sichtbar. Der erste Laterallobus ist zweispitzig (bei Pr. mixolobus u — die vorletzten Umg. sind im Nabelunsichtbar. — dreispitzig). Phillips. Fig. a. descr. of the pall. foss. У UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 17 befindet sich von Innen auf der Siphonalseite der Schale ein feiner niedriger Kiel, welcher auf den Steinkernen eine mehr oder weniger scharfe Furche hinterlässt. Die ausführlichere Beschreibung giebt Prof. Gemmellaro. Tschernyschew fand in den feinkörnigen Sandsteinen und sandig-thonigen Schiefern der Artinsk-Stufe bei der Ssimsk-Hütte am Ural einige Ammoneen, die leider sehr unvoll- ständig erhalten, meistens flachgedrückt und verunstaltet waren. Ungeachtet dessen kann man an denselben den grössten Theil der Merkmale erkennen, nach welchen sie dem Pa- rapronorites so nahe stehen, dass sie zu dieser Gattung gebracht werden müssen; dem zu Folge muss die Characteristik der letzteren in einigen wenigen Merkmalen verändert werden. Parapronorites tenuis n. sp. (Taf. II, Fig. 5 a—b). Die Schale dieser Species hat, wie die Stücke derselben zeigen, eine discoidale Form mit flachen Seiten und abgerundeter Siphonalseite. An ausgewachsenen Exemplaren er- scheinen die Umgänge, wie anzunehmen ist, stark umfassend. Auf der Siphonalseite des Steinkernes ist eine Längsfurche bemerkbar. Die Schale und Scheidewände erscheinen viel dicker als bei Pronorites. Die Lobenlinien der grossen Exemplare zeigen den Siphonallobus und 3 Lateralloben mit den dieselben verbindenden Sätteln und auch einen Theil des 4ten Laterallobus. Der Siphonallobus ist, wie bei den grösseren Pronoriten, dreitheilig, wobei die Seitentheile viel tiefer sind; in Folge dessen erscheint in diesem Lobus ein Median- höcker mit einem Einschnitt am Ende. Der erste Laterallobus zerfällt durch einen Secun- därsattel in zwei Theile, von welchen der erste oder äussere Theil zweispitzig und der zweite dreispitzig endigt. Die Basis dieses Lobus befindet sich etwas über der des Sipho- nallobus. Der zweite Laterallobus, dessen Breite ungefähr ein Drittel der Breite des er- sten Lobus erreicht, endigt bei seiner allgemeinen lanzettförmigen Gestalt zweispitzig; der dritte Laterallobus endigt spitz, ebenso wie der vierte und, wahrscheinlich auch, wie die folgenden, die nicht beobachtet worden sind. Die ersten Lateralsättel sind fast zweimal höher als der Externsattel. Die Höhe der übrigen Lateralsättel nimmt dann in der Rich- tung gegen den Nabel ab. Die Loben zeigen eine solche Gestalt nur bei gewissen Dimen- sionen der Schale; bei ihrem weiteren Wachsthum werden diese Linien unzweifelhaft com- plieirter, wobei höchst wahrscheinlich zuerst der dritte Laterallobus zweispitzig wird, dann der 4te u. s. w. Andererseits ist es fast unzweifelhaft, dass an jungen Exemplaren die La- teralloben ungezähnt erscheinen und mit der verhältnissmässigen Verlängerung des mittle- ren Secundärlobus des Siphonallobus der Medianhöcker so zu sagen verschwindet. Auf der Siphonalseite befinden sich nur der Siphonallobus und die Externsättel; fast der ganze erste Laterallobus erscheint auf den Seiten der Schale. Dimensionen. In Anbetracht dessen, dass bisher nur verunstaltete Stücke der in Rede stehenden Art beobachtet worden sind, können die Dimensionen nur annähernd gegeben Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 3 18 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE werden. Der Durchmesser der Schale erreicht höchst wahrscheinlich mehr als 66 Mm. und nach den Stücken der Wohnkammer zu urtheilen, die meiner Ansicht nach zu dieser Form gehören, ist die Grösse derselben noch viel bedeutender. Die Höhe desjenigen Theiles des Umganges auf welchem die Lobenlinien sich befin- den, und in Fig. 5 b dargestellt ist, — 19 Mm ; die Dicke — 8 Mm. Zusammen mit den Fragmenten der grossen Individuen finden sich kleine Schalen, die wahrscheinlich die jungen Exemplare der betrachteten Form oder einer anderen unten be- schriebenen Art darstellen. Sie stimmen mit Pronorites vollkommen überein, und sollen weiter unten beschrieben werden. Die Unterschiede von den anderen Formen sind weiter unten angeführt. Vorkommen. Artinsk-Schichten bei der Ssimsky-Hütte. Parapronorites latus n. sp. (Taf. 4 a, b). Ein kleines Stück, welches, wie die Abbildung zeigt, augenfällig einer besonderen Art angehört. Die Schale mit sehr breiter, flachgewölbter, fast flacher Siphonalseite, welche durch abgerundete Kanten mit den wahrscheinlich flachen Seiten verbunden ist; auf der Siphonalseite des Steinkernes ist eine Längsfurche vorhanden. Die Lobenlinien sind nur auf dieser Seite zu beobachten (Fig. 14); sie bestehen hier - aus dem, durch einen niedrigen, mit einem Einschnitt versehenen | - ‚; Medianhöcker getheilten Siphonallobus, schmalen zungenförmigen Ba Externsätteln und Laterallobus, welcher durch einen Secundärsattel in zwei Theile getheilt wird; der erste Theil ist zweispitzig und der zweite dreispitzig. Durch diesen zweiten Theil geht der Rand zwi- schen der Siphonalseite und den Seitenflächen durch. Die Basis des Siphonallobus und des Laterallobus liegen in einem Horizont. Dimensionen. Die Breite der Siphonalseite (und wahrscheinlich auch des Umganges) ungefähr 17—18 Mm. Nach der Biegung der Siphonalseite zu urtheilen ist ihr Durch- messer nicht mehr als 28 Mm. Auf diese Weise scheint die Höhe der Umgänge geringer als ihre Breite zu sein. Vergleichung. In dem Maasse wie der Par. tenuis der Form der Schale nach dem Pr. praepermicus gleicht, ist auch die in Rede stehende Art dem Pr. postcarbonarius ähnlich, und man kommt unbedingt auf den Gedanken, dass die beiden angeführten Parapronorites- Arten durch die Entwickelung der erwähnten Pronorites-Formen entstanden sind, welchen höchst wahrscheinlich die inneren Umgänge der beschriebenen Parapronorites- Arten sehr ähnlich sind. Daraus folgt noch nicht, dass diese und jene Formen zu ein und denselben Arten gehören und die Pronoriten nur ihre jungen Individuen darstellen. Das von mir in der Arbeit über das Orenburger Gebiet beschriebene Exemplar des Pronorites praepermi- cus (S. 293) zeigt, dass die Schale dieser Species eine bedeutende Grösse erreichen kann, Fig. 14. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 19 wobei aber die Lobenlinien eine verhältnissmässig einfache Gestalt haben, welche den For- men dieser Gattung eigen ist. Und so unterscheiden sich denn Parapronorites tenuis und P. latus von den ihnen ähnlichen Pronoriten durch die complicirteren Lobenlinien und unter einander durch den verschiedenen Habitus der Schale, den Querschnitt ihrer Umgänge und das Auftreten fast des ganzen Laterallobus: bei der ersten Art auf der Seitenfläche und bei der zweiten — auf der Siphonalseite. Vielleicht wird es sich auch ausweisen, dass bei Pa- rapron. latus die Höhe der Externsättel fast die der ersten Lateralsättel erreicht, während sie bei Par. tenwis zweimal kleiner ist. Ferner liegt die Basis des Siphonallobus bei der letzten Art tiefer, als die des ersten Laterallobus, und bei Pr. latus befindet sie sich unge- fähr in demselben Horizont. Von Parapron. Konincki Gemm. unterscheiden sich die beschriebenen Arten, abgese- hen von der bekannten Abweichung in der Form der Schale, bei ihren gleichen Dimensionen, durch den dreispitzigen zweiten Theil des ersten Laterallobus und andere einfachere La- teralloben, die grösstentheils bei dem P. tenuis einfach bleiben. Vorkommen. Eisenhütte Ssimsky. Artinskstufe. Parapronorites Mojsisovicsi n. sp. (Taf. II, Fig. 2 «—c). Wenn man die oben beschriebenen Arten als Uebergangsformen zwischen den Pronoriten und Noriten betrachten kann, so stellt die Art, deren Beschreibung hier folgt, so zu sagen eine Abweichung in einer Seitenrichtung dar. Р. Mojsisovicsi hat eine flache discoidale Schale, deren Umgänge von parallelen Seitenflächen und scheinbar abgerundeter Siphonalseite begrenzt wer- den. Die Theile des Umganges des grossen Exemplares sind nicht erhalten, aber nach der Lage der Lobenlinien (siehe unten) zu schliessen, kann man annehmen, dass die Umgänge umfassend erscheinen und der Nabel verhältnissmässig eng ist. Die Scheidewände sind verhältnissmässig dick. Die Lobenlinie ist nach dem Typus von Pronorites und Parapronorites gebildet, aber etwas complieirter. Der Siphonallobus ist am Grunde dreispitzig, der erste Laterallobus sehr breit und durch einen kleinen Secundärsattel getheilt; der erste oder äussere Theil endigt zwei- spitzig, wie bei allen bisher bekannten Parapronoriten; der zweite zeigt eine feine ceratitenartige Zähnelung, wobei in der Mitte dieses Theiles ein verhältnissmässig grosser Einschnitt oder Secundärsättelchen erscheint, welcher den letzteren in zwei besondere Hälften (mit 3 Zähn- chen in jeder Hälfte) theilt!). Der zweite Laterallobus ist schmal (fast fünfmal schmäler als der vorhergehende), zungenförmig, zweispitzig; der dritte — von derselben Gestalt, nur et- was kleiner, der vierte und fünfte Lobus — einfach. Die folgenden Loben sind nicht beob- achtet worden. Bei der Grösse des in Fig. 2 a, Taf. II abgebildeten Exemplares sind sie höchst wahrscheinlich nicht vorhanden. Die Loben sind durch schmale, verlängerte und ab- gerundete Sättel verbunden, von welchen die Externsättel niedriger als die ersten Lateral- sättel sind, welche als die höchsten erscheinen; die Höhe der übrigen nimmt gegen den Nabel 1) Dieses Secundärsättelchen ist verhältnissmässig grösser, als es in Fig. 2 b dargestellt ist. 3* 20 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE ellmählig ab. Wie der beobachtete Theil des vorhergehenden Umganges zeigt, befinden sich der erste und zweite Laterallobus auf dem evoluten Theile der Umgänge. Zusammen mit den beschriebenen Stücken sind noch kleinere Exemplare gefunden | worden, welche dem Anscheine nach die inneren Umgänge der Schale der in Rede stehenden Art darstellen. So ist in Fig. 2 « ein kleines Exemplar abgebildet, welches nicht die inneren Umgänge darstellt, sondern ein anderes Individuum, da seine Umgänge in entgegengesetzter Richtung eingerollt sind. Dem äusseren Ansehen nach gleicht dieses Exemplar dem Pr. pracpermicus, indem es sich vielleicht durch eine flachere Form auszeichnet. Die Lobenlinien sind wie bei den Pronoriten. Ein anderes, etwas grösseres Exemplar erinnert auch durch seine äussere Form an Pr. praepermicus, aber die Lobenlinien sind durch dickere Scheide- wände gebildet und etwas complicirter (Taf. II, Fig. 2 c): auf dem ersten Laterallobus, welcher durch einen verhältnissmässig hohen Secundärsattel getheilt wird, sind sehr schwache Spuren der Zähnelung zu beobachten; der zweite Lobus endigt zweispitzig, der dritte und der folgende sind einfach. Ausser diesen Exemplaren sind noch einige Stücke der Wohnkammer gefunden wor- den. Nach der verhältnissmässig geringen Dicke der Umgänge zu schliessen, können diese Stücke entweder der beschriebenen Art oder irgend einer unbekannten Form angehören. Es scheint mir dabei sehr möglich zu sein, dass auch die Schale, welche in Fig. 3, Taf. II abgebildet ist, und deren Species und Gattung ich nicht zu bestimmen wage, die Wohnkam- mer der betrachteten Art darstellen wird. Die dünnen umfassenden Umgänge mit den flachen parallelen Seiten, abgerundeter Siphonalseite, sprechen zu Gunsten dieser Voraussetzung, gegen welche auf den ersten Blick nur die Rippen zeugen, welche auf dem letzten Theile der Wohnkammer erscheinen. Sie sind auf der Siphonalseite stärker ausgeprägt, gehen auf die Seitenflächen über und verschwinden ungefähr in der Mitte ihrer Höhe. Das Auftreten solcher Rippen in schwacher Form ist schon bei dem verwandten Pronorites cyclolobus s. uralensis (s. oben Seite 9, Fig. 4 c, d, Taf. I) beobachtet worden. Indem ich einstweilen die Frage über die Angehörigkeit der betrachteten Formen zu Parapron. Mojsisovicsi oder einer andern Species, oder Gattung als eine offene betrachte, bemerke ich, dass im ersten Falle die Abweichung des Parapron. Mojsisovicsi von den typischen Pronoriten sich nicht nur im Bau des ersten Laterallobus ausprägen wird, son- dern auch durch das Auftreten von Rippen auf grossen Exemplaren. Weder nach diesem, noch nach dem andern Merkmale kann man diese Form als eine Uebergangsform zwischen Pronorites und Norites betrachten. Dimensionen. (Fig. 2 a, Taf. I). (Fig. 3, Taf. II). I II I IV Durchmesser 1... 40—45 (?) 19,3 14 58 Mn. Höhe des letzten Umganges 22 (?) 10 5:9 33.0 Dickens LU ee 6 (?) — — 6 » Durchmesser des Nabels.. — 4 4 5—6 » Vorkommen. Sandstein und Schiefer der Artinsk-Stufe bei der Ssimsky-Hütte. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. I Die oben angeführte Characteristik der Gattung Parapronorites kann folgendermaassen umgeändert werden: Schale, wie bei den Pronoriten, mit umfassenden Umgängen. Die Lobenlinie nach dem Typus von Pronorites, aber beide Hälften des ersten Laterallobus erscheinen gezähnt; der zweite Lobus und nicht selten auch die folgenden zweispitzig. Die Anzahl der Lateral- loben, welche sich auf dem evoluten Theile der Umgänge befinden, bleibt constant; auf dem involuten Theile dagegen verändert sie sich und nimmt mit dem Schalenwachsthum zu. Der mittlere Theil des Siphonallobus differenzirt sich an grossen Exemplaren in einen Me- dianhöcker. Die inneren Umgänge sind in jeder Beziehung der Pronorites-Schale ähnlich. Unter den Parapronoriten kann man einstweilen zwei Gruppen von Formen unter- scheiden, welche vielleicht zu besonderen Untergattungen gebracht werden müssen. Bei den typischen Pronoriten ist der zweite Theil des ersten Laterallobus zwei- oder dreispitzig, aber bei den Formen der anderen Gruppe wird dieser Theil durch einen kleinen Einschnitt in zwei feingezähnte Hälften getheilt. Ausserdem fehlt, wie es scheint, auf der Siphonal- seite der Steinkerne dieser Form die Längsfurche und im erwachsenen Zustande erscheinen vielleicht die oben erwähnten Rippen. Medlicottia Waagen. Goniatites (de Haan; р.) de Verneuil, Geol. of Russia etc. II, 375, pl. ХХУГ f. 6. Goniatites (de Haan; p.) Hauer, Eichwaldt, Grünewaldt, Moeller etc. Aganides (Montfort; р.) d’Orbigny. Prodr. I, 116). Ammonites (Br.; p.) Giebel, Fauna d. Vorwelt. III, 494. Sageceras у. Mojsisovics. Verh.d. К. К. G. R.-Anst. 1872, 316; Geb. у. Hallstadt, I, 69. Sageceras (Mojs.) Karpinsky, Waagen etc. Medlicottia Waagen. Salt-Range Fossils р. 83. Medlicottia (W aag.) у. Mojsisovies, Karpinsky, Krotow, Gemmellaro etc. Sicanites? Gemmellaro. Fauna dei calcari con Fusulina etc, p. 62. Propinacoceras Gemmellaro. Fauna dei calcari con Fusulina etc, p. 55. Die unter dem Namen Medlicottia gegenwärtig bekannten Cephalopoden sind zuerst in Russland in den Ablagerungen der Artinsk-Stufe gefunden worden. Eine Form dieser Cepha- lopoden (M. Orbignyana) haben noch im Jahre 1845 die Autoren der «Geology of Russia» be- schrieben. Die anderen Arten aus den Artinsk-Schichten (Medi. Artiensis Grünw., М. их Eichw., M. Sakmarae Karp., M. Karpinskyana Krot.) sind viel später aufgestellt worden. In anderen Gegenden ausserhalb Russlands sind dann Arten der in Rede stehenden Gattung erst im Jahre 1872 aus dem Productus-Kalk des Salt-Range in Indien (M. primas Waag. 1872, M. Wynnei Waag. 1883) bekannt geworden. Späterhin wurde noch von Mojsisovics das Vorkommen der Medlicottien in den Geröllen Sicilien’s (1882) und von 1) Einige Autoren waren geneigt die Formen, deren | Hauerianus de Koninck, Cerat. Haidingeri Gabb (5а- Lobenlinien denen der Medlicottien ähnlich sind, als zur | geceras Gabbi Mojs.). Gattung Certatites zu betrachten. Certatites (Sageceras?) 22 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE mir in Darwas (gegenwärtig eine Provinz der Bucharei, 1884) nachgewiesen und in letzter Zeit hat Prof. Gemmellaro einige Medlicottien aus anstehenden Schichten Sicilien’s be- schrieben. Als die Bezeichnung Medlicottia von Waagen eingeführt wurde, hat der grösste Theil der Gelehrten, und selbst Waagen nicht ausgenommen, unter dieser Bezeichnung nur eine Untergattung von Sageceras Mojs. aufgefasst; gegenwärtig aber werden von den Meisten die Medlicottia-Arten als zu einer selbständigen Gattung angehörig betrachtet, was, wie wir unten ersehen werden, vollkommen richtig ist. Ohne den grössten Theil der allgemeinen, gut bekannten Merkmale der Medlicottien zu wiederholen, führe ich nur solche Data an, welche ich in Bezug auf die allmählige Ent- wickelung der Schale beobachten konnte. Auf die ellipsoidale Anfangskammer folgen nur wenig umfassende Umgänge mit ellip-s tischem Querschnitt (wenig ausgeschnitten durch den vorhergehenden Umgang) (Taf. II, Fig. 1 a,b). Bei den jüngeren dieser Umgänge besteht die Lobenlinie (ausser der unbekann- ten des ersten Umganges) aus einem tiefen einfachen Siphonallo- о bus (Fig. 15) und jederseits zwei Lateralloben, welche durch einen abgerundeten Sattel verbunden werden. Bei der weiteren Entwickelung erscheint der Siphonallobus durch zwei kleine Se- cundärsättelchen dreitheilig, wobei im mittleren Theile die Lobenlinie unterbrochen ist (Fig. 16). Schliesslich wird bei fernerem Wachsthum (ungeachtet dessen, ob die Umgänge umfassender und von den Seiten abgeflachter werden, oder sich nur À п. wenig umfassen und einen elliptischen Querschnitt beibehalten) die Lobenlinie durch die Zweitheilung des ersten Laterallobus und zuneh- mende Anzahl der einfachen Lateralloben (Fig. 17) complieirter. Mit anderen Worten die Entwickelung der Medlicottia-Schale geht ebenso so vor sich, wie die der Pronorites-Schale, indem sie die Stadien Ibergiceras, Paraprolecanites und Pronorites durch- Fig. 17. M. artiensis. läuft Fig. 15. Medl. artiensis Gruen. Fig. 16. M. artiensis. Die weitere Entwickelung nimmt eine andere Richtung an, als die, welche wir oben bei Betrachtung der Parapronorites u. a. verwandten Formen kennen gelernt hatten. Wie bei den Schalen dieser Arten und auch einiger Pronorites-Formen erscheint auf der Sipho- nalseite eine Längsfurche, die zuweilen auf den Umgängen des Pronorites-Stadiums, zu- weilen später zu bemerken ist; die Umgänge erscheinen von den Seiten abgeflacht, fast von parallelen Seiten begrenzt und mehr umfassend, wobei ihre Höhe rasch zunimmt (Taf. I, Fig. 1 f, e). Sehr oft treten auf der Siphonalseite der Umgänge, wenn sie auf den Seiten flacher werden, zwischen den letzteren und der Längsfurche Höcker auf, die in Folge dessen zwei Längsreihen (Taf. I, Fig. 1 с, 4, e) bilden. Die Veränderung der Lobenlinien besteht darin, dass am Ende der Externsättel ein Secundärlobus oder ein Einschnitt (a) entsteht, wobei der zweite, dritte und zuweilen auch die nachfolgenden Lateralloben (ausser den dem Nabel zunächst liegenden) am Ende zwei- UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 23 spitzig (Fig. 18) werden. Nach dem Character der Umgänge und Lobenlinien entspricht dieses Stadium der Entwickelung der Medlicottia-Schale ganz der Gattung Sicanites, welche unlängst von Gemmellaro aufgestellt wurde. Von diesem р ‚A Stadium an (und selbst, wie es scheint, auch früher angefan- р Ei 2 И gen vom Pronorites-Stadium) bleibt die Anzahl der Laterallo- | MU ben auf dem evoluten Theile der Umgänge bei jeder Med- licottia-Art constant. Bei fernerem Wachsthum der Schale 1 18. M. Orbignyana Vern. nimmt sie einen ganz anderen Habitus an, als den des inneren Theiles und zwar in Folge des raschen Wachsthums der Umgänge, die stark oder ganz umfassend werden, so dass der Nabel im Vergleich zum Durchmesser der Schale sehr klein erscheint. Die Complication der Lobenlinien besteht in der fortgesetzten Differenzirung der Siphonalsättel und zunehmenden Anzahl der Auxiliarloben (welche auf dem involuten Theile der Umgänge liegen), wobei diese Loben in der Richtung von der Siphonalseite zum Nabel aus ursprünglich einfachen-zweispitzige werden '). In dieser Entwickelung kann man einige Eigenthümlichkeiten unterscheiden, welche, wie es scheint, in Verbindung mit der Form der Umgänge stehen. Nach dem angeführten Sicanites-Stadium entsteht auf dem Externsattel (ausser dem Einschnitt oder Secundärlobus an seinem Ende) zwischen diesem Einschnitt und dem ersten 4 Laterallobus noch ein grösserer Secundärlobus b (Fig. 19). Dieses Uebergangsstadium ist allen nachfolgenden Entwicke- lungsformen eigen, wie man sie auch bezeichnen möge. (Ich bezeichne dieses Stadium, als Promedlicottia, obgleich eine Fig. 19. M. artiensis. selbständige Gattung, welche diesem Stadium entspricht, nicht vorhanden ist). Stossen die Seiten der Schale auf dem Siphonaltheile derselben so zu- sammen, dass der letztere eine von zwei Längskielen begrenzte Furche dar- / \ stellt, — Längskiele, mit welchen die Seiten der Umgänge ап der Aussen- seite endigen (Fig. 20), — so verlängern sich sehr stark die schmalen Ex- ternsättel, wobei sie von ihrer Aussen- und Innenseite durch zahlreiche Einschnitte oder secundäre Adventivloben zerschlitzt werden. Der Sipho- Fig. 20. nallobus, durch diese Entwickelung des Externsattels bedingt, erscheint 77 dignyana. sehr tief und schmal. Die Differenzirung der Externsättel verläuft in folgender Weise: nach dem obenbezeichneten Promedlicottia-Stadium erscheint auf der Innenseite der Sättel zwischen dem oberen Ende а und dem seitlichen secundären Adventivlobus с (Fig. 21), der immer grösser wird, ein neuer Einschnitt (b) und zwischen dem letzteren und dem oberen Ende noch ein anderer u. s. w. (Fig. 22). Die Verzweigung der Externsättel von der Aussenseite (Siphonalseite) verläuft so. 1) Bei einigen Medlicottien, welche ich nicht unter- | ter, 2. В. bei М. primas Waag., M. bifrons Gemm. sucht habe, ist die Gestallt der Lateralloben complicir- 24 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE dass zuerst ein Einschnitt seitlich am Ende (d, Fig. 21) entsteht, dann tiefer nebenan u. $. w. und dem entsprechend die Höhe des unteren Theiles des Siphonallobus, welcher von fast parallelen Linien begrenzt wird, abnimmt (Fig. 22). Auf diese Weise nimmt der Siphonallobus, welcher dem des Pronorites sehr ähnlich war (aber nicht die, den ausgewachsenen Exemplaren der entwickelteren Arten dieser Gattung eigenthüm- liche Form erreicht), allmählig eine ganz andere Gestalt an, wobei am Grunde des Lobus ähnliche Veränderungen zu bemerken sind, wie die bei Pronorites. Der mittlere offene Secundärlobus wird kürzer, die Lobenlinie erscheint geschlossen, die seitlichen Secundärloben (Fig. 22) tiefen sich stärker, als der mittlere a ab, so dass schliesslich sich ein Fig. 21. M. Orbignyaua. Re 50 оо Medianhöcker zeigt, welcher anfangs einen Einschnitt hat, der = о S = aber später bei einigen Arten, wie es scheint, verschwindet. DR \ Eine derartige Entwickelung der Externsättel und Loben bemerkt man auch bei solchen Medlicottien, bei welchen unge- achtet der sich nähernden Seiten der Umgänge, die Siphonalseite mehr oder weniger breit erscheint, wobei die Längsfurche nur die Mitte dieser Seite einnimmt (Fig. 23). In diesem Falle herrscht für die Differenzirung der Externsättel so zu sagen ein grösserer Spielraum in die Breite, als bei den Medlicottien des Typus M. Orbignyana. Daher erreichen wahrscheinlich nicht die Externsättel eine solche Höhe und erscheinen viel breiter (Taf. I, Fig. 1 Z—n). Als eine Ausnahme erscheint Medlicottia Wynnei W aag.., welche bei der verhältnissmässig breiten Siphonalseite solche Sipho- F.g. 23. ’ nalsättel besitzt, wie die М. Orbignyana. en Die in Rede stehende indische Form zeigt aber auf den ersten Blick keine Längsfurche auf der Siphonalseite, die für alle übrigen Medlicottien characte- ristisch ist. Es scheint mir, dass die wohlerhaltene Schale dieser Art eine Form besitzen würde, wie die der Norites-Schale d. h. dass sich auf den Vereinigungskanten der Seiten mit dem Siphonaltheile der Schale kleine Kiele befinden, so dass die Siphonalseite der Sipho- nalfurche anderer Medlicottien entspricht. Schliesslich sind noch solche den Medlicottien nahe stehende Formen vorhanden, bei welchen die Umgänge der Schale von parallelen Seiten begrenzt werden, so dass diese Umgänge auf der Siphonalseite ebenso breit sind, wie in der Nähe des Nabelrandes (Fig. 24). Ich konnte die Veränderung der Lobenlinien bei diesen Formen nicht | genauer untersuchen und muss nur bemerken, dass | В nach dem Promedlicottia-Stadium, der dem ersten Fig. 24. М. (Propina- Fig. 25. И à ; coceras) Sakmarae Laterallobus zunächst folgende secundäre Adventivlo- u bus am Grunde zweitheilig wird (Fig. 25 b), die übri- Fig. 22. M. Orbignyana. Propinacoceras Gemmell. A АЕ UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 23 gen aber in der Form von Einschnitten erscheinen, welche zwischen dem Ende des Extern- sattels und dem erwähnten kleinen zweitheiligen Lobus liegen, wobei dieser Theil des Ex- ternsattels eine, so zu sagen fast horizontale Lage annimmt, ohne die Höhe des ersten La- teralsattels zu erreichen. Die Siphonal- oder Aussenseite des Externsattels stellt dem An- scheine nach gar keine Differenzirung dar. Die in Rede stehende Medlicottia-Form, welche von Gemmellaro entdeckt und zu der selbständigen Gattung Propinacoceras gebracht wurde, steht nach dem Obengesagten in nächster Verbindung mit den typischen Medlicottien. Ihre Beziehungen zu der Gattung Pinacites und Pinacoceras erscheinen meiner Ansicht nach sehr problematisch. In Betreff der Lateralloben halte ich es für nöthig zu bemerken, dass dieselben, wie die der Pronoriten, nach der Form und Stellung in Gruppen zerfallen. Ausserdem können sie auch nach der Grösse in zwei Gruppen getrennt werden. In Bezug auf ihre Form er- scheinen die Lateralloben als zweispitzige und einfache; ihrer Stellung nach als solche, welche auf dem evoluten (Hauptloben) und involuten (Auxiliarloben) Theile der Umgänge liegen. Die Anzahl der ersteren bleibt sich im Endstadium gleich, die der letzteren wird grösser, obgleich sie bei grösseren Umgängen zuweilen dieselbe ist. Die Eintheilung der Loben nach der Form und Stellung trifft zusammen nur in einem gewissen Moment des Schalenwachsthums: an jüngeren Umgängen erscheinen alle Auxiliarloben und ein Theil der Hauptloben als einfache, und an älteren sind alle Hauptloben und ein Theil der Auxi- liarloben zweispitzig. Schliesslich kann man, wie schon gesagt worden ist, unter den Lateralloben der Med- licottien zwei Gruppen unterscheiden: 1) grosse und 2) kleine Loben. Gewöhnlich folgt auf einige der ersten grossen Loben ein bedeutend kleinerer Lobus, von welchem die, wei- ter zum Nabel befindlichen Loben allmählig kleiner werden. Diese Gruppirung fällt weder mit ihrer Eintheilung in zweispitzige und einfache, noch mit ihrer Lage ausserhalb und in- nerhalb der Projectionsspirale des vorhergehenden Umganges zusammen. An allen Ural’- schen Medlicottien treten drei«grosse Loben» auf; ebenso bei den Pandschab’schen Formen, und nach den, von Gemmellaro gegebenen Abbildungen auch bei vielen sicilianischen Med- licottien. Die Medlicottien durchlaufen demnach in ihrer Entwickelung anfangs dieselben Sta- dien wie Pronorites, aber weiterhin entwickeln sich aus den Pronoriten einerseits: Zwischen- formen, welche die letzteren mit Norites verbinden, anderseits — die, die Sicanites- und Promedlicottia-Stadien durchlaufen und dann in typische Medlicottien und Propinacoceras zerfallen. ' Die bis zum Pronorites-Stadium einschliesslich glatten Medlicottia-Schalen erhalten nicht selten während des Sicanites-Stadiums zwei Reihen Höcker auf der Siphonalseite, sel- tener Rippen auf den Seiten und mehr oder weniger scharfe Streifen, oder bleiben bis zu ihrer vollen Entwickelung fast glatt. Wie schon oben bemerkt wurde, sind unter den angeführten Stadien die Promedlicot- Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 4 26 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE tia-Formen als selbständige Gattung nicht vorhanden. Dasselbe, glaube ich, wird sich auch in Bezug auf die Sicanites-Formen erweisen, welche vielleicht nur junge Medlicottia- Exem- plare darstellen. Wenn aber die von Gemmellaro beschriebenen Formen ihr Endstadium darstellen, so ist Sicanites als ein selbständiges Genus zu betrachten. Die Dimensionen der Wohnkammer sind einstweilen unbekannt, obgleich, nach ihren Resten zu urtheilen, sie mehr als die Hälfte des letzten Umganges einnimmt und höchst wahrscheinlich dieselben Dimensionen erreicht, wie bei der Schale der Pronorites-Gattung. Auf den Medlicottia-Schalen sind bis jetzt keine Einschnürungen beobachtet worden. Medlicottia artiensis Grünewaldt. (Taf. I, Fig. 1 a—0o). Goniatites falx Eichwald. Bull. Soc. Natur. Moscou, 1857, I, 212. Goniatites artiensis Grünewaldt. Beitr. 2. Kenntn. 4. sedim. Gebirgsform. etc. Mém. de l’Acad. 4. Imp. Se. Ser. УП, II, № 7, 1860, 138, T. VI, Fig. 3. Goniatites Orbignyanus (Vern.) Moeller (p.). Berg-Journ. (r.) 1862, I, 459. Verh. 4. Min. Ges. 1859 — 1862, 213. Goniatites falx Eichwald. Lethaea rossica, I, 1325. Sageceras artiensis (Grün.) Karpinsky. Verh. d. Min. Ges. 1874, IX, 287. Medlicottia artiensis (Grün.) Waagen. Salt-Range Fossils. 83. Medlicottia ул (Eichw.) Krotow (p.) Artinsk. Etage, 210, ТЕ. II, Fig. 1-—7. Sageceras Sakmarae (Karp.) Berichte einiger Autoren in Bull. du Com. Géol. Medlicottia Sakmarae (Karp.) Berichte einiger Autoren in Bull. du Com. Géol. Medlicottia falx (Eichw.) Krotow (p.). Mém. Com. Géol. VI, 475. Die Medlicottia artiensis!) kann gegenwärtig als die, am genauesten bekannte Art un- ter allen Medlicottien gelten. Diese Form ist von Grünewaldt und besonders von Kro- tow gut beschrieben worden. Obgleich bis jetzt kein einziges vollständiges grosses Exem- plar gefunden worden ist, aber eine ziemlich grosse Menge von Schalenfragmenten, aus welchen einzelne Theile und ganze innere Umgänge herauspräparirt werden konnten, ge- statten nicht nur die äusseren Schalenmerkmale dieser Form fast vollständig zu restauri- ren, sondern auch die allmählige Entwickelung der letzteren zu erklären. Die unten angeführten Beobachtungen beziehen sich hauptsächlich auf diese Entwicke- lung. Die beigefügte Zeichnung (Fig. 26) stellt die dreimal vergrösserte Hälfte des fünften Umganges dar, an welchem innerhalb die Hälfte des 4ten Umganges, als auch der Зе, 2te und 1te Umgang und die Anfangskammer zu sehen sind. Die ersten Umgänge sind wenig umfassend und anfangs mit querelliptischem Querschnitt, später mit längselliptischen Quer- 1) Wie jetzt gebräuchlich, behalte ich für die in Rede | zugleich abgebildet worden ist.Die vonEichwald früher stehende Art die von Grünewaldt gegebene Bezeich- | gegebene Characteristik derselben Form (Gon. falx) ist nung bei, unter welcher die von ihm beschriebene Form | sehr kurz. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 27 schnitt. Die Involubilität wächst zuerst nur langsam an, später dagegen sehr rasch, so dass der 5. Umgang nicht nur den 4ten ganz verdeckt, sondern auch einen Theil seines Nabels. Je involuter die Umgänge werden, desto rascher verwandelt sich der elliptische Durchschnitt der- selben, mit dem verhältnissmässig schwachen Ausschnitt vom vorhergehenden Umgange, fast in einen viereckigen, mit einem mehr oder weni- ger tiefen Ausschnitt an der Basis, wobei in der Mitte der flach abgerundeten Siphonalseite eine Längsfurche und zu beiden Seiten derselben eine Reihe Höcker erscheinen. Die Höcker sind etwas längsgezogen und nach vorne steiler als nach hinten. Sie erreichen die grösste Höhe am Rande der Siphonalseite, wo sich dieselbe mit den Flan- ken verbindet. Die Höcker liegen etwas schief zur Siphonalfurche und alterniren in beiden Rei- hen mit einander. Bei einer Höhe der Umgänge von 15 Mm., zuweilen auch früher, verlängern sich die Höcker auf die Flanken der Umgänge als flache Rippen, die anfangs sehr kurz sind * und auf den ebenen Flanken rasch verschwinden. Der Querschnitt der Rippen ist segment- förmig; sie sind durch schmale eckig abgerundete Furchen getrennt. Die Rippen verlaufen schief, und indem sie sich von der Siphonalseite entfernen, richten sie sich nach hinten. Mit dem Alter verändert sich der Querschnitt der Umgänge in solcher Weise, dass ihre Seitenflächen nur am unteren Theile der Umgänge fast parallel bleiben; gegen die Sipho- nalseite erscheinen sie flach gewölbt und convergirend, so dass die Breite dieser Seite — im Vergleich zur Breite des Umganges an grossen Exemplaren — zweimal und noch gerin- ger ist (2. В. am Grünewaldt’schen Originalexemplare). Die Seitentheile der Siphonalflä- che, welche durch die Furche getrennt werden, erscheinen dabei zur letzteren etwas ab- schüssig, wodurch diese Fläche im Querschnitt einen stumpfen einspringenden Winkel bildet, wie auf der Zeichnung (Fig. 23, S. 24) zu sehen ist. So weit man es beobachten konnte, befinden sich die Rippen nur auf den, zur Siphonal- seite verschmälerten Theilen der Umgänge. Bei vollständig parallelen Flanken der jungen Umgänge verlängern sich nicht die Höcker der Siphonalseite in Rippen. Ferner, je älter das Gehäuse ist, desto höher erscheinen die erwähnten verschmälerten Theile der Umgänge, und desto länger sind die Rippen. Bei ungefähr 7 —8 Mm. Breite der Siphonalseite ver- wandeln sich die Höcker auf dieser Seite, in Folge ihrer zunehmenden Verlängerung, in kurze Rippen; auf den letzteren entstehen jedoch nicht selten an den Stellen ihrer Vereini- gung mit den Flankenrippen Erhöhungen oder Höcker, die mit den Rippen zusammenfliessen. 4* г. y, я % Вахе. ^ 0 28 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE (S. Fig. 15 und Abbildung Grünewaldt’s). Die sich verlängernden Höcker auf der Sipho- nalseite und die kurzen Rippen werden weniger schief, nehmen eine zur Siphonalfurche senkrechte Stellung an und treten dicht an die letztere heran, indem sie hier rasch ver- schwinden. Diese Rippen, welche zu beiden Seiten der Siphonalfurche auftreten, erscheinen, wie das schon früher in Betreff der Höcker bemerkt worden ist, nicht symmetrisch, sondern alternirend angeordnet. Dieses Alterniren ist übrigens nicht immer in gleicher Weise vor- handen. Die Anzahl der Höcker oder kurzen Rippen auf der Siphonalseite bleibt anfangs in jeder Reihe fast constant, aber mit dem weiteren Schalenwachsthum nimmt ihre Zahl immer rascher zu. So ist diese Anzahl auf einem Viertheil des Umganges bei einer mittleren Höhe von 3 Mm. = 12, bei 15 Mm. gleichfalls 12, auf dem Exemplar (Fig. 1a,b) ungefähr 19, beim Grünewaldt’schen Exemplar 25, auf einem noch grösseren Stücke bis 40 oder viel- leicht auch bis 50. Auf verhältnissmässig grossen Exemplaren erscheinen auf den Flanken des Gehäuses ausser den erwähnten Rippen kleine, dieselbe Richtung beibehaltende, flach nach vorne aus- gebogene Rippchen (Taf. I, Fig. Та). Ihr Querschnitt ist in stark vergrössertem Maasse in Fig. 1 o dargestellt; ihre vordere Seite ist sehr flach abfallend und breit, die hintere schmal ‚und steil. Sie machen den Eindruck von schwach nach vorn geneigten Schichten, welche die vorhergehenden dachziegelförmig bedecken. Anfangs sind diese Rippchen ziemlich kurz und erscheinen dort, wo die Rippen endigen; auch gegen den Nabel verschwinden die Rippchen (s. Fig. 1 a). Sie endigen grösstentheils, aber nicht immer, in der Richtung zur Externseite gegen die Mitte der Rippen zu. Ihre Anzahl ist etwas grösser, als die der Rippen. Auf dem Exemplar Fig. 1 a befinden sich 14 Rippchen gegenüber 10 Rippen. Auf noch grösseren Exemplaren ist die Anzahl dieser und jener fast gleich (z. B. auf dem Exemplare Grüne- waldt’s, welcher diese Rippchen nicht abgebildet hat). Auf solchen Exemplaren gehen die Rippchen auf die Rippen über, mit welchen sie in den meisten Fällen zusammenfliessen, wo- bei sie bei dieser Vereinigung in der hinteren Seite der Rippen aufgehen, welche in Folge dessen steil abfällt. Zuweilen kann man bemerken, dass ein schwach ausgeprägtes Rippchen in der Mitte der Rippe bis zur Siphonalseite verläuft oder, noch seltener, auf die vordere Seite der Rippe übergeht. Die Schalenoberfläche ist mit feinen Anwachsstreifen bedeckt, die sogar sehr selten auf den am besten erhaltenen Theilen der Schale zu bemerken sind, welchein den meisten Fällen vollständig glatt zu sein scheint. Auf den Seiten der Wohnkammer des kleinen Exemplars (Fig. le) sind sie deutlicher zu beobachten. Ihre Richtung ist in der Abbildung angegeben. Die Länge der Wohnkammer ist unbekannt; das ganze, fast einen halben Umgang darstel- lende Exemplar Grünewaldt’s bildet einen Theil der Wohnkammer; bei dem kleinen vorn abgebrochenen Exemplar (Fig. 1 e) nimmt diese Kammer °/, des letzten Umganges ein. Die Lobenlinien. Die jüngsten Linien, welche dem Ibergiceras-Stadium entsprechen, sind ungefähr auf der Hälfte des zweiten Umganges bei einer Höhe von 0,43 Mm. (Fig. 19) be- UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 29 obachtet worden. Auf dem dritten (?) Umgange bei 0,86 Mm. desselben erkennt man die Lobenlinien des Paraprolecanites-Stadiums (Fig. 1 h). Das Pronorites-Stadium (Fig. 1 à) ist bei einer Höhe des Umganges von 1,2 Mm. (wie es scheint, das Ende des dritten oder der An- fang des vierten Umganges) beobachtet worden. Auf dem vierten Umgange bei 2,4 Mm. Höhe sind die Suturen des Sicanites-Stadiums zu erkennen. Angefangen von diesem Stadium wachsen die Umgänge der Medlicottien rasch an, wobei auch die Lobenlinien rasch compli- cirter werden, indem sie auf dem fünften Umgange (das Promedlicottia-Stadium durchlaufend) das Endstadium erreichen. In der unten angeführten Tabelle ist eine Zusammenstellung der Merkmale der Loben- linien bei verschiedener Höhe der Umgänge gegeben. (Siehe Tab. I, S. 30-—53). Die Vergleichung der angeführten Data zeigt, dass beim Wachstlium der jungen Umgänge die Anzahl der Lateralloben rasch zunimmt, aber bei grösseren Umgängen fast constant bleibt und gleich 11 ist. Vier Loben liegen auf dem evoluten Theile der Umgänge, die übrigen 7 gehören zu den Auxiliarloben. Die Gruppe der grossen Lateralloben bilden die drei ersten derselben. Die Höhe der Externsättel nimmt mit dem Schalenwachsthum allmählig zu, wobei auch die Auzahl der klei- nen secundären Adventivloben grösser wird. Die letzteren kann man in obere, laterale und siphonale eintheilen, je nachdem sie am oberen Ende des Externsattels, auf der Lateralseite des Gehäuses oder auf seiner Siphonalseite sich befinden. Angefangen von einem gewissen Ent- wickelungsstadium bleibt wahrscheinlich die Anzahl der lateralen und siphonalen Adventiv- loben constant. (Vergl. Fig. 1, [—п). Die siphonalen Adventivloben erscheinen stets um einen weniger, als die lateralen Adventivloben. Die Basis des Siphonallobus, welche bei den Umgängen der Anfangsstadien unter der Basis des ersten Laterallobus liegt, nimmt allmäh- lig mit dem Wachsthum ein höheres Niveau ein, als das Niveau dieses letzteren Lobus. Dimensionen. I (Fig. 1a) II (Fig. 1m) II (Fig.1 c,) ТУ. Fig. 1e). DONNER EEE MERE RS nen — — 27 14 И Hohe des letzten Ошсалоез.......... — 32 16,5 — 6 СООО ee ее Se 15 2 5 3 2,4 Höhe des evoluten Theiles der Umgänge. . 26 22 —- — — Höhe des involuten Theiles der Umgänge . — 10 — — — NAabeldurChmesser 22. aan Pau ee — 349 2 Vorkommen. Ich verfüge über Exemplare der M. artiensis aus folgenden Fundorten: unweit von dem Dorfe Jangibaewa am Gr. Ik.; von der Ascha, unterhalb der Mündung der Kara-Jelga; aus der Umgegend der Artinsk. Hütte; zwischen den Felsen Nawisschij Kamen und Maloje Brewno an der Uswa; von der Koswa unterhalb der Mündung der Chaldina ; von der Wischera (Kumini Wody, unterhalb des Dorfes Owladejewa) und von der Kolwa. Alle Formen, welche von den Forschern am Westabhange des Urals in ihren Schriften L 30 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Tak Fig. 1 g. Fig. 1h. Fig. 11. Fig. 17 Fig. 1%. Я | Win dungshöhe 0,43 Mm. |Windungshöhe 0,86 Mm.| Windungshöhe 1,9 Mm. Windungshöhe 2 43 Mm. inne — | | 1) Siphonallobus) 1) Siphonallobus am Grunde ее der mittlere Theil tief, an der Basis einfach, am Grundel(Die Lobenlinie unterbrochen). 3 geschlossen. 3 2) Lateralloben jederseits 2; beide| 2) Lateralioben 4;| 2) Lateralloben 5:| 2) Laterallobe einfach. der erste am Grundeldrei zweitheilige und|vier zweitheilig zweitheilig. Die übri-|zwei einfache. vier einfache; die] gen einfach. jectionsspirale, 1 man sie be konnte, schneidet” 4 Lateralsattel, 3) Die Basis des! 3) Die Basis des Siphonallobus liegt tiefer, als die des ersten Laterallok Siphonallobus liegt | |. viel tiefer als der ег- ste Laterallobus. _ 4) Die Basis des ersten Laterallobus liegt tiefer, als die des) 4) Die Basis des) 4) Die Basi zweiten. ersten Laterallobus Niveau. liegt um ein Geringes tiefer, als die Basis des zweiten; der 3. und die folgenden sind bedeutend kleiner. 5) Die Externsättelesind-einfache. 5) Am oberen Ende der Externsät findet sich ein Einschnitt oder ein sch Adventivlobus'). 1 1) Bei einer Hôhe der Umgänge von 5 Mm., und auch | Adventivlobus und dem oberen Ende des Siphonalsattels weniger bemerkt man nicht selten, dass zwischen dem | ein kleiner flacher Einschnitt (Promedlicottia-Stadium) и, В: Fig. 11. в“ 15 Мю. 2 Siphonallobus am Grunde Jateralloben 11: fünf zwei- e und sechs einfache (bei Vindungshöhe von 11 Mm.). lem evoluten Theile der ıge befinden sich 4 Loben. rigen liegen innerhalb der tionsspirale. Die Basis des Siphonal- rsten Laterallobus liegen ‚hr in einem Niveau. Ausser einem Einschnitt am ı Ende des Externsattels, en sich auf der innere desselben 3 kleine Adven- en, von denen der untere teilig ist. Auf der Sipho- e des Sattels sind zwei he Adventivloben vorhan- UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. Fig. 1 m. Windungshöhe 32 Mm. ? 1) 2) Lateralloben 11: fünf zweithei- lige und sechs einfache. Auf der Na- belwand befinden sich 2 kleine, schmale Loben, welche durch breite Sättel ge- trennt sind. Auf der Innenseite der Umgänge treten ausser dem Antisi- phonallobus, der nicht beobachtet wor- den ist, acht zungenförmige einfache Loben auf, die durch ebensolche Sät- tel verbunden sind. Diese, wie auch jene werden von der Naht zum Anti- siphonallobus immer grösser. 3) 2 drei Lateralloben befindet sich fast in einem und demselben 3) vorhanden ist. 2) Auf einem anderen Fragment von gleicher Breite oberen 31 Fig. In. 1) Am Grunde des Siphonallobus ein Medianhöcker mit einem Ein- schnitt am Ende. 2) Auf dem wohlerhaltenen Frag- ment befinden sich 6 Lateralloben ; alle erscheinen zweitheilig. 3) Die Basis des Siphonallobus liegt etwas höher als die des ersten Laterallobus. 4) Die Basis des ersten Lateral- lobus liegt höher, als die des zweiten. Der zweite und dritte sind von glei- cher Tiefe; die übrigen sind bedeu- tend kürzer. 5) Am oberen Ende des Extern- sattels befinden sich zwei Adventiv- loben, welche durch sehr kleine, fast mikroskopische Sättel in zwei ebenso kleine Loben getheilt werden *). Aus- serdem erscheinen auf der innere Sei- te des Externsattels 3 Adventivlo- ben, von denen die zwei unteren zwei- theilig sind. Auf der Siphonalseite des Externsattels sind 2 Adventivlo- ben vorhanden. | fehlen diesekleinen Sättelchen und der Externsattel ist am Ende nur in zwei breite Adventivloben gespalten. u. = E23 2 2 30 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE | Tabel Fig. 1 Fig. 1h. 9. Windungshôhe 0,43 Mm. 1) = Siphonallobus geschlossen. einfach. 3) Die Basis des Siphonallobus liegt! viel tiefer als der er- ste Laterallobus. zweiten. 5) Die Externsättel Windungshühe 0,86 Mm. 2) Lateralloben jederseits 2; beide 3) Die Basis des sin d & d Fig. 11. Windungshôhe 1,9 Mm. 2) Lateralloben 4; er erste am Grunde zweitheilig. Die übri- en einfach. Siphonallobus liegt 4) Die Basis des ersten Laterallobus liegt tiefer, als die des einfache. Fig. 15. Windungshöhe 2,43 Mm. | | : al 1) Siphonallobus am Grunde dreitheilig, der mittlere Theil ti einfach, am Grundel(Die Lobenlinie unterbrochen). 2) Lateralloben 5: drei zweitheilige und zwei einfache. tiefer, als die des 4) Die Basis des ersten Laterallobus liegt um ein Geringes tiefer, als die Basis des zweiten; der 3. und die folgenden sind bedeutend kleiner. Adventivlobus!). Fig. 14. 4 Lateralsattel. Niveau. 5) Am oberen Ende der Externsättellé findet sich ein Einschnitt oder ein schmald 1) Bei einer Höhe der Umgänge von 5 Mn, und auch | Adventivlobus und dem oberen Ende des Siphonalsattels weniger bemerkt man nicht selten, dass zwischen dem | ein kleiner flacher Binschnitt (Promedlicottia-Stadium)) Windungshöhe 5 Ма ef, an der Basis of 2) Lateralloben 8 vier zweitheilige und vier einfache; Фе Ри \jeetionsspirale, sont man sie beobachte] konnte, schneidet da ersten Laterallobis, 4) Die Basis (@ UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE OARBONISCHE FORMEN. Fig. 11. Windungshöhe 15 Mm. Siphonallobus am Grunde { Bpitzig. SLateralloben 11: fünf zwei- [ге und sechs einfache (bei TWindungshöhe von 11 Mm.) dem evoluten Theile der Pince befinden sich 4 Loben. übrigen liegen innerhalb der jectionsspirale. ) Die Basis des Siphonal- ersten Laterallobus liegen elähr in einem Niveau. [Ausser einem Einschnitt am en Ende des Externsattels, Men sich auf der innere & desselben 3 kleine Adven- ben, von denen der untere heilig ist. Auf der Sipho- Elle des Sattels sind zwei Miche Adventivloben vorhan- vorhanden ist. 31 Fig. 1 m. Windungshôhe 32 Mm, 1) ? 2) Lateralloben 11: fünf zweithei- Loben, welche durch breite Sättel ge- trennt sind. Auf der Innenseite der Umgänge treten ausser dem Antisi- phonallobus, der nicht beobachtet wor- den ist, acht zungenförmige einfache Loben auf, die durch ebensolche Sät- tel verbunden sind. Diese, wie auch [jene werden von der Naht zum Anti- Fig. In. 1) Am Grunde des Siphonallobus ein Medianhöcker mit einem Ein - schnitt am Ende. 2) Auf dem wohlerhaltenen Frag- lige und sechs einfache. Auf der Na-Iment befinden sich 6 Lateralloben ; belwand befinden sich 2 kleine, schmalelalle erscheinen zweitheilig. | drei Lateralloben befinde siphonallobus immer grösser. 3) ? t sich fast in einem und demselben 3) Die Basis des Siphonallobus liegt etwas höher als die des ersten Laterallobus. 4) Die Basis des ersten Lateral- lobus liegt höher, als die des zweiten. Der zweite und dritte sind von glei- cher Tiefe; die übrigen sind bedeu- tend kürzer. 5) Am oberen Ende des Extern- sattels befinden sich zwei Adventiv- loben, welche durch sehr kleine, fast mikroskopische Sättel in zwei ebenso kleine Loben getheilt werden °). Aus- serdem erscheinen auf der innere Sei- te des Externsattels 3 Adventivlo- ben, von denen die zwei unteren zwei- theilig sind. Auf der Siphonalseite des Externsattels sind 2 Adventivlo- ben vorhanden. fehlendiesekleinen Sättelchenund der Externsattel ist am 2) Auf einem anderen Fragment von gleicher Breite | oberen Ende nur in zwei breite Adventivloben gespalten. 32 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Fig. 1 Fig. 1 A. | | 1 6) Der Externsattel ist niedriger, als der erste Lateralsattel. © Век erste L'a бега lsat tel h'6 hier als Э "Ре Scheidewände berühren sich nicht) in Bull. du Com. Géol. unter den Namen Medlicottia oder Sageceras artiensis, Medl. oder Sag. Sakmarae, Medlicottia falx angeführt werden, gehören zu der in Rede stehenden Art. Hierher gehören fast alle Formen, welche Krotow in seiner Monographie der Fauna der Artinsk-Stufe unter der Bezeichnung Medlicottia falx angeführt hat; nur M. Sak- marae bildet eine Ausnahme; ihre Unterscheidungsmerkmale sind weiter unten angeführt. Medlicottia Orbignyana de Verneuil. Taf. II, Fig. 1, a—n. Goniatites Orbignyanus Verneuil. Geol. of Russia II, 375, pl. XXVI, fig. 6. Aganides Orbignyanus (Vern.) d’Orbigny. Prodr., I, 116. Ammonites Orbignyanus (Vern.) Giebel. Fauna d. Vorwelt, III. 494. Goniatites Orbignyanus (Vern.) Eichwald, Lethaea rossica, 1325. Sageceras Orbignyanum (Vern.) у. Mojsisovics, Verb. 4. К. К. С. R.-Anst. 1872, 316. Geb. у. Hallst. I, 69. Medlicottia Orbignyana (Vern.) Waagen, Salt-Range Fossils, 83. Medlicottia Orbignyana (Vern.) Krotow, Artinsk-Etage, 215. Medlicottia Orbignyana (Vern.) Krotow, Mém. Com. Géol. VI, 477. Zu der vortrefflichen Beschreibung von Verneuil und den Ergänzungen Krotow’s kann ich noch einige Data hinzufügen, welche sich auf die Entwickelung dieser Form beziehen. 1) Dieses Merkmal ist nicht constant und auf den Um- | dass der 2. Laterallobus das obere Ende des zweiten Sat- gängen des Sicanites-Stadiums beobachtet man zuweilen, | tels der vorhergehenden Lobenlinie berührt. Fig. 1%. eng: Fig. 1 2. Fig. 17. Я Windungshöhe 0,43 Mm. |Windungshöhe 0,86 Мшт.| Windungshöhe 1,9 Mm. | Windungshôhe 2,43 Mm. Windungshöhe 5 weite und dritte La-| 8) Der 1., 2., 3. und 4. Lateral- 8) Alle auf dem Exemplar sicht- berühren den 1, 2.lobus berühren den 1, 2., 3. und 4.baren 6 Lateralloben berühren die eralsattel der vorher- Lateralsattel der vorhergehenden Lo- 5 Lateralsättel der vorhergehenden cheidewand. — benlinie. Ausserdem berühren der 8.|Lobenlinie. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 33 Fig. 11. Fig. 1 m. Fig. 1 п. ungshôhe 15 Мм. Windungshöhe 32 Mm. Externsattel etwas 6) Der Externsattel höher, als der der erste Lateralsat- erste Lateralsattel. 7) Die drei ersten ‘Lateralsattel fast von gleicher Höhe. 9. und 10. Lobus den 7., 8. und 9.| Der untere 2. und 3. Adventiv- Sattel. Der 3., 4., 5. und 6. innereksattel berühren den 1. Lobus der Lobus berühren sich mit dem 3., 4.,folgenden Lobenlinie. 5. und 6. Sattel. Die Anfangskammer und ersten Umgänge sind, wie in Fig. 1 a und b Taf. II zu er- sehen ist, den entsprechenden Schalentheilen des Pronorites cyclolobus sehr ähnlich. Die Längsfurche auf der Siphonalseite erscheint, dem Anscheine nach, bei einem Schalendurch- messer von ungefähr 3,5 Mm. Erreicht der Durchmesser 6—9 Mm., so sind die beiden durch die Siphonalfurche getrennten Kiele noch verhältnissmässig stumpf und wahrscheinlich durch die Kreuzung mit den Querstreifen gezähnt oder tuberculirt (wenigstens auf den Steinker- nen); in Folge dessen ist bei einem solchen Durchmesser die M. Orbignyana den entsprechend grossen Exemplaren der. M. artiensis sehr ähnlich. In Fig. 1 e ist diese Aehnlichkeit nur auf der unteren Hälfte des abgebildeten Umganges zu beobachten. Obgleich eine angedeutete Zähnelung der Kiele, welche sich mit dem Wachsthum rasch zuschärfen, nicht selten auch auf den Steinkernen grosser Exemplare beobachtet wird, so ist sie doch schwach ausgeprägt und oft gar nicht zu erkennen. Die Lobenlinien sind auf den ersten Umgängen nicht beobachtet worden. Die jüng- “sten untersuchten Lobenlinien zeigen schon bei einer Höhe des Umganges von 2 Mm. das Sicanites-Stadium. Um eine verhältnissmässig anschauliche Vorstellung über die Entwickelung der Lobenlinie bei M. Orbignyana zu erhalten, sind weiter unten die Hauptunterschiede dieser Linie bei verschiedener Höhe der Umgänge in Parallele gestellt worden. Wir bemerken nur vorläufig, dass auf dem evoluten Theile der Umgänge, wie im Endstadium, so auch im Sicanites-Sta- dium 4 Laterallboben auftreten. Die Lage der Projectionsspirale von dem vorhergehenden Umgange ist auf den Abbildungen der Lobenlinien durch Punktirung und die Buchstaben PS (Fig. 1, i—m) angegeben. Mémoires de l'Acad. Imp. d. se, VII Série, 5 32 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE 1 Fig. Ih, Fig. li. 2 Fig. 1 5. F ig. IK, N Mn, Windungshöhe 0,86 Mm. Windungshöhe 1,9 Mm. | Windungshöhe 2,43 Mm. Windungshöhe 5 An | 6) Der Externsattel ist niedriger, als der erste Lateralsattel. 7) ee erste Lateralsattel höher N 8) Die Scheidewände berühren sich nicht!?). | | in Bull. du Com. Géol. unter den Namen Medlicottia oder Sageceras artiensis, Medl. oder Sag. Sakmarae, Medlicottia falx angeführt werden, gehören zu der in Rede stehenden Art. Hierher gehören fast alle Formen, welche Krotow in seiner Monographie der Fauna der Artinsk-Stufe unter der Bezeichnung Medlicottia falx angeführt hat; nur M. Sak- marae bildet eine Ausnahme; ihre Unterscheidungsmerkmale sind weiter unten angeführt. Medlicottia Orbignyana de Verneuil. Taf. II, Fig. 1, a—n. Goniatites Orbignyanus Verneuil. Geol. of Russia II, 375, pl. XXVI, fig. 6. Aganides Orbignyanus (Vern.) d’Orbigny. Prodr., 1, 116. Ammonites Orbignyanus (Vern.) Giebel. Fauna d. Vorwelt, III, 494. Goniatites Orbignyanus (Vern.) Eichwald, Lethaea rossica, 1325. Sageceras Orbignyanum (V ern.) у. Mojsisovies, Verh.d.k. К. G. R.-Aust. 1872, 316. Geb. v. Hallst. I, 69. Medlicottia Orbignyana (Vern.) Waagen, Salt-Range Fossils, 83. Medlicottia Orbignyana (Vern.) Krotow, Artinsk-Etage, 215, Medlicottia Orbignyana (Vern.) Krotow, Mém. Com. Géol. VI, 477. Zu der vortrefflichen Beschreibung von Verneuil und den Ergänzungen Krotow’s kann ich noch einige Data hinzufügen, welche sich auf die Entwickelung dieser Form beziehen. 1) Dieses Merkmal ist nicht constant und auf den Um- | dass der 2. Laterallobus das obere Ende des zweiten Sat- gängen des Sicanites-Stadiums beobachtet man zuweilen, | tels der vorhergehenden Lobenlinie berührt, der UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISOHE FORMEN. Fig. 11. Windungshöhe 15 Mm. в) Der Externsattel etwas fer, als der erste Lateralsat- тет бе. d) Der zweite und dritte La- llobus berübren den 1, 2. 3. Lateralsattel der vorher- enden Scheidewand. Fig. 1 m. Windungshöhe 32 Mm, 7) Die drei ersten -Lateralsattel 8) Der 1., 2., 3. und 4. Lateral- lobus berühren den 1, 2., 3. und 4. |Lateralsattel der vorhergehenden Lo- benlinie. Ausserdem berühren der 8. Lobus berühren sich mit dem 3., 4., 9. und 10. Lobus den 7., 8. und 9.| Sattel. Der 3., 4., 5. und 6. innere, Fig. In. 6) Der Externsattel höher, als der erste Lateralsattel. fast von gleicher Höhe. 8) Alle auf dem Exemplar sicht- агеп 6 Lateralloben berühren die |5 Lateralsättel der vorhergehenden \Lobenlinie. Der untere 2. und 3. Adventiv- sattel berühren den 1. Lobus der folgenden Lobenlinie. 33 5. und 6. Sattel. Die Anfangskammer und ersten Umgänge sind, wie in Fig, 1 a und b Taf. II zu er- sehen ist, den entsprechenden Schalentheilen des Pronorites cyclolobus sehr ähnlich. Die Längsfurche auf der Siphonalseite erscheint, dem Anscheine nach, bei einem Schalendurch- messer von ungefähr 3,5 Mm. Erreicht der Durchmesser 6—9 Mm., so sind die beiden durch die Siphonalfurche getrennten Kiele noch verhältnissmässigstumpf und wahrscheinlich durch die Kreuzung mit den Querstreifen gezähnt oder tuberculirt (wenigstens auf den Steinker- nen); in Folge dessen ist bei einem solchen Durchmesser die M. Orbignyana den entsprechend grossen Exemplaren der. M. artiensis sehr ähnlich. In Fig. 1 e istdiese Aehnlichkeit nur auf der unteren Hälfte des abgebildeten Umganges zu beobachten. Obgleich eine angedeutete Zähnelung der Kiele, welche sich mit dem Wachsthum rasch zuschärfen, nicht selten auch auf den Steinkernen grosser Exemplare beobachtet wird, so ist sie doch schwach ausgeprägt und oft gar nicht zu erkennen. Die Lobenlinien sind auf den ersten Umgängen nicht beobachtet worden. Die jüng- sten untersuchten Lobenlinien zeigen schon bei einer Höhe des Umganges von 2 Mm. das Sicanites-Stadium. Um eine verhältnissmässig anschauliche Vorstellung über dieEntwickelung der Lobenlinie bei M. Orbignyana zu erhalten, sind weiter unten die Hauptunterschiede dieser Linie bei verschiedener Höhe der Umgänge in Parallele gestellt worden. Wir bemerken nur vorläufig, dass auf dem evoluten Theile der Umgänge, wie im Endstadium, so auch im Sicanites-Sta- dium 4 Laterallboben auftreten. Die Lage der Projectionsspirale von dem vorhergehenden Umgange ist auf den Abbildungen der Lobenlinien durch Punktirung und die Buchstaben РУ (Fig. 1, i—m) angegeben. Mémoires do 1’Acad. Пир. 9. вс, УП Serie, 5 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Fig. 11. Fig. Im. 34 Tabelle LI. „Fig: 1% Fig. 13. Fig. 1%. Höhe een Höhe es Höhe des Umganges 15 Min. 1) Lateralloben v. || jeder Seite 5; drei zweitheilige und zwei einfache; einer von den letzteren gehört zu den Hauptloben, die andern sind Au- xiliarloben. 2) Am Ende des Externsattels ein Einschnitt oder ein ‘schwacher Adventiv- lobus. 3) Der Siphonallobus am Grunde offen: | 1) Lateralloben 8: vier zweitheilige und vier einfache; die letzteren sind Auxi- liarloben. 2) Ausser d. kaum bemerkbaren Ein- schnitt am Ende des Externsattels Бейп- den sich auf sei- ner Innenseite zwei schwache Adventiv- loben und auf der Aussenseite des Sat- tels ein Lobus oder Einschnitt. die Lobenlinie unterbrochen. 4) Die Basis des Siphonallobus befin- det sich unter der Basis des ersten La- terallobus. 5) Die Extern-Sät- tel sind niedriger, als die ersten Late- ralsättel. 6) Der erste Late- ralsattel höher als der zweite. 7) Die Scheide- wände berühren sich nicht. 4) Die Basis des Siphonallobus befin- det sich fast in dem- selben Niveau mit Laterallobus. 5) Die Externsät- tel sind etwas höher, als die ersten Late- ralsättel. 6) Die Höhe des ersten und zweiten Lateralsattels gleich. 7) Der zweite La- terallobus berührt den zweiten Lateral- sattel der vorherge- henden Lobenlinie. der Basis des ersten]. 1) Lateralloben 10: 6 zweitheilige und 4 einfache. Zwei letzten unterden zwei- theiligen und alle einfachen sind Auxiliarloben. 9 PA ) Ausser einem sehr kleinen Einschnitt am Ende des Externsattels, befin- den sich auf seiner Innen- seite vier schwache Adven- tivloben, von welchen der untere zweitheilig ist; auf der Aussenseite sind 3 Ein- schnitte oder schwache Ad- ventivloben vorhanden. 3 ) Basis der Lateralloben. 5) Die Höhe der Extern- sättel zweimal grösser, als die Höhe des ersten Late- ralsattels. 7) Der zweite und dritte Laterallobus berühren den 1., 2. und 3. Lateralsattel der vorhergehenden Loben- linie. Höhe des Umganges? (тег! ит. Sn №09 Umganges 44 Мм. 1) Lateralloben 11? 1) 1) Lateralloben 11 und 1 (7 zweitheilige und 4? ein-[Nabellobus. Die ersten 7 fache); drei zweitheilige Lateralloben zweitheilig; und die einfachen sind Au-|die übrigen und der Nabel- xiliarloben. lobus einfach. Die 3 letzten zweitheiligen gehören zu den Auxiliarloben. 2) Ausser den schwach] 2) Ausser den schwach erkennbaren Einschnitten/angedeuteten Einschnitten am Ende der Externsättel,jam Ende der Externsättel befinden sich auf ihrer In-|befinden sich auf ihrer In- nenseite 5 kleine Adventiv-|nenseite 6 kleine Adventiv- loben, von welchen der un-|loben, von denen der untere tere zweitheilig ist undjzweitheilig erscheint und auf dem höher folgendenlauf dem höher folgenden die Zweitheilung angedeu-|die Zweitheiligkeit deutlich tet erscheint. AufderSipho-|zu bemerken ist. Auf der nal- (Aussen-) Seite d. Ex-|Siphonalseite des Extern- ternsattels sind 4 Einschnit-|sattels! sind 5 kleine Adven- te oder Adventivloben vor-|tivloben vorhanden. handen. 3) Am Grunde des Sipho- nallobus ein kleiner Medi- anhöcker mit einem Ein- schnitt am Ende. 3) ? Die Basis des Sipho- nallobus konnte nicht un- tersucht werden; seine an- zunehmende Gestalt ist in Fig. 1 m angegeben. 4) Die Basis des Siphonallobus befindet sich in einem höheren Niveau, als die 5) Die Höhe des Extern-| 5) Die Höhe des Extern- sattels übertrifft mehr als/sattels ungefähr 21, mal zweimal die Höhe des er-|grösser als die Höhe des sten Lateralsattels. ersten Lateralsattels. 6) Der erste Lateralsattel niedriger als der zweite. 7) Der 2., 8.,4. und 5. La-| 7) Der 1., 2., 3., 4., 5. terallobus berühren den 1.,lund 6. Laterallobus berüh- 2., 8., 4. und 5. Lateralsat-|ren den unteren Adventiv- tel der vorhergehenden|sattel und den 1., 2., 3., 4., Lobenlinie. 5. und 6. Lateralsattel der vorhergehenden Lobenlinie. 1) Auf dem kleineren Verneuil’schen Exemplare und auf | 11, daher bin ich der Ansicht, dass auch das Exemplar einem grossen, dessen Lobenlinie in Fig. 1 m abgebildet ist, beträgt die Anzahl der Lateralloben bis zum Nabelrande Fig. 1 1, dessen Nabelrand nicht erhalten ist, dieselbe An- zahl darstellt. Durchmesser des Nabels.... 4 2 21 1,5 1,5 1,5 » Ist UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 35 Aus der Vergleichung der obenangeführten Data ist zu ersehen, dass beim Wachsthum der jungen Umgänge die Anzahl der Lateralloben sehr rasch zunimmt. Bei verhältniss- mässig grossen Exemplaren bleibt sie fast dieselbe. Die Höhe der Externsättel nimmt all- mählig mit dem Wachsthum der Umgänge zu, wobei auch die Anzahl der Einschnitte oder der kleinen Adventivloben grösser wird. Auf der Siphonal- (äusseren) Seite der Externsättel erscheinen diese Einschnitte im Vergleich zur inneren (Lateral-) Seite derselben um einen weniger. Die Basis des Siphonallobus rückt mit dem Schalenwachsthum, im Vergleich zu den anderen Elementen der Lobenlinie, immer mehr in ein höheres Niveau. Dieses geht bei jungen Umgängen viel rascher als bei ausgewachsenen Exemplaren vor. Ausserdem sind noch einige Veränderungen an den Lobenlinien zu beobachten, welche schon in der ange- führten Tabelle zum Theil erwähnt worden sind, aber eine geringere Bedeutung haben. Fig. 1 2 und 1 m lassen erkennen, dass einige Loben an ausgewachsenen Exemplaren vor ihrer Zweitheilung sich verengen. Dimensionen. ge (Fig. 1m). (Fig. 1). (Fig. 19,h,k). (Fig.1c,f,5). (F.1e,d,2). (Е. 1a,b). I I III IV У VI УП Durehmesser— . . .:.. u 12 NO Dan, zur 26 11 3 WEB) Höhe des letzten Umganges.. 44 u.38 33 16 M 5 I, 870 140 Dill Be р 5,5 3 И, О Höhe des ev. Theiles desselben 27 25 » 10 » 1,5 » » Höhe des involuten Theiles.. 17 14 » 6 » 3,5 » » Vergleichung. Unter den sicilianischen Medlicottien ist der М. Orbignyana, die von Gemmellaro beschriebene M. Trautscholdi sehr ähnlich. Dieser Forscher hat mit Recht eine neue Form aufgestellt, da die verschiedenen Entwickelungsstadien der Ural’schen Form bis jetzt unbekannt waren. Indessen unterscheiden sich ihre jungen Exemplare nach den Lobenlinien ganz bedeutend von dem, von Verneuil untersuchten grossen Exemplar. Vergleicht man die von Gemmellaro gegebene Beschreibung und Abbildung (l. c., Tab. VIII, Е. 27—31) mit unserem Exemplar (Fig. 1 9, h, К, Taf. II), so erkennt man fast die vollständige Uebereinstimmung in der Form des Gehäuses, ihrer verhältnissmässigen Dimen- sionen und Lobenlinien. Der einzige Unterschied, welcher vielleicht von einiger Bedeutung sein könnte, besteht darin, dass die beiden Theile, in welche die Loben an ihrer Basis zer- fallen, bei der sicilianischen Form durch ihre Grösse bedeutend mehr von einander abweichen als bei der Ural’schen Form. Bei der letzteren (Fig. 1 №) ist der äussere Theil des ersten Laterallobus nur ein wenig länger als der innere, dagegen erscheint bei M. Trautscholdi der äussere Theil dieses Lobus ungefähr zweimal länger als der innere. Ferner beim dritten und folgenden zweitheiligen Lateralloben ist bei M. Orbignyana der äussere Theil nur unbedeu- tend kürzer, als der innere, bei der sicilianischen Form aber, ist er nach der von Gem- mellaro gegebenen Zeichnung (Fig. 36) zu urtheilen, zweimal oder noch kürzer, als der 5* 36 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE innere Theil. Da ein derartiger Unterschied zwischen den Zacken der zweitheiligen Loben bei verschiedenen Exemplaren von gleicher Grösse in verschiedenem Grade zu bemerken ist (bei dem Petschora-Exemplar z. В. viel deutlicher, als in Fig. 1 kangegeben), so kann, meiner Ansicht nach, das in Rede stehende Merkmal nicht zur Unterscheidung der Art dienen, so dass die sicilianische Form zu M. Orbignyana gebracht werden müsste und zwar, wenn die angeführten Merkmale der Loben bei der sicilianischen Form constant sind, dieselbe als M. Orbignyana var. Trautscholdi Gemmell. bezeichnet werden könnte. Vorkommen. Die von mir untersuchten Exemplare stammen aus dem Sandstein in der Umgegend der Artinsk-Hütte, des Berges Chanysch an dem Grossen Ik, an der Koswa, unter- halb der Mündung der Chaldina, an der Beresowaja, an der Jajwa (Podsyputschaja gora) und aus dem kieseligthonigen Kalksteine an der Petschora unterhalb der Mündung der Unja. Medlicottia sp. indeterm. (Taf. II, Fig. 6 a, b). Beim Hüttenwerk Ssimsk fand Tschernyschew einige verdrückte Fragmente von Medlicottia, welche, wie es scheint, einer besonderen, noch wenig bekannten, aber der М. artiensis nahe stehenden Art angehören. Nach diesen Stücken zu urtheilen besteht das Ge- häuse der in Rede stehenden Art aus sehr flachen Umgängen, welche auf der Siphonalseite mit zwei Reihen zahlreicher Höcker besetzt sind; die letzteren verlängern sich auf die Flan- ken des Gehäuses in sehr kurze, rasch verschwindende flache Rippen. Ausser diesen Rippen befinden sich weiter unter denselben feine S-f6rmig gebogene Rippchen. Unter der Oberflächenschicht der Schale ist eine gestreifte Sculptur deutlich zu erkennen, wobei die Streifen auf dem unteren Theile der Umgänge fast in die Quere verlaufen, aber höher biegen sie sich zurück, durchschneiden die Rippchen und nehmen eine sehr spitzwinklige Richtung zur Siphonalseite an. In der Nähe der letzteren sind sie nicht beobachtet worden. Ihrem Ansehen nach erinnern sie sehr an die sogenannten séries creuses Barrande’s, aber ihre wahre Natur kann ich nicht feststellen. Die Lobenlinien sind nur theilweise beobachtet worden. In Fig. 6 b sind die ersten und zweiten zweitheiligen Lateralloben und ebenso die Lateral- seite des Siphonalsattels zu sehen; auf dem letzteren sind die Adventivloben entwickelt, von denen der untere zweitheilig erscheint. Dimensionen. Die Exemplare sind so deformirt, dass die Dimensionen nicht genau ange- geben werden können. I П (Fig. 6a) IM (Fig. 6 b). Schalendurchmesser . . . . .. ungef. 52 cie ? Breite des letzten Umganges 3,5 5,5 3,5 Vergleichung. Die in Rede stehende Art hat die grösste Aehnlichkeit mit M. artiensis, von welcher sie sich bei gleichem Schalendurchmesser durch folgende Merkmale unterscheidet: viel dünnere Umgänge, zahlreichere Höcker, welche fast nicht in Flankenrippen übergehen, UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 37 und Biegungsform der Rippchen. Die beobachteten Theile der Lobenlinie sind den ent- sprechenden Theilen der Lobenlinie von M. artiensis ähnlich, aber die Loben und Sättel unserer Form erscheinen beim Vergleich der Dimensionen der anliegenden Höcker viel grösser. Auf dem Theile der Siphonalseite, welcher der Länge des ersten Laterallobus ent- spricht, befinden sich 5 bis 6 Höcker; bei M. artiensis erscheinen dagegen bei gleichem Schalendurchmesser nicht mehr als vier. Nach dem allgemeinen Habitus und den Höckern ist das Gehäuse unserer Form der M. Schopeni Gemm. ähnlich, aber die Lobenlinie der letzteren, welche sich durch einen tiefen ersten Laterallobus auszeichnet, ist wesentlich ver- schieden. Vorkommen. Ssimsk-Hüttenwerk, im feinkörnigen thonigen Sandstein der Artinsk-Stufe. Medlicottia Karpinskyana Krotow. Medlicottia Karpinskyana Krotow. Artinsk-Stufe S. 209, Taf. I, Fig. 34—38. Die von Krotow beschriebenen Exemplare stellen augenscheinlich junge Individuen dar, von welchen das grösste das Sicanites-Stadium darstellt. Nach den anderen Medlicottien zu urtheilen erhalten sie mit dem Wachsthum einen ganz anderen Habitus. Die erwähnten jungen Exemplare zeigen eine grosse Aehnlichkeit mit den jungen Umgängen der M. urtiensis. Ausser vielleicht einer unwesentlichen Abweichung in den Lobenlinien zeichnet sich die M. Karpinskyana durch den verhältnissmässig sich langsam verändernden Character, d. h. äussere Gestalt der Umgänge aus; so erscheint der Querschnitt der letzteren bei ihrer Höhe von 3° Mm. halbelliptisch oder parabolisch mit abgerundeter Siphonalseite, während bei M. artiensis bei einer Höhe der Umgänge von 2,25 Mm. auf der Siphonalseite die durch eine Längsfurche getrennten Höcker zu beobachten sind. Die von Krotow und Stucken- berg an der Koswa (Chaldinskaja Gora) und Sylwa (Urma) gesammelten Exemplare der in Rede stehenden Art sind von mir nicht untersucht worden. Subgenus Propinacoceras Gemmellaro. Gemmellaro, Fauna dei caleari с. Fusulina etc. 55. Die Formen, welche Gemmellaro unter dem Namen Propinacoceras als die, den typi- schen Medlicottien zunächst stehenden vereinigt hat, müssten meiner Ansicht nach, bei Ueber- einstimmung der meisten ihrer Merkmale mit letzteren, eher einer besonderen Untergattung der Medlicottien, als einer selbstständigen Gattung angehörig betrachtet werden. Die Annahme dieser oder jener Ansicht hängt im gegebenen Falle von dem subjecti- ven Standpunkte des Forschers ab. Der einzige Unterschied zwischen Propinacoceras und Medlicottia besteht darin, dass beim Schalenwachsthum die Differenzirung der Externsättel oder ihre Eintheilung in kleine Adventivloben und Sättelchen nur auf ihrer Lateral- oder у) PRE + OU SP ED OR LS D ET RE CR Ie CL SAT VE АЕ À AUS SAVENT NN x $ бы ar RR о 4 R . у Le PDU | 38 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Innenseite erfolgt. Alle bisher bekannten Propinacoceraten (5 Arten) zeichnen sich durch die glatten parallelen Flanken und breite, von zwei Reihen Höcker oder kurzen Querrip- pen begrenzte Siphonalseite ihrer Umgänge aus. Die unten angeführten Ural’schen und bucharischen Arten (Taf. II, Fig. 7e und 8a, b) und ebenso die sicilianische Form Medlicot- На Schopeni Gemm. sind Mittelformen zwischen Medlicottia und Propinacoceras, welche durch die nicht differenzirte Siphonalseite der Externsättel sich den Propinacoceraten nähern, aber durch die Entwickelung und Lage des unteren Adventivlobus (a) sich den Medlicottien anschliessen. Die sicilianische Form nähert sich mehr den letzteren; die beiden ersteren dagegen dem Propinacoceras. Propinacoceras Sakmarae Кагр. (Taf. II, Fig. 7 a—h). Sageceras Sakmarae Karpinsky. Verh. 4. Min. Gesellsch. IX, 286, Taf. XII, Fig. 9—14. Medlicottia Sakmarae (Karp.) Waagen. Salt-Range Fossils. 83. Medlicottia falx (Eichw.) Krotow (p) Artinsk. Etage 211. Medlicottia falx (Eichw.) Krotow (p.) Mém. Com. Géol. VI, 473. Zu der von mir gegebenen Beschreibung dieser Form füge ich einige Ergänzungen in Betreff der Lobenlinien hinzu, welche zwar früher schon bekannt waren, die ich aber mit grosser Mühe so aufdecken konnte, wie sie in Fig. 7d,e und f auf Taf. II abgebildet sind, wo in zusammenhängenden Linien die unmittelbar beobachteten Suturen und durch Punktirung die restaurirten Theile angegeben sind. Die Vergleichung der Figuren 7 d und e, welche von einem in den Verh. der Min. Ges. 1874. IX, Taf. XII, Fig. 9 und 10 abgebildeten Exemplare dargestellt sind, zeigt Folgendes: der Siphonallobus zerfällt bei einer Höhe des Umganges von 7 Mm. an seiner Basis in drei Theile; der mittlere Theil erscheint noch offen. Auf diese Weise besitzt dieser Lobus die Gestalt desselben Typus, wie bei den Gattungen und Stadien Pronorites, Paraproleca- пез und Sicanites. Die Lateralseite des Externsattels ist durch zwei Adventivloben differenzirt; der untere derselben (Fig. 7 e, a), welcher eine schiefe Stellung annimmt, ist verhältnissmässig stark entwickelt und endigt zweispitzig. Ein Theil des Sattels, welcher sich zwischen diesem Se- cundärlobus und -dem Siphonallobus befindet, hat eine horizontale Lage und besitzt einen Einschnitt oder einen schwachen Adventivlobus. Die Anzahl der beobachteten Lateralloben ist — 7; nach der übrigen Entfernung bis zum Nabel zu urtheilen erreicht die ganze An- zahl, bei der angeführten Höhe des Umganges 9 oder 10. Auf dem evoluten Theile des Umganges befinden sich 4 Loben (alle zweispitzig); die Basis der übrigen Loben, welche innerhalb der Projectionsspirale liegen, ist nicht beobachtet worden; wahrscheinlich sind sie theils zweispitzig, theils einfach. Die Basis des ersten Laterallobus liegt tiefer als die der übrigen. Der erste Lateralsattel ist höher als der Externsattel, der zweite ist der höchste; UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 39 dann nimmt ihre Höhe in der Richtung zum Nabel allmählig ab. Auf dem grossen Exemplare (Verh. der Min. Ges. IX, Taf. XII, Fig. 12) ist nur ein Theil der Suturen der letzten Scheide- wand zu sehen: und zwar ein Theil des oberen Endes des Externsattels und das obere Ende einiger Lateralsättel (Taf. II, Fig. 7 f; die untere Hälfte der Scheidewände ist abgebrochen). In Fig. 7 f ist versuchsweise die Lobenllinie restaurirt, wobei der höchste Sattel als zweiter Lateralsattel angenommen wird, (was in der That an kleineren Exemplaren der Fall ist, vgl. Fig. 7 e), und der Lobus a, als unterer Adventivlobus (welcher, so zu sagen, aus dem Lobus a, Fig. 7 e entstanden ist). Wenn diese Voraussetzung sich bestätigt, so wird die Höhe des Sattels zwischen dem Adventivlobus a und dem ersten Laterallobus 2 (Fig. 7 e) mit dem Schalenwachsthum grösser und übertrifft die der Externsättel (Fig. 7 f). Die restaurirte _ Zeichnung Fig. 7 f ist den von Gemmellaro abgebildeten Lobenlinien des Propinacoceras sehr ähnlich; in der von diesem Forscher gegebenen Beschreibung wird der Lobus a, als erster Laterallobus betrachtet. Betrachtet man denselben als einen solchen, so würde bei unserer Form für den Lobus, welcher dem gleichförmigen Lobus а in Fig. Те entspricht, kein Raum vorhanden sein. Vergleichung. Die oben angeführte Beschreibung der Lobenlinie von Propinacoceras Sak- marae zeigt, dass diese Form sich wesentlich von Medlicottia artiensis unterscheidet, mit welcher sie oft verwechselt wurde. Als ich im Jahre 1874 die Beschreibung der ersteren gab, war es bekannt, dass die Rippen eines grossen Exemplars von M. artiensis den Höckern ent- sprechen, welche an jungen Exemplaren sich zu Rippen verlängern; das Fehlen der Flanken- rippen ist aber damals bei noch kleineren Exemplaren noch nicht beobachtet worden, ob- gleich man dasselbe voraussetzen konnte. Ungeachtet dessen konnte ich mich im Jahre 1874 nicht entschliessen den Pr. Sakmarae mit M. artiensis zu vereinigen, weil bei Exemplaren der letzteren Form, welche ungefähr dieselben Dimensionen hatten, wie in Fig. 12, Taf. XIl meiner Arbeit (Verh. d. Min. Ges. IX), die Flankenrippen vorhanden sind und die Höcker zahlreicher, als bei Pr. Sakmarae auftreten; ausserdem an grossen Exemplaren, wie das aus dem Fragment des letzteren (Fig. 14) zu ersehen ist, der Querschnitt der Umgänge, abge- sehen von dem Character der Rippen, ganz wesentlich bei beiden Formen abweicht. Bei der Sakmarischen Form geht die Siphonalseite allmählig in die Seitenflächen durch einen ab- gerundeten Rand (Fig. 7 g, Taf. II) über, während sie sich bei M. artiensis durch eine stumpfe Kante mit den Seitenflächen vereinigt (vergl. Fig. 23, 5. 24). Die später aufgefun- denen jungen Exemplare der М. artiensis zeigten der äusseren Gestalt nach eine solche Aehn- lichkeit mit Pr. Sakmarae, dass ich, wie die andern Geologen, dieselben in einigen Fällen zur letzteren Form rechnete. Indessen hat Krotow nachgewiesen, dass diese Exemplare mit der inneren Umgängen der M. artiensis identisch sind, und vereinigt in Folge dessen beide Arten. Sowohl der Character der Lobenlinien, als auch die soeben angeführten Unterschiede gestatten nicht diese Vereinigung. Eine genaue Untersuchung weist darauf hin, dass auch die jungen Exemplare von M. artiensis und Pr. Sakmarae sogar in solchen Fällen unter- schieden werden können, wo die Lobenlinien nicht zu beobachten sind. Der Hauptunterschied 40 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE besteht in der Form der Höcker, die bei М. artiensis eine unsymmetrische Gestalt annehmen (Fig. 1 d, Taf. I); dagegen bei Pr. Sakmarae ganz symmetrisch erscheinen, und zwar auf den jungen Umgängen halbkugelig (Fig. Та, b, Taf. IT), bei den älteren Umgängen hemiel- lipsoidal (Fig. 7 c) werden. Ausserdem ist die Siphonalfurche bei M. artiensis in allen Alters- stufen viel schärfer ausgeprägt, als bei Pr. Sakmarae. Bei jungen Exemplaren der letzteren Form erscheint diese Furche so zu sagen nur angedeutet, weil zwischen den beiden Höcker- reihen ein schmaler glatter Längsstreifen (Fig. 7 а, 6) vorhanden ist. An grösseren Exemplaren erscheint die Furche deutlicher (Fig. 7c, 9, Taf. II und Fig. 14, Taf. XII Verh. а. Min. Ges. IX); aber obgleich sie auf den Steinkernen vollkommen zu erkennen ist, tritt sie auf der Schale viel schwächer auf. Bei M. artiensis prägt sich diese Furche in allen Alters- stufen viel schärfer aus. Schliesslich ist zu bemerken, dass der Nabel bei Pr. Sakmarae bei gleichem Schalendurchmesser kleiner erscheint. So erreicht der Nabeldurchmesser bei dem in Fig. le, Taf. Т abgebildeten Exemplar der М. artiensis 2 Mm. und bei Pr. Sakmarae von gleichen Dimensionen 1 Mm. Auf dem Exemplar in Fig. 12, Taf. XII (Verh. 4. Min. Ges. IX), befindet sich eine kleine Schale, welche in Fig. 7 h, Taf. II dargestellt, sich als ein junges Exemplar von Pr. Sakmarae ausweisen wird. Diese Schale besitzt rasch anwachsende Umgänge, mit abgeflachten Flanken und gerundeter Siphonalseite, und ist nach dem Pronorites-Typus ausgebildet, was auch der in Fig. 72 abgebildeten Lobenlinie vollkommen entspricht, bei welcher der Siphonallobus und letzte Laterallobus restaurirt sind. Durch die entsprechenden Dimensionen der ver- schiedenen Theile und geringe Grösse kann diese Schale keiner einzigen bekannten Prono- rites-Art angehören, wie auch aus der Lobenlinie zu ersehen ist. Die grosse Anzahl der Lateralloben bei einer Höhe des Umganges von 2 Mm., wobei der erste (zweispitzige) und zweite (einfache) Laterallobus fast von gleicher Breite sind, weist darauf hin, dass das Ge- häuse in Fig. 74 nicht das Endstadium, sondern das Pronorites-Stadium einer vielmehr differenzirten Gattung darstellt. Eine grössere Aehnlichkeit als mit M. artiensis besitzt die Sakmarische Form mit den sieilianischen Propinacoceraten, besonders mit Propinacoceras affine Gemm., was schon von Gemmellaro nachgewiesen worden ist. Von dieser Art unterscheidet sich Pr. Sakmarae durch seine Lobenlinien ; obgleich vielleicht der Unterschied in dieser Beziehung bei ge- nauerem Studium beider Arten, namentlich in Bezug auf die Lobenlinien der Exemplare von gleicher Grösse, und nach Feststellung der Entwickelung der Loben a und / (Fig. 7f und e), später unbedeutender sein wird, als es gegenwärtig zu sein scheint. Vorkommen. Alle Exemplare von Pr. Sakmarae sind bis jetzt ausschliesslich im Kalk- steine der Artinsk-Stufe bei Kundrowka ап der Sakmara gefunden worden. Die andern _ uralschen Formen, welche unter diesem Namen (Sageceras oder Medlicottia Sakmarae) ange- führt worden sind, stellen junge Exemplare der M. artiensis dar. Die Darwaz-Form, die von mir als Мед. cf. Sakmarae beschrieben worden ist, erscheint in der That als eine der uralschen sehr nahe stehende, aber selbstständige Art. ВИ: UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 41 Propinacoceras Darwasi n. sp. (Taf. II, Fig. 8, а, b). Sageceras (Мейсона) cf. Sakmarae Karpinsky. Verh. 4. Min. Ges., XVIII, 1883, 214 f. 2—5. Medlicottia falx (Eichw.) Krotow (p.) Artinsk. Et. 210. Die Beschreibung dieser Form habe ich in der oben citirten Arbeit gegeben. Die fast ganz unbekannten Lobenlinien sind mit grosser Mühe an dem in Fig. 4 (Verh. d. Min. Ges.) abgebildeten Exemplar bei einer Höhe des Umganges von 14 Mm. aufgedeckt und in Fig. 8, Taf. II theils (durch Punktirung) in restaurirtem Zustande abgebildet worden. Der Siphonallobus ist unbekannt. Der Externsattel ist durch zwei Einschnitte oder schwache Adventivloben differenzirt, welche sich auf dem breiten, in horizontaler Richtung ausgezo- ‚genen Ende des Sattels befinden; zwischen diesem Ende und dem ersten Laterallobus be- findet sich ein kleiner schiefliegender zweispitziger Adventivlobus a. Lateralloben 10 oder 11. Der zweite und dritte Lobus sind am tiefsten; der erste (2) viel kürzer. Auf dem evo- luten Theile der Umgänge erscheinen 4 Lateralloben, alle zweitheilig. Von den innerhalb der Projectionsspirale vom vorhergehenden Umgange liegenden Loben sind zwei mittlere einfache vollständig beobachtet worden. Der erste und zweite Lateralsattel sind ungefähr von gleicher Grösse; ihr oberes Ende liegt fast in demselben Niveau mit dem Ende des Externsattels. Vergleichung. Der Hauptunterschied zwischen Propinacoceras Darwasi und dem ihm am meisten ähnlichen Pr. Sakmarae besteht darin, dass bei dem letzteren der erste Late- rallobus (2) tiefer als der zweite, dritte und die anderen Loben liegt, bei Pr. Darwasi aber umgekehrt die Basis des ersten Laterallobus erscheint viel höher als die des zweiten und dritten Lobus. Ausserdem ist bei dieser Art das obere Ende des Externsattels (mit zwei schwachen Loben) in demselben Niveau mit dem Ende des ersten Lateralsattels und nicht etwas tiefer, wie bei Pr. Sakmarae (bei welchem das obere Ende des Externsattels bei unge- fähr gleicher Grösse des Umganges scheinbar nur mit einem Einschnitt versehen ist). Schliesslich ist der zweite Lateralsattel bei Pr. Sakmarae höher als der erste, während sie bei Pr. Darwasi fast gleich sind. Einige andere vielleicht nicht sehr wesentliche Unter- schiede sind schon früher angeführt worden (S. Verh. d. Min. Gesellsch. XVIII, 215). Vorkommen. Darwas in Buchara aus einem einzeln gefundenen kieselig-thonigen Kalk- steinblock. Nachträgliche Bemerkungen über die Entwickelung, genetischen Verhältnisse und Classi- fication der obenbeschriebenen Formen. Aus der Beschreibung der Entwickelung der oben angeführten Formen kann man ersehen, dass sie alle eine natürliche Gruppe bilden, deren Mannigfaltigkeit (vorausgesetzt dass ihre embryonale Entwickelung mit ihrer Abstammung zusammenhängt) von einem der Mémoires de l’Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 6 42 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE einfachsten Typen der Ammoneen ausgeht, welchem oben der Gattungsname Ibergiceras beigelegt worden ist. Diese Gattung, zu welcher einstweilen nur eine bekannte Art Goniatites tetragonus Roem. gehört, steht dem Prolecanites Mojs. sehr nahe. Es ist möglich, dass man die erwähnte Form nicht von der letzten Gattung trennen dürfte; doch scheint es mir, dass die typischen Prolecaniten, deren Entwickelung leider noch nicht untersucht worden ist, einige schon oben angeführte Abweichungen oder eine weitere Ibergiceras -Entwickelung darstellen. Diese Abweichungen, welche in dem hinaufrückenden Niveau der Basis des Siphonallobus, in der Verlängerung der Lateralloben und Auftreten der Auxiliarloben bestehen, nehmen dieselbe Richtung an, in welcher die Veränderungen bei Verwandlung von Ibergiceras in andere Formen vor sich gehen. In der unten folgenden Tabelle (Fig. 27) sind die früher besprochenen Entwickelungsbeziehungen veranschaulicht worden. Die Be- trachtung dieser Tabelle zeigt uns, welche Entwickelungsstadien die in derselben angeführ- ten Ammoneen durchlaufen. So z. B. durchlaufen die Medlicottien in ihrer Entwickelung die Stadien Zbergiceras, Parapronorites, Pronorites und Sicanites; das Ibergiceras-Stadium und ebenso die des Paraprolecanites und Pronorites sind auch der von den Medlicottien sehr abweichenden Norites-Gattung eigen, bei welcher in dem Pronorites-Stadium die weitere Differenzirung der Merkmale in einer andern Richtung erfolgt, als bei den Medlicottien !). Die beiliegende Tabelle zeigt auch meiner Ansicht nach die genetischen Beziehungen der in derselben angeführten Formen, um so mehr, als ihre Entwickelungsstufe in auffallender Weise mit ihrem geologischen Alter zusammentrifft. Da in dieser Tabelle einige Formen aufgenommen sind, welche ich nicht untersucht habe und die früher nicht erwähnt worden sind, so halte ich es für nothwendig einige von denselben näher zu bezeichnen. Die Paraprolecanites-Gattung betrachte ich als Zwischen form von Prolecanites und Lecanites Mojs. in der Voraussetzung, dass der einfache Sipho- nallobus des Prolecanites anfangs in drei Theile zerfällt, aus welchen später der Medianhöcker mit einem Einschnitt am Ende entsteht, wie bei einigen Pronoriten. Später verschwindet dann der Einschnitt am Ende des Medianhöckers, wie das auf Grund der Veränderungen des Medianhöckers bei anderen Ammoneen anzunehmen ist (wie 2. В. bei Gastrioceras, в. unten), und durch das Fehlen des erwähnten Einschnittes auf einigen grossen Medlicottia- Exemplaren (M. Wynnei Waag, einige sicilianische Medlicottien). Weiter unten wird ange- zeigt werden, dass das Verschwinden des Einschnittes auf dem Medianhöcker scheinbar mit der Veränderung der nach hinten gerichteten Siphonaldüten in nach vorn gerichtete zu- sammenfällt. Aber ausser der erwähnten Veränderung bildet Prolecanites oder richtiger Paraprolecanites den Anfang der Gattung Daraelites Gemm., deren junge Gehäuse nach ihrer äusseren Form und ihrer Lobenlinien mit Paraprolecanites vollständig übereinstimmen. 1) Die Furche, welche auf dem Steinkerne der Pro- | der als Furche, welche die schmale Siphonalseite ganz noriten auftritt, erscheint bei den Medlicottien entwe- | einnimmt oder nur in der Mitte derselben verläuft. | } | 3 | и + 7 г , у у Au, ee en; RN ERST | "Pacs а ; а x x Ku - S : “ a 2 Se ИВ “(ppopuoß ‘лок — 98 ‘SLA ЧЕТ pın ar Е = 56109181041 $19726 ‘99T — УТ "Я ‘ИТ “Аоадзват, ‘пром ‘р 'Teydog) sorAosısfop OUT 5270г pun S2MU099T ‘(ачаэйг "CT Е zen — 08 'J ‘x ‘EUIMSN ‘9 ‘21989 ‘р wuneg) ое Пэшиою) цози 59/9040 “ИтЧа UOU 'qpurg $40102 зао к) | = а а | — 29 ‘BIX ‘XI Dessen 38194) 19d19gpurg Чози s2NUuVD]0.dnımg (IMOSUI SOWIuU0H — 98 "83 ‘AIX ‘Id “aoıreg : : SR Е An FUI ©] эр 99 S8HNJSY ‘р ‘UE "1199 `[ ‘$ "yooy) зэриаэ8а® зтолле цози 391 S2%UPI29)04J UOA OIUI[UOQOT IQ 5 $ Зы а Же À ‘тат 9J41AUN этр 91497 S2HUDIIOUT рат 3942096429 UOUISIMZ “WNIPEJS > я. * | % 3 U -V19J091[POWOIX SEP 3914919294 ‘JOPUUOQ $21%470%0 лэци yaıs SOUOLOM ‘иоЧотой орппл эп SEC ‘/5 "Я Ух 2 à + FARINE > Г м. ß Er m >a0rj1ou01g Е re = i Е TE Е a et а ВЕ ee с x у < О 8 : | 1 1 | À 2 RITTER D р SR ОЕ a | { \ 5 R : } | N a LE À зезрополавзва ! g818900tuJdoix 33о2прэм 8H091PeIT ve | Е ео ЕН а а ие ав, + UE RO а Ех Е DR $ | \ 1 г злом 3 Se UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 43 Betrachtet man die andern Ammoneen, so entssteht unwillkürlich eine Zusammenstel- lung der Lecaniten 2. В. mit Xenodiscus, Meekoceras und Gymnites; aber so lange die Ent- wickelung dieser Ammoneen nicht genauer untersucht worden ist, sind derartige verglei- chende Gruppirungen sehr gewagt. Besonders belehrend ist die Vergleichung von Sageceras mit Medlicottia, deren Schalen, wie bekannt, nicht selten auffallend ähnlich sind. Der we- sentlichste Unterschied besteht in der Lage der Adventivloben, die jedoch bei Medlicottia auf eine andere Weise sich entwickeln, als bei den Sageceraten. Nach den Daten zu urthei- len, die in den ausgezeichneten Arbeiten von Mojsisowics und Branco angeführt werden, entwickelt sich bei diesen Ammoneen sehr früh der Medianhöcker, und die Adventivloben entstehen durch die Differenzirung desselben, während bei den Medlicottien die Median- höcker bis auf die grossen Exemplare fehlen und auch bei den letzteren, wie gesagt, schwach entwickelt sind. Die Entwickelung der Adventivloben wird bei diesen Formen durch die Diffrenzirung der Externsättel bedingt. Einen noch bedeutend grösseren Unterschied bemerkt man in der Entwickelung der beiden erwähnten Gattungen in viel jüngeren Stadien. Nach der Gestalt der Anfangskammer und der ersten Scheidewand gehört Sageceras zu den Angustisellati, während die Medlicot- tien, nach der Anfangskammer der Pronoriten zu schliessen, deren Entwickelungsstadien mit den embryonalen Stadien des Medlicottia-Gehäuses identisch sind, zu den Latisellati gehö- ren. Der übrige weitere Verlauf der Entwickelung bis zum Endstadium ist bei den beiden erwähnten Gattungen auch sehr verschieden. Daher ist es um so bemerkenswerther, dass in diesem Endstadium Sageceras und Medlicottia nicht selten einander so ähnlich erscheinen, dass ihre Angehörigkeit zu einer und derselben Gattung noch unlängst ganz unzweifelhaft zu sein schien. Auch gegenwärtig betrachtet man die Sageceraten und Medlicottien nur als besondere Untergattungen oder sehr nahe stehende Gattungen. In Betracht der angeführten Unterschiede in der Entwickelung entfernen sich meiner Ansicht nach diese Gattungen in ihren gegenseitigen Beziehungen sehr von einander. Man kann sagen, dass die Medlicottien unter den Latisellaten analoge Formen der Sageceraten unter den Angustisellaten darstellen. Wenn aber der grösste Theil der Medlicottien nach der äusseren Gestalt des Gehäuses so zu sagen identisch mit den Sageceraten erscheint, so zeigen einige unter denselben (z. B. M. artiensis) auch solche Abweichungen, die noch mehr an Trachyceras erinnern; oder mit andern Worten könnten einige von den Medlicottien nach der Sculptur zu den Leiostraca Mojs., die andern zu den Trachyostraca gebracht werden. Aus dem Obigen und den bekannten Daten der Entwickelung von Pinacoceras ist aus- serdem zu ersehen, dass die letztere Gattung und Propinacoceras auch nicht in unmittel- barem Zusammenhange stehen. | 6* 44 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Die bisher bekannten Medlicottien, mit Ausnahme der zur Untergattung Propinacoce- ras gehörenden Formen, können in folgende drei Gruppen getheilt werden: I. Gruppe der M. Orbignyana. Siphonalseite schmal, aus der Siphonalfurche und ihren beiden Kielen beste- hend. Schale glatt. Ex- ternsättel schmal und hoch. М. Orbignyana Verneuil. M. Orbignyana var. Traut- scholdi Gemm. M. primas Waag. M. Verneuili Gemm. M. Marcoui Gemm. М. bifrons Gemm. I. Gruppe der M. Wynnei. Siphonalseite breit und flach. Schale glatt(?) Ex- ternsättel schmal und hoch. M. Wynnei Waag. Ш. Gruppe der M. artiensis. Siphonalseite breit mit ei- ner Längsfurche; zu beiden Seiten derselben befinden sich Höcker oder kurze Rippen, welche sich nicht selten in die Flankenrip- pen der Schale verlängern. Externsättel verhältniss- mässig niedrig und breit. M. artiensis Grünw. M. indeterm. M. Karpinskyana Krot. (?) M. Schopeni Gemm. ist eine Uebergangsform zwischen der III Gruppe und den Pro- pinacoceraten. Wie bekannt, ist die bisher aufgestellte Eintheilung der einfachsten Ammoneen in Gattungen (namentlich der sogenannten Goniatiten) welche eine wichtige wissenschaftliche Bedeutung im Sinne einer auf rationeller Basis begründeten Classification hat, etwas vor- eilig durchgeführt worden. Noch mehr trifft dieses zu in Bezug auf die Vereinigung dieser Gattungen in Familien. Eine richtige Gruppirung derselben ist bei dem gegenwärtigen Zu- stande unserer Kenntnisse noch nicht möglich. Die in der Tabelle angeführten Formen sind, wie es scheint, durch die einheitliche Abstammung mit einander eng verbunden, indessen werden viele derselben von den meisten Polaeontologen nicht nur zu verschiedenen Familien, sondern sogar zu zwei verschiedenen Abtheilungen: Retrosiphonata und Prosiphonata gebracht. Das Hauptmerkmal, das zur Ein- theilung in diese Abtheilungen dient, kann, nicht wie aus den Untersuchungen Branco’s hervorgeht und wie das unter anderem weiter unten bestätigt wird, als Grundlage zur Ein- theilung der ersten Ordnung dienen. Nicht nur in einer und derselben Familie, sondern sogar in einer und derselben Gattung können sich solche Formen befinden, welche in ihrem Endstadium in Betreff der Richtung der Siphonaldüten von einander abweichen. Es scheint mir, dass die in der Tabelle angeführten Ammoneen zu einer grossen Fa- milie gehören, für die man die von Hyatt gegebene Bezeichnung Prolecanitidae beibehalten könnte. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 45 Diese Familie könnte wahrscheinlich noch durch solche Formen vervollständigt wer- den, welche schon zum Theil von Hyatt in dieselbe aufgenommen wurden'), aber einige dieser Formen, wie z. В. Lobites und Popanoceras stellen sehr entfernt stehende Formen dar, welche man mit Prolecanites und Pronorites nicht in einer und derselben Familie unter- bringen kann. ' - Die schon mehrere Mal nachgewiesene Entwickelung des Siphonallobus betrachte ich als das am meisten characteristische Merkmal der in Rede stehenden Familie, welche man in Bezug auf die in der Tabelle angeführten Formen in folgende Unterfamilien ein- theilen könnte: 1) Medlicottinae. Die hierhergehörigen For- men zeichnen sich durch das Vorhandensein von Adven- tivloben und zweitheiligen Lateralloben aus. 1) Sicanites. 2) Propinacoceras. 2) Noritinae. Formen, die sich durch das Vorhandensein von zweithei- ligen, zuweilen gezähnten Loben auszeichnen. 1) Pronorites. 2) Parapronorites. 3) Norites. 3) Lecanitinae. Formen mit einfachen, d. h. nicht zweitheiligen, zu- weilen gezähnten Lateral- loben. 1) Ibergiceras. 2) Prolecanites. 3) Paraprolecanites. 3) Medlicottia. 4) Lecanites. [stamm).] 5) Daraelites (Seiten- GLYPHIOCERATIDAE Hyatt. Gastrioceras Hyatt. Ammonites (Br.) (p.) Martin. Petrificata derbiensia, 1809, pl. 35, fig. 3. Ammonites (Br.) (p.) Sowerby, у. Buch, Giebel. etc. Goniatites (de Haan) Phillips (p.) Geol. of Yorksh., pl. XX, Ё 1. Goniatites (de Haan) (p.) Verneuil, Meek, Eichwald, Brown, Worthen, Grünewaldt, Gurow, Karpinsky, Hall, Whitfield, Krotow, Abich etc. Aganides (Montf.) (р.) d Orbigny Prodr,116. Gastrioceras Hyatt. Gen. of fos. Cephal. Proc. Boston Soc. Nat. Hist., 1883, XXII, 397. Gastrioceras (Hyatt.) Zittel, Gemmellaro, Zwetajew etc. Zu der von Hyatt aufgestellten Familie der Glyphioceratidae gehören unter anderen auch die Goniatiten der Gattungen Glyphioceras (Hyatt) und Gastrioceras (Hyatt), wobei einige Forscher zu der ersteren die von Hyatt unter den Bezeichnungen Münsteroceras, No- 1) Zu Prolecanitiden fast ohne Zweifel gehören: Sand- | M.’Coy (Synopsis of the charact. of the carbon. fossils of bergeroceras, Triainoceras, Pharciceras, Goniatites discus | Ireland, p. 13, pl. II, fig. 6). 46 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE mismoceras und Homoceras getrennten Formen rechnen und zu der letzteren die Gattung Paralegoceras (Hyatt). Der wesentlichste Unterschied zwischen den typischen Formen der Gattung Gastrio- ceras und den typischen Glyphioceras-Arten besteht bei den ersteren: im trapezoidalen Querschnitt der Umgänge, im Auftreten von Rippen auf den Seitenflächen (oder Tuberkeln, Knoten), breiten Nabel und Vorhandensein des zweiten Laterallobus oder Einschnittes auf dem Lateralsattel. Vergleicht man die entfernter stehenden Formen dieser Gattungen z. B. Сота ще; (Gastrioceras) Jossae Vern. mit G. (Glyphioceras) complicatus de Kon. oder mit dem unten beschriebenen Glyphioceras Inostranzewi, so erscheinen in der That diese Formen sehr abweichend von einander. Aber beim Vergleich einer grösseren Anzahl von Arten beider Gattungen erweist es sich, dass kein einziges von den angeführten Unterscheidungs- merkmalen als characteristisch betrachtet werden kann und der Unterschied in Betreff der Lobenlinie fehlt sogar so zu sagen vollständig. Bei Gon. Jossae erhalten die Umgänge den trapezoidalen Querschnitt bei verschiedenen Individuen bald früher, bald später. Der Querschnitt der meisten jungen Individuen erscheint halb elliptisch oder halbrund, wobei die Nabelwand fast senkrecht abfällt. Mit dem Wachs- thum wird die erwähnte Hemiellipse mehr oder weniger flach bogenförmig, während die Nabelwand schräg nach innen abfällt und die Flanken des trapezoidalen Querschnittes der Umgänge bildet. Bei den anderen Gastrioceraten bleibt der hemielliptische Querschnitt in allen Perioden des Schalenwachsthums, wie z. В. bei sog. С. Jossae var. A. Vern., @. Zitteli Gemm. etc. Dagegen haben die Umgänge bei Glyphioceras diadema im Jugendzustande einen trapezoidalen Querschnitt. Die letzterwähnten Gastrioceras-Arten und auch viele andere Formen dieser Gattung besitzen auf den Seitenflächen weder Rippen noch die dieselben erset- zenden Tuberkeln. Schliesslich ist die grössere oder geringere Involubilität des Gehäuses ein Merkmal, welches bei den Gastrioceras- und Glyphioceras-Formen nicht constant er- scheint. Der einzige Unterschied, welcher zur Trennung der angeführten beiden Gattungen dienen könnte, ist das Vorhandensein des Einschnittes oder secundären Lobus auf dem Late- ralsattel; aber dieser Einschnitt ist nichts anderes, als der Lobus, welcher die Lobenlinie auf der Aussenseite der Umgänge von der, der inneren Seite trennt (Suspensivlobus) und nicht nur bei allen sogenannten Gastrioceraten und Glyphioceraten, sondern auch bei den meisten Goniatiten vorhanden ist. In den meisten Fällen befindet sich dieser Lobus auf der Nabelwand der Umgänge oder auf der Umbonalnaht (Nahtlobus), zuweilen auch auf den Seitenflächen der Umgänge. Wie in dem letzteren Falle, so auch bei trapezoidalem Quer- schnitte der Umgänge, wenn der in Rede stehende Lobus deutlich auf den Schalenseiten zu sehen ist, wird er eben für den für Gastrioceras characteristischen und dem Glyphioceras fehlenden Einschnitt gehalten. Freilich ist dieser Umstand den meisten Palaeontologen be- kannt, aber die angewandte Methode der Abbildung der Lobenlinien bei den betrachteten Gattungen (bald nur bis zum äusseren Nabelrande, bald wiederum bis zur Nabelnath) ver- hindert ihre richtige Vergleichung. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 47 Auf den beigefügten Abbildungen (Fig. 28) sind die Lobenlinien von Gastr. russiense Zwet., Gastr. Jossae und Glyph. diadema Vern. (non Goldf.) dargestellt. Die erste Form Fig. 28. U— Umbonalwand. ‚ a — Lobenlinie у. Gastr. russiense Zwetajew. Nat. Grösse. Suspensivlobus be- findet sich auf der Lateral- seite des Umganges. b — Gastr. Jassae, Vern. 3 Maal vergrössert. Suspen- sivlobus auf der Nabel- wand. с — Glyph. diadema Vern. (п. Gldf.). 3 M. vergr. Suspensivlobus auf der Nabelwand. könnte man nach der dem Paralegoceras gewöhnlich zugeschriebenen Characte- ristik zu dieser Gattung rechnen, die zweite stellt eine typische Gastrioceras-Form dar; die dritte — einen typischen Vertreter von Glyphioceras. Aus dem Vergleich der Lobenlinien ist zu ersehen, dass sie ganz analog gebildet sind, und in Bezug auf die Vertheilung der Abschnitte der Lobenlinie die sogenannten Gastrio- ceraten (z. В. G. russiense, С. Jossae, G. Zitteli u. a.) mehr von einander abweichen, als viele andere Arten dieser Gattung und die Glyphioceras-Formen (z. B. @. Zitteli, Roemeri etc. und Gl. diadema, complicatum etc.). Einige andere Bemerkungen über die Entwickelung der Lobenlinien der Gastrioceraten sollen weiter unten (s. Gastr. Jossae) angeführt werden. Auf diese Weise ist meiner Ansicht nach kein Grund zur Unterscheidung der einzelnen Goniatites-Gattungen: Glyphioceras und Gastrioceras vorhanden, schon abgesehen von denjenigen Gattungen, welche grösstentheils (wie Homoceras, Munsteroceras, Numismoceras) mit der ersteren vereinigt werden. Unter diesen Goniatiten aber kann man mehrere Gruppen von Arten unterscheiden, welche sich unter einander mehr gleichen als anderen Formen, z. B. die typischen mit Rippen oder Höckern verzierten Gastrioceraten, die typischen Glyphioceraten und Goniatiten, welche die nach Hyatt der Gattung Paralegoceras eigenen Merkmale besitzen; gleichzeitig mit den- selben sind auch solche Arten vorhanden, deren Zugehörigkeit zu dieser oder jener dieser beiden Gruppen schwer nachzuweisen ist. Zuweilen können sogar junge und ausgewachsene Exemplare einer und derselben Form zu den verschiedenen erwähnten Gruppen gebracht werden. 48 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE In der unten folgenden Beschreibung habe ich nur bedingungsweise beide Bezeichnun- gen Gastrioceras und Glyphioceras beibehalten, ohne denselben die Bedeutung der Gattung beizulegen, wobei die Formen, auf welche die gewöhnlich der Gattung Paralegoceras zu- kommende Characteristik passt, nach dem Beispiele der anderen Geologen unter der ersten Bezeichnung beschrieben werden. Dabei ist zu bemerken, dass der typische Paralegoceras G. Jowensis M. W.) von diesen Formen abweicht und einer besonderen Gattung oder einem Subgenus angehört, dessen von Hyatt gegebene Characteristik etwas verändert werden muss. Gastrioceras Jossae Vern. Goniatites Jossae Verneuil (р.) Сео]. of Russia, II, 370, Pl. XXVI, f. 2. Aganides Jossae (Vern.) d’Orbigny Prodr. I, 116. Ammonites Jossae (Vern.) Giebel, Fauna d. Vorwelt, III, 478. Goniatites Jossae (Vern.) Grünewaldt, Mém. Acad. Sc. Pétersb. VII Ser., № 7, 137, IV, Fig. 1. Goniatites Jossae (Vern.) Eichwald (p.). Lethaea, I, 1324. Goniatites diadema (Gldf.) Eichwald (p.). Berg-Journ. (r) 1863, I, 313, 318, 319. Goniatites Jossae (Vern.) Karpinsky (p.), Verh. d. Min. Ges., IX, 290. Gastrioceras Jossae (Vern.) Hyatt. Gen. of. foss. Ceph., 327. Goniatites (Gastrioceras) Jossae (Vern.) Krotow (p.). Art. Et. 196. Goniatites Jossae (Vern.) Branco, Palaeontogr. XXII, 1880. III, Taf. V, Fig. III. Goniatites Jossae (Vern.) Krotow (p.). Mém. Com. Géol. VI, 472. Unter der Bezeichnung Gon. Jossae sind, wie bekannt, von Verneuil zwei ganz ver- schiedene Formen beschrieben worden, welche er nur als Varietäten einer und derselben Art betrachtet hat. Die Form var. A stellt zweifellos eine selbstständige Art dar, welche weiter unten als Gastrioceras Suessi beschrieben wird. Die typische Jossae-Form ist so gut bekannt, dass sie keiner Beschreibung bedarf. Ich füge nur einige Bemerkungen hinzu. Die Schale ist, wie bekannt, mit Längsstreifen oder sogenannten Spiralstreifen, richtiger „ gesagt Rippchen und Querstreifen bedeckt. An sehr jungen Exemplaren erscheinen die letz- teren sehr deutlich, während die Rippchen kaum zu sehen oder sogar gar nicht zu unter- scheiden sind. Mit dem Wachsthum aber schon bei einem Schalendurchmesser von 8—10 Mm. entwickeln sich die Rippen so stark, dass sie über die Querstreifen vorherrschen und bei grösseren Umgängen immer schärfer hervortreten. Was die Entwickelung der Lobenlinien anbetrifft, so ist Folgendes zu bemerken. Der Medianhöcker, welcher den Siphonallobus in zwei Arme theilt, die am Grunde anfangs ab- gerundet, später eckig erscheinen, ist bei jungen Exemplaren niedrig und besitzt am Ende einen breiten Einschnitt; dann nimmt die Höhe des Medianhöckers zu, der Einschnitt am Ende wird schmäler und flacher. Schliesslich erscheint der Medianhöcker gewöhnlich bei sehr grossen Exemplaren am Ende abgestutzt, ohne Einschnitt und zuweilen bemerkt man auch früher, dass die Siphonaldüten nicht allein nach hinten, sondern auch nach vorn gerichtet sind. Diese Entwickelungsstadien des Medianhöckers bei verschiedenen Individuen UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 49 erscheinen bei Gehäusen von verschiedener Grösse. Bei einigen Gastrioceraten ist, wie be- kannt, das Ende des Medianhöckers abgerundet und die Siphonaldüten erscheinen in diesem Fall, wie bei den Ammoniten nach vorn gerichtet (Gastr. [?] Abichianum Moell., G. Suessi n. sp. etc.). Eine solche Entwickelung des Medianhöckers scheint in der Regel in allen den Fällen vorzukommen, in welchen schon fast bei seiner Bildung ein Einschnitt am Ende vor- handen ist. Eine derartige Erscheinung kann man z. B. bei der Gattung Papanoceras, Aga- thiceras etc. beobachten, obgleich lange nicht bei allen Arten die letzten der erwähnten Stadien erreicht werden. Der Suspensivlobus befindet sich stets auf der Nabelwand und ist sogar an sehr kleinen Exemplaren zu beobachten. Eichwald führt Gon. diadema aus den Artinsk-Schichten an; in seiner Sammlung, welche gegenwärtig in der St. Petersburger Universität aufbewahrt wird, befinden sich zwei kleine Exemplare mit der eigenhändig geschriebenen Etiquette dieses Autors: Gon. diadema Goldf., Artinsk. Ich kann bezeugen, dass diese Exemplare zum typischen Gon. Jossae gehören und nicht zu der Goldfuss’schen Art und sogar nicht zu der Form, die sich dem Gon. diadema nähert und von Verneuil als Gon. Jossae var. A beschrieben worden ist. Gastr. Jossae findet sich ausschliesslich in den Ablagerungen der Artinsk-Stufe am Westabhange des Urals. Er gehört zu den gewöhnlichsten Formen, aber eine genaue Liste seiner Fundorte nach der Litteratur zusammenzustellen wäre sehr schwierig, da unter seinem Auftreten die typische Form С. Jossae zusammen mit @. Suessi angeführt wird. Die Exemplare, welche mir vorlagen, stammen aus folgenden Fundorten: Umgegend der Artinsk- Hütte, unweit der Hütte Njase-Petrowsk, Fl. Gr. Ik unweit des Dorfes Jangibaewa; Fl. Sarwa (gegenüber dem Dorfe Terekli, Mergel) Fl. Oka unweit des Dorfes Berkut; Fl. Ssakmara bei Kundrowka (Kalkstein); Fl. Uswa (zwischen den Felsen Nawisschij Kamen und Maloje Brewno); Fl. Koswa unterhalb der Mündung der Chaldina; Fl. Wischera (Ku- miny Wody und unterhalb des Dorfes Ownadejewa); Fl. Sypia. Von besonderem Interesse ist ein Geröllstück mit dem gut erhaltenen Abdruck eines ziemlich grossen Exemplars (über 47 Mm. im Durchmesser) von @. Jossae, welches ich von Hr. Nikitin erhielt und das von der Wisinga, linkem Zufluss des Syssola stammt; die kürzeste Entfernung zwischen diesem Fundorte und der bekannten Verbreitungsfläche der Artinsk-Schichten am Westabhange des Urals beträgt nicht weniger als 300 Kilom. Gastrioceras Marianum Vern. Taf. IV, Fig. 2 a, Ъ, с. Goniatites Marianus Verneuil Geol. of Russia II, 369, pl. XX VII, f. 2. Aganides Marianus (V ern.) d’Orbigny Prodr. I, 116. Goniatites Marianus (Vern.) Grünewaldt Mém. Acad. Sc. Pétersb. 1860, II, № 7, 136. Goniatites Jossae (Vern.) Eichw. (p.) Lethaea. I, 1324. Mémoires de l'Acad. Гор. 4. sc. УП Série. 7 50 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Goniatites [ляет (Mart.) var. Mariae Gurow. Abhandl. d. naturf. Gesellsch. in Charkow 1873, 87. Gastrioceras Marianum (У ern.) Hyatt Genera of foss. Ceph. 327. Goniatites (Gastrioceras) Jossae (Vern) Krotow (p.) Artinsk. Et. 196. Goniatites Jossae (Vern.) Krotow (р). Mém. Com. Géol. VI, 472. G. Marianum findet sich, wie bekannt, im Kohlenkalk an der Schartymka und tritt in den Artinsk-Schichten nicht auf; da diese Form aber von einigen Forschern mit dem Artins- kischen Gon. Jossae identificirt wird, so halte ich es für nöthig hier einige Bemerkungen in Bezug auf die Verwandtschaftsverhältnisse der in Rede stehenden Art zu machen. Grünewaldt ist geneigt den Gon. Marianus für eine Varietät des Gon. diadema zu halten. Eichwald und Krotow vereinigen die Schartymka-Form mit Gon. Jossae, und Gurow bringt sie zu @. Lister‘. Tschernischew, welcher im vergangenen Jahre die von Verneuil beschriebene Originalsammlung durchgesehen hatte, theilte mir folgende Daten in Bezug auf den Unterschied zwischen G. Marianum und @. Jossae mit: «bei gleichen Schalendimensionen ist der Nabel bei G. Marianum breiter, die Innenseite der Umgänge bildet mit den Seitenflächen beim letzteren einen fast zugeschärften Rand, während bei С. Jossae dieser Rand abgerundet erscheint. Ausserdem sind bei С. Jossae die Spiral- rippchen viel schärfer ausgeprägt; dagegen sind sie auf den Originalexemplaren des Ver- neuil’schen @. Marianum fast gar nicht zu bemerken und das Vorhandensein derselben nur durch die kleinen zigzagartigen Biegungen der Querstreifen angedeutet». Diese Unter- schiede bestätigen sich auch an allen ziemlich zahlreichen Exemplaren der beiden Formen, welche zu meiner Verfügung vorlagen. Obgleich die relativen Dimensionen des Nabels und der mehr oder weniger abgerundete Nabelrand bei G. Jossae keine constanten Merkmale sind, so ist doch bei gleichem Durchmesser bei @. Jossae noch nie ein so breiter Nabel und eckiger Nabelrand beobachtet worden, wie bei @. Marianum. Die jungen Exemplare des letzteren haben stets einen und denselben Habitus, welcher in Fig. 2 a, b wiedergegeben ist. Einen ähnlichen Habitus erlangt С. Jossae nur bei be- deutend grösseren Dimensionen. Eine grössere Bedeutung hat der auf die Längsrippchen bezügliche Unterschied. Es wurde schon obenerwähnt, dass an sehr jungen Exemplaren des G. Jossae die Querstreifung über die Längsrippchen vorberrscht, welche nicht selten mit unbewaffnetem Auge nicht zu sehen sind; aber mit dem Wachsthum entwickeln sich diese Rippchen sehr rasch und sind an Exemplaren von geringerem Durchmesser, als der des von Verneuil abgebildeten Gastr. Marianum, ohne Lupe deutlich zu sehen und herrschen über die Querstreifen vor. Indessen kann man auf gleichgrossen und selbst grösseren Exemplaren von G. Marianum, auf wel- chen die Querstreifen scharf hervortreten, keine Spur der Längsrippchen mit unbewaffnetem Auge bemerken. Ungeachtet dessen sind diese Rippchen, wie schon gesagt wurde, bei G. Marianum dennoch vorhanden und bedingen zuweilen die gitterförmige Sculptur, die nur auf ganz grossen Exemplaren beobachtet werden kann, bei welchen aber die Querstreifung viel schärfer ausgeprägt ist. Ausserdem sind aber noch solche Merkmale vorhanden, nach | 4 3 4 4 UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 51 welchen man, wie mir scheint, die hier in Betracht kommenden beiden Formen selbst nach mehr oder weniger gut erhaltenen Fragmenten ihrer Umgänge unterscheiden könnte. Die Querstreifen bilden auf der Siphonalseite bei G. Jossae einen stets nach vorn gerichteten Bogen; bei G. Marianum ist der Bogen rückwärts gerichtet. Eine ebensolche Richtung, wie die Querstreifen haben bei Gon. Jossae auch die Einschnürungen, welche bei G. Maria- num auf der Siphonalseite einen schwächeren Sinus bilden als die Querstreifen. Diese Unterschiede allein würden schon vollkommen genügen um die in Rede stehenden beiden Formen, zwar als nahe verwandte, aber selbstständige Arten zu betrachten. Grünewaldt weist (wie es scheint, auf Grund der der von ihm eitirten Autoren gegebenen Abbildungen und Characteristik von Gon. diadema) die Uebereinstimmung der Merkmale der letzteren Form im mittleren Wachsthumstadium mit G. Marianum nach. Diese Formen sind unzweifelhaft als verschiedene zu betrachten, aber die Erläuterung dieses, die Aufgabe meiner vorliegenden Arbeit nicht direkt berührenden Umstandes, würde schon zu weite Auseinandersetzungen erfordern, da unter der Bezeichnung @. diadema sehr verschiedene Formen beschrieben worden sind. Die Ural’sche Form weich ganz bedeu- tend von der typischen Goldfuss’schen Art ab, welche ebensowenig mit Gastrioceras Ma- rianum verwechselt werden kann. Was aber die Unterschiede von Gastr. Marianum und @. Listeri anbetrifft, so sind sie von Verneuil nachgewiesen worden und der wesentlichste derselben, in Betreff der bedeutend grösseren Anzahl der Umgänge von Gastr. Marianum bei gleichem Durchmesser der Gehäuse, wird von Gurow angeführt. Viele Merkmale, unter anderem auch die ver- schiedene Richtung der Einschnürungen und Querstreifen, die Details der Sculptur u. s. w. gestatten nicht die angeführten beiden Formen zu vereinigen. Da auf der Verneuil’schen Originalzeichnung von Gastr. Marianum die inneren Um- gänge nicht angezeigt sind, so gebe ich in Fig. 2, Taf. IV die Abbildung eines jungen aus der Anfangskammer und 6 Umgängen bestehenden Individuums. In Fig. 2c, Taf. IV ist die Lobenlinie am Anfange des 6. Umganges dargestellt. Beim Vergleich mit der Lobenlinie des grösseren Umganges, die von Verneuil abgebildet ist, bemerkt man, dass die jüngeren Su- turen sich, wie zu erwarten war, durch einen niedrigeren Medianhöcker unterscheiden; ausserdem sind die Theile des Siphonallobus noch abgerundet und nicht eckig. Auf der Na- belwand befindet sich ein kleiner Lobus, welcher von Verneuil nicht angegeben ist, da die Lobenlinie von diesem Autor nur biszum Nabelrande und nicht bis zur Nabelnaht abgebildet ist. Dimensionen. Zur Ergänzung der wenigen von Verneuil gegebenen Daten werden hier die Dimensionen von mehreren Exemplaren des @. Marianum verschiedenen Alters angeführt. je II. Ш. IV. Durchmesser. а. 18,2 10 9 _8 Höhe des letzten Umganges. .. 7 3 2,6 2,5 Breite des letzten Umganges . . 10 5,5 5,5 4,8 7* 52 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE je u IM. IV. Durchmesser des Nabels. . . .. Э 5 5 4,5 Höhe des vorletzten Umganges » 2 2 1,6 Breite d. vorletzten Umganges. » 4 4 3,3 Vorkommen. So viel mir bekannt ist, sind am Ural sicher bestimmte Exemplare von G. Marianum nur im Kohlenkalk an der Schartymka gefunden worden. Prof. Gurow erwähnt das Vorkommen dieser Form im Donetz-Becken und führt einige Unterschiede zwischen der Donetz’schen und Ural’schen Form an). Gastrioceras Suessi n. sp. (Taf. III, Fig. 3 a—g). Goniatites Jossae v. А. Verneuil Сео]. of Russia I, 371, pl. XXVI, f. 3, Goniatites Jossae (Vern.) Grünewaldt (р). Mém. Ас. se. Pétersb. VII Ser., II, M 7,137. Goniatites Jossae (Vern.) Eichwald (p). Lethaea I, 1324. Goniatites Jossae (Vern.) Karpinsky (p). Verh. d. Min. Ges. IX, 290. Goniatites (Gastrioceras) Jossae (Vern.) Krotow (p). Artinsk. Et. 196. Goniatites Jossae (Vern.) Krotow (p). Mém. Com. Géol. VI, 472. Das discoidaie Gehäuse besteht aus halbumfassenden Umgängen von parabolischem oder elliptischem Querschnitt mit fast flachen, schmalen, steil gegen den breiten Umbo abfallenden Nabelwänden. Jeder Umgang umfasst den vorhergehenden ungefähr in der Mitte der Höhe, wobei die Höhe des evoluten Theils des ersteren fast die ganze Höhe des vorhergehenden Umganges erreicht. Auf diese Weise nimmt die Windungshöhe bei einem Umgange ungefähr 1'/, mal zu. Die Umgänge sind mit Längs- oder Spiralrippchen bedeckt, die bei den älteren Umgängen immer schärfer hervortreten. Während auf den Steinkernen der jüngeren Umgänge diese Rippchen garnicht zu unterscheiden sind, erscheinen sie nicht selten deutlich auf den Steinkernen der Umgänge von grösseren Dimensionen. In der Vertheilung der Rippchen, besonders auf grossen Umgängen bemerkt man zuweilen eine gewisse Unregelmässigkeit; sie erscheinen entweder sehr dicht stehend, und fein oder grob und viel mehr auseinander gerückt. Die ersteren beobachtet man gewöhnlich auf der Sipho- nalseite (die sogenannten Externstreifen oder Rippchen), die letzteren in der Nähe des Nabels (untere Lateralrippchen); die oberen Lateralrippchen sind zuweilen schwächer aus- geprägt. Ausser den Rippchen erkennt man auf der Schale, die an jungen Exemplaren deut- licher hervortretende Querstreifung; auf sehr jungen Umgängen erscheint sie sogar schärfer als die Längsrippchen. Die Kreuzung der letzteren mit den Streifen bildet die gitterförmige 1) Es wäre sehr wichtig das Donetz’sche Exemplar mit | sonders mit e zu vergleichen. De Koninck gab auch die Gon. inconstans Phillips (non de Kon.) Figures and de- | angeführte Bezeichnung einer aus dem belgischen Koh- scription of the paleoz. foss. of Cornwall, Devon and W. | lenkalk stammenden Form. (De Kon. Faune du cale. Somerset 1841, р. 128, pl. LI, fig. 238 a, 6, с, d, e, be- | carb. de la Belgique etc. р. 120, pl. XLIII, fig. 4—9). UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 53 Sculptur, welche für die Gastrioceraten so gewöhnlich ist. Diese Streifen, welche auf den Schalenseiten einen flachen concaven Bogen bilden, verlaufen auf der Siphonalseite in einem convexen nach vorn gerichteten Bogen. In derselben Weise verlaufen auch die Einschnü- rungen, welche übrigens auf den Gehäusen der in Rede stehenden Form selten vorkommen. Lobenlinien. Der Siphonallobus zerfällt durch den Medianhöcker in zwei am Ende zu- spitzte Theile. Am oberen Ende des Medianhöckers ist ein Einschnitt, welcher bei der Win- dungszunahme allmählig flacher wird und zuletzt dem Anscheine nach verschwindet. Auf den abgerundeten Externsattel folgen die am Grunde zugespitzten Lateralloben; die Late- ralsättel breiten sich über den Nabelrand aus, unter welchem auf der Nabelwand ein zuge- spitzter Einschnitt oder Suspensivlobus sich befindet. Dimensionen. Nach den Fragmenten der Wohnkammer zu urtheilen erreichten einige Exemplare eine bedeutende Grösse, wahrscheinlich bis 130 Mm. im Durchmesser. (Taf. Il,Fig.3e). (Fig. За). (Fig.3d). (Fie.3f, g). |1 I. IM. IV. Durchmesser... leeren — 47 33 12 Höhe des letzten Umganges . ... 37 1075 14 5 Breite des letzten Umganges. . .. 40 16 13 4,5 Durchmesser des Nabels ..... . — 17 9 3,0 Vergleichung. Viele Gastrioceraten haben im Jugendzustande unter einander sehr ähn- liche Gehäuse. Dieser Umstand führte besonders bei einer gewissen Variabilität dieser jungen Formen zur Vereinigung verschiedener Arten unter einer und derselben Bezeich- nung, wenn eine derselben nur in verhältnissmässig kleinen Exemplaren gefunden wurde. Ein solcher Fall ist mit der von Verneuil nur als besondere Varietät von Gon. Jossae be- trachteten in Rede stehenden Form). Die gegenwärtig aus einigen Orten des Urals bekannten grossen Exemplare des Gastr. Suessi zeigen einen so abweichenden Habitus von С. Jossae, dass ihre Angehörigkeit zu einer besonderen Art unzweifelhaft ist. Diese Art gehört ihren Merkmalen nach zu denjenigen Formen, welche nach der von Hyatt für die Gattung Para- legoceras gegebenen Characteristik zur letzteren gebracht werden müssten. @. Suessi nähert sich noch mehr den sicilianischen Arten @. Zütteli Gemm., @. Roemeri Gemm. und С. sociense Gemm., als dem @. Jossae. Besonders gleicht er dem @. sosiense, welcher sich vorzüglich nur durch die Richtung der Querstreifen auszeichnet, die auf der Siphonalseite dieser Form einen nach rückwärts convexen Bogen bilden, während bei @. Suessi dieser Bogen convex nach vorwärts gerichtet ist. Andere kleine Unterschiede (z. B. die Windungszunahme, Gestalt der Lobenkörper etc.) könnten bei gewissen vorhandenen Abweichungen in den Merkmalen einzelner Individuen nicht zur Aufstellung der in Rede stehenden Formen als selbstständige 1) Nach der grossen Anzahl von Exemplaren zu ur- | nannten Uebergangsformen zwischen den angenommenen theilen, die zu meiner Verfügung vorlagen, bin ich fast | Varietäten vonihm namentlich an sehr jungen Individuen überzeugt, dass die von Verneuil erwähnten soge- | beobachtet worden sind. \ 54 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Arten veranlassen. Auf die Unterschiede des -G. Suessi von den anderen sicilianischen Arten werde ich mich nicht weiter einlassen, da diese Uuterschiede auch in Bezug auf @. sociense dieselben sind und von Gemmellaro angeführt werden. Ich erwähne hier nur, dass bei @. Zitteli die Querstreifung und die Einschnürungen auf der Siphonalseite einen nach rückwärts (nicht wie bei @. Suessi nach vorwärts) convexen Bogen bilden. Die Unterschiede des С. Suessi von dem typischen @. Jossae sind so scharf ausgeprägt, dass man sie kaum weiter anzuführen braucht. Unter den mittelgrossen und grossen Exem- plaren dieser beiden Arten sind bis jetzt noch nie solche Formen beobachtet worden, welche man als Zwischenformen betrachten könnte. Die Form des Querschnittes, das Auftreten oder Fehlen kurzer Rippen oder Höcker auf dem Nabelrande zeichnen diese Gastrioceraten am meisten unter einander aus. Von den anderen russischen Gastrioceraten führe ich nur eine Vergleichung mit @. russiense Zwet. an; diese Vergleichung ist von Frl. Zwetajew da- mals gemacht worden, als der @. Suessi noch sehr wenig bekannt war. Die bei G. russiense sehr oft vorhandenen Einschnürungen bilden auf der Siphonalseite einen nach rückwärts con- vexen Bogen, d.h. in entgegengesetzter Richtung, als bei den höchst seltenen Einschnürungen auf С. Suessi der Fall ist. Bei der letzteren Form liegt der kleine Umbonal- oder Suspen- sivlobus auf der Nabelwand und bei G. russiense auf den Seitenflanken der Umgänge in der Nähe des Nabelrandes. Alle bisher gefundenen Exemplare von @. russiense erscheinen als Steinkerne, und daher ist die Schalensculptur noch ganz unbekannt. Vorkommen. Es ist eine sehr gewöhnliche Form, deren Verbreitung aber nach den vor- handenen Angaben der Litteratur schwer genau festzustellen ist, da sie bis jetzt fast von allen Autoren unter dem Namen Gon. Jossae angeführt wird. Von den sicher bekannten Fundorten führen wir hier folgende an: Umgegend von Artinsk; Fl. Ssakmara (östl. v. d. Berg Kara-Murun, Sandstein); Fl. Gr. Ik (Berg Chanysch und unweit d. D. Jangibajewa; Fl. Sorwa (Mergel); Fl. Oka (unweit d. D. Ssuchanowa); Fl. Tjulgasch (unweit d. D. Staro- duchina); Fl. Ui-Teljak; Tschussowaja (unterhalb d. kl. Wischera), Uswa (zwischen den Felsen Nawisschy Kamen und Maloje Brewno) und Fl. Sypia. Gastrioceras sp. indet. (Taf. Ш, Fig. 2 a, b, с.) Im Artinskischen Kalkstein beim Dorfe Kundrowka an der Ssakmara ist zusammen mit Agathiceras uralicum und anderen Formen das in Fig. 2 a abgebildete Muschelfrag- ment gefunden worden. Auf die erhaltenen Umgänge passt fast vollständig die Characteristik der vorhergehenden Art, doch kann ich mich nicht entschliessen dieselbe mit der Ssakmara- Form zu vereinigen. Der wesentlichste Unterschied von Gastrioceras Suessi besteht in dem viel langsameren Anwachsen der Umgänge, viel breiterem Nabel bei gleichem Schalendurch- messer, im Auftreten einer Längsfurche auf der schmalen Nabelwand. Eine Abweichung UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 55 der Lobenlinie der in Rede stehenden Art besteht darin, dass die Theile, in welche der ‚Siphonallobus zerfällt, fast zweimal schmäler sind als die Externsättel, während bei @. Suessi die Breite dieser Theile und der Externsättel fast gleich ist. In Fig. 2c und 3c, Taf. III sind diese relativen Dimensionen nicht ganz genau т wiedergegeben; ich habe sie in Fig. 29 corrigirt, wo die Dimensionen in Mm. angeführt sind. Die Dimensionen des abgebildeten Exemplars sind folgende: Schalendurchmesser annähernd .... 53 Mm. Fig. 29. L.— Gastr. Suessi. Höhe des letzten Umganges ...... 14 » Nat. Gr. IL.—-@G. sp. indet. ï . 2 Mal vergr. Breite » » DDR a RME Ta» Nabel annähernd и... .. 2 Höhe des vorletzten Umganges .... 9 » Dreiteggesselben Е 105 > Gastrioceras Nikitini n. sp. (Taf. IV, Fig. 5 à, b, c.) Das discoidale Gehäuse besteht aus sehr langsam anwachsenden Umgängen, die die vorhergehenden nicht ganz bedecken. Der Querschnitt halb — elliptisch, fast halbrund. Die grösste Breite der Umgänge, welche die Höhe übertrifft, ist am Nabelrande; letzterer eckig abgerundet. Der Nabel breit und tief, treppenförmig. Die Umbilicalseite flachgewölbt. Einschnürungen fehlen. Die Oberfläche der Schale mit Querstreifen bedeckt, welche am Nabelrande am deutlichsten zu sehen sind, und von hier eine etwas nach hinten geneigte Richtung annehmen, indem sie scheinbar geradlinig zur Siphonalseite verlaufen. Diese Streifen bemerkt man auch auf der Nabelwand, schwächer an der Naht, gegen welche sie sich anfangs senkrecht richten und dann sich etwas nach rückwärts biegen, wobei sie in der Weise, wie schon erwähnt wurde, über den Nabelrand fortsetzen. Auf der Umbilicalseite dieses Randes befinden sich mehrere, in ungleicher Entfernung von einander abstehende Streifen oder richtiger Rippchen von demselben Typus, wie bei den spiralgestreiften Ga- strioceraten. Auf dem Exemplar Fig. 5 b erscheinen 6 solcher Rippchen (Fig. 5 c vergr.). Die dem Nabelrande zunächst liegenden sind einander sehr genähert, während die übrigen gegen die Naht mehr auseinander rücken. Das letzte (6-te) Rippchen tritt nur auf dem vor- deren Theile des Umganges auf. Daher meine ich, dass die Anzahl der Rippchen mit der Windungszunahme auch zunimmt. Die Kreuzung der Querstreifen mit den Rippchen bildet auf den letzteren eine Zähnelung oder Tuberculirung, wie das überhaupt häufig bei den Gastrioceraten und auch bei den Formen anderer Gattungen bei gleichzeitig vorhandener Quer- und Längsstreifung zu beobachten ist. Die Lobenlinien sind nicht bekannt. Bei sorg- 56 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE fältiger Präparirung ist nur ein Externsattel aufgedeckt worden, nach welchem anzunehmen ist, dass diese Linien denen von anderen Gastrioceraten gleichen. Dimensionen. Die untersuchten Exemplare sind stark beschädigt. Die rechte Seite des in Fig. 5a abgebildeten Exemplars ist garnicht erhalten; über den Erhaltungszustand des anderen Exemplars kann man nach der Fig. 56 urtheilen. Ungeachtet dessen sind meiner Ansicht nach die oben angeführten allgemeinen Unterscheidungsmerkmale ziemlich genau festgestellt. Was aber die unten angeführten Dimensionen anbetrifft, so haben sie nur eine relative Bedeutung und erfordern späterhin noch einige aber wahrscheinlich unbedeutende Ergänzungen. (Fig. 5 a). (Fig. 5 b). Durchmesser AR EE UE 58—60? Мм. Höhe des letzten Umganges . .... 25 Mm. Breite: nn REN ungef. 40 » Breiteder Umbilicalseite(Nabelwand) DD DD Durchmesser des Nabels ....... 32 » 37 Höhe des vorletzten Umganges ... 14 » та» Breite... rn a N Re AU 25 » DAS) Vergleichung. Der Querschnitt zusammen mit der Sculptur unscheiden die obenbeschrie- bene Form von allen anderen Arten dieser Gattung. Die grösste Aehnlichkeit mit diesel- ben hat Gastr. King; Hall-Wh. (Expl. 40% par. У, 279, VI, f. 9— 14). Gastrioceras Fedorowi n. sp. (Taf. IV, Fig. 1 a—p.) Goniatites (Glyphioceras) diadema (G1df.) Krotow (р) Artinsk. Et. 199. Goniatites diadema (Gldf.) Krotow (p.) Mém. Com. Géol. VI, 473. Das Gehäuse besteht aus ziemlich rasch anwachsenden Umgängen, deren Höhe mit jedem Umgange ungefähr 2 mal grösser wird. In ausgewachsenen Exemplaren sind bis 9 Umgänge vorhanden. Die sehr jungen Umgänge umfassen die vorhergehenden bis zur Mitte ihrer Höhe; mit dem Alter nimmt ihre Involubilität etwas mehr zu und sie werden 3/, involut. Der Querschnitt bei sehr jungen Windungen ist fast halbrund, bei älteren hemi- elliptisch oder parabolisch. Die Nabelwand, welche sich mit den Seitenflanken durch eine gerundete Kante verbindet, ist steil abfallend; der Nabel tief, abgerundet treppenförmig. Die Breite des Nabels, in welchem alle vorhergehenden Umgänge zu sehen sind, nimmt im Vergleich zum Schalendurchmesser mit dem Alter ab. Die Wohnkammer nimmt fast den ganzen letzten Umgang ein, d. h. erreicht wie das | . \ } UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 57 z. B. in Fig. 1e zu sehen ist etwas weniger, als 0,9 dieses Umganges. Das Gehäuse zeigt zuweilen ein nicht ganz regelmässiges Wachsthum, welches eine schwache Querfaltung oder breit abgerundete Berippung, als auch Furchung bedingt, was auf den Steinkernen zu er- kennen ist. Ausserdem beobachtet man auf der Schale und namentlich auf den Steinkernen Einschnürungen. Bei einigen Individuen und bei einigen Umgängen eines und desselben Individums fehlen derartige Einschnürungen, bei anderen erscheint auf jedem Umgange nur eine Einschnürung und schliesslich erscheinen die Einschnürungen sehr einander genähert. Dieselben sind auf der Nabelwand etwas nach vorn gerichtet und bilden auf dem Nabelrande einen vorspringenden Bogen, welcher auf den Seitenflanken flach bogig verläuft und auf der Siphonalseite flach convex nach vorwärts gerichtet ist. Denselben Umriss besitzt auch die Mundöffnung (Fig. 1 a, b) und die obenerwähnte zuweilen beobachtete Schalenfaltung. Die Schalensculptur besteht aus Querstreifen und Längs- oder Spiralrippchen (die gewöhn- lich als Streifen bezeichnet werden). Auf jungen und mittelgrossen Exemplaren sind die Längsrippchen nur wenig oder oft garnicht zu bemerken. Die Querstreifen haben mit den Einschnürungen eine und dieselbe Richtung; zuweilen sind Spuren von einigen derselben auch auf den Steinkernen zu sehen. Nicht selten erscheinen sie sehr unregelmässig und die schärferen und feineren Streifen wechseln mit einander ab. Die Längsrippchen sind sehr fein und dicht, indem sie eine viel zartere Sculptur bilden, als bei @. Jossae. Sie erscheinen ganz deutlich und vorherrschend nur auf den grossen Umgängen, wo sie mit unbewaffnetem Auge als feine Längsstriche zu erkennen sind (Fig. 1%, 17, mal vergr.; Fig. 15 stark vergr.). Wie bei vielen längsgestreiften Ammoneen (Cladisci- tes, Sturia etc.) unterscheiden sich die Spiralrippchen durch den verschiedenen Grad der Ausbildung auf verschiedenen Regionen des Gehäuses !). Bei Gast. Fedorowi erscheinen die Externstreifen (Rippchen) viel deutlicher als die Lateralstreifen, und, so weit man es nach den untersuchten Exemplaren beobachten konnte, herrscht zuweilen auf einem und demselben Umgange auf den Seitenflanken des Gehäuses die Querstreifung, auf der Siphonalseite dagegen die Längsstreifung vor. Durch die Kreuzung der Streifen und Rippen entsteht eine netzförmige Zeichnung von demselben Typus, wie bei @. Jossae, aber nur viel feiner (Fig. 1m, 2 mal vergr.). Die Streifen bilden dabei nach rückwärts ausgebogene Festons (Fig. 1 7, !). Bei sehr jungen Exemplaren von ungefähr 4 Mm. im Durchmesser treten auf dem Nabelrande sehr kurze Rippen oder Höcker auf, welche mit der Querstreifung in Verbindung stehen, wodurch das Gehäuse von dem des С. Jossae fast garnicht zu unterscheiden ist (bei dem letzteren sind bei solchen Dimensionen die Längsrippchen oft gar nicht zu bemerken). Die Lobenlinien sind denen von G. Jossae und Glyph. diadema ähnlich. Der Siphonal- lobus zerfällt durch den Medianhöcker in zwei Theile, welche an jungen Umgängen (Fig. 19) am Grunde abgerundet, bei älteren — eckig erscheinen. Die Höhe des Medianhöckers nimmt 1) Siehe z. B. Mojsisovics. Cephal. Mediterr. Triasprov., 240, Mémoires de l'Acad. Пир. d, sc. VII Serie, 8 58 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE mit dem Alter (Fig. 1 7—7) zu, während der Einschnitt an seinem Ende kleiner wird und verschwindet. Der Laterallobus, welcher schon bei jungen Umgängen am Grunde eckig ge- rundet ist, spitzt sich bei weiterem Wachsthum zu. Die Basis dieses Lobus liegt bei jungen Umgängen höher, als die des Siphonallobus; bei grossen Umgängen aber fast in einem und demselben Niveau. Das obere Ende des Lateralsattels befindet sich bei jungen Umgängen fast in demselben Niveau mit der Spitze des Externsättels oder sogar etwas höher; bei den äusseren Umgängen ist der Lateralsattel niedriger. Der kleine eckige Suspensivlobus liegt auf der Nabelwand. Von den drei schmalen zugespitzten Loben, welche auf der inneren Seite des Umganges liegen, ist der antisiphonale länger als die inneren Lateralloben. Die Abbildung Fig. 1n zeigt, dass die bei jungen Umgängen verhältnissmässig selte- neren Scheidewände mit dem Wachsthum sich einander nähern und an den in der Fig. 1p angegebenen Stellen sich berühren. Dimensionen. I о м о м УП Ух Durchmesser ee 39 35 91. 951208 2 7,5 4 Höhe des letzten Umganges . 16 16 14 14 13 11 10.9 159 Breite des letzten Umganges. 16 15 13 14 — 12(?) 9 4 2,5 Durchmesser des Nabels...12 10 7 97 7 4 2:0 a Vergleichung. Ich halte es für überflüssig @. Fedorowr mit anderen bekannten Gastrio- ceraten genauer zu vergleichen, da nach dem Querschnitt der Umgänge oder der Windungs- zunahme und Involubilität und ähnlichen in’s Auge springenden Merkmalen, welche den verschiedenen Habitus des Gehäuses bedingen, diese Arten nicht verwechselt werden können. Aber nach der äusseren Gestalt des Gehäuses erinnert @. Fedorowi sehr an die Schartym’- sche Form, welche von Verneuil unter der Bezeichnung Gon. diadema beschrieben worden ist. Die Längsstreifung (Rippchen), nach welcher beim Vergleich grosser Exemplare die in Rede stehende Art von @. diadema Vern. (n. Gldf.) leicht zu unterscheiden ist, kann ge- wöhnlich nicht beobachtet werden, weil die dünne Schale von G. Fedorowi selten erhalten ist. Beim Herausschlagen sehr guter Exemplare aus dem Gestein, die mir vorlagen, löst sich gewöhnlich nur der Steinkern ab; die Schale aber bleibt im Gestein zurück. Schliesslich sind an jungen Exemplaren die Längsrippchen garnicht zu bemerken. Obgleich bei der Messung einer sehr grossen Anzahl von Exemplaren unserer Form und des Schartymskischen G. cf. diadema wohl bemerkt wird, dass die ausgewachsenen Exemplare der ersteren einen breiteren Nabel besitzen, sosind doch die Dimensionen des letzteren, wie bei dieser Form, so auch bei der Schartym’schen nicht constant und bei verhältnissmässig jungen Exemplaren erscheint der Nabel von gleicher Grösse. Doch können nach den unten folgenden Merk- malen selbst Fragmente der Umgänge von G. Fedorowi unterschieden werden. Die Quer- streifung und Faltung, deren Spuren fast immer auf den Steinkernen zu beobachten sind, zeigen auf der Siphonalseite einen nach vorn gerichteten Bogen. Bei G. diadema V ern. (non UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 59 Goldf.) bilden die Querstreifen daselbst einen Sinus. Dieselbe Richtung wie die Streifen haben bei beiden Arten auch die Einschnürungen. Prof. Krotow war so gütig mir die Ammoneen-Exemplare zukommen zu lassen, welche Iwanow an der Jazwa (1 Exempl.) und Koswa (2 Exempl.) gefunden hatte, und die als Gon. diadema Gldf. (Artinsk. Et. S. 119) betrachtet wurden. Das erstere Exemplar mit einem Durchmesser von ungefähr 11 Mm. ist nach der allgemeinen Form des Gehäuses, quergestreifter Sculptur, Richtung der Streifen und Einschnürungen, wie auch noch den Lobenlinien von der Grösse nach entsprechenden Exemplaren des Gastr. Fedorowi nicht zu unterscheiden. Seinem äusseren Ansehen nach erinnert es an die Schartym’sche Form — Glyphioceras cf. diadema, wenn das Gehäuse derselben grössere Dimensionen erreicht. Von dieser Form unterscheidet sich das Jazwa-Exemplar am leichtesten durch die Richtung der Streifen und Einschnürungen, welche auf der Siphonalseite einen nach vorwärts gerichteten Bogen bilden und nicht einen Sinus, wie bei der Schartym’schen Art !). Fundort. Zahlreiche und ausgezeichnet erhaltene, obgleich zuweilen verdrückte Exem- plare der beschriebenen Art hat der Bergingenieur Fedorow von der Petschora (unter- halb der Mündung der Unja) mitgebracht, wo sie zusammen mit Medlicottia Orbi- gnyana, Pronorites praepermicus u. a. in einem kieseligthonigem Kalksteine eingeschlossen sind. Unter den vom Bergingenieur Krasnopolsky an der Tschussowaja gesammelten Exemplaren befinden sich auch zwei Exemplare von @. Fedorowi. Ueber das Exemplar von der Jazwa ist schon oben erwähnt worden. Glyphioceras Hyatt. Nautilites (p.) Martin. Petrificata derbiensia, 1809, pl. 7, fig. 3—5. Ellipsolites (p.) Sowerby. Min. Conch. 1813, I, р. 83, pl. 37. Ammonites (p.) Sowerby. Min. Conch. 1814, I, р. 115—116, pl. 53, f. 1, 2. Ammonites (р.) у. Buch, Buckland, de Koninck, Giebel etc. Goniatites de Haan (p.) Monographiae Ammoniteorum et Goniatiteorum. 1825, 129. Goniatites (de Haan) (p.) Phillips, Sowerby, M’Coy, Brown, Roemer, Verneuil, de Konink, Meek etc. etc. Globites de Haan (p.) Monogr. Ammon. et Goniat. 143, 148. Orbulita Flemming Hist. of Brit. anim. 1828, 248. Aganides (p.) d’Orbigny. Prodr. I, 115. Münsteroceras Hyatt (p.) Genera of foss. Cephal. p. 326 (exl. Gon. complanatus de Kon., G. inconstans de Kon. [n. Phill.] ete.). 1) Die zwei kleinen Exemplare von der Koswa gehö- | zu sehen, Einschnürungen fehlen. Nach dem äusseren ren weder zu Gl. diadema, noch zu Gastr. F'edorowi. In- | Ansehen haben die Gehäuse der in Rede stehenden Exem- dem sie im Durchmesser nur 5,5 Mm. und 4,5 Mm. егге!- | plare unter den Artinsk- Ammoneen die grösste Aehnlich- chen, besitzen sie einen sehr kleinen Nabel und einen | keit mit der unten beschriebenen Form Thalassoceras parabolischen Querschnitt der Umgänge mit verhältniss- | G@emmellaroi, aber es ist auch möglich, dass sie zu Bele- mässig schmaler Siphonalseite. Die Lobenlinien sind nicht | rophontiden gehören. 8* 60 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Glyphioeeras Hyatt. Gen. foss. Ceph. 328. Glyphioceras (Hyatt) Zittel, Krotow etc. Homoceras Hyatt Gen. foss, Ceph. 330. Nomismoceras Hyatt (p.) Gen. foss. Ceph. 330 (exl. G. rotiformis Phill.). Glyphioceras Inostranzewi n. sp. Taf. IV, Fig. 6 а. Das Gehäuse discoidal mit stark umfassenden Umgängen und kleinem Nabel, welcher mit dem Wachsthum nur sehr wenig zunimmt. Bei den kleinen und mittelgrossen Individuen ist der Querschnitt parabolisch und in der Nähe des Nabels am breitesten. Einen solchen Umriss hat auch der Ausschnitt von dem vorhergehenden Umgange. Später verschmälert sich die Siphonalseite und nimmt eine eckig abgerundete Form an. Die Schalenoberfläche ist mit radialen Querstreifen bedeckt, welche auf den Seitenflanken einen schwachen, kaum angedeuteten nach vorn convexen Bogen bilden und durch einen ebenso flachen concaven Bogen verbunden sind. Auf der Siphonalseite bilden die Streifen einen nach rückwärts ge- . richteten Bogen. Mit dem Schalenwachsthum wird dieser Bogen tiefer. Die Anzahl der Streifen erscheint auf der Siphonalseite grösser, als am Nabel; sie vergrössert sich auf den Seitenflanken durch das Auftreten neuer Streifen zwischen den vorhandenen. Einschnürungen fehlen, wie esscheint, vollständig. Die Scheidewände stehen sehr dicht, bei grossen Exemplaren erscheinen bis 30, bei kleineren 25 in jedem Umgange. Die Lobenlinien bestehen: 1) aus dem Siphonallobus, dessen Breite die Höhe übertrifft und der durch einen dreieckigen Medianhöcker mit einem kleinen Einschnitt am Ende in zwei eckige Theile zerfällt, deren Enden besonders bei grossen Exemplaren schon auf die Seitenflanken übergehen; 2) Lateralloben, je zu einem von jeder Seite mit eckigem oder zugespitztem Ende; 3) gerundeten Externsätteln, deren Höhe grösser als die Breite ist und die vollständig auf den Seitenflanken liegen; 4) breiten Lateralsätteln, welche von den Lateralloben bis zum Nabel reichen. Die Basis des Laterallobus befindet sich mehr alsauf der Hälfte der Höhe des Umganges, d. h. die Entfernung zwischen der Basis und dem Nabel ist grösser als die zwi- schen der ersteren und der Siphonalseite. Die Projectionslinie des vorhergehenden Umganges befindet sich unter der Basis des Laterallobus. Dimensionen. (Fig. 6 a, b). (Fig. 6e). (Fig.6 c, d). I II III Durchmesser #2." 2 De at 59 ЭЙ 32 Mn. Höhe des letzten Umganges ......... 3195 20 18,5 Brélte ns 20000, De re 18,5 15 13 Durchmesser des Nabels ........... 6 5 4 Höhe des evol. Theils des letzten Umganges 16 » 12 UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 61 Vergleichung. Die jungen und mittelgrossen Exemplare gleichen sehr der unter der Bezeich- nung G. diadema Vern. (non Goldf.) bekannten Form, von welcher sie sich durch folgende Merkmale unterscheiden: 1) Fehlen von Einschnürungen, die bei G. diadema gewöhnlich beobachtet werden; 2) kleineren Nabel und grössere Dicke der Umgänge bei gleichem Schalendurchmesser; 3) Durchschnitt der Windungen deren Siphonalseite bei G. Inostran- zewi viel schmäler ist als bei (С. diadema; 4) flacheren Bogen der Streifen auf der Sipho- nalseite bei gleicher Höhe der Umgänge; 5) etwas abweichende Gestalt der Lobenlinien: verhältnissmässig breiten Siphonallobus und Laterallobus, die auf der äusseren Hälfte der Umgänge liegende Basis des Laterallobus und nicht in der Mitte der Höhe der Umgänge, wie solches bei @. diadema Vern. zu beobachten ist. Die grossen Exemplare unterscheiden sich sehr scharf durch die abgerundet eckige Siphonalseite. Die jungen und mittelgrossen Exemplare gleichen noch mehr dem Gon. com- plicatus de Kon., zeichnen sich jedoch durch die rascher anwachsenden Umgänge, grösseren Nabel und etwas abweichende Gestalt der Lobenlinien aus; bei С. complicatus ist der Siphonallobus verhältnissmässig breiter, und nicht so tief, wie die Lateralloben, während bei Glyph. Inostranzewi der Siphonallobus den Lateralloben fast gleich oder etwas tiefer ist; die Externsättel haben bei G. complicatus ein schmäleres Ende. Beide in Rede stehen- den Arten unterscheiden sich, wie es scheint, in ihrer gestreiften Schalensculptur; die Strei- fen der de Koninck’schen Form sind sehr fein und auf den besterhaltenen Exemplaren kaum bemerkbar. Eine äussere Aehnlichkeit hat G7. Inostranzewi mit Gl. goniolobum Meek (Expl. 40 parall. 1877, IV, 98, t. IX, f. 5), welcher sich leicht durch die zugespitzten Enden der Externsättel unterscheidet. Die untersuchten Exemplare stammen aus der Eichwald’schen Sammlung, welche im Geologischen Cabinet der St. Petersburger Universität aufbewahrt wird, und sind mir von Prof. Inostranzew zur Untersuchung übergeben worden. Sie sind ohne Zweifel, wie auf der Etiquette verzeichnet ist, im Kohlenkalk an der Schartymka auf dem Ostabhange des Urals gefunden worden, und wurden zusammen mit Gon. diadema Vern. (n. Gldf.) aufbe- wahrt, wobei ein Exemplar derselben noch in Begleitung einer anderen Schartymka-Verstei- nerung (Productus semireticulatus) sich vorfindet. Paralegoceras Hyatt. Goniatites (de Haan) Meek and Worthen (p.) Geol. Surwey of Illinois, II, 392, XXX, fig. 3. Paralegoceras Hyatt. Gen. of foss. Ceph., 327. Gastrioceras (Hyatt.) Zittel (p.) Palaentologie, II. 420. Zwetaew. M&m. Com. Geol., 1888, У, № 3, D 1, 37,744. Zur Characteristik dieser Gattung (oder Untergattung von Gastrioceras) kann man hinzufügen, dass ihre Lobenlinie jederseits des Umganges zwei Lateralloben einschliesst 62 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE und der dritte (Suspensiv-) Lobus auf der Nabelwand liegt. (Vergl. Taf. III, Fig. 1 c und Fig. 28, S. 47). Einschnürungen auf den Umgängen sind bis jetzt nicht beobachtet worden und fehlen wahrscheinlich vollständig. | Paralegoceras Tschernyschewi n. sp. (Taf. III, Fig. 1 a, b, ©. Das discoidale Gehäuse besteht aus halbelliptischen Umgängen, die die grösste Breite am Nabel erreichen. Die Höhe der Umgänge ist etwas grösser als deren Breite. Der Nabel ist breit und tief mit steil abfallenden Wänden, welche mit den Lateralseiten durch abge- rundete Kanten verbunden sind. Der innere Ausschnitt vom vorhergehenden Umgange erreicht ungefähr '/; ihrer Höhe. Uebrigens scheint die Involubilität der Umgänge mit dem Alter etwas zuzunehmen. Die Oberfläche des beschriebenen Steinkernes ist ganz glatt. Einschnürungen fehlen. Sculptur unbekannt. In den Lobenlinien zerfällt der tiefe Siphonallobus durch einen hohen Medianhöcker mit einem Einschnitt am Ende in zwei schmale, verlängerte lanzettförmige zugespitzte Theile. Die Höhe des Siphonallobus ist grösser als dessen Breite. Dieser Lobus steht durch einen hohen zungenförmigen Externsattel mit dem etwas weniger tiefen ersten Laterallobus in Verbindung, welcher in eine lange Spitze ausläuft. Zwischen diesem Lobus und dem zweiten Laterallobus befindet sich ein dem Externsattel ähnlicher Lateralsattel, welcher sich aber durch geringere Grösse auszeichnet. Der zweite Laterallobus ist ebenfalls kleiner als der erste und verbindet sich vermittelst eines breiten stumpf abgerundeten Sattels, welcher den Nabelrand durchschneidet, mit einem schmalen auf der Nabelwand liegenden und in eine abgerundete Spitze auslaufenden Lobus. Eine derartige Gestalt zeigen die Lobenlinien bei 50—60 Mm., in ähnlicher Form erscheinen sie auch bei einer Höhe der Umgänge von 10 Mm. Dimensionen. Das Gehäuse, besonders die eine Hälfte desselben ist verunstaltet; daher müssen die untenangeführten Dimensionen nur als annähernde betrachtet werden, obgleich sie sich höchst wahrscheinlich den thatsächlichen sehr nähern. Die Dicke der Umgänge ist durch die zweifache Dicke der wohlerhaltenen Hälfte angegeben worden. Durchmesser: . ие ungef. 137 Mm. Höhe des letzten Umganges . . 60 » Breite des letzten Umganges. . 50 » Durchmesser des Nabels . ... 40 » Breite der Nabelwand . . . . .. F2 Höhe des vorletzten Umganges 29» Durchmesser des Nabels .... DS UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 63 Vergleichung. Die einzige Form, mit welcher man Р. Tschernyschewi vergleichen könnte, wäre P. iowense M. W. aus den productiven Carbonablagerungen des Staates Jowa. Nach der Abbildung dieser Form, welche in Meek und Worthen’s Werk (Geol. Surv. of Illinois, II, Pal. p. 392, pl. 30, fig. 3) gegeben ist, unterliegt es fast keinem Zweifel, dass auf der Nabelwand seines Gehäuses ein Lobus vorhanden ist. Fehlt dieser Lobus, so müsste Gon. iowensis zu der Formen-Gruppe der Gastrioceras-Gattung gerechnet werden, bei wel- cher der Suspensivlobus nicht auf der Nabelwand, sondern auf den Seitenflanken liegt (wie bei @. russiense). Im ersteren, weit eher anzunehmenden Falle würde P. Tschernyschewi von P. iowense sich durch dickere Umgänge, breiteren und tieferen Nabel, Gestalt des Sipho- nallobus, der tiefer als breit ist (und nicht umgekehrt, wie bei P. iowense) und durch das Vorhandensein des Einschnittes am Ende des Medianhöckers unterscheiden; bei der ameri- kanischen Form fehlt dieser Einschnitt. Vorkommen. Das einzige sicher bestimmbare Exemplar von Paral. Tschernyschewi hat Tschernyschew in den Artinsk-Schichten an dem Fl. Ui-Telak 10 Kilom. oberhalb der Mündung gefunden. Zusammen mit demselben ist noch ein anderes stark verdrücktes Para- legoceras-Exemplar gefunden worden, welches vielleicht ungeachtet seines Habitus auch zu der obenbeschriebenen Art gehört. ARCESTIDAE v. Mojsisovics. Agathiceras Gemmellaro. Goniatites (de Haan) Karpinsky, (p.) 1874, Verhandl. 4. Miner. Ges. St. Petersb. IX, 288. Goniatites (Glyphioceras?) Krotow, Artinsk. Et., 1885, 198. Adrianites Gemmellaro (p.), La Fauna dei calcari con Fusulina della valle d. f. Sosio, 1887, 41. Agathiceras Gemmellaro, Fauna etc., р. 77. Die Formen dieser Gattung sind zuerst in den Artinsk’schen Ablagerungen am Ural, später in Sicilien (Mojsisovics) und in Darwas (Buchara) aufgefunden worden. In letzter Zeit wurden viele Arten dieser Gattung von Prof. Gemmellaro aus anstehenden Schichten in Sicilien beschrieben. Nach der vom genannten Forscher für die Gattungen Agathiceras und Adrianites aufgestellten Characteristik und abgebildeten Arten zu urtheilen, ist keine besondere Veranlassung vorhanden die hierher gehörigen Formen in zwei Gattungen zu trennen. Einige Adrianiten nähern sich dem Anscheine noch mehr den Agathiceraten (z. B. Adr. insignis Gemm; Adr. ensifer Gemm), als einigen anderen Adrianiten, z. B. Adr. Distifanoi Gemm. oder noch mehr Adr. (Hoffmannia) Hoffmanni Gemm. Soviel man aus der Beschreibung ersehen kann sind die wesentlichsten Unterschiede der beiden von Gemmellaro aufgestellten Gattungen folgende: 1) Die Länge der Wohn- kammer erreicht bei Adrianites 1'/,—1'/, des vorletzten Umganges, und bei Agathiceras erstreckt sie sich nur auf den letzten Umgang; 2) die Form des Medianhöckers, welcher 64 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE bei Adrianites am Ende mit einem Ausschnitt versehen ist und bei Agathiceras eine flaschen- förmige Gestalt (a forma di botigglia e inciso зи apice) besitzt. Das letzte Merkmal ist nicht von Bedeutung, was bereits oben in der Beschreibung der Gattung Gastrioceras erwähnt wurde. Es steht, wie gesagt, in Verbindung mit der Veränderung der Lage der Siphonaldüten. Späterhin werden höchst wahrscheinlich auch solche Adrianiten gefunden werden, auf deren ausgewachsenen Umgängen der Medianhöcker die bei den Agathiceraten beobachtete Form besitzen würde; andererseits hat der typische Vertreter der letzteren, Agathiceras uralicum, einen am Ende ausgeschnittenen Medianhöcker, was meiner Ansicht nach auch auf jungen Umgängen des Ag. Suessi beobachtet werden könnte. Eine grössere Bedeutung hätte die Länge der Wohnkammer, aber bei den Agathicera- ten und einigen Adrianiten ist sie nur um ein Weniges verschieden; ausserdem erscheint ihre Grösse bei den typischen Adrianites-Arten, wie schon oben erwähnt worden ist, nicht ganz gleich. Agathiceras uralicum Karp. (Taf. IV. Fig. 4 a, e.) Goniatites uralicus Karpinsky, Verh. 4. Min. Ges. St. Petersb., 1874, IX, 288, Taf. XII, Fig. 1—5. Goniatites uralicus (Karp.) Abich. Geol. Forsch. in d. Kaukas. Länd., I, 119. Goniatites uralicus Karpinsky, Permo-carb. Sch. in Darwas. Verh. d. Min. G. XVIII, 216. Goniatites (Glyphioceras) uralicus (Karp.) Krotow, Artinsk. Et., 198. Zur Ergänzung der von mir gegebenen Beschreibung und Abbildungen füge ich hinzu, dass die sogenannten Spiralstreifen auch bei dieser Form eigentlich Rippchen bilden, und die fast vollständig erhaltene Wohnkammer des abgebildeten allergrössten Exemplars unter den im Artinsk’schen Kalkstein bei Kundrowka an der Ssakmara gesammelten Stücken ungefähr 0,9 des letzten Umganges einnimmt. Nach den Stücken dieser Form von der Ssimsk-Hütte zu schliessen, werden die Loben auf verhältnissmässig grossen Umgängen an ihrer Basis eckig abgerundet. Die mir vorliegenden Exemplare des Ag. uralicum stammen von der Ssakmara, К]. Ssurjan, Simsk-Hütte und Darwas in Mittelasien. Krotow führt den Gon. uralicus aus dem oberen Kohlenkalk am oberen Laufe der Kolwa an. Tschernyschew theilte mir auch ein Exemplar aus dem oberen Kohlenkalk des Felsens Kasarmennyj Kamen (an der Ssim) mit, wo es mit Fusulina Verneuili Moell., Productus semireticulatus Mart., Pr. longispinus u. a. zusammen auftritt. Dieses Exemplar ist in Fig. 4 b, с, а, Taf. IV abgebildet. Etwas deformirt, aber dem Ag. wralicum sehr ähnlich, könnte selbiges mit Sicherheit zu dieser Form gebracht werden, wenn irgend welche Spuren der Sculptur vorhanden wären. Bei Ag. uralicum erkennt man die Längsrippchen auch auf einem gleichgrossen Steinkernexemplare. Ausserdem erscheinen bei der Artinsk’- schen Form auf dem keine Wohnkammer darstellenden Umgange mehrere Einschnürungen UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 65 welche bei dem abgebildeten Exemplare vollständig fehlen. In Betracht des Angeführten ist es schwer zu entscheiden, ob das in Rede stehende Exemplar zu Ag. uralicum gehört oder eine andere demselben nahe stehende Form darstellt. Agathiceras Stuckenbergi n. sp. (Taf. V, Fig. 4 a—e). Ein kleines und nicht vollständig erhaltenes Exemplar, welches aber doch die Mög- lichkeit bietet eine ziemlich genaue Vorstellung von der in Rede stehenden Art zu erhalten. Die Schale spindelförmig, aus niedrigen Umgängen bestehend, die einen trapezoidalen Querschnitt zeigen, der Nabel schmal und tief. Der Durchmesser der Schale geringer als deren Breite, die am Nabel am grössten ist. Die Oberfläche mit äusserst feinen mit unbe- waffnetem Auge kaum zu unterscheidenden Längsrippchen und dieselben durchkreuzenden Querstreifen bedeckt, welche durch die Kreuzung mit den ersteren festonartig nach hinten ausgebogen sind. In der Fig. 4c ist diese Sculptur stark vergrössert dargestellt. Bei dem Uebergange dieser Streifen auf den schmalen abgerundet eckigen Nabelrand bilden sich zu- weilen sehr kleine Höcker. Lobenlinien. Der Siphonalsattel zerfällt durch den am Ende mit einem Ausschnitt ver- sehenen Medianhöcker in zwei am Grunde abgerundet eckige Theile. Eine ähnliche Gestalt besitzen auch die Lateralloben, welche je vier zwischen dem Siphonallobus und dem Nabel- rande auftreten und zum letzteren allmählig kleiner werden. Die Sättel abgerundet, gleich- falls in abnehmender Grösse zum Nabelrande auftretend und ungefähr zweimal breiter als die angrenzenden Lateralloben. Auf dem erhaltenen Steinkerne des Nabels von einem dem in Fig. 4 a, b abgebildeten Umgange vorangehenden sind die Lobenlinien angedeutet, die auf der Nabelwand noch zwei Loben erkennen lassen, welche durch einen denselben gleich- breiten Sattel verbunden sind (Fig. 4 e). Die Lobenlinien haben am Anfange und Ende des abgebildeten Umganges eine gleiche Gestalt, welche nicht im Geringsten complicirter wird. Der erwähnte fast cylindrische Steinkern des Nabels gestattet noch einen Umgang zu restauriren, wie das in Fig. 4 d angegeben ist, Dimensionen. Durchmessersesue еее 9 Mm. Höhe des letzten Umganges ............. 1:9 55 Breite » » DÉMO RN N ERRS; 12 » Breite des vorletzten Umganges .......... Ye Darchmesser des Nabels... ..........2.. 2 » Vergleichung. Nach dem spindelförmigen Habitus ist die in Rede stehende Form von allen anderen Agathiceraten leicht zu unterscheiden. Selbige nähert sich am meisten den- Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 9 66 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE jenigen Formen, für die Gemmellaro die Gattung Adrianites aufgestellt hat. Theils nach der Sculptur, theils nach dem Habitus und vielleicht auch nach der Gestalt der Lobenlinien zeigt unsere Form einige Achnlichkeit mit einem jungen Exemplar der Waagenina (Popano- ceras) Koswae Krotow. Aber selbst bei einem flüchtigen Vergleich mit den von Krotow abgebildeten Ammoneen zeigen sich wesentliche Unterschiede, die mit dem Schalenwachs- thum noch grösser werden. Es ist zu bemerken, dass bei einem Schalendurchmesser von ungefähr 9 Mm. die Lobenlinien bei Popanoceras Koswae noch, wie es scheint, einfache- Loben darstellen, aber die letzteren erscheinen bei dieser Art von jeder Seite ausser dem Siphonallobus zu fünf; sie sind am Grunde abgerundet und durch Sättel verbunden, die fast ebenso breit sind, wie die Loben. Vorkommen. Sandstein der Artinsk-Stufe an der Koswa unterhalb der Mündung der Chaldina. Agathiceras Krotowi n. sp. (Taf. У, Fig. 7 a—c). Gehäuse ellipsoidal mit stark umfassenden Umgängen von halbmondförmigem Quer- schnitt, der Nabel eng. Die Lobenlinien bestehen aus dem Siphonallobus, drei Lateral- loben und den dieselben verbindenden Sätteln. Der Siphonallobus zerfällt durch den am Ende ausgeschnittenen Medianhöcker in zwei am Grunde schief abgerundete Theile; die Lateralloben werden gegen den Nabel immer kleiner; der erste unter denselben nähert sich der lanzettförmigen Gestalt mit einem eckig abgerundeten Ende. Die Schalensculptur un- bekannt. Dimensionen. (Fig. 7) I. II. Ш. Durchmesser. un. en nee 6 8 11 ? Höhe des letzten Umganges. . ..... 3 3,7 DU? Breite » » DR 5 7,5 УР Durchmesser des Nabels. . ....... 1,3 2 2,5? Vergleichung. Von Agathiceras игайсит unterscheidet sich die in Rede stehende Form durch grössere Schalenbreite bei gleichem Durchmesser, breiteren Nabel, Querschnitt der Umgänge und zugespitzte Basis der Loben. Die Secundärloben, in welche der Siphonallo- bus vom Medianhôcker getheilt ist, sind zweimal schmäler, als der erste Laterallobus, wäh- rend bei Ag. uralicum die Breite dieser Secundärloben und Lateralloben fast gleich ist. Bei der letzten Form ist der letzte Lateralsattel (Umbilicalsattel) breit, bei Ag. Krotowi— schmal (vergl. Taf. IV, Fig. 4e und Taf. V, Fig. 7 c). Fast ohne Zweifel gehört zu dieser Art auch ein etwas verdrücktes Exemplar, welches von Tschernyschew im Sandstein an dem UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 67 Gr. Ik gefunden worden ist. Auf demselben sind Querstreifen und kaum bemerkbare Längs- rippchen vorhanden. Seine Dimensionen $. oben (III). Vorkommen. Sandstein der Artinsk-Stufe, Fl. Tschussowaja unterhalb des Kl. Waschkur; Fl. Gr. Ik unweit des Dorfes Jangibajewa. Popanoceras Hyatt. Goniatites (de Haan) Verneuil (p.), Geol. of Russia, II, 372, Taf. XXVI, fig. 4 u. 5, Tf. XXVII, fig. 5. Goniatites (de Haan) Möller, Karpinsky, Krotow etc. Aganides (Montf. p.) d’Orbigny, Prodr. p. 116. Ammonites (Вт. р.) Giebel. Fauna d. Vorw. Ш, $. 449, 450. 484. Ammonites (Br.). Beyrich (p.), Kohlenkalk von Timor Abh. Berl. Ak. Wiss., 1864, 70, Tf. IX, fig. I. Ammonites (Br.). Heilprin (p.) (Proc. Ac. Nat. Sc. Philadelphia 1884, р. 53) etc. Ceratites (de Haan) Lindström (p.), Trias och Juraförst. fr. Spitzbergen, Sv. Vet. Ас. Напа]. 1865, VI № 6. Arcestes (Suess) Waagen (p.), Salt-Range fossils, Mem. of the Geol. Survey of India Ser. XIII, I, 1879, p. 30. Megaphyllites v. Mojsisovics (p.), Cephal. d. mediterr. Triasprov., 1882, 191. Popanoceras Hyatt, Genera of foss. Ceph., Proc. of the Boston Soc. of. Nat. Hist., 1883, XXII, 337. Popanoceras (Hyatt) v. Mojsisovics, Arktische Triasfaunen, 65. Waagenia Krotow (non Neumayr, non de Koninck) Artinsk-Et. 204. ‚ Popanoceras (Hyatt) Gemmellaro, La fauna dei calcari с. Fusulina 4. valle 4. fume Sosio, 1887, Fasc. 1, 19. Stacheoceras Gemmellaro, Fauna etc., 26. Waagenina Krotow, Mém. Com. G£ol., 1888, VI, 474. Die genauere Characteristik dieser Gattung ist von Mojsisovics gegeben worden. Den ersten Versuch einer Trennung von den hierhergehörigen Formen einer Gruppe von Arten unter einem besonderen Gattungsnamen (Wuagenia, später in Waagenina umbenannt), hatte Krotow gemacht. Diese Gruppe ist unzweifelhaft derselbe Formencomplex, dessen genauere Characteristik in der letzten Zeit von Gemmellaro unter dem Gattungsnamen Stacheoceras gegeben wurde. Die Vergleichung einer grossen Anzahl von Popanoceras-Arten zeigt, dass die Merkmale, die zur Aufstellung der Gattung Stacheoceras dienten, nicht zu den wesentlichsten gehören. Dieser Umstand ist schon von Mojsisovics in Kürze ausein- ander gesetzt worden (Ueber ein. arkt. Trias-Ammoneen. Sibirien. Mém. Ас. Гар. St. Pétersb. VII, Ser. XXX VI, № 5, 1888, р. 18) und seine Schlussfolgerungen bestätigen sich auch an den Ural’schen Popanoceraten. So erscheint P. Lahuseni nach seinem Habitus und Sculp- tur als typischer Popanoceras, könnte aber durch das Vorhandensein von Varices zu Stacheoceras gebracht werden. Popanoceras Lahuseni n. sp. (Taf. У, Fig. 1 a—h, 2 a—c, 3 a—d). Goniatites Sobolewskyanus (Vern.) Karpinsky (p.) Verh. Min. Ges. St. Petersb., IX, 295. ? Goniatites Kingianus (Vern.) Karpinsky (p.) Ib., 291. 9* 68 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Gehäuse discoidal mit fast ganz umfassenden Umgängen, abgeflachten, schwach ge- wölbten Flanken und flachconvexer Siphonalseite. Nabel eng. Die Flanken mit flachen und ziemlich breiten (radialen) Querfurchen bedeckt, welche bei jungen Exemplaren weniger zahl- reich, fast gerade erscheinen und nicht oder selten über die Siphonalseite verlaufen; bei | ausgewachsenen Exemplaren bilden die Furchen zwei sehr flache nach vorn convexe Bogen, | welche durch einen nach hinten gerichteten Bogen verbunden sind. Auf der Siphonalseite verlaufen die Furchen, welche auf den Steinkernen fast nicht zu beobachten sind, in einem verhältnissmässig stark concaven Bogen. Die auf den jungen Umgängen wenig zahlrei- chen Furchen treten auf den ausgewachsenen so zahlreich und dicht auf, dass die Zwischen- räume zwischen denselben auf den Steinkernen rippenförmig erscheinen. Auf einem Exemplar von 45 Mm. im Durchmesser, ist die Anzahl dieser Rippen 32. Auf der Schale bildet der | Vorderrand jeder Rippe oder der Hinterrand der Furche einen scharf ausgeprägten Streifen, | hinter welchem bis zum folgenden ähnlichen Streifen mehrere (8—10) feine, viel weniger deutliche Streifen (Fig. 1 d) auftreten. Auf den jüngeren Umgängen der Schale befinden sich zahlreichere, auf den ausge- wachsenen Exemplaren dagegen seltener auftretende Einschnürungen, welche auf den Flanken einen sehr flachen nach hinten gerichteten Bogen bilden und einen ebensolchen aber stärker ausgeprägten Bogen auf der Siphonalseite. In Bezug auf die Dimensionen der Wohnkammer | kann man bemerken, dass ihre Länge 1%, Umgang übertrifft, da bei dieser Länge die Mund- öffnung noch nicht beobachtet worden ist. Die Lobenlinie besteht bei einer Höhe der Umgänge von 12 Mm., aus dem Siphonal- lobus (Fig. 19) und 7 Lateralloben, welche durch breite Sättel verbunden sind, deren Höhe und folglich auch Tiefe der Loben sehr rasch gegen den Nabel abnimmt. Der breite Siphonallobus ist durch einen Medianhöcker (mit einem eckigen Einschnitt am Ende) in zwei Theile gespalten, welche am Grunde in zwei Zacken endigen. Der genaue Umriss der Basis des ersten Laterallobus ist nicht deutlich beobachtet worden; sie ist dem Anscheine nach in 3 oder 4 Zacken getheilt. Der zweite Laterallobus ist am Grunde zwei- theilig; die übrigen Loben sind einfach mit abgerundet eckigem Ende. Der vierte und fünfte Lobus sind genähert und durch einen verhältnissmässig kleinen (niedrigen und weniger breiten) Sattel getrennt. Auf dem evoluten Theile des Gehäuses befindet sich nur der 1-te Laterallobus. Bei einer Höhe der Umgänge von 5 Mm. (Fig. 11) besteht die Loben- linie aus dem Siphonallobus, welcher durch den Medianhöcker in zwei Theile zerfällt und aus 6 Lateralloben; die Gestalt der drei letzten dieser Loben ist den entsprechenden Loben | der grösseren Umgänge ähnlich. Die Basis der übrigen Loben ist nicht beobachtet worden. Dimensionen. I (Fig.1a,b). II(Fig.1e,f). Ш (Fig. 16). 4 Durchmesser =. NUE 45 Mm. 9 Durchmesser des Gehäuses... ... 48? | Höhe des letzten Umganges 22,5 » 4 Durchm. des vorletzten Umganges 28 Breite desselben ....... 15 »’.3,5 : * Breite » » » 11 Nabeldurchmesser . ..... 5 LED Durchm. des vorgeh. Umganges . 18 | UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 69 Vergleichung. Bei meinen Untersuchungen im Orenburger Gebiet hatte ich die be- schriebene Form als eine Varietät des Gon. Sobolewskyanus V ern, betrachtet, wobei die meisten Merkmale nachgewiesen wurden, welche die Orenburger Form von der von Verneuil beschriebenen unterscheiden. Seitdem sind in Sieilien noch einige Popanoceraten gefunden worden, welche dem Gon. Sobolewskyanus fast ebenso ähnlich sind. Um die Beziehung des Popanoceras Lahuseni zu den anderen Formen nach Möglichkeit nachzuweisen, sind die Ge- häuse der ersten Art mit grosser Mühe und Vorsicht zur Aufdeckung der Lobenlinien prä- parirt worden, welche nur auf der Siphonalseite zu beobachten waren. Nach diesen Loben- linien unterscheidet sich P. Lahuseni nicht nur von P. Sobolewskyanum, sondern auch von allen anderen bekannten Popanoceras-Arten. Bei gleichen Dimensionen der Umgänge zeich- nen sie sich durch eine bedeutend grössere Einfachheit im Umriss der Lateralloben (ausser dem ersten) aus. P. Lahuseni unterscheidet sich von P. Sobolewskyanum auch durch das Auf- treten der Einschnürungen, viel zahlreichere Streifen (bis 10) zwischen den Furchen und die Form des Querschnittes der Umgänge; bei P. Sobolewskyanum ist die Siphonalseite der jungen Umgänge halbrund, auf dem letzten Umgange eines grossen Exemplars abgeflacht, schwach convex und in der zweiten Hälfte des letzten Umganges durch eckige Ränder mit den Flanken verbunden; bei Р. Lahuseni bleibt die Siphonalseite in allen Altersstufen flach abgerundet und vereinigt sich mit den Flanken durch abgerundete Kanten. Gegenwärtig zweifle ich fast nicht, dass die Exemplare, welche in Fig. 3 a—d abge- bildet sind und die von mir zum Theil zu P. Kingianum (Verh. d. Min. Ges. IX) gerechnet wurden, nur junge Exemplare von P. Lahuseni darstellen. Das Exemplar Fig. 3 4 besteht aus der Anfangskammer und 5 Umgängen; im Nabel sind alle vorhergehenden zu sehen; der 5-te Umgang ist stark, aber nicht ganz umfassend. Noch mehr umfassend erscheinen die Umgänge auf den Exemplaren Fig. 3, b, с und За. Die Anzahl der Vertiefungen oder Furchen nimmt mit dem Wachsthum zu. Einige derselben sind in der Form den Vertiefun- gen des P. Kingianum ganz ähnlich; die anderen erscheinen mehr ausgezogen, nicht selten nach hinten flach bogenförmig und schliesslich verlaufen andere wiederum über die Siphonal- seite, wo sie weniger ausgetieft sind und einen flachen Sinus bilden. Dimensionen. Fig. За Fig. 3b, с Fig. 34. Durchmesser ........ Е MEET 5 3:7 Höhe des letzten Umganges........ 4 2 1,3 Breiterdesselben. m... 4... 20900) 2 1:5 Nabeldurchmesser##.. а. 2 1,8 1er Ich bin auch fast überzeugt, dass die späteren Forscher die von Tschernyschew bei dem Ssimsk-Hüttenwerk gesammelten Exemplare, von denen ein Theil in Fig. 2 a, b, с auf Taf. У abgebildet ist, auch als zu P. Lahuseni angehörig nachweisen werden. Alle diese Exemplare sind deformirt und fast stets zusammengedrückt. Nach ihrem Aussehen 70 A. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE und Character der Umgänge stimmen sie mit den Ssakmarskischen ganz überein; aber die Schale der letzteren ist nur auf der Siphonalseite (Fig. 1 d) beobachtet worden, während bei den Ssimskischen Exemplaren die Schale von verschiedenen Theilen des Gehäuses erhalten ist. Die Anzahl der Furchen auf den Umgängen nimmt, wie schon bei der Beschreibung der Ssakmarskischen Exemplare gesagt worden ist, mit dem Wachsthum zu. Nach einem Bruch- stück eines grossen Exemplars (Fig. 2 a) ist die Anzahl der grossen Streifen oder Furchen auf dem Umgange an 50. Zwischen solchen Furchen befinden sich feine Streifen, deren An- zahl nicht aufallen Exemplaren und selbst nicht auf verschiedenen Theilen eines und desselben Exemplars dieselbe ist. Ausserdem vergrössert sich die Anzahl dieser feinen Streifen in der Richtung vom Nabel zur Siphonalseite durch das Erscheinen neuer Streifen von der hinteren Seite der von ihnen gebildeten Streifenbündel. Auf den Ssimskischen und Ssakmarskischen Exemplaren bemerkt man nicht selten solche Einschnürungen, welche eine und dieselbe Lage haben. Trotz aller Mühe und vorsichtiger Präparirung mehrerer Exemplare sind die Loben- linien gar nicht aufgedeckt worden. у Dimensionen der Ssimskischen Exemplare : (Fig. 2 a) (Fig. 2b) (Fig. 2 ce) I Il III Durchmesser 2.0 Se » 29 24 Höhe des letzten Umganges . ......... О 16 13 Breite.desselbene ев 16(?) » » Nabeldurchmesseg sr man Sam ns 6(?) 2,25 2 Popanoceras Sobolewskyanum Verneuil. Goniatites Sobolewskyanus Verneuil, Geol. of Russia II, 572, pl. XXVI, Ё 5. Aganides Sobolewskyanus (Vern.) d’Orbigny, Prodr. 116. Ammonites Sobolewskyanus (Vern.) Giebel. Fauna d. Vorw., III, 484. Goniatites Sobolewskyanus (Vern.) Eichwald, Lethaea, 1, 1325. Popanoceras Sobolewskyanum (У ern.) Hyatt, Gen. of foss. Ceph., 338. Gon. (Popanoceras) Sobolewskyanus (Vern.) Krotow, Artinsk-Et., 200. Gon. (Popanoceras) Sobolewskyanus (Vern.) Krotow, Mém. Com. G£ol., VI, 473. Die von mir untersuchten Exemplare des P. Sobolewskyanum stammen aus dem Sand- stein in der Umgegend der Artinsk-Hütte und am Fl. Gr. Ik (Berg Chanysch). Popanoceras Kingianum Vern. (Taf. У, Fig. 8 a—d). Goniatites Kingianus Verneuil, Geol. of Russia, II, 374, pl. XXVIJ, f. 5. Aganides Kingianus (Vern.) d'Orbigny, Prodr. 116. Ammonites Kingianus (Vern.) Giebel. Fauna 4. Vorw. Ш, 450. Goniatites Kingianus (Vern.) Eichwald, Lethaea ross. I, 1324. huge UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 71 Popanoceras Kinginianum (Vern.) Hyatt, Gen. of foss. Ceph., 338. Goniatites (Popan.) Kingianus (Vern.) Krotow, Artinsk-Et., 199. Die äussere Gestalt des Gehäuses ist von Verneuil sehr gut beschrieben und abge- bildet worden; aber die von mir untersuchten Exemplare zeigen einige Abweichungen im Bau der Lobenlinie. Bei einer Höhe des Umganges von 4 Mm. (Fig. 8 b) zerfällt der Si- phonallobus durch den mit einem Einschnitt am Ende versehenen Medianhöcker in zwei zweispitzige Theile. Lateralloben 6: der erste zweitheilig, der zweite gleichfalls, aber am Grunde mehr verbreitert; der dritte und die folgenden einfach. Die drei letzten Loben sind verhältnissmässig klein und flach. Die Lobenlinien sind bei Annäherung zum Nabel an den Lobenstellen schief nach vorn gerichtet. Die Sättel abgerundet und ihre Höhe nimmt vom Externsattel, dem höchsten unter denselben, in der Richtung zum Nabel allmählig ab. Bei einer Höhe des Umganges von 4,5 Mm. (Fig. 8 c.) bleibt der allgemeine Character der Lobenlinie derselbe, aber der zweite Laterallobus besitzt am Grunde 3 Zacken. Die be- ginnende Dreitheilung zeigt sich auch am dritten Laterallobus; die anderen drei Loben sind einfach. Bei einer Höhe des Umganges von 5 Mm. (Fig. 8 d) verbreitert sich der zweitheilige erste Laterallobus in der Nähe seiner Basis, was der Verwandlung in einen vierzackigen Lobus vorangeht; der 2te Laterallobus ist vierzackig, der 3te dreizackig, der 4te und die zwei folgenden einfach. Nach der Beschreibung Verneuil’s besitzen die beiden Theile, in welche der Siphonal- lobus zerfällt, an ihrer Basis vier Zacken, ebenso wie der 1te, 2te und 3te Laterallobus, obgleich beim dritten oft nur dreiZacken zu bemerken sind. Ausser diesen Loben hat Verneuil nur noch einen einfachen beobachtet. Die Lobenlinien sind von Verneuil nach der Grösse des Exemplars zu urtheilen von einem ungefähr 7 Mm. hohen Umgang abgebildet worden. Da die Complication der Loben mit dem Wachsthum der Umgänge ziemlich rasch vorschreitet (s. Fig. 8 b, c, d), so ist es leicht möglich, dass der Siphonallobus und die drei Lateralloben bei einer Umgangshöhe von 7 Mm. die Gestalt annehmen, wie sie Verneuil angezeigt hat, aber es ist kaum möglich, dass ausser diesen Loben nur noch ein einfacher erscheint. Hier ist anzunehmen: 1) dass das Verneuil’sche Exemplar in Betreff der Lobenlinien eine indivi- duale Abweichung oder Monstrosität darstellt, 2) die von mir und Verneuil beschriebenen Exemplare zwei verschiedenen Species angehören und 3) die auf dem Verneuil’schen Exem- plar fehlenden zwei einfachen Loben in Folge ihrer geringen Grösse und anderer Ursachen nicht beobachtet worden sind. Das Letztere ist meiner Ansicht nach wohl am zulässigsten. Dimensionen. Da Verneuil nur die Dimensionen eines einzigen Exemplars gegeben hat, so sind hier dieselben noch von einigen anderen des P. Kingianum verzeichnet worden: I IL (Fig. 8 a) III Durchmesser ni, 206.2. Mm. 12 11 Höhe des letzten Umganges .. 11 » 5,5 5 Breite » » » AO » 4 9 Nabeldurchmesser-. "1524"; 2. би 1,5 1,5 72 Л. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Vorkommen. Sandstein der Artinsk-Stufe des Berges Kaschkabasch beim Artinsk-Hütten- werk und des Berges Chanysch am Ik. Popanoceras sp. indet. Im Kalkstein der Artinsk-Stufe beim Dorfe Kundrowka an der Ssakmara ist das kleine Bruchstück eines Steinkernes von einem auf den Flanken flachen und auf der Siphonalseite abgerundeten Gehäuse gefunden worden. Auf diesem Bruchstück bemerkt man hin und | wieder die einzelnen Theile der Lobenlinien, nach welchen die beigefügte Zeichnung (Fig. 30) angefer- tigt ist. Dieselbe ist als eine ganz genaue zu betrach- | ten. Der Siphonallobus, dessen Breite fast der Höhe Fig. 30. Vergr. gleich ist oder die letztere nur wenig übertrifft, zer- fällt durch den mit einem Einschnitt am Ende verse- | henen Medianhöcker in zwei zweispitzige Theile; der erste Laterallobus ist dreitheilig, - stellt aber den Anfang zur Verwandlung in einen vierzackigen dar; der zweite Laterallobus | ist viertheilig, der dritte dreispitzig, ebenso wie der letzte der beobachteten Loben, dessen Zerschlitzung weniger deutlich ist. Die Sättel sind abgerundet und werden allmählig von den Externsätteln, als den höchsten angefangen immer kleiner. Dimensionen. Die Dicke des Umganges 7,5 Mm; die Höhe desjenigen Theiles des letz- teren, auf welchem die dargestellten Loben und Sättel erscheinen, 8,5 Mm. Vergleichung. Die in Rede stehende Form nähert sich nach den Lobenlinien am meisten den oben beschriebenen Exemplaren des P. Kingianum. Bei dem weiteren Wachsthum der Umgänge der zuletzt genannten Art müssen diese Linien complicirter werden. Obgleich eine gewisse Complication derselben auch auf dem beschriebenen Bruchstück von Popanoceras beobachtet worden ist (der erste Laterallobus ist nicht zwei-, sondern dreitheilig; der vierte Laterallobus ist dreitheilig und dazu strebt auch der 4te einfache Lobus des P. Kingianum), so müssten doch bei den verhältnissmässig grösseren Dimensionen des Gehäuses, welchem dieses Bruchstück angehört, die Lobenlinien noch complicirter erscheinen. (Vergl. z. B. mit der Lobenlinie des Verneuil’schen Exemplars, dessen letzter Umgang eine Dicke von 5 Mm. erreicht). Daher kann das betreffende Bruchstück meiner Ansicht nach nicht zu P. Kingia- num gehören. i Popanoceras Koninckianum Verneuil. Goniatites Koninckianus Verneuil, Geol. of Russia, II, 373, pl. XXVI, f. 4. Aganides Koninckianus (Vern.) d’Orbigny, Prodr. 116. Ammonites Koninckianus (Vern.) Giebel Fauna d. Vorw., III, 449. Goniatites Koninckianus (Vern.) Eichwald, Lethaea, I, 1324. Popanoceras Koninckianum Hyatt, Gen. of foss. Ceph., 338. Goniatites (Popan.) Koninckianus Krotow, Artinsk. Et., 199. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 73 Ich hatte bis jetzt keine Gelegenheit die Exemplare des P. Koninckianum zu untersuchen. Popanoceras Krasnopolskyi n. sp. (Taf. V, Fig. 10 a—|). Das ellipsoidale, nahezu kugelige Gehäuse besteht aus umfassenden Umgängen von halbmondförmigem Querschnitt. Nabel sehr eng. Die jüngsten Umgänge sind auf den Flanken und auf der Siphonalseite etwas abgeflacht. Einschnürungen erscheinen selten, sie verlaufen in der Querrichtung ohne Ausbuchtungen zu bilden. Die auf einigen Exemplaren beobachteten Schalenspuren zeigen eine feine Sculptur, welche aus Querstreifen besteht. Die Lobenlinien werden mit dem Wachsthum der Umgänge sehr complicirt. Die ersten der- selben sind nicht entdeckt worden. Bei einer Umgangshöhe von 1'/, Mn. hat die Lobenlinie den in Fig. 10 g angezeigten Character. Sie besteht aus dem tiefen und breiten Siphonal- lobus, an dessen Grunde sich ein niedriger, mit einem breiten und flachen Einschnitt am Ende versehener Medianhöcker befindet. Zu beiden Seiten des Siphonallobus treten je 4 kleine eckig abgerundete einfache Lateralloben auf, deren Grösse gegen den Nabel abnimmt. Die Sättel breit. Beim weiteren Wachsthum der Umgänge (Höhe 3 Mm., Fig. 10 A) wird der Medianhöcker höher, obgleich er kaum ein Drittel der Höhe des Siphonallobus erreicht. Die Lateralloben erscheinen tiefer, bleiben jedoch bedeutend weniger tief, als der Siphonal- _ lobus. Die ersten Lateralloben werden am Grunde zweitheilig; die übrigen erscheinen als einfache. Bei der Umgangshöhe von 3, Mm. (Fig. 109) wird der Medianhöcker noch höher; die Theile des Siphonallobus, in welche der letztere durch den Medianhöcker gespalten wird, zeigen eine schwache Einbuchtung, welche auf den Anfang der später sich entwickelnden Zweitheiligkeit dieser Theile hinweist. Die Lateralloben werden noch tiefer, der erste ist am Grunde zweitheilig, der zweite zerfällt in drei abgerundete in einander übergehende Theile, der 3te und 4te Lobus sind einfach, schmal und genähert. Bei der Umgangshöhe von 4 Mm. (Fig. 10 2) erreicht der Medianhöcker die halbe Höhe des Siphonallobus; die Basis des letzteren und der Lateralloben befindet sich fast in einem und demselben Niveau. Lateral- loben 5. Die ersten zweitheilig, der 2te dreispitzig, der 3te lanzettförmig, der 4te und 5te schmal, genähert und durch einen schmalen Sattel getrennt, welcher niedriger, als die zu- nächst liegenden Sättel erscheint. Auf Umgängen von ungefähr 6 —7 Mm. (Fig. 10%) erreicht die Höhe des Medianhöckers mehr als die Hälfte der Tiefe des Siphonallobus, welcher durch denselben in zwei Theile zerfällt, die am Grunde zweispitzig erscheinen. Lateralloben 6. Die ersteren sind etwas tiefer, als der Siphonallobus, zerfallen am Grunde durch einen schmalen und verhältniss- mässig hohen Secundär-Sattel in zwei Theile, von welchen der erste zweitheilig ist, und der zweite durch eine schwache Einbuchtung nur auf die entstehende Zweitheiligkeit hinweist. Der 2te und 3te Lobus sind dreitheilig, wobei der mittlere Zacken länger als die Seitenzacken er- scheint. Der 4te Lobus ist lanzettförmig, der 5te und 6te sind einander genähert, durch einen im Mémoires de l’Acad. Гир. 4. sc. VII Série. 10 74 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Vergleich zu den zunächststehenden Sätteln sehr niedrigen Sattel getrennt und bilden gleichsam einen zweitheiligen Lobus. Schliesslich zeichnen sich die Lobenlinien bei einer Umgangshöhe von 9—10 Mm. (Fig. 102) von dem vorhergehenden Umgange durch folgende Merkmale aus: 1) der zweite von denjenigen Theilen, in welche der erste Laterallobus durch den Secundär- sattel zerfällt, erscheint ebenfalls zweizackig und in Folge dessen besteht die Basis dieses Lobus aus 4 Zacken; 2) Der vierte Laterallobus ist in zwei Zacken getheilt, obgleich seine Gestalt auf die allernächste Verwandlung in einem dreizackigen hinweist. Auf der umbo- nalen Seite (U) befinden sich dem Anscheine nach zwei kleine abgerundete Loben (von den- selben ist nur einer beobachtet worden), welche durch einen ebensolchen Sattel verbunden sind. In den Umgängen aller untersuchten Altersstufen berühren sich nicht die Scheidewände. Bei Untersuchung der allmähligen Entwickelung der Lobenlinien bemerkt man: 1) dass der Medianhöcker allmählig grösser wird; 2) der erste Laterallobus eine paarige Differenzi- rung darstellt, erst in zwei, dann in 4 Theile zerfallend; 3) der dritte und die folgenden (ausser den zwei letzten) Lateralloben sich nach einander in dreizackige verwandeln '); 4) die 2 letzten Loben einfach bleibend, in den immer späteren Lobenlinien sich mehr und mehr einander nähernd und durch einen allmählig kleiner werdenden Sattel verbunden sind, so dass den zwei Loben der jungen Suturen gleichsam ein zweitheiliger Lobus der Lobenlinien auf erwachsenen Umgängen entspricht. Dimensionen. I (Fig. 10 а, b). II (Fig. 10 d). Ш (Fig. 10 e, Л). Vorletzt. Umg. Vorletzt. Umg. Duschmessen. m wa Wenn 225% Mm» ? 9,25 7,5 4,5 Höhe des letzten Umganges . ..... т 8 5 4 2 Breite. ug. menge НЕ 16,5 rl 1.3 7 4 Nabeldurchmesser. ......:..x. 102 1 0,6 0.5 0,5 Vergleichung. Die dem P. Krosnopolskyi am nächsten stehende Form ist die Waagenina (Popanoceras) subinterrupta Krotow. Das Gehäuse der letzteren zeichnet sich durch die abgeflachten Flanken und Siphonalseite, wie auch durch die gröberen Querstreifen aus, Krotow hat die Lobenlinien nur auf einem kleinen Exemplar seiner Species untersucht. Bei einem Durchmesser von 7 Mm. hat er eine Lobenlinie beobachten können, welche dem Character des Siphonal- und Laterallobus nach gleichsam eine mittlere Stellung zwischen den Lobenlinien unserer Form in Fig. 10% und Fig. 10: einnimmt. Der Hauptunterschied besteht, abgesehen von den Details in der Gestalt der Loben, in der Anzahl der Lateralloben, die bei der letzteren Art 4, bei P. subinterruptum 5 beträgt. Bei einem Durchmesser von ungefähr 12 Mm. bleiben die Theile des Siphonallobus bei Р. Krosnopolskyi noch einfach, bei der Krotow’schen Art dagegen sind sie zweitheilig; die zwei letzten Loben der ersteren 1) Bei verhältnissmässig grossen Umgängen nehmen | scheinlich der Zerschlitzung der Zacken in 3 Theile die Zacken eine lanzettförmige Gestalt an, welche wahr- | vorangeht. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 19 Form sind einander genähert, was bei Р. subinterruptum nicht beobachtet wird, bei welchem der zweite Laterallobus nach der Zeichnung zu urtheilen, viel tiefer als der erste ist. Vorkommen. Artinsk-Schichten (Sandsteine) an der Tschussowaja (unterhalb des Kl. Waschkur) und an dem Ik. | Popanoceras sp. indeterm. (aff, Parkeri Heilprin.) (Taf. У, Fig. 5 a—c). Einem einzigen Bruchstück nach sind die Umgänge des Gehäuses auf den Flanken und der Siphonalseite fach gewölbt. Die äussere Form des Gehäuses ist wahrscheinlich dem Ge- häuse des Popanoceras Krosnopolskyi und P. subinterruptum sehr ähnlich. Die Sculptur ist nicht bekannt. Unter den Lobenlinien kann man folgende Elemente beobachten: 1) den in zwei zweizackige Theile durch den Medianhöcker gespaltenen Siphonallobus; 2) zwei auf jeder Seite auftretende Lateralloben, von denen der erste zweizackig und der zweite drei- zackig erscheint; auch ist zum Theil der dritte Lobus zu sehen, der, wie es scheint, dem zweiten ähnlich ist; die übrigen Loben sind nicht beobachtet worden; 3) Sättel abgerundet, zungenförmig; ihre Grösse nimmt von dem Externsattel, dem höchsten unter denselben all- mählig ab. Die Lobenlinien berühren sich nicht. Dimensionen. Die Breite des Bruchstückes, die ungefähr die Breite der Umgänge er- reicht, ist = 14 Mm. Vergleichung. Wie schon oben bemerkt wurde, ist nach der äusseren Form des Gehäuses die beschriebene Art dem P. Krasnopolskyi sehr ähnlich, von welchem sie sich vielleicht durch stärkere Abflachung der Siphonal- und Flanken? — Seiten auszeichnet; die Lobenlinien aber, welche bei beiden Formen bei gleichen Dimensionen des Gehäuses einen gleichförmigen Character besitzen, unterscheiden sich bei der beschriebenen Art durch verhältnissmässig grössere Einfachheit: z. B. bei einer Breite der Umgänge von 14 Mm. erscheint der erste Laterallobus der letzteren Form zweitheilig (Fig. 5c), bei P. Krasnopolskyi dagegen vier- theilig (Fig. 102). Vielleicht gehören die betrachteten Formen zu Pr. subinterruptum Krotow, aber diese Frage kann einstweilen nicht entschieden werden, da die Lobenlinien und die Gestalt der grossen Exemplare der letztgenannten Form noch nicht bekannt sind. Die grösste Aehnlich- keit aber besitzt das beschriebene Exemplar mit Ammonites (Popanoceras) Parkeri Heil- prin aus Texas in Nord-Amerika, welcher auch nach einem Bruchstück beschrieben worden ist!). Soweit es die erhaltene äussere Form des Gehäuses der Ural’schen und amerikanischen Ex- emplare und ihre Lobenlinien (vergl. die Abbildung von Heilprin Fig. 2 und Fig. 5c, Taf. V) anbetrifft, kann man beide Arten identificiren, aber das amerikanische Exemplar ist 1) Heilprin. Proceed. of the Acad. of Nat. Sc. of Philadelphia, 1884, I, 53, fig. 1 а. 2. 10* 76 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE kleiner und hätte wahrscheinlich beim Auwachsen bis zur Grösse des Ural’schen Exemplars complicirtere Lobenlinien. Popanoceras sp. indeterm. (aff. Jazwae Krotow). (Taf. V, Fig. 9 a—d). Das Gehäuse besteht aus umfassenden Umgängen mit flachconvexen Flanken und ab- gerundeter Siphonalseite. Die grösste Breite der Umgänge befindet sich ungefähr in der Mitte ihrer Höhe. Der Nabel ist fast oder ganz geschlossen. Bei jungen Exemplaren ist die Höhe der Umgänge geringer als die Breite, bei älteren — umgekehrt. Auf dem grösseren Exemplar zeigt der Steinkern dieSpuren der Sculptur, und nament- lich Querstreifen oder feine Furchen, welche auf der Siphonalseite einen flachen Sinus oder einen schwachen nach hinten gerichteten Bogen bilden. Die Lobenlinien sind nicht deutlich zu beobachten. Die beigelegten Zeichnungen (Fig. 31) sind mit gros- ser Mühe (unter dem Mikroskop bei von verschiedenen Seiten fallen- dem Lichte) aufgenommen worden; für die Genauigkeit derselben kann ich aber nicht einstehen. Jedenfalls weisen sie auf die Angehörigkeit der beschriebenen Art zu Popanoceras hin. Die obere Zeichnung stellt einen Theil der Lobenlinie eines grossen Exemplars (Fig. 9 a, b, Taf. V) bei einer Umgangshöhe von 7 Mm. dar; die untere einen Theil der Lobenlinie eines kleinen Exemplars (Fig. 9 с, 4, Taf. У) bei einer Umgangshöhe von 3 Mm. Fig. 31. Vergr. Dimensionen. {Fig.9 a,b). (Fig. 9 €, d). I II. Durchmesser: . 2 со 18 7 Höhe des letzten Umganges ... 11 4 Breite » » » RR) 5 Vergleichung. Es ist möglich, dass die in Rede stehende Form zu Waagenina Jazwae Krotow gehört. Die Streifen oder Furchen auf der Siphonalseite dieser Form bilden nach der Zeichnung zu urtheilen keinen Sinus, aber vielleicht entsteht der letztere nur auf den grösseren Umgängen. Die verglichenen Formen weichen nach ihren Lobenlinien bedeu- tend mehr von einander ab, aber die letzteren treten, wie auf dem Krotow’schen, so auch auf meinen Exemplaren sehr undeutlich auf. Wenn es sich später herausstellen sollte, dass die von Krotow und mir angeführten Lobenlinien richtig sind, so werden beide Formen als selbständige Arten zu betrachten sein. Vorkommen. Sandstein der Artinsk-Stufe an der Uswa (zwischen den Felsen Nawisschij Kamen und Maloje Brewno). us 3 4 м 3 à i к UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. Popanoceras Romanowskyi n. sp. (Taf. V, Fig. 6 a, b). Goniatites sp. indeterm. Karpinsky. Verh. 4. Min. Ges. St. Petersb, 1883, XVII, 216. Bei sehr vorsichtiger Behandlung mit Salzsäure der von mir schon erwähnten (Ein Hinw. über das Vork. v. Permo-Carbon in Darwas) Exemplare, treten die Lobenlinien deut- lich hervor und gestatten nachzuweisen, dass die Popanoceraten von Darwas eine neue Form darstellen. Das Gehäuse derselben ist stark deformirt, hat aber allem Anschein nach eine ellipsoidale Form und besteht aus stark umfassenden Umgängen mit flachconvexen Flanken und abgerundeter Siphonalseite. Der Nabel ist sehr klein, fast geschlossen. Auf dem Stein- kerne des Gehäuses sind stellenweise Einschnürungen zu bemerken. Spuren der Sculptur sind nicht vorhanden. Die Lobenlinie besteht bei einer Umgangshöhe von 10 Mm. (Fig. 6 a) aus: 1) einem breiten durch den am Ende mit einem Einschnitt versehenen Medianhöcker in zwei Theile gespaltenen Siphonallobus, dessen beide Theile am Grunde zweizackig endigen; 2) drei Lateralloben, welche in drei Zacken getheilt sind und 3) abgerundeten Sätteln. Bei einer Umgangshöhe von 5 Mm. (Fig. 6 b) entspricht die Anzahl der Loben der oben angeführten, aber der 2te und 3te Laterallobus erscheinen als einfache, wobei der zweite eine derartige lanzettförmige Form annimmt, welche der Zerschlitzung der Loben in drei Zacken vorangeht. Dimensionen. Da die Exemplare verdrückt sind, kann man die Dimensionen nur annähernd bezeichnen: I Il Durchmesser... В 21 8 Höhe des letzten Umganges . ... 11 5 Breiten, Sa ver ne И 10 » Vergleichung. Die Dreitheiligkeit aller Lateralloben, welche den P. Romanowskyi charac- terisirt, wird bei wenigen Popanoceraten, wie 2. В. bei P. (Stacheoceras) mediterranum Gemm., P. (Stacheoc.) Karpinskyi Gemm. beobachtet, aber abgesehen von der etwas ab- weichenden Gestalt der Loben und Sättel, ist ihre Anzahl bei den letzteren Arten viel grösser. So z. B. beträgt die Anzahl der Lateralloben bei einem jungen von Gemmellaro abgebildeten Exemplar von P. mediterranum (Taf. УП, Fig. 11—13) sieben, bei Р. Roma- nowskyi dagegen sind wie beikleineren, so auch bei ungefähr zweimal grösseren Exemplaren drei Lateralloben vorhanden. Dreitheilige Lateralloben erscheinen auch bei P. antiquum Waagen und zwar sind solcher acht auf einem grossen Exemplar; eine derartig anwachsende Anzahl der Loben kann man aber bei P. Romanowskyi nicht erwarten, wenn die Exemplare desselben die Grösse des Waagen’schen erreichen. Die grösste Aehnlichkeit hat die be- schriebene Form bei gleicher Umgangshöhe mit Р. (Stacheoceras) pygmaeum Gemm., aber die beiden Theile des Siphonallobus erscheinen bei der letzteren Art als einfache. 78 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Vorkommen. Die untersuchten Exemplare erhielt ich von Prof. Romanowsky und sie stammen aus einem grossen Blockstück, welches in Darwas gefunden wurde. Popanoceras (?) sp. indeterm. Goniatites sp. indeterm. Karpinsky. Verh. d. Min. Gesellsch. IX, Taf. XII, Fig. 20, 21. Goniatites sp. indeterm. Krotow. Artinsk. Et. 20. Das in einer kieselig-thonigen Concretion aus dem Sandstein der Artinskstufe in der Nähe der Ausmündung des Kleinen Sürjan in den Grossen gefundene Exemplar, welches in der obencitirten Abhandlung beschrieben worden ist, wurde zur Bestimmung der Loben- linien zerschlagen. Der ganze letzte Umgang und ein kleiner Theil des vorletzten erwiesen sich als Wohnkammer. Die Anzahl aller Umgänge der untersuchten Exemplare beträgt, wie es scheint, sechs. Die Involubilität derselben nimmt mit dem Wachsthum etwas zu. Der fünfte Umgang (bei einer Höhe von 2,1 Mm.) umfasst den vorhergehenden auf ‘/, seiner Höhe, die gleich 1,4 Mm. ist. | Die Lobenlinie ist undeutlich; bei einer Umgangshöhe von ungefähr 2,8 Mm. besteht sie aus einfachen, länglichen, abgerundeten Loben und Sätteln, welche in der beigelegten Zeichnung abgebildet sind (Fig. 32). Die allgemeine Form des Gehäuses, die Dimensionen der Wohn- DDR“ kammer und der Character der Lobenlinien, welcher dem der jungen Popanoceras-Umgänge entspricht, veranlassen mich die in Rede ste- hende Art zu dieser Gattung zu rechnen. Fig. 32. Vergr. Popanoceras subinterruptum Krotow. Waagenia subinterrupta Krotow. Artinsk. Et. 205, Taf. I, Fig. 25—28. Waagenina subinterrupta Krotow. Mém. Com. G£ol. VI, 475. Popanoceras Koswae Krotow. Waagenia Koswae Krotow. Artinsk. Et. 206, Taf. I, Fig. 29—31. Popanoceras Jazwae Krotow. Waagenia Jazwae Krotow. Artinsk. Et. 208, Taf. I, Fig. 32—33. Waagenina Jazwae Krotow. Mém. Com. Géol. VI, 475. Diese drei Krotow’schen Arten sind von mir nicht untersucht worden. