,.3- g. 804.. 3.//^. TA ALPHABETIQUE DES MATIERES CONTENUES DANS l'Hiftoiie & les Memoirci de l'Ac.idemie Roïalc des Sciences , publiée par Ion Ordre , Et dnjjéepar M. GODl'^ ,dc U K-Jmc Acadsmu, TOME IL A N N E' E s I &99 lyto A PARIS, PAR LA COMPAGNIE DES LIBRAIRES. M. D C C X X 1 X. AVEC F Jil Kl-L E G E DU ROY. A PARIS, 'Gabriel Martin, rue Saint Jacques à l'Etoile. Fran(^ois MoNTALANTjQuaydes Auguftins. ChcZi( JeAN-Ba PTISTE COIGNARD Fils , Imprimeur du Roy & de TAcademie Françoife, rue Saint Jacques. Hyppolite-LouisGuerin, rue Saint Jacques, à Saint Thomas dAquin. AVERTISSEMENT. IL y a plus de dix ans qu'on avoir penlé à drefler uneTablc des Matières des Méaioircs de r Académie i Feu Moniîeur SAUVEUR eu avoir fait une qui comprenoit les Années 1691. & 1693. & depuis 1699. jufqu'en 1717. inclu- livemenc. Cette Table me fut communiquée Manufcrite par le feu PERE REYNEAU dès l'année 172.;. plus d'un an ÔC demi après avoir commencé celle que je donne aujourd'hui. Elle étoitdivifée en quatre Claflés ou Tables différentes, chacune aïant un Alphabet par- ticulier. La première n'expofoit que les fèuls Titres de l'Hilloire & des Mémoires \ L'Au- theur , qui l'avoit drelTée pour fon utilité parti- culière, n avoir point eu égard aux Obierva- tionsôc aux Remarques , femées fans Titre dans les Volumes de l'Académie , & qui font l'objet le plus nécelTaire &: le plus étendu d'une Table deitinée à l'Impreilion. Les trois aurrcs croient 5 î ". Une TaHe Alphabétique des Noms des Au- theurs des Mémoires de l'Académie , ôcc. %°: Une Table Alphabétique des Noms des Aca- démiciens , avec le genre de Science dont ils ont traire. AVERTISSEMENT. 3". L'Inverfe de la précédente, ou une Table Alphabétique des Noms des Sciences , avec ce- lui des Académiciens qui s'y font appliques. Il cil: aile de voir par cette Analyfe de la Ta- ble de M. SAUVEUR, que celle que je donne eft fort différente de la fienne , àc que je n'ay pu profiter de Ton Travail. Dans la même année 171 j. j'appris que M. Scheuchzer (J. J. ) avoit au0i travaillé au mê- me Ouvrage. Il en avoit envoïé un Extrait à M. L'ABBE' BIGNON , au commencement de i'Ann.ée 171 3. Sa Table s'étendoit depuis 1699. jufqu'cn lyiz.ôielle étoit Latine. Depuis ce tems je n'en ay plus entendu parler, ÔC j'ignore l'ufage que M. Scheuchzer en a fait. Amli j'ay continué d'y travailler auffi-tôt que j'ay pu le faire , èc perfuadé que le feul mérite de ces fortes d'Ouvrages , s'il y en a , conlîfte dans leur exactitude & leur étendue. J'ay taché d'y joindre l'une Se l'autre. Je l'ay divifé en Deccn- nés ou Tomes à peu près comme on l'a pratiqué pour les Journaux de Leipfick. Je comprends dans le premier Tome tout ce qui a précédé 1 699. &: que j'ay recuciUi dans les dix Volumes in-4". qu'on imprime aéluellement j il fuivra de près ce Recueil. Le fécond , qui eft celui - cy , comprend douze Années, depuis 1699. juf- qu'en 17 10. Les autres iront de fuite de dix AVERTISSEMENT, ans en dix ans. Je donncray bien-côc le troi- (iéme, depuis 1710. juiqueii 17x0. & le qua- trième paroîcra immediacement après le Volu- me de l'Académie pour rAnnéei73o. Jen'ay pas cru devoir partager chaque Vo- lume en deux Tables Alphabétiques, dont l'une contint les Obfervations , &c. ( Pars Realis , ) & l'autre les Noms d'Auteurs , 6cc. {Pars Nomi^ nalis , ) aind que quelques Perfonnes m'avoient confeiUé de faire j )'ay confondu le tout fous un même Alphabet , & cela m'a paru plus lîmple. Pour ce qui ell de l'étendue , voicy en gêne- rai la Méthode que j'ay fuivie. J'ay mis tout au long les Titres de l'Hiifoire &: des Mémoires, aux endroits où ils pouvoient être rappartésj'ay extrait de tous les deux ce que j'ay trouvé de propre a déterminer quelque chofe fur chaque Matière , bc j'ay rangé tous ces Articles Alpha- bétiquement , les répétant autant de fois en dif- ferens endroits qu'il m'a paru néceffaire poul- ies pouvoir trouver plus aifément.J'ay inféré des Liftes des Mémoires & Obfervations diverfes fur chaque Science. Et ces Liftes fe trouvent au nom propre de la Science. J'y ay même ob- fervé une cfpece d'Ordre qui ma paru avoir quelque utilité. Enfin j'ay ajouté au Nom pro- pre de chaque Académicien , ou à celui des au- tres Perfonnes donc il cft fait mention dans AVERTISSEMENT. l'Hifloire &c dans les Mémoires , de lemblablcs Lilks, tant de leurs Mémoires, que de leurs Dé- couvertes, Obiervations ou Vues particulières j une Lille d'Obfervations Agronomiques , au mot Observati ons, des Lieux dont on peut déterminer la Longitude 6c la Latitude au mot Villes, tkc. Et parce que j'ay trouvé quelquesfois des Mémoires dont le Titre , un peu trop général , n'en dévelopoit pas aflés le Sujet , j'ay ajouté dans ma Table , en Italique dc entre deux Parenthéfes , ce qui m'a paru dé- iigner davantage le But ou le Sujet du Mémoire. On en verra des Exemples pp. 33. }j. 64. 136. ècc. Voicy la Méthode que j'ay emploïée pour les Citations. La Lettre H. déiigne THilloire , èc M. (îgnific les Mémoires. On trouve enfuitc l'Année èc la Page. Quand après le p. qui figni- fie Page , on trouve èc fq. ou bien encore qu'il y a, pp. &rqq.cela fignifie page telle&fu'vantCy ^ pages telles & fuivantes. Quiand il y a plufieurs pages de fuite à citer,ii l'on n'avoit mis a^UQfmv. cela n'auroit pas plutôt Çi^xn^è fui'vante , que fuivantes. Et j'ay cru que cesMarqucSjfq. &: fqq. qui font le mot Latin abrégé , & qui font d'ufa- gc ailleurs , pourroient être tolérées dans un Li- vre François. On trouvera en pludcurs endroits de cette AVERTISSEME NT, Table, àC à la Mai ge gauche feulement, des pecirs c renverfés en cette manière » en tei'me d'Imprimerie des Guillemets , je les ay mis pour marquer lesTitres mêmes des Mémoires, & j'ay évité par-là d'emploïer un Caradere différent , qui auroic trop embarraiïé. Enfin les Noms des Académiciens , dans tout le cours de cette Table, font imprimés en gran- des Majufcules , les autres Noms propres Ibnc en bas de Cajfe , Cara6tere courant du Livre , excepte dans leur rang Alphabétique, où tous les Mots font en petites Majufcules. Lorfqu a- près le Nom propre de quelque Perfonne on trouve ce mot abrcgé,Corr. cela fignific que cet- te Perfonne étoitCorrefpondant de l'Académie. FAUTES A CORRIGER T'S- li^n. 3 la Éoent.4&:5 75 ) no 17 197 t xi4 10 *Ji t iH II I? MS i? ■ JIO U fautes. H. 1704- P- 57- ajoutez aprei n^. ajoutez après f. 95. ajoutez, DADES ME après & 71. ajtutex. z8. FcTricr 17» j. M. 170;. ajoutez, à lafirt de la Ugnt ibid. p. 4^. innafcem corrigez. H. 1704- P- 4!- ARMONIAC Vouz. AMMONIAC H. 1704. p. 89. Snite. ibid. p. 9^. D A LES ME. K celle du J- ATri!i7oS. M. ijoS.p. i»^- 18. Février 170*. M. 170J. Votez, aujfi Q^u a R R e's. M. 1701- P- 4fi- tnn»[cirts. TABLE TABLE ALPHABETI Q_U E Des Matières contenues dans l'Hiftoire&cles Mémoires de l'Académie Roïale des Sciences. A N N E' E S 1699 1710 A Abdomen ( Sufpenfeurs de 1' ) Nouveaux Ligaments découverts par M. POUPART. H. 170 j. p. ji. Abeille { M. ) Ingénieur. Voûte platte de fon inven- tion, dont la Coupe des pierres eft particu- lière , approuvée par l'Académie. H. 165(5), p. liO. Tali. des Mat. 16^^. — 1710. A i TABLE DES MEMOIRES Abelmosch ou Herbe au Mufc , Plante de l'A» mcrique , fa dcfcription cnvo'ice à l'Académie- par le P. Breton ]efuite. H. 1703. p. 57- Ab&ce's forte de Maladie, cequec'eft. H. 1701. p. 25?. Les Ventricules du Cœur doivent être moins fujets à des Ablcés qu'à des Inflamations, SC pourquoi î H. 1701. p. zq. Abscb's de Poitrine ( le Pus des ) dore les Inftruments des Chirurgiens. H. 1700. p. j?. Académiciens ( Liltc des ) Anciens &c Nouveaux lors du Règlement donné par le Roi en 16951. à l'Acadcmic. H. 1699. p. ly. Académie. Règlement donné par le Roi à l'Académie en 1699. H. 1699. p. 3. L'Hiftoire de l'Académie Roiale des Scien- ces ce que c'eft ? H. 1 699. litt. a. &: fqq. Préface. Son Hiltoire doit être celle des Académi- ciens. H. 1699. p. ni. Comprend plus de chofes que les Mémoires ^pourquoi ? H. 1699. lit. a. Préface. Lors de fon commencement, ne publioit gue- res fes Découvertes , que par le Journal des ■ Sçavans. H. 1707. p. 177, Entreprend la Dcfcription des Arts. H. 1699. P- 117- , ^. Ses vues dans ce dcflcin. H. 1699. p. 117. : & fq. Le Roi lui envoie l'examen des Machines dont on demande des Privilèges. H. 1699. p. 119. Surquoi roule le jugement de l'Académie dans l'examen des Machines. H. 1699. p. 120. Son deffcin &r fcs cnrrcprifcs pour l'avance- ment de la Botanique. H. 1700. p. 76. Eft fivorifce par le Roi dans l'cxccution de ce dcffein. H. 1700. p. 76. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7I0 î ACADEMIE (!') confultée par le Parlcni. dcTournay fur du Caftorcura,prctendLi Sophiftiqué. H. 169^^. p. ^(f. Confultée fur l'Ambre jaune par M. le Ma quis de Bonac , Envoie extraordinaire de France auprès du Roi de Suéde. H. 170J. p. 41. Mémoire de l'Académie à cette occalion. H. 170^. pp. 41. &: fqq. Confultée par M. LEIBNITS , fur la reforme que les Proreftans d'Allemagne vouloient ap- porter à leur Calendrier. H. 1700. p. 128. Sa Rcponfe à M. LEIBNITS. H. 1700. p. 119. Choifie pour Juge par des Afpirans à une Chaire de Mathématique à Bordeaux , & fur- quoi ? H. 1703. p. 76. &c fq. A l'occafion d'un Problême propofé par M. BLONDEL, lui a donné lieu de pcrfeftionner la Théorie du Jet des Bombes. H. 1707. p. iiz. Acajou ( Pommier d' ) Sa defcription envoïée de la Martinique à l'Académie par le P. Breton Je- fuite. H. 1704. p. 5-7. Accélération des Corps pefims . . . l'Hipothefe de Galilée fur cette matière généralement reçue H. 1699. p. 68. ,, Explication de la Machine qui a été faite pour examiner l'Accélération des Boules qui roulent fur un plan incliné , &c la comparer à celle de la chute des corps. ( Par le P. SE- BASTIEN TRUCHET. ) M. 1699. p. Z83. Accelere's ( Mouvemcns ) „ Des Mouvemens com- mencés par des viteflcs quelconques , & cn- fuite primitivement accélérés en raifon des tems écoulés dans des milieux refiftans en raifon des quarrés des vitefTcs effeétives du mobile. Par M. V ARIGNON. M. 1709. p. 267. Voïezj aujjl Corps , Mouvemcns. Aij "4 TABLE DES MEMOIRES Accords ( les ) de Mufique, d'où dépendent en ge~^ . neral i H. 1700. p. 135. font bornés , &: pourquoi ? H. 1700. p. 1 3 j. Traités amplement par M. CARRE'. H. 1704. p. 89. j, ,, De la proportion que doivent avoir les Ci- „ lindres pour former par leurs fons les accords de „ Mufique, par M. CARRE'. M. 1709. p. 47. Accouchement ( Hiftoire d'un ) extraordinaire. ( Fœtus tiré par le fondement. ) M. 1701. pp. Z34. & fqq. de neuf enfans à la fois , qui paroifloient à differens termes. H. 1709. p. zi. Avant terme, pourquoi plus périlleux ? H. 1701. p. 10. Accouplement des Infedcs nommés ordinairement Demoifelles. M. 1699. p. 147. Acides Le fyftême des Acides &: des Alcalis a peut- être été rendu trop gênerai. H. 1701. p. 66. Il y en a de deux fortes principales. H. 1700. p. 48. M. 1700. p. 64. Expériences fur le rapport de ces deux Acides aux mêmes Alcalis terreux. H. 1700. p. 49- Obfervations fur la quantité d'Acides abforbés par les Alcalis terreux. Par M. HOMBERG, M. 1700. p. 64. Occafion de ces Obfcrvations. M. 1700. p. ^4. Ces Obfcrvations utiles aux Médecins, ihid. R°"'^r''a \ ce que c'cft. M. 1708.PP.3 1 2 & 3 10 ManifcftesJ ^ / ir ^ „ „ Mémoire touchant les Acides & les Alcalis., „ pour fervir d'addition à l'article du Sel Principe „ imprimé dans nos Mémoires de l'année 170A. „ Par M. HOMBERG. M. 1708. p. jii. DE L'ACADEMIE i69s>— I7I0 f Acides „ Obfervations touchant l'effet de certains Aci- des fur les Alcalis volatils. Par M. HOM- „ BERG. M. 1709. p. 354. Acides & Alcalis , ne peuvent être enfemble fans fc combattre & fe détruire. H. 1701. p. 70. Expérience contraire de M. HOMBERG. /^/V; du Corps Humain , peuvent avoir du rapport aux Eaux regales ou aux Eaux fortes. M. 1700, p. 64 & fq. La Poudre de Coquille d'Huitre eft propre à rétablir les Eftomachs gâtés par les Acides , èc pourquoi? H. 1700. p. 50. Diflblvent autant de la Chaux vive que de la Chaux éteinte. M. 1700. p. 64. &c fq. Raifon de cette fimilitude il^id. &: fq. „ Acide („ fur F) de l'Antimoine H. 1700. p. y8. jj „ Sur l'Acide de l'Antimoine. Par M. HOM- „ BERG. M. 1700. p. z^S Ce que c'eft & d'oii vient cet Acide? H. i7oo.p. 58. M. 1700. 2,^5). Manière de M. CHARAS pour tirer une Liqueur Acide de l'Antimoine. M. 1700. p. 298. ■^ Cette manière trouvée fauile par M. HOM- BERG. M. 1700. p. Z98. & feq. Manière de tirer cet Acide , pratiquée par M. HOMBERG. M. 1700. p. 299. L'Antimoine bien pur n'en donne point. H. 1700. p. 58. Acides n'entrent point dans la compolition du Fer, fuivant M. LEMERY le fils. H. 1706. p. 33. Ne diflolvent plus le Fer , quand on l'a dépouil- lé de fes parties huileufcs. M. 1707. p. 305. Effacent les taches d'ancre , àc pourquoi ? H. 1707. p. 41. Dominent dans les Tamarins. M. 1 699. p. loc A ii;. 6 TABLE DES MEMOIRES Acides ( Liqueurs ) „ Reflexions & Oblcrvations diver- Ics fur une Végétation chimique du Fer , & fur quelques Expériences faites à cette occafioii avec diftcrentes Liqueurs Acides ^c Alcalines, &c avec diftercnts îvlctaux Hibftitucs au Fer. Par M. LEMERY le fils. M. 1707. p. 195,. Acides ( „ Sur les ) Minéraux & Vegct. H. 1709. p. 40. Minéraux &: Végétaux , pourroient n'être pas les mêmes , &c pourquoi. J/;id. Minéraux & Végétaux ne font pourtant pas différons félon M. HOMBERG. /^/W. &c fq. Minéraux tirent plus d'huile des Plantes que les Végétaux. H. 1700. p. <;y. Miner, dillolvent le Mercure. M. 1700. p. 15)^. Acides ( Efprirs. ) Le Sel Marin mêlé avec les Efprits Acides, échauffe les Liqueurs. M. 1700. p. 113. Acide ( Elprit. ) Méthode de tirer l'Efprit acide du Souffre comraun,en plus grande quantité que l'on n'a coutume d'en retirer. M. 1703. p. 33 & fq. ( L'Efprit ) du Souftre pourroit bien être la caufe de la mauvaifc odeur qui accompagne les Diffolutions qu'on en fait. M. 1703. p. 3^. Acide (l'Efprit) du Souffre commun eft le même que celui du Vitriol, &: pourquoi? M. 1703. p. 39. L^u Souffre commun de l'Alun, & du Vitriol, cft le même. H. 1703. p. 47. & fq. Acides du Sel font plus groffiers que ceux du Vitriol. H. 1709. p. 3r Végétaux, font un Rcmcdc, pour XcSolanum, \c Stramoniiim ^V Opium , Sec. H. 1703. p. 57. Végétaux. Voicz, Acides Minéraux. ^ciNjiniA Imperati. Plante Marine, femble avoir une cfpece de femence. M. 1700. p. 36. Acoustique (F) cequec'eff &:fonObjet.M.i7oi.p,z5)p. Eft fort étendue. EL 1700. p. 134. DE L'ACADEMIE i(?P9 — i7io 7 MEMOIRES ET OBSEKJ^ATIONS et Acoufiiqne , imprimés dans les Mémoires de l'Académie. .1 I 6 p 51. ■ I 7 I o. AcousTiQnE. Sur une Théorie gênerai du Son, lue dans l'Acadcmic par M. CARRE'. H. 1704. p. 88. „, „ Sur la détermination du Son fixe. H. 1700. „ p. 134- „ „ Sur unnouveauSyftémedeMufiquc. H.1701. ,y p. IZI. 5, „ Syftcmc gênerai des Intervalles des Sons , & ,, fon application à tous les Syftcmes &c à tous 3, les Inftrumens de Mufique. Par M. SAUVEUR. „ M. ryoï. p. zc,s>. „ „ Sur l'application des Tons harmoniques aux „ Jeux d'Orgues. H. 1701. p. 5)1. . - „ „ Application des Sons harmoniques à la com- „ poiition des Jeux d'Orgues. Par M. SAUVEUR- „ M. 1702,. p. 308. ■-. ■■', - „ „ Sur les Syftcmes tempérés de Mufique. H. 1707. p. 117. 3, „ Méthode générale pour former les Syftêmcs „ tempérés de Mufique , & du choix de celui „ qu'on doit fuivrc. Par M. SAUVEUR. M. „ 1707. p. 203. „ ,, Sur les fons des Cilindres folidcs. H. 1705?. P- 93- „ ,, De la proportion que doivent avoir les Ci- 3, lindrcs pour former par leurs fons les Ac- „ cords de la Mufique. Par M. CARRE'. M. ., 1709. p. 47. AcousT ( Obferv, ) fur les Foïcrs de difllpation ou ^ TABLE DES MEMOIRES d'aftoibliflcmcnt de Ton , que l'on trouve vers les extrcniités des "Cilindres de bois , frappes fucceflivemcnt dans toutes leurs par- ties fuivant leurs longueurs. H. 1709. p. 96. &: fq. Ad AMAS litcidus de M. Boy le , n'eft pas un Prodige H. 1707. p. z. Jdauica Terra, ce que c'eft. M. 1700. p. 29. Adhérence des Corps polis & mouillés l'un contre l'autre, ne vient pas feulement de la prefllou de l'Atmolphere. H. 1703. p. 97. Adultes, l'Os de la Dent ne croît point dans les Adultes. H. 1695). p. 41. JEthiops Mificralis. Terme de Chimie , ce que c'eft. M. 1707. p. jiS. Affkiquains & Orientaux , mangent du Tamarin , & en font une cfpcce de Boiflbn. M. i65>5>. p. 100. ,, Agneau (fur un) Fœtus monftrueux. H. 1703. p. 28. Aigle Diffeftion de la Cuiflc &c du Pied d'un Ai- gle. H. 1699. p. Ji. Aiguille mife de niveau fur un Pivot, puis aimantée, ■ s'incline du côté du Pôle Arctique , &: pour- quoi ; H. 1710. p. 6y. Aimantée. Feïez. Aiman. Aiguille ( Montagne de 1' ) ou Montagne inaccedî- ble en Dauphiné , pourquoi ainii nommée? H. 1700. p. 3. '■' Sa fituation particulière fuivant quelques Re- lations, ibid. Ce que c'eft au vrai que cette Montagne. H. 1703. p. 21 &: fq. Aiguille d'Horloge, Machine inventée par M. Mo- lard pour fliire mouvoir avec une grande faci- lité les Aiguilles des Cadrans très éloignés de l'Horloge. DE L'ACADEMIE i(Î99 — ryio 9 l'Horloge , approuvée par l'Acadcmic. H. 1705?. p. 113. AiMAN Conjcûures fur (a formation. M. 170^. p. 12.9. &: fq. Pourroit bien avoir été originairement du Fer, &: pourquoi ? H. 1706. p. 3 J Delà convcriion du Fer en Aiman, diverfes Obfervations & Expériences fur ce fujct. M. 170^. pp. 104. &: Iqq. . . . Perd fa vertu d'attirer , fi on l'expofcauraïons du Soleil, réunis par un Miroir, ou Ii on le . _ met quelque tems fur le feu. M. 1706. p. 131. ( Pierre d' ) du poids d'onze onces, qui levé vingt-huit livres de Fer. H. 1701. p. 18. ,, Diverfes Expériences & Obfervations Chi- miques & Phyliqucs fur le Fer &c fur l'Ai- man. Par M. LEMERY le fils. M. 1706. p. 1151. ( „ Sur r)&: fur rAiguilleaimantéc.H.170^. p. j. „ Nouvelles remarques fur f Aiman & fur les .' . Ai9- &-' fqq- Lames d'Acier aimantées , pourquoi fouticn- nent des plus grands poids lorfqu'eUes font plus longues. H. 1703. p. 20 & fq. \^ " „ Surla DeclinaifondefAiman. H. 1701. p. 9, „' H. 1706. p. 5. „ H. 1708. p. 19. ,„. . - H. 1710.P. 3. Difficulté d'obferver précifement faDéclinaifon avec les Bouffolcs orduiaircs. M. 1700. p. 8. èc fq. Déclinaifon de ( T ) obfervée à Cartagenc en 1704. Par IcPercFcuillée. Corr. M. 1708. p. 10. Tab. des Mut. 16^^. — 1710. B 10 TABLE DES MEMOIRES AiMAN (Dcclin. dcl') ohfciv. entre Golfo-Trifteou Porto-Cabcillo & S" Marthe en 1704. par le même, ihid. p. 6. à Lifbonnc en 1697. par M. COUPLET le fils. H. 1700. p. 131. M. 1700. p. 174. à Malthe en 1708. par le P. Feuillcc Corr. M. 1708. p. 172. à la Martinique en 1682,. par MM. des Haycs &: de Glos. Corr. M. 1704. p. 343. en 1704. par le P. Feuillée. Corr. ihid. p. 343. en 1J06. par le mcmc. !NL 1708. p. 16. au Mile dans l'Archipel en 1701, M. 170Z. p. 10. à Nuremberg en divcrfes années par M. Wurtzelbaur. Corr. M. 1701. p. 77. à Nuremberg en 1708. M. 1709. p. (53. à Para'ibc au Brcfil par M. COUPLET le fils. H. 1700. p. 131. M. 1700. p. ijy à Paris pendant pluficurs années depuis 1666. jufqu'en 1701. M. 1705. p. loi. &c fq. à Paris à l'Obfcrvatoire Royal par M. DELA HIREen 1699. M. 1700. p. 8. 1700. 1701. II. 1701. ijox. 7. 1702. 1703- 4- 1703. 1704. j. 1704. 1705. J. 570^. 1706. î- DE L'ACADEMIE Kjps) — 171° n ' 1706. 1707- y- 1707. 1708. 63. 1708. 1709. 4. 1709. 1710. 143. AiMAN (Dcclin. dcl' ) obfcrv. à Porro-Belo en 1704. par le P. Feuillce. Corr. M. 1708. p. 8. à Smirnc en 1700. M. 1701. p. S. à Tcflaloniquc en 1701. M. 1702. p. 9. à Tripoli en 1701. M. 1701. p. iz. ' AiMÀN ( „Decliniiifon . p. 81. Puiffance Rcfraclivc de l'Air , à Cayenne, /'/-/V.p.Si. &:fq. à Bologne. /'^/V, à Londres, il^/d. à Tornco en Botnie. li/id. Refradion de l'Air au Verre. H. 1704. P- 77- . ,, Expérience de la Refraction de l'Air , faite par ordre de la Société Ro'ialc d'Angleterre, rapportée par M. CASSINI le fils . . . avec fes Reflexions fur cette Expérience. M. 1700. 4J „ p. 78. & 8z. Air Rcfpir. Différences dans la manière dont les différents Animaux refpircnt l'Air. H. 170 1, p. 46. & fq. Entre dans le Corps des Animaux par deux voies différentes. H. 1707. p. 13. Eff necelLiire aux Poillons pour refpircr. M. 1 70 1 . 2 3 4. &: fq. ,, Sur ce que devient l'Air qui eff entré dans les Poumons. H. 1700. p. 17. H. 1707. p. li Route de l'Air reçu dans le Corps des Animaux par DE L'ACADEMIE 1^5)9 — 1710 17 par la Refpiration. ibid. p. 13. Air Rcfpir. Explication de la manière dont l'Air circule avec le Sang par toutes les parties du Corps. ■M. 1700. p. 213. Penfccs différentes des Anatomiftes fur la ma- nière dont l'Air que nous refpirons contribue a la Circulation du Sang. M. 1700. pp. 217. & fqq. Ufagc de l'Air qui fe mêle avec le Sang. H. 1700. p. 2^. -; :: - ' l'Air après la Circulation, rentre dans le Pou- mon par l'Artcrc pulmonaire , &; fort par la Trachée. H. 1700. p. 2.6. „Qiicftion Phyiique, s'il cft vrai que l'Air qui entre dans les Vaiileaux fanguins par le moien de la Refpiration s'échape avec les vapeurs &: les fueurs , par les Pores infenfibles de la Peau. Par M. MERY. M. 1700. p. Z17. „Qucftion Phyfique , fçavoir fi de ce qu'on peur tirer de l'Air de la lueur dans IcVuide il s'enfuit que l'Air que nous refpirons s'écha- pe avec elle par les Porcs de la Peau. Par „ M. MERY. M. 1707. p. I j3. Obsédions faites au Syftême de M. MERY, que l'Air que nous refpirons ne s'échape pas ., ; ^u Corps par les Porcs de la Peau. H. 1707. p. 13. M. 1707. pp. ly^. & fqq. _ Rcponfes de M. MERY à ces Objedions. ibid. ibid. ■' - ' Reflexions , Obfcrvations &: Expériences qui appuient leSyllcmcde M. MERY, furceque devient l'Air entré dans les Pouinons , & qu'il ne peut pas fortir par les Pores de la Peau. H. 1700. p. zj. & fq. M. 1700. pp. 115). Se fqq. H. 1 707. p. 1 4. &: fq. M. 1 707.PP. i j 3 . &: fqq. Ttib. des Miit. l6s>9- — 17 10. C i8 TABLE DES MEMOIRES Air remplit toujours la capacité des vaiilcaux vui- dcs de iang dans les Pcrronncs mortes par des pertes de Iang. H. 1704. p. 30. & fq. Les Poifîons expoics fous le Récipient de la Machine pneumatique rendent beaucoup d'Air de dcflous leurs Ecailles. ^L 1700. p. 211. „ Air ReHort. ,, Sur le Reflort de l'Air. H. 17 10. p. I. FAir n'a point de RclTort félon M. PARENT, &: pourquoi ? H. 1708. p. 17. & fq. „. ' „ Expériences fur le Rcllbrt de l'Air. Par M. j,. CARRE'. M. 1710. p. i._ Ces Expériences établirent ce Reflort , ib, p. j. ■& Iq. ^ Le Reflort de l'Air cft dunmue -^ tt , par Icrroid. y augmente parla L.lialeur. j ' De combien la Chaleur de l'Eau bouillante , augmente la force du Reflort de l'Air. H. 165)^?. p. 105. M. ii?99. p. 114. Le feu appliqué immédiatement à l'Air, aug- mente la force de fon Reflort , plus que la chaleur de l'Eau bouillante. M. 1699. p. 119. Diminution de la force du Reflort de l'Air plongé dans l'Eau, ihid. p. 116. Le Rcfl^ort de l'Air , s'augmente par un même degré de chaleur , d'autant-plus qu'il cil: charge d'un plus grand poids, & pourquoi ? H. 1701. p. 3. &c fq. ,y „ Sur les Effets du RelTort de l'Air dans la „ Poudre à Canon &C dans le Tonnerre. H. 1702. » P- 9- Le Reflort de l'Air cfl: le principe des plus furprenans effets de la Poudre à Canon. H. 1707. p. 151. : , DE L'ACADEMIE 1699 — lyio. 19 „AiR Rcfl'or. ,, Qi-ie les Expcncnccs que nous avons du poids &c du Rcllorc de l'Air , nous font con- noîtrc qu'un degré de chaleur médiocre , peut réduire l'Air dans un état afTcs violent , pour cauler icul de très grands Tremblcmens & Bouleverfemcns fur le Globe Terreftre. Par M. AMONTONS. M. 1703. p. loi. Aix-la-Chapelle ( l'Eau Mnierale d' ) dore les Mé- taux, &: d'où lui vient cette propriété î H. 1700. p. J9. ^ Aix en Provence. ( Eclipfc de Soleil obfervé à ) le 11. Juillet 1684. par M. le Prieur Gaultier. M. 1701. p. 87. Albâtre de différentes couleurs dC très précieux, dont la Carrière eft proche de Marfeille , Se connue de M. Puget. H. 1703. p. 17. Alcalis. Le Syftéme des Acides & des Alcalis a peut- être été rendu trop gênerai. H. 170 1. p. 66. „ Mémoire touchant les Acides & les Acalis -pour fervir d'Addition à l'Article du Sel prin- cipe , imprimé dans nos Mémoires de l'an- née 170Z. Par M. HOMBERG. M. 1708. p. 312. Et Acides ne peuvent être enfemble fans fe cornbatrc & fe détruire. H. 170 1. p. 70. Expérience contraire de M. HOMBERG. Douteux t , n. \ir o Manifcftes Jcequec cft?M. 1708.P. 3 1 3.6^ 310. La Chaux éteinte eft un auffi grand Alcali que la Chaux vive. H. 1700. p. ^o. „ Alcalines (Liqueurs ) ,, Reflexions &: Obfervations „ fur une Végétation du Fer , & fur quelques „ Expériences faites à cette occafion avec difte- ^j rentes Liqueurs Acides &; Alcalines, Se avec Cij- lo TABLE DES MEMOIRES differcns Mctaux fubftitucs au Fer. Par M. L E M E R Y le Fils. M. 1707. p, 199. Alcalis- ( Sels ) ne peuvent dilloudre le Camphre. M 1705. p. 48. &C fq. (...) Les Sels fixes purement Alcalis cchauf^ fent les Liqueurs. M. 1700. p. 114. (...) Raifon de la chaleur des Sels Lixivicls Alcalis. M. 1700. p. 114. ,, Alcalis terreux. ,, Sur la force des Alcalis terreux. H. 1700. p. 48. En quoi coniirtc cette force ? liid. Mefurcepar M. HOMBERG. ihid. Expériences fur le rapport de deux princi- pales fortes d'Acides aux mêmes Alcalis ter- reux. H. 1700. p. 49. „ „ Obfervations fur la quantité d'Acides ahfor- „ bés par les Alcalis Terreux. Par M. HOM- „ BERG. M. 1700. p. 64. Occafion de ces Obfervations Jl>/d, . Ces Obfervations utiles aux Médecins. Jl^/'d. „ Alcalis Volatils „ Obfervations touchant l'effet „ de certains Acides fur les Alcalis volatils. „ Par M. HOMBERG. M. 1709. p. M4- Ne font pas toujours des EfFervefcenccs & des Ebullitions avec toutes fortes d'Acides. M. 1709. p. 354. & fq. Alchimiste qui mange du Sublimé doux comme du Pain. H. 1699. p. 57. .ALcroKiVM durum Iniperati Plante Marine , montre qu'il y a dans la Mer des Plantes , dures en dehors , & fpongieufes & allez molles en dedans. M. 1700. p. 28. Atcrovii'VM molle Imferati Plante Marine molle fans feuilles. M. 1700. p. 18. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 n ^LVEBARAM ( ff"/'/ dr( Tdureau Cohjlell. Cclcfi. ) Eclipfe d'Aldcbaram par la Lune obfervée le 19. Août 1699. à Bologne par M. Manfrcdi M. 1701. p. 64. M. 170^. p. 20J . ■ à Marfcille par le Père Feuillcc Corr. M. 1701. p. 64. à Paris par M. DE LA HIRE. M. 1^99. p. 151. M. 1701. pp. 60. &: fqq. M. 1705-. p. loj. le 2. Janvier 1700. à Bologne. M. 1705. p, 20J. à Marfeille. ihid. le i^. Février 1701. à Bologne. M. lyoj'. pp. 106. & fqq. à Marfeille. M. 170 1, p. 48. M. 1705. pp. 206. &: fqq. à Paris. M. 1705. pp. zoé. &: fqq. à Perpignan, ibid. le 13. Septembre 170 1. à Paris, par M. DELA HIRE. M. 170 1. p. 198. „, ,, Obfervations de Saturne , de Mars &:d'Al- ^. debaram , vers le tems de la Conjonûion de „ Saturne avec Mars au mois de Septembre 1706. à l'Obfervatoire par M. DE LA HIRE. „ M. 1707. p. 120. Les mêmes Obfervations fixités à Marfeille par le P. Laval Jef. Corr. ihid. p. 123. &: fq. Alga AnguJJifoita T'itriariontm C. Baiib. Plante Ma- rine , porte des fruits nommes fur les Côtes de la Méditerranée, Oliies de Mer. M. 1700. p. 35. Cette découverte eft due à M. Ceftoni Apoti- caire de Livourne. ihid. Alcaroth ( Poudre d' ) ce que c'cft ? M. 1707. p, 183. C iij 11 TABLE DES MEMOIRES Algèbre ( Etat de F ) jufqu'à prcfcnt. H. ijoy.p. Si.&fq- Cc qui lui manque pour être mené à ia der- nière perfection. H. 170J. p. 83. H. iyo6. p. 43. &: fq. M. R O L L E prétend que des Méthodes Al- gébriques les mieux reçues , pluficurs i'ont de- fe£lueures,& quelques fois fiuflcs. H. 1 69 9. p. 7 1. Il médite un grand Ouvrage fur cela, où il en fubftituera des meilleures. il>id. Jpplication de l'Algèbre à la Géométrie , ( Livre publié par M. GÙISNE'E. ) Idée de cet Ou- vrage. H. 170J. pp. 98. &: fqq. LISTE DES MEMO I KES fnr l'Algèbre imprimes dans les Mémoires de l'Académie. I69 9 I 7 I o „ Sur les Equations du fécond Se du troifiéme Degré. H. 1699. p. 70. „ Méthodes communes aux Equations du fé- cond & du troifiéme Degré, pour en avoir la folution par une fimple transformation de leur premier terme faite à l'ordinaire. Par M. VARIGNON. M. 1699- P- H^- „ Sur une Méthode générale pour la Refolu- tion des Equations. H. 1705. p. 82. H. 170e. p. 43. „ Méthodes nouvelles pour former Se refoudre toutes les Equations ( I. Part. ) Par M. DE LAGNY. M. 1705. p. 277. „ Principes généraux pour la rcfolurion des Equations numériques. II. Part. Par M. DE LAGNY. M. 1706. p. Z96. JJ 3> M J> DE L'ACADEMIE 1^95) — lyco 25 Algeb.,, Sur la Conftrudion des Egalités. h. 1708.P.71, H.i705).p.y2, H. O Q 1710. p. «i) ,, EcIairciiTcmens far la Conftrudion tics Egali- tés. (I. Mcm.) Par M. ilOLLE. M. 1708.0.3 39. ,,.... Second Mémoire. 1709. p. 320. ,, De rEvanouiilemcnr des Qiiantités inconnues dans la Géométrie Analytique. Par M. ROL- LE. M. 1709. p. 419. „ Remarques lur la Conftruclion des Lieux Géométriques Se des Equations. Par M. DE LA HIRF. M. 1710. p. 7. Algues Plantes Marines, font les feules Plantes de Mer qui aient des racines. H. 1710. p. 71. Alhagi Plante d'Arménie &: de Pcrfc, d'où l'on tire une efpece de Manne purgative. Sa defcription lue à l'Accademic par M. TOURNEFORT. H. 1704. p. 41. Aliments ( les ) les moins fufpccls contiennent des Oeufs d'Lifcdcs. H. 1707. p. 9. Ce fait prouvé par un Récit de M. HOM- BERG. /^/V. Allant ci de Membrane , découverte dans pluficurs Fœtus FIumains,par M. LITTRE. H. 1701,- p. 23. M. 1701. p. 90. Almamon ( leCaliphe , ) EAais fur la mefurc delà Terre faits par fcs Mathématiciens. M. 1701. p. 176^ „ Aloe's „ Sur l'Aloés. H. 1708. p. 54. Il y en a de trois fortes, il/id. Abrégé de fon Analife par cxtradion. z^/V. p. H- s^ 'q- , , . Alphabets ( l'Hiftoirc des ) donnée a l'Academic par M. JAUGEON à l'occafion de la defcription de l'Art de l'Imprimerie. H. 1700. p. 159. Alun ( l'Acide de 1' ) cLt le même que celui du. i4 TABLE DES MEMOIRES Souffre & du Vitriol. H. 1703. p. 47. & fq. Alun de Roche , Détail de la manière dont on le fait en Italie &: en Angleterre, donné à l'Académie par M. GEOFRÔY. H. 170Z. pp. 20. & fqq. Amant (S') près Tournay. . . Examendes Eaux minérales de S" Amant par M. BOULDUC.H. 1699.^.^6. Ambre Jaune. Mémoire de l'Académie fur l'Amisre jaune , à l'Occafion d'une Lettre qui lui avoit été écrite fur cette matière, par M. le Mar- quis de Bonnac Envoie extraordinaire de France auprès duRoi de Suéde. H. 1705. pp. 4. &: fqq. Trouvé au bord de la Mer dans un endroit fans Arbres & bordé de Rochers. H. 1703. p. 17. De la Mer dx Dantzic , conjectures fur fon origine. H. 1700. p. 10. Voïez. Succin. Ame Le fiege de fes fondions dans la Glande Pi- neale fuivant M. Dcfcartes, cft purement ima- ginaire. H. 170p. p. II. Ce ficge cft le Centre Ovale félon M. Vicuf- fens le fils. ihid. p. 11. Vraifcmblancc de cette Hypothcfc. ih. p. i i.&fq. Exemple de la dépendance où (ont les fondions ■naturelles de l'Ame, des Difpofitions matériel- les du Cerveau. H. 170 j. pp. 5^. &: fqq. Ameriqite ( r ) eft mal pofée dans les Cartes, &: fcm- •blc être marquée trop près deNous. H. 1706. p. 1 1 3. & fq. H. 1707. p. 83. Amertume des Eaux de la Mer, parquoi produite; H. 1710. p. x(,. Ammoniac ( Sel ) ce que c'cft ? M. 1700. p. 115-. (...) fournit plus de Sel volatil que toute autre matière. M. 1700. p. 71. ^^ (...)„ Comparaifon des Analyfcs du Sel Ammoniac , de la Soie &c de la Corne de Cerf. Par DE L'ACADEMIE i(?99 — i7io tS „ Par M. TOURNEFORT. M. 1700. p. 71. Ammoniac ( Sel ) Grande froideur du Sel Ammoniac. M. 1700. p. 1 1 j. Raifon de cette froideur, ihid. p. 11^. (...) Expérience du changement de la Fer- mentation froide , du mélange du Sel Ammo- niac & de l'Huile de Vitriol en une Fermen- 7 cation très chaude avec un peu d'eau. M. 1700. p. m. (...) Raifon des Vapeurs chaudes de la Fer- mentation froide excitée par le mélange du Sel Ammoniac &c de l'Huile de Vitriol. ii>id. . ■ p. 120. &: fq. (...) naturel, tiré du Mont Vefuve, examiné par M. LEMERY. H. ijo^.p.66. Amnios Membrane, ce que c'eft ? H. 1699. p. 55. Nouveau Syftêmc de M. TAUVRY , qui dif- penfc les Sucs contenus dans l'Amnios , de traverfer la Membrane Urinaire. H. i6s>p. P-3 3- AMONTONS ( M. ) Sa Naiflance , fcs Parents, H. .: 170^. p. 150. _ devient prefquc fourd à la fuite d'une maladie. /^. s'applique de lui-même aux Machines, fans avoir des principes, il/id. Etudie la Géométrie, le Deffcin , l' Architectu- re, &:c. &: eft emploie dans plulieurs Ouvra- ges Publics, ii^id. èC fq. Etudie avec foin les Thermomètres , Baro- : , ! mètres, Scc.ibid. p. lyi. Prcfente à l'âge de 24. ans un nouvel Hygro- mètre à l'Académie qui l'approuve. /^/V. Imagine un moïen de taire Içavoir ce que l'on "veut à une très grande diftance , en très peu -,. 3 f ' . Ali.. „ De la Refiftance caufée dans les Machines, tant par 1« Frottemcns des Parties qui les DE L'ACADEMIE 1999 — i7i« ^7 ^' compofcnt , que par la Roidcur des Cordes „ qu'on y emploie , &c la manière de calculer „ l'un &: l'autre. M. 1699. p. zo6. „ AMONTONS ( M. ) „ Dilcours fur quelques pro- „ prietés de l'Air , & le moicn d'en connoitre la Température dans tous les Climats de la Terre, îvï. 1701. p. I JJ. „ Le Thermomètre réduit à une me(lu-e fixe &c certaine, & le moïen d'y rapporter les Ob- fervations faites avec les anciens Thermomè- tres. M. 1703. p. yo. ,, Qiie les nouvelles Expériences que nous avons du Poids & du Reifort de l'Air, nous font connoitre qu'vui degré de chaleur médio- cre peut réduire l'Air dans un état ailez vio- lent pour caufer feul de très grands tremble- ments &c boulevcrfcmcnts fur le Globe Ter- reftre. M. 1703. p. 10 1. ,, Remarques fur la Table des dégrés de Cha- leur extraite des Tranfactions Philofophiqucs du mois d'Avril 1701. lue par M. GEOF- FROY à l'Académie le 14. Juillet 1703. M. 1703. p. iOO. „ Que tous les Baromètres , tant doubles que iimples , qu'on a conftruits jufqu'ici , agifTcnt non feulement par le plus ou le moins de poids de l'Air, mais encore par fon plus ou moins de Chaleur , & le moien de prévenir dorénavant ce deftaut dans la ConftruiStion des Baromè- tres doubles , &: d'en corriçrcr l'Erreur dans l'ufage des Baromètres fimplcs, M. 1704. p. 1 64. ,, Difcours fur les Baromètres. M. 1704. p. Z71. „ ,, Baromètres fans Mercure à l'ufage de la Mer. „ M. 170 y. p. 49. y, „ Que les Expériences fur Icfquelles on fc fonde Dij »} a »> »> »> » » » 3* 3) >j . 3» 3i' » » » }) J> î» »> » }> J> 9> z8 TABLES DES MEMOIRES pour prouver que les Liquides fc condcnfent &c fe rcfroidiircnc d'abord avant que de le di- later à l'approche de la Chaleur , ne le prou- vent point , &: que cette Condcnfation appa- rente cil purement l'elfct de la Dilatation du Verre èc des Vaifl'eaux qui contiennent ces Liqueurs. M. 170 y. p. 57. j,AMONTONS (M. ) „ Expériences fur les DifTolu- ,j tions 6>c iiir les Fermentations froides de M. ^ GEOFFROY , réitérées dans les Caves de jj l'Obfcrvatoire. M. 1705. P- 83. „ Expériences lur la Rarefaâ:ion de l'Air^ M. 170^. p. 1 19. ,, De la Hauteur du Mercure dans les Baro- mètres. M. 170 j. p. 12.9. „ Suite des Remarques fur la Hauteur du Mer- cure dans les Baromètres. M. 1 70 j. p. 131. !Ù/i^. p. 234. il>i^. p. 267^ Amputation ( Nouvelle méthode pour 1') des Mem- bres , propoléc par M. Sabourin Chirurgien de Genève, &cc. H. 1702. p. 33. & fq. Amydon de quoi fe fait en quelques endroits > M. 1708. p. 86. Analemme. Ce que c'eft. H. 1701, p. 100. Analyses „ ( Obfcrvations fur les ) des Plantes. Pat Il M. HOMBERG. M. 1701. p. iij. De diverfes Plantes donnent les mêmes Prin- cipes. /^/V. p. 117. Diverfes du même Mixte peuvent donner diffé- rents Principes, iùid. 8c fqq. Raifon de ces Différences. /^/V. De Plantes exécutées par l'Académie. M. 1707. p. 517. Les fubftances que l'on retire des Plantes par l'Analyfe différent cntr'elles , quoi qu'elles » }> 3> DE L'A CADEMIE 1^99— I7IO ^9 paroiircnt d'abord fcmblables. M. 1707. pp. yi7. &fqq. _ , Analyses. Des Huiles EfTenticllcs , inutiles. H. 1707. p. 38. j, ( „ Sur des ) de Plantes fermcntces. H. 1701. p. 38.^ Abrégée de l'Alocs. H. 1708. p. ^4. &: fq. ■ Du Borax. H. 1705. p. 49. & fq. „ „ Obfervations &: Analyfes du Cachou. Par „ M. BOULDUC. M. 1709. p. zij. Abrégée de la Cire. H. 1708. p. y 5- & fq. ^ (m Sur r ) des Cloportes. H. 1709. p. 38. Diverfes de la Coloquinte. M. 170 1. pp. 14. &c fqq. „ De la Coloquinte, du Jalap, de la Gomme , Gutte & de l'Ellébore noir. H. 1701. p. j8. („ Comparaifon des ) de la Soie, du Sel Am- , moniac &c de la Corne de Cerf. H. 1700. p. 50 „ . . . Par M. TOURNEFORT. M. 1700. p. 71. Du Corail , Sjc. par M. le Comte Marfigli &par M. GEOFFROY. M. 1708. pp. 103. & fqq. De l'Eau d'une Fontaine Pétrifiante de Clcr- mont en Auvergne , fuivant l'examen de M. LEMERY. H. 1700. p. y8. & fq. Chimique de l'Eponge de la moïenne efpc- ee. Par M. GEOFFROY. M. 1706. p. J07. De la Gomme Gutte. M. 170 1. pp. i 3 j. &: ^11 ( „ Sur r ) des Grofeilles Fermentées , faite par M. LEMERY le Fils. H. 1703. p. 45. Des Guignes fermentées. H. 170Z. p. 40. &: fq. Du Jalap. M. 170 1. pp. 108. & fqq. Abrégée de la Manne. H- 1708. p. 56. & fq,- Diij jo TABLE DES MEMOIRES ,, Analyse.,, Du Miel êc de fon AnalyTc Chimique. „ ' Par M. LEMERY. M. 1706. p. Z71. Du Noftoch. M. 1708. p. 219. j, („ Suri' ) des Plantes Marines, Se principa- jj lemcnt du Corail rouge. H. 1710. p. 48. Uniformité trouvée dans l'AnalyTc des Plantes Marines, il^id. „ ( „ Sur les ) de deux Plantes Marines. ( V/2e cjpece de Litofhyton (ir l'Eponge de U rnoïenne ej'pcce. ) H. 170^. p. 40, De Rofes fermentces. H. 1701. p. 40. „ ( „ Sur 1' ) du Souffre commun. H. 170 5. p. 47, DuSouffrc commun cft difficile &: pourquoi; ib. „ ,, Elfai de rAnalvfc du Souffre commun. Par „ : M. HOMBERG. M. 1703. p. 31. Chimique de l'Urine de Vache. M. 1707- pp. 38. & fqq. : . De l'Ypccacuanha. Par M. BOULDUC. M, „ 1700. p. I. jj „ Suite des Analyfcs de l'Ypecacuanha. Par '„ M. BOULDUC. ibid. p. -jé. . : , ( 1') de l'Yquetaya donne les mêmes produits que celle de la Grande Scrophulairc Aquati- •' que. H. 1701. p. 39. A.NATOMiE. Moien pour découvrir en Anatomie. H. 1700. p. 14. Anatomique. (Demonftration ) Tête de Cire très bien ' préparée pour une demonftration Anatomique apportée à l'Académie par M. Zumbo de ' t Siracuze. H. 170 1. p. 57. ( Defcripcion ) du Caftor Mâle & Fe- melle. M. 1704. pp. 48. &: fqq. ;-'i".- { ) d'une Taupe Mâle, & d'un Ani- mal venu de la Ménagerie de Verfaillcs , .. j .-■ donnée par M. M E llV , & rcfervée par DE L'ACADEMIE 1^99— lyio 3i l'Académie. H. 170 1. p. 56. Anatomiql'e ( Hiftoire ) continuée par M. DUHA- MEL. H. 1700. p. 4 j. H. 170 1. p. y 6. H. 1703. p. 44. H. 1705. p. j8. Anatomistes , partagés fur la nourriture du Fœtus. M-. 1708. p. i8é. Examen de cette QiTcftion. ihid. Se fqq. LISTE DES MEMOIRES ^ Oh [n'y allons AnAtomïo^ucs imprimés dans les Mémoires de l'Académie. 1 6 ^ p. I 7 I o. » Anatomie " Sur ce que devient l'Air qui cft entre j> dans les Poumons. H. 1700. p. 2.5. H. 1707. » - p. II. » • » Qiieftion Phyfiquc. S'il eft vrai que l'Air qui » entre dans les Vairtcaux Hanguins , par le moicn » de la Refpiration , s'échappe avec les Vapeurs " Se les Sueurs par les Pores infenliblcs de la »- Peau.Par M. MERY. M. 1700. p. Z17. w " Queftion Phyfique. Sçavoir fi de ce qu'on » peut tirer de l'Air de la Sueur dans le vuide, •»■■- " il s'enfuit que l'Air que nous rcfpirons, s'é- » chappc avec elle par les Pores de la Peau. ;**■ . Par M. MERY. M. 1707. p. 1^5. » V " Sur la formation de la Voix. H. 1700. p. 17. « H. 1706'. p. 15. H. 1707. p. 18. » .. Mémoire fur les Caufes de la Voix de l'Hom- ■«• -• me, &c de fes difterens Tons. Par M. DO- » DART. M. 1700. p. 244. »' " Suplcment au Mémoire fur la Voix Se fur les Tons. Par M. DODART. M. 1706. p. 1^6, » M. 1706. p. 388. M. 1707. p. 66. 32 TABLE DES MEMOIRES » Anatomie. » Sur rAiStion du Ventricule dans le j> VomilTcmcnt. H. 1700. p. 27. » " Sur les Parties deftiiiccs à la Génération. H. » 1700. p. 25). '• Defcrif tion de FUrcthrc de l'Homme dé- montrée à l'Académie. Par M. LITTRE. M. » 1700. p. 31 1. M » Sur la Génération de l'Homme par des Oeufs, » H. 1701. p. 38. » ^'Sur un Embryon. H. 1701. p. 19, « "Sur l'Hiftoircdu Fœtus. H. 1699. p. 51. « " De la Circulation du Sang dans le Fœtus. H. .1699. p- 25- H. 1701. p. 36. H, 1703. p. 3;. « "Sur la Circulation du Sang entre la Mère &: ... le Fœtus. H. 1708. p. 56. » » Problème d'Anatomic. Sçavoir fi pendant h » GroficfTc il y a entre la Femme &: ion Fœtus j. une communication de Sang réciproque. Par M. MERY. M. 1708. p. 186. .. .. Obfervations fur les Ovaires & les Trompes M d'une Femme , Se fur un Fœtus trouve dans l'un de fcs Ovaires. Par M. LITTRE. M. 1701. » p. 1 1 1. *. » Obfervations fur un F<ïtus humain trouvé ... . Hiftoire d'un Fœtus humain tiré du Ventre ;.. de fa Merc par le Fondement. ParM. LITTRE. .. M. 1702. p. 234. ^ " Sur la Structure extraordinaire du Cœur d'un .. Fœtus humain. H. 1699. p. 37. w "Sur un Fœtus extraordinaire. H- 170 1. p. n., ' - " ~ Anatomie DE L'ACADEMIE ié9s> — 1710 33 Anatomie " Obfervations llir un Fœtus humain monftrucux. Par M. LITTRE. M. 1701. p. 90. " Obfervations de deux Enflins joints enfcmblc. Par M. DU VERNEY l'ainé. M. 170^. p. 418. Explication des Figures, ibul. pp. 5 1 6. & Iqq. " Sur un Fœtus humain monllrueux. Par M. LITTRE. M. 1709. p. 9- >' Remarques fur un Fœtus monftrueux. Par M .MERY. M. 1709. p. ï6. '> Sur une Matrice double. H. 170J.P. 47. » Obfervations fur la Matrice d'une Fille de deux mois. Par M. LITTRE. M. 170^. p. 381. " Sur un Agneau , Fœtus monftrueux. H. 1703. p. 2.8. .. Obfervations faites fur le Squelet d'une jeune Femme âgée de 1 6. ans morte à l'Hôtel-Dieu de Paris le 21. Février \-jo6\Sqtielet contourné.) Par M. MERY. M. 1706. p. 471. » Obfervations Hir les Plaies de Ventre. Par M. LITTRE. M. 1703. p. 31. '. Des VailTcaux Omphalomefenteriqucs. H, 1700. p. %-j. " Des Vailfcaux Omphalomcfcnteriques. Par M. DU VERNEY. M. 1700. p. 169- "Sur une nouvelle Route des Urines. Fi. 1701. F- 34-. "Projet d'un Syftcme touchant les paflages de la BoilTon & des Urmes. Par M. MORIN. M. 1701. p. 198. " Obfervations fur deux Pierres trouvées dans 1 les Parois de la Veffie d'un Garçon de vingt ans. Par M. LITTRE. M. 1701. p. 26. > " Sur un Cerveau pétrifié. H. 1703. p. 26. » » Obfervations fur un Cerveau pétrifié. Par M, DU VERNEY le jeune. M. 1703. p. z6\. Ttib. des Mat. i6p^. — 1710, E 34 TABLE DES MEMOIRES "Anatomie " Sur une nouvelle manicrc de tailler la » Pierre ( de Frère Jdcqnes.) H. 1 699. p. 50. » .. Obfervations fur les Hernies. Par M. MER Y» M. ijoi.p. 2.73. » .. Sur une Hernie particulière. H. 170c. p. i y. » ». Obfervation fur une nouvelle efpecedeHer- .. nie. ParM. LITTRE. M. 1700. p. 300. » " Obfervations d'Anatomie & de Chirurgie fur » pluficurs efpeces d'Hydropific. Par M. DU VERNEY le jeune. M. 1701. p. 149. M. i70i. « p. 2.14. M. 1703. pp. I jo. I jé.i 58.161. 170.178. » « Obfervations fur une Hydropilie de Cerveau. Par M. DU VERNEY le jcime. M. 1704. p. 6. » ..Sur une Hydropilie ou Péritoine. H. 1707. .» p. iO. %y .. Obfervationfur une Hydropifie du Péritoine. ParM. LITTRE. M. 1707. p. ycz. .,. .-> Sur une Hydropifie Laiteufe. H. 1700. p. i !•. "Sur les Dents. H. 1699. p. 41. ». "Sur la Structure des Reins. H. 170J. p. 4j-. .> " Obfervations fur les Reins du Fœtus humain deneufmois. Par M.LITTRE. M.i7oy.p. m. .i .. Delaftrudure de la Moelle. H. 1700. p. 14. .. De la ftructure &: du fcntiment de la Moelle. Par M. DU VERNEY. M. 1700. p. Z02. w " Dcfcription d'une Exoftofc monftrucufc. Par » M.MERY. M. 170e. p. 245. « .. Obfervation fur un Battement de Veines fcro- hlable ?. celui des Artères. Par M. HOMBERG. M M. 1704. p. 159. M .. Sur la Glande Pituitairc. H. 1 707. p. 1 6. M Obfervations fur la Glande Pituitairc d'un Homme. Par M. LITTRE. M. 1707. p. izj. « .. Sur les Incifions faites à la Cornée. H, 1709, p. 15. 13E L'ACADEMIE i(î99—i7fo 3)" «Ânatomie. " Sur l'Iris de l'Oeil. H. i704.p.ii. H. lyio.p. 33. 5. " Des Mouvemens de l'Iris , &c par occafion de }> la partie principale de l'Organe delà Vue. Par » M. MERY. M. 1704. p. z6i. :> » Explication de quelques Faits d'Optique , Se de »> la manière dont fe fait la Vifion. Par M. DE LA » HIRE. M. 1709. p. 9y. » " Rcponfe à la Critique de M. DE LA HIRE » du 10. Mars 1709. I. Part. ( Sur le racourcijfe- n ment (y- l\illongement des Fibres de l' Iris. ) Par » M. MERY. M. 1710. p. 574. ■» "Sur les Cataraftes des Yeux. H. 1706. p.iz. s> H. 1707. p. ix. H. 1708. p. 39. » » Remarques & Reflexions llir la Nature des » , Cataraftes qui fe forment dans l'Oeil. Par M. DE LA HIRE. M. 1705. p. zo. M " Qucftion de Chirurgie. Sçavoir fi le Glauco- » ma & la Cataradc font deux différentes , ou une M même Maladie. Par M. MERY. M. 1707. p. 491. » "De la Cataracte &: du Glaucoma. Par M. MERY. M. 1708. p. 141. M " Obfcrvatioiis fur le Corps d'une Femme grofle » de huit mois de fon premier Entant, morte fu- » bitemcnt d'une Chute. Par M. LITTRE. M. » 1701. p. Z94. w » Sur une Cure extraordinaire ( d'une Blcjfure 5» guérie far un Onguent ■particulier .^ Par M. DU » 'VERNEYlcjeunc.M.i70i.p. 2.01- M "Sur des Guerifons faites par des Brûlures, H* » 1708. p. 4(3. « » Hiftoire des Simptômes furvenus à une Dame « à l'occafion d'un Remède appliqué pour des Dartres. Par M. DU 'V^ERNEY le jeune. M^ »> 1703- p- i^. « Éij 5*? TABLE DES MEMOIRES^ »' Anatomie. " Sur le Scorbut. H. 1699. p. 49. » » Etranges effets du Scorbut arrives à Paris en 1699-. Par M. POUPART. M. 1699. p. i6ç^: « >. Sur la Rage ou Hydrophobie. H. 1699. p.^6-i .. " Sur le Dclirc mélancolique. H. 1709. p. m • .. " Sur une Mort fubite. H. lyoï.p.iy. /^/V. p. 28^1 » Sur une autre Mort fubite après une Médecine " de précaution. H. ijoi.p. 30. » " Sur les Plumes des Oyfcaux. H. 1699. p. 43. .. » Obfervations fur les Mouvemcns de la Langue duPiver. Par M. MERY. M. 1709. p. 8 y. » " Obfervations fur les petits Oeufs de Poule w. fans jaune , que l'on appelle vulgairement u Oeufs de Cocq. Par M. Lapcyronic de la Société u Roiale de Montpellier. M. 1710.P. y 5 3, « M Obfervations Anatomiqucs faites fur des Ovaires de Vaches & des Brebis. Par M. DU VERNEY lejcune. M.1701. p. 184. » Obfervations fur le Bezoard &c fur les autres matières qui en approchent. Par M. GEOF- FROY le jeune. M. 1710. p. 23 j. " Extrait d'une Lettre de M. Sarrafin Médecin du Roi en Canada , touchant l'Anatomic du Caftor, lue à l'Académie. Par M. PITTON TOURNEFORT. M. 1704. p. 48. » Sur la Circulation du Sang dans les PoifTons-. H. p. 1701. p. 4^. '•Sur la Circulation du Sans; dans les PoilTons qui ont des Oui es , de fur leur Refpiration. Par M. DUVERNEY l'aîné. M. îyoi.p.zi6. » Sur le Cœur de la Tortue. H. 1699. p. 34. "Obfervations fur la Circulation du Sang dans le Fœtus , âc Defcription du Cœur de la Tor- tue & de quelques autres Animaux ( de U Car^e , de Li Crcnotiilk , de la Viper e , G'C. ) DE L'ACADEMIE 1^99—1710 57 i. Par M. DU VERNEY. M. 1699- p. 2.1J. .•> ANATOMiE»Ti-aicéPhyriquedeM.MERY contenant, ,;, 10. Un Examen des Faits obfervés par M, DU VERNEY au Cœur des Tortues de Terre, » 1°. Une Reponfc à la Critiquedunouvcau „ Syftcme de la Circulation du Sang par le trou M ovale du Fceais humain. ^ 3". Une Critique des Obfcrvations qua » faites M. Builîlere, [ AnatomiJIc de U Société de ,r Londres , ) fur le Cœur de la Tortue de Mer^ „ 4". Une Defcription du Cœur de ces »• Animal. ,,. 5". Une Defcription du Cœur d'une gran- » de Tortue Terrcftre de l'Amérique. M. 1703. P-337- „ y> Sur la Formation des Coquilles. H. 1709.P. 1 7. f, .. De la Formation de l'Accroiffcment des Co- »• quilles des Animaux , tant Terrcftres qu'Aqua- »., tiques , foit de Mer , fort de Rivière. Par M. DE REAUMUR. M. 1709. p. 3^4. « "Sur les Moules d'Etang. H. 17 10. p. yo. » "Remarques fur les Coquillages à deux Co-^ « quilles , & premièrement fur les Moules. Par M. POUPART. M. 1706. p. 51. .. SurlaMoule des Etangs. Par M. MERY. M. »■ Ï710. p. 408. " Du Mouvement progeffif , & de quelques autres mouvemens de diverfes efpeces de Co- • ,«- quillagcs , Orties & Etoiles de Mer. Par M. DE REAUMUR. M. 17 10. p. 439. «Sur les Yeux d'Ecreviflcs , & fur quelques ». particularités des Ecreviflcs. H. 1709. p. 15. «Obfcrvations fur les Ecreviffes de Rivière, - Par M. GEOFFROY le jeune. M. 1709. p. 309, . „.. «Suila Generationdes Limaçons.H 1708.P.48... E iij 3S TABLE DES MEMOIRES " Anatomie. .. Infedc des Limaçons. Par M DE RE AU MUR. M. 17 lo. p.' 30 y. "Sur un Ver rendu par le Nez. H. 1708. p. 41. " Sur les Infeftes. H. 1 699. p. 39. '> Obfervations fur cette forte d'Infccles , qui s'appellent ordinairement Demoifelles. Par M, HOMBERG. M. 1699. p. 14^. " Sur les Injedions Anatomiqucs. H. K^og, P. 38. . Effais fur les Injections Anatomiques. Par M HOMBERG. M. 1^99. p. 16^. Anatomiques. ( Obfervations ) Defcription de deux gros Ligamens nommes Sufpcnfeurs de l'Ab- domen. H. 1705. p. ji. Sur une Nouvelle Méthode pour l'Amputation des Membres propofcc à l'Acadcmic. H. 1702,. p. 3 3-&fq. Sur la manière dont les Efprits coulent dans les Mulcles félon les divers mouvemens qu'on veut faire. H. iyo6.ip. iz. & fq. Sur une Hydropific Laiteufc caufée par une Chute fur la Tête. H. 17 10. pp. 40. & fqq, Qlic l'on peut guérir un Rhumatifme par un Bain froid , aulh bien que par un chaud. H. I710. p. ^6. Gucrifon d'une BlefTurc à la Tète qui avoit caufc un cpanchement de la fubftance propre du Cerveau. H. 1706. p. 19. Sur le Rectum d'un Enfmt qu'on trouva fcparé en deux parties fermées chacune du coté de la fcparation. H. 17 10. p. 36. & fq. Aorte tellement dilatée dans un Homme mort en un inftant, qu'elle avoit commencé à fe dé- tacher de la Bafedu Cœur. H. 17 10. p. 40, ■ Loupe graifleufe , ou nouvelle forte de Loupe DE L ACADEMIE i<5p9 — 17Ï0 35, appellcc Lipome. H. 1709. p. ii.ècCq. A'nat, ( Obfcrv. ) Sur des incommodités caufées à une Femme par une GroflelTe dans laquelle l'Enfant s'ctoit entièrement porté du Côté droit. H. 1705». pp. 14. & fqq. Sur une Plaie confiderable à la Matrice d'une Femme enceinte fans mauvaife fuite pour la Femme. H. 1705). p. 2.3. &c fq. Remarques faites à l'Ouverture d'une Fe mme hydropique, &c. H. ly oz. p. 24. Sc fq. Eftomach trouve dans la Poitrine, ^audefliis du Diaphragme dans un Chien. H. 1706.. p. 27. &c fq. Sur un Ulcère trouve dans l'Eftomach, & qui avoir caufé vme perte de Sang. H. 1704. p. 30. Sur un trou à l'Orifice inférieur de l'Eftomach, . H. 1704. p. 17. & fq. Sur une Supprelfion d'Urine caufce par une • Inflammation au Col de la Veffie. H. 1704. p. 25;. Sur une Paralific de l'Inteftin Colon &: de la Vcifie, H. 1704. p. 3 j. Sur une Mort extraordinaire caufée par une Contufion violente. H. 170^. p. ^4. Sur une Mort fubitc, caufée vraiftmblablement par une déchirure au Cervelet, &c. H. 1704. p. 16. Sur un gonflement de Tête caufé par la trop grande quantité de Limphe. H. 1705. p. yj,. Obfervarions particulières faites à la Diiîcction d'un Homme mort d'une Chute à l'âge de 80. ans. H. 1706. p. z6. Suite cxtraordinaired'uneChute. H.1700.P.44. Gbfervation extraordinaire faite àlaDiflcdioa. du Corps d'une Sœur de la Charité. H. 1700. p.. ^7. & fq. :^o TABLE DES MEMOIRES .Anat. (Obferv.) Sur une Femme accoutumée à boire beaucoup d'Eau-dc-Vic & de vin du plus com- mun, quiétoitmorce après iz. heures d'y vreffe. H. 1706. p. ij.&fq. Sur une Femme robuftc étranglée par, force par deux Hommes- H. 1704. p. 20. Ratte humaine très fenliblcment glanduleufe. H. 1701. p. 2.^. Sur la ftrudure plus fcnfible d'un Reinhumain fort gros. H. i7oz. p. iiî. Si:fq. Grains femblables à des petites Glandes trou- vés dans le Sinus longitudinal de la Durc- Mere d'un Homme. H. 1701. p. 50. Grains glanduleux fort fcnfiblcs montrés dans la Dure-Mere d'un Homme de 60. ans. H. 1704. p. 3 z. & fq. Glandes du Foie trouvécs.plus grofTcs qu'à l'or- dinaire dans un Cadavre. H. 1701. p. ^i. • Glandes du Foie très diltinétes dans un Hom- me hydropique mort trois jours après la ponc- tion. H. 1706. p. 17. Sur un Ouvrage de M. LEMERY le Fils, ( Biffcrtationfur la Nourriture des Os. ) H. 1704. p. 36. & fq. Exemple d'une cfpece de Superfétation. H. 1701. p. 30. Sur un Acouchement de neuf Enfans à la fois •qui paroifToient à differens termes. H. 1709. p. zz. Oeuf de Poule dont le blanc renfermoit un autre Oeuf. H. 1700. p. Z3. Sur des Oeufs de Seiche qui paroifToient con- tenir chacun une petite Seiche très bien for- m.ée. H. 1708. p. jz. Sur une Fille de 3. mois qui avoir fcs Règles &:paroifloit DE L'ACADEMIE i(?5)9 — 1710 ^x &■ paroifToit nubile ; & une Femme de 10^. ans qui les avoit encore. H. 1708. p. ji. ANAT.(Obferv.)Sur un Enfant monftrucux.H.i7oo.p.4z. Fœtus humain monftrucux avec une efpecc de bonct. ibid. p. 4^. Fille qui eut été ll:eriIe,&:pourquoi?Fi. 1 7oo.p. 3 y. Sur une Fille monftrueulc dont une Dame fu- jete à des fortes paillons étoit accouchée. H, 1704. p. II. Sur deux Filles monftrueufes , dont l'une bien formée portoit l'autre fans tête & jointe à fa poitrine. H. 1706. p. 29. Sur deux Filles qui naquirent en fc tenant par l'Eftomach. H. 1701. p. 27. Sur deux Enfins monftrueux joints enfemble .par l'Occiput , le refte des Corps étant feparé. H. 1703. p. 39. Lièvre monftrueux. H. 1700. p. 41. Sur deux Chattes qui naquirent jointes en- femble depuis la Tête jufqu'au Nombril. H. Ï702. p. 28. & fq. Sur un Chien Cyclope fans nez &: fans gueule, H. 1703. p. 43. Sur un Enfint venu à terme qui n'avoir que la bafe du Crâne , èc point de Cerveau ni de Cervelet. H. 1704. p. 24. Sur un Enfant de neuf jours dans lequel on n'avoir trouvé aucune apparence de Veficulc du Fiel. H. 1705. p. ^3. Sur un Enfant de quatre ans à qui on ne trouva ni Rein ni Uretère gauche. H. 1707. p. 25-, Particularités obfcrvées dans deux Fœtus Ju- meaux. H. 1700. p. 41. & fq. Sur un Foie d'une conformation extraordinai- re. H. 1701. p. ^4. &: fq. Ttib, des Mat. 1699.. — 1710,. ^ JF 41 TABLE DES MEMOIRES Anat. ( Obferv. ) Sur un Rein fort defeducux. H. 170 r. p. . Ancre. „ Sur les différents Vitriols, & particulière- ment fur l'Ancre fliitc avec du Vitriol. H. 1707. p. 40. „ Eclairciffcment fur la compofition des diffé- rentes cfpcccs de Vitriols naturels, Sc expli- cation Phyfiquc Sc fenfible de la manière dont fe forment les Ancres Vitrioliqucs. Par M, LEMERY le fils. M. 1707. p. ^S- Que c'eft le Fer qui donne la couleur noire aux Ancres Vitrioliqucs , &: que c'cff propre- ment avec du fer que l'on écrit quand on le fert d'Ancre. H. 1707. p. 40. M. 1707. p. y 3 8. Quelles matières peuvent faire de l'Ancre à ccrire. H. 1707. p. 42. Ancre» DE L'ACADEMIE i(?c)9— ryio, 49 Ancre ( Taches d' ) les Acides les etFacent, &c pour- quoi ? /'^/V. p. 41. „ ANEVRisME(„Obfervationfurun) ParM. LITTRE. M. 1707. p. 17. Symptômes de l'Anevrifine. il'id. p. 17. & fq. Dilledion du Cadavre de l'Anevrilmatique. il>/d. pp. 15J. &: fqq. Explication des caufes de cette Maladie. ii>id. pp. II. & fqq. Angles.,, Surles Tangentes & les Sécantes des Angles, H. 1703. p. 64. „ Méthode générale pour la divilion des Arcs de Cercle, ou des Angles en autant de Parties égales qu'on voudra. Par M. DE LA HIRE. M. 1710. p. zoo. Animal fingulier par fa petiteflc, &cc. obfervéparM. CARRE'. H. 1710.P. 42. Qiii de Poilfon devient Oyfcau. H. 170e. p. 9. Animales ( Matières ) quels font leurs principes? M, i70i. p. 34._ Animaux (les ) naiflcnt parfaits. M. 1701. p. Z49. Qui fc voient dans l'eau avec le Microfcopc , &: y multiplient. H. 1707. p. 8. &: fq. Différence dans la manière dont ils refpircnt. H. 170 1. p. 46. & fq. Comparaifon de certaines parties différentes en différentes cfpeces d'Animaux. H. 1699. pp. 31. &:fq. M. DU HAMEL , fait l'Analyfe du Traité ^ qu'Ariftote a compofé , de Partibus Animaliiim. H. 1699. p. 51. Ont trois Membranes, & quelques uns quatre. H. 1700. p. 27. S'enflent dans le Vuide. H. 1700. p. 16. M. 1700. p. ZiO. ■ _ . i ' 7ab. des Mat. 1699, — 171 o. G M vo TABLE DES MEMOIRES Animaux. La Vipcre au contraire s'y defenfle &: pour- quoi i M. 1700. p. m. De Mer , leur Méchanique diffère de celle des Animaux de Terre. H. 1700. p. 68. „ De la Reduftion des Mouvemcns des Animaux aux Loix de laMéch.H. 1701. p. 9^. Méchanique des Animaux , examinée par M. Borclli le premier. H. 1701. 99. Rendue plus exade par M. PARENT. iùU. Anneau de Saturne . . . Divcrfes Reflexions , &c. fur cet Anneau. M. 1705. pp. 16. & fqq. Théorie de cet Anneau trouvée par M. HUY- GHENS. /^/V. Idée de îvL C A S S IN I fur cette Aparcnce. iè/J. p. 18. Anne'es. Vraies font inégales entr'clles , & pourquoi î H. 1703. p. 87. Grégorienne cft aaiTi jufte qu on la puiflc avoir, &c. H. 1703. p. 87. M. 1703. p. 49. Période d'Années Solaires trouvée par M. CASSINL M. 1703. p. 46. Solaire Moïcnne , fx Grandeur. Il?id. p. 47. diffère de la véritable, & pour- quoi ? /'^/V. Précifion que l'on peut efpcrcr dans la détermination de la Grandeur de l'Année Solaire , en comparant les plus anciennes Ob- fcrvations avec les Modernes. M. 1703. P- 44- ...... Des Equations des Mois Lunaires &: des Années Solaires. Par M. CASSINL M. 1704. p. 146. Sèches, font avantageufcs pour les Blés dans nos Climats. M. 1707. p. 2.. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 ji Anomalie en Aftronomie, ce que c'eft î H. 17 10. p, loy. jiNOSis Turpurea frtitefcens non Spinofa. Dcfcription de cette Plante lue à l'Académie par M. MAR- CHAND. H. 1708. p. 69. Antimoine ( 1') de quoi eft compofc î M. 1707. p. 185. Son ufagc. H. 1706. p. 41. M. LEMERY travaille à un grand Ouvrage fur l'Antimoine, qu'il lit à l'Académie ,& qu'il publie en 170^. H. iiScjp. p. 58. H. 1703. p. J3.H. 1704. p. 40. H. 1706. p. 41. M » Sur rAcid-" de l'Ancimoinc. H. 1700. p. j8. Par M, HOMBERG.M. 1700. p. 198. Ce que c'eft & D'où vicntcet Acide. H. 1700. p. j8. M. 1700. p. Z99. l'Antimoine bien pur n'en donne point, ihid. Manière de M. CHARAS , pour tirer une Liqueur Acide de l'Antimoine. M. 1700. p. Z5)8. Trouvée faufTc par M. HOMBERG. ihid. & fq. Manière de tirer cet Acide pratiquée par M. HOMBERG. ibid. p. ^^^. Cinabre d'Antimoine, ce que c'eft. M. 1707. p. 181. & fq. jiî^TiKKHiN'VM Sorte de Plante. M. 1700. p. 57. Antoine ( M. ) Corr. &: Chirurgien de Mery fur Seine , envoie à l'Acadcmic un Ecrit où il fouticnt ingcnicufcment que le Sang de la Merc peut entrer dans le Fœtus par les Artères Ombilicales. H. 1703. p. 31. Son fentiment fur l'Origine de Po- lipcs. H. 1704. p. 33. &r fq. SonTriiité des Maladies des Teiix,rQr\o\i- vellc dans l'Académie la Qucftion fur la con- Gi] ji TABLE DES MEMOIRES fufion de la Cataraftc & du Glaucoma. H. 1707. p. 12. Aorte ( 1' ) dans le Fœtus eft tantôt plus grofTc &: tantôt plus petite que l' Artère Pulmonaire. H. 1699. p. 2.9. Extrêmement dilatée dans un Homme mort en un inftant. H. 1710. p.40. OlVifiée & fcs fuites. H. 1701. pp. 28. & fqq. Aphélies des Planètes font mobiles. H. 170J. p. 94. » >.■ Du Mouvement des Planètes fur leurs Orbes , « en y comprenant le mouvement de l'Apogée ou de l'Aphclic. Par M. VARIGNON. M. 1705. p. 347.^ De Saturne, Ion Lieu véritable. M. 1704. p. 3 16. Bien déterminé par M. Bouilleau. ii>. Erreur dans celui des Tables Rudol- phines de Kepler. il>id. -^PiVM PyrenaïctimThdiiJh facie Infl. Bot. ou Scjeli Pyre- KaïciimThjpJ/.cficic.D.FAGON.Schûl.Bot.I'.irad. Bot. Defcription de cette Plante lue à TAcadc- mie. Par M. CHOMEL.H. 1709. p. p. Apocyn ou Liane laiteufe , forte de Plante , fa def- cription envolée de la Martinique à l'Acadé- mie par le P. Breton Jefuite. H. 1703. p. ^j. Afoge'e ( r ) & le Périgée des Planètes font des points difficiles à déterminer. M. 1704. p. 307. Erreurs que l'incertitude de la pofition de ces Points caufe dans la Théorie des Planètes, ib. p. 307. & fq. r , r. -^ »Du Mouvement des Planètes fur leurs Or- „ bes , en y comprenant le mouvement de l'A- pogée ou de l'Aphélie. Par M. VARIGNON. M. 1705. p. 347. , . ,, Mouvement de l'Apogée de Saturne, bien dé- terminé par M. Bouilleau. M. 1704. p. 321. DE L'ACADEMIE 1^99 — lyio Ji Apoge'e Du Soleil, Ce meut , &: caufc parla l'inégalicé des années vraies. H. 1703. p. 87. étoit crû fixe par les Anciens, iùid. Apollonius Myndien. .Avance le Retour des Comètes, &:c. H. 1695). p. 7z. M. 1699. p. 56. Aponévroses ( les ) des Mufcles obliques & tranfver- fcs du Ventre , peuvent fournir des Envelopcs aux IntclHns dans les Hernies qui arrivent par le Relâchement des Membranes. M. 170 1. p. tÎ9, Apoplexie guérie par un Grain de Laudanum. H. 1705. p. j7. Par plufieurs Lavemcns de Caffé. H, 1701. p. 19. Apre Artère ( 1' ) ne fait que fournir la matière de la Voix. M. 1700. p. Z47. En quel cas le Canal de l'Apre Artère pour- roit avoir part au Refonncment. ihîd. p. Z48. & fq. Ne fait rien aux Tons , non plus qu'au Son de la Voix , mais elle fait plus qu'un fim- ple Porte-vent , &; pourquoi >. ibtd. p. z y 2. & fq. ',■ :'_ Prodigicufe Manœuvre de l'Apre Artère, ihid. P- 2.T3- Aqueuse ( Humeur., de l'Oeil) Sa fource découverte ou prétendue telle, par M. MERY. H. 1707. p. 15. M. 1707. p. 499. & fq. Sa Perte par une Incifion faite à la Cornée, fc repare aifcmcnt. H. 1707. p. 2.4. Fait les mêmes Rcfradions que l'Hu- meur Vitrée. H. 1707. p. 13. "Araigne'es. " Obfcrvations fur les Araignées. Par M. HOMBERG. M. 1707. p. 339. De fix Efpeces principales , &: quelles e M= 1707. p. 339. M. 1710. pp. 39 y. & iqq. Giij 54 TABLE DES MEMOIRES Araigne'es. Leur Dcfcription en gcneral. M. 1707.PP, 3 39.&:rqq. Particularités de chaque Efpccc d'Araignée. ihid. pp. 347. &: fqq. La llxiéme cfpecc d'Araignée eft la Tarentule-, Sa Dcfcription. ihid. p. 3^1. &: Iq. Sont prodigieufement fécondes. M. 1710.P.3P4. Vivent de plufieurs Lifectcs. ibid. p. 388. Se mangent les unes les autres, ibid. p. 392. S'attachent à cette Subftancc molle que l'on trouve dans les Plumes des jeunes Oyfeaux. ibid. p. 390. Sont plus difficiles à élever que les Vers à Soie. ibid. p.i 394. Les Filets qu'elles tendent aux Infectes , font d'une Soie fi fine qu'on n'en fçauroit faire au- cun ufagc. ib. p. 39^. Filent de deux fortes de Fils. M. 17 10. p. 400. Manière dont elles font leurs Toiles. M. 1707. pp. 343. & fqq. Filcntleur Soie. M. 1710. p.4oo.&rfq. Toutes ne Ibnt pas propres à faire de la Soie, M. 1710. p. 39 j. Font leur Soie en diffcrcns tems de l'année, ib. p. 400. Leurs Soïes ont plus de différentes couleurs que celles des Vers à Soie. ibid. p. ^y^^. Rapport de la quantité de Soie que peuvent -'' — fournir les Araignées , à celle que tourniflcnt les Vers. M. 17 10. pp. 40 j. &c fqq. ■ - Leur Soie mife en ulage par M. Bon , pre- mier Prefident de la Chambre des Comptes de Montpellier , & Prefident de la Société Roïalc . .des Sciences de cette Ville. Ivl. 1710. p. 386, DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 yf "Akaigne'es. " Examen de la Soie des Araignées. Par M. DE REAUVir/R. M. 1710. p. 38<î. Circulation du Sang dans la Jambe d'une Arai- gnée obfcrvcc avec leMicrofcopc. H. 1707. p. 9. Arbres. Leur Ecorce eft plus importante que leur partie ligneufc. H. 1707. p. yi. Leurs Feuilles contribuent à la perfeétion du fuc nourricier, ibid. Poullcnt quclqucsfois leur Sévc , quoi qu'en- : tierement dépouillés de leur Ecorce ; Exemple ,1 dans un Orme. H. 1709. p. jo. Jonétion intime de deux Arbres afFés éloignés ' l'un de l'autre. H. 17 10. p. 79. P rcccî «N T-i 1 ' i FournilTcnt des preuves de la Lbranches / ,•,. • j- r 1 ^, , ^ >. multiplication prodiiricuic des Coupes près f „ ^ » t ' '^ j ^ r \ ]ji-anchcs. M. 1700. p. 1:9. de Terre J / r ?> Nains , prouvent que les Branches font fécon- des en Rameaux. M. 1700. p. 141. enterrés au pied , prouvent que les Troncs &c les Branches font féconds en Racines. M. 1700. p. 142.. » ( >. Sur les) morts par la Gelée de 1709. H. 1710. p. y9. Les plus durs & les plus forts , ou les plus vieux , moururent en plus grande quantité. ihid. p. j9. &: fq. Raifons de cette différence, ihid. p. 60. &: fq. « » Sur le Parallelifme de la Touffe des Arbres » avec le Sol qu'elles ombragent. H. i(î99.p. 60. ■ '■'.: • Ce Phénomène obfervé par M. DODART. /^, » " "Explication Phyfique de la Direélion verti- » cale & naturelle de la Tige des Plantes &c des » Branches des Arbres & de leurs Racines. Par M. DE LA HIRE. M. 1708. p. zji. 56 TABLE DES MEMOIRES Arbres. Gros tronc d'Arbre. ( Eejle du Déluge , fuivant M. Jean- Jacques Scljcnchzer , ) couche fur le Mont Stella l'une des Montagnes des Alpes. H. 1710. p. 2.3. Pourroicnt être plies jeunes , & fourniroient plus aifement des bois propres à conftruirelcs Vaifleaux. H. 1705. p. 137. Arbre de Mars {Végétation du /'tr ) découvert par M. LEMERYle^fils. H. 1706. p. 39. H. 1707.P. 32. Archimede. Ses Demonftrations fur les Spirales , font très longues &: très difficiles à entendre. H. 1704. p. 49. Ses Découvertes fur l'Egalité des Figures Courbes, en Surface &: en Solidité. H. 1709, p. ^6. &c fq. "Architecture » Sur quelques Arcs emploies dans " l'Architeéture. H. 1701. p. 115). .!> " Remarques fur la forme de quelques Arcs » dont on fc fcrt dans l'Architcélurc. Par M. DE LA HIRE. M. 1702.. p. 94. ARC-EN-CiEt fmguliér vu par M. DE LA HIRE. H. 1708. p. 105». ..Arcs Circulaires ( •> Sur la Section indéfinie des ) & la manière de déduire les Sinus des Arcs donnés. H. 1702. p. j8. .. » Scétion indéfinie des Arcs Circulaires en telle raifon qu'on voudra , avec la manière d'en déduire les Smus. Par M. BERNOULLI :. Profellcur à Bafle. M. 1702. p. 281. » .. Méthode générale pour la Divifion des » Arcs de Cercle ou des Angles , en autant de X, parties égales qu'on voudra. Par M. DE LA >. HIRE. M. 1710. p. 2O0. V " Sur les Tansrentes &c les Sécantes des Arcs » Circulaires. H. 1705. p. 89. Aréomètres. DE L'ACADEMIE 1^5)9 s- 1710 ^j Aréomètres. Infuffifancc des Anciens Aréomètres. M. 1695). p. 45. Conllrudion & ufagc d'un nouveau plus cxafh par M. HOMBERG. H. 1699. p. jj- M. 1699. p. 46. &: fq. Table de la quantité de pluficurs Liqueurs Chi- miques , comprifes dans l'Arcomctrc en Eté &: en Hyver. M. 1699. p. 47. & fq. Argent ( Tout ) pourvu qu'il foi: pur &: fans mélange cft parfaitement fe.Tiblablc. H. 1701. p. j. ( Tout) peut devenir Or , &c. M. 1709. p. iij. ( r ) & rOr font des Métaux Volatils au feu du Soleil. M. 170Z. p. 141. &: fq. H "Sur une DifTolution d'Argent. H. 1706. p. 50. » " Obfcrvations fur une Diftblutron de l'Argent. Par M. HOMBERG. M. 1706. p. loz. (1') Se diiTout par les Eaux Régales , en obfervant certaines circonftances. ihid. p. 103. Son diiTolvant propre cft l'Efprit de Nitre. H. 1706. p. 30. » » Obfcrvations fur le Raffinage de l'Argent. Par M. HOMBERG. M. 1701. p. 42. ( Végétation d') montrée par M. HOMBERG. H. 1704. p. 40. Argille ( r ) contient du Fer. M. 1707. p. 7. Aristote. Partage de cet Authcur fur la Mefure de la Terre. M. 1701. p. 171. M. DU H A M E L fait une Analyfc de (o\\ Traité De Partihits Animalium.W. 1(599. p. Ji- Arithmetic^ue (r)par la progrcflion Décuple ne pa- roîtpas fort ancienne. H. 1703. p. 89. c Semble avoir été introduite en Europe par le Pape Sylveftre IL ihid. Son fondement cft purement arbitraire, ihid. T^b, des Mat. i6pp. — 1710, H ;$ TABLE DES MEMOIRES . Arithmetiqiie Binaire ( .. Nouvelle ) H. 1705. p. j8. { " Explication de 1' ) qui fc fcrt des fculs Caradcres o. & i. avec des Remarques fur l'on utilité & fur ce qu'elle donne le icns des Anciennes Figures Chinoifes de Fohi. Par M. LEIBNITS. M. 1703. p. 8j. : Ce que c'eft i H. 1705. p. jp. &c fq. Inventée par M. LEIBNITS, &: vers le même tems par M. DE LAGNY. iù/d. pp. 60. &c fqq. Contientnaturellementtoutcs les com- modités que l'on tire des Logarithmes dans l'Aritlimctique ordinaire, ihid. p. 62. Ufage qu'en fait le Pcre Bouvet Jef. Miflionairc à la Chine , pour dcchifïrer une Enigme de l'Empereur Fohi. lùi^i. p. 60. & fq. LISTE DES MEMO I KES Cjr Remarques d'yirithmetiquc imprimés dans les Mémoires de l'Académie. I C5) 9 I 7 I o "Nouvelle Arithmétique binaire. H. 170 3. p. 5 8. » Explication de l'Arithmétique binaire , qui fe fcrt des feuls Caraûeres o. & i. avec des Remarques fur fon utilité , &: fur ce qu'elle donne le fens des anciennes Figures Chinoifes de Fohi. Par M. LEIBNITS. M. 1703. p. 8y. Sur une Méthode pour trouver en peu de tems les Nombres premiers , prefentée à l'Acadé- mie par M. l'Abbé de Moliercs. H. 170^. p. 8 t. DE L'ACADEMIE 1^99 — I70I ^9 » Arithmétique. ( 1' ) " Sur une propriété générale » de toutes les PuifTances. H. 1704. p. 41. « "Sur les Qiiarrés Magiques. H. 170J. p. 6ç). » H. 1710. p. 80. » >. Conrtruction des Qiiarrcs Magiques dont la » racine eft un nombre pair. Par M. DE LA 5, HIRE. M. 170 j. p. 3(54. » » Nouvelles conftrudions &c confiderations fur M les Qiiarrcs Magiques , avec les Dcmonltra- » tions. Par M. DE LA HIRE. M. 1705. p. 1 2.7. ^ " Conftruclion générale des Qiiarrés Magiques. * *Par M. SAUVEUR. M. 1710. p. 91. Sur une folution d'un Problême concernant les ProgreiFions Arithmétiques répétées , ou la ' manière de ranger des Carreaux de différentes couleurs fous certaines conditions. H. 1708. p. 70. & fq, Arles ( Obfcrvation faite à ) del'Eclipfe de Lune du 23. Décembre 1703. par M. Davizard. M. 1704. pp. 14. & fqq. ( ) De l'Eclipfc du Soleil du 13. Septembre i699.par M.Davizard.M.i7oi.p.8i. ( ) De l'Eclipfe de Soleil du iz. May 1706. par M. Davizard. M. 1705, p. 464. . * " Arménie. >» Pofitions de quelques Villes de Turquie &: d'Arménie , tirées des Obfervations du Père de » Bcze Jcfuite.H. 1699. p. 85. * d'Ervan Latit. Smyrne Latit. Erzeron Latit. ") Trebizondc Latit. *) Longir.J Longit.J wArmes à Feu ( » Sur le Recul des ) H. 1703. p. 98. Expériences faites fur ce Recul par M. CAS- SINI le Fils , à quelle occafion î ihuL & fq. Hij 6o TABLE DES MEMOIRES "Armes ( >. Sur les ) ditfcrcmmcnt chargées. H 1707.' P- 3- . . Armilles Equinodialcs, placées à Alexandrie ; ce que c'écoit ; H. 1703. p. 42,. Artères ( Bactcmcns d' ) plus fréquents n'indiquent pas un Sang plus chaud. H. 1703. p. 10. » ( ) " Obfcrvations fur un Battement de », Veines (cmblablc au Battement des Artères par M. HOMBERG. M. 1704. p. 159. Les Venics des Oiiycs des PoifTons deviennent Artères à leur fortic. H. 1701.P. 49. Pulmonaire { 1' ) dans le Fœtus, ell taiVtôt plus greffe, &: tantôt plus petite que l'Aorte. H. 165)9. p. 29. Artère Pulmonaire d'un Homme , remplie de Tu- bercules pierreux , montrée à l'Académie par M. CHOMEL. H. 1707. p. 26. Artères Ombilicales, . . . Syftême de M. Antoine Corr. qui croit que le Sang de la Mcrc efl: porté au Fœtus par les Artères Ombilicales. H. 1703. p. 3 1. Artillerie ( 1' } n'cft point une Invention funefte. H. 1707. p. 121. Arts. ( Sur la Defcription des ) H. 1699. p. 117. L'Académie entreprend cette Defcription. ihid. Ses vues dans ce Delfein. ihid. Se fq. LISTE ALPHABETI^VE des Arts dont les Defcriptions ont été ' données dans l'Académie. f - 16^9. I 7 I o. De faire les Bas , foit à l'Aiguille , foit 2ii DE L'ACADEMIE 1^99 — 17^0 ^i Mcricr, décrit par M. JAUGEON. H. 1709, p. I IX. Arts. Du Batteur d'Or décrit par M. DES BIL- LETTES. H. 1707. p. 15^4. Le Clavecin décrit par M. CARRE'. H. 1701, p. 137. De préparer les Cuirs décrit par M. DES BIL- LETTi^S. H. 1709. p. 112. Du Doreur de Livres décrit par M. DES BIL- LETTES. H. 1706. p. 141. H. 1707, p. iH- De faire les Epingles décrit par M. DES BIL- LETTES. H. 1700. p. i^çf. De la Frappe des Poinçons décrit par M. JAUGEON. H. 1703. p. 135. Du Graveur en Taille douce ^ &:c. décric par M. DES BILLETTES. H. 1703. p. 13^. H. 1704. p. 113. De l'Imprimerie décrit par le P. SEBASTIEN TRUCHET , MM. DES BILLETTES & JAUGEON. H. 1699- P- ii8- H. 1700. p. ijp. H. 1701. p. 141. H. 1701. p, 13^. H. 1704. p. 113. & à cette occafion, Defcription de la Prellc Se de l'Imprcflion particulière des Livres d'Eglife , Ecriteaux , Sentences , &:c. donnée par M. DES BILLETTES. H. 1704. p. 12,3. &: l'Hiftoire des Alphabets donnée par M. JAUGEON. H. 1700. p. Ijc,. De la Papeterie décrit par M. DES BILLET- TES. H. 1706. p. 141. De la Peinture décrit par M. DE LA HIRE^ H. 1705). p. 112. De la Frappe des Poinçons décrit par M. JAU- GEON. H. 1703. p. 135. Hiij €1. TABLE DES MEMOIRES Arts Et Métiers. De faire la Poudre à Canon décrit par M. DES BILL ET TES. H. 170J. p. 137. Du Relieur de Livres décritparM.JAUGEON. H. 1708. p. 141. Métiers qui concernent la Soie décrits par M. JAUGEON. H. 1704. p. 113. H. 170^. p. 141. H. 1707. p. 154. & à cette occa- fion , Hiftoire naturelle des Versa Soie don- née par M. J A U G E O N. H. 1705. p. De faire le Sucre décrit par M. DES BILLETTES. H. 1707. p. 154. H. 1708. p. 142. De la Tannerie décrit par M. DES BIL- LETTES. H. 1708. p. 141. .. Ascension droite. (Mouvement du Soleil en) » Mé- thode générale pour obfcrvcr la différence de Déclinaifon &: d'Afccnfion droite de deux » Aftres pcit éloignés. H. 1701. p. 91. „ >. Méthode générale pour trouver la ). différence en Dcclinaifons &: en Afccniions » droites de deux Aftres qui font peu éloignés » l'un de l'autre en fe fcrvant du Micromè- tre. Par M. DE LA HIRE. M. 1701. j. p. lOI. >. Sur le Mouvement d'un Aftre en « Afccnfion droite, comparé à fon Mouvement en Longitude. H. 1704. p. 1Ç2. ,i » Détermination du Tems auquel le «... Mouvement du Soleil en Longitude efl égal » ' à Ton Mouvement en Afcenfion droite. Par îvl. PARENT. M. 1704. p.^ 134. Asie ( 1' ) a toujours été trop éloignée de Nous par les Géographes. H. 1706. p. 113- DE L'ACADEMIE i(îs)5)— I7I0 ^5 Asthmatique .. . EiTais de l'Eau de Chaux fur un Afthmatiquc. M. 1700. p. 125. Asthme. La Camphorata en Ptifanne cft bonne contre ce Mal. H. 1703. p. 5^. Htimoïdl ... La Pareira Brava ( Plante Brafi- liennc ) lui fert de Remède. H. 17 10. p. y 8. Astrolabe. Ce que c'eft ? H. 1701. p. 97. ( r ) a été en ufagc chez, les Anciens , l<. comment ? ihid. De Ptolomée S t1 ■ j ^ oc-r nr T^ ^ r T ? ^^"^■- PP- 9S. & Iqq. M. De (jcmma rrilon V ^^ 0 7- De Roias J ' r ;/ i Defïauts de ces Aftrolabcs. ihid. ihid. » " Conftruâiion d'un nouvel Aftrolabe univer- fel. Par M. DE LA HIRE. M. 1701. p. 2^7. » H. 1701. pp. 97. & fqq. » ) " Sur r ) H. 1702. p. 70. Méthode de M. PARENT pour déterminer le point de la moindre inégalité des Divifions de î'AftroIabc. H. 1702. pp. 70. & fqq. Astronomes. Anciens cmbarallcs dans l'Obfervation des Planètes. 1700. p. 294. Avantage des Modernes à cet égard, ihid. Astronomie. La Géographie exacte lui cft néceflaire. M. 1699. p. 282. Ancienne reprcfcntoit mal les différentes diftances des Planètes à la Terre. M. 1709,. P- ^47- ( en) les Déterminations précipitées fontperil- leufcs , exemple dans le cinquième Satellite de Saturne. H. 1707. p. 96. &: fq. . ' ■ Pratique eft très importante. H. 1701. p. 91,. - ^ & fq. eft fort différente de la Théorique^- H. i7io.p. 145. €4 TABLE DES MEMOIRES LISTE DES .MEMOIRES eir Obfer'vations diverfes d'Jftrono.nie imprimés dans les Mémoires de l'Académie. 1699. I7I0. de toutes celles qui Je trou-vent dans les Mémoi- res, Joh en Titre,foit dans le Corps même des Mémoires; On ne l'a pas inférée icy , pour ne la pas repeter deux fois prccifemcnt de la même manière. Astronomie '. Sur les Mouvcmcns apparcns des Planètes. H. 1705. p. 82. " Du Mouvement apparent des Planètes à 1 c- gard de la Terre. Par M. CASSINI. M. 1709, p. 247. " Sur les Planètes en gênerai , &: fur Saturne en particulier. H. 1704. p. 65-. » Coniidcrations fur la Théorie des Planètes , ( & Jur celle de Saturne. ) Par M. MARALDL M. 1704. p. 30^. " Reflexions fur les Obfcrvations do Saturne &: de fon Anneau. Par M. CASSINI. M. 170 j .p. r 4. » Sur les MouvciTiens de Jupiter &: de Mars. H. 1706. p. 9 y. » Les Hypothefcs des Mouvcmens de Jupiter & de Mars. Par M. MARALDL M. 1706. pp. 6\. &C66. .. Sur la Planète de Mercure. H. 170(1. p. 106. " Sur la dernière Conjondion Ecliptiquc de Mercure avec le Soleil , & en gênerai fur la Planète de Mercure. H. 1707. p. 83. Astronomie. D E L'ACADEMIE 1^99 -- I7IÛ 6^ Astronomie» Sur le Mouvement de la Lune. H. lyio.p. 104. » Remarques fur le Mouvement des Planètes , &c principalement fur celui de la Lune. Par M. DE LA HIRE. M. 1710. p. 2,91. "Sur les Satellites de Saturne. H. 1705-. p. 117- " Sur la féconde Inégalité des Satellites de Jupi- ter. H. 1707. p. 77. " Confiderations fur la féconde Inégalité du mouvement des Satellites de Jupiter , &c fur l'Hypothéfe du mouvement fucceflif de la Lu- mière. Par M. MARALDI. M. 1707. p. xy. " Sur les Forces centrales des Planètes. H. 1707. P- 97- » Sur le Mouvement d'un Aflre en Afccnfion droite ,comparc à fon mouvement cnLongitude. H. 1707. p. 6z. " Sur la Parallaxe annuelle de l'Etoile Polaire. H. 1699. p- 80. •> Reflexions fur une Lettre de M. Flamftéed à M. Wallis touchant la Parallaxe annuelle de l'Etoile Polaire. Par M. CASSINI le Fils. M. 1699. p. 177. " Sur les Apparences du Corps de la Lune. H. 1706. p. 109. " Reflexions furies Apparences du Corps de la Lune , Se demonftration de l'apparence d'un Objet aufli grand que la Ville de Paris far le Corps delà Lune avec une Lunette de z y. pieds defoier. Par M. DE LA HIRE. M. 170^, pp. 107. &c I 14. " Obfcrvations d'Eclipfes. H. 1(^99. p-js- " Sur l'Eclipfe Solaire du 23. Septembre 1699, H. 1700. p. loy. TrfA. i^cs Mat. 1695?. — 1710. % ce. TABLE DES MEMOIRES "ASTRONOMIE" Reflexions fur rEclipfc du i3.Scpr. I G^^. Par M. C A S S I N I. M. 1 699. p. 174. » » Surl'EclipfedeLune du j. Mars 1700. H. 1700. » p. 105». » " Remarques fur rEclipfe de Lune arrivée le 21. Février 1701. Par M. DE LA HIRE. M. 170 1. w p. 46. i> " Sur deux Eclipfes de Lune. H. 1703. p. 77. » H. 1704. p. 58. » » Sur les trois Eclipfes de cette année 1706. H. » 1706. p. 113. «Sur l'Eclipfe de Lune du 17. Avril 1707. H. .. 1707- P- 81. » » Sur les trois Eclipfes de cette année 1708. H. » 1708. p. 104. M » Reflexions fur les Eclipfes du Soleil &: de la .. Lune du mois de Septembre 1708. Par M. CASSINLM. 1708.P. 410. » » Sur une Conjon£tion de Venus avec le Soleil. M H. 1700. p. 1 10. « .' Sur une Conjonftion de Jupiter avec le Cœur ». du Lion. H. 1706. p. izo. » " De la dernière Conjonûion Ecliptiquc de » Mercure avec le Soleil. Par MM. CASSINI » &MARALDL M. 1707. p. 175. » » Obfervations de Mercure comparées au Cal- w '\ cul de nos Tables , à l'occafion de la Conjonc- » tion Inférieure avec le Soleil au mois de May »■ de cène année 1707. Par M. DE LA HIRE le *» Fils. M. 1707. p. 15)8. » » Reflexions fur le Paflage de Mercure par le » Difquedu Soleil au mois de May 1707. Par • M. DE LA HIRE. M. 1707. p. zoo. » « Reflexions fur les Obfervations de Mercure, Par M. CASSINI. M. 1707. p. 3 js»- DE L'ACADEMIE 1^99 _ 1710 Gj Astronomie» Sur le Retour des Comètes. H. 1699. p. jx. " Du Retour des Comètes. Par M. CASSINI. M. 1699. p. 56. " Sur des Apparitions de Comètes. H. 1701. r p. 6y. H. 1706. p. 104. H. 1707. p. 103. . >> Sur laComccedc 1707. & iur les Comètes en I gênerai. H. 1708. p. 97. . " Surdes Parhclies. H. 1699. p. 81. . » Sur une Nouvelle Etoile qui paroît &: dif- . paroît. H. 170^. p. III. t » Sur des Taches du Soleil. H. 1700. p. m. H. t 170 1. p. 10 1. H. 170 j. p. 1^6. H. 1706. p. m. , H. 1707. p. 106. H. 1708. p. 107. H. 1709.P. 88. , H. 1710.P. III. 1 » Sur des Obfervations(â^f / Taches & des Bandes) , de Jupiter. H. 1(399. P- 78. , "Sur le Rctourd'uncTachede Jupiter.H.1708. > p. 90. » Sur lesTaches desSatellitcs deJupiter.H.1707. p. 9i. » '> Sur les Rcfradions. H. 1700. p. m. H. 170^. » p. loi. H. 1707. p. 89. H. 1708. p. loj. H. 0 1710.P. 109. «, » Remarques fur les Obfervations des Refrac- » tions tirées du Livre intitule , Refraclio Solis » tKûccidin in Seftentrionalihus Oris juffi( Caroli » XI. Régis Suevortim , &cc. à Joanne Bilberg. Holm. 1695. Par M. DE LA HIRE.M. 1700. P-37- » Reflexions fur les ( mêmes ) Obfervations faites en Botnie. Par M. CASSINL M. 1700. p. 39. " Expérience de la Refradion de l'Air faite par l'ordre de la Société Roïalc d'Angleterre, rap- portée par M. CASSINI le Fils. M. 1700. p. 78. 6S TABLE DES MEMOIRES Astronomie» Des Irrégularités de rabaliTcmcnt ap- parent de l'Horizon de laMer.ParM.CASSINL M. 1707. p. 195. ». Sur la Longueur du Pendule. H. 1700. p. 116. .. Sur une nouvellcMéthodcpourlesLongitudes. H. 1705-. p. izi. » Méthode de déterminer les Longitudes des Lieux de la Terre par les Eclipfes des Etoiles fixes &: des Planètes par la Lune , pratiquée en diverfes Oblcrvations. Par M. CASSINI le Fils, M. 170 j. p. 194. » Sur la Prolon. „, „ Sur l'Aftrolabe. H. 1702. p. 70. „ 5, Sur un nouvel Aftrolabc univerfel. H. 1701. » P-97- „ „ Conftrucliion d'un nouvel Aftrolabe univerfel. „ Par M. DELAHIRE.M.1701.P. 257. „ „ Sur un Globe celefte confirait par rapport au „, mouvement des Etoiles fixes. H. 1708. p. 9?- „ ,, Métho-de pour centrer les V erres de Lunette „ d'approche , en les travaillant. Par M. DELA „ HIRE. M. 1699. p. 139. ,,. ,, De la neccfhté qu'il y a de bien centrer leVerre „ objedif d'une Lunette. Par M. CASSINI le Fils. „. M. 1710.P. 223. „ „ Pour empêcher que l'Humidité de l'Air ne „ s'attache au Verre objeclifdes grandes Lunettes. „ Par M.DELAHIRE.M. 1699.P.91. „ 3, Nouvelle Méthode de prendre les Hauteurs „ en Mer avec une Montre ordinaire. H. 170 j. p. 87. AsTRONOMiQj^'ES ( Divcrfcs Obfervarions ) Qiielques Reflexions fur l'Equation des jours. H. 1701. pp. III. &fqq. Sur uneEclipfe de Lune caufée feulement par la Pénombre de la Terre. H. 170 z. p. 73. èc- % . .. liij ^ oTABLE DES MEMOIRES AsTRoSôMiQt'Es ( Diverfcs Obf^rvations ) fur une Tiichc du Soleil qui dilpaïut peu à peu cii augmentant de clarté. H. lyoz. p. 73. Sur une Colomne de lumière obtcrvée avant le lever du Soleil. H. 1701. p. 74. Couronne fpacieufe vue autour du Soleil en May 1708. H.1708.P.109. Arc-en-Cicliînguliervûpar M. DELA HIRE. H. 1708. p. 109. Sur les Tables Aftronomiques de M. DE LA HIRE. imprimées en 170Z. H. 1701. pp. 7^. &C fqq. Sur un Fragment d'un ancien Planifphere cclcftc Egyptien & Grec trouvé en 1705. à Rome. H, 1708. p. iio. » AsTRUC ( M. ) delà Société Roïale des Sciences de » Montpellier » Conjectures fur le Redrcllcment „ des Plantes inclinées à i'Horilbn. Par M. As- TBUc.M. 1708. p. 4^5. Atherome (Sorte de Loupe) ce que c'cft ? H. 1709. p. 13. Atmosphère. Rapport du poids de l'Ether à celui de rAtmofphcre. M. 16^9. p. zS. ( r ) ne rcliftc pas feule à la féparation de deux Corps polis &c mouillés , appliqués l'un contre ■ • ■-• l'autre. H. 1703. p. 97. ( r ) eft vrai-femblablement Hétérogène , félon les ditl'crcnts Climats. H. 1709. p. j. „ ( >. Sur la Pefanteur de 1' ) H. 1709. p. i. ., .. Obfervations de la pefanteur de FAtmof- »,' , phcre faites au Château de Mcudon avec le „-.'■'- Baromètre double de M. HUYGHENS. Par M. DE LA HIRE. M. 1709. p. 176. Difticu'té de déterminer la pefanteur de l'At- •mofphere par les Hauteurs du Baromètre, H. 1709. p. z. DE L'ACADEMIE i<î99 -- I7I0 7^ » Atmosphère " Sur l'ufage du Baromètre pour mc- furcr la Hauteur des Montagnes &: celle de .. rAtmofphcrc. H. 1703. p. 11. Il y a apparence que la Lune n'a point d'At- mofplicre. H. 170^. p. iii. &: 119. De la Terre , ion Ombre feule caufe les Eclipfcs de Lune. H. 1703. p. 83. &: fq. Attouchement ( un Point d' ) en Géométrie , en vaut deux d'Interfeclion , &c pourquoi ? H. 1705.P. 111.H.1710. p. 93. Avantage des Difficultés faites aux Nouveaux Syftèmcs. H. 1710. p. 33. De mettre les Poutres &C Solives fur le Clian plutôt que fur le Plat. M. 1708. p. 19. De la figure d'un VailTeau. H. 1699, p. 96. C Du Cheval fur l'Homme pour poulîer en avant. H. 1699. p. 98. De l'Homme fur le Cheval pour monter. H. 1699. p. 98. AuBicoUR ( M. d' ) propofe une manière de tirer les Lotteries , approuvée par l'Académie. H. 1706. p. 141. AUBRi ( M. ) &M. De Lorme, Médecins de Moulins ^ ont fait boire les premiers des Eaux de Bour- bon, qui n'ctoient avant cuxenufage que pour le Bain. M. 1707. p. 112,. Averroes Médecin Arabe, crut avoir obfervc Mer- cure fur le Soleil dans leXII". Siècle. H. 1707, p. 8y. Avertissement de l'Acadcmie fur l'Ecrit de M. R O L LE, intitulé D/iNouveau Sylième de ilrjjini, inféré dans les Mem. de 1703. H. 1704. p. o, Avignon ( Obfervation faite à ) de l'Eclipfe de Lune du 21. Février 1701. par le P. Bonfa Jef M, 170 I. p. 70. -■•.: 7^ TABLE DES MEMOIRES -Avignon ( Obfervation faite à ) de rEclipfc de Lune Du zj. Décembre 1703. par le P. Bonfa Jc(. M. 1704. pp. 14. & fqq. ( ) De rEclipfc de Soleil du 11. Juil- let 1684. par le P. Bonfa Jcf M. 170 1. p. 87. ( ) Du 23. Septembre 1699. par le P. Bonfe Jcf M. 1701. p. 81. ( ) Du II. May 170^. par les PP. Jefiiites. M. 1706. p. 464. Aulne'e, ou HcUnium Vulg.ire , ou Enula Campa fia. Delcription de cette Plante lue à l'Académie par M. MARCHAND. H. 1709. p. 51. AVKtLiA ou chry/àlis , ce que c'eft ? H, 1703. p. 17, Aurore Boréale vue à Berlin le 6. Mars 1707. H. 1707. p. 1 1. AVrVm M'Vsjcvm, terme de Chimie , ce que c'eft ; M. 1710. p. 134, B ;Bachet ( M. ) de Meziriac de l'Académie Françoife, fes Travaux fur les Qviarrés Magiques. H, 1705. p. 71. Sa Méthode de les conftruire, &:c. M. 1705^. p. 16 -du Reflux de la Mer faites en 170 1. &: 170Z, » Par M. CASSINI le Fils. M. 1710. p. 318- Balancement DE L'ACADEMIE K^s'P—iyio 73 " Balancement ( Centre de ) ou d'OfcilUition. .. Sur .. le Centre de Balancement ou d'Ofcillation. •. H. 1703. p. 1 14. Ce que c'eft que ce Centre de Balancement. ihid. p. 41 ^. Nouvelle Théorie de M. BERNOULLI. ( Jacques ) de Bade fur les Centres de Balan- cement, ih. pp. iij. 6c fqq. u .. Demonftration du Centre de Balancement « ou d'Ofcillation tirée de la nature du Levier. Par M. BERNOULLI ( Jacques ) ProfelTeur » à Bafle. M. 1703. p. 78. » >. Extrait d'une Lettre de M. BERNOULLI » ( Jacques ) ProfefTcur à Balle contenant l'ap- » plication de fa Règle du Centre de Balancc- j. ment ou d'Ofcillation à toutes fortes de Fi- ji gures. M. 1703. p. 171. « >. Demonftration du Principe de M. HUY- » GHENS touchant le Centre de Balancement, « &: de rindentité de ce Centre avec celui de Percuffion. Par M. BERNOULLI ( Jacques ) » ProfelTeur à Bafle. M. 1704. p. 13(5. Balancier des Montres de Poche ... les Refl"orts qu'on y applique en reébifient le Mouvement. M. 1700. p. \6/\. Diverfcs manières d'appliquer ces RefTorts. ihid. pp. 164, &: fqq. Balaruc ( Eaux Mmerales de ) examinées par M. REGIS, aidé de M. Didier Médecin. H. ié. Expériences Phyfiqucs fur la „ Refraftiondes) dans l'Eau &: fur la Refiftancc dece Fluide. Par M. CARRE' M. 170 j. p. zii. 7ab. des Mat. 16^^. — 1710. K. 74 TABLE DES MEMOIRES Bales S'applatifTcnt dans l'Eau &c pourquoi» iéiid. p. 1 18. & fq. Balme ( Grotte de Nôtre-Dame de la ) en Dauphinc, obfcrvcc par ordre de François I. & en diftc- rens tems par d'autres Pcrfonncs. H. 1700. p. 4. ( ) obfcrvcc novivellcmcnt par M. Dieulamant. /^/V. Dcfcription cxacïe de cette Grotte. iùJd. & fq. Bandes de Jupiter font fujettcs à des Variations , &: quelles ? H. 165)9. p. 78. M. 1699. p. 104. Bandes ( Ligaments ) Efpece de Champignons qui croit fur les Bandes & les Atclles appliquées aux Fractures des Malades. H. 1707. p. 48. Barchusen ( M. J. C. ) Pjro[ophia. Examen de quel- ques endroits de ce Livre par M. BOULDUC. 1699. p. 54. &: fq. » Baromètre ( " Sur le ) redific. H. 1704. p. i. ( le ) ordinaire fe rcflcnt des diftcrcns degrés de froid & de chaud , & de combien ? ibid. p. 2. ( le ) double redifié par M. A M O N T O N S. ihid. pp. 6. ôc fqq. » - ( » Qiic tous les ) tant doubles que fimples , » qu'on a conftruits jufqu'ici agifTcnt non-feule- « ment par le plus ou le moins de poids de l'Air, ,> mais encore par fon plus ou moins de Cha- M leur , & le moïen de prévenir dorénavant ce » deffaut dans la Conftruélion des Baromètres M doubles & d'en corriger l'erreur dans l'ufxge » dcsBarometresfimples. Par M. AMONTONS. n M. 1704. p. 164. « .. Difcours lur les Baromètres. Par M. AMON- », TONS. M. 1704. p. 271. Corredion à fliire aux Baromètres , tant dou- bles que fimplcs. il>id. pp. ^73. & fqq. . _ DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 75 Baromètre ( le ) n'a encore pu fcrvir fur Mer, Se pourquoi ? H. 1705. p. z. ,, "Sur un nouveau Baromètre à l'ufage de la „ Mer. H. 170^. p. i. Ce Baromccre trouvé par M. AMONTONS. iùid. p. 2. Inconveniens rectifiés de ce nouveau Baro- mètre, d'/d. p. 3. » " Sans Mercure à l'ufage de la Mer. Par M. AMONTONS. M. 170 j. p. 49. » " Difl'ertation lur les Baromètres Sc Thermo- mètres. Par M. DE LA HLR.E le Fils. M. » 1706. p. 43 i. » " Sur un nouveau Baromètre. H. 1708. p. 3. Double de M. HU YGHENS , ce que c eft , Se fon ufagc ; did. pp. 4. Se fqq. M. 1708. p. i 51Î. Rcdifié par M. DE LA HIRE, Se comment î tiiid. pp. 6. Sc fqq. M " Defcription d'un nouveau Baromètre pour » connoicre cxadement la peianteur de l'Air , » avec quelques Remarques fur les Baromètres ordinaires. Par M. DE LA HIRE. 1708. p. 154. Demonftration du rapport des dificrenccs marquées par le Baromètre double, à celles du Baromètre llmple. did. pp. 157. Se fqq. Double . . . Variation importante à remar- quer , que le chaud Se le froid caufcnt à la Liqueur du Baromètre double. H. 1709. p. 2. „ Sur une Irrégularité de quelques^ Baromètres. « H. 1705. p. 16. H. 1706. p. I. (Quelques) fc tiennent beaucoup plus basque les autres. H. 1705. pp. lé. &: fqq. Diverfes conjcétures ilir cette irrégularité. dJd. De M. le Chancelier , pourquoi fc renoit beau- Kij 7^ TABLE DES MEMOIRES coup plus bas que les autres. H. 170e. p. i. &: fq. Baromètres. Expérience fur le Baromètre de M. le Chancelier , dont le Mercure fe tenoit 18, lignes plus bas que dans tous les autres Baromè- tres.M. 170J. p. i3o.&fq. Nettoies avecderEfprit de Vin ou de l'Eau-do Vie , fe tiennent plus bas que les autres. H. 1706. p. 1. ^ ConjcAures fur ce Phénomène. /p.p. 3. ' Il y en a dans lefqucls le Mercure fe tient bien plus haut que dans d'autres. M. 1706. p. y. „ .. De la Hauteur du Mercure dans les Baromè- tres. Par M. AMONTONS. M. i7o^.p. izi?. ù » Suite des Remarques fur la Hauteur du Mer- cure dans les Baromètres. Par M. AMON- TONS. ilfid. p. 132. i(pid. p. 234. il^iii. p. Conjeftures fur les caufes des variations fubitcs du Baromètre. M. 1705. p. 3. &:lq. Les Variations du Baromètre diminuent à mefure qu'on s'approche de l'Equateur. M. 1709. p. 239. Elles font aufTi moindres dans des lieux élevés , que dans des lieux bas. ibid.^. 240. ( le ) ne s'élève pas plus à Stokolm qu'à Paris. H. 1706. p. 103. S'élcve moins en gênerai , entre les Tropiques , • - que dans les Pais Septentrionaux. M. 1705. ■:■■':' p. 3. H. 170e. p. 103. ' Obfervations fur le Baromètre &: les Vents "** faites à Upminfter en Angleterre en 1697. &: 1698. par M. William Derham , comparées avec les mêmes faites à Paris. H. 1699. p. 21, &fq. DE L'ACADEMIE i(?99 — ryio 77 "Baromètres. >» Obfcrvations fur le Baromctrc , le Thermomètre, Se les Pluies pendant l'aniieé « 165)9. H. 1700. p. I. Confequences qu'on peut tirer de femblables Obfervations. ilid. p. l. M. DELA HIREfc charge de les faire chaque année. /^. p. i. ( Etat du ) à Paris pendant l'année 16519. M. 1700. p. 7. pend.l'annéc 1700. M. 170 1. p. 2.. • 1701. M. 1701. p. 6. 1701. M. 1703. p. 5. 1705. M. 1704. p. j. 1704. M. 1705. p. 3. 170^. M. 1706. p. 4. 1706. M. 1707. p. 4. 1707. M. 1708. p. 65. 1708. M. 1709. p. 3. 1709. M. 1710. p. 141, ( ) à Zuric en Suiflc. en 1708. M. 1709. p. II. » ( .. Obfcrvations du ) &c du Thermomètre " faites en différentes Villes pendant l'année 1705. Par M. M A R A L D L M. 1706. » p. 12. " " Comparaifon d' obfcrvations faites en diife- " rcns lieux fur le Baromètre, les Vents &c la " quantité des Pluies. H. 1699. p. zo. " " Expériences du Baromètre faites fur diverfes Montagnes de la France. ParM.MARALDL " M. 1705. p. 2.19. " " Comparaifon des Obfervations du Baromètre faites par le R. P. SEBASTIEN TRUCHET avec les nôtres. Par M. MARALDL M. 1705-. p. 119. ^ . Kiij 78- Ba TABLE DES MEMOIRES ROMETRE. „ Comparaifon des Obfcrvations du Baromètre faites en différents lieux. Par M. MARALDi. M. 1709. p. 133. >< Sur des Oblcrvacions du Baromètre faites en des lieux éloignes. H. 1709. p. 3. Expériences fiites flir la Hauteur du Baromètre depuis le lieu le plus clevcdu Parc de Mcudon jufqu'au niveau de la Rivière , Sic. H. 1709. p. & fq. " Obfcrvations de la pcfantcur de l'Atmofphcre faites au Château de Meudon avec le Baromè- tre double de M. HUYGHENS. Par M. DE LA HIRE. M. 1709. p. 176. Hauteur de la Colomne d'Air équivalente à. une ligne de Mercure , par ces Expériences. H. 1709. p. z. Difficulté de déterminer par cette Méthode la pefmtcur de l'Atmofphcre. //>id. p. z. " Table de la Hauteur de l'Air qui répond à la Hauteur du Mercure dans le Baromètre. M. 170^. p. 7z. " Table des Hauteurs du Mercure qu'il £iut ajouter ou ôtcr de celle du Baromètre fmi- ple, fuivant les diffcrens dégrés de Chalcur indiqués par le Thermomètre de M. AMON- TONS. M. 1704. p. 169. Peut fervir à mefurcr la Hauteur des Monta- gnes. H. 1709. p. 4. " Sur Tufage du Baromètre pour mefurcr la Hauteur des Montagnes' & celle de l'Atmof- phcre. H. 1703. p. II. La Méthode de mefurcr la Hauteur des Mon- tagnes par les Obfcrvations du Baromètre n'cfl: pas encore aflTésfùrc, &: pourquoi? H. 1708. p.i7.&: fq. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 79 Baromètre » Sur le Phofphorc du Baromètre. H. 1700. p. ^.H. 1701. p. I. Ce Phofphore découvert par Iiazard par M. PICAxRD. /-^/V. Tous les Baromètres ne font pas lumineux. /^. " Remarques fur quelques Expériences faites avec pluficurs Baromètres. &: fur la lumière que fait un de ceux dont on s'eft fcrvi en l'agitant verticalement. Par M. DE LA HIRE le Fils. M. 1705^. p. zx6. Les Baromètres peuvent être lumineux , quoi qu'il y ait de l'Air. M. 1707. p. s- Extrême dclicateife du Phoiphorc du Baro- mètre. H. 170 1. pp. 7. & fqq. ( le ) peut devenir lumineux fi le Mercure a été nettoie avec de la Chauxvivc. H. 1701. p. 5, &fq. Qii'on ne doit pas rapporter la caufe de la Lu- mière du Baromètre aux particules ignées de de la Chaux vive , & pourquoi ? /^/V. p. 6. Qu'il y a apparence que la Lumière du Baro- mètre cft caufée par le choc de la matière du premier Elément contre celle du fécond, iê/ùi. p. 6. & fq. Lumineux. Examen de ce Phénomène par M. BERNOULLI de Groningue. H. 1700. pp. ^& fqq. Raifonnemens & Conjeétures fur la Caufe de ce Phénomène. H. 1700. p. 6. M. 1700. p. 1 80. &:fn. Pourquoi tous les Baromètres ne font- ils pas lumineux. H. 1700. p. 6. M. 1700. pp. iSz. & fqq. Expérience conforme au Raifonnement de M BERNOULLL M. 1700. p. 18 ^ L'Humidité nuit à l'apparition de la Lumière 8o TABLE DES MEMOIRES dans les Baromètres. M. 1700. p. 189. & fq. Ce qui rend les Baromètres lumineux fuivanc M. B£RNOULLI. H. lyoï.p. i.&fq. Baromètre Lumineux. Méthodes de M. BERNOULLI pour rendre a. coup-liu- les Baromètres lumineux. H. 1700. p. 7. M. 1700. pp. 18 J.&: fqq. Ces Méthodes examinées par l'Académie , qui fufpend Ion jugement, & pourquoi J H. 1700. p. 8. Expériences jflritcs par l'Académie fur plufieurs Baromètres , pour les rendre lumineux , ne répondent pas aux Expériences de M. BER- NOULLI, ni à fon Syftcme. H. 1701.P. z.& fq. ,, " Nouvelle manière de rendre les Baromètres lumineux. Par M. BERNOULLI ProfclTeur à » Groninguc. M. 1700. p. 178. Remarques de M. HOMBERG fur les Expc-. ricnces de M. BERNOULLI à l'occafion des Baromètres lumineux. H. 1701. pp. 3. &: fqq. RéponfedeM. BERNOULLI aux Objeaions que l'Académie avoit faites contre fa manière de rendre les Baromètres lumineux. M. 170 1. pp. I. & fqq. Barrabini ( M. l'Abbé ) fon Obfervation de l'Eclipfc de Soleil du 14. Septembre 1708. faite à Gcnes. M. 1708. p. 417. ( ) Son Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 19. Septembre 1708. faite à Gcnes. M. 1708. p. 418. Barthelemi ( St. ) Montagne ( des Pircnées ) dans le ^ . Pais de Foix. Sa Hauteur fur le niveau de la Mer. M. 1703. p. 2,37. Bartholin (M. Erafme ) a décrit le premier les Phé- nomènes fmguliers du CnlLil d'Iflandc. H. 1710. p. 12,1. Barville DE L'ACADEMIE 1^99— I7I0 8r Barville ( M. De ) Parapets tournans de fon inven- tion, approuvés par l'Académie. H. 170Z. p. 13 S. Bas m. JAUGEON donne la manière dont fe font les Bas, foit à l'Aiguille, foit au Métier. H. 1709, p. HZ. • Batteaux. >• Sur la force nécclTaire pour faire remonter les Batteaux. H. 1701. p. ïz6. » Examen de la force nécclTaire pour faire mou- voir les Batteaux , tant dans l'Eau dormante , que courante , foit avec une Corde qui y efl: attachée, & que l'on tire, foit avec des Rames ou par le moien de quelque Machine. Par M. DE LA HIRE. M. 1701. p. 2^4. Moien propofé par M. DALESME pour faci- liter & augmenter l'adlion de ceux qui tirent ■_r des grands Batteaux. H. 1706. p. 140. Machine de M. Lavier pour remonter les Bat- teaux, approuvée par l'Académie. H. 1707.P. i j y. Autre de M. Martenot pour le même ufage , approuvée par l'Académie. H. 1702. p. 139. « Battement de Veines ( " Obfervation fur un ) fcmbla- »«-,. : ble au battement des Artères. Par M. HOM- » BERG. M. 1704, p. 159. Batteur d'Or. M. DES BILLETTES donne la Def- cription de cet Art. H. 1707. p. 154. Baume ( la Ste ) Montagne de Provence. Sa Latitude obfcrvécpar le P. Laval Cerr. M. 1708. p. 462,. » " Reflexions fur les Obfervations faites par le " P. Laval Corr. a. la Ste Baume , &: aux Mon- » tagnes des environs. Par M. CASSINI le Fils. » M. 1708. p. 4^6. Baumes pour les Bleffurcs. M. 1701. p. 207. Baume ( Arbrilleau de ) Sa Dcfcription envoïée de la Martinique à l'Académie par le P. Breton Jc- fuitc. H. 1703. p. 57. Tab. des Mat. 16^9 1710. L 8i TABLE DES MEMOIRES Ba YONNE. Longueur du Pendule à Bavonnc, obfcrvée par MM. PICARD & DE LÀ HIRE la mê- me qu'à Paris. H. 1705. p. 131. Bayonette. Epéc qui fcrt de Bavonctte au bout du Fufil , & d'Efponton au bout de la Canne , in- ventée par M. De La Chaumctte , & approuvée par l'Académie. H. 1707. p. 156. Beau LIEU { Frcre Jacques ) Sa nouvelle manière de tailler de la Pierre condamnée par l'Académie. H. 165)9. p. 30. &: fq. Beccatelli ( le p. . . Jefuitc) Son Obfervationdel'E- clipfe du Soleil du 13. Septembre 1699. faite à II. milles de Parme. M. 1701. p. 84. "Bêcher " Nouvel EclairciiTcmcnt fur la prétendue produdion artificielle du Fer publiée par Bê- cher, & foîitenuë par M. GEOFFROY. Par M. LEMERY le Fils. M. 1708. p. 376. Bedaut (M.) Machine de fon invention pour porteries ' Boulets rouges depuis la Fournaife , jui'qu'à la Bouche du Canon, approuvée par l'Académie. ' H. 1703. p. 136. Belle de Nuit ou Jalap, forte de Plante, fa Det cription cnvoïée de la Martinique à l'Acade». mie, par Le P. Breton Jefuite. H. 1703. p. 57. BERGER { M. ) Rapporte à l'Académie une Paralific du Colon & de la Veille, H. 1704. p. 35^. Berlin ( Obfervation faiteà)del'EclipfedeLunedu 11, Février i7oi.parM.Kirch.M.i7oi.pp.7i.&fqq. { Obfervation faite à ) de l'Eclipfc de Soleil du II. May 170(3. par M.Hotman.M.i7o6.p.47o, Bernard-l'Hermite ( Animal de Mer ) ce quec'eftî M. 1710. p. 4<34. N'a point de Coquille propre, mais habite indiferemment des Coquilles d'cfpeces différentes , &:c. ibid. DE L'ACADEMIE lépp — I7IO 8? Bernard-l'Hermite A une Patte plus greffe que l'autre, ibid.^. /^6"i U TABLE DES MEMOIRES BERNOULLI ( M. JEAN) Profcflcur de Mathéma- tiques à Groningue , & cnfuite ( depuis lyoy. ) à Bafle , propofe une Méthode fiirc de rendre tous les Baromètres lumineux. H. 1700. p. 7. Cette Méthode examinée par l'Académie , qui fufpend Ton jugement, &: pourquoi ? ibid.f. 8. Remarques de" M. HOMBERG fur les Expe- -«- nencesde M. BERNOULLI de Gron. à loc- cafion des Baromètres lumineux. H. 1701. pp. 3. &: fqq. Rcfout le Problème des Ifoperimétrcs , pro- pofe par M. ( JACQUES ) BERNOULLI fon Frère, après l'avoir rendu plus gênerai. H. 1706. p. 70. &: fq. Idée de fa Théorie fur cette Matière, ibid. pp. 7 1 . & fqq. Refout le Problême inverfe des Forces Cen- trales. H. 1710.P. 105. LISTE CHRONOLOG/^VE des Mémoires imprimés de M. ( JEAN) BERNOVLLI. 16^^.