BULLETIN < L'ACADEMTE INPERIALE DES SCIENCES S'-PÉTERSBOURG. | Ben S TOME VINGT-SEPTIEME. (Avec 8 Planches.) ST.-PÉT URG, 1881. — / 55 3 Commissionaires de l'Académie Impériale des sciences: A ST.- PÉTERSBOURG : A RIGA: A LEIPZIG: Eggers & Cie et J. Glasounof; N. Kymmel; Voss Sortiment (G Haessel). Prix du volume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 10 marks allemands pour l'étranger. l'ordre de l'Académie Impériale des science TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. MATHÉMATIQUES. N, DR Sur jo résultats des expériences concernant la résis- nce de l'air, et leur application à la solution des problémes du Je [14 N. Veit. Sur l'intégration des équations partielles du premier e = = plusieurs variables dont les coefficients sont constants. y, Penis wil , Quelques remarques sur les propriétés d'une classe particulière des fractions décimales périodiques. 362—369. E. Bonsdorff, Sur une nouvelle connexité dans l'espace. 560—572. ASTRONOMIE. J. Kortazzi, Sur la rotation de Jupiter. 29—35. Observations des taches de Jupiter. 142—145. 0. Struve, Sur le temps universel et sur le uis à cet effet d'un ——— : premier méridien. 50— 0. er Développement des perturbations absolues d'une co- méte. —135. SS, ten. Les RIRES des planètes Vesta, Saturne et Neptune se uo 0 à ro pee E 0. € Les éléments et l'éphémeride de la comète Emck i Dr. B. a Obser AOE ee des comètes 1881 b et 1881 e (avec une planche). 417— PHYSIQUE. H, Wild, Relation entre les lignes isanomales de température et les lignes isobares me 2 cartes). 168—186. — Détermination exacte de l’inclinaison absolue au moyen de l'inclinatoire 1 320—333. ` ' ——— L'orage magnétique du 11—14 aoüt 1880 (avec une planche). 2 288—300. Différence du magnétisme terrestre entre St.-Pétersbourg et Pawlowsk. 800—319. Dr. B. Hasselberg, Sur la spectroscopie de l'hydrogéne (avec une planche). 97—110. . . —— Sur la spectroscopie des eso 405—417. ` 0, Chwolson, Influence de la pae n sur la résistance électrique des fils métalliques. 187 ——— Sur la valeur des erreurs nice du irai ou de la pré- maturité des impulsions dans les méthodes de M. Weber Jut _ mesurer les courants électriques instantanés. 265—272. | oan, Glace sous la «pression critique». 273—282. CHIMIE. JD. Liu, Sur la formation des dérivés nitrés de quelques hy- > drp ocarbures de la série grasse par l'action directe de l'acide 1 azotique. 38—45. ههج bservatoire académique de St. -Péters-. 5 WC : Ludw. Struve, Se Tétoile double x. 60 — 4 Cnislopejae- wg 3i S. Przybytek, Les produits de l'oxydation de l'Érythrit. 145—151. MINÉRALOGIE. N. ee, fils, Les ge de beryl provenant d’un endroit lOural méridional. 35—38. ` BOTANIQUE. C. J, Maximowiez, Veget plantarum novarum asiaticarum. IV (avec une planche). 425—460. C. ور‎ as et F, e ignons ien Zeg SE 135 — Thi ümen, Énumération et description des la Mongolie et dans la Chine ZOOLOGIE. J. F, bed Remarques sur les variations du pelage et Pes la dis- ribution ne de la Enhydris marina. 15— Dr. e Dybowski, Quelques remarques sur la variabilité a formes de ed baicalensis, et sur la distribution des éponges du Baical. 4 M, Bogdanow, erer? sur le groupe de Ptéroclides. 164—168. Dr. F, Morawitz, Les Bourdons russes du Musée zoologique de Aca. — 265. : L. Rütimeyer, Rapport sur une partie des manuscrits postumes de M. RAD membre de l'Académie. 398— 400. PHYSIOLOGIE. A. Saefftigen, Anatomie des glandes lactifères pendant la période de lactation (avec 2 planches). 78—97. PHILOLOGIE ET HISTOIRE. Dr. W, Gutzeit, Sur l'époque de la rédaction de la vie de St. PM s d'Amastra. 333—388. E. Kunik, Remarques complémentaires sur les recherches concer- : nant l'époque de la rédaction de la vie de St. Georges d'Amastra. Feen et quelques points de Chronologie eue tine du IX siècle. 338—362. LETTRES ORIENTALES. Baron v, Rosen, GR quelques monuments de l’ancienne littérature arabe. 55— > B. Dorn, Ss complémentaires sur les monnaies des Teks, anciens khans du Turkistan. 151—164. Bulletin bibliographique, 111—112, 400. B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) sine N ‚Sur l'intégration des équations partielles du pranier à plusieurs variables dont les coefficients sont con beris p Backlund, T Développement des perturbations absolues d'une co- en SE SE et l'éphémeride de Ja comète Encke pour 1881. 401. Bogdanow, M. Remarques sur le groupe de Ptéroclides. 164. Bonsdorff, E, Sur une nouvelle connexité dans l'espace. 560. Bouniakowsky, V. Quelques remarques sur les propriétés d'une classe particulière des fractions décimales périodiques. 362. Boutlerow, M. A. Glace sous la «pression critique». 273 Brandt, J, F, Remarques sur les variations du pelage et sur la dis- tribution gings ique a la Enhydri is marina. 15. Chwolson, 0, Infiuence de la pression sur la résistance électrique des fils ea T. ——— Sur la valeur des erreurs dépendantes du retard ou de la pré- maturité des impulsions, dans les méthodes de M. Weber pour mesurer les courants électriques instantanés. 265. Dorn, B. Remarques complémentaires sur les monnaies des Ileks, anciens khans du Turkistan. 151. . Dybowski, W,, Dr. Quelques remarques sur la variabilité des formes de Lubo mirskia baïcalensis, et sur la distribution des éponges du Baical. 45. . Gutzeit, x yes Sur l'époque de la rédaction de la vie de St. Georges d'A 833. Hasselberg, BD r. Sur la spectroscopie de l’hydrogène (avec une ; he). 9 u la تي‎ des métalloïdes. 405. —— Observations wege des cométes 1881b et 1881c : (avee une planch s ner C. et 1 de Thümen. Énumération et denken des mpignons recueillis dans la Mongolie et dans la Chine sep- : y في‎ le. — . Kokscharow, N., fils, Les cristaux de beryl provenant d'un endroit E de POural méridional. 35. carbures - tique. 38, TT 3 Konovalof, D, Sur la formation des dérivés nitrés de quelques hydro- e la série ee par euer. directe de l'acide azo- Kortazzi, J. Sur la rotation de Jupiter. 29. -—— Observation des taches de Jupiter. 142. Kunik , > Remarques complémentaires sur les recherches concer- nant l’époque de la rédaction de la vie de St. Georges de SE Éclairciss one et quelques points de chronologie russe-bysantine du IX siécle. 338. Maximowiez, C. J, "e plantarum novarum asiaticarum. IV (avec une planche). 425 Mayevski, N, Sur les résultats des expériences concernant la résis- e de l'air, et leur application à la solution des problémes du tir. 1. : ; Morawitz, F., Dr. Les Bourdons russes du Musée zoologique de l'Académie, 218. — Przybytek, 8. Les produits de l'oxydation de l'Érythrit. 145. v, Rosen, — Sur quelques monuments de l'ancienne littéra- ture arabe. 55. S Rapport sur une partie des manuscrits postumes de‏ ياج يك M. B , membre de l'Académie, 393. - Säfftigen, A. ioak des spas res pendant la période de lactation (avec 2 planches à quite A. Les oppositions d RS Vesta, Saturne et Neptune ..— ervées en 1880 à l'Observatoire académique de St.-Péters- ` Poara 319. Struve, Ludw, Sur l'étoile double X. 60 = e Cassiopejae. 369. Struve, 0. Sur le temps universel et sur le choix à cet effet d'un premier méridien. 50. Wild, H. Relation entre les lignes isanomales de température et les lignes isobares (avec 2 cartes —— Détermination exacte Le vidini absolue au M de l'inclinatoire d'indartio 320. —— L'orage magnétique du pes aoüt 1880 (esae une Re 283. —— Différence du agnitione terrestre entre St.- Pétersbourg ek Fodor.: 300. Bulletin bibliographique. 111, 400. BULLETIN DE LACADEHE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.- PÉTERSBOURG. TOME XXVII. (Feuilles 1—7.) CONTENT. Page. N. Mayevski, Sur les résultats des expériences concernant la résistance de l'air et leur application à la solution des problèmes du tir........................... 1— 14 J. F. Brandt, Remarques sur les variations du pelage et sur la distribution rni phique de la Enhydris MUNNA serka ENEE EN ENEE hh hh rnnt s 15— 22 A Alexéeff, Sur l'intégration des équations partielles du premier dre à plusieurs va- i ie , dont les coefficients sont constants..... Ce ue A IO PUER S. 22— 29 J Rel, "Bur TE rotation de Jupiter... escrow e TL i MAT 29— 35 -Ne Kokseharow, fils, Les cristaux de "S mms m "indt de l'Oural mëria 35— 38 D. Konowalof, Sur la formation des dérivés nitrés de quelques hydrocarburés de la série grasse par l’action directe de l'acide a2otique un 0, Ee 38— 45 Dr. W. Dybowski, Quelques remarques sur la variabilité des formes 06 0 > baicalensis et sur la distribution des éponges du Baïcal...................... 45— 50 ` 0. Struve, Sur le temps universel et sur le choix à cet effet d'un premier méridien.... 50— 54 Baron v. Rosen, Sur quelques monuments de l'ancienne littérature arabe ............ 55— 78 A. Saefftigen, Anatomie des glandes lactiféres pendant la période de lactation. (Avec SN Me PAS LU uec PL MU EL er T8— 97 Dr. B. Hasselberg, Sur là spectroscopie de l'hydrogène. (Avec 1 en م‎ EN ‘97—110 Bulletin bra i EE عع‎ eren 111—112 N Ci-joint un Supplement. lo. Bot. Garden, 13897. Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Kache de (Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12) Février 1881. E x d v E | BULLETIN ` ` DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST-PETERSBOURG. Sur les résultats des expériences concernant la ré- sistance de l'air et leur application à la solution des problémes du tir, par N. Mayevski. (Lu le 16 septembre 1880.) Jusqu'à ce que les hypothéses sur le mouvement moléculaire des gaz ne soient assez développées pour pouvoir conduire à une solution éxacte de la question . de la résistance, nous sommes obligés de recourir aux résultats des expériences pour chercher l'expression empirique de la résistance en fonction de la vitesse des corps en mouvement dans l'air. Les anciennes ex- périences sur la résistance de l'air au mouvement des corps animés de faibles vitesses, renfermées dans les limites de 4 à 10 métres-secondes, ont fait voir que cette TW résistance pouvait étre considérée comme proportion- nelle à la projection de la surface du corps sur un plan-perpendieulaire à la direction du mouvement, et comme proportionnelle au carré de la vitesse du corps. Les expériences du tir des canons, contre un pendule balistique, à différentes distances, ont montré que la résistance de l'air au mouvement dis projectiles crois- sait plus rapidement que le carré de la vitesse, et ont conduit Euler, Didioa et M. de S-t. Robert à ex- primer la résistance de l'air par un binome dont le premier terme est proportionnel à la seconde puissance de la vitesse et le second à une puissance de cette vi- tesse superieure à la seconde. Le pendule balistique ne pouvant déterminer la vi- = tesse d'un méme projectile qu'à une seule distance de la bouche à feu, on était obligé de prendre les vitesses pus obtenues, avec des projectiles et des charges € poids et de diamétres égaux, à chacune des deux distances, pour les vitesses d'un méme projectile en - deux points de sa trajectoire. Cette circonstance a dü influer nuisiblement sur les résultats et, aprés l'intro- duction des appareils électro- -balistiques, a engagé de Tome XXVII. répéter les expériences sur la résistance de lair au mouvement des projectiles sphériques et à les exécu- ter sur les projectiles oblongs qui venaient d’être in- troduits dans l'artillerie. Au moyen de ces appareils, on mesurait les vitesses d'un méme projectile en deux points de sa trajectoire. Ces expériences ont été exécutées en 1868 et 1869 par nous en Russie et par M. Bashforth en Angleterre; on s'y était servi de chronographes perfectionnés. Dans ces expériences, les trajectoires étant trés tendues, l'axe de figure des projectiles oblongs coincidait sensiblement avec la di- rection du mouvement, et les valeurs de la résistance de l'air que l'on en deduisait, pouvaient étre prises pour celles de la résistance suivant l'axe de figure des projectiles. Nous avons construit sur une figure, dans notre Traité de Balistique, les valeurs des résistances divisées par la section transversale du projectile et par les carrés des vitesses, en prenant ces valeurs pour ` ordonnées et les vitesses pour abscisses. L'inspection de la figure fait voir que la courbe continue passant par ces points (pour les projectiles oblongs ainsi que pour les projectiles.sphériques) peut étre considérée comme paralléle à la ligne des abscisses aux trés fai- bles vitesses et aux grandes vitesses, la partie de la courbe qui correspond aux grandes vitesses étant plus éloignée de l'axe des abscisses que celle qui correspond aux petites vitesses. Dans ces derniers temps, on a commencé à employer des projectiles dont la partie ogivale est plus allongée que celle des projectiles expérimentés en 1868 et en 1869; mais à ce que nous sachions, aucune artillerie ` n'a fait des expériences sur la résistance de l'airà ` leur mouvement. L’usine de canons de Friedrich Krupp a voulu heureusement combler la lacune; elle a mesuré les vitesses de ces projectiles, tirés avec ` différentes vitesses initiales, en plusieurs points de leurs trajectoires assez tendues, pour qu'on puisse 1 = Se 3 Bulletin de l’Académie Impériale 4 prendre les valeurs de la résistance de Pair que lon peut en déduire, pour celles de la résistance suivant l'axe de figure des projectiles. L'usine a déduit de ses expériences les trajets horizontaux que parcourt un projectile (dont le rapport du poids, en kilogram- mes, à sa section transversale, en centimètres carrés, est égal à l’unité) pendant que sa vitesse, ou plus _ précisement la projection horizontale de sa vitesse, diminue de 10 en 10 métres-secondes. Ces trajets sont obtenus pour les projectiles en fonte ordinaire et pour ceux en acier et en fonte durcie dont la partie ogivale est plus allongée que celle des premiers. La table I contient les résultats des expériences de l'usine Krupp, ramenés à une densité de l'air égale à 17206 Désignant par 'م‎ le rapport de la résistance o de l'air à la section transversale xA? du projectile et au carré de la vitesse ,5م‎ et en considérant la résistance comme constante sur le trajet parcouru par le projec- tile pendant que sa vitesse diminue de 10” :*, et comme correspondante à la moyenne arithmétique des vitesses au commencement et à la fin du trajet, nous avons cal- culé, au moyen de la table I, les valeurs de o par la formule 1 c.v ? Z”.