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 79 Nachträgliche Bemerkungen über die Popanoceraten, Leider ist es mir nicht gelungen die Entwickelung der Popanoceraten vor dem Sta- dium zu beobachten, dem die in Fig. 10g, Taf. V abgebildete Lobenlinie angehört. Auf Grund der, der kugeligen Form sich nähernden Anfangskammer, könnte man annehmen, dass die Popanoceraten, gleich den meisten Formen, welche zu den Arcestiden gerechnet werden, eine den Latisellaten entsprechende embryonale Entwickelung darstellen. In den untersuchten Grenzen der Popanoceraten-Stadien erscheinen diese Formen den mittleren Entwickelungsstadien der Arcesten sehr ähnlich, aber sie gleichen in dieser Beziehung nicht weniger dem Megaphyllites Mojs., wobei die äussere Form des Gehäuses einiger Popanoce- raten (s. Fig. 9a, Taf. V) an die triasischen Megaphylliten auffallend errinnert. Die letz- teren gehören aber nach Branco’s Untersuchungen zu den Angustisellaten. In Folge des Mangels an Daten kann ich die Beziehungen zwischen den erwähnten Formen nicht untersuchen, glaube aber bemerken zu können, dass vielleicht die späteren Untersuchungen anchweisen würden, dass die Popanoceraten unter den Latisellaten solche Formen darstellen, welche den Megaphylliten unter den Angustisellaten analog sind, und zwar ähnlich, wie wir das schon bei den Medlicottien und Sageceraten gesehen haben. Nach der Länge der Wohn- kammer sind, wie bekannt, die Popanoceraten den Arcestiden und nicht den Megaphylliten ähnlich. Der Richtung der Siphonaldüten zu Folge sprechen die Popanoceraten, gleich dem Gastrioceras, wie schon oben erwähnt wurde, nicht zu Gunsten der Eintheilung der Ammo- neen in Retrosiphonata und Prosiphonata. Bei einigen Popanoceraten bleiben die Siphonal- düten, wie es scheint, auch bei ganz grossen Exemplaren (z. B. P. Sobolewskyanum) nach hinten gerichtet; bei anderen haben die Siphonaldüten auch eine ziemlich lange vordere Fortsetzung (P. Krasnopolskyt); schliesslich sind, wie es scheint, bei einigen Arten die Si- phonaldüten der grossen Exemplare nach vorn gerichtet (Stacheoceras Darae Gemm., Stach. Karpinskyi Gemm., St. Benedictum Gemm.). Wahrscheinlich hängt die Veränderung der Richtung der Siphonaldüten bei den Popanoceraten mit dem Verschwinden des Einschnittes am Ende des Medianhöckers zusammen. Soviel ich beobachten konnte, können die oben beschriebenen Popanoceraten in zwei grosse Gruppen getheilt werden. Zu einer derselben gehören P. Sobolewskyanus, P. La- huseni, P. Kingianum u.a.; zu der anderen: P. Krasnopolskyi, P. subinterruptum u.s. у. Der Hauptunterschied zwischen denselben besteht in der Form der jungen Gehäuse, welche bei den Arten der ersten Gruppe eine discoidale Form haben und aus wenig umfassenden Um- gängen gebildet sind (Fig. 3 d, Taf. V); die Arten der zweiten Gruppe haben ein kugeliges Gehäuse mit umfassenden Umgängen. Bei den Popanoceraten der ersten Gruppe bleibt die discoidale Form des Gehäuses stets auch bei grossen Exemplaren, wenn die Umgänge sich umfassen; die Popanoceraten der zweiten Gruppe behalten dagegen oft die kugelige Form auch bei grossen Individuen (Taf. У, Fig. 54,6; Fig. 10а, 6); aber in anderen Fällen wird das Gehäuse der Individuen discoidal (Fig. 9a, b). Zu der zweiten Popanoceraten-Gruppe 80 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE gehören, wie es scheint, alle Formen, welche von Krotow unter der Bezeichnung Waagenina und von Gemmellaro als Stacheoceras beschrieben worden sind, und ebenso die triasischen Popanoceraten der Arktisch-Pacifischen Provinz, der Pandschab’sche Р. antiguum und Р. Parkeri aus Texas. Wenn die späteren Untersuchungen nachweisen werden, dass der ange- führte Unterschied in den Jugendstadien der beiden Popanoceraten-Gruppen noch in Beglei- tung von anderen Abweichungen zu beobachten ist, z. B. im Entwickelungscharacter der Lobenlinien, so wird die Eintheilung der Popanoceraten in zwei Gattungen oder Untergat- tungen vollständiger begründet werden. Die Merkmale, die bis jetzt zur Unterscheidung des Stacheoceras oder der Waagenina von Popanoceras angeführt werden, scheinen mir der An- sicht von Mojsisovics zuwider, nicht genügend zu sein, um selbstständige Gattungen zu unterscheiden. FAM. INDETERM. Thalassoceras Gemmellaro. Goniatites (Haan) Phillips (p.), Geol. of Yorkshire, 1836, II, p. 236, pl. ХХ, fig. 33 a. 35, non fig. 32a. 34. Goniatites (Haan) Brown (p.), Illustr. of the Foss. Conch. of Gr. Britain, 1849, 28. XXI, fig. 1—3. Aganides (Montf.) (p.) d’Orbigny, Prodr. de pal. strat., 1850, I, 114. | Ammonites (Br. p.) Giebel Fauna d. Vorw., III, 484. | Dimorphoceras Hyatt (p.), Genera of foss. Cephal., 331. Thalassoceras Gemmellaro, Fauna dei calcari с. Fusulina della valle 4. f. Sosio. 1887, р. 69. | i ] Thalassoceras Gemmellaroi п. sp. | (Taf. IV, Fig. 3a—d). Das kleine Gehäuse besteht aus umfassenden ziemlich rasch anwachsenden Umgängen mit parabolischem Querschnitt; die grösste Breite erreichen sie am Nabel, welcher sehr klein, fast geschlossen ist. Die Schale ist scheinbar glatt, aber unter der Lupe kann man Längs- oder Spiralrippchen unterscheiden. Ausserdem sind auch stellenweise sehr schwache querverlaufende Anwachsstreifen beobachtet worden, die wahrscheinlich bei besserem Er- haltungszustande der Schale deutlicher zu sehen sind. Nach einem kleinen Exemplar zu schliessen, welches, wie mir scheint, zu dieser Species gehört, ist die Richtung dieser Strei- fen dieselbe, wie bei den anderen Thalassoceras-Arten mit einem Sinus auf der Siphonalseite. Die Lobenlinien, ausser dem Siphonallobus, jederseits aus einem Laterallobus und zwei Sätteln bestehen. Der Siphonallobus ist sehr breit und zerfällt durch einen schmalen Medianhöcker in zwei breite gezähnte Theile, welche bei einer Höhe der Umgänge von 6 Mm.-6 Zähnchen (Fig. 3 c; die beiden äussersten kaum bemerkbar) und bei 4 Mm. Höhe — 4 Zähnchen aufweisen (Fig. 3 d). Die Höhe des Medianhöckers nimmt, wie in UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 81 Fig. 3 d,c zu sehen ist, mit dem Wachsthum zu. Der Laterallobus, dessen Breite die Höhe übertrifft, ist am Grunde in 5 Zähnchen getheilt, von welchen das dem Nabel zunächstlie- gende sehr klein ist. Die Externsättel sehmal, oben abgerundet; die Lateralsättel breit, verhältnissmässig flach bogenförmig. Dimensionen. I. Ir Durchmesser 2.00, 02.2411 6 Höhe des letzten Umganges.. 6 4 Breite des letzten Umganges. 6 4 Durchmesser des Nabels. ... 1 0,5 Höhe des vorl. Umganges... 3 — Vergleichung. Nach der Form gleicht das Gehäuse des Thalassoceras Gemmellaroi am meisten dem Th. Phillipsi Gemm., zeichnet sich aber vorzüglich durch die sogenannte Längsstreifung und einfachere Lobenlinie aus, welche weniger gezähnt ist und einen zwei- ten Laterallobus, wie bei der Sicilianischen Form, nicht darstellt. Es ist jedoch zu bemerken, dass beim Auffinden von grösseren Exemplaren der Ural’schen Form, die Lobenlinie compli- cirter erscheinen ‘könnte. Der mittlere unter den Einschnitten, welche die Zähnelung des ersten Laterallobus von 7h. Phillips bilden, ist im Verhältniss zu den anderen grösser, wodurch dieser Lobus durch denselben in zwei gezähnte Hälften getheilt wird; eine solche Zweitheilung des Laterallobus ist bei Th. Gemmellaroi nicht vorhanden. Der Sculptur nach nähert sich die in Rede stehende Form dem 7h. subreticulatum Gemm., unterscheidet sich aber ausser den weniger complieirten Suturen durch den Querschnitt der Umgänge. Nach den Lobenlinien steht Th. Gemmellaroi dem Th. varicosum Gemm. am nächsten; der letz- tere unterscheidet sich jedoch durch die Form des Gehäuses (Querschnitt der Umgänge) und auch durch die Sculptur. Auffallend ist auch die Aehnlichkeit von Thalassoceras mit den Goniatiten der Gattung Dimorphoceras Hyatt, welche von Gemmellaro mit Recht nachgewiesen wurde und zwar besonders mit @. Looneyi Phill. (Geol. of Yorkshire, II. p. 236, pl. XX). Unter dieser Be- zeichnung hat Phillips solche Exemplare abgebildet, welche, wie das schon Brown be- mekt hat, zwei Arten angehören, deren Lobenlinien und Querschnitt der Umgänge in Fig. 34 und Fig. 35 (Taf. XX), abgebildet sind. Die letztere Form (Fig. 35) müsste eher zu Tha- lassoceras gerechnet werden !). 1) Bronwn unterscheidet: Goniatites Looneyi (Illustr. Nach Gemmellaro’s Untersuchungen zu urtheilen, foss. conch. Brit. 28, XXI, fig. 1—8 = G. Looneyi Phill. | durchläuft Thalassoceras in seiner Entwickelung das (p.) Geol. Yorksh. XX, fig. 33, 35) und Gon. discrepans | Dimorphoceras-Stadium. Die Lobenlinien des jungen (OL. #. с. Brit., 28, XXI, fig. 8, 15 = @. Looneyi Phill. | Exemplars von Thal. microdiscus Gemm. sind fast ganz p. Geol. Yorksh. XX, fig. 32, 34). Der erstere gehört zu | den Suturen von Dimorphoceras diserepans Brown ähn- Thalassoceras, der letztere stellt Dimorphoceras dar. lich. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 11 82 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Vorkommen.. Das in Fig. 3, Taf. IV dargestellte Exemplar von Thalassoceras Gem- mellaroi fand ich beim Zerschlagen eines Sandsteinstückes von Kaschkobasch (Umg. der Artinsk-Hütte), in welchem ausserdem Exemplare von Gastrioceras Jossae eingeschlossen waren. Ein anderes unvollständiges Exemplar fand sich im Artinsk’schen Kalksteine bei Kundrowka an der Ssakmara. Dieses Exemplar wird in meiner Abhandlung (Verh. der Min. Ges., IX, S. 268) unter der Bezeichnung Ceratites erwähnt. An demselben Orte ist noch ein anderes kleines Exemplar (II) gefunden worden. Thalassoceras sp, indet. Goniatites sp. indeterm. Karpinsky. Ein Hinweis über das Vorkommen von Permo-Carbon in Darwaz. Verh. der Min. Gesell. XVIII, 217. Unter den Ammoncen, welche in Darwaz gefunden wurden, ist in meiner oben citirten Abhandlung eine Form beschrieben worden, auf welche sich folgende Bemerkung bezieht: «dass die äusserst flache Gestalt ihres Gehäuses theils dadurch entstanden ist, dass das letztere verdrückt ist». Dieses Exemplar wurde zerschlagen und zur Aufdeckung der Loben- linien präparirt, welche zwar nicht sehr deutlich zu beobachten sind, aber ganz unverkenn- bar nach dem Typus der Thalassoceras-Suturen mit ausgeprägter ceratitenartiger Zähnelung der Loben gestaltet sind. Daher muss man annehmen, dass diese Art zur Gattung Thalasso- ceras gehört und die flache Gestait des Gehäuses, wie auch der Kiel auf der Siphonalseite in der That durch Verdrückung entstanden sind. Paraceltites Gemmellaro. Paraceltites Gemmellaro, Fauna d. calcari e. Fusulina 9. Sosio, 1887, р. 75. Paraceitites (?) sp. indeterm, (Taf. IV, Fig. 7). Ein unvollständiges Exemplar, welches in den Artinsk-Schichten bei der Ssimsk-Hütte gefunden worden ist, gehört vielleicht zu derselben Ammoneen-Gruppe, zu welcher die von Gemmellaro unter der Bezeichnung Paraceltites Hoefferi beschriebene Form gebracht wird. Das Ural’sche Exemplar stellt ein Gehäuse dar, welches aus langsam anwachsenden und wenig umfassenden Umgängen mit breitem Nabel besteht. Der Querschnitt der Um- gänge ist, wie es scheint, parabolisch ; die Nabelwände, welche sich mit den Flanken durch abgerundete Kanten verbinden, fallen gegen den Nabel steil, fast senkrecht ab. Die Seiten- UND EINIGE МТ DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 83 flächen der Umgänge sind mit zahlreichen (bis 40 auf jedem Umgange) einfachen, abge- rundeten Rippen bedeckt, welche nach hinten ausgebogen sind. Auf die Siphonalseite über- gehend behalten die Rippen ihre nach vorn geneigte Richtung bei, verschwinden aber sehr rasch. Sie sind auch auf der Nabelwand nicht zu sehen, indem sie auf der Nabelkante mit abgerundeten Enden schwinden. Dimensionen. Der grösste Theil der Dimensionen ist in Folge des unvollständig erhal- tenen Exemplars nur annähernd angegeben. Durchmeser ae, ее 32 Mm. Höhe des letzten Umganges.... 12 » Durchmesser des Nabels. ..... 190% Vergleichung. Die Verwandtschaftsverhältnisse der in Rede stehenden Form können in Folge des ungenügenden Erhaltungszustandes des Exemplars nicht genau festgestellt werden, um so mehr als die Sicilianischen Exemplare des Р. Hoefferi eine geringere Grösse besitzen. Zu dem grössten Exemplar gehört der Theil des Umganges, welcher in Fig. 10, Taf. VII in Gemmellaro’s Werk abgebildet ist. Dieser Umgang erinnert an die Ural’sche Form, zeichnet sich aber durch einen anderen Verlauf der Rippen aus (am Nabel sind die Rippen nach hinten und nicht nach vorn gerichtet, wie bei der Ural’schen Form) und ebenso durch den verhältnissmässig breiteren Nabel, dessen Durchmesser bei Р. Hoefferi stets die Höhe des Umganges übertrifft. Vorkommen. Der Fundort der beschriebenen Form ist oben erwähnt worden, Prof. Stuckenberg !) hat im Artinsk’schen Sandstein, unweit der Artinsk-Hütte zwei neue Goniatites-Arten gefunden, die noch nicht beschrieben sind. 1) Krotow, Artinsk. Et., 200. 11% SA А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE NACHTRAG Die vorliegende Arbeit war bereits abgeschlossen, als ein sehr interessanter Nachtrag zur ersten Lieferung des Werkes von Gemmellaro (La fauna dei calcari con Fusulina etc. Appendice, 1888) erschien. Ausser der Beschreibung einiger neuen Formen und Ergänzun- gen zu den in der ersten Lieferung beschriebenen, enthält dieses «Appendice» die Beobach- tungen über die Unterschiede des Waagenoceras von Cyclolobus, Stacheoceras von Popano- ceras und Adrianites von Agathiceras. Die hier angeführten Merkmale, durch welche sich Stacheoceras von Popanoceras aus- zeichnet, sind, meiner Ansicht nach, nicht von grosser Bedeutung. Die angestellte Verglei- chung der Lobenlinien zeigt, dass sie einen übereinstimmenden allgemeinen Character besitzen und noch ähnlicher einander wären, wenn zur Vergleichung des Popanoceras mit weniger differenzirter Lobenlinie oder die inneren Umgänge derselben Formen gedient hätten, d. h. jüngere Exemplare, bei welchen in einem gewissen Stadium der Entwickelung die Loben unzweifelhaft als zwei- und dreifachgezähnte erscheinen. Ein Beispiel der Com- plication der Lobenlinie bei Stacheoceras ist auf Taf. У, Fig. 10 4—1 abgebildet. Der Unterschied zwischen den erwähnten Gattungen, welcher in der Grösse der Wohn- kammer besteht, die bei Popanoceras den letzten Umgang und bei Sfacheoceras 1'/, Umgänge einnimmt, kann zugelassen werden, da nach Gemmellaro bei Sfacheoceras Darae und St. pygmaeum die Wohnkammer nur ein wenig grösser ist als der letzte Umgang, während bei dem Ural’schen Popanoceras Lahuseni die Wohnkammer, ohne ihren vorderen abgebrochenen Theil, 1% Umgänge einnimmt. Derartige Bemerkungen könnte man auch in Ber auf die anderen von Gemmellaro angeführten Unterschiede des Stacheoceras von Popanoceras machen. Auf diese Weise schei- nen, wie schon früher erwähnt worden ist, die Merkmale, welche bis jetzt zur Unterschei- dung des Stacheoceras Gemm. (oder Waagenina Krot.) von Popanoceras angeführt wurden, UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 85 nicht genügend zu sein um Séacheoceras als selbstständige Gattung zu trennen; dessen un- geachtet bleibt die Frage über diese Trennung bis zur genaueren Untersuchung der Ent- wickelung dieser Formen unentschieden, worüber schon S. 80 erwähnt wurde. In Betreff der Unterschiede der Lobenlinien von Agathiceras und Adrianites muss bemerkt werden, dass zu richtigen Schlussfolgerungen eine Vergleichung der Entwickelung dieser Linien bei beiden Formen nothwendig ist. Bei Mangel an Material ist die Verglei- chung an denjenigen Adrianiten auszuführen, welche nach den Lobenlinien, Habitus und Sculptur sich den typischen Agathiceraten nähern. Bei den letzteren werden drei Lateral- loben und bei den Adrianiten 4—7 (bei Adrian. isomorphus vielleicht 8) angenommen. Die zur Vergleichung mit Agathiceras Suessi am meisten geeignete Form ist, wie ich glaube, Adrian. ensifer, bei welchem nur 4 Lateralloben vorhanden sind, und der Nabelsattel, wie es scheint, eine ebensolche Gestalt hat, wie bei Ag. Suessi (vergl. Gemmellaro, Fauna dei calcari etc., tav. VI, fig. 3 ed 13). Ein ganz anderes Ansehen hat die Lobenlinie auf der Nabelwand und neben derselben bei allen Goniatiten und Ammoniten, welche sich durch zahlreiche Loben auszeichnen. * Es ist hier beiläufig zu bemerken, dass bei Adrian. isomorphus der Medianhöcker eine dem Agathiceras (Gemmellaro, Appendice, tav. В, fig. 7) eigene Form besitzt; bei Agath. anceps dagegen, wie bei den Adrianiten (Gemmellaro, fasc. 1, tav. VII, fig. 22. Siehe die Anmerkung über den Medianhöcker S. 64). 86 A. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE GEOLOGISCHE SCHLUSSFOLGERUNGEN. Aus dem Obigen ist zu ersehen, dass in den Ablagerungen der Artinsk-Stufe am West- Abhange des Urals an 35 Ammoneen-Formen gefunden worden sind. Das Auftreten einer so verhältnissmässig grossen Menge eigenartiger Formen in den erwähnten Ablagerungen lässt unwillkürlich annehmen, dass sie als Vertreter einer Migrationsfauna erscheinen, welche aus einem mehr oder weniger entfernten Gebiet in die gegenwärtig das Vorland des Urals darstellende Gegend eingewandert sind. Zu einem derartigen, nach den bis jetzt bekannten Daten folgerichtigen Schlusse ist Suess in seinem classischen Werke «Antlitz der Erde» (II, S. 316, 319) gelangt. Das Studium der Entwickelung der Artinsk’schen-Arten beweist jedoch, dass die zahlreichen denselben verwandten Ammoneen-Formen in demselben Becken der vorangegangenen Carbon-Periode auftraten, in welchem die Carbon-Ablagerungen un- mittelbar von den Artinsk’schen überlagert wurden. So ist z.B. oben nachgewiesen worden, dass die Medlicottien, Propinacoceraten und Parapronoriten sich durch Umwandlung in ver- schiedene Richtungen aus den Pronoriten entwickelt haben, deren Auftreten in den oberen Carbon-Ablagerungen des Urals längst bekannt war. Noch weniger Anlass ist vorhanden die Gastrioceraten, welche auch in den oberen Carbon-Ablagerungen des Urals (G. Marianum), und anderer Gegenden des ausgebreiteten russischen Carbonfeldes (@. russiense, @. cf. Listeri) gefunden wurden, als eingewanderte Formen zu betrachten. Die erste Form steht dem ver- breitetesten Artinsk’schen @. Jossae so nahe, dass sie mit grosser Wahrscheinlichkeit als Stammform desselben betrachtet werden kann. Ein Agathiceras, der dem Ag. Uralicum sehr nahe verwandt, wenn nicht mit demselben identisch ist, wurde auch im oberen Kohlenkalk des Urals gefunden. Der gegenwärtig entdeckte und zwar in geringer Anzahl von Exemplaren aus den Artinsk’schen Ablagerungen vorhandene Thalassoceras istin den Carbonablagerungen des Urals nicht nachgewiesen worden, aber eine sehr nahe stehende Form hat Phillips aus den Carbon-Schichten von Yorkshire (Gon. Looneyi, p., Geol. of. Yorkshire, tab. ХХ, f. 33, 35, non f. 32, 34) beschrieben. Es bleiben fast nur noch die Popanoceraten nach, deren aller- nächste Vorläufer weder in den Carbonablagerungen des Urals oder überhaupt in Russland, UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 87 noch in den Ablagerungen anderer Länder bekannt sind. Vielleicht stellen die Popanoceraten eingewanderte Formen dar, aber jedenfalls wird das Studium der Anfangsstadien der Ent- wickelung dieser Formen ihre nahen Beziehungen zu den bekannten Carbon-Arten aufklären. Nach Allem dem scheint es mir, dass die Ammoneen-Fauna der Artinsk-Stufe (oder wenigstens die meisten dieser Formen) autochthonen Ursprungs ist und sich aus den Сома еп entwickelt hat, welche in demselben Becken (aber in einer anderen Gestalt) in der vorange- gangenen oberen Carbonepoche lebten. In der untenfolgenden Tabelle A sind diejenigen Ammoneen der Artinsk-Stufe ange- führt, welche in mehr oder weniger nahen Beziehungen zu den am Ural auftretenden Car- bonformen stehen. Sind die letzteren in den Ablagerungen dieser Gegend nicht angetroffen worden, so werden die zunächst verwandten Goniatiten der Carbonablagerungen anderer Länder angeführt. Tabelle A. Artinsk’sche Ablagerungen. } Carbonische Ablagerungen. Pronorites praepermicus Pronorites postcarbonarius Parapronorites tenuis Parapronorites latus . . Parapronorites Mojsisovicsi Pronorites cyclolobus Medlicottia Orbignyana var. uralensis. Medlicottia artiensis Medlicottia sp. indet. Medlicottia Karpinskyana Propinacoceras Sakmarae . Gastrioceras Jossae Gastr. Marianum Paralegoceras Tschernyschewi (P. iowense. N. Amerika). Agathiceras uralicum Agath. cf. uralicum Thalassoceras Gemmellaroi (Goniatites Looneyi. England). Diese Tabelle zeigt unter Anderem, dass in den Artinsk-Schichten und dem unterlagern- den oberen Carbonkalkstein (vielleicht mit Ausnahme des Agathiceras uralicum) keine einzige gemeinsame Form gefunden worden ist. Die anderen Angaben über das Vorkommen der Carbonammoneen in der Artinsk-Stufe sind als irrthümlich anzunehmen. 88 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Wie wir weiter unten sehen werden, sind alle anderen einander ähnlichen Ammoneen- faunen nicht älter als die Fauna der Artinsk-Stufe und die letztere entspricht ungefähr dem- jenigen geologischen Moment, in welchem, wenigstens auf dem grössten Theile der Erdober- fläche, die ersten höherstehenden Ammoneen (d. h. die sogenannten Ammoniten) auftreten. Wenden wir uns jetzt zur Vergleichung der Ammoneen der Artinsk-Ablagerungen Darwas. 1. Pronorites praepermicus Karp. 2. Propinacoceras Darwasi Karp. 3. Agathiceras uralicum Karp. №. CR © ND | © © Ural. Pronorites praepermicus Karp. . Pronorites postcarbonarius Karp. . Parapronorites tenuis Karp. Parapronorites latus Karp. . Parapronorites Mojsisovicsi Karp. . Medlicottliia Orbignyana Vers. . Medlicottia artiensis Gruen. . Medlicottia Karpinskyana Krot. . Medlicottia sp. indet. . Propinacoceras Sakmarae Karp. . Gastrioceras Jossae Vern. . Gastrioceras Suessi Karp. . Gastrioceras sp. indet. . Gastrioceras Nikitini Karp. . Gastrioceras Fedorowi Karp. . Paralegoceras Tschernyschewi Karp. . Agathiceras uralicum Karp. . Agathiceras Krotowi Karp. . Agathiceras Stuckenbergi Karp. 7 | | | | Sicilien. Parapronorites Konincki Gemm. | Sicanites Mojsisovicsi Gemm. Sicanites sp. 3 Medlicottia Trautscholdi Gem Medlicottia Verneuili Gemm. = Medlicottia Marcoui Gemm. Medlicottia bifrons Gemm. Medlicottia Schopeni Gemm. Propinacoceras Beyrichi Gemm. | Propinacoceras Galilaei Gemm. | Propinacoceras affine Gemm. Daraeilites Meeki Gemm. | Gastrioceras Waageni Gemm. = Gastrioceras sosiense Gemm. Gastrioceras Zitteli Gemm. Gastrioceras Roemeri Gemm. Glyphioceras Meneghini Gemm. | Glyphioceras gracile Gemm. Agathiceras Suessi Gemm. Agathiceras anceps Gemm. Agathiceras tornatum Gemm. Adrianites elegans Gemm. Adrianites insignis Gemm. Adrianites ensifer Gemm. Adrianites Kingi Gemm. Adrianites Distefanoi Gemm. Adrianites isomorphus Gemm. Adrianites craticulatus Gemm. | Adrianites affinis Gemm. Adrianites Haueri Gemm. у Adrianites (Hoffmannia) Hoffmann Adrianites (Hoffmannia) Burgensis, Doryceras fimbriatum Gemm. | Doryceras Stuckenbergi Gemm. 44 Br m 4 UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 89 mit ähnlichen Versteinerungen aus anderen Ländern, welche schon in der Einleitung ange- führt worden sind. In der unten folgenden Tabelle B sind die Listen der Formen aller Faunen angeführt, welche der Artinsk’schen ähnlich sind; die mit den Artinsk’schen identischen Arten sind durch Sperrschrift und die ähnlichen durch Cursivschrift angegeben worden. Salt-Range. Djulfa. Texas. licatus Waag. | Hungarites djulfensis’Abich. ‚ carbonarius Waag. Otoceras ? intermedius Abich. Otoceras ? tropitus Abich. Otoceras ? trochoides Abich. Otoceras ? pessoides Abich. primas Waag. Wynnei Waag. Hauerianum de Kon. Gastrioceras Abichianum Moell. Mémoires de l'Acad. Imp. 4. sc. VII Série. 12 Br их ; УВЫ По ОСЗ 88 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONFEN DER ARTINSE-STUFE Wie wir weiter unten sehen werden, sind alle anderen einander ähnlichen Ammoneen- faunen nicht älter als die Fauna der Artinsk-Stufe und die letztere entspricht ungefähr dem- jenigen geologischen Moment, in welchem, wenigstens auf dem grössten Theile der Erdober- fläche, die ersten höherstehenden Ammoneen (d. h. die sogenannten Ammoniten) auftreten. Wenden wir uns jetzt zur Vergleichung der Ammoneen der Artinsk-Ablagerungen UND Е INIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE GARBONISCHE FORMEN 89 mit ähnlichen Versteinerungen aus anderen Ländern führt worden sind. In der unten folgenden Tabelle В sind die Li welche der Artinsk’schen ähnlich sind; die mit de welche schon in der Einleitung ange- sten der Formen aller Faunen angeführt п Artinsk’ | Darwas. 1. Pronorites praepermicus Karp. = янь Ural. . Pronorites praepermicus Karp. . Pronorites postearbonarius Karp. . Parapronorites tenuis Karp. . Parapronorites latus Karp. . Parapronorites Mojsisovicsi Karp. Tab | Sicilien. Parapronorites Konincki Gemm. Sicanites Mojsisoviesi Gemm. Sicanites Sp. 6. Medlicottia Orbignyana Vern. Medlicottia Trautscholdi Gemn. Medlicottia Verneuili Gemm. 7. Medlicottia artiensis Gruen. Medlicottia Marcoui Gemm. 8. Medlicottia Karpinskyana Krot. Medlicottia bifrons Gemm. 9. Medlicottia sp. indet. Medlicottia Schopeni Gemm, Propinacoceras Beyrichi Gemm. Propinacoceras Galilaei Gemm. 2. Propinacoceras Darwasi Karp. | 10. Propinacoceras Sakmarae Karp. Propinacoceras affine Gemm. Daraeilites Meeki Gemm. 11. Gastrioceras Jossae Vern. Gastrioceras Waageni Gemm. 12. Gastrioceras Suessi Karp. Gastrioceras sosiense Gemm. 13. Gastrioceras sp. indet. Gastrioceras Zitteli Gemm. 14. Gastrioceras Nikitini Karp. Gastrioceras Roemeri Gemm. 15. Gastrioceras Fedorowi Karp. Glyphioceras Meneghini Gemm. 16. Paralegoceras Tschernyschewi Karp. Glyphioceras gracile Gemm. 3. Agathiceras uralicum | 17. Agathiceras uralicum Karp. Agathiceras Suessi Gemm. Karp. 18. Agathiceras Krotowi Karp. Agatbiceras anceps Gemm. Agathiceras tornatum Gemm. 19. Agathiceras Stuckenbergi Karp. Adrianites elegans Gemm. Adrianites insignis Gemm. Adrianites ensifer Gemm. Adrianites Kingi Gemm. Adrianites Distefanoi Gemm. Adrianites isomorphus Gemm: Adrianites craticulatus беги, Adrianites affınis Gemm. Adrianites Haueri Gemm. > Adrianites (Hoffmannia) Hoffmann! Adrianites (Hofimannia) Burgensi Doryceras fimbriatum Gemm: Doryceras Stuckenbergi Gemm. 3 - schen 1 i г i durch Sperrschrift und die ähnlichen durch Cursivschrift ang en 5 egeben worden. Salt-Range. nodiscus plicatus Waag. enodiscus carbonarius Waag. Е Шсо ва primas Waag. [ellicottia Wynnei Waag. Béceras (2) Hauerianum de Kon, Djulfa. | J | Texas. Hungarites djulfensis’Abich. Otoceras ? intermedius Abich. Otoceras ? tropitus Abich, Otoceras ? trochoides Abich. Otoceras ? pessoides Abich. Gastrioceras Abichianum Moell. Mémoires do l’Acad. Гир. d. sc. УП Série. 12 90 Darwas. 4. Popanoceras Romanowskyi Karp. | 5. Thalassoceras sp. indet. Aus dieser Tabelle ist unter Anderem zu ersehen, dass alle fünf in einem zufällig ange- troffenen Gesteinsstück gefundenen Darwas-Formen, ungeachtet der Entfernung von 1800 Kilom., welche Darwas vom Ural trennt, eine ausserordentliche Aehnlichkeit mit den Artinsk’- Von diesen Formen erscheinen zwei mit den Ural’schen identisch und eine derselben als sehr nahestehend. Die Darwas-Ablagerungen kann man direct zur Artinsk- schen zeigen. Stufe rechnen. Die in Sicilien gefundenen Ammoneen sind den Ural’schen weniger ähnlich, aber ihr allgemeiner Character erscheint mit Ausnahme einiger Arcestiden als ein vollständig Artinsk’- 1) An den Genusbestimmungen Gemmellaro’s der Sicilianischen Ammoneen ist in der Tabelle B nichts geändert worden. А. KARPINSKY. 20. 21 32. 33. 34. 35. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Ural. Popanoceras Lahuseni Karp. . Popanoceras Sobolewskyanum Vern. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. Popanoceras Koninckianum Vern. Popanoceras Kingianum Vern. Popanoceras sp. indet. Popanoceras Krasnopolskyi Karp. Popanoceras sp. indeterm. (aff. Parkeri). Popanoceras subinterruptum Krot. Popanoceras Koswae Krot. Popanoceras Jazwae Krot. Popanoceras sp. indet. (aff. Jazwae), Popanoceras (?) sp. indet. Thalassoceros Gemmellaroi Karp. Paraceltites (?) sp. indet. Goniatites п. sp. Goniatites n. sp. р | Sicilien. Clynolobus Telleri Gemm. / Popanoceras multistriatum Gemm. À Popanoceras Moelleri Gemm. Popanoceras clausum Gemm. Popanoceras scrobiculatum Gemm. Stacheoceras mediterraneum Gemm Stacheoceras Tietzei Gemm. 4 Stacheoceras Karpinskyi Gemm. Stacheoceras globosum Gemm, Stacheoceras Diblasii Gemm. Stacheoceras perspectivum Gemm. Stacheoceras Gaudryi Gemm. | Stacheoceras Gruenewaldti Gemm Stacheoceras pelagicum Gemm. « Stacheoceras Darae Gemm. Stacheoceras Benedictum Gemm. Stacheoceras pygmaeum Gemm. Waagenoceras Mojsisovicsi Gemm. — Waagenoceras Stachei Gemm. Waagenoceras Nikitini Gemm. | Hyattoceras Geinitzi Gemm. Hyattoceras turgidum Gemm. Hyattoceras Gümbeli Gemm. Hyattoceras (Abichia) Abichi Gemm. Thalassoceras Phillipsi Gemm. | Thalassoceras subreticalatum Gemm, Thalassoceras microdiscus Gemm. | Thalassoceras varicosum Gemm. Paraceltites Hoeferi Gemm. Paraceltites Halli Gemm. Paraceltites Münsteri Gemm. Paraceltites plicatus Gemm. Brancoceras pygmaeum Gemm. 1) | UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 91 Salt-Range. Djulfa. Texas. eras antiquum Waag. Popanoceras Parkeri Heilpr. lobus Oldhami Waag. stes priscus Waag. % E scher. Eine von den Sicilianischen Ammoneen halte ich für identisch mit einer Ural’schen dE (Medlicottia Trautscholdi = М. Orbignyana); zwei Arten stehen einander sehr nahe (Gastrioce- = ras sosiense — @. Suessi; Agathiceras Suessi — Ag. uralicum) und 8 andere Formen erinnern | № sehr ап die Ural’schen Arten. Als wesentlichste Abweichung der Sicilianischen Fauna erscheint das Auftreten der complicirten Arcestiden (Cyclolobus oder Waagenoceras und Hyattoceras), welche auf dem Ural gar nicht bekannt sind. Ausserdem erscheinen in Sicilien viele von р den dieser Gegend und dem Ural gemeinsamen Gattungen als complicirtere Formen. Alles das weist vielleicht darauf hin, dass die Sicilianische Fauna etwas jüngeren Ur- sprungs ist, als die Ural’sche, obgleich sie, wie ich hier noch einmal wiederhole, der Artinsk’- schen sehr nahe steht. Andererseits ist es möglich, dass der angeführte Unterschied durch chorologische Ursachen hervorgerufen wird. Die complicirten Arcestiden könnten z. B. 12* 90 А. KARPINSKY. Оввев DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Darwas. 5. Thalassoceras sp. indet. 32. 33. 34. 35. Ural. . Popanoceras Lahuseni Karp. . Popanoceras Sobolewskyanum Vern. . Рорапосегаз Koninckianum Vers. 23. Рорапосегаз Kingianum Vern. . Рорапосегаз sp. indet. 4. PopanocerasRomanowskyiKarp.| 25. . Popanoceras sp. indeterm. (aff. Parkeri). . Popanoceras subinterruptum Krot. . Рорапосегаз Koswae Krot. . Popanoceras Jazwae Krot. . Рорапосегаз sp. indet, (aff. Jazwae). . Popanoceras (?) sp. indet. Popanoceras Krasnopolskyi Karp. Thalassoceros Gemmellaroi Karp. Paraceltites (?) sp. indet. Goniatites п, вр, Goniatites п. sp. Sicilien, Clynolobus Telleri Gemm. Popanoceras multistriatum Gemm. Popanoceras Moelleri Gemm. Popanoceras clausum Gemm. Popanoceras serobieulatum Gemm, , Stacheoceras mediterraneum Gemm, Stacheoceras Tietzei Gemm. Stacheoceras Karpinskyi Gemm, Stacheoceras globosum Gemm. Stacheoceras Diblasii Gemm. Stacheoceras perspectivum Gemm. Stacheoceras Gaudryi Gemm. Stacheoceras Gruenewaldti Gemm Stacheoceras pelagicum Gemm. Stacheoceras Darae Gemm, Stacheoceras Benedictum Gemm. Stacheoceras pygmaeum Gemm, Waagenoceras Mojsisovicsi Gemm, Waagenoceras Stachei Gemm. Waagenoceras Nikitini Gemm. Hyattoceras Geinitzi Gemm. Hyattoceras turgidum Gemm. Hyattoceras Gümbeli Gemm. Hyattoceras (Abichia) Abichi Gemm, Thalassoceras Phillipsi Gemm. Thalassoceras subreticalatum Gemm, Thalassoceras mierodiscus Gemm. Thalassoceras varicosum Gemm. Paraceltites Hoeferi Gemm. Paraceltites Halli Gemm. Paraceltites Münsteri Gemm, Paraceltites plicatus Gemm. Brancoceras pygmaeum Gemm. 1) Aus dieser Tabelle ist unter Anderem zu ersehen, dass alle fünf in einem zufällig ange- troffenen Gesteinsstück gefundenen Darwas-Formen, ungeachtet der Entfernung von 1800 Kilom., welche Darwas vom Ural trennt, eine ausserordentliche Aehnlichkeit mit den Artinsk’- schen zeigen. Von diesen Formen erscheinen zwei mit den Ural’schen identisch und eine derselben als sehr nahestehend. Die Darwas-Ablagerungen kann man direct zur Artinsk- Stufe rechnen. Die in Sieilien gefundenen Ammoneen sind den Ural’schen weniger ähnlich, aber ihr allgemeiner Character erscheint mit Ausnahme einiger Arcestiden alsein vollständig Artinsk’- 1) An den Genusbestimmungen Gemmellaro’s der Sicilianischen Ammoneen ist in der Tabelle B nichts geändert worden. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN, 91 Salt-Range opanoceras antiquum Waag. clolobus Oldhami Waag. Itcestes priscus Waag. Djulfa, Texas. Popanoceras Parkeri Heilpr. scher. Eine von den Sicilianischen Ammoneen halte ich für identisch mit einer Ural’schen (Medlicottia Trautscholdi = М. Orbignyana); zwei Arten stehen einander sehr nahe (Gastrioce- ras sosiense — G. Suessi; Agathiceras Suessi — Ag. uralicum) und 8 andere Formen erinnern sehr an die Ural’schen Arten. Als wesentlichste Abweichung der Sicilianischen Fauna erscheint das Auftreten der complicirten Arcestiden (Cyclolobus oder Waagenoceras und Hyattoceras), welche auf dem Ural gar nicht bekannt sind. Ausserdem erscheinen in Sieilien viele von den dieser Gegend und dem Ural gemeinsamen Gattungen als complieirtere Formen. Alles das weist vielleicht darauf hin, dass die Sicilianische Fauna etwas jüngeren Ur- sprungsist, als die Ural’sche, obgleich sie, wie ich hier noch einmal wiederhole, der Artinsk’- schen sehr nahe steht. Andererseits ist es möglich, dass der angeführte Unterschied durch chorologische Ursachen hervorgerufen wird. Die complieirten Arcestiden könnten z. B. 12* 92 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE nur den südlicheren Gebieten angehören '). Diese Frage wird wahrscheinlich in Betracht der verhältnissmässig grossen Veränderlichkeit der Ammoneen bei ihrer horizontalen Verbrei- tung erst beim Vergleich der Fauna der anderen wirbellosen Thiere Siciliens mit den Ar- tinsk’schen entschieden werden. Es muss auch bemerkt werden, dass der Zwischenraum, welcher den Sieihanischen Fundort der permo-carbonen Ammoneen vom Ural trennt, ein viel grösserer ist als der vom Ural und Darwas und daher könnte auch die grössere Abweichung der Sicilianischen Formen von den Ural’schen, bei der Gleichalterigkeit der in Rede stehenden Ablagerungen aller dieser Gebiete leicht erklärt werden. Eine derartige Erklärung wäre für die Ammoneen-Fauna von Salt-Range schwer an- zuwenden, da dieses Gebirge von dem Fundort der Darwas-Ammoneen (von den so zu sagen mit den Ural’schen indentischen) im Ganzen nur ungefähr 650 Kilometer entfernt ist, aber trotzdem unterscheiden sich alle Pandschab’schen Ammoneen von den Ural-Darwas’schen. Dank der ausgezeichneten Waagen’schen Monographie der Versteinerungen aus dem Pro- ductus-limestone von Salt-Range konnte Tschernyschew die indischen Brachiopoden mit den Artinsk’schen vergleichen. Die Resultate seiner Untersuchungen (M&m. du Com. Géol., III, N 4) zeigen, dass die Artinsk-Stufe mit dem Middle-Productus-limestone parallelisirt werden kann, und dass auf diese Weise die ammoneenführende Upperdivision des Productus-Kalkes von Pandschab zu einem höheren geologischen Horizont gehört. Eine derartige Schlussfolgerung erscheint auch in Bezug auf die Ablagerungen von Djulfa am zulässigsten. Alle bisher aus dieser Gegend bekannten Ammoneen treten einst- weilen ausschliesslich nur in dem genannten Gebiete auf, wobei hier zum ersten Male solche Ammoneen-Typen (von Abich als Ceratiten beschrieben) angetroffen wurden, welche nirgends in den paläozoischen Schichten anderer Länder gefunden worden sind, aber in den triasischen Ablagerungen (Æungarites, Otoceras) erscheinen. Als eine der Artinsk’schen Art verhältniss- mässig nahestehende Form erscheint nur Gastrioceras Abichianum (Goniatites striatus Abich non Sow.; vergl. diese Form mit @. Fedorowi). Die Anzahl der anderen Evertebraten, in den Ablagerungen von Djulfa, die sich mit den Pandschab’schen und Artinsk’schen als gleichartige erwiesen haben, ist einstweilen zu gering um auf dieselben hin eine Vergleichung dieser Ablagerungen anzustellen. Es ist viel wahrscheinlicher, dass sie sich nicht nur jünger als die Artinsk’schen Schichten, sondern auch als der indische obere Productus-Kalk ausweisen werden. Es bleiben noch die Ablagerungen von Texas zu erwähnen übrig. Der in denselben gefundene Ammonit (Popanoceras Parkeri) stellt eine dem Artinsk’schen Pop. sp. ind. sehr nahestehende Form dar. Die Ablagerungen selbst rechnet Prof. Heilprin zum Carbon, aber die den genannten Popanoceras begleitenden Versteinerungen gehören zu den noch 1) Die Gattungen Cycloiobus, Arcetes u. s. м. finden | Ablagerungen, so auch in der Trias. In der arctischen sich in den südlichen Gebieten, wie in den paläozoischen | Trias sind diese Arcestiden auch nicht vorhanden. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 95 nicht bestimmten Arten von Zaphrentis, Phillipsia, Bellerophon, Conularia, Chonetes und Productus а. В. zu Gattungen, deren Arten auch das Permo-Carbon characterisiren. Da die Popanoceraten bis jetzt nicht in anderen Ländern in Ablagerungen gefunden wurden, welche älter als das Permo-Carbon sind (in welchem sie die gewöhnlichsten Ammoneen- Formen darstellen), so müssten meiner Ansicht nach die Ablagerungen von Texas eher zum Permo-Carbon gerechnet werden. Die untenfolgende Tabelle ©. zeigt in anschaulicher Weise die wahrscheinlichste Zu- sammenstellung, wie der obenerwähnten Ablagerungen, so auch einiger anderen parallelen, aber keine Ammoneen-Reste führenden Schichten. Ein besonderes Interesse haben unter den letzteren die Ablagerungen von Nebraska, des Gailthalgebirges in Tyrol, auf Spitzber- gen, in Australien, ebenso die Uebergangsablagerungen unter den productiven Steinkohlen- schichten in dem Rothliegenden in West-Europa (Saarbrücken, Böhmen, Harz, Frank- reich etc.) und Nord-Amerika (Upper barren coal mesures). (Siehe Tab. С) '). Der grösste Theil der Ablagerungen, auf welche die Bezeichnung Permo-Carbon an- gewandt wird, wird in dieser Tabelle als intermediäre Ablagerungen zwischen dem Carbon- und Perm-System betrachtet. Aber wie bekannt, bezeichnet man diese Zwischenlagerungen direct als unterpermische oder obercarbonische. Obgleich sich die Frage hier oft nur auf die verschiedene Bezeichnungsweise bezieht, d. h. auf einen Umstand von ganz nebensäch- licher Bedeutung, werde ich diese Frage in aller Kürze besprechen, da eine unrichtige oder mangelhaft motivirte Anwendung von Bezeichnungen sehr oft unerwünschte Folgen nach sich zieht. Bevor ich zur allgemeinen Betrachtung der Frage über das Permo-Carbon über- gehe, will ich zuerst Einiges über die Stellung der Artinsk-Ablagerungen vorausschicken. Im Jahre 1874 habe ich nachgewiesen, dass die Artinsk-Stufe eine Ablagerung bildet, welche unmittelbar auf die Sedimente des carbonischen Systems folgt, ferner, dass sie ausser den carbonischen und ausschliesslich der Artinsk-Stufe angehörenden Formen, auch Vertreter der permischen Fauna führt und daher Uebergangsablagerungen darstellt, welche im östli- chen Theile des europäischen Russlands die typischen Sedimente des carbonischen und per- mischen Systems verbinden. Diese Ansicht theilten nachher auch fast alle russischen Geolo- gen, unter Anderen Krotow, Tschernyschew u. a., welche sich eingehend mit den Un- tersuchungen im Verbreitungsgebiet der Artinsk-Schichten beschäftigt hatten; aber später wurde die Zugehörigkeit der letzteren zu den unterpermischen Ablagerungen erklärt. Die Anwendung dieser die Artinsk-Schichten mit dem typischen Rothen Todtliegenden paralle- lisirenden Bezeichnung erscheint mir für die ersteren wenig entsprechend. Mit einer der- artigen Vergleichung könnte man nur in dem Falle einverstanden sein, wenn essich erwiesen hätte, dass bei Feststellung der Characteristik des permischen und carbonischen Systems noch gar keine Lücke zwischen den Ablagerungen dieser beiden Systeme vorhanden war; dann konnte man in der That alle unmittelbar auf die oberen carbonischen Ablagerungen 1) Ueb. 4. Permo-Carbon in Fergana (Kokan) siehe Romanowsky’s «Mat. 2. Geologie у. Turkestan» II. А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE 94 еды” a casa | - Tabelle C. Ural. Sicilien. | Buchara. Kalkstein, Dolomit, Mer- et ng m mn НЕА Salt- Range. Transkau- kasien. Nord- Amerika. Europäisches ‚ Russland. Tyrol. Spitz- | Nord- bergen |Amerika. Austra- lien. West-Eu- ropa. Nord- Amerika. Unt. Ablag. ЕЕ Soligalitsch, Rothtodtlie - RES Upp.Pr.-].|Djulfa. Kirilow, u. a.| Rothlieg. d.P . | stein, Thon, . Permsyst. Gyps, Stein- Ust-Nem. gendes. salz. 2 x 2 Sog. Fusuli- Kalk-Do- nenf. Zechst.? lomit-St. Middle ET Gta |... |Nebres Schichten | Upper- | Produc- ere mit gemisch- Permo- > tus-lime- = Bowen |ter Carbon-| barren Sosio. stone Rite und Perm- ler Ge- ka-City flora v.Saar- | coal-me- Carbon. Spitzber- : brück., Harz, Artinsk= |бовозосо | Darwası en een OR Böhmen, St.| sures. River. Etienne etc Stufe. Low. Pro- gen. : duct.lime- Texas.|............| birge. etc. stone, Drushkowka St.?(Donetz). Kalkstein v. | Produc- Obere Ablag. : : > Kastlisene Timan, Fusu-| tive Abl. Productireicoalene des Carbon- lina-u.Schwa-| (Farn- Kalk. gerina-Kalk | zone). Ablagerung. | sures. systems. а. Е. Russl. Ammoneenführende Schichten. Ammoneenfreie Schichten. Continentale Abla- gerungen. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 95 folgenden Sedimente mit diesen oder jenen Schichten der unterpermischen Abtheilung ver- gleichen. Es ist aber wohl bekannt, dass die erwähnte Lücke schon vorhanden war, als das permische System aufgestellt wurde; selbige wurde erst später mehr oder weniger ausge- füllt und zwar ausschliesslich mit solchen Sedimenten, welche (ausser den neu entdeckten), früher in das carbonische System aufgenommen wurden. Bei der künstlichen Eintheilung in Systeme kann man freilich diese Zwischenschichten (welche zur Zeit der Aufstellung der Systeme noch gar nicht bekannt waren) in verschiedenen Ländern mit grösserer oder ge- ringerer Willkür bald zum höherfolgenden (permischen), bald zum tieferliegenden (carbo- nischen) System rechnen. Dem Wesentlichen nach wäre die Zuzählung dieser Zwischen- schichten zu dieser oder jener künstlichen Abtheilung nicht von Wichtigkeit, aber die verschiedenen Ansichten in dieser Beziehung, welche mit der für sie aufgestellten Bezeich- nung Permo-Carbon nicht verschwunden sind, könnten sehr nachtheilig wirken, indem sie den Character und die zutreffenden Vergleichungen der Ablagerungen in verschiedenen Gegenden verkehrt darstellen würden. Sobald wir uns von der Ansicht lossagen, dass die gegenwärtige chronologische Gliederung der sedimentären Bildungen ihr natürliches System darstellt, so wird die Bedeutung einer solchen Gliederung hauptsächlich nur darin bestehen, uns vermittelst einer Parallelisirung der nach ihrer Bildungszeit nahe stehenden Sedimente, zur Orientirung in der Masse des vorhandenen factischen Materials zu verhelfen. Wenn wir aber alle carbon-permischen Ablagerungen, zu welchen den carbonischen ausserordent- lich nahestehende Sedimente gehören, mit den unmittelbar an den Zechstein anschlies- senden Horizonten des Rothliegenden in eine unterpermische Abtheilung zusammen vereini- gen, so kann man nicht umhin eine solche Vereinigung als eine wider den Vortheil eines künstlichen Systems gerichtete zu betrachten. Als die verschiedenen sedimentären Systeme aufgestellt wurden, galten sie fast in allen Fällen als scharf von einander getrennt, indem sonst die früher herrschende Hypothese über die Kataklismen, durch welche die für die entsprechenden Perioden characteristischen Faunen und Floren vernichtet wurden, nicht am Platze gewesen wäre. Bei einer solchen Hypothese erschien die Eintheilung der sedimentären Bildungen in Systeme als eine natürliche. Später, als die Uebergangsablagerungen, in Folge der Entdeckung neuer Sedimente oder der ge- naueren Untersuchung der schon bekannten Ablagerungen, nachgewiesen wurden, hat man solche Sedimente mit paläontologischem Uebergangscharacter bald zu dem höherfolgenden, bald zu einem älteren System gebracht. Wie schon oben bemerkt wurde, ist bei der künst- lichen Eintheilung der Sedimentgesteine ein solches Verfahren nicht von Bedeutung; es bleibt nur zu wünschen, dass in diesem Falle die Uebergangsschichten nicht mit den typi- schen Ablagerungen des Systems verwechselt werden. Meiner Ansicht nach dürfte man im Interesse der Wissenschaft nicht die Zwischenschichten, welche ihrem paläontologischen Character nach ebenso gut zu dem einen, wie zu dem anderen System gehören, unbedingt in einem derselben unterbringen, sondern müsste sie einfach als Uebergangsschichten zwischen diesen Systemen bezeichnen. Es würden dadurch durchaus keine Schwierigkeiten entstehen *, 96 А. KARPINSKY. ÜEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE und die Differenzen unter den Autoren, welche ihre Untersuchungen in verschiedenen Län- dern anstellen, ausgeglichen werden. Ausserdem herrscht auch kein bestimmtes einförmiges Prineip zur Unterbringung der Uebergangsschichten in ein jüngeres oder älteres System. Wie schon oben bemerkt wurde, istnach Aufstellung des permischen Systems die Zusammen- setzung desselben von den deutschen Gelehrten durch eine Abtheilung der früher als car- bonische Ablagerungen betrachteten Sedimente mit einer gemischten carbon-permischen Flora vervollständigt worden. Die Uebertragung dieser Schichten (z. B. im Saarbrücken’- schen Becken, in Böhmen und auf dem Harz) fand dadurch statt, dass in denselben die ersten Vertreter der permischen Flora erscheinen. Indessen wird auf Grund des Auftretens einer ziemlich grossen Anzahl von Carbon-Formen in den Pilton-Schichten nicht für zweckmässig gehalten diese Schichten aus dem Devon in das Carbon zu übertragen‘). Die deutschen Geologen stellen die rhätischen Ablagerungen zur Trias, während der grösste Theil der französischen und italienischen Gelehrten sie zum Jura (Lias) rechnet. Die Tremadoc’schen Schiefer, welche einen bestimmten Uebergangscharacter zwischen den primordialen und untersilurischen Ablagerungen zeigen, werden von den Geologen (welche mit Recht die ersteren in ein besonderes System trennen) zu den oberen cambrischen gestellt, während man die denselben dem Anscheine nach entsprechenden Sedimente Russlands und Schwedens dem Untersilur zurechnet. Diese Beispiele genügen, um zu zeigen, dass gar kein bestimmtes Princip in Bezug auf die Gruppirung der einen Uebergangscharacter besitzenden Sedimente herrscht. Betrachten wir jetzt diese Frage etwas ausführlicher in Bezug auf die Sedimente, welche die typischen carbonischen und permischen Ablagerungen trennen. Hierbei muss bemerkt werden, dass uns aus den permischen Schichten überhaupt und namentlich aus den unterpermischen eine so geringe Anzahl fossiler mariner Organismen bekannt ist, dass die Schlüsse, welche auf denselben basiren, späterhin nicht genau zutreffen könnten. Die Betrachtungen, welche unten folgen, dienen dazu um bei unseren gegenwärtigen Kenntnissen zu einer richtigeren Schlussfolgerung zu gelangen. Die Frage über die Stellung des Permo- Carbons gehört zu denjenigen, deren selbst zeitweilige Lösung aus vielen Gründen sehr wünschenswerth ist. In den Gebieten, in welchen die carbonischen und permischen Sedi- mente zu allererst untersucht worden sind, bilden bekanntlich die marinen Ablagerungen die untere Abtheilung der ersteren (den sogenannten Bergkalk und seine Aequivalente) und die obere der letzteren (den Zechstein). Folglich könnten die eine gemischte Fauna führen- den Ablagerungen, welche aus den für den Kohlenkalk und Zechstein characteristischen Vertretern besteht, mit den obercarbonischen (productiven) oder unterpermischen (Roth- liegendes) parallelisirt undschliesslich als Uebergangsablagerungen zwischen den erwähn- ten Systemen betrachtet werden (Ablagerungen, die der Lücke, welche ohne Zweifel bei Aufstellung dieser Systeme vorhanden war, entsprechen). 1) So viel ich weiss hat Dewalque sich zuerst zu Gunsten der Zuzählung der Pilton’schen Ablagerungen zum carbonischen System ausgesprochen. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 97 Was die Parallelisirung der eine gemischte Fauna führenden Ablagerungen mit den obercarbonischen Schichten anbetrifft, so gestatten sie nicht alle bisher bekannten Data mit einander zu vergleichen. In den marinen Schichten, welche den productiven Ablage- rungen untergeordnet sind und an einigen Punkten West-Europa’s (z. B. in England, Schlesien und Polen), wie auch in Nord-Amerika auftreten, finden sich zusammen mit neuen Formen nur Carbon-Arten. Auf diese Weise herrschte, gleichzeitig mit der obercarboni- schen (productiven) Flora eine marine Fauna, welche einen bestimmten Carbon-Character besitzt. Dieselben Data dienten auch zur Vergleichung des russischen obercarbonischen (Fusu- linen-) Kalkes und seiner marinen Aequivalente!) mit der oberen Abtheilung des carboni- schen Systems. Zu dieser Schlussfolgerung gelangt man auch beim Studium der Sedimente des Donetz-Beckens, wo das in seiner Art einzige Zusammenauftreten des productiven und Bergkalk-Typus beobachtet wird. Die Folgerung, dass für die Zugehörigkeit der permo-carbonischen Ablagerungen oder eines Theiles derselben zur Obercarbon-Abtheilung nicht genügende Gründe vorhanden sind, wird auch dadurch bestätigt, dass überall, wo diese Ablagerungen zusammen mit den obercarbonischen auftreten, die ersteren auf die letzteren folgen, z. B. im östlichen Theile des europäischen Russlands bedecken die Artinsk-Ablagerungen den Fusulinen-Kalk und im Gailthalgebirge Tyrols liegt das Permo-Carbon auf dem oberen Horizonte (Obere Farnen- zone) der productiven Sedimente. | Betrachten wir jetzt die Frage, ob die permo-carbonischen Sedimente mit den typi- schen unterpermischen 4. h. mit dem Rothliegenden parallelisirt werden können. Schliesst man das Permo-Carbon aus, welches die Reste der obercarbonischen und permischen Floren zusammen führt und von vielen deutschen Geologen, freilich ganz bedingungsweise, mit dem Rothliegenden vereinigt wird, indem sie es als untere Abtheilung des letzteren betrachten, 30 ersehen wir, dass die typische permische Ablagerung, deren paläontologischer Character hauptsächlich durch das Vorhandensein der Reste der unterpermischen Flora sich auszeich- net, in zwei Unterabtheilungen getheilt werden kann?). Zu der oberen derselben gehört derjenige Theil des Rothliegenden, welcher mit der unteren Abtheilungen des Zechsteins parallelisirt werden kann (Geinitz), Daher nöthigen uns die bisher bekannten Fakta zuzulassen, dass die marinen Sedimente, welche mit dem oberen Theile des Rothliegenden synchronisch sind, eine ausschliesslich permische Fauna einschliessen. Ich glaube, dass es nicht riskirt sein würde vorauszusetzen, dass die marinen Abla- gerungen, welche mehr der unteren Abtheilung des Rothliegenden entsprechen, entweder 1) Zum B.,einige Schichten von Sumatra (Roemer | Denkschr. Acad, Wien. XLVI) u. s. м. Palaeont. XX VII, 1), von Timor (Beyrich. Abh. Acad. 2) Die localen Eintheilungen des Rothliegenden, Wiss. Berlin, 1864, 61), von China (Kayser in Richtho- | welche in verschiedenen Gegenden Deutschlands oft fen’s «China»), von Ussuri-Gebiet (Tschernyschew. | nicht einander entsprechen, werden nicht berücksich- Bull. Com. Géol. VII, 357), von West-Sahara (Stache, | tigt. Mémoires de l'Acad. Imp. 4. sc. VII Série. 13 98 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE durch еше permische Fauna oder еше gemischte carbonpermische characterisirt sein müssten, in welcher letzteren aber die Vertreter der unmittelbar folgenden permischen Fauna vorherrschend auftreten. Auf diese Weise entsteht unbedingt die Folgerung, dass die Ablagerungen des Permo-Carbons, in welchem die Carbon-Arten der Thiere bedeutend über die permischen vorherrschen, wie z. B. die Artinsk-Stufe, denjenigen continentalen (Süsswasser-) Ablagerungen entsprechen, welche durch das gemeinsame Auftreten von Resten der Carbon- und Permflora characterisirt werden. In denjenigen Gegenden, in welchen die batrologischen Verhältnisse beobachtet werden konnten, zeugen sie ebenfalls zu Gun- sten der Stellung der in Rede stehenden Sedimente zwischen den productiven Ablagerun- gen und dem Rothliegenden, z. B. im Gailthaler Gebirge. Am Westabhange des Urals liegen die Artinsk-Schichten unter pflanzenführenden Ablagerungen und zwar deren, vor- züglich nicht in den unteren Horizonten auftretenden Pflanzen mit solchen aus dem deut- schen Rothliegenden die grösste Aehnlichkeit zeigen. Obgleich es bekannt ist, dass die Entwickelung der marinen Organismen und der Con- tinentalbewohner fast unabhängig von einander vor sich geht und z. B. die Abwechselung der continentalen Floren der der marinen Faunen garnicht entsprechen könnte, scheint des- senungeachtet in dem gegebenen Falle eine ähnliche annähernde Uebereinstimmung, wenig- stens für die carbonische und permische Flora West-Europa’s vorhanden zu sein !). Die Pflanzenwelt bildet jedoch ein weniger brauchbares Material zur Aufstellung der universalen chronologischen Eintheilungen der Sedimente, als die Reste der marinen Orga- nismen. Zu einer solchen Annahme kann man auf theoretischem Wege gelangen, aber sie bestätigt sich auch durch unmittelbare Beobachtungen. Die in West-Europa angestellten Versuche auf Grund der Landpflanzen chronologische Abtheilungen zu fixiren, führten nicht selten bei Anwendung dieser Vorkommnisse in anderen Gebieten zu Resultaten, die weder mit den nach marinen Thierresten aufgestellten Abtheilungen, noch mit der batrolo- gischen Stellung der betreffenden Schichten übereinstimmten. Gegenwärtig wird der grösste Theil der Geologen darin übereinkommen, dass die Aufstellung der universalen chronologi- schen Abtheilungen entweder ausschliesslich auf marinen oder richtiger pelagischen Thier- formen beruhen muss, oder wenigstens bei der Characteristik dieser Abtheilungen die letz- teren eine vorherrschende Bedeutung besitzen müssen ?). 1) Die gleichzeitige Veränderung der marinen und con- tinentalen organischen Welt kann wahrscheinlich (und zwar in einer, im geologischen Sinne kurzen Zwischen- zeit) in Folge der Veränderung der physikogeographi- schen Verhältnisse stattfinden, welche durch eustatische Bewegungen des Meeres, astronomische Erscheinungen und andern der ganzen Erdoberfläche gemeinsamen Ur- sachen bedingt werden, die die natürliche Eintheilung der Sedimente verursachen könnten. Die gleichzeitigen Veränderungen der Meeres- und Landorganismen, welche einen localen Character zeigen, sind wahrscheinlich häu- figer vorgekommen, besonders in Folge der Bewegungen der Meeresstrandlinie. 2) Als solche erscheint hauptsächlich auch die vor- handene Characteristik der Systeme. Wenn nachge- wiesen wäre, dass dem Rothliegenden die Ablagerun- gen mit einer gemischten Fauna in Parallelegestellt werden können, in welcher die carbonischen Arten über die permischen vorherrschen, (indem man den Thierformen eine grössere Bedeutung zu Classifica- UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 99 Indem wir diesen Umstand in Betracht ziehen, führen wir hier die Flora der Artinsk- Stufe an. Die letzte diesen Gegenstand behandelnde Arbeit ist von Prof. Schmalhausen geliefert worden, welcher 26 Arten der Artinsk’schen Pflanzen beschrieben hatte '). Unter diesen sind 15 den Artinsk’schen und russischen permischen Ablagerungen gemeinsame Formen vorhanden. Unter den letzteren befinden sich sehr charakteristische Formen, von denen die meisten eine grosse Verbreitung haben und zwar: Calamites gigas, C. decoratus, C. Kutorgae, Sphenopteris lobata, Callipteris conferta, C. sinuata, C. permiensis, Dolerophyllum Goepperti, Psygmophyllum expansum, Р. cuneifolium, Cordaioxylon permicum, Dadoxylon biarmicum, Clathraria densifolia. Von den übrigen Formen, welche bis jetzt nur in der Artinskischen Stufe gefunden werden, sind am bemerkenswerthesten: Cordaites lancifolius, Poa-Cordaites tenuifolius, Haidingera cordata und Tylodendron speciosum. Ausserdem muss bemerkt wer- den, dass Calamites decoratus vorzüglich für die Artinskische Stufe characteristisch ist, während er im Perm nur selten angetroffen wird. Von den Formen, welche in den Artinsk-Schichten auftreten, gehören nur 6 dem Carbon-System. Obgleich auf diese Weise der Uebergangscharacter der Flora dieser Ab- Jagerungen noch zu erkennen ist, so herrschen doch die permischen Arten schon bedeutend vor. Ein solches Resültat, welches gewissermaassen mit dem Resultat des Studiums der Thier- reste nicht übereinstimmt, erscheint nicht unerwartet. Die obere Carbonflora des Urals ist ganz unbekannt. Die unteren carbonischen Ablagerungen, unter welchen in diesem Gebirge nicht selten litorale Sedimente mit Pflanzenresten des Culms auftreten, sind durch eine tiefere Seebildung (Fusulinen-Kalk), welche eine bedeutende Mächtigkeit erreicht, ersetzt worden. In der betreffenden Epoche hat sich in der vom Ural eingenommenen Gegend das tionszwecken beilegt), müssten wir das Rothliegende, ausser seinen oberen Horizonten zum Carbon-Sy- stem rechnen, oder dieses System mit dem permischen vereinigen, wie es auch gegenwärtig einige Geologen zu thun geneigt sind. Die Annahme einer parallelen Stellung des typischen Rothliegenden zu den vor- herrschend Carbon-Formen führenden Ablagerungen ist jedoch wenig wahrscheinlich. Einige deutsche Gelehrte bringen das marine Permo-Carbon zum permischen Sy- stem nur, weil sie es mit den Schichten perallelisiren, welche eine gemischte Flora führen und natürlich echte Uebergangsablagerungen darstellen, welche von diesen Forschern ganz willkürlich zum permischen und nicht zum Carbon-System gerechnet werden. Gümbel schlägt in seinen «Grundzügen der Geologie» eine Dreitheilung des permischen Systems vor, wobei er zur unteren Abthei- lung wie die marinen, so auch die Süsswasser- Sedimente (mit Pflanzenresten) des Permo-Carbons stellt. Diese Eintheilung ist unvergleichlich besser als die allgemein angewandte Zweitheilung, da sie die Vereinigung zu einer Abtheilung solcher Sedimente verhindert, welche zu den auf- oder unterlagernden Schichten näher stehen, als untereinander. Wenn die von Gümbel vorgeschlagene Eintheilung allgemein angenommen würde, so könnte man mit derselben in practischer Beziehung einverstan- den sein. Obgleich das gegenwärtig herrschende palä- ontologische Princip der Eintheilung der sedimentären Bildungen etwas umgangen würde (die Sedimente|mit vor- herrschend paläontologischem Carbon-Character gehör- ten demnach zum permischen System), so erscheinen doch derartige Abweichungen vom Princip fast unaus- weichbar, wenn man sich zu der Ansicht hält, dass die neu aufgefundenen Ablagerungen, welche Zwischenschich- ten in Bezug auf die früher aufgestellten Systeme dar- stellen, unbedingt zum oberen oder unteren derselben gerechnet werden müssen, d. h. dass die Grenze der Sy- steme so zu sagen bis an ihre unmittelbare Berührung gezogen werden muss. 1) Die Pflanzenreste der Artinskischen und Perm. Ablag. im Osten 4. Е. Russland, Mém. du Com. Géol., II, № 4. 13* 100 A. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Verbreitungsgebiet (Inseln) der continentalen Organismen bedeutend verringert und ist wahrscheinlich an vielen Stellen ganz verschwunden. Auf diese Weise traten dort zur Ent- wickelung der Pflanzenwelt ungünstige Verhältnisse auf). Das Auftreten der litoralen Ablagerungen und zusammen mit denselben auch der Pflan- zenreste wird nur mit dem Erscheinen des Permo-Carbon beobachtet; d. В. nur dann, wenn in den anderen Gebieten schon die Verdrängung der Carbon-Pflanzen durch neue Formen, d. h. durch permische begann, und herrschten einmal solche Verhältnisse, welche den letzte- ren viel günstiger waren, so muss man annehmen, dass auf den neuen vom Meere befreiten Theilen des Continents namentlich diese Formen sich am meisten verbreiteten und nicht jene, die so zu sagen schon im Aussterben begriffen waren. Die angeführten physikogeographischen Verhältnisse, welche auf dem Ural in der obercarbonischen Epoche herrschten, können in gewissem Grade jenen Umstand erklären, dass in den Artinsk-Schichten zusammen mit den permischen Formen noch Vertreter der untercarbonischen (Culm) Flora, wie Knorria' und Lepidodendron (?) erhalten sind, welche im Uralgebiet vielleicht auf einzelnen Inseln zurückgeblieben waren, entfernt von den Area- len, auf welchen schon die auf dem Ural unbekannte obercarbonische Flora sich entwickelte. Dass die Frage über das Alter der Artinsk-Stufe vorzüglich aufden Thierresten basiren muss, ersieht man unter Anderm schon daraus, dass die Ural’sche permische Flora, unge- achtet der nicht sehr grossen Entfernung, durch welche sie von den zunächst befindlichen permischen Gebieten West-Europa’s getrennt wird, sich durch characteristische Eigenthüm- lichkeiten auszeichnet, welche noch einmal beweisen, dass für die chronologischen Zusam- menstellungen der Sedimente verschiedener Gebiete die Pflanzenreste ein weniger zuver- lässiges Material darstellen. Ich führe hier folgende Bemerkungen des Professor’s Schmal- hausen an. «Die artinskischen und permischen Ablagerungen in Russland zeichnen sich durch eine Reihe in hohem Grade origineller Pflanzenreste aus, wie z. B. Calamites deco- ratus, Callipteris permiensis und С. Brongniarti, Bathypteris rhomboidea und ganz besonders Psygmophyllum expansum und P. cuneifolium, welche diesen Ablagerungen einen ganz aus- gezeichneten Character verleihen. Es will dem Autor aber auch scheinen, dass einige der hier beschriebenen Pflanzenformen als Vorläufer der Mesozoischen Epoche aufgefasst werden könnten: Calamites decoratus und C. Kutorgae unterscheiden sich von den typischen Cala- miten des Carbon durch an den Knoten gegenüberstehende Rippen und durchlaufende Furchen; sie schliessen sich hierin an die mesozoïsche Gattung Phyllotheca an und die so sehr häufigen Psygmophyllen, wie auch Baiera gigas, erinnern an die zahlreichen Salisburia- ähnlichen Formen des Jura»). 1) Die litoralen obercarbonischen Ablagerungen sind | bestimmen könnte. Die allerobersten von den beobachte- auf der anderen Seite des Urals, am Ostabhange dessel- | ten Carbonschichten erscheinen jenseits des Urals als ben bekannt. In diesen Ablagerungen sind die Pflanzen- | gypshaltige Thone und Mergel, welche keine Pflanzen reste als dünne Streifen von Kohlensubstanz gefunden | führen. worden, welche sehr geringe Dimensionen und gar keine 2) Der grösste Theil der in den russischen permischen Merkmale darstellen, nach welchen man sie annähernd | Schichten beobachteten Pflanzenreste gehört zweifellos de ЧЕ ЧАН ДИО. „УРОДИНА У 4 и бе TS есь боб 1 4 0 nt UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. 101 Zum Schluss halte ich es nicht für überflüssig folgende Bemerkung hinzuzufügen. Indem ich zur Vermeidung unrichtiger Zusammenstellungen der Sedimente ver- schiedener Gebiete für zweckmässiger erachte, die Artinsk-Schichten und ihre aequivalenten Ablagerungen als Zwischenschichten in Bezug auf die carbonischen und permischen zu be- trachten, ist es ungeachtet dessen meiner Ansicht nach doch möglich (obgleich nur wenig wahrscheinlich), dass die späteren Untersuchungen nachweisen könnten, dass bei Ausbrei- tung der Grenzen der Systeme bis zur Beseitigung jener Lücken, welche bei ihrer Aufstel- lung waren, diese Grenze vielleicht mit grösserem Recht unter den Artinsk-Schichten ge- zogen werden müsste. Das wäre eben in dem Falle, wenn es bewiesen wird, dass viele oder der grösste Theil der Formen, welche gegenwärtig ausschliesslich als permocarbonische be- trachtet werden, später in Ablagerungen gefunden werden sollten, welche mit Sicherheit zu den gleichzeitigen mit dem typischen Rothliegenden gehören. Dann wird man diese Formen auch als permische anerkennen müssen, und auf diese Weise könnten die Vertreter der permischen Fauna in den Artinsk-Ablagerungen als über die Carbon-Arten vorherr- schende erscheinen, welche gegenwärtig ein grosses Uebergewicht zu haben scheinen und der Fauna dieser Ablagerungen einen bestimmten Carbon-Character verleihen. Die vorliegende Arbeit abschliessend, füge ich noch einmal hinzu, dass die Artinsk- Stufe eine der characteristischten Ablagerungen darstellt, welche einem wichtigem geolo- gischen Moment in der Entwickelungsgeschichte der organischen Welt auf der Erde ent- spricht. Dieser «Moment» wird characterisirt durch das Entstehen der höchsten Ammoneen, vielleicht auch durch das Erscheinen der echten Reptilien!) und, wie es scheint, durch das Aussterben (wenigstens auf einem sehr grossen Theile der Erdoberfläche) der Trilobiten. solchen Formen an, welche das östliche Ufer der russi- | in den vergangenen geologischen Perioden, Karte № 5. schen permischen Becken bewohnten. Von dem Verbrei- | Die oberpaläozoische Flora der östlichen Gebiete zeich- tungsgebiet der permischen Pflanzen in West-Europa | net sich überhaupt durch einige Merkmale aus, welche ist das erwähnte Ufer durch ein ziemlich breites Meer | als characteristisch für die europäische mesozoische getrennt, obgleich das letztere den Character eines mittel- | Flora betrachtet werden. ländischen Mceres gehabt hatte. Siehe meine Skizze der 1) Die diesbezüglichen Data sind noch nicht veröffent- physik. geogr. Verhältnisse des europäischen Russlands | licht worden. 102 А. KARPINSKY. UEBER DIE AMMONEEN DER ARTINSK-STUFE PALAEONTOLOGISCHER INDEX. Adrianites, 63, 64, 66, 84, 85. Angustisellati, 43, 79. affinis, 88. Arcestes, 67, 79, 92. (Hoffmannia) Burgensis, 88. priscus, 91. craticulatus, 88. Arcestidae, 63. Distefanoi, 63, 88. Brancoceras pygmaeum, 90. elegans, 88. Ceratites, 21, 67, 82. ensifer, 63, 85, 88. Haidingeri, 21. Haueri, 88. Hauerianus, 21. (Hoffmannia) Hoffmanni, 63, 88. Cladiscites, 57. insignis, 63, 88. Clynolobus Telleri, 90. isomorphus, 85, 88. Cyclolobus 91, 92. à Kingi, 88. Oldhami, 91. Hi Aganides, 4, 21, 45, 59, 67, 80. Daraelites, 42, 45. à cyclolobus, 8. Meeki, 42, 88. Jossae, 48. Didymites, 5. Kingianus, 70. Dimorphoceras, 80, 81. y Koninckianus, 72. discrepans, 81. Orbignyanus, 32. Dimorphoceras-Stadium, 81. Sobolewskyanus, 70. Doryceras fimbriatum, 88. Agathiceras, 49, 63, 64, 84, 85, 86. _ Stuckenbergi, 88. anceps, 85, 88. Ellipsolites, 59. Krotowi, 66, 88. Gastrioceras 42, 45, 46—48, 61, 63, 64. Stuckenbergi, 65, 88. Abichianum, 49, 89, 92. Suessi, 64, 85, 88, 91. Fedorowi, 56. 57—59, 88, 92. tornatum, 88. indeterm., 54, 88. uralicum, 54, 64, 66, 86—88, 91. Jossae, 47, 48, 50, 53, 54, 57, 82, 86—88. Ammonites, 4, 45, 59, 67, 80. Kingi, 56. cyclolobus, 8. Listeri, 51. Jossae, 48. cf. Listeri, 86. Kingianus, 70. Marianum, 49, 50, 52, 86, 87. Koninckianus, 72. Nikitini, 55, 88. Orbignyanus, 32. Roemeri, 47, 53, 54, 88. Parkeri, 75. russiense, 47, 54, 63, 86. Я ® Sobolewskyanus, 70. sosiense, 53, 54, 88, 91. UND EINIGE MIT DENSELBEN VERWANDTE CARBONISCHE FORMEN. Gastrioceras Suessi, 49, 52, 53—55, 88, 91. Waageni, 88. Zitteli, 46, 47, 53, 54, 88. Globites, 59. Glyphioceras, 45—48, 59, 60, 63. complicatum, 47. diadema, 46, 47, 56—59, 61. goniolobum, 61. gracile, 88. Inostranzewi, 46, 60, 61. Meneghini, 88. Glyphioceratidae, 45. Goniatites, 4, 7, 21, 45, 47, 59, 61, 63, 67, 80, 87. artiensis, 26. complanatus, 59. (Glyph.) complicatus, 46. cyclolobus, 4, 8, 10. diadema, 48, 49, 56. discrepans, 81. discus, 45. falx, 26. Henslowi, 42. inconstans, 52, 59. indet., 77, 78, 81, 82. Jossae, 46, 48—52. var. À, 46, 49, 52. iowensis, 48. Kingianus, 67, 70, 71. Koninckianus, 72. Listeri var. Mariae, 50. Looneyi, 81, 86, 87. Marianus, 49, 50. mixolobus, 4, 8, 42. Orbignyanus, 26, 32. postcarbonarius, 13, praepermicus, 11, Sobolewskyanus, 67, 69, 70. striatus, 92. tetragonus, 7, 42. uralicus, 64. Gymnites, 43. Hoffmannia, 63. Homoceras, 46, 47, 60. Hungarites, 92. djulfensis, 89. Hyattoceras, 91. (Abichia) Abichi, 90. Geinitzi, 90. Gümbeli, 90. turgidum, 90. Ibergiceras, 7, 42, 45. Ibergiceras-Stadium, 8, 12, 14, 28, 42. Latisellati, 43, 79. Lecanites, 42, 45. Lecanites glaucus, 42. Lecanitinae, 45. Leiostraca, 43. Lobites, 45. Medlicottia, 21, 22, 23, 25, 26, 37, 38, 42, 43, 45. 103 artiensis, 21—24, 26, 29, 32, 33, 36, 37, 39, 40, 43, 44, 87, 88. bifrons, 23, 44, 88. falx, 21, 26, 32, 38, 41. indeterm., 36, 44, 87, 88. Karpinskyana, 21, 37, 44, 87, 88. Marcoui, 44, 88. Orbignyana, 21, 23, 24, 32, 33, 35, 36, 44, 59, 87, 88, 91. var. Trautscholdi, 36, 44. primas, 21, 28, 44, 89. Sakmarae, 21—24, 26, 32, 38, 40. cf. Sakmarae, 40. Schopeni, 37, 38, 44, 88, 91. Trautscholdi, 35, 88. Verneuili, 44, 88. Wynnei, 21, 24, 42, 44, 89. Medlicottinae, 45. Meekoceras, 42, 43. Megaphyllites, 67, 79. Münsteroceras, 45, 47, 59. Nautilites, 59. Nomismoceras, 46, 47, 60. Norites, 5, 20, 42, 45. gondola, 42. Noritinae, 45. Orbulita, 59. Otoceras, 92. intermedium, 89. pessoides, 89. trochoides, 89. tropites, 89. Paraceltites, 82. Halli, 90. Hoefferi, 82, 83, 90. indet., 82, 90. Münsteri, 90. plicatus, 90. Paralegoceros, 46—48, 61. iowense, 63, 87. Tschernyschewi, 62, 63, 87, 88. Paraprolecanites, 8, 22, 42, 45. Paraprolecanites-Stadium, 8, 12, 14, 22, 29, 38, 42. Parapronorites, 5, 16, 17—19, 21, 22, 42, 45. latus, 18, 19, 87, 88. Konincki, 19, 88. Mojsisovicsi, 19, 20, 87, 88. tenuis, 17, 19, 87, 88. Paropronorites-Stadium, 42. 104 А. KARPINSKY. UEBER DIE ÂMMONEEN DER ARTINSK-STUFE Pharciceras, 45. Pinacites, 25. Pinacoceras, 5, 25, 48. Popanoceras, 45, 49, 67, 72, 76, 78, 80, 84. antiquum, 77, 80, 91. clausum, 90. indet., 72, 90. (?)indet., 78, 90. indet. aff. Jazwae, 76, 90. indet. aff. Parkeri, 75, 90—92. Jazwae, 78, 90. (Stacheoceras) Karpinskyi, 77, 90. Kingianum, 69, 70, 71—73, 79, 90. Konninckianum, 72—90. Koswae, 66—78, 90. Krasnopolskyi, 73, 74, 75, 79, 90. Lahuseni, 67, 69, 79, 90. (Stacheoceras) mediterranum, 77, 90. Moelleri, 90. multistriatum, 90. Parkeri, 75, 80, 91, 92. (Stacheoceras) pygmaeum, 77, 90. Romanovskyi, 77, 90. scorbiculatum, 90. Sobolevskyanum, 69, 70, 79, 90. subinterruptum, 74, 78, 79, 90. Prolecanites, 7, 8, 42, 45. Prolecanitidae, 4, 44. Promedlicottia, — Stadium 23—25, 29, 30. Pronorites, 4, 5, 7—9, 12, 14, 16—26, 42, 45. Barroisi, 10, 11, 16. cyclolobus, 4, 5, 8, 10, 11, 13, 15, 16, 33. у. uralensis, 5, 6, 8, 11, 13, 16, 20, 87. indeterminatus, 11. mixolobus, 4—7, 16. Phillipsi, 4, 5, 16. postcarbonarius, 4, 5, 13, 14, 15, 18, 87, 88. v. tetragonus, 14, 15, 16. v. vulgaris, 14, 15, 16. praepermicus, 4—6, 11, 12, 13,16, 18, 20, 59, 87, 88. Pronorites-Stadium, 8, 14, 22, 25, 29, 38, 40, 42. Propinacoceras, 21, 24, 25, 37, 38, 39, 43, 45. affine, 40, 88. Beyrichi, 88. Darwasi, 41, 88. Galilaei, 88. Sakmarae, 24, 38, 39—41, 87, 88. Prosiphonata, 44. Retrosiphonata, 44. Sageceras, 21, 22, 43. artiense, 26, 32. Gabbi, 21. Sageceras Haidingeri, 89. Hauerianum, 21. Orbignyanum, 32. Sakmarae, 26, 32, 38, 40. (Medl.) cf. Sakmarae, 41. Sandbergeroceras, 8, 45. Sicanites, 21, 23, 26, 45. Mojsisovicsi, 88. зр., 88. Sicanites-Stadium, 23, 25, 29, 32, 33, 38, 42. Stacheoceras, 67, 80, 84, 85. Benedictum, 79, 90. Darae, 79, 84, 90. Diblasii, 90. Gaudryi, 90. globosum, 90. Gruenewaldti, 90. Karpinskyi, 79, 90. mediterraneum, 90. pelagicum, 90. perspectivum, 90. pygmaeum, 84, 90. Tietzei, 90. — Sturia, 57. Thalassoceras, 80, 81, 82, 86. Gemmellaroi, 80, 82, 87, 90. indet., 82, 90. microdiscus, 81, 90. Phillipsi, 81, 90. subreticulatum, 81, 90. varicosum, 81, 90. Trachyostraca, 43. Triainoceras, 8, 45. Waagenia, 67. Jazwae, 76, 78. Koswae, 78. subinterrupta, 78. Waagenina, 67, 80, 84. Jazwae, 78. Koswae, 66, 78. subinterrupta, 74, 78. Waagenoceras, 84, 91. Mojsisovicsi, 90. Nikitini, 90. Stachei, 90. Xenodiscus, 43. carbonarius, 89. plicatus, 89. / E KLÄRUNG DER TAFELN. | x р \ , Ron M ВО nid rld) à ИУ émoires de l'Acad. Imp. 4. sc. VII Série. LT ог ' Же A N N ND ND D ND ND ND EBERRRBRBERRRR ER NA NT ET Е. ERS AA SNS NES AO POP HD Tafel I. & Fig. 1. Medlicottia artiensis Gruen. S. 26. Artinsk-Stufe. (Sammlung d. Geol. Com.). а, 6. Natürliche Grösse. Koswa, unterhalb der Mündung der Chaldina. С. а. Л. 9. $. k. M. N. 0. За, D: DMC: 3 d. & D NSS IQ S SS 6 ‘Natürliche Grösse. Koswa. Ein Theil der Siphonalseite des Exemplars Fig. 1 с. — 1e. Natürliche Grösse. Fl. Gr. Ik. Querschnitt von zwei Umgängen; 2 m. vergr. Inn. Umgang mit elliptischem Querschnitt — Pronorites-Stadium; äusserer Umgang — Sicanites-Stadium. Gr. Ik. Lobenlinie. /bergiceras-Stadium; 20 m. vergr. — 1 h. Paraprolecanites-Stadium; 20 m. vergr. Pronorites-Stadium; 20 m. vergr. — 1 7. Sicanites-Stadium; 20 m. vergr. Sicanites-Stadium; 15 m. vergr. — 1 7. Medlicottia- oder Endstadium; 5 m. vergr. Medlicottia- Stadium : 21/, m. vergr.; theils durch Punktirung restaurirt. К -—- Umbonal- kante, М — Umbonalnaht, 0 — Umbonalwand. Medlicottia-Stadium; 2 m. vergr. Querschnitt der Rippchen des Exemplars Fig. 1 a; 5 m. vergr. Fig. 2. Pronorites praepermicus Кагр. 5. 11. Artinsk-Stufe. 51/, m. vergr. Koswa, unterhalb der Mündung der Chaldina (Sammlung des Geol. Com.). Exemplar Fig. 2 a ohne den halben letzten Umgang; 5 5'/, m. vergr. Anfangskammer und der erste Umgang. Erste und zweite Lobenlinie sichtbar; 18 m. vergr. Petschora, unterhalb der Mündung der Unja. (Museum des Berg- Instituts). Innere Seite eines gekielten Schalenstückes von der Siphonalseite des (Gehäuses; 2 m. ver- grössert. Koswa. (Sammlung des Geol. Com.). Durchschnitt des Gehäuses mit umfassendem letzten Umgang. Natürliche Grösse. Koswa. (Sammlung des Geol. Con..). Erste Lobenlinie | о Zweite Lobenliniel ^ Lobenlinie des Zbergiceras Stadium; 18 m. vergr. (Exempl. Fig. 2 а, 5). Uebergangsstadium zwischen den Ibergiceras- und Paraprolecanites-Stadien; 18 m. Paraprolecanites-Stadium, 18 m. vergr. Pronorites- oder Endstadium; 14 m. vergr. (Exempl. Fig. 2 a, b). Pronorites-Stadium; 3 m. vergr. Pronorites-Stadium: Basis des Siphonallobus den Medianhöcker bildend; 3 m. vergr. 20 m. vergr. Petschora. (Museum des Berg-Instituts). Fig. 3. Pronorites postcarbonarius у. vulgaris Karp. S. 13. Wohnkammerexemplar. Artinsk-Stufe. Ошо. der Artinsk-Hütte. (Mus. des Berg-Inst.). Natürliche Grösse. Mit Längsfurche auf dem Steinkerne, theils durch die dünne Schale durchscheinend. Lobenlinie; 3 m. vergr. К — Umbonalkante, N — Umbonalnaht, U — Umbonalwand. Fig. 4. Pronorites cyclolobus Phill., у. uralensis п. var. S. 8. Oberer Kohlenkalkstein. Schartymka am Ostabhange des Süd-Urals. Nat. Gr. (Geologisches Kabinet der St. Petersburger Universität). Steinkern der Wohnkammer. Nat. Gr. (Geol. Kabinet der St. Petersb. Universität). Id. von oben gesehen. Natürliche Grösse. (Museum des Berg-Instituts). Lobenlinie des Ibergiceras-Stadium; 8 m. vergr. (Exemplar Fig. 4 e, f). Paraprolecanites-Stadium; 6 m. vergr. (Exemplar Fig. 4 e, f). Pronorites- oder Endstadium: 4'/, m. vergr. (Exemplar Fig. 4 e,.f). Pronorites-Stadium; 4 m. vergrössert. Pronorites-Stadium; 3 m. vergr. (Ex. Fig. 1 а, 6; Anfang des letzten Umg.). Pronorites-Stadium; 2 m. vergr. (Ex. Fig. 1 a, b; Vordertheil des letzten Umg.). _ Querschnitt eines Umganges im Ibergiceras-Stadium (Fig. 4 9); 3 m. vergr. Querschnitt eines Umganges im Paraprolecanites-Stadium; 6 m. vergr. Mem.d. Аса mp. de Sene Karpmsky Ueb.dAmmoneen d Artmsk- M Tall. ER a ar f à ев | K.N. 14. U. 2a) 25.) Le.) NS © мч | | nf) FC | | р р р —_ (4 Vo AR ем.) Koch. Та. Druck vR.Koch, Мах. Оз Lan. N°44 S'Pelersburg # Tafel EI. Fig. 1. Medlicottia Orbignyana Vern. 5. 32. Artinsk-Stufe. 1a,b. Anfangskammer und die 3 ersten Umgänge; 5 m. vergr. Koswa, unterhalb der Mündung der Chaldina. (Sammlung des Geol. Com). . | Untere Hälfte des Exemplars Fig. 1e. Nat. Gr. Kaschkobasch. (Ото. der Artinsk-Hütte). d. Dieselbe Figur vergrössert. 1e,f. Nat. Gr. i— die Stelle der in Fig. 1 à wiedergegebenen Lobenlinien (Punktirlinie © muss in horizontaler Richtung verlaufen): À — die Stelle der Lobenlinie in Fig. 171. Оше. der Artinsk-Hütte. (Museum des Berg-Instituts). 1g,h. Nat. Gr. Оше. der Artinsk-Hütte. (Museum des Berg-Inst tuts). 1 2. Lobenlinie 4. Sicanites-Stadium; 9 m. vergr. (Siehe in Fig. 1 e) PS — Projectionsspirale des vorhergehenden Umganges. 3. Medlicottia- Stadium; 6 m. vergr. (j — Fig. 1 e). PS — Projectionsspirale. k. Medlicottia-Stadium; 4'/, m. vergr. Lobenlinie der Exempl. Fig. 1 g, h. PS— Projectionsspirale. 1. Medlicottia-Stadium; 2 m. vergr. PS — Projectionsspirale. Koswa. (Samml. des Geol. Com.). m. Medlicottia-Stadium; 2 m. vergr. PS — Projectionsspirale. Koswa. (Samml. des Сео]. Com.). Fig. 2. Parapronorites Mojsisoviesi п. sp. в. 19. Artinsk-Stufe, Ssimsk-Hütte. (Sammlung d. Geol. Com.). a. Natürliche Grösse. — 2 b. Lobenlinie des Exemplars Fig. 2 a; 2 m. vergr. с. Lobenlinie des kleineren Exemplars; 3 m. vergr. (nicht 2 m. wie auf der Tafel verzeichnet ist). Fig. 3. Gen. et sp. indet. (Parapronorites Mojsisovicsi?). S. 20. Nat. Gr. Artinsk-Stufe. Ssimsk. (Sammlung d. Geol. Com.). Fig. 4. Parapronorites latus n. sp. S. 18. Artinsk-Stufe. Ssimsk. (Sammlung d. Geol. Com.). 4 a. Natürliche Grösse. — 4b. Querschnitt des Umganges, theils durch Punktirung restaurirt. Fig. 5. Parapronorites tenuis n. sp. S. 17 Artinsk-Stufe. Ssimsk-Hütte. (Sammlung d. Geol. Com.). 5 a. Natürliche Grösse. — 5 6. Lobenlinie eines anderen Exemplars; 2 m. vergr. Fig. 6. Medlicottia sp. indet. S. 36. Artinsk-Stufe. Ssimsk-Hütte. (Sammlung d. Geol. Com.). 6 a. Natürliche Grösse. Mit S-förmigen Rippchen. — 6 6. Nat. Gr. Mit aufgedeckten Lobenlinien. Fig. 7. Propinacoceras Sakmarae Karp. S. 38. Artinsk-Stufe. Ssakmara bei Kundrowka. (Sammlung d. Geol. Com.). 7 @,6,с. Ein Theil der Siphonalseite von verschiedenen Exemplaren. Natürliche Grösse. 7 d, e. Lobenlinien; 5 m. vergr. Theiles durch Punktirung restaurirt. U— Umbo. PS — Projections- spirale des vorhergehenden Umganges. f. Lobenlinie; 2 m. vergr. Durch Punktirung — restaurirt. 9. Querschnitt des äusseren Theils des Umganges des grossen Exemplars. Theils restaurirt. (Punktirung). h. Wahrscheinlich ein junges Exemplar von Prop. Sakmarae. Natürliche Grösse. . Lobenlinie bei 2 Mm. der Windungshöhe; 15 m. vergrössert. I = I + Fig. 8. Propinacoceras Darwasi п. sp. S. 41. Darwas in Buchara. (Pr. Romanowsky’s Samml.). 8 а. Lobenlinie, theils durch Punktirung restaurirt; 4, m. vergrössert. PS — Projectionsspirale des vorhergehenden Umganges. — 86. Idem. Men. dead уу с Уене Аагризку Veb.dAmmoneen.d.Artinsk-st Tall. Gez.v.J.Koch. Та. Druck v.R.Koch, Yas.Oslx Lin N°44 S'Petersburs. Tafel ILL Fig. 1. Paralegoceras Tschernyschewi n. sp. S. 62. Artinsk-Stufe. Ui-Teljak. (Sammlung d. Geol. Com.). ? 1 а. Natürliche Grösse. Die Zuspitzung der Basis der. Loben ist an den inneren Umgüngen aus Versehen nicht angezeigt worden. 1 6. Durchschnitt der hinteren Hälfte des letzteren Umganges. Natürliche Grösse. 1 c. Lobenlinie. Natürliche Grösse. U — Nabelwand. Fig. 2. Gastrioceras sp. indet. S. 54. Artinsk-Stufe, Ssakmara bei Kundrowka. (Mus. des Berg-Inst.). 2 a. Natürliche Grösse. Steinkern. Ein Theil der Wohnkammer und des vorletzten Umganges. 26. Querschnitt dieser Umgänge. 2 с. Lobenlinie auf dem vorletzt. Umgang; 2 m. vergr. (Siehe 5. 55, Fig. 29, II). U— Nabelwand. Fig. 3. Gastrioceras Suessi n. sp. S. 52. Artinsk-Stufe. EEE WE | : : И Иер о ЕР nr ME en 3 а. Natürliche Grösse. 0] — Teljak. (Sammlung des Geol. Com.). 3 b. Durchschnitt der in Fig. 3 a abgebildeten Umgänge. 3 c. Lobenlinie des Exemplars Fig. 3 «. Natürliche Grösse. Aus Versehen (links auf der Tafel) unter Зе (?/,) dargestellt. U— Umbonalwand. Vergl. Fig. 29 (D, Seite 55. 3 d. Durchschnitt eines Exemplars von Kaschkobasch (Umgeg. der Artinsk-Hütte); nat. Grösse. 3 e. Natürliche Grösse. Sypia. (Sammlung des Geol. Com.). 31,9. Natürliche Grösse. Gr. Ik. (Sammlung des Geol. Com.). Men. dead np de Sert Karpaskx Ueb.dAnmoneen d Artmsk- St ТаЁ Ш. lie. Gez.v. 3). Koch. Lit. Druck vR Koch, Vas.Osbr {lin N°44 N'Petersburé. Tafel IV. Fig. 1. Gastrioceras Fedorowi п. sp. S. 56. Artinsk-Stufe. Petschora, unterhalb der Mündung der Unja. (Mus. des Berg-Inst.). a. Steinkern des Wohnkammer-Exemplars. Natürliche Grösse. b. Exemplar Fig. 1 а von oben gesehen. c,d. Wohnkammer-Exemplar. (Steinkern). Natürliche Grösse. е. Wohnkammer-Exemplar. (Steinkern). Natürliche Grösse. 1 f. Exemplar ohne Einschnürungen. Natürliche Grösse. 19. Querschnitt eines Exemplars. Natürliche Grösse. 11,5. Kleines Steinkern-Exemplar. Natürliche Grösse. | 17. Längs- oder Spiralrippchen und Querstreifen auf der Siphonalseite des Gehäuses bei einer Windungshöhe von 13 Mm.; 8 m. vergr. 1 k. Idem; 1'/, m. vergr. NER Spiralrippehen und Querstreifen auf den Lateralseiten der Umgänge bei einer Höhe von 13 Mm.; 8 m. vergr. 1 m. Sculptur auf der Siphonalseite bei einer Windungshöhe von 9,5 Mm.; 2 m. LEI 1 n. Lobenlinien des Exemplars Fig. 1 h, $; 4 m. vergr. 1 o. Lobenlinien; 4 m. vergr. U — Umbonalwand. 1 p. Lobenlinien; 2 m. vergrössert. U — Nabelwand. 1 1 1 1 Fig. 2. Gastrioceras Marianum Vern. S. 49. Oberer Kohlenkalkstein. Schartymka am Ostabhange des В. Ural. (Mus. des Berg-Inst.). 2 a,b. Natürliche Grösse. 2 с. Lobenlinie des jungen Exemplars; 71/, m. vergrössert. U — Umbonalwand. Fig. 3. Thalassoceras Gemmellaroi n. sp. S. 80. Artinsk-Stufe. Kaschkobasch. (Umg. 4. Artinsk-Hütte). (Mus. des Berg-Inst.). 3. a,b. Natürliche Grösse. 3 с. Lobenlinie am vorderen Theile des letzten Umganges des Exemplars Fig. За, b; 4 m. vergr. 3 d. Lobenlinie auf dem hinteren Theile des letzten Umg. des Exempl. Fig. 3 a, b; 4 m. vergr. x Fig. 4. a, e. Agathiceras uralicum Karp. S. 64. Artinsk-Stufe. Ssakmara bei Kundrowka. (Mus. des Berg-Inst.). 4 а. Wohnkammer-Exemplar. Natürliche Grösse. 4 e. Lobenlinie; 21/, m. vergrössert. Fig. 4. b, c, d. Agathiceras cf. uralicum Karp. S. 64. Oberer Kohlenkalkstein. Fl. Ssim. Nat. Gr. (Sammlung d. Geol, Com.). Fig. 5. Gastrioceras Nikitini n. sp. S. 55. Artinsk-Stufe. Ssimsk-Hütte. (Sammlung d. Geol. Com.) 5 a. Natürliche Grösse. — 5 6. Natürliche Grösse. 5 с. Sculptur auf der Nabelwand des Exemplars Fig. 5 6; vergrössert. Fig. 6. Glyphioceras Inostranzewi п. sp. р. 60. Oberer Kohlenkalkstein. Schartymka am Ostabhange des S.-Urals. (Gevl. Kabinet d. St. Petersb. Univers.). 6 a,b. Grösstes Exemplar. Natürliche Grösse. 5 (0 Er Exemplar mit erhaltener Schale. Natürliche Grösse. . Querschnitt. Der Nabel, dessen Durchschnitt bei diesem Exemplare nur 5 Mm. erreicht, ist in der Fig. e breiter angegeben worden. 6 f. Lobenlinien des Exemplars Fig. 6 a, b. Fig. 7. Paraceltites (?) sp. indet. S. 82. Artinsk-Stufe, Ssimsk-Hütte. Nat. Gr. Mem.d.L Acad mp. delle Karpmskr eb.d.Ammoneen.d. Artnsk-t Tal IV. Lith. Druck v.R.Koch, Was.Os{r 1.Lin. NY. S! Petersburg. Tafel У. Fig. 1. Popanoceras Lahuseni n. sp. S. 67. Artinsk Stufe. Ssakmara bei Kundrowka. (Mus. des Berg-Inst.). 1 a,b. Wohnkammer-Exemplar. Steinkern mit einem Schalenstück auf der Siphonalseite. (In Fig. nicht zu sehen). Natürliche Grösse. 1 с. Durchschnitt eines anderen Exemplars. Natürliche Grösse. 1 4. (Aus Versehen als 3 д bezeichnet). Skulptur auf der Siphonalseite des Exempl. Fig. 1 a, 6. Na- türliche Grösse. l'e,f. Kleines Exemplar. Steinkern. Natürliche Grösse. 1 g. Lobenlinien von dem vorletzten Umgange des Exemplars Fig. 1 c; 21/, m. vergrössert (nicht 4 т. (*/,), wie auf der Tafel verzeichnet ist). 1 h.”_Lobenlinie des Exemplars Fig. 1 с; bei einer Windungshöhe von 4 Mm.; vergrössert. Fig. 2. a, b, c. Popanoceras Lahuseni (?). S. 69. Nat. Gr. Artinsk-Stufe. Ssimsk. (Sammlung d. Geol. Com.). Fig. 3. Popanoceras Lahuseni (?). S. 69. Artinsk-Stufe. Ssakmara bei Kundrowka. (Mus. des Berg-Inst.). 3 a. Natürliche Grösse. — 3 b,c. Natürliche Grösse. — 3 d. Natürliche Grösse. Fig. 4. Agathiceras Stuckenbergi n. sp. S. 65. Artinsk-Stufe, Koswa. (Sammlung d. Geol. Com.). 4 a,b. Natürliche Grösse. — 4 с. Sculptur; 7 m. vergrössert. 4 d. Restaur. Querschnitt. Natürliche Grösse. 4 e. Lobenlinie; 7 m. vergrössert. U — Umbonalwand. Fig. 5. Popanoceras sp. indet. (cf. Parkeri Heilprin). S. 75. Artinsk-Stufe. Fl. Oka, unweit des Dorfes Suchanowa (Sammlung d. Geol. Com.). 5 a,b. Natürliche Grösse. 5 с. Lobenlinien; 2 m. vergrössert. Fig. 6 (a, b). Popanoceras Romanowskyi n. sp. S. 77. Lobenlinien; 4 m. vergr. Darwas in Buchara (Romanowsky’s Sammlung). Fig. 7. Agathiceras Krotowi n. sp. S. 66. Artinsk-Stufe. Tschussowaja unterhalb des Kl. Waschkur. (Sammlung d. Geol. Com.). 7 a,b. Natürliche Grösse. — 7 с. Lobenlinie; 6 m. vergrössert. Fig. 8. Popanoceras Kingianum Vern. S. 70. Artinsk-Stufe. Umg. d. Artinsk-Hütte (Kaschkobasch). (Museum d. Berg-Inst.). 8 a. Natürliche Grösse. — 8 b. Lobenlinie bei einer Windungshöhe von 4 Mm. 8 с. Lobenlinie bei einer Windungshöhe von 4,5 Mm. 8 d. Lobenlinie bei einer Windungshöhe von 5 Mm. Fig. 9. (a, b) (c, d) Popanoceras sp. indet. (cf. Jazwae Krot.). S. 76. Artinsk-Stufe. Uswa. (Sammlung d. Geol. Com.). - Fig. 10. Popanoceras Krasnopolskyi n. sp. S. 73. Artinsk-Stufe, Tschussowaja unterhalb des Kl. Waschkur. (Sammlung d. Geol. Com.). 10 a,b. Grösstes Exemplar. Steinkern. Natürliche Grösse. — 10 с. Durchschnitt des letzten Umganges. 10 d. Natürliche Grösse. — 10 e,f. Natürliche Grösse. 10 9--1. Lobenlinien; 8 m. vergrössert. U (Fig. 10 2) — Umbonalwand. — 0 — Mem.dAcad.mmp.dse\ene Narpınsku. Uebdnmoneend Artinsk-Nt. Tat. V и < 7% р 3d ni IE { AS | #4 4 & a N 4 4 © Е 40 K CA | = NEE Ze # 31, äc ча’ LT а, С ‘3 vor ER 4e ai 1/ PR 7с (8) IL | | 6b.# | | 10 2. р FR | JC | À ö U. ) | 2 4a &d a | = 10 г. у N | \ | И 10. d = € ur 2 à } À A. = à И 407 + 9 | - 10 с о | \ о a | | 101 | x 10 d (ей. у В. Ков. Litle Druck x R Koch, Vas. 056: Lan. №4 N'Petersbur$. MÉMOIRES L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VII" SERIE. Томе our № 5. WISSENSCHAFTLICHE RESULTATE DER VON DER KAISERLICHEN AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN ZUR ERFORSCHUNG DES JANLANDIS UND DER АМАН ILL) 4 I 4 I 4 I À I À I A I IN DEN JAHREN 1985 UND 1886 AUSGESANDTEN ENPEDITION. } ABTHEILUNG 1: Ÿ À 4 I À I À I à Die paläozeischen Versteinerungen der Nensihirischen Insel Koteluy. VON Baron Eduard v. Toll. Mit 5 Tafeln. (Lu le 1 novembre 1888.) —0jœue — Sr.-PETERSBOURG, 1889. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: а St.- -Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: M, Eggers et Cie et J. Glasounof, М. М. Кушше!; Voss’ Sortiment (С. Наеззе]). Prix: 2 ВЫ. 30 Кор. — 5 Mark. 75 РЁ MÉMOIRES 4 L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VIF SERIE. } Tone XXXVIL №3. À WiSSENSCHAPTIICHE RESULTATE | VON DER KAISERLICHEN Mahn DER WISSENSCHAFTEN ZUR ERFORSCHUNG à DE ДАНА LAD DER АМАН DELA | IN DEN JAHREN 166 UND 1886 AUSGESANDTEN EXPEDITION, | : nue I: | | Die paläpzoischen Versteinerungen der Nensibirischen Tusel Kotelny. | Baron Eduard v. Toll. Mit 5 Tafeln. (Lu le 1 novembre 1888.) ; 912 u ооо — ST.-PÉTERSBOURG, 1889. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: Eggers et C!° et J. Glasounof. M. N. Kymmel. Voss’ Sortiment (G. Haessel). Prix: 2 Roub. 30 Сор. = 5 Мик. 75 Pf. DES RP ee ER САИ spa Lorean \ Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences. | и С. Vessélofsky, Se Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. Urban. (Vass.-Ostr., 9 ligne, №12) = 5 | Г сы von Micbendouff » in tiefster Verehrung und Dankbarkeit gewidmet. VORWORT. Die Kaiserliche Akademie der Wissenschaften hatte in den Jahren 1885 und 1886 unter Leitung des Herrn Doctor Alexander Bunge, den ich als Gehülfe zu begleiten das Glück hatte, eine Expedition in das Jana-Land und auf die Neusibirischen Inseln entsandt. - Ziel und Zweck derselben sind von Herrn Akademiker L. von Schrenck unter histo- rischer Begründung des hohen Interesses, welches die Akademie der Wissenschaften gerade an diesen unerforschten Gegenden nehmen musste, klar gestellt'). Die Schilderung des Ganges unserer Reise und der Umstände, unter welchen wir den uns gestellten Aufgaben gerecht zu werden strebten, bildet nebst einer kurzen Uebersicht der gewonnenen Resultate den Inhalt unserer vorläufigen «Berichtev?). - Für diejenigen Leser, denen dieselben nicht zugänglich gewesen sind, gebe ich an dieser Stelle in gedrängter Kürze einen Ueberblick über den Verlaufder Expedition, welchem ich zum besseren Verständniss einige Worte über ihre Entstehung vorausschicken muss. Die Angaben der Entdecker und ersten Besucher der Neusibirischen Inseln?) über den uner- messlichen Reichthum an Mammuthelfenbein waren für die sibirischen Fangmänner (Promysch- lenniks) so verlockend gewesen, dass seitdem bis jetzt fast alljährlich auf die südlichste der- selben, die Grosse Ljachow-Insel, nicht selten aber auch auf die nördlicheren, Kotelny, Fadejew und Neusibirien, von den Bewohnern des gegenüberliegenden Festlandes Fahrten unternommen wurden, um die Schätze des eisigen Bodens zu heben. Mit äusserst geringem Proviant versorgt, auf günstige Gänse- und Renthierjagd rechnend, ziehen sie im Frühjahr 1) «Zur Vorgeschichte der Expedition». Beiträge zur 2) «Berichte der Reisenden». Ebendort. Kenntniss des Russischen Reiches und der angrenzenden 3) cf. у. Schrenck: «Zur Vorgeschichte .etc.», p. Länder Asiens, III. Folge, Band III, 1887. 5—34. Mémoires de l'Acad. Imp. а. sc, VII Serie. 1 2 Baron EDUARD у. Tour, mit Renthier- oder Hundeschlitten über das Eis dorthin und kehren im Herbste, sobald die während des Sommers aufgebrochene Eisdecke die nöthige Festigkeit erlangt hat, zurück, wobei sie oft den grössten Gefahren ausgesetzt sind, ja sogar ein unglückliches Ende nehmen, wenn sie durch Hunger getrieben die Rückreise zu früh anzutreten ge- zwungen sind. Nicht minder musste den Naturforscher die Bekanntschaft mit diesen sagenhaften In- seln reizen, die, wie es hiess, aus «Eis und Knochen» beständen, auf denen an den «Holzbergen» Neusibiriens, jenen vermeintlichen Treibholzanhäufungen von über 100’ Höhe, man ein Maass für die Niveauschwankungen des sibirischen Eismeeres zu finden glauben konnte; die noch von keinem wissenschaftlichen Beobachter betreten und in Bezug auf ihre physi- kalischen und biologischen Eigenschaften noch völlig ununtersucht geblieben waren. Die Expedition, welche in den Jahren 1821, 1822 und 1823 im Auftrage aer Kaiser- lichen Regierung unter dem Befehle des Marine-Lieutenant Anjou eine Reihe höchst be- schwerlicher Fahrten zur Entdeckung eines Landes im Norden der Neusibirischen Inseln unternahm und der wir die erste auf astronomische Beobachtungen gestützte, karto- graphische Aufnahme der Inseln verdanken, konnte die naturhistorische Kenntniss der- selben nicht wesentlich bereichern, da sie nur in den Monaten März bis Mai, also im Winter, an den Küsten der Inseln thätig war und auch zu ihrem Personal kein naturwissenschaftlich gebildeter Fachmann gehörte. Der Einzige, der auf den Inseln Kotelny (1811) und Neu- sibirien (1809), einen Sommer verbracht hat, ist der Entdecker der Insel Neusibirien (1806), der intelligenteste und hervorragendste aller Promyschlenniks, der schlichte Klein- bürger der Stadt Jakutsk, Jacob Sannikow. Seine mit frischem Geiste gemachten Beob- achtungen bilden den wichtigsten Theil der von Hedenström in seinen «Otrywki о Sibiri» gemachten Mittheilungen über diese Inselgruppe. Sie vermochten zwar das Interesse für diese im höchsten Grade zu erwecken, konnten aber natürlich keine wissenschaftlichen Fragen beantworten. Seine mit scharfem Auge gemachte Entdeckung eines Landes im Nor- den von Neusibirien haben vor Kurzem erst, nach 72 Jahren De Long und seine Unglücks- gefährten auf’s Glänzendste bestätigt. Hervorragende Beobachtungen über die Natur der Neusibirischen Inseln aber konnten von ihnen bei ihrem flüchtigen Rückzug über. dieselben natürlich nicht erwartet werden. Eine wissenschaftliche Erforschung der Neusibirischen Inseln war daher von der Aka- demie der Wissenschaften schon lange in’s Auge gefasst. Eine Reihe der wichtigsten Fragen, besonders auf dem Gebiete unserer Erdgeschichte, harrte hier ihrer Lösung. Die unüber- windlichen Schwierigkeiten aber, welche einem längeren, und zwar einem Sommeraufenthalt für einen Europäer auf diesen unbewohnbaren Inseln entgegen zu treten schienen, hatten bisher die Ausführung einer solchen Expedition nicht aufkommen lassen. Erst im Jahre 1883 bot die internationale Polarstation in Sagastyr im Lena-Delta die Veranlassung zu einer energischen Inangriffnahme dieses Planes. Im Personal dieser Station, die bekanntlich unter Leitung des Herrn Stabscapitain N. Jürgens stand, befand sich als Arzt, Natur- WissENSCH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 u. 1886. 3 forscher und zweiter Beobachter Herr Dr. Alexander Bunge. Durch seine Erfah- rungen, welche durch die Erkundigungen des damaligen Vicegouverneurs von Jakutsk, Herrn W. Priklonski, wesentlich unterstützt und. bereichert wurden, war die Akademie bald von der Möglichkeit einer Sommer-Expedition auf die Neusibirischen Inseln über- zeugt. Dank dem geneigten Interesse des Präsidenten der Akademie, Seiner Hohen Excellenz Graf D. Tolstoi und des Staatssecretairs N. Bunge, damals Minister der Finanzen, welche von Allerhöchster Seite die Mittel zur Bestreitung der Kosten aus den Summen des Reiches zu erwirken vermochten, konnte nun die Akademie, nachdem sie Herrn Dr. Bunge die Leitung der Expedition übertragen und mich zu dessen Gehülfen ernannt hatte, zur Ver- wirklichung des lange gehegten Planes schreiten. Zu dem Zwecke wurde eine Commission aus fünf Mitgliedern der Akademie, den Herrn K. Maximowitsch, Fr. Schmidt, L. v. Schrenck, A. Strauch und H. Wild, erwählt, welche unter dem Vorsitze des Herrn L. v. Schrenck die Instructionen den Reisenden ausarbeiteten. Beim Entwurf eines Reiseplanes musste die Hauptschwierigkeit, welche sich der Fahrt auf die Inseln in den Weg stellte, am meisten Berücksichtigung finden. Diese bestand in der Beschaffung der nöthigen Transportmittel für einen ausreichenden Proviantvorrath während des Aufenthaltes auf den Inseln, dessen Dauer von unvorhergesehenen Umständen abhän- gend, vielleicht eine längere und dadurch für die Expedition eine verhängnissvolle werden konnte. Als einzig zweckdienliches Transportmittel aber konnten nur Hundeschlitten zur Verwendung gelangen. Abgesehen von den ungleich grösseren Kosten, welche ein etwa bei der Stadt Jakutsk zu bewerkstelligender Bau eines Schiffes verursacht hätte, wäre auch ein solcher Plan’zu verwerfen gewesen, da die Eisverhältnisse des Meeres die Landung eines Schiffes an jenen Inseln unmöglich machen. Ausserdem würde für den Fall einer Ueber- winterung ein Schiff in die schwierige Lage kommen, keinen Hafen an den Küsten der Inseln auffinden zu können. So sehr sich auch eine Expedition bei einer Reise auf Hundeschlitten in Allem einschränken muss, was besonders für den wissenschaftlichen Apparat zu bedauern ist, so blieb für diesen Fall kein anderer Ausweg übrig. Eine genügende Anzahl gut bespannter Narten (= Schlitten) und ein dem entsprechendes Quantum an Futter, der sogenannten Jukkola d. i. getrockneter, leicht geräucherter Fisch, für die Hunde, ‘waren somit das erste Erforderniss für einen erfolgreichen Aus- gang der Expedition. Um die Vorbereitungen mit voller Umsicht betreiben zu können, wurde der Expedition ein Zeitraum von zwei Jahren zugemessen, weshalb uns für das Jahr 1885, in welchem wir allmählig nach Norden vordringen sollten, ausser den Vorbereitungen für die Ueberfahrt auf die Inseln, eine wissenschaftliche Recognoscirung der Jana und ihrer Nebenflüsse zur Aufgabe gestellt war. Ende December 1884 traf Herr Dr. Bunge nach Aufhebung der Lena-Mündungs- station in Irkutsk zum Zweck der Ausrüstung der Expedition ein. Hier vereinigte ich | 1* 4 Baron Enuarp у. Toux, mich, von St. Petersburg kommend, mit meinem Chef. Im Februar 1885 reisten wir nach Jakutsk, wo Herr Dr. Bunge bald alle Vorbereitungen zur nordischen Reise ge- troffen hatte. Hierbei muss ich mit Dankbarkeit des leider zu früh dahingeschiedenen Gouverneurs von Jakutsk, General-Major G. Tschernjajew’s gedenken, welcher mit wahrhaft väter- lichem Wohlwollen mit Rath und That der Expedition zu Hülfe kam. Im April verliessen wir Jakutsk und einen Monat später begann unsere Thätigkeit innerhalb des Polarkreises, von Werchojansk aus. Während des Sommers wurden von Herrn Dr. Bunge ein Theil der Adytscha, des grössten Nebenflusses der Jana, von mir die Nebenflüsse Dulgulach und Bytantai zu Pferde verfolgt. Im August erreichten wir zu Boot den nördlichsten von Russen bewohnten Punkt an der Jana, das Kirchdorf Kasatschje unter 70° 50’ п. Br., wo wir den Winter zuzubringen hatten. Vorher wurde noch von Herrn Dr. Bunge eine Tour zur Jana-Mündung und von mir eine durch die Tundra an der Borchaja- Bucht des Eismeeres vorüber nach Bulun zur Lena unternommen. Im October kehrte ich mit Herrn Dr. Bunge, welcher zum Empfang des unterdessen die Lena hinabgeschifften Pro- viantes nachgereist war, von dort zur Jana nach Kasatschje zurück. Während der Polarnacht machte Herr Dr. Bunge noch eine Fahrt zum Eismeer, zum Punkte Aidschergaidach beim Swjatoi-Noss, wo ein Depot unseres Proviantes niedergelegt wurde. Ich nahm den Fundort eines Mammuthkadavers am Flüsschen Borüräch in Augenschein, dessen Lagerungsver- hältnisse ich später während eines sechswöchentlichen Aufenthaltes, vom 28. Febr. (12. März) bis zum 9./21. April, durch Ausgraben der wenigen erhaltenen Reste und Anlegen eines Schachtes im Liegenden der Mammuth führenden Schicht, kennen lernte. Im April 1886 waren alle Vorbereitungen zur Ueberfahrt auf die Inseln getroffen. Nachdem der erste Transport auf die Inseln gesandt und die Führer desselben glücklich zurückgekehrt waren, brach ich zunächst mit 2 Schlitten voraus von dem Punkte Aidsher- gaidach aus auf die Grosse Ljachow-Insel auf. Nach wenigen Tagen folgte Herr Dr. Bunge mit den 12 Schlitten nach. Auf Grund der unterdessen von mir vorgenommenen Untersuchung der Insel ergab sich die Nothwendigkeit einer Theilung der Expedition. Da die Grosse Ljachow-Insel ganz besonders reich an quartären Ablagerungen, also auch an fossilen Säugethierresten ist, wäh- rend die Insel Kotelny, auf welcher wir nach dem ursprünglichen Plane beide gemeinsam den Sommer verbringen sollten, hauptsächlich aus älterem, felsigem Boden besteht, so war es durchaus erwünscht beide Inseln zu durchforschen, um den gestellten Anforderungen ge- recht zu werden. Im Sommer konnte von einer Verbindung zwischen den beiden Inseln über die dann zertrümmerte und von den Wogen hin und her getriebene Eisdecke nicht die Rede sein und daher entschied sich Herr Dr. Bunge dahin, die Grosse Ljachow-Insel zu seinem Arbeits- felde zu wählen, mir die Insel Kotelny zur Untersuchung überlassend. Zunächst aber zogen wir zusammen weiter nach Norden. Auf der Insel Kotelny am 4./16. Mai angelangt, trennten WıssenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN ExP. т. D. J. 1885 v. 1886. 5 wir uns wenige Tage darauf für 6 Monate. Herr Dr. Bunge bereiste die Ostküste der Insel Kotelny, war aber bald durch Holzmangel und Erschöpfung der Hunde gezwungen, den Rück- weg zur Grossen Ljachow-Insel anzutreten, woich mit ihm erst am 25. October (6.November) glücklich zusammentraf. Dort hatte Herr Dr. Bunge trotz sehr schwieriger Verhältnisse, da die zu den Sommerreisen nothwendigen Renthiere durch ein Missverständniss alle zu mir ge- langt waren und er sich nur zu Fuss fortbewegen konnte, reiche Sammlungen, besonders an fossilen Säugethierknochen erbeutet. Ich vollbrachte vor dem Beginne des Sommers, bis zum 31.Mai(11.Juni),eine Reise über die Fadejew-Insel zu den «Holzbergen» und dem Nordcap der Insel Neusibirien auf Hundeschlitten über das noch feste Eis. Auf die Insel Kotelny zu- rückgekehrt, unternahm ich eine 43-tägige Tour rund um die Insel, deren Nordspitze unter 76° 172” liegt. Mit dem Eintritt des Winters, der in den ersten Tagen des September erfolgte, und zwar nach einem Sommer, welcher fast ebenso wie auf der Grossen Ljachow- Insel (+ 1,6° C.), eine Durchschnittstemperatur von +-1,4°C. besass, war ich an mein selbsterbautes Winterhaus an der Westküste bei der Mündung des Urassalach gebunden und wartete hier das Festwerden des Eises ab, um sobald als möglich den Rückweg anzutreten. Am 20. October (1.November) verliess ich die Insel Kotelny und gelangte Dank der vor- züglichen Führung unserer für die Expedition geworbenen Promyschlenniks, besonders des Tungusen Wassili Djakonow, trotz noch offener Stellen im Eise und trotz äusserster Schnee- stürme, die mich auf der Grossen Ljachow-Insel und auf dem Festlande, in der Tundra beim Swjatoi-Noss, erfassten, am 5./17. November wohlbehalten in Kasatschje wieder an. Herr Dr. Bun ge traf 2 Tage später ebenfalls in bester Gesundheit ein, doch nach höchst erschöpfen- der Ueberfahrt über die mit lockerem Schnee bedeckten Packeisfelder zwischen der Grossen Ljachow-Insel und dem Festlande. Diese machten ihm weit mehr zu schaffen als mir, da er den schweren Transport der Sammlungen begleitete, während ich die letzte Strecke auf zwei leichten Renthiernarten allein mit einem Tungusen vorausgeeilt war. Am 16./28. Januar 1887 erreichte ich St. Petersburg und konnte meine Neusibirischen Sammlungen, nach einem c. 12000 Werst langen Wege, wovon 8000 Werst Schlittenfahrt, glücklicher Weise unbeschädigt der Akademie übergeben. Zwei Monate später langte Herr Dr. Bunge nach 5-jährigem Aufenthalt in den Polargegenden Sibiriens ebenfalls in der Hauptstadt an. Mit der vorliegenden Abhandlung soll die Veröffentlichung der wissenschaftlichen Resultate, und zwar der geologischen Beobachtungen, ihren Anfang nehmen. Das Thema zu diesem ersten Abschnitt bilden die im Sommer 1886 gesammelten paläo- zoischen Versteinerungen der Neusibirischen Insel Kotelny. Als Fortsetzung sollen demnächst die Beschreibung der mesozoischen Ablagerungen sowohl der Insel Kotelny als des Jana-Landes, dann die tertiären Bildungen Neusibiriens, der sogenannten «Holzberge», endlich die geognostischen Beobachtungen über das Quartär mit 6 Baron EDuARD у. ToLL, seinem «Eisboden» und «Mammuthlagern» sich hieran reihen. Zum Schluss soll bei der all- . gemeinen geognostischen Uebersicht eine kartographische Darstellung dem Ganzen beige- geben werden. Es ist zu bedauern, dass von der gesammten wissenschaftlichen Ausbeute der Expe- dition nur ein Theil im Zusammenhange unter dem gemeinsamen Titel dieses Werkes zur Veröffentlichung gelangt, besonders da von hervorragenden Autoren die freundliche Zusage ihrer Mitarbeiterschaft erfolgt war. Rücksichten mancher Art verursachten eine Zerstücke- lung der Einzelbearbeitungen des Materials. ; Bisher sind folgende Bearbeitungen des gewonnenen wissenschaftlichen Materials erschienen: 1) Die Meteorologischen Beobachtungen, nach den Originalnotizen bearbeitet von Herrn R. Bergmann, Physiker am physikal. Central-Observatorium zu St. Petersburg, und zwar: Meteorologische Beobachtungen im Jana-Gebiet, angestellt von Herrn Dr. A. Bunge!). Meteorologische Beobachtungen auf den Neusibirischen Inseln, angestellt von dem- selben ?). Meteorologische Beobachtungen im Jana-Lande und auf den Neusibirischen Inseln, angestellt von Baron Eduard v. Toll I 2) Die Beschreibung der von Herrn Dr. A. Bunge gesammelten Pflanzen, von der Lena-Mündung, von der Jana und der Grossen Ljachow-Insel zusammen mit den wenigen von mir an den Jana-Quellen (Dulgulach) und auf der Insel Koteiny gefundenen. Es ist das das letzte Werk des soeben im hohen Alter verstorbenen, für die Wissenschaft rastlos thätig gewesenen Prof. emer. Geheimrath E. R. von Trautvetter: Syllabus plantarum Sibiriae boreali-orientalis a Dre. Alex. a Bunge fil. lectarum. Petropoli 1888. 3) In der Arbeit des Herrn Dr. Edmund Mojsisovics von Mojsvär «Ueber einige Arktische Trias-Ammoniten des nördlichen Sibiriens» ?) ist eine kleine Sammlung von Trias- Ammoniten von der untern Jana, welche auf Veranlassung des Herrn Akademiker Fr. Schmidt vom Verfasser freundlichst zur Bearbeitung übernommen wurde, beschrieben worden. Ferner hat Herr Prof. J. Schmalhausen in Kiew die Gefälligkeit gehabt die Bestim- mung der auf der Insel Neusibirien an den sogenannten «Holzbergen» gesammelten Tertiär- pflanzen zu übernehmen. Der wichtigste Theil der von Herrn Dr. A. Bunge gemachten Sammlungen, die quar- tären Säugethierknochen der Grossen Ljachow-Insel, dient im Auftrage der Akademie der Wissenschaften Herrn N. Tscherski zu einer umfassenden Untersuchung, deren Ergebnissen mit ganz besonderem Interesse entgegen gesehen werden darf. 1) Beiträge z. Kenntn. des Russ. Reiches, III. Folge, 3) Ebendort, p. 363—412. Bd. III, 1887, р. 188—229. 4) Mém. de l’Acad. Imp. d. sc., УП. S., Т. XXXVI, 2) Ebendort, р. 323—368. №5, 1888. WissENsCH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Ехр. т. D. J. 1385 п. 1886. 7 Aus den Zoologischen Sammlungen endlich werden die Lumbriciden von Herrn N.Kula- gin in Moskau beschrieben, dessen Arbeit bereits am 24. Mai der Akademie vorgelegt ist. Die Herren Prof. Dr. M. Braun in Rostock und Dr. О. Nordquist in Helsingfors haben sich liebenswürdigst bereit erklärt an der Bearbeitung Theil zu nehmen, indem ersterer die von uns gesammelten Entozoen, letzterer die Crustaceen übernommen hat. Das von mir auf der Insel Kotelny gewonnene paläozoische Material zerfällt seinem Vorkommen nach hauptsächlich in zwei Gruppen, es sind das einerseits die fast ausschliesslich als Flussgeschiebe gesammelten silurischen Versteinerungen der Dragozennaja, des Flusses, an dem nach den früheren Angaben Ceratiten zu finden gewesen wären!), zum geringen Theile auch an der Glubokaja, und andererseits die devonischen Korallen und Brachiopoden, die aus dem mächtigen, zusammenhängenden Profil der Westküste an fünf verschiedenen Punkten und ausserdem an dem Flusse Tschukotskaja entdeckt wurden. Es ist nur ein bescheidener Beitrag zur Kenntniss paläozoischer Faunen und ihrer Ausbreitung, den das vorliegende Material zu liefern im Stande ist. So klein es aber ist, so ist es doch in mancher Beziehung ein glückliches zu nennen, da wir auf Grundlage der be- kannten Arten, die mit Sicherheit bestimmt werden konnten und den grössten Theil der Sammlung ausmachen, die einzelnen Niveaus mit ziemlicher Gewissheit festzustellen ver- mögen und ferner die hier nachgewiesenen Formen uns nicht nur den Einblick in charak- teristische, wohlentwickelte Faunen gewährten, sondern beim Studium mit Hülfe des Mi- kroskopes das Bild einer Welt niedrigster Organismen erschlossen, deren Existenz bisher in silurischen Ablagerungen nur in Spuren, nicht aber mit wohlerhaltenen äusseren Gebilden bekannt war, ich meine die Foraminiferen, von denen weiter unten die Rede sein wird. Um ein Verständniss für die Schwierigkeiten zu eröffnen, unter denen das Material be- schafft werden musste, sei mir gestattet hier nur noch der Umstände zu erwähnen, unter denen die einzelnen Fundpunkte untersucht werden konnten. Am 8./20. Juni fand ich in den Kalkfelsen der Westküste in der Nähe des Jegorow- Stan die ersten Spuren einer Spiriferen führenden Schicht. Damals war hier die Steilküste mit mächtigen Schneelehnen bedeckt. Diese waren auch am 24. Juni (6. Juli) noch, als ich zur Rund- reise um die Inseln nach Norden aufbrach, an der Mündung des Urassalach zum geringsten Theil nur abgethaut. An der Dragozennaja fand ich nur einen einzigen Felsen schneefrei, wäh- rend ringsum und erst recht im Norden und Nordwesten der Insel alle Steilwände unter Schnee (Firn) verborgen lagen. An dem Flusse Tchukotskaja, an der Westküste wieder an- gelangt, fand ich zwar zugängliche Fossilien führende Entblössungen, konnte dort aber keinen Augenblick länger verweilen als gerade zum Uebersetzen des Flusses nöthig war, da unser 1) Ueber meine vergeblichen Bemühungen den Fundort der Ceratiten zu entdecken vergl. meinen Bericht 1. c., p. 288, 301, 302, 316 und 317. 8 Baron EDUARD у. Tozu, Proviant aufgezehrt und unsere zur Rückfahrt und dem Transport der Sammlungen un- entbehrlichen Renthiere dringend der Erholung bedurften, welche wir ihnen nur am Uras- salach nach Erreichung unseres Proviantdepots gewähren konnten. Ende August, als ich die Strecke zwischen der Urassalach-Mündung und Jegorow-Stan theils zu Fuss, theils zu Boot | nochmals untersuchte, war hier ein grosser Theil des übersommerten Schnees mit herab- geflossenem, schlüpfrigem Lehm überschlemmt, wodurch die Felswände noch unzugänglicher geworden waren und mir bei Verfolgung der einzelnen Schichten nur zu häufig der Faden verloren gehen musste. Im October endlich als ich zur Untersuchung der Küste nördlich von der Urassalach-Mündung eine Fahrt bis zur Nerpelach - Bai unternahm, hatten die Schneestürme hinlänglich Zeit gehabt von neuem mächtige Schneelehnen an die Felswände zusammen zu fegen. Diese Missgunst der Verhältnisse entschuldigt hoffentlich das Unzulängliche des Ma- terials. Die stratigraphisch und paläontologisch relativ besser untersuchten devonischen Ablagerungen bilden das Thema zum ersten Abschnitt dieser Abhandlung, die Beschreibung der silurischen Versteinerungen bildet den zweiten Abschnitt. Historischer Vorbemerkungen bedarf es hier nicht, da bisher nichts Sicheres über den geologischen Bau der Insel bekannt war. Die wenigen Angaben Sannikow — Heden- ström’s, Anjou’s und Figurin’s sind in dem citirten Bande «der Beiträge zur Kenntniss des Russischen Reiches» р. 288—292 von mir zusammengefasst. Wohl aber ziemt es sich an dieser Stelle jenes bekannten ersten Hinweise, auf das Vorhandensein versteinerungsführender Schichten auf der Neusibirischen Insel Kotelny zu gedenken. Es war dieser im Meekoceras (Ceratites) Hedenströmi Keyserl. gegeben, einem, angeblich von der Insel Kotelny stammenden Ceratitenfragment, welches Hedenström dem General Tschewkin persönlich auf dessen Reise in Sibirien übergeben hatte. Durch diesen kam das Stück in die Sammlung des Bergcorps. Schon im Jahre 1842 hatte Prf. Eichwald in d. Bullet. sc. de РАсаа. Vol. ТУ. р. 113 die erste Mittheilung darüber gemacht. Im Jahre 1848 wurde der Ceratit von A. Graf Keyserling im paläontologischen Theile des grossen Reisewerkes von A.von Middendorff beschrieben und abgebildet (Sibirische Reise В. I. Th. I. p. 244—246, Tab. I. fig. 5, 6, 7), und zwar zusammen mit 3 anderen neuen Ceratiten (С. Middendorffi, С. uns und C. Eichwaldi) vom Olenek, welche A. von Middendorff auf seiner Reise in Jakutsk erworben hatte. Die paläantologische Betrachtung führte Graf Keyserling zu dem Schlusse, dass auf der Insel Kotelny, ebenso wie am Olenek, . dem Muschelkalke entsprechende Schichten zu erwarten seien. Es war dadurch von A. von Middendorff der erste Anstoss zu einer Reihe geologischer Forschungen in dem centralen und arctischen Sibirien gegeben, die durch die Bemühungen des Akademiker Fr. Schmidt in’s Leben gerufen und durch Czekanowski in so glänzender Weise zur Ausführung ge- langten. Die Früchte der Arbeit dieses rastlosen Reisenden haben endlich in würdiger Weise in der Bearbeitung der «arctischen Triasfaunen» von E. von Mojsisovics (Mém. de l’Acad. Imp. des sc. de St. Peters. УП. S. vol. ХХХШ. № 6, 1886) ihren Abschluss gefunden. PSS ET > RER RE en WissenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. р. J. 1885 п. 1886. 9 Was die von mir benutzte Litteratur betrifft, so war mir dieselbe in Bezug auf das Devon durch die Thatsache vorgezeichnet, dass die Devonfauna der Insel Kotelny mit der Uralischen fast vollkommen identisch ist. Soeben war das umfassende Werk von Herrn Th. Tschernyschew «Die Fauna des mittleren und oberen Devon am Westabhange des Urals» Mem. du Com. Géol. У. Ш. №3 1887, erschienen. Dieses diente mir zum vorzüglichsten Leitfaden und zur ausgiebigsten Fundgrube für die einschlägige Litteratur, von welcher ich nur die unentbehrliche Arbeit E. Kayser’s «Die Brachiopoden des Mittel- und Oberdevon der Eifel» Z.s. 4. G. ©. Bd. XXII, 1871 nicht unerwähnt lassen kann, während ich im Uebri- gen auf das vollständige Litteraturverzeichniss im Werke Tschernyschew’s verweise. Andererseits warich durch die Anklänge an das Amerikanische Devon, welche die Neusibiri- schen Ablagerungen noch mehr als die Uralischen charakterisiren, auf die Paläontologica der Amerikaner gewiesen, von denen ganz besonders James Hall benutzt werden musste. Bei der Bearbeitung des Silur diente mir hauptsächlich die Arbeit Prof. G. Lind- ström’s «Silurische Korallen aus Nord-Russland und Sibirien». Bihang till. К. Sv. Vet. Akad. Handl. В. 6, № 18 zur Grundlage der Bestimmung der Korallen, die mit denen der mitt- leren Tunguska (welche das beste Material zu jener Abtheilung lieferten), grösstentheils übereinstimmten. Ferner waren mir mehrere Arbeiten des Herrn Akademiker Fr. Schmidt über silurische Versteinerungen Sibiriens von grösster Wichtigkeit, die bei den einzelnen Beschreibungen weiter unten citirt sind. Ich komme hier einer angenehmen Pflicht nach, indem ich den Herren, die mir bei der Bearbeitung des vorliegenden Materials mit Rath und Belehrung freundlichst zur Seite standen, meinen innigsten Dank sage. Vor Allen ist es Herr Akademiker Г. Schmidt, dem ich für gütige Anregung und Be- lehrung, besonders auf dem Gebiete des Silur nicht nur während der Bearbeitung sondern auch schon vor meiner Reise, während meiner Vorbereitung zu derselben, verpflichtet bin. Für meinen Dank ist der Rahmen dieser Zeilen viel zu eng. Bei Bestimmung der devonischen Versteinerungen hat Herr Th. Tschernyschew mich in der allerliebenswürdigsten Weise an der Hand seiner im Ural gesammelten Er- fahrungen zu belehren die grosse Güte gehabt. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 2 Devonische Versteinerungen der Westküste der Insel Kotelny. Einleitende Bemerkungen. ` Die Gestalt der Insel Kotelny, der grössten aus der Gruppe der Neusibirischen Inseln, wird bedingt durch die Anordnung des sie aufbauenden Gebirges. Ein im Allgemeinen N—S streichendes Kettensystem bildet die nördliche, spitz zulaufende Hälfte der Insel, während ein in seinem Hauptstreichen WNW—ESE gerichteter Faltenzug die südlichere, breitere Hälfte der Insel einnimmt. Das Herantreten einiger steil zum Meere abfallender Einzelfalten, die eine Streichrichtung von ENE—WSW haben, an die Westküste, verursacht dort die leichtgezackte Contour derselben. Es geschieht das ca. vom 74° 50° п. Br., einige Meilen südlich vom Punkte Jegorow-Stan, bis ca. zum 75° 25’, dem Cap Tschukotski am Eingang der Nerpelach-Bai. Der höchste Punkt der Insel ist der Malakatyn-Tas, nach Herrn R. Bergmann’s mir freundlichst zugestellten Berechnungen im mittleren Annäherungswerthe 385 Meter = : 1263’ über dem Meeresniveau. Er gehört dem südlichen Gebirge an, das von seinem Fusse an in sanfter Böschung sich zum Meere neigt und dort (mit der genannten Steilküste) nur in einer Höhe von ca. 15 bis 25 Metern abbricht. Der nördliche Gebirgszug, der mit einem flachen, schmalen Vorlandstreifen endet, erreicht in den von mir bestiegenen Gipfeln keine höhere Ziffer als ca. 100 Meter. Dieses ganze Gebirgsland besteht aus paläozoischen Gesteinen, welche nur an der Süd- ostküste, in der Zarewa-Bucht, und am Südcap unter triassischen Ablagerungen aus dem Horizonte des Werchojansker Pseudomonotis-Schiefers, verschwinden, in der Mulde aber, welche die beiden divergirenden Gebirgszüge zwischen sich fassen, im Thale des Balyktach, Raum für Kohlen führende Bildungen übrig lassen, die wahrscheinlich dem Tertiär ange- hören. Dem Relief des Bodens entsprechend ist das Quartär in verschiedener Mächtigkeit aufgelagert. Aus dem Profil der genannten Küstenstrecke zwischen dem 74° 50’ п. Br. und 75° 25’ n. Br. interessiren uns hier nur die Schichten, die mit den devonischen Versteinerungen in Baron. Е. У. Тогь, WissenscH. RESULTATE D. NEUSIBIR. Exp. т. р. 4. 1885 0. 1886. 11 nachweislichem Zusammenhang stehen. Es sind dunkle, graue bis schwärzliche Kalke von zum Theil bituminösem Geruch, die in Platten und Bänken mit thonigen, schieferigen Schichten wechsellagern. An drei Punkten tritt zwischen diesen als Liegendes der Fossilien führenden Sedimente eine Diabasdecke zu Tage. Südwärts von der Mündung des Jegorow-Stan-Flusses waren folgende Verhältnisse er- kenntlich: es folgten sich von unten nach oben: a Hellgraue bis gelbliche, dünnschieferige, mergelige Kalke mit eingesprengten Schwefel- ` kieskrystallen. Fallen Е 2 N unter einem Winkel von 84°, Streichen №М— 5 '). b Eine ca. 20 Meter mächtige Diabasdecke, die auf die darunter liegenden Schichten stark contact-metamorphisch gewirkt hat. се Dunkelgraue, mehr oder weniger bituminöse, grobkörnige Plattenkalke. In e richten sich die Schichten je mehr zum Hangenden desto steiler auf und ver- ändern dabei ihr Einfallen mehr nach E, zuletzt wenige Grad nach S. Weiter wird das Profil ganz unzugänglich, nachdem es sich im Detail besonders in с nicht genauer ver- folgen liess. Weiter südwärts jenseit des nächsten Caps fallen dieselben Schichten wie с nach N 75° W unter einem Winkel von 25°. Darunter folgen dieselben Kalke mit einer 0,5 Meter mächtigen, eingelagerten Spiriferenbank, erfüllt von Spirifer elegans, Orthis striatula u.a.m. ©” Plattenkalke verschiedener Mächtigkeit mit Afrypa aspera, Rhynchonella acuminata var. platyloba, Steinkerne von Productus Hallanus, Productus subaculeatus, u. a. m. с? Mergelige Kalke mit Spirifer elegans, Sp. elegans var. novosibirica. c! Bunte, bituminöse Kalke und Kalkthonschiefer. b Eine Diabasdecke. a Hellgraue bis gelbliche, dünnschieferige, mergelige Kalke mit eingesprengten Schwefelkieskrystallen. Dieses Profil ist in dem Holzschnitt Fig. 1 schematisch dargestellt. Jegorow-Stan VW a = hellgraue bis gelbliche, dünnschieferige, mergelige Kalke mit eingesprengten Schwefelkieskrystallen. — $ = die Diabasdecke. — с = Plattenkalke. — s = Fossilien führende Schicht. 1) Fallen und Streichen sind hier wie auch später immer observirt. 12 Baron Еролвр у. Тори, An einem zweiten Punkte, in den Felsen der Küste bei der Urassalach-Mündung, ап dem nördlichen Ufer derselben bis zum nächsten kleinen Flüsschen und über dasselbe hin- Fig. 2. S'’E Urassalach-Mündung. а — Contactschiefer. — b = Diabasdecke. — с = Kalke ete. — s — Fossilien führende Schichten. aus bis zum vorspringenden Cap, liessen sich die Schichten, wie in Fig. 2 schematisch wie- dergegeben, verfolgen: a Hellgraue bis gelbliche, dünnschieferige, mergelige Kalkschichten, nach oben in grau- grüne contact-metamorphische Schiefer übergehend. b Eine ca. 20 Meter mächtige Diabasdecke. с Bituminöser Kalkthonschiefer. с' Mergeliger Kalk mit Spirifer hians, Camarophoria Tschernyschewi, Productus suba- culeatus. Sie bilden eine Bank von 0,8 Meter Mächtigkeit. In tieferen Schichten desselben Ge- steines fanden sich einzelne Productus Hallanus. с’ Derselbe Kalk ohne Fossilien. сз Derselbe mit einer Zwischenschicht erfüllt von Spirifer elegans, Orthis striatula. c* Dunkle Plattenkalke. c° Jenseits des Flüsschens dieselben. Die Schichten sind im Liegenden 75° steil, werden im Hangenden flacher geneigt und fallen nach N 26 W ein. An zwei Punkten fanden sich also genau dieselben Schichtenfolgen wieder, bei der Urassalach-Mündung und beim Jegorow-Stan. Bei letzterem glaube ich dieselben als die beiden Schenkel einer Mulde auffassen zu dürfen, bei welcher der NW-Schenkel am Rande einer Verwerfung abgesunken ist, obgleich in der nördlichen Schichtenfolge die Fossilien führenden Schichten sich nicht auffinden liessen. Sie konnten aber leicht bei der Schwie- rigkeit der Verhältnisse übersehen werden. Im October entdeckte ich noch an zwei Punkten Fossilien führende Horizonte, doch konnte damals von einer Verfolgung der Schichten nicht die Rede sein. , a Ta EEE, WiıssenscHh. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 о. 1886. 13 In dem fast krystallinischen Kalk des Caps Tschukotski fanden sich Spirifer Whitneyi, Orthis striatula, Streptorhynchus umbraculum, St. crenistria, Schalenfragmente von Productus, Favosites und unbestimmbare Crinoiden-Reste. Bei dem anderen Punkte, dem zweiten Cap jenseit der Urassalach-Mündung, welches ich Cap Anjou nenne, konnte in dem petrographisch identischen Gesteine, bituminöser schwarzer Kalk wie am Urassalach und Jegorow-Stan, von Brachiopoden nur Pentamerus galeatus und Atrypa reticularis nachgewiesen werden, von Korallen aber fanden sich die so charakteristischen Cyathophyllum caespitosum Goldf., Alveolites suborbicularis Lam. und Stromatopora. Von den am Flusse Tschukotskaja im Fluge gesammeltem Brachiopoden liessen sich des schlechten Erhaltungszustandes wegen nur Spirifer conf. Anossofi, Orthis striatula und Atrypa reticularis bestimmen, da in dem Gestein, welches zwar petrographisch mit den übrigen Brachiopoden führenden übereinstimmte, die Einschlüsse zu sehr durch Druck und Risse verändert waren. Ausserdem fanden sich hier freiliegend in gut erhaltenem Zustande: Cyathophyllum hexagonum Goldf., Aulopora serpens Goldf., Alveolites suborbicularis Lam., Syringopora sp. und Stromatopora. Aus einem Geschiebe der Urassalach-Mündung stammen die Abdrücke und Kerne des Spirifer elegans, var. novosibirica, der Abdruck der Strophalosia productoides neben Atrypa reticularis. Beschreibung der Arten, BRACHIOPODA. Genus Spirifer Sowerby. Spirifer elegans Steininger. Tab. I, Fig. 1—6. 1853. Spirifer elegans Steininger, Geognostische Beschreibung der Eifel, p. 72, Tab. VII, Fig. 2. — Spirifer diluvianus Steininger, ibidem, р. 73, Tab. VII, Fig. 1. 1871. Spirifer elegans Kayser, Die Brachiopoden der Eifel, p. 569, Tab. XI, Fig. 2. 1882. Spirifer elegans Barrois, Asturies et Galice, p. 248, pl. II, Fig. 10. 1884. Spirifer elegans Tschernyschew, Mater. z. Kennt. d.devon. Abl. Russlands, р. 31, Tab. II, Fig. 9. 1887. Spirifer elegans Tschernyschew, Fauna des mittleren und oberen Devon etc. p. 65, Tab. IX, Fig. 3—4, 7. Diese Muschel gehört zu den häufigsten und zugleich charakteristischsten Formen der hier zu beschreibenden Fauna. Auf die Reihe der abgebildeten Formen passt trefflich die von Kayser, 1. с. gegebene Charakteristik, mit Ausnahme weniger Abweichungen, die jedoch nicht zur Trennung von dieser Art hinreichen können. Diese bestehen hauptsächlich in einer verschiedenen Längen- und Breitenausdehnung der Muschel, verbunden mit mehr oder weniger stärkerer Entwickelung der spitz zulaufenden Ecken, während Abweichungen von der linearen Form der Area seltener erscheinen, der glatte, faltenlose Sinus und die De- pression auf dem Sattel aber durchaus constant bleiben. Die typischen Formen schliessen sich am engsten den Uralischen von Ust-Katawsk und Serpejewka (conf. Tschernyschew, l. c.) an, es sind die in Fig. 1, 2 und 4 abgebildeten, von denen Fig.1 und 4 die längeren, Fig. 2 die breitere Form darstellen. Durch die grössere Gestalt, eine schärfere Abgrenzung der Loben, in Folge tieferer Einsenkung des Sinus am Stirnrande und durch bedeutende Verlängerung der scharf ab- gesetzten, spitz zulaufenden Ecken entfernt sich die in Fig. 3 abgebildete Form soweit von Baron Е. у. Tozz, WissensoH. RESULTATE D. NEUSIBIR. Exp. 1. р. J. 1885 п. 1886. 15 der typischen, dass sie als besondere Varietät, als varietas novosibirica bezeichnet zu werden verdient. Von ihr sind junge Exemplare der nordamerikanischen Spirifer medialis Hall, Geol. Survey of New-York: Palaeontology, Vol. IV, Part I, 1862—1866, p. 227, T. 38, Fig. 2, 3 und T.38*, Fig. 1 nur durch das Fehlen der medianen Depression auf dem Sattel der letzteren zu unterscheiden, während die älteren Individuen sich von der Neusibirischen Varietät des Spirifer elegans noch durch die Breite der Area, durch einen grösseren Ven- tralbuckel und durch eine auf dem Kamm der Rippen verlaufende Längsfurche, sowie end- lich durch die grössere Anzahl der Falten, hier 12—15, dort 20—24 auf jedem Lobus, weiter entfernen. In demselben Verhältniss steht unsere Form zu Spirifer Martianofi Stuckenberg!), bei welcher jedoch eine Sattel-Depression vorhanden ist. Wie schwierig Spirifer Bouchardi Murch. von Spirifer elegans zu unterscheiden ist, darauf hat Herr Tschernyschew in seiner letzten Arbeit (l. c., p. 70) hingewiesen. In Fig. 5 ist еше Varietät des Spirifer elegans abgebildet, welche der Bouchardi in ihrer Ge- stalt nahe kommt. Unter den vielen Kotelny’schen Exemplaren fanden sich einzelne mit bedeutend höherer Area, die dadurch dem Spirifer subcomprimatus Tschernyschew ähnlich werden. ‘Ebenfalls als eine Varietät der Grundform elegans scheint mir auch Spirifer Kayseri Stuckenberg (|. с., р. 11, Tab. I, Fig. 13) aufgefasst werden zu können. In Fig. 6 ist eine junge Form eines Spirifer elegans abgebildet, welche von jener nur durch den geringen Ventralbuckel unterscheidbar ist; die Satteldepression ist an Originalexemplaren von Spirifer Kayseri (vielleicht des Erhaltungszustandes wegen) nicht nachweisbar. Fundorte: Varietas novosibirica bei Jegorow-Stan in einem Exemplar, in Steinkernen und Abdrücken massenhaft in einem Geschiebe des Urassalach ; die übrigen Variäteten bei Jegorow-Stan und am Urassalach massenhaft. Spirifer conf. Anossofi Murch., Vern., Keys. 1845. Spirifer Anossofi Murch., Vern., Keys., Russia and the Ural, Vol. II, p. 153, pl. IV, Fig. 3. 1846. Spirifer Anossofi Keyserling, Petschora-Land, p. 229. 1858. Spirifer Anossofi Pacht., Geognostische Untersuchungen, p. 95. 1858. Spirifer Hungerfordi Hall, Geology of Jowa, Vol. I, Part II, p. 501, pl. IV, Fig. 1. 1886. Spirifer Anossofi Wenjukoff, Fauna 4. devon. Systems etc., р. 79, Tab. IV, Fig. 8—10. 1886. Spirifer Schmidt: Stuckenberg, Mater. z. Kennt. 4. Fauna 4. devon. Sibiriens, р. 7, pl. Ш, Fig. 10—11. 1887. Spirifer Anossofi Tschernyschew, Fauna d. mittl. u. oberen Devon etc. p. 62, Tab. IV, Fig. 6, Tab. VII, Fig. 11—15. 1) Mater. z. Kenntn. d. Fauna 4. devon. Abl. Sibiriens. Mém. de l’Acad. Imp. d. scienc. VII Ser., T. XXXIV, № 1, 1886. 16 Baron Еролвр У. Tor, Es liegen einige unvollständige Exemplare einer Muschel vor, die zwar kein vollstän- diges Bild dieser, für die Feststellung des Horizontes so wichtigen Form wiedergeben, aber durch die Anordnung der feinen Falten, den gering entwickelten Sinus, durch die mit kleiner, dreieckiger Oeffnung versehene stumpfkantige, gerade Area sich einerseits an Spirifer Anossofi anschliessen, andererseits aber durch die eckigen Seitenkanten und die quer ver- längerte Form noch mehr Spirifer Hungerfordi (1. с., Fig. 1 b, с, 4) nahe zu stehen scheinen. Fundort: Ich fand diese Muschel mit Orthis striatula, Atrypa reticularis und anderen, unbestimmbaren Spiriferen beim Uebergang über den Fluss Tschukotskaja in den senkrecht gestellten Kalkschichten, die das linke Ufer des Flusses bilden. Leider war das Gestein der- maassen zerspalten, dass sich die fossilen Einschlüsse in demselben meist nur in Bruch- stücken fanden. Spirifer hians Buch. Tab. I, Fig. 7. 1838. Orthis hians Buch., Ueber Delthyris oder Spirifer, р. 370, Tab. 24, Fig. 10—12. 1871. Spirifer hians Kayser, Brachiopoden der Eifel, р. 589. 1887. Spirifer hians Tschernyschew, Fauna des mittl. u. ober. Devon, р. 70, Tab. 8, Fig. 7. Synonymik s. bei Kayser. An 16 wohlerhaltenen Exemplaren lässt sich die von Kayser (l. с.) gegebene Cha- rakteristik dieser Form vollkommen wiedererkennen. Auch die Medianfurche ist auf beiden Klappen deutlich nachweisbar oder leicht angedeutet. Die feinen Radialfalten und concen- trischen Anwachsstreifen sind zum Theil gut erhalten. Von den Uralischen unterscheiden sie sich noch durch den grösseren Winkel, unter welchem die Areae der beiden Klappen sich schneiden. Zwei Exemplare maassen: Länge 4,5 mm., Breite 6 mm., Höhe 4 mm. DOS DID » Бе» о» Fundort: Urassalach in dem an Versteinerungen reichsten Kalkthonschiefer. Spirifer Whitneyi Hall. Tab. I, Fig. 9. 1858. Spirifer Whitneyi Hall, Geology of Jowa, р. 502, pl. IV, Fig. 2. 1887. Spirifer Archiaci Tschernyschew, Fauna d. mittl. u. oberen Devon etc., р. 60. (pars.) Synonymik cnf. ibidem. Von dieser Species sind nur einzelne Klappen und zwar meist die Dorsalklappen, aber keine ganzen Muscheln vorhanden. Sie sind von quer ovaler, flügelförmig verlängerter Ge- stalt, mit spitz zulaufenden mehr oder weniger ausgeschweiften Ecken (F.9c). Sattel von den Loben durch eine tiefere Furche getrennt; Oberfläche mit feinen Rippen besetzt, die auf RS A NE ih Se Fa UM © En Lx Te AP Qi es оби, ча Eee À ЕЕ АЕ URSS EG Zu Su TE РАВ". as Dire WissensoH. RESULTATE р. NEUSIBRISCHEN Ехр. 1. р. J. 1885 v. 1886. 17 dem Sattel und im Sinus dichotomiren, so dass ihre Zahl, am Wirbel mit 2—4 beginnend, am Stirnrande auf dem Sattel von 8 bis 16, im Sinus von 6 bis 10 anwächst. Auf den Seiten erreichen gegen 20 Falten die Schlosskanten. Anwachsstreifen und Schalenskulptur sind in der von Hall angegebenen Weise vorhanden. . Von Spirifer Archiaci Murch. unterscheidet sich unsere Form nur durch die Feinheit und grössere Zahl ihrer Falten. Von Herrn Tschernyschew (1. с.) ist sie mit Recht mit jener zusammengezogen worden und kann wohl nur als locale und zwar nordamerikanisch- uralische Varietät aufgefasst werden. Es erscheint jedoch zweckdienlich für die Kotelny’sche Form den amerikanischen Namen beizubehalten. Fundort: Im krystallinischen dunkelen Kalkstein vom Cap Tschukotski. Genus Cyrtina Davidson. Cyrtina heteroclita Defrance. Tab. I, Fig. 8. 1826. Calceola heteroclyta Defrance, Atl. de Conch. du Dict. des sc. nat., tab. 80, fig. 3. 1846. Spirifer heteroclytus Keyserling, Petschora-Land, Tab. УШ, Fig. 1, 1a, 1b, 1c. 1850—1856. Spirifer heteroclytus Sandberger, Verstein. des Rhein. Schiehfensyat, in Nassau, p. 326, Tab. XXXII, Fig. 8. 1864—1865. Cyrtina heteroclita Davidson, Monog. Devon. Brach., р. 48. pl., IX, fig. 1—16. 1871. Cyrtina heteroclita Kayser, Brachiopoden der Eifel, р. 594, Tab. 12, Fig. 3. 1882. Cyrtina heteroclita Barrois, Asturies et Galice, р. 260, pl. X, fig. 8. — Cyrtina heteroclita Davidson, Suppl. to the Devon. Brach., р. 37, pl. I, fig. 35, 36, 37. 1885. Oyrtina heteroclita Maurer, Fauna der Kalke von Waldgirmes, р. 162, Tab. VII, Fig. 8. 1887. Cyrtina heteroclita Tschernyschew, Fauna d. mittl. u. oberen Devon, p. 78, Tab. X, Fig. 15. Unter 4 Exemplaren dieser zierlichen Muschel, fand sich ein vorzüglich erhaltenes, an welchem sich alle Artcharaktere trefflich erkennen lassen. Auf den Seitenloben erheben sich je 5—6 deutliche Falten, die mit denen der grossen Klappe sich vereinigend an der Stirn eine Zickzacklinie hervorrufen. Auf dem Sattel wird durch eine Querfurche eine Rand- falte abgegrenzt. Danach nähert sich die Kotelny’sche Form der Cyrtina amblygona Phill. Zwei Exemplare maassen: Länge 5,2 mm., Breite 7,0 mm., Höhe 4,3 mm. » 4, 5,05)» » 6,2 » » 6,0 » Fundort: J egorow-Stan, selten. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. à 3 18 Ä BaroN EDUARD v. Tozz, Genus Orthis Dalman. Orthis striatula Schlotheim. Tab. I, Fig. 10. 1813. Anomites Terebratulites striatulus Schlotheim, Min. Taschen., VIII, Tab. I, Fig. 6 1845. Orthis resupinata var. striatula Murch., Vern, Keys., Russia and the Ural, vol. II, р. 183, pl. XII, Fig. 6. \ BR 1846. Orthis striatula Keyserling, Petschora-Land, p. 223. 1849. Orihis striatula Pacht, Der devonische Kalk in Livland, p. 41. 1860. Orthis striatula Grünewaldt, Beiträge zur Kenntniss etc., р. 87. | 1884. Orthis striatula Tschernyschew, Material 2. Kenntniss 4. devon. Abl., р. 24, Tab. Ш, Fig. 18. 1887. Orthis striatula Tschernyschew, Fauna 4. mittleren u. oberen Devon, р. 103. Genauere Synonymik conf. ibidem. Diese kosmopolitische Art ist in den Kalken der Westküste der Insel Kotelny massenhaft und meist in gut erhaltenen Steinkernen vertreten. Sie schliesst sich den typischen euro- päischen vollständig an. In der Reihe der in verschiedenen Altersstufen vorhandenen Exem- plare finden sich einige Abänderungen in Bezug auf die Höhe der Muschel, Tiefe des Sinus und dem entsprechende höhere, zungenförmige Aufbiegungen des Stirnrandes. Die charakte- ristischen Muskel-, Gefäss- und Ovarialabdrücke sind zum Theil trefflich erhalten cf. fig. 10 £. Fundorte: Jegorow-Stan und am Urassalach massenhaft, ebenso im Geschiebe des Urassalach, vereinzelt aus den Uferfelsen der Tschukotskaja und vom Cap Tschukotski. Orthis Bungei nov. sp. Tab. I, Fig. 11. Gehäuse durch den vorspringenden stumpfen Schlosskantenwinkel von verlängert fünf- seitigem Umriss, Schlosslinie kürzer als die grösste Breite der Muschel; Ventralklappe zum — Schnabel hin schwach convex, nach vorn abgeplattet und in einen kurzen Sinus mit dreiecki- ger, abgerundeter Zunge zur Stirn auslaufend. Auf beiden Seiten eine Vertiefung, die mit dem Sinus zwei divergirende Wülste begrenzt. Buckel schwach entwickelt, wenig hervorragend und unbedeutend gekrümmt. Area klein, dreieckig, von einer ebensolchen Deltidialöffnung unterbrochen. Dorsalklappe stark gewölbt, grösste Convexität in der Mitte der Muschel. Buckel sehr klein, kaum vorragend. Schlossfortsatz doppelt (?). Adductormuskeln, Ovarien und Gefässe wie bei Orthis striatula; ebenso die Oberauch u ALES Maasse des einzigen Exemplars: Länge: 26,0 mm., Breite: 22,3 mm., Höhe: 12,9. Durch die obenangeführten Charaktere, besonders durch die verlängert fünfseitige Gestalt und die seitlichen Vertiefungen der Ventralklappe unterscheidet sich diese Form von WissEenscH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Exp. г. D. J. 1885 0. 1886. 19 allen übrigen Orthiden. Ich benenne sie zu Ehren des Leiters der Expedition auf die Neu- sibirischen Inseln, meines verehrten Chefs und Freundes Doctor med. A. Bunge. Fundort: Jegorow-Stan. Orthis Mac Farlanei Meek, var. elliptica nov. var. Tab. I, Fig, 12, ° 1867. Orthis Mac Farlanei Meek, Trans. of Chicago Acad. of se., vol. I, part. I, р. 88, pl, XL, fig. 1. 1883. Orthis Mac Farlanei Kayser, Richthofen’s China, Vol. ТУ, р. 91, pl. XXII, Fig. 3. Die typische Form ist in den obengenannten Arbeiten beschrieben, die Kotelny’sche Varietät verhält sich folgendermaassen: Ummriss eiförmig oval. Schlossrand gebogen mit ab- gerundeten Ecken. Ventralklappe fast plan mit kurz vor der Stirn beginnendem Sinus. Dor- salklappe stark aufgetrieben. Grösste Höhenausdehnung in der Mitte der Muschel. Beide mässig entwickelte Buckel stark genähert. Oberfläche mit fadenförmigen Radialrippen be- setzt, die sich durch Theilung und Einschaltung vermehren. Das einzige vorliegende Exemplar maass: = Länge: 22,3 mm., Breite: 19,0 mm., Höhe: 16,5 mm. Von der typischen Orthis Mac Farlanei unterscheidet sich unsere Varietät durch die geringere Entwickelung der Buckel und durch die ellipsoide Gestalt. Sie entfernt sich von . Ihr etwa ebenso viel wie Orthis Ivanovi und Krotovi Tschernyschew (Fauna des mittl. u. oberen Devon etc., р. 104 u. 105, Tab., Fig. XII 1—7), von denen sie sich durch die gerin- gere Auftreibung der Dorsalklappe und den flacheren: Sinus unterscheidet, doch genügt das einzige vorliegende Exemplar nicht zur Aufstellung einer neuen Art. Fundort: Jegorow-Stan. Orthis iowensis Hall, var. quadrangularis nov. var. . Tab. I, Fig. 13, 14. 1858. Orthis iowensis Hall, Palaentology of Jowa, p. 488, pl. II, Fig. 4. 1867. Orthis iowensis Meek, Trans. of Chigago Acad. of se., Vol. I, part. I, р. 90, pl. XII, Fig. 2. Die typische Form ist in den citirten Abhandlungen beschrieben. Wie Orthis Mac Farlanei var. elliptica und Orthis Bungei gehört auch diese Form in die Gruppe der Orthis striatula, von der sie sich jedoch durch folgende Merkmale unter- scheidet. Gehäuse von verlängert vierseitig-ovalem bis quadratischem Umriss; Schlosslinie kürzer als die grösste Breite der Muschel; Schlosskantenwinkel nahè an 180°. Ventralklappe plan, zum Buckel hin ein wenig gewölbt, kurz vor der Stirn in einen Sinus mit flach bogenförmiger Zunge auslaufend. Buckel schwach entwickelt, wenig gekrümmt. Dorsalklappe stark gewölbt, N D RN DNS Er EE ME КУК ЕЕ à 20 BARON EDUARD У. ToLL, grösste Convexität nicht constant: entweder vor dem Buckel (Fig. 13 b) oder im vorderen | Drittel (Fig. 14 e).Buckel stark gekrümmt. Beide Buckel einander stark genähert, wodurch E nur eine schmale dreieckige Area. Adductor-, Gefäss- und Ovarienabdrücke sowie Ober- _ у flächenskulptur wie bei Orthis striatula. DR. $ Zwei Exemplare maassen: Länge: 19,2 mm., Breite: 18,1 mm., Höhe: 12,0 mm. » 175.» » 17,30 И EH Lo) Der verlängert vierseitig-ovale bis quadratische Umriss und die geringere Entwickelung | des Sinus unterscheidet diese Form von der typischen Orthis iowensis, doch deutet die 4 grosse Aehnlichkeit mit jungen Individuen dieser Art (Hall, 1. c., fig. 4 e) auf die Möglich- 2 keit hin, dass wir es hier mit einer Jugendform der Orthis iowensis zu thun haben. Fundort: Jegorow-Stan, 4 Exemplare unter den Massen der Orthis striatula. Genus Streptorhynchus King. Streptorhynchus umbraculum Schlotheim. Tab. II, Fig. 12. 1820. Terebratulites umbraculum Schloth., Petrefactenkunde, p. 256. 1837. Orthis umbraculum Buch, Ueber Delthyris oder Spirifer, p. 375, Tab. XXIV, Fig. 5, 6. 1845. Orthis crenistria Murch., Vern., Keys., Russia and the Ural, vol. II, р. 195, pl. XI, fig. 4. : 1864—1865. Streptorhynchus umbraculum Davidson, Brit. Devon. Brach., p. 77, pl. XVI, Fig. 6, pl. ХУШ, fig. 1, 3, 5. 1871. Streptorhynchus umbraculum Kayser, Brach. der Eifel, p. 615. 1878. Streptorhynchus umbraculum Kayser, Fauna d. ält. devon. Abl. d. Harzes, p. 197, pl. XXIX, Fig. 1, 2 u. pl. XXXIV, Fig. 1. 1885. Streptorhynchus umbraculum Tschernyschew, Fauna d. unteren Devon, р. 60. ; 1887. Streptorhynchus umbraculum Tschernyschew, Fauna р. mitt. u. oberen Devon etc., р. 109. An einigen Schalenfragmenten aus dem Kalk beim Jegorow-Stan und an der abgebilde- ten Muschel vom Cap Tschukotski sind die unzweifelhaften Merkmale dieser Art erkenn- bar: es sind hauptsächlich Ventralklappen von halbkreisförmigem Umriss, die nur um den stark- entwickelten Buckel herum eine Convexität besitzen, während sie zum Rande hin plan bis con- cav sind; die Oberfläche ist mit zahlreichen Rippen bedeckt, die sich nach dem Rande zu nur durch Einschaltung vermehren; in den Zwischenräumen sind feine Anwachsstreifen sichtbar. WissensCH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. 1. D. J. 1885 п. 1886. 21 Streptorhynchus crenistria Phillips. Tab. II, Fig. 13. 1841. Orthis crenistria Phillips, Palaeoz. fossils, р. 66, pl. 27, fig. 113. 1845. Orthis crenistria Murch., Vern., Keys., Russia and the Ural, vol. I, р. 195. 1846. Orthis crenistria var. devonica Keyserling, Petschora-Land, p. 221, Tab. VII, Fig. 7. 1886. Streptorhynchus crenistria Stuckenberg, Mater. 2. Kenntn. 4. devon. Abl. Sib., р. 6, Tab. Ш, Fig. 1—5. Ein Exemplar aus dem Kalke vom Cap Tschukotski zeigt alle Merkmale dieser Art, wie sie von den Verfassern der Russia and the Ural angegeben und besonders von GrafKey- serling bei einer Muschel von den Ufern der Uchta (l. c., f. 7) auseinandergesetzt sind, und zwar: die am Buckel verbogene und verunstaltete Form, wodurch auch hier ein ganzes In- .dividium aus dem Kalke zu erhalten schwer fiel, ferner die deutliche Querrunzelung auf der Oberfläche, welche mit feinen, durch geringe Zwischenräume getrennten Rippen bedeckt ist. Die Anordnung der Rippen ist eine bündelförmige und ihre Vermehrung findet durch Ein- schaltung und Gabelung statt. Diese Merkmale geben der Existenz dieser Form als beson- dere Art volle Berechtigung. Unser Exemplar stimmt auch in der schmalen, verlängerten Form mit der var. devonica von der Uchta überein. Genus FRhynchonella Fischer. Rhynchonella acuminata var. platyloba Sowerby. Tab. II, Fig. 9, 10. 1825. Terebratula platyloba Sowerby, Miner. Conch., tab. CCCCXCVI, fig. 5 et 6. 1856. Terebratula acuminata Pacht, Geognostische Untersuchungen, p. 91. 1884. Rhynchonella acuminata Tschernyschew, Mater. 2. Kenntn. d. devon. Abl. etc., р. 21, Tab. II, Fig. 14. 1887. Rhynchonella acuminata Tschernyschew, Fauna 4. mitt. u. oberen Devon, р. 86. Synonymik conf. ibidem. Aus einer Reihe schlechterhaltener Exemplare liessen sich an zweien die Charaktere dieser Artenvarietät deutlich unterscheiden. Das eine Exemplar (fig. 10) gehört der Va- rietät mit niedriger abgeplatteter Zunge an, während bei dem anderen (fig. 9) die Ventral- klappe mit hoher rundbogiger Zunge endet. Fundort: Jegorow-Stan. 22 Baron EpuaRrp у. ToLuL, Rhynchonella nov. sp. Tab. II, Fig. 6, 7,8. Muschel von pentagonalem Umriss, grösste Höhe an der Stirn oder kurz vor derselben. Sattel abgeflacht, nicht sehr hoch; Falten scharfkantig und zwar 7 laterale, 5 mediane und auf einem Exemplar 1 parietale. Sinus breit, nicht tief, mit bogenförmiger Zunge endend. Gefässe in zwei Hauptarmen zum Rande verlaufend und dort dichotomirend. Die 3 unvollständigen Exemplare reichen nicht zur Aufstellung einer neuen Art hin, doch lässt sich erkennen, das unsere Form der Æhynchonella Gonthieri Gosselet (Annales de Soc. Géol. du Nord, р. 218, pl. Ш., fig. 14—16, 1887) am nächsten steht. Sie unterscheidet sich von ihr durch die bogenförmig endende Zunge, sowie dadurch dass bei ihr die Rippen fast in gerader Linie vom Buckel zum Rande vorlaufen. Ferner erinnert unsere Form an ei- nige Individuen der als Rhynchonella venustula von Hall (Geol. Surv. of New-York vol. IV, Part I, p. 346, pl. 542, fig. 24— 43) zusammengefassten Formenreihe. Zwei Exemplare maassen: Länge: 19 mm., Breite 19(?)mm., Höhe 13,5 mm. » 18,5 » » 20 » DRE 1 RS Fundort: Jegorow-Stan. Rhynchonella cuboides? Sowerby. Tab. II, Fig. 11. 1840. Аура cuboides Sowerby, Transact. Geolog. Soc., 2. ser., vol. У, pl. УП, fig. 24. 5 1852. Terebratula cuboides Pacht, Dimerocrinites oligoptilus, Verh. d. Russ. Kais. Min. Gesellschaft. 1860. Rhynchonella cuboides Grünewaldt, Beitr. z. Kenntn. 4. sed. Gebirgsf. 4. Urals, р. 83, Tab.Il, Fig. 3. 1865. Rhynchonella cuboides Davidson, Brit. Devon. Brachiop., р. 65, pl. ХШ, fig. 17—21. 1871. Rhynchonella cuboides Kayser, Brachiopoden d. Eifel, p. 514. 1884. Khynchonella cuboides Tschernyschew, Mater. z. Kenntn. d. devon. Abl. Russl., p. 23., Tab. I, Fig. 10—11. 1886. Rhynchonella cuboides Wenjukoff, Fauna d. devon. Abl. Russlands, р. 126, Tab. У, Fig. 10. 1887. Rhynchonella cuboides Tschernyschew, Fauna d. mittl. u. oberen Devon etc., p. 93, Tab. XIV, Fig. 1. Zwei Dorsalklappen und ein ganzes Exemplar von 8 mm. Länge, 10 mm. Breite und 6 mm. Höhe mit fast quadratischer bis zur höchsten Erhebung der Dorsalklappe reichender Zunge und mit feinen abgerundeten Rippen bedeckt stimmen mit den uralischen Formen der Sammlung: des Geologischen Comite’s überein, doch ist die Möglichkeit, dass sie der nahestehenden Zrhynchonella procuboides angehören, nicht ausgeschlossen, da die Jugendfor- men der beiden Arten schwer unterscheidbar sind. Fundort: Jegorow-Stan. WissENsCH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 т. 1886. 23 Genus Camarophoria King. Camarophoria Tschernyschewi nov. sp. Tab. II, Fig. 1,2, 3,4,5. Gehäuse von querverlängertem, vierseitigem Umriss, viel breiter als lang mit fast oder ganz geradem Schlossrande. Ventralklappe mässig gewölbt, mit breitem, flachem Sinus, der auf der Mitte der Klappe entspringt, sich rechtwinklig zur Stirn erhebt und mit abgerundet vierseitiger Zunge endet. Dorsalklappe stark gewölbt, mit am Buckel entspringendem, hohem, oben abgeplattetem Sattel, welcher an der Stirn oder kurz vor derselben seine höchste Höhe erreicht. Beide Buckel schwach gekrümmt, aneinander gepresst, zu beiden Seiten eine flügelförmige Depression auf der Ventralklappe. 3—4 scharfe Falten im Sinus, welche in der Aufbiegung desselben beginnen; 4—5 ebensolche Falten liegen auf dem Sattel zum Rande zu. Auf den Seiten erheben sich in Zahl und Stärke inconstante Falten, von welchen die der Ventralklappe nach aussen, die der Dorsalklappe nach innen gerichtet sind. Оъег- fläche mit feinen Radialrippen besetzt, welche von feinen, in gewissen Intervallen stärkeren, Anwachsstreifen unterbrochen werden. An einem schön erhaltenen Steinkerne, Fig. 1, sind die durch das Septum getrennten Adductorpaare und die von den oberen Gefässarmen begrenzten Ovarien (sind auf der Abbildung leider nicht wiedergegeben), ebenso wie die ersteren selbst trefflich zu sehen. Von der inneren Struktur liess sich durch Anschleifen das Septum mit dem löffelförmigen Fortsatze der Dorsalschale (Fig. 5), und an einem anderen Exemplare auch, zwar verschoben, doch deutlich das Septum der Ventralschale erkennen. Vorkommen: bei Jegorow-Stan und am Urassalach. Bei letzterem Fundpunkt in beson- ders gutem Erhaltungszustande. Im Ganzen 20 Exemplare. Das typischte Exemplar maass: Breite 19,5 mm., Länge 15,2 mm., Höhe 11 mm. Diese in ihrem äusseren Umriss, in der Anzahl der Falten und in der Form des Sinus sehr veränderliche Art steht etwa zwischen der Camarophoria formosa Schnur der Eifel und des Ural und der Camarophoria Cooperensis Shumard aus der Carboniferous Group der Richmond Mountains und des Eureca District. Sie unterscheidet sich aber von denselben so wesentlich in ihrer Anordnung der Falten, welche bei der letzteren z. В. аш Buckel beginnen, bei der ersteren meist dichotomiren und ferner durch die feine radiale Streifung auf der Oberfläche, dass ich unsere Form als neue hinzustellen mich für berechtigt halte, ungeachtet dessen, dass vielleicht bei eingehenden Untersuchungen der Rhynchonelliden diese radiale Streifung sich als weit verbreiteter unter den einzelnen Formen erweisen wird, dann also nicht mehr als Artcharakter verwendbar sein kann, ebenso wie es von Th. Tschernyschew in Bezug auf die feine Streifung der Oberfläche bei den gefalteten Spiriferen nachgewiesen wurde (Fauna d. mittl. u. oberen Devon am Westabhange des Urals, p. 174). Ich erlaube mir, diese Art zu Ehren Herrn Th. Tschernyschew’s zu benennen. 24 Baron EpvaArp У. ToLz, Genus Pentamerus Sowerby. Pentamerus galeatus Dalman. Tab. II, Fig. 16. 1827. Atrypa galeata Dalman. Vetensk. Acad. Handl., p. 130, Tab. II, Fig. 4. 1845. Pentamerus galeatus Murch., Vern., Keys. Rust, and the Ural, vol. II, p. 120, tab. VIII, fig. 3. 1860. Pentamerus galeatus rire Вейг. 7. Kenntn. 4. sedim. Gebirg., р. 86, Tab. II, Fig. 8. 1887. Pentamerus galeatus Tschernyschew, Fauna 4. mittl.u. oberen Devon, р. 101, Tab. XIV, Fig. 12. Genaue Synonymik conf. ibidem und bei Kayser, Brachiopoden d. Eifel. Das einzige Kotelny’sche Exemplar dieser kosmopolitischen, horizontal und vertical weit verbreiteten Art gehört zu der glatten Varietät mit hoch gehobenem Stirnrand, an der zwei scharfe Falten der trapezoidalen Zunge mit drei ebensolchen Falten des Sattels der stark gewölbten Ventralschale eine Zickzacklinie bilden. Diese Form schliesst sich eng an die von Tschernyschew beschriebene uralische vom Koltuban-See (Mat. z. Kennt. etc., Tab. III, Fig. 8) an. Fundort: Cap Anjou. Genus Atrypa Dalman. Atrypa reticularis Linné. Tab. II, Fig. 14. 1767. Anomia reticularis Linné, Systema Naturae, Bd. XII, T. I, pars. I, р. 1152. 1845. Terebratula reticularis Murch., Vern., Keys., Russia and the Ural, vol. II, р. 90, pl. X, fig. 12. 1884. Atrypa reticularis Tschernyschew, Mater. 2. Kenntn. etc., р. 18, Tab. III, Fig. 3. 1886. Atrypa reticularis — Atrypa desquamata 1887. Atrypa reticularis Tschernyschew, Fauna d. mittl. u. oberen Devon, p. 80. Genaue Synonymik conf. ibidem. | a 2 Fauna d. devon. Systems, p. 96, Tab. VI, Fig. 1, 5, 8. Diese weit verbreitete Art gehört auch hier zu den gewöhnlichsten Muscheln. In der Reihe der wohlerhaltenen Exemplare ist die typische Form mit kleinem Schnabel und ver- deckter Stielöffnung, mit mehr oder weniger nach oben abgelenktem Stirnrand, feinen Falten und schwach schuppigen Anwachsstreifen am häufigsten, doch finden sich auch Varietäten mit fast geradem Stirnrande und stärkeren, breiteren Falten, welche sich der varietas fla- bellata Goldf. nähern, während andere durch grössere Entwickelung der Zunge der var. latilinguis Kayser ähneln. Vorkommen: Jegorow-Stan massenhaft, Urassalach im о Сар Anjou und an der Tschukotskaja. SL, 2 de en f BRIEF HET Bu Te IT Se a ni ae > a и PET = К BB u re aa zn ei PRE ae 3% к: мор к 5. WigssENSCH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. 1. о. J. 1885 vw. 1886. 25 Atrypa aspera Schloth. Tab. II, Fig. 15. 1813. Terebratula aspera Schlotheim, Leonhard’s Taschenbuch, p. 74, Tab. I, Fig. 7. 1845. Terebratula aspera Murch., Vern., Keys., Russia and the Ural, vol. II, p. 93, pl. X, fig. 13. 1887. Atrypa aspera Tschernyschew, Fauna d. mittl. u. oberen Devon, p. 82. Genaue Synonymik conf. ibidem. Bei Jegorow-Stan, im Urassalach-Geschiebe und an der Tschukotskaja fanden sich Exemplare, welche sich durch die grobschuppige Anwachssculptur und die stärkeren Radial- falten als solche deutlich von der vorigen Art unterscheiden. Genus Productus Sowerby. Productus subaculeatus Murchison. Tab. II, Fig. 18. 1840. Productus subaculeatus Murch., Bull. Soc. Géol., vol. XI, p. 258, pl. 2, fig. 9. 1845. Productus subaculeatus Murch., Vern., Keys., Russia and the Ural, р. 252, pl. XVI, fig. 9. 1846. Productus subaculeatus Keyserling, Petschora-Land, p. 199, pl. IV, Fig. 1. 1884. Productus subaculeatus Walcott, Palaeontology of the Eureka district, р. 128, pl. VIII, fig. 2, pl. XII, fig. 19 u. 20. | 1886. Productus subaculeatus Wenjukoff, Fauna d. devon. Systems, p. 41, Tab. IL Fig. 7. 1887. Productus subaculeatus Tschernyschew, Fauna 4. mittl. u. oberen Devon, р. 112. An einer Ventralklappe ist die Charakteristik dieser Muschel wohl erkennbar, während eine Menge Steinkerne nur annähernd die Zugehörigkeit zu dieser Form wahrscheinlich machen. Die Ventralklappe ist von querverlängerter Gestalt mit einem der grössten Breite der Muschel gleichkommenden Schlossrande; Buckel wenig über den Schlossrand hervor- ragend und wenig nach links gebogen. Die wellig runzeligen concentrischen Anwachsstreifen, sowie die dornförmigen Röhren sind zum Theil gut erhalten. Vorkommen: Am Urassalach selten, bei Jegorow-Stan häufig als Steinkerne. Productus Hallanus Walcott. Tab. II, Fig. 19. 1858. Productus dissimilis Hall (non de Koninck) Palaeontology of Jowa, p. 497, pl. III, Fig. 7. 1884. Productus Hallanus Walcott, Palaeontology of the Eureka district, р. 130, pl. XII, fig. 17. 1887. Productus Hallanus Tschernyschew, Fauna d. mittl. u. oberen Devon, p. 114, Tab. XIV, Fig. 27a u. 27b. Gehäuse von halbkreisförmigem bis querelliptischem Umriss, Bauchklappe mit wohl- entwickelten Ohren, Schlossrand gerade, der Breite der Muschel entsprechend, Wirbel meist Mémoires de l'Acad. Гир. d. sc. VII Série. 4 26 Baron Еролвр у. ToLL, seitlich verschoben, Oberfläche mit unregelmässigen dichotomirenden Rippen bedeckt, welche von concentrischen Anwachsstreifen durchquert werden. Auf der mässig concaven Dorsal- klappe (fig. 19a, a,) liegen wie bei Productus sericeus Buch. concentrische, dachförmig über einander liegende Anwachsstreifen. Das Innere dieser Klappe (Fig. 19a?) zeigt den gabelför- migen Schlossfortsatz, unter welchem die durch eine Scheidewand getrennten Muskelein- drücke liegen; zum Rande zu sind die nach innen ragenden trichterférmigen Einsenkungen - | ausgebreitet. | Diese bisher nur in Amerika !) und im Ural nachgewiesene Form scheint auf der Insel | Kotelny sehr verbreitet, wenn man die bei Jegorow-Stan massenhaft vorkommenden Stein- kerne dieser Art zurechnen kann. Es konnte aber dieses mit Sicherheit nur an wenigen KI Exemplaren geschehen, während andere vielleicht Productus sericeus angehören mögen. Die Y abgebildeten Exemplare stammen aus dem Kalkthonschiefer des Urassalach. Genus Strophalosia King. Strophalosia productoides Murch. Tab. II, Fig. 17. 1840. Strophalosia productoides Murchison, Bull. de la Soc. géol. de France, vol. XI, р. 254, pl. II, fig. 7. 1883. Strophalosia productoides Davidson, Brit. Devon. Brach., р. 97, pl. XIX, fig. 13—21. 1886. Strophalosia productoides Wenjukoff, Fauna 4. devon. Systems, р. 45, Tab. II, 5, 6. 1887. Strophalosia productoides Tsehernyschew, Fauna d. mittl. u. oberen Devon, р. 111. Synonymik conf. ibidem. Aus dem Urassalach-Geschiebe liess sich an Abdrücken einiger Ventralklappen und an Steinkernen die Identität mit dieser Art durch die gute Erhaltung der mit feinen concen- trischen, unregelmässig gewellten, mit höckerigen Querrunzeln und zahlreichen schiefen Röhrchen besetzten Oberfläche erkennen. Genus Lingula Bauguiere. Lingula sp. Ein Abdruck von langgestreckt ovaler Form und ein Schalenfragment mit dem deut- lich erhaltenen Stirntheil aus einem Thonschiefer vom rechten Ufer der Mündung des Jego- row-Stan-Flusses lassen nur die Gattung erkennen aber keine nähere Speciesbestimmung zu. 1) Die von Meek (Trans. of Chicago Acad. of Sciences, | solation am Great Slave lake ist aller Wahrscheinlichkeit Vol. I, Part I, р. 91, pl. XIII, fig. 4.) beschriebene und | nach mit unserem Productus Hallanus Walcott iden- abgebildete, aber nur Productus —? bezeichnete, Form | tisch. , aus dem bituminôsen Kalkstein in der Nähe von Fort Ве- WissenscH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Exp. г. D. J. 1885 v, 1886. - 97 ANTHOZOA. Genus Cyathophyllum Goldfuss. Cyathophyllum caespitosum Goldf. Tab. IV, Fig. 1a, b. 1826. Cyathophyllum caespitosum Goldfuss, Petrefacta Germaniae, I, p. 60, tab. XIX, fig. 2. 1846. (Lithodendron) caespitosum Keyserling, Petschora-Land, p. 168, Tab. II, Fig. 6. 1886. Cyathophyllum caespitosum Frech, Cyathophylliden und Zaphrentiden etc, р. 70, Tab. Ш, Fig. 9-—14. 1887. Cyathophyllum caespitosum Tschernyschew, p. 117. Genauere Зупоп. cf. bei Tshernyschew und Frech. Die Koralle stimmt in ihrer äusseren Form mit der typischen vollkommen überein. Im inneren Bau macht sich eine scharfe Scheidung des Blasengewebes in zwei concentrische Schichten bemerkbar. Es sind das eine äussere mit convex nach oben gerichteten Blasen und eine innere Schicht, welche aus zwei bis drei Reihen in der Verticalaxe der Koralle gedehnter Blasen besteht. Die Beständigkeit dieses Merkmales konnte aber nicht genügend sichergestellt werden, um diese Form von der westeuropäischen und uralischen zu trennen oder eine Annäherung an die Gattung Aulophyllum Edw. et Heim festzustellen. Fundort: Im bituminösen schwarzen Kalk des Cap Anjou als verzweigte bündelförmige Stücke häufig. Diese zertielen aber beim Herausschlagen in einzelne kleine Stücke. Cyathophyllum hexagonum Goldfuss. Tab. IV, Fig. 3. 1826. Oyathophyllum hexagonum Goldfuss, Petrefacta Germaniae, I, p. 61, tab. XX, fig. 1a, b. 1886. Cyathophyllum hexagonum Frech, Cyathophylliden u. Zaphrentiden, р. 77, Tab Ш, Fig. 20, 20a. 21, 22. 1887. Cyathophyllum hexagonum Tschernyschew, Fauna des mittl. u. oberen Devon, p. 119. Genauere Synonym. cf. bei Frech. Ein vortrefflich erhaltener Korallenstock von 3,45 cm. Höhe und 6 cm. Breite zeigte im Dünnschliff sämmtliche Merkmale dieser leicht erkenntlichen Art. Besonders schön sind hier auch die Septaldornen zur Entwickelung gelangt. Fundort: Fluss Tschukotskaja. 4* 28 Baron EDpuARD У. To, Genus H'avosites Lamarck. Favosites (Pachypora) cervicornis Blainville. 1826. Calamopora polymorpha var. ramoso-divaricata Goldfuss, Petr. Germ. I, р. 79, tab. XX VII, fig. За, 4a, 4b, 4c (caet. exelusis). 1830. Alveolites cervicornis Blainville, Dictionn. Se. Nat. t. IX, р. 369. 1867. Favosites polymorpha Meek, Transact. Chicago Acad. of Sciences, vol. I, t. I, p. 86, pl. XI, fig. 10. 1883. Pachypora cristata Roemer, Laethaea geognostica, p. 435. 1887. Favosites (Pachypora) cervicornis Tschernyschew, Fauna 4. mitt. u. ob. Devon, р. 121, Tab. IV, Fig. 23. Genauere Synon. cf. ibidem. Mehrere Zweige der baumförmig verästelten Koralle liessen schon bei der äusseren Be- trachtung durch die Verdickung der Kelchmündungen auf die Zugehörigkeit zu dieser Art schliessen. Der Dünnschliff bestätigte vollkommen die Diagnose. Fundort: Fluss Tschukotskaja. Genus Alveolites Lamarck. Alveolites suborbicularis Lamarck. Tab. IV. Fig. 2a, b. 1816. Alveolites suborbicularis Lamarck, Hist. des animaux sans vert. t. II, p. 186. 1867. Alveolites vallorum Meek, Transact. Chicago Acad. of Sciences, vol. I, t. I, p. 86, pl. XI, fig. 9. 1887. Alveolites suborbicularis Tschernyschew, Fauna 4. mittl. u. ober. Devon, р. 122. Tab. IV, Fig. 24. Genauere Synonymik ef. ibidem und Frech: Z. 4. D. G. G., В. XXXVI, Ней I, р. 108. Convex-schalenförmige Stöcke, einer auf Stromatoporella eifeliensis Nich. aufgewachsen, liegen uns in einem wohlerhaltenen Exemplare in einigen Bruchstücken vor. Die Mündung der Kelche zeigt deutlich die unregelmässig dreieckige Form, welche in dem tiefer geführten Schliff durch den gegenseitigen Druck der Röhren nicht mehr so klar erkenntlich ist. Die Wandporen sind bei dem abgebildeten Exemplar besonders zahlreich, sonst vereinzelt. Die von Meek (l. c.) Alveolites vallorum genannte Form vom unteren Mackenzie-river kann wohl auf Grund der gegeben Abbildung und Beschreibung mit unserer als identisch angesehen wer- den, besonders da ja der Autor die Bemerkung hinzufügt: «This is probably an undescribed species, although I cannot clearly satisfy myself that it is distinet from some of those of which I have only seen descriptions without figures. Fundort: Cap Anjou und Fluss Tschukotskaja. Y к. } À A 16 = > ED et PS TTL -. ОЕ a u en ar FE = age. Ex: MAIN CEA ах SUN NES а Bu ar о ar de TS x WissenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN ExP. т. D. J. 1885 u. 1886. 29 Genus Aulopora Goldfuss. Aulopora serpens Goldfuss. 1826. Aulopora serpens Goldfuss, Petrefacta Germaniae, p. 82, tab. XXIX fig. 1. 1846. Aulopora serpens Keyserling, Petschora-Land, p. 184. 1883. Aulopora repens Kayser, Richthofen’s China, IV В., р. 96, Tab. IX, Fig. 2, 2e. 1886. Aulopora repens Stuckenberg, Material. z. F. d. devon. Abl. Sibir., p. 13. 1887. Aulopora serpens Tschernyschew, Fauna d. mittl. u. ober. Devon, р. 122, Tab. XIII, Fig. 5b. Auf Cyathophyllum hexagonum aufgewachsen fand sich eine aus wenigen Kelchen be- stehende Colonie. Die cylindrische Form der Kelche und die Querrunzeln der Epithek, die sich an dem zwar stark abgeriebenen Exemplare dennoch bei zwei Individuen nachweisen liessen, geben den Beweis für die Zugehörigkeit dieser Art zu der allgemein verbreiteten devo- nischen Gattung. Fundort: Fluss Tschukotskaja. Genus Syringopora. Syringopora sp. Einzelne Fragmente dieser als Gattung ebenso leicht, wie als Art schwer zu bestim- menden Koralle fanden sich am Flusse Tschukotskaja, sie konnten zur genaueren Untersuchung zum Zweck einer Feststellung der Art nicht genügen. HYDROIDA. Genus Stromatoporella Nicholson. Stromatoporella eifeliensis Nich. _ 1886. Stromatoporella eifeliensis Nicholson, Annals and Magaz. of Natur. Hist. р. 235, pl. VIII, figs. 5, 6, 7. Die Bestimmung dieser Séromatopore verdanke ich der Güte des Herrn Prof. H. Alleyne Nicholson in Aberdeen. Fundort: Cap Anjou, wo ich sie in einem Exemplar, von Alveolites suborbicularis Lam. überwachsen, fand. 30 Baron Еролвр у. Tor, Stromatoporella sp. Herr Prof. H. Alleyne Nicholson theilt mir über diese Form mit, dass sie nicht ‚sicher bestimmbar, vielleicht aber zu Séromatoporella curiosa Barg. gehöre. Zum Zwecke der Vervollständigung der vorliegenden Fauna sei hier nur noch erwähnt, dass sich an mehreren Punkten, besonders im Kalke des Cap Tschukotski, Crinoidenreste, hauptsächlich Stielglieder fanden, ferner Fragmente von Gastropoden oder unbestimmbaren ganzen Schalen, unter denen sich nur die Gattungen Bellerophon und Murchisonia als solche erkennen liessen. ; Folgerungen. Ueberblicken wir die obenbeschriebene kleine Devonfauna der Neusibirischen Insel Kotelny, so fällt uns zunächst als Hauptcharakter derselben die Thatsache in die Augen, dass sie sich durch die Armuth an localen Formen im Vergleich zum Vorwalten von cosmopolitischen Arten auszeichnet. Unter diesen aber finden wir eine Reihe guter Leitformen, die uns eine genaue Feststellung des Alters dieser Fauna gestatten. Benutzen wir von den 31 oben angeführten Arten nur diejenigen, welche mit grösster Sicherheit als solche erkannt werden konnten, um zu unseren Schlüssen zu gelangen. Wenn wir daher die 4 unbestimmbaren Species fortlassen, ebenso Spirifer conf. Annosofi und Rhynchonella cu- boides? ferner auch die neuen Arten und Varietäten: Orthis Bungei, Camarophoria Tscher- nyschewi, Spirifer elegans var. novosibirica, Orthis Mac Farlanei var. elliptica und Orthis jo- vensis var. guadrangularıs nicht mitzählen, so bleiben uns 20 Formen übrig, mit denen wir sicher operiren können. Diese lassen sich in folgender Weise gruppiren : A. Formen, die durch das Unter-, Mittel- und B. Formen, die dem Mittel- und Oberdevon eigen Oberdevon hindurchgehen: sind: 1) Cyrtina heterochta. 1) Spirifer W hitneyi. 2) Orthis striatula. 2) Streptorhynchus crenistria. 3) Streptorhynchus umbraculum. 3) Productus subaculeatus. 4) Rhynchonella acuminata var. platyloba. 4) Stropholosia productoides., 5) Pentamerus galeatus. 5) Cyathophyllum caespitosum. 6) Atrypa reticularis. 6) Favosites (Pachypora) cervicornis. 7) Atrypa aspera. 7) Alveolites suborbicularis. 8) Aulopora serpens. WıssenscHh. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 u. 1886. 31 C. Formen, die dem Mitteldevon ausschliesslich angehören: 1) Spirifer elegans. 2) Spirifer hians. 3) Productus Hallanus. 4) Cyathophyllum hexagonum. 5) Stromatoporella eifeliensis. Wir sehen also, dass von den 20 Formen 8 durch die drei Abtheilungen des Devon hindurchgehen, 7 dem Mittel- und Oberdevon angehören, 5 aber dem Mitteldevon aus- schliesslich eigen sind. Unter den letzteren haben wir in Spirifer hians und Productus - Hallanus zwei ausgezeichnete Leitformen, da jene uns auf die höchste Etage des Westeuro- päischen Mitteldevon, auf die Hiansschichten (С. Meyer)!) von Paffrath des Rheinischen Stringocephalenkalkes (Beyrich)?), hinweist, während wir durch diese einerseits auf dieselbe Stufe am Westabhang des Urals, den Horizont mit Spirifer Anossofi (Tschernyschew) — D°,b, andererseits auf die Hamilton - Group Nord-Amerikas (Hall)°) geführt werden. Von nicht geringer Wichtigkeit ist auch die Stromatoporella eifeliensis Nich., da diese ebenfalls in der oberen Abtheilung, und zwar in einem der höchsten Glieder derselben, in den Ramosa bänken *) (= «Caunopora state»°) gemein ist. Nachdem wir nun unser Niveau fest- ‚gestellt haben, können wir die übrigen Formen zu weiteren Betrachtungen hinzuziehen, ohne uns jetzt der Gefahr auszusetzen, bei unseren Schlüssen irre zu gehn. Das Vorhandensein des Spirifer conf. Anossofi trägt zur Vervollständigung unseres Bildes bei, ja diese Muschel, die, wie Tschernyschew gezeigt hat, in der genannten Stufe leitend und weitverbreitet ist, hätte bei einer solchen Zusammensetzung der Fauna durchaus erwartet werden müssen. Es ist die Aehnlichkeit mit der Uralischen Fauna eine in der That in die Augen springende und daher können wir es nur natürlich finden, das wir aus der Gruppe jener Orthiden, welche diesem Horizonte sowohl im Ural, als auch in Amerika eigenthümlich sind, auch einen Vertreter besitzen. Es ist das die Orthis Mac Farlanei var. elliptica mihi. Ebenso wie diese leiten uns auch Orthis jovensis var. quadrangularis mihi und брег elegans var. novosibirica mihi, welche, wie ich oben nachzuweisen suchte der Spirifer medialis Hall sehr nahe steht, wie- der nach Nord-Amerika hinüber. Diese Uralisch-Amerikanischen Verwandtschafts- beziehungen bilden die andere Eigenthümlichkeit unserer Fauna. 1) G. Meyer, Der devonische Kalk von Paffrath. Bonn, 4) Е. Schulz, die Eifelkalkmulde von Hillesheim. 1879. Jahrb. а. К. Preuss. сео]. Landesan. f. 4. Jahr 1882, Ber- 2) E. Beyrich, Beiträge zur Kenntniss der Versteine- | lin, 1883. rungen des rheinischen Schiefergebirges, 1873. 5)H. A. Nicholson, Annals and Magazin of Nat. 3) Г. Hall, Palaentology of New-York, Vol. III—V, | Hist., 1886, р. 236. 1869—1884, etc. 32 Baron Еролвр т. ToLx, Oberes Mitteldevon. Verzeichniss der devonischen Versteinerungen der Insel Kotelny. Sibirisches Festland (Minussinsk). Westabhang des Ural. Petschora- Rheinischer Stringo- cephalenkalk. . Spirifer elegans Steininger . Spirifer elegans var. novosibirica mihi.... . Spirifer conf. Anossofi М. У. K.......... . Spirifer hians Buch Spirifer Whitneyi Hall.........,...,.. Cyrtina heteroclita Defr Orthis striatula Schloth...... onen . Orthis Bungei nov. sp . Orthis Mac Farlanei Me ek. var. elliptica <> о ао в = : a umbraculum Schloth... . Streptorhynchus crenistria Pillips . Rhyn. acuminata var. platyloba Sow . Rhynchonella nov. sp . Rhynchonella cuboides Sow.?.......... 55 . Camarophoria Tscherni yschewi nov. Sp.. . Pentamerus galeatus Dal . Atrypa reticularis Linné..........,..... . Atrypa aspera Schloth.......... AO . Productus subaculeatus Mur ch. . Productus Hallanus Wal . Stroph. productoides Murch . Lingula sp Cyathophyllum caespitosum Goldf . Cyathophyllum hexagonum Goldf........ ‚ Favosites (Pachypora) cervicornis Bl . Alveolites suborbicularis Lam . Aulopora serpens Goldf....... ER As VA : . Syringopora sp . Stromatoporella eifeliensis Nich......... . Stromatoporella sp Die Uebersichtstabelle veranschaulicht uns, dass von den 27 bestimmten Arten der Insel Kotelny sich 20 am Westabhang des Urals wiederfinden, während 18 im Rheinischen Stringocephalenkalk (im weiteren, ursprünglichen Sinne), 9 im Petschora-Lande, 8 in Nord- Amerika, 7 im Sibirischen Festlande (Minussinsk), endlich 7 in China vertreten sind. Auf der Tabelle sind die identischen Formen in den einzelnen Rubriken mit + bezeichnet, nahe- stehende Varietäten sind mit — vermerkt. Wenn wir letztere hinzuziehen, so haben wir mit Amerika 11, mit China 9 Formen gemein, die eine engverwandte Fauna charakterisiren. Wenn auch die Thatsache, dass von dem verglichenen Devon anderer Länder die Ab- lagerungen des Urals nächst den Westeuropäischen die bestuntersuchten sind, nicht ausser Acht gelassen werden darf, so müsste uns dennoch der grosse Prozentsatz gemeinsamer Formen, 76°/,, den die Neusibrischen und Uralischen Faunen besitzen, höchst überraschen. Durch die Arbeit Tschernyschew’s sind wir aber bereits darauf vorbereitet, indem er, zu- RE EEE = SUIS: art D WissEnscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. 1. D. J. 1885 u. 1886. 33 erst die Beziehungen zwischen den Uralischen und Amerikanischen Faunen aufdeckend, eine Verbindung des Westeuropäischen Meeres über den Ural, Altai und Sibirien bis Ame- rika voraussetzte (1. c.,p. 196 und 207). Wir sehen hier diese Hypothese glänzend bestätigt. Die jetzigen Neusibirischen Inseln zeigen den Weg, auf welchem die devoni- schen Meeresfaunen der heutigen Alten und Neuen Welt sich vereinigen und die.dem Uralischen ebenso wie dem Neusibirischen Devon eigenthümlichen «feingestreiften Productus» (und die Gattung Leiorhynchus, die hier zwar noch nicht nachgewiesen wurde) nach Westen, zum Ural einwandern konnten. In Nord-Amerika sind durch Richardson und Isbister und durch Kennicott, Mac Farlane und Kirby, welchen das paläentologische Material zu der Meek’schen Monographie zu verdanken ist, devonische Transgressionen bis an das Eismeer verfolgt worden '). Dort sind Ablagerungen der Hamilton-Group am Mackenzie-river, Anderson-river (Mac Farlane) und Porcupine-river (Kirby) die nächstgelegenen Arme eines Meeres, das sich über die Neusibi- rische Insel Kotelny vom Ural aus bis zu diesen erstreckte. Sicher werden weitere For- schungen sowohl im arktischen Amerika als auch besonders auf dem Festlande Sibiriens, das zwischen der Jana und der Behringsstrasse noch eine völlige terra incognita ist, reiche Materialien zur Kenntniss der mitteldevonischen Transgression schaffen. Nach dem heutigen Stande unseres Wissens aber sind uns weitere Folgerungen hierüber versagt. Von dem Sibi- rischen Festlande selbst besitzen wir sporadische Nachrichten, von der Tunguska ist eine durch Czekanowski gewonnene Sammlung devonischer Brachiopoden noch nicht bearbeitet und über das bestrittene Devon, die rothen Sandsteine der oberen Lena, sind wir noch heute im Dunkeln. Ob auf der Neusibirischen Insel Kotelny über der Hamilton-Group sich noch Oberdevon befindet, lässt sich weder bestreiten noch mit Sicherheit vermuthen, da aber in den genannten polaren Gegenden Amerika’s Bildungen über den fossilienführenden liegen, welche Meek zum Genessee slate setzt ?), so ist die Wahrscheinlichkeit analoger Verhältnisse bei uns nicht ausgeschlossen. , Auf Spitzbergen sind Oldredablagerungen bekannt geworden°), wahrscheinlich breiten sie sich nördlich von den Neusibirischen Inseln aus und bildeten einst die Küste des Devon- meeres. Ebenso ist wahrscheinlich die Küste des Devonmeeres im Gebiete des Nordameri- kanischen Archipels zu suchen‘). Ob und in wie weit Binnenseebildungen auf dem Festlande Sibiriens zwischen marinen Ablagerungen Raum besassen, werden künftige Untersuchungen lehren. Auf die Beziehungen des Minussinskischen und Altaischen Devon zum Uralischen und Westeuropäischen ist Tschernyschew°) nach denheutigen Quellen erschöpfend eingegangen. 1) F. B. Meek: Remarks on the Geology of the valley 3) Nach den Angaben Nathorst’s (Liefde-Bay-System), of the Mackenzie River ete.— Trans. of the Chicago Aca- | benutzt von Е, Suess in «Antlitz der Erde», II Band, demy of Sciences Vol. I. Part. I, p. 61 folg. Dort findet | 1888, p. 84. - sich auch die Besprechung und Angabe der einschlägigen 4) Vergleiche Suess, |. c., р. 55. Litteratur. 5) Fauna d. mittl. u. oberen Devon. am West-Abh. 4. 2) Meek. 1. с. р. 64, 65. Urals, р. 194—196. Mémoires de 1`Аса4. Imp. 4. sc. VII Serie. 5 34 Влвох EDUARD у. ToLL, Was endlich das Chinesische Devon betrifft!), so wird die Verwandtschaft seiner Fauna, mit der Nordamerikanischen durch die Neusibirische erwiesen, welche, wie gezeigt wurde, Re- = präsentanten dieser wie jener Fauna enthält.! 4 ИГ. Silurische Versteinerungen der Ssrednjaja. Die silurischen Versteinerungen sind, wie schon oben erwähnt wurde, grösstentheils als Flussgeschiebe an den Ufern der Ssrednjaja’) von mir gesammelt worden. Die Ssrednjaja mündet in die Dragozennaja-Guba (Busen), wo nach den früheren Angaben (Hedenström’s und Anjou’s) in Thonkugeln eingeschlossene Ammoniten zu finden wären. Sie entspringt unter circa 75° 30’ n. Br. in dem nördlichen Kettengebirge der Insel Kotelny, und zwar an dem Ostabhange desselben; durchbricht zuerst in süd-nördlicher, dann in west-östlicher Richtung das Gebirge; nach ihrem Austritt aber aus dem Gebirge in dem flach hügeligen Vorlande, das von Quartärablagerungen bedeckt ist, strömt sie wieder genau nach Norden’ dem Meere zu. Ueber die stratigraphischen Verhältnisse konnte ich hier wegen der erwähn- ten, alle Profile verdeckenden Firnmassen keine anderen Aufschlüsse gewinnen, als die Be- | obachtung, dass die umherliegenden Blöcke, welche die Versteinerungen enthielten aus der À nächsten Umgebung herstammen konnten. Petrographisch stimmte der graue bis schwarz- | graue, dichte und krystallinische Kalkstein der Geschiebe mit dem anstehenden Fels überein, er Das anstehende Gestein bestand an der einzigen freien Entblössung, an der Stelle, wo das ‘ Flüsschen eine scharfe Biegung aus der nördlichen in die östliche Richtung macht, aus fast horizontalen, im Ganzen 39 m. hohen Kalksteinbänken von einer und derselben ebengenannten petrographischen Beschaffenheit. An der Basis dieses Felsens fand sich eine Zwischenschicht, welche unbestimmbare Orthocerenreste und eine kleine Brachiopode, Atrypa? Tschautienensis Kayser, enthielt. Weiter oberhalb waren die Schichten stark geneigt. Am Fusse dieser wie jener Uferfelsen, ebenso wie im grossen west-östlichen Thale, wurden die Versteinerungen von mir zusammengelesen. Von einer anderen Localität stammen zwei der weiter unten beschriebenen Leperditien: Leperditia Sannikowi mihi und eine varietas der Leperditia Keyserlingi Е. Schmidt. Die Leperditien wurden aus einem von Herrn Dr. A. Bunge mitgebrachten Handstück heraus- DM А QU EE ET u ln > POST CAE СА ва Зака 1) Vergleiche Е. Kayer, Devonische Versteinerungen | zennaja, des Flusses, ап dem etc. — der Srednjaja, eines aus dem südwestlichen China, р. 100; in Richthofen’s | Flusses, der in die Dragozennaja-Guba mündet, wo etc. China, Band IV, 1888. zu lesen. 2) Auf Seite 7, Zeile 8 von oben ist statt: der Drago- АИ WISSENSCH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Exp. 1. D. J. 1885 о. 1886. 35 präparirt ; dieses, ein dunkelgrauer dichter Kalkstein, war von Herrn Dr. Bunge während seiner beschwerlichen Fahrt längs der Ostküste der Insel Kotelny im Mai 1886 inder Nähe der Quelle des Flusses Dragozennaja, unter c. 75° n. Br. aus einem Felsen geschlagen worden, der ohne Zweifel zu einem Berge gehörte, welcher einen Theil des südlichsten Ausläufers des obengenannten nördlichen Kettengebirges bildet. Beschreibung der Arten. BRACHIOPODA. Genus Orthis. Orthis arctica nov. sp. Tab. II, Fig. 20. Gehäuse von halbovalem Umriss, breiter als lang; Schlossrand gerade, der grössten Breite der Muschel entsprechend. Ventralklappe halbconisch sich erhebend, mit grossem spitzzulaufendem, schwach gekrümmten Buckel. Area sehr hoch, dreieckig, durch ein Pseu- dodeltidium (?) überdeckt. Dorsalklappe schwach convex mit kaum erhobenem Buckel. Weder ein Sinus, noch ein Sattel vorhanden. Oberfläche mit durchschnittlich 30 scharfen Rippen bedeckt, welche nach dem Rande zu dicker werdend sich gabeln. Zwischen je zwei Gabeln tritt eine feinere, etwa bis zur mittleren Höhe der Muschel reichende Rippe. Die Muschel liegt meist in Steinkernen vor, doch an einem Exemplar ist am Rande die Schale erhalten, und hier sieht man deutlich eine dachziegelige Anwachssculptur (auf der Zeichnung nicht wiedergegeben). Das abgebildete Exemplar hatte folgende Maasse: Breite 15 mm., Länge 10 mm., Höhe 7 mm. Orthis arctica gehört durch die schr hohe Area und die Anordnung der Rippen in die Nähe von Orthis Bouchardii Davidson, deren Vorhandensein im Silur des Asiatischen Fest- landes, in China, durch die Beschreibung Kayser’s!) bekannt geworden ist. Die Neusibi- rische Form aber unterscheidet sich wesentlich von der ebengenannten, durch den halbova- len, nicht fünfeckigen Umriss und durch das Fehlen eines Sinus und einer mittleren De- pression auf der Ventralklappe von der typischen Orthis Bouchardü. Der Chinesischen Form kommt Orthis arctica zwar näher, bleibt ihr aber fern genug durch den höher gehobenen 1) In Richthofen’s China, Bd. IV, p. 45, T, II, fig. 23. ! 5* 56 Baron Еролвр v. ToLL, Buckel und durch das Zusammenfallen der grössten Breite der Muschel mit der Pins ausdehnung des Schlossrandes. Orthis arctica fand sich in einem Kalkstein zusammen mit Phacops (Monorakos) Schmidti mihi, Rhynchonclla sp., Rhynchonella nov. зр., Murchisonia sp., Ptilodictya sp. и. а. M. Genus Rhynchonella. Rhynchonella nov. sp. Tab. II, Fig. 22. Gehäuse von pentagonalem Umriss. Bauchklappe in der Mitte mit kielförmiger Erhe- bung, in welche sich ein von stumpfen Kanten begrenzter, ohne Zunge endigender Sinus einsenkt. Rückenklappe mit flachem, tiefliegendem, von zwei Furchen begrenztem Sattel. Ven- tralbuckel schwach gekrümmt, wenig vorragend. Oberfläche der Muschel mit scharfen Rip- pen besetzt; 5 Rippen liegen auf den Seiten der Dorsalklappe, von denen die erste und dritte dichotomiren. Auf den Seiten der Ventralklappe befinden sich 4 gegabelte und 2 un- getheilte Rippen. Auf dem Sattel der Dorsalklappe erheben sich zwei, in ihrem Verlauf bi zum Stirnrande zweimal sich gabelnde Rippen. Die Form unterscheidet sich von allen bisher bekannten Rhynchonelliden, liegt aber leider nur in einem Exemplare vor, das vielleicht nicht einmal ein ausgewachsenes Stadium repräsentirt. Maase: Länge 6,5 mm., Breite 6,5 mm., Höhe 3,5 mm. Rhynchonella (?) sp. Tab. II, Fig. 21. Eine Dorsalklappe von querverlängert-pentagonalem Umriss mit tiefem Sinus. Der Sinus ist von steilen glatten Rändern begrenzt; auf seinem Grunde erheben sich 3 scharf- kantige, durch concave Rinnen von einander getrennte Rippen. Diese Klappe gehört vielleicht einer Rhynchonella nucula Sow. an. Genus Atrypa. Atrypa () Tschautienensis Kayser. Tab. II, Fig. 23. 1883. Atrypa (?) Tschautienensis Kayser, Richthofen’s China, Bd. IV, p. 47, Taf. IV, fig. 12. Umriss kreisförmig, doch etwas breiter wie lang. Ventralklappe mässig, in der Buckel- gegend am stärksten gewölbt; Sinus schwach angedeutet; Stirnrand mit einer leichten Auf- sel SL PR TR Re 4 й ARS Te Аа 2» —< = ы Зе ARS WissENsCH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN ExP. т. D. J. 1885 0. 1886. 37, biegung. Schnabel klein, wenig gekrümmt. Dorsalklappe ebenso wie die Ventralklappe ge- wölbt, Sattel wenig entwickelt. Gegen 30 ungetheilte stumpfe Rippen bedecken die Ober- fläche. Maasse: Breite 6 mm., Länge 5,5 mm., Höhe 3 mm. Diese im anstehenden Gestein der Ssrednjaja nicht seltene Muschel stimmt mit der Kayser’schen Form aus der Gegend von Tschau-Tien vollkommen überein und ist nur noch etwas kleiner als die letztere. Genus Pentamerus Sowerby. Pentamerus sp. Unter den Geschieben der Ssrednjaja befindet sich ein Kalkstein, der überfüllt ist mit einer Muschel, an der sich nur deutlich die charakteristische Kammerung von Pentamerus und die Thatsache constatiren lässt, dass die Oberfläche nicht mit Rippen bedeckt ist. Ein zur Bestimmung der Art genügendes Exemplar liess sich leider nicht herausprä- pariren. Immerhin ist es nicht ohne Interesse, das Vorhandensein eines glatten Pentamerus, der wahrscheinlich dem Pentamerus oblongus Sow. nahesteht, im Silur der Ssrednjaja fest- stellen zu können. Genus Strophomena Rafinesque. Strophomena euglypha Hisinger. Tab. Ш, Fig, 6, 1819. Leptaena euglypha Hisinger, Anteckn., IV, Tab, VI, fig. 4, а. b. °1867. Strophomena euglypha Davidson, Brit. Silur. Brachiop., р. 288, pl. XL, figs. 1—5. 1886. Strophomena euglypha Fr. Schmidt, in Maak’s: der Kreis у. Wiluisk (russisch), р. 356, Tab. III, fig. 27. (Ohne Beschreibung). Genaue Synonym, siehe bei Davidson. Es liegt nur eine unvollständige Ventralklappe vor, die aber soweit typisch ist, dass sich die Art oder wenigstens die Identität mit der von Fr. Schmidt (1. с.) abgebildeten Form vom oberen Olenek durch directen Vergleich feststellen lässt. Die Muschel besitzt, wie die Abbildung zeigt, die charakteristische plötzliche Knickung in der gewölbten Ventralschale, deren zum Stirnrande umgebogener Theil abgebrochen ist. Auf der Oberfläche setzen sich drei bis vier feinere fadenförmige Rippen zwischen je zwei ebensolche gröbere ein. Feine concentrische Anwachsstreifen durchqueren die Rippen. 38 Baron EDUARD у. ToLL, Strophomena rhomboidalis Wilkens. Tab. III, Fig. 7e. | 1769. Conchita Rhomboidalis Wilkens, Nachricht von seltenen Verst., p. 77, Tab. VIII, fig. 43, 44. 1867. Strophomena rhomboidalis Dunes Brit. Silur. Brachiop., р. 981, pl. XXXIX, Ge 1—21 und pl. XLIV, fig. 1. TA UE cf. ibidem. Das Fragment einer Dorsalklappe, welches die charakteristischen welligen Querrun- zeln zeigt, gehört augenscheinlich zu dieser Art. Dieses Fragment fand sich zusammen mit Strophomena euglypha Hisinger, Leperditia „arctica Jones, Leperditia Kotelnyensis mihi, Leperditia Czerskii mihi und Leperditia (2) sp. Die Wichtigkeit, die das Vorkommen dieser Brachiopoden in unzweifelhaftem Zusammenhange mit den Leperditien für die Altersbestim- mung der letzteren besitzt, berechtigt die Benutzung so mangelhafter Reste wie die den bei- den, angeführten Strophomenen. ИС Eure) URUSTACEA. TRILOBITAE. A hr TA RR ET = EN REN TE Ed PER, деи SES EN PTE PEAR ва Genus Phacops Emmrich. Phacops quadrilineata Angelin. Tab. III, Fig. 1, а, b, 3. 1854. Phacops quadrilineata Angelin, Pal. Scand. p. 12, tab. 9, fig. 5. 1858. Phacops Stokesi Fr. Schmidt, Untersuch. d. silur. Form. Estl. II, p. 184. 1881. Phacops elegans Sars et Bock in Fr. Schmidt, Revis. d. ostbalt. silur. Trilob. I, p. 72, T. I, fol TX, fig. 10, LISTET Herr: 1885. Phacops quadrilineata Lindström, Gotlands siluriska Crustacéer p. 43. 1886. Phacops quadrilineatus Fr. Schmidt, in Maak’s: d. Kreis у. Wiluisk (russisch), П, p. 361, Т. Ш, fig. 1, 2. (ohne Beschreibung). Genauer Synom. cf. bei Fr. Schmidt. An einem zwar unvollständigen Kopfschilde lassen sich die Charaktere dieser Art den- noch mit Sicherheit erkennen. Die Glabella ist von trapezoidalem Umriss, Hach convex, der Vorderrand mehr abgeflacht, bogenförmig begrenzt. Die erste und zweite Seitenfurche sind durch schwach lineare, den Vorderrand nicht erreichende Eindrücke auf der Glabella ver- treten. Der herzförmige Ausschnitt an der Basis der Glabella ist deutlich. zu erkennen, ebenso die Zusammensetzung der ersten Seitenfurche aus zwei getrennten Eindrücken, von WissENsCH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 u. 1386. 39 welchen der innere bogenförmig ist, während der äussere an seiner Basis keilförmig ver- breitert erscheint; die zweite ebenfalls bogenförmige Seitenfurche steht zur ersten schwach convergirend, Das Wangenschild ist stark verbreitert. Das Auge ist leider nicht vollkom- men erhalten. Die Gesichtsnath nur am Vorderrande nachweisbar. Das Pygidium zeigt einen halbkreisförmigen bis dreieckigen Umriss. Die Rhachis ist stark gewölbt, 6 Glieder erheben sich deutlich, 4—5 wenige deutliche im hinteren Ende. Die Seitenlappen sind schwächer gewölbt und fallen mehr oder weniger steiler ab; sie tra- gen 6—7 deutlich unterscheidbare, gefurchte Pleuren. | Länge der Glabella 3 mm., grösste Breite 3 mm. Von grösstem Interesse ist die Identität mit der von Fr. Schmidt (1. с.) abgebildeten Form vom oberen Olenek, wo sie an einem Nebenflusse desselben, der Tomba, von Czeka- nowski gesammelt wurde, weshalb ich auch den für die Sibirische Form gewählten Namen brauche, ohne mich auf eine kritische Untersuchung dieser schwierigen Formengruppe Phacops elegans, Stokesi, quadrilineata, zu der die Neusibirische Art zweifellos gehört, einzulassen !). Subgenus Monorakos Fr. Schmidt. Die Untergattung Monorakos ist von Fr. Schmidt im Jahre 1886 als neue Phacops- gruppe aufgestellt worden. Veranlassung dazu gab eine von Bergingenieur J. Lopatin im Jahre 1877 für die Kaiserliche Akademie der Wissenschaften an der Mittleren oder Stei- nigen Tunguska erbrachte reiche silurische Sammlung. Von Trilobiten fanden sich in der- selben zwei Formen, die von Fr. Schmidt im Bulletin а. l’Acad. Imp. 4. Scienc. de St.-Pé- tersbourg Т. XII, 1886 (р. 414—418, fig. 6— 10) beschrieben wurden. Nach Fr. Schmidt weichen die beiden Arten von der Tunguska von allen bekannten so weit ab, dass es sich als nothwendig erweist für sie eine neue: Untergattung aufzustellen. Der allgemeine flache Ha- bitus, die Form der Glabella, die dadurch charakterisirt wird, dass zu beiden Seiten dersel- ben ein grosser rundlich-dreieckiger Lobus hervortritt, die Seitenhörner und das Pygidium erinnern an die Gattung Chasmops, aber die von allen übrigen Formen abweichende Bil- dung der zweiten und dritten Seitenfurche, welche nur durch kurze rundliche Eindrücke in einer die Loben abtrennenden Furche vertreten sind, geben die Berechtigung zur Aufstel- lung einer neuen, Chasmops zunächst stehenden, Phacopsgruppe, welche wegen des einzi- gen, mehr oder weniger ausgebildeten, bis zum Nackenringe reichenden Lobus den Namen Monorakos erhält. 1) Einen neuen Beitrag zur Kenntniss dieser Formen | schiebe in Mecklenburg, Zeitschr. d. D.G. G. Bd. XL, liefert auch G. Wiegand: Ueber Trilobiten d. silur. Ge- | 1888, p. 40, T. VI, fig. 1. +0 BARON EDUARD у. Tour. Monorakos Schmidti пох. sp. Tab. III, Fig. 2. Nach sorgfältiger Präparation glückte es mir die unzweifelhaften Charaktere der Untergattung Monorakos an der Glabella des einzigen Exemplares festzustellen, doch weicht die Neusibirische Form von den beiden der Mittleren Tunguska, Monorakos Lopatini und Monorakos sibiricus, so weit ab, dass sie als eine neue, dritte Art dieser für das Silur Sibiriens eigenthümlichen Untergattung aufgefasst werden muss. Die Glabella ist stark gewölbt, der Vorderrand bildet einen Winkel, der einem rech- ten nahe kommt; die Glabella ist daher von pentagonalem Umriss, wobei sich die Länge derselben zur Breite, wie 5:4 verhält. Der Stirnlappen ist sechsseitig und nimmt °/, der Glabella ein. Der rechte und linke Seitenrand verläuft ununterbrochen und nach hinten convergirend. Zwei ununterbrochene, bogenförmige mit ihrer Convexität sich gegenüber, liegende Rinnen, die in den Nackenring ausmünden, trennen die grossen, rundlich dreiecki- gen Seitenloben von der Glabella. In dieser Rinne sind die Vertreter der Seitenfurchen vertheilt und zwar so, dass der vorderste Theil der bogenförmigen Rinne dem ersten, nach hinten convergirenden Seitenfurchenpaare entspricht; darauf folgen als zweites Seitenfurchen- paar zwei kleine rundliche Vertiefungen und als drittes zwei nach vorn convergirende Fur- chen. Auf der Oberfläche der Glabella ist eine schwache Tuberkulirung wahrnehmbar. An dem vorliegenden Exemplare ist ausser dem Nackenringe und einem Theile des linken Wan- genschildes, ohne das Auge, leider nichts mehr erhalten. Maasse: Länge des Kopfschildes 10 mm., Breite der Glabella 7,5 (?) mm. Die stärkere Wölbung der Glabella, der hexagonale Umriss des Stirnlappens und die Bildung der Seitenfurchen, von welchen bei der Neusibirischen Form nur die zweite durch einen rundlichen Eindruck vertreten ist, unterscheiden diese Art von den beiden Species der Mittleren Tunguska. Es gewährt mir eine ganz besondere Freude diese von Herrn Aka- demiker Fr. Schmidt neu entdeckte Untergattung auch auf der Neusibirischen Insel Ko- telny wiedergefunden zu haben, und ich erlaube mir die neue Art zu Ehren dieses Autors zu benennen. Genus Proetus Steininger. Proetus sp. Tab. III, Fig. 4. Es ist nur das Pygidium und ein Theil des Wangenschildes, ohne das Auge, vorhanden. Die conische Rhachis ist breit und stark gewölbt, die Seiten des ganzrandigen Pygidiums sind berippt. Am Wangenschilde ist ein deutlicher Randwulst vorhanden, der mit einem Sta- WıssenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 u. 1886. 