-1710. „ Qiiadrature d'une infinité de Segments, de Scfteurs 8c d'autres Efpaces de la Roulette ou de la Cycloide vulgaire. M. i (Î99. p. 134. Nouvelle Manière de rendre les Baromètres lumineux extraite d'une de fcs Lettres écrite de Groningue le ip. Juin 1700. KL 1700. p. 178. „ Nouveau Phofphore de M. BERNOUL- LI cxtr.iit de l'une de fcs Lettres , écrite de Groningue le 6. de Novembre 1700. ( Repo^fes aux Objections que P Académie avok ' faites contre fa manière de rendre les Baromètres lumineux. ) M. 1700. p. i. ■>■> >> 5> ■>■> 3J DE L'ACADEMIE 1699— I7I0 §7 B ERNOULLI ( „ Lettre de M. JEAN ) Pi-ofclTcur à Groninguc . touchant fon nouveau Phorphore. M. lyoï.p. 137. „ Solution d'un Pi-oblêmc concernant le Calcul Intégral , avec quelques Abrégés par rapport à ce Calcul. M. 1702. p. 189. ,, Solution du Problème propofc par M. (JAC- QU ES) BERNOULLI dans les Acles de LeipiicK du mois de May de l'année 1697. trouvée en deux manières. Par M. ( J E A N j BERNOULLI fon Frère, & communiquées M. LEIBNITS au mois de Juin 1698. fur les Ifoperimétres. M. 1706. p. Z3 y. , ,, Extrait d'une Lettre de M. Herman à M. BERNOULLI , dattée de Padouc le li. Juillet 17 10. { fttr le Problème inverfè des Forces Cen- , traies. ) Extrait de la Réponfc de M. BER- NOULLI à M. Herman , dattée de Balle le 7. , Odobrc 1710.M. 1710. pp. J19. 6<: 521. ^ Beze ( le P. de ) Jefiiitc. Pofitions de quelques Villes de Turquie & d'Arménie, tirées de fes Obfer- valions. H. 1 699. p. 8 5. & fq. ■ ■ - ,- * d'Ervan Latir. Smyrnc Latit. Erzeron Latit. ") Trebizonde Latit. T •' •■ = -- Longit.J Longit.J Bezoard ce que c'eft en gênerai ? 1703.P. 36. &:fq. Ce nom a été donné à pluficurs Subllances pier- reufestirées des Animaux &:c.M. 1710.P. z^6. Struélure de ces Pierres nommées Bezoards. ihid. pp. Z37. & fqq. D'où fe tirent les Bezoards î zé/id. p. z 3 lî. &: Z41, Marques aufquelles on peut reconnoître les bons Bezoards. iè>jd. p. z 3 8. ôc fq. Divifion des divers Bez. en j. claflcs. iùid.p.i^z. Sa vertu quelle ,&: d'où lui vient î H, 1703.P.37. ?8 TABLE DES MEMOIRES ,, Bezoard >> Ohfervarions furlcBczoard &: fur les au- „ trcs Macicresquien approchent. Par M.GEOF- „ FROY le jeune. M. 1710. p. 235. Bezu (M. De Fauteuil mobile fur des Roulettes , que celui qui eftallis dedans peut faire mouvoir fcul , &:c. de fou invention, approuvé par l'Acadé- mie. H. 17 10. p. 141. BIANCHINI (M. ) Camerier d'Honneur du Pape, &e. remplira l'Académie la Place d'AfTocié Etran- ger , vacante par la mort de M . ( J A C Q^U ES) BERNOULLIdeBaHcH. 1705. p. 150. Eft nommé par le Pape , Secrétaire de la Con- grégation du Calendrier. H. 1701.P. I05'. Propofe une Nouvelle Période Pafchale , qu'il appelle Clémentine. M. 1704. p. 14^. Eft emploie avec M. MARALDI , par le Pape , à l'Elévation d'un Gnomon à Rome. M. 170 j. p. 49. Envoie à l'Académie ledelTein d'an Fragment d'un Planifphere Egyptien &: Grec trouvé à Rome en 1705. H. 1708. p. iio. Communique à M. CASSINI des Mémoires touchant la Corrcdion Grégorienne. M. 1704. p. 141. SonObfervationdcl'Eclipfe de Lune du 3. Jan- vier 1703. faite à Rome. M. 1703. p. 23-&:^. Son Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 16. Avril 1707. faite à Rome M. 1707. pp. 3^y.&i ■ %-PP- n^-&:%- Son Obfervation de l'Eclipfe de Soleil du iz. May 1706. faite à Rome. M. 1706, p. 468. Son Obfervation de l'Eclipfe de Soleil du 14. Septembre 1708. faite à Rome. M. 1708. P- 4J7' LISTE DE L'ACADEMIE igP9 — I7IÛ 85 LISTE CHRONOLOGI ^V E des Aîemeires imprimés de A4. BIAN- QHINI. i6i)p. — 1710. „ „ Obfervations d'une Comète du mois d'Avril „ de l'année 1701. faiteàRome. M. i7oz.p. 118. „ „ Extrait de fcs Obfervations faites au mois de ,j Décembre 170 j. fur des Feux qui fe voient „ fur une des Montagnes de l'Appenin. M. 170^. p. 33^. BicuiBA. . Sorte de Noix, appaife la Colique quand on en mange. H. 17 10. p. 16. Eftant brûlée , donne une Huile propre pour guérir les Cancers. il>iJ. BIGNON ( M. L'ABBE' ) Ses foins pour le renouvel- lement, del'Acad. &:c. H. 1699. pp. 1. Se fqq. BiLBERG ( M. Jean ) Profclleur des Mathématiques à Upfal , va par Ordre du Roy de Suéde en Weft- Botnie avec M. ( André ) Spole , fon Collègue, pour y faire des Obfervations Aftronomiques , fur les Rcfradions , &:c. H. 1700. p. 112. M. 1700. p.j7. Ces Oblervations examinées par l'Académie, H. 1700. p. 1 13. Remarques & Reflexions fur fes Obfervations fur fon Livre puhVic [RefracJio Jolis inoccidui in Septefitriûnalibtis Orisjuffn Caroli XI. Régis Sue- njoriim, etc. Holmix 169^.) Par MM. CASSINI &:DE LA HIRE. M. 1700. pp. 37. & fqq. BILLETTES ( M. DES ) travaille avec Le P. SE- BASTIEN TRUCHET &: M. JAUGEON à la Dcfcription de l'Art de l'Imprimerie &r des autres Arts qui y fervent. H. 165)5?. P- ii^* H. 170 1. p. 141. H. 1701, p. 136. „ 7'ah, des Mat. 16^'j) — 17 10 M 9d TABLE DES MEMOIRES BILLETTES ( M. DES ) fait voir à l'Acadcmie des nou- velles Lettres ( CantÛ-eres ) françoifes , agréa- bles à la vûë , & décrites gcomctriqucinent. jb. p. I iS. & iq. Donne àrAcadcmic la Dcfcription de l'Art de faire les Epingles. H. 1700. p. 159. Donne à l'Académie la Dcfcription de l'Art du Graveur. H. 1703. p. \7,^. Donne à l'Académie la Dcfcription de l'Art de faire la Poudre à Canon. H. 170 j. p. 137. Donne à l'Académie la Dcfcription de l'Art de la Papeterie H. 1706. p. 141. Donne à l'Académie la Dcfcription de l'Art du Doreur de Livres. H. 170e. p. i4i.H.i707> Donneà l'Académie la Dcfcription de l'Art du Batteur d'Or. H. 1707. p. i 54. Donneà l'Acad. la Dcfcription de la manière de faire le Sucre. H. 1707. p. 154. H. 1708. p. 142.. Donne à l'Académie la Dcfcription de l'Art de la Tannerie, H. 1708. p. i4z. Donne à l'Académie la Dcfcription de l'Art de Préparer les Cuirs. H. 1705». p. m. LISTE CHRONOLOG 1 ^V E des Ademoires imprimés de M.. DES BILLETTES. 16 c, p. — 1710. „ ... Dcfcription d'une Nouvelle manière de Porte ». d'Eclufe, qu'on a pratiquée dans l'Entreprife de la Nouvelle Navigation de la Seine. M. » 1699. p. 63. » Deux Manières de Roues à épuifcr l'Eau. M. N 1699. p. 184. DE L'ACADEMIE i^^î) — I7I0 ^r «Binaire ( Arithmctique ) .. Nouvelle Arithmétique » Binaire. H. 1703. p. 5-8. » ( " Explication de l'Arithmétique ) qui fe « fert des feuls Caradercs o & i ; avec des Rc- » marques fur Ion utilité , & fur ce qu'elle don- w ne le fens des anciennes Figures Chinoifes de Fohi. Par M. L E I B N I T S. M. 1703. p. 8y. (Arithmétique) ce que c'eft >. H. 1703. p. 59. &fq. ( ) Inventée par M. LEIBNITS , &: vers le même-tems par M. DE LAGNY./^/V. pp. éo. &: fqq. ( ) Contient naturellement toutes les commodités que l'on tire des Logarithmes dans l'Arithmétique ordmaire. ibid. p. 6z. ( ) Ufage qu'en fait le P. Bouvet Je- fuite , Miihonnaire à la Chine , pour déchif- frer une Enigme de l'Empereur Fohi. ihid. p. 60. &fq. BiSMUT (le) ne produit aucune Végétation mêlé aves des Liqueurs Acides ou Alcalines. M. 1707. p. 3-9- . r ■ Blancas . . (DomPedro Antonio de) Son Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 2,1. Février i7oi.faiteà Cordouë. M. 170 1 . p. (î8. & 70. Blanchart ( M.) Machine de fon invention pour tirer les Vaifleaux à Terre , approuvée par l'Aca- démie. H. 1703. p. 136. Bled ( le) dans nos Climats doit palTcr un Hyver en Terre, &: pourquoir? H. 17 10. p. 79. ' (...) Doit être travaillé , &: comment ? ce ' que c'eft que travailler le Bled ? M, 1708. p. 651. & fq. Mij 92, TABLE DES MEMOIRES Bled ( le ) Moicns de le garaxitir de la Vermine. /^/W. La Rofee retient le grain dans l'Epy. /^/V. Comment les grains de Bled germent , Se pour- quoi le vieux Bled ne germe pas j il-id.pp, 78. &:fqq. Germe quelquesfois même dans l'Epy. il^/'d. p. 68. Remarques fur les Bleds que l'on veut ferrer &r confcrvcr. ii>id p. 6 j . & fq. Ne fçauroit être trop fcc quand on le ferre pour le garder. /'^/V. p. 6^. S'appetiffc &c le ride quand on le ferre humi- de, /^/d'. Précautions à prendre en ferrant le Bled. M. 1708. p. 68. La Croûte qui fe forme fur les Tas de Bleds fcrt à les conferver. ihid. p. 70. Se fq. Confervé pendant 1 3 o. ans dans la Citadelle de Metz. iù/a. p. 64, Confervé pendant 110. ans dans celle de Sedan.. il>id. p. 71. Comment le Bled trouvé à Metz , &cc. a pu Ce conferver Ci long-tems. il>id. pp. 72.. & fqq. Méthodes particulières à certains Pais , de con- ferver les Bleds, ibid.p. 74. Bleds Epie's , qui étant en cet état coupes par une grcfle prodigieufement groffe , ont repouffé d'autres Tiges & d'autres Epys , & ont donné une bonne Récolte. H. 1703. p. 19. Bled -Barbu ,cequec'eft,&:fon utilité. H. 1710.P.79. «Bled- Cornu ( "Sur le) appelle Ergot. H. 1710.P. 61. Cequec'eftque ce Bled, &: comment produit, fuivant la penfée de M. FAGON. ibid. p. 6i. &:fq. DE L'ACADEMIE 1^99—1710. 9j Bled-Cornu ( le ) caufe la Gangrène à ceux qui en man« gent. ibid. p. 61. &: fq. Ne levé point, &c. ibid. p. 64* Blessures . . Onguents ou Baumes pour les Blcflures , àcc. M. 1701. p. 2,07. Extraordinaire à la Tête , &c. guérie entière- ment. H. 1706. p. 28. & fq. BLONDEL ( M. ) propofe à l'Académie le plus beau Pro- blême de la Théorie du Jet des Bombes, & pu- blie un Livre dans lequel cette Théorie efl; per- fcdionncc. H. 1707. p. iii.&lq. (...) Qiiclqucs Faits Hiftoriqucs touchant fon Livre de YJrtdejetterlesEcmùes.M.. 1700.. p. 105. &:fq. BocACHiCA Sa Hauteur de Pôle obfervée par le P. Feuil- léc Corr. M. 1708. p. 8. » Bocage (M. Boifiayc du ) ProfcfTeur d'Hydrographie » au Havre de Grâce. .. Reflexions fur fes Ohfcr- »■ varions du Flux & du Reflux de la Mer , faites eni70i.&i70i.ParM.CASSlNI le Fils. M, " lyio.p. 366. Méthode einplo'iée par M. Du Bocage pour faire ces Obfervations. ibid. Boeuf ( le Fiel de ) cftun Savon fcmblablc au Savon arti- ficiel. H. 1705). p. 41. (...) préparé & dépouillé de fon huile cftun Remède fur pour ôtcr les Tannes du Vifage. H. 1709. p. 41. M. 1709. p. 361. ( Cerveaux de ) pétrifiés. H. 1703. p. 2^. & fq. "Boisson. «Projet d'un Svftêmc touchant les Paflagcs de la Boiflon & des Urines. Par M.MORIN.- » M. 1701. p. 198. Ses principaux ufages./^/i^. p. ïs>9- ( la ) &: l'Urine font la même Liqueur, ihid,. (...) Se diftribuë èc fe rend différemment,, Miij ^4 TABLE DES MEMOIRES fuivant différentes Conjondurcs. ihid. p. 19 f. &c fq. Bologne ( en Italie) Mcfurcs de la dlfbnce de Ville à Modcnc. M. 1701. p. 17. Puillancc rcfraftivc de l'Air à Bologne. M. 1700. p. 81. &: Tq. ( Obfcrvations fixités à ) de la Comète du mois de Novembre 1707. par MM. Manfrcdi & Stan-« cari,&:c. M. 1708. pp. 313. &: fqq. ( ) De l'Eclipfe d'Aldebaram par la Lune le 19. Août 165)9. par M. Manfredi. M, 1701. p. 64. M. 1705-. p. loy. ( ) De l'Eclipic d'Aldebaram par la Lune le z. Janvier 1700. M. 1705. p. 20 j. ( ) De l'Eclipfe d'Aldebaram par la Lune le 16. Février 1701. M. 170J. pp. zo6. &C fqq. ( ) De l'Eclipfe de Jupiter par la Lune le 27. Juillet 1704. par MM. Manfrcdi & Stancari. M. 1704. p. 234. &: fq. M. 170J. p. 209. ( ) De l'Eclipfe de Lune du 3. Janvier 1703. par les mêmes. M. 1703. p. 28. &:fq. ( ) De l'Eclipfe de Lune du 17. Juin 1704. par les mêmes. M. 1704. p. 199. &fq. ( ) De l'Eclipfe de Lune du 21. Odo- bre 1706. parles mêmes. M. 1706. p. 513. &fq. ( ) De l'Eclipfe de Lune du 16. Avril 1707. par les mêmes. M. 1707. pp. 3jy. &: {......) De l'Eclipfe de Lune du 5. Avril 1708. par M. Stancari. M. 1708. p. 184. ( ) De l'Eclipfe de Soleil du 23. Sep- tembre 1699. par MM. Manfredi &: Stancari. M. 1701.P. 84. DE L'ACADEMIE 1^95) — I7IO s-j Bologne (( en Italie ) Oblcrvations faites à ) De l'E- clipfe de Soleil du iz. May 1706. par les mê- mes. M. 170e. p. 467. & fq. ( ) De rEclipfe de Soleil du 14. Sep- tembre 170S. par M. Manfrcdi, M. 170S. p. 417. ( ) De rEclipfe dcSolcildu 11. Mars. 1709. par le même. M. 1709. p. 94. ( ) De l'Eclipfe de Venus par la Lune le 30. Juin 1704. par MM. Manfrcdi &: Stan- cari. M. 1704. p. 198. & fq. «Bombes. " Sur le Jet des Bombes, ou en gênerai fur la » projection des Corps. El. 1707. p. 120. Idée des Anciens fur la Ligne de Jet des Bom- bes, ibid. Idée de Tartaglia fur cette Ligne. /^/V. p. m. Galilée a démontré le premier que cette Ligne de Jet étoit parabolique. H. 1707. p. izi. Ufaçe delà Géométrie dans le Jet des Bombes. H. 1700. p. 147. &: fq. Ce qu'il faut connoître pour tirer une Bombe à un certain But. /é/'âf'. p. 148. " Sur un Inftrument univerfel pour le Jet desBom- » bcs. H. 1700. p. 147. » .. Méthode générale pour les Jets des Bombes » dans toutes fortes de cas propofés , avec un In- » ftrument univerfel qui fcrt à cet ufagc. Par M, D E L A H I R E. M. 1700. p. zoj. Avantage de flnftrument-propofé par M. DE LA HIRE. H. 1700. p. 148. >• " Théorie des Projcétions ou du Jet des Boin- w bes , félon l'Hypothéfe de Galilée. Par M, GUISNE'E. M. 1707. p. 140. Problèmes fur cette Théorie, ibid. pp. i45'.- 147. IJO. • ç>6 TABLE DES MEMOIRES Bombes. Qiielqucs Faits Hiftoriqucs tovichant le Livre de M. BLONDEL, intitulé ÏArt de jcttcr les Bombes. M. 1700. p. loj.&fq. >■ BOMIE ( M ) .. Des Forces Centripètes & Centrifuges » coniiderccsen général dans toutes fortcsdeCour- w bes ,& en particulier dans le Cercle. M. 1707. " P- 477- Difficulté faite par M. BOMIE contre le nou- veau Syftéme des Planètes de M. Villcmot ihid. p. 48^. iBoN ( M. ) Premier Prefident de la Chambre des Comptes de Montpellier , & Preiîdcntde la Société Roïale des Sciences de la même Ville, fon Obferviition de rEclipfedc Lune du 17. Juin 1704. faite à Montpellier. M. 1704. p. 15)7. & fq. (...) A mis en ufagc la Soie des Araignées, M. i7io.p. 38^. BoNFA ( le P ) Jefuite. Son Obfervation de rEclipfe de Lune du 11. Février 1701. faite à Avignon. "M. 1701. p. 70. (...) Son Obfervation de rEclipfe de Lune du 15. Décembre 1703. faite à Avignon. M. 1704. pp. 14. &fqq. (...) Son Obfervation dcl'Eclipfe de Soleil du II. Juillet 1684. faite à Avignon. M. 1701. p. 87. (...) Son Obfervation de l'Eclipfc de Soleil du 13. Septembre 1699. faite à Avignon. M. 1701.P. 8r. "BoNNAC ( M. le Marquis de ) Envoie extraordinaire de France auprès du Roy de Suéde , confulte l'Acadcmic fur l'Ambre jaune. H. 170^. p. 41. Mémoire de l'Académie à cette occafion. ibid. & iqq. Bonnet DE L'ACADEMIE 1^99 _ 1710 5)7 3oNNET ( le P. St. ) SonObfervation de rEclipfe de So- leil du Z3. Septembre 1659. faite à Lyon. M. ijoi.p. 83. Bonnet de Neptune ( forte de Champignon de Mer ) fx Defcription. M. 1700. p. 30. >» Borax. » ( fur le) H. 1703. p. 49. Cequec'cft, & d'où nous vient? ihid. Eft quelqucsfois emploie dans la Médecine, comme un Remède incifif & apéritif, ihid. Ufîgc que M. HOMBERG en a fait dans fa Chimic.H. 1702. p. jo. Bordeaux (Chaire de Mathématique fondée à) par qui, & à quelle condition? H. 1703. p. 76. &: fq. BoRELLi ( Jean Alphonfc ) a examiné le premier la Mc- chanique des Animaux. H. 1701. p. 99. ( ) Son Expérience touchant la dilata- tion & le rcflcrement des Tuiaux de Verre plon- ges dans des Tuiaux de Liqueurs chaudes & froi- des. M. ijo^.p. j6. ^ORRicHius ( Olaùs ) aobfervé le premier , que le mé- lange des Huiles de Vitriol & de Therebentine s'enflamme. M. 1701. p. 98. Botanique. Lice de cette Science. H. 1708. p. 144. A été cftimée dans tous les Siècles. H. 1700. p. 70. Des Anciens peu étendue. H. 1700. p. 71. Dcflcin de l'Acadcmie pour l'avancement de la Botanique , favorifé par le Roy. H. 1700. p. 76. . En quoi confifte ce deiTein î exécuté par M. TOURNEFORT. /^/V. p. 77. Magnificence du Roy dans le Voïage de M. TOURNEFORT. /^/V. Neceflitc d'établir des Genres en Botanique. /'^/V. p. 72,. 2'4l>, des Mat. 1699. — 1710. N 98 TABLE DES MEMOIRES' Botanique ( la ) comprend en ii. Clafles cous les Gen» res de Plantes, ibid. p. 7 y . En quoi confifte la Méthode de M.TOUilNE^ FORT. H. 1700. p. 74. Marine plus pénible que celle deTerre.H.1710. . p. 69. ■ Botanistes (les) négligent trop l'ufage des Plantes de nôtre Pais. M. 1701.P. 117. & fq. LISTE DES MEMOIRES 0' Obfer'va.tions diverfes de Botanique imprimés dans les Mémoires de l'académie. l6pp. I7I0. J'ûi'ez au mot Plante , une Lifte Alphabétique de toutes celles qui ont été décrites dans C A- cademie de fui s 1699. ju [qu'en ijio.foit qug ces Dcfcriptions aient été inférées dans les Mémoires , foit qu'elles aient été rejervées four des Ouvrages particuliers. . . » BoTANiQi'E =' Sur les mouvemens extérieurs des >. Plantes. H. 17 10. p. 60,. » Sur le Parai lelifme de la Touffe des Arbres » avec le Sol qu'elles ombragent. H. 1699. p. 60. « » Sur laPerpcndicularité de la Tige des Plantes « par rapport .1 l'Horizon. H. 1700. p. 61. H. 1701. « p. 47. H. 1708. p. 67. » Sur l'Affcdation de la Perpendiculaire remar- « quable dans toutes les Tiges , dans pluficurs Ra- .. cincs , & autant qu'il cftpolTible dans toutes les Branches des Plantes. ParM. DODART. » M. 1700. p. 47„ DE L'ACADEMIE 1^5)9 — lyi'' 99' a'BoTANiQUE >> Explication Phyfique de la dircftion » verticale &c naturelle des Ti2;es des Plantes.' M Se des Branches des Arbres &: de leurs Ra- cines. Par M. DE LA H I RE. M. 1708. p. » 231. » Conjefture fur le redreflement des Plantes incli- w nées à l'Horizon. Par M. Aftrtic de la Société »» Roïale des Sciences de Montpellier. M. 1708. » p. 463. >• »> Sur la Fécondité des Plantes. H. 1700. p. 6y. H. 1701.P.7;. :► " Sur la multiplication des Corps vivans confi- » derée dans la fécondité des Plantes. (/. Mémoire!) ParM.DODART.M. 1700.P. 135. n » Sur la Fécondité des Plantes ( //. Mémoire. ) >. Conjcdure fur cefujet. Par M. DO D ART. » M. 1701. p. 241. « » Observations fur les Maladies des Plantes. Par M. TOURNEFORT. M. 170^. p. 332. M » Sur la manière de conferver les Grains. Par M. » RENEAUME.M. 1708.P.63. » "Sur le Suc nourricier des Plantes. H. 1707. * p. jo. «» >> Obfervations fur le Suc nourricier des Plantes. ParM.RENEAUME.M. 1707. p. 27^. .. Sur la Circulation de la Sève dans les Plantes. H. 1705). p. 44. " Dejcription dit Lahirinthe de Candie , avec ijueltjues Obfervations fur l'accroilTcment U. fur la ç^encration des Pierres. Par M. TOUR- NEFÔRT.M.1702.P. 217. i> Diflertation fur une Rofe monftrueufe. Par M. MARCHANT. M. 1707. p. 488. " Sur une Végétation fmgulierc. H. 170^. p, 42. - Ki) % Too TABLE DES MEMOIRES" "Botanique» Obfcrvations fur quelques VcgetatlonS: M irréçulicres de diftcicntes parties des Plantes.. Par'M. MARCHANT. M. 1709. p. 64. ,. «Surles Arbres morts par la Gelée de 1709. H „ ijio.p. 59. „ « Sur le Bled cornu, appelé Ergot. H. 171c.. »j p. 61 . « " Sur les Champignons. H. 1707. p. 4^. w » Obfervations fur la naiffance & fur la culture. des Champignons. Par M. TOURNEFORT» M. 1707. p. 58. « ^ Sur la Camphorata de Montpellier. H. 1703. P-5 3- „ .. Obfervations fur le Noftoch , qui prouvent que c'eft véritablement une Plante. Par M.. GEOFFROY lc)cune. M. 1708.P. ziS. » Expériences fur les vertus de la Racine de la. grande Valériane fauvage. Par M..MAR~ CHANT. M. i7oé.p. 333. „ « Sur l'Yquetaya. H. 1701.P. 77. "Diilcrtation fur une Plante nommée dans le ,*. Breiil Yquetaya , laquelle fcrt de corredif au „ Séné , & fur la préférence que Nous devons donner aux Plantes de nôtre Pais par deflus les Plantes étrangères. Par M. MARCHANT. ,> M. 1701.P. zî I. „ " Extrait des Defcriptions que Pifon&MarCr ». gravius ont données du Caa-apia, & confronr ration des Racines de Caa-apia &: d'Ypecacua- nha, tant gris que brun, avec Iciu: dcfcnption, par laquelle on voit fenfiblement la diftcrence du Caa-apia à l'Ypccacuanha. Par M. GEOF- » FROY. M. 1700.P. 134. ». « Sur le Pareira Brava , ( ou Vigne fauvage , . t, Plante duBreJil.)W.l-joo.^.^6. DE L'ACADEMIE 1699 — iroi roi , Botanique ,, Sur les Plantes de la Mer. H. 1700,. 67. p. H. 17 10. p. 6^. „ Obfcrvations fur les Plantes qui iiaifTent dans le fonds de la Mer. Par. M.TOURNEFORT. M. 1700. p. zj. „ Sur les Sels des Plantes. H. i6si9- p-6^. Eflais pour examiner les Sels des Plantes. Par M.HOMBERG. M. 1699. p. 69. 3 3> J> 5>- J>' 3> >3 j, „ Extrait ou abrégé du Projet de M. RENEAU- „, ME fur les Manufcrits de feu M. TOURNE- FORT. Par M. TERRASSON. M.1709.P. 3 1 ^. Sur- une Humidité vilqueufe trouvée par M. RENEAUME fur Y Acermomanum Candidum, C. B. P. Se fur XAcer-CamfeJlre ô". minus. C. B. P.. H. 1699. p. 6j. Sur une efpece de Manne qui tombe des Oran- gers &c des Citroniers. H. 1708. p. 69. Sur les effets de la Jufquiamc mangée en Sala- de. H. 1709. p. 50. Sur les effets du ¥ruk duSo/cWum Be//,idoKa,ou Melanocerii(un , & fur quelques effets, du Lau- danum. H. 1703. p. 56. Sur la Gramc de Tourncfol crue ,un remède excellent contre les impuretés du fang. H. 170Z. p. 48.. Sur les Vertus de la Chancclagua Plante de la. Nouvelle Efpagnc. H. 1707. p. 5 2.. &: fq. Sur du Thé de deux efpeces différentes. H,. 170Z. p.49. Sur les trois fortes d'Ypecacuanha , &c. H, 1700.P. é^.&fq. Sur des Fruits d'une Branche de Prunier entée furunCoignafficr. H. 1704, p.41. Sur la génération & l'accroifTcment des Pier- res, H, 170 z. p. 50, & fq. Niîj, rbi TABLE DES MÉMOIRES Botanique. (Obferva.nonsdiveifes de ) Sur le Fungus coccineus Mclitenjis tiphoides. Bocc. rar. Plant. H. ijoy.p.fiS.&fq. Sur des Sapins , dont on n'avoir pu dépeupler unCanton , qu'en faifanr des feux de paille au- tour de ces Arbres. H. 1 707. p. 5 3 . &: fq. Sur un Arbre dépouillé entièrement de fon Ecorce, &: quipoulla fa Sève, &:c. H. 1709. p. jo. Sur l'ufage delà Moelle des Plantes. H. i705>.. . p. yo.&fq. Sur du Bled femé en Avril après le grand hy ver de 1709. H. 1710. p. 78. &: fq. Sur du Bled appelle Bled de Mars. H. 17 10. p. 79. Moien fur de rendre les Plantes annuelles , vivaces. H. 1710.P.79. Sur deux pieds d'Arbres affez éloignés l'un de l'autre , &: réunis enfuite en un feul tronc. H. 1710.P.79. Nouvelle cfpece de Noïer trouvée en Berry par M. RENEAUME. ( Nux jugLtns folio dé- ganter dijjecto , ou Acanthi folio. ) H. 1700. p. 70. Sur IcsElemens de Botan. de M. TOURNE- FORT. ( Inflittttiones Bei Herharix , ) imprimés en l'année 1700. & fur fon Voiage de l'Archi- pel. H. 1700. PP.70.&: fqq. H. 1702. p. 49.61: fq. Sur le Corollarium inft'itutionum Rci Herharix. Ouvrage de M. TOURNEFORT. H. 1703. p.y8. Sur un Ouvrage de Botanique de M. ( Jean ^ Schcuchzer. Corr. ( Agroflographix Helvcticx Trodromus , fiflcns binas Graminnm Alfmoriim ha5tenus non defcriptoriim cî" quorum dam ambl- quorum Décades. H. ïjoi.ç.jo. DE L'ACADEMIE i(?99 —r7i<' loj Bouche ( la Concavité de la) n'a nulle part à la produc- tion de la Voix. M. 1700. p. 24p. ôcfq. ( ) Et celle des Narines , s'allonge & Ce raccourcit fuivant les diftercns tons de la Voix, .* ■ ibid.'p. 2,^1. ■ ' Les différentes Concavités de la Bouche ne ré- pondent aux difterens Tons de la Voix dans au- cune proportion harmonique connue, ibid. pw Bougies (Nouvelle forte de) auffi belles, & moins chè- res que les autres , inventées par M. Marins, Se approuvées par l'Académie. H. rjofî. p. 141. BouiLLEAU ( M. ) a imaginé le premier que certaines Etoiles paroifîcnt &; difparoifl'ent , parce que tournant fur leurs Axes, elles montrent fuccef- o. ' fivcmcnt des parties plus ou moins lumincufes &;obfcures. H. lyoé.p. III. (...) Sa plus grande Equation de Saturne .': .' ■ exaéïe. M. 1704. p. 316. Sa détermination de l' Aphélie deSaturne exaéle, ï- ibid. Sa détermination du Moirvcment de l'Apogée de Saturne exade. ibid. p. 3 z i . Boulanger. Accident étransiearrivé dans une Cave oii un Boulanger avoit mis de la Braife. H. 171 o. p. 17. & fq. BOULDUC. ( M. ) Son Expérience fur le Sublimé, à Foccalion de l'Examen qu'il fit de quelques en- ' ■'■ droit du Livre ( Phyrofophia ) de M. Barchufen, H. 1699. p. ^4. Son Expérience qui prouve que le Sel Volatil - ■ '■ de Succin eft acide, ibid. Son Examen des Eaux Minérales de St. Amand ' près Tournay. ibid. p. ^6.&c fq. Entreprend d'examiner Chimiquement les Pur- gatifs. H. 1700. p. 46, * 104 TABLE DES MEMOIRES LISTE CHRONOLOG I .^ E DES Mémoires imprimes de M. BOULDUC. l6^ç) 1710, „ M Analyfe de l'Ypecacuanliii. M. 1700. p, i, « f. Suite des Analy Tes de l'Ypec. M. 1700. p. j6. „ " Obfcr varions Analytiques de la Coloquinte. „ M. 1701. p. 12. „ «Obferv. Analytiques du Jalap. M. 170 1. p.ioS- M « Remarques fur la nature de la Gomme Gurtc, „ èc fes diftcrenrcs Analy fes. M. 1701. p. 153. „ « Obferv. fur les cfFcrs del'Ypec. M. 170 1. p. 191. M »Obfcrvacions fur laScammonéc.M.i70i.p.i87. » ». Obfcrvations fur la Gratiole. M. 170 j. p. 18(3. „ «Obferv. &:AnalyfesduCachou.M. 1709 p. 217. „ » Obfcrvations fur la Rhubarbe.M. lyio.p.iô}. Bourbon. ( Eaux de) P'oiczEavx. BouRBONNE.{ Eaux de) P'û/ez, Eaux. BOURDELIN.(M.) Sa Patrie & fes Etudes. H. 169^: p. 12,2. N'approuve la Saignée que dans les Apoplexies de Sang. Confiance que l'on a en lui. /■^/d'. p. 1 22. On lui donne une Place de Cliimiftc dans l'Aca- démie autcms de fon établiffemcnt. iùid. p. 1 22. Travaille à l'Examen des Eaux Minérales du RoiaumeavecM. DUCLOS. ihid.^. 122.. Fait voir à l'Académie près de 2000, Analyfes de divers Corps, ibid.^. 125. Fait la plus grande partie des Opérations Chimi- ques./^/V. p. IZ3. Sa Mort. H laifl'e deux Fils. Changemens de Places vacantes après fa mort dans l'Acadé- mie./'^/V. p. I 2J. Bourgeois ( M. )DefTein d'une Digue de fon invention, avec Ces portes , &c. pour rendra la Rivière de la Rue DE L'ACADEMIE i^P9 — 1710 loy Rue près de Condat en Auvergne , capable de flotcr des Mâts de Navire , approuvée par l'Aca- démie. H. 1704. p. 114. BoURGNON (leP.) Jefuite. Extrait de fa Relation delà nouvelle Ifle formée auprès de celle de Santc- rinidans l'Archipel. H. 1708. pp. 13. &: fjq. Boursouflure dans un fujet vivant. M. 1704.P. 8. Boutier(M.) Levé une Carte du Delta, &:c. H. 170' p. 83. Bout IN ( le P. ) Jefuite. Son Obfervationde l'EcIipfe de Lune du 17. Avril i-jo6. faite au Port de Paix dans rifleSt. Dominguc. H. ijo6. p. 113. (...) Son Obfervation de l'Eclipfc de Lune du 17. Avril 1707. faite au même lieu. H. 1707. p. 82.. M. 1707. p. 381.&: fq. Boutures. Les Plantes peuvent fe multiplier par des Boutures, &: pourquoi? M. 1709. 'p.éj. Bouvet ( IcP.) Jelukc, Millionnaire à la Chine. Pofi- tions de quelques Villes de la Chine, tirées de ks Obfervations.H.1699. p. 83. &:fq. (...) Croit que l'Arithmétique Binaire de M, LEIBNITS eft le fondement d'une Enigme Chinoifc de l'Empereur Fohi. H. 1703. p. 60. &:fq. BoYLE (M. ) a regardé mal-à-propos fon Adamas lucidus comme un Prodige. H. 1707. p. z. Braise. Accident étrange arrivé dans la Cave d'un Bou- ; langer oùilavoit mis de la Braife. H. i7io.p. 17. & fq. Branches des Plantes. Les Troncs & les Branches font féconds en Racines. M. 1700. p. 141. Preuves par les Plantes rampantes. -. Par les Arbres enterrés au pied. / ibid. Par les Marcottes. \ P-i43' Par les Figuiers d'Inde,. .3 Ttib. des IsUt. 169^. — 1710. O -io6 TABLE DES MEMOIRE S Branches. La multiplication des Branches cft équiva- lente en nature à la multiplication de la Semen- ce. M. 1700. p. 138. Multiplication prodigicufc des Branches, ièid. p. 139. Preuves de cette Multiplication par les Arbres ébranchés. "} i -j Par les Arbres étêtés. > ' • P* Par les Arbres coupés près de Terre. J ^^^' Les Branches font fécondes en Rameaux, tiid. p. 141. &fq. Exemple dans les Arbres Nains , Se dans les Arbriflcaux que l'on tond. /^/'.a'. p. 141. " Sur l'Afteclationde la perpendiculaire remar- quable dans toutes les Tiges , dans pluficurs Ra- cines, & autant qu'il eft poiTible dans toutes les Branches des Plantes. Par M. DODART. M. 1700. p. 47. ConjcauresdeM.DODART, fur le Redrefîc- ment des Tiges , des Branches &€ des Rameaux. i/>iisl. pp. 56. &:fqq. » " Explication Phy iiquc de la Diredion verticale » &c naturelle des Tiges des Plantes & des Bran- » ches des Arbres & de leurs Racines. Par M. DE LAHIRE.M. 1708.P. Z31. Bras. Force des Mufcles des Bras. H. 1 6^^. p. 97. &: Mains deffechés &c fcparés d'eux mêmes du Corps , Montres à l'Académie par le Sujet même à qui cet Accident ctoit arrive. H. 1703. p. 41. Brasseurs ( les ) font germer a. l'Air les Grains dont ils fe fervent. M. 1700. p. 49. Brest AW ( Obfervation faite à ) del'Eclipfede Soleil du II. May 1706. parle Père Heinrich. M. 1706, p. 471. DE L'ACADEMIE i(?$)9 — I7I0 1^7 Breton (IcPcrc) envoie au P. GOUYE, qui les com- munique à l'Académie , un grand nombre de Graines de la Martinique , avec la Dcfcripr. de plulîeurs Plantes. * H. 1703. P.57.H.1704.P.41. *DerAbelmofch ou Herbe au Mufc. . Apocyn ou Liane Laitcufc. Arbriflcaude Baume. La Belle de nuit ou Jalap. Du Châtaignier. Cuébé. De la Liane. Liane appellée Griffe de Chat. Du Mabouya Pommier. Mahot à Cotton. Myrabolanier à fruits en Clochettes. De rOzeillc à grandes feuilles à oreillons. Du Pimentier à fruit ovale. Pommier d'Acajou. De la Saponaria^r^tfr. Du Sapotile. DelaSavariaba. Scnfitive épineufe. Du Thé. Briançon ( la Manne de ) ce que c'eft ; M. 165)$. p. ici. Brûlants (Verres) Foicz^Yccrcs. » Brûlures. » Sur des Guerifons faites par des Brûlures. H. 1708. p. 46. Guerifon de la Goutte , des Panaris , &:c. par des Brûlures, ibid. pp. 46. &C fqq. BucciNUM ( Coquillage de Mer. ) M. 17 10. p. 463. B'JGARACH. (Montagne de Languedoc) Sa Hauteurfur le Niveau de la Mer. M. 1703. p. Z37. =. BuissiERE (M. ) Anatom. de la Soc. R. de Londres; .. Critiq. des z. Defc. qu'il a faites du Cœur de la Tortue deMcr. Par M. MEB.Y. M.1705.P.437. Oi) io8 TABLE DES MEMOIRES B'VPHTALM'VM Diofloridis. Sorte de Plante , fa Dcfcri-- ption donnée à l'Académie par M. MAR- CHANT. H. 1706. p. 41. BURLET ( M. ) fuccedc à M. DODART , dans la place de Botanilte Pcnfionnaire , &: M. MORIN à M. BURLET , nommé premier Médecin du Roy d'Efpagnc. H. 1707. p. 191. Extrait de fcs Expériences & de fcs Recher- ches fur la Camphorata de Montpellier. H. 1705. pp. y,.&c fqq. LISTE CHRONOLOGI^VE des Alemoires imprimés de M. BVRLET. I 6 p p. I 7 I o. " " De rufage Medecinal de l'Eau de Chaux^ " M. 1700. p. I2.Z. " " Examen des Eaux de Vichi & de Bourbon, " M. 1707. p. 97. " " Examen des Eaux de Bourbon. M. 1707. " p. 112.. BVRSA Pastoris Plante. M. 1700. p. 51. c Caa-apia Plante du Brefil , décrite par M. GEOF- FROY. M. 1700. p. 70. Sa Racine a prcfquc les mêmes vertus que l' Ypc- cacuanha. M. 1700. p. 13 j. » » Extrait desDefcriptions que Pifon & Marcgra- « vins ont données du Caa-apia , & confrontation des Racines de Caa-apia &c d'Ypecacuanha, DE L'ACADEMIE k??? — 1710 109 „ tant gris que brun , avec leur DcfcriptioDy « par laquelle on voit fcniiblcmcnt la diifcrcncc „ du Caa-apia à l'Ypccacuanha. Par M. GEOF- FPvOY. M. 1700. p. 1 34. Cabestan compofc ou à rouet, inventé par M. De La Magdclainc , approuvé par l'Académie. H. 1702. p. 157. Autre prclquc fcmblable prefcnté par M. De Bourges, ibiôl. p. 1 37. & fq. >. Cachou >» ( furie ) H. 1709. p. 38. Ce que c'cft que ce Mixte, ibid. Son Origine n'efl: pas encore bien connue. M, 1709. p. 1x7. &: fq. Il n'y en a pas de deux fortes félon M. BOUL- DUC./^/V.p. 228. ( le ) eft fpécifique pour tous les maux de Gorge. ibid. p. 232. „ >. Obiervations & Analyfes du Cachou. Par M. BOULDUC.M. i7oc,.p. 227. Cadavre. Obfervations faites à l'Ouverture du Cada- vre d'une Femme accoiàtumce à boire beaucoup d'Eau-de-Vie &c de Vin commun , &c morte après 12. heures d'y vreflc. H. 1706. pp. 23. & fqq. Obfervations faites à l'ouverture du Cadavre d'un Homme âgé de 80, ans, mort d'une chute, H. 1701?. p. %c fq. Obfervations faites à l'ouverture du Cadavre d'une Femme morte 4. mois après être accou- chée de fon fécond Enfant. H, 1706. p. z6, Sifq. Votez, Anatomiques ( Obfervations. ) Cadrans d'Horloge. Machine inventée par M. Molard pour faire mouvoir avec une grande facilité les Aiguilles des Cadrans très éloignés de l'Horlo- ge, approuvée par l'Académie. H. 1709. p. 113, OiiJ no TABLE DES MEMOIRES Cadrans Solaires. Difficultés dans la Mcrhodc ordinai- re de prendre les points d'Ombre dans les Ca- drans, &CC.H. lyoï.p. II ^. &: fq. Nouvelle Méthode plus fiire inventée par M. PARENT, ik pp. 1 16.&: fqq. Portatifs, rcdiflés &c rendus univerfels parle même, il^/d. p. 1 1 8. & fq. Table pour faciliter la Defcription des Cadrans Verticaux déclinans pour Paris , calculée &: en- voïéc à l'Académie par M. De Clapics H. 1704. „ » Analogies pour les Angles faits au Centre des !> Cadrans Solaires , tant Horizontaux , Verti- ji eaux , que Déclinans , inclinés , démontrées par M l'Analyfe des Triangles reéirilignes. Par M. De >, Clapiés de la Société Roïalc des Sciences j. ( de Montpellier. ) M. ï 707. p. j 69. Caffe'. Guerifond'un Hommetombécn Apoplexie, par plufieurs Lavemens de Cafté. H. 1701. p. 19. Caillou. Opinion fur la formation des Cailloux. H, 1707. p. 7. Les Cailloux fcmblent avoir leur fcmence par- ticulière. M. 1700. p. 31. ( le ) &: le Marbre , expofés féparemcnt au Mi- roir ardent, fc calcinent, &; expofés enfemble, ils fefondent. H. 170^. p. 66. Fort dur, qui encroiflant au fonds de la Mer fms être attaché à aucun Corps, aenvclopé une par- tic d'une Coquille ( Purpura tcjl.i nigrâ. ) M. 1700. p. 31. Calabre ( Manne de) cequcc'eft ; M. 1699. p. loi. Calendrier de Lylius ( Loiiis ) approuvé parles Prin- ces &: les Académies , aufquclles Grégoire X 1 1 L l'avoit communiqué. M. 170 4. p. i4i. D E L'ACADEMIE 1^99 — 171° m Calendrier. Congrégations tenues à Rome en ij8o. furie Calendrier, quels cnctoicnc les Membres î M. 1704. p. 142. Hypothcîcs arrêtées dans ces Congrégations. ihid. p. 145. Greg. les Epoques des mois Lunaires Ecclefiafli- ques y ont été mal prifes , & contre l'intention du Pape Grégoire. M. 1703. p. 49. Erreur qui en réfulte dans la fixation de la Fête de Pâques, ihid. Caufes de la Corrcftion faite au Calendrier par Grégoire Xn. H. 1701. p. 106. & fq. H.1704, P-73- * "Reflexions fur des Mémoires toucliant la Cor- » re£l:ion Grégorienne commumqués par M. BIANCHINL à M. CASSINLM. 1704.P. 141. Congrégation établie nouvellement à Rome pour la Reformation du Calendrier , à quelle occafion ? H. 1701. p. 10 y. M. 170 3. p. ^o. Le CardinalNorisy prefide. H. 1701.P. loy. M. BIANCHINI en eft Secrétaire. ;/!'/V. M. MARALDI y a entrée par ordre du Pape. ihid. Caufes de cette nouvelle Reforme du Calen- drier, ihid. pp. 107. bc fqq. AvisdeM.CASSINI fur cette nouvelle Refor- me./(Î'/V. p. 108. Les Proteftans de l'Empire fongent à reformer leur Calendrier. H. 1700. p. 12.8. L'Académie confultée fur cela par M. LEIB- NITS. ihid. Réponfe de l'Académie à M. LEIBNITS. ihid, p. 129. • » Sur le Calendrier. H. 1700. p. 118. H. 1701. « p. 105. H. 1703. p. 91. H. 1704. p. 72. 112. TABLE DES MEMOIRES CalcI'I Aftronomiqucdel'Eclipfedc Lune du ly. Mars 165)9. parlesTablcsdeM.LEFEBVRL.H.1700. Exactitude de ces Calculs par ces Tables, ibid. p. 1 10. Erreurs des Tables Rudolphincs dans les Ecli- pfes de l'année 1 699. ibid. p. 1 1 o. Remarques furie Rapport duC^alculdcsEclipfes de Lune aux Obfcrvations. ihid. p. 109. &: fq. Delà même Eclipfc du ly. Mars 1699. par les Tables de M. DE LA HlilE, s'accorde avec rObfervation. M. 1699. p. zi. &: fq. De l'Eclipte de Venus par la Lune du 13. Fé- vrier 1708. parles Tables de M. DE LA HIRE , comparé à l'Obfervation. Par M. DE LA HIRE le Fils. M. 1708. pp. 1 10. &:fqq. Calcul Dift'erenriel, ce quec'cft? H. 1700.P. loz. Par qui invente &: perfectionné. H. 1704. p. 119. En quoi diftcre du Calcul Intégral ? H. 1700. p, 10 z. & fq. Calcul Intégral , ce quec'eft; H. 1700. p. loz. Ce quec^eft que ce Calcul par rapport au Diffé- rentiel. H. 1700. p. loz. H. 170Z. p. 61. „ " Sur une Nouvelle Méthode concernant le CaL u cul Intégral. H. 170Z. p. 5i. „ "Solution d'un Problème concernant le Calcul u intégral , avec quelques abrégés , par rapport à ce Calcul. Par M. BERNOULLI Profcilcur à « Groningue. M. 170Z. p. Z89. » Calle. » Moïende faire monter un grand Vaifloau fur la Calle, telle qu'elle eftconftruire dans le Porc » de Toulon , fans fe fervir d'aucunes Machines. ParM. DELAHIRE.M. 1703.P. 299- Campani (M. ) envoie àParis, par ordre de M. COL- BERT , des Objeârifs de Diverfcs longueurs. M. 1705. pp. zi. Scfqq. Camphorata DE L'ACADEMIE i<î99 — i^io 113 "Camphorata ( "Sur la)dcMontpellicr.H.i703.p.j3. Travaux &c Expériences de M. BURLEÏ fur cette Plante, ièid. Se fqq. Manière fiire de donner la Camphorata. ihie/. p. 54. Efl: bonne pour les Hydropifies nouvelles. H. Pour l'Afthmc. did. Qiiclqucs autres ufagcs qu'elle peut avoir, iùid. p.y6. » Camphre ( .. fur le)H. 170^. p. ^9. "Du Camphre. Par M. LEMERY. M. 1705. p. 38. Ce que c'cft que ce Mixte; H. 1705. p. js». Efl: apporté brut de l'Ille de Bornéo & de la Chine, il^id. Efl: très aifé à raffiner. i^/V. M. 1 70 j . p. 4 1 . Hiflou-edeccMixte.M. i7oy.p. 38.'&:rq. Comment les Hollandois le raffinent ? iùid.p. 3 9. Expériences fur le Camphre brut. //-/V. p. 40. &ciq. Réfultat des principales Opérations de M. LE- y- ' MER Y fur le Camphre. H. 1705. pp. 60. &c fqq. Des Diflolvans du Camphre. M. 170 j. pp. 41. :•_ &fqq. Ne peut être dilTous par les Sels Alcalis, ihid.p. 48.&fq. Eft la feule déroutes les Refmes qui puifTc être diffoutepar l'EfpritdeNitre. M. i7oj.p.4y. Ne peut être analy fc. ibid. p. 49. ( Huile de ) fon uiage. ibid. p. ^6. Suite extraordinaire d'un Lavement d'Eau- de- Vie &: de Camphre. H. 1700, p. 3(3. Camus ( M. De ) Sa Nouvelle manière de faire agir des Rames , approuvée par l'Académie. H. 1705. p. 136. Tiib. des Mat. V699. — 1710. P IÏ4 TABLE DES MEMOIRES Cakaux. Il n'y en apoint afTés en France. H. 1699. p. 114. Il y en a moins en France qu'en Hollande ou à la Chine, /i/d. La jonction des deux Mers ( Le Canal de Langue- doc) eft, en fait de Canairx, l'Ouvrage le plus merveilleux, ihid. Candie ( riflcdc) Obfcrvations faites en l'Iflc de Candie par le P. Feuilléc Corr. de la Hauteur du Pôle de Candie, par plulieurs Hauteurs du Soleil, r , „ . M^ijoz.p. II. ■" - "i" '■■^' De la Hauteur du Pôle de la Canéc par pluficurs Hauteurs du Soleil, ihid. p. 1 1 . De rimmerfion du i. Satellite de Jupi- ter du zo. Juin 170 1. à la Cance, M. ijoi. p. 10. Du 27. Juin 1701. au même lieu, ihid, Du y.Juil. 170 1. à Candie. /^/V. p. 11. Cancer ou l'EcrevifFe.. (Signe Celeftc ) Figure des - - , .- Etoiles qui compofcnt la Nebuleufe de cette --.-- .-.., (^onftcllation. M. 1707. p. 5^4. Cancers guéris avec l'Huile de Bicuiba( forte de Noix. ) H. 1710.P.16. Canigou ( le ) Montagne des Pyrénées , fa Hauteur fur le Niveau de la Mer. M. 1705. p. 137. Canon . . . Machine du Sr Bedaut pour porter les Boulets rouges depuis la Fournaife jufqu'a la bouche du Canon, approuvée par l'Académie. H. 1705. Canon ( Poudre à ) Defcription de l'Art de la faire , don- née à l'Académie par M. DES BILLETTES, H. 1705. p. 137. Cantal (le) Montagne d'Auvergne, fa Hauteur fur le Niveau de la Mer. M. 1703. p. 137. DE L'ACADEMIE i^Pî)— I7I0 n; Cantharides. (Mouches) Préparation des Mouches Cantharides emploiées avec fucccs dans les Maux de Reins Se dans !a GravcUe, M. 1705», p.3j8. Canton ( Ville de la Chine) Sa Latitude. ") H. 16^ y. Sa Longitude. J p. 84. «Capillaires. ( « Sur les Tuiaux ) H. lyoy.p. 21. M » Expériences fur les Tuiaux Capillaires. Par « M.CARRE'.M.i7oj.p. 241. Ce que c'eft que ces Tuiaux ? H. 170 5^. p. 1 1. Conjcdurc fur la caufe de l'élévation des Li- queurs dans les Tuiaux Capillaires au-deffusdjc leur Niveau, ihld. p. zi. L'adhérence des Liqueurs auxParois intérieures du Tuiau en eft la véritable caufe. ihid. p. 2 1 . Cap-Vert. Différence en Longitude entre le Cap-Vert & Paris. H. 1699. p- 83. Caractères (Z Examen d'une Courbe formée par le moïcn du Cercle. M. 170^. p. ^6. '• Expériences Phyiiqucs fur la Refraction des Balles de Moufquet dans l'Eau, & fur la re- fiftanccdecefluide. M. 1705. p. m. .. Expériences fur les Tuiaux Capillaires. M. 1705. p. 241. .. Problème d'Hydroftatique ( Le Diamètre d'un petit Tiiiau étant donné , trouver en général le Diamètre d un plus gros , d'ouil s'écoule une quan- tité d'Eau, double, triple , érc. eny faifant entrer les Frottcmens.)y[. ijo^.'ç. ^j^. " Des Loix du Mouvement. M. 1706. p. 441. „ '. Dcmonftrarions fimples &: fl\ciles de quelques » propriétés qui regardent les Pendules , avec „ quelques nouvelles propriétés de la Parabole. » M. 1707. p. 4j). „ .. De la proportion que doivent avoir les Cilin- „ dres , pour former par leurs Sons les Accords de „ laMuiique. M. 1705?. p. 47. ,, ., Expériences fur le RclTort de l'Air. M. 1710, ., p. I. „ " Abrégé de Catoptrique. M. 17 10. p. ^.6. Cartagene. Sa Hauteur de Pôle obfervéc par le P.Feuil- lée Corr. M. 1708. p. 8. & fq. ( Obfervations faites à) de l'Eclipfe de Lune du - ' . • II. Décembre 1704. par le même. lèid. , p.iP. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 "9 Càrtagene. ( Obfervation faite à) de deux Emerfions du I. Satellite de Jupiter les 8. Se lé. Janvier 1705. par lemêmc. ikp. 10. { ) de la Variation de .-- . l'Aiman en l'année 1704. par le même. ibid. p. 10. » Cartes Géographiques. .. Sur une nouvelle manière de «^ lever la Carte d'un Pais. ( propofee par M. CHE- FJL/£.R.)H.ijoy.p.ii^. Erreur des Cartes Géographiques fur la pofîtion de Lifbonne. H. 1700. p, 131. Ou Planifphere Terreftre tracé fur le Pavé de la Tour occidentale de l'Obfervatoire par M. DE CHAZELLES, conrcnoitdcs Corrcétions ■ "■■^- "^ anticipées de M. CASSINI , que les Obferva- tions ont juftifiées. H. 1710. p. 143.& fq. La Carte de France de M. M AR ALDI , cft la première ou le Méridien de Paris ait été dirigea fon véritable Terme. M. 1701.P. 89. De l'Empire Romain &c des Pais barbares dont il étoit environné, &c. ( Théâtre Hijioritjiie ) don- né au Public par M. DE LISE E. H. 170^. p. 129. Remarques fur cette Carte, ihid. &: fq. Du Delta levée par M. Bouticr. H. 1702. p. 83. Du Cours delà Rivière d'Uria depuis la Cayen- ne jufqu'aux Nouragucs dreffée fur les Mé- moires du P. Griller Jcfuitc. &:c. H. 1702, p. 8^. Du Cours de la Rivière de Sz. Laurent en Cana- da dreffée par M. Des Hayes Corr. H. 165)9. p. 86. Nouvelle des Côtes de Provence dreffée en 1 686. par M. DE CHAZELLESfur fesObfer- vations.H. 1710. p. 14J. I2.0 TABLE DES MEMOIRES " Cartes Hydrographiques ( .. Sur les ) H. 1701. p. 86. Réduites ( » Sur les ) H. 1703.P. pz. Ou au point réduit, ce quec'cft? H. 1701. p.SS. Au grand ou au petit point , ce qucc'cftj H. 1703. p. 93. Inventées par Snellius. /'^/V.p. 9^. Deffaut de ces Cartes. H. 1703. p. 94. &rq. M. 1703. p.97. Remarques dcM. DE LAGN Y fur la Conftru- éliondcccs Cartes. H. 1701. p. 88. Se fq. •:, Remède propofé par M. DE LAGN Y au defïaut des Cartes réduites de Snellius. H. 1703. p. 514. & fq. »> » Conftruclion nouvelle & Géométrique des " Cartes Réduites &: des Echelles de Latitude. Par M. DE LAGN Y. M. 170 3. p. 9 5. V „ Rcponfe aux Remarques de M. DE LAGN Y fur la Conftrudion des Cartes Hydrographiques & des Echelles réduites. Par M. CHAZEL- >-> LES. M. 1702. p. I ^o. >• Caryophillvs Sinojis , Snpntis , Leucon folio , flore '■jdrio . . ( Oeillet de la Chine ) [fn Defcriftion. ) ParM.TOURNEFORT.M. 1705. p. 264. Cassant ( IcP. ) Jefuitc. Son OWcrvatton de î'Eclipfcde Lune du 22. Février 1701. faite à Madrid. M. 1701.P. (56. & 69. Son Obfcrvation de l'Eclipfc de Soleil du 12, May 1706. faite à Madrid. M. 170e. p. 469. CASSINI ( M. JEAN DOMINIQUE ) Ses premiers . , ^ Efîays fur la Mcfurc de la Terre faits à Bologne &: àFcrrare. M. 1701.P. 176. S'appcrçoit parlesObfervations de laMeridien- ne, que la Terre cft un Sphéroïde allongé par les Pôles. H. 1701. p. 96. CASSINI DE L'ACADEMIE 1^99—1710 m CASSIN I ( M. J E A N D O M I N I Q^TJ E ) Analogie remarquée àcertcoccafion entre la diminution des dégrés d'un Méridien Terreflrc , &: celle qui s'obferve dans l'Orbite de la Lune, &c. ibid. Traite la Matière des Refraftions avec le P. La- val Corr. H. 1707. p. 89. EmbrafTe avec M. ROEMER l'Hypothefc du Mouvement fuccelîif delà Lumière , pour expli- quer la féconde inégalité des Satellites de Jupi- ter. H. 1707. p. 78. M. 1707. p. 2.(3. Abandonne bientôt après cette Hypothéfe , & pourquoi ? ibid. ibid. Détermine la Parallaxe de Mars par la compa- raifon de Ces Obfervations avec celles de M, RICHER, faites en Cayenne. H. 170(3. p. 99, Fait des nouvelles Recherches fur Mercure. H. 1707. p. 8 ^ Fait voir à l'Académie un Globe Celefte con- ftruit par rapport au Mouvement des Etoiles fixes. H. 1708. p. 97. A fait fervir le premier les Ecllpfes de Soleil à la Recherche des Longitudes. H. 170^. p. 122. Fait des Correélions anticipées lur le Globe Terreftre, que fes Obfervations & plufieurs au- tres ont depuis juftifiécs. H. 17 10. p. i43.Si:fq. Son Avis fur la nouvelle Reforme du Calendrier, H. 1701. pp. 106. &c 108. Nouvelles Règles qu'il donne pour trouver les Epactes des Centièmes Années non Biilextiles. H. 1700. p. I rD.& fq. Dreifc une Table où les Qiiatorziémes Pafchalcs font diftribuées dans le Cycle de 19. ans , félon l'intention du Concile de Nicée. &c, H. 1703.P.91. Tdb . des Mat. 1695). — lyio- . , , ^ HZ TABLE DES MEMOIRES LISTE CHRONOLOC I^VE des Mémoires imprimés de Ai. ( JEAN DOMINlkyE ) CJSSINI. 1695). 1710. >» " Obfcrvation de rEclipfc de Lune arrivée le 1 5 . » Mars au foir 1699. M. 165)9. p. 13. w '» Du Retour des Comètes. M. 1699. p. 3 6. » " Obfervation de 3. nouvelles Taches de Jupi- » ter. M. 1699. p. 103. r, " Obfcrvation de rEclipfc du Soleil du 13. Sep- » tembre 1699. M. 1699. p. 163. » " Reflexions fur l'EcIipfe du Soleil du 13. Sep- » tembre 1 6^^. p. 274. » " Reflexions fur les Obfervations faites en Bot- » nie.M. I yoo.p. i^. J'oicz, ci dcjf. Bilherg [M. Jean) »; " Comparaifon des Obfervations de la Comète » de i699.faitesàla Chine par leR. P. Fontanay , » rapportées à l'Académie par le R. P. GOU YE le » 1 2,. Mars 1 70 1 . avec celles qui en furent faites à » rObfervatoire Roïal de Paris. M. 1701.P. jo. » "Obfcrvation de la Conjondion de la Lune »v avecl'Oeil du Taureau Aldebaram le 19. Août 5> 1699. M. 1701. p. 60. » "Comparaifon des Phafes principales de l'Ecli- » pfe de Lune du iz. Février de cette année 170 1. » obfervécs en diverfes Villes de l'Europe , rap- .>> portées à l'Académie le 2.5. Juin. M.1701.P. 68. »... » Taches dans le Soleil", obfervécs le 29. Mars » 1701.3 Montpellier. M. 170 1. p. 78. » » Comparaifon de diverfes Obfervations de l'E- •» elipfc du Soleil du 23. Septembre 1699. [&de » celle du 12. Juillet 1684. ) faites en diverfes Vil- » les de l'Europe. M. 170 1 . p. 80. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 i^ CASSINI(M.JEAN-DOMINIQrjE; - De laMeri- dicnnc de rObfcrvaroire Roïal prolongée jul- qu'aux Pyrénées. M. 1701. p. 171. » De la Correaion Grégorienne des Mois Lu- naires Ecclefialliques. M. 1701. p. ^67. "Comparaifondes Mefures Itinéraires ancien- nes avec les Modernes. M. i';'Oi. p. i y. "Pvcflcxionsllirles Oblérvadons d'un nouveau Pliénomcnc ( E/pece de Comète fans Tctc ) faites à Rome le 2. Mars 1701. par M. MARALDI. M. 1702. p. 103. " Comparaifon des premières Obfervations de la Comète du mois d'Avril 1701. faites à Rome &à Berlin. M. 1701. p. m. " Comète vue à l'Embouchure du Fleuve de Miflilîipi en Amérique , en Février &: Mars 1701. M. 1701. p. ti6. •' Obfervation de l'Eclipfc de Lune du 55: Janvier 1703. M. 1703. p. y. " Obfervation de l'Eclipfc de Lune du 5 .Janvier 1703. faite à Rome par MM. BIANCHINI &: MARALDI , comparée à la nôtre de Paris. M. 1703. p. 23. » Les Obfervations de l'Equinoxc du Printcms de l'année 1703. comparées aux plus anciennes. M. 1703. p. 41. »' Reflexions fur des Mémoires touchant la Cor- rection Gres^orienne communiqués par M. BIANCHINI. M. 1704. p. 141. " Des Equations des Mois Lunaircs&desAnnées Solaires. M. 1704. p. i^a. " Rapport des Obfervations de la dernière Eclipfe de Lune ( drt 17. Juin 1704. ) [faites a Mo défi e ô' à Montpellier ) M. 1704. p. 1^7. IZ4 TABLE DES MEMOIRES CASSïNI( M. JEAN-DOMINIQUE) -.Occultation de Jupiter par la Lune, ohfcivéc en plein jour ( le x-j. JuiiUt 1704. ) M. 1704. p. 2.3 3. " Conjonction de J upiter avec la Lune, obfervéc le 24. Août 1704. p. 247. » Obfcrvation de rEclipfc de Lune du 10. Dé- cembre 1704. M. 1704. p. 3 56. » Reflexions fur les Obfcrvations des Satellites de Saturne & dcfon Anneau. M. 170 j. p. 14. » Reflexions fur les Obfcrvations envoïces à M. Le Comte de Pont-Chartrain par le P. Laval ( Corr. ) ProfcflTcur Roïal d'Hydrographie. M. 170^. p.78. .' Obfcrvation d'une Comète qui a commencé deparoîtrcaumoisde Mars. M. 170 <î. p. 91. " Obfcrvations de la Comète faites depuis le 18. Mars , qu'on a commencé de la voir ,3ufqu'au ^16. Avril qu'elle a cefTé de paroître. M. 1706. p. 148. "Obfervation de l'Eclipfe de Lune du z8. . . Avril 1706. faite à l'Obfervatoire Roïal. M. 170^. p. 15;. » Obfcrvation de l'Eclipfe de Soleille iz. May 1706. à l'Obfervatoire. M. 1706. p. 1651. " Reflexions fur l'Eclipfe de Soleil du iz. May 1706. M. 1706. p. Z45). »' Obfcrvation de l'Eclipfe de Lune faite à l'Ob- fervatoire Roïal le 17. Avril au matin de l'année 1707. M. 1707. p. 1 68. " De la dernière Conjonélion Ecliptiquc de Mercure avec le Soleil. M. 1707. p. 175-. '. Des Irrégularités de l'Abaiflcment apparent de l'Horizon de la Mer. M. 1707. p. i5)j. " Reflexions fur les Obfcrvations de Mercure. M. 1707. p. 3 5 c). DE L'ACADEMIE 1^5)9— 1710 iiy ,',CASSINI (M.JEAN-DOMINIQUE),, Obfervation d'une Comctc. M. 1707. p. j j8. „ Reflexions fur la Comccc qui a paru vers la fin de l'année 1707. M. 1708. p. 89. ,, Obicrvationde l'Eclipfe de Venus par la Lune du 13. Février 1708. M. 1708 .p. 106. „ Obfervation de l'Eclipfe de Lune du j. Avril au matin de l'année 1708. M. 1708. p. 18: SJ » r> jj 5, Obfervation du Pallagc de la Lune par les Etoiles Méridionales des Pléiades le matin du » j> 5> 5J ;>' 10. Aoi^it 1708. M. 1708. p. 2.5» 7. ,, Reflexions fur les Obfervations de la Comète de Novembre 1707. faites à Bolognepar MM. Manfredi &: Stancari. M. 1708. p. 330. „ Obfervations de l'Eclipfe du Soleil du 14. Septembre 1708. M. 1708. p. 407. ,, Obfervations de l'Eclipfe de Lune du 15;. Sep- tembre 1708.M. 170S.P. 409. „ Reflexions liir l'Eclipfe du Soleil du mois de Septembre 1708. M. 1708. p. 410. „ Reflexions fur l'Eclipfe de Lune du 29. Sep- tembre 1708. M. 1708. p. 412.. „ Obfervations de l'Eclipfe de Lune du 19. Sep- tembre 1708. faites a. Gènes par MM. le Mar- quis Salvago &c l'Abbé Barrabini, &: à Marfeille parle P.Laval (Corr.) 6c M. DE CHAZEL- LES.M. 1708.P.418. „ Du Mouvement apparent des Planètes à l'é- gard de la Terre. M. 1709. p. 247. CASSINI( M. JACQUES; Ses Expériences fur la Lu- mière que rendent les Corps frottés. H. 1 707. p. 3 , Ses Expériences fur les Armes à feu diflr'erem- ment chargées. ii>ia. p. 4. Ses Expériences fur le recul des Armes à feu, faites à quelle occafion î H. 1703. p. 98. &:fq. Q^iij lié TABLE DES MEMOIRES LISTE CHRONOLOGI^VE des Mem. imprimes de M . ( JAC^O ES) CAS SI NI 1651^ 1710 » î> jj >j jj 3) » ■>■> 53 3> » }> 3) 33 » J> 33 53 >3 » 3) 33 3i >J) J3 »3 „ Reflexions fur une Lettre deM.Flamftécd à M,\\ allis touchant la Parallaxeannuelle de l'E- toile Polaire. M. 15951. p. 177- „ Expérience de la Refra£lion de l'Air faite par ordre de la Société Roïalc d'Angleterre, avec des Reflexions fur cette expérience. M. 1700. p.78.&:8z. ,, Des Taches obfcrvécs dans le Soleil au mois de Novembre de l'année 1700. au mois de May , àlafind'Ocl:obrc,&: au mois de Novembre de cette année itoi. AL 1701. p. x6i. ,, Extrait des Obfcrvations Aflironomiques que le R. P. Feuillée Minime ( Corr. ] a faites en Le- vant pendant les années 1700. &c 1701. M. 1702. p. 7. ,, Reflexions fur la Mefure de la Terre deSnel- liiis. M. i7oz.p. 60. ,,ObfervationdelaTache dii Soleil cpi a paru le 6. May 1702. M. 1702. p. 1 3 1. „ Obfcrvation d'une nouvelle Tache dans le Soleil. M. 1702. p. 139. ,, Obfcrvation d'une Tache dans le Soleil. M. J705.P. i^. „ Obfcrvations de l'Eclipfe de Lune du 3. Jan- vier 170 3. faites à Bologne par MM. Manfrcdi &: Stancari , comparées à celles de Paris & de Rome , avec les diftcrcnces cies Méridiens qui en refultent. M- I703„p. 28. DE L'ACADEMIE 1699 — 171° 1^7 CASSINI ( M. JACQUES ) „ Obfervation de deux Taches dans le Soleil. M. 1703. p. 109. „ Suite des Obfcrvations de la Tache du Soleil. 5) n }) „ il^id. p. 1 1 o. jj ,, Obfervation du Retour de la Tache qui a pa- ^, • - ru au mois de May dans le Difquc apparent du ,, Soleil. il>ii/. p. 114. » j> }i j> j> 3) J> J) 5) 3î J3 33 33 3» „ même tems à rObfervatoirc Roïal. M. 1704. p. 338. 53 33 33 33 33 33 }t SJ >3 33 Suite des Ôbfervations de la Tache qui a paru de nouveau dans le Difque apparent du Soleil. ihid.^. 116. „ Extrait des Obfervations de l'Eclipfe de Lune du 23. Décembre 1703. faites à Dunkerquc par M. DE CHAZELLES,à Montpellier par MM. De Plantade & Clapiés , à Arles par M. Davi- zard , à Avignon par le R. P. Bonfa & à Mar- feille par le R. P, Laval ProfelTeur d'Hydrogra- phie. M. 1704. p. 14. ,, Extrait des Obfervations faites à la Martini- que par le P. FcuiUée (Corr. ) en 1703. & 1704. comparées aux Obfervations qui avoicnt été déjà faites en cette Lie par MM. Des Hayes & De Glos ( Corr. ) &c à celles qui ont été faites eu „ Reflexions fur les Obfervations de la variation del'Aiman faites dans le Voiage du Légat du Pape à la Chine l'an 1705. M. 170 j. p. 8. „ Obfervations des Taches qui ont paru au mois de Janvier de l'année 170 j. M. 1705. p. 5^. „ Reflexions fur les Régies de la Condcnfation de l'Air. M. 1705. p. éi. „ Obfervations de la Déclinaifon de l'Aiman faites dans un Voïage de France aux Lides Orientales, & dans le retour des Indes en France pendant lesannccs 1705. &:i704. M. 170 y. p. 80. ii8 TABLE DES MEMOIRES „CASSINI ( M. JACQJJES ) ,, Méthode de déterminer j, les Longitudes des lieux de la Terre par les Ecli- „ pfes des Etoiles fixes & des Planètes par la Lune ,, pratiquées en diverles Obfcrvations. M. lyoy, P-I94- „ „ Nouvelles Reflexions lur les Règles de la Condcnfation de l'Air. M. 1705. p. 171. „ Obfcrvationde l'Eclipfc du Soleil du 11. May 170e. Faite à Marly en prefence du Roy , de Monfciçrneur , Se de Monfeigneur le Duc de „ Bourgogne. M. 1706. p. 16 j. y> >> )5 55 55 JJ rJ P-I93' » 5» 35 J5 3> » 35 33 3) Extrait des ^Obfcrvations faites au mois de Décembre 170 j. par M. BIANCHINI fur des feux qui fe voient llir une des Montagnes de l'A- pennin. M. iyo6.p. 33 6, ,, Comparaifon de diverfcs Obfcrvations de l'Eclipfc du Soleil du iz. May 1706. faites en diverfcs Villes de l'Europe. M. 1706. p. 461, „ Obfcrvationde l'Eclipfc de Mars par la Lune faite à Montpellier Se à Marfeillc. M. 1707. „ Comparaifon de diverfcs Obfcrvations de l'Eclipfc de Lune du 16. Avril 1707. faites à Rome par M. BIANCHINI , à Bologne par MM Manfredi &c Stancari , à Nuremberg par M. Wurtzclbaur ( Corr. ) & à Genève par M. Gautier. M. 1707. p. 3^- „ Obfervation de l'EclipfeduCceur du Scorpion yif.iaies par la Lune , faite à Paris , à Marfeillc ôc Montpel. le 3. Septembre 1707. M. 1708. p. i. ,, Extrait des Obfcrvations faites aux Indes Oc- cidentales en 1 704. 170 ^.&: 170e. par IcP.Fcuil- Icc Minime {Corr.) Mathématicien du Roy, comparées à celles qui ont été faites en même temsàrObfcrvatoireRo'ial.M. 1708. p. s- CASSINI DE L'ACADEMIE 1^5)9 — Î7I0 1^9 „CASSINI ( M. JACQTJES) „ Comparaifondcs Ob- ,, fcrvations de rÈclipfc de Venus par la Lune „ Eiircsà Paris&àMarlcillejle 2 3.Fevrier 1708. „ M. 1708. p. 107. „ ,, Extrait des Obfcrvations Aftronomiques &c „ Phyfiqucs faites en Sardaigne &C à Malthc par le „ P. Feuillce. Mathématicien du Roy ( Corr. ) „ M. 1708. p. 168. „ „ Reflexions fur la variation de TAiman obfer- j, vée par le Sr. Houflaye Capitaine Comman- j, dant le Vaifleau Vj/trore pendant la Campagne „ des Indes Orientales , faite par TEfcadre des j, Vaiflcaux commandée par M. le BarondePal- „ licrcs en 1704. &: 1705. M. 1708. p. 173. „ „ Obfervation de l'Eclipfe de Lune faite par le P.Laval (Corr.) &: M. DE CHAZELLES à „ Marfeillcle y. Avril 1708. comparée à celles qui ,j ont été faites à Paris &: à Strasbourg. M. 1708. p. i8t. j, „ Obfervation de la Conjonûion de Jupiter „ avec la Lune du 30. Avril 1708. faite en plein „ jour. M. 1708. p. 19^. j, ,, Reflexions fur les Obfcrvations de la variation jj de r Aiman faite fur le Vaiffeau /e Maurep.is dans jj le Voiagc de la Mer du Sud , avec quelques Re- j, marques de M. de la Verune, Commandant j, de ce Vaiflxau , fur la Navigation des Côtes de „ l'Amérique & de la Terre de Feu. M. 1708. j, „ Comparaifon de diverfcs Obfcrvations de „ l'Eclipfedu Soleil du 14. Septembre 1708. M. 1708. p. 41 5.^ j, „ Reflexions fur les Obfcrvations faites par le P. ., Laval ( Corr. ) à la Ste Baume & aux Montagnes j, des environs. M. 1708. p. 4j(î. Tdb. des JSLit. 1695) 171 0. R I30 TABLE DES MEMOIRES „CASSINI (M. JACQIJES) „ Obfcrvations des Ecli- „ pfesùclaLunc & du Soleil fciitcsàNuicmhcrg ,, pendant l'année 1708. M, 1709. p. 62.. „ ,, Obfcrvation de rEclipfc du Soleil du 1 1 . Mars „ 1709. faite à rOhfervatoirc Roial. M. 1709. „ „ Extrait des Obfervations de rEclipfe du Soleil „ du 1 1. Mars 1705). faites à Montpellier , à Mar- „ feille , à Gènes, &: à Bologne. M. 1709. p. 93. „ j, Obfcrvation de l'Eclipfc de Lune du i3.Fé-. „ vrier 1710. faite à Vcrfailles en prefcncc de „ Monfeigneur le Duc de Bourgogne. M. 1710. P-^7^- „ „ Obfcrvation de l'Eclipfc de Soleil du iS.Fc- „ yrier 1710. faite à Vcrfailles en prefcnce de j, Monfeigneur le Duc de Bourgogne. M. 17 10. P-^9^- „ „ De la néceffitc qu'il y a de bien centrer le Ver- „ re objcûif d'une Lunette. M. 1710. p. 113. „ „ Reflexions fur les Obfcrvations du Flux & du Reflux de la Mer faites à DunKcrque par M. Bacrt Profefleur d'Hydrographie pendant les années 170 1.&; 1701. M. 17 10. p. 318. ,, Reflexions fur les Obfervations du Flux &c du Reflux de la Mer , faites au Havre de Grâce par M. Boifl!*aye du Bocage , ProfeflTeur d'Hydro- 3> 3> 3» 33 3> 33 , _ „ graphie pendant les années 1701. &: 1701. M. » : 171°: p- 36^. » » 3>. 33 „ Reflexions fur les Obfervations des Marées faites à Brefl: èca. Bayone, M. 1710. p. 380. „ Expériences de l'Eftet du Vent à l'égard du Thermomètre. M. 17 10. p. ^44. „ Cassinoïde ,, Sur ( /a C^£i»o/ de ) VEÛipCc Afl:ronomi- que deM.CASSlNLH. 1703.P. 67. Proprietédccctte Courbe. /^/^, p. 68. DE L'ACADEMIE i<î5)9 — I7IO ijr Cassinoïde. En quoi diffère de l'Ellipfe ordinaire de Kepler. H. 1700. p. 5)9. ( la ) répond mieux aux Obfervations Celcftes. H. 1705. p. 68. (...)Ses Tangentes trouvées par M. VARI- GNON. ibid. » (•••)" Manière prompte &: facile de trouver les Touchantes de l'Elliplc de M. CASSINI. Par M. VARIGNON. M. 1703.P. 181. Pefanteur ou effort des Planètes vers le Soleil pour leur faire décrire la Calîinoide , fuivant rHvpotliéfe de M. CASSINI. M. 1700. p. 131. &rq. Pefanteur ou effort des Planètes vers le Soleil , pour leur faire décrire la Caffmoide , fuivant l'Hypothéfe de Kepler, ibid. p. 134. »' Castor " Extrait d^'une Lettre de M. Sarrafin Médecin » du Roy en Canada touchant l'Anatomie du Caftor , lu à l'Académie par M. PITTON DE TOrjRNEFORT. M. 1704.P.48. Diverfes Remarques fur le genre de vie des Caftors. ibid. pp. 6z. &C fq. Castoreum. Ce quec'cft; M. 1704. p. 57. Jugement de l'Académie fur du Caftoreum pré- rendu fophiftlqué. H. 1(799. p. 39. "Cataracte (la) " Surlcs Cataradcs des Yeux. H, 1706. p. 12. H. 1707. p. zi. H. 1708. p. 39. (...) Pourquoi ainfi nommée ? H. 1706. p. 12,. (...) Ce que c'cft que cette Maladie, ib/d. &: fq. (...) Eft crue la même Maladie que le Glauco- ma par plufieurs Modernes, ibid. p. 1 3 . H. 1 707. p. zi. Forte Raifon pour ce fentiment. H. ï-06. p. 13. &fq. Raifons contre ce fcntiment. iibid. p. 1 4. & fq. Rij i^i TABLE DES MEMOIRES Cataracte (la) Les Anciens ont regardé la Cataraifle & le Glaucoma comme deux Maladies différen- tes. M. lyoy.p. 4î)i.&lq. Preuves de la vérité de leur Opinion par dcsCb- fervations nouvellcs.'/T'/V. pp. 49 3 . &.' fqq. (...) Difficulté de la diftmguer d'avec le Glau- ., ■ - coma. H. 1708. p. 41. &fq. Cataracte montrée, entièrement différente d'un Glaucoma. H. 1707. p. 2.3. Des Cataraûes crues membraneufcs fe font trouvées des Criftallins Glaucomatiqucs. M. 1708. p. 141. &:fq. Reflexions fur la manière d'abattre la Ca- taracte èc le Glaucoma. îvi. 1707. pp. 500. Se fqq. La Qiieftion fur la Cataraétc &c le Glau- coma rcnouvelléc dans l'Acadcmic à l'occafton duTraiié des Maladies des Yeux par M. Antoine Orr. H. 1707. p. 21. » » Remarques & Reflexions Sur la Nature des « - . ■ Cataraétes qui fc forment dans l'Oeil. Par M. DELAHIRE.M. i70(S.p. zo. „ .. Qucltionde Chirurgie , fçavoir fi la Cataraéte .» &;lc Glaucoma font deux différentes , ou une „ - feule & même Maladie. Par M. MERY. M. 1707. p. 491. " Remarques fur la Cataracte & le Glaucoma, Par M. DE LA HIRE le Fils. M. 1707. p. n 3- „,, .. De laCataraétc & du Glaucoma. Par M. ME- RY. M. 1708. p. 241. Catoptrique (la) a pour principe fondamental l'éga- lité perpétuelle des Angles d'Licidence &: de Re- flexion. H. 17 10. p. III- .. Abrège de Catoptrique. Par M, CARRE'. M M. \-j\o.^.i\6. DE L'ACADEMIE 1699— 1710 135 Cave. Accident étrange arrivé dans une Cave d'un Boulanger où il avoit mis de laBraife , &:c. H. 17 10. p. 17. &fq. Caustiques ( Sortcdc Courbes) ce que c'eft ; H. 1703. p. 69. &: fq. H. 1709. p. 116. ( les ) trouvées & expliquées à l'Académie par M. DE TSCHIRN AUSEN. ibid. ibid. Par Reflexion. ") ^ ' n. -, tlt •n D r a- > Ce qucc elt ? H. 1703. p. 70, Par Rcrraccion. J ^ / :> r / Formées par des Courbes Géométriques font rectifiablcs. ibid. p. 7 1 . » >> Rectifications des Cauftiques par Reflexion . » formées par le Cercle , la Cycloïdc ordinaire &: » la Parabole, &: de leurs Développées, avec la » mefure des Efpaces qu'elles renferment. Par M. CARRE'.M. 1703.P. 183. Cayenne ( la ) Ifle. Sa Latitude. H. 1701.P. 109. Longueur du Pendule à la Cayenne. ibid. Eil moindre que ne l'a déterminée M. PvICHER. ibid. p. 1 1 o. Les Rcfraétions y font moindres que fes qui- doubles de celles qui font fous le Cercle Polaire Arctique. M. 1700. p. 39. Puiflance rcfractivc de l'Air à la Cayenne. /(//V, p. 8i.&fq. Cendres. » Problème de Chimie , trouver des Cendres » qui ne contiennent aucunes Parcelles de Fer, Par M. GEOFFROY. M. 170 j. p. ^Gz. Centaure'e ( Plante) la Fleur de la grande Centaurée contient plus de Manne qu'aucune autre Fleur. . , M. 1707. p. %■]%. ( la petite ) produit fouvcnt d'aufli bons efl^ets que le Quinquina. M. 1701. p. ii8. ( Le Vin de ) &: de Genièvre réulTit dans rHydropiiic. M. 1703. p. 151. R itj Î34 TABLE DES MEMOIRES Centaure'e ( le Vin de) Manière de le préparer. /^/V. Centrales (Forces) ce quec'eft? H. 1700. p. 96. M. HU YGHENS cft le premier qui en ait don- né ridée. M. 1707. p. 477. Ne peuvent être que finies , &c pourquoi ? H. 1710.P. 5,5). AgiflTent inégalement dans les Courbes , excepte leCercle. H. 1700.P. 97. Leur Théorie dépend uniquement des Infini- : mentpetits. H. i7oi.p. 80. Les Corps qui décrivent des Courbes ont une force dirterente deleurpe(antcur. H.1700.P.75;. Confiderées fous des Direftions ^ralleles. lùtd. p. I o 1 . Confiderées comme agiflantes dans toutes les Planètes à la fois les unes à l'égard des autres, par M.VARIGNON.H. 1703.PP.73.& fqq. « "Sur les Forces Centrales. H. 170 1. p. 80. H, 1703. p.75. » >' Sur les Forces Centrales des Planètes. H. 170 y. » p. 92. H. 1707. p. 97. Diiferenccs des Forces Centrales confiderées dans des mouvemens Reétili^incs , ou dans des mouvemens Curvilignes. H. 170^. p. 92.- & fq. w "Sur les Forces Cent. inverfes.H. 17 10. p. 102. Problême des Forces Centrales inverfes ,en quoi confifte ? /é>!d. p. 101. & fq. MM. Herman & BERNOULLI,ontrefolucc Problême, /lid. p. 103. " Sur les Forces centrifuges. H. 1700. p. 78. Ce que c'eft que la Force centrifuge ? rl>ii^. p. 79. Problême propofé par M. BERNOULLI fur cette matière , ( Trouver dans un F Un vertical une Ligne Courbe , telle qu'un Corps qui la dccri- roit defcendant librement crp^irfon propre poids , DE L'ACADEMIE léps» — lyio ijy la prejidt toujours dans chacun de fc s points avec une force é^alc à fa fcfanteur ab/ùlite ) dépend d'une Théorie cxaclc des Forces centrifuçrcs, mais peu connue jufqu'alors. ibid. p. 78.&80. Centrales. Ce Problème Icroit impoffiblc, à ne con- fiderer dans le Corps que fa pelantcur. ibid. p.78. M. LE MARQIIIS DE L'HOPITAL entre- prend de reibudrc ce Problême par les Infini- ment petits, ibid. p8.i. Propolition fondamentale des Forces centrifu- ges dans le Cercle , découverte par cette Mé- thode des Infiniment petits, ibid. p. 8 1. Conféquences de cette propofit. thid. p. 8 i .& fq:. Idée de la Courbe qui iatisEiit au Problème de M. BEPxNOULLI. ibid. p. 8 3. &: iq. M " Solution d'un Problème Pliy fico - Mathémati- 3j c^q) propofé par M. BERNOVLLl de Groningue. ) Par M. LE-MARQTJIS DE L'HOPITAL, » M. 1700. p. 5. Théorèmes de M. HUYGHENS touchant la force Centriflt^e démontrés par M. LE MAR- QUIS DE L'HOVIT AL. ibid. pp. 15. & fqq. » " Manière générale de déterminer les Forces . » les VitelTes , les Efpaces & les Terns , une feule s> de ces quatre chofes étant donnée dans toute » forte de Mouvemens reéliligncs variés à difcré- tion. Par M. V ARIGNON. M. 1700. p. 1 z. j> >• Du mouvement en gênerai par toutes fortes de » Courbes , &C des Forces centrales , tant centrifu- » gcs que centripètes néceffaircs aux Corps qui les décrivent. Par M.VARIGNON. M. 1700.P.83. M " Des Forces centrales ou des Pefanteurs nécef. » faires aux Planètes . pour leur faire décrire les » Orbes qu'on leur a fuppofé jufqu'ici. Par M, VARIGNON.M. 1700.P. 2Z4. 155 TABLE DES MEMOIRES Centrales. Régies divcrfcs pour trouver les Forces cen- trales en gênerai, ibid. pp. ^2.6. S>c Iqq. 140. &C fqq. M « Autre Régie générale des Forces centrales , » avec une manière d'en déduire &: d'en trouver » une infinité d'autres à la fois , dépendemment Sc « indépendcmmcnt des Raïons ofculateurs , qu'on » va trouver aulli d'une manière infiniment géné- rale. Par M. VARIGNON. M.iyoï.p. zo. M " Des Courbes décrites par le concours de tant M de Forces centrales qu'on voudra placées àdif- » x:retion entr'elles , &: par rapport aux plans de ces mêmes Courbes. Par M. 'VARIGNON. M. M 1703- P- ili- « =, Sur le Rapport des Forces centrales à la pefan- » teur des Corps H. 1706. p. 56. w j. Comparaifon des Forces centrales avec les Pe- « Hintcurs abfoluës des Corps mCis de vitefTes va- » riées à difcretion le long de telles Courbes qu'on voudra. Par M. VARIGNON. M. 1706. p. 178. M " Des Forces centripètes &c centrifuges confide- » rées en gênerai dans toutes fortes de Courbes , &: » en particulier dans le Cercle. Par M. BOMIE, » M. 1707. p. 477. M. Villemot cfiaïede démontrer i/'r/^r/ la Ré- gie de Kepler par le moien des Forces centrales. H. 1707. p. 100. » » Extrait d'une Lettre de M. Herman à M. BERNOQLLI datée de Padouc le 11. Juillet » 17 10. & Extrait de la Réponfc de M. BER- NOULLÎ à M. Herman datée de Bafle le 7. » Oélobre 17 1 o. ( f/ir le Frob/anc irroerfe des For- w CCS Ccr/traUs. ) M. 17 10. pp. 5 19. & 511. H " Des Forces centrales inverfcs. Pai- M. VARI- » GNON.M. 1710.P. J33. Cente-b DE L'ACADEMIE i(?99--r7ro 137 "Centre de Balancement ou d'Ofcillation ( " fur le) H. 1703. p. 114. H. 1704. p 89. Ce que c'eftquc ce Centre de Balancement î H. I703.p.iiy. Idée de la Théorie de M. HUYGHENS , fur les Centres de Balancement. H. 1704. p. 89. &c fq. Cette Théorie que M. HUYGHENS n'avoic fait que deviner , démontrée par M. BER- NOULLI ( Jacques ) de Bafle. iùid. p. 91. ôcCq. Nouvelle Théorie de M. BERNOULLI ( Jac- ques ) fur les Centres de Balancement, iùid. pp. 1 1 y . & fqq. o » Dcmonftration du Centre de Balancement ou » d'Olcillation tirée de la nature du Levier. Par M. BERNOULLI ( Jacqrccs ) Profeffcur à BaQe. " M. 1705. p.78. » Extrait d'une Lettre de M. BERNOULLI " , ( [dLtjues ) Profcfl'eur à Bafle , contenant l'Ap- » plication de fa Régie du Centre d'Ofcillation ou « de BaLmccment à toutes fortes de Figures. M, « 1703. p. Z71. » " Dcmonftration du Principe de M. HUY- » GHENS touchant le Centre de Balancement, w & de rindcntité de ce Centre avec celui de Per- cuffion. Par M. BERNOULLI ( Jac/^ues ) Pro- feffcur à Bafle. M. 1704. p. 136. Centre de Convcrfions ( Terme de Méchaniquc ) ce quec'eftîH. 1700. p. 149.& fq. « " Sur les Centres de Convcrfions & fur les Fro- » tcmens. /é>/d. p. 149. Ufise cuie fait M. PARENT de la Théorie des & qi Centres de Convcrfions dans celle des Frore^ mens, ibicl. p. 151. X^b. des Mat. i6ç)^ — 17 10 S ,« 158 TABLE DES MEMOIRES Centre de Percuffion, ce que c'cft i H. lyoz. pp. io8. Scfqq. Identité de ce Centre avec celui de Balancement ou d'Ofcillation , démontrée par M. BER- NOULLI (Jacques) de Bafle. H. 1704. p. 92. J'oïez, Centre de Balancement. Centre Ovale (le) Partie du Corps Humain , ce que c'efl'H. 1709. p. IX. (...) Eft le ficge des Fondions de l'Efprit, fui- vant M. Vieufî'ens le Fils. ibid. pp. 1 1 . &: fqq. Cette Hypothéfe s'accorde aux Phénomènes du Délire Mélancholique./^/V. p. 13. Centrer les Verres de Lunette -d'Approche, ce que c'eft?H. 1699. p. 89. M » Méthode pour centrer les Verres des Lunetres- M d'Approche en les travaillant. Par M. DE LA « HIRE.H. Ié99.p. 89.M. i699.p. 139. w " Delà néccflitc qu'il y a de bien centrer le Ver- re Objedif d'une Lunette. Par M. CASSINI » IcFils. M. 1710. p. 113. Centrifuges 1 , -c \ ^^ ■• ^ 1 ^ > ( Forces. ) Voiez, Centrales. Centripètes \ Cerc LE ( le) eft de toutes les Courbes pofTibles celle qui aïant la même Perimetrie renferme le plus grand Efpace. H. i70 5-.p. 134. Méthodes de divifcr la circonférence du Cercle en un nombre impair quelconque de Parties éga- les. H. 1707.P. 7j.&rq. La Quadrature du Cercle eft inconnue , appa- remment pour jamais. H. 1701. p. 63. » » Sur une Infinité de Portions de Ccrde Qiiar- » rablcs. H. 1 70 3 . p. 6 3 . » » Manière générale de trouvçr une Infinité de » portions de Cercle toutes quarrablcs,moicnnant » la feule Géométrie d'Euclide, Par M. VARI- H GNON. M. 1703. p. 21. DE L'ACADEMIE ï^99 — 1710 139 Cercle. Sa Développée, ce que c'eft ; H, 1709. p. 6-j- V .. Examen d'une Courbe formée par le moicn du » Cercle. Par M. CARRE. M. 170 j. p. 56. » •• Rc£l:ification des Cauftiques par Reflexion » formées par le Cercle , la Cycloïde ordinaire & » la Parabole , &: de leurs Développées , avec la » mefure des Efpaces qu'elles renferment. Par M. CARRE'.M. 1703.P. 183. Les Cercles ne peuvent pas fervir d'Orbites aux Planètes , &: pourquoi ? H. 1700. p. 1 00. Cerf (Corne de) Votez. Corne de Cerf. Certificat donné à M. MERY par l'Académie , au fujctdc fadifputeavec M. DU VERNEY, &:c. fur la Circulation du Sang , &:c. &: fur ks Def. criptions du Cœur de la Tortue, Sic.M. 1703. pp. 34i.&fqq. Cerveau ( le ) Sa Méchanique , à quoi emploïée ? H. 1707. p. 16. &:fq. Obfervation qui fait douter de l'ufage qu'on lui donne. M. 1701. p. 94. Dans l'Homme cfl: plus grand que dans tous les Animaux. M. 170 1. p. 96. Enfant montré à l'Académie, n'aïant ni Cerveau ni Cervelet. H. 1 704. p. 14. Exemple de la dépendance oii font les Fondions naturelles de l'Ame, des Difpofitions matériel- les duCerveavi.H. 170J. pp. ^ y.& fqq. ( le ) Eft quclquesfois confidérablcment altéré fans que les mouvcmens , foit méchaniques , foit volontaires , le foient pendant plufieurs jours. H. 1703. p. 27, M. 1703. p. 2.68. & fq. Hiftoire Anatomiquc du Cerveau continuée dans l'Académie par M. DU HAMEL. H. 1702. p. 3 2..Si:fq. Des Scorbutiques obfervé très fain. M. 1699, p. 176. ' Si) 140 TABLE DES MEMOIRES "Cerveau » Obfcrvation fur une Hydropific de Cer- veau. Par M. DU VEKNEY le jeune. M. 1704. » p. 6. Ver trouve dans le Sinus longitudinal fupérieur du Cerveau d'un Enfant. H. 1700. p. 40. Examen du Cerveau d'un Enfant mort d'une Maladie particulière , &c. H. 1705. pp. jy- &:rqq. Examen du Cerveau d'un Criminel qui s'ctoit tué en fe donnant de la Tête contre un Mur , Hms qu'il parut aucune contufion lur le Crâne. H,. «. (..Sur un) {dcBa-iif) pétrifie. H. 1703. p. i6. Exemple femblable , mais avec des circonftan- ccs différentes rapporté par ( Erafme ) Bartho- lin. ibid. p. 2.7. ( .. Obfervations fur un ) ( de Ecuf) pétrifié. Par M.DUVERNEY.M. 1703. p.i6i. Cervelle (la) cft plus abondante dans l'Homme que dans aucun autre Animal. H. 1701.P. 2 y. Humaine -guérit un Epilcptique qui en avoit mangé pendant quelques jours. H. 1705. p. 5a. Cestoni (M.) Apoticaircde Livourne, a découvert le premier que ce que l'on appelle fur les Côtes de la Méditerranée olrucs de Mer , eft le véritable fruit de VJlga angujlifolia Vitriariorum. C. Bauh.W. 1700. p. 3 j. Livre de cet Authcur , intitulé la Galerie de Minerve, ibid. Chagrin de Turquie, ce que c'cn;,& comment fe tait ? H. 1709. p. 8.&fq. Chaîne fans fin qui peut fervir à la place du Treuil ordi- naire, inventée par M. Martenot, & approuvée parl'Academic. H. 1706. p. 141. DE L'ACADE-MIE i(îc,9 — . r/io 141- Chaikette ( la) Sorte de Courbe , cft celle de toutes les Courbes poffiblcs qui aïant la même pcrimetrie, produiteii tournant au tour de fon Axe, la plus grande furfacc. H. lyoy.p. 134. Chaire de Mathématique fondée à Bordeaux , par qui ,. &c à quelle condition. H. 1 70 3 . p. 76. & fq. L'Académie prifc pour Juge iur l'Exécution de la condition entre deux Alpirans. ihzd. Chaise à Porteurs de l'Invention de M. l'Abbé wilin j. approvée par l'Académie. H. 1707. p. lyy. Chaleu k ( la ) eft un mouvement , &c le froid une dimi- nution de mouvement. H. 1700. p. ^3. » Expérience fur la chaleur que nous peuvent cau- " ferlesRa'ions du Soleil réfléchis par la Lune. Par » M. DELAHlREleFiIs. M. 1705. p. 346. Du Soleil d'Eté augmente de deux tiers de limie une Barre de Fer de lix pieds. M. 1703. p. z88. Exceflive de l'Eté de 1704. à Montpellier &c à Paris. H. 170 y. p. 38. &C fq. » » Remarques fur la Table des Dégrés de chaleur " extraite des Tranfaétions Philoiophiqucs du Mois d'Avril 1701. lue par M. GEOFFROY' à l'Académie le 14. Juillet 170 3. Par M.AMON- w TONS. M. 1703. p. 100. Enfant qui perd laMemoire pendant la Chaleur, & la recouvre pendant la Fraifchcur. H. 170 j. P-58. Le dé. De l'ufage medecinal de l'Eau de » Chaux. Par M. BURLET. M. 1700. p, m. Chaux DE L'ACADEMIE 1^99— Ï7ÏÔ 145- Chaux { l'Eau de ) fermente avec prefque tous les Sirops. M. 1700. p. 124. (....) Se trouble &: fait un Précipité , étant mêlée avec les moindres Acides, ibid. p. 1 14. (....) Eflays dcl'Eaude Chaux furun Afth- matique ô,:un Dyfenterique. M. 1700. p. iï.id.p. i jo. Médite le DefTein d'un Portulan gênerai de la Méditerranée. ii>ii^. Ses dernières Années languirtantes. iùid. p. 151. Mcurten 1710. H. 1710. p. i ji. SesQLialités perfonnelles. il/id. Sa Place à l'Académie par qui remplie, il^id. Son Eloge. Par M. DE FONTENELLE. il>U pp. r43.&fqq. Obfervatïons Aftronomiques de M. DE CHAZELLES rapportées dans les Ademoires de L Académie. Obferv. de l'Eclipfe de Lune du ii. Fév. 1701. faiteàCoUioure. M. ijoi.^.6^, Du 2,3. Décembre 1705, faite à Dunqucrque. M. 1704. pp. 14. & fqq. Du zi. OfSobre 170^. faite à Marfeille. M. i7o^.p.5iz. Du 5. Avril 1708. faite à Marfeille. M. 1708. p. i8j. & fq. Du 2.s>. Septembre 1708. faite à Marfeille. M. 1708. p. 418. DerEclipfcdeSolcilduii.Juillct 1684. faite devant Rofes. M. 170 1. p. 89. Du 2.3. Septembre 165)9. faite à Marfeille. M. 170 1. p. 81. Du I 1. May I 7 o (t. faite à Marfeille, M, 170e. p. 46 j. & fq. Tij 148 TABLE DES MEMOIRES CHAZELLES (M. DE) Obfcrv. de l'Eclipfcde Soleil Du 14. Septembre 1708. faite à Marfcille. M. 1708. p. 416. Du II. Mars 1709. faite à Marf. M. 1709. p. 9 j. DerEclipfedc Venus par la Lunclc 13. Février 1708. faite à MarfeiUe. M. 1708. pp, 107. &rqq. De la Longitude de l'Ifle de Malte. M. 1708. p. 171. Aiemoires imprimés de J\d. D E CHAZELLES. » " Remarques fur la différente manière de voguer » des Rames ordinaires , &c des Rames tournantes » nouvellement propofées par le Sr. Du Guet. M. » 1702. p. 98. " " Réponfcs aux Remarques de M. DE LA- » GNY, fur la Conftruftion des Cartes Hydro- » graphiques & des Echelles de Latitude. M. »' 1702. p. I JO. Vûïez. LAGNY ( M. DE ) Chemineau(M. )Doa:eur en Médecine, apporte àl'A- cademic un Cœur monftrucux d'un Fœtus hu- main. H. 1699. p. 37. » Chesne " Expériences pour connoître la Refiftancedes bois de Chefnc & de Sapin. Par M. PARENT. » M. 1707. p. J12. CHEVALIER ( M. ) eft nommé dans l'Académie à la Place de Géomètre Aflbcié qu'avoit M. RE- GIS. H. 1707. p. lé^. Propofc une manière facile & aflcz cxadede lever la Carte d'un Pais. H. 1707. p. i r 3 . » "Des effets de la Poudre à Canon , principale- ment dans les Mines. Par M. CHEVALIER. •> M. 1707. p. j 2^. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 149 Chevaux (les) fondes plus forts de tous les Animaux qui tirent. M. 1699. p. 161. Force Horizontale des Chevaux. H. 1^99. p. 98. Rapport de la Force des Hommes à celle des Chevaux pour tirer. M. 1699. p. 161. Avantage des Chevaux fur l'Homme pour pouH- fer enavant. H. 1699. p. 98. Avantage des Hommes fur les Chevaux , pour monter. H. 1699. p. 98. Vitcflcfpécifique & réelle des Chevaux , obfer- vée en différentes adions par M. AMON- TONS.H. 1705. p. io3.&:fq. Fougueux. . . Moicn fort fimple de les arrêter, propofé par M. DALESME. H. 1708. p. 141. La Peau de leur Croupe , & de celle des Mulets , fert à faire le Chagrin de Turquie , & comment? H. 1709.P. 8. &c fq. Cheveux revenus à un Homme chauve, âgé de 70. ans. H. 1703. p. 37. Chien mort , qui n'a voit qu'un Oeil fitué au milieu de lapartie inférieure de la face. H. 1703. p.43.rimés dans les Mémoires de l'académie. i(Jpp. I7I0. Voïcz, nu mot Analyse , une Lifte Alphabétique de toutes celles qui font rapportées dans les Mémoires de C Académie depuis 165)9. Jufcju'en 1710. dr au mot Eaux , une femhlahle Lifte de toutes les Eaux Minérales dont l'Examen , ècc.fe trouve dans les Mémoires, .. Chimie. « EflTais de Chimie. Par M. HOMBERG. Art. » I. des Principes de la Ciiimie en gênerai. M. 1701. p. 33. _ _ » « Article 1. du Sel principe chimique, ibid. p. 36. » .. Mémoire touchant les Acides &: les Alcalis, .. pour fcrvir d'Addition à l'Article du Sel Princi- pe. Par M. HOMBERG. M. 1708. p. 3 iz. M " Suite des Elîais de Chimie Article troificme , du Souphrc Principe. Par M. HOMBERG. M M. 170 j. p. 88. » " Suite de l'Article 3. des Elîais de Chimie. Par „ M. HOMBERG. M. 1706. p. z6o. ,, » Suite des EiTais de Chimie Art. 4. du Mercure. ParM. HOMBERG.M.1709.P. 106. >, "Sur les Huilesdcs Plantes. H. 1700. p. 56. » » Obfcrvations fur les Huiles des Plantes. Par »> M.HOMBERG.M. 1700.P. ziz. *• .. Sur les Huiles EflcnticUcs des Plantes,& parti- » culierement fur les différentes couleurs qu'elles ^ prennent par differens Mélanges. H. 1707.P.37. DE L'ACADEMIE 1699—1710 iji «Chimie " Obfcrvations furies Huiles Eflentiellcs, avec quelques conjectures fur la Caufcdcs couleurs « des Feuilles & des Fleurs des Plantes. Par M' j. GEOFFROY le jeune, M. 1707. p. j 17. » "Sur les Sels Volatils des Plantes. H. i7oi.p, » 70. w " Obfcrvations fur les Sels Volatils des Plantes, Par M. HOMBERG. M. 1701. p. 111. " " Mefure des Sels Volatils Acides contenus dans » les Efprits Acides. Fî. 1(399. p. 52. » "Obfcrvation fur la quantité cxaftc des Sels » Volatils Acides contenus dans les difterens El- prits Acides. Par M, HOMBERG. M. 1 699. p. 44. " »> Sur la force des Alcalis Terreux. H. 1700. p. 48. » » Obfcrvations fur la quantité d'Acides abforbés par les Alcalis Terreux. Par M. HOMBERG, » M. 1700. p. 64. " " Sur les Acides Minéraux &z Végétaux. H. " 1709. p. 40. » » Obfcrvations touchant l'effet de certains Aci- ' des fur les Alcalis Volatils. Par M. H O M- > BERG. M. 1709.P. 3 ^4. » " Sur l'Acide de l'Antimoine. Par M. HOM- > BERG. H. 1700.P. J7.M. 1700. p. Z98. » " Sur une DifTolution d'Argent. H. 170(3. p. 30, > " Obfcrvations iur une DilTolution de l'Argent, ParM. HOMBERG. M. i7oé.p. TOI. > » Obfcrvations fur le Rafînage de l'Argent. Par M.HOMBERG. M. 1701.P. 41. > " Des Diflblvants &c des DilTolutions du Mer- > cure. H. 1700. p. jy. ' " Obfcrvations fur les DifTolvans du Mercure. ParM. HOMBERG, M. 1700. ^.190. & fuite. > p. 196. i^i TABLE DES MEMOIRES " Chimie » Sur les Dinolutions &c les Fermentations » froides. H. 1700. p. y 3. »» » Obfervations fur les DifTolutions &c fur les Fer- » mcntations que l'on peut appeller froides , parce M qu'elles font accompagnées du Refroidiffemenc » des Liqueurs dans lefquellcs elles fe pafTent. Par M. GEOFFROY. M. 1700. p. no. »» " Expériences fur les Diffolutions &: fur les Fcr- I» mcntations froides de M. GEOFFROY , rci- »» terces dans les Caves de rObfervatoire. Par M, AMONTONS.M. 170J.P. 83. M » Sur les Fermentations. H. 1701. p. 66. » " Obfervations fur quelques Effets des Fermen- » tarions. Par M. HOMBERG. M. lyoï.p.c/j, u y Sur les Souffres des Végétaux & des Minéraux, w H. 1710. p. 4(î. » "Sur un nouveau Phofpliore. H. 1710. p. 54. »■ " Sur le Sublimé corrolif. H. 1709. p. 34. » » Reflexijns& Expériences fur le Sublimé cor- rofif Par M. LEMERY. M. 1709. p. 41. »» " Sur la manière de reconnoîtrc le Sublimé cor- »» rofif fophifliqué. H. 165)9. P- H* » " Mémoire touchant les Végétations artificiel- les. Par M. HOMBERG. M. 1710.P.426. M *> Sur r Analyfe du Souft're commun. H, 1703 . p, 47. » " Effay de l' Analyfe du Souffre commun. Par M, HOMBERG.M.1703.P. 31. M "Sur la Rccompofition du Souffre. H. 1704. p, f 37- » " Manière de compofer le Souffre commun par M la réunion de fes Principes , & d'en compofer de » nouveau par le mélange de femblablesfubftances V avec quelques conjcdures fur la compofition des Mctaux. Par M. GEOFFROY. M. 1704. p.i78. Chimie DE L'ACADEMIE 1^99 — î7to îjj 'Chimie >• Obfervations fur les Matières fui phureufcs &:: > fur la facilité de les changer d'une efpecc de Souffre en une autre. Par M. HOMBERG.M. lyio.p.izy. » Sur les Feux Souterrains , &:les Tremhlemens de Terre , &c. expliqués chimiquement. H. 1700. p. y i. .. Explication Phyfique &c Chimique des Feux Souterrains , des Tremblemens de Terre , des Ouragans , des Eclairs , Se du Tonnerre. Par M. LEMERY. M. 1700. p. loi. » Sur la génération du Fer. H. 1705. p. 64. " Problême de Chimie , trouver des Cendres qui ne contiennent aucunes Parcelles de Fer. Par M. GEOFFROY. M. 170 j. p. 362. »> Sur la nature du Fer. H. 1706. p. 31. H. 1707. > p. 43 H. 1708. p. 61. ' "Divcrfcs Expériences & Obfcrvations Chimi- ques & Phyliqucs fur le Fer &: fur l'Aiman. Par M. LEMERY le Fils. M. 1706. p. X19. ',. , " Obfcrvations fur le Fer au Verre Ardent. Par M. HOMBERG. M. 1706. p. 1 58. "Sur le Fer des Plantes. H. 1706. p. 38. " Que les Plantes contiennent réellement du Fer, & que ce métal entre néceffairement dans leurcompofition naturelle. Par M. LEMERY . le Fils. M. 1706. p. 41 1. • . " Expériences nouvelles fur les Huiles & fur > quelques autres Matières oii l'on ne s'étoit point > encore avifé de chercher du Fer. Par M. LE- MERY le Fils. M. 1705. p. y. < » Eclaircirtemcns fur la production artificielle du Fer , &: fur la compofition des autres Métaux, Par M. GEOFFROY. M. 1707. p. 176. • "Surune Végétation de Fer. H. 1707. p. 32. T/iù. des Mat, 16^^.— 1710. _ V, ,, IJ4 TABLE DES MEMOIRES "Chimie " Reflexions & Ohfcrvations divcrfcs fur une Vc2;ctiicion Chimique du Fer , & far quelques w Expériences faites a. cette occalion avec diftc- » rentes Liqueurs Acides &: Alcalines , de avec w ditfercns Métaux fubftitués au Fer. Par M. LE- » -' • MERY le Fils. M. 1707. p. 299. " Sur les diffcrens Vitriols , & particulièrement » fur FAncrc faite avec du Vitriol. H. 1707.P.40. ' » "Eclairciflcmens fur la Compofition de difte- »- rentes cfpéces de Vitriols naturels , &c explica- » tion Phyfiquc Se fenfiblc de la manière dontfe » forment les Ancres Vitrioliqucs. Par M. LE- MERYleFils.M._i707.p. 538. "Nouvel éclairciiVement fur la prétendue pro- » duclion artificielle du Fer, publiée par Bêcher, & foutcnuë par M. GEOFFROY. Par M. LE- MER Y. M. 170 8. p. 37e. » Sur des Expériences faitesà un Miroir Ardent j> convexe. H. 1701. p. 34. " Obfervations Chimiques frites par le moïen du Verre Ardent. Par M. HOMBERG. M. » 1702. p. 141. >, " Sur les Métaux imparfaits expofés au Verre ,> Ardent. H. 1 709. p. 3 6. » " Expériences fur IcsMétaux faites avec leVerre Ardent du Palais Roïal. Par M. GEOFFROY, 51 M. 1709. p. 162. « Sur la Vitrification de l'Or. H. 1707. p. 3 o. » :. Eclaircinemens touchant la Vitrification de » . l'Or au Verre Ardent. Par M. HOMBERG. M. »._ . 1707. p. 40. 5, " Sur les Analyfes des Plantes. H. 170 1. p. 68, » Obfervations fur les Analyfes des Plantes. Par M. HOMBERG. M. 170 1. p. I ij. .. Obfervations fur les effets de l'Ypccacuanha, » ParM.BOULDUC.M. 1701.P. ii>2. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7IO '^SS "Chimie.. Analiie de l'Ypecacuanha. Par M. BOUL- DUC. H. ijoo.p. 4^.M. 1700. p. I. .. Suite des Analyfcs de l'Ypecacuanha. Par M. BOULDUC. M. 1700. p. j6. " "SurTAloës. H. 1708. p. 5-4. « >. Sur la Rhubarbe. H. 17 10. p. 43. » " Obfervations fur la Rhubarbe. Par M. BOUL- » DUC. M. 1710. p. 1(^3. « .. Obfervations fur la Scammonée. Par M, BOULDUC.M. 170Z. p. 187. " Sur la nature du Miel. H. 1706. p. 3 e'. • ' » .. Du Miel & de fon Analyfe Chimique. Par M. LEMERY. M. i7o'(î. p. 271. M » Sur l'Hydromel vineux. H. 1707. p. 3 j-. Obfervations fur la Gratiole. Par M. BOUL- DUC. M. 170 y. p. i8«î. •» " Sur des Analyfes de Plantes fermentces. H, » 1702. p. 38. » " Sur l'Analyfc des GrofeiUes fermentces. H. 1703. p. 4 j. » " Analyfes de la Coloquinte , du Jalap , de la « Gomme guttc , Se de l'Ellébore noir. H. 1701. p. yS. " " Obfervations Analytiques de la Coloquinte. Par M. BOULDUC. M. 1701.P. iz. » " Obfervations Analytiques du Jalap. Par M. BOULDUC.M. 1701. p. 108. » " Remarques fur la nature de la Gomme gutte , & fes différentes Analyfes. Par M. BOULDUC. " M. 170 1. p. 13 3. - .4 - " " Comparaifon des Analyfes, du Sel Ammoniac, " de la Soie & de la Corne de Cerf. Par M. TOURNEFORT. H. 1700.P.50.M.1700.P.71. •> » Obfervations &c Analyfes du Cachou. Par M, BOULDUC. M. i7o^.p. 227. Vij lyg TABLE DES MEMOIRES "Chimie "Sur la Manne. H, 1708. p. j6. » „ Sur laLacquc. H. 1710. p. 44. » « Sur IcCachou. H. 1705). p. 38. .. Sur le Borax. H. 1703. p. 49. » « Sur le Camphre. H. 170 5. p. î9. » » Sur la Cire. H. 1708. p. 53. «: » Analyfe Chimique de l'Eponge de la moïciine efpecc. Par M. GEOFFROY. M. 170e. p. » ..Sur l'Analyfe de deux Plantes marmcs. ( une cfpece de Ljtophiton , & l'Eponge de la moïenne il- f^fVf ) H. 1706. p. 40. .'. Sur rAnalyfe des Plantes Marines, & principa- lement du Corail rouge. H. 1710. p. 48. .. Obfervations fur les Analy les du Corail , &c de quelques autres Plantes pierreufes , faites par M. le Comte Marfigli. Par M. GEOFFROY. « M. 1708. p. 101. .. De rUrine de Vache , de fes efFets en Mede- « cine , & de fon Analyfe Chimique. Par M. LE- MER Y. M. 1707. p. 35. .. Sur l'Analyfe des Cloportes. H. 1705). p. 38. w .. Sur l'Eau de Chaux. H. 1700. p. 54. .. De l'ufige Medecinal de l'Eau de Chaux. Par M.BURLET.M. 1700.P. 1X2. .. Examen d'Eaux Minérales ( de Balaruc en ,:r Languedoc. Par M. REGIS , & de St. Amant ;«• ., prèsTournay. Par M. BOULDUC; H. 1699. p- n- * ■' « Surles EauxdePafry.H.i70i.p. 62.. « Examen des Eaux de Vichi & de Bourbon. Par M. BURLET. M. 1707. pp. 97. & 1 1 1- » Sur pluficurs Eaux Minérales de France. H, 1708. p. î7. DE L'ACADEMIE 1559 — i/io ij/ ChiMiç^jes ( Divcrfcs Obfervations ) fur l'Eau d'une Fontaine pctrifiante de Clcrmont en Auver- gne. H. 1700. p. j 8. & fq. T Obfcrvation fur les Eaux Minérales d'Aix-la- Chapelle qui dorenc l'Argent , &c. H. 1700, P-59- Obfervations fur les Eaux de Bourbonne & de Plombières. H. 1700. p. 59. &c fq. Examendes Eaux de Viclii &: de Bourbon. H. 170a. p. 43.&fq.. Obfervation fur les Eaux du Mont d'Or en Au- vergne. H. 1702,. p. 44. Sur l'Eau Minérale de Vezelay en Bourgogne. H. 170^. p. 66. &:fq. Sur l'Eau Minérale de Carenlac. H. 1705. p. 67, Sur une Eau Minérale du Faubourg St. Antoine à Paris. H. 1701?. p. 40. &: fq. Sur une Purgation caufée à deux Perfonnes par l'odeur de Rofcs. H. 1699. p. ^7. Sur quelques Remèdes Chimiques de M. Ca- 7 raffe. H. 1701. p. 74. Sur un Or potable , ou Secret particulier de M, De Fronville. H. 170 1. p. 73. & fq. r Sur une Liqueur tirée du Creffon Aquatique, bonne contre le Scorbut. H. 170 1. p. 7z. Guerifons d'Extindions de Voix par les Vulnc- ran-es. H. 170 1. p.7z. Sur une MaladieappcUée le Fer ch.tud ^ à laquel- le les Yeux d'Ecrevifl'e remédient furcment. H, 1708. p. 66. Sur de l'Urine de Vache ( devenue un Remède ). rendue moins dcfagreable en couleur & au goCiCo- H. 1707.P. 4j.&:fq. Viii ij8 TABLE DES MEMOIRES Chimiq3-'Es { Divcrfes Obfcrvations) D'un Alchimifte qui mangcoit du Sublimé doux comme du paiii. H. 1695). p. J7. Sur de l'Huile mifc avec du Mercure dans un vaifTeaulaifTc pendant deux mois fur un feu de digcftion. H. 1708. p. 6^. & fq. Sur la facilité avec laquelle l'Eau fe charge de Fer. H. 1708. p. 6y. Sur le Caillou & le Marbre cxpofes cnfemble &: feparément au Miroir Ardent. H. 170 j. p. (>(,. Sur du Sel Armoniac naturel tiré du Mont Ve- fuve. H. 170^. p. 66. Végétation d'Argent. H. 1704. p. 40. Sur une TalTc lairtee à Paris par les Ambafla- deurs Siamois, qui étoit une cfpéce de Réagal ou Arfcnic rouge. H. 1703. p. 51. Qiic la mauvaife odeur des Sels Volatils ne leur eft peut-être pas cirenticlle. H. 1702.. p. 41. &fq. Qiie les Chairs bouillies en confommc &: mifes cnfuite à la diftillation , ne rendent pas moins de Sel Volatil que fi on les diftille crues. H. 1701. p. 43. Sur une manière de rafraichir les Bouteilles fans Glace. H. 1701. p. 73. Sur un Secret de M. HOMBERG , pour prc* venir la RouiUeure du Fer. H. 1699. p. Sur le Traité de l' Antimoine àcM. LEMERY. H. 1706. p. 41. DE L'ACADEMIE 1(^5,9— 1710 i^^ Chine (la) Pofitions de quelques Villes* de la Chine» H. lépp.p. Sj.&fq. *!->/- _ Latitude "> * De Canton , , V- Longitude 3 Kam-cheu-fu de Kiamfi Latitude ^r■ , j , ^ ^ Latitude 7 Kiam-chcu dans leXanii , • 1 r Longitude j Liampo ou Nimpo dans Latitude ") le Chekiam LongitudcJ Nam-cham-fu Capitale 1 t • > J ^- ,- ^ >> Latitude du Kiamli J Nan-ghan-fu de Kiamii Latitude M v , Latitude ") Nan-Kim t t r- Longitude J. Latitude Longitude Si - ghan - fu Capitale du Latitude Pckim •i-ai.n.uuc i -S Xenli , LongitudcJ Su-cheu-fu dans la Pio- Latitude '^ vince de Namkim . . LongitudcJ' Tchaotcheou dans le ") ^ • 1 ^ > Longitude Canton J ° xr I Latitude 7 Xamliay -, , U •' LongitudcJ Xoacheii Latitude. Chirac ( M. ) Son Syftême fur le Vomilîement. H. 1700. p. 27. =. Choc (le) des Corps... «Sur les Loix du Choc des Corps. H. 1706. p. 124. ( ... ) ou rimpulfion cil le feul Principe du- quel on puille tirer la Caufe Pliyfique du Mouvement. M. 1705). p. 133. CHOMEL(M. )EntrcElevcàl'Ac.xd. H. 1702. p. 139. Montre à l'Acadeinie l'Artère pulmonaire d'un Homme rempli de Tubercules pierreux. H-, 1707. p. 16, V i^o TABLE DES MEMOIRES CHOMEL ( M, ) Examine les Eaux du Ment d'Or en Auvergne. H. 1701. p. 44. Examine les Eaux Minérales du Bourbonnois &C de l'Auvergne. H. 1708. pp. 59. & fqq. Entreprend un Ouvrage lur toutes les Plantes d'Auvergne. H. 1703. p. 57. Donne à l'Académie la Defcription àcV^ipiitm FyreHdtciim ThapJiJi facic. Irijl. Bot. ou Sefeli Pyrenaïc'fmThapfi'ji facie. D. Fagon Schol. Bot. F/irad. Bot. H. 1709. p. ji. Donne à l'Académie la Defcription de la Mof- chatellina ,fùHis Fum/iri.e bulho_fe. J. B. H. 1704, P-4I- ^ _ Donne à l'Académie la Defcription àuTrihu" loïdes t'ttlgareAqHis innafcens.lnft.Rà Hcrh.6^ j. H. 1710.P.75). Mtmoires oh Defcriptions des Plantes lues far A4 . CHOMEL , CT imbrimées dans les Mémoires de l'académie. M '> Conjza montana ,foliis longiorihus , ferratîs , M flore éfiilphureo albicante. M. 170 j. p. 3 87. » » Litnodoriim montanum -, flore ex albo diltite vi- M refcente.W. \-jo^.^. ■>,Ç)t. M " Or obus Sylvatiçus nojlras. Raii Synopf. 1 9 1 . M. » i-joG. p. 87. Chondrille Plante, Defcription d'une Efpece nou- velle donnée à l'Académie par M. DE jUSSIEU. H. 1709. p. 51. Chorium (Memb. du Fœtus) ce quec'efl:?H.i699.p.33. Chorobate. Niveau des Anciens , ce que c'ctoit;il ctoicdcfcducux. M. 1704. p. lyi. Choroïde ( la ) Membrane de l'Oeil , cft le principal or- gane delà vifion,fuivant M. MER Y. M. 1704. p. 2(îp.&fq. LHOKOWB.S DE L'ACADEMIE 1^99—1710 jCt Choroides ( les Plexus ) ce que c'cft, &; leurs ufages. M. 1707. pp. ii9.&:fqq. Chronologie (la) tire de la Certitude , des Obferva- tions des Eclipfes. H. 1703. p. zj. Chronomètre de M. Loulié. M. 1701.P. J17. de M. SAUVEUR. /i/V. CHRrs^L75 0U^«rf/^î ,ccquec'eft ? H. 1703. p. 17. CURrsANTHEM'VM Alpinum,foliis Abrotani multifdis.C.B. forte de Plante , fa Defcription lue à l'Académie par M. MARCHANT. H. 1703. p. 57. Chrysocolla ou Borax , rc/f^iBorax. Chw TE Suite extraordinaire d'une Chute. H. 1 70 o. p. 44. Violente d'une Ferrime grofle. M. 1708. p. 187. Sur la Tête, peut caufcr une Hydropilie laitcufe, & comment ? H. 17 1 o. p. 40. &: fq. u Chute en Mécanique. >■ Sur les Courbes de la Chute » des Corps. H. 1703. p. 65. Ce Problême , infiniment generalifé par M. VARIGNON. ihil p. 6(S. 'i* " Sur une Machine faite pour éprouver la pro- ;'.o - . portion de la chute des Corps. H. 1699. p. 1 1^. M. 1699. p. Z84 La pcfantcur n'cft pas confiante , même dans les Chutes Obliques àl'Horizon. H. 1707. p. 57. CiACCONi (Pierre) étoit Membre delà Congrégation du Calendrier, tenue à Rome en 1580. M. 1704. CiLiNDRE . .. Problême... UnCilindre folide étant don- né, trouver un autre Cilindre creux, qui foit égal au premier en matière & en hauteur. M. 1709. p. ^o. Autre Problême fur le même fujet. ihid. p. (îi. w Du Frottement d'une Corde autour d'un Ci- w lindre immobile. Par M. SAUVEUR. M. 1703, p. 3oy. Tab. des Mat. 1699. — 1710, ■ - -'- - X. ,\6î. TABLE DES MEMOIRES «CiLiNDRES ( .. Sur les Sons des ) folides. H. 170J- P-î'3- ... M " De la proportion que doivent avoir les Cilin- » drcs pour former par leurs Sons les Accords de la ». Mufiquc. Par M. CARRE'. M. 1709. p. 47. Divcrfcs Expériences fur cette Matière, ibid, pp. Ji.&fqq. Solides , doivent être enrr'eux comme les Cu- bes des Longueurs des Cordes , pour fiire le même 'accord que les Cordes. H. 1709. p. 94- Rendent un Son plus aigu que les Parallelepi- ,• ■ pedes , &r pourquoi ; ibid. p. 95. &: fq. "CiLiNDRiQiTES ( Superficies) » Sur des Qiiadratures de »» Superficies cilindriques , qui ont des bafes Co- » niques. H. 1707. p. 67. : » ( Tuïaux ) -> Sur la Rcfiftance des Tuïaux Cilin- j» driqucs pleins d'Eau. H. 1707. p. 116. MM.MARIOTTE&: ROEMERfefonttrom- pés en cette Matière , félon M. PARENT, ibid. p. 12.7. Théorie de cette Refiftance. ibid. pp. 127. &: ■ CiLiNDROÏDE de M. Wallis , ce que c'eft î propriété re- marquable de ce Solide. H. 1709. p. ^j.&c((\. Cinabre (le) Terme de Chimie , ce que c'eft? M. 1707, p. 518. Cinabre ( le) d'Antimoine , ce que c'eft ? M. 1707. p- l8z.&fq. Circulation du Sang ( la ) ce que c'eft ? H. 1699. p. ij. Penfées différentes des Anatomiftes fur la ma- nière dont l'Air que nous refpirons contribuer lacirculationduSang. M. 1700. pp. zi7.&fqq. Explication de la manière dont l'Air cir- cule avec le Sang par toutes les Parties du Corps^. . ; .. félon M . MERY . ibid. p. z 1 3 . DE L'ACADEMIE 1^95)— I7IO ^Si «•Circulation du Sang («Sur la) dans le Fœtus. H. » 1659. p. zy. H. 1703, p. 31. H. 1708. p. 36. Syftème commun fur cette matière. H. 1708. p. 36. Syftème nouveau détruit par M. MERY. il^id. P- 37- . w « Obfervations fur la Circulation du Sang dans .» lcFœtus,&c. ParM. DU VERNEY.M. 1699. p. 2.17. Critique du Syftème de M. MERY fur cette ma- tière. Par M. D U V E R N E Y. ihid. pp. 250. &:fqq. «Réponfc à la Critique de M. DU VERNEY, » du nouveau Syftème de la Circulation du Sang » par le Trou ovale du Fœtus humain. Par M. » MERY. M. 1703. p. 403. Le Syftème de M. MERYTe trouve vrai dans un Homme de 40. ans, dont le Trou ovale étoit refté ouvert. H. 1701. p. 37. » "Problème d'Anatomie, fçavoir fi pendant la » GrofTeflejil y a entre la Femme & fon Fœtus une " circulation du Sang réciproque. Par M.MERY. * M. 1708. p. 18^. Syftème de M. Antoine Corr. qui croit que le Sang de la Mère eft porté dans le Fœtus par les Artères Ombilicales. H. 1703. p. 31. » •' Sur la Circulation du Sang dans les Poiffbns. » H. i-joi.p.^6. » .0 Mémoire fur la Circulation du Sang des PoiC « fons qui ont des Oiiyes , &: fur leur refpiration. Par M. DU VERNEY. M. 1701. p. zi6. Sur la Circulation du Sang obfcrvce avec le Mi- crofcope dans la Jambe d'une Araignée. H. 1707, p. 9. Xij 1^4 TABLE DES MEMOIRES hCirculation de la Sève ( » Sur la ) dans les Plantes, H. 1709. p. 44. Ce Syftèmc Ibutenu par MM. PERRAULT , MARIOTTE &c Malpiç^hi. d/d. p. 4^. Combattu pat MM. DU CLOS, DODART, &C particulièrement par M. MA- GNOL./^/^. Idée &: Extrait de l'Ecrit de M. MAGNOL fur ce fujet. /^/V. pp. 45. & fqq . .> Cire " Sur la Cire. H. 1708. p. 53. Abrège de rAnalyfe de ce Mixte, iù/d. & fq. «'CiSTERNES. ') Remarques fur l'Eau de la Pluie &: fur « l'Origine des Fontaines , avec quelques particu- » larirés fur la Conftrudion des Cifternes. Par M. DELAHIRE.M. 1703.P. j6. L'Eau des Cirtcrnes eft la meilleure dont on puifTeufcr ,& pourquoi ? M. 1703. p. 6 j. On en doit exclure l'Eau des Negcs fondues , &c pourquoi ? ié>id. p. 66. On en doit encore exclure l'Eau de Pluie , ap- portée par des Vents qui paflcnt fur des Lieux infeétés. iiid. p. 6j. Méthode de pratiquer des Cifternes fort com- modes dans toutes les Maifons. il?id. p. 68. &fq. Clapets de Cuir fubftitués aux Soupapes des Pompes^ par M. AMONTONS , &c pourquoi i H. 1705. p.97-&fq. Clapie's ( M. De ) de la Socitc Ro'iale de Montpellier , &Corr. envoie à M. CASSINI une Table des . . Declinaifons du Soleil , pour tous les dégrés de minutes de l'Ecliptiquc. H. 1 704. p. 74. Envoie à l'Académie une Table , pour faciliter la Defcription des Cadrans Verticaux déclinans à la Hauteur du Polc de Paris, &c. H. 1 704.P.7 <,. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 i^y "Glapi e's ( M. De ) » Analogies pour les Angles » faits au Centre des Cadrans Solaires , tant Ho- » rizontaux , Verticaux , que Déciinans inclinés » démontrées par l'AnalyTc des Triangles re£ti- » lignes. Par M. De Clapiés M. 1707. p. ^69. Son Obfcrvation de l'Eclipfe de Lune du 13. Décembre 1703. faite à Montpellier. M. 1704, pp. 14. &:fqq. Du 17. Juin 1704. faite à Montpellier. M. 1704. p. 197. & Iq. Du 1 3 . Février 1 7 1 o. faite à Montpellier. M. 17 10. p. 21 j. & fq. De Scflcil du 11. Mars 1703, faite à Montpellier. M. 17057. p. 93. Classes en Botanique , renferment au nombre de zt. tous les genres de Plantes. H. 1700. p. 75. Claveau { le ) Maladie ordinaire aux Moutons, ce que c'cft ; M. 170 1. p. ï^i. Clavecin ( le ) Sa Defcription donnée à l'Académie par M.CARRE'.H. 1701.P. 137. Nouveau, inventé par M. Cuifinié , approuvé par l'Académie. H. 1708. p. 141. - -' Brifé plus commode que les Clavecins ordinai- . ^' res , approuvé par l'Académie. H. 1700 p. 160. • .-' -: - Sonomctredc M. Loulié pour accorder très faci- lement un Clavecin , approuvé par l'Académie, H. 1699. p. izi. Clavius (lePere) Jcfuite, étoic Membre de la Congre- g.irion du Calendrier, tenue à Rome en ij8o. M. 1704. p. 14Z. 'H' ■i.^pzsiviiviàa.ns (on Explication difCalefidrier fes Hypothéfes arrêtées dans la Congrcgatiorï tenue àce fujet. ihid. p. 141. &c fq. Xiij J66 TABLE DES MEMOIRES Clémentine ( Période ) Pafchalc , propofée par M. BIANCHINI.M. 1704. p. 14 j. «Clepsidres ( ..Sur les) H. 165)5?. P- 99- ManicLC de graduer les Clcpfidres cilindriqucs^ félon l'Hypothélc de Galilée. llpid. Formule Géométrique de M. VARIGNON , pour la graduation des Clepfidrcs, quelque fi- gure qu'ait le Vaie , &: quelque vitelTc que l'Eau foie fupofée avoir , ôc réciproquement. il>id. p. 100. a .. Manière géométrique & générale de faire des M Clepfidres OU Horloges d'Eau , avec toute forte " de Vafe donné, percé où l'on voudra d'une pe- »' tire ouverture quclconque,par où l'Eau s'écoule, » fuivant quelqu'Hypothéfe de vitcflcs que ce foit, " & réciproquement de trouver ces Vafcs,pour « toutes fortes d'Hypothéfes de telles vitcflcs , &c » des Tcms , fuivant lefquels fc doivent régler les " AbaifTcmens de la Surface de l'Eau qui s'écoulç. ParM.VARIGNON.M. i699.p. n- Çlepsidre de Defcente uniforme , où l'Eau s'écoule avec des vitefies fuppofées comme les Racines des hauteurs, cherchée par Toricelli, trouvée par M. MARIOTTE , fuit de la Méthode de M. VARIGNON. /'^/W. p. 61. &fq. Clermont ( eu d' Atmergne ) Fontaine pétrifiante de Clermont. H. 1700. p. ^5?. Cloches. . Le fon des Cloches fait fendre & écarter vme Nuée qui portoit de la Grêle prodigieufe par fa grolTeur. H. 1703. p. 19. Cloportes ( les ) Infectes fontVivipares H. 1709. p. 38. . . . Sont de deux efpéces, leur différence, ihid. pp. 38. 