‏ 10000 = م où V et V' sont les vitesses au commencement et à la fin du trajet, KH = 10", x le trajet pour une di- minution de TO de: vitesse, v— er E g l'aecélé- ration de la gravité. Ces valeurs de » le mètre, le! kilogramme et la seconde étant pris pour uuités, sont | inserées dans les tables II et IH. En prenant les vitesses pour abscisses et les valeurs de o se rapportant aux projectiles en fonte ordinaire ainsi qu'à ceux en acier et en fonte durcie pour ordon- nées, on obtient deux eourbes sensiblement semblables à celle qui résulte pour les projectiles ur des ex- periences de 1868 et 1869. Ces courbes peuvent être assez bien diede par lexpression qui pour les trés faibles vitesses se réduit à ¢'= A et pour les grandes vitesses à o — À (z Y o r < q. La résistance de l'air peut ainsi être exprimée par . — ERR +) IT étant la densité de l’air au moment du tir et IL = 17206 la densité de l'air à laquelle sont ra- menés les résultats des expériences sur la résistance de l'air. | Cette expression de la résistance ne se prétant pas à l'intégration, méme approximative, de toutes les équations différentielles du mouvement d'un projectile, nous n'avons pas cherché les valeurs les plus pro- 2 v, , H e = Arf‘, ° bables des coefficients À, q, r et de l’exposant y pour les différentes espèces de projectiles expérimentés. Pour les projectiles oblongs en fonte ordinaire, expé- rimentés à l'usine Krupp, la courbe de e est assez M bien représentée en prenant A = 0,0070, y = 10, q = 257", r = 306", mais ces valeurs ne sont pas les plus probables. Afin que les résultats des expériences exécutées à l'usine Krupp soient représentés par des expressions qui permettent une intégration facile, quoique par approximation, des équations différentielles du mou-- vement, on peut, à l'instar de ce que nous avons fait dans notre Traité de Balistique pour les résultats de i 1868 et de 1869, exprimer la résistance de Lai; s depuis la vitesse de 100 jusqu’à ce A75" contre s j ctiles en en on e acier et en fonte Werde p par ENS B Ax RP E "e où À — 0,0407 pour les GE en fonte ordinaire et À — 0,0398 pour ceux en acier et en fonte durcie, depuis la vitesse de 475"'" jusqu'à celle de 359”: contre les projectiles en fonte ordinaire et depuis la vitesse de 475"'* jusqu'à celle de 371”'* contre les projectiles en acier et en fonte durcie par e = rR ` (1 +?), ١ où À = 0,025, r= 756™° pour les projectiles en E fonte dial et A= 0,019, r = 434" pour ceux | en acier et en fonte durcie, depuis la vitesse de 359"? jusqu'à celle de 29 mis contre les projectiles en fonte ordinaire et depuis là ei GE vitesse de 371"'* jusqu'à celle de 288”: contre ee projectiles en acier et en fonte durcie par 5 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 6 = Ar À e lement et promptement ces valeurs de m — 2 et de x de | À, nous avons procédé comme suit: où lg A = 12,3438 pour les RT. en fonte or- Y ` dinaire et lg À = 12,2636 pour ceux en acier et en fonte durcie, | et depuis la vitesse de 290"'* dique celle de 200"* contre les projectiles en fonte ordinaire et de- puis la vitesse de 288"^* jusqu'à celle de 200""* contre les projectiles en acier et en SE? durcie par = ART vt, où م1‎ À — 7 ars pour les ih en fonte ordi- naire et lg A = 7,1817 pour ceux en acier et en fonte durcie. Mais cette manière de représenter les résultats des expériences sur la résistance de l’air a le défaut d’ob- liger de diviser la trajectoire en parties dans le cas. du tir direct (qui a lieu sous des angles de projection ne dépassant pas 15°), toutes les fois que la vitesse initiale est assez grande, ce qui est ordinairement le . cas"). Pour obvier à cet inconvénient, on peut cal- euler, pour une portée et une vitesse initiale données, langle de projection, l'angle et la vitesse de chüte et la durée du trajet, en prenant pour la résistance "S de l'air E. : | ‚et par ke pour [2 Bc e e SR Av" — | et en déterminant m — 2 et A de manière que la somme des carrés des erreurs, avec lesquelles cette formule représente les valeurs de a déduites des ex- périences sur la résistance de l’air, soit un minimum entre les limites de la vitesse initiale V et de la vi- tesse de chüte v qui peut être dans tous les cas esti- mée par les données de la table I. Pour obtenir faci- 1) Au moment de l'impression de notre note, le colonel Pach- | kevitch, de retour d'une mission, vient de nous remettre, ce 6 (18) octobre, de la part du capitaine de l'artillerie Italienne M. Siacci ote: Nuovo metodo per risolvere i problemi del tiro, Roma, 1880 que le capitaine lui avait adressée, au mois de juillet, à S.-Péters- bourg, lors de son absence de cette ville. Dans cette note M. Siacci, ptant pour la résistance de l'air des expressions différentes pour érentes limites de vitesses, forme des tables numériques de fonc- tions des vitesses qui permettent, de résoudre facilement les pro- blémes du tir direct. Les tables de M. Siacci se r apportent aux projectiles oblongs employés dans s expériences sur la résistance de l'air exécutées par M. Bashfort en Angleterre et par nous en Russie en 1868 et 1869. L'expression a — Av” "` ` donne lg À + (m — 2) lg» — lge = 0. Pour que les valeurs numériques des coefficients des inconnues cherchées ainsi que des termes connus soient du méme ordre, nous divisons les valeurs des lg v par leur plus grande valeur 2,8420 et celles des lg ọ' par leur plus grande valeur 2,0963 pour les projec- tiles en fonte ordinaire, et par leur plus grande valeur 2,2311 pour les projectiles en acier et en fonte durcie et, en er E) — ge 20968 — ^^ SC ein — 2) = y, 2, Zar =b, Sege m pour les projectiles de fonte ordinaire, et IgA y 2842 zy E Jee — 39811 — ^^ 99811 1 (M — 2) = y, 38490 — b, ada pour les projectiles d'acier et de fonte durcie, nous obtenons les équations primitives de la forme 2 + by ف‎ n = 0. Nous avons inséré dans les tables IT et III les va- leurs des lev, des lgo', des coefficients sommatoires b, n, b°, bn et de leurs sommes Z1, Zb, En, XU, Ibn | pour les projectiles oblongs en fonte ordinaire et pour ceux en acier et en fonte durcie. Pour avoir ces sommes entre les limites des vitesses V et v connues, il n'y a qu'à retrancher des sommes qui correspondent à la vitesse v celles qui correspondent à la vitesse V. Les valeurs de x et de y s'obtiendront des équations In — $n où (051) — 3 OEC. 3] CH (bn1) = Go la — zn; connaissant y et 2 on aura les valeurs de m — 9 et de À. Exemple 1. Trouver les valeurs de m et de A pour une portée de 3000 mètres d'un canon de calibre 2R = 07087, tirant un projectile oblong, en fonte ordinaire, de poids P = 658, avec une vitesse initiale — — V = 465"". — Le trajet de 3000” du projectile S donné correspond (pour Ja même perte de vitesse à MEC partir de celle de 465"'*) à celui de 3000 . 1* 7 Bulletin de l'Académie Impériale 26227” d'un projectile dont le rapport du poids, en kilogrammes, à sa section transversale, en centimétres carrés, est égal à l'unité. Le trajet parcouru par ce dernier pendant que sa vitesse descend de 700"'* à 465"'* est (table I) de 10798". La vitesse horizon- tale à 26227" + 10798" — 37025” est (table I) égale environ à 255"". C’est cette vitesse que nous pou- vons estimer comme celle de chüte v pour la portée de 3000" du projectile de 07087 de diamétre, pesant 658 et tiré avec une vitesse initiale de 465"'*, table II, entre les limites des vitesses V — 465”'* et pe 2505" 5, donne. 212: 22, BS 19,7350, Zn =: 16,4035, 2b’ — 17,7198, Zbn = 14,6641. On cal- culera (bb1) = 0,0162, (bn1) = — 0,0506, 2,0963 2,0963 (ei) m — 2 — 5349 = — 35430 (Bb — 2,904, ou en nous bornant à une décimale dans la valeur de l'exposant #, nous aurons m — 2 = 2,8. La valeur correspondante de y sera 2,8420 2,0963 y = 2,3. — 3,118. Avec cette valeur de y on calculera zZ = — 8,5429‏ الب et‏ lg 4 = 2,0963-2 = — 7,4270 = 8,5730. Exemple 2. Trouver les valeurs de m et de À pour une porté de 1000" d’un canon de 07087, tirant un projectile en fonte ordinaire de 6*8 avec une vitesse initiale V = 465"'*. — Procédant de la méme ma- nière que dans l'exemple ci-dessus, nous aurons la . vitesse estimée de chûte v = 335"'* et m—2= 1,0, gA — 5,9672. ; Ayant ainsi trouvé les valeurs de m et de A dans expression de la résistance de Pair e = AE T v" lo on calculera: La : l'angle de projection o, lorsque le but est au niveau de la bouche à feu, par la formule sin29 — nA p (2), l'angle de chüte — 0 par la formule — tgl = igo — iouis 3 (2), la vitesse de chüte v par la formule | icto, cos o ° < 1 cose? la durée t du trajet par la formule p rues 9 i (2), où : 5 (1 Rm 1 ب‎ CEA H (2) = et 1 Em—2 m, H ١ X CT Sie (rm 3 (2) — Mog ? —2 Ce ée De) = (1 + 22, "ut 1 MRS: (= | ee ee (m — 2) am — 1, cos — 2 9, y m —2,% Lem —1 3 3 | a étant une certaine valeur moyenne de la sécante de l'angle d'inclinaison de la trajectoire entre les limites o et — 6, de manière que l'on peut, sans grande erreur, poser, dans le cas du tit direct, a” 7 1 cos” — et _ (n—2) VT : Aie gem — 1 3 2Axk?g Il’ Pour le cas particulier de Ms med للش‎ Fe po T d | 3 (2) = for 3 D (+) = ei SE b E 9 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 10 u Table 1. ie a jx à > Résultats des expériences de l’usine Krupp. B ocu he; Ces résultats sont ramenés 1) à un projectile dont le rapport du 6 poids, en kilogrammes, à sa section transversale, en centimètres car- dans le cas du tir direct on peut, sans erreur sen-- rés, est égal à l'unité, et 2) à une densité de l'air égale à 1* 206. € Le H > A H D K ei H - 3 t : r : P b ` sible, poser a — See ==- = — ? 2 d 1 Obus en acier et en fonte P T Obus en fonte ordinaire. dur iu Ce | | - 2Ark’g Il Vitesse. Tenia pour Trajet pour EE : ; 1 : : iminu- | Somme, une diminu- | g La dérivation D peut être calculée par la formule tion de u 22:5 OT 0e | 5 "E de vitesse Pil = LIN ee] det Baue am 1 ( ros) 36g" 369" (m - 1) k.n. V? 2m—1 \vcosd 378 741 d OE 379 1120 me zi Ra poem 23 m 1 385 1505 | m —2 \v coso (2m —1) (m —2) |? 391 18 i - 396,5 2292,5 qui pour m = 2 devient ae 3104 p — 8kgurc? E [ V cos 1] V coso 1 415,5 3519,5 7C. 8hoV? \3 S ee). is lg © coso 422,5 3949 oi 430 4372 ù : 437 4809 1 * € 44 5254 a est la longueur du pas des rayures à la volée du 452 5706 canon — zen exprimée en rayons du projectile; 460 6166 469 6635: jk s , À étant le moment d'inertie du pro- 473 7113 76 ` jectile tee de son axe de figure. Pour les obus, en| 510 " 497 s097 fonte ordinaire, de 2,7 calibres de longueur, semblables 1° 50 7 508 8605 à celui du canon de 07087, on a p = 0,53; SC Se 3 dans le cas du tir direct, les angles ò que fait Taxe 543 de figure A du projectile avec la tangente T de la EN è e م‎ e P s 575 trajectoire étant petits, le moment Æ de la résistance 595 de l'air par rapport au centre de gravité du projectile ut et l'angle (o, T) que fait la résultante de la résistance 660 avec l’inclinaison de la trajectoire sont sensiblement 685 ; : 710 proportionnels à l'angle 8, tandis que la composante 145 . €, de la résistance suivant l'axe de figure du projectile B est sensiblement indépendante de l'angle 3; par suite | 870 : 8 عد‎ sin, 7) 1021 * 986 les coefficients — Set et kaz o (A 3^7 410 1300 sont constants pour les projectiles semblables. En | pem caleulant la relation entre la résistance de l'air sur 99:55 Y les surfaces de révolution et les angles 3 (supposés See petits) d’après le procédé ordinaire basé sur la con- 3185 | Sidération du choc d'un corps contre l'air en repos, | kan On trouve, pour les obus en fonte ordinaire de 2,7. 4655 calibres de longueur, semblables à celui du canon de = | 07087, la valeur de k = 5,2 et celle de k = 2,0. 7180 — 8455 Bulletin de l’Académie Impériale pas ARR ue: p = Av"; lg A+ (m — 2)]g v leg = 0. (bb1) = xp? — @n1) = Xin — 2 En, ux (bni) e. En ipee om E ou m SE — my = 0,7376y; 1g 4 — 2,0963 x. Table Il. Obus en fonte ordinaire. Ier |] lge' v e' lgo lgo' 2,8420 | 2,0963 b? bn |X1| 3 In 2b? Xbn —b =n 695””° | 0,0407 | 2,8420 | — 1,3904 6633 | 1, 6638 | 1| 1, 0,6633 | 1,0000 | 0,6633 685 | 0,0407 | 2,8357 | — 1,3904 | 0,9978 | 0,6633 | 0,9956 | 0,6618 | 2| 1,9978 | 1,3266 | 1,9956 | 1,3251 675 | 0,0407 | 2,8293 | — 1,3904 | 0,9956 | 0,6633 | 0,9918 | 0,6603 | 3| 2,9934 | 1,9899 | 2,9874 | 1,9854 665 |0,0407 | 2,8228 | — 1,3 ‚9933 | 0,6633 | 0,9866 | 0,6588 | 4| 3,9867 | 2,6532 | 3,9740 | 2,6442 655 0,0407 | 2,8162 | — 1,3904 | 0,9909 | 0,6633 | 0,9819 | 0,6573 | 5| 4,9776 3,3165 4,9559 3.3015 645 10, 2,8096 | — 1,3904 | 0,9886 | 0,6633 | 0,9773 | 0,6557 | 6| 5,9662 | 3,9798 | 5,9832 | 3,9572 635 |0; 2,8098 | — 1,3904 | 0,9862 | 0,6633 | 0,9726 | 0,6542 | 7| 6,9524 | 4,6431 | 6,9058 | 4,6114 625 | 0,0407 | 2,7959 | — 1,3904 | 0,9838 | 0,6633 | 0,9679 | 0,6525 | 8| 7,9362 | 5,3064 | 7,8737 | 5,2639 615 ‚0407 | 2,7889 | — Lë 9813 | 0,6633 | 0,9630 | 0,6509 | 9| 8,9175 | 5,9697 | 8,8367 | 5,9148 605 0,0407 | 2,7818 | — 1,3904 | 0,9788 | 0,6633 | 0,9580 | 0,6493 | 10| 9,8963 6,6330 9.7947 6,5641 595 | 0,0407 | 2,7745 | — 1,3904 | 0,9761 | 0,6633 | 0,9528 | 0,6474 | 11 | 10,8724 | 7,2963 | 10,7475 | 7,2115 585 ‚04 ‚7672 | — 1,3904 | 0,9737 | 0,6633 | 0,9481 | 0,6458 | 12 | 11,8461 | 7.9596 | 11,6956 | 7,8573 575 0,0407 2,7597 | — 1,3904 0,9711 | 0,6633 | 0,9430 | 0,6441 |13 | 12,8172 8,6229 12,6386 8,5014 565 | 0,0407 | 2,7520 | — 1,3904 | 0,9684 | 0,6633 | 0,9378 | 0,6423 | 14 | 13,7856 | 9,2862 | 13,5764 | 9,1437 555 ,0 2,7443 | — 1,89 0,965 6633 9324 | 0,6405 | 15| 14,7512 9,9495 | 14,5088 9,7842 545 10,0497 | 2,7364 | — 1,3904 | 0,9629 | 0,6633 | 0,9272 | 0,6387 | 16 | 15,7141 | 10,6128 | 15,4360 | 10,4229 535 10,0407 | 2,7284 | — 1,3904 | 0, 0,6633 | 0,9216 | 0,6368 | 17 | 16,6741 | 11,2761 | 16,3576 | 11,0597 525 | 0,0407 | 2,7202 | — 1,3904 | 0,9572 | 0,6633 | 0,9162 | 0,6349 | 18 | 17,6313 | 11,9394 | 17,2738 | 11,6946 515 0,0407 | 2.7118 | — 3 0,9542 | 0,6633 | 0,9105 | 0,6329 | 19 ,985 2,6027 18,1843 | 12,3275 505 .0406 | 2,7033 | — 1,3915 | 0,951 0,9 6314 |20 | 19,5367 | 13,2665 | 19,0891 | 12,9589 495 | 0,0405 | 2,6946 | — 1,3925 | 0,9482 | 0,6643 | 0,8991 | 0,6298 | 21 20,4849 | 18,9308 | 19,9882 | 13,5887 485 ‚0404 | 2,6857 | — 1,3936 | 0,9450 | 0,6648 | 0,8930 | 0,6282 | 22 | 21,4299 | 14,5956 | 20,8812 | 14,2164 475 | 0,0403 | 2,6767 | — 1,3947 | 0,9419 | 0,6653 | 0,8872 | 0,6266 |23| 22,3718 | 15,2609 | 21,7684 | 14,8435 465 | 0,0401 | 2,6675 | — 1,3969 | 0,9386 | 0,6664 | 0,8809 | 0,6255 | 94 | 23,3104 | 15,9273 | 92,6493 | 15,4690 455 | 0,08 6580 | — 1,3990 | 0,9353 | 0,6674 | 0,8748 | 0,6242 | 25 | 24,2457 | 16,5947 | 23,5241 | 16,0932 445 | 0,0397 | 2,6484 | — 1,4012 | 0,9319 | 0,6684 | 0,8684 | 0,6229 | 26 | 25,1776 | 17,2631 | 24,8995 | 16,7161 485 | 0,0394 | 2,6385 | — 1,4045 | 0,9284 | 0,6700 | 0,8619 | 0,6220 |27 | 26,1061 | 17,9331 | 25,2544 | 17,3381 495 | 0,0391 | 2,6284 | — 1,4078 | 0,9249 | 0,6714 | 0,8554 | 0,6211 | 98 | 27,0809 | 18/6045 | 26,1098 | 17,9592 415 0,0388 | 2,6180 1,4112 | 0,9212 | 0,6732 0,8486 0,6201 | 29 | 27,9521 | 19,2777 26,9584 18,5793 405 0,0384 2,6075 u 1,4157 0,9175 0,6753 0,8418 0,6196 30 28,9696 19.9530 27,8002 19, 1989 395 | 0,0379 | 2,5966 | — 1,4214 | 0,9137 | 0,6781 | 0,8349 | 0,6195 | 31 | 29,7833 | 20,6311 | 28,6351 | 4 385 | 0,0373 | 2,5855 | — 1,4283 | 0,9098 | 0,6814 | 0,8277 | 0,6199 | 32 | 30,6931 | 21,3125 | 29,4628 | 20,4383 375 0,0365 | 2,5740 | — 1 4377 0,9057 | 0,6858 | 0,8208 | 0,6212 | 33| 31,5988 | 21 ‚9983 80,2831 | 21,0595 . : 365 | 0,0356 | 2,5623 | — 1,4486 | 0,9016 | 0,6910 | 0,8129 | 0,623 2,5004 | 22, 10960 | 21,0825... 855 | 0,034 — 1,4634 | 0,8973 | 0,6981 | 0,8051 | 0,6264 | 35 | 33,3977 | 23, Sg 31,9011 | 22,3089 345 {0,0323 | 2,5378 | — 14 ‚8930 | 0,7112 | 0,7974 | 0,6351 | 36 | 34,2907 | 24,0986 | 82,6985 | 22,9440 - 335 |0, 250 | — 1,5331 | 0,8885 | 0,7313 | 0,7894 | 0,6498 | 37 | 35,1792 | 8 j 3,5938 395 | 0,0251 | 2,5119 | — 1,6003 | 0,8839 | 0,7634 | 0,7813 | 0,6747 |38 | 36,0631 | 25,5933 | 34,2692 | 24,2685 315 | 0,0209 À 2,4983 | — 1,6799 | 0,8791 | 0,8014 | 0,7728 | 0,7045 | 39 | 36,9422 | 26,3947 | 35,0420 | 24,9730 305 |-0,0182 | 2,4843 | — 1,7399 | 0,8741 | 0,82 ‚7641 | 0,7255 |40 |-37,8163 | 27,2247 | 85,8061 | 95,6985 295 | 0,0162 | 2,4698 | — 1,7905 | 0,8690 | 0,8541 | 0,7552 | 0,7423 | 41| 38,6853 | 28,0788 | 36,5613 | 26,4408 285 |0,0148 | 2,4548 | — 1,8297 | 0,8638 | 0,8728 | 0,7462 | 0,7539 | 42| 39,5491 | 28,9516 | 37.3075 | 27,1947 -275 | 0,0136 | 2,4393 | — 1,8665 | 0,8583 | 0,8904 | 0,7367 | 0,7642 | 48 | 40,4074 | 29,8420 | 38,0442 | 27,9589 265 ,01 2,4232 | — 1,8962 | 0,8526 | 0,9046 | 0,7269 | 0,7713 | 44 | 41,2600 ,7466 | 38,7711 | 28,7302 255 0,0119 | 2,4065 | — 1,9245 | 0,8468 0,9178 0,7171 0,7774 | 45 | 42,1068 | 31,6644 99,4882 | 29,5076 245 |0,0111 | 2,2892 | — 1,9547 | 0,8407 | 0,9325 | 0,7068 | 0,7839 | 46 | 42,9475 | 32,5969 | 40,1950 | 30,2915 235 0,0103 | 2,3711 | — 1,9872 | 0,8343 | 0,9480 | 0,6961 | 0,7909 | 47 | 43,7818 | 38,5449 40,8911 | 31 0824 225 0,0095 3522 | — 2,0223 | 0,8277 | 0,9647 | 0,6851 | 0,7985 | 48 | 44,6095 | 34,5096 41,5762 | 31 8809 215 | 0,0087 | 2,3324 | — 2,0605 | 0,8207 | 0,9830 | 0,6735 | 0,8067 | 49 | 45,4302 | 35,4926 | 42,2497 | 32,6876 205 | 0,0080 | 23118 | — 2,0963 | 0,8135 | 1,0000 | 0,6618 | 0,8135 | 50 | 46,2437 | 36,4926 | 42,9115 33, "5011: ig — | des Sciences de Saint-Pétersbourg. 14 " ^ 4 Table II. -i Obus en acier et en fonte durcie. Je |— lgo | D el lgv lgp’ 2,8420 | 2,2311 | fe Zi 2b En xb? Zbn A ch? s = b ew x bn 1,4001 | 1,0000 | 0,6275 | 1,0000 | 0,6275 1,4001 | 0,9978 | 0,6275 0,9956 | 0,6261 0,9956 | 0,6275 | 0,9918 | 0,6247 | 1,4001 | 0,9933 | 0,6275 | 0,9866 | 0,6233 1,4001 | 0,9909 | 0,6275 | 0,9819 | 0,6218 1,4001 | 0,9886 | 0,6275 | 0,9773 | 0,6204 0,6275 | 0,9726 | 0, 1,4001 | 0,9838 | 0,6275 | 0,9679 | 0,6173 : 1,4001 | 0,9813 | 0,6275 | 0,9630 0,6158 | 9| 8,9175 5,6475 8,8367 5,5957 605 0,0398 | 2,7818 | — 1,4001 | 0,9788 | 0,6275 0,9580 0,6142 10| 9,8963 | 6,2750 | 9,7947 | 6,2099 1,4001 | 0,9761 | 0,6275 | 0,9528 | 0,6125 | 11| 10,8724 | 6,9025 | 10,7475 | 6,8224 1,4001 | 0,9737 | 0,6275 | 0,9481 | 0,6110 [12 | 11,8461 | 7,5300 | 11,6956 | 4 0,6275 | 0,9430 | 0,6093 | 13 | 12,8172 | 8,1575 | 12,0386 | 8,0427 1,4001 | 0,9684 | 0,6275 | 0,9878 | 0,6076 | 14| 13,7856 | 8,7850 | 13,5764 | 8,6503 1,4001 | 0.9656 | 0,6275 | 0,9324 | 0,6059 | 15| 14,7512 | 9,4125 | 14,5088 | 9,2562 1,4001 | 0,9629 | 0,6275 | 0,9272 | 0,6042 | 16 | 15,7141 | 10,0400 | 15,4360 | 9,8604 1,4001 | 0,9600 | 0,6275 | 0,9216 | 0,6024 | 17 | 16,6741 | 10,6675 | 16,3576 | 10,4628 0,9162 | 0,6006 | 18| 17,6313 | 11,2950 | 17,2738 | 11,0634 1,400 0,9105 | 0,5988 |19| 18,5855 | 11,9225 | 18,1843 | 11,6622 1,4012 | 0.9512 | 0,6280 | 0,9048 | 0,5974 |20 | 19,5367 | 12,5505 | 19,0891 | 12,2596 1,4023 | 0,9482 | 0,6285 | 0,8991 | 0,5959 |21 | 20,4849 | 13,1790 | 19,9882 | 12,8555 1,4034 | 0,9450 | 0,6290 | 0,8930 | 0,5944 |22 | 21,4299 | 13,8080 | 20,8812 | 13,4499 1,4056 | 0,9419 | 0,6300 | 0,8872 | 0,5934 | 28 | 22,3718 | 14,4380 | 21,7684 | 14,0433 1,4078 | 0,9386 | 0,6310 | 0 24| 23,3104 | 15,0690 | 22,6493 | 14,6355 1,4112 | 0,9353 | 0,6325 24,9457 | 15,7015 | 29,5241 | 15,2271 1,4145 | 0,9319 | 0,6340 | | 25,1776 | 16,8355 | 24,3925 | 15,8179 1,4191 | 0,9284 | 0,6360. 