41 chel endigt. An dem Wangenschilde, das offenbar an seiner Naht abgebrochen ist, verläuft letztere ebenfalls wie bei Proetus. Alle diese Merkmale machen es höchst wahrscheinlich, dass wir es mit dieser Gattung zu thun haben. Genus Bronteus Goldfuss. Bronteus Andersoni Eth. jun. et Nich. Tab. III, Fig. 5. 1879. Bronteus Andersoni Etheridge jun. and Nicholson, Silur. Fossils of the Girvan Distriet in Ayrshire, Fase. II, р. 162, pl. XII, figs. 3—5. Ist das Vorhandensein der Gattung Dronteus unter den Versteinerungen der Ssrednjaja schon von grossem Interesse, so muss letzteres noch durch die vorliegende Art bedeutend zunehmen. Es ist nur eine beschränkte Anzahl, die ausserdem an bestimmte Horizonte des Silur gebunden ist, von Bronteusarten bekannt, welche sich durch eine Segmentirung der Axe des Pygidiums charakterisiren; zu diesen gehört auch unsere Form, die in einem gut erhaltenen Pygidium vorliegt. Der Umriss des Pygidiums ist oval, nach hinten regelmässig zugespitzt; die Oberfläche ist schwach gewölbt, doch am Centrum um die Axe herum abgeplattet; 7 abgeplattete, scharf ausgeprägte Strahlen liegen zu beiden Seiten eines breiteren mittleren. Die conische Rhachis erhebt sich aus einer nabelartigen Vertiefung in der Wölbung. 7 (?) anscheinend den Strah- len entsprechende Segmente zertheilen die Rhachis. Eine transversale, concentrische Strei- fung geht deutlich über die Strahlen hinweg. Diese Charaktere, namentlich die äussere Form, die Anzahl der Strahlen und der Seg- mente auf der Rhachis und die concentrische Streifung, sind genau dieselben, wie sie für Bronteus Andersoni von Etheridge und Nicholson (1. с.) angegeben werden, nur kommt an der Schottischen Form auf der Rhachis noch eine longitudinale Dreitheilung zu Stande, die bei der Neusibirischen nicht vorhanden ist. Da aber die Autoren des Bronteus Andersoni anführen: «This axal segmentation is discernible only in a few specimens, the nature of the matrix being such that the finer and more delicate characters are obliterated, but in one or two of the specimens in question it is distinetly exhibited»— und da auch von den beiden Abbil- dungen nur die eine (Fig. 3) die longitudinale Dreitheilung der Axe wiedergiebt, während auf Fig. 4 die Zeichnung der Axe vollkommen mit derselben der Neusibirischen Art übereinstimmt, so sehe ich in dem letzten Charakter kein durchgreifendes Merkmal für diese Art und keinen Grund unsere Form nicht mit Bronteus Anderson: zu identificiren. Das etwas mehr vorge- zogene Pygidium unserer Form dürfte wohl kaum als wesentliche Unterscheidung ange- sehen werden können. Mémoires de 1’Acad. Imp. d. sc. VII Série. 6 42 Baron EDUARD у. ToLL, Von dem Böhmischen Bronteus planus Barrande ist die Neusibirische Art durch die Längsfurchen und die geringere Anzahl der Segmente auf der Axe der ersteren unterschie- den. Bronteus simulans Barrande und БВ. signatus Phillips, die einander sehr nahe stehen, zeichnen sich von В. Anderson: durch die geringere Anzahl und stärkere Entwickelung der einzelnen Ringe der Axe aus, ausserdem besitzt B. simulans bedeutend höhere und schmä- lere Strahlen. Maasse: Länge 5 mm., Breite 7 mm. Bronteus Andersoni fand sich zusammen mit Phacops quadrilineata Angelin. OSTRACODA. Genus Терека! Rouault. Leperditia Kotelnyensis nov. sp. Tab. II, Fig. 8, 9, 12. Die Länge der Schale übertrifft ungefähr ein und einhalbmal die Höhe. Die Schalen sind vorn und hinten stark vorgezogen. Schlosslinie zwei Drittel der Länge der Muschel. Grösste Höhe im hinteren Abschnitt. Der Bauchrand steigt nach vorn allmählich an. Die rechte Schale ist durch zwei am Bauchrande vorspringende Ecken von sechssei- tigem Umriss. Je ein tiefer Porus begrenzt seitlich die Ecken des Bauchrandes. Zu dem hinteren Porus tritt noch ein kleinerer hinzu. Die grösste Convexität befindet sich in der Mitte der Schale. Diese ist seitlich abgeplattet und fällt nach vorn steiler als nach hinten ab. Muskelfleck rundlich. Der Umschlag befindet sich zwischen den beiden vorspringenden Ecken des Bauchrandes. Auf der linken Schale verläuft parallel dem Schlossrande ein Wulst. Der Augentu- berkel (derselbe ist an der rechten Schale ausgebrochen), erhebt sich aus einer schwachen dreieckigen Vertiefung. Der scharfrandige Umschlag nimmt die ganze Breite des Bauchran- des ein. Die grösste Wölbung ist in der Mitte, aber dem Bauchrande näher gelegen. Auf dem Vorder- und Hinterrand ein schmaler abgeplatteter Rand. Es liegen eine rechte und eine linke Schale eines erwachsenen Individuum und eine linke Schale eines jungen Exem- plares vor. Maasse: Rechte Schale: Länge 12 (?) mm., Schlosslinie 7 mm., Grösste Höhe 7 mm. Linke Schale: » 10 mm. » 710 » » 6 » » » » A» » 2,8 » » » 24» Re RS ee ee ONE WISSENSCH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 u. 1886. 43 Die beschriebene Form gehört ohne Zweifel zu der Gruppe der Leperditia grandis Schrenck (in Fr. Schmidt: Russ. silur. Leperditien, p. 10, fig. 3, 4, 5, 6), aus welcher die Leperditia Wiluiensis Fr. Schmidt (Russ. silur Leperditien, p. 17, fig. 27, 28; Mis- cellanea silurica Ш, р. 21, Tab. I, fig. 20—23 und in Maak’s 4. Kreis у. Wiluisk р. 361, Tab. III, fig. ба, b, с, [russisch]) der Leperditia Kotelnyensis am nächsten steht. Jietztere unterscheidet sich aber von der Z. Wiluiensis durch die zweimal gebrochene Bauchlinie der rechten Schale, wodurch die Neusibirische Form eine sechsseitige Gestalt erhält, wäh- rend die Zeperditia vom Wilui und vom oberen Olenek einen fünfseitigen Umriss besitzt; ferner auch durch den breiteren Umschlag der rechten Schale. Leperditia arctica Jones. Tab. III, Fig. 7a, 10. 1852. Leperditia Dalthica, var. Arctica Jones, Salter’s Appendix to Sutherland’s Journ. of a Voyage in Baffin’s Bay ete., vol. II, р. CCXXI, pl. 5, fig 13. 1856. Leperditia Arctica Jones, Annals and Magazine of Nat. Hist. II Ser., Vol. XVII, p. 87, pl. VII, ng. 1—5. Eine rechte und eine linke, aber nicht zu ein und demselben Exemplar gehörige Schale, stimmen im Ganzen mit den von Jones 1. с. angeführten Charakteren überein. Auch hier ist die grösste Convexität in der Nähe des Centrums; der vordere und hintere Dorsalwinkel sind scharf ausgeprägt; der Umriss der rechten Schale ist fünfeckig oder subtriangulär (Jones). Nur der vordere und hintere Lateralwinkel erreichen nicht die Schärfe, wie bei der Form aus dem Nord-Amerikanischen Archipel. Bei der linken Schale ist auch hier die grösste Höhe am hinteren Ende. Die Gestalt ist verlängert eiförmig und ebenso wie dort zieht sich parallel der Schlosslinie ein verdickter Wulst hin. Der Augentuberkel und ein Muskelfleck vorhanden. Maasse: Rechte Schale: Länge 4 mm., Schlossrand 2,5 mm., Grösste Höhe 3 mm. Linke Schale: » 5,5 » » 30.49 » » 3.4 » ) Leperditia Czerskii nov. sp. Tab. Ш, Fig. 11. Ein ganzes Exemplar zeigt folgende Charaktere: Umriss zugespitzt eiförmig; die Länge der Schale übertrifft die Höhe, welche dem Schlossrande gleichkommt, fast um das Doppelte. Die grösste Convexität befindet sich etwas vor der Mitte. Der Umschlag der linken Schale ist breit, scharfrandig, rechtwinklig umgebogen. Der Umschlag der rechten Schale besitzt am vorderen (und hinteren)? Ende einen rundlichen Einschnitt. Augentuberkel deutlich und von einem halbmondförmigen Schilde umgeben. Randsaum, besonders an der rechten Schale wohl entwickelt. 6* 44 Baron EDvArD у. Tozxr, Maasse: Länge: Schlossrand: Grösste Höhe а. linken Schale: Grösste .Breite: 9 mm. 5 mm. 5 mm. 4 mm. Diese Form steht der Nord-Amerikanischen Zeperditia Pennsylvanica Jones (Annals and Magazine of Nat. Hist. III. Ser., Vol. I, p. 251, pl. X., fig. 12, 13, 1858) am nächsten, von der sie sich aber durch die stärker vorgezogenen Vorder- und Hinterecken und durch den Einschnitt am Umschlage der rechten Schale unterscheidet. Ich benenne die Neusibirische Form zu Ehren des um die Kenntniss der Geologie Sibiriens hochverdienten Forschers, Herrn N. Czerski. Leperditia Sannikowi nov. sp. Tab. III, Fig. 18—18. Diese zierliche Art unterscheidet sich von allen bekannten Leperditien durch eine re- | gelmässig angeordnete Tuberkulirung auf ihrer Oberfläche. Eine Reihe Tuberkeln befindet sich auf einer von der Mitte des Schlossrandes nach hinten bogenförmig verlaufenden Leiste. Diese Leiste ist für alle vorliegenden Exemplare dieser Art charakteristisch, die Tuberkeln auf derselben sind aber nur auf den Formen zahlreich und stark entwickelt, welche ausser- dem in der Nähe des Bauchrandes und auf dem hinteren Abschnitt von einer rundlich grup- pirten Anzahl von Tuberkeln geziert sind. Diejenigen Exemplare, welche auf der bogenför- migen Leiste nur vereinzelte Tuberkeln tragen, zeichnen sich ausserdem durch einen stär- ker ausgeprägten Randsaum aus, während sie sonst denselben Umriss zeigen wie die tuber- kulirten Formen. Ich halte mich demnach berechtigt zwei Varietäten ein und derselben Art zu unterscheiden: 1) Varietas ornata — mit einer Reihe Tuberkeln auf der bogenförmigen Seite und mit einem rundlichen Haufen von Tuberkeln in der Mitte des Bauchrandes und auf dem hinteren Abschnitt der Muschel. Die Länge der Schale übertrifft ein und einhalbmal die Höhe. Die Schlosslinie ist gleich der Höhe. Vorderseite spitzzulaufend, Hinterseite vorgezogen, abge- rundet. Grösste Convexität in der Mitte der Schale. Augentuberkel auf einem zweilappigen Schilde sich erhebend. Ein rundlicher Musckelfleck schwach angedeutet. Am Vorder- und Hinterrand ein schmaler Randsaum. 2) Varietas simplex — mit einer Reihe vereinzelter Tuberkeln auf der kurzen bogen- förmigen Leiste und mit breiterem Randsaum, sonst in der Form der vorigen vollkommen gleich, Maasse: Länge: Schlosslinie: Grösste Höhe: Breite: 1) Rechte Schale: 7,5 mm. 4 mm. 5 mm. — рт» » 8 4 5 — ео » 5 2,5 3 — 1) Ganzes Exemplar: 6 3 4 2,5 mm. 2) Linke Schale: тэ 4 4 WiıssEnscH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Ехр. т. о. J. 1885 п. 1886. 45 Zum ehrenden Andenken an den ersten Erforscher der Inseln Kotelny und Neusibirien, den Entdecker der Bennet-Insel und des Sannikow-Landes — den schlichten Jakutsker Kleinbürger Jacob Sannikow schlage ich diese neue Form zu benennen vor. Leperditia Keyserlingi Fr. Schmidt var. Tab. III, Fig. 19. 1873. Leperditia Keyserlingi Fr. Schmidt, Russ. silur. Leperd., p. 20, fig. 32, 33, 34. 1881. Leperditia Hisingeri Jones, Annals and Magazine of Nat. Hist., Ser. У, Vol. 8, р. 339, pl. XIX, fig. 51. 1882. Leperditia Keyserlingi Fr. Schmidt und Jones, Annals and Mag. etc., Ser. У, Vol. 9, р. 170. 1883. Leperditia Keyserlingi Fr. Schmidt, Miscellanea silurica III, p. 13, Tab. I, fig. 4. Eine linke Schale von gestreckter, stark aufgetriebener Form zeigt das Hauptmerkmal dieser Art — die Verticalfurche hinter dem Augentuberkel. Der Vorderrand ist deutlich abgesetzt und von einer Furche, die zum Bauchrande reicht, begrenzt; der Umschlag ist glatt, linear. Die grösste Höhe ist etwas vor der Mitte, wodurch die Neusibirische Form von der typischen unterschieden ist. Ausserdem hat die vorliegende Form einen von vorn nach hinten mehr verlängerten Umriss als die baltische Zeperditia Keyserlingi. Da nur ein Exemplar vorliegt, so ist es nicht möglich eine Constanz dieser Unterschiede oder eine völlige Identität mit der baltischen Art festzustellen. Jedenfalls gehört unsere Form in die Gruppe der Leper- ditia Hisingeri Fr. Schmidt. Maasse: Länge 4 mm., Schlosslinie 3 mm., Höhe 3 mm. Leperditia (?) sp. Tab. III, Fig. 20. | Der Vollständigkeit wegen gebe ich noch die Abbildung einer 7 mm. langen linken Schale, die aller Wahrscheinlichkeit nach in den Formenkreis der Leperditia Hisingeri Fr. Schmidt hineingehört. Sie ist leider nicht vollständig und kann daher nicht definirt werden. Besonders schön tritt hier der ovale Musckelfleck hervor, innerhalb welches noch ein excentrisch ge- legener heller Fleck unterschieden werden kann. Die Färbung der Schale ist wie bei allen an der Ssrednjaja gesammelten Leperditien braun, während die zwei übrigen, Leperditia Sannikowi und Leperditia Keyserlingi, schwarz gefärbt sind. Mir scheint aber, dass auf die Färbung nicht viel Gewicht gelegt werden darf, da in diesem Falle wenigstens dieselbe von der Färbung des Gesteines abhängig ist. 46 Baron EpuaArp У. Того, ANTHOZOA. Genus Favosites Lamarck. Favosites Gotlandica Lamk. Tab. IV, Fig. 4 a, b. 1816. Favosites Gothlandica Lamarck-, Hist. 4. An. sans. Vert., vol. II, р. 206. 1879. Favosites Gothlandica Nicholson, Tabulate corals, p. 46, pl. I, fig. 1—6. 1882. Favosites Gotlandicus Lindström, Silur. Korallen a. N. Russl. u. Sib., p. 8, 12, 19. Synom. ef. bei Nicholson. Die regelmässigen Polygone der Kelchmündungen, die dichtgedrängten wagerechten Böden (4 auf einen Millimeter) und die unregelmässigen Porenreihen geben das Recht, diese in mehreren wohlerhaltenen Exemplaren vorliegende Neusibirische Favositide zu der ge- nannten Art zu zählen. Sie stimmt auch beim directen Vergleich mit den von Lindström bestimmten Korallen des Sibirischen Festlandes (Olenek, Mittlere und Untere Tunguska) vollkommen überein. Von gleich geringer Entwickelung sind hier wie dort die Sternleisten.. Favosites Forbesi Edw. and Haime. Tab. IV, Fig. 5 a, b. 1846. Calamopora polymorpha Keyserling, Petschoraland, p. 138. 1854. Favosites Forbesi Milne-Edwards and Haime, Brit. Foss. Cor., р. 258, Pl. LX, figs. 2—2g. 1879. Favosites Forbesi Nicholson, Tabulate corals, р. 56, PI. I, fig. 7; Pl. II, fig. 1, 1a, 1b; caet. excl. 1882. Favosites Forbesi Lindström, Silur. Korallen a. N. Russl. u. Sib. p. 8, 9, 11, 19. Gen. Synom. cf. bei Nicholson. Eine Reihe gut erhaltener Exemplare, unter welchen eines die Grösse von 18 cm. im Querdurchmesser, bei einer Höhe von 7,5 cm., erreicht, zeichnen sich als zu dieser Art gehörig durch die unregelmässigen Polygone der Kelchmündungen und die entfernter stehenden Böden (2 auf einen Millimeter) vor der zuletzt beschriebenen Form aus. Genus Alveolites Lemarck. Alveolites Labechei Edward and Нате. 1851. Alveolites Labechei Edwards and Haime, Pol. Foss. d. Terr. Pal., p. 257. 1854. Alveolites Labechei Edwards and Haime, Brit. Foss. Cor., p. 262, Pl. LXI, figs. 6—6b. 1879. Alveolites Labechei Nicholson, Tabul. Corals, p. 128, Pl. VI, fig. 3, 3a. 1882. Favosites Labechei Lindström, Sil. Korall. a. N. Russl. u. Sib., p. 12. WıssenscH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Ехр. т. D. J. 1885 п. 1886. 47 An dem vorliegenden Exemplare tritt die charakteristische subtrianguläre Mündung der Kelche deutlich hervor. Im Dünnschliff zeigen sich die nach oben gerichteten dornför- migen Septa, die häufigen Poren und Böden genau der Beschreibung und Abbildung Nichol- son’s (l. c.) entsprechend. Das Neusibirische Exemplar unterscheidet sich nicht von denen - der Mittleren Tunguska. Genus Columnaria Goldfuss. Columnaria alveolata Goldfuss. Tab. IV, Fig, 6a, b. 1826. Columnaria alveolata Goldfuss, Petref. Germ., t. i., р. 72, Tab. XXIV, fig. 7. 1879. Columnaria alveolata Nicholson, Tabul. Corals, р. 155, Pl. X, fig. 1, Та. 1882. Columnaria alveolata Lindström, Sil. Korall. a. N. Russl. u. Sib. p. 15. Mehrere schön erhaltene Stöcke zeigen alle Charaktere dieser Art, nur sind die Septa nicht von so gesetzmässiger Ungleichheit wie bei der von Nicholson (l. c) beschriebenen Nordamerikanischen Koralle. Die vorliegenden Exemplare stimmen aber mit den von Lind- ström beschriebenen aus der Lopatin’schen Sammlung gut überein. Wie die Korallen der Mittleren Tunguska besitzen auch die Neusibirischen eine grössere Anzahl von Septen als die bisher bekannten, und zwar durchschnittlich 28. Genus HHeliolites Dana. Heliolites interstinctus L. 1745. Millepora subrotundata etc. Linné, Corallia Balthica, р. 30, fig. XXIV. 1767. Medrepora interstincta Linne, Systema Naturae, ed. XII, vol. I, p. 1276. 1846. Porites interstinctus Keyserling, Petschoraland, p. 175. 1882. Heliolites interstinctus Lindström, Sil. Korall. a N. Russl. u. Sib., р. 8, 9, 19. 1883. Heliolites interstinctus Lindström, Obersilur. Korallen у. Tschau-tien, Richthofen’s China, Bd. IV, p. 54, Tab. V, fig. 7. An einem kleinen Exemplar von 1 cm. im Durchmesser lassen sich beim Anschliff deutlich die Septa der «Kelche» und die unregelmässigen Polygone-des «Coenenchyms» unter- scheiden. Letztere finden sich in einzelnen Kelchen von der Wand umschlossen und geben dadurch ein Bild von der Knospung, wie sie Lindström bei seiner Arbeit über die ober- silurischen Korallen von Tschau-tien (p. 60, tab. VII, fig. 9) abgebildet und beschrieben hat. 18 Baron EDUARD у. Tour. Genus Hoalysites Fischer. Halysites catenularia Lin. 1767. Tubipora catenularia Linné, Syst. nat. ed. XII, vol. I, p. 1270. 1882. Halysites catenularia Lindström, Sil. Korall. а. N. Russl. и. Sib., р. 9, 14. 1883. Halysites catenularia Roemer, Laethea palaeozoica, р. 486, Taf. 9, Fig. 6a, 6b. Genaue Syn. cf. ibidem. Bei der sehr schwierigen Artbegrenzung der Halysitiden habe ich mich nach Möglichkeit bemüht die auf so schöne Untersuchungen begründete Eintheilung Fischer- Benzon’s!) zu be- nutzen. Da aber bisher eine Bestätigung der von ihm vorgeschlagenen Eintheilung durch ent- sprechende Studien an einem reicheren Material aus anstehendem Gesteine, wie sie von Е. Roe- mer (1. с., р. 486) erwartet wird, noch nicht erfolgt ist, konnte dieselbe nicht als einzige Richt- schnur dienen. Andererseits aber reichten die beiden Arten, welche allein von den meisten Autoren genannt werden, Halysites catenularia Linné und Halysites escharoides Lamarck bei der Bestimmung der vorliegenden Formen nicht aus. Zu der obenbezeichneten Art rechne ich Formen mit 2—3 mm. im Längsdurchmesser und 1,5 mm. im Breitendurchmesser haltenden ovalen Kelchmündungen. Das Coenenchym (Lindström) oder die Zwischenwände (Fischer-Benzon) bestehen, wie bei allen Neusibi- riscnen Halysitiden, aus dichter Kalksubstanz ohne die geringste zellige oder kammerartige Differenzirung. Die Septa sind kurz, dornenförmig, nicht viel über den Rand der Wand vor- ragend; die Zahl der Böden beträgt 4—6 auf 2 mm. Eine engmaschigere Varietät mit rund- licheren Kelchen von 1 mm. im Durchmesser und deutlicher längsgestreifter Epithek muss ich ebenfalls zu dieser Art und nicht zu Halysites escharoides rechnen, obgleich sie der von Lindström bestimmten Koralle vom Olenek aus der Czekanowski’schen Sammlung des Mineralogischen Museums der Akademie äusserlich sehr ähnlich sieht. Diese Varietät besitzt aber noch schwächer entwickelte Septa, was ihr den Hauptcharakter der Halysites escha- roides der meisten Autoren nimmt, bei welcher sogar Anlagen zu Columellabildungen vor- handen sein sollen. Halysites parallela Fr. Schmidt. Tab. У. Fig. 4, 5. 1858. Catenipora parallela Fr. Schmidt, Archiv. f. Naturk. Liv., Ehst.- u. Kurlands, I. Ser., Bd. II, р. 209. 1870. Halysites parallela Fischer-Benzon, Mikrosk. Untersuchung. üb. Halysites-Arten, p. 20, Taf. II, fig. 10. Schon äusserlich ist diese Form von der vorigen Art unterschieden, indem die Seitenwände der Kelche mit einander parallele Linien bilden. Die Kelchmündungen besitzen einen an- 1) Mikroskopische Untersuchungen über die Structur der Halysites-Arten etc. у. Dr. В. у. Fischer-Benzon, Abhand. d. naturw. Ver. in Hamburg, Bd. V, 1870. - WissenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Ехр. 1. D. J. 1885 u. 1886. 49 nähernd rechteckigen Umriss, bei einem Durchmesser von 1 mm. Aussenwände der Kelche und Coenchym sind viel dünner als bei der vorigen Art. Die Epithek ist glatt. Septa er- scheinen deutlich als abgerundete, nicht dornförmige Zacken, und zwar 6—7 an den Aus- senrändern, 1—3 an der geraden «Zwischenwand». 3 meist horizontale Böden kommen auf einen Abstand von 2 mm. Mir scheinen die angeführten Charaktere hinreichend, um diese Form als selbststän- dige Art aufrecht zu erhalten, wenn sie auch durch Uebergänge mit Halysites catenularia verbunden sein mag. Uebergänge aber finden sich bekanntlich zwischen Н. catenularia und H. escharoides nicht weniger. Die vorliegende Art unterscheidet sich von der Fischer- Benzon’schen nur durch das Vorhandensein von Septen, die jenem Autor nachzuweisen nicht gelang, was sicher dem schlechten Erhaltungszustande jener Koralle zuzuschreiben ist. Ausserdem finden sich bei der Neusibirischen Form häufigere Anastomisirungen als bei der Fischer-Benzon’schen Art. \ Halysites Keyserlingi nov. sp. Tab. IV, Fig. 10, Tab. V, Fig. 1, 2. Der halbkugelige Stock besitzt eine concave Basis und erreicht eine Höhe von 4,4 cm. und einen Durchmesser von 6,7 ст. Die Kelchröhren verästeln sich durch Anastomosen vom Grunde des Stockes aus, wodurch im Verticalschnitt ein netzartiges Aussehen entsteht. Die Kelchmün- dungen sind fast kreisrund, haben einen Durchmesser von 1— 1,7 mm. und bilden Centren, in denen 10 und mehr Kelche dicht an einander liegen, wodurch sie das Aussehen einer Favositide erhalten und leicht zu dem Irrthum verführen könnten, dass hier eine Symbiose von einer Favo- sites und einer Halysites zu Stande gekommen sei. Die Tabulae sind sehr zahlreich, 8 auf einen Millimeter ‚und oft so stark nach unten gebogen, dass sie in dünnen Horizontalschliffen als con- centrische Ringe im Lumen des Kelches getroffen werden, wodurch sie bei flüchtiger Betrach- tung den Eindruck von Verdickungsringen der Pachyporen machen. Halysites Keyserlingi bildet den Uebergang von den Halysites- Arten vom Typus der Н. catenularia zu der Amerikani- schen Halysites compactus Rominger aus dem Obersilur des Staates Michigan (Geological Survey of Michigan Vol. ПТ, Part. II, 1876, р. 79, PI. XXIX, fig. 3), bei welcher alle Kelchröhren gleichmässig Favosites-artig zusammengedrängt sind und nur einzelne kleine Zwischenräume von der Grösse ihres eigenen Durchmessers frei lassen. Ich schlage vor diese neue Art zu Ehren des Grafen A. Keyserling zu benennen, zu Ehren des Autors, dem die Wissenschaft bereits vor 41 Jahren die erste paläontologische Kunde von der Insel Kotelny zu verdanken hatte. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 7 50 Baron EDUARD у. TouL, Genus Palaearea Lindström. | Palaearea Lopatini Lindström. Tab. IV, Fig. 8, 11, Tab. V, Fig. 3, 6. 1882. Palaearea Lopatini Lindström, ВИ. Korall. а. N.-Russland u. Sibir., р. 11, fig. 8, Diese Gattung wurde durch Lindström (l.c.) aus der Sammlung des Herrn Lopatin von der Mittleren Tunguska entdeckt und beschrieben. Das einzige auf der Insel Kotelny gefundene Exemplar zeichnet sich durch gute Erhaltung aus und ist von denen der Tun- guska nicht zu unterscheiden, nur liess sich hier noch die ergänzende Beobachtung machen, dass die Septalblätter wohl durchlöchert sind (cf. T. У, Е. 3). Wenn dadurch die Verwandt- schaft mit der tertiären Gattung Litharea erwiesen wird, so scheint mir doch das blasige Dissepiment, das sowohl die Räume zwischen den einzelnen Kelchen (cf. T. V, fig. 3) als auch den Innernraum der Kelche (cf. Tab. V, fig. 6) erfüllt, ebenso auf die enge Be- ziehung zu den Tetrakoralliern hinzudeuten. Wir hätten demnach auch in dieser Gattung ein neues Zwischenglied zwischen Tetrakoralliern und Hexakoralliern zu sehen. Genus Cyrtophyllum Lindström. Cyrtophyllum densum Lindström. Tab. IV, Fig. 7 a,b. 1882. Cyrtophyllum densum Lindström, Sil. Korall. a. N.-Russl. u. Sib., р. 17, fig. 1—2. Die Geschichte dieser Koralle ist dieselbe wie die der vorigen. An der Ssrednjaja ge- hört sie zu den häufigeren Arten. Sie stimmt mit der von Lindström gegebenen Beschrei- bung vollkommen überein. An den sehr schön erhaltenen Exemplaren liessen sich alle Cha- raktere gut verfolgen: die rundlichen Kelche besitzen kurze, nach oben gerichtete dorn- förmige Septen, c. 40 an der Zahl, welche sich nach Aussen verlängern und mit den Fort- setzungen der Septen der benachbarten Kelche sich vereinigen. Die Zwischenräume zwischen den Kelchen sind von blasenförmigem Dissepiment erfüllt. Eine äussere Mauer fehlt den Kelchen. Die Böden sind stark nach oben gewölbt und nur ausnahmsweise ist die Wölbung noch einmal nach unten vertieft oder abgeplattet. Genus Syringopora Goldfuss. Syringopora nov. sp. Tab. IV, Fig. 9, 12. Da nur ein Exemplar vorliegt, lässt es sich nicht entscheiden, ob wir eine ausgewach- sene oder eine junge Form vor uns haben. Der ovale, rasenförmige, auf der Unterseite concave Stock besteht aus cylindrischen eng aneinanderliegenden Röhren, die im unteren und centralen Theile Aulopora-ähnlich sich ausbreiten und im oberen und peripheren Theile aufrecht gestellt TN OS ne ee a in # ® À к WıIssenscH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 u. 1886. 51 sind. Der Zwischenraum zwischen den Röhren ist nicht breiter als die Dicke der Kelchwände. In den Kelchen lassen sich unregelmässig faltenförmige Septen und die tief ausgezogenen Tabu- lartrichter unterscheiden. Letztere treten durch die Querröhren der einzelnen Kelche mit ein- ander in Verbindung. Die Querröhren bilden dadurch, dass sie auf gleicher Höhe geordnet sind, fortlaufende Lamellen, wodurch unsere Form eine enge Verwandtschaft mit Syringopora tabulata Edwards und Heime bekundet. Sie unterscheidet sich aber von der devonischen Art dadurch, dass der Lamellen sich nur wenige finden, im centralen Theile eine, im pe- ripheren zwei. Syringopora sp. Der Erhaltungszustand dieser Art erlaubt keine genauere Bestimmung. Sie zeichnet sich durch die ungewöhnliche Grösse ihrer Kelche und die wenig trichterförmigen, nur leicht nach unten gebogenen Böden aus. PROTOZO A. Foraminifera. Bei der Abfassung einer vorläufigen Notiz!) über den Fund von zahlreichen Foramini- ferenschalen beim Studium von Dünnschliffen obenbeschriebener Neusibirischer Korallen war mir die vollständige Litteratur noch nicht zur Hand gekommen. Dank den Hinweisen Neumayer’s in seinem eben erschienenen Werke, «Die Stämme des Thierreiches» ?), habe ich die bisherbekannt gewordenen Angaben über das Vorkommen von Foraminiferen in silurischen Ablagerungen kennen lernen können. Es sind, wenn wir die von Ehrenberg?) aus dem unter- silurischen Glauconitsand von St. Petersburg beschriebenen Steinkerne nicht hierher rechnen, 7 Gattungen bisher von Autoren angeführt, und zwar von Terquem‘) die Gattung Placopsi- lina, in drei Arten, Placopsilina prisca, antiquata und venusta, welche er nach an Crinoiden ansitzenden Steinkernen aus dem Silur von Waldron (Indiana) beschrieb und abbildete. Keeping?) bildet Steinkerne von Dentalina, Textilaria und Rotalia (?) ab. Brady Шей im Challenger-Bericht‘) zwei Arten der Gattung Lagena, L. laevis Mont. und Г. sulcata 1) Notiz über das Vorkommen von Foraminiferen im | d. K. Pr. Akad. d. Wissensch. 1855, p. 98, 112 u. 172, Silur der Neusibirischen Insel Kotelny, Verhandl. der | Tab. II. Russisch.-Kaiserl. Mineralogischen Gesellschaft, II Ser., 4) Bulletin de la Société Géologique de France, III ХХУ. Band, р. 304, 1889, und Neues Jahrbuch für Mine- | Ser., VIII Tome, 1880, р. 414—418, pl. XI. ralogie etc. 1889, Bd. I, p. 203. 5) The Geological Magazine, New Series, Decad. II, 2) pag. 203. Vol. IX, 1882, р. 490, pl. XI, fig. 13—15. 3) Monatsberichte der К. Pr. Akad. а. Wissensch. 1854, 6) Report of the Voyage of Challenger, Zoology, Vol. p. 392 u. 410; 1858, p. 295 u. 824, Tab. I; Abhandlung | IX, 1884, p. 449, 450. Tr 52 Baron EDUARD у. ToLt, W. und Z., mit, die von Mr. John Smith in obersilurischen Schiefern von Straffordshire und Herefordshire entdeckt worden seien. Bei Nicholson und Etheridge!) endlich findet sich die Beschreibung von Girvanella problematica Nich. und Ether. und Saccamina Carteri Brady. Solchen vereinzelten Daten gegenüber muss uns jeder noch so kleine Beitrag zur Kenntniss unserer ältesten Lebewesen willkommen sein. Wenn auch bei den von mir ent- deckten Foraminiferen nicht, wie ich anfangs hoffte, die Schalen in genügend gutem Zustande erhalten sind, um den feineren Bau der Schalen der ältesten Foraminiferen mit den heutigen vergleichen und daraus Schlüsse auf die Phyllogenie dieses Thierstammes ziehen zu dürfen, da bei der Bildung des die organischen Reste umschliessenden Gesteines auch die Schalen einer Umänderung in krystallischen Kalk unterworfen wurden, so geben uns doch Dünn- schliffe, wie der auf Tafel V. fig. 10, wiedergegebene, ein bislang noch nicht gekanntes Bild?) von massenhaftem Vorkommen von Foraminiferen in silurischem Gestein, ein Bild wie wir es sonst nur aus Jüngeren Ablagerungen zu sehen gewohnt sind. Bei dem eben er- wähnten Dünnschliff (Taf. У, f. 10) ist es die Kalkmasse zwischen den Kelchreihen einer Halysites parallela F. Schmidt, die dicht von einer Zagena erfüllt wird, andere Formen theils in Querschnitten, theils in Schalentrümmern (fig. 14.) zeigen die Dünnschliffe von Cyrtophyllum densum Lindstr., andere noch Schliffe einer Favosites. Fast in allen unter- suchten Korallen oder in dem diese umhüllenden Kalke fanden sich mehr oder weniger deut- liche Foraminiferenreste. Wahrscheinlich verdanken wir die Erhaltung eines Theiles derselben dem Umstande, dass die abgestorbenen Korallen, bei welchen die Böden oft zerstört sind, am Boden des Meeres von dessen Sediment bedeckt und mit diesen von den hinabgesunkenen Foraminiferen erfüllt wurden, welche nun während der Dauer der gebirgsbildenden Pro: cesse durch die Kelchwände vor zerstörendem Drucke?) geschützt wurden. Lagena transversocostata nov. sp. Tab. V, Fig. 10, 18. In der hyalinen, dünnen Kalkschale lässt sich zwar die Porosität nicht nachweisen, aus der Menge der durchschnittenen Individuen ergiebt sich aber ein hinreichendes Material um an äusseren Merkmalen die Identität mit der Gattung Lagena zur grössten Wahrscheinlichkeit zu bringen. Die Schale ist im Transversalschnitt rund, die äussere Gestalt, flaschenförmig. 1) Silurian fossils of the Girvan distriet in Ayrshire, | schliffen silurischer Kalke Spuren derselben in Menge p. 21—24, pl. IX, fig. 23, 24. 2)Neumayr sagtin seiner «Erdgeschichte», Band II, p- 59. «Man sollte doch erwarten, dass gerade diese nie- drigst organisirten Lebewesen in der ältesten Zeit mas- senhaft vorhanden gewesen seien. Wohl ist es ziemlich natürlich, dass gut erhaltene Reste sehr spärlich sind, da die festen Thonschiefer, Grauwacken, Quarzite und Kalke jener Ablagerungen sich im Allgemeinen wenig für die Aufbewahrung derselben eignen; allein man sollte wenigstens erwarten, dass das Mikroskop in den Dünn- nachweisen werde. So weit man aber bisher die Unter- suchungen ausgedehnt hat, ist es nirgends der Fall, ob- wohl die Existenz von Foraminiferen seit dem Beginne des Silur mit Sicherheit nachgewiesen ist». 3) Dass der Druck ein starker war, dafür sprechen schon die oben in der Einleitung angeführten tektoni- chen Verhältnisse, in einem späteren Abschnitt der «Ве- sultate» werde ich noch weitere Belege dafür eingehen- der zu besprechen haben. ! À 2 | WissenscH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 п. 1886. 53 Ein mehr oder weniger verlängerter Hals ist deutlich sichtbar. Die Mundöffnung ist äusserlich (ectosolenian Brady),abgerundet viereckig. Die Ornamentik besteht aus 5—6 parallelen, in der Transversalebene verlaufenden scharfen Rippen. Bei einzelnen Individuen (fig. 18, c. e.) findet sich eine Zweitheiluug der Kammer, bei der die Scheidewand deutlich aus 2 Lamellen besteht (f. 18 c.). Die zweikammerigen, sonst in ihrer Form mit den typischen überein- stimmenden Exemplare zu einer anderen Art zu zählen, scheint mir nicht nothwendig, da wir auch bei anderen einkammerigen Foraminiferen z. B. bei der Gattung Orbulina eben- solche Vorkommnisse kennen, die von Brady auch nur als Abnormität des normalen Typus angesehen werden (cf. |. c., р. 610, pl. LXXXI, fig. 20, Pl. LXXXII, fig. 2). Es läge nahe, hier an einen Theilungsvorgang zu denken, doch ist mir an jetzt lebenden Formen eine Be- obachtung über die Theilung der Schale selbst nicht bekannt. Die typische Form (Fig. 18 b.) hatte folgende Maasse: Länge: 0,2 mm., davon kommen 0,01 mm. auf den Hals, Breite: 0,1 mm. Die Mundöffnung (Fig. 18 f.) misst 0,03 mm. ? Rotalia. Tab, V, Fig, 8, 8 a, 13, 14 (pars). Das Gehäuse zeigt im Durchschnitt (fig. 8 a) bei stärkerer Vergrösserung eine Zu- sammensetzung aus Körperchen, die den Eindruck von Sandkörnchen einer agglutinirenden Schale machen; es sind das aber nur bei der Umwandlung des Gesteines gebildete Kalk- krystalle. Zwischen den einzelnen Krystallen finden sich canalartige Zwischenräume, die leicht für wirkliche Canäle gehalten werden können. Eine Porosität der Schale glaube ich aber dennoch bei der Form fig. 13 an der Oberfläche sehen zu können, und rechne daher das Fragment, an welchem die feinen Poren deutlich sichtbar sind, fig. 14 (rechts) als zu dieser Form gehörig. Die Gestalt des Gehäuses ist rotaliform, d. h. spiral aufgerollt, und mit tiefem Nabel versehen. Die Mundöffnung ist nicht nachweisbar, jedenfalls aber entspricht sie nicht der auf fig. 13 fälschlich zu dunkel gezeichneten schneckenmündungähnlichen Fläche, die in Wirklichkeit geschlossen ist. Im Querschnitt ist die Kammerung deutlich zu sehen. Grösster Durchmesser der Form Fig. 8: 0,24 mm. ? Clavulina. Tab. V, Fig. 9, 12. Drei Kammern einer stacheltragenden Form sind in dem Schliff fig. 12 getroffen. Zu dieser gehört wahrscheinlich auch dasäussere Schalenfragment mit den regelmässigen Stachel- reihen, das in fig. 7. aus dem Inneren eines Kelches von Cyrtophyllum densum Lindstr., abgebildet ist. Die Schale ist von derselben Beschaffenheit und mit ähnlichen Pseudocanälen versehen, wie in der vorigen Form. Grösster Durchmesser der Form Fig. 12: 0,26 mm. 54 Baron Еролвр у. ToLL, ' ? Globigerina. ° Tab. У, Fig. 7, 11. à Die vierkammerige Form fig.'11 lässt sich mit keinem anderen Foraminiferentypus, als mit dem der Gattung Globigerina vergleichen, doch erlaubt weder der Erhaltungszustand der Schale einen Einblick in dessen Structur, noch ist die charakteristische Mundöffnung sichtbar. Die gequetschte Form fig. 9 gehört vielleicht zu demselben Typus. Grösster Durchmesser der Form Fig. 11: 0,30 mm. — ? Uvigerina. Tab. V, Fig. 17. Eine gestreckte Form, nach Art der Uvigerina aufgerollt, bestachelt und, wie es scheint, einen Hals besitzend. Länge: 0,30 mm. Grösste Breite: 0,08 mm. р? Nodosaria. Tab. V, Fig. 16. Ein stabförmiges Gebilde von 0,04 mm. Breite und 0,70 mm. Länge mit deutlich er- kennbaren Canälen. Tab. V, Fig. 15. Ein Steinkern, von Kalkspathkrystallen erfüllt, dessen Contour an die Glauconitstein- kerne erinnert, welche Ehrenberg aus dem Grünsand von St. Petersburg beschrieben hat, und zwar besonders an die Aristerospira octachaea (T. I, Fig. XII, Monatsberichte 1858, p. 310 u. 337). Grösster Durchmesser: 0,34 mm. Aus der Beschreibung der Foraminiferenreste erhellt einerseits die Thatsache, das sich im Silur verschiedene Gattungen finden, die den recenten entweder sehr nahe stehen oder mit ihnen identisch sind (Zagena), andererseits finden sich hier nur kalkschalige Formen, was für eine bereits höhere Entwickelungsstufe spricht, auf der sich die silurischen Fora- miniferen befinden, wenn wir die sandschaligen als die älteren anerkennen. Sicheres ver- mag uns leider dieses karge Material nicht über die Stammesgeschichte dieser Protozoen- gruppe mitzutheilen, und es bleibt uns nur die Hoffnung auf weitere glückliche Funde beim mikroskopischen Studium an paläozoischen Gesteinen. Schlussbemerkungen. Zur Feststellung des geologischen Horizontes, dem die beschriebene silurische Faunula der Insel Kotelny angehört, bedienen wir uns der folgenden Tabelle. Verzeichniss der silurischen Ver- steinerungen der Insel Kotelny. WiISsENSCH. RESULTATE D. NEUSIBERISCHRN Exp. т. D. J. 1885 о. 1886. > + 55 7 Obersil À Sibirisches Festland, : here 5 . Europa. Wilui. Untere Tunguska. Mittlere Tunguska. Estland | und Oesel. Skandina- vien Brittanien: China Amerika. 1. Orthis arctica nov. sp. ......,....... 2. Rhynchonella nov. SP. ............... 3. Rhynchonella ? sp. .................. 4. Atrypa (?) Tschautienensis Kays..... 5. Pentamerus sp............., SERRE 6. Strophomena euglypha His... ........ 7. Strophomena rhomboidalis Wil....... 8. Phacops quadrilineata Ang..... .... 9. Monorakos Schmidti nov. sp.......... TORMPrOElUS SD: cher ee sel cette 11. Bronteus Andersoni Е. М............ 12. Leperditia Kotelnyensis nov. sp....... 13. Leperditia arctica Jones..... Bahr 14. Leperditia Czerskii nov. sp........... 15. Leperditia Sannikowi nov. sp......... 16. Leperditia Keyserlingi Е. Sch. уаг.... 17. Leperditia (?) sp. ................... 18. Favosites Gotlandica Lam........... 21. Columnaria alveolata Goldf.......... . Heliolites interstinctus Lin....... eue . Halysites catenularia L.............. . Halysites parallela Е. Schm. ........ 25. Halysites Keyserlingi nov. sp......... . Syringopora nov. Sp. ........,.,. SL 27. Syringopora Sp...........,...,.. Be . Cyrtophyllum densum Lindstr....... . Palaearea Lopatini Lindstr......... . Lagena transversocostata п. зр........ ses ses. ser ooeleoooe.r. зоо ео [| охьооо 000%» о | дь оо | ооо ооо о = | оо ово | ие Фо * | ооо чо | о see сх ооооо | зо ооо офооое [о офооо [о ооо о | ооо оь | соо но | зо osseuse... CO sesseosle.oees осо оо | оф el... ово | ооо * | о офочо | оохо® ооо - о | ово | ооо | зоо |. обо [оо etes... ооо х | оо ses. ооо | ооо | соо оо |оооь фи | в ох ооо | зооьоо [ооо о + | ооо ооо ео [| ч ann nr | оо sorts... 3 6 Von den angeführten 30 Formen haben wir 50% bekannte Arten und zwar: 1) Atrypa (2) Tschautienensis. 2) Strophomena euglypha. 3) Strophomena rhomboidalis. 4) Phacops quadrilineata. 5) Bronteus Andersoni. 6) Leperditia arctica. 7) Favosites Gotlandica. 8) Favosites Forbesi. 9) Alveolites Labechei. 10) Columnaria alveolata. 11) Heliolites interstinctus. 12) Halysites catenularia. 13) Halysites parallela. 14) Cyrthophyllum densum. 15) Palaearea Lopatini. Unter diesen finden sich inden beiden Trilobiten vorzügliche Leitfossilien, da Phacops quadrilineata Angelin-der Fauna der unteren Mergelschiefer von Wisby angehört, welchen 56 Baron Е. у. Tozz, WissenscH. RESULTATE D. NEUSIBIR. Exp. т.р... 18855. 1886. Lindstrôm') das Niveau des oberen Llandovery zuertheilt und Fr. Schmidt?) dieselbe Form in den Zonen G, und H (Raiküll-, und Pentamerus estonus-Zone) nachgewiesen hat; indessen ist Bronteus Andersoni Eth., Nich. eine sehr charakteristische Form für die Pen- kile beds des Girvan-Districtes in Schottland, welche Etheridge und Nicholson?) eben- falls dem oberen Llandovery gleichstellen. Da auch die übrigen Formen dagegen keinen wesentlichen Widerspruch *) erheben können, so ist damit die Zugehörigkeit unserer Fauna zum unteren Obersilur erwiesen. о Was die geographische Verbreitung der Neusibirischen Formen betrifft, so ist es von grossem Interesse, dass in den Silurablagerungen des Olenek sich 7 von den Arten der Ssrednjaja wiederfinden, und darunter das Leitfossii Phacops quadrilineata. An der Mittleren Tunguska sind 6 Arten mit denen der Insel Kotelny identisch, und unter diesen die origi- nellen Korallen Cyrtophyllum densum und Palaearea Lopatini. Ausser diesen letzteren aber weist uns noch die Gattung Monorakos auf die Wahrscheinlichkeit hin, dass wir hier ein Silurbecken vor uns haben, welches unter gleichen physikalisch-geographischen Bedingungen den Norden des heutigen sibirischen Festlandes und die jetzigen Neusibirischen Inseln gleich- zeitig bedeckte. Andererseitslernen wir dadurch in den Bergen der Insel Kotelny die nördlichen Ausläufer der westlich von der Lena gelegenen Gebirge Nordasiens kennen, also auch den frü- heren Zusammenhang der Inseln mit dem Festlande, welcher durch die Erosion eines in jüngster Zeittransgredirten Meeres wieder gelöst wurde. Dass das bezeichnete Silurbecken auch das Wiluigebiet umfasste, geht ebenso aus dem gemeinsamen Vorkommen des Phacopsquadrilineata hervor, ausserdem spricht dafür auch die nahe Verwandtschaft der Leperditia aus der Gruppe der L. grandis, der L. Kotelnyensis und Wiluiensis. Ebenso naturgemäss ergeben sich aus einem Blick aufunsere Vergleichstabelle die Wege, welche der Communication zwischen dem sibiri- schen Becken mit den Meeren des Westens über den Norden Europa’s (Petschora-Land) in das Balticum bis nach Schottland hin und des Ostens über den Nordamerikanischen Archipel nach Amerika offen standen. Gestützt auf die auffallende paläontologische Aehnlichkeit zwischen den Silurablagerungen in dem Quellgebiet des Olenek und Wilui mit denen der Ostbalti- schen Schichtgruppe @, hat Е. Schmidt bereits im Jahre 18815) auf eine directe Fort- setzung der letzteren bis ins Centrum Sibiriens hingewiesen. Nach Süden war vielleicht China oder ein noch nicht entdeckter directer Weg die Verbindungsstrasse zu dem von origineller Fauna bevölkerten Obersilur des Himalaya °). 1) Förteckning ра Gotlands Siluriska Crustacéer, öf- 4) Halysites parallela Е. Schmidt ist im Balticum vers. af. Kongl. Vetensk. Akad. Förhandl. 1885, X 6, | bisher im Untersilur nachgewien worden (Arch. f. Naturk. pag. 9. Liv.-, Ehst.- u. Kurlands, I. Ser., Bd. Il, р. 231, 1858). 2) Revision d. ostbalt. silur. Trilob. I, M&m. 4. l’Acad. 5) 1. с. р. 44. 5 \ Гор. d.Sciences, T. ХХХ, № 1, 1881, р. 74. 6) I. W. Salter and Н. Е. Blanford, Palaeontology 3) Monograph of the Silurian Fossils of the Girvan | of Niti in the Northern Hymalaya etc. Calcutta 1865. dist. еёс., Fasc. II, 1879, р. 227. ist de oi di it ne € ie D un D à Een >. | Mémoires de l’Acad. Imp. а. sc. VII Série. ы \ \ À EE ; La у EA © г £ La | ма re ee х fra val у и { He GRR Tafel I. Devonische Brachiopoden: Fig. 1. Spirifer elegans Steininger. Br 4 Pig. 2. » » » , ANA: Fig. 3. Spirifer elegans var. novosibirica nov. var; с. vergrösserte Skulpturansicht; d., e. Steinkerne- Fig. 4. Spirifer elegans Stein. et Fig. 5. Spirifer elegans Stein. | | 6. » » Jugendform. . Fig. 7. Spirifer hians Buch. | 8. Cyrtina heteroclita Defrance. Fig. 9. Spirifer Whitneyi Hall. Fig. 10. Orthis striatula Schloth. Fig. 11. Orthis Bungei nov. Sp. Fig. 12. Orthis Mac Farlanei Meek, var. elliplica nov. var. Fig. 13. Orthis iowensis var. quadrangularis nov. var. I? Fig. AN» » » » » » Г, у Жар Мет del cat Lmp.d do Il Serie. v.lall: Palaoz Verst d J Aotehnij. lat. | ‚Devon. Brachiop. d.Westküste. Gez vRKoch Lith.Druokv.R Koch \as.Ostr.l.Lin.Ne44. St Petersburg Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. . Fig. EUR @ D = о. 20. te . 22. ‚ 28. Tafel LI. Devonische Brachiopoden: . Camarophoria Tschernyschewi nov. sp. a. Steinkern. » » » » » » » » b. vergrösserte Skulpturansicht. » junges Exemplar. x = > ES S > salschale zu zeigen. . Rhynchonella nov. sp. » » » Steinkern. )) » » . Rhynchonella acuminata var. platyloba Sowerby, Exemplar mit hoher Zunge. » » » » » Exemplar mit abgeplatteter Zunge. . Rhynchonella cuboides? Sowerby. . Streptorhynchus umbraculum Schlotheim. . Streptorhynchus crenistria Phillips. . Atrypa reticularis Linne. . Atrypa aspera Schloth. . Pentamerus galeatus Dalman. . Strophalosia productoides Murchison. . Productus subaculeatus Murch. . Productus Hallanus Walcott. а, a,. Dorsalklappe von aussen. а». Inneres der Dorsalklappe. b. Ventralklappe von aussen. Silurische Brachiopoden: Orthis aretica nov. sp. Steinkern; ©. vergrösserte Ansicht der Rippen. Ichynchonella (?) sp. Dorsalklappe. Rhynchonella nov. sp. Atrypa (?) Tschautienensis Kayser. › Anschliff um die löffelförmigen Fortsätze der Dor- EVA КО ЛЯ de Devon Brachion. d № Г у. п | 1 oll: Palaoz Verst.d.] Kotehny Taf. IL me nt DE Silur. Brachiop.v.d. Dragozennaja (ем). Koch Lith.Druckv.R Koch.W.0.1.Lin. Ne44 .St.Pelersburg Tafel ILI. Silurische Versteinerungen: 1. Phacops quadrilineata Ang. a. Glabella. b. Pygidium; Verg. ЗИ. 2. Monorakos Schmidti nov. sp. Glabella. Verg. */.. 3. Phacops quadrilineata? Ang. Dieses Pygidium lässt sich nicht sicher bestimmen, vielleicht gehört es zu Encrinurus. 4. Proetus sp. Pygidium und Wangenschild. 5. Bronteus Andersoni Eth. et. N. Pygidium Verg. 3/.. 6. Strophomena euglypha His. Verg. ÿ/.. 7a, Leperditia arctica Jones, linke Schale von der Seite; a, von vorn, a, unten. Verg. */.. 7b. Phacops sp.? Pygidium. Verg. °/. Те. Strophomena rhomboidalis Wilk. Verg. °/.. 8. Leperditia Kotelnyensis nov. sp., rechte Schale. Verg. ®/,, ebenso der folgenden Figuren. 9, » » » » linke Schale. . 10. Leperditia arctica Jones, rechte Schale. 2 . 11. Leperditia Czerskii п. sp. a. Ansicht der linken Schale. b. Ansicht der beiden Schalen. С: » » » » d. Ansicht der rechten Schale. e. Ansicht der beiden Schalen. . 12. Leperditia Kotelnyensis n. sp. juv., linke Schale. . 13. Leperditia Sannikowi, var. ornata, nov. sp. a. Ansicht der linken Schale. e u. e. Ansicht der beiden Schalen. . 14. » » » » nov. sp. Ansicht der rechten Schale. Sl) » » » » » » » » » » . 16. Leperditia Sannikowi, var. simplex. nov. sp., rechte Schale. LT » » » » » » linke Schale. . 18. » » » » » ›„ rechte Schale juv. . 19. Leperditia Keyserlingi F. Schmidt var., linke Schale. em del Acad. lp d 60 1. Serie У lol Paloz Verst à J Кобе Ja Il aa N STE dilurische. Vers т. a GezvR Koch . | Lith.Druck.v R.Koch.B.01:Lin.Ne4&.St Petersburg. Tafel IV. Devonische Korallen: о Fig. 1. Cyathophyllum caespitosum Goldf. a. Längsschnitt, b. Querschnitt. Verg. */.. Fig. 2. Alveolites suborbicularis Lam. a. Querschnitt, b. Längsschnitt. Verg. °/,- Fig. 3. Cyathophyllum hexagonum Goldf. Querschnitt. Verg. °/. Silurische Korallen: Fig. 4. Favosites Gotlandica L. a. Querschnitt, b. Längsschnitt. Verg. ЗИ. Fig. 5. Favosites Forbes: Edw. H. a. Querschnitt, b. Längsschnitt. Verg. 3/,. Fig. 6. Columnaria alveolata Goldf. a. Querschnitt, b. Längsschnitt. Verg. 3/,. Fig. 7. Cyrtophyllum densum Lindst. a. Querschnitt, b. Längsschnitt. Verg. ?/.. Fig. 8. Palaearea Lopatini Lindst. Querschnitt. Verg. *,. Fig. 9. Syringopora nov. sp. Querschnitt. Verg. °?/,. Fig. 10. Halysites Keyserlingi nov. sp. Durchsägt und angeschliffen, natürliche Grösse. Die Basis des Stockes ist abgesägt. Fig. 11. Palaearea Lopatini Lindst. Durchsägt und angeschliffen, 11/, mal vergrössert. Fig. Die abgebildeten Dünnschliffe dieser Tafel, wie der Tafel V, sind (mit wenigen Ausnahmen) nach 12. Syringopora nov. sp. Querschnitt. Verg. 5/.. Photographien auf Stein gezeichnet. г | | | | | | . Mer. de | Acad. Imp.d Sc VIS ere voll. Pal : ni. Devan.Korallen. 51] |... а 402. УСТ AIR S Silur. Korallen. = 1 Gezvd. Koch. Lith Druckv. К Koch W 0 11m N°44. St Petersbur Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. . 15. . 16. . 17 IS: Tafel У. Silurische Korallen: . Halysites Keyserlingi nov. sp. Querschnitt. Die hellen, theilweise concentrischen Linien innerhalb der Kelchlumina sind durchschnittene Böden. Verg. %, . Halysites Keyserlingi nov. sp. Nicht genau senkrecht geführter Längsschnitt. Verg. 4/,. . Palaearea Lopatini Lindst. Nicht genau horizontalgeführter Querschnitt. Er zeigt das Zusammentreffen zweier Kelche, zwischen welchen das Blasengewebe deutlich sichtbar wird. Ebenso scharf ist die Durchbohrung der Septen zu sehen. Verg. 1%. . Halysites parallela Е. Schmidt. Querschnitt. Von den Septen sind einige fälschlicher Weise dornförmig gezeichnet. Verg. *%.. . Halysites parallela F. Schmidt. Längsschnitt. Verg. 4/. . Palaearea Lopatini Lindst. Aus demselben Schliff wie Fig. 3, um das Blasengewebe im Centrum eines Kelches und die Trabeculae zu zeigen. Verg. 19. Silurische Foraminiferen: . 2 Globigerina. Die Foraminifere liegt im Kelche einer Favosites sp. Verg. 55/. . 2 Rotalia. Aus demselben Präparat wie fig. 7. Verg. %5/,. 8a. Verg. 5%. . 2? Clavulina. Querschnitt durch den Kelch einer Cyrtophyllum densum Lindst., in deren Ausfüllungsmasse die bestachelte Schale einer Foraminifere liegt. Verg. 3%. . Lagena transversocostata nov. sp. Die Foraminiferen liegen in der Kalkmasse zwischen den Kelchreihen einer Halysites parallela F. Schmidt, deren Wandung am unteren Rande des Bildes zu sehen ist. Verg. %°/.. . 2 Globigerina. Aus dem Kelche einer Favosites sp. Verg. 5%. . 2 Clavulina. Aus dem Kelch von Cyrtophyllum densum Lindst. Verg. °°/.. 13. . 14. ? Rotalia. Ebendaher. Verg. 5°/,. Schalentrümmer von Foraminiferen, das rechte Bruchstück vielleicht zu ? Rotalia gehörig. Vere 39. Steinkern einer Foraminifere. Verg. 55/, i ? Nodosaria. Aus dem Kelche einer Favosites sp. Verg. 10%. ? Uvigerina. Ebendaher. Verg. 165/.. Lagena transversocostata nov. sp. a, b, d, einkammerige; e, f, zweikammerige Exemplare im Längsschnitt. Е. Mündung und Aussenwand von der Fläche aus gesehen. Verg. 19%. < $ Br ` ы BA NER l'A С Fe] Ne №. 228 PS OPEN И УНР PORN AE en ne ы Е u $ ee 2 f TPS PT Et MS PO ES RAC и Зи ао D Silur Foraminiteren ем Кос Lith.Druc ë Seite 6, 2. Zeile von unten ist «Czerski» statt Tscherski zu lesen. US Seite 41, 15. Zeïle von oben sind die Worte: «nach hinten regelmässig zugespitzt» zu streichen. _ Seite 46, 6. Zeile von unten ist «Lamarck» statt Lemarck zu lesen. A Auf Tafel II unten ist «Silur. Brachiop. d. Ssrednjaja» statt an d. Dragozennaja zu lesen. u \ y: fi > < $. LENS AN N LUN TONER TOR N — MEM 0 IRES PACADENIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST. -PETERSBOURG, VIF SERIE. Томе XXXVIL, N° 4. NEUIR RO ECM MAGNETINCHER VARLTIONSINSTREMENTE UND ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG (Mit 12 Holzschnitten im Text und einer Tafel.) . (Lu le 16 Mai 1589.) St.-PETERSBOURG, 1889. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: M. Eggers & 018 et J. Glasounof; M. N. Del Voss’ Sortiment (G. Haessel). Prix: 1 Вы. = 9 Mrk. 50 Pf. |) DU N a = à — MÉMOIRES L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VIF SÉRIE. Томе XXXVIE № 4. è Е N. р: т it. EL. TR Е 4 IR ” к RTE У д" р 2% m + а ва MAGNETINCHER VARINTIONSINSTRUMENTE UND ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG we И die Ba a FETT Shiten | 6e CE ms) PV NT N (Mit 12 Holzschnitten im Text und einer Tafel.) (Lu le 16 Mai 1559.) Do 5 À ооо Sr.-PETERSBOURG, 1889. Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences: à St-Pétersbourg: à Riga: ; à Leipzig: М. Eggers & C!° et J. Glasounof; М. М. Кушше!; Voss’ Sortiment (G. Haessel). Вых OMR DIE 392 Ме. 500 BR. . Imprimé par ordre de ’Academie Impé Décembre 1889. > Je |. ее и “CG: Vessélofski se _ Imprimerie de l’Académie Im Vass.-Ostr., 9 7. Nach den Erfahrungen, welche ich an den Kupffer’schen magnetischen Variations- instrumenten für directe Ablesung mit Fernrohr und Scale einerseits und an dem Kew’schen Magnetographen (construirt von Adie in London) anderseits während der magnetischen Be- obachtungen in St. Petersburg in den Jahren 1869 — 77 gemacht hatte, habe ich seiner Zeit für das neu begründete Observatorium in Pawlowsk bei Dr. Edelmann in München drei neue Variationsinstrumente anfertigen lassen, welche dort seit 1878 in Gebrauch traten, leider aber den an sie gestellten Erwartungen nicht entsprachen. In Folge von Aenderungen am ursprünglichen Plan und einigen Fehlgriffen in der Construction neuer Einrichtungen war die gestellte Hauptanforderung eines luftdichten Verschlusses der Magnetgehäuse behufs Evacuirung und Austrocknung derselben trotz einiger hier angebrachter Verbesserungen nur vorübergehend zu erfüllen. Der Möglichkeit aber der Evacuirung der Gehäuse hatte man bezüglich der bequemern Einrichtung und Justirung mancher Theile der Instrumente Opfer gebracht, welche beim Aufgeben der Evacuirung überflüssig erschienen. Als daher die Aus- rüstung der internationalen Polar-Stationen die Gelegenheit zur Construction weiterer mag- netischer Variationsapparate bot, habe ich durch Dr. Edelmann in München eine neue Form derselben ausführen lassen, welche auf der österreichischen Station auf Jan-Mayen, der finn- ländischen in Sodankylae und der russischen auf Nowaja-Semlja Verwendung fanden und seit- her auch noch für die meteorologisch-magnetischen Observatorien in Katharinenburg und Ir- kutsk adoptirt wurden. Diese Apparate sind von Dr. Edelmann in seiner Schrift: «Die erd- magnetischen Apparate der Polar-Expeditionen im Jahre 1883»') kurz beschrieben worden. Eine eingehendere Beschäftigung mit den für die letztgenannten Observatorien bestimmten Instrumenten dieser Art bei Gelegenheit ihrer Prüfung im Observatorium zu Pawlowsk liess mich indessen noch einige Mängel derselben erkennen. Die Vertauschung der Torsionsstäbe 1) Als Manuscript gedruckt. Braunschweig bei F. Vieweg & Sohn 1882. Mémoires de l'Acad. Imp. 4. sc, VII Serie. a 1 2 Н. Wınp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND mit ihren Magneten und umgekehrt, welche ja besonders beim Bifilar für dessen Justirung wiederholt nothwendig ist, liess in Betreff der Bequemlichkeit und Genauigkeit zu wünschen übrig. Die Drehung des Spiegels um 90° beim letztern Instrument nach der Orientirung senkrecht zum Meridian erheischte ein längeres Probiren. Es erschien ferner wünschens- werth, die Magnetgehäuse wenigstens angenähert auszutrocknen, indessen war kein Platz zum Einlegen einer Schale mit Schwefelsäure oder Chlorcaleium vorhanden. Selbst für Lo- calitäten mit wenig schwankenden Temperaturen musste der Einfluss der Temperatur auf den Stand der Magnete (nämlich 1,5 Scalentheile beim Bifilar und 6,1 Scalentheile bei der Lloyd’schen Wage pro 1° Temperatur-Aenderung, wenn 1 Scalentheil je einen Werth von 0,0005 mm. mg. s. hat) zu gross erscheinen, um denselben nach den im Magnetgehäuse beobachteten Temperaturen mit genügender Sicherheit berechnen zu können, so dass der Versuch einer wenigstens theilweisen Temperaturcompensation, besonders bei der Lloyd’- schen Wage, geboten erschien. Bei Anwendung langer Suspensionsröhren ist die Anbringung der Torsionskreise am obern Ende derselben sehr unbequem und es war daher eine Ver- legung dieser Kreise nach unten des Versuches werth. Entsprechend diesen Bemerkungen habe ich die Einrichtung der neuen Variations- instrumente motificirt, welche ich bei Dr. Edelmann für das Observatorium in Pawlowsk neuerdings construiren liess, um sie daselbst an Stelle der frühern, ihrerseits umzuarbei- tenden, zu setzen. Diese im Sommer 1886 erhaltenen Apparate wurden von mir gemeinsam mit Herrn Leyst im Anfang September 1886 in der für Probe-Untersuchungen bestimmten Hütte am Teich aufgestellt, vollständig justirt und dann ein ganzes Jahr hindurch regel- mässig alle Tage einmal abgelesen. Da sie sich sowohl bei der Aufstellung und Justirung als auch bei diesen fortgesetzten Beobachtungen, gemäss dem Vergleich derselben mit den Magnetometer-Beobachtungen im unterirdischen Pavillon, im Allgemeinen bewährt hatten, so wurden sie dann im September 1887 an Stelle der ob’ bacs ältern Edelmann’schen Instrumente in den unterirdischen Pavillon übergeführt, um dort zu den regelmässigen Va- riationsbeobachtungen verwandt zu werden. Ich gebe daher jetzt eine Beschreibung dieser neuen Instrumente, sowie ihrer Justirung und weiteren Benutzung und füge gleich die Dar- stellung eines photographischen Registrir-Apparats hinzu, welchen ebenfalls Dr. Edelmann nach meinen Angaben in 3 Exemplaren für das Observatorium in Pawlowsk angefertigt hat, um dieselben zur Registrirung und zugleich zur directen Beobachtung mit Fernrohr und Scale des Potentials der Luftelectrieität und der Potential-Differenz an unsern Erdplatten zu verwenden. Diese Apparate, die selbstverständlich ebenso gut zur Registrirung und directen Beobachtung der Variationen der erdmagnetischen Elemente dienen könnten, sind wenig später als die obigen Variationsinstrumente aufgestellt und in Function gesetzt wor- den, so dass man sich über ihre Leistungsfähigkeit ebenfalls bereits ein Urtheil hat bilden können. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR- APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 3 I. Magnetische Variationsinstrumente, Ausser den, im Vorigen theilweise schon hervorgehobenen Bedingungen einer beque- men und dadurch genaueren Justirung, der wenigstens theilweisen Trocknung der Magnet- gehäuse und der Temperatur-Compensation der Magnete wurde bei der Construction der neuen Instrumente auch die Möglichkeit einer sichern Bestimmung der Empfindlichkeitscon- stanten derselben im Auge behalten, welche für alle drei Apparate in Form und Grösse genau gleiche Magnete verlangt. Ueber die gewählten Temperatur-Compensationen bemerke ich zunächst im Alige- meinen Folgendes. Da sich nach meinen frühern bezüglichen Versuchen die Temperaturcompensation der Magnete nach Lamont’s System durch Verbindung zweier Magnete mit verschiedenen Temperatur-Coefficienten nicht bewährt hatte, indem sie nicht bloss, wie schon Liznar! gezeigt hat, auch theoretisch keine vollkommene Temperatur-Compensation erzielt, sondern auch die Magnete inconstant macht, so musste man auf die anderen Methoden der Compen- sation durch verschiedene Ausdehnung von Metallen zurückgreifen. Bei der Lloyd’schen Wage wählte ich die, Beispielsweise von Adie beim Kew’schen Magnetograph angebrachte Compensation, nach welcher mit Benutzung des Ausdehnungsunterschieds von Messing und Stahl der Schwerpunkt des Wagebalkens bei höherer Temperatur nach dem Nordpolende des Magnets verschoben wird und so den Einfluss der Abnahme seines magnetischen Mo- ments mit Erhöhung der Temperatur compensirt. Da ich röhrenförmige Magnete bei diesen Instrumenten zur Anwendung brachte, so liess sich diese Temperatur Compensation unter . Benutzung von Zink statt Messing bequem in der Höhlung des Magnets unterbringen. Für das Bifilarmagnetometer schien es mir zuerst am zweckmässigsten die von Ch. Brooke angegebene Compensationsmethode?) zu benutzen, wobei der Magnet in der Mitte eines Glasstabes befestigt wird, über den von den Enden aus zwei dort angeklemmte Zinkröhren frei bis gegen die Mitte geschoben sind. An den innern Enden dieser sind dann erst die beiden Suspensionsfaden befestigt, so dass die Verminderung der Fadendistanz bei Erhöhung der Temperatur im Folge der ungleichen Ausdehnung von Glas und Zink das Drehungs-Moment der Schwere beim Bifilar verkleinert und so der Abnahme des Drehungs- momentes des Erdmagnetismus durch Verminderung des magnetischen Moments des Mag- nets das Gleichgewicht hält. Heissen wir bei der Lloyd’schen Wage 4 die Masse, welche am Hebelarm /, (bei 0°) vom Ausdehnungscoefficient 2 nach dem Nordpol hin zur Temperatur-Compensation ange- bracht ist, д die Beschleunigung der Schwere, V die Vertikalcomponente des Erdmagne- 1) Liznar, Zur Theorie des Lamont’schen Varia- | bericht d. Wiener Akademie Ва. LXXX VII. S. 873. 1883. riations-Apparates für Horizontal-Intensität. Sitzungs- 2) Philos. Transact. for 1852. Part I. p. 19. 1* LA nn : À 3% А $ BER Ri = D TER à VE ER 4 H. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND tismus, M, das magnetische Moment des Magnets bei 0°, y. seinen Temperaturcoefficienten und e den Ausdehnungscoefficienten des Magnetstahls, so ist die Temperatur-Compensation eine vollständige, wenn die Gleichung besteht: V.M, vu-e ee à wobei allerdings die Voraussetzung gemacht ist, dass der Schwerpunkt der Wage, abgesehn vom Compensationstheil, nur an einem Hebelarm von Stahl wirke, also keine andern, un- symmetrisch zur Axe gelegenen Substanzen vorkommen. . Nun ist in Pawlowsk zur Zeit: : И — 4699. 9 — 19819 und bei der neuen Lloyd'schen Wage war: M, = 12080000, в = 0,000450, 1 = 50 е = 0,000012 г = 0,000029 (Zink); woraus also folgt: 4 = 3140 mg. Damit beim Bifilarmagnetometer Temperatur-Compensation stattfinde, muss der Tem- peraturcoefficient desselben Null werden, also sein: ; не лА-ны = 0, wenn à und à die linearen Ausdehnungscoefficienten der Verbindungsstücke der Faden oben und unten, À denjenigen der Substanz der letztern und x den Temperaturcoefficienten des Magnets darstellen. i Bleibt, wie für unser Instrument angenommen wurde, die obere Suspension von der üblichen Construction und wird bloss unten in der angedeuteten Weise die Compensation bewerkstelligt, so muss für vollständige Compensation sein: - лов 4. h. es muss also nothwendig à unten einen negativen Werth erhalten, so dass bei steigender Temperatur die Faden sich nähern. Heissen wir nun D, die Entfernung der Stellen von ein- ander, wo die beiden Zinkröhren am Glasstab festgeklemmt sind und d, die Entfernung ihrer innern Enden, wo die Faden an ihnen befestigt sind, resp. also die untere Fadendistanz, beide bei 0° genommen, z wieder den linearen Ausdehnungscoefficienten des Zinks und v den des Glases, so ist der Werth von à wie leicht ersichtlich: ; $ — PoY—(Do— do)2 Ser are. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 5 und die obige Bedingung der Temperatur-Compensation wird somit : D, _ 2+p+0—X 1) do #—у 3 Bei unserm Instrument besteht die Verbindung der Faden oben aus Messing und wenn wir für den Ausdehnungscoefficienten der Seide À den von Tanneuholz in der Richtung der _ Fasern annehmen, so ist also: У — 0,000018, ^ = 0,000003, v — 0,000008, und man hat somit unter Benutzung der obigen Werthe von 2 uud p. Um die Magnetsuspension leichter zu machen, hat bei unserem Bifilar Dr. Edelmann die Röhrchen aus Aluminium statt Zink gemacht, für welches man hat: z = 0,000023. Hiemit ergiebt sich : D an. | Statt dessen ist bei unserem Apparat: D, = 148"" und d, = 13"" (die obere Faden- distanz beträgt 4’, = 125) also in Wirklichkeit: D ge = 11,4, folglich die Temperatur-Compensation durchaus keine vollständige. Der übrig bleibende Temperatur - Coefficient wird sein: D, ан ыы À — 2 (: —v) = 0,000317, 0 während er ohne die fragliche Vorrichtung bei gewöhnlicher Verbindung der Faden unten durch Messing wäre : pu + ÿ + à — À = 0,000483 1) Diese Formel ist identisch mit der vor Kurzem | rung des Magnets zu compensiren und somit die Com- von Herrn Liznar (Zeitschrift für Instrumentenkunde | pensationsvorrichtung in seiner unmittelbaren Nähe voll- _1888, 5. 13) gegebenen, ich kann aber der Ansicht des- | kommener wirken wird, als oben, wo die Temperatur, selben, dass es besser sei, die Compensation bei der obern | besonders in geheizten Localen, oft bedeutend höher sein Fadenverbindung anzubringen, deshalb nicht beipflich- | kann. Bequemer wäre allerdings das Verfahren des Herrn ten, weil es doch darauf ankommt, die Temperaturände- | Liznar. Fr de 6 Н. Wizp, Neue FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND d. h. die Compensation erreicht, wie auch das obige Verhältniss der Werthe von 2 an- deutet, nur '/, der vollständigen, während sie für Zinkröhren !/ betragen hätte. In diesem Falle hätte man dann auch durch Verkleinerung der untern Fadendistanz d, auf 6”" (bei gleichzeitiger Vergrösserung der obern zu 25°", die noch möglich wäre, behufs unverän- derter Erhaltung des Drehungsmoments der Schwere) eine vollständige Compensation er- zielen können, welche bei Aluminium nicht möglich ist, da die obere Distanz zu gross werden müsste. Anderseits ist aber eine beträchtliche Verschiedenheit der Fadendistanz oben und unten nicht räthlich, und deshalb könnte man daran denken, die Compensation durch Hartgummi statt Zink zu erzielen. Nehmen wir für dieses den von Kohlrausch angegebenen Ausdehnungscoefficienten 0,0000770, so ergiebt sich: hr RE 8,68 woraus für 4, = 13”” der leicht realisirbare Werth D, = 113°" folgen würde. Inzwischen bin ich zu einer ganz andern Combination gelangt, nämlich am Magnet- halter nach oben zu zwei bimetallische vertikale Lamellen aus Platin und Silber mit der Patin-Seite nach innen gekehrt, zu befestigen, an deren oberen Enden die Faden- klammern sitzen. Bei Erhöhung der Temperatur werden die Faden dadurch unten genähert, und die Erfahrung zeigt, dass eine Länge von 16”” dieser Lamellen genügen wird, um in unserem Fall, d. В. bei d, = 13”” und den angegebenen Werthen von |+, À und 5’, eine voll- ständige Temperatur-Compensation zu erzielen. Diese Compensationsmethode zeichnet sich also durch eine grosse Einfachheit aus. 1. Beschreibung der Variationsaparate. Gegenüber der frühern Construction war durch die neuen Anforderungen ganz beson- ders das Bifilarmagnetometer zu verändern, während die Lloyd’sche Wage der Hauptsache nach fast dieselbe bleiben konnte und das Unifilar- Magnetometer mehr bloss dem erstern Instrument zu liebe abzuändern war. Ich werde daher mit der Beschreibung des erstern beginnen. a) Bifilar-Magnetometer. Dem Bifilar-Magnetometer dient wie den beiden andern Instrumenten eine runde Platte PP (Fig. 1) aus weissem Marmor als Fuss, welche Platte in dem Messingringe RR mit den drei Stellschrauben Q ruht. Im Centrum dieser Platte ist vermittelst des Bolzens A der Hohlkörper BB drehbar befestigt und kann nach erfolgter Orientirung von unten durch eine Mutter geklemmt werden. Dieser Hohlkörper hat auf der einen Seite ein, durch eine planparallele Glasplatte verschlossenes Fenster und gegenüber eine entsprechende, mit Messingdeckel verschliessbare Oeffnung, durch welche man zu den а АЕ u Ча fat SR mi р о Tdi Né ae TT HQE | | {ls 1 А beiden halbrunden Spiegeln s und m und ihren Justirungsschrauben gelangen kann (siehe Fig. 2). Von diesen Spiegeln ist der untere auf einer, im Boden des Hohlkörpers B einge- lassenen Platte befestigt, mit dieser drehbar und durch zwei übergreifende Schraubenköpfe nach erfolgter Orientirung fest mit B zu verbinden. Der obere Spiegel ist an der Magnet- suspension befestigt. _ Vermittelst eines eingedrehten schwachen Konus bei а im verdickten obern Theil dient der Hohlkörper В als Träger nnd Verticalaxe für die ganze obere Partie, resp. das | Gehäuse CDT des Bifilars. Die Drehung dieses Gehäuses um den untern fixen Theil kann vermittelst eines verstellbaren, in 90° getheilten und klemmbaren Ringes bb und einem Index bei а regulirt werden und zwei Klammern, wie K , gestatten das Gehäuse und den Hohlkörper PB vollkommen fest zu verbinden. Der Hohlzapfen, mit welchem der obere Theil des Instruments um den untern drehbar ist, geht nach oben in den massiven Ring CDcd über und dieser erweitert sich dann ober- halb D zu der Kreisscheibe ТТ, in deren Centrum der Hohlzapfen Æ mit den Vernieren LL drehbar ist. Dieser Zapfen Æ repräsentirt zugleich die untere Fassung der gläsernen Sus- pensionsröhre 5, deren Drehung um ihre Vertikalaxe also vermittelst der Verniere Z am 8 Н. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND getheilten Kreise 7 abzulesen ist. Die Klemmung und mikrometrische Verstellung erfolgt bei M durch Anziehen der Schraubenmutter und Drehung eines Excenters. Auf den aussen abgedrehten Theil z dieser Rohrfassung E lässt sich die, weiterhin noch näher zu beschrei- bende Ablenkungsschiene U mit ihrem centralen Theil, der zu allen drei Apparaten passt, aufsetzen, wobei ihre Stellung vermittelst des Index J ebenfalls am Theilkreis 7 abzulesen ist. In die Axe des massiven Ringes CD kommt der suspendirte Magnet zu liegen und zum Schutz desselben vor Luftströmungen sind von beiden Seiten in denselben die aussen durch Glasplatten WW und NN verschlossenen, aus Holz oder Metall (wie beim Apparat in Pawlowsk) bestehenden Cylinder GG und FF eingeschoben und mit Kopfschrauben befestigt. Im Centrum der Glasplatten sind sodann zwei, beiderseits offene, Glasröhren be- festigt, die zur Anfnahme der, die Magnet-Enden unmittelbar umschliessenden kupfernen Dämpfer X und Y bestimmt sind. Diese letztern tragen entweder selbst an ihren äussern Enden Verschlussglasplatten und können dann vermittelst vorstehender Schrauben mehr oder minder eingeschoben oder auch ganz entfernt und durch entsprechende Holz- Cylinder ersetzt werden, oder die Glasplatten sind, wie beim Apparat in Pawlowsk, dicht eigesetzt und die Kupferdämpfer von innen eingeschoben. Zwei in Holzfassungen steckende Gläser Z im untern Theil dieser Gehäuse dienen zur Aufnahme concentrirter Schwefelsäure oder ge- schmolzenen Chlorealeiums zur Austrocknung der Luft im Gehäuse. Der ganze untere Theil des Apparats wird bis in die Höhe von D noch ausserdem durch einen, innen mit schwarzem Sammet ausgekleideten Messingeylinder fAge umschlossen, der sich unten dicht auf die Marmorplatte aufsetzt, oben durch zwei bei D ausgeschnittene und aufzuschiebende Deckel-Hälften abgegrenzt ist und nur vor den Spiegeln sm eine ent- sprechende Oeffnung hat. Zwei andere Oeffnungen, vis-à-vis den Dämpfern, sind für ge- wöhnlich verschlossen und werden nur geöffnet, wenn man sich durch Durchsehen von der centralen Lage des Magnets innerhalb der Dämpfer versichern will. Insoweit sind das Unifilar- und Bifilar- Magnetometer ganz gleich construirt und beide nur in den folgenden Theilen verschieden. | Beim Bifilar ist zur Ermittlung der Temperatur des Magnets im Ring CD еше cylin- drische, innen geschlossene Hülse В schräg eingeschraubt, die zur Aufnahme des Thermo- meters dient und gestattet, das Gefäss des letztern ganz nahe an die Mitte des Magnets heranzubringen. Durch einen Ausschnitt am obern Rand des Cylinders fe ragt die Scale des Thermometers zur Ablesung heraus. : Der Magnet des Bifilars stellt ebenso wie der des Unifilars eine Stahlröhre von 40 gr. Gewicht, von 110 mm. Länge, 11 mm. äusserem und 9 mm. innerem Durchmesser dar und be- sitzt je 40 mm. von den Enden entfernt eine wenig tiefe, eingedrehte Rinne. In die eine oder andere dieser Rinnen fällt die scharfe Kante des einen ringförmigen Lagers für den Magnet ein, und gibt ihm so eine bestimmte Lage. Die Suspension des Magnets besteht nämlich zu- nächst aus zwei, oben und unten durch Querstäbchen verbundenen Ringen — abweichend von der in diesem Punkte ungenauen Figur —, deren innerer Durchmesser wenig grösser als e ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 19 der äussere des Magnets ist und von welchen der eine nach innen zugeschärft ist, während der andere einen glatten inneren Rand hat, In der Mitte des untern Querstäbchens ist eine Hülse р mit seitlicher Schraube befestigt, durch welche vermittelst eingedrehter Rinne das den Spiegel s an seinem untern Ende tragende massive Stäbchen gehalten wird und auch geklemmt werden kann. An diesem Stäbchen sitzt gleich unterhalb der Hülse р eine auf der versilberten hohen Kante von 90 zu 90° getheilte Kreisscheibe g und oberhalb derselben ist noch über die Hülse » ein Doppelindex mit Strichen auf der hohen Kante geschoben, der für sich an der Hülse р festgeklemmt werden kann und die Drehung der Kreisscheibe ab- zulesen gestattet. Das obere Querstäbchen des Magnetlagers trägt nur ein kurzes vertikales Stäbchen $ mit Hülse an seinem obern Ende, in welcher der Glascylinder ух mit seiner Mitte geklemmt ist. Ueber die beiden Enden des letztern sind dann die Aluminium - Röhr- chen x und y geschoben, die ihrerseits beiderseits mit Messingfassungen versehen sind. Die äussern der letztern werden durch Schräubchen fest an den Glascylinder angepresst, wäh- rend die innern Fassungen nach oben hin zwei Fortsätze v und w mit Klemmen für die beiden Suspensionsfaden A und 7 tragen. Das gesammte Gewicht, welches so an den Faden hängt, beträgt 120 ©. Diese Faden stellen die beiden Enden eines über die Rolle В der Suspensionsvorrichtung am obern Ende der Glasröhre $ gehenden Coconfadens dar, welche Suspensionsvorrichtung Fig. 3 im Durchschnitt und Fig. 4 im Querschnitt veranschaulicht. Eine auf die Glasröhre $ aufgekittete Messingfassung trägt das übergrei- fende und durch drei seitliche Schrauben c centrirbare untere Ende einer Röhre mit zwei diametral gegenüberstehenden Ausschnitten, welche durch Drehung einer zweiten über sie geschobene Röhre 7 mit entsprechenden Ausschnitten frei gemacht oder verschlossen werden können, wie dies im Querschnitt angedeutet ist. Der Deckel der innern Röhre ist ferner durch- bohrt und nimmt ein drehbares und durch die Schraube x klemmbares Metallstück auf, in welchem sich das dreikantige prismatische Stäbchen A auf- und abschieben und durch die Schraube m feststellen lässt. An diesem Stäbchen sitzt unten die Hülse der Rolle À und weiterhin eine Platte k, gegen welche vermittelst zweier Lamellen die oberen Fadenenden nach erfolgter Gleichspannung angeklemmt werden können. Zu dem Ende, sowie zur Detorsion der Faden, sind an ihre unteren Enden zunächst Messing- cylinderchen angebunden, an welche zuerst zwei gesonderte, mit passenden Hacken versehene Bleigewichte angehängt werden. Erst nach erfolgter Detorsion der Faden werden dann die Cylinderchen unter Entfernung der Fig. 4. Bleigewichte in entsprechende Hacken unterhalb der Klemmen an der Magnetsuspension eingehackt und schliesslich die Faden durch Anziehen der Klemmen zu- erst hier und später auch oben unverrückbar befestigt. Diese Theile entsprechen im Principe ganz den bezüglichen Einrichtungen beim Bifilar-Theodolith, weshalb ich, betreffend die Details, auf die dort in grösserem Maassstabe gegebenen Abbildungen verweise. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 2 10 _ Н. Утьь, №ов FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND In Folge der gemachten Erfahrungen habe ich im Sommer (Ende Juli) 1888 die oben erwähnte neue Compensationsvorrichtung an der Magnetsuspension des Bifilars anbringen lassen. Zu dem Ende wurde der Stift 2 mit Glasstab und Aluminium-Röhrchen ganz ent- fernt und an seiner Stelle in 13”” Distanz unmittelbar auf der Hülse д des Magnets zwei Platin-Silber-Lamellen befestigt, an deren oberen Enden dann die Fadenklemmen w und © wieder angeschraubt wurden. Zuerst waren diese Lamellen 29 mm. lang genommen, wobei dann die Versuche eine Uebercompensation von 0,00065 mm. mg. s. pro 1° C. ergaben, die darauf durch Verkürzung zu 20,3 mm. auf 0,00021 mm. mg. s. pro 1° C. reducirt wurde und in diesem Zustande seit dem 3. October bis jetzt befriedigend functionirt hat ?). Bei derselben Gelegenheit wurde an Stelle des früher verwendeten Suspensionsfadens von Seide, da er sich als zu hygroscopisch erwiesen hatte, ein 0,07 mm. dicker Neusilber- draht — es ist uns erst neulich gelungen, solchen von 0,056 mm. Durchmesser, dessen Tragfähigkeit noch vollkommen hinreichend ist, zu ziehen — eingezogen, worauf die Varia- tionen des Normalstandes mit der Feuchtigkeit verschwanden, ohne erheblichen anderen Uebelständen Platz zu machen. b) Unifilar-Magnetometer. Das Unifilar-Magnetometer unterscheidet sich von dem eben beschriebenen Bifilar, wie bereits angedeutet, nur durch die einfachere Magnet- suspension, sowohl oben als unten, wie die nebenste- henden Figuren 5 und 6 sie darstellen. Auch ist hier der Kreis Т nur in ganze Grade getheilt und mit dem einfachen Index schätzt man die 021, während der Kreis beim Bifilar in halbe Grade getheilt ist und der Vernier Minuten abzulesen erlaubt. Der Magnet ist hier an einem Coconfaden aufgehängt, wobei, nach Beseitigung einer anfänglichen Torsion desselben im April 1888, seither keinerlei Uebelstände von da her bemerkt wurden. Die Ablenkung des Magnets aus dem Meridian durch eine Fadentorsion von 360° er- reicht 8/2 bei einer Fadenlänge von 980"". Das Gewicht des Magnets mit seiner Suspen- sion beträgt 80 g. c) Lloyd’sche Wage. Als Fuss für dieses Instrument dient eine ganz gleiche Mar- morplatte PP (Fig. 7) mit Stellschrauben Q am umfassenden Messingring А, wie bei den vorigen Apparaten. Diese Platte besitzt aber hier in ihrem Centrum eine weite Bohrung, in welche als Haupt-Träger aller Theile eine cylindrische Messing-Röhre ВБ mit Ansatz 1) Siehe Einleitung zu den Beobachtungen im Ob- | Central-Observatoriums für 1888. Theil I, 5. XXX und servatorium zu Pawlowsk in den Annalen des physikal. | XXXI. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 11 > Fig. 7. oben und Schraubenmutter unten fest eingesetzt ist. In ihr ist mit winkelförmigen Ansätzen der Ring N befestigt, der an diametral gegenüberstehenden Punkten seiner obern Fläche die planen Achatplatten a trägt, auf welchen die Enden der am Magnet ns (siehe Fig. 8) angeklemmten Schneide W zu liegen kommen. Diese in ihrer Mitte halbkreisförmig, ent- sprechend dem äussern Radius des Magnetquerschnitts, ausgenommene Stahlschneide ist in einer den Magnet bügelförmig umfassenden Messinghülse befestigt und wird an ihm durch dieselbe Schraube geklemmt, deren Fortsatz den klemmbaren Halter des Spiegels s auf- nimmt. Unterhalb sitzt an derselben Hülse eine Schraube mit Laufgewicht zur Justirung der Schwerpunktsstellung der Wage, und oben sind an ihr einerseits ein und anderseits zwei seitliche Fortsätze mit abwärts gerichteten Schraubenspitzen an ihren Enden befestigt, die zur Arretirung des Wagebalkenmagnets dienen. Es entsprechen ihnen nämlich 3 Säulchen 9, d, e mit Körner, Schlitz und ebener Fläche an ihren obern Enden zur Aufnahme der Schraubenspitzen, welche Säulchen auf der obern Grundplatte eines Rohrs F aufgeschraubt sind ; dieses Rohr aber ist in der Röhre В dadurch von aussen vertikal verschiebbar, dass das mit einem Schlüssel zu drehende Excenter Æ auf eine Nase an der untern Grundplatte des Rohrs Ё wirkt, wobei dieselbe durch die Spiralfedern @ stets gegen das Excenter ange- drückt wird. So kann die Schneide des Wagbalkens nach erfolgter Justirung der Schrauben durch den unter der Marmorplatte seitlich nach aussen über sie vorragenden Schlüssel von ihrer Unterlage gleichmässig abgehoben und wieder aufgesetzt werden. Der am Magnet sitzende Spiegel s geht, wie aus Fig. 7 ersichtlich, einerseits nur bis zur Axe der Röhre und auf der anderen Seite derselben steht ihm der Spiegel m gegenüber, 2* 12 Н. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND der an einem, durch eine ringförmige Feder gegen drei konische Schraubenspitzen in der Röhrenwand angedrückten Messingring befestigt und so vermittelst der letztern justirbar ist. Auf derselben Feder liegt oberhalb ein zweiter, entsprechend von oben nach unten durch drei Schraubenspitzen gegen sie anzudrückender und so zu justirender Ring, auf dem das rechtwinklige Glasprisma Z ruht. Um das letztere auch im Azimut um kleine Grössen justiren zu können, hat der Ring vorn einen Ausschnitt, gegen dessen Kanten wieder zwei konische, in der Figur nicht sichtbare, Schraubenspitzen stossen. Das Prisma hat zum Zweck behufs Beobachtung der Magnetbewegung in gewöhnlicher Weise mit Fernrohr und hori- zontaler Scale die Drehung des Magnetspiegels s um die Horizontalaxe der Wage in eine scheinbare um еше Vertikalaxe umzuwandeln'). Vor dem Prisma hat die Röhre В eine ent- sprechende Oeffnung. Bei f lässt sich der obere Theil der Röhre B nach Lösung zweier Schrauben, die beide Theile fest verbinden, behufs Einlegung des Magnets auseinandernehmen. Zu dem Ende müssen ausserdem noch die beiden seitlich angeklemmten Röhren-Ansätze am untern Theil entfernt werden, welche, an den äussern Enden mit Glasplatten zur Controle des Magnets im Innern versehen sind und zum Schutz desselben gegen Luftströmungen sowie zur Auf- nahme der dämpfenden durchbohrten Kupfercylinder X und Y dienen. Die Compensationseinrichtung des Magnets für Temperatur entspricht nicht ganz meiner oben gemachten Voraussetzung, indem, wie Fig. 9 dies zeigt, das Magnet-Stahlrohr an beiden Enden durch eingeschraubte Deckel n und s mit Schräubchen a und b für Correctionsge- wichte verschlossen ist und die Aluminiumschraube с im In- nern nicht von der Mitte ausgeht, sondern von dem Deckel s am Südpol aus bis nahe zum andern Deckel reicht und dort das verstellbare Gewicht d trägt. Für diesen Fall ist in der Gleichung $. 4 im Nenner statt e zu setzen Зе und |, re- präsentirt dann statt die halbe nahe die ganze Länge des Magnets. Es wird also zur Tem- deratur - Compensation ein etwas geringeres Gewicht als 3 Gramm genügen. Nach erfolgter Justirung beträgt bei unserer Lloyd’schen Wage der Temperaturcoefficient 0,00008 mg., mm., s. für 1° C. und zwar im Sinne einer Uebercompensation. Durch seitliche Oeffnungen mit dem Innern der Röhre communicirend sind an ihrem untern Theil durch Schrauben noch angeklemmt nach hinten eine Büchse zur Aufnahme des 1) Diese Methode, die Spiegelablesung mit Fernrohr und Scale bei Wagen überhaupt so zu gestalten, dass die Bewegung um eine horizontale Axe dadurch scheinbar in eine solche um eine verticale verwandelt wird, wo- durch nicht bloss die grosse Bequemlichkeit der Hori- zontalstellung der Scale und leichterer Beleuchtung der- selben, sondern insbesondere auch eine symmetrische Aufstellung von Fernrohr und Scale in Bezug auf beide Wagarme, d. h. also vor der Mitte der Wage ermöglicht wird, habe ich meines Wissens zuerst in meinen Meteo- rologischen Studien sub VI (Mémoires de l’Acad. Гир. des Sc. de St.-Petersbourg, VII serie, T. ХХШ, № 8, р. 20) im Jahre 1876 angegeben. Sie ist seither in unverän- derter Form vielfach bei gewöhnlichen Wagen wie auch bei Lloyd’schen magnetischen Wagen angewendet wor- den, ohne dass man es für gut gefunden hat, den Erfin- der dabei zu nennen. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 13 Gefässes des Thermometers 7 und (in Abweichung von der Fig. 7, wo dieser Theil unter- halb des Thermometers angebracht erscheint) vorn eine zweite grössere Büchse mit Glas- schale Ё zur Aufnahme von geschmolzenem Chlorcaleium behufs Trocknung des Hohlraums des Apparats. Am obern Ende endlich ist die Röhre B durch einen eingeschraubten Deckel mit An- satz zur Aufnahme der Ablenkungsschiene U und einem verstell- und klemmbaren, in 90° getheilten Ring für deren Orientirung abgeschlossen. d) Ablenkungsschiene. Auf die, bei den einzelnen Apparaten bereits erwähnten Ansätze lässt sich, behufs Bestimmung der Empfindlichkeitscoefficienten der Apparate, die in ihren Haupttheilen durch Fig. 10 dargestellte Ablenkungsschiene mit ihrem, ihnen angepassten U В v a centralen Ring А aufsetzen. Derselbe trägt diame- er HE = = ЕЕ = tral gegenüber die beiden mit Führungsnuth ver- и EEE u. sehenen und in Centimeter eingetheilten cylindri- | j Em schen Stäbe (Röhren) UU, auf welchen der Magnethalter vermittelst N der Hülse $ verschoben und auf bestimmte Entfernung nach einem Index in seitlichem Ausschnitt derselben eingestellt werden kann. Das Centrum der Fassung F für den Ablenkungsmagnet ns befindet sich in solcher Entfernung von der Schiene, dass derselbe beim Aufsetzen + der Schiene auf die Apparate in dieselbe Horizontalebene mit deren S, Magneten zu liegen kommt und vermöge dreifacher Durchbohrung Fig. 10. der Fassung kann man den Ablenkungs-Magnet nach Belieben ent- weder parallel oder senkrecht zur Schiene und zwar dann wieder entweder horizontal oder vertikal in der durch n,, $, angedeuteten Lage einschieben und klemmen. Indexstriche ge- statten ihn dabei centrisch einzustellen. Zur Orientirung endlich der ganzen Schiene auf den Apparaten dienen bei der Lloyd’schen Wage der Index ©, der auf die Theilung am ver- stellbaren Ring, und beim Bifilar und Unifilar der verlängerte Index „Л, welcher auf die Thei- lung des Kreises Т eingestellt wird. Der Ablenkungsmagnet hat ebenfalls röhrenförmige Gestalt und dieselben Dimensionen wie die im Folgenden beschriebenen genau gleichen Magnete aller drei Apparate. e) Magnete. Alle drei Magnete der Variationsapparate sind 110 mm. lang, haben 11 mm. äusseren und 9 mm. innern Durchmesser und sind aus Wolfram-Stahl in der Werk- stätte des physikalischen Central-Observatoriums von Herrn Mechaniker Freiberg ange- fertigt, gut gehärtet und nach der Methode von Strouhal & Barus magnetisirt worden. Ihr Gewicht beträgt 40 ©. und ihr magnetisches Moment 10°.1,12 bis 107. 1,36 oder also das specifische Moment pro 1 g.: 10°. 2,8 — 3,4. Die Suspension nebst Spiegel wiegt beim Unifilar 40 g. und beim Bifilar in der ersten Gestalt 80 g., so dass der Faden beim erstern im Ganzen 80 g. und beide zusammen beim letztern 120 g. zu tragen haben. 14 Н. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER V ARIATIONSINSTRUMENTE UND f) Ablesefernröhren und Scalen. Die nahe 100-mal vergrössernden Ablesefern- röhren von 54 mm. Durchmesser der Objective liegen mit ihren Horizontalaxen in beson- dern Messing-Lagern, welche auf einer dreieckigen massiven Marmorplatte etwas justirbar befestigt sind, so dass die Fernrohraxe, etwa durch Anlegen eines rechten Winkels, senk- recht zur Scale zu stellen ist. Das Ocular-Ende geht über die eine Ecke dieser Marmor- platte hin und wird dort von einer Schraube gestützt, deren Mutter in die Platte eingelassen ist und deren oberes spitzes Ende in eine Rinne am Fernrohr eingreift, also das Ocularende durch Drehen der Schraube zu heben oder zu senken gestattet. Längs der gegenüberlie- genden Kante der Platte ist oberhalb des Fernrohrs die in Millimeter eingetheilte Glasscale von 600 mm. Länge auf ausziehbaren Metallstützen, somit in der Höhe verstellbar, befes- tigt, wobei sie bereits mit ihrer Mitte nahe vertical über die Fernrohraxe zu liegen kommt - und übrigens noch, zur Justirung in dieser Beziehung nach einem Senkel, vermittelst zweier auf ihre Enden wirkenden Schrauben der Länge nach um kleine Grössen zu verschieben ist. Hinter der Glasscale gegen das Ocular des Fernrohrs zu ist ein geneigter Spiegel von gleicher Länge an ihren Trägern befestigt, dem oberhalb ein paralleler weisser Carton- р < streifen gegenübersteht. Durch Ве- м leuchtung dieses Cartons mittelst einer ann À Lampe, welche auf einer über das Ocularende des Fernrohrs hinüber- gehenden Brücke längs der Scale ver- schiebbar aufgestellt ist, erhält man dann im dunkeln Raum eine vorzüg- liche Beleuchtung der Glas-Scale von hinten, welche sofort bei Oberlicht durch eine natürliche vom Himmel zu ersetzen ist, indem man einfach das Cartonblatt entfernt. Die nebenste- hende schematische Fig. 11 veran- schaulicht diese Anordnung der Beleuchtung, die ich als vollkommen bewährte empfehlen kann. g stellt die Glasscale mit ihrer Blende d, d’ von schwarzem Messingblech oder Papier, $ den Spiegel, c,c’ das Cartonblatt und В die Brücke dar, auf welcher sich die kleine Pe- troleum-Lampe Z zwischen Leisten verschieben lässt. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 15 2. Aufstellung und Justirung der Variationsapparate. a) Aufstellung der Variationsapparate. Die Aufstellung dieser Variationsinstrumente ist aus Tafel I ersichtlich, welche einen Grundriss des betreffenden Saales im unterirdischen magnetischen Pavillon darstellt. MON ist der innere Umfang des Saales, wobei MN von Süd nach Nord gerichtet ist. Von der Eingangsthür T gelangt man geradeaus zu den drei Ablesefernröhren FF mit ihren Scalen, welche auf dreikantigen, aus eisenfreien Backsteinen mit Cement aufgemauerten Pfeilern mit ihren Marmorplatten aufgegypst sind. Die Pfeiler stehen in etwas weitern, ausge- mauerten Löchern des Zimmer-Bodens, welche 0,7 m. tief sind, so dass bis zu dieser Tiefe die Wände des Pfeilers durch einen Zwischenraum von 2 bis 3 cm. vom Mosaikfussboden und seiner Unterlage getrennt sind und somit Erschütterungen des letztern sich nur un- merklich auf die Pfeiler fortpflanzen. Eine Filzbordüre, die rings an den Stein angelegt ist, verschliesst die Rinne ohne Bewegungen vom Fussboden dem Pfeiler mitzutheilen. Den Scalen der Fernröhren gegenüber stehen in rund 3,4 m. Entfernung drei in glei- cher Weise fundamentirte und vom Fussboden isolirte vierkantige Granitpfeiler A, В und С zur Aufnahme der Variationsapparate, und zwar ist auf A das Unifilarmagnetometer, auf B das Bifilarmagnetometer und auf C die Lloyd’sche Wage aufgestellt. Die Pfeile geben die Stellung der Magnete in ihnen und ihre Spitzen die Lage der Nordpole derselben an, woraus in Verbindung mit der Ziffernbezeichnung der Scale 0 bis 60 cm. unmittelbar folgt, dass bei den Apparaten Ausschläge der Magnete nach grossen Zahlen der Scalen einer Zunahme der westlichen Declination resp. der beiderlei Intensitätscomponenten entsprechen. Bei der Justirung der Fernröhre werden die Oculare so weit ausgezogen, dass man die Magnetspiegel sehen kann, worauf man durch Rücken der Normalplatten die Fadenkreuze auf die Mitte derselben einstellt und dann erst die Platten an die Säulen angypst. | Der Beobachter auf dem Sitz $ hat rechts unmittelbar neben sich die Pendeluhr U, welche an einem massiven Eichenholzpfeiler so angehängt ist, dass ihr Zifferblatt wenig über Augenhöhe sich befindet. Dieselbe Uhr bewirkt durch stündliche electrische Contacte die Registrirung der Zeitmarken beim Magnetograph. Rechts und. Links vom Eingang, ebenfalls auf vom Fussboden isolirten, aufgemauerten Pfeilern Æ und D befinden sich die, weiter unten noch näher zu beschreibenden, Scalen- fernröhren mit Registrirapparaten, welche zur directen Beobachtung und continuirlichen photographischen Aufzeichnung der von den Galvanometern G,_, und G,_„ angege- benen Nord-Süd- und Ost-West-Componenten des Erdstroms bestimmt sind. Hier beträgt die Entfernung von Scale und Magnetspiegel der Galvanometer nur 1,7 m., wachsenden Scalentheilen aber entspricht auch bei diesen Instrumenten eine zunehmende westliche De- clination der Galvanometermagnete. 16 H. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND Bei dieser Gelegenheit sei auch gleich noch beigefügt, dass die Verbindung der Gal- vanometer mit den Erdkabeln in derselben Weise wie früher hergestellt ist, also ein posi- tiver von Nord nach Süd und ein ebensolcher von Ost nach West in der Erde verlaufender Strom an den betreffenden Galvanometern Ablenkungen nach wachsenden Scalentheilen be- wirkt. Die Einrichtung der Galvanometer ist die früher schon beschriebene). In W sind die Wippen angebracht, vermittelst deren jeweilen bei den directen Beob- achtungen zur Ermittlung und Registrirung der Gleichgewichtslage der Galvanometermag- nete ohne Strom die Verbindung der Galvanometer mit den Kabelenden unterbrochen und diese durch einen dem Galvanometerdraht gleichen Widerstand in sich geschlossen werden. Aus dieser Disposition der Instrumente erkennt man sofort, dass der Beobachter den Raum jenseits der Fernröhren gegen die Apparate hin nur behufs Ablesung der Thermo- meter in В und С zu betreten hat. Hieraus erwächst der Vortheil einer geringeren Störung des Temperatur-Gleichgewichts im betreffenden Local durch den Beobachter. b) Justirung des Unifilar-Magnetometers. Nach Nivellirung der Theilungsebene des Torsionskreises 7 und seiner Vertikalaxe vermittelst einer aufgesetzten Libelle und der Stellschrauben @ wird der Hohlkörper В in der Marmorplatte gedreht, bis das Glasfenster vor den Spiegeln dem betreffenden Ablesungs- fernrohr zugewendet ist und darauf durch Anziehen der Mutter am untern Ende des Bol- zens A geklemmt. Man löst sodann etwas die beiden übergreifenden Schrauben, welche im Grunde des Körpers B den Träger des fixen Spiegels m halten, und dreht ihn, bis er ange- nähert die Mitte der Scale in das Ablese-Fernrohr reflectirt, worauf er durch Anziehen jener Schrauben geklemmt wird. Der Ring D mit dem Magnetgehäuse wird nunmehr durch Drehung um seinen Hohlzapfen bei C angenähert mit seiner Axe parallel dem magnetischen Meridian gestellt, der dem Magnet an Gewicht und Durchmesser gleiche, aber massive und daher bedeutend kürzere Torsionsstab von Messing in den Suspensionsbügel д (Fig. 6) ein- _ gelegt — er besitzt zur Fixirung seiner Lage in demselben ebenfalls wie der Magnet ein- gedrehte Rinnen — und die Suspensionsröhre auf dem Torsionskreis gedreht, bis die der Torsionsfreiheit des Suspensionsfadens entsprechende Gleichgewichtslage des Torsionsstabs auch angenähert mit der Axe des Ringes D resp. dem magnetischen Meridian zusammen- fällt. Nach Vertauschung des Torsionsstabes mit dem Magnet löst man die Schraube p (Fig. 6) und dreht das den Spiegel s haltende Stäbchen, bis der letztere beim Loslassen des Mag- nets auch nahezu die Scalenmitte in’s Fernrohr reflectirt, worauf p wieder angezogen wird. Indem man nunmehr abwechselnd den Torsionsstab und den Magnet in’s Schiffchen legt, bringt man es durch jeweiliges geringes Nachdrehen am Torsionskreis leicht dahin, dass in / 1) H. Wild, Terminsbeobachtungen der erdmagne- | Pawlowsk etc. Diese Memoiren T. ХХХШ, \ 5, 1885 tischen Elemente und Erdstrôme im Observatorium zu | pag. 2. 4 - 2 Г г ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 17 beiden Fällen bis auf etwa einen halben Scalentheil die Ablesung an der Scale dieselbe ist, was einer übrig genügenden Aufhebung der Fadentorsion entspricht. Es ist gut, zuerst. je- _weilen nach einem Tag, später nach Wochen und so in immer grösseren Zeitintervallen die unveränderte Aufhebung der Torsion in dieser Weise zu controliren resp. dieselbe jeweilen durch Nachdrehen am Torsionskreis wieder herzustellen. Nachdem der Magnet auf diese Weise im Instrument nahezu ohne Torsion des Suspen- sionsfadens aufgehängt ist, ist nachzusehen, ob der Magnet parallel und centrisch zur Axe der Dämpfercylinder sei, was durch eventuelles Heben oder Senken des obern Halters A, durch Centriren desselben vermittelst der Schrauben c, endlich durch geringes Nachdrehen des Gehäuses CD um den untern Hohlzapfen erzielt werden kann. Schliesslich bleibt dann nur noch übrig, die Spiegel s und m vermittelst der Correc- tionsschrauben an ihren Fassungen so zu justiren, dass beide sehr nahe den Scalentheil _ 300 (Mitte der Scale) auf den Vertikalfaden im Fernrohr reflectiren. Man verschiebt hierauf die Scale selbst, bis eine genaue Coincidenz des Bildes vom Scalentheil 300 im fixen Spiegel mit dem Vertikalfaden erfolgt. c) Justirung des Bifilar-Magnetometers. Nach erfolgter Nivellirung und ungefährer Orientirung des ganzen Instruments, ent- sprechend wie beim Unifilar- Magnetometer, wurde auch hier der Ring D mit seiner Axe | zunächst angenähert in den magnetischen Meridian gebracht, der messingene Torsionsstab in den Bügel gelegt und am Torsionskreis gedreht, bis derselbe resp. die Fadenebene auch | angenähert dieser Axe resp. dem magnetischen Meridian parallel wurde; darauf orientirte man den Spiegel $ nach Lösung der Schraube р so, dass er ebenfalls wie der fixe Spiegel annähernd die Scalenmitte in das Fernrohr reflectirte. Vertauscht man jetzt auch abwechselnd im Bügel den Magnet und Torsionsstab, bis beide denselben Scalentheil hinter dem Vertikalfaden im Fernrohr erscheinen lassen, so liegt offenbar der Magnet und somit auch mit genügender Annäherung die Axe des Magnet- schiffchens im magnetischen Meridian und die Bifilarwage befindet sich ebenfalls für sich in ihrer natürlichen Gleichgewichtslage, wo die Faden parallel und untordirt sind. Der in 90° getheilte verstellbare Ring bb unten wird hierauf mit einem seiner Striche genau auf den Index bei a eingestellt, geklemmt und nun nach dieser Theilung unter Lösung der Klemme K der ganze obere Theil des Apparats genau um 90° gedreht und wieder geklemmt, während oben der Torsionsstab im Magnetschiffchen liegt. So ist also die Axe des Magnetschiffchens und das ganze Magnetgehäuse senkrecht zum magnetischen Meridian orientirt. Um jetzt die Scalenmitte im Spiegel s, der sich mitgedreht hat, wieder im Fernrohr zu erblicken, muss _ er um 90° zurückgedreht werden; dies zu erleichtern, dient die Kreisscheibe 4 (Fig. 1) mit ihrem Index, der vorher genau auf einen Theilstrich derselben eingestellt und geklemmt worden ist; löst man also jetzt die Schraube p, so kann man den mit der Kreisscheibe fest Mémoires de l’Acad. Imp. d. sc. VII Série. 3 18 H. Wıno, Neun FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND verbundenen Spiegelhalter leicht um 90° nach der einen oder andern Seite drehen. Ist dies geschehen, so liest man, während noch der Torsionsstab im Magnetschiffchen liegt, am Tor- sionskreis genau die Stellung der beiden Verniere — bis auf Minuten — und zugleich die Scale im Fernrohr ab, vertauscht den Torsionsstab mit dem Magneten und dreht die Suspen- sionsröhre mit ihrem Index so lange, bis man im Fernrohr dieselbe Scalenablesung wie vorher erhält. Alsdann steht der Magnet, wie gewünscht, senkrecht auf dem magnetischen Meridian und die Differenz der neuen Vernier-Ablesungen am Kreise und der frühern giebt zugleich den sogenannten Torsionswinkel des Bifilars an, der die Empfindlichkeit desselben bemisst. Die in gleicher Weise wie beim Unifilar auszuführende Centrirung des Magnets im Instrument und bezüglich der Kupferdämpfer, sowie die Justirung der Spiegel und Scale, _ dass der fixe Spiegel genau die Ablesung 300 an der Scale giebt und der Magnetspiegel eine wenig grössere Zahl, erfolgen hier ihrem Hauptbetrag nach besser schon vor den letzten eben angegebenen Operationen, d. h. vor der Orientirung des Gehäuses etc. senk- recht zum magnetischen Meridian, so dass zum Schluss nur noch ganz unbedeutende Nach- justirungen in dieser Beziehung zu erfolgen haben. Sowohl beim Unifilar- als beim Bifilar-Magnetometer ist bei dieser Justirung nicht ausser Acht zu lassen, dass zum Schluss die Verniere des Theilkreises 7 eine Zwischen- Lage zwischen dem magnetischen Meridian und seiner Normalen annehmen sollen, damit sie beim spätern Aufsetzen der Ablenkungsschiene in der einen und andern dieser zwei Richtungen nicht unter die Schiene fallen. d) Justirung der Lloyd’schen Wage. Nachdem der obere Körper des Gehäuses und der Magnet entfernt worden sind, wird nach einer auf die Achatplatten aufgesetzten Libelle (Dosenlibelle) die Ebene derselben ver- mittelst der Stellschrauben des Fusses horizontal gemacht, darauf der Magnet eingelegt und arretirt, das Gehäuse wieder zusammengesetzt, die Schiene (Fig. 10) aufgelegt und diese parallel zum Magnet in der Wage orientirt. Zu dem Ende wurden an den Enden der Schiene über ihre Mitte herunterhängend Senkel befestigt, und die erstere dann so lange gedreht, bis die durch die Senkel gegebene Visirlinie mit der Röhrenaxe des Magnets zu- sammenfiel. Auf den Index $ an der Schiene stellte man darauf einen der Striche des ge- theilten Ringes ein. Je nachdem man nun den Magnet der Lloyd’schen Wage parallel oder senkrecht zum magnetischen Meridian haben will, stellt man über der wie oben orientirten oder dann nach der Kreis-Theilung um 90° aus dieser Lage herausgedrehten Schiene eine lange, spitz zulaufende Magnetnadel, die auf einer Spitze schwebt, auf und dreht das ganze Instrument auf seiner Unterlage bis die Nadel nach Visiren über sie hin parallel der Schiene steht. Diese Orientirungen alle lassen sich leicht mit einer Sicherheit von 091 ausführen, was vollkommen genügt. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR- APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 19 Da das total reflectirende Prisma die Bewegung des Wagebalkens um seine horizontale Axe in eine scheinbare um eine Vertikal-Axe umwandeln soll, so muss die brechende Kante desselben durchaus parallel der Magnet-Axe resp. senkrecht zur Schneide sein und es kann daher bei diesem Instrument Fernrohr und Scalenmitte nur in einer Vertikalebene durch die Schneide des Wagebalkens aufgestellt werden, was wieder vermittelst der bereits orien- tirten Schiene zu bestimmen ist. Es bleibt dann nur übrig, das Prisma durch Neigen und leichtes Drehen im Azimut vermittelst der betreffenden Correctionsschrauben so zu stellen, dass das Scalenbild vom Spiegel des arretirten Magnets!) im Gesichtsfeld des Fernrohrs eine passende Lage ет- nimmt und angenähert die Mitte derselben hinter den Vertikalfaden fällt, worauf schliesslich noch der fixe Spiegel mit den Correctionsschrauben so zu justiren und die Scale so zu ver- schieben ist, dass er genau den Scalentheil 300 mit dem Vertikalfaden im Fernrohr zur Deckung bringt und das Scalenbild von ihm nahe über oder unter demjenigen des Magnet- spiegels im Gesichtsfeld des Fernrohrs erscheint. 3. Formeln für die Variationsapparate und Bestimmung ihrer Constanten, a) Variation der Declination. Bei den Beobachtungen am Unifilar-Magnetometer wird jeweilen die Stellung des Verti- kalfadens im Gesichtsfeld des Fernrohrs an den beiden übereinanderliegenden Scalenbildern, das eine vom Magnetspiegel, das andere vom fixen Spiegel erzeugt, bis auf 0,1 Scalentheil abgelesen. Aus diesen beiden Ablesungen, die wir mit n und n, bezeichnen wollen, ist un- mittelbar nur der Unterschied der augenblicklichen absoluten Declination und derjenigen, welche dem Scalentheil n, zukäme, abzuleiten. Nehmen wir, wie das nach erfolgter Justi- rung der Fall sein soll, an, es stehe die Scale senkrecht auf der optischen Axe des Fern- rohrs, die letztere sei auf die Mitte des Magnetspiegels resp. seine vertikale Drehungsaxe, die in die spiegelnde Fläche fallen möge, gerichtet und der Scalentheil n, (300) befinde sich vertikal über oder unter der optischen Axe des Fernrohrs, so ist die Winkeldifferenz o der beiden Declinationen gegeben durch: а wo E die in Scalentheilen als Einheiten ausgedrückte horizontale Entfernung der vordern getheilten Seite der Glasscale von der hintern spiegelnden Fläche des Magnetspiegels nach 1) Die Arretirungsschrauben müssen so justirt sein, | im Fernrohr weder steigt noch fällt, wenn man die Ar- dass die Magnetaxe nach der Arretirung horizontal liegt | retirung löst. Mit dem Niveau ist auch der Parallelismus und ebenso auch die Kante der Schneide; ersteres ist mit | des Magnetspiegels zu einer Ebene durch die Magnetaxe einer auf den cylindrischen Magnet aufzusetzenden Li- | parallel zur Schneide zu prüfen. belle, letzteres dadurch zu prüfen, dass das Scalenbild | 3* 20 Н. Wizp, Neue FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND Abzug von !/ der Dicken-Summen aller zwischen Scale und hinterer Magnetspiegelfläche eventuell befindlichen und als planparallel vorausgesetzten Glasplatten bedeutet. In erster Annäherung kann man statt der obigen Formel auch setzen: N—N Eee wobei man also @ direct in Minuten und Bruchtheilen derselben erhält. Damit also der Werth eines Scalentheils gleich einer halben Minute sei, muss die Entfernung E sein: IR и : See WELT cet 4 о MB à В EE EE RES PTE ERDE ре Е = 3437,75 Scalentheile. Eine weiter gehende Annäherung ап den durch 1) gegebenen genauen Werth bietet der Ausdruck : и И (®— то? \. Я И НЕ. Pr (1— a) CERF A RSS D ya CPR RTE ЕЕ At SA Für die Werthe я —n, = 120 Scalentheile, der bei uns nur sehr selten zur Zeit von Störungen der Declination überschritten wird und sodann n — и, = 300 Scalentheile, der als Ende der Scale etwa bei Ablenkungsbeobachtungen behufs Empfindlichkeitsbestimmungen erreicht wird, ergeben diese drei Ausdrücke mit unserm obigen Werth von Æ der Reihe nach folgende Winkelgrössen für @; N —то Pi P2 P3 120 0° 59’ 58,5 19:07:07 0° 59’ 58,5 300 2 29 -37,2 2,3020 2 29.57.28 ЧА И А ео АР Fa PANNE a 3 Ne Hieraus ist ersichtlich, dass die Formel 2 mit einer Genauigkeit von Y/,, Scalentheil = 0,025 oder 1,5 bis zu Ablenkungen von = 1° von der Mitte aus vollkommen genügend ist und erst von da an für grössere Ablenkungen die Formel 3 zu benutzen ist, welche bis zum Ende der Scale dieselben Werthe wie die genaue Formel 1 ergiebt. Unsere Declinationsvariationen sind somit nach der einfachen Formel: 7. лень ф = Зуи = (n—") 0,50 zu berechnen, unter der Voraussetzung, dass # = 3437,75 Scalentheile sei. _ Diese reducirte Entfernung Е ist aber nicht direct abzumessen, sondern bloss die Ent- fernung der vordern Spiegelfläche von der vordern getheilten Fläche der Glasscale, die wir Е’ nennen wollen; dann hat man: Le RG a 2, wo e die Dicke des Spiegels und Ze die Summe aller Glasdicken zwischen der Glasscale und der hintern Spiegelfläche bedeuten. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-ÄPPARATE MIT SCALENABLESUNG. 21 Bei unserm speciellen Apparat, wo 1 Theil der Glasscale — 0,9996 mm. ist, muss Е = 3436,31 mm. werden. Da ferner die Spiegeldicke 1,4 mm. und die Dicke der plan- parallelen Verschlussplatte davor 2,7 mm. beträgt, so muss die unmittelbar abzumessende Entfernung Z’ der vordern Fläche der Glasscale von der vordern Spiegelfläche : E' = 3436,31 + 44,1— 1,4 = 3436,3 mm. betragen. Der obigen Voraussetzung gemäss ist aber Е’ die horizontale Entfernung zwischen der Glasscalenfläche und der Spiegelfläche, welche daher am besten in der Art gemessen wird, dass man längs der vordern getheilten Fläche der Glasscale ein kleines Senkel an einem Coconfaden herunterhängen lässt, welches mit seiner Spitze die obere getheilte Seite eines zwischen Scale und Spiegel horizontal hingelegten Maassstabes eben bei einem Striche berührt oder auch bei dem auf die hohe Kante so hingelegten Maassstab längs eines Theilstrichs der Seitenfläche einspielt. Der Maassstab befindet sich in der Höhe des Magnetspiegels, so dass eine, dort aus ihm auszuschiebende Languette mit ihrem abgerundeten Ende zur Berührung mit dem Spiegel gebracht werden kann. Der bei uns zu diesen Messungen neuerdings benutzte Maassstab besteht in einem 4 Meter langen Messingrohr, das auf seiner Oberfläche von dem geschlossenen, ebenen einem Ende aus in Decimeter getheilt ist und am andern Ende eine in eine Neusilber-Halbkugel endigende engere, etwas über ein Decimeter lange Röhre ein- schliesst, welche auszuschieben ist und eine Millimetertheilung von 1 Decimeter Länge hat. Diese Theilung ist durch einen Ausschnitt im äussern Rohre vermittelst eines an seiner Kante angebrachten Nonius bis auf 0,1 mm. abzulesen und der Nullpunkt des Nonius so gewählt, dass man am Schieber den Millimeterstrich 0 abliest, wenn sein kugelförmiges Ende in die Ebene des umschliessenden Rohrendes fällt, das selbst dem Theilstrich 0 resp. 4 m. entspricht. Zur Verminderung der Biegung und besserer Nivellirung wird die Röhre bei der Benutzung auf eine 374 lange Holzplatte gelegt, die selbst passend unterstützt wird. Gemäss meiner mittelbaren Verification der einzelnen Meter dieses Maassstabs nach unserm Normalmeter am 4. August 1884 haben sich für dieselben folgende Werthe in wahren Milli- metern ergeben : 0 — 1" = 1000,22” 1 — 2 —100018 2 — 3 —,1000.39 3 — 4 —1000,22 0 — 4 40009522 Hieraus folgt für die Längen : 0"— 375 — 075 — 470 — 3900,84, Bei der Abmessung der horizontalen Entfernung der einander zugewandten Flächen von Spiegel und Glasscale bei unserem Unifilar-Magnetometer wird man also statt auf 22 Н. Утьр, NEUER FORM MAGNETISCHER V ARIATIONSINSTRUMENTE UND Е’ = 3436,3 bei unserm obigen Maassstab mit Rücksicht auf seine Correction unmittelbar einzustellen haben auf den Theilpunkt 3435,5, damit dann der Werth eines Scalentheils genau 0,50 betrage. Die Genauigkeit, mit welcher diese Abmessung der Entfernung Ё zu erfolgen hat, er- giebt sich aus der Gleichung 2 durch Differentiation nach Æ. Darnach ist 0Е = BE. ф Nehmen wir als Genauigkeitsgrenze für die Bestimmung von ф ап d® = + "2 Scalen- theil = + 0,025 und für Е den Werth 3437,75 Scalentheilé oder mm., so kommt: wieder für : n—n, oder Фф 0E 120 60' + 1,42 Scalentheile oder mm. 300 150 = 0,5% » EN Die durch unsern Maassstab ermöglichte Abmessung der Entfernung bis auf =0,1 mm. ist somit eine für alle Fälle vollkommen genügende. Damit diese Messung wirklich bis auf = 0,1 mm. richtig sei, muss der Maassstab überdies nur bis auf 26’ genau einnivellirt sein. Gemäss der Justirung soll der Magnet in der Stellung, wo sein Spiegel die Mitte der Scale resp. also den Scalentheil n, zeigt, ohne Torsion des Suspensions- Fadens aufgehängt sein. Bei einer Ablenkung p aus dieser Lage wird der Faden um ebenso viel tordirt sein und demzufolge dieser Winkel kleiner sein, als wenn keine solche Torsion vorhanden wäre. Um daher den wahren Winkel ©’ zu erhalten, wie eine torsionsfreie Suspension ihn ergeben hätte, hat man ф mit einem Factor zu multipliciren, der nach bekannten Prineipien gegeben ist durch: Der Ta RA A Peell+ зак), wo À die Ablenkung repräsentirt, welche der Magnet durch eine Drehung des obern Faden- endes um 360° erfährt. Drücken wir А in Minuten aus, so ist auch mit genügender An- näherung : Фф = p.(1-+0,0000463. A). Nach 1, b) ist bei unserm Instrument mit Coconfaden Ar Bon so dass der Correctionsfactor wird 9 = 9.1,00088. x À = 3 # + ; =» WER FE rire" Ем ЕСИ I Ре И ее РЕ ЗА ЕЕ ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR- APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 23 Hieraus folgt, dass ф = 66’ oder 132 Scalentheile werden darf, ehe die Correction wegen der Torsion 0,025 oder '/,, Scalentheil erreicht, und die letztere wird für ф = 150’ oder 300 Scalentheile erst: 0/057 oder wenig mehr als 0,1 Scalentheil. Bei unserm Instrument mit Coconfaden können wir also innerhalb der gewöhnlichen Declinationsvariationen uns ganz allein an die einfache Formel 2 halten und nur für grössere Ablenkungen als 1° erscheint es nöthig zur Formel 3 überzugehen, wobei man ebenfalls innerhalb der Scale die Torsion vernachlässigen kann. | Hätte man dagegen den Magnet an einem Neusilberdraht von 0,07 mm. Dicke auf- gehängt, wie wir ihn später beim Bifilar-Magnetometer benutzt haben, so würde für einen solchen die Grösse A angenähert geworden sein: А = 66 und daher hätte man dann: ф’ — 0.1,00306. Hier würde die Grenze für die Ablenkungen, für welche die Correction wegen der Torsion eben 0,025 oder !/, Scalentheil erreicht, sein ф = 8/2 oder 16,4 Scalentheile. Sie wäre also im Allgemeinen nicht mehr zu vernächlässigen'). Heissen wir nun d, die absolute Declination, welche der Magnetlage ent- spricht, wo auch der Magnetspiegel eben den Scalentheil n, zeigt, so wird aus der Ablesung n am Unifilar-Magnetometer die entsprechende absolute Declination d in Minuten allgemein nach der Formel: en (1 — M) и а 2Езш Г 3E? berechnet, die für unser specielles Instrument mit Coconfaden und n, = 300 übergeht in: Dr 00) DOS RP rien wenn wir uns auf Werthe von » < 120 Scalentheile beschränken. Jede absolute Declinationsmessung aber, bei welcher genau gleichzeitig das Unifilar- Magnetometer abgelesen wird, liefert eine Gleichung I oder Г, in welcher d und n bekannt sind und aus der somit ein Werth von d, 1. е. der sogen. Normalstand zu berechnen ist. In der zweiten Hälfte des Jahres 1888, wo keine Veränderung durch Justirung am Apparat erfolgte, haben sich z. B. folgende Mittelwerthe des Normalstandes aus den abso- _ еп, jede Woche einmal angestellten Declinationsmessungen ergeben: 1) Ein gleicher Draht ist kürzlich bei unserm Decli- | und der grössern Constanz gerathener sei, auch beim natorium für absolute Messungen eingezogen worden, so | Unifilar-Magnetometer einen solchen zu verwenden. Auch dass die dort zu sammelnden Erfahrungen zeigen wer- | die neuerdings vorgeschlagenen Quarzfaden sollen pro- den, ob es nicht trotz der grössern Torsionskraft wegen | birt werden. der Unabhängigkeit des Metalls von der Feuchtigkeit 24 Н. Wizp, Neue FORM MAGNETISCHER V ARIATIONSINSTRUMENTE UND dy dd, 1888 Juli 0° 19513 —= 0/15 August - 19,07 == 0.17 September 18,99 +0,20 October 18,98 ET November 18,90 = 0,24 December 18,99 = 0,23 Diese Mittel sind vom August an je 5 monatliche, also aus 12 absoluten Messungen für den mittlern Monat berechnete; die mittlere Abweichung der Einzel-Daten repräsentirt fast ganz den Fehler der absoluten Messung. b) Variation der Horizontal-Intensität. Die einer Aenderung der Horizontal-Intensität entsprechende Drehung des Bifilar- magnets kann als eine Veränderung € des Torsionswinkels z,, der unmittelbar bei der Ein- richtung des Bifilars beobachtet wurde, angesehen werden und zwar erhält man die grössere Horizontalintensität À, welche einem neuen Torsionswinkel 2, + zukommt, im Verhältniss zu H,, d. h. derjenigen, welche im Moment der Orientirung des Magnets senkrecht zum magnetischen Meridian stattfand resp. also dem Torsionswinkel z, entspricht, allgemein nach der Formel'): ыы (1 со а (+ BD (Ar vH cos go) (1+ 6 AE) Bo cos E(1-- tang Е tang О [1— cotg go tang (< — &)] (+ Bio) [IH vH cos (9 — 6-8] (= Нах) | 0 wo & die Temperatur des Bifilars zur Zeit der Einrichtung der Transversalstellung des Magnets und # diejenige im Moment der Beobachtung, ferner ©, den Winkel der magneti- schen Axe des Magnets in seiner transversalen durch 2, definirten Lage mit dem magneti- schen Meridian zur Zeit der Aufsuchung desselben mit dem Magnet in der normalen Lage, ferner € die Aenderung der Declination vom Moment der Transversalstellung, wie sie 1) Diese Formel ist aus der Division folgender zwei | standen, wovon sich die erste auf den Moment der Ein- Gleichgewichtsgleichungen des Bifilarmagnetometers ent- | richtung des Bifilars bezieht: 0 x 7 Но Mo (1— to) (1+-VH cos Фо) Sin Фо = ER et sin 20 (1+s 20 ): 4 ( + Xo) Sin 20 А : dod'ol14-(0+0’)él . re HM, (1— ut) [1+vH cos (9,—5+5)] sin (Фи— 6-8) = IN EEE PEN 2 sin (20+ 8). (+ 5 An а) wo M, das magnetische Moment des Magnets bei 0°, | pensionsfaden bei 0° darstellen und die übrigen Grössen g die Beschleunigung der Schwere, 1% die Länge der Sus- | die oben angegebene Bedeutung haben. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 20 % ; durch 2, definirt ist, bis zum Moment der Beobachtung, v den Inductionscoefficienten des 3 Magnets und В den Temperaturcoeflicienten des ganzen Bifilars darstellen, welcher letztere nach S. 4 beim uncompensirten Bifilar gegeben ist durch : В = реали) | Endlich repräsentirt s das Verhältniss der Torsionskraft der Suspensionsfaden zur Directionskraft der Schwere und ist also gleich: 8т ptx 5.— 50аа” wo о den Halbmesser, x den Elasticitätscoefficienten der Substanz der Suspensionsfaden, 4 deren untere, d’ deren obere Distanz und Q die an ihnen hängende Masse bezeichnen. Heissen wir ferner о die Aenderung der Declination vom Moment der Aufsuchung des Meridians am Bifilar bis zum Moment seiner Transversalstellung, so ist in unserm Fall: _ wenn wir, wie oben für €, annehmen, dass positive Werthe von © zunehmende westliche De- _ clination darstellen und wir diesen Winkel von dem nach Ost gewendeten Nordpol der Nadel aus zählen. Führen wir diesen Werth in Gleichung 6 ein und berücksichtigen zugleich, dass ©, & und & kleine Winkelgrössen sind und ebenso В, $ und v kleine Grössen repräsentiren, also alle Glieder mit höhern Potenzen oder Producten dieser Grössen als den zweiten bei der Entwicklung vernachlässigt werden können, so kommt A BEEN TR {+ cotg 2, tang 6 + В —&) + (1 — 2, cotg 2,) + | ; 2 _ 2% sin? 29 + + sin? 5 — tang Stang &— vH sin (6-8) + Bi ?+s — tang v tang (8) Bei unserm Bifilarmagnetometer ist, dasselbe als ganz uncompensirt vorausgesetzt, _angenähert: Bu 45. В = ц+д-- 5—^ = 0,000533, у = 0,0008 1, = 90° Н’—*1.64 © == 120000 ms, td — 13 mm, di 12 5 Ш. 1) Die Glieder mit В in Gleichung 6 sind eigentlich | und À halber nur um kleine Grôssen dritter Ordnung von - nicht genau, sondern repräsentiren bereits gewisse An- | den wahren Werthen unterscheiden und deshalb bereits näherungen, welche sich indessen der Kleinheit von 6, д" | abkürzend eingeführt worden sind. 5 Mémoires de 1`Асаа. Imp. 4. sc. VII Serie. 4 D PE LT D ET ER LU ws) PRINT У Я ar, ju $ ATP 2. ir #4 de LS EX À ; Rss ce 26 Н. Утьь, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND 5 und im Fall von Coconfaden: о = 0,044 ».— 10. 205 = 0,00097 » » » » Neusilberdraht а: о = 0,035 х— 10%, » 32000387. ее » 6: р = 0,028 Хх 10» 5 - 0.001538 Setzen wir ferner voraus, es seien im Maximum: t—t, = 10° C., 60% Е = —60, os, so nehmen die einzelnen Glieder im Ausdruck 6’ folgende Zahlenwerthe an: cotg 2, tang € — 001745, 2»Hsin(& EE) US — 000005 à B(é—1) — 0,00533 2, — 0,000114 | | 2 dun $ вх (1 —é00tg 4) = 0,000005 Зе — 0,000001 für Coconfaden = 0,000020 = 0,000018 » Neusilberdraht а — 0,000008 = 0,000003 » » b + sin?& = 0,000152 tangvotang(é —E) = 0,000051 tang & tang 6 — 0,000305 Bei unserm Bifilarmagnetometer kann man, wie wir im Verfolg zeigen werden, durch Schätzung der 0,1 Scalentheile noch 0,000025 mm. mg.s. ae = 0,000015 Bruch- 0 theile der Horizontal-Intensität: Н, = 1,64 bestimmen. Es sind also nur die Ausdrücke mit s, welche innerhalb dieser Grenze bleiben oder dieselbe in den angenommenen extremen Fällen ganz unbedeutend überschreiten. , Der Ausdruck 6’ vereinfacht sich somit zunächst zu folgendem :. 6 | H = H,[1-- cotg2, tang& — tang Ë tangé + + B(t — 1,) + ВР - тм — (tang v + vH) (sin & — sin )]. Nur in den Fällen, wo die Winkel & und & bloss etwa 1 — 1 der oben angenommenen Maxi- malwerthe betragen und eine Temperatur-Compensation angebracht ist, die В auf etwa + seines obigen Werthes reducirt, wird sich die obige Gleichung auf die gewöhnlich allein berücksichtigten grössten Glieder reduciren, also sein: НЕ ОА tangé >» Be Dr Die Winkel 6, 6, о sind nun durch die Ablesungen an den Scalen auszudrücken. Unter denselben Voraussetzungen, unter welchen die Gleichung 1 stattfindet, werden wir hier in erster Annäherung: Verne ten RE ee ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 27 und genauer : : т — т т — Mo \3 re | н.. 8 setzen können, wenn wir entsprechend die reducirte Entfernung von Scale und Spiegel beim Bifilar mit D, die 5 entsprechende Ablesung an jener m und die dem fixen Spiegel oder der Mitte der Scale entsprechend mit m, — 300 bezeichnen. Heissen wir ferner n den am Unifilar-Magnetometer gleichzeitig mit dem Bifilar-Magnetometer beobachteten Scalentheil, sodann n’ den da abgelesenen Scalentheil im Moment der Aufsuchung des magnetischen Meridians beim Bifilar und n”’ denjenigen, wenn der Magnet eben im Bifilar transversal orientirt worden ist und sein Spiegel dabei den Scalentheil m, zeigt, so geht die Gleichung 6” über in: H — Е, | + cotang 2, | "5p” — a) — m—m пп’ +) — 2D р )] 2D 2E 2E | een = | wo wir im ersten Glied die höhere Potenz von =" noch beibehalten mussten, da für 2, = 45° und m — m, = 300, D = 3437,75 Scalentheile - cotang 2, о — 0,000083 wird. Nur für Werthe von m — m, und п — я” < 35 Scalentheile bei D = Е = 3437,75 Scalentheile und für В < 0,00019 bei & = 20° С. wird man statt II ohne Beeinträchtigung der 0,1 Scalentheil entsprechenden Genauigkeit in der Ableitung der Horizontalintensität die einfachere Formel benutzen können : H= Hl + EE (m—m), HB). ......... № n Bei unserm Bifilar mit der zuletzt angebrachten Temperaturcompensation beträgt nach S. 10 der Einfluss der Temperatur pro 1° С. noch: 0,00021 mm. mg. s., so dass also ist: eg 0,00021 н, ^ = 0,000128, wenn wir genauer: Н, = 1,638 setzen. Es genügt also die Kleinheit von В, um bei un- serem Instrument das-Glied ВР, vernachlässigen zu können. ; Damit ferner bei diesem Werth von ß und der in unserm Local nicht über 1° betra- genden Temperaturvariation im Laufe des Jahres das von der Temperatur abhängige Glied in Formel IT nicht um mehr als 0,000015 unsicher sei, muss die Temperatur am Bifilar mit einer Genauigkeit von 091 bestimmt werden und der obige Temperatur-Coefficient . 4* 28 Н. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER V ARIATIONSINSTRUMENTE UND bis auf den zehntel Theil seines Werthes genau ermittelt worden sein. Beide Bedingungen können als erfüllt angesehen werden. Die Bestimmung nämlich der Temperatur-Coefficienten erfolgt am fertigen Instrument am einfachsten in der Art, dass man für verschiedene Tem- peraturen $, aber gleicher resp. nach der Angabe eines zweiten Bifilars auf gleichen Betrag zu reducirender Horizontal-Intensität Н die Scale des Bifilars abliest und aus den ent- sprechenden Gleichungen ß als Unbekannte ermittelt. | | Die Variation der Horizontal-Intensität, welche einer Standänderung des Bifilars um 1 Scalentheil entspricht, hängt nach Formel IT vom Zahlenwerth des Ausdrucks: “ = cotang 2 —p m—m) = kim —m,), 5 oder : | set DER и а Е (m—m,) = e.(m— m) ab, wenn wir darin m — m, = 1 annehmen. Hier ist = der Empfindlichkeits-Coeffieient in absolutem Maass (mm. mg. $.) und % derjenige bezogen auf A, = 1. Setzen wir wieder, wie es bei uns sehr nahe der Fall ist, 7, = 1,638 und D = 3437,75 Sealentheile, was den- selben Winkelwerth eines Scalentheils wie beim Unifilar repräsentirt und auch thatsächlich erzielt wurde, so muss also, damit: : sé __- Но cotg 2о LOS ERP EE — 0,0002500 mm. mg. s. oder. __ Cotgz _— werde, der Torsions-Winkel z, sein г а. he Es frägt sich jetzt, wie genau der obige Empfndlichkeits- Coefficient = und weiterhin = die denselben zusammensetzenden Grössen ermittelt werden müssen, damit von daher im _ Beobachtungsresultat kein grösserer Fehler als etwa ОН == = 0,000025 mm. mg. s., was +1/, Scalentheil Ablesungsfehler entspräche, entstehen könne. Durch Differentiation von 9 ergiebt sich: à | | d = 0H —— = ) т — то 2D те 94, = 9H Носова mm’. | | A | 2D D oD = 0H Ho св és m—m’ BR 2D 4 sin 229 92 = Но cotgéo Mm—M"m ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 29 Hieraus folgt unter Einsetzung der obigen Zahlenwerthe für : т — Mo 0H 0D 020 de = 120 =00138 #285 1/48 = 0,00000021 300 =#000055 #114 +0,57 — 0,00000008 Da die Variationen der Horizontal-Intensität bei uns nur sehr selten = 0,0300 mm. mg. s. überschreiten, was der erstern Grenze m — m, — 120 entspricht, so sind also die vorstehenden Fehlergrenzen leicht einzuhalten. Direct lesen wir, wie oben angegeben, an unserm Torsionskreis allerdings nur ganze Minuten mit den Vernieren ab, können indessen wohl 0/5 noch gut schätzen. Der Empfindlichkeits-Coefficient des Bifilars kann aber noch auf eine andere Weise bestimmt werden, welche den Vortheil hat, dass sie zu jeder Zeit am vollkommen eingerich- teten Instrument ausgeführt werden kann, die genaue Kenntniss von D nicht erfordert und weniger von Localeinflüssen abhängig ist. Zu dem Ende legt man die Schiene Fig. 10 auf das Bifilar auf, klemmt den Halter SF in einer bestimmten Entfernung fest und schiebt den Ablenkungsmagnet in die Längsbohrung dieses Halters (Lage ns) ein. Man dreht darauf die Schiene, bis der Magnet an dem des Bifilars keine Ablenkung hervorbringt, alsdann sind beide Magnete parallel resp. in der Senkrechten auf dem magnetischen Meridian und man hat nach Ablesung der Stellung des Index I auf dem Kreise T darnach die Schiene nur um 90° zu drehen, um den ablenkenden Magnet in den Meridian gebracht und damit senkrecht zum Bifilar-Magnet orientirt zu haben. In dieser Lage werden nun die Ablen- kungen beobachtet, welche der Magnet mit Nordpol einmal nach Nord dann nach Süd ge- wendet, am Bifilar- Magnet bewirkt, denen man entsprechende Beobachtungen hinzufügt, nachdem man den Magnet auf die andere Seite des Bifilar- Magnets gebracht hat. Ganz analoge Ablenkungsbeobachtungen in derselben relativen Lage der beiden Magnete, d. h. gleiche Entfernung ihrer Mittelpunkte und senkrechte Stellung der magnetischen Axen macht man darauf nach Aufsetzung der Schiene beim Unifilar-Magnetometer senkrecht zum Meridian. Zur Zeit der ersten Ablenkungsbeobachtung am Bifilar, wobei der ablenkende Magnet mit Nordpol nach Nord gerichtet aufgelegt sei, soll der Torsionswinkel am Bifilar 2, + &,, die Temperatur &, die Horizontal-Intensität Æ,, endlich die Declination bezogen auf den Moment der Transversalstellung des Bifilar-Magnets 5 sein, dann wäre zu dieser Zeit ohne Ablenkungsmagnet die Gleichgewichtsbedingung am Bifilar : s . НМ, (1 — вв) [1+ vH, sin(v+é, —6,)] cs +6, —&) = \ —= 2, (1+ at) в (+) 1 + Ze |, | sin 20 + &ı wo wir abkürzend: 9% ТП und Ул а 30 Н. Wirp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND gesetzt haben und v die früher angegebene Bedeutung hat. Aus dieser Lage lenke nun der Ablenkungsmagnet den Bifilar-Magnet um den Winkel p, im Sinne der Zunahme des Tor- sionswinkels ab; dann ist die neue Gleichung für das Gleichgewicht: HM, (1 —Wé) [1 u vA, sin (v me Ste en cos @®-—& ОЙ Mur 1% ? +2M,M'(1-et)(1-wt) [1-+vH, sin(v+6 —6, —p,)](1+vA) f(E) cosg, = 2 +6 +9 | sin (20 + QG + Pa) ? >= D,(1+ ав) эп (& + & т) [1-8 wo M”, das magnetische Moment des ablenkenden Magnets bei 0°, w seinen Temperatur- coefficienten und v seinen Inductionscoefficienten, endlich f(Z) eine Function der Entfer- nung E beider Magnete darstellen. Kehrt man den Ablenkungsmagnet um 180° um, so wird die neue Ablenkung des Bifilarmagnets ®, jetzt nach der entgegengesetzten Seite erfolgen und die Gleichgewichts- bedingung bei der neuen Temperatur $, dem Torsionswinkel 2, + &, der Horizontal-Inten- sität 7, und der relativen Declination &, sein : ( H,M,(1— ut) [1-+- vH, UN cos(v + &,— &, + 9,) — 13 эмм, Qué) (pt) [1+vA, sin (&+6-—6-+,)] (1—УН)) f(E) cosp, = |= D, (1+ œt,) зп (а + 6 — 9) [1-= ee]. sin (20 + 62 — $.) Zur Zeit dieser Beobachtung würde für das Bifilar ohne Ablenkungsmagnet eine Gleich- gewichtsbedingung 13 bestehen, die wir aus 12 erhalten, wenn wir dort statt der Grössen - mit den Indices 1 überall die mit dem Index 2 setzen. Für die Ablenkungsbeobachtungen am Unifilar - Magnetometer in derselben Entfer- nung Ё gilt die Gleichung: dd 2М’, (1— pt) КЕ) cosy = HsinŸ (1+ 0,0000463 . A), wenn wir die dann stattfindende Temperatur mit t, die Horizontal-Intensität mit Н, das Mittel der Ablenkungswinkel nach beiden Seiten mit 4, mit /(Z) genau dieselbe Function der Entfernung Æ, wie oben, und endlich mit A dieselbe Grösse wie in Gleichung 5 bezeichnen. Damit f (EZ) ch dieselbe Function von Æ wie in 12’ und 13’ sei, ist es nothwendig, dass nicht bloss der Ablenkungsmagnet in beiden Fällen derselbe sei, sondern auch die Magnete des Bifilars und Unifilars untereinander in Form und Grösse etc. genau gleich seien. Aus den Gleichungen 12, 12’, 13, 13’ und 14 folgt schliesslich, wenn wir alle Glieder mit höhern Potenzen oder Producten der kleinen Grössen &, &, v, p, №, у, у, s vernachläs- sigen und berücksichtigen, dass nach den Ablesungen am Bifilar-Magnetometer m,, m, und m zu den Zeiten von В,, H, und Н ist: ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 31 H, я = m —m)k und 1 — (m, —m)k, H folgender einfache Ausdruck für die gesuchte Grösse: co __ tang ф Br. Re Se = SP 45 wo wir abkürzend gesetzt haben : tang Ф =} {tang D," [ip (t, —t) + k(m, — m) — 0,0000463.A — sin (0-8) tang 2, — cos @ a 7 (1— 2, cotg 2) | — — sind, cotg2, + 5 16 —+-tang 9, [14 y (lt) + k(m,— m) — 0,0000463.A — sin (v-+8,) tang 2, — — sin &, cotg2, + 5 a (1— 2, cotg 2)| oder, wenn wir das Mittel der Winkel ©, und $, mit ф bezeichnen, also setzen: Pi + Po DiTz 2 und berücksichtigen, dass die Differenz ф, — 9, еше kleine Grösse (circa 30") beträgt, so ist mit genügender Annäherung auch: 2 ; 16° — 20 Cotg 20 LANGE ES eg = cos $]. tang © — tango| тни (8 +7 (te и) —0,0000463.А — HSE сора — ? я о 2 ? 0 __ sin(v+ Ë,) + sin (v+ &) Unter Einsetzung dieses Werthes in Gleichung 15 und gleichzeitiger Substitution der betreffenden Scalen-Ablesungen für die verschiedenen Winkel sowie in Berücksichtigung 1 dessen, dass cos o im letzten Glied = 1 zu setzen ist wegen der Kleinheit von s und @ und dass a — kist, erhalten wir schliesslich statt dieser: en COLE, 2. N ИИ ИЕ (> Ei р op M {1- (5 u) a F0 Hu) . 4 MH y 15 f 2 __ с 1— 20 6048 20 | ВЕ. + 0,0000468.Д + —— = tang 2 ЕТ _ wo abkürzend gesetzt wurde: и ir ' = 2 » @ г ti + MES X ir МИС ñ с ÿ a! ete EN 4 te X м а a - я 32 Н. Wizp, Neue FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND und wo N, und N, die dem Ablenkungswinkel 4 nach der einen und andern Seite entspre- Er chenden Ablesungen am Unifilar-Magnetometer, n, und n, dessen mittlerer Stand je vor >. % und nach diesen Ablenkungen, », und я. die Ablesungen am gleichen Instrument zur Zeit = der Ablenkungsbeobachtungen am Bifilar-Magnetometer und endlich n’ seine Angabe bei der ursprünglichen Aufsuchung des Meridians am letztern Instrument, endlich M, und M, die Ab- lesungen am Bifilar bei den Ablenkungen und m, und m, die Mittel der Angaben desselben je vor und nach Auflegung des Ablenkungsmagnets auf die Ablenkungs-Schiene darstellen. Aus dieser Gleichung ist unmittelbar ersichtlich, dass die Entfernung D von Scale und Spiegel beim Bifilar bei dieser Bestimmungsweise von k nur in den kleinen Corzeetionsglie: dern comparirt. | Um zu untersuchen, wie genau die einzelnen Grössen bestimmt werden müssen, um die gesuchte Constante 2, bis auf 1’ (siehe oben $. 29) sicher zu erhalten, können wir die Gleichung 15’, da sehr nahe D = Е ist, auch einfacher schreiben: cotg2, = a (15) wo also N die Ablenkung am Unifilar und M diejenige am Bifilar in Scalentheilen repräsen- tiren und c die Summe der Correctionsglieder in der Klammer darstellt. Die Differentiation dieser Gleichung ergiebt : Е да, = ОМ. ША (1—0), cos? 2 О PR a ER ATP à 0%» = 0М - ао, 02, == 06: = sin? 2, Es ist nun nicht м und 0M, was wir hier zu suchen haben, sondern, da diese die be- о kannte Genauigkeit der Scalenablesung repräsentiren, eher die en Werthe von M und N, welche man bei den Ablenkungen zu erstreben hat, um еше genügende Sicherheit des Endresultates zu erzielen. Setzen wir also, wie es bei unsern Instrumenten der Fall ist, 08 — lac, ON = 0M = =0,1 Scalentheil, в — 10 01. — 0 in erster Annäherung, - so ergiebt sich : N = 180 Scalentheile, dc = == 0,000582: М == 164 » Bei unsern Bestimmungen dieser Art wurden für N und M gewöhnlich die Werthe 290 und 276 Scalentheile gewählt‘), so dass also vorstehender Genauigkeitsbedingung dabei vollkommen genügt war. u 1) Siehe Einleitung zum 1. Theil der Annalen des phys. Central-Observatoriums für 1888 ме. ия ie D Se Da ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 33 Was nun die Correctionsglieder in der Klammer des Ausdrucks 15’ betrifft, deren Be- trag jeweilen nicht obigen Werth von dc übersteigen darf, wenn man sie soll vernachlässigen‘ dürfen, so wollen wir zunächst die beiden ersten zusammen betrachten, da sie entgegenge- setztes Zeichen haben und diese ihrer quadratischen Form halber nie wechseln können. Setzen wir da Е = D = 3437,75 Scalentheile und N = 290, М = 276 Scalentheile (grössere Werthe von N kann man bei unsern Instrumenten praktisch nicht wählen), so kommt: ()- (=) = — 0,000168, so dass also die algebraische Summe dieser beiden Glieder in unserm Fall stets vernach- lässigt werden kann. Bei unseren Instrumenten ist ferner in runder Zahl: и’ = 0,001, %k= 0,000153, 2, — 43°37' zu setzen; damit also die folgenden Glieder der Reihe je den Werth: дс = = 0,000582 nicht überschreiten, darf hôchstens sein: ut —# = 0,58 Grade Celsius Mm— My, = 3,8 Scalentheile des Bifilars A = 12,6 Bogenminuten A —n = + 7,9 Scalentheile des Unifilars $ — 0,00210. Hieraus ist ersichtlich, dass mit Ausnahme der beiden ersten Glieder in der Klammer alle übrigen leicht Beträge erreichen können, welche ihre Vernachlässigung nicht mehr ge- statten und dass man daher im Allgemeinen zur Berechnung des Empfindlichkeitscoefficienten k des Bifilars aus den Ablenkungsbeobachtungen sich nicht, wie dies gewöhnlich geschieht, begnügen darf, statt der genauen Formel 15’ die einfache: 0 REN: и Bee (5 zu benutzen. Was speciell unsere Instrumente und Bestimmungen von k nach dieser Methode betrifft, so war dabei: д = 8,2 (siehe 5. 22) und $ = 0,00387 (nach Einführung des Neu- silberdrahtes a, siehe S. 26), also von diesen beiden Gliedern nur das erste zu vernachlässigen, m — m, betrug häufig über 20 Scalentheile, dagegen "7? — м’ selten mehr als 8 Scalen- Mémoires de l'Acad. Гир. d. sc. УП Serie. 5 34 Н. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND У theile. Ob endlich die Temperatur des Ablenkungsmagnets пи Гале der Beobachtungen nicht um mehr als 096 variirte, liess sich bis dahin in Ermanglung eines dabei oder darin angebrachten Thermometers nicht bestimmt entscheiden; jedenfalls wird es geboten sein, diese Fehlerquelle in Zukunft besser zu beachten. Folgendes sind nun die seit der letzten Justirung des Bifilarmagnetometers am 3. Oc- tober 1888 erhaltenen Werthe der Empfindlichkeitsconstanten: + 4 k 1888 4. October 0,0001562 N 0,0001557 1889 30. Januar 0,0001572 x 19. April 0,0001563 ET С ERSTER OA RER NIT ET TRS Der erste dieser Werthe ist unmittelbar aus dem bei der neuen Einrichtung des Instru- ments am 4. October erhaltenen Torsionswinkel abgeleitet worden, während die übrigen | durch Ablenkungsbeobachtungen bestimmt wurden. Die letzteren sind dabei nach der ein- fachen Formel 15” ohne Berücksichtigung der Correctionsglieder berechnet worden. Nach . den obigen Erörterungen hat unter diesen den grössten Einfluss das vierte positive Glied mit 4 m—m, und da im Laufe der Zeit diese Grösse positiv stets gewachsen ist und zwar. anfangs rascher, später langsamer, so sind alle obigen durch Ablenkungsbeobachtungen erhaltenen Werthe wohl etwas zu klein ausgefallen. In wiefern dies auf die obigen Differenzen derselben ‚ einwirkte, lässt sich nachträglich nicht genau angeben. Nach unsern bisherigen Voraus- setzungen soll aber 2, eine constante Grösse sein, und da in Wirklichkeit die Entfernung D sich auch nicht erheblich verändert hat, so müsste eigentlich k constant geblieben sein; dass dies in Wirklichkeit nicht genau der Fall war, kann zum Theil auch durch die im Nach- stehenden zu erörternde Abweichung von unsern Hypothesen bedingt worden sein. Zur Ableitung des absoluten Werthes der Horizontalintensität aus den Beobachtungen am Bifilarmagnetometer vermittelst der Formel II oder IT ist noch die Kenntniss von И, nothwendig. Es ist dies der sogenannte Normalstand und repräsentirt nach Gleichung IF diejenige Horizontalintensität, die der Ablesung m = m, und der Temperatur # = & аш. Bifilar entspräche. Es müsste also auch wieder im Laufe der Zeit so lange, als m, und & sich nicht verändern, der Werth von В, constant bleiben. Er wird entsprechend wie der . Normalstand beim Unifilarmagnetometer dadurch bestimmt, dass man jeweilen zur Zeit der absoluten Bestimmungen der Horizontalintensität Н gleichzeitig am Bifilarmagnetometer den Scalentheil m und die Temperatur é abliest, worauf dann aus Gleichung IT H, als unbe- kannte Grösse zu berechnen ist. Seit dem 4. October haben nun die allwöchentlich ein Mal ausgeführten absoluten Messungen der Horizontalintensität in dieser Weise im Monatsmittel je folgende Werthe für den Normalstand ZH, geliefert: PTT ea a AE RER Ei ei AT LE ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR - APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 35 dat, 0H, Differenz. 1888 er 1,63758 = 0,00054 0,00163 November 1,63595 = 0,00021 0 00099 December 1,63496 = 0,00007 ООО 1889 Januar 1.63435 = 0100013 0 00002 Februar 1,63432 = 0,00008 nt: März 1.6339 = 0.00024 0 00020 April 1,63361 = 0,00015 ь Die mittlere Abweichung dA, der einzelnen Normalstände ist, wie leicht ersichtlich, weniger auf die Fehler der absoluten Messung als die Variation von Н, im Laufe der Zeit zurückzuführen. Aus der letzten Columne ist sodann unmittelbar eine beständige Abnahme von H,, die aber nach und nach immer schwächer wurde, ersichtlich. Dieser thatsächliche Widerspruch mit unsern Formeln ist auf eine unrichtige, in den Grundformeln A (S. 24) liegende Voraussetzung zurückzuführen. Wir haben nämlich dort stillsehweigend angenommen, dass das magnetische Moment M, des Bifilarmagnets bei 0° zu jeder Zeit eine constante Grösse sei und dass ebenso die Dimensionen d,, 4’, und /, bei 0° stets gleich gross bleiben. In Wirklichkeit wird aber einerseits das magnetische Moment des Magnets den allgemeinen Erfahrungen zufolge im Laufe der Zeit etwas kleiner werden und andererseits.werden zwar d, und 4’, kaum sich ändern, wohl aber wird /, bei Metallfaden durch elastische Nachwirkung allmählich wenigstens zu Anfang sich vergrössern und bei Coconfaden wird ausserdem mit zu- oder abnehmender relativer Feuchtigkeit eine temporäre Verlängerung resp. Verkürzung der Faden erfolgen. In Berücksichtigung dessen hätte eigentlich die Formel IT etwa folgendermaassen zu lauten: Н — 5, [0 + En (иж) + ВЕ 4) + flo) — af’ (w) |, Fee | = wo m einen die Abnahme des Stabmagnetismus, + einen die Fadenverlängerung repräsen- tirenden Coefficienten und f (w) sowie f' (w) zwei verschiedene Functionen der, seit Ein- richtung des Instruments verflossenen Zeit w darstellen, welche beide die Eigenschaft haben, dass sie sich asymptotisch einem constanten Werthe annähern. Im Fall eines Coconfadens involvirt f’ (w) ausserdem noch eine Function der relativen Feuchtigkeit. Damit die vorstehende Gleichung für gleiche Werthe von Н und В, im Laufe der Zeit Bes'and haben könne, muss bei constantem Empfindlichkeits- und Temperaturcoefficienten, entweder jeweilen | м. | (0) = a.f'(w) sein, resp. es müssen sich die beiderlei Veränderungen des magnetischen Moments und der Fadenlänge eben aufheben oder es muss die Ablesung m am Bifilar bei Ueberwiegen der 36 H. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER V ARIATIONSINSTRUMENTE UND ersteren Aenderung beständig abnehmen oder im Fall eines grösseren Einflusses der Ver- längerung der Suspensionsfaden continuirlich anwachsen. Da bei unserm Instrument that- sächlich das letztere der Fall war, so folgt daraus, dass bei ihm die Abnahme des mag- netischen Moments des Bifilarmagnets ganz zurücktrat gegenüber der Verlängerung der Suspensionsfaden. Wir hätten also in Folge dessen in der Gleichung IT der Gleichung II” gemäss links ein negatives Correctionsglied einführen sollen, welches dem beständigen Anwachsen des positiven Gliedes mit m das Gleichgewicht gehalten hätte; da dies in Wirklichkeit nicht geschah, so mussten bei der Berechnung von H, aus Gleichung IT eben wegen des An- wachsens von m für ein gleiches Я nothwendig immer kleinere Werthe von Я, erhalten werden. Damit nun die einfachere Formel IT statt der complicirteren II benutzt werden könne, darf nach 3. 27 der Werth von m — m, nicht gross sein; es ist daher räthlich, einige Zeit nach Einrichtung des Bifilars die obere Suspension durch Drehung am Torsionskreis zur Zeit eines mittleren Werthes der Horizontalintensität soweit zu verstellen, bis wieder der Scalen- “theil m, in der Mitte des Gesichtsfeldes im Fernrohr erscheint. Der hiebei neu abzulesende Torsionswinkel resp. die neu anzustellenden Ablenkungsbeobachtungen werden dann die Empfindlichkeitsconstante des Bifilars für die neu beginnende Periode ergeben. Hernach werden die Werthe von ZH, bei aufeinanderfolgenden Bestimmungen derselben bereits weniger von der geforderten Constanz abweichen. c) Variation der Verticalintensität. Aus der Beobachtung der Aenderung n des Neigungswinkels b, der magnetischen Axe des Wagbalkenmagnets der Lloyd’schen Wage mit dem Horizont in Folge einer Aenderung der Vertikalintensität berechnet sich das Verhältniss dieser neuen Vertikalintensität V zu der beim Neigungswinkel b, stattgefundenen Г, nach der Formel'): У 1 } 19 PIE ten }1+=* (#6) +tgnte(y-b)+xtgn(é-t)te(y-b)(1- cotgi, cos a, tgb,) + | + cotgi, cos (а, +) 8 6,— №1) (1- a) 1) Diese Formel ist entstanden aus der Division der beiden Gleichgewichts-Gleichungen der Wage für die beiden erwähnten ME es (1+ x to). cos (y — bo) = У cos bo — Ну cos ao sind, und 0 = (1+ xt). cos (y — % — 1) = V cos (b, 1) — H cos (a + Ë) sin (by, + N), a wo G das Gewicht, M, das magnetische Moment des | magnetischen Axe und x den aus der Aenderung von M, Magnetwagbalkens bei 0°, A, die Verbindungslinie des | À und y mit der Temperatur zusammengesetzten Tempe- Schwerpunktes desselben mit der horizontalen Drehungs- | raturcoefficienten der Wage darstellen. axe, у den Winkel dieser Linie mit der Südpolseite der RSS EUR AD ME с te 4 ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 37 wo x und y die in der Anmerkung angegebene Bedeutung haben, & die Temperatur des Magnets, H, die Horizontalintensität, 4, die Inclination und a, das Azimut der magnetischen Axe des Magnets zum magnetischen Meridian im Moment des Neigungswinkels b, der Wage resp. des Ausgangspunkts für die Beobachtung, # und М die entsprechenden Grössen zur Zeit der Beobachtung von n darstellen, für welche das Azimut der Magnetaxe mit dem magnetischen Meridian a u ist, wenn & die inzwischen eingetretene Declinationsvariation repräsentirt. ‚ Berücksichtigen wir, dass wegen der nahe horizontalen Lage des Magnets der Winkel b, und fernerhin auch n, €, x und a u kleine Grössen repräsentiren, deren höhere Po- tenzen resp. Producte deshalb zu vernachlässigen -sind, so el use Gleichung mit ganz genügender Annäherung über in: ИИ. | 1-нх (t—1,)(1—- cotg 1, cos a, tg b,)+ cotg 1, tg b, (cos а = — sin a, sin =) == | +tg9 Ki [1— tg y tgb, — cotgi, cosa,tgb, + x(t—t)]+ > 19’ + Cotg à, COS а, + cotg 2, (cos a, = — sin a, sin =] | | Gewöhnlich wird die Lloyd’sche Wage mit ihrem ‚Magnet entweder parallel oder senkrecht zum magnetischen Meridian orientirt. Für diese beiden Fälle geht obige Gleichung über in: 1. Magnet im magnetischen Meridian: a, = 0°. ИИ. (x (1) + cotgi, tangb, (еж) + | > 20 +tgn[tgv-+cotgi+x (1-1) 7—6 и + 605% Е | 2. Magnet senkrecht zum magnetischen Meridian: а = 90° =D |1 х (—№) — cotgi, tangb, sind + о + tang n [tangy + tang y (x (E—1,) — tang y tangb,) — союз |. Hieraus ist unmittelbar ersichtlich, dass im ersten Fall die Variationen der Horizontal- intensität (Н — H,) und im zweiten diejenigen der Declination (€) noch einen Einfluss auf das Resultat behalten, allerdings wegen der Kleinheit von В, und y nur in Gliedern zweiter Ordnung. Gehen wir bei der Zählung des Winkels у von der Stellung des Wagebalkens aus, wo seine magnetische Axe genau horizontal ist, setzen also: b, = 0, so vereinfachen sich obige Gleichungen weiterhin zu: | 38 Н. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND 1700. 000% — 0 Уи (10-1) оля [вов ов авт > cotgi, ]}; За, — 90° und 0 = 21° УИ, {1+ x(é-t,) + tangn [tang y + х@-—&) tangy — sin& cotgü]l. ° Ersetzen wir endlich die Winkelgrössen у und & sowie die Variation 2% durch die an den betreffenden Variationsinstrumenten abzulesenden Scalentheile, so a [ РИ, нед Ltang y cotg à, х((—&) tang y + IL, | | : : 2 . — С у + k (m — т’) cotg &— ( = ne) (tang y + сов) |}, 3 und: | | р I, V— 7. {1x (ét) + — ar | tangy+ @—4 )tang y — M cotgi, > те} tang y |}. 4 Hier stellen w, m und п die gleichzeitigen Ablesungen an den Scalen der od schen Wage, des Bifilars und Unifilars im Moment der Beobachtung dar, für den auch die Temperatur $ gilt und w,, m’ und n’ die gleichzeitigen Ablesungen an jenen Variationsappa- raten bei Einrichtung des Instruments, wo der Magnet horizontal gestellt, die Temperatur t, abgelesen wurde, die Verticalintensität V, und absolute Inclination :, stattfanden; L re- präsentirt bei der Lloyd’schen Wage die reducirte Entfernung von Scale und Spiegel. k ist ’ der Empfindlichkeitscoefficient des Bifilars nach der durch Gleichung 10 gegebenen De- finition und 5 der Werth eines Scalentheils des Unifilars in Bogen. Unsere Lloyd’sche Wage ist den frühern Angaben gemäss mit ihrem Magnet parallel . zum magnetischen Meridian orientirt, so dass Gleichung III, auf sie anzuwenden ist. Bei ihr ist, zum Theil nach weiter unten erst abgeleiteten Daten: 1 — 056, _ x = —0,00001704, 2L — 6875,5 Sealentheile, ferner ist: Г, = 4,694, в — 04. k = 0,000156. Setzen wir weiter als in Wirklichkeit bei den Variationen kaum überschrittene Grenz- werthe: Ё#—& = 10°, m—m = w—w, = 120 Scalentheile, so nehmen die einzelnen Glieder des Ausdruckes II, folgende Zahlenwerthe ап: у ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 39 у. — 4.694000 ом — —0,000300 re У м (ty + cotgi) = + 0,030024 | 7, о x(é—1,)tangy = — 0,000000 О о у, (вв сов) — — 0,0000091 Bei unserer Lloyd’schen Wage ist nun die Verticalintensität, wie wir im Verfolg noch sehen werden, durch Schätzung von 0,1 Scalentheil wenigstens relativ bis zu der ihm ent- sprechenden absoluten Grösse: == 0,000025 mm. mg.s. zu ermitteln. Aus dem Vorstehenden ist also ersichtlich, dass nur zwei Glieder des Ausdruckes III, unter allen Umständen als bedeutend kleiner, denn diese Grösse, zu vernachlässigen sind und somit die Formel II, und analog auch Ш, auf folgende einfachere zu reduciren sind: У = V, x (ts) + о. [tang y + cotg à, + #(т— т’) cotg i]) 2. | | lé И 1 + x (tt) + TT ['tang y — ^^ cotg i, |}. LME ER IF, Sehen wir hier von den Correctionsgliedern ab, die von der Variation der Horizontal- intensität resp. der Declination herstammen und ihrem Betrag nach leicht für sich zu be- stimmen sind, da Z, k, E und :, bekannte Grössen sind, so hat man auch: У = 7, [1-+*((-® + p(w—w,)], . . . . ... Sl _ мо die Constante р folgende Bedeutung hat: ta cotg io e = er für D, —0 und а, — 0 | ER tang y bé a Be { = dur Оша — 900 | „22 — Mmerreosmeotgio Пер — 0 und beliebige Werthe von a, ) Den 21 Die Grössen x, i. e. der sogen. Temperaturcoefficient der Wage oder also die einem Grad Temperaturänderung entsprechende scheinbare Aenderung der Verticalintensität in _ Bruchtheïlen derselben und р, 1. е. der sogen. Empfindlichkeitscoefficient der Wage resp. die einem Scalentheil entsprechende Aenderung der Verticalintensität ebenfalls in Bruch- theilen ihres ganzen Werthes sind unbekannt resp. nicht a priori, sondern nur durch Ver- suche an der fertigen Wage zu bestimmen. 40 Н. Wınp, №ов FORM MAGNETISCHER VARIA1IONSINSTRUMENTE UND Was zunächst den Temperaturcoefficienten x betrifft, so ist seine empirische Bestimmung offenbar am einfachsten dadurch zu erzielen, dass man Ablesungen w,, w,, etc. an der Wage bei möglichst verschiedenen Temperaturen é#,, &, etc. derselben, aber genau gleichen Wer- then von V macht oder dann bei Werthen V,, V,, ete., welche durch Messungen an einem Hülfsinstrument in ihrem Verhältniss genau bekannt sind. Aus zwei solchen Beobachtungen ergiebt sich z. B. 2) Ber Wolle, ES RTE t1 — to — Rin— to) 4 WO: = — gesetzt wurde. 2 Betreffend den Empfindlichkeitscoefficienten p ist zunächst zu bemerken, dass wir wohl -à, kennen und auch die reducirte Entfernung Z von Spiegel und Scale bestimmen können, obschon hier die Zwischenlagerung des rechtwinklichten Glasprismas der Messung einige Schwierigkeit bereitet. Dagegen ist uns der Winkel y ganz unbekannt. Für die empirische Bestimmung der Coefficienten » giebt es zwei Methoden. Die erste!) besteht darin die Schwingungsdauern des Magnets einmal in der Wage um seine horizon- tale Axe und sodann ausserhalb derselben in einer Horizontalebene um eine verticale Axe zu ermitteln. Hiebei soll die verticale Axe mit der frühern horizontalen 1. e. der Schärfe der Schneide zusammenfallen und durch die Aufhängung etwa an einem Coconfaden kein er- hebliches Gewicht hinzukommen, damit in der That, wie vorausgesetzt, das Trägheitsmoment des Wagebalkens in beiden Fällen in Bezug auf die Drehungsaxe dasselbe sei. Diese Be- dingungen sind offenbar kaum genau zu erfüllen, so dass ich diese Methode hier gar nicht weiter untersuchen will, sondern nur die zweite in Betracht ziehe. Diese zweite Methode entspricht ganz der beim Bifilar für denselben Zweck angegebenen und bietet auch hier dieselben Vortheile dar, welche wir schon dort erwähnten. Zu ihrer Ausführung wird die Ablenkungsschiene nach dem Indexring (siehe oben Justirung der Wage) so auf die Wage aufgesetzt, dass sie parallel dem Wagmagnet steht, der Magnethalter auf sie aufgeschoben, in einer bestimmten Entfernung geklemmt und sodann die Ablenkungen des Wagmagnets an der Scale beobachtet, wenn in den Magnethalter der Ablenkungsmagnet vertical einmal mit dem Nordpol nach oben, dann nach unten gewendet eingeschoben wird. Nach Wieder- holung derselben Operationen auf der andern Seite des Wagmagnets bei gleicher Entfernung, wird dann die Schiene auf das Unifilarmagnetometer parallel dem Meridian aufgesetzt, der Ablenkungsmagnet in derselben Entfernung und relativer Stellung beider Magnete, also horizontal und senkrecht zur Schiene in den Magnethalter eingeschoben und so auch hier die vier analogen Ablenkungen des Unifilarmagnets beobachtet. | Gehen wir von der horizontalen Lage des Magnets aus, setzen also b, = 0, nehmen aber der Allgemeinheit halber an, er befinde sich dabei in irgend einem Azimut a, zum 1) Siehe Einleitung zum Anhang der Annalen des physikal. Central-Observatoriums pro 1872, S. XXII. : >. VE a er ТЕ ЕЯ RM À a AU г ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 41 magnetischen Meridian, so besteht bei einem Neigungswinkel.n, der magnetischen Axe (Nordpol unter dem Horizont), der Temperatur # und einer inzwischen eingetretenen Decli- nationsänderung & die Gleichung: EN (1-+ xt) м, =] и = V,cosn, — НД, cos(a,+Ë,)sinn, . . . 24 und wenn jetzt der Hülfsmagnet in der obenerwähnten Lage um ф, den Magnet der Wage ablenkt (Nordpol abwärts, also Ablenkungsmagnet z. B. im Norden mit Südpol nach unten), so ist die Gleichgewichtsbedingung: ax 1+- xt,) : To Е, = = ET NS , cos en +9,) ne 4, 600. +5) sinm+9,) + 94’ — М. (1-в ti) У ,) f(E) cos (1, + p;), wo die Intensitätsgrössen X, (ganze Intensität), 7, und V, und die Inclination à, auf den Moment der Beobachtung sich beziehen, M’, das en une Moment bei 0° des Ablenkungs- magnets, и’ seinen Temperaturcoefficienten = у’ seinen Inductionscoefficienten, у denjenigen des Wagmagnets darstellen. Kehrt man den Ablenkungsmagnet um und bezeichnet die neue Ablenkung des Wag- magnets aus einer, jetzt durch n, bestimmten Gleichgewichtslage, nach der entgegengesetzten ‚Seite mit ф,,. 50 bestehen gleichzeitig die zwei un а № (1+ xt) MU vK, cos ( — 1) cos (у — un) = № COS Ma и Н, COS (а, Ar ё,) sin ро ое 25 und : Gill t 2 о | en cos (Y—N5+9,) = V, cos (n,—9,) — H, cos (a,+8,) sin (N,— $.) — 95 Fa М (1-— и) (svp) КЕ) cos (Ma — Pa). Heissen wir endlich den mittleren, beim Unifilar für dieselbe relative Lage und Ent- fernung E der beiden Magnete erhaltenen Ablenkungswinkel à, so gilt hiefür die Gleichung: M',(1— wit) f(E) cos ни К SR DS LAN 26 wo H die mittlere Horizontal-Intensität, { die mittlere Temperatur des Ablenkungsmagnets während dieser Messungen und A dieselbe Grösse wie in Gleichung 5 repräsentiren. Aus diesen 5 Gleichungen erhalten wir schliesslich analog wie S.30 und 31 folgenden Ausdruck für den gesuchten Empfindlichkeitscoefficienten der Wage: я t to à 7 . N о. le kon m; mm) | 2 t t — p ("52 10) -+0,0000463 1 (er) 97 W + Wo ne у вт. | 2Е 2L sY 2L у Mémoires de l'Acad. Гир. 4. sc. УП Série. 6 42 H. Wınp, №ов FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND wo bereits Glieder 2. Ordnung in Bezug auf die kleinen Winkelgrössen und Factoren v, D, k, etc. weggelassen worden sind und abkürzend gesetzt wurde: ; à ‚, à | COS d'y = COS [1 + (ne — m) (en) — tan a, (m), . 4 x | ре Er “as — М und ar At Ey — W. É Dabei bedeuten analog wie früher: 3 N und N, die dem Ablenkungswinkel 4 nach der einen und andern Seite entsprechenden 4 Ablesungen an der Scale des Unifilarmagnetometers, п, und n, die Mittel der-- — jenigen je unmittelbar vor und nach den Ablenkungen, n, und n, die Ablesungen am gleichen Instrument zur Zeit der Ablenkungsbeobachtungen an der Lloyd’schen Wage, endlich m’ diejenige, wo die Magnetaxe eben horizontal und ihr Azimut а, War; 2 m, und m, sind die Ablesungen am Bifilar zur Zeit der Ablenkungsbeobachtungen an der Lloyd’schen Wage und m das Mittel derer zur Zeit der Ablenkungen am Unifilar; W, und W, sind die Ablesungen an der Scale der Wage bei den Ablenkungen nach der einen und andern Seite und 40, resp. w, das Mittel der Scalenstände je un- mittelbar vor und nach diesen Ablenkungen. Aus den Gleichungen 27 und 28 ist zunächst wieder ersichtlich, dass auch hier die Entfernung Z von Spiegel und Scale bei der Lloyd’schen Wage nur annähernd a zu sein braucht, da sie nur in den kleinen Correctionsgliedern comparirt. Der Ausdruck für p sodann wird nach 28 nur dann der unmittelbar gesuchte, d. h. cos @, = cos а, wenn wir die Ablenkungsbeobachtungen zu einer Zeit anstellen, wo das Bifilar und die Lloyd’sche Wage nicht weit von ihren Normalständen m, und w, und das Unifilar nur wenig von m’ abweicht. Bei unserer Lloyd’schen Wage ist die Empfindlichkeit der Art gewählt, dass: V,p = 0,00025 mm., mg., $ ist, also о. Пе meet 0,00005326: Das Glied mit p in der Klammer des Ausdruckes Ш” nimmt also für 0,1 Scalentheil den Werth 0,000005326 an und damit die vom Werth von р herstammende Unsicherheit _ des Resultates für # — w, = 120 Scalentheile obigen Betrag nicht überschreite, darf also der Fehler 0p von p nicht grösser sein als: ое ree dp = + ÈS — = 0,000000044. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR- APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 43 “ Es frägt sich nun, ob die vorstehende Methode gestattet, diese Genauigkeit in der Bestimmung von p zu erreichen. Um dies zu untersuchen, betrachten wir den Ausdruck von pin der einfacheren Form: р = сое ur (1-0, er _ woraus durch Differentiation folgt: ар = ON ze (1+ c) — ch ар = 0W m (1+ с) = p : р a, dp — 0% 2EW sin? 4 НО — In 2%, р | ; | ca N cotgi NEO и. о | 4 — +0,000833, ON = 0W = 0,1 Scalentheil, à = 70°42/, _ С == 0,02 im Maximum, also soll für die Erlangung der erwähnten Genauigkeit im Resultat sein: N=W = 120 Scalentheile, 9% = + 0/89, : де = +0,000850. - Bei den Bestimmungen des Во he decor стеле nach dieser Methode betrugen die Ablenkungswinkel in Wirklichkeit 220—230 Scalentheile und die Inclination 4, konnte jedenfalls keinen grösseren Fehler als 1’ involviren. Wir haben ‘also nur noch han ob die Unsicherheit дс = == 0,000850 in der Ermittlung der Correctionsglieder einzuhalten ist resp. inwiefern deren ganzer Betrag unter dieser Grenze bleibt. Damit das letztere der Fall sei, darf, da: = 0,001, k = 0,000156, Y= 0°56 ist, höchstens sein: г т EM — m, —m = = 5,4 Scalentheile A — 00, — о A = -+ 18,4 Bogenminuten ann 4 — == 0,85 Grade. 44 H. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND Die Ne beiden Glieder im Ausdruck 27 sind jedenfalls je kleiner als der Werth _ p ist und die Kleinheit der Differenz: (=)— Gr. schon S. 33 ue wurde, wenn man bedenkt, dass sehr nahe 2 = 21 = 2D ist und N und W hier noch weniger differiren als N und M dort. | Da auch bei den ersteren Gliedern die angegebenen Grenzwerthe nur in Ausnahmefällen : dürften überschritten werden, so kann man also im Allgemeinen diese ganze Correction ver- nachlässigen. Es bleibt jetzt nur noch zuzusehen, inwiefern auch die Correction von cos a, nach 28 vernachlässigt werden darf. Man hat zunächst nach 27: von dc, __ cotgw en 0 др = —5 sind .0%0, also für 044 да, = 171 Bogenminuten и 89° да’, = 3 » Es darf somit höchstens sein: cosa,— cosa, = cos 1° — cos 3°51’ = 0,002104 im 1. Fall — 6083 89 .— .co8 89° 3 = 0.040872 5. 2,» Nun ist aber auch: ‚ LER ‘Mi + Mo w, + Vo sin Go (и. COS а’, — COS dy = cos ak ("т — cos a, p — 1) — Sa (nee "), somit dürfen im 1. und 2. Grenzfall höchstens sein: 1. Ка! eu 2. Fall а’ = 89° a —m, = 14 Scalentheile = 342 Scalentheile, nd и. — 40 » — 939 » AE m — 1) » — 6 » Es giebt also im Allgemeinen diese Methode ohne Correctionen den wahren gesuchten Werth des Empfindlichkeitscoefficienten р. Für unsern Fall, 4. В. a, = 0 und b,— 0, ist der Empfindlichkeitscoefficient nach 22: tang y + cotg à Pre 2L und da bei unserer Lloyd’schen Wage nahezu p den oben angegebenen Werth 0,00005326 hat, Г, = 3437,75 Scalentheile ist und & = 70° 42’ war, so folgt hieraus für y der oben A elle Werth: y = 0°56'. PPS КЕ TE TT RIT I RS EU ИА PERS a Sn Dr et EN > ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 45 Die Bestimmungen des Empfndlichkeitscoefficienten an unserer Lloyd’schen Wage im Jahr October 1887— October 18887) hat nun folgende Werthe als Mittel von je 5 Einzel- messungen ergeben: и др October 1887 0,00005235 = 0,00000011 April » 0,00005468 = 0,00000008 Juli » 0,00005308 = 0,00000008 October » 0,00005345 = 0,00000015 Die Unsicherheit der einzelnen Bestimmung war hiernach 2 — 3 Mal grösser als der für 0,1 Scalentheil durch Gleichung 30 geforderte Grenzwerth. Leider sind noch andere grössere Fehlerquellen vorhanden, welche die absoluten aus den Angaben des Variations- apparates abzuleitenden Werthe der Vertikalintensität noch unsicherer machen. Zur Ableitung absoluter Werthe der Vertikalintensität nach den Formeln III ist näm- lich noch die Kenntniss von И, 1. e. der dem Scalentheil w, entsprechenden Vertikalintensität -nothwendig. Die einzige Methode zur Bestimmung von Г, besteht nun darin, dass man je- weilen zur Zeit einer absoluten Inclinationsmessung ausser der Lloyd’schen Wage auch noch das Bifilarmagnetometer gleichzeitig abliest, alsdann aus der beobachteten Inclination und der Horizontalintensität nach dem Bifilar die Vertikalintensität Г berechnet und nach Ein- führung dieser Werthe in Gleichung Ш jetzt V, als Unbekannte aus derselben ableitet. In dieser Weise sind z. B. in der zweiten Hälfte des Jahres 1888 bei unserer Lloyd’- schen Wage aus den wöchentlichen Inclinationsmessungen im Mittel aus je 12 Bestimmungen in 3 Monaten für den mittleren Monat folgende Werthe für V, erhalten worden: A Оу: 1888 Juli 4,6967 = 0,0045 mm. mg.s. August 4,6964 = 0,0041 September 4,6961 —= 0,0033 October 4,6936 = 0,0037 November 4,6948 = 000241 December 4,6947 - = 0,0037 Hiernach ist die Unsicherheit der Normalstände durchschnittlich noch 07 = == 0,0036, was dem Werth von nahe 15 Scalentheilen entspricht. Hieraus schon folgt, dass dieser Fehler nicht in der Lloyd’schen Wage begründet sein kann und das folgt weiterhin auch aus dem Umstande, dass gemäss unsern Vergleichungen verschiedener Lloyd’scher Wagen die Unsicher- heit einer einzelnen Bestimmung der Vertikalintensität aus einer Ablesung der Scale bloss = 0,0003 beträgt (siehe Anm. 1878, I. Th. Einleitung S. LXXIX). Der Haupttheil des 1) Annalen des physikal. Central-Observatoriums für 1888. Theil I, Einleitung $, XXXII. 46 Н. Win, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND obigen Fehlers muss also in der Ableitung von V nach der Formel: V = Н tang $ zu suchen sein. Da nun die Genauigkeit, mit welcher die Horizontalintensität aus den Angaben des hier in Frage stehenden Bifilars herzuleiten ist, ungefähr 04 = == 0,00005 beträgt, so kann der davon herstammende Fehler im Werth von V gemäss der Formel: OV = tangi.0H für : — 70°43' bloss : ду = -+0,00014 betragen und es ist somit die Hauptursache der Grösse des obigen Fehlers 0Y in der Be- stimmung der absoluten Inclination zu suchen. Betrachten wir: | ® OV = = 0,0036 und OH = =# 0,00005 als die wahrscheinlichen Fehler der Grössen Г und H, so berechnet sich der ihnen ent- sprechende wahrscheinliche Fehler di der Inclination $ nach der Formel: > . - costi sin? à 6052$ a je PR ne woraus für < = 70° 42’ und A = 1,635 folgt: di — + 0/83. So gross ist auch wohl zur Zeit in Folge fortgesetzter Abnutzung der Axen und Lager der Inclinationsnadeln der Fehler einer Bestimmung der absoluten Inclination mit unserm Dover’schen Inclinator. Sollte der von dé herstammende Fehler in der Berechnung von У auch nur ungefähr den ОН entsprechenden Betrag 0Т = О, 00014 erreichen, so 2 nach der Formel: * И cos? 2 der Fehler der Inclinationsmessung nur: di = = 0,03 betragen. Will man also nicht bloss die Variation, sondern auch den ВОИ Werth. .der Vertikalintensität mit grösserer Genauigkeit aus den Angaben der Lloyd’schen Wage ableiten, so müssen vor Allem die absoluten Inclinationsmessungen auf einen höheren Grad der Vollkommenheit gebracht werden. 2 beschreiben werde. a Te | | à РЕ IL ! sd = | о! : ce = === Pe LE Ъ е | | Fe Fe PA. a №. d.. ee an Е Г PM | mil 4 Z т 5 р 2 ===. | | "BE === А U... z- |, = À | | ======= - ; | _ \ 7 = 5 = FT | 1 R 3 0 À Fe Е Е | LA и > зн 4 u | a és Е. Fig. 12. ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 47 И. Apparat zu photographischer Registrirung und gleichzeitiger directer Beobachtung. mit Fernrohr und Scale. ` Beim Arbeiten mit dem bekannten, sonst vorzüglichen Magnetographen Kew’scher Construction schien es mir, dass sich durch eine andere Anordnung der Theile eine hand- lichere und beiden Zwecken, d. h. directer Ablesung an einer Scale und photographischer Registrirung des Magnetspiegelstandes besser entsprechende Vorrichtung dürfte erzielen lassen. Als es sich daher darum handelte, für die Registrirung der Luftelectricität und der Erdströme im Observatorium zu Pawlowsk Apparate zu beschaffen, verständigte ich mich mit Herrn Dr. Edelmann in München über die Ausführung meiner Idee und so ist schliess- : lich aus seiner Werkstätte das Instrument hervorgegangen, welches ich im Nachstehenden Die Basis des Apparates bildet ein Rahmen (Fig. 12), dessen Füsse zur Nivellirung desselben mit 3 Stellschrauben #, 4, [ versehen sind. Auf der obern Platte Р dieses Rahmens ist die Glasscale M durch Winkel- .stücke an ihren Enden befestigt, die zugleich eine dünne Milchglasplatte hinter ihr festhalten, um das Licht einer auf die Platte P gestellten Be- leuchtungslampe resp. einer Zahl klei- ner Gasflämmchen von einer Röhre mit feinen Löchern zu diffundiren. In der Mitte der Platte ist sodann ein Gestell NT angeschraubt, welches zu- nächst das Ablesefernrohr F für die Scale trägt. Dasselbe dreht sich um Schraubenspitzen e als Horizontalaxe, welche zugleich eine geringe Justi- rung seiner optischen Axe im Azimut gestatten. Die Justirung in der Ver- ‘ tikalebene erfolgt durch die Schrau- ben c und d, welche von oben und unten in Rinnen am Objectivende des Fernrohrs eingreifen. Durch Drehen des ganzen Rahmens auf seiner Un- terlage und Justirung mittelst der Schrauben с, d und e bringt man es leicht dahin, dass die Mitte der Scale in das Fernrohr F reflectirt wird. 48 Н. Wizp, Neue FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE UND Oberhalb des Fernrohrs ist in demselben Gestell und in ähnlicher Weise durch die Schrauben а, b und f justirbar der Collimator $ befestigt, welcher bei $ eine Linse und am andern Ende ‚eine in ihrer Weite justirbare Spaltöffnung unmittelbar vor der Lampe Z be- sitzt. Die letztere repräsentirt in der Figur eine Gaslampe, welche. die schmale Seite ihrer Flamme der Spalte zukehrt; bei dem Apparat in Pawlowsk ist sie in Ermanglung von Gas durch eine Petroleumlampe mit Flachbrenner ersetzt. Vermittelst eines Auszugs wird die Linse bei S soweit von der Spalte entfernt und zugleich die Neigung des Collimators so justirt, dass ein scharfes Bild der Spalte nach Reflexion der Strahlen am Magnetspiegel auf der Oberfläche des Cylinders В unten im Hohlraum des Rahmens P entsteht. Dieser Су- linder wird von zwei halbkreisförmig gebogenen Trägern % und д gehalten, welche an einem längs einer Schiene auf der Scalenseite des Rahmens P verschiebbaren und klemmbaren Schieber befestigt sind. Am letzteren ist ferner gegen den Magnetspiegel hin eine cylindri- sche convexe Glaslinse von der Länge des Cylinders und parallel zu dessen Axe in solcher Entfernung befestigt, dass sie das linienförmige Strahlenbündel zu einem leuchtenden Punkt auf der Oberfläche des Cylinders vereinigt. Ausserdem trägt der Schieber auch noch die Axe einer an ihrem Umfang gezahnten Scheibe r, welche gegen den Cylinder hin mit einer radialen Rinne versehen ist und deren Zähne in ein Getriebe an der cylindrischen, unmittel- bar unter der Rahmenfläche Р hinlaufenden Stange (in der Figur etwas undeutlich sichtbar) eingreift. Das Getriebe sitzt lose auf dieser Stange, mit der es durch eine Schraube fest verbunden werden kann. Alsdann setzt die vom Uhrwerk U am einen Rahmenende bewegte Stange das Rad r in solche Bewegung, dass es in 24 Stunden eben eine Umdrehung voll- endet. Der Cylinder À besteht aus zwei Theilen, einem cylindrischen Mantel mit einem Längs- schlitz. von wenigen Millimetern Breite, einem festen und einem abnehmbaren Boden, deren centrale Löcher als Axenlager für die Axen des innern Cylinders dienen. Die eine dieser Axen gegen das Rad r hin hat einen winkelförmigen Ansatz, aus dem excentrisch ein Stift mit Spitze durch eine Spiralfeder gegen die Radscheibe gedrückt wird und beim Undrehen des Cylinders schliesslich in die erwähnte radiale Rinne einfällt; alsdann nimmt das Rad bei seiner Drehung durch das Uhrwerk den innern Cylinder mit. Auf den innern Cylinder ist das lichtempfindliche Papier (Bromgelatinepapier) gewickelt und wird auf der Oberfläche durch schwarzen, um äquidistante Stifte an den Grundflächen desselben geschlungenen Bind- faden festgehalten. Der Bindfaden geht zwölfmal über die Cylinderfläche parallel zur Axe hin und erzeugt so zugleich auf der, durch den Lichtpunkt verzeichneten Curve zweistünd- liche Zeitmarken. Um die Cylinderhülle, welche ausser bei der Spalte alles fremde Licht vom innern Cylinder abhält, mit dieser Spalte gegenüber der Cylinderlinse zu fixiren, ist 'am Schieber noch eine Feder mit Stift befestigt, der bei richtiger Stellung der Spalte in diese einschnappt. Ein zweiter fixer Spiegel beim magnetischen oder electrischen Apparat giebt, wie üblich, einen zweiten Lichtpunkt auf dem Papier zur Erzeugung einer Abscissenlinie auf - ZUGEHÖRENDER PHOTOGRAPHISCHER REGISTRIR-APPARATE MIT SCALENABLESUNG. 49 demselben und ebenso ein zweites fixes Bild der Scale im Fernrohr. Damit das letztere nicht mit dem Bild des Magnetspiegels zusammenfalle, sondern etwas darüber oder darunter er- scheine, muss der fixe Spiegel eine kleine Neigung gegen den andern haben und es wird daher auch der zweite Lichtpunkt höher oder tiefer als der erste erscheinen; damit er dabei noch durch die Spalte auf das Papier falle, darf er nur wenig im vertikalen Sinne vou erstern abstehen, und es müssen also dem entsprechend auch im Fernrohr die beiden Scalen- bilder sich möglichst nahe stehen. Nach Lösung der Klemme des Schiebers und der das Getriebe auf der Uhrstange klemmenden Schraube lässt sich der Cylinder durch Schieben an jeder beliebigen Stelle längs der ganzen Scale aufstellen, so dass Variationen über ihre ganze Ausdehnung hin re- _gistrirt werden können. Die gleichzeitigen Ablesungen der Scale lassen jeweilen die Ver- schiebungen des Cylinders und damit diejenigen der fixen oder Abscissenlinie ihrer Grösse nach genau bestimmen. Jedem Apparat sind zwei Cylinder mit Hüllen beigegeben, so dass die Auswechslung eines Cylinders mit vollendeter Registrirung gegen den andern mit frischem Papier rasch _ erfolgen kann und dadurch keine erhebliche Unterbrechung in der Registrirung erfolgt. Nachdem der Apparat in seiner Stellung ganz justirt ist, kann durch die Haken я und m und zwei entsprechende in der Unterlage — Marmorplatte — fest eingelassene Oesen eine Stange durchgeschoben und alsdann durch Anziehen der Haken eine feste Verbindung des Rahmens mit der Unterlage erzielt werden. Eine den Rahmen gegen den Beobachter hin abschliessende Zinkplatte genügt voll- ständig zur Abhaltung fremden Lichts von dieser Seite. Auf der Seite gegen das Instrument hin, dessen Spiegelstellung zu registriren ist, sind, im nahezu dunkeln Raum, ein am Schieber befestigter etwa 2 Decimeter vorspringender Blechrahmen und seitlich bis zu ihm reichende Blechwände am Rahmen P ebenfalls zur Abhaltung seitlichen Lichts ausreichend; im hellen Raum muss zu dem Ende eine Blech- oder Holzröhre von der Cylinderlinse bis zur Oeffnung vor den Spiegeln des Instrumentes hingeführt werden. Un die unmittelbare Vergleichung der durch diese Apparate registrirten Curven mit denen des Kew’schen Magnetographen zu ermöglichen, wo gemäss der Festsetzung durch die internationale Polar-Conferenz je eine Zeitstunde einer Abscissenlänge von 15 mm. ent- spricht, ist bei den neuen Apparaten der Umfang der Cylinder so gewählt woden, dass der- selbe 15.24 — 360 mm. beträgt. Zwischen Anfang und Ende der Curve eines Tages bleibt also hier nicht wie beim Kew’schen Apparat ein Zwischenraum, was keine Inconvenienz hätte, wenn es beim Wechsel des Papiers leicht gelänge, den Lichtpunkt genau auf den einge- bogenen Rand des Papierblattes einzustellen. Herr Dr. Edelmann wünschte durch diese Einrichtung zu erzielen, dass man ohne Weiteres die Curven mehrerer aufeinanderfolgender Tage nebeneinander auf dem Papier registriren könne, ohne eine andere Veränderung als eine blosse Längsverschiebung des Cylinders durch seinen Schlitten vorzunehmen. Sowohl bei den Erdströmen als der Luftelectricität, für deren Registrirung die obigen Apparate Mémoires de l'Acad. Imp. 4. se. VII Serie. U 50 H. Wizp, NEUE FORM MAGNETISCHER VARIATIONSINSTRUMENTE ETC. — > zunächst bei uns verwendet worden sind, ist indessen der Grösse der Variationen halber eine О Aufzeichnung für mehrere Tage auf demselben Blatt nicht möglich, so dass die Unbequem- lichkeit, meistentheils je das Ende oder den Anfang des Tages an zwei verschiedenen Enden des Papiers registrirt zu sehen, uns den Mangel einer Lücke zwischen Anfang und Ende resp. also einer Umdrehung des Cylinders etwa in 25 statt in 24 Stunden empfinden liess. Ich erwähne dies hier ausdrücklich, weil es leicht ist, je nach Wunsch und Bedürfniss ds | eine oder andere System bei Construction des Apparats zu realisiren. Die Uhreontrole geschieht bei unsern Apparaten dadurch, dass je zur Zeit der drei directen Beobachtungen um 8" a., 2” und 10” р. der Beobachter 5 Minuten lang von der vollen Stunde aus das Licht der pen abblendet. Mit der neuen Befestigungsweise der Papiere auf den Oylindern durch kan haben ; wir uns rasch befreundet. Gummischleifen an den beiden Enden des letzteren erleichtern die Fixirung. — a — I fee ‘№. р т я 2 a2 Yoga И M eme ee OC LR mn del Acad. Imp des Se VI serie T XXI | НОГИ. Magnetische Varialionsinstrumente Tafel 1. N Lun.A Jacooson, 5189 > DES ААУ СУ DER NEISRISUNN ВАН EE BE DE LE ess N Ve MEMOIRES ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST. -PETERSBOURG, VIF SERIE. Tome ХХХ, №5. WISSENSCHAFTLICHE RESULTATE DER VON DER KAÏSERLICHEN AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN ZUR ERFORSCHUNG IN DEN JAHREN 1885 UND 1886 AUSGBSANDTEN EXPEDITION, $ р $ р d $ р $ $ { À ыы ABTHEILUNG II: I TERTIARE es DER INSEL NEUSIBIRIEN 1 4 $ ] | VON J. Schmalhausen. Mit 2 Tafeln. MIT EINER EINLEITUNG VON Baron Е. у. Toll. (Lu le 7 novembre 1889.) ST.-PETERSBOURG, 1890. À Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.- -Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: M. Eggers et Cie et J. _Glasounof; М. М. Kymmel; Voss’ Sortiment (G. Haessel). Prix: 80 Kop. — 2 Mark. PL = ©) NEN у =: "ов x PRE LIRE pit ep re : | | x DA: и 2 р. À | в { г Kit . A MÉMOIRES L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, УП" SERIE. Tome XXXVIE N° 5. WISSENSCHAFTLICHE RESULTATE DER VON DER KAISERLICHEN AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN ZUR ERFORSCHUNG DES JANALANDES LAD DER NBESIDIRISCIEN INSELN IN DEN JAHREN 1660 UND 1866 AUSGRSANDTEN BAPEDITION, ABTHEILUNG I: TERTIÄRE PFLANZEN DER INSEL NEUSIBIRIEN VON J. Schmalhausen. Mit 2 Tafeln. MIT EINER EINLEITUNG VON Baron Е. у. Toll. (Lu le 7 novembre 1889.) AA 284$ 7 Sr.-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: M. Eggers et C!® et J. Glasounof; М. М. Кушше!; Voss’ Sortiment (G. Наеззе]). Prix: 80 Kop. — 2 Mark. Imprimé par Janvier 1890. 1 AR Ps AR © их ‚ } я N x LE À у Impériale des science Imprimerie de l’Académie (Vass.-Ostr., 9 ligne, № 12. I _Berichtigungen: | Auf Seite 1, Zeile 10 ist vor — zur Verfügung + ein , zu setzen. — | Auf Seite 4, Zeile 16 und auf Seite 5, Zeile 14 ist statt Pinus (Larix) polaris: arctica zu lesen. | ; EINLEITUNG. Geologische Bemerkungen zu den „Holzbergen“ der Insel Neusibirien von Baron E. von Toll. Die von den Elfenbeinsammlern der Neusibirischen Inseln eingeführte Bezeich- nung «Holzberge» für die höchste Erhebung der Südküste der Insel Neusibirien, un- ter 75°.n. Br., ist seit einem halben Jahrhundert in der geographischen Literatur ein- gebürgert. Die lohnende Aufgabe, diesen in geologischer Beziehung so viel versprechen- den Punkt zu untersuchen, war mir im Jahre 1886 zugefallen'), allein bei höchst be- RE 2 An. 2 ‚< Eintritt des Sommers auszuführen hatte. Ich musste mich beeilen noch vor dem Aufge- Я hen der Eisdecke mit den Hundeschlitten zur Insel Kotelny zurückzukehren und hatte R; für meine Fahrt nur 22 Tage, vom 19. Mai bis zum 11. Juni n. St. zur Verfügung. Die à von mir von den «Holzbergen» mitgebrachte kleine Sammlung tertiärer Pflanzen bildet das À Material zu der worliegenden Arbeit Herrn Professor J. Schmalhausen’s in Kiew. Das а é grosse Interesse, das sich an diesen Gegenstand knüpft, erfordert einige geologische Bemer- Е kungen, die ich im Folgenden der von Herrn Prof. Schmalhausen gegebenen Beschreibung # der Pflanzen vorausschicke. Bevor ich aber dazu schreite, will ich kurz der Geschichte der diese aus dem wenig umfangreichen Material mit Sicherheit von selbst ergeben. schränkter Zeit, da meine Hauptarbeit der Untersuchung der Insel Kotelny galt und ich von dieser aus die Seitentour nach der sechs Längengrade entfernten Insel Neusibirien noch vor von Geographen und Geologen vielgenannten «Holzberge» gedenken, um dann nach Wie- dergabe meiner am Orte angestellten geologischen Beobachtungen, mit Benutzung der von Prof. Schmalhausen gewonnenen Resultate, einige Folgerungen zu besprechen, soweit sich в. | Die erste Beschreibung der «Holzberge» giebt Hedenström, der sie im Jahre 1809 Г besuchte, nachdem sie wenige Jahre früher (1805 oder 1806) von Sannikow entdeckt wor- schaftlichen Resultate etc.» Mém. de l’Acad. Гир. des | бургъ 1830, стр. 128. Scienc. УП. S., T. XXX VII, № 3, 1889. Mémoires de l'Acad. Imp. 4. вс. VII Série. 1 den waren. Ich gebe hier diese Beschreibung Hedenström’s aus seinen «Otrywki o Sibiri»?) in der Uebersetzung wörtlich wieder: «Am Südufer dieser Insel (Neusibirien) steht steilabfallend 1) Vgl. Einleitung zur I. Abtheilung der «Wissen- 2) Отрывки о Сибири М. Геденштрома, Санктпетер- 2 J. SCHMALHAUSEN, ein Berg, der aus horizontalen, mächtigen Schichten von Sandstein und Balken von glänzen- dem bituminösem Holze (lignum bituminosum) besteht, welche sich gegenseitig bis zur Höhe hinauf überlagern. Beim Besteigen des Berges finden sich überall zu Stein erhärtete Kohlen, dem Anscheine nach von Fichtenholz, welche stellenweise scheinbar von einer dünnen Aschenhaut bedeckt sind. Dieser Anblick ist so trügerisch, dass man das erste Mal ver- sucht ist, die anhaftende Asche fortzublasen, allein sie weicht kaum dem Messer. Auf der Höhe ist eine neue Wunderbarkeit. Am äussersten Kamme des Berges ragen aus dem Stein in einer Reihe die Enden der Stämme von bituminösem Holz hervor, sie sind zersplittert, haben eine Höhe von einem Viertel (Arschin) und mehr, und sind fest zusammengefügt. Hier sind die Balken in senkrechter Lage, aber am Abhange desselben Berges in horizonta- ler! Diese Erscheinungen sind so unerforschlich, dass, wie es scheint, hier Vernunftschlüsse keiner Art Anwendung finden könnten». Der einzige gebildete Europäer, der nach Hedenström an den «Holzbergen» gewesen ist, war Lieutenant Anjou und zwar bekanntlich im Jahre 1822. In der von Sokolow her- ausgegebenen') «Beschreibung der Küsten des Eismeeres zwischen den Flüssen Olenek und Indigirka und der nördlichen Inseln von Lieutenant Anjou» findet sich folgende Notiz (p. 165): «Aber am merkwürdigsten von allem sind die Holzberge, die sich längs dem Südufer drei Meilen weit ausdehnen, im 145. Längengrade. Das sind Erdhügel, die sich steil über dem Meere erheben, an einzelnen Stellen von Flüssen zerrissen sind; in ihnen liegen horizontale Schichten von Kies und Sandstein, und in allen Richtungen Haufen von bitumi- nösen Hölzern in einer Dicke von 2 bis 6 Werschok, diese Hölzer sind ««brüchig, halbhart, von schwarzer, schwachglänzender Farbe, brennen schwer auf Kohlen und geben einen bi- tuminösen Geruch»». Die Höhe dieser Berge ist von 15 bis 50 Sashen». Dieselbe Angabe, zusammen mit der Hedenström’schen, ist von Ferdinand у. Wran- gel?) in seiner «Reise längs der Nordküste Sibiriens» schon zehn Jahre früher, nach den Tage- büchern Anjou’s und Hedenström’s veröffentlicht. Sie fand von hier aus ihren Weg in die gesammte Literatur und zwar durchweg unter der Auffassung, dass es sich hierbei um eine mächtige Anhäufung von Treibhölzern handele.. Ganz besonders war es Middendorff°), der auf die « Holzberge» aufmerksam machte und sie für «Noahhölzer» erklärte, die gleich- zeitig mit den Mammuthen die grossen sibirischen Ströme hinab bis zu den Inseln geschwemmt | seien, wozu er durch die im Taimyrlande gemachten Beobachtungen verleitet werden konnte. Es ergab sich daraus, entsprechend den Verhältnissen im Taimyrlande, die Folgerung, dass sich die sibirische Eismeerküste in zunehmender Hebung über dem Meeresspiegel befände. Wie es sich aber bei der von mir vorgenommenen Untersuchung gezeigt hat, haben wir in 1) Записки Гидрограхическаго Департамента Mop- 3) «Bericht über die Expedition in das nordôstliche скаго Министерства, Часть VII, Санктпетербургъ 1849. | Sibirien etc.» in d. Bull. Physico-Mathem. de ГАсаа. 2) Reise des Kaiserlich russischen Flotten-Lieute- | Пир. d. Scienc. Tome III, 1845, р. 160—164 und Sibi- nants Ferdinand у. Wrangel längs der Nordküste von | rische Reise, Bd. IV, Th. I, р. 254, 263. Sibirien und auf dem Eismeere etc. Berlin 1839, ,, Ne у Е oben folgendermaassen : WISSENSCH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. 1. D. J. 1885 u. 1886. 3 den «Holzbergen» ein typisches Braunkohlenprofil der Tertiärzeit vor uns und ist natürlich damit eine der Hauptstützen für die erwähnten Anschauungen gefallen. Es kann aber kei- neswegs auffallen, dass die früheren Deutungen, die sich theils auf unklare, naive Schilde- rungen, theils auf Beobachtungen der im Taimyrlande viel complicirteren Verhältnisse stütz- ten, auf Irrwege geriethen, besonders da die Frage von der Entstehung der fossilen Treib- hölzer im Norden Sibiriens keineswegs zu den leicht löslichen gehört, ja heute noch ein Autor wie Suess!) dieselbe als unaufgeklärt betrachtet. Jedenfalls werden die geologischen _ Verhältnisse, die in Bezug auf die Quartärbildungen des Hochnordens auf den Neusibiri- _ schen Inseln mit besonderer Klarheit aufgeschlossen sind, auf die bisher noch dunkeln Fra- gen Licht hinreichend zu Ifefern im Stande sein. Middendorff bleibt unstreitig das Ver- dienst, wie so oft, so auch in diesem Falle auf ein wichtiges, bis dahin noch ungelesenes Blatt unserer Erdgeschichte aufmerksam gemacht und zu dessen Deutung angeregt zu haben. Aus dem einförmigen Grau der niedrigen, weit ausgedehnten Quartärlager erheben sich die «Holzberge» steil an der Südküste der Insel Neusibirien, zwischen zwei Flüss- Chen, an deren Mündungen je eine verfallene Winterhütte früherer Mammuthbeinsucher steht. Sie beginnen etwa mit der 35sten Werst von der Westspitze der Insel, dem Cap Roshin (Muchaplew stan) und dehnen sich wohl 5 Werst lang nach Osten aus. Es ist das ein schmaler Gebirgszug, der in einem Streichen von SSE zu NNW von hier durch die Insel hindurchzieht um am Nordcap, Cap Wyssoki, und zwar mit senkrechter Stellung sei- ner Schichten das Meer zu erreichen, das ihn hier und dort unterspült, oder jetzt wohl in den meisten Fällen nur mächtige Eisschollen an den Steilwänden emporschiebt. Dem vom _ Einerlei der endlosen Eislandschaft ermüdeten Auge bieten die wechselvollen Farben des blossgelegten Steilufers ersehnte Erholung: zwischen hellrosafarbenen Sanden lagern dunkle Braunkohlenflötze, es folgen darüber hellgelbe Sande, wieder die braunen bis schwarzen Flötze, hellgraue Sande u. s. w. Aber auch die Formen sind anmuthige und mannigfaltige : mächtig hat die Erosion in die nach verschiedenen Seiten geneigten Schichtenreihen einge- griffen, hier ein kleines Isoklinalthal vertieft, dort einen Schichtenkopf durchschnitten und dadurch ein Thor zu der zunächst dahinterliegenden schwarz gestreiften Felswand gebro- chen; hier überragen die Steilwand zinkenartig gekrönte Hügel aus demselben Gestein, das die darunter liegende Felswand bildet, oder hier werden die bunten Tertiärschichten von den spitzen Kegeln der verwaschenen grünlichgrauen Quartärschichten überlagert. Wir haben eine Reihe von Falten vor uns, aus denen wir für die Schichtenfolge einen Flügel als Typus für alle näher betrachten. Es lagern in ihm die Schichten von unten nach 1) Antlitz der Erde, II. Band, p. 615. 1% ‘J. SCHMALHAUSEN, 1) hellrosa, lockere geschichtete Sande; 2) ein Braunkohlenflötz, das seiner Consistenz nach als Blätterkohle bezeichnet werden kann ; | En _ 3) derselbe hellrosa Sand wie unten; 4) eine Braunkohlenschicht (Blätterkohle) ; 5) eine dünne gelbe Mergelschicht ; | . 6) grau-blaue brüchige Thone, erfüllt von Sequoia Langsdorfii И Brong.; : 7) hellgelber Sand ; 8) ockergelber Mergel ; 9) gelb-grauer Thon mit Sequoia Langsdorfü; das Gestein wird durch die Menge der zusammenliegenden verkohlten Pflanzenreste stellenweise fast zur Braunkohle; in ihr sind nicht selten Brocken von Retinit eingesprengt. Fruchtzapfen von $. Langsdorfüi sind häufig, auch Samen hat Prof. Schmalhausen nachgewiesen ; 10) hellgrauer geschichteter Sand ; : 11) eine dünne Kohlenschicht (Papierkohle) ; : 12) derselbe hellgraue Sand; in ihm liegen horizontal Stämme von Pinus (Larix) polaris Schmalhausen und Oupressinoxylon Neo-Sibiricum Schmalhausen. Da die Schich- ten der einzelnen Falten in verschiedenem Grade geneigt sind, so erscheinen je nach der Stärke der Neigung die aus dem lockeren Sande herausgewitterten Stämme bald liegend, bald anscheinend stehend; 13) gelbgrauer feinkörniger Sn stellenweise in Quarzit Tone mit Blatt- abdrücken von Populus arctica, P. Richardsoni, Sequoia Langsdorfü ete. Fallen der Schichten NE, Streichen N 30 W zu $ 210 Е. a Schematische Darstellung eines Profiles der « Holzberge », к PSE Li Ve RR WiSSENSCH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Exp. т. D. J. 1885 т. 1886. 5 Die Falten dieses Gebirges erreichen, etwa '/, Werst landeinwärts, ihre grösste Höhe von 79,5 Meter. In einer Höhe von 24 Metern aber an der Küste werden die geneigten Tertiärschichten von einer horizontalen Geröllbank 14) discordant überlagert. Das Geröll be- steht aus krystallinischen Gesteinen. Ueber dieser Schicht erheben sich die quartären, san- dig-lehmigen gefrorenen Ablagerungen, aus denen die Knochen fossiler Säugethiere heraus- geschwemmt werden, in ihren typisch kegelförmigen Auswaschungsformen, den soge- nannten «Baidsharach’s» 15). Auf einem derselben am Ostende der Holzberge lagen ausgewaschen ein Unterkiefer und eine Zahnreihe eines Ovibos moschatus'). Die in den genannten Schichten 6), 9), 12) und 13) gefundenen Pflanzenreste gehören nach Prof. Schmalhausen zu folgenden Arten: 1. Aspidium Meyeri Heer, 2. Sequoia Langsdorfü Brong., 3. Taxodium distichum miocenum Нг.?, 4. Glyptostrobus Ungeri Hr.?, 5. Taxites tenuifolius п. зр., 6. Dammara Tolli п. sp., 7. Pinus sp., 8. Populus Richardsoni Hr., 9. Po- pulus arctica Hr., 10. Nyssidium spicatum п. sp., 11. Nyssidium geminatum п. sp., 12. Di- ospyros Sp., 13. Carpalithes sp., 14. Pinus (Larix) polaris п. sp., 15. Cupressinoxylon (Glyp- tostrobus?) Neo-Sibiricum п. sp. Ich überlasse es natürlich den Phytopaläontologen zu entscheiden, welchem Abschnitt der Tertiärzeit sie diese Florula zurechnen können, ich bin aber in meiner Ansicht «in den «Holzbergen » Neusibiriens ein neues.Glied aus der Kette der bisher bekannten miocänen Floren der Polarländer, wie Spitzbergen, Grönland, Grinnelland ete., zu verzeichnen »°) in soweit bestätigt worden, als von Herrn Prof. Schmalhausen die wahrscheinliche Identität mit jenen Floren nicht in Abrede gestellt wird, obgleich er eine genaue Altersbestimmung dieser Florula auf Grund des wenig ergiebigen Materiales nicht zu geben wagt. Deshalb werde auch ich mich eines Vergleiches der neusibirischen Pflanzen mit denen der übrigen Polarländer enthalten und will nur auf die wahrscheinliche allernächste Ausbreitung, den Zu- sammenhang der neusibirischen Ablagerungen mit denen des sibirischen Festlandes hinweisen. Der nächste Punkt, von dem wissenschaftlich gesammelte Belege für die Hinzurech- nung zum Tertiär erbracht sind, ist der durch Czekanowski bekannt gewordene, an der Lena unter 65'%° в. Br. gelegene Tschirimyifels. Dort erheben sich bis 250 Fuss hoch Sandsteine mit untergeordneten, dünnen, sich auskeilenden Lagern von Glanzkohle, welche von gelblich-weissen Thonen begleitet werden. Die aus diesen Schichten gewonnenen 9 Pflanzenarten führten Oswald Heer?) zu dem Schlusse, dass das Vorkommen der Dicotyle- donen, nämlich Populus arctica Hr.?, Paliurus Colombi Hr. und Phyllites sp. den Beweis lieferten, dass die Ablagerungen nicht älter seien als die Kreide, und Taxodium distichum miocenum Hr. und Tax. Tinajorum Hr. berechtigten ihn zur Annahme der Zugehörigkeit zum Miocän. Besonderes Gewicht legte О. Heer ferner auf das Vorkommen eines bernstein- 1) Herrn J. Tscherski, dessen Arbeit über die post- 2) Beiträge z. Kenntn. 4. Russ. Reiches etc. III. Folge, tertiären Säugethierreste der Neusibirischen Inseln dem- | Band III, р. 318. nächst im Drucke erscheinen wird, verdanke ich diese 3) Beiträge z. foss. Flora Sib. u. d. Amurl., M&m. de Bestimmung. l’'Acad. Imp. 4. Sc. УП. Sér. Т. ХХУ, M 6, 1878, р. 30—36. 