39. K ..... Sur l'Analyfe des Cloportes. H. 1705. p. 38. DE L'ACADEMIE 1^99—1710 Uj .GLOS(M. DU) Examine dans les commcncemens de l'Acadcmic les Eaux Minérales du Roïaumc. H. 1708. p. 57. Examine les Eaux de Pauy. H. 1701.P. (Î3. Protcfte contre la Circulation de la Sève dans les Plantes. H. 1709. p. 45. Cochenille ( la ) ce que c'eft ; M. 1704. p. 4^, La GrainedcCochen.ee quec'elî? H.i704.p,ir, CocHLEARiA ( le ) eft un excellent Remède contre le Scorbut &: autres Maladies. H. 1700. p. 60. Coeur . . >> Sur la ftructurc extraordinaire du Cœur d\m Fœtus Humain. H. 1695). p. 37. ( le) des Poillons n'a-qu une Oreillette. M.î7or> p. Z2 6. Le Commerce des Poumons avec le Cœur eflr bien différent dans les différentes Efpcccs d'A- nimaux.M. 1701. p. 139. • Strufture du Cœur de la Carpe. M. 1699. p. Z40. & fq. Explication des Figg. qui y fervent. ibid. p. 7.-J0. &c fq. Strufture du Cœur delà Grenouille. M. 1699- p. 23^.& fq. Explication des Figg. qui y fer- vent, ibid. p. 160. Strudure du Cœur de la Tortue. M. 1699. pp. Z2.8.& fqq. Explication des Figg. qui y fervent., ibid. pp. 260. & fqq. » «Sur le Cœur de la Tortue. H. 1699. p. 34. » » Obfervations fur la Circulation du Sang dans ^ le Fœtus , &c Defcription du Cœur de la Tortue " &C de quelques autres Animaux ( la Carpe , U Grenouille , LiVifere.) Par M. DU VERNEY, « M. 1699. p. 2.27. Ufage du Cœur de ces Animaux, ib. p. 245 . &: fq. Le Cœur de la Tortue diffère en pluficurs chofcs de celui des autres Animaux. /'^/W. p. 245. & f^j. i<î8 TABLE DES MEMOIRES Coeur (le ) de la Tortue à trois Ventricules. H. 1699'. P•5^ . . La Dcfcription du Cœur de la Tortue faite par M. DU VERNEY , diffère de celle qui a été faiccpar M. MERY. M. 1699. p. zyo. Erreur de M. MERY ( fuivant M. DU VER- NEY ) fur l'inutilité des deux Valvules du Cœur de la Tortue. iL p. z j î. M " Examen des Faits obfervés par M. DU VER- » NEY au Cœur de la Tortue de Terre. Par M. w MERY. M. 1703. p. 34J. « - Dcfcription du Cœur d'une grande Tortue « terrcftre de l'Amcnque , avec des Reflexions fur celle de M. DU VERNEY. Par M. MERY. " M. 1703. p. 457. » » Dcfcription du Cœur d'une Tortue de Mer. » ParM. MERY. M. i703.p.4n. « «Critique des deux Dcfcriptionsque M. Buif- " fiere , Anatomiftc de la Société Roialc de Lon- dres , a faites du Cœur de la Tortue de Mer. Par M.MERY./^/V.p. 437. - * Structure du Cœur de la Vipère. M. 1699. p, i3 8.&fq. Explication des Figg. qui y fervent, iùtd. p. 268. Coeurs ( deux ) trouvés dans des Poulets. H. 170^. p. 16. " Coin ( Machine) » Nouvelle Statique, avec Frotte- » mens & fans Frottemens , ou Règles pour calcu- » 1er les Frottemens des Machines dans l'Etat de » l'Equilibre. Second Mémoire, Trouver la Force ^ avec laquelle il faut pouffer un Coin , pour fé- n parer un Corps , ou directement , ou lur un pomr » fixe , ou fur deux. Par M. PARENT, M. 1704, /» f. 186. COLBERT t> DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 1^9 COLBERT { M. j Eclat des Sciences fous fon Minifterc. H. 1707. p. 178. Coliques appaifées en mangeant des Bicuibas ( forte de Noix. ) H. 17 10. p. 16. Néphrétiques , . . La Pareira Brava ( Plante du Brezil ) leur ert un bon Remède. H. 17 10. CoLLiouRE ( Eclipfe de Luncobferveea) le 2. z. Février i7oi.parMM.CASSINI, MARALDI, CHAZELLES&: COUPLET. M. i7oi.p. ^j, &6s>. CoLOMNEs d'Eau, qu elle cft leur caufe îM. 1700. p. 105-. &:fq. • . . „ De Lumière, pcrpendiculaircjà l'Horizon, ob- fervée par M. DE LA HIRE. H. 1701. p. 74, Coloquinte (la ) cequec'cft ? M. 1701. p. iz. Ne rend pas , comme on l'a cru , le Sang fluide. H. 170 1. p. j 8. M. 1701.P. iz. Peu emploiée en Remède à caufe de fa violence. H. 1701. p. 58. Elle efl; d'ufage , toute fufpeûc qu'elle eft. M, 1701. p. 13. « «Analyfe de la Coloquinte , Sec. H. 1701. p. » » Obfcrvations Analytiques de la Coloquinte, ParM.BOULDaC.M.i7oi.p. iz, Divcrfes Analyfcs de ce Fruit. /ùiid. p. 75'. ' Peuvent n'être point appcrçuës dans leurs re- tours & pourquoi ?z^/V. p. 75. M. i<î99. p.40. Diverfes Comètes foupçonnées les mêmes. M, i(S99. pp. 4i.&rqq. Celles de I 577. & de i(î8o. \ ontduraportcntr'- de I j8o. &:de 1706. Celles, & pourroient de i6j 2. & de 11598. 3 bien être les mê- mes. H. 1699. p. 74. H. i70(î.p. loiî. DE L'ACADEMIE i(î99 — I7Î0 ^7^ Comètes ( Retour des ) Comparaifon de la Comète d'A- vril 1700. àdivcrfes autres. M. 170Z. p. 12.3. Divcrfcs Comètes qui ont à peu prés fuivi la même trace dans le Ciel que celle d'Avril 1 702. ii>id. p. Il y. ' Qiiclqucs Difficultés fur le Retour des Comètes. H. ijoz.p.69. &c fq. Cequ'ilrcfteàcomioître aux Aftronomes furie Retour des Comètes. M. 165)9. p. 43. (Se fq. , Comètes dont les Olpfervations font imprimées dans les Mémoires de l'Académie. i6s>^ — - I ■ .■ 17I0 Comète de 1471. décrite. M. 1708. p. 94. Scfq. Comète de Février 169s)- obfervéeàPekin Capitale de la Chine, par le P. Fontaney Jefuitc. M. 1701, p.49. obfervée àParispar MM.CAS- SINI & MARALDI. /^. pp. ^o. & fqq. ■ ' d'0(51:obre i70i.obfcrvéeà Pau en Bearn parle P. Pallu Jefuitc. M. 170 1. p. 110. Qiieué de Comète fans Tête, obfervée à Rome &C enitalic cnMars 1701. par plufieurs Aftro.. romcs. H. 1702. pp. éj.&fqq. M. 1701. p. loi. Phénomène femblable,& qui paroît être le mê- me obfervédutcms d'Ariftote , & encore depuis "enl'année 1668. H. 1702. p. 6<;. ■ '■'- De Février & Mars 1702. vue en Amérique à l'Embouchure du Miffillipi par M. le Sueur. -'"- \ ■ M. 1702. p. 216.&: fq. Cette Comète de 1702. cft la même dont la Q.ueuë feule parut en Italie. H. 1702. p. 67. M. 1702. P. 216. 171 TABLE DES MEMOIRES Comète ( Nouvelle )obfervée enAvril 1701. H. 1701, p. 67. & fq. .. Oblervations d'une nouvelle Comète , qui a » paru au mois d'Avril & au mois de May de cette Année 1701. à l'Obfcrvatoire , avccquel- » ques Remarques fur les Comètes. ( Par M. CAS- M SINI, ) M. 170Z. p. 1 1 2. Du mois d'Avril 170Z. obfcrvcc à Rome. Par M. BIANCHINI. M. 1702. pp. 118. ?>c fqq. 12.9. Comètes . . » Comparaifon des premières Obfcrvations de la Comète du mois d'Avril 170Z. faites à Rome &: à Berlin. Par M, CASSINI. M. 1702. p. lii. Comparaifon de la Comète de 1702. àdiverfcs autres, ihid. p. 123. Divcrfes Comètes qui ont fuivics à peu près la même trace dans le Ciel que celle de 1702. ihid. p. 125. .. Sur l'Apparition d'une Comctc ( en 1706. ) ji H. 1706. p. 104. Cette Comète &:celle de 1580. avoient du rap- port enfcmblc. ibid. p. i oé. ». Obfcrvations d'une Comète qui a commencé de paroîtrc au mois de Mars ( 1706. ) Par MM, CASSINI&MARALDI.M. 1706. p. 91- » Obfcrvations de la Comète , faite depuis le 1 8. Mars ( 1706. ) qu'on a commencé de la voir , jufqu'au I <5. Avril qu'elle a ccffé de paroîtrc. Par MM. CASSINI &c MARALDI. M. 1706. p. u 148. M » Sur l'Apparition d'ime Comète ( en 1707. ) H. » 1707- P- 103- Le cours de cette Comète favorifc le Sy ftêmc de M. Villemot. ihid. p. 1 04. DE L'ACADEMIE iéP9 — 1710 173 Comète. . Eflay du Calcul de fa grofTcur. /Z-/^. » ». Obfeivacions d'une Comcte ( en Novembre 1707. ) Par MM.CASSINI & MARALDI. M. 1707.P. ^8. » .. Sur la Comète de 1707. & fur les Comètes en « général. H. 1708. p. 97. w " Reflexions fur la Comète qui a paru vers la fin de l'Année 1707. Par M. CASSINL M. 1708. » p. 89. Comte (le P. le ) Jeiuite. Pofitions de quelques Villes de la Chine tirées de fcs Oblcrvations. H. 16559. p, 8 3.&:rq. T'oïcz. Chine. Concerts de Mufique, gnerillent un habile Muficien ,. d'une Fièvre èc d'un Délire. H. 1707. p. 7, &fq. « CoNCHoÏDEs(/ïri'^/ de Courbes) «Sur les Conchoïdes en •» gênerai. H. 1708. p. 73. - > ■■ Defcriptionde celle de Nicomede. ibid. p. 74. _ & Tq. "" Théorie de cette Conchoïde. ibid. pp. j^. & fqq. ^ ,; ^ ( Nouvelles ) imaginées par M. DE LA HIRE. H. 1708. p. 7j. Qiiand font elles géométriques ? ibid. p. 79. » " Des Conchoïdes en gênerai. Par M. DE LA HIRE. M. 1708. p. 32. Concile de Nicée ,dc qui compofé ? M. 1701. p. 3157, ........ fixa la célébration de la Fête de Pâ- ques, ibid. fuivi par tous les Pères & Doéteurs de l'Eglife fur la célébration de Pâques, ibid. p. 373.&:fq. » Condensât ION de l'Air ( «Sur la Rarefadion & la) H. 1705. p. 10. Yiij 274 TABLE DES MEMOIRES Condensât ion de l'Air. La ReglcdeM. M ARIOTTE fur LiCondenfation de l'Air , n'eft pas exacte- ment vraie, par rapport à l'Air de toute l'At- mofphére. H. \-JQ^. p. z. H. 1705. pp. 11. &r Expérience de M.AMONTONS, qui appuie cette Règle même à une très grande dilatation del'Air. H. 1705. p. 14. Examende cetteReglc. M. 1705. p. 6i. '-'>' Jufqu'à quel point l'Air peut être condenfé , fuivant quelques Phvficiens. H. 170 5. p. 7. Scroit telle à 18. lieues de la Surface de la Terre vers le Centre , qu'il y peferoit (l'Air) autant qu'un Volume égal de Mercure. H. 1703. Seroit telle à 1 9. lieues , &c. qu'il cgaleroic l'Or en pefanteur Ibus un Volume égal. H. 170 5. ■". - P-7-&% Eli proportionclle à fes eftcts lorfqu'il efl .?T '"\ échauffé. H. 1703. p. 9. « ' » Reflexions fur les Règles de la Condenfa- ■tion de l'Air. Par M. CASSINI le Fils. M. 1705. ,. p. 61. M " Sur la Condenfation &: Dilatation de l'Air. Par M. DE LA HIRE le Fils. M. 170 j. SJ p. IIO. »" " •'.' "Nouvelles Reflexions fur les Règles de la Condenfation de l'Air. Par M. C A S^S I N I le » Fils. M. 1705. p. 171. Condensation des Liquides. Qiie les Expériences fur lefquelles on fe fonde pour prouver , que les Li- quides fe condenfent &: fe rcfroidiflcnt d'abord , • ' ■- avant que de fe dilater à l'approche de la Cha- leur , ne le prouvent point , & que cette Con- denfation apparente ell purement l'eflfet de la D E L'ACADEMIE 1^99 — lyio ryy Dilatation du Verre &c des Vaiff^aux qui con- tiennent ces Liqueurs. Par M. AMONTONS. M. ijoj.p. 7j. Expériences de Borclli ( Alphonfe ) & de VofTius ( Ifaac ) fur ce fujet. ilpid. p. 76. Congrégation tenue à Rome en i ySo. Pour la Refor- mation du Calendrier , quels en écoicnt Iqs Membres ? M. 1704. p. 141. Hypothéfcs arrêtées dans cette Congrégation. ii'id. p. 143. ,:' Nouvelle , établie à Rome pour le même fujet, à quelle occalion ? H. 1701. p. 105. M. 1703, p. yo. Le Cardinal Noris y prefide.H. 170 1. p. loj-, -, , M. BIANCHINI en eft Secrétaire. /^/V. M. MARALDIy a entrée par ordre du Pape.?'^. Votez. Calendr 1ER. CoNiNckius ( leDodeur JcanRaimond ) Sa pretcnudë Duplication du Cube examinée par M. DELA HIRE , qui en découvre le Paralogifme. H. 1699. P- 71- Conjonction ( en Ajlronomie ) Conjondions de Mer- cure, de Venus, &c. Fo'iez,ait rrtot M.^kcvke ^ Venus, &:c. CoNiQU ES ( Scûions) font les Lieux où tous les Problê- mes indéterminés du fécond Degré fe redui- fent, & pourquoi ? H. 170 j. p. 105. (\ ) ont toutes des Onglets quarrables. H.1707.P. 68.&:fq. ( ) » Sur une Méthode de décrire des grands Arcs de Serions Coniques. H. 1708. p. 89. ( ) " Méthode pour décrire des grands • Arcs des Sedions Coniques , fans avoir leur Centre , ni la grandeur d'aucun Diamètre. Par M. DE LA HIRE. M. 1708. p. zS^, » M 1-6 TABLE DES MEMOIRES " Coniques ( Sciions ) » Sur les Lieux qui fc forment par » le Concours des Tangentes de la Cycloide &C » des Sections coniques. H. 1704. p. 46. » ( ) » Conftrudion générale desLieux où font les Sommets de tous les Angles égaux , « droits , aigus , ou obtus qui font formes par les « Touchantes des Serions Coniques. Par M. DE » LAHIRE. M. 1704. p. zio. ( ) Traite Analytique des Sections Coniques^ &c. Far M. LE M A R £>\] I S DE U HOPITAL. Idée de cet Ouvrage. H. 1707. P-7I- CoNNOi s SANCE DES Temps (forte d'Ephcmerides impri- mées chaque Année par Ordre de l'Académie , ) calculée par M. L E F EV R E jufqu'cn 1701. H. 1701. p. 113. L'Académie en forme un Nouveau Planj& com- mence en 1701. ibid. p. 114. »CoNSTRUCTioN(f;«G'fwfmf ) » Sur la Conftrudion »» des Egalités. H. 1708. p. 71. Deffautdans la Règle de M. Defcartes. i^/V. &; ?» " Eclairciifcmcns fur la Conltruftion des Egali- u ■ tés.ParM.ROLLE.M. 170S.P. 3 39- .. Eclaircillcmens fur la Conftruàion des Ega- lités. Second Mémoire. Par M. ROLLE. M. » . 1709. p. 3ZO. .. Remarques Sur la Conftruction des Lieux » Géométriques &: des Equations. Par M. DE LA " HIRE.M.1710.P.7. Contrepoints ( Terme de MtiJicjHc) les deux Contre- points par qui inventés î M. 1706. p. 591. „ Co^rzA Montana, foliis longiorihus fèrratis , flore é ful- phiireo Alhicante ( Dcfcription de cette Plante. } * PatM.CHOMEL.M. 1705.P. 387. Copernic, DE L'ACADEMIE i(Î99 — I7IÛ 177 Copernic. Le mouvement qu'il attribue à la Terre eft confirmé par les Obfcrvations qu'on a faites fur les Satellites de Jupiter & de Saturne , &c com- ment; H. lyoj.p. 120. Coquillages . .lien a certains qui bouchent l'Ouver- ture de leur Coquille avec une Efpece de Cou- vercle , (S<:c. M. 17 1 o. p. 463 . & fq. On en a trouve qui étoient enfermés dans des morceaux de Rocher , 6cc. H. 1708. p. 20. n » Sur le mouvement progreflif de plufieurs ef- M peces de Coquillages. H. 17 10. p. 10. » w Du mouvement progrelfif & de quelques au- « très mouvemens de diverfcs efpeces de Coquil- » lages , Orties , &: Etoiles de Mer. * Par M. DE » REAUMUR. M. 1710.P.439. * Du Bernard l'Hermite. ii>/J. p. 464. Du Buccinum 4^ h Des Etoiles de Mer 485-. Du Lavignon 44^- Des Moules de Mer 443. De l'Oeil de Bouc 461. T^ ^ • ■) immobiles 467. Des Orties y ^ ^ 3 errantes 478. Des Palourdes 4jz. • ,"],,' Du Sourdon 454. DesTellincs 457. Du Trochus 4^$- Du Turbo 463. Coquilles d'Animaux , comment s'ouvrent elles? M. 170^. p. ^2. & fq. «> " Sur la formation des Coquilles. H. 1709. p. 17. M. DE REAUMUR a découvert le premier cette formation. il>/d. De Limaçons , comment Ce forment ; il>Id. pp. iS.&fqq. Tab. 4es Mai. 160^, — 1710, .:. .,. , . Z Î78 TABLE DES MEMOIRES «Coquilles. » Delà formation & de l'accroiflcment des » Coquilles des Animaux , tant terreftrcs qu'aqua- „ tiques , foit de Mer , foit de Rivière. Par M. » DEREAUMUR.M. 1709.P. 364. De Moules d'Etang , leur formation &: leur nourriture, félon M. MERY. M. lyio.p. 33. ji>/d. p. 409. & fq. De Moules d'Etang mortes font toujours ouver- tes ,& pourquoi ? M. 17 10. p. 34. Comment s'ouvrent &: fe ferment ? /ùiJ. p. 410. Comment fe fait leur Mouvement ? z^/W. p, 411. ........ La Poudre de Coquilles d'Huitre donnée avec fuccès. M. 1700. p. 70. Elle eft propre à rétablir les Eftomachs gâtes par les Acides , &c pourquoi î H. 1700. p. 5 o. Facilite de leur diiVolution. M. 1700. p. 70. Cette facilité efl: caufe en partie de fes bons effets dans les Ertomachs gâtés par les Acides. /^/V. Méthode de M. HOMBERG pour préparer la poudre de Coquilles d'Huître, il/ic/. p. 70. &: fq. Corail ( le ) eft une Plante marine pierreufe. M. 1700, p. 28. Sa Semence obfervée. il>id. p. 3 j. &: fq. Cette découverte peut donner lieu de propofer des conjeân.ires fur la multiplication des Plantes marines pierreufes. ihid. p. 5 ^ . -■•:. . ConjeauredeM. TOURNEFORT fur lagc- ncrationdcs Coraux. H. 1700. p. 69. Fleurs de cette Plante découvertes par M.MAR- ;: SIGLI.H. i7io.p.76.&:fq. ^ Diverfcs particularités obfcrvécs fur le Corail. . parM.MARSIÇLL/^/V.p.74.&:fq. DE L'ACADEMIE 1^99 — Ï7IO 179 « Corail ( >• Obfervations fur les Analyfes du ) & de » quelques aucrcs Plantes pierreufes faites par M. LE COMTE MARSIGLL Par M. GEOF- FROY. M. 1708. p. 102. ( le) cftun Alcali. H. 1710. p. 54. » Rouge ..." Sur l'Aiialyfc des Plantes Marines , »> & principalement du Corail rouge. H. 1710. u p. 48. ( Teinture de ) ce que c'eft ? &: manière de la ti- rer. H. 1710. pp. jo. & fqq. Idée des Anciens fur l'ulagc de cette Teinture. ibid. p. yo.& fq. CoRALLiNES , Plantes Marines, quelques Efpcces font des Plantes Marines molles , avec des Feuilles. M. 1700. p. 28. CoRDEMOY ( M. De) Machine hydraulique de fon In- vention approuvée par l'Académie. H. 1700. p. 160. Cordes d'Inftrumcnts de Mufique ... M. CARRE' en. lit un Traité Mathématique à l'Académie. H. 1706. p. 124. "Cordes dans les Machines...-. Sur la Roideur des » Cordes que l'on emploie dans les Machines. H. e 1699. p. 109. La Roideur des Cordes eftun Obftacle à l'effet des Machines , qui eft peu connu, ibid. Moïcn d'éprouver la proportion des Refiftances de ces cordes ,imagmé par M.AMONTONS. ibid.p. 109. & fq. Leur Rcfiftance jointe à celle des Frottemcns, augmente beaucoup la Difficulté au Mouve- ment./^/^. p. 1 1 1. Exper. de la Roideur dcsCordcs.M. I (599. p. 1 17' Règle pour le Calcul de la Roideur des Cordes. ibid. p. zzc. Zij i8o TABLE DES MEMOIRES " Cordes (des ) .. Delà Rcfiflancc caufcc dans les Ma- » chines , tant par les Frottements des Parties qui " les compolcnt , que par la Roidcur des Cordc5 » qu'on y emploie , &c la manière de calculer l'un &c l'autre. Par M. A M O N T O N S. M. 1 5c,ç,. p. 2.06. Table de la Refiftancccaufce dans les Machines par la Roidcur des Cordes , &cc. M. i6^p. p. zzj.&fq. Ufagc de cette Table. /'^/V. p. 114. Cordon Ombilical. Le Fœtus,iclonM. LITTREpour- roit bien fe nourrir uniquement des Liqueurs que ce Cordon lui fournit. H. 170 1. p. 24. CoRDOUE (Eclipfe de Lune obfervée à ) le 22. Février lyoï.parDom. Pedro Antonio de Blancas. M, 1701. p.éS. &70. " Corne de Cerf. « Comparaifon des Analyfcs du Sel " Ammoniac de la Soyc & de la Corne de Cerf. Par M. TOURNEFORT. H. 1700. p. yo. m'. 1700. p. 71. Contient beaucoup plus de matière terrcftre que la Soie. M. 1700. p. 72. Contient moins de Sel Volatil que la Soie crue. L'Efprit Volatil de la Corne de Cerf, ce que c'eft i Jé/id.p. 72. Expérience à ce fujet. itid. Les Gouttes d'Angleterre n'ont aucun avan- tage fur les préparations de la Corne de Cerf&r du Sel Ammoniac. H. 1700. p. 51. Corne'e ( la ) Membrane de l'Oeil; fa furficc pourroic bien n'être pas entièrement polie, mais être un peu pliffée à l'Air , quoi qu'elle ne le paroillc pas. H. 1704. p. 16. M. 1704. p. 265. èc fq. DE L'ACADEMIE 1^59 — lyro igi «Corne'e (la) «Sur les Incifions faites à la Cornée. H. i70s>.p. 13. Cette Opération flaitc avec fucccs dans une Ma- ladie cauféc par un Epanchemcnt de Sang dans l'Humeur aqucufc. ibid. & fq. Les Incifions faites à la Cornée fe reprennent ai- fcment. H. 1707. p. 24. lailTcnt quelques- fois des Cicatrices , ic quand ? H, 1709. p. 14. Précautions à prendre dans cette Operation- ibid. p. I J. Un Criftallin glaucomatique tiré par une Inci- fion faite à la Cornée. H. 1707. p. 14. Cornet s Nouveaux pour des Sourds, inventes par M, Du Guet , approuvés par l'Académie. H. 170(3. p. 142. Corps (les) peuvent croître de deux manières. M. 1709. p. 3(îy._&rq. Le tiflu d'un Corps peut être change par un mouvement extérieur. H. 1700. p. 1 1. Ob{crv.mon de M. HOMBERG fur ce Prin- cipe, ibid. D'où vient la dureté des Corps. M. 1699. p. 17. Leur folidité abfoluë efl; abfolument&: pour tou- jours inconnue. M. 1709. p. 141. Leur folidité relative eft connue, ibid. Tranfparcnts .. .Ce que c'eft que la Puifflince refradive des Corps tranfparcnts. M. 1700. p.8i. » "Sur la Lumière des Corps frottés. H. 1707. Tout Corps tend à fe mouvoir en Ligne droite,, principe reçu en Phyfique. M. 1700. p. 10. Tombans en l'Air décrivent des Courbes. H. 1707. p. y6. Z iij iSi TABLE DES MEMOIRES Corps jettes félon une dircdion quelconque, décrivent des Paraboles. M. 1707. p. 141. (les) qui décrivent des Courbes, ont une force différente de leur pefanteur. H. 1700. p. 79. „ " Sur le Jet des Bombes , ou en gênerai fur la « Projection des Corps. H. 1707. p. 1 2.0. ., Sur les Vicelfcs des Corps mus fuivant des « Courbes. H. 1704. p. 104. ( les ) pefans qui tombent verticalement , ou le long d'un plan incliné , ont des Vitcflcs qui font cntr'clles comme les racines des Hauteurs. H. 1704. p. lOJ. Si les Corps tombent le long de deux Plans in- clinés contigus , cette proportion des Viteffes ne fubfilte plus , &C pourquoi î i/^/d. pp- 105 &C 108. ( les ) qui tombent fuivant la Concavité des Courbes , &: qui en font foutenus , ont encore des Viteffes qui fuivent la même proportion, dlif. p. lOJ. „ « Sur une Maciiine faite pour éprouver la pro- » portion de la Chute des Corps. H. 1699. p. 116. L'Hypothéfc de Galilée , commode pour le Cal- cul, mais difficile à vérifier précifement. /^/'i^. p. I I 6. L E P. S E B A S T I E N en vient à bout par le moïen d'une Spirale qui entoure un Parabo- loïde. iùid. Proportion des Tours de cette Spirale. Ihld. » " Explication de la Machine qui a été faire » pour examiner l'accélération des Boules qui roulent fur un Plan incliné, &: la comparer à celle de la Chute des Corps. ( Par LE P. SERASTIEN TRVCHET. ) M. 1(^99. ff p. Z83. DE L'ACADEMIE i(î99 — lyio i8? Corps ( les ) tombent plus lentement vers l'Equateur, quevers les Pôles, fuivanc MM. MARIOTTE &HUYGHENS.H. 1703.P.131. Comment Ils ont conçu que cela fe faifoit dans l'Hypothéfe de Dcfcartes fur la Pcfcintcur. ihid. Ce Syftême attaqué par M. DE LAHIRE, &: comment l ihid. pp. 1 3 1 . (S.; fqq. «• » Sur la Route que tiennent plufieurs Corps liés » cntr'eux par des Cordes , &: tirés fur un Plan Ho- ir rizontal. H. 1703. p. 1 10. » » Sur le Sens dont plufieurs Corps fe tournent,. » H. 1703. p. 14. »• » Sur les Corps qui nagent dans les Liqueurs, H. 1700. p. 1 54. La iituation d'un Corps plongé dans un Liquide, difFere du lieu qu'il y occupe, ihid. p. 1^4. " - Ce quiarriveroit àun Corps Spheriquccompo- fé de bois &: de plomb , & plonge dans un Li- quide de pareille pelantcur en volume égala cette Sphère. H. 1700. p. i ^4. Décifion de M. Borclli ( Alplionfe ) fur cette queftion. ihid. p. lyy. Décifion différente de M. PARENT, ihid, &fq. Raifon du fentiment de M. PARENT, ihid. ■ Etendue de cette queftion par rapport aux di- verfes figures des Corps & aux différentes pefan- teurs des Liquides, ih.'^. 158. >i " Table des Diftanccs de la fuperiicic de laTcrrc vers le Centre , aufquclles diffcrcns Corps reftc- » roient en Equilibre avec l'Air qui y fcroit preïïc « partoutel'Atmofpere. M. 1703. pp. 104. & fqq, V "Sur les Loix du Choc des Corps, H. 1706. p, 114. iS4 TABLE DES MEMOIRES Corps ( Force d'un ) qui fe meut , ou fa quantité de mou- vement , ce que c'cfl: î H. 1 706. p. i z 5 . &: fq. Un Coips communique plus de mouvement à un autre s'il le choque par l'cntremife de quelques Corps , &c. ibid. p. 1 3 6. it " Expériences pour les Frottcmcns des Corps » dontlcs parties fc meuvent avec diftercntcs Vi^ » telles. Par M. PARENT. M. 1704. p. 19 j. Corps Humain ... Sa Méchanique admirable. H. 1707. p. 16. Costa ( la ) Montagne d'Auvergne. Sa Hauteur fur le Niveau de la Mer. M. 1703. p. 137. CoTTON ( le Mahot à ) Plantcd'Amerique, HxDefcrip- tion envolée à l'Académie par Le P. Breton Je- fuite. H. 1704. p. 41. Couleurs (les) dépendent de l'ébranlement des Orga- nes delà Vilion. M. i6s)9-p. z6. Expérience de M. HOMBERG fur l'Ordre des Couleurs. H. 1699. p. 18. » ..Sur la Lumière &C furies Coulcuxs. H. 1699. p. 17. »• .' Reflexions fur la Lumière &: les Couleurs , &C » la génération du Feu. Par LE P. MALLE- v ■ BRANCHE. M. 1699. p. 11. "Vibration de prciïion dans le Syftême des Cou- leurs , ce quec'eft i ibid. p. 23. Difficulté de découvrir précifement les rapports exafts de promptitude des "Vibrations qui for- ment les Couleurs, ibid. p. 27. Reffemblance de la Lumière &c des Couleurs avec leSon&: les Tons. ibid. p. x6. D'où vient la fenfuion des Couleurs primitives, ibid.^. 24. Idée &: Conjeélurcs de M. GEOFFROY le jeune fur la caufe des difFcrentcs Couleurs des Feuilles DE L'ACADEMIE 1^99— I7IÛ rSy ■ Feuilles &c des Fleurs des Plantes en différents états.H. 1 707. p. 3 9. &c fq. M. 1707.PP. y 2 5 . & fqq. 5> Couleurs " Sur les Huiles cffentiellcs des Plantes, » &: particulièrement fur les différentes Couleurs » qu'elles prennent par différents Mélanges. H. 1707. p. 37. Comment on peur croire que les Huiles pren- nent différentes Couleurs. il?ii^. p. 39. Toutes les Huiles effcntielles ne prennent pas des Couleurs différentes , mêlées avec différen- tes Liqueurs. H. 1707. p. 38. M. GEOFFRROY le jeune paroît être le pre- mier qui ait fuivi ridée de faire naître les diffé- rentes Couleurs par les Mélanges des Huiles ou des Sels. H. 1707. p. 39. Coupe (dans les Plantes.) La multiplication naturelle &: comme volontaire des Plantes eft peu de chofe en comparaifon de la multiplication for- cée par la Coupe. M. 1700. p. 137. Fécondité de reffburces dans les Herbes recher- chées par Coupes, iùid. p. 144. Eftimation de la multiplication par les Coupes dans rOzeille & autres Herbes potagères. M. 1700. pp. 147. & fqq. . Coupelle [en chimie) cequec'eft? M. 1701. p 41. «COUPLET ( M. ) " Defcription du Niveau dont il Te 55 fcrt. M. 1699. p. 12.7. COUPLET (M.) le Fils. Son Obfervation de l'Eclipfe de Luncdu zi. Février 1701. Elite àCoUioure. M. i7oi.p.6^. Son Nauffragc à fon Retour de Portugal & du Brezil. H. 1700. p. 130.M. 1700.P. 171. Ses Obfcrvations de la Declinaifon de l'Aiman faites à Liibonne cm 697. & à Paraibe au Brcfil, H. 1700. p. 131. M. 1700. p. 174. &:fq. lab. des Mat. 16^^. — 1710. A a i8(î TABLE DES MEMOIRES » COUPLET ( M. ) le Fils. » Extrait de quelques Lettres écrites de Portugal & du Brclil à M. L'ABBE' BIGNON Prclident de l'Académie Roialcdes „ Sciences. M. 1700. p. 171. Cou RAN s ( les ) changent par la Marée ou félon le Vent. H. 1701. p. 89. 'Courant fingulierobfervé dans une partie du Golphe de Lyon. H. 1710. p. 29. Courbe.. .Les Corps qui décrivent des Courbes ont une force dirfcrente de leur pefanteur. H. 1700. ¥■79- Toute Courbe peut être confiderée comme une Roulette. H. 1706. p. 85. Toute Courbe eft déterminée par le rapport des différences des Ordonnées aux Abciffes ou por- tions de l'Axe correfpondantes. H. 1704. p. III. Toute Courbe fe peut décrire par dcsmouve- mens quelconques , en modifiant diverfemcnt les Viteflcs. M. 1704. p. z88. Les Courbes peuvent fe rencontrer de plufieurs manières, & quelles; H. 17 10. pp. çi.&fqq. >t .. Examen d'une Courbe formée par le moïen du Cercle. Par M. CARRE'. M. i7oj.p. 5!$. Quelle eft cette Courbe; il/td. p. y 8. -■ • Cette Courbe déjà indiquée par M. Koërfma. .. . ibid.^. 57. « " Sur la Courbe que décrivent les Raïons de la » Lumière. H. 1702. p. j 4. Courbe décrite par une Planète en confidcrant lemouvement de l'Aphélie. M. 1705. pp. 348- &:fqq. Les Courbes doivent quelquesfois être confi- derées comme formées d'Elemcns courbes, H. 1706. p. 66. DE L'ACADEMIE 1^5)9 — 1710 187 »> Courbe » Sur les Raions des Développées des Courbes, v conçues comme formées d'Elemens Courbes. H. 170^. p. 90. -^ Géométriques") ce que c'eft ; en quoi elles Courbes..,,, . -^ ^ ' . 7. , Mécaniques J conviennent ou dînèrent î H. 1704. p. 1 1 j. « " Recherches fur les Courbes .. Géométriques &c Mécaniques, où Tonpropofe w quelques Règles pour trouver les Pvaions de leurs il Développées. Par M. ROLLE. M. 1707^ Courbes imaginées formées par les mouvemens compofés , &:c.-H. 1704. p. 114. & fq. 5- " Méthode générale pour déterminer la nature M des Courbes formées par le roulement de toutes » fortes de Courbes fur une autre Courbe quelcon- ., que.ParM.NICOLE.M. 1707.P. 81. Les Courbesgcometriqucs quelconques qui rou- lent fur elles mêmes , produilcnt toujours d'au- tres Courbes aufli géométriques , en quelque lieu que foit pris le point décrivant. H. 1707. p^ 66. M. 1707. p. 87. 1» " Sur les Courbes à l'infini produites par le mou- » vement d'une Lignedroite qui paffe toujours par « un point fixe , & parcourt par une de fcs extremi- » tcsunc Ligne quelconque. H. 1708. p. 8 5. » " Manière générale de trouver une infinité de » Lignes courbes nouvelles , en miianc parcourir " une Ligne quelconque donnée par une des Ex- » tremités d'une Ligne droite donnée aulfi &c tou- y jours placée fur un même point fixe. Par M. DE REAUMUR.M. 1708.P. 197. » » Manière de difcerner les Vitefles des Corps M mus en Lignes courbes ; de trouver la nature ou l'Equation , de quelque Courbe que ce foit, A .1 ij ï8g TABLE DES MEMOIRES « eno-endrée par le concours de deux mouvcmcna connus ; & réciproquement de déterminer une » intinitc de Vitcflcs ])ropres deux à deux à cngen- » drer ainfi , telle Courbe qu'on voudra , & même « de telle vitefTc qu'on voudra fuivant cette Cour- be. Par M. VARIGNON. M. 1704. p. i%6. Courbe " Du Mouvement en gênerai par toute forte de t> Courbes , & des Forces ccntialos , tant ccntrifu- » ges que centripètes , nécciTaircs aux Corps qui les décrivent. Par M. VARIGNON. M. 1700. » p. 83. Un Corps décrivant une Courbe quelconque^ trouver fes Forces centrales en gênerai. M. 1700. p. 2,17. &:rq. » « Des Courbes décrites par le Concours de tant » de Forces centrales qu'on voudra , placées à dif. w cretion entr'ellcs , & par rapport aux Plans de « ces mêmes Courbes. Par M. VARIGNON. M. « 1703- P- ni- „ » Différentes manières infiniment générales de « Trouver les Raions ofculateurs de toute forte de « Courbes , foit qu'on y regarde ces Courbes fous » la forme de Poligones ou non. Par M. VARI- » GNON. M. 1706. p. 490. ,; «Sur la Rectification des Courbes. H. 170 1. p. * 83. H. 1704. p. 4^1. Ce que c'eft que la Redification d'une Courbe ? H. 1701. p. 83. Fort peu de Courbes fc peuvent reélifier./^/V. - ^ . p. 8 3.&:fq. .~ - Ufagc de la Géométrie de l'Infini dans la Redi- fication des Courbes. /'^/^. p. 84. Les Courbes peuvent être reûificcs par le Calcul différentiel de trois manières. M. 170 1. p. 163. Exercplc dans la Cycloïde. /^/ Sur les Courbes de la plus viftc Dcfccnte. H, », 1705). p. 68. Ce Problême propofé & rcfoln fous différentes conditions par MM. BERNOULLI Se SAU- RIN. M. ï69S)- p. 107- H. 1709. pp. 68. 71.74. 78. M. 1709. pp. ij. & fqq. 2-58. & fqq. M. 1710. pp. zo8.&:fqq. Théorie générale de ces Problêmes. H. 1709, pp. 69. & fqq. La Cyclo'ide y fatisfait. il>id. p. 7 1 . » 5J Solutions & Analyfes de quelques Problêmes » ( /fir les Courbes de la plus t'ijie Defce/ite ) appar- 5t tenans aux nouvelle^ Méthodes. Par M. SAU- „ RIN.M. 1709. p. z6. n » Solution générale du Problême , où parmi une » infinité de Courbes femblables décrites fur un » Plan vertical , &: aiant un même axe & un même » point d'origine , il s'agit de détermmer celle » dont l'Arc compris entre le point d'origine & » unclignc donnéede pofition ell parcouru dans » le plus court tems polfible. Par M. SAURIN. M. M 1709. p. 257. '. Addition à ce Mémoire. Par M. SAURINo » M. 1710. p. Z08. Ï51 TABLE DES MEMOIRES Courbe ou Courbure d'un Vaiircau, quelles conditlom doit clic avoir î H. 1 699. p. 9 5- Cette Courbe trouvée par MM. NE'VTTON, LE MARQUIS DE L'HOPITAL , &c Fatio De DuiUicr , par des voies différentes. i(>id. p. 96. Couronne de Lumière obfcrvce autour de l'EchpIe to- tale du Soleil en 1706. H. 1706. p. 118. Caufcs de cctteApparence fuivant M.C ASSINI. • /i/V.p. 1 19. M. 1706. pp. 2.5 1.&: fqq. Spacieufevuë autour du Soleil en May 1708. H. 1708. p. 109. Ou Cercle lumineux obfcrvé autour du Soleil parM.DELAHIRE.M. 1708. p. 180. CouRTiAL ( M. ) Son Obfervation fur une fuite extraor- dinaired'une Fièvre. H. 1700. p. 36. CoWPER (M. ) AnatomiftcAnglois. Nouveaux Proftatcs par lui découverts. H. 1700. p. 3 i • Cresme de Tartre . . Le Sel effentiel des Tamarins lui reflcmblc. M. 1699. p. 100. Crépuscules (les) font plus grands vers les Pôles. M. î7oo.p. 38. Cresson Aquatique. ..Obfervation de M. LEMERY le Fils fur le CrclTon Aquatique. H. 1701. p. 71. &:fq. De Jardin . . . Expériences faites fur du CrcfTon de]ardin, pour connoître la quantité des Sels qu'ilcontenoit. M. 1699. P.71.& fq- Cric circulaire du Sr.Thomas approuvé par l'Acade- demie.H. 1701.P. 141. & H. 1703. p. MJ- ^ Cristal. Idéedc la DifTcrtationfur le Criftal envoïée à l'Académie par M. ( Jean- Jacques ) Scheuchzer. H. 1708. p. 3 3.&fq. Le Criftal commun ne peut fcrvir aux Lunettes d'Approche, & pourquoi ; H. 1710.P. 1^4- Cristaî. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 193 CRiSTALd'Iflandc, ce que c'cft, &c fes propriétés. H. ijîo.p. izi.M. lyio.pp. 34i.&rqq. . . . . o . Découvert par M. ( Erafmc) Bartholin qui a décrit le premier Tes Refradions extraor- •dinaires. ii>id. ibid. Autres phénomènes fingulicrs de ce Criftal.H. 1710. p. 1 2,3. Expliqués par M. HUYGHENS, &: comment î H. 1710. p. 113. M. 1710.P. 341. Doit être plutôt nommé un Talc qu'un Criftal , ëc pourquoi i ibid. ibid. Sc fq. Cristallin. (Humeur de l'Oci!) Expériences quiprou- ventque l'on peut voir fans Criftallin. H. 1707. p. 21. & fq. M. 1707. p. 554-^ Tq. H. 1708. p. 39. ► ; Comment l'on peut concevoir qu'il n'cft pas ' neceflaire .à la Vifion. H. 1708.P. 55).£<:lq. "■'■:- Glaucomatiques pris pour des Cataractes mem- braneufes. M. ijc.%. pp, 141. &: fqq. Glaucomatique tiré par une Incilion faite à la Cornée. H. 1707. p. 14. Cristallization. Piramidc de Sel formée dans une Criftallization , &comment , fuivant M.HOM- BERG.H. 1702.P. i8.&fq. Croître. ( adionj Un Corps peut croître de deux ma- nières. M. 1709. p. 365. & fq. Crotin ( le )de Cheval cft une cfpcce de M.itrjce qui contient en foy les graines de Champignons , &: a la chaleur néccflaire pour les faire germer. H. 1707. p. 48. M. 1707. p. 63. Cubes. Dans la fuite des Cubes naturels , les troifié- mes différences font toujours fix. M. 170J. p. z8o. Magiques, en quoi confiftent - ils ? H. 1710. p. 87. Tab, des Mat. l6pp — 1710 *Bb 194 TABLE DES MEMOIRES: Cubiques. (Noinbrcs)Remarqucs fur les Nombres qnar- rcs , cubiques , quarrés-quarrcs , quarrcs-cubi- ques ,& des autres degrés à l'infini Par M. DE LAHIRE.M. 1704. p. 3,-8, Cuebe' ( le) Plante d'Amérique , la Dcfcription cnvoïce à l'Académie par le P. Breton Jcf. H. 1704. p. 42, Cuir (Clapets de) fubftitucs aux Soupapes des Pompes par M. AMONTONS, &: pourquoi > H, 1703. p. 97. & Tq. ^ Cuirs. M. DES BILLtTTES donne la manière dontfe fait la préparation des Cuirs. H. 1709. p. m. Cuisinie'. { m.) Clavecin nouveau de Ton invention , ap- prouvé par l'Académie. H. 1708. p. 142. Cuisses. Force des Mufcles des Cuillcs. H. 1699. p. 5)7. CuiVR?;. Expériences fur le Cuivre expofc au Foier du Miroir Ardent du Palais Roïal. M. 17051. pp. { Le ) ne produit aucune Végétation fenfiblc,&c. M. 1707. p. 3 18. CuNiTiA ( Marie ) Sçavante d'Allemagne , fon Livre d'AHronomie ïntïtuléVr^/jiapn'j/ùia.'M. 1710. P-3I3- Cycle de 19. Années. Deffiutde ce Cycle dans la refti- tutîondcs Lunaifons. H. 1704. p. 71. & fq. Equation qui convient à ce Cycle pour le rendra exacV. /'^/^. p. 73. Ce Cycle corrigé par l'Equation, donne les Lu* naifons aufîi cxadcment que les meilleures Ta- bles Aftronomiques. ii?Jd. &c fq. Gycloïde ( la ) forte de Courbe , quand imaginée , & di- vulguée. M. 1 5519. p. I 34. Contcftation célèbre entre les Géomètres à {on occafion. /^/d'. Formation de cette Courbe. H. I (Î95). p. ^■ Corps qtti la décrit ou qui la fuit en tombant li- » hremcnt é-p^r fin propre poids , la prejfe toujours^ » également dans chacun de fis points. Propriété découverte par M. PARENT. ) H. 1708. p. 84. Cyclope (Chien) ou qui n'avoit qu'un Oeil, &:c. H. 1705. p.43.&:fq. ^ r • • CrMBALARiA OU Linaria hedersfoliis col. C.B. Delcrtption de cette Plante lue à l'Académie par M.MAR- CANT.H. 1704.P. 41. D DALESME(M. ) eft déclaré par le Roy , Académicien Vétéran , à caufe de fes Emplois pour Sa Ma}efté dans les Ports de Mer. H. 1706. p. i j 2. Propofc à l'Académie pluiieurs vues utiles ; Sçav. D'cmploïer pour force mouvante le ret fortdela vapeurdcrEauchaude.H.i7oj.p.i37. ^'- '■ • De plier des jeunes Arbres dans les Fo- rêts pour avoir plus aifement des Bois courbes propres à la Conftruélion des Vaiflcaux. ibid. Des Obfervations fur la manière de for- ger les Ancres , &c de bien faire l'alliage des Fers doux & aigres , dont elles font compofées. ibid. '■. '■ UaefpeccdeSyftêmedesCaulcsquifont jFumer les Cheminées , &: quelques moicns pour remédier à cet Inconvénient, ibid. Un Moïen de faciliter & d'augmenter L'aftion de ceux qui tirent des grands Battcaux- H. 1706. p. 140. DE L'ACADEMIE î^PS» — I7IO 19- DADESME ( M.) Propofe de fondre des Tuïaux de Plomb fans foudure &: fans rcprife , &c. ihid. De Q;arantir un Vaiifeau des Vers qm le ruinent dans un Pais chaud. ihid. p. 1 4 1 . Un Moïcn très fimple de remédier à l'inconvénient des Chevaux qui s'emportent. H. 1708. p. 141. DANGEAU(M. LE MARQUIS DE) Remplit àl'A- cadcmic la Place d'Académicien Honoraire, vacante par la Mort de M. LE MARQUIS DE L'HOPITAL, H. 1704. p. ï 3 5. Dan TES { Le P. Ignace) ( Egnatio Danti ) croit Membre de la Congrégation du Calendrier tenue àRome en I 580. M. 1704. p. 141. » Dartres . . " Hiftoire des Symptômes furvcnus aune M Dame à l'occafion d'un Remède appliqué pour des Dartres. Par M. DU VERNEY le jeune. « M. 1703. p. 18. Davizard ( M. ) Son Obfervation de l'Eclipfe de Lune du 2.3. Décembre 1703. faite à Arles. M. 1704, pp. 14. ôcfqq. de Soleil du 15. Septembre 165)5?. faite à Arles. M. 1701. p. 81. du 12. May 1706. faites à Arles. M. 1706. p. 464. DAUPHiNE'(le) . .. Fontaine brulante'de cette Province, examinée & décrite par M, Diculamant. H. 16519. pp. 23.&:fqq. La Montagne inaccefllble , ou Montagne de l'Aiguille de cette Province , ce que c'eft au vray \ H. 1703. p. 11. &fq. La Grotte de Nôtre- Dame de la Balme dans cette Province , obfervée par des Gens que Bbixj trpg TABLE DES MEMOIRES François I.y avoir envoies , Se depuis par d'au- tres 5 &: enfin par M. Dieulamant, qui en envoie une Dcfcription cxacle àrAcadcmic. H. 1700, p. 3 . &: l'q. » Déclinaison . . » Méthode pour obfervcr la différence „ de Déclinaifon &: d'Afccnfion droite de deux ■=« Aftres pcuéloignés. H. 1701. p. 91. M « Métliodcs générales pour trouver la differcn- • M ce enDccIinaifon &: en Afccnlion droite de deux ,» A lires qui font peu éloignés l'un de l'autre , en fe » fervantdu Micromètre ordinaire. Par M. DE «■ LAHIRE. M. 1701. p. ICI. Table des Déclinaifons de tous les degré s&: Minutes de l'Ecliptlque calculée par M. De Cla- fics &: envoiécàM. CASSINI.H. 1704. p. 74. DcrAiman,r(?/dx, Aiman. Décoctions ( les ) des Purgatifs Végétaux font moins d'effet que les Infuàons. H. 1710. p. 44. Degré'.. Valeur d'un Degré Tcrreftre. H. 1700. p. izj. îj Délire . . ( " Sur le) Mélancolique. H. 1709. p. 11. Caufe de ce Délire fuivanr M. Vicuffens le Fils , en fuppofant que le Centre Ovale cft lefiegede l'Efprit. iùid. p. 1 1. ëc fq. Violent guéri par desConccrts. H. 1707.P. 7. &fq. Furieux d'un Maître à danfer , guéri par des Airs deMufique. H. 1708. p. ii. & fq. DELISLE ( M. ) cft nommé Elevé à l'Académie par M. CASSINL H. 1701. p. 79. Prouve à l'Académie l'ancienne Communica- tion de la Méditerranée & de la Mer Rouge. H, I70i.p. 84.&fq. Donne auPublic une Carre de l'Empire Romain &: des Pais Barbares dont il étoit environné, &c. qu'il appelle Théâtre Hifioriquc. H. 170 J. p. 1 19. Remarques fur cette Carte, ibid. & fq. DE L'ACADEMIE i^P9 — I7IC ^'J9 Mémoires de M. DELISLE imprimés dans les Mémoires de l'y^cademie. i6pp. •lyio. :,, »• » Conjectures fur la Pofition de i'Ille deMcroé,. M. lyoS.p. 36J. »• » Obfcr varions fur la variation de l'Aiguille par »- rapportàlaCartcde M.Hallcy ; avec quelques sr Remarques Géographiques faites fur quelques " Journaux de Marine. M. 1710. p. 3 y 3. Delorme ( M. ) &: m. Aubri , Médecins à Moulins , ont fait boire les premiers des Eaux de Bourbon , qui n'étoient avant eux en ufage que pour le Bain, M. 1707. p. I 12. Delta.. Carte du Delta levée par M. Boutier , &:c.H, 1702.P.83. Déluge { le) en quelle faifon de l'Année efl; il arrive > H. 1710. p. zz. Explication Mécanique du Déluge. z'^/V/. p. zi. Densite's de l'Air &c de l'Eau, peuvent être propor- tioncUes à leurs puilïances réfradives. M. 1700. . p.Si. Ufage de cette Conjedure à l'égard des Ré- -r fradions Aftronomiques. /^/W. p. 8z. Les Rapports des PuifTances réfraélivcs de di- vers Milieux différent fouvent de ceux de leur Denfité ou de leur Pefanteur. ii^ial. p. 8 1 . » Dents . . " Sur les Dents. H. 1699. p. 41. Ce que c'eft que l'Email des Dents. iMd. L'Os de la Dent ne croît point dans les Adultes. Comment les Dents fe gâtent ? iù/d. p. 42. Percées à un Homn;e âgé de 70. Ans. H. 1703. - P-57' . ■2<)o TABLE DES MEMOIRES Démangeaison univerfcUe à la Peau gucrie par l'ufage de la Laitue commune. H. 1704. p. ^^.&cf(\. .Demoiselle ( forte d'Infecte) Son origine eiHeFormica- Leo. M. 1704. p. 141. » '• Obfcrvation fur cette forte d'Infecte, qui s'ap- M pelle ordinairement Demoifellc. Par M. HOM- » BEF\G. M. 1699. p. ï^^. Defcriptiondel'EfpccequcM. HOMBERG a obfervce. /ù/d. Leur Accoupplcmcnt. iùid. p. 147. Defcription de leurs parties internes. il>id. p. 148. &fq. Dépense ( la ) des Liqueurs fe peut mefurer de trois ma- nières différentes. H. 170 3. p. 12,9. De'rham { M. \'V'illam) Comparaifonde fcs Obfervations fur le Baromètre S>c fur les Vents faites à Vpmin- fter en Angleterre en 169J. Se 1698. avec les mêmes faites à Paris. H. 1699. p. zi. &:fq. Descartes ( M. ) Sapenféefur le Siège de l'Ame dansla Glande Pineale , eft purement imaginaire ; H. 1709. p. 1 1. Fondement de fon Hypothéfc des Tourbillons, H. 1700. p. 98. Son fentiment fur la Génération du Feu.M. 1 6$s>. P-33- Sa Règle pour la Conftruction des Egalités, atta- quée par M. ROLLE , & derfcndue par M. DE LA HIRE. H. 1710. pp. 88. & fqq. Son Explication de la Grandeur apparente de la Lune à l'Horizon &c au Méridien, détruite par LE P. GOUYE, & pourquoi ? H. 1700. p. 8. Son fentiment (ur la nature du mouvement atta- taquc par un Philofophe qui y fubllituc un nou- veau Syrtéme. H. 170 1. p. 14. Eft tombé dans des Erreurs au fujet du Choc des Corps. H. 1706. p. lij-. Descente DE L'ACADEMIE 1^99 — Î7IO 2-01 V Descente ( » Sur les Courbes de la plus vifte ) H. 1705?. p. 68. Ce Problême propofé & rcfolu fous diftercntcs conditions par plufieurs Géomètres. M. 1699. p. 107. H. 1709. pp. 68.71. 74. 78. M. 1709. pp. 26. & fqq. 2.J7. & Iqq. Théorie générale de ces Problèmes. H. 1709. p. 68. La Cyclo'idey fatisfait. ibid. p. 71. » (Courbes de) ■> Méthode pour trouver des Cour- » bcs le long defquelles un Corps tombant s'appro- » che ou s'éloigne de l'Horizon en telle raifon des M Tems qu'on voudra, & dans quelque Hypothéfc de VitelTe que "ce foit. Par M. VARIGNON. " M. 1699. p. I. « " Addition à ce Mémoire , &c. Par M. VARI- '.' GNON. M. 1703. p. 140. Deshayes ( M. ) Foïez, Hayes ( M. Des ) Desseche's ( Bras &c Mains ) &: fcparés d'eux mêmes du refle du Corps montres à l'Acadcmiepar le Sujet même à qui cet Accident étoir arrivé. H. 170 3. p. 41. Destau (M.) Machine roulante de fon Invention dont l'Axe porte fur chacune de fcs quatre Faces une rangée de Moufquers qu'un Homme fcul peut tirer à la fois, approuvée par l'Académie. H. 1704. p. 114. Déterminations trop précipitées en Aftronomie, font perilieules. Exemple dans le cinquième Satellite de Saturne. H. 1707. p. 96. & fq. Develope'e , en fait de Courbe, ce que c'cft î H. 1701. p.8i. M. HUYGHENS cft le premier Autheur de ridée des Dévclopemcns. tbid.^. 8z, » ("Sur les Raionsdcs ) des Courbes conçues corn- « me formées d'Elemens Courbes. H. 1706. p. 90, Td). des Mat. \6^').— 1710. Ce 102 TABLE DES MEMOIRES ■> Develope'es ( les ) >> Recherches fur les Courbes gco-> " rxierriqucs & mécaniques , où l'on propofe qucl- » qucs Règles pour trouver les Raïons de leurs » Dévelopces. Par M. ROLLE. M. 1707. p. » " Sur une Efpece imparfaite de Dévelopées.H, »; 1709. p. 64. Ce que c'cll: que cette Efpece , & pourquoi nom- mée imparfaite î /l>id. & (q. Méthode générale de trouver les Ra'ions & la Nature des Dévelopées imparfaites imaginées par M. DE RE AU MUR. M. 1709. p. ijo. &fq. La Théorie des Dévelopées rendue plus géné- rale par M. DE REAUMUR. H. 1709. pp. 64. & fqq. Formules générales pour trouver les Raïons des Dévelopées quelconques , c'eft-à-dire quelque foit l'Angle confiant fous lequel des Lignes droites rencontrent une Courbe. M. 1705). pp. 186. & fqq. »> " Méthode générale pour déterminer le point » d'interfedion de deux Lignes droites infiniment » proches qui rencontrent une Courbe quelcon- » que vers le même côté fous des Angles égaux , » moindres ou plus grands qu'un droit ; & pour » connoître la nature de la Courbe décrite par une » infinité de tels points d'interfeftion. Par M. DE REAUMUR.M. i7os).p. 149. »": « Formules générales pour déterminer le point » d'Interfeclion de deux Lignes droites infiniment M' " proches qui rencontrent une Courbe quclcon- » que vers le même côté fous des Angles égaux. Par » M. DE REAUMUR.M. 1709. p. 18 j. Du Cercle , ce que c'cll ; H. 1705). p. 6j. DE L'ACADEMIE 1^5,9—1710 203 Develope'es (les) de la Logarichmiquc Spirale , ce que c'cll ? ibid. M " Redifîcation des Cauftiqucs par Reflexion, »j. formées par le Cercle , la Cycloïdc ordinaire &; >» la Parabole , &: de leurs Dcvelopées avec la me- » fure des Erpaccs qu'elles renferment. Par M. CARRE'. M. 1703. p. 1S3. Diamètres ( les ) aparents d'une même Planète en divers Tems , font entr'cux en Raifon renverfcc de la Diftancc de cette Planète à la Terre. M. 1705). p.iyz. Aparent de la Ljjne, Méthode de le déterminer par Obfervation. M. 1703. p. 6. De l'Ombre de la Terre, Méthode de le déter- miner pour les Eclipfes de Lune. ibid. p. 6. &fq. De la Terre ; Erreur que l'on commet en le cher- chant par rObfervation de la Tangente , &c. M. 1707. p. 196. Obfervation des Diamètres du Soleil & de la Lune dans l'Eclipfe de Soleil du 13. Septembre 165)9. M. 1(35)5). p. 277. Fo/i'i dii^^ji Observât. Diaphane. Un Corps peut être Diaphane de deux ma- nières , fuivant M. HUYGHENS,&: com- ment ? H.1710.P. 113. DîATONiQiiE ( Syftême de Mufique ) eft fuivi en Europe. M. 1707. p. Z03. Inconveniens de ce Syftême. ibid. pp. 103. & Julie ne peut être applique aux Voix ni aux In- ftrumcns , &c. ibid. p. zo6. Table des Syftêmes tempérés , comparés au Sy- ftême diatonique jufte. /^/W. p. 211. & fq. Didier ( M.) Medecinde Balaruc , aide M. REGIS dans l'Examen des Eaux Minérales de ce Pais, H. i'55;5i. p. 56. Ccij ao4 TABLE DES MEMOIRES DiEVLAMANT ( M. ) Ingénieur du Roy à Grenoble , en- voie à l'Académie la Dcfcription de la Fontaine brûlante de Dauphiné. H. 1699. pp. ij.&fqq. (...) Envoie à l'Académie la Dcfcription exaftedela Grotte de Notre- Dame de laBalmc en Dauphiné. H. 1700. p.4. &: Tq. Différentiel (le Calcul) par qui invente S>c perfcûion- né 'i H. 1704. p. 119. ( ) Sa différence d'avec le Calcul Intégral. H. 1700. p. 102. Ce que c'eft que ces deux fortes de Calcul ? ihid. Difficulte's.. . AvantaG;c des Difficultés faites contre les nouveaux Syftcmcs. H. 171 o. p. 53. Digue ( DciTcin d'une ) avec fes Portes , &c. pour rendre la Rivière de la Rue près de Condat en Auver- gne, capable de flotcr des Mats de Navires , Sec. inventée par M. Bourgeois, & approuvée par l'Académie. H. 1704. p. 114. » Dilatation ( » Sur la ) dcl'Air. H. 1708. p. 1 1. La Dilatation de l'Air eft plus grande lorfqu'il eft humide, ihid. p. \z.&c fq. M «Sur laCondcnfation & Dilatation de l'Air. Par M.DELAHIRElcFils.M. i7oy.p. iio. »> » Expériences &: Remarques fur la » Dilation de l'Air par l'Eau bouillante. Par » M.DELAHIRE.M. 1708.P. 274. Expériences qui femblent prouver qu'elle ne fuit pas la raifon réciproque des poids ■ . dont l'Air eft déchargé. M. 1709. pp. 141, > &: fqq. Voi ez, aujj. Aik. Des Liqueurs , Expériences fur leur force éton- nante. M. 17 10. p. 6. &: fq. » " Sur la Dilatation des Vaiflcaux par la Chaleur^ « H. 1705. p. 4. DE L'ACADEMIE 1699 — I7Ï0 20- DiOPTRiQUE ( la) Son grand principe efl: le rapport con« ftant des Sinus des Angles d'Incidence &c des Anglcsdc Réfratliion.H. 171 o. p. iiz. Dissection du Cadavre d'une jeune Fille par M. POU- PART.H. 1700. p. 35. Dcfïaut d'un grand nombre de parties dans ce fujet. /'/-/V. Cette Fille eut été ftérile , &c pourquoi ? ihid. Du Cadavre d'une Femme morte d'une Hydro- pifie particulière, par M. LITTRE. M. 1703. pp. 90. &c Tqq. Du Cadavre d'un Homme mort fubitemcnt , 3c qui par un Coup reçu fcizc Ans auparavant dans le Sternum , avoir des battemens de Cœur ii vio- lens qu'on les entcndoit quelquesfois de dix pas par M. LITTRE. H. 1704. p. 2^. & fq. Du Cadavre d'une Femme ftérile ,& qui entr'- autrcs accidens crachoir ou mouchoit du Sang dans le tcms de fcs Régies , par M. LITTRE. H. 1704.P.27. Du Cadavre d'un Homme mort après une perte de Sang , caufée par un U iccrc dans l'Eftomach. par M. LITTRE. H. 1704. p. 30. Obfcrvation extraordinaire à la Diffcétion du Corps d'une Sœur de la Charité envoiéc par M. Poirier. H. 1700. p. 37.& Tq. De la Cuiflc & du Pied d'un Aigle. H. iê^s>9- p.yi- Du Caftor mâle &; femelle. M. 1704. pp. 48. &fqq. Du Pélican. H. 1699. p. p. Du Tigre raïé faite à la Chine, iù/d. DISSENTERIE l ,^,,,^ D Y SSENTERIE DiSSENTERIQl'E J "Dissolutions ( »Surlcs ) Se Fermentations froides.- • H. 1700. p. J5. _ Ccii^ 405 TABLE DES MEMOIRES DissotUTioNS. . Pourquoi les DUrolutions fimplcs font- elles froides ; H. 1700. p. 55. » >. Obfeivations fur les Didolutions &: fur les ., Fermentations que l'on peut appellcr froides , » parce qu'elles font accompagnées durefroidilTe- » mentdesLiqueurs dans leiquelles elles fc partent. Par M. GEOFFROY. M. 1700. p. iio. Froides &c lans fermentation de la plupart des Sels dans pkifieurs Liqueurs. ié>id. Expériences des Dill'olutions froides, iùid. p. 1 1 1 . & fq. Expérience d'une Diffolution Saline excefTive- ment froide. /l?id. p. 1 1 <î. &: fq. .> >. Expériences fur les DilTolutions Sc fur lesFcr- » mentations froides de M. GEOFFROY , réïté- » rées dans les Caves de l'Obfcrvatoire. Par M, AMONTONS.M. i7oy.p.83. Raifondu refroidiilcmcnt des DilTolutions des Sels. M. 1700. p. 113. Raifon de la Chaleur de la DilTolution des Sels Lixivicls Alcalis, ii?/ ^. p. 1 1 4. Obfervation curicufe de Chimie fur la Diflblu- tiondes Métaux. M. 170 1. p. 44. Il y a des Liqueurs qui diflolvent tous les Mé- taux , & d'autres qui n'en diflolvent qu'une par- tic. M. 1706. p. 101. Les Métaux peuvent être diftribués en trois clafTes, par rapport aux Efprits Acides dont on fefert pour les dilToudre. M. 1700. p. 190. &fq. M " Obfcrvations fur une Diffblution de TArgent. » ParM.HOMBERG.M. i7oé.p. 101. La Diflolution du Fer mêlée avec l'Huile de Tartre produit des Végétations. M. 1707. p. J o y. >' Des Difiolvans &c des Diflolutions du Mcr- pure. H. 1700. p. y 5. DE L'ACADEMIE 1695)— lyio zqj !• DissoLVANS. .. » Obfcrvations Rir les Difl'olvaiis ciu Mercure, Par M. HOMBERG. M. 1700. » p. 1510. » «Suite des Obfcrvations fur les DifTolvans du Mercure. Par M. HOMBERG. ihid. p. 196. Les Eaux Régales diflblvent le Mercure comme font les Eaux Fortes, ibid. p. 1 95. Les Acides Minéraux diAolvent le Mercure, ihid. Distances (les) des Planètes à la Terre font en raifon réciproque de leurs Parallaxes. M. 1709. p. lyz. , , . d'une même Planète à la Terre font en raifon réciproque de fcs Diamètres apparens, ihid. Distance ( la ) moïenne de Saturne au Soleil , quelle ? M, 1704. p. 317. < Méthode de la déterminer, ihid. Dî s T iLLA T I ON (la) cft pcu propre à faire connoîtrc la na- ture des Mixtes, ic pourquoi ? M. 1700. pp. 5. & fqq. "Division d'Liftruments. » Méthode générale pour la » divifion des Arcs de Cercle ou des Angles en au- =1 tant de parties égales qu'on voudra. Par DE LA " HIRE. M. 17 1 o. p. ioo. DODART ( m. ) Sa NailTance , fcs Parents , fes Etudes. H. 1707. p. i8i. Témoignages que lui rendent Guy Patin &; le P. Defchamps Jcfuite. ihid. p. 18 j, M. Le Comte de Brienne veut fc l'attacher, ihid. p. 184. M'^ LaDucheffc de Longueville & M'^laPrin- cefl.'c de Conti Douairière le choifilTent pour leur Médecin, ibid. p. 1 84. &: fq. Eftreçii dans l'Académie. /ii^. p, 18 (î. S'attache à l'Hiftoire des Plantes, ibid. to8 TABLE DES MEMOIRES DODART (M.) compofc la Préface d'un Rcccuil fur cette matière , mis au jour par l'Académie, ihid. Etudie la Tranfpiration infcnfible du Corps Hu-. main. Ses expériences à ce fujer. ibid. p. 187, &: fq. Avoit formé le dcflcin de compofer une Hiftoire de la Médecine , &: une de la Mulique ancienne. ihid. p. 189. Protefte contre la Circulation de la Sève dans les Plantes. H. 1709. p. 4^. Idéedefon Syftcmc fur la grande fécondité des Plantes. H. 170 1. pp. 75.6.: fqq. „ " Sur fon Obfervation du Parallelifme de la » Touffe des Arbres avec le Sol qu'elles ombra- y, gent. H. 1699. p. éo. Rapporte à l'Académie la guerifon d'une Fièvre , & celle d'un Délire par des Concerts de Muli- .quc. H. 1707. p. 7. & fq. Fait voir à l'Acadcmic douze Pierres alTcz greffes tirées à un Italien. H. 1701. <^z. Sa Mort &c fon Eloge fait a. l'Impromptu par M. L' A B B E' B I G N O N. H. 1707. p. 191- 5cs Mœurs , fa Charité envers les Pauvres , fès qualités pcrfonnellcs &: Académiques. Jbid. pp. J90. & fqq. Sa Place à l'Académie par qui remplie. ii>Id, p. I9i- Son Eloge. Par M. DE FONTENELLE. iùid. pp. 182. &:fqq. LISTE DE L'ACADEMIE i(î5)5) — ^V^ 109 LISTE CHRONOLOGI^VE des Mémoires imprimés de M. DOD^RT. i(jc,cj. " 1710. w " Sur TafFedation de la Perpendiculaire remar- « quable dans toutes les Tiges, dans plufieurs Ra- w cines , & autant qu'il cft poillble dans toutes les >• Branches des Plantes. M. 1700. p. 47. »> " Sur la Multiplication des Corps vivans confi- ». derée dans la fécondité des Plantes. Premier » Mémoire. M. 1700. p. 136. M w Mémoire fur les Caufes de la Voix de l'Hom- » me , & de Tes differens Tons. M. 1700. p. »> 2,44. » Notes fur ce Mémoire , &c. ibid. p. Z74. » » Second Mémoire fur la Fécondité des Plantes, » Conjcdurcs fur cefujet. M. 170 1. p. 141. » " Supplément au Mémoire fur la Voix &c fur les « Tons. Première Partie. M. 1706. p. 1 3 6. » "Suitcde la première Partie du Supplementau »» Mémoire fur la Voix & fur les Tons. QLiatriéme y, Addition. De la différence des Tons de la Parole w &c de la Voix du Chant , par rapport au rccita- » tif, : paroccafion des Exprcflions de la Mu(i- ». que antique , &: de la Mulique moderne. M. » 1706. p. 388. " » Supplément au Mémoire fur la Voix &: fur les Tons. Seconde Partie. M. 1707. p. 66. DoMiNGUE ( Iflc St. )_ Latitudes obfcrvces dans cette Ifle. H. 1701. p. 105). Longueurs du Pendule obfervées aux mêmes Lieux, iùid. T'ai;, des Mat. 16^^.— 1710, 04 iio TABLE DES MEMOIRES DoNAT ( M. De St. ) Chirurgien de Siftcron , les Obfcr- vations fur une Tumeur crue au TelHcule d'un. jeune Homme. H. 1700. p. ^6.&c(q. Dorer.. l'Eau Minérale d'Aix la Chapelle dore les Métaux , &c pourquoi ? H. 1700. p. yp. Le Pus des Abfcés de Poitrine dore les Inftru- mens des Chirurgiens. lèid. Doreur de Livres, la Delcription de cet Art donnée à l'Académie par M.DES BILLETTES.H. 1706. p. 141. H. 1707.P. 1^4. Doux (le) Saveur . . D'où produit , félon M. LEMERY, H. i7o(î.p. 37. Un Mixte ne doit pas erre plus doux , parce qu'il contient plus d'Huile. H. 1703. p. 46. DRAcVNcVL'VsJî've Serpentaria TrifhylU Brafiliana. Des- cription de cette Plante donnée à l' Académie par M. MARCHANT. H. 1709. p. y i. Drogues (certaines) & quelles, très puantes par elles mêmes , produifent une Odeur de Mufc étant jointes enfemhle. H. 1706. p. 6. & fq. Drogues liquides. .. Difficulté de les mefurer cxadc- menr. M. 165)9. p. 45-. Lifuififance des anciens Aréomètres, ibid. p. Conftrudion &ufaged'un nouveau plus exaiSt. par M.HOMBERG.H. i65)5).p. 53. M. 16957. p. 46. & fq. Drogues des Indes Orientales, du Brefil & du Pérou apportées à l'Académie par M. De La Marre Officier de Marine. H. 17 10. p. \G. DuNKERQUE . . . Tems moien de la Haute Mer à Dun- kerque au tems des Syzigies & des Qiiadratures,. M. 1710.PP. 321. 314. 333. » » Reflexions fur les Obfervations du Flux & du •> Reflux de la Mer faites àDunkerque en 170 î. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 irt -. &C 170Z. par M. De Baërt Profcflcur d'Hy- drographie. ParM.CASSINIle Fils. M. 17 10. » " p. 318. Obfcrvation de rEclipfc de Lune du 13. Dé- cembre 1703. faite à Dunkerquc par M. DE CHAZELLES. M. 1704. pp. i4.&fqq. Duodénum {IntcJIin) ...Pierres trouvées dans un Hic formé par l'cxtenlion du Duodénum. M. 1710, P-37- Conjeéliures de M. CHOMEE fur la formation de CCS Pierres en cet endroit, ibid. p. 3 8. ij Duplication du Cube ( » Sur la ) H. 1699. p. 71. La Duplication du Cube prétendue trouvée pr^r leDodeur JeanRaimondConinckius Perouan. ihid. Paralogifmc dans fa Solution découvert par M. • DELAHIRE./^/V. Dure-Mere {Membrane du Cerveau) efl: toujours exaflrc- ment collée à la Surface intérieure du Crâne. K. 170J.P. jo. Grains glanduleux fcnfibles montrés dans la Dure-Mere , leur ufagc î M. 1704. p. 3^. &: fq. Amas de grains femblablcs à des petites glandes trouvés par M. MER Y dans le Sinus longitudi- nal de la Durc-Mcrc d'un Homme. H. 1701. p. 50. Dureté' des Corps , d'où vient-elle l M. i6>^<). p. ^7- Dyssenterie .. . La Gratiole cft un Remède pour la Dyffenterie , prefqu'aufll bon que l'Ypecacu- anha. H. 170^. p. 63. DyssenteriqJ-ie . . . Eflays de l'Eau de Chaux fur un Dyflentcrique. M. 1700. p. lij. Ddiï îiTi TABLE DES MEMOIRE S E Eau ( r ) & l'Air travaillent à nos ufagcs. H. Kjpp. r p. loi. Ses parties ont une tcnacitc & une tclleadhcrcn- i ce à certains Corps mouilles & joints enfcmble, qu'elle refifte même fortement à leur réparation. H. 1703. p. 8(î.&fq. 5> " Sur la mefurc & fur la pcfantcur de l'Eau. H, » ijoi.p. 8. « "Remarques fur la mcfure &: fur la pcfanteur de l'Eau. Par M. D E L A H I R E. M. 1701. p. 170. Cette matière examinée par MM. PICARD , DE LA HIRE& BOULDUC. /i^/V. w " Du mouvement des Eaux. H. 1703. p. 115^. Principe du mouvement des Eaux que l'on croïoit être un principe d'Expérience, démon- tré Par M. VARIGNON. H. 1703. p. 116. Trois manières différentes de mefurer la dépenfe des Eaux. iùld. p. 1 2.9. sr " Du mouvement des Eaiîx,ou d'autres Liqueurs » quelconques de pcfxntcurs fpccifiqucs àdifcre- w tion ; de leurs Viteffcs , de leurs Dépenfcs par K telles ouvertures ou fcélions qu'on voudra , de » leurs Hauteurs au dcffus de ces ouvertures , des »■ durées de leurs Ecoulemcns , &c. Par M. VA- > RIGNON. M. 1703.P. Z38. , ^ . Régies pour connoître la viteffe de l'Eau par fon eftort ou Hauteur du Réfervoir &: récipro- quement. M. 1701, pp. 257, &: fq. Z55). èc DE L'ACADEMIE i(?PP— I7I0 n; £au . . . ( r ) La connoiflancc de la véritable longueur du Pendule , cft utile pour la jauge des Eaux cou- "" rantcs.M. 1700. p. 176'. & fq. Machine pour TElcvation des Eaux inventée par le Sr. Gay &: approuvée par l'Académie. H, 170Z.P. 138. n " Sur la Refiftance des Tuiaux Cilindriques w pleins d'Eau. H. 1707. p. ii(î. MM. MARIOTT E &: ROEMERfbfont trompés en cette matière félon M. PARENT, iùhi. p. 1 27. Théorie de cette Refiftance. /'^/V/. pp. i zj. &£ La denfitc de l'Eau peut être proportionnelle à fil puiilancercfraétive. M. 1700. p. Si. » " Deux manières de Roues à épuifer l'Eau. Par M. DES BILLETTES. M. 1 65)9. p. 1 84. Peut paft'er où l'Air ne paflc point. H. 1700. P-M- Expérience fur ce fujct par M. HOMBERG. iù/d. Ne peut pas fe confcrver dans les Voïagcs de long cours parle Souftre comme fliit le Vin , èc pourquoi ? H. 170 j. p. 38. Les Yeux des Animaux plongés dans l'Eau, re- çoivent plus de lumière qu'à l'air ; & pourquoi ; lelonM. MERY. H. 1704. p. i(î. &fq. Pourquoi l'on voit aifcment au fond de l'Eau lorfqu'on y a les yeux plongés. M. 1704. p. 166: Chaude, le Reflbrt de la vapeur qtû s'en élevé , pourroit être emploie pour une force mouvante, H. 1705. p. 137. Expériences de la raréfaction de l'Air par la cha- leur de l'Eau bouillante. M. 165)9. pp. 113.- &:rqq. Ddiij ■SI ii4 TABLE DES MEMOIRES £au ... Chaleur de l'Eau bouillante à des bornes, M. \Gç)c,. p. 114. Combien la chaleur de l'Eau bouillante .lugmcn- te la force du Rciîorc de l'Air, ibid. Le tcu appliqué immédiatement à l'Air aut^mcn- te plus la force de fon Reflort que la chaleur de l'Eau boviillante. ibid. p. 119. Bouillante, autantqu'elle peut bouillir, n'aug- mente plus fa chaleur , & pourquoi \ H. 1703 . p. 2j.&fq. 9 » Expériences & remarques fur la dilatation de l'Air par la chaleur de l'Eau bouillante. Par M. ^, DE LA HIRE. M. 1708. p. 274. Les Plantes en confument une très grande quan- tité pour leiu- entretien. H. 1703. p. 3. .Expérience à ce fujct par M. DE LA HIRE, ibid. Se charge de fer avec une grande facilité , &; s'en dépouille difficilement. H. 1708. p. 65-. %hXi de Négcs fondues doit être exclue des Ciftcrnes , & pourquoi \ M. 1703. p. 66. Des Cifternes cft la meilleure dont on puiiTe ufer &L pourquoi ? ibid. p. 65-. De Pluie qui fcntoit la fumée , &; pourquoi î ibid. p. 67. »» Eau de la Pluie >. ( Remarques fur 1' ) &: fur l'origine des Fontaines avec quelques particularités fur la ,* conftruction des Cifternes. Par M. DE LA it HIRE. M. 1703. p. 55. Ne peut pas pénétrer la Terre jufqu'à deux pieds de profondeur. Expériences fur cette m.a- tiere faites par M. DELA HIRE. M. 1703. pp. 5S.&fqq. Ne fc confervc pas l'Air, ibid. p. 6%. \ de Pluie ) l'oïez, aiejj^ Plu i e. _ - DE L'ACADEMIE 1^99 — lyio Z15 Eau ( r ) de Mer eft plus brillante &: plus claire qu'aucune autre. H. 1710. p .zy. &:fq. w Eau de Chaux >. ( Sur 1' ) H. 1700. p. ^4. Ce que c'efl , &: fon ui'agc. ibid. &: fq. Voiez.. Chaux. Eau-de-Vie contient peut-être mohis d'Air que rEfpric de Vm. H. 1706. p. 3. Si l'on enlaveleTuiau d'un Baromètre, le Mer- cure s'y tient plus bas que dans d'autres , & pour- quoi, ihid. p. 1. &: fq. Suite extraordinaire d'un Lavement d'Eau-de- Vie&: de Camphre. H. 1700. p. 56. Eau Seconde. . Son Rapport en pe(antcur au Mercure, M. 1708. p. 166. EAUxFortes l'Efprit de Nitrcydominc.H. i70(î. p. 31. Les Eaux Régales diflolvcnt le Mercure comme font les Eaux Fortes. H. 1700. p. jé. M. 1700, p. 196. Les Acides du Corps humain peuvent avoir du rapport aux Eaux Régales ou aux Eaux Fortes. M. 1700. p. 64. Eau Régale l'Efprit de Sel mêle avec l'Efprit de Nitre y domine. H. 1706. p. 30. Pourquoi difTout-ellc deux fois autant d'Or que l'Efprit de Sel en pareille quantité. M. 1699, p. yo. Diflolvcnt l'ArQ-ent en obfervant certamcs cir- confl:anccs. M. 1706. p. 103. Diflolvcnt le Mercure comme font les Eaux Fortes. H. 1700. p. jô. M. 1700. p. 196. ^ Eaux Minérales étant buës,paflcnt fort vite. H. 170 1., p. 34. Chaudes , conjedure fur leur origine. M. 1700, p. loy. Examen d'Eaux Minérales. H. 1699. p. jj» J 116 TABLE DES MEMOIRES » Eaux Min. ( » Surpliificurs ) de France. H. 1708. p. ^j. Leur Examen fat un des premiers Travaux de rAcadcmic ilpid. D'Aix la Chapelle, dore les Métaux, &: pour- quoi? H. 1700. p. j5?. Eaux De St. Amant près Tournay, examinées par M. BOULDUC. H. i(î99.p- 5^. Eaux de Balaruc examinées par M. REGIS , aidé de M. Didier Médecin. H. 1695). p. ^6. Eaux de Bourhon,n'étoient autrefois en ufagc que pour le Bain, par qui données en boiflbn. M. 1 707. p. 1 1 1. Sont chaudes &c confcrvent plus leur chaleur que l'Eau bouillante. ii>id. p. 1 1 3 . Ne bouillent pas plutôt étant miics fur le feu,que d'autre Eau, &c ne flctriilcnt point les Plantes, il: Précautions que doivent prendre ceux qui en font ufagc. /L'âl. p. 110. Phyliciens qui ont travaillé à l'Examen de ces Eaux. ihid. p. 58. Examinées par M. G E O F F R O Y. H. 1702. p.43.&fq. « " Examen des Eaux de Bourbon. Par M. BUR- » LET. M. 1707. p. iii. Eaux de Bourbon l'Archambaut , &: de Bourbon- Lancy , examinées par M. C H O M E L. H. 1708. p. 6o.&:fq. De Bourbonne en Champagne .. obfcrvation fur les Eaux de Bourbonne Se de Plombières. H. 1700. p. JJ». & (q. DelaBourhoule en Auvergne , examinées par M. CHOMEE. H. 1708. p.'^ôo. & fq. DeCarcnfacdanslc bas Rouërgue , examinées par M. LEMERY. H. 170 j. p. 67. De Chaudes-Aiguës en Auvergne, examinées parM.CHOMEL. H. r/oS.p.ôo.&fq. Eaux DE L'ACADEMIE i(î99 ^ ijrc zij Eaux d'Evaux cia Auvergne , examinées par lemêmc. ihid. De Forges, examinées par MM. DODART& MORIN.H. 1708.P. J7. Du Monr d'Or en Auvergne , examinées par M, C HO M EL. H. 1701. p. 44. H. 1708. p. 60, &% De Néri en Bourbonnois, examinées par le mê- me. H. 1708. p. 60. &: fq. De PalFy près Paris , examinées dans les corn- mencemens de l'Académie, par M. DU CLOS. H. 1701.P. 65. Nouvellement examinées par M. LEMERY le Fils , & trouvées différentes , &: pourquoi ? ibid. De quelles matières font compofées ks Eaux de Paffy. /i/W. &: fq. Ufage de ces Eaux. ibid. p. 64. & fq. De Plombières en Lorraine , Obfervation fur les Eaux de Plombières. H. 1700. p. 59. &fq. De Vézelay en Bourgogne , examinées par M. LEMERY. H. 1705. p. 66. & fq. De Viclii en Bourbonnois , examinées par M. GEOFFROY. H. 1702. p. 43. &: fq. par M. C H O M E L. H. 1708. p. 60. & fq. '«» " Par ■ L.:: • M.BURLET. M. i707.p.5)7. Eau de Ste Reine gardée dans une Bouteille pendant 14. ans fans aucune corruption, & feulement avec . '•!., , :. ■ un très léger Sèdiment.'H. 1703. p. 18. Eau de Fontaine de Montmartre, donne de l'amertume aux Bouillons cjue l'on en fait.^ M. 1703. p. 'X.ib. aes Mat. 16^9. — i7i Confcudion nouvelle &: » Géométrique des Cartes réduites & des Echel- IcsdeLatitmk.ParM.DELAGNY. M. 1703. p..91i- j- » Suite de ce Meinolre. ibld. p. 99. Delïaut des ancien, invent, par Snellius. ;'^.p.97. Echo , . . Relation d'un Echo envoie à l'Académie par M. l'Abbé Teinturier Archidiacre d^ Verdun. H. 1710. p. 18. &r fq. EcHOMETRE,ccquec'eIl;M. 1701. p. 317, Sa divifion & fon ufage. ibid. & fqq. Eclairs. .Pourroientétre la caufe des Vents variables, H. 1708. p. 3. a, « Explication Phyfique & Chymique des Feux » ^-_' ■• fouterrains, des Trcmblcmens de Terre , des .^ . Ouragans, des Eclairs & du Tonnerre. Par M. 75 LEMERY.M. 1700. p. loi. . La Matière des Eclairs n'eft qu'un Souffre enflâ- V-T. tnc./bid.-p. loi. & fq. "''" ■"' Expérience à ce fujet. pp. 102. & fqq. Comment le Vent Sulphureux qui les caufe, peut-il s'allumer dans les Nues. ib/d. p. 107. EciirSES [ Obfervations des ) fervent autant à la cer- titude de la Chronologie , qu'à la perfedion de " '-' la Géographie. M. 1703. p. 27. DE L'ACADEMIE 1^9^ — 1710 xj^ Eclipses de Lune peuvent varier conlidcraWemcnt par dcscaufes Phyfiques. M. 1708. p. 406. ...... Caufcs de la variété &: delà différente couleur de l'ombre qu'on obferve dans cesEcli- pfes. H.1704. pp.y9.& fqq. M. 1704. p. 3 ^^..&cCq. La Parallaxe horizontale de la C cft importante dans la détermination des Eclipfes. H. 1703. pp. 78. & fqq. La véritable figure de la Terre doit être emploiée dans leur détermination. M. 170S. p.4i3.&rq. Diverfe fituation des Tâches dans les Eclipfes de Lune, doit être obfervée, &c pour- quoi; H. 1703. p. 81. &fq. Ne font point caufées par l'ombre de la Terre , mais par celle de l' Atmofphere de laT er- re. il?id.p. Sj.&l fq. La C eft quelquesfois colorée dans les Eclipfes totales , Se pourquoi ; ihi^. p. 84. & fq. Méthode de déterminer le diamètre de l'ombre de la Terre dans les Eclipfes deC.M. 1703. p. (<. &fq. De o & de C- Réticule nouveau de M. DE LA HIRE pour faire ces Obfervations , &:c. M. 1701. pp. 119.& fqq. De C- Phénomènes particuliers obfervés dans celle du 23. Décembre i70 3.M.i704.p.2i.&:fq. Dec du i4.Janvier 170 2. caufée feulement par la pénombre de la Terre , obfer7ée par MM. De Plantade &:CIapiés.H. 170Z. p. 73. Calcul de celle du i j. Mars 16519. donné à l'A- cadémie par M. LE FEVRE. H. 1699. p. j6. V ( .. Suri') de (C du y. Mars 1700. H. 1700. p. 109. Calcul de cette Eclipfe par les Tables de M, LE FEVRE. /i/V. Ecij tzo TABLE DES MEMOIRES Eclipses.. .Remarques fur le rapport du Calcul des Ecljpfcs de C aux Obrcrvations. ibid. p. 109. &: fq. Erreur des Tables Rudolphines dans les Ecli- pfcs de 1699. /^/<^. p. iio. Exactitude des Tables de M. LE FEVRE./^/a^. p. IIO. 1» " De Lune ( Remarque fur F ) arrivée le 2,2. Fé- vrier 1701. Par M. DE LA HIRE. M. 1701. « p. 46^. » ( Sur deux ^ de Lune. H. 1703. p. 77. H. 1704. p. y8. » "Sur l'Eclipfe de Lune du 17. Avril 1707. H. » i7°7- P- 8i- ■ '^ ' Le Calcul de cette Eclipfe ne s'accorde pas avec robfervation. ibid. H " De C. Réflexion fur celle du 29. Septembre i7o8.Par M. CASSINL M. 1708.P. 412. » " Comparaifon des Obfervations de l'Eclipfe de » Lune du 13. Février 17 10. faites en dift'erens 1» lieux.ParM.MARALDL M. 1710.P.21J. De O M. CASSINI les a fait fcrvir le premier à la recherche des Longitudes. H. 170^. p, 122. De C étoit la feule méthode ufitée par les An- ciens pour cette recherche. Fi. 1700. p. loj. H. 170J. p. 112. De Soleil. Eflrct des Montagnes delà C dans les Eclipfe de o M. 1710. p. 199. Du Soleil du 23. Septembre 1699. Limites de l'Ombre de la (L fur la fupcrficic de la Terra dans cette Eclipfe. H. 1699. p. 76. VitefTe de cette ombre , fa figure, ibid. -j6. Divcrfités des Eclipfes centrales du So\çû..ibid, P- 77' DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 szr Eclipse de o ... Dcfcription de la Trace de l'ombre de la C furlcDifqucdcla Terre dans l'Eclipfe de O du iz. May 1706. M. 1706. pp. z^6.5ciqq. Caufe de la Couronne de Lumière qu'on obfcrve autour de la Totalité des Eclipfcs de o M. 1706', pp. iji.&fqq. » ( " SurlesOblervationsdcs ) de 1699. H. 1(399. V-75- De Soleil. .. Confidcrations nouvelles de KL CASSINl fur les Eclipfcs de O ibicl.^J\j6. » Sur l'Eclipfe Solaire du 23. Septembre i6<)s>. » H. 1700. p. loj. Crues infuffifantcs pour donner les diftcrcnces de Longitudes , & pourquoi ? iùùl. M. CASSLNI les y fait fcrvir. Analyfc de fx Méthode, ihid. p. i o^. & fq. » » Réflexions fur l'Eclipfe de Soleil du 23. Sep- » tcmbrc i6s)9- qui ont été omifes dans leur place. Par M. CASSINl. M. 1699. p. Z74. Obfervation des Diamètres du O & de la C dans cette Eclipfe. il>iô/. p. 277. Dcfcription de la projcétion de l'ombre de la C fur le Difqucde la Terre dans cette Eclipfe. ihJt^, pp. 178. &: fqq. » ( » Sur les trois Eclipfcs de cette Année ijo6. ) » H. 1706. p. 1 13. M » Réflexions fur l'Eclipfe de Soleil du i z. May 1706. Par M. CASSINl. M. 1706.P. Z49. Cette Eclipfe a eu d'illuftres Obfervateurs , &c quels ? H. 1706. p. 1 14. & fq. Trace de l'ombre de la (L fur le Difquc de Li Terre dans cette Eclipfe. /i'/V/. &c fq. Couronne de Lumière obfcrvcc autour de TE' elipfe totale, ii^id. p. 1 1 S. Eeiii 111 TABLE DES MEMOIRES Eclipses . .. Caufcde cette apparence fliivant M. CAS- SINI.//S/V. p. 119. " ("Sur les 3. )de cette An. 1708. H. 1708. p. 104. Chemin de l'ombre de la C lur la Terre dans l'Eclipfe de © du 14. Septembre ijo^.iùid.p. 105. M. 1708. p. 410. &:rq. « » Réflexions fur celle de Septembre 1708. Par M.CASSINI.M. 1708. p. 410. « » Des Etoiles fixes &c des Planètes par la (C . . . M Méthode de déterminer les Lono;itudcs des » Lieux de la Terre par les Eclipfes des Etoiles ri- » xcs Se des Planètes par la Lune , pratiquée en » divcrles Obfervatious. Par M. CASSINI le Fils. « M. 1705. p. 194. Des Etoiles fixes jxir la C obfervées en pluficurs endroits , font fujettes à des variations , quelles , & pourquoi î M. 17 10. p. 2,20. & fq. Des Satellites de Jupiter , paroifTent fe faire plutôt ou plus tard à des Lunettes de dilFercnrcs Longueurs. H. 170 5. p. 124. & fq. T'vnz. au mot Observations fine Lijle de tailles les Eclipfes obfervées O' rapportées d.ms les Mem. de l' Aciid. depuis 16^9. Ji'fiju' en ij 10. EcLiPTiQi,'E . . Quclqu'uns ont cru que fon obliquité changeoit.H. 1710.P. 109. "Ecluse (Ported') » Defcription d'une nouvelle ma- s) niere de Porte d'EcIuie qu'on a pratiquée dans « l'Entreprife de la Nouvelle Navigation de la ,. Seine , lue à l'Académie. Par M. DES BILLET- M TES. M. 1699. p. 63. . . . Inventée par M. Le Duc de Rouanez, ihid. p. (Î4. Ecorce. .Des Arbres , leur eft plus importante que leur partie ligneufe. H. 1707.P. ji. ( Arbre fans ) qui a cependant poulie fa Scvc, H, 1709. p. jo. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7I0 ^^3 3' EcRE VISSES ( "Sur les yeux d' )& fur quelques parcicu- » larités des EcrcvifTes. H. 1705). p. i ^. Ce que c'efl; que les yeux d'EcrevifTes , &: leur fîmation dans cet Animal. H. 1705). p. 15. M. 1709. pp. 309. & fqq. L'endroit où ils fc forment découvert par Van- Hclmont. ihid. p. i y. CIiatTgent tous les ans d'Ecaillés & d'Eftomacli, ibid. p. 1 6. s> ■" Obfervations fur les EcrevilTes de Rivières. Par M. GEOFFROY le Jeune. M. 1709. » p. 30i'- Mue des Ecrevifles , quand &: comment fc fait J ihid. p. 3 10. & fq. Meurent à l'approche d'un Porc ;, au rapport de Van-Helmont. ihid. p. 3 14. Ecrire .. . Qlic c'eft proprement avec du Fer que l'on écrit quand on fe fert d'Ancre. H. 1707. p. 40. » Ecumes ( « Des ) Printaniercs. Par M. P O U PA RT. M. 1705. p. 114. , :•- ■ Ce quec'eftqueces Ecumes Printaniercs. p. izy, &: fq. Sentimens de quelques Naturaliftes fur l'origine de ces Ecumes./'^, p. 114. Effervescences . . Cequcc'cll ; M. 170 1. p. 97. Confondues à tort avec les EbuUitions &: les Fermentations./'i'/V. &: H. 1701.P. 66. En quoi elles en différent. M. 170 1. p. 97. &fq. Parfaite de deux Liqueurs à laquelle le mélange des Acides &c des Alcalis n'ont point de part. H. 1701. p. 67. Des Acides fur les Alcalis nes'enflàment pas , &; pourquoi î M. 170 1. p. loo.&fq. DcsAcides fur les LiqucursSulphureufes s'cnflâ- ment, & pourquoi i ihid.- ZZ4 TABLE DES MEMOIRES Effort . . D'un ChalTcur en tournant la Tête. H. 1700, p.38. i)U;tc de cet cftort. ibiJ. w Egalite's (.. Sur la conftrudion des) H. 1708. p. 71. H. 1709. p. 5 2,. H. 1710.P. 88. Dcftauts trouvés par M. ROLLEdans la Régie de M. Dcfcartcs. H. 1708. pp. 71. & fqq. H. 1705). pp. y 3. &:fqq. Cette Régie deffcnduë par M. DE LA HIRE contre les Attaques de M. ROLLE. H. i7io.pp, S8.&fqq. M » Eclaircincmcnsfur la Conftruftion des Egali- tés ( /. Mémoire ) Par M. ROLLE. M. 1708. p. 339; w " EclaircilTcment fur la Conftrudion des Ega- « lires (//. Mimoire) Par M. ROLLE. M. 17051, p. 510. Eisenschmid(M.) Son Obfcrvation del'Eclipfcdc £ du iz. Février 1701. faite à Strasbourg. M. 1701. p. /{6.&C fq. &71. ' Son Obfcrvation de l'Eclipfe du O du 13. Sep- tembre i6ijj). faite à Straibourg. M. 1701. p. 84. Son Obfervation de l'Eclipfe de O du 11. May 1706. faite à Strafbourg. M. 1706. p. 467. Elasticl^'E ( Sorte de Courbe ) trouvée par M. BER- NOlJLLI [Jacques ) à quelle occafion î H.170 j. p. 134- Eftcelledc toutes les Courbes poflibles qui aïant • ' i Li même perinictrie produit en tournant autour de fon axe le plus grand folide. ibid. " Trouver la Courbure de la Ligne Elaftique, c'cft-à-dirc , celles des Lames à rcflort qui font pliécs.M. 170J. pp. 184. é^ fqq. Hlzctb.'VM Miucralc ,ce. quec'ell ; M. 1700. p. IZ7. Elégance DE L'ACADEMIE KTo^— 1710 tzj Elégance. En fait de Rcfolurioiis Gcométiiqucs, ce que c'eft,& enquoiconiillc ? H. 170 j. p. 109. Elemens desCourbcs , peuvent quelquefois être Cour- bes eux mêmes. H. 1705. p. 66. «Ellébore Noir ( .. Analifcdc 1') &:c. H. 170 1. p. 58. M. » 1701.PP. 196. &: fqq. Purgatifell: de 1. fortes. M. 170 1. p. 15)4. &fq. Toutes deuxcmploiées par les Anciens, ibid. A toujours paru un Purgatif terrible. H. 1701. p. 61. Le noir qui vient des Montagnes de Suiffe cft le meilleur. /^/V. p. 1 9 j. Ellipse. N'eft pas reftifiable. H. 1708. p. 81. De deux cfpeces , afllgnées par les Aftronomes . . pour Orbes aux Planètes. M. 1700. p. 114. •» ( " Sur r ) Aftronomique de M. CASSINL H. ■w' 1703. p. 67. Sa nature. Propriété de fes Foïers. M. 1703. p. 181. H. 1703. p. 68. M >» Manière prompte &c facile de trouver les Tou- w chantes de l'Ellipfe de M. CASSINL Par M. VARIGNON. M. 1703.P. î8r. Eloges des Académiciens. 1699. — 1710. DeM.AMONTONS. H.î7oj.p.iyo. . De M. BERNOULLI.(JaGques)H.i705.p.i 39. DcM. BOURDEL1N. H.i699.p.i2,i. :;•. DeM.DECHAZELLES. H.1710.P.143. DcM. DODART. H.i707.p.iSi. De M. L'ABBE' GALLOIS. H.1707.P.176. DcM.GUGLIELMINL H.1710.P.1 j,. De M. DUHAMEL. H.i7o6.p.i4i. De M, LE M.DE L'HOPITAL.H. 1704 p. 1 2, j. DeM.POUPART. H.i709.p.iij. De M. REGIS. H.1707.P.1 ^7. DeM.TAUVRY. H.1700.P.160. Tab. des Mat. 165)^. — 1710. * F f ■ti6 TABLE DES MEMOIRES DeM.TOURNEFORT. H,i7o8.p.i45: DeM.TSCHIRNAUSEN. H.iyo^.p.i 14. DcM.TUILLIER. H.1701.P.139. De M. LE M. DE VAUBAN. H.iyoy.p.iéy. DeM.VlVIANL H.1705.P.137. Email des Dents, ce que c'eft; H. 1^99. p. 41. L'Os de la Dent ic carie 11 l'Email fc rompt cix quelqu'endroit. ihid. 8c fq. Emailleurs. Il y en a qui foiiflcnt continuellement dans leur Chalumeau , quoi qu'ils reprennent ha- leine. M. 1707. p. 71, «Embryon ( «Sur un ) de 11. }ours ,obfervé par M, DO- DART.H.1701.P. ip.ôcfq. Emersions des Satellites de 1?. Foïcz, Observations. Empanner un Vaiflcau, ( Terme de Marine) ce que c'efl; î H. 1705. p. 89. Enceinte. ( Femme ) Mouvement pcriftalrique & ..• vermiculajre obfervé par M. M ER Y dans une Femme morte enceinte. H. 1699. p. 50. Enfant ouvert par M. LlTTRE,dans lequel on ne trou^ va ni Rein ni Uretère gauche. H. 1707. p. 2 ^.&: fcf. Enfans. Dcfcription de deux Enfans joints enfcmble , &c. M. 1706. pp. 41 8. & fqq. Explication des Fig. de ce Monftrc. ibid. p. j r ^. Enflure de Jambes guérie par une brûlure. H. 1708. P- 47- . . . ^ . Ente. Obfervation fur une Ente de Prunier faite fur un Coignaflicr. H. 1704. p. 41. Entonnoir (Vaiffeau du Corps humain) cequec'cft,& ronu(àge.H.i707. p. 17. M.1707.PP. 129. &: fqq. Entla Campa?iu ou Helaiium unlgare ( Aulnée ) Plante , fa Dcfcription donnée à l'Académie par M. MARCHANT. H. 1709. p. 5 1. Epactes. Comment difpofccs dans le Calendrier Gré- gorien. M. 170 1. pp. 37j.&:fqq. DE L'ACADEMIE 1^99— I7IO ^^7 Epactes différentes de l'intention du Pape Grégoire XIII. ibid.^. 381. Erreur cauféc par cette différence, & la manière de la corriger, ibid. pp. 379 . &: fqq. Nouvelle Régie de M. CASSINI pour trouver les Epades des Centièmes d'Années non Biffex- tilcs. H. 1700. p. 1 10. &:rq. Épaules.. Forces des Mufcles des Epaules. H. 1^99. f-97- Epe'e qui fert de Baïonettc au bout du Fufil , & d'Ef- ponton au bout de la Canne, inventée par M. De La Chaumettc , & approuvée par l'Acade- mic. H. 1 707. p. 1 5 (î. EcHEMERiDEs . . L'Académie charge M. DE LA HIRE ,,. . ^^ le Fils de calculer des Ephemerides. H. 1700. p. 130. Avantage de ces Ephemerides. ibid. p. 1 3 o. Epicycloïde( Courbe ) Ccquec'eft î H. 1706. p. 74. D'où formée. H. 1707. p. 6^. Eft la véritable Courbe de la Réfradion, &cc. M. 1701. p. 187. Epile PS I E . . Eft quelquefois jointe à la folie dans un mê- me Sujet. H. 170 j. p. yo. La Racine de la grande Valériane fauvagc eft un remède fur contre cette Maladie. M. 170(3. p.2.34.&fq. ,^ Epileptiq_iie ( Cerveau d'un ) examiné par M. POU- PART. H. 1705. p. 49. &fq. Guéri par de laCcrvellc humaine qu'on lui avoir fait manger pendant quelques jours. H. 170J. p. 51. & fq. , . Epingle trouvée dans un Rameau de Veine du Bras d'un -.,'■ Homme, &C.H. 1701. p. 2^. .Tv'. •' Art de fiiire les Epingles, décrit par M. DES BILLETTES. H. 1700. p. 1 59. ■^-Ffij liS TABLE DES MEMOIRES Epi ploon . . Ne fe fond pas toujours par des Eaux con. tenues dans le bas ventre. M. 1704. p. 8. Eponges Plantes Marines molles fans feuilles. M. 1700. p. 18. '■■ ( » Analyfc Chimique de 1' ) de lamo'icnncEt w péce.ParM. GEOFFROY. M. 1706. p. ^07. Donne beaucoup de Sel Volatil urineux. ibid. p. J08. EpociiJE..En Aftronomie , ce que c'cft ? H. 1704. p. 68. difficile à être bien choific. M. 1704. p. 305). Eptamerides, Terme d'Acoultique , ce que c'efl:?H. 1700. p. 136. "Epuiser l'Eau ( » Deux manières de Roues à cpuifêr l'Eau. Par M. DES BILLETTES. M. 1655). p. 184. Equateur .. Lapefanteury eft moindre que vers les Pô- les. H. 1700. p. î 18. { Vers 1') les Corps tombent plus lentement que • - vers les Pôles, fuivant MM. MARIOTTE &: HUYGHENS.H. 1703.P. 131. Comment on peut concevoir que cela fe fait dansI'Hypothéfe de Defcartcs fur lapefanteur. ibid. p. 131. Ce Syftême attaqué par M. DE LAHIREj&; comment, ibid. pp. i 3 i. &: fqq. Plusoncn approche, plus les Variations du Ba- romètre diminuent. M. 1709. p. 139. EQfiATiON dcsPlanetes (première) ccquec'eft?H.i7io. Difficile à déterminer & à diftribuer. M. 1704. p. 308. Comment fe trouve dans l'Hypothéfe de Ke- pler. H. 1710. p. 106. & fq. M. 1710. pp. 193. &fqq. DE L'ACADEMIE 1^99 — lyio 2-2-9 Equation .. Dans celle de Wardus , de Pagan, &:c. ibid. p. 1 07. De la Lune , ne peut dépendre des Foïers de Ton EUipfe exactement déterminée. H. 1710. p. 107. &C iq. De rOrbe , difficiles à être diftribuécs pour Mer- cure ,&: pourquoi ; H. 1707. p. 87. Delà Lune (la 4'^ ) telle que M. CASSINI l'a déterminée , s'accorde aux Obfcrvations. M. 1708. p. 41?. ( laplus grande) de Saturne, quelle ? allez bien déterminée par M. Bouilleau. M. 1704. p. 31^.. ( " Des ) des Mois Lunaires & des Années So- laires. Par M. CASSINLM. 1704. p. i4(ï. Du Tcms , ce que c'eil: î H. 170 1 . p. 1 1 1 . &: fq. Méthode d'en conftruire une Table, donnée à l'Académie par M. CARRE'. H. 1701.P. 112. Réflexions fur ces Equations, ibid. pp. iii. 5c %• ( en Géométrie ) réduites, peuvent être fort diffé- rentes des génératrices. H. 1705). p. j3.&:fq. Equation déterminée, Méthode de la conftruire. H. 1707. p. 73. &fq. (" Sur les ) du i"^ & du 3*^ degré. H. 1699. p 70. " ( » Méthode commune aux ) du x'^ &c du 3' degré >:■ pour en avoir la folution par une fimplc tranf- " formation de leur premier Terme £xite à l'ordi- naire. Par M. VARIGNON. M. 1699. p. 141, " » Remarque fur la Conftruclion des Lieux Géo- métriques , &c des Equations. Par M. DE LA HIRE. M. 1710. p. 7. " Sur une Méthode générale pour la Réfolution s des Equations. H. 170 j. p. 8i. H. 1706. p. 43, Il n'y a de formule abfolument générale que pour les Equations du fécond décré. ibid. Ffiij ijo TABLE DES MEMOIRES "Eqjjations. !. Méchodcs nouvelles pour former &:rc- » foudre toutes les Equations. (/. P.?r//V. ) Par M. DELAGNY-M. lyoj.p. 177. .. " Principes généraux pour la Rtfolution des « Equations numériques. ( //. Partie ) Par M. DE LAGNY. M. 1706. p. 296. EqUinoxes . . Manière de les obfervcr , pratiquée par les Anciens à Alexandrie. M. 1703. p. 41. &: fq. Obfcrvés par Hipparque ,n'étoicnt détermines qu'à un quart dcjour près.i^/â^. p. 43. Méthode de les déterminer, ihid. p. 44. &: fq. Mt "Sur l'Equinoxe du Printemps de 170 3. H. 170 3. » P-8f. Comparé à celui qu'Hipparque obferva. ibid, p. 86. S>c fq. Utilité des Obfervations des Equinoxcs éloi- gnés l'un de l'autre, ibid. p. 86. •9 " Les Obfervations de l'Equinoxc du Printemps n de cette Année 1703. comparées avec les plus » anciennes. Par M. CASSINL M. 1703. p. 41. PrécefTion ou anticipation des Equinoxes , ce qucc'cft? H. 1708. p. 9 3. Comment on l'expliquedans le Syftême de Co- pernic, ibid. p. 94. & fq. Erable . .Fécondité de fon Tronc. M. 1700. p. i4r. Eratosthenes . . Ses Ellais fur la mefurc de la Terre. M. 1701. p. 173. & Tq. Eresipele (Suites fachcufes d'une) guérie naturelle- ment & fans Remèdes. H. 1705. p. 38. Ergot ( Sorte de Bled (cornu. )) f'(?/fc Bled. Ekvan. Sa Latitude obfcrvéc par le P. De Bezc Jefuitc. H. 1699. p. 8(5. Eryngium Plante. M. 1700. p. 5 i. Erzeron. Sa Latitude "^obfervécs parle P. DcBcze, Longitude J H. 1 695. p. 8 j. &: fq. DE L'ACADEMIE 1^99— 1710 131 EscHARA Sorte de Plante Marine. M. 1700. p. 53. Espace parcouru parmi Corps eft toujours proportioncl à la fomme de toutes les Vitcffcs qui le lui ont fait parcourir. H. 1707. p. 1 3 y. & fq. "Manière générale de dctcrriiiner les Force? y 5> les Viteflcs , les Efpaccs & les Temps , une feule » de ces quatre chofes étant donnée dans toute " forte de Mouvemcns Re£lilic;nes variés à difcrc- tion. Par M. VARIGNON.'^M. 1700. p. zi. Divers Efpaccs quarrables dans la Cycloïde. Hr i55?i?-P-67. Esprits Animaux , leur Influence doit racourcir le? Mufcles. M. 17 10. p. 41 1. Animaux font lacaufe des Mouvemcns de l'Iris , felonM.MERY.H. 1704. pp. 14. &fqq. .Animaux font la caufe immédiate du retreciffc-' ment de la Prunelle , félon M. MERY. M. 1704, p. 2.6^2. Comment on petit concevoir que les Efprirs qui gonflent un Mufcle, pour produire un certain Mouvement , en fortenc dans l'inftant même qu'on veut faire un mouvement contraire. H,- 1706. p. 2i. &fq. "Esprits en Chimie , ce que c'eft ; H. i6s>p. p. 52. Acides , mefurc des Sels volatils contenus danr. les Efprits Acides. H. 1699. p. ^2. Le Sel Marin mêlé avec des Efprits Acide?- échauffe les Liqueurs. M. 1700. p. 1 1 3. » » Obfervation fur la quantité exaéte des Sels vo- » latils Acides contenus dans tous les différons « Efprits Acides. Par M. HOMBERG. M. 1699, p. 44. Le Sel de Tartre retient dans fa faturation un huitième de plus de Sel Acide duVmaigre diftilé, que des Efprits des Acides Minéraux , &c pour- quoi ? iùid. pp. 5 o. & fqq. ^5^- TABLE DES MEMOIRES Esprit (T) de Nitrc ne dilTout aucune Rcfmc , excepté le Camphre. M. lyoy. p. 4^. De Nitrc di floue plus de chaque Alcali Terreux, que l'Efpritde Sel , & pourquoi ? H. 1700. p. De Nitrejdiftcrcnce encre les forces dilTolvan- De Sel J tes de l'Efprit de Sel , & de TEfprit de Nitre M. 1700. p. 65. &: fq. Caufe decettc difterence. ibid. p. 66. & fq. De Sel Marin cft le dilîolvant propre de l'Or. H. 1706. p. 50. De Nitre eft le difTolvant propre de l'Argent. iL Domine dans l'Eau Forte. /^/V. p. 3 1. L'Efprit de Nitre &: celui de Sel Marin mêlés en- femblc , n'en dilTol vent que mieux l'Or. ib. p. 3 o. De Sel mêlé avec l'Efprit de Nitre domine dans l'Eau Régale, ibid. p. 30. Ne didolvent point l'Argent, ibid. p. 31. De Vin . . . ( gouttes d' ) qu'on diftillc , roullent fur la Liqueur déjà diftillcc en tombant du bec de l'Alambic. H. 1705. p. 37. ^ Conjeaures de M. HOMBERG fur la raifon de ce Fait. ibid. p. 37. & fq. Contient peut-être plus d'Air que l'Eau-de-Vic. H. IJ06. p. 3. Si l'on en lave le Tuiau d'un Baromètre , le Mercure s'y tiendra plus bas que dans d'autres , & pourquoy î ibid. p. 1.&: fq. De Vitriol de Mars ,fes vertus. M. 1700.P. iio. EsTOMACHSgâtés parles Acides , peuvent fc rétablir p.u' la poudre de Coquilk d'Huitre , ôc pourquoi î H. 1700. p. yo. Ulcère dans l'Eftomach trouve à la diffedion d'un Homme mort après une perte de Sang, H. 1704. p. jo. ESTOMACHS DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 135 EsTOMACH. Trou fort extraordinaire à l'Orifice inférieur de l'Eftomach. H. 1704. p. 2,7. &:fq. Pierres trouvées dans l'Eftomach , ècc. ibid. p, zS.&fq. Trouvé dans la Poitrine , &: placé au defllis du Diaphragraedans un Chien. H. ijo6.'^. 27. Caufes de cette fituation fuivant M. LITTRE. ibid. & iq. ESTRE'ES { M. LE MARECHAL D' ) remplit une Place d'Honoraire à l'Académie après la more deM. DEVAUBAN. H. 1707.P. 175. Et AIN . .. Expériences (url'Etain expoféauFoïer du Mi- roir du Palais Roïal. M. 1705). p. 171. &fq. Expérience fur le mélange du Fer &: de l'Etain fondus au Verre Ardent ; & conféquences de cette Expérience. M. 1710. pp. 230. &: fqq. Etete's (Arbres^ l'oïcz. Arbres. Ether . . . Rapport du poids de l'Ethcr à celui de l'At- inofphcre. M. 1(359. p. 28. Matière Etherée infiniment fluide , Se pourquoi» ihid. p. 31. Etoiles ( les ) fixes pourroient bien tourner l'ur leur Centre. H. i695).*p. 81. Ne font peut-être pas entièrement fixes, ibid. Sont fujcttcsàdcs Variations. M. 1701. p. 5-3. Qui avant d'être cclipfécs par la C paroiffent entrer fur le Difque éclairé de cette Planète. H. 1699. p. 79. M. I $99. p. ijz. M. 1701. p. 298. Diverfes conjedures fur la caufe de cette appa- rence, ibid. ibid. Fixes obfervées dans le Méridien lors de leurs ■Conjonélions avec le Soleil. M. 1700. p. » '- Sur une nouvelle Etoile ( de l' Hydre) qui paroîc •' &: difparoît. H. 1706..P. II I, H. 1709. p. 80. Tnb. des Mat. 1699. — 171 o. Cg i}4 TABLE DES MEMOIRES Etoile (cette ) découverte par M. MARALDI , quelle cil: la Période de fon Retour.//'/^. M. 1705). p. ^8. Dénombrement d'une partie de ces Etoiles chan- geantes. M. 1709. p. 40. & fq. , Deux Hypothéfes peuvent expliquer ces Appa- - renées. H. 1706. p. HZ. La féconde , qui cft de M. BouiUeau , eft la plus recevablc/'^/V. M » Découverte d'une nouvelle Etoile (^e/' /(y ^rf) »■ qui paroît & difparoît en divers Tems. Par M. MARALDLM. 1706. p. 115. » » Obfervation du Retour de l'Etoile changeante del'Hydre.ParM.MARALDLM. 1709. p. 33. » !. Defcription des quatre Etoiles procheduCcr- » ' cle Polaire, avec lefquelles on commença de voir » . laComctede 1699. àParis. M. 1701. p. 59. w Polaire ..." Réflexions fur une Lettre de M. ¥ FlamftéedàM. "Wallis , touchant la Parallaxe » annuelle de l'Etoile Polaire. Par M. CASSINI m leFils. M. 1699.P. 177. Que l'on ne peut conclure des Obfervations de M. Flamftéed , une Parallaxe annuelle à l'Etoile Polaire. /i'/V. p. 183. • » » Sur un Globe Celefte , conftruit par rapport w au mouvement des Etoiles fixes. H. 1708. p. 9 3. Leur mouvement propre , félon Hipparque. ib. Selon M. CASSINL z'^. p. 94. Fixes. Leurs Eclipfes par la C deviennent utiles à la recherche des Longitudes , par la Méthode de M. CASSINI leFils.H. 1705. p. izz. » j. Fixes. Méthode de déterminer les Longitudes y des Lieux de laTerre, par les Eclipfes des Etoiles » fixes & des Planètes par la Lune , pratiquée en s», diverfes Obfervations. Par M.CASSINUeFilsx » M. 1705. p. 15)4. DE L'ACADEMIE i(î99 — I7ÎO ^JT ExoiLEsdcMer, PoilTons, cequec'eftî M. 1710.P.48J. Sont de différentes couleurs, ibid. &; fq. Senolirifrcntdc Coquillages, ibid. p. 48^. Prodigicufe quantité de leurs Jambes. H. 1710. p. II. & fq. M. 1710. p. 487.' Mécanique de leur mouvement, facile à apper- cevoir. &: quelle ? ibid. & fq. Leur Peau eft parfemée d'un grand nombre de petits T\xiz\.\y..îbid. p. 490. ■* " Du mouvement progrcffif &c de quelques » autres mouvemens de diverfes Efpéces de Co- »> quillages, Orties &: Etoiles de Mer. Par M. DE REAUMUR.M. 1710.P.439. Et o I le'e ( La Pierre ) tourno ie dans du Vinaigre diftilé , &: fur un Plan Horizontal. H. 170 3. p. 21. Etrangle'e ( Femme ) Obfervation de M. LITTRE fur une Femme étranglée par deux Hommes avec leurs mains. H. 1704. p. 20. Evanouissement des inconnues en Algèbre , ceque c'eft> H. 1709. p. ^3. mEvaporation ( » Obfervation fur 1') quiarrive aux « Liquides pendant le grand froid , avec des Re- w marques fur quelques effets de la Gelée. Par M. » Gautcron de la Société Roïale de Montpellier. «» M. 1705». p. 451. EVPATOKi'VM Plante, Sa Defcription lue à l'Académie parM.CHOMEL.H. 170^ p. 69. Excentricité' des Planètes difficile à déterminer. M. 1704. p. 508. Erreur que l'Excentricité mal déterminée , caufe dans la Théorie des Planètes, ibid. Mercure a la plus grande à proportion des Or- bes. H. 1707. p. 87. Delà C félon Kepler , eft trop petite. M. 17 10. P- ^97- Ggij ^3^ TABLE DES MEMOIRES Excentricité' dclaLunc n'eft pas toujours la même', &C pourquoi. M. 17 lo. p. 300. ExcEXTRiQJ-'E. . Orbes des Planètes , fuivant les An- ciens . . . Pefanteur ou effort des Planètes vers le O pour leur faire décrire l'Excenrrique des Anciens dans l'Hvpothéle de ScthusWaidus.M. lyoo.p. 235. & fq. Dans l'Hypothéfede Kepler. ihJd. p. 2.37. & fq. ExcREMENS.Ilcnfortplus dansunjour par les Pores in- ; fenfibles de la Peau , qu'en plulieurs jours par tous les autres conduits. M. 2.19. ExcRESCENCEàrOeil,guerieparM. DU VERNEYle Jeune , oc comment ; H. 1703. p. 41. ExosTOSE ( Defcription d'une ; monftrueufe. Par M, MER Y. M. 1706. p. 245-. Expériences.. Quoi que nccellaircs cnPhyfique^cau- fcnt fouvent des embarras. H. 17 10. p. 13. Sur quelques Corps qui rendent de la lumière par le frottement. H. 1 707. p. z. & fq. Occafiondcccs Expériences. /ij/rf'. p. i. : -. ■ .-' Faites par l'Académie fur plufieurs Baromètres - pour les rendre lumineux , ne répondent pas aux Expériences ni au Syftême deM.BERNOULLI. H. 170 1. p. &fq. Faite par M. HOMBERG , fur ce que l'eau peuc ■:'■ palier où l'Air ne pafTc point. H. 1700. p. 1 3. De la Rcfradion des Raions qui paflent du Vui- de dans l'Air faite à Londres. H. 1700. p. 114, Confcquences tirées de cette Expérience. ii>iei. Cette Expérience faite à l'Académie, p. 11 j. contraire à celle de Londres, ihiii. p. 1 1 J- Réflexions fur la différence de ces Expériences, JL'd. p. II 6. B- ..Expérience delà Rcfradion de l'Air faite par ordre de la Société Ro'ialc d'Angleterre , rap- DE L'ACADEMIE 1^99 — ijio '-17 portée par M. CASSINI le Fils , avec fes Réfle- » xions furccttc Expérience. M. 1700. p. 78. & 82,. 'Expériences Phyfiques fur la Refraction des Balles j de Moufqaet dans l'Eau , & fur la Rcfiftancede ccfluidc. Par M. CARRE'. M. 170 j. p. zn. . » Expcricncesfur le Re/l'ort de l'Air. Par M. CARRE'. M. 1710. p. I. , • Etablillencce Reflorc. ibid. p. 5. & fq. . . Sur la dilatation de l'Air par la chaleur de l'Eau bouillante par M. DE LA HIRE. M. 1708. pp. 27 (î. & fqq. . '.- De la Raréfadlion de l'Air par la chaleur de l'Eau bouillante. M. 1699. pp. 1 1 ;. & fqq. Diverfes confcqucnccs de ces Expériences, ibid. pp. ii7.&fqq. ... Sur la Raréfaction de l'Air. Par M. AMON • ' - TONS. M. 170 j. p. 119. Sur des Phioles de verre vuidcs ou pleines d'Air, &: pofécs fur des Charbons ardents. H. 1710. p. I . & fq- Sur la force étonnante de la dilatation des Li- queurs. M. 17 10. p. (î. & fq. De Borrclli ( Alphonfe) De Voilius ( Ifaac ) & de M. AMONTONS , fur la dilatation & le refferrement des Tu'iaux , &:c. de verre plongés dans l'Eau chaude & dans l'Eau froide. M. 170 r» pp. 76. & fqq. De M. HOMBERG fur l'ordre des couleurs. H. 1699. P- i8' Sur la chaleur que nous peuvent caufcries Raions du G refléchis par la C- P-ir M. DE ■ LAHIREleFils.M. 1705.P.346. Sur la Liqueur duThcrmomctrc qui monte lorf- qu'on le plonge dans l'Eau froide au fortir de l'EaubouiUantc. M. 1710.P. 431. Ggiij, . ■' t38 TABLE DES MEMOIRES "Expériences de l'effet du Venta l'égard du Thcr- » mometre. Par M. CASSINI le Fils. M. 17 lo. p. J44. i» ...Sur les Thermomètres. Par M.DE LA HIRE » leFils. M. lyio.p. 546. »' ... Sur les Tuïaux Capillaires. Par M. CARRE', ,w M. 170 j. p. 141. Sur des Poids foutenus par desLames d'Acier ai- mantées de différentes longueurs. H. i703.p.io, &fq. De M. DE LA HIRE fur des Fils de Fer dirigés au Pôle , Se devenus après s'être rouilles, de véri- tables Aimans. H. 1 70 5 . p. 7. Et Obfervations diverfes fur la converfion du Fer en Aiman. M. 1705. pp. io4.&fqq. Sur la proportion que doivent avoir les Cilin- dres folides , pour former par leurs fons les Ac- cords delà Mufique. M. 1709. pp. j I.&: fqq. Sur les frottemens de diverfes Matières. M, i6^S)- P- 2.08. Sur la Roidcur des Cordes , &:c. iùid. p. 1 1 7. De M. DE LA HIRE , qui vérifient que le Fro- tement augmente félon la quantité des prcfllons, &: non fuivant la grandeur des Surfaces. H. 1 6^^. p. 104. &:fq. M ... Pour les Frottemens desCorps dont les parties .u fe meuvent avec différentes Viteifes. Par M. PARENT. M. 1704. p. 19 j. « ... Pour connoîtrc la réfiftancedes hois deChêne „ & de Sapin. Par M. PARENT. M. 1707, f p. jii. De M. DE VA U BAN , rapportées par M. CHEVALIER fur la quantité de Poudre néccflaire pour enlever différentes Terres , &:c. H. 1707. p. 1J4. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 Z55 Expériences fur l'effet de la Poudre dans les Mines. M. 1 707. p. 5 3 4. & fq. Sur les Armes à feu différemment chargées, vé- rifiées par M. CASSINI le Fils. H. 1707. pp. 3.&4. De M. HOMBERG fur une Liqueur où les Acides & les Alcalis font dans une parfaite tran- quillité. H. 1701. p. 70. Sur le Rapport des deux principales fortes d'Aci- des aux mêmes Alcalis Terreux. H. 1700. p. 451. - Qui prouve que le Mercure n'eft pas homogène dans toutes fcs parties. M. 1700. pp. 1^7. & fqq. De M. BOULDUC fur le Sublimé. H. 1699. p. 54. " «Nouvelles Expériences fur les Huiles & fur » quelques autres Matières où l'on ne s'étoit point '» encore avifé de chercher du Fer. Par M. LE- " MERYlcFils. M. 1707. p. j. Sur l'Huile effentielle de Thim. M. 1 707. p. 5 1 5) . & fqq. D'Ambre Jaune. z'^/V. p. jii.&fq. De M. BOULDUC , que le Sel volatil de Succin eft acide. H. 1 699. p. J4. Extraordinaire fur les Fermentations froides & fur les Vapeurs chaudes qui en forteiit. H, 1700, p. 53.&fq. . Des Diffolutions froides. M. 1700. p. m- &fq. Des Fermentations froides, ii'id. p, i iz. &; fq. D'une Diffolution faline exceffivcment froide, il^U. p, 116. &fq. De l'Eau refroidie par le feu. p. 119. Raifon de cette Expérience, p. 119.& fq. Du changement de la Fermentation froide du mélange du Sel Ammoniac &: de FHuile de i40 TABLE DES MEMOIRES Vitriol en une Fermentation très chaude a^ec un peu d'Eau, ibid. p. izi. » Expériences Sur les Dillolutions &: fur lesFcrmen- M rations froides de M.GEOFFROY, rcïtcrces « dans les Caves de l'Oblcrvatoirc. Par M, AMONTONS. M. lyoj.p. 83. Sur la Calcination du Régule d'Antimoine , qui prouvent que laMaticre de laLumicre augmente le poids des Corps dans Icfqucls clic s'introduit, > M. 1705:. p. 94. &c fq. Sur une efpcce de Végétation d'Eau de pluie. M, .1710. pp.43j.&fqq. D'une Fulmination dans un Liquide. M. 1700. p. 108. Sur la Matière du Tonnerre & des Eclairs. M, 1700. pp. loi.&fqq. D'un Ethna ou Vefuvc fait par M. LEMERY, H. 1700. p. j i. Comparaifon de cette Expérience avec ce qui arrivedans la nature, ibid. p. ji. Nouvelles de M. LEMERY fur les Matières Sulphureufes qui brûlent dans l'Eau, ibid. p. V-- !f> " Sur des Expériences faites à un Miroir Ardent » convexe. H. 1701. p. 34. M. 1701. p. 141. H. /» 1709. p. 36. M. 1709. p. i6z. Qtii appuient le SyftêmedcM. MERY , fur ce que devient l'Air entré dans les Poumons. H. 1707. p. I y. Qiii prouvent que l'Air ne peut pas fortirparles PoresdelaPeau. M. 1707. p. 1^3. Faites fur l'Eau de plufieurs Hydropiques. M. . . 1701.PP. I ^4. &fqq. f^i découvrent les ufages de la glande Pitui- taire.M. 1707. p. i3i.&;fq. ■y Extinction DE L'ACADEMIE i<î5>9 — 171''' Mi Extinction de Voix extraordinaire gucric comme par hazard Par M. LEMERY. H. 1700. p. 43. De Voix guéries par les Vulnéraires. H. 170 1, p. 71. Extraction ( V ) Opération Chimique , cft la voie la plus fure pour faire connoître lanature des Mix- tes. M. 1700. p. 4. &fq. De la Pierre ... /'(7ifc Pierre. Extrados d'une Voûte, cequec'efl:?H. 1704. p. 9 y. » >' Sur la figure de l'Extrados d'une Voûte Circu- w lairc dont tous les Voufloirs font en équilibre »> entr'cux. H. 1704. p. 93. .:",.! Déterminée par M. PARENT. ?^/V. Extraits Purgatifs doivent contenir les Principes Sa- lins&les Refineux.M. 1701. p. I II. Du Marc des Plantes mal-à-propos négligés juC qu'à prcfent. H. 1705.P. 63. & Iq. F FAÇON ( M. ) premier Médecin du Roy, fes Conjectu- res fur la eeneration d'un certain Bled noir & cornu, appelé iTr^^^r. H. 17 10. p. 62. & Iq. Fardeaux . . , Machine pour mouvoir des Fardeaux très pcfms , inventée par M. De la Garoufte , & ap- prouvée par 1 Académie. H. 1702.. p. 138. Machine du SrJrhomas pour élever des Far- deaux très.pcfans , approuvée par l'Académie. H. 170e. P141. Fargues (M. Des) Machine de fon invention pour re- médier à la Fumée cauféc par les Vents , approu* vée par l'Académie. H. 1701. p. 141. Tab. des M. Conjcdures fur ce fujec. Par M. DODART. i» M. 1701.P. Z4I. Expérience & calcul de la Fccondicé d'un Orme- H. lyoo.p. Êj.&fq, DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 145 Felibien ( M. ) dcrAcadcmie des Infcriptions, fait parc • à l'Académie d'un Evénement fingulicr d'un jeune homme fourd Se muet de naiflance , qui commença tout d'un coup à parler à l'âge de 14, ans , &c. H. 1703. p. 18. & fq. Femme de 8 3 . ans devenue grofle après s'être mariée à un liommede5;4. ans. H. 17 10. p. 16. Agée de 1 06. ans,qui avoir encore Ces Régies. H. -- 1708. p. ^x. Accouchée de deux enfans , l'un à terme, l'autre ". 1 . 'feulement de 4. ou j. mois. H. 1701. p. 30. Qiii accouche de 4. Enfans vivans. H. 1701. GroiTe qui portoit fon Enfant du côté droit; fuites de cette grofTelTe. H. 1709. pp. Z4. Se fqq. Guérie d'une Plaie faite à la Matrice à fept mois degroflefle. H. 1709. p. 23. & fq. Accoutumée à boire beaucoup d'Eau-de-Vie & de Vin commun , morte après 1 1. heures d'I- vrefre,&c. H. 1706. pp. ij.&fqq. Remarques faites à l'ouverture de fon Cadavre, - "j 1 ibid. Européennes qui vont à Batavia n'y peuvent nourrir leurs Enfans, &c pourq. H. 1707. p. lo.