27| 26,1061 | 16,9715 | 25,2544 | 16,4084 ,4237 | 0, 28 | 27,0809 | 17,6096 | 26,1098 | 16,9986 27,9521 | 18,2508 | 26,9584 | 17,5888 28,8696 | 18,8936 | 27,8002 |. 18,1790 1,4413 | 0,9187 | 0,6460 | 0,8349 | 0,5902 29,7833. | 19,5396 | 28,6351 | 18,7692 1,4486 | 0,9098 | 0,6493 | 0,8277 | 0,5907 30,0931 | 20,1889 | 29,4628 | 19,3599 1,4559 | 0,9057 | 0,6525 | 0,8203 | 0,5910 | 38 | 81,5988 | 20,8414 | 30,2831 | 19,9509 1,4634 | 0,9016 | 0,6559 | 0,8129 | 0,5914 | 34 | 82,5004 | 21,4973 | 31,0960 | 20,5423 1,4815 | 0,8973 | 0,6640 | 0,8051 | 0,5959 | 35 | 33,3977 | 22,1613 | 31,9011 | 211382 1,5243 | 0,8930 | 0,6832 | 0,7974 | 0,6101 | 36 | 34,2907 | 22,8445 | 32,6985 | 21,7483 ,6308 | 0,8885 | 0,7309 | 0,7894 | 0,6494 |37 | 35,1792 | 23,5764 | 33,4879 | 22,3977 | 0,7813 | 0,6893 |38| 36,0631 | 24,3558 | 34,2692 | 23,0870 1,7932 | 0,8791 | 0,8037 | 0,7728 | 0,7065 | 39 | 36,9422 | 25,1590 | 35,0420 | 23,7935 1,8327 | 0,8741 | 0,8214 | 0,7641 | 0,7180 | 40 | 37,8163 | 25,9804 | 35,8061 | 24,5115 1,8665 | 0,8690 | 0,8366 | 0,7552 | 0,7270 | 41| 88,6853 | 26,8170 | 36,5613 | 25,2385 1,8996 | 0,8638 | 0,8514 | 0,7462 | 0,7354 | 42 | 39,5491 | 27,6684 | 37,3075 | 25,9789 1,9355 | 0,8583 | 0,8675 | 0,7367 | 0,7446 | 43 | 40,4074 | 28,5359 | 38,0442 | 26,7185 265 | 00106 | 2,4232 | — 1,9747 | 0,8526 | 0,8851 | 0,7269 | 0,7547 | 44 | 41,2600 | 29,4210 | 38,7711 | 27.4732 255 | 0.0097 | 2,4065 | — 2,0182 | 0,8468 | 0,9023 | 0,7171 | 0,7641 | 45 | 42,1068 | 30,3233 | 39,4882 | 28/2373 245 | 0,0087 | 2,3892 | — 2,0506 | 0,8407 | 0,9191 | 0,7068 | 0,7727 | 46 | 42,9475 | 31,2424 | 40,1950 | 29,0100 wt 0,6961 | 0,7821 |47 | 43/7818 | 32,1798 | 40,9911 | 29,7921 395 | 0,0073 | 23522 | — 21367 | 0,8277 | 0,9577 | 0,6851 | 0,7927 | 48 | 44,6095 | 33,1375 | 41,5762 | 30,5848 215 |0,0066 | 2,3324 | — 2,1805 | 0,8207 | 0,9773 | 0,6735 | 0,8021 | 49 | 45,4302 | 34,1148 | 42,9497 | 31,3869 205 10,0059 1 2,3118 | — 2,2311 | 0,8135 | 1,0000 | 0,6618 | 0,8135 150 | 46,2437 | 35,1148 | 42,9115 | 32,2004 = AR ve = Av" -?: BA+m— 2) lg» — lg 9 = 0. . 695" 0,0398 | 2,8420 1,0000 ,6275 | 1,0000 | 0,6275 0,0 e ~J ex e © E e Ka RS on t2 = 9 EE D EN p = — e & Ot e © eo ce kt? m" Kä E مم‎ o eo OD e Tto ot béi c e © Ed e kd ho KI e e ~ I me ES e S T eo eo Gei — T 0,6275 0,6275 D e = © eo © 5 4 -1 S to Ei EI] TA Kä © S مم‎ oo eo e -1 t2 505 | 0,0397 | 2,7033 495 |0,0396 | 2,6946 حبر ~J‏ Ot‏ oo‏ SS‏ e‏ دن N‏ [e‏ SI‏ © - PURI 46 455 | 0,0388 | 0 e 445 | 0,0385 | 2,6484 nr 435 | 0,0381 | 2,6385 425 .|.0,0377 | 2,6284 | 0,9249 | 0,6381 | 0,8554 | 0,5902 415 | 0,0372 | 2,6180 ‚4295 | 0,9212 | 0,6407 | 0,8486 | 0,5902 405 | 0,0367 | 2,6075 1,4358 | 0,9175 | 0,6483 | 0,8418 | 0,5902 m sel ET 395 | 0,0362 | 2,5966 M» - e SC © co Qt os 2 t9 io q S» © LL TEM 315 | 0,0161 | 2,4983 305 | 0,0147 | 2,4843 295 | 0,0136 | 2,4698 985 | 0,0196 | 2,4548 275 | 0,0116 | 2,4393 دن t2‏ e‏ © E‏ M‏ [e o]‏ [ie]‏ N‏ o‏ mm‏ ايم le)‏ LITELYBU EI‏ déck?‏ ~J‏ ون [Je]‏ eo‏ e‏ oo‏ CO‏ دن e‏ e‏ ~I‏ 1- $ Lä GA KA IS bh e = يم‎ — N 3 m Qt © D © i Wu © eo Nu SI حبر‎ D, (bi) = Z9 — 3b; (bmi) = Zn — È Zn. out ! | dis D) ) ve sep 2,8420 m—2= Seen = 0,7851 y; lg ير‎ z. EE A wegs als ab 15 Bulletin de l'Académie Impériale 16 Beobachtungen über die verschiedenen Kleider der Seeotter (Enhydris marina), nebst einigen Bemer- kungen über ihre geographische Verbreitung. Von J. F. Brandt". (Lu le 13 mai 1880.) E Über die Färbungsverhältnisse der als Pelzwerk so hoch geschützten Secotter besitzen wir zwar bereits Mittheilungen von Steller, Cook, Pallas, Meare, Lichtenstein und A. Wagner: die E Se der drei Erstgenannten sind aber nur kurz und die der beiden Letztgenannten gründen sich bioss auf einzelne, nieht völlig ausgewachsene Exemplare. Meare konnte zwar eine Menge von Exemplaren verschiedenen Al- ters untersuchen, doch erschópfen seine Angaben keineswegs den fraglichen Gegenstand. Da die kost- bare und schon seltenere Seeotter selbst in den grös- sern zoologischen Sammlungen meist nur in einzelnen Exemplaren vertreten ist, während das Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften Exemplare verschiedenen Alters besitzt, und ich ausser diesen Gelegenheit hatte, noch andere, schóne, ausgewachsene Exemplare in der Niederlage der Russisch -amerika- nischen Compagnie in Augenschein zu nehmen; da ich ferner vom Conservator unseres Museums Herrn Wosnessenski, der mehrere Jahre hindurch die meisten der jetzigen Wohnorte der Seeotter besuchte, . ah اجوز‎ ih stehende Mittheilungen zu machen. 1) Der vorliegende Aufsatz fand sich unter mehr als einem hal- ben Hundert nicht edirter Arbeiten im Nachlass des am 3. (15.) Juli 1879 verstorbenen Verfassers. Der erste, die an hält- nisse der Seeotter besprechende Abschnitt desselben wur . gens bereits am 19. December 1862 der Akademie zum Dr “a vor- gelegt, um gleich darauf, behufs irgend welcher Ergánzungen, vom Verfasser zurückgez eie zu isi repe und spáter über anderen neue- ren, wichtigeren Them ssenheit zu gerathen. zweiten, von der Fabre des Thieres handelnden Abselinité betrifft, so war er nur im Concept vorhanden und ist daher keines- i geschlossen zu betrachten. Wenn gegenwärtig auch die- — ser Abschnitt, ungeachtet seines durchaus fragmentarischen Cha- - racters, der Akademie zum Druck vorgelegt wird, so geschieht dies hauptsüchlich in Anbetracht einiger darin aufgenommenen interes- santen mündlichen Mittheilungen des 1871 veřstorbenen Conserva- tors El. Wosnessenski. Letzterer ps e in den vierziger Jah- ren wäbrend einer im Auftrage der Akademie unternommenen Reise lange Zeit im Gebiet der ehemaligen eebe Ko- lonien, in Kamtschatka u. s. w. auf und wirkte mit musterhaftem Eifer als Sammler und Beobachter (A. Brandt). er | nen ste Der Entdecker der Seeotter, Steller, berichtet, dass die einen der Exemplare noch dunkler als schwarzer Sammt oder Seide, die andern aber von der allerweis- sesten Farbe seien und ein silberartiges Ansehn hät- ten. In Bezug auf die Letztern fügt er hinzu: er wisse nicht, ob sie Altersverschiedenheiten oder eine andere Art oder endlich ein blosses Naturspiel seien, indes- sen wäre er geneigt, sie eher für sehr alte Exemplare zu halten. Bei den Kurilischen Inseln wurde, wie er ferner bemerkt, von der Zeit der Besitznahme Kam- tschatka's dureh die Russen an bis zu seinem dortigen Aufenthalte nur ein einziges weisses Exemplar ge- fangen. Im Allgemeinen kann man von der Färbung der Seeotter sagen, dass der Kopf stets weit heller als die andern Theile, ja háufig, wie stets die Lippen und das Kinn, ganz weiss oder nur schwarz mit Braun über- laufen oder auf braunem oder auf schwärzlichem Grunde mehr oder weniger stark weiss gestichelt erscheint. Oft (ja fast gewöhnlich) nimmt selbst der Hals und Nacken, nicht selten selbst die Brust, ja zu- weilen auch der Vorderbauch an der Kopffärbung mehr oder weniger Theil. Die Grundfarbe des Rückens, der Seiten, des Bauches und des Schwanzes, so wie gewöhnlich auch die der Vorderbeine ist entweder tief glänzend schwarz, oder zieht etwas ins Graue oder ‚sehr stark ins Kaffeebraune. Die Hinterfüsse erschei- tets brauner als die Vorderfüsse. Vebrigens sind ` sämmtliche dunkel gefärbte Theile, je nach der gerin- gern oder sehr beträchtlichen , sehr variabeln Menge der mit ihrer weissen, elinzenden Endhälfte | vortretenden Steifhaare miht oder weniger, zuwei- dass sie die dunkle len so dicht weiss gestichelt, Grundfarbe mehr oder weniger verdecken und dem ganzen in einer gewissen Entfernung betrachteten Thier ein silberweisses glänzendes Ansehen geben. Übereinstimmend mit Steller sagt Wosnessen- ski, dass die in der Nähe von Kamtschatka, nament- lich auch die bei den Kurilischen Inseln vorkom- menden Exemplare durch das Vorherrschen der dun- kelschwarzen Farbe sich auszeichnen; obgleièh sie, wenn auch nur schwach und stellenweis, häufig einen sehr leichten, oft fast unmerklichen oder schwer bes 7 merklichen brüonlicheti Schimmer haben. Ein prachtvolles, als jetzt sehr seltene Erle in der Nähe des südlichsten Vorgebirges vou Kam- % ide Sie 17 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 15 tschatka, dem Cap Lopatka, erlegtes altes Exemplar, welches das Museum der Munifizenz Seiner Majestät des Kaisers verdankt, zeigt als Beleg der Angaben Steller's und Wosnessenski's folgende Farbenver- hältnisse. = Die sammtartig glänzende, de, kaum = sehr leicht bräunelnde, Grundfarbe tritt auf dem Rücken, den Seiten, dem Bauche, dem Schwanze und den Vorderfüssen hervor’). Die durch die weissen Endhälften der stark vortretenden Steifhaare bewirkte Stichelung (die übrigens individuelle und von den -~ Jahreszeiten bedingte Abweichungen bietet), ist so ` modificirt, dass die dunkle Grundfarbe an den ge- ` nannten Theilen meist nur wenig oder kaum verdeckt wird, so dass die mit weissen Haarspitzen versehenen ` Stichelhaare sogar ziemlich vereinzelt erscheinen kön- - . men. Selbst die Endhälften der langen, sehr dichten, i schwach gewellten, ungemein zarten Wollhaare sind dunkelschwarzbraun gefärbt. Der Vorderkopf ist oben und an den Seiten schwarzbraun (heller als der Rumpf) und im Ganzen nur wenig weiss gestichelt. Nur die Oberseite der Schnautzenspitze und die Kehle, deren Grundfarbe weniger intensiv als die des Oberkopfes ~ auftritt, bieten eine ziemlich starke, weisse Stichelung. — Die Lippen und das Kinn sind sogar schmutzig- weiss. Der Hinterkopf, die Kopfseiten hinter und unter den Ohren, und die Seiten des Halses ziehen etwas ins -Braune und zeigen eine mässige weisse Stichelung. Jie Oberseite der Hinterfüsse bietet eine mehr dun- kel-seliwarzbraune als bräunlich-schwarze Färbung. Die. Länge des Exemplars beträgt von der Schnautzen- spitze zum Schwanz gemessen 1,34 M. die Schwanz- linge 0,28 M. Abo von den. genannten sammt-schwarzen, - als Pelzwerk am höchsten geschätzten, Exemplaren — sind nach Wosnessenski die an der Westküste Ameri- ` kas etwa vom 50. bis 56. Breitengrade vorkommen- den Exemplare mehr oder weniger stark weiss gesti- den dem Lichte am meisten exponirten Stellen. A den Fenstern zugewandten Seite erscheint das eben erwähnte beste Exemplar merklich heller; beide Seiten sind dunkelbraun, nicht schwarz; fast schwarz ist nur der stets im Schatten stehende Schwanz zu nennen. (A. B Tome | 1 3 chelt, so dass die Grundfarbe mehr oder weniger stark verdeckt wird und der Kopf wie der Hals weisser als bei den beschriebenen dunkelschwarzen, an den Küsten Asiens heimischen Exemplaren erschienen. Ein altes, von der amerikanischen Küste aus dem Kadjakschen Jagdbezirke?) stammendes, von der Schnautzeuspitze zur Schwanzwurzel 1,56 M. messen- des Exemplar, welches ich näher untersuchen konnte, bot folgende Farbenverhältnisse. Der Rücken, die Seiten, der Bauch und der Schwanz haben eine dunkelschwarze, aber sehr leicht ins Graue ziehende Grundfarbe, ‚sind aber so stark und dicht weiss gestichelt, dass sie, wenn die Haare dicht anlie- gen, in einer gewissen Entfernung eine’ glänzende, silberweisse Farbe zeigen. Selbst die Flaumhaare der genannten Exemplare spielen leicht ins Graue. Der Kopf ist mehr oder weniger weisslich, ja stellenweis fast weiss, vorn jedoch mehr oder minder graubraun überlaufen. Der Rücken und Hals sind mehr oder minder dunkelbraun und mehr oder weniger stark mit weiss gestichelt. Die Vorderfüsse sind mehr oder: minder schwarz, jedoch weiss gestichelt. Die eben- falls weiss gestichelten, bräunlich-schwarzen Hinter- füsse spielen mehr oder weniger ins Graue. . Die südlich von Kadjak an den Küsten Californiens gefangenen Exemplare besitzen nach Wosnessen- ski eine mehr oder weniger ins Kaffeebraune ziehende Grundfarbe, bieten also eine dritte Farbennuance. Die Färbungsverhältnisse der Seeottern ändern aber nicht nur je nach den Jahreszeiten und der Ver- schiedenheit der Geschlechter, sondern auch zufällig, als Farbenspiel ab. An den weniger dicht und lang behaarten Sommer- fellen tritt die dunkelschwarze Grundfarbe besonders am humpfe stärker hervor als an den länger und dichter mit Haar besetzten Winterfellen, da bei er- stern die mit weissen Endspitzen. versehenen Steif- haare in geringerer Menge wahrgenommen werden, ein Mangel der in noch grósserem Maasse bei gë asiatischen als bei den an den amerikanischen Küsten ` | heimischen Exemplaren beobachtet wird. 3) Um die nn Vertilgung der Seeottern zu verhindern, hat nämlich die russisch-amerikanische nr Se Einrichtung getroffen, dass in Ta vier Jagdrevieren, das v jak, Una- . laschka, Atoha und der Kurilen, wo die Seeotter lebt, nicht alljähr- lich in eni sondern nur in einzelnen derselben Seeottern ge werden dürfen 2 4 mie zugegangenes Bulletin de l'Académie Impériale Nach Meare sollen die dunklern, schwärzern Bälge der Männchen schóner sein als die der Weibchen, deren Kopf, Unterhals und Unterleib mit méhr oder weniger weissen und groben Haaren bedeckt würe. Wosnessenski berichtete mir nur, dass die alten Männchen, ausser der etwas ansehulicheren Grósse, von den Weibchen sich nur durch eine etwas dunklere Grundfarbe und die stärker abgesetzte weisse Für- bung des Kopfes, Halses und der Brust unterschieden, jedoch keineswegs gróbere Haare besässen. Von ei- gentlich nicht von der Verschiedenheit des Wohnorts herzuleitenden Farbenspielarten der Seeotter ist bis jetzt nur eine durch Pallas (Zoogr. I. p. 202) be- kannt geworden. Derselbe sah nämlich ein durch Billings mitgebrachtes kurzhaariges, ganz gelblich- weisses, mitten auf dem Rücken jedoch grau angelau- fenes Fell einer Seeotter, welches offenbar nur eine eigenthümliche Spielart im Sommerkleide darstellte, was mir um so glaublicher erscheint, da die normal gefärbten Seeottern im Sommer dunkler zu sein pflegen. Eine zweite Farbeasplelart hatte ich selbst Gele- genheit am Winterkleide eines alten 1,49 M. langen männlichen Exemplars zu beobachten, das im Kadja- ker Jagdbezirke der amerikanischeñ Compagnie erlegt worden sein soll. Der Kopf, die Kehle, die Brust und die Mitte des vorderen Theiles des Bauches waren mehr oder we- niger rein weiss und nur hie und da bräunlich, und zwar wolkenartig überlaufen, während der grósste Theil der Füsse, mit Ausnahme des graubraunen Pfotenrückens, ebenfalls weiss, aber mit Graubraun melirt und gestichelt erschien. In der Färbung des Rumpfes ähnelte das fragliche Exemplar dem oben be- schriebenen, ebenfalls aus dem Kadjaker Jagdbezirke stammenden. Genauer betrachtet móchte übrigens die eben geschilderte* Spielart das Extrem der weissen Fürbung des Vorderkórpers darstellen und sich als eine auf das er yachsene Thier ausgedehnte aber noch weiter und 1 twickelte jugend- liche Färbungs - Abweichung (siehe unten) ansehen lassen Û. 4) Eine weitere interessante individuelle Farbenvarietät zeigte ein erst nach Abfassung dieses Aufsatzes dem Museum der Akade- nes Fell, welches leider später zu Grunde gegangen ist. Dasselbe war hell chocoladenbraun und weiss gescheckt. a M" Fragen wir nun nach den Ergebnissen, zu welchen die vergleichenden Schilderungen der Färbungsver- hältnisse der alten, aus verschiedenen Gegenden ihres Wohngebietes stammenden Seeottern führen dürfte, so möchte sich folgendes bemerken lassen. Die kuri- lischen und frühern kamtschatkischen Exemplare er- innern durch ihre dunkle Färbung an die mehr oder weniger ins Schwarze ziehenden Farbentöne der Thiere des ihren Wohnorten benachbarten óstlichen asia- tischen Festlandes. Sie weichen dadurch, wenn auch nur in den Extremen ihrer Fürbung, von den gewóhn- lich weniger intensiv geschwärzten und viel stárker weiss gestichelten , daher hellern, westamerikanischen Küsten bewohnenden Artverwand- ten ab. Sie entfernen sich aber auch wie die Letztge- nannten von den an den californischen Küsten beob- achteten, eine mehr oder weniger kaffeebraune Grund- farbe, also eine dritte Farbennuance bietenden Exem- plaren. Die genannten Erscheinungen, da sie sich, namentlich in Bezug auf die in den Asien benachbar- ten Meeren vorkommenden Individuen, sehr wohl mit den in Ostasien vorkommenden klimatischen auf die Haar- und Federbildung einwirkenden, sie schwär- zenden, Einflüssen in Beziehung bringen lassen, dürf- ten übrigens zu dem Resultate führen, dass die frag- 1 ichen Abänderungen klimatischen Einwirkungen zu- | zuschreiben sein möchten. Schliesslich móge es gestattet sein zur Vervollstn- ; digung der frühern Angaben noch einige Worte über die Jugendkleider der Seeotter hinzuzufügen, da diese ` von denen der erwachsenen Thiere sieh sehr bedeu- tend unterscheiden. Ungeborene, aber schon ziemlich ausgebildete 0,31 — M. lange Exemplare, wovon unsere Sammlung eins besitzt, bieten ein zwischen dem Flaum- und Con- | tourhaar die Mitte haltendes kurzes, anliegendes Haar- " 3 kleid. Der Rumpf erscheint ziemlich hellbraun und ` — weiss gestichelt. Der Kopf und Hals nebst dem Vor- derrücken sind etwas schmutzig weiss und nur hie und da hellbraun gefleckt oder gewässert. Junge Exemplare, wie sie schon Steller mole risirte und das Museum der Akademie gleichfalls eins von 0,62 M. Lànge (den 0,14 M. betragenden ` - Schwanz nicht mitgerechnet) besitzt, zeigen ein mehr. ا‎ oder weniger wollartiges, schwarzbraunes Haar. | Kopf ist mehr oder weniger weiss oder weisslich. die nördlichern — — des Sciences de Saint -Pétersbourg. 