6 J. SCHMALHAUSEN, artigen Harzes in denselben Schichten, «da auch im Samland Bernstein in denselben Letten mit dem Taxodium vorkommt und in Grönland in Atanekerdluk Bernstein, oder doch ein dem Bernstein sehr nahe verwandtes Harz bei Zweigen der Sumpfeypresse liegt »'). Es ist wohl höchst wahrscheinlich, dass dieser Bernstein vom Tschirimyifels Retinit ist, ebenso wie der in den Holzbergen gefundene. Ueber das Vorkommen von Bernstein aus verschiedenen Gegenden Sibiriens besitzen wir aber schon aus älterer Zeit eine Reihe von Angaben, welche Middendorff im Capitel über Geognosie desIV. Bandes seines Reisewerkes zusammengestellt ?) hat. Zu den interessantesten gehört die von Hedenström und Figurin gebrachte Beschreibung der Ufer des Sees Tastach. Figurin (Arztder Anjou’schen Expedi- tion) sagt darüber’): «Der Tastach (der Steinige [See]) befindet sich etwa auf der 30sten Werst von der Chroma zur Indigirka, nicht weit von dem Wege; ist von hohen Abhängen umgeben, die aus Sandstein bestehen, welcher von Lehm und Steinen untermischt ist, aus welchen (Abhängen) jeden Sommer erhärtete bituminöse Kohle herausfällt, welche älterer Entstehung ist, nach ihrer Härte und ihrer Zusammensetzung die Mitte zwischen Stein- kohle und gewöhnlicher Holzkohle einnehmen kann. Ausserdem findet sich dort in geringer Menge Bernstein — ». Nach dem eben Angeführten scheint es mir eine durchaus erlaubte Voraussetzung, in den Schichten am Tastach unter dem 71° n. Br. die südliche Fortsetzung des tertiären Ge- birges der Insel Neusibirien zu erblicken und ebenso die Ablagerungen des Tschirimyifelsens zu einem und demselben tertiären polaren Festlande zu rechnen, für dessen weite Verbreitung auch im Westen des sibirischen Festlandes wir auch einige Andeutungen besitzen. So be- richtet Laptew schon vor 150 Jahren von versteinerten Hölzern an der Anabara: «An diesem Flusse Anabara, oberhalb der Mündung des Olem, findet sich am Ufer eine ziem- liche Menge von grossem Holze, das sich in richtigen Stein verwandelt hat vom Wasser und mächtigen Lüften (!?) (отъ воздуховъ большихъ)» ‘“). Ferner sagt Laptew bei der Be- schreibung der Chatanga: «An diesem Flusse findet sich viel Bernstein: er hat die Farbe und den Geruch von echtem Bernstein, ist aber nur bröckelig»°). Von der Chatanga hat auch Middendorff selbst Stücke von Bernstein erhalten. Ihm verdanken wir die ge- naue Angabe eines Fundortes, an dem die Jakuten den Bernstein graben, es ist ein Ufer- absturz der Cheta, unfern der Winterhütte Sokolowo. Endlich sind die von Middendorff an der Boganida und am Taimyrfluss entdeckten Kohlenflötze, die mit den von Goep- pert beschriebenen Pinites Middendorffianus und P. Baerianus in Zusammenhang stehen, zum Tertiär zu rechnen. Die dortigen Lagerungsverhältnisse : mächtige, geschichtete Sande und Schichten von Süsswasserquarz über den Kohlen führenden Schichten, erinnern an die Verhältnisse auf Neusibirien und am Tschirimyi-Fels. 1 с. р. 91. 4) Записки Гидрограхическаго Департамента, т.[Х, 2) Sibirische Reise, 1. с., р. 256—257. 1851, стр. 39. 3) Сибиреюй ВЪетникъ, 1823, ч. ТУ, стр. 196. 5) ebendort, р. 39. > ой. CE TA EEE CPR PT ПЕ Me PCA ES ME EU ER Mon, а бе Be er x neue * ou Fax ES BIER Г. 24 Eat Г ch À \ Е WissenscH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN Ext. т. о. J. 1885 п. 1886. 77. Die Tertiärschichten des Taimyrlandes sind, wie aus den Beobachtungen Midden- dorff’s hervorgeht, durch das posttertiäre Meer stark denudirt worden, dessen Ablagerungen ‚bekanntlich durch Middendorff im Taimyrlande und durch Schmidt und Lopatin!) im Ge- biet des unteren Jenissei nachgewiesen wurden. Im Osten Sibiriens sind dieselben Schichten bisher noch nicht aufgefunden worden, wohl aber sind sie wieder auf der Insel Neusibirien mächtig entwickelt, wo sie die tertiären Bildungen am Nordcap überlagern. Wie oben be- schrieben wurde, sind die Tertiärlager der Holzberge von einer Geröllschicht in einer Höhe von 24 m. discordant überlagert. Obgleich sich in dieser Schicht keine Meeresmuscheln fanden, so scheint mir für diese keine andere Deutung wahrscheinlicher, als sie als Strand- сего! zu betrachten. Es spricht eine ganze Reihe von Thatsachen dafür, dass wir zur Zeit der Mammuthe uns wieder ein weit nach Norden reichendes zusammenhängendes, wenn auch von tief einschneidenden Buchten zerrissenes, Festland vorzustellen haben. So wird ja auch das Profil der Holzberge nach oben hin von den Süsswasserschichten bedeckt, welche die grossen Säugethierreste enthalten, Schichten, die unzweifelhaft mit denen der gegenüberlie- genden Küste, östlich vom Swätoi-Noss oder an der Lenamündung identisch sind. In diesen Schichten liegen die Noahhölzer, theils Treibhölzer, theils Reste der örtlichen Vegetation, eingebettet. Eine eingehende Besprechung dieser Verhältnisse wird in der nächsten Abthei- lung der «Wissenschaftlichen Resultate» gegeben werden. Hier sei nur darauf hingewiesen, dass die Trennung der Inseln vom Festlande in jüngster Zeit, nach der Ablagerung jener Mammuth führenden Schichten stattfand. Aus dem Gesagten geht somit hervor, dass wir an den «Holzbergen » eine dreifache Veränderung des Meeresniveaus kennen lernen: eine posi- tive Bewegung des Meeres in der älteren Postpliocänzeit, eine negative kurz vor der Zeit der Ablagerung der Mammuthschichten und wieder eine pösitive bis zur Jetztzeit. Wie diese Perioden sich zu einer Eiszeit jener Gegend und zur Eiszeit Europa’s verhalten konnten, soll gleichfalls Gegenstand der bezeichneten Abhandlung sein. An dieser Stelle aber erlaube ich mir noch zum Schluss mit wenigen Worten die von Neumayr und Nathorst versuchte Beantwortung einer Frage zu berühren, die sich bei Betrachtung der Schichten mit Blattab- drücken von Populus, Sequoia etc. in einer Gegend wie das heutige Neusibirien von selbst aufdrängt — wie war es möglich, dass eine Vegetation, wie die hier vorgefundene, bei der heutigen Stellung der Erdaxe zur Sonne, jemals gedeihen konnte ? Zur Lösung dieses Räthsels auf geologischem Wege hat Neumayr?) den ersten Schritt zu thun versucht, indem er sich auf Sciaparelli’s Erklärung stützte, dass gegen die Annahme einer veränderten Stellung der Erdaxe vom Standpunkt der Astronomie aus kein Einspruch zu erheben sei, wenn die Geologie dafür sprechende Thatsachen erbrächte. Nun erblickt Neumayr in den bisher bekannten fossilen Floren der Tertiärzeit eine abnorme Gruppirung um den Pol und versucht durch Verschiebung des Nordpoles um 10°, im Meri- dian von Ferro gegen das nordöstliche Asien, eine Erklärung für «ein verhältnissmässig ent- 1) Fr. Schmidt, Resultate der Mammuthreise, Мет. 2) Erdgeschichte, Band U, p. 511—514. d. ГАсаа. Imp. 4. Science. УП. S., T. XVIII, 1872. 8 Г | J. SCHMALHAUSEN, schieden nordischeres Gepräge der Floren von Alaska, Sachalin etc. als derjenigen von Spitz- bergen und Grönland» zu finden. Nathorst'), den seine umfassenden Studien, besonders der Flora Japan’s, schon früher zu einer derartigen Vermuthung gebracht haben, führt diese Theorie noch weiter aus. Davon ausgehend, dass in der vorpliocänen Tertiärzeit in Japan das relativ kälteste, in Grön- land das relativ wärmste Klima geherrscht habe, hält er es für richtiger, den Pol um weitere 10°, im japanisch-grönländischen Meridian nach Nordasien hin, zu verschieben, so, «dass der tertiäre vorpliocäne Pol seine Lage im nördlichen Asien etwa unter dem jetzigen 70° n. Br. und 120° ö. L. von Greenwich gehabt hat. Wir würden dann einer fossilen Flora, die als tertiäre angesprochen worden ist, schon ungefähr unter 85° an der Lena begegnen. Dieselbe enthält ein winziges Asplenium, eine neue Art Ginkgo, Taxodium distichum, Taxodium Ti- najorum, eine neue Species mit auffallend kleinen Blättern, welche Heer Taxodium gracile genannt hat, eine neue Sequoia mit ebenfalls sehr zarten Zweigen und Blättern, einige Di- kotylenreste, unter welchen Heer das Vorkommen von Populus arctica und eines kleinen Blattes von Paliurus als möglich betrachtet. Wenn diese Flora in der That miocän ist (was indess nicht sicher ist), so könnte die Kleinheit der Blätter vielleicht durch die Nähe des ‚angenommenen Poles erklärt werden»?). Ueber die Flora der Neusibirischen Inseln haben wir jetzt durch Schmalhausen Auf- schluss erhalten. Sie würde uns unter dem 80° n. Br. begegnen. Die Frage, ob die vorlie- genden Pflanzen am Orte gewachsen oder angeschwemmt seien, ist Schmalhausen in erste- rem Sinne zu beantworten geneigt, wie ich aus einer gütigen brieflichen Mittheilung ent- nehme, in welcher er besonders auf das grosse abgebildete Blatt von Populus arctica auf- merksam macht, was gegen die letztere Auffassung spräche. Mich selbstverständlich dieser Ansicht anschliessend, erlaube ich mir noch darauf hin- zuweisen, dass Sequoia Langsdorfii-Blätter ganze Schichten bilden, dass Fruchtzapfen zwi- schen diesen häufig sind, und Prof. Schmalhausen auch die Samen dieses Baumes neben den Blüthenständen von Taxodium distichum, den Früchten zweier Nyssidium-Arten und der Frucht von Diospyros erwähnt hat. Zweifellos haben wir für die Neusibirischen Inseln zu der Zeit der Ablagerung jener Schichten ein gemässigtes Klima zu verzeichnen, das Wälder von Sequoien, Pappeln, aber auch von mehreren Pinus-Arten gedeihen liess, was uns vor dasselbe Räthsel stellt, gleichviel ob wir den 75° n. Br. oder den 80° n. Br. für Neusibirien annehmen. Andererseits scheint mir der Gedanke sehr nahe zu liegen, dass die Kleinheit. der Blätter der Tschirimyi-Flora vielleicht nur dem Zufall beim Sammeln an dem schlechten Fundorte zuzuschreiben sei, jedenfalls aber müsste sich die Nähe des Poles auch in der neu- sibirischen Flora geltend machen, was aber bei der schönen Ausbildung der Populus-Blätter, bei der Fruchtreife der genannten Pflauzen unerklärlich bleibt. 1) Zur fossilen Flora Japan’s. Paläont. Abhandl. у. Dames-Kayser IV. Bd,, Heft 3, 1888. 2) ebendort, p. 53. WissenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN ExP. т. о. J. 1885 u. 1886. 9 Sollte aber nicht das Vorhandensein von fünf Pinus-Arten im Tertiär des Grinnel-Lan- des!), von 12 wohl unterscheidbaren Pinus-Arten auf Spitzbergen?) und unter diesen 3 Roth- tannen; von zweien, darunter Larix (Pinus | Larix] arctica Schmalhausen) auf Neusibirien — ein nordischeres Gepräge verrathen, das diesen circumpolaren Floren im Gegensatz zu den südlicheren eigen war? Endlich ist noch gegen die Neumayr-Nathorst’sche Theorie einzuwenden, dass auf Sachalin, welche Insel nach der angenommenen Verschiebung unter den 67° n. Br., also noch innerhalb des Polarkreises käme, von Heer unter anderen süd- lichen Typen auch eine «immergrüne Prunus-Art»?) nachgewiesen ist, während auf Grinnel- Land, das dann unter 62° n. Br., also fünf Grad südlicher läge, nicht nur kein immergrüner Baum nachgewiesen ist, sondern vielmehr ein so typisch nordischer wie Pinus Abies. Mir scheint daher die Gruppirung um den Pol bei der unveränderten Lage desselben weniger abnorm zu sein, als bei der von Neumayr und Nathorst vorgeschlagenen. Es ist natürlich zu bedauern, dass wir bisher auf geologischem Wege nicht zu befrie- digenden Erklärungen unseres Räthsels gelangen konnten und es mussten diese ersten Ver- suche durchaus mit Freude begrüsst werden, aber dennoch zwingt es uns, einzugestehen, dass wir der Wahrheit — auf dem Wege einer Verschiebung des Poles — noch um keinen Schritt näher gerückt sind. 1) 0. Heer, Flora fossilis arctica, У. Band, р. 18. |р. 10. ' 2) 0. Heer, Miocene Flora und Fauna von Spitzber- 3) O. Heer, Miocene Flora 4. Insel Sachalin, р. 11. gen, Kongl. Svensk. Vetens. Acad. Напа]. B. 8, №7, 1870, . Mémoires de l’Acad. Imp. 4, sc. VII Série. 2 10 J. SCHMALHAUSEN, beschreibung 3 der tertiären Pflanzen von Neu-Sibirien von J. Schmalhausen. Auf der von der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften: in St. Petersburg ausge- rüsteten Expedition A. Bunge’s und Baron E. v. Toll’s zur Erforschung der Neusibiri- Е schen Inseln hatte Letzterer auf der Insel Neusibirien Pflanzenreste gesammelt, welche | mir durch Akademiker Fr. Schmidt zum Bestimmen übermittelt wurden. In den folgen- | den Zeilen nebst den dazugehörenden Zeichnungen theile ich die Resultate meiner Unter- suchung mit. / Aus der vorstehenden Einleitung ist zu ersehen, dass Baron E. v. Toll die sogenann- ten «Holzberge» auf Neusibirien untersucht und festgestellt hat, dass dieselben entgegen der herrschenden Ansicht aus tertiärem Gestein bestehen, in welchem ziemlich dicke Schich- ten Braunkohle vorkommen und aus dem auch Abdrücke von Pflanzentheilen mitgebracht sind’). Im Strandgeröll der Insel hat Baron Е. у. Toll das Vorkommen derselben tertiären Pflanzenreste constatirt. Das Gestein, welches die tertiären Pflanzenreste auf Neusibirien enthält, ist dem Frei- legen grösserer Pflanzentheile nicht günstig; diese liegen grösstentheils in kleinen Bruch- En stücken vor. Da ausserdem die Sammlung keineswegs reichhaltig ist, so wage ich es nicht, darauf allgemeine Schlüsse oder eine genauere Bestimmung des Alters auf Grund der Pfan- — С zenreste zu unternehmen; ein Vergleich mit den tertiären Floren anderer Länder scheint mir aus demselben Grunde erfolglos. Jedenfalls aber schliesst sich die tertiäre: Flora von у Neusibirien an die arctischen für tertiär erklärten Floren an. Indem ich im Folgenden zur Beschreibung der tertiären Pflanzenreste aus den Holz- bergen auf der Insel Neusibirien übergehe, muss ich vorausschicken, dass ich mich darauf beschränke, ausser dem Vorkommen in Sibirien noch eine Schrift zu citiren, in welcher die übrige die tertiäre Flora der arctischen Länder betreffende Literatur nachgesehen werden kann. PAST UE Pro 1) In dem Berichte über die Expedition nach den | reste (Beiträge zur Kenntniss des Russischen Reiches und Neusibirischen Inseln und dem Janalande nennt Herr Е. | der angrenzenden Länder Asiens, 3te Folge, Band III, St. von Toll Pappelnblätter, Taxodium oder Sequoia und | Petersburg, 1887, pag. 318). Coniferenzapfen als von ihm bereits erkannte Pflanzen- Г WissenscH. RESULTATE р. NEUSIBIRISCHEN ExP. т. D. J, 1885 u. 1886. 11 Aspidium Meyeri Heer. Tab. I, Fig. 1. 0. Heer, Flora fossilis arctica T. II. Contributions to the foss. Fl. of North Greenland, pag. 461, Tab. XXXIX, Fig. 1—3. Das abgebildete ist das grösste von den wenigen Blattbruchstücken dieses Farn. Es stellt eine Fieder dar, welche bis auf die Spindel in dichtstehende eiförmig - längliche, stumpfe, etwas sichelförmig aufwärts gebogene Fiederchen getheilt ist. Diese sind mit brei- tem Grunde angeheftet und vollständig ganzrandig; sie haben eine feine Mittelrippe und je- derseits 5 Nervillen, welche sich in zwei Aeste theilen. | Die in Oeningen in der Schweiz und in Grönland gefundenen Exemplare dieses Farn sind sehr variabel, doch befinden sich unter ihnen mehrere, welche den von Neusibirien ganz ähnlich sind. Sequoia Langsdorfii Brgt. sp. Tab. I, Fig. 2—9. 0. Heer, Flora fossilis arctica, T. УП, pag. 61. у Fl. foss. arct. Т.У. Beiträge zur foss. Fl. Sibiriens und des Amurlandes, р. 52, Tab. ХУ, Fig. 13a. Miocene F1. der Insel Sachalin, pag. 22, Tab. I, Fig. 11. Wenn auch die beblätterten Zweige dieser Conifere leicht mit Taxodium verwechselt werden können, so ist das Vorkommen der Art auf Neusibirien durch die zahlreichen Za- pfenbruchstücke, welche von Taxodium sehr abweichen, auf’s Sicherste bewiesen. Aber auch die Laubtriebe scheinen eher zu Sequoia Langsdorfü, als zu Taxodium zu gehören. Taxodium distichum hat weniger dicke, feinere, mehr zu den Enden verschmälerte Blätter, während die Sequoia gröbere, stumpfere und eine dickere Kohlenschicht hinterlassende Blätter hat. Heer giebt als Hauptunterschied zwischen Taxodium distichum miocenum und Sequoia Langsdorfii an, dass bei ersterem die vom Blattgrunde am Stengel herablaufenden Streifen ganz gerade, dagegen bei $.Langsdorfii schräg über den Stengel verlaufen. An den Exem- plaren von Neusibirien kann ich auf Grund dieses Merkmals zu keiner Entscheidung ge- langen, die Streifen laufen hier nicht so gerade wie bei Taxodium herunter, aber auch nicht so schräg wie bei Sequoia Langsdorfi (Tab. I, Fig. 2, 3, 5 vergr.). Die Blatttriebe aus den «Holzbergen» in Neusibirien sind ziemlich dicht von lineali- schen, an der Spitze stumpflichen, am Grunde an dem Stengel herablaufenden (Fig. 5, 6a vergr.) Blättern besetzt. Die erhaltenen Bruchstücke der Laubtriebe sind von verschiedener Grösse; die Blätter sind bald länger, bis 1,5 cm. lang, bald kürzer; ihre Breite ist ebenso nicht unbedeutenden Schwankungen unterworfen. Fast an allen Blättern ist, wenn die Koh- lenschicht nicht zerstört, zu beiden Seiten des bis zur Spitze verlaufenden Mittelnerven eine о 12 J. SCHMALHAUSEN, Гете Querstreifung zu bemerken, genau wie es О. Неег mehrfach für 5. Langsdorfi ange- geben und abgebildet hat. Einige wenige Stücke, auf denen die Kohle nicht erhalten ist, haben dagegen feine Längsstreifen, wie solche auch von О. Heer beschrieben sind. Hier- nach würden die Längsstreifen der Blattoberfläche, die Querstreifen een der inneren Struktur des Blattgewebes entsprechen. Die Zapfen (Fig. 7, 8) sind nur aufgesprungen und durchbrochen gefunden. Sie haben einen länglichen oder ovalen Umriss und bestehen aus einer verschieden grossen Anzahl schildförmiger Schuppen. Diese sitzen der Zapfenspindel mittelst ihres stielförmigen unte- ren Theiles an und sind in ihrem äusseren Theile schildförmig verbreitet. Der stielförmige 4 Theil geht ziemlich allmälig in das Schild über und letzteres ist nicht so breit, dass es an. 1 die benachbarten Schuppen anstösst. Zwischen den einzelnen Schuppen des Zapfens befin- a den sich stets mehr oder weniger breite Zwischenräume. In allen diesen Punkten stimmen diese Zapfen mit den von О. Heer (F1. foss. arct. T. I. Miocene Fl. у. Nordgrönland, Tab. | ХГУ, Fig. 16а. T. II. Contributions to the foss. Fl. of North Greenland, Tab. XL VIII, Fig. 1. T. III. Nachträge zur miocenen Fl. Grönlands, Tab. II, Fig. 5,6. T. VII. Tertiäre Fl. von Grönland, Tab. XCVIII, Fig. 7) beschriebenen Zapfen vollständig überein. | Von diesen abweichend ist der Fig. 9 gezeichnete Zapfen. Er ist schief durchbrochen und hat einen rundlichen Umriss. Die Stiele der Schuppen gehen hier mehr plötzlich in die Schilder über und letztere sind so breit und gross, dass sie vollständig aneinander schliessen. Hierdurch hat dieser Zapfen die grösste Aehnlichkeit mit den von О. Heer zu Sequoia bre- vifolia gezogenen Zapfen (Е. foss. arctica, T. Ш. Nachträge zur miocenen Fl. Grönlands, pag. 5, Tab. II, Fig. 7, 8). Zwischen den übrigen Pflanzenresten kommen zuweilen kleine geflügelte Samen vor, welche wahrscheinlich auch zu Sequoia Langsdorfii gehören. Sie sind schief-eiformig, haben einen etwas sichelförmig gebogenen Kern und einen schmalen den Kern ganz Е Flügelrand (Fig. 10, 11). Auf den verschiedenen Theilen dieser Conifere, auf den Stengelstücken, den Blattrip- pen, der Zapfenspindel, so wie auf Stiel und Schild der Zapfenschuppen habe ich mehrfach gelbe Harzstreifen gesehen. Gelbe Harzstückchen, welche ich der leichten Schmelzbarkeit wegen für Retinit halte, sind in dem die Pflanzenreste enthaltenden Steine nicht selten. Sie können selbstverständlich nicht allein von dieser, sondern auch von anderen Coniferen | stammen. | Taxodium distichum miocenum Нг. Tab. I, Fig. 12, 13, 135 vergr. 0. Heer, Fl. foss. arct. Т. УП, pag. 60. 0% . Das Vorkommen dieser in der arctischen tertiären Flora weitverbreiteten Conifere scheinen die Bruchstücke des männlichen Blüthenstandes zu beweisen. Bei Sequoia und WıssenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN ExP. т. D. J. 1885 п. 1886. 13 Glyptostrobus stehen die männlichen Blüthen an den Zweigen einzeln terminal, hier sind sie, wie bei Taxodium, gehäuft und in rispige Blüthenstände angeordnet. Fig. 12 u. 13 zeigen, dass die Hauptachse von kleinen entfernt stehenden Schuppenblättern besetzt ist und kurze Zweige trägt, welche dichter stehende Schuppenblätter haben und 1—3 rundliche Knospen tragen, die von rhombischen sich ziegeldachig deckenden Schuppen bekleidet sind (Fig. 135 vergr.). Ebenso stehen die männlichen Blüthen an den Blüthenständen von Taxodium disti- chum und hat bereits Unger solche Blüthenstände fossil nachgewiesen und unter Taxodites dubius beschrieben (Е. Unger, Zconographia plantarum fossilium, pag. 20, Tab. X, Fig. 6, 7). Glyptostrobus sp. conf. Ungeri Hr.? и Tab. I, Fig. 14. О. Heer, Fl. foss. arct. Т. УП, pag. 61. — Fl. foss. arct. T. У. Beiträge zur foss. Е]. Sibiriens und des Amurlandes, pag. 38, Tab. IX, Fig. 9a, 10—13. Tab. XIII, Fig. 26, 3a, 4, 6с. Ich habe nur das abgebildete kleine, aber etwas dicke Zweigstück mit dicht anliegen- den rhombischen Blattschuppen aufgefunden, welches zunächst an Glyptostrobus erinnert. Da aber auf den Blättern kein Längskiel, welcher für @. Ungeri angegeben ist, bemerkt wurde und andererseits auch bei Sequoia angedrückte spiralig gestellte Schuppenblätter vorkom- ' men, so scheint mir die Bestimmung nicht ganz sicher zu sein. Taxites tenuifolius n. sp. Tab. I, Fig. 15—17, 18 vergr. Blätter klein a ie am Grunde breiter, nicht herablaufend, oben stachel- spitzig. Ausser diesen vorausgeschickten Merkmalen unterscheiden sich die abgebildeten Zweig- stücke von denen der Sequoia Langsdorfi dadurch, dass die Blätter keine Kohle hinterlassen haben, sondern einen nur dünnen braunen Ueberzug auf dem Steine bilden; sie sind 4-—6 шт. lang und 1—2 mm. breit. In Grösse und Form sind diese Blätter dem im Tschirimyi-Felsen an der Lena gefun- denen Taxodium gracile (0. Heer, Flora foss. arct. Т. У. Beiträge zur fossilen Flora Sibi- riens und des Amurlandes, pag. 34, Tab. VIII, Fig. 30—37) ähnlich. Letzteres hat aber schmälere Blätter, welche als am Grunde verschmälert und oben spitz (nicht stachelspitzig) _ beschrieben werden. Dieselbe Blattform hat ferner Taxites validus (О. Heer, Miocene bal- tische Flora, pag. 26, Tab. III, Fig. 12), doch sind die Blätter doppelt so gross und besitzen keine Stachelspitze. Taxites microphyllus (О. Heer, Fl. foss. arct. T. II. Fl. foss. Alaskana, pag. 24, Tab. I, Fig. 9) hat noch kleinere Blätter, als dr von м welche ат Grunde verschmälert sind. CA 14 J. SCHMALHAUSEN, Dammara Tolli п. sp. Tab. I, Fig. 19. Zapfenschuppe feingestreift mit abgerundeten Aussen- und Seitenrändern, in der Mitte - bespitzt, am Grunde wenig verschmälert. Diese Zapfenschuppen haben eine dicke Kohlenschicht und sind gewiss diekholzig ge- wesen. Ihr Aussenrand ist umgebogen und zeigt in der Mitte einen kleinen Mucro. Sie lie- gen nur in wenigen Stücken vor, von denen das vollständigste, welches 2%, cm. breit ist, abgebildet worden. In Form und Grösse nähern sich diese Schuppen am meisten denen von Dammara robusta. Aus den arctischen Ländern ist bis jetzt noch keine tertiäre Dammara bekannt gewor- den, wohl aber mehrere Arten, die in der oberen Kreide, in den Atane- und Patooschichten auf Grönland gefunden sind, nämlich D. borealis Hr., D. microlepis Hr., D. macrosperma Hr. (Fl. foss. arct. T. VI, pag. 54, 55. T. VII, pag. 17), welche von unserer Art verschie- den sind. Pinus sp. Tab. I, Fig. 20—22, 22a vergr. Dass die Gattung Pinus vertreten gewesen ist, scheint das Bruchstück eines grossen Zapfens (Fig. 20) zu beweisen und einige verhältnissmässig breite linealische Blätter (Fig. 21, 22, 22a vergr.). Letztere haben eine breite gekielte Mittelrippe, welche feine Längs- streifen erkennen lässt und zu den Seiten dieser kaum bemerkbare Querrunzeln. Diese Reste sind zu mangelhaft, um bestimmt zu werden. Populus Richardsoni Hr. Tab. I, Fig. 23—25. 0. Heer, F1. foss. arct. T.1. Miocene FL v. Nordgrönland, pag. 98. T. УП. Tertiäre Fl.v. Grönland, р. 73. — Fl. foss. arct. Т.У. Beiträge zur 1083. Fl. Sibiriens und des Amurlandes, pag. 49, Tab. XV, Fig. 7. Diese nebst der Р. arctica im hohen Norden weitverbreitete Pappelart ist auf Grönland, Spitzbergen, in Canada am Mackenzie-Flusse und im Amurlande an der Bureja gefunden. Sie zeichnen sich durch das rundliche oder eiförmige grob -stumpf-gekerbte, am Grunde. meistens ausgerandete Blatt aus, dessen seitliche Hauptnerven einen gebrochenen Verlauf haben, reichlich verzweigt sind und sich an der Spitze in gabelige Zweige auflösen, welche mit anderen in Verbindung treten. Das grosse Fig. 23 nach dem Gegenabdruck ergänzte Blatt ist breiter wie lang gewe- sen. Es zeigt am Grunde eine tiefe Ausrandung und am rechts erhaltenen Rande grosse a N lon Е D D EE CN 9 Е а > PE ST te УИ о RTS ee ET ca RE een TER EEE ER NETT = < Е : by GA 1 т. ’ Br у "à асе ER ао WissenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. 1. D. J. 1885 п. 1886. 15 stumpfe Kerbzähne. Von den 7 Hauptnerven sind die unteren zwei schwach, geben aber doch noch mehrere Zweige ab, welche zum Rande der Bucht verlaufen; die folgenden zwei Hauptnerven stehen in ihrem unteren Theile rechtwinkelig gegen den Mittelnerven und theilen sich dann in zwei fast gleichstarke Aeste, von denen der hintere etwas rückwärts, der andere etwas vorwärts gebogen ist. Letzterer, welcher vollständiger erhalten ist, hat dann noch mehrere Zweige und verbindet sich an der Spitze bogenförmig mit einem Zweige des folgenden Hauptnerven. Von den drei mittleren Hauptnerven sind die seitlichen ebenso kräftig, als der Mittelnerv. Sie verlaufen im Bogen gegen die Blattspitze, verzweigen sich und treten an ihrer Spitze mit Aesten des Mittelnerven in Verbindung, ohne die Blattspitze zu erreichen. In diesen Merkmalen stimmt das Blatt genau mit der von O. Heer gegebenen Beschreibung von P. Richardsoni überein und auch die ansehnliche Grösse dieses Blattes ist unter den von О. Heer beschriebenen und abgebildeten Blättern von Grönland vertre- ten (F1. foss. arct. T. I, pag. 98, Tab. VI, Fig. 7, 8). | Ausser dem grossen Blatte sind in Neusibirien noch kleinere Blattstücke gefunden, von denen ich den grösseren Theil gleichfalls der kräftigeren und reichlicher verzweigten Nerven wegen zu P. Richardsoni zähle. Das schöne Fig. 24 gezeichnete Blattstück gehört noch zweifellos zu dieser Art. Es ist der obere Theil eines wahrscheinlich ovalen Blattes. Seine grossen Kerbzähne und das grobe Nervennetz sind für Р. Richardsoni charakteristisch, auch sind die Seitennerven an der Spitze verzweigt und mit den Zweigen des Mittelnerven verbunden. Dagegen ist die Zugehörigkeit des Fig. 25 gezeichneten Blattbruchstückes schon zweifelhaft. Es scheint am Grunde nicht ausgerandet gewesen zu sein, hat aber stark vor- stehende und kräftig verzweigte Adern, ausserdem am linken Rande für P. arctica schon etwas zu grobe Zähne. ; Populus.arctica Hr. _ Tab. I, Fig. 26. О. Heer, Fl. foss. arct. Т. I, pag. 100. Т. УП, pag. 74. — Fl.foss. arct. Т. У. Beiträge zur foss. Fl. Sibiriens und des Amurlandes, pag. 49, Tab. XV, Fig. 3—5. Miocene Fl. der Insel Sachalin, pag. 26, Tab. II, Fig. 1b. Tab. Ш, Fig. 3a. Bei- träge zur Miocenen Fl. von Sachalin, pag. 4, Tab. 1, Fig. 3. 4. Ist wie vorige in den arctischen Ländern weitverbreitet und auf Grönland, in Nord- canada am Mackenzie, auf Grinnelland, Spitzbergen und im Amurlande, wie auch auf Sa- chalin gefunden. Nach den Schriften O. Heer’s erscheint diese Pappel sehr vielgestaltig. Sie kommt vor mit ovalen, rundlichen, elliptischen und lanzettförmigen Blättern, welche am Grunde abgerundet, seicht herzförmig oder keilförmig, am Rande ganzrandig, gekerbt, wel- lig- oder tiefgekerbt sind. Diese Blätter sind aber meistens kleiner als die von Р. Richard- soni, haben nur selten fast so grosse Kerbzähne wie diese Art und zeigen mehr bogenförmig verlaufende, weniger gebrochene Hauptnerven, von denen die dem Mittelnerven benachbar- 16 J. SCHMALHAUSEN, ten weiter zur Blattspitze reichen; die Hauptnerven haben weit schwächere Seitennerven : und diese bilden nicht so kräftige bogenförmige Verbindungen mit einander. Das vollständigste auf Neusibirien gefundene Blatt. ist Fig. 26 abgebildet. Es ist .ei- förmig, am Grunde herzförmig ausgerandet, an der Spitze beschädigt. Sein Rand hat stumpfe mässig grosse Kerbzähne. Von den 5 Hauptnerven reicht das untere Paar fast bis zur Mitte des Blattes, das dem Mittelnerven nächste reicht fast bis zur Spitze. Die Hauptnerven haben einen ungebrochenen bogenförmigen Verlauf und geben verhältnissmässig schwache Aeste ab. Bogenförmige Verbindungen, wie bei Р. Richardsoni, sind zwischen den Nerven- ästen nicht bemerkt worden. Nyssidium Hr. Mit diesem Namen bezeichnete О. Heer ovale oder längliche Steinkerne, deren Ober- fläche zahlreiche einfache oder gabelig getheilte Längsfurchen zeigt. Sie sind bisher im Tertiär Grönlands und Spitzbergens in mehreren Formen gefunden. Mir liegen 2 verschie- dene Formen von Neusibirien vor. Nyssidium spicatum n. sp. Tab. I, Fig. 27, 28, 29 vergr. Kleine rundliche, kurzbespitzte Steinkerne, mit 8 Längsfurchen, ährenförmig an ge- meinschaftlicher Spindel sitzend. Die einzelnliegend vorkommenden Steinkerne sind rundlich (Fig. 28, 29 vergr.), mit einem kleinen Spitzchen, 5°, mm. lang und 4 mm. breit und haben 8 Tängsturchen ‚welche oben und unten zusammenlaufen; die Furchen verlaufen bald bogenförmig, bald sind sie - S-förmig gebogen. Diese Steinkerne sind sehr ähnlich dem Nyssidium crassum (О. Heer, Fl. foss. arctica T. II. Miocene Flora und Fauna Spitzbergens, pag. 62, Tab XV, Fig. 13, 14). Letztere haben aber 10 Längsfurchen und zeigen kein Spitzchen. Dass unsere Stein- . kerne zu einem ährenförmigen Fruchtstande gehören, scheint das Fig. 27 abgebildete Stück zu beweisen. An der etwas dicken und ein wenig knieförmig hin und her gebogenen Spin- del sitzen hier 7 Früchte, von denen aber nur der untere Theil erhalten ist. Eben solche ährenförmige Fruchtstände bildet Nyssidium Eckmanni (О. Heer, Fl. foss. au Т. УП, pag. 118, Tab. XCII, Fig. 8). Nyssidium geminatum п. sp. Tab. I, Fig. 30, 30a vergr. Gepaarte Eilihtisch! längliche Steinkerne, mit 8 Längsfurchen. Hiervon ist nur das eine Exemplar gefunden. Zwei Früchte liegen hier dicht neben- einander und haben wohl, wie bei Nyssa aquatica, an einem gemeinschaftlichen Stiel geses- sen. Sie sind elliptisch-länglich, 7 mm. lang und 3 mm. breit; ihr Steinkern zeigt 8 Längs- О Зови 3“ Fig lan 2e WR PT CA > WissenscH. RESULTATE D. NEUSIBIRISCHEN Exp. 1. D. J. 1885 0. 1886. 17 furchen, welche an dem links liegenden paarweise nach unten zusammenlaufen, an dem rech- ten ein wenig S-förmig gebogen sind und nach oben zusammenlaufen. Diese Früchte erin- nern durch ihre Form an Nyssidium fusiforme Hr. (0. Heer, Fl. foss. arct. T. II. Miocene Flora und Fauna Spitzbergens, pag. 63, Tab. XV, Fig. 24, 25), welches aber grösser ist und zahlreichere Furchen hat. Diospyros sp.? Tab. I, Fig. 31. О. Heer, FI. foss. arct. T. У. Beiträge zur foss. Fl. Sibiriens und d. Amurlandes, pag. 50, Tab. XV, Fig. 9. Auf Neusibirien ist nur die eine radförmige Frucht, welche aus 8 Abschnitten be- steht, gefunden. Unbestimmte Schuppenblätter und Fruchtstücke. Tab. I, Fig. 32, 33, 33a vergr., 34. Der Abdruck Fig. 32 ist kreisförmig, vertieft, glatt und erinnert an die Theilfrüchte der Umbelliferen, etwa an Malabaila. In Fig. 33, 33a vergr. sehen wir einen borstenförmigen Stiel und daneben 2 kahnfôr- mige Körper, welche mit dem Rücken gegeneinander gekehrt sind; der untere von ihnen zeigt eine breite Furche, welche gegen das spitze Ende schmäler und tiefer wird; an beiden Körpern läuft parallel und dicht an der stärker gebogenen Kante eine feine Furche entlang. Dieser Gegenstand könnte 2 Klappen einer Kapselfrucht darstellen. Fig. 34 ist wahrscheinlich eine Knospenschuppe. Sie ist länglich und zeigt seht feine Längsstreifen. Beschreibung der Hölzer. Die von Baron v. Toll aus den Holzbergen auf Neusibirien gesammelten fossilen Holz- stücke scheinen sämmtlich Coniferenhölzer zu sein. Einige von ihnen sind versteinert und lassen die Struktur nicht deutlich genug erkennen; andere sind in Braunkohle verwandelt und lassen sich mehr oder weniger gut mit dem Rasirmesser schneiden. Unter letzteren bilden einige eine vollständig kompakte Kohlenmasse, in der nur Spuren der Struktur er: kannt werden können. Zwei Holzstücke weisen dagegen einen guten Erhaltungszustand auf und werden in Folgendem ausführlich beschrieben. Pinus (Larix) arctica n. sp. Tab. II, Fig. 35—43. Ein Aststück, etwas über 5 cm. lang, ein wenig zusammengedrückt, hat im Durch- messer 1,5 und 0,9 cm. Auf der Aussenfläche befinden sich 4 Zweigstümpfe, welche paar- Mémoires de l'Acad. Imp. а. sc. VII Serie. 3 18 ` J. SCHMALHAUSEN, weise in gleicher Höhe und 2,5 cm. von einander entfernt, 2 auf der einen und 2 auf der anderen Seite des Stückes stehen. Auf dem Querschnitt sind nur noch 4 Jahresringe zu er- kennen, welche ';—”/, und 1—2 mm. dick sind und im Centrum ein 2—2'/, mm. dickes Mark umschliessen. Das Vorhandensein des Markes und die paarweise auf derselben Höhe stehenden Zweigstümpfe beweisen, dass das Stück nicht für eine Wurzel gehalten werden kann. Parallel dem Umfange ist das Holz in Schichten gespalten und hat auch unzählige , radiale Längsrisse; so dass es bei Berührungen leicht zerbröckelt. Durch Liegen in trocke- ner Luft und durch den Transport hat das Stück bereits sehr gelitten und hat wenigstens um die Hälfte seines Umfanges abgenommen, wovon die zahlreichen Splitter zeugen, welche dabei liegen. Aus diesen Splittern war es nicht schwer, die zur mikroskopischen Untersu- chung nothwendigen radialen und tangentialen Schnitte herzustellen. Querschnitte konnten _ aber nicht erhalten werden, weil sie in ganz kleine Bruchstücke zerfielen. Deshalb und um das Aststück vor fernerer vollständiger Zerstörung zu schützen, wurde es mehrere Tage lang in Gummilösung, zu der Glycerin zugesetzt war, gelegt und dann wieder getrocknet. Nach dieser Behandlung war es möglich, brauchbare Querschnitte, welche übrigens doch sehr leicht auseinanderfallen, zu erhalten. Wie von einem Aststücke zu erwarten war, er- wiesen sich die Herbstholzzellen nicht stark tangential abgeplattet (Fig. 35 bei k), Herbst- holz, Sommer- und Frühlingsholz gehen allmälig in einander über. Die Zellen des Früh- lingsholzes sind stark, zum Theil bis zur Unkenntlichkeit verdrückt. In dem inneren Theile der Holzschichten, im äusseren Theile des Herbstholzes und im inneren des Sommerholzes sind stellenweise einzelne, seltener zonenweise nebeneinander liegende Harzgänge vorhanden, de- ren parenchymatische Wandung auf dem Querschnitte nicht zu erkennen ist. Die Breite der Holzzellen, auf dem Querschnitt gemessen, beträgt tangential 0,012 — 0,030 mm., durch- schnittlich 0,021 mm. Die Markstrahlen stehen ziemlich dicht, sie sind von 2—8 Zellreihen getrennt und bestehen aus ziemlich breiten Zellen (Fig. 35), welche mehr oder weniger reich- lichen harzigen Inhalt und zahlreiche kleine runde Tüpfel haben, die meistens in 2, seltener in 3 unregelmässigen Längsreihen stehen. Auf Längsschnitten erweist sich das Holz sehr harz- reich. Harzzellen sind nicht selten an der Grenze des Früblings- und Herbstholzes vorge- kommen (Fig. 36); sehr harzreich sind aber die Zellen der Markstrahlen (Fig. 38, 41), welche meistens rundliche Harzklumpen von verschiedener Grösse enthalten. Einige, ziem- lich seltene Markstrahlen führen in ihrer Mitte einen Harzgang (Fig. 38, 39), dessen Um- gebung aus kleinen parenchymatischen Zellen nicht erkannt werden konnte. Diese ist aber einige mal an vertical im Holze verlaufenden Harzgängen in Längsschnitten gesehen worden; die Zellen hatten kleine runde Tüpfel. Die Markstrahlen sind meistens 6—12 Zellen hoch, es kommen aber sowohl noch schmälere, als auch höhere Markstrahlen vor. Einzeln vorkom- mende Markstrahlen sind im tangentialen Durchschnitt spindelförmig (Fig. 38, 39), in der Mitte dicker und enthalten einen Harzgang; ihr dem Harzgange benachbarter Theil besteht aus zwei Zellreihen. Die Markstrahlzellen haben auf ihren tangentialen Wänden (Fig. 37) eben- solehe kleine runde Tüpfel, wie auf den horizontalen, welche zu 5—8, zuweilen auch mehr, : à 4 и. 2 72 ur eus E Æ = в. ава > RDS Se к > у LPO CAS OLS RTL SSL 72 2: - * Es OX DER > их LE EEE EL ZSL DILL SL a a о a ex CR Re & < Е ms ee EZ — FES Men de [Acad mp doll Serie о Lith.R.Koch.W0.1.Lin.Ne44 StPetersburs. Autor delin MÉMOIRES LAGADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST. -PETERSBOURG, VIF SERIE. Tome ХХХУШ, № 6. NADEL- INCLINATORIUN | MODIFICIRTER CONSTRUCTION. (Mit 3 Tafeln.) Lu le 30 janvier 1890. ST.-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Atadémie Impériale des sciences: à St.-Petersbourg: à Riga: | à Leipzig: М. Eggers et C!° et J. Glasounof; М. N.Kymmel; Voss’ Sortiment (G. Наеззе]). À À | À L р $ | À Е. Wild. I À $ р { À { 1 | À { À | О _ Prix: 90 Кор. = 2 Mark 25 Pf. Br VIT WIE don ii As | \ А Vive RER N, MÉMOIRES L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VIF SÉRIE. 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Das physikalische Central-Observatorium besass allerdings schon seit Anfang der sech- ziger Jahre ein grösseres Nadel-Inclinatorium von Repsold in Hamburg genau der Construction, wie sie Kreil in seinem «Entwurf eines meteorologischen Beobachtungssystems für die oesterreichische Monarchie» S. 87 und folg. ausführlich beschrieben und auf Tab. IX abgebildet hat. Leider kann ich aber in Betreff unseres Instruments nicht in das Lob ein- stimmen, welches Kreil (S. 91, 1. с.) seinem Exemplar gespendet hat. Obschon ich keine eigentliche Beschädigung am Instrumente entdecken konnte, als ich es im Herbst 1868 in meine Hände bekam, so ist es mir und Anderen doch niemals gelungen, damit irgend eine brauchbare, mit den Messungen an unseren übrigen Inclinatorien vergleichbare absolute In- clinationsbestimmung zu erhalten. Als Hauptfehlerquellen muss ich das grosse Gewicht der beigegebenen Nadeln, die geringe Stabilität der drehbaren, die Achat-Lager der Nadelaxe tragenden vertikalen rohrförmigen Säule und vor Allem den bedeutenden Eisengehalt fast aller Messingtheile des Instruments, glücklicher Weise mit Ausnalıme des Vertikalkreises und seiner Alhidade, bezeichnen. Hauptsächlich wegen dieses Eisengehaltes gab ich den er- sten Gedanken an eine Umarbeitung dieses Inclinatoriums bald auf und beschloss in der Werkstätte des physikalishen Central-Observatoriums durch Herrn Mechaniker Freiberg ein ganz neues Instrument dieser Art anfertigen zu lassen, bei welchem vom alten bloss der Vertikalkreis mit seiner Alhidade und die Fadenplatten nebst Ocularen der Einstellmikro- skope beibehalten wurden. 1) Wild, Repertorium für Meteorologie, Bd. X, № 5. 2) Annalen des physikal. Central-Observatoriums, 1886. Theil I. Einleitung für 1887, 5. XXX, für 1888, 5. XXXII. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc: VII Serie. 1 р Н. УМ тео, In dieser Weise ist das neue, hier zu beschreibende Instrument im Laufe der beiden Jahre 1887 und 1888 in unserer Werkstätte construirt worden, wobei unter Herrn Frei- berg’s Leitung hauptsächlich Herr Domoroschtschew die Ausführung besorgte. Herr Freiberg hat selbst einige delicate Theile, insbesondere die Axen der Nadeln ausgearbeitet. Im Sommer 1889 habe ich dasselbe im Observatorium in Pawlowsk endgültig justirt und in den regelmässigen Gebrauch eingeführt, wobei es sich in jeder Beziehung ‚bewährte. $ 1, Beschreibung des neuen Instrumentes und der zugehörigen Hülfsapparate. Das neue Instrument ist in der Tafel I von der Vertikalkreis-Seite aus und in Tafel II von der hinteren Seite aus nach photographischen Aufnahmen phototypisch durch Herrn W. Stein dargestellt. Ueber den Dreifuss mit Stellschrauben und den Horizontalkreis ist weiter nicht viel zu sagen, als dass der letztere einem älteren, ausser Gebrauch gesetzten und daher auch defecten Declinatorium von Gambey entnommen ist. Er hat 288 mm. äusseren Durchmesser, ist auf Silber von 10 zu 10 Minuten getheilt, sehr gut erhalten und die beiden Flügelnonien der an der Vertikalaxe sitzenden Alhidade lassen einzelne Minuten direct ablesen. Die Klemme dieser Alhidade hat, wie die Figur zeigt, die gewöhnliche Einrichtung. Auf der von unten durch eine Feder zu entlastenden Vertikalaxe, die oben in einer grösseren Kreisscheibe endigt, ist die entsprechende Basis des das Gehäuse bildenden grossen Messingringes aufgesetzt und durch vier Schrauben fest verbunden. Dieser in seiner Wan- _ dung bloss 2,5 mm. dicke Ring hat an beiden Rändern angegossene Verstärkungsrippen, welche mit der erwähnten Basis vom Guss her zusammenhangen. Sie sind senkrecht zur Axe des Gehäuses eben abgedreht und auf den einen ist ein, eine Verschlussglasplatte umfassen- der Messingring dicht aufzusetzen und durch zwei Schrauben mit ränderirten Köpfen (siehe Tafel II) festzuklemmen. Diese Schrauben werden durch, über ihren Hals greifende Klam- mern nach dem Losschrauben festgehalten, können also nicht fallen und, um dabei auch ein Herabgleiten des Ringes auf den Horizontalkreis zu vermeiden, wird derselbe unten noch durch einen am Gehäuse angeschraubten cylindrischen Stift, der durch ein Loch im Ring willig durchgeht, gehalten und kann erst: nach dem Abgleiten von diesem weggelegt werden. Die Glasplatte ist auf einem etwa 30 mm. breiten concentrischen Ring mattgeschliffen. Auf der anderen Seite des Gehäuses besitzt dasselbe im Innern 20 mm. vom Rande entfernt eine 10 mm. dicke und 16 mm. nach innen vorragende Rippe, auf welcher ein bis zu ihrer halben Dicke reichender 10 mm. breiter Falz angedreht ist. In diesen Falz passt die nahe 5 mm. dicke kreisrunde Verschlussglasplatte dieser Gehäuse-Seite und wird zu dem Ende vermittelst eines Ringes von 16 mm. Breite und 3 mm. Dicke angeklemmt, der am inneren Rand der Rippe durch eine grosse Zahl versenkter Schrauben befestigt ist. Sowohl NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 3 bei dieser wie bei der ähnlich befestigten Glasplatte des abnehmbaren Deckels sind zur Aus- sleichung des Druckes je zwischen Messing und Glas Tuchstreifen eingelegt. So stellt denn das Gehäuse des Inclinatoriums einen Cylinder mit Glas als Grundflächen und Messing als Mantel dar, der einen Hohlraum von 320 mm. Durchmesser und 85 mm. Tiefe umschliesst, während die äussere Breite der ganzen Büchse 121 mm. beträgt. Im Centrum der festen Glasplatte und damit auch im Centrum der ganzen Messing- büchse ist nach aussen hin der Vertikalkreis und innen eine Messingplatte befestigt, welche die Lager für die Nadel trägt. Zu dem Ende ist die Glasplatte durchbohrt und die letztere Platte einerseits, die Basis des Kreiscentrums andererseits, vermittelst eines, von dieser durch die Oeffnung und die Platte durchgehenden Bolzens durch Anziehen einer Mutter mit untergelegter Scheibe am Ende des letzteren an die Glasplatte fest angepresst; eine Zwischen- lage von Schreibpapier vertheilt wieder den Druck. Excentrisch ist die innere Messingplatte ausserdem noch zur Verhütung von Drehungen derselben vermittelst einer die Glasplatte durchsetzenden Schraube befestigt. Der Vertikalkreis mit seiner Alhidade und ihrer Klemme entspricht, da er vom alten Instrument genommen ist, vollkommen der von Kreil (1. с.) gegebenen Beschreibung, ebenso auch die an der Alhidade befestigten Mikroskophalter und Mikroskope selbst, die genau den früheren nachgebildet sind, mit dem einzigen Unterschiede, dass durch Verlängerung der Röhren und Anwendung neuer achromatischer Objective jetzt eine doppelt so starke Ver- grösserung der Bilder durch die Objective erzielt ist, so dass nunmehr der Fadendistanz der beibehaltenen Fadennetze aus den früheren Einstellmikroskopen statt 10 bloss 5 Bogen- minuten entsprechen, also 2 Faden Intervalle auf ein Intervall der Kreistheilung fallen. Die Nonien lassen wie früher direct 0,5 ablesen und überdies 0/25 leicht schätzen, da ich die frühere Ablesung derselben mit Lupen durch eine solche mit schwachvergrössernden Mikro- skopen ersetzen liess, welche ebenfalls an den Haltern der Einstellungs-Mikroskope befestigt sind und mit ihren Ocularen zur Bequemlichkeit des Beobachters nahe in dieselbe Vertikal- ebene wie die der letzteren fallen. An der Messingplatte auf der inneren Seite der Glasplatte ist zunächst durch eine Schraube oben ein zweites an ihr anliegendes Messingstück befestigt, welches unten zwi- schen zwei von vorstehenden Nasen der ersteren getragene Schrauben geklemmt ist und mit- telst dieser nach Lösung der ersteren Schraube um diese etwas gedreht und endlich auch in vertikalem Sinne durch eine vierte Schraube etwas verschoben werden kann, welche Schraube ebenfalls in einer vorstehenden Nase der ersteren Platte sitzt. Dieses Messingstück mit ebener Rückwand ist vorn, 4. В. gegen die abnehmbare Gehäuseseite hin, ausgehöhlt und trägt oben einen konischen Ring, auf dessen vorderer und hinterer Kante die als Lager für die Nadel- axen bestimmten Achatschneiden befestigtsind. Inder vierteleylindrischen Aushöhlung aber lässt sich ein zweiter ähnlicher Körper auf- und abschieben, der an seinem oberen Ende eben- falls einen konischen Ring innerhalb des ersteren trägt. Dieser Ring besteht aus zwei in ein- ander gepassten Theilen, von denen der obere vermittelst einer Zahnung an seinem Rand 1* 4 HN 15 D) und einer seitlich aus dem Gehäuse herausragenden Stange mit Getriebe (die höhere Stange in den Tafeln) gedreht werden kann, so dass diean seinem oberen Rand vorn und hinten be- festigten y-förmigen Pfannen zum Fassen der dicken Zapfen der Nadeln und Abheben der dünneren Zapfen von den Achatschneiden, um 180° gedreht werden können. Die Grösse dieser Drehung wird durch einen seitlichen, an diesem drehbaren Theil befestigten Hebel limitirt, der gegen justirbare Schraubenspitzen an einem Querarm des festen Messingstücks anschlägt. Die Hebung und Senkung des Schlittens mit den Pfannen oder dem Arretirungs- stuhl erfolgt durch die in Tafel II links ') sichtbare Stange mit ränderirtem Kopf aussen am Gehäuse, welche beim Drehen einen Keil in einem Ausschnitt des Schlittens verschiebt. Nur wenn bei dieser Verschiebung der Schlitten resp. der Arretirungsstuhl die höchste Lage ein- nimmt resp. die Nadel ganz von ihren Lagern abgehoben hat, greift das Getriebe in die Zahnung des Stuhles ein und kann somit diesen drehen. In jeder anderen Lage des Schlittens findet dies nicht statt, so dass alsdann durch ein Drehen der Getriebestange aus Versehen der Stuhl nicht bewegt wird, also auch keine Beschädigung der Nadelaxen erfolgen kann. Auf solche Weise ist also erzielt, dass das Lager für die Nadeln im Centrum derselben Glasplatte zusammen mit dem Vertikalkreis befestigt ist, also keine gegenseitige Verschie- bung beider erfolgen kann und dass dabei die Nadelenden in jeder Lage derselben nicht in die unmittelbare Nähe von Messingstützen gelangen. Allerdings wird durch die ringförmige Gestalt des Lagers die Bewegung der Magnetnadel auf einen Winkel von + 22° von der Vertikalen aus beschränkt, was indesseh gegenüber den unbestreitbaren Vorzügen dieser Construetion nur für niedrigere Breiten als Nachtheil zu bezeichnen ist. An Orten nämlich, wo die Inclination kleiner als 70° ist, braucht man nur statt im magnetischen Meridian in einem solchen Azimut a dazu die Messung anzustellen, dass eben die Nadel angenähert jene Neigung zeigt. Heissen wir die so beobachtete Neigung’, so ist dann bekanntlich die wahre Inclination © gegeben durch: L. tangi = tang Ÿ.cos a, wo das Azimut a vermittelst des Horizontalkreises zu bestimmen ist. Um zu erfahren, bis zu welchen kleinsten Werthen der Inclination diese Methode noch praktisch verwendbar ist, ditferentiren wir die obige Gleichung nach 2 und a und finden so: . 1-+t8%.cos 24 Dr да = Mi - щи ща — Nehmen wir an, dass man die absolute Inclination © mit einer Genauigkeit von di = + 0;1 zu erhalten wünsche und stets à = 70° sei, so ergeben sich für verschiedene Azimute a folgende Werthe von à und да: i 1) In Wirklichkeit befindet sich diese Stange mit Kopf | achter, da bei der Aufnahme links und rechts vertauscht rechts von dem vor dem Vertikalkreis sitzenden Beob- | worden sind. NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 5 а р да 1° 69°59'50”. Te 15 69 21 1,13 30 67 12 0,48 45 62 46 0,25 60 53 57 0,12 68 45 50 0,08 75 35 25 0,06 Für niedrigere Breiten, wo die Inclination erheblich kleiner als 70° ist, müsste also die Verniere am Horizontalkreis statt bloss 1’, wie bei unserem Instrument, direet mindestens 10” ablesen und 5” schätzen lassen. Dies würde bei unserem grossen in 10’ getheilten Hori- zontal-Krejs noch recht gut möglich sein. Aber auch dann wird man höchstens noch Ineli- nationen bis herunter zu 45° bei unserer Construction messen können, welche Grenze übri- gens für das gesammte russische Reich nicht überschritten wird. Für die zweite Hälfte von Inclinationswerthen, nämlich von 45° bis 0°, wird man an die frühere von Kreil beschriebene Einrichtung des Stuhls mit kleinen Verbesserungen desselben sich halten müssen. So wird man passend die Drehbarkeit der Achatlager aufgeben und dagegen für die Drehung der Arretirung eine sicherer functionirende Axe einführen, endlich die Säulen oder Träger des Stuhls und der Arretirung vielleicht aus Glas statt aus Messing anfertigen. Zur Nivellirung des Instruments befindet sich im Innern des Gehäuses unterhalb des Stuhls ein Niveau, dessen Parswerth zwischen 17 und 23 Skalentheilen Blasenmitte nach Untersuchung mit dem Niveauprüfer beträgt: 1 pars — 18/8. Vertikal über der Mitte des Nadelstuhlsistendlich das Gehäuse durchbohrt und in die 48 mm. weite Oeffnung ein vertikaler aufgeschnittener Cylinder von gleicher Weite und 55 mm. Höhe eingesetzt, der durch einen einzuschiebenden und vermittelst einer Klemme | (siehe Tafel IT) zu fixirenden Deckel zu verschliessen ist. In diese Oeffnung schiebt sich die Röhre mit Zange ein, welche zum Einlegen und Herausnehmen der Nadel aus dem Instrument sowie als Halter beim Magnetisiren derselben bestimmt ist. Diese Röhre ist in Tafel II unten links neben dem Dreifuss zu sehen und in Tafel III in natürlicher Grösse im Durchschnitt zusammen mit der oberen Hälfte der Magnet- nadel dargestellt. Die äussere cylindrische Röhre ааа’а’ hat am oberen Ende einen Ansatz A, mit wel- chem sie sich auf den Rand der cylindrischen Rohr-Oeffnung bb des Gehäuses stützt. Eine an ihr angebrachte Nase fällt dabei in einen passenden Ausschnitt der Rohr-Oeffnung ein und giebt so der Röhre eine bestimmte Lage zum Gehäuse. Mit einer weiteren aufge- schraubten Fassung CC stösst eine, in die äussere genau eingepasste zweite Röhre ccc'c' auf 6 Н. Wıup, den Rand aa der äusseren auf, wobei die unteren Enden a’ und c’ zusammenfallen. Beim Anfassen an CC unter Festhalten von A A oder Klemmen dieses Rohrs in bb lässt sich die innere Röhre aus der äusseren herausziehen, wobei durch eine Nut und einen in sie eingreifenden Stift eine Drehung beider gegeneinander verhindert und schliesslich durch eine in die Oeff- nung einfallende Feder das Herausziehen begrenzt wird. Vermittelst der Schraube d mit Kopf D ist sodann im Innern der Röhre c eine dritte ee zu verschieben, welche am Ende ihrer Fortsätze c'e’ die Nasen EE mit abgeschrägten Endflächen trägt. Mit diesen schiefen Flächen berühren sie entsprechend geneigte Flächen zweier seitlicher Federn ff, die bei ff‘ an der Rohrwandung с festgeschraubt sind und unten bei F mit Leder (1 gefütterte Backen und beiderseits an diese angeschraubte (daher punktirt) vergoldete Haken % be- sitzen. Dreht man nun die Schraube D entgegen der Bewegung eines Uhrzeigers, so schiebt sie vermittelst der oben an der Röhre e sitzenden Mutter m die Röhre e herunter und die Nasen Æ werden dann die Federn f und damit die Backen F gegen die Axe der Röhre hin- biegen, bis sie die dort befindliche Magnetnadel N N wie eine, Zange zwischen sich fassen, wobei ausserdem die Haken k sich beiderseits um den diekeren Theil der Nadel-Axe n legen. Hierdurch wird ein Herausfallen der Nadel aus der Zange in dem Fall verhütet. wo man die Backen F nicht genügend an die Nadelseiten angepresst hätte. Die Backen besitzen übrigens in ihrer Mitte den Kanten der Nadeln angepasste Rinnen, welche ihnen beim Fassen eine ganz bestimmte Lage in der Zange sichern. | Alle Dimensionen sind nun so bemessen, dass die in das Gehäuse von офеп eingesetzte Zange mit dem Haken h die Axe x und mit den Backen F die Seiten der Nadel beim Zudrehen eben richtig fasst, wenn die Nadel durch die Arretirung in die höchste Lage gebracht ist; dass sie dabei vertikal stehen, also das Gehäuse in das Azimut von 90° zum magnetischen Meridian gebracht sein muss, versteht sich von selbst. Hat man so die Nadel mit der Zange gefasst, so zieht man, wie oben bemerkt, die Röhre с aus ihrer Hülle а bis zur erwähnten Grenze heraus, welche so bemessen ist, dass dabei der ganze untere Theil der Nadel in die Umhüllungsröhre a a’ eintritt. Alsdann lässt sich nach Lösen der Klemme an der Röhre bb die ganze Zangen-Röhre mit der eingeschlossenen Nadel aus dem Apparat herausziehen, ohne ein Anstossen der Nadel befürchten zu müssen. Zum Abschluss der Röhre und Schutz der Nadel darin gegen Staub, kann endlich in die Oeffnung a’ a noch ein Deckel ein- geschoben werden. Will man aber die Nadel nicht weglegen, sondern für den weiteren Gebrauch ummag- netisiren, so wird das Ende der Röhre a in eine passende weitere Röhre eingeschoben, welche in Tafel II unten rechts vor dem Dreifuss abgebildet ist. Ein seitlicher Stift an der Röhre a, der in einen Schlitz der fraglichen Röhre einfällt, limitirt das Einschieben durch Anstossen am Grund des Schlitzes und sichert damit zugleich der Röhre a stets dieselbe Lage in der Umhüllungsröhre. Diese Lage ist dabei der Art, dass beim weiteren Einschieben der Röhre c in a (unter Niederdrücken der hemmenden Feder) bis zum Anstossen von C auf A (gemäss der Tafel III) die Nadelaxe alsdann genau in die Mitte der Umhüllungsröhre, NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 7 gegenüber den durch Glimmerblättchen verschlossenen runden Fenstern daselbst zu liegen kommt und so von aussen beobachtet werden kann. Vorher schon ist von der andern Seite her eine ganz gleiche Röhren-Zange in das Umhüllungs- oder Verbindungsrohr beider ein- gesetzt worden, wobei Schlitz und Stift dieser zweiten Zange so angeordnet sind, dass die letztere mit ihren Backen und Hacken denen der erstern parallel zu liegen kommt und die Magnetnadel, wenn man sich dieselbe in ihnen geklemmt denkt, genau an dieselbe Stelle der Umhüllungsröhre gegenüber den Fenstern fiele. Damit die Nadel beim Einschieben der Röhre с in a von der ersten Zange nicht an die Hacken und Backen der zweiten anstosse, müssen die letztern selbstverständlich geöffnet sein resp. die Stellung von Tafel III haben und ausserdem müssen die Hacken a der zweiten Zange beiderseits näher der Nadel oder weiter von ihr stehen, als die der ersten, damit sie aneinander vorbeigehen können. Wenn also die beiden Zangen in die Verbindungsröhre eingeschoben sind, so stellen sie eine ganz geschlossene Röhre von symmetrischer Form dar, in deren Axe die Magnetnadel ebenfalls in symmetrischer Stellung zu den Enden der umhüllenden Röhre befestigt ist. Zum Ummagnetisiren der Nadel wird nun diese ganze Röhre in eine auf einen Kupfer- cylinder aufgewickelte Drahtspirale (siehe Tafel I links unten) eingeschoben. deren innerer Durchmesser wenig grösser als derjenige der Scheibe CC der Zangen ist und deren Länge so bemessen ist, dass sie die Gesammtröhre nahe von der Scheibe À À der einen Zange bis zu derjenigen der andern umschliesst. Der mit Seide besponnene Kupferdraht ist 5 mm. dick und in 4 Lagen von je 60 Windungen aufgewickelt. Verbindet man die Enden dieser Spirale von geringem innerem Widerstande durch kurze Drähte mit den Polen zweier, hinterein- ander geschalteter mässig. grosser, gut geladener Accumulatoren, so erhält man einen Strom von 17—19 Ampère, der bei einem bloss 30° dauernden Schluss die Nadel nahezu bis zur Sättigung magnetisirt. Besondere Versuche ergaben, dass das magnetische Moment der Nadel nur um 5 Procent zunahm, als man die Stromstärke von 17 auf 25 Ampere steigerte. Nachdem so die Nadel ummagnetisirt ist, kann sie offenbar nicht unmittelbar mit der Zange, mit welcher man sie aus dem Inclinatorium herausgeholt hat, wieder in dasselbe ein- gesetzt werden, weil jetzt der Nordpol nach oben zu stehen käme und die Nadel des Stuhles wegen nicht durchschlagen kann. Damit man sie nun zu dem Ende nicht aus der Zange ‘ herausnehmen und in entgegengesetzter Lage wieder in dieselbe hineinlegen müsse, sind eben die zweite gleiche Zange und die Verbindungsröhre beider angefertigt worden. Man hat alsdann bloss die zweite Zange durch Drehen an ihrem Kopf D ebenfalls zu schliessen, die Nadel also mit ihr zu fassen, die erste Zange zu lösen und mit der zweiten nach erfolgtem Hineinziehen der Nadel in ihre Umhüllungsröhre die Nadel aus der Verbindungsröhre heraus- zunehmen und in das Inclinatorium einzuführen. Schiebt man dann dort die innere Röhre wieder herunter, so kommt der dicke Theil der Nadelzapfen eben auf die Arretirungsein- schnitte zu liegen und beim Lösen der Zange legt sich die Nadel vollends ganz sanft in diese ein, worauf man die Röhren-Zange aus dem Apparat entfernt und den Deckel auf die entsprechende Oeffnung des Gehäuses aufsetzen kann. 8 H. Win, Hiernach braucht also die Magnetnadel nur jeweilen dann mit den (behandschuhten) Händen direct angefasst zu werden, wenn man sie behufs einer Beobachtung aus ihrem Etui in die Zange einlegen oder aus dieser am Schluss der Beobachtung wieder in das Etui depo- niren will. ’ Die Magnetnadeln selbst haben die in Tafel III (etwas mehr als ihrer Hälfte nach) | dargestellte Gestalt. Sie sind von Spitze zu Spitze 265 mm. lang, in der Mitte 10 und 6 mm. von den Spitzen nach 6 mm. breit, endlich überall 0,8 mm. dick. Die Axe der Nadeln ist je 37 mm. lang, von welcher die dünnsten Zapfen-Theile an beiden Enden je 3,5 mm lang und 0,428 mm. dick sind; darauf folgen 1,7 mm. lange und 1,7 mm. dicke ebenfalls noch zu Hochglanz polirte Zapfen-Theile und sodann die eigentliche 26,6 mm. lange und 3,0 mm. dicke Axe, die in eine 10 mm. breite Messingscheibe eingeschraubt ist und vermittelst dieser nach Durchstecken durch die angepasste Oeffnung in der Nadel durch zwei Schräubchen mit der Nadel fest verbunden wird. Die dünnsten Theile der Zapfen kommen beim Gebrauch auf die Achatschneiden der Lager und die nächst dickeren auf die y-formigen Ausschnitte, die sogen. Pfannen, des Arretirungsstuhles zu liegen. In einer Entfernung von 17,5 mm. von den Spitzen oder also einem gegenseitigen Abstand von 230 mm. besitzen die Nadeln mit Messing- plättchen ausgefüllte kleine Löcher, welche Messingplättchen selbst von beiden Seiten eben- falls konisch angebohrt sind, so dass im mittleren Längsquerschnitt der Nadeln kreisrunde Oeffnungen von 0,16 bis 0,32 mm. Durchmesser (bei unsern 4 Nadeln) sich bildeten. Die Einstellung des Mittelfadens in den Mikroskopen auf die Mitte dieser Oeffnungen ist bei den kleinern Kreisen nur wenig genauer als bei den grössern und die Unsicherheit derselben ist jedenfalls nicht grösser als 0,25. Die Nadeln sind ebenso wie die Axen aus naturhartem Wolfram-Stahl der Gebrüder Böh- ler hergestellt und glashart gemacht, worauf die Axen behufs besserer Bearbeitung dunkel- gelb angelassen wurden. Ohne Axen wiegen die Nadeln 14 ©. und die Axen je 2 Gramm. Das magnetische Moment der erst angefertigten schwächsten, mit I bezeichneten Nadel beträgt: 1070,897 (mm .mg.s.) oder also pro 1 Gramm : 10°0,640, das der stärksten mit Ш bezeichneten Nadel : 1071,220 oder also pro 1 Gramm : 10°0,872, was einen sehr hohen specifischen Magnetismus repräsentirt. Alle Theile des Instruments sind auf’s schärfste sowohl nach ihrer Vollendung als vor- ber bezüglich des dazu verwendeten Materials auf Zisenfreiheit vermittelst der anderswo bereits erwähnten Apparate!) geprüft worden. 1) Annalen des physikal. Central-Observatoriums für 1885. I. Theil. Einleitung 5. VII. PR fes SR ER BE a D À > ED -. TE San en en a TE Zee im N ed er, НЕК ЕТ Ne Fe da Не = ы # г „т 5 à Er NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 9 2. Justirung des neuen Instruments. a) Wenn vermittelst der Stellschrauben am Dreifuss nach dem Niveau der Horizontal- kreis genau horizontal resp. die Drehungsaxe des Nadel-Gehäuses genau vertikal gemacht ist, so soll der Vertikalkreis genau vertikal resp. die Drehungsaxe seiner Alhidade genau horizontal sein. Um dies zu verificiren, wurde nach Nivellirung des Instruments von der Mitte des Deckels der oberen Gehäuse-Oeffnung ein kleines, an einem selır feinen Coconfaden befestigtes Senkel im Innern des Gehäuses bis nahe zum Boden desselben herabgehängt und durch geringe Schiebung desselben vor- oder rückwärts bewirkt, dass ein ganz scharfes Bild des Fadens z. B. im oberen der beiden Mikroskope erhalten wurde. Die Axe der Alhidade ist dann genau genug horizontal, wenn die Schärfe des Fadenbildes in diesem Mikroskop die- selbe bleibt, nachdem man die Alhidade mit den Mikroskopen um 180° umgedreht hat, so dass also das obere Mikroskop jetzt nach unten zu stehen kommt. -Um dies zu erzielen, musste ich auf der einen Seite der den Kreis tragenden Glasplatte im Innern des sie hal- tenden Rahmens unten dünnes Schreibpapier einlegen. Da die Mikroskope eine Verschie- bung des Objects in der Richtung ihrer optischen Axe um 0,1 mm. noch erkennen lassen, so kann also bei dieser Justirung der übrig bleibende Fehler nur = 0,1 mm. auf 230 mm. betragen haben, was einem Neigungswinkel von =# 1/5 der Alhidaden-Axe zur Horizontalen entsprechen würde. b) Die optischen, durch den Mittelfaden der Fadenkreuze definirten Axen der beiden Mikroskope sollen in eine und dieselbe, durch die Drehungsaxe der Alhidade gelegte Ebene fallen. Mit Hülfe des erwähnten Senkels wurden zu dem Ende die beiden Mikroskope unter gleichzeitigen kleinen seitlichen Verrückungen des ersteren so lange vermittelst der an ihren Lagern angebrachten Schrauben justirt, bis der Mittelfaden des oberen und unteren Mikro- skops das Senkel bisectirte und hieran nichts geändert wurde, wenn man die Alhidade um 180° umdrehte. Nachher justirte man auch gleich noch bei der vertikalen Stellung der Verbindungs- linie der Mikroskope die Flügel-Nonien der Alhidade so, dass sie genau um 180° differi- rende Ablesungen am Vertikalkreis ergaben. c) Die beiden Achatschneiden der Axen-Lager sollen mit ihren oberen Kanten der ganzen Länge nach in ein und dieselbe Horizontalebene fallen. Um zunächst ihre Parallelität zu untersuchen wurde eine kleine, unten angeschliffene Längslibelle, bei welcher ein Theil den Werth von 30” hatte, der Quere nach auf beide Schneiden gelegt und zugesehen, ob sie an beiden Enden und in der Mitte derselben dieselbe Angabe mache, So weit hiebei die Schätzung der Stellung der Blasenenden reichte d. h. bis zu ungefähr 0,2 Scalentheil oder also 0;1 war dies wirklich der Fall. Darauf legte ich eine Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 2 10 Н. Wizop, optisch auf ihre Planität und den Parallelismus der beiden Flächen genau untersuchte Glas- platte (von Steinheil in München) auf die beiden Schneiden, wobei ihr Parallelismus neuer- dings zu constatiren war, setzte dasselbe Niveau der Quere nach auf die Platte und consta- tirte so zumächst, dass beide Schneiden genau genug gleich hoch seien d. h. eine Ebene durch sie mit der horizontalen Axe des Vertikalkreises keinen grössern Winkel als 0/25 bilde. Wäre der Fehler grösser gewesen, so hätte ich zur Correction die beiden Schrauben, welche das ganze Lager an der Glasplatte befestigen etwas lösen und oben oder unten zwi- schen diese und die Metallplatte etwas Papier oder Staniol unterlegen müssen. Nach Um- drehung des Niveaus in die zu den Schneiden parallele Lage justirte ich vermittelst der bei- den $. 3 erwähnten seitlichen Schrauben, die unten auf das um eine horizontale Axe dreh- bare, eigentliche Lagerstück einwirken, das letztere so lange, bis das Niveau wieder mit einer Genauigkeit von 0,25 einstand, somit die Schneiden auch ihrer Länge nach mit dieser Sicherheit horizontal waren.. MES d) Die Drehungsaxe der Inclinationsnadel, soll, wenn man sie mit dem Stuhl durch Lösen der Arretirung auf die Achatschneiden aufgesetzt hat, in die Verlängerung der Drehungsaxe der Alhidade fallen. Von der Erfüllung dieser Bedingung überzeugte ich mich auf folgende Weise, Nach Aufsetzen einer der Nadeln in vertikaler Stellung auf die Schneiden wurden zunächst beide Mikroskope mit den hiefür vorhandenen Correctionsschrauben so justirt, dass die Mitte ihrer Fadenkreuze je mit der Mitte der einen, etwa der oberen Nadelöffnung coincidirte, also die optischen Axen der erstern in der Nadelebene beim Umdrehen der Alhidade einen und den- selben Kreis um deren Axe beschreiben. Wenn hierauf das eine Mikroskop bei der oberen Nadelöffnung und das andere zugleich bei der unteren die erwähnte Coincidenz zeigt, so ist dies offenbar zunächst ein Beweis dafür, dass die Nadelaxe in dieselbe Horizontalebene mit der Drehungsaxe der Alhidade fällt, unter der Voraussetzung allerdings, dass die Centren der beiden Nadelöffnungen von ihrer Axe gleich weit abstehen. Davon überzeugt man sich aber leicht durch einfache Umkehrung der Nadel, so dass das bisherige obere Ende der- selben nach unten zu liegen kommt; es muss dann die Coincidenz von Fadenkreuz-Mitte und Loch-Mitte erhalten bleiben. Dies ist bei allen unseren Nadeln genau genug der Fall. Da- gegen musste ich, um die Nadelaxe auf die richtige Höhe zu bringen, vermittelst der unteren Corrections-Schraube an der Messingplatte das Lagerstück etwas heben. Legt man darauf die Magnetnadel so auf die Lager, dass ihre Längsaxe horizontal zu liegen kommt, so kann man sich in gleicher Weise versichern, ob im Horizont die Mitte der Nadel in die Verlängerung der Drehungsaxe der Alhidade falle resp. durch even- tuelle seitliche Verschiebung des Lagerstückes dies erreichen. Wenn dann bei dieser Lage der Axe ‚zugleich beide Mikroskope gleich scharfe Bilder der Nadelöffnungen ergeben, und dies auch nach Umlegen der Nadel um 180° resp. Vertauschen von Links und Rechts der Fall ist, so wird die Nadelaxe nicht bloss senkrecht zur Verbindungslinie der Lochmitten der Nadel sein, sondern auch ganz mit der Verlängerung der Alhidaden-Axe zusammen- NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 11 fallen. Ein Fehler in dieser Beziehung entspricht einer unrichtigen Stellung der Anschlag- schrauben für den Hebelarm am drehbaren Theil des Arretirungsstuhls und kann also leicht durch Drehen dieser Anschlagschrauben in der einen und anderen Stellung des Arms corri- girt werden. Man kann auch die richtige Stellung der Axen-Pfannen bloss in der einen Lage _ des Hebelarms auf diese Weise erzielen und die genaue Drehung derselben um 180° bis zum Anschlag des Hebels auf der anderen Seite dadurch justiren, dass man auf den Arre- tirungsstuhl eine planparallele Glasplatte vertikal aufstellt, welche sich mit demselben dreht. Der Stuhl hat dann beim Drehen von einem Anschlag des Hebels zu anderen genau einen Winkel von 180° beschrieben, wenn die beiden Seiten der Glasplatte abwechselnd einen und denselben Punkt an dieselbe Stelle des Gesichtsfeldes eines vor derselben aufgestellten Fern- rohrs reflectiren. e) Die als Drehungsaxe dienenden dünnsten Zapfentheile der Nadeln sollen je gleich dick und kreisrund sein und ihre Axe genau senkrecht auf der Längsaxe der Nadel stehen. Nach den Abmessungen der fraglichen Nadelzapfen mit einem, 0,001 mm. anzeigenden Dickemesser mit Fühlhebel erwiesen sich dieselben an den, auf den Achatschneiden auf- liegenden Stellen bis auf = 0,001 mm. als gleich dick und kreisrund. Die senkrechte Stel- lung aber der Nadelflächen zu ihren Axen erwies sich dadurch als befriedigend, dass alle beim Umlegen mit dem Pfannenhebel um 180° keine erhebliche Abnahme der Bildschärfe der Löcher'erkennen liessen. Wären alle diese Bedingungen genau erfüllt, so müssten offenbar bei jeder Stellung der Nadel, markirte Seite vorn oder hinten vom Beobachter aus, markirtes Ende oben oder unten, die Bilder der Nadel-Löcher in den Mikroskopen ganz scharf und gleichzeitig in beiden concentrisch zur Mitte der Fadenkreuze erscheinen. Bei einigen der 8 Stellungen der Nadel, in welche diese bei der Beobachtung gebracht wird, ist dies wirklich der Fall, bei anderen wird dagegen entweder das Bild des inneren Oeffnungsrandes etwas verschwommen oder die Mitte des Fadenkreuzes resp. der Kreuzungspunkt der Faden erscheint im Maxi- -mum bis zu 0,1 mm. excentrisch in der Oeffnung. Da alle Nadeln mehr oder minder diese Erscheinung zeigen, so folgt daraus, dass bei gewissen Stellungen die übrig gebliebenen Justirungsfehler sich in ihrer Wirkung offenbar summiren und so im Resultat eine grössere Abweichung hervorbringen, als jedem einzelnen zukommen kann. Immerhin erschien mir aber dieser restirende Fehler so klein, dass ich von einer nochmaligen, noch sorgfältigeren Justirung glaubte absehen zu dürfen. 12 H. Утро, 3. Beobachtungen. Das Inclinatorium wurde im Sommer 1889 im westlichen Saal des eisenfreien Pavillons für absolute magnetische Messungen im Observatorium zu Pawlowsk auf einem vom Fuss- boden des Zimmers isolirten Steinpfeiler vor dem westlichen Fenster aufgestellt. Beleuchtung. Die Beleuchtung zur Ablesung des Horizontalkreises ist an dieser Stelle zu jeder Tageszeit und in jeder Lage des Gehäuses eine ganz ausreichende, für die Ablesung des Vertikalkreises ist sie dagegen unmittelbar nur dann genügend, wenn die Gehäuse-Seite mit dem mattgeschliffenen Ring auf der verschliessenden Glasplatte dem Fenster zugewendet ist, also der Vertikalkreis und der Beobachter im Osten sich befindeu. Um bei der Lage des Vertikalkreises nach West von Osten her d.h. also aus dem Innern des Zimmers eine genü- gende Beleuchtung der Nonien vom matten Glasring aus zu erzielen, wurde an dieser Rück- wand eine Store aus weisser Glanzperkale befestigt, welche zur Zeit der Beobachtung heruntergelassen und schräg gegen das Inclinatorium hin gespannt wird, so dass sie in Folge der Beleuchtung durch eine über ihr befindliche Laterne im Dach für das Inclinatorium einen sehr hellen Hintergrund darbietet. An dunkeln Wintertagen erwies sich indessen, sogar um die Mittagszeit, weder die eine noch die andere Beleuchtungsart ausreichend, um mit Sicherheit die Nonien des Vertikalkreises ablesen zu können. Die Beleuchtung wird aber vollkommen gut, wenn man in diesem Fall eine unserer messingenen Beobachtungslaternen — Hand- laterne mit kleiner Oellampe und Linse auf der einen Seite — auf passenden Holzstativen hinter dem Inclinatorium in ungefähr 30 cm. Entfernung so aufstellt, dass die Strahlen der Lampe auf den.kleinen Illuminator des jeweilen abzulesenden Nonius fallen. Selbstverständ- lich wird die Lampe nur je im Moment der Ablesung in die Nähe des Inclinatoriums gebracht. Beruhigung der Magnetnadel, Um die Schwingungen der Magnetnadel im Gehäuse nach Lösung der Arretirung rasch und bequem zu beruhigen, ohne dabei eine Verschiebung der- selben zu riskiren, ist ein mit Seide isoliter dünner Kupferdraht lose einmal um die kreis- förmige Basis des Gehäuses und dreimal um das Rohr der oberen Oeffnung geschlungen und sind seine Enden dann zu einem, auf dem Steinpfeiler neben dem Dreifuss des Instruments stehenden Doppeltaster geführt, der gestattet durch Niederdrücken der einen oder anderen Taste den Strom eines Meidinger-Elements in der einen oder anderen Richtung durch den Draht zu schicken. Die Zuführungsleitung des Stromes zum Taster enthält noch einen Schlüssel, vermittelst dessen ein beträchtlicher Widerstand zur Schwächung des Stroms nach Belieben ein- und ausgeschaltet werden kann. Die gleichgerichteten Kreisströme oben und unten üben eine gleich grosse Wirkung auf die näheren Pole der Magnetnadel aus; während also ihre Drehungsmomente sich unterstützen, ist ihre schiebende Resultante Null. Es gelingt so die schwingende Nadel sehr rasch und sicher zu beruhigen. 0 BR se nn UE Ter nz D. и NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 13 Die Magnetisirungsspirale ist auf besonderen Trägern an der östlichen Zimmerwand fest aufgestellt und unmittelbar unter ihr sind zwei transportable Accumulatoren der Gesell- schaft Jablotschkow in St. Petersburg placirt. In die kurze Leitung von ihnen zur Spirale ist ein Stromunterbrecher eingeschaltet, der zur Magnetisirung der Nadel in der Spirale zweimal je 15 Secunden, mit 5 Secunden Unterbrechung dazwischen, geschlossen wird. Die Stromstärke erwies sich dabei nach einem Amperimeter gleich 19 Ampere. Controlirung des magnetischen Moments. Behufs Controlirung des magnetischen Moments . der Nadel wird dieselbe jeweilen nach der Ummagnetisirung mit der Umhüllungsröhre in den anstossenden Centralsaal dieses Pavillons gebracht, dort auf einen ost-westlich orientirten Träger mit Anschlägen gelegt, so dass die Entfernung der Magnetmittelpunkte 770 mm. beträgt und die an einem kleinen suspendirten Magnet durch die Nadel bewirkte Ablenkung — halbe Differenz der Magnetstellungen vor und nach Umkehr der Inclinationsnadel um 180° — vermittelst Fernrohr und Scala beobachtet. Diese Ablenkungen betrugen in Scalen- theilen für: 1889. Nadel I. Nadel II. Nadel III. Nadel IV. August 221,0 235,0 302,0 283,5 December 219,5 233,5 301,0 282,0 Die Wirkung der Accumulatoren hat also in den 5 Monaten bei einem allwöchentlichen Stromesschluss von etwa 4 Minuten nur wenig abgenommen, so dass dieselben höchstens alle halbe Jahre aufzuladen sind. Der Unterschied des magnetischen Moments der Nadeln vor und nach dem Ummagnetisiren betrug in den extremsten Fällen nur eine 1,5 Scalen- theilen entsprechende Grösse 4. В. wenig mehr als ', Procent des ganzen magnetischen Moments und durchschnittlich nur die Hälfte dieser Grösse. Schwerpunktsjustirung. Bei Vorversuchen im Juli und Anfangs August habe ich durch Abschleifen des schwereren Nadelendes mit einem Blaustein den Schwerpunkt aller Nadeln so justirt, dass bei Nadel I und Ш die vor und nach der Ummagnetisirung erhaltenen Ineli- nationswerthe nur 1 bis 3’, bei den Nadeln II und IV aber 10’ differirten. Magnetischer Meridian. Nach dieser Berichtigung erfolgte die Bestimmung der Ablesung am Horizontalkreis, für welche die Drehungsaxe der Inclinationsnadel senkrecht auf dem magnetischen Meridian steht resp. also die Nadel im magnetischen Meridian liegt. Zu dem Ende war unter Benutzung des erwähnten Lothes die der vertikalen Stellung der Ver- bindungslinie beider Mikroskope (Mittelpunkte ihrer Fadenkreuze) entsprechende Ablesung am oberen Vernier des Vertikalkreises — 268° 51,4 — bestimmt worden und bei dieser Lage des Verniers resp. der Alhidade des Vertikalkreises wurde jetzt die Nadel durch Drehen des Gehäuses in allen ihren möglichen Lagen zum Einstehen beim oberen Mikroskop gebracht und jeweilen die Verniere am Horizontalkreis abgelesen. Das Mittel dieser Ablesungen bei 14 Н. Wizp, jedem Vernier um 90° vermehrt resp. vermindert ergiebt die sogen. Meridianstellung. Sie wurde so am 4. Juli mit Nadel I für den Vernier I und II identisch = 258° 18’ resp. 78° 18° gefunden. Eine zweite entsprechende Bestimmung am 16. August mit Nadel III ergab ganz das- selbe Resnltat. | i Das Inclinatorium ist an seinem Standort in der Zwischenzeit zwischen den Beobach- tungen stets senkrecht zum magnetischen Meridian und zwar mit dem Vertikalkreis nach Nord gewendet orientirt. Die Arretirung soll dabei stets gehoben werden und ihr Umkehrhebel an einem der Anschläge fest anliegen. Jeweilen vor Beginn der Beobachtungen werden mit- telst eines langen Pinsels von der oberen Oeffnung aus die Achatschneiden und die Arre- tirungspfannen von Staub gereinigt. Der Cylinder mit den beiden eingeschobenen Zangen in geöffnetem Zustande wird beständig auf einem Wand-Tischchen unterhalb der Magnetisirungsspirale im magnetischen Pavillon belassen. Am Beobachtungstage bringt man die Zink-Schachtel, in welcher sich die zu benutzende Magnet-Nadel befindet (in einer Schachtel sind je 2 Nadeln nebeneinander eingelegt), aus dem Hauptgebäude, wo sie gewöhnlich aufbewahrt wird, eine Stunde vor Beginn der Be- obachtungen in den magnetischen Pavillon für absolute Messungen und reinigt nach Oeffnen der Schachtel die Löcher an den Enden der fraglichen Nadel von beiden Seiten mit einem Haarpinsel. Darauf zieht man eine der Zangen aus der Verbindungsröhre heraus, hält sie mit der einen Hand in schwach geneigter Lage mit dem Schraubenende nach unten resp. der Oeffnung etwas höher, ergreift mit der anderen vermittelst eines Stückes reinen Leders oder Seidenpapiers die fragliche Nadel und schiebt sie mit dem Pol, der unmittelbar vorher Nord- pol war, und mit der Marken-Seite von der Nasen-Seite der äusseren Röhre abgewendet in die Zange, bis die Axe in die Ausrundung der Haken eingelegt werden kann. Unter Auswechs- lung der Hände ohne Aenderung der Zangenlage schraubt man jetzt, in der Richtung ent- gegen der Bewegung eines Uhrzeigers drehend, die Zange zu, bis sie die Nadel fest fasst, ohne indessen dieselbe zu quetschen. Hierauf reinigt man die dicken Zapfen der Nadel mit dem Pinsel und die dünnen mit Hollundermark und zieht unter Niederdrücken des Knopfs an der Nase die Nadel mit der Zange in ihre Röhre herein bis zu Ende d. h. bis zum Ein- schnappen der Feder. Darauf wird diese Röhre unter Beobachtung der Stellung des Stiftes und des betreffenden Schlitzes in der Verbindungsröhre in diese eingesetzt bis der Stift auf dem Grund des Schlitzes aufstösst, und sodann die Zange unter Niederdrücken des Knopfes an der Nase in ihre Umhüllungsröhre wieder ganz eingeschoben. Hiernach befindet sich die Nadel in der Mitte der ganzen Röhre, so dass man ihre Axe durch die Glim- merfenster sehen kann. Man schiebt darauf die ganze Röhre in das Magnetisirungssole- noid so ein, dass sie in deren Mitte der Länge nach, die fassende Zange gegen Süden, und mit der Nase nach oben zu liegen kommt; schliesst den Strom 15 Sec., öffnet 5 Sec. und) schliesst wieder für 15 Sec., worauf nach Zurückdrehen des Contacthebels der hölzerne NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 15 Arretirungsstift bei diesem eingesteckt wird. Die Röhre wird nun zum Ablenkungsapparat gebracht, mit den Nasen nach oben gewendet auf den Bock gelegt, der abgelenkte Magnet durch Ströme beruhigt und die Scale abgelesen; darauf die Röhre um 180° umgewendet und wieder die Scale bei der Ablenkung nach der anderen Seite abgelesen. Die halbe Diffe- renz der beiderseits abgelesenen Scalentheile wird als Ablenkung notirt. Man bringt sodann die ganze Röhre in den westlichen Saal zurück und schiebt sie wie- der in die Magnetisirungsspuhle aber in umgekehrter Lage d. h. mit der fassenden Zange nach Norden gewendet ein. Bei Beginn der Beobachtungen, °/, Stunden später, magnetisirt man, in ähnlicher Weise wie eben beschrieben, die Nadel um und bestimmt die Ablenkung, welche sie am Magnet im Central-Saal bewirkt. | Nach Zurückbringen der Röhre zum Inclinatorium zieht man unter Niederdrücken des Nasenknopfes die fassende Zange bis zu Ende heraus, wobei ihre Umhüllungsröhre aber noch in der Verbindungsröhre beider Zangen stecken bleiben muss, dann erst wird sie mit der letzteren auch aus der Verbindungsröhre herausgezogen und nach Abheben des obereren Deckels beim Inclinatorium in dieses eingeschoben, wobei wieder die Nasenstellung zu beobachten ist, so dass diese in ihren Schlitz an der Fassung einfällt. Unter Niederdrücken des Nasen- knopfes schiebt man jetzt auch die Zange herunter, löst die letztere durch Schrauben im Sinn der Bewegung eines Uhrzeigers vollständig, wobei die Nadelaxe sich in die Pfannen einlegt, zieht dann die Röhre aus dem Inclinatorium heraus und verschliesst die Oeffnung des Gehäuses mit dem Deckel. Man dreht hierauf das Gehäuse den Kreis nach Ost wendend in den Meridian und stellt den Vernier am Horizontalkreis genau auf die betreffende Ablesung ein. Um hierbei Ver- sehen besser vermeiden zu können, ist esräthlich beiderseits Anschläge für den Klemmenarm der Alhidade anzubringen. Unter vorsichtiger Lösung der Arretirung macht man die Nadel auf einen Augenblick frei, arretirt aber gleich wieder, wenn sie nahezu in die Inclinations- Richtung gekommen ist, um ein Anschlagen am Stuhl zu verhüten. Durch abwechselndes lang- sames Loslassen und Arretiren bringt man die Nadel nahe in die richtige Lage, so dass sie um diese nur noch ganz geringe Schwankungen macht, löst dann die Arretirung vollständig, beruhigt mit den Drahtspuhlen vollkommen, wozu der schwächere Strom in ihnen ausreicht, stellt das untere Mikroskop auf die Nadelöffnung ein, giebt ein elektrisches Signal zum unterirdischen Pavillon und liest die Zeit an einer Uhr sowie beide Verniere des Vertikal- kreises ab; darauf stellt man das obere Mikroskop auf die Nadel ein mit Signal zum unter- irdischen Pavillon und Ablesung der Uhrzeit nebst beider Verniere. Auf das durch Nieder- drücken einer neben dem Beobachter befindlichen Taste bewirkte elektrische Glockensignal im unterirdischen Pavillon für magnetische Variationsbeobachtungen liest der dort befindliche Hülfsbeobachter sofort den Stand des Bifilarmagnetometers und der Lloyd’schen Wage ab. Man arretirt jetzt die Nadel schwach, dreht nach Lösung der Klemme den Kreis wie- der nach Nord senkrecht zum magnetischen Meridian, löst schwach die Arretirung und ar- retirt sofort die Nadel wieder ganz, wenn sie ungefähr eine vertikale Stellung eingenommen 16 Н. Wizp, hat. Nunmehr legt man sie mit dem Pfannen-Hebel durch Drehen am betreffenden Knopf um 180° um, dreht den Kreis in die Meridianlage nach Ost zurück, stellt am Vernier des Hori- zontalkreises nach erfolgter Klemmung mit der Mikrometerschraube genau auf den Meridian ein und beobachtet unter Lüsung der Arretirung die definitive Nadelstellung genau wie vor- her unter Notirung von Zeit und Abgabe von Signalen zum unterirdischen Pavillon. Die Nadel wird sodann wieder schwach arretirt, das Gehäuse mit Kreis über Nord nach West gedreht, am Vernier genau auf den Meridian gestellt und unter sehr vorsichtiger Lösung der. Arretirung die Nadel momentan frei gemacht, bis sie die neue Stellung auf der anderen Seite der Vertikalen annähernd angenommen hat, wieder arretirt und darauf wie oben nach und nach in der neuen Lage auf die Achatschneiden aufgesetzt, ganz beruhigt und nach Abgabe der Signale ihr Stand und die Zeit abgelesen. Darauf Е in entsprechender Weise folgende Operationen: Arretirung der Nadel, Vertikalkreis nach Nord gedreht, И der Nadel in der Vertikalstellung und Umlegung um 180°, Vertikalkreis nach West gedreht, Meridian am Horizontalkreis eingestellt, Nadel frei gemacht und beruhigt, Einstellung der Vo auf die Nadel, Signal, Uhrzeit, Ablesung des Vertikalkreises. Arretirung der Nadel, Vertikalkreis nach Nord, Nadel gut vertikal gestellt ai voll- kommen arretirt. Die eine Zange wird von oben eingesetzt, die Nadel durch Zudrehen der Zange gefasst und unter Festhalten der Umhüllungsröhre und Niederdrücken der Nase die Zange mit der Nadel in diese hereingezogen, bis die Feder einschnappt und jetzt Alles zusammen aus dem Inclinatorium entfernt werden kann, worauf die Oeffnung des Gehäuses mit dem Deckel verschlossen wird. Die Röhre mit Nadel aber schiebt man in die beiden Zangen gemeinsame Fassung einund . darauf die Zange mit der Nadel unter Niederdrücken des Knopfes in ihre Umhüllungsröhre hinein, so dass sie in die Mitte des ganzen Systems zu liegen kommt, also die Axe der Nadel durch das Glimmerfenster sichtbar wird. Jetzt wird die andere Zange zugeschraubt, bis ihre Haken ganz lose die Nadel umfassen, dann die Röhre um ihre Längsaxe gedreht, bis die Nadelaxe nahe horizontal steht (Nase nach vorn oder hinten), die erstere Zange schwach losgeschraubt, die zweite fest angezogen und die erstere darauf ganz gelöst. Nunmehr wird die ganze Röhre mit der jetzt fassenden Zange nach Norden gewendet in das Solenoid ein- geschoben, Dites Stromesschluss die Nadel ummagnetisirt, endlich die Ablenkung ge- messen. Wenn man dann die Nadel mit der Zange, in der sie festsitzt, in das Inclinatorium einführt, so kommt jetzt trotz der Ummagnetisirung doch wieder der Nordpol nach unten zu liegen und es kann sofort eine zweite Beobachtungsreihe genau wie die vorige, nur in Be- treff der Nadel- und Gehäuse-Stellung in umgekehrter Reihenfolge ausgeführt werden. Nach Vollendung dieser zweiten Beobachtungsreihe wird die Nadel wieder mit der einen Zange aus dem Gehäuse herausgehoben, worauf ihre Entfernung aus der Zange und NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 17 das Einlegen in ihr Etui, die Zinkschachtel, entsprechend wie früher das Einführen in die Zange, nur in umgekehrter Reihenfolge geschieht. Ich habe hier das ganze Verfahren bei der Beobachtung so ausführlich und mit allen Details geschildert, um auch solchen Beobachtern, welche zum ersten Mal mit dem Instru- ment zu thun haben, die Ausführung einer vollständigen und brauchbaren Beobachtung ohne Beschädigung der Nadel zu ermöglichen. Es genügt nämlich, wie die Erfahrung ge- zeigt hat, ein Unterlassen irgend einer der angegebenen Operationen, insbesondere bei der Benutzung der Zangen, um einen Bruch der Nadelaxe oder irgend eine andere Beschädigung der Nadel zu riskiren resp. ein fehlerhaftes Resultat zu erhalten. Ganz besonders ist auch, damit die Axe der Nadel jeweilen genau in die Verlängerung der Alhidaden-Drehungsaxe des Vertikalkreises falle, darauf zu achten, dass die Nadel durch die Pfannen der Arretirung schon sehr nahe in der definitiven Gleichgewichtslage auf die Achatschneiden aufgesetzt werde, weil sie sonst beim Freiwerden zur Einstellung auf das Gleichgewicht weiter rollt, also in eine excentrische Lage gelangen würde. _ Man wird bemerken, dass ich in jeder der 8 Hauptlagen der Nadel für eine Pol-Lage nur je eine Einstellung, statt mehrerer wie üblich, angenommen habe. Es schien mir dies bei der grossen Empfindlichkeit resp. der sehr sicheren Einstellung der Nadeln — wieder- holte Einstellungen mit Arretirung und Loslassen der Nadel gaben keine 0/5 übersteigende Differenzen — durchaus genügend. Die Ummagnetisirung der Nadel ungefähr 3/, Stunden (1. e. die Zeit, welche für eine Beobachtungsreihe mit einer Pol-Lage der Nadel nöthig ist) vor Anfang der Beobachtungen, die selbst mit einer zweiten Ummagnetisirung derselben beginnen, hat zum Zweck, bei der ersten Beobachtungsserie, z. B. mit Südpol am markirten Ende die Nadel in einen gleichen magnetischen Zustand wie bei der zweiten Beobachtungsreihe mit Nordpol am markirten Ende zu versetzen, da es denkbar ist, dass die Ummagnetisirung nach längerem Liegen der Nadel (durchweg 7 Tage) ein etwas anderes Resultat ergeben könnte als diejenige, welche ungefähr 3/, Stunden nach erfolgter Neumagnetisirung vorgenommen wird, wie dies jedenfalls bei der zweiten Beobachtungsreihe der Fall ist. Bei meinen gleich mitzutheilenden Messungen habe ich diese Vorsichtsmaassregel noch nicht beobachtet; die Resultate zeigen, dass der Einfluss dieser eventuellen Fehlerquelle jedenfalls nur ein sehr kleiner sein kann. Ich gebe zunächst ein Beispiel einer vollständigen Messung mit der Nadel I: Mémoires de l’Acad. Imp. d. sc. VII Série. eo 18 Н. Wizp, 1 Dr si À BR Bitilar- Lloyd's K Marke Einstell Mikroskop-Abl g \ wach ‚ mach auf Nadel ent Пома О О Marke Ost Ost oben 249°22/0 69012143199 341,0 Südpol » » unten 21,0 20,2 20,0 41,0 Ost West oben 249 36,5 69 35,5 21,1 41,0 » » unten 36,0 35,0 21,2 41,1 West Ost oben: :288:21;7 4110848100 22,1 41,2 » » unten 22,0 21,0 22,1 41,2 Abl. West West oben 288. 5,2: 108 4,2 22,3 41,4 223,0 » » unten 4,7 3,0 22,2 41,5 IR LE 22,01 22,00 Marke ( West West oben 288 14,2 10813, 2528.8 342,2 Nordpol » » unten 14,0 13,0 24,0 42,5 West Ost oben | 128812 UP 2708 1150 24,0 42,7 » » unten ARS 10,5 24,2 42,7 | Ost West oben 249 29,5 69 28,0 24,2 42,9 » » unten 28,5 27,0 24,2 43,0 Abl. Ost Ost oben 249 33,2 69 32,5 25,0 43,1 221,0 » » unten 32.5 31.5 26,0. 43,2 MER RN 22,02 22,00 Die durch die Inclinationsnadel bewirkte Ablenkung ist bei der letzten Pol-Lage ausser gleich nach der Ummagnetisirung auch noch nach Schluss der Beobachtungen gemessen worden, wobei dieselbe Zahl 221,0 erhalten wurde. Der Temperatur-Coefficient des angewandten Bifilarmagnetometers betrug im Sinne der Uebercompensirung 0,84 Skalentheile pro 1° und derjenige der Lloyd’schen Wage ent- sprechend 0,44 Skalentheile pro 1°, somit ist am Mittel der Bifilar- Angaben in der ersten Pol-Lage zur Reduction auf die Normal-Temperatur von 21900 die Correction: — 0,844 Skalentheile und in der zweiten Pol-Lage: — 0,853 anzubringen und bei der Lloyd’schen Wage beträgt diese Correction für die ganze Zeit: — 0,44 Skalentheile. Bilden wir je das Mittel der Einstellungen oben und unten, dann die Differenzen der so erhaltenen Winkelgrössen und der der Horizontal-Lage der Mikroskopverbindungslinie entsprechenden beiderseitigen Vernier-Ablesungen i. e. 178° 51/2 und 358° 51,2 und neh- men das Mittel aus den für beide Verniere so erhaltenen Grössen, so gewinnen wir je 8 Werthe der Inclination aus jeder completen Messung, welche wir in der nachstehenden Tabelle für jede Pol-Lage besonders, unter Beifügung der Ablenkungen an dem Unifilar im NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 1:9 Centralsaal und des Mittels der auf die Normaltemperatur reducirten Ablesungen an den beiden Variationsapparaten für Horizontal-Intensität Нива Vertikal-Intensität У mittheilen. Die Daten gelten für neuen Styl. 20. 24. 22. 23. 1889. August » » .. August » » August » » August » » August » EE 70°41/22 41,80 40,10 70°29/88 98,60 30,55 70222,35 21,05 29,28 70°65,35 66,78 66,55 70°40/80 38,72 37,52 70°45/55 50,98 50,55 EW WE WW Nadel Т. Marke Nordpol. 70°37/05 70°39'95 70°37/60 37,60 30,40 35,60 36,65 40,10 36,40 Nadel I. Marke Südpol. 70°44/55 ` 70°29/78 70°46/80 45,60 29,60 46,15 42,65 32,02 45,22 Nadel II. Marke Nordpol. 70°73/68 70°21/28 ' 70°75/15 74,92 22,90 75,90 76,60 20,65 76,45 Nadel II. Marke Südpol. 70° 9/90 70°67/45 70°12/05 8,65 66,68 10,92 10,65 68,18 9,45 Nadel III. Marke Nordpol. 70°59/05 70°40/10 70°58/72 55,28 39,35 54,42 55,28 37,48 53,48 Nadel Ш. Marke Südpol. 70°30/48 70°46/02 70°28/82 36,95 51,05 35,20 34,90 49,95 34,59 Abl. 921,0 222,2 291,0 320,25 325,48 316,26 319,47 324,14 318,50 341,20 351,91 341,49 342,02 356,79 341,37 1889. EE EW WE ww Abl. H У Nadel IV. Marke Nordpol. 19. August 70°36/65 70°60/65 70°35/25 70°60/35 284,2 391,91 340,33 DDRM 34,32 62,20 34,02 61,98 283,7 325,03 345,76 Day 33,10 61,90 32,98 62,85 282,9 329,24 346,57 Nadel IV. Marke Südpol. | 19. August 70°49/30 70°24/20 70°51/52 70°22/02 284,5 322,51 340,75 29. о 54,30 22,40 55,48 21,82 2841 323,23 344,06 98. 9 55,02 21,02 54,60 21,20 283,0 327,92 346,05 Hierzu ist nur zu bemerken, dass bei der Nadel III zwischen der Beobachtung vom 16. und 22. August die Axe herausgenommen und der dickste Theil derselben am Rande etwas abgeschliffen wurde, da er in die Pfannen zu stramm hineinpasste. Wenn wir also von der durch diesen äusseren Eingriff veranlassten Veränderung dieser Nadel absehen, so be- merken wir bei allen Nadeln je in den entsprechenden Lagen an den verschiedenen Beob- achtungstagen nur geringe Differenzen (Max. 3’), wovon allein bei der Beobachtung am 19. August die Nadel IV mit Markende als Südpol in den Lagen Ost Ost und West Ost eine Ausnahme macht, indem da die Differenz auf 4—6’ steigt. Diese Beobachtungen er- scheinen daher etwas verdächtig und sehr wahrscheinlich ist auch einem dabei begangenen Fehler die später zu erörternde Abweichung des Resultates dieser Beobachtungsserie von ungefähr 1’ beizumessen. Magnetische Störungen, welche auf diese Messungen hätten influiren können, haben nur am 20. August zur Zeit der Beobachtung mit der Nadel II und sodann auch am 23. August zu Anfang der Beobachtung mit der Nadel IV stattgefunden. Sie haben indessen . dank den gleichzeitigen Ablesungen an den Variationsapparaten, wie wir sehen werden, keinen über die Beobachtungsfehler hinausgehenden Einfluss auf das Resultat gehabt. Angenommen die sub 2 angegebenen Justirungen des Instruments seien ganz genau ausgeführt worden, so würden die 4 in der vorstehenden Tabelle angegebenen Gleichge- wichtslagen einer Nadel bei der einen Pol-Lage folgenden 4 Gleichungen entsprechen: Lage. Marke Nordpol. EE :m-sin (с — 9 = g-cos (f + Q), EW :m-sin (е — ce — 9 = g-cos (е — Q), WE : т. 3 (4 + с — à) — Q:-cos (k + Q), : WW : m:sin (9 — с — à) = 9: cos (9 — 9), NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 21 wenn wir an den von Gauss !) eingeführten Bezeichnungen festhalten, 4. В. mit m das Pro- duct des magnetischen Moments der Nadel in die ganze Intensität der erdmagnetischen Kraft, mit 4 das Product von der Masse der Nadel mit der Beschleunigung der Schwere und mit der Entfernung des Schwerpunktes der Nadel von ihrer Drehungsaxe, sodann mit $ die wahre Inclination (bei allen 4 Beobachtungen als identisch vorausgesetzt), mit c die Collima- tion der magnetischen Axe der Nadel, i. e. den Winkel der letzteren mit der die Mitte der beiden Löcher verbindenden Linie, mit © den Winkel der letzteren Linie mit der Verbin- dungslinie des Schwerpunktes der Nadel und ihrer Axe, endlich mit f, e, h, g die in unserer Tabelle angegebenen, aus den Messungen folgenden Winkel je einer Horizontalreihe dar- stellen. Aus den vorstehenden Gleichungen folgt nun zunächst, dass bei vollkommener Con- struction und Justirung des Instruments sammt seinen Nadeln die Gleichheiten DTA) M bestehen müssten, also in unserer Tabelle die Grössen in den Rubriken EE und WE einer- seits und EW und WW andererseits je für dieselbe Beobachtungsreihe identisch sein sollten. Das ist nun in ‚Wirklichkeit nicht der Fall, vielmehr ergeben sich folgende Differenzen: Nadel I. Nadel Ш. EE—WE WW EE—WE EW—WW Nord-Pol 1/97 —0/55 0/70 0/33 2,40 2,00 — 0,63 0,86 0,00 0,25 0,04 1,80 Süd-Pol DRK — 225 —0,47 1,66 1,00 —0,55 007 1,75 AT, pr 0,60 0,38 Mittel : == 1/20 = 04707. 3 Nadel II. Nadel IV. Nord-Pol 1,07 un 1,40 0,30 2685 —0,98 0,30 0,22 1,63 0,15 ото —0,95 Süd-Pol —2,20 0.5 22199 2,18 0,10 о 31,18 0,58 —1,63 1,20 0,62 os Mittel : + 1/38. + 0/85 1) Gauss, Beobachtungen der magnetischen Inclina- | 1841. 5. 28—82. tion in Gôttingen. Resultate des magnetischen Vereins für 22 Wenn wir von den kleinen Veränderungen der Inclination während der Messungen selbst absehen, so sind also die Fehler der Construction und®Justirung der Art, dass sie bei den Nadeln I-und II mittlere Unsicherheiten bis zu 1/38 und bei den Nadeln Ш und IV bis zu 0,85 bedingen können. Dass dieselben bei der Nadel II fast doppelt so gross sind als bei der Nadel ПТ, beweist aber, dass ein beträchtlicher Theil dieser Unsicherheit | auf die Nadeln selbst fällt, wobei es vor der Hand dahingestellt bleiben mag, ob eine ver- schiedene Dicke der beiden Zapfen oder eine Abweichung ihres Querschnittes von der Kreis- form die Ursache ist. Auch das viel grössere specifische magnetische Moment der Nadeln H. Wizp, III und IV könnte auf die grössere Sicherheit ihrer Angaben influirt haben. Jedenfalls ist es aber dem Vorigen gemäss gerechtfertigt sich weiterhin bloss an die Mittel: d. h. der diesen Lagen entsprechenden Winkelgrössen in der obigen Tabelle zu halten. Für diese gelten dann bei der einen und der anderen Pol-Lage folgende schon von Gauss (1. с.) aufgestellte Gleichungen: 1) sn Ес 2) sin (9 — c 3) sit Рес 4) sin (9 —c wo: gesetzt sind, с die Collimation und m’ das m entsprechende Product nach der Ummagneti- | ЕЕ + WE Ра И a 2 я а EW + WW für die Lagen: _ Marke: — À) = + cos (f — 0) ЕЕ und WE Nord-Pol. — = + Zresg— QM) Ем und WW} + о = — À. cos (f+0Q) ЕЕ’ und vel Süd-Pol. —ÿ=—#%.c0s(—Q EW und WW} _ EE+WE EW + WW Г = 2 2,9 — 2 ’ ‚, EE'+ WE ., _ E'W/+ WW! LE и = т sirung der Nadel darstellen. Aus diesen vier Gleichungen ergeben sich folgende: +9 N RENTEN m.cos € cos (ES) 2 / ! An q 2 m’.cos с’ ee ) SCO NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 25 Ferner: Kalt cos + Q MEET 1-9 4 | 2 ) 2 — lang He ie ых у 2 О 5 se ии : cos ( 5 +) о ша re И (rs ) cos 2 + C Unter Berücksichtigung der Gleichung: tg НЕ b ar tang о de =) folgt aus 7) und 8) weiterhin: N dl a Beh D LA SERA er er ИИ tg à = tang EE 2 N QU | А АРЬЕ 1 — te PTE 1 со? + 4) и воз (Я +9) РЕК ET] : QE ми gene cos 5 3 = Fi cos ( 9 +e) und : 44 / . cos $ (rang 58 — fang 7 =” Zufolge der Tabelle auf S. 19 beträgt der grösste Unterschied zwischen den magneti- schen Momenten einer Nadel vor und nach dem Ummagnetisiren, nämlich am 17 August bei Nadel I: 2 Procent des ganzen Werthes, oder es war da: LA m 225,0 Für 2 rechts vom Gleichheitszeichen genügt es je einen angenäherten Werth der In- clination zu setzen, z. B. 2 АЗ 'oder cos 11033024. In der folgenden Tabelle gebe ich sodann die aus der Tabelle auf S. 19 abgeleiteten Werthe von f, g etc. Fr > 24 Nadel. 1889. mi 9 70° + 70° + 70° + 70° + 70° + 70° + I. 17. August 40,585 37,325 38,955 1,63 29,830 45,675 37/752 20%... 0 40,600 36,600 38,600 2,00 29,100 45,875 37,490 Dar 40,100 36,525 38,310 1,79 31,285 43,935 37,610 eg '» 21,815 74415 48,115 —2630 66,400 10,975 38,687 20...» 21,975 75410 48,692 —26,72 66,730 9,785 38,257 24. » 21,465 76,525 48,995 —27,53 67,365 10,050 38,707 IT. 16. : ‘Mn 40,450 58,885 49,667 — 9,22 45,785 29,650 37,717 20. » 39,035 54,850 46,942 — 7,91 51,015 36,075 43,545 DB. 37,500 54,380 45,940 — 844 50,250 34,710 42,480 IV. 19... > 35,950 60,500 48,225 12,27 50,410 23,110 36,760 Dr» 34,170 62,090 48,130 13,96 54,890 22,110 38,500 98.» 33,040 62,375 47,707 —14,67 54,810 21,110 37,960 An der Hand dieser Daten wollen wir zunächst den Werth des Factors in der Klam- mer des ersten Gliedes rechts in Gleichung I untersuchen. Derselbe wäre 1: do RQ = wäre. Nehmen wir nun in vorstehender Tafel die beiden zusammengehörenden TEA RUE Werthe dieser beiden Grössen, die am meisten verschieden sind, nämlich in runder Zahl: 2 so erhält man: + + g' TE LE Le je Дел — о 4 Durch diesen Factor aber würde der unmittelbare Werth von: el 2 70040! übergehen in 70° 422,7, d. В. um einen Betrag verändert werden, der bei Weitem +9 — 70°48' und TEE — 70°36', die Fehlergrenze der Beobachtungen erreicht. Somit kann dieser Correctionsfactor in unse- rem Fall ganz vernachlässigt werden. Um den Werth des zweiten Gliedes rechts in Gleichung I bestimmen zu können, sollten die Grössen 4/», О und с nebst c’ bekannt sein. Dieselben lassen sich indessen nicht genau ermitteln, selbst wenn man das viel umständlichere Verfahren von Gauss (l. c.) hierfür an- wenden wollte. Für unsere Zwecke genügt indessen eine angenäherte Abschätzung и. vermittelst der Gleichungen 5), 6) und 9). wenn nicht NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. 25 Die Gleichungen 5. und 6. zeigen unmittelbar, dass wir in erster Annäherung | is IS 9. й. / und с = 5 setzen.können. In Berücksichtigung dessen und der obigen Werthe für m’/„ und cos;, gent zunächst die Gleichung 9. über in: и Й 0,33024 (tans га DUR ) ET ar A (+ Q) 1.009 „воз (72 = e) Führen wir hier für f, g etc. die Werthe für Nadel IV vom 19. August ein, welche für Л — un und ^ Be nahe die grösste Differenz aufweisen, so kommt: q 0,33024 (tang 70°48’ — tang 70°36’) 0,01055 ев er m’ cos (14° +- Q) + 1,009.cos (Q — 12°) ” cos (Q + 14’) + 1,009. cos (9 — 12) ° Die Grösse des Winkels © ist unbekannt. Setzen wir der Reihe nach: Q = 0, — — 805: so kommt: 2 — 000527 % —.0,00743, == 0,0303, Der Art und Weise der Construction der Nadeln entsprechend ist es durchaus unwahr- scheinlich, dass @ einen beträchtlich grösseren Werth als 45° annehme — bei den Nadeln des Instrumentes von Gauss war z. В. О ungefähr 12° — und es wird demnach kaum: 27 0.0074 ‚werden. Die Ausdrücke 5. und 6. können wir daher mit ganz genügender Е folgendermaassen vereinfachen: tg c = — 18 774 — 0,0074.sin 3° + sin (7 +9) вы 0. sin (5 “+0) und wenn wir hier wieder О = 45° und annähernd а — = — 70° 42’ annehmen, so kommt: | о == a We el + are. 17. Mémoires de l’Acad. Гор. 4. se. VII Serie. TP NN UE A TE QU RP EN м 26 H. WiL», Hieraus geht wenigstens Das hervor, dass die м. с und c’ jedenfalls in unserem Fall von der Ordnung der Grössen == und —— Rs waren und kaum bei irgend ei- . ner Nadel den Werth von 30° überschritten haben des Das zweite Glied rechts in Gleichung I kann daher mit ganz genügender Annähe- rung zu: | + 0) q fg т’. 7—9 2m’ cos $ [ eos | 2 FR Q m eos 2 vereinfacht werden. Setzen wir nun hier beispielsweise: Fa np, о бра 2) also auch: 4 — 0,0074, 20cos = 0,66048, "= 1,009, т er) so wird der Zahlenwerth des obigen Ausdrucks: 0,000075. Das zweite Glied rechts in Gleichung I wird also in unserem Fall jedenfalls keinen grösseren Werth als 0,000075, was arc. 15” oder атс. 0/25 entspricht, annehmen und daher als eine den Beobachtungsfehler nicht übersteigende Grösse ebenfalls im sale Au ver- nachlässigt werden können. Bei unserem Instrument können wir somit in der That in der üblichen Weise mit einer den Beobachtungsfehler nicht een Annäherung die wahre Inclination einfach nach der Formel: Mere HE berechnen. In der folgenden Tabelle stelle ich die nach dieser Formel mit den Werten der vori- gen Tabelle berechneten Inclinationen $ zusammen mit den Werthen Г der Inclinationen, welche aus den gleichzeitigen Ablesungen an den Variationsapparaten abzuleiten sind und den mit unserem älteren Inclinatorium von Dover in London № 21 erhaltenen Daten ent- sprechen. Zu dem Ende waren je für das Mittel der Skalen-Ablesungen bei Marke Nordpol und Südpol an den Variationsapparaten für Horizontal- und Vertikal-Intensität nach der ersten Tabelle die absoluten Werthe 7 und Г es Intensitäten nach den für diese Zeit geltenden Formeln: H = 1,63425 + 0,0002568 (n — 300) У = 4,6870 -+ 0,0002528 (w — 300) NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. РЖ! zu berechnen, wo » die mittlere, auf 21° C. reducirte Skalen-Ablesung am Bifilarmagneto- meter während der betreffenden Beobachtungsreihe und w die entsprechende an der Lloyd’- _ schen Wage beobachtete Grösse darstellen. Und daraus ergab sich dann 1 nach der Formel: И re ne u ER CR Te PS СЯ 5 en = tang 1 = а Mittel 1889. У H I i I—i der Differenz Nadel, 50) 17. August 4,6975 1.63991 70°45/35 79°38/35 7'00\ 20. » 4,6973 1,63865 46,12 38,04 8,08 EE 0/64 I DA...» 4,6987 1,64204 44,23 37,96 6,27) 17. August 4,6975 1,63935 70 45,71 7043,40 231) 50.» 4,7007 1.64062 45,61 43,47 91419,94 #007 I 24. » 4,6975 1,63871 46,13 43,85, 2,28 } | ‚ 16. August 4,6985 1.564009 70 45,46 70 43,69 1,77 | 29. : » 4.6980 1,63835 AA Ro oA AS Ш 23. » 4,6974 1,63956 45,55 44,21 1,34 | 19. August 4,6972 1,63995 70 45,25 7042,49 2,76 22. » 4,6983 1,64045 45,18 43,32 1,86 ; 2,10 0,44 IV | › 456987 164159 44,59 42,83 1,69 Schon auf S. 20 ist darauf hingewiesen worden, dass das Resultat vom 19. August für Nadel IV eines bei der Beobachtung der Nadel mit Markenende Südpol in den Lagen EE und WE wahrscheinlich begangenen Fehlers halber unrichtig werden dürfte. Dies wird offenbar durch die, eine ganze Minute betragende Abweichung der Differenz I — à für diese Beobachtung im Vergleich mit den folgenden Messungen von mir sowie auch mit hier nicht _ aufgenommenen späteren Beobachtungen anderer Personen bestätigt. Schliessen wir daher diese Beobachtung als fehlerhaft aus, so erhalten wir für Nadel IV als mittleres Resultat der Differenz 1—8: | ПОР und 23% Ausust: Г 1177 © 0,09 Nadel IV. Für die Nadeln II, Ш und IV übersteigt also nach dieser Berichtigung der mittlere relative Fehler einer Inclinationsmessung nicht = 0,2, wohl aber weichen die absoluten Resultate, welche jede dieser Nadeln für sich im Mittel giebt, um mehr als das Doppelte dieser Grösse vom mittleren Werth aller drei 1. e. 1,82 ab '). Freilich ist auch diese grös- “ 1) Schon aus der Anordnung der Beobachtungen folgt, | kann. Es sind dies übrigens die vorzüglichen Apparate, dass kein erheblicher Antheil an diesen Differenzcn etwa | welche ich kürzlich in diesen Memoiren (T. XXXII, №4) Fehlern der Variationsapparate beigemessen werden | beschrieben habe. MN Per DU PERTE A СОС. ‚7 А: 0 $ r AB Н. Wınp, NADEL-INCLINATORIUM MODIFICIRTER CONSTRUCTION. sere Differenz (= 0/4) der Resultate der drei Nadeln II bis IV untereinander gegenüber den Erfahrungen, die bei anderen Inclinatorien in dieser Richtung gemacht worden sind, eine verhältnissmässig geringe und es muss daher hier um so mehr die grosse Abweichung des mittleren Resultates für die Nadel I von dem der übrigen Nadeln auffallen. Die verhält- nissmässig viel grössere Unsicherheit. der Beobachtungen mit dieser Nadel vermag diese Abweichung nicht zu erklären. Ebenso zeigen auch die Zahlen der ersten Tabelle für diese : Nadel keine hervortretenden Unregelmässigkeiten und nur in der 2. Tabelle fällt auf, dass — ern 7 С . . © .. he die Werthe von ni und = für diese Nadel um circa 6’ verschieden sind, während sie bei den anderen Differenzen von höchstens 2’ aufweisen. Eine Ersetzung der Axe dieser Nadel durch eine andere hat das Gesammtresultat und die Unsicherheit der einzelnen Mes- sung nicht wesentlich verändert, es muss also künftigen Untersuchungen vorbehalten bleiben, die Ursache dieser Abweichung zu ermitteln. Vor der Hand bin ich geneigt, sie in einer ungleichförmigen Härtung und demgemässen unregelmässigen Magnetisirung der Nadel zu suchen, worauf die Veränderung der Collimation der magnetischen Axe beim Ummagnetisi- ren hinzuweisen scheint. H Wild, Nadel-Inelinatorium. Hem, de head. пр. des Ge. ИИ, série. ХЕХЕ Tafel I. Danone B Im IIImo due Cno.-Iloutaarreras 13. № Н, Wild, Nadel-Inelinatorium. Tafel IT. em. de l'cad, пр, des Ge. МИ т ЖАРЕ Фототиши В. И, Штейнъ, Сиб. Иочтамтекал 13, ‚serie, ВЕР ин а О was ‚Bi, U kienroßodn H-WILD, Nadel Inelinatortum. 117 Y “is Mem del Acad Imp.des SeWVW°serte ГА Tafel. Ш. en a 3 < KKKKKKKKKKKKKKKKKK N 1 ces | ААА LES = ТИ о I DT ИИ LOT СРР НН NEN jo = meet — Ÿ VD 17] DD) D MM a es | rt Am Q atı nn SS TN DIN CI о N RI III IT NY RUE TO TO EE EEG N ОНЛАИН ИТ 7000090) x Bomann NN URL ИНО ER mu RU LUS 3 RUN AT] ыы u о ТТТ 7 D „Лит. Akoscowa CITE .. > : we U = er я + LE | | a р | Be ee | R | 4 : $ 0 м В 7 р . т L Br 1 | R N : ` RTS . : Û NN р mu у M. О и \ Nr x сы и Е (0e у у : 2 N : . " 4 Е N ; f , ! | ` e * Г . `` й ‘ ‚ x fi À MÉMOIRES L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST. -PETERSBOURG, VIF SERIE. Tone XAXVIL N°6. SERISUN-NESTORIAMISGHE GRABINSCHRIFTEN AUS SEMIRJETSCHIE, HERAUSGEGEBEN UND ERKLÄRT VON D. Chwolson. Nebst einer Beilage: ÜBER DAS TÜRKISCHE SPRACHMATERIAL DIESER GRABINSCHRIFTEN VOM AKADEMIEKR DR. МГ, Radloff. MIT DREI PHOTOTYPISCHEN TAFELN UND EINER EBENSOLCHEN, vON PROF. DR. Julius Euting AUSGEARBEITETEN SCH-RBRIFTTAFEL. (Lu le 8 mars 1888.) St.-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St. -Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: MM. Eggers et Ci et J. Glasounof; М. N. Kymmel; Voss’ Sortiment (G. Haessel). Prix: 4 ВЫ. 15 Кор. = 10 Mrk. 40 Pf. MÉMOIRES L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VIF SÉRIE. Tone XXXVII, N°6. SERINCH-NENTORANINUNE GRABINSCHRIFTEN AUS SEMIRJETSCHIE, HERAUSGEGEBEN UND ERKLÄRT VON 1». Chwolson. Nebst einer Beilage: ÜBER DAS TÜRKISCHE SPRACHMATERIAL DIESER GRABINSCHRIFTEN VOM AKADEMIEKR Dr. Г, Radloff. MIT DREI PHOTOTYPISCHEN TAFELN UND EINER EBENSOLCHEN, VON PROF. DR. Julius Euting AUSGEARBEITETEN ЕВЕ PELLE EE Le (Lu le 8 mars 1888.) $ ï SZ or CONE; PA GENE Rn еж у Ав ENG | AUGZO 102! St.-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.-Petersbourg: à Riga: à Leipzig: MM. Eggers et Ci° et J. Glasounof; М. М. Кушше!; Voss’ Sortiment (G. Haessel). Prix: 4 Rbl. 15 Kop. = 10 Mrk. 40 Pf. PE or - Imprimé par ordre de РАсадение ee ur sciences. Avril 1890. | Kar 6 т des sciences. О VORWORT. Die vorliegende Schrift enthält den Text, die Uebersetzung und Erklärung von 206 syrisch-nestorianischen, im Gebiete von Semirjetschie aufgefundenen Grabinschriften, von denen 166 datirt sind. Einige wenige unter ihnen sind in syrischer Schrift, aber in türkischer Sprache abgefasst; mehrere unter ihnen enthalten einzelne türkische Worte, oder auch ganze türkische Phrasen. Ueber die Auffindung und Entzifferung dieser Grabinschriften ist in der Einleitung das Nöthige gesagt worden und ich habe dem dort Gesagten nichts hinzuzufügen. Bei der schlechten Beschaffenheit des Materials, welches mir zu Gebote stand, dann bei der Eigenartigkeit des Schriftcharakters und der Sprache dieser Inschriften, glaube ich wohl, dass ein künftiger Forscher, bei einer neuen Untersuchung des ganzen Materials, noch vielleicht manche Berichtigung meiner Lesungen und wohl auch der Er- klärungen der Inschriften lieferen dürfte. Ich will daher angeben, wo das ganze Material sich jetzt befindet. Eine vollständige Sammlung der in Wjernoje, dem Hauptorte von Semi- rjetschie, verfertigten photographischen Abdrücke vieler Grabinschriften besitzt die hiesige Universitäts-Bibliothek; dann die Moskauer archäologische Gesellschaft, bei der sich auch einige Originalsteine befinden; endlich die hiesige «kaiserliche archäologische Commission», die ausserdem noch gegen 150 Farben- und Grafit-Abdrücke von den Inschriften besitzt. Gegen 115 Originalsteine liegen wohlgeordnet in dem asiatischen Museum der hiesigen kaiserlichen Akademie der Wissenschaften. In Wjernoje befinden sich noch jetzt gegen 500 Originalsteine, über deren Inhalt mir nichts bekannt ist. Im Jahre 1886 habe ich in diesen Memoiren ($. XXXIV, № 1) zweiundzwanzig dieser Grabinschriften in einer Abhandlung, betitelt: «Syrische Grabinschriften aus Semirjetschie», veröffentlicht. Alle diese Grabinschriften — mit Ausnahme der sehr undeutlichen № II, — habe ich, berichtigt und verbessert, in der vorliegenden Schrift wieder mitgetheilt. Um dieses Werk von der früheren Abhandlung beim Citiren п leichter zu unterscheiden, habe ich die erstere betitelt: «Syrisch-nestorianische Grab- inschriften aus Semirjetschie»; denn alle diese Grabinschriften stammen factisch von Nesto- rianern her. Meinen aufrichtigsten Dank muss ich Herrn Akademiker У. Radloff abstatten, ohne dessen gütige Hilfe ich diese Inschriften nur theilweise hätte erklären und richtig auffassen können, und ich muss ausdrücklich sagen, dass ich die Erklärung und das Ver- ständniss dertürkischen Bestandtheile dieser Inschriften ausschliesslich ihm zu verdanken habe. Ich danke ihm auch dafür, dass er die vorliegende Schrift durch seine lichtvolle Ab- handlung über die dialektische Stellung der türkischen Bestandtheile dieser Inschriften zu schmücken die Güte hatte. Desgleichen danke ich der «kaiserlichen archäologischen Commission» für die grosse Liberalität, mit der sie mir das ganze Material, das sie aus Wjernoje erhalten -— inclus. die Originalsteine, die sie später der Akademie der Wissenschaften überlassen — zur vollstän- digen und freien Benutzung gestellt hat. Auch Herrn Prof. Theod. Nöldeke kann ich meinen Dank nicht versagen für manche gute Rathschläge, die er mir bei meiner schwierigen Aufgabe zu ertheilen die Freundlichkeit hatte und die ich, ihn immer ausdrücklich nennend, meistens benutzt habe. Meinen wärmsten Dank spreche ich hier auch aus gegen meinen lieben Freund Prof. Dr. Julius Euting für die herrliche Schrifttafel, die er im Auftrage der kaiserlichen - Akademie der Wissenschaften und auf meine Bitte für dieses Werk verfertigt, wodurch er zugleich der semitischen Paläographie einen glänzenden Dienst geleistet hat. Die Quellen, die er bei der Ausarbeitung dieser Tafel benutzt hat, sind unten p. 164 ff. angegeben. Für die Columnen 95—96, welche die in unseren Grabinschriften vorkommenden Buchstaben- formen enthalten, dienten ihm als Quelle diejenigen der mir zu Gebote stehenden Photo- graphien, Farben- und Grafit-Abdrücke, in denen die Schriftzüge der Buchstaben durch grössere Deutlichkeit sich auszeichnen. St. Petersburg. December, 1889. Der Verfasser. Inhaltsverzeichniss. Die im Gebiete von Semirjetschie aufgefundenen syrischen Grabinschriften, ............... Péuiinduneound Entzitterung dieser Inschriften д... оне ее еее ный. en R ее иене №. Аеиззеге und innere Form der Grabinschriftens. и... зи... 0 0 6 nee иен en © ее) eo les ое!" 508 16 ое "1. arena se, Bla, 0,0 len: ee А етее Bemerkungen über diese»Inschriftehn.. 20414 4.144410 .0, lan nee Henkunttaund@VerfassersdieserInschuitten ee. we le tone ее а ele le а Verbreitung des Christenthums nach den Ostländern der Türken und die Propaganda der Е PR Re Ml ee Co deg time note И se 2 ct eue Dee MerticalenSchrelbartabDeNdentSyTerne de nl ee een era ce ANT aile ce en Inne less era Der Schriftcharakter der Grabinschriften, .....,........, D'eRSDrA CREER INSCRIRE Wire PR RE NE nn RE RER а Ве ОВ Ча ОЕ И. Ren ПЕ ООО О rn as NES RO TE оо о ne Die culturhistorische Bedeutung der Inschriften cotes fo tan ane te eleln este dette elle ets eu ns оо ооо вое О о оО ESS о dee De Le О RS rune tele Audeutune antéeineiChristenverfoleunp о ее UN Ne Поняв ee ie DietGrabinschriften ОБ Tokmak ins енино SA RE AR a EI RER Wahrscheinliches Verschwinden des Christenthums in jenen Gegenden während der zweiten Hälfte des XIV. und ersten Hälfte des XV. Jahrhunderts ... .........,......... Die syrisch-christlichen Eigennamen in den Grabinschriften ....................... ID espiinleisie hemmEigennamens EN URL RER Le vie И dune selon eue ei art Beilage I. Das türkische Sprachmaterial der im Gebiete von Semirjetschie aufgefundenen syrischen Grabinschnitensvon@ WI Badloßf. Mn ln en en ee Alphabetisches Verzeichniss dieses türkischen Sprachmaterials ..........,.,............. Bellasen in Zusätzesund "Verbesserungen ur se an u ee lee ee Brenn one Beilage III. Die Quellen und Denkmäler, nach denen Prof. Julius Euting die beiliegende Schrift- CAISSE END ERA CEE EU ne N een ae ee Bde he ete à een Die im Gebiete Semirjetschie ') aufgefundenen syrischen Grabinschriften. Le Auffindung und Entzifferung dieser Inschriften. Ueber die Auffindung dieser Inschriften liegen mir mehrere Berichte vor und zwar: 1) verschiedene Mittheilungen in der Восточное 0603phuie (morgenländische Revue) № 44 vom 14. November 1885 und vom 30. Januar 1886 von Dr. Pojarkow (s. unten), und noch nicht veröffentlichte handschriftliche Nachrichten von demselben. Dann 2) ein Bericht des Herrn N. N. Pantussow, Beamten für besondere Aufträge beim Kriegsgouverneur jenes Gebietes, veröffentlicht in den Abhandlungen der morgen- ländischen Abtheilung der hiesigen (St. Petersburger) Kaiserl. Archäologischen Gesellschaft, 1886, Heft II. 3) Ein ausführlicher, als Ms. gedruckter Bericht von demselben Hrn. N. N. P., enthaltend eine Beschreibung des Friedhofes bei Pischpek und der daselbst aufgefundenen Grabsteine, und endlich 4) nicht veröffentlichte, an mich gerichtete Briefe seiner Eminenz des Bischofs von Turkestan und Taschkend Neophyt. Aus diesen Berichten theile ich hier Folgendes mit. 1) Dieses Gebiet liegt westlich von der chinesischen Grenze von Kuldscha und nordöstlich von Kokand, jetzt Fergana genannt. Nördlich ist diese Provinz be- grenzt von dem Gebiete von Semipalatinsk, westlich von dem des Syr-Daria, südlich von der chinesischen Provinz von Kaschgar und östlich, wie bemerkt, von dem chinesischen Gebiet von Kuldscha. Die Hauptflüsse des Gebietes Semirjetschie sind: der Ili, der östlich von Kuldscha entspringt und in den Balchasch-See — der theilweise zu diesem Gebiete gehört — sich ergiesst, und dann der Tschu (Tschui bei Ritter), der aus der Mémoires de l'Acad. Imp. des sciences. VIlme Serie. westlichen Spitze des Issyk-Kul(Isse-Kul beiRitter) entspringt und sich in den Alakul ergiesst. Diese beiden, zuletzt genannten Seen befinden sich ganz auf dem Gebiete Semirjetschie. Diese Provinz bildete vor der Mongolenzeit einen Theil des Reiches der Cara- Chatai und war früher reich bevölkert. Dafür sprechen die zahlreichen Spuren von früheren Ansiedelungen und befestigten Orten. Ueber dieses und das benachbarte Gebiet vergl. Ritter, die Erdkunde von Asien, I, Berlin, 1832, p. 394 ff. 2 D. Cuwouson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE Es sind zwei Friedhöfe mit syrischen Grabinschriften gefunden worden, welche erstere in einer Entfernung von ungefähr 50 Werst (gegen 55 Kilom.) von einander sich befinden. Den einen von ihnen, den kleineren, entdeckte im Herbste des Jahres 1885 Dr. Pojarkow gegen 15 Werst südlich von dem Dorfe Gross-Tokmak, 1'/, Werst von den Ruinen eines alten, aus gebrannten Ziegeln erbauten Thurmes, Burana genannt, an den Vorbergen der Alexander-Bergkette. Daselbst fand Dr. Pojarkow, der als erster Entdecker dieser Grabinschriften gelten muss, über 20 Grabsteine, die wohl alle mit: Kreuzen, aber nicht alle mit Inschriften versehen sind. Von den hier gefundenen Grabsteinen liegen mir einige Originale, Papierabdrücke und Photographien vor. Einige dieser Inschriften theile ich hier mit. Den zweiten Friedhof, der eine Ausdehnung von etwa 120 Faden (gegen 240 Meter) . Länge und 60 Faden Breite hat, entdeckte ein Feldmesser, Namens Andrejew, in dem Gemeindebezirk Alamendina, auf dem Boden der Kara-Kirgisen, gleichfalls in der Nähe der Vorberge der Alexander - Bergkette, gegen 10 Werst von Pischpek, dem Hauptorte des Kreises Tokmak!'). Fast der ganze Raum dieses Friedhofes ist als Ackerboden bebaut, mit Ausnahme der kleinen Anhöhen, die von dem daneben fliessenden Kanal nicht bewässert werden können und die, wie Herr Pantussow vermuthet, Ueberreste von Familiengräbern darstellen. Auf diesen kleinen Erhöhungen finden sich haufenweise die Grabsteine, die dorthin, wenigstens zum Theil, beim Pflügen des. Bodens gebracht wurden. . Andere Grabsteine, und zwar die bei weitem überwiegende Zahl derselben, haben sich durch ihre Schwere, allerdings nicht tief, in den Boden versenkt und mussten ausgegraben werden. Die Grabsteine, die auch hier alle mit Kreuzen, — zum Theil von anderer Form, als die der zuerst erwähnten Grabsteine —, aber nicht immer mit Inschriften versehen sind, bestehen aus einfachen, harten Feldsteinen aus Granit, öfters aus Diorit, von уег- schiedener Grösse und Form, die weder behauen, noch durch Menschenhände geglättet sind; nur bei wenigen unter ihnen ist die Oberfläche zwar nicht geglättet, aber ein wenig geebnet worden °). Grabsteine von der Grösse etwa einer Arschin?) sind sehr selten; die allermeisten sind bedeutend kleiner, etwa !/,—/, Arschin. Zur Zeit, als Herr Pantussow seinen ersten Bericht abgefasst hatte, waren auf diesem Friedhofe über 600 Grabsteine gesammelt worden, die zwar vom hohen Grase bedeckt waren, aber sich ganz, oder fast ganz auf der Oberfläche des Bodens befanden. Nach einer ungefähren Berechnung des Hrn. Pantussow dürften sich auf diesem Friedhofe gegen 3000 Gräber und wahrscheinlich eben so viele Grabsteine finden, von welchen letzteren, wie er meint, etwa der fünfte Theil 1) Tokmak liegt unweit des Ausflusses des Tschu; Pischpek befindet sich gleichfalls in der Nähe des- selben Flusses, aber gegen 50 Werst weiter nordwestlich. Der letztere Ort, wo die Hauptmasse der Grabsteine ge- funden wurde, liegt gegen 250 Werst westlich von Wijernoje, gegen 540 Werst westlich von Kuldscha und gegen 420 Werst nördlich von Kaschgar. 2) Unter den nach St. Petersburg gebrachten Steinen befindet sich ein viereckiger, von beiden Seiten be- hauener Sandstein und auch ein gebrannter Ziegel- stein; letzterer ist vollkommen zertrümmert hieher angelangt. 8) 1 Arschin = 0,71 Meter. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 3 nur mit Kreuzen versehen ist, aber keine Inschriften enthält. Aus der Lage der an ihren ursprünglichen Stellen liegenden Grabsteinen kann man ersehen, dass die Gräber in von Nord nach Süd parallel laufenden Reihen geordnet waren. Aus der Form der Grabsteine und aus der Art und Weise, wie die Inschriften auf denselben eingegraben sind, glaube ich, gegen die Meinung des Herrn Pantussow, folgern zu können, dass jene in der Regel horizontal auf den Gräbern gelegen, aber nicht aufrecht gestanden haben. Einige Gräber sind oben und an den Wänden mit gebrannten Ziegeln von Quadratform ausgelegt. Beim Oeffnen einiger Gräber zeigte es sich, dass in manchem Grabe einige Verstorbene ihre Ruhestätte beisammen gefunden haben). In der That werden in manchen Grabinschriften mehrere Namen von Verstorbenen erwähnt, denen zusammen ein Grabstein gesetzt wurde. In der Nähe dieses Friedhofes finden sich Ueberreste von alten Bauten aus Quadrat- ziegeln, wie man deren viele in dem Flussthale des Tschu findet. Hr. Pantussow macht darauf aufmerksam, dass in einer Entfernung von etwa 3 Werst von diesem Friedhofe kleine Ulmenhaine, so wie auch einzelne Ulmen sich finden, die in früherer Zeit von der daselbst ansässig gewesenen Bevölkerung angepflanzt worden sein müssen, da diese Baumart in jener Gegend sonst nicht vorkommt. In einer Entfernung von etwa 3 Werst südlich von diesem Friedhofe fand Hr. Pantussow unter den Steinen, welche die Einfassung der Quelle Tasch-Paschat bilden, einen in zwei Theile gebrochenen Sandstein, der mit einer Inschrift versehen, die den Inschriften auf jenem Friedhofe ähnlich ist; und da es in der Nähe jener Quelle viele Steine giebt, die man als Einfassung gebrauchen konnte, vermuthet Hr. P., dass dieser beschriebene Stein nicht aus jenem Friedhofe herrühre, sondern sich hier an seiner ursprünglichen Stelle befinde. Welche Bestimmung dieser Stein an jenem Orte hatte, lässt sich freilich nicht angeben, so lange der Inhalt der Inschrift — die übrigens auch mongolisch sein kann?) — unbekannt ist. Nach den Aussagen der Kirgisen sollen 20—30 Werst nordwestlich von Pischpek im Flussthale des Tschu grosse mit Kreuzen versehene Steine, so wie auch viele Ueberreste alter Ansiedelungen, sich finden. In Wjernoje, dem Hauptorte von Semirjetschie, waren es seine Eminenz der Bischof Neophyt und der erwähnte Herr Pantussow, die das meiste Interesse für diesen Fund an den Tag legten; besonders war es Letzterer, der Ausgrabungen an Ort und Stelle machen und gegen 160 Grabsteine nach Wjernoje kommen liess. Desgleichen liess er photographische Copien und Papierabdrücke von vielen Inschriften verfertigen, bemühte ‚ sich die Aufsuchung der Steine weiter zu verfolgen und, soviel es in seinen Kräften steht, 1) Herr Pantussow bemerkt, dass es bei verschie- denen türkischen Völkerschaften Sitte war und noch jetzt ist, mehrere, unter einander verwandte Personen in ein Grab zu legen. 2) Eine aus jener Gegend stammende mongolische Inschrift hielt ich selbst, allerdings nur einige Augen- blicke, für syrisch, und ein grosser Kenner des Mon- golischen hielt einige, ihm zugeschickte syrische In- schriften aus Semirjetschie für mongolisch und suchte sie auch aus dem Mongolischen zu erklären; nur meinte dieser Gelehrte, dass die von ihm für mongolisch ge- haltene Schrift dieser Inschriften einige auffallende Eigenthümlichkeiten aufweise, die sonst in der mon- golischen Schrift nicht vorkommen. 1* 4 D. Cawozson, Dre IM GEBIETE SRMIRJETSCHIE Aufschluss über den Inhalt der Inschriften zu erlangen. Da Niemand dieselben an Ort und Stelle entziffern konnte, ja nicht einmal wusste, in welcher Schrift und Sprache sie abge- fasst sind, schickte er verschiedene Grabsteine und Copien von Inschriften an verschiedene gelehrte Gesellschaften, sowie auch an die katholischen Missionäre in Kuldscha, und, in der Meinung, die Schrift könnte oigurisch sein, sogar an den Lama der Kalmyken daselbst. Letzterer wollte in der unten mitgetheilten, dunkeln Inschrift № 44 die. buddhistische Gebetsformel Om ma Hom gefunden haben! Der hiesigen archäologischen Commission !) hat er über 115 Grabsteine im Originale, gegen 100 Farben- und Grafit-Abzüge, — von mancher Inschrift in mehreren Exemplaren — und gegen 200 photographische Abdrücke, zugeschickt. Herr Pantussow hätte die so glücklich begonnene und so eifrig verfolgte - Arbeit ohne Unterbrechung fortgesetzt, wenn nicht das am 9. (21.) Juni 1887 stattgefundene furchtbare Erdbeben in jener Gegend, welches im Laufe von drei Monaten hintereinander sich oft wiederholt hat, Wjernoje fast ganz in Ruinen verwandelt hätte, und Herr P. als Beamter in Folge dessen so sehr anderwärts in Anspruch genommen worden wäre, wodurch er gezwungen war, jene Arbeiten für längere Zeit bei Seite zu lassen. Nachdem man aber gegen acht Monate lang ganz ohne Nachrichten von ihm war, erhielt die archäologische Commission zu meiner grossen Freude von ihm 6 Grabsteine — von denen zwei, mir bis dahin unbekannte, nicht unwichtige Grabinschriften enthalten — und mehrere Farben-Ab- züge von mir zwar bekannten, aber auf den photographischen Abdrücken nicht genügend deutlichen Inschriften. Zugleich hat er seine sehr löbliche Absicht ausgedrückt, im Sommer des Jahres 1888 seine Untersuchungen auf jenen beiden Friedhöfen fortzusetzen. Seit jener Zeit hat er wiederholt Grabsteine an die erwähnte Commission geschickt, die mir von grossem Nutzen waren und die mir ermöglichten, manche Inschrift zu entziffern, die ich früher, bei der schlechten Beschaffenheit vieler Photographien, nicht entziffern konnte. Das mir jetzt zu Gebote stehende Material besteht aus Folgendem: I) Ueber 115 Originalgrabsteine, von denen nur einige wenige von dem Friedhofe bei Tokmak herstammen, die anderen rühren von dem bei Pischpek her. Alle diese Steine befinden sich jetzt im Asiatischen Museum der Kaiserl. Akademie der Wissen- schaften und sind daselbst von mir chronologisch geordnet worden. II) Gegen 200 photographische Abdrücke; von diesen rühren etwa 185 von Hrn. Pantussow her?) und gegen 15 von Herrn Jadrinzew°), der sie von dem oben- erwähnten Hrn. Dr. Pojarkow erhalten und mir zur Verfügung gestellt hat. Einen photographischen Abdruck erhielt ich aus Kazan, wohin derselbe wohl von Hrn. Pant. . zur Ansicht geschickt wurde. 1) Die Aufgabe dieser, von Kaiserlicher Munificenz | Herr P. hat wahrscheinlich zuerst die von ihm gefun- reichlich ausgestatteten Commission besteht darin, ar- | denen Steine numerirt, aber nicht alle photographiren chäologische Ausgrabungen zu unternehmen und zu | lassen. leiten, die Funde zu sammeln und bekannt zu machen. 3) Auch die von diesem herrührenden photogr. Ab- 2) Die von diesem herrührenden photogr. Abdrücke | drücke sind numerirt von 1—28, aber auch von diesen sind von 1—224 numerirt, es fehlen aber viele №№. | fehlen viele №№. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 5 III) Viele Papier-Abzüge von etwa 110 Inschriften, von denen mir auch photographische Abdrücke vorliegen. Von mehreren dieser Papier - Abzüge finden sich einige identische Exemplare. Diese Papier-Abzüge sind zweierlei Art: Grafit-Abzüge auf Seiden-Papier, abgezogen von dem mit einem Grafit-Pulver überzogenen Stein. Die andere Art sind einfache Abdrücke auf gewöhnlichem Papiere, abgezogen von den mit Druckerschwärze bestrichenen Steinen. Bei dieser Procedur bleiben alle Vertiefungen und natürlich auch die Buchstaben auf dem Abdrucke weiss. Diese Art von Abdrücken — die ich hier mit dem Ausdrucke Farben-Abzüge bezeichne — sind die billigsten, am leichtesten zu verfertigen und, was die Hauptsache ist, die deutlichsten. Die Entzifferung aller dieser Inschriften war mit manchen, anfangs scheinbar unüberwindlichen Schwierigkeiten verbunden. Die erste zu überwindende Schwierigkeit bot der Charakter der Schrift selbst. Alle Inschriften nämlich, von Nestorianern herrührend, sind in einem eigenartigen, sehr viele Variationen darbietenden syrisch-nestorianischen Schrifttypus abgefasst. Die älteren nestorianischen Handschriften stehen dem Estrangelo sehr nahe und sind daher ziemlich leicht zu lesen, schwieriger zu lesen sind die jüngeren, in denen die Schrift starke Neigung zum Cursiv zeigt und wo neue Buchstabenformen vorkommen. In unseren Inschriften aber, deren Schriftcharakter, wie nachgewiesen werden wird, den vielfach variirenden Uebergang vom Estrangelo zum neunestorianischen Schrift- typus bildet, kommen solche Formen vor, die ich bis jetzt noch nirgends gefunden habe. In syrischen Wörtern konnte der Lautwerth dieser, anderwärts nicht vorkommenden Buchstaben aus dem Zusammenhange errathen werden, in den zahlreichen, in diesen Inschriften vorkommenden nicht-syrischen Wörtern und Eigennamen konnte dies nicht leicht geschehen. Ein Buchstab kommt auch in diesen Inschriften vor, der gar nicht dem syrischen Alphabete angehört und sicher dem Arabischen entlehnt ist; und da dieser Buchstab nur in nicht- syrischen Wörtern vorkommt, war das Erkennen seines Lautwerthes schwierig. Eine andere Schwierigkeit lag in den zahlreichen, in den Inschriften vorkommenden, türkischen Eigennamen und türkischen Wörtern. Da ich in den syrischen Grab- inschriften keine türkische Ausdrücke erwartet habe und ich noch obendrein der türkischen Sprache nicht mächtig bin, bot mir die grosse Anzahl der, mir anfangs völlig unbekannten Worte sowohl für das Lesen, als auch für die Erklärung derselben, grosse Schwierigkeiten dar. Erst mit Hülfe des Hrn. Akademikers W. W. Radlow gelang es mir den Sinn der türkischen Ausdrücke zu erfassen und den Lautwerth jenes, nur in türkischen Eigennamen und in türkischen Wörtern vorkommenden, nicht-syrischen Buchstaben zu erkennen. Eine dritte Schwierigkeit lag in den eigenthümlichen, doppelten Datirungen in diesen Inschriften, zu denen erst der Schlüssel gefunden werden musste, ohne den dieselben scheinbar unlösbare Räthsel darboten. Diesen Punkt wollen wir gleich näher besprechen. 6 D. Снмогзом, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE LT: Aeussere und innere Form der Grabinschriften. Die Form und äussere Beschaffenheit der Grabsteine habe ich oben beschrieben. Die Inschriften sind auf der Stelle des Steines eingravirt, welche die grösste und relativ am meisten ebene Fläche darbietet, ohne Rücksicht auf Spalten und grössere, oder kleinere Vertiefungen auf derselben. Letztere erschweren oft sehr das Lesen der Inschriften — besonders wenn man auf photographische oder Papier-Abdrücke angewiesen ist —, da man oft nicht wissen kann, ob dieser oder jener Punkt oder Strich einen Theil eines Buchstaben bildet, oder nicht. Die Inschriften sind nur auf einer Seite des Steines eingravirt, und nur ein Stein ist mir bekannt, wo auf beiden Seiten desselben zwei, aus verschiedenen Jahren herrührende Inschriften (№ 44 und № 45) sich befinden. Manche Inschriften rühren offenbar von der Hand eines gelernten Steinmetzes her, die meisten dagegen sehen so aus, als ob sie mit einem spitzen Instrumente von mehr, oder minder ungeübter Hand eingekritzelt wären, und, da die Härte des Steines an verschiedenen Stellen verschieden und somit der Widerstand desselben gegen den Druck des Griffels nicht gleichartig ist, sind viele, den Buchstaben bildende Linien selbst auf den Originalen oft kaum sichtbar. Auch das häufig an den Kreuzen Bes Geschnörkel (s. gleich) erschwert oft das Lesen der Inschriften. Aufjedem Grabstein befindet sich ein oft mit verschiedenen Schnörkeln verziertes Kreuz, um welches die Inschrift placirt ist. In der Regel beginnt diese horizontal über dem Kreuze, geht dann senkrecht links, darauf rechts von demselben und endigt, wenn die Inschrift länger als gewöhnlich ist, mit den horizontalen Zeilen unter dem Kreuze. Beim Anordnen der Zeilen kommen aber viele Unregelmässigkeiten vor und oft hat der Graveur die Worte dorthin gesetzt, wo er gerade noch leeren Platz fand. Diese Unregelmässigkeiten sind zu mannigfaltig, als dass ich sie alle hier angeben könnte. In den meisten Fällen wird man durch den Sinn und durch. die Analogie leicht auf die richtige Reihenfolge der Zeilen hingeleitet; es giebt aber auch nicht wenige Fälle, wo die Zeilen gar zu sehr unter einander geworfen sind und wobei die richtige Reihenfolge derselben zweifelhaft ist. In solchen Fällen theile ich— wenn das Original nicht phototypisch in den beiliegenden Tafeln reproducirt ist — zuerst die Inschrift in der Gestalt mit, wie sie sich auf dem Steine befindet, und ordne dann die Zeilen und die einzelnen Worte so, wie ich sie ordnen zu müssen glaube. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 7 Die datirten Inschriften beginnen in der Regel mit dem Datum nach der seleucidischen Дега, von der, — da dieses mit dem ersten Oct. beginnende Jahr mit dem christlichen sich nicht deckt—bald 311, bald 312 Jahre abgezogen werden müssen, um das letztere zu finden. Auf dieses Datum folgt gewöhnlich das des 12jährigen Thiercyclus, wo jedes Jahr nach einem bestimmten Thiere benannt wird (s. gleich) und wobei der Name desselben bald nur syrisch, was in den ältern Inschriften häufiger der Fall ist, bald nur türkisch, was ziemlich selten vorkommt, bald syrisch und türkisch, was oft gebräuchlich ist, angegeben wird. In mehreren Inschriften ist nur das letztere Datum, d. h. das nach dem zwölfjährigen Thier- cyclus, angegeben, wobei natürlich das wirkliche Alter der betreffenden Inschrift unbestimmbar bleibt. Das, was darauf folgt, ist in der Regel syrisch, meistens schlecht syrisch und ungrammatikalisch abgefasst!), und häufig mit türkischen Worten — natürlich in syrischer Schrift — untermischt. Es giebt aber auch umgekehrt einige türkisch abgefasste Inschriften, in denen einige syrische Worte vorkommen. Zum bessern Verständniss der beifolgenden Inschriften, sehe ich mich genöthigt hier folgende Bemerkung vorauszuschicken. Die Chinesen, Türken, Mongolen und mehrere andere ostasiatische Völker datirten und datiren zum Theil noch jetzt nach einem zwölfjährigen Cyclus, wobei jedes Jahr desselben nach einem bestimmten Thiere benannt wird ?). Die Namen der 12 Jahre dieses Cyclus lauten in unsern Inschriften wie folgt: Das 1. Jahr das «Mause-Jahr», syrisch f:2202, türkisch ass. Das 2. Jahr das «Stier-Jahr», syrisch f5o2, türkisch sof. Das 3. Jahr das «Tiger-Jahr», syrisch 1523, türkisch w5le, od. 512, auch w:2. Das 4. Jahr das «Hasen-Jahr», syrisch 1255| od. 1.50.51, türkisch desc. Das 5. Jahr das «Drachen-Jahr», syrisch 15271, türkisch ock.. Das 6. Jahr das «Schlangen-Jahr», syrisch faon, türkisch aa, od. Sat. Das 7. Jahr das «Pferde-Jahr», syrisch fans, türkisch 4.10». Das 8. Jahr das «Schaf-Jahr», syrisch Î2:£, türkisch aa, od. „a2. Das 9. Jahr das «Affen-Jahr», syrisch l2es, türkisch Ps. Das 10. Jahr das «Huhn-Jahr», syrisch Biz, türkisch 25 12. Das 11. Jahr das «Hunde-Jahr», syrisch 1555, türkisch ДЫ|. Das 12. Jahr das «Schweine-Jahr», syrisch frais, türkisch ae 3), 1) Ich werde daher unten bei der Mittheilung der Texte 3) Die Thiernamen des 12jährigen Cyclus lauten bei der Inschriften nicht auf die zahlreichen, in denselben AT vorkommenden grammatikalischen Fehler aufmerksam machen und noch weniger diese verbessern, sondern ich | 1) ls, Sigqän, die Maus; 2) Ss Od, der Stier; werde mich darauf beschränken, auf die sprachlichen Eigenthümlichkeiten dieser syrischen Texte an einer geeigneten Stelle kurz aufmerksam zu machen. der Hase; 5) 2) Die Chinesen haben diesen Cyclus verfünffacht und dadurch ihren bekannten 60jährigen Cyclus gewonnen. El-Birüni in dessen „ВУ НЕ р. Ve wie folgt: 8) mb, Bärs, der Tiger; 4) OL», Tefschichän, ) Lit) Schlange; 7) Cp, Jönt od. Junat, das Pferd; 8) (595, Га, der Drache; 6) о, Jilän, die € `8 D. Cawozson, Dre ım GEBIETE SEMIRIETSCHIE Vor der Nennung dieses Thiernamens steht oft Aıs, wird aber auch häufig wegge- lassen. Die gewöhnliche Datirungsformel ist z. В. Asf 451.550. 1.5555 Aus fooı [no2| Ara d.h. «Im Jahre 1561, das war das Hunde-Jahr, türkisch It» (der Hund); es kommen aber auch dabei verschiedene Variationen vor. Ich schreite nun zur Mittheiluug der Texte dieser Inschriften, wobei ich mich zunächst auf die Uebersetzung und auf zum Verständniss nothwendige Erklärung derselben be- ‚schränken und alles Unsichere genau als solches angeben werde. Von den sogenannten Realien, wie Schriftform, Sprache, Eigennamen, Eulogien u. s. w. werde ich am Schlusse handeln. à Hr. Pantussow hat die von ihm gesammelten Grabsteine nicht nach einer bestimmten Ordnung, sondern, da er den Inhalt der Inschriften nicht kannte, nach dem Zufall, wie sie ihm gerade in die Hände kamen, numerirt und zwar von 1—224. Den Nummern der Grabsteine entsprechend sind auch—mit sehr wenigen Ausnahmen—die photographischen, Farben- und Grafit-Abdrücke numerirt. Diese Nummern habe ich hier überall in Klammern ( ) angegeben, und sie müssen auch für künftige Forscher beibehalten werden, damit dieselben sich leicht in dem mir vorliegenden Material zurecht finden können. Da ich aber die datirten Inschriften streng chronologisch geordnet habe und ich während der Bearbeitung derselben vielfach neues Material erhielt, — was wohl auch während des Druckes der Fall sein dürfte и musste ich ой die Numeration, und natürlich auch alle Verweisungen, ändern. Um diesem Uebelstande zu entgehen, fand ich es für gut, einfach das Datum als Numeration zu gebrauchen, wobei man auch den Vortheil hat, dass bei Verweisungen, so wie auch in den Indices bei Angabe der Nummer der betreffenden Inschrift man dabei auch das Datum derselben erhält. Die datirten Inschriften beginnen mit dem Jahre 1560 (= 1249) und sehen bis zum Jahre 1656 (— 1345) der seleuc. Aera. Um aber nicht bei Verweisungen und in den Indices vier Ziffern setzen zu müssen, werde ich nur die Zehner und die Einer, — resp. nur die letzteren —, als Numeration setzen, wobei bei den Zahlen 60—99 man sich 1500 und bei den 1—56 die Zahl 1600 hinzuzudenken hat. In den Fällen, wo einige oder mehrere Inschriften gleiche Daten haben, werde ich der betreffenden Zahl noch eine Ziffer hinzufügen, z. B. 97; 97,1; 97,2 u. s. w. Die neuen Inschriften, die ich noch während des Druckes zu erhalten hoffe, werde ich auf die angegebene Weise leicht an ihren richtigen Platz einfügen können. — Die undatirten Inschriften werde ich, um sie leicht als solche zu erkennen, mit römischen Ziffern numeriren. Küi, das Schaf; 9) VB Bigîn, der Affe; 10) 59® N EB Pitschin; 10) $95], Dâqûq und 19) 598, Tagüq, die Henne; 11) €» Г , ЕН, od. It, der Hund und Tongüz. Ueber diesen Cyclus, seinen Ursprung und seine ehe ; : Verbreitung vgl. Ideler, Ueber die Zeitrechnung der 19) 655 Tönguz, das Schwein. Bei Ulûg-Beklauten ! H TREE ET : и. d Chinesen; in den philosoph.-philologischen Abhandlungen einige Namen anders; so 1) Ki, Keskü; 2) LI Ot; | der Königl. Acad. 4. W. in Berlin aus dem Jahre 1837; 4) СВЕ, Tüschqän; 5) gg), Lui; 7) Lis, Jünad; | Berlin, 1839. р. 276 fi. el Fri AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 9 Im Jahre 1886 habe ich 22 von diesen Inschriften theils nach kleinen, sehr mangelhaften Photographien, theils nach sehr schlechten, von freier Hand verfertigten Copien edirt, und _ zwar deutsch in den Mémoiren der Kaiserl. russ. Akad. 4. Wissenschaften, XXXIV, № 4, betitelt: «Syrische Grabinschriften aus Semirjetschie», mit einer Tafel, und russisch in den Записки вост. отд$леше Импер. русск. археолог. общ. (Mém. der morgenl. Abth. der Kaiserl. russ. archeol. Gesellschaft) I, р. 84ff., 217 ff. und 303#., wo noch 10 andere Inschriften mitgetheilt sind, die in der deutschen Ausgabe sich nicht finden. Alle diese Inschriften sind hier auf guter Grundlage und in möglichst correcter Gestalt von Neuem edirt. Zu dem oben p. 6, über die äussere Form der Inschriften Gesagten glaube ich noch Folgendes hinzufügen zu müssen. Das Kreuz auf den Grabsteinen stehr oft bald ganz, bald theilweise über der Inschrift, am häufigsten aber innerhalb derselben. Die Form der Kreuze ist, mit nur sehr wenigen Ausnahmen, der Art, dass man aus ihr mit Sicherheit erkennen kann, wo oben und wo unten ist. Die Stelle, wo die Inschrift beginnt, ist leicht zu finden; denn dieselbe fängt in der Regel mit dem Datum, oder mit den Worten o;:22 ascı, «dieses ist das Grab des»... an. Der Anfang der Inschrift befindet sich in der Regel über dem Kreuze, aber auch oft in der ersten verticalen Zeile links von demselben. Wenn das Kreuz mitten in der Inschrift placirt ist, dann sind die Zeilen links und rechts, zuweilen auch die unter demselben, vertical eingravirt. Befindet sich aber das Kreuz ganz, oder theilweise über der Inschrift, laufen alle Zeilen derselben vertical und sind von links nach rechts zu lesen. Ich mache auf diesen Umstand besonders aufmerksam, weil man darin, wie ich glaube, einen sichern Anhaltspunkt finden kann zur Erklärung der Art und Weise wie die verschiedenen, aus der syrischen Schrift abgeleiteten Schriftarten, wie z. B. Uigurisch, Mongolisch u. dgl. a., noch bis jetzt geschrieben werden. — Manchmal findet die verticale Zeile links ihre Fortsetzung horizontal unter dem Kreuze, und in diesem Falle stehen die Buchstaben in der Regel verkehrt, d. h. mit den Köpfen nach unten. Geht dagegen die Fortsetzung horizontal von der verticalen Zeile rechts vom Kreuze aus, stehen die Buchstaben regelrecht. Es kommen aber auch Fälle vor, wo die Fortsetzung sowohl von den Zeilen links, als auch von denen rechts vom Kreuze vertical unter dem- selben stehen. Mit diesen Angaben sind freilich noch nicht alle vorkommenden Variationen erschöpft. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 2 10 D. Cuwouson, Die Im GEBIETE SEMIRJETSCHIE TIER Die Grabinschriften. LE Die datirten Grabinschriften. ле SO (159). Nach dem Originale (Tafel I, № 60). Auf dem Steine ist diese Inschrift auf folgende Weise placirt: Es ist oben bemerkt worden, dass die richtige Reihenfolge der Zeilen auf den Steinen oft ausser Acht gelassen wurde und dass dieselbe erst aufgesucht werden müsse‘). Hier dürften, wie ich glaube, die Zeilen wie folgt geordnet werden: Ars (1 IS ui (2 22221 Aieso (3 ASAS (4 „Ss 5 (Cle (5 1) Vgl. unten № 75. 75,1 п. 2. 98,1. 10. 11,3. 17. 18. 27,1 u. 50,17. . AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 11 «[Im] Hahn-Jahre (dem 10. des zwölfjährigen Thiercyclus) und im Jahre 1560 (der seleuc. Aera — 1249 n. Chr. Geb.), am dritten des (Monats) Cheziran (Juni) starb Schelia ». Diese Inschrift unterscheidet sich nicht unwesentlich von den andern Inschriften sowohl hinsichtlich des Schriftcharakters, als auch in Bezug auf den Stil und die Art der Da- tirung, was aus der beiliegenden Abbildung und auch aus dem Vergleich mit den andern Inschriften leicht zu ersehen ist. 2, der Hahn, steht hier, wie auch unten 44 und 56, statt 1.52, die Henne, weil der türkische Name dieses Jahres: Tagaku, eigentlich das Huhn (das Ge- schlecht) bedeutet !). Das Hahn-Jahr entspricht wirklich dem Jahre 1560 = 1249°). Zeile 3 (4) steht AS AS statt JASAS; ich bemerke hier ein für allemal, dass das Ge- schlecht der Zahlwörter in diesen Inschriften in der Regel falsch angegeben ist, was übrigens auch bei uncorrect schreibenden arabischen Schriftstellern und im Vulgärarabischen oft der der Fall ist. — Der Monatstag ist nur hier, dann № 92 und 11,4 angegeben; in № 66 ist der Wochen- aber nicht der Monatstag angegeben. Der sehr oberflächlich eingekritzelte Name des Verstorbenen (Zeile 4 — 5) ist schwer zu entziffern. Der erste Buchstab scheint eher ein kommt auch, so viel mir bekannt ist, im Syrischen nicht vor. Es ist übrigens möglich, dass der Steinmetz aus Versehen £ statt <> gesetzt und nachher, seinen Irrthum bemerkend, ein > hinzugefügt hat. } M 61 (142). | Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. D) 11154 418° Li Я 8 9 «Im Jahre 1561 (= 1250 п. Chr.), dieses ist im Hunde-Jahre. Dieses ist das Grab der Mariam (Marie) Koschtanz». Der 4. Buchstab des Datums ist in der Photographie unsichtbar, im Farben-Abdruck | dagegen unzweifelhaft. Das Jahr 1560 entspricht nicht dem Hunde-Jahre, dem 11. Jahre | im 12jährigen Thiercyclus, 1561 — 1250 dagegen correspondirt wirklich mit jenem Jahre. Ich vermuthe daher, dass am Schlusse des Datums noch ein { sich befand, das aber ver- wischt wurde und daher auf den Abdrücken unsichtbar ist. Doppelnamen, von denen der zweite grösstentheils kein Familienname ist, findet man in diesen Inschriften und auch sonst bei den Syrern überhaupt sehr häufig. : Der Name Koschtanz kommt in ziemlich vielen Inschriften und zwar, wie es scheint, immer als weiblicher Name vor'); wahrscheinlich ist derselbe als Corruption von Con- stantia anzusehen. Ueber den Gebrauch des arabischen Buchstaben У in Eigennamen und auch sonst in türkischen Wörtern werden wir weiter unten sprechen, wo wir von dem Alphabet dieser Inschriften handeln werden. 1) Vgl. 65 (?). 80,1. 85. 19. 91,1. 42, 1 u. 3. u. XXVI. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 13 MN: 65 (183). Nach dem Originale (Tafel 1, № 65). Diese Inschrift befindet sich auf einem behauenen, viereckigen, ziemlich festen Sand- steine, dessen unteres Ende abgebrochen und dessen Oberfläche, früher offenbar geglättet, jetzt sehr uneben ist und viele Vertiefungen zeigt, so dass mancher Buchstab der Inschrift unleserlich geworden ist. Dieselbe ist wie gewöhnlich über dem Kreuze und dann vertical links und rechts von demselben gesetzt. Die einzelnen Zeilen müssen anders geordnet werden als auf dem Steine, was, wie bemerkt, oft der Fall ist. Wie die Zeilen auf dem Steine geordnet sind ist aus der beiliegenden Abbildung zu ersehen. Ich lese die Inschrift und ordne die Zeilen derselben wie folgt: 05.521] Ares (1 Alallojez fon (2 lol (3 [alas ao or (4 [Oase 16212 ae (5 «Im Jahre 1565 (= 1253), d. i. türkisch (d. h. nach dem 12jährigen Thier- eyclus) Aud (im Stier-Jahre). Dieses ist das Grab der Mariam Chatun Ko|schtanz (?) |». Der letzte Buchstab des Datums ist nicht ganz sicher, ist aber unzweifelhaft als ст zu lesen. In der 3. Zeile ist das | recht deutlich, weniger das »; das о ist ganz zerstört; das deutliche | lässt aber keinen Zweifel zu, dass dieses Wort »of, der Stier, zu lesen sei. Ueber die weibliche Form зол for, — wofür auch verkürzt эст эст und “301 vor- kommen, — vor dem männlichen 1:55 werden wir weiter unten in dem Capitel: über die Sprache dieser Grabinschriften, sprechen. Vorläufig wollen wir bemerken, dass dieses weib- liche Pronomen in der Regel da gebraucht wird, wo die Inschrift einer weiblichen Person gewidmet ist. Die letzten zwei Buchstaben Zeile 5, von denen nur das o ganz sicher ist, mögen den Anfang eines Namens bilden, dessen Ende auf dem abgebrochenen Theile des Steines sich befunden haben dürfte. Vielleicht ist af der Anfang des ziemlich häufig vorkommenden Frauennamens 52-205, Koschtanz (vgl. die vorangehende Seite Anmerk. 1). Das seleuc. Jahr 1565, welches mit dem ersten October beginnt, correspondirtin seinen ersten drei Monaten mit dem Stier- und seinen letzten 9. mit dem Tiger-Jahre des 12jährigen Thiereyclus. Diese Grabinschrift stammt somit aus der Zeit vom 1. October 1253 bis gegen Mitte Januar des Jahres 1254 n. Chr. 14 D. Cuwouson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE Chatun bedeutet die Frau, auch die Herrin und kommt oft als Eigenname vor. Von den in diesen Inschriften vorkommenden türkischen Eigennamen wird weiter unten be- sonders gehandelt werden. N: 66 (188). Nach dem Originale (Tafel I, № 66), kann = Ares (2 <> > IAso „so (3 OLNO) LS > Se (6 ao] емо flo 52% (7 125205 {ae ш 055 (5 lsusmı fan [op 022 o1o1 (1 Diese Grabinschrift unterscheidet sich in vieler Hinsicht von den meisten andern Grabinschriften. Die Schrift der Zeilen 2, 3 und 4 ist tief und ziemlich gross, die der übrigen viel kleiner und feiner. Sie fängt auch nicht wie sonst gewöhnlich mit Angabe der Jahreszahl, sondern mit f:22 ascı und giebt nicht nur den Monat, sondern auch den Wochen- tag des.Todes an. Zeile 1. ст Ш 22 und das folgende › sind unsicher. Der darauf folgende Name lautet sicher ie} und nicht 151; der zweite Buchstab ist ganz verschieden von den andern > in dieser Inschrift, auch ist der Strich links auf dem Originale ziemlich deutlich. “38 ist ein in der talmudischen Literatur häufig vorkommender Name. Der Titel eoeamıSf5a>, d.h. Chorepiscopus, kommt auch in №73. 3,5 und 18 vor. Ueber diese, so wie auch über die andern, in diesen Inschriften vorkommenden Kirchenwürden - werde ich weiter unten handeln. Zeile 3f. Die hier gebrauchte Formel kommt auch in № 75 vor, nur steht hier das weniger passende for statt hot. Zeile 5. Das letzte Wort ist unsicher und unverständlich. Die Buchstaben Ses sind ganz deutlich, ebenso 2, welches mit dem vorangehenden Buchstaben nicht verbunden ist. / AE FRERE AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 15 Der tiefe Punkt oben spricht dafür, dass der Buchstab vor dem + ein 5 sei. Auch der links vom 2 nach unten gezogene Strich scheint ein | zu sein (vgl. das 2 Zeile 6). Aber was be- deutet 12205? und in welchem Zusammenhange steht dieses sonderbare Wort mit dem Zeile 6 folgenden sichern >>>? Wollte man auch annehmen, dass 12550 unorthographisch statt 1250325 steht, bleibt immerhin der Sinn der Phrase 15552 125025 für mich dunkel. Diese beiden Worte durch: «nach vollendetem Lebenslaufe» zu übersetzen, scheint mir sehr ge- wagt zu sein. Zeile 6 und 7. Eine ähnliche Eulogie kommt auch in № 83. 27 und 39 vor. Ich übersetze diese Inschrift, so weit sie mir verständlich ist, wie folgt: «Dieses ist das Grab des Chorepiscopus Ama. Im Jahre tausend fünfhundert sechs und sechzig!) schied er von dieser Welt, im Monat ab (= Juli), am Sonn- tage... Unser Herr möge vereinigen (wörtlich vermischen) seinen Geist mit (denen der) Frommen und Gerechten, Amen. ль 62°). Nach einer unnummerirten Photographie. Auf dem Originale: Zu lesen: ею ко 5521 aies (1 4 e1o1 (2 à semer oo (3 2 N {io sion. tri (4 «Im Jahre 1569 (— 1258). Dieses ist das Grab des Gläubigen Mangkutasch». Zeile 3. In diesen Inschriften folgt auf das Suff. от in der Regel kein », wie der syrische Sprachgebrauch es erfordert; vgl. unten da, wo von der Sprache dieser Inschriften ge- handelt wird. _ Der, in diesen Inschriften einigemal vorkommende Name Mangkutasch, auch Man- Lıta.cıo Ноа gutasch ist türkisch, zusammengesetzt aus Ke, mangu, ewige (als adj.) und tasch, der Stein. Türkische, mit mangku, oder mangu zusammengesetzte Eigennamen sind nicht selten. 1) Die Zahlen drücke ich in der Uebersetzung bald 2) Diese Inschrift habe ich in meiner Abhandlung: durch Ziffern, bald durch Zahlworte aus, immer den | Syr. Grabinschr. aus Semirj., р. 7 f., № I, nach einer Zahlen im Texte entsprechend. schlechten Copie von freier Hand unrichtig edirt. 16 D. CHwozson, Dre 1M GEBIETE SEMIRJETSCHIE № 78 (105). Nach einer Photographie (Tafel 1, No 73). te] aa (4 af 502 ans [ol (5 Das 2 im Datum ist zwar fast unsichtbar, es kann aber nicht zweifelhaft sein, dass die schwachen Spuren von zwei Buchstaben am Anfange desselben nicht anders als 21 zu lesen sind. Das Jahr 1573 (= 1262) correspondirt auch mit dem Hunde-Jahre des 12jährigen Thiercyclus. Warum hier o;,2a> statt des gewöhnlichen a;:2s steht, kann ich nicht angeben, be- sonders da dieses Wort sicher überall gabro und nicht gobro, oder qubro ausgesprochen wurde. Später allerdings, wo man > = у aussprach, ist aus qabro zuerst qauro und zuletzt quro geworden, welche letztere Form auch in diesen Inschriften einmal (№ 35,1) vorkommt. Der Name Givargis — Georgius kommt in diesen Inschriften sehr häufig vor und wurde besonders von Priestern geführt. Von dem auf diesen Namen folgenden Worte sind nur der erste und letzte Buchstab sichtbar. Der erstere sieht zwar wie ein 2 aus, ich vermuthe aber, dass der linke Strich dieses Buchstaben verwischt wurde und dass derselbe wie > zu lesen sei. Das ganze Wort lese ich fes, bei den Nestorianern die übliche Abkürzung von Less, d. В. der Presbyter und auch einfach der Priester. Hinter ;> findet sich eine Lücke, die, wie ich glaube, durch от zu ergänzen ist; denn in diesen Inschriften steht immer, wie oben (№ 69) bemerkt wurde, in solchen Fällen ein Suffix. der 3. P. m., worauf aber, gegen die Regel, gewöhnlich kein ; folgt. Der auf 01,2 folgende Eigenname ist sehr undeutlich; ich glaube ihn “So, Ма- lichä, lesen zu können. Ich weiss es nicht, ob dieser Eigenname in der syrischen Literatur vorkommt, aber er hat jedenfalls im Syrischen eine Bedeutung: — Be, rector und rectus. Das letzte Wort ist, wie ich kaum zweifele, eine Abkürzung von 202505 205, d.h. Chorepiscopus; vgl. oben № 66, р. 14. \ ся AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 17 Zu übersetzen: «Im Jahre 1573 (= 1262), der Hund (d. h. entspricht dem Hunde-Jahre, dem 10. des 12jährigen Thiereyclus). Dieses ist das Grab des Priesters Givargis (Georgius), des Sohnes des Chorespiscopus Malichä». MN 74 (185). Nach dem Originale (Tafel I, Ne 74). Soi (1 5221 Ares (2 as азот (3 [ilot $095;:2< (4 Das in der ersten Zeile vorkommende Wort weiss ich nicht mit Sicherheit zu erklären. Anfangs, als ich nur den photographischen Abdruck dieser Inschrift vor mir hatte, in dem die beiden letzten Buchstaben des seleueidischen Datums undeutlich sind, dachte ich, dass dieses Wort [a2] zu lesen sei, das in diesen Inschriften wiederholt dem türkischen И gleich- gesetzt wird und der Drache bedeutet. Damit, dachte ich, soll angedeutet sein, dass das betreffende Jahr dieser Inschrift dem Drachen-Jahre, dem 5. des 12jährigen Thiercyclus, entspreche. Als ich aber das Original vor mir hatte, überzeugte ich mich, dass diese Lesung unrichtig sei. Der zweite Buchstab jenes Wortes ist nämlich auf dem Originale so deutlich als möglich als от und nicht als 2 zu lesen und er ist auch von dem darunter stehenden Estrangelo 2 ganz verschieden. Auch entspricht das Jahr 1574 (1263) dem Schweine- aber nicht dem Drachen-Jahre. Wollte man auch im Datum — da in diesen Inschriften & von 5 oft schwer zu unterscheiden ist — 2 statt £ lesen, wäre damit auch nicht geholfen, da das Jahr 1524 (1213)dem Huhn-Jahre entspricht. Irgend eine Bedeutung hat das Wort ой, das nur vom Stamme Nor abgeleitet werden könnte, im Syrischen nicht. Es bleibt hier nur die Vermuthung übrig, dass der Steinmetz vergessen hat, den mittlern Strich des Estrangelo 2 nach oben zu ziehen, wodurch dieser Buchstab in ол verwandelt wurde !), und dass der Verfasser dieser Inschrift aus Versehen nicht das richtige Jahr des 12jährigen Thiercyclus dem Jahre 1574 der seleucidischen Aera gleichgesetzt hat. Solche Versehen kommen noch einige Mal vor). Dass [a2] syrisch der Drache bedeutet, wird weiter unten nachgewiesen werden. 1:5> wird hier, wie auch sonst in einigen wenigen Fällen (№ 78. 84), ohne Suffix und auch ohne folgendes » gesetzt. 1) Vgl. unter № 19,2, wo Lisco statt lis2 steht. | 2) Vgl. unten № 38 u. 45. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 3 18 D. Cuwouson, Die м GEBIETE SEMIRJETSCHIE Zu übersetzen: «Im Jahre 1574 (= 1263), der Drache (4. В. es war das Drachen-Jahr des 12jährigen Thiercyclus). Dieses ist das Grab des Gläubigen ’Ebed-Ischo’». MN: 75 (102). Nach einer Photographie und einem Farben- und Grafit-Abdruck (Tafel I, Ne 75). Wie die, um das Kreuz herum gesetzten Zeilen zu ordnen sind, lässt sich nicht mit völliger Sicherheit angeben. In der Regel werden die Epitheta des Verstorbenen, so wie auch das, was sonst in Bezug auf denselben, wie z. B. Eulogien und drgl. Anderes, gesagt wird, nach dem Namen, und, wenn es an Platz mangelt, zwischen die Zeilen rechts und links vom Kreuze gesetzt. Da aber die Ordnung der Zeilen hier auf den Sinn keinen wesent- lichen Einfluss hat, setzen wir dieselben so, wie sie sich auf dem Steine befinden. 015521 Ares (1 1,205 0101 ;asoi Да» (2 <> ее ka hat (8 рот {255 (4 фе э> sl 555205 (5 Wir übersetzen: «Im Jahre 1575 (= 1274), (dem) Mause-Jahre. Dieses ist das Grab des lieblichen Jünglings, der geschieden ist von dieser Welt, des Priesters Kutluk Arslan». Dass der «Jüngling» schon Priester war, darf uns nicht befremden; denn der katholische Missionär Wilhelm Rubruk, der im XIII. Jahrhundert die nestorianischen Christen in den Türkenländern und in China besucht hat, berichtet, dass unter den Nestorianern jener Ge- genden sehr oft Kinder zu Priestern geweiht werden, und zwar deshalb, weil der Bischof oft nur einmal in 50 Jahren dorthin komme und bei Gelegenheit seines seltenen Besuches zuweilen sogar Brustkinder zu Priestern weiht, so dass dort, wie er sagt, fast jeder er- wachsene Mann Priester ist. Der Ausdruck $ fais bei Knaben kommt noch vor unten № 81. 97. 1. 41,1. 47. 47,1. 50,10. 53,1 und 56; bei Mädchen wird ео ТЗ gesetzt, зо №10. 16 und 18. Die Formel fest 52 LS kommt auch oben № 66 und in einer der von Duval mit- getheilten syrischen Grabinschriften aus Salamäs in Persien vor). — for statt {зол. 1) S. Journ. As. VII, t. V. 1885, р. 50. Vgl. Assemani, В. О. Ш, 2, р. 948 Е. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 19 N: 751 (185). Nach dem Originale (Tafel I, Ne 75,1). Wir ordnen diese Zeilen wie folgt: | Nasuo, Sf Ares (1 faisso 5290 (2 15205 (3 ol:AS a1cı (4 fes çatasos (5 «Im Jahre tausend fünfhundert und fünfundsiebenzig (— 1264), die Maus (d. h. dieses Jahr entspricht dem Mause-Jahre). Dieses ist das Grab des Priesters Juschmid», Der Name Juschmid kommt in diesen Inschriften öfters vor !). Das letzte Wort der Inschrift ist zwar undeutlich, aber dennoch kaum zweifelhaft. Ne 752 (135). Nach dem Originale (Tafel 1, Ne 75,2). Diese Inschrift ist auf dem Originale auf folgende Weise geordnet: 0552] Ares 115205 lis lu» 0,20 a1cı litoioits No) |011 :22) 1) 5. № 8. 16. 49,10. 50,11. 50,10 и. XII. 3% 20 D. Cawozson, Отв IM GEBIETE SEMIRJETSCHIE Die richtige Erklärung dieser Inschrift hängt mit der richtigen Anordnung der Zeilen zusammen, was in dem gegebenen Falle ziemlich schwierig ist. Ich habe schon darauf hingewiesen, dass die Steinmetze nicht immer einer bestimmten Regel beim Ordnen der Zeilenreihe folgten, sondern dass sie oft, je nach der Beschaffenheit des Steines — gross, oder klein, rund, oder lang— Worte des Textes dahin setzten, wo sie grade auf den Steinen leeren Platz fanden. Hier besteht die Schwierigkeit darin, die richtige Stelle für die beiden unter dem Kreuze eingravirten Zeilen zu finden. Dass dieselben nach der Zeile rechts vom Kreuze zu setzen sind, ist wohl kaum zweifelhaft. Herr Prof. Nöldeke, an den ich mich wegen der Erklärung dieser Inschrift schriftlich gewandt habe, schlägt vor zu lesen: $259 ci оно} [ol „um, man gedenke seines Geistes mit «Segenspruche», wobei er darauf hinweist, dass 525, wie er meint, etwas höher als {2Ss steht, wodurch angedeutet sein soll, dasses vor dem letzten Worte zu lesen sei. Ich willdarauf bemerken, dass meine Erfahrung in Bezug auf die Art und Weise, wie diese Inschriften sonst eingravirt und angeordnet werden, gegen diese Annahme spricht. Dann will ich noch bemerken, dass in einigen dieser, auf eine ähnliche Weise eingravirten Inschriften die hinzugefügten Schlusszeilen unbedingt von unten nach oben, oder richtiger: von rechts nach links gelesen werden müssen (vgl. z. B. unten № 50,16). Ich möchte daher vorschlagen, die Zeilen auf folgende Weise zu ordnen: 015521] Ares (1 +5205 Ass (2 а» 0,20 0101 (3 finis (4 505 base 2 > ( foi u; (6 52° ео (7 OLNOÿ (8 Dabei will ich bemerken, dass oinoÿ sich zwar in einer Linie mit foi: befindet, aber am Seitenrande des Steines eingravirt ist, wohin es wohl deshalb gesetzt wurde, weil hinter sas es an Platz für dieses Wort mangelte. Zu übersetzen: «Im Jahre 1575 (= 1264),das Mause-Jahr. Dieses ist das Grab des Gläu- bigen Denchä, des Sohnes des Zemchâ Koschti; gedenkt sei er (4. В. das Andenken an ıhn, oder sein Gedächtniss, möge bleiben!) [und] Friede sei mit seinem Geiste!». Zeile 6 steht fou: die apocopirte Form von focus. Die Phrase fou ::2 entspricht der in diesen Inschriften oft in türkischer Sprache vorkommenden Eulogie „mas ЗЪ, «ein Ge- dächtniss (an den Verstorbenen) möge sein», vgl. unten № 11,4. 19,1. 21,1. 28. 34,2 und 48,4; vgl. auch 50,24. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 21 alsof, Kosti, ein Männername, der nur hier vorkommt, wird wohl eine Corruption von Constans, oder Constantius sein; statt Constantinopel schreiben die türkischen Juden in der Regel 33m), aber zuweilen auch abgekürzt Su, Kuschta. Ne 78. Nach einer Photographie von Jadrinzew. Auf dem Originale: 520] res 1235 focı 0,29 0.101 > So ont O1: D оо Zu lesen: ol] Ares (1 155] jooı (2 1:55 оз (3 AaStwaits (4 Fons (5 чо ku (6 ses (7 «Im Jahre 1578 (= 1267), d. 1. der Hase (А. h. das Hasen-Jahr). Dieses ist das Grab des Periodeuten Schäh-Malyg, des Sohnes des Givargis (Georgius) Altuz». Diese Inschrift habe ich in meiner Abhandlung: Syr. Grabinschr. aus Semirj. № III, р. 9 f. (cf. ib. Tafel № 1, wo auch eine Abbildung dieser Inschrift gegeben ist) mitgetheilt. Ich beschränke mich daher darauf, einiges von dem dort zur Erklärung dieser Inschrift Gesagten hier zu wiederholen. Das Amt der neptoëeutai, 4. h. der Kirchen-Visitatoren, die im Namen der Bischöfe in den Landkirchen Visitationen anzustellen und in Bezug der allgemeinen Aufsicht und anderer kirchlichen Geschäfte die Stelle der Chorepiscopen zu ersetzen hatten, kommt schon in den Canones der Synode von Laodicea (im IV. Jahrh.) vor. Dieses Amt hat sich unter 22 D. Cawozson, Dre м GEBIETE SEMIRJETSCHIE demselben Namen noch in spätester Zeit in der byzantinischen Kirche erhalten. Im Catalog des Ebedjesu wird {20,2 02, der Periodeutes Büd erwähnt, der gegen 570 gelebt und Kalilah-wa-Dimnah aus dem Indischen übersetzt hat. Auch in der syrischen Inschrift von Zebed vom Jahre 512 п. Chr. kommt ein flou: «no, Johannes Periodeutes vor!). Nach Assemani soll das Amt eines Periodeuten bei den Nestorianern ad hanc usque 3 diem existiren°), was aber nicht ganz sicher zu sein scheint, da Ebedjesu, der die ver- schiedenen geistlichen Aemter der Nestorianer aufzählt, das Amt des Periodeuten nicht erwähnt). Es ist aber möglich, dass er diesen kirchlichen Würdennamen deshalb nicht erwähnt, weil er eigentlich mit dem des Chorepiscopus (vgl. oben № 66. 73 und unten № 18) und des ох identisch, oder fast identisch ist. Letzterer Würdennamen kommt in diesen Inschriften sehr häufig vor; vgl. № 84. 97,2 und 5. 99,4. 21. 27,5. 34,2 und XIX. — 2 Die Bedeutung des Wortes ‚0..1, Altüz, dessen Lesung mir ganz sicher zu sein scheint, | kenne ich nicht; höchst wahrscheinlich ist es ein Eigenname. Л ЗО (215). Nach einer Photographie. Auf dem Originale: soll Ares 6 oi 3 БИЗЕ | CRAMESEEEES al 6 — 3 ме р я И: Zu lesen: : >52] Aues (1 1,298 ©1017 фо» fooı (2 753 [9 ] (3 JA ztao1to (4 «Im Jahre 1580 (= 1269); 4. 1. die Schlange (d. В. das Schlangen-Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen [Ku]tluk (?). 1) 5. Monatsber. der Akad. 4. W. zu Berlin aus dem | 2) В. AssemaniB. О. Ш, р. 219 u. ib. not. 2. J. 1881; Berlin, 1882, р. 180 Е u. Z. 4. 4. m. G. Bd. 36, 3) S. Badger, The Nestorians, II, р. 190 u. vgl. ib. 1882, p. 345 u. 348 f. p. 408. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 23 Die Lesung des Namens, der, wie aus der Photographie zu ersehen ist, auf einer beschädigten Stelle des Steines sich befindet, ist zweifelhaft; denn nur das 2 und das 2 am Ende sind deutlich; der Raum zwischen diesen beiden Buchstaben scheint zu gross für es zu sein. № ЗОл (217). x Nach dem Originale (Tafel I, Ne 80,1). 202] Ares (1 AS 01 о» focı (2 55-205 52 102 (3 «Im Jahre 1580 (= 1269), 4. 1. die Schlange (d. В. das Schlangen-Jahr). Dieses ist das Grab der Tuz-Tirim-Koschtanz». 01, hadoi, ist eine, so viel mir bekannt ist, in der Literatursprache nicht vorkom- mende Abkürzung für зоол, oder „oncı, wobei das stumme сл auch nicht geschrieben wurde; in diesen Inschriften kommt aber diese Form ziemlich häufig vor; vgl. 10. 32 40. 49,3 und 49,5. № 81 (157). Nach dem Originale (Tafel 1, № 81). {2521 Mes (1 о1:5> Q101 (2 aies ae (3 hen Less (4 fiston: (5 се] 052 (6 «Im Jahre 1681 (1270). Dieses ist das Grab des Priesters Sergis (Sergius), des lieblichen Jünglings, ein Liebling — oder: der Jüngste — (seiner Eltern), des Sohnes des Aimangku». fiat: kann hier nicht die gewöhnliche Bedeutung haben, die Paine-Smith 5. у. nach drei — übrigens identischen — Stellen bei Assemani angiebt, nämlich in dem Sinne wie man im Deutschen sagt: A sei die rechte Hand von B; denn von einem Knaben kann man unmöglich sagen, dass er die «rechte Hand» von irgend Jemandem gewesen wäre. Jenes Wort ist aber hier, wie ich kaum zweifele, in der Bedeutung von Liebling, oder der 24 D. CHwozson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE Jüngste Sohn, aufzufassen, etwa wie man auch im Deutschen den jüngsten Sohn, der natürlich auch der besondere Liebling der Eltern ist, den Benjamin nennt, wobei man an den Jüngsten Lieblingssohn des Patriarchen Jacob denkt. N 88 (127) Nach einer Photographie (Tafel 1, Ne 83). an dass (1 1205 fo (2 aD arcı (3 Dansio leıeo ло, (4 {55:2 fan (5 151 (6 jose (7 ASE) Dafür 25 (8 SL со) А > (9 12| >| .2о 1205] {05 (10 mess] (11 «Im Jahre 1583 (= 1272), 4. 1. der Affe (4. №. das Affen-Jahr). Dieses ist das Grab des Priesters und Feldherrn Züma — ein gesegneter Greis, ein berühmter Emir — des Sohnes des Feldherrn Givargis (Georgius). Unser Herr (Gott) möge vereinigen (wörtlich: vermischen) seinen Geist mit den Geistern der Väter und Heiligen [in] Ewigkeit». Diese Grabinschrift hat ein besonderes historisches Interesse. Es ist nämlich sonst bekannt, dass nestorianisshe Christen bei den mongolisch-tatarischen Fürsten als Lehrer, Erzieher und besonders als Secretäre fungirt haben; hier sehen wir aber, dass nestorianische Christen in zwei Generationen hinter einander Truppen commandirt haben und dass einer von ihnen als «berühmter Emir» bezeichnet wurde. | Die Formel «gesegneter Greis» — auch «gesegnete Greisin» — kommt noch einigemal in diesen Inschriften vor (vgl. unten № 85. 97,5. 11,4 u. 34). Ueber die Eulogie, die in ähnlicher Form noch einigemal vorkommt (№ 66. 27. u. 39), vgl. unten da, wo wir von den in diesen Grabinschriften vorkommenden Eulogien sprechen werden. Das > vor dem letzten Worte muss hinzugefügt werden. Spuren dieses Buchstaben sind auf dem Abdrucke nicht zu sehen. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 25 N: 84 (218). Nach dem Originale (Tafel I, № 84). «2221 lies (1 1:55 o1o1 (2 роз er {= (3 {555 fitmoi (4 «Im Jahre 1584 (1273). Dieses ist das Grab des Kirchenvisitators Pag- Mangku, des demüthigen Gläubigen». Die Titel: |505, Kirchenvisitator, Chorepiscopus und Periodeutes, die in diesen Grab- inschriften öfters vorkommen, bezeichnen, wie oben (zu № 78) beiläufig bemerkt wurde, wesentlich eine und dieselbe Kirchenwürde, von der weiter unten gehandelt werden wird (vgl. oben zu № 78, р. 21 f.). Der Name Pag-Mangku wird im Originale als zwei Worte geschrieben. — Der sonst bei den Syrern so häufig gebrauchte Ausdruck der Demuth fasa:o kommt in diesen Grab- inschriften nur hier vor. № 85 (191). Nach einer Photographie. Das Kreuz hat die Form eines Georgen- oder eisernen Kreuzes, so dass man aus der Form desselben an und für sich nicht ersehen kann, wo oben und wo unten ist. Da aber die allermeisten Inschriften mit dem Datum beginnen, copire ich diese Inschrift auf folgende Weise: Nach der Photographie: Zu lesen: 1202 lies р 5 = oas2| Ares (1 À = = 1555 (2 5 nn 1,20 ao for (3 | а 3 $207 bas (4 5 a 4 Nasa das (5 а, 15 «Im Jahre 1585 (1274), der Hund (А. h. das Hunde-Jahr). Dieses ist das Grab der gesegneten Greisin Tuzaja Koschtanz». Die letzten beiden Zeilen sind zwar auf der Photographie sehr schwer zu lesen, ich hoffe aber sie richtig entziffert zu haben. Ueber die Formel in der letzten Zeile vgl. oben zu № 83, р. 24. Mémoires de l'Acad. Imp. 4. sc. VII Série. - 4 26 D. Cuwouson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE № 87 (812). Nach einer Photographie, Auf dem Originale: Zu lesen: joa 12521 Aies jo 1222] Ares (1 [ae] (2 01-52 от зол (3 jAitosont (sa; (4 € 01:55 „or Jo Лао (2) 2:0 «Im Jahre 1587 (1276), das ist [die Maus] (4. h. das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen Marjam (Marie) (?)». ; Der letzte Buchstab im Datum ist nicht ganz sicher; er ist vielleicht wie » zu lesen. Das Datum wäre danach 1584 (1273) und zu ergänzen 15-52, das Huhn(-Jahr). Es kommt in diesen Inschriften einigemal vor (vgl. 2. В. № 1600 und 3,1), dass auf |оот das Jahr des 12jährigen Thiercyclus nicht angegeben ist, was wohl nur aus Versehen geschehen sein muss. Der Name Marjam ist sehr undeutlich und daher unsicher. № 92 (57). Nach einer Photographie. Auf dem Originale: Zu lesen: = Aus 4 5 = 2,221 lies (1 — PS 6 a sais fon Aus (2 ? 1 a je à a a ka ср „or for (4 Е 4 | fAitmors (5 d 9 «Do fo ) o120i (6 6 AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 27 «Im Jahre 1592 (1281), im Monat Ilul (August). Dieses ist das Grab der Gläubigen Maïfrah, der Frau des Sümä J’aküb». Der Monatsname kommt nur noch in den Inschriften № 60. 66 und 11,3 vor. Auf Inschriften von Frauen wird sehr oft der Name des Mannes angegeben; vgl. № 99,1. 38,1. 42,3. 50,17 und XIX. | Ueber den Namen Maifrah, der in diesen Inschriften sehr oft vorkommt (№ 16. 19. 27,1. 50,8 und XVI) siehe unten da, wo von den Eigennamen gehandelt werden wird. oZ{f, an zwei Stellen (99,1 und 38,1) cf, aber immer mit à und nicht nach der Aussprache geschrieben; vgl. unten № 99,1, р. 32. Im Originale befindet sich Zeile 5 nach Zeile 3. № 97 (137). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck (Tafel I, Ne 97). Diese, aus syrischen und türkischen, vielleicht auch aus arabischen Elementen be- stehende Inschrift ist eben so schwierig zu lesen, wie auch zu erklären. Nur durch die gütige Hülfe des Herrn Akademikers W. Radlow kann ich es wagen, hier eine Transcription, Uebersetzung und Erklärung zu versuchen. Ich lese: 15555 |обл 1522 Aies (1 $02 {af LecioZ un. (2 „as Каф 20% At (3 rar 21505 сэ] (4 01:52 ©1201 (5 ara nos (6 Вых (uno (7 Zeile 1 ist syrisch und verständlich. Zeile 2 ist türkisch und gleichfalls verständlich, nur muss man annehmen, dass {2>502, dessen 3 letzten Buchstaben übrigens sehr undeutlich sind, — syrisch Auloja2 sei und statt 1,2502, d. h. «türkisch», steht. Die 3. und 4. Zeile, die graphisch geringe Schwierigkeiten bieten, sind dagegen sehr schwer verständlich. - Кайо 20% Aus, das vollkommen sicher ist, könnte ein, allerdings schlechtes Aequivalent für „L. Sg ls sein, mit der Bedeutung etwa: «er starb den Tod eines Fehler- losen», 4. В. Gerechten. JL. als adj. zu + geht wohl nicht. Es ist aber auch eine andere Erklärung möglich. Paine Smith führt nämlich nach Stoddart ein neusyrisches Wort “Sw an, mit der Bedeutung: morbus epidemus. Der Sinn dieser Phrase könnte also 4* 28 D. CHwozson, Dre Im GEBIETE SEMIRJETSCHIE sein: «er starb an einer epidemischen Krankheit». Aehnliche Angaben, wie 2. В. 132042 Ai, «ег starb ап der Pest», kommen in diesen Inschriften einigemal vor; vgl. unten № 49. 49,11 und 50,16. sh „a2 ist türkisch und kann hier heissen: «jung an Tagen». aan] ana ist gleichfalls türkisch und bedeutet: «an Auge (4. h. Erfahrung) ein Mann». — Ueber das Türkische in diesen Inschriften wird Hr. Radlow am Schlusse dieses Werkes handeln. Die letzten 3 Zeilen sind syrisch und leicht verständlich, nur muss man {Ses nicht in der gewöhnlichen syrischen Bedeutung des Wortes: «ein Jüngling»!), nehmen, sondern im Sinne des arabischen „is: «gelehrt», auffassen, da es sonst zum vorangehenden {25.5 nicht gut passen würde. Die Zeilen 3 und 4 sind wohl am Schlusse der Inschrift zu setzen. Nach dem Gesagten wäre diese Inschrift zu übersetzen wie folgt: «Im Jahre 1597 (=1288), 4. 1. das Hunde-Jahr, es ist das türkische Jahr It (der Hund). Dieses ist das Grab des weisen, gelehrten (und) gläubigen Juchanan (Jo- hannes); er starb an einer epidemischen Krankheit (oder er starb den Tod eines Tadellosen), jung an Tagen, an Auge (d. h. Erfahrung) ein Mann». № 971 (179). Nach dem Originale (Tafel I, № 97,1). foo1 1221 Aies (1 ©1:5> „ar har [5555 (2 (04. 22) mat ad (3 1Дазоьоко (4 I ce (5 525 (6 «Im Jahre 1597 (1286), das ist der Hund (d. h. das Hunde-Jahr). Dieses ist das Grab der Tuzun-Maji (od. Bei), der Tochter des Kirchenvisitators Jaldä». Die Lesung des zweiten Namens Zeile 3 ist unsicher; der erste Buchstab desselben sieht wie ein © aus; es ist aber auch möglich, dass der linke Strich durch einen Bruch im Steine entstanden und dass der betreffende Buchstab wie zu lesen sei. Die darauffolgenden beiden nach unten gezogenen Strichlein ?) scheinen zwei Jods zu sein. Wie dieser Name zu lesen und auszusprechen sei, kann ich nicht genau angeben, bemerke nur, dass Bei ein häufig vorkommender weiblicher Name ist. 1) Vgl. unten № 97,4. 23. 27,4. und 49,10. einzelne Buchstaben unter statt in der Linie gesetzt 2) In diesen Inschriften kommt es einigemal vor, dass | sind. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 29 Auf dem Originale befindet sich zwar die 6. Zeile zwischen der 4. und 5.; es kann aber doch nicht zweifelhaft sein, dass о auf den Namen des Vaters der Verstorbenen folgen muss, da letztere doch unmöglich jenen Kirchentitel geführt haben konnte. Die Angabe, wessen Tochter die Verstorbene war, kommt in diesen Inschriften öfter vor; vgl. № 97,5. 10. 16. 18. 19. und 21. Ne 97, (186). Nach dem Originale. 15552 [об 15221 Aie (1 1555 ons оо (2 ра ME 2 505%] (3 «Im Jahre 1597 (1286), das ist der Hund (4. В. das Hunde-Jahr). Dieses ist das Grab des Scholasticus Elias, des Sohnes des Lehrers Sergis (Sergius)». Zeile 1 befindet sich über dem Kreuze, Zeile 2 senkrecht links und Zeile 3, gleich- falls senkrecht, rechts von demselben. Der Titel Scholasticus kommt sehr häufig vor'!), weniger häufig der des fiat, Lehrer?); vgl. unten, wo von den Titeln und Würden gehandelt werden wird. N: 97,3 (202). Nach einer Photographie. [1]5521 Ares (1 [a];as e101 {ass (2 5500.5 [42555 (3 «Im Jahre 1597 (1286), der Hund (4. В. das Hunde-Jahr). Dieses ist das Grab des Jünglings Puslim». Diese Inschrift ist auf dem Originale genau so geordnet, wie die vorangehende. Der letzte Buchstab des Datums ist nach der folgenden Angabe über das Jahr des Thiercyclus ergänzt. foıS% kommt auch sonst in diesen Inschriften oft vor; vgl. die vorangehende Seite Anmk. 1. Viel häufiger kommt 152555 vor, besonders in den Inschriften vom Jahre 1642 (= 1331) an. Im Namen ist der 3. Buchstab nicht ganz sicher. 1) $. № 8. 11,4. 12,1. 2. u. 3. 19,2. 44. 50,7. 13. u. 23; | 2) 5. № 34,1. XXXII, u. vgl. 16, wo aber fälschlich 53. IV. u. ХИ. | amt steht. 30 D. Снмогзом, Dis тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE № 27,1 (211) Nach einer Photographie. Auf dem Originale: | Zu lesen: 7 обл 1221 Aie jocı 15221 Lies (1 | 1555.5 | С ©1552 ac (3 3 Er mc Я jAatois 5201 (4 LA 4 Я [|052 „0205 (6 se а @) taxe Les ( 3 à 4 À mi (8 Der Name der Verstorbenen Zeile 4 ist unsicher; bloss die letzten beiden Buchstaben sind deutlich. Beim letzten Buchstaben fehlt übrigens der diacritische Punkt, so dass er vielleicht als ›, oder eher wie 1 zu lesen ist. Der 3. Buchstab Zeile 6 ist gleichfalls unsicher. Ob das erste Wort Zeile 7 wirklich 1-55 lautet, ist ungewiss. Ist aber dieses Wort richtig gelesen, muss das folgende Wort, nach der analogen Phrase in mehreren andern Inschriften (vgl. oben zu № 83) 125;> gelesen werden. Die stark verwischten Buchstaben der letzten Zeile sind wohl of zu lesen, welches Wort auch sonst am Schlusse vorkommt (vgl. № 66. 49,6 | und IX). Sollte ich diese theilweise sehr deutliche, aber zugleich an einzelnen Stellen sehr schwer zu entziffernde Inschrift richtig gelesen haben, wäre dieselbe zu übersetzen: «Im Jahre 1597 (1286), das ist der Hund (d. h. das Hunde-Jahr). Dieses ist das Grab der gläubigen Nuter (?), der Tochter des Kirchenvisitators Kutuk, des gesegneten Greises. Amen». | N: 98 (52). Nach dem Originale (Tafel I, Ne 98). | joa DZ] Ares (1 | feat (2 | ©1;5:> a1cı (3 les a Qt (4 ES nt dd, rt de D dés ir PTT MR TRE TNT ДРК ИР AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 31 «Im Jahre 1598 (1287), das ist das Schwein (4. h. das Schweine-Jahr). Dieses ist das Grab des Priesters Giwargis (Georgius) Almaligaja» (d. h. aus Almalig). Der Beiname Almaligaja kommt in verschiedener Schreibweise noch in vier andern Grabinschriften aus den Jahren 1599 (1288), 1603 (1292) und 1611 (1300) vor. Die Stadt Almalig kommt bei mittelalterlichen christlichen Reisenden, so wie auch bei dem arabischen Reisenden Ibu Batutah vor. Sie lag damals an der Grenze von China und war längere Zeit die Hauptstadt des tatarischen Reiches der Dynastie von Gagatai. Sie ist vermuthlich mit Alt-Kuldscha identisch, jetzt ein Dorf gegen 20 Werst östlich vom jetzigen Kuldscha; vgl. Yule, Cathay and the thither, London, 1866, p. 236, Anmk. 2 und p. 338. № 98, (162). Nach dem Originale. Auf dem Originale: Zu lesen: Г 6 3 д 55221 EN Aie (1 4 9 d 1255 0,20 o101 (2 ARS à IA (3 |: 3 — «Im Schweine-Jahre; 1598 (1287). Dieses ist das Grab der Gläubigen Qejamtä». Qejamtä heisst die Auferstehung und entspricht ungefähr dem russischen Familien- namen Воскресенский (Woskressenski). Ne 99 (116). Nach einer Photographie. Joo1 +021 lies (1 1,28 „01 Бол {+5505 (2 Mamas 1552 (3 ses (4 «Im Jahre 1599 (1288), das ist die Maus (d. h. das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen Tabitâ Almaligita» (d. h. die aus Almalig). 32 D. CHwoLsoNn, Dre IM GEBIETE SEMIRJETSCHIE Zeile 1 befindet sich über dem Kreuze, Zeile 2 senkrecht links und Zeile 3 und 4 stehen ebenso rechts von demselben. Das zweite Wort der 3. Zeile ist mehr errathen als gelesen. Da der Name des Ortes in der 4. Zeile mit einem | nach dem zweiten & geschrieben ist, möchte man denken, dass die Nestorianer jenen Namen Almalag und nicht Almalig ausgesprochen hätten. Ich vermuthe aber, dass hier ein Schreibfehler ist, statt [A SfeK; denn die Reisenden schreiben immer Almalik; arabisch wird der Name dieses Ortes a) und auch № 3,3 und 11,1 wird der Name deutlich the, Almalig geschrieben. № 99,1 (136). Nach dem Originale (Tafel И, № 99,1). #200$ {oo 35221 aies (1 01:55 зо [or (2 Macro san] (3 tee (1. HN) 110: of (4 «Im Jahre 1599 (1288), das ist die Maus (4. В. das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen Aiterim, der Frau des Juchanan (Johannes) Beschgu». ali steht unrichtig statt 2A]. Sollen jene Nestorianer das 2 in diesem Worte aus- gesprochen haben? Fast scheint dies der Fall gewesen zu sein; denn sonst hätte der Ver- fasser dieser Inschrift, welcher dieses Wort unorthographisch mit einem 2 geschrieben hat, das à ganz weggelassen; vgl. oben р. 27 zu №82. Es kann kaum zweifelhaft sein, dass 0» nur aus Versehen statt «110 gesetzt wurde. Ob der erste Buchstab des folgenden Namens 2, oder 5 zu lesen sei, ist unsicher; ersteres ist wahrscheinlicher, da das 2 sonst in diesen Inschriften kleiner und mehr dem 5. ähnlich ist. № ЭЭ»> (167). Nach dem Originale. 45221 Aies (1 jeaces [оо (2 4 ©:5> a1cı (3 litmois ©5025 (4 «Im Jahre 1599 (1288), das ist die Maus (d. h. das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen Mibulu» (?). FPS TR PR AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 33 Zeile 1 und 2 befinden sich über dem Kreuze, Zeile 3 steht senkrecht links und Zeile 4 ebenso rechts von demselben. Der dritte Buchstab im Namen Zeile 4 ist unsicher, er scheint aber kein 2 zu sein. Sollte doch dieser Buchstab wie > zu lesen sein, würde dieser Name Micolo lauten, was vielleicht nur eine Corruption des Namens Nicolai sein dürfte; denn der gemeine Russe z. B. spricht noch jetzt diesen Namen Micöla aus, desgleichen Mikifer statt Nikephor. № 99,3 (197). Nach einer Photographie und theilweise nach dem Originale. Ares 45221 Ares (1 nec (2 He 5 60956 «Im Jahre 1599 (1288), im Jahre der Maus. Dieses ist [das Grab des] . . . .. des Kirchenvisitators ....». | Auf dem Originale steht Zeile 1 über dem Kreuze und Zeile 2 über Zeile 1. Zeile 3 und 5 stehen senkrecht links und rechts vom Kreuze. Das Original ist flach und viereckig, auch nicht hart, wie fast alle andern Steine es sind, sondern ein sehr weicher Sandstein und so bröckelig, dass man ihn fast für einen Ziegelstein halten könnte. Unterwegs ist der Stein in viele kleine Stücke zerbröckelt worden. Auf diesen Stücken haben sich nur die Worte Aie und aim erhalten. Die Oberfläche war schon bei Abnahme des photographischen Abdrucks in Wernoje so zerstört, dass auf dem- selben nur die hier mitgetheilten Buchstaben noch erhalten waren. Das noch deutlich sichtbare > am Ende bildet den Anfang eines schwer zu errathenden Wortes, welches viel- leicht as: zu lesen ist. Л 99, (208). Nach einer Photographie, Auf dem Originale: Zu lesen: 12205 мт 2,22) Aufeo] jo 3524] 2225 (1 CAS зоо] traces (2 OkAS зол [har] (3 \з 9 | Lino 35.07 (4 Mémoires de l’Acad. Imp. d. sc. VII Série. 5 34 D. Cawouson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre 1599 (1288), das ist die Maus (das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen Kuzkiz». Die rechte Seite der Zeilen 1 und 3 ist theilweise zerstört. Der letzte Buchstab des Namens ist nicht ganz sicher. MN: 1600 (224). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. [502] fon 5 . Z.f Aaes (1 01:55 a1cı (2 les Зою (3 «Im Jahre 1600 (1289), das ist [der Stier] (4. В. das Stier-Jahr). Dieses ist das Grab des Priesters Maschüt». Zeile 1 befindet sich über und die Zeilen 2 und 3 stehen senkrecht links und rechts vom Kreuze. Die Zahlbuchstaben im Datum sind hier durch Punkte von einander getrennt, was sonst nirgends der Fall ist. Nach fooı ist, vielleicht aus Versehen, wie oben № 87, p. 26, und unten 3,1, p.36, der Name des Thierjahres, hier der Stier, ausgefallen. Ob hier der fehlende Name mit dem syrischen боб, oder dem türkischen 2of zu ergänzen sei, lässt sich nicht mit Bestimmtheit angeben; ersteres ist wahrscheinlicher, da in den älteren Inschriften meistens der syrische Name an- gegeben ist. № 1600, (154+)?. Nach dem Originale. = Ass (1 23] 39 №24» (2 lee D Quart (3 SRE «Im Jahre tausend sechshundert (= 1289), das ist der Stier (das Stier-Jahr). Givargis (Georgius), der Kirchenvorsteher, der Ruhmreiche». 1) Edirt 1. с., № V. 2) Unrichtig edirt nach einer schlechten Copie 1. с. M IV. к к m . AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 35 Das Kreuz in dieser Inschrift ist mit vielen Schnörkeln versehen und zwischen den vier Armen desselben befinden sich vier Anker. Ueber dem Kreuze sieht man fünf schräg gesetzte kleine und unter demselben vier kleine, wagerechte Kreuze. Unter diesen befindet. sich noch eine netzförmige Verzierung. | Die Zeile 1 steht über, Zeile 2 senkrecht links und Zeile 3, 4 und 5 befinden sich senkrecht rechts vom Kreuze. >» steht über der Zeile und darunter ein Wort, das aus einigen, jetzt wegge- meisselten Buchstaben bestand, von denen nur der erste, ein », erhalten ist. Ich vermuthete anfangs, dass hier io», fünf zu lesen und dass das Datum 1605 sei; da aber das folgende Wort unzweifelhaft 201, der Stier, lautet und das Stierajhr mit dem Jahre 1600 correspondirt, während das Jahr 1605 dem Pferde-Jahre entspricht, glaube ich, dass der Steinmetz aus Versehen 1152952», 500 statt 600 gesetzt und dann, sein Versehen bemerkend, die richtige Zahl darüber eingravirt und die falsche weggemeisselt hat, aber so, dass das à noch ziemlich unversehrt blieb. 25 — vl ist türkisch mit der Bedeutung: er, sie, es war; es entspricht somit dem syrischen fooı. Jenes türkische Wort kommt auch sonst selbst in rein syrisch abgefassten Inschriften vor. Der Titel {2.5 2.5 — zuweilen als ein Wort geschrieben —, Kirchenvorsteher, kommt auch sonst in diesen Inschriften vor; s. № 34 u. 38 und vgl. 11,2. 12,3 u. 50,24. Ne 1 (108). Nach einer Photographie und einem Farben- und Grafit-Abdrucke. 52] Ares (1 0:55 a1cı |522 (2 «Ги Jahre 1601 (1290), der Tiger (4. В. das Tiger-Jahr). Dieses ist das Grab des lieblichen Jünglings J’aküb». Zeile 1 steht über dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 befinden sich vertical links und rechts von demselben. Zwischen 5 und {im Datum scheinen im Originale einzelne kleine Stückchen abge- bröckelt zu sein, so dass der 2. Buchstab des Datums nicht ganz deutlich ist. Ich zweifle aber nicht, dass ich dasselbe richtig gelesen habe. Das Jahr 1601 (1290) entspricht in der That dem Tiger-Jahre des 12jährigen Thiercyclus. 5% 36 D. CHwozson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE № 3 (113). Nach einer Photographie. Auf dem Originale: Zu lesen: Е 6 d oei {oo pi Ass (1 Le 0,29 a1cı (2 en en soso [RE (3 3 1 À A | 9 о Я «Im Jahre 1603 (1292), das ist der Drache (4. В. das Drachen-Jahr). Dieses ist das Grab des Vorstehers (Aufsehers) Denchä». Der Name Zeile 3 ist nicht ganz sicher; der erste und der letzte Buchstab sind ziemlich deutlich und vom „ ist nur das letzte Häkchen sichtbar; ich glaube jedoch den Namen richtig gelesen zu haben. Dieser Name kommt auch in der Inschrift № 75,2, р. 19 vor. fosse, Präfectus, Inspector, ist hier offenbar ein Titel; ob damit eine Civil-, oder kirchliche Würde gemeint ist, kann ich nicht angeben. In einer palmyrenischen Inschrift vom Jahre 264 п. Chr. wird 882 durch rpootarng im Sinne von Patron wiedergegeben '). № 3, (121. Nach dem Originale (Tafel Il, № 3,1). [oa>] fo pl Ara (1 ara ac (2 [eo зо (3 ее @ «Im Jahre 1603 (1292), das ist [der Drache] (4. В. das Drachen-Jahr). Dieses ist das Grab des Priesters Juchanan (Johannes) Tabgaz». Auch hier ist, wie in № 87 und 1600, der Name des türkischen Jahres nach Тост nicht angegeben. 1) $. Melch. de Vogüé, Syrie centr., Inscript., Paris, 1868, р. 26, № 26, Zeile 5, u. ib. den griech. Text. ий \ | : | 4 À 1 } 4 TRES AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 37 № 82 (194). Nach einer Photographie. Auf dem Originale: Zu lesen: [floor „gel Aie [loc „gel lies (1 [a8 one fa МУН (2 — ао (3 > ons за [5521] 155 а 9 а. Diese Inschrift ist in dem mir vorliegenden photographischen Abdruck grösstentheils sehr undeutlich. Zeile 1. Ares ist fast ganz verwischt. Das Datum las ich anfangs 621, 1650 (1339), aber ich bemerkte nachher, dass das Nun finale in den zahlreichen Inschriften aus diesem Jahre viel tiefer als hier steht. Das Jahr 1650 entspricht auch dem Hasen-Jahre, 156.35}, welches Wort hier sicher sich nicht findet. Ich glaube daher den letzten Buchstaben des Datums als ч, lesen zu müssen, obgleich der linke Strich dieses Buchstaben nicht zu sehen ist. — рот steht hier deutlich statt des gewöhnlichen ascı. Das erste Wort der zweiten Zeile ist fast ganz verwischt; ich glaube aber, dass es nicht anders als 155.2] gelesen werden kann. Das Drachen-Jahr correspondirt auch mit dem Jahre 1603 = 1292 п. Chr. (vgl. oben № 74, р. 17). Das mit dem vorangehenden Buch- staben verbundene | am Ende ist sehr deutlich. Der 3. Buchstab des Namens ist zwar nicht ganz deutlich, kann aber schwerlich anders als > gelesen werden. Diese Inschrift ist zu übersetzen: «lm Jahre 1603 (1292), das ist der Drache (d. h. das Drachen-Jahr). Dieses ist das Grab des Gläubigen Malkä». № 8: (196). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. Auf dem Originale: Zu lesen: jocı focı (2 38 D. Cawouson, Отт м GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre 1603 (1292), das ist der Drache (das Drachen-Jahr). Dieses ist >. Grab des Priesters Sergis (Sergius) Almaligaja» (aus Almalig). | Vgl. oben 98 und 99, р. 30 f. und unten № 3,5. 11,1 und 11,2. = N Su). ti | Nach dem Originale. Auf dem Originale: Zu lesen: los | => rien AS. 20 los a Ares (1 BAR IASZo (2 .2. 