* Fenestre. (Nouvelle cfpéce de) dcmcnuiferie,& inven- tée par le Sr. Godefroy , Sc approuvée par l'Aca- démie. H. 1701. p. 138. .... Fenouil . . . ( Expériences fiites fur du) pour connoître la quantité des Sels qui y étoit contenue. M, 1699. p. 70. &fq. ....,..,. Fer ( le) eft un Métal mal digérée ma! tr'avàillé.H. 170^. pp. 33. & 3^. « " Sur la Génération ou la Nature du Fer. » H. 1705-. p. 64. H. 170e. p. 31. H. 1707. p.4j. M H. 1708. p. 61. Hhij 144 TABLE DES MEMOIRE? Fer ( le ) eft très fulphureux , nouvelle Expérience qui lé confirme. H. 1707.P. 4i.&:fq.M. 1703. pp. 505. & fq. Les Acides n'entrent point dans fa Compofition, H. 1706. p. 3z. Sa partie huilcufe qui y eft abondante le rend malléable & lui fert de fondant, ibid. p. 34. M. ''- 1710. p.2i8.&fq. Mérite d'être examiné plus que tout avitrc Mé- tal, &: pourquoi ? H. 1706. p. 31. Coniedures de M. GEOFFROY fur les Princi- pes de ce Métal. H. 1704. p. 39. Sentimcns contraires des Chimiftes fur fon ori- gine. M. 1707. p. 176. ■ Peut être en grande quantité dans quelque Ma- tière, &;nes'y découvrir que difficilement. H. 1708.P. éz.&fq. Se trouve dans les Cendres de la plupart des Subftanccs inflammables. M. 1707. p. 176. dans toutes les Cendres , & comment .-1,. . onlereconnoît? M. 1706.P. 170. dans les Cendres provenuës de plu- fieurs Animaux. H. 1709. p. 40. • dans le Charbon refté des diftilla- tionsduMiel. H. 1706. p. 38. -£ dans leCaftoreum. ihid. dansl'Argille.M. 1707. p. 7. : ;: dans l'Huile de Vitriol. /^/(s'. .• ■ .-. •' . ., .: de Thcrcbentinc. /'^.p.8, de Lin. ihid. jJo~5.: «Problême de Chimie, Trouver des Ccn- • dres qui ne contiennent aucunes parcelles ï;" de Fer. Par M. GEOFFROY. M. 1705. » p. 36Z. [i -II! DE L'ACADEMIE ïfJ^s»— 17Ï0 24^ ~ Fer (le) " Sur le Fer des Plantes. H. 1706. p. 38. » " Qiic les Plantes contiennent réellement du » Fer ,& que ce Métal entre nécefiairemcnt dans ., leurCompofition naturelle. Pat M. LEMERY u IcFils. M. i/oiî.p. 41 1. Sa pefanteur ne peut pas être unobflacle à Ton élévation dans les petits Tuiaux de Plantes . /'^/V. p.413. Le Fercftdans les Plantes en forme de Vitriol, H. 1708. p. 64. "Expériences nouvelles fur les Huiles & fur •j^ quelques autres matières ou 1 on ne s ctoit pomt ^ - encore avifé de chercher du Fer. Par M. LEME- ~ ' RYleFils.M. 1707.P. y. ■- Produdion du Fer par le moi en de diverfes ma- tières par M. GEOFFROY.M.i704.p.285.&fq, » " EclairciiTcmens fur la Produclion artihcicUe » - du Fer, & fur la Compofition des autres Mé- » taux. Par M. GEOFFROY. M. 1707. p. 176. M " Nouvel éclaircillement lut la prétendue pro- .?» ' duftion artificielle du Fer, publiée par Bêcher , &foutenuë par M. GEOFFROY. Par M. LE- MERY le Fils. M. 1708. p. 37^. Sedifibut par l'Efprit de Mitre , Se pourquoi ? H. 1707. p. 3 2. Communique la plus grande partie de fcs Souf- • r ' fres à l'Efprit de Nitre, que Ton en fépare après la dill'olution de ces deux Matières l'une dans l'autre. M. 1707. p. 302. Dépouillé de fcs parties huileufcs, ne fc diffout plus par les Acides. /^/V. p. 3 o y . La Limaille dcFer ne fediflout pas toujours toute entière par l'Efprit de Nitrc, &pourq. /^. p. 304, La Difl'olurion du Fer mêlée avec l'FIuile de Tartre, produit des Végétations, i/pld. p. 305, Hhii; 146 TABLE DES MEMOIRES Fer (le) Végétation de Fer. h. 170e. p. 39. « »Sur une Végétation de Fer. H. 1707. p. 31. Syftémc de M. LEMERY le Fils fur cette Végé- tation du Fer. H. 1707. pp. 3 2,. & fqq. Le Souftre du Fer eft le principal agent des Vé- gétations de ce Métal. M. 1707. p. 303. „ » Réflexions ôc obfervations diverfes fur uneVé- ,; gétation chimique du Fer , ô^ fur quelques cx- » perienccs faites à cette occafion avec ditîcrentcs « Liqueurs Acides & Alcalines , & avec differens Ivjétauxfubftirués au Fer. Par M. LEMERY le « Fils. Î^'I. 1707. p. 199. Entre dans la compofition du Vitriol. M. 1707, p. II. Que c'eft le Fer qui donne la couleur noire aux Ancres Vitrioliqucs , & que c'eft proprement avec du Fer que l'on écrit lorfqu'on fe fcrt d'An- cre.H. 1707. p. 40.M.1707. p. 541. „ " Obfervations fur le Fer au Verre Ardent. Par M. HOMBERG. M. 1706. p. I j8. Expériences fur le Fer expofé au Foïer du Mi- roir du Palais I?'oïa!. M. 1709. pp. 164. &: fqq. Expérience fur le mélange du Fer SideTEtain fondus au Verre Ardent , & les confequences de cette Expérience. M. 17 10. pp. 2 30.&:lqq. Obfervations &: Expériences diverfes furlacon- verfion du Fer en Amian. M. 170^. pp. 104. &fqq. Le Fer pourroit devenir un véritable Aiman. Raifondecetteconjcclure. H. 1706. p. 3^. w' » Diverfes Expériences & Obfervations Chimi- f, qucs&PhyfiquesfurleFer &fur l'Aiman. Par » M. LEMERY le Fils. M. 1706. p. 119. Comment le Fer du Clocher de Chartres s'cft aimanté, ;'^/i/. p. 13 j. DE L'ACADEMIE 1^99 — lyio Z47 Fer (le) Rouille du Fer ,cequec'eft?H. 1704. p. 35). Eft quelqucsfois un véritable Aiman. H. 1705.P.7. Secret de M. HOMBERG pour empêcher la RouilleureduFcr. H. 165)51. p. 58. Barre de Fer de iix pieds s'allonge du grand froid au grand chaud de deux tiers de ligne. M. 1703. p.i88.' L'Eau Ce charge de Fer avec une grande facilité, & s'en dépouille difficilement. H. 1708. p. 65- Fer-Chaud forte de Maladie, ce que c'cft, &:moicnd'y remédier? H. 1708. p. 66. Fermât (M. De) rend la génération de la Spirale plus générale , &: comment î H. 1704, p. 49. Fermentation ( la) eft une défunion des principes. H, 1703. p.46. Confondue à tort , félon M. HOMBERG , avec l'eftervefcence & l'ébullition. H. 170 1. p. 66, M. 1701.P. 97. ; , En quoi elles en différent. il>id. èc fq. „ . » Sur les Fermentations. H. 1701. p. 66. a i> Obfcrvations lur quelques effets des fermenta- tions. Par M. HOMBERG. M. 170 1. p. c,j^ » " Sur les Diffolutions & Fermentations froides, ^ H. 1700.P. ^3. Expérience extraordinaire fur les Fermentations froides , Se les Vapeurs chaudes qui en fortent. ii>id. p. J3. & fq. „ » Obfcrvations fur les Diffolutions & fur les Fer- 3, mentations que l'on peut appcUer froides , parce „ qu'elles font accompagnées du rcfroidiflcment „ des Liqueurs dans lefquelles elles fe paffent. Par M. GEOFFROY. M.1700. p. 110. mS table des MEMOIRES Fermentation de certains Sels dans plulîcurs Liqueurs. M. 1700. p. 1 1 1. Expciicnccs des Fermentations froides, ibid. p. 1 12..& fq. Explication des Fermentations froides, ibid. p. iiy.&fq. Froide , Raifons des Vapeurs chaudes de la Fer- mentation froide excitée par le mélange du Sel Ammoniac &: de l'Huile de Vitriol. M. 1700. p. iio. &fq. Expérience du changcnicnt de la Fermentation froide du mélange duScl Ammoniac &c de l'Hui- le de Vitriol en une Fermentation très chaude avec un peu d'Eau, ibid. p. i zi. » "Expériences fur les Diffolutions&Fermenta- u cions froides de M.GEOFFROY , réitérées » dans les Caves de l'Obfcrvatoire. Par M. ÂMONTONS. M. 1705. p. 83. Fermente'es ( Plantes ) fur des Analyfes de Plantes fer- mentées. H. 1701. p. 38. » » Sur l'Analyfe des Grofcilles fermcntées faite par M. LEMERY le Fils. H. 1703. p. 45. Fernel. Ses Eflais fur la médire de la Terre, M, 1701. p. 176. Feu. (Sur la Matière du ) H. 1709. p. 6. „ » Réflexions fur la Lumière, les Couleurs &: la génération du Feu. Par LE PERE MALLE- BRANCHE. M. 1^99. p. 22. De la o;énération du Feu félon le fentimcntdc Defcartcs. ibid. p. 33. Selon le fcntiment du P. MALLEBRANCHE dans le Vuide&: dans le Plcin./'^/V.p. 34. & fq. Expérience de l'Eau refroidie par le Feu. M. 1700. p. 1 19. Raifon de cette Expérience, ibid. Se fq. Few DE L'ACADEMIE i(î99 *- lyi" M? «Feu ( le ) " Moïcn de fc fervir du Feu pour faire mouvoir * les Machines. H. 1 699. p. i o i . Principes de M. AMONTONS pour faire fer- vir le Feu à cet ufage. ii>/J. Conftruâion e» gros du Moulin à feu de M. AMONTONS. /'^/V. p. loi. Effet de cette Machine. z'i^/V. p. 103. ». " Moïen de fubflituer commodément l'aflion du >2 Feu à la force des Hommes èc des Chevaux pour j> mouvoir les Machines. Par M. AMONTONS. » M. 1699. p. iii. Cette application du Feu peu connue./^, p. iij. Expériences faites pour y réuffir. ii>id. & fq. Divcrfcs confcquences de ces Expériences. p. /^/V. 1 17. &:fq. Le Feu appliqué immédiatement à l'Air aug- mente la force de fon Reffbrt plus que la chaleur deTEaubouillante. /^/^. p. 119. Defcription du moien de fc fervir du Feu pour mouvoir les Machines, ihid. p. 125. Avantage de ce moien. ihid. p. iz6. ~Feux ( „ Sur les ) Souterrains , le Tremblement de " Terre , le Tonnerre , &:c. expliqués chimiquc- " " ment. H. lyoo.p. ji. » F eu Grégeois brûle dans l'Eau. il>id. p. j t. j" '.-;--.' "Explication Phyfique &c Chimique des Feux " Souterrains , des Tremblemens de Terre , des " Ouragans, des Eclairs 6<: du Tonnerre. Par M. " LEMERY.M. 1700. p. ICI. Follets , leur caufe. M. 1700. p. 10^. Qui fc voient fur une des Montagnes de l'Ap- , - I ; pcnnin,obfcrvésParM.BIANCHINLM.i70^. . F- 336-. Tourbillon de Feuquiaparu en baffe Norman- die. Fi. 1700. p. 10. Î4^. des Mat. 1699. — 17 10. V% 1^0 TABLE DES MEMOIRES Feuille (Sorte de Courbe ) fa Qiiadrature donnée à l'A- cadcmicpar M.CARRE'. H. \-joC,. p. 94. Des Arbres contribuent à la perfcdion du Suc nourricier. H. 1 707. p. y i . Des Plantes , leur ufagc dans la préparation des Sucs nourriciers , &c. M. 1707. p. z88, &: fq. Feuille'e ( IcP. ) Minime. Orr. SESOBSEKVAT. JSTKONOMI §1/ rapportées dans les -Mémoires de l'Académie. Kîpp ■ 1710 Eclipfede C du 22. Février 1701. obfervée à 10.. • ■ ' milles au SE. de Smyrne. M. 1701. p. 9. Eclipfc de C du 1 1. Décembre 1704. obfcrvéeà Carthagene. M. 1708. p. 9. "■ Eclipfede C du 27. Avril 1706. obfervée à la Martinique. /^/V. p. I y, Eclipfede o du 23. Septembre 165)5). obfervée à Marfcille. M. 1701.P. 81. EcIipfed'Aldebarampar la C le 19. Kovlzi6s)9> obfervée àMarfeillc. M. 170 1. p. 64. Eclipfed'Aldcbaramparla Clc j.Odob. 1700. obfervée à Smyrne. M. 1702. p. 8. , Eclipfe d'Antarés par la C le 3- Septem. 1707. "'!• ' - obfervée àMarfeillc. M. 1708. p. 2. •'• - r Eclipfe des Hyades par la C le 7. Mars 16515». obfervée à Marfcille. H. 165)9. p.78.&fq. Eclipfe de Mars par la C le 10. Mars 1707. obfervée àMarfeillc. M. 1707. p. 15)3. &: fq. Emerf. du I. Sat. ■! DE L'ACADEMIE iid. De Verre font encore commodes. ii//d. p. 131. Manière de les tirer, ihiii. p. 131. FiLiPENDULE ( Plante] fa Defcriprion donnée à l'Acadc- mie. Par M. MARCHANT. H. 171 o. p. 79. Fille réglée huit jours , ou trois mois après fanaiflancc, èc nubile à environ quatre ans. H. 1708. p. ji. Filles (deux) monftrucufes jointes enfemblc depuis le dcfîbus des Mamelles jufqu'au Nombril com- mun. H. 1702. p. 17. & fq. FiLTRATioNSGu Corps, iiouvellc manière de les expli- quer. M. lyoj.p. ijz.&fq. DE L'ACADEMIE i » Mémoire de la manière d'obferver dans les » Ports le Flifx &: le Reflux de la Mer. H. I701, « p. ii.&cfq. » ». Réflexions fur les Obfervations du Flux & du Reflux de la Mer faites à Dunkcrque. Par M. Baert Profcflcur d'Hydrographie , pendant les M années 170 1.& 1701. ParM.CASSINI le Fils. n M. I7IO. p. 3 18. « ,> Réflexions fur les Obfervations du Flux &r du » Reflux de la Mer fûtes au Havre de Grâce par » M. Boiflaye du Boccage Profefleur d'Hy- « drographie , pendant les Années 1701. &: 1701. Par M. CAS SI NI le Fils. M. 1710. " p. 3(36. /-■Foetus » Sur l'Hiflroire du Foetus. H. 1^99. p. 31. Hifl:oire du Fœtus décrite par M. TAUVRY. H. 1699. p. 31. Leurs Membranes , l'Amnios , le Chorium, l'Allanthoïdc H. 1700. p. 2,7. Les trois Membranes qui l'enveloppent, deffe- chées & montrées à l'Académie. Par M. LIT- TRE. H. 1701. p. 19. >» » De la Circulation du Sang dans le Fœtus. ** H. 1699. p. 25. H. 1701. p. 36. H. 1703. ■ V- y- . ^ . . , SyfliciTie de M. Antoine Corr qui croit que le Sang de la Mère efl: porté dans le Fœtus par les Artères Ombilicales. H. 1703. p. 3 i. Foetus DE L'ACADEMIE i^PP «s. 17ÎÔ 157 "Foetus » Sur la Circulationdu Sang entre la More &: f le Fœtus. H, 1708. p. 3 (î. Syftême commun fur cette Matière. H. 1708. p. 3 6. & fq. ■ Syftême nouveau détruit par M. MERY.i^/V. P-57- ^ , n » Problème d'Anaromie ; fçavoir fi pendant la » grofTefle il y a entre la Femme & fon Fœtus une » Circulation de Sang réciproque. Par M.MERY. * M. 1708. p. 18^. Ce que c'eft que le Trou Ovale dans le Fœtus. H. 1699. p. 2.^. Il pafle beaucoup moins de Sang par le Poumon du Fœtus que par celui d'un Enfant nouveau ne. M. 1700. p. 2,18. ( Dans le j humain , les Vaifleaux du Côté droit du Cœur font toujours plus grands , félon M. MERY , que ceux du Côté gauche. H. 1703. P-3 5- Veau &r Agneau , ceux du Côté gauche font plus grands fclon quelques uns. il?ui. p. 3 y. „ " Obfervations fur la Circulation du Sang dans „ le Fœtus , & Defcription du Cœur de la Tortue „ & de quelqu'autres Animaux. Par M. DU VER- „ NEY. M. 1599. p. 127. Critique ( Par M. DU VERNEY ) du Syftême de M. MERY fur la Circulation du Sang dans le Fœtus. /'^/V. pp. ijo,& fqq. Fœtus humain ne refpire point. /^/V. p. 1 ^7. Tempcrammcnt du Fœtus dans le Sein de la yiete.ibid. p. zjS. >. Réponfe à la Critique de M. DU VERNEY I. du nouveau Syftême de la Circulation du Sang » parle Trou Ovale du Fœtus humain. Par M. t. MERY. M. 1703. p. 403. Tub. des Mat. i épp. — 17 1 o, K k 1^8 TABLE DES MEMOIRES Foetus (le) ne fc nourrit pas du Chilc comme quelques uns le prétendent, ihid. p. 1 9 3 . & fq. ,^.-; Trouvé dans l'Ovaire d'une Femme, par M. LITTRE. M. 1701. p. 114. V).' .'■ . . w Obfervation fur un Fœtus humain trouve dans » la Trompe gauche de la Matrice, par M. LIT- » TRE. M. 1701. p. 108. » " Obfervation fur un Fœtustrouvé dans une des V Trompes de la Matrice. Par M. DU VERNEY » l'aîné. M. 1701. p. zpS. « « Hiftoire d'un Fœtus humain tiré du Ventre de » fa Alere par le Fondement. Par M. LITTRE. M. » I70i.pp. i34.&fqq. Particularités obfcrvées dans deux Fœtus Ju- meaux. H. 1700.P.41. &: fq. Humain monftrucux avec un efpece de Bonnet derrière la Tête. H. 1700. p. 45. ^- ■: - - "Obfervations fur unFœtus humain monftrueux. « ParM. LITTRE. M. 1701.P. 109. »:. _: wSurun Fœtus extraordinaire. H. 1701.P. zi. '» En quoi diffère de l'Homme, ibld, ?■ LeTrou Ovale Se le Canal de communicatioa ;■ n'ont d'ufige que dans le Fœtus. i/'/W. p. 23. _ ; M. LITTRE y ajoute l'Ouraque. ibid. Ses Obfervations fur ce Syftcmc. ibid. & fq. '. -i II croit que le Fœtus pourroit k nourrir unique- L.i ment des Liqueurs que le Cordon Ombilical lui fournit, ibid. p . 24. I» .- ("Sur un)humainmonftrueux.ParM. LITTRE. » M. 1705». p. 9. M >' Remarques fur un Fœtus monftrueux. Par M. V'S'/i MERY.M.170CJ.P. 16. p .!•,?. ; Ne fe nourritpas par la bouche, ibid. p. 1 8. & fq, ». j. Sur la ftrufturc extraordinaire du cœur d'un j» Fœtus humain. H. 1695). p. 37. DE L'ACADEMIE i, p.8j. » » Remarques fur une Comète obfervéc à Pékin " le mois de Février de l'année 16551. Par le Pcre " de Fontanay delaCompagnicde JcIus.M.1701, roRCEd un Corps qui fe meut , ou fa quantité de mouve- ment, ce que c'cft ; H. 1706. p. izy.&rfq. Force ou quantité de mouvement d'un Corps , eft le pro- duit de la MafTe par fa VitclTe, & pourquoi? H. 1705. p. loi. (la même) peut être formée d'une infinité de ' manières différentes. i(nd. p. i oi. » » Examen de la force de l'homme pour mouvoir » ^ ^. des Fardeaux , tant en levant , portant , qu'en » ' ' tirant, laquelle eft confidcrée abfolument, &: » parcomparaifon, àcelle des Animaux qui por- » tent& qui tirent comme les Chevaux. Par M, DELAHIRE.M. 1699. p. in- De l'Homme dépend des Mufcles & de la pofi- / tion du Corps. ihiiJ. p. 5; 6. Des Mufcles , des Bras &c des Epaules , pour ti- rer ou pour élever un fardeau. H. 165)51. p. 5)7. M. 165)9. p. I ^4. Des Mufcles des Lombes, i^id. ibid. , , .,• des jambes & des Cuiffes. ih.iL La Force de l'Homme n'cft pas la même que celle de tous fes Mufcles enfemble. M. 169^, P-iH- Exemple d'un Homme d'une force conildcrable, ihid. p. I j6. DE L'ACADEMIE i6p9-- I7IO i6i Force des Chevaux. Les Chevaux font . les plus torts de tous les Animaux qui tirent, ibid. p. i6i. Force horizontale des Chevaux. H. 165)9. p. 98. Rapport de la force des Hommes à celle des Chevaux pour tirer. M. i «Jcjcj. p. \6i. Avantage du Cheval fur l'Homme pour poufTer en avant. H. 1699. p. 98. Avantage de l'Homme fur le Cheval pour mon- ter. iHd. n Des Hommes & des Chevaux ( » Moïen defub- * ftituer commodément l'aclion du feu à la) pour » mouvoir les Machines. Par M. AMONTONS. •» M. 1699. p. HZ. »' ' De la Vis ...» Rapport gênerai des forces qu'il » faut emploïer dans l'ufage de la Vis. Par M VARIGNON.M. 1699.P. 91. » " Sur la force ncccdirc pour remonter les Bat- »- teaux.H. 1701. p. iz6. De l'Eau év.-luce en Livres, /ù/d. & fq. Qui dévide ou file plus de Corde, n'en cft pas toujours augmentée à proportion, 'did. p. 130. fr » Sur la force des Machines en gênerai. H. 170 5. » p. 100. Dans toute Machine , on perd en tcms ce que l'on gagne en force, ii'/d. Forges ( Eaux Minérales de ) examinées par MM. DODART &c MORIN. H. 1708. pp. 57. &:rqq. Formations ( des Cailloux) H. 1707. p. 7. Formica-Leo (Infecte) fcrt d'origine à la Dcmoifelle (forer de Mouche) M. 1704. p. 141. .. Hiftoirc du Formica-Leo. Par M. POU PART » M. 1704. p. 25 j. Kkiij t62. TABLE DES MEMOIRES FoRMiCA-PuLEX , Infecte qui forme ce qu'on appelle Ecumes Printanicrcs , (x defcription. M. 170J. p. li^. Se fq. EoRMiCA-VuLPES , fortc d'Infccbc , ce que c'efl: ; H. 170(3. p. 7. & fq. Fortes. ( Eaux ) Les Acides du Corps humain peuvent avoir du rapport aux Eaux Fortes ou aux Eaux Régales. M. 1700. p. 64. ( Eaux) Foïez. Eaux. Foudres (Pierres dej leur exiftcncc paroît doutcufc. M. 1700. p. 106. Conjcdure fur leur origine , en cas qu'elles exif- tcnt. ihid. p. 1 07. Fourmis de Vificc, efpece de Fourmis de l'Amérique Méridionale , pourquoi ainfi nommées. H. 1 7 o i. p. 16. Remarque fmgulicre fur ces Animaux cnvoïcc à M.HOMBERG.//^/V. Foie ( Glandes du ) plus grofles qu'à l'ordinaire, mon- trées à l'Académie, par M. LITTRE. H. 1701. P-n- D'une conformation extraordinanx rapportée par M. LEMERY le Fils. ibid. p. 54. & fq. FoiERsdes Courbes , cequec'eft; H. 1703. p. 67. De l'Ellipfe , leurs propriétés, ibid. p.68. DelaCallino'ide, leurs propriétés, ibid. p. 6%. M » DesFoïcrs par Réflexion en gênerai. H. 17 10. " p. lia. » =. Des Foïers en gênerai. H 1704. p. 7(î, Sont réciproques au pouit lumineux. /'Z'/V/. p. 87. ?> » Méthode pour trouver les Foïers des Lignes » Géométriques de tous les genres. Par M. ROL- » LE. M. 1706. p. 184. M » Manière générale de déterminer geomctriquc- )i mentleFo'ier d'une Lentille formée par deux DE L'ACADEMIE i» • '■ « Obfervations fur les finsiularités del'Hiftoire » naturelle de France. H. 16515). p. 23. » ( " Sur quelques fingularités de la ) H. 1700. p. 3. Frappe. Art de la Frappe des Poinçons décrit par M. JAUGEON.H. 1703.P. 135". FRENICLE(M.) SesTravauxiur IcsQuarrés Magiques. H. 1705. p. 71. & Tq. Sa Méthode de conftruire les QiiarrésMagiqucs, &c. M. 1705. p. i66.&cfq. Froid (le) cft une diminution de Mouvement. H. 1700. p. 5-1. - (le) diminue leReffbrtde l'Air.H. 1699. p. 10 1. ( le ) Chaud dans les Liqueurs , ce que c'eft ? M. M. 1700. p. 1 17. De l'Air , la violence du Vent ne l'augniente pas. M. 1701. p. II. Le Jugement que l'on porte du Froid cil incer- tain , &r pourquoi i M. 17 10. p. 140. t(î4 TABLE DES MEMOIRE 5 Froid (le) de l'Hyver de 1709. arrivé par un Vent du Sud, a paru étonnant. H. 1709. p. 9. Conjeéturcs fur ce fait. ibid. La Seine ne fut point gelée dans le milieu de fon Courant , & pourquoi î ibid. ôc fq. " " Obfcrvations fur l'Evaporation qui arrive aux » Liquides pendant le grand Froid , avec des Re- * marques fur quelques effets de la Gelée. Par M. *> Gauteron de la Société Roïale de Montpellier. " M. 1709. p. 451. Froides"IÎJ^^'^'^'""°"^ ! P'oi-ez rDissoLUxioNS. J (fermentations) ^Fermentations, Froment. Exemple de quelques grains de Froment qui ont produit des Troches garnies d'un grand nombre de Tuiaux. M. 1700. pp. i ^7. &.- fqq. Fron VILLE (M. De) fon Secret de l'Or Potable examiné par l'Acadcinie. H. 1701. p.73. &: fq. •v Frottements (» Sur les ) H. 1703. p. 10 j. H. 1704. N'avoient point encore été confiderés dans la Mécanique , &c pourquoi ? H. 1704. p. 96. Sont proportionnels à la Prcflion &: à la Vitcffe , félon M. AMONTONS, & non-pas aux Sur- faces. H. 1703. p. 10 y. Expériences de M. DE LA HIRE quilcveri- fient, &; Raifon Phyfiquc qui l'explique. H. 1699. pp. 104. & fqq. Objeélion tirées des Feuilles de Papier engagées les unes dans les autres, &: chargées d'un poids médiocre, ibid. p. 107. M. AMONTONS y répond & s'en fcrt comme d'une nouvelle preuve, ibid. p. 1 07. La Réfiftance caufée par le Frottement , fuit la proportion des Prclfions, & en égale à peu près le tiers. M. 1 6 9 p. p. zo8. &: fqq. Frottements DE L'ACADEMIE 1^95)— 1710 zSj Frottements. La Rcfiftancccaufcc par le Frottement n'augmente que jufqu'à un certain point , quel- que Vitelle que l'on imprime à l'un des Corps frottans lorfqu'ils font durs. H. 1700. p. ijj. Les Surfaces y entrent pourtant ncceffairement, H. 1703. p. 108. &:fq. Démonftration de la proportion établie des Frottements. M. 1699. p. ii i. &fq. Leur Valeur trouvée par Expérience par M. AMONTONS.H. 1700. p. 151. H.1704.P. c,(î. Leur Valeur trouvée la même par Raifonne- ment &c Géométriquement. Par M. PARENT. ili/d. ibid. Idée de M. PARENT fur la Théorie des Frot- tements. H. 1700. p. i j i. Si »' Sur les Frottements des Machines. H. 1699. n p. 104. Erreur dans le Calcul des Machines , lorfqu'on compte pour rien les Frottements, ibid. p. 103). Expériences fur les Frottements de divcrfcs Ma- tières. M. 165)9. P- 2-o8. Frottement du Bois contre Terre, ibid, p. 207. Réfiftancc caulée par le Frottement dans le Traineau &c dans la Charette. M. 165)5). p. 210. Cas particuliers des Frottements, ibid. p. 213. Régie pour calculer les Frottements. /^/V. p. 2 1 y. & fq. » "De la Réfiftancc cauféc dans les Machmcs, tant par les Frottements des parties qui les corn- " pofent , qucpar la Roidcur des Cordes qu'on y " emploie , & la manière de calculer l'un &: l'autre. Par M. AMONTONS. M. 165)5). p. 206. >-• w Du Frottement d'ime Corde autour d'un Ci- « lindre immobile. Par M. SAUVEUR. M. 1703. p. 3oy. Tab. des Mat, 16^9. —.1710. Ll z6S TABLE DES MEMOIRES "Frottements. » Sur les Frottements &: les Centres de ■ » Converlions.H. 1700. p. 149. Ufiigcclc la Théorie des Centres de Converfions dans celle des Frottements. il?id.^. i j i. » "Nouvelle Statique avec Frottements &r fixns » Frottements , ou Régies pour calculer les Frot- » tements des Machines dans l'Etat d'Equilibre, Par M. PARENT. « I. Mémoire, qui contient tout ce qui fcfait » flir des Plans inclinés. M. 1704. p. 173. » II. Mémoire , trouver la force avec laquelle M il faut pouffer un Coin pour féparer un Corps , » ou dircdement , ou fur un point fixe ou fur »» deux. M. 1704. p. 18 <3. " I. Suite du II. Mémoire, qui comprend ce a» qui fe fait ordinairement avec la Vis ancienne » ou à Ecrou&: la Vis fans fin. M. 1704. p. 190; » II. Suite du II. Mémoire. Expériences pour.les " Frottements des Corps dont les Parties le mcu- » vent avec différentes Viteffcs. M. 1704. p. 19 y» »» JII. Mémoire des Poulies 6c de leurs Tou- » rillons. M. 1704. p. 206. » Frot te's ( Corps ) » Sur la Lumière des Corps frottés, H. 1707. p. I. FRlJTtx Marinns elegantiffimtis Cltifii. Plante. M. 1700, J'Z;c'y5 Plante Marine molle avec des feuilles. M. 1700. p. 28. FuLCHiRON ( Le P. Jef ) Ses Obfervations de la Pluie tombée à Lyon en i7oj.&:cn 1708. M. 1705, p. II. M. 1709. p. 8. Fulminât ION. Expérience d'une Fulmination dans un Liquide. M. 1700. p. 108. Fume'e, EaudePluiequifcntoitla fumée. H. 1703. p. 6. Caufc de cet accident, ibid, M. 170 5 , p. 67. jC DE L'ACADEMIE 1(559 — 1710 2,^7 Fume'e. Machine du Sr. Des Fargues pour remédier à la Fumée caufce par les Vents, approuvée par l'Académie. H. ijoi.p. 142. Efpece de Syftême des caufes qui font fumer les Cheminées, & quelques moi ens pour remédier r "à cet inconvénient, propofés par M. DALES- ME.H. 1705. p. 137. IVîJG'Vs Coccïneiis Melitenjis t'iphoïdes, Bocc. rar. Plant. Sa Defcription envoiéc à l'Académie par M, ; , Lippi. H. 1705-. p. 68. ■ TVi^avs Saxeus Nili major. Clufii , forte de Champignon de Mer , fa Defcription. M. 1700. p. 3 1. Fureur précédée de Mélancholie caufée par Amour^ guérie par M. DU VERNEY le Jeune , &: com- ' ment ; H. 1704. p. zi. Fuse'e. Son élévation eft caufée par fon Recul. H. 1701. ... Leur Conftruction ne peut guère être perfec- tionnée./^/V. p. 12. s> d'Horloges. » De la figure des Fufées d'Horlo- » gcs àReifort. H. 1701. p. 122. M » De la figure ou curviré des Fufées des Hor- loges à Relïbrt. Par M.VARIGNON. M. 1702. » p. 192. Fusil brifé qui fc charge par la Culaffe, invente par M, :: - De La Chaumettc,& approuvé par l'Académie. ^.■j."ip .. H. 1704. p. 124. ..Hi * Liij 2.6S TABLE DES MEMOIRES G Galères. Conviennent mieux à la Mcdicci-rance qu'a rOcean, & pourquoi? H. 1710. p. 14^. Mifes avec fuccès fur l'Océan par M. DE CH A- ZELLES. ibid. p. 14^. Galien. Sonfcnrimcnt fur la production de la Voix , &£. Réflexions de M. DODART. H. 1700. p. 19. Oalile'e. Son Hypothéfe du Mouvement fubfiflie, & cft conforme à l'Expérience. H. 1707. p. 1 5 1. S'eft trompé fur les Vitefles des Corps qui tom- bent par deux Plans inclinés contigus. H. 1704. p. 10 y. &: 108. Son Hypothcfe fur la pcfanteur & l'accélération des Corps pefans. H. 1707. p. j 5. M. 1707. p. Il, H. 1^95). p. 68. ■u-' "Sur l'Hypothéfe du Tournoiement de laTerre, w compliquée avec celle de Galilée touchant la. « ' pefanteur des Corps. H. 1707. p. jy. Démontre le premier que la Ligne du Jet d'un Boulet ou d'une Bombe cft une Parabole. H. 1707. p. 121. Efl: ic premier qui ait examiné la Réfiftancc des Solides, la Science des Vibrations , & la chute des Corpspcfins.H. 1701. p. 103. Galle. Efpcce de Serpent du Brefil, dont lapiqueure, & même le feul attouchement après fa mort, donne la Galle. M. 1700. p. 177. & fq. Gallets (Cailloux de Mer) ce que c'eft; Se trouvent auffi fort avant dans les Terres. H. 1707. p. y. GALLOIS. ( M. L'ABBE' ) Ses Parents ', fcs Etudes , re- çoit l'Ordre de Prêtrifc. H. 1707. p. 176. Traduit en Latin le Traité de Paix des Pircn. ib^ D E. L'ACADEMIE i(îsi5> — 1710 t€y- GALLOIS ( M. L'ABBE' ) s'affocie avec M. De Sallo, ôs travaille au Journal des Sçavans. H. 1707. p. \j6. Recommence feul en 1666. le Journal inter- rompu. iLicl. p. 177. Eft connu par-là de M. C O L B E R T , qui lui donne une place dans l'Académie, ibid. Enrichit Ton Journal des principales Décou- vertes de l'Académie, ibid. Devient cher à M. COLBERT. ibid. p. 17&. Eclat des Sciences fous M. COLBERT. ibid. Eut grande part à l'Eclat des Sciences, fous ce Miniftre , &cc. ibid.ç. ijç). Qiiitte le Journal en i (Î74. ibid. Eft fait Garde de la Bibliotcquc du Roy. ibid. ProfefTcur eu Grec &: E'wiaMTiti au Collège Roïaî. ibid. Met en Ordre les Mémoires de l'Académie de. 1691- &:i6s)^.ibid.p. 180. Entreprend de Travailler fur Pappus. ibid. Attaque avec M. ROLLE dans l'Académie , la nouvelle Géométrie des infiniment petits. H. 170 1. p. 88. H. 1707. p. 1 80, . Sa Mort, fon Tempérament, fes Mœurs, fa Bibliotéque. H. 1707. p. 181. Sa place par qui remplie, ibid. Son Eloge Par M. DE FONTENELLE. ibid. ■ P- 7<5; =*.- =' Réponfe à l'Ecrit de M. David Grcgori , tou^ « chant les Lignes appellécs Robervallienncs, qui ■ « fervent à transformer les figures. M. 170 3 . p. 70. Gandolphe ( M. ) Médecin de Marfeille ,&: de la Msri- ne à Duiikcrque,Corrcfpondant de M TOUR- NEFORT , apporte à l'Académie une Relation très exadc d'une Dilatation prodigicufe des Ovaires. H. 1707, pp. z6. Se iqq. LJiij 270 TABLE DES MEMOIRES Gandolphe ( M.) Incifions faites par lui à la Cornée avec fuccès , dans une Maladie caufée par un Epanchcment de Sang dans Thumeur aqucufe. H. 1705). p. i5.&:fq. Envoie à l'Académie une Defcriprion d'un Té- nia rendu par une Dame , avec une Difl'crcation fur ces fortes de Vers. H. 1705». p. 2.9. Sa mort en 17051. ihuL p. 3 3 . Gangrené s'arrête par la Décoction de la Pcrficaire Orientale &; de l'ordinaire. M. 1703. p. 304. (Etrange) devenue commune en 17 10, parmi les pauvres Gens. H. 17 10. p. 61. & fq. Caufc de cette Gangrené. iL p. 61. &: fq. Garouste (M. De La) Machine defon invention pour faire mouvoir à la fois quatre Moulins à bled, approuvée par l'Académie. H. 1707. p. ij6. Machine de fon invention pour mouvoir des Fardeaux très pefins , approuvée par l'Acade- mie.H. 1701. p. 138. Gassendi ( M. ) Son fentimcnt fur la grandeur appa- rente de la Lune à l'Horizon & au Méridien. H. 1700. p. 9. Objection contre ce fentimenr. ih/d. Obfcrva le premier la cr Ecliptiquede ^ avec le Soleil en 165 1. H. 1707. p. 86. M. 1707. p. 198. Gauteron ( M. )dclaSocieté Roïale des Sciences de >.Iontpellier. .. Obfcrvations fur l'Evaporation qui arrive aux Liquides pendant le grand hoii, avec des Remarques fur quelques effets de la Gelée. M. 1709. p. 4^1. Gautier ( M. IcPrieur) Eclipfede Lune du ï6. Avril 1707. obfervéc par lui à Genève. M. 1707. pp. 3n- &%• Son Obfervation de l'Eclipfe de Soleil du ii. Juillet 1684. M. 1701. p. 87. DE L'ACADEMIE ï^5?9 — r7ïo zjr Gautier (M.) Ton Obfcrvarion de l'Eclipfc de Soleil du II. May 1706. faite à Genève. M. l-/o6.p.^66. Gay ( M. ) îvlachine de fon invention pour TEIeva- tion des Eaux, approuvée par rÀcademic. H. 1701. p. 138. "Gele'e . . " Sur les Arbres morts par la Gelée de 1709, a H. 1710. p. 5-9. jj » Obfcrvations fur l'Evaporation qui arrive aux y Liquides pendant le grand froid, avec des Re- M marques fur quelques Effets de la Gelée. Par M, « Gautcron de la Société Roiale de Montpellier, M. 1709. p.4Ji. Gemma ( Frifon ) Àftrolabeuniverfcl de Gemma , ce que c'eft; H. 1701.P. 99.& fq.M. 1701. p. zj8. Deifauts de cet Ailrolabe. il/Jd. ihid. » Génération » Sur les Parties deftinéesà la génération. H. 1700. p. 29. Mifterede la génération long-temps inconnu. ibid. p. zç). Recherches de MM. DU VERNEY & LIT- TRE fur cette Matière, ibid. &: fqq. « ("Sur la) de l'Homme par des œufs. H. 1701, Raifons générales qui ctabliiTent le Syftême de la génération par des œufs. ibid. Difficultés faites contre ce Syftémc par M. MERY. ibid. p. 39. Réponfes des Scélateurs du Syftcmc des œufs. ibid. p. 39. Nouvelles preuves de ce Syftcmc , trouvées par MM, LITTRE & DU VERNEY le Jeune.. ibid.^p^. 40. &: fqq. M ( » Sur la )des Limaçons. H. 1708. p. 48. Gènes. .( Eclipfc de Lune du 2.9. Septembre 1708. obfcr- véeà)parMM. Le Marquis Salvago&: l'Abbé Barrabini,M, 1708. p- 41 8. -^-jz TABLE DES MEMOIRES Gènes, ( Eclipfc de Soleil du 13. Septembre i<Î99- olv .fcrvéeà) Par MM. Les Marquis Salvago bc Alexandre Grimaldi. M. 170 1 . p. S 3 . ( Eclipfedc Soleil obfcrvée à ) le \z. May 1706. Par M. Le Marquis Salvago. M. 1706. p. 467. ( Eclipfedc Soleil obfervée à) le 14. Septembre 1708. Par M. Le Marquis Salvago , & M. l'Ab- bé Barrabini. M. 1708. p. 417. (Eclipfc du Soleil obfervée à) le 11. Mars 1709. ■Par MM. Le Marquis Salvago &: l'Abbé Rava. .M. 1709. p. 93. Genève.. (Eclipfe de Lune du lé. Avril 1707. obfcr- vée à ) Par M. Gautier. M. 1707. pp. 3 n- ^ %1- ( Eclipfedc Soleil obfervée à ) le 1 1. May 170^, Par MM. Violicr& Gautier. M. 170(5. p. ^G6. Genièvre (Vin de) & de Centaurée réullit dansl'Hy- dropifie. M. 1703.P. iji. .Manière de le préparer. //'/V. Genres en Botanique, néceiïïcé qu'il y a eu de les établir. H. 1700. p. 71. Tous les genres de Plantes réduits à zi. Claflcs, ïbid,'^. 7 y. » De Plantes ( •■ Etabliffement de quelques nou* veaux)Par M. TOURNEFORT. M. 1705. « p. 136. Morftis Rm£ y chamxbuxus y Mcnifpermiim ( p. i 5 7. Camphorata S- p. i 3 8 . Chrifanthemoïdcs J Fi coi des ^ ( Nouveaux ) de Plantes établis. Foïez. Plantes. GEOFFROY (M. ) donne la Dcfcription du Caa-apia Plante du Brcfil. H. 1700. p. 70. Examine , étant en Italie , le Sable noir dont on fefertpour mettre fur le Papier, &: celui delà Montagne de Péfaro , curicux'i parles diverfcs couleurs de fcs grains. H. 1701. p. 16. &c Iq. GEOFFROY DE L'A G A D E M I E i<^ç,^ «. 1710 a^j GEOFFROY ( M. ) Son Examen des Eaux de Vichi &: de Bourbon. H. lyoi.p. 43. & fq. Donne à l'Académie le dccail de la manière dont fe fait l'Alun de Roche en Italie & en Angle- terre. H. 1702.. pp. 20. 8c fqq. Son Objeftion contre le Syftcme de M. LEME- RY le Fils , que le Fer cxifte réellement dans les Plantes. M. 1707. p. j. & fq. Réponfe de M. LEMERY à cette Objedion. ^i>id. p. 6. &c fqq. " " Nouvel cclaircifTemcnt fur la prétendue pro- w duction artificielle du Fer , publiée par Bêcher, &foutenuë par M. GEOFFROY. Par M. LE- MERY le Fils. M. 1708.?. 376. LISTE CHRONOLOGI ^VE des Mem. imprimés de Ad. GEOFFROV. 16^9. ' 1710. „ >' Obfervations fur les DifTolutions &: fur les >. Fermentations que l'on peut appeller froides , » parce qu'elles font accompagnées du Refroidif- » fement des Liqueurs dans lefquelles elles le paf- « fent. M. 1700. p. 1 10. » » Extrait des Defcriptions que Pifon & Marc- » Gravius ont données du Caa-apia , Sc confron- tation des Racines de Caa- apia &c d'Ypccacu- anha, tant gris que brun, avec leur Defcription , >, par laquelle on voit fenfiblement la difterence » du Caa-apia à l'Ypecacuanha. M. 1700. p. 134, » " Manière de rccompofcr le Souiïre commun par » la réunion de fes principes , &: d'en compofcr de ), nouveau par le mélange de ferablables fubftan« Tah. des Mat. l6s>^ — 17 10 Mm 174 TABLE DES MEMOIRES » ces , avec quelques conjcftures fur la compofî- j. tion des Métaux. M. 1704. p. 2.78. «GEOFFROY ( M. ) « Problème de Chimie, trouver ■» des Cendres qui ne contiennent aucunes par- jj celles de Fer. M. 1705. p. 36Z. i M " Analyfe Chimique de l'Eponge de la moïcnnC » Efpccc. M. 1706. p. 507. " >j Cbfcrvation Anatomiquc. M. 170^. p. ^09. u " Eclairciir^ment fur la produdion artihcicllc » du Fer , &: fur la compofition des autres Métaux. » M. 1707. p. 176. » » Obfervations furies Analyfes du Corail , &de « quelques autres Plantes pierreufes , faites par » M. Le ComteMarfigli. M. 1708.P. 101. » » Expériences fur les Métaux faites avec le Ver- » re Ardent du Palais Roial. M. 1709. p. 16 1. GEOFFROY ( M. ) le Jeune paroit être le premier qui ait fuivi l'idée de faire naître les différentes cou- leurs par les Mélanges des Huiles & des Sels. H, 1707. ç). 39. _ Son idée fur l'origine des différentes couleurs des ■ Plantes en différents états. H. 1707. pp. 39. &: fq. GEOFFROY ( MM. ) & MARALDl font à l'Académie l'Extrait de l'Effai Phyfique fur l'Hiftoire de la Mer, compofé par M. Le Comte de Marligli. H. 1710. p. Z4. LISTE CHRONOLOGJ^VE des Mem. imprimés de M. G EOF F KOV le Jeune. 1655?. I 7 I o. 4> "Obfervations fur les Huiles cffenticlles , » avec quelques conjedurcs fur la caufe des DE L'ACADEMIE i(îî)9 — 1710 17? » couleurs des Feuilles &: des Fleurs des Plantes. " M. 1707. p. j 17. "GEOFFROY (M.) le Jeune. » Obfervations fur le « Noftoch , qui prouvent que c'cft véritablement » une Plante. M. 1708. p. ziS. w » Obfervations fur les EcreviiTes de Rivière. M. » 1709- P- 305). » » Obfervations fur le Béfoard & fur les autres » Matières qui en approchent. M. 1710. p. 23 j. Géographie exafte, néceflaire à l'Aftronomie. M. 1655. p. 2.82. Dépend des Obfervations Aftronomiques. H, 165)^. p. 8z. REM JUIVES ET MEMOIRES de Géographie , imprimés dans les Mémoires de l'Académie, i(jpp. 1710. » Sur une manière de lever la Carte d'un Païs , {propofce par M. CHEVALIER ) H. 1707. p. 113. »> Sur le Rapport des Mcfurcs Itinéraires ancicn- nesavec les Modernes. H. 1701. p. 80. » Comparaifon des Mcfurcs Itinéraires ancien- nes avec les modernes. Par M. CASSINI. M. 1702. p. 1 5. » Sur la Mefure de la Terre faite par Snellius. H. 1701. p. 82. "Réflexions fur la Mefure de la Terre, rappor- tée par Snellius dans fon Livre intitulé , Eratof- thenes Batavtts. Par M, CASSINI le Fils. M. 1702. p. 60. 'M m ij i.-j(, TABLE DES MEMOIRES "Géographie .. » Sur une ancienne Communication de M la Méditerranée & de la Mer Rouge. H. \-ot, p. 83. » " Sur un Projet d'un nouveau Portulan pour la » Méditerranée. H. lyoï.p. 119. '• "Sur 4e Théâtre H ijiori^uic , ou la Carre de » l'Empire Romain , drcllce par M. DELISLE, » H. 1705. p, 119. » » Sur la Latitude &: la Longitude de Lilbonnc. » H. 1700. p. I jo. » " Extrait de quelques Lettres écrites de Portu- gal & du Brefil , par M. COUPLET le Fils à M, L'ABBE' BIGNON. M. 1700. p. 171. » " Polition de quelques Villes de la Chine. H, » 165)5). p. 83. AV/(c. Chine. » » Polirions de quelques Villes de Turquie & » d'Arménie, ibid. p. 8 y. Voïez^ Arménie &: " Turquie. »» " Conjectures fur la pofition de l'Ifle deMeroé, Par M. DELISLE. M. 1708. p. 3 <î^ w )' Obfervations fur la variation de l'Aiguille par M rapport à la Carte de M. Hallcy , avec quelques " Remarques Géographiques faites fur quelques » Journaux de Marine. Par M. DELISLE. M. 1710. p. 3^3. Géomètres Anciens ( Parallèle des ) avec les Modernes, H. 1704. p. n- Géométrie ( ce que c'cft que la) H. 1700. p. 93. Ufage fréquent de quelques Propofitions de Géométrie élémentaire. H. 1706. p. 83. &; Avantage de la nouvelle fur l'ancienne. H. 1700; p. 104. Son ufage dans le Jet des Bombes. H. 1700, p. 147. ôi f<^. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 177 Géométrie, ylpp/ication de i Alç^cbre à la Géométrie , Livre publié par i^. Gu'isNE'E. H. 1705. p. 98. Idée générale de cet Ouvrage, ibid. pp. 98, & fqq. Découvertes de M. DE TSCHIRNAUSEN en Géométrie. H. 1701. p. 89. & fq. LISTE DES MEMOIRES de Géométrie imprimes dans les Àdemoires de i' Académie. î • Sur une Propofition de Géométrie élémentai- re. Par M. DE LAGNY. M. 1706. P.-3 19. n " Sur les TanQ;entcs ic les Sécantes des Ancrles, » H. 1703. p. 64. » » Sur les Tangentes & les Sécantes des Arcs » Circulaire?. H. i7oj.p. 89. » » Supplément deTrigonometrie,contenant deux » Théorèmes généraux fur les Tangentes & les " Sécantes des Angles multiples. Par M. DE » LAGNY.M. 170J.P. i74. " »Sur les Ifopérimctres. H. 1701?. p. 68. » » Solution du Problême propoie par M. JAC- QUES BERNOULLI,&c. fur leslfopérimetres. Par M. JEAN BERNOULLI fon Frère, &.c. V M. 1706. p. z3 j. M m iii 17» TABLE DES MEMOIRES " Géométrie »> Méthode de décrire degrands Arcs de Sedions Coniques fans avoir leur Centre ni la .. grandeur d'aucun Diainctrc. Par M. DE LA HIRE. M. 1708. p. 189- H. 1708. p. 85). » " Sur des Fiçrures éirales en Surface courbe &: en i> foliditc. H. 1709. p. 56. « » Vïoh\cmeQcomctYÏc^Q[T>oiiver des Cilindres, » des Cônes circulaires , élliftiqucs , paraboliijiies , » &c. égaux en fur face courbe ^ folidité , avec une » même Sphère.) Par M. PARENT. M. 1709. » p. 118. » " Sur la SciSlion indéfinie des Arcs circulaires , Si » la manière d'en déduire les Sinus des Arcs don- •> nés. H. 1701. p. 58. » ., Section indéfinie des Arcs circulaires en telle w raifon qu'on voudra , avec la manière d'en dé- duire les Sinus, &:c. Par M. BERNOULLL » ProfelTcuràBàle. M. 1701.P. 281. » « Méthode générale pour la divifion des Arcs de » Cercle ou des Angles , en autant départies égales » qu'on voudra. Par M. DE L A HIRE. M. 1 7 1 o. M , p. 200. M » Secondes Remarques fur les Lignes Geome- rriqucs. Par M. ROLLE. M. 1702. p. 174. « " Remarques fur les Lignes Géométriques. Par M. ROLLE. M. 1705. p. 131. » Méthode pour trouver les Foïers des Lignes « Géométriques de tous les Genres. Par IvL ROL- » LE. M. 170^. p. 284. « » Obfer varions fur les Tangentes. Par M. ROL- » LE. M. 170 j. p. 2.2.. »» " De rinverfedes Tangentes. Par M. ROLLE. " M. 170 j. p. 2 j. » De rinvcrfe des Tangentes , & de fon ufagc. »> ParM.ROLLE.M. 170J.P. 171. DE L'ACADEMIE i(î5)î) — lyio xjy "Géométrie. » Sur les Tangentes d'un geme de Cour- '• bcs. H. ijoz.p. ^3. " EfTay d'une Méthode pour trouver les Tou- » chantes des Courbes Mcchaniqucs , fans fuppo- « fer aucune (grandeur indéfiniment petite. Par M.DETsOhIRNAUSEN.M. 1702.P. I. " Sur la Courbe que décrivent les Raïons de la " Lumière. H. 1702. p. 54. » " Examen d'une Ligne courbe form.ée par un » Ra'ion de Lumière qui traverfc l'Atmolpherc. *. . ParM.DELAHIRE. M. 1702. p.yi. &: Suite. " ibid. p. 182. » "Réponfe àl'Ecritde M. David Grcgory tou- » chant les Lignes appellées RobervalLiemcs^ qui " fervent à transformer les figures. Par M. L'AB-' BE'GALLOYS. M. 1705.P. 70. " Sur l'Ellipfe Aftronomique de M. CASSINL » H. 1703. p. 67. » " Manière prompte & facile de trouver les Tou- chantes de l'Ellipfe de M. CASSINL Par M VARIGNON. M. 1703. p. 181. » • " Sur les Lieux qui fe forment par le Concours » des Tangentes de la Cycloïde & des Seétions » Coniques. H. 1704. p. 46. « " Defcription d'un Lieu géométrique où font les » Sommets des Angles égaux formés par deux Touchantes d'une Cycloïde. Par M. DE LA » HIRE. M. 1704.P. 209. » » Conftruclion générale des Lieux où font les » Sommetsdc tous les Angles égaux , droits, aigus ou obtus , qui (ontiormés par les Touchantes des Serions Coniques. Par M. DE LA HIRE.M. » 1704. p. 220. M " Examen d'une Courbe formée par le juoïen du Cercle. Par M. CARRE'. M. 1705. p. 56. 1^0 TABLE DES MEMOIRES > Géométrie. » Sur la Duplication du Cube. H. i6. P-7I- . _ . » Sur une infinité de Portions de Cercle quarra- , blés. H. 1703. p. 63. . » Manière de trouver une infinité de Portions de . Cercle toutes quarrablcs, moïennant la feule Géométrie d'Euclide. Par M. VARIGNON. M. 170^. p. ir. " Sur la Qiiadraturc de la Lunule d'Hippocrate de Chio. H. 1701. p. 75;. " La Qiudrature abfoluë d'une infinité de Por- tions moienncs, tant de la Lunule d'Hippocrate de Chio,que d'une autre de nouvelle efpcce. Par M. LE MARQUIS DE L'HOPITAL.M. 1701. » C^iadrature d'une infinité de Scgmens & de Secteurs de la Cvcloidc , &:c. Par M. BER- NOULLI Profcflcur à Groningue. H. 165)5). p. 66. M. 1699. p. 1 34. " Sur lesQiiadraturcs.H. 1701. p. ^4. " Sur des Qiiadratures de Superficies Cilindri- ques qui ont des Bafes Coniques. H. 1707. '• Quadratures de Superficies Cilindriqucs fur des Bafcs Paraboliques , Elliptiques &c Hyper- boliques. Par M. DE L A HIR E. M. 1707. P-330- ». EfTay d'une Méthode pour trouver les P^aïons des Développées, les Tangentes, les Quadra- tures & les Reélifications de plufi"urs Courbes, uns y fiippofer aucune grandeur infiniment pente. Par M. DE TSCHIRNAUSEN. M. 1701. p. 191. " Sur les Spirales à l'Infini. H. 1704. p. 47. Glometrie /■ DE L'ACADEMIE 1^5)9 — 1710 z8î w Géométrie. "Nouvelle formation de Spirales bcau- » coup plus ditFercntes cntr'cUes que tout ce qu'on .. peut imaginer d'autres Courbes quelconques à M l'Infini , avec les Touchantes , les Quadratures, u les Dcroulcmens & les Longueurs de quelques « . . - unes de ces Spirales , &c. Par M. VARIGNON, M -. M. 1704. p. (39. » » Sur la Rectification des Courbes. H. 1701, "m p. 83. h. 1704. p. 44. « " Méthode pour la Redification des Lignes, M Courbes par les Tangentes. Par M. CARRE', w M. 1701.P. r j9. » M Méthode pour la Réftification des Courbes, Par M. CARRE'. M. 1704. p. 6^. » Redification de la Cycloïdc. Par M.CARRE' « ' M. 1701. p. 1^3. » " Sur lesCaulliqucs. H. 1703. p. (Î9. " » " Reftificarion des Cauftiques par réflexion , » formées par le Cercle , la Cycloïde ordinaire &c » la Parabole , &: de leurs Développées , a-"ec la » mefure des Efpaces qu'elles renferment. Par M. CARRE'.M. 1703.P.183. » « Sur les Roulettes en gênerai. H. 170^. p. 74. i> ■" " Traité des Roulettes , où l'on démontre la ma- » niereuniverfclledc trouver leurs Touchantes, » ' leurs Points d'Inflexion & de Rcbrouflcment , » leurs Superficies & leurs Longueurs , par la Géo- métrie ordinaire, &c. Par M. DE LAHIRE. > M. 1706. p. 340. M Méthode générale pour réduire toutes les Li- > gnes Courbes à des Roulettes , leur Génératrice . ouleurBafe étant donnée telle qu'on voudra, &:c. Par M. D E L A H I R E. M. 1706. p. 379- > "Sur les Roulettes. H. 1707. p. 63. Tai^, des M.it. 16^^, — 1710. Nii iSi TABLE DES MEMOIRES " Géométrie. " Méthode générale pour déterminer la ». nature des Courbes formées par le roulement de » toutes fortes de Courbes fur une autre Courbe » : quelconque. Par M. NICOLE. M. 1707. f p. 81. j. .. Sur la Rectification des Roulettes , dont la Génératrice eft un Cercle , & la Bafe un autre « Cercle quelconque. H. 1708. p. 80. » " Méthode générale pour rectifier toutes les ?'. - ^' Roulettes à bafes droites &: circulaires. Par M. NICOLE.M. 1708.P. 86. " Recherches fur les Courbes géométriques &: « mécaniques , où l'on propofe quelques Régies 5> pour trouver les Raïons de leurs Développées. w.. ParM. ROLLE.M. 1707. p. 570. » " Sur les Raïons des Développées des Courbes » conçues comme formées d'Elemens Courbes. ». H. 1706. p. 90. .. » Différentes manières infiniment générales de .. trouver les Raïons Ofculateurs de toutes fortes V, ' de Courbes , foit qu'on regarde ces Courbes fous » la forme de Polygones ou non. Par M. VARI- «:■ . GNON. M. 170e. p. 490. « » Sur une Efpccc imparfaite de Développées. H^ ') 1709. p. 64. » » Méchodc générale pour déterminer le point i» d'interfcétion de deux Liçnes droites infiniment M proches qui rencontrent une Courbe quclcon- » que vers le même coté fous des Angles égaux, »' moindres ou plus grands qu'un droit , pourcon- » noître la Nature de la Courbe décrite par une >f infinité de tels Points d'interfeïtion. Par M. DE » REAUMUR.M. 1709.P. 149. » " Formules générales pour déterminer le Point » d'intcrfeclion de dciLx Lignes droites infiniment DE L'ACADEMIE i(Î99 *- i"io lî^ proches, qui rencontrent une Courbe quelcon- que vers le même côté fous des Angles égaux. Par M. DE REAUMTJR. M. 1709. p. 1 8 j. Géométrie. " Sur les Conchoïdes en général. Par M. DELAHIRE. M. 1708. p. 31. H. 1708. p. 73. » Sur les Courbes à Flnrini produites par le mou- vement d'une Ligne droite qui pailc toujours par un Point fixe , 6c parcourt par une de les ex- *' crcmités une Ligne quelconque. H. 1708. p. 8i. « Manière générale de trouver une infinité de , Lignes Courbes nouvelles , en faifixnt parcourir . une Ligne quelconque donnée, par une des ex- . . trémités d'une Ligne droite donnée auffi & tou- , jours placée fur un même Point fixe. Par M. DE REAUMUR. M. 1708. p. 157. • " Sur les Courbes de la chute des Corps. H. 1 70 3 . i^ ^ p. 6j. > " Méthode pour trouver des Courbes le long > defquelles un Corps tombant s'approche ou s'é- loigne de l'Horizon , en telle raifbn des Temps ,. . qu'on voudra, &:c. Par M. VARIGNON. H, .'> ' ;- - 1699. p. 68. M. 1699. p. I. » "Addition à ce Mémoire, &c. Par M. \^ARI- li ■ ' GNON. M. 1703. p. 140. » "Sur les Forces Centrales. H. 1700. p. 78. H, » 1701.P.80.H. 1703. p. 73. » !. Méthode générale de déterminer les Forces , 1. les VitefTes , les Efpaces &: les Temps , une feule » de ces quatre chofes étant donnée dans toutes .. fortes de mouvemens réétiligncs variés à difcré- •tion. Par M. VARIGNON. M. 1700. p. z 1. «. " Du mouvement en général par toutes fortes de .. Courbes &: des Forces centrales, tant centrifu- » ges que centripétes,,néccfraires aux Corps qui les décrivent. Par M. VARIGNON. M.r70o.p.83. Nn i) zS4 TABLE DES MEMOIRES » Géométrie. " Autre Régie générale des Forces Ccn- „ traies avec une manière d'en déduire Se d'en » trouver une infinité d'autres à la fois, dcpcndem- ment & indcpendemmcnt des Raïons Ofcula- » teurs , qu'on va trouver aufTi d'une manière inri- » niment générale. Par M. VARIGNON. M. » 170 1. p. xo. " » Des Courbes décrites par le concours de tant j. de Forces cenrrales qu'on voudra , placées à dif- crctionentr'elles, èc par rapport aux Plans de ces mêmes Courbes. Par M. VARIGNON. M, » ijo^. p. Z12,. "Sur les Forces Centrales inverfcs. H. 171a. « p. lOZ. » « Des Forces Centrales invcrfes. Par M. VARI- »#■: . GNON.M. i7io.p. n3- » >. Sur le Rapport des Forces Centrales à la Pefan- » teurdes Corps. H. 1706. p. j6. M « Comparaifon des Forces Centrales avec les » . Pefanteurs abfoluës des Corps mus de Vite/Tes » ■ variées à difcrétion , le long de telles Courbes qu'on voudra. Par M. VARIGNON. M. 170e. » "_'^' p. 178. » " Sur les Forces Centrales des Planètes. H. 1 70 5. "' p. 92.. » » Des Forces Centrales ou des Pefanteurs nécef- »» faires'aux Planètes pour faire décrire les Orbes u . qu'on leur a fuppofés jufqu'icy. Par M. VARI- « GNON. M. 1700. p. 12.4. u " Du Mouvement des Planètes iur leurs Orbes , '> en y comprenant le mouvement de l'Apogée ou de r Aphélie. Par M. VARIGNON. M.^7oj. P-347- ' " Des Forces centripètes & centrifuges , confi- derccs en général dans toutes fortes de Courbes DE L'ACADEMIE i(?99 — I7I0 iSy &: en particulier dans le Cercle. Par M.BOMIE. M. 1707. p. 477. > Géométrie. » Sur une Propriété nouvelle de la Para- bole. {Us Ordonnées étant pr'ifes félon la fuite des nombres naturels , les Ahfcijfes font comme les Nombres triangulaires ) Ou Solution du Problê- me propofé aux Géomètres, &c. Par M. CAR- RE'. H. 1701.P. 8y. M. 1701. p.z68. " Sur quelques Propriétés des Pendules & de la Parabole par rapport aux Pendules. H. 1707. p. 58. " Démonftrations fimples & faciles de quelques propriétés qui regardent les Pendules , avec quelques nouvelles propriétés de la Parabole. Par M.CARRE'. M. 1707. p. 49. >' Sur l'Hypothéfcdvi Tournoiement de la Ter- re , compliquée avec celle de Galilée touchant la Pefantcurdcs Corps. H. 1707. p. j j. " Incompatibilité géométrique de ces deux Hy- pothéfes, &c. Par^M. VARIGNON. M. 1707, p. II. " Sur une nouvelle Propriété de la Cycloide. H- 1708. p. 84. "Du Plan fur lequel un Corps defcendant fait fur chaque partie des Imprelîions qui font en raifon réciproque des Temps qu'il emploie à les parcourir. Par M. PARENT. M. 1708. p. 114. "Sur une Intégrale donnée par M. LE MAR- QTJIS DE L'HOPITAL , ou fur les Preflions desCourbesengéneral. H. 1710.P. 98. "Ufage d'une Inté2;rale donnée par M. LE MAR^QJJIS DE L'HOPITAL dans les Mé- moires de 1700. p. 13. avec la Solution de quel- ques autres Queftions ( Sur les Prey ons des N n iij iStf TABLE DES MEMOIRES 5, Courbes en ^cyier/il ) approchantes de la ficnne. ParM.VÂRIGNON.M. 1710. p. 158. „ Géométrie. " Solution d'un Problcmc Phylico-Mathé- „ matiquc ( Trouver dans un Vlan vertical la Cour- „ be dans laquelle un Corps defcendant librement C/ „ par fil propre pefanteur , la prejfe dans toutes [es „ Parties avec une force é^ale à celle de fon poids.) Par M. LE MARQUIS DE L'HOPITAL. M. 1700. p. 9. „ ;> Sur une nouvelle Méthode concernant le Cal- „ cul Intégral. H. 1701. p. 61. „ ..Solution d'un Problcmc concernant le Calcul „ • Intégral , avec quelques Abrégés par rapporta ce Calcul. Par M. BERNOULLI Profcllcurà ^ Groninguc. M. 1701. p. 289. ^, ■ .. Sur la Méthode des Infiniment petits pour les „ Maxima Sc Minima.M. 1706. p. 51. „ " Obfcrvations fur les Méthodes de Maximis &: „ Minimis , où l'on fait voir l'Identité & la ditfe- „ rence de celle de \Analyfe des Infiniment petits , „ avec celles de MM. Fermât &C Hude. Par M, „ • GUISNE'E.M. 1706.P. Z4. „ :> Sur les Courbes de la plus Vite Defcente. H. 1709. p. 68. „ .-. Solutions & Analyfcs de quelques Problèmes „ appartenans aux nouvelles Méthodes. Par M, SAURIN.M.i705).p. 26, „ .-. Solution générale du Problème , où parmi une ■„ infinité de Courbes femblablcs décrites fur un „ Plan vertical , & aïant un même Axe &: un mê- „ me Point d'origine , il s'agit de déterminer celle „ dont l'Arc compris entre le Point d'origine ic •„ une Ligne donnée de pofition , cft parcouru dans „ leplus court temps. Par M, SAURIN. M. 170^, p.2J7. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 187 » Géométrie. "Addition à ce Mémoire. Par M.SAU- >, RIN. M. 1710. p. Z08. « " Sur les Grandeurs qu'on nomme plus qu'infi- :. nies. H. i70(î. p. 47. 0, » Reflexions fur les Efpaces plus qu'infinis de M. W^ailis.Par M. VARIGNON. M. 1706. p. 13. j) ^' Du Nouveau Syftême de l'Infini. Par M. >j ROLLE. M. 1703.P. 3ii. AvertilTement de l' Académie fur ce Mémoire. H. 1704. p. I. » .. Sur le Livre de M. CARRE' , Méthode pour la » me/ure des Surfaces , &cc. H. 1700. p. loz. &c fq. Sur le Traité Analytique des Sections Coniques , &c. publié par m! le MARQUIS DE L'HO- PITAL. H. 1707. p. 71. Gerbillon ( Le P. ) Jefuitc , Pofition de quelques 'Villes de la Chine tirées de fcs Obfervations. H. 165?^. p. 83.&:fq. Germe. Safituation dans la graine eft réglée. M. 1700. P-48- Germer. LcsBrafTcurstont germer a l'Air les grams donc ils fe fervent, ihid. p. 49. Glace du Port de Copenhague, cpaifTe de 17. pouces dansl'Hyverde 1709. H. 1705). p. 10. DelaTamifejépaiffede 1 1. pouces dans l'Hyver de 1683. ihid. Fond en Eté beaucoup plus vite dans le Vuide qu'à l'Air, & pourquoi ? H. 1708. p. 2.1. Manière de M. HOMBERG de faire de la Gla- ce propre à rafraîchir les Liqueurs.H.i70i.p.73, Glaces. .Manière ufitée de polir les Glaces. M. 165)5). p. 12.0. » De Miroir. " Explication de quelques Effets ."> finguliers qui arrivent aux Verres plans , comme font les Glaces de Miroir. Par M. DE LA HL » RE. M. i6jJ5). p. 75. iS8 TABLE DES MEMOIRES Glaces. . Moïen de connoîtrc (î des Glaces polies des deux côtes font d'une égale épaiffcur. ihid. p. Se,. Multiplient les objets, quand & combien , & d'où vient cette multiplication, ihid. pp. 75-, &: (qq. Gland . . Saftrudure félon M. Ruifch. H. 1700. p. 31. Glandes attachées au Prépuce. Ufagedc la liqueur qu'el- les filtrent. H. 1700. p. 3 o. Le Gland à auffi de ces glandes, ibid. Obftru£lion particulière caufée par celles du Jé- junum &derilcon. H. 1703. p. 42,. ( Efpeces de petites ) en plufieurs amas trouvées dans le Sinus Longitudinal de la Durc-Merc d'un Homme par M. MERY. H. 1701. p. jo. Du Foie plus grolTcs qu'à l'ordinaire montrées à l'Académie par M. LITTRE. H. 1701.P. yi. Glande Pinéale , fiegede l'Ame , fuivant M. Dcfcartes , purement imaginaire. H. 1709. p. 1 1. " Glande Pituitaire. « Sur la Glande Pituitaire. H. 1707. p. 1 6. Sa fituation particulière. H. 1707. p. 17. Idée de M. L I T T R E fur cette fituation. ibid. » " Obfcrvation fur la Glande Pituitaire d'un " Homme. Par M. LITTRE. M. 1707. p. izj. Defcription de cette Glande &: de quelques au- tres parties qui ont une liaifon avec elle, tbid, pp. 116. &fqq. Ufage de cette Glande, ibid. pp. 1 3 1. & fqq. Glanduleux. Ratte Humaine très Icnfiblcmcnt glan- duleufe montrée par M. MERY. H. 1701, p. zy. ( Grains ) fenfiblcs montrés dans la Dure-Mcre, Leur Ufage, H. 1704. p. 51. &fq. Glaube». DE L'ACADEMIE i(î99 — 1710 189 Glauber ( Sel de ) ce que c'ert ? M. 1704. p. 2,81. Glaucoma Maladie des YeuXjCcquec'eftîH.iyoïS.p.i 3. ( le ) &: la Catarade crus la mcme chofc par d'habiles Gens. ibid. Forte Raifon pour ce Sentiment, ibid. p, 13. .,... ^ ■ &rq. Raifons contre, ce Sentiment, ibid. p. 14. ô^fq. Confondu avec la Cataradc par quelques Mo- dernes. H. 1707. p. 22. .;:- , , Difficulté de le reconnoître d'avec une Cata- raûCj&c. H. 1708.P. 40.&: fq. Difïere abfolumenc delà Cataradc. H. 1707. p. 23. Queftion fur la Cataraûe & le Glaucoma , re- - .. L nouvelléc dans l'Académie à l'occafion du Tr^/- té dis Maladies des Jeux , par M. Antoine. H. ■ ) -■■ 1707. p. 22. " » Qiicftion de Chirurgie , fçavoir fi le Glauco- " ma &c la Cataradc font deux différentes , ou une " feule & même Maladie. Par M. MERY. M. » 1707. p. 491. ■ .'■ Les Anciens les ont cru deux Maladies différen- tes, ibid. pp. 49 1 . & fq. • Preuve de lavérité de leur Opinion par des Ob- fcrvations nouvelles ibid. pp. 49 3 . &: fqq. .\" /. .- Rcflcxionsfur la manière d'oter le Glaucoma & la Catarade. ibid. p. 5 00. & fq. » •' Remarques fur la Cataradc & le Glaucoma. Par M. DE LAHIREleFils.M. 1707.P. jjj. ( .. De la Catarade & du ) Par M. MER Y. M. » 1708. p. 241. Criftailins glaucomatiqucs crus des Cataractes .. - - Membraneufes./'^/W. & fqq. " " Remarques fur la Catarade &C le Glaucoma, Par M. DE LA HIRE le Fils. ibid. p. 24^. Tab. des Mat. 16^9. — 1710. Oo apo TABLE DES MEMO IPx ES Glaucomat iQUE ( Criftaliin ) tire par une Incifion faite à la Cornée. H. 1707. p. 2,4. " Globe Celelle ( » Sur un ) conilruit par rapport au mou- » vemcnt des Etoiles fixes. H. 1708. p. 55. Glos(M. De) Profeileur d'Hydrographie, fon Cbfcr- vationdcrEclipfc de Soleil du ii. Juillet 1684. faite à Ronfleur. M. i7oi.p. 88. Glotte ( la ^ partie du Corps Humain , ce que c'eft ? H. 1700. p. 19. M. 1700. p. 2.44. Eft capable de Dilatation èc de Contraftion, ii>id. p. zi. .•;^c Seule produit la voix. M. 1700. p. 148. La feule ouverture de la Glotte fait tous les Tons , &c comment ? il?J(/. pp. 2 5 6. &: fqq. Réflexions fur la Glotte confiderée comme in- ftrumentà Vent, /^/js/.p. zy^. Dégrés de fubdivifion du petit Diamètre de la Glotte. /i/â^. pp. 268. & fqq. Ses différentes ouvertures ne viennent pas de l'ailion des Mufcles du Larinx, H. 1706. p. 16. D'où vienncnt-cllcs >. ihid. Glottes Liftrumcns naturels de Mufiquc inimitables à l'Art , & pourquoi ? H. 1707. p. 20. Deux Glottes nouvelles dans l'Homme indi- quées par M. DODART. H. 1707. p. iS.&fq. .I' Labiale , ce que c'eft >. fon Ufage , bec. M. 1 707. pp. 67. & fqq. Comparaifon de cette Glotte avec la Glotte vo- cale, ihid. p. 68. & fq. Linguale , ce que c'eft î ibid. p. 69. Gnomon élevé à Rome par l'ordre du Pape &: par les foins --■ de M. BIANCHINI & de M. MARALDI, pour les Obfervations du Soleil à l'ufage du Ca- lendrier. M. 170 3. p. 48. &: fq. Médaille frappée à cette occafion. ibid. p. 49, DE L'ACADEMIE 1^99— 17Ï0 2.91 GnomoniqUE. Sur une nouvelle Méthode de M. PA- RENT pour prendre des Points d'Ombre dans la Conftracbion des Cadrans , &c fur un Cadran portatiFreflifié. H. 170 1. pp. iiy.&:fqq. » " Analogies pour les Angles faits au Centre des » Cadrans Solaires, tant Horizontaux, Verticaux, m que Déclinans inclinés , démontrées par l'Ana- V lyfedes Triangles redilignes. Par M. DeCla- « pies de la Société Roiale des Sciences de Monc- u pellicr. M. 1707. p. 5^9. GoDEFROY (M.) Nouvelle Efpcce de Fenêtre de Menui- ferie, &cc. de fon invention , approuvée par l'A- cadcmic. H. 1701. p. 158. GoLPHE ( le ) de Lyoneft coupé par une côte cachée fous l'Eau. H. 17 10. p. Z4. Courant fingulicr obfervé dans une partie de ce Golphe. jbia p. 19. Golpho-Triste, ouPorto-Cabeillo ( Hauteur du Pôle obfcrvéeà) par le P. Feuillée. M. 1708. p. y. &fq. • v'i ;. . Variation de l'Aiman obfervée par le même en 1704.?^/'^:. p. 6. Gommes. En quoi différent des Refines. H. 1707, p.yo. Tirée du Souffre commun , qui eft félon M, HOMBERG,la véritable partie inflammable du Souffre. H. 1703. p. 48. » Gomme Guctc ( » Remarques fur la nature de la ) & fes différentes Analyfes. Par M. BOULDUC. M. » • 1701.P. j 33. H. 1701. p. 5$. Comment nommée par les differens Autheurs. ih'ci.'lid. Sonorigin" affcz incertaine. M, 1701. p. 135. Efliunpuiffant Purgatif hydragogue &: émcti- que. ;/';V. p. 134.H. l70X.p. 61. Ooij iVzT f^TABLE DES MEMOIRES Gomme Gurte. Préparation nouvelle de la Gomme Gut- te. M. ijoi.p. 137. Gore'e ( Longueur du Pendule à ) obfervcc par MM. Varin, DcsHayes&: De Glos. H. 1703. p. 131. Gorge. (Maux de) Le Cachou eft un Spécifique contre CCS fortes de Maux. M. 1709. p. 232. Gouffe' (M.) Machine de fon invention pour ncttoïer les Ports , approuvée par l'Académie. H. 1703, p.156. Goutte s d'Angleterre, ce que c'efl: ? Leur Miftere dé- couvert à M. TOURNEFORT par M. Lifter Médecin de la Société Roïale de Londres. H, 1700.P. yo.M. 1700.P.73. erjoi 5;v N'ont aucun avantage fur les préparations de la Corne de Cerf , &: de Sel Armoniac. H. 1700. p. ji- Leur Ufage. M. 1700. p. 73. Gou t te guérie par la brûlure d'une forte de Moufle , &c, H. 1708. p. 48. Gouvernail (Angle que doit faire un) avec la Quille du Vaifl'eau pour être dans la meilleure iitua- tion.H. 1701.P. I39•&^q• GOUYE(LEPERE) détruit l'Explication de M. Defcartcs fur la grandeur apparente de la Lune à l'Horizon & au Méridien. H. 1 700. p. 5>. Ses Conjcétures fur ce Phénomène, ib. Communique à l'Académie pluficurs Graines , &: la Defcription de quelques Plantes qui lui •- ■- avoientétéenvoïée de la Martinique par Le P. Breton. H. 1703. p. ■/./. p. 49. s» Grégorienne ( Corredion ) du Calendrier. .. Réfle- ». xions for des Mémoires touchant la Corrcd^on « Grégorienne comm.uniqucs par M. BIANCHI- NI ;i M. CASSINI. M. 1704. p. HZ. Grena de Ifle, fa Latitude.H. 170 1. p. 109. Longueurs du Pendules obf nvées. ih'td. Greniers. Leur Meilleure expofition pour la couferva- tiondesBleds.M. lyoS.p. <î7. DE L'ACADEMIE i(?99 — I7I0 ^95 Grenouille. Structure du Cœur de la Grenouille. M. Explication des Figures du Cœur de la Gre- nouille, li'iii. p. z(îo. Obfcrvatien llir les Nerfs d'une Grenouille. H. 1700. p. 40. GRESLEprodigicufe par ù. groflcur tombée en 1705. dans le Perche. H. 1703. p. 19. Le Son des Cloches d'une ParoifTe fiiit fendre Se écarter la Nuée qui la portoit. lù/d. Grillet ) Le P. Jefuite , Carte du Cours de la Rivière d'Uria, depuis la Caïenne jufqu'aux Noura- gués , dreflëc fur fcs Mémoires , ôc montrée a l'Acadcmic. H. 1701. p. $6. Grimaldi ( LesPP. ) Se Riccioli Jcfuitcs , leurs EfTliis lurlaMefuredclaTerrc. M. 1701.P. 177. Grimaldi ( M. Le Marquis Alexandre) Son Obferva- tion do l'Eclipfe du Soleil du 13. Septembre 1699. faitesàGcncs.M. 1701. p. 8i. Grips^ald en Pomeranic ( Obfcrvation de l'Eclipfe So- laire du 13. Septembre 1699. faite à ) par M. .;•' • Pyle M. 1700. p. 108. M. 1701. p. 85. Différence de Longitude entre cette Ville & Pa- ris , tirée de cette Obfervation. /i'/V. "Groseilles ( «Sur l'Analyfe des) fermentées ( /^^/^ lar M. LEMERY le fils ) H. 1705. p. 45. L'Ufage de ce fruit doit êtreaffez bon dans la Fièvre , & pourquoi ? ihid. p. 46. " Grossesse » Problême d'Anatomic, Sçavoir fi pendant » la groffeflfe il y a entre la Femme Se fon Fœtus » une Circulation de Sang réciproque. Par M- MEKY. M. 1708. p. 186.^ ( Suites d'une ) d'une Femme qui portoit fon. Enfant du côté droit. H. 1709. pp. 14. Sjfqq. D'Homme en apparence. H. 1700. p. 36. zv6 TABLE DES MEMOIRES Grotte de Nôtre-Dame de la Balme en Dauphiné , ce qucc'cil? H. 1700. p. 3. Obfcrvce par ordre de François I. &: depuis par d'autres, ibid. p. 4. Oblcrvéc nouvellement par M. Dieulamanr, ibid. p. 4. : Defcription exacte de cette Grotte, ibid. p. 4. &fq. Gu ERisoN d'une Fièvre &: d'un Délire , par des Concerts de Mulique. H. 1707. p. 7. & fq. D'un Délire furieux d'un Mairre àDanfcrpar des Airs de Mulique. H. 1708. p. ii. & fq. D'une Fureur précédée de Mélancolie , caufce par Amour. H. 1704. p. 21. D'une Démangcaifon univcrfellc à la Peau par l'ulagc de la Laitue commune. H. 1705. p. ^3. &:fq. D'Extindions de Voix par des Vulnéraires. H. 1700.P.45.H. 1701.P.71. D'une Blcllure extraordinaire faite à la Tête, H. 1706. p. iS.&fq. Extraordinaire d'une Bleflure faite au Bras. M. 1702,. pp. 103. & fqq. « «Sur des Guerifons faites par des Brûlures. H, w 1708. p. 4*?. De la Goutte par la brûlure d'une forte de Mouilc. ibid. p. 48. Des Panaris par la brûlure de l'Eau bouillante. ibid.'^.^j. D'Enflures de Jambes par une brûlure, /^/^.p.47. De Maux de Tête par une brûlure, ibid. p. 415. & fq. D'un Epilcptiquc par de la Cervelle luimame, qu'on lui avoit fxit manger pendant quelques jours. H. 170 j. p. jo. &fq. GUERISON DE L'ACADEMIE i^$9 — i7ic> 197 GuERisoNd'ungrand nombre de Scorbutiques, en leur faidmc manger beaucoup d'Ofeille cuitcc avec des Oeufs. H. 1708. p. ji. Diverfes guerifons de la Rage rapportées. H. 1699. p. 48. &fq. D'une Excrefcence à l'Oeil par M. DU VER- NEY le Jcune.H. 1703. p. 41. Guet (M. Du ) ingénieur , Machines de fon invention approuvées par l'Académie. Machine pour faire mouvoir en même-tems fix ou fept Scies, &c. H. 1 699. p. 1 2. 1 . Des Rames tournantes, utiles aux VaiiTcaux de Guerre en pluficursoccafions. ibid. Les mêmes approuvées en forme, &c.H. 1701. p.138. Des Cornets nouveaux pour des Sourds. H. J7o6.p. 141. Un Moului pour épargner à l'Equipage d'un Vaifleau la peine de pomper. H. 1707. p-M J- Des Machines pour l'augmentation de l'Ouïe , &furtout un Fauteuil, &:e. H. 1708. p. 141. »> " Remarques fur la différente manière de voguer M des Rames ordinaires &: des Rames tournantes, >y nouvellement propofées par le Sr. Du Guet, Par M.DECHAZELLES.M. 1701.P. 98. • GUGLIELMINl ( M. ) SaNailfance , fa Patrie , fes Etu- des. H. 17 10. p. I ji. Prend intérêt à la Difpute entre M. Montanari fon Maitre & M. Cavina , fur la ïianrma VoLinte du premier, ibid. p. 1^3. Eft reçu Doftcur en Médecine à Bologne en \6j%.ibid. Public en 168 1. un Ecrit fur la Nature &:c. des Comètes , fon fentiment fur cette Matière, ibid, P- I H- ■ - . . Tab. des Mat. 1699. — 17 10, Pp i98 TABLE DES MEMOIRES GUGLIELMINI ( M.) imprime en 1684. fon Obferva- tion de l'Ecliple du O de la même année , faite à. Bologne, ibid. Eft fait premier ProfefTeur de Mathématique , & Surintendant des Eaux de l'Etat de Bologne par le Sénat, ihid. Son Traitté de la Mefiire des Eaux courantes fait à cette occafion. ihid. p. i 5 ^. Idée générale de cet Ouvrage, ih. p. i j y. & fq. Critiqué par M. Papin. ihid. p. 156. Ses Lettres en Réponfc à la Critique de M. Pa- pin. ihid. p. 1^7. Chaire de Profeffeur en Hydrometrie créée en fa faveuràBologne. /^iiS?. p. lyS. Ses Occupations dans le rétablilTement de la Méridienne de St. Pétrone de Bologne, ihid. Son Ouvrage délia Natura dejiumi imprimé en 1697. p. 1^9. Idée de cet Ouvrage, ihid. pp. i ^9- & ^4^- Venife l'envie à l'Etat de Bologne, ihid.^. 164. Lui donne la Chaire de Mathématique à Pa- douc. ihid. Ses Travaux pour la Republique de Venife, ihid. ■ Reprend l'Etude de la Médecine en i70z, ihid. Ses Ouvrages Medico- Chimiques, ihid. Se Cq. Ses derniers Ouvrages de Phyfique. ihid. p. 1 66. Sa Mort , fes Qualités , fon Extérieur, ihid. Sa Place à l'Académie par qui remplie, ihid. p. 166. Son Eloge Par M. DE FONTENELLE. H. 1710.P. 152. , Guignes ( Analyfe des ) fermentées. H. 1701. p. 40, ô<:fq. DE L'ACADEMIE 1^99^1710 x^^- GUISNE'E (M. ) cft nommé Elève à l'Académie par M. VARIGNON. H. 1701. p. 79. — • Remplit la Place de Géomètre aflocié , vacante par la promotion de M. CARRE', à celle de Mcchanicicn penfionnairc. H. 170(3. p. i y 2. Démontre fort clairement les nouvelles dé- couvertes fur la Théorie des Projcdions, H. 1707. p. 126. Met au jour fonLivre de VAplication de l'Mgehre à la. Géométrie. H. 170 j. p. 98. Idée générale de cet Ouvrage, ibid. pp. 98. &:rqq. Mémoires de M. GVISNE'E imprimés dans les Mémoires de l'Académie. iCs>^ - 1710 »j, » Manière générale de déterminer gcomctrique- M quement le Foier d'une Lentille formée par » deux Courbes quelconques , de même ou de dif- .1 fcrente nature , telle que puifle être la Raifon de s. la Réfraction, &: de quelque manière quepuif^ » fcnt tomber les Raïons de Lumière fur une des Faces de cette Lentille, c'cft-à-dire , foit qu'ils y » tombent divergcns, parallèles ou convergens. w • M. 1704. p. 24. » "Obfervations fur les Méthodes de Maximis " ô' Mhiimis ^ où l'on fait voir l'identité & la » différence de celle de ÏAnalyfe des Infriiment « petits , avec celle de MM. Fermât &c Hiide. M. w 1706. p. 24. a " Théorie des Projetions ou du Jet des Bom- » bes , félon l'Hypothéfe de Galilée. M. 1707. « p. 140. Ppij joo TA^BLE DES MEMOIRES H fÎALLEY (M.) delà Société Roialc de Londrcs/on Syftc- •*■'•''' mefurladéclinaifonde rAiman. H. ijoi.p.ç), & fq. Ce Syftcme ne s'accorde pas avec les Obfcrva- tions faites en France. H. 170 1. p. 10. La Ligne exempte de variation qu'il a détermi- née, paroit avoir un mouvement. H. 17 10. p. j. &: iq. Qiiclqucs Remarques fur fon Syftcme de la Va- * riationde l'AimaiT.' M; 1704. pp. 543. & fqq. Son Syftêmc fur les Variations de l'Aiman , con- former des Obfervations faites dans un Voiage à la Chine. H. 170^. p. 9. Pourroit fcrvir à la détermination des Longitu-' des. il>/^. Accord des Variations de l'Aiman marquées fur fa Carte , avec les Variations obfervées en 1703.' dans un Voïage du Légat du Pape à la Chine. M. 170^. pp. 7. &:fqq. Accord des Variations de l'Aiman obfervées par d'autres dans le même Voïage, avec fa Carte des Variations , &c. /W/^. p. 8 1 .& fq. Son Syftéme fur la déclinaifon de l'Aiman fe trouve vérifié par des Obfervations récentes. H. 1706.P. 3.& fq. H. 1708. p. ic).&fq.M. 1708. pp. I73.&fqq. Comparaifon d'un grand nombre de Variation? de l'Aiguille aimantée , obfervées , avec fa Carte de ces Variations. M. i7io.p, 3 54. & fqq. DE L'ACADEMIE i<î99— I7I0 301 Halle Y ( M. ) trouve la féconde inégalité du 3. &: 4. Sa- tellite de Jupiter , conforme à ce que demande le mouvement fuccellif de la Lumière. M. 1707. p. 16. HambErgeru s ( m. ) fon Obfervation de l'Eclirfe de So- leil du 12.. May ijo6. faire à Jena. M. 170^. p.470.- HAMEL(M.DU) Sa Naiilancc, fi Patrie. H. 170^. p. I4Z. Ses Etudes à Cacn & à Paris. /^/V. Lnprime à l'agc de 18. ans un petit Traité des Sphcriques. /^/f/. Entre à 15?. ans dans l'Oratoire. /ù/(/. p. i^j. En fort après dix ans pour être Curé dcNeuïUy fur Marne, il^id. Lnprimefcs Dialogues, de Meteoris tjr Foffilih. &C fon Ajlronom. Phyjicu. ibid. Eft fait Aumônier du Roy par le Cardinal An- toine Barberin en 1 6 5 6. ibid. p. i y 2. Qiiittefa CuredeNeuïlly en 1663. ibid. p. 144. _ Met au jour dans la même année fon Livre ^f Confenjit Vetcr. ô' Nov. Philofbphi.e.ibid. Paroîtavoireuun goiît particulier pour la Chi- mie, ibid. p. 14^. Eft choifi par M. COLBERT pour être Secré- taire de l'Académie qu'il venoit d'établir, ibid. Eftchoifi pour mettre en Latin un Traité des Droits de la Reine, ibid. p. 1 46. Sa grande réputation fur la Latinité, ibid. Ecrit pour M. De Percfixc Archevêque de Paris, contre l'Abbaïc de St. Germain des Prez. ibid. AccompagneM. ColbertdeCroiffi , Plénipoten- tiaire pour la Paix d'Aix-la-Chapelle, ibid. Ppxi} 302. TABLE DES MEMOIRES HAMEL (M. DU) va en Angleterre avec le même M. De Croifli AmbafTadcur , paiïc cnfuite en Hollan- de , & communique avec les Sçavans de ces deux Pais. ihid. Revenu en France, publie en peu de tems difFc- reacs Traités. De Corporum aff^eÛiombus. De Mente Humana. De Corpore Animato. H. 170 e. p. 147. N'a jamais été trop dccifif. ihid. Publie en 1678. fa rhiloJ()pljia vêtus ô- Nova. &CC. ihid. p. 148. Ufage que l'on fit de cet Ouvrage dans l'O- rient, ihid. Publie en 169 1. un Corps de Théologie, ihid. P-H9-1 i'î94- uïi autre plus à portée des jeu- nes Seminariltcs. ihid. p. i jo. Quitte la Plume dans l'Académie en 1697. ihid. Publie en 1698. fon Hijioria Regi.e fcientiar. Acddem. Et en i/oi.un féconde Editionplus ample, ihid. Fait une Analyfe du Traite d'Ariftotc de Parti- hus Animalium. H. 1 699. p. J I. Continue fon Hiftoire Anatomique. H. 1700, p. 45. H. 1701. p. 56. H. 1701. p. 3z. &:fq. Traite du Sommeil & de la Veille. H. 1705. P-44- . ^ . . Expofe à l'Académie , en continuant fon Hiftoi- re Anatomique, les Sentimens des Anciens &; 4ps Modernes , fur la ftrudure & l'adion des Mufclcs. H. 170 j. p. j 8. Ses divers OuvragcsThéoîogiqucs imprimés de- puis lépS.jufqu'en i7O5.H.i7o6.p.i50.&:fq. DE L'ACADEMIE 1^99—1710 305 HAMEL ( M. DU ) la Bible qu'il a mifc au jour l'emporte iur routes celles qui ont encore paiu ihid. Traduit en Latin la Préface de l'Hiftoirc Fran- çoife de l'Académie, ihid. Sa Mort. Ses Qiialités perfonellcs ; l'Eftime & l'Amour que tout le monde avoir pour lui. ibid. &C fq. Changement de Place à l'Académie àToccafion de fa Mort. ibid. p. i j2. Son Eloge par M. DE F O N T E N E L L E. H. lyotî. p. 141. Harmonique (Raport) ce que c'cft ? H. 1700. p. 18. (Cycle) de M. HUYGHENS, &c. M. 1707. p. 214. Harve'e. Son Sentiment fur rufaa:e du Trou Ovale dans le Fœtus. H. 1699. p. x6. >• Havre de Grâce. » Réflexions furlesObfervationsdu » Flux & du Reflux de la Mer faites au Havre de » Grâce Par M. Boiffaye du Bocage, Profelfeur » d'Hydrographie pendant les Années 170 1. &: » ■ 1701. Par M. CASSINI le Fils. M. 1710. M p. 36e. Tems moïen de la Haute Mer au Havre au tems des Syzigics &: des Quadratures, ibid. pp. 3 6j. 368. & 371. Hautbois (dans le) le Ton vient du Corps quirefonnc. H. 1700. p. zi. «Hauteurs ( "Nouvelle Méthode de prendre les ) en Mer avec une Montre ordinaire. H. 1703. p. 87. Cette Méthode inventée par M. PARENT, ibid. p. 89. ( Grandeur ) Femme qui diminue d'un pied de Hauteur en 19. mois de Maladie. H. 1700. p. 3^^ 504 TABLE DES MEMOIRES Hayes ("M. Des) Corr. apporte du Canada une Carte Marine du Cours de la Rivière de St. Lau- rcnt. H. i6p9.p. 8^. Son Oblcrvation derEclipic de Lune du 5. Mars Kîpc). fliiteàla Martinique. H. 1700. p. m. Son Ohfcrvation de l'Eclipfe de Soleil du 23. Septcnibic 165)51. fliitc •! 1-^ Rochelle. M. 1701. p. 81. Ses Obfervations de la Latitude delà Caïcniac. Delà Grenade. De la Martinique. DcSt.Chriaophle. De divers Lieux dans l'Iflc de St. Dominguc, Et des Longueurs du Pendule fimple dans ces mêmes Lieux. H. 170 1. p. 109. Heinrich (Le Père) Son Obfervation derEclipfc de Soleil du II. May 1706. taire à Breflav. M. 170^. p. 471. FI'ELZNi'VM j-ulgart ou. EfiulaCampaiJu (Aulnée) Plante, fa Defcriprion donnée à l'Acadcmie par M. MAP.CHANT. H. 1709. p. 51. Helicoïde ( Parabole ) de M. BLRNOULLI de Bàle,ce que c'cft ; &c. M. 1704. p. 103. NeliotropiVm maj i/s Plante. Sa Defcription donnée à l'Académie par M. MARCHANT. H. 1705). Helmont (Van) paroît être le premier qui ait découvert la véritable fituationdes Pierres appeilcc,Ycux d'Ecrcviflc. H. 1709. p. 15. M. 1709. p. 305». & fq. Obfervations de cet Auteur fur la Mue des Ecrevifles./^/'.,-/. p. 3 10. /Ielmostii {Oja) ce que c'eft ? M. 1700. p. 71. &: fq. ^^Jerb ARi'VM Di/uvhifium de M. (Jean- Jacques ) Schcu- clizer , ce que c'cft que cet Ouvrage. H. 17 10. pp. 2 1 . iSc i'qq. Herman DE L'ACADEMIE 1^99 -îi- I7I0 joj Herman ( M. ) ProfcfTcur en Mathématique à Padouë , le Problème inverfe des Forces Centrales. H. 1710. p. 103. » «Extrait d'une Lettre de M. Herman à M. BER- » NOULLI datée de Padouë le ii. Juillet 1710. » {Sur les Forces Ccrar. ihvcrfcs) M. 17 10. p. 5 19. * "ExtraitdelaRéponfedeM. BERNOULLI à V M. Herman datée de Bâle le 7. Odobre 1710. " ibid. p. y il. Hermaphrodites (Infcdcs) obfervés par M. POU- PART. H. 1 699. p. 40. Particularités nouvelles fur les Infeétes Herma- phrodites montrées à l'Académie par M. DU VERNEY.H. i7o^p.58. Hernie trouvée dans un Cadavre , arrêtée par la Nature elle-même. H. 1 70 3 . p. 37. » »> Obfervations fur les Hernies ParM.MERY. ,» M. 170 1. p. 273. Le Péritoine & les Aponevrofes des Mufcles obliques & tranverfes du Ventre , peuvent four- nir des Enveloppes aux Inteftins dans les Her- nies, qui arrivent par le relâchement des Mem- branes. M. 1701. p. 289. * "Sur une Hernie particulière. H. 1700. p. » ij. » Ce que c'eft î ibid. p. i 5. & fq. Différence des Hernies ordinaires , & de celles d'une autre efpécc découverte par M. LITTPvE. ibid. p. 16. ^ »' Obfervation fur une nouvelle efpece d'Hernie « {formée pur une Apendice de l lleon) Par M. LIT- »> TRE. M. 1700. p. 300. Caufes de l'étranglement de femblables Apen- diccs engagées dans les Anneaux desMufclcs du Ventre, pp. 3 04. &: fqq. 7àh. des Mat. 1 6^^ 1 7 1 0. Q^q 3o5 TABLE DES MEMOIRES Hernie.. Signes pour reconnoîcre cette efpece particu- lière d'Hernie, ibid. p. 305. & fq. H. 1700. p. 17. Manière de faire l'Opération dans cette cfpcce d'Hernie, ihid. pp. 307. Sc fqq. H. 1700. p. 17. HiDATiDES (les )dansla Velicule du Fiel fontcommu- nes, & principalement dans les Animaux. M. 170 1. p. I y I. HiPPARQUE. . Ses Obfcrvations des Equinoxes. M.1705. pp. 4Z. & fqq. Se contentoit de les déterminer à un quart de jour près ibid.^. 43. » HiPPOCRATE de Chio. » Sur la Quadrature dcfaLu» » nulc. H. 1701.P.79. » » La Quadrature abfoluë d'une infinité de Por- » tions moïennes , tant de la Lunule d'Hippocrate » de Chio , que d'une autre de nouvelle cfpcce. Par M. LE MARQUIS DE L'HOPITAL. M. » 1701.P. 17. HIRE ( M. PHILIPPE DE LA ) Ses Obfcrvations fur les Dents. H. 1699. p. 41. &:fq. Ses Obfcrv.itions fur les Pucerons , fortes d'In- fe£lcs ,qui s'attachent aux Plantes. H. 1703. p. 1 6. & fq. Reclific le Baromètre double de M. HUY- GHENS. H. 1708. pp. 6. &c fqq. Découvre une propriété générale de toutes les Puiffanccs , &: quelle ; H. 1704. p. 43 . & fq. Ses Découvertes fur les Quarrés Magiques , Sec. H. 1705. pp. 73. &: fqq. DcfFend la Régie de M. Defcartcs pour la Ccn- ftrudion des Egalités , contre les Objeûions de M. ROLLE.H. 1710.P. 88.&fqq. Difficulté propofée par lui contre un nouveau Syftcmedu mouvement. H. 170 1. p. ij. DE L'ACADEMIE i^9>>— I7I0 507 HIRE(M. PHILIPPE DELA ) Ses Expériences, qui prouvent que le Froctemcnt augmente félon la quantité des Prelfions , &c non fuivant la gran- deur des Surfaces. H. 1^99. p. 104. &fq. Explique le Faitphyfiquement. iùitsl. & fq. Son Obfervation de la £3- de Ç avec le Soleil le 3 1. Août 1700. H. 1700. p. 1 21. Imagine un nouveau Réticule univerfel, le mê- me qu'avoit auparavant imaginé M.ROEMER, H. 1701.P. 94. Subftitué le Réticule , Se les Filets de Verre , au Réticules Se aux Filets de Soie. ii>id. p. 98. Invente un nouvel Aftrolabe. H. 1701.P. loi. A inventé une Platine fort commode pour pren- dre des Points d'Ombre dans les Cadrans or- dinaires. H. 170 1. p. 116. Metaujour les Tables Aftronomiques de toutes les Planètes. H. 1702. p. 7^. Idée générale de ces Tables. ii>. & fqq. AvertifTcment fur fa Table de la Corrc£lion de la Lune inférée dans fes Tables Aftronomiques. M. i7o8.p.40^.& fq. Donne à l'Acadcmie la Defcription de ce qui appartient à la Pratique de l'Art de la Peinture. H. 1709. p. 112. M » Réflexions fur fes Obfervations des Marées „ faites à Brcft Se a. Bayonne Par M. CASSINI le u Fils. M. 1710.P. 380. LISTE CHRONOLOGI §IVE des Mem. imprimés de M. PHILIPPE DE LA HIRE. 169^. 1710. «• « Obfervation de l'Eclipfc de Lune arrivée le i y. » Marsaufoir 1699. à l'Obfervat.M. i(î99.p.iî. 5oS TABLE DES MEMOIRES ..HIRE ( M. PHILIPPE DE LA ) .. Explication de „ quelques ctïets fingulicrs qui arrivent aux Vcr- „ res plans , comme lont les Glaces de Miroir. M. „ 1699. p. 7J. >. Moïen d'empêcher que l'Humidité de l'Air de la nuit ne s'attache aux Objedifs des grandes Lunettes. M. 1699. p. 91. «Méthode pour centrer les Verres des Lunettes d'Approche en les travaillant. M. 1699. P' 139- „ » Obfcrvation d'une Eclipfc de l'Oeil du Tau- » reau Aldcharam ou Pallilicium par la Lune. M. « 1699. p. 151. » Examen de la Force de l'Homme pour mou- voir des Fardeaux , tant en levant , en portant , qu'en tirant , laquelle eft confidcrée abfolument , „ . & par comparaifon , à celle des Animaux , qui „ portent &: qui tirent comme les Chevaux. M. „ i699-P-in- » Eclipfe de Soleil arrivée le 23. Septembre au „ matin 1 699. &: obfervéedans la Tour Orientale „ de l'Obfervatoire à la hauteur de la grande Sale. „ M. 1699. p. 164. „ • „Obfervation du Baromètre, du Thermomètre, &c de la quantité d'Eau de Pluie Se de Neige fon- due qui eft tombée à Paris dans l'Obfervatoire „ Roial pendant l'année 1 699. M. 1700. p. 6. >■ Remarques fur les Obfervations des Refrac- s lions tirées du Livre intitulé RefraBiofolis inoc- » cidui in Septentrionalibns cris jitfit Caroli XI. a> ' Régis fucvûrum,é-c.a]oanneBilbergHolmi.i\69^, „ M. lyoo.p. 37. „ .. Problême. Les 3. côtés d'un Triangle rectiligne » étant donnés trouver U Superjîcte oh L'Aire. M. 1700. p. 74. DE L'ACADEMIE 1^95) — I7I0 509 «HIRE( M. PHILIPPE DE LA) » Remarques fur la » conftrudion des Horloges à Pendule. M. 1700. 1. p. 161. » » Méthode générale pour les Jets dcsBoTibcs » dans toutes fortes de Cas propofés, avec un In- llrument univerfel qui fert àcet Ufage. M. 1700. » p. 20J.. » >> Obfervation des Taches du Soleil qui ont » paru au mois de Novembre 1700. M. 1700. p. 25>3. » » Obfervation de la a- inférieure de la Planète » de Ç avec le Soleil, faite à FObfervatoire Roial » /f 31. ^tf«/ 1700. M. 1700. p. 154. a » Obfervations fur l'Eau de pluie qui eft tombée M à rObfervatoire PvOÏal pendant toute l'année M 1700. avec quelques Remarques fur le Thcrmo- » mètre , Se fur le Baromètre. Par M. DE LA » HIRE. M. 1701.P. 5?. » " Obfervations des Taches du Soleil qui ont pa- » ru vers les derniers jours du mois de Décembre » de l'année dernière 1700. M. 1701. p. 41. » • » Remarques iur l'Eclipfe de Lune arrivée le 2 2. M Février 1701. M. 1701. p. 4(î. M « Méthode générale pour trouver la différence .1 endéclinaifon &: en Afcenfion droite de deux « Allres qui font peu éloignés l'un de l'autre, en » fefervant du Micromètre ordinaire. M. 1701, » p. lOI. » »Con{lruâ:ion&: Ufage d'un nouveau Réticule v pour les Obfervations des Eclipfes de Soleil Sc >, deLunCj&pourfervir de Micromètre. M. 1701. » P-II9- » » Remarques fur la Mefure & fur la Pcfanteur de » l'Eau. M. 1701. p. 170. » .. Conftrudion d'an nouvel Aftrolabe univerfel , .« M. ijoi.p. ZJ7. ,Q.<1"J jio TABLE DES MEMOIRES »HIRE( M. PHILIPPE DE LA) » Obfervation de l'E- „ ciipîcdcrEtoilc AldcbaïamouOcil duTaurcaa „ par la Lune à rObfcrvatoire le 15. Septembre „ au marin 170 1. M. 170 1. p. 197. M » Obfervarions fur la quantité de Pluie qui cft » tombée à rObfervatoire Roïal pendant l'année „ 170 1. avec quelques Remarques fur le Therrao- » mctre &: fur le Baromètre. M. 1701. p. 3. „ » Examen de la Ligne Courbe formée par un „ Raïon de Lumière qui traverfe l'Atmolphcrc, „ M. 1701. p. 51. M » Remarques fur la forme de quelques Arcs dont fc on fe fertdans l'Arcliitedurc. M. 1701. p. 94. » « Obfervation d'une nouvelle Comète qui a „ paru au mois d'Avril &: au mois de May de cette „ année 1701. à rObfervatoirc,avec quelques Re- „ marques fur les Comètes. M. 1701. p. 1 1 2.. „ .. Obfervation fur une Colomne de Lumière à „ rObfervatoire en 1701. le 1 1. May au matin. M. „ 1701. p. 137. „ » Obfervation d'une Tache flir le Soleil en May „ 1701. M. 1701. p. 137. „ » Suite de l'Examen de la Ligne Courbe que „ décrivent les Raïons de Lumière entraverfant „ l'Atmofphcrc. M. 1701. p. 182. „ M Examen de la Force néceflaire pour faire „ mouvoir les Bateaux , tant dans l'Eau dormante „ que courante, foit avec une Corde qui y eftat- „ tachée & que l'on tire , foit avec des Rames , ou M par le moien de quelques Machines. M. 1701. p. 2^4. » . » Obfervarions , tant fur la quantité de Pluie qui „ cft tombée à Paris à l'Obfervatoire Roial , que M fur leThcrmometre & fur le Barometrc,pendant w l'année dernière 1702. M. 1703. p. 1. DE L'ACADEMIE 1699— I7IO ?ir . HIRE (M.PHILIPPE DE LA; .. Obfervacions de l'E- clipfc partiale de Lune arrivée le 3. Janvier au matin en 1703. àrObfcrv. Roïal. M.iyoj.p. 1 1. » Obfcrvations d'une Tache qui a paru dans le Soleil au mois de Décembre 1702. à l'Obferva- toire. M. 1703. p. 16. "Remarques fur l'Eau de la Pluie, &: fur l'ori- gine des Fontaines, avec quelqucsParcicularités fur la conftrudion des Citernes. M. ijo^.p.^6. "Obfervat. de pluficursTaches quiont paru dans le Soleil au mois de May 1703. M. 1703. p. 1 19. » Suite de ccsObfcrvationsjurqu'enJuUlet 1703. /'^/V. pp. 110. 123. 114. IZ9. » Obfervatiôn de l'Eclipfe de Soleil qui a paru à rObfervatoire Roïal le 8. Décembre 1703. au Soleil couchant. M. 1703. p. 283. " Remarques fur les inégalités du mouvement des Horloges à Pendules. M. 170 3 . p. 28 y. .. Moïcn pour faire monter un grand VaifTeau- furla Calle , telle qu'elle eft conftruite dans le Port de Toulon , fans fc fervir d'aucunes Ma- chines. M. 1703. p. 299. » Obfcrvation de la quantité d'Eau de Pluie qui eft tombée à rObfcrvatoirc, avec les Hauteurs du Thermomètre &c du Baromètre pendant l'an- née 1703. M. 1704. p. I. " Obfcrvation de l'Eclipfe de Lune du 23, Décembre 1703. àl'Obfcrvatoirc. M.Î1704.P. 6. " Obfcrvation d'une Tache qui a paru dans le Soleil au mois de Janvier 1704. àl'Obfervatoire. M. 1704. p. 9. "Obfcrvations du Retour d'une Tache qui pa- rut 107. Janvier vers le bord Occidental du So- leil. M. 1704. p. 44. ', » Nouvelles Remarques fur les Infectes des Orangers. M. 1704. p. 4 j. 512. TABLE DES MEMOIRES "HIRE(M. PHILIPPE DE LA ) .. Dcfcription d'un » Lieu Géométrique où font les Sommets des An- M glcs égaux formés par deux Touchantes d'une » Cycloïde. M. 1704. p. 2.05). .1 » Conftruction générale des Lieux où font les » Sommets de tous les Angles égaux , droits, ai- « guSjOU obtus qui font formés par les Touchantes » des Scûions Coniques. M. 1704. p. zzo. " >' Obfcrvation de la Conjonûion de Jupiter » avec la Lune, au matin, le 24. Août 1704. à « rObfervatoire. M. 1704. p. 246. M » Defcription &: ufagc d'un Niveau d'une nou- w velle conftruârion. M. 170^. p. i^r. « " Obfervation d'une petite Tache dans le Soleil V en Novembre 1704. à rObfervatoire. M. 1704. p. 322. » i' Obfervations de l'EclipfedeLunequi cftarri- w véc le 1 1. Décembre 1704. aumatin , à l'Obfer- V vatoirc. M. 1704. p. 3 ^2. M " Remarques fur les Nombres Qiiarrés , Cubi- » qucs , Qiiarrés - Quarrés , Qiiarrés - Cubiques , M &c des autres Dégrés à l'infini. M. 1704. p. « " Obfcrvations de la quantité d'Eau de Pluie qui » cft tombée à l'Obfcrvatoirc Roïal pendant l'ann. » dernière 1704. avec les Hauteurs du Baromètre » èc du Thermomètre , & des Remarques fur les u Ventsquiont régné. M. 170^. p. i. V vComparaifondes Obfcrvations fur la Pluie & SI ." fur les Vents, fliitcs Par M. De Pontbriand au « Château dePontbriand à deux lieues de St.Malo, if & vers le bord de la Mer , pendantl'année 1704. « avec celles qui ont été faites à l'Obfcrvatoirc en » niêmc-tems. M. 170 y. p. j. •4- HIRÈ , DE L'ACADËMIE i^^9 — Î7ÎÔ 313 .. HIRE ( M. PHILIPPE DE LA ) » Nouvelle Conftruc- " tions &c coniîderations fur les Qiianés Magi- '• qucs , avec les Dcmonftrations. M. 1705-. p. » 127. » " Traité des Roulettes , où l'on démontre la ma- » nicrcunivcrfelle de trouver leurs Touchantes , » leurs Points de recourbcmcnt , ou d'inflexion SC " de réflexion , ou de rcbrouffcment , leurs Super- » fîcies , & leurs Longueurs , par la Géométrie or- » dinaire, avec une Méthode générale de réduire " toutes les Lignes Courbes aux Roulettes , en dé- « terminant leur Génerattice ou leur Bafc , l'une » des deux étant donnée à volonté. M. ijo6. " p. J40. >• " Conftruélion des Qiiarrcs Magiques , dont la " Racine efl: un nombre pair. M. 1705. p. 364. » » Obfervations de la quantité d'Eau de Pluie qui » eft tombée à rObfervatoire pendant l'année der- » nierc 170 5. & de la Hauteur du Thermometpe bc " <îu Baromètre. M. 1706. p. i. » " Remarques &c Réflexions fur la nature des Ca- » • taractes qui fc forment dans l'Oeil. M. 170^. " p. 20. « "Réflexions fur les apparences du Corps delà >• Lune. M. 170^ p. 107. » " Demonftration d'une apparence d'un Objet " auifi grand que iaVille de Paris fur leCorps delà M Lune, avec une Lunette de zy. pieds de foïcr. » " M. 1706. p. 114. » .. Obfcrvation de l'Eclipfe de Lune du z8. Avril « 1706. faite à l'Obfervatoirc Ro'ial. M. 170^. p. 157. _ » » Obfervation de l'Eclipfe de Soleil du 1 2. May » 1706. au matin, à l'Obfervatoirc Roïal, &c, .-» M. 170^ p. 17Z. Tab.dcs Mat. i69^.-^i-jio. Rr 314 TABLE DES MEMOIRES » HIRE ( M. PHILIPPE DE LA ) .. Obfervation de l'E- clipfedc Lune du zi. Odobrei-oé. àrObferva- " toirc. I\L 1706. p. 471. » >. Comparaifon de rObfcrvationde rEclipfcde » Lune arrivée en Avril 1706.&: faite dans rifle de » St. Domingue en Amérique , avec celle qui a »> étéfaitcàrObfcrvatoircRoïalàParis. îvL 1706'. » p. 481. >• " Obfervation de la Conjonâiion de Jupiter avec » le Cœur du Lion, arrivée au mois d'Ociob. iyo6, » M. 1706. p. 48Z. »» » Obfervation de la quantité de Pluie qui efl: » tombée à rObfervatoire pendant l'année 170^. M & fur le Termometre &c le Baromètre. M. 1 707. » p. I. « » Obfervations de Saturne , de Mars &c d'Aldc- » baram vers le tems de la Conjonction de Saturne » avec Mars au mois de Septembre i7o6.àrOb- « fervatoire. M. 1707. p. 1 20. » " Obfervations de l'Eclipfe de Lune du 17. »> Avril 1707.au matinjàl'Obfervatoire. M. 1707. »> p. ijz. » " Machine pour retenir la Roue qui fert à élever » le Mouton pour battre les Pilotis dans la con- w ftruébion dts Ponts, des Qiiais &: autres Ouvra» » ges de cette nature. M. 1707. p. 188. " " Réflexions fur le palTagc de Mercure par le " Difque du Soleil au moisdeMay 1707. Ma707. ^»' p. zoo. ». " Obfervation de la Conjonélion de Jupiter »» avec Rcgulus ou le Cœur du Lion au mois de • Juin 1707. à rObfervatoirc. M. 1707. p. Z97. » » Qiiadratures de Superficies Cylindriques fur » des Bafcs Paraboliques , Elliptiques & Hiperbo- » liqucs.M. 1707. p. 330. DE L'ACADEMIE 1^95) — 1710 "jij «HIRE(M. PHILIPPE DE LA J » Obfervation de » i'EcIipfe de Lune du mois d'Avril 1707. au Porc » de Paix dans l'I lie de St. Dominguc, M. 1707. » p. 381. » » Nouvelle Conflrudion des Pertuis. M. 1707. p. ^49. » " DesConchoidcs en général. M. 1708. p. 31. j» " Obfervations de la quantité d'Eau de Pluie qui » cft tombée à l'Oblervatoire Roïal à Paris peia- » dant l'année 1707. &: des Hauteurs du Thermo- » metrc &: du Baromètre. M. 1708. p. 60. w 1, Obfcrvation de l'Eclipfc de la Planète de Ve- M nus par la Lune le 23. Février au foir 1708. à » rObfcrvatoirc. M. 1708. p. 1 10. » " Defcription d'un nouveau Baromètre pour » connoître exadement la pefiintcur de l'Air , » avec quelques Remarques fur les Baromètres or- » dinaires. M. 1708. p. i ^4. w » Obfcrvation de l'Ecliplc de Lune du j. Avril » 1708. au matin à l'Obfcrvatoire Roïal. M. 1708. p. 179. , » » Obfcrvation d'un Cercle Lumineux autour o du Soleil. M. 1708. p. 180, » » Explication Phyfiquedcla direéVion verticale « & naturelle des Tiges des Plantes & des Bran- « ches des Arbres, S>c leurs Racines. M. 1708. » p. Z3I. " y Expériences & Remarques fur la dilatation de 3 l'Air par l'Eau bouillante. M. 1708. p. 174. » » Méthode pour décrire des grands Arcs des » Scétions Coniques fans avoir leur Centre ni la » grandeur d'aucun Diamètre. M. 1708. p. 289. « " Obfcrvation du PaiTagc de la Lune par lc5 » Pléiades, le 10. Aoîit 1708. au matin, à l'Obfer- » vatoire. M. 1708.P. 295).. " R r ii \ 31^ TABLE DES MEMOIRES »HIRE(M. PHILIPPE DE LA ) » Obfervanon de » l'Eclipfe de Soleil arrivée le 14. Septembre » 1708. au matin , à l'Oblcrvatoire. M. 1708. p. 403. >. " Sur l'Eclipfe de Lune arrivée le 29. Scptem- M brc au loir 1708. à l'Obfcrvatoire. M. 1708". p. 40 5-. " " Obfcrvat. de la quantité de Pluie qui eft tom- » bée à rObfervatoire pendant l'année dernière » 1708. avec les changcmcns qui font arrivés au » Thermomètre & au Baromètre, par rapporta la » Chaleur & aux Saifons. M. 1705). p. i. »» " Obfervation de l'Eau qui eft tombée à Lyork » pendant l'année dernière 1708. ( communiquée » Par le P. Fnlchironjcf.) M. 17051. p. 8. » " Obfervations de la quantité d'Eau de Pluie &; » des Vents , par M. le Comte du Pontbriand dans » fon Château à deux licnës à l'Oiieft de St. Malo , n communiquées à l'Académie Par M. DU TO- » R AR , & comparées avec celles que nous avons » faites à Paris à l'Obfcrvatoire Roïal pendant les « années 1707. & 1708. M. 1705). p. y. »» " Obfervations de l'Eclipfe de Soleil arrivée le M II. Mars 170^. après midi , à l'Obfervatoire. M, « 1709. p. 91. » " Explication de quelques Faits d'Optique & de « la manière dont fe fait la Vifion. M. 170^. p. 9 y. »» " Obfervations delà pefanteur de l'Atmofphere » faites au Château de Mcudon avec le Baromè- tre double de M. H U Y G H E N S. M. 1705). »- p. 176. » " Remarques fur la Conftruélion des Lieux » - Géométriques & des Equations. M. 17 10, * p.7. DE L'ACADEMIE 1699 — I7I0 317 HIRE(M. PHILLIPe'dELA) - Obfcrvatlon de la quantité d'Eau qui cft tombée à rObfcrvatoire pendant l'année 1709. avec l'état du Thermo- mètre & du Baromètre. M. 171 o. p. 139. » Comparaifondemcs Obfcrvations avec celles de M. Scheuchzer , fur la Pluie Se fur la Confti- tution de l'Air pendant l'année 1705) à Zurich en Suifl'c. M. 17 10. p. 14^. w Comparaifon des Obfcrvations que nous avons faites a. l'Obfervatoire fur la Pluie &: les Vents avec celles que M. Le Marquis du Pontbriand a fiiites dans fon Château près St. Malo, pendant l'année 17051. M. 1710. p. 143. » Obfervation de l'Eclipfe de Lune arrivée la M nuit entre le ij.&le 14. Février 17 10. à l'Ob- „ fervatoire. M. 171 o. p. lyz. 5> " Obfervation de l'Eclipfe de Soleil arrivée « le z8. Février 1710. à l'Obfervatoire. M. 1710. » p. 198. „ " Méthode générale pour la divifion des Arcs » de Cercle , ou des Angles , en autant de parties ,, égales qu'on voudra. M. 17010.P. 200. » » Remarques fur le mouvement des Planètes , w &: principalement fur celui de la Lune. M. 1710, » p. Z91. M " Obfcrvations fur un efpece de Talc qu'on » trouve communément proche Paris , au def- 5) fus des Bancs de Pierre de Plâtre. M. 17 10. p. 341. HIRE(M.DELA) le Fils ( GABRIEL- PHILIPPE) trouve que l'Humeur Aqueufe, fait les mêmes réfraétions que l'Humeur Vitrée. H. 1707. p. z 5, Efl: chargé par l'Académie de calculer des Ephcracrides. H. 1700. p. 130. . Rriij 3i8 TABLE DES MEMOIRES LISTE CHRONOLOGI^VE des A4em. imprimés de M. ( GABRIEL- PHILIPPE ) DE LA H IRE le Fils. I6s>9' * I7I0. « " Obfervation del'Eclipfe de Lune du 3. Jan- „ vierdc cette année 1703. faite àTours par M. » Nonncr. M. 1703. p. 27, » "Nouvelles Remarques fur l'Aiman &r furies « EguiUes Aimantées. M. 170 j. p. 97. " Sur la Condenlation & Dilatation de l'Air. M. « 1705- P- I lo- « « Remarques fur quelques Expériences faites » avec pluficurs Baromètres , & fur la Lumière que „ , fait un de ceux dont on s'eft fcrvi en l'agitant » verticalement. M. 170 j. p. 2.16. M " Expérience fur la Chaleur que nous peuvent „ caufcr les Raïons du Soleil réfléchis par la Lune. « M. 170 j. p. 34(î. w " Obfcrvations de Mercure dans le Méridien » comparées avec nos Tables. M 1706. p. 9^. « » Obfervation de l'Eclipfe du Soleil faite à Mar- M ly le iz. May 1706. en prefcncc du Roy, de M Monfcigncur , & de Monfeigneur le Duc de ' M Bourgogne. M. 1706. p. ifîy. »» " Diffcrtation fur les Baromètres &: Thermomè- tres. M. 1706. p. 43 î. »f^ " Obfcrvations de Mercure comparées au Cal- »«. cul de nos Tables , à l'occalîon de la Conjonétion inférieure avec le Soleil , au mois de May de M cetçc aijinée 1707. M. 1707. p. ip8. aa M DE L'ACADEMIEi^99 — I7IO 315) HIRE(M. DE LA) le Fils ( Gabriel Philippe) «Re- marques fur la Cauraifle &: le Glauconia. M. » Comparaifondcl'Eclipfc de Venus par la Lu- ne du 23. Février 1708. avec le Calcul tiré des Tables Alh-onomiques de lupn Perc. M. 1708. p. 1 10. "Remarques fur laCacaradc &; le Glauco.na. M. 1708. p.24y. " Expériences ( de l'elfet du FeiH ) fur les Thcr- » mometres. M. 1710. p. j4(î. «r Histoire (nLirurclle ) » Obicrvations fur les fîngula- rités de l'Hiftoirc naturelle de France. H.169^. p. 23. DerAcadcmieRo'ialedes Sciences, ce que c'cftî H. 1 699. Lit. a. & fqq. De l'Académie des Sciences , comprend plus de chofes que les Mémoires , Se pourquoi î H. 1 65? 5». Lit. a. HoFMAN ( M. ) fonObfervationderEclipfc de Soleil du II. May 1706. faite à Berlin. M. 1706. p. 470. Hollande. L'uiagc de l'Eau de Chaux y cft pratiquée avec fuccès, &: pourquoi î M. 1700. p. IZ7. S^'fq. HOMBERG (M. ) né àBatavia,& nourri par une Noire. H. 1707. p. 10. Son fentimcnt fur la caufe qui fait que le Lait de Femmes Européennes qui vont à Batavia de- vient falé .ibia. & fq. Entreprend un Ouvrage fur la Chimie. H. 1702. Idée de cet Ouvrage, ibid. & Iq. Ses Remarques fur les Expériences de M. BER- NOULLI de Gronir.gue,à l'occafiondcs Baro- mètres Lumineux. H. 1701. pp. 3. 4. (S»: fqq. 310 TABLE DES MEMOIRES I-IOA1BER.G ( M. ) Son Expérience fur l'ordre des Cou- leurs. H. 1699. p. 18. Son nouvel Aréomètre. H. 1699. p. 53. Sa Méthode pour trouver les Proportions des Sels Acides , &du Phlcgme mêlés enfcmble. H. 1699. p. ^. èzCq. Sa nouvelle manière de faire les Injedions Ana- tomiques. H. 1699. p. 59. Précis de fou Sy ftême fur la vitrification de l'Or . H. 1707. p. 30. Objections faites à ce Syftêmc. ilpid. p. 50. &fq. Réponfe aux Objections, ihtd. p. 3 1. A beaucoup travaillé fur les Végétations Métal- liques. M. 1707. p. 300. Fait voir à l'Académie uneVégetation d'Argent. H. 1704. p. 40. Tire un nouveau Phofphore de la Matière féca- le. H. 1710.P. j j. Obfcrvation fur une TalTc kifl'ée à Paris par les Amba{l>.dcurs Siamois , qui étoit une efpcce deRéalgalou Arfcnic Rouge. H. 1703. p. yi. &fq. Sa Méthode de préparer la Poudre de Coquille d'Huitre.M. 1700. p. 70. &: fq. Son Secret pour empêcher la Rouilleure du Fer. H. 1699. p. 58. Sa Manière de faire de la Glace propre à rafrai- chirlcs Liqueurs. H. 1701. p. 73. Propofeunmoïen fur de rendre les Plantes an- nuelles vivaces. H. 17 10. p. 79. LISTE DE L'ACADEMIE i(J95> — I7IO îii LISTE CHRONOLOGI^V E desMem. imprimes de M. HOMBEt\G I 6 p 9. I 7 I o. » Obfcrvation fur la quantité exade des Sels Vo- latils Acides , contenus dans tous les difFerens Efprits Acides. M. 1699- P- 44- » Êfl'ais pour examiner les Sels des Plantes. M, 165)9. p- 69- " Obfervation fur cette forte d'Infedes qui s'ap- pelle ordinairement Demoifelle. M. 1699, » Effais fur les Injeftions Anatomiques.M. 1 699. « Obfervations for la quantité d'Acides abforbes par les Alcalis Terreux. M. 1700. p. 64. » Obfervations fur les Diflblvansdu Mercure. M, 1700. p. 190. " Suite des Obfervations fur les DifTolvans du Mercure. /^/V. p. 196. " Obfervations fur les Huiles des Plantes. M. Ï700.p. 2.IZ. " Sur l'Acide de l'Antimoine. M. 1700. p. 298. » Obfervations fur le Raffinage de l'Argent. M. 17C1. p. 41. « Obfervations fur quelques effets des Fermen- tations. M. 1701.P. 97. » Obfervations fur les Analyfes des Plantes. M. 1701. p. I ly. » Obfervations furies Sels Volatils des Plantes. M. I7OI.P. 211. T4Ù. des Mat. 1699.-— J710. _ . SC » 12 TABLE DES MEMOIRES HOMBERG ( M. ) » EfTais de Chimie, Article premier, des Principes de la Chimie en gênerai. Kl. 1701. Article deuxième , du Sel Principe Chimique. iUd. p. 3(). » Obi'crvations Riitcs par le moicn du Verre Ardent. M. 1702. p. 141. » EfTai de l'Analyse du Souffre commun. M. 170 5.^.51. " Obfcrvation fur un Battement de Veines, fcm- blableau Battement des Artères. M. 1704.P.159, " Suite des Eflais de Chimie , Article troilicme , du Souffre Principe. M. 170J. p. 88. » Obfervations fur une DilTolution de l'Argenc. M. \jo6. p. 101. " Obfervations fur le Fer au Verre Ardent. M. 1706. p. 158. » Suite de l'Article troifiérae des EfTiis de Chi- mie. M. 1706. p. 260. « EclaircifTement touchant la Vitrification de rOr au Verre Ardent. M. 1707. p. 40. " Obfervations fur les Araignées. M. 1707. "Mémoire touchant les Acides & les Alcalis, pour fervir d'Addition à l'Article du Sel principe imprimé dans nos Mémoires de l'année 1702,. M. 1708. p. 3 II. > » Suite des Eflais de Chimie , Article quatrième > du Mercure. M. 1709. p. ïo6. . " Obfervations touchant l'effet de certains Aci- > des fur les Alcalis VoLitils. M. 1709. p. 3 54. > « Obfervations fur les Matières Sulphureufes , « &: fur la facilité de les changer d'une cfpece de > Souffre en un autre. M. 1710. p. iiy. > » Mémoire touchant les Végétations artificiel» f les. M. 1710.P. 4Z(î. DE L'ACADEMIE 1^99 — i7to 5^5 Homme ( 1' ) cftun allcmblage de Merveilles. H. 1700. p. 24. Mécanique admirable du Corps de l'Homme. H. 1707. p. 16. A plus de Cervelle qu'aucun autre Animal. H, 1701.P. z^. En quoi diftcre du Fœtus, iè/d. p. zi. Les Vaifleaux de chaque côté du Cœur font égaux en Capacité. H. 1 70 3 . p. 33. M " Examen de la Force de l'Homme pour porter » ou pour tirer. H. 1699. p. 96. Force de l'Homme dépend des Mufcles & de la polîtion du Corps, il^/d. p. 96. Qiii tire Horizontalement en marchant, p. 9 8. ,;r, .-. - Avantage du Cheval fur l'Homme à poufTer en ■àVànt. ihid. p. 98. De l'Homme fur le Cheval pour monter, ihid. p. 98. » " Examen de la Force de l'Homme pour mou- » voir des Fardeaux , tant en levant , en portant , « qu'en tirant , laquelle eft confiderce abfolu- » ment , &: par comparaifon , à celle des Animaux 5j qui portent &: qui tirent comme les Chevaux. » ParDELAHIRE.M. i(Î99.p. 1^3. Force de l'Homme n'cft pas la même que celle de tous fes Mufcles enfcmble. ibid. p. 1 5 j. Exemple d'un Homme d'une Force confidcra- ble. ibid. p. i y 6. V'itcflc fpécifique &c réelle de l'Homme , ob- fervée en Différentes aétions , par M.AMON- TONS.H. 1703.P. io3.5,:fq. ( Jeune ) retiré vivant de dcfTous des Ruines au bout de ij. jours. H. 1706. p. 6. Sfij 3Z4 TABLE DES MEMOIRES Hoiïn,EtfR ( Eclipfe de Soleil du 1 1. Juillet 1684. ob- fcrvceà ) par M. De Glos , Profeflcur d'Hydro- o;raphic.M. ijoi.p. 88. HOPITAL (M. LE MARQTJIS DE L' ] Ses Tmcs & fcs qualités. H. 1704. p. iz^. Etudie les Elemens d'Êuclide de lui même, étant encore Enfant. Jl//d. Refout à l'âge de i j. ans un Problême fort diffi- cile i'ur la Roulette. /^/W. p. i z6. Entre au Service, & étudie la Géométrie en ca- chette, iliia!. Quitte le Service à caufe de la foiblelfe de fa Vue. /'^/V/. Refout feul en France le Problême propofé en 1693. par M. BERNOULLI de Groningue. Quel étoit ce Problême, il^id. p. 117. Refont feul en France le Problême de la plus Vite Defcente , propofé en 169^. par M, BERNOULLI de Groningue. /^/V. p. liS. Trouve une Analyfe fimple & élégante du Soli, de moindre rcfiftance de M. NE\!i|7"TON. zé/V. p. 119. Son talent particulier dans les Solutions des Problêmes les plus difficiles. /'é/V. p. i Z9. Sert de Maître à M. HUYGHENS dans le CaU cul différentiel. /'^/V. p. 130.