2? IL. Die ausführlichsten, aus mehreren Quellen zusam- mengestellten Daten über die Verbreitung der Seeot- ter finden wir meines Wissens bei A. Wagner (Schreb. Säugeth. Suppl.) Pallas (Zoogr. I p. 100) sagt, die Seeotter finde sich auf der asiatischen Ostseite vom 45 bis fast zum 60^, ginge aber an der gegenüberlie- genden amerikanischen Küste noch weiter südlich. In der That lässt der Wundarzt und Naturforscher M en- zies (der Begleiter Vancouver’s) dieselbe an der Westküste Amerikas nicht bloss südlich bis zum 30., sondern sogar nördlich bis zum 62° verbreitet sein. — Diese Angaben könnten indessen nur für die Zeitpe- riode Geltung haben, in welcher die beiden genann- ten Männer lebten. Namentlich mögen die Angaben, | welche Pallas über die südliche Verbreitungsgrenze . der Seeotter in den die Küsten Asiens bespülenden ` Meeren macht, deren frühere ursprüngliche, sich ver- muthlich noch weiter nach Süden erstreckende Wohn- orte nicht mehr umfassen. Es scheint mir wenigstens nicht wahrscheinlich, dass wenn die nördlich bis zum - 60. oder 62. Grade verbreitete Secotter nach Men- zies in der Nähe der amerikanischen Küsten noch unter dem 30° vorkam , dieselbe ursprünglich an den . asiatischen Küsten erst 15° nördlicher (unter dem 45°) begonnen habe. Nach Mittheilungen, welche Wos- nessenski von Japanern erhielt, werden Seeottern . noch bei der Insel Jesso gejagt, was also auf ein noch `. Südlieheres Vorkommen deutet. Die schon in so früher Zeit industriellen Bewohner des nördlichen Ja- pans und Chinas oder ihre Pelzlieferanten könnten . Sie schon früh in den noch südlicheren ihnen zugäng- . lichen Meeren theils ausgerottet, theils nach Nordan e gedrängt haben, Als Wosnessenski sich im nördlichen Theil des Stillen Oceans befand, kam die Seeotter bei Kam- tschatka nicht mehr vor. Höchstens verirrten sich einzelne von den Kurilen stammende Exemplare zur Südküste Kamtschatkas. Indessen versicherten ihm Sehr alte glaubwürdige Bewohner der Halbinsel, sie ‚hätten diese Thiere noch bis zum Ausfluss des Anadyr |... beim Vorgebirge Fadejew, also etwa bis zum 64^, wo : gejagt. Zu Wosnessenski’ s Zeit fand sich die See- ` Jet, wie bei Kamtschatka, keine mehr Yürkotinidh; | otter in der Nähe des asiatischen Continents nur noch an den nórdlichen Kurilen. Nach Wosnessenski trifft man unser Thier von der Vancouver-Insel (48°) bis zum Kenai-Busen (55°), mehr einzeln an der Behrings- und Kupferinsel. Häu- figer, ja theilweis ziemlich häufig, findet es sich an . allen Aleuten, dann an allen Kurilen und noch weiter. Früher kamen Seeottern auch bei den Inseln Georgi und Paul bis zum 58° vor. Bei Californien soll man nach Wosnessenski jetzt keine mehr fangen. Nichtsdestoweniger versicherten ihm californische Jäger, die Seeottern gingen bis zum Südende Californiens, also bis zum Wendekreis des Krebses und viel weiter nach Süden, als Menzies angiebt ; indessen kümen sie nur sehr einzeln im Sü- den vor. Schliesslich darf noch die Bemerkung Platz fedi dass die Seeotter zu den Thieren gehört, deren Var- breitungsgrenzen bereits sowohl nach Süden, als auch nach Norden sehr beschrünkt wurden, zu den Thieren deren baldiger Untergang mit Sicherheit vorauszu- sagen ist. Wie rasch die numerische Abnahme des Thieres von statten gegangen, erhellt namentlich auch aus folgenden Daten. Bassow, ein Kosakenunteroffi- cier, brachte im Jahre 1755 oder 1756 von einer Fahrt nach der Behringsinsel und mehreren kleineren Inseln 1670 Seeotternfelle mit, — mehr denn andert- halb mal so viel, als die amerikanische Compagnie jetzt durchschnittlich alljährlich zu Markte bringt (v. Baer. Bull. sc. 1861. Mél. biol. T. III. 1861. p. 526). Sur l'intégration des équations partielles du premier ordre à plusieurs variables, dont les coefficients sont constants. Par N. Alexéeff. (Lu le 2 sep- tembre 1880.) 1. M. Paul du Bois Reymond dans son excellent ouvrage: «Beiträge zur Interpretation der partiellen Differentialgleichungen mit drei Variabeln», parvient à interpréter géométriquement les équations partielles ` à trois variables de différents ordres quelques soient les coefficients. Mais sa construction des équations du — ` premier ordre peut étre simplifiée pour le cas des co- efficients. constants. Je pense que ce cas, vu sa sim- ——— V as * 23 . Bulletin de l'Académie Impériale 24 plicité, doit étre traité séparément, comme cela se fait pour les équations différentielles linéaires ordi- naires. Dans la note que j'ai l'honneur de présenter à l'Académie on arrive trés facilement à l'interpréta- tion géométrique du cas cité et en méme temps on obtient la solution analytique de la question. 2. Soit l'équation donnée, x et y les variables indépendantes, ; Mg a RA dz z leur fonction, qu'il s’agit de trouver, p = d = dy ` La fonction f est algebrique, rationnelle et entière. Mettons dans l'équation (1) au lieu de p et q les valeurs — À, =% et considérons £, n, & comme trois coor- données rectangulaires; f (—: $, — je = 0 0 représente un cône ayant son sommet à l’origine des coordonnées £&, v, 6; la forme de ce cône est détermi- née par son équation. Dans le cas particulier, lorsque la fonction f (p, q) est du premier degré par rapport à p et q, ce cóne dégénère en un plan passant par l'origine des coordonnées. 3. En posant E = r cos 9 sin 8, y =r sin o, Sin, 6 =r cos O0 on donne à l'équation du cône la forme suivante: Sur la surface du cóne décrivons une courbe arbi- traire, dont l'équation soit r — (o), où F est une fonction arbitraire de la variable o. Par un point quel- conque (E, n, CN ou (o, 0) de la courbe arbitraire fai- sons passer un plan perpendiculaire à la génératrice correspondante. Soit A(z—9-- B(y—*93--C(—9—0 l'équation de ce plan; il est facile de voir que les co- efficients 4, B, C sont respectivement proportionnels aux : cos 9 sin 9, sin p.sin Ó, cos 0; par conséquent l'équation du plan est: cos g.sin 8 sin @.sin OV — 0 cos 6 cos 9 ER ee cos o sin © (z — Fe, cos q sin 6) + . 7 Sin 9 sin 0 (y — F'o.sin o sin 6) سه‎ cos 0 (z — Fo. cos 6) = 0, ou: | sin Ó + y sin o sin 0 + 2 cos 0 — Ft = 0,‏ ب 008 ند posant x 2 011: + .cos Q.sino , cos 0 Jy sin g.sin 6 Fi Bin init cle E cos c 4. L'angle @ peut être éliminé de l'équation précé- dente au moyen de l'équation: f (— Nous écrirons l'équation précédente sous la forme: cos @.sin 0 sin 9.sin 0\ — — 0 cos @ ? cos 6 E 4 = pz + qy + 09, en admettant que p etq sont exprimés en fonctions de ¢; la fonction O9 est une fonction arbitráire. — 5. Le plan dont nous avons trouvé l'équation est EN à la surface exprimée par l'équation donnée (1). Si l'on imagine des plans pareillement construits par tous les points de la courbe arbitraire, leurs intersec- tions, successives déterminent la surface cherchée et nous avons ainsi la construction géométrique de l'équa- tion donnée. On peut représenter les différentes posi- tions de ces plans en deplacant le plan primitif, c.-à-d. en faisant varier dans son équation la variable ọ. En différentiant l'équation précédente par rapport à o on à: dp i e E OQ. Le système des deux équations, entre lus il D éliminer 9: 2 = pa + qy +0 dq sn = - وه‎ représente l’intégrale générale de l'équation ( donnée. 6. On voit d'aprés cette solution qu'on. SEN re 5 E nir bien simplement de ee | cos ب‎ sin 9 cos 9 "m — 9 pom "e et d'intégrer l'equation (2) par parties. En effet on | f» à +1 a) d t do * Y 4) 9, et en — o, on a la solution obtient: 2 — pr + س يون‎ dq + 7 de SC trouvée. FA à PRET en E EE TE 2 ME er 5 4 SEH: DEL A :- foire Tu SE Mons a pe mm UU uw a o ee السو‎ Sigg E e ce RN 25 | des Sciences de Saint- Pétersbourg. ` 7. On peut exprimer cette solution d'une manière plus concise : il faut chercher quelles sont les fonctions p — çu et y = «jo d'une seule variable w, qu'on laisse indé- terminée, qui puissent satisfaire à l'équation f ( p, q)— 0. La solution de. ce probléme est possible, comme on le voit d'aprés les Gë f (5/9) 29 0j p z— — etg — E, En mettant ces valeurs de p et q dans la uf précédente on a: ds zow + yo + Ow et zoo + dg = — 9'o. Lorsque la forme de la fonction Ow est donnée, la dernière équation servira à déterminer la valeur w en | fonction de x et y et en la mettant. dans la premiere . équation on aura une intégrale complète de l'équation, " exprimée en z, y, 2 et les constantes o et 8 qui doivent y être introduites, quand la forme de la fonction Ow est donnée. . 8. On verra facilement que l'expression de p et de و‎ en fonctions d'une seule variahle w n'est pas indis- pensable pour avoir une intégrale complete; il suffit - d'admettre l'existence de ces expressions. L'intégrale générale est exprimée, comme on l'a vu, Soe les deux um suivantes: = pa + qu + اه هه‎ g P + y + Ow — 0 Pour avoir l'intégrale complète posons : Ow» = Ap + Bq, : où A et B sont deux constantes arbitraires; on aura: | ou = A+ B : Tu pour l'intégrale complète on obtiendra les. deux ` équations suivantes : | omen Ae De ba (1) E. m) ee u 6ح‎ S En diférentiant ee f (p, dg m 0 per Ge me À gt EK pre (2). L'élimination don- nera La dernière Lem servira pour éliminer les dé- | d d (e + 4) É - (y + B) ح وو‎ Puisque la fonction f (p, q) est connue, les valeurs d lcg s IM f et do sont faciles à déterminer; on voit bien qu'elles seront fonctions de p et de q, et que l'intégrale com- plète sera connue si au moyen des équations : dpa e (y + B)q ) + 4) Ÿ — (y+ B) = 0 dq f (p, q) = 0 on élimine p, q de ces trois équations. 9. Exemple 1. Pour avoir l'intégrale complète de l'équation : | P^ ف‎ agp + bg = 1 il ne s'agit que d'éliminer p et q entre les trois équa- tions : pP + apq + bg? = 1, £ — (r + A) p + (y + B) q, (© + A) (ap + 204) — (y + B) (2p + aq) = 0. Cette élimination nous conduit à l'équation suivante: (b — GE ثم‎ = b (x + A)? — a (a + À) (y + B) + | + (y + B)’. Exemple 2. Pour avoir l'intégrale complète de l'équation : nesel il ne s "agit que d'éliminer p et q entre les trois équa- tions: E "ني سه‎ = aee + À) p + (y + B)q, dq ëtt Bp = 0. Cette élimination nous donne : a = [V æA)" + Y (jy سد‎ B)" | . 10. Soit f (p, q) une fonction homogène de degré = T n et soit à intégrer l'équation: Eë f (D, 9) = os. Bulletin de l’Académie Impériale 28 où o est une certaine fonction de z. En posant p = Vos. p,, و‎ = Voz. q,; on aura entre p, et q, l’équa- tion f LD 4) = — 1. et en mettant les valeurs de p et q dans l'équation dz = pdx + qdy, on obtiendra : ZE p de + g dy, Y oz don l'on voit que p, g, peuvent être considerées comme des dérivées partielles d'une fonction : et que pour exprimer cette fonction w en x et y on doit suivre le procédé précédent. 11. La méthode précédente pour intégrer les équa- tions partielles à trois variables aux coefficients con- stants peut étre appliquée de méme aux équations partielles à plusieurs variables. équation à quatre variables: f (Pi وه‎ Ps) = 0 où ©, ينه‎ z, sont les variables indépendantes et z leur fonction. D'abord il faut remarquer qu'en eas de trois dérivées partielles il faut les considérer comme fonc- tions de deux variables c, et نوه‎ L'équation: de = p, dz, + p, dz, + p, dx, nous e donne : : + D, X. £ dg, dps e 2 = p, d, + p, d, Ps br 2 da + d. 22 do, dp TJ ينه‎ + na a) des En égalant la somme des deux intögrales de la se- conde partie à-une fonction arbitraire de o, et بوه‎ on à: i 27 BP 7, TE B. 94 e p, 9, — Oo, o). Lorsque la fonetion O est connue, o, et ونه‎ se dé- terminent par : Si e Sr rA EINE A " d ip, — 49 Ta + %, do, سهد‎ Ts de, = de, ; Prenons d'abord une. Les trois dernières équations expriment l'intégrale générale de l'équation donnée. Pour avoir une inté- grale complète posons: Oe, ol = À, p, + A, p, ,D,, em considérant p, p, p, comme fonctions de deux variables ©, et w, et ريك ربك‎ A, comme con- stantes. On aura: (x, es A) Mr (x, m- À.) Pa + (ts — 4) Ps‏ = م d d de, + (t, — 4) äi — 0, (z, — A) À + (x, AN d lp (n, — 4) aei + (m — Aa + — 4) = 0, (o. Gë Het ست‎ Us vis do, * fp, do, r. dp, r ‚dp EE EE a BS Ets jd 029 On voit d'aprés ces quatre équations, qu'en géné- ral on a: ننم‎ Ar P 21 — سے ta — Ag FR | Ainsi l’intégrale complète est exprimée par quatre équations : s — (x, — A) p, + (4, — A D + (X. — À) Ps c (x, — 44) de ==> (x, — Á) SEX (X, age 4) E SI (X, ZE 4,) . fj fin, Pas Ps) = 0. . En éliminant Pi Pa P, On aura une seule équation pour l'intégrale complète cherchée. 12.121 ya cependant des exceptions à cette règle: si dans l'équation donnée il manque une des dérivées, par exemple ررم‎ on a f^, — 0 et les équations pré- cédentes deviennent illusoires. Mais dans ce cas d, = A 1? Com Dh dime vm «f e — Af y f (p.p) = On n'aura quà Geer P, et روم‎ de manière que Um. -. tégrale complète sera exprimée par le système de deux équations: l'équation qui resultera de l'élimination et l'équation x, —-4,. S'il manque dans l'équation don- née deux des iE partielles p, et p,, on aura trois équations pour exprimer l'intégrale ue - ———— € des Sciences de Saint-Pétersbourg. n= din = A, f( t0 13. Maintenant soit une équation CID, 2,:.. Blees 0 à coefficients constants et à n variables independantes Bi, by.» Up En suivant la méthode précédente on aura : X(n— A) Py‏ = و نيو (a A4) fp, = (n — A)‏ A) f^, = (0, — A) f,‏ — ه) A) fn — e — Af‏ — ينها f (P1 Pa Ps. ° ieu.‏ L'élimination de p, p, ... p, entre ces (n + 1) équations nous conduit à l'intégrale complète ; les cas d'exception sont faciles à prevoir et à expliquer. 14. Soit maintenant f (p, p, . . . p,) une fonction homogène de p, p, . . . p, de degré n et pz une cer- taine fonction de z; s’il s'agit d'intégrer l'équation: f (t. posons p, = Ve, d, Pa = V 95 . d; ; l'inté- grale s “obtiendra alors de la même manière qu’ du n' 10. : Pa) — 94, ac ا‎ v . . Über die Rotation des Jupiter. Von J. Kortazzi. (Lu le 2 septembre 1880.) . B. Der rothe Fleck auf dem Jupiter, welcher im ver- = . gangenenJahre die Aufmerksamkeit der Astronomen auf Sich gezogen hat und bis jetzt in unveründerter Gestalt auf der Scheibe des Planeten bleibt, bietet ein ausneh- mend günstiges Object für die genaue Bestimmung der Rotationszeit des Planeten. Alle bisherigen Bestim- mungen dieses Elements waren auf Beobachtungen heller und dunkler, in der Aequatorialzone und in de- ren Nühe erscheinender Flecke gegründet; manche von diesen Flecken bleiben jedoch nur wührend kurzer Zeit sichtbar, während andere wieder, wenn auch von längerer Dauer, ihre Lage auf der Oberfläche des Plane- ten oft sichtlich ändern. So bestimmten z. B. 1835 Beer und Maedler die Rotationsperiode des Jupiter aus Be- |: obachtungen zweier gut begrünzter dunkler Flecke im nördlichen Theile der Aequatorialzone +). Diese Flecke blieben über 5 Monate lang ziemlich unverändert in ihrem Ansehn und die Beobachtungen derselben umfassen gegen 360 Rotationen des Planeten, zwischen Nov. 4 1834 und Apr. 19 1835; sie blieben aber nicht wührend dieser ganzen Zeit unbeweglich, nament- ' lich änderte sich bis zum 9. Febr. 1835 ihre relative Stellung unzweifelhaft; in Folge davon geben in der Periode bis Febr. 9 die Beobachtungen des einen Flecks die Rotation R — 9^ 55" 30:16, die Beobach- tungen des andern. R = 9^ 55" 32546, während für die spätere Periode beide Flecke R = 9” 55” 5 + 0517 ergeben. 