4 28 от for (4 3 Gp 14552 ч550$ (5 124 «Im Jahre tausend sechshundert und drei (—1292); der Drache (das Drachen- Jahr). Dieses ist das Grab des jungen Mädchen Turk». {oAs steht fehlerhaft für ffoAs, 145.2 für ANZ. Diese beiden Fehler kommen, wie oben bemerkt wurde, in diesen Inschriften sehr häufig vor. 1453 könnte man zunächst nur für einen Schreibfehler für fAs>2 halten, da aber diese Form auch in № XI vorkommt, möchte ich lieber annehmen, dass der türkisch sprechende Verfasser dieser Inschrift, der als Türke keine zwei Consonanten im Anlaute aussprechen konnte, tiltä statt tlitä sprach und auch so schrieb. № 3, (196). Nach dem Originale (Tafel Il, № 3,5). Die Zeilen des Originals, deren Anordnung aus der beiliegenden Tafel zu ersehen ist, sind wohl in folgender Reihenfolge zu lesen: pl Ares (1 ост (2 oa (3 _ CAS arcı (4 jan ао (5 lecan.ı>i (6 ox (7 ых (8 1) Edirt 1. с. 1 № VI, und abgebildet ib. Tafel, rechts oben. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 39 Zeile 7. Die Lesung 215, scheint mir ganz sicher zu sein. Was aber dieses Wort bedeutet weiss ich nicht; vielleicht ist 2:f,, Ziamert, der zweite Name des Juchanan, der, wie öfters, in diesen Inschriften, nicht an die richtige Stelle gesetzt wurde. Die letzte Zeile ist gleichfalls unklar. „a Sie ist, glaube ich, ganz sicher und man möchte annehmen, dass auf das letzte à ein | folgen sollte, was { je, Almaligaja, д. h. aus Almalig (vgl. oben № 98. 99. 3,3 und 11,1 f.) ergeben würde. Aber das 1 ist nicht zu sehen und auf das à folgt ein ziemlich langer Strich, an dessen Ende zwei Buch- staben sich befinden, von denen der zweite ein < zu sein scheint und der erstere vielleicht wie 2, 5, oder vielmehr wie о zu lesen sein dürfte; Zune kann aber auch unmöglich richtig sein. Ich versuche diese Inschrift wie folgt zu übersetzen: «Im Jahre 1603 (—1292), das ist der Drache (d. h. das Drachen-Jahr). Dieses ist das Grab des Chorepiscopus Jüchanan Ziamert Almaligajä» (d. h. aus Almalig). № 5 (190). Nach dem Originale. aK Aires (1 тело» jfods (2 01:52 ao! har (3 jAatmois fZ (4 «Im Jahre tausend sechshundert fünf (1294). Dieses ist das Grab der Gläu- bigen Мага». Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über dem Kreuze und die Zeilen 3 und 4 vertical links und rechts von demselben. № 8 (210). Nach einer Photographie. [5:22 fs Aso = Ares (1 (eos Да» (2 сы» 051550 (3 ra a1cı (4 > чае JS] (5 . . . 65055] (2905 (6 LA En (7 40 D. Cuwouson, Dre м GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert acht (= 1297), das Affen-Jahr, türkisch Pisin. Dieses ist das Grab des Arslan Ming, des Sohnes des Scholasticus Juschmid a im Himmel». Zeile 1 befindet sich über dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 stehen vertical links, die 4. 5. und 6. ebenso rechts und die übrigen horizontal unter demselben. Pitschin heisst türkisch der Affe, und da es in dem semitischen Alphabet kein Zeichen für den Laut tsch giebt, wird derselbe in diesen Inschriften durch „ ausgedrückt. Das, was auf den Namen Arslan Ming folgt, ist sehr unsicher; das Wort am Ende der 6. Zeile, sowie auch die Zeilen 7, 8 und 9, von denen die beiden letztern, wie es scheint, nur je ein Wort enthalten, sind sehr undeutlich und ich kann sie daher nicht entziffern das letzte Wort aber Zeile 10 scheint mir ziemlich sicher fes zu lauten, woraus zu folgern ist, dass die vorangehenden, unentzifferten Zeilen wohl eine Eulogie enthalten. MN 9 (101). Nach einer Photographie. = lues (1 эл Под» (2 1555 Ars (3 aD Q301 (4 mans (nl (5 tes u où (6 «Im Jahre tausend sechshundert neun, das Hunde-Jahr. Diesesist das Grab des Gläubigen Arslan, des Sohnes des Priesters Sergis» (Sergius). Die Zeilen 1—3 befinden sich über dem Kreuze, die 4. und 5. vertical links und die 6. Zeile steht ebenso rechts von demselben. N: 10 (208). Nach dem Originale (Tafel И, № 10). Wie die Zeilen dieser Inschrift auf dem Steine placirt sind, ist aus der beiliegenden Abbildung zu ersehen; ich glaube sie wie folgt ordnen zu müssen: 1) Unter den photographischen Abdrücken der ar- | Inschrift in der Sammlung der photogr. Abdr.der hiesigen chäologischen Commission enthält № 208 die oben № 99,4, | Universität doppelt, unter № 208 und 214. ` р. 33 mitgetheilte Inschrift. Dagegen befindet sich unsere AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 41 хо>о [is ]Aso = Ares (1 laws foo1 (2 01 (3 dAınco 2 025 (4 rn o12;D (5 les (6 Map Aus (7 «Im Jahre tausend sechshundert zehn (1299), das ist das Schwein (das Schweine-Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen Martha, der Tochter des Priesters (od. des Greisen) Peschä; eine liebliche Jungfrau». Unter andern giebt auch diese, in graphischer Hinsicht interessante Inschrift ein schlagendes Beispiel dafür, wie die Zeilen in diesen Grabinschriften oft untereinander ge- worfen sind; denn ER 4.38 kann doch unmöglich nach эст und vor 0,25 gelesen werden. Ueber эст statt зол for vgl. oben zu № 80,1, р. 23. les ist nicht ganz sicher; vielleicht ist hier {a® zu lesen. Das Epitheton Mn 1525 kommt auch № 16 und 18 vor; vgl. oben р. 18 zu № 75. № 11 (48). Nach dem Originale (Tafel II, № 11). = Ares (1 min ÎloÂs (2 Тост 15205 (3 OS ©2301 (4 «Im Jahre tausend sechshundert elf (1300), das ist die Maus (das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen Altuk». Die erste Silbe des Names ist unsicher; vielleicht ist es 9, La, oder af, Ai, zu lesen. Ne 11) (59). Nach einer Photographie. oAs eN lues (1 d 520% jocı mis (2 AS Q101 (3 ES les Sn (ous (4 Mémoires de l'Acad. Imp. 4. sc. VII Série. 6 42 D. CHwozson, Die 1м GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert elf (1300), es war die Maus (das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab des Priesters Givargis (Georgius) Almaligaja (aus Almalik)». Zeile 1 befindet sich über dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 stehen vertical links und Zeile 4 steht vertical rechts von demselben. Ueber Almalig vgl. das oben р. 31 zu № 98 Gesagte. № 11, (144). Nach dem Originale (Tafel II, № 11,2). Die Reihenfolge der auf dem Originale unter einander geworfenen Zeilen ist wohl die folgende: flmAso eN aies (1 foo1 ха» (2 15205 (3 arms aycı (4 Voos si2 (215555) finis (6 PAS Vatas (7 Diese Lesung der Inschrift scheint mir, bis auf einige wenige Punkte, ganz sicher zu sein, aber die Erklärung der Zeile 6 ist sehr schwierig. Das erste Wort, das ein syrisches zu sein scheint und auch kaS> gelesen werden kann, ist mir unverständlich. 215, insidiatus est, passt hier durchaus nicht. Eben so wenig giebt 1.5555, besonders in Verbindung mit dem folgenden s{, der Stein, irgend einen Sinn. {2 ist türkisch und bedeutet der Stein. Das letzte Wort der Zeile 6 glaube ich о lesen und mit dem folgenden j2,5; &.5525 verbinden zu können; der Strich am Ende, der wie ein , aussieht, mag m Folge einer Nachlässigkeit des Steinmetzes, mit dem vorangehenden Striche nicht verbunden worden sein. Alles Uebrige ist verständlich und wie folgt zu übersetzen: «Im Jahre tausend sechshundert elf (=1300), das war die Maus (d. h. das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab des Priesters Muscha (Moses), Almaligaja (aus Almalig) SER ‚ der eifrig bemüht war für das Werk der Kirche». № 11,3 (160). Nach dem Originale (Tafel II, № 11,3). Diese Inschrift ist auf dem Originale auf folgende Weise placirt!): 1) Um dem Leser das Combiniren zu erleichtern habe ich hier diese Inschrift so gegeben, wie sie sich auf dem Originale befindet. u BES, x hr a m da > NS ИРА be PT № AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 43 ÎlsAso =Х Ares 1 9 4 = yet Er 22) 1:32 : 3 q ee 9 ; р 8 ee dns .d..à HUE = "dique 1 A 33 $3 Diese Zeilen dürften wohl in folgender Reihenfolge zu ordnen sein: floAso aN Ares (1 jooı ;mi,.no (2 $ фо once (3 22 el 05] (4 >75] (2 (5 FAN) (6 OA© ео (7 >> asus (8 ло, г (9 150551 (10 gnso® Zu (11 «rh (oder р. 2, 32) 1:22 (12 (242905) 3290) (13 Nur die Erklärung der Zeilen 12 und 13 bietet Schwierigkeiten, zum Theil auch des- halb, weil die Lesung und Setzung derselben unsicher ist. In Zeile 12 sind die ersten Buch- staben theils ganz unleserlich, theils sehr unsicher. 12, wie es gelesen werden kann, könnte heissen: «des Himmels». In der Inschrift № 8, р. 39 Е. findet sich eine unleserliche Eulogie, deren letztes Wort höchst wahrscheinlich 155295, «im Himmel» lautet; eralalz, «des Himmels», könnte wohl mit dem vorangehenden anses 3], «ein Gedächtniss (an den Todten) зе», in irgend einem Zusammenhange stehen. — Zeile 11. Die Formel anses 3 kommt in diesen Inschriften ой vor; vgl. № 19,1. 28 und 34,2. 315 ist, wie mein verehrter College, Herr Akad. Saleman, richtig vermuthet, das aus dem Persischen 5L entlehnte, tatarische «>, das Gedächtniss, die Erinnerung, und entspricht somit der syrischen Formel fou „> (№ 75,2, р. 19 £.). Der Sinn ist: das Gedächtniss (an den Todten, resp die Todte) möge sein. Zeile 13 kann der 1. Buchstab auch ein 1 sein und der Punkt unter ihm von einem 6* 44 D. Cawozson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE Bruche im Steine herrühren. Herr. W. Radlow meint auch, dass ein türkischer Name schwerlich mit einem › beginnen könnte. Der letzte Buchstab kann », oder $, oder auch 1 sein. Nicht unbemerkt will ich lassen, dass der Name caso, oder 25290 in diesen Inschriften - oft vorkommt. Vorausgesetzt, dass ich die Zeilen richtig geordnet und die Zeilen 12 und 13 an die richtige Stelle gesetzt habe, könnte man diese Inschrift wie folgt übersetzen: | «Im Jahre tausend sechshundert elf (1300), das ist die Maus (А. В. das Mause- Jahr), das Sizkan-Jahr (d. h. gleichfalls: das Mause-Jahr) war es; den 22. Tag des (Monats) Adar war es da er starb. Dieses ist das Grab des Knaben Schim’ün (Simeon), des Sohnes des Scholasticus Sümä. Ein Gedächtniss (an ihn) möge sein!»..... № 114 (169). Nach einer Photographie, flsAs eN Ares (1 обл Е (2 faces (3 01:52 0101 (4 kat = (5 > о fesses (6 [ev (7 «Im Jahre tausend sechshundert elf (1300), es war die Maus (das Mause- a Dieses ist das Grab des Priesters Arslan-Tunga; ein gesegneter Greis». Die Lesung der beiden letzten Worte halte ich für sicher; das Epitheton 1.55:> ja», «gesegneter Greis», kommt in diesen Inschriften einigemal vor; vgl. oben № 83, р. 24. Zeile 1 steht über dem Kreuze, die Zeilen 3 und 4 befinden sich vertical links, 4 und 5 vertical rechts, 6 und 7 horizontal unter demselben. OR PR = nn nn. Sl nm Zu oa № 12 (133). Nach dem Originale. 112Аэ = Ares (1 102 Aıs [ост ;ms52 (2 25 зо ол (3 2215 5025 (4 «Im Jahre tausend sechshundert zwölf (1301). Dieses ist das Grab der Kutuk Chatun». Ueber Chatun vgl. oben № 65, р. 13 £.. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 45 Zeile 1 befindet sich über und Zeile 4 horizontal unter dem Kreuze und die Zeilen 2 und 3 stehen vertical links und rechts von demselben. № 12,1 (13-6). Nach dem Originale. Auf dem Originale: Zu lesen: isAs aK Ares Ел» = Ares (1 à 5 3 jocı #0550 (2 PoZ Ars (3 6 d 2 15 0:55 оза (4 т 5055] (5 4 Saar] «Im Jahre tausend sechshundert zwölf (1301), das ist das Stier-Jahr. Dieses ist das Grab des Scholasticus Elija». MN: 12. (148). Nach einer Photographie. loAs eN Ares (1 wi oil (2 20] (3 olas a1cı (4 1552555] ао» (5 «Im Jahre tausend sechshundert zwölf (1301), der Stier (das Stier - Jahr). Dieses ist das Grab des Scholasticus Juchanan» (Johannes), Zeile 1 steht über dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 befinden sich vertical links, 4 und 5 vertical rechts von demselben. Die Form ;ai „52, etwa zweizehn statt zwölf, ist sehr auffallend. Da bei den Zahl- wörtern in diesen Inschriften, mit sehr wenigen Ausnahmen, das Geschlecht unrichtig ange- geben ist, erwartet man hier :&@$52 statt des grammatisch richtigen 155.234. 46 D. Cawozson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE N: 12; (155). Nach einer Photographie (Tafel Il, № 12,3). oN Ares (1 a2 [hole (2 H5oZ2 Ars fooı (3 ©1-5> Q101 (4 fasses «РН (5 12% Hai am (6 «Im Jahre tausend sechshundert zwölf (1301), das ist das Stier-Jahr. Dieses ist das Grab des Priesters Taki, der sehr eifrig bemüht war für die Kirche». Hier kommt wieder eine neue Form für das Zahlwort zwölf vor, nämlich 25555.20 statt #55550, wie hier sonst statt des richtigen 155230 geschrieben wird. #55530 ist übrigens im biblischen und targumischen Aramäisch die normale Form. Der erste Buchstab des letzten Wortes, sowie auch der letzte des vorletzten sind zwar undeutlich aber doch ziemlich sicher. Ueber die Schlussformel vgl. oben № 11,2, р. 42. 7 fi MN 124 (170). Nach einer Photographie. Кол» = Ares (1 Malsai [ост #9532 (2 a; a2] oo (3 at (4 >51 (5 «Im Jahre tausend sechshundert zwölf (1300), das war die Maus (d. В. das Mause-Jahr). Dieses ist das Grab des Scholasticus Givargis» (Georgius). Zeile 1 steht über dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 befinden sich vertical links, 4 und 5 vertical rechts von demselben. Das Jahr 1612 der seleucidischen Aera correspondirt nur in der Zeit vom Anfang October 1300 bis etwa Mitte Januar 1301 mit dem Mause-Jahre, in der übrigen Zeit entspricht es dem Stier-Jahre. Diese Inschrift stammt somit aus den letzten Monaten des Jahres 1300 n. Chr. + AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 47 № 13 (141). Nach dem Originale (Tafel Il, № 13). КА» aK Ares (1 jooı и (2 4515302 |553 Да» (3 > (4 ©15> Q3o1 (5 оо, (6 «т Jahre tausend sechshundert dreizehn (1302), das ist das Tiger-Jahr, türkisch Pars (der Tiger). Dieses ist das Grab des Priesters Sümä». № 14 (191). Nach einem Farben-Abdruck. litre . . 30552 où (6 Auf dem Originale: Zu lesen: 2521 EN res J 8 q 527 aN Ares (1 an (sie RR @ À {55| fooı (3 5 as озо (4 N les Ana (5 6 «Im Jahre 1600 (und) vierzehn (= 1303), das ist der Наазе (das Haasen-Jahr). _Dieses ist das Grab des Priesters Jüchanan (Johannes), des Sohnes des Gläubigen Kriun . . (?)». Vom letzten Eigennamen sind die ersten 4 Buchstaben sicher, der 5 ist à, oder > zu lesen, der 6 ist unleserlich. Vielleicht steckt hier irgend eine Corruption des sonst bei den Syrern oft gebrauchten und auch in diesen Inschriften vorkommenden (vgl. № 21) Namen wa=sjas, Kyriakos? 48 D. Cawozson, От ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE M 15 174). Nach einer Photographie. Auf dem Originale: Eu I 13 a, À | < <“ 3 A 6 2 € „18 | a 6 2 06 | 5 а 3 À | «Im Jahre tausend sechshundert fünfzehn (1304), das ist das Drachen-Jahr, | türkisch Luu (der Drache). Dieses ist das Grab des Gläubigen Bek». Der photographische Abdruck dieser Inschrift ist an vielen Stellen sehr undeutlich; ich glaube aber dieselbe richtig gelesen zu haben; nur der Eigenname ist zweifelhaft. Der letzte Buchstab ist sicher, der erste könnte auch ein & sein; der mittlere Buchstab ist ganz unsicher. . № 16 (44). Nach dem Originale. Кол» =Х Ares (1 fooı „mäAs (2 фо» Aus (3 “01 por (4 - cas as (5 pr make (6. gasca о; (7 loss (8 «Im Jahre tausend sechshundert sechzehn (1313), das ist das Schlangen- Jahr. Dieses ist das Grab der Maifrah, des lieblichen Mädchen, der Tochter des Lehrers Juschmid». т Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über, 3 und 4 vertical links, 5 und 6 ebenso rechts, 7 und 8 horizontal unter dem Kreuze. Ueber die Formel Zeile 6 vgl. oben zu № 10, р. 41. Das letzte, übrigens ziemlich undeutlich eingravirte Wort steht fehlerhaft statt =; vgl. oben № 97,2, р. 29 u. ib. Anmk. 2. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 49 № 161 (188). Nach dem Originale. ост :m$les [Дэ aN Ares (1 фо» Да» (2 OS Q101 (3 les san. (4 toi feo, où (5 «Im Jahre tausend sechshundert sechzehn, das ist das Schlangen-Jahr. Dieses ist das Grab des Priesters Ischu’ (Jesus), des Sohnes des Sümä-Abaä». Die beiden ersten Zeilen befinden sich über dem Kreuze, die Zeilen 3 und 4 vertical links und rechts und die letzte Zeile steht horizontal unter demselben. _ АБа heisst der Vater, dann auch Abbas, der abbate, und wird auch als Eigenname gebraucht. Ob es hier zu übersetzen ist: «Der Sohn des abbate Sümä», oder «Der Sohn des Sumä Abä», kann ich nicht mit Sicherheit angeben. Im ersteren Falle müsste allerdings Abä vor Sümä stehen; aber in diesen, in so schlechtem Syrisch abgefassten Inschriften kann dieser Umstand nicht berücksichtigt werden. Doppelte Namen kommen hier sehr häufig vor. N: 17 (172). Nach einer Photographie. Auf dem Originale: Zu lesen: à 52 jaS lies Я 6 52 = Ares (1 ть „ns %5|э| (2 4 8 q LE 4 6 famow [обл (3 = u as ao (4 а Les no (5 d 4 q 1 hu... ва où (6 84] : | lilou .. Mémoires de I’Acad, Imp. а, sc, VII Serie, 7 50 D. Cuwouson, Dre IM GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend 600 (und) siebzehn (1306), das ist das Pferd (das Pferde- Jahr). Dieses ist das Grab des Priesters Jüchanan (Johannes), des Sohnes des Gläubigen Mingu . . . .». à Der photographische Abdruck ist zum Theil sehr undeutlich, so dass Manches darin mehr errathen als gelesen wurde. Das Datum ist auch hier (vgl. oben № 14) auf eine sonderbare Weise ausgedrückt: zur Hälfte durch Zahlbuchstaben und zur Hälfte durch Zahlworte. Die zweite Hälfte des Namens Mingu ist unleserlich. № 17,1 (175). Nach einer Photographie und einem Farben- und Grafit-Abdruck. fols aN Ares (1 fon ма» (2 . р lawom Да» (3 | | | ©1542 зол :01 (4 ! als 75:5 (5 «Im Jahre tausend sechshundert siebzehn (1306), das ist das Pferde-Jahr. Dieses ist das Grab des (od. der) Tirim-Matai». Zeile 1 befindet sich über und Zeile 5 horizontal unter dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 stehen vertical links und Zeile 4 steht vertical rechts von demselben. Das Pronomen demonstr. aoï зол, welches, mit nur einer einzigen Ausnahme (vgl. № 53,4), in männlichen Personen gewidmeten Grabschriften niemals gebraucht wird (vgl. oben zu №65, р. 13) dürfte dafür sprechen, dass aA 555:>-2 ein weiblicher Name sei. „A, Mattai ist aber ein sehr häufig vorkommender syrischer Männername — Matthäus, und wenn „A ein weiblicher türkischer Name wäre, müsste auf das > irgend ein Vocalbuchstab folgen. Man muss also annehmen, dass auch hier ausnahmsweise dieses weibliche Pronomen ge- braucht wurde. № 17.2 (189a). Nach dem Originale. 100+] 5321 Ares (1 lamom Да» (2 OIA2S “ar 501 (3 fAztoio1s hre> $1 (4 «Im Jahre 1617 (1306), das ist das Pferde-Jahr. Dieses ist das Grab der Gläubigen JI-Peschga». AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 51 Zeile 1 befindet sich über und Zeile 4 vertical rechts vom Kreuze; die Zeilen 2 und 3 stehen vertical links von demselben. Im Datum sind nur die beiden ersten Buchstaben vollkommen sicher; die folgenden Buchstaben sind zerstört. Glücklicher Weise hat der Steinmetz ursprünglich diese Inschrift auf der andern Seite des Steines eingraviren wollen und hat da die Buchstaben 5:21 Aıa> gesetzt, worauf er die Arbeit dort abbrach und die Inschrift von Neuem auf der entgegen- gesetzten Seite begann. Die ersten 4 Buchstaben des Datums sind somit sicher und da das correspondirende türkische Jahr das Pferde-Jahr ist, kann der letzte Buchstab des Datums nur ein 1 sein. Vaf Zeile 4 ist nicht ganz unzweifelhaft. Me 18)). Nach einer Photographie des Herrn Jadrinzew. “as Д.50. (1 lols = Ares (2 Aie Jon ;mähıo2 (3 “or par 15:5 (4 1505 ons (5 Мо fasse (6 $052 «105 OS (7 zoom) (8 «Im Jahre tausend sechshundert achtzehn (1307), das ist das Schaf-Jahr, türkisch Koi (das Schaf). Dieses ist das Grab des lieblichen Mädchen Julia, der Braut des Chorepiscopus Jüchanan» (Johannes). Die ersten 3 Zeilen stehen über dem Kreuze, die Zeilen 4 und 5 vertical links, 6 und 7 vertical rechts und Zeile 8 befindet sich horizontal unter demselben. Die Worte: «türkisch Koi» finden sich an der Spitze der Inschrift, wohin sie nicht gehören; wahrscheinlich hat der Steinmetz vergessen, sie an die richtige Stelle nach 15:5 einzugraviren und setzte sie nachträglich dort wo er gerade Platz fand. Auf ein ähnliches Verfahren stösst man sehr oft in diesen Inschriften. 14555 heisst Braut und Schwiegertochter, wir fassten aber dieses Wort in der ersteren Bedeutung auf, weil [AS ÈS schwerlich von einer verheiratheten Frau gebraucht werden konnte. Ilaıötoxn, Marc. XIV, 69 wird syrisch durch 145255 wiedergegeben. Ueber Chorepiscopus vgl. oben № 66, р. 14 und unten. 1) Von mir früher edirt 1. с., № VII; Abbildung daselbst auf der Tafel in der Mitte links. Tr 52 D. CHwozson, Dre m GEBIETE SEMIRJETSCHIE Unter den mir vorliegenden Photographien findet sich noch eine Grabinschrift aus demselben Jahre, die ich aber hier nicht mittheile, weil ich den stark verwischten Namen der Verstorbenen nicht entziffern kann. MN 18, (148). Nach einer Photographie. Aus demselben Jahre mit beiden Daten, darauf: «Dieses ist das Grab des Gläubigen Ischu’» (Jesus). — &aæa. Der Name ist unsicher, &o ist aber ziemlich deutlich. D. CNRS 0 NES зе 7 mi en MN 19 (49). À Nach einer Photographie. КА» = Ares (1 Ars foo1 :m&/ALe2 (2 act por [as (3 oies о;5> (4 ©12;5 55-207 (5 Di] Koss (6 «Im Jahre tausend sechshundert neunzehn (1308), das ist das Affen-Jahr. Dieses ist das Grab der Maïfrah Koschtanz, der Tochter des Archidiacon Ischu’» (Jesus). Die beiden ersten Zeilen befinden sich über und die beiden letzten horizontal unter dem Kreuze, die Zeilen 3 und 4 vertical links und rechts von demselben. Das Häkchen über dem 4. Buchstaben des ersten Namens Zeile 4 zeigt, dass jener wie © und nicht wie > zu lesen ist. Ueber die beiden hier vorkommenden weiblichen Eigennamen werden wir unten sprechen. Der Titel Archidiacon kommt noch einmal № 34 vor. № 19, (104). Nach dem Originale (Tafel II, Ne 19,1). oN Ares (1 | [o) P=Y— (6 ts] 595105 (7 enSsos 3 524-205 (8 AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 53 «Im Jahre tausend sechshundert neunzehn, das ist das Affen-Jahr, türkisch Picin (der Affe). Dieses ist das Grab der Kutluk-Ascha Koschtanz. Ein Gedächtniss (an die Verstorbene) möge sein!» Ueber die türkische Formel „mas ЗЪ vgl. oben zu № 75,2, р. 20, 11,3, р. 43 und unten № 28. 34,2 und 48,4. № 19.2 (184. Nach dem Originale (Tafel II, № 19,2). Lies (1 teils = (2 Тост 55 Ks2 (3 15207 Aıs (4 4515302 (5 as @101 (7 Dao, (8 rs (9 > Jens] JS (10 «Im Jahre tausend sechshundert neunzehn (1308), das ist das Affen-Jahr, türkisch Picin (der Affe). Dieses ist das Grab des Priesters Givargis (Georgius), des Sohnes des Scholasticus Elia». Die Oberfläche des Steines ist sehr uneben und voll von kleinen Vertiefungen, wodurch das Lesen der Inschrift sehr erschwert ist. Das Zahlwort Zeile 3 lautet im Original f&scı statt {&s2, oder richtig A&s2; da aber bei den Zahlbuchstaben in der Regel und in den Zahlwörtern sehr häufig das Estrangelo-Tav gebraucht wird, glaube ich, dass der Steinmetz hier einfach vergessen hat, den senkrechten Strich nach oben zu verlängern, wodurch das Tav in oı verwandelt wurde. Offenbar aus Unwissenheit ist L=es mit 5 geschrieben. Der Name des Vaters des Verstorbenen ist im Original sehr undeutlich und daher unsicher; das folgende Wort dagegen ist, obgleich undeutlich, dennoch ziemlich sicher. Ne 19,3 (Е). Nach dem Originale. loAs eN Ares (1 Aafoio? foo1 „mis2 (2 mo сах „or 201 (4 flat (5 54 D. Снмогзом, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert neunzehn, das ist türkisch Picin (das Affen- Jahr). Dieses ist das Grab des jungen Mädchen Marjam». Im Originale folgt 14552 unmittelbar auf a2. 4 14232 kommt noch vor № 44. 49,9 und 50,3. 2, wenn von Knaben die Rede ist, kommt sehr häufig vor. | Bloss die erste Zeile befindet sich horizontal über dem Kreuze, die übrigen Zeilen sind vertical links, rechts und unter demselben. N: 21 (189). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. pins Ко. = Ares (1 fa>S5 Да» fooı „no (2 1,25 зо Jar (3 a 05407 (4 jai (5 o12:2 (6 sanlı]jas (7 Безо (8 «Im Jahre tausend sechshundert einundzwanzig (1310), das ist das Hunde- Jahr. Dieses ist das Grab der Gläubigen Kutluk Terim, der Tochter des Kirchen- visitators Kurikus» (Kyriakos). Die erste Zeile steht über und die 3 letzten Zeilen stehen horizontal unter dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 befinden sich vertical links und die 4. und 5. vertical rechts von demselben. Ueber fiessæ vgl. oben zu № 78 und 84, р. 21 und 25 und unten, wo von den kirch- lichen Würden die Rede sein wird. ЛЬ 21, (150). Nach dem Originale. Diese Inschrift ist ganz türkisch abgefasst und ist auch auf dem Steine sehr un- deutlich, so dass ich bis jetzt nur das Datum und sonst noch einige Worte entziffern konnte. Sollte die Entzifferung noch mit Hülfe des Hrn. Akademikers W. W. Radlow gelingen, werde ich sie am Schlusse mittheilen, AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 55 № 83 (130). Nach dem Originale. ss = Ares (1 fon ASLo [al-ms (2 200$ dus (3 01-552 @101 (4 12555 ао» (5 «Im Jahre tausend sechshundert und dreiundzwanzig (1312), das ist das Mause-Jahr. Dieses ist das Grab des Jünglings Jüchanan» (Johannes). Die beiden ersten Zeilen befinden sich über dem Kreuze, die Zeilen 3 und 4 stehen vertical links und rechts, und die Zeile 5 steht horizontal unter demselben. № 24 (А). Nach dem Originale. a Ares (1 amt КД» (2 fon Kai] (3 ро2 Да (4 152 a1cı (5 les JS ges" (6 «Im Jahre tausend sechshundert vierundzwanzig (1313), das ist das Stier- Jahr. Dieses ist das Grab des Priesters Kutluk». Die Zeilen 1—3 befinden sich über dem Kreuze, die übrigen Zeilen vertical links und rechts von demselben. № 27). Nach einer Photographie des Herrn Jadrinzew. ss eN Ares (1 lis for $59 „mi (2 oo Aujojo? ja 2) (3 fioe2s [№559 055 оао (4 joufo 1195520 {555$ (5 бою1-5 Zi» „nal (6 wo 040 (7 hasao (8 aa ans (9 famss „| ans 55 (10 Jon oo S AI > (11 IZasfo io es (12 (1. Zah) ok Ko Да (13 1) Edirt 1. c., № VIII, p. 14 ff. und abgebildet auf der ib. beigelegten Tafel rechts als 2. von oben. 56 D. Cuwouson, DIE 1M GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert siebenundzwanzig (1316), das ist das Drachen-Jahr, türkisch Luu (der Drache). Dieses ist das Grab des Schelichä, des berühmten Exegeten und Predigers, welcher erleuchtet hat alle Klöster (oder Kirchen) durch das Licht, des Sohnes des Exegeten Petrus. Gepriesen (war er an) an Weisheit, erhoben war seine Stimme wie eine Trompete. Unser Herr möge vereinigen seinen erleuchteten Geist mit den Gerechten und den Vätern; er möge theilhaftig werden alles Glanzes». Die Zeilen 1—3 befinden sich über dem Kreuze, 4—7 vertical links, 8—12 ebenso rechts und Zeile 13 steht unter demselben. Zeile 4—6. Aehnliche Lobsprüche findet man auch unter № 39. Zeile 6. Die Nestorianer gebrauchen zwar f:» auch in der Bedeutung Kirche überhaupt und nicht bloss Kloster, aber 3012] passt besser für letzteres. 1555 huans, Zeile 9, wörtlich: «gepriesen an Weisheit» im Sinne von: «von preis- würdiger Weisheit»; vgl. das arabische 4.55] ><; vgl. auch unten № 39, wo dafür as jan steht. Die Phrase Zeile 10 scheint nach Is. 58,1 und Apocal. I, 10 gebildet zu sein. Die Redensart Zeile 11 f. kommt in ähnlicher Verbindung oben № 66 und 83, р. 14 und 24 und unten № 39, so wie auch in den von Rub. Duval edirten syrischen Grabin- schriften aus Chosräwa aus dem Jahre 1771 (= 1460 п. Chr.), vor, Die letzte Zeile ist schwierig. Nach Sana — das statt > 50Дз stehen mag — erwartet/man eine Präposition wie >, oder \.5, die hier fehlt. f.of,,, wo das à nach unten gezogen ist wie in 55542, ist nicht richtig und es muss are heissen im Sinne von «Erhabenheit, Glanz». № 27,1 (1820). Nach einer Photographie und einem Farben- und Grafit-Abdruck. Auf dem Originale: Zu lesen: N hs jo 55 (2 a 4 d Я с;55 0301 (A a ] 5 = Kıuf.Jne озере (5 = E auto his (6 а = 1) Journ. As. VIIL5, 1885, р. 39 ff. bes. р. 48. S. auch unten da, wo wir von den in diesen Inschriften vor- kommenden Eulogien handeln werden. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 57 «Ги Jahre tausend sechshundert siebenundzwanzig(1316), das ist der Drache (das Drachen - Jahr). Dieses ist das Grab der Gläubigen Maifrah, der Braut (oder Schwiegertochter) des Kutäschek». Zeile 3 a& steht über dem linken Arm des Kreuzes und dann noch einmal unter demselben in voller Form oe$.. Die letzte Zeile hier befindet sich auf dem Originale gleich hinter оо5>; ein solches Untereinanderwerfen der Zeilen ist, wie oft nachgewiesen wurde, hier nicht ungewöhnlich. Wie der Name Zeile 6 lautet lässt sich nicht mit Sicherheit angeben. Der 4. Buchstab scheint ein > zu sein; der letzte ist sicher ein >; warum aber dieser Buchstab mit dem vorangehenden, gegen den allgemeinem Gebrauch, nicht verbunden ist, lässt sich schwer angeben. Nicht unbemerkt will ich lassen, dass in der Inschrift № 27,4 der ganz deutlich geschriebene Name „1205, Kutaschek vorkommt. Dass der Name hier nicht Sao‘, Kutuk zu lesen ist, scheint mir kaum zweifelhaft zu sein; denn von einem o — das hier : übrigens mit dem folgenden Buchstaben immer verbunden ist — ist auch keine Spur zu sehen. N: 27. (128). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck (Tafel И, № 27,2). fels = Ares (1 ост Las amt (2 Aulojaz 5.7] Ars (3 022 от фол où (4 dans {ef af (5 RON lalı aus (6 «Im Jahre tausend sechshundert siebenundzwanzig (1316), das ist das Drachen-Jahr, türkisch Luu (der Drache). Dieses ist das Grab der Gläubigen Kiz- Ascha, der Braut (oder der Schwiegertochter) des Ivan Jüchanan» (Johannes). Zeile 6. Ich glaube, dass der 4. Buchstab im 2. Worte ein o und dass der nach unten | gezogene Strich ein zufälliger ist und nicht zum Buchstaben gehört. Ich vermuthe, dass Ivan ein bei jenen Türken gebräuchlicher, aus Joannes gebildeter Name, und nig, statt ning, die türkische Genetiv-Endung sei. Bei Barhebraeus kommt die Form 20], Ivani, für Jo- annes vor, und auch in Russland ist Ivan die allgemein gebräuchliche Form dieses Namens. Ivan und Jüchanan mögen also zwei Formen eines uud desselben Namens sein. Wäre Mémoires de l'Acad. Гир. 4. sc. VII Série. 8 58 D. Cawouson, Dre ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE Ivan, oder Iga ein türkischer Beiname, würde er, nach dem in diesen Inschriften herrschenden Gebrauch, auf den Namen Jüchanan folgen. Hr. Akademiker Radlow dagegen meint, dass jenes zweifelhafte Wort vielleicht the zu lesen sei, worin er das dsagataische Ты) der Wirth, der Herr, zu finden glaubt, und nig gleichfalls als die Genetiv-Endung ansieht. № 27,3 (131. Nach dem Originale (Tafel И, № 27,3). КЛ» aN Ares (1 ест was ans (2 SZ Aus (3 OkA© Q101 (4 К Win (5 420202 ©1;> (6 ‚ «Im Jahre tausend sechshundert siebenundzwanzig (1316), das ist das Drachen-Jahr. Dieses ist das Grab des Jünglings Charja, des Sohnes des Bukus». _ Der Name Zeile 5 ist sehr deutlich und somit ganz sicher; dagegen sind die ersten 3 Buchstaben im Namen Zeile 6 nicht ganz sicher. Der 3. Buchstab ist eher ein > als ein >>. № 27,1 (187). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. tells = lues (1 jooı Las „mi (2 1: L2j Zus (3 oo 055 ©зол (4 les où las (5. Peso (6 «Im Jahre tausend sehshundert siebenundzwanzig (1316), das ist das Drachen-Jahr. Dieses ist das Grab des Priesters Süma, des Sohnes des Kirchen- visitators Kutaschek». 4 Zum Eigennamen Zeile 5 vgl. oben № 27,1. Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über, 3 und 4 vertical links und 5 und 6 ebenso rechts vom Kreuze. Lot se DEE L'art Ка AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. № 28 (125). Nach einer Photographie und einem Farben-Abruck. wo; 1055 (1 tan О ran 10 AK (3 55] 1200 (A 4205 as |550 (5 = (6 002 ца > ЭМ (8 Diese Inschrift ist ganz türkisch.und ist mit arabischer Schrift wie folgt zu transeribiren: er ce Lol (2 use» I (3 серн Xe (4 Li Je ob (5 >) (6 ag (7 ob As L CL] (8 Ua les LL (9 Zu übersetzen: (Nach der Aera) «des Fürsten Alexanderos, des Königs der Könige, war es tausend sechshundert achtundzwanzig, türkisch war es das Pferde-Jahr. A ’ Hier ist das Grab des Illtasch-Kana. Ein Gedächtniss sei (dem Verstorbenen)!» | Ueber diese Eulogie vgl. oben 75,2. 11,3. 19,1 und unten 34,2 und 48,4. № 28) (130). Nach dem Originale (Tafel Il, № 28,1). loAs eN {res (1 Тост 153>2 RES (2 Ai25e2 focı ya» Ars (3 0:55 a1 (flan (4° 032 Les 05120550] (5 fes no (6 8* 60 D. Cawouson, Dis ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert achtundzwanzig (1317), das ist das Schlangen-Jahr, türkisch ist es Jilan (die Schlange). Dieses ist das Grab des Priesters Olutaku, des Sohnes des Priesters Jüchanan» (Johannes). Die Lesung des ersten Namens Zeile 5 ist unsicher; der 2. Buchstab ist sehr un- deutlich und zwischen dem 4. und 5. Buchstaben, so wie auch am Ende des Namens finden sich noch vielleicht je ein undeutlicher Buchstab, dessen Lautwerth ich nicht angeben kann. № 28.2 (149). Nach einer Photographie. [has] Ars joa 12450 (2 dr Aufsiaz (3 CAS “or |501 (4 Mama 120555 (5 «Im Jahre tausend sechshundert achtundzwanzig (1317), das ist das Schlangen-Jahr, türkisch Jilan. Dieses ist das Grab der Gläubigen TaibAta. Zeile 1 steht über dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 befinden sich vertical links und 4 und 5 ebenso rechts von demselben. Die Photographie ist sehr undeutlich, aber der Name Zeile 5 ist ganz sicher. Ne 29 (Or. 6). Nach dem Originale (Tafel Ш, № 29). = Aies (1 $92 „mi Код» (2 lames Axis fooı (3 „01 рот (4 ons (5 Je es (6 (sic) mas Sous? (7 «Im Jahre tausend sechshundert neunundzwanzig (1318), das ist das Pferde-Jahr. Dieses ist das Grab der Gläubigen Kutluk Tirim». 1) Edirt 1. с., Ne IX, р. 16. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 61 № 31 (69). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck (Tafel Ill, № 31). aASZo [Дэ aN lues (1 leas Aıs {oo (2° as “cı [501 (3 {atout 1255 af (4 «Ги Jahre tausend sechshundert einunddreissig (1320), das ist das Affen- Jahr. Dieses ist das Grab der Gläubigen Kiz-Kina». Ob Kina oder Lina zu lesen sei, ist nicht ganz sicher, ersteres ist graphisch wahr- scheinlicher, NM 82 (51). Nach einer Photographie. КЛ» =х Ares (1 focı eZ 2452 (2 52 Да (3 aD 01 (4 fAzitosoto te (5 «Im Jahre tausend sechshundert zweiunddreissig (1321), das ist das Hahn- Jahr. Dieses ist das Grab der Gläubigen Pazerk». Die ersten 3 Zeilen stehen über dem Kreuze und die Zeilen 4 und 5 vertical links und rechts von demselben. Der vorletzte Buchstab des Namens ist unsicher; es ist nämlich die Spur eines kleinen Buchstabens zu sehen, der mit dem folgenden Buchstaben nicht verbunden ist; es kann also nur >, 3 od. 1 sein‘); da aber oben ein Punkt zu sein scheint, glaube ich es als 5 lesen zu können. 1) Ein o ist es sicher nicht, da dieser Buchstab in unsern Inschriften immer mit dem folgenden Buchstaben verbunden ist. : 62 D. Cawozson, Die ти GEBIETE SEMIRJETSCHIE № за (ал). Nach dem Originale (Tafel Ill, № 34). Под» eK Ares (1 jocı &oïjo AASZo (2 451550 jrs Aus (3 0,25 a1cı 160 (4 и: я (5 12.5235 (6 155:> fan (7 Jia ox (8 Qi] (9 «Im Jahre tausend sechshundert vierunddreissig (1323), das ist das Schweine-Jahr, türkisch Tunguz (das Schwein). Dieses ist das Grab des Kirchen- vorstehers Tak-Arslan — ein gesegneter Greis —, des Sohnes des Archidiacon : ‚ Agusak». Ueber die Formel Zeile 7 vgl. oben № 83. 97,4. 1600,1. 11,4 und unten № 38. № 84, (172). Nach dem Originale. = Ares (1 RAS Zo ffsAs (2 юм $5) (3 Ты» Дл» (4 AS оза (5 ра has (6 Dar 05 (7 505 (8 «Im Jahre tausend sechshundert vierunddreissig (1323), das ist das Schweine-Jahr. Dieses ist das Grab des Lehrers Kusa, des Sohnes des Kirchen- visitators Givargis» (Georgius). Vgl. oben 97,2, p. 29 u. ib. Anmk. 2. | Die Zeilen 1—3 befinden sich über dem Kreuze, 4—7 vertical links und rechts und Zeile 8 steht horizontal unter demselben. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. . 63 Ne 342 (195). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck (Tafel Ill, № 34,2). Jia? 3020] 102 N tt on (1 car Vus [5250$ 551 (2 <= 352 255 Я (3 > ts of (4 Ь 300 null (5 ao 12 ms (6 @nSsos 2 (7 Auch diese Inschrift ist ganz türkisch und in türkischer Transcription lautet sie wie folgt: Lib SLI 5e Hall Ai el (1 | | agb Je У, sl (2 Die ine (5 (solls) hy bb mil (6 1 Zu übersetzen: \ «Nach der Zahl tausend sechshundert vierunddreissig (= 1323) war es, türkisch war es das Schweine-Jahr. Dieses ist das Grab des Kut-Tegin Peg (= Beg), des Sohnes des Schadi Pek. Im Alter von achtundsiebzig Jahren wurde er er- schlagen. Ein Gedächtniss sei (dem Verstorbenen)!» Ueber diese Eulogie vgl. oben № 75,2. 11,3. 19,1. 28 und unten 48,4. № | N 34; (207). Nach einer Photographie. loAs = Ares (1 focı oïfo 2452 (2 jasei lus (3 OAS 0101 (5 Ta (6 hu (7 64 D. CHwozson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert vierunddreissig (1323), das ist das Mause- Jahr, türkisch Sizkan (die Maus). Dieses ist das Grab des Gläubigen Ketlem». Die Zeilen 1 und 2 stehen über dem Kreuze, 3—5 vertical links und 6 und 7 ebenso rechts von demselben. | Die beiden Daten hier stimmen nicht mit einander; denn das Mause-Jahr entspricht der Zeit etwa vom Januar 1635 (1324) bis zum Januar 1636 (1325), während 1634 der seleucidischen Aera in die Zeit vom October 1322 bis zum October 1323 fällt. Das Jahr 1634 der seleucidischen Aera, vom 1. October beginnend, correspondirt in seinen ersten drei Monaten mit dem Hunde-Jahre und in seinen letzten neun mit dem Schweine- Jahre. Ich denke, man muss annehmen, dass der Verfasser dieser Inschrift in der Angabe jener Daten bei einem derselben ein Irrthum begangen hat. Wir werden übrigens weiter unten noch einen Fall constatiren, wo die beiden Daten nicht stimmen; vgl. unten M 45. Vor dem Namen Zeile 6 merkt man auf der Photographie Spuren eines undeutlichen Gekritzels, das wohl von einem misslungenen Versuch den Namen einzugraviren herzu- rühren scheint. Im Namen folgt auf dem S ein Buchstab, der nur ein © sein kann, da er dem ersten in (ata.cıo vollkommen gleicht. № 351. Nach einer Photographie des Herrn Jadrinzew. foAs aN uses (1 un SZ (2 от [зол (3 __ Л ou (4 Mamas nos (5 «Im Jahre tausend sechshundert fünfunddreissig (1324). Dieses ist das Grab der Gläubigen Ila-Köz». Zeile 1 steht über dem Kreuze, die Zeilen 2 und 3 befinden sich vertical links und 4 und 5 ebenso rechts von demselben. | офо> statt o=s ist nach der Aussprache des в = м, wonach aus Gabriel zuerst Gawriel, dann Gauril und zuletzt Guriel wurde; vgl. unter № 38, wo ra statt ta, geschrieben ist, also о statt 2°). 1) Edirt, 1. c., №Х, р. 17. Zeit von den Nestorianern entlehnt haben (s. unten), ge- 2) Diese Aussprache des «> == W scheint schon im | brauchen diesen Buchstaben, um durch ihn auch das УШ., oder IX. Jahrhundert gebräuchlich gewesen zu | f und W auszudrücken. sein; denn die Uiguren, welche ihre Schrift um jene A ea . | a ев >: st ÈS de tes CE ze CEE Er LS pe. 7 ptet а. ? em ON ds du дека rai: = OT APN An ne PRO nn ы EEE у de р МЕ И en dl Zn ВЕ ВОЗ ЩЕ EEE DES ns к. ока A a En г ne, | nr ni 3 = Bi 3 À. ее us, PAT TE СС PSS PO TE VAT RR + Зея, : ire SET 5 AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 65 Den ersten Buchstaben des Namens Zeile 4 glaube ich jetzt mit Sicherheit lesen zu können. Das erste Wort Zeile 5 las ich früher „es; ich zweifle aber jetzt nicht, dass dieses Wort 7205 zu lesen sei. Wie Herr Akad. Radlow mir mittheilte, haben die Türken früher ui geschrieben, um damit den Laut ö auszudrücken. № 36 (173). Nach dem Originale (Tafel Ш, № 36). = Ares (1 AS Lo Тод» (2 рог. Ars (sic) foooi 1Дэ (3 di JS ef arms aio1 (4 (sic) ао (5 «Im Jahre tausend sechshundert sechsunddreissig (1325), und es war das Stier-Jahr. Dieses ist das Grab des Gläubigen Kutluk-Arslan». Das zweite © in Zeile 5 wurde nachträglich unter der Zeile hinzugefügt. Das Original hat 1242501552; ob aus Versehen, oder ob deshalb, weil der türkisch sprechende Verfasser der Inschrift keine zwei Consonanten im Anlaute aussprechen konnte und daher ol statt oo schrieb, kann ich nicht angeben; vgl. oben № 3,4, р. 38. Ne 36, (200). Nach dem Originale. isAso = Auen (1 las jAs „AQZo (2 eio1 [о (3 os (4 al (5 Les (6 _ «Im Jahre tausend sechshundert sechsunddreissig (1325), das Stier-Jahr. Dieses ist das Grab des Priesters Ahrun» (Ahron). Die beiden ersten Zeilen befinden sich über dem Kreuze, die Zeilen 3 und 4 vertical links und die 5. und 6. ebenso rechts von demselben. | Mémoires de l'Acad. Гир. 4. sc. VII Série, 9 66 D. Cuwouson, Отв Im GEBIETE SEMIRJETSCHIE м за (228). Nach einer Photographie. ПоАэ = Ares (1 joa jiwlo AS 2o (2 15015) Aus (3 es® 5.5504 (4 51e (5 01:5.> aycı (6 5152] nos (7 о;5 las (8 (PAT LS (9 «Im Jahre tausend sechshundert achtunddreissig (1326), das war das Haasen-Jahr, türkisch Picin (der Affe), Parz (der Tiger). Dieses ist das Grab des Jüchanan (Johannes), beigenannt Akpasch, des Sohnes des Seliva (Selibä), des Kirchen- vorstehers». Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über dem Kreuze, 3—5 vertical links — te unter dem linken Arm des Kreuzes —, 6 und 7 ebenso rechts und 8 und 9 horizontal unter demselben. Die Angabe des Datums nach dem 12jährigen Thiercyclus ist hier verworren und un- richtig. Das Jahr 1638 correspondirt in der Zeit vom 1. October 1326 bis etwa Januar 1327 n.Chr. mit dem Tiger-Jahre und vom Januar bis zum 1. October 1327 mit demHaasen-Jahre. Die Angabe in dieser Inschrift: «Das Haasen-Jahr (156.351 Aıs), türkisch Picin» (der Affe) ist somit in doppelter Beziehung falsch; erstens weil |503] der Haase und «= der Affe bedeutet und sich also nicht decken und dann weil das Affen-Jahr (mit dem Jahre 1638 — October 1326 — October 1327) nicht correspondirt. Ich vermuthe daher, dass das Wort 5Le (statt des sonst gewöhnlichen «ÿle), welches offenbar von anderer Hand auf dem leeren Raum hinzugefügt wurde, hier eine Correctur der vorangehenden falschen Angabe _ ist und dass unsere Grabinschrift in die Zeit zwischen dem 1. October 1326 und dem Januar 1327 fällt, wo das seleucidische Jahr 1638 noch dem Tiger-Jahre entsprach. Aus dem Umstande aber, dass für ein und dasselbe Jahr des 12jährigen Thiercyclus zwei sich nicht deckende Namen syrisch und türkisch angegeben sind, was auch in der gleich mitzu- theilenden Inschrift aus demselben Jahre der Fall ist, möchte man vielleicht folgern, dass die syrisch sprechenden Christen jener Gegend, jenes Jahr mit dem Beginn des seleu- 1) Edirt 1. с., № XI, p. 17 Е. nach einer sehr schlechten Copie aus freier Hand. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 67 cidischen Jahres zu rechnen pflegten, während bei den türkisch sprechenden das Thier- cyclus-Jahr, ebenso wie bei den Chinesen, im Januar begann. Die ersten drei Monate des Jahres 1638 correspondirten daher bei den erstern mit dem Haasen- und bei den letztern noch mit dem Tiger-Jahre. Die Gleichstellung von 252 mit {20.51 ist somit jedenfalls unrichtig; vgl. unten № 45. fa, ist nach der neusyrischen Aussprache des 2, b — w, geschrieben statt las. . Ob der Titel «Kirchenvorsteher» sich auf den Verstorbenen, oder auf dessen Vater bezieht, lässt sich nicht mit Sicherheit angeben. MN: 38, (68). Nach einer Photographie. NoAs aN lues (1 fooı 114220 LS Zo (2 12055] Aıs (3 ÿle 455% (4 ©1:5> a1cı (5 ТАЗ Saut (6 |-о- (sic) Ai (7 «Im Jahre tausend sechshundert achtunddreissig (1327), das ist das Haasen-Jahr, türkisch Parz (der Tiger). Dieses ist das Grab der Gläubigen Mariam, der Frau des... .». Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über dem Kreuze, 3 und 4 vertical links, 5 und 6 ebenso rechts und Zeile 7 steht horizontal unter demselben. Die türkische Benennung des Jahres 1638 ist undeutlich, aber sicher ist es, dass die sichtbaren Spuren des betreffenden Wortes nicht als ‹5®52, Tabischkan, der Haase, gelesen werden können; auch ist der erste Buchstab jenes Wortes leicht als = zu erkennen und auch das folgende | scheint mir ziemlich sicher zu sein; ja mit Hilfe einer guten Lupe glaube ich auch Spuren von 1; zu finden. Die Lesung 5e, statt des sonst gewöhnlichen wi, scheint mir ganz sicher zu sein. Ueber den Widerspruch zwischen den beiden An- gaben: 1638 — dem Haasen-Jahre, türkisch ${>, der Tiger, habe ich bei der Erklärung der vorangehenden Inschrift meine Vermuthung ausgesprochen. Das letzte Wort der Inschrift, den Namen des Mannes der Verstorbenen, kann ich nicht entziffern. 9* 68 D. Cawozson, От Im GEBIETE SEMIRJETSCHIE N 38) (122). Nach einer Photographie. ‘= Aie (1 2457 Дэ (2 Aıs fooı fa1%20 (3 joa |251 (4 451.503 (5 222} (6 01;5> Q101 (7 Les ous (8 fiom:s $0925 ;> (9 «Im Jahre tausend sechshundert achtunddreissig (1327), das ist das Haasen- Jahr, türkisch Tabischkan (der Haase). Dieses ist das Grab a Priesters . Sergis Ban) des Sohnes des Ischu’ (Jesus) Charsuna». Die Zeilen 1—4 befinden sich über dem Kreuze, 5 und 6 vertical links und 7—9 ebenso rechts von demselben. | Ob der erste Buchstab des letzten Wortes Zeile 9 ein >, b, oder 2, К ist, kann ich nicht mit Bestimmtheit angeben. Im erstern Falle müsste man lesen {105 = der Sohn des Sünä, im letztern wäre {saw;>, Charsünä ein Beiname des Vaters Ischü 7. Ersteres ist mir weniger wahrscheinlich, erstens weil der Name des Grossvaters des Verstorbenen in diesen Inschriften sonst Ares angegeben ist und zweitens weil die andern >, b, in dieser Inschrift flacher und breiter gezogen sind. Ne 38, (168). Nach dem Originale. = Ares (1 Дэ (2 1842200 eASZo (3 oo (4 ол |501 [oa] Да» (5 eis one (6 Mamas (7 «Im Jahre tausend sechshundert achtunddreissig (1327), das ist das Haasen-Jahr. Dieses ist das Grab der Gläubigen Kizascha». Die Zeilen 1—4 befinden sich über dem Kreuze, 5 und 6 vertical links und rechts und Zeile 7 steht horizontal unter demselben. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 69 № 39 (192). Nach einer Photographie (Tafel Ш, № 39). |. _ aA$2o Пой» N Auen (1 155521 Да» Joo1 |540 (2 fLioe=t ha} okn© оо (3 | это [555$ (4 „as jojo (5 Poioris 12.5 (6 E 145515 |-> sans (7 N ano) ko Чо (8 fe. [ras] (9 a DT «Im Jahre tausend sechshundert neununddreissig (1328), das ist das р Drachen-Jahr. Dieses ist das Grab des Pes-châ, des berühmten Exegeten und k Predigers, welcher erleuchtet hat alle Kirchen durch das Licht. Gepriesen (war ; ег) an Weisheit. Und möge unser Herr vereinigen seinen Geist (mit) den h ; Heiligen». Г Vgl. die oben № 66 und 27, р. 14 und 55 f. mitgetheilten Grabinschriften, die in einem ähnlichen Stile wie diese Inschrift abgefasst sind. Der mir vorliegende photographische Abdruck ist ziemlich undeutlich; ich glaube aber den Text richtig gelesen zu haben. № LO (LO). Nach dem Originale. loAs = Ares (1 han Ars oo >55 (2 29 01 (3 Nor (4 1Дадеьоцо (5 «Im Jahre tausend sechshundert vierzig (1329), das ist das Schlangen-Jahr. Dieses ist das Grab der Gläubigen Jul-Tegin». Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über, 3 und 4 vertical links und rechts und Zeile 5 steht horizontal unter dem Kreuze. | 70 D. CHwozson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE л 40,1 (140). Nach dem Originale. | Auf dem Originale: ’ Zu lesen: a Ares ï aK Ares (1 20 {Дэ (2 lon Aıs ]оою (3 di 451505 (4 «us 01:55 оо (5 оц (6 fitoors >55 jkols lon Да» jooro as cine ©3101 Soccer I «Im Jahre tausend sechshundert vierzig (1329), das ist das Schlangen- Jahr, türkisch Jilän (die Schlange). Dieses ist das Grab des Gläubigen Schim’On». al, statt des sonst üblichen ‚Has, ist undeutlich, aber das | am Anfange ist ziemlich sicher; vgl. die folgende Inschrift. Der Name Zeile 5 sieht aus wie mins; ich glaube aber, dass das > nur zufällig etwas zu hoch gezogen wurde und daher wie S aussieht. Auch in «soi ist das & hier zu lang gezogen. À MN: О») (145). Nach einer Photographie. loAs aK Ass (1 [san] Ars [обл „&55] (2 (sic) 45154 (3 di (4 ©1;:5> Q101 (5 litoio1 keo, (6 «Im Jahre tausend sechshundert vierzig (1329), das ist das Schlangen- Jahr, türkisch Мап (die Schlange). Dieses ist das Grab des Gläubigen Sümä». Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über, 3 und 4, 5 und 6 vertical links und rechts vom Kreuze. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 71 N: AL (3). Nach dem Originale (Tafel Ill, Ne 41). Auf dem Originale: Zu lesen: N Ares au RSS ПА» Rp г >55 ИД» (2 45-532 famom Aus foot (3 „40a (4 ur ya 2as 0,22 “01 мо (5 Mac (6 2502 fimom Aus foolo u, „05-205 HAS ao! | = cor [Arco «Im Jahre tausend sechshundert einundvierzig (1330), dieses ist das Pferde-Jahr, türkisch Jont (das Pferd). Dieses ist das Grab der Gläubigen Kutluk- Terim». № +1,1ı (56). Nach einer Photographie. Auf dem Originale: Zu lesen: ПоДАэо = Ares Да» [обо „no too о a 4 Е Да» |000 „so > 5 (2 = RPG 451-502 famam (3 + Ч 104 (4 а В leo 105 055 aycı (5 < | Hong Вы (6 Le am q kp Fass «Im Jahre tausend sechshundert einundvierzig (1330), dieses ist das Pferde-Jahr, türkisch Jont. Dieses ist das Grab des Priesters Jüchanan (Johannes); ein lieblicher Jüngling». 72 D. CHwozson, DIE м GEBIETE SEMIRJETSCHIE | Ne +1. (124). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. 2K es (1 ооо x ale ode (2 mom Aıs (3 ©1;5> „cr рол (4 fAitoos Saut (5 «Im Jahre tausend sechshundert einundvierzig (1330), dieses ist das Pferde-Jahr. Dieses ist das Grab der Gläubigen Mariam» (Marie). Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über dem Kreuze, 3 und 4 vertical links und Zeile 5 steht ebenso rechts von demselben. N 42 (61). Nach dem Originale. los = lues (1 fooı „520 >55 (2 1525 Zus (3 “was INIST (4 OS зол har (5 145.5 238 5e? (6 «Im Jahre tausend sechshundert zweiundvierzig (1331), das ist das Schaf- Jahr, türkisch Kui (das Schaf). Dieses ist das Grab des jungen Mädchen Tur- Chatun». MN 42, (151). Nach dem Originale. Die ersten vier Zeilen wie in der vorangehenden Inschrift, dann: 1:25 a1cı Libro joli «... dieses ist das Grab der Tapascha-Koschtanz». Das 3, п, im letzten Namen ist zweifelhaft. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 73 № 12.2 (219). Nach dem Originale. Auf dem Originale: Кол» aN Ares low 520 >55Фо 6 15505 155 Да» "y = [> Die ersten Zeilen sind wie in № 42 von Zeile 1—4 zu lesen und zu übersetzen, dann: 01:55 ©1091 «... dieses ist das Grab des Priesters Sergis» (Sergius). Ne 42,3 (55). Nach dem Originale. Die ersten 5 Zeilen wie in № 42, darauf: Dieses ist das Grab der Rafkä- Koschtanz, der Frau des Arslan(?) — foi ZA 5-07 lası. Die letzten 4 Buchstaben des zweiten Namens sind sehr undeutlich und von mir mehr gerathen als gelesen. Der Name {=.>5 «Rafkä» ist identisch mit dem hebräischen Namen ñp29, der in der Peschithä immer las), Rafkä, geschrieben wird. Auch die Araber ‚schreiben diesen Namen nach der vulgären Aussprache der Juden oft 5, Rifkà. NM 424 (177). Nach einer Photographie und einem Farben-Abruck. (2Аэ eN lies (1 a2 {>]55Я (2 23 (51.5502 |202 Да» (3 ° сы ac (4 © до (5 un ao ( 5 Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 74 D. Cuwouson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert zweiundvierzig (1331), das Affen-Jahr, türkisch Рист (der Affe). Dieses ist das Grab des Mar-Sergis» (Sergius). Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über dem Kreuze, 4 und 5 vertical rechts und Zeile 3 steht ebenso links von demselben. | Die beiden hier angegebenen Daten stimmen nicht zusammen; denn das Affen-Jahr entspricht der Zeit von ungefähr Mitte Januar 1643 bis Mitte Januar 1644 der seleu- cidischen Aera. Ich muss also die Angabe in dieser Inschrift über die Correspondenz der beiden Daten als eine irrthümliche ansehen; solche Irrthümer kommen, wie bemerkt, hier auch sonst vor; vgl. oben № 38. 38,1, р. 66 f. und unten № 45 und 45,1. AZ). Nach dem Originale. Auf dem Originale: Zu lesen: oo 252) (1 jo} [32 Aus eo Lio (3 | 02.8 0.101 as ©2301 (4 . il = een g 11 on Sie (8 4 8 >, оке 5 (9 SSR SR in 1 disomet (11 soi LS (12 (Im Jahre) «1644 (1333), das ist das Hahn-Jahr, türkisch Takaku (das Hubn). Dieses ist das Grab des Scholasticus San-Da-Jok, des Knaben Pazak-Tekin, des jungen Mädchen Mariam (Marie). Diese dreisindim Muhammedanismus gestorben». Diese Inschrift habe ich früher]. c., № XII edirt. Da aber dieselbe eine der ersten war, die ich zu sehen bekam ?) und ich damals noch nicht die nöthige Uebung im Lesen und in der 1) Edirt 1. с., № XII, р. 18 ff. und abgebildet auf der | jeder Beziehung die grössten Schwierigkeiten darboten. Tafel ib. unten links. Selbst die sonst so einfachen und leicht verständlichen ; ое ist ЕО ВЕ CHAINES Zufalls, a Buchstabengruppen: 55321 und 6152521 boten Schwie- die 3 Grabinschriften, die ich zuerst zur Entzifferung| | RS ; bekam — nämlich diese, die folgende und № 3,4 — in rigkeiten dar, weil lis erst später folgte, von der AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 75 Interpretation dieser Inschriften hatte, habe ich Manches unrichtig gelesen und erklärt. Nach vielfacher Untersuchung des Originals glaube ich jetzt die gegebene Lesung, so wie auch die jetzige Uebersetzung für richtig halten zu dürfen. In der letzten Phrase: e= и) хх d:siemoss els of erkannte Herr Akad. W. Radlow die türkischen Worte so lege Si », d.h. «diese drei sind im Muhammedanismus ge- storben». Herrn Radlow habe ich somit das richtige Verständniss dieses Satzes zu _ verdanken. Weiter unten werde ich diese Angabe näher besprechen. N 45”. Nach dem Originale. ост awo52] (1 4515502 5205 Да (2 ds @ ra @101 (4 я Jos 5 (5 (Im Jahre) «1645 (1334), das ist das Mause-Jahr, türkisch Sizkan (die Maus). Dieses ist das Grab des San-Derjok-Ak». Die erste Zeile steht über dem Kreuze, die übrigen Zeilen befinden sich vertical links und rechts von demselben. Diese Inschrift befindet sich auf der andern Seite des Steines, auf dem die voran- gehende Inschrift eingravirt ist. Die beiden hier angegebenen Daten stimmen nicht überein; denn das Jahr 1645 entspricht dem Huhn- und Hunde-Jahre, während das Mause-Jahr mit den Jahren 1635 und 1647 correspondirt. Welches der beiden Daten hier das richtige ist, ist natürlich schwer zu entscheiden; vgl. oben № 38. 38,1, р. 66 Е. 42,4 und gleich 45,1. Der letzte Buchstab der Inschrift scheint 5 und nicht à zu sein, wie ich früher ‚glaubte. Existenz türkischer Elemente in diesen Inschriften | die Inschriften 44 und 45 auch in graphischer Be- hatte ich natürlich keine Ahnung. In № 3,4 wusste ich | ziehung grosse Schwierigkeiten dar. Und grade diese nicht, was ich mit cos , vor dem kein 2.9 steht, und Inschriften waren die ersten, die ich zu entziffern hatte. mit 15552 machen sollte, № 44 war dierichtige Reihen- 1) Edirt 1. с., № XIII, p. 20 f. und abgebildet auf der folge der Zeilen schwer zu finden, und ausserdem boten | Tafel rechts unten. 10* 76 D. Cawouson, Dre 1M GEBIETE SEMIRJETSCHIE № 45,1. Nach dem Originale. eN Aie» (1 jo etano >55} |424» (2 бог Да» (3 | so] 515504 (4 | | 0,29 @101 (5 soo LS) (6 «Im Jahre tausend sechshundert fünfundvierzig (1334), das ist der Stier (d. h. das Stier-Jahr), türkisch ud (der Stier). Dieses ist das Grab des Gläubigen Iijä» (Elias). ‚ Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über dem Kreuze, 3 und 4, 5 und 6 vertical links und rechts von demselben. »of Zeile 4 ist sehr undeutlich, dagegen ist {502 Zeile 3 mir unzweifelhaft. ое an $ = = Lan en moe: St rte ME er У Auch hier correspondiren die beiden Daten nicht, da das seleucidische Jahr 1645, wie bemerkt, dem Huhn- und Hunde-Jahre entspricht und nicht dem Stier-Jahre. Es muss somit auch hier ein Fehler in einem der beiden Daten sich finden. Bl ia Ellen LE on Ze 1 M 46 (221). Nach einer Photographie. ПЛ» eN Ares (1 Тост (sic) Ars (sic) Las] (2 lat: Zus (3 taper Asie (4 25 «зол 101 (5 iso J'iis (6. «Im Jahre tausend sechshundert sechsundvierzig (1335), das ist das Schweine-Jahr, türkisch Tunguz (das Schwein). Dieses ist das.Grab der Gläubigen Pazak». Die Zeilen 1 und 2 befinden sich über dem Kreuze, 3—6 vertical links und rechts von demselben. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSOHRIFTEN. 77 лм 47 (108). Nach einer Photographie. Auf dem Originale: Zu lesen: Me]ls aN Ares Me]As = Azes (1 [lolo 155 >55 Nola 559 „55 (2 3 в а. faces Да» (3 hi en 45.5302 (4 4 ©1:54> @101 (5 a «| а, d | Ех чае (6 са 2 il «Im Jahre tausend sechshundert siebenundvierzig (1336), das ist das Mause-Jahr, türkisch Sizkan (die Maus). Dieses ist das Grab des lieblichen Jüng- lings Sergis» (Sergius). N 47,1 (189). Nach dem Originale (Tafel Ш, № 47,1). foAs eN Ares (1 was Lo] (2 alées focı (3 an (sic) 451.552 (4 oa Q101 (5 Karls ra? (6 hé 6 «Im Jahre tausend sechshundert siebenundvierzig (1336), das ist die Maus (das Mause-Jahr), türkisch sizkan (die Maus). Dieses ist das Grab des lieblichen Jüng- lings Tarim». Zeile 4 ist das erste Wort mit 2 statt des sonst üblichen 2 geschrieben. 78 D. Cawozson, От m GEBIETE SEMIRJETSCHIE ле 472 (189). Nach dem Originale. Auf dem Originale: 2K Ares 55 ед» ост 15290 2 a | | и | 4 ER IF | | | 3 un Dina РР «lm Jahre tausend sechshundert siebenundvierzig (1336), das ist das Mause- Jahr, türkisch sizkan (die Maus). Dieses ist das Grab des Gläubigen Ai-Magku». Der Name Ai-Magku scheint für Ai-Mangku zu stehen, wie dieser Name unten N ХХУ lautet. № 173 (4). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. Die ersten 5 Zeilen wie in №47 — nur 15209 —, dann: [2525042 fo, ,. . . «(dieses ist das Grab des) Gläubigen Sümä». Die Zeilen 1 und 2 stehen über dem Kreuze, 3—6 vertical links und rechts von dem- selben. \ \ u ЛЕ Do Zu de DS De une u all de ad him An nn №6 171 (213). Nach einer Photographie. ›2] => Aues (1 Vas [>55 (2 Mamas 50522502 (3 «Im Jahre 1600 siebenundvierzig. Die Gläubige Tur-Terim». | Zeile 1 steht über dem Kreuze und die Zeilen 2 und 3 befinden sich vertical links und rechts von demselben. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 79 Das Datum ist auch hier auf eine ungewöhnliche Weise ausgedrückt; vgl.oben V1 4und17, р. 47 und 49. Hier steht das | von 521 deutlich getrennt vom vorangehenden &. > in ça So5f ist von mir ergänzt und auch in $.5 ist das 5 verwischt. Sonderbar ist es, dass die gewöhnliche Formel: «Dieses ist das Grab» bier ganz fehlt. Das zweite 3 im Namen ist nicht ganz sicher. M 48 (74). Nach dem Originale. Mises (1 52301 (2 251 Asia? (3 as ото (4 jAfafesons jdn (5 «Im Jahre 1648 (1337), türkisch ud (der Stier). Dieses ist das Grab der Gläu- bigen Tabithä». Die ersten beiden Zeilen stehen über dem Kreuze, Zeile 3 befindet sich vertical links und die Zeilen 4 und 5 stehen ebenso rechts von demselben. J 48: (8). Nach dem Originale. Под» =5 /ues (1 joa 15322 asoÿf (2 41.50% [ог Да» (3 201 (4 ©1255 от 201 (5 555312 50205 (6 fAitios (7 «Im Jahre tausend sechshundert achtundvierzig (1337), das war das Stier- Jahr, türkisch ud. Dieses ist das Grab der Gläubigen Kutur-Tarim». Die ersten 3 Zeilen stehen über dem Kreuze, die übrigen vertical links und rechts von demselben. 80 D. Cawozson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE MN 48,» (67). Nach dem Originale. Die ersten 4 Zeilen lauten wie die ersten 4 in № 48,1 dann: 1252504 15551 fo2s ea . «Dieses ist das Grab des Gläubigen Ша». Die Vertheilung der Zeilen über und von beiden Seiten des Kreuzes ist wie in der vorangehenden Inschrift. № 483 (77). Nach einer Photographie. Die ersten 4 Zeilen lauten — bei einer kleinen abweichenden Vertheilung derselben — wie in der vorangehenden Inschrift, dann: fAatois 55552 ons 0101... «dieses ist das Grab der Gläubigen Mariam» (Marie). J 48, (89). Nach einer Photographie. Diese Inschrift ist ganz türkisch abgefasst und es ist mir bis jetzt gelungen nur einige Zeilen zu entziffern. Diese lauten: lo Иов“ (1 le Sa a N ца (2 5] 29] &> 1555 > (3 Es folgen noch 5 verticale Zeilen links und rechts vom Kreuze, von denen ich nur die Schlussworte: «tof to] arcs 2 entziffern kann. Die türkische Transscription der ersten 3 Zeilen dürfte sein: ul UE nl (1 Ни UN me € sel 31 Je В sa (3 «Nach der Rechnung (Aera) des Fürsten Alexandros, tausend sechshundert achtundvierzig (1337) (Jahre) war es, türkisch war es im Stier-Jahre ........ Ein Gedächtniss sei (dem Verstorbenen), Amen, Amen». Ueber die Eulogie vgl. oben № 75,2. 11,3. 19,1. und 34,2. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 81 Ne 48,5. Nach einer Photographie des Herrn Jadrinzew. Auch diese, 11 Zeilen enthaltende Inschrift ist ganz türkisch abgefasst; ich habe sie in meiner erwähnten Abhandlung (Syr. Grabinschr. aus Semir.) p. 25, № XXII, so gut ich es damals vermochte, in einem lückenhaften Texte ohne Uebersetzung und Erklärung heraus- gegeben. Ich kann wohl jetzt Einiges besser lesen als damals, aber immerhin bin ich, selbst mit Hilfe des Herrn Akademikers W. Radlow, noch nicht im Stande, einen genauen Text und noch weniger eine Uebersetzung zu geben. Sollte es unsern gemeinsamen Bemühungen noch gelingen diese Inschrift zu entziffern und zu verstehn, werde ich sie am Schlusse mit- theilen. Die ersten 3 Zeilen derselben lauten fast ganz so wie M 48,4. M 49 (100). Nach einer Photographie. 4832] Ares (1 o2© a1cı (2 œajoloms (3 => (4 sl, ae 05 (5 [2025 Auto око (6 «Im Jahre 1649 (1338). Dieses ist das Grab des Priesters Nestoris (Nestorius), des Sohnes des Gläubigen Mangu-Tasch. Er starb an der Pest». Im Bezug auf die letztere Angabe vgl. unten № 49,11 und 50,16. Die beiden ersten Zeilen stehen über dem Kreuze und die 4 letzten vertical links und rechts von demselben. Ne +9, (12). Nach dem Originale (Tafel Ш, № 49,1). Ане. (1 fon A532] (2 fs Aus (3 (sic) mye Anfojar (4 ©1252 еле (5 жа э (6 Muss (7 1) Edirt 1. c.; № XIV, р. 21. nach einer schlechten Copie aus freier Hand. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 11 82 D. Cawozson, Die m GEBIETE SEMIRIETSCHIE «Im Jahre 1649 (1338), das ist das Tiger-Jahr, türkisch Pars (der Tiger). Dieses ist das Grab des Mädchen Tasch-Tarim». Nach Aıe> findet sich auf dem Steine ein überfliessiges 1; wahrscheinlich hat der Steinmetz hier das Datum eingraviren wollen, aber dann, wegen der Beschaffenheit des Steines an dieser Stelle, diese Absicht aufgegeben und das schon eingravirete | stehen lassen. Auch Zeile 2 findet sich nach dem | des Datums ein Gekritzel auf dem Steine, welches wahrscheinlich misslungenen Buchstaben seine Entstehung zu verdanken hat. л 49» (112). | Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. { | 4032| Ares (1 | | 1522 Aıs (2 Kr OkA2S „or бою (3 Mass aus (4 «Im Jahre 1649 (1338), das Tiger-Jahr. Und diesesist das Grab des Mädchen | Schirin». Der Name ist auf dem Farbenabdruck vollkommen deutlich. Ne +9, (165). Nach dem Originale. 452) Ares (1 ©1;5> 01 (2 5 Mamas ad en (3 ; «Im Jahre 1649 (1338). Dieses ist das Grab der Gläubigen Migleg-Tegin». | № 494 (181. Nach dem Originale. Auf dem Originale: 1 153 а Е. 6,41 + Я 1 «Im Jahre 1649 (1338). Dieses ist das Grab der Gläubigen Mariam» (Marie). _ AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 83 № +95 (129). Nach dem Originale. floAs eN Ares (1 592 555 (2 AS ac (3 CES (4 «Im Jahre tausend sechshundert neunundvierzig (1338). Dieses ist das (Grab der Zelibä». Zelibä kann hier, wegen des vorhergehenden Pronomens (vgl. oben zu № 65), als weiblicher Eigennamen aufgefasst werden, da er unten № ХТ (vgl. VI) sicher ein solcher ist. Ne 49,6 (176). Nach dem Originale. Auf dem Originale: Zu lesen: aK Ares «557 flo As aK Ares (1 N 6 ae fiods (2 a Erd A af ост sel (3 3 d RE 5551 we (4 = 5. Я aD 0101 (5 и : au abs (6 eo [= «Im Jahre tausend sechshundert neunundvierzig (1338), das war das Tiger- Jahr. Dieses ist das Grab der Schalamä. Amen». $. D ist türkisch und bedeutet Jahr. 53] = (624) ist gleichfalls türkisch und bedeutet «es war». Da fooı vorangeht steht es eigentlich pleonastisch. N: 19, (1). Nach dem Originale. {Дэ = Ares (1 ост KeZo „AS (2 ост |521 Aıs (3 > [|504 (4 ©:5> @Jo1 (5 52см 2 12 (6 11* 84 D. Снмоьзом, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert neunundvierzig (1338), das ist das Tiger- | Jahr, das ist türkisch Pars (der Tiger). Dieses ist das Grab des Gläubigen Ta-Tai». Me +9, (153). Nach einer Photographie und einem Farben- und Grafit-Abdruck. Beide Daten wie in der vorangehenden Inschrift, dann: «. ... dieses (ascı) ist das Grab der Elischbä (Elisabeth) a2. S». № 49, (201). Nach dem Originale. Die ersten 4 Zeilen wie in der vorangehenden Inschrift — aber fooıo f$s2 >55 und focı nicht wiederholt —, dann: 0,28 “co [зол (5 14552 Чо) (6 «<... dieses ist das Grab des kleinen Mädchen Dulit». Der erste Buchstab des Namens ist vielleicht ein 5. N: 49,10 (208). Nach einer Photographie. Die ersten 4 Zeilen wie in der vorangehenden Inschrift — aber jooı [&s2o >55) — dann: ©1;5> acı (5 EEE sa (6 «.. . dieses ist das Grab des Jünglings Juschmed». № 19,1 (282). Nach einer Photographie (Tafel Ne 49,11). Die Daten wie in 49,7 (aber »5{.>), dann: 12292 | Ass | fatosorte | atosfo | 12e ©3201. <... dieses ist das Grab des Gläubigen Sanmek; er starb an der Pest». In Bezug auf die letztere Angabe vgl. oben № 49 und unten № 50,16. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 85 N 49,2 (28). Nach einer Photographie. Die ersten Zeilen wie in den vorangehenden Inschriften, dann: «dieses ist das Grab der Gläubigen Kajümâ— Ё2о.5. Es folgt hier eine lange Reihe von Grabinschriften, die alle aus dem Jahre 1650 (= 1348 —49) herstammen. In diesem, so wie auch in dem vorangehenden Jahre, wüthete in jenen Gegenden, wie aus den Inschriften dieser beiden Jahre zu ersehen ist, die Pest, die einige Jahre später nach Europa kam und daselbst, als der schwarze Tod bekannt, die fürchterlichsten Verherungen gemacht hat. Da aber die Zahl der aus dem Jahre 1650 (1348—-49) stammenden Inschriften ziemlich gross ist, werde ich, um Wiederholungen zu vermeiden, nur die syrischen Worte aus jeder Inschrift mittheilen, welche derselben eigen- thümlich sind; so werde ich den Inhalt einer jeden Inschrift auf folgende Weise angeben: seleucidisches Datum (sel. D.) (ohne Rücksicht auf unwesentliche Varianten, wie «etano 04. tan, foo1, 04. oo), türkisches Datum ($. D.), syrisch und türkisch (s. u. t.), darauf den Namen und das, was sonst dabei gesagt ist, syrisch mit Uebersetzung. Hier und da werde _ ich aus besondern Gründen eine Ausnahme machen und auch angeben, wie die Zeilen der Inschrift auf dem Originale geordnet sind, falls dieselben unregelmässig gesetzt wurden. MN: 50 (106). Nach dem Originale (Tafel III, № 50). Sel. Datum, dann türk., syr. 123, türk. <>, darauf: fAztaois ol | as „an зат. «... dieses ist das Grab der Gläubigen Urug». Diese Inschrift stammt aus der Zeit etwa zwischen October 1650 — 1338 und Januar 1650 = 1339; denn die folgenden neun Monate des Jahres 1650 = 1339 entsprechen dem Haasen-Jahre, was in allen hier folgenden Inschriften mit dem Datum 1650 der Fall ist. N: 50, (15). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. Sel. D. 52, t. D. nur зуг. [as], darauf: “01 201 OI-AS ii do «т Jahre 1650 (= 1339), das ist der Haase (4. Haasen-Jahr). Dieses ist das Grab der Han-Ascha». $6 D. Cawozson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE Die Lesung des Namens scheint mir ganz sicher zu sein. Dass derselbe ein weiblicher ist, folgere ich aus dem Pronomen „aı ;o1; vgl. oben zu № 65, р. 12 und weiter unten. Ne 50, (16). Nach dem Originale. Wie in der vorangehenden Inschrift; darauf: 1052555 jAuıs,... «(das Grab) des Mädchen Kejamtä». PR PEN ne 2 en бы Ne 50, (17). Nach dem Originale. Auf dem Originale in grosser schöner Schrift: EEE EEE ZEN EEE EHEN 62 Aie 6 = ne .n 4 6 d N Г À RO ри «Im Jahre 1650. Der Haase (4. h. das Haasen-Jahr). Dieses ist das Grab des Mädchen Martha». : Ne SO, (19). Nach dem Originale. Wie in der vorangehenden Inschrift, darauf: 1ДАззелоко Sie ... «(das Grab) der Gläubigen Pazak». № 50,5 (20). Nach dem Originale. Wie in der vorangehenden Inschrift, darauf: 1452502 „ınas . . . (dieses (a1oı) ist das Grab) «des Gläubigen Jüchanan» (Johannes). AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 87 MN 50, (84). Nach dem Originale. Wie in der vorangehenden Inschrift — mit {is vor f235f — darauf: 50551 ri ... (dieses ist das Grab) «des Scholasticus Azaria». № 50, (33). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. Wie in der vorangehenden Inschrift, nur folgt auf {239 ein fooı ohne Angabe des türkischen Namens des Jahres, was übrigens auch sonst einigemal vorkommt; vgl. oben № 87 und 1600. «... dieses (ao ;o1) ist das Grab der Gläubigen Maifrah» — jAitaas ano. Sonst wird dieser Name caf geschrieben; vgl. oben №16. 19. 27,1 und unten XVI. MN? SO, (35). Nach einer Photographie. Wie in der vorangehenden, darauf: «dieses (oo sa1, sic) ist das Grab des Mädchen Febronia» — 1525555 (0:22. № 50, (75). Nach dem Originale (Tafel Ill, Ne 50,9). Wie in № 50,7, darauf: «... dieses (ascı) ist das Grab des lieblichen Jünglings Hindu, des Sohnes des TigIn» — tue ©1:5 CET fais 0.1.01. № 50,10 (7). Nach dem Originale. Sl. Datum, dann t. D., syr. und türk. .2e2?, Tabischkan, der Haase, darauf: «dieses ist das Grab des Priesters Juschmid, des Sohnes des Gläubigen Ischus (Jesus) — was was. 0:0 leres “asos. Das Original ist zwar sehr undeutlich, ich glaube aber die Namen richtig gelesen zu haben. Der Name wae.ı ist wohl nur eine kleine Corrupution von Inooüs; die Russen sprechen noch jetzt diesen Namen Issüs aus. 88 D. CHwozson, Die м GEBIETE SEMIRJETSCHIE № 50,1 (31. Nach dem Originale. SI. Datum, durch Zahlworte ausgedrückt, dann t. D. nur syr., darauf: «dieses (от »o1) ist das Grab des Mädchen Julita» — 152555 |455. Ne 50,12 (38). Nach dem Originale. Wie in der о Inschrift, darauf: «dieses (ascı) ist das Grab des Scho- lasticus Petros». № 50,13 (©). Nach einer Photographie. Wie im Vorangehenden, darauf: «dieses ist das Grab des Juschmid Pelula» — ,.sas Pens — Das letzte Wort ist wegen der Undeutlichkeit der Schrift unsicher. лм 50,4 (82). Nach einer Photographie. Sel. Datum in Zahlbuchstaben; dann t. d., syrisch und türkisch 422555. Darauf: «Dieses ist das Grab des Priesters Givargis » ro — [25 ET м 50,15 (9). Nach dem Originale. за À ы МЕ И УЗ N a SE Sn nie De dé ne © 6 © VER Auf dem Originale: Zu lesen: aK Ass = Ares (1 an [Дэ ran Îles (2 las] Aus |оою (3 ESS CSS [452553 45453 (4 0,20 от folo (5 il 05205 (6 | «Limit (7 Rai? 05207 KL. 1,25 зол horo 1215] Aus jooıo зону terre] AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 89 «Im Jahre tausend sechshundert fünfzig (1239) und dieses ist das Haasen- Jahr, türkisch Tabischkan (der Haase). Dieses ist das Grab der Gläubigen Kutluk (und der) Tarim». Das letzte Wort ist auf dem Originale sehr undeutlich, es kann aber nicht anders als angegeben gelesen werden. Man muss also annehmen, dass Kutluk und Tarim die Namen von zwei weiblichen Personen waren, denen gemeinschaftlich ein Grabstein gesetzt wurde. Dass dort oft einige Personen ihre Ruhestätte in einem Grabe fanden ist schon oben (p. 3 u. ib. Anmk. 1) bemerkt worden. № 50,16 (SO). Nach einer Photographie (Tafel Ш, № 50,16). Diese Inschrift ist auf dem Originale auf folgende Weise placirt. [itlLsAs = Ares 1551 Ars jo eltano] 55405 01-55 ac oA] fes Los А Ich lese diese Inschrift wie folgt: ls aN Ares (1 1553] Aus jocı дало (2 451.530 (3 ara (4 505405 ons ac (5 alla] si files Aus (6 als ais (7 «Im Jahre tausend sechshundert und fünfzig (1339), das ist das Haasen- Jahr, türkisch Tabischkan (der Haase). Dieses ist das Grab des Kutluk; er starb an der Pest nebst seiner Frau Mangu-Kelka». Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 12 90 D. Cuwouson, Die IM GEBIETE SEMIRJETSOHIE № 50,17 (118). Nach dem Originale. Wie in der vorangehenden Inschrift — (a2 —, darauf: «Dieses ist das Grab des Gläubigen Kumru» — оу, MN 50,1 (27). Nach dem Originale. Wie in der vorangehenden Inschrift, darauf: «Dieses ist das Grab des Gläubigen Saisar — 50550. ле 50,1 (86). Nach dem Originale. Sel. Datum, dann türk., syr. {>20:35[ und türk. 12252, darauf: «Dieses (ascı) ist das Grab des Mädchens Тиг-Т[а т» — 55] 502. Die in Klammern eingeschlossenen Buchstaben sind im Original nicht zu sehen; daselbst steht 25e? oberhalb des rechten Arms des Kreuzes und dann <> unterhalb desselben; in der Mitte aber befindet sich eine Lücke, wo einige Buchstaben Platz haben, und ich glaube dieselbe, nach Analogie des Namens oben № 49,1 u. 50,15, mit den Buchstaben 53] aus- füllen zu dürfen. Das Zahlwort „etono sieht im Original wie fseteno aus. Das Nun finale ist mit dem vorangehenden Buchstaben nicht verbunden. Ueber {22.25 steht 22; wahrscheinlich hat der Steinmetz jenes Wort ursprünglich höher setzen wollen und es dann für gut fand, den Platz dafür etwas tiefer zu wählen. Ne 50,2% (37). Nach dem Originale. Wie in № 50,19, darauf: «Dieses (ao fon) ist das Grab der Gläubigen Mak- Aschau. — 1] 25. Der erste Buchstab des Namensist vielleicht wie >, В, zu lesen; vgl. unten № IIT, р. 95. N: 50,2 (161). Nach einer Photographie und einem Farben- und Grafit-Abruck. _ Sel. und türk. Datum, syr. 150.5] und türk. .as02, Tuschkan; darauf: «Dieses (e101) ist das Grab der Gläubigen Puldi-Sak». — sh, SOS —. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 91 N 50.2 (22). Nach einer Photographie. Sel. und türk. Datum, syr. fast ganz verwischt, türk. 1225$; darauf: «Dieses ist das Grab des Scholasticus Sergis» (Sergius). ЛЬ 50,3 (22). Nach einer Photographie. Sel. und türk. Datum, blos зуг. 120.35]; darauf: «Dieses (ao on) ist das Grab der Gläubigen Kejamtä». Im Texte unrichtig 14555 statt 1255 und {ati statt fAataaois; das à ist nach unten gezogen. NE 50,4 (109). Nach einer Photographie (Tafel Ш, № 50,24). Sel. und türk. Datum, syr. 120.551 und türk. dessin; darauf: laıe> {2559 oë2S ara (5 LES 29—55 tes > (6 OL3:20 (7 осла (8 . «Dieses ist das Grab des Priesters Schelichä, der sehr eifrig bemüht war (für die Kirche). Durch unser «Gebet» möge sein Andenken für ewig sein»! Bei fes hat man sich wohl 125 hinzuzudenken; vgl. 12,3 und 11,2. Die beiden letzten Worte der 6. Zeile habe ich mit Ня des Herrn Prof. Nöldeke entziffert. Das vor- ‚letzte Wort ist unsicher und vom letzten Worte ist nur focı zu sehn; vgl. oben № 75,2, р. 19 f. MN: 51 (117). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. oN Ares (1 см 2") loAs (2 52 Aıs fooo (3 61:22 0101 00 Zufoja, (4 Os 050 |е5э> |5 (5 fesses (6 12* 92 D. Cuwouson, Dm тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE «Im Jahre tausend sechshundert einundfünfzig (1340) und das ist das Drachen-Jahr, türkisch Luu (der Drache). Dieses ist das Grab des Priesters Ща, (Elias), des Sohnes des Priesters Jûchanan» (Johannes). Der letzte Name ist unsicher, weil der Stein an der Stelle, wo derselbe eingravirt ist, mehrfach beschädigt ist. Am Schlusse des Namens findet sich ein Zeichen, das wieein 2 aus- sieht, welches mit einem folgenden | verbunden ist, und vielleicht als < gelesen werden kann. Jedenfalls ist die Lesung 1.0. sehr unsicher. NM 52 147)". Nach dem Originale. a Ares (1 [rn loAs (2 Aıs обл 2252 (3 db (51.5504 Бо» (4 01:55 @301 (5 ГГ SO (6 Sos ;o (7 «Im Jahre tausend sechshundert zweiundfünfzig (1341), das ist das Schlangen-Jahr, türkisch Нап (die Schlange). Dieses ist das Grab des Priesters Sezusch, des Sohnes des Jok». Das 2. Wort Zeile 6 ist sehr undeutlich. Zeile 7 ist das à in en gleichfalls unsicher. Vielleicht ist 35.;5, od. 5]0;5 ein Beiname. M 55 (14). Nach dem Originale. Diese Inschrift ist auf folgende Weise auf dem Originale placirt: = Also À ==— Jon ASZo tan ya ons a101 EL sta 1) So ist die № des photographischen Abdrucks; das Original, so wie auch der Farben-Abdruckbogen tragen die № 250. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 93 Die Zeilen sind zu ordnen wie folgt: oN Ares (1 РА» (2 AS lo „an (3 фо Joo1 (4 JS ef arms @2ол (5 1552 > (6 «Im Jahre tausend sechshundert und dreiundfünfzig (1341), es ist die Schlange (d. h. das Schlangen-Jahr). Dieses ist das Grab des Knaben Kutluk-Peg». Diese Inschrift stammt aus der Zeit zwischen October und Januar 1341; denn die noch übrigen neun Monate desselben Jahres 1653 (1342) correspondiron mit dem Pferde- Jahre. N: 58,1 (10). Nach dem Originale. Под» eN Aus (1 fon ASZ çastono (2 хех Aıs (3 dues Aulojaz (4 oA2S a1cı (5 15025] Stasi (6 «lm Jahre tausend sechshundert dreiundfünfzig (1342), das ist das Pferde- Jahr, türkisch Jont (das Pferd). Dieses ist das Grab des Scholasticus Akschak». MN 53) (11). Nach dem Originale. Die ersten fünf Zeilen stimmen dem Wortlaute nach mit den ersten fünf Zeilen der vorangehenden Inschrift, nur scheint da 4.20 statt 4.202 zu stehen; dann: Не 12555 роз (6 . «Dieses ist das Grab des lieblichen Jünglings Рика». ЛЬ 55, (15). Nach dem Originale. Die ersten 3 Zeilen wie in № 53, dann: OkAS зол ол (4 Mas: 515 (5 . «Dieses ist das Grab des Mädchens Kamak». 94 D. Cuwouson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE Л 58, (22). Nach einer Photographie. Die ersten 3 Zeilen wie № 53, nur JASZo, dann; 1455 ni [a2] зол for. ... Dieses ist (dasGrab) des kleinen Mädchens Sebis». 07,25 ist wohl aus Versehen ausgefallen. Der erste Buchstab des Namens ist unsicher. № 585 (18). Nach dem Originale. Die ersten 3 Zeilen wie in № 53; auch hier fASZo. Dann: зол рот (4 ons (5 sl Sol (6 LS (7 .. «Dieses ist das Grab des Knaben Osak-Tarim». Der zweite Buchstab des ersten Namens ist nicht ganz sicher und ist vielleit wie », i, zu lesen; dann würde der Name Aisak lauten. Auffallend ist hier der Gebrauch des weiblichen Pronomen bei einem männlichen Ver- storbenen; vgl. oben die Bemerkung zu № 65, р. 13 und weiter unten N: 56 (205). Nach einer Photographie. jols oN Ares (1 fooı jAso „atom (2 : (sic) House (3 | oa» a1cı (4 [RO)SS Leo keo, (5 | | (sic) kur) (6 | 1 «Im Jahre tausend sechshundert sechsundfünfzig (1345), das ist der Hahn (4. В. das Hahn-Jahr). Dieses ist das Grab des Priesters Sümä; ein lieblicher Jüngling». es, worin übrigens nur {ls und 2 deutlich ist, steht statt He. — In LAS fehlt das à und dann steht he statt kp; vgl. oben, № 3,4, р. 38 und weiter unten. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 95 B. Undatirte Grabinschriften. Es folgt jetzt eine Reihe von Grabinschriften, in denen das Datum zerstört ist, oder auf denen nur das türkische Datum sich findet, dann auch solche, die gar kein Datum haben. Me I (209). Nach einer Photographie. jAitasois 1045... ses «Im Jahre ....die Gläubige Martha». Diese Inschrift ist in sehr grosser, alterthümlicher Schrift abgefasst, und das stark zerstörte Datum zeigt, wie ich glaube, die Spuren der Zahl o2j, 1406 (= 1095). Aus den erhaltenen Spuren ersieht man ziemlich deutlich, dass das Datum aus drei Buchstaben besteht, von denen der dritte augenscheinlich ein o — 6, ist; die vorangehenden Buchstaben können daher nur 21, 1400, sein. N: II (50). Nach dem Originale. Das Datum ist vollständig zerstört, zu lesen ist: ao 220$ (1 301 CAS (2 «Das Mause (-Jahr). Dieses ist das Grab des Hindu». Hindu ist ein Männername; vgl. oben № 50,9. № III (198). Nach dem Originale, «Das Mause-Jahr (1255). Dieses (ascı) ist das Grab des Knaben Bak-Mangu» — 1552 ais 55. 1) Die Inschriften №1—ХХУГ stammen alle aus Pischpek, die folgenden XXVII—XXX VII aus Tokmak. 96 D. Cuwouson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE Ne III, (114). Nach dem Originale. Auf dem Steine ist die Inschrift wie folgt placirt. (2) SZ] Areas 5 L RE) DE MON Die Zeilenordnung ist wohl folgende: (2) LS 2 Ares (1 vos (2 ©1;5> 01 (3 ins Sie (3 Das zweite Wort Zeile 1 gebe ich nur als Conjectur; das erste | ist ganz deutlich; dann folgt ein senkrechter, mit dem folgenden Buchstaben verbundener Strich, dann noch ein längerer und dickerer Strich, der ein S sein kann. Der Schluss des Wortes ist theilweise zerstört, kann aber wie Ъ gelesen werden. Das |, die darauf folgenden Buchstabenspuren und besonders das folgende seS veranlassen mich, das Ganze 1 S2j zu lesen. Demnach glaube ich diese Inschrift wie folgt übersetzen zu können: «Im Drachen-Jahre, (türkisch) Lui. Dieses ist das Grab der Gläubigen Pasak». Ne TV (146). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. фо» Ass (1 dal 45.5305 (2 01:55 101 (3 Mas swf; (4 14550205] (5 % "à Br | } AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 97 Das letzte Wort ist auf der Photographie undeutlich, dagegen auf dem Farbenabdruck unzweifelhaft und nur das | am Anfange ist unsicher. Was es bedeutet weiss ich nicht. Ich vermuthe, dass a aus Versehen statt <> gesetzt wurde und dass das ganze Wort 1550551, Scholasticus, zu lesen sei. Ich übersetze dem gemäss: «Das Schlangen-Jahr, türkisch Ilan (die Schlange). Dieses ist das Grab des Gläubigen Schiramun, Scholasticus» (?). № V (166). Nach dem Originale. jzas Aus (1 01:55 aycı (2 wm. aa sl (3 «Das Affen-Jahr. Dieses ist das Grab des Gläubigen Tasch-Jug». № VI (163). Nach dem Originale. as от ar (1 soi las, (2 $51 or (3 «Dieses ist das Grab der Seliba-Koschtanz. Das Affen-Jahr». Selibä ist hier offenbar ein weiblicher Name, worauf der zweite Name und wohl auch das Pronomen am Anfange hinzuweisen scheinen; vgl. unten XI, wo Selibä sicher ein weiblicher Name ist. Ne VII (158). Nach dem Originale (Tafel Ш, № VI). af sr «лы (1 > зы (2 Dann flat) (3 Diese Inschrift ist ganz türkisch und ist nach der Meinung des Herrn Akad. Radlow wie folgt zu transcribiren und zu übersetzen: Mémoires de l'Acad, Imp. d. sc. VII Serie. 13 98 D. CHawozson, Die im GEBIETE SEMIRJETSOHIE so &° Е (1 (> sl (2 «Die Tochter des Aitag, Anisch-Chata; die (ihre) Seele ist gesundet». Die letzte Phrase will wohl sagen, dass der Tod eine Sühne für ihre frühre Sünden und dass ihre Seele nun gesundet sei. Die Lesung des zweiten Wortes Zeile 2 ist nicht ganz sicher. — L. steht statt «sbsle. № VIII (5). Nach dem Originale. «Dieses ist das Grab des Knaben Taïsch-Mingku» — 6.5112 all. Ne II (©. Nach dem Originale. «Dieses (от ho) ist das Grab der Gläubigen Pasak. Amen!» — Sie № > (45). Nach dem Originale. «Dieses ist das Grab des Sansiz» — 3.55.3150. Der 4. Buchstab des Матепз ist unsicher. № ZI (SO). Nach dem Originale. Diese Inschrift ist auf folgende Weise eingravirt. «Und dieses ist das Grab des jungen Mädchens Selibä». Auch hier ist Selibä ein weiblicher Name. 152 statt 14-552 wie oben 3,4 p., 38. x У > * À д 2 : il AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. № XII (107). Nach dem Originale. «Dieses ist das Grab des Scholasticus Juschmid» — aan. № III (110). Nach dem Originale. «Dieses ist das Grab des Knaben Jüchanan» (Johannes) — „Las. N: XIV (111). Nach dem Originale. Lau. lots «Der Gläubige Lavar». N XV (1856). Nach einer Photographie. [o:]2S ascı (1 Da Hart (2 [о 593 (sic) rs 0,2 :2 (4 99 «Dieses ist das Grab der Gläubigen Givargis (Georgius) und seines Enkels К... ша». Der zweite Маше ist sehr undeutlich. N: XVI (1832). Nach dem Originale. «Dieses (ac for) ist das Grab der Maïfrah» — craft. Ne XVII (1832). Nach dem Originale. Auch diese Inschrift ist geordnet wie oben № XI. «Dieses (от por) ist das Grab des jungen Mädchens Elschba’» (Elisabeth) — 1455? sam, 13% 100 D. Cuwouson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE N X VIII (1586), Nach dem Originale. 134 < «Dieses ist das Grab des Priesters Paulus, des Sohnes des Pase-Sagun». Les bezieht sich offenbar auf Paulus. N: XIX (164. Nach dem Originale. зо рол (1 j{aitmois fosses o2S (2 oda] (3 boss (5 «Dieses ist das Grab der Gläubigen Schalamä, der Frau des Kirchenvisitators Kutluk». Die beiden letzten Worte sind im Originale sehr undeutlich. ле XX (178). Nach einer Photographie und einem Farben-Abdruck. «Dieses ist das Grab des Usch’anä-Sabbar». — 555 11590]. Ich vermuthe, 4аз$ 55, Sabbar, nureine Abkürzung des bekannten syrischen Namens sa2.;am, Sabbar-Ischü’, Sabarjesus, sei. Diese Inschrift ist in sehr grosser und deutlicher Schrift abgefasst. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN,. 101 ле XXI (199). Nach dem Originale. «Dieses ist das Grab des Gläubigen Barschabâ» — fiitos [as:2. Statt des gewöhnlichen fiat steht hier ganz deutlich fastocto, wohl nur ein Ver- sehen des Verfassers, dem vielleicht das arabische :,.. vorschwebte. № ZIZII (2280). Nach dem Originale. «Dieses (©201) ist das Grab des jungen Mädchens Kutluk-Terimm — 55:2 ya of. № ZZXITTIIT (B). Nach dem Originale. «Dieses ist das Grab des Knaben Alexandros» — So, 1m N. № ZIRZIV)). Nach einer Copie aus freier Hand. «Dieses (ao for) ist das Grab der Gläubigen Kümüsch» — .sa%02, № XZIXV. Nach einer eben solchen Copie. «Dieses ist das Grab des Knaben Aimangw — ran. N XX V I. Nach einer eben solchen Copie. «Dieses (a1cı) ist das Grab der Tult . .. Kuschtanz» — sılısal. hg Die drei letzten Buchstaben des ersten Namens sind augenscheinlich unrichtig copirt. 1) Diese und die beiden folgenden Inschriften sind edirt, 1. c., № XVI—X VIII, р. 22 f. 102 D. Снмогзом, Dre тм GEBIETE SRMIRJETSCHIE Die folgenden Grabinschriften (№ XXVII—XXX VII) stammen aus dem Friedhof in der Nähe von Tokmak (vgl. oben pag. 2). Sie liegen mir theils in Originalen, theils in Farben-Abdrücken und zum Theil in kleinen, schlechten Photographien des Hrn. Jadrinzew vor. Sie sind alle undatirt und sehr kurz. Die Schriftform dieser Inschriften unterscheidet sich unwesentlich von der in den mitgetheilten Inschriften aus Pischpek. Ne ZZVLI)). Nach einer sehr undeutlichen Photographie des Herrn Jadrinzew. 11-2 Д>5 (1 PSS Ga 55:8 (2 их (3 «Haus der Ruhe des... tluk Givaréis» (Georgius). Das zweite Wort der ersten Zeile ist ziemlich undeutlich; ich glaube aber am Ende 12 zu sehen und daher {Ass lese. Der Ausdruck {saı Ass kommt auch in einer von Duval mitgetheilten Grabinschrift aus Salamas vom Jahre 1597 п. Chr. vor !). Das erste Wort der zweiten Zeile ist ganz unleserlich und die ersten Buchstaben des folgenden Wortes sind vielleicht „>, aber sicher nicht a> zu lesen. Ne XX VIII. Nach einem Farben-Abdruck. Mao). o1n© a1cı (1 Joo1 Los piton (2 «Dieses ist das Grab des Gläubigen Nestoris (Nestorius). Er war die Schlange» (d. h. das Schlangen-Jahr). Der Abdruck ist sehr undeutlich, die gegebene Lesung ist aber, bis auf den ersten Buchstaben des zweiten Wortes Zeile zwei, vollkommen sicher. Nach den erhaltenen Spuren kann derselbe nur ein » sein. 1) Edirt, 1. с. № XIX, р. 23 f. | 2)8. Journ. As. VIII, % У, 1885, р. 49. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. Ne XXIX. Nach dem Originale. «Dieses ist das Grab des Kutlu» — „05-205. № XX XX. Nach dem Originale. «Dieses (ea) ist das Grab der Gläubigen Mariam (Marie). № XX XT. Nach einer Photographie und einem Originale. Zwei gleichlautende Inschriften : «Dieses ist das Grab des Jünglings Jüchanan (Johannes). Ne ZIIIZZLT. Nach einem Farben-Abdruck. In sehr grosser Schrift: as a1cı (1 а (2 52] (3 «Dieses ist das Grab des Lehrer Usch’anâ (Hosanna); vergl. oben № XX. № XX III. Nach einer Photographie des Herrn Jadrinzew. 103 Das Datum ist unleserlich. Darauf: «Dieses (ascı) ist das Grab des Priesters Jul- Kutluk» — 055.205 Lau. 104 D. CHwozson, Dre Im GEBIETE SEMIRJETSCHIE Ne XXXTIV. Nach einem Farbenabdruck. Е оз5> Q101 (1 1555 ao (2 «Dieses ist das Grab des Jûchanan (Johannes). Der Hund», 4. 1. das Hunde-Jahr. N XXXV. Nach einem Farbenabdruck. OS a1cı (1 (?) 555%] ya2a (2 «Dieses ist das Grab des Scholasticus (?) Kutuk». Das letzte Wort der 2. Zeile ist unsicher. Ne XXX WT. Nach einem Farbenabdruck. o2© ac (1 12555 зоо] (2 «Dieses ist das Grab des Mädchens Kutuk». | Der Name ist unsicher. | Ne XXX V IT. Ebenso. Die erste Zeile ist verwischt; die zweite lautet: der «Knabe Tekin» — „22. XXX VLLT. Nach einem Originale im Besitze der moskauer archäologischen Gesellschaft. 6. 1 $ $ |433. REES ес =) a 119° О O Q L [le] VTT AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 105 Zu lesen: o;m2 ala] (1 Site (2 hen] Less (3 ‹205> Sos (4 «Dieses ist das Grab des Pasak. Das Ziel des Lebens ist Jesus, unser Ег- löser». {53 heisst auch die Fahne, das Panier, hier scheint es mir aber richtiger, es im Sinne von Ziel, Zweck aufzufassen. Ne XXXIX. Nach einem Originale ebendaselbst. 5 =— д Г À Gun DE (| Гл lesen: 3 aycı (1 las (2 SSD Cana (3 fair (4 «Dieses ist das Grab des Jünglings Givargis» (Georgius). № ZU. Nach einem Originale ebendaselbst. «Dieses ist das Grab des Scholasticus Kutasch». Mémoires de l'Acad. Imp. 4. sc. VII Serie. 14 106 D. CHwozson, Dre ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE ТУ. Allgemeine Bemerkungen über diese Inschriften. Nach der Mittheilung der mir bekannten und zugänglichen Grabinschriften aus den christlichen Friedhöfen aus Semirjetschie bleiben mir noch verschiedene, diese Inschriften be- treffende Fragen zu erörtern und über ihren historischen Werth Einiges zu sagen. Die erste Frage ist natürlich die über die Herkunft und die Verfasser dieser Inschriften. Diese Frage ist leicht zu beantworten: sie rühren von nestorianischen Christen her, die ganz, oder wenigstens bei Weitem überwiegend türkischer Herkunft waren. Letzteres ersieht man deutlich aus den zahlreichen, in den Inschriften vorkommenden türkischen Eigennamen, türkischen Wörtern und Phrasen und endlich auch aus den ganz in türkischer Sprache ab- gefassten Inschriften; dass aber die Christen jener Gegenden Nestorianer waren, wissen wir aus den von Assemani gesammelten zahlreichen Nachrichten syrischer Schriftsteller, so wie auch aus denen der katholischen Missionäre des XIII. Jahrhunderts und Marco Polo’s. Es dürfte am Orte sein, hier Einiges zu sagen über die frühzeitige Verbreitung des Chri- stenthums überhaupt nach den Ländern der Osttürken und über die grossartige Propagande der Nestorianer zur Verbreitung der christlichen Lehren, denen sie unter andern auch in Turkestan, in den nördlichen, westlichen und nordöstlichen Provinzen von China und sogar in den nördlichen Gegenden von Tibet Eingang verschafft haben. Schon gegen 334 wird der erste Bischof von Merw, Namens Barsaba, der gegen 15 Jahre lang diesen Bischofsitz inne hatte, erwähnt!). Ein anderer Bischof dieses Ortes, Namens Isaac kommt im Jahre 410 vor’). Im Jahre 420 wird der Bischofsitz daselbst zum Sitze eines Metropoliten erhoben?), woraus man ersehen kann, dass es dort und auch in der Umgegend schon damals viele Christen gegeben haben muss, da jeder Metropolit mehrere Bischöfe unter sich hatte (vergl. weiter unten). Der Bischof dieses Ortes Theodoros, der gegen 540 lebte, war Verfasser vieler Schriften, und einer seiner Nachfolger, Elias (gegen 660) schrieb gleichfalls viele Werke, darunter Commentare zu verschiedenen Büchern der Heiligen Schrift, so wie auch eine geschätzte Kirchen-Geschichte®‘). Metropoliten von Herät und Merw werden bisgegen das Jahr 1000 und ein Bischof von Serachs sogar noch 1136 n. Chr. erwähnt’). Nach der Meinung Einiger sollen Achai (gegen 411) und 1) Assemani, В. O., Ш, р. 426; vgl. ib., р. 56 3) Ib., p. 477. — 4)Ib., Шла, 147 £. u, 477. 5) Ib. II, p. 435. 443 f. 450 u. Ill,e, p. 427. 484. 755. 2) 1b., p. 426. 763 n. 775. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 107 Schilä (gegen 503) Metropolitansitze in Herät, China und Samarkand errichtet haben; Andere schreiben die Errichtung dieser Metropolitansitze dem nestorianischen Patriarchen Salibasachä (gegen 714—728) zu'). Von dem nestorianischen Patriarchen ’Ischü’- jahb II (628—647) wird berichtet, dass er Bischöfe und Presbyter unter andern auch nach China geschickt hätte?). Aus einem Schreiben des Patriarchen ’Ischü’-jahb III (650—660) geht hervor, dass die Araber zur Zeit, als sie Chorasan und auch Merw er- obert hatten, daselbst viele Christen fanden, die sich aber den Muhammedanern gegenüber nicht standhaft genug in ihrem Glauben gezeigt haben, worüber der Patriarch bitter klagt?). Für die frühe Verbreitung des Christenthums unter den östlichen Türken spricht auch folgendes Factum. Die von Narses an den Kaiser Mauritius gegen 581 geschickten türkischen Gefangenen hatten auf den Stirnen ein durch schwarze Punkte gezeichnetes Kreuz. Ueber den Ursprung desselben befragt, sagten sie, dass, als vor längerer Zeit eine Pest unter ihnen ausgebrochen war, die unter ihnen lebenden Christen — oder nach einer andern Version, diejenigen der Ihrigen, welche sich zum Christenthum bekennen, — ihnen ge- rathen hätten, den Kindern das Zeichen des Kreuzes auf die Stirne zu zeichnen‘). Man sieht daraus, dass das Christenthum schon im VI. Jahrhundert unter den Osttürken verbreitet war, das dorthin, wenigstens zum Theil, sicherlich durch Nestorianer verpflanzt wurde. Mein verehrter College W. D. Smirnow machte mich auf folgenden Punkt aufmerk- sam. Seldschuk, der Stifter der nach ihm benannten Seldschukiden-Dynastie, der ursprüng- lich, noch bevor er zum Isläm übergegangen war, gegen 930 im Dienste eines türkischen Fürsten in der Gegend der jetzigen Kirgisensteppe stand, hatte unter andern auch einen Sohn, Namens Michael; da aber Mohammedaner niemals diesen Namen geführt und er nur bei Christen üblich war, ist man wohl berechtigt daraus zu folgern, dass das Christenthum um die angegebene Zeit bis in die Kirgisensteppe westlich vom Baikalsee vorgedrungen sei. Von dem nestorianischen Patriarchen Timotheus (778—820) wird in der That be- richtet, dass erden Chakan der Türken, sowie auch andere türkische Fürsten zum Christen- thum bekehrt hätte). Ausführliche Nachrichten besitzen wir über die Bekehrung des grossen und mächtigen türkischen Stammes der Kerait°) gegen 1007 durch Ebedjesu, dem da- 1) Ib., Шл, 346 u. ПТ», 439, 477, 521 ff. u. 737. ! Marco Polo, übersetzt von A. Bürck, Leipzig, 1845, 2) $. J. Aloys Assemani, de Catholicis Patriarchis, р. 234, Anmk. 200; Le livre de Marco Polo .. par Pau- р. LXXII, в. с. thier, Paris, 1865, I, р. 208, п. 1; The book of sir 3) В. Assemani, В. O., Шл, р. 127 £. |..Магсо Polo, by Н. Уще, Lond., 1875, I, p.237, п. 1 4) Theophylact. Hist. У, 10, pag. 225 und Theo- | u. р. 276, п.1; vel. auch desselben Cathai, Lond., 1866, phanes, Chronogr. ad. а. М., 6081 (= 581), I,p. 411 ed. Bon. 5) Аззеш., 1. c., Ш», р. 482, cf. ib., Ша, р. 158 ff. 6) Die Wohnsitze der Keraït lassen sich nicht ge- nau angeben, Die Provinz, in der sie lebten, so wie auch die Hauptstadt des Landes, hiess Tenduch. Das Land lag nördlich von Tangut (s. weiter unten) und scheint sich bis in die Gegend des Zusammenflusses der Selenga und des Archon ausgedehnt zu haben; s. die Reisen des I, p. 146, n. 1. Auf der Carte von Yule scheint mir . Tenduch (ein wenig westlich von Peking, am gelben Flusse) nicht richtig angegeben zu sein. Yule selbst setzt die Kerait so wie ich es hier angegeben habe, wo also auch Tenduch gesucht werden muss. Der entscheidende Kampf zwischen Tschingizchan und dem Fürsten der Kerait hat bei Tenduch stattgefunden, also doch eher an dem obern Lauf der Selenga, als am gelben Flusse unweit von Peking, 14* 108 D. CHwozson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE maligen nestorianischen Metropoliten von Merw. Die christlichen Könige dieses Stammes beherrschten ein grosses Reich und ihre grosse Macht gab unzweifelhaft die Veranlassung zu den in Europa im Mittelalter verbreiteten, zum Theil allerdings fabelhaften Nachrichten von dem Reiche des Priesters Johannes, wieauch Marco Polo den König dieses Landes immer nennt!). Dieses mächtige Reich wurde erst von Tschingizchan gegen 1202 zer- stört, aber noch am Ende des XIII. Jahrhunderts existirten christliche Vasallen-Könige dieses Landes?). Mehrere Prinzessinnen aus den fürstlichen Häusern dieses christlichen Volkes waren an Tschingizchan selbst und an dessen Söhne verheirathet, in welcher Stellung sie durch ihren Verstand und ihre höhere Bildung einen grossen Einfluss auf die Regierungs- angelegenheiten ausübten. Sie bekannten sich öffentlich zum Christenthum, hatten ihre, mit Glocken versehenen Kirchen und Capellen und beschützten nach Kräften die Christen und die christliche Lehre*). Die katholischen Missionäre aus dem XIII. Jahrhundert erwähnen noch andere grosse türkische Stämme, wie die Uiguren, dann die Merkit‘) und die Naiman°), die nordöstlich von Semirjetschie bis in die Gegend des Baikalsees lebten und die gleichfalls von den Nestorianern zum Christenthum bekehrt wurden und sich zur Lehre derselben bekannten. Daten über die Gründung eines Metropolitensitzes in China am Anfange des VIII. oder gar schon im V. Jahrhundert, habe ich oben mitgetheilt. Aus dem bekannten Denkmal aber syrisch-chinesicher Christen aus Singan-fu°), dessen Echtheit jetzt schwerlich be- zweifelt werden kann’), ersieht man, dass das Christenthum in China im Jahre 635 bekannt 1) Vgl. Marco Polo, ed. Bürck, I, Cap. 44 u. 53. 2) Ueber diese christlichen Kerait und deren Bekeh- rung s. Georgii Barhebraei, Chronicon Eccles., ed. Abeloos её Lamy, Ш, р. 279, f. u. ib., п. 1; dann As- sem., 1. с., I, р. 444 f. u. Пр, р. 485 ff. u. 495 ff. Der Archimandrit Palladji citirt auch chinesische Quellen, die das Christenthum der Fürsten der Kerait bezeugen; s. dessen ‚höchst interessante Abhandlung: Старинные cabapı Христ!анства въ Кита (AlteSpuren des Christen- thums in China), р. 21, in Восточный сборникъ, I, 1877, р. 1—66. 3) 5. Assemani, 1. c., Ш», р. 500 ff. u. vel. Rechid- ed-din, Hist. des Mongoles ed. Quatremêre, I, р. 84, 90, п. 7 u. р. 91 #.; Nouv. Journ. Аз., t. XII, 1833, р. 296 и. Palladji, 1. с., р. 21 f. 4) Nach Klaproth war Turrachina, die Frau des .Ogotai-Chan und die Mutter des Kajuk-Chan, eine christliche Prinzessin aus dem Stamme der Merkit; s. Nouv. Journ. As., XII, р. 207, п. 2. 5) Ueber die Wohnsitze der Naiman; vgl.Klaproth, l. с., р. 278, п. 4. 6) In der Provinz Schien-si, westlich von Nan- king. Singan-fou war damals die Hauptstadt des Reiches und lag nach Pauthier (Marco Polo, p. 203, п. 3) 34° 16’ Br. und 106° 37’ L. 7) Vgl.G. Pauthier, de l’authenticite de linscription nestorienne de Si-ngan-fou relatif à l’introduction de la religion chretienne en Chine des le VII-e siecle de notre ére. Paris, 1857. In diesem Werke wird auf viele, in dieser Inschrift erwähnte historische Thatsachen hin- gewiesen, die in vollem Einklange mit der wirklichen Geschichte stehen und die einem Fälscher aus dem XVII. Jahrhundert unmöglich so genau bekannt gewesen sein konnten. Auch der erwähnte russische Sinolog, Archi- mandrit Palladji, tritt in der oben eitirten Abhandlung (p. 1—20) entschieden für die Echtheit auf. Das in jenem Denkmal angeführte erste Decret vom Jahre 638 über die Erlaubniss christliche Kirchen zu bauen, fand er fast wörtlich in einer 961 veranstalteten Sammlung der Decrete der Thang-Dynastie. In einem andern Werke vom Jahre 1076 fand er eine Nachricht über die Erbauung einer christlichen Kirche in Singan-fu im Jahre 638. Sogar in einer Koreischen Quelle fand er die Nachricht über die Einführung der christlichen Religion in China zur Zeit der Thang-Dynastie, zur Zeit desselben Kaisers, der auch in jenem Denkmale genannt wird. Die Form der Estrangelo-Schrift in dem syrisch ab- gefassten Theil dieser Inschrift, von dem man jetzt einen guten und vollständigern Abdruck besitzt, entspricht vollkommen der im VIII. Jahrhundert gebräuchlichen AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 109 und, so zu sagen, officiell anerkannt wurde; ferner dass die christliche Lehre zwischen 650 — 683 grosse Fortschritte daselbst gemacht hat und ungeachtet der Anfeindungen vieler Bekenner anderer Religionen zur Blüthe gelangt ist und von verschiedenen Kaisern von China begünstigt wurde. Jenes Denkmal wurde im Jahre 1092 der seleuc. Aera, 781 п. Chr. während des Patriarchats des Chanan-’Jschü’ errichtet!). Aus der Erwähnung dieses nestorianischen Patriarchen auf jenem Denkmal ersieht man, dass jene Christen in China Nestorianer waren. Von dem oben erwähnten nestorianischen Patriarchen Timotheus 778—820 n. Chr. — wird berichtet, dass er unter andern auch für Bactrien, Sogdiana und China Bischöfe ernannt hätte?). Desgleichen ist auch in einer Verordnung des nest. Patriarchen Theodosius (852—858) von’ den Metropoliten von China, Merw, Herät und Samar- kand’) dieRede. Mas’üdi spricht von einer Niedermetzelung vieler Christen, Muhamme- daner und Juden in Kan-fu beider Eroberung dieser Stadt von Seiten des Rebellen Banschu gegen 878 п. Chr.*). Mit dem Untergange der das Christenthum (und auch den Buddhis- mus) beschützenden Thang-Dynastie (960) ist auch eine Catastrophe für die christlichen Gemeinden in China eingetreten. Im Jahre 980 schickte nämlich der Patriarch Ebedjesu (963—986) mehrere Mönche nach China ab, um daselbst die Zustände der Kirche zu untersuchen. Gegen 987 sprach der bekannte Verfasser des Fihrist el-’Ulüm einen dieser Mönche und dieser berichtete ihm, dass das Christenthum und die Christen daselbst auf verschiedene Weise ausgerettot und ihre Kirchen zerstört wurden; nur einen einzigen “ Christen hätte er noch angetroffen”). Die Hauptstadt des Landes, welche der Berichterstatter bei dieser Gelegenheit erwähnt, soll nach der Meinung von Pauthier eben das oben erwähnte Singan-fu sein‘), wo der Hauptsitz der christlichen Bevölkerung gewesen zu sein scheint. Estrangelo-Schrift. Beim letzten Orientalisten-Congress in Wien, 1886, hat Hr. Professor J. Heller aus Inns- bruck einen Vortrag über diese Inschrift gehalten, in welchem er sich gleichfalls, zum Theil auf Grund dieses neuen Abdrucks, entschieden für die Echtheit derselben aussprach und sich dabei auf die Autorität von Männern wie Bickell, Gutschmid und Nöldeke berief, die alle derselben Meinung sind. S. Verhandlungen des VII. inter- nationalen Orientalisten-Congresses im Jahre 1886, hoch- asiatische und malayo-polynes. Section, р. 37 ff, bes. p. 48. 1) Dieser Patriarch ist zwar schon am Ende des Jahres 777, oder Anfang 778 gestorben; aber aus einer andern Quelle ist es bekannt, dass die in entfernten Ländern lebenden Metropoliten, darunter auch der von China, um die Mitte des IX. Jahrhunderts verpflichtet waren, alle sechs Jahre einen Bericht über den Zustand ihrer Gemeinden an den Patriarchen einzusenden (з. Assem,, 1. c., Шл, р. 347). Wie es mit dieser Ver- pflichtung im VII. Jahrh. stand ist zwar unbekannt, schwerlich wird die Verbindung der Metropoliten damals eine häufigere gewesen sein als später. Die Möglichkeit, dass man im östlichen China im Jahre 781 von dem 3 Jahre vorher erfolgten Tode des Patriarchen noch nichts wusste, liegt nahe. 2) Assem., I. c., Ш», р. 444 u. 523. 3) 5. ib., IILı, р. 347 u. vel. ib. III,2, р. 439 u. 523. 4)8. Macoudi, les prairies Фот, I, р. 302 f. u. vgl. Relation de voyages .. dans l’Inde et à la Chine, par Reinaud;1, р. CXXXII ff. Ueber die Lage von Kan-fu am Meere im südöstlichen China in der Nähe von Schang- hai vgl. Le livre de Marco Polo, par Pauthier, p. 498, note 10 vom Herausgeber. 5) Kitab-el-Fihrist, ed. Flügel, р. PPr&9. Vgl. Pal- ladji, 1.с., p.18 f. wo auch gesagt ist, dass aus der Zeit der Sung-Dynastie, die auf die Thang-Dynastie folgte, keine Spuren des Christenthums in China sich nach- weisen lassen. 6) С. Pauthier, de l’authenticité de l’inscr. nest. de Si-ngan-fou, р. 95 f, 110 D. Cawozson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE Im Norden von China scheinen übrigens noch im XI. Jahrhundert Christen gelebt zu haben; denn der Patriarch Sabarjesu (1063— 1072) schickte den Bischof von Kaskar, Georgius, nach Chorasan, Segestan und nach den Ländern von Chatai, d. i. Nord-China, wo es also damals noch Christen gegeben haben muss‘). Der Patriarch Elias Ш (1176—1190) ernannte zwei Metropoliten von Kaschgar”), und der Patriarch Denchä (1265—1281) ernannte zuerst den Bischof von Tus, Simon bar Kalig zum Metropoliten von China und dann den Türken, oder Uigur Jahbalahä zum Metropoliten von China und, wie es scheint, zugleich von Tangut?). Es kann kaum zweifelhaft sein, dass das Christenthum, in Folge der Eroberung von China durch die Mongolen, daselbst von Neuem Eingang und grosse Verbreitung gefunden hat; denn die mongolischen Fürsten waren, wenn auch nicht aus liberalen Prin- cipien, tolerant gegen andere Religionen. Mehrere mongolische Fürsten hatten, wie bemerkt, christliche Frauen, die grösstentheils sehr eifrige Christinnen waren. Nestorianer fungirten an den mongolischen Höfen und bei den Grossen als Secretäre und Erzieher. Es ist nun natürlich, dass bei der Gründung der mongolischen Herrschaft in China die Nestorianer sich daselbst massenhaft verbreitet haben“. Die katholischen Missionäre des XIII. Jahr- hunderts, wie Plano Carpini, Rubruck gegen 1250 und später Joannes de Monte Corvino, so wie auch Marco Polo fanden überall in der Tartarei, in Nordchina und be- sondersin Peking grosse Massen von nestorianischen Christen, die überall zahlreiche Kirchen besessen haben. Diese eifrigen Nestorianer disputirten häufig an den Höfen der mongolischen Fürsten mit den katholischen Missionären, intrigirten auch oft gegen sie auf alle mögliche Weise und suchten ihrer Thätigkeit Hindernisse in den Weg zu legen). 1) Assem., [. c., Ш, р. 502. 2) Assem., II, р. 450, Шл, р. 288 und Ш, 2, р. 427, 502 und 523. 3) Ib., II, 256 f. und IIL,2, р. 112 und 502. 4) In der oben eitirten Abhandlung von Palladji werden viele und werthvolle Nachrichten über dasChristen- thum in China zur Zeit der Mongolen-Dynastie nach chinesischen Quellen mitgetheilt (р. 21 ff). Aus den- selben ersieht man, dass es damals nestorianische Christen gab, welche zu hohen Ehren und Würden gebracht, in grossem Ansehen am Hofe des Landesfürsten gestanden haben und dabei sehr eifrige Cbristen waren. Ein Mar- Sergis erbaute sieben Kirchen und liess aus dem Westen einen Gelehrten Mar-Schelichä kommen, der zum Bischof ernanut wurde. Aus diesen Nachrichten ersieht man aber auch, dass sie zuweilen harte Kämpfe mit den Buddhisten zu bestehen hatten. 5) In Journ. Asiat. Bd. УТ, 1830, р. 59—71 ist mitge- theilt eine altfranzösische Uebersetzung eines auf Befehl des Pabstes Johannes XXII (1410—1415) zusammenge- stellten, nüchtern Berichts «de l’estat du grant caan, der offenbar auf Grund von Nachrichten katholischer Missionäre und italienischer Kaufleute zusammengestellt ist (vgl. ib., р. 57 £.). In diesem Berichte wird in einem be- sondern Capitel (p.69 f.) von den Nestorianern gehandelt und da heisst es von ihnen, dass sie sehr feindlich gegen die Katholiken gesinnt wären und die von den «freres meneurs» erbauten «abbaies» in der Nacht heimlich zerstörten. Dann heisst es (p. 70): ces nestorin sont plus de trente mille demourans ou dit empire de cathai. et sont tres riche gent. mais moult doubtent et crieinent (redoutent et craignent) les crestiens (d. h. die römisch- katholischen), ilz ont eglises tres belles et tres devotes avec croix et ymaiges en lonneur de dieu et de sains. ilz ont dudit empereur pluseurs offices. et de lui ont ilz grandes procuraocons (privileges) dont on croit que se ilz se voulsissent (voulussent) accorder et estre tout a un auec ces freres meneurs. et avec ces autres bons crestiens (4. h. mit den Katholiken) qui la demeurent en ce pays. ilz conuertiroient tout ce pays et ces empereures a la uraie foy. Der Mann mag wohl Recht haben, besonders wenn man an die Toleranz der mongolischen Fürsten denkt, die oft mit ihren christlichen Frauen die Kirchen besuchten und dem christlichen Gottesdienst beiwohnten. Aber wer trägt die Schuld daran, dass jene Bekehrung nicht stattgefunden hat? Die in Constantinopel im AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN ÜÖRABINSCHRIFTEN. 111 Die hier mitgetheilten Grabinschriften umfassen die Zeit von 1249—1345 und in ihnen werden auch Christen aus Almalig (Alt-Kuldscha) erwähnt. Bis gegen 1369 gab es noch selbst in Peking viele nestorianische und römisch-katholische Christen, Bischöfe und Kirchen. Erst mit dem Beginn der nationalen Ming-Dynastie fing in China der Kampf gegen alles Fremde an und somit auch gegen Christen uud Christenthum. Angaben, wenn auch nicht ganz sichere, über die Existenz von Nestorianern in China gehen übrigens noch bis zum Jahre 1555 п. Chr.?). Ein ziemlich klares Bild von der grossen Verbreitung des Christenthums nach der nestorianischen Lehre in nordöstlichen und in Central- Asien gewinnt man aus den Ver- zeichnissen der nestorianischen Episcopalsitze des Elias, Metropoliten von Damascus, der gegen das Ende des IX. und am Anfange des X. Jahrhunderts schrieb’). In diesem Verzeichniss werden erwähnt der Bischof von Segestan, der dem Metropoliten von Herät untergeben war, dann die Bischöfe von {x 5, Deir-Chanes, —ys5le>, Damädüt und bus: Da’abar-Sanaja*), welche unter dem Metropoliten von Merw standen. Von der Eparchie von Samarkand spricht er gleichfalls‘). Viel wichtiger ist das Verzeichniss der nestorianischen Metropoliten bei dem nestoria- nischen Historiker Amr ben Mattai, der gegen 1340 schrieb’). In diesem Verzeichnisse, das Assemani (1. c., II, pag. 458) mittheilt, werden unter andern auch die Metropoliten von folgenden Orten und Provinzen aufgezählt: Merw, Herät, China, Samarkand, Türkenland, (4,1) lb), Balch®), Segestan, Chän-bälik und Almalik, Kasch- gar und Nawakat und dann noch Tangut. Einige der hier angeführten, weniger bekannten Namen willich, so gut ich es verstehe, zu erklären suchen. Mit dem Ausdruck 4 J:J} „lb ist gemeint der Metropolit über die grosse, fast ausschliesslich von türkischen Stämmen bewohnte Ländermasse nördlich vom Jaxartes bis in die Gegend des Baikalsees, und die nördliche Grenze von China. Unter letzterem Namen ist Nordchina zu verstehen. Mit Chänbälik ist bekanntlich Peking gemeint, wie diese Stadt während der Mongolenherrschaft genannt wurde. Almalik ist eine Conjectur von mir; denn im Texte bei Assemani steht la], 36 „ls Chänbälik und Alfälik; ich zweifle nicht, dass die richtige Lesart hier EN Almalik sei, über welchen Ort das oben (p. 31) Gesagte zu vergleichen ist’). Jahre 431 begonnenen dogmatischen Streitigkeiten, bei | 3) Ueber die drei hier zuletzt angeführten Ortsnamen deren Ausfechtung man die Grundideen des Christen- | habe ich bei arabischen Geographen keine Auskunft thums vergessen zu haben scheint, haben ihre Fortsetzung | gefunden. in Peking am Ende des XIII. Jahrhunderts gefunden. 4) Assem. II, р. 458 Е. Wie anders würdedie Welt aussehen, wenn jene Mongolen- 5) 5. ib., IIL,ı, р. 580 f. fürsten, statt Muhammedaner, Christen geworden wären er I: - ? 6) Im Originale В aber nach Asse und welche andere Entwicklung würde unser Vaterland, | ) = @ Ne Tee Russland, genommen haben! Je C., Ill, р. 426 und 728 soll damit Balch gemeint sein, 1) Assem. 1. c., Ш, р. 439, 503 und 537. 7) Vgl. nach Klaproth, 1. c., р. 283, п. 1. 2) S. ib., Ши, р. 513 £. 112 D. Cawozson, Die 1m GEBIETE SEMIRJETSCHIE Tangut ist der Name einer Provinz in nördlichen Tibet, welche zum grössten Theil in dem länglichen Viereck lag, das östlich, nördlich und westlich vom gelben Flusse be- grenzt wird; auch das nächste Land westlich von diesem Vierecke gehörte zur Provinz Tangut!). In der Hauptstadt, sowie auch in mehreren anderen Orten dieses Landes fand Marco Polo Christen, die auch viele Kirchen besessen haben?). Aus Reschid-ed-Din’s Geschichte der Mongolen (ed. Quatrem. I, p. 84) ist zu ersehen, dass die Fürsten, dieses Landes in enger Verbindung mit den christlichen Fürsten der Kerait (s. oben p. 108) ge- standen haben. Assemani theilt auch (В. O., III, 2, р. 503) eine Stelle aus dem Briefe des Armeniers Sempad — Bruders des Königs Hayton I. von Armenien — mit, (gegen 1246), in der von den vielen Christen und deren zahlreichen Kirchen in diesem Lande die Rede ist. Auch der Fürst, oder einige der Fürsten dieses Landes scheinen sich damals nach diesem Berichte zum Christenthum bekannt zu haben. Ja es scheint sogar, dass das Christen- thum in diesem Lande sehr früh festen Fuss gefasst hat; denn es hat sich nach jenem Be- richte die Legende gebildet, dass die drei Könige des Morgenlandes, die bei der Geburt Christi in Bethlehem erschienen sind, eben ausdem Lande Tangut gekommen wären und auch daselbst, so wie auch im Lande Chatai, das Christenthum eingeführt hätten?). Bekanntlich waren die früheren europäischen Reisenden und Missionäre im höchsten Grade verwundert über die vielen christlichen Gebräuche, die sie im buddhistischen Cultus der Lamaiten in Tibet bemerkt haben. Sind nicht diese Gebräuche Entlehnungen aus dem Christenthum, welches daselbst, wie es scheint, Jahrhunderte lang geherrscht hat? Oder sind diese Gebräuche vielmehr einfach verdunkelte Ueberreste des Christenthums, die sich bei der buddhistisch gewordenen ehemaligen christlichen Bevölkerung erhalten haben? Ich empfehle diesen Punkt der Beachtung künftiger Forscher. Kaschgar ist bekannt; oben (pag. 110) war die Rede von zwei Metropoliten dieses Ortes, die während des letzten Viertels des XII. Jahrhunderts ihre Sitze in diesem Orte hatten. Ueber CI |; Nawäkat habe ich bei arabischen Geographen keine Nachrichten ge- funden‘), aber Assemani meint (1. c., Ш, 2, р. 759), dass damit die Provinz gemeint sei, deren Hauptstadt eben Kaschgar war. Die Provinz von Kaschgar und das östlich davon liegende Land war der Hauptsitz der Uiguren, die nach der Versicherung von Plano Carpini nestorianische Christen waren und von den Nestorianern ihre Schrift entlehnt haben’). Auf den letzten Punkt werde ich weiter unten noch einmal zurückkommen. Der erwähnte Amr ben Mattai bemerkt am Schlusse seines Verzeichnisses der nestorianischen Metropoliten, dass Manchen unter ihnen 12, Manchen 6 Bischöfe unter- 1) Ueber dieLage dieser Provinz s. Klapproth, Nouv. 3) Vgl. Yule, Cathai, I, р. CXXVII, п. 2. Journ. As. XI, p. 462 f., dann Pauthier, Marco Polo 4) Nur bei Edrisi (ed. Jaubert, II, p. 218) kommt der р. 152 f. Anmk. 2 und 3; Yule, Marco Polo, I, р. 209, des- | Name dieser Gegend, (oder Ortes), ohne klare Angabe selben Cathai, I, p. CXIV. und Bürck, Marco Polo, | über die Lage, vor. 167, p. Anmk. 148. 5) S. Recueil des voyages, +. ТУ, р. 522 und ib. 1. 2) 5. Bürck, Marco Polo, I, Cap. 36 ff. AE ee a Eee NRC TUE КОАО, ns nc | à AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 113 ordnet waren, was zum Theil auch aus dem oben mitgetheilten Verzeichniss des Elias aus Damascus zu ersehen ist. Aus der Nachricht bei Mas’üdi (1. c., I, p. 288 u. 399), dass der mächtige türkische Stamm der Tagazgaz') sich zum Manichäismus bekannt hätte?), ersieht man gleichfalls wie sehr das Christenthum unter den türkischen Völkern verbreitet war. Ueberblickt man das bisher Gesagte, so ersieht man, dass das Christenthum, und zwar vorzugsweise nach der Lehre der Nestorianer, in einem Zeitraume von vielen Jahrhunderten des Mittelalters und in einem enormen, hauptsächlich von türkischen Völkerstämmen bewohnten Ländercomplex, etwa vom 60.— 120. Längen- und vom 30.—55. Breitengrade, seine Verbreitung gefunden hat?). Wir besitzen wohl verschiedene Nachrichten über diese Christen, auf die eben kurz hingewiesen wurde; aber washatsich noch direct von diesen — ich übertreibe sicher nicht, wenn ich sage — Millionen von Christen erhalten? Wenig, sehr wenig: das erwähnte, fast ganz chinesisch — chinesisch in Schrift, Sprache und, ich möchte hinzufügen, in Ge- dankeninhalt — abgefasste Denkmal von Singan-fu und unsere echt christlichen Grabinschriften aus Semirjetschie. Der Inhalt derselben ist zwar leider ziemlich mager, aber wir können aus ihnen doch Manches über das kirchliche Leben dieser Christen und auch sonst so manches Andere, Wissenswerthe erfahren; das, was die erwähnten katholischen Missionäre über jene berichten, mit denen sie in Streit und Hader lebten, ist wohl nicht immer ganz zuverlässig; dagegen sind unsere Documente schlicht, einfach und ungeziert und daher auch ganz und gar authentisch und zuverlässig. Analysiren wir diese Inschriften zuerst nach ihrer äussern Form und dann nach ihrem innern Gehalt. Jene türkischen Christen in Semirjetschie hielten es nicht für nöthig, oder verstanden es nicht, die von ihnen zum Eingraviren der Grabinschriften gebrauchten Steine zu be- arbeiten und zu glätten, sondern sie lasen die ersten besten Feldsteine verschiedener Grösse und Form auf und wählten für die Inschrift diejenige Seite aus, welche die grösste und am besten geebnete Fläche darbot. Kreuze von ungemein verschiedenen Formen *), oft mit mehr, oder minder unschönen Schnörkeleien überladen, wurden auf jedem Grabsteine eingemeisselt und zwar so, dass die in Form der Georgenkreuze meistens ganz in dem Stein eingravirt, während die anderen Kreuzesformen nur in Umrissen abgebildet wurden. Mit Ausnahme der Georgenkreuze, sind die Kreuze in der Regel so abgebildet, dass man leicht erkennt, 1) Die Wohnsitze dieses Volkes sind ungefähr in der Gegend des jetzigen Turfan zu suchen. 2) Vgl. Flügel, Mani, seine Lehre und seine Schrif- ten. Leipz. 1862, р. 105 f. und 387 ff. Interessante Nach- richten über die Verbreitung der Manichäer und des Manichäismus zuerst unter den Uiguren und dann auch in China seit dem VI. Jahrhundert theilt Palladjil. с. р. 50ff. nach chinesischen Quellen mit. 5) Wir sehen hierbei von den Nestorianern in Indien Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. ab, die sich noch bis auf den heutigen Tag erhalten haben, da es uns besonders um die Verbreitung des Chri- stenthums in den centralasiatischen Ländern und nament- lich unter den türkischen Völkerschaften zu thun ist, 4) Diese verschiedenen Kreuzformen, die man zum Theil auf den beiliegenden Tafeln abgebildet findet, dürften für christliche Archäologie nicht ohne Interesse sein. Mit einigen Verzierungen sehr primitiver Art sind die Grabsteine № 1600,1 und 35,1 versehen, vgl. oben p.35. 15 114 D. Cawozson, Dre м GEBIETE SEMIRJETSCHIE wo der Kopf und wo der Fuss eines jeden Kreuzes sich befindet. Dieser Punkt ist, wie wir gleich sehen werden, von grosser Wichtigkeit. Es handelt sich nämlich um die Lösung der Frage: haben jene Nestorianer, die Verfasser unserer Inschriften, horizontal oder ver- tical geschrieben? Diese Frage hängt wieder mit einer andern Frage zusammen, ob nämlich die Syrer überhaupt zu jeder Zeit, oder nur in einer bestimmten Periode, ferner ob überall, oder nur in bestimmten Gegenden vertical geschrieben haben. Ueber diese Frage giebt es seit 1539 : eine ziemlich umfangreiche Literatur, die man, wie ich glaube, vollständig bei Franc. Le- normant!) findet. Ich möchte nicht das wiederholen, was Andere gesagt haben und be- schränke mich daher nur auf folgende Bemerkungen. Fast Alle stimmen darin überein, dass die westlichen Syrer in einer bestimmten Epoche, die übrigens Niemand nach oben genau zu begränzen sucht, ihre Handschriften in ver- ticalen Zeilen geschrieben, aber dieselben dann, das Buch umwendend, horizontal gelesen haben. Nur meint Kopp‘), dass diese Art zu schreiben keineswegs so alt sei als Einige glauben wollen und dass sie nur durch eine kalligraphische Eigenheit — einen starken Grundstrich durch die Zeile laufen zu lassen — entstanden sein könne. Abbe Martin meint?), «il est même douteux que les Nestoriens aient jamais écrit autrement (als horizontal), car leur caractère ne l’exige pas autant que celui des Jacobitew. Von diesen glaubt er, dass sie nur etwa bis zum XIII. oder XIV. Jahrhundert vertical, dann aber gleichfalls immer horizontal geschrieben hätten. Duval“) stimmt ihm in beiden Punkten bei. Adler dagegen scheint anderer Meinung zu sein. Seine «Brevis linguae Syr. institutio» fängt gewissermaassen mit den Worten an: Scribunt Syri non modo Hebraeorum, sed Sinensium instar a fronte paginae versus pectus. Er sagt aber nicht, dass nur Manche unter den Syrern früher so geschrieben hätten. In einem Briefe an Michaelis’) sagt er von den griechischen Wörtern, die sich am Rande des Codex befinden, welcher die phi- loxenische Uebersetzung des N. Ts. enthält, dass sie «auf eben die Art geschrieben worden, wie die Syrer ihre Schriften schreiben. Sie legen nämlich, sagt er ferner, das Papier oder Buch in die Quer und schreiben, ohngefähr wie die Chineser, jede Zeile von der obersten Spitze bis zur untersten: denn (dann) wird das Papier umgekehrt, und man hat die Schrift recht vor sich». In einer andern Schrift‘) spricht Adler von dieser Art der Syrer zu schreiben und bemerkt dabei ausdrücklich Saepe vidimus. Adler ist also offenbar der Meinung, dass alle Syrer von jeher vertical geschrieben hätten, und er scheint in Rom Syrer gesehen zu haben, die auch in seiner Gegenwart so geschrieben haben. 1) Essai sur la propagation de l’alphabet phénicien 4) Traité de gramm. syriaque, p. 3. dans l’ancien monde, II, р. 50f. 5) $. dessen Orient. und exeg. Bibl. Bd. XVII, р. 127. 2) Bilder und Schriften der Vorzeit, II, Cap. IV. $ 75, 6) Versiones syr. N. T. р. 61. Diese vorzügliche Schrift р. 141f. ist mir jetzt leider unzugänglich und ich entnehme obiges 3) Syriens orient, et occident. in Journ. As., 1872,1, | Citat aus Корр, 1. ©. p. 327f. | | | | | | AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 115 Es ist nicht meine Absicht hier zu entscheiden, wann Syrer, oder dieSyrer überhaupt angefangen und wann sie aufgehört haben vertical zu schreiben; ich will nur nachzuweisen suchen, dass die Nestorianer spätestens seit VIII. und noch im XIV. Jahrhundert so ge- schrieben haben. Bekanntlich ist der syrische Text in dem syrisch-chinesischen Denkmal von Singan-fu aus dem Jahre 781 n. Chr. in verticalen Zeilen abgefasst, ja, sogar der längere Text unter dem chinesischen Texte, der, wegen des breiten Raumes, viel bequemer horizontal geschrieben werden konnte, ist in kurzen verticalen Zeilen eingravirt. Es ist jetzt allgemein angenommen, dass die Uiguren ihre Schrift von den Nestor- ianern etwa im VIII. oder IX. Jahrhundert angenommen haben '). Die Uiguren schreiben bekanntlich ihre Schrift in verticalen Zeilen, die nicht wie das Chinesische von rechts nach links, sondern, wie das Syrische auf dem Denkmal von Singan-fu und — ich anticipire — auf unseren Grabinschriften, von links nach rechts gelesen werden. Die Uiguren 1) Das, was V âämbéry in seinem Buche «Uigurische Sprachmonumente», p. 13ff. über die Einführung der uigurischen Schrift sagt, ist höchst verworren und ohne alle Sachkepntniss geschrieben. Er spricht dabei,p.13,von der Einführung des «syrisch-sabäischen Alphabets bei den Türken» und von dem «durch die nestoriani- schen Bekehrer eingeführten sabäischen Alphabet», woraus das uigurische entstanden sein soll. Was ist das aber für ein Ding, dieses «syrisch-sabäische» Alphabet? Ich glaube, dass kein Semitolog von einem solchen Monstrum je etwas gehört hat. Vämbery scheint von dem Verhältniss der aramäischen Alphabete unter einander keine Ahnung zu haben. Ich hätte das, was Vämbery von dem syrisch-sabäischen und dem von Nestorianern eingeführten sabäischen Alphabet sagt, nicht verstanden, wenn ich nicht gewusst hätte, dass Klaproth, in seiner in Paris 1820 erschienenen Schrift: «Ueber die Sprache und Schrift der Uiguren» die an und für sich ganz richtige Vermuthung aussprach, dass dieselben ihre Schrift von den nestorianischen Priestern zugleich mit dem Christenthum angenommen hätten, wobei er aber die unrichtige Bemerkung hinzu- fügt, dass die uigurische Schrift nicht nur grosse Aehn- lichkeit mit der syrischen habe, sondern sie «stimme auch vollkommen mit den Formen und Sylbenverbindungen des sabäischen Alphabets überein (er meint damit das Alphabet der Mandäer), wie man aus der gegenüberstehenden Tafel (wo ein mandäisches Alpha- bet mitgetheilt ist) ersehen wird». Nun war es bei Klaproth, dessen erwähnte Schrift vor dem Erscheinen des 2. Bandes von Kopp’s bekanntem Buche verüffent- licht wurde, vollkommen verzeihlich, wenn er die syrische und mandäische Schrift nicht streng auseinander zu halten verstand und den Einfluss der letzteren Schriftart auf die Bildung des uigurischen Alphabets für möglich hielt, Unverzeihlich ist es aber, dass Vämbery noch im Jahre 1870 von einem «syrisch-sabäischen Alphabet» spricht, das syrische Nestorianer bei den Uiguren ein- geführt haben sollen. Dass jene Vermuthung Klaproth’s falsch, ja unmöglich ist, hat Lenormant (l. c. II, p. 58) überzeugend nachgewiesen. — Die Behauptung V äm- bery’s(l. с., р. 18 und ib., Anmk.) «dass die heutigen Nestorianer am Urmia-See uigurische Schriften ge- läufig lesen», muss ich auf das Allerentschiedenste bestreiten. Freilich kann derjenige, der weder nestoria- nisch, noch uigurisch zu lesen versteht, diese beiden Schriftarten nicht leicht unterscheiden; aber kein Nesto- rianer kann Uigurisch und kein Mongole ist im Stande Nestorianisch zu lesen. Hrn. Akademiker Radlow be- suchten einmal ein Paar nestorianische Priester aus Urmia, und als er ihnen uigurische Bücher gezeigt hatte, sagten sie ihm russisch: это не no нашему, «dies ist nicht das Unsrige», d, В. es ist für uns etwas Fremd- artiges. Nicht ein einziges Wort konnten sie lesen, ja, nicht einmal den Lautwerth eines einzigen Buchstaben konnten sie erkennen. Dies hatmir Hr. Radlow selbst er- zähltundmich autorisirtesmitzutheilen. Richtig istes, dass ein gelehrter Russe, der ein grosser Kenner des Mongo- lischen ist, und ebenso ein mongolischer Lama, welche einige der hier mitgetheilten Grabinschriften gesehen haben, dieselben für Mongolisch hielten (s. oben, p. 4). Unter den hierher angelangten Grabsteinen aus Semi- rjetschie befand sich auch ein Stein mit einer mongolischen Inschrift; ich stutzte einige Augenblicke, als ich dieselbe sah und wunderte mich Anfangs, dass ich in dieser sehr deutlichen Inschrift kein Wort entziffern konnte, merkte aber gleich, dass dieselbe nicht syrisch sei und dass ich sie daher nicht lesen könne. Nestorianisch kann ich leidlich lesen, aber Uigurisch keine Silbe. 15* 116 D. Cuwouson, Die тм GEBIETE SRMIRJETSCHIE haben also nicht nur ihr Alphabet, sondern auch die Art zu schreiben von den Nestoria- nern angenommen. Ja, Lenormant hat (1. c., р. 56 f.), wie ich glaube, überzeugend nach- gewiesen, dass das uïgurische Alphabet nur nach einer vertical geschriebenen Schrift der Nestorianer gebildet sein könnte. Die älteste der hier mitgetheilten datirten Inschriften stammt, wie oben, p. 8, bemerkt wurde, aus dem Jahre 1249 und die jüngste aus dem Jahre 1345 n. Chr. Es ist gesagt worden, dass man in den allermeisten Fällen aus der Form des Kreuzes leicht erkennen kann, wo der Kopf und wo der Fuss des Grabsteins sei, und da zeigt es sich, dass die datirten Inschriften № 60, 61, 66, 73, 98,1, 15 und 49,4, so wie auch die meisten kurzen un- datirten und sämmtlicheaus Tokmak stammenden Grabinschriften vertical eingravirt sind. In allen Inschriften ferner, in denen es auch horizontale Zeilen giebt, finden sich immer wenigstens ein Paar, zuweilen sogar 5—6 Zeilen rechts und links vom Kreuze, die gleich- falls vertical eingravirt sind. In sehr vielen Fällen sind die Zeilen unter dem Kreuze, die in der Regel die Fortsetzung der Zeilen links von demselben bilden, gleichfalls vertical gesetzt'). Ueberall sind diese verticalen Zeilen von links nach rechts zu lesen, genau so wie im Uigurischen, Mongolischen und Mandsu, Schriftarten, die theils unmittelbar, theils mittelbar aus dem syrischen Alphabete herstammen. Haben vielleicht jene Nestorianer beim Eingraviren der mitgetheilten Inschriften auch die jetzt vertical stehenden Zeilen ursprünglich horizontal geschrieben? Ich halte dies für unmöglich und zwar schliesse ich dies aus folgenden Umständen: in diesem Falle müsste man annehmen, dass sie, gegen den bei allen anderen Christen üblichen Gebrauch und gegen die Natur der Sache, die Kreuze, statt aufrecht stehend „+, auf der Seite liegend =# und auch oft, statt über der Inschrift und aufrechtstehend, an der Seite derselben und liegend abgebildet hätten. Die In- schrift M 61 z. B. hat diese Form. Ne 66. ee) (ey RETTEN re AA et Dat N Nat. So & ваз « > > © te) en И ооо © © © —/ N — — ва зв «& SU © SO 2 > > - D © © D © © > © > @) un M nl ce TD Om TT = 1) So № 65, 75, 75,1 u. 2, 78, 83, 92, 97,1, 3,3 u. 5, 11,3, 19,2, 27,1, 50,19 u. IX. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 117 Ist es denkbar, dass diese und ähnlich eingravirte Inschriften horizontal geschrieben wurden? Ja noch mehr; vorausgesetzt, dass die Steine auf den Gräbern in der richtigen Lage gelegen haben, d. h. mit aufrecht stehenden Kreuzen, muss man auch annehmen, dass es jenen Nestorianern ganz geläufig war, ihre Schrift auch vertical zu lesen. Ich mache noch auf folgenden Umstand aufmerksam, der meines Erachtens entscheidend beweist, dass selbst die horizontal stehenden Zeilen vertical geschrieben wurden. In mehreren Inschriften, in denen die Fortsetzung der verticalen Zeile links vom Kreuze nicht vertical rechts oder vertical unter demselben fortläuft, sondern horizontal unter dem Kreuze steht, sind die Buchstaben verkehrt, d. h. mit den Köpfen nach unten, ein- gravirt, dagegen steht die Fortsetzung der verticalen Zeile rechts vom Kreuze unter dem- selben immer ganz regelrecht. Folgendes Bild soll das Gesagte erläutern. № 40,1, № 49,6 und 50,15. N 41 und 41,1 u. 2. Гефс Ь за. (1 рее а a ts © SE S sr Ss Ss FRS ET сз > > -> > © © <> © TS T TS = ® © D d ts ns $ — ор) а Ce ве’ @е. в.а, (5 № 75,1 sind die Zeilen auf folgende Weise geordnet: рее а Ре а с b a (4 Ее Че а ва 0920 Ge Чар 93 118 D. Cuwouson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE Ich glaube aus dieser Anordnung der Zeilen, besonders aus dem Umstande, dass in der Fortsetzung der verticalen Zeile links die Buchstaben verkehrt und in der der verticalen Zeile rechts vom Kreuze dagegen dieselben regelrecht eingravirt sind, mit Sicherheit folgern zu dürfen, dass man dort überhaupt vertical schrieb und dass man nach Beendigung einer jeden vertical geschriebenen Zeile eine Drehung des Steines um einen rechten Winkel vor- nahm und zwar zuerst in der Richtung des Uhrzeigers, und dann, von der Zeile rechts vom Kreuze ausgehend, in umgekehrter Richtung. Die eigenthümliche Art, wie die Zeilen in der Inschrift № 44 (vgl. oben, р. 74) geordnet sind, scheint mir gleichfalls für diese Annahme zu sprechen. Diese, wie ich glaube, sicher festgestellte Thatsache, dass wenigstens die Nestorianer in Centralasien vom VIII. bis zum XIV. Jahrhundert — also VII Jahrhunderte lang — ihre Schrift in verticalen Columnen in der Richtung von links nach rechts geschrieben und vielleicht auch so gelesen haben, giebt uns die einzig richtige Erklärung dafür, weshalb die Uiguren, welche ihre Schrift von den Syrern entlehnt haben, und ebenso die Mon- golen, Kalmücken und Mandsu, welche ihre Alphabete nach dem Uïgurischen gebildet haben, noch bis auf den heutigen Tag in verticalen Columnen schreiben, die gleichfalls von links nach rechts gelesen werden. Weshalb die Syrer vertical und nicht horizontal schrieben, erkläre ich mir sehr ein- fach. Weder der schräge Schnitt der Federspitze, wie Land!) meint, noch der untere dicke Grundstrich, wie Kopp (l. c.) vermuthet, ist die Ursache davon, sondern einfach weil eigent- lich fast Niemand horizontal schreibt. Wir schreiben von links nach rechts, legen das Papier schräg, einen Winkel von ungefähr 45° bildend, und schreiben somit, wenn auch nicht in einer geraden, wohl aber in einer schrägen Liuie nach oben?). Der Syrer, der von rechts nach links schreibt und das Papier beim Schreiben wohl oft auf den linken Schenkel legte, konnte nicht leicht anders als vertical — oder wie es heisst: ex coelo ad stomachum — schreiben. In Bezug auf den Schriftcharakter unserer Inschriften glaube ich sagen zu können, dass derselbe für die syrische Paläographie vom Interesse sein dürfte. Abbe Martin be- merkt (1. c., р. 325 f.) von dem jacobitischen Schriftcharakter, den er lieber den occiden- talischen nennen möchte, dass man seine Entwicklung aus den zahlreichen, in dieser Schriftart abgefassten Handschriften, Schritt für Schritt verfolgen könne. On n’a pas été, bemerkt er dann weiter, aussi heureux pour le caractère nestorien proprement dit ou oriental. Les Chaldéo-Nestoriens en font encore aujourd’hui. On le trouve dans les manuscrits du XIV-e 1) Anecdota, I, р. 60 f., cf. ib., Taf. A., fig. 1, 4 u. 5 | auch noch mancher andere verehrte College der ältern Ich will hier bemerken, dass die jüdischen Schreiber der | Generation gehören, begnügen sich nicht mit jenem be- Pentateuchrollen noch jetzt mit schräg geschnittenen | scheidenen Winkel von 45°, sondern schreiben noch oben- Federn, wie die bei Land 1, 4 und 5 abgebildeten, schrei- | drein die Zeilen schräg nach oben und bringen es somit ben und zwar horizontal. auf einen Winkel von gegen 70°, 2) Manche Schreibkünstler, zu denen ich und wohl AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 119 et du XV-e siècle tel qu’il est maintenant; mais le défaut de documents a empêché de retrouver les anneaux à l’aide desquels il se relie au caractère commun à toute la famille araméenne, à l’esthranghelo. In diesen Inschriften kann man, wie ich glaube, den Ueber- gang vom Estrangelo zur modernen nestorianischen Schrift ziemlich klar finden, Ich will hier eine kurze Bemerkung vorausschicken und bitte um Entschuldigung, wenn ich mir erlaube eine Meinung in einer Sache auszusprechen, über welche Männer wie Wright, Land und Abbé Martin sich schon geäussert haben. Ich glaube aber dies um so eher thun zu dürfen, da diese meine Meinung zum Theil mit der des zuletzt genannten Ge- lehrten in Uebereinstimmung steht. In unseren syrischen Druckwerken gebrauchen wir vier verschiedene Schriftarten, nämlich: estrangelo, jacobitisch, nestorianisch und palästi- nensisch, die sich auffallend genug von einander unterscheiden. Ist diese Verschiedenheit auch in den älteren Handschriften so gross? Ich glaube, nein. Ist in denselben auch der Schriftcharakter so scharf und so begrenzt ausgedrückt, dass man diesen mit Bestimmtheit als jacobitisch, nestorianisch u. s. w. erkennen kann? Ich glaube wiederum nein sagen zu müssen. In den Handschriften giebt es nicht bloss vier — oder, wenn man noch malki- tisch hinzurechnet — fünf verschiedene Schriftarten, sondern, wenn man die Beischriften, Glossen etc. dazu rechnet, dreissig— vierzig oder noch mehr. Ich denke auch, dass man bei der Beurtheilung des Schrifttypus einer syrischen Handschrift nicht bloss zu fragen hat wer — Nestorianer, Jacobit ete. — sie geschrieben hat, dann wo — im Orient, oder Oc- eident — und wann — 4. В. in welchem Jahrhundert, — sie geschrieben wurde, sondern auch ‚was sie enthält. Der Schriftcharakter z. В. der Neuen Testamente und der Lectionarien ist fast durchwegs ein nur relativ wenig variirendes Estrangelo, gleichviel ob sie von Nestorianern, oder Jacobiten herrühren und ob sie im VI., oder im XIII. Jahrhundert ge- schrieben wurden!). Es liegt vor mir ein in Urmia — also von Nestorianern — im Jahre 1243 n. Chr. geschriebenes Lectionarium, dessen Schriftcharakter fast ganz identisch ist mit dem in Tafel XIV in Wright’s Catalog. Letzterer nennt diese Schrift nestorianisch. Warum? Es ist meines Erachtens ein gutes Estrangelo, ebenso die Schrift ib., Tafel XI und XII, — vielleicht auch XIII —, welche Wright gleichfalls als nestorianisch bezeichnet; ich denke auch, dass der Schrifttypus dieser Tafeln ganz unwesentlich verschieden ist von dem in den Tafeln I—Iil und УП. Die, offenbar vom Schreiber des Codex herrührende Nachschrift zu dem erwähnten Lectionarium vom Jahre 1243 zeigt dagegen schon vielfache Neigung zum neuern Schriftcharakter, hat aber von der neuern nestorianischen Schrift nur die derselben ausschliesslich eigenthümliche Verbindung vom {2 am Ende des Wortes mit dem nach unten gezogenen Dreieck. 1) Dasselbe ist auch mit den in Quadratschrift abge-. | derselbe. Die Verschiedenheit des Schriftcharakters in fassten Bibelhandschriften derFall. Der Unterschied | den anderen jüdischen Handschriften des Mittelalters zwischen alten und neuen, orientalischen, spanischen und | dagegen ist, so weit ich es beurtheilen kann, viel mannig- deutschen Bibelhandschriften ist geringfügig; Variatio- | faltiger als in den bekannten syrischen Mss. nen sind wohl vorhanden, der Grundtypus ist überall 120 D. CHwozson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE Ungefähr dasselbe kann man auch von dem Schriftcharakter unserer Inschriften sa- gen; specifisch nestorianisch ist nur das 12 am Ende. Auch das 2 am Anfange und in der Mitte des Wortes ist mannigfach und oft sehr eigenthümlich geformt, aber dabei durchaus nicht specifiisch nestorianisch und vielfach diesem Buchstaben in anderen Schrifttypen ähn- lich, oder mit ihm geradezu identisch '). Ausser diesem mannigfach geformten 2 wird in unseren Inschriften oft, besonders in den durch Buchstaben ausgedrückten Daten, das Estran- gelo Z gebraucht. Sonst kommen hier Buchstabenformen vor, welche in der Schrifttafel von Euting zu Nöldeke’s syr. Gramm. in verschiedenen Schriftcolumnen verzeichnet sind, die durchaus nicht den nestorianischen Schriftcharakter darstellen. So ist z. B. das | der In- schriften wie in den Columnen 7—10, geformt; weniger ähnlich ist es den fs in 13 und 14. — 5156 gewöhnlich, wie in den Colum. 7 ff. ist wie in Col. 7 № 1 und in Col. 15 (mal- kitisch). — » und 5 bilden kurze, gerade Striche, die zuweilen eine kleine Biegung nach links erhalten, woraus später die specifiisch nestorianische Form dieser Buchstaben sich her- ausgebildet hat. Nur in der Inschrift № 45 hat in der letzten Zeile › fast die Form eines à mit einem Punkte unten und 5 etwa die eines nach rechts umgewandten 5 ohne den oberen Schweif, und einen Punkt oben ?). — Die linke Schleife des ол ist geschlossen und dieser Buch- stab hat ungemein viele variirende Formen, darunter auch solche, die, wie ich glaube, an- derwärts nicht angetroffen werden, aber auch nicht specifiisch nestorianisch sind. — Das o ‚hat oft die Form eines geschlossenen Dreiecks und ist immer — da es mit dem, ein längliches Viereck bildenden nicht verwechselt werden kann — auch mit dem folgenden Buchstaben verbunden; eine Eigenthümlichkeit, die übrigens nichts weniger als specifiisch - nestorianisch ist (vgl. Col. 16—18). — 1 bildet einen kleinen geraden Strich, wie in den Col. 5, 6 und 11— 16. — „ und a bleiben sich überall ziemlich gleich. — Das 2 ist unten drei- eckig wie in den Col. 6 und 9— 19. — Das 2 ist мет den Col. 6—13 und 15, ist aber auch oft dem 5 ähnlich. Die gewöhnliche Form des Kaf finale kommt selten vor, in der Regel hat dieser Buchstab nur ein wenig längere Enden als gewöhnlich. — 5> hat die gewöhn- liche Form, wobei der sonst schräge Strich oft fast vertical gezogen ist. Das S am Ende hat in der Regel in der unteren Linie eine kleine Biegung nach oben. — Das >, dem pa- lästinensischen sehr ähnlich, bildet immer ein längliches Viereck, dessen linke Seite ge- wöhnlich schräg nach rechts gezogen ist — das wesentliche Unterscheidungszeichen vom quadratförmigen «> —; dann ist es auch mit einen sehr kurzen Schweif oben nach links ver- sehen, der auch oft ganz fehlt. — 4 ist fast immer ein gerader kurzer Strich. Nun finale wie gewöhnlich, aber nicht wie in Estrangelo. — » und > sind wie gewöhnlich, nur ist & zuweilen oben gebogen und dem 5 sehr ähnlich. Am Ende ist das £ etwas verlängert wie das Kaf finale. — 1) Vgl. die Formen des Z in den beiliegenden Tafeln | XXI,105, XXIV,ıı7 und Bd. II, Taf. II das Fac-simile aus mit den 2’s in den Tafeln bei Wright, Catal., № ХХУ | dem Cod. 14730. und XX VII und bei Land, Anecd. I, Tafel XIV,71, XV,76 2) Vgl. die Tafel zu meiner früheren Abhandlung und 77, XVIL82 und 83, ХУШ,87 und 89, XIX,92, XX,100, | über diese Grabinschriften, unten rechts. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 121 > wie gewöhnlich, nur ist der Kopf oft stark nach oben gezogen, ungefähr so wie in den Col. 6, 10, 15 und 17. —, grösstentheils wie in den Col. 6, 9, 10, 12, 15 und 16. — > immer ein längliches Viereck wie in den meisten anderen Schriftarten. — =, fast immer wie palästinensisch Col. 5, ist am Anfange mit einem langen Strich nach rechts ver- sehen, wie in den Col. 6, 7, 9, 10 und 13. Dabei bemerke ich, dass diese Form des # auch in der von Sachau mitgetheilten Inschrift aus Edessa vom Jahre 494 mehrfach vorkommt und zwar gleichfalls mit dem langen Striche rechts '). Vom 2 habe ich oben gesprochen. Aus dem Gesagten geht hervor, dass der Schriftcharakter unserer, von Nestorianern herrührenden Inschriften gar nicht wesentlich verschieden ist von den anderen westlichen syr. Schriftarten der syrischen Handschriften, in denen, wenn ich mich so ausdrücken darf, ein verjüngtes, oder, was richtiger wäre, ein abgeschliffenes Estrangelo gebraucht wurde. Einen solchen Charakter hat eigentlich auch die neunestorianische Schrift, welche nur in der Form einiger wenigen Buchstaben vom jüngeren Estrangelo abweicht: Das f ist ver- kürzt, wie auch in anderen Schriftarten, und nur die Buchstaben », 5 und die Ligatur von 12 am Ende des Wortes sind charakteristisch für diese Schrift. Diese Ligatur kommt, wie bemerkt, schon in dem erwähnten Epigraph zum Cod. vom Jahre 1243 und in unseren Grabinschriften vor und ist somit ziemlich alt. Die eigenthümliche Form von» und 5 stammt dagegen wohl erst aus dem XV. Jahrhundert her; denn in den Inschriften kommen, wie ge- sagt, kaum die ersten Spuren dieser Form vor; dagegen ist diese Gestalt des » und 5 in einem mir vorliegenden, aus dem Jahre 1600 n. Chr. stammenden, nestorianischen Lectio- narium, dessen Schriftcharakter sonst, mit Ausnahme des от und %, fast ganz Estrangelo ist, die ausschliesslich gebrauchte. Ich denke daher, dass eine Handschrift, oder eine In- schrift, in der diese Form des › und 5 vorkommt, nicht älter als das XV. Jahrh. sein könne ?). Aus vielen der oben mitgetheilten Inschriften kann man ersehen, dass die Verfasser derselben oft, wenn auch nicht immer, statt des syrischen 5 das arabische I gebrauchen, um damit den weichen K-Laut in nicht-syrischen Wörtern und Eigennamen auszudrücken. Sie scheinen das syr. 2 oft wie ch und das arab. LJ wie kund д ausgesprochen zu haben. Sie schrieben daher 595207, Ко ак, ©5412, Tagaku u. s. w. Die Sprache der Inschriften ist vorzugsweise syrisch; in vielen derselben finden sich einzelne türkische Worte, auch kurze Phrasen in dieser Spache. Einige wenige Inschriften sind halb syrisch, halb türkisch und mehrere sind ganz türkisch abgefasst. Die Entziffe- rung der letztern Art von Inschriften bot, oft wegen der Undeutlichkeit der Schrift, grosse Schwierigkeiten dar, so dass einige von ihnen bis jetzt noch nicht ganz entziffert sind. Die türkischen Bestandtheile dieser Inschriften, darunter auch die türkischen Eigennamen, wird Herr Akademiker W. Radlow am Schlusse dieser Schrift besonders behandeln. 1)8. Z. 4. 4. m. Ges. 36, р. 142 ff., Taf. I,4 und vgl. | Grabinschriften in meiner Abhandlung: Syrische Grab- ib., p. 159 £. inschriften aus Semirjetschie, St. Pétersbourg, 1886, p. 15, 2) Vgl. meine Bemerkung über die von Duval | Anmk. 1. (J. As. VIIL5, 1885, р. 39 ff.) herausgegebenen syrischen Mémoires de 1`Аса4. Imp. d. sc. VII Série. 16 122 D. CHwozson, Die 1м GEBIETE SEMIRJETSCHIE Das Syrische dieser Inschriften ist mehr oder minder grammatisch und oft auch ortho- graphisch uncorrect. Bei den Zahlwörtern ist das Geschlecht selten richtig angegeben; vgl.oben, p. 11. Die einzelnen Zahlwörter sind sehr selten unter einander durch o verbunden. Statt [<> steht grösstentheils is. Die Zahl zwölf wird einmal;n& 2 und ein anderes Mal #55552 geschrieben, welche letztere Form allerdings eine Berechtigung hat, obgleich sie im Syr. nicht üblich ist. Die Zahl 14 wird durch #55 55], 15 ai un, 17 ;mi Vas, 19 l&s2 555 ausgedrückt und in zwei Worten geschrieben. Auf das Sufx. 3. P. m. und f. oı folgt nur in einigen wenigen Fällen das erforderhdhn >. Hier und da erfordert der Sprachgebrauch eine Präposition wie >, S oder Ÿ&, die aber fehlt. Orthographisch falsch ist a4Aa] st. a2Af, [won st. litoois, AS 2 st. Ла, 3 St. 401), ова> st. 1:55, |055. st. CS und {1.1006 st. fitoi. Letztere Form mag übrigens eine Nachbildung des hausen 9» Sein. Ganz eigenthümlich in diesen Inschriften ist der Gebrauch von Pronomina verschie- denen Geschlechts vor dem männl. f:22. Gehört das Grab nämlich einer männlichen Person, so steht 0,25 aı0ı — nur einmal № 3,2 [101 — ; ist aber das Grab einer weiblichen gewidmet, steht grösstentheils das weibliche Pronomen „or ho, oder verkürzt ao1 ›от. und auch wot. Die türkisch sprechenden Verfasser dieser Inschriften, die in ihren Sprachen keine Geschlechtsendungen besitzen, haben offenbar auf diese sonderbare Weise das Geschlecht des, oder der Verstorbenen anzeigen wollen. Das syrische Wörterbuch findet durch diese Inschriften nur um ein einziges Wort eine Bereicherung, aber dasselbe scheint mir sehr interessant und historisch wichtig zu sein. Dieses Wort ist 155.71 Atelija, wofür in vielen Stellen das türkische Е о 4. В. der Drache, als Aequivalent gesetzt wird. In meinem ersten Specimen dieser Grab- inschriften liess ich mich von der Angabe der syrischen Lexicographen in Smith’s Thesaurus, I, col. 423, s. v., welche dieses Wort für griechischen Ursprungs erklärten, irreleiten und übersetzte {a SZ] durch Sonnen- oder Mondfinsterniss. Später machte Harkawi und fast gleichzeitig Dr. Simonsen, Rabbiner in Copenhagen, mich darauf aufmerksam, dass 122) dieselbe Bedeutung haben und auch etymologisch desselben Ursprungs sein dürfte, wie das bei den Rabbinen des Mittelalters oft vorkommende Wort »5N, t&li, welches häufig durch min, der Drache, und durch das arabisch-persische РН ‚ cauda Draconis, erklärt wird. Harkawi hat nachher in einer hebräisch abgefassten Abhandlung’) die Stellen in der rabbinischen Literatur des Mittelalters gesammelt, in denen ’9N in dem angegebenen Sinne gebraucht und erklärt wird. Es kommt für unsere Frage nicht viel darauf an, zu wissen, was die Rabbi- nen ursprünglich unter %A sich gedacht haben. Ich glaube noch jetzt, dass die Erklä- rung des berühmten jüdischen Exegeten, Philosophen und Astronomen des XIV. Jahrhun- derts R. Levi-ben Gerschon, auch Leon de Bagnoles genannt, zu Hiob 26,13 die einzig 1) Vgl. das oben, p. 38 zu 3,4 Gesagte. | Jai” 15, 1887, р. 27 ff. — Von dieser Zeitschrift sind nur 2)In der in St. Petersburg edirten Zeitschrift | 4 Hefte erschienen. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRFTEN. 123 richtige sei, nämlich dass man darunter dieMilchstrasse verstanden, die man sich als einen grossen Drachen dargestellt hat, der das ganze Himmelsgewölbe von einem Ende zum andern — AYPA 55 ПУря j m2 — durchgeht. Die Beschreibung, die man in den älteren Schriften vom %A findet, passt sehr gut auf die Milchstrasse, aber durchaus nicht auf das Sternbild des Drachen, wie relativ spätere Schriftsteller, die beim *n=j2n wohl an das arabische JS dachten, *5n aufgefasst haben. Wie dem aber auch sei, jedenfalls haben sie sich unter ‚on einen Drachen gedacht und brachten 793 &n2 Тез. 27,1 und Hiob 26,13 und ebenso pmabpy wn3 an ersterer Stelle damit in Verbindung. Dass 1.55.2] etymologisch und der Bedeutung nach, d. В. der Drache, mit %5A iden- tisch ist, halte ich für unzweifelhaft. Die Etymologie von ’>n ist dunkel; die Ableitung von non — wie >47 von 797 — halte ich nicht für möglich; denn 757 heisst schöpfen und 97 der Eimer, also das Instrument, womit geschöpft wird; 75N heisst hängen und *%5A kann nicht der Gegenstand heissen, woran etwas gehängt wird, hier angeblich die Zeichen des Thierkreises, wie von Einigen angenommen wird. Da aber das syrische 1552] und das rabbinische ’9N, welches letztere, wie ich glaube, schon im У. Jahrhundert vorkommt), gleichbedeutend und sicher auch etymologisch gleichen Ursprungs sind, so liegt die An- nahme fast auf der Hand, dass beide Worte gemeinschaftlicher Herkunft seien und der babylonischen Astronomie entlehnt sein dürften; denn woher sonst hätten Juden und Syrer gemeinschaftlich dieses Wort, das weder in der syrischen, noch in der rabbi- nischen Sprache eine passende Etymologie hat, entlehnt haben können? Die Art der Datirung in diesen Inschriften ist oben, p. 7, im Allgemeinen angegeben. Hier will ich noch Folgendes dazu bemerken. In mehreren Inschriften ist nur die seleuci- dische Aera angegeben, in einigen dagegen nur die türkische, 4. h. die nach dem zwôülf- jährigen Thiercyclus, und zwar bald nur syrisch, bald nur türkisch und in einigen Fällen in beiden Sprachen. In den Inschriften, in denen beide Aeren angegeben sind, ist die türkische bei Weitem überwiegend syrisch ausgedrückt; die Zahl der Inschriften, in denen diese Aera in beiden Sprachen angegeben ist, ist bedeutend geringer; noch seltener sind die Fälle, wo jene Aera nur türkisch angegeben ist. Der Monat ist nur in vier Inschriften (M 60, 66, 92 und 11,3), der Monatstag nur in zwei (60 und 11,3) und der Wochentag nur in einer (66) angegeben. — Da das seleucid. Jahr mit dem ersten October beginnt, das türkische dagegen erst etwa mit dem 15. Januar des folgenden Jahres anfängt, kommt es öfters vor, dass ein und dasselbe seleucid. Jahr mit zwei türkischen Jahren correspondirt. So kann z. B. das sel. Jahr 1600 dem Mause- und dem Stierjahre entsprechen. In einigen Inschriften (№ 38, 38,1, 45 und 45,1) ist die Correspondenz der beiden Aeren unrichtig angegeben. In einem DA kommt zuerst im Buche "7% vor, welches | sondere Rolle spielen. Es kann keinem Zweifel unter- wahrscheinlich in Babylonien verfasst wurde. In dieser | liegen, dass der Verfasser bei seinen Combinationen die Schrift werden die Buchstaben des hebr. Alphabets zu | Vocalzeichen nicht unberücksichtigt gelassen, wenn verschiedenen mystisch -gnostischen Combinationen ver- | er sie gekannt hätte; vgl. А. Epstein in dessen Schrift wendet, wobei auch die Buchstaben 92792 еше be- | 097777 MINDTPD) р. 40 ff, bes. р. 47. 16* 124 D. Cuwouson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE solchen Falle ist wahrscheinlich das sel. Jahr falsch; denn Herr Radlow sagte mir, dass jeder Osttürke das laufende Jahr des zwölfjährigen Thiercyclus immer genau kennt. Ueber das geistige und kirchliche Leben jener christlichen Osttürken kennen wir fast nur das, was ihre persönlichen Feinde und erbitterten Gegner, die katholischen Missionäre des XIII. Jahrhunderts, über sie berichten. Dieselben stellen sie bekanntlich in einem sehr ungünstigen Lichte dar. Unsere schlichten und scheinbar so inhaltsarmen Grabinschriften, deren Verfasser sicher nicht die Absicht hatten und auch nicht die Absicht haben konnten, sich in ein vortheilhaftes Licht zu stellen, geben uns von jenen türkischen Christen ein anderes, besseres Bild, als das, welches die katholischen Missionäre von ihnen entwerfen. Jene Christen hatten eine vollständige kirchliche Organi- sation, sie hatten gut besuchte Schulen und Lehrer, gute Prediger und Geistliche, die sich durch Gelehrsamkeit und ihren kirchlichen Eifer ausgezeichnet haben. Dann gab es auch unter ihnen Laien, die sich eine grosse Ehre daraus machten, Kirchenvorsteher zu sein und es als eine heilige Pflicht ansahen, für das Gedeihen der Kirche Sorge zu tragen. Wie tiefe Wurzel das Christenthum bei ihnen gefasst hat, ersieht man unter Anderen auch aus den Worten der Inschrift № XXXVII, in der es heisst: «Das Panier — oder richtiger: das Ziel des Lebens ist Jesus, unser Erlöser»; dasselbe erhellt auch aus den from- men Wünschen für das künftige Leben des Verstorbenen, für sein ewiges Gedächtniss, für die Ruhe seiner Seele in Gemeinschaft mit den Frommen und Gerechten, den Heiligen und dahingeschiedenen Vorfahren, Eulogien, die oft auf den Grabinschriften vorkommen. Mancher unter ihnen wurde als «weise» und «gelehrt» bezeichnet. Auch politisch haben sie eine Rolle gespielt. Dass Nestorianer jener Länder als Secretäre und Erzieher an den Höfen der mongolischen Fürsten und Grossen gelebt haben, ist auch anderwärts bekannt, aber aus diesen Inschriften ersehen wir, dass einer unter den auf dem Friedhofe bei Pischpek Ruhenden als «berühmter Emir» bezeichnet wird und dass sogar die Würde eines «Feld- herrn» sich in seiner Familie in zwei Generationen erhalten hat. Diese allgemeine Schil- derung will ich im Einzelnen nachweisen. Die Rangordnung der nestorianischen Geistlichkeit war: 1) der Patriarch, 2) der Metropolit, 3) der Bischof, 4) der Archidiacon'), 5) der Chorepiscopus, auch Pe- riodeuta und Sa’ürä genannt, 6) der Archipresbyter, 7) der Presbyter fesses, Ka- schischä, abgekürzt Les, Kaschä und 8) der Diacon, syrisch f1ees, Mescham- schänä. Der Name eines Bischofs kommt in den Inschriften nicht vor; wahrscheinlich standen die christlichen Bewohner von Semirjetschie unter dem Episcopat von Almalig, welcher Sitz eines nestorianischen Metropoliten war?). Aus den Inschriften ersieht man auch, dass die nestorianische Gemeinde, von der dieselben herrühren, in enger Verbin- dung mit der in Almalig stand; denn in dem Zeitraum von 1287—1300 n. Chr. wurden 1) $. Assem. В. O., III,2, р. 840 und 837, wo ausdrück- | scopus kommt; vgl. auch weiter unten. lich gesagt ist, dass der Archidiacon vor dem Chorepi- 2) Б. oben р. 111 und vgl. zu № 98, р. 31. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 125 sechs Personen, darunter ein Chorepiscopus und eine Frau, aus Almalig auf jenem Fried- hofe bestattet). Erwähnt werden zwei Archidiacone, von denen der eine $0.25 Isch’ü, hiess, dessen Tochter Maifrah-Koschtanz dort begraben wurde (№ 19); der andere hiess hal, Agusak, dessen Sohn dei] si2, Tasch-Arslan, auf jenem Friedhofe seine Ruhe- stätte fand; dann vier Chorepiscopen, ein Periodeuta und acht Personen mit dem Titel ро, Sa’ürä, zusammen fünfzehn höhere Geistliche, von denen zwei in der nestorianischen Hierarchie den vierten und dreizehn den fünften Grad von oben einnahmen. Nach der ausdrücklichen Angabe Ebed-Jesus bezeichnen die drei Benennungen: Chorepiscopus, Periodeuta und Sa’ürä ein und dasselbe kirchliche Amt). Der Träger desselben ist kein Stellvertreter, aber so zu sagen ein von einem höheren Geistlichen, dem Patriarchen, dem Metropoliten, oder dem Bischof Beauftragter, die Gemeinden zu bereisen, überall nach dem Rechten zu sehen und für den Wiederaufbau verfallener Kirchen und Klöster zu sorgen; ferner gehörte es zu seinem Amte, beim Besuche der Dörfer und kleinerer Ortschaften die Aeltesten der Gemeinden um sich zu versammeln, Ermahnungen an sie zu richten, sie an ihre religiösen Pflichten zu erinnern, aus der Heiligen Schrift vorzulesen, die Kinder des Ortes sich vorführen zu lassen, Gebete ihnen vorzulesen und für ihre Unterbringung in den verschiedenen Schulen zu sorgen, zugleich aber auch die Einkünfte seiner Vorgesetzten ein- zutreiben u. s. w. Gewählt zu diesem Amte wurde einer der Geistlichen, der sich durch seine Gottesfurcht, Rechtlichkeit und Unbestechlichkeit hervorgethan hatte. Der syrische Schriftsteller, dem diese Angaben zum Theil entlehnt sind, sagt ausdrücklich, dass der Sa’ürä den fünften Grad von oben in der nestorianischen Hierarchie einnimmt). Nicht alle diese höheren Geistlichen, deren Namen in den Inschriften vorkommen, sind auf jenem Friedhofe begraben worden; denn oft waren sie nur Angehörige von denen, welche auf demselben ihre letzte Ruhestätte gefunden haben. Es dürfte nicht ohne Interesse sein, die Namen dieser Geistlichen aufzuzählen und anzugeben, was da von ihnen gesagt ist. Aus den Namen kann man leicht die Nationalität der Träger derselben erkennen. N 66 (vom Jahre 1255 п. Chr.) der Chorepicopus fwf, Amä, oder {>|, Abä. N № 73 (1262) der Chorepiscopus a>%, Malichä, dessen Sohn, der Priester Givar- gis, in dem angegebenen Jahre starb. № 78 (1267). Der Periodeuta $25 Out ‚> ano ons, Schäh-Melik, der Sohn des Givargis Altus. № 84 (1273). Der Sa’ürä, der Kirchenvisitator ое <=, Pag-Mangku, dem das Epitheton: «der Demüthige, Gläubige» beigelegt wird. № 97,1 (1286). Der Kirchenvisitator ja, Jaldà, dessen Tochter aa ‚010 (04. a2), Tuzun-Mai (od. Bai) dort begraben war. 1) Vgl. oben die Inschriften № 98, 99, 3,3 und 5, 3) 5. Assem. 1. c., Ш, р. 934 und Sachau in der 11,1 und 2, p. 30 f., 37 f. und 40 f. 2. 4. 4. m. Ges. 36, р. 348 f., wo der betreffende syrische 2) 5. Assem. 1. c., Шл, р. 342 und III, р. 837. Text mitgetheilt ist. 126 D. Cuwouson, Dre 1м GEBIETE SEMIRJETSCHIE № 97,4 (1286). Der Kirchenvisitator „0205, Kutuk, dessen Tochter 52as, Nuter (2) dort ihre Ruhestätte gefunden hat. Diesem Kutuk wird das Epitheton «der gesegnete Greis» beigelegt. № 99,3 (1288) ist der Name verwischt. № 3,5 (1292). Der Chorepiscopus Zoch, «x, Jüchanan (Johannes) Siamert aus Almalig (vgl. oben, р. 38 В. N 18 (1307). Der Chorepiscopus Jüchanan, dessen Braut Julia dort begraben wurde. №21 (1310) Der Kirchenvisitator Kyriakos, dessen Tochter s04;2 „055205, Kutluk- Terim in dem angegebenen Jahre starb. № 27,4 (1316). Der Kirchenvisitator „e{2aS, Kutaschek, dessen Sohn, der Priester Sümä, dort begraben wurde. à _ № 34,1 (1323). Der Kirchenvisitator Givargis (Georgius), dessen Sohn {125552 520. , der Lehrer Sümä, dort beerdigt wurde. № XIX (undatirt) der Kirchenvisitator 0505, Kutluk, dessen Frau 2», Scha- lamä dort ein Grabstein gesetzt wurde. Von diesen in den Inschriften erwähnten fünfzehn höheren Geistlichen — 2 Archi- diaconen und 13 Kirchenvisitatoren — hatten acht bestimmt Kinder, einer hatte höchst wahrscheinlich eine Braut, und von einem wird bestimmt gesagt, dass er eine Frau hatte. Die auch sonst sich Andende Angabe, dass selbst die höheren nestorianischen Geistlichen verheirathet waren und dass sie sogar nach Empfang der priesterlichen Weihe noch zum zweiten Mal heirathen durften '), findet hier ihre volle Bestätigung. Viele der eben namhaft gemachten 15 höheren Geistlichen führten entweder selbst echt türkischen Namen, oder sie gaben ihren Kindern solche Namen. Man kann daraus, wie ich glaube, mit Sicherheit folgern, dass sie keine Syrer, sondern echte Türken waren. Man hat somit unter der christlich-türkischen Bevölkerung Leute genug gefunden, welche durch ihre Frömmigkeit und Rechtlichkeit, und sicher auch durch ihr theologisches Wissen, sich hervorgethan haben. Unter den Männern, welche sich durch ihren frommen Eifer für die Kirche ausge- zeichnet haben, findet man einen {Swÿf sf2, Tasch-Arslan, einen si25i, Akpasch, einen „22 Taki: unter den Lehrern, f12$%, einen has, Rues und einen asas, Ju- schmid; unter denen, welche sich den Studien widmeten, {5550551 (vgl. unten), wieder einen Juschmid und einenandern dieses Namens, dessen Sohn +1 doi, Arslan-Meng hiess, dann 505 > do, San-Der-Yok, 1.9.5], Akschak, as Schiramun und A Kutasch. Alle ; jene Personen, die sich durch ihren en Eifer hervorgethan, als Lehrer fungirt, oder sich den religiösen Studien gewidmet haben, waren sicher echte Türken. Nimmt man die Rohheit, Wildheit, Barbarei und Unwissenheit der heidnischen 1) 8. Barhebraens, Hist. Eccles, II,p. 64, 70 u. 80 und Badger, The Nestorians, II, р. 178 f. und 412. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 197 Osttürken in Betracht, so kann man es nicht genug hervorheben, welchen Segen an Ge- sittung, Religiosität und Erkenntniss das Christenthum jenen wilden Völkern gebracht hat. Unter den Personen, deren Grabinschriften hier mitgetheilt wurden, finden sich viele, die doppelte Namen führten, nämlich einen auch sonst bei den syrischen Christen üblichen und auch einen türkischen, z.B. Jüchanan (Johannes) Baschgu, Jüchanan Tabgas, Givargis (Georgius) Altus und dgl. а. Von dem erwähnten Akpasch wird ausdrücklich gesagt, dass er Jüchanan hiess und den Beinamen Akpasch führte (21222). Man ist daher, wie ich glaube, berechtigt daraus zu folgern, dass wenigstens Viele von denen, welche christlich-syrische Namen führten, wie z. B. Ahron, Selibä, Sergis (Sergius) u. dgl. an- dere, gleichfalls Türken von Geburt waren '). Man ist somit, denke ich, vollauf berechtigt von einer christlich-türkischen Bevölkerung zu sprechen, die um jenen Friedhof gelebt hat, _ und unter der auch einige wenige christliche Syrer sich befunden haben mögen. Die Masse der christlichen Bevölkerung war sicher türkisch. Sehen wir daher weiter, was wir aus diesen Inschriften über den religiösen und moralischen Zustand dieser ursprünglich wilden und barbarischen türkischen Bevölkerung erfahren. Mehrere Personen werden genannt, von denen es heisst, dass sie öffentliche Lehrer, jieSs, waren?). Es hat also dort auch öffentliche Schulen gegeben, die wohl, wie das bei den Nestorianern üblich war, Kirchenschulen waren und sich oft in den Klöstern befan- den”). Klöster scheint es dort mehrere gegeben zu haben, da es, wie wir gleich sehen werden, von zwei Geistlichen heisst (N 27 u. 39, oben p. 55 Е. u. 69), dass sie «alle Klöster durch ihr Licht erleuchtet haben». Auf der catalonischen Karte vom J. 1375 ist südlich vom Issyk-Kul verzeichnet: «ein armenisches Kloster des St. Mtthaei»; es wird wohl ein nestorianisches Kloster gewesen sein, da es unwahrscheinlich ist, dass Armenier in dieser Gegend ein Kloster gehabt haben sollten. Was in diesen Schulen gelehrt wurde, kann man sich leicht denken. Gewiss war die syrische Sprache, die Sprache der Heiligen Schrift und des ganzen Gottesdienstes, der Hauptgegenstand des Unterrichts. Zu grossen Kenntnissen jener Sprache und Literatur werden sie es wohl schwerlich gebracht haben, was aus dem uncorrecten Stil der Grabin- schriften leicht zu ersehen ist. Von einem uigurischen Mönche aus dem Stamme der Chata (1:11), der zuerst unter dem Namen Jahb-Allahä zum Metropoliten von China und dann, auf Wunsch des Mongolenfürsten, der einen Stamm- und Sprachverwandten an der 1) Auf dem oben besprochenen Denkmal von Singan- | syr. und chinesische Namen. Auch die Juden im Mittel- fu sind die syrischen Namen syrisch und die chinesi- | alter und in neuerer Zeit führten und führen noch jetzt schen chinesich angegeben, und Heller hat (l. c. p. 42) | doppelte Namen, einen hebräischen und einen sogenann- nachgewiesen, dass der syrische Name und auch der | ten profanen Namen, der manchemal eine Uebersetzung chinesische immer von einer und derselben Person ge- | des hebr. ist, aber auch sehr häufig in gar keinem führt wurden. Personen, deren Namen auf jenem Denk- | Zusammenhange mit diesem steht. mal aufgeführt wurden, führten somit meistens — es 2) № 97,2, 16, 34,1 und XXXII. kommen dort 70 syr. und 62 chinesische Namen vor — 3) Assem. 1. c. Ш, р. 934 £. 128 D. Cawozson, Dre 1m GEBIETE SEMIRJETSCHIE Spitze der Christen sehen wollte, im Jahre 1281 n. Chr. zum Patriarchen gewählt wurde, sagt Barhebraeus'), dass er sich durch seine grossen Tugenden ausgezeichnet hätte, aber in der Kenntniss der syrischen Sprache und Literatur schwach war. Die Kenntniss jener osttürkischen Christen wird wohl ‚nur soweit gereicht haben, dass sie ihre syrische Bibel und ihre syrisch abgefassten liturgischen Bücher lesen und verstehen konnten, schwerlich mehr als dies. Verschiedene Personen werden in den Grabinschriften als «Kirchenvorsteher», einer als «ruhmreicher Kirchenvorsteher» bezeichnet. Von einigen wird gesagt, dass sie «eifrig bemüht waren für das Wohl der Kirche». Von einigen Geistlichen heisst es, dass sie «berühmte Exegeten und Prediger und gepriesen an Weisheit waren, dass sie alle Klöster durch ihr Licht erleuchtet hätten». Von einem dieser Geistlichen wird noch hinzugefügt, dass «seine Stimme (beim Predigen) erhoben war, wie eine Trompete»). Diese Grabinschriften zeigen auch, dass das Volk solche Männer zu schätzen und zu ehren verstand. Mit Hoffnung auf das künftige Leben und mit frommen Wünschen für die ewige Ruhe der Verstorbenen wurden diese in’sGrab gesenkt. Der Hauptinhalt der Eulogien ist folgen- der: «Friede mit seinem Geiste! «Der Herr möge seinenGeist», oder auch: «seinen erleuchteten Geist, vereinigen mit den Frommen, Gerechten, Heiligen, mit seinen Vorfahren in Ewigkeit». Ferner: «er möge theilhaftig werden alles Glanzes» des künftigen Lebens. Wahrscheinlich auch: «er möge seinen Lohn im Himmel finden». Dann: «Durch unsere Gebete möge sein Gedächtniss bleiben»; man hatte also offenbar Todtenmessen gelesen. Man sagte auch kurz: «ein Gedächtniss (des, oder der Verstorbe- nen) möge seim»°). Diese Formel drückt man oft durch das türkische 6-05 == Coouss CL aus‘). In einer türkisch abgefassten Grabinschrift (№ VII) kommt die Phrase vor PANCETTS Loi ul Le], d. В. «die Seele (der Verstorbenen) ist gesundet»; ein vielsagender Spruch, womit man wohl sagen wollte, dass die wahre Heilung der Seele erst nach dem Tode eintrete. Vierzehn Personen werden in diesen Inschriften erwähnt, denen der Titel [a Saawf, Ascülajà, beigelegt wird. Ich habe dieses Wort, vielleicht nicht ganz passend, durch Scholasticus übersetzt; aber ich kenne kein recht zutreffendes deutsches Wort, welches laSonwf in diesen Grabinschriften genau wiedergiebt. Dieses Wort bedeutet gewöhn- ‚lich der Schüler, der Student; hier kann es aber nicht diese Bedeutung haben, da hier von faSonwf die Rede ist, die offenbar schon erwachsene Kinder hatten; ein solcher hatte einen Sohn, der Presbyter war”). 1550.25] heisst aber auch scholae magister, dann scholasticus; Assemani erklärt es unter Anderen durch qui literis otium impendet. Ich . glaube, dass auch hier damit solche Personen gemeint sind, die weder Lehrer, noch Schüler 1) L. c. Ш, 451 Е; vgl. Assem. 1. с. II, р. 456. 3) Vgl. № 66, 75,2, 83, 8, 27, 39, 50, 24. 2) Vgl. oben № 1600,1, 11,2, 12,3, 27, 34, 38, 39 und 4) Vgl. 11,3, 19,1, 28 und 34,2. 50,24. 5) Vgl. 8, 11,3 und 19,2. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN, 129 waren, sondern, zu ihrer eigenen Belehrung oder zu ihrem Seelenheil, dem Studium religiöser Schriften oblagen. Solche Individuen findet man in den Medressen der Muhammedaner, in den D%%7 ’na der Juden — in slavischen Ländern ой Schkolniki genannt — und solche gab es auch in den nestorianischen Klöstern. Wegen der Vieldeutigkeit jenes Wortes fand ich für gut, dasselbe durch das gleichfalls mehrdeutige Scholasticus wieder zu geben. Von gewöhnlichen Priestern ist in diesen Inschriften oft die Rede; wenn ich richtig gezählt habe, kommen in denselben 37 Personen vor, welche die Priesterweihe erhalten haben. Auf frommen christlichen Sinn zeigt der Umstand, dass man jedem und jeder Ver- storbenen des Epitheton der oder die Gläubige hinzufügte; auf elterliche Zärtlichkeit, dass man oft auf die Grabsteine von Jünglingen und jungen Mädchen die Worte «ein lieb- licher Jüngling», oder «ein liebliches Mädchen» setzte. Dass Mancher unter den christlichen Bewohnern jenes Ortes, aus dem unsere Grab- inschriften herstammen, hohe Ehren und Würden erlangt und es zu einer sehr einfluss- reicher Stellung gebracht hat, ersieht man aus der Inschrift M 83 (v. J. 1272). Diese Grabinschrift ist nämlich gewidmet«dem gesegnetenGreis, dem Feldherrn und berühmten Emir, dem Priester Sümà, dem Sohne des Feldherrn Givargis» (Georgius). Vater und Sohn com- mandirten also mongolisch-tatarische Truppen und der letztere scheint besonders eine hohe politische Stellung eingenommen zu haben. Mir ist nur ein Fall bekannt, wo ein nestorianischer Christ türkischer Herkunft eine hervorragende politische und militärische Stellung eingenommen hat. Klaproth theilt nämlich nach einem armenischen Historiker die Nachricht mit, dass der Chef der mongolischen Gouverneure in Syrien und Palästina gegen 1260, — der auch offenbar Oberbefehlshaber der Truppen daselbst war — Namens Choi-Puga (oder Pula) ein Christ маг"). Damals herrschte in Vorderasien Hulagu, dessen Mutter Dukaz-Chatun, eine Prinzessin aus dem christlichen Königshause der Kerait, eine sehr fromme und eifrige Christin war und auf ihren Sohn einen grossen Ein- fluss ausgeübt hat. Es kann uns daher nicht wundern, dass Christen damals zu hohen Ehren und Würden gelangen konnten. Unser Priester und Feldherr Sümä, der als Greis 1272 starb, war ein Zeitgenosse dieser einflussreichen christlichen Fürstin, die überall als Beschützerin der Christen auftrat ?). In drei Grabinschriften aus den Jahren 1649 und 1650 = 1338 und 1339 п. Chr. kommt eine Bemerkung vor, die von allgemeinem Interesse sein dürfte. Es fiel mir Anfangs auf, dass die Grabinschriften aus den beiden angegebenen Jahren viel zahlreicher sind als die der anderen Jahre; denn aus dem erstern Jahre stammen 13 und aus dem letztern sogar 25 Inschriften, während sonst das Maximum der Inschriften eines Jahres die Zahl 6 nicht übersteigt. Ich dachte Anfangs man hätte zufällig so viele aus diesen Jahren herstammende Inschriften gefunden. Da fand ich aber in den Inschriften 49 und 49,11 die Bemerkung 20525 Auto und [ale Ait 4. В. «er starb an der Pest»; № 50,16 heisst es von dem 1) S. Nouv. Journ. Asiat. XII, p. 294. ı | 2) Vgl. ib. p. 292 und 297. Mémoires de l'Acad. Гир. d. sc. VII Série. 17 130 D. Снмогвом, Die тм GEBIETE SEMIRJETSOHIE Verstorbenen Kutluk: 1.555 ae с Аа] >> {ale At, d. h. «er starb zusammen mit seiner Frau Mengku Kelka an der Pest». Man sieht daraus, dass im Gebiete von Semirjetschie während der Jahre 1338— 39 die Pest gewüthet hat, in Folge dessen so viele Grabinschriften aus jenen beiden Jahren herrühren mögen. Steht diese Pest mit der, unter dem Namen «der schwarze Tod», während der Jahre 1347—50, in Westasien und in Europa wüthenden Pest in Verbindung? Es ist kaum zweifelhaft, dass dies wirklich der Fall ist; denn vom «schwarzen Tod» wird berichtet, dass diese Pest in China ausgebrochen sei und sich allmählich nach dem Westen ausgebreitet hätte. Von Syrien und der Levante, wo sie gegen 1346 ausgebrochen ist, kam sie, wegen der engen Verbindung dieser Länder zu Lande und zur See mit dem Westen, nach kurzer Zeit nach Europa’). Dagegen brauchte jener un- holde Gast um den Weg von Semirjetschie an der chinesischen Grenze bis nach Syrien zu- rückzulegen, wo die Verbindungen gering waren und nur zu Lande stattfinden konnten, volle 7— 8 Jahre. Für die medicinische Wissenschaft dürfte dieses Factum nicht ohne Interesse sein. Auch in der Grabinschrift M 44 findet sich eine historische Notiz, die ich aber leider nicht mit Sicherheit zu deuten verstehe. Diese Grabinschrift ist nämlich gewidmet dem Scholasticus San-Da-Jok, dem Knaben Pazak-Tekin und dem jungen Mädchen Mariam (Marie); nach Aufzählung der Namen der Verstorbenen kommt folgende Phrase vor, die ich oben übersetzt habe, aber ohne weitere Erklärung liess: „of LS 55300042 9-4 551 es. Diesen Satz transcribirt Hr. Acad. W. Radlow: sl GE > jpeg nf |, 5 und über- setzt: «diese drei sind im Muhammedanismus gestorben». Wie ist dies zu verstehen? Soll damit gesagt sein, dass sie zum Islam übergegangen und als Muhammedaner gestorben seien? Waren aber die Muhammedaner des Landes so tolerant, dass sie es gestatteten, ihre Glaubensgenossen auf einem christlichen Friedhof zu bestatten und noch obendrein ihren Grabstein mit einem Kreuze zu versehen ? Waren denn jene Christen so tolerant, Apostaten eine Ruhestätte auf ihrem Friedhofe zu gönnen und einen, mit einem Kreuze geschmück- ten Grabstein auf ihr Grab zu legen? War jener, doch sicher theologisch gebildete, Schola- sticus San-Da-Jok gezwungen worden, zusammen mit den beiden Kindern, die viel- leicht seine Kinder waren, den Jsläm anzunehmen, wobei seine früheren Glaubensgenossen ihn, ungeachtet seiner Apostasie, in Berücksichtigung des Zwanges, noch immer als einen der Ihrigen angesehen haben? Viele der gebildeteren und toleranten Rabbinen des XVI. Jahr- hunderts haben die Marranen, — 4. В. dieJuden, welche durch Zwang zum Christenthum über- gegangen sind, aber in ihrem Herzen Juden blieben und im Geheimen, so weit es ihnen mög- lich war, die jüdischen religiösen Gebräuche beobachtet haben, — als Juden angesehen. Viel- leicht haben jene Christen die Apostasie durch Zwang von einem ähnlichen Gesichtspunkte betrachtet. 1) Vgl. über diese Pest H. Haeser, Lehrbuch der Geschichte der Medicin und der epidemischen Krank- heiten, III, p. 112 ff. der 3. Ausg. Jena, 1882. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 131 Von den Grabinschriften der Gemeinde bei Tokmak sind mir nur wenige, № XXVII— XXX VII, bekannt und diese sind alle sehr kurz und undatirt. Der Schriftcharakter ist hier und da ein wenig verschieden von dem der Inschriften des Friedhofes bei Pischpek. Ein öffentlicher Lehrer, 11255, Namens Usch’anä und wahrscheinlich auch ein Scholasticus, Namens Кабак, kommen in diesen Inschriften (№ XXXII und XXXV) vor. Auch in dieser Gemeinde scheint es an einem geistigen Leben nicht gefehlt zu haben. Eigenthümlich diesen Inschriften ist die Phrase [Ass A9, «Haus der Ruhe» (№ XX VIT) statt des sonst immer gebrauchten |;2> ascı, «Dieses ist das Grab». Ich glaube nicht fehl zu gehen, wenn ich annehme, dass das oben entworfene Bild von dem geistigen und kirchlichen Leben der türkisch-christlichen Gemeinde in der Nähe von Pischpek auch für die anderen türkisch-christlichen Gemeinden jener Gegenden, von denen sich nichts erhalten hat, seine Geltung haben dürfte. In den Gemeinden aber, wo ein Metro- polit oder ein Bischof lebte, mag das kirchliche Leben noch entwickelter gewesen sein als es dort der Fall war. Einen höheren Grad von Bildung werden wohl die Christen in China gehabt, da sie in einem Lande mit einer alten Cultur und einer reichen Literatur gelebt haben, von der sie offenbar, wie aus dem Denkmal von Singan-fu zu ersehen ist, beeinflusst wurden. Der Kampf, den sie da gegen den um sich greifenden Buddhismus zu führen hatten, mag auch ihr geistig-kirchliches Leben gehoben und gefördert haben. Dass man bis jetzt auf dem Friedhofe bei Pischpek keine Grabinschriften aus der Zeit vor 1249 n. Chr. gefunden hat, mag Zufall sein und man wird noch vielleicht viele ältere Grabinschriften finden, wenn man die dort noch befindlichen Grabsteine wird näher untersucht haben. Dagegen ist es vielleicht kein Zufall, dass man bis jetzt keine Grab- inschriften entdeckt hat, die jünger als 1345 sind; denn ich glaube, dass das Christenthum in West- und Ost-Turkestan, so wie auch im Norden von China gegen das Ende des XIV. Jahrhunderts zu existiren aufgehört hat. Oben (p. 106 ff.) ist vielfach auf die von Assemani mitgetheilten Nachrichten über Ernennungen von Metropoliten und Bischöfen für die eben- genannten Länder hingewiesen worden. Oben (p. 111f.) ist ferner von der, ungefähr aus dem Jahre 1340 herstammenden Liste der nestorianischen Metropoliten die Rede gewesen, in der gleichfalls die Metropolitansitze in diesen Ländern erwähnt werden. Für die Zeit von 1340 bis gegen 1550 finden sich wohl noch einige Nachrichten über Ernennungen von Bischöfen gemeinschaftlich für Indien, China und Matschin, eo À 1), meistens aber nur für Indien und Matschin; da es aber, wie Assemani behauptet, bei den Nestorianern keine Titularbischöfe, d. h. keine Bischöfe in partibus infidelium, gab, so folgert derselbe, dass es noch im XVI. Jahrhundert Christen in China gab. Assemani theilt aber selbst (1. c., ПТ, 2, p. 535 f.) Nachrichten von Europäern mit, welche dem zu widersprechen scheinen. Ich denke daher, dass jene gemeinschaftlich für Indien und Matschin ernannten Bischöfe allerdings keine Titularbischöfe waren, dass aber ihre Hauptbestimmung doch Indien war, wo es noch im. 1) Unter Matschin versteht man Südchina. 17* 132 D. Cuwouson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE XVI. Jahrhundert zahlreiche nastorianische Gemeinden gab'}. Wie dem aber auch sei, jedenfalls weiss Assemani nichts zu berichten über Ernennung von Bischöfen für Chorassan, West- und Ostturkestan und Nordchina für die Zeit nach 1340 n. Chr. Ich glaube daher mit ziemlicher Sicherheit annehmen zu können, dass das Christenthum dort in der letzten Hälfte des XIV. Jahrhunderts allmählig verschwunden ist. Die Ursachen davon kann man wohl in folgenden Umständen suchen: 1) die Bekehrung der tatarisch-mongolischen Fürsten zum Isläm; 2) die Intoleranz der Muhammedaner, wovon die oben (p. 130) besprochene Be- merkung aus der Grabinschrift M 44 ein Echo sein mag; 3) die geringe Widerstandskraft der christlich-türkischen Bevölkerung gegen den starken Anprall des Muhammedanismus. Oben (р. 107) ist von einem Schreiben des Patriarchen Isch’ü-Jahb (650—660} an den Metropoliten Schim’ün von Ravardschir in Persien die Rede gewesen, worin dieser Patriarch sich bitter über die Christen in Merw und anderen Orten in Chorassan beklagt, dass sie bei der Eroberung dieser Provinz durch die Araber so wenig religiöse Festigkeit und Standhaftigkeit gezeigt, obgleich dieselben sonst Toleranz gegen Christen und Christenthum geübt hätten?). Diese Ursachen und vielleicht auch die in jenen Ländern während der Jahre 1338— 39 wüthende Pest mögen dem Christenthum dort für viele Jahr- hunderte den Todesstoss versetzt haben. Alles Gute, welches das Chrisentthum dort über sieben Jahrhunderte lang unter jenen wilden, barbarischen Völkern gestiftet hat, war wie mit einem Schwamme weggewischt und auf lange Zeit spurlos verschwunden. Nur die wenigen Grab- steine aus Semirjetschie legen uns ein beredtes Zeugniss ab von dem reichen christlichen Leben, welches in einem kleinen Winkel jener weit ausgedehnten, von zahlreichen Christen bewohnten Länder, geherrscht hat. Zum Schlusse soll hier noch Einiges über die in diesen Inschriften vorkommenden Eigennamen gesagt werden. Diese zerfallen in drei Classen: 1) Solche, wie sie auch sonst von syrischen Christen in Westasien geführt wurden, d. В. biblische, rein syrische und dann auch solche, welche aus dem elassischen Alterthum herstammen. 2) Reine türkische Namen, wie man sie auch sonst bei bekannten Türken-Völkern antrifft. 3) Zusammengesetzte Namen, bestehend aus einem Namen der ersten und einem der zweiten Classe, wie z. В. Jüchanan Basgu und mehrere andere dergleichen. Die Eigennamen der ersten Classe sind, 1) männliche: al, Ahron, № 30, biblisch. iso], Uschanä, № XX und XXXII, syristh, N, Ilja (Elias), biblisch, kommt sechs Mal vor. 15. Assem. ПГ, р. 590 ff. | .2)8. ib. Ill, р. 127 ff, 1 | | AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 133 Soma, Alexandros, № XXII, kommt, so viel mir bekannt ist, bei Syrern sehr selten vor. ; fol, Ama, № 66, wohl syrisch, wenigstens aramäisch; ff, Ema oder Emma kommt im Syrischen als Frauenname vor; vgl. Paine Smith, Thes., col. 222, s. v. las ;>, Bar-Schabä, № XXI, ist syrisch, kommt aber, glaube ich, sonst in der syri- schen Literatur nicht vor. Der Маше {ıas ;>, Barsebia ist von dem Namen 1.59 ;> auch etymologisch ganz verschieden. rt und te Givargis (Georgios) kommt elf Mal vor und ist bei Syrern schr verbreitet. ben, Denchä, № 75,2 und № 3, ist syrisch und kommt sehr häufig vor. _ орзот und 0,1201, Hindu, № 50,9 und II, wohl syrisch, obgleich mir dieser Name als solcher nicht bekannt ist. <->, Jüchanan (Johannes), bekannt, kommt in den Inschriften gegen zwanzig Mal vor. | I, Jaldä, № 97,1, ist syrisch und kommt, wenn auch selten, vor; vgl. P. Smith, Pre 201. 1595, sv. Dans, J’aküb, № 97,1, biblisch nach syrischer Orthographie. - &oæs, Isch’ü (— Jesus), № 16,1, 19 und 38,2, biblisch nach syrischer Aussprache. was, Ischüs, № 50,10, derselbe Name, aber theilweise nach griechischer Aussprache. Die Form san. kommt in der syrischen Literatur vor. „4.80, Koschti, № 75,2, ist wohl nur eine Abkürzung und Corruption von Constantin. Die Russen kürzen diesen Namen auf dieselbe Weise ab. 05055, № 99,2. Die Lesung und Aussprache dieses Namens ist zweifelhaft; wahr- scheinlich ist es eine Corruption von Nicolai; vgl. oben p. 33. bad, Melichä, № 73, ist syrisch, aber mir alssyrischer Eigennamen sonst unbekannt. 1555, Malkä, № 3,2, ist gleichfalls syrisch, aber mir als Eigennamen sonst unbekannt. Im A. Test. kommt der Name 35% und im Talmud ’359 vor. Jens, Mas-chüt, № 1600, ist etymologisch aramäisch, aber als Eigennamen mir sonst unbekannt. wusoh.mı, Nestoris (Nestorius), № 49 und XX VIII. [$0-®>|;5%, Sabbar-[Isch’ü], № ХХ, syrisch, sehr häufig. 52, Sergis (Sergius); dieser Name kommt acht Mal vor. Syrer führen oft diesen Namen. $025.25, ’Ebed-Isch’ü № 74, syrisch, gleichfalls sehr häufig. is, ’Azarjä, № 50,6, biblisch. we$Sos, Pulus (Paulus), № XVII, biblisch. 134 D. Cawozson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE wo, Petros, № 27 und 40,12, biblisch. le, Pes-chà, № 39, syrisch, entspricht dem, bei den Juden des Mittelalters und noch jetzt von ihnen gebrauchten Namen МОБ und den christlichen Namen Pascasus, Pascasius, Pascasia, Pasqualina und dem modernen Pascal). 2, N XVIII, wie dieser Name ausgesprochen wird und ob er syrisch ist, kann ich nicht angeben. Die Wurzel > kommt im Syrischen vor. fo, , Sümä?), kommt sieben Mal vor und ist bei Syrern sehr gewöhnlich. base, Semchä, № 75,2, syrisch und kommt, wenn auch nicht allzu oft, vor. ia, Selivä statt in. Selibä, № 38 (s. oben, р. 66), ist ein sehr häufig vor- kommender syrischer Name. 20.2502, Kurikus (Kyriakos), № 14 (?) und 21, kommt, wie es mir scheint, bei Syrern selten vor. >», Scheliä, № 60. Die Lesung dieses Namens ist unsicher. Derselbe kann sy- risch sein. las, Schelichä, № 27 und 50,24, syrisch, kommt aber bei Syrern, wie ich glaube, selten vor. Weibliche Eigennamen: $2,5, Elischb’ä, № 49,8 und &2eK, Elschb’ä, № VII, biblisch, hebräisch узи. 1As22, Tabithä, № 99 und 48, aramäisch und biblisch. Apostelgesch. 9,36, wird dieser Name als gleichbedeutend mit Aopxac erklärt, also gleich hebräisch 3% und arabisch ib. ' | 120552, Taibütä, № 28,2, aramäisch. | fach, Julia, № 18. 1 14.0, Julitta, № 50,11, kommt im Westen als Name einiger Heiligen vor. iso’, Kuschtanz, kommt neun Mal vor und ist sicher nur eine Corruption von Constantia. ok, Maifrah, № 16, 19,2, 27,1, 50,7 (hier 22%) und XVI. Dieser Name ist sicher nicht türkisch, aber auch schwerlich syrisch, oder aramäisch. Nach der Endung auf ст (= 5) möchte man glauben, dass er arabischen Ursprungs sei; aber ein solcher arabischer Frauenname, für den man auch im Arabischen schwerlich eine passende Etymologie finden könnte, kommt, meines Wissens, unter den Arabern nicht vor. | 1) Vgl. Clermont-Gameau (in Rev. arch. 1883), wo | № 210,3. № 7 eine alte hebr. Inschrift mitgetheilt ist, welche lautet 2) Ich transeribirte diesen Namen, nach dem Vor- ПУЭ AI NN, Marthä die Tochter des Pas-chai. | gange Assemanis, Sümä, die richtigere Aussprache ist In meiner russischen Ausgabe des Cor. Inscr. Hebr. ist | aber Saumà. ` diese ‚Inschrift besprochen col. 509 f. und abgebildet AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 135 Sa, Mariam (Marie), kommt sechs Mal vor. |222, Marthä, № 5, 10, 50,3 und I, ist biblisch-aramäisch. ‚Sebis, № 53,4, ob dieser Name syrisch ist, weiss ich nicht. Einen Stamm „as giebt es im Syrischen nicht, wohl aber nam und hebräisch YıW. la20;2>, Febronia, № 50,8. ны, Selibä, kommt als Frauenname vor № 49, VI und XI. Ап ersterer Stelle steht vor о:5> das weibliche Ргоп. 01, an der 2. ao foi und an der 3. gleichfalls от for und nach dem Namen folgt 14552, statt 14-55; vgl. oben р. 13 und 38 zu № 3,4. 112552, Kejamtä, № 98,1, 50,2 und 23, ist syrisch. {==}, Ва «а = 792), biblisch nach der syrischen Vocalisation und Aussprache dieses Namens. ets, Schirin, № 49,2, ein bekannter persischer Frauenname. as, Schelämä, № 49,6 und XIX, aramäisch, entspricht dem Sinne nach dem hebräischen nt. Die türkischen Eigennamen theile ich hier die männlichen und weiblichen, die ein- fachen und zusammengesetzten in der Reihenfolge des syrischen Alphabets untereinander mit. Da Herr Akademiker W. Radlow die meisten dieser Eigennamen in der folgenden Beilage I. sprachlich behandeln wird und mir auch die Aussprache dieser Namen nicht überall genügend bekannt ist, beschränke ich mich darauf, diese Namen mit arabischen Buchstaben zu transcribiren — dabei = gundS=3,-—, damit auch die Philologen, denen die syrische Schrift nicht geläufig ist, dieses Verzeichniss benutzen können. Diese Namen sind folgende: р hal) Gloss), шазс., № 34. 05120555], S1L,),], masc., № 28,1. = 3) of, ab Ele,l, masc., № 53,5. oc, és) fem., № 50. pins lan] (2), ee masc., M 27,2, vgl. oben p. 57 £. 5 sul, (3 СЫ, masc., № 28. =, rot), fem., № 99,1. he (ui, li, Je], fem., № 17,2. m. Sol, masc., № 81. 27,2 und XX V. „dal, ea), masc., № VII. -31=.21, LS, шазе., № 38, Beiname eines Jüchanan. 405 5, „5 У], fem., № 31,1; vgl. unten Beilage II, Zusätze und Berichtigungen zu р. 64, № 35. JA, ERAIR fem. № 11. ais, woyhll, mase., № 75; Beiname eines Giwargis (Georgius). Ma œuf, Le us), fem., № УИ. Ste], 34.5], шазс., № 53. al, U), masc., № 9 und 44,3. ha Я, BL Cul, mase., № 11,4. ur il, & ul, masc., № 8; vgl. JS 02, 136 D. Cuwouson, Die IM GEBIETE SEMIRJETSCHIE (Le) сына Os, zes sb, masc., № Ш. 420205, ee (?), masc., № 27,3. ya, EL, fem., № 15. Sos: 3. > (), masc., № 52; vgl. oben p. 92 und unten Sos, ah г ALLO, pas, masc., № 99,1. Beiname eines Jüchanan. 2 45 о, bJ,>, № 49,9. O1 toi ‚a, Li] le, fem., № 50,1. > ais, L y» (2), шазе., № 27,3. À sht2h сев LL, masc., № 3,1. Beiname eines Jüchanan. ll, in Gl, fem., № 49,1. ds sk, ul 3], mase., № 34. SER el masc., № 12,3. Isle}, EL, fem., № 42,1. salz. ab masc., № 47,1. ya sk, & САЩ, шазе., № У. 2, Gb, шазс., № 44,7. ее, usb, masc., № 50,9; vgl. «A+, ut und rd No, usb Je: 22(?) OO, La вор fem., № 97,1; vgl. oben p. 28, wo gesagt ist, dass die Lesung a: unsicher sei. Sora? 102, в, fem., № 80,1. lo —, с —, fem., № 42. u mob —, fem., M 47,5 u. 50,18. heat, li, masc., № 11,4; vgl. Os]. 530.2, Sub, fem., № 3,4. SAS jai, (le po b, Geschlecht unbe- stimmt, № 17,1. a, NL masc., № 44, zusammengesetzt mit Ste, SIL, und № XXXVIL. Saar, ab fem., № 38,1. 00 So, sl, masc., № 52; vgl. Sos, ER er Nas, sb Ч», fem., № 40. 505-207 —, 8.5 —, mase., №ХХХУШ. 22905 und ->52905, Ic UNd Jp, MASC., N 75,1; 8; 11,3 (2); 16; 49,10; 50,9 u. 13 u. X: 5 212 (se), су, fem. № 65. Solo, JL masc., № 53,3. sos, LS, шазе. № XL. 50205, 555, masc., № 97,4. {2-2 yazaz, сб 355, fem. № 12. 55531 50-205, pot pbs fem. № 48,1. 50-205, SLILS fem., № 80; шазе. № 24; 50,5 und XIX. Geschlecht unbestimmt № XXIX. si] ego, Du SLIL,S, mase., № 75 und 36. je] 505205, Lil LIL, fem., № 19,1. 2255 „05-05, r „lb ERIK fem., № 50,15. sur, 505105, pb SL, fem., № 21. | | AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (GRABINSCHRIFTEN. 137 203, à eb LSf, шазе., № 34,2. > 91205, DURS masc., № 27,4. 22/09, EURE masc., № 27,1. soÿon, (ve, fem., № XXIV. 05205, 5, fem, № 99,4. le as, ess, fem., № 99,4. nr = masc., № 34,3. 19] 0, Lil LS ken, № 27,2 und 38,5. ass, ne. fem., № 31. laSss. iS. lıan.> Er +=, masc., № 38,2; vgl. oben p. 68. = Лой, LI, Я, masc., № XIV. > fs] „io, Li JL, mase. № 50,20. ae ее, usb в» masc., № 49,3. Stat, . .. уже, MASC., № 17. ‚ fe, masc., № 8; vgl. (Sf und D a J2S 202. 12 tz al 55», masc., № 69. т Ar, Bl g%e, MASC., N 49. Bi. fem. № 50,16. 5 5204 (?), 55, fem., M 97,4; vgl. oben р. 30. Lee) QUES Usels, masc., № ХУШ. Beiname eines Paulus. Ses | de, As 15 LL, mase., № 44. MECS Е Sl] 3), > LL, шазс., № 45. ae, Gb, masc., № 49,11. allen le, nasc., № X о, ju, MASC., № 50.8. = aan! te Per Е, masc., № 84. = ke, 356, fem., № 46; 50,4 und IX. = ==, A de L, masc., № 44. sh, a sos, JL sul, masc., № 50,21. г , de, masc., № 97,5. ee. 31 Ge. fem. Ша. 5 20% ; САэ_ре, Mas. № 52. tb, Lel, masc., M 3 а de . Beiname des lois, Lloso, fem. (2), № 75,3. $. unten Beilage II, Zusätze u. Berichtigungen. N) has, Less, masc., 34,1. = > os, > Lol 3,.masc., № 34,2. is, a masc., № ТУ. 18 138 D. Cawouson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE BEILAGE 1. Das türkische Sprachmaterial der im Gebiete von Semirjetschie aufgefundenen syrischen Grabinschriften von W. Radloff. Ausser den in den syrischen Grabinschriften vorkommenden einzelnen türkischen Wörtern und Eigennamen, finden sich in denselben folgende von mir entzifferte türkische Sätze und zusammenhängende türkische Inschriften. Ich führe dieselben mit der Bezeichnung des Herrn Chwolson auf und setze die ursprüngliche Zahlbezeichnung in Klammern. 