&: fq. Public Y Analyfe des Infiniment s petits . il. p. 131. Idée de ce Livre, ihid. p. 1 3 2. & fq. Forme ledcffcin de traiter le Calcul intégral ib. p. 134. Le quite pour travailler à fon Ouvrage fur les Sellions Coniques, ibid. p. 1 34. Idéegéneraledecet Ouvrage. H. 1707. pp. 71. &:fqq. Commencement de fa Maladie en 1704. H. 1704.P. 134. DE L'ACADEMIE i^P9 — lyio S^-y HOPITAL (M. LE MARQiJIS DE L') Tombe eu Apoplexie ôc meurt, ii/id. Cauies vray-fcmblablcs de fa More. ièid. ^fq. Ses QLialitcs de Cœur ôc d'Efprit. ibid.ôc 135:. Sa Famille, ibid. pp. 115.&: 135. Son Epoufc s'applique aux Mathématiques, ibid. Sa Place d'Académicien Honoraire par qui remplie. H. 1704. p. 1 3 5. & fq. Son Eloge par M. D E F O N T E N E L L E. H. 1704. p. I2J. LISTE DES MEMOIRES imprimés de M. LE MJR^VIS DE VHOPITJL. *. M Méthode facile pour trouver un Solide rond , w qui étant mû dans un Fluide en Repos parallelc- j» ment à fonAxe, rencontre moins de rcfiftancc M que tout autre Solide qui aïant même longueur « & largeur, fe meuve avec la mêmeviteffe, fui- s> vant la mêmedireftion. M. 1699. p. 107. w " Solution d'unProblcmePhifico-Mathematique » Trouver dans un Plan vertical la Courbe dans » laquelle un Corps defcendant libretnent & par pi » propre pefanteur , la prcjfe dans toutes fis Parties » avec une force égale a celle de fon poids , avec la. a Demonfiration des Théorèmes de M. HUTGHENS M touchant la Force Centrifuge. ) M. 1700, » p. 9. « « La Quadrature abfoluë d'une infinité de M Portions moiennes, tant de la Lunule d'Hipo- M crate de Chio, que d'une autre de nouvelle » efpecc. M. 1 70 1 . p. 1 7. Sf iij 3i(î TABLE DES MEMOIRES » HoRisoK de la Mer. .. Des Irrégularités de l'AbbailTe- » ment apparent de l'Horizon de la Mer. Par M. " CASSINI. M. 1707. p. is)j. Ces Variations n'ont aucun rapport avec celles du Thermomètre £c du Baromètre, iùl^. p. . 197- Horloges ( Sur la Conftruclion des ) H. 1700. p. 144. Application de la Cycloide auK Horloges ou Pendules à Secondes , découverte Par M. HU Y- GHENS. H. 1700. p. 144. » » Remarc[ues fur les Iitcgalités du mouvement des Horloges à Pendule. Par M. DE LA HIRE. » M. 1705. p. 285-. " » Remarques fur la ConftruiTtion des Horloges à Pendules Par M. DE LA HIRE. M. 1700. « p. 161. Inégalités que peut produire la Soie à laquelle on fufpcnd la Verge du Pendule, ik'^. p , 161. Inégalités que produit une Lame de P^eflort miCe à la place de la Soie. il>iJ^. p. 162.. Se fq. » » Sur la Figure ou Curvité des Fufées des Horlo- ges à Reffort. Par M. VARIGNON. H. 1701. » p. izz. M. i7oz.p. 192. HoRTENSius. Son Ôbfervation du palTage de Jupiter proche de l'Etoile du Front du Scorpion , faite en 1617. M. 17 10. pp. 3 14. &fqq. HosTE ( Le Père) Son Obfervation de l'Èclipfe du Soleil du 11. Juillet 1684. faire .\ Lyon. M. 170 1. p. 88. HoussAYE ( M. ) Capitaine de Vaiflcau, Ses Obfcrvations de la Variation de l'Aiman dans une Campagne qu'il fitaux Indes Occidentales en 1704.&170J. &;c.M. 1708. pp. i75.&fqq. -DE L'ACADEMIE 1^99 _ I7IO 32.7 Huile.. Quoi que plus abondante dans un îvlixtc , ne doit point le rendre plus doux. H. 1703. p. 46. » » Sur les Huiles des Plantes. H. 1700. p. ^6. Les Plantes donnent une Huile fœtide. n'id. p. ^6. Aromatiques donnent de plus une Huile cfTen- tielle au commencement de la diftilation. il>ùi. P-î/- . . , . Acides Minéraux , tirent plus d'Huiledes Plan- tes que les Acides Végétaux, ihid. p. 5-7. Huile E/Tentielle de Rofcs augmentée par M, HOMBERG. /i/^.p. 5:7. M " Obfcrvations fur les Huiles des Plantes. Par M, HOMBERG.M. i7oo.p.ziz. Les Huiles tirées des Plantes Analyfées par le Feu différent en quantité &: en qualité, fuivant la manière dont fe fait l'extradion. /'^/W. p. zii. &:fq. LaTefte -morte,qui refte après la diftillation des Plantes qu'on analyfe , contient encore de l'Hui- le , & pourquoi î //phi. p. 213. L'Acide & le Sel Volatil des Plantes peuvent aidera l'Extradion des Huiles , & leur fervent de Véhicule , & pourquoi î il//t^. p. ii 3. & fq. Eflais pour éclaircir cette conjcélurc. li^Jd. p. ZI4. &fq. Eflentiellcs , ce que c'cft : H. 1707. p. 38. M. 1707. p. yiS. _ . Effentielle de Rofes , Defcription du Récipient dont les Parfumeurs fe fervent pour la dirtiller. M. 1700. p. 216. Effentielles des Plantes d'Europe, pourquoi ne s'enflamment' elles pas étant mêlées avec l'Huile de Vitriol, M. 1701.P. î)5>.H. 1701. p. 67. &:lq- 31$ TABLE DES MEMOIRES. HuiLEs(Ies) Aromatiques des Indes s'enflamment, &; pourquoi î ibid. ibid. Etant falfifîces ou mêlées de quelques Huiles de Plantes d'Europe , ne s'enflamment pas. ibid. p. lOO. De Thercbcntine mêlée avec celle de Vitriol s'enflamme. M. 170 1. p. 98. EflTenticllc des Plantes , leur Analyfc eft inutile. H. 1707. p. 38. » » Sur les Huiles EfTenticllcs des Plantes , &: par- » ticulieremcnt fur les diftcrentcs Couleurs qu'cl- » les prennent par différents îvlélanges. H. 1707. p. 37. " » Obfervations furies Huiles ElTcnticllcs , avec » quelques conjectures fur la caufc des Couleurs » des Feuilles &: des Fleurs des Plantes. Par M. GEOFFROY le Jeune. M. 1707. p. ^7. La Subfl:ance huilcufe de la Graine d'une Plante étant traitée différemment, donne trois fortes d'Huiles. M. 1707. p. 519. Expériences fur l'Huile effentiellc de Thim. ib. pp. yip.&:fqq. Sur l'Huile d'Ambre jaune, ibid. p. 521. &: fq. Comment on peut croire qu'elles prennent diffé- rentes couleurs. H. 1707. p. 39. ( Elfentiellcs ) toutes ne prennent pas des cou- leurs diftcrentes mêlées avec différentes ma- tières. H. 1707. p. 3 8. Diverfes { non foupçonnées ) contiennent du Fer. H. 1707. p. 43. & fq. a " Expériences nouvelles fur les Huiles Se fur u quelquclques autres Matières où l'on ne s'ctoic » point encore avifé de chercher du Fer. Par M. LEMERYleFils.M. i7oy.p. j, Huile DE L'ACADEMIE 1^5)9— i7ï'^ ji? HUlL£ de Tartre.rtf/f^i Tartre. De Vitriol contient du Fer. M. 1707. p. 7. De Tercbcntinc 7 rr -i ■ 1 r, De Lin J ' Hu I TRES. Comment on rend leur Chair verte. M. 1710. p.44?- La Poudre de Coquille d'Huirre cft propre à ré- tablir les Eftomachs gâtes par les Acides , &: pourquoi î M. 1700. p. 5^0, Poudre de Coquille d'Huirre donnée avec fuc- cès. M, 1700. p. 70. Facilité de la Diffblution des Coquilles d'Hui- tres. ibid. Sq% bons Effets dans les Eftomachs gâtés par les Acides , proviennent en partie de cette facilité de Diftolution. ibid. Méthode de M. FIOMBERG pour pré- parer la Poudre de Coquille d'Huitre. ibid. p, 70. &;rq. Humain ( Corps) les Acides du Corps Humain peuvent avoir du rapport aux Eaux Régales ou aux Eaux Fortes. M. 1700. p. 64. Humeur ^^"^"''n /w.:. T Aqiteuse Vitrée J (_ Vitrée HuMiDiTE'(r) augmente le RefTort de l'Air. H. 1708. p. li.Si^Iq. Nuit à l'apparition de la Lumière dans les Baro- mètres. M. 1700. p. 189.&; fq. »> " Moicn d'empêcher que l'Humidité de l'Air » de la nuit ne s'attache aux Objcélifs des V grandes Lunettes Par M. DE LA H I R E, " M. 1699. p. 91. HUYGHENS ( M. ) a inventé le Baromètre double, ce que c'eft , &: fon Ufage î H. 1708. pp. 4, & fqq. T^b, des Mat. 16515) — 17 10 Tt ,30 TABLE DES MEMOIPxES HUYGHENS (M. ) Defcription de fon Barometredou- blc. M. 1708. p. 15e. Dcmonftracions du rapport des différences mar- quées par ce Baromètre double , à celles du Baro- mètre fimplc. ihid. pp. i ^7. & fqq. A le premier appliqué la Cycloidc aux Pendules à Secondes. H. 1700. p. 144. Explique les Phénomènes finguliers du Criftal d'iîlande, &: comment? H. 17 10. p. 113. &: fq. S'applique en 1691. au Calcul différentiel, &; confultc à M. DE L'HOPITAL fcs difficultés fur ce Calcul. H. 1704. p. ijo.&fq. Eli: le premier Authcur de l'Idée des Dévelope- mens. H. 1701. p. 8z. Eft le premier qui ait donné l'Idée des Forces Centrales. M. 1707. p. 477. Idée de fa Théorie fur le Centre d'Ofcillation» H. 1704. p. 89.&:fq. Cette Théorie, qu'il n'avoit fait que deviner ^ eft démontrée par M. BERNOULLI de Baflc. ï^/V. p. 91. & fq. Différence de fon Syftême de Mufiquc , &c de ceux de M. SAUVEUR , &; des Muliciens. H. 1707. p. 1 19. & fq. Son Cycle Harmonique , &:c. M. 1707. p. 2i4> Ses Théorèmes touchant la Force Centrifuge démontrés par M. LE MARQUIS DE L'HO- PITAL. M. 1700. pp. 1 5. &fqq. W '> Démonftration de ce qu'il s'eft contenté d'ê- » noncer à la fin de fon Di /cours de la cauje de la » fcfaiitcur^ touchant le mouvement des Corps • M graves dans un milieu qui leur refifteroit à cha- » que inftant en raifon de leurs Viteffes. Par M, *^ VARIGNON.M. ï7o8.p.2ii. DE L'ACADEMIE 1^99 — i7i« 33r •'Hydre ( Conftcllation ) ( » Sur l'Etoile de 1' ) qui pa- roît & difparoit. Par M. MARALDI. H. ., 1706. p. III. M. 170^. p. iij.H. 1705). p. V 80. M. MARALDI cft le premier qui ait découveix qu'elle croit changeante, ihid. ihid. « . " Obfcrvation du Retour de l'Etoile changeante de l'Hydre Par M. MARALDI M. 1709. p. 33. "Hydromel ^ Sur l'Hydromel vineux. H. 1707. " P-3J- . , ^ Ce que c'eft &: manière de le faire e H. 1707. p. 3^. RefTemblc au Vin d'Efpagne ou au Mufcar. H. 1707. p. 37. Peut devenir aigre , &c comment ; H. 1707, P-37- EnyvrepIusqueleVin, H. 1707. p. 3^. Hydrographie. MEMOIRES D'HVDROGRJPHIE imprimés dans les Ademoires de l'Académie. l6^p. 1710. S .. Sur un Projet d'un nouveau Portulan pour la :) Méditerranée. H. 1701. p. I ip. » » Sur les Cartes Hydrographiques. H. 1702, p. 86. :. " Réponfe aux Remarques M. DE LAGNY » fur la Conftrudion des Cartes Hydrographi- 5» ques , & des Echelles de Latitude. Par M. DE CHAZELLES. M. 1701. p. i jo. » :' Sur les Cartes réduites. H. 1703. p. 91. Tti, 33Z TABLE DES MEMOIRES « Hydrographie » Conftrudion nouvelle & géométri- que des Cartes Réduites , &: des Echelles de La- titude. Par M. DE LAGNY. M. 1703. p. 555» r &: fuite, ihid. p. 55». Rcponfc de M. DE LAGNY aux Remarques de M. DE CHAZELLES iur fon Mémoire Hydro- graphique. M. 1704. p. zoo. Hydrophobie, roïez, Rage. Hydropiques (deux) guéris , &: par quel régime. M, 170 1. pp. I ji. &: fqq. Expériences faites fur l'Eau de plufieurs Hydro- piques. M. 1701. pp. i y4.& fqq. Remarques faites à l'ouverture d'une femme Hydropique, &c. H. 170 z. p. Z4. & fq. Hydropisie Afcite, Timpanite , Enkiftce , Szc. ce quec'eftîM. 1703. p. 160. & fq. &: i63.&fq. ,. .. Pronoftics que l'on peut faire touchant l'Hy- dropifie après la Pondion, Par DU VERNEY a» le Jcunc.M. 1703.P. 178. Afcite , la Gratiole lui eft un bon remède, H. 170J.P.63. » ( .. Surune)laiteufc ( ohjcrvce j>ar M. Vernage p Médecin de U Faculté de Paris ) H. 1700, * p. II. Obfervation&conjedure fur cette matière lai- teufc. ibid. & fqq. Laitcufe caufée par une Chute fur la Tête, & comment îH. 171 o. p. 40. fie fq. „ » Sur une Hydropific du Péritoine. H. 1707, p. 10. Syftême de M. LITTRE fur la formation de dccctteHydropifie. /'^/V.p. ZI.M.1707.P. joj. N « Obfcrvations fur une Hydropifie du Péritoine. I, Par M. LITTRE. M. 1707. p. joi. D E L'ACADEMIE i(î99 — 1710 555 Hydropisie. Signes diagnoftics & prognofcics de cette Maladie, ihid. p. p o. & fq. Cure de cette Maladie, ihid. p. 5 1 1 . & fq. » j'Oblervations d'Anatomic & de Chirurgie " fur plulieurs cfpeccs d'Hydropifie. Par M. DU » VERNEY lejeune. M. lyoï.p. 149. ( Obfervations fur une ) Par M. DU VERNE Y le Jeune. M. ijoz.pp. 214. Scfqq. »> ( » Suite d'Obfcrvations (ur F ) depuis 1^83. juf- qii'à 168 6. Par M. DU VERNE Y le Jeune. M. M 1703. p. IJO. 3> ( " Obicrvation fur une ) particulière Par M, » LITTRE. M. 1703. p. 90. w »Obfervation fur une Hydropifie de Cerveau Par M. DU VERNEY le Jeune. M. 1704. p. 6. (longue) guérie par pluiieurs Grains de Lauda- danum. H. 1703. p. 57. Nouvelle. La Cainphorata en ptifanc y eft bon- ne. H. 1703. p. yj. » Hydrostatique ( Problème d' ) » Etant , donne le » Diamètre d'un petit Tuiau, trouver en général » ' le Diamètre d'un plus gros , d'où il s'écoule une M quantité d'Eau , double , triple , &:c. en y faifant M entrer les Frottemens. Par M. CARRE' M. 170 j. p. 27J. Myosciamvs SyriacHs ( Jufquiamc ) Plante. Sa Defcrip- tion donnée à l'Académie par M. MAR- CHANT. H. 170(5. p. 42. Hyperbole (Section Conique) peut être confideréede deux manières , & fournir deux Equations diffé- rentes, & qu'elles? H. 1705. p. 105. Ordinaire entre fcs Afunptotes , fa nature. H, 170e. p. 48. &: fq. ( La Qiiadrature de 1' ) eft inconnue apparem- ment pour jamais. H. 1702. p. 63. Ttiij 3J4 TABLE DES MEMOIRES Hyperboles oppofccs, deviennent quelques fois deux Lgncs droites parallèles, & quand. H, 1710. p. 85).&:rq. l) fage de ces Hyperboles dans la conftruaion des Egalités , felou'k régie de M. Defcartcs. ibi<^. p. 85).&{c|. HYPOGASTRiciUEs ( Ics Vejnes ) ont leurs extrémités per- cées de trous. H. 1 700. p. 3 i. Ce Fait découvert par M. MEKY Jhid. HvvERde 1709. ( le grand Froid de 1') arrivé à Paris par un Vent de Sud. H. 1709. p. 9. Conjedurcs fur ce Fait. /'^/^. ( Dans cet ) la Rivière de Seine ne fut point en- tièrement gelée, & pourquoi ? ihid. p. 9. & fq. (Dans cet) la Glace du Port de Copenhague vint épaiflc de 27. pouces, ibid. p. 10. De 1 683. (dans 1') la Glacede laTamifefut trou- vée épaiflc de 1 1. pouces. /^/V, J I Jji€EALiitea Creticd foliis LwerarΣ Plante, fa DeC cription donnée à l'Académie par M. MAR- CHANT. H. 1708. p. 69. » Jalap ( Analyfcdu)&:c.H. 1701.P. j8. Ce que c'eftque cette Racine, ibid. p. 60. Eft un bon Purgatif , mais peu en ufage. ibid. DE L'ACADEMIE 1^99— 1710 53 y » Jalap. " Obfervations Analytiques du ]alap. Par M. ;, BOULDUC.M. lyoï.p.ioS. Ce que c'cft , n'eft connu que depuis peu , cft un bon Purgatif, ihid. Jambes. Forces des Mufcles des Jambes. H. iG^o- P-^7- Jauge des Eaux courantes, la connoifTance de la vérita- ble longueur du Pendule y cil utile. M. 1700. p. 176. &;rq. JAUGEON ( M. ) travaille avec LE P. S EB AS TIE N TRUCHET &c M. DES BILLETTES à la Dcfcription de l'Art de l'Impreilion &: des Arts qui y fervent. H. 165)5). p. 118. H. 1700, p. 159. H. 170 1. p. 141. H. 1701. p. 135. Fait voir à PAcademie de nouvelles Lettres Françoifes agréables à la vue, &: décrites géomé- triquement. H. 1 699. p. 1 1 8. &: fq. Donne à PAcademie la Dcfcription d'un Mor- tier de Bronze très commode. ii>/d. p. 119. Donne à PAcademie un Ecrit fur Poriginc des Caraétercs Latins.H. 1710.P. 141. Donne la manière dont fe font les Bas , foit à l'Aiguille , foit au Métier. H. 1709. p. m. Donne à PAcademie la Dcfcription des Arts &c Métiers qui concernent la Soie. H. iyo6. P-^4i- Donne la Dcfcription de l'Art du Relieur de Livres. H. 1708. p. 141. Donne à PAcademie une Dcfcription de la Frapedes Poinçons. H. 1703. p. 13 y. Donne à l'Académie une Hiftoire naturelle des Vers à Soie. H. 1705. p. 1 37. Commence l'Hiftoire des Alphabets. H. 170c, p. 159. Fait voir à PAcademie l'Alphabet Etrufque, ii/id. 5 36 TABLE DES MEMOIRES 3AUGE0N ( M. ) donne la Dcfcription de l'Art défaire la Soie. H. 1707. p. 1^4. Jaunisse. Le Pareira Brava ( Plante Brafilicnne) luifcrc de Remède. H. 17 10. p. y 8. Jéjunum (Inteftin ) obftruction caulëe par les Glandes de cet Inteftin. H. 1703. p. ^t. Jena ( EcliprcdcSolcilobfervécàjlc iz. May i70(j. par M. H'ambergerus. M. 1706. p. 470. Jet des Bombes. Fo/cz,Bombes. Jeunesse. Mélange de marques de Vieillefle Se de Jcu- nefle obfcrvé par M. P O UP A RT dans un Homme âgé d'environ 100. ans. H. 1(35)9. p. 50. Jgvana cfpcce de Lézard de l'Amérique. H. 1707. p. 10. Iléon (Intcilin) obftruâiion caufée par les Glandes de cet Inteftin. H. 1703. p. 42. Hernie formée par une Apendice de l'Ilcon. M, 1700. pp. 5oo.&:lqq. Caufes de l'étranglement de femblables Apendi- ces engagées dans les Anneaux des Mufclcs du Ventre, iùic/. p. 3 04. èc fq. Signes pour reconnoître cette efpcce particu- lière d'Hernie, iild.^. 3oy.oi: fq. Manière de fiire l'Opération dans cette efpece d'Hernie, ibid. pp. 307. &: fqq. ».ÎAiAGEs(» Sur la multiplication des ) par Içs Verres Plans.H. i6s)9.p. 86. Des Objets Lumineux multipliées par les Mi- roirs Plans &c les Verres Plans, ibid. p. 86. &fq. Raifonde ces Phénomènes par M. DE LA HI- RE./^/V/. p.87. Immersions des Satellites de Jupiter. Foïcz, Obser- vations Ailronomiques, Lmprimerie DE L'ACADEMIE 1^99 — I7ÏG 3 37 Imprimerie. ( l'Arc de 1' ) décrit par le P. SEBASTIEN TRVCHET, MM. DES BILLETTES&: JAU- GEON.H. 165)5». p, ii8.&:c, P'oi'ez,AKrs. Incendies ( Machine pour élever l'Eau dans les ) approu- vée par l'Académie. H. 1 6^9. p. 1 10. ♦> Incisions ( Sur les) faites à la Cornée. H. 1705). p. 13- ^ , • ^ Faites à la Cornée avec fuccès dans une Maladie . caufée par un épanchement de Sang dans l'Hu- -■:r.î '- ^ meut aqueufc. /'^/W. & fq. • ' „ .... à la Cornée , lailTent quelquefois des Ci- - ■ • ' • . catrices, &c quand, /è/c^. p. 1 4. Précautions à prendre dans cette Opération, , P-iî- Jnclij^aison de l'Orbite des Planètes à l'Ecliptique , Sl« difficile à déterminer. M. 1704. p. 3 1 o. Â' Méthode de la trouver, i^/û'. De l'Orbite de Saturne à l'Ecliptique, quelle: M. 1704. p. 3 18. 1» Inconnues » De l'évanouiAcment des quantités incon- w nues dans la Géométrie Analytique. Par M. » ROL'LE.M. 1709. p. 415). « Indes Occidentales. (Extrait des Obfervat. faites aux) » en 1704. 170^. &: 1706. par le P. FeuillécMini- w me, Mathématicien du Roi , comparées à celles w qui ont été faites en même tems à l'Obfervatoire Roial. Par M. CASSINI le Fils. M. 1708. p. y. Inégalité' (première) des Planètes , ce qucc'eftîH. 1704.P.70. { Seconde ) des Planètes , ce que c'eft, d'où dé- pend î/i-/^. M. 1704. p. 310. Difficile à déterminer, /h/d. Ne fe_peut trouver immédiatement par obferva^ tion que dans Jupiter. ii>id. flah, des Mat. 1699. — 171 o. Vu 538 TABLE DES MEMOIRES Inégalité' ( Seconde) des Satellites de Jupiter , en quoi confifte ? M. 1707. p. z6. ( Seconde) des Satellites de Jupiter, donne lieu d'imaginer le mouvement fucccUif de la Lu- mière. H. 1707. p. 78. (Seconde) des Satellites de Jupiter. M. CAS- SINI crut d'abord l'Hypothéfe du m.ouvcmcnc fuccefTif de la Lumière fuffifante pour expliquer cette deuxième inégalité. M. 1707. p. 2.6. M. CASSINI change de fcntiment , &: pour- -. quoi î il>id.p. %6. M, ROEMER l'adopte, & fe le rend propre. ibid. p. z6. M. Halley l'adopte aufli. ibid. p. z6. Cette Hypothéfc n'ell: pas fuffifante , &: pour- quoi ? ibid. p. 32. { Seconde ) des trois derniers Satellites de Jupi- ter ne s'accorde pasà l'Hypothéfe du mouvement fuccefTif de la Lumière. M. 1706 p. 8 1. & l"q. ( Seconde ) des Satellites de Jupiter ne s'explique - ■- pas bien par le mouvement lucccflif de la Li>- miere, félon M. MARALDI.H. 1707. pp. 79. • & fqq. w " Sur la féconde inégalité des Satellites de Jupt- » ter. H. 1707. p. 77. » » Confidcration llir la deuxième incîralité- » du mouvement des Satellites de Jupiter , &r ^ ' fur l'Hypothéfe du mouvement fuccellif de la » Lumière. Par M. M ARA LDI. M. 1707. Appcrçuës dans Venus. H. 1700. p. izr. "Infini "Réflexions fur les differcns Ordres d'Infini. H^ » 17 10. pp. 138. &: fqq. » Infinis imparfaits , ce que c'cft ? ibid. p. DE L'ACADEMIE î(î5)9 — I7I0 539 t» Infini ( » Du nouveau Syftcmc de 1' ) Par M. ROLLE. AI. 1703. p. 31Z. Difficultés propofécs contre ce Syftêmc. ibid. & fqq. Avcrtiffemcnt de l'Académie fur l'Ecrit de M. 'B^Ohh^,mût\x\c du nouveau SyJIême de l'Infini , infère dans les Mémoires de 1703. H. 1704, p.o. » ( Plus qu' ) » Sur les grandeurs qu'on nomme -» plus qu'infinies. H. 1706. p. 47. Cequcc'cftqucccs Grandeurs. /^/V. p. 48. s» " Réflexions fur les Efpaccs plus qu'infinis de * M.NTallis, Par M. VARIGNON. M. ijo6. P-13- > Ces Efpaces ne font pas même infinis , mais feu- lement finis, ibid. ÎNFiNiMENTS PETITS (l'Hyporhéfe des) connue des An- ciens. H. 1707. p. 64. Ufage du Calcul de ces Grandeurs. H. 1707. p. 64. &: fq. Difputc élevée dans l'Académie à l'occa- fion de la nouvelle Géométrie des infiniment petits. H. 1701.P. 87. Cetfe nouvelle Geoinetrie attaquée par MM. ROLLE &; L'ABBE' GALLOIS, p. 88. Deffenduë par M. VARIGNON. /7^/V. Juges des differens nommes par M. L'ABBE' BIGNON, ibid.^. 89. Ont cntr'eux des Rapports finis. H. 1700, P-89. Propofition fondamentale des Forces Centrifu- ges découverte par fe. méthode des Infiniment Petits.//', p. 81. Confequcnce de cette propofition. ibid. p. 8 1 . •& fq. Vui; 340 TABLE DES MEMOIRES ÏNf INIMENT PETITS, déterminent, ou fervent à détermii ner l'inégalité des Forces Centrales qui agiflenc dans les différentes Courbes. H. 1700. p. 5,7. ( Géométrie des ) cil la feule qui puiffe fcrvir à la Théorie des Forces Centrales. H. 170 1. p. 80, &fq. • » ( Sur la Méthode des ) pour les Maxima 8C » Minima, H. 1706. p. 5 i. Inflammation , ce que c'eft î H. 170 1. p. xç). Les Ventricules du Cœur doivent être moirrt fujets à des Abfcès , qu'à des inflammations, &: pourquoi ? H. 170 1 . p. z^. Infusions des Purgatifs Végétaux, font plus d'eftct que les Décodions. H. 1710. p. 44. , Injections (les) Anatomiques ont fouvent des Signes équivoques. H. 1700. p. 3 j. a*' «Sur les Injcdions Anatomiques. H. \(>s^. P-3S. Difficultés des Injcdions Anatomiques. H. 165) s». P-39- Manière nouvelle de M. HOMBERG pour faire les Injections Anatomiques. H. 1^99. p. 35>. "" » Eflais fur les Injcétions Anatonaiqacs. Par M. . HOMBERG. M. 169?. p. i6y. Quelles Matières les Anatomiftcs fouhaittent pour les faire, ibid. Inconvénient des Matières ordinaires, ibid, <-■' p. 1 6 5 . Deux diverfes Méthodes pour éviter cet incon- vénient, ibid. p. i6é. &C fq. Précautions à prendre dans les Injections par cc^ Méthodes, p. 1 67. &: fq. Insectes. La Terre cft remplie d'un infinité d'Ocufsinvi» iibles dlafcctcs. H. 1707. p. 45?. ;i Vf ■/■ DE L'ACADEMIE i^^9~i7f5 34^ *■ Insectes ( .. Sur les ) H. 1699. p. 30. .. Dcfciiption de cette forte d'Infecle, qui s ap- " pelle ordinairement Dcmoifelle. Par M. HOM- »■ BERG. M. 1699.P. 14^. Hermaphrodites obfervés par M. POUPART, H. 1699. p.40. : ; Hermaphrodites f' particularités nouvelles fur les) montrées à l'Académie par M. DU VER~ NEY. H. 170J.P. 58. Des Orangers ( Punaifcs ) obfervées par M. DE LA HIRE ,àqu'ellcoccafion ? H. 1704. p. 10, ècfq. De l'Opuntia ( Plante ) fon Ventre cft ce qtie nous appelions graine de Cochenille /^/^i/. p, l-i. »-• "Nouvelles remarques fur les Infères des Orangers. Par M. DE LA HIRE.M. 1704. - p.4y. « (Formica-Lco ) » Hiftoircdu Formica-Lco. Par M. POUPART. M. 1704. p. Z3 j. » " Infeétc des Limaçons. Par M. DE REAU- MUR. M. 1710.P. 3oy. Des Animaux réduits à deux GcnrcsJl^/J. , Instant , ce que c'cft? M. 1707. p. ziz. Instruments ( aucuns) deMufique, de quelque con- ftrudion qu'ils foicnt , ne peuvent rcllembler aux Glottes, Se imiter la Voix de l'Homme, '• & pourquoi >. H. 1700. p. 23. M. 1700. p. lyo, H. 1707. p. zo. A vent artificiels, ne différent d'avccks naturel? ■;> qu'en apparence. M. 1707. p. 77. . -De Mufiquc, M. CARR E' cft chargé par M, L'A B B E' B I G N O N de décrire tous ceux dont on fait ullige en France. H, 170Z. p^ H^' V u ii;,. 341 TABLE DES MEMOIRES Instrument dcMufique, M. CARRE' lit à l'Acadc- mic un Traité Mathcmariqiic des Cordes par rapport à ces Inftrumcnts. H. 1706. p. 1 14. » » Sur un Inftrumejnt univcrfcl pour le Jet des w Bombes. H. 1700, p. 147. Dcfcription d\in luftrumcnt fort fimple propo- ': icparM. DE LA HIR£ pour le Jet des Bombes. M. 1700. pp. Z06. Se fqq. Intégral (Calcul) différence du Calcul Intégral au Différentiel. H. 1700. p. 101. &:lq. Ce que c'cft que ces deux forces de Calculs, » Intégrale (.. Sur une) donnccpar M. LE MARQUIS DEL'HOPITAL.H. i7io.p.5)8. M " Ulac!;c d'une Intégrale donnée par M. LE MARQTJIS DE L'HOPITALdansles Memoi- » .- resde 1700. p. 13. avec la folution de quelques » autres quclbons approchantes de la llcnnc. Par M. VARIGNON. M. 1710. p. 1 58. Intersection. Un point d'Atouchement en Géométrie en vaut d'eux d'Interfedion , &: pourquoi ? H. 1710.P. 93. Intestins ( Pierre affcz groiTe trouvée dans les) dont cllebouchoit cxaftcment le paffage. H. 1704. Inventions. Réflexions fur la Correûion que l'on fait aux Inventions déjà connues. H. 1700. p. 147, JoBLOT ( M. ) a fiit une Etude particulière , & beaucoup de découver-tes fur l'Aiman. H. 1703 . p. 2.0. Journal des Sçavants commencé par MM. de Sallo & L'ABBE' GALLOIS, &; continué par M. L'ABBE' GALLOIS feul. H. 1707. p. 177. Iris. ( Membrane de l'Oeil ) Ce que c'eft , d'oii ainfi nommée > H. 1704. p. 13. M. 1704. p. i6i. DE L'ACADEMIE léps»— lyio 543 Iris. (Membrane de rOcil) La dilatation de la Prunelle dépend uniquement du RefTort des Fibres de l'I- ris. M. 1704. p. 262.. »■ » Surl'Irisdei'Oeil. H.1704. p. li.H.iyio.p.jj, Ses divers mouvcmens. /^/'...p. 13. Sont caufés par le mouvement des Efprits Ani- maux, fuivant M. MERY. ihid. pp. 14. &:rqq, » " Des mouvemens del'Iiis , &: par occalion de la A partie principale de l'Organe de la vue. Par » M. MERY. M. 1704. p. 261. Quel cft l'ctat naturel des Fibres de l'Iris , ou d'être allongées , ou d'être racourcies. H. 17 10, p.34.&fq. Syftcmc du racourciflcment & de rallonge- ment de les Fibres , fuivant M. M E R Y. M. 1710.P. 37^. Syftéme contraire de M. DE LA HIRE. ibi(L V:i77- . IkiS. Perjha i\irlegata prxcox. Plante. Sa Deicription donnée à l'Acadcmic par M. MARCHANT. H. 170(1. p. 41. Irréductible (Iccas) terme d'Algèbre , ce qucc'eft-;: H. i7o<î. p.44. Ipecacuavha. Voiez, Ypecacuanha. IsLE Flocantc près St. Orner , ce que c'eft. H. 1700. p. 5-, Nouvelle appcrçuc dans la Mer Méditerranée,, II. 1707. p. 1 1. Nouvelle formée auprès de cclla de Santerini dans l'Archipel, extrait d'une Relation exacte du P. Bourgnon fur ce Piiénomene. H. 1708. pp. 23. &: fqq. Les mêmes Ifles prifes fouvcnt pour des llles dif- férentes par différents Pilotes. M. 17 10. p. 364. &fq. ISLE ( M, DE L' ) Fou:^ DELISLE ( M. ) 3-44 TABLE DES MEMOIRES .. IsoPERiMETREs (Surlcs)H. 170e:. p. 68. Le Problème des lioperiinctrcs rendu plus gê- nerai, &: propofé par M. [Jacques ) BERNOU L- LL H. lyoé.p. ôsj.&lq. Réfolu , après avoir encore été rendu plus géné- ral par M. [Jeat.) BERNOU LLI fon Frcre. ibid. p. 70..&: iq. Idée de k Théorie de M. BERNOULLI fu/ - - • cette Matière, ibid. pp. 71. & fqq. .« >. Solution du Problême propofé par M.{ Jacques) BERNOULLI furies ifopérimctres , &c. Par M.'yfcan) BERNOULLI. M. 1706. p. 13 ^ ]uNius(M.) fonObfcrvationderEclipfedeSoleilduii* -May 1706. tlïite à Leipfick. M. 170e. p. 470. •..Jupiter» Sur les mouvcmcns de Jupiter &c de Mars. H. 1706. p. 5) j. ,K ,. Les Hypothéfes du mouvement de Jupiter. <,, Par M.MARALDI.M. 1706. p. éi. Sa féconde inégalité fe peut trouver quelquefois immédiaten-icnt par les Obfcrvations. M. 1704, p. 3 10. « Obfervation du changement des Taches & des ^, Bandes de Jupiter. H. 1 699. p. 78. Utilité de ces Obfcrvations. /^/V. •M » Obfervation de trois nouvelles Taches de Ju- 5,, pitcr.ParM.CASSINI. M. 1699- P- 103. Révolution de deux des trois Taches nouvelles» ihid.^. 106. Changemens qui arrivent aux Bandes de Jupi- ter, ibid. p. 104. ^ „ Sur le Retour d'uneTachc de Jupiter. H. 1708. « -p-S)^'- ■ .. Obfervation du Retour de û Tache .-mciennc. ^ ParM.MARALDI.M.i7o8.p. 23^. Hiiloirc des apparitions de cette Tache, ibid. p. lîb.&fq. Jupiter DE L'ACADEMIE Kîijs) — i7ïo 345- »» Jupiter» Sur une Conjonction de ]upitcr &r de Sa- »» turnc. H. 1703. p. 89. Période de la Conjondion de ces deux Planètes entr'cUes. ibicl. p. 90. m " Sur une Conjondion de Jupiter avec le Cœur » du Lion. H. 1706. p. izo. JuSQtJiAME (Plante) mangée en faladCjfes mauvais effets. H. 1709. p. jo. JUSSIEU ( M. DE ) donne à l'Académie la Defcription d'une Mine de Cuivre & de Vitriol des environs de Lyon. H. 1709. p. 41. K i Kam-Cheu-Fu Ville de la Chine dans la Province de Kiamfi , fa Latitude. H. 1(399. P- 84. KAKABn'J'û/eZ, SUCCIN. Kengis en Bothnie, fa Latitude. M. 1700. p. 45-. Kepler a introduit le premier les EUipfes pour orbites des Planètes. H. 1700. p. 98. Pcfantcur ou effort des Planètes vers le Soleil pour leur faire décrire l'Elliple de Kepler. M 1700. p. Z29.&fq. Suivant l'Hypothéfe de Scth-Ward. /^/V. p. z3 1.& iq. Régie de Kepler prouvée par la Découverte 8C les Obfervations des Satellites de Jupiter Se de Saturne. H. 1705. pp. 1 18. &: Tqq. Sa Régie donne les rapports des diftances des Planètes au Soleil. H. 1706. p. 97. Sa Régie du mouvement des Planètes n'eft pas démontrée ^jSmr/ par les loix dumouvement. H. 1707. p. 97. J'rf^. des Mal . 1 6^9 . — 1 7 1 0. X X 34<î TABLE DES MEMOIRES Kepler.. M.Villemoc entreprend de démontrer fiRéglc du mouvement des Planètes , en y appliquant la: Théorie des Forces Centrales. H. 1707. p, 100. Hypothéfe de Kepler fur le mouvement des Planètes, ibid. p. 106. Cette Hypothéfe cft Phyfique &: AftronomU que.ihid. p. 106. Son Hypothéfe de la Lune étant déterminée par les dernières Obfcrvations , n'eft pas rcccvable,, & pourquoi î H. 1710. p. 107. M. 17 10. p, ^97' Pourquoi cette Hypothéfe réuflit dans les autres Planètes. H. 17 10. p. 108. A fait l'Excentricité de la Lune trop petite. M. 1710. p. 2.97- Comparaifon de plufieurs Obfcrvations cxades de Jupiter &: de Mars , avec les Tables Rudol- phines de Kepler. M. 1706. pp. 61. & fqq. Erreur de fes Tables Rudolphines fur Saturne eni67z.& 1673. &c. H. 1704. p. 70. &c fq. M. 1704.P. 3i4.&fq. Caufe &c corrcdions de ces Erreurs, iù. p. 315-, & fq. Crut avoir obfcrvé ? fur le Soleil en 1607. H. 1707. p. 8y. Avoue enfuite fa mcprife , & prédit furement la Conjonétion Ecliptique qui devoit .arriver en 163 I. ii>id. p. 86. Kiam-Cheu Ville de la Chine dans la Province de Xanfi. ' Sa Longitude") H. 16^9. Sa Latitude j p. i^. DE L'ACADEMIE 1^99 — Î7I» 347 KiELVillcdu Duché de Hoiftein (Eclipfedc Luncobfer- vccà) par M. Rchycr le zz. Février 170 1. M. lyoï.p.yz. ( Eclipfe de Soleil duz3. Septembre i^Tpp.ob- fervéc à ) par M. Rehyer. H. 1700. p. 108. M. 1701. p.86. Différence de Longitude entre cette Ville &: Paris tirée de cette Obfervation. H. 1700. p. 108. KiKCH ( M. Gotrfrid ) Son Obfervation de rEclipfe de Lune du zz. Février 1701. faite à Berlin. M. 1701. pp. 7z. &: fqq. Son Obfervation de la Conjon£tion precife de Saturne avec une Etoile fixe le 17. Janvier 1679. à Leipfick. M. 1704. p. 3 1 6. Kl s TE cequec'eft? M. 1705. pp. 163. &; fqq. Hydropiiie Enkiftée , ce que c'cft ? manière de la connoitre. ihid. &: fqq. KoERSMA ( M. ) avoir parlé avant M. CARRE' de la Courbe formée par l'extrémité du Diamè- tre d'un Cercle , dont l'autre extrémité parcourt la demie Circontcrencc. M. 1705. p. 57. 'KrESa ( Le Pcre ) fon Obfervation de l'Eclipfe de Soleil du Z3. Septembre 1699. faite à Madrid, M. i7oi.p.8j. L Labirinthe (Defcription du) de Candie, &:c. par M, TOURNEFORT. M. 170Z. pp. zi7. & fqq. Lacerta Indica Squammofa Aldovra/id. montrée à l' Aca- demiepar LEP. GOUYE. H. 1703. p. 39. Particularités de cet Animal, tbid. Xxij 348 TABLE DES MEMOIRES «Lacque ( Surla)H. 1710. p. 44. Eli de plufîeurs efpeces. ')■,■, La véritable , ce que c cit ; J D'où fc forme, ibid. Se fq. Comment elle fe prépare. H. 1710. p. 45-. Eft un Mixte mo'ien entre la Gomme & la Refi- ne, iù/d. p. 4y. &: fq. LAGNY ( M. DE ) imagine l'Arithmétique Binaire prefqu'en même tems, &: fans avoir eu con- noiffance de celle de M. LEIBNITS. H. 170 j. p. ^i.&fq. Idée de fa méthode générale pour la refolution des Equations. H. 170 j. pp. 84. & fqq. Entreprend, par rapporta la Navigation, une nouvelle Trigonométrie. H. 1705. p. 61. Envoie à l' Académie des Remarques fur la con- ftruéVion des Cartes ( Hidrogmphiqucs) réduites. H. i70i.p. 88.&fq. ») "Réponfeàfcs Remarques fur la confl:ru(fl:ion » des Cartes Hydrographiques , &: des Echelles réduites. Par M. DE CHAZELLES.M. » 1701. p. lyo. LISTE DES MEMOîKES imprimés de M. DE LAGNY, 16 9 9 I 7 10 *■ » Conftrudion nouvelle S>c géométrique des » Cartes réduites &c des Echelles de Latitude. M., 1703. p. 95-. ». "Suite de la Confl:rufl.ion nouvelle, &rc. ihid. » ' p. 99. >• « Rcponfe aux Remarques de M. DE CHA- " ZELEES fur fon Mémoire hydrographique. M. » i7f>4.p. ZQO. DE L'ACADEMIE Kîpcj _ I7I0 ^-49 LAGNY ("M. DE) » Supplément de Trigonomccrie " contenant deux l'heorcmes généraux fur les " Tangentes & les Sécantes desAngles multipliés. « M. 170J. p. zy4. " " Méthodes nouvelles pour former Se refondre » toutes les Equations. {/. Partit)M. 170 j. p. 177. » " Sur une propofition de Géométrie Elcnieu- » taire. M. 1706. p. z 15). » » Principes généraux pour la réfolution des » Equations Numériques. Seconde Partie. Ivîv " I7O6'. p. 25?6'. Lait des Femmes Européennes qui vont à Batavia de- vient filé. H. 1707. p. 10. Laiteuse ( Hydropilic ) caufée par une Chute fur la Tête , &: comment ? H. 17 10. p. 40. &; fq. 3,- w Sur une Hydropifie Laiteulè. ( ohjervée pr.r M. J'ernage Médecin de Li Faotlté de Furis. } H.1700.P. 1 1. Ohfervation &; Conjcdures fur cette matière laiteufe. ibid. & fqq. Laitue ( l'ufage de la ) commune guérit un Homme qui avoir une démangeaifon univerfclle à la Peau. H. 170J.P. jj.&fq.^ Lame (une) d'Acier aimantée fouticnt itn plus grand poids lorfquellc cfi; plus longue. H. 1703. p. 10. Raifon de ce Phénomène liiivant M. Dcfcartcs. Raifon contraire de M. CARRE', conforme à l'expérience, ihid. &: fq. Lampes. . Nouvelle Conftruélion de Lampes , pour éclairer une Ville pendant la nuit , inventée par le Sr. Favre , &: approuvée par l'Académie. H» 1705. p. 136. Langres ( Eclipfc de Soleil obfervéeà) le 14. Septembre 170S. par M. De Tancarville. M. 1708. p. 41 ^^ Sa Hauteur de Pôle obfervée par M. De Tancar- ville. M. 1708. p. 417. Xxiij o 3yo TABLE DES MEMOIRES >. Langue » Obfcrvations fur les mouvcmens de la Lati- " fuc du Pivert. Par M. MER Y. M. 1709. p. 8^ Mcpnfes de MM. Borelli & PERRAULT fur ccr Article, ibid. p. 89. &: fq. Lapeironie (M. ) de la Société Roialcde Montpellier. « » Oblervation fur les petits Oeufs de Poules fans » Jaune, que l'on appelle vulgairement Oeufs de Cocq. M. 1 7 1 0. p. j y 3 . LARiN'XjCequec'eft j H. 1706. p. i^. Les Mufclcs du Larinx ne peuvent fcrvir audif-. rferentes ouvertures de la Glotte, ibici. T ) fages de ces Mufcles. ihid. &c fq. Tumeur à côté du Larinx caufée par une plume avalée. H. 1700. p. 40. « Latitude. » Conftruclion nouvelle &: géométrique .. des Cartes réduites &c des Echelles de Latitude, Par M. DE LAGNY. M. 1703. p. 95. » " Suite de ce Mémoire, ili/a. p. 99. Deftaut des anciennes inventées par Snellius ( Wilbrord)/^/y.p.97. Latitudes des Villes, &:c. /'(^/f^ Vili.es. Laval (LeP. ) Jefuite, Profcffeur Roïal d'Hydrogra- phie. Cûrr. Traite avec M. CASSINI la A-Ia- tiere des Refractions. H. 1706. pp, ici. &: fqq, ;-H. 1707. p. 89. ObfervcIcDifquedelaCcoloré dans uneEcli* ,pfc totale de cette Planète, H. 1703. p. 83. Raifon de ce Phénomène, ibid. & fqq. RéHcxions de M. C A S S I N I fur fes Obferva- tiens faites à Marfeille , &c. M. 1706, pp. 78. & fqq. » " Réflexions fur fes Obfcrvations fliites à la Stc. « Baume Se aux Montagnes des environs. Par M. m CASSINI le Fxls.M. 1708. p.45(S. DE L'ACADEMIE 1^99—1710 3^1 Laval ( Le P. ) OBSEKÎ^JT. ASTRONOMl^VES du P. Laval rapportées dans les Mémoires de l'académie. 1699- I7T0. ECLIPSES DE LUNE. Duli. Fcvricr 170 1. à Marfeillc. M. 170 r>- ?-7}- ij.Dcccmb. 170J. M. 1704. p. 14. &rq. II'. Octobre 1706 M. ijo6. p. j 1 2. j. Avril 1708 M. 1708. p. i8j.&fq. Z9. Septemb.1708. M. 1708, p.418. ECLIPSES DE SOLEIL. Du 23. Scptemb. 16')^. à Marfeillc. M. 1701. p.8i. II. May 1706 M. 170e, p. 465.5.: fq. 14. Septemb. 1708 M. 1708. p. 41e. II. Mars 1709 . M. 170^, Eclipfes de Planètes (jr d'Etoiles par la Liuie. De Mars par la C- le 10. Mars 1707. à Marfeillc. M. 1707. p. 193. Venus lez3.Fcvr. 1708. . . ...... M. 1708. pp. 107. &: fqq. Anrarcs le 3. Sept. 1707. , M. 1708. p. 2. 5^1 TABLE DES MEMOIRES La VAL ( Le P. ) Jcfuitc. Conjondion de Saturne &: de Mars , &: leur Comparaiibn avec Aldcbaram , obfervée en Septcm. 1706. à Marfcille. M. 1707. p.115. & fDiverfes Expériences &: Obfcrvations Chimie M ques &c Phyfiqucs fur le Fer & furTAiman. M> »> 170(3. p. 115). M " Qiie les Plantes contiennent réellement du » Fer , &c que ce Métal entre néceffairement dans » leur Compofition naturelle. M. 1706. p. 411. » "Expériences nouvelles fur les rîuiles,£j fur » quelques autres Matières , où l'on nes'étoir point » encore avifé de chercher du Fer. M- 1707. p. s. Yyij 356 TABLE DES MEMOIRES »LEMERY( M. le Fils) Reflexions &: Obfervationsdi- „ vcrfcs fur une Végecation Chimique du Fer , Se » fur quelques expériences faites à ccrte occafion • avec différentes Liqueurs Acides & Alcalines , » avec differens Métaux fubftitués auFer.M. 1707. » » Eclairciffement fur la Compofition des diffc- » rentes efpeccs de Vitriols naturels, &: Explica- u tionPhyfiquc &c fenfiblc de la manière dont fe » forment les Ancres vitrioliques. M. 1707. p. 538. ». " Nouvel Eclaircifîcmcnt fur la prétendue pro- » dudion artificielle du Fer , publié par Bêcher, & foutcnuë par M. G E O F F ROY. M. 1708. p. 376. »» " Conjectures & Réflexions fur la Matière du 5> Feu ou de la Lumière. M. 1 709. p. 400. Lenteur. Mouvement d'une certaine Lenteur cft nul phyfiquement. H. 1707. p. 149. LsKTlcVLA fahiflris latifolia punÛata forte de Plante , les Grains que l'on trouve fur la cofte de cette Plante font remplis d'un poullierc très fine. M. 1700. p. 36. M Lentille. "Manière générale de déterminer gcomc- ,> triquement le Foïcr d'une Lentille formée par » deux Courbes quelconques , de même ou de dif- w. ' • rente nature , telle que puifle être la raifon de 1 »■ la Refraction,& de quelque manière que puifl'cnt » tomber les Ra'ions de Lumière fiir une des Faces », de cette Lentille , c'cft-.vdire , foit qu'ils v tonv » bcntdivcrgcns, parallèles ou convcrgcns. Par M. GUISNE'E. M. 1704.P. 14. Lentisq^ies (Arbres) manière donton tire le Maftic ca, larmes des Lentifqucs dans l'Iflc de Scio. M» 1.70J.P.343. & fq. DE L'ACADEMIE i<Î5)9 — I7Ï0 357 Leonibus ( Eliasà) Ion Oblcrvationdu Pallagc de Jupi- ter proche de l'Etoile du Front du Scorpion faite en 1617. M. 1710. p. 3 1 3. & fq. Zepas on Oeil de Bouc, forte de Coquille Marine. M- 1700. p. 19. V Lever. ( fur le Terrain ) •• Sur une manière de lever la Carte d'un Pais {propofécpar M. CHEVALIER. ) H. 1707. p. 1 13. "Levier." Dcmonftration du centre de Balancement » ou d'Ofcillation tirée de la nature du Levier. Par M. BERNOULLI Profeffeur à Balle. M. 1703. p. 78. Lézard des Indes Orientales montré à l'Académie par le Père Gouye. H. 1703. p. 39. Particularités de cet Animal, ibid. Liane (la) & la Liane laiteufe ou Apocyn ,& celle ap- pcUée Griffe de Chat , Plantes. Leur Defcri- ption envolées de la Martinique à l'Académie par le P. Breton Jefuitc.H. 1703. p. ^7. H. 1704. p. 42. LiBRATiON de la Lune, ce que c'eft ; H. 1703. p. 82» Va'ïcz. Lune. LicHNis Siculagldhra pfeudo - Melanthij f^cie Plante. Sa Dcfcription donnée à l'Académie par M. M AR- CHANT.H. 1708. p. 69. LiCHTSCHEiD ( M. )a trouvé quelques nouvelles proprie- tés delà Parabole par rapport aux Pendules. M. 1707. p. 4P. Lieu. Terme de Géométrie, ce que c'efl ; H. 1705^ p. loz. Origine d'un Lieu , ce que c'eft ? ibid. Les Seûions Coniques font les Lieux où tous les Problèmes indéterminés du deuxième degré fe rcduifcnt , & pourquoi ? ibid.'ç. 103. . . Y y ^4- 3^5 TABLE DES MEMOIRES "Lieu. "Remarques fur la conftructiondes Lieux Gcomc-i M triques & des Equations. Par M. DE LA HIRE. w M. 17 10. p. 7. »> » Sur les Lieux qui fc forment par le concours w des Tangentes de la Cycloïde èc des Sellions » Coniques. H. 1704. p. 4^. « " Defcription d'un Lieu gcomerrique où font les » Sommets des Angles égaux formes par deux « Touchantes d'une Cycloïde. Par M. DE LA « HIRE. M. 1704. p. 109, » " Conrtrudion générale des Lieux où font les « Sommets de tous les Angles éçraux, droits , aieus » ou obtus , qui font formés par les Touchantes » des Sections Coniques. Par M. DELA HIRE. " M. 1704. p. 210. Lièvre monftrucux. H. 1700. p. 41. " Lignes Géométriques- ( » Secondes Remarques fur les) " Par M. ROLLE.M.i70i. p. i74.M.i70 3.p.i3i. •' " Méthode pour trouver les Foïers des Lignes » Géométriques de tous les Genres par M. ROL- LE. M. 1706. p. 284. Limaçon ( le) tranfpireunc fubftance vifqucufe & pier- rcufe. H. 1709. p. 18. ' Comment fe forme fi Coquille, iù/d. & fqq. « " Surlagc neration des Limaçons. H. 170S. » p. 48. Sont Hermaphrodites, t^/d. & fq. »' ("Infededcs) Par M. DE REAUMUR. M. *" i7io.p. 505-. De M. Pafcal (forte de Courbe) ce quec'eft? H. 1708. p. 79. Limaille de Fer ne fediflout pas toujours toute entière par rEfpritdeNitre&pourquoi;M.i707.p.304. Limes. (Machinepour tailler les) inventée par le Sr Du Verger , &: approuvée par rAcadcmic. H. 1 695). p. liO. DE L'ACADEMIE i(îc,î, _ I7I0 5^9 bLiMQVORVM Mornarifim Jlore ex albo dili lefquelles on le fonde pour prouver que les Li- » quides fe condenfent &: le refroidillcnt d'abord » avant que de fe dilater à l'approche de la chaleur, M Jie le prouvent point , &: que cette Condcnfation » apparente eil purement l'effet de la Dilatation „ du Verre & des Vaifleaux qui contiennent ces Liqueurs. Par M. A M O N T O N S. M. 170 y. P-7T- Expériences de Borclli ( Alphonfe ) & de Vollius ( Ifaac ) fur ce iiijct. ihid. p. 76. Table de la quantité de plulicurs Liqueurs Chi- miques comprife dans l' Aréomètre en Eté &: en Hy ver. M. 1 6519. p. 47. & i'q. M » Sur les Corps qui nagent dans les Liqueurs. H. » 1700. p. I ^4. Le Mercure pefc plus qu'aucune autre Liqueur. H. 1701.P. 8. LiQli'iDES. Les Pierres font crues par d'Habiles Phyfi- ciens l'avoir été primitivement. H. 1705. p. 14. ^ « Obfcrvations fur l'Evaporation qui arrive aux » Liquides pendant le grand Froid, avec des Re- » marques fur quelques Effets de la Gelée. Par M. ■» Gauteron de la Société Ro'ialc de Montpellier, 4t M. i705).p. 4JI. Lisbonne DE L'ACADEMIE r^99 — 1716 î^ï Lisbonne fa Latiaidc. M. 1700. p. 175. & fq. Sa Longitude. /'^/W. p. 171. &rq. Déclinaifon de l'Ayman à Li{bonne en 1697. ihid. p. 174. Différence de la longueur du Pendule à Lifbon- Jie &: à Paris. /^/V, p. 174. Erreur des Cartes fur la pofition de cette Ville, H. 1700. p. 13 1. Lille (Ville de Flandres) Comparaifon de la quantité d'Eau de P! vie tombée à Lille &c à Paris pendant fix années. H. 1699. p. 21. LISLE(M.DE)r«/V:iDE LISLE(M.) Lister (M.) Médecin de la Société Ro'ialc de Londres, découvre à M. DE TOURNEFORT le Secret des Gouttes véritables d'Angleterre. M. 1700. Li T o PHI TON forte de Plantes Marine ligneufes,revetuës d'uneEcorcemollafTc. M. 1700. p. i8. RfticuUtitm liitettm maximum , Plante Marine. M. 1700. p. 35. Sentiment de plufieurs Curieux fur cette Plante. M. 1700. p. 33. Des Indes Occidentales. Amer icanum maximum pullum tuherculis fur/Ion fpeftantibus ohjltum. Injl. Bei Herb. SaDefcri- ption. M. 1 700. p. 3 3 . & fq. Americanum maximum cinereum^ cortke puri&ato Infl. Rei Herb. Sa Defcription. M, 1700. p. 34. &:fq. LITTRE ( M. ) remplit la Place d'Anatomifte Pcnfion- naire, vacante par la mort de M. DU HAMEL. H. 1706. p. I jz. Croit que l'Ouraque eftune partie qui n'a d'uf^i gequedansleFœtus. H. 1701. p. 23. Ses Obfervations fur ce Syftêmc. ibid. &: fq. Tab. des Mat. l6^^, — 1710, Z z 5^1 TABLE DES MEMOIRES LITTRE ( M. ) Croit que le Fœtus pourroic fc nourrir uniquement des Liqueurs que le Cordon Om- bilical lui fournit, ihid. p. 14. Découvre l'Allantoide dans pluficurs Fœtus , •. Humains./^/V. p. 13. M. ijoi.p. 90. Fait voir à l'Académie les Glandes d'un Foie Humain plus groiîcs qu'à l'ordinaire. H. 1701. Rein droit d'un Homme en grand défordrc, ob- fervé par lui. H. 170 1. pp. j z. &: fqq. Découvre dans le même Sujet le Péricarde très étroitement uni à toute la Surface du Cœur. ibici.f. 5-4. Ses Diffeclions des Cadavres de trois Pcrfonnes mortes* fubitcmcnt. H. 1701. pp. 15. &: fqq. zS.&fqq. 30.&:fqq. Ouvre un Enfant qui n'avoit ni Rein ni Uretère gauche. H. 1707. p. 2y.& fq. Son Syftêmc iiir le VomilTcmenr. H. 1700. p.17. Sou Sentiment fur la fituation particulière de la Glande Piruitaire. H. 1707. p. 17. Son Syftcmc fur la formation de l'Hydropifiedu Péritoine. H. 1707. p. 11. LISTE CHRONOLOGI^V E des Ademoires imprimés de AI. LITTRE. I6p^. ■ I7I0. M. " Obfervation fur une nouvelle Efpecc d'Hcr- „ nie.M. 1700.P. 300. „ » Dcfcription de l'Urcthre de l'Homme dc- » montrée à l'Académie le 3. Juillet 1700. M, „ 1700. p. 31 1. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 ^6^ «LITTRE ( M.) >' Obfcrvation fur un Fœtus Humain » monftrueux. M. 1701. p. 90. „ » Oblervations fur les Ovaires Se les Trompes n d'une Femme, & fur un Fœtus trouvé dans l'un » defcs Ovaires.M. 1701. p. 1 1 1. » » Obfervations fur le Corps d'une Femme grofle M de huit mois de fon premier enfant morte fubi- )} tement d'une Chute. M. 1701. p. 294. u » Obfervations fur deux Pierres trouvées dans » les Parois de la Veflie d'un Garçon de vingt ans. « M. 1702. p. x6. u » Obfcrvation fur un Fœtus Humain trouve « dans la Trompe gauche de la Matrice. M. 1702, » p. 208. » " Hiftoirc d'un Fœtus Humain tiré du Ventre V de fa Mère par le Fondement. M. 1702. p. 234. « » Obfervation fur une Hydropifie particulière. :> M. 1703. p. 90. » w Obfervations fur les Plaies de Ventre, M.170 j. » p. 32. » . "Obfcrvation fur les Reins d'un Fœtus Humain » de neuf mois. M. 170 j. p. II I. „ >• Obfervation fur la Matrice d'une Fille de deux » mois. M. 1705-. p. 382. j. "Obfervation fur un Anevrifme. M. 1707. » .. Obfervation fur la Glande Pituitaire d'un ;. Homme. M. 1707. p. 125. » » Obfcrvation fur une Hydropifie du Péritoine, » M. 1707. p. J02. » .' Sur un Fœtus Humain monftrueux. M. 1709, p. 9. Logarithmes , ce que c'eft en général. H. 1709. p. loi. Courbes qui rcprcfentcnt les Logarithmes, il/ici. p. loj.ôifq. Zzij 5^4 TABLE DES MEMOIRES Logarithmes. Leurs commodités dans les Calculs. H. 1703. p. él. Sont faux dans les grands Nombres , fuivanc M^ DELAGNY./^/a'. Nanircls de l'Arithmétique Binaire fuhftltués aux Logarithmes anciens , &c. par M. DE LA- GNY.H. 1703.P. 64. Tels qu'on les a calculés , à quelle Hyperbole répondent-ils? H. 1706. p. 89. Auroient du rcpondreà l'Hyperbole Equilatere. ibid. Logarithmique ( Courbe ) pourquoi ainiî nommée, H. 1701. p. 61. Cequcc'eft?H. 1704. p. j6. (la ) ne peut être rcclificc. H. 1701. p. 84. Sa Rcftification dépend de la Quadrature de l'Hyperbole. M. 170 1. p. 161. Spirale ( forte de Courbe ). fa propriété effcn- Eiellc. H. 1705). p. 67. &:fq. Sa Développée , ce que c'eft ? ibid. ( Spirales ) Nouvelles trouvées par M. VA- RIGNON.H. 1704. p. 56. &: fq. M. 1704. pp. 114. &fqq. Lombes , Force des Mucles des Lombes. H. 16951, P-97- Londres. PuilTance refra£tive de l'Air, à Londres. M. 1700. p.8z. &:fq. >j Longitude f Mouvement du' Soleil en) » Dcrcrmina- » nation du Tcms auquel le mouvement du Soleil » en Longitude eft égal à fon mouvement en Af- ,x cenfion droite. Par M.P AREN T. M. 1704. * p. 1 34. H. 1704. p. 61. La différence des Longitudes, fc détermine par les Eclipfcs de Lime, 8c comment? H. 1700. p. lOJ. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 3^f Longitudes. Les Anciens ne les trouvoient que par les Eclipfesde Lune. H. 170 j. p. m. Les Eclipfcs de Soleil crues infiiffifantcs pour cet vifage, &: pourquoi î H. 1700, p. loj. M.CASSINI les y faiticrvir lepremic. Analyfc de fa Méthode. i^/W. p. 106. Se fq. H. 170J. p. I2.Z. K « Sur une nouvelle Méthode pour les Longitu- »»• des. H. 1705. p. 122. » M Méthode de déterminer les Longitudes des » Lieux de la Terre par les Eclipfcs des Etoiles » fixes & des Planètes par la Lune , pratiquée en » diverfes Obfcrvations. Par M. CASSINI le Fils. » M. 1705. p. 194. Longitude des Villes , &c. Voi'ez. Villes. Longueur du pendule fimple.7'(?i'fi Pendule. Loteries. Manière de tirer les Loteries , propofécpar M. D'Aubicour , approuvée par l'Académie. H, 170(3. p. 141. Méthode de tirer la féconde & dernière Séance de la Loterie de Lorraine, ècc. approuvée par l'Académie. H. 1709. p. 115. LoTJBERE( M.DeLa ) Envoie extraordinaire auprès du Roy de Siam,fa Méthode de conftruire les Quar- rés Magiques à la manière Siamoifc. M. 170J. p. 1 67. & fq. Lovera ( Dom FrancifcodeSeylas) Idée de cet Auteur fur la caufe des Variations de l'Aiguille Aiman- tée. M. 170 j. p. 103. & fq, Louis (Ifle St. ) Obferv.de la Hauteur du Pôle de l'Ifle St. Louis par le P. Feuillée. M. 1 708. p. i o. &: fq, Loulie' (M. ) divifion de fon Chronomètre. M, 170 1, p. 317. Sonomètre de fon Invention pour accorder très facilement un Clavcffin, approuvé par l'Aca- dcmic.H. i6^f?.p. m. Z.ziij, yé« TABLE DES MEMOIRES Lou PE ( Tumeur ) peut être de trois efpcces félon les Mé- decins , & pourquoi ? H. 1709. p. ix. & (q. Qiiatriémc ei'pcce nommée Lipome, introduite par M. LITTRE. ibid. p. 13. Lou VA RD ( Le Perc) Religieux Bénédictin , communi- que à l'Académie un fait fmgulicr concernant un Puitsdela Ville de Rennes. H. 170 1. p. 18. Lo\c£R. Son fentimenc fur l'ufagc du Trou Ovale dans le Eœtus. H. 1 699. p. i6. LoxoDROMiE ( Courbe Loxodromique ) ce que c'cft? H, 1702. p. 87. Lumière ( la Matière de la ) cft toujours agifflintc, & le feul principe adif de tous les Mixtes. M, 170 j. pp. 89-&:fqq. La Matière delà Lumière fc peut introduire dans' les autres Principes Chimiques , les changer de figure, les augmenter de poids & de volume, &CC. ibid. pp. 91. &: fqq. La Matière de la Lumière a de la force. Expé- rience de M. HOMBERG fur ce fujct. H. 1708. p. 21. o, " Conjcdures &: Réflexions fur la Matière du „ . Feu ou de la Lumière. Par M. LEMERY le Fils. M M. 1709. p. 400. Sa Vitcfle. M. 1 699. p. 27. La féconde inégalité de Satellites de Jupiter donne lieu de croire fou mouvement fucccfllf. H. 1707. p. 78. Son mouvement fucccflif ne fatisfait pourtant - - • pas exaâiement à la deuxième Inégalité des Sa- tellites de Jupiter félon M. MARALDL &c pourquoi ? H. 1707. pp. 79. & fqq. M. 1707. p. 32. „ .. Confideration fur la deuxième inégalité du „ mouvement des Satellites de Jupiter , S>C fur DE L'ACADEMIE i<î95) — lyio ^&j w l'Hyporhcfc du mouvement fucceflif de la Lu^ » mierc. Par M. M ARALDI. M. 1707. p. 2 y. M Lumière. » Sur la Lumière &: fur les Couleurs. H. kJcic», p. 17. Nouveau Syftêmc du P. MALLEBRANCHL fur la Lumière , fur le modèle de celui du Son. ibid. & fqq. Reffcmblancc de la Lumière & des Couleurs avec le Son & les Tons. M. 165)5). P- 2-^- D'où vicnc la fenfation de la Lumière, ibid, p. 14. • » Réflexions fur la Lumière &: les Couleurs , & » la génération du Feu. Par L E P. MALLE- BRANCHE. M.ié5)9.p. 21. D'où vient la Lumière du Phofphore de M. BERNOULLI.M. 1701.PP.143.& fqq. i» " Sur la Lumière des Corps frottes. H. 1707. » . p. I. .. . Des Corps frottés ... Circonftances à obfcrver dans les Expériences qu'on en fait. H. 1707, p.z. „ "Sur la Coube que décrivent les Raions delà „ Lumière. H. 1702. p. ^4. ( Colomne de ) obfervée le 11. May 170Z. au matin parM DE LA HIRE. M. 1701. p. 135-. ( Couronne de ) que l'on voit autour des Ecli- pfes totales du Soleil, d'où produite? M. 170^. pp. Z5i.&fqq. Lumineux (Baromètres) r^^/rz. Baromètres. ( Objets ) vus de loin , paroiiTent plus grands . qu'ils ne devroicnt , & pourquoi \ H. 165)5), Lunaire ( le Mois ) Grégorien cft conforme à celui qui fe tire des meilleures Tables Aftronomiqucs. M. 1705. p. 45). 368 TABLE DES MEMOIRES " Lunaire. ( Mois ) « Des Equations des Mois Lunalrrt » & des Années Solaires. Par M. CASSINL M. Lunaisons. Le Cycle de 19. Années corrigé par l'Equa- tion du Calendrier Grégorien , reftituë les Lu- nailbns aulïï exadement que les meilleures Ta- bles Aftronomiques. H. 1704. p. 73.0,: fq. Lune ( Les Raïons de la ) concentrés , n'ont aucune cha- leur , mais beaucoup de clarté. H. 1699. p. 94- w » Expérience fur la chaleur que peuvent nous " cauler les Raïons du Soleil réfléchis par la Lune. Par M. DE LA HIRE le Fils. M. 170 y., '* P-34'î' La Lune plus grande au îvicridicn qu à l'Hori- zon. H. 1699. p. 77. - : Sur fa grandeur apparente à l'Horizon & au Méridien. H. 1700. p. 8. Embarras des Philorophcs pour expliquer cette apparence. il?/i/. Explication de ce Phénomène donnée par M, Defcartcs , détruite par LE P. GOUYE,&j pourquoi ?//^/V/. Sentiment de M. GafTendi. Objeiition contre ce Sentiment, ihid.p. 9. Conjedure du P. GOU YE. ibid. p. 9. Sa Parallaxe Horizontale , ce que c'eft ; H. 170 3 , p. 80. &fq. Importance de fa détermination exade dans les Eclipfcs. pp. 78. &: fqq. A un mouvement de libration , &c quel i ihid, p. 82. Ses Tâches n'ont pas toujours la même dirpoiî- tion, par rapport au Difque de la Lune. ihid. |).8i. Ll'NE DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 ^a^ Lune ( la ) prefente toujours la même face à la Terre. H, 1705. p. 120. Sa libration , ce que c'eft ? /^/W. &: fq. Ses Taches varient de difpofition à l'égard de ~r; " fon Centre, & pourquoi? M. 170 3. p. j. ,/ . . / Méthode d'obferver cette Variation, ièid. Méthode de déterminer fon Diamètre apparent par obfervation. il?id. p. 6. .... . Sonmouvemcnt fur fon Axe en un mois, compa- ré à celui qu'on attribue par conjefture au cin- _■ " quiémeSatellitede Jupiter pendant chacune de fes Révolutions. H. 170 j. p. i zi. (Eclipfede) la détermination immédiate de la .fin de ces Eclipfcs eft toujours ambiguë. M. 169c,, p. 18. La véritable figure de la Terre -• •'• doit être emploïée dans leur détermination. fvL •1708. p. 4i3.&;fq. ^ Avcrtiflcmcnt fur la Table delà Corrcélionde : . _ la Lune inférée dans les Tables de M. DE LA ,-: .. HIRE.M. 1708.P. 40j.&fq. Eclipfcs de Lune peuvent varier confiderablc- mcnt par des caufcs Phyfiques. M, 1708. p. 401?. Ses Eclipfcs ne font pas caufées par l'Ombre de la Terre, mais par celle de l'Atniofpherc. H, 1703.P. gj.&fq. .-:;■'': La difpofition de fes Taches à l'égard de fon Difquc , doit être obfcrvéc dans les Eclipfcs de Lune, & pourquoi ? H. 1703. p. 81. & fq. Eft quelquefois colorée dans les Eclipfcs tota- les , & pourquoi i il? ici. p, 84 &: fq. . . Obfcrvéc Rouge dans l'Eclipfe du 17. Avril 1707. H. 1707. p. 82. Difparoît entièrement dans l'Eclipfe du 2 3 . Dé- cembre 1703. M. I704.P. Zi.^fq. tab. des Mat. 1 65151. — 17 1 o. A aa 370 TABLE DES MEMOIRES Lune ( Eclipfcs de ) C;uiics géncrales des diverfcs Cou-- Icurs , & des differcns degrés d'Ombre & de Pé- nombre dans les Eclipfcs de Lune. H. 1704. pp. Méthode de déterminer le Diamètre de l'Om- bre delà Terre dans les Eclipfes de Lune.- M. •- 1703 p. 6. Scfq. Sa quatrième Equation , telle que M. CASSINI la détermine , s'accorde aux obfervations. M. ■_ 1708. p. 41 3. ''J Les dégrés de l'Orbite de la Lune vont en dimi- nuant depuis l'Apogée jusqu'aux moïennes Dif^ '-■• tances. H. 170 1. p. 97. Sa véritable diftance de Ton Apogée augmente de fa 800*^ partie vers les 40. & 48. dégrés dcdif- '-'-■■ tance, M. 170 1. p. 1 8 3 . & fq. .-' .fi' Ses diverfes diflanccs à la Terre fêmblent déter- miner les plus grandes ou les plus petites Marées. M. 17 10. p. 317. &:fq. &:p. 569. «Se fq. - - LaPrcilion de la Lune fur l'Océan imaginée par M. Defcartcs, s'accorde aflcz bien aux Phe- -'A:^;:■^ nomenes du Flux &: Reflux. H. 1710.P. ^. •" - •" Qiielques difficultés s'y prefente pourtant, /^/V. Diftances de la Lune à la Terre s'accordent réci- proquement aux grandeurs des Marées. //i/V. *' Son moïcn mouvement fatisfait mieux au Ma- rées que le vray . /^/V. p. i o. » " Sur les apparences du Corps de la Lune. H. * ^ 1706. p. 109. N'a point de Mers. z'^/V. p. 109. î'v ',■ .'- N'eft pas fujctte à des grands changemens , Se pourquoi ? /Lid. p. 1 1 o. - ^ ' N'apas vray-ferablablementd'Atmofphcrc,/'^/V. p. III, &:p. iip. DE L'ACADEMIE 1^95— I7I0 37i Lune » Réflexions fur les apparences du Corps de la Lu- ne. Par M. D E L A H 1 R E. M. i-joG. p. 107. Sa Partie obfcure paroît quelquefois , & pour- quoi. M. 1706. p. 109. . Un Objet aufli grand que Paris fur le Corps de la Lune , fe vcrroit aifement à une Lunette de 2 j» • pieds de Foïer. ibid. p. 1 14. &: fq. Ses Diamètres s'obfcrvent toujours plus grands - qu'ils ne font en effet. M. 170 1. p. zs)8. w »' Sur le mouvement de la Lune. H. 1710.P. 104. • , . La Variation apparente des Diametics de la Lune eft la même que celle de fes diverfcs diftan- ces à l,a Terre, ibid. p. 104. Si la Lune décrit une Ellipfe, cette EUipfc eft -; :z ij-m: déterminée par l'obfervation de fes Diamètres. ibid. : j ; : :;i , Dans cette Ellipfe l'Equation du Centre ne peut dépendre des Foïers , & pourquoi \ ibid. p. 107. &fq. Son Orbite ou Ellipfe change de nature, &: -i,.J • .; : pourquoy ?H. i7io.p. 108. L'Hypothéfede Kepler fur le mouvement delà • ;■ Lune ne convient pas avec les Oblervations , & pourquoi ; M. 1710. p. 297. , :; ■ Son Excentricité félon Kepler eft trop petite. ibid. L'Hypothéfe des deux Foïers d'une Ellipfe , au- tour defquels fe font le vray & le moïen mouve- ment de la Lune, ne s'accorde pas mieux. //-/V, p. 297. u " Remarques fur le mouvenxent des Planètes , &: « principalement fur celui de la Lune. M. 1710. » p. 2.91. Manière de trouver le Point de Laxe de fon Or- bite autour duquel fe fait le moïen mouvement, &;c. M. 1710.P. 198. . , Aaaij 57i - "TABLE DES mémoires- Lune ( "^ Eclipfcs des Etoiles fixes & des Planètes par la) I, Méthode de déterminer la Longitude des Lieux •>. de la Terre par les Eclipfes des Etoiles fixes &: ») desPlanctcsparlaL'ine, pratiquée en diverfes s Obfcrvations.ParM.CASSINIleFils. M. 170 j. » p. 194. Effet des Montagnes de la Lune dans les Ecli- pfes de Soleil. M. 17 10. p. 195?. Eclipfedc Lune.Foi'ezEc'Livs'E. -f- - ' ■ Nouvelles Lunes Eclefiaftiques mal placées daits ■J! le Calendrier Grégorien, &c contre l'intention --x^ '•• du Pape Grégoire. M. 1703. p. 49. Erreur qui en refulte dans la fixation de la Fête de Pâques. /i>id. &c fq. Lunettes d'Approche ou Telcfcopes, leur ftrudurc reC fembleaccllederOcil.H.i70o.p. 13. Le Criftal commun n'y peut fervir, & pourquoi ? H. i7io,p, 114. Avantage des Lunettes pour l'Aftronomie. H, ^-. -■ 1700. p. izo. D'où viennent les Iris ou Coukurs dans les Lu- - :- ' nettes ? Fi. 1700. p. 131. &: fq. Pourquoi diminuë-t'on l'ouverture des Objcdifs des Lunettes. /^/^. p. 1 3 2- •- .' Difficulté de fuivre les Aftres par des grandes Lunettes. M. 1699. p. 277. Ce que c'cft que centrer les Verres des Lunettes. H. 1699. p. 89. Méthode facile de M. DE LA HIRE pour les centrer. ii//d. ",>- «Méthode pour centrer les Verres de Lunettes » d'Approche en les travaillant. Par M. DE LA ». HIRE. M. 1699. p. 139- » " De la ncceffité qu'il y a de bien centrer IcVcrrc Objcftif d'une Lunette. Par M. CASSINI le w Fils. M. ly 10. p. 2,2.}. DE L'ACADEMIE i6cj5,— i-ic jyj M Lunettes ( Tclefcopes ) » Moïen d'empêcher que » l'Humidité de l'Air de la nuit ne s'attache aux « Objectifs des grandes. Lunettes. Par M. DE LA » HIRE.M. i655).p.pï. De différentes longueurs font voir les Eclipfes .: des Satellites de Jupiter plutôt ou plus tard. H, 1705.P.124. &fq. Dcdivcrfes longueurs envoïées à Paris par M, Campanijfuivant les Ordres de M. COLBERT. ..,,.: M. ijoy.pp. 21. 6<:fqq. Adaptées aux Niveaux par l'Académie. H. 1704,. ,.:,; ,;, p. roa. Avantages de cette forte deNiveau. ihid. » LuNU LE " Sur la Qiiadraturc de la Lunule d'Hippocrate » deChio. H. 1701. p.yc). » " La Qiiadraturc abfoluë d'une infinité de Por- w tions moïcnnes, tant de la Lunule d'Hippocrate »• de Chio , que d'une autre de nouvelle cfpecc. Par M. LE MARQUIS DE L'HOPITAL. M. » 1701. p. 17. LyLius ( Louis) Son Abrégé du Calendrier approuvé par les Princes & les Académies auqucllcs. Grégoire XIII. l'avoir envoie. M. 1704. p. 141. (Antoine) Frcrede Louis , Membre de la Con- grégation du Calendrier^tenué à Rome en i y 80. M. 1704. p. 141. Lyon (Pluie tombée à ) en 170 y. & 1708. obfenvéc par le P. Fulchiron Jefuitc. M. 170(3. p. 11. M. 1709, P- 9- Eclipfc de Soleil du i z. Juillet 1684. obfervée à. Lyon par lePereHofte. M. 170 1. p. 88. Eclipfedc Soleil du 23, Septembre 1695). obfer- vée à Lyon par le P. De St. Bonnet Jefuite. M^ 1701. p, 83.- _, . Aaaiij 374 TABLE DES MEMOIRES M Mab ou Y A, forte de Pommier d'Amérique , fa Defcri- ption envolée à l'Académie par le P. Brcconjef. H. 1704. p. 42. Mâchefer. Ce quec'eft? H. 1708. p. 6^. "Machines ( fur la Force des ) en général. H. 1703, « p. 100. Erreur de plufieurs Machiniftes fur cette Ma- tière. ii?/af. Dans toutes Machines on perd en Temps ce que l'on gagne en Force. il>id. " » Sur la plus grande perfcélion poffibledcs Ma-- chines. Par M. PARENT. M. 1704. p. 323. Qiielle a été jufqu'à prcfcnt cette plus grande Perfection ; /'^/V. & fq. Qiicl eft leur plus grand produit î /'^/V. p. 333. » "Sur la plus grande Pcrfcdion polTiblc des Ma- i> • ' chines, dont un Fluide eft la force mouvante. H. " ' 1704. p. 116. Mue par un Fluide, quel peut être fon plus grand effet ; H. 1704. p. 121. Effet des Machines difficile à prévoir. M. 1 69s>. p. 205. Le Frottement peu confidcré par les Autheurs, >■ «De la Rcfiftancc caufcc dans les Machines, < . tant par le Frottement des Parties qui les compo- : fcnt , que par la roideur des Cordes qu'on y ' - emploie , &: la manière de calculer l'un &: l'autre. Par M. A M O N T O N S. M. i^^^. P. Z06. DE L'ACADEMIE 1^95) — Î7I0 37)' «'Machines. >. Sur les Frottcmens des Machines. H. » 1699. p. 104. Erreur dans le Calcul des Machines, lorfqu'on compte pour rien les Frottemens. ii/Jd. s» » Sur la Roideur des Cordes qu'on omploïe dans » les Machines. H, 1^95). p. 109. » » La Roideur des Cordcf cil un obftaclc à l'clîet » des Machines, peu connu jufqu'à prcrcnt. /^/V. »> p. 105). Dans les Machines la Refiftancc caufcc par la Roideur des Cordes, jointe à celle des Frottc- mens , augmente beaucoup la difficulté au mou- vement. H. 1699. p. 11 1. » " Nouvelle Statique avec Frottemens &: uns " Frottemens , ou Règles pour calculer les Frot- " temens des Machines dans l'état de l'Equili- bre. Par M. PARENT. » " Premier Mémoire , qui contient tout ce qui » fc fait fur des Plans inclinés. M. 1704. p, 173. » » Second Mémoire, trouver la Force avec la- » quelle il faut pouflcr un Coin pour fcparcr un " Corps , ou diredement , ou fur un Point fixe , ou " fur deux. ii>id. p. 1^6. " " Suite du deuxième Mémoire , qui comprend " ce qui fc fait ordinairement avec la Vis ancienne " ou à Ecrou , & la Vis fans fin. ibid.f. 190. " " Suite féconde du fécond Mémoire , Expe- » riences pour les Frottemens des Corps dont les » Parties fe meuvent avec diftcrentes yïtciXcs ibid^ p- lîjy. _^ » >. Troifiéme Mémoire des Poulies &: de I-eurs " Tourillons, ihid. p. io6. " " Moïen de fe fcrvir du Feu pour faire mouvoir » les Machines. H. 165)5». p. 101. ^-€ TABLE DES MEMOIRES Machines. Principes de M. AMONTONS fur cette Matière, /^/V. p, loi, .Conftrudion en gros du Moulin à Feu de M. AMONTONS. ibid. Eft'ct de cette Machine. /^/V. p. 103. " >' Moicn de fubftituer commodément ra(fl:ion du j.- Feu à la Force des Hommes &c des Chevaux pour » mouvoir les Machines. Par M. AMONTONS. » M. 1699. p. III. Cette application du Feu peu connue, ibid. p. 115. Expériences faites pour y rcuflir. ibid.Scfq. Dcfcription du moien de fc fcrvir commodé- ment du Feu pour mouvoir les Machines, iùid. p. 113. Avantage de ce moïen. ii/id. p. i z6. s> » Sur quelques Machines emploiées dans une « nouvelle Navigation de la Seine. H. 1699, p. 114. Voïe^ BILLETTES. ( M. DES ) »> " Explication de la Machine qui a été fliite pour » examiner l'Accélération des Boules qui roulent » fur un Plan incliné, & U comparer à celle de la « chute des Cov^s.{ Par LE P. SEBASTIEN « TRV C HET. )M.i6s)9.^.Z%l. âj » Sur la Machine du P. SEBASTIEN rapportée « dansTHift. dei6si5).p.i 16. Se zSy. H. 1701. p. 134. Cette Machine étendue par M. VARIGNON à d'autres proportions de la chute des Corps que celle de Galilée, iù/d. & fq. » M.ichincpour retenir la Roucquifert àélcver le « Mouton pour battre les Pilotis dans la conftruc- « tion des Ponts , des Qiiais & autres Ouvrages de « cette nature. Par M. DE LA HIRE. M. 1707. » p. 188. Machines^ D E L'ACADEMIE i5^9 — 1710 577 Machines. L'Examen des Machines donton demande des Privilèges, renvoie par le Roy à l'Académie. H. 1699. p. 1 19. ■ ., .;t Surquoi roule le Jugement de l'Académie. z'^/W, .>i;- p. 115). &:fq. LISTE ALP H JBETI êiVE A des Machines oh Inventions approuvées Par l'Académie. Kîpp , 1710 5 Une Machine inventée par M. Molard pour fai- remouvoir avec une grande facilité les Aigu il- ... .: :i' LES DES Cadrans très éloignés de l'Horloge, H. 1709. p. 1 13. Une Machine de M. Martenot pour faire re- monter les Batteaux. H. 1701. p. 139. Une Machine pour remonter les Batteaux, par M. Lavier. H. 1707. p, 1 5 y. Une Machine du Sr. Bcdaut pour porter les Boulets rouges depuis la Fournaifejufqu'à la bouche du Canon. H. 1703. p. 13^. Une nouvelle forte de Bougies auflî belles, auffi bonnes , & moins chères que les autres , inven- tées par M. Marius. H. 1706. p. 141. Un Cabestan conipofé , ou à Roiiet , invente par M. De la Madelaine. H. 1701. p. 1 37. Un autre prefque femblable par M. De Bour- ges . /^/V. UneCARABiNEbrifccdcM.DeLaChaumettc, H. 170Z.P. 1 39. Une Carabine que l'on charge par la Culaffe •fans la brifer , inventée par M, De La Chau- mette. H. 1 70 j. p. 138. 74^, des M.it. 16^9 — 1710 . Bbb 37? TABLE DES MEMOIRES Machines. Une Chaise a Porteurs de M, l'Abbé "Wilin,qui prend telle fituacion qu'on fonhaitc. H. 1707. p. lyj. UneCHAisNESANS FiNquipcutfervirà la place du Treuil ordinaire , inventée par M. Martcnot. H. 170^5. p. 141. Une Machine de M. Olainc Gentilhomme Ir- landois, pour mouler un très grand nombre de Chandelles tout à la fois, (Sec. H. 1710.P. 14Z. Un C1L1NDRE creux, contenant un RciTort à Boudin , pour fufpcndrc le Corps des Carosses inventée par le Sr. Thomas. H. 1703. p. i:,6. Un Clavecin de M. Cuifinié, nouveau pour fa Conftruaion , &:c. H. 1708. p. 142- Un Clavecin brifé, pluscommode que les Cla- vecins ordinaires. H. 1700. p. 160. Des Cornets nouveaux pour des Sourds, in- ventés par M. Du Guet. H. 1706. p. 142. . y L'A: Un Couteau pliant de M. De La Chaumette. H. 170e. p. 141. c:' Un Cric circulaire du Sr. Thomas. H. 170 1. '" p. r42. Le même , mais dont l'Académie a vu des Appli- ■"' '■ ■ cations fort bonnes. H. 1703. p. 15 y. ■-:v.-r i UnDcfTcin d'une Digve avec fes Portes, &c. pour rendre la Rivière de la Rue près de Condar en Auvers^ne capable de flotter des Mâts de Na- vire, &c. Inventée par M. Bourgeois. H. 1704. p. IZ4. Une Machine pour L'Elévation des Eaux parleSr. Gay. H. 1701. p. 138. Une Machine pour Elever l'Eau dans les In- cendies. H. 1699. p. izo. •^'•- • Une Epe'e de M. De La Chaumette, qulfcrtdc B.rioncttcauboutduFuril,&:d'Efpontonaubout - dclaCannc. H. 1707. p. ijy. DE L'ACADEMIE 1^95) — 1710 ^70 Machines. Une Machine pour mouvoir des Fardeaux très pcfans, par M. De La Garoulle. H. 1702.. p. 138. Une Machine du Sr. Thomas, pour élever des Fardeaux très pcdins. H. 1706. p. 142,. Un F AUX EU IL mobile fur des Roulettes, que cc- kiiquicftailis dedans peut faire mouvoir leul , &c. prefentc par le Sr. De Bezu. H. 171 o. p. 141. Une nouvelle cfpece de Fenestre de Mcnuifc- ric , &c. par le Sr . Godcfroy. H. 170 1. p. 138. Une Machine du Sr. Des Fargucspour remédier à la Fume'e caufce par les V^ents. H. 170 1. p. 141. Un Fusil briféqui fecharge par laCulafTc , ni- vcntc par M. De La Chaumettc. H. 1704. .: p. 114- Une Machine Hydraulique dcM. De Corde- - . ' moy. H. 1700. p. 160. Une Conftrudion de Lampes, nouvelle, pour éclairer une Ville pendant la nuit , par le Sn Favre.H. 1703. p. 13^. Une Machine pour tailleries Limes par le Sr. Du Verger Mcnuilier. H. 1 699. p. i lo. Une Manière de tirer les Loteries, propofcc par M. D'Aubicour. H. 170e. p. 141. T7nc Méthode de tirer la Seconde & dernière Séance de la Loterie de Lorraine, 6cC. H. 1709. p.113. UnMiCROMETRE nouvcau &: fort ingénieux, inventé par le Sr. Le Fcvrc Ligenicur pour les InftrumcntSj&c. H. i7oj.p. 138. Un Mortier de Bronze très commode, inven- té par M. J AU GEON. H. 1699. p. 119. Une Machine de M. De La Garoufte pourfairc mouvoir quatre Moulins àBlcdtoutàlafois. H.1707.P.IJ6. Bbbij 38o TABLE DES MEMOIRES Machines. Un Moulin de M. Du Guet pour épargner à l'Equipage d'un Vaifleau la peine de pomper. H. 1707.P. IJ5. Une Machine roulante inventée par le Sr. Def- i tau, dont l'Axe porte fur chacune de fes quatre ; Faces une rangée de Mousqiiets , qu'un Hom- '• me fcul p"ut tirera la fois. H. 1704. p. 124. Un Niveau de M. Verjus, mais difficile àrcdi- ficr. H. 1704. p. 114. Des Machines de M. Du Guct_ pour l'augmen- tation del'OuÏE , &: furtout un Fauteuil , §cc. H. 1708. p. 141. Les Parapets tournans de M. de Bax ville. H. : 1701. p. 138. Un Parasol brifé de M. Marius, plus léger , &: qui peut être aifément mis dans la poche. H. 170J.P. 138. Le même perfectionne. H. 1707. p.i jé.H.1709. p. 113. Deux Pistolets d'Arçon de M. DeLaChau- mette. H. 1700. p. 160. Une Machine du Sr. Gouffé pour nettoier les Ports. H. 1703. p. 13e. Les Rames tournantes de M. Du Guet , &:c. H" 1702. p. 138. Une nouvelle manière de faire agir des Rames , ' ■ inventée par M. Des Camus. H. 170 3. p. 156. Une manière propoféc par M. Martc-not , pour réunir en une feule Rame toutes celles qui fcroient néccflaircs pour donner de la Vi- teflc à quelque Bâtiment que ce fut. H. 1703. Une Machine pour faire mouvoir lix ou lept Scies, propoféc par M. Du Guet. H. 165)9 p. 121. DE L'ACADEMIE i(Î5)9— I7IO 3S1 Machines. Une Machine pour Scier et polir les Marbres, invencce par M. De Fonsjcan. H, 1700. p. 1^0. Le Sonomètre de M. Loulic , pour accorder très facilemenrun Clavecin. H. 1^99. p. m. :* Une Tente brifce de M. Marius, plus légère &: aulli ferme que les autres , &:c.H. ijoj.p. 138» Une Tente d'Armée du même plus commode. H. 1707. p. I j(î. Une Machine pour relever les Vaisseaux fub- mcrgés , par M. Le Baron de Rcdingucs. H, 1700. p. 160. Une Machine propofce par M. Du Me pour ti- rer les Vaisseaux àtcrre. H. 1701. p. 138. Une Machine de M. Blanchart pour tirer les Vaisseaux àtcrre. H. 1705. p. 13^^. Une Voûte plate donc la Coupe des Pierres eft particulière, par M. Abeille. H. 165)9. p. i2.o- Machine Pneumatique. J'oïcz. P n e u m a t i q^u e ou Vu IDE, Madelaine ( M. De La ) Cabeftan compoféou àroiicc de Ion invention , approuvé par l'Acadcmic. H, 170Z.P. 137. Madrépores Plantes Marines pierreufes. M.1700.P.18. Navrefora Ydniopi In:pcr.ui , ePc la feule des Plantes Ma- rines connues qui ait des Racines fibrcufes. M. i 1700. p. 25)'. Madrid f Eclipfe de C du iz. Février 170 1. obfcrvéc à) par les PP. Ulloa & CalTani jcfuitcs. M. 1701. p. 6j.S)C6<). ( Eclipfe de C du 13. Septembre 16^9. obfcrvéc à ) par le Duc d'Uzeda , l'Abbé Scotti Se le Pcre Krcfa. M. 1 701. p. 83. ( Eclipfe de o obfervéc à ) le la. May 1706. pan le P. Calfani. M. 1706. p. 465;. Bbbiij 38i TABLE DES MEMOIRES » Magiques ( » fur les Qiiarrés ).H. 170^. p. 69. Ce que c'cll: que les Qiurrés Magiques ? ihid. Auchcurs qui ont traité des Qiiarrcs Magiques. ii>/d. pp. 70. & fqq. Molcliopule ( Manuel ) Autheur Grec , cft le premier que l'on connoiffe qui en ait parle. /^/i2'. .. " Conftrudion des Qiiarrcs Magiques, dont la » Racine eft un nombre pair. Par M. DE LA HIRE. M. 1703. p. 364. M Nouvelles Conrtructions &c Confiderations fur » les Quarrés Magiques, avec les Demonflrations. ParM.DELAHlRE.M. 170J.P. 12-. Méthodes de conitruire des Qiiarrés Magiques , fuivant divers Authcurs , Mofchopulc , M. Ba- clict,M.FRENICLE,M. De La Loiibcrcp.ar la méthode Siamoifc ,M. Poignard, examinées, &:c. ihiii. pp. 1 6 1. & iqq. MAGNOL ( M. ) remplit à l'Acadcmie la Place de Bota- nifte Pcnlionnaire, vacante par la mort de M. DETOURNEFORT.H. 1708. p. 154. Attaque direélcment le Syftcme de M. PER- RAUT fur la Circulation de la Sévc dans les Plantes. H. 1709. p. 4^. Mi'. HOT àCotton. Plante. Sa Dcfcription cnvoiéede la Martinique à l'Académie par le Pcrc Breton Jefuite. H. 1704. p. 41. Mains & Bras dellcchés &c féparcs du Corps , mon- trés à l'Académie par le Sujet même a qui cet ac- cident étoitarrivé. H. 1703. p. 41. Maladies. L'Hiftoire de leurs Variations eft importan- te. H. 1700. p. I 5. » Maladies des Plantes ( •> Obfervation fur les ) Par M. ^ DE TOURNEFORT.M. 1705.P. 33i. DE L'ACADEMLE i(?99 — 1710 583 MALEZIEU ( M. DE ) Son Obfcrvatioii de l'Eclipfc de O du 23. Septembre 165)5), f'iitc à Chaccnay.M» 1701. p. 80. MALLEBR A.N'CHE(LE P.) fon Syftêmc de la Lumière fur Icmodcle de celui du Son. H, i6s)9-p^. 17. .-5 . 18. Scfq. » j. Réflexions fur la Lumière & les Couleurs , &c » la génération du Feu. M. 165)5). p. 2.1. Malpighi (M.) tient la Circulation de la Sève dans les Plantes. H. 1709. p. 45. Malte ( Ifle de) Sa Hauteur de Pclc obfervéepar le P. Feuilléc. M. 1708. p- 17 1. Variation de l'Aiman à Malte en 1708. obfcrvcc par le même, il-id. p. ijz. .' ■ Immcrf. du i. Sat. de T,;. du zi. Janvier & 14. Février 1708.3 Malte par le même. /(^/V/. p. 17t. Longitude de Malte obfervce par M. DE ' . CHAZELLES. /^/â^.p. 171. Manfredi (M.) SES OBSEKFJT. JSTRONOMI^ faites à Bologne , C^ rapportées dans les Adenioires de l" Académie. . i65?p.- 1710. , ,, Eclipfcde (C du 3. Janvier 1703. M. 1703. p. z%. &rq. Eclipfcde C du 17. Juin 1704. M. 1704. p. 199. & Tq. Eclipfc de C <^i-i II- Octobre 1706. M. 1706. p. 513. &rq. Eclipfcde C du lé. Avril 1707. M. 1707. pp. 3î5.&:fqq. ■■ r- ' . , ■ . 3S4 TABLE DES MEMOIRES MANFREDI (M.) Son Obfcivation de rEclipfc de O du 13. Septembre i6p5?. faite à Bologne. M, 1701. p. 84. Ecliplcdc o du II, May 1706. M. iyo6.'p.46y. &fq. Eclipfc de ©du 14. Septembre 1708. M. 1708. p. 417. Eclipfc de 0 du i i.Mars 1709. M. 1709. p. 94. PaiTagc de la C par les Pléiades , le 13. Septcmb. 1709. M. 1710. p. izo. Occultation de ip par la (C le 2.7. Juillet 1704. M. 1704. p. Z34.&: fq. Eclipfe de Venus par la Lune le 30. Juin 1704. M. 1704. p. 198. Eclipfe d' Aldebaram par la C le 1 9. Août 1 69S>- M. 1701. p. 64. Ses Obfcrvations de la Comète de Novembre 1707. faites avec M. Stancari , &c. M. 1708. pp. 3i3.&:fqq. Taches du Soleil en Janvier 1704. M. 1704.P. 1 3 1. &: fq. Manioque. (laFarincdc) cft l'aliment le plus commun au BreOl^quoiqucle fuc foit unpoifon. M. 1700. p. 178. j. Manne ( « Sur la ) H. 1708. p. 5e. AbregédefonAnalyfe. H. 1708. p. j6. &fq. Manne de Calabrc , ce que c'eQ: î M. 1699. p. loi. H. 1707. p. 50. M. 1707. p. 178. De Briançon , ce que c'cft ? ihid. ihid. Manne des Plantes , ce que ceft, ^c. M. 1707. p. tj-j. &:fq. La Fleur de la grande Centaurée contient plus de Manne qu'aucune autre, ibid. p. 178. Defcription d'une Plante d'Arménie &: de Perfe, »ommcc Alhagi , d'où l'on tire une cfpece de Manne DE L'ACADEMIE ï(fp9'—.r/ia 58^ M.mnc purgative, lue à F Académie par M. DE TOURNEFORT.H. 1704. p. 41. >' Manomètre. " Sur un nouvel Inltrument appelle Ma- »# nomctre. H. 170 j.p. 26. Ufagesdccet Inftrumcnt pour connoîtrc les dif- férents degrés de raréfaction de l'Air dans le même lieu en difFcrens tems , & dans le même temsendiftcrcns lieux. i^/V. pp. 28. &: fqq. Sa Conftruftion , &c. M. 170^. p. 3 11. Son ufagc pour vérifier les Expériences de la Machine Pneumatique. il>id. p. 3 28. «Manomètre ou Machine pour trouver le rapport des » Raretés ou rarefadions de l'Air naturel d'un » même lieu en différons tems , ou de diifcrens w lieux en un même ou difîerens tems. Par M. V A- " RIGNON.M. 1705. p. 300. MARALDI ( M. j cft le premier qui ait donné une Carte de France ou le Méridien de Paris ait été dirigé à fon véritable terme. M. 1701. P-89. • Efl nommé Penfionnaire à l'Académie. H. 1702. F- 79- ^ A entrée par ordre du Pape dans la Congréga- tion du Calendrier établie à Rome. H. 1701. p. 105. Emploie avec M. BIANCHINI par le Pape à l'Elévation d'un Gnomon à Rome. M. 1705, p. 49. Vérifie en 1704. la Parallaxe de Mars , & fa ré- volution autour de fon Axe H. 1706. p. loi.M. jyo6. pp. 66. Se fqq. 74. &: fqq. Combat fortement l'Hypothéfe du mouvement fucccflif de la Lumière , pour expliquer la fé- conde Inégalité des Satellites dcïJ.H. 1707- TaL des Mat. 16^^. •— 1710. Ccc 386 TABLE DES MEMOIRES MARALDI(M>SonObfervanondcl'Eclipre de C du 3. Janvier 1703. faite à Rome. M. 1703. p. 23. &: fq. Apporte d'Italie des Pierres figurées de PoifTons, de Feuilles d'Olivier, &c. H. 1703. p. 15.. Communique à l'Académie des Relations des Trcmblcmens de Terre arrivés en Italie en 1701. &r 1705. H. 1704. p. 8. & fq. Fait à l'Académie , avec M. GEOFFROY, l'Extrait de l'Effay Phyfiquc fur l'Hiftoirc de la Mer , compofc par M. LE COMTE MAR- SIGLI. H. 1710. p. Z4. LISTE CHRONOLOGI ^VB des Ademoircs imprimés de Aï, MJKALDI. i6pp 1710 '* « Comparaifon des Obfervations de la Comète -»..; . de 1695). faites^à la Chine parle R. P. Fo^^tanay , »■ rapportées à l'Académie par le R. P. GO'JYE le »■ ' 1 1. Mars 170 1. avec celles qui en furent fliites »»• - à rObfcrvatoirc Roïal de Pans. M. I70i.p. ^o. » " Defcription des quatre Etoiles proche du Ccr- » cle Polaire , avec lefquelles on commença de » voir la Comète de 155)9. à Paris. M. 1701.P. 5-9. » Obfcrvation de l'Eclipfc de C du 22.. Février » •• 1701. àCollioure. M. 1701. p. 65. ~ - " Taches dans le G obfervées à Montpellier le " 29. Mars 1701. M. i7oi.p. 7S. •'» » Obfcrvation d'un Nouveau Phénomène faite à ■» Rome le 2. Mars 1702. avec les Pvéflcxions de •». M. CASSINI fur cette Obfcrvation. M. 1702. » p. lOX. DE L'ACADEMIE T(?5S> — lyio jS; "MARALDI (M.) .. Expcriences du Baromètre faites fur divcrfcs Montagnes de la France. M. 170 j, " p. 1x9. » » Suite des Obfervations des Taches du O en » Janvier 1704. M. 1704. p. 11. " » Retour des Taches obfcrvécs dans le Soleil an " commencement de Janvier 1704. M. 1704. " p. 40. " » Obfervation d'une nouvelle Tache dans le So- " leil , au mois de Mars 1704. M. 1704. p. 13 t. » Extrait d'une Lettre de M. Manfrcdi fur une « c ' , Eclipfe de Venus par la Lune, obfervéeà Bolo- " gncle5o. Juin 1704. M. 1704. p. 198. " ."Rapport de l'Obfervation de l'Eclipfe de (T faite " à Bologne le 17. Juin 1704. Par MM. Manfrcdi " & Stancari. M. 1703.P. 15)5». » Occultation de % par la C obfcrvce en plein » _ jour /f 2,7. //«7/f^ 1704. M. 1704. p. 2,35. « » Conjondion de % avec la (C obfervce le 14, '» Août 1704. M. 1704. p. 147. " » Confiderations fur la Théorie de Planètes. M. " 170 c\. p. 306. » " Les Hypothéfes du mouvement de Saturne. '» M. 1704. p. 314. » " Obfcrvation de l' Eclipfe de C du 10. Dccem- » bre 1704. M. 1704. p. 3 y^. » » Compataifon des Obfervations du Baromètre faite par le R. P. SEBASTIEN TRVCHET avec " les nôtres. M. 1705. p. 119. " " Obfervations du Baromètre & du Thermo- >» mètre , faites en différentes Villes pendant l'an- ■> née. 1705. M. 1706. p. 12.. •> » Les Hypothéfes du mouvement de Jupiter. M. " 1706. p. 61. •• " Les Hypothéfes du meuvent de Mars. M. •' 1706. p. 66. Ccc ij 0S TABLE DES MEMOIRES •» MARALDI ( M. ) '• Obfervation d'une Comète qni a " commencé de paroitre au mois de Mars. M. • lyoé.p.cji. »• » Découverte d'une nouvelle Etoi\e(de l'Hydre) » quiparoît& qui difparoit en divers tems, M. - 1706. p. 115-. " " Obfcrvations de la Comète faites depuis le i S. « Mars qu'on a commencé de la voir , jufqu'au i ^. » Avril qu'elle a celle de paroitre. M. 170^ » p. 148. » " Obfervationd?rEcliprcdc Lune du i8. Avril « 170e. fliite à rObfcrvatoirc Roïal. M. 170^. •» » Obiervation de rEclipfc du Soleil faite le 1 2. " May 170(3. à rObfcrvatoirc. M. 1706. p. 169. " « Obfcrvations de l'Eclipfc de (£ du 1 1 . Oiflobre " i7oé.faitesà Marfcillc &: àBolognc. M. 170^-^ P- ni- . » - » Confidcrations fur la féconde Inés;alité du » mouvement des Satellites de Jupiter , &: fur » ; l'Hypothéfedu mouvement fucccifif de la Lu- » micre. M. 1707. p. zy. »» " Obfervation de l'Eclipfc de C faite à l'Obfer- » vatoire Roïal le 17. Avril au matin de l'année '-' 1707. M. 1707. p. 1^8. * » „ De la dernière Conjon£bion Ecliptique de » Mercureavecle Soleil. M. 1707. p. 17 y. » » Obfcrvations de quelque Tache confidcrable ■ dans les Satellites de Jupiter. M. 1707. p. 289. » » Obfervation du Paflaçrc de la Plancté de Mars » par PEtoilc Nebuleufc de PEcreviffe, faite le » mois de Juin de Pannée 1707. M. 1707. p. 3 51. ,» ■ "Obfervation de l'Eclipfc de £ ( t/« ij. Avril » ^l'^l-) faite à Zii rie Par MM. Scheuchzer, &; V comparée à la même Eclipfe faite à Rome. M. 1707. p. j y 5. DE L'ACADEMIE 1699—1710 jScy "MARALDI ( M. ) " Obfcrvation d'une Comète. M. 1707. p. y<[8. » « Obfcrvation de l'Eclipfe de Venus par la C da •» 2j. Février 1708. M. 1708. p. 106. » « Obfervation de rEclipfc de C du 5-. Avril aa w matin de l'année 1708. M. 1708. p. i8z. w » Obfcrvations du R ctcur dclaTachancienne » de Jupiter. M. 1708. p. Z3J. » » Obfcrvation du Partage de la C P'it les Etoiles « méridionales des Pleïades,le matin du 10. Aoû,c » 1708. M. 1708.P. 25r7. » » Réflexions fur la fuite des Obfcrvations de la w Comète de Novembre 1707. fliite à Bolognc.Par » MîvI.'Manh-cdi5c Stancari. M. 1708. p. 554. u » Obfcrvations de l'Eclipfe de 0 du 14. Scp- » tembrc 1708. M. 1708. p. 407. » » Obfervation de l'Eclipfe de (l du 2.9. Scptemb, w 1708. M. 1708. p. 405. » >r Obfervation de l'Eclipfe de (£ du 19. Scptcmb. » 1708. faites à Gcncs par MM. Le Marquis Sal- >' vago &c l'Abbé Barrabini , Se a. Marfeille par Le P.Laval &c M. DE CMAZELLES. M. 1708, " p. 41 8. » '. Comparaifon des Obfcrvations du Baromètre » fciites à Paris &: à Zuric pendant les fix premiers » moisde l'année 1708. & les fix derniers mois de " lamémeannéc. M. 1709.P. 10. & z^. » » Obfervation du Retour de l'Etoile changeante '' de l'Hydre. M. 1705). p. 3 5. » « Comparaifon des Obfcrvations du Baromètre » faites en ditïcrens lieux. M. 1709. p. 25:3. » » Obfervation de l'Eclipfe de C du 13. Février • aufoirdel'an 17 10. M. 1710. p. 169. » «Obfcrvation de l'Eclipfe du O du 18. Février » 1710. M. 1710.P. i5>ô. C ce il] 590 TABLE DES MEMOIRES f> M ARALDI ( M. ) » Comparaifon des Obfcrvations de l'Eclipfc de C ^« I 3 • Février 17 1 o. faites en dif- « fcrcns lieux. M. i7io.p.ii j. » Divetfes Obfervacions de la af de la C avec lc$ « Pléiades, M. 1710. p. II 8. " Obirrvation du PafTagc dc V proche de rE^- » toile qui cft dans le tront du Scorpion , com-i parée avec une fcmblablc Obfervation faite en ICJZ7.M. 1710. p. 3 10. Marbre (lc)&:le Caillou cxpofcs féparcment au Mi- roir Ardent fe calcinent , &; cxpofés cnfcmble ils fc fondent. H. 1705. p. 66. { le ) paroît fe refroidir plus que l'Efprit de Vin. M. i7io.p. ^yi. Machine pour fcier & polir les Marbres , inven- tée par M. De Ponsjean, &c approuvée par r Académie. H. 1700. p. 160. Marc des Plantes, leurs Extraits ont été mal-à-pro- pos négligés jufqu'à prei'cnt. H. 170 j. p. 63. &rq. Marcgravius. Extrait des Dcfcriptions que Pifon &: Marcgravius ont données duCaa-apia, & con- frontation des Racines du Caa-apia &: d'Ype- cacuanha, tant gris que brun, par laquelle on voit fcnliblcmcnt la dilfcrence du Caa-apia à : TYpecacuanha. Par M. GEOFFROY. M. 1700. p. 134. MARCHANT ( M. ; donne à l' Académie plufieurs Dcf- criptions de Plantes refervées pour un Ouvrage particulier. H. 1699. p. 6y.H. 1700. p. 70. H, ,1701. p. 78. H. 1707. p. 54. DE L'ACADEMIE i(Jiî5— I7Ï- 39i MARCHANT ( M. ) LISTE DES PLANTES - citées dans les Mémoires de l'académie , 7 dont les Dcfcriptions , données par Ai. MARSJ.HANT , ont étérejeriiiées bow . , ' un Qn'VYa^e particulier, Anonis furfureafrutefccns non Spinofa. H. 1708. ■,, p. 69.^ Aulncc , En nia Cam^ana , ou Hclcnium vnlgare. H. 1709. p. yi. Biiphtalmtim Dio/coridis. H. 1706. p. 41. Chryflinthetniiîn Alpnuni ^foliis Abrotani multi- Jidis. C. B. H. 1703. p. 57. Dracunctilus Jîie Serpentaria Triphylla, Brùjl— luma. H. 1709. p. j I. ■■■ Filipcndule. H. 1710. p. 79, '• '-• ' -' -F Los S dis Indiens, Trachelii folio , r.tdice re- fenlc. H. 17 10. p. 79. Meliotropium tnajus.W. 1709.P. yi. Hyûfcyamus Syriacus. H. 1706. p. 41. - ■ Jacca. lutea Cretica , foliis Lirierarix. H. 1708. p. ép. Iris Ferjica juariegata ,pr.icox. H. 1706. p. 4Z. Linaria Ititea uiilgaris.J. B. H. 1708. p. 69. Liiiaria heder.c foliis. Col. ou CymbaUria. C'-B^ H, 1704. p. 41. Lychnis Sicula , glahra , pfeudû-Melanthii fuie. H. 1708. p. 6ç. Melocaclus Amerlcantis.W. ijc%.'^.6ç). NarciJ/irs Silvejlris multiplex , Calice cunas^ H. 1710.P.79, i9i. TABLE DES MEMOIRES MARCHANT (M.) P.rpa'ver Spinofum Mexicaniim. H. 1708» p. 69. Fcrjïcaria mucnlojd cJ- non maculoja. H. 1706. p. 41. Saxifraga rotundi-folia. , alla , radice granii- /o/;./. 5. H. 1705. p. 57. Solaniim vfficinutnm c. B. Morelle. H. 1701, p. 49. 'Thlafpifemper vircns Cr Jloro/s. H. 1708. p. ^9. î-^ MEMOIRES DEM. M JKCHJNT imprimés dans les Mémoires de l'j^cademie. . ;- iP' 1710. ^ ■,■ « DilTertation fur une Plante nommée dans le « BrefilYquetaya, laquelle fert de Corredif au » Séné, &; fur la préférence que nous devons don- « . . jier aux Plantes de notre Pais par deflus les Plan- « tesétrangcrcs. M. 1701. p. 211. » " Expériences fur les Vertus de la Racine de la V grande Valériane fauvage. M. 1 706. p. 3 3 5 . fi : . " Dilîertation fur une Rofe monftrucufc: M. M Î7O7. p. 488. ». - .0 " Oblèrvations fur quelques \''cgctations irrc- M gulieres de ditfercntes parties des Plantes. M. 1709. p. 64. ?^IarCv"ittes ( les)fourni{lcntune preuve de la fécondité des Troncs & des Branches en Racines. M. 1700. P- 145- Mare (M. De La) Officier de Marine, apporte à l'Aca- démie pluiieurs Drogues des Indes Orientales , duBrefil&duPerou. H, 1710.P. 16. Mare'es DE L'ACADEMIE i(Î99 — i-xo 593 Mare'es qui cirrivcnt au tcms des Syzigics , font fujottes à des Variations, qucUcs,&: pourquoi ? M. 17 10. • . p. 3 2.Z. ■ ^ Sont plus hautes deux jours après les nouvelle; ou pleines Lunes, ibid. p. 3 ly. Sont fujetes à des Variations caufccs par le Vent. ibid.]^^. 313. & fqq. • S'accordent mieux au mouvement mo'ien de la ;■■ - ' Lune qu'au vray. H. 17 10. p. 10. .1"! Pourquoi retardent. H. 17 10. p. 6. &; fq. Quand plus grandes , & pourquoi î ibid. ' ■ Retardent difteremment des Syzigies aux Qua- • - C 37(5. ^ . ■ & fqq. Pourquoi fi hautes depuis Breft jufqu'à St. Malo. H. 1702,. p. 10, "Réflexions fur les Obfcrvations des Marées faites à Brcil: & à Baionne. Par M. CASSINI » leFils. M. ivio.p. 380. Marines (Plantes j /^'«^/cz- Plantes. MARIOTTE ( M. ) propofe dans l'Académie la Circu- lation de la Sévc dans les Plantes, H. 1709. p. -45. .. . 7nh, des Mat. i (S99. — 171c, * D du f94 TABLE DES MEMOIRES MARIOTTE ( M. ) Son Syftcmc fur l'Origine des Ri- vières. H. 1703. p. i.&fq. Examiné par M. D E LA H I RE. ièid. pp. 2. & fqq. Idée générale de fon Hypothéfe fur la manière dont fc forment les Parhclies. H. 1695». p. 82. Cette Hypothéfe conforme à l'Obfervation de ceux qui parurent à Marfcille en 1699. ihid. Sa Règle fur laditïerentccondenfationdcrAir, n'eft pas exaétcment vraie , &c pourquoi j H. 1701. p. 2. (M.) & M. ROEMER fc font trompes fur la reliftance des Tu'iaux Cilindriques pleins d'Eau. Selon M. PARENT. H. 1707. p. 1 27. M. 1707. pp. 108. &: fqq. Marius (M.) Machines de fon Invention approuvées par l'Académie. Une nouvelle forte de Bougies , aufTi belles, aufll bonnes , àc moins chères que les autres. H. 170^. Un Parafol ou Parapluie brifc plus léger, & qui peut être aifcmcnt mis dans la poche. 1^.1705-. p. 138. Le même perfeétionné. H. 1707. p. ij^. H. i70S>.p. 113. Une Tente brifée plus légère &c aufll ferme que lesautres,&c.H. 1705.P. 138. Une Tente d'Armée du même , plus commode. H. 1707. p. 1^6. Maroniers d'Inde , fécondité de leur Tronc. M. 1700. pp. 139. & fqq. « Mars. » Sur les Mouvemens de Jupiter &: de Mars. H. 1706. p.cjy. » " Les Hyporhéfcsdu mouvement de Mars. Par M. MARALDI,M.i7o6.p. 66. DE L'ACADEMIE i<îs?9 — I7IO 395 Mars. Recherche de laParallaxe de Mars. /^/^. f)p. 6çf. &rqq. Obfcrvation des Taches de Mars pour vérifier fa révolution aucour de fon Axe. M. ijo6. -, ■ . P- 74- Sa Parallaxe cfl: très prccicufe aiix Aftronoincs , &pourquoi î H. ijofî. p. 98. Conclue des Obfervations faites par M.RICHERenCaycnne,&parM.CASSlNI V . ,. ■ à Paris , &: comment ; /i>/a'. p. 5)51. Méthode de la trouver par des Obfervations faites en un même Lieu. /^/V/. p. 1 00. Vérifiée par M. MARALDL en 1704.1-1.170^. p. lOI. /., Sa révolution autour de fon Axe vérifiée par M, MARALDL /7vW. p. loi. Eclipfede Mars par la C- obfc:rvée le 10. Mars 1707. à Montpellier & à MarfeiUe. M. 1707. p. 195. » »^ Obfervation de Saturne, de Mars &d'Aldeha- « ram vers le tcms de la Conjondion de Saturne,&: » avec Mars au mois de Septembre 1706. à l'Ob- » fcrvatoire. Par M. DE LA HIRE. M. 1707. H p. 120. Les mêmes faites à MarfeiUe par le P. Laval. /■^/V. p. 1x3. & fq. » Obfervation du Palfage de la Planète de Mars » par l'Etoile ncbuleufc de l'Ecrevifle, faite le » mois de Juin de l'année 1707. par M. MA- » RALDLM. 1707. p. 3 ^2. Comparaifon de cette Obfervation avec une femblablefiitecn 1692.. itid. p. 3 ^4. Marseille. Différence de Lonç-itudc entre MarfeiUe & Pans. M. 1707. p. 1 2 y. Dddij }96 TABLE DES IvIEîvîOIRES Marseille. ODSEKVJT. ^STRONOMI^QVES faites à Marfeille , (y rapportées dans les Mémoires de l'jdcaàcmie. 16^^. I710. Eclipfedc C dit 2 i. Février 1 701. parle P. Laval Jefuitc. Corr. M. 170 1. p. 71. Eclipfe de C du Z3. Décembre 170J. par le P. Laval. M. 1704. pp. 14. & fqq. Eclipfe de C du ii. Odlobre 1706. par le P. La- val & M. DE CHAZELLES. M. ijo6. p. JI2-.- Eclipfe de c du j. Avril 1708. parle P. Laval Se M. DE CHAZELLES. M. 1708. p. 185.& fq. EclipfcdeCdu zp. Septembre 1708. par le P. Laval&M.DE CHAZELLES. M. 1708. p.418. Eclipfe de G du Z5. Septembre 1699. par M. DE CH AZELLES,le P. Fcuillt-e & le P. LavaK M. 170 1. p. 81. • ' Eclipfe du O du iz. Mai i7o<î. par le P. Laval & M. DE CHAZELLES. M. 1706. p. 465. • &fq. Eclipfe de O du 14. Septembre 1708. par le P. Laval £c M. DE CHAZELLES. M. 1708. p. 41^. Eclipfe de o du 11. Mars 1709. par le P. Laval &:M. DECHAZELLES.M. 1709.P.93. Eclipfede Venus par la C le Z3. Février 170S. Par le P. Laval Sz M. DE CHAZELLES. M. 1708. pp. 107. & fqq. DE L'ACADEMIE 1^99—1710 35J7 Marseille. Eclipfed'Aldcbaram par la Clci^. Août 1699. par IcP. FcuiUéeOrr. M. lyoï.p. 64. Eclipfc d'Aldebaram par la C le 1. Janvier 1700. M. 170J. p. loj. Z.^ ' - . - le 16. Févr. 1701. M. 1701. p 48. M. lyoy. pp. 206. & fqq. Eclipfc d'une Etoile des Hyades par la (T le 7, Mars 1699. par le P. Feuillée.H.i 699. p. 78. &fq. Eclipfe du Cœur du Scorpion Antarcs par la C le 3. Septembre 1707. par les PP. Feuillée &c -. . LavaUM. 1708. p. 2. MARSIGLI ( M. Le Comte ) envoie & dédie à l'Acade- ^ ■ m'ic ion E/fJij Phyfique fur l' Hijloire de la Mer, H. 1710.P. 23. ^. '_ ■ Idée de cet Ouvrage, ihid. pp. 24. &: fqq. Découvre les Fleurs du Corail. H. i7io.p. 7^, ^■ ■ &% du Lytophyton Epineux . ^: ' &: de quelques autres Plantes Marines, ihid. p. 76. Se fq. ^*» " Obfervations fur les Analyfes du Corail & de « quelques autres Plantes picrrcufcs , faites par M. LE COMTE MARSIGLI. Par M. GEOF- FROY. M. 1708. p. 102. Martenot ( M. ) Machine de fon Invention pour faire remonter les Batteaux , approuvée par l'Acadé- mie. H. 1702. p. 139. Chaîne fins fin qui peut fervir à la place du Treuil ordinaire, inventée par le même,&ap- .' prouvée par l'Académie. H. 1706. p. 141. ■ Manière propofée par le même , pour réunir en une feule Ramctoutes celles qui ieroicnt nccef- fàires pour donner de la VitcfTc à quelque Bâti- ment que ce fût, approuvée par l'Académie. H, 1703. p. 13 e. Dddiij }S)S TABLE DES MEMOIRES Marthe ( Ifle Src. ) Sa Hauteur du Pôle obfervéepar le P. Fcuilléc. M, 170 8. p. 6. Se fq. Martinic^ue (Ifle de la) OBSEKP^JT. JSTRONOMl^^VES faites à la Martinique , ^ rapportées dans les Àdemoires de C académie. I655J 1710 Latitudes divcrfcs. H. 170 1. p. lop. M. 1704. p.' 34Z.M. 170S.P. II. Longueurs du Pendule. H. 1701. p. 109. M. 1708. p. 1(5. Déclinaifons de l'Aiman. M. 1704. p. 343. &: fq. .■7.': M. 1708. p. 16. Eclipfcde Cdu 5. Mars 1695). par M. DesHayes C(?rr. H. 1700. p. II I. du 2.7. Avril 1706. parle P. Feuil- lée. Ctfrr. M. 1708.P. I j. ■-■ G du 16. Novemb. 1706. par le même, ibid.^. 14. &;rq. EMERSIONS DES SATELLITES DE JVPITER par le P. Fcnillée. Du I. le 7. r i. 14. 19. & jo. Décembre 1703. M. 1704.P. 5 39.&:fq. .... le 14. & II. Février , &: 8. Mars 1704. ibid. p. 341. Du z. le zo. Décembre 1703. ibid. p. 340, Immerlionsdu i.lei9.&i 16. Juillet 1703. /^/V. P- 3 3 9- Votez. a/(ifi FeUilLE'e {1er.) cy-dcpis. p. zyi. DE L'ACADEMIE i(î99 -^1710 T5)> Massane ( la) Montagne du Rouflillon. Sa Hauteur fur le Niveau de la Mer. M. 1703. p. 137. Mastic. Manière dont on tire le Maftic cnLarmesdes Lentifqucsdans rHledeScio.-M. 1705. pp. 343. &:rqq. Matière, (la) Son Effence eft très peu connue. H.1701. p. 14. . Matière ( la) fubtile qui circule autour de la Terre, eft la caufe Phyfique de la pefanteur.M. I705).p. 1 34. Comment, fcfait fon mouvefncnt autour delà ,: Terre, félon M. Defcartcs, comment, félon M. HUYGHENS.z'é/V. p. r34.&:fq. Quelle doit être fi VitefTc en circulant autour de la Terre pour produire la pefanteur. M. i705>. p. 13^. &:fq. Cette Viteile eft démontrée par les Obfervations Agronomiques, ihid. p. 1 4^. & fq. «Matière du Feu. " Conjcftures fur la Matière du Feu ou de la Lumière. Par M. LEMERY le Fils. M, M 1709. p. 400. Augmente la pefanteur du Corps qui la contient. ibid. p. 401. ■ Matricaire ( fortede Plante. ) M. 1700. p. ^j. ■' - Matrice. ( Strudure de la ) M.1701. p. zpj. » ( » Obfcrvacion fur la ) d'une Fille de deux mois, ParM. LITTRE.M. 170J.P. 382. m- ( " Sur une ) double. H. 1705. p. 47, La fuperfétation auroit été très pofTible dans le Su)ct qui avoit cette double Matrice, ib. p. 48. Cette Matrice féparéc. exactement en deux par- ties diftinftes l'une de l'autre,&:c.M. 170 j.p. 383, Conjectures fur ce qu'auroitpu occafionner cette double Matrice, ibid. & fqq. D'une Femme grofle de fcptmois percée fans- mauvaifcs fuites. H. 170^. p. 2,3. & fq. 400 TABLE DES MEMOIRES IMatrice. ( Obfervations fur la ) d'une Femme morte quatre heures après être accouchée. H. 1705, p. 21. (Col de la) bouché par un Corps glandulc-ux, caufc la mort d'une Mcre &: dcfon Fruit. H, .:--: lyoj.p. j2. Comment ccccc Feirunc avoir pu concevoir, ihid, ( Trompes de la ) fermées par leur gros bout dans une Femme qui avoir eu des Enfans. H. ,^!-" b ■ ;:ï704- p. il- Maux de Tête guéris par une Brûlure. H. 1708. p. 45. &: fq. " Maxima & M'inintii. » Sur la méthode des infiniment « «petits pour les Maxima ly- Minima, H. ijgG. p. 51. Ce que c'cft que les Maxima èc Minima. ibid. p. ji. n » Obfervations fur les Méthodes des Maximis « é" Miuimis^ où l'on fait voir l'identité & la diffe- n rencc de celles de l' Analyfc des lajîniment petits , w ' avec celle de MM, Fermât &c Hudc. Par M. GUISNE'E.M. 1706. p. 24. Me'(M.Du) Machine de fon invention pour tirer les VaifTcaux à Terre, approuvée par l' Académie. ,:' - H. 1702. p. 138. Mechanique imparfaite jufqu'à la confidcration des Frottemens. H. 1704. p. 96. N'eft autre chofe que la Science des Mouvc- mens compofés. /'^/W. p. 99. Les Cas les plus fimplcs démontrés dans la Mé- . ■ ■ chanique, pris diverfement , ne font pas tou- ■:.: jours vrais. H. ié5)9.p. n i.& fq. Elemcns de Mechanique é'de rhyJique.'L'wxcàc x:-.., M. PARENT imprimé en 1700, Idée de ce Liyre. H. Î700. p. 155. LISTE DE UACADEMIE i(î59 — ï7'ô A°'t Mechanique. LISTE DES MEMO IRES ds Mechanique imprimés dans les J^emoires de l'Académie. - i.'. tl ï 6 p <}. 171 o. w V Sur les Loix du choc des Corps. H. 1706"- » p. 1 14^ u » Des Loix du Mouvement. Par M. CARRE'- u M. 1706. p. 442,. « " Sur une Théorie générale des Mouvemens 5 M foit uniformes , foie variés a. difcretion. H. 1707- P- 131- « . *•• Des Mouvemens varies à volonté , comparés » entr'cux&r avec les uniformes. Par M. VÂRI- T-. GNON. M. 1707. p. ziz. jj " Sur les Vitcfî'cs des Corps mus fuivant des » Courbes. H. 1704. p. 104. " Manière de difcerncr les VitefTes des Corps r, mus en Ligne Courbe , de trouver la nature ou » l'Equation de quelque Courbe que ce foit en- ji gcndréc par le concours de deux mouvemens w connus;&rcciproquemcnt de déterminer une in- » finité de Vitefl'es propres deux à deux , à engen- « drcr ainfi telle Courbe qu'on voudra, & même « de telle Vitcflc qu'on voudra fuivant cette Cour- be. Par M. VARIGNON. M. 1704. p. z8(S. » » Sur un Problème de Statique, Par M. VARI- GNON. H. 1709. p. 109. M. 1705). p. 3yi. » " Sur les Corps qui nagent dans les Liqueurs. H, 1700. p. 1 54. Tal;. des Mat. 16pp. mm. ijio, Eec 40i TABLE DES MEMOIRES Mécanique. ,^ « „ Sur la Route que tiennent plufieurs Corps lies w entr'eux par des Cordes , & tirés lur un Plan «f Horizontal. H. 1703. p. no. » «Sur les Frottemens. H. 1703. p. loy. H. » 1704. p. 96. • .. Sur les Centres de Convcrfion, &: fur les Frot- • terriens. H. 1700. p. 149. » «Sur losFrottcmcns dcsMachines.H.i ^9 p.p . 104. o >. De la F^eliitance caulec dans les Machines , » tant par les Frottemens des Parties qui les com- » pofent , que par la Roidcur des Cordes qu'on y « emploie, & la manière de calculer l'un & l'autre. Par M. AMONTONS. M. 1699. p. io6. " Du Frottement d'une Corde autour d'un Ci- lindre immobile. Par M. SAUVEUR. M. 1703. » P-30Î. « Sur la Roidcur des Cordes que l'on emploie » dans les Machines. H. 1699. p. 109. «Nouvelle Statique avec Frottemens &: fans Frottemens, ou Règles pour calculer les Frot- temens des Machines dans l'Etat d'Equilibre. Par M. PARENT. E Mémoire, qui contient tout ce qui fe fait fur des Plans inclinés. M. 1704. p. 175. II. Mémoire, trouver la Force avec laquelle il faut pouflcr un Coin pour féparer un Corps , ou diredemcnt , ou fur un Point fixe , ou liir » deux. M. 1704. p. 186. L Suite du IL Mémoire , qui comprend ce qui » fe fait ordinairement avec la Vis ancienne, ou a à Ecrou , & la Vis fans fin. M. 1704. p. 1 90. II. Suite du n. Mémoire. Expériences poul- ies Frottemens des Corps dontlcs Parties fe mcu- » veut avec différentes Vitcircs. M. 1704. p. 195. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 405 Mechaniqi'e. « III. Mémoire des Poulies &; de leuis Touril- » Ions. M. 1704. p. 20^. M » Sur la Rcfirtance des milieux au mouvcmcnr. »> H. 1707. p. 139. H. 1708. p, IZ3. H. 1709. p. 97, » H. 1710.P. 1 33. «j "DesMouvcmcns faits dans dcsMilieux qui leur » refiftenten raifon quelconque. Par M. VARI- M GNON. M. 1707. p. 381. M " Des Mouvcmcns primitivement varies dans »» des Milieux qui leur refiftent , en raifon des Vi- » teffes aufqucUes ils s'oppofcnt. Par M. VARI- GNON. M. 1708.P. 113. w M DemonftrationdecequeM. HUYGENSs'eft » contenté d'énoncer à la fin de Çon Difiours de la, »> Caafe de Li Pefanteur touchant le mouvement i> des Corps graves dans un Milieu qui leur »j rcfiftcroit à chaque inftant en raifon de leurs Vi- tclTcs. ParM. VARIGNON. M. 1708.P. zii. » " Diiïcrentcs manières de déterminer la Courbe >* que décriroit un Corps de pefanteur confiante, » jette fuivant quelque direction que ce fut dans » un Milieu dont les Rcfiftances feroicnt en raifon des VitefTes de ce Corps. Par M. V ARIGNON. * M. 1708. p. 2,50. » "Suites de ce Mémoire, &cc. ibid. p. 301. & P-4I9- » "Courbe de Projcclion décrire en l'Air dans » l'Hypothéfe des Rcfiftances de ce Milieu en rai- n fon des Vitefles aduellcs du Mobile , nonobftant »> lefquelles Rcfiftances les accélérations des Chu- » tes fe falTent en raifon des tems , &c. & par occa- M fion des Projetions fiites dans un Milieu fans re- i> fiftanceavcc des accélérations quelconques des Chutcs,&c.Par M.VARIGNON.M.i7oc,.p.69. Eec ij 404 TABLE DES MEMOIRES Mechaniqx-'e. w » Des Monvcmens primicivcmcnt variés dans « des milieux rcfiftans en raifon des Qiiaircs des .», Viteflcs effcclives de ces mouvemcns. Par M. 4, VARIGNON.M. ijo^.p. 193. w " Des Mouvemens commencés par des Viteflcs ,i quelconques , &c enfuitc primitivement accélérés « en raifon des tcms écoulés , dans des Milieux re- u fifl:ans en raifon des Qiiarrés des Viteflcs eftcéti- vcs du mobile. Par M. VARIGNON.M. 1705,. w p. 267. » «DcsMouvcmcns primitivement retardés en rai- » fondes Tems qui rcftcroient à écouler jufqu'à V leur entière extinélion dans le Vuide, faits dans » des Milieux refiftans en raifon des Quarrés des Virefl'cs cffedives du Mobile. Par M. VARI. « GNON.M. 1710.P. 65. M »Des Mouvemens primitivement variés dans >3 des Milieux refillans en raifon des Sommes fai- M tes des Viteflcs effectives de ces mouvemens , &£ w des Qiiarrés de ces mêmes Vitefles. Par M. V A- RIGNON.M. 1710.P. Z43. » » Des Mouvemens commencés par des Vitcfl"es M quelconques, dc enfuite primitivement accélérés » en raifon des Tems écoulés , dans des Milieux », refiftans en raifon des Sommes faites des Vitefles « clïcélives du Mobile & des Qiiarrés de ces mê- mes Vitcilcs. Par M. VARIGNON. M. 1710. p. 491. » «Sur la Rcfifl:ance des Solides H. 1702. p. ici. » ■ H. 1710. p. I z6. »- .