1834 hat Airy die Rotationsperiode zu R= 9* 55” 24:2, 1862 J. Schmidt in Athen zu R = 9“ 55” 25570 = 005 bestimmt; letzterer hatte hierzu einen dunklen runden Fleck im nördlichen Theile der Jupiterscheibe, in circa 30° Breite, vom 15. Mai bis zum 4. Juli, während 121 Rotationen beobachtet. Im Allgemeinen stimmen die hier aufgeführten Be- stimmungen recht gut unter einander, wahrscheinlich in Folge glücklicher Auswahl der Beobachtungsobjecte, ihres gleichartigen Charakters und ihrer festen Ge- stalt. In andern Fällen gelang die Bestimmung der Rotation lange nicht so genau. Schmidt führt in den Astron. Nachr. Bd. 83 M 1973 einige Beispiele an, wo R, aus Beobachtungen verschiedener weisser und dunkler Flecke bestimmt, zwischen 9^51"5* und 9* 56” 752 schwankt. Offenbar sprechen sich hier Eigenbewegungen dieser wolkenartigen Flecke nach der einen oder andern Seite hin aus, welche nach Schmidt’s Berechnung gegen 300 Par. Fuss in der Secunde erreichen. : Der gegenwürtig auf dem Jupiter sichtbare rothe Fleck unterscheidet sich durch Form, Grósse, gleich- mässige Färbung, sowie durch festeren Bau, der sich darin ausspricht, dass seine Gestalt sich während eines ganzen Jahres fast gar nicht geändert hat, in auffal- lender Weise von den andern hellen und dunklen Flecken, welche so oft, sowohl in der Aequatorialzone als ausserhalb derselben erscheinen und stets éine Ähnlichkeit mit Wolken haben. Der gegenwärtige Fleck hat einen ganz andern Charakter: er erscheint gewis- sermaassen wie ein Durchbruch der eigentlichen Ober- 1) Astronomische Nachrichten Bd. 12. X 280. | Bulletin de l’Académie Impériale 32. H d fläche des Planeten, wobei die Unv lichkeit sei- ner Form, wenn man dieselbe mit den enormen oben angeführten Bewegungen der Jupiter- Atmosphäre zu- sammenhält, fast die Möglichkeit der Annahme aus- schliesst, dass dieses Gebilde von gasfórmiger Structur sei. Man kaun deshalb wohl voraussetzen, dass die aus Beobachtungen dieses Flecks abgeleitete Rotations- periode hóchst genau der des eigentlichen Planeten- kórpers entsprechen werde. Die hier mitgetheilten Beobachtungen umfassen 769 Umdrehungen des Jupiter, und die Detrachtung der Abweichungen v der berechneten Momente von den beobachteten ergiebt, dass während der ganzen Beobachtungsperiode der Fleck entweder unbeweglich geblieben ist oder sich gleichförmig auf der Uere des Planeten bewegt hat. Die Beobachtungen sind am Refractor der Nikola- jewer Marine-Sternwarte (9 Par. Zoll Offnung) mit 330-maliger Vergrósserung angestellt und bestanden in der Bestimmung des Moments des Durchgangs der Mitte des Flecks dureh den mittleren Meridian der sichtbaren Planetenscheibe. Trotz der grossen Dimen- sionen des Flecks (Länge, in der Richtung des Gür- tels, etwa 12; Breite etwa 3") lässt sich, Dank seiner regelmässigen Form, das Durchgangsmoment seiner Mitte recht genau bestimmen. Der Zeitraum, in dem die Mitte des Flecks mit dem mittleren Meridiane zu coincidiren Scheint, beträgt bei guten Bildern höchstens | 4 Minuten, so dass bei 0,5 Abstand der Mitte des Flecks von dieser Linie kein Zweifel mehr bleibt, dass der Fleck den mittlern Meridian noch nicht erreicht oder bereits passirt hat. Eine solche Genauigkeit darf übrigens nur den späteren Beobachtungen der hier folgenden ‚Reihe zugeschrieben werden, wo ich schon mit diesen Beobachtungen vertrauter war, und er- heischt einen ruhigen Zustand der Bilder. Es sei hierbei bemerkt, dass die Genauigkeit derartiger Be- obachtungen erstens von dem Winkel abhängen kann, welchen der Polar-Durchmesser des Jupiter mit der die beiden Augen des Beobachters verbindenden Linie bildet, welcher Winkel eine Function der Länge des Planeten und seines Stundenwinkels ist, zweitens aber von der Phase, indem der nach der beschatteten Seite . hin liegende Rand desselben durch die schräge auffal- . lenden Sonnenstrahlen schwächer beleuchtet wird als | der entgegengesetzte. Alle solche Fehler heben sich jedoeh auf, wenn es gelingt die Beobachtungen so lange fortzusetzen, bis Jupiter ungeführ wieder in die- selbe Stellung zur Sonne und Erde kommt, in welcher er sich beim Beginne der Beobachtungsreihe befand, also im vorliegenden Fall bis Anfang November dieses Jahres. In der folgenden Tabelle sind die von mir ausge- führten Beobachtungen und die Resultate der Berech- nung derselben zusammengestellt. Die Columne 7 giebt die Durchgangsmomente der Mitte des Flecks durch deu mittlern Meridian, in Nikolajewer mittlerer Zeit; die Columne p die Gewichte, welche den Beobachtun- . gen dem Zustande der Bilder gemäss zugeschrieben — — sind; ausserdem bedeuten: 3 Sege TC Mer 5 e D ee e EE ET E Ce EU EE bé EK Lë IT Qui ht, Aen Gëf sa % die heliocentrische Länge 2, A die geocentrische p. Ist A" die jovicentrische Länge der Erde — X + 180; so ist w die jovicentrische Länge des Flecks دجت‎ f, wo Correction für die Phase arc. sin. [sin? LO — 2)]. Ferner bezeichnet + die Aberrationszeit = 49757 x A, dT die Reduction auf l = 1 75; wobei die Rotations- ` dauer R, = 59573450 angenommen ist. Endlich ist 7" = Tu باع‎ dT f ‘und m die Zahl der Rotationen vom ersten Beobach- tungsmoment T, an. Durch Subtraction der in Columne T + mR, gegebenen Zahlen von 7’ sind die Werthe von n erhalten, welche zur Bestimmung von £ = Cor rection der Epoche der ersten Beobachtung, und von y = Correction von R, dienen. Die Berechnung ` nach der Methode der kleinsten Quadrate ergiebt: ` t = — 11154, r= + 05425. Durch Substitution die- ser Werthe in die Fundamentalgleichungen sind die Differenzen zwischen den berechneten und beobach- teten Momenten in Columne v erhalten. Hieraus findet‘ | sich der. wahrscheinliche Fehler einer Beobachtung vom ` Gewichte 1 zu 735 also derjenige einer Beobachtung mit dem Gewichte 3 (welches letztere für ruhige Bil- der angenommen war) zu Æ 42° oder + 0"7. Der w. F. von £ wurde عد‎ 1356 und der von y # 0,035 gefunden. La 33 des Sciences de Saint- Pétersbourg. J ahr — 1879 1880 A Tome XXVII. bà o S Datum T coda f aL aT T! m| T--mR,| n | v Sept. 20,110^27" 0°12)339°34"+ ie +32”39°110°36” 6| 01026 6f o'—11ll' » 23| 756 0 Ve 61154 59-38 43 |+33 d 75524| 7| 755 4 + 20 -129 » 25| 9 33 24 SE as 81154 48-33 50 +33 25 | 9 32 59 | 12| 9 32 54 + 5 —111 » 29112 47 30 Tor A -10|154 25 —34 Bläi 3112 47 27 | 22112 48 34 | 67 |— 35 Oct. 2110 14 30 NE 3+ --12]154 12-34 18 |+34 25 110 14 37 | 2910 17 32 |-175 + 76 » 3| 6 8 30 U 8|—34 22 |+34 31| 6 8 39 31 6 840i- ı|- 97 » 41153 0 hn 3 +13 1154 31-34 28 +34 40 |11 53 12 | 34/11 55 22 —130 |+ 33 » 9/10 59 30 Dit +16 153 45|-34 53 --35; 9 10 59 46 | 46111 2 10 |-144 |+ 52 » 12| 8 26 30 gece i +18153 37|-35 9 -85 23 | 8 26 44 | 53| 8 31 8 |-264 |+175 » 1410 9 0 isti = 419/153 31-35 20 +35 32 |10 9 12 | 5810 858 + 14 |-101 ^» 18 557 0 iu Yn +20153 30|—35 25 +35 34| 5 57 9| 60 6 0 6 —177 + 91 » 31 9.2 0 jen i 28/153 19|—37 10 +35 52| 9 0 42, 99, 9 7 12 |-390 |+321 Nov. 8| 5 42 0 des 4 +31 153 33|-38 8 +35 29 | 5 39 21 |118| 5 42 58 |-217 [+156 » 10 720 0 194 10 +32 153 38|-38 23 +35 21 | 7 16 58 123| 7 20 48 |-230 |+171 » 29 8 6 0 de +34 1155 3,—40 50 33 0, 7 58 10 169 7 56 52 + 78 |-118 Dec.9| 6 20 0 dus 156 10,-42 7 +31 9 6 9 2 193 6 10 28 — 86 |+ 57 Jan.31| 517 0 + +11/165 25|—47 42 +15 51| 445 9/321 443 0 129 |-104 Juni 1815 5 30 1 i _331195 6 —42 50 |-33 15 |13 49 25 658113 48 58 |+ 27 (+141 » 30115 1 013 P. x -86 196 37 —41 21 |-35 46 13 43 53 687113 40 24 +209 — 28 S Jui 514 6 24 1 e 56 —36 197 9 -40 43 |-36 39 12.49 2 69912 47 12 +110 + 76 |» 1915 38 30 3 Ss P -36 198 901-39 3|-38 36 14 20 51 733114 16 28 +263 .— 63 » 2913 5148 3 e Ge -331198 511-37 42 |-39 27 12 34 39 75712 30 4]|4275 |- 64 S Aug. 3 12 56 24 |2 s T +31 199 0-37 7 —39 42 11 39 35 76911 36 52 +163 + 35 Bulletin de l’Académie Impériale Unsere Beobachtungen ergeben somit: die Epoche der 175? betragenden jovicentrischen Länge des Flecks, von Aberration befreit, T, = 1879 Sept. 20 10^24"15' Nikol. m. Zt. + 14' und die Rotationsdauer | R = 9°55” 345425 m. Zt. Æ 0,035. In ähnlicher Weise habe ich auch die in den An- nales de l'Observatoire de Moscou, Vol. VI, Livr. 2, p. 105, gegebenen, von Professor Th. Bredichin an- gestellten und 314 Rotationen des Jupiter umfassen den Beobachtungen berechnet, wobei den Beobachtun- gen bei unruhigen Bildern das Gewicht 1, bei guten Bildern das Gewicht 3, und bei allen übrigen das Ge- wicht 2 zugeschrieben ist. Als Resultat ergab sich die Epoche T, = 1879 Sept. 11 8* 26"3* Mosk. m. Z. عد‎ 16; welche von meiner Epoche bloss um 2" diffe- rirt, ein Unterschied, der zum Theil einer persönlichen Gleichung in der Auffassung des mittleren Meridians zugeschrieben werden kann. Für die Rotationszeit fand |- sich mit grosser Übereinstimmung R = 9° 55” 34564 Æ 0:14. Nikolajew, August 7 (19) 1880, Beryli-Krystalle eines neuen Fundortes. Von N. v. Kok- _Scharow, Sohn. (Lu le 27 mai 1880.) Dank der Liebenswürdigkeit der Herren Professore P. v. Jeremeiew und M. v. Jerofeiew bot sich mir die Gelegenheit zwei sehr interessante Beryll-Krystalle, welehe zusammen mit Kianit und Quarz in einer der Goldseifen des südlichen Urals gefunden waren, zu untersuchen. Diese Krystalle sind vollkommen farblos und unter- scheiden sich von denen anderer Fundorte durch einen bis jetzt noch nicht vorgekommenen Character: sie sind ` nämlich in der Richtung der Hauptaxe um so viel ver- kürzt, dass sie eine tafelfórmige Form erhalten. Dieser Typus ist auf Fig. 1 dargestellt. Fig. 1. Da bis jetzt nur zwei Exemplare von diesen so in- teressanten und originellen Beryll-Krystallen gefunden sind, so hielt ich es der Mühe werth dieselben mit allen ihren Unvollkommenheiten auf Fig. 2 und Fig. 3, drei mal vergrössert darzustellen. Fig. 3. Fig. 2. Diese beiden Krystalle bieten eine einfache Combi- 3 nation dar und besitzen das tafelfórmige Ansehen, wegen der starken Entwickelung der beiden Flüchen des Basopinakoids OP, zum Verlust der Flüchen des hexagonalen Prisma der ersten Art M — co P und denen der hexagonalen Pyramiden / — P und s —,P. In diesen Krystallen sind die Flächen der Basis polié- — drisch, wie es die beigegebenen Figuren deutlich dar- - 1 : j x stellen. Der auf Fig. 2 dargestellte Krystall war noch im S - Jahre 1878 der Mineralogischen Gesellschaft zu St. Petersburg von P. v. Jeremeiew vorgezeigt worden. In diesem Krystall sind von P. v. Jeremeiew folgende | Winkel mit besonderer Genauigkeit gemessen worden: ` des Sciences de Saint = Petersbourg. 33 M. ! t: M—119?56'40" Nach den Daten meines Vaters, berechnet sich dieser Winkel — 119? 56' 36" FT t: P = 150?6' 20" Durch Rechnung = 150° 3' 24". $:8 $:8—89^53'8" Durch Rechnung — 89° 52, 10" Spec. Gewicht —2,6044. Der auf Fig. 3 dargestellte Krystall, welcher M. v. ` Jerofeiew gehört, ist von mir mit Hülfe eines Mit- scherlichschen Goniometers mit einem Fernrohr . gemessen worden; ich fand nämlich folgendes : Yt 6 : t, = 59^40 0" gut. Durch Rechnung nach den Daten meines Vaters — 5955312". a t: M. tı: M = 119° 4?' 0” mittelmässig t,: M = 119? 54' 30" gut t: M — 119? 44'40" gut Mittel = 119?47' 3”, Durch Rechnung | t: M - 5636”. 8 t, : يو‎ = 156? 42'0" sehr gut ي8 :وا‎ = 1006742078 > 0 Mittel = 156° 42/0” . Durch Rechnung | Ke 156. 44 29. f SB — 89? 59' 30" gut $,:8, = 89? 46/30" sehr gut ` e Mittel — 89? 49' 30" .. Durch Rechnung ST sis = 89°52 10” S:S us (über t) : 84:8, — 138^ 39' 10" gut 8s 5 Hs Durch Rechnung s : s (über t) = 138? 38' 23" s:M s,:M = 127° 46’ 30" gut وو‎ : M = 127°37 30" » Mittel —127°49 0" ` Durch Rechnung s: M —127?42'37" Wenn man die Resultate der Winkel-Messungen des auf Fig. 3 dargestellten Krystalls untereinander ver- gleicht, so ersieht man dass sie von einander in eini- gen Fällen sehr stark (bis 12^) abweichen. Die Mittel der gemessenen Werthe stimmen aber im Ganzen ganz gut mit den berechneten Werthen überein, also muss man für die Krystalle dieses Fundortes dasselbe Axen- verhältniss annehmen, welches von meinem Vater für die Krystalle anderer Fundorte berechnet worden ist, nàmlich ADU: b: = 0.498860 1; 1:1 : — y0,948861:1:1: 1. Über das unmittelbare Nitriren einiger Kohlenwasser- stoffe der Fettreihe; von D. Konowalof. (Lu le 13 mai 1880.) Die Fähigkeit Wasserstoff gegen die Nitrogruppe, unter Bildung wirklicher Nitrokórper auszutauschen, ist eine Charakteristische Eigenthümlichkeit aller aroma- tischen Verbindungen, ungeachtet der Verschieden- heit ihrer chemischen Funktionen. In dieser Bezie- hung bilden die Fettkörper einen schroffen Gegensatz. Es sind wohl Fülle bekannt wo sich bei Einwirkung von Salpetersäure und Stickstoffoxyden auf Fettkörper Verbindungen bilden, welche die Nitrogruppe enthal- ten, aber es schien, dass unter diesen Bedingungen Stickstoff nicht unmittelbar mit Kohlenstoff in Ver- bindung treten kann, dass sich dabei nicht wirkliche Nitrokórper bilden. Unlängst hat Haytinger!), diese Reaction untersuchend, durch Einwirkung von Salpe- tersäure auf Trimethylcarbinol Nitrobutylen erhalten, ` Einige Verwandlungen deuteten darauf hin, dass das y , 1) Liebig's Annal. Bd. 193. 366. ; 8* Bulletin de l'Académie Impériale 40 Product dieser Reaction wirklich ein Nitrokörper ist; aber bei dessen Reduktion wurde fast kein Amin er- halten — das Reductionsproduct war Ammoniak. Um diese Frage aufzuklären ging ich, dem Vor- schlage des Herrn Prof. Butlerow zu Folge, an das Studium der Reaction von Salpetersäure auf das Iso- dibutylen (Octylen) (Isodibutylen wurde nach H. A. M. Butlerow’s Methode erhalten mit dem Siedepunkte (102— 104°). Die ersten Versuche wurden folgender- weise ausgeführt: zum Isodibutylen, welches sich in einem mit dem Rückfluss-Kühler versehenen Kolben befand, ward durch einenHahntrichter starke Salpeter- säure (S. G. 1,5) hinzugefügt. Das Fallen eines jeden Tropfens wurde von Zischen begleitet, die Flüssigkeit erhitzte sich und nahm all- mälig eine rothbraune Färbung an, es fand jedoch keine Entweichung von Stickstoffoxyden statt. Plötz- lich entstand aber jedes Mal eine Explosion, welcher man sogar durch Kühlung mit Eis und Schnee nicht vorbeugen konnte. Solch ein Verlauf der Reaction, welöber immerhin einiges Quantum eines Nitrokörpers gab, da bei der Reduction des Products stets eine geringe Menge Amin erhalten wurde, liess andere Bedingungen suchen. Es wurde ein Versuch in essigsaurer Lösung zu reagiren angestellt. Zur Lösung des Isodibutylens in doppelter Menge Essigsäure, welche durch Eiswasser gekühlt war, wurde tropfenweise Salpetersäure (s. G. 1,5) hin- zugegossen. Ein jeder Tropfen rief eine Trübung her- vor, welche beim Schütteln verschwand, aber ehe noch die ganze Menge Salpetersäure (ein dem Diisobutylen gleiches Volum) hinzugegossen war, schwamm eine Schicht auf, welche im Laufe einiger Stunden sich ver- grösserte?), daraufsich verminderte und endlich sich in der unteren Flüssigkeit lösend gänzlich verschwand. Entweichung von Gasen wurde dabei nicht beobachtet und nahm die Flüssigkeit, welche bei Bildung der Schicht nur gelblich gefärbt war, mit der Lösung der- | selben eine dunkel rothbraune Färbung an. Die oben schwimmende Schicht wurde abgehoben, zuerst mit Essigsäure, darauf mit Wasser gewaschen und über . Chlorealeium getrocknet. Der so erhaltene Körper enthielt kein Stickstoff und wirkte fast gar nicht auf metallisches Natrium ein. 2) Sein Volumen war fast dem Volumen des angewandten PUUT lens gleich. Beim Destilliren gingen nur einige Tropfen bei 100° über (unverwandeltes Dibutylen), darauf stieg die Tem- peratur rasch und es destillirte fast die ganze Menge bei 238 bis 240° über. Dies Product war in Alkohol und Essigsäure wenig löslich (Dibutylen mischt sich mit beiden Flüssigkeiten in jedem Verhältpiss) und fast geruchlos. Alle diese Eigenschaften deuteten da- rauf hin, dass dieser Kórper identisch mit demjenigen ist, welcher durch Einwirkung von Schwefelsäure auf Isodibutylen erhalten wird, und wahrscheinlich Tetra- butylen vorstellt. Beim Bestimmen der Dampfdichte nach der Methode von Victor Mayer im Diphenyl- amin-Dampf erhielt ich eine geringere Grösse, gegen 6,5 (statt 7,7); vielleicht lag der Grund darin, dass ich wenig Substanz hatte und dieselbe nicht vollstän- dig vom Dibutylen trennen konnte. Folglich besteht die erste Phase der Reaction im ` Polymerisiren, und erst später, beim Lösen der Schicht in dem Gemenge von Essig- und Salpetersäure geht das Nitriren vor sich. In der That fiel beim Verdün- nen der erhaltenen rothbraunen Lösung mit Wasser ` eine rothbraune dicke (zähflüssige) stickstoffhaltige Flüssigkeit nieder. Durch Reduction derselben wurde eine in wenig Säure lösliche Base erhalten; das weitere - Zusetzen von Säure zu dieser Base trübte die