89 (119) vom Jahre 1589 (—1278). 1) in 2) {5550 105 rs 315 3) alu. Silo 5 10202 AS st de PCIe te cakpım MiH паш ]уз CÄKCÄH токуз ард! парс ])ылы паг HbIH орлы Мануташ die Zahl tausend fünfhundert achtzig und neun war es, das Tiger- Jahr. | des Beg Sohn Mengudesch möge er sein. 7) 8) omas ползу 97 (13') vom Jahre 1597 (=1286). 2) 302 Auf fe2502 „Ian ]ылы туркшё it тур | das Jahr ist türkisch der Hund 1) Die letzte Zeile ist vielleicht zu lesen: of o12enis [oo 25 See, «Er möge sei bei unserm Herrn am Tage Seiner Herrschaft (od. Seines Reiches), amen!». D. Chw. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. KŸH urn] anal «of jam кбз! äpimin 139 ап Tagen jung ist sein Auge ge- schmolzen. 11,3 (180) vom Jahre 1611 (=1300). сычкан ]ыл äpai Адарнын 22 кун äpai б] т Jar полсун das Mause-Jahr des Adar-Monats 22 Tag war er starb | sein Andenken möge sein. 19,1 (LOS) vom Jahre 1619 (=1308). Jar полеун sein Andenken möge sein. =1 (150) vom Jahre 1621 (=1310). Александрос Кан- сакыш (mi) ka MiH алты JŸ3 jiripsi шр äpai туркча JBL it äpıi ny kaöpa Куташ мт овланнын турур дат полсун Alexandros dem Chane die Zahl!) tausend sechshundert ein und zwanzig war, auf türkisch das Hunde-Jahr war dieses Grab des Kutasch des . . .. Knaben ist es,sein Andenken möge sein. 28 (125) vom Jahre 1628 (—1317). А]ександрое Кан сакыш(ч)а Mix алты Jy3 jiripmi cäki3 äpAi TYpk4ä ]ыл JOHT Alexandros Chan nach der Zahl tausend sechshundert zwanzig und acht war auf türkisch das Pferdejahr 1) Mi ist der Anfang des Wortes min, das aber wegen einer Furche im Steine abgebrochen, ka (Dativ-Endung 4) 3) Via ds = 4) se 351 55; 5) ol > 6) 2,50) 11) ensce BIN 8) mes 2 1) sé 0, man] 2) Кое io 3) CNRS SN rt 4) USER SE 5) 15502 5 6) 553] >| Ka 7) | 1:25 us 8) | At si20f 9) ЗЬ 5oje? Ba ol IR, 1) 5503.16.55] 2) ao [2555 Li 3) a ee 3205 Si 4) 05 1200 5) „0a NE 1,9502 von Kan). 18* äpai пу Кабра А]таш Кашанын турур ]ат ползун D. Cuwouson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE war es dieses Grab des Priesters Äldäsch ist sein Andenken möge sein. 34.2 (198) vom Jahre 1634 (=1323). 140 6) N) 7) 1:55 as 8) 30522 ts les so! Sa 9) as 3 1) 1a ad] чае ein ja? 70.20] 2) paqprat Van оф ый 3) En ur 305 ol 4) we 19 ol 5) la 2200 95 > 6) aies М дэ 7) enses Ju еее 10) fsiamos anti, <] 0.2 sSo 14555. сакыш MiH алты ]уз отуз тбрт äpai туркзё jbLI TOHY3 äpıi Кут-таг1н-паг овлы Шады-паг Järmim cäri3 ja- шынта кКырылты Jar полсун vom Jahre 1644 (—1333). пу учагу мусурманлыЕта 6] д1 die Zahl tausend sechs- hundert vierunddreissig , auf türkisch das Schweinejahr. es war Kut Tegin Begs Sohn Schady Beg acht und siebzig Jahr alt kam er um, sein Andenken sei! war diese drei im Muhammeda- nismus sind gestorben. 15, (39) vom Jahre 1648 (=1337). 1) io a Som N 2) If an N Е a 3 lo 3) a3] 291 Va 152505 4) 1:55 Я aps St AR 5) =>, O0 sas as 6) ль а el RN R= =>. |5 7) enses Zu amSas 8) a] al А]ександрос Кан сакыш мин алты ]уз КырЕ сёк1з äpyi туркча JBII ут äpai ТаБ-ареланнын &рд Кабра пу jäp тузуллн äpuin качш парзы арыб пашчыеы полсун ]ат полсун ам1н амн. Alexander der Chan Zahl tausend sechshundert acht- undvierzig türkisch das Stierjahr war es des Tag Arslan Grab war es vondieser Erd-Oberfläche (?) vorüber- ziehend gehe er, der Heilige sein Führer möge sein, sein Andenken sei! Amen! Amen! a Wei nn tele Dunn in Te a u m be en Fl a =; ‘ot sn u | AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN (TRABINSCHRIFTEN. 141 48,5 (ZX XIT) vom Jahre 1648 (1337). 1) (2) в wo, ma 2) Sr 5 105 al S ara TES 3) 39] Va a 2] women 5) Les ya eat Dex aa 0.2 EE 5 \ 6) als ano 2010) 7) u az 5105 8) (enS)a(e) 9) ul] Bo > до Александрос Кан сакыш мн алты jÿ3 Кырк cäxi3 äpai туркчё ]ыл ут КутлуБ туман паг: Тунтуз Пак nÿrräpaici Mympir Каша пак пу Jäp тунчудн качш пармыш кун! Кутлуб алкышлыв полеун март Jykanan Mapja ана- ларын Alexandros Chan die Zahl tausend sechshundert acht- undvierzig war es, türkisch das Stier- jahr des glücklichen Tümen Begs Jundus Beg. Glaubens- Verbreiter (?) Mümrig Kascha Beg als er von dieser Erde Oberfläche (?) davon gezogen der Tag glücklich und ge- segnet möge sein! mit dem Herrn Jüchannan und seiner Mutter Maria 142 D. CHwozson, Dre ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE 10) sage jus о-в +250] 03 пу jäp тунчдн бтуп =>, 15 =>] kägin 11) «В Е-=» > <-> oÿL2 парзы ману шаКла(р)в(а) Loos {Is „ul арыг (шла kyma) 12) no Н> 1 [305 «til арыг Jona аталар miplä abs] a) Калсун aMiH ам!в "VII (158) vom Jahre. 1) sta pra rel ' Алтабнын кызы 2) Ц» eu] Änim Kara 3) Зою 05] амыта сакулзы selbst von dieser Erd-Ober fläche fortziehend möge er gehen in Ewigkeit heilie). cet ee mit dem heiligen Vater Jona möge er bleiben. . Amen, Amen. 4 des Aitag Tochter Änisch Kata die Seele möge genesen. Ehe ich zur näheren Betrachtung des Sprachmaterials dieser Inschriften übergehe, liegt es mir ob, meine hier hinzugefügte Transcription zu begründen, d. h. auseinanderzu- setzen in wie weit der Jautliche Werth der in den Inschriften befindlichen Buchstaben sich mit Wahrscheinlichkeit bestimmen lässt. Die grösste Schwierigkeit bereitet die Wiedergabe der Vocale, da das syri- sche Alphabet selbstverständlich nur drei Vocalzeichen ] о à bieten kann. Glücklicher- weise wird diese Aufgabe dadurch erleichtert, dass alle Türksprachen ein sehr regelmässig ausgebildetes Vocalsystem aufweisen, das in Folge der Gesetze der Vocalharmonie sich in * bestimmter Weise gliedert. In allen Dialekten, in denen nicht die Verschiebung der ganzen Vocalscala stattgefunden hat, und dies ist nur in den westlichen Dialekten der Fall und auch hier nur später als im XIV Jahrhundert, wie uns der gut vocalisirte Codex Comanicus beweist, finden wir 8 Grundvocale, vier gutturale Vocale a, о, ы, y und vier palatale ä, 6, 1, у und wir sind berechtigt anzunehmen, dass auch diese Vocale in der Sprache der alten Türken von Semirjetschie bestanden haben. Daran kann uns auch der Umstand nicht hindern, dass die heu- tigen mittelasiatischen Dialekte an Stelle von #1 und i nur ein i aufweisen, das als mittlerer Vocal sowohl mit gutturalen wie auch mit palatalen Vocalen erscheint, da, wie ich in meiner Phonetik dargethan, diese Verschmelzung einer neueren Epoche angehört. Für die Richtigkeit dieser unserer Hypothese finden wir auch Spuren in der syrischen Graphik unserer Inschriften. Die Vocale a und ä werden zwar meist durch | wiedergegeben oder gar nicht bezeich- net. Es zeigt sich aber ein verschiedenartiges Schwanken in der Vocalbezeichnung, welches deutlich darauf hinweist, dass die Schreiber der türkischen Worte sich bemüht haben, beide Vocale auseinander zu halten. a wird im Anlaute der Wörter stets nur durch | bezeichnet, z. В. 31 =] акпаш (38 2. 8) ll] аваларын (48,5 7. 9) el арыг (48,5 Z. 11, 12) ©] алтун (48 Z. 5) «Я арслан (9 Z. 5). Im Inlaute wird es entweder durch | bezeichnet (z. В. f=sil арслан GEN. SEEN" AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 143 73078 52, 9.79.1059. 5: 3% 225) sa jam (97 2,4) 2h ат (19,1 2. 8: :342. 2.7; 28 Z. 9) oder es wird ausgelassen: 58552 raösımkas (тавышикан) (50,16 Z. 4) das? тавшкан (50,17; 50,19; 50,20). Im Auslaute endlich wird es stets durch | bezeichnet: has Коча (34 Z. 6) fa) амыта (VIL,3). Das ä wird nun ganz in derselben Weise ausgedrückt, wir finden aber im Anlaute ä auch durch à | wiedergegeben. „3 äpai (11,3 Z. 4, 5 und an vielen anderen Stellen) ==. 5] äpuin (48,4 Z. 5) aber hes-2\ äl-namka (von einem anderen Volke 17,2 Z. 4) Мташ s{L>.| älräm (der Stammgenosse 28 Z. 8). Im Uigurischen wird äl Volk ebenfalls £2— und £ES—, von den Karaimen der Krym »s und 55, in der Dschagataischen Schriftsprache Ji und Jl geschrieben. Ebenso im Inlaute z. В. te när (84 Z. 3) 2 (34,2 Z. 3) u) när (48,5 7. 4) ebenso es паш (89 Z. 2) sas Jäp (48,5 Z. 2, 8). Alle diese Wörter werden im Uigu- rischen —24S und —>5, „45 und „435, ^^ und \9>> geschrieben, ebenso im Dschaga- taischen El, und él, win und wi: я ы und 1 werden in den Stammsilben stets durch à wiedergegeben, auch meist in den folgenden Silben und ein Auslassen muss als Unachtsamkeit des Verfertigers der Inschrift aufgefasst werden; nur an zwei Stellen finden sich Spuren, dass die Wiedergabe des gutturalen pı.erstrebt wurde. Dies ist im Worte „A &s5aS Кырылды (34,2 Z. 6) und in 255] аналарын (48.5 Z. 9), wo die Schreiber 'pı durch y und iv wiedergegeben haben. (Im Codex Comanicus wird das ы an mehreren Stellen fehlerhaft durch das lateinische и wiedergegeben). 0, у, ö, у werden meist durch о ausgedrückt und die Schreiber machen natürlich keinen Versuch o(ô) und y(y) zu unterscheiden. Wohl aber zeigen sich Spuren des Bestrebens die Laute o(y) und ü(ÿ) auseinanderzuhalten, indem ü(ÿ) durch so bezeichnet wird z. В. so kösi (97 Z. 4) 205 кун (97 Z. 3) 1505 jÿ3 (28 Z. 3). Ganz in ähnlicher Weise werden im Kudathu-Bilik die labiopaiatalen Vocale bezeichnet Fe AS), AS, 288, und diese Art der Bezeichnung wird auch in der mongolischen Orthographie angewendet. Ausserdem ist zu bemerken, dass auch versucht wird die Scheidung der gutturalen und palatalen Vocale durch Anwendung verschiedener gutturaler Consonanten 2 > (J )” genauer zu fixiren, wenn auch diese Art der Bezeichnung nicht streng durchgeführt ist. Dass im Dialekte von Semirjetschie strenge Gesetze der Vocalharmonie geherrscht haben, dafür sprechen unzweifelhafte Spuren, wenn es uns auch nicht möglich ist die in allen Türk- sprachen streng durchgeführte Palatalattraction nachweisen zu können (dieselbe lässt uns . die eben angedeutete Differenzirung der gutturalen Consonanten nur ahnen), so finden wir doch sehr deutliche Zeichen für den Einfluss der Labialattraction z. B. ооо полсун 1) Ich glaube, dass das СЛ ein von den Syrern selbstständig erfundener, dem türkischen k entsprechender Buchstabe ist; es wäre doch auffällig, wenn man ein Л dem arabischen Alphabete entlehnt hätte um das k zu bezeichnen, da ja in der von den Türken angewendeten Orthographie das arabische _Л dem к und 9 dem Е ent- spricht. . 144 D. CHwozson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE 11,5 7. 11; 34,2 2.7) 30520 тунчумн (48,5 Z. 6, 10; 48,1 2. 5) ol ypy5 (50) ala (34 Z. 4) etc Кутлуг (48,5 Z. 4, 7) 10259] отуз (34,2 Z. 1). Zuletzt ist noch zu erwähnen, dass auch in der Sprache von Semirjetschie y und у selbstständig in gewissen Affıxsilben erscheinen vrgl. ax of ÿaärÿ (44 Z. 10) 25 алтун (48 Z. 5) CHI Катун (42 Z. 6) Gels ману (17 Z. 6). Dieselbe Erscheinung finden wir in den alten Dialekten (im Uigurischen und Seldschukischen) und ferner in der Schrift beibehalten im Dschagataischen und Osmanischen. Die nähere Begründung für die Vocal- bezeichnung jedes Wortes geben wir in der Folge im Wörterverzeichniss. Die in unseren Texten auftretenden Consonanten sind = (п) 2 (6) 2 (т) > (x) ® (© (3) > (m) 275 (5 45 г) (м) 1); PES GDs (9. Das häufige Auftreten des > bei Gutturalvocalen und des 2 bei Palatalvocalen beweist uns, dass auch im Dialekte von Semirjetschie eine Differenzirung der Laute der hinteren Zunge stattgefunden; dass das hintergutturale k einen scharf ausgeprägten Klang gehabt haben muss, beweist uns die Einführung eines eigenen, dem syrischen Alphabete fremden Buch- staben 5, der durchgängig nur К vertritt. Wenn dieser Buchstabe auch einige Male für x auftritt, so ist das wohl als Versehen des Verfertigers der betreffenden Inschriften aufzufassen. Ausser à (j) und dem sonoren > (м) treffen wir im Anlaute nur tonlose Geräuschlaute, von Explosivlauten den Labial 2 (и), den Vorderlingual 2 (т), die Hinterlingualen > Л 2 (К, к), von vorderlingualen Spiranten -э (m) © (с) (siehe das Wörterverzeichniss). Im Auslaute treten ausser den tonlosen Geräuschlauten.2 (п) z. В. =, [> качш (48,5 Z. 5, 10; 48,4 Z. 6) aı20f бтш (48,5 Z. 10) 2 (r) z. В. Auf ir (97 Z. 2) 39] ут (48,5 Z. 2) 407 Кут (34,2 Z. 3) 2 jar (28 Z. 9) Л (® z.B. 5 КырЕ (48,5 Z. 2) J Tre nagak (46 Z. 6) noch -э (ш) 2. В. es näm (119 Z. 2) sl» jam (97 Z. 4) auf. Neben diesen ton- losen Geräuschlauten finden wir im Auslaute auch tönende vorder- und hinterlinguale Explosivlaute > (д) nur im Worte so] уд (8 mal) [während 350] zweimal vorkommt] CAD) ANSE 2 när (48,5 Z. 4) el kyrayp (48,5 Z. 7) ai алкышлыв (48,5 2.7) el арыг (48,5 Z. 12) 75 Tan (34 Z. 5). Von den vorderlingualen Spiranten der _ zweiten Reihe treffen wir im Auslaute nur den dem tonlosen с entsprechenden tönenden Laut 1 (3) te тонуз (34 Z. 4) ao cüris (48,4 Z. 2) 155 Кыз (27,2 Z. 5) man kös (35 Z. 5). w (© im Auslaute findet sich nur im Doppelconsonanten 5 pc «5.2 паре (13 Z. 4) aber auch anstatt ре findet sich 1; рз 51.2 парз (38 Z. 5); diese letztere Schreibweise ist gewiss nur durch das in anderen Wörtern meist im Auslaute auftretende 3 veranlasst. Von sonoren Consonanten erscheinen im Auslaute té (н) с (=) 5 (a) 3 (p). Im Inlaute erscheinen alle obenangeführten Consonanten; ob aber hier die Aussprache sich mit den Schriftzeichen stets deckt, ist sehr zweifelhaft; dies geht schon aus einzelnen Schwan- kungen in der Schreibweise der wenigen Wörterunserer Texte hervor. Sofinden wir 2. B.a-kSaÿjaf Кырылты (34,2 Z. 6) während stets af äpai und 282 (50,21) ferner ов полсун (11,3 7.4), aber (Lie ползун (28 Z. 9). Da wir gesehen haben, dass im Dialekte von Semirjetschie - AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 145. im Anlaute nur tonlose Explosivlaute auftreten und im Auslaute nur eine Erweichung der Gutturalen eintritt (über die Erweichung des rim уд = ут werde ich später sprechen), dass sich also das Consonanten-System des An- und Auslautes dieses Dialektes fast ganz auf dem Standpunkte der Abakan-Dialekte befindet, so hätte die Annahme, dass auch die Conso- nanten im Inlaute den Inlautsconsonanten des Abakan-Dialekts entsprechen, viel Wahrschein- lichkeit für sich.. Wäre diese Voraussetzung richtig, so hätten wir anzunehmen 1) dass im Inlaute stets tönende Explosivlaute auftreten, wenn Consonanten des Auslautes des Stammes oder des Anlautes des Affixes durch die Agglutination in den Inlaut zwischen Vocale treten, 2) dass tonlose Explosivlaute zwischen Vocalen nur als Gemination erscheinen z. B. jerri «sieben», еккЁ «zwei», 3) dass Consonanten-Verbindungen wie ar z. В. алты nur in ‚ unzerlegbaren Stämmen auftreten. Dem widersprechen aber durchaus unsere Texte, die vor- herrschend im Inlaute tonlose Consonanten aufweisen z. B. 20,10 ryayyrin (47,5 Z. 6, 10). Nun finden wir zwar in mittelasiatischen Dialekten und im Komanischen wie auch im Os- manischen, dass die durch Agglutination in den Inlaut tretenden с und К tonlos bleiben, uns ist aber kein einziger türkischer Dialekt bekannt, in dem т im Anlaute des Affixes, wenn es an Vocale oder sonore Consonante gefügt wird, tonlos bliebe. Die Annahme, dass eine solche Erscheinung gerade eine specifische Eigenthümlichkeit für die alten Dia- lekte von Semirjetschie wäre, scheint uns mehr als gewagt, da ja das an р und x tretende Affix ri (ai) überall den tönenden Anlaut zeigt wie z. В. 333] äp-ai, эро] Од, a Ses ПОЛДЫ (die einzige Ausnahme bildet das oben schon erwähnte a4Sa5of (кКырылты). Ich bin daher _ überzeugt, dass den Verfertigern unserer Inschriften ein Verständniss für das Consonanten- System ihres Dialektes abging, und dass das Auftreten der tonlosen Consonanten im Inlaute in vielen Fällen als ein Versehen des Schreibers aufgefasst werden muss. Wer jemals Texte nach dem Diktat von Altajern oder der Abakan-Tataren aufgeschrieben hat, der hat erfahren wie schwierig es ist hier die Scheidung zwischen tonlosen und tönenden Explosivlauten auf- zufassen, ehe man sich in das System eingelebt hat. Es werden nämlich in der fortlaufenden Rede auch die tonlosen An- und Auslaute mehr oder weniger erweicht, wenn verschiedene aufeinandef folgende Wörter in ein näheres Verhältniss treten, so dass Wörter wie Кат und nam in der Rede kar-par-kaı-naı und паш-баш-паж-баж lauten. Es war daher sehr praktisch und den türkischen Lautgesetzen entsprechend, wenn die Uiguren (ebenso wie die Deutschen bei der vorderlingualen Spirans $ verfuhren) in ihrem Alphabete die tönenden und tonlosen Geräuschlaute mit demselben Zeichen bezeichneten; nur so wurde das Wortbild nicht ‚durch die verschiedenen Stellungen der Wörter verwischt und entstellt. In derselben Weise ist Herr Jakowleff bei der Einführung des russischen Alphabetes bei den Tschuwaschen . verfahren, was den Tschuwaschen das richtige Lesen in hohem Maasse erleichtert hat. Trotzdem ich nun der Meinung bin, dass das Consonanten-System des Inlautes im Dia- lekte von Semirjetschie gewiss dem der Abakan-Dialekte sehr nahe stand, und die Er- weichung der tonlosen Consonanten durch die Stellung geregelt wurde, habe ich dennoch in der Umschreibung streng die syrischen Buchstaben übertragen, ohne dadurch den wahren Mémoires de l'Acad. Гир. d. sc. VII Serie. 19 146 D. Cawouson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE Lautwerth dieser Zeichen ausdrücken zu wollen, es lag eben zu wenig sprachliches Ma- terial vor, um die aufgestellte Hypothese begründen zu können. Alles, was unsere Texte bieten, sind ja nur Einritzungen in zum grössten Theil harte, unebene Feldsteine, bei deren Abfassung der Verfertiger der Grabschrift leicht aus technischen Gründen den einen oder anderen Buchstaben gebrauchen konnte, und ausserdem ist es uns ganz unbekannt, ob die syrische Schrift auch im schriftlichen Verkehr in der türkischen Sprache angewendet wurde, ob sich daher eine nur irgend wie bestimmt geregelte Orthographie entwickeln konnte und ob endlich Türken oder Syrer diese Inschriften verfasst haben. Herr Korsch spricht in seiner Abhandlung über das türkische Sprachmaterial der uns vorliegenden syrischen Inschriften ') die Ansicht aus, dass im Anlaute der türkischen Wörter vielleicht stets nur tonlose © geschrieben wurden, um das tönende 6 zu bezeichnen, weil das 2 zur genaueren Bezeichnung des der syrischen Schrift fehlenden в benutzt En Einen Beweis für eine solehe Annahme findet er in der verschiedenen Schreibweise der türkischen Bezeichnung für «Hase» die in unseren Inschriften 22% (38,22. 6), Kar (50,17, 50,19, 50,20), das (50,22), 22422 (50,16, 50,18), {5.25.52 (50,24), 2902 (50,21) geschrieben wird. Dieses Wort hat sich in den Süddialekten und in Mittellasien bis jetzt erhalten, im Osmanli lautet es тавшан, im Tarantschi-Dialekte romkan. Das älteste türkische Denkmal das dieses Wort enthält, ist die Chronologie Albirüni’s, der dieses Wort lei schreibt; in den türkischen Glossen zu Samachschari’s-Lexicon unserer Universitätsbibliothek wird dieses Wort DES geschrieben, bei Ulu-Bek ob und in älteren Dschagataiwerken Olai, LL, Wir sehen also hier alle Glieder der Schwächungsreihe eines labialen Consonanten, wie ich in meiner Phonetik an verschiedenen Beispielen nachgewiesen habe: тапышКан (=тафФышкКан), табышкан, тавышкан, (тавушкан), тавшКан, таушКан, Tomkan, und es unterliegt wohl keinem Zweifel dass (trotz des mongolischen raolai) in diesem Worte ursprünglich ein labialer Explosivlaut gesprochen wurde. Nun war im Dialekte von Semirjetschie im XIV. Jahrhun- dert dieses 6 entweder nur mundartlich in 8 übergegangen, oder die Schreiber suchten das dem syrischen Alphabete fehlende 8 auf verschiedene Weise zu bezeichnen. Eine ähnliche Schreibweise finden wir in Kudatku-Bilik, wo as neben HESS, лага neben 658 gebraucht werden. Wir finden in unseren Inschriften noch ein Wort, in dem wahrscheinlich ein в durch wiedergegeben wird, dies ist das Wort ht (3,1 Z.4),das offenbar raspas gesprochen wurde, denn np oder 65 ist eine den Lautgesetzen aller Türkdialekte fremde Consonan- tenverbindung für diese Aussprache spricht auch die arabische Transscription geb die sich auf Münzen der Ilike findet. Uigurisch lautet dieses Wort noch тапкач Ju Yun. Die Anwendung des 5 für в konnte somit auf keinen Fall die Türken von Semirjetschie ver- anlassen 6 durch > wiederzugeben. 1) 6. Е. Коршъ, О турецкомъ языкЪ семирЪчан- | труды: Вост. Ком. Имп. Моск. Oëux., Т. I, В. I, Москва скихъ надгробныхъ надписей. Дрвности Восточныя | 1889, pag. 69. er "+ A me = ER, Les PORTE PE TU PEU ох en TER Pi Poe AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN, i 147 _ Das in der Inschrift VII, Z. 3 auftretende «Sa2ÿs сакулзы veranlasst Herrn Korsch anzunehmen, dass im alten Türkdialekte von Semirjetschie anstatt eines x der anderen Dia- lekte eine interdentale Affricata auftrete, welche einneues Mittelglied für die Schwächungsreihe A-3-j [wie wir sie in aaak (Uig.), asak (Abak.), ajak (übrige Dialekte) finden] bildet. Dass ein solches Mittelglied bestanden habe, dafür schiene auch die Orthographie des Rabghusi 9/5] zu sprechen '). Das angeführte Beispiel kann nicht mit der Schwächungsreihe д-3-] zu- sammengestellt werden, da das sich allmählich zu j abschwächende д nur am Ende der Stammsilbe auftritt, und nur in einer ganz bestimmten Reihe von Wörtern, während _ саКулзы = сакулды in cakyı--ısı zu zerlegen ist, und 3 also im Anlaute des Affixes steht. Ausserdem ist aber сакулзы nicht Imperfect, das in anderen Dialekten einem сакулды entspräche, sondern das Affıx зы ist die Endung des Imperativs der dritten Per- son, und entspricht dem uigurischen су, also сакулзы heisst «sie möge gesunden». Diese Endung tritt in unseren Inschriften drei mal auf in „92 парзы (48,5 Z. 11) und in oSee ползу (79). Im Kudatku wird diese dritte Person der Imperativs durch drei Endungen gebildet SyXA49 парзу, a парзун und 449 парзуны, in unseren Texten durch zwei En- dungen am>> Калсун (48,5 Z. 12) und omas болзу. Wollen wir nun die Dialektgruppe bestimmen, zu der die Sprache der alten Türken von Semirjetschie gehört, so müssen wir zuerst die phonetischen Eigenthümlichkeiten dieser Sprache, so weit es das spärliche Materialder Inschriften erlaubt, mit den lautlichen Eigen- thümlichkeiten der uns bekannten alten Türkdialekte vergleichen. Dergleichen alte Dialekte kennen wir drei: 1) einen Ostdialekt: die Sprache der Uiguren (von dieser liegt uns ein um- fangreiches Schriftdenkmal das Kudatku-Bilik vor, 2) einen Westdialekt: die Sprache der Ko- manen (die wir aus dem Codex Comanicus kennen), 3) einen Süddialekt: die Sprache der Sel- dschuken (von der wir Sprachproben in den sogenannten seldschukischen Versen besitzen). Diese drei Schriftdenkmäler sind alle in einem einheitlichen Dialekte geschrieben und die beiden letzteren stammen fast aus der Zeit der Abfassung unserer Inschriften, das Kudatku ist aber einige Jahrhunderte älter. Die dshagataische Schriftsprache, obgleich ihre ältesten Schriftdenkmäler etwa nur ein. und ein halbes Jahrhundert später verfasst sind als unsere In- sehriften, kann nicht zur Vergleichung herbeigezogen werden, da sie eine Litteratursprache ist, die sich aus den uigurischen Schriftdenkmälern künstlich entwickelt hat und zwar als Litteratursprache sehr verschiedener Dialekte, in der sich überall nur Spuren der gesprochenen 1) Pag. 71 tadelt Herr Korsch, dass ich in meiner | (= h) ist sicher eine tonlose interdentale Spirante. Ob Phonetik $ 278 (nicht $ 379) und 8 246 das interdentale | aber 3 in Кыфы der dem 9 entsprechende tönende Laut Ÿ als tonlos bezeichne; die meisten Baschkiren, die ich | ist, kann nur durch Beobachtung an lebenden Individuen, - beobachtet habe, sprachen kurY oder Кызы, es schien | aber nicht durch Folgerungen wie: «man kann sich schwer mir aber als ob einige Individuen ksrder gesprochen | vostellem» (трудно себЪ представить) nachgewiesen _ hätten, daher fügte ich hinzu: «mundartlich scheint auch | werden. % für z aufzutreten». Das in $ 246 für с auftretende d 19* 148 D. CHwozson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE | Sprache der Autoren nachweisen lassen. Ich habe dies näher in meiner Einleitung zu der Untersuchung der Jarlyke der Toktamysch und Temir-Kutlug begründet'). | Die uigurische Sprache bietet, ebenso wie die heutigen Ostdialekte, im Auslaute nur die tonlosen Explosivlaute п, т, Е, к, während in der Sprache der Komanen, gerade wie in den heutigen Westdialekten im Auslaute fast ausschliesslich die tonlosen k, k und r auftreten, aber von Labialen ausnahmslos das tönende 6 erscheint. Im Seldschukischen erscheinen im Anlaute die tönenden Explosivlaute 6, a, r und nur das tonlose hintergutturale k; an Stelle des 6 tritt aber schon in einigen Fällen die Spirante в auf, ganz in derselben Weise wie in allen heutigen Süddialekten. Schon diese eine Erscheinung giebt uns die Berechtigung den alten Dialekt von Semirjetschie zu den Ostdialekten zu rechnen. Für die Zugehörigkeit dieses Dialektes zu den alten Ostdialekten spricht ferner noch der Auslaut des in den Inschriften mehrmals auftretenden Wortes 2of ут of уд (vergleiche das Wörterverzeichniss), das zu den- jenigen Wörtern gehört, die im Uigurischen auf r auslauten = —a- (Uig.), Altaisch yi «Kuh», Tarantschi-Dial. yi, «Ochs». Im Babernameh ist mir dasselbe Wort mehrmals auf- gestossen z. В. р. 181 und 404 und zwar in der Form \s,). Wenn die Dschagataische Schriftsprache neben 5») auch das Wort Ь» kennt, und zwar als Jahresbezeichnung im Thiercyclus, so ist dies ein Schriftwort, das mit vielen anderen wie z. B. я = pu aus den uigurischen Büchern in die Litteratursprache übergegangen ist. Es ist aber nicht anzunehmen, dass dieses Wort durch den Einfluss der Schriftsprache auch den christlichen Türken, die offenbar die arabische oder uigurische Schrift gar nicht kannten, überkommen ist, da die Texte unserer Inschriften keine Spuren solches litterarischen Einflusses zeigen. Von den heutigen Dialekten bietet т (x) in Auslaute der Stammsilbe gewisser Wörter nur das Sojonische, während die Dialekte der Schor- und Abakan-Türken anstatt dieses т überall ein с (3) haben. Aus dem Umstande, dass das Wort of 5 mal auftritt, während +0] nur einmal sich findet und ausserdem in allen übrigen Fällen, selbst in dem aus dem Persischen ent- lehnten ‘Worte >L = 3 im Auslaute der tonlose Explosivlaut sich findet, möchte ich schliessen, dass der Auslaut des Wortes yr mit einem eigenthümlichen T-laut gesprochen wurde (vielleicht der interdentale tonlose Laut, den ich in meiner Phonetik durch 9 be- zeichne, oder ein ihm entsprechender tönender Laut à). Dafür spricht auch der Umstand, dass in den entsprechenden Wörtern im Beben ein 5 sich findet z. В. 5,), 3)>], mn JD! = шо. Sa ри в) Ist diese unsere Voraussetzung richtig, so würden wir in ihr schon Spuren einer Schei- dung der alten Ostdialekte erkennen. Deutlicher zeigt sich uns diese Scheidung, wenn. wir die Auslautsconsonanten des Dialekts von Semirjetschie überhaupt mit den Auslauts- consonanten des Uigurischen vergleichen. Während nämlich die Sprache der Uiguren gerade wie der heutige Dialekt der Altajer und Teleuten im Auslaute nur tonlose Geräuschlaute bietet wie К, к, п, т, с, ш, finden wir im Dialekte von Semirjetschie.an Stelle des с stets з und an 2) Ярлыки Токтамыша и Темир-Кутлуга: Зап, Вост. Отд. Имп. Археолог. Общ., т. Ш, вып. I, стр. 1—8. РЕ > Е LA POP AN TEN ЕК EN CES SEP 1. ук у ; x N N au м 58 154 С, EEE AURA CAR APE PT 4) B 3 4 . | ее т а Ея de к: a‘ Ще > Ay * VS de AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 149 Stelle des К, к in einer ganzen Reihe von Wörtern tönende Hinterlinguale, die durch \ be- zeichnet werden. Und zwar findet dies in denselben Wörtern statt, die im Sojonischen und in den Abakan-Dialekten Г statt К und к aufweisen 2. В. , {2 == таг (Soj., Schor., Abak.), „re we- när (Soj., Schor., Abak.), ol — ypyr (Abak.), el — арыг (Schor., Abak.), an! — алБыстыг (Abak.), албыштыг (Schor.), oo kyrayr. Wir können nach dieser Vergleichung also annehmen, dass im XIV. Jhr. im westli- chen Theile der Ostdialekte eine theilweise Erweichung der auslautenden hinterlingualen Explosivlaute und dem vorderlingualen Spiranten eingetreten war. Das Consonanten-System des Dialektes von Semirjetschie wie auch die Bezeichnung eines eigenthümlichen interden- talen T-Lautes in dem im östlichen Turkistan, im Jahre 710 der H. verfassten Rabghuzi, das auch ursprünglich in einer dem Uigurischen sehr nahe stehenden Sprache geschrieben ist, deuten darauf hin, dass die dshagataische Schriftsprache sich gerade im westlichen Theile der älteren Ostdialekte zu bilden begann und dass sie hier auch die lautlichen Eigen- thümlichkeiten dieser Dialekte in sich aufgenommen hat. Da die Adjectiva bildende Endung лык in allen alten Dialekten auftritt, so wollen wir gerade diese Endung als charakteristisch für die Dialekt-Scheidung aufführen: ALTE DIALEKTE. OST РА ШЕК TE Süd-Dialekte. | West-Dialekte. Uigur. Semir. Seldsch. | Koman. ak ЛЫБ лу (лу?) лы NEUE DIALEKTE. Tarantshi und Abak., Schor., Аа. Tel ER West- und Süd- Mittelasien. Soj. Ka RL EE Dialekte. lik ABIT лу Abl Nach dieser Betrachtung der lautlichen Erscheinungen des Dialektes von Semirjetschie will ich zu der Zusammenstellung des in unseren Inschriften vorhandenen Sprachmaterials übergehen und dasselbe alphabetisch anordnen. In dieses Verzeichniss nehme ich nur dieje- nigen Eigennamen auf, deren Bedeutung offenbar ist. Bei jedem Worte werde ich die ent- sprechenden Wörter des Kudatku-Bilik, des Rabghusi, des Codex Comaniecus und der Seldschu- kischen Verse in Klammern hinzufügen. 150 . D. Cuwouson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE A ai [à (Uig.), us) (Rbg.), ai (Kom. Seld.)] der Mond, der Monat; in Eigennamen: a Ai-räpim (91,1 2. 3), ae] Ai-mäyy (31 Z. 6), ll Ai-Ta5, УП. ak [Au (Vig.), ö) (Rbg.), ak (Kom. Seld.)] weiss; im sias] АК-паш (38. 8). ана | Е (Vig.), LI (Rbg.), ана (Kom.)] die Mutter, (ff аналарын (48,5 Z. 4). арыБ [Ума (Uig.), & (Rbg.), apy (Seld.), ары (Kom.)] rein, heilig; a арыг (48,4 ` 2. 6; 48,5 Z. 11), el apbıp (48,5 Z. 12). | арелан | Fr: (Uig.), Lu! (Rbg.), арслан (Kom.)] der Löwe; in Eigennamen: 5 „05-205 КутлуБ-Арелан (75 Z. 5), ds} Арелан (9 Z. 5), head ся Арслан Töyä (11,4 7. 5), Soi 512 Tag Apcıan (34 Z. 5); m] ur ( (48,4 Z. 4). алкышлыв LAS ii qu (Uig.), grill (Rbg.), алвышлы (Kom.)] gesegnet, Sais алкышлыг (48,5 Z. 7). алты [Su (Uig.), ei (Rbg. у алты (Kom.)] sechs, „AN алты (28 Z. 3; 34,2 Z. 1; 48,4 Z. 2; 48,5 Z. 2). | AATYH Se (Uig.), us) (Rbg.)], алтын (Кот.)| Gold; im Eigennamen: 04 Алёун (11.725): ara И am (Uig.); С] (Rbg.), ата (Кот. Seld.)] der Vater, а аталар (48,5 Z. 12). A ар (у) [| (Uig.), SL „| (Rbg.), ä (Кот. Seld.)] sein, 553} äpai (11,3 Z. 4,5; 28 Z. 4, 6; 34,2 7. 3; 484 7. 3, 4; 48,5 7. 3). | äpi (у) schmelzen, esta äpimim (97 Z. 4). äpy(i) (У) vorübergehen => Я äpyin (48,4 Z. 5). äl [u (Uig.), Ji (Rbg.), 4 (Kom.)| das Volk, der Stamm im à Eigennamen: has Äl- mamına (von einem andern Volke) (17,2 Z. 4). | älräm Landsmann, Stammgenosse, im Eigennamen: «A Sa] Âlräm (28 Z. 8). Le, Б(у)л [ESS (Uig.), Е} (Rbg.), обыл, овул, оул (Kom.) opya Seld.] der Sohn, ol oH1bl (34,2 Z. 4), ol 05161 (89 Z. 5). OR CCR ne PE a da NE NRA SE à D A A EE CIE RS FRET RE au IP ae Se >: Ban BESTEN Ey Ban ” BUS TSG EEE BR ee AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 151 OHaaH Veen (Uig. о) (Rbg.)] der Knabe ut el овлавнын (21 Z. 9, р. 139). _ orys [ASS (Uig.), >] (Rbg.), отуз (Kom.)] dreissig, 1020] отуз (34,2 И. 1). ъ oO öl) [es (0), ЭЩ (Rbg.), öl (Kom. Seld.)] sterben So] ölni (11,3 И. 6; 44 Z. 10). “= _ бт (у) [SSS> (Uig.), SL] (Rbg.), бт (Kom. Seld.)] hindurchgehen 2220} örin (48,5 Z. 10). 63 [^55- (Uig.), ;,) (Rbg.), 63 (Кот. Seld.)] selbst tof бз (48,5 Z. 10). . т. ir [SS- (Uig.), €) (Rbg.), т (Кош. Seld.)] der Hund Л} ir (97 7. 2). ь`4 ут в (Uig.), 5] (Rbg.), yi (Alt-Tar.)] der Ochs 201 (48,5 Z. 2), zo] (65 Z. 3; 48 Z. 3; 48,1 Z. 4; 48,2 Z. 4; 48,3 7. 4; 484 Z. 3; 48,5 Z. 3). Y _ ysäry [eus (Uig.), МЫ, (Rbg.)] alle drei aufzof Учёгу (44 Z. 10). I kan I, FH (Uig:) kan (Kom.)] der Chan 47 (21 Z. 1; 282.2; 484 Z.1;48,5 7.1). _ kau (v) [ex (Uig.), SL (Rbg.), Кал (Кош. Seld.)] bleiben „ans Калсун (48,5 Z. 12). Катун rt (Uig.), Uupls (Rbg.), Катын (Kom.)], 2 Катун (65 Z. 5), с (42 2.6). 42,3 Z. 4). : © koi [452545 (Uig.), ву (Rbg.), koi (Kom.)] das Schaf af” (42,1 2.4; 42,2 Z. 4; 42,3 2. 4; kona (= pers. 41,5) Herr. Eigenname 1.95 (34,1 2.6). Кырыл [ÈS (Uig.)] umkommen A Ss5oS Кырылты (34,2 Z. 6). < _Кырк [Aus (Uig.), 5,5 (Rbg.), ksıpk (Kom.)] vierzig EG (48,4 Z. 2; 48,5 Z. 2). Кыз [X (Uig.), 5-3 (Rbg.), Кыз (Кош. Seld.)] das Mädchen, die Tochter 13] 229 Кыз-аша 152 D. Cuwouson, Die тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE (27,2 2.5; 38 ‚ 7.6), 1355 +55 Koıs-kinä (31 Z. 4), su ps «ti 'АЛтавнын Kb13b1 (VID. Кут | jan (Uig.)] das Glück, in Eigennamen: > ar Erg Кут rärin när (34,2 2. 3), 5207 Kyrmak — Kyryak glückliche Zeit (27,1 Z. 6). ! kyrays [Mae (Uig.), &» #5 (Rbg.)] glücklich (este (48,5 Z. 4, 7), in Eigennamen: Sl ee Kyrayp арслан (75 Z. 5); {55 505-205 (36 Z. 4), saS2aS Kyrıyp (80 Z. 3), Lei sages Kyrayg-ama (19,1 Z. 7), 05405 (XIX Z. 4), aa 05205 Кутлуб räpim (21 7.4), ya2aS Kos ол Kyray5 (XXXIID), we „anal Кутлув när (53 Z. 6). КутуБ [1745554 (Uig.), #2 (Rbg.)] der Brunnen, in Eigennamen: „alas (97,4 2 6), 52297 (ХХХУ Z. 2). К кач (v) [uv (Uig.), IL (Rbg.), кач (Kom.), гач (Seld).] vorübergehen ss качш (48,5 2. 6, 10), => auto качш (48,4 Z. 6). кбз [+>28) (Uig.), D (Rbg.), кбз (Кош.), гбз (Seld.)] das Auge nal kösi (97 Z. 4 in Eigennamen: 09 II] Ала-кбз (35,1 Z. 5). кун [| => (Uig.), су’ (Rbg.), кун (Kom.) гун (Seld.)] der Tag La кун (97 Z. 3), es (11,3 : Z. 5), 302 кун (48,5 Z. 7). кумуш | NO (Uig.), т (Rbg.), кумуш (Kom.)] das Silber setsa> Кумуш (XXIV). J jar (= pers. >) Gedächtniss Jh (19,1 Z. 8; 34,2 Z. 7; 28 Z. 9; 48,4 7. 7). jam [y+> (Uig.), Qi (Rbg.), jam (Kom.)] das Lebensjahr {2 asia дашынта (34,2 Z. 5). jam [y (Uig.), al (Rbg.), ja (Kom.)] jung {2 jam (97 Z. 4). jäp [> (Uig.), „2 (Rbg.), jäp (Kom.)] die Erde „u (48,5 Z. 5, 10; 48,4 Z. 5). järnim [>>> jürnim Giro (Rbg.), järuim (Kom.)] siebenzig ess järniu (34,2 Z. 5). jiripmi | Fe (Uig.), jiripmä (Kom.)] zwanzig le (28 2.3). jour [Ses (Uig.), Alb.: Ci, Ulu-Beg, .5;2] das Pferd dos (28 Z. 5; 41 Z. 4; 41,12. 4). дол [ESS (Uig.), Je (Rbg.), дол (Kom. Seld.)] der Weg nt or Лол тамн (40 Z. 4), 505-205 Kos дол kyray5 (ХХХШ). à re Е ЕТ 4 Е “> et 7 AS и: € м: т AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 153 рыл [ESS (Uig.), Je (Rbg.), ]ыл (Кот. Seld.)] das Jahr Van (28,3; 34,2 Z. 2), Va (48,4 7. 3; _ 48,5 Z. 3), „Ss ]ылы (97 Z. 2). ]ылан [es (Vig.), UN» (Rbg.), дылан (Kom.)] die Schlange do ]ылан (28,1 Z. 4; 28,2 2. 3); {> (52 Z. 4), Ja] ылан (40,1 7. 4; 40,2 7. 4). js [>08 (Uig.), 5» (Rbg.), jfe (Kom. Seld.)] hundert то ja (21 Z. 3; 34,2 Z. 1; 48,4 7. 2; 48,5 2. 2; 89 7. 2), ton $3 (28 Z. 3). JI / лу (Alb.: „/ Ulu-Beg ( (Uig.), в. © (Rbg.), cäkis (Kom.)] acht wa (28 И. 4) 1-ю (48,4 7. 2), 355] (48,5 7. 2). : ТИ mah (pers. Li) Fürst, im Eigennamen 55535 os mah майк (78 7, 4). II пар (v) [1949 (Uig.)] gehen eateite пармыш (48,5 Z. 6), 55} парзы (48,5 Z. 11). паре (парз) [49 (Uig.), der Tiger {> парз (38,1 Z. 4), wie парс (131. 4). ° паш [449 (Uig.), баш (Kom.)] der Kopf, im Eigennamen si251 Ak-nam Weisskopf(38 Z. 8). пашка (пашьа) р pre (Uig.), ab (Rbg.), башка (Kom.)] anders, im Eigennamen hote af Âl-namka (von einem anderen Stamme (17,2 Z. 4). пашчы [имо (Uig.)] der Führer SS паШЧЫСЫ (48,4 Z. 6). паг [49 (Uig.)| Herr, Due es 520$ туман näri der Beg eines Distrikts (48,52. 4), AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 155 dann mé Loue, 24-15 te Här мангу (84 2. 3) es rs 205 Kyr-tärit-när (34,2 Z. 3) au 02 ‚as Jyury3 när (48,5 Z. 4). пёш [949 (Uig.) баш (Kom.)] fünf es (89,2). пол [=&> (Uig.), бол (Kom.), ox (Seld.)] sein, werden omQos полсун (11,3 Z. 11, 34,2 - 2.7; 19h 2. 8; 484 Z. 7; 48,5 Z. 8), окъое ползун (28 Z. 9), oùSoe ползу (89 Z. 8), im Eigennamen sh, sSes Полды-чак (50,21). niplä eo (Vig.)] mit fase niplä (48,5 Z. 12). nidin (Alb. -y=v Ulubeg su) der Affe aa (8 2. 3; 19,1 Z. 5; 19, Z. 6; 19.923: 38 2. 4; 42,4 2.3). / пу [© 9% (Uig.)] dieser as (28 7. 7; 44 Z. 10; 48,4 Z. 5; 48,5 Z. 5, 8). nyka [es (Uig.)] der Stier, im Eigennamen {fes (53,2 Z. 6). nyrräpui [JL Ki Rbg.] eine Geistliche Würde (Glaubensverbreiter), a 2602 пут- räpuici (48,5 Z. 5). NE ману НС (Uig.), ae (Rbg.), mäyi (Kom.)] ewig, im Eigennamen 05-1525] А1- мангу (81 Z. 6), Ati Ману (17Z. 6), Коро ro Mäyky чакларва für ewige . Zeiten (48,5 Z. 11), 2 9.5142 Ману-таш geführte für die Ewigkeit (69 Z. 4). mix [ss (Uig.), ee (Rbg.), мн (Kom.)] tausend lo (28 2. 2; 34,2 2. 1; 48,4 2.275857. 1). - Mmyeypmanasık das Muselmanenthum HS too Мусурманлыкта (44 Z. 11). Von den hier angeführten Wörtern müssen folgende als nur mit dem Uigurischen überein- stimmend d. В. als osttürkisch bezeichnet werden: ут (уд) «der Stier»; jour «das Pferd»; ragpau «vortrefflich»; Tögä «gross, erhaben». Alle diese Wörter habe ich nur im Kudath Bilik angetroffen. Das Wort nÿrräpai kann ich nur mit dem allein im Rabghusi auftretenden Verbum Le К,» in Zusammenhang bringen. Als speeifisch osttürkisch muss ich auch das Zeitwort äp «sein» be- zeichnen, denn es kommt ganz allein im Kudathu Bilik und im Rabghusi in allen Verbalformen vor. In dem Dshagataischen sind nur sehr wenige Formen (51, 4, »] und selten (| überge- gangen, wechseln aber in allen in der Dshagataisprache geschriebenen Büchern selbst in den ältesten, wie im Nevai mit sv] und о] ab, was darauf hindeutet, dass die letzteren Formen die von Mir-Ali-Schir in der Rede angewendete Formen waren. Wenn wir in unseren Texten nun zwar allein die Form 55| antreffen (was bei der geringen Anzahl und dem gleichmässigen 20* 156 D. Cuwouson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE Inhalte der Texte sehr verständlich ist) so dürfen wir doch nicht annehmen, dass diese Form aus der Dshagataischen Schriftsprache zu den Türken von Semirjetschie gedrungen ist. Von grammatischen Formen als mit den specifisch Uigurischen Formen übereinstimmend zu bezeichnen sind: die dritte Person des Präsens des Hülfsverb тур, die im Kudathu Bilik vorherrschend турур und seltener тур lautet, ursere Texte bieten einmal тур, einmal-rypyp. In Bezug auf die letztere Form ist zu bemerken, dass sie auch in die dshagataische Schriftsprache übergegangen ist. Als ganz allein im Uigusischen auftretende Verbalform ist aber die dritte Person des Imperativs зы — зу zu bezeichnen die wir dreimal in unseren Tetxen antreffen, in парсы, сакулзы und in ползы. Alle übrigen grammatischen Formen stimmen ausnahmslos mit den uigurischen Formen überein, wenn wir sie auch nicht als specifisch Uigurisch bezeichnen können, da sie auch in anderen Nord-Dialekten anzutreffen sind. Hier möge eine Uebersicht dieser grammatischen Formen folgen: I. Wortbildende Affixe. 1) Zur Bildung von Substantiven: ыш — in алкыш, cakpım ybI— in пашзчы Aue ‘ н— ш тузун лы — in мусурманлыЕ ka — in палка (nampa) таш — in mäyryräm, älräın. 2) Zur Bildung von Adjectiven: BIKE — in арыг (uigur.: арык) ärÿ — in yuäry. лыБ — in алкышлыв, Кутлуб (uigur.: ал- вышлыЕк, КутлуК). 3) Zur Bildung von Zeitwörtern: л— in Кырыл. - |. Formale Affixe. 1) Deklinations-Endungen a) ohne Personalaffixe : MU пын — in Адарнын (11,3 Z. 4), Tap-apcaan Ta — in мусурманлыкта, ных (48,4 Z. 4), Airapabıy (4 Z. 1) ча — in Typkyä, сакышза Ба — in чакларба лар — in аталар. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 157 b) mit Personalaffixen: ы — in ]фылы, NÄri, кун, KÜ3i, облы, Кызы ында — in ]ашынта сы — in путкарч1е1, пашчысы улн — in Jäp тучумн. ын — Ш аналарын 2) Conjugations-Endungen: ai (ты) — in äpai, 6]д1, полды, Кырылты п— in качш, бтш, äpyin -ур — in турур сун(зун) — in полсун, Калеун, ползун. мыш — in пармыш, арий Das oben aufgeführte Sprachmaterial und die Affixe unterstützen in jeder Weise die aus den phonetischen Eigenthümlichkeiten der uns vorliegenden Texte gezogenen Schlüsse. Es kommt in unseren Texten kein Wort und keine Form vor, die nicht mit den ent- sprechenden uigurischen Wörtern und Formen identisch wären. Wir haben hier einen Dialekt vor uns der dem Uigurischen sehr nahe steht, und sich nur durch geringe regelmässig auf- tretende Lauteigenthümlichkeiten von diesem unterscheidet. Da gerade diese Eigenthüm- lichkeiten auch für die Sprache des Rabghusi charakteristisch sind, und in der Dshagatai- schen Schriftsprache allgemein auftreten, so sind wir wohl berechtigt anzunehmen, dass wir im Rabghusi ein Schriftwerk besitzen, welches ‚in einer dem westlichen Zweige der alten _ Ost-Dialekte angehörigen Sprache verfasst ist und dass gerade die Schriftwerke dieses westlichen Zweiges der Ost-Dialekte sich weiter nach Westen verbreiteten und als die An- fänge der Dschagataischen Schriftsprache zu betrachten sind. Die Sprache der christlichen Türken im Tschuthale aber, wie sie uns in den hier untersuchten Grabinschriften überliefert ist, bildet ohne allen Zweifel einen integrirenden Theil dieses westlichen Zweiges der alten Ost-Dialekte. 158 D. CHwozson, Dre м GEBIETE SEMIRJETSCHIE BEILAGE IL. Zusätze und Verbesserungen. Seite 7 Text. Z. 6 von unten 1. 1.555055 stat 15555. Seite 14, № 66, Z. 4. Nach näherer Untersuchung des Steines zeigte es sich, dass [мот und nicht foi zu lesen ist; die betreffende Bemerkung р. 14, Z. 4 und 3 von re — Wo auch der Druckfehler foi statt Lion sich findet — ist daher zu streichen. Ib. № 66, 2. 51. „ statt zu. Ib. Z. 5 und 6. Die unverstiindliehen Worte es l2:ses haben nach vieler Mühe und Herumrathen ihre Erklärung gefunden. Es fiel mir nachträglich ein, dass mit jenen Worten der specielle Name des betreffenden Sonntags gemeint sein könnte, wie die Sonntage auch im Westen oft nach den an denselben gelesenen Pericopen der Evangelien benannt wurden. Ich theilte diese Vermuthung Herrn Prof. Nöldeke mit, er stimmte mir bei und meinte, dass der Sonntag dabei nach dem Anfange eines Kirchenliedes bezeichnet sein dürfte. Ich untersuchte darauf das oben p. 121 erwähnte handschriftliche nestorianische Lectionarium vom Jahre 1600 n. Chr. und fand, dass darin fast bei jedem Sonntage die Anfangsworte — oft abgekürzt — des an demselben gesungenen Kirchenliedes angegeben sind. So lauten 7. В. die Ueberschriften einiger der betreffenden Pericope wie folgt: Lo ja оДьзю5 j:000 А 15э> ,w fus; dann beim zweiten Sonntag der Ver- kündigung: 15} || o/\ssots, beim dritten: „A Й, об alas u. $. w., dann fand ich: a2; jear Aue; fac [As fnes „u fo; das Kirchenlied des sechsten-Sonn- tags des Sommers, der wohl im Monat Ab zu setzen sein dürfte, lautete somit f:Las Е. Ich vermuthe daher, dass das letzte Zeichen Z. 5 nicht {2, sondern ein verkehrt gesetztes Estrangelo 2 sei, wobei der Steinmetz die Schleife dieses Buchstaben rechts statt links angebracht hat. Wie dem aber auch sei, jedenfalls kann es keinem Zweifel unterliegen, dass 555) fes, oder К Z:bos der Anfang des Kirchenliedes sei, welches an jenen | Sonntag gesungen und wonach letzterer benannt wurde. Ib. № 66, Z. 7. Im Original steht Le» mit dem Zeichen ds Plurals, vielleicht auch AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 159 1315. Die Oberfläche der Steine sind mit kleinen Vertiefungen — so wie auch die photo- graphischen und Farben-Abdrücke mit kleinen weissen Punkten — wie besät; man kann da- her sehr oft nicht mit Sicherheit angeben, ob auf dem Originale ein diacritischer Punkt ° sich findet oder nicht. S. 18, № 75, Z. 4 1. ра statt bon. Zu Seite 21: MN: 75,3. Nach einem Originale im Besitze der moskauer archäoiogischen Gesellschaft !). a5 “or for (2 Oo 5505 aise ) ses (1 hr $ Fais (4 In dem mir vorliegenden heliographischen Abdruck sind die letzten 3 Worte der In- schrift vollkommen deutlich; da aber das Pronomen зол фот weiblich ist, wird wohl 152555 kr $ fehlerhaft statt | «Im Jahre 1575 (= ; [ASS stehen. Zu übersetzen: 1264), die Maus (d. h. das Mause-Jahr). _Grab der Gläubigen Sisaba; eine liebliche Jungfrau». Dieses ist das -S. 30 Е. Nicht № 98 (52), sondern 98,1 (163) ist auf der beiliegenden Tafel I le “graphisch reproducirt. 1) Diese Inschrift, so wie auch die oben р. 104 f. mit- getheilten undatirten Inschriften № XXXVIII—XL sind einer russisch abgefassten Abhandlung des Herrn S. S. Sluzki über die hier edirten Grabinschriften entnommen. Diese Abhandlung erschien in einem, von der «orien- talischen Commission» der moskauer archäologischen Gesellschaft herausgegebenen Sammelwerke, betietelt: Древности восточныя, 1,1, p. 3 ff., und gelangte in meine Hände als der 13. Bogen der vorliegenden Schrift schon gesetzt, aber noch nicht abgedruckt war, so dass ich die erwähnten undatirten Inschriften noch an richtiger Stelle aufnehmen kounte. Durch diese Abhandlung, über deren Werth, oder Unwerth ich mich weiter nicht aussprechen will, habe ich mich nicht veranlasst gesehen, auch nur -ein Wort in dem vorliegenden Werke zu ändern; nur Seite 124 habe ich auf Grund des mir früher unbekannt gewesenen Inschrift XXX VIII, die Zeilen 15—17 hinzuge- fügt. Russischen Lesern erlaube ich mir den Rath zu er- theilen, bei Benutzung der Abhandlung des Hrn. Sluzki zu historischen, philologischen und paläographischen Zwecken meine vorliegende Schrift zu consultiren. 160 D. Снморвом, Die 1M GEBIETE SEMIRJETSCHIE S. 38 f., № 3,5, Z. 8. Nach abermaliger Untersuchung des Steines zeigt es sich, dass die letzte Zeile dieser Inschrift doch bras zu lesen ist. 5. 54, Z. 6 von unten. Der Text die und Uebersetzung der Grabinschrift № 21,1 (150) findet sich oben in der Beilage I des Hrn. Academikers Radloff, р. 139. 5. 59, № 28 (125). Diese Inschrift ist auf Tafel II photograbhisch reprodueirt, was . ne im Texte nicht angegeben ist. Ib. Z. 2 der Inschrift ist zu lesen 15515 statt 1®.251%; ebenso ist in der Transseription mit arabischen Buchstaben Z. 2 zu lesen: ES statt Ши». Demnach ist der Anfang dieser Inschrift zu übersetzen: «Nach der Rechnung (d. h. Aera) des Fürsten Alexandros war ез» п. $. W. Е Ib. Z. 7 der Transscription ist zu lesen 1:55 statt one. Ib. Z. 3 der Uebersetzung ist zu lesen Iltasch statt Illtasch. Der Text und die Uebersetzung dieser Inschrift von Hrn. Radloff findet sich oben p. 139 f. S. 63, № 34,2. Ob die Zeilen 3 und 4 dieser Inschrift so zu übersetzen sind wie ich sie übersetzt habe, oder so wie Hr. Radloff sie pag. 140 wiedergiebt, lässt sich nicht mit Sicherheit entscheiden. S. 64, № 35. Diese Inschrift habe ich nach einer kleinen, sehr undeutlichen Photo- graphie des Hrn. Jadrinzew entziffert. Bei der archäologischen Gesellschaft in Moskau be- findet sich aber das Original dieser Inschrift, nach dem Hr. Sluzki in der oben erwähnten. Abhandlung, Taf. II, einen guten pbotographischen Abdruck mitgetheilt hat. Demnach ist diese Inschrift wie folgt zu lesen: lols aN Aies (1 [lacs] for „u aASLo (2 aoÿo1 (3 Ш oies (4 1Дазезоце pos (5. «Im Jahre tausend sechshundert und einunddreissig, das war [der Affe] — | 4. h. das Affen-Jahr. — Dieses ist das Grab der Gläubigen Ala-Köz». Nach focı ist der Name des Ebierjahres weggelassen, wie oben № 87, р. 26; № 1600, р. 34 und № 3.1, р. 36. $. 77, № 47 (103), 7. 4. Vielleicht ist hier age zu lesen. Ich muss bemerken, dass auf den Photographien und oft sogar auf den Originalen sehr häufig schwer zu erkennen ist, ob ein à sich findet, oder nicht; da eine leichte Abbröckelung des Steines auch da als ein à angesehen werden kann, wo der Steinmetz kein solches gesetzt hat. S. 80 f., № 48,4 (39) und 48,5. Den Text und die Uebersetzung dieser beiden Grab- inschriften findet man in der Beilage I, р. 140 ff. AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 161 $. 97, № УП, Z. 3.1. aasfo st. „Sao, desgleichen ist 5. 98, Z. 3 in der Tran- scription LI L. zu lesen. 3. 98, Z. Tu, 8. с 7 steht st. ДЭ $. 101, № XXI. Herr Prof. Nöldeke meint, dass {142045 = labos, Exorcista, sei, womit eine specifische priesterliche Würde bezeichnet wurde. Bei dem р. 124 ff. entworfenen Culturbilde jener Nestorianer darf natürlich der Exorcista nicht vergessen werden; denn die Existenz eines solchen Priesters zeigt, dass Exorcismus dort zum Apparat des Kirchen- dienstes gehörte. S. 106, Z. 11 ff. Text von unten. In den von Prof. I. Guidi unlängst mitgetheilten Auszügen aus den Acten der orientalischen Synoden kommen die Namen folgender Bischöfe von Merw vor: Barnabas im J. 430, ъ5>оге 485, Jüchanan 499, David 553, Gregorius 588 u. Stephanus 677; s. Z, 4. 4. m. Ges. Bd. 43, 1889, р. 412. 5. 108, Z. 7 ff., ib. Anmk. 3 und р. 110, Z. 9 ff. Neue Belege für die Existenz und den grossen Einfluss der christlichen Princessinen an den Höfen der mongolischen Fürsten, so wie auch für die Toleranz der letzteren gegen Christen, findet man in dem unlängst von Bedjan in syrischer Sprache edirten, höchst interessanten Buche, betitelt: Histoire du Patriarche Jaballaha et de Rabban Çauma; vgl. Journ. As., VIII, t. 13, 1889, р. 320, 828.11., 329, 338 u. 353. S. 108, Anınk. 7. Auch der bekannte Sinolog Jams Legge hat ein Werk über diese Inschrift edirt, betitelt: The Nestorian Monument of Hsi-an-fu (London, 1888), heraus- gegeben, worin der Verfasser entschieden die Echtheit dieses Denkmals vertheidigt. Der französische Sinolog, Hr. Cordier, sagte mir in Stockholm, dass die von mir citirte Ab- handlung von Palladji in’s Englische übersetzt worden sei. S. 109, Z. 15, 1. 906 statt 960. — Legge vermuthet (1. с., р. 47 ff.), dass schon gegen 845 eine Catastrophe gegen das Christenthum in China eingetreten sein dürfte und zwar in Folge der Intoleranz des Kaisers Wü-Tsunt gegen die fremden Religionen; vgl. bes. ib., p. 49. S. 118ff. Zu dem hier über die Verticalschrift Gesagten kann ich noch Folgendes hin- zufügen: In älteren syrischen Inschriften kommen schon neben den horizontalen Zeilen auch einzelne verticale vor. In der von Sachau edirten dreisprachigen Inschrift von Zebed aus dem Jahre 511 n. Chr. finden sich im syrischen Theile einige verticale Zeilen (s. Monatsb. der Akad. d. W. zu Berlin; Berlin 1882, die Tafel zu pag. 190). In den gleich- falls von Sachau edirten Inschriften aus Edessa finden sich in der Inschrift № 8 zwei verticale Zeilen (s. Z. 4. 4. m. G., Bd. 36, Taf. I,s). Von den Inschriften aus Karjeten sagt Sachau, dass sie «von oben nach unten» laufen (s. ib. Bd. 38, pag. 543 und dazu die Tafel. Pognon fand auch auf einem Grabmonument aus Palmyra zwei In- schriften, von denen die eine, aus zwei Zeilen bestehend und in eigenthümlicher Schrift Mémoires de l'Acad. Imp. 4. sc. VII Série. 21 162 D. Cawozson, Dre тм GEBIETE SEMIRJETSCHIE abgefasst, eine verticale Richtung hat (s. J. Аз., VII t. 3, 1884, р. 559; vgl. ib. VIII t. 13, 1889, р. 397, Anmk. 1). Prof. D. H. Müller sagt in seiner neuesten Schrift: Epigraphische Denkmäler aus Arabien (Wien, 1889, pag. 6) von den Inschriften, die er protoarabische nennt, dass unter ihnen «sehr viele Inschriften mit verticaler Richtung» sich finden. Dass Nestorianer noch im XVII., oder vielleicht gar im XVIII. Jahrhundert noch die Gewohnheit hatten vertical zu schreiben, ersieht man aus folgendem Umstand. Am Schlusse des oben erwähnten nestorianischen Lectionariums vom Jahre 1600 п. Chr. befindet sich ein ziemlich neues leeres Blatt, auf dem drei Abbildungen von äusserst primitiver Kunst — den Kunstproducten dreijähriger Knaben ähnlich — hingepinselt sind. Oben auf der Breitseite des Blattes befindet sich das Bild Christi, unten sind die Bilder der Apostel Petrus und Thomas hingemalt. Alle Beischriften zu diesen Bildern sind vertical geschrieben; die zu den Bildern der Apostel sind an der Seite angebracht, die zum Bilde Christi befindet sich unter den Füssen in zwei verticalen Zeilen und lautet: fais sası ‚>. Der Maler hatte die Absicht, oben rechts und links vom Bilde Christi noch zwei Abbildungen anzubringen, hat aber die Ausführung unterlassen und begnügte sich damit, die Beischriften zu den be- absichtigten Bildern hinzuschreiben und schrieb sie gleichfalls vertical. Diese ganze Pinselei mit den verticalen Beischriften kann höchstens aus dem XVII. Jahrh. herstammen, stammt aber höchst wahrscheinlich erst aus dem XVIII. Jahrh. her. S. 122, Z. 13 ff. Es ist hier darauf hingewiesen worden, dass das Geschlecht des Pro- nomens vor dem männlichen 1:55 männlich ist: озол, oder {101, wenn der Grabstein einer männlichen, und weiblich: „o1 por, зал 501 und 01, wenn derselbe einer weiblichen Person gewidmetist. Prof. D. H. Müller machte mich in Stockholm auf einen ähnlichen, wenn auch nicht ganz analogen Fall aufmerksam. In phönieischen, südarabischen und palmyrenischen Inschriften, die neben oder unter einer menschlichen Abbildung angebracht sind, wird nämlich der Ausdruck 59, 89% und 55% gebraucht, wenn dieselbe eine männliche, dagegen nouvo, Mabx und sNHb%, wenn sie eine weibliche Person darstellt; s. D. H. Müller, Epigr. Denkmäler aus Arabien, р. 71, die Bemerkung zu № 22,1. $. 124, Z. 16. 1. № XXX VIII statt XXX VII. $. 128, И. 12, Text у. unten. 1. „Dass u. Rn st. a Sois u. vl. 5. 128, Z. 15 ff. Andere Eulogien finden sich in den oben von Hrn. Radloff mitgetheilten türkischen Inschriften, № 48,4 u. 5, р. 140 ff. S. 129, Z. 12. In der oben erwähnten, syrisch abgefassten Geschichte des Patriarchen Jahballaha und Rabban Saumä ist oft von christlichen hohen Würdenträgern im Reiche der Mongolen die Rede. Zwei Christen, Namens Konboga und Iboga waren Schwiegersöhne des Kublai-Chan und Gouverneure von Koschang (wohl Kung-Tschang), zwischen Peking und Tangut, wo auch viele Christen lebten (р. 13 f., vgl. J. As., 1. с., р. 315 f.). An einer AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 163 andern Stelle ist von einem gewissen Jaschmut die Rede, der Gouverneur von Mossul war und sogar dem geistlichen Stande angehörte (J. As., p. 319). Der Emir Iringin, ein Christ, war Schwiegersohn des A’hmed-chân, des Sohnes von Hulagu und Schwiegervater des Olgaitu. Sein Vater, seine Mutter und seine früheren Frauen bekannten sich zur christlichen Religion und waren in der Kirche des Mar-Schalitä begraben (J. As., 1. с., р. 353). Der christliche Stamm der Kajtschie bildete eine besondere Truppenabtheilung in der mon- golischen Armee und wurde höchst wahrscheinlich von christlichen Anführern commandirt ` (5. ib., pag. 331). Marco Polo (ed. Yule, II, р. 161) spricht auch von einem, von Kublai-Chan im Jahre 1278 ernannten christlichen Gouverneur, Namens Sargis (Sergius) für die Provinz Chiang-sü, wo derselbe auch einige Kirchen erbaut hat. 164 D. Cuwouson, Die ım GEBIETE SEMIRJETSCHIE R BEILAGE I. Die Quellen und Denkmäler, nach denen Prof. Julius Euting die beiliegende Schrifttafel ausgearbeitet hat!) Col. 1, Mescha, nach Socin und Smend, Die Inschrift des Kön. Mescha von Moab. » 2, nach Corpus Inser. semit., I,ı, р. 22 ff. Pl. № IV; von Renan unter Phönicien eingereiht (Weihinschrift an den Baal Lebanon). À » 3, Siloah, nach Papierabkl. und nach Paläograph. Society, Oriental Series, PI. | № LXXX VII. » 4, nach Kirchhoff, Gesch. des griech. Alph. (4. ausg.). | » 5, Stele im Berliner Mus.; kann erst später nach erfolgter Publication durch | das Orient-Comite eingetragen werden. » 6, Pondera assyriaca et babylon., Brit. Mus.; nach Gipsabgüssen und nach Corpus Inser. Semit. II?). » 7,im Brit. Mus.; nach Gipsabgüssen und nach С. I. S., II. » 8, nach de Vogüé, Mélanges archéologiques orientales, M. A. Levy, Siegel und Gemmen und Clermont-Ganneau, Sceaux et cachets. » 9, 10, nach Pap. Abklatsch у. J. Euting; vgl. Nöldeke in den Sitzungsber. der Berl. Akad., 1884 p. 813 ff. » 11, Berlin. Mus.; nach Euting bei Lepsius, Zeitschr. f. egypt. Spr. u. Alterth.- Wiss., ХУ, p. 127 ff; cf. С. I. S., Па. Pal. Soc, О. В. Pl. LXIH. » 12, Stele im Vatic.; nach С. I. S., П., Serapeum (Louvre) nach Pap.-Abkl. » 13, Stele v. Carpentras; nach einer für mich с. 1875 eigens angefertigten Photogr. » 14, Pap. Louvre, nach Bargès, Papyrus égypt.-aram. du Louvre, Paris, 1862. 1) Dieses Verzeichniss hat Prof. Euting auf der | geben. In den meisten Fällen habe ich das bei ihm Reise nach dem Orient nach dem Gedächtniss und ohne | Fehlende oder Unrichtige, so weit es mir möglich war, literarische Hilfsmittel bei der Hand gehabt zu haben, | ergänzt und berichtigt. zusammengestellt; er hat daher manche von ihm benutzte 2) Der II. Bd. des C. I. S. ist mir nicht zugänglich. Quelle nicht vollständig, zuweilen auch unrichtig ange- AUFGEFUNDENEN SYRISCHEN GRABINSCHRIFTEN. 165 Col. 15, Pap. Lond. Blacas; nach Paläogr. Soc., Or. Series Pl. ХХУ u. XXVI. 16, Pap. Vatic. a. nach de Vogüé, Inser. sémit Pl. 16; b. nach J. Euting, Epigr. Misc. = Sitzgsber. der Berl. Akad., 1885, р. 671 f., Taf. УГ, № 3. 17, Pap. Turin; nach Lenormant, Essai sur la propagation de l’alphab. phénic. PI. XI, Col. 2 u. Pl. XIX. 18, Berolin. nach Lepsius, Denkmäler, Band VI, 124. 19, Bulak; nach J. Euting, Epigr. Misc. — Sitzgsber. der Berl. Akad. 1885, 670, Taf. VI, №2. 20, Ostracon Elephantinense (Berlin. Mus.). 21, nach de Vogüé, Inscr. semit., № 30, 22, nach Pap.-Abkl. (cf. Levy, Z. D. M. G., Band 18, 1864, р. 71 ff. u. Taf. I, 3). 23, nach Chwolson, Mél. asiat., t. УП, 1875. 24, nach Paläogr. Soc. Orient. Series Pl. LXXV. 25, nach Pap.-Abklatsch (cf. Abamelek-Lazarus, Пальмира, Pl. I, Пи. У). 26, nach Pap.-Abkl. (cf. Levy, Z. D. M. G., 1. с. р. 69 ff., Taf. I, 1 u. 2). 27—29, nach de Vogüé, Inser. sémitiques, р. 17 ff. u.p. 21, PI. III, K 15 u. 18. 30, nach W. Wright, Note on a bilingual inser. . . . found at South Shields. 31, nach D. H. Müller, Sitzgsber. der phil.-hist. Cl. der Kaiserl. Akad. der Wiss. 1885, р. 973 ff. 32 u. 35, nach Pap.-Abkl.; 3. Simonsen, Sculpt. et Inser. de Palmyre à la glyp- _ tothèque de Му Carlsberg, Kopenh., 1889. 33 u. 34, nach J. Euting, Epigr. Misc. = Sitzgsber. der Berl. Akad., 1885, р. 671 Е. Taf. VII, № 5 u. 6. 36, nach Pap.-Abkl.; cf. Levy, Z. D. M. G. Band 18, р. 99 ff., № XVI. 37, nach Pap.-Abkl.; cf. Levy, ib., р. 101 ff., № XVII. 38, nach Pap.-Abkl. u. Fabiani, Nuovo inscrizione bilingue . . . del Campidoglio, in Bull. della Com. Archeol. Comunale di Roma, 1878. 39, nach J. Euting, Ep. Misc; s. Sitzgsber. der Berl. Akad., 1885, р. 675, Taf. VIII, № 17—21; vel. Vogüé, Inser. sem., р. 49 u. Pl. У, № 68, u. | Mordtmann, Neue beitr. zur Kunde Palmyra’s. p. 28. 40—46, nach de Vogüé, Inser. sémit., р. 54 ff., № 75 ff. 47, nach J. Euting, Nabat, Inschr. aus Arabien. Berlin, 1885. 48, nach Papier-Abkl.; cf. Renan, Journ. as., XI, 1868, р. 538 u. Gildemeister. 2. D. M. G., Bd. 23, 1869, р. 150 ff. 49, Dumer nach Sachau, Z. D. M. G., Bd. 38, 1884, р. 535 ff. 50, Grey, Insers. from the Wady Mokatteb, Transactions of the Royal Soc. of Liter. I. t. II, № 83. 51, 52 u. 53, nach Zeichnung v. J. Euting. 21% 166 1) Diese Col. hat J. Euting leer gelassen. . 54, Zebed nach Sachau, Monatsber. d. Berl. Akad., 1881, р. 169 ff; vgl. Z. D. CHwozson, DIE тм GEBIETE SEMIRJ. AUFGEF. SYR. GRABINSCHR. D. M. G., Bd. 36, 1882, p. 545 ff. 55, nach de Vogüé, Inscr. semit.p. 117 f. und Schröder, Z. D. М. С. Bd. 38, 1884, p. 530 ff. Taf. I. 56, [Paläogr. Soc. Orient. Ser. PI. IV. u. Z. D. M. G., Bd. 34, 1880, р. 685 #.] *). 57—60 nach J. Euting, 3 Tafeln des Pehlevi-Zendalphabets (Kuhn, Zeitschr. f. vergl. Sprachforsch., Bd. 24, 1879). 61, nach Waddington, Melang. de numism. et de philol., p. 59 ff. 62, nach J. P. Six, Monnaies d’Hierapolis, Numismatic Chronicle, vol. XVII, 1878, р. 109 63, nach J. Р. N. Land, Anecdota syriaca, Pars I. Tab. В. 2— 10. 64, nach Е. Drouin, Revue numismatique, Ш, t. 7, 1889, р. 211 ff., Pl. V—VIL. 65, nach Facsimiles von J. Euting. 66, Sarcophag Louvre, nach Pap.-Abkl.; cf. С. I. S., IL. 67, nach М. А. Levy, Siegel und Gemmen, р. 51 f., Taf. Ш, und Mordtmann, 7. D: M::G., Ва: 18,1864, pP. 50.2. Taf. УГ 68, 69, 71, nach Sachau, Z. D. М. G., Bd. 36, 142 ff. 70, nach Paläogr. Society, Or. Series, PI. XI. 72, nach Euting, Epigr. Mise. = Sitzgsber. der Berl. Akad., 1885 [?]. 73, nach W. Wright, Cat. of the Буг. Mss. in the Br. Mus. PI. IV. 74, nach Sachau, Monatsber. d. Ak. d. W. in Berl. 1882, Taf. zu p. 190 u. Z. D. M. G., Bd. 35, р. 530 f., Bd. 36, р. 345 ff. 75—77, 80 u. 81, nach Land, Anecdota syriaca, Pars IV, У, Tab. I— VIII. 78, 79 u. 82. nach W. Wright, Cat. of the Syr. Mss. in the Brit. Mus., Pl. ХУШ, хх, ХХ. 83, inedita nach Zeichng у. J. Euting, 1889. 84—85, W. Wright, Cat of the Буг. Mss., Pl. У, VI. 86, nach Durchzeichng. v. J. Euting, auf der Bibliothèque nationale zu Paris. 87—90, 92, 93 u. 94, nach W. Wright, Cat. of the Буг. Mss., Pl. УШ, IX, XII, XIV, XV, ХУ. 91, nach modernen Privatbriefen im Besitz von J. E. 95, 96, nach D. Chwolson; vgl. oben р. II. wi à Е “ г у : 2 ” | À Su у, à > D. CHwozson, Die Im GEBIRTE SEMIRJ. AUFGEF. SYR. GRABINSCHR. 167 BEILAGE IV. Fernere Nachträge und Verbesserungen. Herr Professor Chwolson hat bei seiner Anwesenheit in Moskau im Museum der _ Archäologischen Gesellschaft den Originalstein des photographischen Abdruckes № 148,5 vorgefunden und mir folgende von ihm verfertigte Abschrift zugestellt: sin K woman (1 too Jef 105 DK tits (2 {ao a 15502 a] (3 Ares ee? ца ae eos Aie" af (4 za 0e Arte ARE ma, tee (5 «site œuie loser (6 es ala con _ 9) Zeile 8 bei Ihnen (oben р. 141) existirt nicht. iQ Re ов Е а а, _8) Unsicher, vielleicht (as, can, р. 4) M'A la zu lesen. | =>. |2 aa] carla? u am moi (9 1) Kein 5 zu sehen. lsas Е» цы 2520902 <> = (10 lo Lei ©2555 [Зе ДЗ ро ei (11 % Ich erlaube mir in Betreff der hier aufgeführten Varianten Folgendes zu bemerken: 1) Das Zeile 3 aufgeführte fAsof deutet darauf hin, dass bei den Türken von Semi- Be rjetschie vielleicht schon für yr Stier auch yi im Gebrauche war, ist dies der Fall, so wäre | {of als Locativ aufzufassen, vielleicht ist aber hier auch nur eine fehlerhafte авы в Мо. 168 D. Cuwouson, Die ım GEBIETE SEMIRJ. AUFGEF. SYR. GRABINRCHR. 2) Zu Anfang der Zeile 4 liest Herr Prof. Chwolson ala offenbar = табы «noch». 3) Ist Zeile 5 richtig gelesen, so ist der Name des Amtes rÿmäx-Hig nyrkigiei, 4. h. der Bütkitschi des Tümen (Districtes), vielleicht ist statt nyrkiyi hier nirkiai «Schreiber» zu lesen. 4) An Stelle des auffallenden {2122 ist gewiss hier richtig sta Les Каша нын «des Priesters». Dies beweist aber, dass unbedingt Zeile 7 13 25 кун-н! statt кун! «sein Tag» steht, und dass die Lesung 15.1 ‚02 fehlerhaft ist. _ 5) Die letzten Worte der Zeile 8 und 10 bleiben unklar. 6) 225] für @aof (Z. 9) ist natürlich besser, denn äprin heisst ja «vorüberziehend». | W. В. Zu р. 49 № 16,1. Im Museum der Moskauer archäolog. Gesellschaft fand ich folgende, mir vorher unbekannte Grabinschrift: № 16,2. [ass [AS | 0,00 o1o1 | Бо» Да | [обл каза | jols = {ie «Im Jahre tausend sechshundert siebzehn, 4. 1. das Schlangen-Jahr. Dieses ist das Grab des Gläubigen Elias». Zu p. 51, M 18. Das Original dieser Grabinschrift befindet sich in dem obenerwähnten Museum, № с. — Z. 5 ist der Eigennamen vielleicht So, Julita, zu lesen. Zu р. 55, № 27. Das Original ebendaselbst № 3. Zu р. 81, № 48,5. In demselben Museum befindet sich folgende Grabinschrift (№ 8): № 48,6 | one зоол | 301] Aufojaz | $02 Да | Jocı (sic) [24252 >55) | {2Аэ aS Ars Arco Jazal «Im Jahre tausend sechshundert achtundvierzig, d. i. das Stier-Jahr, türkisch ud (der Stier). Dieses ist das Grab der Gläubigen Kutuk». Гир. 85. In dem erwähnten Mus. fand ich folgende Grabinschrift: № 49,13 | aN Ares Ast Fi JSS | 2305 ons arcı | 54-5 51.5504 far | Aus focı {592 | >55 [Дэ р 43205 «Im Jahre tausend sechshundert neunundvierzig, 4. 1. das Tiger-Jahr, türkisch pars (der Tiger). Dieses ist das Grab des Jünglings Jüchanan (Johannes). Er starb an der Pest». Diese Inschrift ist somit die vierte, in der von der Pest in den Jahren 1338—39 die Rede ist; vgl. oben № 49; 49,11 u. 50,16, р. 81. 84 u. 89. Zu p.89,N50,16. DasOriginal dieser Inschrift findet sich in dem oben erwähnten Museum. Zu p. 95 ff. Ausser den oben mitgetheilten Inschriften habe ich noch folgende zwei undatirte Grabinschriften gefunden: № XLI. 14.52 Do | a2 „cr |301 | {550% Ares «Im Pferde-Jahre. Dieses ist das Grab des jungen Mädchens Helija». Das à im Namen ist unsicher. № XLI. f{Aaitmors fout 0,25 ao for «Dieses ist das Grab der Gläubigen Mirjam» (Marie). Die Zeilen dieser Inschrift sind angeordnet wie die № XI. D. Chw. ro eme 2 3 и = & Fa x — . 1 à ER 4 = LA \ } | Р ` = ; “ и: — Mem. de l'Aead. Imp. des Se. de St. Petersbourg. Ser. VII. > op 4 CT Pomomunia Dita Cole € binsehrilten. af I. J Pad he 6 3 J U D. Chwolson, Svrist * A, = N 57 0 onchaa une) Мен. de l'Aead. Пир. des Se. de St. Petersbourg. Ser. УП. D. Chwolson, Syrisehe Grabinsehrifien. af | „aber ) A v мт |! Мет. de l'Aead. Imp. des Se. de St. Petersbourg. Ser. VI. = ar m Фотопимия © Cac Edle |. тат. 1 A в ften. Tai ПР abinsc à | JP Syrisehe ( | hwolson, ) ale с 5 р дбетеКая un e\97 2 — Lee ET LCR О LL Mem. de l'Aead. Пир. des Se. de St. Petersbourg. Ser. VII. D. Chwolson, Syrisehe Grabinsehriften. Taf. Il Fa SE ь TE Le 4 Lg р un : # = м И г и р . A . : * À ы x = ’ . | . о ой , < \ N | + L - . О À ’ . t = й x ————- ь x | “ ' ` ! - x Е ‘ \ » CI |. Sep. УП. tersboure a Мет. de l'Acad. Imp. des Se. de St. Ре ® 3 Я x 2 [7 NLOTTEUAUA à Po = D. Chwolson, Syrisehe Grabinsehriften. 1: 59 о ы Кая use acemel 2 4 © - D. Chwolson, Syrisehe Grabinsehriften. Tat. ll Mem. de l'Aead. Imp. des Se. de St. Petersbourg Ser. УП. u & Pit NS | =— ка u | о A TA BU LA ТОТО POUR ВА M À | CAE. . | \ | delineata а Julio Eutin ; | | | | phon. | hebr|græc|. assyro- aramaica (babylon.), Е &gyplo -aramaica Аборт, gene ae IE ae Bi: En. | yes, à. | | | | | en 2 ee we u : a a ь = 5 = a Bar 5 = Ч AS | j See | UN ETES l25kc| c\e100p0 a Chr — с® 007. ir See 2р.С. оз kr. Op 21. .c| sine dato (100 - 500'p.Chr. ra.) Sinai 512,615 685 «750 lasse PTS Es 147300: 14/3002 VE 59.1 723 РР = - _ |юазто -зут. | ка | = = — — = = 2 = z т Seren = = ai A É - ie г - = |. ni = il ры Е. en a. Bei aaa or ‚open mn Pre ol 2 ee | BER: Le = р Be) и я Le SEE Ip 1 ый 3 2 р De Po an az © er a a, Fe 2 a eg ni €: - | 2 En = ce ne 2 D} ‘ ö Je — те о 1 ER à les Петли. lens ne un Е . Fe =. 2 A “ lern, le | ео : IE 2. 52 a ne 29 С 2 er 7 2 F 8 2 о © 2 о Е 2) = = © = GE KA BR NA 790. 366 290 = bar jo Le, VER] #0 eee 2 Е ar 2 не 74 AE i в. А | ie T = === EX | | = = x | x = ag A I Re al In x N | од SG 559 aid 559 LK Tea N IM д \ KR 12 RES | = £a LS a za ee. La oO €. ie zu SERIE N Er re en MES ER Ps | ор ue | _ Er ХХХ | À PET ЕЕ АВЕ Ех ter in r + NU DE NA | nl | x | | | те: o RES SIEHE обо НИЯ EA ur sc 6 & << SVT Ed 321 QUES 1/1. CE Da ЕЕ 5%х Art оо oa < ae a 2222 А. 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ER Le > м Senn ax 172. 2 >> ва an а | = lub >, a ee о №, А ET gomme ne | ROCHE Ben. | а | (re D ASE Я | 1 | | te 2 s RH (eis: m кк ER } | = Se EA 2 2 ee a N EN ES 2% 11772 >71 92а HAS $32. » +4 ар, и АВР = За а AAAnK A AAA ANA < мА АЯ Я An a) АА AA LE A | D AAA SNA SE EEE EE An № na Zi Fast ann р A AN NA ТАЗ EN a DES LE а Isa ns an an lm on | EN nen este or le | | | Le. dE = D = ‚ | | | | ee ne с es l a er a Fra dr 2 | | ar 3 Se m па лет mm mm. Dow. эха vmno © 07 вазе о) jus | mnwrapl.sterotinmane managen drevrnron BEE en NEE Zu er wen | “mm Ума fm om PAST mr A 99 т В 522 22 т м Rat 7 Mamma à ja un 44 1 м ie NT | à ИЯ AS '949-|5-9. se 977 ПАВ ПТ LS mals Lu о М nono een oa Ka LACS | | | ah РО. 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Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: М. Eggers & (0 et J.Glasounof. M. N. Kymmel. Voss’ Sortiment (Haessel). Prix: 30 Cop. — 1 Mark. ; ‚gi A AE u # ЙЕ: 5 т # и Ba on ; $ $ 5 Bit : ARS D: 4 #2 N h » F4 OHR - 3 LE + $ a 3 1 1 . \ AE 4 N x À } . \ à . ’ Я: у ы x FIR # x ЕТ р Br “or y 2 CEE 2. Ï р р re . у MÉMOIRES L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VIF SERIE. Томе ХХХУП, N° 9. MÉMOIRE SUR LA TRANSFORINTION DES SERIES PEU CONVERGENTES EN SERIES TRÈS CONVERGENTES, PAR |. André Warkoff. в (Lu le 13 février 1890.) x м в OF СОМА : О О @ ANDERE LIT О NOEL D AA) —20 9% 00— IS 3 о / x 7 Sr.-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.-Petersbourg: à Riga: à Leipzig: _М. Eggers & CP et J. Glasounof. М. М. Kymmel. Voss’ Sortiment (Haessel). Prix: 30 Cop. — 1 Mark. Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. у Ч а À # Е = $ & ; + 7 р # Tr? 7 > Г € 2 st April 1890. a FAIRE ES И Re A.S р f N f $ > ‹ т | Re 1 т je, - ch N 4 bi Fi \ 2% 4 LA 23 | Е - АЯ u ï > “ 4 * у = A 4 \ LA 4 rs, 7 I} . > 2 С и : +2 a с, v3 À M Tas “x ‘ S р ] Rat 2 ur р 02 7 FH : Е о : F Fey ae - Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. Vass.-Ostr., 9 ligne, № 12. 2 в = 3 Rappelons ed la proposition facile à déduire par la considération d’une. somme double: QE a ji: Si deux fonctions Е FU ee EN Е И. о: Е в, HU at + Doi Di [- lon ee noter no] 2 1), ee. Un u ke re А u) * | Dans tous les cas, dont il s’agit dans ce mémoire, les séries Ti бу бл о бы Une | 7 Уно» V,05 Va, wear 1,09 V0)... LA in, er, eV, ааа eV, ndent vers zéro, quand 2 et 7 augmentent indéfiniment. _ Cela posé, la formule (2) donnera Boon Du Dot + Das = Pont Pret Viet PT) 5 2. En désignant par < а о ЮР: “Mémoires de l'Acad. Imp. 4. sc. VII Série. 2 ,. Anpré MARKOFF, MÉMOIRE SUR LA TRANSFORMATION = les nombres donnés, cherchons les trois fonctions 4,; B ©» С. d’une variable x telles, que les expressions — (p—D(pg— 1... we Nam Bag RT Не Us = DPI ET) 0 Vas = Ах Ua, pe satisfont à la condition (1). | YA Dans ce cas la condition (1) est équivalente à la suivante se — N А „(04 РА ДЕН "-(В,+0 re Mode -D-(B,+0, „u.“ ng ng "qui se réduit à son tour aux trois équations А, =(79”—24 “ЭВ, ,; Anl" 90, Las А, = (98, {pat pi 90, NES On déduit de là les formules | | HN ONE SERRES __ pa ; de (pe — p)g® +14 TE 3 3 3 у B,= р’? в ба (vg? — pt) (POTT — pt) Аз = pi 4% в UT NU. Dar (р'4? — a — dt ’ Ran Мат ee Az a: td — p) (2/9 — D)... WEIN. EI Ce À ua A Fe TRE Г (2' ml — pt)... (pi? — pt) (р Fe и 2 Si les modules de = et de pi sont moindre que l’unité, on peut appliquer à nos expressions U, , et V, , la formule (3), de sorte qu’on aura de ; ; p—1 ee ee ‚ (p—p)at $ и (nd, Inn FH bep [р p'q — pt Я (р'— 1) 9—9 94°: {р CEE ICE Cents DIE Dis у о. : a Il est bon d’observer que, lorsque rn ou = est égal à un des termes de la progression. 2 géométrique о ei ‚ 4» 4. ÿ Р] ре ея RE 15 У к 1 & A po, EDEN: 2 BZ (pq — 1) a ru wagen = MD Hi (p°— 1)(p'q — 1) LE (pa = D PE — + ee p—1 (p — 1) (pq — 1) м 1) (24 — 1 (29°—1) 6 5 one. ; Е ТОМ (р’— 1) (p'a — 1)(p'g° — 1) qu +, (p’ ) (р al, pa—1 Па er pi pit je г res l Е Pr 2e is RATE) DES SERIES PEU CONVERGENTES EN SERIES TRÈS CONVERGENTES. 3 | Par les considérations semblables aux précédentes il est facile d'obtenir aussi la formule I PD) HUE (ou ОН ве Te: q—1) (CS ПО) (pP — p'— p)p'at Pre (р'— р) (p'a — p) pete. Ke, st Fur) (p'— pt) (p'q — pt) (р =) Be — pt) (p/g — pt) (pP? — pt) Ri (p'— р) Wa — p) (p'@ — p) разв (5): (p'—1) pa —1) P'? —1) (p'— pt) (p'a UT EU LMD EE SE Рут р à ce but il suffit de poser Pre ФИ... wer) z DONE — Dar W'—1) DIV... warn dot et pee = TR à _. Les séries, qui forment les seconds membres des formules (4) et (5) sont plus compli- quées que la série 2-1 Bla) , D gr b wow ZN ORDRE mais aussi plus convergentes. Dans le cas de p—pq la formule (4) nous donne - Lun NE e точь Е 29-Е о pg —1 pds — 1 A PE fe (à —1)t | — (4 — 1) gt | |. NE | FENETRE p(q? — t) (р—1) (pq —1) (g? — t) (43 —t)p 24 (gt — t) a-V@—Det { LE ВИ }— (6) Du (pq —1) (po? —1) (8—9 (g* — +) (92—92 pq? (98 — t) BEER PEN © NT 2 Pour отит une Е numérique posons | te pe 10 pe A0. En calculant Y + ен Miele jo Re ee Da! 2—9 1—5 (1— %) 620 0,2126984126. р и pie ar | BR N {1 CDI eur LE mur none au moyen de la formule (6) pour la somme ie 59 2559 la valeur approchée - | 0, 91269841 — 0, 00012566 — 0, a | à moins Е : a 1* NN À ERS о SEM Er я ER er Sr о: т RT N 4 | ANDRE MARKOFF, MÉMOIRE SUR LA TRANSFORMATION | . Pour obtenir le même resultat au moyen de la formule (5) il faut calculer . u — 0,2299292292.. (@—t)(q—t) 9 | м =) ge ee = on. ee a a 819 = — о (4—1) (9—1 98 8.20 3a, Dr 1) 0—0 9—94—59(—9 819 1643 о = FENDER —8 20 3 NENNEN FE IT (4—9 819 1643 9017. — = SAONE ces $3. Posons #2 Rt — 1)(rg —1)... (rg? 1 —1) (r—1) (rg —1)... (rg? TI —1) 4? A 2 (s—1)(s9 —).. (sg F2—1—71)(s—1)(s"g —1)...g Fr?) “x у Bot 0297 * 77: с ee 7 Е . Dans ce cas la condition (1) est équivalente à la suivante is А, (sq T +2 —1) (ea T+2 —1) —4,,; ee (B, 2 Coq ) (sg — de T+2 1 1) ОР вое — 1$ qui зе réduit aux trois équations ss’q A, = (ssq”—ırg)B, (8+5)9 4, =|(8+3)9°— (--/)а} В,— (339 2,0, A, — А, = (1—9 В,— { (6-5) 9” АИ Fe On tirera de ces équations: Re ом ВЕН ни) B, ss ge — rr! À, » Co (s8 QT — 1 — 9") (85/972 — тт’) À} (347 — 7) (59° — 7°) (sg? — ») (99° — 1!) le TEE) Le Si maintenant les modules de + et de 2 sont moindre que l’unité on net SR à nos expressions U, , et V, „la formule Eu en sorte qu’on aura {r —1) (п и 1) ("94 — 1) (r—1) (r’g —1) 1 (s — 1) 8—1) Mer (8 —1) (59 — 1) (#—1) (sg — 1) (В SZ 9 0700 0401 0 125 1 es T(s+s)—(r+7r)ss т В a Get nn / rr'(s +8) — (r + r’)ss’q = mn ein Rent ee DES SERIES PEU CONVERGENTES EN SERIES TRÈS CONVERGENTES. - 5 La formule (7) est une généralisation de la formule de M. Schellbach (Ueber Mecha- nische Quadratur, 2. Auflage, 1884) Er aa a(a+1)a (a1) a (a +1) (a + 2) a (a’/-+1) (a/+ 2) 1 бе e(e +1) c’(c+1) c(e+1) (c + 2) d (+1) (c' +2) - (c+c'—a—1)(c+c— di Merle ie) (e+0—a— d—]1)(+-d—a—a) Rz (e — a) (ce — a!) (c'— a) (c'— a!) ! (ce + ed — a-+1) (+ ed — +1) — cc’ } - ао. ce’ (+ '—а—а—1) (+ c— a— а’) (е+е—а—а-1) (c+c— a — a'+2) + Or plusieurs cas particuliers de la formule de M. Schellbach étaient trouvés et appliqués au calcul des sommes des séries peu convergentes par Stirling dans son mémoire célèbre «Methodus differentialis: sive tractatus de summatione et interpolatione serierum infinitarum». + | Pour déduire la formule de M. Schellbach de notre formule (7) il suffit de poser a 4 a! (4 / c ar r=g,7r—0,8—g,3=4,9—-1re _ её ensuite faire tendre = vers zéro. En appliquant la formule (7) au cas où s—rq et s— ra, on aura Terrain и ee m re) Etsi lon pose r—r', la formule (8) donne ; ap Fe ee a El tar 21 RAT I QE Or CRE PTE (9). Soient par exemple R—=10, r=20,9—4. Alors en calculant | 1—2 4 = во = 0,01580247... ен 2686 gg Frag) — 3939682550 — 0,00001480... 6 ANDRE MARKOFF, MÉMOIRE SUR LA TRANSFORMATION nous trouvons au moyen de la formule (9) pour la somme: 1 4 16 64 À О CPS 1607 70 eur Rae ое la valeur approchée Pre Er ae | Е 0,01580247 + 0,00001480 = 0,01581727 — | FN à moins de mp“ | Et en calculant = = — erh a | 1. q2 MT NN er 2:48 АЕ PRES HE к, (4—1) eg —1) (4 —1) fiston) и a HS nous trouvons au moyen de la formule (8) pour la somme | а 16 | 64 м аи 919 * 3979 " 15919 * 6391279 `°°° ие. | la valeur approchée u 5 a x 0,00584795 + 0,00171805 = 0,0075660 se В. à moins de nn a | | ie en ne A er $4. Posons maintenant Venere (a + 2 —1) (a? — ne .$(a+2— 1)? — 12 у. Ur 56-5) RE (b+2+2—1) (62 — 12) {b +1) RO + x +2 — 2 — ти, +B, À Е Cry +Dyi+Fye? ® Re | Be ah . War a Ho nn г FA RAT STERNE 3 | 3 Dans ce cas la condition (1) se réduit à celle-ci - О м | se (A, + Be) b+z+e) [ba 2? MW} — A, 1 — Bun? = “ee À ; =(C, + D,2+ Е.) b+z+e |b+ 2 +? — 1) ar О-о, (@+1)-+F (+1) \(a+2) { (a+ 2? —M Fe qui est équivalente à cinq équations. | RE - En introduisant les variables nouvelles 22 =2-на, =b—a+% et en faisant pour abreger Ÿ Li =, a DE 4, Re B,a = 2, ? Lio: D,a -+P,a —=(, ’ D, ER 2F a Fe р. 7 4% 2 Be nous obtenons een ET НЫ 4 H (+ Ва) ща) |@, +2) ir. —B Der Fe (C,+ О’ г, Вл) (а 2) {+ 2) —} — io, De "(2 HR (>. y}: 21 Gr "—й 8 = Le % Na a er x He % DES SERIES PEU CONVERGENTES EN SERIES TRÈS CONVERGENTES. 7 De là on tirera d’abord | | BnF, Ay 3uB,= (6m, —1)D,+ (UF, A = — a, +) (4, —C!) | | Янов ща Но, СВ | A MB, = — 21) (x —h)a, { 4, —C,—h(B,—D',)—WE,} : ensuite | | | u, — (62? — 62, +1)F, 3(4,—0/,)=32,(D,— B,)+(@’+2W)E, — 3, D,— (80° 62, — 2W)F, = (3%, Е, 2 55%) { 2 В) Huf, = El = 2, (2) — ©) {20 — (2, —4)F, } ae 3 +1 г р Toner lo — ба ЭП pp баба #1) о Е, 2e (re — 18) pen о 10—15 +6 — 402 m — В +1 (22, — 1) et enfin a7 ne 2 (an? — 12) (m? — 412) (m +1) { Hl?) :F er 3 (30, + 2) (8x1 +4) ® - ta DIE / 2__ 1022-15 (а—Па + 6(a —1)? — 412 Ga +1) Ca à —1) ее F, + a 2-18) VAE Во 6 (62 — 12 Bear в 124 @: DE). ат)... + Пень... а+г—12—№} | 6+1... -+2—100—№ 6 1) — A2}... Oz} (4, + Be) Е о ne A VOD 0-5 D@- OP =: ° En nous arretant au cas de PB, = 0 et en supposant, que la partie réelle de b— а est plus grande que +, nous aurons - $ Я ANDRE MARKOFF,. MÉMOIRE SUR LA TRANSFORMATION 1 a a — 72 Е а-1 a? — h? (a +1)? — h | pb bd № me b b +1 Dh? ее : == & Besse Ро Cı C ven * 56+ 02— FO RTS С, Чо + se déterminent par les formules 0=R=R=-R=Hh=.... 25 (52 — #2) À В, Е = 9-1 (85 +1) о. Е АЕ Е, с — ево О ne a р — 6+1) LE? 22} 4 (8 +12 — AN } (82) 6 + 2? — hr} F, и. ann. и ee ee ge SEEN 2 20) EL 100 +9? + 15 (0 обе ам En С, = 2(0 +2) {6 +2)? — 2} Ёз , С: = 6 В F__ (3910-32 - 2} { (6+ 3)? — 412 } (6+4) { (8 + 4} — № Е | | о. 35 +13) (28 7 10(8 +5) +15 1) + 5)-+6(0 pam о = ame, @= ке р, вс. | 2 A м Si la différence # — à est égale à un nombre entier positif, la us droite de la for- mule (10) se réduit à un nombre limité de termes. в Par exemple dans le cas de A=b — a-+1 la formule (10) donne | Si b+k 2a—b—1 2—6 вай 2) Бе mn a b 2%D—a+1 %—a+2 ° 2b—a+k 3b—3a—1 (b— a) (a + b —1) (on a в - $5. En passant aux cas particuliers de la formule (10) posons d’abord dl, 02, Dans ce cas . i 1—2 112)? (22— №2) (BR) | ER 8=1, Е = =”, F,=— ( ) =“. ) Br F ие (— 1% 1.2.3...2%-1) (112)? (22 —12)2.. .(?—12)2 16-12}... (2+1 я: ak rin 2 +1) +2)... (88-1) (8+9 о. ть. 2 (3k + 2) 4 | м. Cr = (2%-—1)— 12 ат С. = 3 > {104 + а 2-1 ER ee et la formule (10) se réduit à celle ci A EN REN LP MM ME UE 3 ИИ А ‚DES SERIES PEU CONVERGENTES EN SERIES TRÈS CONVERGENTES. 9 1 1 1 1 . 1— #2 Рае) №) ia) nord 8.0. - = ( 12) (22 12) (k? 712) р 2 10 (k 1)? 12 1 1— FE .... Zu + с th = УС Yang. Bine let Teen) (MM k=0 Soit A=0, on aura Re 1 1 1 55 + 38 + PE) — + В k— co Br aus У (—1)% (1.2.3... .k)2 | 1 Men 5 re = k+1) (k-+2)...@6-+1) | 2-1? 4G8k+2)(3%+3) |° в. =0 4 En désignant ве | (—1 (1.2.3...) 1 5 = (k+-1) (k + 2)...(8k +1) | (2% + 1)2 уе 4 (3% + 2) (3k 3) 4 par P, et la somme P,+P,+....-+P, par S,, calculons Г. Е. ‘4 BP 120833 33333 33333 33333 33333 33333 НЕ, в. P,= —0,00636 57407 40740 74074 07407 40740 ИО. ‘4 $ 5 120196 75925 92592 59259 25925 92592 59259... Е. Р = 0,00009 10493 82716 04938 27160 49382 71605.. 5 1.20205 86419 75308 64197 53086 41975 30864... — 17784 44061 60732 69134 49362 42895... -.1,20205 068635 31247 03464 83951 92612 87969... + 406 21733 74342 68651 ТОВ За. _1,20205 69041 52980 77807 52603 12593 2092807: — 10. 19931 63336 15783 42325 46211 1,20205 69031 33049 14471 36819 70274 23069 + 27287 78371 70449 26555 80735 60336 92843 07268 96630 03804 — 764 15022 16067 35867 66525 59572 77820 91201 60762 37279 + 22 14707 25320 68820 32803 59594 92528 16522 29582 70082 — 65933 60502 16931 35621 1,20205 69031 59594 26594 56020 12651 34461 Mémoires de l'Acad, Гир. d. sc. VII Serie, 2 DARAN AN m8 Na I [ I 2 | 10 - ANDRE MARKOFF, Mémoire SUR LA TRANSFORMATION 5, = 120205 69031 59594 26594 56020 .. 12651 . 34461 Le 2005 61817 53446 10052 S 28600 17837 66097 44513 _ P, — 62 09551 21588 08250 Se 28538 08286 44509 36263 р. +1 95109 46008 23157 5 28540 03395 90517 59420, Pa — 6207 65108 49520 S,= 1,20205 ‘(69031 59594 28539 97188 25409 09900 Di — 199 68604 39832 КИ 97387 89013 49732 Ps —6 48033 47858 = 5,5 97381 40980 01874 De +21208 08372 Ss Ä 62188 10246 р _ — 699 09690 5 61489 00556 Ps | +25 193 Ss | 61512 19873 14 : — Tas S,— 120205 69031 59594 28539 97881 61511 42484 Fan + 2596 Sa 45080 Pa À LS Sy | 44994 Par conséquent У = = 1,20205 69031 59594 28539 97381 61511 450 eu exact à moins de „5 ' 8.6. Posons dans la formule (10) h=0 et т DES SÉRIES PEU CONVERGENTES EN SÉRIES TRÈS CONVERGENTES. 11 nous aurons F ee 4123. el) (1.2.3... ER. 19 VS SSR BEE С, _- 8k+2) 4аЕ-а-1) а __ 20(&-н12-+15 (а —1)-& 3 (a —1)? Е BE (2% +1} 2k+1 ? 2% +1 - 3 2k +1 et ensuite 0 1 1 Е р u —= CO : < Е к (ЗЕ 2) (4k+a+1) 20 (& +1)? +15 (а—1) (k+1)+ 3(a —1}?},. > = | (2k +1)? 3 (a + 2k +1)? |(12). Par exemple (59) Е ne Ч —= Sr 113 123 133 143 a k k=0 р CSD ere) в 2.3... [ (ВЕ -+2) (2k +6) 5 242419 - 47 в 113. 1281 0-3 1.23... 38-2) | (2% +1} 24 (k + 6)? Voici les valeurs de N en LICE et celles des sommes | ео. РРР P, = 0,00452 49180 27845 02509 02041 53565 03510... el — 5 42448 95733 74321 65966 93456 5’ = 0,00452 49174 85396 06775 27719 87598 10054 + 4 96628 69765 35065 34745 5, — 0.00452 - 49174 85401 03403 97485 22663 44799 UP, — 30 87571 99101 53449 _ 5, = 0,00452 49174 85401 03373 09913 23561 91350 + 605 76904 17а 14 Ss, = 0,00452= 7 49174 85401 03373 10519 00466 08464 — 25952 _ 32549 = 0,00452 49174 85401 03373 10518 74513 159150 + 19 66573 = 0,00452 49174 85401 03373 10518 74533 42488 | — 2306 3 000490 49174 85401 03373 10518 74533 40182 № ” apa Fe 25 Sr 12 ANDRE MARKOFF, MÉMOIRE SUR LA TRANSFORMATION En ajoutant à В, le nombre 1 1 1 1 4 1 1 1 1 —1,19753 19856 74193 25166 86862 86978 04813..., nous obtenons pour la somme k=& 1 Dr k=0 la même valeur approchee 1,20205 69031 59594 28539 97381 61511 450 qu'auparavant ($ 5). $ 7. Nous venons appliquer la formule (10) au calcul de la somme В со 1 11 D ATEN 1.3.5 \8 1.3.5.7 \3 зи 1.316. CR me on ra а, NN EE | 2.4.6....2% 1% qui a été déterminée par M. Kummer jusqu’à la neuvième décimale dans son mémoire!) «Eine neue Methode, die numerischen Summen langsam convergirender Reihen zu berechnen». A ce but nous trouvons d’abord par calcul direct 1 + (ES) = 1,20825 19531 25. 2 2.4 2.4.6 © Aprés cela nous posons dans la formule (10) RO a = зо et transformons ainsi la somme k=o Во о = 1.3.5.7 \s fire (k+4 Y рав ZEN 2.4.6.8 5.6.7....(c+4) k=4 k=0 en r $ k— со >; k=0 où l’on a = 1.3.5.7 \з У (2% -+ 5) (В--9) | 16012 = 660% + 699 k ` \ 2.4.6.8] 53.63... (2 4} | (4% +-1) 24 (2% + 5) 1) Crelle’s Journal, B. XVI. DES SERIES PEU CONVERGENTES EN SERIES TRÈS CONVERGENTES. 13 _et ; __ 1% {1.3.5.7.9...(4k+1)}943.7.11. aD зи -1— 2% ° а = (BR) Les trois termes Q,= 0,18495 22471 428... Q, = —0,00000 02706 443... Q,= 0,00000 00000 623.. k=o suffisent pour determiner la somme > Q, totale avec douze décimales. k=0 4 Par addition de ces trois nombres nous obtenons 4 = 4 Sa, 18495 19765 61 exact à 12 décimales я et enfin 4 | a. 1.3.5....@k—1) |8 _ 4 = re ms ann | 1,20825 19531 25 + 0,18495 19765 61 54 — 1,39320 39296 86 exact aussi à 12 décimales. $ 8. Soient | г, Г — ©14@-+5...@+2—056+1...6-8—1 4+8) у _ at Da: к: 92 (а+5)(а+6-1). (аб -нж2—1)6-н8)..6-+д-+х-г—1? 27 А+ Вуа m" в La condition (1) se réduit à celle-ci ВЕ. | (А, + B,2) (a +52 +2) 65х22) —A4,,,—8B,,,2— =(0,+D,) (а 5х2) @5х-2)-(0, + D, + 0,2 (a+ 2) (b +2), d’où l’on tirera ; В =2D,, 4,=20, (22+235—1)D, B,,1—=2D,,,=(x+5 |20,— (З-на 38—2)2, } С etre Eat? DA se +(c+d+a+b—1)D, 1 8 8 (8 DE D=+B,, Е ААА О CEE ENT EE D BIO TT, E58 4 14 = ANDRÉ MARKOFF, MÉMOIRE SUR LA TRANSFORMATION Ainsi la somme Z—= со 3 | } de 1ÿ a(a+1)...(a + 2—1)b(b#-1)...(b 2—1) (45 +- Вог) (a+ Ô)....(a + d + 2 —1) (b + d)...(b + 0 + 2 —1) 2=0 se transforme en $ — CO SA Су Sn (a +6)....(a +86 +x—1)(b+ 0). .(b+ô+z—1) ' 2—=0 Si l’on pose В, =0., в = Ве parue réelle des >=, cette transformation donne ee а ns ME GE a +1 ER Pour те a—+2 u Le a + ÉRIC RE a+d6 а-б-т a+—0—+2 SPEARS EN (IS (8 + 2)...(8 + 2% — 2) (9 +118 (8 + 3). ..(d + 2% —1)3 1 Ра 13 2.4K (a + 5)? (a +- 8 +1)2....(a + 0 +—2k —1} |1 2 (a + б- 21)? M I. = | > Nous allons appliquer la formule (13) au calcul de la somme k— со 1 \2 1.3 \2 1.3.5 \2 Fee kr 1.3.5.7... ФА 1— (5) Fe (+) Ух (554) т: > mb | 2.4.6.8. ...2% le —0 A ce but nous trouvons k=11 je + For pra et en posant R @ = = oe > nous tirons de la formule (13) l’égalité suivante k= co , о De | —_— ra — = В, › où l’on а R— (33:2 2 (—1)K+11.5.9...(4k— 3) 38.73. a (4% +1) (12 + 51) | DA GUN 2.4К.24?.96?....(ак + 22)? 2. (4 + 24)? : Enfin par addition des nombres DES SÉRIES PEU CONVERGENTES EN SÉRIES TRÈS CONVERGENTES. 15 a jez Ÿ = 0,84939 63148 35757 94845 819.. В, = — 0,01476 97674 05866 21872 353.. В = 0,00000 02944 41731 49650 865.. R,— — 0,00000 00001 98088 08398 309.. R,— 0,00000 00000 00541 37909 795.. В, = — 0,00000 00000 00003 37104 954.. m... R;— 0,00000 00000 00000 03655 325.. Le | R,— — 0,00000 00000 00000 00059 320.. N | R;= 0,00000 00000 00000 00001 310.. 4 _ R;——0,00000 00000 00000 00000 037.. an. nous obtenons Be Е. о | г. У [a | = 0,83462 68416 74073 18628 1 2.4.6.8....2k k=0 N exact à 21 décimales. Il est intéressant de comparer ce résultat numérique à celui du $ précédent et aux résultats de Gauss (0) log. vulg. ПС) — 1,9573210837 1550754011 (Gauss Werke В. 11.161) (8) 7 =1,3110287771 4605990680 3207 (Idem, 413) () log. Бур. en — 0,2708121550 7159155410 6425 (Idem, 414) 0 р. (8) 2 | 4 = 09135791381 5611682140 724259 (Idem, 418) Е. DETTE У1— 24 EH ) 2 au moyen des relations connues - Ras. Rent вр 1.8.5:7...0k—1) 12 р 2.4.6.8... 28 = C1) | 2.4.6.8....2h N) 4 3 | ar „ya Il (+)= +3 ge 1) | Е = Fe 16 ANDRE MARKOFF, MÉMOIRE SUR LA TRANSFORMATION On s’assurera ainsi que l’erreur du résultat (B) commence à la dix-huitième décimale, puisqu'on trouvera 1 = 1,31102 87771 46059 90523 1—2 0 exact à 20 décimales. $ 9. Soient DER (1) а(а-1..... (a +2 —]) 3 Din era Tre en (4, + B,(a +2) + 0,0 +2) __ Е-н 9. (а-- 2) H„(a + 2) Ги Vos Вред date бык» Mur La condition (1) зе réduit à celle-ci [4A, + B,(@ +2) 0, (a+) } (a+x+2)Ÿ—4,,,—8B,,,(a+2)—C,,, (a+) = ={Е, +@,(@+2)+H,(a+2)} (++ 2) + + |F, + @,(@+2-+-1)+H,(@+2-+-1)} (a+), d’où l’on tirera „=2H,, B,=20,— (35 —)H,, 4, 2F,— (35—1)6,+-(62°— 6 +1)H, 23Р, — (82, -1)2°6,+ (6% °-62,+1)2°H,=2F, (8% +2)@,,1+ (652+ 60%, +1)H, 1 30? F— (82%, — 3) 22 + (150,°—162,+ 3)2?H,= 2G,,,—(82,+1)H,,, 8x, F,— 3 (2, — 1), G,—+ (107%, —12%,+ 3)x, H,= 2H,,, 26,41 B2&,+-D) 4, = 2° 126, 02,4) На et ensuite G,= AH + K(—1) 5 (5 +1)... .(@—1} __ 108? — 152, +6 2 F, 6 Ho За Ни О 12 D 8H, + (Tao? + 72) +1), ,— 2 (&,+1)H, = 0 во 1 88 — 2 1 38—1 38 (8 —1 В= 5 С, =3B+7 0 В = 5 4 + B— ET С, 4 56 — 4 1 8—1 38 30 (8 —1 56 — 3) 02 Кан cela étant, la somme EN | аа... (@z—1) —1lfa(a+1)....(a+2—1 3 Dire + Gr es cent z=0 DES SERIES PEU CONVERGENTES EN SERIES TRÈS CONVERGENTES. 17 _ ве transforme en I Ед аб. HS > (a+ 9): (а+6-1}....а--д-+=—1}8 ° Il est important de remarquer ici, que les expressions F Be, à т? 65 ne dépendent de a et par conséquent plus a est grand plus notre transformation est avantageuse. Fe En passant aux cas particuliers posons d’abord 4,=5—1, B—2, C—0. Nous obtenons ainsi la formule de M. Schellbach 8) C=00 УЕ a+ 0 + 22 —1) а3(а-+1}...(а+2—1} er 2 (20 + a + 22 —1) 63(6 +1}...(9 + x —1)3 (a + 8) (a +6 -+-1).. CAS ри Li (a+ 8 +1)...(a + 0 + x —1} 2 z—=0 Е) #7 cette formule dans le cas de 5 =1 se réduit à la formule de Stirling &— © “a 1 IN (— 1)? 22 -+a-+1)13.23.33,...23 a? ax? {a+ 2% (a + 3)? О Е x ==) Posons ensuite . о_О Dans се cas notre transformation donne ев DS _ т, +91 — 6a?+33a+25 a? +13 (9+2 7720 4a? (a +1} 2a? (a +1} (a + 2)3 en 117a2 + 986а + 1107 79 40a? + 420а + 664 2а3 (a + 1} (a + 2} (a + 3) a3 (a +1} (a + 2)? (a + 3)? (a + 4} А 720 — 407a? +- 5291а + 10490 HS a? (а +1) (a -+ 2)? (a + 3)? (a + 4)? (a - 5)? À Par exemple а р 22167.) 103 113 123 133 ee 2103 4.103. 113 2.103.113. 123 zu 2.103.113.123.183 72.8864 7 103.13.193.133.143 et le calcul numérique donne Mémoires de l’Acad. Imp. 4. sc. УП Série. > 3 18 ANDRE MARKOFF, MÉMOIRE SUR LA TRANSFORMATION ETC. ты +в tm 0,90211.68768.14957.. 23 33 43 53 63 73 83 93 — 5 = — 0,0005 — = =— 0,00007 40045 07889. ео = + 0,00000 02076 11584.. — 27 = — 0,00000 00021 93436. 72.8864 + gone — + 0,00000 00000 46028... bre 720.104100 103.113.123.133. 143.153 — — 0,00000 00000 01602.. En ajoutant ces nombres on trouvera 1 1 1 1 1 CASA un ‚= 0,90154 26773 69642, = résultat dont les treize premières décimales sont exactes, puisque on а St k—1 à Er Al = = ХЕ = Ув= 0,90154 26773 69695. $ 10. En términant ce mémoire nous remarquons, que les transformations semblables aux précedentes peuvent être appliquées avec plus ou moins de succès aux plusieurs autres séries, et indiquons encore les formules suivantes 2=00 09 Seen RER (a+ 2—1) _ (—1)2 45 (x + 8)?+ 6 (a —1) (x + d) + 2 (a —1}?} 85. .(0 + x —1)° (a + 5) (a+ à + 2—1)t = 271 (29 —1)(20 +1). .(28° + 22 —1) (a +). .(a + Ô +2 —1)t = T—0 = со д — со + > 1 SEIEN! (—1)713.35..... 25 5(x +1) +6 (a —1)(x +1) + 2(« — 1)? (14) (а-= 2) 2 мы 26.10.14. . "(4x +02) at (a +-1)*....(a-+ x)t 2=0 æ—0 2109 = >| a(a+1)(a+2)...(a+ 2—1) = Q D + Ста + Нуа? + Lo > (a + Ô)(a + 0 -1)...(a + 0 + z —1) wa (a+ dla rd +17}....(а-б2-—1} ? 2=0 х=0 » 9) où Гоп a Е: gr 58а Ve 1—— 45 —1) (40 +1)? (4x, + 3) (dr, +5) 3 2 IT _ 4 + Р-н + m ЕО a EE, __ 7—6 4x +1 42512 — 70x, + 30 oc HN 9 L, ) G,= 5x3 т a 10 zer ) (5x, — 2) (4x, +1) 3513 — 8421? + 70x, — 20 ea D, Me Ben ER a ee —00— MÉMOIRES | L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST. -PETERSBOURG, VIF SERIE. Tone XXXVII, № 10. ÜBER DAS GESETZ VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE, VON A. Gadolin. Beet (Mit 8 Tafeln.) (Lu le 7 novembre 1889.) St.-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: : à St.-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: M. Eggers et C!® et J. Glasounof; М. М. Kymmel; Voss’ Sortiment (G. Haessel). Prix: 1 Rbl. 65 Kop. — 4 Mark 15 Pf. 4 MÉMOIRES L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, УП" SERIE. | ÜBER DAS GESETZ VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. А. Gadolin. (Mit 8 Tafeln.) (Lu le 7 novembre 1889.) e\ OF а on * IN EZ s STATS | AUGZO 169! Beh du il pics Fe A el a НИ НС Е Lu D ra ale ae ВН ИТ, у # - Sr.-PÉTERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: M. Eggers et CO! et J. Glasounof; М. М. Kymmel; Voss’ Sortiment (G. Наеззс]). Prix: 1 ВЫ. 65 Кор. = 4 Mark 15 Pf. Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences = Mai 1890. 4, Strauch, Secrétair we $ ” u - : $ ‘ р ; « A с - 1 _ € } ’ \ ra = . - 4 ER р ne В В и à Ù Rae a Imprimerie de l'Académie Impériale des s = | | (Vass.-Ostr., 9 ligne, № 12) — [2 Pare ue lences, INHALTS-VERZEICHNISS. Das Gesetz der Veränderlichkeit der Winde.,............... ОА В acer MR AT CIC EEE A ns GR DONNER RE AE RMS ee р р о 3 Zahl der Componenten zwischen bestimmten Grenzen.......,............ ER И 4 Menzleichuns der Theorie-mit der Beobachtungen... 1, .:.2.........., een 4 Короны о turzden Januar 88 LT re ee ern ee 5 Wersleichung für @е ungeraden, Stunden im Juli 1886... ...:,.,4...,................ 7 Einfluss der Periodicität des mittleren Windes und der Constanten.......................... 7 Graphische Darstellung der täglichen Periodicität des mittleren Windes...........,.......... 10 Graphische Darstellung der täglichen Periodicität der Constanten........................... 13 я Correction der berechneten Wahrscheinlichkeiten für die tägliche Periodieität der Mittel. ........ 14 "Geber die’wirkliche Grösse der wahrscheinlichen Differenzen. ............................. 16 Einfluss eines Fehlers im mittleren Winde auf die Berechnung der Constanten И he ne ee ele Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt des Windes innerhalb einer gegebenen Zerstreuungs-Ellipse ие 18 Graphische Darstellung der Zerstreuungs-Ellipsen für den Januar und den Juli....,............ 19 = ' Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt des Windes in einem Rechteck liegt, dessen Seiten den Zer- р | ТИ И ОК Оо О О TETE о lee le ve 22 Berechnung der Wahrscheinlichkeit einer Wind-Richtung zwischenusWwaund NW... .. 2.2.0. 23 Berechnung der Wahrscheinlichkeit eines Windes mit einer Geschwindigkeit über 35 km. pro Stunde. 24 Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt des Windes in ein Parallelogramm fällt, dessen Seiten einem Paar von conjugirten Diametern der Zerstreuungs-Ellipse parallel sind ,.................. 27 Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt des Windes zwischen zwei beliebigen parallelen Geraden TE RE a ee AE о ба о В И 28 Е: Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt des Windes von der einen Seite einer beliebigen Geraden liegt 28 4 Anwendung auf die Berechnung der Zahl der Winde, deren Richtung in die verschiedenen Quadranten x ОВ о MA Le о een 29 Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt des Windes in einen beliebigen Winkel fällt, dessen Scheitel im Endpunkt des mittleren Windeschegt. „na me a: a ee Bestimmung des Luftvolumens, das durch eine vertikale Ebene im Mittel pro Stunde durchgeblasen Beilage I. Bestimmung-der Constanten... ....... о ANNE RSR Beilage II. Bestimmung der Wahrscheinlichkeit, dass die Componente der Ab ng zwischen gegebene Grenzen fällt... але ее по СИ ВВ SE ER Beilage III. Bestimmung der Veränderung, welche die Quadratsummen und die Constanten er- leiden, wenn für die Componenten des mittleren Windes veränderte Werthe genommen werden. Beilage IV. Berechnung der Wahrscheinlichkeit eines Windes zwischen NW und SW für 3b’p. m. Beilage V. Berechnung der Wahrscheinlichkeit eines Windes mit einer German über 35 km, pro: Stunde für den Januar-Monat 18867, 2 2... 0. en RE TERRES Beilage VI. Berechnung der Wahrscheinlichkeit eines Windes mit einer Geschwindigkeit über 35 km. pro Stunde für den Januar-Monat 18895 NES AR EC NS OS Beilage VII. Andere Methoden zur Bereebnung der Wahrscheinlichkeit, ................... Beilage VIII. Bestimmung des vom Winde durch cine gegebene vertikale Ebene transportirten Luftvolumens". u... zu ar ln ee OR ER Fig. 1, 2, 3, 4 im Text. Tafeln“, II, ТТУ У, VI, УТ, VIE VI A SE RIT IH к Fig. I, IL, Ш, IV, У, VI, УП, УШ, IX, X, XI, ХИ am Schluss auf 8 Tafeln. оо res ee ый ME 5 \ Ä ES и ” к к. =. НЕА Е TE и Зе TS NES НЫ g: Na Wenn man nach den Beobachtungen der Registrir-Anemometer mit 32-theiliger Rose die Wind-Componenten nach einer bestimmten Richtung berechnet, die Grösse der mittleren Componente bestimmt und die Abweichungen der einzelnen Componenten von diesem Mittel der Grösse nach ordnet, so lässt sich bemerken, dass die. kleineren Abweichungen öfter . vorkommen als die grösseren. Diese Abhängigkeit der Zahl der Abweichungen von ihrer Grösse erinnert sehr an die Vertheilung der Beobachtungsfehler, für welche in der Wahr- scheinlichkeits-Theorie bestimmte Gesetze aufgestellt worden sind. Um die Verwendbarkeit solcher Gesetze auf die Windesverhältnisse zu untersuchen haben wir eine Arbeit vorge- nommen, deren Resultate in dem vorliegenden Aufsatze dargestellt sind. Zum leichteren Verständniss denken wir uns die Winde graphisch in der Weise dar- gestellt, dass auf einer horizontalen Ebene, von einem Anfangspunkt A Fig. 1 aus, in der Richtung, aus welcher ein Wind bläst, eine gerade Linie AC gezogen und von dem Anfangs- punkt aus eine Länge AC abgemessen wird, die der Geschwindigkeit des Windes gleich ist. Hiemit ist jeder Wind durch den Endpunkt einer Geraden auf der Ebene bezeichnet und dabei sowohl seine Richtung als auch seine Geschwindigkeit bestimmt. Denkt man sich nun ein beliebiges rechtwinkliges Coordinaten-System, dessen positive Axen-Enden #. В. nach N und Æ aus dem Anfangspunkt A gerichtet sind, so ist jeder Wind bestimmt durch die Coordinaten des diesem Winde zugehörigen Endpunktes; diese Coordinaten wollen wir Componenten nennen und mit и die Nord- und mit # die Ost-Componente bezeichnen. Betrachtet man nun eine gewisse Zahl x von Winden, die zu verschiedenen Zeiten an einem bestimmten Orte stattgefunden haben und ist die Summe aller ihrer Componenten nach Nord $ и und nach Ost Zw, so kann man sich einen fingirten Wind denken, dessen Componenten = und = sind, und diesen Wind nennen wir den mittleren Wind. Heissen wir nun %, und №, die Componenten des mittleren Windes, so hat man also: Mémoires de 1`Асаа. Imp. а. sc. VII Serie. el 2 ”. A.-GADOLIN, Führt man vom Punkte «, w, den wir mit В bezeichnet haben, eine gerade Linie BC zum Punkt #, w, so bildet diese Gerade der Richtung und Grösse nach denjenigen Wind ab, den man zum mittleren Winde fügen müsste, um den wirklichen Wind и, w als Resultante zu bekommen. Diesen hinzugefügten Wind bezeichnen wir als Abweichung des wirklichen Windes vom mittleren Winde und die Componenten dieser Abweichung bezeichnen wir E — U—U,, = w—u,. Nehmen wir nun den Punkt %, №, als neuen Anfangspunkt für Coordinatenaxen, die mit den früheren parallel sind, so sind & und n die neuen Coordinaten des Punktes, welcher den betrachteten wirklichen Wind darstellt, und dessen frühere Coordinaten и und w waren. |. Fig. 1. Ist nun die Gruppe der betrachteten Winde richtig gewählt, so setzen wir voraus, dass die Abweichungen der einzelnen Winde demselben Wahrscheinlichkeits-Gesetz folgen, das in der Wahrscheinlichkeits-Theorie angenommen wird für die Fehler, die man macht, wenn man durch unvollkommene Messungen die Lage eines Punktes in der Ebene bestimmt. Dieses Gesetz wollen wir nun in Anwendung auf die von uns gegebene graphische Darstel- lung der Winde näher betrachten. UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 3: Es seien ВХ und BY zwei rechtwinklige Coordinaten-Axen, deren Lage wir später bestimmen werden, und die Coordinaten des Punktes C in Bezug auf diese Ахеп x = BD und y = BF. Denkt man sich in dem Punkte C eine vertikale Ordinate 2, von der Grösse Ich — 1? 2 — k2 y? Eee ee (1) errichtet, wo k und Ё, zwei für jede Gruppe von Winden zu bestimmende Constanten sind, п das Verhältniss des Kreisumfangs zum Diameter und e die Basis der natürlichen Loga- rithmen ist, so kann man sich weiter eine Fläche denken, die alle Endpunkte der Ordinaten 2 für alle möglichen Lagen des Punktes С einschliesst und diese Fläche wollen wir der Kürze wegen als Fläche Z bezeichnen. Denkt man sich nun auf der Ebene unserer Zeich- nung einen von einer beliebigen Curve GG begränzten Flächenraum, und in jedem Punkt dieser Curve eine vertikale Ordinate z errichtet, so bilden diese Ordinaten eine Cylinder-Fläche. Das Volumen P des Raumes, der von dieser Cylinder-Fläche und den von ihr abgeschnit- tenen Theilen der Fläche Z und der Ebene der Zeichnung begrenzt ist, drückt sich ana- lytisch in folgender Weise aus: < Е О. (2) wobei das Integral für den Flächenraum GG zu nehmen ist. Nach dem Gesetz der Wahr- scheinlichkeit soll man nun immer еше solche Lage der Axe X, und solche Werthe der Соп- stanten %k und %, finden können, auf Grundlage welcher das Volumen P die Wahrscheinlich- keit ausdrückt, dass ein Wind, der auf’s Gerathewohl aus der ganzen Gruppe der betrach- teten Winde genommen ist, mit seinem Endpunkte C innerhalb des Flächen-Raumes GG fällt. Wir bemerken, dass, für А?” + k,’y?— u? einer Constanten, auch 2 constant ist. So- mit sind für alle Punkte, für welche die Gleichung 127 + k,’y? = u? stattfindet, die Or- dinaten gleich gross, und die Enden dieser Ordinaten liegen in einer horizontalen Ebene. Die Gleichung 127 + k,’y® = u? entspricht aber einer Ellipse, die wir Zerstreuungs-Ellipse nennen werden und ihre Axen Zerstreuungs-Axen. Jeder horizontale Schnitt der Fläche Z ist also eine der Zerstreuungs-Ellipsen. Die Bestimmung der Lage der einen Zerstreuungs-Axe x und der Grössen k und k, setzt voraus, dass wir eine grosse Zahl von beobachteten Winden in eine gemeinsame Gruppe vereinigen; je grösser diese Zahl, desto genauer ist die Bestimmung der gesuchten Constanten. 4 Es sei nun diese Zahl # und die Componenten nach N und Æ der Abweichungen der ein- ; а zelnen Winde vom mittleren Winde &, $, &, . . .&, und м, 9, %, - - - n,, wobei wir zu be- merken haben, dass die Componenten nach 5 und W als negative N- und E-Componenten gerechnet werden. Nennen wir X diejenige Axe, für welche die Constante k < &, ist und y den Winkel, den diese Axe mit der Richtung N macht, von N aus nach der Richtung der Bewegung eines Uhrzeigers gerechnet, so hat man: т 4 Du A. GADOLIN, 2 SE; а. tg 27 = Er { = = (257 + En? + VA GE nf + Е — 212) (Dire А | а = (267 + 217 — УЗ Е ту + CF — u) Die Herleitung dieser Formeln findet man in der Beilage I. | Es ist zu bemerken, dass einem bestimmten Werthe von ig 2y, nach der Formel (3) aus den Beobachtungen berechnet, nur ein positiver Werth von 2 kleiner + T En 180°) entspricht. Es sei nun dieser Werth 9; dann ist entweder у = -- = oder YV= + + >, je nach- dem 38,9, >0 oder <0 ist. - Nach den Formeln (3) und (4) haben wir nun die Grössen у, a à. für verschiedene SEAL Wind-Gruppen berechnet und die Resultate in den Tafeln IV, У, VIa, VII und XII zu- . sammengestellt. Ehe wir an die nähere Betrachtung dieser Resultate gehen, wollen wir die Frage behandeln, ob und in wiefern man berechtigt ist, die besprochenen Wahrscheinlich- keits-Gesetze auf die Winde anzuwenden. Sind diese Formeln anwendbar, und bezeichnet _ EAN die Wahrscheinlichkeit, dass die N-Componente &, der Abweichung eines auf’s Ge- ЕО genommenen Windes der Grösse nach zwischen die Grenzen &, und É, fallt, so ist: wo с = У K sin? y + k? 003 y. Hat pi die gleiche Bedeutung für die E-Componente der Abweichung des Win- Qı : des vom Mittelwinde, so ist auch IK, 5 er 2 1 2 а ee о | al Ne en De a И Ha, peau | | wo a = УЕ cos’ y + Е? sin? y. Siehe Beilage IT. Für gegebene Grenzen können die Integrale (5) nach bekannten Tabellen bequem aus- gerechnet werden. Wir haben dazu die Tabellen aus dem: Calcul des Probabilites De J. Bertrand (1889) p. 329 angewandt. Um nun zu controliren, in wiefern das erwähnte Wahrschinlichkeite Gessiz auf die Winde anwendbar ist, haben wir verschiedene Wind-Gruppen in Betracht gezogen. Wir = = > “A De > #72 A р: je в: bre. MT A Е я U - = À x Ei 7 À у. м 5e г. Fall Ex Ро a CD a Dr en й И rn a a РВ И ь }. - С L + у ; ri У À ; UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 5 haben dabei die Beobachtungen benutzt, die in dem Jahrgang 1886 der Annalen des phy- - sikalischen Central-Observatoriums herausgegeben von H. Wild enthalten sind. Diese Be- obachtungen sind mit dem Anemographen Fuess angestellt und geben die Windgeschwin- digkeiten in Kilometer per Stunde und die Windrichtung in Zahlen an. Man hat zu die- sem Zwecke einen ganzen Kreisumfang in 32 gleiche Theile getheilt und diese Theile nu- merirt, in der Ordnung von N nach rechts über E. Für jede volle Stunde ist die im Laufe der vergangenen Stunde vom Winde zurückgelegte Anzahl von Kilometern und die Mittel- richtung des Windes während dieser Stunde angegeben. Aus diesen Beobachtungen haben wir nun die N- und E-Componenten u und w für jeden beobachteten Wind berechnet, die Mittelwerthe «, und w, dieser Componenten für die ganze in Betracht gezogene Gruppe, und die Componenten & = и — u, ‚a=w—u, der Abweichungen vom Mittel Due: Darnach sind mit Hülfe der Formeln (3), (4) und (5) die Grössen Y, = г = RL), [Р ci berechnet, die letzteren für willkürlich angenommene Grenzen. Die Resultate der Be nung der Wahrscheinlichkeiten sind in den beigelegten Tafeln I, II, Ш, VI, VII, IX, X, XI und XIII angeführt. Als Grenzen 5, 5, N, M sind hierbei successive 0, 5, 10, 15, 20, 25, 30, 35 und © angenommen wurden. Die in den Tafeln gegebenen Wahrscheinlichkeiten sind die doppelten der in den Formeln gegebenen, und stellen die Wahrscheinlichkeit dar, dass die betreffende Componente je zwischen die gegebenen Grenzen fällt, diese Grenzen sowohl positiv als auch negativ genommen. Nebenbei sind in der Columne «Beobacht.» die Zahl der zwischen diesen Grenzen beobachteten Componenten, dividirt durch die volle Zahl der Beobachtungen, angeführt. Die Differenzen der in dieser Weise erhaltenen beobachteten Wahrscheinlichkeiten von den theoretischen sind in zwei besonderen Columnen mitgetheilt. - In den Columnen nebenbei sind die wahrscheinlichen Grössen dieser Differenzen angegeben. Diese sind berechnet nach der gewöhnlichen Formel 0,477 т = MR hate Ва (6) wo n die Zahl der Beobachtungen und р die theoretische Wahrscheinlichkeit ist, dass еше einzelne Componente zwischen die betreffenden Grenzen fällt. Diese р sind die Grössen, die in den Columnen mit der Aufschrift «Theoret.» gegeben sind und somit 9 =.2 (rex oder р — 2 Be Der Begriff «Wahrscheinliche Differenz» stimmt mit dem üblichen vom Wahrschein- lichen Fehler überein, d. h. man hat eben so viele Chancen, eine Differenz grösser als die wahrscheinliche, wie eine Differenz kleiner als die wahrscheinliche vorzufinden.. - Betrachten wir zuerst die Zahlen (Tafel I), die wir bei der Zusammenstellung der Stunden 7° a. m., 1" р. m. und 9° р. m. für den Januar erhalten haben. Für die Compo- ` 6 3 А. GADOLIN, nente & übertreffen die Unterschiede der beobachteten Wahrscheinlichkeiten von den theo- retischen nur wenig die wahrscheinlichen Differenzen, und könnte dieses als eine directe Bestätigung der Theorie angesehen werden, wenn nicht gleichzeitig für n Differenzen statt- finden würden, von denen einige die wahrscheinliche Differenz mehr als drei Mal übertref- fen. Wir werden jedoch unten sehen, dass dieser Widerspruch mit der Theorie nur schein- bar ist, und seine Erklärung in Umständen findet, die wir bisher nicht in Betracht gezogen haben. In der Tafel II finden wir eine ähnliche Zusammenstellung für alle ungeraden Stun- den vom Januar 1886, und der Vergleich der Beobachtung mit der Theorie giebt ein ähn- liches Resultat; für die Componente & ist die Uebereinstimmung befriedigend, und für n sind zwei Differenzen drei Mal und mehr grösser als die wahrscheinlichen Differenzen. Es muss aber bemerkt werden, dass hierbei, in Folge der vier Mal grösseren Zahl der Beob- achtungen, die wahrscheinlichen Differenzen zwei Mal kleiner sind als in der Tafel I. Beim Vergleich der Zahlen beider Tafeln mit einander, findet man, dass diejenigen Unterschiede welche in den beiden Tafeln am meisten der Theorie zu widersprechen scheinen, in der zweiten Tafel einen viel kleineren absoluten Werth haben, als in der ersten Tafel. Es hat also die Vergrösserung der Zahl der Beobachtungen eine auffallende Annäherung der beob- achteten Wahrscheinlichkeiten an die theoretischen bewirkt. Wir können jedoch vorläufig diese Annäherung noch nicht als genügend annerkennen, da die noch bleibenden Uuter- schiede zu gross sind im Vergleich mit den wahrscheinlichen Differenzen. Es muss aber be- merkt werden, dass die Formel (6), die wir benutzt haben, um die wahrscheinlichen Dif- ferenzen zu berechnen, nur dann stichhaltig ist, wenn die einzelnen Beobachtungen von ein- ander ganz unabhängig sind, was in dem betrachteten Falle nicht stattfindet. Der Wind ändert sich nämlich im Allgemeinen nur allmählig, so dass der Wind einer Stunde be- trachtet werden kann als zusammengesetzt aus dem Winde der vorhergehenden Stunde und einer Zusatz-Componente, die überhaupt nicht gross ist. Die Wirkung von diesem Umstande ist dieselbe als die von einer verminderten Zahl von Beobachtungen. Um dieses klar zu machen, stellen wir uns vor, dass während vier auf einander folgenden Stunden derselbe Wind wehe, und erst in den vier folgenden Stunden ein anderer Wind, der von dem frühe- ren ganz unabhängig ist und so fort. Da wir nun für die in der Tafel II gegebenen Zahlen die Beobachtungen an allen ungeraden Stunden in Betracht gezogen haben, so würden je zwei von den Beobachtungen zusammenfallen, und die Zahl der wirklich von einander unabhän-, gigen Beobachtungen würde zweimal kleiner sein, als wir es bei der Berechnung der wahr- scheinlichen Differenz vorausgesetzt haben. Die Formel (6) zeigt, dass unter solchen Umstän- den die wahrscheinlichen Differenzen V 2 = 1,41 mal grösser sein müssten, als wir sie in der Tafel angegeben haben, und dann würde die bemerkte Abweichung der Theorie von den Beobachtungen auf einmal wegfallen. Um diese Erklärung ebenfalls auf die Tafel I anwen- den zu können, müsste man annehmen, dass die Beharrlichkeit der Winde sich auf 6 Stun- den und mehr ausdehnt. Dieses ist auch in der That der Fall; weiter unten werden wir auf diese Beharrlichkeit der Winde näher eingehen, mittlerweile aber auch andere Umstände ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 7 angeben, die ebenfalls eine scheinbare Abweichung der Theorie von der Beobachtung ersehen lassen können. | | In der Tafel Ш finden wir еше Zusammenstellung der direct aus den Beobachtungen bestimmten Wahrscheinlichkeiten der Wind-Componenten mit den theoretischen Wahr- scheinlichkeiten für die ungeraden Stunden im Juli. Der Vergleich der Unterschiede beider Wahrscheinlichkeiten mit den wahrscheinlichen Differenzen zeigt hier eine weit geringere Uebereinstimmung der Theorie mit der Beobachtung, als es für den Januar der Fall war. Ein gemeinsamer Zug für beide Monate liegt darin, dass die kleinen Componenten (von 0 bis 5 km. in der Stunde) weit seltener vorkommen, als die Theorie fordert. Die Nichtüber- .einstimmung mit der Theorie stellt man hier unwillkürlich in Zusammenhang mit dem Umstande, dass in den Grössen 22 Zn ZEË+n)*) Tafel IV für die einzelnen Stunden - im Juli eine entschiedene Periodicität hervortritt mit einem Maximum um die Mitte des Ta- ges und einem Minimum um die Mitte der Nacht. Dieselbe Periodicität ist wohl auch für den Januar bemerkbar, jedoch nicht so stark ausgesprochen wie für den Juli. Da nun diese 2 TRUE: à 2 Quadratsummen zur Berechnung der Grössen Y, =, = dienen, so haben auch diese Grös- 1 sen еше tägliche Periode. In der Tafel У sind diese Grössen angegeben für jede der Stun- den 7" a. m. 1" p. m. 9" р. m. sowohl für den Januar als für den Juli. Bei der Berechnung dieser Grössen hat man für & und n die Componenten der Abweichungen der-Winde vom mitt- leren Winde einer jeden dieser Stunden für den Monat genommen. Man ersieht aus der Tafel, 3 A ae PEN à : А 3 dass die Grössen y, „5, += für die verschiedenen Stunden im Januar viel weniger verschie- 1 den sind als für den Juli. Eine Verschiedenheit dieser Grössen, für einzelne Stunden be- rechnet, ist wohl auch schon als eine Folge der kleinen Zahl (31) der Beobachtungen zu er- warten, weil die Wirkung von zufälligen Ursachen dann noch wenig ausgeglichen sein kann. ‘ Andererseits aber, wenn eine entschiedene Periodicität hervortritt, so ist es wahrscheinlich, dass bei einer grösseren Zahl von Beobachtungen die Unterschiede nicht nur nicht ausgeglichen werden, sondern im Gegentheil die Periodicität noch entschiedener und regelmässiger auf- 1 Re dicität der Grössen 2°, Zn”, Z(Ë + n), in der Tabelle IV hingewiesen und dass hieraus treten wird, nicht nur für —> und sondern auch für y. Wir haben oben auf die Perio- eine tägliche Periodicität der Grössen Y, —5, ;z folgen würde. Dieser Schluss muss aber 1 noch verifieirt werden, weil die Periodicität der Quadratsummen von einer Ursache her- rühren könnte, welche die Grössen Y, =, => für die einzelnen Stunden unberührt lassen у 1 könnte. Es sind nämlich die in der Tafel IV in Betracht genommenen & und n die Compo- nenten der Abweichungen der einzelnen Winde von dem mittleren Winde aller ungeraden Stunden für den ganzen Monat. Da nun der mittlere Wind auch eine tägliche Periode hat, *) Diese letzten Summen sind von mir berechnet um | 2 SEn = Z(Ë + т)? — ZE? — In. die Berechnung von XËn zu erleichtern. Man hat nämlich 8 | `` А. GADOLIN, so kann die Periodicität der Quadratsummen davon abhängen, dass man für jede Stunde bei der Herleitung der Grössen & und n nicht den mittleren Wind für diese Stunde, sondern das Mittel für alle Stunden in Betracht genommen hat. Wir werden unten sehen, dass die Periodicität der Quadratsummen jedoch nicht aus diesem u allein zu erklären ist, a dass eine wirkliche tägliche Periodicität NE ее у, 3 = - stattfindet. Eine Periodicität der Grössen у, eben sowie eine Periodicität des mittleren. = 9 => 7 Windes, können aber zu solchen scheinbaren Abweichungen der beobachteten Wahrschein- lichkeiten der Winde von den theoretischen Veranlassung geben, wie wir sie vorgefunden haben, nämlich so, dass die Zahl der Componenten der Wind-Abweichungen zwischen ge-_ gebenen Grenzen nicht mit der theoretischen Zahl übereinstimmen wird. Um dieses zu verdeutlichen denken wir uns die Componenten der Wind-Abweichungen längs den Axen der Zerstreuungs-Ellipse als Abeissen + und y in einer horizontalen Ebene, und setzen als vertikale Ordinate die Grösse kk, FR 2? n? T 9 [7 = so bilden die Enden der Ordinaten die Fläche Z, die das Wahrscheinlichkeits-Gesetz aus- drückt. Die Maximum-Ordinate steht über dem Punkte x — 0, y — 0, welcher dem mittleren Winde entspricht. Denkt man sich nun auf derselben Abcissen-Ebene ein anderes Windsystem in derselben Weise aufgeführt, wo aber der mittlere Wind ein anderer ist, die Grössen k und К, dieselben oder andere Werthe haben, und die Lage der Axen der Zerstreuungs-Ellipse dieselbe oder eine andere ist, so giebt die halbe Summe der Ordinaten der beiden Flächen Z über einem jedem Punkte eine Grösse, die als Ordinate einer neuen Fläche Z, zu setzen ist, damit diese Fläche die Wahrscheinlichkeit gebe für Winde in einem aus der Vereini- gung der beiden anderen entstandenen Windsysteme, und diese neue Fläche hat schon nicht eine Gleichung der Form (1), wie wir es überhaupt für Wind-Gruppen vorausgesetzt haben. Setzt man nun eine grosse Zahl von verschiedenen Windsystemen in derselben Weise zu- sammen, so kann wohl jedes einzelne System dem Gesetze (1) folgen, und das zusammen- gesetzte System doch von diesem Gesetze abweichen. Es ist wohl denkbar, dass bei der Zusammensetzung von einer unendlichen Zahl von Windsystemen, von denen jedes dem Gesetze (1) folgt, die aber verschiedene mittlere Winde und verschiedene Werthe von т, К und №, haben, das zusammengesetzte Windsystem auch einem ähnlichen Gesetze folgen wird; allgemein wird aber dieses nicht der Fall sein. Denkt man sich nun, dass für die Winde einer jeden bestimmten Stunde das Gesetz (1) gelte, und dass für jede Stunde der mittlere Wind ein anderer ist und auch die Grössen ту, k, k, in Folge der Periodicität andere Werthe haben, so kann es sein, dass für ein Windsystem, welches aus den Winden aller Stunden des Tages zusammengesetzt ist, ein solches Gesetz nicht mehr gültig ist. Gerade solche Systeme, wo verschiedene Stunden des Tages zusammengefasst worden sind, haben wir oben betrachtet, und es waren somit dabei Abweichungen von dem hypothetischen Ge- ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE, 9 setz zu erwarten. Unter Anderem haben wir bemerkt, dass die kleinen Componenten der _Windabweichungen in der Wirklichkeit seltener vorkommen, als es die Theorie fordert. Gerade eine solche Abweichung von der Theorie war zu erwarten. Um dieses zu erläutern, denken wir ‚uns zwei Windsysteme, in denen wir, der Einfachheit der Auseinandersetzung wegen nur eine Verschiedenheit im mittleren Winde voraussetzen werden, den übrigen Constanten in den beiden Systemen gleiche Werthe zuschreibend. Denken wir uns die beiden Flächen Z von einer verticalen Ebene durchschnitten, die durch die Punkte der mittleren Winde gehe. In der Figur I haben wir die Durchschnitte dieser Vertical-Ebene mit der horizontalen Abcissen-Ebene und den Flächen Z verzeichnet. Um diese Construc- tion auszuführen, haben wir einen Fall genommen, der nicht weit entfernt ist von demjeni- gen, den man erhalten würde, wenn man die Windsysteme von zwei passend gewählten Stunden im Juli nehmen würde. Wir denken uns den Durchschnitt, gemacht in der Rich- tung der kleineren Axe der Zerstreuungs-Ellipse, und haben für diese Axe = = 100 genommen, und 4 Kilometer in der Stunde für den Unterschied der Componenten nach der Richtung y der mittleren Winde der beiden Systeme. Die beiden Curven, deren Scheitel über die mit + 2 und — 2 auf der Abeissenaxe bezeichneten Punkte fallen, haben die Glei- chungen u in т Das arithmetische Mittel aus den über jedem Punkt der АЪс1ззепахе liegenden Ordinaten der beiden Curven ist als Ordinate einer dritten Curve genommen, die punktirt gezeichnet ist. Wir nehmen nun an, dass dieses zusammengesetzte Windsystem wirklich existirte und dass man darüber eine Reihe von Beobachtungen gemacht habe. Aus diesen Beobachtungen т pete р habe man sodann den Werth von =; für das zusammengesetzte System berechnet, in der 1 . Voraussetzung, dass dieses System dem Gesetze (1) gehorcht. Wir geben weiter unten einen Ausdruck für die Aenderung, welche die Grössen k und k, erfahren, wenn man einen veränderten Werth für die Geschwindigkeit des mittleren Windes annimmt. Auf den jetzigen Fall angewandt zeigt dieser Ausdruck, dass die Aenderung der Grösse = vier positive Einheiten ausmachen würde. Für diesen veränderten Werth von k, ist nun die stetige Curve gezeichnet, die mit ihrem Scheitel über dem Nullpunkt der Abeissen-Axe liegt. Man sieht, dass von diesem Punkt an und bis zu den Abcissenenden von etwa + 7 , die ausge- zogene Curve höher liegt, als die punktirte und ausserhalb dieser Grenzen im Gegentheil die punktirte Curve grössere Ordinaten hat. Es würde folglich die Wahrscheinlichkeit der _ kleinen Componenten nach der Theorie grösser ausfallen als nach der Beobachtung. Die Berechnung zeigt, dass man für diesen Fall für die theoretische Wahrscheinlichkeit einer Componente zwischen 0 und 5 km. 0,5120 und für die beobachtete 0,5032 haben würde. Der Unterschied ist 0,0088, freilich kleiner als wir es in den meisten Fällen in der Wirk- ‘ lichkeit gefunden haben, jedoch gross genug, um in Betracht gezogen zu werden, Für die Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. , 2 10 А. GADOLIN, grösseren Componenten 5 bis 10 u. 5. w. giebt die Theorie für den en Fall etwas kleinere Werthe als die Beobachtung es geben würde. RR Diese Umstände haben uns bewogen, die tägliche Periodicität des mittleren Windes näher in Betracht zu ziehen. In der Abhandlung des Herrn В. Rosenthal!) finden wir . die Werthe der mittleren Componenten N, Е, 5, W des Windes für jede Stunde in jedem Monat und auch in jeder Jahreszeit aus 15-jährigen Beobachtungen (1871—1885) herge- leitet. Da aber einerseits die zu Grunde gelegten Beobachtungen mit verschiedenen In- strumenten gemacht worden sind, und andererseits die Witterungs-Verhältnisse eines ein- zelnen Jahres vom Mittel von vielen Jahren beträchtlich abweichen können, haben wir es für nicht überflüssig erachtet, den Gang der täglichen Periode, so gut es sich machen lässt, aus dem von uns behandelten Jahre 1886 allein abzuleiten. Zu diesem Zwecke haben wir zuerst für jeden Monat einzeln’ die mittleren Winde jeder einzelnen Stunde graphisch dar- gestellt. Da jede einzelne von diesen mittleren Componenten aus einer kleinen Zahl (28 bis 31) Beobachtungen hergeleitet ist, so konnte nicht erwartet werden, dass die Wirkung der zufäl- ligen Abweichungen ausgeglichen wäre; es hat sich jedoch gezeigt, dass die Zeichnung für jeden Monat einzeln betrachtet eine auffallende Gesetzmässigkeit der Aenderung des Windes inder Tagesperiode zeigt. Die Endpunkte der mittleren Winde für jede Stunde gruppiren sich über- haupt innerhalb einer Ellipse, auf deren grosser Axe der Endpunkt des mittleren Windes des ganzen Monats excentrisch gelegen ist. Für die acht wärmeren Monate liegt die grosse Axe dieser Ellipse in einer Richtung zwischen 5 und Е, sowie auch für December, während diese Axe für November, Januar und Februar zwischen N und Z fällt. Denkt man sich nun, dass der mittlere. Wind einer gewissen Stunde in einem Monat aus dem mittleren Winde des gan- zen Monats und einer besonderen Stunden-Componente zusammengesetzt ist, so findet man für jeden der acht wärmeren Monate (März—October), dass diese Stunden-Componenten von zehn Nacht- und Morgenstunden (11"p.m. bis 8"a.m.), und manchmal auch für angren- zende Stunden, innerhalb eines Winkels, der überhaupt kleiner ist als ein rechter, gruppirt sind. (Im August. ist dieser Winkel 40°, im Juli 84° und enthält ausser den zehn erwähn- ten Componenten keine anderen; im Juni liegen in einem Winkel von 70° alle Stunden- Componenten von 1" a. m. bis 8" а. m. und keine anderen; ihnen am nächsten, aber schon ziemlich abweichend, liegen von der östlichen Seite die Componenten von 12" Nachts und 11° р. m.; im Mai liegen alle die erwähnten Stunden-Componenten ausser von 8" a. m., in einem Win- kel von 62°, und in denselben Winkel fällt nur noch die Componente- von 10" р. m., die _ Componente von 8" a. m. weicht aber stark ab, was wohl durch die Kleinheit dieser Com- ponente erklärt werden kann; im April fallen die zehn erwähnten Componenten in einen Winkel von 88° und ausserdem nur noch die Componenten der angrenzenden Abendstunden 7° р. m. bis 10° p. m.; im März ist ausnahmsweise der Winkel gross 124°, und in ihn fallen auch die Componenten der angrenzenden Abendstunden 8" р. m. bis 10" р. m., aber 1) Repertorium für Meteorologie von Dr. H. Wild, Bd. XI, № 11, Seiten 15, 16, 22 (1888). и ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 11 keine anderen; im September fallen die Componenten der 10 erwähnten Stunden in einen Winkel von 87° und ausserdem die Componenten der angrenzenden Abendstunden 8" р. m. bis 10" p. m. und Morgenstunden 9" a. m. und 10" a. m., aber keine anderen; im October fallen die Componenten der 10 erwähnten Stunden, ausser 11" p. m. und 12" Nachts in einen Winkel von 46°, der ausserdem noch die Componenten der angrenzenden Morgen- * stunden 9" a. m. und 10" a. m., ebenso wie der Abendstunde 7" р. m., aber keine anderen umfasst; für 6" р. m. fällt der Wind mit dem monatlichen Mittel zusammen, so dass die Stunden-Componente Null und ihre Richtung unbestimmt ist; dagegen fallen die Compo- nenten für 8" р. m. und 9" р. m. nicht weit von dem erwähnten Winkel und für diejenigen Stunden, welche Abweichungen von der gewöhnlichen Regel zeigen, 7" р. m., 11" р. m., 12" Nachts, sind die Componenten klein, so dass eine zufällige Abweichung einen grossen Einfluss auf die Richtung der Componente haben könnte. Jedenfalls sieht man, dass für die äussersten Monate März und October Abweichungen von der allgemein für die wärmeren Monate gültigen Regel sich schon bemerken lassen). Es ist ausserdem zu bemerken, dass die grossen Axen der erwähnten Ellipsen überall innerhalb der angeführten Winkel fallen. Auch in anderer Hinsicht, z. B. in der Aufeinanderfolge der Componenten-Richtungen, besonders deutlich für die Stunden 8" а. m. bis 3" p. m. und von 5" р. m. bis 11" р. m., ist eine Regelmässigkeit zu bemerken. Da nun die Zahl der Beobachtungen für jede ein- zelne Stunde in einem Monate von einem einzigen Jahre zu klein ist um die Wirkung _ stôrender Einflüsse auf die Stunden-Mittel auszugleichen, haben wir diejenigen Monate zusammengestellt, die bei der graphischen Darstellung eine gewisse Uebereinstimmung in _ : dem Gesetz der Abweichung der stündlichen Mittel vom Monats-Mittel gezeigt haben. Wie Be, wir oben bemerkt haben, findet eine solche Uebereinstimmung entschieden statt für die 8 Monate März — October. Deswegen haben wir für jede Stunde dieser acht Monate die mittlere Abweichung vom Monats-Mittel berechnet und graphisch dargestellt. Diese Dar- stellung, Fig. II, wo B das Monats-Mittel, und die Stunden-Mittel mit der abgekürzten Bezeichnung der verschiedenen Stunden (1* für 1" a. m., 1° für 1" p. m. u. s. w.) versehen ist, lässt nun eine viel grössere Regelmässigkeit erkennen, als es für die einzelnen Monate der Fall war. Die Componenten für die Stunden 12" Nachts bis 6" a. m. gruppiren sich sehr nahe an einander, die Endpunkte der übrigen Componenten liegen dagegen ziemlich regelmässig längs dem Umkreis einer ovalen Linie in der Ordnung, wie die Stunden auf einander folgen, und dabei so, dass für diejenigen Componenten, deren Punkte in der Nähe der grossen Axe der Ovale fallen, die Winkelabstände von einander der zu diesen Punkten vom Centrum der Ovale geführten Radii vectores kleiner sind, als für diejenigen Componen- ten, die in die Nähe der kleinen Axe fallen. Die grosse Axe macht mit N einen Winkel von etwa 134° über Е, ihre Länge ist etwa 5,2 km. und die der kleinen 2,2 km. pro Stunde. . Dä jedoch in dieser Construction Monate von verschiedenen Jahreszeiten zusammen- geführt sind, und es möglich ist, dass innerhalb der so in Betracht genommenen 8 Monate 2* 12 А. GADOLIN, der Einfluss der Jahresperiode auf die tägliche Periode schon sehr bemerkbar sein könnte, haben wir noch dieselbe Construction für die drei Monate: Juni, Juli, August allein gemacht (Fig. III). Hierbei erhält man wieder ein ähnliches Gesetz, nur fallen die Punkte weniger genau mit dem Umkreis einer regelmässigen Ovale zusammen, was aus der kleineren Zahl der zusammengeführten Beobachtungen zu erklären ist. Im Vergleich mit der Fig. II ist doch der Einfluss der Jahresperiode in folgenden Umständen zu erkennen. Die grosse Axe der Ovale macht nunmehr einen Winkel von etwa 143° mit N über И, die Länge der gros-: sen Axe ist nunmehr 5,5 km. und der kleinen 2,7 km.'). Man könnte wohl nun zur weite- ren Ausgleichung der zufälligen Abweichungen empirische Formeln für die Tagesperiode auf- stellen, oder eine graphische Ausgleichung unternehmen, wir haben aber vorerst darauf verzichtet, und aus den stündlichen Beobachtungen vom Juli den Einfluss der Tagesperiode nur in der Weise eliminirt, dass wir von den Componenten der beobachteten Winde nach N und Е, ausser den Monats-Mitteln и, und w,, hergeleitet aus allen ungeraden Stunden vom Juli, noch die Unterschiede AË, An der mittleren dreimonatlichen Stundes-Componenten vom Juni, Juli, August vom Mittel aller Stunden dieser drei Monate abgezogen haben. Nach dieser Elimination giebt die Rechnung die Resultate, die in den Tafeln VI und VIa angeführt sind. Beim Vergleich der Tafeln IV und УГа ersehen wir, dass die Grössen k, k,, y durch die Correction für die Tagesperiode nur eine unbedeutende Aenderung erlitten haben. Der Vergleich der Zahl der beobachteten Geschwindigkeits-Componenten, die zwischen bestimmte Grenzen fallen, mit den theoretischen in den beiden Tafeln III und VI zeigt aber, dass überhaupt, in Folge der gemachten Correction, die Differenz zwischen Beobachtung und Theorie kleiner geworden ist; eine Ausnahme macht nur n zwischen 15 .und 20 km. Im Vergleich aber zu den wahrscheinlichen Differenzen sind die Unterschiede immer noch nicht befriedigend. Die Abweichung für die kleinen Componenten ist wohl nicht mehr so bedeu- tend, doch findet man noch, dass für einige Componenten die Abweichung von der Theorie ihre wahrscheinliche Grösse zu sehr übertrifft. Es kann freilich die von uns für die täg- : liche Periode gemachte Correction nicht als eine vollständige betrachtet werden, da die für die einzelnen Stunden in Betracht genommenen mittleren Winde noch mit Fehlern behaftet sind, unter Anderem, weil sie aus einer begrenzten Zahl von Beobachtungen entnommen sind. Die Formel, die wir für die Berechnung der wahrscheinlichen Differenz benutzt haben, setzt aber voraus, dass das richtige oder absolute Mittel in Betracht gezogen ist, und für den Fall, dass das bei der Berechnung angewandte Mittel aus einer begrenzten 1) Die von uns für die 8 wärmeren Monate vom Jahre | von 1886 bestimmt haben (Fig. III), zeigt aber, abgesehen 1886 gemachte Bestimmung der mittleren Winde, zeigt | von der geringeren Regelmässigkeit, eine auffallende Ab- in der Regelmässigkeit und in dem Gange der täglichen | weichung, sowohl in den Dimensionen der Axen der Ovale, Periode eine auffallende Uebereinstimmung mit den Be- | als auch in der Richtung ihrer Längenaxe. Diese Abwei- stimmungen von Rosenthal für Juli und für den Som- | chung hat uns bewogen bei der Correction für die Tages- mer aus 15jährigen Beobachtungen, wie es bei dem Ver- | periode nicht die von Rosenthal aus l5jährigen Be- gleich der Fig. П, У und VI zu ersehen ist. Der tägliche | obachtungen hergeleiteten Stunden - Mittel, sondern die Gang der mittleren Winde, wie wir ihn aus dem Sommer | von uns für 1886 gefundenen zu verwenden. + DRE A а de AT ve rs I UNTEN ^ ee a Ve a Bla а a a el | а Se; mare RR Ba a a a Da à UE GC ne В je x fr $ sw и | р f м ‘ UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 13 Zahl von Beobachtungen hergeleitet + hat man eine На Formel, die -eine grössere wahrscheinliche Differenz giebt. Diese Correction müsste hier zweifach sein, weil nicht _ nur das Mittel aller Stunden im Monat, sondern auch die für jede Stunde gemachte Correc- tion mit Fehlern behaftet ist. Bei der Zahl 31 der für jede Stunde gemachten Beobach- tungen, wird aber die Correction, die man in den wahrscheinlichen Fehler einzuführen hätte, so unbedeutend sein, dass sie keine wahrnehmbar bessere Uebereinstimmung der Theorie _ mit der Beobachtung erwarten liesse. In Zusammenhang hiermit wollen wir auch noch der _ Vollständigkeit wegen bemerken, dass die Formel, die wir zur Berechnung der wahrschein- lichen Differenzen angewandt haben, bei sehr kleinen Wahrscheinlichkeiten nicht mehr genau ist. Da aber bei den grossen Componenten, für welche diese kleinen Wahrscheinlich- keiten stattfinden, die Abweichungen von der Theorie auch klein sind, so haben wir keine Veranlassung gehabt, auf diesen Umstand näher einzugehen. Die nach der Correction der mittleren Componenten für die tägliche Periode noch vorhandenen Abweichungen von der Theorie, sind weiterhin in einem besonderen Umstande zu suchen. Schon vor dieser Correction machten wir die Bemerkung, dass die Grössen 22°, Zn° und 2(5-+n)’ eine entschiedene tägliche Periodieität zeigten. Die Ursache dieser Periodieität hätte darin liegen können, dass der für die Berechnung dieser Summen in Betracht genommene monatliche Mittelwind von dem stündlichen’ Mittelwinde abweicht und dass diese Abweichung eine tägliche Periode hat. Da nun aber bei der Correction auf die tägliche Periode auch die Grössen & und n für jede Stunde nach dem stündlichen Mittel- winde berechnet sind, und doch die Periodicität der Quadratsummen ebenso entschieden auftritt (siehe Tafel Vla), so kann dieses nur von einer wirklichen täglichen Periodici- tät der Grössen &, &, und y abhängen. In der Tafel VIa sind diese Grössen angegeben, so wie sie für jede Stunde apart berechnet ausfallen, und ein Blick auf die Tafel zeigt ent- schieden ihre Periodieität. Um sie aber noch a a haben wir in der Fig. IV graphisch die ie Br Lage der Quantitäten / 7 und > L für verschiedene Stunden abgebildet. Die Grössen т und + 7 Sind von linearer en wir haben jedoch vorge- zogen in der Zeichnung ihre dur darzustellen, die wir zu diesem Zwecke lineär abge- - bildet haben; dadurch haben wir erreicht, dass die Grössen- Schwankungen stärker hervor- treten. Diese Grössen sind nun in der Richtung der Zerstreuungs-Axen vom Punkte B aus verzeichnet, und die erhaltenen Punkte mit geraden Linien vereinigt nach der Aufein- anderfolge der Stunden. Diese Aufeinanderfolge ist = Pfeilen bezeichnet. Die Figur zeigt, dass die periodische Aenderung der Grössen Y, = = noch ziemlich unregelmässig auftritt, was der ungenügenden Zahl der Beobachtungen zuzuschreiben ist. Jedenfalls ist die Existenz einer täglichen Periode unverkennbar, und es scheint sogar, dass man ihre Natur in folgender Weise charakterisiren kann. Die Tagesstunden von 5" a. m. bis 7" p. m. bilden eine Gruppe für sich, so dass die entsprechenden Punkte eine sehr abgeplattete Ovale bilden; in der Nähe des einen Endes dieser Ovale liegt eine andere viel kleinere, ebenfalls 14 А. GADOLIN, sehr abgeplattete Ovale, die von den Punkten gebildet wird, welche den‘ Nachtstunden 9" р. m. bis 3° a. m. entsprechen. Es erinnert diese Anordnung der Punkte etwas an die- jenige, die wir für die Stunden-Mittel der Winde (Fig. II und III) gefunden haben. Е Oben haben wir die Winde aller ee Stunden vom Juli als eine Gruppe betrach- . tet, für diese Gruppe die Grössen у, = & , berechnet, und die daraus hergeleiteten Wahr- scheinlichkeiten der Wind-Componenten mit den Beobachtungen verglichen.. Die Ueber- einstimmung war nicht befriedigend, und durch die Correction für die Periodieität der Stunden-Mittel auch noch nn Be geworden. Da wir aber jetzt ersehen haben, dass auch die Grössen у, = und -— = = für verschiedene Stunden verschiedene Werthe haben, und andererseits von der Theorie nur für solche Gruppen, in welchen für alle Beobachtun- gen diese Grössen dieselben Werthe haben, genaue Resultate erwartet werden dürfen, so müssen uns die gefundenen Abweichungen von den Beobachtungen nicht befremden. Bei der Zusammenführung vieler solcher Gruppen, für welche die Wahrscheinlichkeits-Constan- ten nicht dieselbe Grösse haben, ist es denkbar, dass das für jede Gruppe gültige, von uns angenommene Wahrscheinlichkeits-Gesetz auch für die zusammengesetzte Gruppe gilt, es ist aber nicht nothwendigerweise so. Wir müssen also, um streng an der Theorie festzu- halten, einzelne Gruppen bilden, von denen eine jede nur die Winde derselben Tagesstunde enthält. Dabei dürfen wir auch nicht verschiedene Monate zusammenführen, weil dann wohl der Einfluss der Jahresperiode bemerkbar werden könnte. Da aber die Zahl der Beobachtungen in jeder dieser Gruppen nur 31 ist, und somit die wahrscheinlichen Diffe- renzen sehr gross werden, so müssen wir hierbei darauf verzichten, eine Controle der Theorie in der Gruppirung der Componenten-Grössen zwischen bestimmten Grenzen zu suchen, wie wir es oben für andere Fälle gemacht haben. Diese Controle werden wir nun in der Weise versuchen, dass wir die Stunden zu je vier zusammenführen, und somit doch in jeder Gruppe 4.31 — 124 Beobachtungen haben. Es ist nämlich möglich, die Stunden zu je vier in der Weise zu gruppiren, dass in einer jeden solchen Gruppe die Grössen у, k, k, nur wenig variiren, wie man es aus der Tafel VIa ersehen kann. Die von uns ange- nommene Gruppirung der Stunden ist in der Tafel VII angegeben, in der wir die Resultate der Berechnung angeführt haben. Bei dieser Berechnung haben wir für die tägliche Periode eine Correction eingeführt, die in der folgenden Weise bewerkstelligt ist. Wir haben hier- bei die Zeichnung Fig. III angewandt und somit die Resultate der_drei Monate, Juni, Juli, August benutzt. Es ist mit Hülfe dieser Zeichnung bestimmt worden, um wie viel in jeder Gruppe die Componenten einzelner Stunden vom Gruppen-Mittel abweichen. Wenn wir auf der Fig. III eine Curve durch einzelne Stunden-Punkte führen, so wird diese Curve einen stellenweise ziemlich unregelmässigen Verlauf haben, “welches durch die zu kleine Zahl der zusammengefassten Beobachtungen zu erklären ist. Wir haben in Folge dessen uns erlaubt, diese Curve auszugleichen und dabei definitiv für die mittleren Winde einzel- ner Stunden die Punkte genommen, die in der Zeichnung entweder mit © oder © bezeich- ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 15 net sind; die erste Bezeichnung wurde dann gewählt, wenn die Lage des Punktes corrigirt _ ist, die zweite, wenn wir es nicht nöthig erachtet haben, seine Lage zu corrigiren. Nach diesen Punkten haben wir andere, mit @ bezeichnet, ausgesetzt, welche den mittleren Win- den für die mittlere Zeit in jeder Gruppe entsprechen. Diese Mittel für die mittlere Zeit haben wir nur dazu benutzt, um die stündlichen Abweichungen vom Vierstunden-Mittel zu bestimmen. Durch A& und An haben wir die Unterschiede zwischen dem Vierstunden- und dem Stunden-Mittel bezeichnet, und diese Grössen sind in der Tafel VII angeführt. Um “nun die Componenten der einzelnen, in eine Gruppe eingehenden Stunden auf die Mittelzeit der ganzen Gruppe zu redüciren, haben wir zu den Componenten jeder Stunde die für diese Stunde gefundenen Werthe von AË und An zugesetzt und die aus dem Juli allein gefun- denen Mittel-Componenten %,, %, für die ganze 4-stündliche Gruppe abgezogen. Es haben "somit die dreimonatlichen Beobachtungen nur dazu gedient die einzelnen Stunden einer Gruppe für diejenigen Abweichungen zu corrigiren, die durch die tägliche Periode in ihren Componenten im Vergleich zu derjenigen der mittleren Zeit bewirkt werden; als Mittel- Componenten der ganzen Gruppe sind aber diejenigen beibehalten, die aus den directen Beobachtungen für den Juli hergeleitet werden. Aus der Tafel VII ersieht man nun, dass in der That die Quadratsummen innerhalb einer jeden Gruppe nicht sehr stark variiren, so dass man sich erlauben kann, sie zur Berechnung von gemeinsamen Werthen von Y, à und та für alle Stunden einer Gruppe zu verwenden, und die darnach berechneten 1 Wahrscheinlichkeiten der Componenten verschiedener Grösse mit den beobachteten Wahr- scheinlichkeiten zu vergleichen. In den Tafeln VIII, IX, X geben wir das Resultat dieser _ Rechnung für die Stunden-Gruppen 11" а. m. bis 2" p. m., 7" p. m. bis 10" p. m. und 11° р. m. bis 2" a. m. Wir finden hierbei noch einzelne Intervalle, in denen der Unter- schied der beobachteten und theoretischen Wahrscheinlichkeiten die wahrscheinliche Diffe- renz 5 und 6 Mal überschreitet. Durch die Annahme eines Einflusses des Windes einer gegebenen Stunde auf die benachbarten, kann man wohl nicht diesen Mangel an Ueberein- stimmung erklären, denn wären sogar alle vier Beobachtungen jedes Tages identisch, so würde dieser Umstand die wahrscheinliche Differenz nur verdoppeln, und es würden doch einzelne Fälle bleiben, wo sie noch um gegen drei Mal von dem Unterschiede zwischen den beobachteten und theoretischen Wahrscheinlichkeiten übertroffen wird. Es bleibt uns somit nur die Annahme zu machen, dass die bei der Berechnung ange- wandten Mittel-Componenten nicht richtig bestimmt sind. Diese Frage wollen wir weiter unten behandeln; inzwischen schien es interessant zu sehen, ob nicht eine Vergrösserung der Zahl der Beobachtungen eine Annäherung der beobachteten Wahrscheinlichkeiten an die theoretischen herbeiführen könnte. Zu diesem Zwecke bemerken wir (Tafel VII), dass in. den vier Gruppen von 7". p. m. bis 10" a. m. die Werthe von Y, 5 und = nicht sehr von _ einander verschieden sind, weswegen wir diese vier Gruppen vereinigt behandelt haben. Dabei erhalten wir die Mittelwerthe von Y, г und = die unten in der Tafel VII angegeben 16 "A. GADOLIN, -. sind, und haben in der Tafel XI die beobachteten Wahrscheinlichkeiten mit den theoreti- schen zusammengestellt. Die Unterschiede dieser Grössen von einander übertreffen nun für = einzelne Intervalle die wahrscheinliche Differenz fast ebensoviele Mal, als im vorigen Fall, . wo jede Gruppe für sich behandelt wurde, es sind aber jetzt die wahrscheinlichen Differen- _ zen nur halb so gross wie die früheren. Es ist somit durch die Vergrösserung der Zahl der Beobachtungen eine bedeutende Annäherung der Beobachtungs-Resultate an die theore- tischen erreicht worden, obschon auch jetzt noch die Uebereinstimmung nicht genügend ist. Von dem Gesichtspunkte ausgehend, dass die aus einem einzelnen Monat berechneten Mittel nicht genau genug bestimmt sind, haben wir eine neue Rechnung vorgenommen, in der wir für jede Stunde diejenigen Abweichungen ihrer Mittel vom Monats-Mittel gewählt haben, welche für diese Stunde bei der oben auseinandergesetzten graphischen Ausgleichung für den Juni, Juli, August (Fig. ПЛ) durch die umkreisten Punkte bestimmt worden sind; nur das allgemeine Monats-Mittel vom Juli ist behalten worden. Die hiernach berechneten | я Ne ner Br ir 2 Quadratsummen und die Grössen y, +, = für die Stunden 7" р. m. bis 10" a. m. sind in ; der Tafel XII, und die Wahrscheinlichkeiten in der Tafel XIII zusammengestellt. Aus dieser Tafel sieht man nun, dass in der That die Uebereinstimmung der Beobachtungen mit der Theorie besser geworden ist, als es in der Tafel XI der Fall war, und man könnte sie als befriedigend ansehen, wenn man nur, wegen der Abhängigkeit der Winde von einander im Verlauf eines Tages und manchmal auch an aufeinander folgenden Tagen, annehmen könnte, dass die Winsen wahrscheinliche Differenz etwa doppelt so gross wäre, als die beröchneie, Die Bestimmung der wirklichen Grösse der wahrscheinlichen Differenz wäre also für uns sehr wichtig, und deswegen wollen wir hier einige Betrachtungen beifügen, welche uns wohl nicht erlauben, die Frage ganz zu erledigen, indessen doch zu ihrer Beleuchtung bei- tragen werden. Zu diesem Zwecke haben wir die nach den stündlichen Beobachtungen vom Juli 1886 berechneten N-Componenten ihrer Zeitfolge nach zusammengestellt und dabei jedes Mal bemerkt, wenn die Componente eine der Grössen — 25, — 20, — 15, `— 10, — 5,0, +5, +10, +15, + 20 überschritten hat. Es hat sich dabei ergeben, dass in vielen Fällen ein oder viele dieser Intervalle auf einmal im Verlauf einer Stunde. von der Componente zurückgelegt worden sind;. in anderen Fällen dagegen hat die Compo- nente viele, bis über 18 Stunden gebraucht um ein Intervall zu überschreiten. Ebenso ist _ viele Mal die Componente innerhalb eines Intervalls längere Zeit, bis 21 Stunden, geblie- _ ben, ohne die Grenzen desselben zu überschreiten. Alle die Beobachtungen, die innerhalb einer solchen Zeit fallen, sind somit wenig von einander verschieden; würden sie identisch sein, so hätte man sie, bei der Berechnung der wahrscheinlichen Differenz, alle nur für eine einzige Beobachtung rechnen müssen. Durch diese Betrachtung würde die Zahl der Beobachtungen von Juli vom 744(— 24.31) auf 232 reducirt werden und dieses würde eine Sara der wahrscheinlichen Differenz um le —:1,8. Mal geben. Es ist ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 17 wohl wahr, dass die Beobachtungen, die bei dieser Betrachtungsweise als identisch ange- sehen worden sind, in der That einander nicht ganz gleich sind, und obwohl die gemachte Reduction der Zahl der Beobachtungen somit als zu stark angesehen werden könnte, so muss man andererseits in Betracht nehmen, dass für die zahlreichen (38) Fälle, wo die Componente eine ganze Stunde innerhalb eines Intervalls geblieben ist, oder wo sie zum Durchschreiten eines Intervalls eine ganze Stunde gebraucht hat, und wo folglich der Ein- fluss desWindes einer Stunde auf denjenigen der nächsten Stunde entschieden stattgefunden hat, wir doch keine entsprechende Reduction der Zahl der Beobachtungen gemacht haben. Wir hätten auch noch eine weitere Reduction machen müssen in Folge des Umstandes, dass die Componente oft einige Tage nach einander fortwährend in demselben Bereiche bleibt. So kann man bemerken, dass vom Anfang des Monats an bis zum 4. Juli 6" p.m., während 90 Stunden die Componente nicht negativ wird, mit Ausnahme von 8" a. m. und 9" a. m. den 1. Juli, wo sie die Werthe —3,71 und —3,51 hat; dass von 9" p. m. am 6. Juli bis 10° р. m. am 9. Juli während 74 Stunden die Componente nicht über Null steigt; dass von 10" p. m. am 14. Juli bis 7" p. m. am 18. Juli während 94 Stunden die Componente auch nicht über Null steigt; dass von 3" a. m. am 21. Juli bis 10" р. m. am 27. Juli während 164 Stunden die Componente nicht unter Null fällt mit Ausnahme von 8" а. т. und 9" a. m. am 22. Juli, wo sie die Werthe —4,24 und —4,24 hat, und von 12” Nachts am 25. Juli und Та. m. am 26. Juli, wo sie —4,01 und —3,06 war; und dass von 11" р. m. am 27. Juli bis 3" р. m. am 29. Juli während 41 Stunden die Componente nicht über —5 steigt. Aus diesen Daten folgt die Existenz einer Abhängigkeit der Winde von einander sogar mehrere Tage hindurch, und demgemäss würden die wahrscheinlichen Differenzen der Beobachtung mit der Theorie noch mehr zu vergrössern sein. Es scheint somit nicht sehr gewagt zu sein, diese Differenz, wie wir es oben gemacht haben, bei allstündlichen Beobachtungen etwa doppelt so gross zu schätzen, als sie nach der Zahl der Beobachtungen, nach der ge- wöhnlichen Formel berechnet, gefunden worden ist. Die obige Untersuchung hatte den Zweck, zu bestimmen, in wiefern das gewöhnliche Wahrscheinlichkeits-Gesetz auf die Winde anwendbar ist. Die Schwierigkeiten, die uns bei dieser Untersuchung begegnet sind, liegen hauptsächlich einerseits in der Abhängigkeit des Windes einer gegebenen Stunde von den Winden der vorhergegangenen Stunden oder sogar Tage, und andererseits in der Unsicherheit, in der wir über die wahren Mittelwinde schweben, die wir in der Rechnung in Betracht nehmen sollen. Die auseinandergesetzte Untersuchung hat aber gezeigt, dass je grösser die Zahl der in Betracht genommenen Beobachtungen ist, desto besser stimmt die beobachtete Wahrscheinlichkeit der Componenten verschiedener Grösse mit der aus der Theorie hergeleiteten überein. Wir können deswegen als sehr wahr- scheinlich annehmen, dass das besprochene Gesetz, wenigstens annähernd, wenn auch nicht genau, auf die Windverhältnisse eine Anwendung finden kann. Eine solche Anwendung Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. . 3 18 | A. GADOLIN, kann einen sehr nützlichen Beitrag zur näheren Kenntniss der Windverhältnisse liefern. Hierüber werden wir unten einige Weisungen Beh: а. aber eine Bemerkung über die Zuverlässigkeit der Werthe für die Constanten 1, в = vorausschicken, die wir in den Ta- feln gegeben haben, und Aa den folgenden Anwendungen benutzen wollen. Die Grössen у, =, = ; bekommen nämlich verschiedene Werthe je nach dem man bei ihrer Berechnung den einen oder anderen mittleren Wind einführt. Da wir die Frage über den definitiv anzunehmenden mittleren Wind nicht völlig haben erledigen können, so ent- steht die Frage, ob nicht durch die Annahme eines anderen mittleren Windes diese Grössen sich um so viel verändern könnten, dass die von uns angenommenen Grössen zu falschen Resultaten führen könnten. Diese Frage haben wir in der Beilage III behandelt, und dabei ersehen, dass in den Grenzen, in denen eine Aenderung sr mittleren Winde möglicher Weise Er) klein genug ist, um keinen bemerkenswerthen Einfluss haben zu können bei den Anwendungen, die wir weiter unten von diesen Grössen gemacht haben. Der Vergleich der Tafeln III und VI, ebenso wie von XI und XIII, in denen die Wahrscheinlichkeiten in jedem Paar von Tafeln für dieselbe Wind - Gruppe mit verschiedenem Mittelwinde angegeben sind, zeigt, dass die theoretischen Wahrscheinlichkeiten in jedem Paar von Tafeln sehr naheliegende Werthe haben. Wenn nach der Tafel VI die Uebereinstimmung der Theorie mit den Beobachtungen besser ist als in der Tafel Ш, und in der Tafel XIII besser als in XI, so hängt dieses von der Verände- rung der beobachteten Wahrscheinlichkeiten ab. zu erwarten wäre, die Aenderung der Grössen у, Die angegebene Theorie giebt uns unter anderem die Möglichkeit zu berechnen, mit welcher Wahrscheinlichkeit man gewisse Winde zu erwarten hat. Wir haben schon oben bemerkt, dass jeder horizontale Durchschnitt der Fläche Z eine Ellipse ist, die wir Zer- streuungs-Ellipse genannt haben. Ist « eine gegebene Grösse und die Gleichung der Ellipse. Ihre Halbaxen fallen mit der Richtung der Zerstreuungs-Axen . .. и . ». . . X und У zusammen, und haben die Grössen en und -—, die erste grösser und die zweite kleiner. Der höchste Punkt der Fläche Z entspricht dem Werthe и — o, und hat die Höhe kk, Tee: о ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 19 über die horizontale Coordinaten-Ebene. Sowie z kleiner genommen wird, wachsen die Halb- axen und werden unendlich für 2= 0. Die Fläche Z nähert sich also assymptotisch der ° horizontalen Coordinaten-Ebene. Der Flächeninhalt einer von den betrachteten Ellipsen ist Tru? ВЕ ° Aendert sich nun « um du, so ändert sich dieser Flächeninhalt um 2 пи Er, du. | Dieses ist der Flächen -Raum, der zwischen zwei Ellipsen eingeschlossen ist, deren Parameter и und du sind. Die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes in _ diesen Flächenraum fällt, oder das Volumen, das über diesem Flächenraum unter der Fläche Z befindlich ist, hat den Werth: 2 пи Kk 2: ди = Qu e—%° du und somit ist die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes innerhalb der Zer- streuungs-Ellipse mit dem Parameter и fällt: U | Ou e—% du = 1 — =. 0 Bezeichnet man nun diese Wahrscheinlichkeit mit p, so ist und folglich : wo log den Logarithmus des natürlichen Systems bezeichnet. Die Halbaxen der durch diesen Parameter bestimmten Ellipse sind 1 1 1 l ву (25) und pro (5) Die Richtung der ersten, grösseren Axe, ist durch den Winkel y, den sie mit der N- Linie macht, bestimmt. Um eine Anwendung dieser Formel zu zeigen, wollen wir die Grösse derjenigen Ei- lipse bestimmen, welche die Endpunkte der halben Zahl, oder + oder - der Winde um- fassen, die im Januar und Juli 1886 stattgefunden haben. Die Halbaxen sind: в 20 A. GADOLIN, 3 рей 3 1 5 für =>, 4) log 2 = 9 und sy р 1 1 4 0,5364 1 log — =—— und 1 UHR 4 __ 0,5864 4’ 3 р = nV 83 I а Et ile 40 __ 0,1591 1 40 __ 0,1591 für =, КИ 105 35 7; und кую» = И: Dieses giebt für die Halbaxen nach der Tafel IV: Januar. Juli. für p—+, 14,79 und 11,19 16,76 und 11,28 für p—+, 9,53 und . 7,21 10,80 und 7,27 für p=4, 2,83 und 2,14 3,20 und 2,16. In der Fig. VIII und IX sind diese Ellipsen verzeichnet. A ist der Anfangspunkt (Wind null), AB der mittlere Wind des Monats, ВХ und BY die Zerstreuungs-Axen. Zur Construction haben wir die Werthe von y und der Componenten des mittleren Windes u, und w, aus der Tafel IV entnommen. Diese Figuren geben eine deutliche Vorstellung von der Vertheilung der Winde in verschiedenen Azimuthen. Um ein anderes Beispiel zu geben, haben wir in der Fig. V die Ellipsen für die ver- schiedenen Tagesstunden im Juli verzeichnet. Diese Figur giebt, wie oben erwähnt worden ist, eine graphische Darstellung der mittleren Winde zu den verschiedenen Tagesstunden im Juli nach Rosenthal’s Berechnungen aus 15jährigen Beobachtungen. In dieser Con- struction haben wir durch graphische Interpolation die mittleren Winde für die Stunden 12° 30” p. m., 4? 30’ p. m., 8° 30’ p. m., 12%'30°.a..m., 42 30, а. m. und 8° 30 2 m br stimmt und durch umkreiste Punkte bezeichnet. Diesen Punkten entsprechen die mittleren Winde für die mittleren Zeiten der 4 stündlichen Gruppen, die in Tafel VII angeführt sind. Um jeden dieser Punkte als Centrum ist nun eine Ellipse gezeichnet, welche der Wahr- scheinlichkeit 6 entspricht, so dass man rechnen kann, dass, bei einer genügend grossen Zahl von Beobachtungen, m der ganzen Zahl der Winde an Richtung und Geschwindig- keit angegeben werden durch Gerade, die aus Punkten innerhalb der Ellipse zum Anfangs- Punkt A gehen. Diese Zeichnung ist in einem 71, Mal grösseren Maassstabe gezeichnet als die Fig. IX um deutlicher die tägliche Periode des mittleren Windes darzustellen. Um die Zeich- nung nicht zu sehr zu vergrössern, haben wir uns genöthigt gesehen, die Ellipsen einer so kleinen Wahrscheinlichkeit wie т abzubilden. Die Halbaxen dieser Ellipsen sind aus der Tafel УП berechnet: 3,68 km. und 2,68 km. für 12" 30’ p. m., 3,75 km. und 2,46 km. _ Urger DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 21 für 4" 30’ p. m., 291 km. und 1,75 km. für 8" 30’ p. m., 2,96 km. und 1,65 km. für 12" 30° a. m., 2,71 km. und 2,14 km. für 4" 30 a. m., und 3,01 km. und 2,21 km. für 8" 30 a. m. Man sieht, wie die Grösse und Excentricität dieser Ellipsen mit der Tagesstunde уа-. riiren. Die Beziehung der Lage der grossen Halbaxen dieser Ellipsen zu der grossen Halb- axe der ovalen Linie, die durch die Stundenmittel geführt werden kann, ist auffallend. Die Ellipsen-Axen machen nur unbedeutende Schwankungen nach beiden Seiten um die Ovalen- Axe, für welche wir etwa die Richtung CD nehmen können, die mit N einen Winkel von von 124° macht. In der That machen nur die Axen der Ellipsen für die Tagesgruppen 11" a. m. bis 2" р. m. und 3" р. ш.— 6" p. m. mit N einen grösseren Winkel als die Ovalen- Axe, und diejenigen der 4 übrigen Ellipsen einen kleineren. Der Winkel der Zerstreuungs- Axe für den ganzen Monat (siehe Tafel VIa) ist von uns 125° 58’ befunden, und diese Axe fällt somit beinahe mit der Axe der Ovale zusammen. Fig. VII giebt die entsprechende Construction für den Januar. Der Maassstab ist derselbe. Wir haben jedoch hier die mittleren Winde von den 3 Monaten: December, Januar und Fe- bruar, wie sie von Rosenthal berechnet sind, benutzt, weil die Resultate, die er für Januar allein, obwohl aus 15 jährigen Beobachtungen, hergeleitet hat, doch nicht regelmässig genug sind, um den täglichen Gang der Winde ersehen zu lassen. In den Mitteln der 3 Monate sieht man aber eine gewisse Analogie mit dem täglichen Gang vom Juli. In der That liegen die Punkte der mittleren Winde von 7" a.m. bis 5" p. m. in einer regelmässigen Ordnungs- folge längs dem Umkreise einer ovalen Linie; in der Gruppirung der Punkte der übrigen Stunden giebt sich keine solche Regelmässigkeit kund. Der Unterschied dieser Verhältnisse von denjenigen vom Juli besteht darin, dass die Ovale im Winter sehr zusammenge- schrumpft erscheint. Im Juli konnte man die grosse Axe der Ovale auf 4,15. Kilometer, die kleine auf 2,05 Kilometer und den Winkel, den die grosse Axe mit N macht, auf 124° schätzen, während diese Grössen im Mittel für die Wintermonate 0,9 km., 0,2 km. und und 106° ausmachen. Während im Juli die Abendstunden von 6" p. m. bis 12" Nachts sich noch längs der Ovaleregelmässig gruppiren, kann man dieses für den Winter nicht mehr er- sehen. Diese Unregelmässigkeit kann vielleicht ihren Grund haben in den kleinen Dimen- sionen der Winter-Ovale im Vergleich zu den noch vorhandenen Fehlern in der Bestimmung der Punkte der mittleren Winde, Fehler, die von der ungenügenden Zahl der Beobachtungen abhängen. Die übrigen Stunden 1" a. m. bis 6" a. m. bilden hier, wie im Juli, eine kleine unregelmässige Gruppe für sich, ihre unregelmässige Vertheilung kann hier, ebenso wie im Juli, aus derselben Ursache erklärt werden, nämlich dass die von der ungenügenden Zahl der Beobachtungen herrührenden Fehler gross sind im Vergleich zu den Dimensionen der ganzen Gruppe. Auffallend ist jedoch, dass während im Juli diese Gruppe ausserhalb der Ovale an ihrem spitzen S. E. Ende liegt, sie sich im Winter an die flache N. Е. Seite der Ovale, ebenfalls von der Aussenseite anschliesst. Die Dimensionen der Wahrscheinlichkeits- Ellipsen erlangen im Januar, nicht so grosse Werthe, wie wir im Juli für die Tagesstunden gefunden haben; wir haben sie aus den Zahlen der Tafel V berechnet zu 2,88 km. und 22 A. GADOLIN, 2,14 km. für 7" a. m., 3,02 km. und 2,03 km. für 1" р. m. und 2,59 km. und 2,15 km. für 9° p. m. Darnach und nach den Winkeln y der Tafel V sind die Ellipsen in der Fig. VII construirt. Man sieht, dass die Richtungen der grossen Ellipsen-Axen hier nicht mehr wie im Juli mit der Richtung der grossen Axe der Ovale annähernd zusammenfallen. Die Ovalen- Axe vom Winter steht dem E. näher als im Juli, und die Ellipsen-Axen stehen im Gegen- theil dem N. näher. Eben so leicht lässt sich die Wahrscheinlichkeit eines Windes berechnen, dessen End- punkt in ein Rechteck fällt, dessen Seiten den Hauptaxen der Zerstreuungs-Ellipse parallel sind. Sind x, und у, die kleinsten Coordinaten einer von den Ecken dieses Rechtecks und x, und 9, die grössten, so ist die gesuchte Wahrscheinlichkeit: | Y2 pd — 12 712—242 ыы | | ER дд dy. Yyı 7% In Folge der Constanz der Grenzen verwandelt sich dieser Ausdruck in den folgenden: Die beiden Integrale, deren Produkt man hier zu nehmen hat, berechnen sich leicht mit den bekannten Tafeln. Die oben angegebenen Resultate können unter anderem dazu benutzt werden, die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes innerhalb eines beliebig begrenzten Flächenraumes liegt, zu berechnen. Wenn man nämlich diesen Raum mit einem Netze von Rechtecken bedeckt, deren Seiten den Zerstreuungs-Axen parallel sind, und dann nach der Formel (10) die über diesen Rechtecken gelegenen Volumina berechnet, so ist die Summe aller Volumina, die über denjenigen Rechtecken liegen, welche vollständig in den betref- fenden Flächenraum fallen, kleiner als das über dem gesammten Flächenraum gelegene Volumen. Fügt man jetzt noch zu dieser Summe die Summe aller Volumina hinzu, die über denjenigen Rechtecken liegen, die nur theilweise in den betrachteten Flächenraum fallen, so bekommt man eine Grösse, die das gesuchte Volumen übertrifft. In dieser Weise erhalten wir zwei Grenzen, von denen die eine kleiner, und die andere grösser als das gesuchte Vo- lumen ist. Bei entsprechender Wahl. der Dimensionen der Rechtecke können diese beiden Grenzen willkürlich einander genähert werden. Wir haben diese Methode auf zwei Auf- gaben angewandt. In der einen berechnen wir die Wahrscheinlichkeit, dass die Richtung ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 23 des Windes zwischen zwei gegebene Richtungen fällt; in der anderen die Wahrscheinlich- keit, dass die Geschwindigkeit des Windes eine gewisse Grösse übertrifft. Die erste Rechnung haben wir für die Winde gemacht, die zwischen NW und SW von 28 р. ш. bis 3° p. m. im Juli wehen (siehe Beilage IV), und dabei die Wahrscheinlichkeit eines solchen Windes 0,358 = 0,0047 gefunden. Beim Zusammenrechnen der Zahl der Winde, die nach den Annalen des physikalischen Central-Observatoriums während 10 Jahre (1878—87) im Juli von 2° р. m. bis 3" р. m. stattgefunden haben, bekommt man für die in SW und NW und die zwischen ihnen fallenden Richtungen folgende Zahlen: Für die Jahre 1878—1887. Für das Jahr 1886. Windes Richtung. Zahl der Winde. Zahl der Winde. 20 8 1 21 | 4 0 22 8 1 23 7 1 24 13 1 25 17 0 26 57 2 27 25 0 28 21 8 Summe... 160 14 Die Windrichtung ist hier angegeben nach der 32-theiligen Rose, so dass 20 mit SW und 28 mit NW zusammenfällt. Um die Zahl der Winde mit der von uns theoretisch hergeleiteten zu vergleichen, muss man sie jedoch für die Jahre 1878 bis 1887 um 14,5 vermindern; dies ist die halbe Zahl der Winde in den Richtungen 20 und 28. Man darf nämlich annehmen, dass nur die halbe Zahl der Winde, die genau in NW und SW registrirt sind, wirklich zwischen diese beide Richtungen fällt. Man erhält also die Zahl der betref- fenden Winde 145,5, wobei die ganze Zahl der beobachteten Winde 31 X 10 = 310 ist. Dieses giebt für die Walhrscheinlichkeit eines Windes zwischen NW und SW: ne — 0,469. Wir haben nun vor der Vergleichung die theoretische Wahrscheinlichkeit noch zu ver- mindern und zwar aus dem Grunde, weil die Anemometer ganz kleine Geschwindigkeiten nicht angeben, so dass die Richtungen solcher Geschwindigkeiten in den Tabellen nicht angegeben sind. Wir finden in der That in diesen Tabellen keine Angaben von Ge- schwindigkeiten zwischen 0 und 2 km. Nehmen wir nun an, dass alle Geschwindigkeiten kleiner als 2 mit 0 registrirt worden sind, so sind die Richtungen der entsprechenden Winde nicht angegeben, und wir müssen zum Vergleich mit der Theorie zuerst aus der theoretischen Zahl die Wahrscheinlichkeit der Winde zwischen SW und NW bei Geschwin- digkeiten von 0 bis 2 km. ausschliessen. Diese Wahrscheinlichkeit macht weniger als ein Drittel vom Volumen über dem Rechteck 0 (siehe Beilage IV) aus, wie es auf der Fig. X zu ersehen ist, und ist folglich nicht grösser als 0,0028. Wäre sogar die kleinste registrirte * 24 А. GADOLIN, Geschwindigkeit 3 km., so würde die Correction, die wir in der theoretischen Wahrschein- lichkeit zu machen hätten, nur etwa 0,0042 ausmachen. Wir haben somit die theoretische Wahrscheinlichkeit 0,355 mit der direct aus den Beobachtungen hergeleiteten 0,469 zu vergleichen. Der Unterschied beider ist 0,114, und der wahrscheinliche Unterschied in der gebräuchlichen Weise berechnet 0,0173. Der beobachtete Unterschied übertrifft somit den wahrscheinlichen 6,5 Mal, was wohl nicht als befriedigend angesehen werden kann, obwohl auch hier die einzelnen Beobachtungen nicht ganz von einander unabhängig sind, indem manchmal der Wind eines Tages von dem Winde des vorigen Tages auffallend abhängig ist. | Es darf aber nicht übersehen werden, dass die Zahlen, die wir für die theoretische Be- rechnung benutzt haben, nur aus dem Juli allein für das Jahr 1886 abgeleitet sind, und dass wir die daraus gezogenen Schlüsse mit den Beobachtungs-Resultaten von IO ver- schiedenen Jahren verglichen haben. Da manchmal in einem einzelnen Jahre die meteo- rologischen Verhältnisse sehr abweichend sind, so darf die oben gefundene Abweichung uns nicht befremden. Wären die Constanten unserer Berechnung aus einer längeren Periode entnommen worden, so hätten wir auch eine bessere Uebereinstimmung erwar- ten müssen. Benutzen wir z. B. die von Rosenthal gemachte Zusammenstellung der Wind-Verhältnisse von 15 ‘Jahren, so finden wir für 3” р. m. im Juli die Componenten des mittleren Windes nach N «+ 2,44 und nach E— 5,17, während wir diese Compo- nenten + 1,82 und — 5,02 angenommen haben. Nach diesen Daten ist eine Vergrös- serung der berechneten Wahrscheinlichkeit um + 0,0049 einzuführen, welche freilich nicht bedeutend ist, aber doch den Unterschied der beobachteten und theoretischen Wahr- scheinlichkeit vermindert. Eine wesentlich bessere Uebereinstimmung wäre zu erwarten, wenn wir auch die Grössen у, En = aus 10 jährigen Beobachtungen hergeleitet hätten. Dieses haben wir indessen der grossen Arbeit wegen, die eine solche Berechnung veranlassen würde, unterlassen. Es wäre eigentlich richtiger gewesen die aus den Daten von 1886 her- geleiteten Schlüsse auch nur mit den Beobachtungen von demselben Jahr zu vergleichen. Dieser Vergleich giebt als Resultat eine vollkommene Uebereinstimmung; in der That, wenn man von der ganzen Zahl der im Juli 1886 in den Richtungen 20 bis 28 stattgefundenen Winde die halbe Zahl der in den beiden äussersten Richtungen 20 und 28 angezeigten ab- zieht, bekommt man die Zahl 9,5, was einer Wahrscheinlichkeit 0,306 entspricht. Der Un- terschied von der theoretischen Wahrscheinlichkeit ist 0,049, und der wahrscheinliche Un- terschied berechnet sich zu 0,058. Ein solcher Vergleich ist aber wenig belehrend, da die bedeutende Grösse des wahrscheinlichen Unterschiedes, von der kleinen Zahl der Beob- _ achtungen abhängig, es unmöglich macht wirkliche Abweichungen der Theorie von der Beobachtung zu bemerken. | Die zweite Aufgabe, die wir gelöst haben, besteht in der Berechnung der Wahrschein- lichkeit eines Windes, dessen Geschwindigkeit mehr als 35 Kilometer in der Stunde be- _ trägt. Für diese Rechnung haben wir den Monat Januar gewählt, weil wir zur Vergrösse- rung der Aussicht eines erfolgreichen Vergleichs mit den Beobachtungen die wenigstens ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 25 für einen ganzen Monat bestimmten Constanten benutzen wollten, und hierin hat der Januar einen entschiedenen Vorzug vor dem Juli, weil im ersteren Monat die Constanten wenig mit den Tagesstunden variiren. Auf das Resultat der zu lösenden Aufgabe hat nämlich еше Aende- rung dieser Constanten einen weit grösseren Einfluss, als bei der ersten Aufgabe. Den Gang ‚ der Lösung haben wir in der Beilage У auseinandergesetzt. Die Berechnung hat für die gesuchte Wahrscheinlichkeit eine Grösse 0,0198 = 0,00195 gegeben. Im Januar 1886 fand, nach den Beobachtungen, 15 Mal ein Wind statt, der eine Geschwindigkeit grösser als 35 hatte (die Geschwindigkeit 35 wurde kein einziges Mal beobachtet). Die ganze Zahl der Beobachtungen war 744, und hieraus folgt die Wahrscheinlichkeit 0,0202. Der Unter- schied von der theoretischen Wahrscheinlichkeit ist 0,0004 und der wahrscheinliche Un- terschied berechnet sich auf 0,0034. Eine so nahe Uebereinstimmung der Theorie mit den Beobachtungen können wir nur dem Zufall zuschreiben. Für die Winde, die zwischen SW und NW wehen, haben wir, wie oben auseinander- gesetzt wurde, als Mittel aus 10-jährigen Beobachtungen eine Wahrscheinlichkeit gefunden, die mit der theoretischen Wahrscheinlichkeit, berechnet für den Juli 1886, genügend über- einstimmt. Eine solche Uebereinstimmung findet nicht statt zwischen langjährigen Beob- achtungen für den Januar und der für den Januar 1886 berechneten theoretischen Wahr- scheinlichkeit einer Windgeschwindigkeit über 35 km. In der folgenden Tafel haben wir die Zahl der während 13 Jahre im Januar in St. Petersburg AE PAUSE Winde mit Ge- schwindigkeiten von 35 km. und darüber angegeben. Zahl der Geschwindigkeiten. Jahr. 35 km. über 35 km, 1875 0 14 1876 2 39 1877 4 HOT 1878 3 31 1879 4 29 1880 0 10 1881 4 30 1882 19 83 1883 5 21 1884 3 12 1885 1 1 1886 0 15 1887 8 45 Summe . 53 337 Rechnet man die halbe Zahl der Geschwindigkeiten, die zu 35 km. angegeben sind, als grösser wie 35 km., so hat man im Ganzen 363,5 Fälle, in denen die Geschwindigkeit grösser als 35 km. gewesen ist, und dieses giebt, bei der ganzen Zahl der Beobachtungen Mémoires de l'Acad. Гот. d. sc. VII Série. 4 26 А. GADOLIN, 9762, eine Wahrscheinlichkeit 0,0372, was mit der für den Januar 1886 theoretisch hergeleiteten gar nicht übereinstimmt. Die starke Variation der Zahl der Geschwindigkei- ten über 35 km. in den einzelnen Jahren weist auch auf grosse Verschiedenheiten hin, die zwischen den einzelnen Jahren stattgefunden haben, und dass die Constanten, die wir aus 1886 hergeleitet haben, für andere Jahre nicht zu verwenden sind. Um dieses zu bestäti- gen, haben wir die Constanten für den Januar 1882 berechnet, jedoch nur mit Benutzung der Beobachtungen der Stunden 7° a. m., 1° p. m. und 9" p. m., um nicht eine zu lange Rech- nung machen zu müssen. Die Werthe der Constanten sind: у = 143° 57, = — 598,4, => — 264,5, и, = — 0,28, и, = — 16,14, folglich Werthe, die von den in der Tafel IV für den Januar 1886 angegebenen sehr abweichen. Berechnet man nach diesen Werthen die Wahrscheinlichkeit eines Windes mit einer Geschwindigkeit über 35 km., so findet man 0,1616-=0,0075, während aus den Beobachtungen für den Januar 1882 еше Wahrschein- . lichkeit von 0,1243 folgen würde. Somit fällt die theoretische Wahrscheinlichkeit sogar viel grösser aus, als die aus den Beobachtungen hergeleitete. Der Unterschied beider ist — 0,0373, etwa 4 Mal grösser, als die nach der Zahl der Beobachtungen 744 berechnete wahrscheinliche Differenz. Da wir hier stündliche Beobachtungen benutzt haben, so muss, der Beharrlichkeit der Winde wegen, die Zahl der von einander wirklich unabhän- gigen Beobachtungen wohl etwa 4 Mal verkleinert werden, und dieses würde den wahr- scheinlichen Unterschied um etwa doppelt vergrössern, so dass wir auch hier keinen Wider- spruch mit der Theorie sehen dürfen. Bei der eben erwähnten Berechnung ist eine andere Methode angewandt worden, als diejenige, die wir oben angeführt haben. Zur Bestimmung des Volumens, das über einem aus dem Centrum A mit dem Radius 35 km. beschriebenen Kreis unter der Fläche Z liegt, haben wir mit dem Punkt В (Fig. XI) als Centrum vier Viertel-Ellipsen (7, 15, 7 und 2) beschrieben; jedem dieser elliptischen Bogen entspricht ein bestimmter Werth der Ordi- pate г. Wir haben diese Viertel-Ellipsen so gewählt, dass ein Theil von jeder von ihnen inner- halb, und ein anderer ausserhalb des Kreises liegt. Das über einer jeden von diesen Viertel- Ellipsen gelegene Volumen lässt sich nun als ein Viertel von dem in der Formel (8) angege- benen berechnen. Zu der Summe der vier, in dieser Weise berechneten Volumina hat man nun die Volumina hinzuzufügen, welche über denjenigen Theilen des Kreises sich befinden, die ausserhalb dieser Viertel-Ellipsen liegen, und von ihr die Volumina abzuziehen, welche über denjenigen Theilen der Viertel-Ellipsen liegen, die ausserhalb des Kreises fallen. Um nun diese Volumina zu bestimmen, haben wir die entsprechenden Flächenräume mit einer Reihe Ellipsenbogen durchschnitten, die alle Ellipsen angehören, welche concentrisch mit den oben erwähnten Viertel-Ellipsen und ihnen ähnlich sind. In dieser Weise ist jeder der betreffenden Flächenräume in Abschnitte getheilt worden. Das über jedem von diesen Ab- schnitten unter der Fläche Z gelegene Volumen liegt nun der Grösse nach zwischen den Volu- mina von zwei Cylindern, die als gemeinsame Basis den Flächenabschnitt haben und als Höhe ét he ИМЕН ВН x TR A 7 F TU 4 a + Е ‚ Я 4 а 3 PR NRC AT Ver < ы Né 2" ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. DT, die Werthe der Ordinate 2, die den beiden begrenzenden Ellipsenbogen zukommen. Die Grössen dieser Ordinaten werden berechnet, und die Flächeninhalte der Abschnitte mit dem Amsler’schen Planimeter. oder nach einer anderen graphischen Methode bestimmt. Wird diese Operation nun für alle Flächenräume vollführt, so bekommt man die Volumina, die man von der Summe der über den Viertel-Ellipsen gelegenen Volumina abzuziehen oder ihr zu- zuzählen hat. Der Gang der Lösung für den betrachteten Fall ist in der Beilage VI aus- einandergesetzt. Diese Methode kann wohl in einzelnen Fällen mehr zeitraubend werden, als die von uns im vorigen Beispiel benutzte, und sie hat ausserdem den Nachtheil, dass es schwer ist, die durch die Ungenauigkeit der graphischen Construction eingeführten Fehler zu schätzen. In dem Falle aber, wo man bei denselben Werthen der Constanten nn und = viele Aufgaben zu lösen hat, verdient diese Methode deshalb den Vorzug, weil nach Zeich- nung der Ellipsen (man hat sie dann voll zu zeichnen) und nach Berechnung der zugehörigen Ordinaten 2, die darauf folgenden Operationen sehr schnell gemacht werden können. Dies ist auch der Grund, warum wir auch diese Methode hier angeführt haben. Eine noch grössere Erleichterung der Berechnung wird aber durch eine Methode erreicht, die weiter unten auseinandergesetzt worden wird. In der Beilage VII haben wir noch verschiedene Fälle behandelt, wo die Integration in endlichen Ausdrücken ausgeführt werden kann. Wir theilen hier nur die Resultate mit. Für Parallelogramme, deren Seiten den conjugirten Axen der Zerstreuungs-Ellipse parallel sind, hat man die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes innerhalb des Parallelograms sich befinde: I’, hY'2 > | в" du. | PO RR. (11) п . le’, пу, wo die Grenzen der Integrale nach den Formeln: Е 1? cos p. x +k,? sin g.7 VRR cos ф-= 2 sin? @ ата) В ЕО Па ] y __ №2 cos (p+-6).æ+-K,? sin (p+-0) y Ти — УЕ? cos? (ф-- 0) #1? sin (p+-6) berechnet werden können in der Weise, dass für х und y die Coordinaten x, у, in dem mit den Zerstreuungs-Axen parallelen System ХУ, Anfangspunkt В, einer Ecke des Parallelograms eingesetzt werden um 12’ und Z, y, zu bestimmen, und für æ und y die Coordinaten &,, y, der gegenüber liegenden Ecke des Parallelograms eingesetzt werden sollen um Zx,' und 2, y 4* 28 A. GADOLIN, zu bestimmen. x, y, und x, у, werden für solche Ecken des Parallelograms genommen, dass и, > Ш und I, > а. Die Winkel @ und @ + 9 sind diejenigen, welche die Seiten des Parallelograms mit der x-Axe, 4. В. der grösseren der Zerstreuungs-Axen bilden, wo- bei diese Winkel von der z-Axe an in der Richtung der Bewegung eines Uhrzeigers und immer positiv und kleiner als 180° gerechnet werden. o ist hierbei der kleinere Winkel, der immer spitz ist, und @-+-0 der grössere, der immer stumpf ist. Zwischen diesen Winkeln findet die Beziehung: (AT DH. A ee № + k° шов (o + 0) — 0 statt. Die Formel (11) ist mit der Formel (10) analog, die einen speciellen Fall von ihr bildet, in dem die conjugirten Axen mit den Haupt-Axen der Ellipse zusammenfallen. Die Formel (11) kann in derselben Weise wie die Formel (10) angewandt werden, wenn der Flächenraum, über den man zu integriren hat, in Parallelogramme eingetheilt wird, statt der Theilung in Rectangel, wie wir sie in den Beilagen IV und V gemacht haben. Die Theilung in gehörig gewählte Parallelogramme kann in einigen Fällen den Vortheil bringen, dass man die Zahl der Abtheilungen reduciren kann. Werden zwei entgegengesetzte Seiten eines der oben erwähnten Parallelogramme un- endlich vom Anfangspunkt entfernt, so erhält man die Wahrscheinlichkeit, dass der End- punkt des Windes zwischen zwei parallele Geraden fällt. Die hierauf bezüglichen Formeln gelten für eine jede beliebig gewählte Richtung der beiden parallelen Geraden und für jeden Abstand dieser Geraden vom Anfangspunkte. Für diesen Fall ist die Wahrscheinlichkeit: Ag COTE OR И | era di wo die Grenzen des Integrals berechnet werden können nach den Formeln: kk, C ЕК, С. dar. RM AR EN yon De : Byazıe B? 62 Hierbei sind Ar + By = С, Аз + Ву= 0, die Gleichungen der beiden parallellen Geraden, wenn die Zerstreuungs-Axen X und У als Coordinataxen mit dem Punkte des mittle- ren Windes als Anfangspunkt genommen sind; der Index bei (15630 zu setzen, dass = — = ist. Wird im vorigen Ausdruck die eine Grenze unendlich gross genommen, so bekommt man die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes auf der einen Seite einer un- endlichen Geraden liege, deren Gleichung Ax + Ву = С ist. Diese Wahrscheimlichkeit ist, kk, С 2 2 - В |. + 2? к bei ‘а. = и: » Bi! с; » ES j » Coordinaten x und y solche sind, für welche = ду < = ist. Wir haben diese Formel angewandt für die Richtungen SW—NE und NW—SE für 3" р. m. im Juli (siehe Beilage УП) und die erhaltenen Resultate, im Verein mit der in der Beilage IV berechneten Wahrscheinlichkeit, dass die Richtung eines Windes zwischen SW und NW fällt, haben uns die Wahrscheinlichkeiten eines Windes in den anderen Quadranten gegeben, wie sie in der folgenden Tafel angeführt sind. UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. Wahrscheinlichkeit eines Windes von 2" р. m. bis 3" р, м. für den Juli. SW » SE) NE » Zwischen NW und SW SE NE NW Theoretisch. 0,358 0,221 0,168 0,253 Beobachtet für 3l-p. m. 0,306 0,258 0,177 0,258 Differenz Beob.-Theor. — 0,052 — 0,037 — 0,009 + 0,005 Beobachtet für 2h 3h 4" p,m. 0,322 0,247 0,183 0,247 wer ООО СО < Differenz je nach dem, welche von beiden Seiten der Geraden in Betracht genommen wird, der erste Ausdruck für diejenige Seite, die Punkte enthält, deren Coordinaten x und y die Ungleichung = ху > = befriedigen, der zweite für diejenige Seite, welche Punkte enthält, deren Beob.-Theor. — 0,036 + 0,026 + 0,015 — 0,006 Um diese Wahrscheinlichkeiten mit den Beobachtungen zu vergleichen, haben wir in den Beobachtungs - Tabellen für 2", 3" und 4" р. m. im Juli 1886 der Annalen des physi- LS kalischen Central - Observatoriums gezählt, wie viele Mal der Wind in jeder von den 32 Г Richtungen geweht:hat und dabei folgende Zahlen gefunden. 4 Br 41516 A BD a A LUN 1 8 — 10 |11 —| 1 ONE ое 811 Zahl der Winde in verschiedenen Richtungen im Juli 1886. 1213/14/15 | 16| 17| 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 2a | 25 | 96 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32|] u N oa А alle ee a ln BE ee Be ern RE ВВ ен А le 2 a ВЫ RE CUS IE AIS QUE | | | Theilt man nun diejenigen Zahlen, die den Richtungen 28 = NW, 20 =SW, 12 = SE und 4 — NE entsprechen, in je zwei gleiche Theile, und fügt je einen dieser Theile den 30 А. GADOLIN, benachbarten Quadranten hinzu, so bekommt man folgende Zahl der Winde, die in jus der vier Quadranten geweht haben: an m: Dat AR Dm zwischen NW und SW 9.5 30 » SW » SE 8 23 » SE». NE 5,5 17 » NE » NW 8 23 Summe... 31 93 Hiernach sind die Wahrscheinlichkeiten angegeben, die in der obigen Tafel in den Colonnen mit der Ueberschrift «Beobachtet» angeführt sind. Die Unterschiede dieser beob- achteten Wahrscheinlichkeiten von den theoretischen sind in den nebenstehenden Colonnen angegeben. Wir sehen, dass diese Differenzen mit Rücksicht auf die Zahl der Beobachtungen sehr klein sind. Eigentlich hätten wir nur die Beobachtungen von 3" p. m. mit den theore- tischen Zahlen vergleichen müssen, da die theoretischen Zahlen für diese Zeit hergeleitet sind. Um aber die Zahl der Beobachtungen zu vergrössern, haben wir noch die angrenzen- den Stunden mit in Betracht genommen, welches durch die nur allmählige Aenderung der Windverhältnisse von Stunde zu Stunde gerechtfertigt werden kann. Es hat sich dabei er- wiesen, dass für die 3 Stunden zusammen genommen auch wirklich eine grössere Dee stimmung der Beobachtung mit der Theorie erreicht worden ist. In dem zweiten Theil der Beilage VII haben wir Ausdrücke gefunden für das Volumen über beliebig gewählten Sectoren, deren Scheitel in dem Punkte liegen, der dem mittleren Winde entspricht, bei verschiedenen Formen des Bogens dieser Sectoren. Gehört dieser Bogen einer Zerstreuungs-Ellipse, so ist das Volumen wobei %? a? + №, у’ — uw? die Gleichung des Bogens ist, der den Sector begrenzt, und der Winkel ф aus den Gleichungen: k k (AA) RN RL gwp= 781, BEE +) 71% zu berechnen ist. Hier sind 5, und 5, die Winkel, welche die beiden Grenzgeraden des Sectors mit der x-Axe bilden, beide Winkel von der x-Axe aus positiv nach der Richtung der Bewegung eines Uhrzeigers gerechnet, 5, der kleinere, und 5, der grössere Winkel. Bei der Rechnung ist noch zu bemerken, dass von den verschiedenen Werthen von Ф und + ф, die einem und demselben Werth von tg @ und tg (p+%) entsprechen, diejenigen zu nehmen sind, deren sin und cos gleiche Zeichen mit den sin und cos der entsprechenden Winkel 5, und 3, haben. Es ist bemerkenswerth, dass, wenn die beiden Grenzgeraden eines solchen elliptischen Sectors conjugirte Diameter sind, das über ihm gelegene Volumen ist: ПЕВЕВ DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 31 7 (1 Le er) ; ‘4 4. В. ein Viertel von dem über der ganzen Ellipse gelegenen Volumen. | Ueber einem Sector, dessen Bogen durch die Gleichungen я и COS (= — $) = kx, u Sin (= + $) =, и = УИ... (15) г т bestimmt ist, wird das Volumen : ap; | = db, — db, — a) EIERN BRD TEA NE (15a) f | а | wo Ÿ, und $, aus den Gleichungen: A | k k 8 (ФФ) = 185, 8 Ф-ф,) = tes, AR HAE (15 b) À zu bestimmen sind. 5, und 5, haben dieselbe Bedeutung wie oben, und bei der Bestimmung von ® + %, und +4, nach den respectiven Tangenten ist dieselbe Bedingung wie oben h zu erfüllen. à Weiter haben wir gefunden, dass über einem Sector, dessen Bogen durch die Gleichungen: — u? и ‘ — & Jose — зто, и = Vigier Kg... . (16) bestimmt ist, das Volumen u [% — db, + a (cos db, — cos $) | У (16 à) liegt, wobei ф, und Ÿ, wie oben, aus den Gleichungen (15 b) zu berechnen sind. Die Gleichungen (15) und (16) der Bogen der Sectoren von den beiden letzten Gat- 3 tungen enthalten je zwei Constanten a und ©, die so bestimmt werden können, dass diese Г * Bogen durch zwei beliebig gewählte Punkte geführt werden können. Wir haben gezeigt, wie | 4 in Folge dieses Umstandes, die gefundenen Ausdrücke dazu dienen können, annäherungs- Г weise das über einem beliebig begrenzten Sector gelegene Volumen zu berechnen, und um J den Gang der Rechnung zu zeigen haben wir sie für einen auf der Fig. XII von einem Kreis- bogen begrenzten Sector gemacht. Im zweiten Theil derselben Beilage VII haben wir noch gezeigt, wie Aufgaben der Art, wo etwa die Wahrscheinlichkeit eines Windes, dessen Geschwindigkeit eine gewisse Grösse überschreitet, gesucht wird, mit geringerer Mühe gelöst werden können, als nach der à Methode, die wir in den Beilagen У und VI bei ähnlichen Aufgaben benutzt haben. Die 3 neue Methode bietet besonders dann einen grossen Vortheil, wenn man viele Bestimmungen 3 derselben Art zu machen hat. 39 А. GADOLIN, In der dritten Abtheilung der Beilage VII haben wir gezeigt, dass das Volumen über einem beliebigen Winkel, dessen Scheitel in dem Punkte liegt, der dem mittleren Winde entspricht, durch | zu bestimmen ist, wobei wiederum 5, und 5, die Winkel bezeichnen, welche die Schenkel des Winkels mit der &-Axe machen, und die frühere Bestimmung über die Wahl von ф und p +- nach gegebener Grösse ihrer Tangenten beobachtet werden muss. к Endlich haben wir gezeigt, wie die Combination der офеп gegebenen Ausdrücke eine wesentliche Erleichterung in der Lösung der Aufgaben erzielt, welche die Bestimmung der Wahrscheinlichkeit, dass die Richtung eines Windes zwischen zwei beliebig gelegenen Rich- tungen liegt, verlangen; zur Erläuterung dieser Methode haber wir die Rechnung ausgeführt für denselben Fall, den wir in der Beilage IV nach einer anderen theoretisch einfacheren, aber in der Ausführung viel mehr Arbeit erfordernden Methode berechnet haben. In der Beilage VIII haben wir eine Aufgabe anderer Art behandelt. Sie besteht in der Berechnung des Luftvolumens, das in einer gegebenen Zeit durch irgend eine willkührlich gestellte vertikale Ebene nach der einen oder anderen Seite durchgeht. Wir haben dabei gefunden, dass für eine Ebene, die parallel der Richtung des mittleren Windes ist, dasjenige Luftvolumen, welches im Mittel pro Stunde durch jeden Quadratmeter dieser Ebene nach der einen Seite geht, gleich ist demjenigen Volumen, das nach der anderen Seite geht, und dass jedes von diesen Volumina in Kubikmetern berechnet werden kann nach der Formel: > Für jede andere Lage der vertikalen Ebene, sind die Luftvolumina, die nach der einen oder anderen Seite durch diese Ebene gehen, nicht einander gleich, sondern dasjenige Vo- lumen ist grösser, welches nach der Seite derjenigen Normale zur Ebene geht, die mit der Bewegungsrichtung des mittleren Windes einen spitzen Winkel bildet. Dieses grössere Vo- lumen bereclinet sich nach der Formel: | о м = а ‚| eq Sert | 1 4 ‘PP к. Br в à PT x 2 ; Я = Е à 4 к. т } В UÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. DD Das nach der anderen Seite derselben Ebene durchgehende Volumen ist kleiner um die Grösse: N Ее" (20) Diese Formeln gelten nur in dem Fall, dass die Zahl der Stunden, für welche das Volumen berechnet wird, eine beträchtliche ist. Zwischen dem nach den obigen Formeln berechneten und dem in der Wirklichkeit durchgehenden Volumen findet immer ein Unter- schied statt; dieser Unterschied ist aber um so kleiner im Verhältniss zum ganzen Volumen, je grösser die in Betracht gezogene Zeit ist. Die Bedeutung der übrigen in den Formeln eingeführten Bezeichnungen ist folgende: %k und №, sind die Zerstreuungs - Coefficienten, q=V эт? (8— y) + k° cos (В — y), В der Winkel zwischen N und der Normale zu der betrachteten Ebene, nach der Seite gezogen, nach welcher das berechnete Luftvolumen durchgeht, y der Winkel zwischen der grösseren Zerstreuungsaxe und der Nordrichtung, beide Winkel ß und y von N aus gerechnet nach der Seite der Bewegung eines Uhrzeigers und 0 < В < 360° aber y < 180°; р = — v, cos 0, wo v, die Geschwindigkeit des mittleren Windes, immer positiv gerechnet, und 0 der Winkel, den die Richtung der oben erwähnten Normale mit der Richtung macht, von der aus der mittlere Wind weht (d. h. entgegengesetzt der Richtung seiner Geschwindigkeit), dieser Winkel wird von der Wind- richtung aus nach der Richtung der Bewegung eines Uhrzeigers positiv gerechnet von 0 bis 360°; 6 = ти. Die Normale, nach deren Richtung das grössere Luftvolumen durchgeht, hat immer eine solche Lage, dass p und 6 positiv sind. Aendert sich die Lage der vertikalen Ebene, für welche das durchgehende Luftvolumen berechnet wird, so ändert sich auch dieses Volumen. Das oben erwähnte grössere Volumen hat ein Maximum für eine Lage der Normale innerhalb des spitzen Winkels, der zwischen der grösseren Zerstreuungsaxe und der Bewegungsrichtung des mittleren Windes liegt, und wir haben in der Beilage VIII gezeigt, wie dieses Maximum und die entsprechende Lage der Normale zu berechnen sind. Wir haben auch diese Berechnung ausgeführt nach Daten, die aus Juli und Januar 1886 entnommen sind. Diese Berechnung zeigt, dass für den Juli die Lage dieser Normale nahe der Zerstreuungsaxe, im Januar aber nahe der Bewegungsrichtung des mittleren Windes liegt. Die Hauptursache dieser Verschiedenheit liegt darin, dass im Juli die Geschwindigkeit des mittleren Windes viel kleiner ist als im Januar, so dass im Juli der Wechsel der Winde den grösseren Einfluss hat, im Januar aber der mittlere Wind. Ausdemselben Umstande erklärt es sich, warum im Juli die Unterschiede der Volumina, die durch eine gegebene Fläche nach der einen oder anderen Seite sich bewegen, viel kleiner sind, als im Januar, wie es aus den letzten Colonnen der beiden letzten Tafeln der Beilage VII ersichtlich ist. Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 5 34 А. GADOLIN, Beilage I Bestimmung der Constanten ‘у, % und №. Die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt С (Fig. 1) eines Windes innerhalb eines unendlich kleinen Flächenraumes dx dy liegt, dessen Eckcoordinaten x und y sind, ist: LA = "МУ x dy, wo die Zerstreuungs-Axen als Coordinat-Axen genommen sind. Es seien nun & und n Grössen, die für jeden Punkt in der Coordinaten-Ebene einen be- stimmten Werth haben, und 5, n, die Werthe von & und n ‚welche dem Endpunkte eines ein- _ zelnen Windes à, aus einer grossen Zahl n beobachteter Winde, entsprechen, wobei voraus- gesetzt ist, dass der ganzen Gruppe dieser Winde dieselbe Lage der Zerstreuungs-Axen und dieselben Werthe von % und k, zukommen. Man hat dann nach den Principien der Wahr- scheinlichkeits-Rechnung: +00 00 a _ ih Вей” ща = 9 —CO —C9 — 4-00 CO Sn? 2 21; ER kl, 9 —}? a?