-. Sur la Rcfiftances des Solides, Se fur laCour- M. buredesRcflbrts plies. H. 1705. p. 130. M ^. Sur la RciiflanccdesPoutrcs. H. 1708. p. }i6. 3» >' Sur la Rellilancc d.es Ciliudrcs creux &c iolidcî, a H. I70Z.p. 120. DE L'ACADEMIE 1^59 -j 171a 40'5- Mechaniqjje. » "Sur la Refiftauce des Tuïaux Cilindriques >' pleins d'Eau. H. 1707. p. ii6i =>-■ " De la Rcfiftance des Solides en gênerai pour " tout ce qu'on peut faire d'Hypothcfcs touchant '» la Force ou la Ténacité des Fibres des Corps à. » rompre; &: eu particulier pour les Hypothéfcs de Galilée & de M. MARIOTTE. Par M. VA- RIGNON.M. i70i.p. 6<î. « «'Véritable Hypothéfedc la Rellillancc des So- j» lidcs , avec la Demonftration de la Courbure » des Corps qui font RelFort. Par M. BERNOUL- j' Ll Pfofellcur à Bâle. M. 170 j. p. 176. » " Des Rcliftances des Poutres par rapport àleuns longueurs ou portées, & à leurs dimenfions & j' ficuations ; &c des Poutres déplus grande refiftanr w. ce, indépcndcmmentdetout Syftême Phyfiquc. Par M. PARENT. M. 1708. p. 17. » j. Des Points de rupture des Figures ^ de la mp-. » niere de les rappeller à leur Tangentes , d'en dc^ » duire celles qui font par tout d'une rcfiftance " égale , avec la Méthode pour trouver tant de ces » fortes de Figures que l'on veut, & de faire en-, =j forte que toute forte de Figure foit par tout d'une î> égale rcfiftance , ou ait un ou p'uficurs Points de » -. rupture. /. Mémoire. Des Figures retenues par un » de leurs bouts , &: tirées par telles & tant de puif- '» fanccs qu'on voudra. Par M. PARENT. M. 1710. p. 177. " " Expériences pour connoitrc la Rcfiftance des. bois de Chêne & de Sapin. Par M. PARENT. '' M. 1707. p. j 1 1. » " Sur le Centre de Balancement ou d'Ofcilla'v »■ tion. H. 1703. p. 114. H. 1704. p. 85). =» Eeeiij 406 TABLE DES MEMOIRES Mechanicli'e. » Dcmonftration générale du Centre de Balan- „ cernent &c d'OfciUation tirée de la nature du Levier. Par M. BERNOULLI Profcflcur à Bâ- w le. M. 1703. p. 7 8. « Extrait d'une Lettre de M. BERNOULLI „ Profcircur àBâle, contcuaut l'application de fa. „ Règle du Centre de Balancement à toutes fortes „ de Figures. M. 1703. p. 171. " Dcmonftration du Principe de M. HUY- „ -GHENS , touchant le Centre de Balancement, » & de l'Identité de ce Centre avec celui de Pcr- cuffion.ParM.BERNOULLI ProfefTeuràBAlc. » M, 1704. p. 151?. « » Du Mouvement des Eaux. H. 1703. p. 115-. „ wDuJ.Iouvementdcs Eaux,ou d'autres Liqueurs « <]uelconqucs de pefantcur fpécifiquc à difcre- „ tion, de leurs Vitclfcs , de leurs Dépcnfespar » telles Ouvertures ou Scûions qu'on voudra, de M leurs Hauteurs au deilus de ces Ouvertures , des V durées de leurs Ecoulcmens , ècc. Par M. V ARI- <:îNON.M.i703.p. 138. ,, „ Sur les Proportions néccffaires aux Diamètres M des Tiiïaux , pour donner précifcment certaines » quantités d'Eaux déterminées. H. 1705-. p. 135-. .. Problème d'Hydroftatique. Par M, CARRE'. „ M. iyo> Remarques fur la Conftruction des Horloges à Pendule. Par M. D E L A H I R E. M. 1700. » p. 161. u w Sur l'Inégalité des Pendules. H. 1703. p. 130-. « .. Remarques fur les Inégalités du Mouvcmenc des Horloges à Pendule. Par M. DE LA HIRE„ M. 1703. p. 285. w >, De la figure ou curvité des Horloges à RefTort, Par M. VA RI GNON. M. 1702. p. 101. H„ )> 1702. p. 122. » " Sur les Clcpfidres. H. 1 6s>s>- p. 99- a «Manière géométrique &: générale de faire des M Clcpfidres ou Horloges d'Eau avec toutes fortes „ de Vafes donnés percés où l'on voudra d'une w petite ouverture quelconque par où l'Eau s'écou- „ le, fuivant quelque Hypothéfc de Viteffcs que :. ce foit , Se réciproquement , &;c. Par M. V ARI-> » GNON. M. 1699- P- 51- » « Sur le Recul des Armes à Feu. H. T70 3. p. 9^, 4o8 -TABLE DES MEMOIRES Mechaniqj-'E- » -' Sur les Mines. H. 1707. p. I 5 1. « « Des Effets de la Poudre à Canon , principale- » ment dans les 'Mines. Par M. CHEVALIER, « M. 1707. p. ^2.6. M »-• Sur un Niveau. H. 1 699. p. 1 1 1. » "Sur un Niveau d'une nouvelle conftrudion. » H. 1704. p. 99. » Dcfcrip.&ulat^cd'unNiveau d'une nouvelle con- ftruaion. Par M.DELAHIRE.M.;704.p.2:5i. « « Sur la Force des Machines en général. H. 170 3. » p. 100. .> "Surla plus grande pcrfcdion poffible des Ma- » chines , dont un Fluide cil la Force mouvante. X H. 1704. p. 116. » » Sur la plus grande pcrfcclion pofliblc des Ma- chines. Par M. PARENT. M. 1704. p. 523. »> " Moicn de fe fervir du Feu pour faire mouvoir M les Machines. H. 16519. p. lor. » » Moicn de fubffituer commodément l'aLtion du » Feu a. la Force des Hommes &: des Chevaux pour » . mouvoirlesMachines.Par M. AMONTONS. •». M. 1699. p. m. » «Sur les Soupapes. H. 1703. p. 9^. » »> Machine pour retenir la Roue qui fcrt à élever u ^ le Mouton pour battre les Pilotis , dans la con- » ftrudiondcs Ponts, des Quais & autres Ouvra- n gcs de cette nature. Par M. D£ LA HIRE. M. f, 1707. p. 188. ^ » Nouvelle conftrudion des Pcrtuis. Par M. DE f> LA HIRE. M. 1707. p. ^49. » « Deux manières de Roues à épuifer l'Eau. Par » M. DES BILLETTES. M. 1699. p. 1 84. » " Sur quelques Machines cmploiées dans une ja -npuvcUc Navigationdcla Seine. H. i^99.p.ii4. Mechaniqjje, DE L'ACADEMIE 1^99— I7IO 409 Mechanique. w " Defcription d'une nouvelle manicic de Porte M' d'Eclufe qu'on a pratiquée dans l'cntrcprife de » la nouvelle Navigation de la Seine. Par M. DES BILLETTES.m'. 1699.P.65. » .' Moicns pour faire monter un grand Vaiffcaii ■» ' furlaCallc, telle qu'elle eft conftruitc dans le » - Port de Toulon , fans fc fervir d'aucunes Ma- « chines. Par M. DE LA HIRE. M. 1703.?. 199. w « Pour la Conftruction des Vaiffeaux. H. 1699. " P-95- M » Remarques fur la différente manière de Vo- -» . guer des Rames ordinaires &: des Rames tour- » nantes , nouvellement propofces par M. Du Guet. Par M. DE CHAZELLES. M. 1702. .« p. 98- w >> Sur la Force néceffaire pour remonter les Bat- .7, ■ tgaux. H. 170Z. p. 1 2,6. » " Examen de la Force néceflaire pour fiire moii- » voir les Batteaux , tant dans l'Eau dormante que %. courante , foit avec une Corde qui y cft'atta- » cliéc , &: que l'on tire , foit avec des Rames , ou » par le moïen de quelque Machine. Par M. DE LA HIRE. M. 170 z. p. 154. » '. Sur la Vis.H. 1699, p. 1 1 1. M , " Rapport gênerai des Forces qu'il faut cm- ploier dans l'ufige de la Vis. Par M. VARI- GNON. M. 1699. p. 91. » » Sur la pofition de l'Axe des Moulins à Vent à » l'égard du Vent. H. 170 1. p. 138. « '. Sur la manière de tailler des Meules pour des » Verres Hyperboliques , &: en général détourner ?> tous les Conoïdcs. H. 1701. p. 92. » Sur une Machine faite pour éprouver la propor- " tion de la chute des Corps. H. 1699. p. 116. T^l>. des Mit. 1699. — 17 10, Fff 4TO TABLE DES MEMOIRES Mechaniqi'e, • " Sur la Machine du PERE SEBASTIEN, rap- » portée dans l'Hiftoire de KÎpcj. p. ii6. oC » ( Mcmoire, ) p. z8j. H. 170 z. p. 134. M " Sur quelque Arcs emploies dans l'Architedu- w le. H. 1702. p. 119. « " Remarques fur la forme de quelques Arcs donc « _ .onfelcrt dans l'Architeclure. Par M. DE LA « HIRE. M. 1701. p. 94. » "Sur la figure de l'Extrados d'un Voûte Circu- « laire, dont tout les VouiToirs font en équilibre M cntr'cux. H. 1704. p. 93. »> "Sur la Dcfcription des Arts. H. 1699. p. " 117. Medicamens purgatifs. L'Examen de leurs Vertus & de leurs différences eft très néccfEiire. M. 1700, p. I. Médit ei^ane'e (la Mer) n'a point de Flux & de Reflux. H. 1710. p. 28. » " Sur une ancienne Communication de la Mc- » diterranée & de la Mer Rouge. H. 1702. p. 83. Melancholie fuivie de fureur caufce par amour , &;c. guerieparM. DU VERNEYle jeune, & com- ment ? H. 1704. p. Z2. Melanocerason ( forte de Plante. ) Mauvais effets de fon Fruit mangé. H. 1703.P. y^. Meliceri ( forte de Loupe ) ce que c'cft ? H, 1705, p. 23. Melocat'Vs AmericaKus Plante. Sa Defcription donnée à l'Académie par M. MARCHANT. H. 1708. p. 69. Membranes duFœtus,quellci,.& combien? H. 1700, P-V- DE L'ACADEMIE 1(^5)9 — I7I0 4" Des Animlux, ibid. Les trois Membranes qui enveloppent le Fœtus Humain dcffechccs &: montrées à l'Acadcmic par M. LITTRE. H. 1701. p. ic). Membrane Urinaire, ce que c'eft ; H. 1699. p. 53. Nouveau Syftcme de M. TAU VRY, qui difpen- fe les Sucs contenus dans l'Amnios de traverlbr la Membrane Urinaire. H. 1699- P- 3 3- Mémoire perdue pendant la Chaleur, &; revenue pen- dant la Fraîcheur. H. 1 70 ^ . p. 5 8. Mer. Le degré de Chaleur y eft égal à ditierentes profon- deurs, H. 17 10. p. z y. Eau de Mer eft plus brillante & plus claire qu'au- cune autre, ibid. p. 2 j . & Iq. v./:.-^ La Salure & l'Amertume de fes Eaux par quoy produites. /^/V.p. i(î. Ejf^iy de Phyjiqnc Jnv l'H/fiûire de la Mer en- ,: : . voie &c dédié à l'Académie par M. LE COMTE MARSIGLI.H. i7îo.p. 13. Idée de cet Ouvrage, ibid. pp. 14. &c iqq. » » Sur les Pierres, & particulièrement fur celles de » laMcr.H. 1707.P. j. Mers ( la Conjonction des deux) eft en fait de Canaux ' l'Ouvrage le plus merveilleux. H. 1^99. p. 114. » » Baromètres fans Mercure à l'ufage de la Mer. .*.-,. ParM.AMONTONS.M.i70 5.p. 49. M « Sur un nouveau Baromètre à l'ufage de la Mer, ■" H. 1705'. p. I. « Le Baromètre ordinaire n'a encore pu fervir fur « Mer , & pourquoi ; ibid. p. z. » Trouve par M. AMONTONS. ibid. p. %. Inconvçniens rectifiés de ce nouveau Baromètre. ibid. p. 3. . - .- ■ . . F fFI) 411 TABLE DES MEMOIRES " Mer. Nouvelle méthode de prendre les Hauteurs en " Mer avec une Montre ordinaire. H. 1703. p. 87. ^ Cette méthode inventée par M. PARENT. ihid. p. 89. La Mer a conftammcnt un Mouvement , mais fort lent. H. 1707. p. 6. LaMer atrois fortes de Mouvements. H. 1710. p. 28. Horizon de la Mer fujet à des Variations. M. 1707. pp. 19^. 196. &fq. Ces Variations n'ont aucun rapport avec celles du Thermomètre & du Baromètre, ibid. p. 197. Flux& Reflux de la Mer. Foiez. Flux. Mercure. Tout Mercure , pourvu qu'il foit pur & fins mélange, eft parfaitement femblable. H. 1701. p. 3. Pefe plus qu'aucune autre Liqueur. H. 1701, p. 8. Son rapport en pefanteur à l'Huile de Tar- tre. M. 1708. p. ï66. à l'Eau Seconde./'^. Ne peferoit pas plus que l'Air fous un égal Vo- lume qui feroit à dix - huit lieues environ de la Surface de la Terre vers le Centre. H. 1703. Pourroit n'entrer dans la Compofition d'aucun Métal. H. 1707. p. 44. &c fq. « " Suite des Eflais de Chimie Art. IV. du Mer- cure. Par M. HOMBERG. M. 1709. p. 106. Mis parmi les Principes Chimiques , £>c poufr quoi ? ilud. èc fq. • On peut le détruire , & comment ? iùid. p. 107. Coufideré en trois états différents, il/id. p. lop. X DE L'ACADEMIE 1^99— 1710 4Î5 'Mercure. » Des DilTolvans & des Diflblutions du I Mercure. H. 1700. p. j j. Erreur des Chimillcs fur le Mercure , reconnue parM.HOMBERG./^/à'.p. jj. Eau Régale dilTouc le Mercure, ibid. p. j f. Terre grifc & Icgcrc tirée du Mercure, ibid. p. ^(î. , y Obfervations fur les DifTolvans du Mercure. Par M. HOMBERG. M. 1700. p. 190. , M Suite des Obfervations fur les Djllo'vans du Mercure. Par M. HOMBERG. /^/iZ. p. 19^. Le Compofé du Mercure n'eft pas uniforme. ibid. p. 191. &: 197. Les Eaux Régales dilTolvcnt le Mercure comme font les Eaux Fortes. /^/^. p. I9<5. Acides minéraux diffolvent le Mercure, ibid. p. 19^. Expérience qui prouve que le Mercure n'eft pas homogène dans toutes fes parties. M 1700. pp. I97.&fqq. Expériences faites fur le Mercure expofé au Foïer du Miroir du Palais Roial. M. 1709. p. 174. &fq. Peut devenir lumineux en y mêlant du Phofpho- re liquide. H. 170 1. p. 3. Le Mercure d'un Baromètre étant nettoie avec de la Chaux vive , peut devenir lumineux. H, ' 1701. p. 3. &:fq. Moien de purifier parfaitement le Mercure. H. ■ î7oi.p. j. M. 1701. pp. 141. &:fqq. D'où vient au Mercure le don de produire de la Lumière dans le Baromètre. H. 170 1 . p. 8. LeMercure malgré fa pefantetîr,fe rarcfî? dans le chaud. H. 1704. p. z. F ff iij- 4Î4 TABLE DES MEMOIRES Mercure. De combien augmente l'on Volume du plus grand Froid au plus grand Chaud de notre Cli- mat. H. 1704. p. a. Du Baromètre fimple ne le dilate ni ne le con- dénie fenfiblement par le Cliaudou par le Froid. .' ' ■ . H. 1709. p. 2.. La Hauteur du Mercure change fuivant les dif- férentes Hauteurs au deffus du Niveau de la Mer. H. 1700. p. 1Z7. Mercure ( Planète) a à proportion des autres Planètes une plus grande excentricité. H. 1707. p. 87. Ses Equations de l'Orbe difficiles à être diftri» buées , &: pourquoi î iiJd, M « Sur la Planète de Mercure. H. ijo6. p. loi?. Difficile à être obfervc , &c pourquoi ? /^/V. p, . . 106. &: fq. H. 1707. p. 83. »» j> Réflexions fur les Observations de Mercure. « ParM.CASSINLM. 1707.P. 359. Idée de la Théorie de cette Planète fuivant les Anciens. /^/V. p. 3 6 1 . &: fqq. ' ■ Recherche de fon moien mouvement. /'^/V, p. 3 64. & fqq. .... Ses Neuds. tl>/d. p. ^66. Ôc fqq. De l'inclinaifon de fon Orbite, /'^/V. p. 3 6Î. & fq. Obfervation de Mercure vu fur le Difque du O à Tchaotcheou Ville de la Chine, le 8. Novem- bre 165)7. par le P. Fontaiiay Jefuite. H. 165)5?, P-8y. • » Sur la dernière Conjondion Ecliptique de '$ -.» avec le o. & en général fur la Planète de 5 . H, A 1707. p. 83. Son mouvement peu connu aux Anciens. H, 1707. p. 8 j. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7I0 4ïf » Mercure. " Obfcrvations de Mercure comparées au « Calcul de nos Tables , à l'occafion de fa Con- M jondion inférieure avec le Soleil au mois de May » de cette année 1707. Par M. DE LAHIRE ie » Fils. M. 1707. p. 198. Obfcrvé fur le O • la première fois en 16^1. par M. Gaflendi. i^id. p. 198. t" . "Reflexions fur le PafTage de Mercure par le b» Difquc du o au mois de May 1707. Par M. DE » . LAHIRE. M. 1707 p. 100. Combien de fois, &: par qui obfervc fur le Q. ih^d. p.. 201. On crut l'avoir vu dans le O du tems deCharlcs- Magne. H. 1707. p. 8 y. Averrocs crut avifli l'avoir vu dans le douzième Siècle , & Kepler , en 1 607. zl?id. W " Delà dernière Conjondion Ecliptique de 5: avec le Soleil. Par MM. CASSINI & MARAL- .. DLM. 1707. p. 175-. » ■ >' Obfervations de Mercure dans le Méridien , » comparées avec nos Tables. Par M. DE LA HIREleFils. M. 1706. p. 9j. Merides terme d'Acouftique , ce que c'cft > M, 1700, p. 13^.^ Le Sy ftême des 43 . Merides eft le plus parfait des Syftcmes tempérés de Mufiquc. M. 1707, p. 2.21. " Méridienne. » Sur la prolongation de la Méridienne » de Paris. H. 1700. p. 123. . Continuée cm 68 3. par MM. CASSINI& DE , LAHIRE. /-^/W. p. 125. en i70o.par M. CASSINIducôtédu Midy, /^/W. p. I2J. Réflexions fur la méthode emploïée par M, CASSINL/^/d'.p. I26.&fq. %ié TABLE DES MEMOIRES " Méridienne. ( "Sur la) H. 170 1. p. 96. " De la Méridienne de l'Oblervatoirc Roïal prolongée jufqu'aux Pyrénées. Par M. CASSI- ». NI. M. 1701.P. 171. Ufages de la prolongation de cette Méridienne. Méthodes cmploïécs dans la prolongation de cette Méridienne. M. 1 70 1 . pp. 1 77. &; fqq. Méridiens. Leurs degrés ne font paségaux. /^^/'a'. p.i8;. Leurs dégrés augmentent de leur 800*^ partie ,j entre les 40. & 48. dégrés de Latitude. M. 1701. p. 185. Cette augmentation cft la même que celle des diftanccs de la Lune à fon Apogée vers les mê- mes dégrés , &c. M. 170 1. p. 183. Invariabilité des Méridiens Tcrrcftrcs établie par les Obfervations de M. DE CHAZELLES en Egypte, & par celles de Bologne. H. 17 10. j f "La Méridienne d'Uranibourg déterminée par .?- .' ; Tycho trouvée différente de la véritable par M. PICART. /^/V. p. 148. & fq. M Meroe' ( Iflc ) ,. Conjcdurc fur la poiition de riilc de « Meroé. ParM, DELISLE. M; 1708. p. 36^. Mersenne (Le p.) Méthode pour trouver le Son fixe félon lui. M. 1701. p. 3 59. & fq. MERY ( M. ) Son Sentiment fur l'ufagc du Trou Ovale dans le Fœtus , contraire au Sentiment d'Harvée &deLow;ïr.H. 1699. pp. 2.^. &: fqq. Son Livre au fujet de la Contcftation avec M. TAUVRY,fur l'ufage du Trou Ovale dans le * ' ' - Fœtus. H. 1699. p. 30. Etat de la Qucftion fur la Circulation du Sang dans le Fœtus , agitée entre M. MERY &c M. DUVERNEY.H. i703.p.32.&fq. MERY. D E L'ACADEMIE î^^^ — 1716 417 MERY ( M. ) Critique de ion Syflêmc fur la CirculA- tion du Sang dans le Fœtus par M. DU VER- NEY. M. 165)5. pp. ijo.&fqq. Sa Dcfcription du Cœur de la Tortue différente de celle de M. DU VERNEY, i^id. p. a jo. Son Syftcme fur la Circulation du Sang fe trouve vray dans un Homme de 40. ans , dont le Trou Ovale étoit refté ouvert. H. 1701.P. 57. Certificat de l'Académie donné à M. MERY au fujetdcfa Difputeavcc M. DU VERNEY, &c. fur la Circulation du Sang, &:c. &:furfes Dcf. criptipns du Cœur de la Tortue , &c. M. 1703. pp.342..&:fqq. Objedion f<ïite au Syftêmc de M. MERY , que l'Air entré dans les Poumons ne s'échappe pas du Corps par les Pores de la Peau. H. 1 707. p. 1 3 . RéponfedeM. MERY àl'Objedion faite à fou Syfïême , fur ce que devient l'Air entré dans les Poumons. H. 1707. p. 1 3. Réflexions & Expériences qui appuient fon Sy- ftême de ce que devient l'Air entré dans les Pou- mons. H. 1707. p. 14. &fq. Découvre que les Veines Hypogaftriques font percées deTrous à leur extrémité. H. 1700. P-3^- fait voir à l'Académie plufieurs amas de Grains fcmbiables à des petites Glandes , trouvés dans le Sinus longitudinal de la Dure-Mere d'un Hom- me. H. 1701. p. 50. Trouve des petites Pierres à l'extrémité dej Franges des Pavillons , & fur la Membrane de l'Ovaire gauche d'une Femme. H. 1701. p. 51, Donne à l'Académie les Dcfcriptions Anatomi- ques d'une Taupe mâle , &: d'un Animal venu de la Ménagerie de Verfaillcs. H. 170 1 . p. 5 5. T4L dcsMdt, 16^^ __ 1710 Ggg 4i8 TABLE DES MEMOIRES M£Ry ( M. ) Son Traître fur l'Extradion de la Pierre, H. 1699. P- 30- Mouvement Periftakiquc &:Vcrmiculairc obfcr- vé par M. MERY dans une Femme morte en- ceinte. H. 1699. p. jo. Croit avoir découvert la fource de l'Humeur Aqucufc. H. 1707. p. zy. Ses nouvelles Expériences flir des Maladies de l'Oeil , qu'il croioit être des Cataractes mcmbra- neufcs , Se qu'il trouva des Criftallins glau- comatiqucs. M. 1708. pp. Z41. & fqq. LISTE CHKONOLOGÎ QVE des Ademoircs imprimés de Af , M E ar. 169^ 1710 » "Oucftion Phyfiquc, s'il cft vray quel' Air qui » entre dans les VallPeaux Sanguins par le moien » de la Rcfpiration , s'échappe avec les Vapeurs &c » les Sueurs par les Pores infenliblcs de la Peau. » M. 1700. p, 117. » " Obfcrvations fur les Hernies. M. 1701. p. 2,73. M " Traité Phyfiquc , contenant. » 1°. Un Examen des Faits obfcrvcs par M. DU » VERNEYau Cœur des Tortues de Terre. » z°. Une Réponfc à fa Critique du nouveau Syftc- »• me de la Circulation du Sang par le Trou » Ovale du Coeur du Fœtus Humain. « 5°. Une Critique des Obfervations qu'a fiitcs » M. Buifliere fur le Cœur de la Tortue de « Mer. DE L'ACADEMIE 1699— 1710 413 .* 4°. Une Dcfciiption du Cœur de ce même » Animal. » 5°. Une Defcription du Cœur d'une grande * Tortue Terreftrc de l'Amérique. M. 1703. p. 337. ». MERY. ( M. ) " Des Mouvcmcns de l'Iris , &: par occs.- j. fion de la Partie principale de l'Organe de U « Vue. M. 1704. p. z6i. » » Defcription d'une Exoftofc monftrucufe. M. J> 1706. p. 24^. s » » Obfervations faites fur le Squclct d'une Jeune s. Femme âgée de fcize ans , morte à l'Hotel-Dieu » de Paris le zz. Février 1706. M. 1706. p. 472.. .-. « " Queftion Phy fique , fçavoir, fi de ce qu'on peut M tirer de l'Air de la Sueur dans le vuide, il s'enfuie 5j que l'Air que nous refpirons s'échappe avec elle 3j par les Pores de la Peau, M. 1707. p. 153. 5j " Qiieftion de Chirurgie, fçavoir fi le Glaucoma ■V &c la Catarade font deux différentes , ou une tt feule & même Maladie. M. 1707. p. 491. » «Problême d'Anatomie, fçavoir fi pendant la » GroircfTc il y a entre la Femme & fon Fœtus une t. Circulation de Sang réciproque. M. 1708. « p. 186. 3> "De la Cataraûe 8c du Glaucoma. M. 170S. » p. 141. » » Remarques fur un Fœtus monftrueux.M.1709. " p. i^. n » Obfervations fur les mouvements de la Lan- » gue duPiver. M. 1709.P, 8 j. M » Réponfe à la Critique de M. DE LA HIRE u du 10. Mars 1709. première Partie. ( Sur » quelques Faits d'Optique , & fur U ma- M niere dont fe fait la Vifton.) M. 17 10. p. 374. »> " Remarques faites fur la Moule des Etangs. » M. 1710.P.408, . ^ . Gggij 4ZO TABLE DES MEMOIRES Mesu res fixes confervécs à la poftcritc par la longueur an Pendule à Secondes. M. 1703. p. j i. Me s u RE de laTcrre faite par 1' Academie,quand commeii- cée.H. 1700. p. 113. li » Sur la Mcfurc de laTerre faite par Snellius. H. * 1702. p. 82. Diffère de celle de rAcadcmic. /^/V. Erreur dans les Calculs de Snellius. il/id. ScCq. '„ » Réflexions fur la Mefure de la Terre rapportée par Snellius , &c. Par M.CASSINIleFils.M. .. 1702.. p. 6a. «Mesures itinéraires {» Sur le rapport des ) anciennes w avec les modernes. H. 1702. p. 80. » w Comparaifon des Mcfures itinéraires ancien- » nés avec les modernes. Par M. CASSINI.M. '■ 1702. p. If. Métal parfait n'eftautre chofe qucdu Mercure très pur , &:c. M. 1709. p. 107. Le Mercure pourroit n'entrer dans la Compofi- tion d'aucun Métal. H. 1707. pp. 44. &lqq. Métaux (les) peuvent être diftiibués en trois Claffcs par rapport aux Efprits Acides dont on fefcrt pour les diffoudre. M. 1700. p. 190. & fq. 3» " Réflexions &c Obfervations diverfes fur une » Végétation Chimique du Fer, & fur quelques » Expériences faites à cette occafion avec diffc- » rentes Liqueurs acides &: alcalines, &: avec diife- » rens Métaux fuhftitués au Fer. Par M. LEME- 3> RY le Fils. M. 1707. p. 299. Il y a des Liqueurs qui les diflTolvent tous , & d'autres qui n'en diflolvcnt qu'une partie. M. IJ06. p. 102. • Se multiplient par des Germes particuliers. M. 3702. p. 230. Pourquoi les uns plus aifés à difloudrequc le* auîres. M, 170 1 . p. 44. &: fq.. DE L'ACADEMIE i(î99— 1710 411 Métaux. Précaution à prendre pour dcflcchcr les Mé- taux, M. 1710. p. 217. » » Eclairciflcmens fur la produclion artificielle M du Fer , & fur la compofition des autres Métaux. ^ Par M. GEOFFROY. M. 1707. p. 176. Imparfaits , quels font-ils ? M. 1707. p. 183. Contiennent du Souffre, iù/d. pp. i83.&:fqq. Les Suhftances qui les ' compofent ne différent point clfentiellement de celles qui compofent les Végétaux. /^/V. p. 1 87. » » Sur les Métaux imparfaits expofés au Verre a» Ardent. H. 1709. p. 3^. Quels font ces Métaux imparfaits, iùia'. p. 3 6, Bafe de ces Métaux , quelle. ihuL Ont tous un même Souflre ou une même Sub- ftance huileufc , qui cfl auifi la même que dans les Végétaux Scdans les Animaux, lip/^. p. 37. M » Expériences fur les Métaux faites avec IcVcrrc Ardent du Palais Roial. Par M. GEOFFROY. » M. 1709. p. 162. Dilficultés de tenir les Métaux long-tcms en fonte au Foïcr de ce Verre, par l'inconvénient des Supports dont on peut fc fervir. iùial. p. 163. &fq. (Teinture des) ce quec'cftj& fi préparation ? M. 1700. p. 127. METEOREqui parut enitalieen 167^. H. 1710. p. 151, Ecrits &c Difputcs de quelques Sçavants àfon occafion. iLul. & fq. Méthodes générales , leur avantage. H. 1^99. p. 70. Micromètre. ( Sorte de) très commode pour fObfer- vatioa des Etoiles pendant la nuit. M. 1-7 oC^ Gggiij 41Î TABLE DES MEMOIRES mMicrometre. Méthodes générales pour trouver la :! différence en Déclinaifon &; en Arccnfion » droite de deux Aftrcs qui font peu éloignes l'un •t de l'autre , en fe fervant du Micromètre. Par M. DELAHIRE.M. ijoi.p. ICI. ConftrutStion & ufage d'un nouveau Réticule pour les Obfervations des Eclipfcs du O & de la C- Se pour fervir de Micromètre. Par M. DE LAHIRE. M. lyoï.p. 119. (Nouveau) fort ingénieux inventé par M. Le Fevrc , &c approuvé^ par l'Académie. H. 170J. p. 138. 5j Miel. "Sur la nature du Miel. H. 170^. p. 3^. » :. Du Miel Se de fon Analyfc Chimique. Par M, w LEMERY.M.iyoé. p. 172. Ce que c'cft que le Miel. "7 .;., Miel Vierge, ce que c eit ? J r /j De quel ufage le Miel étoit chez les Anciens. ihid. p. 17 5. Mile ( le) dans l'Archipel , Obfervations faites au Mile parle P. Feuilléc Minime, De l'Immcrfion du i. Satcllitede Tp du 4. Juin 1701.M. 1702. p. 10. De la Hauteur du Pôle du Mile par plufieurs Hauteurs du C ibid. De la Déclinaifon de l'Aiman en 170 1. ihid. Milieux. Les Rapports des puiflances refradives de divers milieux , différent fouvent de ceux de leur dcnfitéoudelcur pcfanteur. M. 1700. p. 81. » Sur la Réfiftance des Milieux au Mouve- » ment. H. 1707. p. 139. H. 1708. p. 113. H. 1705). P.97.H. 1710.P. 133. Trois Hypothéfcs fur la manière dont les Mi- lieux réliftent au Mouvement. H. 1707. p. 143- DE L'ACADEMIE 1695? — 1710 42.5 Mu-iEux. Théorie des Formules de M. VARIGNON fur cette Matière, ibid. pp, 140. &fqq. M » Des mouvements faits dans des Milieux qui » leur rcfiftent en raifon quelconqvie. Par M. V A- RIGNON.M.1707.P. 38i. Voi'ez, M.ï.CHKiilQV^ cj-dejfiis . p. 403. &fq. Mille Ancien, fon rapport à la Toifc de Paris H. 1701. p. 80= Minérale ( EleCirmn ) ce que c'eft ; M. 1700. p. 1 17. Minérales ( Eaux ) chaudes. Conjedurc fur leur origi- ne. M. 1700. p. lOJ./tf/fliEAUX. Minérales (Matières ) quels font leurs principes ; M. 1702.. p. 34.^ Leurs principes contenus dans les Vé H. 1705. p. 34. Difficultés d'y tenir long-tems les Métaux en fonte par les inconvenicns des Supports dont on pcutfefcrvir.M. 1705). p. i6j.&fq. 3» " Sur des Expériences faites à un Miroir Ardent « Convexe. H. 1701. p. 34. Votez. Chimie cy-dejpcs. p. i ^4. Mixtes. La Matière de la Lumière eft le fcul principe aftifdetous les Mixtes. M. 1705-. pp. 89. & fqq. Un Mixte ne doit pas être plus doux , parce qu'Û a plus d'huile. H. 1703. p. 4^. Les Mixtes fulphureux ne le font très fouvcnt que par la moindre de leurs parties. M. 1703. La Diftillation eft peu propre a taire connoitre -' Jcur nature, &: pourquoi? M. 1700. pp. ^. ... 6^. — ^7 1 o, H hh 4z6 TABLE DES MEMOIRES Mois ( le ) Lunaire Grégorien eft conforme à celui qui Ce tire des meilleures Tables Aftronomiques. M, 1703. p. 49. » ( Lunaires. ) » De la Corredion Grégorienne » des Mois Lunaires Ecclefiaftiques. Par M. CAS- ^ SINLM. lyoï.p. 367. DelTcin de Grégoire XIIL dans cette Correc- tion, ihid. 5 » Des Equations des Mois Lunaires & des An- M nées Solaires. Par M. CASSINL M. 1704, » p. 146. MoLARD ( M. ) Machine de Ton invention pour faire mouvoir avec une grande facilité les Aiguilles des Cadrans très éloignes de l'Horloge , approu- vée par l'Académie. H. 1709. p. 113. MoLiERES(M. L'Abbé De) prefcnte à l'Acadcmie en 1704. une Méthode nouvelle &:ingcnieufe pour trouver en peu de tems les Nombres premiers, H. 170J.P. 81. MoLS. Os devenus mois. H. 1700. p. 3(J. MoNOCHORDE (nouveau) inventé par M. CARRE',&c. H. 1704. p. 89. Monstre. Dcfcription d'un Enfant monltrucux. H, 1700. p. 41. Fœtus Humain monftrueux avec une efpece de Bonnet derrière la Tête. H. 1700. p. 45. « " Obfervar. fur un Fœtus Humain monftrueux. 3> ParM.LITTRE.M. 1701. p.90. Deux Filles jointes enfemble depuis le de/Tous des Mamelles jufqu'au Nombril commun. H. 1701.P. i7.&:fq. Relation d'un M onftre né à Blois, lue à l'Acadé- mie par M. RENEAUME. ( deux Enfans qui avoient le fommetdelaTcte & l'Occiput com.- mun. ) H. 1703. p. 3p. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 427 Monstre Humain qui n'avoit ni Foie ni Ratcc, nila- teftins , &c. H, 1 704. p. i I . Enfant monftrucux né auprès de Charleville. Sa Dcfcription.H. 1706. p. 2.9. - . . Dcfcription de deux Enfans monftrucux joints enfcmble , &c. M. 1706. pp. 4i8.&fqq. Explication des figures de ce Monftrc. i(?id, p. n<î- « "Sur un Fœtus Humain monftrucux. Par M. " LITTRE.M.1709.P. 9. ** » Remarques ftir un Fœtus monftrucux. Par M, t' MERY.M. 1709.P. i(î. Lièvre monftrucux. H. 1700. p. 41. ;•■ . Deux Chattes monftrucufcs jointes enfcmble .] .' depuis la Tctc jufqu'au Nombril. H. 1701. p. z8. »* " Sur un Agneau Fœtus monftrucux. H. 1705. " p. iS. Chien monftrucux qui n'avoit qu'un Oeil , & ni Nez ni Gueule. H. 1703. p. 43. & fq. Monstres [dans les rL!,iics](onz^\\.\s ordinaires &; plus bifarrcs que dans les Animaux» félon M. MAR- CHANT. M. 1707.P. 488. Sont en moindre quantité & moins furprenans que dans les Animaux , & pourquoi > H. 1709. p. 44. " " Diffcrtation fur une Rofc monftrucufc. Par M. MARCHANT. M. 1707. p. 488. Montagnes. Idée de M. (Jean) Schcuchzcr. Corr.fur l'Origine des Montagnes , ou fur la formation delà Terre. H. 1708.PP. 30.&: fqq. » Sur l'ufage du Baromètre pour mefurcr la Hauteur des Montagnes, & celle de l'Atmof- phcre. H. 1703. p. 11. Hhhij 4i8 TABLE DES MEMOIRES Montd'Or, la plus haute Montagne de l'Auvergne, fa Hauteur fur le Niveau de la Mer. M. 1703. p, 255. M. 1705. p. zio. Ohfervation de la Hauteur du Baromètre faite ''- fur cette Montagne en 1705. par Z£ p. i'£^^:)'- ■TIEN rRVCHET. M. 170J. p. zic).& fq. Montagnes. ( Hauteur de quelques) de Suiflfe, par les obfcrvations du Baromètre. H. 1708. p. 2.7. • - ' Cette méthode de les mefurer n'efl pas cncorS afl'cz fùre, & pourquoi ? ibid. S>c fq. S » Expériences du Baromètre faites fur diverfes M Montagnes de la France. Par M. MARALDI. M M. 1703. p. 2.19. Hauteurs de pluficurs Montagnes de France au dcfîus du Niveau de la Mer. M. 1703. p. Montagne de l'Aiguille en Dauphiné, pourquoi aiiiii nommée. H. 1700. p. 3. ' • Sa fituation particulière, ihid. Ce que c'eft au vray que cette Montagne. H. ' lyoj.p. II. & fq. Montpellier. OBSEUFJTIONS JSTRONOMÎ^ faites à Adontpellier. EclipfedcCdu 13. Décembre 1703. par MM. De PlantadeS: DeClapiés. M. 1704. pp. 14. &C fqq. EclipfedeCdu 17. Juin 1704. par MM. De Plantade, Bon Se De Clapiés. M. 1704.P. 197. & fq. Eclipfede C <-lu 13. Février 1710. par MM. Plan- tade &: De Clapiés. M. 1710. p. iij. &%. « DE L'ACADEMIE 1^99 —1710 415 MoNTPELLiER.Eclipfcdc© du li. May 1706. par MM. de la Société Roïalc des Sciences. M. 1706. Eclipfede© du 14. Septembre 1708. par MM, de la Société Roialc des Sciences. M. 1708. i..' '.: p. 416. Eclipfede© du 1 1. Mars 1709. par MM. De ;■ ' Plantadc& De Clapiés.M. 1709. p. 95. Eclipfc du Cœur du Scorpion (Antares) par la (£. r' ■ du 3 Septembre 1707. M. 1708. p. 2,. --;: _: ', Montre àRefTort. Nouveau Rcflbrtde Montre imaginé par M. DE LA HIRE. H. 1700. p. 147. Les Reflorts appliqués aux Montres de poche, rectifient lemouvemcnt du Balancier. M. 1700. p. 1^4. :! . : Diverfes manières d'appliquer ces RcfTorts. iL pp. 1 6^. & fqq. W " Nouvelle méthode de prendre les Hauteurs « en Mer avec une Montre ordinaire. H. 1703. p. 87. • ' Cette méthode inventée par M. PARENT. il>id. p. 89. Mores. Caufc de la Noirceur de leur Peau. H. 1701, p. 31. MORIN ( M. ) fucccde à M. DOD ART dans la placcde Botanifte Penfionnaire. ^1,1707. p. 191. Fait voir à l'Académie un Journal de tous les changcraens de l'Air pendant 33 Ans. H. 1701. p. 18. Abrège la Route ordinaire des Urines. H. 1701. ■ ■ P 35- Avantages & preuves de fon Syftême. li/id. p. 5 j. &fq. Examine les Eaux Minérales de Forges. H.170S. pp.J7.&fqq. Hhhii) 450 TABLE DES MEMOIRES «MORIN (M.) «Projet d'un Syftcme touchant les Paifa». u gcs de la Boillon &: des Urines. M. 1701. p, » 15)8. ». Mort fubite. ( «Sur une) H. 170 1. p. ly. « ....(» Sur une autre ) /l>/d. p. i8. » ....(" Sur une autre ) après une Médecine de %> précaution. /'^/i/. p. 50. MoRTiERde Bronze trèscommode, &:c. inventé par M, JAUGEON.H. 1699. p. 119. MoscHATellina/o/Hs fumarix bulbofx J. B. Plante. Sa ^ Del'cription lue à l'Académie par M. CHO- MEL, H. 1704. p. 41. Moschopule( Manuel ) Auteur Grec ,cfl: le premier que l'on fçachc qui ait parlé des Quiarrés Magiques. H. 170 j. p. 70. La méthode de conftruire les Quarrés Magiques, &:c. M. 170^. p. léi. &: fq. Moucherons. Manière d'élever des Figuiers par te . - ^ . moïen des Moucherons , pratiquée dans les Iflcs de l'Archipel. M. 1705-. pp. 340. & fqq. ^■ JvloucHEsà Miel & IcursRuchcs pétrifiées &: trouvéesfur les Montagnes de Siout dans la Haute Egypte par M. Lippi. H. 1705.P. 3(î.&:fq. ■ Moules. '• Remarques fur les Coquillages àdeuxCo- I»..-.- quilles, &: premièrement fur les Moules. Par ,» ' M.POUPART.M. 1706.P.51. .: : ■ Comment s'ouvrent leurs Coquilles. M. 170(3. p. j2. &fq. De leur mouvement progrclTif. ihid. p. j 6. &: fq, H. 1710. p. 1 1. De leur Rcfpiration , &c. de leurs Maladies. M. 170e. pp. 5'7. & fqq. » » Sur les Moules d'Etang. H. 1710. p. 50. Ne reçoivent leur Nourriture ôc ne refpirent que par l'Anus. /■^/d', •. , ,. „i DE L'ACADEMIE i699^rjî6 431 MoULEsClcs) n'ont ni Veines niArcercs,&:c. H. 17 10. p. 3 o. StruiSture de cet Animal. /'^/W. &: fqq. Comment Ce multiplie, ii^id. p. 3 2. » » Remarque lut les Moules des Etangs, Par M. -r MERY.M. 1710.P.408. Sont Hevmaphrodites,mais multiplient fans ac- / - couplcmcnt. /^/V. p. 408. Formation &: nourriture de leur Coquille. /^;W. r p. 409.&: fq. H. 1710. p. 33. •: Les mouvements de leur Coquille , d'où dcpcn- ; dent. M. 17 10, p. 41 1. .':". . De la progreflion delà Moule, ièid. p. 411. &c fq. ■ Commentrcçoitfanourriture. /^/W. p. 414. ' Comment fe fait leur mouvement progrefllf j ,-:r : • félon M. MERY. H. 1710. p. 3 z. Des parties de la génération de cet Animal. M. I710.PP. 418. &:fqq. Du Cœur de la Moule. /l>id. pp. 410. Se fqq. De fes Poumons &c de fa Refpiration, M. 1710, p. 414. & fq. . - : Moule s de Mer , ont-un mouvement progrclfif. M. 1 7 10. p.445.&fq. Méchanique de ce mouvement. ;'^/<3'.p.444. &c fq. Manière dont le Trocbiis ou Turbo ( forte de Co- quillage ) s'en nourrit , obfervce par M. DE REAUMUR. H. 1708. p. 28. & fq. ?> Moulin à Vent. " Sur la Poficion de l'Axe des Moulins s» à Vent, à l'égard du Vent. H. 170 1. p. 158. Leur mouvement dépend de laTlicoric des mou- vemens compofés. /^/i«'. p. 1 3 8. Leur Conftruclion juftifice par !a Théorie, par M. PARENT. /^/W. . . Moulins d'ufage en Allemagne pour dépouiller le Grain de fa Balle. M. 1708. p. 8i. &: fq. 45^ TABLE DES MEMOIRES Moulins. Machine inventée par M. De La Garouftc pour faire mouvoir à la fois quatre Moulins à Bled , approuvée par F Académie. H. 1707. Moulin inventé par M. Du Guet, pour épar-' gner à l'Equipage d'un Vaiflcau la pcnic de pomper, approuvé par l'Académie. H. 1707. MouSQi'ETS. Machine roulante du Sr. Dcftau , dont l'Axe porte fur chacune de ces quatre faces une rangée de Moufqucts qu'un Homme fcul peut tirer à la fois , approuvée par l'Académie. H. 1704. p. 114. MoussET ( le ) Montagne des Pyrénées. Sa Hauteur fur le Niveau de la Mer. M. 1705. p. 2,37. Moutons. Manière de connoître s'ils font fains ou non. M. 1701.P. I ji. Sont fujcts au Claveau , Maladie dangcreufe, ihid. p. lyz. «Mouton à battre des Pilotis. «Machine pour retenir la w Roue qui fcrt à l'élever , &:c. Par M. DE LA HIRE.M. 1707. p. i88.« » Inconvénients dans les Moutons ordinaires, ihid. p. 190. Mouvement extérieur, peut changer le tifiii d'un Corps, H. 1700. p. 1 1. Obfervation de M. HOMBERG fur ce Prin- cipe. ibid. Mouvement d'une certaine Lenteur eft nul phyfiquemcnt. H. 1707. p. 149. Mouvement, fa caufe Phyfiqucne peutfccon» noîtrc que par le Choc. M. 1709. p. 133. g .. Sur la continuation du Mouvement. H. 170 1. p. 14. Sa nature eft très peu connue, ibid. p. 14. Mouvement, DE L'ACADEMIEi(?99 — I7I0 43? Mouvement. Sentiment de M. Defcartcs fur cette matière, ibid. attaque par un Philofophe , qui fub- ftituëun nouveau S'y llcmc. p. ta. DifficultésdeMM DELAHIRE&PAPvENT contre ce nouveau Syftême. ibid. p. i 5 . v Quantité de mouvement d'un Corps ou f.i force , ce que c'cft ; H, 1700. p. 141. H. 1706. p. 1 2,5-, & fq. Ne peut jamais augmenter après le Choc. ibid. p. 118. Elle peut au contraire diminuer , & même s'a- néantir, ibid. » " Des Loix du mouvement. Par M. CARRE'. « M. 1706. p. 442. M " Sur une Théorie générale des mouvemens , V foit uniformes , foit variés àdifcrétion.H. 1707, p. 131. L'Hypothéfe de Galilée fubfifte .& ell conforme à l'expérience. H. 1707. p. 131. Uniformes , ce que c'cft ? M. 1707. p. zi j. »., Variés , ce que c'eft ; H. 1707. p. 1 3 1: M. 1707^^ Variés , ne peuvent être règles que fur les Tems, & non fur les Efpaccs , & pourquoi ? ibid. p. 131. Tout Corps tend à fe mouvoir en ligne droite. Principe reçu en Phyliquc. M. 1700. p. 10. ,, » Du mouvement en général par toutes fortes „ de Courbes , & des Forces Centrales , tantCen- „ trifugcs que Centripètes , néceflaires aux Corps qui les décrivent. Par M. VARIGNON. M. ^ 1700. p. 83. « 7' Sur la Refiftance des Milieux au mouvement. » H. 1707. p. 139. H. 170 8. p. 113. H. 170p. p. 97. w H.' 17 10. p. 1 3 3. Tab. des Mat, 1699. -—ijïo. I" 454 TABLE DES MEMOIRES Mouvement. Thcovic des Formules de M. VARÎ.^ GNON fur cette Matière, ihid. p. 140. & fq. Trois Hypothclcs fur la manière dont les Mi- lieux relillent au mouvement, ibid. p. 143. r<'i'(?Z.MECHANIQX]E(7Wf///J-p. 403. & Tq. 9 .. Du mouvement des Eaux. H. 1703. p. 12. y. Principe du mouvement des Eaux, que l'on ne regardolt que comme un Principe d'Expérience,, démontre par M. VARIGNON. ibid. p. 12.6. :S >' Du mouvement des Eaux ou d'autres Liqueurs „ quelconques de pclantcurs fpécifiques à difcrc- tion, de leurs Vitcflcs, de leurs Dcpcnfes par ,, telles Ouvertures ou Serions qu'on voudra , de „ leurs Hauteurs au deilus de ces Ouvertures , des M durées de leurs Ecoulcmens , Sec. Par M. VA- RIGNON. M. 1703, p. 138. Mouvement médiocre d'un Aftrc , ce que c'cft ? H.- 1704. p. 6}. Point do l'Ecliptiquc ou efl: le mouvement mé- diocre du Soleil, ibid. p. 64. «• » Sur les mouvemcns apparents des Planètes, ff- H. 17051. p. 82. Le Soleil eft le Centre des mouvements des Pla- nètes, ibid. Théorie de ces mouvemcns à l'égard de laTerrc, ibid. & fqq. «Mouvement progrciPif ( >. Du ) Se de quelques autres » ■ mouvemcns de divcrfcs cfpeces de Coquillages,. Orties & Etoiles de Mer. Par M. DEREAU- » MUR. M. 1710. p. 439. /-■tf/fC COQJJ ILLAGES. " MouvEMENS ( "De la reduAion des ) des Animaux aur LoixdelaMéchanique. H. 1702. p.95- Mouvement perpétuel. Bruit de la découverte du Mou- vement perpétuel. H. 1700. p. i 59. Son impoflibilité démontrée par M. PARENT, H, 1700. p. I ^5». DE L'ACADEMIE i(Î99 — iji^ 43y MoÏENNES Proportionelles entre deux grand:urs don nées. M. DE L'HOPITAL donne un moïen d'en trouver tel nombre qu'on voudra. H . i -07. p. 76. Mue des Ecrcviflcs , quand &: comment fe flùr j M. 1709. p. jio.&fq. Muet. Garçonde vingt ans devenu muet &: lourd pour avoir été fortement ferre à la Gorge. H. 1705. Muet &: Sourd de naiflancc, qui commença tout d'un coup à parler à l'âge de vingt-quatre ans , &:c. H. 1703. p. 18. cV' fq. Mulet s. La Peau de leur Croupe, & de celle des Che- vaux, fert à faire le Chagrin de Turquie, Se comment ; H. 1709. p. 8. & fq. MuLLER. (M.) Son Obfcrvation de l'Eclipfc de (T du ip. Septembre 1708. frite à Nuremberg. M. 1705). p. 61. & fq. «Multiplication des Corps vivants ( " Sur la ) confi- s; deréc dans la fécondité des Plantes. L Mémoire , w lùen l'Aflcmblce les ic). May &: 14. Juillet 1700. ParM. DODART.M. 1700.P. i3<î. T^'tf/ii Plantes. Musc (odeur de) produite par l'afîemblage de certaines drogues très puantes par elles-mêmes, & qu'elles? H. 1706. p. 6. &c fq. Muscles. Leur racourciffement doit dépendre de l'Li- flucncc des Efprits Animaux. M. 1710.P. 411, Sentimens des Anciens & des Modernes lur la Structure &; l'Adion des Mufcles , expofés àl'A- CademieparM. DU HAMEL. EL 1705. p. 58. , Comment on peut concevoir c]uc les Efprits qui gonflent un Mufclc pour produue un certain mouvement , en fortent dans l'inftant même qu'on veut faire unmouvcmcnr contraire. H. l70(J.p. Z2.. &:fq. liiij 43^ TABLE DES MEMOIRES Mu SCLES. De la force des Mufcles des Jambes , des Cuifj fes & des Lombes de l'Homme. M. i6i)$>. p. IJ4. La Force de l'Homme n'efî: pas la même que cel- le de rous fes Mufcles cnfcmble, ibid. p. lyj. dépend des Mufcles &:dc lapofitionduCorps.H. 165)9. p. 5)6. Mvscvs terrejlris cUvatus ^ïo'cze àcV\3.ntc. Les Capfulcs de cette Plante renferment une pouflîcre très fine. M. 1700. p. 36. Musiciens , en quoi diffère leur Syftcme de ceux de MM. HUYGHENS &: SAUVEUR. H. 1707. pp. 119. &:fq. Muiicicn guéri d'une Fièvre & d'un Délire vio- lent par des Concerts. H. 1707. pp. 7. &: 8. Mi'siça E, guérit un Délire furieux d'un Maître à Danfer, H. 1708. p. 11. & fq. Fournit le meilleur remède contre lamorfure des Tarentule.^. H. 170 z. p. 16. &: fq. ConjeauredeM. GEOFFROY fur lacaufe de ce Remède, ibid. p. 1 8. Sonufagechez les Anciens, &c. M. 1706. pp,- 388. &fqq. Les Accords font bornés en Mufique , &: pour- quoi î H. 1700. p. 13 j. ,1 "Sur les Sy rtcmcs tempérés de Mufique. H.1707. p. 1 17. LeSyilêmedeM.SAUVEUR adoucit les Dif- fonanccs , & n'altère que peu fenfiblemcnt les Confonanccs. H. 1707.P. 117. En quoi confifte ce Syftême. ihid. tf Sur un nouveau Syftême de Mufique. H. 1701. » p. IZI. Raifondes differens Syftêmes de Mufique. /^/V= pp. lié.&Ii/, t)"E L'ACADEMIE 169c) __ 171b 437 Musique. Syftême de M. SAUVEUR. Sonutilitc, fon étendue, ibid. pp. 12,8. & fqq. > " Syftcme général des Intervalles des Sons , & » fon application à tous les Syftcmcs & à tous les Iftrumens de Muliquc. Par M. SAUVEUR. M. » 1701. p, 15)9. j> " Méthode générale pour former les Syftcmes V tempérés de Mufiquc , & du-choix de celui qu'on f doit fuivre. Par M. SAUVEUR. M. lyoy.p.ioj, Qiicllc eft la vue d'un Syftéme de Mufique î ibid. Le Syftême des 43. Merides eft le plus parfait». M. ijpj. p. m. Aucun Inftrument de Mufique ne rcfTemblc aux Glottes , & pourquoi ? H. ijoj. p. 20. ,-.". I { Accords de ) traités amplement par M. CAR- RE'. H. 1704. p. 89. . M. CARRE' eft chargé par M. L'ABBE' BI-" GNON de décrire tous les Inftrumcns de Mufi- que dont on fait ufjgc en France. H. 1702. p. 136. Myrabolan 1ER à fruits en clochettes, Plante. Sa Def- cription envo'iée de la Martinique à l'Acadé- mie par le P. Breton Jcfuitc. H. 1705. p. 57. N Nam-cham-fu Ville de la Chine , Capitale de la Pro- vince de Kiamfi , fa Latitude. H. 1 699. p. 84. Nan-ghan-fu Ville de la Chine dans la Province de Kiamfi , fa Latitude. H. 1699. p. 84. Nankim Ville de la Chine, fa Latitude. H. 1699. p. 83. , fa Longitude. /^/V. p 84. liiiij /Ï3» TABLE DES MEMOIRES Narbonne. Mcfures delà diftance de Narbonne à Nî- mes. M. ijoz. p. i6. NarcissVs filvejtris mitltiplcx calice carens. ( Plante, y Sa Dcfcription donnée à l'Académie par M, MARCHANT. H. lyio.p.yc,. Narines ( la concavité des ) contribue à l'agrément du Sonde la Voix. M. 1700. p. 25:0. La concavité de la Bouche & celle des Narines- s'allonge &: fc racourcit fuivant les dilïcren» Tons de la \'oïy..ibid. p. 2 ^ i . Navigables { Rivières) Leur utilité. H. i6ç)c,. p. n^.. Diverfes Entreprifes pour rendre la Seine Navi- gable au dellus de Nogent , échouées, ihid. p. 114. &:fq. Ce Projet rétabli par M. le Duc de Rouanés. ibid.^. 1 1 j. Nebuleu se ( Etoile ) Figure des Etoiles qui compofent la Ncbuleufe du Cancer. M. 1707. p. 3 54. Nege , pourquoi excite le Froid , & puis le Chaud , quand on y plonge quelque partie du Corps. H. 17 10. L'Eaude Néçc fondue doit être exclue des Cî^ ternes , & pourquoi ? M. 170 3 . p. 66. Nerfs. Un Principe commun des Ncrts eft néceflaire dans toute Machine animée. H. 1703. p. 32. Peuvent n'être que des Tuiaux remplis de Li- queur ,& pourquoi : H. 1700. p. 40. Obfervation fur les Nerfs d'une Grenouille./^. Keubourg fur le Danube ( EclipfedeG obfcrvé à) le 11, May 1706. par les PP. lefuites. M. 1706. p. 470. NEUSDadcsPlanctes, &c. Foïez, Noeuds. NEXSTTON (M. ) &M. LEIBNITS ont recherché les premiers les pefanteurs ou efforts néccifaires aux Planètes, pour leur faire décrire autour du So- lei4 , les Orbes qu'on leur a fuppofés jufqu'ici. M, 1700. p. iiy. DE L'ACADEMIE 1^99— I7I0 '•453 KEWTON ( M. ) Inventeur en mémc-tcms que M, LEIBNITSduCalcul différentiel. H. 1704. p. 119. Nez (parler du) l'idée que l'on en a cil faufTc.H.ijoo. p. 20. V, « Sur un Ver rendu par le Nez. H. 1708. p. 41. NICOLE ( M. ) fait voir à l'Académie, avant d'en être Membre, une nouvelle Méthode pour la Théo- rie des Roulettes. H. 1706. p. 94. Généralité de fa Théorie des Roulettes. H. 1707. p. (Î5. Entreprend de faire un Traité fur toutes les Cy- '''" clo'idcs& Epicycloïdcs. M. 1707. p. 8 r. Découvre une nouvelle propriété des Courbes géométriques , qui cft qu'en roulant fur elles-mê- mes elles ferment toujours d'autres Courbes auEl - _ : géométriques, en quelque lieu que foit pris le Point décrivant, ihid. p. 87. Mémoires imprimés de M. NICOLE. i(Î95) «_ 1710 »' ." Méthode générale pour déterminer la nature y des Courbes formées par le Roulement de tou- n tes fortes de Courbes, fur une autre Courbe qucl- » conque. M. 1707. p. 81, w "Méthode générale pour reétificr toutes lesRou- »' lettes à Bafcs droitcs& circulaires. M. 1708. p.8^, NÎMES. McfuresdeladiftanccdeNarbonne à Nîmes. M. 1702. p. \6. NiNG-po ou Liampo, Ville de laChinedans la Province de Chckiam. Sa Latitude. '\ tt ^ o Cl • j ?■ H. 1(^99. p. 83. Sa Longitude. J ^^ r 7 Ni T RE ( le ) dans la diftillation , jette des Vapeurs rouges, M. 1707. p. 301. ( Efpritdc ) Différence entre les forces Dillol- vantes de l'Efprit de Sel & de l'EfpritdeNitre, M. I700.p.6 5:.&fq. Caufe de cette différence, ibid. p. 66. &: fq- , •44& TABLE DES MEMOIRES NiTRE (L'Erpricde ) difTour plus de chaque Alcat que TEprit de Sel , &: pourquoi ? H. 1700, P;49- Ne fçauroit diiroudre les Refînes , çxccpté le Camphre. M. 1705. p. 4). i Eft le Dilïolvant propre de l'Argent. H. 170^ p. 30. Mêlé avccrEfprit de SelnediiroutplusrArgent.i éùld. p. 31. Domine dans l'Eau Forte. lùiJ. p. 3 1 . Diffout le Fer , &: pourquoi î H. 1707. p. 32. Sépare du Fer qu'il tenoit en dilTolution , en en-* levé la plus grande partie des Soufïres. M. 1707. p. 302. Ne dilTour pas toujours toute la Limaille de Fer que l'on y verte, & pourquoi; M. 1707. p. 304. DifTolution de Limaille de Fer par l'Elprit de Nitre j mêlée avec de l'Huile de Tartre par defFaillance , produit une Végétation. H. 170^, P-39. «Niveau (» Sur un) H. 1699. p. m. ^. Efpece de miracles des Niveaux nouvellement inventés, ièid. p. 1 1 3 . Niveau de M. DE LA HIRE rendu d'une exç^ cution plus facile par M. COUPLET. i^/V, p.113. ^ '^Defcription du Niveau dont fe fert M. COU* „ PLET.M. 1(^99. p. 127. ^ "Sur un Niveau d'une nouvcUeConftrudion.H. » 1704. p. 99. • - Inconvénient des anciens Niveaux, iùid. pp. 100, Lunettes adaptées auNivcau par l'Acad. p. ici, Des Anciens , ce que c'étoit ; Jùici. p. 102. Avantages des Niveaux à Lunettes. il>id. p. ici. NiVEAUf DE L'ACADEMIE i^5>9— î-ro 441 "Niveau. « Defcription &c ufagc d'un Niveau d'une nouvelle conftruaion. Par M. DE LA HîRE. M. 1704. p. zp. Inventé par M. Verjus , mais difficile à re£ti- fier, approuvé par l'Académie. H. 1704. p. Nivellement. Son objet en général. H. 1704. p, 99. Des Anciens dcteétucux , & pourquoi ? H. 16^9. p. 113. H. 1704. p. 100. &: fq. AL 1704. p. 2y r. Noël ( M. ) Chirurgien de l'Hotel-Dicu d'Orléans , écrit à l'Académie le détail d'une Gangrené devenue commune parmi les Pauvres gens, &;c. H. 1710, p. 61. Noeuds des Planètes difficiles àdéterminer précifemenc» M. 1704. p. 309. Méthode de les trouver. il>Id, Pourroicnt bien n'avoir pas toujours !a même direction , mais rétrograder quclquesfois , &c. H. 1706. p. izi.' De Saturne en 1696. M. 1704. p. 3 17. &: fq. Mouvement des Noeuds de Saturne. /'^i(3^. p. 311. &: fq. Nombres premiers, cequec'eft; H. 1705. p. 81. Méthode nouvelle & ingenieufe pour trouver cnpeudetems les Nombres premiers, prcfen- tée en 1704. à l'Académie par M. L'Abbé De Molicres. H. 170 j. p. 81. « Nombres quarrés , &c. » Remarques furies Nombres » Quarrés, Cubiques, Quarrés-Qiiarrés , Qiiarrés " Cubiques , Se des autres Dégrés à l'Infini. Par . M.DELAHIRE.M. 1704.P. 3y8. Nonne T (M. ) Cûrr. Son Obfcrvation de l'Eclipfe de C du 3. Janvier 1703. faite à Tours. M. 1703. p. 2.8. Son Obfcrvation del'^Eclipfe deodu 8. Dccemb, 1703. faite à Tours. M. 1703.P. z8y. Tak d(s Mat, 1699. -^ 1710, Kkk 44i TABLE DES MEMOIRES" Nonnet(M.) Corr. Détermine la Latitude de Tours par des Hauteurs du ©.H, 1701. p. iio. &fq. NoRis (M. Le Cardinal ) prcfidc à rAilcmblcc établie par le Pape pour la Reformation du Calendrier. H. 1701. p. loj. » NosTOCH. ( " Obfcrvations fur le ) qui prouvent que :•> c'eil: véritablement une Plante. Par M. GEOF- « FROY. le Jeune. M. 1708. p. 128. Son Analyfe. /^/V. p. 2.19. Vertus qu'on lui attribue, ihid. p. 130, Nourriture. Comment quelques Animaux peuvent vivre fans prendre beaucoup de Nourriture. M, 1704. p. 162. & fq. Noyer (le) contient beaucoup de Suc Nourricier. H. 1707. p. 51. Confume beaucoup de Liqueur. M. 1707. p.zSo. Nouvelle eipece de Noyer {Nus ]uglans folio eleq^n ter dijjcclo ou achantifolio)x.'co\x\ikz en Ber- ry'parM.RENEAUME. H. 1700. p. 70. Noye's. Pourquoi reviennent fur l'Eau ? M. 1704. p. 8„ Nu GUET ( M. ) Son nouveau Thermomètre examiné. M. 1706. pp. 436.&fqq. Nuremberg. OBSEKVAT. ASTKONOMI^ES: faites A Nuremberg par Ad. Wurt:^elhaur. Eclipfe de C du Z2. Février 1701. M. lyor. jr. 71. &7J. Scfq. Eclipfe de C du 16. Avril 1707. M. 1707. p. 3 y j . & fq. Eclipfe de C du 19. Septembre 1708. par MM. \l^urtzclbaur ôc MuUcr. M. 170p. p.6z. &c fq. DE L'ACADEMIE 1^59 «-i/lo 44^ Nuremberg. EclipfedeO du23. Septembre 169^, M. 1701, p.8j. Eclipfc de ©. du iz. May 1706. M. iyo6. p. 469. Eclipfes du I. Satellite de Jupiter en. 1700. M. 1701. p. 76. Dcclinaifons deTAymanen diverfcs années. M. 1701. p. 77. M.i705).p. 63. I^'VxJugU^s folio elegnnterdijjelto ou Achantifolio. Nou- velle cfpcce de Noier trouvée enBerry par M. RENEAUME. H. 1700. p. 70. o Objectifs ( Verres de Lunettes à longue Vue) Pourquoi cndiminue-t'-on l'Ouverture. H. 1700. p. 131. « » De la néceflTité qu'il y a de bien centrer le Verre Objeflif d'une Lunette. Par M. CASSINI » le Fils. M. 1710. p. 223. » » Méthode pour centrer les Verres ( objectifs) « de Lunette d'Approche en les travaillant. Par M.DELAHIRE. M. i6c)jj.p. 139. » » Moicn d'empêcher que l'Humidité de la Nuit « ne s'attache aux Objcdifsdes grandes Lunettes, Par M. DE LA HIRE. M, i6c>^. p. 9 1 . Kkkij 444 TABLE DES MEMOIRE 5 Observations (Diverf.) Anarom.'j ^Anatomib.' Botaniq. 5/^<;/f z,S B o T AN 1 Qj' E. Chimiq.j (_Chimie, &:c. De la DcclinaifoiT) ( derAiman. j ÎAiman. Du Baromètre. «rr^>.J Baromètre. e Ja quantitc ' • d'Eau de Pluie. I | Pluie. Du Thcrmomec.J .(.Thermom. •Observations Aftronomiqucs (les) s'accordent à don- ner àla Matière Celcfte qui circule autour de la '* Terre, la même Vitefl'e qu'exige le Phénomène de la Pefantcur. M. 1705». p. i4j.&:rq. Certaines Obfcrvations font plus propres à des certaines déterminations, &c. H. 1706. p. 9j. Méthodes exaûcs d'obfervcr la fituation des Planètes , pratiquées par l'Académie. M. 1704'; p. 3i3.&:fq. Les Obfcrvations de Tycho fur Saturne, ne peu- vent s'accorder aux Elemcns de la Théorie de cette Planète, tirés desObfervat. les plus ancien- nes & les plus récentes. M. 1704. pp. 3 15). &: fqq^ OBSEUrJT. ASTRONOMI^VES. rapportées dans les Aîemoires de l'Academ, KTfjp ■ 1710 ECLIPSES DE LUNE. Du ij.Mars iéi)5>.parM. CASSINL M. i^^9. ': F- 13- par M. DE LA HIRE. ii>U p. 18. -, . . , par M. Des Haycs. Corr.à.l3t Martinique. H. 1700. p. 1 1 1. D£ L'ACADEMIE 1695) ii. 17/0 '4.^^ ECLIPSES DE LUNE. Du il. Février 1701. à Avignon par le P. Bonfa Jef, M. 1701.P.70. à Berlin par M. Kirch. il/id. p. 73. àColIiourcpar MM.CASSINI, MARALDI, CHAZELLES & COUPLET, iùid. pp. 6j, 69 Se fq. à Cordouë par D. Pedr.Anton.De Blancas./^/V. p. 68. à Kicl par M. Rehyer. /'^/V. p. 72. à Madrid par les PP. Ulloa & Cat, fani Jef. /^;W. pp. 67. ôiTfq. àMarfeille par le P. Laval Corr. il?id. p. 71. à Nuremberg par M. Wurtzel- baur. iêiU. p. 71. & 7 j. & fq. à Pau ( Bearn. ) par le P. Pallu 'icLthid. p. 70. à 10. Milles au SE. de Smirnc par le P. Feuillce. M. 1702,. p. 9. à Strafbourg par M. Eifenchmid. ib^d. p. 46. & fq. & 7 1 . à Toulon par le P. Simcon , Car- me DcchaufTé. ihid. p. 46. Du 3. Janvier 1703. à Bologne par MM. Manfrcdi & Stancari. M. 1703. p. iS.&fq. à Paris par MM. CASSIN1& DE LA HIRE. ibid. pp. ^ & ir. à Rome par MM. BIANCHINI &:MARALDL ih. p. 15. & fq. à Tours par M. Nonnec Corr. ibid.^. i8. Kkkiij 446 TABLE DES MEMOIRES ECLIPSES DE LUNE. Du 13. Dcccmb.1703. à ArlcsparM. Davizai-d. M.1704J p. 14. à Avignon par le P. Bonfli. ihid, à Dunkcrquc par M. DE CHA- ZELLES. ibid. àMarfcillc par le P. Laval. /77/W. àMontpcllicrpar MM. DcPlan- tadc &: De Clapiés. ibid. à Paris par M. DE LA HIRE. ibid. p. 6. Du 17. Juin 1704. à Bologne par MM. Manfrcdi&: Stancari. M. 1704. p. 159. à Modene par le P.FontanaThea* tin. ibid. p. 197. & fq. à Moncpcllicr par MM. Bon , De Plancadc Se De Clapics. ibid. Du II. Deccmb. 1704. à Cartagcne par le P. Fcuillce. Aï, 1708. p. 51. à Paris par MM. CASSINL MA- RALDI & DE LA HIRE, ibid. pp. 3 ^6. & 3 jz. Du 1%. Avril 1701?. à la Martinique par le P. Fcuillce, M. 1708. p. i^. auPort dcPaix( IfleSc.Dominguc) par le P. Boutin Jcf. H.i70(î.p. 1 1 3.M.1706.P. 481.&: fq. à Paris par MM. CASSINL MA- RALDI & D E L A M I R E. M.1706.P. ly^. & I J7. Du zi. Octobre 1706. à Bologne par MM. Manfredi & Stancari. M. 1706. p. y 13, DE L'A C A D EM I E i(?ps) — ïyro 44;? ECLIPSES DE LUNE. Du il. Odobrc 1706. à Marfeillc par Le P. Laval & M,. DE CHAZELLES. /^. p. 511. à Pans par MM. DELAHIRE. M. 1706. p. 471. Du jj. Avril 1707. à Bologne par MM. ManfrediSC Stancari. M. 1707. pp. 3 y y. &: fqq. à Gencs par M. le Marquis Salva- go. M. 1707. p. 170. à Genève par M. Le Prieur Gau- tier./'/'/'rf'. pp. 5 y 5 .& fqq àLeipfik par M. Rivinus. ihid^ p. 171. à Nuremberg par M. \i7urtzel- baur. ibia. pp. 3 y 5 . &: iqq. à Paris par MM. CASSINI, MA^ RALDI & DE LA HIRE. ibid. pp. 169. & ïji.&L fq. au Port de Paix ( Iflc St. Domin- gue ) par le P. Boutin. ihid. p. 38i.&:fq. à Rome par M. BIANCHINL ihid. pp. 3 y y. & iqq. & 55J. &fqq. à Zurich par MM. Scheuchzer. Corr . tti;d. pp. 555.5.; fqq. Du y. Avril 1708. à Bologne par M. Stancari. M. 1708. p. 184. àMarfeille par Le P. Laval & M. DE CHAZELLES. ibid. p. ï8y.&fq. g4« TABLE DES MEMOIRES "■ É.C L I r s E s DE LUNE. Du y. Avril i7o8.àParisparMM.CASSINI,MA- RALDI &: DE LA HIRE. M. 1708. p. 182. & 179- àStraitourg par M. Eifenchmid. ibid. p. 183. Du 29. Septemb. 1708, à Gencs par M. Le Marquis Sal- vago &: M. L'Abbé Barabini. M. 1708. p. 418. à Marfcillc par le P. Laval & M. DECHAZELLES./-^/V. à Nuremberg par MM. 'Wurt- zelbaur ïc Muller. M. 1709. p. 61. &:fq. à Paris par MM. CASSINI, MA- R ALDI & DE LA HIRE. M, 1708. pp. 4oy.&407. ■0u ij, Février 1710. à Montpellier par MM. DePlan- » rade &r De Clapiés. M. 1710. p. II y. &rq. à Paris pat MM. CASSINI, MA- RALDI & DE LA HIRE. ibid. pp. 169. 172.. àVerfaillcs par M. CASSINI le Fils. ibid. p. 175. . '- ECLIPSES DE SOLEIL. Du II. Juillet 1684. àAixpar M. le Prieur GauticrJ M. 1701.P. 87. à Avignon par le P. Bonfa. ibid. à Honflcur par M. De Glos Corr. ibjd.p.îî. ECLIPSES V DE L'ACADEMIE i^P9 — 171° 449 ECLIPSES DE SOLEIL. Du 12. Juillet 1684. àLyon par loP.Hoftc.M.iyoï.p.SS à Paris par M. CASSINI. ihid. P-87- à Pau par le P. Pvichaud. ///. p. 88. devant Rofes par M. DE CHA- ZELEES, ihd.p. 85?. Du zj.Scptcmb. iiîp^.à Arlespar M. Davizard.M. 1701. p. 81. à Avignon par le P. Bonfa. ih'd. à Bologne par MM. Manfredi èc Srancari. /h/d. p. 84. à Châtcnay près Paris par M. DE MALEZIErj./^/V/.p.8o. à Gènes par MM. les Marquis Sal- vago &c Alexandre Grimaldi. /i/Jd. p. 8i. à Gripfwald. en Poraeranie par M.Pyle./^.'V.p. 8^. à Kiel en Holftein par M. Rchyer. à Lyon par le P. St. Bonnet Jef. ibid.p. 85. à Madrid par le Duc d'Uzeda, l'Abbc Scotti &: le P. Krefa JcC ibicl. à Marfeillc par M. DE CHA- Z EL LES, le P. Feuillce&lc P. Laval. y^/V/. p. 81. à Modenc par le P. FontanaThéa- tin. /■(J/rf'. p. 83. • V r à Nuremberg par M. Wurtzcl- baur. ibid. p. 8 5 . Tak des M4t, 1 6^^ 17^0, LU •ê 4P TABLE DES MEMOIRES ECLIPSES DE SOLEIL. Du23.Scprcmb. lépp.àParis par MM. CASSINI,MA- RALDI & DE LA HIRE. xM. 1695). p. 163. &: 11]. M. 1701. p. 80. à 1 1. milles de Parme à l'Oucft par le P. Beccatclli Jef. M. 1701. p. 84. à la Rochelle par M. Des Haycs Corr.ibid. p. 81. àStra{bourg par MAL Eifcnch- mid &: Schmid. ihid. p.84. Du 8. Dcccmb. 1703. à Paris par M. DE LA HIRE. M. 1703. p. 284. à Tours parM. NonnctCtfA-r. ibid^ p.iSy. '% Du iz. May 170e. à Arles par M. Davizard.M.i7o8. D'Antares le 5. Septembre 1707. à Marfeille. à Montpellier. CM.iyoS.p.i.&fqo à Paris. ) D'une des Hyades ie 7. Mars 1699. àMarfeille. H. 165)5;. p, 78. &iq. Des Pléiades le 10. Aouft i7o8.àParis M. 1708. p. 297. & 299. le3o.Oâ:obrc 1708.^ -. le 23. Septemb. 1705). > à Paris. /M. 1710. pp. 218. le 14. Decemb. 1709.) ^ &:fqq. à Bologne, J Llliij 4^4 TABLE DES MEMOIRES CONJONCTIONS £T ECLIPSES DES PLANETES par U Lune. De Jupiter le zj. Juillet 1704. à Bologne.") M. 1704.P. 155. &rq. à Paris. J" M. 170^. p. 105), le 14. Aouft 1704. àParis. M. 1704. p. 24(î. &:rq. le 30. Avril i7o8.àParis. M. 1708.P. i^y. De Mars le 10. Mars 1707. àMarfcillc. *) ,, àMontpellier.j^^- '707- P-IPJ. De Venus le 30. Juin 1704. à Bologne. M. 1704. p. 15(8. &rq. le 23. Février i7o8.àMaricillc. M. 1708.P. loS.&fq. àParis. /^/(î/.pp. 106. & lie. CONJONCTIONS DES PLANETES INTERIEURES avec le Soleil. De Mercure fur le O le 8. Novembre i6^7.àTchaotchcou VillcdelaChinc, H. 165)5). p. 8y, De Venus le 31. Aouft i7oo.àParis. M. 1700. p. zsi(3. &:rq. Eclipfe d'une Etoile fixe par Saturne , obfbrvcc à Lciplic le 17. Janvier 1675). M. 1704. p. 316. DE L'ACADEMIE i^S»? — I7I0 4TJ CONJONCTIONS DES PLANETES /!vec les Etoiles Jixes, De ip avec Regulus le Odobrc 170^. à Pari';. M. 1706. p. 482. le 6. Tuia 1707.1 Paris. M. 1707. p. 25)7. avec une Etoile du Front du . & 30. Decernbrc 1703. àlaMarti- que. M. 1704.P. 339. & fq. Iei4. & 21. Février, & 8. Mars 1704. à la Martini- que./^/^i!. p. 341. 4î(î TABLE DES MEMOIRES ECLIPSES DES SATELLITES DE JUPITER. j E M E R S I O N S. Du i.Ic8,&: 1 6. Janvier 1707. à Carthagenc. M. 1708. P- lo. . ^ le i8. Février, 13. Mars &: i y. Avril 1706. à la Mar- tinique. M. 1708. p. 1 3. &: fq. le ly. Juin 1708. au Se. Pilon ( Montagne de Pro- vence. ) M. 1708. p. 462. Du z. le 30. Septembre 1701. à Pau en Bearn. M. 1701, leii. &: le 2,0. Décembre 1703. à la Martinique, M. 1704. p. 340. Du 3,lezj.O<51:obrei7oy.àIaMartinique.M.i7o8.p.iij IMMERSIONS. Du i.lc 1 1. Octobre 1700. à Smirne. M. 1701. p. 8. le 2.6, Avril 1701. à Thciïalonique. ihid.'ç. 9. le 4. Juin 170 1. au Mile dans l'Archipel, & à Pau en Bcarn. ibid. pp. 10. &: 14. le j. lezo. & 27.Juini7oi.enLandie./^.p. 10. &: fq. - . ie iz. le zo. &:le z8. Juillet i7oi.à St. Paul-crois- Châteaux. ihid. p. 14. & fq. le z8. Juillet 1701. àTripoli, ibid. y. 1 1. le 19. &c z(î. Juillet 1703. à la Martinique. M.1704. P-3 35'- le7. Octobre 1704.3 Porto-Belo. M. 1708. p 7. Ie8.& 16. Janvier 170 j.à Cartliagcne. ibid.'^. 10. le 18. 19. 1^. 16. Odobrc , 4, &: Z7. Novembre, Z7. &: z8. Décembre 1705.3 la Martinique. M. 1708. p. iz. &rq. le zi. Janv. & 14. Févr.i7o8.àMa!te.M.i7o8.p.r7r. IMMERSIONS. DE L'ACADEMÏE 1^99— I7IO 4S7 ECLIPSES DES SATELLITES DE JUPITER. IMMERSIONS. Du i.Ic iS.Odobre &: 18. Décembre 1705. àla Marti- nique. M. 1708. p. ii.&fq. Du 3. le ij. Oûobrc 170J. à la Martinique, ibid. p. iz. OBSERVAT ION S DIVERSES. Des Diamètres du O &: de la C dans rEclipfc de Q du z j . Septembre 1(595». M. 1699. p. 177. De TEquinoxe du Printems de l'Année 1703. comparée avec les plus anciennes. Par M. CASSINI. M. 1703. p. 41. Deplufieurs Lieux de Ç comparés aux Tables. H. \-joi.. p.74.rq. De quatre Etoiles proche le Cercle Polaire , foupçonnées de Variations. M. 1701. p. 551. COMETES. Voïez au mot Comètes. PHENOMENES DU' ERS. Une Colomnc de Lumière vue à l'Obfcrvatoire le 1 1 . May 1702,. au matin. M. 1701. p. 13J. Un Cercle Lumineux autour du Soleil. H. 1708. p. lo;». M, 1708. p. 180. Tak des Mat. 16^9. -^ijio. M mm 458 TABLE DES MEMOIRES PHENOMENES DIVERS , ETOILES NOWELLES. Un Arc-en-Ciel fingulier. H. 1708. p. 105). Découverte & Obfervations du Retour d'une nouvelle Etoile changeante de l'Hydre , par M. MARALDI. M. 1706. p. I ly.M. lyotj.p. 33. TACHES DU SOLEIL. En Novembre & Décembre 1700. M. 1700. p. 25)3. M. 1701. pp. 41. & z6i. En Mars, May, Oélobre & Novembre 1701.M. 1701. pp. 78. & z6z. En May, Juin Se Décembre 1701. M. 1701. pp. 131, 137. 139. M. 1703. p. 15. & fq. En May, Juin &: Juillet 1703. M. 1703. pp. 109. & fqq, 119. & fqq. En Janvier , Février , Mars & Novembre 1704. M. 1704. pp. 9. 10. II. 40. 44. 13 1. & 312. Enjanvier 170J.M. 170J.P. jy. En 1706. & 1707. H. 1706. p. IZ2. H. 1707. p. 109. En Janvier , Février , Aouft ic Novembre 1705). H. 1705^, pp. 88. &fqq. En Octobre 17 1 o. H. 1 7 1 o. p. 11. TACHES DE JV P ITER. Du Retour de la Tache ancienne de "W. M. 1708. p. 23 j. De trois nouvelles Taches de "ip . M. 1 699. p. i o 3 . De quelque Tache confidcrable dans les Satellites dciÇ. M. 1707. p. 289. LATITUDES ET LONGITUDES. /V'/f;: ViLLES. DE L'ACADEMIE 1^99 — i7ï^ 479 Observatoire Roïal de Paris; fa Hauteur fur le Ni- veau de rOcean. H. 1703. p. iz. Obstruct ions. Sont favorables à la curiofitédcs Ana- tomiftcs. H. ijoj.p. 4^. Obstruction particulière cauféc par les Glandes du Jé- junum & de rilcon. H. 1703. p. 41. Oeil. La ilrudure des Lunettes d'Approche rcflcmble à celle de l'Oeil. H. 1700. p. 2.3. » » Sur l'Iris de l'Oeil. H. 1704.P. ix. H, 1710. P-3 3- Tumeur d'une groffeur furprenante coupée fur l'Oeil d'un Homme , &c. H. 1 70 3 . p. 40. Excrcfccnce à l'Oeil , guérie par M. DU" VERNEY le Jeune &: comment ? H. 1703. p. 41. Les Plantes refolutives , telles que le Cerfeuil, font un mauvais effet à l'Oeil , y caufent des dou- leurs, &: rendent la vue trouble. H. 1705). p. 14. Chien qui n'avoir qu'un Oeil fitué au milieu de la partie inférieure de la Face. H. 1703. p. 43. &:fq. Oeil de Bouc ( Coquillage) ce que c'eft ? M. i7io.p. ^61. H. 1710.P. iz. Son mouvement progreffif , comment fe fait ; H. 1710. p. iz.M. 1710. p. 46Z. «» Oeillet ( » Defcription de 1' ) de la Chine. Caryophyl- u litsjinci'.jis , /upinits Leiicou folio, flore varie. Par M. TOURNEFORT. M. 170 j. p. Z64. » Oeufs. " Sur la génération de l'Homme par des Oeufs. u H. 1701. p. 38. Raifons générales qui ctablilTent le Syflême d» la génération par des Oeufs, iùid. Difficultés fliites contre ce Syflémc par M. A-IE- KY .ium. p. 35!, Réponfe des Sedatcurs du Syflême des Oeufs. • ihid.'^. 39, \{ mm ij 4^0 TABLE DES MEMOIRES Oeufs. Nouvdlcs preuves de ce Syftêmc trouvées par MM. LITTRE & DU VERNEY le Jeune.. /Z'/V/. pp. 40. &:fqq. OEUrs(d'Inrcctcs)La Terre en contient une infinité d'In- vifiblcs. H. 1707. p. 49. Oevf de Poule dont le Blanc renfermoit un autre Oeuf. H. 1706. p. 2.3. » Oeufs de Poule ians Jaune, ( » Obfcrvations fur les » petits ) qu'on appelle vulgairement Oeufs de » Cocq.Par M. Lapey ronie de laSocicté Roialc de » Montpellicr.M. 1710. p. 5 ^3. Erreurs du vulgaire lur les prétendus Oeufs de Cocq. Caufcs qui peuvent faire que les Poules pondent des Oeufs fans Jaune ibid. p. j j8. &i fq. OTTA Hclmofitii^ ce que c'eft ? M. 1700. p. 7 1. &: fq. Olaine ( M. ) Gentilhomme Irlandois. Machine de fon Invention pour mouler un très grand nom- bre de Chandelles tout à la fois, Sec. H. 17 10. p. 141. Olives de Mer , comment on les appelle fur les Côtes delà Méditerranée , font les véritables fruits de \ Alga AngiiflifoliaVitri^rioriimC. B. M. 1700, Cette Découverte due à M. Ccftoni Apoticairfi de Livourne. ih'id. Olivieri ( M. ) Auditeur de Rote , Membre de la Con- grégation du Calendrier tenue en ij8o. M. 1704. p. 141. Ombilicales (Artères.) nouveau Syftême de M. An- toine. Corr. fur la Route du Sang , qu il croit en- trer de la Mère dans le Fctus par les Artères. Ombilicales. H. 1703. p. 3 i. Ombilical (Cordon ) d'un Foetus monftrueux extrcme- mcut entortillé, &:c. M. 1701. pp. <)a. & fqq. DE L'ACADEMIE t^99 — i/ro 46* Ombre. Cailles générales des différents dégrés d'Ombre &c de fes diftcrcntes couleurs dans les Eclipfcs de C- H. 1704. pp. j9. & fqq. M. 1704. p. 3 54. &:rq. Ombre de la Terre, a quelquefois une Tache noire vers fon Centre dans les Eclipfcs de C- H. 1707. p. 81. Méthode de déterminer fon Diamètre dans les Eclipfcs de Lune. M. 1703. p. 6. &fq. Defcription de l'Ombre de la C fur le Difque de la Terre dans l'Eclipfe du 0 du 15. Septembre 1699. H. 1^95). p. 76. M. 1699. pp. 178. &:: fqq. Trace de l'Ombre de la C fur le Difque de la Terre dans l'Eclipfe de Soleil du 12. May 170(3. M. 170e. pp. 2. 5-6. &: fqq. Chemin de l'Ombre de la (£ fur la Terre dans l'Eclipfede ©du 14. Septembre 1708. H. 1708. p. loy. M. 1708. p. 410. &:fq. » Omphalo-Mesenteriq^es (Vaiiïeaux) » Des Vaif- M féaux Omphalo -Mcfcntcriqucs. Par M. DU t» VERNEY. M. 1700. p. 169. H. 1700. p. 2.7. Defcription exaéte de ces Vaifleaux. ihid.^. ijo. & fq. iïid. Ondulations ( Syftcme des ) en Mufique, cequec'eft? H. 170 1. pp. 13 I.& fqq. Explique les Bizarreries de la Trompette Marine, ibia. p. 1 3 j. Ond-ulation. Mouvement de la Mer. ce quec'eftîH. 1710. p. 2.9. Onglets. Sont quarrables dans toutes les Seftions Co- niques. H. 1707. p. 63. & fq. Qiiadratures d'Onglccs Paraboliques , Ellipti^ qucs & Hyperboliques. M. 1707. p. 330. Onglet Cilindriquc de M. Pafcal ( fa Qiiadra- turc.) H. 1707. p. 67. M mm iii 4^1 TABLE DES MEMOIRES Onglet Cilindrique formé par les Sinus du quart de Cercle , pourquoi quarrable,la fui face du quart de Cercle ne l'étant pas. H. 1707- pp. 67. &68. ONGUENTspour lesBlcfliires. M. 1701. p. 107. Opium. Les Acides Végétaux font un Rcmcdepour l'O- pium. H. 1703. p. 5-'. " Optique- " Sur quelques faits particuliers d'Optique, ij ..H. 1709. p. 90. Pourquoi la Prunelle d'un Chat plongé dans l'Eau, &c. s'ouvre beaucoup. /'^/W. p. î;i.&:fq. le fond des Yeux de cet Animal s'ap- perçoit diftindement. M. 1709. pp. 98. &fqq. » » Explication de quelques faits d'Optique , & de » la manière dont fe fait la Vilion. Par M. DE LA HIRE. M. i705).p. 9y. Opuntia ( forte de Plante ) leFruir en font rouges, & teignent en couleur de Sang les Urines de ceux qui en ont mangés. H. 1704. p. 11. L'Infeéte de cette Plante, fon Ventre eft la graine de Cochenille, ihid. Or. Tout Or, pourvu qu'il foit pur & fins mélangc,cft parfaitement femblable. H. 1701.P. 3. Peut avoir été Argent. M. 1709. p. 113. Son Diffolvant propre eft l'Éfprit de Sel Marin. . . H. 1706. p. 30. Et Argent font des Métaux Volatils au Feu du Soleil. M. 1701. p. 141. & fq. Expofé au Miroir Ardent , ce qui en rcfulte. H, 1702. p. 36. &:fq. »- î » Sur la Vitrification de l'Or. H. 1707. p. 50. SyftémedeM. HOMBERG fur la Vitrification •de l'Or. H. 1707. p. 30. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7Î0 4^3 Or, Objcdions faites au Syftcme de M. H O M- BERG fur la Vitrification de l'Or. H. 1707. pp. 30. & 31. w » Eclaircifremens touchant la Vitrification de « rOr au Verre Ardent. Par M. HOMBERG. M. à» 1707' P- 40' Rcponfc de M. HOMBERG à l'Objection faite fur cette Matière par un Philofopc Hollandois. ihid. pp. 40. 41. & fqq. H. 1707. p. 3 1. Ne pcferoit pas plus que l'Air fous un égal Volur me qui feroit à dix neuf lieues environ de la fur- face.de la Terre vers le Centre. H. 1703. p. 7. &fq. Or Potable. Secret de M. De FronviUc examiné par l'A- cadémie. H. 1701. p. 73. & fq. Orangers. Efpcce de Rofée qui en tombe danslePrin- tems ,cequec'eft ? H. 1708. p. 65). Leurs Infedes ( Punaifes ) obfervés par M. DE LAHIRE, à quelle occafion î H. 1704. p. 10. &fq. « M Nouvelles Remarques fur les Infccles des >' Orangers. Par M. DE LAHIRE.M.1704.P.4J.. Orbes ou Orbites des Planètes ne, peuvent pas être cir- culaires , &C pourquoi 'i H. 1700. p. 100. /^"<7/fz, Plane TES. Or0RE ( des Couleurs ) Expérience de M. HOMBERG fur l'Ordre des Couleurs. H. 1 65)9. p. 1 8. Oreille, jufqu'à quel point eft fufceptible de fenfation. H. 1700. p. 140. Exaftitude du Sentiment de l'Oreille. H. 1700. p. 24. La Trompette qui augmente la Voix reffemble à peu près à l'Oreille, ibid. p. z 3 . M. DU VERNEYfait part à l'Académie de fcs nouvelles Obfervat, fur l'OrcilIe.H. 170 j. p. 58,. 4 ^ ( Raion) cequec clt ?j ' ' Tab, des Mat. 16^3, — 1710. N nu 4^8 TABLE DES MEMOIRE S ..OscULATEURS ( Raïons ) " Différentes manières infî- .-, nimcnr générales de trouver les Raions Oicula- t, teurs de toute forte de Courbes, foit qu'on re- M garde ces Courbes fous la forme de Poligonc ou t> non. Par M. VARIGNON.M. 1706. p. 490, 7 tf/f;^ Rayons. Ossifie'e. Membrane d'une Rate d'Homme ofllfîce. M. 1700. p. 39. Ovaires. Les Veficules trouvées dans les Ovaires des Femmes , ne prouvent rien pour les Oeufs , &c pourquoi >. H. 1709. p. 17. & fq. „ » Observations fur les Ovaires &C les Trompes V d'une Femme , & fur un Fœtus trouvé dans l'un „ de fes Ovaires. Par M. LITTRE. M. 170 1. » p. III. Dilatation prodigieufc des Ovaires , décrite &; rapportée à l'Académie par M. Gandolphc Mc- decni de Marfcille , & Corrcfpondant de M, TOURNEFORT. H. 1707. pp. té. & fqq. Pierres trouvées fur la Membrane de l'Ovaire gauche d'une Femme, parM.MERY. H. 1701. P-n- Tumeur trouvée à l'Ovaire gauche d'une Femme nouvellement accouchée. H. 1703. p. 41. Caroncule trouvée dans l'Ovaire gauche d'une Femme , &c. H. 1704. p. 34. » » Obfervations Anatomiques faites fur les Ovai- » rcs des Vaches & des Brebis. Par M. DU VER- » NEYIe Jeune. M. 1701. p. 184. Les Qiiadrupedcs en ont deux. H. 1699. p. Les Volatiles n'en ont qu'un. H. 1 699. p. 3 i. «Ouragans. " Explication Phyfique & Chimique , des » Feux Soutcrrains,dcsTremblemens de Terrc,des » Ouragans , des Eclairs &c du Tonnerre. Par M> » LEMERY.M. 1700.P. ICI, DE L'ACADEMIE 1699— 1710 4^9 OuRAQUE dans le Fœtus , ce que c'eft &c fon ulage ? H, 170 1. p. 2,3. M. 170 1. p. 91. M. L 1 T T R E croit qu'elle n'eft d'ufagc que dans leFœtus.H.i70i.p. 15, Ses Obfervations fur ce Syftême. il>id. & fq. Oursins ( Animal de Mer ) a des Jambes autres que Tes Epines , mais qui difparoiflent lorfquc l'Animal efthors de l'Eau. H. 1709. p. 5 5. OuYE. Machines de M. Du Guet pour l'augmentation de l'Ouïe , &: furtour un Fauteuil , Scc. approuvées par l'Académie H. 1708. p. 142.. OiiyEsdes PoilFons, leur fervent de Poumons. H. 1701, p. 47. M. 1701.P. zz6. &: fq. Méchanique de ces Oiiyes. /^/V. p. 48. «Sj fq. il>iisl. Les Veines des Oûyes des PoifTons deviennent Arteresà leur fortie. /!^/â/. p. 49. » Oyseaux. » Sur les Plumes des Oyfeaux. H. 16^99, p. 43. O Y SEAU. Animal qui de Poiflbn devient Oyfeau. H. 1706. p. 9. O Y SEAUX de Rivière. Leur Trachée refonne , & pour- quoi; H. 1700. p. zi. OZANAM ( M. ) remplit à l'Académie une Place d'A- cadémicien AlTocié, vacante par la mort de M. DECHAZELLES.H. 1710.P. lyi. OzEiLLE. Scorbutiques guéris en mangeant beaucoun d'Ozeille cuite avec des Oeufs. H. 1708. p. ji. Eftimationdela multiplication par les Coupes dans rOzeille , &; quelques autres Herbes Pota- gères. M. 1700. pp. 147.&: fqq. Defcription de l'OzeiUe a grandes Feuilles à Oreillons, envoïée de la Martinique à l'Aca-^' demie par le P. Breton Jcfuitc. H. 1704. p. 41. Nnnij 470 TABLE DES MEMOIRES P Paix (Port de) Iflc Se. Dominguc. Eclipfes de Lune du 27. Avril 170(3. & du ï6. Avril 1707. obfcrvécs au Port de Paix parle P. Boutin Jef. H. 1706. p. 1 13. M. 170^. p. 481. &: fq. M. 1707. p. 381. &C fq. Sa Hauteur de Pôle fuivant les Pilotes. M. 1707. p. 382. Pallu (Le P. Jefuitc) Son Obfcrvation de rEclipfe de Lune du 12. Février 1701. à Pau en Bcarn. M. 1701. p. 70. Obferva au même Lieu la Comète de 1 70 1 . M. 1701. p. 220. Palourde (Coquillage) ce que c'eft ? M. 171 o. p. 4 5^ 2. Son mouvement progreflif , comment fe fait ; /■^/V. p. 4^3. étfq. Panaris, guéris par la Brûlure de TEau bouillante. H. 1708. p. 47. Papaver Sfinofnm Mexicaniim. Plante. Sa Defcription donnée à l'Académie par M. MARCHANT. H. 1708. p. 65). Papeterie ( L'Artde la) décrit par M. DES BILLET- TES. H. i7oéî. p. 141. Parabole ( la ) reprefente le rapportdes Efpaces parcou- . rus aux Tems dans l'Hypothéfe de Galilée. H. 1700. p. 89. Ert formée par les Projeûions Obliques , de mê- me que par les Horizontales & pourquoi \ H. 11^ 1704. p. II I. &fq. M. 1707. p. 141. "9, » Sur la Rcfolution d'un Problême propofé dans » ■ le Journal de Trévoux, ou fur une Propriété » nouvelle de la Parabole. H. 1 701. p. 85. DE L'ACADEMIE 1^99 —1710 47ï '»Pap.abolE" Sur quelques propriétés des Pendules &c V de la Parabole par rapport aux Pendules. H. » ^7^7- P-y8- » » Dcmonftrations fimples & faciles de quelques » Propriétés qui regardent les Pendules , avec » quelques nouvelles propriétés de la Parabole, ï Par M. CARRE'. M. 1707. p. 49. M. Lichtfcheid a aulFi donné quelque chofe de femblable. /lii/. Sa. Reftification dépend de la Quadrature de l'Hyperbole. H. 1701. p. 84.M. 1701. p. 1^0. La féconde Parabole cubique cfl rcélifiablc. /i/V. pp. 1^0. &:fq. » " Rectification des Cauftiques par réflexion for- » mécs par la Parabole , &c. & de leurs Dévclop- => pées , avec la mefure des Efpaces qu'elles rcnfcr- 3. ment. Par M. CARRE'. M. 1703. p. 194. Paraboles Helicoïdcs de M. BERNOULLI de Bàlc , ce que c'eft, &:c. M. 1704. p. 103. PARAÏBAauBrefil. ( DéclinaifonderÂimanobfcrvéeà) H. 1700. p. 1 3 1. PARALisiEde Vifceres. H. 1704. p. 3 j. Parallaxe des Planètes, ce que c'cft î H. 170^. p. pj. L'Horizontale cft la plus grande. /^/rf. p. c) 8. Fait baifler les Aftrcs. ii>ie/. p. 5)8. De Mars eft très précieufe aux Aftronomcs , 8C pourquoi ? /i>jd. p. 9 8. Comment conclue des Obfervations de M. RICHER &c de M. CASSINI. /^/V. p. 99. Méthode de la trouver par des Oblcrvations faites en un même Lieu. ib^d. p. 100. Recherche de la Parallaxe de Mars. M. 1706'. pp. 69.&fqq. Des Planètes principales font infenfiblcs , ex- cepté celle de Venus & de Mars dans leur Péri- gée. M. 1709. p. 2JI. / 47» TABLE DES MEMOIRES Parallaxe duo quelle. M. 1709. p. iji. Des Planètes font entr'cUcs en Raifon rcnverféc de leur Diftances à la Terre, tbid. p. 2. ^ a. Horizontale de la C- ce qucc'eft ? H. 1705. p. So.&fq. Importance qu'il y a à la déterminer exaclcmenr dans les Eclipfes. ibid. pp. 78. &: fqq. Ce qui la fait varier. /^/^. p. 80. &: fq. „ » Sur la Parallaxe annuelle de l'Etoile Polaire. » H. 1699. p. 80. Prétendue obfervée par M. Flamfteed. ihid. Réfutée par M. CASSINI le Fils. p. 81. Confequences qvi'on tireroit de cette Parallaxe ,' fi elle étoit vraie, ibid. p. 80. « - Réflexions fur une Lettre de M. Flamfteed à » M. Wallis, touchant la Parallaxe annuelle de l'Etoile Polaire. Par M. CASSINI le Fils. M. Qiic l'on ne peut conclure des Obfervations de M. Flamfteed une Parallaxe annuelle à l'Etoile Polaire. /^/V. p. 185. Des Comètes , plus petite que celle de la Lune. M. i(î99.p. 38. Parapets tournans inventes parM.De Barville, &: ap- prouvés par l'Académie. H. 1701. p. 138. Parapluye ouParafol brifé dcM. Marins, approuvé par l'Académie. H. 170 5. p. 138. H. 1707. p. 150. H. 1709. p. 113. "Pareira Brava. (Sur le) H. 1710.P. 56. Ce que c'eft que cette Plante , & par qui con- nue chez Nous ? ibid. • ' ' Deux efpcccs connues, ibid. p. 57. Vertus éprouvées de cette Plante, ibid. p. 57. U fq. D E L'ACADEMIE 1699 — 171G 4^7^ PARENT ( M.) propofc à l'Académie l'Idée d'une Ma- chine pour faire remonter les Batceaux. H. 169^.^. 1 19. Donne une Formule générale d'Algèbre pour trouver l'élévation de l'Eau dans les Pompes af- pirantes à chaque coup de Pifton , &c. ibid. Son Idée fur la Théorie des Frottemcns. H. 1700. pp. ly I. & fqq. Eft conduit par la Géométrie dans cette matière, où l'Expérience avoit conduit M, AMON- TONS.ibid.Tp. I ji. Publie fcs Eléments de Méchanicjtte p. 1710. i» » Détermination du tems auquel le Mouvement n du Soleil en Longitude cfl: égal à fon Mouvc- » ment en Afcenfion droite. M. 1 704. p. 1 3 4. PARENT. DE L'ACADEMIE i(îc,9— 1710 475- «PARENT (M. ) Nouvelle Statique avec Frotcincns SC w fans Frotcmcns , ou Régies pour calculer les Fro- » tcmens des Machines dans l'état de l'Equilibre. » I. Mémoire, qui contient tout ce qui le fait « furdes Plansinclinés.M. 1704. p. 173. M II. Memoire,trouver la Force avec laquelle il •• faut poulTer un Coin pour féparer un Corps , ou » directement , ou fur un Point fixe , ou fur deux. .. ièid. p. 1 8 (î. » " Suite I. du II.Memoire, qui comprend ce qui (e ' » firit ordinairement avec la Vis ancienne ou à » Ecrou, Se la Vis fans lin. il^id. p. 15)0. » " Suite II. du II. Mémoire. Expériences pour » les Frotcmcns des Corps dont les Parties , » fc meuvent avec différentes vitefTes. il>ù/, p. 19 y. « " III. Mémoire. Des Poulies Se de leurTouril- » Ions. Jhid. p. to6. » » Sur la plus grande perfedion pofllble des Ma- is chines. M. 1704. p. 313. » " Des Relilf ances des Tuiaux Cilindriqucs nour t> des charges d'Eau , & des Diamètres donnes. M, M ^707- p- loy- M " Expériences pour connoîrre la Refiftance des Bois de Chêne & de Sapin, M. 1707. p. » y 12. » " Des Reiiftanccs des Poutres par rapport à leurs « Longueurs ou Portées , & à leur Dmicnfions &; » Situations , & des Poutres de plus grande Re- » fiftance indépendamment de tout Syftéme Phy- » fique. M. 1708.P. 17. » '• Du Plan fur lequel un Corps defcendant fait fur •• chaque Partiedcs Imprcffions qui font en raifon » réciproque des tems qu'il emploie à les parcou» » rir.M. 1708. p. ZZ4, Tak des Mat. 1 6^^ , — 1 7 1 o, O 00 47^ TABLE DES MEMOIRES » PARENT. (M.) "Problème Géométrique. Trouver det » Solides quelconques égaux en Surface courbe ç^ " en Solidité avec une même Sphère. M. 1709. »» p. 118. »> " Des Points de PvUpture des Figures , de la ma- » niere de les rappellera leurs Tangentes : d'en dc- " duire celles qui font par tout d'une Refiftance ?» égale , avec la méthode pour trouver tant de ces " fortes de Figures que l'on veut: &: défaire en- » forte que toute forte de Figure foit partout d'une w égale Refiftance, où ait un ou plulicurs Points de » Rupture. I. Mémoire. Des Figures retenues par » un de leurs Bouts , & tirées par telle & tant de » puiiTances qu'on voudra. M. 17 10. p. 177. Parfumeurs. Defcription du Récipient dont ils fefcr- ventpour difliller l'Huile Eflcntielle deRofcs. M. 1700. p. Z16. » Parhelies ( ■> Sur des) H. 165)5). p. 81. Obfcrvés à Marfcille le 13. May 1699. au marin par M. DE CHAZELLES & le P. Feuillée, ihid. p. 81. Cette Obfcrvation conforme à l'Hypothéfe de M. MARlOTTE./^/V. p. 81. Ce que c'cft que cette Hypotliéfe en général. ibid. Pariétaire ( la ) forte de Plante. M. 1700. p. ^7. Paris. ( EaudePluyc tombécà) /^'tf/tz, Pluye. Parler du Nez, l'idée que l'on en a eft faufle.H. 1700. p. 20. Du Ventre , ce que c'eft ? ihid. Parme ( Eclipfe de© du 13. Septembre ié99.obfcrvce à douze milles de ) par le P. Becatelli j cfuite. M. lyoï.p. 84. Parole. Caufes de la difFcrencc entre laVoixde la Parole &: celle du Chant. M. 1706. pp. i43.&fqq. DE L'ACADEMIE i(î5>«) — i7io 477 Parquet ( Boiilirc d'une C hambre ) confervé des Vers ^ & comment : H. 170 j. p. 3 8. Pas ( M. De) envoie à l'Académie un Ecrit fur une Fiante de la Nouvelle Efpagnc, appellée chahceLigua., H. 1707. p. yi. Pascal ( M. ) a quarré le premier l'Onglet Cilindriqué formé par les Sinus d'un quart de Cercle. H, 1707. p. 67. Paschale ( Période ) Clémentine , propo£cc par M. BIANCHINI. M. 1704. p. 14^ PASQUEs.Qiiand célébré par les Premiers Chrétiens, Mi 170 r. p. 367. &:rq. Letems de cette Célébration déterminé parle Concile deNicée. /'^/V/. pp. 369. &c fqq. Erreur dans la fixation de cette Fête , qui rcfulte des Epoques des Mois Lunaires Ecclcfiaftiques mal placés dans le Calendrier Grégorien, & con- tre rintcntion du Pape Grégoire. M. 170 3. p. 49. wPassy. ( » Sur les Eaux de) H. 170 1. p. 61. Vonz. Eaux. Pas TE , ( forte de ) appliquée fur un morceau de Vcrre,&: expoféeà l'ardeur du Soleil, s'y recourbe & ex- folie le Verre , &c. H. 1708. p. 11. PAUenBearn. ( Eclipfede Cdu 11. Février i7oi.obfcr- véeà ) par le P. Pallu Jefuite. M. 1701. p. 70. (Eclipfcde O du 11. Juillet 1684 obfcrvécà) par le PereRichaud. M. 1701.P. 88. ( Obfervations faites à ) par le P. Laval Jefuite , del'Emerfion du i. Satellite de % du 15). Aoùc 1701. M. 1701. p. 13. Du I. Satell.de ■¥: le 13. Septemb 1701./^. p. 13. 14 . . .. ih. . . . 18 ih. . . : Du 1. Satcll. de Tp . . 30 /'/. . . . Im, du I, Sat.de TJ^ ,. 4. Juin i7oi./i.p.i4, O 00 \) 478 TABLE DES MEMOIRES Pau en Bearn. (Comète obfcrvéc à) par le P. Pallu Jcfuitc. M. 1701. p. zio. Pavillons. Pierres trouvées à rcxtrcmicé des Franges des Pavillons , dans le Cadavre d'une Femme parM.MERY.H. i7oi.p. ji. Paul ( St. ) Trois-Châteauxen Dauphinc. (Obfcrvations faites à ) par le P. Laval Jefuite de rimmcrlion du i.Sat.dCï; le 12. Juil. 1701.M. 1701. p. 14. 20 ibid. 28 p.iy. Pavots noirs ne croiffent que dans les Terres brûlées. M. 1707. p. 63. Peau. Strudurcde la Peau Humaine. H. 1702. p. p. 30. &fq. Caufe de la Noirceur de celle des Maures, ibid. p. 31. L'Air ne peur pas paflcr au travers de la Peau , & pourquoi ? H. 1700. p. 2^. &:iq. .. Qiieftion Phyfique, s'il cft vrai que l'Air qui entredans les Vaillcaux Sanguins parlcmoïen de la Rcfpiration,s'échape avec lesVapcurs & les Sueurs par les Pores infenfibles de la Peau. Par M.MERY. îvL 1700. p. 217. Ils'éxhalc en un jour plus de Matières ou d'Ex- cremcns par les Porcs infcnliblcs de la Peau , qu'en plulicurs jours par tous les autrcsConduits. ibid. p. 2 1 9 . . Obfervations qui fcmblent prouver , que l'Air ne peut pas s'échaper par les Porcs infcnliblcs de la Peau. pp. 2IS).& Iqq. Objcétions contre le Sentiment déduit de ces Obfcrvations. pp. 220. &: fqq. Raifon pour laquelle l'Air ne doit pas fortir par les Pores de la Peau. p. 222. DE L'ACADEMIE 1699 --.lyio 479 >> Peau. "Queftion Phylîquc, fçavoir û de ce qu'on peut » tirer de l'Air de la Sueur dans le Vuidc,il s'cn- »» fuit que l'Air que nous refpirons s'échappe avec M elle par les Porcs de la Peau. Par M. MER Y. M. 1707. p. 153. Expériences qui prouvent , que l'Air ne peut pas fortir par les Pores de la Peau. il/Jd. Objeftions faites à M. MER Y , avec fcs Répon- fes. Iliid. pp. 1 5 y. &: fqq. Peinture. Pratique de l'Art de la Peinture, décrite par ■ M.DELAHIRE.H. 1709. p. HZ. PeIcin Capitale de la Chine. Sa Latitude. 1 H. 1 699. Sa Longitude, j P- S?» ( Obfervation faite à ) de la Comète du mois de Février 16555). par le P. Fontanay Jefuite. M, 1701.P. 45). Pélican. Diffedion du Pélican. H. 1699. p. ji. Pello ( en Botnie ) fa Latitude. M. 1700. p. 44. PEMBROKE ( MYLORD COMTE DE ) remplit à l'Académie une Place d'Académicien Aiïocic Etranger. H. 17 1 o. p. 1 66. Pendule à Secondes. Sa Longueur eft une Mefure fixe confcrvéeà la pofterité.M.1703. p. yi. M. HUYGHENS lui a appliqué le premier la Cycloïde. H. 1700. p. 144. Inconvénient de la Sufpcnfion du Pendule , ima- ginée par M. HUYGHENS. d-ui. p. 14^ Idée de M. DE LA HIRE pour remédier à cet Inconvénient, ihid. p. 14J. &c Iq. w Pendules ( Horloges à ) » Remarques fur la Conftruc- 5. tiondesHorloo;cs à Pendules. Par M. DE LA » HIRE. M. 1700. p. 161. Inégalités que peut produire la Soie à laquelle on f ufpcnd la Verge du Pendule, ihid. p. 1 61. O 00 iij 480 TABLE DES MEMOIRES Pendules. ( Horloges à) Inégalités que produit une La» me de RciVort mifc a. la place de la Soie. M, 1700. p. léi.&rq. Moïen d'éviter ces Inégalités par une autre Suf- peniion. p. lôi.&fq. Les ArcsdeCycloidepourroient bien être inu- tils dans les Pendules à Secondes, p. 1 6 j . Manière de rectifier le Mouvement du Pendule , lorfque la Verge eft arrêtée ferme dans un Pivot fur lequel le Pendule fe meut. pp. 1 67. &: fqq. „ » Remarques fur les Inégalités du Mouvement des Horloges à Pendule. Par M. DE LA HIRE. u M. 1705. p. 285^. Soie remifc par M. DE LA HIRE à la place du Reflbrt pour foutenir le Pendule, &: pourquoi ? i^/W. p. 18(5. Pendules doivent être mifes à l'Abry du grand froid &: du grand chaud. /^/V. p. 18 8. Pendule à Secondes & à demie Secondes misent mouvement dans l'Eau, de combien leurs Vi- brations font retardées de celles qu'un Pendule faitdansl'Air. M. 1703.P. 189. & fq. On ne remarque pas dans fon Mouvement des changemens proportionels aux difterentes Con- denfitions de l'Air. /^/V. p. 2.98. M w Sur quelques propriétés des Pendules 8c de la » Parabole par rapport aux Pendules. H. 1707. » » Demonftrations fimples & faciles de quelques » propriétés qui regardent les Pendules , avec M quelques nouvelles propriétés de la Parabole. » Par M. CARRE'. M. 1707. p. 49. M. Lichtfcheida aulU donné quelque chofeclq femblablc. iéiid. DE L'ACADEMIE i(Î5)9 — I7I0 4^» Pendules. Les tems des Vibrations des Pendules font cntr'eux comme les Racines quarrés des Lon- gueurs de ces Pendules, ibid. Problême fur les Pendules , &c. ihid. ■p » Sur la Longueur du Pendule. H. 1700. p. i kî. A Secondes diminue des Pôles vers l'Equateur. /■^/V/. p. 1 1 6. Cette découverte eft de M. RICHER. //'.p.i i^. Conféquenccs de cette découverte, p. 117. Longueur du Pendule a. Secondes , à Paris, à Cayennc , à Paraïbe. p. 117. i» " Sur rinégalité des Pendules. H. 1703. p. 130. Inégalités du Pendule pourroierit n'être qu'appa- rentes félon M. DE LA HIRE, & comment? ibid.ip. 13 3. M. 1703. p. 25)3. La connoilTirnce de la véritable Longueur du Pendule eft utile dans la Jauge des Eaux couran- tes & ailleurs, ibid. p. 176. & fq. Inégalité du Pendule dans le même Climat, du grand Froid au grand Chaud. H. 1703. p. 134, &fq. Longueurs du Pendule en diffcrens Lieux. J'^^/fii, Villes. ■Pénombre. Ce que c'efl; M. 1659. p. 178. H. 1703.. F- 79. Dans les Eclipfes de C ce qucc'eft î M. 1704.- p-3n- ^ Caufcs générales des différents degrés de Pé- nombre dans les Eclipfes de C- H. 1704. pp. j^. &fqq. PERRAULT f M.CLAUDE) propofe le premier dans l'Académie la Circulation de la Sève dans les Plantes. H. 1709. p. 44. Ce Syltcme attaqué par M. MAGNOL , &:c. ibid. pp. 46. & fqq. 482, TABLE DES MEMOIRES Perrault ( M. Charles ) Son Syftéme fur l'Origine des Rivières. H. 1703, p. i.&fq. Examiné par M. DE LA HIRE. ibid. pp. 2,. &c fqq. Percussion (Centre de) ce quec'cft : H. 170z.pp.108. &rqq. Idcnritc de ce Centre avec celui d'Ofcillation , démontre par M. BERNOULLI de Bàlc. H. 1704.P. 5J1. '„ ,. Demonftration du Principe de M. HUY- „ GHENS touchant le Centre de Balancement,&: » de l'identité de ce Centre avec celui dcpcrcuf- fion. Par M. BERNOULLI Profeffcur à Bàlc. ». M. 1704. p. 13^. Péricarde étroitcmentuniàtoutc la Surface du Coeur, obfcrvépar M. LITTRE. H. 1701. p. ^4. Péricarde fortement adhérant au Cœur en toute fon étendue. H. 1706. p. zi. pERiGE'Edcs Planètes, ce quec'eit; H. 1703. p. 89. &: fq. Périgée & Apogée des Planètes, font des points difficiles à déterminer. M. 1704. p. 307. Erreurs que l'incertitude de la pofirion de ces points caufe dans la Théorie des Planètes, ibid. &:fq. Périhélie des Planètes, ce quec'cft; H.i703.p.8s).&: fq. Période Pafchalc Clémentine propoféc par M. BIAN- CHINI.M. 1704. p. i4f.^ Période d'Années Solaires trouvée par M, CASSINI. M. 1703. p. 46. Peristaltique. Mouvement Periftaltiquc & Vermicu- laireobfcrvé par M. MERY dans une Femme morte Enceinte. H. 1695). p. 50. Péritoine (le) peut fournir des Enveloppes aux Inteltins dans les Hernies qui arrivent par le relâchement des Membranes. M. 1701. p. 189. Péritoine. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7IO 4S} j'Peritoine. "SuruneHydropifiedu Pcricoinc.H.1707. p. zo. Ce que c'eft que cette Membrane. H. 1707. p. iO. Syftêmc de M. LITTRE fur la formation de cette Hydropific. H. 1707. p. zi. M. 1707. p, jo^.&fq. u " Obfcrvations fur une Hydropifie du Péritoine. » Par M. LITTRE. M. 1707. p. yoi. Signes Diagnoftics & Prognottics de cette Maladie, iéiia. pp. 5 10. j 1 1. Curede cette Maladie, iùid. p. ^ 1 1. &: fq. Perpignan. ( Eclipfe d'Aldcbaram par la C obrervcc à ) le 16. Février 1701. M. 170J. pp. 2.06. &c fqq. T-ERSicAKiAmaculopK^non maciilorit. Plantes, leur Dcf- criptions données à l'Académie par M. MAR- CHANT. H. i70<î. p. 42. ^>TZKSicA-R\A Orient dli s ^ Nicotian^ folio Caliceflor/im Pur- « ptireo, Coroll. Inftit. Rei Herbar. 38. Par M, TOURNEFOR'T.M. 1703.P. 302. Persicaire Orientale. Defcription de cette Plante. Vertus de cette Plante, ihid. p. 304. Arrête la Gangrené , mife en décodionavecdu V m. ihid. p. 304. ••Pertuis " Nouvelle Conftrudion des Pertuis. Par M. DELA HIRE. M. 1707. p. 549. Ce que c'cft , & leurufagc. ibid. Inconvénients des Pertuis ordinaires, ibid. pp. J49.&fqq. Pe s ANT EU R. Eft une Force variable , & pourquoi , contre le Sentimentde Galilée. H. 1707. p. j(î. Commentagit fuivant Galilée. H. 1707. p. ^5, &fq. Tah, des Mat. l6^^ — 17 10 Ppp 484 TABLE DES MEMOIRES Pesanteur des Corps n'cft pas Goomctriqucmcnt cont« fiante , même dans les Chutes obliques à l'Hori- zon , ècc. H. 1707. p. 57. M " Examen d'une difficulté eonfidcrablc propofcc »■ par M. HUYGHENS contre le SyftémcCar- » teficn , fur la Caufe de la Pefanteur. Par M. » SAriRIN.M. 1709.P. 131. Caufe de la Pefanteur , fuivant M. SAURIN. M. 1709. p. 132. Ce que c'eft que la Pefanteur. /'^/^. p. 133. La Pefanteur fpccifique des Corps égaux en Vo- lumes , fuit exadement la proportion de Matière propre qu'ils contiennent. M. 1709. p. 142. Qiiclle doit être la Viteffc de la Matière Cclefte qui circule autour de la Terre, pour produire les Phénomènes de la Pefanteur. iiid. p. 1 3 6. &: fq. }j " Sur l'Hypothéfc duTournoiement de laTerre, M compliquée avec celle de Galilée touchant la Pe- y fantcur des Corps.H. 1707. p. jy. w " Licompatibilité Géométrique de l'Hypothéfe » du Tournoiement de la Terre fur fon Centre, M avec celle de Galilée touchant la Pefanteur. Par M. VARIGNON.M. 1707.P. II. » " Sur le Rapport des Forces Centrales à la Pe- » fanteurdesCorps. H. 1706. p. j^. M » Comparaifon des Forces Centrales avec les » Pcfanteurs des Corps mus de VitelTcs variées à »» difcretion le long de telles Courbes qu'on vou- » dra. Par M. VARIGNON.M. i7o<î.p. 178. La Pefanteur eft moindre vers l'Equateur que vers les Pôles. H. 1700. p. 118. Pesanteurs des différents Milieux ne font pas tou- jours dans le même rapport que leurs Puiffances rcfradivcs. M. 1700. p. 8 1 . DE L'ACADEMIE 1^99— I7I0 48)- Pesant EUR des Planètes, ce que c'cft? H. 1700. p. 98. Vers le Soleil dans les différents Points dclcurs Courbes , recherchées par MM. NEWTON & LEIBNITS pour toutes les Sec- tions Coniques, ibid. p. 99. Cette Théorie étendue à toutes fortes de Cour- bes par M. VARIGNON./^/a'. p. 100. - _ Pefanteur ou effort des Planètes vers le Soleil , pour leur faire décrire , &c. ^(?/fz. Planètes. Pétrifiante ( Fontaine ) de Clermont en Auvergne. H. 1700. p. 58. Analyfe de l'Eau de cette Fontaine , fuivant l'E- xamen de M. LEMERY. ibid. &c fq. Petrifie'e ( Ratte d'Homme ) H. 1700. p. 39. ,) .' Sur un Cerveau ( d'u/i Bœuf) pétrifié. H. 1703, W( . p. 2.6. Exemple pareil , mais avec des Circonftanccs ■ différentes , rapporté par ( Erafmc ) Bartholin. ibid.'p. 2.7. M " Obfcrvations fur un Cerveau de Bœuf pétrifié. ParM.DUVERNEY.M. 1703. p. 2.61. Ruches & Mouches à Miel pétrifiées & trouvées fur les Montagnes de Siout dans laHauteEgypte par M. Lippi. H. i7o^.p. 36. & fq. Phenomejsie. ( Tourbillon de Feu) qui a paru en baffe Normandie. H. 1700. p. 10. Phénomène Lumineux vu à Marfcille & à Mont- pellier en Décembre 1704. par le P. Laval & MM. Plantade & Clapiés. H. 170 j, p. 34. & fq. /'^;'/'é'//Vj- obfervés à Marfcille. le 13. May 1699. par M. DE CHAZELLES & le P. FeuiUée. H, ï699.p. 81. Colomne de Lumière obfervée en May 1701, parM. DELAHIRE. M, i70i.p. 135. ^U TABLE DES MEMOIRES « Phénomène ( » Obfcrvation d'un nouveau ) [J^hietic de w Comète) faite à Rome le i. Mars lyoï. par M." « MARALDI, avec les Réflexions de M. w CASSINI fur cette Obfcrvation.M.iyoï.p.ioi. Phimosis extraordinaire dans un Enfant de trois Ans. H. 1706. p. zj. Phioles. Expériences fur des Phioles de Verre vuides ou pleines d'Air, & pofécs fur des Charbons ar- dents. H. 1710. pp. I. &: 2. Phlegme. Méthode de M. HOMBERG pour connoîtrc la proportion des Sels Acides & du Phlégme mê- lés cnfemblc. H. 1699. pp. jz. J3. Phosphores. Comment on les peut regarder en général. M. 1709. p. 418. Cequc c'cft qu'un Phofphorc. H. 1710. p. ^4, Imperfections des Phofphores connus. /^. & fq. M >. Sur le Phofphore du Baromètre. H. 1700. p. 5:. » H. 1701. p. I. Découvert par hazard par M. PICARD, ihid. Examende ce Phénomène par M. BERNOUL- LI de Groninguc. H. 1700. pp. y. & fqq. Conjectures fur la Caufe de ce Phénomène, ibid, p. 6. Pourquoi n'arrivc-t'il pas à tous les Baromètres. ibid. p. 6. Méthode propofée comme fùrc par M. BER- NOULLI , pour rendre tous les Baromètres Lu- mineux, ibid. p. 7. Examinée par l'Académie, qui fufpcnd fon Ju- gement , &: pourquoi ? ibid. p. 8. ( » Nouveau Phofphore. Par M. BERNOULLI » ProfefTeur à Groninguc , extrait d'une de fcs » Lettres écrite de Groninguc le 6,. Novembre f 1700. M. 1701.P. I. Manière de fairecc Phofphorc. ibid. pp. 6. ôc fqq. DE L'ACADEMIE 1699— I7ÎS 487 " Phosphore. « Lettre de M. BERNOULLI Profeffcur f» à Groninguc , touchant fon nouveau Phofphorc. I». M. 1701. p. 137. D'où vient la Lumière du Phofphore de M. BERNOULLL IhU. p. 143. & fq. Le Mercure peut devenir lumineux en y mêlanï du Phofphorcliquidc. H. 1701. p. 3. » " Sur un nouveau Phofphore exempt de défauts , .» . tiré de la Matière f.icale , p.ir M. H 0 MB E RG. » H. ijio.p. 54. Phthysique. Eflais de l'Eau de Chaux furunPhthyfi- que. .M. 1700, p. 116. Physique générale. ' _ MEMOIRES ET OBSERVJTIONS diverfes de Phyjique générale , contenues dam les Mémoires de l' académie. 169^ 171Û Eléments de Mcchanique &: de Phvfique, Li- vre de M. PARENT, imprimé en 1700. Idée de ce Livre. H. 1700. p. 1 ^9. w » Sur la Dilatation de l'Air. H. 1708. p. 11. » y Expériences &: Remarques fur la Dilatation » de l'Air par l'Eau bouillante. Par M. DE LA HIRE. M. 1708.P. Z74. w =. Sur laRarefadion & la Condcnfation de l'Air, » H. 1705. p. 10. " '• Réflexions fur les Régies delà Condenfation del'Air.ParM.CASSINIleFils.M. ijo^.^.6i. •« iùid.p. ijz. Pppiij 4S8 TABLE DES MEMOIRES Physique gcncralc. "Sur la Condcnfacion &: Dilatation de l'Air, Par M. DE LA HlREle Fils. M. lyoy. *»,; p. IIO. » " Expériences fur la Rarcfraclion de l'Air. Par M. AMONTONS. M. Î70J. p. 1 19. „ » Sur un nouvel Inftrumcnt appelle Manomc- „ tre. H. 170 j.p. 2(î, „ " Manomètre , ou Machine pour trouver le rap- port de raretés ou rarefaftions de l'Air naturel ,. d'un même Lieu en differcns tems , oudcdiffc- » rens Lieux en un même ou en differens tems,&:c. ParM.VARIGNON.M. 170^. p. 300. M "Sur les Effets du Reflort de l'Air dans la Pou* „ dre à Canon & dans le Tonnerre. H. 1702. p. 9- u " Que les nouvelles Expériences que nous avons „ du Poids & duRcflbrtde l'Air , nous fontcon- » noître qu'un Degré de Chaleur médiocre peut u réduire l'Air dans un état allez violent pour cau- „ fer feul de très grands tremblemens & boulever- » femens fur le Globe Terreftre, ParM.AMON- » TONS. M. 1703. p. ICI. »^ » Sur le Rcflbrt del'Air. H. 1710. p. I. u. " Expériences fur le Rclîort de l'Air. Par M, CARRE'.M. 1710.P. I. M '» Sur une nouvelle Propriété de l'Air , & une » nouvelle Conftrudion de Thermomètre. H. » 1702. p. I. » " Difcours fur quelques Propriétés de l'Air , & le M. moïcn d'en connoître la Température dans tous les CUmats de la Terre. Par M. AMONTONS. V M. 1702. p. ij j. w "Sur le nouveau Thermomètre de M. AMON« V TONS.H. 1703. p. (î. DE L'ACADEMIE 1^99—1710 489 Physique générale. „ j.LcThcrmometre réduit à un mefure fixe & ccr- » taine , &c le moïen d'y rapporter les Ohfcrva- M tions faites avec les anciens Thermomètres, Par M.AMONTONS.M. 1703.P. 50. » î. Remarques fur laTable des Degrés de Chaleur » extraite des Tranfadions Philofophiques du Mois d'Avril 170 1 . &c. Par M. AMON TONS. M M. 1703. p. zoo. » » Expériences de l'Effet du Vent à l'égard du » Thermomètre. Par M. CASSINI le Fils. M. » 1710.P. y^4.H. 1710.P. 13. » " Expériences fur lesThermometres. Par M. DE i, LAHIRElcFils.M.i7io.p. ^46. » "Sur l'ufage du Baromètre pour mefurer la Hau- » teur des Montagnes & celle de l'Atmofphcrc, n . H. 1703. p, I I. » » Expériences du Baromètre faites fur diverfes » Montao-nes de la France. Par M.MARALDL » M. 1703. p. 2.2,9. » " Sur le Baromètre redifié. H. 1704. p. i. » »= Qiie tous les Barometres,tant doubles que fim- » pics, qu'on a conftruitjufqu'icyjagiiïcntnon-fcu- » lement par le plus ou le moins de poids de l'Air ^ » mais encore par fon plus ou moins de Chaleur , >» & le moïen de prévenir dorénavant ce deffauc .r dans la ConftruÂion des Baromètres doubles , & » d'en corriger l'erreur dans l'ufage des Baromè- tres fimples. Par M. AMONTONS.M. 1704. i> p. 164. « « Difcours fur les Baromètres. Par M. AMON- »!• TONS. M. 1704. p. 171. » " Sur un nouveau Baromètre à l'ufage de la Mer. H. 170;. p. r. 490 TABLE DES MEMOIRES PHYSiCil-'E gcncralc. « » Baromètre fans Mercure à l'ufage de la Mer, ParM.AMONTONS.M. lyoj.p. 49. «... " Remarques fur quelques Expériences faites M av?c plufieurs Baromètres, &c fur la Lumière que » fait un de ceux dont on s'efl: fervi , en l'agitanc verticalement. Par M. DE LA HIRE le Fils. M. « Ijoj.p. zz(5. » » De la Hauteur du Mercure dans les Barome- » très. Par NL AMONTONS. M. 1709. pp. zz^, >. 23 1. 134. 2.6 j. » " Sur une irrégularité de quelques Baromètres, M H. 170 y. p. 16. H. 1706. p. I. » " Difl'ertation fur les Baromètres & fur lesThcr- mometrcs. Par M. D E L A H I R E le Fils. M, M 1706. p. 432. M "Sur la Pcfantcur de l'Atmolphcrc. H. 1709, « p. I. u "Obfervations de la Pcfanteur de l'Atmofphcrc, M , faites au Château de Meudon avec le Baromètre double de M. HUYGHENS. Par M. DE LA » HIRE. M. 1709. p. ij6. M " Sur un nouveau Baromètre. H. 1708. p. 3. » " Dcfcription d'un nouveau Baromètre , pour M connoître exadement la Peianteur de l'Air, avec » quelques Remarques fur les Baromètres ordi- naires. Par M, DE LA HIRE. M. 1708. p. i ^4. f, "Obfervations du Baromètre, H. 1699. p. lo. » H. 1700. p. I. M, 170^. p. 219. M. 170^. 5. p. 12. H. 1709. p. 3. M. 1709. pp. 20. 23, 233, » " Sur le Phofphore du Baromètre. H. 1700. p. j, V H. 1701. p. I. ..NcuveauPhofphore. Par M. BERNOULLJ » de Gron, M. 1701. p. i.ibicL p. 1 3 j. Physique DE L'ACADEMIE i^5»9 — I7ÏO 49, Physique géncrale. „ » Nouvelle manière de rendre les Baromètres Lumineux. Par M. BERNOULLI ProfcflTcur à » Groningue. M. 1700. p. 178. » " Sur la Dilatation des Vaifleaux par la Chaleur. » H. 170^. p. 4. » j< Que les Expériences fur lefqucllcs on fc fonde » pour prouver que les Liqueurs fe condcnfcnt &: » fe rcfroidiircnr d'abord avant que k dilater à » l'approche delà Chaleur , ne le prouvent point, M &:quc cette Condenfation apparente eft pure- M ment l'eftct de la Dilatation du Verre & dcsVaif- „ féaux qui contiennent ces Liqueurs. Par M. AMONTONS. M. i7oy.p.7y. w " Obfervations fur l'Evaporation qui arrive aux „ Liquides pendant le grand Froid , avec des Re- « marques fur quelques Eftets de la Gelée. Par M. a, Gauteron , de la Société Roiale de Montpellier. M M. 1709. p. 4^1. « "Sur r Aimant f-irl'Aig. aimantée.H. i7oj.p.c. „ » Nouvelles Remarques fur l'Aiman & fur les „ Aiguilles aimantées. Par M. DELAHIRE « le Fils. M. 170^. p. 97. „ « Sur la Déclinaifon de l'Aiman. H. 1701. p. 5». M H. 1708. p. 19. H. 1706. p. 3. H. 1710. p. 3. » Votez. AiMAN. » « Examen d'une difficulté confiderable propofce pirM. HUYGHENS, contre le Syftcme Car- » t lien, furlacaufedelaPefanteur. ParM. SAU- » LIN. M. 1709. p. 131. » » Sur le Flux & le Reflux. H. 1 70 r .p. 1 1 .H. 1 7 1 o. p. 4. » " Obfervations du Fkix &: du Reflux de la Mer , &c.ParM.CASSINllcFils. M.1710. pp. 318. /- 366. 