Flüssig- keit und liess eine ölige Schicht aufschwimmen. Diese ^ | Eigenschaft, wie es weiter unten gezeigt wird, findet man auch in dem aus dem Tributylen erhaltenem ` : : 1 Amin, während das aus dem Isodibntylen entstehende . Amin in den Sáuren vollkommen löslich ist. Diese Versuche zeigten, dass man bei der Einwirkung ` ` von starker Salpetersäure in der Kälte, Bildung von Nitrokörpern erwarten kann, doch nicht derjenigen welche von Isodibutylen, sondern von dessen Polyme- ren deriviren. Um das Polymerisiren zu vermeiden musste man also zu Versuchen mit schwächerer Säure übergehen. | 50 gr. Salpetersäure (sp. G, 1,28) wurden mit 15 gr. Isodibutylen in einem Kolben mit Rückfluss-Küh- d ler auf einem Wasserbade erhitzt. Bald ging die Re- — — Fr aktion vor sich, was am Sieden des Kohlenwasserstof- fes (S. p. 192,5°) sichtbar war. Darauf wurde der Kolben aus dem Bade heraus genommen und die Re- aktion endigte sich von selbst im Verlaufe einer hal- . a ben Stunde, wobei nur wenig Stickstoffoxyde entwichen, - und der Kolben fortwährend geschüttelt wurde. Es 41 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 42 - wurde auf diese Weise eine grünliche stickstoffhaltige Substanz erhalten von scharfen Geruche, schwerer als Wasser; sie war in wässeriger Natronlauge theilweise löslich, die Lösung war orangenroth gefärbt. Aus die- ser Lösung schieden Säuren eine stickstoffhaltige Sub- stanz wieder aus. Es gelang jedoch auf solche Weise kein reines Ni- troproduct auszuscheiden, denn die aus alkalischer Lösung ausgeschiedene und mit Wasserdampf abdestil- - lirte Substanz löste sich nicht mehr vollständig: in Na- tronlauge. Das Product des Nitrirens wurde daher direct ohne weiteren Bearbeitung gewaschen und re- ducirt. Zum Reduciren dienten Eisen und Essigsäure oder Zinn und Salzsäure. Eisenfeile wirken sehr ener- gisch, so dass man auf folgende Weise reagiren musste: die Substanz wurde mit etwas Wasser und Eisenfeilen vermischt und allmälig Essigsáure hinzugefügt; verlief dabei jedoch die Reaction zu stürmisch, so wurde Wasser zugesetzt. Viel ruhiger geht die Reduction mit gepulvertem Zinn und Salzsäure. Man muss nur im An- fang ein wenig erhitzen, darauf findet Entwickelung von Wasserstoff von selbst sehr energisch statt, wobei sich die obenschwimmende Substanz allmälig braun färbt und dem Volumen nach verringert. Nach Béendi- gung der Reaction wird die wässerige Lósung ab- geschieden und zu derselben auch das Waschwasser von dem im Wasser unlóslichen Öl hinzugefügt. Das Letztere besteht hauptsächlich aus ketonartigen Oxy- dationsproducten des Isodibutylens (welche Butlerow untersucht hat), wenigstens deuten der Geruch und das Verhalten dem metallischen Natrum gegenüber . darauf hin. Die wässerige Lösung wurde durch einen — Róhrentrichter zur Natronlauge zugegossen und destil- lirt. (Wenn die Flüssigkeit einen grossen Überschuss an Aetznatron enthält oder wenn ihr etwas Talkpulver hinzugefügt wird, so siedet sie sehr ruhig). Die ersten . Antheile des alkalischen Destillates, welche die grösste Menge des gebildeten neuen Amin’s enthielten, wur- den für sich mit Salzsäure. bearbeitet und filtrirt; da- rauf wurde auch die übrige Menge des Destillates mit " Säure bearbeitet, durch Abdampfen auf dem Wasser- bade concentrirt und der ersten Portion hinzugesetzt. — Das Amin schied man durch Zusetzen einiger Stücke Aetzkali ab und extrahirte mit Aether; der ätherische Auszug wurde mit einer geringen Menge Salzsäure geschüttelt und aus der erhaltenen concen- trirten Lösung des salzsauren Aminsalzes die Base mit Aetzkali ausgeschieden. Solch eine Bearbeitung erwies sich nothwendig, weil beim Abdampfen das auf- gelöste Salz sich unter Braunfärbung und Abscheiden harziger Tropfen zersetzt, wobei immer eine grössere und grössere Menge Ammoniumsalz gebildet wird. Auf solche Weise wurden im Verhältniss zum an- gewandten Isodibutylen gegen 30%, rohes Amin er- halten. Die Base stellt eine syrupartige Flüssigkeit dar, welche auf Wasser schwimmt und etwas in dem- selben löslich ist; sie reagirt stark alkalisch und zieht sogar Kohlensäure aus der Luft an; in den Säuren löst sich das Amin unter Erwärmen auf; es wirkt zerstörend auf Korken ein. Über Ätzkali und was- serfreiem Baryt getrocknet fing das Amin bei 150° zu sieden an, die Temperatur stieg sodann allmälig bis auf 220° und sogar etwas höher. Die ersten Portionen des Destillats stellten eine wasserhelle, durchsichtige, bewegliche Flüssigkeit von starkem ammoniakalischen Geruch vor; mit steigen- der Temperatur verlor die überdestillirende Flüssig- keit mehr und mehr den scharfen Geruch und wurde dickflüssiger ; die letzten Portionen des Destillates, welche etwas gelblich gefürbt waren, besassen die Ei- genschaft beim Lósen in Säuren eine rosa, violette und sogar rothbraun gefärbte Lósung zu geben. Die überdestillirte Flüssigkeit, welche sich ohne Rückstand in Sáuren lósste, wurde in drei Theile ge- theilt. Die erste Portion, von 150°— 180°, löste man in Alkohol auf, neutralisirte mit alkoholischer Salz- säure und vermischte mit einer alkoholischen Lósung von Platinchlorid. Es bildete sich dabei in der Flüs- sigkeit sogleich ein krystallinischer Niederschlag. Nach Zusatz einer grossen Menge Âther wurde das Chloroplatinat abfiltrirt, und mit Alkohol und Wasser gewaschen. Es stellt goldgelbe Schuppen dar, welche wenig in Wasser und Alkohol (mehr in Salzsäure und - Platinchlorid haltendem Alkohol) lóslich sind. Das Salz entsprach der Formel 2 [Cg His NH, . HCI] + POL. L 0, 1430 gr. Substanz gaben beim Glühen 0,0425 Platin. Il. 0,0586 gr. Substanz gaben 0,0174 Platin. Das Verbrennen mit Kupferoxyd führte zu folgen- I den Zahlen : 43 Bulletin de l’Académie Impériale 44 I. 0,2574 gr. Substanz gaben CO, — 0,2700 gr.; H,0 — 0,1301 gr. II. 0,1420 gr. Substanz gaben CO, = 0,1477, HBO = 0,07 191. Diese Zahlen entsprechen befriedigend der Formel: 2 [C; Hs a HCl] ب‎ POL" Theorie. Versuch. € — 28,78? I. EC 28,61 28,39. H— 5,40 5,7 5,6. Pt — 29,68 49.62: 297 Die Portion von 180° bis 195° führte beim Ver- brennen mit Kupferoxyd zu folgenden Resultaten. I. 0,0900 gr. Substanz gaben H, O = 0,1118 (CO, verloren). II. 0,1139 gr. Substanz lieferten H, O = 0,1139, CO, — 0,2940. E H. 70,4. l TE 138,9. 13; 8. Die Portion 195? und hóher, noch einmal destillirt, wurde auch mit Kupferoxyd verbrannt. Zur Analyse wandte man die Portion 195^— 210" an. Dieses Ver- brennen führte zu folgenden Resultaten. I. 0,1480 gr. Substanz gaben H,O — 0,1819; CO, = 0,3666. II. 0,0976 gr. Substanz lieferten H,0 — 0,1192, CO, — 0,2415. Das Bestimmen des Stickstoffes nach der Methode von Dumas unter Anwendung des Apparats von Zul- . kowsky gab folgende Resultate: 0,1475 gr. Substanz gaben 25,6 cc. Stickstoff beim ose == 167,3 wid t — 240 Die VENT E dieser Portion. ist derjenigen In Procenten : iris | NH des Diamines nahe: CH. NH, Theorie. Versuch. €66,70 67,55 67,48 | H 13,88 13,56 13,00 N 19,44 19,40 3) Für das Amin der Grenzreihe C, H,, NH, hat das Chlo- roplatinat eine sehr nahe Zusammensetzung = 28; THEM 29,49. Der gróssere Gehalt an Kohlenstoff ist hier wahr- scheinlich durch die Beimischung von Monoamin be- dingt, da dasselbe 75%, C. enthält. Dieser Umstand tritt darin zu Tage, dass diese Substanz sich mit 4— 5 Theilen Wasser mischt, indem sie eine durchsichtige Lósung giebt, welche bei weiterem Wasserzusatz sich sogleich trübt. Es stellen also, wahrscheinlich, die ersten Portionen des Destillates reines Monoamin, die mittleren — ein Gemenge von Mono- und Diamin, die höheren — fast reines Diamin. Darauf deutet auch der Umstand hin, dass die Portion 180—220" viel weniger Chloroplatinat gab als man dem Gewichte des angewandten Amins zufolge erwarten konnte und dieses Chloroplatinat, welches weniger Kohlen- und Wasserstoff (C — 23,6% — 23,2%, H = 5,10 — 5,14^/) enthielt, stellte ein Gemenge vor, die Haupt- — : masse des Diamin- Chloroplatinats hingegen blieb ` — gelóst. ; Da die obenangeführten analytischen, sich auf das Monamin beziehendeu Resultate keinen Aufschluss da- rüber gaben ob hier eine gesättigte, oder ungesättigte Verbindung vorliegt,so wurde zu der Reaction mit Brom Zuflucht genommen. Zu dieser Reaction wurden das 4 salzsaure und salpetersaure Salz verwendet. Brom wird schnell durch die wüsserige Lósung dieser Salze ent- B färbt und in der Flüssigkeit schlägt sich sogleich eine — gelbliche halbflüssige Substanz nieder. Diese Reaction — — ist so empfindlich, dass sogar Bromdämpfe beim Nie- ` dersinken in einem etwas Salzlósung enthaltenden Pro- birgläschen sogleich diese gelbe Substanz erzeugen, 80 « bald sie die Oberfläche der Lösung berühren. Diese Substanz lóst sich jedoch bald auf und aus der erhal- tenen Lösung kann man mit Ätzkali eine bromhaltige Base abscheiden, welche schwerer als Wässer ist. Das Nitriren von Isotributylen^) wurde mit Säure derselben Stürke wie beim Isodibutylen ausgeführt ; dabei entwichen aber Stiekstoffoxyde in einer bedeu- tenderen Menge und es war ein fortwährendes Erhitzen ‚| gegen 70° nöthig. Die Reduction der erhaltenen Sub- ` E stanz wurde wie oben mit Zinn und Salzsäure ausge- ` führt. | Das mit Wasserdampf abdestillirte Amin wurde in HCI-Sáure gelöst und die Lösung auf dem Wasserbade ` condensirt, dabei färbte sie sich nur etwas braun und 4) Das Tributylen wurde nach der Methode von A.M.Butlerow ME mit 175?— 180^, 45 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 46 es entstanden keine harzühnliche Tropfen. Das HCI- Salz lóst sich in jedem Verhältnisse in Wasser und kann aus der Lósung als Syrup, welcher über der Flüs- sigkeit schwimmt, durch Hinzufügen von Chlor-Am- monium ausgeschieden werden. Dasselbe beobachtet man beim Hinzusetzen von Salzsäure, zuerst lóst sich dabei das über dem Wasser schwimmende Amin auf, beim weiteren Hinzusetzen jedoch scheidet die Flüssigkeit das Salz aus. Beim Destilliren des Amins treten ganz dieselben Erscheinungen auf, wie im oben erwähnten Falle, doch waren die Grenzen der Siedepunkte ziem- lich gross 190? — 225°. Aus der Portion 190° — 205? wurde ein Chloroplatinat erhalten, indem 25,6% Platin gefunden (0,3206 Substanz gaben 0,0821 Pla- tin. Die Formel 2[C, Hə NH, . HCI] + POL verlangt 25,419/, Platin. Die übrige Menge des Amins wurde nochmals destillirt und (105 —115?) gab beim ` Analysiren 2—3% Kohlenstoff weniger, als die For- mel des Isotributylenamins verlangt. (Es wurde erhal- ten 75,5%, Kohlenstoff und 14,4%, Wasserstoff; die Theorie verlangt für Cj, H,, NH, C = 78,79, H = 13,66 und für C,, H5, NH, C = 77,83, H = 14,59). — Demnach scheint auch hier eine Beimischung von . Diamin stattzuhaben; das Diamin C,H, (NH,), ent- . hültin der That 72% C. Ich habe auch einen Versuch mit dem Amylen (Tri- methylaethylen) angestellt, welches auch eine Base gab, . die ich jedoch weiter nicht untersuchen konnte. Alle diese Versuche führen zum Schlusse, dass bei Einwirkung von Salpetersäure auf gewisse Kohlenwas- serstoffe C,H,, der Fettreihe wirklich د‎ el ... entstehen. Diese Arbeit ist im Laboratorium des Hrn. Professor À. Butlerow ausgeführt worden. Enge Bemerkungen über die Veränderlichkeit der Form . und Gestalt von Lubomirskia baicalensis und über | die Verbreitung der Baikalschwämme im Allge- | meinen. Von Dr. W. Dybowski — in Niankow. (Lu . le 30 septembre 1880.) Während des Druckes meiner Abhandlung über die | ae 1) Cfr. W. Dy bowski, Studien über die Spongien des Russ. Schwämme des Baikalsees 1) erhielt ich aus Irkutsk | | Tab. I Fig. 5 und Middendorff, Sibir. Reise Bd. IV, Thl. IT Lief. 1 von meinem Bruder dem Dr. Benedict Dybowski sowohl eine von ihm selbst ausgeführte photographische Darstellung der Lubomirskia baicalensis,;als auch eine Mittheilung über das allgemeine Vorkommen und die Verbreitung der Schwämme im Baikalsee. - Diese No- tizen bieten ein nicht geringes wissenschaftliches In- teresse dar und kónnen daher zur Ergánzung meiner Abhandlung (l. c.) dienen, weshalb ich es für zweck- mässig halte, dieselben als einen kurzen Nachtrag zu meiner eben citirten Arbeit, der Oeffentlichkeit zu übergeben. Die Veränderlichkeit der Spongien in morpholo- gischer Beziehung ist eine allgemein bekannte That- sache. Dass die Lubomirskia baicalensis dieser allge- meinen Regel folgt, dafür giebt uns das vorliegende Material einen hinreichenden Beweis. Die morphologische Variabilität der Lubomirskia baicalensis ist schon Miklucho-Maclay ?) aufgefallen, wie aber aus den Worten desselben (l. c. p. 8.) zu schliessen ist, hat er nur unbedeutende Variationen gekannt. Um eine móglichst umfassende Beschreibung der Form und Gestalt unseres Schwammes zu liefern, werde ich hier alles in dieser Hinsicht bereits Be- kannte zusammenstellen und durch meine eigenen Be- obachtungen erweitern. : Wie sehr auffallend auch die Vetsehiedenhoitos : in der Form des in Rede stehenden Schwammes sind, so lassen sich, bei genauerer Untersuchung, alle diese morphologischen Abweichungen stets auf einen und denselben Typus zurückführen. Die allereinfachste und deshalb typische Form un- seres Schwammes ist die eines baumförmigen Stammes mit cylindrischen aufrechtstehenden Ästen ?). Die Äste entspringen bald in verschiedenen Hö- hen (Cfr. Miklucho 1. c.), bald aber in einer und der- selben Höhe (Cfr. Dybowski I. ci Diese eben geschilderte einfachste Form wird in verschiedener Weise modificirt; die wichtigsten Modi- ficationen sind folgende. Reiches mit besonderer Berücksichtigung der Spongien- Fauna des Baikal-Sees (Mém. de l'Acad. des Sciences de St.-Pétersb. VII? Ser. T. XXVII N 6). 1880. .9) Cfr. Miklucho- Maclay, über einige Schwämme des nórd- lichen stillen Oceans und des Eismeeres (Mém. de l'Acad. des Sciences de St.-Pétersb. VII? Ser. T. XV X 3). 3) Cfr. Dybowski, 1. e. Tab. I fig. 1, Miklucho-Maclay, l. c. p. 1065 47 Bulletin de l'Académie Impériale I. Formen, an welchen der Typus deutlich zu er- kennen ist. a) Die cylindrischen aufrechtstehenden Aeste des Schwammes sind nicht überall frei, sondern verbinden sich unter einander durch mehrere verschieden dicke und lange Queranastomosen (Cfr. Dybowski, l. c. p. 12 Tab. I fig. 1). b) Die cylindrischen aufrechtstehenden Äste des Schwammes stehen einander oder dem Stamme so nahe, dass sie an der Berührungsflüche, entweder unter ein- ander, oder mit dem Hauptstamme verwachsen. Da- durch werden sehr verschieden gestaltete, längliche, mehr oder weniger abgeflachte Kórper gebildet, an denen mitunter oben grössere oder kleinere Äste entspringen. II. Formen an denen der Typus fast ganz ver- wischt ist. a) Baumförmige Schwämme, a) Die Aeste stehen nicht aufrecht, sondern bilden mit dem Hauptstamme einen mehr oder weniger spit- zen Winkel. Die einzelnen Aeste sind nicht cylindrisch, sondern an dem freien Ende dünner, als an der Basis (Exemplar in meiner Sammlung). 8) Die kurzen, fast cylindrischen Äste sind feder- artig angeordnet; sie entspringen aber nur von einer Seite des Stammes (halbgefiedert). b) Strauchartige Schwämme. Indem aus einer kurzen und dicken Basis zahlreiche Zweige nach verschiedenen Richtungen emporwachsen, entsteht eine strauchartige Form. Innerhalb eines solchen Strauches bemerkt man sehr verschieden ge- staltete Zweige. Die meisten Zweige sind gabelartig getheilt und im unteren Theil unter einander verwach- sen. Die Grósse eines Strauches ist zuweilen ganz > enom. > In Bezug auf das Vorkommen und die Verbreitung der Schwämme in dem Baikalsee, theilt mein Bruder . mir folgendes mit‘). Im südwestlichen Theile des Baikalsees°), d. h. auf der, ganzen Strecke von Listwiennischnaja und Pos- solsk Get bis Kultuk andererseits, kommen die 4) In Ermangelung einer monographischen Bearbeitung der Bai- kalschwämme unterscheidet der Beobachter nur die baumfórmigen Stócke von den rasen- oder polsterartigen. Es werden überhaupt nicht [die einzelnen Arten oder Varietäten besonders behandelt, sondern nur das Verhalten der Baikalschwämme im Miei 5) Cfr. Dybowski 1. epr Bg.t Schwämme überall da vor, wo die dazu nöthigen Be- dingungen vorhanden sind °). In der Regel treten die Schwämme überall dort auf, wo der Seegrund steinig ist und wo grosse Fels- oder Holzblöcke herumliegen; ferner findet man zahlreiche Schwammstöcke an solchen Stellen, wo das steile, fel- sige Ufer treppenartige in’s Wasser hineinragende Terrassen bildet. Ist dagegen der Grund sandig, schlam- mig oder mit kleinen beweglichen Steinen bedeckt, so kommen keine Schwämme vor. In einer Tiefe von 100 Met. also, wo der See stets mit feinem Schlamm be- … deckt ist, kommen einige kleine rasenförmige Stöcke — nur dort vor, wo grosse Stein- oder Holzblócke aus | dem Schlamme hervorragen. Am westlichen Ufer sind diese Bedingungen reich- 5 lich vorhanden, so dass hier fasst überall Schwàmme — As — angetroffen werden. Dicht am Ufer und nur in unbe- … deutenden Tiefen kommen ausschliesslich rasen- oder polsterartige Schwammstócke vor; kugelförmige sind selten, baumförmige werden nie Segen, Die Schwäm- — me sitzen für gewöhnlich an der Oberfläche grosser . Holz- oder Felsblócke fest. Eine besondere Neigung zeigen sie aber zu faulendem Holze, so dass an gewissen. Stellen, fast jedes Holzstück Schwämme trägt. Mit- unter findet man sehr grosse Holzblócke, welche von einer Schwammkruste förmlich überzogen werden. In bedeutenden Tiefen, so z. B. in einer Tiefe von — 3 Faden (— 6,3 Mtr.), oft ganz dicht am steilen Fels- . ufer, treten ausschliesslich strauchförmige Schwämme auf. Fährt man bei schönem und stillen Wetter, wo die ` Oberfläche des Sees spiegelglatt ist, mit einem Boot - herum, so kann man sich an dem Anblick zahlreicher, - wunderschóner Kolonien von Schwammsträuchen, wel- ` S a‏ ددع TEN:‏ che von dem Grunde des Sees emporwachsen, er- … götzen. Die strauchartigen Schwämme erreichen mit- — unter eine enorme Grösse. Ein solcher mit der Dragge ` herausgeholter Strauch, war so gross, dass er ganz . allein den Draggensack anfüllte?). So grosse Stöcke sind | jedoch selten, gewöhnlich geht die Grösse der Schwamm- E strüucher nicht über 60 Ctm. hinaus. In einer Tiefe von 6—25 Mtr. finden sich fon E oder strauchartige Schwämme; in noch grôsserer S Tiefe kommen nur polster- oder Ge A : i me vor. 6) Auszug aus einem Briefe. Irkutsk 1878. 