—kı? y? an ei | | Dre dx dy —© * —co И] HO „00 У —I2 x2—}.2 y? | Е. о —o0 % —oo mit desto grösserer Annäherung, je grösser n ist. Es seien nun & und n die Coordinaten des Endpunktes eines Windes in dem Coordinaten-System N, Е, mit dem Anfangspunkt B Fig. 1, oder die Componenten der, Abweichungen der beobachteten Winde; dann hat man: S= CF cos y—BFsin y—=& cos y—ysiny, n=CF sin y+BF cos y— x sin y +y cos Y. Die Substitution dieser Werthe giebt: N п у и a un | | (2 cos y — у sin 2 y + 9° sin? т) РУ dx dy —© —® User DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 55 { 1-00 a s m — af (= sin? y + zy sin 2 y + y? cos? x) ей № др dy +00 / 2 = | iR - T N N ев БЫ 2 N) RON LE CT un bekanntlich : a + $ + 4-00 Г: | ей? dx = 2 | дей dx = 0, | ей 4x — Kan RER *—o0 — 00 —©< so wird HAN D и УНР sin? у т ОЕ | и. RR . (a) En? __ 1 [sin y Е | RUN ИР | r Sun __ sin2yfi EN eier AU MD) Die Gleichungen (a) geben: IE? — Zn? Е 1 1 le eue . EC Te ONE (с) ZE? + Sn? NN ya 1 le ml MARNE LE VO, L'OMPI Te (d) Die Gleichungen (b) und (©) geben: Е tg 2 у — Eine О р НУ 6 ОЗ N ОЕ (3) 4 (25 a? + GE ep rl IE о = el no) _ welche in Combination mit (d) giebt: 1 ‘Hi = | + En + УТЕРЕ CE = 3 ne Ze | . (4) er [2 + 27. — VA Ел, + (28? — 20) u | da wir übereingekommen sind, dass %k die kleinere von den beiden Grössen k und К, ist. LE 36 А. GADOLIN, Die Gleichungen (3) und (4) sind diejenigen, die wir im Text benutzt haben. Aus der Gleichung (3) lassen sich für den Winkel y viele Werthe bestimmen, und es muss entschieden werden, welcher von diesen Werthen für jeden Fall genommen werden soll. Einem gegebenen Werthe von tang 2y entspricht nur ein einziger positiver Werth von 24, der kleiner als x ist. Es sei dieser Werth o; dann kann 2y jeden Werth haben, der sich von @ um eine ganze Zahl x unterscheidet. Diese ganze Zahl kann von vier Formen sein: 4m, 4m + 1, Am +2, 4m + 3, wo m eine ganze Zahl positiv oder negativ ist. Die entsprechenden Werthe von y sind 1 3 $ ит, 2 + (2т + т) п, + + (Om + 13m, $+ (am + 3) т. Diejenigen von diesen Werthen, die sich um еше gerade Anzahl x unterscheiden, geben dieselbe Richtung an; darum haben wir nur noch 4 Werthe von y zu unterscheiden : u 2 п ф Фф Tag, TN. ) Die erste und dritte Lösung geben entgegengesetzte Richtungen an, ebenso wie die zweite und vierte; da es sich aber nicht darum handelt, nach welcher Richtung die Coordi- naten 2 positiv gerechnet werden sollen, so haben wir nur zwei Werthe von y zu beachten, 5 und + + —. Die beiden hierdurch bestimmten Richtungen sind senkrecht gegen ein- ander, der gesuchte Werth von y entspricht derjenigen Richtung, die der Axe x gehört, mit dem kleineren Coefficienten k, und die andere Richtung ist diejenige der Axe y mit dem grösse- ren k,. Der еше Werth у = — ist kleiner als +, der andere y = - + + grösser; somit ist sin 2y im ersten Falle positiv und im zweiten negativ. Demgemäss folgt aus (b), dass der erste Werth + genommen werden soll, wenn ZË, т; > 0 und der andere Werth 2 + + 9 ? wenn 28,7, < 0 ist. Beilage LI. Bestimmung der Wahrscheinlichkeit, dass die Componente der Abweichung zwischen gegebene Grenzen fällt. Wir wollen der Deutlichkeit wegen einen Theil der Fig. 1 in der Fig. 2 absondern, mit dem Anfangspunkt В, die Axen N, und Е für die Coordinaten & und n und die Axen X und Y für die Coordinaten x und y desselben Punktes ©. Denkt man sich nun durch Охвив DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 37 den, Punkt С eine ins Unendliche nach beiden Seiten gehende gerade Linie parallel der Æ,-Axe, so hat für alle 4 ; Punkte dieser Gerade & den- - X selben Werth. Führen wir | nun eine andere der ersten parallele Gerade in einem un- endlich kleinen Abstand dé von ihr, und denken uns die Fläche Z, so ist die Wahr- scheinlichkeit, dass der End- punkt eines Windes zwischen 4) diese beiden Geraden fällt, | gleich dem Volumen, das be- grenzt ist von dem zwischen den beiden parallelen Linien Le liegenden Theile der horizon- talen Coordinaten-Ebene, von zwei vertikalen Ebenen, die durch diese Linien geführt sind und von demjenigen Theile der Fläche Z, den diese Ebenen von ihr abschneiden. Dieses Volumen ist # ® +00 +00 * de | & dn — © | ей 22—11 у? dn во m > Г in Folge von der Formel (1). Substituirt man in das Integral die Werthe Fe z=Ecsy+nsiny y = — Ë sin у + n cos y js so wird es: % | ben, „can? din, Le Y wo: 1 @ — № 6037 y + В? sin y, 6 = ( — К) шоу, © = K° sin? y + 4° cos’ 1. à Setzt man „= u — I, so wird das Integral: : РЕ? +00 И РЕ? Е e “2 "| eo du — Ve ER се 3 \ с т . ) — co und folglich das gesuchte Volumen: | 12 kı? £2 , kk [Я dé. сут 38 À. GADOLIN, Die Wahrscheinlichkeit, dass & zwischen bestimmten Grenzen Ë, und &, liegt, ist folglich: В & 712 k,? в 3 DR ee ne en a Е В ENTE а RR; In gleicher Weise hat man kk, Na 1 2 (5) OEL DI Pi = —— e du | 1, Ут Ik, m Beilage ILL Bestimmung der Veränderungen, welche die Quadratsummen und die Grössen y, го Er erleiden, 1 wenn für die Componenten des mittleren Windes veränderte Werthe genommen werden. Es sei &, & £,...6, еше Reihe von Zahlen, positive und negative, deren Summe gleich Null ist, 4. В. 25, = 0. Es sei nun eine und dieselbe Grösse AË zu jeder von diesen Zahlen addirt, und die Bezeichnung 2, — &, + A& angenommen. Man hat: мо 5, = 3 (Е, + 4) — УЕ? + и (4 in Folge von >, = 0. Diese Formel zeigt, dass von allen 28,”, diejenige die kleinste ist, für welche A& — 0 ist, und das 38,” nur von dem absoluten Werth von AË, nicht von sei- nem Vorzeichen abhängig ist. Die Formel (A) wird in den Rechnungen angewandt, um die Quadratsumme der Componenten bei einem veränderten Werth der Mittel-Componente zu berechnen, wenn ihr Werth für eine anfangs angenommene Mittel- Be schons berechnet ist. Es seien nun & &, &,...&, und A NN. En zwei Reihen von solchen Zahlen, dass 25, = 0 und En, = 0, und es werde zu jeder Zahl der ersten Reihe eine und dieselbe Grösse AË, und zu jeder Zahl der zweiten Reihe die Grösse An hinzugefügt. Nennen wir Е = &-н ДЕ, т; =; + An, so haben wir и. RES т... Е = и, + АЕ An. Sind nun n(AË), n(An) und #AË An kleine Zahlen im Vergleich mit 57, Zn? und … à 5Ё, n,, so können wir aus den Formeln (3) und (4) annähernde Werthe für die Aenderung UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 39 finden, welche die Grössen т, zn = durch die Annahme von Mittel-Componenten, die um die Grössen A& und An verändert sind, erleiden.Man hat annähernd: 2 A А 21 = 2 und somit aus der Formel (3) annähernd: (>=? — Zn?) ДЕ An — SEn [(A8)? — (An)? ] В (25? 1e) 312)? и 4 (Sën 2 CA О TT RE Or ED: OL ( ) Ду =”. Um den grössten Werth zu bestimmen, den Ay annehmen kann, wenn AË und An in- nerhalb bestimmter Grenzen verschiedene Werthe annehmen, wollen wir der Kürze wegen folgende Bezeichnungen einführen: АЕ = a, An = 6, 28 — Zr = M, — 551 = М, M AN =. Man hat dann: Ау = nA | Mab + N (a — 6]. Bei constantem b ist . N — nA | Mb er 2 Na |. Mb Diese Grösse wechselt ihr Zeichen bei a = — sy ; folglich entspricht, bei einem be- ‘stimmten ©, der grösste absolute Werth von Ay einem von den drei Werthen von a: а, — a oder a, wo a, und a, die äussersten Grenzen sind, in denen a variiren kann. Wir wol- len diese Grenzen — a, und + a, setzen. Die entsprechenden Werthe von Ay sind А, y=nA | —Ma, b+N (a’— 83], A, y=— I, A, y= nA | Ma, b-+N (a? — 2), Da — a, un ist, so soll man nicht den obigen Werth von A,, yin Bi nehmen, 4N?a, M? * und es darfin к. y nicht b° bis zum Werthe 5,” wachsen, sondern nur bis zum Werthe Der grösste absolute Werth von A, y ist also: we nb,? 2 AN? a2 a? M2 An Me AN wenn b, = M? ? oder $2 >> nz ar п Na,” 2 AN? a? a2 M2 und Ass Y hf M2 wenn b, > М? , oder 5.2 << чм. Diesen Werth A,, у braucht man aber nicht zu beachten, weil er gleich ist einem von den Werthen, die A, y oder A, y bei b = Air annimmt, und wir schon auf anderem Wege alle Werthe von A, y beachtet haben, und diejenige von A, y beachten werden. 1360 — SE, so fallen die beiden Werthe A,, у und A,, y zusammen und sind gleich einem der Grenzwerthe A,, у oder A,, +. Weiter bemerkt man, dass die Grösse: Pt = nA[ Ma, — 2 Nb) Ma, 2° A, y einem von den folgenden gleich ist: ihr Zeichen ändert, wenn b = und hieraus folgt, dass der grösste absolute Werth von А y=nA [— Ma, b,+N (ab) |, A, y= 2 3; VNA | Ma, в, HN в 3), wo der Werth A,, y паг dann zu beachten ist, wenn ев 2 an — b, ist, oder wenn -* zwischen den Grenzen Sg N und 2 =" liegt. à ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 41 Fasst man diese Resultate zusammen, so sieht man, dass der grösste absolute Werth von A y einer von den folgenden sein kann: A, y=4&,y=nA [ Ma, b)+N (2—5) |, А, Y=A,, y=n 4 [ — Mat, N (ab) |, A A na? AN? 2 Ÿ = А» \ = my, OUT wem zz a m? nb? M? An у = чм, Mur wenn DE ee Ist a, — b,, so ist der grösste absolute Werth von A y gleich einem von den folgenden: na . nAMa oder AN: ist der zweite Werth von A y sehr gross, aber nicht zu beachten in Folge der Bedingung = > 1, wenn nicht zugleich М? sehr er ist. nn aber beide Grössen N? und M? sehr der letzte Werth zu beachten, nur wenn = > 1. Ist № sehr klein, so klein, so sind in Folge von (4) die Grössen = 7 und „> = -; sehr wenig von einander verschieden, und nur in diesem Falle hat eine kleine er der mittleren Componenten des Windes einen grossen Einfluss auf den Winkel y. Eine bedeutende Aenderung des Winkels y hat aber dann nur wenig Einfluss auf berechnete Wind-Wahrscheinlichkeiten. Da die Unsicherheit der definitiv anzunehmenden Mittel-Componenten sich auf etwa + 2 km. erstrecken kann, haben wir für a, = b, = 2 die Grenzen der Aenderung Ay des Winkels y berechnet, die von einer Aenderung der Mittel-Componenten in den angegebenen Grenzen entstehen können, für alle Fälle, in denen wir die Grösse y in den Tafeln IV, V, VIa, VII und XII angegeben haben. Es hat sich dabei herausgestellt, dass nur für einen Fall 9° р. m. im Januar, wo die Grössen k und k, wenig von einander verschieden sind, die Grenze der Variation des Winkels 5°10’ ist; für alle anderen Fälle ist diese Variation klei- ner als 2°27’. Diese Unsicherheit in der Bestimmung von y ist zu klein, um einen merk- baren Einfluss auf die Wahrscheinlichkeits-Berechnungen haben zu können. Wäre die Un- sicherheit in der Bestimmung der mittleren Componenten noch grösser, so würde das noch nicht solche Aenderungen in den Winkeln y bewirken, dass sie in unseren Wahrscheinlich- keits-Berechnungen zu beachten wären, obwohl, wie es die obigen Ausdrücke zeigen, die Grenzen für Ay proportional dem Quadrate der Grenzen der Aenderung der Componenten des mittleren Windes wachsen. Wir haben noch die Aenderung der Grössen = 7 und „— in Folge der Annahme verän- derter Werthe der Mittelcomponenten zu N: Die nel (4) (4) und (4,) geben annähernd für A = und A т a? + b? = [2ab sin 2y + (a? — 97) cos 2 y], Mewmoires de l'Acad. Пир. d. sc. VII Série. 6 42 A. GADOLIN, wo а = AË und 6 = An. Der grösste Werth, den AT oder A in F olge dieses Ausdruckes 1 | bei verschiedenen y erhalten kann, ist: 2 (a? + 9). Sind die grössten Werthe von a und b gleich 2, so ist die Grenze der Aenderungen von und = gleich 16. Da nun der kleinste gefundene Werth dieser Grössen mehr als 100 eu 12 der Mittelcomponenten, so wie sie bei uns vorkommen, auch nicht um so viel verändert _ werden, dass dieses еше merkbare Aenderung der von uns mitgetheiltentheoretischen Wahr- scheinlichkeits-Bestimmungen bewirken würde. Pi 72 beträgt, so können die Grössen —z und ‚> durch die Annahme von etwas veränderten Werthen 1 = Beilage IV. Berechnung der Wahrscheinlichkeit eines Windes zwischen NW und SW für Juli um 3" p. m. Wir entnehmen aus der Tafel VIa folgende Werthe für Juli 3" р. m.: Die Componenten nach N und E des mittleren Windes: и, = и, + A& = + 1,82, w, =, An = — 5,02, und die Grössen, welche die Veränderlichkeit der Winde charak- ‚ в = 587,0, „= 261,3. NW macht mit N den Winkel «— 360° —45° =315°, SW den Winkel « = 180° + 45°—225°, und man hat 180°-+y=313°55'. Es liegt somit die Richtung der grossen Axe der Ellipse zwischen den Richtungen NW und SW, und die Richtung der kleinen Axe ausserhalb des Winkels zwischen NW und SW. Die gegenseitige Lage des Anfangspunktes A, dem Winde Null entsprechend, des zweiten An- fangspunktes B, dem mittleren Winde entsprechend, der Richtungen der Axen X und Y der Ellipse und der 2 Grenzrichtungen NW und SW ist in der Fig. X angegeben. Man hat NZ nun das Volumen zu finden, das unter der Fläche z — = Pe. terisiren: y = 133° 55’ über dem durch den Winkel NW. A. SW umfassten, unendlichen Flächenraum liegt. Um dieses zu erreichen theilen wir das Volumen in folgender Weise in verschiedene Theile. Längs der positiven Richtung der X-Axe legen wir vom Anfangspunkte B gerechnet successiv die Abstände Ах, Ax,, Ах, Ax,, Ax,, und längs der negativen Y-Axe die Abstände Ay,, Ay,, Ay,, Ay, ab, und führen durch jeden Theilstrich gerade Linien, der zweiten Axe Y oder X parallel, bis zur Intersection mit den Geraden А. NW oder A. SW. Die dadurch erhaltenen Ab- schnitte der Geraden A. NW und A. SW sind die Diagonalen von Rechtecken, deren Seiten den Axen X und Y parallel sind. Ausserdem bilden wir noch zwei ähnliche Rechtecke, ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 43 deren Diagonalen aus A zu den ersten Theilpunkten auf den Geraden A. NW und A. SW gehen. Wir setzen nun den Flächenraum NW. A. SW aus folgenden Theilen zusammen: 1) Der unendliche Flächenraum vom rechten Winkel X. В. — У umfasst, 2) Die Rechtecke 0, I,, 1L,, Ш,„, IV,, V,, 1,, IL, I, , IV,, welche an die Abtheilun- gen der Axen X und Y von der einen Seite und an die obenerwähnten Diagonalrechtecke von der anderen grenzen. 3) Die halben Diagonalrechtecke, die an die eben angeführten Rechtecke grenzen. 4) Das nach der Richtung X unendliche Rechteck VI, und der unendliche Winkelraum zwischen der Aussenseite dieses Rechtecks und der Richtung A. NW. 5) Das nach der Richtung — У unendliche Rechteck У, vermindert um den Winkel- raum, der zwischen seiner Aussenseite und der Geraden A. $W eingefasst wird. Um die Coordinaten der Ecken der Rechtecke zu finden, haben wir vorerst die Glei- chungen der Geraden A. NW und A. SW nach dem Coordinatensystem X, Y aufzustellen. Es sei überhaupt © der Winkel, den eine durch den Punkt А geführte Gerade © mit der N-Axe macht. Ihre Gleichung in dem N.E-System ist dann № = u tg «. Um ihre Gleichung in dem X, Y-System zu finden, hat man die Transformationsgleichungen U=U+%C08 ф— уз ф, № =, 1 SIN P + Y COS 9, wo ф der Winkel ist, den die X-Axe mit № macht, der Winkel ф positiv gerechnet in der- selben Richtung von N wie «. Dieses giebt die Gleichung der Gerade Ст Bezug auf das Coordinatensystem X Y: x Sin (ф — a) + y cos (p — a) + w, cosa — u, sina = 0. Nach den oben angegeben Werthen hat man © = у + 180° = 313°55’, и, = 1,82, w = — 5,02, für die Gerade A. NW, и = 315°, und für die Gerade À. SW, а = 225’ und somit: für A.NW.... — zsin 1°5’-+- y cos 1°5’ — 3,20 sin 45° = 0 und für A.SW.. zcos 1°5 + y sin 1°5’ + 6,84 sin 45° — 0. Hieraus erhält man für den Punkt A als Durchschnittspunkt der beiden Geraden: 1 —= — 4,881, у= 2,172. Wenn man nun bei der Berechnung die über den Diagonal-Rechtecken befindlichen Volumina ganz vernachlässigt, so macht man dadurch im Gesammt-Volumen einen Fehler, der kleiner ist als die Summe dieser Diagonal-Volumina. Um diesen Fehler zu begrenzen, wollen wir die Dimensionen der Rechtecke so bestimmen, dass das über jedem Diagonal-Recht- eck befindliche Volumen eine gewisse Grösse à nicht übertrifft. Betrachten wir zuerst die Diagonal-Rechtecke um die Gerade A. NW. Ist Ax die mit der X-Axe parallele Seite eines solchen Vierecks, so ist seine andere Seite Ду tg 1° 5’, welche wir, der Kürze wegen, mit a Ax bezeichnen werden. Sind nun x und y die Coordinaten der am nächsten an В liegenden Ecke dieses Vierecks, so soll das über ihm liegende Volumen kleiner als à sein, 4. h. 6* 44 А. GADOLIN, k(x+Ax) k,(y-+aAx) 7 1 — 242 ip) ru € x du. | € т du = 5. ka Ну Die grössten Werthe, welche e—** zwischen den Grenzen der Integrale annimmt, sind ee @ und №" У. Folglich ist k(x+Ax) & (у-надт), a e" du | в Пи — _ er MY (Amp, kx НУ Wählt man nun Ar so, dass: akk, а? y2 Trié HEADER S, “ so ist umsomehr das Produkt der Integrale kleiner als à. Die letzte Ungleichung giebt no ch? Р-Н? y? A nun en M tg 1° 5° Hiernach haben wir, à = 0,001 gesetzt, die Coordinaten der dem Punkte 5 am nächsten liegenden Ecken der Diagonal-Rechtecke successive berechnet: ne) у, = 2,264 Ax, = 8,147 ЗИ Я — 2.413 Ar, = 8,606 2, —1 16.75 Ya 2,585 Ar, = 10,38 & = 27,13 Ya Ax, = 15,35 x, = 42,48 Ya = ОЕ Ad 58721. || Weiter braucht man nicht zu gehen, weil das Volumen, welches über dem Winkel- raum neben dem Rechteck VI, (siehe oben Mom. 4) liegt, so klein ist, dass es ganz ver- nachlässigt werden kann, wie wir gleich sehen werden. Die Coordinaten der Spitze dieses Winkels sind 2; = 80,69, % = 3,794, und das über ihm liegende Volumen ist jedenfalls _ kleiner, als dasjenige Volumen, das über einem rechten Winkel liegt, der mit dem betrach- teten Winkelraum die Spitze und den Schenkel X gemein hat und von dem der betrachtete Winkelraum einen Theil ausmacht. Das über diesem rechten Winkel liegende Volumen ist aber: со со = | e"" du. | е “ du < 0,0000008. Г ki Ye Um eine ähnliche Berechnung für die Diagonal-Rechtecke längs der Richtung À. SW auszuführen, muss man ein etwas verändertes Verfahren anwenden, was darauf beruht, dass ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 45 mit wachsender Entfernung von B diese Richtung sich der Y-Axe zuerst nähert und sie dann durchschneidet, während die Richtung A. NW von der X-Axe vom Punkte B an di- vergirt. Nennen wir die Coordinaten der successiven Theilungspunkte auf der Gerade A. SW: %, , ДВ ce 9; GES 2, Ve so haben wir у =0, а. =—Ay,, Уз = Ya ar Ду, 000 Y; = DIRE EU Die der X-Axe parallelen Seiten des ö-ten Diagonalrechtecks sind Ay tg 1°5°— a Ay, und die Abscisse der dem Punkte В nächsten Ecke dieses Rechtecks ist x, -+ a Ay,—#x,,,. So- mit ist das über diesem Rechteck liegende Volumen ker’; У — 912 D 2 Li ete an. | е “ du. п а kıy; Die grössten Werthe, die e—* zwischen den Grenzen der Integrale annimmt, sind ен und е "Я, und somit ist das obige Produkt kleiner als а ‚№ а — k,? %: 2 M (Ay). Damit nun das über dem Diagonalrechtecke liegende Volumen kleiner als à sein soll, hat man nur zu wählen el” d'a + kr y? A RSR +1 1 Yi < kk, tg 1° 5’ : Da aber 2’, +, nur nach der Bestimmung von Ay, berechnet werden kann, so ersetzen wir x, +, In der letzten Formel durch eine ihr nahe liegende Grösse x, die wir so wählen 7 sollen, dass: 2 12 ба < 1 +1 Ду; wird dann so gross wie möglich bestimmt bei der Bedingung k? 02, + kı? Ay, var Lu kk, tg 1° 5’ und erst später controlirt, ob wirklich x, so gewählt ist, dass x? <=”, ,, ist. In dieser Weise haben wir durch successive Rechnung bekommen: 1, = — 4,837 0, = 4,5 = 0 Ау! = 8,298 т, = — 4,680 д, = 4,0 у. = — 8,298 Ду. = 9,331 x, = — 4,504 д, = 4,0 у; = — 17,63 Ay, — 14.82 я, = — 4,224 æ, =0 у, = — 32,45 Ду, = 60,50. x, — — 3,080 у, = — 92,95 Weiter brauchen wir nicht zu gehen, denn, wenn wir das folgende Viereck NV? bis zum _ Durchschnittspunkt der Gerade A. SW mit der Y-Axe rechnen, so finden wir das über 46 А. GADOLIN, ihm befindliche Volumen so klein, dass es gar nicht in Betracht genommen zu werden braucht, ebensowenig wie das Volumen über dem zwischen 4. SW und der У-Ахе be- findlichen Winkelraum, der vom erwähnten Durchschnittspunkt nach dem negativen Ende der У-Ахе sich unendlich ausdehnt. Die Coordinaten des erwähnten Durchschnittspunktes sind x = 0, у= — 255,8, und. somit das über dem Viereck У. liegende Volumen 3,080 # 0,1271 15,83 255,8 M 1 ур — 12 or Aer) Le | a | гы | ee an. | er." du LAON 0 92,95 k, 0 5,75 Das über dem Winkelraum befindliche Volumen ist kleiner als со С р CO 1 Tr) ee) fe “du. | e “ du 15,88 | 0 und somit noch viel kleiner als das vorige Volumen. Am Rechtecke О (zwischen A und В) liegen zwei Diagonal-Rechtecke, die wir mit O, und О, bezeichnen werden. Für das erste hat man т, = 0, Y = 2,172, Ах, = 4,881, Ay, —0,09230 und Volumen = 0,0004 und für das zweite: 2, = — 4,837, y = 0, Ах, = 0,04107, Ay, = 2,172 und Volumen < 0,00005. Die Wahrscheinlichkeit eines Windes zwischen NW und SW ist nun gleich dem Vo- lumen über dem rechten Winkel X. B. Y, das 0,25 gleich ist, nebst der Summe der Vo- lumina über den Rechtecken, für welche die Data in der folgenden Tabelle angegeben sind: Rechtecke. Ge UA Az 1) Ay) Volumen Fehlergrenzen. Lx 0 0 8,147 2,264 — 0,0144 0,001 Ile 8,147 0 8,606 2418 `° 0,0128 0:001 Ile 16,75 0 10,38 2,585 0,0096 0,001 IVæ 27,13 0 15,35 2,7831 0,0048 0,001 Vz 42,48 0 38,21 3,071 0,0007 0,001 VIx 80,69 0 со ^ 3,794 0,0000 — 0,0000008 ly 0 0 4,680 8,298 0,0287 0,001 Пу 0 — 8,298 4,504 9331 < 00179 0001 Шу 0 1763 4,994 14,82 0,0058 0,001 Ivy 0 — 39,45 3,080 — 60,50 0,0002 0,001 0 0 0 4,837 2,172 0,0084 0,00045 Summe 0,1033 0,0094508 1) 4х und Ay bedeuten hier die der X-Axe und der Y-Axe parallelen Dimensionen der Rechtecke. + LE WEL FERN я PU ENS En Renz Daten: м р ” | 1 UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 47 Es ist somit die gesuchte Wahrscheinlichkeit zwischen 0,3533 und 0,3627508, so dass wir sie annehmen können 0,358 == 0,0047. Beilage V. Berechnung der Wahrscheinlichkeit eines Windes mit einer Geschwindigkeit über 35 km. pro Stunde flir den Januar — Monat 1886. Nach der Tabelle IV haben wir für den Januar y = 151° 23’, 315,7, Е — 1308, ‘ { } и, =— 8,73, w,—0,67. In der Fig. XI haben wir die Geraden NSund EW graphisch darge- stellt, deren Durchschnittspunkt A dem Winde Null entspricht, den Punkt B, der dem mitt- leren Winde entspricht, und die Richtungen BX und BY parallel den Zerstreuungs-Axen verzeichnet. Mit dem Punkte A als Centrum ist ein Kreis vom Radius 35 km. beschrieben; dasjenige Volumen, das über dem Theil der horizontalen Ebene, der ausserhalb dieses Kreises unter der Fläche Z liegt, sich befindet, ist gleich der Wahrscheinlichkeit eines Win- des, dessen Geschwindigkeit über 35 km. beträgt. Die Aufgabe besteht nun darin, dieses Volu- men zu berechnen. Zu dem Zwecke führen wir durch Azwei gerade Linien parallel den Zer- streuungs-Axen, und durch die Durchschnittspunkte С, D, Е, G dieser Geraden mit dem Kreise andere Geraden, die den Kreis tangiren. Diese Tangenten bilden ein Quadrat НТК Г, und wir wollen vorerst das über diesem Quadrat gelegene Volumen berechnen. Nach den Formeln: %, = 8, SIN у % COS Y у’ = в, COS Y — 4, Sin 1 berechnen sich die Coordinaten des Punktes À im Coordinatensystem X, У mit dem An- fangspunkt В zu % = + 7,98, у, = + 3,59. Dann hat man leicht die Coordinaten der Ecken des Quadrats: Ecke Н:х = + 42,98 y = + 38,59 » I:£= — 27,02 y = + 38,59 » K:x — — 27,02 y = — 31,41 » «L:& = + 42,98 y = — 31,41. Durch die Axen X und У wird dieses Quadrat in 4 Theile getheilt, und das über ihm gelegene Volumen ist als Summe der über jedem von diesen vier Theilen gelegenen Volu- mina nach der Formel (10)zu berechnen. Diese Summe berechnet sich zu 0,9880, und so- mit das ausserhalb des Quadrats gelegene Volumen 0,0120. Hierzu hat man noch diejeni- gen Volumina hinzufügen, die über den 4 Flächenrä umen liegen, welche an den Ecken de 48 À. GADOLIN, Quadrats sich zwischen seinen Seiten und den entsprechenden Viertelkreisbögen einschlies- sen. Um dieses zu thun, berechnen wir zuerst diejenigen Volumina, die über 4 kleinen Qua- draten НН’, II’, КК’, LL' liegen, die je eine Ecke mit dem grossen Quadrat gemein haben, indem die entgegengesetzte Ecke auf dem Kreisbogen liegt. Die Coordinaten dieser letzten Ecke berechnen sich nach den Formeln: dk Eee und finden sich für H':œ = + 32,73 y = + 28,34 D AC Тб y = + 28,34 AMD = DENT y = — 21,16 Die tel Dis ие outer Nach der Formel (10) berechnen sich dann die über den kleinen Quadraten gelege- nen Volumina zu: über НН’ liegt Volumen 0,000004 DE U NE » 0,0001 DU REC 1 » 0,0008 о DE D 0,00003 Summe 0,000934. Wir haben überhaupt die 5-te Decimalstelle vernachlässigt, und nur bei НН” und LL kleinere Grössen angeführt, um ein Bild von der kleinen Höhe der Fläche Z über diesen Vierecken zu geben. Die Volumina über den noch bleibenden Flächenräumen zwischen den Seiten der klei- nen Quadrate, des grossen Quadrats und dem anstossenden Kreisbogen, berechnen wir in der Weise, dass wir in jedem von diesen Flächenräumen Rechtecke beschreiben, deren Sei- ten mit den Axen X und Y parallel sind, deren je eine Ecke auf dem Kreise und je eine Seite auf einer Seite der grossen Quadrats liegen. Diese Rechtecke liegen alle ausserhalb des Kreises und die Summe der über ihnen gelegenen Volumina ist kleiner, als das zu be- rechnende Volumen. Fügen wir zu jedem von diesen Rechtecken ein anderes hinzu, welches mit zwei Ecken mit denjenigen Ecken der angrenzen Rechtecke erster Art, die auf den Kreis- bogen fallen, zusammenfällt, so ist die Summe der über allen Rechtecken erster und zweiter Art gelegenen Volumina grösser, als das zu bestimmende Volumen. Berechnen wir nun das Volumen nur nach den Rechtecken erster Art, so wird es zu klein, wird es aber um das über den Vierecken zweiter Art gelegene Volumen vergrössert, so ist es zu gross. So bekommt man eine Fehlergrenze des berechneten Volumens. Um die Fehlergrenze zu vermindern, haben wir an den Stellen, wo die Ordinaten 2 gross sind, kleinere Rechtecke verzeichnet.’ Bei den mit dieser Rücksicht von uns angenommenen Grössen der Rechtecke, die wir gra- phisch im Maassstab dargestellt haben, berechnen sich die über ihnen gelegenen Volumina zu folgenden Grössen: É UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. Bezeichnung Volumina über den Vierecken: ee erster Art. zweiter Art. 0,000273 0,000070 II 0,000407 0,000124 Ш 0.000308 0.000094 ТУ 0,000457 0.000191 У 0,000449 0.000190 УТ 0.000412 0.000184 УП 0.000354 0.000171 VIII 0,000283 0.000148 IX 0,000200 0,000128 x 0,000130 0,000093 XI 0,000060 0,000144 XII 0,000000 0,000076 1 0,000169 0,000085 2 0,000139 0,000073 3 0,000126 0,000082 4 0,000105 0,000086 5 0,000077 0,000099 6 0,000028 0,000119 7 0,000000 0,000037 а 0.000000 0,000024 b 0,000009 0,000037 с 0,000019 0.000062 а 0,000023 0,000062 е 0.000028 0,000100 f 0,000015 0,000073 9 0,000000 0,000027 h 0,000000 0,000000 $ 0.000000 0.000046 В. 0,000006 0,000110 1 0.000002 0.000027 т - 0.000000 0,000023 : N 0,000000 0,000012 р 0,000014 0.000028 9 0.000022 0,000189 - r 0,000125 0,000131 $ 0.000178 0:000181 Г 0.000166 0.000122 u 0,000158 0,000136 ® 0,000122 0,000132 И 0.000037 0.000140 д 0,000019 0.000012 y 0,000000 0,000030 | Summe....... 0,004918 0,003898 Hierzu kommen die Volumina ausserhalb des grossen Quadrats.. ............. 0,0120 Der 4 kleinen Quadrate.............. 0,000934 Summer... ..... 0,017852 0,003898 Folglich ist das gesuchte Volumen 0,019801-=0,001949. “ Memoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Série. 50 А. GaDoLıs, Beilage VI. Berechnung der Wahrscheinlichkeit eines Windes mit einer Geschwindigkeit über 35 km. in der Stunde für den Januar-Monat 1882. С } Nach den Beobachtungen von 7" a. m., 1" р. m. und 9" p. m. für den Januar 1882 haben wir die Constanten berechnet: 1 1 о ’ kı2 ‚ = = 558,4 a 143 57% — 264,5, и = — 0,28, w, = — 16,14. In der Fig. XIT haben wir durch den Punkt À die beiden Richtungen NS und EW gezogen und nach dem Maassstab 2 mm. für 1 km. den Punkt B mit den Coordinaten nach N und Е и, = — 0,28, w, = — 16,14 aufgeführt. Durch den Punkt В ist dann die Axe X unter dem Winkel 143° 57’ und winkelrecht dazu die Axe У gezogen. Mit A als Centrum und 35 km. als Radius ist ein Kreis verzeichnet und ausserdem um B als Cent- rum Bogen von 19 verschiedenen Ellipsen, die in dem Axen-System X, У alle die Glei- chungen (7) haben, wo и für jede Ellipse einen besonderen Werth hat. Die Halbaxen dieser Ellipsen sind, _ a die grössere und В die kleinere: Die Werthe von и sind nun so gewählt, dass die kleinste von den Ellipsen № 1 den Kreis von innen und die grösste № 19 von aussen beinahe berührt. Dann sind für vier Viertel-Ellipsen die Dimensionen der Axen so gewählt, dass der grösste Theil dieser Vier- tel-Ellipsen innerhalb des Kreises fällt. Diese Viertel-Ellipsen gehören, die kleinste der Ellipse M 2, zwei intermediäre der № 7 und die grösste der № 15. Diejenigen Flächen- räume, die in den Quadranten des X Y-Systems zwischen den Viertel-Ellipsen und den Kreisbogen fallen, sind getheilt durch elliptische Bogen, die den Ellipsen № 3, 4, 5, 6, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 16, 17, 18 gehören. Die über dem Umkreis einer jeden solchen Ellipse gelegene Ordinate der Fläche Z lässt sich nach der Formel: = a a berechnen. Das Volumen, welches unter der Fläche Z und über einem Flächenraum liegt, der von zwei von den erwähnten Ellipsen-Bogen von zwei Seiten, und von zwei anderen Sei- ten beliebig begrenzt ist, ist nun kleiner als ein Cylinder, der diesen Flächenraum als Basis ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE, 51 hat, und dessen Höhe dasjenige z ist, welches der kleineren Ellipse zugehört. Andererseits ist dies Volumen grösser als dasjenige eines anderen Cylinders, das dieselbe Basis hat, des- sen Höhe aber gleich demjenigen Werth von z ist, welcher der grösseren Ellipse zukommt. Die Dimensionen der Ellipsen-Axen sind nun so gewählt, dass der Unterschied der Volu- mina der beiden Cylinder klein genug ist, um die Summe aller entsprechenden unter der Fläche Z gelegenen Volumina mit der erforderlichen Genauigkeit als Summe der Volumina der erwähnten Cylinder berechnen zu können. Die von uns zu diesem Zwecke angenom- menen Halbaxen « und 6 der Ellipsen mit den zugehörigen Werthen von Log и und Log 2 sind in der folgenden Tabelle angegeben: Eee a b Log u Log z 1 21,72 15,62 0,9634—1 0,5321—4 2 23,50 16,90 0,9976—1 0,4695—4 3 25,00 17,98 0,0244 _ 0,4130—4 4 27,00 19,42 0,0579 0.3230 4 5 29,00 20,85 0,0889 ‚’_ 0,2450—4 6 31,00 22,29 0,1179 0,1515 —4 7 33,03 23,75 0,1454 0,0506—4 8 35,81 25,75 0,1805 0,9018—5 9 37,76 27,50 0,2035 0,7900—5 10 40,67 29,25 0,2358 0,6130—5 11 42,91. 30,36 0,2591 0,4670—5 12 45,00 32,36 0,2797 0,3240—5 13 47,44 34.11 0,3026 ‚ 0,1490—5 14 50,21 36,11 0,3273 0,9380—6 15 52,77 38,11 0,3507 0,7150—6 16 56,13 40,36 0.3757 0,4490—6 17 59,61 49,86 0,4018 0,1360—6 18 63,43 45,61 0,4288 0,7700—7 19 67,80 48,75 0,4577 032507 Nachdem die Ellipsen-Bogen mit einem, besonders dafür construirten, Instrument ver- zeichnet worden sind, wurden die Flächengrössen der oben erwähnten Abschnitte mit einem Amsler’schen Planimeter gemessen, und deren Inhalt, multiplicirt mit den Werthen von 2 der angrenzenden Ellipsen-Bogen, hat für jeden Abschnitt zwei Volumina gegeben, zwi- schen denen das unter der Fläche Z gelegene, dem Abschnitt entsprechende Volumen liegt. Die erhaltenen Produkte sind in der folgenden Tafel angegeben. Wir haben hier die ausser- halb des Kreises gelegenen Abschnitte mit grossen Buchstaben und die innerhalb des Krei- ses gelegenen mit kleinen bezeichnet. 7* 52 A. GADOLIN, Bezeichnung Grenzen der über ihnen Bezeichnung Grenzen der über ihnen der Abschnitte. gelegenen Volumina. der Abschnitte. gelegenen Volumina. À 0,00885 0,00766 а. 0,00644 0,00457 В 0,00006 0,00006 b 0,00330 0,00255 C 0,00062 0,00054 с 0,00325 0,00216 D 0,00298 0,00242 d 0,00146 0,00104 E 0,00324 0,00271 e 0,00119 0,00086 F 0,00446 0,00360 р 0.00078 0,00052 а 0,00390 0,00309 9 0,00061 0,00038 Н 0,00050 0,00030 h 0,00033 0,00020 I 0,00052 0,00032 $ 0.00076 0,00041 К 0,00070 0,00047 k 0,00039 0,00019 0 0,00034 0,00024 l 0,00018 0,00008 M 0,00014 0,00012 m 0,00005 0,00002 N 0,00264 0,00209 n 0,00672 0,00477 0 0,00102 0,00082 0 0,00225 0,00174 78. 0,00004 0,00004 р 0,00104 0,00069 q 0,00005 0,00004 Summe 0,03001° 0,02448 5 0.00271 0.00238 8 0,00163 0,00133 t 0,00273 0,00250 Summe 0,03587 Nach der Formel !/, (1 —e—"%*) berechnen sich die Volumina, die über den oben er- wähnten Viertel-Ellipsen 15, 7, 2 und 7 liegen: № 15 0,24836 DAT 0,21455 A2 NO TE TO00 vor 0,21455 Summe 0,83446. 0,02643 Fügt man hierzu die Summe der Volumina über den Abschnitten a bis # und zieht die Volumina über den Abschnitten A bis P ab, so bekommt man zwei Grenzen 0,84585 und 0,83088, zwischen denen das gesuchte Volumen liegt. Man hat also das Volumen 0,8384 0,0075 und die gesuchte Wahrscheinlichkeit 0,1616 = 0,0075. ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 53 Beilage VII. Andere Methoden zur Berechnung der Wahrscheinlichkeit. Wir haben (Formel 10) den Ausdruck gegeben für die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes innerhalb eines Rechtecks fällt, dessen Seiten den Zerstreuungs- Axen parallel sind. Ein ähnlicher Ausdruck kann gefunden werden für ein Parallelogramm, dessen Seiten den conjugirten Diametern der Zerstreuungs-Ellipse parallel sind. Zu diesem Zwecke wollen wir schiefwinklige Axen X’ und У’ einführen, die mit den Axen X und У denselben Anfangspunkt haben, und nennen den Winkel zwischen X’ und X, +4 Winkel zwischen Y’ und X. Diese Winkel rechnen wir vom positiven Ende der X-Axe auspositiv nach “der Richtung der Bewegung eines Uhrzeigers. Ferner wollen wir x’ und у positiv rechnen nach denjenigen Enden der neuen Axen, die mit der X-Axe Winkel kleiner als x machen, so dass man immer 0 <ф = ist. Würdemano> = nehmen, so würde daraus folgen: +0 о, was den gesetzten Bedingungen widerspricht, weil wir mit ф den kleineren von den beiden Winkeln, welche die neuen Axen mit der x-Axe macht, bezeichnet haben. Ist = 0, so folgt aus (b): +60 = = Ist к = 5, 30 folgt: sin (+8) =0; 4. В. die Y-Axe ist der X-Axe parallel; dann hat man aber nach unseren Bestimmungen ihr mit der æ-Axe zusammenfallendes Ende für Х’-Ахе 54 A. GADOLIN, zu nehmen, und die andere ihr jetzt rechtwinklige Axe als Y’-Axe zu rechnen. Somit kann p ше den Werth 5 und @ -+- 9 ше den Werth т erreichen. Man hat also überhaupt: Bezeichnet man: (d)...1— VE cos ф + k? sin ф, 1 = Vi? cos (p + 9) + В? sin? (o + д). diese beiden Grössen immer positiv genommen, und bemerkt, dass das Flächen-Element bei den neuen Coordinaten sin 9 dx’ dy' ist, so hat man die Wahrscheinlichkeit dass der End- punkt eines Windes in einen gewissen Flächenraum fällt: У 2 dx dy = зшб | | Ра’ == RS _ 2 (| te ау’, wenn die Integrale alle über den erwähnten Flächenraum genommen sind. Nehmen wir nun im letzten Integral die Grenzen constant, 2’ und y, die kleineren, und x;', y, die grösse- ren, so wird das Integral ein Produkt von zwei einfachen Integralen, und die Wahrschein- lichkeit, dass der Endpunkt eines Windes sich innerhalb eines Parallelogramms befindet, dessen Seiten den Axen X’ und У’ parallel, und dessen zwei entgegengesetzte Ecken in diesem Axen-System die Coordinaten 2’, y, und x, und у, haben, ist: Lo’ Ye" Ic,’ hi Yo" i on Lane in 0 ND ape) en = ed IE u ду’ — Him | Ci au. | €" du. 1 1 T x ll, x UT CT 1%" Aus (b) und (d) bekommt man aber: U, = kk, sin 6, und somit ist die gesuchte Wahrscheinlichkeit: 122 пу, о Latina ne à a) e"" du. | е “ди. Io пу Aus (a), (6) und (а) hat man: (11 а) И k2 cos 9.2 + 2 sin @.Y r _ #2 cos (p+6).æ + kı? sin (p +6).y УР cos? +? sin? ф’ VIE cos (+6) + hy? sin? (p+6), Setzt man in diesen Formeln für x und y zuerst die Coordinaten x, y, im Axen-System XY einer Ecke des Parallelogramms, und dann die Coordinaten in demselben System der gegen- UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 55 überliegenden Ecke, so bekommt man zwei Werthe von /x', und zwei von l, y. Der kleinere der Werthe von 15 ist {x der grössere Ix,', der kleinere von den Werthen 2, y ist 2, y, und der grössere /, y,. In dieser Weise bekommt man die Grenzen der Integrale in (11). Für @—0 ist 9-0 = + und die Formeln (11) und (114) geben für diesen Fall die früher gefundene Formel (10). Die gegebenen Formeln können auch zur Berechnung der Wahrscheinlichkeit dienen, dass der Endpunkt eines Windes in einem Winkelraume liegt, dessen Seiten den conjugirten Diametern der Zerstreuungs-Ellipse parallel sind. Dazu hat man nur in (11) entweder d, = — со, oder #, = со und zugleich entweder y, = — со, oder y, = со zu setzen, je nach dem, für welchen von den vier Winkelräumen, die durch die beiden Geraden be- grenzt sind, man die Wahrscheinlichkeit zu bestimmen hat. Die Coordinaten im Axen-System ХУ des Scheitels des Winkels geben, in die Formel (11а) eingesetzt, die beiden anderen Grenzen der Integrale (11). Eine andere Anwendung geben diese Formeln zur Berechnung der Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes sich zwischen zwei gegebenen parallelen Geraden befindet, wobei die Lage dieser Geraden ganz willkürlich genommen werden kann. Sind diese Ge- raden der Y’-Axe parallel, so haben wir y’, = — ©, y, = со zu setzen, und der Aus- druck (11) giebt die gesuchte Wahrscheinlichkeit: La wo die Grenzen nach der ersten der Formeln (11а) zu berechnen sind. In Folge von (с) ist diese Herleitung gültig nur für Gerade, die rechte oder stumpfe Winkel mit der x-Axe machen. Setzen wir aber 4, = — co, 2’, = оо, so giebt (11): wo die Grenzen nach der zweiten von den Formeln (11a) zu berechnen sind. Jetzt aber ist ф der positive Winkel, den die Geraden mit der X-Axe machen, und 0 = ® < =. Nennt man den positiven Winkel, kleiner als п, den die Grenzgeraden mit der х-Ахе bilden, so hat man im ersten Falle d = ф + 4 und im zweiten ф = 9, und nennt man die Inte- grations-Grenzen a, und a,, wobei a, < а., so kann man in Folge von (b) diese Grenzen in beiden Fällen nach der Formel: a ANNEE) (42 УЕ? te? ф- 2 56 A. GADOLIN, berechnen, wenn für x und y zuerst die Coordinaten irgend eines Punktes auf der ersten Gerade und dann die Coordinaten irgend eines Punktes der zweiten Grenzgerade eingesetzt werden. Der kleinere von den so erhaltenen Werthen von a ist a, der grössere a,. Es ist hierbei vollkommen gleichgültig, welche Punkte man auf der einen oder anderen Gerade nimmt, um die Grenzen a, und a, in der angegebenen Weise zu berechnen, denn, sind die Gleichungen der beiden Geraden: | И hp а РО und 14% + By = С, so ist: | tg ф = — = und folglich für die eine Gerade: —stw@p+y=<+ + y = ©, und für die andere: — & tg d + y = = + Y = — so dass für jede der beiden Geraden die Grösse — x tg ф + y denselben Werth hat, welchem Punkte auf der Gerade die Coor- dinaten x und y noch zukommen mögen. Hat man die Bezeichnungen С, und С, so gewählt, dass: С C фе: ПОВ, He) © © чо ога о ооо № № о: gare le в, de rn mus Gi as h BY ze + Ba + und die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes sich zwischen den beiden Ge- raden (e) befindet: Go Е EE Re = e qu. a (ER MSN ARE С SUR @ = u Ä B у №2 = + die Wahrscheinlichkeit: р со В я ler an, dass der Endpunkt eines Windes von der Gerade Ах + Ву = С auf derjenigen Seite liegt, in der sich irgend ein Punkt befindet, für dessen Coordinaten x und y: ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 57 ist. Die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes auf der anderen Seite der- selben Gerade sich befindet, ist: (41 1 — u? = | COR ор они (13а) —©9 und für diese Seite ist: N и (2) Wir haben diese Formeln benutzt, um die Wahrscheinlichkeit zu berechnen, dass der Endpunkt eines Windes auf der NW-Seite von der Linie SW—NE, oder auf der SW-Seite von der Linie NW—SE liegt. Die zu diesen Berechnungen nöthigen Constanten für 3"p.m. im Juli sind in der Beilage IV angegeben, nämlich Logk’—=0,2314—3, Logk’=0,5829 —3, und für die Linie SW—NE: А = cos 1° 5”, В = sin 1°5’, C—— 6,84 sin 45°. Nach den Formeln (g, 13, h) berechnet sich dann а = — 0,1997 und endlich die Wahrschein- lichkeit für die NW-Seite: oo 0 со 0,1997 == e du — = г“ du + | ee" du = | e ® ди > = 0,611. —0,1997 —0,1997 or 0 Für die Linie NW hat man A= — sin 1° 5’, B= cos 1° 5’, С = 3,20 sin 45° und berechnet а = 0,1401. Für die SW-Seite drückt sich die Wahrscheinlichkeit durch die Formel: (47 1 —и = e du OV ET aus. — C0 Man hat aber: 0,1401 0 0,1401 0,1401 1 — и? 1 —u? 1 — u? 1 1 —w? : == е и = | e dus e CIRE EN ES е du = 0:579. =| | Ут | 2 Уп С — CO — CO 0 0 Nennen wir nun а, 6, с, а die Wahrscheinlich- keiten, dass der Endpunkt eines Windes in einen von den Quadranten fällt, die zwischen den Richtungen NW—SE und SW—NE gebildet sind (Fig. 3), so haben wir folglich gefunden, dass а + b = 0,611, a + а = 0,579. In der Beilage IV haben wir aber berechnet a = 0,358, und bekommen also b = 0,253, d= 0,221, с= 0,168, die letzte Zahl aus der Be- dingung, dass die Summe aller Wahrscheinlichkeiten 1 sein muss. SW ER. I as Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 8 58 А. GADOLIN, Das Integral | 2 dx dy = = И реа?" de dy für einen Flächenraum genommen, dessen Umkreis von einer Curve gebildet wird, deren Glei- chung F(x, y) = 0 ist, ist der Ausdruck für die Wahrscheinlichkeit, dass der Endpunkt eines Windes in diesen Flächenraum fällt. Dieses Integral kann in einer anderen Form dar- gestellt werden, die uns erlaubt, die Integration in endlicher Form auszuführen für einige Fälle, die oben nicht behandelt worden sind. Zu diesem Zwecke erinnern wir uns, dass der obige Ausdruck das Volumen angiebt, welches über dem betrachteten Flächenraum unter der Fläche Z liegt. Denken wir uns nun die Ebene der Zerstreuungsaxen X Y, in der auch die Curve F(x, y) = 0 liegt, zusammengeschrumpft in der Weise, dass jede der X-Axe parallele Gerade, ohne ihre Richtung zu ändern, + Mal, und jede der Y-Axe parallele Gerade, gleich- falls ohne ihre Richtung zu ändern, т Mal kleiner geworden ist. Dann sind die Coor- 1 dinaten eines Punktes, die vor der Zusammenschrumpfung x, у waren, nach derselben # x und k, у geworden. Nennen wir nun diese neuen Coordinaten 5 und y so hat man: ми kg. Ein Volumenelement, das früher die Basis dx dy hatte, hat nun die Basis dx’ dy’ be- kommen, wobei da’ dy = kk, dx dy. : Vergrössert man nun die Höhe 2 des Volumenelements ebenso viele Mal, wie die Basis kleiner geworden ist, so behält das Volumenelement seine frühere Grösse. Bezeichnen wir durch 2’ diese vergrösserte Höhe des Volumenelements, so ist: und das neue Volumenelement gleich dem früheren: 2 dé dy = 2 da dy. Somit ist auch das ganze Volumen, als Summe aller dieser Elemente, unverändert geblieben. Diese Summe ist: (А)... [ба ya [fe de dy = LE [fe ата = || EI” dx! dy Die Curve, welche den Flächenraum umgrenzt, über welchem das Volumen zu berech- nen ist, hat nun die Gleichung: и о. #)= 0. LL Lace ed Ex у 5 = ” ÜEBER DAS GESETZ ‘DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 59 Es sei diese Gleichung: f@,y) = 0, Га, ВУ = 0 dann wird: ‚ die Gleichung der Grenzcurve im ersten Coordinatensystem. Die Integration (A) kann nun in verschiedenen Fällen durchgeführt werden. Nimmt man die Grenzen constant, so bekommt man das Integral für Fälle, die mit denjenigen übereinstimmen, die schon oben behandelt worden sind. Geht man aber zu Polarcoordina- ten über, so bekommt man Integrale für neue Fälle. Zu diesem Zwecke wollen wir vorerst bemerken, dass die neuen Coordinaten x’ und y’ mit den alten parallel sind. Ersetzt man sie aber durch andere +” und y”, ebenfalls rechtwinkelige, wobei der Winkel zwischen à’ und x”, nach der Bewegung eines Uhrzeigers von x aus positiv gerechnet, ф ist, und die beiden Axen У’ und У” von den respectiven X und X”, um den Winkel 90°, ebenfalls nach derselben Richtung gerechnet, gelegen sind, so hat man: Я =’ cos o — y" sing, &"=«cose-+ysing | ПОЛЬ (С) y —= x" зто + y COS Ф, У’ = — «sine + Y cos of Ist die Gleichung der Grenzeurve im neuen Coordinatensystem $ (x, y”) = 0, so wird sie im alten System & (x cos © + y’ sin ©, — # sin @ + y cos 9) = o und im ursprünglichen: . À (k cos 9.2 + k sin p.y, — ksinog.2-+-k,cse.y)=0...... (D) Es seien r und r’ die Abstände vom Anfangspunkt der Coordinaten eines Punktes, dessen Coordinaten im ersten Coordinatensystem x und y und im zweiten nach der Zusammen- schrumpfung x’ und y’ sind, und es seien % und ф die Winkel, welche die vom Anfangspunkt zu den beiden Lagen dieses Punktes geführten Geraden, die erste mit der X-Axe und der mit ihr zusammenfallenden X’-Axe, die zweite mit der Х”-Ахе machen, diese Winkel ge- rechnet positiv von der X-Axe und der X”-Axe an in der Richtung der Bewegung eines Uhrzeigers, so hat man: = cosS, y=rsinS, д’=и со ф, y'=r' sind, v=ka=r' cos (ф--ф), y=k, y=r'sin (e-+b)...(E) ИН, = x Ну-ну = №2 В. Das Volumen (4) wird bei Einfüh- rung der Polarcoordinaten v’ und ф: о A . () da das Flächenelement bei den eingeführten Polarcoordinaten r’ ddr’ ist. Ist die Grenz- curve in dem letzten Coordinatensystem gegeben in der Form A(r', ф) = 0, so wird sie im ursprünglichen Coordinatensystem: a 60 A. GADOLIN, 2 ve 20,2 ; ka je Я + kr ÿ, arc ee $) — 0, ойег (Es Er I 2 m2 2 92 1 1 ae Le (FE are sn A) = 0, wobei die Bogen arc cos und art eme eee gleich sind. УР a? + kı? у? УР x2 + k,? у? Es ist weiter zu bemerken, dass für ИР +?’ immer sein positiver Werth ge- nommen werden soll. Wir wollen nun diese Resultate auf einzelne Fälle anwenden, in denen der Flächen- raum, über dem man zu integriren hat, durch zwei durch den Anfangspunkt gehende gerade Linien =, und =), von zwei Seiten, und von der dritten durch eine Curve “= ($) begrenzt wird. Das Integral ist: und wir wollen die entsprechenden Grenzcurven im ursprünglichen An bestimmen, In Folge von (G) entspricht der Gerade ф = 4, die Curve: атс cos № —фФЕ=ф, arc sin М __ del VIE ©? в? у? ar VIE à в? у? 1? oder: (Ha)... = УР а? + ВУ cos (ф + $), k y — УР? + k° узи (o + $). Diese Gleichungen geben: k у — + 8 (p + $). 2, woraus erhellt, dass auch im ersten Coordinatensystem die Linie eine Gerade ist. Da wei- ter, nach (Е), 4 = tg 5, ist, so hat man: р о Е О PA, ts = 7 erh) woraus man den Winkel %,, den diese Gerade mit der X-Axe macht, zu bestimmen hat, unter Beobachtung der aus (Ha) folgenden Bestimmung, dass cos 5, und cos (ф + U), ebenso wie sin 5, und sin (a + $) gleiche Vorzeichen haben müssen. Es sei nun %, der Winkel, den die zweite Grenzgerade mit der X-Axe macht, so hat man in derselben Weise: ' k Dina ne 8 5 = г. tg (p + $.). Setzt man Ÿ, = 0, so hat man zur Bestimmung von œ und ф,: ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 61 k a k tgp— + в 3 18 (p + ф.) = = tes, ER Le pee (14а) und das gesuchte Volumen: 4» ABER 1 ОО a N (K) 0 0 Die Gleichung der dritten Grenzcurve in der unveränderten Abscissen-Ebene wird nach (G): ka 122 a? == k? y = (are COS OC NE L 19 / У? a? = в? у? т» (L) Е k 5 k unter der Bedingung arc cos "> = are sin ——ıI —., УР? à? + kı? у? УР? 22 + 2 y? Es sei nun z. В. diese Curve ein Kreis: 7’ = u, constant, so ist in Folge von (1) die Gleichung dieser Curve im ersten Coordinaten-system: Also eine der Zerstreuungs-Ellipsen. Das Volumen (К) wird: Ve % Ve 2 2 il PRET ANT 1 —U ф —u +] ев! 9" = (1-e ) dy = > (1—e AE 0 0 Dieser Ausdruck giebt uns das über einem beliebigen Sector der Zerstreuungs-Ellipse gelegene Volumen, wobei ф, aus den Gleichungen (14a) zu berechnen ist, bei gegebenen Winkeln 5, und S,, welche die Grenzradien des Sectors mit der grossen Axe der Ellipse machen. Im Falle 5, = 0, %, = giebt (142) e= 0, ф, =, und man erhält aus (14) das über der Viertel-Ellipse gelegene Volumen + (1 — e-%°), was mit dem Resultate überein- stimmt, das wir oben auf anderem Wege erhalten haben. Setzt man ÿ, — ->, so giebt (14a): kı2 Т + 2 83,18%, = 0, woraus, in Folge von (b) erhellt, dass in diesem Falle die Grenzradien des Sectors mit ei- nem Paar von conjugirten Diametern zusammenfallen. Das Volumen (14) wird auch in die- sem Falle + (1 — e—%), und ist somit gleich dem Volumen über der Viertel-Ellipse. Die gegebenen Formeln können unter anderem dazu dienen, bei der graphischen Lö- sung der in der Beilage VI behandelten Aufgabe mittelst der Fig. XII, die Flächenräume, die man mit dem Planimeter zu messen hat um die über ihnen liegenden Volumina zu be- stimmen, bedeutend zu reduciren, und dadurch an Genauigkeit des Resultats gewinnen. 62 A. GADOLIN, Führt man z. В. die aus 5 ausgehenden Radien, welche die Sectoren begrenzen, nach den Richtungen X, ©, М, В, У, S, T, U, У, Z, wie sie in der Fig XII angegeben sind, so ver- kürzt man, im Vergleich zu der früher (Beilage VI) angewandten Methode, die zu mes- senden Flächenräume um diejenige, welche schraffirt sind. Man hat dann wohl eine grössere Zahl Sectoren zu berechnen; das fordert jedoch nur wenig mehr Arbeit, an Genauigkeit gewinnt man aber viel. ’ Eine wesentliche Erleichterung der Arbeit erhält man aber, wenn die Construction in der zusammengeschrumpften Ebene gemacht wird. Die Zerstreuungs-Ellipsen sind dann Kreise geworden, welche viel leichter zu zeichnen sind. Die Ordinate, die über jedem Kreise mit u ! : 5 r a dem Radius r’ steht, ist =. ° und diese Ordinaten können ein für alle Mal berechnet wer- den. Hat man nun die Kreise nahe genug aneinander genommen um der in allen Fällen er- forderlichen Genauigkeit zu entsprechen, so kann man ein für alle Mal eine Tafel errichten, welche die Grössen = e-"” für alle erforderlichen Werthe von r’ angiebt. Die Gleichung der Grenzcurve ist nun nach (В) zu bestimmen und diese Curve auf der Zeichnung darzustel- len. Nach dem Verzeichnen dieser Curve ist die Integration halbgraphisch vorzunehmen, entweder nach der in der Beilage VI angegebenen Methode, oder mit Sectoren, deren Winkel andere Werthe als = haben. Der Vortheil der jetzt angegebenen Methode wird besonders - merkbar, wenn man viele Aufgaben derselben Art zu lösen hat. Es können nämlich dabei immer dieselbe Zeichnung und dieselbe Tafel der Werthe = er” dienen, welche Werthe noch й und %, haben mögen; man hat nur jedes Mal die Grenzeurve der Zeichnung neu aufzuführen. Für den Fall, den wir in der Beilage VI behandelt haben, ist diese Grenzcurve in der unveränderten Ebene ein Kreis, dessen Gleichung (2 ой 2} RL (y A у. = ist, WO 2% = 4, COS Y +, Sin Y, У, = — 4, Sin y ни, cos y und À der Radius des Kreises (in der ausgeführten Rechnung В = 35 km.) sind. In der geschrumpften Ebene hat die entsprechende Grenzcurve nach (В) die Gleichung: En) + (En) в und ist also eine Ellipse mit den Centrum in einem Punkte, dessen Coordinaten k x, und k, y, Sind; die Axen dieser Ellipse sind den Axen der Zerstreuungs-Bllipse parallel und ihre Halbaxen haben die Grössen Rkund А. In dieser Ellipse ist also die X-Axe kleiner und die Y-Axe grösser. Diese Ellipse ist somit den Zerstreuungs-Ellipsen ähnlich, nur ist sie gegen diese um 90° gedreht. Nach diesen Angaben ist die Ellipse zu verzeichnen, und dann die halbgraphische Integration zu vollenden, wie oben auseinandergesetzt wurde. Zum zweiten Beispiel wollen wir die Grenzcurve in der geschrumpften Ebene durch die Gleichung: $ ах. ue émane TN PROS De nr ® Е UEBER DAS GESETZ DER VERÂNDERLICHKEIT DER WINDE. 63 r = & bestimmen. Das Volumen (Z) wird dann: Fa 1 | 1 —u: 7 “ar ht] e du а (15а) ау Die Gleichung der Grenzcurve in der unveränderten Ebene ist nach (Z): VIE а? + kr у? ) hs ee ) kı y COR EE ME ЕВ ый. М... ( = +09 ЕВЕ oder sin + P en (15) Sind 5, und 5, die Winkel, welche die Grenzgeraden mit der X-Axe machen, so hat man nach (7): k р © (p +4) = 7189, ONU UE CPP EE (15 b) Diese Ausdrücke können nun dazu dienen, das unter der Fläche Z befindliche Volumen annähernd zu finden, wenn die Basis dieses Volumens von einem Sector gebildet ist, dessen Scheitel im Anfangspunkt der Coordinaten x, y liegt, und dessen Bogen eine beliebige Curve bildet. Es seien %,, 9, und %,, у, die Coordinaten der Endpunkte der Grenzradien dieses Sectors. Wir können die Curve (15) durch diese Punkte führen. Zu diesem Zweck berech- net man die Grössen —— 2 2 2 2 Beat 2 2 2 2 и, = УР? + Вуз, и, —= Va: у. Die Gleichungen (15) geben: k cos (2 = ?) — “2, sin (“ a $) D HUE a u, a Uj (N) a (% ED te. Kun IR le er en $ а N M an PILE er) Hieraus erhält man die Werthe: U Us и +p— 4, Е — Ф = 4,, welche die Grössen а und ф bestimmen. Weiter hat man: ’ ET С ТА мы 2 2 CSS = +, mi = 4, w И но | & a URS cos 5, —= 2, sin, = %, wo r | 2 т, ? 2 1,’ 2 2 2 woraus 9, und 9, bestimmt werden. Die Gleichungen (15b) geben dann die Grössen d, und 64 А. GADOLIN, ф,, wobei zu beachten ist, dass o +, Ir zugleich mit 3, 5т, und Pl, Zr zugleich mit Ser sein müssen. Sind nun Ÿ, und 4, bestimmt, so kann die Grösse (15a) nach bekannten Tafeln berechnet werden. Um die Grenzen der Fehler zu bestimmen, die man macht, wenn man die Curve des Sectors durch die Curve (15) ersetzt, hat man sich graphisch Rechen- schaft zu geben über die Lage der beiden Curven zu einander, und dann eine neue Curve (15) zu wählen, welche durch solche Endpunkte geht, dass die Curve des gegebenen Sec- tors zwischen dieser neuen Curve (15) und der früheren liegt. Die für diese beide Curven | (15) berechneten Volumina bilden zwei Grenzen, zwischen denen das zu berechnende Vo- 4 lumen liegt. Um diese Formeln auf ein Beispiel anzuwenden, haben wir die Berechnung für den | Sector M N B Fig. XII gemacht. Wir haben dabei die Coordinaten der Endpunkte der й Curve M N graphisch bestimmt für den Punkt: | | М: = 25,15, y, = 7,00, für N:æ, = 22,50, у, = 27,98. Nimmt man für w, und w, die Werthe an, die wir in der Beilage VI für die Ellipsen 4 und 12 gefunden haben, und welche für die Punkte М und N gelten müssen, so haben wir Log и, = 0,0579, Log и. = 0,2797; dann berechnen sich nach den Formeln (N): A 0 — 91528’ und 21° 8 ot a = +p— 60° und 59°52. Die Verschiedenheit der Werthe, die man für diese Grössen bekommen hat, beruht darauf, dass die Coordinaten graphisch bestimmt und die Grössen и, und u, auf an- derem Wege berechnet worden sind. Die Ungenauigkeit dieser graphischen Bestimmung ist nun die Ursache, warum man etwas verschiedene Werthe für die Winkel bekommt, je nach- dem man sie aus der einen oder anderen Formel berechnet. Für unsere Zwecke ist aber die erreichte Genauigkeit gross genug, und wir nehmen definitiv die Werthe: A + ф = 2115", Æ + 9 = 59°56’ an. Dieses giebt а = 1,128, ф = — 36°46'. Die Formeln (0) geben $, = 15°34', $, —51°13. Hiernach erhält man aus den Gleichungen (15b) + b, = 21° 11’, Ф+ф.=59° 59° und somit ),—57° 57’, b,—96°45". In Theilen vom Radius ausgedrückt ist dieses: d, = 1,0114, d, = 1,6886. Hiernach hat man die Grenzen des Integrals (15a) ab, = 1,1408, al, = 1,9046, und erhält aus den Ta- feln der Function je dt: Ут 0 ER у и бк, A Е ] № a A 5 NV NEA PS N ЕЯ = . er, ра ©. UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 65 ap, ang : 2 —u? о Le, я | 69 44 — 0.8933, | е “ du = 0,9929 0 0 und bekommt aus (15a) das Volumen über dem Sector 0,09386. Um nun zu sehen, wie die Grenzeurve dieses Sectors liegt, und ob sie sich von dem Kreisbogen sehr entfernt, der die eigentliche Grenze für das Integral bezeichnen sollte, haben wir noch die Coordinaten von drei zwischen M und N intermediären Punkten aus den Gleichungen (15) berechnet. Zu diesem Zwecke haben wir drei willkürliche intermediäre Werthe von и = И 22-2 y? genommen, nämlich für Гоби die drei Werthe 0,1133; 0,1688; 0,2242, und nach den schon bekannten Werthen von ф und а die Coordinaten der drei Punkte x und y berechnet. Die Lage dieser Punkte ist dann in der Fig. XII mit Kreuzen $ T В bezeichnet, und lässt ersehen, dass die Curve (15) ausserhalb des Kreisbogens fällt. Um nun die Fehler zu bestimmen, die man macht, wenn man den Kreisbogen durch die Curve ersetzt, so hat man entweder den Zwischenraum zwischen beiden mit dem Planimeter zu messen, und seinen Flächeninhalt mit den äussersten Werthen von z, die für verschiedene Punkte dieses Flächenraums gül- tig sind, zu multiplieiren; oder man macht eine der obigen ähnliche Rechnung für einen Sec- tor, der dieselbe Richtung der Grenzradien hat, dessen Bogen aber von der inneren Seite des Kreisbogens ihm möglichst nahe liegt. Um auch die Formel (14) für das Volumen über einem elliptischen Seetor auf ein Beispiel anzuwenden, haben wir auf derselben Fig. XII einen elliptischen Sector gewählt mit Grenz- radien, die wiederum nach ВМ und БМ gerichtet sind, und wo die Ellipse durch den Werth Log u=0,1688 bestimmt ist. Wir haben wie oben 5, —15° 34”, 5,—51° 13", wonach die For- ше (14a): 9=21°11', p+-4,—59° 59" geben, woraus ф.=0,6772 und nach (14) das Vo- lumen 0,09554 bestimmt wird. Dieses Volumen soll sich in der That nicht viel vom Vo- lumen über dem früher betrachteten Sector unterscheiden, da die Sectoren sich grössten- theils bedecken, und nur ein Theil des elliptischen Sectors ausserhalb und ein anderer in- nerhalb des anderen Sectors liegt. Eine einfache Form des Integrals bekommt man auch, wenn man das Volumen über einem Sector bestimmt, dessen Bogen in der geschrumpften Ebene durch folgende Glei- chung in Polarcoordinaten bestimmt wird: 12 к в" — a sin (bb + oc). Dieses Volumen (7) wird dann: — к he — + + (cos 64, + д — cos @ф + 9) | und die Gleichung des Bogens in der unveränderten Ebene nach (С): Mémoires de l’Acad. Imp. d. sc. VII Serie. ; 9 66 А. GADOLIN, Te pete nie - “МУ — о Г. are cos + 0], У a? + В? y? a oder: ae? , 2 A BEN un |b. are sin (| У 27 В? у? Für 2 —= 1 erhalten diese Gleichungen eine einfache Form: nn — k, y cos (® — c) — ka sin (e — c), мо и = У а + k/ÿ. Das Volumen wird: = [9 — A a (cos (фу о) — cos (ф, + 9) Da bei Anwendung der Gleichungen (15b) c sich im Schlussresultat eliminirt, so kann man der Einfachheit wegen vom Anfang an с = 0 setzen und hat also die Gleichung des Sectorbogens in der unveränderten Ebene: ue— ur a) TEN *“ —_hyesp— №0 зш ф, и = УР (ба а. Lone = Ё — db, + а (cos $, — cos $.) |. Diese Ausdrücke in Verbindung mit (155) können zur annähernden Berechnung des Volumens über einem mit einer beliebigen Curve begrenzten Sector dienen, inähnlicher Weise, wie wir diesfür (15), (15a), (15b) oben auseinandergesetzt haben. Wir haben beispielsweise diese Rechnung durchgeführt für einen Sector mit denselben Grenzradien ВМ und ВМ (Fig. X), wie in den vorigen Beispielen, und dabei dieOrdinaten y, —7,00, y,—27,98 wie oben angenom- men, darnach aber für gegebene и, dieselbe, wie oben (Log u, = 0,0579, Log u, = 0,2797), die Abscissen der Endpunkte der Radien x,—25,19, x,—22,60 berechnet, hiernach mittelst der Gleichung (16) Log (— = 0,3968 und ф == 63° 39’ bestimmt. Nach den frühe- ren Werthen von 5, und 5, bestimmen sich aus (15b) die Grössen e +, —21°11}, p+%,— 59° 59', und hieraus ф, = — 42° 28’, ф, = — 3° 40’. Aus (16a) berechnet man dann das über dem Sector gelegene Volumen 0,09116. Um den Verlauf des Bogens dieses Sectors zu bestimmen, haben wir für die Werthe Log и=0,1133; 0,1688; 0,2242 die entsprechenden x und y berechnet, und die so erhal- tenen Punkte, mit kleinen Kreisen umgeben, auf die Fig. XII aufgetragen. Es findet sich nach der Lage dieser Punkte 5’, T’, R’, dass die Curve innerhalb des Kreisbogens verläuft. Es muss übrigens bemerkt werden, dass die Rechnungen, die man für den Sector (16) aus- ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 67 zuführen hat, etwas weitläufiger sind als diejenigen, die mit der Annahme des Sectors (15) verbunden sind. Es kann der Sector (16) nur dann vorgezogen werden, wenn seine Curve näher an dem gegebenen Bogen des ursprünglichen Sectors liegt, als es mit der Curve des Sectors (15) der Fall ist. Dieses würde für das berechnete Beispiel dann stattgefunden ha- ben, wenn der Bogen des Sectors ein sehr flacher Kreisbogen oder eine gerade Linie ge- wesen wäre, wie es die Lage der Punkte 5, Т’, В’ zeigt. Lässt man in einem Sector, für den man den Ausdruck für das über ihm unter der Fläche Z gelegene Volumen gefunden hat, den Sectorbogen sich in’s Unendliche vom Sectorscheitel entfernen, so bekommt man das Volumen, welches über einem offenen, zwischen den beiden in’s Unendliche verlängerten Grenzradien des Sectors eingeschlossenen Winkel liegt. Wir haben oben drei Ausdrücke (14), (15a), (16a) für das über einem Sector gelegene Volumen, welches verschiedenartigen Sectorbogen entspricht. Setzt man in diesen Ausdrücken u = co, so entfernt sich der Sectorbogen in’s Unendliche. Der Ausdruck (14) giebt somit für das Volumen über einem Winkel zwischen Radien, die mit der X-Axe die Winkel 5, und 5, machen, die Grösse: wo ф aus folgenden Gleichungen (14a) zu bestimmen ist: | k k wp= 7 E1, ФУ = ts ,.......... (17 a) bei der Bedingung, dass cos Ф und sin p gleiche Vorzeichen mit resp. cos %, und sin 5,, sowie cos (ф + ф) und sin (9 +) gleiche Vorzeichen mit resp. cos 3, und sin S, ha- ben sollen. Es ist leicht einzusehen, dass die Ausdrücke (15a) und (16a) dasselbe Resultat geben, weil aus der Bedeutung der Grösse a folgt, dass in (15a), а= oo und in (16a), а — 0 zu setzen ist. Wir haben in der ersten Abtheilung (Seite 55) dieser Beilage angegeben, wie man aus der Formel (11) einen Ausdruck für das über einem Winkelraum gelegene Volumen finden kann, jedoch nur für den Fall, dass die Seiten des Winkels zwei conjugirten Diametern der Zerstreuungs-Ellipse parallel sind. Der Unterschied dieses Falles von demjenigen, für welchen die Ausdrücke (17) und (17a) gelten, liegt nun darin, dass für die letzteren die Seiten des Winkels beliebig gewählt werden können, und ausserdem noch darin, dass in dem früher be- handelten Falle der Scheitel des Winkels eine beliebige Lage haben kann, während die Ausdrücke (17) und (17a) nur für solche Winkel gelten, deren Scheitel im Anfangspunkt der Coordinaten liegen. Wir wollen nun einen Fall behandeln, wo beide Formeln angewandt werden können, und der an sich selbst bemerkenswerth ist. Es sei das Volumen zu bestimmen über einem 9* 68 A. GADOLIN, Winkelraum, dessen Scheitel im Anfangspunkt der Coordinaten liegt, und dessen Seiten zwei conjugirten Diametern parallel sind. Für diesen Fall hat man in der Formel (11) x, —0, Y—=0,4, = оо, y, == oo zu setzen und bekommt das Volumen gleich 5. Um dasselbe Volumen nach der Formel (17) zu berechnen, hat man zu bemerken, dass der Winkel zwi- schen der X-Axe und der ihr am nächsten gelegenen Seite des Winkelraumes in der Formel (17a) mit S,, und in der Formel (b) Seite 53 mit @ bezeichnet ist; die zweite Seite des Winkelraumes macht mit der X-Axe den Winkel 5., der in (b) mit (ф- 9) bezeichnet ist. Hiernach giebt die Formel (b): R? cos 3, cos 5, + k sin I, sin 5, = 0, wobei zu bemerken ist, (©) Seite 54, dass 0 und > < %, , > nähert sich nun desto mehr einer bestimmten Grenze, je grösser der in Betracht genommene Zeitraum T ist. Diese Grenze $ ist die Wahrscheinlichkeit, dass ein Wind mit seinem Endpunkte in den Flächenraum © fällt. Wir haben ebenfalls oben gesehen, dass diese Wahrscheinlichkeit gleich dem Volu- men eines vertikalen Cylinders ist, dessen Basis ©, und der oben von einer Fläche Z be- grenzt ist, deren Ordinate durch die Gleichung (1): WR kkı ge я? у? T bestimmt wird. Nimmt man nun die Fläche о unendlich klein, 2. В. gleich dx dy, so ist auch $ unendlich klein, und wir wollen es dé nennen. Man hat dann: о О au... (А) 12 A. GADOLIN, Während dieser Zeit ist das Luft-Volumen: | — 1000 7 cos (x — В) di durch die Fläche DF durchgegangen. Im Mittel pro Stunde rd das Lutt- Volumens — 1000 co a Je grösser Т ist, um so mehr nähert sich diese Grösse an — 1000 У cos (a — В). z dx dy, so dass dieses der Grenzwerth ist für das Luft-Volumen, das im Mittel pro Stunde durch ОЕ geht, während der Summe der Zeiten, in denen der Wind mit seinem Endpunkte С in das betrachtete Flächen-Element dx dy fällt. Für eine genügend grosse Zeit T kann dieser Grenzwerth als Ausdruck für das Volu- men der in dieser Zeit durch 1 0 m. von ОР getriebenen Luft in Folge der Winde, deren Endpunkte innerhalb des Flächenelements dx dy fallen, gelten. Um nun dasjenige durchge- hende Luftvolumen zu erhalten, welches einem endlichen Flächenraum © entspricht, hat man — 1000 ff У cos (a — В).2 dx dy zu finden, wobei die Integration innerhalb der Grenzen des Flächenraums © auszuführen ist. Nun ist aber: У cos (a — В) = u, cos В + w, sin В + 2 cos (В — y) + y sin (B — y): wo и, und w, die N- und E-Componenten des mittleren Windes sind. Somit wird das Luft- volumen: ВИ = ее, R cos В + w, sin В) N ми dy + + cos (8—1) М ве" "МУ u dy-r-sin (B— y) И yet ar dy | Wir wollen nun zuerst dieses Volumen für die Gesammtheit aller Winde finden. Man hat dann den Integrations-Raum о nach allen Seiten unendlich ausgedehnt zu nehmen und folglich: у oo с . — 12 712— {2 y? И бы cos 8 м sin В | | и м Шу — °°) — CO O0 „-нсо +00 «+00 / ; + COS (В — | | де"? МУ dy dy + sin (8 — n| | уе * МУ Gr dy —00 “ —© —©“ —oo die Werthe: ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 73 Man hat aber: 4-00 +00 de he er Ÿ dx dy = mw | де"? de =. уе М dy — 0 +00 “ +00 — CO —09 und somit: и — < 1000 (4605.66 wein Ве (С) Dieses Volumen ist dasselbe, das man erhalten würde, wenn die ganze Zeit T der mittlere Wind geweht hätte. Will man aber das Luftvolumen bestimmen, das durch DF nur von der einen Seite durchgeblasen wird, so muss man die Integrale (В) für den Flächenraum nehmen, der ап der einen Seite der unendlich verlängerten Gerade DF’liegt. Die Gleichung dieser Gerade ist: L д COS (В — y) + y Sin (8 — Y) + , cos 8 + u, sing — 0. LCR ANS (D) Die beiden Hälften des unendlichen Flächenraums, welche durch diese Gerade von einander getrennt werden, unterscheiden sich dadurch, dass in der einen die Normale AR liegt, welche mit der N-Richtung einen Winkel В macht, und in der anderen Hälfte eine ‘Normale zu ОЕ, die mit N einen Winkel В + x oder В — x macht. Nach einer oben ge- machten Bemerkung wird eine Bewegung der Luft durch DF nach der Seite der ersten Normale (Azimuth В) nur durch diejenigen Winde verursacht, für welche — v cos (a — В) > 0 ist. Diese Bedingung ist gleichbedeutend mit: 4 COS (В — y) + y sin (8 — y) + à, cos В + wsnß <0O....... (Е) In der Beilage УП (13 und 13а Seiten 56 und 57) haben wir für das Integral: kkı, — 2 23 — 292 Sr И е 19% dx dy, genommen für den Flächenraum an der einen oder anderen Seite einer Gerade Ах +By = С, а kk, С со 2 1 —y? 2 е “ dw oder — | e * du, bei а = Vr k2 A? 2 En Ут —со а В + 2 gefunden, wobei der zweite Werth zu nehmen en wenn ai Flächenraum Punkte enthält, _ deren Coordinaten x und y die Ungleichung 4 NN op в befriedigen. Diese Ungleichung wird im jetzigen Falle: ji Mémoires de l’Acad. Imp. d. sc. VII Série. . 10 N. A. GADOLIN, æ cos (B— y) + y sin (В — у) + %0 cos В-н wy sin В sin (В — y) > о welches in Folge von (В) gleichbedeutend ist mit sin (8— y) < 0. Somit hat man, wenn sin (В — y) <0, à Co M Ter ру | е ди к Ух ” £ 4 a und im Falle sin (8—5) >0: | | ` [7 вы | Ce PRÉ y dy = = г“ du. 2 —00 In beiden Fällen ist: ы kk, (u, cos В + w, sin В) CRETE sin (В — y) V#,? cotg? BD + Nennt man (Е).... — № cos В — м, sin В = р, VA cos (8— y) + Æ* sin? (B — y) — 9, wo q immer positiv ist, so hat man für den ersten Fall: ро q а = — und für den zweiten: LT EAU : Also ist der erste Theil von У im Ausdruck (В) im Falle sin (8— y) <0: со 1000 р а. ; RN kkı р уе du, bei а = gr а und im Falle sin (8— y) >0: œ L 1000 p —u2 5 er en al du, bei а —© Bezeichnet man: ое de und bemerkt, das: = à: so folgt hieraus, dass, sowohl für positive als für negative Werthe von erste Theil von У im Ausdruck (В): BEN TR ei BL 5 à № PAS ji Fur ы | > ARE à A 2 и м k UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 75 b b 1000 p | фу 1000 q.b 2 un e du oder ı e AU Se N REN Fe Ук | kk, Ут a) + wird. 5 Das zweite Glied von (В) enthält die Grösse: à — 712 7220 k Aa A =] г de ày = — № | fs are т m, о >. In Folge der Bedingung (Е) sind die Grenzen für 2: | x für cos (8 — 1) > 0 und — оо und — у (8 N) + ув (8 — Y) + ee und co für cos (8 — y) < 0 zu setzen. ha Im ersten Fall ist: у 2 [yon | — I? 22 Ä a ? г [ се ре de = — ве peu _ Im zweiten: = 2 На | — 12 12 ES | же W % dx в е cos (В У) En ‚Somit ist: ы я ee DIN“ a LUN | дей" dx dy — | е He р pie n+ cos Cnil dy 4 Эл h { —CO и für cos (ß am > 0, und hat denselben Werth mit entgegengesetzten Zeichen für cos (8—1 < 0. . AL m . Setzt man im folgenden Пиеста у=и — 7, so wird es: +00 ВИ о aut CO В в 12 Г е "ТУ Чу — a | EE ди — те ER ER LT — CO —CO Setzt man in dieser Formel: : r k? p? ‚k2 р sin (В — y) TOR 7 ЯР DV IE ee ee ОВЕН, = OR о 2 1 Te} cos? (В N y)? m DES cos? (В ss у) I N — VE tg (В y) LR k, on immer positiv, so ‚erhält man: MN range... ee LA, mn Е a RN SE в... ee Eee Far Byron) ий | VER EDR in 10* 76 А. GADOLIN, Es folgt hieraus, dass man nn für cos (3 — г > 0 als für cos (В — y) <0: LR 12 р? kk, —k2 02—k,? y? d k, cos? (B—y) 42 AR TES Ат 4h d A ET RTS . = cos (В offre у Е MERE а hat. Somit ist das zweite Glied vom Ausdruck (В): 12 I? р? 1000 k, cos? (В — y) её" 9 _ 21аУт Das dritte Glied findet sich in derselben Weise: И 12 2 p° 1000 k sin? (В — y) FT et A nn re € 2 kıaVr Folglich ist das Luftvolumen, das im Mittel in einer Stunde durch 1 © m. von der. Ebene DF in der Richtung der Normale AR (Azimuth ß) geht: | ; __ 1000 а —u2 1 —b2 KT Hire A 1 e du +ze à — 09 wo be фи cos В — м, sin В, 9 — Из? (8 — y) k,? cos? (8— y), immer positiv. Für zwei Normale, die entgegengesetzt gerichtet sind, unterscheiden sich die Werthe von В um zx; alle in der Formel (К) eingehende Grössen haben in beiden Fällen denselben Werth ausser 6, das wohl dieselbe absolute Grösse behält, aber sein Zeichen ändert. Daraus folgt, dass durch eine gewisse Ebene DF die grössere Luftmenge nach der Seite derjenigen Normale geht, für welche В einen Werth hat, bei dem b positiv wird. Im Folgenden wollen wir uns nun mit diesem Luftvolumen beschäftigen. Bezeichnen wir: b (D ASE in an | der |: — CO so haben wir: BL DEMEURE г — y? dp ав а + 1 | е "du. gg. — 09 Hier =. die Coefficienten von “ AB und г. positiv, und somit kann а nur dann Null, werden, wenn т Lund т von LR а sind. Wir erinnern uns, das Ab(Fig. 4) die Grösse der Geschwindigkeit des mittleren Windes ist; wollen wir diese Grösse v, nennen und somit v, immer positiv rechnen. Nennen wir weiter A den Winkel zwischen N und AB, dieser Der; UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 77 Winkel von N aus gerechnet in der Richtung der Bewegung eines Uhrzeigers, und 9 den Winkel zwischen AB und der Normale AR (Azimuth ß), dieser Winkel von AB aus ge- rechnet ebenfalls in der Richtung der Bewegung eines Uhrzeigers, so hat man: EB р= nn, ® Фив weiter ist: | а #1? — #2) sin (8 — # 6 ре, wo 4° > 4 = VE sin 6 — 9) + Roy, 6 =— rt, Bei der Berechnung des Luftvolumens, das durch DF nach derjenigen Seite geht, für welche dieses Volumen grösser ist, ist b > 0 und folglich: cos 9 < 0, 5 HORS Ане в +. Der Winkel A — y zwischen AB und der X-Axe kann Werthe’ haben von 0 bis 2x. Setzen wir Х —у=7- — à +, wo m eine ganze positive Zahl und 0 8 < 1 ist, so kann m die Werthe 1, 2, 3 oder 4 haben. Wir haben zwei Fälle zu unterscheiden, je nach dem m gerade oder ungerade ist. Im ersten Falle hat man À—%y—(2n — 1) = — Ô >, im zweiten À — у = NT — 8, wo n entweder 1 oder 2 ist. In den beiden folgenden Tafeln sind in jeder der mit M 1 bis № 5 bezeichneten Horizontalreihen einander entsprechende Werthe der in der obersten Reihe rubricirten Grössen angegeben. «а 1 T ÖT 4] 4 . = — — — Für den Fall: À — у = (22 — 1), Bu N a — Е ЛЕН > = Aa UN NEE US Е Be SET dp 44 ns b a Et Bat | В 0 | р q | aß | aß | дк ‚2 12) sin — » = м: Lars 0 В 0 v Ber HR? 2 2 2 ED 9 q TAROT) ET ох MOT à DES бк бп 0 À + > + 2 Fo + D Vo sin Lou on To sin LE Vo cos non ÖT бт Ян = 5 дк OT kl, Фо О о Ат T vo ©? cos? — + k? sin? — — 0 0 ne 2 2 q q À or T+ DR Vo COS te k К 5% cos SE A 0 от 2 № 2 x v 1 Vo Sans OPEN ÖT дп (k)? — k?)sin — » cos — £ 37 5 Ô 2 À + SE =. 0 y” sin? = + k,? cos? = 0 — Vo 2 4 [Se] [SA 21 BE AR SR RN I N PR ER WESTEN р à AR ER ER À 2 { | 7 Er hr т Fa w IR й и # v x SAXE 2 $ AH , N 78 A. GADOLIN, ÖT Für den Fall: À — y Reg: | 44 dg “or 5 | | 4 | i | à | a | ый N (k 2) sin?” cos — бк т 1 } 2 (2-1) à = À+— — 0 .|Y R2 cos? — + В? sin? 0 Vo — —— M2 2 EU A T п Fon nor ÔT ÔT бт (2n +1) - Art LET Vo Sin —— k li d Sin 5 Vo COS —— 0 ab RE а AUS (k, № sin z. + COS — Aer 2 sin? 2 11080 | (+1) x À+T к Vo y? sin rue 0° 5 u 7 à Е (n+1)x Aer + ln fon cos т k, ko, cos S— | — vo sin —- 0 HOT AU (К, — 1?) sin — cos — (2и-+-3) _ = À + = = 0 у" cos? — + #1? sin? 0 —% —— 5 2 In лет Tafeln sind für das ganze Intervall, in dem De В I kann, alle diejenige Werthe für В angegeben, bei welchen eine der Grössen b sieht, dass wenn В von seinem kleinsten Werth A + — > bis zu seinem grössten A Bw: so dir =, № 3), 2 = в wechselt aber sein Zeichen zwei Mal (wenn В durch die Werthe À + — ee 5 a er die Reihen № 2 und № 4). Ве Х — у== (2% — 1) + — Tafel) sind 92 ав In dem ersten von diesen Intervallen muss Р ein Maximum haben, denn, wenn В wach- À + ав ? nur einmal sein Zeichen (wenn В ae 2 und 22 de von ungleichen Zeichen nur in > — «В лА-т und À + do Mau 2 oder 29 ав 1 a8 5 © wächst, den Werth À+-7 geht, siehe die Reihen + GE oder À 2 den Intervallen: er вт. . send in dieses Intervall eintritt bei В — À + — > + =; ist: , ÔT . pkv, sin TE | АР ÔT —u? a = № % COS = e du > 0 —00 und folglich wächst P zugleich mit В. Beim Austritt aus diesem Intervall ist aber = 0, Fr d'A he, w 4. дп к р 4 к 24 ЕЕ ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 79 so dass hier Р abnimmt, a В wächst‘). ты Eintritt in das zweite Intervall À + x — > <ß LAS, ist i = <0, so dass, wenn 22 in diesem Intervall sein Zeichen ändern a5 würde, was nicht immer is Fall ist, dem © D = 0 ein Minimum von P о würde. In ähnlicher Weise überzeugt man sich, dass im zweiten РаПе, wo À — y = nr — = (zweite Tafel) ist, P ein Maximum im Intervalle À +- к. В < АЛ-нт-н = haben muss. Um also das Maximum von P zu bestimmen, hat man vorerst den entsprechenden Werth von 6 aus der Gleichung: zu finden, bei der Bedingung, dass: heart Вольт, imBlei—y=- (28 — 1) 5 = und TL (&-+n)? УР Zn? Х (En) бам. 4186,6 3455,8 5774,6 АЗ) 4219,2 3630,4 9} а. m. 4410,8 3646,1 5188,9 2666,4 3691,2 4173,9 1872. м. 4431,1. 3133,5 5194,1 3000,2 3960,4 4975,9 № p.m. 5299,3 2824.7 6530,0 2426,1 4005,8 4715,2 3" р. т. 4785,5 3113,8 8138,2 4249,4 5135,4 6672,4 но рю. 4393,0 3123,4 7200,6 5066,0 6851,6 9495,2 т р. №. ‘4278,6 2824,5 6141,0 . 6270,3 6999,9 8520,5 Ур. м. 4050,1 2908,3 6482,6 6440,5 6723,4 8118,3 Ile p: м. 4329,5 3101,3 4775,5 6284,1 6763,6 7617,3 dax mm: 3780,2 9679.9 5327,8 3434,9 5432,7 5214,9 вам. 4076,1 93:5 5766,0 2479,8 5730,4 4084,0 ; 52 a.m. 4342,1 3832,3 4917,7 2736,2 4133,4 3396,2 y=151°23’; 5 =315,7; 180,8 y=125°157; = =405,3;==183,5 1 Kl sil } = — 8,73; w,= + 0,67 и =-+ 0,01; w, =- 2,89 Tafel У. Für jede Stunde gesondert berechnet. 1886. и и y = — За та. m. —7,09 +0,65 151958" 348,7 144,2 DD en. —9,23 +0,53 161517) 360,3 163,3 » Фр. м. — 8,81 —0,46 168°54° 264,3 op Juli 7'a.m. 124 —1,85 112952’ 278,5 131,1 DA LD +0,91 — 5,01 138% 508,3 РТ К 2 ром. +-1,02 —1,76 120°14 279,4 116,6 Tafel УТа. , - Juli 1886. Corrigirt für die tägliche Periode. 4 58 a ЕЕ | = ДЕ An | маш. DSP RS OT 47200: 113540 209.011 — 1,93 + 1,27 1 9" a. m. DE 13700137 4 AS 390 720206 — 1,53 + 0,13 я 11. а. т. 6030,0 6847,3 9405,2 128°23 530,5 300,3 — 1,13 — 1,43 Тир. м: 6249,30 68514 2.847427 13113” 57350272 1 -+ 0,84 — 1,97 3" р. м. 6477,7 6669,9 8102,8 133°55 587,0 261,3 + 1,81 — 2,13 5" p.m. 61922 6616.5 7650.4) 1325947 577.7,.,346,1 +2,74 —1,17 2 D.m: ОЕ 0438. 925137680. 12015. 444,82 148,1] — 2,44 — 0,80 20 9 p. m. 2453,8 36993 3943,6 120°19 279,8 116,8 + 1,47 + 0,90 м 27964 9413520 33977 124° 5” 3429 100,9 -+ 0,07 + 1,13 À ain: DVD ARLES 9615.0’ 125 SR SAT 109,5 — 1,36 + 1,50 \ ам. 266562, 95 ИВО ТЕ 7299,70 125,1 — 1,73 + 1,27 5" а. м. 2882.9, 3995.3 49615. 120217” »289,6 151,2 — 1,93 + 1,70 Ganzer Tag 484581 61379,5 70210,8 125°58 407,3 183,2 = +0,01 и, = 2,89 11* 84 А. GADOLIN, Vergleichung der Zahl der beobachteten Componenten mit der theoretischen Zahl, Tafel VI. 1886. Juli, die ungeraden Stunden mit Correction für die Tagesperiode, Zahl der Beob. 31 x 12 =372 Wahrscheinlichkeit der Wind-Componenten. PT CN ms mes 07 mme mme mm, © La Beobacht. Theoret, Beobacht. Theoret. 02,5 0,2876 — 0,3388 0,2984 — 0,3030 5—10 0,3226 0,2804 0,2258 0,2607 10215 0,1828 0,1922 0,1667 — 0,1934 15—20 0,1478 0,1090 0,1909 0,1234 20—25 0,0430 0,0511 0,0968 0,0679 25—30 0,0134 — 0,0200 0,0161 — 0,0391 30—35 0,0027 ‚ 0,0063 0,0054 0,0131 35 —00 0,0000 0,0022 0,0000 : 0,0064 Differenzen: Beobachtete— Theoretische Wahrscheinlichkeit. ke Beob.—Theor. Wahrsch. Diff. Beob,—Theor. Wahrsch. Diff.—0,0350 Ур (1—p). 075: =0.0512 2.30.0766 —0,0046 ° 0,0161 5-10... +0.0495 00057 — 0,0349 — 0,0154 10—15. 00094 0.0133 —0,0267 — 0,0138 15—20 +0,0388 0,0109 —=0,0665 0,0115 20—25 —0,0081 0,0077 +0,0289 0,0088 25—30 —0,0066 0,0049 —0,0160 0,0062 30—35 —0,0036 0,0026 —0,0077 0,0040 35-00 —0,0022 . 0,0016 — 0,0064 0,0028 Tafel VIII. 1886. Juli, die Stunden 11" a. т. bis 2" p. т. Mit Correction für die Tagesperiode. Zahl der Beobachtungen 31 x4=124. Wahrscheinlichkeit der Wind-Componenten. SN N N Klon Beobacht. Theoret. Beobacht. Theoret. 0— 5 0,2339 0,2846 0,2500 0,2642 510 0,1855 0,2494 0.1290 0,2351 10—15 0,2097 0,1918 0,2258 0,1888 15—20 0,2500 0,1293 0,2097 0,1350 20—25 0,0645 0,0765 0,1371 0,0851 25—30 0,0565 0,0397 0,0161 0,0490 30—35 0,0000 — 0,0179 0,0323 0,0249 35— 09 0,0000 0,0108 0,0000 0,0184 Kilom. pro Stunde. 0— 5 5—10 10—15 15—20 20—25 25—30 30—35 35— co 1886. Juli, 0— 5 5—10 10—15 15—20 20—25 25—30 30—35 35— со 0— 5 5—10 10—15 15—20 20—25 25—30 80—55 835 —со ÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. 85 Differenzen: Beobachtete — Theoretische Wahrscheinlichkeit. Beob.—Theor. Wahrsch. Diff. Beob.—Theor. Wahrsch. 0. =0,0605 Ур (1—p). —0,0507 0,0273 — 0,0142 0,0267 —0,0639 0,0262 —0,1161 — 0,0256 +0,0079 0,0238 0,0375 — 0,0236 +0,1207 0,0203 + 0,0747 0,0207 00120 0,0162 0,0520 — 0,0169 0,0168 0,0118 —0,0391 — 0,0131 —0,0179 0,0080 0,0074 — 0,0094 *_0,0108 — 0,0062 — 0,0184 — 0,0081 Tafel IX. die Stunden 7" p. m. bis 10" p. m. Mit Correction für die Tagesperiode. Zahl der Beob- achtungen 31 xX4= 124. Wahrscheinlichkeit der Wind-Componenten. = = Beobacht. Theoret. Beobacht. Theoret. 0,3468 0,4115 0,2894 0,3250 0,3952 0,3092 \ 0,2258 0,2732 01129, 201747 0,2339 0,1933 0,1452 0,0741 0,1613 0,1149 0,0000 — 0,0237 0,0565 — 0,0576 0,0000 — 0,0057 0,0242 — 0,0241 0,0000 — 0,0009 0,0000 0,0085 0,0000 — 0,0002 0,0000 — 0,0034 Differenzen: Beobachtete — Theoretische Wahrscheinlichkeit. Beob.—Theor. Wahrsch. Diff. Beob.—Theor. Wahrsch. Diff.—0,0605 Ур (1—p). —0,0648 0,0298 — 0,0266 0,0283 + 0,0860 — 0,0280 —0,0474 — 0,0270 — 0,0618 — 0,0230 +0,0406 — 0,0239 + 0,0711 0,0159 — + 0,0464 0,0193 0,0237 — 0,0092 —0,0011 0,0141 —0,0057 — 0,0046 0,0001 — 0,0093 —0,0009 — 0,0013 — 0,0085 — 0,0056 —0,0002 — 0,0009 —0,0034 — 0,0035 86 А. GADOLIN, Quadratsummen und Constanten. Tafel VII. Juli 1886. Gruppen zu 4 Stunden. Corrigirt für die tägliche Periode des mitfleren Windes nach den Mitteln vom Juli allein. м ZE? In? > (+1)? Y в = Uo 20 ДЕ 11“. m. 5030.8 63525 "08987 +1,30 12% Tag 5806,1 74921 9059,2 р ОЗ 1’ р.ш. 6245,9 68700 8480,6 —0,40 2" p.m. 6258,0 6150,4 8766,0 —1,43 > — 23340,8 27347,0 35699,5 127°31 533,9 283,7 +0,41 —4,31 3" p.m. 64391 66614 8099.6 + 0,47 A" р.ш. 5597,1 6988,0 7747,4 +0,27 5 р.ш. 6146,6 6626,2 76203 — 0,15 6'р.ш. 5303,2 5476,9 6299,6 0.08 3 = 23486,0 25751,8 29759,9 131°41 555,2 238,9 +1,59 —4,65 Tp.m. 33958 5436,3 5128,9 D —0,86 8 р.ш. 24783 47665 4413,2 Dpt) 9° р.ш. 24489 36948 3942,3 +0,40 10° p.m. 23363 37410 3610,7 | +0,85 > = 10589,3 17638,6 17095,1 118°50° 333,9 121,4 +1,65 —2,44 1l!p.m. 2763,6 4122,8 3409,1 —1,05 12" Nachts 2980,9 4242,3 3473,4 —0,23 l'a.m. 2841,4 4177,8 3606,3 +-0,40 2: a.m. 95049 45420 4196,6 | о. > = 11090,8 17084,9 14615,4 123° 7’ 346,8 107,7 —0,11 —2,07 ° 3 а.ш. 2647,3 3926,0 4190,2 У 2013 = - 4" а.ш. 30895 39626 4779,5 +0,07 5'a.m. 2894,4 4018,3 4966,7 +0,05 - 6" a.m. 2407,9 3863,1 4966,1 a —0,04 + > = 11039,1 15770,0 18902,5 119°33 290,5 180,7 —1,28 —1,85 NENNEN ZE? En? T'a.m. 2383,0 3981,3 Ваш. 3386,1 4622.0 Аа: 43517 5127.0 10° а. ш. 4721,6 54292 2 = 148494 19159,5 + —10'p.m. 10589,3 17638,6 .— аш. 11090,8 17084,9 1.— 6*a.m. 11039,1 15770,0 —10"a.m. 14842,4 19159,5 > = 47561,6 69653,0 SE? 7 pm. 3327,5 8" p.m. 2476,4 9 р.ш 2499,6 10" p.m. 2366,1 1 р.ш. 2736,8 12" Nachts. 2989,0 Раш 2911,0 am. 2536,8 am. 2667,5 Aa м. 3102,3 5 а.ш. 2883,1 6" а. т. 2422,2 йа. №. 2390,5 _ За. ш. 3386,8 9 а.ш — 4140,9 10° а.ш. — 4726,4 $ = 475629 Juli 1886. Nach den Mitteln von Juni, Juli, August. 3 (Е) 4714,0 6305,4 6620,9 7157,2 24797,5 Die 4 letzten Gruppen: 17095,1 14615,4 18902,5 24797,5 75410,5 121° 4’ 331,6 141,0. Tafel XTLI. Zn? 5680,0 4899,4 3877,1 4118,7 5109,1 4751,4 4476,2 4881,2 4198,3 4335,4 4276,9 4313,2 4973,4 4867,7 53217 5574,8 74954,5 3 (En) 5405,9 4438,7 4172,8 3981,2 4493,4 3841,7 3592,2 4278,0 4312,6 5025,1 5329,3 5268,9 4904,2 6532,9 6859,3 7240,9 79607,1 Y 118°44’ UÜEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. ug 122226 856,3 192,2 — 1,45 349,6 Wo 144,4. 87 AË +0,20 +-0,13 —0,10 —0,27 An —0,95 —0,47 +0,18 —0,92 88 А. GADOLIN, Verdeichug der Zahl der beobachteten Componenten mit der theoretischen Zahl, Tafel X. 1886. Juli, die Stunden 11” р. m. bis 2" a. m. Mit Correction für die Tagesperiode. Zahl der Beob- achtungen 31 x4=124, Wahrscheinlichkeit der Wind-Componenten. т о Beobacht. Theoret. Beobacht. Theoret. Da, 0,2500 0,4028 0,3628 0,3296 Je) 0,3871 0,3069 0,2500 0,2762 10—15 0,2500 — 0,1775 0,1371 0,1981 15—20 0,1129 0,0782 0,1532 0,1128 20—25 0,0000 — 0,0263 0,0887 0,0552 25—30 0,0000 — 0,0068 0,0000 — 0,0295 30—35 0,0000 — 0,0013 0,0081 — 0,0077 35— со 0,0000 — 0,0002 0,0000 — 0,0029 Differenzen: Beobachtete — Theoretische Wahrscheinlichkeit. Beob.—Theor. Wahrsch. Diff. Beob.—Theor. Wahrsch.—Diff.=0,0605 Ур (1—2). ИОВ 1005 0,0333 0,0285 5—10 + 0,0802 0,0279 — 0,0262 0,0270 10—15 —+0.07955 0,0931 —0,0560 — 0,0238 15 90. 40,0347 00169 0,0404 — 0,0191 20—25 —0,0263 0,0095 +0,0335 0,0138 25—30 — 0,0068 0,0050 —0,0225 0,0089 30—35 —0,0013 0,0022 —0,0004 0,0053 35-00 —0,0002 00,0009 —0,0029 0,0032 | Tafel XI. 1886. Juli, die Stunden 7° p. m. bis 10" a. м. Corrigirt für die Tagesperiode. Zahl der Beobach- tungen 31 X 16 = 496. Wahrscheinlichkeit der Wind-Componenten. a N nn un ern а Beobacht. Theoret. | Beobacht. Theoret. 0— 5 0,3145 0,3904 0,3206 0,3270 5—10 0,3629 . 0,3024 0,2641 0,2743 10—15 0,1855 0,1816 0,1613 0,1932 In 200: 0,1189 0,0845 0,1633 0,1141 20—25 0,0161 0,0304 0,0726 0,0565 25—30 0,0020 0,0085 0,0161 0,0236 30—35 0,0000 0,0018 0,0020 0,0081 35— со 0,0000 0,0004 0,0000 — 0,0032 Kilom. pro Stunde. 0—5 5—10 | 10-15 в - 15—20 Be: 20—25 Е 25—30 30—35 95-— со | 1886. Juli, ЧИ de Gr de END N a dns. à 0— 5 5—10 10—15 15—20 20—25 9550 30—35 35 — со UEBER DAS GESETZ DER VERÄNDERLICHKEIT DER WINDE. Differenzen: Beobachtete — Theoretische Wahrscheinlichkeit. Beob.—Theor. — 0,0759 +0,0605 +0,0039 -+0,0344 — 0,0143 — 0,0065 —0,0018 — 0,0004 Wahrsch. Diff. , 0,0148 0,0139 0,0117 0,0084 0,0052 0,0028 0,0013 0,0006 Tafel Beob.— Theor. — 0,0064 — 0,0102 — 0,0319 + 0,0492 = 0,0161 — 0,0075 — 0,0061 —0,0032 XIII. Wahrsch. Diff. —0,0303 Ур (1-p). 0,0142 0,0135 0,0120 0,0096 0,0070 0,0046 0,0027 0,0017 die Stunden 7" р. т. bis 10" а. m. Anders corrigirt für die Tagesperiode. Zahl der Beot- achtungen 31 X 16 = 496. Wahrscheinlichkeit der Wind-Componenten. : Beobachtete — Theoretische Wahrscheinlichkeit. Е НЕ Вет 0,3226 0,3903 0,3558 0,3024 0,1825 — 0,1816 0,1208 — 0,0845 0,0161 0,0305 0,0020 0,0085 0,0000 — 0,0018 0,0000 0,0004 Differenzen Beob.—Theor. Wahrsch. Diff, —0,0677. 0,0148 +0,0534 — 0,0139 +0,0009 0,0117 0,0363 0,0084 — 0,0144 — 0,0052 —0,0065 — 0,0028 —0,0018 — 0,0013 — 0,0004 — 0,0006 N Beovact Tre 0,3175 0,3158 0,2692 0,2682 0,1552 0,1936 0,1452 0,1186 0,0706 0,0618 0,0403 0,0273 0,0000 0,0103 0,0020 0,0044 Beob.—Theor. +0,0017 + 0,0010. — 0,0384 + 0,0266 + 0,0088 +0,0130 — 0,0103 — 0,0024 ——— ФА оо _ Mémoires de `Аса4. Imp. 4. sc. VII Serie. Wahrsch. Diff. —0,0303 Ур (1—p). 0,0141 0,0131 0,0120 0,0098 0,0073 0,0049 0,0031 0,0020 À 2 Mer MER = Mi г Nr Е 5 = ; Cher > x rn : er 5 Er = < 5 TE te = 2% ra т 6} в DRUCKFEHLER. Seite: Zeile: Steht: Lies: ‘ DO 2 1222 8 15 №. 0. En N A ad T T Miyotre AA 9 19 v. o. о Е QE т T | 13 13 v. u. die Grôsse und Lage der Quantitäten die Grôssen = und Е und die Lage 1 HE а und тт der Zerstreuungsaxen 21 2 vo. 291 km. : 2,91 km. 25 15 v. o. 1886, genügend 1886, nicht genügend ; » 16 у. о. Eine solche Uebereinstimmung findet Eine Uebereinstimmung findet auch 26 2 у. о. 9762 9672 ; » 2 у. о. 0,0372 0,0375 28 2 т. и. Geraden Gerade 54 10 v. о. sin off zdx' ху’ sin 6 ff zdx! dy! 70 15 v.u. У ® PL 2 т. о. У v 5 » 5 у. о. У 2 vo - » Э-у. 0: 7 v . 72. 3 v.o. У v » 5 у. о. y v » 7 у. о. У 2 v » 15 у. о. 7 v » 10 v. u. ый v —— O0 700 = CO +00 x 73 3 v. 0. | ] | +00 +00 ne —co 5 = - 44 р ; 78 $ у. о. in der vorletzten Colonne “4 dB Fig. XII oT oT’ N à Fis.I. N Abeissen Moasstab: 1Ат- pro Stunde ist 477 Ordinaten Maasstab : д = 8077 — 10 —8 —6 —4 =2 0 2 4 6 8 20 STUNDEN MITTEL FÜR DIE 8 WÄRMEREN MONATE 1886. > SP Fis.l. a A т NET: us LP | gr LS О ЕВ | LE а ap ar + _ .2P PR Lo: =—— — — === | El .ЗР 4 | 0,5 ae en = ‚pa | | | я | | ом | я Е 10Р 114 0,5! I а 2 En EEE | ‘11P 10% 94а ge 12" 2 —1,0 1 — | — Е -. | se 16 ET gu „ба | Dre -L5 + У il + ee | IL [| —— L —+ 5 — 2,5 — 2,0 —1,5 —10 —05 0 0,5 10 1,5 20 Maasstab: 1% pro Stunde ist 3077". НАРГОГР ЗАВ А НЛЬННА СПБ. STUNDEN - MITTEL FÜR JUNI, JULI, AUGUST 1886. ур СРР АВ 2 24430 pm o7n ig IT. ‚5 gr | 57 М | GP QP RE ЕЕ zu o2P + | „ЭР °2P ie 5 = | | 27 SP 10 - Sr += 4 =} = o/p МОР b о 1P ДР 05 oh 30 pm gd y2d See 1 ir fr Syzn YF #12" 30 um — fo) = Ar Ai °11T „200 m 15 — ge RE | бра | LUS am a7 ; N za Fr Su ar = ll 8 Al | | | 9 20/5 -2,0 15 -10 -0,5 о 6,5 1,0 15 2,5 Maasstab: 1F"-pro Stunde ist 30777. DIE LAGE DER ZERSTREUUNGS-AXEN UND DIE GRÖSSEN Be UND +. FÜR VERSCHIEDENE STUNDEN IN JULI 1886. , N ' Fis.W. Е Mausstab für £, und 2, гота gmm. 2 Series ЕЙ 7 A ВЕЕРА Е 7 са 4 о Re S D 4 À el = х I | STUNDEN-MITTEL VON JULI NACH 15 JAHRIGEN BEOBACHTUNGEN BERECHNET VON ROSENTHAL UND ZERSTREUUNGS ELLIPSEN FÜR DIE WAHRSCHEINLICHKEIT 140. 5 % f P Ai MI 1 К VE р . ` г. n ar | Л 7 ls : Se д “ ER N й n р se à ae У x 5 "Br > x 4 и D * Е Pa , с й y : f 2 | . n % az 2 “ | « оно АИ ae Re веры re à “lei Noir dan m Au . ая ar nme 9 oma rs MI MEN AP ORNE du me es ya re: \ x N 1 : } , h 3; À eins re 5 « - “ . Li р ” Li 3 * mn г Sur ` .“ ы ’ - - . + В м“ + < y 3 ь E : É à À s z у NY * 1) A) à и Е | ы he Е ï ` “re B = и LE м ù = wie ы x у + x ` я Аа 5 r “ х « ` ge” | » R sh | р COUT r + : Li " 5 B | 5 s B CE , . u ` у s 0 ... = 1 < 4 = ö in ı - PAU 2 ` cn \ я “ . L о Mi ‚ ’ , я . «5 4 x я £ р Ir e ` H * « CAM, : : pi R D Ci О 3 ` CA = 5 x = “ О 5 na va | мот ь и ; AT, ы \ de PET 5 Е > $ . , 1 B у : . ; «1 ; : . р | ” ER ; : è R , р ь LE й :. у . й STUNDEN-MITTEL IM SOMMER NACH 15 JÄHRIGEN BEOBACHTUNGEN BERECHNET VON ROSENTHAL. u -6Р Fig. VE. 2,0 ] er T N —== НЫ te «190 “bol: te 10% = 54 a m "Ta ge ça za +27 ie a = 1m Е — Le $ | je ] - 3,0 -2,5 -2,0 5 -1,0 -6,5 0 05 16 15 ° 2,0 ’ Maasstab: Ik pro Stunde ist JOmm ZERSTREUUNGS ELLIPSEN FÜR JANUAR 1886. N Fis. VII. 1 2 4 6 7 2 В 10 ЕЙот pro Stunde в Кор AN S КАРТОГР ЗАВ A МЛЬИНА CNE. > x STUNDEN-MITTEL FÜR DEN WINTER NACH 15 JÄHRIGEN BEOBACHTUNGEN BERECHNET VON ROSENTHAL, MIT DEN ZERSTREUUNGS ELLIPSEN FÜR DIE WAHRSCHEINLICHKEIT 1/40. | Fig.VH. | 5 то ‹ 4,5 ‚д —2,5 -2,0 -1,5 -10 -05 -9 7,5 Maasstab: 127 pro Stunde ist 3072? HAPTOTP.3A5 A МЛЬИНА СЛЬ. О SE TG ER Are nee Е п - Ta ra + D И BE Аа A Ил, LE Од АА О о, KANN Le hier 1 Ч и t | ; 1 т ” ar у 3 I A . | ь 5 à в | Si ns ‘ à , Г = j we à \ Л р $ 5 j A nm + ,» CE : у | | В 4 : Da ut | : | | | À a | х ” 1 х Ча EL" 1 x + = й b ns us. Я “ % né р в ee | Sn |" | р | Pat des FE PAR METRE ; яз 3 à С: ; 5 .. Е u 3 " : Я + j b ги | к А à aus + ; ur AR 3 en ; LA ; а = я г. Ти" . u 7 x ; у FRS м À Е A ! + hr t. ! мл Е | Е sg EN AUS auge : : имя _ р e ” ZERSTREUUNGS ELLIPSEN FÜR JULI 1886. N . Fig.IX. W KP 3 3 à 5 à | & Filom. pro an р | > / = ей” 5 JANUAR 1886. И pie. XL. DOLLARS LES Maasstad: Jar pro Stunde ist 3 mm FiS.X. N NAPTOTP.3Ab А HAbHHA CNE. wa © 252 OPUS O4 нуу -IRISSDDN? ig ae NE, en Lo == A em — ip See ern = Dee LS mn EN I SIRTIETDEIENZ, % N \ N N N NX а = u N 9 nn IX Sta Da wer, 20 7 NN 9 2 _ у > \ “il 8 \ и N ET, Te (72 и "6881 ЧУПМУГ ИЕ MÉMOIRES L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VIF SÉRIE. Томе ХХХУЙ, № 11. AZ В Velss D'HISTOGÉNIE VÉGÉTALE, Développement des Tissus dans les organes véuétatifs des Cryptogames Vasculaires. PAR ‚ М. Georges Poirault. (Avec 5 planches.) (Lu le 28 Avril 1887.) — ©0805 7 @ _ Sr.-PÉTERSBOURG, 1890. | Ÿ Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences: г à St-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: MM. Eggers et Ci® et J. Glasounof; M. N. Kymme]; Voss’ Sortiment (G. Haessel). Prix: 1 Rbl. 30 Kop. = 3 Mrk. 25 Pf. IR ее. к PRATER TE у PERS. к Jak "7 ее Her EE ия # MÉMOIRES L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VIF SERIE. Tone XXXVI, N° 11. ое ИО DHISTOGENIE VEGETALE Développement des Tissus dans les organes végétatits des Cryptogames Vasculaires. PAR M. Georges Poirault. (Avec 5 planches.) (Lu le 28 Avril 1887.) —0}% 0e — St.-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.-Petersbourg: à Riga: MM. Eggers et Ci® et J. Glasounof; à Leipzig: М. М. Kymmel; Voss’ Sortiment (G. Наеззе]). Prix: 1 ВЫ. 30 Кор. = 3 Мик. 25 Pf. pe Imprimé, par ordre de Académie Im periale des sciences. Mai 1890. и trauc Imprimerie de l’Académie Impé iale des sciences. _ (Vass.-Ostr., 9 mi № 12.) ; CHAPITRE 1. La Racine. я > Tougeres et Marsilia. — B. Dane es ANZ OLA о: pie Pl 4 Е СНАРТТВЕ П. La Tige. CHAPITRE Ш. La feuille. Mate — Azolla. — м О ВЕТРОВ ИХ Les travaux de M. M. Hofmeister et Nägeli nous ont appris que la racine, la tige et la feuille de la plupart des Cryptogames vasculaires s’edifient par les cloisonnements successifs d’une seule cellule occupant le sommet du membre. Cette cellule se divise d’abord en deux parties inégales. La plus grande s’accroit jusqu’à ce quelle ait atteint le volume de la cellule primitive qui se trouve ainsi reformée; après quoi elle se divise de nouveau pour recommencer ensuite à s’accroitre, le même phénomène зе répétant régulièrement durant tout le cours de la période végétative. Les choses se passent donc comme si la cellule initiale restait toujours la même et quand on parle de cellule mère, de cellule initiale, il est évident que celle-ci n’est que la cellule fille de la cellule initiale précédente. La plus petite n’est qu’un fragment, ou comme on dit un segment découpé sur le côté de la cellule initiale. Ce segment qui a la forme d’un demi-disque ou d’un secteur cylindrique se dédouble à son tour en deux cellules qui se diviseront ensuite elles-mêmes et ces bipartitions répétées transformeront le segment en un massif de cellules à parois minces, à protoplasma très actif, au dépens desquelles se constitueront les différents tissus du membre. Ce sera le méristème primilif. Ainsi la tige, la racine, ou la feuille se trouvent formées par des éléments primi- tivement semblables empilés les uns sur les autres en deux ou trois séries verticales selon la forme de la cellule mère. Tantôt en effet cette cellule se divise par une cloison oblique à l’axe de croissance et dirigée alternativement dans deux directions opposées, de façon à produire deux séries de segments engrenés en zigzags. C’est ce qu’on observe dans les tiges de 2’Azolla et du Salvinia et dans toutes les feuilles des Fougères. Ailleurs la cellule initiale se divise suivant #703 directions. Dans la tige des Equisetum par exemple cette cellule а la forme d’un segment de sphère ou d’un tétraèdre à base convexe tournée vers la sommet de le tige. Cette cellule détache tour à tour parallèlement Mémoires de l'Acad, Imp. d, sc. VII Série. 1 2 GEORGES POIRAULT, à chacune de ses faces planes des segments qui par leur empilement en trois séries constitueront le corps de la tige. Enfin dans les racines de la plupart des Cryptogames vasculaires les cloisonnements de la cellule initiale atteignent leur maximum de complication. — Une pareille cellule ala même forme que dans le cas précédent seulement après trois divisions parallèles aux faces planes il s’en fait encore normalement une quatrième parallèle à la face convexe et les segments ainsi détachés seront l’origine de la сое. Nous voyons ici les cloisonnements s’effectuer suivant quatre directions; la cellule initiale n’est plus terminale comme dans les deux premiers cas où elle était toujours extérieure au méristème qu’elle produisait; elle est de tous côtés entourée par ce méristème. L’analogie de ces procédés d’edification des différents membres de la plante dans les Cryptogames vasculaires devait engager à comparer la marche des cloisonnements dans les segments détachés de la cellule initiale. On devait se demander si chaque segment découpé dans une cellule bifaciale possédait un mode de cloisonnement particulier, et en quoi ce cloisonnement differait de celui d’un segment de cellule tétraèdrique; si étant donné le cas où la tige et la feuille sont pourvues d’une cellule bifaciale, il y avait une différence dans le mode de cloisonnement et quelle elle était. La même question se posait pour le cas où la racine et la tige croissent toutes les deux par une cellule tétraèdrique. C’est en réponse à ces différentes questions que j’ai entrepris ce travail. Les mémoires de М. М. Cramer!) et Reess?) sur le développement de la tige de l’Equisetum, ceux de M. Pringsheim) sur le Suvinia natans, de M. Hanstein “) sur le Marsilia, de M. Strass- burger?) sur !’Azolla, de M. Kny‘°) sur le Ceratopteris, de М. M. Nägeli et Leitgeb’) sur le développement de la racine des Cryptogames vasculaires me fournissaient beaucoup d’éléments pour cette comparaison essayée par M. de Bary dans les premières pages de son Traité d'anatomie comparée®). La question de la direction des premiers cloisonnements me paraissait assez importante pour être examinée de près. Les recherches précédentes nous amenaient à conclure que dans le Salvinia et l’Azolla par exemple les premiers cloisonne- ments du segment présentaient des différences notables. M. Pringsheim déclarait que la première cloison était transversale dans le Salvinia tandisque M. Strassburger trouvait dans 2’ Azolla une première cloison longitudinale. J’ai voulu m’assurer d’une façon positive de la direction des premiers cloisonnements en général et de la première cloison en particulier. Le second point que je me proposais d'examiner était relatif à l’origine des tissus. Il me 1) Ueber Equisetum in Nägeli u. Cramer Pflanzen- physiol. Unters. 3. Heft, р. 21. 2) Reess— Entwickelungsgeschichte der te von Æquisetum (Jahrb. f. wiss. Bot. 1867. VI. 209). 3) Pringsheim — Zur Morphologie der Salvinia natans (Jahrb. f. wiss. Bot. III. 1863). 4) Haustein — Befruchtung und Entwickelung der Gattung Marsilia (Jahrb. f. wiss. Bot. IV. 1865). 5) Strassburger — Ueber Azolla. Jena 1873. 6) Kny— Entwickel. der Parkeriaceen Arne der Kön. Leop. Acad. (1875), T. 37. 7) Nägeli und Leitgeb — Beiträge zur wiss. Bo- tanik. IV. Heft. 1868, p. 73. 8) de Bary — Vergl. Anatomie, p. 18. — Van Tieghem traité de Botanique, p. 614, RECHERCHES D’HISTOGENIE VEGETALE. 3 paraissait intéressant de comparer dans les différents membres d’une même plante le mode d'individualisation des cellules qui par leurs cloisonnements ultérieurs donneront naissance aux tissus définitifs et pour cela je n’avais qu’à suivre le développement de segments un peu plus âgés. Peu de questions ont été Г objet de discussions plus vives, de travaux plus minutieux que celle de l’origine des tissus. Dans le cas qui nous occupe y avait-il une cellule initiale pour chaque région anatomique de la tige, de la racine et de la feuille ou bien le même tissu pouvait il-provenir de deux groupes originairement distincts? D’un autre côté cette division cellulaire s’effectuait-elle suivant des lois parfaitement fixes ou bien comme опа tendance à le croire aujourd’hui n’y avait-il que peu d’importance à attacher à un cloisonnement très variable dans sa-marche? En admettant même qu’il y ait à un certain moment des variations assez grandes dans le cloisonnement, n’y avait-il pas quelques stades fixes? C’est ce que je me suis proposé de rechercher: et les résultats obtenus ont été contrôlés assez souvent ; ils se relient entre eux — surtout en ce qui concerne le cas du développement par une cellule initiale à deux faces — par des liens assez étroits, pour que je croie pouvoir en affirmer la généralité. Sans- doute comme je viens de le dire cette étude n’avait pour objet que les premicrs développements; si dans quelques cas je l’ai pousssée jusqu’à un stade assez avancé c’est que j'avais l’occasion de compléter certaines observations antérieures; ainsi ce travail devient en réalité une Monographie anatomique et histogénique de quelques Cryptogames vasculaires et se relie au beau mémoire de M. Russow!). Chaque segmgnt détaché de la cellue terminale d’une tige donne naissance à une partie de la tige et aussi dans la plupart des cas à une feuille — je ne me suis occupé dans ce mémoire que de l’étude des premiers cloisonnements et de l’origine des tissus laissant de côté la relation des feuilles avec les segments, qui est une question absolument différente. Le présent mémoire comprend mes observations sur les Hydropteridées (Salvinia, Azolla, Marsilia) les Equisetacées et en ce qui concerne la racine les Fougères. Le manque de matériaux appropriés m’a empêché jusqu'ici de faire sur la tige et la feuille des fougères des recherches aussi complètes que je les aurais désirées — j'espère pouvoir prochainement combler cette lacune. : | Ce travail a été fait au laboratoire de Botanique de l’université de St.-Pétersbourg où j'ai trouvé près de M. le Professeur А. Famintzin un si sympathique accueil. Je prie ce savant botaniste d’agréer l'expression de ma vive reconnaissance pour ses précieux conseils et pour l'intérêt si bienveillant qu’il m’a témoigné — je suis heureux de pouvoir également remercier M. Krutitzki, assistant au laboratoire. Je ne présenterai pas d’historique d'ensemble de la question qui nous occupe; c’est à ma connaissance la première fois qu’elle est posée dans toute sa généralité. А propos de 1) Russow — Vergleich. Untersuch. betreffend die | P’Acad. Гир. des sciences de St, Pétersbourg. 1872). Histiologie der Leitbündel-Kryptogamen (Mémoires de | 1* 4 GEORGES POIRAULT. chacune des plantes dont nous étudierons le développement je résumerai les travaux antérieurs avant d'exposer mes résultats personnels. Je rappelerai ici certains détails techniques qui m’ont été d’un grand secours dans le cours de ces recherches. Toutes les fois que les conditions l’ont permis j’ai étudié des coupes longitudinales et transversales: dans les autres cas j’ai eu recours à des «extrémités de racines de tiges ou à de jeunes feuilles rendues transparentes par des procédés chimiques au nombre desquels le suivant m’a donné les meilleurs résultats. On coupe l’extrémité en voie de croissance à une certaine distance du point végétatif et après l'avoir laissée un certain temps dans l’alcool on l’abandonne pendant 12 ou 14 heures dans une dissolution de potasse au '/,. On lave à l’eau distillée et on laisse séjourner plusieurs heures dans l’acide acétique glacial. La préparation est alors devenue tout à fait transparente. On lave à l’eau pour enlever toute trace d’acide acétique et on monte dans la glycérine étendue. Si le lavage à l’eau n’a pas été suffisant les préparations devienent brunes alors que dans le cas contraire elles conservent leur transparence. Il faut avoir soin d’interposer entre la lame et le couvre-objet de petites cales de verre qui empêcheront l’écrasement de la préparation et permettront en déplaçant le couvre-objet de la faire rouler et de l’étudier sous toutes les faces. S'il s’agit d’une tige (Salvinia, Azolla, Marsilia) on devra séparer le sommet sous le microscope à dissection et enlever les jeunes feuilles qui le recouvrent. Dans ces derniers cas l’acide acétique seul ou l’hypochlorite de chaux m’ont donné de bons résultats: toutefois à ces méthodes plus rapides je préfère la première. Si l’objet était trop transparent on ajouterait avec succès de l’alun ou de lalcool comme le recommande en pareil cas M. Strassburger. . CHAPITRE I. La Racine, M. М. Nägeli et Leitgeb dans leur mémoire classique!) ont établi que dans les plantes qui nous occupent la cellule mère de la racine а la forme d’un tétraèdre à base convexe. Cette cellule détache parallèlement à ses faces planes des segments qui formeront le corps de la racine, J’ai rappelé plus haut comment se formait la coiffe. On sait que chaque calotte se divise tout d’abord par deux cloisons axiales rectangulaires en 4 cellules disposées en croix, que dans deux calottes successives les croix alternent à 45° et que dans chaque quadrant apparait bientôt une cloison courbe. Il suffit de comparer le 1) 1.с., р. 74, CES ST RS OEM TE EC ИР Per SE PI EU ER A NT PSE en Er PET « ie рр а < RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. | 5 développement de la coiffe de l’Equisetum hyemale figuré par М. Nägeli (1. c., Pl. XII, fig. 5) avec le développement de la tige du Salvinia natans que je figure ici même PI. IT, fig. 9, ou de 2’ Azolla (PI. V, fig. 42) pour être frappé de l’analogie du développement dans les deux cas. La coiffe est un méristème qui n’a qu’une valeur physiologique, et qui ne subira jamais de transformations. Elle suit dans son développement les lois générales de formations des méristèmes dépendant manifestement, comme tout ce travail le démontrera, de la forme de la cellule au dépens de laquelle ce méristème ce constitue et non du tissu qu’il s’agit de produire. Le segment détaché de la cellule initiale parallèlement aux faces planes a la forme d’une table triangulaire et vu d’en haut occupe le tiers de la section transversale optique ; d’abord oblique sur l’axe de la racine la prédominance de croissance dans la région centrale l'amène bientôt à se placer transversalement. 1°) Ce segment se divise par une cloison courbe en deux cellules inégales dont l’une (cellule quadrangulaire) va jusqu’au centre de la section tandisque l’autre (cellule tri- angulaire) n’y atteint pas (fig. 18°° et 18°” 0,0). Cette cloison est la Sextantenwand de M. Nägeli, la cloison radiale de M. de Bary et de M. Van Tieghem!). 2°) Chacune des cellules ainsi formées se divise en deux par une cloison parallèle à la surface, Nous avons alors sur la section transversale douze cellules: 6 externes et 6 internes ; d’après M. Nägeli les premières donneraient l’écorce et l’assise pilifère, les secondes le cy- lindre central. Dans les racines que j’ai examinées j’ai toujours vu que les cellules externes donnaient naissance à l’assise pilifere et à l’assise subéreuse, les cellules internes repré- sentant l’initiale non encore divisée de l’écorce interne et du cylindre central — cette seconde cloison parallèle à la surface sera pour nous la cloison 'corticale. Elle est marquée 1 sur les Be 3 РТ. — 3°) C’est alors que la grande cellule interne se divise de nouveau ?) et que le segment nous apparait partagé en 3 initiales: l’externe pour l’assise pilifère et de l’assise subéreuse, la moyenne pour la zone corticale interne, l’interne pour le cylindre central. | Nous appellerons cette cloison (Cambiumwand de M. Nägeli) cloison pericyclique. Ainsi — et voilà la différence la plus notable entre mes observations et celle de M. Nägeli: je n’ai jamais vu le segment divisé d’abord en deux initiales l’une pour l’écorce l’autre pour le cylindre central — à partir de ce stade l’ordre précis du cloisonnement ne me parait pouvoir être fixé avec certitude: l’initiale externe se dédouble de très bonne heure et les cloisonnements s’effectuent rapidement dans la cellule moyenne et dans l’initiale du cylindre central. Suivons le développement de la cellule moyenne. D'après M. Nägeli elle se di- viserait en deux autres : l’une, dont le cloisonnement centrifuge produirait la zone externe, l’autre donnant naissance par un cloisonnement centripète à la zone interne et finalement à 1) Traité de Botanique, p. 700. Je ne conserve pas | par le centre. cette dénomination car, cette cloison est manifestement 2) Par la cloison marquée 2 sur les fig. 1,2, 3, PI. I. courbe et son caractère est précisément. de ne pas passer Ar AN DR CNRS MESA NE ЩЕ 27-9 5 ЕСА Mer AE % 6 , GEORGES POIRAULT. l’endoderme. Les fig. 3 et 7, Pl. XV, du mémoire précédemment cité confirment cette manière de voirexacte sans doute pour les racines épaisses, mais qui n’est certainement qu’une exception rare pour les racines plus grèles. Dans les cas que j'ai examinés (Blechnum: bra- siliense, Aspidium violacens etc.) la cellule moyenne se divise en deux parties très inégales, l’interne plus petite qui ne se dédoublera plus est l’endoderme; la plus grande qui par deux ou trois dédoublements donnera l’écorce interne. Dans certains cas les cellules rhizogènes se développent dans l’endoderme très près du sommet. La fig. 5 montre leur formation dans le Marsilia. On voit le XI segment déjà divisé par une cloison transversale en deux étages superposés. Dans l’endoderme les divisions sont beaucoup plus rapides que dans le tissu adjacent et quelques cellules se font bientôt remarquer par leur grosseur; ce sont les cellules rhizogènes alternant avec les cellules stériles. En même temps que l’endoderme s’individualise d’un côté de la cloison pericyclique, le pericycle se montre de l’autre côté ; ces deux couches prendront des cloisons radiales et croitront si également d’abord que à voir une coupe transversale de la racine au début de la formation des faisceaux ligneux pri- maires ou un peu avant on croirait que pericycle et endoderme proviennent du dédoublement d’une seule cellule. On sait que très souvent les cellules du pericycle se dédoublent par une cloison tangentielle. | Ainsi tout d’abord le cylindre central détache une assise externe qui est le pericyele. Tout le reste du cylindre central sera formé par la partie interne des segments située en dedans de cette couche (Pl. Ш, fig. 18°). L'examen seul de cette figure empruntée à M. Nägeli, car mes observations concordent absolument avec les siennes, rend compte du mécanisme de cette formation. Les cellules quadrangulaires et les cellules triangulaires ont un mode de division différent ; on voit que dans le segment en haut à gauche la cloison 4 détache dans la cellule quadrangulaire une petite cellule centrale qui formera une partie de la moelle; puis qu’une cloison radiale 5 divise la cellule externe en deux qui chacune de leur côté se comporteront comme la cellule primitive et donneront une petite cellule intérieure et deux cellules externes, etc. C’est ainsi que se constitue une partie du méristème origine des faisceaux libériens et ligneux et du parenchyme interposé. Les cellules triangulaires for- meront le reste de ce méristème par un cloisonnement différent. Comme une cellule termi- nale à deux faces elles prendront deux séries de segments alternes dans lesquels les divisions secondaires seront très actives. Ainsi la moelle se trouvera entourée par un anneau de méristème formé de 6 parties distinctes obtenues par deux procédés différents. Ce méristème se transforme peu à peu en tissu définitif donnant d’abord les faisceaux libériens, puis les faisceaux ligneux, mais il est impossible d’assigner une origine fixe à un groupe ou à l’autre. La racine des Fougères est toujours formée par trois séries de segments et le nombre des faisceaux qui s’y développe est des plus variables comme Ра montré М. Van Tieghem. | Оп sait que dans les Prêles le développement de la racine offre de notables différences. Ici la première cloisom sépare l'écorce du cylindre central; la seconde n’a pas la RECHERCHES D’HISTOGENIE VEGETALE. 7 même valeur que notre cloison corticale elle détache l’assise pilifere. Dans le IV’ segment (fig. 6, PI.) les trois initiales sont bien distinctes: assise pilifère, écorce et cylindre central. Là vraiment l’endoderme est le dernier terme d’un cloisonnement centripète et se dédouble comme on sait très près du sommet. Quant au cylindre central son développement s’effectue suivant la même loi que précédemment: mais il y a ici une différence essentielle, l’absence | de formation de pericycle. Les cellules centrales se segmentent comme la fig. 18" le représente pour donner naissance aux faisceaux comme précédement. On ne peut donc pas dire d’une façon absolue que le système conducteur ait ici une toute autre valeur que chez les Fougères et à plus forte raison qu’il derive du péricycle puisque cette couche ne s’est jamais formée. C’est à la place que devrait occuper le péricycle que se produit les premier vaisseau. On pourrait donc à la rigueur considérer celui-ci comme d’origine pericyclique mais tous les autres ont manifestement la même origine que dans les Fougères à l’exception du gros vaisseau central produit par la moelle. La racine de !’Azolla filiculoides étudiée par M. Strassburger !) présente une différence assez notable. | 1°) La premiere cloison n’est pas une cloison courbe mais bien une cloison corticale (Rindenwand) analogue de celle que nous avons rencontrée dans les Fougères et les Marsiliacées. Cette cloison atteint presque le milieu du segment. La cellule externe ainsi formée ne se divisera qu’une fois pour donner naissance à l’assise pilifère, et l’écorce externe ne sera représentée que par une couche de grosses cellules pourvues de chlorophylle (Strassburger I. с. PI. IV, fig. 66). 2°) La seconde cloison est une cloison courbe comme dans les cas précédents mais cette cloison n’entaillera pas tout le segment et s’arrêtera à la cloison corticale. En section transversale nous aurons alors comme M. Strassburger Га figuré (1. с., fig. 61), 6 cellules centrales provenant de la bipartition du segment par la cloison courbe et 9 cellules peri- phériques provenant de la tripartition de la bande détachée dans chaque segment par la cloison 1. Le nombre de ces cellules n’augmentera pas; les cellules grossiront beaucoup, mais il ne s’y fera jamais de divisions radiales. 3°) Les 6 cellules centrales se divisent encore une fois par une cloison marquée 2, fig. 5 pour donner l’écorce interne d’un côté et le cylindre central de l’autre. Une seconde division isolera l’endoderme. Ainsi le mode de développement de /’Azolla, à part la place de la cloison courbe, est moins différent de celui des autres racines que pouvait le croire M. Strassburger. Le fait que j'ai voulu mettre en lumière est qu’il n’y а jamais — sauf pour l’Equisetum — division primordiale du segment en deux initiales l’une pour l'écorce l’autre pour le cylindre central et que la première cloison parallèle à la surface isolera toujours l’écorce externe °). | 1) Strassbürger. Ueber Azolla, p. 47. | 2) Voir le dernier chapitre. 8 GEORGES POIRAULT. CHAPITRE IL. La Tige. 1°) La Tige croit par une cellule bifaciale. А. Salvinia. Je rappellerai d’abord brièvement la structure de la tige!). On y distingue un faisceau | libero-ligneux central entouré par une écorce lacuneuse, revêtue d’un épiderme pilifère. Cette écorce peut se diviser en deux parties: une externe constituée per : rayons cellulaires séparés par les lacunes, une interne qui comprend: a) une couche de grandes cellules dont les parois sont fortement épaissies; В) un endoderme entomant immédiatement le faisceau. Certaines cellules de cet endo- derme restent simples, d’autres se divisent, mais dans ce cas la couche externe est seule pourvue de taches de Caspary. 3 Le faisceau libero-ligneux est constitué par 7—8 tracheides disposées. en croissant au centre duquel se trouvent des éléments plus longs que ceux des extrémités. Ces tracheides sont spiralées ou annelées, leurs membranes fort délicates et leurs épaississements à peine visibles. Le Salvinia nous offre le type le plus avancé de dégradation des éléments ligneux dans une plante aquatique, avec prédominance du tissu criblé, mêlé sans ordre au paren- chyme qui entoure le faisceau: M. de Janczewski a montré que ces tubes criblés avec leurs globules brillants sont tout à fait analogues de ceux des autres Cryptogames Vasculaires. Développement. Dans la partie terminale la tige du Salvinia n’est pas droite mais légerement courbée vers le haut par suite d’une prédominance de croissance sur sa face inférieure. Dans la description qui va suivre je supposerai la tige placée dans sa position naturelle c’est à dire couchée; la face supérieure est celle qui porte les feuilles aériennes; la face inférieure celle qui porte les feuilles submergées. 1°) D’après M. Pringsheim le segment détaché de la cellule mère se diviserait d’abord par une cloison transversale en deux cellules, l’une antérieure, l’autre postérieure. J’ai toujours vu que le première cloison était longitudinale radiale (Pl. IL, fig. 8, 9,10) et par conséquent divisait la segment en une cellule supérieure et une cellule inférieure. 9) La seconde cloison est celle que M. Pringsheim désigne comme la première; elle divise le segment en une partie antérieure toujours plus grande et une partie postérieure plus petite (Pl. II, fig. 7). 1) Voir Janczewski, Ann. des sc. nat. 67° Série, | und bot. Museums zu Berlin. 1883. II. Т. XIV, р. 78. Potonie. Jahrb. а. Kgl. botan. Gartens du cylindre central. RECHERCHES D’HISTOGENIE VEGETALE. 9 3°) Examinée au niveau du troisième segment en section transversale optique la tige _ . présentera donc 4 cellules disposées en croix. Chacune d’elles se divisera d’abord par une cloison courbe (3) dont l’apparition est presque simultanée dans les deux parties d’un même segment (fig. 9). 4°) Bientôt on voit s’isoler au centre 4 cellules (fig. 10) qui forment la partie interne Si on examine la série des fig. 9, 10, 11, on verra très nettement que la moitié supérieure du segment se développe plus que la moitié inférieure, Dès la première division la symétrie bilatérale de la tige se trouve indiquée; et nous la voyons s’accentuer aux stades ultérieurs. | 5°) Les cellules periphériques (Pl. II, fig. 9) se divisent bientôt pour donner l’épiderme à l’exterieur et à l’intérieur l’initiale commune de l'écorce et du système conducteur. - 6°) D'ailleurs cette initiale ne tarde pas à se diviser elle-même en donnant extérieurement Ресогсе externe et intérieurement l’initiale de l’écorce interne (qui se dédoublera plus tard pour donner les grosses cellules, 5, dans la figure 13, et l’endoderme) —- et une initiale qui par un cloisonnement répété en direction centripète et radiale formera un méristème aux dépens duquel la plus grande partie du faisceau se constituera. Il est extrème- ment difficile de préciser l’ordre d'apparition des différents éléments anatomiques ; ce qui est certain c’est que des premiers différenciés se trouvent des cellules à membranes épaisses | et brillantes comme celles qui caractérisent le liber primaire de la tige de l’Æquisetum. Ainsi on voit que le cylindre central doit son origine à deux groupes de cellules, l’un interne différencié de très bonne heure, l’autre externe, méristème centripète formé ultérieure- ment. Ici la distinction en écorce et cylindre central n’est possible qu’à un stade assez avancé. Remarquons en outre que des le stade 5 chacun des 8 rayons de la plante adulte est indiqué et que le développement propre de chacun de ces octants peut être suivi pendant très longtemps. Les divisions radiales qui se montrent aux stades 7, 8, et suivants n’inte- ressent que le cylindre central et l'écorce interne et c’est plus tard seulement que les lacunes de lécorce externe prennent l’aceroissement considérable qu’elles atteindront dans la plante adulte. Azolla. M. Strassburger a montré que la tige de 2’ Azolla se composait d’un faisceau libero- ligneux central entouré par une écorce revetue d’un épiderme. L’écorce est beaucoup plus simple que dans le Salvinia; la zone externe est réduite à une couche de cellules rarement dédoublée, et l’écorce interne dédoublée se termine intérieurement par un endoderme dépourvu de taches de Caspary. Le faisceau libero-ligneux est composé de vaisseaux spirales de diamètres variables entourés d’une gaîne de cellules parenchymateuses allongées. Suivons le développement de la tige. La courbure de la région terminale que nous avions signalée dans le Salvinia s’accentu Mémoires de l'Acad. Гор. 4. sc. VII Série. 2 } 10 5 GEORGES PoIRAULT. . iciet rend très difficile l’étude des premiers cloisonnements. On ne peut réussir à lesobserver- — 3 ! ne x he НАС e ai A Е qu’en coupant la tige très près du sommet au 5 - ou 7 - segment par exemple et en déplaçant cette préparation comme je l’ai dit plus haut. Ajoutons que les dimensions de la cellule terminale et des premiers segments sont beaucoup moindres que dans le Salvinia. 1°) Chaque segment se divise par une cloison longitudinale radiale (Quadratwand de M. Strassburger) en.deux parties superposées (1. fig. 42, PL. V). Ici encore les deux parties ne sont pas égales; la cellule supérieure est: sensiblement plus grande que la cellule inférieure. 2°) La seconde cloison divise le segment en une partie antérieure plus grande et une postérieure plus petite. Ces résultats sont conformes à ceux obtenus par M. Strassburger. Où je пе suis plus tout à fait d'accord avec ce botaniste, c’est en ce qui concerne les autres cloisonnements. 30) D'après lui la cloison suivante serait une cloison courbe (Octantwand); ceci est exact mais d’après M. Strassburger (loc. cit., р. 19) cette cloison partirait de l’angle antero-interne du segment et descendrait directement au sommet de l’angle postero-interne. Une section longitudinale optique passant par la cloison 1 nous montrerait donc dans l’angle interne de chaque segment un triangle sensiblement isocèle — les côtés seraient l’intersection des faces internes du segment avec le plan 1, la base l'intersection du plan 1 avec la cloison courbe, Dans deux segments successifs ces triangles se toucheraient par leurs côtés égaux, de sorte que la jeune tige vue sur une certaine longueur en section optique nous montrerait dans sa région axile une ligne en zigzags (ligne de séparation des segments), comprise entre deux lignes parallèles, c’est effectivement ce que dessine M. Strassburger. J’ai dit plus haut que la courbure très prononcée de la tige ne permettait pas de donner un dessin exact pour un aussi grand nombre de segments que le figure le savant professeur d’Jena et c’est là vraisemblablement la cause de son erreur. Cette cloison est identique à la cloison courbe du Salvinia !). | à 4°) Peu après se forme une double cloison (Gefässwand de M. Strassburger) située de part et d’autre de la cloison 1 et qui descendrait du bord antero-interne du segment à son bord postero-interne (Strassburger, PI. I, fig. 26; la cloison 4,4). J’ai vu positivement que cette cloison à les mêmes relations que celle que nous avons appelée cloison centrale dans le Salvinia. Il n’y a done pas de differences dans les premiers cloisonnements de ces deux plantes. Br 5°) La cloison 5 détache l’épiderme fig. 44 puis il se fait un méristème centripète donnant l'écorce à l'extérieur et le cylindre central à l’intérieur. En somme avec une réduction dans l'écorce, c’est le développement du Salvinia que nous retrouvons-ici. 1) Ce résultat ne fait que confirmer celui déjà obtenu | dessins d’un travail inédit sur la position des bourgeons ; dans des recherches antérieures par M. le Professeur | et des feuilles. Famintzin qui а bien voulu me communiquer les ER ER ne Е < RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. 11 С; Marsilia quadrifolia. . Des 1864 M. Hanstein à fait connaître le mode de develöppement du Marsilia !) mais ce travail: remarquable ne nous fournit pas les renseignements dont nous’avons besoin pour la comparaison que nous nous sommes proposée. Suivant M. Hanstein la cellule terminale embryonnaire de la tige serait bifaciale et donnerait deux séries de segments: les uns tournés vers le sol sur lequel la tige rampe, les autres opposés aux premiers formant la face aérienne et produisant [ез feuilles. Cette cellule se transformerait ensuite en cellule tétraèdrique donnant trois séries de segments, l’une pour la face inférieure, les deux autres pour la face supérieure. Je n’ai malheureusement pas pu étudier les plantules de germination et toutes mes recherches ont porté sur de jeunes bourgeons détachés de la plante adulte — dans ces conditions je n’ai jamais réussi à voir, au sommet végétatif de la tige, la cellule tétraèdrique décrite par M. Hanstein et j’y ai toujours trouvé une cellule bifaciale donnant, à droite et à gauche, deux séries de segments comme la cellule terminale du Salvinia et de l’Azolla ; seulement cette cellule est moins allongée que celle de la tige du Salvinia; elle est beaucoup plus fortement convexe. Cette convexité ne semble pas avoir échappé à M. Han- stein саг il dit, (р. 242): «La cellule terminale est à peu près tétraèdrique et les cloisons sont si fortement convexes que, vue d’en haut, elle parait presque sphérique. D'un autre côté la première division du segment est, comme nous le verrons tout à l’heure, longitudinale radiale et divise le segment en deux parties superposées !); il est donc facile de prendre pour un segment de cellule à 3 faces ce qui n’est que la moitié d’un segment de cellule bifaciale. La fig. 15, Pl. II, dessinée à la chambre claire comme toutes les figures de ce travail rend bien compte de l’aspect de la cellule terminale, vue d’en haut, et explique la possibilité d’une erreur du genre de celle de M. Hanstein. 1 А mon très grand regret, je Гм dit, il m’a été impossible d’étudier des plantules de germination et de suivre pas à pas la formation de la cellule mère bifaciale; toutefois le résultat que je viens d’énoncer relativement à la forme de la cellule terminale, cessera d’étonner si on réfléchit au fait suivant. | M. Pringsheim a montré que tant qu’elle est enfermée dans le prothalle la jeune tige du Salvinia croit par une cellule bifaciale donnant des segments alternativement vers le haut et vers le bas. Mais lorsque la jeune tige est sortie au dehors il s’opere dans la cellule terminale une rotation de 90°, et les deux séries de segments se forment désormais à droite et à gauche, comme nous l’avons vu plus haut. D’un autre côté, tout dans le déve- loppement du Marsilia rappelle celui du Salvinia; il me parait donc probable que nous sommes ici en présence du même phenomène—un changement dans l’orientation de la cellule initiale. | 1) Ici comme dans le cas du Salvinia et de l’Azolla | horizontale ou un peu oblique à l'horizon comme dans les nous supposons la tige dans sa position naturelle c’est à | cas précédents, dire couchée; la première eloison du segment sera donc je 12 : GEORGES PoIRAULT. Je résumerai maintenant mes observations sur le eloisonnement. 1) La première division est longitudinale radiale comme dans le Salvinia et Г ao 2) La seconde partage le segment en une moitié antérieure et une postérieure: et, de même que dans les cas précédents, la première est plus grande que la seconde. 3) Puis la cloison courbe apparait suivie 4) de la cloison médullaire. Maintenant je ne puis rien affirmer sur l’ordre d’ apparition des dev ultérieures, l'observation étant ici beaucoup plus difficile que dans le Salvinia et l’Azolla. Ce qui est. sûr c’est qu'à un certain moment la jeune tige présente l’aspect correspondant à celui de la figure 19. — Autour de la moelle primitive M nous avons un méristème en voie de cloi- sonnement actif donnant le cylindre central à l’intérieur, l’écorce à l'extérieur. Pour la suite du développement je renverrai le lecteur au travail de M. Russow. La symétrie bilatérale de la tige, qui ressort si nettement des dessins de cet auteur, se fait sentir ici comme précédemment pour le Salvinia dès les premiers âges du développement. 20) La tige croit par une cellule tétraèdri ique. А. Equisetum arvense. M. Hofmeister a tronvé parfois chez cette plante une cellule terminale à 4 faces donnant 4 rangées de segments et dans ce cas la tige portait 4 feuilles à chaque nœud; pour ma part j’ai examiné un nombre considérable de tiges dont les feuilles présentaient cette disposition, et j’ai toujours trouvé aw point végétatif une cellule tétraèdrique donnant trois rangées de segments; l'examen des tiges souterraines ne m’a pas donné d’autre résultat. Je ne puis que confirmer les recherches de M. M. Cramer, Sachs et Reess sur les premiers cloisonnements. 1°) Le segment se divise d’abord par une cloison parallèle aux faces planes en deux tables superposées et sensiblement égales. 9°) Chacune de ces moitiés se divise par une cloison courbe en deux т, Ces deux premières cloisons sont tout à fait fixes. Maintenant d’après M. Веезз et М. Sachs (Traité de Botanique trad. franc., р. 489), il s’effectnerait des divisions sans ordre bien déterminé et bientôt au centre s’individualiserait un groupe de cellules formant la moelle. Mes recherches ont porté sur des tiges assez greles développées en serre au mois de Février, mais je dois dire que j’ai constamment trouvé le même mode de cloisonnement à savoir que: 3°) La troisième cloison formait aux dépens des cine quadrangulaires les initiales de la moelle. А partir de ce stade l’ordre précis est difficile à déterminer; d’une manière générale RS De ECG CRE PTS RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. 13 on peut dire que le mode de division rappelle tout à fait celui de la racine; (comparer les fig. 18, 18° 18°“). Dans le méristème ainsi constitué se différencient peu à peu les faisceaux à l'intérieur; l’Ecorce et l’épiderme à l’extérieur. A la partie externe de chaque cordon procambial devant donner naissance au faisceau, on voit apparaitre de tres bonne heure un ‘groupe d’el&ments libériens à parois épaisses, et un peu plus tard, à la pointe interne un (=) I 1 groupe de vaisseaux annelés et spiralés, qui bientôt se dissocieront pour faire place à une lacune au bord de laquelle on verra parfois subsister un ou deux vaisseaux primaires. А mesure que cette dissociation s’opère on voit se former sur les flancs du groupe libérien primitif les vaisseaux scalariformes du bois secondaire à développement centripète. Entre l’endoderme et les premiers éléments libériens reste toujours une couche de cellules que nous pouvons considérer comme le péricycle (Geleitzellen de Russow) (fig. 20 et 21, Pl. IID. А ce propos je dirai qu’il ne me semble pas qu’on puisse admettre que tout le système conducteur dérive ici du péricycle; rien ne justifie cette manière de voir, non plus que l'assimilation du développement de ces faisceaux au développement des faisceaux secondaires des Chénopodiacées, Nyctaginées ete.'). Chez ces plantes on voit à un certain moment une. rangée de cellules du pericyele se cloisonner et donner un méristème où se formeront de nouveaux faisceaux libero-ligneux °). Mais ici rien de semblable пе se produit. Dans la racine des Fougères quand la cloison péricyclique s’est formée, on voit apparaître en dedans une seconde cloison qui détache l’assise peripherique du cylindre central. Cette couche ne prendra guère que des cloisons radiales; à peine si, ça et là, quelques unes de ses cellules se diviseront encore tangentiellement. Dans la racine des Prêles, nous l’avons vu, l’isolement de cette couche au pourtour du cylindre central n’a pas lieu. Il en est de même dans la tige: seulement. tandis que dans la racine le premier vaisseau se forme immédiatement contre l’endoderme, il reste toujours dans la tige à la périphérie au cylindre central une rangée de cellules qui ne prend pas part à la constitution du faisceau procambial; dans certains cas il est vrai cette couche peut former un vaisseau scalariforme, mais c’est l’exception, aussi bien chez lEquisetum arvense que chez les autres espèces”). Nous avons ici, comme dans la racine des Fougères, une couche séparant l’endoderme des premiers éléments libériens. Dans les deux cas cette couche est formée d’une manière différente: dans la racine elle produit les radicelles, ce qui n’arrive pas dans la tige où il n’y a d’autres racines que celles des bourgeons adventifs. Dans la racine des Fougères il y a pour le péricycle une initiale bien nette. Ici il n’y en a pas; à aucun stade la couche de cellules séparant l’endo- derme des premiers vaisseaux ne devient génératrice; je ne vois donc pas pourquoi on -assignerait au système conducteur une origine péricyclique. Pour le développement de l'écorce et les particularités de structure, je renverrai le lecteur au mémoire de M. Russo w. 1) Van Tieghem — Traité de Botanique, р. 759. | 3) Pfitzer — Die Schutzeide der deutschen Equi- 2) Morot — Recherches sur le péricycle. Ann. des | setaceen. Pringsheim’s Jahrbücher. Т. VI. se. nat. 6° Série, T. 20, 2 14 GEORGES POIRAULT. Je regrette vivement de n’avoir pas eu à ma disposition de matériaux convenables pour l’étude du développement de la tige des Fougères. M. Kny qui a examiné le Cera- topteris а démontré (1. с., р. 32) que dans cette plante la cellule mère de la tige est tétraèdrique. La première cloison serait verticale mais non radiale et diviserait le segment en deux cellules: une petite quadrangulaire et une grande triangulaire. La petite cellule se divise par une cloison en une cellule externe et une cellule interne. La cellule triangulaire se divise par une cloison horizontale en deux cellules inégales superposées. La plus grande devient l’initiale de la feuille. Га rappelé l’ordre de division du segment du Ceratopteris, pour que le lecteur frappé de l’uniformité des cloisonnements dans les tiges pourvues de cellule mère bifaciale, où nous avons toujours vu Ja première division du segment horizontale ne conclüt pas de l’exemple de l’Equisetum, où la première cloison est aussi horizontale, qu’il en est ainsi dans tous les cas. | CHAPITRE I La feuille. Je laisse de côté le mode de développement de la première feuille qui dans certains cas, tout au moins, diffère de celui des suivantes. Celles-ci croissent par une cellule bifaciale à grand axe antero-postérieur, et donnent deux séries de segments. Ces segments peuvent présenter deux modes de cloisonnement différents: a) Ils se divisent par une cloison perpendiculaire à la surface de la feuille en une petite cellule interne et une grande externe. Celle-ci зе divisera par une cloison parallèle aux faces principales du segment en deux cellules superposées, et chacune de ces moities se comportera comme la cellule primitive etc. La partie interne des segments se cloisonnera activement pour donner naissance aux faisceaux: la prédominance de croissance sur la face inférieure détermine l’enroulement en crosse si caractéristique des feuilles de Fougères. Le mode de croissance que nous venons de décrire se continue très longtemps dans le limbe; dans le pétiole au contraire il est fort limité. Comme exemple de ce mode d’accroissement, je citerai le Ceratopteris thalictroides étudié par М. Kny'), ри, les Osmunda etc. et parmi les Hymenophyllacées, le Trichomanes. 1) Kny — Entwickelung der Parkeriaceen, р. 41. =. НЕТ О Е ИС ve ФО { = в Е Е s 4 RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. | 15 Pour ma part je n’ai Jamais eu occasion d’observer ce mode de développement et toutes les plantes que j’ai examinées se rapportent au type suivant. _В) Les segments détachés de la cellule terminale se comportent à leur tour comme “une cellule terminale; c’est à dire qu’ils prennent des cloisons inclinées tantôt vers la face dorsale, tantôt vers la face ventrale. Le segment détaché de la cellule mère va done à son tour nous offrir deux séries de segments, l’une dorsale, l’autre ventrale qui se diviseront pour donner naissance aux différents tissus, et dans toutes les plantes qui font l’objet de ce travail nous verrons ce développement s’effectuer avec une uniformité frappante. ! 1. Salvinia. M. Pringsheim a indiqué le mode de développement de la feuille, mais à ma connais- sance C’est la première fois que ce développement sera décrit avec quelque détail. La feuille croit par une cellule initiale donnant deux rangées de segments (fig. 28). 1°) La première cloison est légèrement courbe et normale aux faces parallèles du segment. Il ne faut pas la confondre avec la cloison courbe de la tige. Elle est l’homologue de la cloison radiale (fig. 24). 20) La série des fig. 25, 26, 27 rend compte du développement sans qu’il soit néces- saire d'entrer dans de longs détails à ce sujet. Les segments ainsi formés se diviseront par une cloison parallèle à la face externe en deux cellules. L’extérieure sera l’initiale de lépiderme, l’intérieure celle du parenchyme (fig. 27). Les quatre premiers segments situés deux.à deux de chaque côté de la ligne médiane méritent d’être étudiés avec quelque détail, car ce sont eux qui donneront naissance au faisceau. Pour cela chacun deux se divise par une cloison 0,0” qui dans le segment intérieur va jusqu’à l’épiderme mais ne l’entame pas. La fig. 27 est fort instructive au point de vue du développement du système conducteur. On voit que le demi-segment externe après avoir formé l’épiderme Æp se divise en deux cellules par une cloison «. La cellule externe donnera le parenchyme lacuneux figuré ici au premier stade, la cellule interne donnera le quart du faisceau, le segment interne a un déve- Joppement identique sauf qu'ici il ne se fait pas de parenchyme entre l’épiderme et le faisceau. Quant à la feuille submergée elle croit elle aussi par une cellule à deux faces, et ressemble beaucoup dans ses premiers développements à une jeune tige. Je n’ai pas suivi l’ordre d’apparition des cloisons dans les segments; 1% note seulement la difference des premiers etats avec ceux de la feuille aérienne, Marsilia. М. Hanstein (1. с., р. 245) а déerit le м. des Fenilles du Marsilia quadri- folia du moins dans ses traits essentiels: le développement du Pétiole, le mode de formation des lames et aussi, mais d’une façon un peu vague, le mode de formation des tissus (p. 249); 1) Prantl — Untersuchungen zur Morphologie der Gefässkryptogamen — Hymenophyllaceen. 16 GEORGES POIRAULT. j'ai précisé l’ordre des cloisonnements du pétiole et du limbe et j'ai suivi l’évolution de la feuille jusqu’à son complet développement !). | Les feuilles du Marsilia alternent en deux rangées sur la face supérieure; chacune d'elles est comme chez /’Azolla, formée d’un demi-segment. . Celles qui se développent dans la jeunesse sont simples mais celles qui se formeront plus tard portent 2, 3 ou 4 lobes. Dans certaines conditions, comme j’ai pu le vérifier, des feuilles simples ou doubles peuvent se montrer de nouveau au milieu des feuilles quadrilobées, comme au début du développement. Sur un jeune bourgeon on ne peut confondre une cellule terminale de tige avec une cellule terminale de feuille: la première se distinguant toujours par sa forte convexité. Les segments détachés de la cellule mère se comportent essentiellement comme les segments de la feuille du Salvinia; chacun d’eux fonctionnant comme une cellule terminale, donne une rangée de segments tournée vers la tige, l’autre tournée vers l'extérieur. Ces segments secondaires se cloisonnent à leur tour parallèlement à la face externe et donnent les initiales des différents tissus, l’epiderme, l’écorce et le système conducteur. Examinous ce développement avec quelques détails. 1°) La première cloison du segment est identique à la cloison radiale de la feuille du Salvinia (fig. 29, 1). я 2’— 3°) Cette même figure. 29 nous montre que de part et d’autre de la ligne mediane, M, la seconde cloison occupe la même place que dans la plante précedente, le segment se divise par une cloison équivalente de la cloison 0,0’ (fig. 26). } 49—55) Puis l’epiderme, le parenchyme et l’initiale du faisceau sont formés. Mais il y a ici une différence notable: dans le Sulvinia la cellule marginale a déjà détachè plusieurs segments qui se sont eux-mêmes divisés alors que le développement du faisceau aux dépens des segments centraux n’a pas encore commencé. Ici au contraire, aussitôt formés, les 4 premiers segments commencent à se diviser, et la cellule marginale T ne détache un nouveau segment que lorsque la division des premiers est déjà fort avancée. De plus nous avons vu que dans le Salvinia les 4 premiers segments se divisaient à peu près de la même manière; ici au contraire la croissance et les divisions des deux segments externes seront beaucoup plus rapides, ce qui déterminera l’enroulement sur la face interne (supérieure) qui ne cessera que plus tard, lorsque les segments internes оп à croître à leur tour plus fortement. Les fig. 31 et 32 permettent de suivre le développement avec facilité. On voit que chaque segment détaché de la cellule mère et fonctionnant à son tour comme cellule termi- _па]е, ne donne en tout que 4 segments: deux grands et deux petits; qu’alors la cellule marginale T se trouve condamnée pour ainsi dire par une cloison parallèle à la face externe donnant une initiale d’épiderme et une initiale de parenchyme. Quant à la formation du faisceau on voit très bien que dans le segment externe dédoublé par la cloison (3) ce sont 1) Pour ce dernier point je renverrai le lecteur au mémoire de M. Russow. RECHERCHES D’HISTOGENIE VEGETALE. 17 les cellules les plus rapprochées de la ligne médiane qui se dédoublent les premières — (fig. 30, 7) et que le cloisonnement est centrifuge: l’autre demi-segment a un sort analogue mais ne se dédouble qu’après. Je ne poursuivrai pas plus loin ces détails: ce qu’il importe du reste c’est que du méristème ainsi formé se con$titueront deux groupes libériens primaires et trois groupes de vaisseaux annelés et spiralés, et que la plus grande partie de ces tissus primaires est produite par les segments externes. Plus tard les segments internes se cloisonnant activement formeront le groupe de trachéides scalariformes disposés en V (fig. 32) caractéristiques du pétiole adulte, à la pointe duquel on peut voir le groupe primaire très déduit. Les éléments ligneux ont dis- paru comme dans la tige de ?’Equisetum pour faire place à une lacune, visible surtout dans les plantes qui se sont développées dans l’eau. Tels sont les traits essentiels du développement du pétiole. Quant au limbe, sa forma- tion а été suffisamment décrite par M. Hanstein pour que je n’en reprenne pas la descrip- tion. Jci encore les cellules marginales se cloisonnent et dans lès segments ainsi formés l’épiderme se détache tout d’abord, puis le parenchyme. Pour constituer les nervures du limbe les cellules internes des segments se divisent d’abord en 4 puis en 8 etc.; et le mé- ristème anisi constitué se différencie en éléments ligneux et éléments libériens enveloppés d’une gaine de cellules tannifères. Fougères. J’ai étudié le développement des feuilles chez trois Fougères Adianthum capillus Veneris, Aneimia (Sp.), Aspidium violascens. — Il offre beaucoup d’analogie avec celui des feuilles du Marsilia, comme on pourra le juger par l’inspection des fig. 36, 37, 38, 39. Les premiers segments secondaires détachés dans le segment initial se divisent de très bonne heure par une cloison longitudinale comme dans le Marsilia et le Salvinia. Les deux premiers segments internes se cloisonnent plusieurs fois en direction centripète et donnent un méristème qui formera la plus grande partie du faisceau qui se développe aux dépens des segments internes, mais il serait téméraire d'affirmer que tout le faisceau a cette origine. 3 Equisetum. Dans toutes les plantes que nous avons examinées jusqu’ici la celulle mère de la feuille faisait de très bonne heure saillie au dehors et donnait deux séries de segments dont le dé- veloppement pouvait être suivi avec assez de facilité. Dans ?’EÉquisetum il n’en est plus de même et la plus grande incertitude plane encore sur les premiers états. Ce qui est positif c’est qu’à un certain moment on voit autour de la tige ces feuilles réunies de façon à former une gaine et que chaque dent de la gaine se compose à l’origine de deux séries de segments, l’une interne l’autre externe. Ceci est très visible sur de bonnes coupes transversales ou sur des tiges entières éclaircies ou vues d’en haut. Dans ces dernières conditions ou sur de bonnes coupes longitudinales on voit la jeune Mémoires de l’Acad. Imp. 4, sc. VII Série. 3 18 GEORGES PoIRAULT, feuille se présenter sous l'aspect de la figure 22, pl. Ш. Mais il ne faut pas croire que cette éminence А В С D entre toute entière dans la constitution de la feuille: les deux couches А et В contribueront seules à cette formation: la couche supérieure A donnera naissance au faisceau, l’inférieure В donnera la base de la feuille et l’entre-noeud; С formera le noeud et D représente la cellule mère du bourgeon. M. Schwendener s’appuie sur ce fait de la correspondance des renflements primitifs avec des segments différents pour conclure que des parties de segments différents entrent dans la formation de la feuille et qu’il n’y a pas de relation fixe entre les segments et les feuilles qui en dérivent. D’une manière générale je tendrai à admettre ses vues sur la position des feuilles et leurs relations avec les segments, mais sa conclusion ne me paraît pas pouvoir être tirée de la figure 7 de son travail étant donné qu’il n’entre dans la feuille que deux rangées de cellules ce qui pour moi est absolu- ment hors de doute. De ces deux couches qui constituent la feuille, la couche inférieure B (fig. 22) зе fait remarquer de très bonne heure par la force de son accroissement; c’est celle qui dès le début constitue la plus grande partie de l’excroissance de la jeune feuille. | ; М. Reess (1. с. p. 225) avait bien vu ces différentes couches mais il s’était mépris, me semble-t-il, sur leur signification, d’après lui la couche B donnerait seule naissance à la feuille en prenant des cloisons à droite et à gauche. Nous venons de dire qu’à un certain stade la jeune feuille se montrait sous la forme d’une double rangée de segments, l’une externe, l’autre interne. On voit bientôt deux cellules de la rangée interne situées à peu près dans le plan de symétrie de la feuille se cloisonner et former un méristème au sein duquel apparaitront d’abord les éléments libériens puis les éléments ligneux: finalement ce faisceau s’entourera d’un endoderme. Les autres cellules de la rangée interne se diviseront une fois ou deux pour donner l’épiderme à l’extérieur et à l’intérieur une ou deux rangées de cellules de parenchyme. Quant aux segments externes ils se différencient de même en épiderme stomatifère à l’extérieur et cellules de parenchyme à l’intérieur. Peut-être cette couche fournit elle quelques cellules au faisceau (elle forme certainement l’endoderme du côté externe) mais la plus grande partie du système conducteur est fournie ici par la couche interne. ; Je n’ai décrit que les faits positifs préférant laisser de côté tous ceux qui n’auraient pas été suffisamment vérifiés. Les botanistes qui se sont occupés des questions de développement reconnaitront la grande difficulté de ces recherches dans l’Equisetum et je n’ai éclairei que la plus simple des questions relative au développement de la feuille, lorigine du système conducteur. S'il y а ici une cellule terminale elle n’est que passagère et de très bonne heure ce mode d’accroissement terminal fait place à l'accroissement marginal. Il y aurait donc ici une accélération des phénomènes de développement puisque dans la feuille de toutes les fougères nous avons vu ces deux modes d’accroissement se succéder. Cette cellule terminale se segmenterait par des cloisons inclinées sur l'horizon tantôt dans un sens, tantôt dans un autre de façon à donner deux séries de segments: la série inférieure (dorsale) B dans la figure 22 prendrait bag SEAT Pa NT RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. 19 de très bonne heure un accroissement prépondérant et peu à peu les deux couches feraient ainsi saillie au dehors, et à ce stade nous nous retrouvons sur le terrain des faits positifs déjà mentionnés. Azolla'). Dans tous les Azollas les feuilles sont disposées sur la face dorsale en deux rangées alternes, mais, dans l’espece qui nous occupe, chaque lame foliaire se dedouble de tres bonne heure en deux lobes; l’un aquatique à la face ventrale, l’autre aérien, opposé au premier sur la face dorsale. Complètement développées, les deux lames présentent des diffé- rences que nous rappelerons rapidement. Lame supérieure. Elle est constituée par un parenchyme palissadique et recouverte sur ses deux faces par un épiderme. А la face supérieure les cellules de cet épiderme sont aplaties; à la face inférieure, elles s’allongent en papilles, à la base de la lame foliaire, on observe une lacune qui n’est, en définitive, qu’une crypte épidermique dont quelques cellules s’allongent en poils et dont la concavité est remplie par le Nostoc qui accompagne toujours l’Azolla. A la sortie de la tige, le faisceau très simple destiné à la feuille se bifurque; l’une des ramifications se rend dans la lame supérieure et vient entourer la lacune; l’autre se rend dans la lame inférieure. Lame inférieure. `° Elle est beaucoup plus simple que la précédente. Le parenchyme palissadique est ici remplacé par un parenchyme lacuneux dont les cellules sont beaucoup moins riches en chlorophylle que celles de la lame supérieure. Le lacunes sont séparées les unes des autres par une seule couche de cellules dont quelques unes sont munies de stomates permettant le passage de l’air. Les cellules épidermiques, qui recouvrent les deux faces de la feuille, sont ici plus lâchement unies que dans le lobe supérieur et ne donnent pas naissance par leur invagination à la lacune dont il а été question précédemment. Le faisceau, réduit à quelques cellules spiralées entourées d’une gaine de cellules dépourvues de chlorophylle, se dirige directement jusqu’au tiers supérieur de la feuille. Développement. La cellule de la face dorsale qui doit donner naissance à la jeune feuille se fait remarquer de très bonne heure, dès le stade fig. 44. Cette cellule se divise d’abord en deux parties; l’une ventrale plus petite, l’autre dorsale plus grande; et la cloison, a, qui opère cette bipartition vient à peu près occuper la place de la cloison radiale (1) maintenant rejetée sur la face ventrale. J’insiste sur ce fait que la première cloison a dans la feuille la même direction que dans la tige. La cellule inférieure donnera le lobe aquatique, Ja cellule supérieure le lobe aérien. Ces cellules se bombent fortement, l’une vers la face inférieure, l’autre vers la face supérieure et les cloisonnements s’y succèdent très rapidement. Suivant M. Strassburger, avec lequel j'ai été tout à fait d’accord jusqu'ici, les deux lobes 1) Strassburger, 1. с., р. 31. gr 20 GEORGES PorRAULT, n'auraient pas le même mode de développement !)}. — Dans la cellule mère de la lame inférieure, il y aurait alternance régulière de cloisons parallèles et perpendiculaires à la surface de la jeune lame; tandis que dans la celulle mère du lobe supérieur, il se formerait une cellule à deux faces ne donnant qu’un petit nombre de segments. ‚L’accroissement ter- minal faisant place bientôt à l’accroissement terminal — j'avoue n’avoir pas trouvé cette à à différence et M. Strassburger ne me parait pas avoir vu exactement l’ordre des cloi- 3 sonnements, car il dit, р. 39: «Zuerst zerfällt am rückenständigen Blattlappen jede Zelle in zwei gleiche Hälften: eine Innen- und eine Aussenhälfte. Vor jeder Aussenhälfte wird eine = flache Zelle abgeschieden, welche die Epidermis der Aussenseite abgiebt, während die Я Innenhälfte in dem unteren Theïle . ..... .». La figure qu’il donne et qui correspond à peu près à ma fig. 46 ne concorde pas avec cette description, car on voit que l’épiderme inférieur est individualisé le premier, et que l’épiderme supérieur se forme ensuite. On peut avoir cette illusion si on regarde une prépa- ! ration mal orientée; mais, si on suit le développement dès le début, on voit très nettement Е. que la feuille se développe essentiellement comme nous l’avons déjà vu souvent; que les deux — E séries de segments formés se divisent régulièrement; que des deux côtés l’épiderme a ses ой initiales bien distinctes; que l’initiale du parenchyme se divise une ou plusieurs fois selon = les cas, et que tout (ou presque tout?) le faisceau se développe aux dépens des segments 4 centraux comme nous le montrent les fig. 45 et 47. C’est là surtout ce que je voulais établir. = Er Nous résumerons maintenant les principaux résultats de ce travail: 1°) Dans la racine, la premiere cloison du segment est toujours une cloison courbe. La racine de ГАгоЙа fait exception à cette règle; dans cette plante, la première cloison est parallèle à la surface de la racine. 20) Sauf dans le cas de l’Æquisetum, je n’ai jamais vu le segment de la racine divisé M à l’origine en deux initiales; l’une pour l'écorce, l’autre pour le cylindre central. Eve À 3°) Га toujours vu cette seconde cloison séparer l’initiale de l’écorce externe de 4 l’initiale commune de l’écorce et du cylindre central. LES 4°) La troisième cloison que j'appelle cloison péricyclique sépare l'écorce interne du cylindre central. А ce stade nous avons donc les trois initiales distinctes; une pour le cylindre. central, la seconde pour l’écorce interne, les troisième pour l'écorce externe et l’assise pilifère. es 5°) L’assise pilifère est distincte de très bonne heure. а 6°) Dans certains cas tout au moins l’endoderme peut n’être pas le dernier terme d’un +2 cloisonnement centripète de l'écorce interne. On уой alors (Blechnum brasiliense etc), — tandis que le péricycle se détache d’un côté de la cloison pèricyclique, l’endoderme apparaître 1) Strassburger, |, с., р. 38. 5 Г RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. 21 de l’autre- côté — quelquefois les cellules rhizogènes commencent à se développer dans l’endoderme à une très faible distance du sommet. . 7°) Il est digne de remarque que dans la racine il n’y а tout d’abord que des cloisons verticales; les cloisons horizontales, qui dans le segment de tige se montrent de si bonne heure, sont ici d'apparition beaucoup plus tardive. à 8°) Le Marsilia auquel on assignait une cellule terminale à trois faces croît par une cellule bifaciale comme la tige du Salvinia et de !’Azolla. 9°) Dans toutes ces tiges à croissance horizontale on observe une forte courbure à concavité supérieure. 10°) Le Salvinia, U’ Azolla et le Marsilia présentent dans leur développement de trés grandes analogies. \ 11°) La première cloison du segment de cellule bifaciale est toujours longitudinale radiale; c’est à dire, étant donnée la position naturelle de la tige, à peu pres horizontale. 12°) La seconde cloison est parallele aux faces principales du segment. 13°) La troisieme est une cloison courbe. 14°) Dans tous les cas, la quatrième cloison isole au centre de la jeune tige une cellule qui formera le quart de la moelle. Cette moelle peut subsister (Marsilia); quelquefois il s’y développe des vaisseaux (Salvinia, Azolla). 15°) L’épiderme est distinct de très bonne heure. 16°) Les cellules comprises entre l’epiderme: et les cellules centrales зе cloisonnent et forment un méristème produisant l’écorce à l’extérieur, le cylindre central à l’intérieur. 17°) Toutes ces plantes présentent une tendance très nette à la symétrie bilatérale; la face supérieure se développe beaucoup plus que la face inférieure, et cette inégalite est indiquée dès la première division du segment. 18°) Dans la tige de /’Æquisetum, la première division est toujours parallèle aux faces principales du segment; la seconde est une cloison courbe (Sextantwand). 19°) Je n’ai jamais vu dans la tige de cette plante, le segment divisé à l’origine en deux initiales: l’une pour l’écorce, l’autre pour le cylindre central. Comme dans le cas d’une cellule terminale à deux faces, j’ai toujours vu d’abord apparaître au centre les cellules mères de la moelle. 20°) Je ne vois pas la raison d’assigner au système conducteur de la tige et de la racine de !’ Equisetum une origine péricyclique analogue à celle des faisceaux des Nyctaginées. Les cordons procambiaux se forment au dépens d’un méristème, dans lequel il est impossible de reconnaître une limite entre le cylindre central et l’écorce. La notion de péricycle ne devient précise qu’autant que les notions de liber et d’endoderme le sont elles-mêmes. Pour déclarer que des faisceaux proviennent du péricycle, il faudrait: 1°) Pouvoir distinguer ce péricycle dans le méristème à des stades très jeunes. 2°) Pouvoir constater que cette couche est le siège de formations de méristème au dépens duquel les vaisseaux se constitueront, ce qui n’est le cas ni ici ni ailleurs pour les faisceaux primaires. ; «< - 22 GEORGES PoIRAULT, 21°) Toutes les feuilles des plantes que j’ai examinées (sauf l’Equisetum?) croissent par une cellule terminale donnant deux séries de segments. La première division dans ce segment correspond à la première division du segment de tige à cellule bifaciale. Il se fait ensuite d’autres divisions; le segment prend des cloisons inclinées tantôt vers l’intérieur tantôt vers l'extérieur. Le segment primitif se trouve donc transformé en une double rangée de segments secondaires les uns internes les autres externes. D’ordinaire, la rangée externe s’aceroit davantage, ce qui détermine l’enroulement de la feuille sur la face interne, enroulement qui ; cesse lorsque les segments internes viennent à s’accroître à leur tour. | | 23°) Ces segments se cloisonnent parallèlement à la surface de la feuille pour donner — nA les differents tissus. x ее. 24°) L’épiderme a ses initiales très nettes détachées les premières. . 25°) La limite entre le parenchyme et le système conductenr est nette dans quelques cas; dans d’autres, elle est beaucoup plus difficile à établir, et on ne saurait affirmer qu’il y |. ait toujours une initiale pour le parenchyme, une initiale pour le faisceau. ; BEE. 2 RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. 23 EXPLICATION DES PLANCHES. Toutes ces figures ont été dessinées à la chambre claire au grossissement de 300 fois. Les chiffres romains indiquent l’âge des segments, le plus jeune étant représenté par le chiffre Г; les chiffres arabes indiquent l’ordre d’apparition des cloisons dans les segments. Planche I. — Racine. T. cellule terminale; E. endoderme; P. péricycle. Fig. 1. Blechnum brasiliense Desv. Dans le premier segment de gauche le noyau est divisé en deux parties inegales; dans le second segment de gauche les trois initiales sont très nettes, celle de l’écorce externe apparue la première s’est déjà dédoublée. De part et d’autre de la cloison péricyclique (3) apparaissent l’endoderme à l’extérieur, le péricycle à l’intérieur. L’endoderme a été ombré à gauche. Fig. 2. Marsilia quadrifolia. On voit très bien que la première division du segment est la cloison corticale et que le segment ne se dédouble pas à l’origine en deux initiales, l’une pour l’écorce, l’autre pour le cylindre central. L’endoderme et le péricycle se différencient presque simultanément de part et d’autre de la-cloison péricyclique. Fig. 3. et 4. Marsilia quadrifolia. Formation de l’endoderme et individualisation des cellules rhizogènes. Fig. 5. Azolla caroliniana. | Ici encore la première cloison ne sépare раз l’écorce du cylindre central, mais l’écorce externe de l’initiale commune de l’écorce interne et du cylindre central. Fig. 6. Equisetum arvense. La première cloison sépare l’écorce du cylindre central. L’endoderme E se forme moins près du sommet que dans le Marsilia et le Blechnum. Cette figure montre le dédoublement de l’assise rhizogène dans laquelle de différenciation des cellules mères des radicelles est très tardive. DANSE GEORGES POrRAULT, ^ М.В. Dans toutes ces figures on а marqué 1 la première cloison du segment visible sur les coupes longitudinales. Celle-ci est en réalité la seconde dans l’ordre d’apparition car elle est précédée par la cloison courbe non visible sur les figures 1, 2, 3 et 6. Planche II. — Tige. Fig. 7. Salvinia natans. À Sommet de la tige vu par sa face supérieure; M ligne de séparation des segments. Fig. 8. La même vue de côté pour montrer la première cloison longitudinale radiale. Fig. 9 et 10. Salvinia natans; tige — on voit l'apparition successive des cellules in- ternes du faisceau, de l’épiderme et de l’initiale commune à l’écorce et à la partie périphé- rique du faisceau. Fig. 11. Salvinia natans. Tige. - Début de la formation de l’écorce et du faisceau; les cellules centrales se sont divisées; en 1 début des lacunes de l’écorce externe. Les chiffres indiquent l’ordre d’apparation de cloisons. FOR Fig. 12 et 13. Suite du développement. On voit la formation du méristème au dépens. duquel la partie périphérique du faisceau et l’écorce se développeront. Sur la figure 13 on voit les cellules de protophloème L, disposées suivant 2 arcs, l’un supérieur, l’autre inférieur. Les grandes cellules $ ne se sont pas encore épaissies, elles se sont divisées pour donner l’endoderme End qui lui-même se cloisonne par places. Les lacunes de l’écorce externe sont représentées par les parties ombrées. Les cellules de l’épiderme s’allongent en poils qui ont été supprimés sur cette figure. Fig. 14. Marsilia quadrifolia. 2 Sommet de la tige. La premiere cloison qui n’est pas visible sur cette figure est comme dans le Salvinia longitudinale radiale. Fig. 15. La cellule terminale à deux faces vue d’en haut avec la-premiere cloison (1). Fig. 16. Adianthum capillus veneris. Sommet de tige vu d’en haut. Planche Ш. Tige (suite). Fig. 17. Equisetum arvense. La cloison courbe, variations de son orientation dans deux verticilles successifs. Fig. 18. Formation du méristème dans la tige de l’Equisetum arvense; les chiffres ” # RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. 35 indiquent l’ordre d’apparition des cloisons; dans chaque segment la cellule T, se comporte comme une cellule bifaciale. Fig. 18°°. Développement du eylindre central dans la racine du Blechnum. A, В, С les arêtes des segments; О les cloisons courbes, р le péricycle (d’après MM. Nägeli et Leitgeb). Fig. 18°”. Développement du cylindre central dans la racine de I’ Zquisetum. У, У les premiers vaisseaux. Fig. 19. Marsilia quadrifolia. Tige — un quart de la section, on voit au centre en M les cellules qui donneront la moelle. La partie périphérique donnera en se cloisonnant le système conducteur et l’&corce. La couche Æp se divisera plus tard pour donner l’épiderme et deux couches de cellules. Fig. 20 et 21. Développement des faisceaux dans la tige de l’Equisetum; ee l'écorce; End l’endoderme séparé des éléments liberiens par une couche de cellules (péricycle); В, Bois primaire qui se détruit bientôt pour faire place à une lacune tandis que le bois secon- daire se développe en В.. Fig. 22. Développement de la feuille de 2’ Equisetum arvense. A couche qui donnera le faisceau; B. entre-noeud et base de la feuille; C. noeud; D bourgeon. Fig 23 et 23 bis. — Développement du faisceau dans la feuille de l’Æquisetum Е. méristème qui donnera le faisceau; L premiers éléments libériens; Ep épiderme. Planche IV. Fig. 24. Salvinia natans. — Premier cloisonnement dans le segment détaché de la cellule terminale de la jeune feuille. Fig. 25, 26, 27. Série des cloisonnements et début de la formation du faisceau. Toutes ces figures sont des coupes transversales. Fig. 28. Salvinia. Très jeune feuille vue en section longitudinale optique. Fig. 29. Marsilia quadrifolia. — Jeune feuille en section transversale optique passant très près du sommet; dans chaque segment la cellule T se comporte comme une cellule ter- minale bifaciale. Fig. 30 et 31. Début de la formation du faisceau dans le pétiole du Marsilia; les cloisonnements commencent dans le segment externe: les premiers éléments différenciés sont deux ares de grandes cellules qui se réunissent en V et deviendront les vaisseaux scalari- formes; aux extrémités de ces ares se développera le protoxylème: le premier groupe formé est le groupe inférieur qui se résorbera plus tard pour donner naissance à la lacune / repré- sentée fig. 33 (la place de ces 3 groupes de protoxylème est indiquée par B, B, B (c’est par erreur que les deux groupes supérieurs et latéraux portent L, sur la figure 32; Ep. Epi- Mémoires de l’Acad. Imp. 4. sc. VII Série. 4 26 GEORGES POIRAULT, RECHERCHES D’HISTOGENIE VÉGÉTALE. derme; В. début de formation des rayons de l'écorce; 5 méristème donnant naissance au parenchyme cortical à l’endoderme dédoublé et à la partie externe du faisceau (proto- phloème). Il n’y а donc pas ici deux groupes d’initiales; l’un donnant tout le faisceau, l’autre donnant le parenchyme cortical. Fig. 33. Pétiole complètement développé Ænd. endoderme; 2 lacune correspondant au groupe de protoxylème résorbé. L. L liber. Fig. 34. Développement du faisceau dans la lame foliaire du Marsilia. Planche У. Fig. 35. Suite du développement du faisceau dans la lame foliaire du Marsilia; Ep. Epiderme, ! début des lacunes du parenchyme. F faisceau, ее parenchyme. Fig. 36. Adianthum capillus veneris. Développement du faisceau dans une feuille très jeune. Fig. 37. Le même un peu avant l’apparition des éléments lıberiens. Fig. 38. Aneimia (sp.). Faisceau du pétiole; la cellule marginale va cesser d’être distincte. Fig. 39. Adianthum. Faisceau du pétiole. Fig. 40. Adianthum. Jeune limbe, la cellule terminale a disparu. Fig. 41. Azolla caroliniana. Tige vue par la face supérieure. Fig. 42. Azolla. Tige en coupe transversale optique; 1, première cloison longitudinale radiale; 3, cloison courbe; 4, cloison centrale. Fig..43. Azolla. Développement de la feuille; par suite de croissance de la cellule mère la cloison (1) se trouve rejetée vers la ligne M de séparation des segments. Fig. 44. Azolla. Tige en coupe transversale optique; 5, la coison épidermique; la cellule mère de la feuille s’est divisée en deux par une cloison «; f, cellule mère de la feuille. Fig. 45. Azolla. Développement de la feuille; on voit les deux rangées de segments; l’une interne, l’autre externe; début de la formation du faisceau; les cellules situées dans le plan de symétrie commencent à se cloisonner les premières. Fig. 46. La même vue de côté. Fig. 47. Suite du développement du faisceau; {lacune de la base de la feuille; Е faisceau. Fig. 48. Azolla. Jeune feuille vue à plat par sa face inférieure. ое ——— ——— 2.0300 6 Porault bryptog vase. PL |. Lithographie Ch Jvanson a St Petersbourg-gr. Persp,N91, côté Petersbourg 8. ) À GPorrault ad nat.del. Éémoires tel'ared Jun d Se 5 G.Poirault.brypton vase. PL I Mémoires del'avad Jmp d de 11. вме. ГОО N ie LE в Pe 1 и sp, № | gr. Per gr 1) etersoourt( Ch Jvanson à StP С Lithographie el г и GPorault ad nat ps Hl o.Poirault Cryptog vase Pl. II Mémoires del'acad Jmp d Se IL Sert. De — | RE у öte Petersbourg. р, №216 gr Pers] ‚sbourg, son a St Peterst ie Gh Jvan: hi ograpi Lith GPoirault ad nat del. 2 Co, N DO { ! В В : A о О \ ’ A h L ! b.Poirault.Gryptog vase PL. | Mémoires del'acad Jmp.à Sc ente \ = N | Se Ph Еще N = Е ( N, / \ RES { / \ \_2< +: $ x À N \ Е 92 % у ET he ET A >= Lithographie Ch.Jvanson à StPetersbourg,-gr. Persp, №1, côté Petersbourg GPoirault ad nat del о ” = h | D \ I . р о RL u Cr х Bi N = 4 р 5 й ï : | | , ‚ Г Li ; ‘ . L | D , a ersp, №1, côté Petersbourg. CP J sbourg, t.Peter С о 6 Poirault Cryptog vasc DI. У Lithographie Ch Jvanson à Des | wo nr | ]: [PSS НИ G.Porrault ad nat del. Mémoires del'acad Jmp d 06 VI Serie MEM OIRES LACADENIE INPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VII SÉRIE. ; : | Tome XXXVII, № 42. | | | ÜBER DIE ABHÄNGIGKRIT DER WÄRNELEITUNGSFÄNGNEN VON DER TEMPERATUR, O. Ch 1 ] R wolson. (Lu le 24 avril 1890.) Sr.-PÉTERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie р des sciences: à st. -Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: М. Eggers & C0 et J. Glasounof, М. М. Kymmel. Voss’ Sortiment (G. Haessel). Prix: 55 Cop. = 1 Mark 35 Pf. MÉMOIRES L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VIF SÉRIE. Tome XXXVII N°12. ÜBEL DIE ABIÄNGIGKEIT DER WÄRNELEITUNGSFÄHIGKEN VON DER TEMPERATUR, VON О. Chwolson. (Lu le 24 avril 1890.) Sr.-PETERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.-Pétersbourg: à Riga: ig: М. Eggers & CP et J. Glasounof. M. N. Kymmel. Voss’ Sortiment (Haessel). Prix: 55 Cop. — 1 Mark 35 Pf. np par ordre de ав Пар ériale 1 sciences. Juillet 1890. pus А. Strauch, Secrét # Seit den ersten Versuchen von Biot über die Wärmeleitung in metallischen Stäben haben sich viele Forscher mit dem Studium dieser Grösse beschäftigt, besonders seitdem durch Wiedemann und Franz die nahe, in Wahrheit vielleicht völlige, Proportionalität zwischen Wärme- und Electricitätsleitungsfähigkeit nachgewiesen war. Ein besonderes Interesse bietet die Frage nach der Abhängigkeit der Wärmeleitung von der Temperatur. Mit dieser Frage beschäftigte sich als Einer der Ersten В. Lenz'), welcher fand, dass die Temperaturcoefficienten für Wärme- und Electricitätsleitung die gleichen seien (1. c., р. 61). In letzter Zeit hat sich insbesondere L. Lorenz?) dieser Frage zugewandt. Er findet für Kupfer und Eisen fast gar keine Abhängigkeit der Wärmeleitung von der Temperatur, für Blei ein Sinken, für gelbes Messing ein beträchtliches Anwachsen der Wärmeleitung bei steigender Temperatur. Tait°®), Kirchoff und Hansemann‘) gelangten zu wieder anderen Resultaten, so dass die Frage nach der Abhängigkeit der Wärmeleitung von der Temperatur wohl als bis jetzt nicht endgültig gelöst betrachtet werden darf. Eine Hauptschwierigkeit bei den betreffenden Untersuchungen, besonders bei Anwendung von Stäben, lag darin, dass die Versuche stets eine Grösse ergeben, in welche gleichzeitig zwei Unbekannte eingehen, nämlich der gesuchte Temperaturcoefficient der inneren Wärmeleitungsfähigkeit und zugleich der der äusseren. Der Letztere musste also ander- weitig bestimmt werden, um den Ersteren zu finden. Es lässt sich nun aber zeigen, dass bei -einer gewissen Methode Metallstäbe zu erwärmen, in den betreffenden Wärmeleitungs- formeln jene Grössen getrennt eingehen, so dass man durch eine geeignete Combi- nation von Versuchen gleichzeitig beide Temperaturcoefficienten ermitteln kann, Dieselbe Methode gestattet auch einfach die Wärmeleitungen verschiedener Stäbe mit einander zu vergleichen. 1) R. Lenz, Ueber den Einfluss der Temperatur auf 5) Tait, Edinb. Trans. 28, p. 735. die Wärmeleitungsfähigkeit der Metalle. Doctordiss. St. 4) Kirchoff und Hansemann, Wied. Ann. XIII, Petersburg, 1869. p. 406. 2) L. Lorenz, Wied. Ann. XIII, p. 598. Mémoires de l'Acad. Imp. d, sc. VII Serie, 1 2 О. CHwouLson, Eine der gewöhnlichsten Methoden die Wärmeleitung verschiedener Stoffe zu ver- gleichen besteht bekanntlich darin, dass man Stäbe aus den betreffenden Materialien an einem Ende bis zu einer bestimmten Temperatur erwärmt und den stationären Zustand des Stabes untersucht; das andere, nicht erwärmte Ende des Stabes wird dabei als unendlich weit entfernt angenommen. Es schien mir nun, dass man schneller zum Ziele gelangen müsse, wenn man beide Enden des Stabes erwärmt, erstens weil der stationäre Zustand schneller erreicht wird und zweitens weil, wie eine einfache Rechnung zeigt, die Bestimmung der Temperatur an nur einem Punkte des Stabes — am einfachsten wohl in der Mitte —- diejenige Grösse liefert, aus welcher die relative Wärmeleitungsfähigkeit der Stabes berechnet werden kann. Mit gütiger Erlaubniss des Herrn Directors H. Wild habe ich im physikalischen Kabinet der Akademie eine Reihe vorläufiger Versuche an geschwärzten cylindrischen Stäben von Kupfer, Messing, Eisen und Blei, deren beide Enden auf 100° (Wasserdampf) erwärmt wurden, ausgeführt. Es zeigte sich, dass diese Methode unzweifelhaft gewisse Vorzüge besitzt. Um die erhaltenen Zahlen zu prüfen, wurden die Enden derselben Stäbe in Dämpfen von kochendem Anilin bis nahe 180° erwärmt und auf diese Weise eine neue Reihe von Zahlen für die relativen Wärmeleitungen der Stäbe gefunden, welche den früher berechneten genügend nahe kamen. Hiermit war die Anwendbarkeit der Methode bewiesen. Dieselbe dürfte besonders für Vorlesungsversuche, bei denen Schnelligkeit und Einfachheit sehr erwünscht sind, geeignet sein. Jede einzelne Beobachtung an einem Stab ergab für denselben einen Werth des Verhält- nisses 4 der äusseren Wärmeleitung % zu der inneren 4. Um % und k getrennt in absoluten Einheiten zu erhalten, müsste » durch besondere Versuche bestimmt werden. Cap. I enthält die einfache Theorie dieser Versuche und einige Zahlenangaben, die aber nichts Neues enthalten und daher kein besonderes Interesse bieten. Die bei Erwärmung der Stabenden bis 100° erhaltenen Werthe von : unterschieden sich bei allen Stäben nicht unbedeutend von denjenigen, welche die Erwärmung bis 180° ergab und es lag nahe dies als Folge einer Aenderung der Grössen X und % in Abhängigkeit von der Temperatur anzusehen. Ich entwickelte also die Theorie der Versuche unter der Annahme, dass die Grössen À und # die Temperaturcoefficienten о, und а, besitzen. Hiebei stellte sich die wichtige Thatsache heraus, dass die Grössen «, und «a, in den Ausdruck für die Temperatur ? der Mitte des Stabes getrennt eingehen, so dass sie durch Variation der beiden Temperaturen an den Stabenden bestimmt werden können. Diese Temperaturen wurden als verschieden angenommen und auch für diesen Fall die Theorie entwickelt. Wir haben hier also den gewiss sonderbaren Fall, dass eine Versuchsreihe zwei Grössen À und % nicht getrennt giebt, sondern nur ihr Verhältniss — wäh- rend die Temperaturcoefficienten dieser Grössen getrennt d. h. unabhängig von einander gefunden werden. я 4 { UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 3 Cap. II enthält die Theorie der Versuche unter der Annahme variabeler k und h. Die von Biot zuerst entwickelte und später von Poisson erweiterte Theorie der Wärmevertheilung in Stäben, soweit sie bisher bei experimentellen Untersuchungen ange- wandt wurde, bezog sich auf Stäbe, deren Querschnitt als so klein angenommen war, dass für jeden solchen nur eine Temperatur angenommen werden konnte. Da ich Stäbe von etwa 2,5 Centim. Dicke benutzte, so schien es mir nöthig zu untersuchen, in wieweit die für dünne Stäbe gültigen Formeln auf dicke Stäbe noch anwendbar seien. Die Theorie der stationären Wärmevertheilung in Stäben von endlichem Durchmesser ist von Fourier entwickelt worden. Höchst werthvolle Beiträge zu dieser Theorie sind von Dronke°) (nach den Vorlesungen von A. Beer) angegeben. Diese Theorie führt zu einer transcendenten Gleichung von der Form 21, (2) = ch, (2), in welcher Z, und Г die Bessel’schen Functionen von der Ordnung Null und Eins sind und c eine Constante, nämlich R? (R der Radius des Cylinderquerschnitts) ist. Die Wurzeln der obigen Gleichung gehen in die betreffenden Endformeln ein und hat bereits Fourier bewiesen, dass diese Gleichung unendlich viele reelle Wurzeln hat. Ueber den wahren Werth jener Wurzeln fand ich aber nirgends irgend welche Angaben und scheint es, dass die Theorie der stationären Wärmevertheilung in Cylindern bisher noch nicht soweit geführt worden ist, um für gegebene Fälle an Zahlenbeispielen die betreffende Temperaturver- theilung wirklich berechnen zu können. In Cap. III habe ich die allgemeine Theorie reca- pitulirt und gezeigt, wie die Wurzeln der obigen Gleichung für verschiedene practisch mögliche Werthe von c gefunden werden können. An mehreren Zahlenbeispielen zeige ich wie die Temperaturvertheilung, besonders im mittleren Querschnitt des Cylinders in ver- schiedenen möglichen Fällen ausgerechnet wird. Cap. IV enthält die Resultate der Versuche. Im Weiteren sollen lediglich die nachfolgenden Bezeichnungen angewandt werden, die theilweise auf die benutzten cylindrischen Metallstäbe Bezug haben: 1 die Länge des Stabes 4. В. die Entfernung der beiden äusseren Querschnitte, deren Temperaturen auf constanter und gemessener Höhe erhalten werden, in Millimetern. T, und T, diese constanten Temperaturen an den beiden Enden. T=T,=ZT, der betreffende Werth, wenn jene beiden Temperaturen als gleich angenommen wurden, was practisch natürlich nicht zu erreichen war. $ die Temperatur im mittleren Querschnitte des Stabes. 5) A. Dronke, Einl. in die analytische Theorie der Wärmevertheilung. Leipzig 1882. RUES RE AR Е: RS | у ао оо ВАЗА Re A rt RENTE О. CHwoLson, æ die Entfernung eines beliebigen Querschnittes von dem mittleren, in Millimetern; % DR: 1 æ varlirt von ne bis + 5 y die Temperatur im Querschnitt x. Alle Temperaturen sind selbstverständlich als a nl: über die Temperatur der umgebenden Luft zu verstehen. R der Radius des Cylinderquerschnitts in Millimetern. k die innere Wärmeleitungsfähigkeit. а, der Temperaturcoefficient dieser Grösse. h die äussere Wärmeleitungsfähigkeit. о, der Temperaturcoefficient dieser Grösse. Е hat die Dimension [№ 1). # == У =" der Coefficient, welcher in der bekannten Formel eingeht und gewöhnlich п = y=Ae” -н Ве"? — 2пА der Perimeter und s—n.KR’” die Fläche des Querschnittes bedeutet. Die Grösse n hat die Dimension [ZL !|; nz ist von der Dimension Null. Im Cap. Ш sind eine Reihe von weiteren Bezeichnungen eingeführt, die am Anfange desselben zusammengestellt sind. lg bedeutet den Neper’schen Logarithmus. Cap. 1. Erste Annäherung (№ und % constant). ratur T erhalten, bis der stationäre Zustand eingetreten ist; die Temperatur in der Mitte Ein dünner Stab von der Länge { werde an beiden Enden so lange bei der Tempe- | des Stabes sei #. Die Temperatur y eines Querschnittes, dessen Entfernung von der Mitte À des Stabes x ist, wird allgemein von der Form sein, wo ist. Die Grenzbedingungen VAT ÜEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 5 liefern Für æ = 0 erhält man 1 ng | { О О (Г) und hieraus 1 T+VTi % п = ] О OA HEART (I) Die zweite Wurzel mit dem Minuszeichen vor VT?—t? giebt den Werth — п und gehört zu der transformirten Gleichung en i в _ | але" и. ЕЕ DA Aus (2) erhält man endlich ‘4 h 2R T+-VT?— 1? à - 2 ee 2. 0m в. Sind die Temperaturen an den Enden des Stabes verschieden, so dass die Grenzbe- dingungen (3) durch s ll DNA RE REITEN 4 / T—= + ; y=T, | fe = ersetzt werden, so erhält man für A und B in (1) die Werthe 4 à 1 1 } SE : ` А ВА. Tee en ID ET . | » ST И РЕ Е _ ee | de Formel (1) giebt für х — 0 в. ; t— A+B Re: d. h. | в. ER 20% DT тя НИТ 5 BR CN eee an. а) № Vergleicht man (D mit (Т,а), so sieht man, dass beide Ausdrücke identisch werden, в wenn man Е ки Е. т) setzt. Wir haben also den Satz: 6 О. CHwozson, Die stationäre Temperatur in der Mitte eines Stabes, dessen Enden bei den Temperaturen 7, und T, erhalten werden, bleibt unverändert, wenn man diese Temperaturen beide durch ihr arithmetisches Mittel ersetzt. Die Formel (III), welche für den Fall % und № constant gilt, wird man nur dann benutzen, wenn es sich um eine ungefähre oberflächliche Vergleichung der Werthe von # für verschiedene Stäbe, oder der Werthe von № bei verschiedenen Oberflächen handelt, also z. B. bei Vorlesungsversuchen. Um an einem Beispiel zu zeigen in wie hohem Grade die Temperatur # einerseits von dem Stoffe des Stabes und andererseits von der Art der Oberfläche abhängt, sollen hier einige bei den Vorversuchen erhaltene Zahlen angegeben werden. Die Länge der Stäbe / war gleich 650 Mm., der Radius В = 12,8 Mm. Die Enden wurden in Wasserdampf und in Anilindampf erwärmt; die Stäbe einmal blank untersucht und dann mit geschwärzten Oberflächen. Es fand sich (wie stets, bedeutet # den Ueberschuss über die Temperatur der Luft): Tabelle I. Wasserdämpf. Anilindampf. Stäbe Stäbe geschwärzt blank geschwärzt blank t t t t Kupfer ‘-. ... 52,0 60,9 95,1 114,4 Messing .... 35,1 44,9 64,0 85,2 Eisen.. : ." 2: 20,2 29,1 35,1 51,3 Blei. Hate 12,3 — 21,6 — Ich habe einen, bereits anderweitig‘) beschriebenen, zu Demonstrationszwecken geeig- neten Apparat zusammenstellen lassen, welcher wesentlich aus vier Stäben besteht, von denen drei (Kupfer, Messing, Eisen) geschwärzt, der vierte (Messing) blank ist und welche, die vier Seiten eines Quadrates bildend, an den vier Ecken durch Wasserdampf erwärmt werden, während in der Mitte eines jeden Stabes ein Thermometer die stationäre Tempe- ratur angiebt. Es fanden sich daselbst die folgenden Ueberschüsse # über die Temperatur der Luft: t Eisen (schwarz). ... 21,3° Messing (schwarz)... 34,2° Messing (blank). ... 44,2° Kupfer (schwarz) . .. 53,0° 6) Journ. d. russ. phys. chem. Ges. 1888 p. 227. UBBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 7 Da die im Cap. II entwickelten Formeln sich von dem Ausdsuck (III) nur durch Correctionsglieder unterscheiden, so dürfte es angemessen sein, schon hier zu untersuchen, inwieweit fehlerhafte Bestimmung von 7, # und der Lufttemperatur den Werth von = be- einflussen. Formel (III) giebt: at BERNER 2 TREE BAR (8) PT Te re VE ZEN. LU NT F RER (| ) Wird die Lufttemperatur um eine Grösse zu gross gemessen, so hat dies die Fehler AT=At=—-r zur Folge. In der folgenden Tabelle ist die Abhängigkeit der in (8) gegebenen Grösse von At, AT und + angegeben unter Zugrundelegung der bei den Vor- versuchen gefundenen Zahlen für T und $ auf deren genauere Werthe es hier nicht ankommt. W. und A. beziehen sich resp. auf die Versuche mit Wasser- und Anilin-Dampf. А 7 t Nor Es ist A: = 0,01 bei: - Kupfer. (—) (+) (—) At AT T W. 80,4 51,8 | 0,050 48 |0,032AT| 0,0187 | 0,2° 0,3° 0,5° А. 157,3 94,5 | 0,024 At |0,014AT| 0,010 + | 0,4° OS И? Eisen. s W. 821 20,5 | 0,049 At |0,012AT| 0,037 7 | 0,2 0,8° 0,3° A. 157,4 35,0 | 0,027 At | 0,006 AT | 0,021 + 0,4° 1,62 0,5° Hier enthalten die ersten 2 Colonnen die Werthe von 7 und $ bei Erwärmung in Wasserdampf (W.) und in Anilindampf (A.). Die nächsten drei Colonnen enthalten die Werthe der Grösse N : — für die drei Fälle, dass 7, $ oder die Lufttemperatur um At, AT oder т unrichtig angegeben sind; die Zahlen der dritten und fünften Colonne sind negativ, die der vierten — positiv. Die drei letzten Colonnen geben an, wie gross die AZ, AT und + sein dürfen, damit in der Bestimmung von 2 ein Fehler von nicht über 1%, entstehe. Die hier gegebenen Zahlen erweisen sich als recht günstig. Insoweit also nur die Formeln (I) und (8) in Frage kommen, muss man sagen, dass eine Genauigkeit von 1, ‚und weniger in vielen Fällen erreichbar sein wird. Verschiedene Nebenumstände, wie z. В. Unsicherheit in der Messung von ! und r, mangelhafte Gleichförmigkeit im Material der Stäbe, Aenderung der Oberfläche u. s. w. werden die Genauigkeit der Methode herab- drücken. 8 О. CHwouLson, Cap. IL Annahme variabeler % und ». In diesem Capitel sollen unter k und h die Werthe der beiden Wärmeleitungen bei 0° zu verstehen sein. Bei der Temperatur y seien jene Grössen durch die Ausdrücke h,=h(1-+ ay) } К, = (1 ву) respräsentirt. Bei constanten % und % lautet die Differentialgleichung, durch welche die Temperatur y eines Querschnittes als Function der Entfernung x desselben von der Stab- mitte bestimmt wird, bekanntlich ey ee. (10) STEHE und das Integral ist von der Form yz Al” Bet", in à ee ee (10, а) wo A und B, durch die Grenzbedingungen (5) bestimmt, in (6) gegeben sind. Ist der Stab unendlich lang und an dem einen Ende die Temperatur gleich T, so haben wir AN. ere о. (1419 B=T | in (1) zu setzen, wobei x die Entfernung von dem Stabende ist. Für den Fall variabeler № und k, s (9), hat Poisson’) die Differentialgleichung ent- wickelt. Sie lautet: а? а Fe (1 ау) a, my (dire, y) . ee Ana. RES (12) oder 4? 9 d2 dy \2 el)... (13) Poisson hat (l. c., р. 256) nur den Fall eines einseitig unendlich langen Stabes ent- wickelt, dessen Ende bei einer Temperatur 7' erhalten wird und für у als Function von x den Ausdruck y = 1—5. — 24) 7] Те"? (a, — 2а,) T'e 2" gefunden. [Es ist bei Poisson =, 0=T,y—a,,m—u,,g—n)]. 7) Poisson, Théorie mathém. de la chaleur $ 125, Paris 1835. м. UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 9 In dem Ausdruck (14) gehen die Grössen о, und ©, nur zusammen ein, so dass еше getrennte Bestimmung derselben nicht möglich ist. Für Stäbe von endlicher Länge erhält man aber eine Formel, in welche ©, und а, getrennt eingehen und hierauf beruht die von mir angewandte Methode ihrer Bestimmung. Um (13) zu integriren, setzen wir MENAGER Benin EN AU DT (15) wo 2 ein Correctionsglied ist. Die Coefficienten A und В sind durch (6) bestimmt, sodass die Bedingungen (5) bereits durch die ersten zwei Glieder in (15) erfüllt sind. Für z erhalten wir daher die Grenzbedingungen Wir setzen (15) in (13), lassen die Glieder höherer Ordnung weg und berücksichtigen, dass (10, a) der Gleichung (10) genügt. So erhalten wir für г die Gleichung d?z dx? — nr = mn (a, — 20,) (Are + Be?) + 2АВта,......... (17) Das Integral dieser Gleichung lautet = = (и — 2) (Ae"” + B'e 27) —24Ba,+ C'e+ ("ет "...... (18) Für unendlich lange Stäbe haben wir, s. (11), А = 0 und В = T zu setzen; statt (16) bleibt die eine Bedingung г = 0 für æ = 0, welche С’= 0 und Es = (a, — За.) T° ergiebt. Dies in (18) und (18) in (15) eingesetzt, giebt die Poisson’sche Formel (14). Für Stäbe von endlicher Länge / haben wir С" und С” in (18) aus (16) zu bestimmen. Wir erhalten / 2 АВи ng A2 (ent — ИА) 1p2 C= AT (а, Р-Р ..,..,... (19) eng eng ето rer ins und einen analogen Ausdruck für С”, wenn A und В vertauscht werden. Nun setzen wir €’ und О" in (18), dieses in (15) und machen x —0. So erhalten wir die Temperatur £ in der Mitte des Stabes und zwar re р: 1 Dir er (m — 2m) (4° Ве" (Ir e? +0") + ба, AB | (20) wo A und B in (6) gegeben sind. Nun ist ken | 1+enl Mémoires de l'Acad, Imp. 4. sc. УП Serie, 2 10 О. Снмогзом, Setzen wir diese Grösse gleich $, so erhalten wir die erste Annäherung (Г) I D AL (DER De ER RL (22) 1+ ем 1 Den hieraus erhaltenen Werth von e"2 können wir in die Correctionsglieder von (20) einsetzen. Bezeichnen wir denselben vorübergehend mit @, so ist na аи ee (23) und aus (22) лее ©). (24) Nun ist aus (6) BI Nee ATi) PE RE ee CE) Entnimmt man ©° und @°’-+1 aus (24), so wird zus 12Ф— 8. Вы Tip—t ES Se und Ben, - Dies giebt, wenn wiederum 1-+ @? aus (24) eingesetzt wird, 2 2 (T?+ T,? — 21?) t9 À АВ ее | и (25) a (T T,— t?)to BIN nee Für den noch in (20) vorkommenden Factor erhalten wir (7, - 7.) Ф = Tee NRA ee Her) EEE 4 t - hr u Setzen wir (21), (25) und (26) in (20), so kürzen sich alle @ und es bleibt | | ; ne пы lat WIR) RER. (27) gi (T2 + 72? — 2) (+ +)+6(N T,— Mt За, (7? 72 — 21) (T, + T, Ht) (28) ER (+ T, +26 (T, +7) DIS UD ET EEE TE 4 Um nun endlich e”? zu finden, setzen wir aus (27) I eNT (Т, + Т,) ‚on. #(1 2 8) 1+enl und hieraus ny ТТ, + ИТ, + D 481 в 2-8) | | | | UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 11 oder „nF à ee a (29) Fa 2t LT EL AE Führen wir statt В seinen Werth (28) ein und logarithmiren wir den Ausdruck, so erhälten wir endgültig >| = je Ti+ Te VE TP AR а (TH TROP) (Ti Tott) 6 (ТТ, Ва | 2t 3 (Li + TL, +28 V(T, + T,)? — 48 2, (T2+T?— (ТТ, +9 | NET RDV ne ав .(30) + Für den, practisch nicht wohl durchführbaren Fall, dass 7, = T, = T ist, vereinfacht sich der Ausdruck in hohem Grade und wird те ТИВ а (T9 (T+20 , в (M+00T+0) ee t 3 T2 = {2 3 vT? в Na) Wird ein Stab an den Enden bei den Temperaturen 7, und T, erhalten und die Temperatur # im mittleren Querschnitt beobachtet, so lassen sich die Coefficienten der Gleichung (30), in welche die drei Unbekannten я = a, und ©, linear eingehen, berechnen. Variirt man 7, und Т,, so ergiebt jede Beobachtung eine neue Gleichung. Durch Variation der Beobachtungen kann man eine beliebig grosse Anzahl von Gleichungen erhalten und . 1 D 2 aus diesen #-—-, а, und о, bestimmen. Aus der ersteren Grösse findet sich, s. (10), das Verhältniss I » Cap. Ш. Stationärer Wärmezustand in einem Cylinder von endlicher Dicke. In diesem Capitel sind einige neue Bezeichnungen eingeführt. 1, В, Л, k, x und п haben die früher angegebene Bedeutung. r die Entfernung eines Punktes im Innern des Cylinders von seiner Axe; r variirt von 0 bis А. Te | N c=R-- eine Constante, von der Dimension Null. y die Temperatur, als Function von & und r. 21, 2%, 2з,.... 2... die positiven nach wachsender Grösse geordneten Wurzeln der Gleichung :L)=ch(@), wo I, und Z, die Bessel’schen Functionen von der Ordnung Null und Eins. 2* 12 | 0. CHwouson, Mis т.,....т,,.... еше Reihe von Grössen, definirt durch m, В = 2;. : т 1 9, (r) die Temperatur an der Grundfläche д = — =. $? 9, (r) dieselbe bei & — +. p, (7) = T, und ®,(r) = Т,, wenn jene Temperaturen als Constante angenommen wurden. Für den Fall der Gleichheit setzen wir, wie früher 7 = Т, =... y, und у, die Temperaturen in den Mittelpunkten der Grundflächen, also y, = 9, (0), У» = $. (0). t die Temperatur für den mittleren Querschnitt (x — 0), als Function von 7. t, die Temperatur für æ — 0 und r = 0. t die Temperatur am Rande des mittleren Querschnittes, also für х = 0, r = А. Die Temperatur y eines Cylinders, als Function der Cylindercoordinaten 2 und r, genügt im stationären Zustande der Gleichung EE ор .(32) da? dr? r dr Setzen wir Ja ment @) oder de à de ele Da (33) y= Bet U(r) so wird U,(r) durch die Gleichung a Sun D 10062) definirt. Die Bessel’sche Function 1, (2) vom Grade Null genügt bekanntlich der Gleichung ат т ап or, um), а ee NE En oc (35) Die Gleichung (34) kann man in der Form FUN PER ROC О и ааа (35, а) am? mir аб) schreiben. Vergleicht man dies mit (35), so sieht man sofort, dass U Lime. a N ие. ist. Das vollständige Integral von (34) ist MT dz U;(r) = I,(m;r) | 0, [ее | i MiTo UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÂRMELEITUNGSFÂHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 15 = Es ist leicht nachzuweisen, dass U,(r) nur dann für х = 0 und r > 0 endlich bleibt, 4 wenn C, = 0 ist; dies beruht darauf, dass bei Ausrechnung des zweiten Gliedes in den ni. Klammern ein Glied von der Form Igr auftritt®). I Es bleibt also 4 y =) Ka + Be" a И ne (37) | In dem mittleren Querschnitt haben wir x == 0, also die Temperatur | | $ => (CAC CAN AC CRE PUR Are A PA NA IE (38) 4 Im Centrum desselben, da Z, a ist, s. w. unten (48), } = У, +в) О PRET AA (39) | und am Rande 1 =D (+8) I,(miR).. ERROR (40) р 4 Die Grenzbedingung an der Manteloberfläche lautet Bekanntlich 4 | br о О re, (41) к | в. Setzt man (37) hier ein, so erhält man (me) + Е Lee (42) 4 Nun ist aber) 4 al, ; и. (43) в. wo I, (2) die Bessel’sche Function vom Grade Eins. (42) verwandelt sich daher in | В Tem Ab aan, (44) Setzt man zur Abkürzung Ed zen den И. RE (45) und О о Rae N its à (46) so bleibt CT GE N tn A en (47) Die in (37) vorkommenden Grössen m, werden also durch (45) und die Wurzeln der transcendenten Gleichung (47) bestimmt. 8) Dronkel. c., р. 39, s. die Function О (x) daselbst. | 9) Б. 2. В. С. Neumann. Theorie der Bessel’schen Functionen. Leipzig 1867, р. 20. 