380. lab. des IdAt. 1651^. — 1710. Q.4T, 49i TABLE DES MEMOIRES Physique générale. » .. Sur la Lumière &c fur les Couleurs. H. 1 699, p. 17. » " Reflexions fur la Lumière & les Couleurs , &c „ la Génération du Feu. Par LE PERE MALLE- BRANCHE. M. 1699.?. 2.1. >. »j Sur la Matière du Feu. H. 1709. p. 6. » » Conjedures &C Réflexions fur la Matière du. » Feu ou de la Lumière. Par M. LEMERY le Fils, » M. 1709. p. 400. M » Sur la Lumière des Corps frottes. H. 1707» w p. I. » " Sur le Tonnerre. H. 1708. p. i. » Obfcrvacions faites par M. BIANCHINI fur » des Feux qui fc voient fur une des Montagnes „ de l'Apennin. M. 1706. p. 3 36. « » Sur la Continuation du Mouvement. H. 1701. » p. 14. » » Expérience fijr la Chaleur que nous peuvent „ caufer les Raions du Soleil réfléchis pas la Lune. Par M. DE LA H IRE le Fils. M. 1705, p. 34^. „ » Sur les Tuïaux Capillaires. H. 170 j. p. 21. » » Expériences fur les Tuïaux Capillaires. Par M» » CARRE'.M. 1705.P. 141. „ « Sur laCaufede la Rcfraétion. H. 1701. p. 14, y, " Expériences fur la Refradion des Balles de w Moufquct dans l'Eau , & fur la reliftance de ce Fluide. Par M. CARRE' M. 1705. p. II I. » « Sur les Armes à Feu difl:crcmment chargées» j» H. 1707. p. 3. » » Sur le Sens dont pluficurs Corps fc tournenr, » H. 1703. p. 14. M » SurlaMefurc&: fur la Pefanteur de l'Eau, H. » 170 1. p. 8. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7IO 49> Physique générale. » » Remarques fur la Mefure & fur la Pcfanteur de l'Eau. Par M. D E L A H I R E. M. 1701. » p. 168. w » R emarques fur l'Eau de Pluie , &c fur l'Origine « des Fontaines , avec quelques Particularités fur » la Conftruftion des Citernes. Par M. DE LA HÎRE. M. 1703.P. 56. « " Sur l'Origine des Rivières. H. 1703. p. i. « » Sur les différentes Hauteurs de la Seine en dif- » ferens tCiTis. H. 1705. p. 31. » » Obfervations fur les Singularités de l'Hiftoire M naturelle de France. H. 1(3515). p. 2-3- H. 1700, p. 3. M " Mémoire de l'Académie, fur l'Ambre Jaune, H H. 170^. p. 41. w » Sur les Pierres, & particulièrement fur celles « de la Mer. H. 1707. p. y. » '> Obfervations fur les Araiîrnées.Par M. HOM- w BERG. M. 1707 p. 339. » » Examen de la Soie des Araignées. Par M. DE REAUMUR.M. 1710.P. 386. » » Sur le Mouvement progrclff de pluficurs Ef- * pcces de Coquillages. H, 1710.P. 10. » » Du Mouvement progrcflif , & de quelques » autres Mouvemens de diverfes Lfpeces de Co- - quil!ag;'s , Orties & Etoiles de Mer. Par M. DE P..^.AÙMUR.M. 1710.P. 439 » .. HiftoircduFormica-Lco.ParM.POUPART, » M. 1704. p. 23 j. » «NouvcllesRemarques fur les Infeétcs desOran- gerç. Par M. DE LA H IRE. M. 1704. p. 48- 494 TABLE DES MEMOIRES PHYSiQlfE gcncralc, Obfcrvationsdiverfcs. Sur la Force de la Matière de la Lumière. H. 1708. p. 2 I. Sur la Méthode de mefurcr la Hauteur avec le Baromètre , &cc. H. 1708. p. 16. èc fq. Sur les grandes Chaleurs de l'Eté de 170 j. H. 1705. p. 38. & fq. Sur l'Hyver de 1705). H. 1709. p. 9. & fq. Sur unSablenoir d'Italie. H. 1701. p. lé. & fq. Sur un autre Sable de la Montagne de Péfaro. ihid. Sur de l'Ambre Jaune trouvé dans des fentes de Pvochers fteriles , &:c. H. 1700. p. 10. &:fq. H. 1703. p. 17. Sur une Carrière d'Albâtre près de MarfeiUe, H. 1703. p. 17. Dents du PoifTon Carcharias pétrifiées , SJ trou- vées en Anjou. H. 170 j. p. 3 j. Mouches à Miel &c IcursRuchcs pétrifiées , trou- vées fur les Montagnes de Siout dans la Haute Egypte. H. 1705. p. 3^. Sur une Pierre ou efpece de Savon pétrifié, ve- nu d'Allemagne. H. 170^. p. 6. Sur des Pierres figurées. H. 1703. p. 21. &c fq, H. 170^. p. 10. & fq. H. 1710. p. 19. &:fq. Sur \ Herharium Diluviaruiiti de M. ( Jean- Jacques ) Schcuchzer.H. 1710.P. 21. &fq. Sur la Diflertation de M. (Jean) Scheuchzer Corr. fur Y Origine des Mo/it, ignés , ou fur la for- mation de laTcrrc.W. 1708. p. 30. & fq. Relation de la nouvelle Ifle de Santerini près Candie. H. 1707. p. 1 1. H. 1708. p. 23. &: fq. Sur une DifTcrtation de M. ( Jean-Jacques ) Scheuchzer , fous IcTitrc de rijciiim ^jcereLe cJ- Vindicix. H. 1708. p. 34. & fq. DE L'ACADEMIE î(î5)9— rjro 45^5^ Physique générale , Obfervations diverfes. Sur ^EJpiy rhyjirjtie fur l' Hiftoirc de la Mer de M. Le Comte Marfigli. H. 17 10. p. i3.&:fq. Sur une Diflcrtation de M. ( Jean- Jacques ) Schcuchzeryâr le Crijlal. H. 1708. p. 33.&fq. Sur des Pucerons ou Infedcs de Plantes. H. 1703. p. 16. Sur les Punaifcs ou Infectes des Orang-ers. H. 1704. p. 10. &lq. Sur le Formica-Vulpes Infe£l:e. H.i70(î.p.7.&rq. Sur un Ver fort étroit & long de deux pouces, aïant 80. Jambes, & qui étant coupé en plu- fieurs parties marchoit toujours. H. 1706. p. 8. &fq. Animal qui de Poiffon devient Oyfeau. H. 170^, p. 9. Sur des Fourmis de Vifite de l'Amérique. H. 1701.P. 16. Sur la manière dont le Trochus ou Turbo fe nourrit de Moules. H. 1708. p. 18. & fq. Que les petits Animaux de l'Eau y multiplient. H. 1707. p. 8. &fq. Sur le Crillallin d'un Serpent trouvé d'une fphé- ricité parfaite. H. 170^. p. 8. Chiens qui ont vécu long-tems fans manger. H.. i-yo6. p. 6. Circulation du Sang vue dans la Jambe d'une Araignée. H. 1707. p. 5>. Ce que c'eft que le Chagrin de Turquic.H. 1 709. p. 8.&fq. Sur l'Eftct de la Morfure des Tarentules. H, 1702. p. 16. &C fq. Sur un Maître à Danfcr,qui étant tombé dans un Délire furieux & muet, en fut guéri par l'cffcc du Violon. H. 1708.P. iz.&fq. • Q^qqiij 49id. p. j2. Rendues involontairement par la feule fituation du Corps. /'^/V. " " Sur des Pierres dans les Parois de la Veille. H, '» 1702. p. 22. Moïen de tirer ces Pierres , imaginé par M. LITTRE. ié>i(J. P.23.& fq.M. i702.pp.3o.&fqq. " » Obfervation fur deux Pierres trouvées dans les " Parois de la Vcflie d'un Garçon de vingt Ans, Par M. LITTRE. M. 1702. p. 16. Pierres fe trouvent fouvent dans la Veficulc du Fiel des Animaux. H. 1703. p. 36. D'où produites î il^ii/. CcsPierres ne tuent points^ fouvent même n'in- commodent pas. jù/ci. Sorte de Pierre ou de Corps propre à le devenir, trouvée dans un Cadavre fans être attachée à aucune partie. H. 1705. p. 38. Pierre affez grolTc trouvée dans les Inteftins, dont elle bouchoit cxaûement le pafTage. H. 1704. p. 24. Trouvées dans l'Eftomach d'un Homme , &c. H. 1704. p. 28.&fq. TaL des Mat. 1 695). — 1710. . R rr 56o TABLE DES MEMOIRES Pierres ( Calculs Humains ) trouvées dans le Corpj d'une Dame , dans un Sac formé par l'Extenfion. des Membranes du Duodénum. H. lyio.p. 37. Conjedurcs fur la formation de ces Pierres, ibid. p. 3». Trouvée dans la Vcflîc d'une Cavalle, H. 1700.. P-4Ï- Traité de M. M E R Y Jltr l'Extra^ion de U< Herre.W. 1695). p. 30. » » Sur une nouvelle manière de tailler de laPierre » {^de Frère Jacques Beaulieu. ) H. 169 5). p. 30. Cette manière condamnée par l'Académie, ihid.. &fq. Pierre de Vlgtiana Lézard d'Amérique , fes ver- tus , &c. H. 1707. p. 10. Pierres de Foudre. Leiu- Exiftcnce paroir douteufc. M. 1700. p. 10(5. Conjcdures fur leur Origine , fuppofé qu'elles cxiftcnr. ibid. p. 107. Pierres (la formation des ) dépend d'une Matière liqui- de. M. 1700. p. 31. Pourroient être des Plantes. H. 1700. p. 6^. Semukiplient par des Germes. M. 170 z.pp. m. &: fqq. Obfervations fur l'accroKîcment &; fur la géné- ration des Pierres, par M. TOURNEFORT, M. 1701. pp. 22,1. &; fqq. H. 1701. pp. jo, & fqq. P.iERREs figurées cndedans de Poirtbns , de Feuilles d'O- livier , &c. apportées d'Italie ou vues par M. MARALDI.H. 1703. p. 25. Syftcmc que l'on peut faire fur la formation de CCS Pierres figurées, ibid. & fq. La Liquidité primitive des Pierres crue par d'habilesPhyficienSjpeut rendre vray ceSyftêmc, ibid.ç. 24. DE L'ACADEMIE 1699 —lyio T^i Pierres , Ardoifes , &:c. empreintes de Figurcs,de Plan- tes &c d'Animaux , trouvées en Allcmaenc au rapport de M. LEIBNITS. H. 1706. pp. 10, & fqq. Moien d'imiter ces Pierres figurées./^. p. 10. &fq. Idée de M. LEIBNITS fbr l'Origine de cesPier- reSj&c. Jl>iai. p. u. Pierres figurées trouvées en Anjou dans des Car- rières. H. 1705. p. 5 y. JPierre particulière venue d'Allemagne ( efpece de GUife dejjechée ) montrée par M. GEOF- FROY. H. i7o6.p.(î. Idée de la DilTertation de M. (Jean-Jacques) Schcuchzer , fur les Pierres empreintes de PoiC- fons ,&c. envoïée à l'Académie. H, 1708. p. 34. &rq. Diffcrtation lue à l'Académie fur les Pierres fi- gurées, par M. (Jean) Scheuchzer. H. 17 10. p. i^.&fq. Idée fur la formation de ces Pierres, ihid. «Pierres. .. Sur les Pierres, &: particulièrement furcel- V les de la Mer. H. 1707. p. 5". Pierre Etoilée, tournoie dans du Vinaigre diftilé, & fur un Plan Horizontal , & pourquoi î H. 1705. p. zi. Pilon ( St.) Montagne de Provence près la Ste. Baume. Emerfion du i. Satellite de % obfervée au St. Pilonpar leP. Laval, le ij. Juin 1708. M. 1708. p. 46Z. Hauteur du Pôle du St. Pilon obfervée par le mê- me, ibid. » Pilotis. «Machine pour retenir la Roue qui fertàéle- » ver le Mouton pour battre les Pilotis dans la » Conftrudion des Ponts , des Quays , & autres u Ouvrages de cette nature. ParM. DE LA HIRE » M. 1707.P. i88. Rrrij yot TABLE DES MEMOIRES PiMENTiER ( le) à fruit ovale. Plante. SaDcfcriptioncn» voiéc de la Martinique à TAcadcmie par le P, Breton Jefuite. H, 1704. p. 41. Pinte de Paris eft la 35^. partie jultc du pied Cubique. M. 1705. p. 68. Pins Arbres , diftillcnt naturellement pendant prefque toute l'année. M. 1705. p. 33Z. Pi RAM IDE s d'Egypte,leurs Mcfures en Pieds & en Stades. M. 1701. p. 15). PisoN ne connoiiloitque deux fortes d'Ypecacuanha. H^ 1700. p. 69. » » Extrait des Defcriptions que Pifon & Marc- .. Gravius ont données du Caa-apia, & Confrou- n ration des Racines du Caa-apia & de TYpcca- » cuanha, tant gris que brun, avec leur Dcfcri- » ption, par laquelle on voit fenfiblement ladif- » fcrence du Caa-apia a l'Ypccacuanha. Par M. GEOFFROY. M. 1700. p. 134. PiSTOLETsd'ArçondeM.DcLaChaumette, approuvés par l'Académie. H. 1700. p. 160. PiTUiTAiRE. { Glande) Foicz, Glande. »V wek{ forte d'Oyfeau) » Obfervations fur les Mouvo- » mens de la Langue du Pivcr. Par M. MERY. » M. 1709. p. 8y. Meprifes de MM. Borelli & PERRAULT fur cet Article, ibid. p. 89. & fq. Placenta. Méchanique du Placenta pendant l'acroifTe- ment du Fœtus. H. 170 1. p. 20. Plainchant , ce que c'eft. M. 170 1. p. 3 36. Application du Syftêmc général des Sons , de M.. SAUVEUR au Plainchant. iiid. p. 33^. & fqq. "Plan incliné. .. Nouvelle Statique avec Frotcmens & w fans Frotcmens , ou Régies pour calculer les >. Frotcm, des Machin, dans l'état de l'Equilibre, DE L'ACADEMIE 1699^17x0 )o^ s I. Mémoire , qui contient tout ce qui fe fait fur » des Plans inclinés. Par M. PARENT. M. 1704-, Planètes. Idée de leur Théorie fuivant Ptolomcc. M. 1709. p. 1^0. Régie de Ptolomée fur le rapport de leurs Vitef. fesréelles. H 1707. p. 5)9. Cette Régie fuffit pour la pratique deFAftrono. mie. iéiid. Suivent cxadement la Régie de Kepler. il>/d,- p. 9^. La Régie de Kepler n'eft pas démontrée à priori par les Loix du Mouvement. H. 1707 p. 97. Leurs difterentes diftances à laTerre étoicnt mal reprcfcntées dans l'Aflronomie ancienne. M. 1709. p. 247. éloignées de la Terre chez les Anciens, à pro- portion de la Lenteur de leurs Mouvemens. ii/Jd,. p. Z48. Le rapport de leurs diftances au Soleil eft donné par la Régie de Kepler. H. 1706. p. 97. w « Remarques fur le Mouvement des Planètes , & » principalement fur celui de la Lune. Par M. DE LA HIRE.M. 1710. p. Z92. » » Sur les Mouvemens apparents des Planètes. » H. 1709. p. 82. Le Soleil eft le Centre des Mouvemens des Planètes. Jh/d. Théorie de ces Mouvemens a. l'égard de la Ter- re //"V. & fqq. Durée de leurs Rétrogradations, il^id. p. 86, &fq. « 5j Du Mouvement apparent, des Planètes à l'é- » gard de la Terre. Par M. CASSINLM. 1703?^ p. 147. R rr iij /■ J04 TABLE DES MEM OIRES » Planètes ( " Sur les ) en général, &: fur Saturne en par- u ticulier.H. 1704. p. 65. Difficultés qui ie rencontrent dans l'établilTe- ment de leurs Théories & la Conftrudion do leurs Tables, il^/d. pp. 66. & fqq. Leurs Orbes ne fe rapportent qu'au Soleil , & non pas à la Terre. Jl?id. p. 6p. Leurs premières & fécondes inégalités, ce que c'eft i ihid. p. 70. Leurmoien Mouvement; celui de leur Apogée & celui de leurs Nœuds , difficile à déterminer , & pourquoi. M. 1704. p. 3 10. &: fq. w M Confidcrations fur la Théorie des Planètes. Par M. MARALDL M. 1704. p. 30^. Difficultés qui fe trouvent dans cette Théorie. ibid. &C fqq. Embarras des Anciens Afl:ronomes,& de Tycho dans les Obfervations des Planètes. M. 1700. p. 294. Avantages de l'Aftronomie moderne, iù/d. Méthodes exactes de déterminer leurs fituations, pratiquées par l'Acadcmic. M. 1704. p. 313. &fq. Les Obfervations des Planètes dans leurs Syzi- gics avec le Q font les plus fùres , &: pourquoi ? M. 1707. p. 198. Leurs Noeuds pourroicnt bien n'avoir pas tou- jours la même direiSlion , mais rétrograder quel- quesfois , &c. H. 1706. p. i z i . Secondaires ont peut-être des Mouvcmens fur leur Axe à peu près égaux en durée à leurs Ré- volutions autour de leurs Planètes principales. H. 1705:. p. lii, Raifon de cette Conjcdure. ièid. D E L'ACADEMIE 1^99 —- I7IQ je; Planètes. Rapport du Mouvement des Comètes avec celui des Planètes. M. 1695). pp. 3 6. &: fqq. >• » Sur les Forces Centrales des Planètes. H. 170 y^ s» p. 9 z. H. 1707. p. 97. Pefanteur des Planètes , ce que c'cft > H. 1700, P-98. ^ Kepler a établi le premier des Ellipfcs pour Or- bites des Planètes, iê'id. p. 98. VitefFes des Planètes toujours inégales, &r pour- quoi? ihid. p. 95?. Pefanteur des Planètes vers le Soleil dans les dif- férents Points de leurs Courbes , recherchées par MM. NE^Ol^TON & LEIBNITS pour toutes^ les Seflions Coniques, i/?id. p. 99. Cette Théorie étendue à toutes fortes de Cour- bes par M. VARIGNON. /^/V. p. 100. Les Orbites circulaires des Planètes font impof^ fibles , &: pourquoi ? il/id. p. 100. »• » Des Forces Centrales , ou pcfanreurs néccflai- »• res aux Planètes , pour leur faire décrire les Or- » bcs qu'on leur a fuppofés jufqu'ici. Par M. VA- !»■ RIGNON.M. 1700.P. 114. Pefanteur ou effort des Planètes vers le Q. pour leur faire décrire l'Ellipfe de Kepler. M. 1700. pp. 229. & fqq. Pour leur faire décrire l'Ellipfe de Kepler fui- vantl'Hypothéfe de Seth. Ward.p. 231.&: fq. . . l'Ellipfe dcM.CASSINI. p. 2 3 2.&:fq. la même fuivant l'Hv- pothéfcde Kepler, p. 234. Pour leur faire décrire l'Excentrique des An- ciensdans l'Hipothéfe de Kepler, p. 237. &fq„ , . . . dans celle de Seth. Ward. p. 23 y. & fq. Pour leur faire décrire imiformement des Or- bes quelconques. /^;• M. 170 j. p. 347. Planisphère Terreftre reçût des Correûions anticipées de M. CASSINI , que les Obfervations ont jufti- fiécs.H. 171 o. p. 145. &:fq. Planisphère (Dcflcind'un Fragment de ) Egyptien & Grec, &:c.H. 1708. p. 1 10. Plantade (M. De) de la Société Ro'iale de Montpel- lier, fon Obfervation de l'Eclipfe de (£, du 15, Décembre 1705. faite à Montpellier. M. 1704. pp. I4.&:fqq. Son Obfcrvari-on de l'Eclipfe de C du 17. Juin 1704. taite à Montpellier. M. 1704. p. ij?7. & fq. Eclipfc de <£ du 13. Février 1710. obfcrvée à Montpellier. M. 1710. p. iï^.&l fq. Son Obfervation de l'Eclipfe du o duii. ^.Iars 1705). taitc à Montpellier. M. 1709. p. 93. -Son Obfervation de l'Eclipfe de Mars par la C faite à Montpellier le 10. Mars 1707. M, 1707, p. 193. Plante. Sa Définition. H. 1700. p. 73. Sa Racine eftfon Eftomach. H. 1707. p. y i. Combien dcconnucs ? H. 1700. p. 7y. Tous les Genres de Plantes réduits à 11. Clafles. /'^/W. p. 75. pLANTEsparalIteSjCcquec'cft ; M. 170^. p. 357. De nôtre Pais, font trop négligées par les Bota- niftcs Modernes. M. 170 1. pp. 117.61: fqq. Fourniflent un aulli grand nombre &: d'aulli bons Remèdes que les Etrangères. M. 1701. p. iip. &fq. Rcfolutives , font un mauvais effet à l'Oeil, H. 1709. p. 14. Plantes, DE L'ACADEMIE igc,,— iyï9 ^oy » PxA-N TES. Sur les Mouvemens extérieurs des Plantes. H. t .1710. p. 64. Quels font en général ces Mouvemens. iùU. Méchanique de ces Mouvemens expliquée par M. PARENT, il^id. pp. 64. Se fqq. Pourquoi certaines Plantes fuivent le Soleil ou Ce panchcnt toujours vers lui. H. 1710. p. 67. I» ». Sur la perpendicularitc de la Tige des Plantes w par rapport à l'Horizon. H. 1700. p. 61. H.1708. p. 6j. ^ 'Ce Phénomène , quoique commun , efl: racr< veillcux , & pourquoi î iif/d. & fq. Le Soleil a beaucoup de part à la perpendicula< rite des Plantes. ii>id. p. (Î4. w » Sur l'affedation de la Perpendiculaire remar- • quable dans toutes les Tiges , dans plufieurs Ra- M cines , & autant qu'il eil poffible dans toutes les Branches des Plantes. Par M. DODART. M. M 1700. p- 47. ■ » Explication Phyfique de la direction verticale » &: naturelle des Tiges des Plantes , &: des Bran- M ches des Arbres , ôc de leurs Racines. Par M. DE LAHIRE.M. 1708.P. 131. u >» Conjedures fur le redrclfemcnt des Plantes in- » clinécs à l'Horizon. Par M. Aftruc de la Société M Roialc de Montpellier. M. 1708. p. 4^3. ,1 ». Sur la Fécondité des Plantes. H. 1700. p. 6^. » H- 1701. p. 7j. u '. Expérience &c Calcul de la Fécondité d'un Or- „ me. H. 1700. p. 6^. &: fq. » ». Sur la Multiplication des Corps vivants con- M fideréc dans la Fécondité des Plantes. L Me- » moireliien l'Aflemblée les 19, May Se 14. Juil- let 1700. Par M. DODART. M. 170». p.ijé. Tab. des M'it. i6^t). — 1710. _. Sss 'yo8 TABLE DES MEMOIRES «Plantes. » II. Mémoire fur la Fécondité des Plantes j » Conjcdures fur ce fujet. Par M. DODART. » M. 1701. p. 241. Raifon de probabilités rapportées par M. DO- DARTpour établir fon Syftcme fur laFécondité des Plantes, ihid. pp. 141. & fpq. Moïen fur propofé par M. HOMBERG de ren- dre les Plantes annuelles vivaces. H. 1710* ?-79- Les Modernes ont découvert les Semences dans plufieurs Plantes que l'on croïoit n'en point avoir. H. i707,p. 4^. Celles que l'on croïoit n'avoir point de Semen- ces , &: aufqucllcs on en a découvert , font celles quienont leplus.H. 1707. p. 45). QLi'il y a une multitude prodigicufc de Graines invifibles de Plantes femécs indifféremment &: fouvent inutilement par toute la Terre. H. 1707. pp. 48. 49. Leurs Graines ne peuvent pas éclorrc partout, &; pourquoi. H. 1707. p. 48. Chaque partie organique des Plantes contient une infinité de Semences invifibles. M. 170p. p. 66. Une Plante efl: toute entière dans la moindre de fes parties. H. 1709. p. 44. .,. Peuvent fe multiplier par des Boutures, & pour- quoi; H. 1709. p. 41. M. 1709. 67. »• " » Obfervations fur les Maladies des Plantes. Par M.TOURNEFORT. M. 170J.P. 352. » >. Obfervations fur quelques Végétations irrcgu- » licrcs de différentes parties des Plantes. Par M. MARCHANT.M. 1709. p. 64. Les Montres en fait de Plantes, font en moindre quantité & moins furprenans que dans les Ani- maux, & pourquoi? H. 1709. p. 44. D E l'A C A D E M I E 1699 — 1710 509 Plantes ( Les Monftrcs en fait de ) font plus bifarres que dans les Animaux, félon M. MARCHANT. M. 1707. p. 488. Elles confumcnt pour leur entretien une très grande quantité d'Eau. H, 1705. p. 3. M. 1703. p. 60. Expérience de M. DE LA HIRE fur ce Fait, ibid. « "Sur le Suc nourricier des Plantes. H. 1707. p. 50. „ w Obfervations fur le Suc nourricier des Plantes. Par M. RENEAUME. M. 1707. p. 27^. Analogie entre les Plantes & les Animaux, ibid. p. 276. Perdent de leur fubftance par les Tranfpirations. ibid. Manne des Plantes , ce que c'cfl: ? ibid. p. 177. & fq. S'afFoibliffent &: perifiTent par une trop grande Tranfpiration. H. 1707. p. jr. Sucs qui en tranfpirent réduits en quatre Claffes par M. TOURNEFORT. H. 1699. p. 101. H. 1707. p. 50. » " Sur la Circulation de la Sève dans les Plantes. »* H. 1709. p. 44. Vûïcz, Seve. » » Sur les Analyfcs des Plantes. H. 1701.P. 68. Analyfes de Plantes exécutées par l'Académie, M. 1707. p. 517. w » Obfervations fur les Analyfes des Plantes. Par M.HOMBERG.M. 1701. p. iiy. Les Subftanccs que Ton retire des Plantes par l'Analvfe , différent cntr'clles , quoi qu'elles paroiffcnt d'abord fcmblablcs, M. I707-P'yi7' ,&:fq. s ss ij fto TABLE DES MEMOIRES Plantes. L'Extrait de leur Marc cft mal-à-propos négli- gé jufqu'à prcfent. H. ijoj.p. 63. M «Sur des Analyfes des Plantes fcrmentées. H. s. 1701. p. 38. j. » Sur les Huiles des Plantes. H. 1700. p. ^6. Donnent une Huile fœtide. p. 56. Les Aromatiques donnent de plus une Huile eflentiellc au commencement de la diftiUation. ibid.^. 56. Acides Minéraux tirent plus d'Huile des Plantes que les Végétaux, ibid. p. J7. M » Obfcrvations fur les Huiles des Plantes. Par M. » HOMBERG..M.1700. p. 2,12. Les Huiles tirées des Plantes analyfées par le feu différent en quantité & en qualité , fuivant la manière dont fe fait l'extraftion. ibid. p. ziz. &fq. Toutes les Plantes analyfées donnent une tête morte après la diftiUation, ibid. p. z i j. Cette tête morte contient encore de l'Huile de la Plante , &: pourquoi ? p. z 1 3 . L'Acide & le Sel Volatil des Plantes peuvent ai- der à l'Extraction des Huiles , &: lui fervent de véhicule, & pourquoi î />/i/. p. ZI3.& fq. Eflais pour cclaircir cette Conjefture. ibid, p. Z14. & fq. Les Huiles effcntielles des Plantes Aromatiques desIndes s'enflamment bien mieux que les nôtres H.1701. p. 6j. » » Sur les Huiles Effentlcllcs des Plantes , &par- „ ticulierement fur les différentes couleurs qu'ellas ,^ prennent par différents mélanges. H. 1707. p. 37. „ «Obfcrvations fur leSi Huiles ElVentiellcs avec „ quelques Conjcétures fur la caufe des Couleurs „ Âcs FcuiHcs & des Fleurs des Plantes. Par M. GEOFFROY le jeune. M. 1707. p. 5 17. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7IO Pi Plantes. La Subftance huileufe de la Graine d'une Plan- te étanc traitée différemment , donne trois fortes d'Huiles, ihid. p. p 9. >>■ ■' Sur les Sels des Plantes. H. i(Î99. p. 63. Sel cfTentiel des Plantes refTemble au Sç\ com- mun, ibid. Comment fe forment les Sels contenus dans les Plantes. //'/a', p. 6j. Comparaifon faite par M. HOMBERG dcdcux mêmes Plantes, nourries dans une Terre infi- pide , & dans une Terre arrofée de Salpêtre. ibid. p. (33. n EfFais pour examiner les Sels des Plantes. Par M». HOMBERG. M. 1699. p. 69. Sels des Plantes peuvent contenir du Salpêtre ou du Sel commun , &: pourquoi i ihid. Expériences faites fur du Fenouil & du Crcflon de Jardin, ihid. pp. 70. &: fqq. Sels contenus dans les Plantes, s'y forment tels qu'ils y font. M. 1699. p. 74. Méthode pour tirer beaucoup de Sel elTentiel dcs- Plantcs.M. ié5?9.p. 100. Sel effcntiel trouvé fur les Branches & fur les Feuilles de pluficurs fortes de Plantes, ihid. p. lOI. »- » Sur les Sels Volatils dés Plantes. H. 1701. » p. 70. » " Obfervations fur les Sels Volatils des Plantes, ParM. HOMBERG. M. 1701. p. iii. Nouveau Sel Volatil falé tiré des Plantes, ihid. p. 211. * » Sur le fer des Plantes. H. 1706. p. 3 8. Le fer qu'elles contiennent y cfl en forme de Vi- triol. H, 1708. p. 64. . - , .■ Sssiii pi TABLE DES MEMOIRES .< Plantes. » Qiic les Plantes contiennent réellement du Fer , Se que ce Métal entre nccefT-iirement dans » leur Conipofition naturelle. ParM. LEMERY. „ leFils.M. 1706. p. 41 1. „ Plantes de Mer ( Sur les ) H. 1700. p. ^7. H. 1710. p. (^9. Mécanique des Plantes Marines différente des Plantes de Terre, iùid. p. 68. Plantes marines n'ont communément point de Racines, il^/d. p. 68. Dans la plupart on ne voit point de Semence. i}>id. p. 6'i. Les Pierres pourroient être des Plantes, /i/'d. p. 69. » » Obfervations fur les Plantes qui naiflcnt dans le fonds de la Mer. Par M. TOURNEFORT. » M. 1700. p. 27. Plantes Marines *)ce que c'eft , &: pourquoi Maritimesjclles différent. //'/W. p. 27. Plantes Marines réduites à quatre principales différences, ihid. p. z8. ■^cnouriffcnt différemment que les Terrcftres. ibid.^. z8. Leurs Racines ne font ni fibrcufcs , ni cheve- lues, ibid^ p. 28. La Madrepora mmofa Jmper.iti eft la fcule que l'on connoiffc qui en foit exceptée, ibid. p. 29. Leur nourriture, ibid. p. 29. & fq. Tiffurcdes Plantes Marines molles diffère peu de celle des Plantes ordinaires, p. 5 2. Strudurc des Plantes Marines pierreufcs diffère peu de celle des Pierres. M. 1700. p. 33. Fleurs des Plantes Marines inconnues, p. 3 ^. Difficile de découvrir les Semences des Plantes Marines, ibid. p. 3 y. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 jif PtANTES Marines divifées en trois Claffcs par M. Le Comte Marfigli. H. 1710. p. 70. Divcrfcs particularités remarquables fur ces Plantes obfcrvées par le même. iùid. p, 71. Marines , découvertes des Fleurs 8c des Semen- ces de quelques-unes , &c. i^id. pp. j6. &c fqq. * » Sur l'Analyfe de deux Plantes Marines. H.. s» 170(3. p. 40. Donnent par l'Analyfe beaucoup de Sel Volatil urineux. H. 1706. p. 40. » » Sur l'Analyfe des Plantes Marines , & prin- » GÏpalcmcnt du Corail Rouge. H. 1710.P.48. Plante criftallizée endcffus par l'Eau de la Mer. M. 1710.P. 434. •>• >» Etabliflement de quelques nouveaux Genres de Plantes. Par M. TOURNEFORT. M. 170 5, •• p. 136. M. 1706. p. 83. Ciimphorata. Chamxhuxtis Chelone, Chryfanthemoï. Conyz.o'tdes Diervilla Lavatcra, Luffa Mcnifpermum MethonicA^ Morfus Ran.s Orobanchoïdes licoïdes Solanotdes G Ah Ternated JI4 TAfBLE DES MEMOIRES Planjis. LISTE ALPH ABETI êlVE des Plantes dont les Defcriptions lues dans l'Académie ont été imprimées dans les Mémoires y ou refermées pour des Ohvva^. ^es particuliers , &c. i<>i?p ■ 1710 Acajou ) Pommier à' ) fa Dcfcription envoies delà Martinique à l'Académie par le P. Bre- ton Jcf. H. 1704. p. 41. AcifUiria^ Imperati Plante Marine , fcmble avoir -unccfpeccde Semence. M. 1700. p. 36. ^Icyonium durum Imperati.. Plante Marine, mon- tre qu'il y a dans la Mer des Plantes dures en dehors , & fpongieufes Se alTez molles en de- dans. M. 1700. p. i8. Alcyonitim molle Imperati. Plante Marine molle (ans Feuilles. i^/V. Algd augufiifolia Vitriariorum. C. Bauh. Plante Marine , porte des Fruits nommés fur les Cô- tes de la Méditerranée , Olives de Mer. M, 1700. p. 35. Algues , Plantes Marines, font les feules Plantes de Mer qui aient des Racines. H. 17 10. p. 71. Alhagi , Plante d'Arménie & de Perfc , d'où l'on rire une efpece de Manne purgative. Sa Dcf- cription lue à l'Académie par M. TOURNE» FORT. H. 1704. p. 41. Aines. Svw: l'Alocs. H. 1708. p. ^^. Anonh DE L'ACADEMIE 1^59— i/io H? Plantes. Anotijsfttrpurea , friitefcens, non ffïnofa . Sa Def- cripcion lue par M. MARCHANT. H. 1708, p. 69. Antirthinum. Sorte de Plante. M. 1700. p. ^-/, Apium Pyrenaïcum ThapJ/x facie. Injl. Bot. ou Sefeli Pyrenaïcum Thapjix facie. D. FAGON. Schol. Bot. Parad. Bot. Sa Defcription lue à l'Acadcmic par M. C HO M EL. H. 1709. Apocyn ou Liane laitcufe. Sa Defcription cn- voïée de la Martinique à l'Académie par le P. Breton Jef. H. 1703. p. 57. Aulnéc , ou Heleniiim vulgare , ou Entila cam- pana. Sa Defcription lue à l'Académie par M, MARCHANT. H. 1709. p. n- Baume. ( Arbriflcau de) Sa Defcription envoïée par le P. Breton. H. 1703. p. ^7. Belle de Nuit ou Jalap. Sa Defcription envoïée par le même. ihid. Bonnet de Neptune , forte de Champignon de Mer. Sa Defcription. M. 1700. p. 30. Btiphtiilmum Diofcoridis. Sx Defcription lue par M. MARCHANT. H. 1706. p.42.. Bitrfa Paftoris. M. 1700. p. 5 i. Caa - apia. Plante du Brefil , décrite par M, GEOFFROY. M. 1700. p. 70. .. « Camphorata ( Sur la ) de Montpellier. H.1703. p. Î3' w Caryophillus ^Jinenjîs , fup'tniis , Icucoii folio , w flore vario ( Oeillet de la Chine ) Sa Defcrip- tion. Par M. TOURNEFORT. M. 170J. >' p. 164. Tah, da M'it. 1699 -r- 1710 T tt M ji^ TABLE DES MEMOIRES Plantes, „ " Cham.erhododcndros Tcnt'tcd, Maximd , folio „ Laitrocer^Ji, flore car nleo nHrpuraCcente. Coroll. N Jnfi. Rei Herb. 42. Sa Dcfcription. Par M. TOURNEFORT.M, 1704.P. 345. » )=chdm.trhododcndros Pontica ^ mdxima , MeJ^ M f m folio , flore littco. Coroll. Injl. Rei Herb. 42. S Sa Defcription. Par M. TOURNEFORT. h M. 1704. p. 348. Chancclagua Plante de la Nouvelle Efpagne. Ecrit de M. De Pas fur cette Plante envoie à l'Académie. H. 1707. p. ^2. Châtaignier Arbre. Sa Defcription cnvo'iée de la Martinique à l'Académie par le P. Breton Jef H. 1703. p. 57. Chondrille d'une efpece nouvelle, décrite dans l'Académie par M. DE JUSSIEU. H. 1709. Chryfantemum Alpinitm , foliis Abrotani niitlli- Jîdis. C. B. Sa Defcription lue par M. MAR- CHANT. H. 1703. p. 57. „ »Conyz.a montana , foliis longioribtis Serr.itis ^ „ Flore é Siitphurco albicanie. Sa Defcription. ^ ParM.CHOMEL.M, i7o^p. 387. Corail ( fur le ) &c. H. 1700. p. 69. M. 1700. p. 28. H. 1710. p. j6. Corallines. Plantes Marines. M. 1700. p. 28. •; V Cuébé ( le ) Plante d'Amérique. Sa Defcription envolée par le P. Breton. H. 1704. p. 42. Bracunculasfive Serfentaria TrifhylU Brafiliana. Sa Defcription donnée à l'Acadcmicpar M. MARCHANT. H. 1709. p. j i. Eupdtorium. Sa Defcription lue par M. CHO- MEL. H. J70j.p. (î<7. DE L'ACADEMIE i6pp — ijro 517 Plantes. . ;j Figuiers , manière de les élever pratiquée dans les Illes de l'Archipel. M. 1705. pp. 340. rilipcndulc. Sa Defcription donnée par M, MARCHANT. H. lyio.p. 79. F /os S oit s Iridicus Trachelii folio , radice repente, SaDefcript. donnéepar M. MARCHANT. H. 17 10. p. 75). Tr ut ex Mon nus elcgantifflmus Clufii. M. 1700. P-35- ïticus. Plante Marine molle avec des Feuilles. ibld.^. 28. Fungus coccineits Melitenjis tifhoïdes. Bocc. rar. Plant. Sa Defcription envoïéc à l'Académie parM.Lippi.H. 170J.P. 68. Fungus fax eus Nili }na)or. Clufii. Champignon de Mer. Sa Defcription. M. 1700, p. 3 1. à Gratiole( » Sur la) H. 170 5-. p. ôz.&c. Hcliûtropium majus. Sa Defcription donnée par M. MARCHANT. H. 1705). p. ji. Hyofciamus i/r/^f/^.f ( Jufquiame.) Sa Defcription donnée par M. MARCHANT. H. 1706. p. 41. Jacea lutea Cretica ,foliis Linerarix. Sa Defcrip- tion donnée par le même. H. 1708. p. 69. Iris Ferftca , 'variegata pr.ecox. Sa Defcription donnée par lemême. H. 1706. p. 41. Lenticula palujlris latifolia punclata. M. 1700. p. 36. Liane. Defcriptions de la Liane, de la Liane laiteufe , ou Apocyn,&dc la Liane appcllée Griffe de Chat , cnvoiécs par le P. Breton. H. 1703.P. J7.H.1704.P.42. Tttij îiS TABLE DES MEMOIRES Plantes, Llchnts Jiculo glalm , pfeudo - MeLtnthii facte. Sa Dcfcription donnée par M. MAR- CHANT. H. 1708. p. 69. „, » » Limodorum montitnitm^Jlore ex alho dilate 'vi" « re fiente. Sa Dcfcription Par M. CHOMEL, u M. 1705. p. 391. Linaria Heder-ifoliis , Col. ou CymhaUrïa , C. B. Sa Dcfcripr. donnée par M. MARCHANT. H. 1704. p. 41. Linaria lutea. vitlgaris. J. B. Sa Defcription don- nécparle même. H. 1708. p. 69. Litophiton Arnericanttm maximut» pullitm tuber- ciilis fitrfum fpcûantihiis ohfitum. Infi. Rei Herbar. Sa Defcription. M. 1700. p. 33. Litophiton Americamttn maximum cinereuni , cof' ticeptin£faîo. Injl. Rei Herb. Sx Dcfcription. ihid. p. 3 4. Litophiton reticuLitum lutetim maximum. M. 1700. p. 33. Mabouya. Pommier d'Amérique. SaDefcription envoïce par le P. Breton. H. 1704. p. 41. Madrepora ramofa Imperati. M. 1700. p. 29. Mahot à Cotton. Sa Dcfcription cnvoiée par le P. Breton. H. 1704. p. 41. Matricaire. M. 1700. p. ^7. MelocaBus Amcricanus. Sa Dcfcription donnée par M. MARCHANT. H. 1708. p. 69. Mo/chatellina foliis fumari.e hulbo/k. J. B. Sa DefcriptionluëparM.CHOMÊL. H. 1704. p. 41. Mufcusterrefiriscla'vatus.yi. 1700. p. ■^C. Myrabolanicr à Fruits en clochettes. Sa Dcfcrip. envoïce par le P. Breton. H. J70J. p. 57- DE L'ACADEMIE i^^p, — 1710. ji^j Plantes. Nare'iffus Silvejlris , multiplex , c ait te carcns, SaDefcript. donnée par M. MARCHANT, H. 1710. p. 79. 2itix Jiiglans folio déganter diJfcBo , ou Achan^ ///l?//tf. Nouvelle efpece de No'icr trouvée eu Berry par M. RENEAUME. H. 1700, p. 70, n u Or obus SylvaticHs noflras. Raii Synopf. Par M, CHOMEE. M. 1706. p. 87. Papaver fpinofum Mexicanum. Sa Dcfcription donnée par M. MARCHANT. H. 1708, p.^5>. »»• Parcira Brava. ( .. Sur le ) H. 1 7 1 o. p. 5 ^. Pariétaire f La) M. 1700. p. ^7. Perjicaria macula fa df nonmaculofa. Leurs Des- criptions données par M. MARCHANT. H.- 170^. p. 41. » w Perficaria Orientalis , Nicotianx folio , Calice M Jlorum piirpureo , coroll. Inflit. Rei Hcrb. 38. ParM.TOURNEFORT. M.. 1703. p. 301. Pimcntier à Fruit ovale. Sa Defcription cnvoïée I par le P. Breton. H. 1703. p. 57. H. 1704, p. 41. Sapin ( Le) décritparM.CHOMEL. H. 1703. Saponaria Arbor.\-, t^ r • ^- ■■' „ ■< .. ; Leurs Defcriptions envolées f, P . ,' r parleP.Breton. /^/V. /^/V. Savanaba. j ' SAxifraga rotundifolia , alha , radiée granulofa. J. B. Sa Defcription donnée par M. MAR= CHANT.H.1703.P.57. T tt iij yio TABLE DES MEMOIRES Plantes. Scnfitive épineufe. Sa Defcription cnvo'iee par le P. Breton. H. 1703. p. 57- H. 1704. p. 42. Solarium Otpc'narum. C. B. MorcUc. Sa Def- cription donnée par M. MARCHANT. H. 1701. p. 49 ,> .. Tamarins ( .. Hiftoire dos ) Par M. TOUR- NEFORT. M. ié99-P-S"î. Thé. ( Le) Sa Defcription envoïée par le P. Bre- ton. H. 1703. p. 57. H. 1704. p. 41. Tblafpi fcmpcrvirens & fiorer.s. Sa Defcription donnée par M. M A R C H A N T. H. 1708. p. 69. ThymeUa Pontica. Sa Defcription donnée par M. TOURNEFORT. H. 1706. p. 42. Tribuloïdes vulgaire Aqtiis innafceni. Injl. Rei Hcrh. 6^5. Sa Defcription donnée par M. CHOMEL.H.1710. p.79. ritis Idœ.u Sa Defcript. donnée par M, TOUR- NEFORT. H. 1706. p. 42. Ypecacuanha décrit par M. GEOFFROY. M. 1700.0.70. *> => Yquctaya. » DiflTcrtation fur une Plante nom- mée dans le Brefil Yquetaya , &:c. Par M. MAR( HANT.M. 1701.P. III. "Playes. » Obfcrvations fur des Playcs de Ventre Pat M.LITTRE.M. i705.p.3i. Pléiades. Longitudes &c Latitudes des principales Etoil- Ics des Pléiades. M. 1708. p. 199. & 301. Eclipfcs des Pléiades par la Lune. Foïez. nu moi Observations, cy dejîusr^.i^'^i,. Plexu s Choroïdes , ce que c'eft , & leur ufagc ? M. 1 707. pp. I zp. & fqq. Plomb. Expériences faites fur du Plomb expofé au Fo'ier du Miroir du Palais Roial. M. I705).p.i75.&fq. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 5^1 Plombières. Obfervation fur les Eaux de Bourbonne & de Plombières. H. 1700. p. 59. & fq. Plume avalée, caufc une Tumeur à côte du Larinx. H. 1700. p. 40. «Plumes. "Sur les Plumes des Oyfcaux. H. 1699. p. 43. Sonr nourries du Sang & de la Limphc.H.iép9. p. 43. Structure des Plumes des Oyfeaux examinée par M. POUPART. H. 1 699- p- 44- Pluye (Eau de) ne peut pas pénétrer la Terre jufqu'à deux pieds de protondeur. Expériences fur cette Ma- ticie faites par M. DE LA HIRE. M. 1703. pp. j8. &fqq. H. 1703. p. 1. & fq. Eau de Pluye qui fcntoit la fumée, & pourquoi» H. 1703. p. 6. M. 1703. p. 6y. Nefeconfervepas àTAir. ihid.^. 6%. Expérience curieufe fur une efpece de Végéta- tion d'Eaude Pluye. M. 17 10. pp. 43 J. &fqq. , ^ " Remarques fur l'Eau de la Pluye &: fur l'Ori- „ ginc des Fontaines , avec quelques particulari- j, tés fur la Conftrudiondes Citernes. Par M. DE », LAHIRE.M. 1703.P. 56. Les plus grandes Pluyes arrivent ordinairement en Juillet & Août. M. 1700. p. 7, M. DE LA HIRE fe charge de faire chaque an- née les Obfervations de la quantité d'Eau de Pluye , &c. H. 1700. p. i. Confequences qu'on peut tirer de ces Obferva- tions. ibid. p. z. Méthode de les flilre. M. 1700. p. 6, Eau de Pluye tombée en divers Lieux. H. 169p. p. 10. A Lille pendant fix Années, ihid. p. zz, A Lion en 170 j. M. 1706. p. 1 1. 1708. M. 1709. p. 8. yir TABLE DES MEMOIRES Pluyes. APariseniépp.M. 1700. p. ^. 1700. I70I. 9. I70I. 1702. 4- 1701. 1703. 2. 1703. 1704. z. 1704. 1705. 2. 1705. 170^, 2. 1706. 1707. z. 1707. 1708. 61' 1708. 1709. 2. 1709. I7I0. ^y A Pont-Briand en 1704. M. 170 y. p. 1. 170J, IJ06. 6. 1707. 1709. y. 1708. 1709. y. 1709. 1710. 139. AZuricen 1708.M. 1709. p. 21. 1709. 1710. 14^. Pneumatique (Machine) ^'<)/fcVuiDE.( Machine du) Poids. Table dcsPoids que différentes Poutres foûtenuës par les deux bouts peuvent foûtenîr dans leurs Milieux étant prêtes à cafler. M. 1708. pp. 28. &C fqq. Poil du Corps d'un Homme fort velu , tombé par l'effet d'une Tablette Vomitive que cet Homme avoic prife. H. 170 2. p. 29. Blanc d'un Homme, devenu Noir. ihid. PpiGNARD ( M. ) Grand Chanoine de Biuxellcs , adon. né le premier l'idée de Decompolition pour la facilité des Quarrcs Magiques. H. 1710. p. 80, Sa Méthode de varier les Quarrés Magiques, ,&c.M. J705.P. i68.&:fq. POIGNARP DE L'ACADEMIE i^j)^— I7IÔ jij Poignard ( M. ) Grand Chanoine de Bruxelles. Son Li- vre fur les Qiiarrés Magiques , a fort embelli cette Matière. H. 170 y . p. 7 z. &: fq. Nouveaux progrès qu'il a faits dans la Matière des Qiiarrcs Magiques. H, 1708. p. 70. Se fq. y Poinçons (l'Art de la Frappe des)décrit par JAUGEON. H. 1703.P. 15J. Poirier (M.) envoie à l'Académie une Obfervation extraordinaire faite à la Diiïcdion du Corps d'un Sœur de la Charité. H. 1700. p. 37. &: fq. Poissons expofés fous le Récipient de la Machine Pneu- matique, rendent beaucoup d'Air de dclfous leurs Ecailles. M. 1700. p. zzo. Il y a de l'apparence qu'ils ne jettent pas leur Laie dans l'Eau , &c pourquoi ? M. 170^. p. 57. Animal qui de PoifTon devient Oyfcau.H.i7oiî. » "Sur la Circulation du Sang dans les PoifTons. i. H. 1701. p. 4<î. Comment refpirent-ils l'Air ? il?/d p. 47. L'Air leur cft abfolument ncceflaire, iùid. p. 47. M. 1 701. p. 134. Oiiyes des Poilfons leur tiennent lieu de Pou- mons. H. 1701.P. 47. M. 1701. p. 2.2.6, Mcchanique de ces Oiiyes. H. 1701. p. 48. &:fq. Les Veines des Oiiyes des Poiflbns deviennent Artères à leur fortie. il^id. p. 49. Le Cœur des Poiilons n'a qu'une Oreillette. M. 1701. p. 2.16. Leur Mâchoire fupérieure cft mobile. /'^/V. p. 132. » " Mémoire fur la Circulation du Sang des Poif- « fons qui ont des Oiiyes , &: iur leur Refpiration. Par M. DU VERNEY. l'Aîné. M. 1701. p. 116. Tai>. di's Mat. 169^ 171 0. Vuu y 14 TABLE DES MEMOIRES Poisson. Tcniatrouvc dans un Poiffon ( une Tanche.) H. 1710. p. 39. _ i Empreintes de Poiflbns dans des Pierres , &:c. Idée de la DilTcrtation de M. ( Jean- Jacques ) Schcuchzer fur cetccMatierc cnvoiéc à l'Acadc- mie. H. 1708. p. 34. & fq. PoLAi RE. ( Etoile) ;^'(?/f;:i EroiLt. cy-dej///s. p. 134. Pôles. Les Refratlions y font plus grandes. M. 1700. p. 83. La Pefanreur y eft plus grande que vers l'Equa- teur. H. 1700. p. 118. Le Globe Terreftre eft applati vers les Pôles, il/id. & fq. Le Pôle doit ( dans le Syftémc de Copernic ) changer de fituation dans le cours d'une année. H. 1(35)9. P- 80- Les Pôles du O fc trouvent par plufieurs Obfer- vations diftans de ceux de l'Ecliptique de huic degrés. M. 1703. p. 113. Raifon qui a fait choiiir fept dégrés &: demi, ii/fd. & fq . POLI (M.) Chimifte Romain, remplit à l'Académie une Place d'Aflocié Etranger , vacante par la Mort de M. VIVIAN!. H. 1703. p. 148. PoLiPE trouvé dans la Cavité de l'Oreillette droite du Cœur. H. 170^. p. yi. Les petits Corps blancs Se molaffes qui paroiflcnt arctcr le Sang dans les Saignées, pourroient être quelques parcelles de Polipe , &;c. H. 1704, P- ^4- Polipe plus gros qu'à l'ordinaire arraché à une Femme, par M. Antoine Chirurgien cerr. H. 1704. p. 33. Origine des Polipes félon M. Antoine, iùid, &fq. DE L'ACADEMIE 1^5)9 — lyro yiy PoLiPE fmgulier trouvé fur la Surface du grand Trochan~ ter à\i Fémur. W. 1709. p. z8. Polir les Glaces. ( Manière ufitéc de ) M. iiîpp. p. 12.0. Les Marbres. Machine pour fcier & polir les Marbres , inventée par M. De Fonsjean , & ap- prouvée par l'Académie. H. 1700. p. 160. Pommier. Dcfcription du Mabouya , Pommier, &du Pommier d'Acajou , envolée de la Martinique à l'Académie par le P. Breton Jcf H. 1703. p. 57. H. 1704. p. 43. Pompe s afpirantes. Formule d'Algèbre donnée à l'Acadé- mie par M. PARENT, pour déterminer généra- lement l'élévation de l'Eau dans les Pompes Af- pirantes à chaque coup de Pifton. H. 1699. P-II9- Pomper. Moulin inventé par M. Du Guet , & approuvé par l'Académie, pour éviter à un Equipage de Vaiffeau la peine de pomper. H. 1707. p. lyf. Pont-Briand. ( M. De) Comparaifon de fes Obferva- tions fur la quantité d'Eau de Pluye , Se flir les Vents faits au Pont-Briand près St. Malo en 1704. avec celles qui ont été faites à Paris dans la même année , &:c. par M. DE LAHIRE.M. i7oy.pp. j.&fqq. Pluye & Vents obfervés à Pont-Briand en 1705-, M. 1706. pp. 6. Se fqq. Obfervations de la Pluye tombée a. Pont-Briand en 1707. & 1708. M. 1709. p. y. Obfervations de la quantité de Pluye , Sec. tom- bée en l'année 1709. M. 1710. p. 143. uPoNCTiON dansrHydropifie.«PronolVics que l'on peut faire après la Ponélion. Par M. DU VERNE Y le Jeune. M. 1703. p. 178. Pores de la Peau, rofcz. Peau. V uu ij jxS TABLE DES MEMOIRES Ports. Machincdu Sr. Gouffc pour nettoyer les Ports approuvée par r Académie. H. 170 3.- p. 136. Port de Paix ( Iflc St. Dominguc ) Eclipfc de Lune du zy. Avril 1706. obfervéc au ) par le P. Boutin ]cf. H. 1706. p. I ij- EclipfedeLunedu 16. Avril 1707. obfervéc au Port de Paix par le P. Boutin Jefuitc. M. 1707. p. 3 8i.&lq. Hauteur du Pôle de ce Lieu fuivant les Pilotes. ibid. p. 381. Porto-Belo. Sa Hauteur du Pôle obfervce par le P. Fcuillée. Corr. M. 1708. p. 7. Immerfion du i. Satelite de Tp. le 7. Odobre 1704. par le même. ibid. p. 7. Longueur du Pendule par le même. i^.p. 7. &: fq. Variation del'Ayman. M. 1704. p. 8. PoRTO-CABEILLO./O/f:^ GoLFO-TriSTE. «Portulan. » Sur un Projet d'un nouveau Portulan )i Pour la Méditerranée. H. 1701. p. 119. Portulans font très dcfeclucux , & pourquoi ? ibid. p. 12.0. Projet d'un nouveau plus éxad prcfcnté à l'Aca- démie par M. DE CHAZELLES. ibid. p. lio. PossiDONE. Ses Efiais fur la Mcfurc de la Terre. M.1701. p. 174. Poudre à Canon (l'Art de faire la) décrit par M. DES BILLETTES.H. 1705.P. 137. » Sur les effets du Reffortde l'Air dans la Poudre à Canon & dans le Tonnerre. H. 1701. p. ç). « „ Des effets de la Poudre à Canon , principale- ment dans les Mines. Par M. CHEVALIER. « M. 1707. p. y 16. De quoi compofée. /^/V. D'où lui vient fon effort lorfqu'ellecft.illumcc,- /^/'^.pp. j2.7.&fqq. DE L'ACADEMIE 1^99 — 17Î0 ^ty Poudre (à Canon) l'Air cft le principe de fes plus fur- prcnans EtFccs. H. 1707. p. i jz. M. LE MARECHAL DE VAUBAN a fait des Expériences rapportées par M. CHEVA- LIER fur la quantité de Poudre aéccfTaire pour enlever les diflFcrcntes Terres. H. 1707. p. Poudre de Coquilles d'Huitre donnée avec fuccès. M. 1700. p. 70. Ses bons eftcts dans les Eftomaclis gâtés par les Acides, proviennent en partie de la facilité de leur DilTolution. >bid. Méthode de M. HOMBERG pour préparer la Poudre de Coquille d'Huitre. ibid. p. 70. &: fq. Poules. Par quelles caufcs peuvent pondre des Oeufs fans jaune. M. 17 10. p. 558. & fq. » Poulies. ■■> Nouvelle Statique avec Frotemens &: fans » Frotemens , ou Régies pour calculer les Frote- « mens des Machines dans l'état de l'Equilibre. » III. Mémoire des Poulies ic de leurs Tourillons, Par M. PARENT. M. 1704. p. io6. PoUMONS.IlpalTe beaucoup moins dcSang par le Poumon du Foetus, que par celui d'un Enfant nouveau né. M. 1700. p. Z18. Leur commerce avec le Cœur eft bien différent dans différentes cfpeccs d'Animaux. M. 170 1, P-^39- n " Sur ce que devient l'Air qui eft entré dans les « Poumons. H. 1700. p. 25. H. 1707. p. iz. L'Air après la Circulation rentre dans le Pou- mon par l'Arterc Pulmonaire , & fort par la Trachée. H. 1700. p. 26. Objeélion faite au Syftéme de M. MERY , que l'Air entré dans les Poumons ne s'éhappe pas du Corps par les Porcs de la Peau. H. 1 707. p. 1 3. . Y uu ixj 'V ji« TABLE DES MEMOIRES Poumons. Rcponfc de M. MERY à rObjcdion faite a fon Syrtcmc , fur ce que devient l'Air entré dans les Poumons. H. 1707. p. 13. Reflexions Se Expériences qui appuyent le Sy- ftême de M. MERY, fur ce que devient l'Ait cntrédans les Poumons. H. 1707. pp. 14. i j. Les Oiiyes des Poiflbui leur tiennent lieu dcPou» mons. H. 170 1. p. 47. POUPART. ( M. ) Sa Famille, fa Patrie. H. 1705). p. izy. Ses Etudes publiques & particulières. /^/V. Vient à Paris pour étudier en Médecine, /ùid. S'y charge de l'Education d'un Enfant. il>id. Renonce à cet Employ pour mieux étudier. S'applique furtout à l'Hiftoire Naturelle, lùici, & fq. Son goût Se fon application à l'étude des Infedcs. p. 116. Son Obfervation d'Lifcftes Hermaphrodites. H. 1699- P- 40. Afliftoit aux Conférences de M. l'Abbé Bourde». lot. H. 1709. p. 12.6. Sa Dijjirtation fur la. Sangpt'é approuvée, ihid. Exerce la Chirurgie pendant trois Ans à l'Hôtel- Dicu. ibid. Eft Reçu Docteur en Médecine à Rheims. ibid^ Son envie de fçavoir de tout. p. i %-j. Entre à l'Académie en 165)9. Elevé deM.ME:^ RY. tbid. Sa Mort. ihid. Il cft crû Auteur du Livre intitulé , La. chirurgis Complète, ibid. Sc fq. Son Eloge par M. D E F O N T EN E L L E. H1709.P. iiy. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 jip rOUPART ( M. ) examine la Struûure des Plumes des Oy féaux. H. 1699. p. 43. & fq. Obferve un mélange fmguUer de marques de VieillefTe 8c de Jeuneffe dans un Homme âgé d'environ 100. Ans. H. Tépp. p. jo. o" MEMOIRES 1 M PKI MES de M. POVPAKT. 5 » Etranges effets du Scorbut arrivés à Paris en » 1599. M. KJps»- p- 165;. » » HiftoireduFormica-Leo. M. 1704. p. 23 j. i> M Des Ecumes printanieres. M. 170 j. p. 124, « « Remarques fur les Coquillages à deux Co- » quilles , & premièrement fur les Moules. M, w 1705. p. 51. poussE'fides VoutcSjCeque c'eftjH. 1704. p.p^.&fq. Leur Mcfure découverte par W. PARENT. ibid. #> Pou TRES. " Sur la Rcfiftance des Poutres. H. 1708. 9; p. iifî. Idée de laTheorie particulière de M. PARENT, fur ce fujet. ibid. & fqq. Des Refiftances des Poutres par rapport à leurs Longueurs ou portées , S>c à leurs dimenfions Sc fituations, & des Poutres de plus grandeRefiflan- ce , indépendamment de tout Syrtéme Phyfiquc. . M. 1708. p. 17. Avantage de les mettre fur le Chan, plutôt que fur le Plat. ibid. p. 19. Devroient être Mi-plates , & non-pas Quarrées, comme les Marchands les vendent, ihid. p. 20. Table des Poids que différentes Poutres retenues par les deux Bouts peuvent foutenir dans leurs Milieux étant prêtes à caiTcr. M. i7oB.pp. 2S» &fqq. J30 TABLE DES MEMOIRES Precession des Equinoxcs , ce que c'cft î H. i7o8< P-93- Comment s'explique dans le Syftêmc de Coper- nic, ibid. p. 94. Se Iq. Premiers ( Nombres ) ce que c'cft que ces Nombres ? H, lyoy.p.Si. Méthode nouvelle &: ingcnieufc pour trouver en peu de tems les Nombres premiers, prefentce en 1704. à l'Académie par M. L'Abbé De Mo- lieres. H. 170^. p. 81. Prépuce. Glandes qui lui font attachées. H. 1700, p. 30. Ufage de la Liqueur filtrée par ces Glandes. ihid. Pression ( Vibrationde) dans le Syftêmc des Couleurs,' ce que c'cft î M. 1 6519. p. 13 . Difficulté de découvrir précifement les rapports exaéls de promptitude des Vibrations qui for- ment les Couleurs. /'^/V. p. 17. ;, /. Sur les Prenions des Courbes en général, H. » 1710. p. 5)8. Il ne peut y avoir de PrcfTions infinies , &: pour* quoi e H. 1710. p. 99. Problêmes fur les Preffions des Courbes , le long; defquelles tombent des Poids qui les compri- ment, tant de la part de leurs Forces Centrifu- ges , que de celle de leur Pefanteur avec la folu- tiondeces Problêmes. M. 17 10. pp. lyS.&fqq. Principes en Chimie, cequec'eftjM. 1701. p. ^^. Des Matières Minérales , quels ? ihid. p. 3 4. Végétales & Animales , quels i ihid. p. 3 4. Princi PEs qui fc trouvent toujours dans les Végétaux , de quelque manière qu'on les Analyfe. H. 1701. p, ép. Principes DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 î^t •Principes du Fer, quels ? fuivant la Conjecture de M. GEOFFROY.H. 1704. p. 39. "PROBLESMEd'Anatomie. .. Sçavoir fi pendant la Grof^ » fcfle, il y a entre la Femme & fon Foetus une Cir- » ' culation de Sang réciproque. Par M. MER. Y. « M. 1708. p. 186. " " Problème de Chimie , trouver des Cendres qui » ne contiennent aucunes parcelles de Fer. Par M. GEOFFROY.M. i7oy.p. 362. Problème déterminé en Algèbre , ce que c'eft î H. 170J. p. 100. & fq. «: Indéterminé. /'é/V. Tous les Problèmes indéterminés du fécond dé- gré fe rcduifent aux Sections Coniques , & pour- quoi ; ih/i^. p. 103. « " Problème ( Les trois côtés d'un Triangle » rectUigne étant donnés trou-ver la Superficie nu l'Aire. ) Par M. DE LA HIRE. M. 1700. p. 74. Ce Problème refolu par Theon , fa Demonftra- tion embaraflce. ibid. Problèmes fur la Théorie des Projetions. M. 1707.pp.14y. 147. lyo. » » Solution d'un Problême propofé aux Géome- « très dans les Mémoires de Trévoux des mois de M Septembre &: Oélobre 1701 . ( Trouver la nature " de laCoitrbe dont les Ordonnées Juivent la Pro- » S'^^J}' "^^ d^^ No77ihres naturels , ^ les A-bfciJJes , la " Progrejj. on des Nombres Triangulaires. J Par M. CARRE'. M. 1701.P. i68. Trouver la Ligne Courbe que décrit en montant un Pendule qui feroit racourci fuccclfivement &: uniformément dans le tcms de fon Mouvement foit , &c. refolu &: démontré par M. CARRE'. M. 1707. p. y 1. Tth.dcs Mat. i<5 ihld. Proiections ( les ) foit Horizontales , foit Obliques, formcntdes Paraboles :& pourquoi ? H. 1704. p. iii.&fq. Projection. (Courbe de) F^/fz. Courbe. „ » Sur le Jet des Bombes , ou en général fur la Projcftion des Corps. H. 1707. p. 1 2.0. DE L'ACADEMIE i(Î99 — 1710 H? Projections. Découvertes purement géométriques fur cette matière , démontrées par M. GUISNE'E. H. 1707. p. i2.3.&:fqq. » Tliéoric des Projections ou du Jet des Bombes , » félon l'Hypotliéfc de Galilée. Par M. GUIS- n NE'E. M. 1707. p. 140. Problèmes fur cette Théorie, iiid. pp. 14J. 147. lyo. Prostates ( nouveaux) de M. Cowper,ce quec'eft; H. 1700. p. 51. ^ ,' . , , ■; . La Liqueur qu'ils filtrent cft néceflaire à la gé- nération , félon M. DUVERNEY. ibid. p. ji. N'eftpas néccfLiire, félon M. LITTRE. ihid. Protestants (les) de l'Empire fongent à reformer leur Calendrier. H. 1700. p. 128. L'Académie confultée fur cela par M. LEIB- NITS. ihid. Réponfe de l'Académie à M. L E I B N I T S. ihid. p. 1151. PRUNELLEd'f/'Of//, ce quec'eft ; nécefiairc à la Vifion. M. 1704.P.Z61. Se dilate &: fe rétrécit , &: quand ? ihid. Sedilatclorfque l'Animal cft plongé dans l'Eau, &: pourquoi félon M, MERY. H. 1704. pp. i y. & fqq. Sa Dilatation dépend uniquement du Rcftbrt des Fibres de l'Iris. M. 1704. p. %6z. Les Efprits animaux font la caufe immédiate de Son rétréciflcmcnt. i^/V. • Prunelle d'un Chat plongé dans l'Eau, &: cxpofé au grand jour s'ouvre beaucoup. H. 1709. p. 90. ..: M. 1709. p. 98. Raifons de ce Fait , félon M. DE LA HIRE. iL p.9i.&:fq.M.i70f;.p. 5)8.& fq. Xxxij n4 TABLE DES MEMOIRES PRUNiER.Obfcrvation fur une Ente de Prunier faite far un Coignallicr. H. 1704. p. 41. Ptolome'e. Idée de fa Théorie des Planètes. M. 1705). p.zyo. Sa Régie fur le rapport des Vitcflcs réelles des Planètes. H. 1707. p. 95). Cette Régie fuffit ponr la Pratique de l'Aftro- nomic. ihid. Nioit les Conjonûions Ecliptiques de $ & de $ avec le G. H. 1707. p. 8 y. Son Aftrolabc, ccquec'cft ? 7 H. 170 1. p. 518. Dcffautsdccct Aftrolabe. J &: (q. Pucerons ( forte d'Infeftcs ) obfcrvés par M. DE LA HIRE.H. 1703.P. i(î.&fq. «Puissances. » Sur une propriété générale de toutes les *• PuifTanccs. H. 1704. p. 41. Puiflanccs quelconques des Nombres , ôtC. ont leurs différences, ou fécondes, ou 3^^ou4'^^ &c. égales. M. 170J. pp. 2.79. &: fqq. Puiffance Réfractivc. r^/fz, Refrac t i ve. PuiTsdela Ville de Rennes 5 ceux qui y defcendent font étouffés. H. 170 1. p. 18. Pulmonaire. ( Artère) Votez. Artère. Punaises ( Infeélcs qui s'attachent aux Orangers) obfer- vées par M. DE LA HIRE. , à quelle occafion ? H. 1704. p. 10. &; fq. M. 1704. pp. 4T- ^ ^^Y\- Rcftent attachées pendant huit mois au même endroit de l'Oranger, ibid.'ç. 10. Purgatifs ( Mcdicamcns ) l'Examen de leurs vertus & de leurs différences , très néceflaire. M. 1700. P-i- . . Leurs principes prefque inconnus jufqu'à prc- fcnt. M. 1701. p. 192,. M. BOULDUC entreprend de les examiner . chimiquement. H. 1700. p. 46. DE L'ACADEMIE i55)9 —I7I0 53f Purgatifs (Infufionsdcs) Végétaux fontplus d'effet que les Décodions. H. 1710. p. 44, « , Les ExtraitsPurgatifs doivent contenir les Prin- ^" cipes Salins & les Réfmeux. M. 1701. p. m, ^ Purgatifjdoivent êtrcprcfquc coujoursemploycs fansccrc dccompofés , & pourquoi? M. 1710, P-i^î- . ■'■/ . ;. Il faut pour qu'ils opèrent bien que les Sels* foicnt mêlés avec les Souffres, & pourquoi î H- 1701. p. 61. Purger. L'Odeur de Rofcs purge. H. i69s>- P- 57- Pus ( Le ) des Abfcès de Poitrine dore les Inftrumcns des Chirurgiens. H. 1700. p. ^9. Pu Y de Violent (le) Montagne d'Auvergne Sa HauteuE fur le Niveau de la Mer. M. 170 3 . p. 2 3 7. Pu Y Domme (lc)Montagne d'Auvergne. Sa Hauteur fus le Niveau de la Mer. M. 1703. p. 237. Pyle, (M.) Son Obfcrvarion de l'Eclipfe de G du 23, Septembre 165)5). faite à Gripfwald enPoméra- nic.M. 1701. p. 86. Q Quadratures du Ccrcle&: de rHypcrb'ôle , font appa- remment pour jamais inconnues. H. 1701.P.7CJ,. H. 1702. p. 63. >r » Manière de trouver une infinité de Portions de « Cercle toutes quarrab'les , moyennant la fculc géométrie d'Euclidc. Par M. VARIGNON. KL V 1703. p. 21. H. 1703. p. 63. w » Sur la Quadrature de la Lunule d'Hippocrate » deCIiio. H. 1701. p. 75). De portions de la Lunule trouvées avec condi- tion, iùid. & fq. X XX iij j3(î TABLE DES MEMOIRES "Quadrature abfoluc d'une infinité de Portions moyennes, tant de la Lunule d'Hippocrate de Chio , que d'une autre de nouvelle efpece. Par M. LE MARQIJIS DE L'HOPITAL. M. » 170 r. p. 17. » .. Sur les Quadratures. H. 1701. p. 54. Qiiadrature de la Parabole d' Archimedc donnée par une nouvelle Méthode , par M. D E TSCHIRNAUSEN.H. 1701.P. î4. » ..Sur des Qiiadratures de Superficies Cylindri- .. ques qui ont des Bafcs Coniques. H. 1707. " P- ^7- .. Quadratures de Superficies Cylindriques fur des Bafcs Paraboliques, Elliptiques , & Hyper- boliques: Par M. D E L A H I R E. M. 1707. *> p. 3 30. Quadratures de plufieurs Onglets dans les Sec- tions Coniques. H. 1707. p. 68. & fq. .. Qiiadrature d'une infinité de Scgmcns &: de w Secteurs de la Cycloïdc. H. 1 699. p. 66. De deux Efpaccs Cycloidaux déterminés trou- vées par M. HUYGENS &c par M. LEIB- NITS. /^/V. p. 6y. u » Qiiadrature d'une infinité de Segmens , de Scdcurs , & d'autres Efpaces de la Roulette ou de la Cycloïde vulgaire. Par M. BERNOULLI « Profcflcur des Mathématiques à Groninguc. » M. 1699. p. 134. Quadratures de certains Efpaces compris entre lèTCauftiques & leurs Courbes génératrices , ou leurs Développées, trouvées par M. CARRE'. H. 1703. p. 71. &: fq. M. 1703. pp. 186. &: fqq. QjiAPRUPEDEs ( les ) ont deux Ovaires. H, 7699, DE L'ACADEMIE i(?99— I7ÎO U7 mQuarre's. (Nombres) ..Remarques fur les Nombres .. Quarrés , Cubiques , Qiiarrés-Qiiarrés,Qiiarrés- ». Cubiques , & des autres degrés à l'infini. Par M, DELAHIRE.M. 1704. p. 5^8. Dans la fuite des Quartes naturels , les fécon- des différences font toujours 2. M, lyoj. p. Z79. » Quarre's Magiques. ( « Sur les ) H. 1710. p. 80. En quoi confifte l'Art de ces Quarrés. ibid. &:fqq. ,.-;-; ,1 Sont Pairs ou Impairs. i^/V. p. 84. ' Les Pairs font beaucoup plus difficiles à conftrui- tt.ib'id. p. 84. Variations de ces Quarrés , ce que c'cft ? Ne peu- vent être déterminées, & pourquoi î iiid.i^.%6. &fq. ïjQuarre's Magiques.» Conflruclion générale de ces Quarrés. Par M. SAUVEUR. M. 1710. p. 5,2. Autheurs qui ont traité des Qiiarrcs Magiques, &c le Rapport de leurs Méthodes avec celle de M. SAUVEUR. /^/V. pp. 1^6. & fqq. Votez, atijji Magiques. Queues des Comètes, fujetes à de grands changcmcns. M. i6<)ç). p. 40. Queue de Comète fans tcte obfervéc en Italie en Mars 170Z.H. 170Z. pp. (5j. & fqq. M. 1702, p. ICI. Fû'tez.C.oU'Ç.rY.yCy-deJpis.'Ç. 171. QtaLLE d'un VaifTeau , Angle que doit faire avec elle le Gouvernail pour être dans la meilleure fitua- tion. H. 1701.PP. 139. 140. Quinquina. Remède inconnu à la Médecine ancienne» H. 1700. p. 4(5, 538 TABLE DES MEMOIRES R Rachitis, Maladie particulière aux Enfans, ce que c'cft, &:fcs Symptômes. M. 1701. p. 96. Racine (la) cflTEftomach de la Plante. H. 1707. p. ^.j. Les Plantes de Mer en manquent communé- ment. H. 1700. 68. Les Racines font fécondes en Tiges. M. 1700. p. 141. Les Troncs bc les Branches font féconds en Ra- cines. Ibid. Preuves par les Plantes rampantes. «^ . par les Arbres enterrés au pied./ hid. p. ..... . par les Marcottes. Ç'4)- par les Figuiers d'Inde. J w » Sur l'atfeftation de la Perpendiculaire remar- » quabic dans toutes les Tiges, dans pluficurs Ra- cines , & autant qu'il eftpoflible dans toutes les « branches des Plantes Par M. DODART. M. »> 1700. p. 47. Racines &: Tiges coudées fous terre , s'enfon- cent à plomb , &c fe redrelTcnt en fortant. ibid. p. 47. Graines fcmées au hazard , pouffent toutes leur Tige &: leurs Racines uniformément. iZ'. p, 49. &:% Conjeftures fur cette Direction toujours unifor- me des Tiges en enhaut, &: des Racines enem- bas. pp. ji, &fqq. tclairciffemcns à défirer par rapport à ces Con- jectures, ibid. p. J J. Racines. DE L'ACADEMIE i^5îS> — i7io 559 «Racines. » Explication Phyfique de la Direftion vcr- u ticalc & naturelle des Tiges des Plantes & des .» Branches des Arbres , & de leurs Racines. Par M. DELA HIRE.M. 1708. p. 131. Radicules des Graines qui germent dan s la Terre, pour- quoi toujours tournées vers le bas. M. 1708. p. 467. «Raffinage. » Obfervations fur le Raffinage de l'Ar- gent. ParM.HOMBERG.M. 1701.P. 42.. Méthode ordinaire de Raffiner l'Or & l'Argent. ihid. p. 41. &cCc[. •. . .. Nouvelles méthodes de M. HOMBERG./^/V. p.43. » Rage. " Sur la Rage ou Hydrophobie. H. 1^99. p. 46'. Obfervation de M. TAU VRY fur la Rage. H. 1699. p. 4(5. &c fq. Diverfcs guerifons de cette Maladie rapportées. H. 1^99. p. 48. ôc fq. Rameaux. Les Branches des Arbres fontfécondcs enRa- meaux. M. 1700. p. 141. &:fq. .•. ,; Exemple dans les Arbres Nains. , &c.p. 141. ■Rameaux d'une Courbe. M. ROLLE donne des Régies pour rcconnoître en gros les principaux Con- tours &c les Rameaux d'une Courbe dont on a l'Equation. H. 1701. p. §9. Rames. P.aifon générale de leur action fur l'Eau. H. 170Z, p. II. Rames tournantes de M. Du Guet approuvées par l'Académie. H. 1701. p. 138. Nouvelle manière de faire açrir des Rames , in- ventée par M. Des Camus, & approuvée par l'Académie. H. 1703. p. ij^. Manière propoféepar M. Martenotpour réunir en une feule Rame toutes celles qui feroicnt né~ ceffaircs pour donner de la Vitefl'e à quelque 74^. des Mat. 16^^^, — 17 10. Y yy J40 TABLE DES MEMOIRES Bâtiment que ce fut , approuvée par l'Acade- mie. H. 1703. p. 13e. » Rames » Remarques fur la différente manière de Vo- >• g'^icr des Rames ordinaires & des Rames tour- a nantcs nouvellement propoTccs par le Sr Du « Guet. Par M. DE CHAZELLES. M. 1701. » p. 58. Rameurs. ( Méchaniqucdes) H. 1701. p. 13 i. Scfq. Rapport Harmonique, ce que c'eft ? H. 1700. p. 18. M Rarefact ion ( >> Sur la ) Se la Condenfation de l'Air. M H. 170 j. p. 10. »» w Expériences fur la Rarcfadion de l'Air. Par « M.AMONTONS. M. i7oy.r. 119. Expérience de la Raréfaction de l'Air par la cha- leur de l'Eau bouillante. M. 165)9. pp. 113, ôcfqq. * . » Manomètre ou Machine pour trouver le » rapport des Raretés ou Rarcfaélions de l'Air » naturel d un même Lieu en différons tems, »• ou de différons Lieux en un même ou en » diffcrcns tems. Par M. VARIGNON. M. 1705. * p. 300. Foicz. A 1 R , 8cc. Rat TE Huma ine très fenfiblcment glanduleufe montrée parM.MERY.H. i70i.p. z^. Rattc d'Homme pétrifiée. H. 1700 p. 39. Membrane d'une Rattc d'Homme ofïlfiée. /^/V. Rava. ( M. L'Abbé) Son Obfervation de l'Eclipfe du O du II. Mars 1709. faite à Gènes. M. 1709. Rayons de la Lumière. » Examen de Ligne Courbe que « décrivent les Rayons de la Lumière en travcr- A fant l'Atmofphere. Par M. DE LA HIRE. » M. 170Z. p. ji. ilfid. p. i8i. H. 1702. * P- M- DE L'ACADEMIE i<î5)9 — 1710 541 Rayons ( les ) de la Lune concentrés n'ont aucune cha- leur , mais beaucoup de Clarté. H. i6^ç), P-94- LesRaïons du Soleil , réunis , o»t la force de poullcr j&c. H. ijoS.p. II. "Rayons Ofculateurs.» Autre Régie générale des For- » ces Centrales , avec une manière d'en déduire &c » d'en trouver une infinité d'autres à la fois , dé- w pendemment &c indépendemment des Rayons «■-^ Ofculateursqu'onvatrouverauflà d'une manière » infiniment générale. Par M. VARIGNON. M, «•i.: ' 1701. p. zo. f''o/ez,aujj,0 SCVL AT EVKS. Realgal. TaflelailTécàParispar les Ambafladcurs Sia- mois, qui étoit une efpecc de Realgal ou Arfcnic Rouge, examinée par M. HOMBERG. H. 1703.P. ji.&fq. Eft devenu un excellent Fébrifuge & très doux , et;int préparé. /l?id. p. J i. REAUMUR ( M. DE ) rend la Théorie des Développées plus générale. H. 1709. pp. 6y. &: fqq. A découvert le premier la Formation des Co- quilles. H. 1709. p. 17. Ses Obfervations fur la manière dont le Trochus onTttrbo , forte de Coquillage , fc laourrit de Moules. H. 1708. p. z8. &: fq. MEMO IRES 1 MPKl MES de M. DE KEAV MVK. Kîpp 17IO ■ »> Manière générale de trouver une infinité de •» Lignes Courbes nouvelles en faifant parcourir ►■ une Ligne quelconque donnée par une des Yyyij 541 TABLE DES MEMOIRES " cxtrémiccs d'une Ligne droite donnée auffi SZ » toujours placée fur unméme Pointfixe. M. 1708. p. 15)7. » REAUMUR. ( M. DE) Méthode générale pour déter- " miner le Point d'Interfection de deux Lignes » droites infiniment proches , qui rencontrent une » Courbe quelconque vers le même côté , fous des » Angles égaux , moindres ou plus grands qu'un » droit ,& pour connoître la nature de la Courbe » décrite par une infinité de tels Points d'Intcr- « feiCtion. M. 1705). p. 149. » "Formules générales pour déterminer le Point " d'Intcrfciftion de deux Lignes droites infiniment » proches, qui rencontrent une Courbe quclcon- » que vers le même côté fous des Angles égaux. » M. 1709. p. 185-. » » De la Formation & de l' Acroiflcment des Co- a> quilles des Animaux, tant Terreftrcs qu'Aqua- » tiques , foit de Mer , foit de Rivière. AL 1709, « p. 3 64. H '■ Infcfte des Limaçons. M„.i 7 10. p. 30). » "Examen de la Soie des Araignées. M. 1710, » p. 386. " « Du Mouvement progrefTif , & de quelques au- » très Mouvemens dedivcrfes efpeces de Coquil- » Lxgcs , Orties & Etoiles de Mer. M. 171 o, p. 439. ^ Récipient ( Defcription du ) dont les Parfumeurs fe fer vent pour diftillcr l'Huile Eflentielle de Rofes M. 1700.P. Z16. "Recomposition ( » Sur la ) du Souffre. H. 1704, p. 37. » Rectification ("«Surla) des Courbes. H. i7oi.p.83> » H. 1704. p. 44. Ce que c'cft que cette RcCVification. H. 170 1. p. 8^ H. 1708. p. 80. DE L'ACADEMIE î(Î9P— 1710 J43 KectifiCation (la) déroute Courbe dépend de la Qiia- drature d'une autre Courbe , & pourquoi ? H, 1704, p. 4y. ,' - , " Ufage de la Géométrie des Infiniment petits .l'i -(î dans la Redification des Courbes. H. 1701, ' Semblent n'avoir aucun rapport , ni à la Pefan- » teur, ni à la Chaleur de l'Air. H. 1708. p. 107, Altèrent les Hauteurs apparentes des Objets fur <.'■'. Terre. H. 1704. p. 103. &: fq. Sontplus variables dans les moindres Hauteurs que dans les plus grandes. M. 1707. p. 197. Hauficnt & bai rient l'Horizon de la Mer , &: pourquoi J H. 1707. p. 8p. •54(î TABLE DES MEMOIRES «Réfractions ( Les) continuent jufqu'au ZcnitK' .*» H. 1700. p. 1 1 z. Obfeivées en >0(^cfl:-Botnie par ordre du Roy de Suéde , pnr MM. Bilbcrg &c Spolc. /'^/V. p. i ii„ lixamendeccs Obfervutions par MM. CASSI- NI & DE LA HIRE. ■^/V. p. 113. Avantage des grandes Retracions vers les Pc- les. ?'^/V. p. 1 1 3 . & fq. Sont à Tornco en Botnie prefque doubles de celles de nos Climats. M. 1700. p. 3 8. & fq. Horizontales vers l'Equateur , font plus petites que dans nos Climats. /^/^. p. 3 9. Sous le Cercle Polaire Artiquc , font plus que fcfquidoublcs de celles de Caycnne. /^/«. p. 39, Extrait de l'Ecrit de M. CASSINI envoie aux Obfervateurs de Suéde à l'occafiondes Refrac- tions obfcrvccs à Torneo , Scc.iùii^.p.^o. » Remarques fur les Obfervations des Refrac- ■» tions, tirées du Livre intitulé , Rcfractio folis » inoccidiii in fepteritrionalibus Oris , jujfii Caroli w XI. Régis Suevorum , é'ca. Joanne Bilberg. Hol- » mi£ 165) y. Par M. DE LA HIRE, M. 1700. n.-.V. .-; p. 37. » "Réflexions furlcsObfervations faites enBotnie, a Par M. CASSINLM.1700.P. 39. ,t:: ■ ' Elemens néceffaires pour les déterminer à tou- tes les Hauteurs. M. 1700. p. 47. e; ",,';, Courbe de la Refraction examinée par M. DE ,-.: .-LA HIRE. M. lyoi. pp. ji. & fqq. ibid. pp. •..:. ,.;: .l83.&fqq. Cette Courbe efl une Epicycloïde. M. 1701. -• p. 187. Refkactive. (Matière) M, CASSINI conjedure qu'il y en pourroit avoir une dans l'Air dilfercntc de l'Air même. H. 1706. p. 103. REFRACTJVEi DE L'ACADEMIE 1^99— I7I0 H7 Refractive. La partie Rcfraftivc de l'Air n'cft pas la, même que la partie pefante , & pourquoi î M. 1700. p. 38. Proportion de la Hauteur de l'Air Rcfradif au demi Diamètre de la Terre, ibid. p. 46. ^ Puiflance Refrailivc d'un Corps tranfparent , ce quec'cftîM. 1700. p. 81. Rapports des Puiflances Refradives de divers Milieux , dirterent fouvent de ceux de leur Dcn- fité ou de leur Pcfantcur. M. 1700. p. 8 i. Dcnfités de l'Air &: de l'Eau , peuvent être pro- portionnelles à leurs Puiiïances Refraftives. p. «z. Ufage de cette Conjedure à l'égard des Rcfrac- -^ tions Aftronomiqucs. /i^/V. p. 8i. Puiflance Refraftive de l'Air , à Bologne, à Lon- dres , à Torneo en Botnie & à Caicnne. ibid. p. Si.&fq. Regales ( Eaux) Voïez, Eaux ^ci-dcjf.^. ziy. REGIS. (M.) SaNaiflancc. H.i707.p. 157. Ses Etudes à Cahors. /^/V. L'Univcrlité lui offre de faire les frais de fon Doftorat cnThéologic. /^/V. Vient étudier en Sorbonne à Paris, ibid. Se dégoûte de la longueur d'une Queftion inu- tile qu'on y diiStoit. ihid. Connoît le Cai-tefianifme , & s'attache à M. Rohaur. ibid. Va à Touloufe , oii il tient des Conférences pu- bliques fur le Cartefianifme. ibid. Succès de ces Conférences. /'^/V. p. lyS. Meilleurs de Touloulb lui font une Fenfion fur leur Hôtel de Ville, ibird. Mr. Le Marquis de Vardcs le connoît, 6«: fc l'at- tache./'^/V. tab, des lUt. i6^$. — 1 7 1 o, Xzz J48 TABLE DES MEMOIRES REGIS { M. ) va à Montpellier avec M. Le Marquis de Vardcs , où il fait auffi des Conférences. ibid. Il vient à Paris , & fait des Conférences cUez M, LEMERY./^/W. Ces dernières fufpcnduës par M. L'Archevêque de Paris, ibicl.^.i ^9. Publie après beaucoup de traverfes , Ton Syjlème de Philofophie. ibid. Répond au Livre de M. Huet, Cenjlir. Philofoph. Cartcf.ibid.f. 160, Jugement de M. Bayle fur cette Réponfe. ihid Se deffend contre un Profeffeur qui l'avoit atta- qué. Augmente fonSyftcme général, ibid. Ses Difputcs avec le P. MALEBRANCHE. p. 160. S>c fqq. Publie fon Livre de l'Accord de U Foyé' dcU Raifon. Idée de ce Livre, ibid.^ i6z.&c fq. Examine les Eaux Minérales de Balaruc avec M. Didier Médecin. H. i(î9p. p. j6. Ses Infirmités. ~) ,t c \K r- H. 1707. p. 165. Sa Mort. J / 1 i 0 Son Entrée à l'Académie, z'^ifl'.p. 1 63 .. Ses Amis. ") ., . , , „ -- c >* > ibid. p. \€\. &:iq. Ses Mœurs. J 1 :> 1 Changement de Place à l'Académie à l'occafion: de fa Mort. ibid. p. 16^. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. M. 1707. p. IJ7. Règle de Kepler fur le Mouvement des Planètes. H. 1 707. P-5)7- Exaftement obfcrvéc par les Corps Cclcftcs. ibïd. p. 5 8. DE L'ACADEMIE 1^5,9 — 1710 5-49 Règle de Kepler fur le Mouvement des Planètes. M. Vil- Icmot eflaïe de la démontrer à priori , en y appliquant la Théorie de Forces Centrales. H. 1707. p. 100. De Ptolomée fur le mouvement des Planètes. ibid.^.^^. fuffit pour la pratique de l'Aftro- nomie. ibid. Règles ( Menflrua) Filles qui les eut huit jours , ou trois mois après naiflancej&rc. H. 1708. p. yz. Femme de 106. Ans qui avoit encore les fiennes, ibid. Recule d'Antimoine. Sa Calcination au Miroir Ardent , prouve quela Matière de la Lumière augmente la Pcfanteur des Corps dans Icfquels elle s'iii- troduit. M. 170J. p. 94. &fq. R-EGVWs-,o\x le Cœur du Lyon. Conjondions de Tp avec cette Etoile, obfervéesenO£l:obrei7o6.&: Juin 1707. &c. M. 170(3. p. 481. M. 1707. p. 197. RehyER (M. ) SonObfcrvationdel'EcIipfe de (^ du zi. Février 1701. faite à Kiel dans le Holftcin. M„ I70i.p.7z. Son Obfervation de l'Eclipfe de O du ij. Sep- tembre 1(^99. faite à Kiel. H. 1700. p. 108. M. i7oi.p.8é. Rein d'Homme. Mécanique de cette partie. H. 17010 p. 16. &:fq. M. 170^. p. 114. M w Sur laStruduredes Reins. H. 170 j. p. 45'. Rein droit d'un Homme en grand défordrc , ob- fcrvépar M. LITTRE. H. 1701. pp. yz. &: fqq, M » Obfervation fur les Reins d'un Fœtus Humain » de neuf mois. Par M. LITTRE. M. 1705. p. iir. Préparation de Mouches Cantharides emploiéc avecfuccès dans les Maux de Reins. M. 1709. Zzzij îjo TABLE DES MEMOIRES Reine ( Eau de Ste) gardée pendant 24. Ans dans une Bouteille fans aucune corruption, &: feulement avec un Sedimenttrcs léger. H. 1703. p. 1 8. Relieur. Art du Relieur de Livres décrit dans l'Acadc» mie par M. JAUGEON.H. 1708. p. 141. Remèdes ( quelques uns ) ont été inconnus à la Médecine ancienne. H. 1700. p. 4^. Leraifonncmentcn a découvert quelques uns , d'autres font de pures faveurs de la nature; il'id. Leurdofe eft beaucoup plus forte dans la Zone Torridc, chez les Siamois , les Indiens, fcc. H. 1703. p. ji. » » Hiftoire des Symptômes arrivés à une Dame à M l'occafion d'un Pvcmcdc appliqué pour des Dar- tres. Par M. DU VERNEY le Jeune. M. 1703. w p 18. La Chaux Vive eft emploïée parmi les Remèdes dans les Païs Etrangers. M. 1700. p. 68. Le Cochlcaria eft un excellent Remède pour le Scorbut. H. 1700. p. 60. Les Bicuibas ( fortes de Noix ) appaifentlcs Co- liques. H. 17 10. p. 1 6. Le Pareira Brava ( Plante du Brcfil) eftunbon Remède contre les Coliques Néphrétiques. H, 1710.P.57. RENAU(M.) détermine l'Angle le plus favorable du Gouvernail avec la Quille d'un Vaiftcaudc jj.. Dégrés. H. 1701. p. 140. RENE AU ME ( M.) trouve en Bcrry une nouvelle cfpccc de Noïcr. Nux fuglans folio déganter dijjcciu, ou Achantifolio. H. 1700. p. 70. » "Extrait ou abrégé du Projetde M. RENEAU- ME fur lesManufcrits de M.TOURNEFORT. Par M. TERRASSON. M. 1709- p- 3 1 y. DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 55? MEMOIRES IM PRI M E'S de M. KENEJV M E. 1699 I 7 I o » » Obfer varions fur le Suc nourricier des Plantes* » M. 1707. p. zj6. « "Sur la manière de confervcr les Grains, M^ « 1708. p. ^3. Résines. En quoi différent des Gommes. H. 1707, p..yo. Résistance ( la) au Mouvement cft d'autant plus gran- de quclc Mouvement eft plus prompt. H. 1701- p. II. ^ » » Sur la Réfiftance des Solides. H. 1702. p. ici, >j H. i7io.p.i2^. * Examinée par Galilée le premier. H. 1701. B " De la Réfiftance des Solides en général, pour »« . tout ce qu'on peut faire d'Hypothéfcs touchant u la Force ou la Ténacité des Fibres des Corps àrompre, &c. Par M. VARIGNON.M. 1702. => '> Sur la Réfiftance des Solides , & fi.u' la Cour- » buredes Refl'ortspliés. H. 170^. p. 130. » » Véritable Hypothéfe de la Réiiftancedes Soli- « des , avec la démonftration de la Courbure des. Corps qui font RclTorr. Par M. BEPvNOULLL » Proîeftrur à Bâle. M. 170^. p. 17e. « " Méthode ficile pour trouver un Solide rond « qui étant mû dans un Fluide en repos parallèle. wi ment à fon Axe , rencontre moins de Réfiftance " que tout autre Solide qui aiant même longueur. » & largeur _, fc meuve avec même vitclle , fuivant Z zz iii jîji TABLE DES MEMOIRES la même direction. Par M. LE MARQTJISDE L'HOPITAL. M. i59c,.p. 107, Résistance , &c. Ce Problème rclblu parM. Fatio de Duillier, dans fon Traité des Murs inclinés à l'Horizon, ibid. p. 1 07. Solution plus fimplc de M. DE L'HOPITAL. ibid. pp. 108. &: fqq. •' Solide d'égale Réfiftance , ce que c'cll ; H. » 1710. p. 117. Il y a une infinité de Solides d'égale Réfiftancc , & pourquoi î ibid. p. 130. Sur la Réfiftance des Cilindrcs Creux & Soli- des. H. 1702, p, 110. M •> Sur la Réfiftance des Tu'iaux Cilindriqucs u pleins d'Eau. H. 1707. p. 1 2.6. MM. MARIOTTE & ROEMER fc font trom- pés en cette matière , félon M. PARENT, ibid. p. 117. M. 1707. pp. 108. Se fqq. Théorie de cette Réfiftance. H. 1707. pp. 127. ïzS.&fqq. M Réfiftances des Tuïaux Cilindriqucs pour des » charges d'Eau & des Diamètres donnés. Par M. PARENT. M. 1707. p. 10^. ^> Sur la Réfiftance des Poutres. H. i-c8.p. 116. Idée de la Théorie particulière de M. PA- RENT fur ce fujec. ib. &c fqq. " Des Réfiftances des Poutres par rapport à leurs „ longueurs ou portées, &: à leurs dimcnfions & » fituations , & des Poutres de plus grande Refit w tance indépendamcnt de tout Svftême Phyfiquc. Par M. PARENT. M. 1708. p.' 17. f> " Expériences pour connoître la Réfiftance des Bois de Chêne & de Sapin. Par M, PARENT. » 3SL 1707.P. J12. DJB L'ACADEMIE 1^5)9— Ï7I© fj? wRESistANCEdanslcs Machines. »De la Rciîftancccau- ». fée dans les Machines, tant parles Frottemcns » des parties qui les compofent , que par la roidcur » des Cordes qu'on y emploie , dz la manière de -*' calculer l'un &c l'autre. Par M. AMONTONS, M^ M. 1699. p. zo6. Caufécpar le Frottement, fuit la proportion des Prelfions. Il^id. p. 108. Egale à peu près le tiers de la PrefTion. /^/X p. 109. Caufée pa.r le Frottement dans le Traincau. /^, p. 210. dans la Charette. iL, p. 110. Table de la Refiftancecaufée dans les Machines par la roideur des Cordes , ècc. ihid. p. 215. &:fq. Ufage de cetre Table, p. 2,14. La Refiftance caufée par le Frottement , n'aug- mente que jufqu'à un certain Point, quelque Vi- tcffe que l'on imprime à l'un des Corps Frottans,- lorfqu'ils font durs. H. 1700. p. 1^5. Resistans. ( Milieux) T'onz. W'tCHA.-aïQV-E cy -dcfns^ P.40J. s> Resolution, j. Sur une Méthode générale pour la Re- » folution des Equations. H. 1705. p. 81. Tij/fji Equation s. Résolutives (les Plantes) font un mauvais effet à l'OeiL H. 170p. p. 14. Respiration. ( la ) Comment elle fe fait en gênerai. H» Ce que devient l'Air reçu dans le Corps des Ani- maux par la Rcfpiration. H. 1707. p. 13. Le Fœtus Humain ne rcfpire point. M. 16^^, 5Î4 TABLE DES MEMOIRES Resf I B.ER. Dilïcrcncc dans la maiiicrc donc les Animaux rcfpirent. H. 1 701. p. 46. La Tortue ne refpirc que quand elle marche. H, 165)9. p. 3^- " " Mémoire fur la Circulation du Sang des Poif- » fons qui ont des Ouïes , & fur leur Refpiration. Par M. DU VERNE Y l'Aîné. M. 1701. " p. 2.17. L'Air eft ncceiTaire aux Poiflons pour refpirer. ibid. p. i 3 4. &: fq. Comment fe fait leur Refpiration. ibid. p. 2.3 j. &:fq. Ressort , ce que c'efl: ? H. ijo6. p. i zS. & fq. "Sur la Rcfiftance des Solides, & l'ur la Cour* » buredes RefTortspliés. H. 170 j. p. r 30. » w véritable Hypothéfe de la Refiftancc des So- » lidcs , avec la Demonftration de la Courbure des Corps qui font ReflTorc. Par M. BERNOULLI ^ ProtcffeuràBàlc. M, 170 j. p. 176^. Ressort de i'Air (le) eft diminué par le Froid. H. 165)5?. p. ICI. • . Augmente par la Cha- leur. .'<^;V/. p. loi. Les Maffes inégales d'Air , augmentent éga- lement leur RclLort par des Dégrés égaux de Chaleur. M, 1699. p. 1 14. Combien la Chaleur de l'Eau bouillante aug- mente la force du Rcflbrt de l'Air. H. 1695», p. 103. M. 1699. p. 1 14. Diminution de la force du Reflort de l'Air pion» gé dans l'Eau. M. 1 699. p. 1 1 6. Le Feu appliqué immédiatement .1 l'Air, aug- mente la Force de fon Relfort plus que la Cha~ icurde l'Eau bouillante. /^/V. p. 11^, Ressort DE L'ACADEMIE i(î99 — I7IO HJ u Ressort de l'Air. ( » Sur les effets du ) dans la Poudre à w Canon &c dans le Tonnerre. H. ijoz. p. 9. L'Air n'a point de Rcllort , fuivant M. PA- RENT, Se pourquoi ? H. 1708. p. 17. & fq. '» » Expériences fur le Reflort de l'Air. Par M. CARRE'.M. i7io.p. I. Ces Exper. ctablilfcntce Reffort. /ip/d. p. j.&; fq. Ressort de Montre ( nouveau) imagine par M. DE LA HIRE. H. 1700. p. 147, Le Reffort qui tbuticnt le Pendule des Horlo- . . ges à Secondes , caufe encore de plus grandes inégalités que la Soie qu'on y met ordinaire- ment. M. 1700. p. 161. &: fq. M. 1703. p. 18(5. Moïen d'éviter ces Inégalités , &: celle que pro- duit la Soie , mife au lieu de Reflort , par une autre Sufpenfion. M. 1700. p. lÔL.SiCq. Refforts appliqués aux Montres de Poche, rec- « tifient le Mouvement du Balancier. il>id. p. 1 64. Diverfcs manières d'appliquer ces Refforts. pp. 164. &:fqq. Rétention d'Urnic. Expérience particulière fur une Rc« tcntion d'Urmc. H. 1700. p. 39. » Réticule. ■> Sur un nouveau Réticule. H. 1701. p. 91. Ce que c'efl qu'un Réticule, ii^id. p. 9 3. Inconvcnicns des Réticules ordinaires. ii>id. p. 93.&fq.M. 1701. p. lio. Nouveau Réticule imagine par MM. ROE- MER &: DELA HIRE. H. 1701.P. 94- Se fq. De Verre &: filets de Verre fubftitués au Réticu- le & aux filets de Soie, par M. DE LA HIRE. ï^/V. p. 9y. » " Coiiftruélion & ufige d'un nouveau Réticule u pour les Obfervat. des Eclipfes du O & de la (£. j» &pour fervir de Micromètre. Par M. DE LA >• HIRE.M. i7oi.p. 119. TaL des Mat. 1699, — 1710. A aaa 55^ TABLE DES MEMOIRES Réticule (forte de) très commode pour robfcrvation des Etoiles pendant la nuit. M. lyoé. p. 75. Retxne (Membrane de l'Oeil )n'cft pas le principal or- gane delà Vifion, félon M. MERY. M. 1704. p. 2^s>.&fq. RETROGRADATioNsdes Planètes, leursdurccs. M. 1709. p. 8(î.&:fq. Révolutions dçs cinq Satellites de f? .& leurs diftanccs en Diamètres de l'Anneau. H. 170 j. p. 117. Révolutions de quelques Taches de Tp. M, 1699. p. 106. •> Rhubarbe. ( •> Sur la j H. 1710. p. 45. Purge plus parfcs Sels que par fcs Souffres. /<^/'i!/. Ncparoitpas aftringente par aucune expérience. ii>ia. p. 44. M. 1710. p. 14(3. " Obfervations fur la Rhubarbe. Par M. BOUL- DUC.M. 1710.P. 163. Eftun Purgatif des plus doux. /i'/W. p. 163. Examinée par les Difl'olvants Aqueux, jl/id. p. 166. -, , Sulphureux. /'^. p. i67.&fq. Rhumatisme. Peut fe guérir par un Bain d'Eau froide,. auflî bien que par un Bain chaud,ou par la Sueur. H. 1710. p. 3(î. Ce que c'cfl qu'un Rhuraatifmc. /^/V. P,!GCiOLi. ( IcP.) Erreurs glifTccs dans fcs Tables Aflro- nomiques. M. 1703. p. 26. Ses EfTays avec le P. Grimaldi fur la Mcfure de laTerre. M. 1701. p. 177. RiCHAUD ( IcP. ) Son Obfcrvation de l'Eclipfc de O du 12. Juillet 1684. faite à Pau. M. 170 1. p. 88. RICHER ( M. ) a découvert le premier, que le Pendule à Secondes devoir être plus court en allant des Pôles vers l'Equateur. H. 1700. p. 1 16. DE L'ACADEMIE 1^99 -^ ifio ^7 RICHER. ( M. ) Confequcnces de cette découverte, /^/i/. p. 1 1 7. & fq. Ses Obfervations de Mars faites en Caycnne,ont fervi à déterminer la Parallaxe de cette Planète. H. lyofi.p.pcj. Ri s ( forte de gram ) confervé dans la Citadelle de Metz pendant plus d'un fiecle. M. 1708. p. 8 j. Rivières. Sentiment de quelques Phyficicns fur l'origine des Rivières. H. 1700. p. z. Syftême de MM. MARIOTTE &c Perrault ( Charles ) fur cette Matière. H. 1703. p. i. Ce Syftême examiné par M. DE LAHÎR.E. ii>. & fqq. Rivières navigables. Leur utilité. H. 1699. , Diverfcs entreprifes pour rendre la Seine Navi- gable au deftus de Nogent, échouées. /^. p. 114. &:fq. Ce Projet rétabli par M. le Duc de Rouanéz. ih'd. p. 1 1 j. RiViNUS,( M.) Son Obfervationdel'EclipfedeLunedu 17. Avril 1707. à Leipfick. M. 1707. p. 171. ■' ' SonObfcrvation de l'Eclipfe de © du ix.May 1706. faite à Leipfick. M. 1705. p. 470. ROBERVAL ( M. DE ) Inventeur des Lignes nommées EvbervuHiennes , qui fervent à transformer les Figures. M. 1703. pp. 70. & fqq. " " Rcponfcà l'Ecrit de M. David Grcgorie tou- chantces Lignes. Par M. L'ABBE' GALLOIS. ' » ibid. p. 70. Rochelle (( La) Eclipfc de © du 2,3. Septembre 1^519. obfervéeà) par M. Des HayesC^rr.M. 1701. p.8i. ROEMER(M.) embraffeavecM.CASSINI l'Hypothéfc du Mouvement fucceflîf de la Lumière pour Aaaaij 5jS TABLE DES MEMOIRES expliquer la féconde inégalité des Satellites de Tp.H. 1707 p.78. ROEMER. (M.) s'attache à cette Hypotliéfe , aban- donnée par M. CASSINI , & le la rend propre, H. 1707. p. 78. Propofe un nouveau Réticule ou Micromètre tiniverfel , par le changement de deux objcdifs. M. 1701.P. 130. M. R O E M E R & M. MARIOTTE fc font trompes fur la réfiitance des Tuïaux Cilindri- ques pleins d'Eau , Selon M. PARENT. H. 1707. p. 117. M. 1707. p. 105). & fq. ROLLE ( M. ) prétend que des Méthodes Algebraïques les mieux reçues font dcfcétueufcs , & quelques fois faufîcs. H. I 65)5). p. 71. Médite un grand Ouvrage fur cela , où il en fub- ftituera de meilleures, ihid. Attaque dans l'Académie , avec M. L'ABBE' GALLOIS , la Géométrie des Infiniment Petits. H. 1701.P.88. Donne des Régies pour reconnoîtrc en gros le» principaux Contours & les Rameaux d'une Courbedont on a l'Equation. H. 1701. p. 89. AvertiiTcment de l'Académie fur fon Ecrit inti- tulé Z>» /*tf«ff^« Sjjlême de l'injini ^ inféré dans les Mémoires de 1703. H. 1704. p. o. MEMO IKES IM PB^l M ES de M. ROLLE. lépp, 1710. „ »> Secondes Remarques fur les Lignes Gcomc- ^ triques. M. 1701. p. 174. ^ >» Remarques fur les Lignes Géométriques M, 1703. p. 132. DE L'ACADEMIE i(Ï95 — ï7io ^9 '»ROLLE(M. ) "Du nouveau Syftcmc de l'Infini. M. M 1703 p. 3 II. " » De rinvcrfc des Tangentes. M. 1705. p, i y. » «Del'Invcrfe des Tangentes, & de ion uflige. » M. 1705-. p. 171. >» » Obfervations fur les Tangentes. M. 1705. . » . p. 222. » -. Méthode pour trouver les Foïers des Lignes » Géométriques de tous les genres. A.!. 170^, » p. 284. »■ " Recherches fur les Courbes Géométriques 5c w Mcchaniques , où l'on propofe quelques Régies u pour trouver les Raïons de leurs Développées. w M. 1707. p. 370. », » EclaircilTemens fiir la Conftruélion des Esa- M lires. M. 1708. p. 335). »■ " EclairciiVemens fur la Conftruélion des Ega- K. ■ lités.II.Memoirc. M, 1705). p. 320. t*- ■ »> De rEvanouiflcment des Qiiantitcs inconnues' M dans la Géométrie Analytique. M. 170C). p. ^.i^, Rome. (Eclipfe de C du 3. Janvier 1703. obfervée à ) par MM. BIANCHINI &: MARALDI. M. 1703. p. 2 3.& fq. Eclipfe de (L du 16. Avril 1707. obfervceàRo- meparM. B LAN CHINE M. 1707.P. 3yy. & fqq. Eclipfêde P obfervée à Rome le 12. May ijo6. par M. BIANCHINI. M. 1706. p. 468. Eclipfe de © obfervée à Rome le 14. Septembre 1708. par M. BIANCHINI. M. 1708. p. 417. Obfervation d'un nouveau Phénomène ( jV//f//^' de Cornet e) faite à Rome le 2. Mars 1702. par M. MARALDI, &c. M. 1702. p. ici. Comète du mois d'Avril 1702. obfervée à Rome parM.BIANCHINLM. 1702. p. ii8.&i2^,. Aaaaiij y.5o TABLE DES MEMOIRES Roses. Eclipfe de G du iz. Juillet 1684. obfcrvccdcvant ' Rofcs par M. DE CHAZELLES. M. 170 1. p. Ss>. Roses. ( Analyfede) fermcntécs. H. lyoï.p. 40. . Huile EflcnticUe de Rofes augmentée par M. HOMBERG.H. lyoo.p. 57. ■ Defciiption du Récipient dont les Parfumeurs fe fervent pour diftiller l'Huile de Rofes. M. 1700. p. ii6. L'odeur de Rofcs purge. H. 16^9. p. 57. « DifTertation fur une Rofe monftrueufe. Par M.MARCHANT.M. 1707.P.488. Rose'e dans les Moiflbns retient le grain dans l'Epy. M. 1708. p. (5y. Roulettes. Toute Courbe peut être confiderée comme une Roulette. H. 1706. p. 83. La Roulette formée par une Courbe géométri- que eft toujours géométrique. H. 1707. p. 66. „ « Sur les Roulettes en général H. 1706. p. 74. » H. 1707. p. 65. D'où formées de différentes efpeces. H. 170^. p. 74. &: fq. Théorie des Roulettes élevée à fi plus grande généralité, comprend celle des Développées. iùlal. p. y 6. Idée de cette Théorie, ihid. pp. 76. &C fqq. M.NICOLE fait voir à l'Académie une nou- velle Méthode pour la Théorie des Roulettes, H. 1706. p. 94. p, .. Traité des Roulettes , &:c. par la Géométrie ., . ordinaire, &:c. Par M. DE LA HIRE. M. 170c;, p. 340. „ " Méthode générale pour détermmer la nature des Courbes formées par le Roulement de toutes fortes de Courbes fur une autre Courbe quel- conque. Par M. NICOLE, M. 1707. p. 8 1 ■ DE L'ACADEMIE 1^99 — Ï7Ï0 5^i •» Roulettes. » Sur la rectification des Roulettes, donc la. « gcncratrice cft un Cercle , & la Bafc un autre » Cercle quelconque. H. 1708. p. 80. w » Méthode générale pour rectifier toutes les » Roulettes à Bafcs droites Se circulaires. Par M. ». NICOLE. M. 1708. p. 8(î. Rouane'z ( M. Le Duc De ) rétablit le Projet de rendre la SeincnavigableaudelfusdeNogent. H. 1/35 5). .' Defcription d'une Porte d'Eclufe de fon inven- tion , lue à l'Académie par M. DES BILLET- TES. M. 165)9. p. 63. w Roues ( " Deux manières de ) a. épuifcr l'Eau. Par M, « ^ DES BILLETTES. M. 1 699. p. 1 84. Roideur des Cordes dans les Machines. Voicz, Cordes. Rouille duFer ,ce que c'eft î H. 1704. p. 39. Eft quelquesfois un véritable Aiman. H. 170 j. ' P-7- Secret de M. HOMBERG pour l'empêcher. H. i699.p. y8. " Route ( » Sur la ) que tiennent pluficurs Corps liés en- » tr'cux par des Cordes , &: tirés fur un Plan Kori- » zontal.H. 1703. p. 1 10. RoYAS(Jean) Efpagnol , fon Aftrolabc, ce que c'cftî H. 1701. p. 100. M. 1701. p. 157. & Iq. Deftaut de cet Aftrolabe. ibid. ihid. Ruches & Mouches à Miel pétrifiées , & trouvées fur les Montagnes de Siout dans la Haute Egypte , par M. Lippi. H. 1705. p. 36. &fq. RuDOLPHiNEs (Tables) de Kepler. Erreur de ces Ta- bles fur Saturne en 167Z. &: 1673. &c. M. 1704. p.3i4,&3i5. Caufc &: Corrcttion de ces Erreurs, ibid. p. 315, &fq. Erreur de ces Tables dans les Eclipfcs de 1 699, H, 1700. p. 1 10. 59. p. 69. Salvago. ( M. Le Marquis ) Ses Obfervations Aftrono- miqvics faites à Gennes , & rapportées dans les Mémoires de l'Acadcmic, 1699.—- 1710. 5ALVACO t)E L'ACADEMIE 1699.— 1710, jfTj Salvago. ( M. Le Marquis ) Eclipfcdc C du 17. Avril 1707. M. 1707. p. 170. Z9. Sept. 1708. 1708. 418. de O du 23. Sept. 165)5). 1701. 81. iz. May. 1706. 1706. 467. 14. Sept. 1708. 1708. 417. II. Mars 1705). 17051. 95. Ses Obfervations du Baromètre faites à Genncs en 1706. 1707. & 1708. comparées aux fcmbla- blcs faites à Paris. M. 1709. pp. 134. & fqq. Salure des Eaux de la Mer parquoi produite î H. 1 7 1 o, p. 16. Sanc t o r I u s Médecin de Padoue , a réduit le premier au * Calcul la Tranfpiration infenfible du Corps humain. H. 1707. p. 187. Deftaut de fon Thermomètre. M. 1703. p. jr. Sang. Le mouvement continuel eft neceflairc au Sang. H. 1700. p. 33. Ufage de l'Air qui fe mêle avec le Sang, &: que devient cet Air. H. 1700. p. ij. Le Sang plus chaud ne produit pas des Battc- mens d'Artère plus fréqucns.H. 1703. p. 10. Il paflc beaucoup moins de Sang par le Poumon du Fœtus, que par celui d'un Enfant nouveau ne, M. 1700. p. 218. Circulation du Sang. Votez. Circulation. Caufcs de la corruption du Sang. M. 16951, p. 17^. Crachement de Sang caufc par l'Ypecacuanha pilé en grande quantité , bc refpiré par le nez. H. 1704. p. 13. Dans les Perfonnes mortes par des Pertes de Sang , on trouve toujours pleins d'Air les Vaif- feaux qui ont été vuides de Sang. H. 1704. p. 30. &: fq. Tab. des Mat. 16^^. — 1710, B bbt» 5^4 TABLE DES MEMOIRES Sang, Dincclion faite par M. LITTRE d'un Hommf mort après une perte de Sang cauféc par unUl- ceredansTEftomach. H. 1704. p. 30. Exemple d'un Sang fort aifc à fe figer. H. 1704. p. 27. _ Sanguins (VaifTeaux) Embouchures de ces Vaiflcaux trouvées ouvertes dans la Matrice d'une Fem- me morte quatre heures après être accouchée. H. 1706. p. 21, Santerini ou Santorin , Ifle de l'Archipel. Extrait d'une Relation du P. Bourgnon Jefuite, fur la nouvelle Ifle formée auprès de Santerini. H. 1708. pp. 2.3. & fqq. Sapins. Ohfervation Botanique fur des Sapins dont on vouloir dépeupler une Terre. H. 1707. p. 53. &rfq. Le Sapin décrit par M, CHOMEL. H. 1703. P- T7- » «.Expériences pour connoître la Rcfiftancedcs Bois de Chêne & de Sapin. Par M. PARENT. » M. 1707. p. yiz. Saponaria ^r^tfr'7 Plantes, leurs Defcriptions envolées Sapotile J^dc la Martinique à l'Académie par le P. Breton Jcfuitc. H. 1703. p. 57. H. 1704. p. 4Z. Sa^cazo acostm ( Plante Marine ) femble avoir une cf- pcce de Semence. M. 1700. p. ^6. "Sarrasin (M ) Médecin du Roy en Canada, Corr, » » Extrait d'une de fcs Lettres touchant l' Anato- » mie du Caftor, lue à l'Académie par M. PIT- TONTOURNEFORT. M. 170 .p,48. Satellites (les) tournent peur-être fur leurs Axes en même tcms à peu près qu'autour de leur Plaaetc principale. H. 170 y. p. m. Raifon de cette Conjedure. ihid. » DE L'ACADEMIE 1^5)9 — i7ro ^6j Satellites. Les Satellites de Tp &de t? ont fcrvi à prou- ver la Règle de Kepler, & à établir le Syilcinc ihid. p. 31. 0 " Confideration fur la deuxième inégalité du « Mouvement des Satellites de Tp & fur THipo- » tliéfc du Mouvement fucceffif de la Lumière. Par M. MARALDI.M. 1707.P. 2.J. >» » Sur les Taches des Satellites de V- H. 1707. Théorie de ces Satellites par rapport à la décou- verte de leurs Taches. H. 1707. pp. pi. 93. &:rqq. » " Obfcrvations de quelque Tache confiderablc dans les Satellites de % . Par M. M ARALDL M. " 1707. p. 289, » » Sur les Satellites de T7.H. 170 j. p. 1 17. Par qui découverts ; ii^/d. Révolutions des Satellites de Tj. & leurs diftan- ces en diamètres de l'Anneau, ii/id. Bbbbij é66 TABLE DES MEMOIRES Satelli TES de Saturne. Hiftoirc de ladécouvcrtc des 4, Satellites de T) fiiite en divers ccms à rObfcrva- toirc par M. CASSINI. M- 170^. pp. 19. &: fqq, « >. Réflexions fur les Obfcrvations des Satellites de 17 &:de fon Anneau. Par M. CASSINI. M. 170J. p.14. Le cinquième Satellite de 'b difparoît pendant environ la moitié de fa Révolution, lorfqu'il cft oriental à T^. H. lyoj.p, izi. Conjedurc fur la caufe de ce Phénomène. il>i^, M. 170 y. p. i4.&;fq. » Saturne. » Sur les Planètes en général , &: fur Saturne « en particulier. H. 1704. p. 6 y. « » LesHypothéfes du Mouvement de Saturnc.Par M. MARALDI.M. 1704. p. 314. Erreur des Tables Rudolphincs de Kepler fui- Saturne en I6-/1.&C i6j^. &CC. ibid. p. 514. &fq. Caufe & Corredlion de cet Erreur, ibid.ç. 5iy. &fq. La plus grande Equation de Saturne , quelle ? affez bien déterminée par M. Bouilleau. ihid^ Inclinaifon de fon Orbite à l'Ecliptique , quelle ? M. 1704. p. 3 18. Pofition de fon Nœud en i^pé. M. 1704. p. 317. &fq. Les Obfcrvations que Tycho en a faites ne peu- vent s'accorder aux Elemcns de la Théorie ds cette Planète tires des Obfcrvations les plus an- ciennes & les plus récentes, ibid. pp. 3 19. & fqq. Mouvement de l'Apogée de Saturne bien déter- miné parM. Bouilleau. /^/^. p. 3x1. desNoeudsdeSaturne. /^/W. p. 321. &:fq. DE L'ACADEMIE 1699^ 1710 ^6y Saturne. Lieu véritable de fon Aphélie. M. 1704. p. 31e. Erreur dans celui des Tables Rudolphines de Kepler, iliid. Bien déterminé par M. Bouillcau. ib.uL Sa moïeiiue diftanceau Soleil, quelle i M. 1704- P-3I7- Méthode de la déterminer, ibid. Obfervation de la Conjondion précife de Ij' avec une Etoile fixe le i7.Janvier 1^79.3 Lciplik par M. Kirchius. ( Gottfrid ) M. 1704. p. 316:. » ' "SuruncConjondionde Jupiter &; de Saturne. p H. 1703. p. 85». Période de la ConjomStion de ces deux Planètes entf 'elles, ibid. p. 90. » >. Obfervations de Saturne , de Mars &c d' Alde- " baram vers le tems de la ConjoncVion de Saturne « avec Mars au mois de Septembre ijq6. à l'Ob- fervatoirc. Par M. DE LA HIPvE. M. 1707, " p. izo. Les mêmes faites à Marfeillc par le P. Laval, ibid.Tp. i2.3,&: fq. Satellites de ij /"^/^^ Satellites. Savariaba ( la) Plante. Sa Dcfcription envoïée de la Martinique par le P. Breton Jcf, H. 1703. p. ^7^ H. 1704. p. 4z. SAULMON. ( M. ) Ses Remarques fur les Pierres, & particulièrement fur celles de Mer. H. 1707, p. j.&fq. Savon (le)dcquoicompofé?M. 1709. p. 361. SAURIN ( M. ) remplit la Place de Géomètre Penfion- naire , vacante par la mort de M. L'ABBF' GALLOIS. H. 1707. p. 181, '^" B bbb iij 5^8 TABLE DES MEMOIRES MEMO IKES I MPKI M E'S de M. S AVKI N. ï6p9 — 1710 „ » Solutions & Analyfcs de quelques Problêmes „ appartenans aux nouvelles Méthodes, {ceux (jiù „ re^^ardcht Li Courbe de l a pins Vhe Défient c. ) M. 1709. p. 16. « Examen d'une difficulté confiderable propofee par M. HUYGHENS contre le Syftême Carte- „ lien fur la caufc de la Pefanteur. M. 1705». P-Mi- .. Solution générale duProblême , où parmi une infinité de Courbes fcmblablcs décrites fin- un Plan Vertical , &: aiant un même Axe & un mc- » me Point d'origine , il s'agit de déterminer celle dont l'Arc compris entre le Point d'Origine & une Ligne donnée de Pofition eft parcouru dans Icpluscourttemspoirible. M. 1709. p. 1^7. " Addition à ce Mémoire, &c. H. 1710. p. zo8. SAUVEUR ( M. ) Son nouveau SyrtcmedcMufique, fon utilité , fon étendue , &c. H. 1701. pp. izS. &fqq. Impofe aux Tons des Noms nouveaux & plus commodes, ihid. p. 136. Ce Syftême adoucit les Diftonances , & n'altère que peu fenfiblcment les Confonances. H. 1707. p. 1 1 7. Différences de ce Syftême & de ceux de M. HUYGHENS, &: des Muficiens. H. 1709. pp. ll^.hc fqq. DE L'ACADEMIE i(îc,c,_ I7I0 ^69 MEMO I KES 1 M PKI M ES de M. S AVl^EVU. 16^ p. I 7 I o. t» «Syftême général des Intervalles des Sons, 5â » fon application à tous les Syftêmes & à tous les » InftrumcnsdeMuriquc. M. 1 701. p. 2.99. if " Application des Sons Harmoniques à la Com- » polition des Jeux d'Orgues. M. lyot. p. 308. » » Du Frotemcnt d'une Corde autour d'un Cilin» » drcimmobile. M. 1703. p. 30^. » «Méthode générale pour former les Syficmcs tempérés de Mufiquc , & du choix de celui qu'on !♦ doit fuivrc. M. 1707. p. 203. m w Conllrudion générale des Qiiarrés Magiques, »■ M. 1710. p. s>z. SjixiTRAGA rotundi-folia , albtt , radice granulofu J. B. Plante. Sa Dcfcription donnée par M. MAR- CHANT.H. 1703. p. 57. ». Scammone'e. ( " Obfcrvations fur la ) Par M. BOUL- DiiC.M. 1702.P. 187. Cequec'eft, & d'où nous vient ? ibid. p. 187, &fq. ScHEiNER ( Le p. Jefuitc. ) a traité le premier avec mé- thode la Théorie des Taches du Soleil. H. 1710. ScHEUCHZER ( M. Jean) Doûcur en Médecine a Zuric. Corr. Son Obfervation del'Eclipfe de © du 12. May 1706. faitcàZuric. M. 1706. p. 46^. Dédie à l'Académie une Diflcrtation Latine fur l'Origine des Mù,!tagnes , ou^ur /a Formation de /^ Terre. ïi. lyo^. p. ^o. Idée de cette Differtation. ibid. Se fqq. 570 TABLE DES MEMOIRES ScHEUCHZER (M.Jean) Dodcur en McdccincàZuric, envoie à l'Académie fon Agrofiograj/hix Helue- tic£ Prodromus ,, ëcc. H. 1708. p-yo. Envoie à l'Acadcmic fcs Obfcrvarions du Ba- romètre, du Thermomètre, des Vents , de la Pluie, Src. faites à Zuric en 1708. M. 1709. p, 10. Ses Oblcrvations iur la Pluie tombée à Zurich &: la Conftitution de l'Air en 1705). M. 1710. p.i4^&fq. Afliftc aux AiTcrablces de l'Académie , & y lit une Diflertationy/iT^ /es Pierresjigurées. H. 1710. p. I9.&fq. Oblcrvation de rEclipfe de Lune du 17. Avril 1707. faite à Zurich par MM. Scheuchzcr. M. ScHEUCHZER ( M, Jeau-Jacqucs ) Docteur en Médecine à Zuric, envoie à l'Académie une DiiTcrtation Latinc//>r le Crifial. H. 1708. p. 35. Idée de cet Ouvrage, ibid. Se (q. Envoie un autre Diilertation intitulé Tifcium qu£rel£ éf 'vindici.c. ibid. p. 34. Ce que c'eft que cet Ouvrage, ibid. & fq. Son Herbiiritim Diluvianum envoie à l'Acadé- mie, ce que c'eft que cet Ouvrage ? H. 17 10, pp. II. &rqq. Scies. Machine pour faire mouvoir fix ou fept Scies, pro- pofée à l'Académie par M. Du Guet. H. 165)^. p. 121. Machine pour fcier &: polir les Marbres , inven- tée par M. De Fonsjean , bc approuvée par l'A- cadémie. H. 1700. p. 160. .ScHMiD ( M. ) Son Obfcrvation de rEclipfe de O du 23. Septembre 165? 5). faite à Strafbourg. M- 1701. p. 84. Scorbut DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 )7^ " Scorbut ( «Etranges effets du) ariivcs à Paris en 165)9^ ParM.POUPART.M. 1699- P- 169- Symptômes généraux des Scorbutiques, p. 1(19. particuliers obfcrvés par M. POU- PART, il/id. pp. 170. &fqq. Cerveau des Scorbutiques obfervé très (^.m.ihid. p. 176. Le Coclîlearia efl un excellent remède pour le Scorbut &: d'autres Maladies. H. 1700. p. ■ ' éo. ScoRBUTiQj-îEs guéris en mangeant beaucoup d'OzeilIe cuittc avec des Oeufs. H. 1708. p. j-z. .ScoTTi. ( L'Abbé) SonObfcrvationderEclipfcdu G du 23. Septembre 1699. faite à Madrid. M. 1701. p.83. ScROPHULAiRE ( ScrophuLiria aquaticcx major. C. B.) eft lamêmcchofequcl'YquetayaduBrelîl.M.1701. p. 214. &:rq.H. 170 1. pp. 39.&:77. Sert comm.c PYquetaya de Corredif au Séné. /'^/V. p. il j. ii?/d. ScROFULEUX. ( Enfxns ) Eiîais de l'Eau de Chaux fur deux Enfans Scrofuleux. M. 1700. p. 116. SEBASTIEN (LE PERE) r^/fi^TRUCHhT. » Sécantes ( "Sur les Tangentes & les ) des Angles. H„ •M 1703. p. 64. Progrefllons découvertes dans la fuite des Tan- gentes &: des Sécantes. /'^-Jc/. » " Sur les Tangentes & les Sécantes des Arcs Cir- » culaires. H. 170J.P. 89. » » Supplément de Trigonométrie , contenant »» deux Théorèmes céneraux lur les Tangentes &: » les Sécantes des Arcs multiples. Par M. DE LAGNY.M. i7oj.p.2)-4. Sèches. Années font avantageufes pour les Blés dans nos Climats. M. 1707. p. 1. 7db. des M4t. 169^. — 1710. Cccc j7i TABLE DES MEMOIRES Sèche ( Oeufs de ) en grappe , dont chacun conccnoic une petite Sèche bien formée. H. 1708. p. y 1. Section. Méthodes pour la Section indéfinie des Arcs Circulaires. H. 1707. pp. 7 j^ & ■](>. Sections Coniques. Votez. Coniques. S-EWM Vcrmicnlatiim ( Plante. ) M. 1700. p. 58. Seine ( Rivière) ne fut point géléc entièrement dans l'Hyvcr de 1709. &: pourquoi ? H. 1705). p. 9. & fq. ^ ■» Sur les différentes Hauteurs de la Seine en dif- " ferenstems. H. 1705.P. 31. Utilité des Obfcrvations de lAccroiirement&: du DécroiiTement des Rivières, ibid. p. 32. & 34. » xSur quelques Machines emploïées dans une " nouvelle Navigation de la Seine. H. 165)5), » p. 1 14. Diverfes Entrcprifcs cndiffcrens tems pour ren- dre la Seine Navi2;able au dellus de Nogenc , échouées. /é/V. &: fq. Ce Projet rétabli par M. Le Duc deRouanéz. ihid. p. II j. Divers Inconveniens arrivent aux Ouvrages déjà commencés, ibid. p. 1 1 j. Ces Inconveniens tournent au profit de la Mé- dian Ique./i;/^. p. II y. M aciijnes inventées pour la facilité des Ouvra- ges , décrits par M. DES BILLETTES. ibuL p. II y. " Sel. » Du Sel Principe. Article II. des ElTais deChimie. ParM.HOMBERG.M. i7oz.p.3é. » Mémoire touchant les Acides & les Alcalis , « pour fervir d'Addition à l'Article du Sel Princi- pc , &:c. Par M. HOMBERG. M. 1708. » • p. 5 1 i. DE L'ACADEMIE 1^99—1710 T7j Sels. Dilîolutions froides &: fans Fermentation de la plu- part des Sels dans plufieurs Liqueurs. M. 1700. p. I 10. Fermentations froides de certains Sels dans plu- fieurs Liqueurs. /^/V. p. 1 1 1. Raifondurcfroidiflemcnt des DilTolutions des Sels. M. 1700. p. 1 14. Raifon de la chaleur de la Diffblution des Sels Lixiviels Alcalis. /^/V. p. 1 14. EfpritdeSel. Différence entre les Forces diflbl- vantes de l'Efprit de Sel & de l'Efprit deNitre. M. 1700. p. 6j. &: fq. Caufe de cette différence, ihid. p. 66. & fq. Pourquoi l'Eau Regale diifout-elle deux fois au- tant d'Or , que l'Efprit de Sel en pareille quanti- té. M. kS^s». P- Jo. L'Efprit de Sel diffout moins de chaque Alcali Terreux, que l'Efprit de Nitrc, &c pourquoi? H. 1700. p. 49. Sel Salé en Chimie, ce que c'eft? H. 1 701. p. 70. 5els Acides. Méthode de M. HOMBÉRG pourcon- noîtrc la proportiondes Sels Acides, &: du Phlég- me mêles cnfemble. H. i(?99-pp. y2..& 53. Les Acides du Sel font plus grofllers que ceux du Vitriol. H. 1709. p. 3 y. Sublimé Corrolif peut être fait avec le Sel feule- ment & fans Vitriol, ibid. p. 3 j. Sels Alcalis ne peuvent diflbudre le Camphre. M. 170J.P. 48.&:fq. Sel Armoniac, cequec'eftîM. 1700. p. iiy. Joint au Sublimé Corrolif & auVinaigrc , fc gclc & rafraichitles Liqueurs. H. 170 1. p. 73. Grande froideur du Sel Armoniac. M. 1700, ^ p. iiy. Raifon de cette froideur, ibid. p. 1 1 j. C ccc ij 574 TABLE DES MEMOIRES Sel Ammoniac. Expericnccdu changement ck la Fer- mentation froide du mélange du Sel Ammoniac & de FHuilc de Vitriol en une Fermentation très chaude avec un peu d'Eau. /'/'/■V. p. m. Raifon des Vapeurs chaudes de la Fermentation froide excitées par le mélange du Sel Ammoniac &: de l'Huile de Vitriol, ibid. p. i ic. & fq. M »-• Comparaifon des Analvfcs du Sel Ammoniac ^ « . delaSoie&dclaCornedeCerf ParM.TOUR- « NEFORT.M. 1700. P.71.H. 1700. p. 50. Fournit plus de Sel Volatil que toute autre Ma- tière, ibid. Les Gouttes d'Angleterre n'ont aucun avantage fur les préparations de la Corne de Ccrf&: dir Sel Ammoniac. H. 1700. p. 5 1. Sel Ammoniac naturel tiré du Mont Vcfuve, examiné par M. L E M E R Y. H. 1705. p. 66. Sel Eflcntiel. Méthode pour tirer beaucoup de Sel Eflcn- ticldcs Plantes. M. 1699. p. 100. Des Tamarins rcffcmble à la Crème de Tartre. ibid. • Trouve fur les Branches &z les Feuilles de plu- fieurs fortes de Plantes, ibid. p . ici. Sels Fixes purement Alcalis, échauffent les Liqueurs, M. 1700. p. 1 14. Sel Marin mêlé avec des Efprits Acides , échauffe les Liqueurs. M. 170c. p. 113. L'Efprit de Sel Marin eft le DifTolvant propre dcTOr. H. 1706. p. 30. Mêlé avec l'Efprit de Nitre , n'en diffout que mieux l'Or. ibid. Domine dans l'Eau Regale. ibid. Sels Mmcraux , quels font les Principaux deces Sels î M, 1707. p. 18 a.