7) Der Sack fasst etwa 40 Pfund Schlamm in sich. E EE a e MU EMT T ES ei ECS? À RTL EN AR ERRAT: 49 des Sciences de Saint - Petersbourg. 50 In einer Tiefe von 100 Mtr. (die grósste Tiefe, in welcher bisher Schwämme gefischt worden sind) findet man nur selten einige kleine und flache Stócke und auch nur dann, wenn die obenerwähnten Bedingungen vorhanden sind. Am östlichen Ufer ist der Seegrund meistens mit Sand oder mit kleinen beweglichen Steinen bedeckt, daher sind die Schwämme hier viel seltener. An grós- seren Blócken kommen die Schwämme nur selten vor, weil die hier vorherrschenden W. Winde einen fort- wührenden Wellenschlag verursachen, was offenbar dem Gedeihen der Schwämme nachtheilig ist. An den fel- sigen Uferterrassen finden sich einige polsterartige Schwämme, aber nicht in so grosser Menge, wie jen- seits, am Westufer des Sees. in der Angarà (cf. Dybowski l. c. fig. 1) kommen . die Schwämme vom Ausflusse bis zur Fabrik Taltzin- skaja überall in grosser Masse vor. Es sind ausschliesslich rasen- oder lamellenartige Schwämme, welche an gros- sen Holz- und Felsblócken oder kleinen Holzstücken festsitzen, baumfórmige kommen nie vor; offenbar brauchen die Schwämme ruhiges Wasser, um sich baumförmig ausbilden zu können. Zwischen der Fabrik Taltzinskaja und der Stadt Ir- — — kutsk kommen Schwämme viel seltener vor, da hier grosse Steine und Holzblócke weniger zahlreich vor- handen sind. Oberhalb Irkutsk ist die Angarà auf das Vorkommen der Schwümme noch nicht untersucht. Fasst man alles über die Verbreitung der Baikal- schwämme Bekannte kurz zusammen, so lässt sich fol- gendes sagen: 1) Dicht am Ufer des Sees, ineiner Tiefe von 2— 6 Mtr. kommen nur rasenförmige, 2)in einer Tiefe von 6— 25 Mir. baum- oder strauch- förmige, 3) in einer Tiefe von 25— 100 Mtr. wiederum ra- senfórmige Stöcke vor. In allen diesen Tiefen sind die = Schwämme selbstverständlich nur unter den oben er- > mue: günstigen Bedingungen vorhanden. — Die Farbe der Schwämme ist meistentheils mehr oder weniger dunkelerasgrün; mitunter kommen aber auch olivengrüne oder braune vor; nur diejenigen Schwämme, welche aus bedeutenden Tiefen (60— 100 Mtr.) stam- men oder sich unter Steinen befunden haben sind fast ` farblos- -Weiss. Die Schwämme von unbestimmbarer : Tome XXVII. schmutziggrauer Farbe werden wohl absterbende, oder ` schon abgestorbene Stócke sein. An den Baikalschwämmen sind bisher folgende Pa- rasiten beobachtet: Gammarus parasiticus, G. violaceus und G. violaceus var. virens?). Nankow d. 20—VII 1880. Sur le temps universel et sur le choix à cet effet d'un premier méridien. — Rapport fait à l'Académie Impériale des sciences, par M. Otto Struve, membre de l'Académie et directeur de l'Obser- vatoire de Poulkova. (Lu le 30 septembre 1880.) Les deux écrits (Sandford Fleming, Time Recko- ning and the selection of a prime Meridian, et Cle- veland Abbe, Aeport on. standard. time to the Ame- rican Metrological Society) transmis à l'Académie par ordre du gouvernement Britannique, doivent leur ori- gine à la nécessité vivement sentie aux États-Unis et dans les possessions anglaises de l'Amérique du Nord, d'introduire dans quelques branches de l'administra- tion publique, nommément dans celle des chemins de fer et des télégraphes, un systéme uniforme et ration- nel de compter le temps. Le rapport de M. Abbe en- visage le probléme principalement au point de vue local. Il expose les motifs qui ont engagé la Société Métrologique Américaine à adopter une série de ré- solutions qui toutes tendent à affaiblir les effets pro- duits par les défauts du systéme actuellement en usage aux États-Unis, systéme qui s'est introduit peu à peu et, pour ainsi dire occasionnellement, sans tenir compte des besoins du public voyageur et des administrations des chemins de fer. Il n'y a dans son mémoire qu'une seule résolution d'une portée plus étendue, celle de recommander au gouvernement et au publie, l'usage exclusif dans les États-Unis du temps rapporté au méridien situé de 6 heures à l'Ouest de Greenwich. En méme temps la Société Métrologique admet en ` principe qu'il est désirable qu'à l'avenir un temps uni- formément compté füt introduit sur tout le globe et 8) Cfr. Dr. B. Dybowski, Beitráge zur náheren Kenntniss der in dem Baikal-See vorkommenden niederen Krebse aus der Gruppe der Gammariden (Beiheft zum X Bd. d. Horae Soc. Entomol. Rossicae St. Petersb. ids 75, Tab. X fig. 3.,p. 76. Tab. XII, fig. 5, p. 147. Tab. HI fig. 3 E * & 51 Bulletin de l'Académie Empériale 52 se prononce à cette occasion en faveur du temps compté sous le méridien situé à 180° de celui de Greenwich. Le mémoire de M. Fleming, appuyé dans ses con- clusions par l'Institut Canadien à Toronto, est d'un caractere plus universel. Il propose directement l'a- doption du méridien situé à 180^ de Greenwich comme premier méridien pour tout le globe et l'introduction universelle du temps compté sur ce méridien dans l'usage des sciences et méme, pour certains buts, dans lusage de la vie civile. Ce temps pourrait être dé- signé comme temps cosmopolite, pour le discerner du temps local et le mémoire présente différentes pro- positions en vue de faciliter son introduction univer- selle. Cependant les arguments en faveur de l'intro- duction universelle ne sont produits dans le dit mé- moire que sous forme d'idées qui pourraient diriger l'attention du monde sur cette question importante et servir de points de départ aux discussions ultérieures. Pour le moment l'auteur du mémoire désire seule- ment obtenir, de la part des juges compétents de tous les pays, une réponse aux deux questions suivantes: l'. Le zéro du temps c.-à-d. le premier méridien proposé dans le mémoire, parait il convenable et de nature à étre adopté par toutes les nations civilisées? . Si le premier méridien proposé donnait lieu à des objections sérieuses, y aurait-il à proposer un autre méridien mieux qualifié et qui aurait plus de chances d'étre adopté par tout le monde? Des circonstances particulières ont singulièrement | facilité à votre Rapporteur la tâche de proposer une réponse à la première de ces questions. Il y a déjà dix ans que, sur le désir de notre illustre Président, la question du premier méridien, a été pour moi l'ob- . jet d'études spéciales, dont les résultats ont été ex- posés dans un discours prononcé le 4 févr. 1870 à la Société Géographique Russe. A cette occasion j'ai discuté la question uniquement au point de vue géo- graphique, en y considérant spécialement les intéréts de la cartographie et de la navigation. A ce point de | vue, la solution la plus simple m'a paru étre celle d'adopter pour premier méridien celui de Greenwich, qui, dans ce cas, réunirait probablement la grande ma- jorité des suffrages. La préférence donnée à ce mé- ridien était basée d'un cóté sur le droit historique de l'Observatoire Royal de l'Angleterre, aequis par les éminents services rendus par cet établissement, dans le courant de deux siècles, à la géographie mathéma- tique et à la navigation, d'un autre cóté sur la con- sidération que la grande majorité des cartes aujourd"- hui en usage, surtout dans la marine, est construite E d’après ce méridien, et qu'environ 90%, des navigateurs de long cours ont l'habitude de rapporter leurs longi- - tudes à ce méridien. Cependant il y avait à objecter contre la dite proposition que le méridien de Green- wich traverse deux pays de l'Europe et qu'ainsi les longitudes seraient comptées avec différents signes dans les différentes parties de notre continent et de PAfrique. En outre la proximité du méridien de Pa- ris, auquel peut-étre quelques géographes ou naviga- teurs français et d'autres nations voudraient se tenir | encore pendant quelque temps, soit par habitude, soit par un esprit trompeur de rivalité nationale, pourrait | facilement occasionner de fácheux mésentendus. Pour obvier à ces inconvénients j'ai proposé alors de choisir . pour premier méridien un autre méridien situé à un nombre entier d'heures à l'Est ou à l'Ouest de Green- wich et parmi les méridiens satisfaisant à dition j'ai signalé en premier lieu le méridien proposé aujourd'hui par les savants américains, comme celui ` à son ` adoption. En effet le méridien situé à 180? de Green- ‚wich présente les avantages suivants: qui réunirait le plus de conditions favorables à . Il ne traverse aucun continent excepté l'extrémité orientale du Nord de l'Asie, habitée par quelques . peuplades trés peu nombreuses et trés peu ms lisées des Tschouktschis. t2 e cette con- 5 . H coïncide exactement avec celui où, d après d l'habitude introduite par la succession historique des découvertes maritimes, le voyageur doit ` e changer d'une unité le chiffre de la date, ab- ` straction faite d'un petit nombre d'ilóts de l'Océan A pacifique découverts dans des voyages faits dans — la direction d'Ouest à decas Ainsi le Boegen Act ávonm — nonvelle cement d'une celui des heures du temps. cosmopolite. ` ` e 3 l'addition trés simple de Yo ms: ou u de I à toutes les longitudes. . Une change rien dans les habitudes de là me d majorité des navigateurs et cartographes, 2 QUE nee S i ` 1 ل‎ nu $ + E RE A RT I PRES SECDE E LA E e, E Ê E a) A PAROI NES 53 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 34 4°. Il n'entraine aucun changement dans les calculs des Éphémérides les plus répandues parmi les navigateurs, du Nautical Almanac anglais, ex- cepté la conversion de midi en minuit et vice versà. Aussi pour le Nautical Almanac Américain il n’y aurait aucun autre changement à intro- duire. Avec un esprit tout cosmopolite et dans une juste appréciation du besoin universel, les excellentes Éphémérides publiées à Washington rapportent toutes les données utiles aux naviga- teurs immédiatement au méridien de Greenwich. Pour l'usage universel proposé aujourd'hui par l'In- stitut Canadien, il se recommande en outre aux ha- bitants de tous les pays civilisés, par la grande diffé- rence en longitude, qui éloignerait tous les mésenten- dus ou incertitudes concernant la question de savoir si, dans un cas donné, il s'agit du temps cosmopolite ou du temps local. . En réponse à la première question posée par l’In- stitut de Toronto, j'ose donc recommander à l'Aca- démie de se prononcer sans réserve, en faveur de Padoption universelle du méridien situé à 180° de Gréenwich, comme premier méridien du globe. — Avec l'adoption de cette conclusion, la seconde "4 question présentée par l'Institut Gesitt n’a plus d'objet pour nous. Il reste encore à dire quelques mots sur les autres questions présentées dans le mémoire de M. Fleming Sous forme d'idées propres à servir de points de départ pour des discussions ultérieures. Le choix de cette forme parait trés sage. En effet les idées concernant l'introduction. d'un temps unique dans tous les pays réclameront probablement encore beaucoup de temps . pour mürir et plusieurs propositions émises par M. Fleming rencontreront peut-étre des difficultés in- Surmontables dans les habitudes et les intérêts des différents pays. À mon avis le plus sérieux obstacle Consiste dans le fait qu'il n'y a pas moyen de mettre, m dans les différentes parties du monde, le temps cosmo- i en dépendance du lever et du coucher du so- leil, phénomènes qui, on le sait, règlent de nécessité toutas les occupations ordinaires de la vie humaine. Mais la question se présente sous un autre jour dès qu’il s’agit uniquement des sciences. Sans doute pour quelques sciences par ex. Mont l'astronomie, la météo- | rologie, en partie la physique du globe et générale- ment dans toutes les questions liées avec une déter- mination exacte du temps, l'adoption universelle du méme temps serait un avantage précieux et pourrait s'effectuer sans difficulté. Elle épargnerait beaucoup de temps et éloignerait un grand nombre de mésen- tendus. En méme temps nous devons convenir que, pour d'autres questions scientifiques, l'usage du temps local, dans ses rapports avec les phénoménes du lever et du coucher du soleil, serait préférable. Pour le moment actuel il serait donc à recommander d'étudier en premier lieu à quel point l'introduction du temps cosmopolite dans les sciences serait opportune. L'adoption universelle d'une autre idée énoncée par M. Fleming rencontrerait probablement peu d'ob- stacles et son introduction générale serait bien à re- commander. Dans l'introduction de son mémoire il fait les remarques suivantes: «La division du jour en deux moitiés, chacune contenant 12 heures, est une source fertile d'er- reurs et d'inconvénients. Cette division a été longtemps en usage, mais à cóté de son antiquité elle n’a rien à la recommander et son usage ne présente aucun bienfait à l'humanité.» Qu'il me soit permis de dire que je partage entière- ment ces vues. Pour cette raison j ose les signaler par- ticuliérement à l'attention de l'Académie. La division du jour en deux moitiés parait s'étre glissée dans l'usage du monde sans raison suffisante. A cause des inconvénients qu'elle entraine, il serait bien à désirer qu'elle soit abolie et remplacée par la simple division du jour en 24 heures. L'exemple des Italiens et de quelques autres nations, chez qui cette division simple s'est maintenue jusque dans le siècle présent, prouve que son introduction générale ne pourrait guére ren- contrer de sérieuses difficultés. A mon avis l'Acadé- mie rendrait un grand service à tout le monde, si elle voulait appuyer de son autorité le changement proposé. En terminant le rapport je prends la liberté de l'aecompagner de deux exemplaires du discours russe - fait en 1870 à la Société Géographique Russe, qu'il 'serait peut étre opportun d'envoyer, de la part de l’Académie, à l’Institut Canadien à Toronto et à la - Société Métrologique Américaine à à Washington. 30 septembre 1880. * 4* r 95 Bulletin de l’Académie Impériale 56 Zur arabischen Literaturgeschichte der álteren Zeit. Von Baron Victor Rosen. (Lu le 9 septembre 1880.) I. Ibn Quteiba: Kitàb "Ujün al-akhbär, Die St. Petersburger Bibliotheken besitzen einige werthvolle arabische Werke der älteren Zeit. Bei der grossen Bedeutung, welche unbedingt alle, leider so wenig zahlreichen, Überreste der literärischen Thätig- keit der ersten 3 Jahrhunderte d. Fl. haben, dürfte es nicht unangemessen sein, die Aufmerksamkeit der Fachgenossen auf die hier vorhandenen und bisher gar nicht oder nur wenig beachteten Werke der ge- nannten Periode zu lenken. Ich beginne mit dem Codex X 691 des As. Museums, der im handschrftl. Catalog als «Fontes historiarum auct. Ibn Coteiba P. I. II.» bezeichnet ist und aus > der Rousseau’schen Sammlung stammt. Ibn Quteiba ist bekanntlich ein sehr fruchtbarer Schriftsteller gewesen !), der sich auf verschiedenen Gebieten versucht hat. Von alle dem Überfluss scheint nicht allzu viel, obschon immer noch mehr, als von den meisten andren Autoren jener Zeit, auf uns ge- kommen zu sein. Erhalten sind, so weit ich sehe, aus- ser den drei allgemein bekannten und vielfach benutz- ten 3 dell, الشعر و الشعرا )9 ,ادب الكاتب‎ folgende: 1) 1,53) LS“ (Catal. Bodl. I, p. 217 u. 224; cf. ibid. 11, p. 605 A. Ei: 2) القران‎ Kies (Cat. eg, IV, 14); 3) الحريث‎ ake’) (ibid, p. 54 sq.); 4) كتاب اختلانى العلما‎ | pes من الأشربة‎ Je فيما‎ (Cat. Mus. Br. Rieu p. 390); | 5) كتاب المسائل‎ (Pertsch, d. arab. Hdschr. I, p. 490 | X 636) und endlich 6) unser Exemplar der beiden ersten Exemplare des مون الأخبار‎ Dieses letzte Werk, vom Verfasser des Fihrist durch eine Angabe der 10 Bücher, aus denen es besteht, aus- 1) Man sehe den Fihrist I, VV und VA, und FI. 1. 