14 О. CHWOLSON, Es ist 22 24 26 23 LEE SR a ee (48) al 22 LÉ 26 = — ut м (49) Die in (37) bis (40) auftretenden Coefficienten «, und В; werden durch die, für die beiden Grundflächen gegebene Temperaturvertheilung bestimmt. Es sei nun an der ersten Grundfläche == — Fa A Ce (50) y=®, (r) | und an der zweiten = = ) | ee D (51) у = $, (и) wo 9, (7) und ф, (7) gegebene Functionen von r sind. Aus (37) erhält man : ee ee ф, (7) =» [ae + be” 2 | I,(m,r) | [I (el < Не me ( Be ae "7-4 B,e 2 | (ти) Nehmen wir nun an, dass die Functionen о, (7) und o,(r) der Art sind, dass sie sich durch Reihen von der Form 90)=»,a,I,m,r) Po (r) > b, I, (m, r) р J darstellen lassen, wo die I,(m,r) der Gleichung (42) genügen. Die Berechnung der Aus- drücke für die Coefficienten a, und b, ist bei Dronke (1. c., р. 44) angegeben. Da aber die von ihm gewählte Bezeichnungsweise von der hier gebrauchten beträchtlich abweicht, so dürfte es nicht überflüssig sein die Entwickelung hier kurz zu skizziren. Aus (53) erhält man R R IE (r) r I,(m,r) => а; > IL mr) та (54) 0) й “о я Die Integrale rechter Hand sind sämmtlich gleich Null, ausser demjenigen, für welches z—=% ist. Entnimmt man nämlich der, durch Einsetzen von (36) modificirten, Gleichung (34) die Grösse Z, (m;r), so wird r I,(m,r) I, (m,r)dr = о 2 (MS — m, ) r I,(m,r) I, (m, r)dr— R ER r I, (m; r) I, (m; r) dr =. = Оввев DIE ABHÄNGIGKEIT DER W ÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 15 Durch partielle Integration erhält man rR ER FH 1 dllm;r) 1 an fe r I, (m, r) 1, (тит) dr = r I, (m, r) En? dre mA, dr 0 „В а (тут) А (тут) di, (тут) 4 mir, ZONE) y dr — RL, (т, В) (ne au 0 Verwechselt man die Buchstaben 2 und % und subtrahirt die so erhaltene Gleichung von der vorhergehenden, so erhält man Sam dR r I,(m,r) I,(m,r) ar = RA I, (m, В) о I, (n a | . (55) р Ersetzt man die Differentialquotienten rechts vermittelst (4 2), so erhält man sofort В r I,(m,r) IL, (m,r) dr = 0. Für 2 = erhält man aus (55) einen Ausdruck von der Form ©. Es ist 0 I, (m,r) о 1 (т) 9 ;B) 5 mi тр Mk = My Auf die übliche Weise, durch Differentiation von Zähler und Nenner nach m, erhält man unter Berücksichtigung von (42): (me + =) В? 1, (m, В) 2т;2 Aus (54) erhält man nun a, und analog 6,: R 2m? | фи (r) Io (mjr) dr 210 ПЕ IN PET ANT CET ‘ (mer ge) пе (m; R) а (56) В 2т,;? | фо (т) I, (m;r)dr DIR > i h2 Fer (mi 4 = То? (m; В) 16 0. CHwoLson, (53) und (52) ergeben nun die Gleichungen, durch welche die о, und В; in (37) bestimmt werden und zwar а, ME + B; PE =} Die Temperaturen an den verschiedenen Punkten des Cylinders werden also durch (37) — (40) bestimmt; die m; sind durch (45) und (47) definirt; ©, und В; durch (57), (56), (50) und (51). Damit die Entwickelung (53) möglich sei, müssen die Functionen @,(r) und o,(r) gewissen Bedingungen genügen, auf deren Existenz Herr Akademiker A. Gadolin mich aufmerksam zu machen die Güte hatte. Ist die Reihe für о, (r) in (53) convergent, so hat man auch Für r—= В muss auch diese Reihe noch convergent sein. Multiplicirt man nämlich (52) mit = addirt sie mit (58) und setzt dann у — А, so ist wegen (42) d 7 rn ) ee. (59) Da somit .die Summe beider Reihen für r= А Null giebt und die eine Reihe con- vergent ist, so muss es auch die andere sein. Die Gleichung (59) drückt eine Eigenschaft der Function @,(r) aus, die durchaus erfüllt sein muss. Wir wollen nun einige Functionen, welche der Gleichung (59) genügen, aufsuchen. Setzen wir versuchsweise N lan) nun ES (60) so giebt uns (59) die Bedingung, s. (46), ’ k eT, ne инь 61 a wi en also à 12 : nt = | | о. (62) Wir werden weiter unten sehen, dass die с in den meisten practisch vorkommenden Fällen kleine Grössen sind, sodass die durch (62) definirte Temperaturvertheilung an der Basis des Cylinders nur wenig von einer constanten abweicht. Setzen wir D, (7) =D Gr br, sen. are UBBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 17 so sind die а und b der Bedingung BU О о... (64) р. unterworfen. Br N Es ist klar, dass jede Function von der Form Е а о Rent) 4 | wo die A, Constanten sind, ebenfalls der Gleichung (59) genügt. в Wir wollen nun für den Fall 4 En. - ф, (") = p, (7) = Та" => a, I, (т, т) | в р С ER, (66) cr | об =: (26) Е? J die Temperaturvertheilung im Stabe factisch ausrechnen. Die durch Einsetzen von (66) in (56) auftretenden zwei Integrale sind leicht zu berechnen. Es ist erstens R m; BR m; В т; В 1 Een 1 421, (г) 1 al, (г) 5 "1 (т,") Ч — os 2.1, (2) 42 = — пт Я 1 ЕщЕ 2—9 5. (35) 0 0 0 0 Durch partielle Integration des ersten Integrales erhält man, bei Beachtung von (42), В © 1, (т; т) а" — 2; ВТ т, В) = ит 1, Е (017) 9 | ` Zweitens ist 2 R m В - (т) = | #1, (de a о 0 zu berechnen. Aus (35) folgt ; 21) =4(— ne). Es ist also - 8 £ 21,2 аг = | 2а(— a. x 0 0 Mémoires de 1`Аса4. Гор. 4. sc. VII Série. t 3 18 О. CHWOLSON, Durch partielle Integration erhalten wir * & SI (D di = 281, (0 +44 — 2) 20. 0 Es ist daher R à ee 2тр R®— В-. (4— m? RM) I (m,r) dr = —— >; —————— (2 0 Die in (56) auftretenden Integrale sind unter der Annahme von (66) nun leicht zu 8 berechnen. Es ist, 9, (N = 9, (r) = 9 (r) gesetzt, . т 7 2т;? В? — c(4— т;? В? - rp(r) L (mr) dr = = № (mE) тео PR Т(т,В) ;- и м 0 hieraus R à 2 P2 ld meR? . rs re (r) Тоту) dr = Lo (on, В) {1 — Ze); ne 4 0 oder Е ref) Г (т.т) а = СТОЙ... бота ets 0 Dies in (56) gesetzt, giebt пе $ тр (2 + 6) (m? R? + 6) I, (m; В) Aus (57) erhalten wir are Зет | Be EN RER a ED 5 (71) ae R?m?(2+c) (m°R2+ с?) I (MR) (eig не Mia) | Er a Endlich ergeben (37) und (38) 8c? 17,5 MT Le —- mix Yy = om LD re nee ne UE) tler eus (72) $ 5 eig не My ae 2 1 То (mir) (re one: TI, meme т 7 anne (78) eMig me Та ‘ UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 19° Obwohl die Formeln (72) und (73) nur für den durch (66) definirten Specialfall gelten, so sieht man doch ohne Weiteres ein, dass die in diesen Formeln rechts vom Punkte stehenden Factoren unter dem Summenzeichen jedenfalls stets auftreten müssen. Die For- meln (72) und (73) gelten unter der Annahme, dass ©, (r) = о, (r) durch (66) gegeben seien und dass diese Functionen in eine Reihe von der Form (53) zerlegt werden können. Ob aber die durch (53) und (70) definirte Reihe wirklich convergent ist und für alle т zwischen r — 0 und r = À den Grenzwerth (66) besitzt, müsste erst durch weitere Unter- suchungen "festgestellt werden. Wir haben dieselben indess nicht nöthig, da wir aus den folgenden allgemeinen Formeln die für uns weiter unten nöthigen Schlüsse ziehen können. Aus (37) folgt bei ganz allgemein д 1 1 == Dale" Her) Lan). i Vergleicht man dies mit (53), so sieht man, dass allgemein ai ( eig нет» ist, wie man auch aus (57) sieht. Wir haben also die zusammengehörigen Formeln — N: a ann) = D a № (ir) | р т a ет Le mit | PERS ren 5 . 2 Е. (73, a) . $ eMig Ze Ming J Besteht die Reihe für о, (r) = ©, (r) aus nur Einem Gliede, so gilt dasselbe für die Grössen y und é. | = Wir wenden uns nun zur speciellen Untersuchung der Grössen m,, welche mit den Wurzeln der Gleichung 2; 1, (ei) = CI, (@) durch verbunden sind. Es handelt sich also hauptsächlich um die Grössen 2;. Wir haben es nicht nöthig die Gleichung (74) für ein völlig beliebiges e zu untersuchen, können uns 3* 20 О. CHwouson, vielmehr auf solche Werthe von с beschränken, welche in der Theorie der Wärmeleitung praktisch möglich sind. Die Grösse с ist eine absolute Zahl, abhängig von À, № und nn jedem Cylinder ent- spricht eine gewisse Zahl c, die von der Länge desselben übrigens unabhängig ist. Wir wollen das Millimeter als Längeneinheit nehmen; R ist von der Dim. [Z], - von der . Dimension [ZT]. Es zeigt sich nun, dass für Metalleylinder von nicht geradezu enormer Dicke, die Grösse c ein kleiner Bruch ist. Für einen geschwärzten Kupferstab ist nämlich ungefähr # = 0,00005 (Millim.) =". Ist der Radius des Cylinderquerschnitts z. B. R= 20 Mn, was doch einem bereits recht dicken Cylinder entspricht, so haben wir c—0,00% Für einen blanken Stab werden die Grössen noch kleiner. Ist die Wärmeleitung k für einen Stab 10 mal geringer als bei Kupfer und die Dicke des Stabes 400 Mm., oder k vierzig mal geringer als bei Kupfer und die Dicke gleich 100 Mm., so wird erst 6 =. 1. Nun ist für Blei # rund 12 mal kleiner als für Kupfer, für Quecksilber etwa 60 mal. Ausserdem wird man bei Experimentaluntersuchungen schwerlich dickere Stäbe benutzen, als etwa À = 15 bis 20 Mm. (also 2 В = 30 bis 40 Mm.). In allen diesen Fällen ist с hôchstens gleich 0,06. Die weiter unten folgende Untersuchung der Wurzeln bleibt durchführbar, auch wenn | e=0,5 ’ wird, also für recht dicke Cylinder, aus sehr schlecht leitendem Stoffe. Für Metalleylinder, deren Wärmeleitung bis zu 20 Mal geringer ist, als die des Kupfers und deren Dicke 30 Mm. nicht übersteigt, ist с nicht grösser, als 0,08. Um die Wurzeln 2; von (74) zu finden, stellen wir, s. 4. Figur, die Functionen 7, (2) und Z (2) graphisch dar. Für die Werthe von 2 von 0 bis 15,5 benutzen wir die Tafel von Е. Meissel'®), für 2 von 15,5 bis 20 die von Е. Lommel!') geänderte Tafel von Hansen. In der Ersteren ist das Increment der Tafel gleich 0,01. 10) E. Meissel. Tafel der Bessel’schen Functionen 11) E. Lommel. Studien über die Bessel’schen Func- IP und 1;!. Berlin, 1889. tionen. Leipzig 1868, p. 130 und 131. Ben -. UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 21 Durch Betrachten der Figur 12) lassen sich die ungefähren Werthe der Wurzeln leicht angeben, Erstens zeigt die Gleichung (74), dass 7, (2,) und I, (2,) gleiche Vorzeichen haben müssen. Hieraus folgt bereits, dass die z, nur in den Gebieten zu suchen sind, welche in der Figur durch volles Ausziehen der Abscissenaxe hervorgehoben sind. In jedem dieser Gebiete, IN AT] À [| ЕЕ т ЕЕ die überdies nummerirt sind, befindet sich je eine Wurzel. Bis 2 = 20 haben wir also sieben Wurzeln. Von diesen ist die erste z, von den übrigen in Bezug auf die Art der Auffindung wohl zu unterscheiden. Wir wenden uns zuerst zu den Wurzeln 2,, 2,.....,2,. Den Werthen von z, welche Л (2) = 0 werden lassen, entsprechen die Maxima oder Minima von J, (2), wie aus (43) folgt und mit solchen 2 beginnt ein jedes der zu untersuchenden, je eine Wurzel enthaltenden Gebiete. Man überzeugt sich nun leicht, dass die gesuchten 2, sich stets ganz am Anfange eines jeden dieser Gebiete befinden und sich also nur wenig von den Wurzeln der Gleichung 1.2) 0 unterscheiden werden, und zwar ist dies um so mehr der Fall, desto grösser $ ist und desto kleiner с. Nehmen wir 7. В. $ =4, also die vierte Wurzel, die in dem vierten Gebiet, zwischen 2 = 10,17 und 2 = 11,79 zu suchen ist. Setzen wir für с den sehr grossen Werth 0,1 (für unseren Kupferstab ist с = 0,0006862). Aus der Gleichung = 2) 0.1 (8) folgt, dass 7, (2,), multiplicirt mit einer Zahl, die jedenfalls grösser ist, als 10,17 gleich sein muss 0,1 von ЛД (2,), dessen Maximumwerth gleich 0,2497 ist. Da nun mit wachsendem 2 die Function Г (2) grösser, I, (2) aber kleiner wird, so sieht man sofort, dass sich 2, nur wenig von der Zahl 10,17.... unterscheiden kann, mit welcher das vierte Gebiet beginnt. Die sechs gesuchten Wurzeln 2, bis 2, sind also an den Stellen zu suchen, welche in der Figur durch Kreuze (X) bezeichnet sind. Die genaueren Werthe der z, bis z, findet man 12) Die in der Zeichnung längs der Curven markirten Puncte haben für das Vorliegende keine weitere Be- deutung. 22 О. Cawozson, leicht mit Hülfe der oben erwähnten Tafeln indem man 2; = 2, + « setzt, wo 2, der am Anfange des i-ten Gebietes stehende Werth ist, für welchen Z (2,) = 0 ist. Die z;, also zugleich die ersten Annäherungen der gesuchten z,, sind gleich 2 Г. | ; 1016 2 и af 13,3036: 2: 6 ее (76) 2 oA. ; ee 1@) 0 J Um zu zeigen, wie sich für verschiedene с die 2; von den z, unterscheiden, sollen hier gleich einige Zahlen angegeben werden und zwar für с = 0,0006862 (geschwärzter Euer - stab, В — 13.07 Mm,), с = 0.01] ande = 0% Tabelle II. с = 0,0006862 с = 0,01 ce = 0,1. BLUE M3, 88004 3.884394 7.8.8577 2.2 701589 7,01702 7,02221 &.%....110,19883.1 1 1017444 41018801 240... 13,328 70 1880445 01353119 2. 0 164707 16,4711 16,4778 2..... 19,6159 19,6166 19,6210 Bedenkt man nun, dass die z,, 2. nur in Correctionsgliedern vorkommen, so sieht man, dass für с < 0,01 ohne grossen Fehler die z, durch die 2, ersetzt werden können, besonders : von 2, angefangen. Wir wollen noch bemerken, dass sich die z, nahe um r von einander unterscheiden '°). Wir wenden uns nun zur Aufsuchung der ersten Wurzel 2, der Gleichung (74), welche sich in dem Gebiet 1 der Figur befinden muss. Es ist also jedenfalls DA D AV EE Man kann nun leicht nachweisen, dass wenn с nicht zu gross ist, auch г, ein kleiner Bruch ist. Nehmen wir 7. В. с = 0,01. Die Gleichung lautet dann I,@)=0,011,()). 13) Bessel. Abhandl. der math. Cl. d. Ac. d. Wiss. z. Berlin, 1824, р. 39, — Lommel,l. c., р. 65. у + A deb. Г. 2 и: JR 4 SR un 3 2 Pr UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 23 Die Grösse Г (2) sinkt von 1 gegen Null; das Product linker Hand ist also jedenfalls kleiner, als 0,01. Ein Blick auf die Figur zeigt nun, dass 2, bedeutend kleiner als 0,5 sein muss, denn für diesen Werth von 2 ist 2 I, (2) grösser als 0,1. In der That findet sich (s. w. unten) 2, = 0,141.... Benutzt man die Tafeln der Г, und Г, so kann man sofort sagen, wie gross c sein müsste, damit z, einen gegebenen Werth erhält. Damit z. B. z, — 0,6 würde, müsste с = 0,188 sein; es ist 2, = 1, wenn с = 0,588 ist. Man bedenke, dass für einen geschwärzten Kupferstab, 26,15 Mm. dick, c = 0,0006862 ist; in diesem Falle ist (s. w. u.) 2, = 0,0370427.... Noch auf andere Weise lässt sich zeigen, dass für kleine с auch z, ein kleiner Bruch sein muss. Will man nämlich von der Formel (37) zu der für unendlich dünne Stäbe gültigen Formel (1) oder (10,4) übergehen, so hat man 5 va METRE В zu setzen und zugleich m, r = 0, 4. В. (т.т) = 1 anzunehmen. Die Summe in (37) reducirt sich also auf ein Glied und jenes m, ist eben der Werth von m, für unendlich dünne Stäbe. Es ist also die erste Annäherung von m, У2с | m = N —= ПН OO о окраске (7 7) Die erste Annäherung von 2, ist also nach (75): H=nR= VIRE = VI Е Е (78) Genau dasselbe Resultat erhalten wir, wenn wir in die Gleichung EINEN CR (CRE AP ASP mnt As al (79) als erste Annäherung, s. (48) und (49) ? I (2,) + und = setzen. Es bleibt ET oder 2—V2c, Wir wollen nun für 2, zwei weitere Näherungsformeln aufstellen. Da in den Formeln (70) bis (73) im ersten Gliede die Grösse I, (m, В) = I, (2,) eingeht, so wollen wir, wenig- stens in einem Falle, auch für Г, (2,) entsprechende Näherungsformeln berechnen. Die Gleichung (79) lässt sich, s. (48) und (49), in der Form EI 216 ме ВЕ 21“ 21° à т en nr Ч ane onu ee De (80) schreiben. 24 0. Cuwouson, Da nun 2, ein kleiner Bruch ist, so können wir vorerst, also als zweite Annäherung, die Glieder mit höheren Potenzen als z2,* vernachlässigen. Es bleibt HERR 2 4 4 ег)... ne (81, a) und 2 4 аа (81,Ъ) Ве! genügend kleinem с werden wir 2 Da) 0 00, 0 ....(82,a) [Я . setzen dürfen. Eine weitere Annäherung, über die wohl kaum je hinausgegangen zu werden braucht, finden wir, indem wir in (80) statt z, setzen, alle höheren Potenzen von a vernachlässigen und berücksichtigen, dass z,® der Gleichung (81,a) genügt. Wir erhalten г (2) Е 7 12+6c+ce fi und folglich (5) 28 12 + 6c Me 2, FRE 12 + 6c + с? ARC CAT ee + + 5,183) Das zugehörige I, (2,) muss durch Einsetzen dieser Grösse in 2.2 24 2.6 * nor ea. Ber berechnet werden. In den allermeisten Fällen, werden uns die Gleichungen (82) die gesuchten Grössen 2, und J,(2,) mit genügender Annäherung liefern. Man sieht dies am ein- fachsten aus der unten folgenden Tabelle, die für с = 0,0006862, с = 0,01 und с = 0,1 gilt. ОЕвев DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 25 Tabelle III. с = 0,0006862 с—0,01 с—=0,1. SE Sr te 0,037045902 0,141421356 0,4472136 у 8c = Re Eure _0,037042738 0,1412449 0,4417261 3) *`'. 12-5 6с 8с > nella cn 0,037042737 0,1412438 0,4413757 Die Ausdrücke (82), (83), die Zahlen (76) und die an Letztere geknüpften Bemerkungen enthalten Alles, was wir zur Bestimmung der Wurzeln z, der Gleichung (47) brauchen. Sind die 2, gefunden, so erhalten wir die in (37) — (40) vorkommende Grösse m, aus der Relation (45): ' Wir wenden uns zu einer genaueren Betrachtung der Wärmevertheilung, hauptsächlich im mittleren Querschnitt und wollen uns zuerst dem durch (66) definirten Falle zuwenden. ÿ в. Durch Einführung der 2, in die. Formeln (72) und (73) erhalten wir | | о Рыси 4 UT ae 2 22 (ай с) (а) Е Т (т.т) LT ИЕ (85) 16 с? 1 I, (т; т) | р cn T TRES ANA И Bun nn rd ' ое > 27 (2? + с?) D (2) ANNE (86) ; Wir stellen zuerst die Frage nach der Schnelligkeit, mit welcher die letzten beiden Reihen convergiren. Das erste Glied ($ = 1) ist hierbei von den Uebrigen wohl zu unter- scheiden. Im ersten Gliede ist 2, = z, jedenfalls eine relativ kleine Grösse, wie man aus Tab. III sieht, während in den folgenden Gliedern die 2, durch (76) gegeben sind. Der Factor 2 (2? + с’) ist, wenn с = 0,0006862 gesetzt wird, bei ö—=1 rund hundert Mil- 4 lionen mal kleiner, als bei $ = 2 und selbst für с = 0,1 noch rund 7400 mal kleiner. Andererseits werden die 1, (2,) mit wachsendem 2 kleiner. Es ist I, (z,) nahe gleich Eins, I, (2) = 0,403 u. s. w. Die ferneren I, (z,) sind nahezu die aufeinanderfolgenden Maximum- werthe der Function I, (2), welche, wie man aus der Zeichnung sehen kann, langsam ab- nehmen. Auf jeden Fall ist aber, ganz abgesehen von dem Factor 1 das zweite Glied von (85) und (86) klein im Vergleich mit dem ersten. Da nun die m, den 2; proportional sind, so ist jedenfalls m, bedeutend grösser als m,. Hieraus folgt, dass, wenn Mémoires de l’Acad. Imp. 4. sc. VII Série. 4 26 5 0. CHwoLson, x nicht nahe gleich - ist, der Factor (87) für à — 2 sehr viel kleiner sein muss, als für i— 1. Man bedenke, dass wir (bei der Bestimmung von с) das Millimeter als Längeneinheit angenommen haben und daher / jedenfalls practisch gleich mehreren hundert Einheiten sein wird. Nehmen wir gleich den mittleren, uns am meisten interessirenden Querschnitt, für welchen (86) gilt und für welchen der Factor (87) die Form Re et NT В (88) eig не My annimmt. In allen practisch vorkommenden Fällen wird dieser Factor für? = 2 verschwindend klein sein, im Vergleich mit demselben bei: — 1. Für einen geschwärzten Kupferstab (А — 13,07 Mm., = — 272,5 Mm.) war 2. В. der Coefficient von Z, (m,r) im ersten Gliede der Reihe (86) еше endliche Grösse, während der Coefficient des zweiten Gliedes den Factor 107 3? hat. Dasselbe ist also völlig verschwindend im Vergleich mit dem ersten, welches in (86) allein zu berücksichtigen ist. Man überzeugt sich leicht, dass dies auch für (85) gilt, wenn sich z um mehr als 5 Mm. von = unter- scheidet. Wie bereits oben gesagt, ist die durch (66) und (70) gegebene Reihe insofern unsicher, als ihre Convergenz nicht nachgewiesen ist. Dasselbe gilt also auch für (85) und (86). Die allgemeinen Formeln (73,4) zeigen aber, dass für jede Function 9,(r)=9,(r), die sich in eine Reihe von der Form (66) zerlegen lässt, das eben Gesagte gelten muss. Setzen wir als einfachsten Fall фи (1) = ф. (7) =al(mr), so verbleiben in den Ausdrücken für y und $ in (73,a) überhaupt nur je das erste Glied. Wie man aus (82) sieht, entspricht diese Formel einer fast constanten Temperatur an den Endflächen des Cylinders. Ist | AU) = PA) = (mr), wo i> 1 so Ist N Fund. 7, — 0. N RE RS (88, а) für jedes x, das nicht nahe gleich =. ist. Es hängt dies damit zusammen, dass die Mittel- temperatur an den Endflächen für $ > 1 sich nur wenig von Null unterscheidet. Setzen wir sogar с = 0,01, so ist für à — 1 die Mitteltemperatur nahe gleich a,; für <= 2 ist sie gleich 0,005 a,; für à = 3 gleich 0,001 a, u. s. м. Für noch kleinere с gelten die Formeln (88, a) ohne Weiteres. In allen Querschnitten, für welche sich die Reihen (73, a) oder eventuell die speciellen (85) und (86) auf die ersten Glieder reducireg, ist die Temperatur y eine Function von der Form PRE PS ES PP RE EN AP ES m kr О АРЬЕ DPI TE ЧИН 22 3 ST Fin tan die Sn ne к а RER ET DES Бакы R en | | } . | 4 2 и UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 27 | | у=КАЬ (а), о. (89) wo К eine Constante ist. ö Die entsprechende Temperaturvertheilung wollen wir als normale bezeichnen. Wir finden sie in dem weitaus grössten Theile des oben betrachteten Kupferstabes und dürfen ohne Weiteres annehmen, dass sie, besonders für die mittleren Theile des Stabes, bei jeder Form der Functionen ©, (r) und $. (r) gilt, da ja die ausserordentliche Kleinheit des Factors (88) für à > 1 stets ausschlaggebend sein muss. Für den mittleren Querschnitt setzen wir also : 1 1—= АГ ( +) PRICE: LOIR SES AE APN CARE SN RP RER = wo A eine Constante ist. 021 ui ol Im Centrum des mittleren Querschnittes haben wir die Temperatur A M Re LINE, (91) und an der Peripherie | | и. (92) Das Verhältniss dieser Temperatur ist t r Fr UNTEN RE N RER RE (93) Für die Grösse rechter Hand hatten wir in (82) einen nur in extremen Fällen unge- nügenden Näherungswerth erhalten, so dass A AN. a — — || oder auch | lo ТС 2 с ee (94) ar р gesetzt werden kann. Wir wollen die Formel (94) an einigen Zahlenbeispielen anwenden. I. Geschwärzter Kupferstab, 26,15 Mm. dick und 545 Mm. lang. Es ist № — 13.07 Мю. > — 272,5 Mm. Directe Versuche nach der Cap. II erläuterten Methode Ben "= 0,000052502 und also Rt — c = 0,0006862. 94) giebt (99) gie о ра (95) Ist also 7. В. im Centrum des Querschnittes die Temperatur gleich 100°, so ist sie an der Peripherie gleich 99,9657°. II Cylinder, ebenso dick und lang als der vorige; die Wärmeleitung aber etwa 7 mal schlechter, als die des Kupferstabes. Es sei с = 0,004. (94) giebt № — 0,99800. Ist im Centrum des Querschnittes die Temperatur gleich 100°, so ist sie an der Peri- pherie gleich 99,8°. 4% 28 О. CHwoLson, VERSUCHE, Nachdem im Frübling 1889 an einem Kupferstabe eine Reihe vorläufiger Versuche gemacht waren, wurde im Herbst ein Messingstab einer vollständigen Untersuchungsreihe unterworfen. Ich wählte gelben Messing, da gerade für diese Legirung L. Lorenz (Wied. Ann. XIII, p. 598) einen verhältnissmässig sehr grossen Werth für den Temperatur- coefficienten а, der inneren Wärmeleitung % gefunden hatte. Der benutzte Messingstab hat eine Gesammtlänge von 810 Mm.; der Radius des runden Querschnittes ist 13 Mm. Die beiden Enden des Stabes sind ein wenig conisch verjüngt; dieselben wurden in Dämpfen von kochendem Wasser oder Anilin erwärmt. Zu diesem Zwecke wurde der Stab durch ent- sprechende Oeffnungen in zwei einander gegenüberstehenden verticalen dünnen Holzwänden so hindurchgesteckt, dass auf jeder Seite Enden von etwa 80 Mm. Länge herausragten, auf welche die zur Erwärmung dienenden Gefässe aufgesetzt wurden. Diese Letzteren (2 für Wasser und 2 für Anilin) sind cylindrische Kupfergefässe, 15 Cm. hoch und 11 Cm. breit. In der Mitte der Höhe ist seitwärts eine Kupferröhre eingesetzt, welche 8 Cm. tief in das Innere des Gefässes hineinragt und nach Aussen eine nur kurze Fortsetzung hat. Das innere Ende der Röhre ist geschlossen. In den Deckel des Gefässes sind zwei Kupferröhren eingefügt, von denen die Eine zur Einführung eines Thermometers dient, dessen Angaben übrigens nur ganz allgemein anzeigen sollten, ob das Sieden der betreffenden Flüssigkeit bei anhaltend gleichmässiger Temperatur erfolgt. Die zweite Röhre ist mit einem verticalen Kühlapparat verbunden, welcher die Wasser- oder Anilindämpfe beständig condensirt und in das Gefäss zurückfliessen lässt. Vermittelst der erwähnten Seitenröhren wurden je zwei solcher Gefässe auf die conisch abgedrehten Enden des Stabes fest aufgesetzt; die Gefässe berührten hierbei fast die Aussenseite der Holzwände, in deren Durchbohrungen die kurzen hervorragenden Enden der Röhren zu liegen kamen. In die Gefässe wurde Wasser oder Anilin gegossen und durch Gasflammen zu gleichföormigem Kochen gebracht; die Röhren mit den Stabenden befanden sich hiebei oberhalb der Flüssigkeit. | In den Stab wurden drei Löcher gebohrt, je 18,5 Mm. tief und 5,8 Mm. breit; die Entfernung je zweier Löcher von einander betrug 272,5 Mm.; die äusseren beiden Löcher waren etwa 50 Mm. von den Holzwänden entfernt. Der zwischen ihnen befindliche Theil des Stabes, 545 Mm. lang, war eben derjenige, an welchem die Temperaturen 7, AR und $ ge- messen werden sollten. Die Messung dieser Temperaturen geschah durch Thermometer von Fr. Müller (vorm. Geissler) in Bonn, deren sehr kleine cylindrische Quecksilberreservoire nebst daran UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 29 geschmolzener Röhre jene Löcher fast vollständig ausfüllten. Der, in dem unteren Theile etwas grössere Zwischenraum wurde nicht mit Quecksilber, sondern mit Glycerin ausgefüllt, von dem weniger als zwei Tropfen genügten. Der Vortheil des Glycerins, eines relativ guten Wärmeleiters, gegenüber dem Quecksilber ist ein doppelter. Erstens dringt das Hy in das Metall des Stabes ein und verursacht auf diese Weise eine bedeutende Aenderung der Homogenität. Ausserdem haftet aber das Нд nicht ап dem Glas des Thermometers; es zieht sich zu Tropfen zusammen, ohne den, besonders im oberen Theil der Löcher äusserst schmalen Zwischenraum zwischen Metall und Glas auszufüllen. Das Glycerin dagegen be- netzt gleichmässig Metall und Glas und füllt, wie man von Aussen deutlich sehen kann, jenen Zwischenraum vollständig aus. Das Einführen der Thermometer muss aber sehr vor- sichtig und langsam geschehen, damit keine Luftblasen in dem Glycerin bleiben. Die Ther- mometer wurden nach jeder Versuchsreihe, im ganzen dreimal, auf den Null- und Siede- punct geprüft; die beobachteten Veränderungen waren nur äusserst geringe. Zwei Umstände bedurften einer besonderen Untersuchung: erstens befand sich ein langer Quecksilberfaden des Thermometers ausserhalb des Stabes, was die Nothwendigkeit eine bedeutende Correction einzuführen veranlasste; es wurde zu diesem Zwecke auf übliche Weise an einem Hülfsthermometer die Lufttemperatur in halber Höhe des Quecksilberfadens abgelesen. Zweitens war bei einigen Thermometern der unterste Theil der Röhre, der sich unmittelbar an das Ag-Reservoir anschliesst, bedeutend verdickt und es ragte dieser ver- dickte Theil ein klein wenig über die Oberfläche des Stabes heraus, so dass die Befürchtung entstehen musste, dass die jenen Theil der Röhre füllende Quecksilbermenge nicht die richtige Temperatur des Stabquerschnittes annehmen würde. Um nun sowohl die Richtigkeit der Correction für den Quecksilberfaden zu prüfen, als auch den Einfluss des erwähnten unteren verdickten Röhrenendes zu bestimmen, bin ich auf folgende Weise vorgegangen. Ein Kupferkessel wurde halb mit Wasser gefüllt und mit einem dünnen Blechdeckel ver- sehen, der an der Einen Seite so in die Höhe umgebogen war, dass das Innere des Gefässes durch eine schmale unbedeckte Stelle mit dem äusseren Raume communicirte. In dem Deckel war ein kleines Loch gebohrt, durch welches das zu prüfende Thermometer eingeführt werden konnte. Das Wasser wurde anhaltend gekocht und zuerst die Temperatur der Dämpfe bestimmt, wobei die Correction für den herausragenden Faden auf die oben erwähnte Weise bestimmt wurde. Es zeigte sich, dass dieselbe mit grosser Genauigkeit dem gerade vor- handenen Luftdruck entsprach (99,79° bei 753,8 Mm. Luftdruck). Hierauf wurde eines der Thermometer, bei denen das untere Röhrenende die erwähnte Verdickung zeigte, nur so tief in das Gefäss eingeführt, wie tief es bei den Versuchen in den Löchern des Stabes ` drinsass; ein kleines Ende der Verdickung ragte heraus und das Thermometer befand sich in einer Lage, die derjenigen im Stabe in hohem Grade analog war (metallische Oberfläche и. $. w.). Nachdem die Temperatur sich eingestellt hatte, wurde das Thermometer etwa 5 Mm. tiefer eingeführt, sodass der ganze verdickte Röhrentheil sich unterhalb des Deckels befand. Hiebei stieg die Angabe des Thermometers um 0,2°. Als aber derselbe Versuch 30 0. CHwoLson, durch gleich tiefes Einführen eines anderen Thermometers, das keine verdickte Röhre besass, wiederholt wurde, zeigte sich genau dasselbe Steigen des Thermometers um 0,2°. Offenbar erklärt sich dieses Steigen dadurch, dass das Quecksilberreservoir bei der ersten Einführung sich sehr nahe am Deckel befand, der natürlich sehr stark Wärme ausstrahlte. Jene 0,2° entsprechen also offenbar einer factischen Temperaturdifferenz in der Nähe des Deckels; dieselbe wurde grösser, wenn das Wasserniveau im Gefäss sank. Durch das Herausragen des verbreiterten Röhrentheiles konnte also kein merklicher Fehler entstehen. Die Temperatur der Luft wurde durch zwei Thermometer bestimmt, die symmetrisch zu beiden Seiten des Stabes in einiger Entfernung aufgestellt und durch Pappdeckel vor directer Strahlung geschützt waren. Die Versuche wurden an dem Einen geschlossenen Ende eines länglichen, ehr hohen Zimmers ausgeführt, an dessen anderem Ende zwei einander gegenüberliegende offene Flügel- thüren in anstossende grosse Säle führten. Es zeigte sich, dass die Temperatur der Luft während der vielstündigen Versuche oft fast völlig constant blieb. Wurde das Mittel aus den mehrstündigen Anzeigen der beiden Thermometer genommen, so wurden in den meisten Fällen fast identische Resultate erhalten. Ich führe einige Beispiele an. 26. Oct. 89. Beide Enden des geschwärzten Messingstabes in Anilindämpfen. I Il 215 19,45 19,60 2,45% 19,60 19,70 EX Lo 19,75 19,75 845" 19,75 19,70 AE 19,75 19,80 445" 19,75 19,75 5°15” 19,80 19,80 Mittel 19,69 19.03 Thermometercorrection — 0,10 —0,17 Wahre Mittel 19,59 19,56. Unter I und II sind die eben erwähnten Thermometer zu verstehen. _ 18. Dec. 89. Das eine Ende des vernickelten Messingstabes in Anilin, das andere in Wasser. I II 115% 18,70 18,65 145" ‚ 18,90 18,80 ala 18,90 18,80 DAR: 19,15 19,00 EEE EBENE UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER W ÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. DL I II 3"15” 19,15 19,00 8*45" 19,15 19,00 Au lan 19,00 19,00 . Mittel 18,99 18,89 Correctionen — 0,08 = 0,00 Wahre Mittel ` 18:91 18,89. 27. Dec. 89. Beide Enden des vernickelten Stabes in Wasser. I IT 10*30” 18,15 18,00 11.07 18,10 18,00 11730” 18,20 18,05 192.08 18,15 18,05 12*30" 18,20 18,15 107 18,25 18,20 HO 18,25 18,15 Mittel 18,19 18,09 Correction — 0,08 == 0,00 Wahre Mittel 18,11 18,09. Drei Stunden nach Beginn des Versuches war der stationäre Zustand wohl in den meisten Fällen eingetreten und es wurden, von diesem Moment angefangen, die Tempera- turen der drei Thermometer halbstündlich, drei bis fünf Stunden lang angeschrieben. Die Temperaturen waren selbstverständlich nicht .constant, sondern kleinen Schwankungen unterworfen, die offenbar sehr verschiedene Ursachen haben konnten. Zu diesen gehörte eine merkliche Aenderung der Siedetemperatur des Anilin bei Aenderung des Barometer- ‚ бапдез um 1—2 Millimeter; ferner Veränderungen in der Grösse der Gasflammen, hervor- gerufen durch eine am Nachmittag eintretende Aenderung des Gasdruckes. Da jede zu- fällige Aenderung mehrere Stunden braucht um sich völlig abzugleichen, so konnten die drei gleichzeitig abgelesenen Temperaturen nicht als im strengsten Sinne des Wortes zu- sammengehörige Werthe betrachtet werden. Es wurden daher für jedes der drei Thermo- meter die Mittelwerthe der beobachteten Temperaturen genommen. Ich führe einige Beispiele an. Unter A, В und С sollen die direct an den drei Thermometern abgelesenen Temperaturen zu verstehen sein. 32 т ` 0. CHWOLSON, 4. 27. Oct. 89. Geschwärzter Messingstab an beiden Enden in Anilin. A ÿ B C 915” 133,45 81,95 135,65 245" 133,35 81,85 135,75 8115" 133,20 81,85 135,90 3:45" 133,20 81,95 135,75 Arm 133,30 81,85 135.60 ЧО 133,40 81,90 135,60 Mittel 133,32 81,88 ие An diese Mitteltemperaturen wurde zuerst die Correction der betreffenden Thermo- meter und dann die für den herausragenden Faden angebracht und zuletzt die Luft- temperatur (im obigen Falle 19,43°) abgezogen. Auf diese Weise wurden die drei gesuchten Temperaturen T = 114,44 t — 62,70 7, — 116,74 erhalten. d. 31. Oct. 89. Geschwärzter Messingstab; das eine Ende in Wasser, das andere in Anilin. Wegen guter Constanz der Zahlen sind nur vier Beobachtungen gemacht. A B C A7 he 131,80° 67,70° 83,70° 4307 131,90 _ 67,70 83,60 5° 07 132,00 -, 67,80 83,60 5'30" 132,00 67,75 83,60 Mittel 131,92 67,74 83,62. Lufttemperatur 18,64°. Hieraus es ae d. 25. Nov. 89. Geschwärzter Messingstab an beiden Enden in Wasser. A B C 1307 83,15 54,80, > 83,05 р 83,15 54,80 83,10 2730" 83,20 54,75 83,05 В 83,15 54,75 83,00 31307 _ 83,15 54,80 — 83,00- A N 83,20 54,75 83,00 Mittel 83,18 54 771 04 83,03. Lufttemperatur 18,17°. Hieraus T=6535 t=3652 T,—65,24°. EBENE RE à ÜEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 33 Es könnte scheinen, als müsste die Einbohrung dreier Löcher einen bedeutenden Ein- Auss auf die Art der Wärmevertheilung haben. Man muss aber bedenken, dass der der Untersuchung unterworfene Stab nur aus demjenigen Theile des Ganzen besteht, welcher sich zwischen den beiden äusseren Löchern befindet. Es befindet sich auf der Länge / also nur Ein Loch, dessen Dimensionen überdies nur klein sind. Ich habe für den Messingstab auch den Temperaturcoefficienten der electrischen Leitungsfähigkeit, resp. des electrischen Widerstandes bestimmt. Herr L. Lorenz hat bereits 1872 die Vermuthung ausgesprochen (Pogg. Ann. 147, p. 429), dass das Verhältniss zwischen der Leitungsfähigkeit eines reinen Metalles für die Wärme und die Electricität proportional sei der absoluten Temperatur. Die 1881 publieirten Resultate seiner Experimentaluntersuchungen bestätigten die Richtigkeit - dieser Vermuthung nicht nur für reine Metalle, sondern auch für Legirungen (Wied. Ann. 13, p. 598). Bezeichnet man die electrische Leitungsfähigkeit mit e, so lautet das Lorenz’- sche Gesetz wo T die absolute Temperatur und C eine für alle Metalle constante Grösse ist. Ist w der electrische Widerstand, so kann man auch kw CT. schreiben. Bezeichnet man ferner den Temperaturcoefficienten des electrischen Widerstandes mit ß, so erhält man j CORRE CERN RR (14-100 &,) (1 +100 8) = 1,367 als Ausdruck des Lorenz’schen Gesetzes. Uebrigens schwanken die von Lorenz gegebenen Zahlen für (1 + 100 &,) (1-+ 1008) zwischen 1,294 (Antimon) und 1,530 (Eisen). Für gelben Messing fand ich | OR Ai ee ve ln О 1+1008—1,2148. Die Grösse В bestimmte ich auf folgende Weise. Von Herrn Mechaniker Petermann wurde ein Stück eines Stabes von derselben Sorte Messing von etwa 145 Mm. Länge bis auf eine Dicke von 22,4 Mm. abgedreht und dann zu einer Röhre von 0,65 Mm. Wand- dicke ausgehöhlt. Der mittlere, 70 Mm. lange Theil der Röhre wurde spiralig zu einem Draht von etwa 4,5 Meter Länge und 0,5 Qu.-Mm. Querschnitt aufgeschnitten. Zu beiden Seiten blieben kurze, ringförmige Stücke von je 6—7 Mm. Breite stehen; die je 30 Mm. langen Enden der Röhre wurden ebenfalls spiralig zu etwa 2,5 Mm. breiten und 60 Cm. langen Bändern aufgeschnitten. Der so erhaltene Draht wurde, ein wenig auseinandergezogen (so dass sich seine Windungen nicht berührten), auf einer Glasröhre befestigt, während die breiten Ränder dazu dienten, den Draht in die Kette einzuführen, indem sie direct in Queck- Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 5 34 О. CHwoLson, silbernäpfchen tauchten. Für den Temperaturcoefficienten В des electrischen Widerstandes wurde В == 0,00214 3:1. LASER OT Ur (c) gefunden. Mit dem Messingstab wurden zwei Versuchsreihen ausgeführt. I. Erste Versuchsreihe. Der Stab war mit einer Schicht schwarzer matter Farbe bedeckt. Um mit Hülfe der Gleichung (30) die drei Grössen » = а, und «, zu finden, müssen drei zusammengehörige Werthe von T°, 2 und 7, beobachtet werden. Dies geschah durch Beobachtung des stationären Temperaturzustandes, wenn erstens beide Enden in Dämpfen von kochendem Anilin erwärmt wurden, zweitens das eine Ende in Anilin, das andere in Wasser, drittens beide Enden in Wasser. Die Gleichung (30) kann in der Form nt —=a—ba, + са, сс. (а) geschrieben werden. Ich führe nun die sämmtlichen Beobachtungen an. 1. Beide Enden in Anilin; fünf Versuche. T, t T, а b € 112,96 61,20... 113,22 1924901 © 42,829 1050 08 112,24 60,87 112,09 1,220992 42,448 51,756 112,10 61,96 116,75 1,223224 43,994 52,896 114.44 | «62,70 ^ 11674 2 713222834 143 7440058008 113.85 6239 + 116,18 L 1122140600 4753200053 00m Mittel 1,222549 43,180 . 52,522. 2. Das eine Ende in Anilin, das andere in Wasser; sechs Versuche. T, t T, а b @ Зое ЧЕ 65,36 1,207130 34,615 45,429 173,04 49,34 65,69 1,201489 34,808 45,780 113,21 49,54 65,55 1,195518 34,372 44,937 66,34 02050440 117,11 п 5543, 1, 16,09g 6678 ..50,97 118,05. 1.201696 ° 35.651 46929 66,13° ‘5112 „118,43 1,196808 2189007000 A605 Mittel 1901911 35,076 46,113. } 11 ve > TED ne u LE 0 PET ES OT TS u ды ÜEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 35 3. Beide Enden in Wasser; sechs Versuche. У $ bil, a b € 64,81 36,38 64,71 1,179453 24,284 2192295 65,37 36,79 65,41 1,175746 24,614 29,679 65,61 90.75 65,56 1,182607 24,608 29.712 65,35 36,52 65,24 1184772 24,516 29,615 65,70 36,80 65,23 1.178139 24,542 29,601 64,62 36,29 64,02 1,174204 24,102 29,055 Mittel 1,179253 24,444 29,493. Durch Einsetzen der Mittelwerthe von a, b und c in die Gleichung (d), erhalten wir 1 n— = 1,222549 — 43,180, + 52,522 а, п > = 1,201211 — 35,076, + 46,113а, п = 1.179253 — 24,444 и, + 29,493 a. Hieraus erhält man 1 п —1,122359 ......................... (e) UNTEN ARRETE ея ния (Г) ВОО О ааа. (9) Die letztere Zahl zeigt, dass die Wärmeleitung des gelben Messings mit der Temperatur steigt. Die Werthe (c) und (g) geben ВОО а.) 1008) — 1.504 REA (h) eine Zahl, die sich nicht übermässig von der von Lorenz vermutheten 1,367 unterscheidet. II. Zweite Versuchsreihe. Der Stab war vernickelt. Die schwarze Farbe wurde weggebracht und der Stab vernickelt. Hierdurch wurde die äussere Wärmeleitung, die wir jetzt durch A’ bezeichnen wollen, bedeutend verändert. Auch der Temperaturcoefficient dieser Grösse konnte jetzt ein ganz anderer sein; er soll durch а’ bezeichnet werden, sodass wir jetzt statt (d) r 1 о de JO RNCS DEEE (à) haben. 36 О. CHwouson, 1. Beide Enden in Anilin; drei Versuche. T, t 13 a b с 125,77 86,57 130,81 0,946109 44,277 50,427 124,63 95.02 129,66 0,956748 44,118 50,30% 125,76 85,65 130,00 0,956194 44,353 50,632 Mittel 0,953017 44,249 50,478. 2. Das eine Ende in Anilin, das andere in Wasser; drei Versuche. T, t T, a b 6 7190 67,60 197,30: .20,938984° 0 34,912, и ATEN TS 127,08 0,940721 34,937 44,545 71,90 67,43 126,50 0,936185 34,722 44,138 Mittel 0,938380. 34,857 44,389. 3. Beide Enden in Wasser; drei Versuche. T, t 11, а b € 68,31. 46,43 67.90 4 0.984435 28334 00962460 68,45 46,61 67,56 0,924787 23,220 26,303 69,24 46,79 68,29 0,934734 923,602 26,800 Mittel 0,931318 923,385 26,524. Durch Einsetzen der Mittelwerthe von а, b und с in die Gleichung () erhalten wir | | | al п’ = 0,953017 — 44,249 «+ 50,478 a, > n = 0,938380 — 34,857 0, + 44,389 a, | n’ = 0,931318 — 23,385 0, + 26,524 ,. | Hieraus erhält man nt — 0,906 111 RER N (k) “ a >= 0002949 Ye on Dos В () bi = 0,00103 7. re Ne (m) Die beiden Werthe (g) und (m) unterscheiden sich allerdings relativ bedeutend von einander. Doch muss man bedenken, dass es sich hier um eine Grösse handelt, deren Vor- zeichen selbst bis jetzt nicht feststeht. Haben doch für manche Metalle die einen Forscher Hr UEBER DIE ABHÄNGIGKEIT DER WÄRMELEITUNGSFÄHIGKEIT VON DER TEMPERATUR. 37 ein Anwachsen, die anderen ein Sinken der Leitungsfähigkeit für Wärme mit wachsender Temperatur gefunden. Unter solchen Umständen kann die Uebereinstimmung der Werthe (g) und (m) wohl als genügend angesehen werden um die Anwendbarkeit unserer Methode zu beweisen. Die Werthe (c) und (m) geben (1+100.0,) (11008) = 1,341, welche Zahl der von Hr. Lorenz vermutheten 1,367 näher kommt als die in (4) gefundene. Das Mittel aus (9) und (m) ist а, = 0,000886. Diese Zahl giebt (1+ 100 &,) (1+100 8) = 1,323. Versuche mit Kupfer. Im Februar 1890 habe ich auf die gleiche Weise die Wärmeleitungsfähigkeit eines Kupferstabes untersucht, für welchen В = 13,07 Mm., 1 = 545 Mm. war. Der Stab war vernickelt. Jede von den drei Erwärmungsarten wurde nur zweimal angewandt, dafür aber der Versuch rund 10 Stunden lang fortgesetzt, so dass die Temperaturen 7°, T, und # aus einer grossen Anzahl beobachteter Werthe als Mittel berechnet wurden. Der Temperaturcoefficient В des electrischen Widerstandes wurde auf die oben geschilderte Weise bestimmt und es ergab sich Je 10000 LOS EN N N (n) Für die Grössen И. @,,& (wir schreiben n’ und «, entsprechend der obigen Be- zeichnung für den vernickelten Messingstab) wurden die Gleichungen erhalten: n — 0,648074 — 38,734@, + 41,344, п’, — 0,624357 — 29,148 a, + 37,310@,, n— = 0,606501 — 19,548 @', + 20,711 %. Dieselben ergeben Ra en eu st (0) OCT un... (p) о, — 0,0004694. ...... AE Nr PU @ Danach ändert sich also die Wärmeleitung des benutzten Kupferstabes nur sehr wenig mit der Temperatur. 5* 36 = + * % Die Zahlen @ und (0) können Du dienen, Na Verhältniss der Wärmeleit | Kupfer und Messing bei 0° zu bestimmen. Wir erhalten ach» ein * р DER \ Kupfer 100 = REN “a ki Messing 30396 AS 14 Л Fi . Е > n } ix ь à À Tia Druckfehler. $5. 11 Formel (31) muss im Zähler des zweiten Gliedes rechts T ++ sta letzten Gliede 7 statt Т, gesetzt werden. Wr Ms IE I fl L> MEMOIRES L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST. -PÉTERSBOURG, VIF SÉRIE. Tome XXXVIL N°43 ET DERNIER. Er ; BEITRAGE — | CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. VON Prof. A. Tarenetzky. 7 ) (Lu le 8 mai 1890.) G | Sr.-PETERSBOURG, 1890. N > Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St.-Petersbourg: - à Riga: à Leipzig: М. Eggers & (0 et J. Glasounof. M. N. Kymmel. Voss’ Sortiment (Haessel.) Prix: 90 Cop. = 2 Mark 25 РЁ $. и 2 < er 4 2 Нор д, с 4 ji sun . . т à Le Lg? sh MÉMOIRES L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG, VI SERIE. Tone XXXVIE №13 ET DERNIER. ВЫТВАСЕ CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. VON Prof. A. Tarenetzky. (Lu le 8 mai 1890.) nn OF CO: AN, Qu AUG 20Q 1691 №, ST.-PHTERSBOURG, 1890. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St-Pétersbourg: à Riga: à Leipzig: М. Eggers & Cet J.Glasounof. М. М. Kymmel. Voss’ Sortiment (Haessel.) Prix: 90 Cop. = 2 Mark 25 Pf. У Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des Juillet 1890. Imprimerie de Acad mie Impér ale des se Vass.-Ostr., 9 ligne, M12 — Man kann mit vollem Rechte die Behauptung aufstellen, dass der Stamm der Ainos sowohl in anthropologischer, als auch ethnographischer Hinsicht eines der interessantesten Völker des östlichen Asiens ist. Verbreitet über eine verhältnissmässig geringe Anzahl von Inseln des japanischen und ochotskischen Meeres, überall nur in geringer Zahl auftretend, bilden die Ainos sowohl durch ihre physischen Eigenschaften, als auch durch Charakter und Sitten einen scharfen Gegensatz zu den sie von allen Seiten umgebenden, grösstentheils rein mongolischen Stämmen. Das wissenschaftliche Interesse steigert sich noch dadurch, dass dieser Stamm gewissermaassen völlig vereinzelt dasteht, da es wenigstens bis jetzt noch nicht gelungen ist, weder auf den von den Ainos bewohnten Inseln, noch auf dem asiatischen Continente Völker aufzufinden, welche als stammverwandt zu ihnen könnten angenommen werden. Wir wissen im Gegentheil, dass ohne Ausnahme alle an die Ainos unmittelbar angrenzenden Stämme, wie die Japaner im Süden und die Giljaken und Italmenen im Norden, in einem fortwährend feindseligen Verhältniss zu den Ainos standen, dieselben im Laufe der Zeit theils verdrängten oder vernichteten, theils, wie z. B. die Japaner, zwangen, sich mit Verlust jeder Selbstständigkeit mit dem Unterdrücker zu vermischen und sich voll- ständig demselben zu assimiliren. Noch in der letzten Zeit trat in Folge der Colonisation von Sachalin durch die Russen ein neuer Umstand hinzu, welcher auf die weitere Existenz der Ainos nicht ohne hemmenden Einfluss bleiben wird. Trotzdem man also annehmen kann, dass im Verlaufe eines gewiss nur kurzen Zeitraums die Ainos als selbstständiger Stamm verschwinden werden, ist es doch bis jetzt noch nicht gelungen, ihre anthropologischen Eigenschaften mit der gewünschten Sicherheit festzustellen, oder wenigstens ein genügendes Material anzuhäufen, um zu dieser Arbeit zu schreiten. Sektionen von Ainos zum Zwecke anthropologischer Forschungen sind noch völlig unbekannt, Skelete sind nur in sehr geringer Anzahl und in unvollständigem Zustande vorhanden, sogar die Anzahl der Schädel dieses Stammes ist sowohl in Russland, als auch im übrigen Europa bis jetzt noch eine sehr geringe. Alle diese Gründe bewogen mich, meine Untersuchungen zu publiciren, wobei die vorliegende Arbeit die Craniologie der Ainos behandelt, während eine zweite, zukünftige das Skelet der- Mémoires de l’Acad. Imp. 4. sc, VII Serie, 1 2 PROFESSOR А. TARENETZKY, selben und einige Data über Eingeweide enthalten wird. Für die Craniologie hatte ich die Möglichkeit 44 Schädel zu untersuchen und zu messen, unter dieser Zahl befinden sich 5 Schädel in dem Museum der Kaiserlichen militär-medizinischen Akademie und 39 Schädel gehören dem ethnographischen Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften. Bei dieser Gelegenheit halte ich es für meine Pflicht, Herrn Akademiker von Schrenck für die Bereitwilligkeit meinen Dank auszusprechen, mit welcher er die in der Akademie der Wissenschaften befindlichen Schädel mir zur Verfügung stellte. Ausserdem danke ich Herrn Russow, Conservator an derselben Akademie, für seine freundliche Hülfe bei der Auswahl der Schädel. f Der Stamm der Ainos bewohnt gegenwärtig die nördlichste der Inseln des japanischen Archipelags Yesso, den südlichen Theil der Insei Sachalin und die kurilische Inselreihe bis zur zweiten Insel vor Kamtschatka. Es sind sichere Nachrichten vorhanden, dass in einer früheren Zeit die Ainos sowohl auf Sachalin einen grösseren Distrikt inne hatten, als auch nach Süden zu auf der zweiten der grösseren japanischen Inseln, auf Nippon, wohnten. Die Anzahl der gegenwärtig auf Yesso lebenden Ainos scheint noch nicht mit Sicherheit festge- stellt zu sein. Nach japanischer Schätzung leben auf Yesso noch 60,000 Ainos'), derselben Meinung ist auch von Brandt”), von Siebold?) schätzt die Bevölkerung der ganzen Insel auf ungefähr 130,000 Köpfe, von denen ein Drittel die Ainos und die sich jetzt ‚stets ver- mehrende Mischrasse zwischen Ainos und Japanern ausmacht. Jöst*) spricht die Meinung aus, dass heute kaum 20,000 Ainos mehr noch auf Yesso leben, wobei die Dörfer sich meist nur an der Küste befinden, wo die Bewohner zu gleicher Zeit durch Fischfang und Jagd ihren Lebensunterhalt suchen. Nach mir mündlich gemachter Mittheilung scheint auch diese letztere Zahl zu hoch gegriffen zu sein und sich die Anzahl der auf Yesso befindlichen Ainos auf 10,000 bis 13,000 zu beschränken. Auf Sachalin bewohnen die Ainos die südliche Hälfte, angefangen vom 49° nördlicher Breite, oder genauer genommen, nicht die ganze südliche Hälfte, sondern nur etwas über ein Drittel der Insel, hierbei verbreiten sie sich nicht bloss entlang der Meeresküsten, sondern auch in geringer Anzahl über das Innere der Insel längs manchem ihrer grösseren Flüsse°). Bis zum Jahre 1875, in welchem die ganze Insel von Japan an Russland abgetreten wurde, muss die Anzahl der Ainos auf Sachalin eine verhältnissmässig beträchtliche gewesen sein; in Folge der Uebergabe der Insel siedelten viele Ainos auf die Nordküste von Yesso über, so dass gegenwärtig auf Sachalin nur ungefähr etwas über 1500 leben. Diese Zahl ist in 1) Wernich, geographisch - medizinische Studien | Aino auf der Insel Yesso. Berlin 1881, p. 5. nach den Erlebnissen einer Reise um die Erde. Berlin 4) Jöst. Verhandlungen der Berliner Gesellschaft 1878, p. 103. für Anthropologie, Ethnologie und Urgeschichte. Berlin 2) v. Brandt. Verhandlungen der Berliner Gesell- | 1882, p. 180. schaft für Anthropologie, Ethnologie und Urgeschichte. 5) von Schrenck. Die Völker des Amurlandes. St. Berlin 1872, p. 27. Petersburg 1881. p._18. 3) von Siebold. Ethnologische Studien über die 2 > BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 3 der letzten Zeit eine ziemlich constante geblieben, da vorzüglich durch das Verbot des Ein- führens von Branntwein und durch sanitäre Maassregeln gegen die Verbreitung der Syphilis wenigstens dem Aussterben, wenn auch nicht der Vermischung dieses Stammes vorgebeugt wurde. Das dritte Gebiet der Ainos erstreckt sich fast über die ganze Inselkette der Kurilen bis nach Poromuschir oder der sogenannten zweiten Insel vor Kamtschatka, sichere Angaben über die Zahl ihrer Bewohner stehen mir nicht zur Verfügung. Ueber die Abstammung der Ainos sind die verschiedensten, häufig diametral entgegen- gesetzten Meinungen ausgesprochen worden. La Pérouse und Bickmore halten sie für indo- europäischen Ursprungs, Grey zählt sie sogar zu den Semiten, v. Brandt erklärt sie für stammverwandt mit einigen Indianerstämmen Nordamerika’s. Vivien de Saint-Martin betrachtet sie als Angehörige einer besonderen Rasse, welche ursprünglich die gesammte grosse Inselwelt Asiens von Sumatra bis nach den Philippinen bewohnte und deren Abkömm- linge sich noch jetzt im Innern dieser Inseln befinden. Peschel hält es nicht für undenkbar, dass die Ainos zu den Aeta oder Negritos der Philippinen in Verwandtschaftsbeziehungen Stehen könnten. Die meisten Beobachter rechnen jedoch die Ainos zur mongolischen Rasse, v. Siebold identifizirt sie mit den Amur-Tungusen und glaubt, dass sie den Amur abwärts wandernd schon in sehr alter Zeit die jetzt von ihnen bewohnten Inseln eingenommen haben. Zu den Mongolen rechnen sie Dobrotworsky, Doenitz und Anutschin, L. v. Schrenck') (dessen Werk ich die eben angegebenen Meinungen über den Ursprung der Ainos entlehnt habe) kommt zu dem Schlusse, «dass wenn man die physische Beschaffenheit und die Sprache der Ainos in Rechnung bringt, sie zwar keiner der jetzigen Völkergruppen schlechtweg zu- gezählt werden können, dass sie aber doch von continental-asiatischem Ursprung sein müssen. Die meisten Berührungen, Aehnlichkeiten und Verwandtschaften im Schädelbau, in der Ge- sichtsbildung und Physiognomie, in der gesammten physischen Beschaffenheit bringen sie nicht in die Nähe der oceanischen Völker, sei es der weissen oder der dunkelfarbigen papuanischen Rasse, sondern in die Nähe der Völker vom kaukasischen und mongolischen Stamme, ohne dass sie jedoch dem einen oder dem anderen dieser beiden einverleibt werden könnten. Man wird nicht anstehen, sie für ein durch mongolische Völkerschaften frühzeitig vom Festlande Asiens nach seinem insularen Ostrande verdrängtes, also paläasiatisches Volk zu erklären». у. Schrenck glaubt, dass die Ainos nicht, wie Siebold meint, den Amur hinabgegangen sind, sondern dass sie von Korea aus auf die japanischen Inseln, speziell nach Nippon übergingen und von hier aus sich über Yesso, Sachalin und die Kurilen verbrei- teten. Zur Stütze dieser Vermuthung führt er die Angabe von Richthofen an, dass es an der chinesisch-koreanischen Grenze zwei Typen von Koreanern giebt, von denen der eine, nach Abbildungen zu urtheilen, an die Ainos von Yesso erinnert. Bei dem Mangel jeder authentischen Quellen über den Ursprung der Ainos ist es sehr 1) у. Schrenck. I. c., р. 274. 1* 4 Proressor А. TARENETZKY, schwer oder vielleicht sogar unmöglich zu einem festen Schlusse in dieser Hinsicht zu kom- men. Solange noch die Beobachtung von Richthofen über das Vorkommen in Korea eines den Ainos ähnlichen Stammes nicht durch sichere anthropologische Beobachtungen bestätigt Е. ist, stehen die Ainos unter den sie umgebenden mongolischen Völkern völlig isolirt und auch — ‘4 ohne jede Stammverwandte auf dem asiatischen Continente da. Ich bin mit der Meinung 2 L. у. Schrenck’s vollständig einverstanden, dass dieselben ein paläasiatisches Volk sind, und halte sie für ein Volk, welches, solange sein Uebergang vom Continente nicht bewiesen ist— und sogar das Auffinden von Ainoähnlichen Koreanern würde diesen Uebergang nicht beweisen, — ; autochthon seinen Wohnsitz auf den grossen Inseln an der Ostküste von Asien hatte. Sie ge- hören weder zur kaukasischen, noch zur mongolischen Rasse und bilden, obgleich sie gewisse Figenthümlichkeiten jeder dieser beiden Rassen an sich tragen, so zu sagen, eine Rasse für sich, Es liegt nicht in dem Plane der vorliegenden Arbeit, welche speziell nur die Cranio- logie dieses Volkes zu ihrer Aufgabe hat, ein Bild seiner übrigen körperlichen Eigen- Г. schaften zu entwerfen, auf einen Umstand möchte ich jedoch aufmerksam machen, welcher À für den speziellen Rassencharakter der Ainos vielseitig zur Sprache gekommen ist. Fast : 4 alle Beobachter, welche mit den Ainos in nähere Berührung traten, sprechen sich bei der. Beschreibung des Gesichtes derselben völlig kategorisch gegen jede Identifizirung des- selben mit dem mongolischen aus und betonen im Gegentheil seine frappante Aehn- lichkeit mit dem von Europäern, speziell von grossrussischen Bauern. In meinem Besitz befindet sich der ausgezeichnet conservirte Kopf eines Aino von mittlerem Alter mit stark 9 entwickeltem Kopf und Barthaar. Dieser Kopf macht weder den Eindruck eines Mongolen, ‘ 4 noch den eines russischen Bauern, obgleich man sowohl in der Bildung des Gesichts, als | auch in der Anordnung des Haars gewisse Eigenthümlichkeiten jeder dieser beiden Rassen auffinden kann. Mongolenähnlich ist die breite und horizontal wenig gewölbte Stirn, die 250 ungemeine Breite des Gesichtes unterhalb der Augen, ohne dass jedoch die Backenknochen 4 besonders hervorstehen, die buschigen bürstenartigen Augenbraunen und die gelbe Haut- и farbe; gegen den Mongolen spricht der völlig horizontale Schlitz der Augen und besonders der reiche Haarwuchs sowohl des Kopfes, als auch des Vollbartes. Europäisch, speziell rus- sisch, ist das Gesicht jedenfalls nicht, seine Form, besonders die der Nase, seine Breite, die gelbe Farbe der Haut, die verhältnissmässig vereinzelt gestellten Kopf- und Barthaare, die Dicke der einzelnen Haare und ihre glänzend schwarze Farbe geben bei einer eingehenderen Betrachtung ein Bild, welches von der Physiognomie z. B. eines russischen Bauern himmelweit verschieden ist. Dass der erste oberflächliche Eindruck von einem Aino, respec- tive eines bejahrten, besonders in Folge des langen buschigen Bartes, oder Photographien, auf welchen diese Eigenthümlichkeit noch mehr in die Augen fällt, die Erinnerung an die bärtigen Physiognomien russischer Bauern erwecken konnte, ist leicht begreiflich, das Bild. verändert sich aber vollständig, sobald man die Einzelnheiten einer strengeren Controle unterwirft. Dass die Weiber der Ainos keine Spur von europäischen Gesichtszügen auf- weisen, davon kann man sich leicht an jeder Photographie derselben überzeugen. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 5 Fasst man die Ainos als eine selbstständige, in früherer Zeit weiter als jetzt verbreitete Rasse auf, so muss man doch eingestehen, dass gegenwärtig und vielleicht schon in Verlauf von Jahrhunderten diese früher reine Rasse sich grösstentheils in eine Mischrasse verwan- delt hat. Umgeben von allen Seiten von mongolischen Stämmen sind die Ainos selbst im Laufe der Zeit stark mongolisirt worden. Den grössten Einfluss haben in dieser Beziehung jedenfalls die Japaner ausgeübt, durch deren oft gewaltsames Assimilationsverfahren, z. B. auf Nippon, die Ainos völlig verschwunden oder besser gesagt, völlig in die Japaner aufge- gangen sind. Auf Yesso halten sie sich noch aufder Nord- und Westküste mehr oder weniger rein, während auf dem übrigen Theile der Insel die eigentlichen Ainos mehr und mehr einer Mischrasse aus ihnen und den Japanern Platz machen. Auf Sachalin herrschen ähnliche Verhältnisse in Folge der Colonisation der Japaner schon mehrere Jahrhunderte und dauern noch gegenwärtig fort, da die Südhälfte der Insel noch jetzt häufig von Japanern besucht wird. Wie die Japaner von Süden, ebenso mischten sich mit den Ainos andere mongolische Stämme, welche von Norden gegen dieselben vordrangen. Auf Sachalin bildeten sich Kreu- zungen mit Giljaken, zwar nur auf der Westküste und nur in geringerem Grade in Folge der sehr vereinzelten Berührungen beider Stämme mit einander, aber doch so, dass gegen- wärtig schon wenigstens einzelne Dörfer ausschliesslich von dieser Mischrasse eingenommen sind. Im Innern der Insel mischten sich die Ainos mit den Oroken, ja in letzterer Zeit kommen schon Heirathen von russischen Sträflingen und Ainofrauen vor. Auf den Kurilen mischten sich die Ainos in starkem Grade mit den Italmenen (Kamtschadalen) so, dass die hieraus entstandene Mischform sich nicht mehr auf die Inseln beschränkte, sondern sich weiter nordwärts über die ganze Südhälfte von Kamtschatka verbreitete'). Soweit die gegenwärtig gemachten Beobachtungen reichen, kann man in der Gesichts- bildung der Ainos zwei mehr oder weniger deutlich hervortretende Typen unterscheiden. ‚Der eine zeichnet sich durch folgende Merkmale aus?): eine hohe und breite Stirn, horizon- talgestellte, weit offene Augen, überschattet von starken ebenfalls gerade verlaufenden Augenbraunen, eine an der Wurzel und im übrigen Verlaufe aufgerichtete, gewölbte, regel- mässige, zuweilen auch zugespizte Nase, keine stark hervorragenden Backenknochen, dazu ein starker Haarwuchs an Backe, Kinn und Lippen. Dieser Typus kann modifizirt werden durch etwas schief geschlitzte Augen, durch eine stark eingedrückte Nasenwurzel, durch eine breite und flache Nase und durch starkes Hervorspringen der Backenknochen. v. Schrenck nennt diesen Typus «einen der kaukasischen Rasse sich nähernden». Bei dem zweiten Typus ist die Stirn niedrig und wenig entwickelt, das Gesicht breit und flach, mit stark hervorragenden Backenknochen, die Augen sind klein und in Folge der mehr oder weniger weit übergreifenden Augenlidfalte scheinbar schief geschlitzt, die Nasenwurzel eingedrückt, die Nase breit und flach mit stumpfer, zuweilen sogar abgeplatteter Spitze, die Lippen dick und aufgeworfen, der Bartwuchs um vieles schwächer. v. Schrenck bezeichnet 1) у. Schrenck 1. с., р. 127. | 2) у. ЗевгепсЕ 1. с., р. 264. 6 PROFESSOR А. TARENETZKY, diesen Typus als «einen annähernd mongolischen» und spricht die Meinung aus, dass der- selbe die aus Ainos und Mongolen hervorgegangene Mischrasse repräsentire, während der erstere, mehr den Kaukasiern ähnliche, die primäre Rasse sei. Wie ich weiter unten aus- einander setzen werde, kam auch ich bei der Untersuchung der Schädel zu dem Schlusse, dass in der Form sowohl des Gesichts, als auch des Hirnschädels zwei Varianten existiren, welche sich unter anderen Merkmalen hauptsächlich durch die verschiedene Form der Stirn, der Nase und des Gesichtswinkels unterscheiden, und zwar eine edlere Form mit vertikal schön entwickelter Stirn, welche unter unseren Schädeln seltener vorkam, und eine zweite, häufigere, mit stark zurückweichender Stirn, mehr prognathem Gesichtswinkel, platter Nase u. s. w. In Folge dessen schliesse ich mich vollständig der Meinung L. v. Schrenck’s an und halte diese zweite Form für die Mischform, welche im Laufe der Zeit, mit dem Ver- schwinden der primären reinen Rasse, die dominirende werden wird und es jetzt schon mehr oder weniger ist sowohl auf Yesso, als auch auf Sachalin. Gute Photographien von Ainos gehören gegenwärtig nicht mehr zu den Seltenheiten, ich hatte die Möglichkeit im vorigen Jahre eine ganze Sammlung derselben, (mitgebracht von Dr. Rontscheffsky), zu durch- mustern und konnte mich überzeugen, dass nicht nur beide Typen in der Wirklichkeit exi- stiren, sondern dass auch völlig erwachene Ainos vorkommen, bei welchen z. B. keine Spur eines Bartes zu finden ist. Meine hier ausgesprochene Meinung über die Variation der Schä- delform steht ebenfalls nicht vereinzelt da, auch v. Török kam in seiner weiter unten zu eitirenden Arbeit zu dem Schlusse: «dass trotz mehrerer wichtiger gemeinsamer Charaktere bei den Ainosschädeln zweierlei Formen zu beobachten sind, von denen die eine sich dem sogennanten europäischen Typus nähert, und die andere sich ganz entschieden dem ost- asiatischen Typus, dem sogenannten mongolischen Typus, anschliesst». Wenn man annimmt, dass die eine Form der Schädel jedenfalls hauptsächlich der Mischung mit Japanern zu ver- danken ist, so ist es von grossem Interesse zu wissen, dass auch unter den Schädeln der Japaner, welche wahrscheinlich aus einer Mischung von Ainos, Koreanern und Malayen her- vorgegangen sind, Typen vorkommen, welche mehr oder weniger dem einen Typus der Ainos ähneln. Dönitz!) stellt unter den Japanerschädeln drei verschiedene Typen auf. Der erste unterscheidet sich durch ein langes (hohes) Gesicht, dessen Länge hauptsächlich von der Entwickelung des Oberkiefers abhängt, wobei häufig die Fossa canina fehlt, wodurch der Gesichtsschädel ein auffallend flaches Aussehen erhält. Die Schädelknochen dieses Typus sind dick und schwer, die Muskelansätze und sonstige Tuberositäten sind kräftig ausgebildet. Am zweiten Typus ist das Gesicht niedrig und überhaupt die Knochen grazil, die Fossa canına ist vorhanden, der Oberkiefer ist niedrig und nähert sich in seiner Form dem der Europäer. Der Typus mit hohem Gesicht besitzt einen schwächer ausgebildeten alveolären Progna- thismus und ist mehr mesocephal, sogar brachycephal, während der mit kurzem Gesicht 1) Dönitz. Ueber drei verschiedene Typen unter | schaft für Natur- und Völkerkunde Ostasiens. Yokohama Japanerschädeln. — Mittheilungen der deutschen Gesell- | 1877, p. 69. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. À mehr dolichocephal ist. Der dritte Typus unterscheidet sich vor allen Dingen durch die stark zurückliegende Stirn, durch das verhältnissmässig kurze Stirnbein und durch die geringere Capazität und kommt viel seltener vor. Als Material zur Untersuchung dienten 44 Schädel, 5 aus dieser Zahl befinden sich im anatomischen Museum der Kaiserlichen militär-medizinischen Akademie. Zwei von ihnen, die männlichen Schädel № 1 und 2 stammen aus Gräbern auf Sachalin und zwar M ‘1 aus einem Grabe im Kirchdorf Takoje, № 2 vom Korsakoff’schen Posten. Die übrigen zwei Schädel erhielt der Verfasser dieser Abhandlung von Dr. Tropin erst in diesem Jahre als die vorliegende Arbeit fast schon abgeschlossen war. In Folge dessen konnten die Mess- resultate dieser Schädel nur in einem Nachtrag aufgenommen werden. Beide Schädel № 39 (791) und № 40 (792) sind männlichen Geschlechts, ohne Unterkiefer, schwach defect und stammen von Sachalin; № 39 wurde ausgegraben nicht weit von dem Posten Tichmeneff am Ufer des Flusses Siski, № 40 in dem dritten Thale 3 Werst vom Posten Korsakoff. Der fünfte in der medizinischen Akademie befindliche Aino ist ein Kopf mit Haut und Weich- theilen eines männlichen Individuum von mittlerem Alter, er starb im März 1886 im Hospi- tale des Posten Korsakoff an Bright’scher Nierenentzündung. Der völlig intakte Kopf hat sich im Weingeiste ausgezeichnet conservirt. Das Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften besitzt 39 Ainosschädel; mit Ausnahme von zweien erhielt es dieselben als die Resultate der Ausgrabungen des Conservators Poljakoff auf seiner letzten Reise nach Ostasien im Jahre 1882. Vor Poljakoff besass das Museum nur zwei Ainosschädel, den eines 7—9 jährigen Kindes (№ 230) ebenfalls von Sachalin, ein Geschenk von Fr. Schmidt, und den eines Erwachsenen (№ 231) aus Kussunaja auf Sachalin — ein Geschenk von Brylkin im Jahre 1863. Beide letzteren Schädel, ebenso wie einer von Poljakoff (№ 490) sind so defect und zerbrechlich, dass ich dieselben zwar untersuchte, aber zu messen Be- denken trug, siesind in Folge dessen von mir nicht nummerirt worden. Ebenfalls nicht numme- rirt und in die Tabelle der Messungen nicht aufgenommen ist der oben erwähnte Kopf mit Weichtheilen, so dass die Messungen nur an 40 Schädeln vorgenommen wurden. Unter den Schädeln von Poljakoff befinden sich sechs (die männlichen № 5, 14, 22 und 23, der weibliche № 36 und der kindliche № 38), deren Fundort nicht angegeben ist, jedenfalls stammen die- selben ebenfalls aus Gräbern auf der südlichen Hälfte von Sachalin. Die übrigen sind gleich- falls alle auf Sachalin ausgegraben, und zwar stammen drei (die männlichen Schädel №3, 4 und 6) aus den Gräberfeld in Tschipisani, zwölf (die männlichen № 10, 11, 12, 13, 15, 16, 17 und 18, die weiblichen № 31, 32, 33 und der kindliche № 37) aus Gräbern in Poro-an-tomari (Paran-Tomari), die übrigen fünfzehn sind Gräbern im Posten Korsakoff oder in dessen Umgegend entnommen. Unter den letzteren sind der männliche Schädel № 8 und die weib- 8 PROFESSOR А. TARENETZKY, lichen № 28, 29 und 30 in der sogenannten Fürstenallee des Korsakoff’schen Posten aufge- funden, die übrigen (die männlichen № 7, 9, 19, 20 und 21, die weiblichen № 24, 25, 26, 27, 34 und 35) sind aus Gräbern in drei in der Nähe des Postens befindlichen Thaleinsen- kungen erhalten. Sämmtliche Schädel bieten deutliche Zeichen davon dar, dass sie eine geraume Zeit in einer stark mit Wurzeln vermischten Erde gelegen haben: die Farbe derselben ist braun- roth oder bräunlich gelb, der Knochen ist stellenweise stark mazerirt und leicht zerbrechlich, die Zähne sind meistentheils verloren. Der männliche Schädel № 3 aus Tschipisani stammt aus einem Grabe, welches sich in einem Haufen von Muscheln befand. Da die Schädel ohne Ausnahme bei der persönlichen Anwesenheit ihrer Finder ausgegraben wurden und sich die Gräber sowohl der russischen Kolonisten, als auch der früher ansässigen Japaner leicht unter- scheiden lassen, so habe ich keinen Grund an ihrer Aechtheit zu zweifeln. Die Untersuchung und Messung der Schädel wurde von mir nach denselben Regeln vorgenommen, welche ich in einer früheren Arbeit!) über grossrussische Schädel schon spe- ziell angegeben habe. Als Grundprinzip der Gruppirung wurde von mir die Theilung nach dem Geschlecht angenommen; in Folge der Unmöglichkeit das Geschlecht kindlicher Schädel zu bestimmen, wurden die beiden hierher gehörigen als besondere Gruppe hinzugefügt. Unter der Anzahl von 40 Schädeln, ‚welche zur Messung dienten, war nur bei drei das Geschlecht sicher nachzuweisen, es sind dieses die weiblichen Schädel № 24, 25 und 28; N: 28 ist von Poljakoff als weiblich bezeichnet, bei N 24 und 25 sind die zu ihnen gehö- renden übrigen Skeletknochen vorhanden, welche unzweifelhaft weiblichen Individuen ange- hörten. Auf Grund der Eigenschaften dieser drei weiblichen Schädel mit Vergleichung einiger männlicher, welche nach ihren Formen und nach ihrer Entwickelung mit der grös- ten Wahrscheinlichkeit als solche zu bezeichnen waren, wurde die Sichtung aller übrigen durchgeführt. Maasgebend für die Geschlechtsunterschiede wurden folgende Anzeichnen angenommen. In der Norma lateralis bietet die Conturlinie des Hirnschädels an den Ueber- gangspunkten der Stirn in den Scheitel und des Scheitels in das Hinterhaupt beim männ- lichen Schädel keine merklichen winkligen Ausbiegungen dar, welche, wenn sie vorhanden, mehr charakteristisch für den weiblichen Typus sind. In der Norma occipitalis befindet sich die grösste Breite beim männlichen Schädel ungefähr in der Mitte zwischen den Tubera parietalia und der äusseren Gehöröffnung, beim weiblichen entweder zwischen den Tubera 1) Tarenetzky. Beiträge zur Craniologie der gross-,, l'Académie Impériale des sciences de St. Pétersbourg, russischen Bevölkerung der nördlichen und mittleren | VII série, t. XXXII, № 13, 1884, pag. 6—11. Gouvernements des europäischen Russlands. Memoires de : A Là ER Ce нс L MS Ее BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 9 parietalia, oder wenigstens ist die interparietale Breite der grössten Breite fast gleich. In der Norma frontalis erscheinen die grossen Oeffnungen des Gesichts im Verhältniss zu der Knochenoberfläche grösser beim weiblichen, kleiner beim männlichen Geschlecht. Als Unter- scheidungsmerkmale dienten ausserdem natürlich noch die grössere Entwickelung des Kau- apparates und überhaupt aller Vorsprünge, deren Umfang und Prominenz im direkten Ver- hältniss zur Muskelwirkung steht. Von allen diesen Merkmalen halte ich den Unterschied in der Stellung der grössten Breite in der Ansicht von hinten für das beste, um das Geschlecht mit einiger Sicherheit zu bestimmen. Ich glaube nicht, dass in die Rubrik der männlichen Schädel irrthümlich auch weibliche von mir aufgenommen sind, wohl aber können unter den weiblichen sich einige schwach entwickelte und jüngeren Individuen angehörende männliche Schädel befinden, welche sicher zu unterscheiden unmöglich war. In Bezug auf die Bedeutung der in den beigefügten Messungstabellen angenommenen Rubriken, verweise ich auf meine oben citirte Arbeit über russische Schädel. Hier mögen nur einige Anmerkungen folgen über diejenigen №№, welche entweder einen anderen Sinn erhal- ten haben, oder bei welchen die Messung auf eine andere Weise vorgenommen worden ist. № 1 ist die laufende Nummer der von mir gemessenen Schädel. № 2 enthält die Nummer, unter welcher die Schädel in den Museen der Kaiserlichen medizinischen Akademie und der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften registrirt sind. Die männlichen Schädel № 64, 773, 791 und 792 (№ 1, 2, 39 und 40) gehören der Kai- serlichen medizinischen Akademie, alle übrigen der Kaiserlichen Akademie der Wissen- schaften. № 3, Das Alter der Schädel konnte natürlich nur annähernd bestimmt werden. Unter der Benennung «jung» sind solche ungefähr im Alter von 18—30 Jahren zu verstehen, «mittelalt» sind Schädel von eirca 30—50 Jahren, «alt» solche über 50 Jahre. № 5. Das Gewicht ist in Grammen ausgedrückt. Die Schädel sind mit dem Unter- kiefer gewogen. Es ist selbstverständlich, dass das Gewicht von Schädeln, welche ohne Aus- nahme Gräbern entnommen sind, und welche nicht besonders gereinigt und auch theilweise defect, wenigstens ohne Zähne sind, nur eine sehr problematische Bedeutung haben kann. № 22, 23, 56 und 58 wurden von mir mit НШ des Stereographen von Broca (Mémoires de la Société d’anthropologie, tom. III, р. 99—124, Fig. 25 und 26) gemessen. Die entsprechenden Linien wurden mit dem Bleistift auf Papier projieirt und dann die Winkel mit Hülfe eines durchsichtigen Transporteurs bestimmt. Das Instrument erwies sich zu dieser Arbeit ungemein dienlich und ist wegen seiner Handlichkeit und Brauch- barkeit in der verschiedensten Richtung jedenfalls sehr zu empfehlen. In Bezug auf die Gruppirung des Breitenindex (M 47) wurde von mir die gegenwärtig fast von allen Craniologen angenommene Bintheilung der Schädel benutzt, nach welcher folgende Benennungen aufgestellt sind !): 1) Correspondenz-Blatt der deutschen Gesellschaft für Anthropologie, Ethnologie und Urgeschichte. 1886. XVII. № 3. Mémoires de l'Acad, Imp. d. sc. VII Série. D 10 PROFESSOR А. TARENETZKY, 1° — bei einem Index von 55,0 — 59,9 2. ultradolichocephale » » » » 60,0 — 64,9 3. hyperdolichocephale » » » » 65,0 — 69,9 4 . dolichocephale » » » » 70,0 — 74,9 5. mesocephale DREHEN » » 75,0 — 79,9 6. brachycephale Da » » 80,0 — 84,9 7. hyperbrachycephale » » » » 85,0 — 89,9 8. ultrabrachycephale » » » » 90,0 — 94,9 9. _ » » » » 95,0 — 99,9. Die männlichen Ainosschädel. Zur Untersuchung dienten 25 Schädel, welche grösstentheils Individuen von 30—50 und über 50 Jahren angehörten. Die mittlere Capazität beträgt 1431 cc., die Schwankungen zwischen Maximum und Minimum sind verhältnissmässig gering: Maximum = 1662, Minimum = 1252; der Rauminhalt des männlichen Ainoschädels würde in Folge dessen als ein im Allgemeinen bedeutender zu bezeichnen sein. Das Gewicht der Schädel mit dem Unterkiefer beträgt im Mittel 740 grm.; Mini- mum 570, Maximum 943. Dem Gewichte nach gehören die Schädel zu den unbedingt schweren, wozu man noch bemerken muss, dass bei den meisten die Zähne verloren waren. Möglich ist, dass wenigstens in einiger Beziehung das grosse Gewicht der Schädel theilweise noch durch die Imprägnation derselben durch erdige Theile vermehrt war, jeden- falls aber nicht in dem Grade, dass dieser Umstand einen merklichen Einfluss auf die Erhöhung der Schwere besitzen würde. Unter den männlichen Schädeln befinden sich verhältnissmässig viele, welche ihrem Baue nach den Eindruck des Kolossalen machen, sie ähneln dadurch in vieler Hinsicht den Schädeln von Burjaten, wenigstens so viel ich aus der Vergleichung zweier im Museum der Kaiserlichen medizinischen Akademie befindlichen Repräsentanten dieses letzteren Stammes schliessen kann. Eine ganz ungewöhnliche Schwere besitzt № 39, der Schädel eines alten Individuum ohne Zähne und Unterkiefer; sein Gewicht, welches 935 grm. beträgt, gehört jedenfalls zu den ungemein seltenen. Der Breitenindex beträgt im Mittel 74,5, ist also im Allgemeinen dolichocephal und steht hart an der Grenze der Mesocephalie. Nach den Indices geordnet befinden sich unter den 25 Schädeln: hyperdolichocephale = 1 (№ 5) dolichocephale — 19 mesocephale =: ; Я ti BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 11 Der Höhenindex beträgt im Mittel = 72,9 und ist in Folge dessen orthocephal. Nach dem Index gruppirt finden sich: hypsocephale = 6 orthocephale — 18 platycephale = 1 (№5). Die Mittelzahl für den Breitenbreitenindex ist — 67,8. Die Mittelzahl für den Breitenhöhenindex ist = 98,5, die Schädel sind also von fast gleicher Höhe und Breite. Das Mittel für den Umfang beträgt 528 (Maximum = 557, Minimum = 500), das des Querbogens — 325 (Maximum == 340, Minimum = 310). Das Mittel des Längsbogens ist 376 (Maximum — 390, Minimum 350), bemerkenswerth ist das gegenseitige Verhalten in der Länge des Frontale (130), Parietale (123) und Occipitale (124). Während durch- schnittlich der Längsbogen des Frontale den des Parietale und Occipitale an Länge über- trifft (nur der mesocephale Schädel M 11 macht in dieser Beziehung eine Ausnahme), zeichnen sich im Gegentheil fünf Schädel dadurch aus, dass bei ihnen das Oceipitale der längste Knochen ist. Hierher gehören die Schädel M 4, 15, 16, 17 und 39. Was die Bezie- hungen des Occipitale zum Parietale anbetrifft, so übertrifft unter 23 der erstere Knochen den letzteren in 11 Fällen an Länge. Entsprechend diesem Verhältnisse zeichnet sich bei den Ainos überhaupt das Occipitale durch seine ungewöhnlich starke Entwickelung aus und giebt dem Schädel sowohl in der Ansicht von hinten, als auch von unten ein charakteri- stisches, leicht in die Augen fallendes Aussehn. An dem sehr jungen Schädel M 40 ist das Occipitale im Verhältniss zu den beiden übrigen Knochen sehr kurz, ein Umstand, welcher sich auch an einem jungen weiblichen und an einem der kindlichen Schädel wiederholt. Man könnte vielleicht hieraus die Vermuthung ableiten, dass das Occipitale verhältniss- mässig erst in einem vorgerückteren Alter seine, für viele der Ainoschädel charakteristi- sche, kolossale Entwickelung erreicht. Der Gesichtsindex beträgt im Mittel 87,4, ist also im Allgemeinen chamaeprosop. Unter 22 Schädeln (bei № 9 war das Gesicht zu defect, bei № 39 und 40 fehlte der Unterkiefer) befanden sich: chamaeprosope = 13 leptoprosope = 9. Ich habe dieses Verhältniss auf Grund meiner Messungen erhalten, glaube jedoch nicht, dass demselben unbedingt Glauben zu schenken sei. Die meisten der Schädel waren ohne Zähne, bei anderen war schon Atrophie der Zahufortsätze vorhanden, unter solchen Um- ständen ist es schwer oder sogar unmôglich, dem Unterkiefer die Stellung zu geben, welche für die Gesichtslänge unumgänglich nöthig ist. In Folge dessen neige ich mich mehr zu der Ansicht, dass der männliche Schädel dem Index nach nicht zu den exquisit niederen Gesichts- schädeln zu rechnen ist, und dass er entweder hart an der Grenze zwischen chamaeprosop AK - 12 PROFESSOR А. TARENETZKY, und leptoprosop sich befindet oder sogar leicht leptoprosop ist. Wie wir weiter unten sehen werden, ist zwar die Breite des Oberkiefers eine ungemein grosse, jedoch wird ihr Einfluss auf den allgemeinen Charakter des Gesichts durch die ungewöhnliche Höhe des Körpers des Unterkiefers wieder aufgehoben. An № 8 mit dem Gesichtsindex von 72,4 war voll- ständige Atrophie beider Zahnfortsätze vorhanden. In der Ansicht von vorn fällt bei der Betrachtung der Stirn der Umstand besonders in die Augen, dass, gemäss der Configuration der Stirn, die männlichen Schädel sich ziemlich scharf in zwei Gruppen trennen lassen. Die eine charakterisirt sich durch eine Stirn, welche unmittelbar von dem Nasenfortsatz angefangen stark nach rückwärts geneigt aufsteigend allmählich ohne jeden bemerkbaren Uebergang in den Scheitel umbiegt. Bei der zweiten Gruppe steht der unmittelbar über der Nase liegende Theil der Stirn fast vertikal, er behält diese Richtung ungefähr bis zum Niveau der oberen Enden der Stirnhöcker und geht erst von hier ebenfalls allmählich oder unter leichtem Winkel in den Scheiteltheil der Schädel- kapsel über. Während bei der ersten Gruppe die Stirn stark zurückliegend und niedrig ist, besitzt sie bei der zweiten, so zu sagen, einen edleren Charakter. Die zweite ist die weniger zahlreiche, zu ihr gehören die № 4, 6, 7, 8, 11, 15, 23 und 40, im Ganzen nur 7 oder 8 Schädel. Das Zurückliegen der Stirn ist bei den übrigen in verschiedenem Grade entwickelt, in besonders auffallender Weise ist es ап № 1, 5, 13, 14, 18, 21 und 22 bemerkbar. In transversaler Richtung ist in der grössten Mehrzahl die Stirn von mittlerer Breite und mässig gewölbt, seltener entwickelt sich diese Wölbung in der Mittellinie zu einem gut aus- gesprochenen, sagittalen Kamm, welcher sich auf dem Scheitel fortsetzt. № 5 und 22 besitzen eine fast platte und sehr schief aufsteigende Stirn. An den meisten Schädeln sind sowohl die Glabella, als auch die Tubera frontalia und Arcus superciliares wenig in die Augen fallend. Es hat den Anschein, als ob die Tubera und Arcus dem oberen Augenhöhlenrande mehr genähert sind als bei europäischen Schädeln; sehr stark entwickelte und in der Mittellinie zusammenfliessende, so zu sagen überhängende Arcus superciliares sind mir nicht vorgekommen. Auffallend ist, dass an sämmtlichen von mir untersuchten Schädeln eine песне Stirnnaht nicht ein einziges Mal zur Beobachtung Кат. Die Form der Augenhöhlenöffnung ist durchgängig rechteckig, der obere und untere Rand stehen sowohl einander parallel als auch parallel, zur allgemeinen Horizontalen, gewulstete Ränder sind selten. Mehr quadratisch war die Form der Oeffnung an № 4, 6, 7 und 22, etwas schief nach unten und lateral geneigt an № 3, 17 und 23. An einigen Exem- plaren fiel die Weite des Canalis naso-lacrymalis auf. Der Augenhöhlenindex beträgt 1m Mittel 85,0, ist also mesosem. Unter 25 Schädeln befanden sich: mikroseme = 8 mesoseme = 10 makroseme = 7. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 13 Unter den mikrosemen befinden sich drei (№ 3, 8 und 39) mit einem ungemein nie- drigen Index. Ueber die Form und Grösse der Nasenknochen bin ich nicht im Stande ein einiger- maassen sicheres Urtheil zu fällen, wie in der Regel bei ausgegrabenen Schädeln waren auch bei den unsrigen dieselben defeet. Jedenfalls variiren die Knochen ziemlich bedeutend sowohl nach der Grösse, als auch nach der Form. In der Hälfte der Fälle waren beide Knochen unter sehr stumpfem Winkel zu einander geneigt, in Folge dessen besass der Rücken der Nase eine platte Form und war verhältnissmässig breit. An №1, 4, 6, 10, 12, 14, 15, 16, 18, 19, 22 und 39 waren beide. Knochen mehr oder weniger rechtwinklig zu einander geneigt, in Folge dessen der Rücken scharf mit oder ohne leichten Sattel auf der Mitte. In der Mehrzahl ist die Oeffnung der Nase birnförmig, ihre Breite beträgt im Mittel = 26, die Breite der Nasenwurzel = 22, die letztere ist also im Ganzen nur von mittlerer Grösse. Gut ausgebildete Fossae praenasales kamen nicht zur Beobachtung. Der Nasenindex beträgt im Mittel — 50,9 (mesorhin). Gruppirt man die 25 Schädel nach dem Index, so befinden sich unter ihnen: leptorhine = 2 mesorhine = 17 _ platyrhine = 6. Der Winkel, welchen der Rücken der Nase mit dem unteren Theil der Stirn bildet, ist im Mittel = 140°, mit Worten ausgedrückt, ist die Elevation der Nase im Vergleich zur Stirn bei den männlichen Ainos eine ziemlich schwache. Den stumpfesten Winkel, d. h. der Rücken der Nase befindet sich fast in einer Flucht mit der Stirn, besitzen die Schädel № 4, 6,7,8,9,13,15,16,17,19,20, 21 und 23; vergleicht man diese Nummern mit denen der- jenigen Schädel, welche einen gut ausgebildeten vertikalen Stirntheil haben, so findet man sämmtliche letzteren Schädel auch unter der Zahl derjenigen mit sehr stumpfem Nasenwinkel, ein Umstand, auf welchen ich später noch zurückkommen werde. Die übrigen Schädel, eben- falls mit ungewöhnlich stumpfem Winkel, gehören, mit Ausnahme von № 11, dem Index nach zur Gruppe der platyrhinen, aber mit stark zurückliegender Stirn. Die Höhe des Oberkiefers beträgt im Mittel = 69, sie ist eine sehr bedeutende, wenn man bedenkt, dass diese Zahl erhalten ist als das Mittel von Messungen an Schädeln, unter denen sich viele mit Atrophie der Zahnfortsätze befanden. Die Breite des Oberkiefers dicht über dem zweiten Molaris ist im Mittel — 63, sie ist also ebenfalls eine sehr starke. Im vollen Einklange zu diesen Ziffern steht die Entwickelung des ganzen Knochens, welche man mit Recht eine kolossale nennen kann. Der Oberkiefer verleiht dem Gesicht der Ainos den Charakter eines ungemein breiten, besonders wenn man die Schädel ohne Unterkiefer be- trachtet. Durch seine grosse Breite zeichnet sich besonders der Theil des Gesichtes aus, welcher sich unmittelbar unter den Augenhöhlen, also in der Höhe der Jochbeine befindet. Wir werden später sehen, dass die Jochbeine an und für sich auf die Gesichtsbreite der 14 PROFESSOR А. TARENETZKY, Ainos wenigstens in der Hälfte der Fälle einen sehr geringen Einfluss haben und dass die- selbe hauptsächlich von der Breite der oberen Hälfte des Oberkiefers abhängt. Zum Beweise dieser Ansicht führe ich die Resultate von Messungen der Breite zwischen den unteren lateralen Enden beider Processus zygomatici maxillae sup. an. Dieselbe beträgt im Mittel 10,4 (Minimum 9,5, Maximum 11,5). Durch eine besonders grosse Breite dieser Stelle zeichneten sich № 5, 12 und 20 aus. Bei einer gleichen Anzahl russischer Schädel betrug das Mittel der Breite — 9,4 (Minimum — 8,7, Maximum — 10,0), entsprach also in der Mittelzahl nur dem Minimum der Ainos. Nicht nur der transversale Durchmesser des Knochens ist bedeutend, die ungewöhnliche Grösse ist auch in der sagittalen Richtung zu bemerken. Während beim Russen die Wurzel des Processus zygomaticus am Körper des Kiefers auf die Uebergangsstelle des mittleren in das hintere Drittel fällt, entspricht dieselbe Stelle beim Aino der Mitte der Seitenfläche des Körpers. Wie es überhaupt bei stark entwickelten Kiefern der Fall ist, fehlt auch bei den Ainos fast durchgängig die Fossa canina und der Knochen ist unterhalb des Foramen infraorbitale entweder eben, oder sogar etwas vorge- wölbt (starke Entwickelung der Kieferhöhle). Das Foramen infraorbitale selbst ist weit; schwach angedeutete Fossae caninae besassen № 7, 14, 21 (nur rechts) und 22. Der frontale Theil des Zahnfortsatzes ist meistentheils leicht prognath, die Zähne stehen durchgängig orthognath. Im Gegensatz zur kräftigen Entwickelung des Knochens sind die Zähne ver- hältnissmässig klein, eng gereiht und stark abgeschliffen. An zwei Schädeln waren die Weis- heitszähne überhaupt nicht zur Entwickelung gekommen, an einem weiteren fehlte beiderseits am zweiten Molaris der hintere Zungenhöcker. Die Jochbeine sind ebenfalls sehr stark entwickelt, die Fortsätze derselben, besonders der Processus frontalis, sind an vielen Schädeln von kolossaler Stärke. Die faciale Fläche dieser Knochen ist an den meisten Schädein fast vollständig seitlich gestellt, so dass an dem Gesicht, in der Ansicht von vorn, nur die Verbindungsstelle mit dem Oberkiefer Theil nimmt; nur bei einer geringen Anzahl ist das Jochbein zur Hälfte nach vorn, zur Hälfte seitlich gerichtet. Die faciale Fläche ist gewöhnlich deutlich convex. Unter den 25 Schädeln befinden sich: i ohne jede Theilungsspur am Jochbeine = 9 beiderseits mit Theilungsspur — 10 eine Theilungsspur nur rechts — Э eine Theilungsspur nur links =" Eine vollständige Theilung war nicht vorhanden, die Theilungsspur fand sich in Form einer kurzen Ritze (Maximum der Länge = 1,0) im Processus temporalis bald näher dem oberen, bald näher dem unteren Rande. An № 12 befand sich auf der linken Seite ein kurzer, ebenfalls unvollkommener Schlitz im Processus maxillaris bei Fehlen der hinteren Ritze. Entsprechend dem Oberkiefer ist auch der Unterkiefer stark entwickelt, seine Länge BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 15 beträgt im Mittel 190, die Breite 99, die Höhe 35. In Bezug auf die Höhe ist zu bemerken, dass, wie schon gesagt, an einem Theile der Schädel die Zahnfortsätze atrophisch waren, ein Umstand, der nicht ohne Einfluss auf die Mittelzahl bleiben konnte. An normalen Unter- kiefern war die Höhe des Körpers ungemein bemerkbar, an № 1, 11, 20 und 23 betrug sie über 40 bis 45. Der Körper ist überhaupt sehr compact angelegt, das Kinndreieck wenig bemerkbar, an seiner Stelle findet sich öfters eine vertikale Crista. Die Foramina mentalia anteriora und posteriora sind weit, die Lingula breit und lang, der Winkel beträgt im Mittel 123°, ist also verhältnissmässig sehr stumpf; ich halte diesen Umstand für charakteristisch und glaube nicht, dass das Alter der Schädel einen merklichen Einfluss auf denselben gehabt hat. Die Aeste sind mehr in die Breite als in die Höhe entwickelt, die letztere beträgt im Mittel = 64 und ist nicht grösser als bei grossrussischen Schädeln, dagegen ist die Breite — 39 eine ungewöhnlich starke. Auf der Aussenfläche der Aeste sind die Ansatzpunkte des Masseter nicht besonders in die Augen fallend und der untere Rand des Knochens ist wenig oder gar nicht nach aussen umgebogen, auf der Innenfläche ist im Gegentheil die Insertions- stelle des M. pterygoideus internus durch starke, parallele Leisten markirt. Besonders kolossal entwickelt war der Unterkiefer von № 20, die Basis des Processus coronoideus war auf beiden Seiten so dick, dass dieselbe sowohl auf der Aussen-, als auch auf der Innenfläche durch tiefe Gruben sich von der Basis des Processus condyloideus abtrennte. Die Zähne waren in den meisten Fällen eng gereiht und stark abgeschliffen, in zwei Fällen waren die Dentes sapientiae nicht zur Entwickelung gekommen, in weiteren zwei besass der zweite Molaris jederseits drei Wangenhöcker. Beachtenswerth ist, dass unter den in den Kiefern noch befindlichen Zähnen kein einziger cariös afficirt war, eine Erscheinung, welche möglicherweise von der Kieferstellung abhängt, in Folge derer die Zähne sich bald abschleifen ohne cariös zu werden. Der Gesichtswinkel nach Broca beträgt im Mittel — 74°. Der Gesichtswinkel nach Jhering zeigt die Mittelzahl — 86°, ist also mesognath. Gruppirt befinden sich unter den 25 Schädeln: prognathe = 3 mesognathe — 17 orthognathe = 5. Orthognath sind № 2, 6, 8, 13 und 23, unter ihnen befinden sich drei (6, 8 und 23), welche zur Serie von Schädeln mit vertikaler unterer Stirnhälfte gehören. In der Norma lateralis bildet die Umgrenzungslinie des Hirnschädels eine mehr oder weniger langgestreckte, fast regelmässige Ellipse. Je nach der Höhe wechselt der vertikale Durchmesser der Ellipse, in der grössten Mehrzahl der Fälle tritt der Oceipitaltheil nicht besonders hervor, durch mehr oder weniger starke Prominenz des Occipitale zeichnen sich №2, 5, 7, 12, 13, 19, 21, 22, 23 und 39 aus. Auffallend ist an vielen Schädeln der lange 16 Prorzssor A. TARENETZKY, und fast plane Scheitel. Die vertikale Höhe M 1 beträgt im Mittel = 135 (Minimum = 127, Maximum = 144), dieselbe fällt gewöhnlich auf das vordere Drittel der Sutura sagittalis. Die vertikale Höhe M 2 ist — 133 (Minimum — 123, Maximum — 144). Die Mittelzahl für die grösste Höhe ist = 136 (Minimum == 129, Maximum = 144). In der Mehrzahl fällt die grösste Höhe mit der Höhe M 1 auf eine und dieselbe Stelle; bemerkenswerth ist, dass ап № 6, 7, 12, 16, 17, 19 und 21 die Höhe № 2 grösser als die Höhe № 1 ist (beson- ders an № 17). Ein besonderes Hervorragen des Zahnfortsatzes des Oberkiefers im Vergleich zum oberen Theile des Gesichts ist in der Seitenansicht nicht zu bemerken, der Abstand der Nasenwurzel von dem vorderen Rande des Hinterhauptsloches beträgt = 107, der des Zahn- fortsatzes des Oberkiefers von demselben Punkte des Foramen magnum = 106. Wie wir weiter unten sehen werden, ist bei den Ainos das Hinterhaupt ungemein entwickelt, in Folge dessen übertrifft auch in der Seitenansicht die Länge der hinteren Hälfte des Schädels die der vorderen, und zwar beträgt die Entfernung vom Centrum der äusseren Ohröffnung bis zur Nasenwurzel im Mittel nur 98, während die desselben Punktes bis zur prominentesten Stelle des Hinterhaupts im Mittel = 102 ist. Das Pterion ist durchgängig beiderseits regelmässig gebildet, unter 25 Schädeln fan- den sich nur drei, an welchen im Pterion beiderseits sich ein Schaltknochen befand, andere Anomalien derselben Stelle kamen nicht vor. Der Schläfentheil der Ala magna ist gut ent- wickelt, breit und theils völlig eben, theils leicht concav. Die Lineae temporales sind meisten- theils sehr stark ausgebildet und, was eine Eigenthümlichkeit der Ainos ist, ungemein der Sagittallinie des Scheitels genähert. Gewöhnlich sind zwei, seltener drei Linien zu bemerken. Während die untere bei europäischen Schädeln regelmässig unter dem Tuber parietale ver- läuft, die obere entweder durch den Tuber oder ebenfalls unter ihm geht, kreuzt beim Aino die untere Temporallinie gewöhnlich den Tuber, während die obere bedeutend oberhalb des- selben ihren Sitz hat. Durch besonders weit gegen den Scheitel heraufgehende Lineae tem- porales zeichneten sich № 2, 5, 10, 19 und 23 aus. Gegen den Scheitel convergiren die Linien am meisten dicht hinter der Sutura coronalis, zwischen den Tubera gehen sie wieder etwas auseinander. An № 2 betrug der direkte Abstand (Zirkel) zwischen den oberen hinter der Coronalis = 5,4, zwischen den Tubera = 6,1; an № 5 hinter der Coronalis = 3,9, zwischen den Tubera = 4,9; ап № 23 vorn — 8,0, hinten = 9,4. Schädel mit so hoch stehenden Linien bieten noch die Eigenthümlichkeit, dass der unterhalb der Linien liegende Theil des Parietale seine regelmässige Wölbung verliert und eine mehr platte Oberfläche darbietet. Bei Betrachtung solcher Schädel, besonders wenn noch ausserdem die Sagittallinie kammförmig hervorsteht, wird man unwillkürlich an die ähnliche Form dieses Theiles bei Thieren mit stark entwickeltem Musc. temporalis erinnert. Besonderheiten am Temporale waren nicht zu bemerken, der Processus zygomaticus ist gewöhnlich stark entwickelt, seine vor und über der äusseren Ohröffnung gelegene Wurzel setzt sich häufig in Form eines mehr oder weniger starken Kamms über die ganze Schuppe bis zum hintern Rande derselben fort. Regelmässig ist der obere Rand der Schuppe an der BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 17 Uebergangsstelle in den oberen Rand der Pars mastoidea durch einen ziemlich tiefen, winkel- förmigen Einschnitt unterbrochen, in welchen ein Fortsatz des Parietale eingreift. In einem Drittel der Fälle befindet sich in diesem Einschnitt bald beiderseits, bald nur auf der einen Seite ein Schaltknochen von quadratischer Form. Sowohl der Einschnitt, als auch der Schalt- knochen kommen häufig an russischen Schädeln vor; ich hielt es nicht für unnöthig diesen Befund auch an den Ainosschädeln anzuführen, da bei letzteren überhaupt Schaltknochen in den Schädelnähten selten sind. Der Processus mastoideus ist gewöhnlich kurz, aber massiv. Die Tubera parietalia sind meistentheils auch in der Seitenansicht gut zu sehen. In der Norma verticalis bildet die Umgrenzungslinie des Schädels ein langgestrecktes, regelmässiges Oval (nur № 7 gehört zu den Schiefschädeln), wobei die breiteste Stelle der Gegend zwischen den Tubera parietalia entspricht.. An vielen Schädeln nähert sich die Form dieses Ovals fast der einer regelmässigen Ellipse, in solchen Fällen sind die Tubera wenig oder gar nicht von oben bemerkbar. Die Arcus zygomatici sind in der Ansicht von oben zu sehen; je nach der Configuration der Stirn ist die Nase bald prominent, bald nicht. Bei vielen Schädeln mit stark entwickelten Lineae temporales und vorspringenden Tubera parietalia ist der Scheitel vollständig plan, diese Abplattung ist am besten im Zwischenraume zwischen der Sutura coronalis und einer die Tubera parietalia verbindenden Linie bemerkbar. № 2, 8, 10 und 39 besitzen längs der sagittalen Mittellinie einen gut sichtbaren Kamm, welcher vom Frontale über den ganzen Scheitel hinzieht. Charakteristisch für die Ainos ist die geringe Ausbildung der Zacken in den drei Hauptnähten des Hirnschädels und das fast völlige Fehlen von Worm’schen Knochen in den- selben. Am einfachsten ist durchgängig die Coronalis angelegt, sowohl der Scheitel, als der temporale Theil derselben besitzen die Form eines einfachen, fast geradlinig verlaufen- den, besonders im mittleren Theile etwas vertieften Schlitzes; Zacken sind gewöhnlich nur an der Stelle zu bemerken, an welcher die Naht die Zinea temporalis kreuzt. In derselben Form erscheint in der Regel auch das vordere Drittel der Sagittalis, seltener das hintere Drittel. Am mittleren Drittel der Sagittalis und an der Lambdoidea sind Zacken bemerkbar, jedenfalls sind aber dieselben viel weniger ausgebildet, als es sonst die Regel ist. Ап №13, 15 und 39 befindet sich längs dem hinteren Drittel der Sagittalis eine leichte und ziemlich breite Furche. In Bezug auf die Persistenz der drei Hauptnähte scheinen sich die Ainos nicht von den Europäern zu unterscheiden. In der Hälfte der Fälle waren die Nähte auf der Aussenfläche des Schädels noch gut zu sehen, in der anderen Hälfte waren sie theilweise oder ganz ver- strichen. Die Obliteration scheint, wie in Europa, ebenfalls vom hinteren Drittel der Sagittalis ihren Anfang zu nehmen, um sich von hier theils auf die ganze Sagittalis, theils auf die Lambdoidea zu verbreiten. Am längsten persistirt die Coronalis. Wie schon angegeben, kommen Nahtknochen selten vor, in der Coronalis und Sagittalis konnte ich keine bemerken, in der Lambdoidea trafen sie sich ап № 17, 20, 39 und 40, in allen vier Fällen in geringer Anzahl und Grösse, Mémoires de l'Acad. Imp. d. sc. VII Serie. 3 18 PROFESSOR А. TARENETZKY, In der Norma occipitalis bildet die Conturlinie des Schädels in der grössten Mehrzahl der Fälle ein Fünfeck, dessen obere Ecke der Mittellinie des Scheitels, die beiden oberen seitlichen den gut ausgesprochenen Tubera parietalia, die beiden unteren seitlichen den Processus mastoidei entsprechen. Die obere Ecke ist theils mehr, theils weniger prominent, gut entwickelt (№ 2, 5, 22 und 39) bedeutet sie die Anwesenheit eines Scheitelkamms. Die beiden oberen Seiten des Fünfecks sind entweder vollständig geradlinig oder leicht convex, die lateralen Seiten sind meistentheils entweder fast vertikal abfallend, oder schwach convex, an zwei Schädeln sind dieselben sogar leicht concav. Die Basis ist entweder eben, oder leicht сопуех. Ап № 6, 7, 9, 11, 13 und 15 bildet die Conturlinie ein Viereck mit schwach gewölbter Kuppel und leicht convexen oder vertikal abfallenden Seiten. Bei convexen Seiten liegt die breiteste Stelle in der Mitte des Abstandes zwischen dem Tuber parietale und der Basis des Processus mastoideus. Die grösste Schädelbreite beträgt im Mittel = 137 (Minimum = 127, Maximum = 142). Die interparietale Breite ist = 151 (Minimum = 120, Maximum = 140), die intermastoideale Breite ist = 129 (Minimum = 121, Maximum == 137). In der Mehrzahl der Fälle übertrifft die interparietale Breite die intermastoideale um ein Geringes, an № 5, 8, 10, 16, 18 und 39 ist die letztere grösser, an № 9, 17 und 40 sind beide gleich gross. Was die Configuration des Hinterhauptes anbetrifft, so wäre Folgendes zu bemerken. Der obere Theil ist bis zur Spina occipitalis an den meisten Schädeln abgeplattet. An dieser Abplattung nimmt sowohl der hintere Theil des Parietale, als auch besonders das obere ‘ Drittel der Squama occipitalis Antheil. Letzteres bildet bis zur Spina und den Lineae nuchae superiores den am meisten nach hinten prominenten Theil des Schädels. Angefangen von der Spina, gewöhnlich unter starkem Winkel, sind die übrigen beiden Drittel der Squama völlig basal gerichtet. In Folge dieser Eigenthümlichkeit, noch vergrössert durch die überhaupt ungewöhnlich starke Grössenentwickelung der Squama, bieten die meisten Ainoschädel in der Ansicht sowohl von hinten, als auch von unten die charakteristische Erscheinung eines regelmässig abgeplatteten oberen Drittels der Schuppe und einer vom Foramen magnum sich weit nach hinten über zwei Drittel der Schuppe erstreckenden Basis. An einigen Schä- deln erstreckte sich die Abplattung der Squama bis auf die Mitte derselben, in solchen Fällen stand auch die Spina tiefer, nur № 4 und 18 boten eine gleichmässig gewölbte Schuppe ohne jeden scharfen Uebergang des vertikalen in den basalen Theil. Bemerkenswerth ist, dass die Spina occipitalis, so zu sagen, ihren Platz ändern kann, bei den meisten Schädeln fiel dieselbe auf den Uebergang des oberen in das mittlere Drittel der Squama (Entfernung vom oberen Rande — 3,7, vom hinteren Rande des Foramen magnum — 8,2), bei anderen fand sie sich auf der Mitte der Schuppe (Entfernung vom oberen Rande — 6,0, vom hinteren Rande des Foramen magnum — 6,2); je nach dem Stande der Squama wechselte auch die Ausbreitung der Abplattung des oberen Theils des Occipitale. Gewöhnlich sind nur zwei, seltener drei Lineae nuchae vorhanden, torusartig vorgewölbt mit starker Spina waren die oberen an № 2, 6, 7, 12, 16, 19 und 39, ungewöhnlich ausgebildete Cristae mediae und laterales kamen nicht zur Beobachtung. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 19 In der Hälfte der Fälle befinden sich die Spitzen der Processus mastoidei mit denen der Processus condyloidei in einer Höhe (ebene Basis), in der anderen Hälfte waren die Processus condyloidei mehr nach unten prominent (convexe Basis). An № 18 reichten die Processus mastoidei tiefer herab. An № 3 und 21 fanden sich Spuren einer Quertheilung der Schuppe (os Incae). Die Basis der männlichen Ainoschädel ist breit und lang und sowohl in transversaler, als auch sagittaler Richtung convex, eine eingedrückte und concave Basis konnte ich nicht bemerken. Oben war schon gesagt, dass in Folge der basalen Stellung der unteren beiden Drittel der Squama occipitalis die Basis, besonders nach hinten, ungemein verlängert erscheint. Sämmtliche Gruben und Vorsprünge sind gross und scharf ausgesprochen, besonders tief er- scheinen die /ncisurae mastoideae und Fossae glenoidales. In einem Falle existirte ein starker Processus paramasloideus, in zwei eine tiefe Fossa pharyngea. Die Processus condyloidei sind stark prominent und nicht getheilt. Das Foramen magnum ist grösstentheils langelliptisch mit der breitesten Stelle dicht hinter den Processus condyloidei, fast rund war dasselbe an 4 Schädeln, dreieckig an einem, rhombisch an zwei. Seine Länge beträgt im Mittel = 34 (Minimum = 28, Maximum = 40), die Breite ist = 29 (Minimum = 26, Maximum = 34), der Index ist = 85,3. Das Foramen jugulare ist durchschnittlich rechts geräumiger, selten beiderseits gleich gross. Bemerkenswerth ist, dass an № 40 noch nicht die geringste Spur einer Verwachsung der Synchondrosis spheno-basilaris zu sehen ist, trotzdem dass beiderseits die Weisheitszähne nicht nur schon durchgebrochen sind, sondern, nach dem Grade ihrer Abschleifung zu schliessen, schon eine geraume Zeit funktionirt haben müssen. Charakteristisch in der Ansicht von unten ist der Gaumen: seine Länge beträgt — 49, seine Breite — 39, er ist also bei seiner bedeutenden Breite noch aussergewöhnlich lang. Das Gaumengewölbe ist tief, der transversale Theil der Sutura cruciata ist häufig verstrichen, der longitudinale Theil persistirt, das Foramen incisivum ist durchgängig weit, die Laminae horizontales palatini sind stark entwickelt, an einem Schädel machten sie fast die Hälfte des harten Gaumens aus. Zwei Eigenthümlichkeiten zeichnen den Gaumen besonders aus: die constante Anwesenheit tiefer Gefäss- und Nervenrinnen auf den lateralen Theilen und das sehr häufige Vorkommen eines mehr oder weniger stark entwickelten sagittalen Torus. Unter 25 Schädeln fehlte der Torus an 7, war schwach entwickelt an 10, stark an 8. Der Torus beschränkt sich zuweilen nur auf die Ossa palatina, häufiger erstreckt er sich über den ganzen Gaumen bis zum Foramen incisivum, stark ausgebildet nimmt er ein Drittel der ganzen Breite des harten Gaumens ein (№ 2, 3, 5, 7 und 10). Er existirt sowohl bei Perma- nenz, als auch Obliteration der Sutura cruciata. Der Alveolarfortsatz bildet gewöhnlich die Hälfte einer langen und breiten Ellipse, bemerkenswerth ist, dass an vielen Schädeln der Zahnfortsatz sich noch weit hinter die Dentes sapientiae fortsetzt, an N 5 betrug diese Ver- längerung = 2,2, an verschiedenen anderen = 1,0—1,5. Bei der kolossalen Entwickelung aller Theile des Oberkiefers scheinen die verhältnissmässig kleinen und eng gestellten Zähne gr 20 PROFESS0R А. TARENETZKY, $ den Processus alveolaris nicht völlig auszufüllen, wodurch ein so bedeutendes Stück desselben nach hinten als Fortsatz ohne Alveole übrig bleibt. Die weibbechen Ainoschädel. Die Untersuchung gründet sich auf die Betrachtung und Messung von 13 Schädeln, unter welchen sich drei im Alter bis zu 30, sieben bis zu 50 und drei älter als 50 Jahre befanden. Die mittlere Capazität der weiblichen Schädel beträgt — 1331 cc. (Minimum — 1212, Maximum = 1562). Sowohl die Mittelzahl, als auch das Minimum und Maximum sind durchschnittlich geringer als die gleichen Werthe der männlichen Schädel (die Mittelzahl um 100.66): Das Gewicht mit dem Unterkiefer ist im Mittel = 606 отт. (Minimum = 510, Maximum = 690),im Vergleich mit den Männern ist also der weibliche Schädel viel leichter. Der Breitenindex beträgt = 76,1 (mesocephal), geordnet befinden sich unter den 13 Schädeln: dolichocephale — 4 mesocephale 8 brachycephale = 1 (№ 24). Während bei den männlichen Schädeln der dolichocephale Typus vorherrscht, sind die. weiblichen in der grössten Mehrzahl] rein mesocephal und enthalten sogar einen rein bra- chycephalen, was unter den männlichen nicht vorkam. Der Höhenindex ist = 74,4 (orthocephal), gruppirt finden sich: hypsocephale — 8 orthocephale = 5 platycephale — 0 Aus dieser Tabelle wäre der Schluss zu ziehen, dass, trotzdem der Index im Mittel orthocephal ist, es richtiger wäre die Schädel im Allgemeinen als hypsocephale, hart an der Grenze der Orthocephalie stehende zu bezeichnen. Die Mittelzahl des Breitenbreitenindex beträgt = 66,5, die des Breitenhöhen- index 19707 Der Umfang ist im Mittel — 507 (Minimum — 480, Maximum — 526), der Quer- bogen — 318 (Minimum — 295, Maximum — 337), der Längsbogen — 362, (Mini- mum = 340, Maximum = 390). Sowohl der Umfang, als auch die Bogen zeigen viel | . L À dl MR а ЗИ Е НЫ BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 91 kleinere Maasse als die der männlichen Schädel. Was die gegenseitige Länge des Frontale (127), Parietale (117) und Occipitale (119) anbetrifft, so treffen wir den männlichen ähnliche Verhältnisse. Im Allgemeinen ist das Frontale der längste Knochen, in zwei Fällen jedoch das Oceipitale; in vier Fällen übertrifft das Occipitale das Parietale bedeutend an Länge, in den übrigen sind beide letztere Knochen entweder gleich lang, oder das Parietale ist länger: Jedenfalls wäre zu bemerken, dass das Occipitale am weiblichen Schädel im Ver- hältniss zu den beiden übrigen Knochen schwächer entwickelt ist, ein Umstand, der nicht ohne Einfluss auf den vorherrschend mesocephalen Charakter dieser Schädel geblieben ist. Der Gesichtsindex beträgt im Mittel — 85,0 (chamaeprosop), in Folge von Defecten der Jochbogen und der Kiefer konnte derselbe nur an sieben Schädeln erhalten werden, unter ihnen befinden sich: chamaeprosope — 5 leptoprosope == 2. In Bezug auf diese Tabelle kann ich nur das über den Gesichtsindex der männlichen Schädel Gesagte wiederholen, dass in Folge der Kieferatrophie ich mich nicht für berechtigt halte, den erhaltenen Index für sicher aufgestellt zu rechnen. Was die Configuration der Stirn anbetrifft, so gilt das Gleiche wie für die männlichen Schädel. In der Mehrzahl der Fälle ist der unterhalb der Тибета frontalia liegende Theil nicht vertikal gestellt, sondern schief aufsteigend und geht schon in der Höhe der Tubera entweder ohne, oder unter schwa- chem Winkel in den langen, oberen, fast horizontal gestellten Theil des Stirnbeins über. Nur № 28, 29, 30, 32 und 33 besassen einen vertikal gestellten bis zu oder sogar über die Tubera reichenden unteren Theil der Stirn mit winkligem Uebergang in den oberen. An allen Schädeln ist die Stirn breit und horizontal gewölbt, verhältnissmässig platt war der vertikale Theil nur an № 32. Die Tubera frontalia sind gewöhnlich schwach entwickelt, die Arcus superciliares kaum bemerkbar, № 27 besitzt einen schwachen sagittalen Kamm. Die Stirnaht fehlte bei allen. Die Augenhöhlenöffnung bildet ein Rechteck und ist horizontal gestellt. Der Index ‘ beträgt im Mittel = 89,4 (megasem), es befinden sich unter den 13 Schädeln: mikroseme — 2 mesoseme, — 5 megaseme — 6. Die Oeffnung ist sowohl relativ, als auch absolut grösser wie bei den männlichen Schädeln. Eine besondere Weite des Canalis naso-lacrymalis war nicht zu bemerken, an zwei Schä- deln war das Lacrymale nicht entwickelt. Die Nasenknochen stehen durchgängig unter sehr stumpfem Winkel zu einander, der Rücken ist platt, zuweilen mit leichtem Sattel in der Mitte. Winklig zu einander gestellte Knochen mit scharfem Rücken aber ohne Sattel zeigten № 25 und 27. Der Nasenwinkei 22 PROFESsOR А. TARENETZKY, ist ungemein stumpf, an vielen Schädeln standen der Nasenrücken und die Stirn fast in einer Flucht z. В. an № 30 und 31. Im Mittel beträgt dieser Winkel 143°, ist also noch grösser als bei den Männern. Die Nasenöffnung ist hoch und von birnförmiger Gestalt, ihre Breite ist — 25, die der Nasenwurzel — 20. Der Nasenindex beträgt — 52,0; gruppirt finden sich: leptorhine — 2 р mesorhine = 9 platyrhine = 2. Ein Geschlechtsunterschied in der Bildung und Stellung der Nase ist nicht zu bemerken. Die Höhe des Oberkiefers beträgt = 65, die Breite über dem 2-ten Molaris = 59, die Breite zwischen den lateralen unteren Enden der Processus zygomatici = 98 (Mini- mum — 86, Maximum 105). Vergleicht man diese Zahlen mit den früher citirten für die männlichen Schädel, so kommt man zu dem Schlusse, dass der weibliche Oberkiefer zwar schwächer angelegt ist, jedoch im Vergleich mit europäischen Schädeln immer noch zu den ungemein starken zu rechnen ist. Die beiden chamaeprosopen № 24 und 25 besassen eine obere Breite des Oberkiefers von 102, der leptoprosope № 34 sogar von 105. Die Fossae caninae fehlen, nur № 35 besitzt schwache. Der frontale Theil des Alveolarfortsatzes ist gewöhnlich mehr oder weniger prognath, die Zähne sind ohne Ausnahme orthognath gestellt, klein, eng gereiht und stark abgeschliffen. An № 28 persistirten in beiden Kiefern die 2-ten Milchpraemolares, an № 31 besassen die oberen Dentes sapientiae 4 Kronenhöcker, an №33 waren die Weisheitszähne nicht entwickelt und die 2-ten Molares hatten jederseits nur einen Zungenhöcker. Cariöse Zähne kamen nicht vor. . Die Jochbeine sind stark, sowohl der Körper, als auch die Fortsätze, sie sind mehr seitlich als nach vorn gerichtet. Unter den 13 Schädeln befinden sich: ohne jede Theilungsspur ==.) beiderseits mit Theilungsspur —,4 eine Theilungsspur nur links = eine vollständige Theilung beiderseits = 1 (№ 30). Ап № 34, welcher die hintere Theilungsritze am linken Jochbein besass, war auf der rechten Seite statt der Ritze ein starker einspringender Winkel zu bemerken. Der Unterkiefer ist schwächer als am männlichen Schädel, besonders was die Höhe des Körpers und der Aeste anbetrifft. Seine Länge beträgt — 180, die Breite — 92, die Höhe des. Körpers — 31, die Höhe der Aeste — 57, ihre Breite — 37. Der Winkel ist — 127° und um 4° grösser als bei den Männern. An zwei Unterkiefern war das Kinn- dreieck stark prominent. Der Gesichtswinkel nach Broca ist — 74° und ist dem der Männer gleich. Derselbe | Winkel nach Ihering beträgt 86°. Gruppirt finden sich: ЧИ PURE. CAR TRE REN} BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 23 prognathe = 3 mesognathe = 7 orthognathe = 3. Ein Geschlechtsunterschied im Gesichtswinke) findet nicht statt. Orthognath sind Л№ 32, 35 und 36, unter ihnen gehört nur № 32 zu der Gruppe mit vertikalem unteren Stirntheil. In der Seitenansicht bildet die Conturlinie des weiblichen Schädels in der grössten Mehrzahl eine langgestreckte, fast regelmässige, hohe Ellipse mit geringer Prominenz des Hinterhaupts. Der Scheiteltheil ist lang und platt, leichte winklige Uebergänge der Stirn in den Scheitel und des Scheitels in das Hinterhaupt sind zu bemerken. Einen kurzen Scheitel besass № 26, an № 33 bildete die Conturlinie eine langgestreckte Parabel mit hohem und kaum prominentem Hinterhaupte. Die vertikale Höhe № 1 ist = 129 (Minimum == 121, Maximum = 135), die grösste Höhe ist = 132 (Minimum = 126, Maximum = 138). Ап N 32,33 und 36 fällt die grösste Höhe nicht mit der vorderen X 1, sondern mit der hinteren № 2 zusammen, entsprechend diesem Umstande zeigt № 33 nicht die gewöhnliche elliptische, sondern eine parabolische Form der Conturlinie. Gemäss den überhaupt kleineren Dimensionen der weiblichen Schädel sind auch die drei Höhenmaasse im Vergleich zu den männlichen ge- ringer. Der Abstand vom vorderen Rande des Foramen magnum bis zur Nasenwurzel und von demselben ersten Punkte bis zum Rande des Oberkiefers beträgt = 97, ein Geschlechts- unterschied ist in dieser Beziehung nicht zu bemerken. Die Länge der vorderen Hälfte des Schädels verhält sich zu der hinteren wie 90:100, man kann hieraus den Schluss ziehen, dass die Prävalenz der hinteren Hälfte vor der vorderen am weiblichen Schädel bedeutend grösser als am männlichen ist. An M 26, 31 und 35 ist die vordere Schädelhälfte grösser oder wenigstens der hinteren fast gleich. Das Pterion ist durchgängig normal formirt, an № 30 existirt auf der linken Seite ein Processus frontalis squamae temporalis, an № 36 befand sich im linken Pterion ein Schaltknochen. Was die ZLineae temporales anbetrifft, so stehen dieselben in der grössten Mehrzahl der Fälle in der Höhe der Tubera parietalia, welche letztere gut zu sehen sind. Hoch gegen den Scheitel hinaufgehende Temporallinien scheinen am weiblichen Schädel selten vorzukommen, wenigstens besass solche Linien nur № 36, ап № 35 befand sich die obere etwas oberhalb des Tuber, im Ganzen sind dieselben schwach ausgebildet. Schalt- knochen in der Sutura parieto-mastoidea, und zwar je einen grossen beiderseits besass № 24, links mehrere kleine № 25, an № 30 fand sich links ein grosser Schaltknochen in der Sutura occipito-mastoidea. Die Processus mastoidei sind kurz und schwach. In der Norma verticalis bieten die weiblichen Schädel dieselbe Umgrenzungslinie wie die männlichen. Sowohl die Tubera parietalia, als auch die Arcus zygomatici sind von oben gut zu sehen. Der Scheitel, besonders in dem Raume zwischen den Tubera parietalia, ist ab- geplattet, № 29, 30 und 31 zeichneten sich noch ausserdem durch das Vorhandensein einer 24 ProrEssor А. TARENETZKY, tiefen und breiten Furche längs der hinteren Hälfte der Sutura sagittalis aus; Spuren einer solchen Furche finden sich überhaupt an vielen Schädeln. Die Form und das Verhalten der drei Hauptnähte des Hirnschädels unterscheiden sich in Nichts von denselben Angaben für die Männer, entsprechend der geringeren Altersklasse der weiblichen Schädel fanden sich bei ihnen die drei Nähte äusserlich meistentheils noch offen, völlig obliterirt waren sie nur an № 35, an № 29 und 30 war der temporale Theil der Coronalis schon verstrichen, an № 24 das hintere Drittel der Sagittalis. Nahtknochen fehlten durchgängig, sogar in der Lambdoidea waren sie selten und stets nur in geringer Anzahl, nur ein oder jederseits ein kleiner Schaltknochen in der letzteren Naht sind ange- merkt an № 25, 28, 29, 33 und 34, an № 36 waren Spuren einer Quertheilung der Occipital- schuppe zu sehen. In der Ansicht von hinten bildet die Conturlinie entweder ein Viereck (№ 24, 26, 28, 33 und 34) mit schwach gewölbtem Scheitel, oder ein Fünfeck (Mehrzahl), wobei der Scheitel in der Mitte einen leichten Winkel zeigt. Die Seiten sind entweder fast vertikal abfallend, oder sie sind leicht convex und convergiren merklich nach unten. Ein gut ausgesprochener sagittaler Scheitelkamm kam nicht zur Beobachtung. Das Mittel der grössten Schädelbreite ist — 134, das der interparietalen — 131, der intermastoidealen — 122. Die grösste Breite befand sich an demselben Orte wie bei den männlichen Schädeln, sie ist nur um ein sehr Geringes grösser als die interparietale Breite, während die letztere sehr bedeutend den Abstand zwischen den Wurzeln der Processus mastoidei übertrifft. In dieser starken Präva- lenz des interparietalen Durchmessers vor dem intermastoidealen sehe ich das beste Unter- scheidungsmerkmal für die weiblichen Schädel, auf Grund desselben kann man schon bei der blossen Ansicht von hinten das Geschlecht mit einiger Sicherheit bestimmen. Die Basis des Vier- oder Fünfecks ist durchgängig stark convex, indem die Processus condyloidei viel weiter nach unten prominiren als die schwachen Processus mastoidei, in gleicher oder fast gleicher Höhe befanden sich beide Fortsätze an № 27 und 32. Was die Form des weiblichen Hinterhauptes anbetrifft, so wiederholt sich an demselben das schon für die männlichen Angegebene. Das obere Drittel der Occipitalschuppe bis zur Spina ist fast immer abgeplattet und bildet den am meisten nach hinten vorstehenden Theil, an dieser Abplattung nimmt häufig auch das hintere Drittel des Parietale Antheil. Der basal gerichtete Theil des Occipitale fängt unmittelbar von der Spina an, meistentheils unter starkem Winkel. Ein gleichmässig gewölbtes Hinterhaupt besass nur № 30. An einigen Schädeln, wie z. В. an № 24 und 30, setzt sich die sagittale Furche des Scheitels noch auf das obere Drittel der Squama fort. Auch an den weiblichen Schädeln bildet die Oceipital- schuppe einen der am stärksten entwickelten Theile der Hirnkapsel; einen Geschlechtsunter- schied finde ich noch in dem Umstande, dass es den Anschein hat, als ob das Hinterhaupt beim weiblichen Aino überhaupt platter und weniger nach hinten vorgewölbt ist als beim männlichen. Die Spina occipitalis externa und die Lineae nuchae sind durchgängig schwach entwickelt und nicht scharf ausgesprochen, nur № 36 zeigte eine gut bemerkbare Spina und BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 25 Lineae nuchae supremae, torusartige Linien kamen an keinem der Schädel zur Beob- achtung. Die Basis bietet keine merklichen Geschlechtsunterschiede dar, etwas eingedrückt mit ungemein breiten Zncisurae mastoideae fand sie sich ап № 32. An №24, 25 und verschiedenen anderen waren die Fossae pterygoideae auffallend eng, M 27 und 34 besass schwache Processus praecondyloidei, № 35 hohe, aber schmale Processus paramastoidei. Eine grosse Mannichfaltig- keit herrschte in der Form des Foramen magnum, es kamen, so zu sagen, alle möglichen Formen desselben vor, niemals waren die Processus condyloidei getheilt. Die Länge des Hinterhauptloches ist — 34 (Minimum — 32, Maximum = 36) seine Breite = 28 (Minimum — 26, Maximum = 30), sein Index ist = 82,3. Vergleicht man diese Mittelzahlen mit denen für die männlichen Schädel gewonnenen, so kann man den Schluss ziehen, dass das weibliche Foramen magnum relativ geräumiger ist. Das Foramen jugulare fand sich an drei Schädeln beiderseits von gleicher Weite, an den übrigen rechts grösser. Die Länge des Gaumens beträgt 46, die Breite — 38, seine Dimensionen sind also geringer als beim Manne. In seiner Form bemerkte ich keinen Geschlechtsunterschied. Unter den 13 Schädeln befanden sich nur drei (M 27, 28 und 34) mit langem und sehr tiefem Gaumen und ohne jede Spur eines sagittalen Torus, alle übrigen besassen den Torus bald schwächer, bald stärker entwickelt. Ungemein gut entwickelt fand sich der Torus an № 24, 25, 26, 29, 30 und 31. Die grösste Höhe erreicht derselbe an der Kreuzungsstelle der Gaumennäthe, an № 30 betrug dieselbe an dieser Stelle — 0,5, die grösste Breite — 1,2, an № 31 war die letztere sogar = 1,5. Der Torus theilt den Gaumen vollständig in zwei Hälften, von welchen jede eine vom Foramen palatinum posterius anfangende, tiefe, sagittale Furche darstellt. Die Entwickelung des Torus steht jedenfalls in keinem direkten Verhältniss zur Schwäche oder Stärke der übrigen Schädelvorsprünge. Auch die ungewöhnlich grosse Verlängerung des Alveolarfortsatzes des Oberkiefers nach hinten von den Dentes sapientiac fand sich an den weiblichen Schädeln, an M 25 erreichte sie die Länge von 1,0. Resumirt man in Kurzem die Geschlechtsunterschiede, so erhält man folgende Merk- male. Der weibliche Schädel besitzt eine durchschnittlich um 100 e. c. geringere Capazität und ist viel leichter als der männliche. Sein Breitenindex ist mesocephal, während der des männlichen noch dolichocephal ist. Beide Schädel sind orthocephal, wobei sich der weibliche mehr der Grenze der Hypsocephalie nähert. An letzterem sind der Umfang und die Bögen geringer, die Oeffnung der Augenhôble ist sowohl relativ, als auch absolut grösser, die Kiefer sind schwächer angelegt, die Prävalenz der hinteren Schädelhälfte vor der vorderen ist be- deutend grösser. Beim weiblichen Aino sind die Temporallinien weniger entwickelt und gehen selten hoch an dem Scheitel hinauf, ein gut ausgebildeter Scheitelkamm scheint nicht vor- zukommen. Das Hinterhaupt ist weniger prominent, mehr abgeplattet und gleichmässiger gewölbt, die interparietale Breite prävalirt vor der intermastoidealen, während am männ- lichen Schädel beide Breiten einander fast gleich sind. Mémoires de l’Acad, Imp. d. sc, VII Serie, 4 26 PROFESSOR А. TARENETZKY, Die kindlichen Ainoschädel. Zur Untersuchung dienten im Ganzen drei Schädel, die Messungen konnten jedoch nur an zwei vorgenommen werden, da der dritte (№ 230 Ak. 4. W.) zu defect war, um zur Bestimmung des Inhalts u. s. w. verwandt zu werden. Dem Alter nach gehörten die drei Schädel in die Periode des Anfangs der zweiten Dentition, an den beiden gemessenen waren die Incisivi schon durchgebrochen. Irgend welche Vermuthungen über das Geschlecht der- selben aufzustellen, hielt ich für unmöglich. Der Inhalt beträgt im Mittel— 1214 с.с., das Gewicht — 393 grmm. Der Breitenindex ist für beide mesocephal (im Mittel — 78,9), der Höhenindex von № 37 ist hypsocephal, von № 38 orthocephal. Der Breitenbreitenindex ist — 62,6, der Breitenhöhenindex für № 37 == 100, für № 38 = 90,0. № 37 ist dem Gesichts- winkel nach orthognath, M 38 mesognath. In der Norma facialis zeichnen sich beide Schädel durch einen gut entwickelten ver- tikalen, unteren Stirntheil aus, welcher sich bis zu den oberen Grenzen der Stirnhöcker erstreckt. An beiden sind noch Reste der Sutura frontalis auf dem Processus nasalis bemerk- bar. Die Stirnhöcker sind gut, die Arcus superciliares nicht ausgebildet. Die Oeffnung . der Augenhöhle ist bei № 37 kreisrund, bei № 38 quadratisch mit abgerundeten Winkeln, der Index ist für beide megasem (97,0). Die Nasenknochen sind unter sehr schwachem Winkel zu einander geneigt, in Folge dessen ist der Rücken platt mit leichtem Sattel auf der Mitte. Der Nasenindex von № 37 ist leptorhin, für № 38 platyrhin; der Nasenwinkel beträgt für beide — 156° und ist also ungemein stumpf. Die Ossa zygomatica sind seitlich gerichtet. An № 37 ist das linke defect, das rechte ohne Theilungsschlitz, auch an № 38 fehlt beiderseits der hintere Theilungsschlitz, während er an dem nicht gemessenen dritten Schädel links vorhanden ist. Weder der Ober-, noch der Unterkiefer bieten Besonderheiten dar, bei № 37 beträgt die Breite des Oberkiefers zwischen den unteren Enden der Sutura zygomatico-maxillaris — 8,9, bei № 38 — 7,8, an letzterem Schädel sind die durchgebrochenen Frontalzähne etwas prognath gestellt. In Folge des jüngeren Alters ist die Breite des Oberkiefers noch grösser als seine Länge (55:53). Nur N 38 besitzt schwach entwickelte Fossae caninae. Der Winkel des Unterkiefers beträgt 126°, er ist gleich dem der weiblichen Schädel. Der Gesichtsindex ist für beide chamae- prosop. An № 37 bildet in der Seitenansicht die Conturlinie eine hohe und nicht langgestreckte Ellipse ohne besondere Prominenz des Oceipitale; bei № 38 ist die Umgrenzungslinie mehr: parabolisch mit leichter Prominenz des Hinterhauptes. An № 37 findet sich ein normales Pterion, an № 38 enthält es links einen Schaltknochen. Die tiefe Incisur zwischen dem oberen Rande der Schläfenschuppe und der Pars mastoidea ist an beiden Schädeln vorhan- den, an № 38 liegt in ihr beiderseits ein Schaltknochen, an № 37 nur links. Die Schläfen- linien sind schwach entwickelt und gehen nicht weit hinauf. Die Entfernung vom Foramen. Bi BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 27 magnum bis zur Nasenwurzel ist im Mittel um 0,5 grösser als derselbe Abstand bis zur Mitte des Oberkiefers. Bemerkenswerth ist das Verhältniss zwischen der Länge der vorderen zur hinteren Schädelhälfte. Während beim erwachsenen männlichen Schädel ein merklicher Unterschied zwischen beiden Längen nicht existirt, bekommt man beim erwachsenen weib- lichen zu Gunsten der hinteren Hälfte schon 1,0, beim kindlichen aber 2,0 (80:99), ein Umstand, welcher offenbar auf der geringeren Entwickelung des Gesichtes bei beiden letzteren Gruppen basirt. In der Norma verticalis bildet die Schädellinie an M 37 eine fast regelmässige Ellipse ohne besonderes Hervorragen der Tubera parietalia, an N 38 ein langes Oval mit der breitesten Stelle zwischen den Tubera. An № 37 sind die Nähte wenig gezackt und ohne jede Schaltknochen, an № 38 ist nur die Coronalis verhältnissmässig einfach und in der Lambdoidea befindet sich links ein grosser Schaltknochen. Der letztere Schädel zeichnet sich noch ausserdem durch eine starke Abplattung des Scheitels in der Gegend .der hinteren Hälfte der Sagittalis aus. In der Ausicht von hinten bildet № 37 ein Fünfeck mit fast parallelen Seiten, № 38 ein Viereck mit gewölbtem Scheitel. Die charakteristische Abplattung des oberen Drittels der Occipitalschuppe ist an beiden Schädeln gut bemerkbar, die beiden unteren Drittel sind ‚ фаза] gewendet, Spina und Lineae nuchae sind nicht entwickelt. Die Processus condyloidei und mastoidei stehen fast auf gleicher Höhe. Der Umfang beträgt im Mittel — 477, der Querbogen — 300, der Längsbogen — 342. Die Mittelzahl für den Stirn- und Scheitelbogen ist fast die gleiche, während der Occipital- bogen wenigstens an № 37 bedeutend kleiner als die beiden vorhergehenden ausfällt. An beiden Schädeln übertrifft der interparietale Durchmesser noch sehr stark den inter- mastoidealen. Die Schädelbasis bietet nichts Bemerkenswerthes dar, an beiden Schädeln ist das Fo- ramen magnum von elliptischer Form und sehr geräumig, seine Durchmesser sind denen für die männlichen und weiblichen völlig gleich; sein Index beträgt im Mittel — 87,8. An № 37 ist das rechte Foramen jugulare weiter, an № 38 ist ein Grössenunterschied nicht zu be- merken. Die Länge des Gaumens beträgt im Mittel — 34, die Breite — 29, an № 37 bildet der Gaumenbogen die Hälfte eines Kreises. An № 37 ist schon der Anfang zur Entwickelung eines sagittalen Gaumentorus sichtbar. 4* 28 PROFESSOR А. TARENETZKY, Allgemeine Charakteristik der Ainoschädel auf Grund eigener und fremder Beobachtungen. Es ist schwer die Zahl der in den verschiedenen Museen befindlichen Ainoschädel auch nur annähernd richtig zu bestimmen. In Russland sind dieselben, so viel mir bekannt, folgen- dermaassen vertheilt. Im Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften zu St. Pe- tersburg befinden sich gegenwärtig 39 Schädel, sämmtlich von der Insel Sachalin, einer von ihnen, der eines 7—8 jährigen Kindes, ist ein Geschenk von Fr. Schmidt, ein zweiter, stark defecter stammt von Brylkin (1863), alle übrigen von Poijakoff aus den Jahren 1882—83. Unter den Poljakoff’schen Schädeln befinden sich zwei weibliche mit den zugehörenden Skelet- knochen. Dem Museum der Kaiserlichen militär-medizinischen Akademie gehören 4 Schädel und ein Kopf mit Weichtheilen ebenfalls von Sachalin. Ausserdem hat, soviel mir aus mündlichen Mittheilungen bekannt, Dr. Suprunenko zu Anfang dieses Jahres 15 Aino- schädel, wovon einer mit vollständigem Skelet, von Sachalin nach Petersburg gebracht und wird dieselben auf der Ausstellung des Congresses über Gefängnisswesen ausstellen. Zwei Schädel, welche sich im Museum der Geographischen Gesellschaft befanden, sind nicht mehr vorhanden und es ist unbekannt, wohin dieselben gekommen sind. Im Museum der Ethnographischen Gesellschaft zu Moskau besitzt man 3 Schädel, zwei männliche, der eine mit Skelet, und einen weiblichen mit Skelet, alle drei von Sachalin, sie sind von Prof. Anu- tschin!) beschrieben. Einen Schädel hat die Geographische Gesellschaft zu Irkutzk und einige Schädel befinden sich wahrscheinlich im ethnographischen Museum zu Wladiwostok. Im Auslande sind folgende Schädel bekannt): ein männlicher von der Insel Yesso beschrieben von Busk°), ein weiblicher mit Skelet und drei männliche Schädel ebenfalls aus Yesso, beschrieben von Davis‘), der Schädel eines Mädchens? von circa 9 Jahren aus Japan, beschrieben von Kennedy”) und ein wahrscheinlich männlicher Schädel von Yesso beschrieben von Dönitz°). Prof. В. Virchow’) besitzt 6 Ainoschädel, unter ihnen stammen 1) Анучинъ. Матералы для антропологи восточ- ной Азии, 1. племя Аиновъ. — ИзвЪстя И м ператор- скаго Общества, любителей естествознаня, антрополо- rin и этнограа1и. Том. XX. Труды антропологическаго отдЪла, кн. 2, вып. 1, Москва 1876, р. 79. 2) Ich entnehme einen Theil dieser Angaben und ausserdem eine gewisse Anzahl von Messwerthen dem ersten Theile der ausgezeichneten Arbeit von Prof. v. Török: Ueber den Yessoer Ainosschädel aus der ostasiatischen Reise von H. Grafen Bela Szechenyi und über den Sachaliner Ainosschädel des Königl. zoolo- gischen und anthropologisch-ethnographischen Museum zu Dresden. — Archiv für Anthropologie, Tom. XVIII. 1888. p. 14. 3. G. Busk. Description of an Aino- Skull.-Trans- actions of the Ethnological Society of London, New Series, vol. 6, 1867, p. 109. 4) J. B. Davis. Description of the Skeleton of an Aino Woman and of three Skulls of Man of the same race. —Memoirs read before the Anthropolog. Soc. of London. Vol. III, 1870, p. 26 und: Supplement to The- saurus craniorum. Catalogue of the Skulls of the various races of Man in the collection of J. B. Davis. London 1875. 5) Kennedy. Journal of Anatomy and Physiology. Edinburgh 1871. 6) Dönitz. Bemerkungen über Aino. Mittheilungen der deutschen Gesellschaft für Natur- und Völkerkunde Ostasiens. Yokohama, 1874. Heft 6. December, p. 61. 7) Virchow..a. Zeitschrift für Ethnologie 1873. — ET ER BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 29 zwei (männliche) von Sachalin und vier (zwei männliche und zwei weibliche) von Yesso. Im anthropologischen Museum zu Krakau befinden sich 20 Ainoschädel, 11 männliche und 9 weibliche, 5 mit Theilen des übrigen Skelets, sämmtlich von Sachalin und in zwei Ab- handlungen von Prof. I. Kopernitzky') beschrieben. Das zoologische Museum zu Dresden’) hat einen Schädel von Sachalin, das anthropologische Museum zu Budapest?) einen Schädel aus Yesso. Ausserdem führt у. Török?) noch folgende bekannte Ainoschädel ап: 1 von Flower, 1 von v. Siebold und 2 von Bälz. Soviel mir bekannt, muss ausserdem eine Col- lection von solchen Schädeln an der Universität von Tokio in Japan vorhanden sein. Im Ganzen befinden sich also im Besitz von Museen und Privatpersonen circa 107 Schädel, wobei aus dieser Zahl 68 auf Russland kommen. Im Folgenden mache ich den Versuch, durch vergleichende Betrachtungen den Typus der Ainoschädel und ihre verwandtschaftlichen Beziehungen zu anderen Rassen und Stäm- men zu bestimmen. Zu diesem Zwecke erlaube ich mir nicht nur die literarischen Angaben, sondern auch eine Reihe vergleichender Data, gestüzt auf die Untersuchung einer, wenn auch kleinen Sammlung von mir zur Verfügung stehenden Rassenschädeln zu benutzen. Das Missliche eines solchen Versuches ist mir wohl bekannt, Literaturangaben, besonders Mes- sungen, da man die betreffenden Schädel nicht vor sich hat und die Messung häufig unter anderen Principien vorgenommen ist, können zu groben Fehlern führen, ebenso kann auch die Vergleichung einer bestimmten Anzahl von Ainoschädeln mit denen anderer Stämme oder Rassen, wobei von letzteren der Autor eine verhältnissmässig zu geringe Anzahl besitzt, nur eine sehr relative Bedeutung beanspruchen. Auf Grund meiner Messungen erhielt ich als die Mittelzahl für den Rauminhalt der Schädel männlicher Ainos — 1431 ce., weiblicher — 1331 cc. In dieser Beziehung sind meine Werthe beträchtlich grösser als die von Kopernitzky (M = 1364, W = 1214), ungefähr stimmen sie mit den Resultaten von Virchow (M = 1442, W — 1400). Ver- gleicht man meine Mittelzahlen mit der Tabelle von Н. Welker°) für folgende mongolische Völker: Japaner (8) = 1385 Tungusen (5) 1410 Chinesen (54) 1444 Burjaten (8) = 1489 | Verhandlungen der Berliner Gesellschaft für Anthropo- b. Czaszki Ainöw wedlug nowych materyalow. W. logie und Urgeschichte. p. 121. Krakowie. 1886. b. Zeitschrift für Ethnologie 1876. Verhandlungen 2) A: B. Meyer, Mittheilungen über das getheilte etc., p. 10. Wangenbein. Zeitschrift für Ethnologie. 1881. Ver- c. Zeitschrift für Ethnologie 1880. Verhandlungen | handlungen etc. p. 332. etc., p. 207. 3. у. Török, 1. с., p. 17. d. Zeitschrift für Ethnologie 1882. Verhandlungen 4. у. Török, 1. c., р. 16. etc., р. 224. 5) J. Ranke. Der Mensch. Tom. II, Leipzig 1887, 1) J. Kopernicki. a. О kosciach Ainosöw. W. | р. 229. Krakowie, 1881. 30 PRoFEssoR А. TARENETZKY, so würden dem Rauminhalte nach unsere männlichen Ainos sich zwischen den Tungusen und Chinesen befinden, während dieselben nach den Resultaten von Kopernitzky noch vor die Japaner zu stellen wären. Auf Grund meiner Zahlen könnte man sich die Bemerkung erlauben, dass in Folge des grossen Rauminhalts des Schädels die Ainos zu den Völkern von hohem Wuchse, resp. langem Rumpfe zu rechnen sind. Was das Maximum des Inhalts anbetrifft, so erhielt ich für die Männer — 1662, für die Weiber — 1562, Kopernitzky für M. — 1536, für W. — 1366. Mein Minimum beträgt für die Männer — 1252, Weiber — 1212, das von Kopernitzky fürM. — 1140, für W. — 1078. Auch in dieser Hinsicht fallen meine Werthe im Vergleich mit denen von Kopernitzky viel höher aus, besonders was das Maximum und Minimum der weiblichen Schädel anbetrifft. Gewichtsbestimmungen sind meines Wissens ausser von mir nur noch von Ko- pernitzky an den 8 von ihm im Jahre 1881 beschriebenen Ainoschädeln vorge- nommen worden. Als Mittel der Schwere erhielt ich für Männer — 740 grm., für Weiber — 606 grm.; Kopernitzky für Männer — 606, für Weiber — 558, hierbei wäre zu bemerken, dass von den Schädeln von Kopernitzky nur ein männlicher und zwei weib- liche den Unterkiefer besassen und dass in Folge dieses Umstandes seine Schwere sich mehr auf solche ohne Unterkiefer bezieht. Jedenfalls muss man sagen, dass die Ainoschädel zu den unbedingt schweren zu rechnen sind. In der folgenden Tabelle stelle ich den Längenbreitenindex aller gemessenen Aino- schädel zum Zweck einer Vergleichung unter sich und mit anderen Völkern zusammen, wobei ich für die Indices der Mongolen ausser den literarischen Daten eigene Untersuchungen benutze. Männliche Ainos. Sachalin. Yesso. hyperdolichocephale.... 1 0 dolichocephale........ 22 2 mesocephale x... ...... 16 5 hyperbrachycephale.... 1 0 40 7 Weibliche Ainos. Sachalin. Yesso. dolichocephale........ té 1 / mesocephale ......... 14 2 brachycephale........ 1 0 22 3 Kindliche Ainos. Sachalin. Yesso. mesocephale ......... 2 1 BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 31 Auf Grund dieser Tabelle, welche sich auf die Messungen von 75 Schädeln stützt, kann man folgende Schlüsse ziehen. Der Breitenindex männlicher Ainoschädel von Sachalin ist vorzugsweise dolichocephal (57,5%), jedoch findet sich auch eine beträchtliche Anzahl meso- cephaler Schädel (40%), auf Yesso scheint das Verhältniss ein umgekehrtes zu sein; brachy- cephale männliche Schädel gehören zu den Seltenheiten (2,5%). Die weiblichen Schädel so- wohl von Sachalin, als auch von Yesso sind zu zwei Dritteln mesocephal (63,6%), zu einem Drittel dolichocephal (31,8%), die kindlichen sind rein mesocephal. Es wiederholt sich an den Ainos die schon von Weissbach für österreichische Völker gemachte Bemerkung, dass bei einem im Allgemeinen dolichocephalen Typus der letztere mehr für die Männer giltig ist, während die Weiber mehr zur Mesocephalie neigen. Zieht man aus den von mir erhaltenen Breitenindices (M. = 74,5, W. = 76,1) und denen von Kopernitzky (M. = 73,8, W. — 74,6) die Mittelzahlen, so erhält man für die Männer — 74,1 und für die Weiber — 75,3, oder nimmt man sämmtliche Indices, ohne auf das Geschlecht Rücksicht zu nehmen, d. В. dolichocephale = 33, mesocephale = 37, brachycephale = 2, so ergiebt sich der gewiss bemerkenswerthe Umstand, dass die Ainos in Bezug auf ihren Breitenindex nicht die geringste Aehnlichkeit mit einem der sie umge- benden Völker oder mit dem mongolischen Typus überhaupt aufweisen. Nach Ranke') ist das Procentverhältniss des Breitenindex für Mongolen folgendes: dolichocephale mesocephale brachycephale. ia. Mensolen: überhaupt“... . u.a 2... 9 39 52 darunter: 58 Chinesen (nach Welker) ............. 12 54 34 (nach To pin ard) ee me 25 42 33 75 Nord- und Mittelasiatische Mongolen .. . 6 Du 67 RATIO SAR SRE Re rene e abc ken ste 46 51 3 Nach den Tabellen sowohl von Welker*), als auch von Topinard?) giebt es überhaupt keine dolichocephalen mongolischen Stämme, unter den meso- und brachycephalen stellen dieselben Autoren folgende Mittelzahlen des Breitenindex auf: 13. 2Fibeter@Welker)s2 2.0. Rate — 209,3 50-Chmesen (Kontg)u rn. we: — 16,9 3-Birmanene (Welker) ae. — ИГ 4 Tungusen (Bogdanow)......... — 18,0 23 Mongolen von Kuldscha (Topinard) — 78,2 1) Ranke. |. с., р. 204. 3) Topinard. Éléments d’Anthropologie générale. 2) Ranke. 1. с., р. 191. Paris 1885, p. 405. 32 Prorsssor A. TARENETZKY, 54 Chinesen (Welker) ............ == 9. | 9 Burjaten (Bogdanow) ......... 18141 2 Jakuten (Bogdanow).......... = 81,5 4 Ostjaken (Bogdanow).......... 19249 5'Tungusen(Welker) оо = 89.6 8'Bürjaten(Welker).... 1... 2 — 183,1. Es ist leicht zu erschen, dass die Ainos unter keinen dieser Indices zu gruppiren sind, am nächsten zu ihnen würden noch die Bewohner des Hochplateau von Tibet stehen, deren verwandtschaftliche Beziehungen zu den ersteren jedenfalls sehr zweifelhaft sein würden. Unterwirft man die die Ainos zunächst umgebenden mongolischen und mongoloiden Stämme einer näheren vergleichenden Betrachtung, so ergeben sich Resultate, welche eben- falls eine direkte Verwandtschaft derselben mit den Ainos zweifelhaft machen. Ueber die Indices der Kamtschadalen war es mir unmöglich nähere Nachrichten zu sammeln. In Bezug auf die Giljaken finden sich in der Arbeit von у. Schrenck') die Messungen von 3 männ- lichen und einem weiblichen Schädel, dem Breitenindex nach ergaben sich: Männer: dolichocephale (70,4 und 74,9).... — 2 hyperbrachycephal (85,2) ........ — 1 Weiber: dolichocephal,( u. 3,8). PRE Il; Ich selbst besitze den Schädel eines wahrscheinlich männlichen Giljaken aus der Um- gegend von Sophiisk am Amur, sein Breitenindex ist brachycephal (80,7). Addirt man sämmtliche Indices, so erhält man als Mittel von 5 Giljaken — 77,0, d. h. einen meso- cephalen Index, welcher grösser als der der Ainos ist. Es existiren ausserdem noch die Messungen an lebenden Giljaken von Dr. Seeland), nach ihm ist bei diesem Stamme der Index cephalicus sowohl für die Männer, als für die Weiber — 86,2. Als Mittel für 4 Tungusen erhielt Bogdanow — 78,0, Welker für 5 — 83,6; у. Schrenck?) maass 3 Tungusen (einen mesocephalen — 77,5 und zwei brachycephale = 84,7 und 82,2), sein Mittel beträgt — 81,4, also ist keiner der Indices dieser drei Au- toren dem der Ainos ähnlich. Auf dem Continente von Asien bildet den nächsten Nachbar der Sachaliner Ainos der Stamm der Orotschen, im Winter besteht sogar eine direkte Communication zwischen beiden 1) у. Schrenk. I. с., р. 232. etc. Москва 1886, р. 62. 2) Зеландъ. Протоколы засЪданши антропологи- 3) у. Schrenk. 1. с., р. 232. ческаго отдфла Общества Любителей естествознан1я BEITRÂGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 39 über das Eis der tatarischen Meerenge. Dr. Rontscheffsky!) hatte im Jahre 1886 die Möglichkeit 17 Schädel dieses Stammes zu untersuchen, welche das ethnographische Museum zu Wladiwostok besitzt. Unter diesen Schädeln befanden sich 7 männliche, 8 weibliche und 2 kindliche. Als Mittel des Inhalts erhielt derselbe für die Männer — 1515 ce. c., für die Weiber — 1334. Der Breitenindex gruppirte sich folgendermaassen: Männer: mesocephale = brachycephale 0 hyperbrachycephale = 3 Weiber: brachycephale 16 hyperbrachycephale — 1 ultrabrachycephale = 1 Kinder: brachycephale = hyperbrachycephale = 1. Der allgemeine Breitenindex ist sowohl für die Männer als auch für die Weiber der gleiche, nämlich = 83,9 (v.Schrenck erhielt an einem Orotschen aus Nertschinsk = 84,1) — еше Zahl, die von der gleichen für die Ainos himmelweit verschieden ist. Von Süden sind es die Japaner, welche zu den Ainos in unmittelbarer Beziehung stehen. Welker erhielt als Mittel des Breitenindex von 8 Japanern — 80,2, Topinard von 12 — 76,7. In meinem Besitze befinden sich 4 japanische Schädel, 3 männliche aus Hakodate und ein weiblicher aus Okinawa (Inseln Liu-kiu), die männlichen zeigen den Index: 82,1, 75,2 und 74,0, der weibliche 80,1. Addirt man meine Messungen, so bekommt man den allgemeinen Index = 77,9, also ebenfalls grösser als den der Ainos. Es war die Vermuthung ausgesprochen, dass die Ainos möglicherweise über Korea die gegenwärtigen Wohnsitze eingenommen haben. Leider sind bis jetzt nur wenige Schädel von Korea bekannt, Bogdanoff maass 6 und erhielt als Breitenindex — 80,9; ich hatte die Möglichkeit zwei zu untersuchen, beide wahrscheinlich weibliche, der eine stammt aus der Bucht Possiet, der andere aus der Bucht Nowgorod, beide sind brachycephal mit dem Index von 82,6 und haben weder nach ihren Dimensionen, noch nach der Form die geringste Aehnlichkeit mit den Schädeln der Ainos. 1) A. Рончевск!й. Ham&penie 17 череповъ Орочей. — Медицинск1я npu6asıenia къ Морскому Сбор- нику. 1888. Mémoires de l'Acad. Imp. 4, se, УП Série, 5 34 PROFESSOR А. TARENETZKY, Resumirt man die ebengemachten Angaben über den Breitenindex, so muss man zu dem Schlusse kommen, dass die dolichocephalen Ainos nicht zu den Mongolen gehören; eine gewisse, wenn auch sehr entfernte Aehnlichkeit im Breitenindex findet sich zwischen. ihnen und den Giljaken und Japanern, man kann dieselbe erklären, wenn man die schon Jahrhunderte dauernde Vermischung der Ainos mit den beiden genannten Stämmen in Betracht zieht. Eine Tabelle für den Höhenindex der Ainos würde, analog dem Breitenindex zusammen- gestellt, folgendermaassen ausfallen: Männer: Sachalin. Yesso. hypsocephale...... 10 2 orthocephale...... 26 2 platycephale...... 4 N) 40 7 Weiber: Sachalin. Yesso. hypsocephale ..... 10 2 orthocephale...... 113) 1 platycephale ...... 0 0 23 3 Kinder: À _ Sachalin. Yesso. hypsocephale . . ... 1 L orthocephale...... 1 0 2 1 Aus dieser Tabelle ergiebt sich, dass dem Höhenindex nach sowohl die männlichen, als auch die weiblichen Schädel vorzugsweise orthocephal sind, wobei bei den weiblichen ortho- cephale und hypsocephale fast in gleicher Zahl vorkommen. Ein Unterschied zwischen Sachalin und Yesso ist nicht aufzufinden, die verhältnissmässig grosse Anzahl platycephaler männlicher Schädel auf Yesso, kann bei der überhaupt geringen Anzalıl der Schädel von dieser Insel dem Zufalle zugeschrieben werden. In Procentzahlen ausgedrückt würden sich folgende Verhältnisse ergeben: Männer: hypsocephale = 25,5%, orthocephale = 59,5%, platycephale = 14,9%, BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 35 Weiber: hypsocephale — 46,1%, orthocephale = 53,9%, platycephale = 0. Als Mittelzahl des Höhenindex für die männlichen Schädel erhielt ich — 72,9, Koper- nitzky — 73,5, für die weiblichen: ich — 74,4, Kopernitzky — 73,8. Das Mittel aus diesen Berechnungen würde für М. = 73,2, für W.— 74,1 sein. Des Vergleiches halber führe ich folgende Indices mongolischer Stämme an: 5 Giljaken = 74,5 3 Tungusen — 43,9 15 Orotschen — 73,4 4 Japaner = 74,8 2 Koreaner — 81,7. Die Tabelle giebt den Beweis, dass die angeführten Mongolen mit Ausnahme der Koreaner ebenfalls orthocephal sind. Der Gesichtsindex der Ainos beträgt nach meinen Messungen für die Männer — 87,4, für die Weiber — 85,0, nach den Messungen von Kopernitzky für M. — 91,5, für W.— 88,7. Sämmtliche dazu tauglichen Schädel gruppirt, erhält man folgende Uebersicht: Männer: chamaeprosope = 15 leptoprosope = 12 Weiber: chamaeprosope — 9 leptoprosope = Jedenfalls gehört das Gesicht dem Index nach im Allgemeinen zu den niedrigen, wobei die männlichen Schädel mehr zur Leptoprosopie neigen als die weiblichen. Es ist schwer in dieser Beziehung eine einigermaassen genügend vergleichende Tabelle zusammenzustellen, da Rassenschädel, wenigstens ausgegrabene, gewöhnlich leider ohne Unterkiefer oder mit defecten Jochbögen gefunden werden. Mir standen folgende Messungen zu Gebote: Cake wrSchrenck).. 2... — 684,6 1 Типеазе (у. Schrenck). .........: OU 15 Orotschen (Rontscheffsky) .... = 85,4 ТА А ее RTS — 100,0 NAN ASUS м —=\ 98.0: 36 PROFESSOR A. TARENETZKY, Die grosse Gesichtslänge des Japaners hing theilweise von einer unregelmässigen Zahn- stellung ab, in Folge deren die beiden Zahnbögen nicht vollständig zum Schlusse kamen. Die Tabelle lässt, meiner Meinung nach, schon wegen der zu geringen Anzahl von Schädeln keine weiteren Schlussfolgerungen zu. у. Török!) stellt den ungemein wichtigen Satz auf, «dass das Wesen eines echt breit- gesichtigen Schädeltypus noch dadurch kennbar sei, dass bei diesem die Jochbreite nicht nur im Verhältniss zur grössten Stirnbreite (Paenozygie), sondern auch im Verhältniss zur grössten Schädelbreite überhaupt eine grössere ist». Durch seine Untersuchungen kam der- selbe Autor zu dem Schlusse, dass bei den Ainos eine Annäherung zum thierischen Typus nachzuweisen ist, dessen Hauptmerkmal darin besteht, dass die Jochbreite die grösste Schä- delbreite überflügelt. Ein sehr hoher «Jugo-Parietalindex» würde für Mongolen typisch sein, während für Europäer (Schädel aus Budapest) das umgekehrte Verhältniss besteht. Unter den von mir und Kopernitzky gemessenen Schädeln fand sich: Männl. Weibl. Kindl. a. die grösste Schädelbreite übertrifft die Interjugalbreite 25 15 2 42 b. beide. Breitenssind gleich ое 1 at 0 2 c. die Interjugalbreite übertrifft die grösste Schädelbreite 8 1 0 9 58. LI Nach dieser Berechnung würden unter 53 Ainoschädeln sich 9 (18%) vorfinden, an welchen die Interjugalbreite die grösste Schädelbreite übertrifft, ein Verhältniss, welches ohne Zweifel zu Gunsten eines im Allgemeinen sehr breiten Gesichtes spricht und nach der Meinung von v. Török ausserdem noch eine grössere Annäherung zum thierischen Typus und die Wahrscheinlichkeit einer Verwandtschaft der Ainos mit den Mongolen vorstellen würde. Ob man sich dieser Eigenthümlichkeit des Schädels zur Erklärung des Ursprungs der Ainos wird bedienen können, bezweifle ich, um so mehr, als ein Prävaliren des interjugalen Durchmessers vor der grössten Breite z. B. auch bei Malayen (Maoris) und Anderen vor- kommen kann. Der Gesichtswinkel nach Ihering ist für männliche und weibliche Ainos der gleiche, nämlich — 86°, gruppirt man, so finden sich unter 38 Schädeln: prognathe = 6 mesognathe — 24 orthognathe = 8. Leider kann ich mit meinen Resultaten die von Kopernitzky in dieser Beziehung nicht vergleichen, da letzterer den Gesichtswinkel nach der Methode von Camper und r 1) v. Török. 1. c., р. 90 und 91. "РЕЧИ A TS M УЕ КР = be LPS | à BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 37 Quatrefages bestimmt hat. Den Gesichtswinkel der die Ainos umgebenden Stämme enthält folgende Tabelle: 5 Giljaken (4 у. Schrenck)...... — 87° (2 orthognathe und 3 mesognathe). 20ltschallw. Schtencek) 2.02. — 85° (beide mesognath). 1 Orotsche (у. ЗспгепсК)...... ВА 2 Tungusen (у. Schrenck) ..... — 88° (1 mesognath und 1 orthognath). 4 Japaner (eigene). .„.......... — 88° (1 orthognath und 3 mesognath). 2 Котеалег (eigene)... ....... — 90° (beide orthognath). 1 Mandshu (eigener) . ........ — 99%. Ein Unterschied in der Procentzahl für die mesognathen Schädel ist zwischen Ainos und Mongolen nicht zu bemerken, höchstens ist auffallend, dass unter den von mir ange- führten-Mongolen sich kein einziger prognather vorfindet, während unter den Ainos der Prognathismus 16 Procent ausmacht. Die Schädel von Kopernitzky lassen eine Ver- gleichung mit den Orotschen von Rontscheffsky zu, da beide Autoren den Camper’schen Gesichtswinkel berechneten. Kopernitzky erhielt für 10 männliche Schädel — 81° und für 7 weibliche — 77°, Rontscheffsky für 7 M. — 79° und für 8 W. — 78°. Bei beiden zeichnen sich die männlichen Schädel durch einen höheren Gesichtswinkel vor den weiblichen aus, was bei den von mir gemessenen nicht der Fall war. Eine grosse Mannichfaltigkeit herrscht bei den Ainos in der Form der Augenhöhlen- öffnung. Meine und die von Kopernitzky dem Index nach geordnet, erhalten wir: mikroseme = 13 mesoseme = 29 megaseme = 17. Obgleich der Uebersicht nach der allgemeine Charakter der Augenhöhlenöffnung als mesosem zu bezeichnen ist, kommen doch die beiden übrigen Formen in solcher Häufigkeit vor, dass man geneigt sein könnte, diese Variabilität nicht einer Rasseneigenthümlichkeit, sondern eher Alters- und Geschlechtsunterschieden zuzuschreiben. Der allgemeine Augen- höhlenindex meiner und Kopernitzky’s Schädel beträgt — 86,4, zur Vergleichung füge ich folgende Uebersicht hinzu: 15 Orotschen (Rontscheffsky) ... = 30,5 5 Giljaken (4 у. Schrenck)..— 83,6 3 Tungusen (у. Schrenck)..... AUS 4 Japaner (eigene) .......... РЕЗО 4 18 Chinesen(PlIower). EEE — 39.9 2 Koreaner (eigene). . ........ — 1110220 7 Japaner (ое LE AMIE 19915 iu Mandshuf(eizener)". м. а. 100.0. 38 РвогЕззов А. TARENETZKY, Auch aus dieser Tabelle geht deutlich hervor, dass die Ainos gemäss dem Index der Augenhöhlenöffnung nichts Gemeinschaftliches mit Mongolen haben, wenigstens nicht mit solchen, welche ich zur Vergleichung unter den Händen hatte. Auch ohne den Zirkel anzu- setzen, kann man sich leicht überzeugen, dass die rechteckige und mesoseme Form der Oeffnung bei den Ainos sich scharf von der fast kreisrunden und megasemen der Mongolen unterscheidet. Die mesoseme Augenhöhle meines Giljaken variirt von der der Ainos durch ihren stark nach unten und aussen geneigten Rand. Dem Nasenindex nach gruppirten sich unsere und Kopernitzky’s Schädel folgender- maassen: leptorhine = 8 mesorhine = 36 platyrhine;— 15. Die Nase wäre also im Ganzen mesorhin (60%) mit einem Index von 51,3, platyrhine finden sich zu 25 Procent. Die Indices von mongolischen Stämmen ergeben Folgendes: 5 Giljaken(A4 у. Schrenck) ... — 2935 3 Tungusen (v. Schrenck)..... — 1502 2 Koreaneri{eigene) 24-2000 — 49,6 (1 platyrhin und 1 leptorhin). 15 Orotschen (Rontscheffsky) .. = 48,4 1 Mandshu (eigener) : ‘+: "." — 44,8 4. Japaner (eisene) ео. EN — "44,0" Es wäre zu bemerken, dass an dem Mandshuschädel sich gut ausgebildete Fossae praenasales vorfinden, eine Eigenthümlichkeit, welche ich an Ainos nicht ein einziges Mai beobachten konnte; da bei den letzteren in Bezug auf den Index nur die leptorhine Form selten ist, so kann man aus der oben angeführten Uebersicht wenigstens schliessen, dass die Ainos in der Form der Nase nicht die geringste Aehnlichkeit mit den Japanern haben. Ausser dem Nasenindex berechnete ich noch den Winkel, welchen der Rücken der Nase mit dem unteren Theile der Stirn bildet und fand denselben bei Männern — 140°, bei Weibern = 143°. Folgende Winkel erhielt ich an den in meinem Besitze befindlichen Mongolen: 1 Giljake ...... 156% 4 Japaner... 146° 2 Koreaner .... 160° 1 Mandshu..... 159°. Wenn die Anzahl der Schädel nicht zu gering wäre, könnte man sich vielleicht auf Grund dieser Zahlen die Bemerkung erlauben, dass bei den Ainos im Vergleich zu den Mon- golen die Nase etwas stärker prominirt. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 39 Seit einer Reihe von Jahren haben die Anthropologen ihr Augenmerk auf eine Eigen- thümlichkeit des japanischen Schädels gerichtet, welche man, ob mit Fug und Recht lasse ich dahin gestellt sein, Os japonicum nannte und als eine spezielle Stammeigenschaft dieses Volkes betrachtete. Das zweigetheilte Jochbein tritt in zweierlei Form auf: entweder als eine vollständige Theilung dieses Knochens in eine obere grössere und untere kleinere Partie, wobei die Theilung sich durch eine mehr oder weniger zackige, horizontal verlau- fende Sutur manifestirt, oder als ein fast geradliniger Schlitz oder Ritze, welche aus der Sutura zygomatico-temporalis ihren Anfang nehmend, horizontal im Processus temperalis os. 299. nach vorn verläuft, um bald (nicht länger als 1,0) an der Grenze des Uebergangs des genannten Fortsatzes in den Körper zu enden. Diese sogenannte hintere Ritze liegt bald dem oberen, bald dem unteren Rande des Fortsatzes näher; viel seltener existirt eine vordere Ritze, welche aus der Sutura zygomatico-maxillaris etwas oberhalb des unteren Randes des entsprechenden Fortsatzes entspringt, sich horizontal nach hinten wendet, um ebenfalls bald zu enden. Beide Ritzen sind unabhängig von einander vorhanden, selten finden sich beide zugleich, wenn nur eine — dann am häufigsten die hintere. Man muss annehmen, dass das Jochbein im embryonalen Zustande eine gewisse Neigung zu einer horizontalen Theilung besitzt. In dem einen Falle manifestirt sich diese Neigung am Neugeborenen durch die Exi- stenz eines völlig getheilten Jochbeins, im anderen durch die Anwesenheit der eben beschrie- benen Ritzen. Die letzteren, welche in dieser Periode schon gut bemerkbar sind, scheinen für das ganze übrige Leben zu persistiren; das völlig getheilte Jochbein persistirt entweder ebenfalls, wobei sich eine ziemlich zackige Naht zwischen beiden Hälften entwickelt, oder die Naht obliterirt im späteren Alter meistentheils von der бита zygomatico-maxillaris aus. Bei Obliteration der Naht kann das hintere Ende derselben ebenfalls in Form einer der oben beschriebenen Ritze völlig ähnlichen offen bleiben. Man kann in Folge dessen zweierlei horizontale Ritzen am Jochbeine unterscheiden, erstens solche, welche in Folge der embryonalen Neigung des Knochens zur Theilung entstehen und stationär bleiben, und zweitens solche, welche sich als Reste der obliterirten Sutura transversa bezeichnen lassen. Beiderlei Ritzen sind leicht von einander zu unterscheiden dadurch, dass bei der persisti- renden ersteren die normalen vertikalen Durchmesser des Jochbeins nicht verändert sind, während bei der zweiten Art— dem Reste der Sutura transversa — sowohl der vertikale, als auch der Dickendurchmesser des Jochbeins anomal und, wenn nur auf einer Seite, unsym- metrisch vergrössert sind. Das zweigetheilte Jochbein kommt beiderseits oder nur auf einer Seite des Schädels ohne Zweifel bei allen Rassen des Menschengeschlechtes vor, jedoch mit dem Unterschiede, dass es bei den meisten Stämmen zu den grössten Seltenheiten gehört, während es bei anderen, zwar nur sehr wenigen, häufiger zur Beobachtung kommt!). Man könnte den Satz 1) Für die betreffende Literatur erlaube ich mir zu , Jochbein bei dem Menschen und den Säugethieren. eitiren: Wien, 1873. W. Gruber. Monographie über das zweigetheilte W. Gruber. Nachträge zum zweigetheilten Joch- 40 PROFESSOR А. TARENETZKY. aufstellen, dass diese Anomalie des Schädels sich auf eine bestimmte Stelle der Erde con- centrirt und hier durch Vererbung sich in bestimmten Proportionen erhält. Von diesem Centrum aus verbreitet sich die Anomalie radienartig gegen die Peripherie, um je weiter vom Centrum desto seltener aufzutreten. Das eben Gesagte scheint sich in gleicher Weise eben- falls auf die obenerwähnten unvollständigen Ritzen im Processus temporalis 0. zygomatici zu beziehen, nur mit dem Unterschiede, dass die Ritze auch sehr entfernt von ihrem Centrum bei den verschiedensten Stämmen noch sehr häufig auftreten kann und z. B. an russischen Schädeln durchaus nicht zu den Seltenheiten gehört. | Als Centrum für die vollständige Theilung des Jochbeins und theilweise auch für die Ritze als Zeichen der Neigung zur Theilung kann man den Stamm der Japaner ansehn. In dieser Beziehung ist der Name «Os japonicum» vollständig richtig, nur ist nicht zu ver- gessen, dass das Os гудотайсит bipartitum auch in Japan nur als Anomalie, wenn auch häufiger als an anderen Orten, auftritt und aus diesem Grunde niemals den Anspruch einer speziellen, ausschliesslichen Eigenschaft japanischer Schädel beanspruchen kann. Nach den Untersuchungen von Dönitz!) fand sich unter 50 japanischen Schädein an 4 aus der nörd-. lichen Provinz Echigo ein Os zygomaticum bipartitum und an 9 weiteren die Andeutung einer Theilung in Form der Ritze. An 4 in meinem Besitze befindlichen Japanerschädeln besitzt einer aus Okinawa (Liu-Kiu-Inseln) eine vollständige Theilung auf der rechten Seite und 2 die Ritze beiderseits. Man könnte also sagen, dass die vollständige Theilung am japa- nischen Schädel in 9%, und die Ritze in 20%, sich vorfinden. Unter den von mir und Kopernitzky untersuchten 61 Ainosschädeln findet sich: eine vollständige Theilung ......... an 1° (beiderseits) beiderseits die persistente Ritze ..... an 21 nur links die persistente Ritze....... an 7 nur rechts die persistente Ritze...... an 5. Unter 16 weiteren Schädeln, beschrieben von verschiedenen Autoren, hatten 2 eine bein. Archiv für Anatomie und Physiologie. 1873. | Prädicates Os japonicum für dasselbe. Anatomische No- a a u een ХЕ Е p. 234. W. Gruber. Ein Nachtrag zum Vorkommen des zweigetheilten Jochbeins. Archiv für Anatomie und Physiologie. 1875, p. 194. W. Gruber. Nachtrag zum Vorkommen des zwei- getheilten Jochbeins. Archiv für Anatomie und Physio- logie. 1876, p. 230. W. Gruber. Vierter Nachtrag zum Vorkommen des zweigetheilten Jochbeins. Anatomische Notizen. Archiv für pathologische Anatomie und Physiologie und f. klin. Medizin. Berlin 1877, p. 382. W. Gruber. Fünfter Nachtrag zum Vorkommen des Os zygomaticum bipartitum und Zurückweisung des tizen. Archiv f. pathol. Anatomie und Physiologie und f. klin. Medizin. 1879. p. 113. R. Virchow. Ueber die ethnologische Bedeutung des Os malare bipartitum. Monatsberichte der Königlich preussischen Akademie der Wissenschaften. Berlin 1881, p. 230. B. Meyer. Mittheilungen über das getheilte Wangen- bein. Verhandlungen der Berliner Gesellschaft für An- thropologie, Ethnologie und Urgeschichte. 1881, p. 330. 1) Dönitz. Ueber die Abstammung der Japaner. Mittheilungen d. deut. Gesellschaft für Natur und Völker- kunde Ostasiens. Yokohama 1875, H. VIII, p. 39. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 41 einseitige vollständige Theilung des Jochbeins (Virchow und Davis) und 6 die hintere persistente Ritze (Virchow,Meyer, Busk und Dönitz). Alles in Allem erhalten wir unter 77 Ainoschädeln 3 mit völliger Theilung (ein- und doppelseitig) und 39 mit persistenten Ritzen oder in Procenten ausgedrückt 4%, für das getheilte Jochbein und 50%, für die Ritze. Unter den 3 Schädeln mit getheiltem Wangenbein stammen 2 von Yesso und nur ein einziger (der unserige) von Sachalin. Da ich nicht glaube, dass Anutschin das Vorhandensein dieser Anomalie hat übersehen können, so ergiebt sich der bemerkenswerthe Umstand, dass unter einer verhältnissmässig sehr kleinen Anzahl (7} Ainoschädel von Yesso sich zwei mit setheilten Zygomatica befinden, während unter mehr als 65 Schädeln von Sachalin nur ein einziger dieselbe aufweist. Meine Procente und der eben angeführte Unterschied zwischen Yesso und Sachalin geben mir einiges Recht zu behaupten, dass auf Grund des gegen- wärtig vorliegenden Materials nicht die Japaner das zweigetheilte Jochbein durch Vermischung von den Ainos erhalten haben, sondern umgekehrt die Ainos von den Japanern und dass auf Yesso, wo die Vermischung am stärksten war und sehr frühzeitig eintrat, sich auch die Anomalie unter den Ainos häufiger als auf Sachalin vor- findet. Südlich von Japan scheint das Os malare bipartitum zwar seltener aufzutreten, aber doch noch häufiger als z. B. in Europa, solche Schädel finden sich — soviel mir persönlich bekannt — in den Sammlungen zu Manilla und aus der Literatur sind mehrere Beispiele des Vorkommens der Anomalie unter den Dajaks!) bekannt. Der persistenten Ritze, 4. В. der, welche nicht durch Obliteration einer Sutura zygo- тайса transversa entstanden ist, gebe ich weniger Bedeutung schon aus dem Grunde, weil sie, wie es scheint, überall nicht sehr selten vorkommt, eine Ausnahme würden nach den Angaben von Virchow?) nur die deutschen Schädel bilden. Hier erlaube ich mir aus der verhältnissmässig kleinen Collection europäischer und nichteuropäischer Schädel, welche sich in der Kaiserlichen militär-medizinischen Akademie befinden, eine Tabelle des zweige- theilten Jochbeins und der persistenten Ritze zusammenzustellen, welche wenigstens für die letztere zum Beweise ihres häufigeren Vorkommens dienen kann. Unter 61 Schädeln von Embryonen aus den letzten Monaten und Neugeborenen wahrscheinlich russischer Natio- nalität fand sich die persistente Ritze an 5 (8°) und zwar an 3 beiderseits, an 1 rechts und an 1 links. An den Schädeln Erwachsener ergaben sich folgende Resultate: Os malare bipartitum. beiderseits. rechts. links. Russen ®) 12 У 10 3 Burjaten 1 — — 4. Japaner — il — 3 Baschkiren — 1 — 1) Davis. Thesaurus craniorum. ]. c., р. 294. 3) In der anatomischen Abtheilung des anat. Museums 2) Virchow. Os malare bipartitum. 1. с., р. 233. der Kaiserlichen militär-medizinischen Akademie be- Mémoires de ГАсаа. Imp. d. sc. VII Série. 6 42 PRorEssoR А. TARENETZKY, Persistente hintere Ritze. beiderseits. rechts. links. 416 Russen 14 9 5 54 Finnen 1 1 1 4 Esten — 1 — 8 Deutsche — 1 —- 1 Engländer 1 — — 12 Tataren 1 2 2 2 Tscheremissen —— 1 —- 3 Baschkiren — 1 1 1 Sirjäne —_ — pi 2 Tscherkessen — 1 — 3 Turkmenen — 1 — 9 Papuas 1 — —- 2 Alfuren —- il -— 3 Burjaten -— 1 — 4 Japaner 2 — —- 1 Mandshu — — 1 1 Giljake 1 — — 2 Koreaner — 1 — Unter den Eigenthümlichkeiten der Schädelbildung der Ainos führte ich, wenigstens für die Männer, das hohe Hinaufreichen der Lineae temporales gegen den Scheitel an. Esist selbstverständlich, dass die grosse Entwickelung dieser Linien und der Sitz derselben noch oberhalb der Tubera parietalia keinen Rassen-, vielleicht aber einen Stammunterschied vor- stellen kann, er beweist hauptsächlich eine stärkere Entwickelung des ganzen Kauapparates, in Folge dessen der Schädel an gewissen Theilen einen mehr thierischen Typus annimmt. Jedenfalls gehören so stark entwickelte Temporallinien nicht zu den häufigen Erscheinungen, an russischen Schädeln sind sie mir nur in einem Falle vorgekommen, ebenso stark wie bei den Ainos finde ich sie an drei Burjaten, an einem Mandshu, an zwei Maoris und ausserdem an den Schädeln sowohl der früheren, jetzt ausgestorbenen, als auch der gegenwärtig existi- renden Bewohner der Mariannen. Die in meinem Besitze befindlichen Schädel von Japanern, Koreanern und Giljaken besitzen ohne Ausnahme mässig entwickelte und nur bis zu den Tubera reichende Temporallinien. finden sich 31 Schädel mit getheiltem Wangenbein, die- | den oben angeführten Schriften beschrieben. Die Häufig- selben gehören wahrscheinlich fast ausschliesslich Indivi- | keit des Vorkommens der persistenten Ritze basire ich auf duen russischer Nationalität an und sind aus einer Col- | eine Sammlung von 416 Schädeln unzweifelhaft russischer lektion von vielen Tausenden nicht registrirter Schädel | Nationalität, welche, ohne zu irgend einem Zwecke speciell ausgewählt, in Folge dessen Procente zu ziehen unmöglich | ausgewählt zu sein, der anthropologischen Abtheilung ist; der grösste Theil dieser Schädel ist von W.Gruber in | des genannten Museums angehört. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 43 In direktem Zusammenhange mit der grossen Ausbildung des Gebisses steht ohne Zweifel das regelmässige Fehlen der Fossae caninae und die Weite der die Gesichtsknochen durchziehenden Kanäle und Oeffnungen. In Bezug auf die so bemerkbare Einfachheit der drei Hauptnähte des Hirnschädels, eine Einfachheit, die oft bis zur Harmonie geht, kann ich nur das eben über die Lineae temporales Gesagte wiederholen. So charakteristisch auch das Aussehen besonders der Coro- nalis und des vorderen Drittels der Sagittalis am Ainoschädel ist, eine spezielle Bedeutung als Stammunterschied kann dasselbe nicht beanspruchen. Eben solche Nähte bemerke ich an den Schädeln von Tschuktschen, Japanern, Chinesen, Maoris und Bewohnern der Mariannen. Auch die Seltenheit von Worm’schen Knochen bildet keine exclusive Eigenthümlichkeit der Ainos, sie wiederholt sich an allen den eben genannten anderen Stämmen und steht in direkter Abhängigkeit von der Einfachheit der Naht. In Bezug auf die Japaner muss ich jedoch be- merken, dass bei ihnen wenigstens in der Sutura lambdoidea das Vorkommen von Schalt- knochen zu den häufigen Erscheinungen gehört. | Charakteristisch speziell für die Ainos scheint mir die Form und Entwickelung der Squama occipitalis; zwei Eigenschaften derselben: die Abplattung des oberen Drittels bis zur Spina und die von der Spina unter scharfem Winkel anfangenden, basalgewendeten und unge- mein langgestreckten beiden vorderen Drittel sind mir, soweit ich Rassenschädel durchmustern konnte, in dieser Form und Häufigkeit nicht vorgekommen. Unter allen meinen Schädeln fand sich eine ähnliche Bildung der Occipitalschuppe nur an einem Maori, an zwei Schädeln von den Mariannen und an einem der 4 Japaner; bei den beiden erstgenannten Stämmen ist jedoch der basale Theil viel kürzer, am Japaner ist zwar die Formation sehr ähnlich, da ‚ jedoch die drei übrigen Schädel dieses Stammes ein fast regelmässig gerundetes Occipitale darbieten, so kann sie an dem einen vielleicht eine zufällige Erscheinung sein. Bei allen übrigen von mir untersuchten Mongolen ist die Squama convex und der Uebergang des oceipitalen in den basalen Theil vollzieht sich ganz allmählich. Prof. Kopernitzky machte in seiner Abhandlung vom Jahre 1881!) zuerst auf eine Eigenthümlichkeit der Ainoschädel aufmerksam, welcher er die Benennung «posthume Resection des Hinterhauptsloches» beilegte; dieselbe Beobachtung wiederholte sich bei der Untersuchung der im Jahre 1886°) von ihm publieirten Schädel. Die Resection besteht darin, dass am Hinterhauptsloche seitliche oder hintere Partien, seltener Theile der Condylen ausgesägt oder ausgeschnitten sind, in Folge dessen die Oeffnung selbst grössere Dimensionen annimmt. Ausnahmsweise finden sich ähnliche Resectionen auch am Rande der Augenhöhlen- öffnung und in der Augenhöhle selbst. Im Foramen magnum kamen solche Defecte unter 20 Schädeln an 11 vor. Kopernitzky spricht sich kategorisch gegen den Ursprung der Resectionen in Folge des Abnagens der Ränder durch Thiere und überhaupt in Folge irgend welcher Zufälligkeiten aus und glaubt, da die Ainos erwiesenermaassen ihre Todten nicht 1) Kopernitzky. 1. c.,p. 37. | 2) Kopernitzky. 1. c., р. 38. 6* 44 PROFESSOR A. TARENETZKY, anrühren, dass die Verletzungen vielleicht von Giljaken, Orotschen п. $. w. herrühren mögen, welche die ausgeschnittenen Knochenstücke zum Zwecke irgend welcher Zauberkünste oder einer noch unbekannten mystischen Heilmethode benutzen. Prof. Virchow!) besitzt einen Ainoschädel aus Yesso, den eines Golde und zwei Schädel aus Platiko bei Münchenberg, welche sämmtlich ähnliche Resectionen des Foramen magnum aufweisen. Gestützt auf den Umstand, dass fast alle Schädel mit Resection des Foramen magnum die Defecte mit überwiegend querer Richtung des längsten Durchmessers besitzen, spricht Prof. Virchow die Vermuthung aus, dass der Tod der Individuen durch einen scharfen Stoss oder Hieb von hinten her erfolgt sein könne. Nach seiner Meinung scheint ausserdem noch die Möglichkeit vorzuliegen, dass vielleicht unbekannte Thäter die Köpfe der Todten abtrennten in Folge einer abergläubischen Vorstellung, dass auf solche Weise Enthauptete nicht mehr umgehen können und jedes schädlichen Einflusses auf die Lebenden beraubt sind (Vampyrglaube). In Bezug auf die Ainos von Yesso ist durch die Beobachtungen von у. Siebold?) und Joest”) zu Genüge constatirt, dass eine post mortem Resection des Hinterhauptsloches nicht zu ihren Gebräuchen gehört und dass sie im Gegentheil sich fürchten ihre Todten zu beun- ruhigen — sogar von denselben zu sprechen. Durch die Angaben von Dobrotworsky ‘) und mündliche Mittheilungen von Dr. Tropin, welcher lange Zeit, als Arzt unter diesem Stamme auf Sachalin lebte, sind wir in Stand gesetzt, auch für die Ainos auf Sachalin die Möglichkeit irgend welcher Manipulationen an der Leiche zu verwerfen. Ausserdem ist überhaupt nichts darüber bekannt, ob z.B. die Giljaken und andere Eingeborene sich früher menschlicher Knochenstücke zum Zwecke von Amulets, Zaubereien oder Heilskünsten bedient haben, dass sie das wenigstens gegenwärtig nicht mehr thun, ist unzweifelhaft. Alle diese Angaben würden nicht zu Gunsten der Voraussetzungen von Kopernitzky und Virchow sprechen und wenigstens ich halte die folgende, jedenfalls einfachere Erklärung dieses son- derbaren Umstandes für die glaubhaftere. Unter den von mir untersuchten Schädeln fanden sich ebenfalls mehrere mit Knochenschnitten an den Rändern des Foramen magnum. Vor einiger Zeit erhielt ich von Dr. Tropin zwei Ainoschädel, von welchen bei dem einen, einem jungen Individuum angehörenden, die Schädelhöhle völlig leer und ausgeräumt war, während dieselbe Höhle des anderen sich noch ganz mit Erde und Wurzeln angefüllt erwies. An dem schon auf Sachalin offenbar beim Ausgraben gereinigten Schädel fanden sich deutliche Spuren von Resectionen des Hinterhauptsloches, welche offenbar in Folge von Messerschnitten ent- standen waren. Es kostete eine ziemliche Mühe den zweiten, völlig intacten und noch mit ; 4 К E À 1) Virchow. Ainos- und prähistorische Schädel mit | gen der Berliner Gesellschaft für Anthropologie etc. Occipitalverletzungen, Verhandlungen der Berliner Ge- | Berlin, 1882, р. 187. sellschaft für Anthropologie, Ethnologie und Urge- 4) Добротворский. а. ИзвЪ стая Сибирскаго Отд. schichte. 1882, р. 227. Геограхическаго Общества. 1870, № 2 и 3. 2) von Siebold. Ethnologische Studien über die Ъ. Записки врачей гор. Казани. 1873. Ainos auf der Insel Yesso. Zeitschrift für Ethnologie. .с. ИзвЪ стая u Уч. Записки И мпер. Казанскаго Уни- Berlin, 1881, Supplement. верситета. 1875, № 2, 3, 6. 3) Joest. Die Ainos auf der Insel Yesso. Verhandlun- BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 45 Erde gefüllten Schädel von seinem Inhalte zu befreien, da die Erde, von zahlreichen Wur- zeln durchflochten, einen festen und schwer zu zerkleinernden Ballen bildete; wollte man diese Operation mit einem Messer machen, so wäre es leicht möglich, dass bei der überhaupt weichen Beschaffenheit des Schädels Stücke vom Rande des Hinterhauptsloches abge- schnitten würden. Offenbar sind beim Ausgraben der Schädel an Ort und Stelle, je nach der Bodenbeschaffenheit, viele mit Erde und Wurzeln derartig gefüllt, dass der Finder bei Mangel anderer tauglichen Instrumente zum Messer greift, um durch Umwenden der Klinge desselben in der Schädelhöhle den fremden Inhalt zu zerkleinern, dass dabei jedenfalls nicht mit besonderer Vorsicht verfahren wird und leicht Stücke vom Rande der Oeffnung abge- schnitten werden können, liegt auf der Hand, zumal wenn man bedenkt, dass ein Schädel, der lange in feuchter Erde gelegen, eine ziemlich weiche Consistenz besitzt. Kopernitzky fand Spuren von Sägeschnitten, dieses würde nur beweisen, dass man sich in diesem Falle statt des Messers einer primitiven, aus einem Zinkstreifen verfertigten Säge bedient hat. Eine jedenfalls sehr charakteristische Eigenthümlichkeit der Ainoschädel besteht in dem häufigen Vorkommen eines stark ausgebildeten, sagittalen Torus palatinus. Unter 61 von Kopernitzky und mir untersuchten Schädeln fand sich dieser Torus stark ausgebildet an 22 (36°%,), wobei ein Geschlechtsunterschied nicht zu bemerken war. Eine solche Häufig- keit des Auftretens dieser Anomalie in einer so ausgebildeten Form ist, soviel mir bekannt, bei keinem anderen Stamme zu bemerken. Bei einer Durchmusterung der mir zur Verfügung stehenden Rassenschädel ergab sich ein mehr oder weniger gut ausgebildeter Zorus palatinus in folgenden Verhältnissen: 416 Russen an 7 54 Finnen an 3 12 Tataren an 2. Ein schwacher Torus fand sich an einem Mandshu, dagegen liess sich an den Japanern, Giljaken oder an den sonst so kolossal ausgebildeten Schädeln von Burjaten auch nicht die ge- ringste Spur desselben nachweisen. Schlussfolgerungen. Im Vorhergehenden habe ich den Versuch gemacht, einen Vergleich der physischen Eigenschaften der Schädel der Ainos mit denen anderer ihnen benachbarter mongolischer Völkerschaften zu ziehen. Als Resultat ergab sich, dass die Ainos im Schädelbau wenig Aehnlichkeiten mit Mongolen besitzen und dass sie sich von ihren nächsten Nachbarn sowohl den Giljaken, als auch den Japanern durch viele in die Augen fallende Merkmale unterscheiden. 46 PROFESSOR А. TARENETZKY, Da man das Recht hat, den Schädel zu den wichtigsten anthropologischen Unterscheidungs- mitteln zu rechnen, so wirft sich von selbst die Frage auf, welcher Rasse überhaupt dieses Volk zuzuzählen wäre. Eine Antwort auf diese Frage finden wir in dem klassischen Werke L. v. Schrenck’s!) über die Völker des Amurlandes. Gestützt auf die physischen Eigen- schaften der Ainos, auf ihren Verbreitungsbezirk, auf ihre wenn auch sehr mangelhaft bekannte Geschichte und auf ihre Sprache, spricht der genannte Forscher die Meinung aus, dass dieselben, ebenso wie die Giljaken und Andere, zu den nord- oder nordostasiatischen Randvölkern zu rechnen sind, welche als palaeasiatische Stämme in früherer Zeit andere Wohnsitze inne hatten und aus diesen durch nachdrängende mongolische Stämme allmählich theils gegen die Küste von Asien, theils auf die dem Continente zunächst liegenden Inseln verschoben wurden. Die eben angeführte Ansicht eines Autors, welcher die Möglich- keit hatte, sich persönlich mit den Völkern bekannt zu machen, deren Anthropologie und Ethnographie er beschreibt, hat so viel Bestechendes und ist so wichtig und so wahrscheinlich, dass sie eine dominirende Stellung in der Literatur einnehmen muss, und Kopernitzky, welcher die meiste Gelegenheit hatte, sich ein Urtheil über die physische Beschaffenheit wenigstens der Schädel der Ainos zu bilden, nimmt die Stellung, welche v. Schrenck den Letzteren giebt, unbedingt an. Wenn ich mir erlaube hier eine andere Hypothese in Form einer Vermuthung über den Ursprung der Ainos aufzustellen, so stütze ich mich dabei einzig und allein auf meine cranielogischen Untersuchungen, die, wenn auch an einem ohne Zweifel sehr ungenügenden und sehr lückenhaften Material vorgenommen, mir doch einige Fingerzeige gaben, die Lösung der Frage auf eine andere Weise zu versuchen. Vergleicht man die Schädel sämmtlicher die Ainos umgrenzenden Völker mit denen des uns interessirenden Stammes, so muss man eingestehen, dass, sogar abgesehen von allen Messungen, schon die allgemeine Form und der Bau der Schädel dieser Mongolen jede direkten verwandtschaftlichen Beziehungen zu den Ainos in Frage stellt. Die, so zu sagen, grazilen Schädel der Giljaken und Japaner, die schwachen und fast runden Schädel der Koreaner und Orotschen, die kolossal ausgebildeten, aber ebenfalls runden der Burjaten und Andere sind zu charakteristisch, um mit den Ainos auf eine Stufe gestellt zu werden. Verfolgt man jedoch die Schädelformen südlich von Japan, vergleicht man mit den Ainos die Bewohner der Mariannen (besonders die gegenwärtig ausgestorbenen), der Philippinen, die Maoris und Andere, mit einem Worte malayische Stämme, so muss man eingestehen, dass an den Schädeln dieser Völker sich viele Anhaltspunkte ergeben, die eine gewisse Identificirung mit den Ainos möglich machen. Es erscheinen von Neuem dolichocephale Schädelformen oder mesocephale, hart an der Grenze der Dolichocephalie stehende, das Gesicht ist breit und flach, die Kiefer sind stark ausge- bildet, die Hauptnähte des Hirnschädels sind von einfacher Construction, die Schläfenlinien reichen weit an den Scheitel hinauf, der vertikale abgeflachte Theil des Oceipitale geht unter scharfem Winkel in den basalen über, es findet sich das zweigetheilte Jochbein oder wenig- 1) v. Schrenck, 1. с. р. 246 u. f. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. NA stens persistente Ritzen, mit einem Worte, man bemerkt eine Masse von Analogien, die mit Ausnahme des Torus palatinus stark an die Schädel der Ainos erinnern. Wäre es in Folge dieser Aehnlichkeiten nicht möglich anzunehmen, dass auf den Inseln längs der Ostküste von Asien von Borneo bis Kamtschatka ursprünglich eine dolichocephale Rasse lebte, welche, durch vom Continente vorstossende mongolische Stämme auseinandergesprengt, theilweise verschwand, theilweise mongolisirt wurde, wie z. B. die Japaner, theilweise, wie die Ainos, ihre Existenz bis jetzt behauptet? Diese eben ausgesprochene Vermuthung, welche ich aus- schliesslich auf craniologische Vergleichung basire, steht übrigens nicht vereinzelt da, zu demselben Schlusse, wenn auch auf andere Weise, kam schon Vivien de Saint-Martin!). Ich kann nicht umhin, die hierher gehörige Stelle aus der Arbeit von L. v. Schrenck in extenso zu citiren, sie lautet folgendermaassen. «Die Ainos bilden eine besondere Rasse, welche ur- sprünglich die gesammte grosse Inselwelt Asiens von Sumatra bis nach den Philippinen bewohnte, und deren Abkömmlinge sich noch jetzt im Inneren dieser Inseln finden, wie die Batta von Sumatra, die Dayak von Borneo, die Tagalen von Lucon, die Bizaya von Mindanao u. dgl. m. Diese weisse Rasse, mit ungefähr, wenn nicht ganz kaukasischen Zügen, hatte geographisch ihren Sitz zwischen den gelblichen Stämmen Ostasiens einerseits und den schwarzen Völkern Südwest-Oceaniens andererseits. Die sie jetzt auf jenen Inseln umgebende malayische Rasse sieht Vivien de Saint-Martin nur als eine in sehr alter Zeit durch Ver- mischung gelber, asiatischer Völker mit derselben entstandene hybride Form an. Hatte man ‚ nun die Existenz einer von den Malayen ganz verschiedenen Rasse auf den grossen ost- asiatischen Inseln schon längst erkannt, so wies Vivien de Saint-Martin zuerst darauf hin, dass sie keineswegs auf dieselben beschränkt sei, sondern sich von dort aus nach zwei Rich- tungen weithin verzweigt habe. Die eine Verzweigung ging nach Osten über die ganze Inselwelt Polynesiens, die andere erstreckte sich nach Norden, über alle den Ostrand Asiens begleitenden Inseln, von Formosa bis nach Kamtschatka. Da somit diese Rasse nur auf Inseln wohnt, und über Inseln sich ausgebreitet hat, so nennt Vivien sie die oceanische Rasse. Ihr nördlicher Zweig umfasst nach ihm auch die Ainos. Namentlich sieht er einen Beweis dafür in der starken Entwickelung bei ihnen des Bart- und übrigen Haarwuchses, wodurch sie von den bartlosen Chinesen, Mandshu und übrigen mongolischen Völkern scharf abstechen und hingegen den Dayak und anderen ähnlichen Völkern des ostasiatischen Archipels verwandt erscheinen». : Hält man die Ainos für ein palaeasiatisches Вапдуо im Sinne L. у. Schrenck’s oder rechnet man sie zu einer besonderen Rasse im Sinne von Vivien de Saint-Martin, sicher ist, dass der ursprüngliche Schädeltypus dieses Stammes ein dolichocephaler war, und dass man das Auftreten von mesocephalen Schädeln unter ihnen der Mischung mit mongolischen mesocephalen und brachycephalen Elementen zuschreiben kann. Die Ainos wiederholen in 1) Vivien de Saint-Martin. L’annde géographique, | Бегу, Schrenck 1. с, р. 254, IX et X ann. (1870—1871). Paris 1872. р. 93—97,—citirt 48 Рвогиззов А. TARENETZKY, dieser Beziehung eine schon längst auch in Europa gemachte Beobachtung, dass der ursprünglich dolichocephale Typus, welchen man mit Recht einen Urtypus nennen kann, im Laufe der Zeit durch Mischung mit fremdem Blute in einen mesocephalen, sogar brachy- cephalen übergehen kann, wobei die frühere Schädelform je nach der Stärke der Mischung entweder dominirend bleibt, oder schliesslich nur noch in vereinzelten Exemplaren auftritt. Die Ainos, wie sie uns gegenwärtig entgegentreten, sind nicht mehr ein reiner Stamm, weder auf Yesso, noch auf Sachalin, nur ist es schwer zu sagen, auf welcher Insel dieselben stärker gemischt sind, da die Anzahl der Schädel von Yesso eine noch zu unzureichende ist. In dem speziellen Theile meiner Arbeit machte ich darauf aufmerksam, dass man bei der Durch- musterung der Schädel von Sachalin zwei Formen unterscheiden kann, von welchen ich die eine als die ursprüngliche, die andere als die Mischform bestimmte. Die erstere näher zu beschreiben, halte ich für überflüssig, weil ich in diesem Falle nichts Anderes als die allgemeine Charakteristik der Ainoschädel wiederholen müsste. Um die zweite, bei weitem weniger zahlreiche, welche ich als die Mischform ansehe, zu kennzeichnen, erlaube ich mir, ohne irgend welche Mittelwerthe zu ziehen, folgende Tabelle aufzustellen. Unter 40 Schädeln war die Mischform anzumerken an 13 (die Nummern sind im speziellen Theile angegeben) unter ihnen befinden sich: den Schädel-Indices nach: dolichocephale — 4 mesocephale = 9 hypsocephale — orthocephale = dem Nasenindex nach: leptorhine == mesorhine — platyrhine = dem Augenhöhlenindex nach: mikroseme == Bon mesoseme == megaseme — dem Gesichtsindex nach: chamaeprosope = leptoprosope = dem Gesichtswinkel nach: prognathe = mesognathe = orthognathe = ыы I ND 0 I IE D BE © Fügt man zu dieser Tabelle noch hinzu, dass ohne Ausnahme alle diese Schädel sich durch einen gut entwickelten vertikalen Theil der Stirn auszeichnen und — was ich für einen sehr wichtigen Umstand halte — dass bei allen die grösste Schädelbreite den inter- jugalen Durchmesser übertrifft, und zwar oft in einem bedeutenden Grade, so denke ich, dass durch diese Angaben ein annährend treffendes Bild der Mischform geliefert ist. Ich glaube, | 4 | 4 1 BEITRÂGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 49 dass diese Form fast ausschliesslich einer Mischung mit Japanern zuzuschreiben ist, die hypso-mesocephale Form des Hirnschädels, die Form der Stirn und besonders die mega- semen Augenhöhlen, deren ursprüngliche rechteckige Form in eine mehr rundliche über- geht, können zum Beweise angeführt werden. Von Interesse ist, dass der Schädel durch die Mischung, so zu sagen, edlere Formen annimmt, der Gesichtswinkel wird mehr orthognath, - die Stirn tritt weiter hervor und die Gesichtsbreite verkleinert sich zu Gunsten der Breite des Hirnschädels. Es ist selbstverständlich, dass zwischen den ursprünglichen typischen Ainoschädeln und der stark ausgesprochenen Mischform eine grosse Masse Uebergänge vor- kommen müssen, und dass auch an der Mischform rückschlägig sich viele Kennzeichen des typischen Ainoschädels finden werden, man darf eben nicht vergessen, dass der, wenn auch mit japanischem Blute gemischte Aino, wenigstens auf Sachalin, immer noch Aino bleibt. Zum Schlusse meiner Arbeit muss ich mein Bedauern aussprechen, dass ich aus nicht von mir abhängenden Gründen verhindert war, Abbildungen der von. mir untersuchten Schädel zu geben, das Wort und die Zahl durch ein naturgetreues Bild in des rechte Licht zu setzen, halte auch ich für ein wichtiges Erforderniss jeder anthropologischen Arbeit. Mémoires de l'Acad. Гир. 4. sc. VII Serie. Alter. alt alt alt alt mittelalt mittelalt mittelalt alt mittelalt mittelalt mittelalt mittelalt mittelalt alt mittelalt mittelalt mittelalt mittelalt mittelalt mittelalt alt alt alt PROFESSOR A. TARENETZKY, Inhalt. 1320 1434 1320 1504 1474 1662 1450 1554 1333 1306 1550 1606 1294 1472 1252 1550 1370 1404 1388 1470 1364 1370 1465 1431 Gewicht. Länge № 1. 179 192 176 188 198 187 186 191 182 184 184 192 186 188 175 184 180 180 187 190 182 185 184 185 180 @ Grösste Breite. 134 138 130 141 138 139 138 140 130 135 138 140 138 140 134 140 140 139 131 140 140 137 142 137 Geringste Breite. Mastoid. Breite. — —- > id > © 124 131 134 132 126 131 121 132 126 131 130 135 127 130 128 132 124 132 131 128 127 129 — — Parietale Breite. 130 136 126 136 128 134 130 126 121 120 136 134 132 136 130 128 128 128 128 136 136 130 140 131 md = N 1. Verticale Höhe 138 137 134 140 136 138 134 140 135 137 133 143 137 138 132 134 127 134 133 140 131 132 144 135 = №2. Verticale Höhe 126 136 126 128 142 Grösste Höhe. — [>] [0 0) 137 134 140 140 141 135 140 135 137 133 143 137 138 132 136 129 134 136 140 132 132 144 136 Querbogen. © - © 325 > || & || Längsbogon. 357 392 | 358 385 385 388 386 399 360 372 378 395 370 377 368 380 375 358 382 373 367 360 391 376 Frontalbogen. => Parietalbogen. У А в 1: е г> L 1 г æ || ww = Oceipitalbogen. Länge der vor- deren Hälfte. 100 104 101 103 Länge der hin- teren Hälfte. 102 103 101 97 97 102 |: TAB For. magn. bis zur Nasenwurzel. 108 110 106 106 114 104 106 110 107 108 103 108 110 108 24 | 55 | = п | bis . |Foramen For. magn Max. sup Winkel. | BE 1. BEITRÄGE ZUR CRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. ‚inosschädel. 3 | 32 | 38 | 34 | 35 | 36 | 7 Gesicht. Е: Dar Länge. - ыы I S Breite Sr 85 Zygomatical- © breite, © à a Fr Höhe. == © [SA — re [ep] — ©> — © © 122 | 113 нны ло EST AS) "ro. ыы © < < № ыы © © mw ок © O2 CO) ео с хм = мы но © + © ыы ыы bd Obs IQ © HR © — Obs © № 96 < < < 62 ©) © ео ND - — <> — = © — ©> [re ©> Br ‚127 | 119 | 136 | 35 Fe nm EL m © m © D I D © ны - Br | rex ях © <> = à à OX ND м Oo Po © © O2 © © © ND D tot 1118 | 117 | 143 | 40 1118 | 117 | 135 | 34 Augenhôhle. Nase, DD DD iD D À DD ND D oa м о © = QD m | 4 Ober- kiefer. Breite der Nasenwurzel. u 2 | 43 | 44 Unterkiefer. . | © SO я u} ‘| | | 185 100 | 45 |131 190 | 100 | 35 | 117 200 |100 | 34 | 123 195| 97 36 | 123 Breite. Höhe. Winkel. — =) © <> - CS © m ©> © Breitenindex. 75,2 71,8 73,3 75,0 69,6 74,3 75,8 73,3 71,9 73,3 75,0 72,9 74,2 74,4 76,5 76,0 т 77,2 70,0 73,6 76,9 74,0 77,1 145 7 18 | 49 | 50 | 51 | 52 | 58 Höhenindex. = nd = Breitenbreiten- index 68,6 66,6 69,2 63,8 72,4 70,5 69,5 71,4 72,3 69,6 69,5 68,5 66,6 68,5 64,1 63,5 67,1 66,1 70,2 67,1 65,0 66,4 66,2 67,8 Breitenhöhen- index Lagenindex. IX-X 2/XI-XII хх IX-X IX-X IX-X X IX-X X-Xl x Nasenindex. 52,0 50,9 48,0 46,3 48,1 46,1 50,0 50,0 53,2 48,0 54,1 50,9 53,0 51,9 51,9 53,0 48,0 49,0 52,0 50,0 50,0 51,9 |! 54,7 50,9 Augenhöhlen- index ee] > Le] [SL > For. magn.- index CT Qt [SA Gesichtsindex. 91,8 98,1 80,1 91.0 87,8 98,4 84,5 724 90,4 90,6 88,8 93,3 79,7 82,3 84,9 83,5 87,8 90,4 96,8 82,8 82,5 89,7 87,4 [PA = Nasenwinkel. 156 126 130 137 147 137 145 143 155 137 143 142 147 134 146 140 at el Gesichtswinkel (Broca). 71 72 76 75 75 75 75 Gesichtswinkel Qt @ (Ihering). 2 Prorsssor A. TARENETZKY, BEITRÄGE ZUR ÜRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 51 T À B%æ je: || DE | . м à : 5 nos chi inosschädel Г Е 1| 2 3 AA Kor zul | 5 | 5 5 ı | 52 | 58 | 54 | 55 | 56 | 57 | 58 ° 10 1a [42 [as [14 | 45 | 16] 17 | 18 | 19 | 20 [21 2228 24 | 25 Er | 52 | 33 | 34 | 35 36 | 37 | 38 39 | 40 m 42 | 45 44 | 45 | 46 | 47 | as | 49 | 50 | 5 | s $ 5 E 5 | = В à З 2 EURE RMI RM ee lie ; я = ZT 5 = ll | 5 А 2 ‘A “la 3 = Е Ze ee lee Е РЕНИ Unterkiefer. 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Qt Le] Alter. mittelalt mittelalt mittelalt mittelalt mittelalt alt mittelalt Jung Jung Jung mittelalt alt alt 8—9 J. 9 J. alt | Inhalt. 1229 1289 1128 1226 1390 1286 1316 1212 1562 1392 1410 1440 1416 1331 1298 1130 1214 1360 1392 | = = Gewicht Länge № 1. 670 600 580 | 675 660 650 510 665 532 525 590 690 540 606 382 | 168 405 | 164 393 | 166 | 935 | 186 465 | 174 | 3 168 164 166 188 174 ProrEssoR А. TARENETZKY, Grösste Breite. | 2 - [34] a 133 123 130 130 130 136 134 141 135 139 142 137 134 130 131 131 > Geringste Breite. | 80 82 91 96 Mastoid. 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Länge der vor- 99 85 76 80 335 | 350 | 121 | 123 | 106 | 96 | teren Hälfte. | Länge der hin- For. magn. bis [zur Nasenwurzel.} © er} 106 95 | 103 | 110 BEITRÄGE ZUR ÜRANIOLOGIE DER AINOS AUF SACHALIN. 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TARENETZKY, von Ainoschädeln Messungen | ‘dns 'XeMN {| sıq ‘uSeu ‘107 | -Tozınnuosen anz В| эт ‘Зее "тоя ‘Эззтен 110.104 -uIU дор edueT 111 105 | 101 || "S9FIEH U910p Й| -хол хер oguwT "подо тто90) -uogoqfegorteT 20 | 114 | 108 -uodoqfeguory 133 | 144 “uodogqsdurrt 366 | 123 | 121|1 360 | 117 | 120 | 123 “uo80qront) -Zuejun || ‘onorx oreoroa 549 | 317 522 | 300 | 372 | 130 | 121 | 120 133 | 518 129 | 517 138 137 N -озтохая orequoxx || -озтоха отезэттех 133 129 “opoxg *PIOYSEIT 110 129 | 121 || “озтохя 9138 т19) “охот 915500) "Lin odurT pIAEH 197 | 142 180 | 140 183 | 141 189 | 143 1685 1475 1442 1364 | 606 | 187 | 138 alt alt alt *4 4299599) М. М. 147 8 М. | mittelalt | 1470 IL 2 4|\M. 1Doenitz... 1Anutschin. A Virchow.. 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TARENETZKY, Messungen von Ainoschädeln aufrund literärischer з 33| = 3 за NE als s |2s|3s|28 13 n, - us | Ober- Unterkiefer. | Asste. 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