- DE L'ACADEMIE i^;p9 — 1710 575. Sel Volatil j le Sel Ammoniac en fournit plus que toute autre Matière. M. 1700. p. 71. »- " Mcfure des Sels Volatils contenus dans les EC- » prits Acides, H. 1 699. p. 5 1. » » Obfcrvation fur la quantité des Sels Volatils «»' Acides contenus dans tous les differens Efprits *. Acides. Par M. HOMBERG. M. 165)9. p. 44. Table de la quantité de Scî Volatil Acide abfor- bé par le Sel de Tartre. /'/'/V/. p. 49. Expérience de M. BOULDUC , que le Sel Vo- latil de Succin cft acide. H. 1699, p. 54. Sel dcGaubcr ^ cequec'efl: î M. 1704. p. z8i. » Sels des Plantes. (^ Sur les) H. 1699. p. 63. Sel Eflcntiel des Plantes , ce que c'cft ; fcmbla- bic au Selcoairaun. M. 1708. p- 3 ï y. H. 1699. p. 63. Comment fc forment les Sels concenus dans les Plantes, ihid. p. 6 j. Les Sels des Plantes ne différent point effentiel- lemcntdcs Sels Minéraux. M. 1707. p. 18 i. .;.: . peuvent contenir du Sel commun , & pourquoi ? M. 1 6^s>- p- <59. -»- • » EfTliispour examiner les Sels des Plantes. Par »- M. HOMBERG. M. 1699- p- ^9. T-. " f Peuvent contenir du Salpêtre ou du Sel com- V'. raun, & pourquoi î /^/V, Sels contenus dans les Plantes, s'y forment tels qu'ils y font. ihid. p. 74. Sel Lixiviel des Plantes , ou leur Sel Alcali fixe , ce que .,../ c'eftîM.i7o8.p. 314. &fq. »' » Sur les Sels Volatils des Plantes. H. 1701. »• ■• ■ p. 70. *»' « Obfervations furies Sels Volatils des Plantes» *-: - ParM.HOMBERG.M. 1701.P.211. Cccc iii Î7tf TABLE DES MEMOIRES Sel Volatil. Nouveau Sel Volatil falc tiré des Plantes, ibid. p. 2,21. La mauvaifc odeur du Sel Volatil urineux des Plantes Se des Animaux , ne leur eft peut-être pas circntielle. H. 1701. p. 41. & fq. Se tire en aufll grande quantité des Chairs diftil- lécs, après avoir été bouillies , que des Chaire diftillécs crues. /'^/'d'. p. 45. Sel ( Piramide de ) formée dans une Criftallization , &: comment ,fuivant M. HOMBERG. H. 1702. p. 18. &rq. SeMENCE des Plantes. La multiplication des Branches efl: équivalente en nature à la multiplication de la Semence. M. 1700. p. 138. Les Modernes ont découvert des Semences dans plufieurs Plantes que l'on croioit n'en pouit avoir , &: celles-là même eu ont le plus. H. 1707. pp. 46. &: 49. Semence des Champignons encore inconnue , mais exifte. H. 1707. pp. 46. &: fqq. On n'en trouve point dans la plupart des Plantes de Mer. H. 1700. p. 68. M. 1700. p. 3 j. Semence de Corail obfervée. M. 1700. p. jj-, &fq. .... Peut donner lieu de propofer quelques Conjectures pour la multiplication des Plantes Marines pierreufcs. ibid. p. 3 j. La Sargaz.0 d'Aco/ld bi. l' Je inaria Impcrati , {cm- blent avoir une Semence, ibid. p. 3 (,. Séminale f Liqueur) ce que c'cft, &: d'où formée î H, 1700. p. 30. Sene'. La grande Scrophulaire Aquatique , &: l'Y quctaya lui ôtent fon mauvais goût , fans diminuer fi Vertu. H. 1701. p. 77. & fq. M. 1 701. pp. 215. & fqq. DE L'ACADEMIE KJps» — I7IC J77 SEKsiTivEepincufe. Plante. Sa Dcfcription cnvoïcepar le P. Breton Jcf. H. 1703. p. 57. H.1704. p. 41. Caufc générale des Phénomènes de cette Plan- te. H. 1710. p. 69. Sentiment. La Moelle en a un très exquis.") M. i^-oo. p. Expériences qui le prouvent. J2.04. & fq. Serpens doivent voir les Objets plus grands qucnous ne les voïons,&: pourquoi i- H. 1706. p. 8. Efpecc de Serpent du Brciil , dont la piqueure,&: même le feul attouchement , après fa mort , don- nela galle. M. 1700. p. 177. & fq. Sene. ( Circulation de la) /'tf/e ,5:. Circulation cy-dcffl p. 164. Seyfar (M.Bartholomée) Médecin Danois, cnvo'ie à l'Académie, de la part de Sa Majcfté Danoife , ledcfTein & la defcription d'un Fœtus Mons- trueux, ( Voiez, MEUT Rem. fur un Fat. MokJIy. \ M. 1709. p. \6. SîFFLER. 11 y a des gens qui fifflentfans aucune interrup- tion , quoi qu'ils reprennent haleine , &:c. M, 1707. p. 71. SiMEON ( Le R. P. de St. Jean-Baptifte Carme Dcchaufl fé) fon Obfervation de l'Eclipfe de C du iz. Février 1701. faite à Toulon. M. 1701. p. 4^. Si-NGHAN-Fu Ville de la Chine , Capitale de la Province de Xcnli. Sa Latitude. *) tt ^ o ç. T • j > H. 165)9. p. 84. Sa Longitude. J ^-^ t t .Sinus. (Manière de trouver le) d'une Seftion indéfinie d'un Arc de Cercle , &c. par M. BERNOULLI ProfclTcur à Baie. M. 1701. pp. zSi. & fqq. ^INU S Longitudinal de la Dure-M ère. ( Amas d'cfpeces de petites Glandes trouvé dans le ) par M. ME- RY. H. 1701. p. jo. Sinus Longitudinal fupcricur du Cerveau ( Ver trouvé dans le) d'un Enfant. H. 1700. p. 40. ■<^jfè TABLE DES MEMOIRES SiRLET ( Le Cardinal ) étoit Membre delà Congréga- tion du Calendrier tenue à Rome en 1580. M. 1704. p. 141. SiSTESME. Avantages &: defavantages d'un Siftêmc gé- néral. H. 1707. pp. 1 59. &: 1 60. Avantaires des difficultés faites aux nouveaux Siilêmes. H. 17 10. p. 53. Smirne. ( Obfcrvations faites à ) de l'Eclipfe d'Aldcba- ram par la C le 3. Octobre 1700. parLeP.Fcuil- lée.C'^^rr. M. 1701. p. 8. de TEmerfion du i. Sa- tellite de % du II. 0<5tobrc 1700. M. 1701. p. 8. de la Hauteur du Pele par plufieurs Hauteurs du Soleil. /^;W. H. 165)9. p. 8y. de la Variation de l'Ai- guille Aimantée, en 1700. M. 1701. p. 8. -Snelliu s ( Wilbrord ) cil le premier Auteur des Cartes Hydrographiques réduites. H. 1705. p. 9 j. Deftauts de fes Cartes réduites, ibid. p. 94. M. Ï703.P.97. Ses Ellais fur la Mefure àc la Terre. M. 1701. p. 17^. L'Erreur de fes Calculs da^is fa Mefure de la Terre l'a fait différer de celle de l'Académie. H. 170Z. p. 8z. & fq. is» > » Réflexions fur fa Mefure de la Terre , &:c. Par M. C A S S I N I le Fils. M. 1701. I» p. 60. Société' Roiale des Sciences établie à Montpellier, Son Obfervation de l'Eclipfe de ©du 14. Sep- tembre 1708. M. 1708. p. 416, Société' DE L'ACADEMIE ï(?p9—i7To jjc, Société', MEMOIRES DE LA SOCIETE Roïaie des Sciences de Montpellier , imprimés dans les Mémoires de l'A- cadémie. ijo6 . 1710 » » Analogies pour les Angles fairsau Centre des w Cadrans Solaires , tant Horizontaux , Vcrti- " eaux , que Déclinans inclinés , démontrées par »• i'Analvlc des Triangles rc£tili2;ncs. Par M. De » Clapiés. M. 1707. p. j5s>. • » Conjctturcs fur le redrelTcment des Plantes in- » clinécs à l'Horizon. Par M. Aftruc. M. 1708. « M Obrcrvationsfur l'Evaporationqui arrivcaux »• Liquides pendant le grand froid , avec des PvC- » marques fur quelques effets de la Gelée. Par M. »' Gautcron.M. 1709. p. 4^ I. " « Obfervation fur les petits Oeufs de Poules fans » Jaune , que l'on appelle vulgairement , Oeufs de » Cocq. Par M. Lapcyronie. M. 1710. p. 5^3. SoLANUM Belladonna. ( forte de Plante ) Mauvais eftcts de fon fruit mangé. H. 1703. p. j6. Acides Végétaux font un Remède pour le Sola- num./^/^. p. 57. So LA I RE. ( Année ) Précifion que l'on peut efperer dans la détermination de la grandeur de F Année So- laire , par la comparaifon des plus anciennes Obfcrvations avec les modernes, M. 1703. P- 44- ■Tah.desMat.i6^^.—ïjlQ, Dddd ySo TABLE DES MEMOIRES Solaires. ( Années) Période d'Années Solaires trouvée par M. CASSINI. M. 1703. p. 46. Grandeur de l'Année Solaire moicnnc. /'/?. p.47. Moienne diffère de la véritable, & pourquoi? /^. » » Des Equations des Mois Lunaires & des An- » nées Solaires. Par M.CASSINL M. 1703. p. 146. Soi.AK'VM cjficindrum C. B. MorcUe.Sa Dcfcription don- née à l'Académie par M. MAPvCHANT. H. 1701. p. 49. Soleil. Conjeélures fur la nature du Corps du O- H. 1700. p. IZ2.& fq. Le Soleil cil le Centre des Mouvemens appa- rents des Planètes. H. 1709. p. 82. Le Soleil rournc fur Ton Centre par rapporta la Terre en 2.7. jours & demi. H. 1701. p. 102. Inclinaifon de Ion Axe au Plan de l'Ecliptiquc. ihid. p. 103. Ses Pôles le trouvent par pluficurs Obfervations diftansde ceux del'Ecliptique de 8. dégrés. M. 1705. p. 113. Railon qui a fait choifir 7. dégrés &: demi. ihid. Se fq. Point de l'Ecliptiquc , où cft fon Mouvement médiocre. H. 1704. p. 64. » » Détermination du tcms auquel le Mouvement « du G en Longitude eft égal à fon Mouvement en Afcenfion droite. Par M. PARENT. M. 1704. p. 134. Exactitude des Tables du © de M. C ASSINL M. 1704. p. 312. Eclipfe de o. foicz. Eclipse à' Observa- tions. lâches du©. ^'o/V-i: Observations. Soleil(1c} a beaucoup de part à la Pcrpcndicularité de la 1 ige des Plantes , par rapport à l'Horizon. H. 1700. p. 6^. DE L'ACADEMIE i<$9î>-- 1710 ^Si Solidité' nbfokië des Corps, eft abfolument & pour toujours inconnue. M. 1705). p. 141. Relative eft connue, iùid. » « Sur des Figures égales en Surùcc Courbe &c en « folidité. H. lyop.p. j(î. Découvertes d'Archimcdc fur cette Matière. ihid.-ç. ^6. &: fq. Trouver des Solides quelconques égaux en fur- face Courbe &c en folidité avec une même Sphè- re. M. 1709. p. 1 18. & fqq. Qiiellc proportion doivent avoir entr'cux les Solides pour faire tel accord. H. 17051. p. 54. &fq. "Solides. » Sur la Rcfiftance des Solides. H.1701. p.ioi. D'égale Refiftance , ce que c'eft ? ihù/. p. 1 2.7. Il y a une infinité de Solides d'égale Refiftance, & pourquoi ; lip/d. p. 130. Confiderations fur les Bafes de Fradion de quel- ques Solides, iùid. pp. 1 3 o. & fqq. » " De la Refiftance des Solides en général , pour w tout ce qu'on peut faire d'Hypothéfes fiir » la Force ou la Ténacité des Fibres des Corps à rompre , &:c. Par M. VARIGNON. M. 1701. » p. 66. n Solide de la moindre Refiftance. Méthode facile « pour trouver un Solide rond , qui étant mû dans •• un Fluide en repos parallèlement à fon Axe, ren- » contre moins de Refiftance que tout autre Solide » qui aïant même longueur & largeur , fe meuve «» . avec la même VitcfiTe fuivant la même direction, Par M. LE MARQ.UIS DE L'HOPITAL. « M. 11Î99. p. 107. Ce Problême refolu par M. Fatio dcDuillier, dans fon Traité des Mnrs inclinés à C Horiz^sn. ibid. p. 107, D ddd ï] fSz TABLE DES MEMOIRES Solution plus lîmplc de M. DE L'HOPI- TAL./^/^, p. loS.&fq. " Solides. ( Refiilances des ) » Véritable Hypothcfcdcla » Rcfiftance des Solides , avec la Dcmonftration >» de la Courbure des Corps qui fontReflort. Par M. BERNOULLI Profefleur à Bâlc. M. i-oy. " F- '7.^- « " Sur la Refiftancc des Solides, &: furlaCour- " buredesReflbrtspIiés.H. 1705. p. 130. SoMEii. M. DU HAMEL traite le Someil & la Veille dans Ton Hiftoire Anatomiquc lue dans T Acadé- mie. H. 1703. p. 44. Son. Son cirenceenquoiconfifte ? M. 1707. p. 72. Théorie générale du Son lue dansFAcademie par M. CARRE'. H. 1704. p. 88. - . D'où produit félon M. CARRE'. /^/V. Comment fc fait entendre. M. 1699. p. if. RefTemblance de la Lumière &c des Couleurs avec le Son & les Tons. /^/V. p. z6. Parcourt 180. Toifes en une Seconde de tcms, jù/d. p. 27. Le Son qui frappe l'Oreille eft compofé d'un Son dire6l &: d'un Son refléchi. H. 1700. p. 18. Avantage dccettccompolition. p. ip, Qiic les Vibrations de l'Air font feules le Son. M. i6^s>- P- ^5- Théorie des Sons par rapport à l'Ame. H. 1 70 1 » p. IZ2. &fqq. Son fixe, ce que c'eft ; Manière de le trouver. ^ M. 1701. fuivant le P. Merfenne. > pp. 3 59. &fuivantM. SAUVEUR. ■> & fqq. » » Sur la détermination d'un Son fixe. H. 1700, p. 134. Idée de M. SAUVEUR pour déterminer furc- ment un Son fixe p. 137. & fq. DE L'ACADEMIE i6i)c,_- ï-ïo jgj Son fixe. Méthode des Muficicns pour déterminer un Ton fixe fiijete à erreur, ibid. p. 137. Utilité &c conféqucnces qu'on pourroit tirer da Son fixe une fois déterminé, ibid. p. 140. & fq. » Syftême général des Intervalles des Sons ,- &: (on » application à tous les Syftcmes & à tous les In- ftrumensde Mufique. Par M. SAUVEUR. M. »• 170 1. p. 2S>5/. Du rapport des Sons & des Intervalles. /'^/V. p, 301. &; îq. » » Application des Sons harmoniques à la com- » pofitiondcs Jeuxd Orgues. Par M. SAUVEUR. » M. 1702. p. 308. H. lyoz.p. 5?o. » "Sur les Sons des Cylindres folides. H. 1709, p. 95- Sonne TTEjcfpece de Mouton pour battre les petits Pi- lotis. M. 1707. p. 188. Sonomètre de M. Louliépour accorder très facilement un Clavecin , approuvé par rAcademic, H. 165)9. p. I2.I- Souffle (le) & les Injeflions Anatomiqucs , &c. ont fouventdes fignes équivoques. H. 1700. p. 3^, Souffler. ÇHielques Emailleurs foufflcnt continuelle- ment dans leur Chalumeau , qi'oiqu'ils repren- nent haleine. M. 1707. p. 71. Soufflet. Air poufle par un Soufflet contre quelque par- tie du Corps paroît froid , & pourquoi ? H. i7io.p. 13. Souffre Principe, ce que c'eft. M, 1710. p. ii,r.&rq. w « Suite des Eilais de Chimie. Article troiliémc Du Souffre Prmcipe. Par M. HOMBERG. M. » 170^. p. 88. Le Souffre Principe n'cft autre chofe que la Ma- tière de la Lumière. M. 170 J. pp. 89. &C fqq. Souffre comnwn, ce qucc'cll ; H. 1706. p. ^j.&fq, D ddd iii 584 TABLE DES MEMOIRES „ Souffre. ( » Sur rAnalifc du ) commun. H. 1705. P-47- , Le Souftre commun eft viliblcmcnc un Isiixtc. rbid. L'Analifc en eft difficile , &c pourquoi, ibid. L'Acide du Souffre de l'Alun &: du Vitriol eft le même. ibid. Sc fq. Gomme tirée du Souffre , qui eft , félon M. HOMBERG, la véritable partie inflammable du Souffre, ihid. p. 48. Terre du Souftre commun eft très fixe , & n- peut fe fondre au Miroir Ardent uns un Sel, ih/d. & fq. Souftre commun compofé de quatre Matières , & qu'elles? M. 1703. p. 31. Méthoded'cntircrl'Efprit Acide en plus grande quantité qu'on n'a coutume d'en retirer, iùid, L'Acide du Souftre pourroit bien être la caufe dclamauvaifc odeur qui accompagne les Diffo- lutions qu'on en fait. ilid. p 3 6. Ses Principes fcparés , & par quelle opération, M. 1703.P. 34. & fq. Son Acide eft le même que celui du Vitriol , &c pourquoi î Jùid. p. 35?. Comment le Souft're & le Vitriol Ce peuvent tirer féparcment d'une même îvlatierc ou Pierre Mi- nérale, ibid. p. 40. » Eflai de l'Analyfe du Souft're commun. Par M.HOMBERG.M. 1703.P.31. ^ ,. „ Sur la Recompohtion du Souffre. H. 1704, p. 37, » " Manière de recompofer le Souffre commun « par la réunion de fes Principes , & d'en com- M poferde nouveau par le mélange de femblabks DE L'ACADEMIE 1699 — 1710 58; „ Subflanccs , avec quelques Conjcclr.rcs fur la » Compolltlon des Métaux. Par M. GEOFFROY. " » M. 1704. p. Z78. SotJFFRE ( le ) enflammé eft la Matière propre du Ton- nerre & des Eclair<;. M. 1700. p. 101.& fq. Expr*ricuccs àcc fujet. /'é/a. pp. 101. &: fqq. Comment le Spuftrc peut s'allumer dans les Nues. ibid. p. 107. „ " Sur les Souffres Végétaux & df^s Minéraux, n H. 17 10. p. 46, Sont les mêmes dans les Végétaux & dans les ' Minéraux, ibid. p. 46. &: fq. Le Souffre du Fer fe communique prefque tout àrEfprit de Nitrc, que l'on en retire après la Diffolucion de ces deux Matières l'une dans l'au- tre. M. 1707. p. 30Z. Efl: le principal Agent des Végétations de ce Métal, ■hid. p. 503. Le Souffre des Métaux (du moins imparfaits) cftlc même que celui des Végétaux &: des Ani- maux. H. 1709. p. 57. Le Souffre Minerai n'cft qu'un CompofédcSel Acide, de Souffre Principe , & d'un Alcali Salin ouTcrrcux. M. 1704. p. 283. Le Souffre confcrvc le Vin dans les Voiages de long cours , &c. &: pourquoi ? W. 170 j. p. 38. Neconfcrveroit pas l'Eau de la même manière , & pourquoi î ihhi. ~ Soupapes. ( .. Sur les ) H. 1703. p 9^. De Fonte très bien faites, qui étant mifcsdans une Pompe ne jouoient point loriqu'on levoit le Pifton. iLid. Raifon de cette adhérence des Soupapes à leurs Coquilles, ibid. p. 96. & fq. Clapets de Cuir fubftitucsaux Soupapes , par ' M.AMONTONS./^/V. p.97.&:rq. jS(î TABLE DES MEMOIRES Sou RCES. Comment peuvent fe former dans la Terre , fe*' Ion M. DELA HIRE. M. 1705. p. 63. H. 1703. p. y. &: Iq. Leur origine fclon quelques Pkilofophes. ihid. thid. SouKD &: muet de naiflance, qui commença tout d'un coup à parler à l'âge de 24. ans, &:c. H. 170J. p.i8.&fq. ^ Garçon devenu muet & fourd pour avoir été fortement ferré à la gorge. H. 170J.P. 53. Sou RDON (Coquillage) ce que c'eftîM. 1710.P.4J4. Mécanique de fon Mouvement progrefTif , &:c,' ihid.^. jé. &-fq. SoYE. Arts &: Métiers qui concernent la Soie, décrits par par M. JAUGEON&àcetteoccafion, Hiftoire naturelle des Vers à Soie donnée par le même. H. 1704. p. 12.3. H. 1705. p. 137. H. \-o6. p. 141. H. 1707. p. 1J4. «' « Examende la Soie des Araignées. Par M. DE REUMUR.M. i7io.p. 38(î. Des Araignées miie en ufage par M. Bonpre- inier Prcfident de la Cliambre des Comptes de AlontpcUicr. M. 1710. p. 38(3. Des filets quelles tendent aux Infectes n'eft d'au- xun ufage , à caufc de fon extrême finclTe. ibid. p. 2Fy- Toutes les Araignées ne font pas propres pour enfaire. M. 17 10. p. 39 j. La Soie des Araignées peut être de plus de difFc- rentes couleurs que celle des Vers à Soie, p. 399. Se fait en divers tcms de l'Année, ihid. p. 400, Comment les Araignées filent leur Soie. M.1710, p. 400. & fq. SoYE DE L'ACAD EMIE 1599 — lyio 587 Soy E { la ) des Araignées eft plus foible que celle desVcrs. ibid.'^. 402. Ouvrages faits de Soie d'Araignées font moins • luftrés que ceux faits de Soie de Vers. ibid. p. 401. Rapport de la quantité de Soie que peuvent four- nir les Araignées , à celle que fourniflcnt les Vers. ibid. pp. 40 y. & fqq. »> " Comparaiîon des Analyfesdu Sel Ammoniac , » de la Soie &: de la Corne de Cerf. Par M. » TOURNEFORT. M. 1700. p. 71. La Soie crue contient plus de Sel Volatil que la. Corne de Cerf, ibid.^. j %. Contient beaucoup moins de Matière Terrcftre que la Corne de Cerf. ibid. p. 7 2,. Soie remife à la place du Reil'ort qui foutcnoit le Pendule des Horloges à Secondes , par M. DE LAHIRE , & pourquoi >. M. 1705. p. z86. SPHERE.Trouver des Solides quelconques égaux en fur- face Courbe &; en folidité avec une même Sphère. M. 1709. pp. 1 1 8. & fqq. Spirale Ordinaire, fa Redification. M. 1701. p. 161. &fq. Logarithmique, fa Redification. ihiJ. p. 161. » » Sur les Spirales à l'Infini. H. 1704. p. 47. D'Archimede. Leur génération, ibid. p. 47. Démonftrations d'Archimedc fur les Spirales très longues &: très difficiles à entendre, ibid. p. 49. Génération de cette Courbe rendue plus géné- rale, par M, De Fermat,& comment ? ibid. p. 49. Leur Génération rendue infiniment générale par M. V ARIGNON. H. 170 4 p. 49. & fq. ïdéedela Théorie de M. VARIGNON. ibid. &:fqq. Tab.desMat. 16$^. ■r^i-jio. Eeee î88 TABLE DES MEMOIRES •• Spirales. » Nouvelle formation de Spirales beaucoup » plus diftcrcntcs entr'ellcs que tout ce qu'on peut » imaginer d'autres Courbes quelconques à l'In- >* fini , avec les Touchantes , les Qiiadratures , les » Déroulemcns &c les Longueurs de quelques- » unes de ces Spirales , qu'on donne feulement icy w pour Exemple de cette Formation générale. Par M. VARIGNON.M. 1704. p. 69. Cinq nouvelles Spirales Logarithmiques trou- vées par M. VARIGNON. M. 1704. pp. 114. &fqq. Spole ( M. André ) ProfcfTcur de M.ithématiques à UpfaljVa par ordre du Roi de Suéde en 'W^eft- Botnic faire des Obfervations Aftronomiqucs , avec M. Jean Bilbergfon Collègue. M. 1700. P-37- Fûïez.'Qlh^-EKG. (M.) SFonciA velaris Imperati , forte d'Epongé Marine. M» 1700, p. 3z. Spongieux ( Corps ) ou Caroncule trouvé à l'Ovaire gauche d'une Femme nouvellement accouchée, H. 170 j. p. 42,. » SqUELET. "Obfervations faites fur le Squelet(«;?/<7»r«/) » d'une jeune Femme âgée de 1 6. ans morte à l'Hô- tcl-Dieu de Paris,&:c. Par M. MERY. M.170^. p. 471. Stades. Mefurcs des Stades en France. M. 1701. p. DE L'ACADEMIE 15^5— I7I0 585 Stancari(M, ) SES OBSERFJT. JSTRONOMI^. faites à Bologne ç^r rapportées dans les Alemoires de l Académie. l6s>p. 1710. Eclipfcs de O. Du 3. Janvier 1703. M. 170 3. p. iS.&fq. 17. Juin 1704. 1704. 1951. &rq, ti.Oaoh.iyo6. 170(3. ji3.&fq. 17. Avril 1707. 1707.- jyj.&fqq. y. Avril 1708. 1708. 184. Eclipfes de O- Du 13. Sept. r(399.M. 1701. p. 84. II. May 1706. 1706. 467. &:fq. Eclipfcs des Planètes par la (£. De ip.le rj. Juil.1704. M. 1704. p. 134. &: fq. Ç. 30. Juin 1704. 1704- 198. &fq. SesObfervacions delà Comète de Novembre 1707. faites à BologneavccM. Manfredi , &:c. M. 1708. pp. 313. & fqq. "Statique ( » Problême de) \refolu) Par M. VARI- » GNON. M. 1705), p. 3 ji.H. 1705). p. 109. » « Nouvelle Statique avec Frotcmens & fans Fro-» » temens,&:c.Par M. PARENT. M. 1704. p. 173. &c. r^ifz. f/'-ii/f^MECHANiQUE.p. 401. Steatome (forte de Loupe ) cequcc'eft? H. 1709. p. 13. Sternum. ( Suites étranges d'un coup dans le) H. 1704. p. ij.&fq. STRAMONii'M(fortedePlante)Les AcidesVégetaux font unRcmcdepour le Stramonium. H 1703. p. 57. E ccc ij 55)o TABLE DES MEMOIRES Strasbourg. OBSERVATIONS ASTRONOMIE faitei à Strasbourg par Ad. E'fenchmid. 1699. ' 1710. EclipfedeC Du 22,.Fcvricr 1701.M. 1701. p. 46.&:fq, 5. Avril 1708. 1708. 183. Eclipfe de O Du 2 j. Sept. i(>99. M. 17CI. p. 84. iz.May 1706. 1706. 467. Différence de Longitude entre Stralbourc; &; Paris. M. 170 1. p. 47. SxRUCTUREdes Vaifleaux du Corps humain ( nouveau Syftême fur la ) communiqué à l'Académie par M. VicuiTens, H. 1703. p. 44. Des Reins. H. 170 j. p. 4^. &: Tq. « » Sur la Strudurc extraordinaire du Cœur d'un " Fœtus Humain. H. 16^9. p. 37. Strudurcde laMoelle.M. 1700. p. 201. Des Plumes des Oyfeaux examinée par M. POUPART.H.ié99-p.44- Sublime'. Expérience de M. BOULDUC furie Sublime. H.1695. p. 54. Alchimifte qui mangcoit du Sublimé doux com- me du pain. H. 1699 p- 57. " Sublime' Corroiif. » Sur la Manière de connoître le » Sublime Corroliffophiftiqué. H. 1699. p. 54. Le Sublimé Corrofif joint au Sel Ammoniac & au Vinaigre, fc gelé &c raf raichit les Liqueurs. H. 1701.P.73. DE L'ACADEMIE i(59i> — I7IO yj?i " Sublime' Corrofif. >' Réflexions & Expériences fur le Sublimé Corrofif. Par M. LEMERY. M. 1709, p. 41. H. 1709. p. 34. Méthode ordinaire de préparer le Sublime Cor- rofif. M. 1709. p. 41. D'où vient la corrofion au Sublimé. z'^/V/. Sublimé Corrofif peut être fait fansVitriol. ibid. P- 4^- . , Le Sublimé Corrofif mêlé dans de l'Eau , garan- tit de Vers un Parquet qui y a trempé. H. 17c y. p. 38. » Suc. » Sur le Suc nourricier des Plantes. H. 1707. p. 49. Sucs qui tranlpircnt des Plantes, réduits en 4. Claffes, par M. TOURNEFORT. H. 1707. p. yo.M. 1699. p. 101. ». «Obfervations fur le Suc nourricier des Plantes. >, ParM.RENEAUME. M. 1707.P. 276. Les Feuilles contribuent à perfectionner le Suc nourricier des Arbres. H. 1707. p. ^i. Suc nourricier fort abondant dans le Noïer. H, 1707.P. 51. Suce IN. Ambre jaune de la Mer de Dantzic , conjedu- res fur fon origine. H. 1700. p. 10, Foi'ez. Ambre jaune. Expériences fur l'Huile de Succin. M. 1707, p. ^2,2. ôcfq. Expérience de M. BOULDUC , que le Sel Vo- latil de Succin eft acide. H. 1699. p. 54. Su-Cheu-Fu Ville de la Chine dans la Province de Nam- kim, fa Longitude , fa Latitude. H. 1699 p. 84. SuCREjCequec'cft; M. 1699. p. 102. Art de f\irc le Sucre décrit par M. DES BILLETTES. H. 1707. p, 154. H. 1708, P-Hi. ... £ eee iij J91 TABLE DES MEMOIRES "SvEVR. "Qi.icftion Phyfique , fçavoir fi de ce qu'on « peut tirer de l'Air de la Sueur dans le Vuidc, „ il s'enfuit que l'Air que nous rcfpirons s'échap- „ pc avec elle par les Pores de la Peau. Par M. MERY.M. 1707.P. in- Objcdions faites à M. MERY avec fes Répon- fes. ibid. pp. i yj. & fqq- Sueur d'un Enfant d'une forte teinture bleue, H. lyoï.p. 54. Suisse. Il y pleut beaucoup plus qu'à Paris. M. 17 10. p. 145. SuLPHUREUx. Le Fer l'eft beaucoup. H. 1707. p. 41. & fq. SuLPHUREUSES. ( Matières) divifées en trois clafTcs. M. 1710. p. zi6. Ne le font très fouvent que par la moindre de leurs parties. M. 1703. p. 3 1. « » Obicrvations fur les Matières Sulphureufes, ,. &: fur la facilité de les changer d'une Efpecc de Souffre en une autre. Par M. HOMBERG. M. .» I7IO.P. 12J. Expériences nouvelles de M. LEMER Y furies Matières Sulphureufes qui brûlent dans l'Eau, H. 1700. p. 5 z. „ SuPEREic I ES ou Surfaces, « Sur des Qiiadraturcs de Su- perficies Cilindriqucs qui ont des Bafcs Coni- « ques. H. 1707. p. 67. » Sur des Figures égales en Surface Combe &C » enSolidité. H. 1709. p. jiî. Découvertes d' Archimede fur ces Matières ibid, p. j6. &:fq. Les Surfaces desCorps font à confiderer dans les Frottemens, contre l'Opinion de M.AMON- TONS.H. 1703.P. loS.&fq. DE L'ACADEMIE 1699^1710 595 SuPERFOETATiON (la) cft impofllblc dans les Confor- mations ordinaires delà Matrice , & pourquoi i M. lyoï.p. zs>6.H. lyoj. p. 47. &:lq. M. lyoy. pp.jSj.&fqq. EftpofTible dans quelques difpofitions iinc^ulic- rcs des parties. H. 170^. p. 48. M. 170J. p. Soupçon de Supcrfœtation dans un Acouchc- mentdc neuf Enfansàla fois. H. 1709. p. 2,2. SusPENSEURs de l'Abdomen, nouveaux Ligaments dé- couverts par M. POUPART. H. 170 j. p. y i. T TABLEsRudolphtnes de Kepler. Leurs Erreurs fur Sa- turne en 167Z. &: 1673. &c. M. 1704. p. 314. &fq. Caufe & Corredions de ces Erreurs ih/d. p. 3 1 y. & fq. Erreurs qui fe font gliflecs dans celles du P. Ric- cioli.M. 1703. p. z6. Tables des Mouvemens du O par M. C ASSINL trèscxaârcs M. 1704. p. 512. Idée générale des Tables de M. DE LAHIRE. H. 1702. pp. 7f . & fqq. A-vcrtiffement fur celle qu'il a donnée de la Cor- rcéliondc la (£. M. 1708. p. 4oy.&fq. Tables des Déclinaifons du 0 pour tous les dé- grés &: Minutes de l'Ecliptiquc, calculée &: en- volée par M, Clapits à M. CASSINI. H. 1704. P'74- Î94 TABLE DES MEMOIRES Table de tous les Ancrlcs formes dans les Cadrans Verticaux déclinans pour Paris , calculée 6C envolée à l'Académie par M. Clapics. H. 1704, p-7y- » " Table de la Hauteur de l'Air , qui répond à la „ Hauteur du Mercure dans leBaromctre.M. 1 705. « pp. 7Z. (Scfqq. Table des Hauteurs du Mercure qu'il faut ajou- ter ou ôtcr de celles duBarometre runplCjfuivant les ditïcrens dégrés de chaleur , indiqués par le Thermomètre de M. AMONTONS. M. 1704. p. 1^9- Table de plufieurs dégrés de Chaleur trouvés tant à l'aide du Thermomètre que du Fer Rou- ge , &:c. aufquels différentes Matières fe fondent oufc figent , Sic. M. 1703. pp. io8. & fqq. Table des diftances de la fupcrficic de la Terre vers le Centre , aufquellcs diffcrens Corps reftc- roicnt en Equilibre avec l'Air qui y fcroit, preflTé -par toute l'Atmofphcrc. M, 1703. pp. 104^ &fqq. Table de la Refiftance cauféc dans les Machines par la Roideur des Cordes j &:c. M. 16*?^. p.zij, &fq. Ufage de cette Table, ihid. p. 124. Taches. Avantage des Obfervations des Taches des Planètes. H. 1 700. p. i z i . &: fq. De la C n'ont pas toujours la même difpofition à l'égard du Difque de la C- H. 1703. p. 82. M. 1703. p. ^ Cette difpofition doit être obfervée dans les Ecli" pfes de C & pourquoi î Méthode del'obfcrver. ihid. ihid. De Jupiter. Voïez, Jupiter. De Mars, Vo'n^ Mars , &;c. Tache» DE L'ACADEMIE 1699 —1710 ^95- «Taches du Soleil. » Sur les Taches du ©. H. 1700. p.' » m. H. 170 1. p. 10 1. H. 1705. p. lié. H. 1705. » p. 121. H. 1707. p, 106. H. 1708. p. 107. H. •• 1709. p. 88. H.1710. p. I II. Le Pcic Scheincr Jcfuice eft Auteur original en cette Matière. H. 170 1. p. 104. Sont plus fréquentes dans la I?artie Auftrale du G. M. 1704. p. II. Conjcâure lur leur formation. M. 1700. p. 193. Théorie de leurs Mouvemens,& ce qu'elle a fait connoître. H. 1701. pp. loi. Se fqq. H. 1707. pp. 107. &: fqq. Tailler de la Pierre ( Calcul Humain ) P'oi'ez, Pierre. w Talc. » Sur les Refradions d'une efpece de Talc, H, • I7IO.P. 121. Le Crillal d'Iflande eft une cfpecc de Talc. li'JJ. p. 121. » "Obfervations fur une cfpece dcTalc qi'.'on trou- » ve communément proche de Paris, au-dcflus des Bancs de Pierre de Plâtre. Par M. DE LA HI- a» RE.M. 1710.P. 341. Figure , formation &c propriétés de ceTalc. /^/W. pp. 34^&fqq. « Tamarins. (.-Hiftoire des) Par M. TOURNEFORT. « M. 1699. p. 5)6. Cequec'eft, oùnaiffent, par qui font connus î Defcription de l'Arbre même appelle Tamarin. p. 97- ^ ^q- Fruit du Tamarin , ce que c'cft ? iùid. p. 98. Tamarins décrits jufqu'icy peu exactement. Jl^id. p. 99. Atfriquains & Orientaux en mangent &r en fontuneefpcce de Boiffon. i^/V. p. 100. Acide domine dans les Tamarins, ii^id. p. xoo. Tab.des Mat, i69^.r^i-jio. F ftt ^^6 TABLE DES MEMOIRES Tamarins. Sel Eflcntiel des Tamarins, rcflemblc à la Crème de Tartre, iùid. p. i oo. Coniedurcspour expliquer la vertu laxatlvcdes Tamarins. /^/é/. p. loo. Tamise (Rivière) fut gelée de ii. pouces d'cpaiflcur en 1683. H. 1709. p. 10. Tança RV IL LE. ( M. De ) SonObfervationdel'Eclipfc de o du 14 Septembre 1708. faite a. Langres. M. 1708.P.416. Tangentes. Fûn-z Géométrie , cy-dcjjus. pp. 2.77. &fqq. Tannerie ( Art de la ) décrit par M. DES BILLETTES. H. 1608. p. 142.. TANNEsduVifage,cequec'eft?M. 1709. p. 5(^1. &: fq. H. 1709. p. 41. Remède efficace pour les ôtcr. ihid. ihid. Tarentule, forte d'Araignée. Sa Dcicription. M.1707. p. 5 5i.&:fq. Morfure de cet Animal eft très dangcreufc. H. 1702.. p. 16. La Mutiquc fournit le meilleur Remède contre le mal caufé par cette morfure. ihld. 5c fq. Conjeaurcs de M. GEOFFROY fur la caufc de ceRemcdc. ihld. p. i^. Tartalea a invente la Formule pour les Equations du troifiéme degré. H. 1706. p. 44. Ses découvertes fur le Jet des Bombes. H. 1707. p. m. Tartre, ( Crcmc de) Le Sel EfTcntiel des Tamarins lui rcifcmblc. M. i699.p. 100. • L'Huile de Tartre mêlée avec une Diflblution du Fer, produit des Végétations. M. 1707. par dcffaillancc verfée fur Une Diffolution de Limaille de Fer par FEfpric dcNitrCjproduituneVégétation. H.i70(î.p. 39. DE L'ACADEMIE ir;99 — I7IO ^97 Tartre. (Huilcdc) Son rapport en pcfanteur auMcr- curc. M. 1708. p. 166. ( Sel de ) Table de la quantité de SelVoIatil Aci- de abforbc par le Sel de Tartre. M. 1699. p. 49. Sel de Tartre retient dans fa faturation un hui- tième déplus de Sel Acide du Vinaigre diftiic, que des Efprits Acides des Minéraux , &: pour- quoi ? ibid. p. ) o. &: fq. Taupe Mâle. Defcription Anatomiquc de cet Anunal donnéeàrAcademicpar M. MERY. H. 1701. p. yô. TAUVRY ( M. ) Sa Naiffancc , fa Patrie, fcs Etudcs,&:c, H. 1700. p. 161. Sourient à 10. ans une Théfc de Philofophie. ihid. Apprend fous fou Pcrc la Médecine à Laval. ihid. Fait imprimer à Paris fon Anutomie raifonnée ' ■ . âgé de 1 8. ans. ihid. Donne fon Traité des MedicamensA ti. ans. ibid. Eft reçu Dodeur à Paris, ibid. ^ Donne à 28. ans fon Traité de la Pratique des Maladies aiguës, ibid. Eft nommé Elcvc à l'Acadcmic par M, DE FONTENELLEeni698./^/W p. 151. Devient Aiïocic par le nouveau Règlement en 1(399. ihid. r: Son Obfcrvation fur la Rage. H. 1699. p.45. &iq. S'engage contre M. MERY dans laDlfputede la Circulation du Sang dans le Fœtus. H. 1700. p. 161. Sa Théfc contre le fcntimcntde M. MERY fur l'ufageduTrou Ovale daus le Fœtus. H. i(î93. p. 18. Ffffi] jpS TABLE DES MEMOIRES TAUVRY.(M. ) Public à cette occafion en 1700. (on Traité de la Génération ç^ de la nourriture du Fœtus. H. 1700. p. i6i. Son nouveau Syftcme, qui dirpcnfe les fucs contenus dans l'Amnios de travcrfer la Mem- brane urinairc. H. 1695). p. jj. Meurt au mois de Février 170 1. âge de 31. ans & demi. H. 1700. p. 162. Ses Qualités d'efprit. /^/W. Changement de Places dans l'Académie , à Toc- cafion de (a mort. ilnd. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. K. 1700. p. 161. TcHAOTCHEou ( Ville de la Chine dans la Province de Canton ) fa Longitude. H. 1699. p. 8^. { Obfcrvatlon faite à ) de Mercure fur le Difquc duo le 8. Novembre 1697. par ie P. Fontanay Jefuitc. /^/V. p. 8j. Teinture de Corail, ce quec'efr & la manière de la ti- rer. H. 1710. pp. jo. & fqq. Idée des Anciens fur l'ufagc de cette Teinture. ibid.^. ^o. & y I. Teinture des Métaux , ce que c'eft Se fa prépa- ration. M. 1700. p. 127. Teinturier (M. L'Abbé) Archidiacre de Verdun , en- voie à l'Académie la Relation d'un Echo fmgu- lier. H. 171 o. p. i8.&:fq. Tei.ephi'Vm Plante. M. 1700. p. 58. Tellines ( Coquillages ) ce que c'eft î M. 1710. p. 457. comment fc font les Mouvemep-S des deux cf. peces de Tellines. il>id. pp. 4 5 8 . & fqq. wTempere's. Sur les Syftêmes tempérés de Mufiquc, M. 1707. p. 117. .» Temp^. Manière générale de déterminer les Forces , les j.- . Viteflcs , les Efpaccs &; les Tcms , mie feule de DE L'ACADEMIE 1^95 — i/io 559 !> ces quatre chofcs étant donnée dans toutes fortes » de Mouvcmcns rcctilignes variés à difcretion. Par M. VARIGNON. M. 1700, p. iz. Temps ( Equation du ) ce que c'eft î H. 1701. p. iii, Sciq. Méthode de conftruire une Table de ces Equa- tions, donnée à l'Académie par M. CARRE'. i^/V. p. 112. Réflexions flir cette Equation, iùld. pp. iii, &;rqq. Ténia ((Sorte de Ver ) Hifiioirc d'un ) rendu par une Dame. H. 1709. pp. 29. & fqq. Grandeur énorme de quciqu'uns. //>■/>/. p. 5 1. Origine de ces Vers encore inconnue, iù/d. Ténia trouvé dans une Tanche. H. 17 10. p. 39. Tente d'Armée à Pavillon, perfcdionncc par M. Ma,- rius, & approuvée par l'Académie. H. 1707. p. î j(î.H. 170^. p. 138. Terebentine. L'Huile de Terebentinc contient duFcr^ M. 1707. p. 8. Termes ( Seconds ) en Algèbre , ce que c'eft ; H. 170J. p. 108. Terra Adamicû , ce que c'eft ? M. 1700. p. 29. -TERRASSON. (M.) "Extrait ou Abrégé du Projet «- deM-RENEAUME fur les Manufcrits de feu M. TOURNEFORT. M. 1709. p. 3 1 j. Terre ( Globe Terreftrc. ) Eflais des Anciens pour dé- terminer fa grandeur & fa figure. M. 1701. pp.. 172. &: fqq. Premiers Eftais de M. CASSINI faits à Bologne &: àFerrare fur îamcfuredclaTcrrc. M. 1701» P- ^7^; Les degrés des Méridiens de laTcrre ne font pas égaux. /Z'/V. p. 183. Ffffiii r,oo TABLE DES M EMOI PxES Terre, Mclurcdc la Terre faite par l'Acadcmic , quand commencée. H. 1700. p. 113. Valeur du degré d'un grand Cercle de la Terre. ibid. Difficulté de cette Recherche, p. 114, Ouellc cft rHypothcfc du Tournoiement de la Terre fur Ion centre. M. 1707. p. 1 1. Qii'on a douté long-tcms , (1 le Tournoiement de la Terre pouvoir s'accorder avec rHvpothéfc de Galilée touchant la Pcfanteur. H. 1707. p-n- Cette Queftion décidée par M.VARIGNON. ib/d, „ » Sur l'Hypothéle du Tournoiement de laTerre, » compliquée avec celle de Galilée touchant la „ pcfanteur des Corps. H. 1707. p. 5 y. „ » Incompatibilité Géométrique de l'Hypothéfc du Tournoiement de la Terre fur ion Centre , » avec celle de Galilée touchant la Pcfanteur. Par M. VARIGNON. M. 1707.P. 1 1. L'Axe de la Terre décrit dans le SiftcmedeCo- .pernicunCilindrcenun An. H. 16559. p. 80. Le Pôle de la Terre doit donc changer dans le cours d'une année, ibid. La véritable Figure de la Terre doit être em- ploïce dans la détermination des Ecliplcs de (C. M. 1708. p. 41 3. &:fq. Méthode de déterminer le Diamètre de fon Ombre dans les Eclipfcs de C- ^L 1703. p. 6. & fq. Jufqu'à quelle profondeur eft pénétrée la Terre parl'EaudelaPluiCj&c. H. 1703. p. 3. Tremblement de Terre. Caufc fort naturelle &: fortfimple de ces Phénomènes. H. 1703. p. 8. &fq. DE L'ACADEMIE i(Ç99 — I7IO ^oi Terre (la) eftrcmplie d'une infinité d'Oeufs invifibles d'Infedcs , & de Graines inviliblcs de Plantes. H. 1707. p. 49. Idée de l'Ouvrage de M. { Jean ) Schcuchzcr fur la formation de laTerre ^ ou l'Origine des Mon- tagnes. H. 1708. pp. 30.& fqq. Terre grife&: légère tirée du Mercure. H. 1700. p. ^6. Terreux. ( Alcalis ) /'^/f 2:, Alcalis. Teste. Gucrifon d'une Bleflure extraordinaire faite à la Tête. H. 1705. p. 28. & fq. Maux de Tête guéris par une Brûlure. H. 1708. p. 46. & fq. Effort d'un Chaflcur en tournant la Tête, fuite tic cet Eftort. H. 1700. p. 38. Testicule. Tumeur crue auTefticule d'un jeune Hom- me , examinée par M. De St. Douât Chirurgien de Siftcron. H. 1700. p. j6.&fq. Tefticule refoulé par une Chute confiderable , guéri ians aucun Remède. H. 1703 . p. 40. Teuberus (M. ) Son Obi'crvation de l'EclipTe de O du II. May 1706. faite à Zcitz. M. 1706. p. 470. The'. Il y a peut-être des Plantes diftercntes qui portent cemêmenom. H. 1701. p. 49. Sa Dcfcription cnvoiée par le P. Breton. H. 1703. p. 57, H. 1704. p. 41. Theon. Sa Demonftration de la Solution du Problême ( les trois cotés d'un Triangle rectilignc étant don- nés , trouver la fufcrfcie ou i Aire. ) cftembar- rafl'ée. M. 1700. p.74. wTHERMOMETREs(..Diflcrtationfur les) & Baromètres. Par M. DE LA HIRE le Fils. M. 1706. p. 43 z. Par qui inventés , & comment perfedionnés. ibid. p. 434. &: fq. Examen du nouveau Termometre de M. Nu- guct. /^;V. pp. 43 6. &: fqq. 6oz TABLE DES MEMOIRES Thermomètre ( La Liqueur du ) baifTe quelqucsfois quand oa commence à réchauffer avec les mains , èc pourquoi î H. 1704. p. 1 1. & iz. H, jyoj. p.4. &:lq. Expérience fur la Liqueur duTliermomctr cqui monte fi on le plonge dans de l'Eau froide au fornr de l'Eau bouillante. M. 17 10. p. 43 1- Dans les Obfcrvations qu'on fait du Thermo- mètre pour le froid ic le chaud , on doit avoir cgardau Vent. M. 1707. p. 3. -> Sur une nouvelle propriété de l'Air , &: une nouvelle Conftruûion du Thermomètre. H. 1702. p. r. Defcription & Théorie du nouveau Thermo- mètre de M. AMONTONS. ibid. pp. 4.&fqq. M. 1702. pp. IJ7-S^%- ^ , , , , Méthode de faire des Thermomètres femblablcs & proportionelsà un premier que l'on auroit re- connu pour bon. H. 1702. p. 8. .,,^xT « « Sur le nouveau Thermomètre de M. AMOiN- TONS.H. 1703.P. é. . Moïen dont M. AMONTONS s'eftfcrvi pour faire marquer auficndes dégrés de chaleurs au. defTus de celle de l'Eau bouillante. H. 1703. !"Le Thermomètre réduit à une mefure fixe &c certaine, &: le moïen d'y rapporter les Obfcr- vations faites avec les anciens Thermomètres. ,, ParM.AMONTONS.M. 1703.P. 50. Dcffaut de celui de Sandorius. ihid. p. j i. Manière de reftifier avec les nouveauxThermo- metres , les Obfcrvations faites avec les anciens /Z'/i. p. H- Se fq. 111 LeThcrmometre peut fervir à mefurer la clialeur naturelle des Animaux , Ôic. H. 170 3 . p. 9- &-' Iq. Thermomètre, "DE UACADEMIE i(?5)9 — Î7Î0 ^03 Thermomètre ( Erarmoï'-n du ) à Efprk de Vin ti^ms les Caves de rObfeivatoirc. M. 1704. p. i. Ses diftcicnces ( onrtrudions difficiles à ccrc comparées cafemblc avec furctc. M. 1 7 1 o. p. 1 4 i. Etat duTIierm. -à Paris à Paris en 1699. M.1700.P.7. en Z700. 1701. 9. 1705. M .1706'. p. 3, ,1701. 1701. 5. 170^. 1707. z. 1701. 1703. 3. 1707. 1708. 6z, .1703. 1704. 4. 1708. 1705). 0' 1704. En diffcr .Lieux 1705. 4, 1705. 17 10. 139. en 1705-. 1706. II. Thés SALON iQUB(Obrcrvat. faites à) Par leP.FeuillccMin, De rimmerf.du i. Sat. de % du z6. Avril 1701. M. 1701. p. 9. De la Hauteur duPole par dcsHauteurs du O. /^. Delà Declinaifondc TAimanen 170 1. ihid. Thim. Expériences fur l'Huile de Thim. M. 1707. pp, yi9. &:rqq. Thomas ( M. ) Machines de fon invent. appr. par l'Acad. Un Cilindre creux contenant un RciTbrt à bou- din pour fuipcndre le Corps des Carofles. H. 1703. p. 136. Un Cric Circulaire. H. 1701. p. 141. H. 1703. p. 13^ Une Machine pour élever des Fardeaux très pefans. H. 170^. p. 141. Thomas. ( Ifle St. ) Obfervation de la Hauteur du Pôle par le P. Fcuillce.M. 1708. p. 1 1. Thouvenot (M.) Premier Chirurgien de leurs Altcflcs Roiales de Savoie , communique à M. DU VERNEY le jeune , une Méthode de guérir rHydropilic. M. 1701, p. I ^3, Tab.des Mat. i6s^.-~i-jiQ. 'G ggg 6o4 TABLE DES MEMOIRES Tiges des Plantes. Les Graines font dans la Ti^e des Plantes lorfqu'ellcs commencent à poindre. M. 1700. p. 14^. Exemple dans un Epy de Bled. /^. pp. i4y.&:rq. Tige ou Plume des Graines qui germent cnTcr- re , pourquoi toujours tournée vers le Haut, &:c. M. 1708. p. 467. » » Sur laPcrpcndicularitéde la Tige des Plantes »• par rapporta l'Horizon. H. 1700. p. 61. H. 1702. » p. 47. H. 1708. p. 67. Ce Phénomène , quoique commun , cft merveil- leux , & pourquoi > //>iii. &c fq. Le Soleil a beaucoup de part àla Pcrpcndicuîa- ritcs des Plantes. H. 1700. p. 64. " >' Sur l'affectation de la Perpendiculaire remar- » quable dans toutes les Tiges des Planrcs, dans plulieurs Racines , Se autant qu'il ellpollible, dans toutes les Branches des Plantes. Par M. » DODART. M. 1700. p. 47. Tiges &C Racines coudées Ibus Terre , fc rcdrcf. fcnt en fortant , &C s'enfoncent à plomb, p. 47. Graines fcmées au hazard , pouffent toutes leur Tige &c leurs Racines uniformément, ii^/d. p. 49. &fq. Conjectures fur cette direction toujours unifor- me des Tigcî en haut, &c des Racines en enbas. it?/i/. pp. 51. &; fqq. » " Explication Phyfique de la duxclion verticale » & naturelle des Tiges des Plantes , des Branches » des Arbres & de leurs Racuies. Par M. DE LA HIRE. M. 1708.P. 131. » "Con)ectures fur le rcdrcffcmcnt des Plantes » inclinées à l'Horizon. Par M. Altiuc delà Soc. Roialedc Montpellier. M. 1708. p. 463. Tigre Raie. Sa diffcction faite à la Chine. H. 1^99. P-Ji- DE L'ACADEMIE 1699— I7IO (îoy TiMOCHARis obfcrva à Alexandrie le Pairagc do la Lune par les Pléiades le zp. Janvier, 183. ans avant J. C. M. I7IO. p. 221. Tissu d'un Corps peut être changé par un MouveaicRt extérieur. H. 1700. p. 1 1. Obfcrvation de M. HOMBERG fur ce Princi- pe, ibid. Toile. Manière dont les Araignées font leurs Toiles. M. 1707. pp. 343.&rqq. Tomber. Pourquoi les Chats & autres Animaux de même genre tombent fur leurs Patcs. H. 170c. p. 1^7. Tons. Leur différence d'où vient-elle. M. 16^9. p. ly. H. 1700. p. 18. Vient quelquefois du Corps qui refonne , exem- ple dans le Hautbois. H. 1700. p. 21. qui Tonne , exem- ple dans deux Jeux d'Orgue, p. 22. qui fonne &: de ce- lui qui refonne, exemple dans plufieurs Jeux d'Orgue, p. 22. Rcffemblance de la Lumière &: des Couleurs , avec le Son & les Tons. M. lé^S"- P- 2,5. M " Mémoire fur les caufes de laVoix de l'Homme, & de {q% diffcrens Tons. Par M. DODART. M. » 1700. p. 244. Utilité de cette recherche, ihid. La Concavité de la Bouche , & celle des Nari- nes , s'allonge & feracourcit fuivantles differens Tons de la Voix. ihïd. p. 2 j i . • L'Apre Artère ne fait rien aux Tons ni au Son de la Voix, mais elle fait plus qu'un funple Porte- Vent , & pourquoi ? ihUi. p. 2 52. & fq. Les différentes Concavités de la Bouche ne ré- pondent aux differens Tons delà Voix, &c. dans aucune proportion Harmonique connue, ibid, p.2j4.&:f4. Ggggi; 6oS TABLE DES MEMOIRES Tons de la Voix , &;c. La feule Ouverture de la Glotte fait tous les Tons de la Voix , &: comment ; M. 1700. pp. lyé.&fqq. '»• ." Suplément au Mémoire fur la Voix &: fin: les Tons. Par M. DODART. L Partie. M. 1706. » p. 13^. »> » Supplément au Mémoire fur la Voix &: fur les Tons. Par M. DODART. II. Partie. M. 1707. »•• p. 66. ♦ Caufc des Tons , en quoi confifte. M, 1707. P-73- Méthode des Muficiens pour déterminer ujiToji fixe,cft fujcttc à erreur. H. 1700, p. 137. Foiez. Son fixe. Phénomène curieux obfervé par M. SAUVEUR,, &: vérifié dans l'Académie , que des parties iné- gales d'une Corde étant pincées , expriment le même Ton. H. 1701. pp. iz5J. 130.&: fqq. Ce Phénomène remarqué par M. Wallis. /'^/V, . p. 131. M. SAUVEUR donne auxTons des Noms nou- veaux & plus commodes, ib'id. p. 1 3 228. &: fqq. Cœur de la Tortue diffère en pluiieurs chofes de celui des autres Animaux, ibid. pp. 245. & fqq, Defcriptiondu Cœur de la Tortue par M. DÛ VERNEY, diftere de la Defcription donnée par M. MERY.p. 2jo. Erreur de M. MERY ( fuivanr M. DU VER- NEY ) fur l'Inutilité des deux Valvules du Cœut de la Tortue, p. zjj. Ggggiii 6o8 TABLE DES MEMOIRES Explication des Figures du Cœur de la Tortue. M. 1695». pp. Z60.&C iqq. » > Obfervation fur la Circulation du Sang dans « le Fœtus , Se Deicription du Cœur de la 7 ortuë, » & de quelques autres Animaux. Par M. DU VERNEY.M. i65)9.p. ZZ7. M "Examendes Faits obfcrvcs par M.DU VER- » NEYauCa'urde la Tortue de Terre. Par Kl. MERY. M. 1705. p. 34^. « " Defcription du Cœur d'une Tortue de Mer, Par xM. MERY. M. 1703. p. 45 1. M " Defcription du Cœur d'une grande Tortue w tcrreftre de l'Amérique , avec des Réflexions fur celle de M, DU VERNEY. Par M. M E R Y. u M. 1703. p. 45-7, w » Critique des deux Defcriptions que M. Buif- " fiere, Anatomifte delà Société Roïale de Lon- dres , a faites du Cœur de la Tortue de Mer. Par " M. MERY.M. 1703. p. 437. "Touffe des Arbres. ( » Sur le Parallclifme de la ) avec « le Sol qu'elles ombragent. H. 1 699. p. 60. Obfcrvé par M. DODART. ii^tj. Toij LON ( Obfervation de l'Eclipfc de C du ii. Février ijoi. faite à ) par le P. Simcon Carme D. M. 1701.P. 46. Tourbillons de M. Dcfcartes. Fondemens de cette Hy- potiiéfe. H. 1700. p. 98. Tourbillon de Feu qui a paru en Bafl'e Normandie. H. 1700. p. 10. M Tou R I llons. » Nouvelle Statique avec Frottemens Se » fins Frottemens , ou Règles pour calculer les u Frottemens des Machincsdans l'Etat de l'Equi- « libre. IlL Mémoire des Poulies & de leurs Tou- rillons. Par M. PARENT. M. 1704. p. M 2.06. DE L'ACADEMIE i(?99 — I7I0 ^°9 TOURNEFORT.(M. PITTON) Païs hcibonzés par lui dans fonvoïage du Levant. H. lyoz. P- 49. RichefTcs Botaniques rapportées de ccVoiage. ihid. Sa Conjecture fur la Formation &; l'AcroifTe- mcnr des Pierres ,&c. ibid. pp. yo. & fqq. ,■ Ses Conjcdures fur la génération des Coraux. H. 1700. p. 6^. Donne à l'Acadcmicla Defcriptioii de TAlhagi Plante d'Arménie & de Perle , d'où l'on tire une efpece de Manne purgative. H. 1704. p. 41. Donne à l'Académie fes Dercriptions_, .y de la / itis Idœa. ^ ' Thymclœa rontica. -' ^ ' 4^' Sa Naiitance , fes Parents , fes Etudes. H. 1708. P-.I43- Devient Botanifte , même étant Ecolier, ilid. Eft peu fâtisfaitde la Philofophic de l'Ecole ; Rencontre avec plaifir celle de Dcfcarrcs. ;^. Eftdcftiné par fonPcrc à l'Eglife. ihid. Se porte tout entier à la Pliylique &; à la Méde- cine./^/W. p. 144. Parcourt pour herborifcr tous les environs des lieux où il demcuroit , Zc commence fon Her- bier, ihid. Eftoit né pour être Botanifte , &r en avoit toutes les qualités, ibul. p. 14^. Va à Montpellier en 1 679. y herborife avec ré- putation.//-.'V. p. 14^. Vaherborifer fur les Pyrénées , danc^crs qu'il y QOWKt. ibid. p. 145'. Vient à Paris en 1683. fous la proteéiionde M. FAÇON. /i/W. p. 146. Eft nommé Profcfteur en Botanique au Jardin. Roial./i'/c/.p. 146. <îio TABLE DES MEMOIRES . TOURNEFORT. (M.) Ses Voiages en Efpagiic , en PorcLigaljCn Hollande èc en Angleceiic. iù/J. p. 14e. &:lq. M. Hciman , ProFcfTeur en Botanique à Lcydc, lui veut refigncr la Place, qu'il rcfufc , Hcc. ibid. p. 147. Eftnonuiic à rAcadcmic en 1691. ihid.^. 147. Faitimprimcr ics Elcmens de Botanique , idée &: & ulagc de ce Livre, ihid. p. 148. H. 1700. pp. 70.&: fqq. Eut une difputcavcc M. Rai fur fon Siftcmc. H. 1708. p. 149. Eft reçu Docteur en Médecine à Paris en 1^98, ibid. p. 149. Public Ton Hiftoire des Plantes des Environs de Paris. //"/V. p, 149. Idée générale de ce Livre, ibid. p. 150, Part qu'il eut au Livre intitulé , Schola Botani- ca , Sjc. publié par M. Warton. ibid. p. 1 ^o. Réimprime en Latin fcs Elcmem de Botanique , ( liijiitutionesrei Herbaru:. ) ibid. p. i Mémoire fur les Combinaifons.M. 1 704.P.3 63 . DE L'ACADEMIE 1^95» -- I7IO 6\y TSCHIRNAUSEN. ( M. DE) Sa Patrie, ix NaifTance, fcs qualités Honorifiques. H. 1705). p. 1 14. Ses Progrès dans fes premières Etudes, ibid. Va achever fesEtudcsàLeydeàrdgcdc 17. ans. ihid. Devient homme de Guerre en i G-j-l. ilid. Ses Voiagcs dans les différentes parties de l'Eu- rope, p. 1 1 j. Apporte à l'Académie en i68i. fes fameufes Cauftiques. z'^/'^. H. 1703. p. 69. Eft mis par le Roi au nombre des Académiciens. H. 1709. p. 1 1 ^. Ses Cauftiques examinées dans l'Academic/^/V. Public en 1687. fon Traité De Medicina Metitis & Corporis. ihid. & p. 117. La Pratique enfeignée dans ce Livre rcprcfentc le détail de fa Vie par rapport à l'Etude, ibid. p. 118. Ses Travaux en Dioptrique. /^/V/. p. izo.iScfq. H. 1699. p. 90. H. 1700. p. 13 z. Le Miroir du Palais Roial eft de fa façon. H. 1709. p. m, Ilenprefcnte un fcmblable à l'Empereur, ihid, p. lii. Refufc les Honneurs dont on veur le revêtir. ihid. Revient à rAcademicen i7oi.&y propofe fes différentes Découvertes en Géométrie, ibid. p. HZ. H. 170 1. p. 89. &:: fq. H.i70i. p. ^3. &:fq. Communique à M. HOMBERG le Secret de faire de la Porcelaine femblable à celle de la Chine. H. 1709. p. izz. Retourne chez Iih , & s'y trouve environné de chagrins. /^/(^. p. IZ3. <^r8 TABLE DES MEMOIRES TSCHIRNAUSEN. (M. DE) Tombe malade en 1708. ibid. Sa Mort en Oûobre de la même année, ibid. Son goùc , fes dépcnfes , &:c. pour les Sciences &: pour les Sçavants./Ï'/V. p. 114. Avoic fait traduire en Allemand la Chimie de .f M. LE MER Y. /^ii/. Ses qualités du Cœur. ibid. : Sa Place à l'Académie par qui remplie. ;^/V. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. H. 17051. p. 114. M EM 0 IKES I M PKI M ES de Ai. DE TSCHIRNJVSEN. M " EfTai d'une Méthode pour trouver les Raïons » des Développées , les Tangentes , les Qiiadratu- » res &c les Reélitîcations de plufieurs Courbes 1. fans y fuppofcr aucune grandeur infiniment pe- » tite. M. 170 1. p. 191. „ .. Elfai d'une Méthode pour trouver les Tou- » chantes des Courbes Méchaniqucs , fans fuppo- w fer aucune grandeur indéfiniment petite. H. » 1701. p. I. Tuberositè' fnguiierc obfcrvce au Raphanus m'tnor ob- lo/.'gtis.C. B. M. 1709. p. 64. & fq. TvBVLARiA MarinaRubra J.B.PlantcMarine fortdure.Mo 1700. p. 30. TUILLIER. ( M. ) Sa Naiflancc , fes Etudes. H. 1720. Eltdcftiné au Bareau, s'y diftmgue fort jeune, le quitte , & étudie en Médecine, ibid. Entre à l'Académie en 1699. ibid. ■Eft nommé en 1701. Médecin de l'Hôpital de Kcyfervert. ibid. TUILLIER. DE L'ACADEMIE î^99-— ryio ^^^ TUILLIER. ( M. ) Tombe maladcdc fatigue , caufce par la quantité de blcfles , &c. ihid. Sa Mort , changement de Places à l'Acadcmic à cette occafion. ihid. : Son Eloge par M. DE FONTENELLE. H. lyoz.p. 139. Tumeur de Graiffc formée à la Qiifle d'une pcrfoniie fort maigre. H. 1704. p iS.&fq. Méthode de gu^^rir ces Tumeurs, ibid. p. 15). Tu'neur très groffe coupée fur l'Oeil d'un Hom- ,- :\: me, ce que c'étoitque cette Tumeur î H. 1703. ; • Tumeur trouvée à l'Ovaire gauche d'une Fcm- : .. me nouvellement accouchée. H. 1703. p. 41. Tumeur Carcinomateufe extirpée de l'entrée du -;■' Vagin d'une Fille. H. 170 j. p. ji. . ; Tumeur à côté du Larinx caufée par une Plume avalée. H. 1700. p. 40. Tumeur crue au Tefticule d'un jeune Homme, examinée par M. de St. Donat Chirurgien de Siftcron. H. 1700. p. 36. & fq. TVR^O ovLTrochits { forte de Coquillage) manière dont il fc nourrit de Moules, obfcrvéc par M. DE REAUMUR. H. 1708. p. 18. & fq. Son Mouvement progrellîf. M. lyio.p. 4(Î3. "TuRCiUit. » Pofitionde quelques Villes de Turquie & w d'Arménie. H. 1699. p. 8 y. Tuyaux. M. DALESMEpropofe de fondre des Tuyaux de Plomb fans foudure & fans rcprife , &c. H. 1706. p. 140. «• >> Reliftances des Tuyaux Cilindriques pour des M charges d'Eau & des Diamètres donnés. Par M. • PARENT. M. 1707. p. loy. Erreur de MM. MARIOTTE & ROEMER dans cette Matière. /i/V. pp. io8. 109. 1 10. Tdh. des Mat. lé^jp. — 1710. I iii éio TABLE DES MEMOIRES Tuyaux. Table contenant les épaiflciirs des Tuyaux de conduite pour dirtcrcns Diamètres jufqu'à 20, pouces , &: pour des Hauteurs différentes jul- 100. pieds, ibid. p. m. M » Sur les Proportions nécefTaires aux Diamètres » des Tuyaux pour donner prccilement ccrtai- »» nés quantités d'Eau déterminées. H. 170J. p. » 15J. Le Frottement de l'Eau contre les Parois in- térieures du Tuyau où elle coule , n'avoic point encore été conlidcré dans cette Matière. ib/d. Ce Frottement apporte néccflairemcnt du chan- gement à la Théorie générale qu'on en avoit donné , &cc. ibid. &c fq. »» " Problème d'Hydroftatique, étant donné IcDia- •M mètre d'un petit Tuyau, trouver en général le » Diamètre d'un plus gros d'où il s'écoule une » quantité d'Eau double , Triple , &c. en y faifant » entrer les Frottcmcns. Par M. CARRE'. M. 170 j. p. 275. Tycho Brahe'. Son Syftéme du Monde ne peut être vray , &: pourquoi? H. 1705. p. 120. Sa Méridienne trouvée différente de la véritable par M. PICARD. H. 1710. p. 148. &fq. Ses Obfcrvations fur Saturne ne peuvent pas s'accorderavcc les Elemens de la Théorie de cette Planète, tirés des Obfcrvations les plus anciennes &: les plus récentes. M. 1704. pp. 5 19. & fqq. DE L'ACADEMIE ifjp^ —ijro 6ti V Vache. ( Urine de ) r^i^z, Urine. " Vaisseaux. >■ Pour la Conftruaion des Vaiffcaux. H. Conditions de la Courbure qu'un VaifTcau de- vroitavoir. /^/V. p. ^j-. Cette Courbe trouvée par MM. NE\Y^TON, LEMARQCJISDE L'HOPITAL & Fatio de Duillicr ,par des voies différentes, ihid.'p. 5)6. Avantage de la Figure d'un VaifTeau. ihid. p. ^6. On pourroit avoir plus aifement des Bois cour- bes pour la Conftruction des VaiflTeaux , li l'on plioit de jeunes Arbres dans les Forêts. H. 1705. p. 137. Moïen de conferver les VaifTeaux contre les Vers qui les rongent dans les Pais chauds , &:c. H. 1706. p. 141. » " Moien de faire monter un grand VailTeau fur " la Calle , telle qu'elle eft conftruite dans le Port » de Toulon Hins fe fcrvir d'aucunes Machines. Par M. DE LA HIRE. M. 1703. p. 299. Machine pour relever les Vaiflcaux fubmergés, in-vcntéc par M. le Baron de Redingucs , & ap- prouvée par l'Académie. H. 1700. p. 1 60. Deux Machines pour tirer les Vaiflcaux à Ter- re, inventées par MM. Du Mé &: Blanchart, &: approuvées par l'Académie. H. 1702. p. 13 8. H. 1703. p. 136. # ' • Iiiii) 6x1 TABLE DES MEMOIRES Vaisseau ( pourquoi un) plein d'Eau bouillante , & qu'on retire de deflus le feu , a le fond moins chaud tandis que l'Eau bout encore, que lort qu'cUcneboutplus. H. 1703.P. 24. Nouveau Siftême fur la Structure des Vaifleaux du Corps humain , communiqué à l'Académie par M. VicufTcns. H. 1703. p. 44. Les VaiflcauXjVentricules , Oreillete , Artères , &:c. dans l'Homme , font égaux de chaque côté duCœur. H. 1703. p. j 3. Dans le Fœtus ceux qui font du côté droit font toujours plus grands , félon M. MERY. ibid. Dans le Veau U. dans l'Agneau Fœtus , ceux du côte gauche font plus grands, ibid. p. 3 j. » .. Des Vaifleaux Omphalo - Mefcntcriques. Par M. DU VERNEY.M. 1700.P. 169. Defcriptioa cxade de ces Vaiiteaux. ibid. p. 170. &fq. >. Valériane ( la grande ) fauvage, » Expériences fur les » vertus de la Racine de cette Plante. Par M, » ■ MARCHANT M. 170^. p. 333. Vannes (^//fi de Moulin.) Vitefles des Vannes , d'où dépend? H. 1704. p. 115J.& 12.0, Vapeurs. { Remèdes contre les) H. 1704. p. 11. Scfq. Variation del'Aiman. J'oïez. Aiman. VARiE's.Mouvemcns. /'«'/tx.MouvEMENS. VARIGNON. ( M.) dcffend la nouvelle Géométrie des Infiniment petits , contre les attaques de MM. ROLLE &: L'ABBE' GALLOIS. H. 1701. p.88. Démontre la faufTeté de la Régie de Galilée fur Ja proportion des Vitefles des Corps qui tombent par deux Plans inclinés contigus. H. 1704. pp. loj.&ioS. DE L'ACADEMIE 1699 — 17^0 61- VARIGNON.(M. ) Sa Démonftration du Principe du Mouvement des Eaux que l'on ne cioïoit que d'Expérience. H. 1703. p. 12.6. Théorie de fcs Formules lur la Refiflance des Milieux au Mouvement. H. 1707. pp. 140. & fqq. Idée de fa Théorie fur les Spirales à l'Infini. H« 1704. pp. 49. & fqq. :■ Découvre cinq nouvelles Spirales Logarithmi^ ques.i^/V.p. 57. LISTE CHRONOLOGI ^VE des Ademo'tres imprimés de JM. VAKIGNON. \Ç9 9 I 7 I o » Méthode pour trouver des Courbes le long., defquclles un Corps tombant, s'approche ou s'é- loigne de l'Horizon, en telle raifon des tcms que l'on voudra, & dans queîqu'Hypothéfe de Vi- teflcquecefoit ,&c.M. 1699. p. i. « Manière géométrique & générale de faire des Clepfidres ou Horloges d'Eau , avec toute force de Vafes donnés , percés où l'on voudra d'une petite ouverture quelconque, par où l'Eau s'é- coule fuivant queîqu'Hypothéfe de Vitclfe que cefoit, & réciproquement de trouver ces Vafes pour toute force d'Hypothéfcs de telles Viccilcs & des tems fuivant lefquels fe doivent régler les abaiffemens de la Surface de l'Eau qui s'écoule, M. 1699. p. ji. " Rapport générale des Forces qu'il faut cm- ploïcr dans l'ufage de la Vis. M. 'i(>99. p. I iii iij M- m ^z4 TABLE DES MEMOIRES îjV ARIGNON. ( M. ) » Méthode commune aux Equ.i- » rions du fécond &: du troificmc degré pour en >i avoir la Solution par une lîmple transformation » de leur premier terme faite à l'ordinaire. M. » i65?s>. p. 141. » » Manière générale de déterminer les Forces, les M Vitcfles, les Efpaces & IcsTcms, une feule de « ces OjUatre chofes étant donnée, dans toute forte » de Mouvcmens rcdilignes variés à difcretion. M M. 1700. p. zi. « » Du Mouvement en général , par toutes fortes » • de Courbes ; &c des Forces Centrales , tant Ccn- » trifuges que Centripètes , nécefTlaircs aux Corps » . qui les décrivent. M. 1700. p. 83. » " Des Forces Centrales ou des Pefanteurs né- » _ ceflaircs aux Planètes , pour leur faire décrire » les Orbes qu'on leur a fuppofés jufqu'ici. M. »' 1700. p. 1x4. s. "Autre Régie générale des Forces Centrales, M avec une manière d'en déduire Se d'en trouver M une infinité d'autres à la fois , dépcndemment 5c « indépcndcmmcntdesRa'ions Ofculateurs, qu'on « va trouver aufll d'une manière infiniment géne- raleParM.VARIGNON.M. 1701.P. 20. » " De la Réfiftancc des Solides en général pour tout ce qu'on peut faire d'Hypothéfcs touchant » la Force ou la Ténacité des Corps à rompre , &: » en particulier pour les Hypothéfcs de Galilée & de M. MARIOTTE. M. 170Z.P. <î^. w " Delà Figure ou Curvité des Fufées des Hor- » loges àRcflort. M. 1702.. p. 192,. » :> Manière de trouver une infinité de Portions sj de Cercle toutes quarrablcs , moicnnant la Ccule » géométrie d'Euclide. M. 1 70 3 . p. 2. i . DE L'ACADEMIE i(îi)9— 1710 61s « VARIGNON. ( M. ) " Addition au premier des Mc- » moires de l'Académie de Tannée 1699. touchant » la manière de trouver des Courbes le long def- » quelles un Corps tombant s'approche ou s'éloi- » gne de l'Horizon ou d'un Point donné quelcon- M que , en telle raifon des Tems & dans telle Hy- « pochélc de Vitcllcs qu'on voudra. M. 1703. p. « 140. M » Manière prompte & facile de trouver les Tou- « " chantesdel'Ellipre de M. CASSINI. M. 1705. .M p. 181. » " Des Courbes décrites par le Concours de tant » ' de Forces Centrales qu'on voudra , placées à » difcretion cntr'elles 5c par rapport au Plan de ces •m'I mêmes Courbes. M. 1703.P. ziz. « « Du Mouvement des Eaux ou d'autresLiqueurs » quelconques de Pefantcurs Ipécifiqucsà difcre- » tion , de leurs Vireffes , de leurs dépenfes , par „ telles Ouvertures ou Scellons qu'on voudra, de ;» leurs Hauteurs au-dcllus de ces Ouvertures , des -.fi- .- .. durées de leurs Ecoulcmcns , &:c. M. 1703. p. 238. » » Nouvelle formation de Spirales beaucoup plus w différentes entr'ellcs que tout ce qu'on peut » imaginer d'autres Courbes quelconques à l'infî- ,r ni , avec les Touchantes , les QLudratures , les M Déroulemens &: les Longueurs de quelques-unes » de ces Spirales qu'on donne feulement icy pour » exemple de cette formation générale. M. 1704. » p. 69. M » Manière de difcerncr les Viteifes des Corps » mus en Lignes Courbes , de trouver la nature ou » l'Equation de quelque Courbe que ce foit,en- M sendrée par le Concours de deux Mouvcmens » connus ; & réciproquement de déterminer une % 6x^ TABLE DES MEMOIRES „ infinité de VitcfTes propres deux à deux à engen- ., drer ainli telle Courbe qu'on voudra, Se même M de telle Vitefle qu'on voudra fuivant certe Cour- ,, - bc. M. 1704. p. i8(j. ;» VARIGNON. ( M.) .. Manomètre ou Machine pour trouver le Rapport des Raretés ou Raréfactions u , de l'Air naturel d'un même Lieu , en diffcrens „ tcms ou de diftercns lieux en un même ou en di& ,1 ferenstcms. M. 1705. p. 500. »,-■-.- " Du Mouvement des Planètes fur leurs Orbes, X. en y comprenant le Mouvement de l'Apogée ou „ de l'Aphélie. M. 170 f. p. 547. „ >. Réflexions fur les Efpaces plus qu'infinis de M. »- 'Wallis. M. 170(3. p. 1 3. M " Comparaifon des Forces Centrales avec les j, Pefanreurs abfoluës des Corps mus deVitefles „ variées à difcretion le long de telles Courbes f, qu'on voudra M. 170^. p. 178. „ » Différentes manières infiniment générales de „ trouver les Raïons Ofculateurs de toutes fortes » de Courbes , foit qu'on regarde cesCourbcs fous » ' la forme de Polygones ou non. M. 1706. p. » 45)0. (, » Incompatibilité Géométrique de l'Hypothéfc du Tournoiement de la Terre fur fon Centre , avec celle de Galilée touchant la Pefanteur. M. , 1707. p. 12. / » Des Mouvcmens variés à volonté, & comparés i- ■ cntr'eux & avec les uniformes. M. 1707. p. zii. . « Des Mouvcmens faits dans des Milieux qui * 1 currefiftent en raifon quelconque. M. 1707. p. 58i. " De.s Mouvcmens primitivement variés dans des Milieux qui leur refiftcnt en raifon des Vi- ceffes auxquelles ils s'oppofent. M. 1708. p. 1 1 j. VARIGNON. DE L'ACADEMIE 1^5)9 — I7ÏÛ ^17 «VARIGNON. ( M. ) .. Demonfhacioa de ce que M. >. H UYGHENSs'eft contenté d'énoncer à la fin de » fon Difcours de la caiife de Li Peflinteur touchant M le Mouvement des torps graves dans un Milieu w quileur relilleroit à chaque inftantenraifon de m leurs Vite/Tes. M. 1708. p. 2 1 2. » » Diftcrentes manières de déterminer la Courbe M quedécriroit un Corps de Pefanteur confiante w jette fuivant quelque direction que ce fut dans un M Milieu dont les Kcliilanccs fcroient en Raiion » des VitcflcsdeceCorps. M. 1708. p. ifo. H « Accord des Solutions du Mémoire du 18. Juil- » Ictdernier , avec celle de M. NE'VlTTON &: de » M. HlJYGHENS touchant la Ligne que dccri- M roitun Corps de Pelanteur conftanre ^ecré fui- M vant quelque Direction que ce fut dans un Mi- n lieu dont les Reliftances fcroient en railbn des M VitelTcsdeceCorps. M. 1708. p. 302. M » Autres Solutions du Problème déjà refolu dans M le Mémoire du 18. Juillet dernier, p. 2j. &:c. (é touchant la Courbe que décriroit un Corps de » Pefanteur confiante jette dans un Milieu refif- » tanten raifondes VitciïcsdeccCorps. M. 1708. * P- 4i5>- M M Courbe de Projedion décrite en l'Air dans « l'Hypothéfe des Rcfiftances de ce Milieu, en M raifon des Vitelfes aéliuellcs du mobile, nonob- » ' ftant lefquelles Refiflances les Accélérations des «1 chutes fefaifent en raifon des tcms , ainii que j» . quelques Philofophes difent l'avoir obfervé , &: « ( par occalîon ) des Projetions faites dans un » Milieu fans Refiftancc avec des Accélérations M quelconques des Chutes; defquelles Projections »■ ondonneicy une Reglegénérale, d'où rcfultela « Solution d'un Problême de Baliftique propofé 2".»^. du Ma(. 16^^ — lyio Kkkk éii TABLE DES MEMOIRES » dans les Mcmoircs de Trévoux du Mois de Jan» " vicr 1706. Art. XI. p. 167. M. 1709. p. 6y. " VARIGNON. ( M. ) » Des Mouvcmens primitivement » variés dans des Milieux relî'lancscn raifon des »» Qiiarrcs des Vitcfl'cs effectives de ces Mouve- »« mens. M. 1709. p. 1513. » » Des Mouvemcns commences par des VitefTcs » quelconques , & enfuite primitivement accele- » rés en railon des tems écoules dans des Milieux » ^ reliftans en raifon des Qtiarrés des VitefTcs cffec- » tivcs du Mobile. M. 1709. p. 167. » >. Problême de Statique(ÂV/îi/«.) M. 1709. p. 3 y i.. » » Des Mouvemcns primitivement retardés en » raifon des tcms qui leur reftcroicntà écouler juf^ » qu'à leur entière Extinélion dansleVuide faits w dans des Milieux rcfiftans en railons des Qiiar- V rés des Viteffes effectives du Mobile. M. 17 10. p. (Î3. ••Uflige d'une Intégrale donnée parM. LE MAR- QUIS DE L'HOPITAL dans les Mémoires de 1700. p. 13. avec la Solution de quelques autres Quefkions approchantes de la fienne. M. 17 10. » Des Mouvemcns primitivement variés dans des Milieux refiftans en raifon des Sommes fai- tes des Vitcflcs effectives de ces Mouvemcns, &:des Qtiarrés de ces mêmes Vitcflcs. M. 17 10, P-M3- M Des Mouvemcns commencés par des Viteffes quelconques, &cnfuite primitivement accélérés en raifon des tems écoulés dans des Milieux rc- fiftans en raifon des Sommes faites des Viteffes cffeétivcs du Mobile & des Qiiarrés de ces mê- mes Viteffes. M. 17 10. p. 491. »j Des Forces Centrales inverfcs, M. i7io,p.y3 3. » DE L'ACADEMIE 1^99— 1710 ^19 VAUBAN. ( M. LE MARECHAL DE) Ses Titres & Qualiccs , fa Famille. H. 1707. p. 1^5. Entre dans le Res^imcnt de Condc. ibid. Se fait Ligcnieur , & ib diftiiigue. ihid. Eft engage au Service du Roy par M. Le Cardi- nal Mazarin. /^/V. p. 166. Reçoit plulicurs blefTurcs en diftcrcnts Sièges. i'iid. M. Le Maréchal De La Fcrté lui donne deux Compagnies dans deux Régiments , &: lui pré- dit la Fortune. i(?id. Conduit en Chef quelques Attaques, ihid. M. Le Cardinal Mazarin lui accorde une grati- fication, ibid. Ses Occupations après la Paix des Pircnccs. ibid. Art de fortifier peu connu jufqu'à lui. ibid. p. 167. Efl; bleflé au Sicge de Doiiay. ibid. Prend Lille fous les Ordres du Roy. ibid. Ses Occupations en i6é8. ibid. Le Roy lui donne le Gouvernement de la Cita- delle de Lille, /V-'/V. p. 168. Ses vues fur le dedans du Roïaumc,&: fon Amour pour le bien public, ibid. r Ses Découvertes dans l'Art de Fortifier mifes en ufage. ibid. p. 169. Son amour pour le Soldat, ibid. Eft fait Commiflaire général des Fortifications. ibid. Fait le fameux Port de Dunkerque , fon Chef- d'Oeuvre. /■/'/V. p. 170. Ses Travaux a Stralbourg. ibid. Prend Luxembourg en 1684. ibid. Ses Fondions de Paix en 168 j. ibid. Kkkkij ^30 TABLE DES MEMOIRES VAUBAN. ( M. LE MARECHAL DE ) Sa manière de fortifier changeoit Suivant les circonilanccs. H, 1707. p. 171. Sert fous Monfcigneur en i(588. & en reçoit une Rccompenfc Militaire, ihid. Devient dangereufement malade en 1^90. ibid, Eftfouhaitépar l'Acadcmic en 1699. //'. p. I7Z. Ses Ecrits après la Paix de Rifwic. ibid. Eft honorédu Bâton de Maréchal de France en ■- . 1705./^/'^. p. 173. Finit Tes 7 ravaux de Guerre par le Siège du Vieux Brifach. ibid. Donne au Roy en 1704. uuManufcrit fur l'At- taque des Places, 'bid. Compofe un Traité de la Deffenfe des Places. ibid. p. 1 74. SaMorten 1707. l'empêche de l'achever. /^/V. Son Epoufc , fes Enfins. ibid. Dénombrement de fes Travaux, ibid. Son Caraélerc. ibid. Sa Place dans l'Académie occupée par M. LE MARECHAL D'ESTRE'ES.//^/V. Son Eloge par M. DE FONTENELLE. H. 1707. p. i^y. A fiit des Expériences rapportées par M. CHE- VALIER fur la quantité de Poudre néccffairc pour enlever différentes terres. H. 1707. p. 154. Vaxi LEZARD ( M. De ) a inventé le Cadran portatif ufité dans les Boufloles. H. 170 1. p. 1 18. Végétaux (les) ont toujours les mêmes Principes , de quelque manière qu'on les analife. H. 1701. p. 69. QlicIs fonticurs Principes. M. 1701. p. 34. ContiennentlesPrincipesdes Minerales,fuivant M. GEOFFROY. H. 1707.?. 44. DE L'ACADEMIE i^P9—i7io 6^1 «Végétaux. .. Sur les Souftrcs des Végétaux & des Mi- » neraux.H.ijio.p. 46. Le Souftrc des uns &: des autres eft leiiicme. ih, p.46.&:fq. «Végétations (^» Mémoire touchant les) artificielles. V ParM.HOMBERG.M. 1710. p.4i(;. En Chimie ne reflemblent point à celles des Plantes. iMid. Rangées en trois Claffcs , &: quelles ? i'?id. Exemples &; Explications àcs Végétations de la I. ClafTe. ibid, pp. 417. &: fqq. de la 3 . Claffe. ihid. pp. 43 1. & Iqq. Végétation d'Argent montrée par M. HOM- BERG. FL 1704. p. 40. Végétations de Fer formées par le mé'angc d'Huile de Tartre par dcffciil lance avec uncdif- folutionde Limaille de Fer par l'Efprit de Tsitre, H. 170^. p. 39. Végétation Chimique ou Arbre de Mars. M^ 1706. p. 414. & Tq. m • ■» Sur une Végétation de Fer. FI. 1-707. p. 3 1, Siilêmede M. LEMERY IcFilsfur la Véo:cta- tion du Fer. FI. 1707. pp. 3 z. &^: Iqq. Végétation caufée par l'Huile de Tartre mêlé® avec la Diilolution du Fer. M. 1707. p. 30J. Conjectures fur la Mécanique de cette Végéta- tion, pp. 3 09. & fqq. Le Cuivre ne produit aucune Végétation (enfi- blc.il^/d.p. 318. Le Bifmut n'en produitaucune. il/id. p. 3 151. »■ ..Réflexions & Obfervations divcrics fur une w ^ Végétation Chimique du Fer, & fur quelques »• Expériences faites à cette occafion avec diffe-» *• rentes Liqueurs Acides &c Alcalines , & ^.vcc »- difterensMetauxfubftitues.au Fer. Par M. LE- »- MERYlcFils.M. 1707.P. 25'P' 6y. TABLE DES MEMOIRES A^EGETATiON. Ce quc les Chimillcs entendent par Vé- gétation, ibid. p. 2.°^. M. HOMBERG a beaucoup travaillé fur IcsVé- gctations Métalliques, ibid. p. 3 00. Le Souffre du Fer cft le principal agent des Vé- gétations de ce Métal, ibid. p. 3 o 3 . u . " Sur une\'ci^etationfingulicrc. H. 1709.P.41. M .. Obfcrvations lur quelques Végétations irrcgu- » liercs de différentes parties des Plantes. Par M. MARCHANT. M. 1709. p. 64. Ve I LLE.M.DU HAMELtraite duSommeil &dc laVcille dans (on Hiftoire Anatomiqueluë à l'Académie. H. 1703. p. 44. Veines Hypogalliriques. Leurs extrémités percées de trous H. 1700. p. 3 z. Ce fait découvert par M. M ER Y. ibid. u 5» Obfcrvation fur un battement de Veines fcm- » blablc au battement des Artères. Par M. HOM- w BERG. M. 1704. p. 1^9. Les Veines des Poillons deviennent Artères à leur fortic. H. 1701.P.49. Ventricules du Cœur doivent être moins fujcts à des Abfccs qu'à des Inflammations , &; pourquoi '. H. i70i.p. zs>. Vents variables pourroient être caufés par les Eclairs, H. 1708. p. 3. Le Vent contribue à la Variation des Marées. H. 1710. p.7. M. 1710.PP. 3Z3.& fqq. •> •> Sur l'effet du Venta l'égard du Thermomètre. M H. 1710. p. 1 3. Eff"ct du Vent fur le Thermomètre cft fort diver- fifié , Se pourquoi ? ibid. p. 1 4. & fq. s> » Expériences de l'effet du Vent à l'égard du » Thermomètre. Par M. CASSINl le Fils. M. 1710.P. J44. DE L'ACADEMIE 1^99— 1710 6^S » Vent. « Expériences ( de l'effet du Veut) fur les Thermo- mètres. Par M. D E L A H I R E le Fils, ibid, - p. J46. Sa violence n'augmente pas le froid de l'Air. M. 1701. p. 1 1. Peut faire varier les Refra(flions Aftronomi- qucs. H. 1710. p. 1 10. » » Sur la pofition de l'Axe des Tvloulins à Vent à " l'égard du Vent. H. lyoï.p. 138. Vents obfervcsàParisen 1^5)7. &: 1658. H. 1699. p. 2.1. &fq. en 1704. Tvl. 170^. p. 1. APontbrianden 1704. & 170J. M. 170)-. p. (S. M. 1706. p. 6. A Vpminfter en 16557. &: 165? 8. H. 165)5. P- "-° ÔcCq. Vewtoux ( le Mont ) dans le Comtat d'Avignon, fli Hau- teur fur la Surficc de la Mer. M. 1705. p. 237. Ventre (parler du) cequec'cit ? H. 1700. p. 2.0. Grofleur énorme du Ventre d'une-. Rcligieufe. /H. 1710. p. Faits obfervés à l'ouverture de foi) f 35?. &: 40. Cadavre. J Ventricule. Laiflc paflcr par fcs Porcs les premières Urines. M. 170 1. p. 200. H M Sur l'adion du Ventricule dans le VomifTe- » ment. H. 1700. p. zj. Venus. Inégalités aperçues dans Venus. H. 1700. p. 121. Conjonftion de Venus avec le O obfervée le 3 i. Aoiit 1700. par M. DE LA HIRE. M. 1700. p. 2.516. & fq. Les Obfervations de Ç dans cette fituation font avantageufes , &: pourquoi ? /^/V/. p. 296. Obfervée plulrcurs fois dans fx Conjonction in- férieure avccie O. M. 1707. p. 15)8. ^34 TABLE DES MEMOIRES Venus. Obfcrvcc une fculc fois en 1638. llulc Difquedu Soleil, ibid, ' Votez, aufji Observations. y Ver ( •' Sur un) rendu par le Nez. H, 1708. p. 41. Ver trouve dans le Sinus Longitudinal iupericur du Cerveau d'un Enfant. H. 1700. p. 40. Ver fingulier par la quantité de fes Jambes &c Ces dcmarclies , &c. H. i-jc6. p. 6. & fq. Ver enferme fans nourriture pendant fcpt mois mourut , &: de fa CarcafTc fcchc il fortit une Mouche, &C.H. 1702. p. 25.& fq. La Gratiolechailcles Vers. H. 170^. p. 6^y. On fe garantit des Vers qui rongent le Parquet, en trempant le Parquet dans de l'Eau mclce de Sublimé corrolif. H. 1705. p. 38. Vers à Soie. Pourquoi on n'en élevé pas une grande quantité. M, 1710. p. 394. Aapport de la quantité de Soie qu'ils fournifrcnt à celle que peuvent fournir les Araignées. M, 1710.PP. 405. &: fqq. Y.ERGE. ( la) Sa Strufturc. H. 1700. p. 31. , A deux fortes de Vaiifeaux fantruins. ibid. Caufcs du changement de figure de la Verge. ibid. p. 33. Difficultés fur la Méchaniqiie du changement de figure de la Verge. /^/^. p. 3 3. Solution de ces difficultés par M. DU VER- "NEY.ibid.p. 34. Verger ( LeSr. Du ) Mcnuifier. Machine de fon Inven- tion pour tailleries Limes , approuvée par l'Aca- • Obfervations fur un Fœtus trouve dans une » dcsTrompesdelaMatricc. M. 1701. p. 298. » ■» Obfervations fur deux Enfants joints enfcm- « blc. M. 170e. p. 418. VERNEY ( M. DU) le Jeune occupe la Place d'A- natomifte AlTocié , vacante par la Promotion de M. LlTTREà celle de Pcnfionnairc.H. 1706. p.ijz. MEMOIRES lAdPPylME'S de M. DV FERNEY le Jeune. 16^ p — 17 10 » >' Obfervations d'Anatomie & de Chirurgie fîir » plulicurs efpcccs d'Hydropifie. M. 1701. p. 149. » " Obfervations Anatomjqucs hiitcs fur les Ovai- » rcs des Vaches & des Brebis. M. 1701. p. 184. » "Sur uneCure extraordinaue(;iV;;f Blcjfurc faite " ^t/ S>'ds.) Wl. ïjox. Jp. 101. " y Suite d'Obfervations fur l'Hydropific. M. " 1701. p. ZI4. » " Hiftoire des Symptômes furvcnus à une Dame » àl'occafion d'un Remède applique pour des « Dartres. M. 1703. p. 18. » 3^ Suite d'Obfervations fur l'Hydropilic depuis » 1685 jufqu'à 1686. M. 1703. pp. i)0. I j6. 158. " 162. 170. 178. \ DE L'ACADEMIE kî^^—itio 6)y « VERNEY (M. DU) le Jeune. >. Obfcrvations fur u» » Cerveau de BcufpctviUc. M. 1705. p. 261. n ■ •> Obfervation fur une Hydropific de Cerveau. » M. 1704. p. 6. ^__ " Verre. Refraftiondel'Airau Verre. H. 1704. p. 77. VaifTeau de Verre,cafre étant mis devant le feu , s'il eft plein d'Eau , ou de Mercure, &: pourquoi ? H. 1706. p. j. mince , vuide, débouché, 8c expolc au feu , ne calTe pas ordinairement , &: un plus épais cafle , &c pourquoi ? /i^Jd. Verres tendres ou minces, caiTcnt moins au feu ou au Miroir Ardent, & pourquoi ? H. 1708. p.ii. Morceau de Verre exfolié par une Pàcc mifc dcflTus &c recourbée par l'ardeur du Soleil. H. 1708. p. 21. «Verre. (Tuiauxde) &c. «Que les Expériences fur lef- » quelles on fe fonde pour prouver que les Liquides u fe condenfcnt & le rcfroidillcnt d'abord avant u que de fc dilater à l'approche de la chaleur ne le n prouvent point, &: que cette Condenfation ap- » parente ell purement l'effet de la Dilatation du » Verre &: des Vailfcaux qui contiennent ces Li- queurs. Par M. A M O N T O N S. M. 1705. Expériences de Borclli ( Alphonfe ) & de Vof- fius ( Ifaac ) fur ce fujet. ibid. p. -y 6. „ "Sur la multiplication des Lnages parles Ver- » res plans. H. 1695». p. 86. Une Bougie au travers d'un Verre plan fe mul- tiplie. li;/d. p. 87. RaifbndeccPhéuomcncpar M, DE LA HIRE. iùid.p. 87. LllHj 6i% TABLE DES MEMOIRES » Verres plans. Explication de quelques effets fingu- » liers qui arriventaux Verres plans, comme font les Glaces de Miroir. Par M. DE LA HIRE. » M. 1699. p. 7 y. Verre plan multiplie les Objets , quand &: com- bien ? rl^/d. D'où cette multiplication cft-ellc produite, /^/rf', p. 76. & fq. Moïcn de connoîtrefi des Glaces polies des deux côtés font d'une égale épaillcur. il?/d. p. 89. Verres de Lunettes d'Approche. Le Criftal commun n'y peut fervir , & pourquoi ? H. 17 10. p. 124. Ce que c'cft que centrer les Verres de Lunette d'Approche. H. 1 6s)9- p. 89. Méthode facile de M. DE LA HIRE pour les centrer. /^/V.. » "Méthode pour centrer les Verres de Lunette » d'Approche en les travaillant. Par M. DE LA »» HIRE. M. 1699. p. 1 39. s» » De la nécclîité qu'il y a de bien centrer IcVerre » objeélif d'une Lunette. Par M. CASSINI leFils» » M. 171 G. p. 223. * "Sur un nouveau Verre de Lunette, H. 1700. p. 1 3 1 . Dcfcript. de ce Verre travaillé par M. DE TSCHIRNAUSEN. /-^/V.p. 132. Ses effets contraires aux notions ordinaires de la Dioptrique. p. i j2. Avantage de ce Verre. /l?id.p. 133. • Verres Ardents ( >. Sur les ) des Anciens. H. 1708. p. 112. Par rcfraélion connus chés eux , mais feulement par leur propriété de brûler. iù/eJ. &: fqq. K " Effets des Verres brulans de trois ou quatre > pieds de diamètre. H. 1699. p. 90. DE L'ACADEMIE i^P5> — Ï7IO ^?9 Verres brulans. Ces Verres taillés par M. DE TSCHIRN AUSEN. tbid. p. 90. Verres Sphcriqucs ncrcunifTcnt pas en un feul point les Raions.H. 1701. p. 91. Elliptiques ou Hyperboliques les rcuniflent fous une condition, ibid. p. 93 . Avantaircs &: incouveniens de ces différents Verres, ibid. & fq. » « Sur la manière de tailler des Meules pour des » Verres Hyperboliques , &:c. H. 1701. p. 92. Versailles. Obfervations de rEclipfe de C du 15. Fé- vrier 17 10. faites à Verfailles en prefcncc de Monfcigncur le Duc de Bourgogne. M. 171c. p.i7j.&fq. Différence en Longitude entre Verfailles &: Pa- ris, ibid.^. 176. Eclipfcde O du 28. Février 1710. obfervée à Verfailles. M. 171 o. p. ipy. &; fq. Vert de l'Inde, comment fcfait. H. 1710. p. ly, » Verune ( M. De La ) Commandant de Vaiifeau. » Ré- » flexionsfurfes Obfervations delà Variation de M lAiman , &c. faites dans fon Voiagc à la Mer du Sud en 1706, 1707. & 1708. &c. Par M. CASSINIle Fils; M. 1708. p. 29.2. Vésicule du Fiel , pleine d'Hydatides, blanchâtre, &c M. 1701. pp. 149. & fqq. Celle des Animaux eft fouvent chargée des Pier- res ,&c. H. Ï703. p. 36. Corps Veficulaires rendus parles Selles d'unMa- lade,cequec'croit? H. 1704. p. 31. Veficulcs trouvées dans lesTefïicules d'un Hom- me (fcmblables à celles des Ovaires des Fem- mes ) trouvées , &c. H. 1709. p. 27. Des Ovaires ne prouvent donc rien pour tes Oeufs, ibid. & fq. L IIJ iij ^40 TABLE DES MEMOIRES V ES s lE. (Preuve que lesFibrcs charnues contenues dans la Subltancc de la ) cliaircnt l'Urine par leur con- traclion.H. 1704. p. 15). &c fq, Pierre trouvée dans la Veille d'une Cavallc. H. lyoo.p. 41. » Sur des Pierres dans les Parois de la VclTic. H. » 1701. p. iz. Moïen imaginé par M. LITTRE de tirer ces Pierres. .^ V. Vezela Y ( Eau Minérale de) en Bourgogne , examinée parM.LEMERY. H. 1707. p. 66. &:iq- Vibrations de l'Air tout leulcs le Son. M. 16^^^. p. Vibration de Preiîion dans le Siftcme des Cou- leurs, ce que c'eft ; M. 1699. p. 13. Difficultés de découvrir precircmcnt les Rap- ports exacls de promptitude des Vibrations qui tonnent les Couleurs, il^/d. p. tj. " ViCHi." Examen des Eaux de Vichi Sc de Bourbon. Par M. BURLET. M. 1707. p. 97. Vertus de ces Eaux. il?id. p. 103. Précaution à en boire. /^/V. pp. 105. & 104. ViELLESsE. Mélange démarques dcViclleflc &c dejcu- nefle , obfcrvé par M. P O U PA RT dans un Homme âgé d'environ 100. ans. H. 1699. p. p. 50. ViEUSSENS (M. )Medecin de Montpellier , communique à l'Académie un nouveau Siftcme fur laStruéture des VaifTcaux du Corps humain. H. 1705. p. 44, ViEiissENS (M. ) le Fils, fuppofc, pour expliquer le délire mélancolique, que le Centre ovale cft le Siège des Fondions de l'Efprit. H. 1709. pp. 11. &; fqq. Vigne ( la) doit le tailler 5 &: pourquoi? M. 1707. p. 283. & fq. Larmes de Vigne , ce que c'eft , &: leur ufage. ;'^/V. p. 28 j. DE L'ACADEMIE 1^95) _«i7io 641 Villes. LISTE DES FILLES ET LIEVX dont la Longitude ç^ la Latitude , _/o«- dées fur des Ohfern;ations ^Jïroncmiques ^ peuvent être déduites , ou font rapportées dans les Ademoires de l'Académie. I6s>^. - I7I0. iV. B. Les Etoiles Marquent aufji les Lieux oit l'on a ohjcrvc les Longueurs du Pendule. A\yi en Provence. ï'oïez, Aix, ." Arles. /tf/f;^ Arles , &:c. .: > Avignon. Baume ( la Sic ) Montagne de Provence^- * Bayonnc. Berlin. ^ocich.\c2L. Amérique, ■" ' Bologne. Ilalic.- Breilaw. Silefie. Candie. (Iflc de) Canéc. ( la ) en Candie. Canton. Chine. Q-x^-Ncix. Ajfriqttc. Carthagcnc. Amérique. * Caycnnc. ( la ) ylmerique. Cordouc. * Dominguc. ( Iflc St. ) Dunkcrquc. Ervan. Arménie. Erzcron. Arménie. ^4^ TABLE DES MEMOIRES Villes. Genes". Genève. Golpho - Tiifte , OH Porto- Cabeillo. Amérique. *Gorée (la) * Grenade, (l'inc) Gripfwald. Pomeranie. Honfleur. Kam-cheu-fu. chine. Kengis. Botnie, •Kiam-cheu. Chine. KicL Holjlein. Langres. Leipfick. Lilbonne. Louis. ( lile Se. ) Lyon. Madrid. ._ Malthe. Marfcille. Marthe. ( Iflc Stc. ) * Martinique. ( la ) y^Wc.[\e) dans l'Archipel. Modene. Montpellier. Nam-cham-fu. Chine, Nan-ghan-fu. Chine. . Nankim. Chine. NeubourgyXr leDanube. Ning-po , ou Liarapo. chine. Nuremberg. Villes. DE L'ACADEMIE 1^59 — I7IO <ï4î ViLUS. Paix. ( Port de ) Ijle St. Tiomingiie. * Paraïbe. Brefil. Parme. Pau. En Benrn. Paul ( St. ) trois Châteaux. Dauphinéi Pékin, chine. Pello. Botnie. Pierre. ( Iflc St. ) dans la. Méditerranée. Pilon. { le St. ) Montagne de Provence. * Porto-belo. Amérique. Rochelle, (la) Rome. Si-nghan-fu. Chine. Smirne. Ajie. Strafbourg, Su-cheu-fu. chine. Tchaotchcou. chine. Theflalonique. Macedointè. Thomas, (rillc St. ) Trebizonde. Afie. Tripoli. Sourie. Torneo. Botnie, Toulon. Tours. Verfailles. * Uranibourg. Dannemarc. Xa.m\-ia.y.chine. Xoacheu. chine. Zeitz. Mifnie. Zurich. lab. des Mat. léj»?. — 1710. Mmmra «44 TABLE DES MEMOIRES ViLLEMOT (M.) Doct.cnThcologic, applique aux Corps cclcftcs la Théorie des Forces Centrales , pour cflaïer de démontrer la Régie de Kepler. H. lyoy.p. 100. Difficultés contre ù démonftration de la Rc2:le o de Kepler. H. 1707. p. ici. ioi.&;fq. La Comète de 1707. favorifc fon Syftême. H. 1707. p. io_4. Difficulté faite par M. BOMIE contre unepro- poiitionde fon nouveau Syftême des Planètes. M. 1707.P. 48j.&fq. ViN. Mauvais effets de l'ufage immodéré du Vm , &c. M. 1706. p. 510.&; fq. Se confcrve par le Souffre , & pourquoi ? H. 170 j. p. 38. Vin d'Anjou eurent en 1 704. une odeur de Cor- ne brûlée. H. 1705. p. 3 5. Vin d'Efpagne. L'Hydromel lui reffembic. H, 1707. p. 37. Vin Mufcat , l'Hydromel lui reffembic. /l?iii. Vin de Genièvre &c de Centaurée réuffit dans l'Hydropilic. M. 1703. p. i ji. Manière de le préparer, ih/d. Vinaigre mêlé avec du Sel Armoniac &; du Sublime cor- rolif, fcgelc & rafraichit les Liqueurs. H.1701. P-73- Le Sel de Tartre retient dans fa Saturation un huitième de plus de Sel Acide du Vinaigre diftil- lé , que des Efprits Acides des Minéraux , &: pourquoi > M. 1699. p. 50.&: fq. Vinaigre Philofophique , ce quec'eft ? ViOLiER. ( M. ) Son Obfervation de l'Eclipfe de © du du li. May 17015. fiitc à Genève. M. 170^. p. 466. Vipère. Struûure du Coeur delà Vipère. M. i^pp. p. 238. DE L'ACADEMIE i(?99 — I7I0 ^4T Vipère. Explication des Figures du Cœur • Explication de quelques Faits particuliers >» d'Optique, & de la manière dont fcf-aitlaVi- » fion. Par M. DE LA HIRE. M. 1709. p. 9 5-. Vitesse d'un Corps diminuëtoujours après le Choc. H. 170^. p. iz8. ;■ Abfoluë ')d'unCorps , ceque c'cft? //'. p. 119. RefpcdivcJM. 1707. p. 12.3.H. 1700. p. 87.M. 1700. p. ij. Règles pour connoître la Vircfie de l'Eau par fon eftort ou hauteur du Refervoir , & recipro- qucmcnt.M. 1701. p. 2.^7- &: fq. i5'9. &: fq. L'Efpacc parcouru par un Corps eft toujours proportioncl à la Somme de toutes les Vitclles qui le lui ont fait parcourir. H. 1707.P.1 34. & fq. » Sur les Vitcfl.cs des Corps mus lluvant des Cour- » bes. H. 1704. p. 104. Des Corps qui tombent , verticalement , ou fui- vantun Plan incline , oiifoutcnus le long de la concavité des Courbes, font cntr'elles comme les Racines des Hauteurs. H. 1T04. p. 105^. Cette proportion n'eft plus la mémo contre le fcntiment de Galilée , fi les Corps tombent par deux plans inclinés contigus , ou le long d'une Courbe qu'ils décrivent (ans être foutenus de quelque manière que ce foit. ihid. p. 10 j. &: iio. & fq. "Manière de difcerncr les Vitefïès des Corps » mus en Lignes Courbes , de trouver la nature ou l'Equation de quelque Courbe que ce foit,eiigen- „ dréc par le concours de deux Mouvemens con- nus, & réciproquement de déterminer une in- finité de Vitcflcs propres deux à deux à engen- drer ainfi te! le Courbe qu'on voudra, &: mcmc de telle Vitcfl^c qu'où voudra fuivant cette Cour- be. Par M. V ARIGNON. M. 1704. p. 28^. DE L'ACADEMIE 1^99 — I7IO ^47 Vitesses fpccifiques &c réelles des Hommes, des Che- vaux , obfervées en difterentcs actions par M. AMONTONS. H. 1703. p. io3.&fcj, » " Manière génei aie de déterminer les Forces, » les VitefTes , les Efpaces & les Tems, une feule »» de ces quatre chofes étant donnée dans toute for- " te de Mouvcmcns Redilignes variés à difcretion » ParM.VARIGNON. M.iyoo.p.zi. Viteflcde la Lumière. M. 16515). p. ^7- du Son. iifid. Des Planètes eft toujours inégale , & pourquoi ? H. 1700. p. 5)9. Des Pendules font comme les Racines quarrées des Hauteurs. H. 1707. p. y 8. Vmsldœa Plafitc. Sa Defcription donnée par M. TOUR- NEFORT.H. i7o6.p.42. Vitre'e ( l'Humeur ) fait les mêmes rcfradions que l'Humeur Aqucufe. H. 1707. p. z^^ Vitrification , cequec'eft ? H. 1701. p. 36. Toute Vitrification fc fait par un Sel qui eft le fondant d'une Terre. H. 1703. p. 49. » » Sur la Vitrification de rOr. H. 1707. p. 30. Précis duSyftêmedeM.HOMBERG fur cette Vitrification de l'Or , avec les Objections Scies Réponfes. ihid. ôc fqq. ■to^ » Eclairciflcment touchant la Vitrification de ,.- . l'OrauVcrreArdant.ParM. HOMBERG.M. Réponfc de M. HOMBERG à TObjcaion faite fur cette Matière par un Philofophe Hollandois . ihid. pp. 40. 41. & fqq. ViTRiot jCequcc'eftîH. 1706. p. 33. ». « Sur les diffcrens Vitriols , & particulièrement »■ fur l'Ancre faite avec du Vitriol. H. 1707. p. » 40, M mmm iij r,4^ TABLE DES MEMOIRES " Vitriol. " Eclairciflcmcnt fur la compofition des dif- » fcrcntcs cfpcccs de Vitriols naturels, & Expli- » cation Phiiicjiic & fcnfiblc de la manière dont « reforment les Ancres vitrioliqucs. Par M. LE- MER Y le Fils. M. 1707. p. 538. Il y en a de cinq Efpcces. M. 1707. p. y 5 7. Vert cfl compolcd' Acide &c de Fer. ih. Bleu ou de Cyprc ne contient point de Fer. iL Moïen de découvrir s'il y a du Vitrioldans quel- que Matière, ik 541. Vitriol, ( l'Huilcde) contient du Fer. M. 1707. p. 7. Le Fer entre dans la Compofition du Vitriol. ibid.'p. 1 1. Acides duVitriol font plus perçants que ceux du Sel. H. 1709. p. 3 y. Le fublimé Corrofif peut être fait uns VitrioL ibid. p. 3 J. L'Acide du Vitriol cft le même que celui du ^ Souffre & de l'Alun. H. 1703. p. 4^^. ^fq. Expérience du changement de la fermentation froide du mélange du Sel Ammoniac &: de l'Huile de Vitriol en une fermentation très -chaude avec un peu d'Eau. M. 1700. p. lii. Raifondcs Vapeurs chaudes de la fermentation froide excitée par le mélange du Sel Ammo- niac & de l'Huile de Vitriol. M. 1700. p. 110, &C fq. ViTRiOLdeMars,cequec'efl:,fon ufage,'fa vertu, fa dofe. M. 1700. p. 109. Efprit de Vitriol de Mars. Ses vertus, ib. p. 109, & fq. Vitriol de Mars rcffemble au Vitriol naturel ihid. p. 1 10. VivAC£S. ( Plantes. fV/'f^ Plantes. DE L'ACADEMIE kî^p — 1710 ^49 VIVIANI.(M. ) SaNaiflance, fa Patrie, fcs premicrcs Etudes. H. 1703. p. 137. Galilée, alors aveugle, le prend chez lui & le ; ■ forme, ibid. Son amour &: û reconnoifTance pour Galilée fon Maître. il?id. p. 1 38. ■ ■■ ■ Forme quelque tcms après la mort de Galilée, le- defTcin de îdiDiuinationfur Arijlée. ih.^. 138, Ce que c'eft que cet Ouvrage. /^/W. p. 1 3 8. &: fq. ;. Forme un autre de ffcin de Divination fur le cin- quième Livre d'Apollonius , ou fur les Qiicf- tions de Maximis (jr Mininiis. ibid.^. 139. &: fq. Le cinquième Livre d'Apollonius, &; les deux fuivans trouvés M. S. en Arabe, pendant ce tcms-là , par M. Borelli. /^/V. p. 140. Meflires prifes par M. VIVLANI pour ne pas perdre fa Divination, ibid. Cet Ouvrage imprimé en 16^9. va plus loin que celui d'Appollonius fur la même Matière. /i^, &:lq. Eft nommé Commiiïaire pour régler les Con- tcftations entre Rome &: Florence, fur le Cours de la Chiana. ibid, p. 1 41. Obfervations diverfcs qu'il fit avec M. CASSI- NI , nommé Commiffaire par le Pape, ibid, ' '. &:fq. ' Rcçoiten 1664. uncPcnfion duRoy. /'^. p. 143, Eft nommé en 1666. Premier Mathématicien du GrandDuc, /^. p. 143. Met au jour en 1674. un Traité des Proportions;^ ôcc.ib.p. 144. Refout en 1677. trois Problèmes propofés par M. De Gommiers, ib. 144» éjo TABLE DES MEMOIRES VIVIANl(M.)propofcaux Gcomctrcs le Problcmede la Voutequarrabic. H. 1703. p. 145'. Rcfolu par MM. LEIBNITZ, BERNOULLI &: DE L'HOPITAL. H. 1703.P. 14^. & fq. Imprime en ié<)i. fon Traité des Feutts. ibid. - . p. 14^. ^ Eft nommé par le Roy Aflbcié Etranger à l'Aca- démie en \6'^<)Jb. p. 14^. Publie en 170 1. & envoie à l'Académie trois Li- vres de fa Divination fttr Arijlée , dédié au Roy. H. 1701. p. 64. H. 1703. p. 146^. Ufage qu'il fait de la Penfion qu'il recevoir du Roy //-.p. 147. Sa Mort , fon Caradcrc , fcs Qiialités pcrfoncl- les./^. p. 148. Sa Place à l'Académie par qui remplie. Son Eloge par M. DE F ONT EN EL LE. H. 1703. p. 137. Ulcère dans l'Eflomach trouvé à la Diiïcdion du Ca- davre d'un Homme mort après une perte de Sang. H. 1704. p. 30. Ulloa ( Le Père ) Jefuite. Obfcrvation de l'Eclipfc de C du zi. Février 1701. à Madrid. M.i7oi.p.éé. Un iFORMEs.Mouvemens.riff/>5:.MouvEMENs, » Voix. (» Sur la Formation de la ) H. 1700. p. 17. H. >•• 1706. p. I j. H. 1707. p. 18. Sentiment des Anciens fur la produdion de la Voix.. H. 1700. p. 19. Sentiment de Galien , & Réflexions de M. DO- DART fur ce Sentiment, ibid. p. 19. & 2,0. Ufige de la Trachée dans la formation de la Voix. ibid. p. II. Comparaifon de quelques Inftrijmejis avec celui produit la Voix./W. p. zi. Voix. DE L'ACADEMIE 1^99 — 1710 6^^ Voix. Difficulté de conftruirc un înftrumcnt fur le mo- delé de celui qui forme la Voix. H. 1700. p. zj. » » Mémoire fur les caufes delà Voix de l'Hom- »• me &: de fcs diftcrens Tons. Par M. DODART. » .' •- M. 1700. p. 144. Utilité de cette recherche, iùid. Ce que les Anciens ont connu ,& ce qu'ils ont penfé des Organes de la Voix, il^id. &c fq. Vérités qui font tout le but de ce Mémoire. ibid.^. 14^. 6c fq. ^ Principes d'où dépendent ces vérités./^, p. i4(î. &:fq. L'Apre Artère ne fait que fournir la matière de la Voix. M. 1700. p. 2,47. La Glotte feule produit la Voix. ibid. p. 248. , . _ La concavité de la Bouche n'a nulle part à la pro- duction de la Voix. ibid. p. 1 49. &: fq. des Narines , contribue à l'agré- mentdu Son de la Voix. ibid. p. i jo. Voix de l'Homme inimitable à tous les Inftru- mens dcMufique. ibid. p. 2.50, La Concavité de la Bouche & celle des Narines s'allonge & fc racourcit fuivant les diftcrens Tons de la Voix. ibid. p. z 5 1 . L'Apre Artère ne fait rien aux Tons ni au Son de laVoix, maisellefait plus qu'un fimple porte- vent, & pourquoi i ibid. p. i ^ 1. & fq. Les diftercntes Concavités de la Bouche ne ré- , pondent aux diftcrens Tons de la Voix , &cc. dans aucune proportion harmonique connue. ibid. p. 254. & fq. Merveilles remarquables dans les caufcs à: !a Voix de l'Homme, ib/d. pp. 2.66. &: fqq. » » Supplément au Mémoire fur la Voix £c f ir les Tons. Par M. DODART. LP.xrt.M.i7o6.p.i 36. Tab. di's M.ii. 1699. —, 17 10. N nnu éji TABLE DES MEMOIRES Voix. Il y a de la différence entre faull'c Voix ou Faufiec &Voix faulTc , & quelle > ihid. p. 142. De Fauflct, fa différence a la Voix Pleine, ibid. Fauffe , fa différence à la Voix Jufte. ibid.^.i^z. Caufcs de la différence entre la Voix de la Pa- r rôle &: celle du Chant. i^/W. pp. 143. & fqq. » " Supplément au Mémoire fur la Voix &: lur les » , Tons. Par M. DODART II. Partie. M. 1707. VoixdeFauffetjdoùproduite. H. ijoé.p. i^.&fq. Fauffe, d'où produite? ibid. p. 21. r: "-' Quclquesfois agréable dans la Parole, &:dcfa- grcablc dans le Chant , &: au contraire , &c pour- quoiiibid- p^ li- èC fq. t.;, Extindion de voix extraordinaire. H. 1700^ p. 45.. Guérie corome par hazard avec de Vulnéraires, parM.LEMERY./^/V. . ■ D'aucres guéries par le même Remède. FI. 170 1.. p-ya. Vol des Oyfèaux. Raifon générale de ce Mouvement. H. 1702. p. II. \' o L A T I LE s n'ont qu'un fcul O vaire. Fi. 1 6^9 . p. 3 1. Volatils. L'Or Se l'Argent font des Métaux Volatils au feu du Soleil. M. 1701. p. 141. &: fq. Volatils. ( Sels ) Foiezi Sels. VoLAT mzATioN ( cxcmplede la ) des Sels fixes Lixi- viels. M. 1702,. p. jo. &: fq. Volcans. D'où viennent les Embraferaens des Volcans. M. 1700. p. 103. «Vomissement. » Sur l'aétion du Ventricule dans le Vo- " miffemcnt. H. 1700. p. tj. Siffênxe de M. Cliixac fur leVomiffcmcnt. ibid^ p. 2.7. DE L'ACADEMIE kî^^— . lyto K^ Vomissement. Expérience faite pour ce SilK-.inc p^r M. DU VERNEY dans rAcademic./^/W. p."»;?. Raifon contraire de M. LITTRE. /^/^. p. 2S. Les deux Siftêmcs peuvent être vrais. il//d. p. 19. VossiUS.( Ifaac) Son Expérience touchant la dilatation ou le refîcrement desTuiaux de Verre plongés dans les Liqueurs chaudes & froides. M. 170^. p. 76. VoussoiRS , terme d'Architedure , ce que c'eft î H. 1704. » « Sur la figure de l'Extrados d'une Voûte circu- I» laire, dont tous les Vouflbirs font eu équilibre • entre eux , ( déterminée far M. PARENT. ) H. 1704. p. 9 j. VoUTE. Poufl'ée des Voûtes , ce que c'eft ? ihid. p, cjj. & fq. Leur mefure découverte par M. PARENT. ihid. Voûte plate dont la Coupe des Pierres efl: parti- culière, inventée par M. Abeille, & approuvée par l'Académie. H. 1 699. p. 1 10, Upminster ( en Angleterre) Obfervations fur le Baro- mètre ôc les Vents faites .\ Upminfter en 1697. &:i698. par M. W^illiam Derham, & compa- rées avec les mêmes faites à Paris. H. 1699. pp. il. &: 21. Uranibourg (Longeur du Pendule Xj obfervéepar M. PICARD lamémcqu'àParis. H. 1703.P. 151. "Urethre. { " DefcriptiondcF ) de l'Homme, démon-" » tréc à l'Acadcmic le 3. Juillet 1700. Par M, .. LITTRE. M.1700. p. 31 1. Uria ( Rivière) Carte de fon Cours depuis la Cayennc jufqu'aux Nouragues dreffée fur les Mémoires du P. Grillet Jef. &: montrée à l'Académie. H, 1701. p. 86. N nnn ij 6^4 TABLE DES MEMOIRES Urinaire. ( Membrane ) ^'c'/fc Membrane. URiNE(r)engéneral,ccquec'cft; M. 1707. p. 33. Urine d'Homme , fon ufage. it^i^. A trois réceptacles dans le Corps , 8c quels; M.. 1705. p. iij. »» » Sur une nouvelle Route des Urines. H. 170 1, p. 34. Route ordinaires des Urines, ihid. Accourcie par M. MORIN. y^/^. p. 3 y. Avantages èc preuves de ce Siftêmc. iùid. p. 3 y., &lq. »» » projet d'un Siftcme touchant les Partages de la. ». • Boiiron &: des Urines. Par M. M O R 1 N. M. » 1701. p. 198. Sont de deux fortes , fuivant les tems aufqucb elles s'écoulent après la Boiffon. M, 1701. pp.. 1 99i &C i'qq. Voie des premières Urines , établie par expé- rience. Il?/d. p. 200. & fq. Des fécondes reçue de tous. /'^/V. Couleur des Urines , comme celle de laCalTc que l'on a buë , d'où vient-elle i ii/id. p. zo8- &;fq. Expérience particulière fur une Rétention d'U- rine. H. 1700. p. 39. Suppreflion d'Urine pendant 31. jours, &cc. caufesS: fuites de cette Maladie. H. 1704. p. 15?.. & fq. Urine de Vache, Remède ufitc en Médecine. H. 1707.. P-4T- Différence de cette Urine diftillce en Hyverou. en Eté. ii>id, &c fq. ■ Son ufage pour les Maladies n'eft pas nouveau.. M. 1707 p. 33. Commci^t nommée autrement, il/id. p. 34. ; DE L'ACADEMIE i(Î5/9 — 171° ^S9 Ur I ne de Vache. Choix qu'on en doic faire, lè/a'. Maladies pour Icfquellcs on remploie. //'.p. 3 y. &rq. Saifon la plus propre pour en prendre. /"-.p. 3^. «DeTUnnedc Vache, de fes clïccs en Mcdcci- » nc,&de fon Analyfe Chymique. Par M. LE- MER Y. M. 1707. p. 3 3. "Vue. " Des Mouvemens del'L'is, & par occafiondcla n partie principale de. l'organe de la Vue. Par M. . MERY.M. 1704.P. 161. Vu IDE. Les Animaux s'enflent dans le Vuidc. ^L 1700. p.. iio. H. 1700. p. 16, La Vipère s'y dcfcnflc au contraire , &: pour- quoi ? M. 1700. p. i2.I. La Glace fe tond dans IcVuidc en Eté, beaucoup plus vite qu'à l'Air. H. 170S.P. 2.1. ■ Expérience de la Refraction des Raïons qui pafi fcnt du Vuidc dans l'Air , faite à Londres. H, 1700. p. 114. Conféqucnces tirées de cette Expérience. //■. Cette Expérience faite à l' Académie ''i.p. iij. Eft contraire à celle de Londres. iL Réflexions fur la différence de ces Expencnccs.. iff. p. I i(j. VuiDE. ( Machinedu) Réglegénetalc pour couuoître la quantité d'Air reftant dans le Récipient de la Machine du Vuide , après un certain nombre dé- terminé de coups de Piflion. M. 1705, pp. 304. ^'%- ... , . Ufage du Manomètre pour vcrihcr les Experten- ees dclaMachineduVuide. //^.p. 328. Les Pûiflons qu'on y met fous le Récipient^ ren- dent beaucoup d'Air de deflous leurs Ecailles. M, 1700. p. ZiD. N nnnii; 6^6 TABLE DES MEMOIRES Vulnéraires. GiiciilTcnt quelques ExcmclionsdcVoix.' H. 1700. p. 4j. H. 1701. p. 72.. UzEDA. (Le Duc de) Son Obfervacion de l'EcIipfeduO du 25. Septembre 166 ç). faite 3. Madrid. M. 1701.P.83. w Wallis. ( m. ) a remarqué le premier le Phénomène des Tons égaux faits fur des parties inégales d'une Corde. H. 1701. p. 1 3 1. S'cft trompé fur fes Efpaccs Afimptotiqucs plus qu'infinis -de l'Hiperbolc. H. 1706. p. 49. M, 1706. p. 15. WiLiN. ( Nî. L'Abbé) Chaifc à Porteurs de Ton inven- tion approuvée par l'Académie. H. 1707. p.iyj. "WuRTZELBAUR. (M.) C^'/T. Scs Obfcrvations Afhono- miqucs faites à Nuremberg , rapportées dan s les Mémoires de l'Académie. 1699. — 17 10. Eclipfe de C du ti. Février 1701. M. 1701. pp.7i.7y.&fq. du 16. Avril 1707. M. 1707. pp. 3n-&%- du 19, Sept. 1708. M. 1709. •p. 6i. &fq. Eclipfe de O du 13. Sept. 1^99. H. 1700. p. 108. M. 1701.P. 8 j. ......... du II. May 1706. M. 170^. p. 469. du I. Sat. de T? en 1700. M. 1701. Dcclinaifon de l'Aiman en divcrfes années. ihi^. p. 77. DE L'ACADEMIE i^PP — 171° ^57 X Xamhay Ville de la Chine fur la Côte Orientale, Sa Latitude. 7 H z' ' Ypecacuanha •» Extraie des Dcfcripcionî que Pifon &: Marc-Gravius ont données du Caa-apia, &: M Confrontation des Racines de Caa-apia &: d'Y- ,. pccacuanha , tant gris que brun , avec leur Def- * cription, par laquelle on voit fcnfiblcmcnc la M différence du Caa-apia à rYpecacuanha. Par M.GEOFFROY.M.'i7oo.p. 134. Racine du Caa-apia a prefque les mêmes Vertus que l'Ypecacuanha. ié/iai. p. i j j. « >• Analyfe de l'Ypecacuanha. Par M. BOUL- a DUC. M. 1700. p. I. H. 1700. p. 46'. Son ufage en général. M. 1700. p. 1. Pourquoi peu connu jufqu'alors. //^/V. Eftde deux fortes. /^/V.p. 3. Troifiéme forte d'Ypecacuanha connue depuis. ihid.Y- 3* Examende l'Ypecacuanha gris. ihid. Contient beaucoup plus de parties Salines que de parties Rcfmcufes./^/W. p. 4. & fq. 4» " Suite des Analyfes de l'Ypecacuanha. Par M. BOULDUC. M. i7oo.p.7«5. Brun , contient moins de parties Huileufcs &: moins de refineufcs que le gris, ibid, p. y 6. £run , pourquoi plus violent dans fes effets que le gris. ihid. pp. 76. &; 78. Rapport entre les produits des Extraits de cc^ deux fortes d'Ypecacuanha. /^/V. p. 77. & fq. »» « Obfcrvations fur les Effets de l'Ypecacuanha. ParM. BOULDUC. M. 1701. p. 191. Sa violence ne dépend que de fes parties Refi- ncufes.M. 1701.P. 15)3. ■ Eft fpécinque par fes feules parties Salines. ibid. Purge &: refcrrc tout à la fois. M. 17 10. p. 1^4. Ypicacuanwa. DE L'ACADEMIE i(î99 — 1710 6^9 Ypecacuanha caufe un crachement de Sang quand on en refpire par le Nez en en pilant beaucoup. H, 1704. p. 23. Yquetaya (Plante du Brefd) comment découverte. M. 170 1. p. Z12. Ce que c'eft que cette Plante. ;l>/d. Ofte au Scné Ton mauvais sjoùt fans diminuer fa vertu. /■/'/W, Eft utile pour la Pleurefic & l'Apoplexie. /^/V. p.78. Son Analy fc donne les mêmes produits que celle de la grande Scrophulaire Aquatique. H. 1701. » ». DilTertation fur une Plante nommée dans le » Brefd Yquetaya, laquelle fcrt de Corrcdifau » Séné, &c fur la préférence que nous devons M ■ donner aux Plantes de nôtre Pais par dcfTus » les Plantes étrangères. Par M. MARCHANT, M M. 170 I. p. II I. z 2.EITZ ( Eclipfc de O obfervé à ) le 12. May 1700. par M. Teuberus. M. 1706. p. 470. ZiNK ( Minerai ) pourroit bien n'être qu'un mélange naturel de Fer &c d'Etain. H. 17 10. p. 48. M. 1710. p. 234. TaL des Mai. 169^.-^ ly 10. Oooo 660 TABLE DES MEMOIRES ZuMBO(M. Gaëtano Giulio ) de Syracuze, apporte a l'Académie une Tête d'une certaine compofi- tion de Cire très bien préparée pour une De» monftration Anatomiquc. H. 170 1. p. 57. Zurich ( Eclipfe de C du 17. Avril 1707. Qbfervécà) par M. Scheuchzcr. M. 1707, p. jjy. -- - Eclipfe de © obfcrvce à Zurich le 11. May 170e. par M. Schcuchzer. M. 1706. p. 466. Obfcrvations Faites à Zut'c fur le Baromètre- & la quantité de Pluie tombée en 1708. M^ 1705J. pp. io. &: fqq. FIN. I(J5>9 _ 1710. Chez îtan-Baptiste Cgignard Fils , Imprimeur de l'Académie Françoiie, rue S. Jacques , au Livre d'Or, ■■Vvr--,,v«» fl