27. Das früher vielfach unserem Autor zugeschriebene , tale | Cas | ul ist bekanntlich von Dozy, Recherches, 2° éd. 1 23 sq. defi- nitiv aus der Liste seiner Werke ausgestrichen worden. Beiläufig sei hier bemerkt, dass das As. Mus. ebenfalls ein Exemplar dieses Wer- kes besitzt. 7 Mél. as. VII, 398 N 4 2) Ein Specimen daraus. enthält eine Leipziger Dissertation « W. O. Sproull, an extract from Ibn.-K.’s Adab al-Kätib, Lpzg. 1877. 3) Die von Chr. Rittershausen zum Jubiläum der Leidener Univ. | - | | und der Tinte des Codex: begonnene Edition wird hoffentlich bald zu Ende geführt werden. 4) quee von Dr. Houtsma in «de Strijd over het Dogma» etc. Leiden 187 gezeichnet, scheint noch H. Kh. (IV, 287 X 8455) selber in Händen gehabt zu haben; er gibt die An- fangsworte und einiges aus der Vorrede richtig an. Es ist daher nicht unmôglich, dass sich ein Exemplar in einer der Constantinopolitaner Bibliotheken wird finden lassen. In den europäischen Bibl, dagegen, so weit sie bis jetzt catalogisirt sind, ist es nicht vor- handen. ; Unser Codex, 25 Centim. hoch, 16 breit, ist ein Band von 212 Blättern zu 13 Zeilen, in schönem al- tem grossem Naskhi; stark vocalisirt. Die diacritischen Punkte fehlen gelegentlich. Dagegen sind nicht punk- | tirte Buchstaben meist als solche bezeichnet. Das Deh- nungsalif in Namen, wie JL, gliw, pb, als معاوية ,حارث‎ ist fast regelmässig ausgelassen. Über langem i und à steht gewöhnlich Gezma. Auf dem ersten Blatt haben sich verschiedene Besitzer einge- schrieben. Das älteste noch erkennbare Datum ist |1۸ Ax. .شعبان‎ Doch ist die Handschrift ohne Zwei- fel bedeutend älter (4 — 500 Jahr?) Das Vir lautet : zu, ale من كتاب عيون‎ ipli de " غيل الله‎ € ol we ol] ur à Mac: m. سور‎ ee ; PES E dE EPSE ndo. i gra: ei dier esca eer DIEI ons an Pd Seite von Mou. Hand und mit s الجن nämlich der‏ ,ومو LS‏ السلطان derselben Tinte: d'‏ كتاب السلطان والحمل Auf fol. 1080 steht:‏ . الأوّل لله رب à‏ العالمين و ضلواته bass le‏ کین وآله الطبيين E vem.‏ تسليما بتلوه ان Ü‏ الله فى oll‏ AU Me‏ فن عون الأخبار yo,‏ كنات :109° Fol.‏ c»), alles in Schriftzügen und Tinte des Codex, und‏ ثم الكتاب fol: 212^, am IE. des Bandes: ul ide s‏ ail, as®,. Hier liegt aber eine Fälschung » vor. Der Artikel in الكتاب‎ ist nachtrãglich mit anderer Tinte hinzugefügt. Das © ist über Gebühr verlängert und die Stelle radirt. Es stand jedenfalls statt SE E — il „LS, Damit nicht pon EE der Pae E scher unter die citirten Worte: مار‎ بعون العزيز الغفار. Ibid. links in der Ecke steht in den Schriftzügen‏ ` قوبل بالاصل بحسب الطاقة eJ», di .وان‎ Rechts in der Ecke hat sich ‚ein ge- ^ 57 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 58 wisSeT تحمل بن مود‎ als Besitzer des Cod. im Jahre 1119 eingeschrieben. Der Text ist meist correct, doch fehlt es an fal- schen Vocalen nicht. Der zweite Theil ist nachlässiger geschrieben und ist gegen den Schluss hin theilweise von Schimmel etwas beschädigt. Bl. 91— 98 sind ver- bunden. Sie folgen sich so: 91. 97. 93—96. 92. 98. — Bl. 127 gehört nach 116. Die «auserlesenen Geschichten» sind, wie schon aus der Inhaltsangabe bei H. KH. und im Fihrist hervorgeht, naeh den Stoffen geordnet.. Sie bilden eine überwie- gend prosaische Anthologie, und es ist dieselbe eines der àltesten derartigen uns erhaltenen Werke. Dieser Umstand verleiht dem Buch ein erhöhtes Interesse. Es kann natürlich nicht Wunder nehmen, wenn die Ujün al akhbär viel bekanntes bieten. Die späteren Excerptenmacher und Epitomatoren haben bekannt- lich die älteren Autoren fleissig genug ausgeschrieben, so dass absolut neues nicht gerade im Überfluss aus den älteren Quellenwerken wird gewonnen werden kónnen. Dass diese àlteren Quellenwerke aber nichts- destoweniger unschätzbar sind, unentbehrlich der Kri- tik — das ist ein Satz, der keiner weiteren Begrün- ... dung bedarf, — — Eine ausführlichere Notiz über eine arabische An- thologie zu geben, ist eine missliche Sache. Der bunte Inhalt, sowie der Umstand, dass sehr viele, wenn nicht sogar die meisten Anecdoten, Erzühlungen etc. in der . einen oder der anderen Form schon anderweitig be- "kannt sind und daher, um ihrem wahren Werthe ge- _ mäss gewürdigt zu werden, eben wörtlich gegeben Werden müssten, erschwert die Auswahl bedeutend. . Andrerseits bezwecken diese Zeilen keineswegs die Verarbeitung des in unserem Werke zu findenden Ma- terials, sondern wollen nur auf dasselbe hinweisen Ich werde mich daher im Wesentlichen auf die Wieder- gabe der Vorrede, die Angabe der Capitelüberschrif- ten und die 00 der Quellen, soweit sie in zen Buch namhaft gemacht sind, beschränken; den- Jenigen, welche sich für den einen oder den anderen M ler berührten Gegenstünde interessiren, bin ich gern 2 erbütig , genauere Angaben zu machen. Auch steht : e wohl der ou des Codex nichts im Wege”), DAR Ich bemerke ansdrücklich, dass ich die Absicht eine Edition erkes zu be esorgen, schon lange vollständig aufgegeben habe. Mache und g wenn die K. Akademie auf dem gewöhnlichen Wege darum ersucht wird. Unser Autor hat offenbar eine gewisse Vorliebe für lange Vorreden®), und sie geben höchst werthyolles Material zur Beurtheilung des schriftstellerischen Cha- racters des Verfassers, ganz abgesehen von der von Houtsma hervorgehobenen Wichtigkeit wenigstens ei- ner derselben für die Geschichte der geistigen Bewe- gung jener merkwürdigen Zeit. Wir sind gewohnt das ganze dritte Jahrhundert der Flucht so recht als Culmi- nationspunkt der geistigen Regsamkeit des Isläm zu be- trachten und sicherlich nicht ohne gutes Recht. Der «Streit über das Dogma» und die nicht weniger in die verschiedensten Schichten der Bevölkerung einschnei- dende nationale Bewegung *) mussten auf die Literatur einen belebenden Einfluss ausüben, dem sich wohl nur wenige der hervorragenderen Zeitgenossen werden ha- ben entziehen kónnen. Doch abgesehen davon sollte man meinen, dass jene Zeit auch die Blüthezeit der speciell arabischen Bildung, des ,أدب‎ gewesen sei, wenn man die Menge der grossen Gelehrten in diesem Fach, deren Thätigkeit in dieses Jahrhundert fällt, und die Lebendigkeit der Tradition berücksichtigt. Dio Zeit- genossen freilich scheinen, wie das ja gewöhnlich der Fall ist, nicht alle so vortheilhafter Meinung über ihr Jahrhundert gewesen zu sein. Ibn Quteiba wenigstens beklagt sich bitter über die immer mehr überhand- nehmende Ignoranz «in arabicis». Schon in der Vor- rede zum Handbuch der Geschichte*) — um mit dem allgemein bekannten anzufangen — klingt diese Note durch, obgleich dort namentlich der Mangel an histo- i tni hervorgehoben wird und obgleich i in dieser Beziehung auch die per- sischen Aristokraten sich Unkenntniss ihrer eigenen 6) Man sehe das Adab al-Kátib, die Beschreibung des gd Om Ul pol und ارت‎ lie i im Leidener Catalog IV, 14 u. 54, und T. das letztere besonders Houtsma, de Strijd p. 13. Die Geschichte der arabophoben und arabophilen Partei und ihren Einfluss auf die ar. Literatur in einer speciellen Schrift zu skiz- ziren, hat zuerst und allein Dr. J. Goldziher versucht in seiner geist- und gedankenreichen, leider aber in magyarischer Sprache erschie- nenen Schrift «A nemzetiségi kérdés az araboknäl » Budapest 1873 (In den Schriften der k. ungar. Akademie). Eine revidirte Überset- zung in eine grösseren Kreisen zugängliche Sprache wäre sehr zu wünschen. Cf. auch desselben « Beitr. z. Gesch. d. Sprachgelehrsam- - keit bei den Arabern.» Wiener Sitzungsber. 1873, bd. 73 ( des e HERE und v. Kremer’s «Cultorgeschichiliche Streif- züge», p. 2 8) Ed. Wüstenfeld p. 3 39 Bulletin de l'Académie Impériale eo 3 nationalen Tradition müssen vorwerfen lassen. Im Adab- al-Kâtib aber ist die ganze lange Vorrede in der Haupt- sache eine Philippica gegen den «Zeitgeist», der uns in den düstersten Farben geschildert wird. «Die Wis- senschaft ist ihrem Vertreter zum Schimpf geworden und die Tugend zum Fehler, die Schätze der Könige ein Waqf zum Besten der schlechten Leidenschaften und die Ehrenstellen old) werden verkauft wie alte Kleider», u, s. w. Es folgt nun eine hóchst charakte- ristische Darstellung der in den gebildeten Classen damals herrschenden Richtung. Ich kann mir nicht versagen, die Hauptstellen wórtlich anzuführen, ob- gleich mir nur eine Hdschr. zu Gebote steht". Es heisst da nämlich: sal‏ غاتات کاتبنا فى كتابته .ان يكون حسن HI‏ قود ا لحروى و del‏ متازل Uus‏ ان Jus‏ من الشعر GL)‏ فى ملم قينة أو وصف كاس e‏ درجات لطيفنا ان يطالع . Li‏ من wi‏ الكواكب وينظر فىشىء من القضا ودر المنطق ثم يعترض على كتاب الله بالطعن وهو لا يعرف معنأة و على pale au) dro css‏ بالتكزيب JS «912: y Le]‏ ali‏ قل رضى [e‏ من الله تعالى Le,‏ عنره بان يقال فلان لطيف وفلان دقيق النظر Co‏ الى ان لطف النظر قل أخرجه عن TUE de‏ و د à‏ ډه ogles S lc‏ 58 بد٥‏ وم الرعاع ; GA,‏ و الغثر و عو لعمر الله بهزه الصفات اولى وعى به البق ybs de e‏ أن قد عام oU. ole‏ ولان o‏ Dude‏ انهم هلون لو ان Lie‏ الم#عب بنفسه الزارى على SEL ف‎ ke oi ade طال‎ e ر‎ ea IU, coa وق علوم العرب ولغاتها‎ lee, صلعم‎ ent فار‎ #3 وادابها فنصب لذلك وعاداه aie Gel,‏ الى علم قن dal‏ ولامثاله السلمون js;‏ فيه التناظرون له ترجة تروق بلا معنى و أسم يوول بلا ps‏ فاذا Sud, SST tU‏ الغر قوله الكون و الفساد c‏ الكيان و الأسماء المنفردة و الكيفية و الكمية E a‏ الزمان و الدليل و الأخبار ا مولغة راعه . en d‏ وطن ان تحت je‏ الألقاب كل ab Jf, Ale‏ del) HU‏ بحل منها بطائل انما هو الجوهر يقوم بنفسه 9) Der Cod. X 488 des As. Mus. Die Hdsch. ist sehr alt und gut, aber leider sind Anfang (f. 1 — 16) und Ende von neuerer Hand er- ünzt. Ein 2tes Ex., X 791 der hiesigen Universitätsbibl. ist eine ganz moderne egyptische Copie und für die Textkritik unbrauchbar. xul all, abad] اط‎ b sexo ey À oua, Us Y والكلام اربعة أمر و استخبار وخبر ورغبة ثلاثة‎ ak A D و الرغية‎ se) T o^» الصدق والكزب‎ الصدق و الكزب و عو الخبر والآن حر الزمانين مع عزيان‎ من‎ ls وكذا‎ 135, SU كثير و الخبر ينقسى على تسعة‎ à o5» ll al wor geo Ul IGI الوجوه فاذا اراد‎ Jal] فى‎ bs, و قیںا للسانه‎ aba) Je JL, كانت‎ x à lee] E cle ولقل بلغنى ان‎ gym Je Uis , من حل‎ da ] بلكو‎ ei pd) WI Je HL. الكلام‎ اول الغكرة‎ dl قول‎ ee Le حسنة لطيفة فقال لهم‎ ghal) الفكرة فسالوه التاودل فقال مثل‎ "s العمل‎ gd العمل و‎ ei على السقف‎ ai A انی صانع لنفسى كنا فوقعت‎ JU Ja los LUI الا على حائط وان‎ pi فعلم ان السقف لا‎ jus) ثم‎ على اصل ثم‎ Y p الاس لا‎ el de A pe Y بالسقف‎ ; BUL ابتد! فى العمل بالاصل ثم بالاس ثم‎ ; (? ál An "n عمله‎ PP alec A] We ddal ole : الى‎ le , ée lis اجن‎ dee Je, All ojo ي‎ asa E 2: لو ان مولف حل المنطق بلغ فی زماننا حتی بسمع دقائق‎ S فى الدين والغقه و الفرائض و الو لعل نفسه من البكم او‎ ٠ ان للعرب الحكمة‎ JE able, يسيع كلام رسول الله صلعم‎ ` / و قصل الطاب‎ Man wird nicht lãugnen können, dass die vorste- henden Tiraden den Stempel der Wahrheit tragen. Konnte man die allgemeinen Klagen über das Sinken ` der Tugend ete. theilweise als Gemeinplätze ansehen wie sie am Ende jeder in Betreff seiner Zeit im Munde ` führt, so ist doch die Schilderung des schädlichen Einflusses der zur Modesache gewordenen , theilweise ` sehr oberflächlichen logisch - philosophischen Studien ` so recht aus dem Leben gegriffen. Damit ist zugleich die Schattenseite der geistigen Bewegung jener Zei am besten charakterisirt. Religiöse und nationale An. tipathieen, denen ja auch zum grossen Theil das Ü handnehmen jener philosophirenden oder raisonniren- den Richtung seinen Ursprung verdankt, konnten also wirklich gerade zu Ibn Quteiba’s Blüthezeit, di wohl c. 250— 60 ansetzen können, in gewissen Schich: Re te te Me ze اح‎ 10) S. cod. .فأنه‎ 61 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 62 ten der gebildeten Classen ein Sinken der arabischen Studien zur Folge gehabt haben und wenn wir nach den Vorreden zu dem UII ادب‎ und den I. ENT urtheilen dürfen, so richtet sich der Vorwurf ER gegen die so einflussreiche Classe der Kä- tib's"), von deren Unwissenheit uns in der ersteren ergótzliche Proben mitgetheilt werden. Unser Autor, den wir nach dem uns vorliegenden . Material als aufrichtigen, doch durchaus nicht fróm- melnden, Orthodoxen, als entschiedenen, doch nicht exclusiven und fanatischen, Araberfreund bezeichnen dürfen, beschloss nun seinerseits nach Krüften dem Cdi zu id Er sagt 2 darüber: D lal Ew yt ae) 2) MN SN ان به‎ als, a ali; M se u dl Le, d رال‎ Gell Le اضل‎ Le le ade il, Madj فضل النظر و‎ as و لقضاء الوطر عن‎ N لزمان‎ أدخله د لون‎ e uas با‎ ll v x كلال‎ Doch hält mit diesem Werk der Autor seine Auf- gabe noch lange nicht für beendet, denn die Hebung der Bildungsstufe des Kâtib kann nicht bloss in der | grósseren Correctheit seiner Sprache bestehen. Der . Rest der Vorrede giebt daher dem Kátib weitläuftige Rathschläge über die ihm nothwendigen Studien. Er ‚soll sich mit Geometrie und Arithmetik, Sunna und . keit beobachten, sowie die Finessen des Stils nicht ausser Acht lassen u. s. w. Unser Autor versäumt r- Sud SE H vu is m Ad. ak. Msc. f. 54. | متمشكين أنه اقرب‎ E" الليل و‎ cul ner + Fiqh vertraut machen, ferner die Regeln der Höflich- | auch nicht, die Nothwendigkeit edler Gesinnung und Reinheit des Herzens anzupreisen. Unter den zum Studium anempfohlenen Gegenständen nun befinden sich auch coad) ,اخبار الناس وعيون‎ mit denen der Kâtib am rechten Ort seine mündliche und schriftliche Rede ausschmücken solle ^). Damit kommen wir auf den eigentlichen Gegenstand vorliegender Notiz. Unser Werk ist eben dazu bestimmt, für dieses Studium dem Kätib das nöthige Material an die Hand zu geben. Über diese Bestimmung des Buches, wie über die Grundsátze, welche den Verfasser bei der Zusammen- stellung geleitet, giebt die Vorrede uns weitlüuftige ne Sie lautet, nach Weglassung der die erste Seite einnehmenden Encomien, folgendermaassen: NN Je, G بها‎ e is فق لل‎ dl ub ae Ul 2 [ell rz e» Gill وزكاد‎ Ahadi JUI فزكاة‎ a el lan] انفعها و‎ us وغير‎ t cs aU, di وعأم لله و اریں به وجه الله وکن‎ (n ا ا‎ 5 اخزين‎ dass los ملين‎ a Lll Lo Les الله ان‎ Jis Lie a QUE نستفيل و نغيل مرددین و‎ Le Js age al عارفين و‎ المسوولبن ؛ و انى كنت تكلغت لغقل التادب من | و‎ Selz ep Al وق تقوم اللسان واليد حين تبينت‎ Sall 3 LUS الاب‎ عن أقامة سوق‎ Gel Jai, ,درون العلم‎ Je d» ع الفواد‎ b wëll & is dida dës le جى‎ coll SER ليوم الأدالة‎ "n ur, Jort ix CU, d Ce c A. lue d عليه‎ E FEE ER E ole Ou dell له‎ cul جسن )15 تاور( واا‎ cas ولفظ‎ ëch, de Les adf, وخشيت ان‎ auf Y دعتنى الومة‎ Se j | مريرته على‎ n ان‎ reca U عن‎ Lie فيضرب‎ jen] التهاون و يستوطى مركب س‎ 15) V. f. 5^. y ear ls ud. Br 3, o) 3b Setz, E NEN el عبيون‎ ye bis س و‎ URS POETE سل بها‎ (aha v f. 24. f. 25. is iH das bezieht sich auf das Adab al-Kätib, und auch die Ausdrücke stimmen theilweise fast wörtlich überein, Vgl. die Aus- züge, die oben p. 61 gegeben sind. 63 Bulletin de l'Académie Impériale 64 e SUR i t cede de lc MAE 44] من‎ wr ذلك‎ SP 3 ن الأول‎ c ls — po Ke al CAL fl Brel del ال من ا چ ور الطباع وسا‎ d" وکلال‎ dee ذلك‎ 3 d Che, ات‎ Le انات ر وات‎ Le Cs SD Al الشفيق‎ Al Le بل‎ Le Jl ERI "P as Ls والاجر فان‎ LA بعاجل الشكر وعولتٌ على الله فى‎ aie ان و السنة و شرائع الدين‎ Al الكتاب (' وان لم يكن فى‎ معالى | مرشل لكريم‎ a رام دال‎ il J»4l وعام‎ sm على‎ eb elo cC o G eb. گن‎ el? e ew she و‎ dl 3h» ن التقںبر‎ Use 3 ين‎ Al Ab T Euh dj d Sob D AH HAL ae عير‎ Ji ين بصلام‎ A No 9 الخير واسعة‎ el , E «JJ CUL plas الزمان بصلام السلطان‎ A الزمان‎ Asl و قله عيون‎ TERI Um» meo dy EST Je و‎ gj العلم‎ Je}, التادب تدصرة‎ Jia xL SEH All CES 0 مستراحا‎ SI, مودبا‎ pipes CE Ji والكلمة‎ als al 20 PU Die? ابوآبا وقرنت الباب‎ dese Jili) Je, ۾ علا و على الرارس حفظها‎ kA Jedes باختها‎ 042)» Ld] nie gu EN 55 ی لقام‎ من كلام‎ E Sc واثمار اول‎ E EN NT باحسنها ونقومها‎ SC ad ES Lis (à BE سا نأ‎ كما تغلص الفضة البيضاء‎ EN من مساوى‎ Lol, بثقافها‎ حسنة وسيرة‎ de فيها من‎ Le و تر وضها على الأخن‎ ie من‎ | | ونصل بها كلامك اذا.ماورت‎ ele GE, كريم‎ col, ics als, cJ پا اكت اذا‎ usus ck وبلاغتنك‎ م من اللوم باحسن العزر اذا‎ gs Lai V القول‎ di; JMI 0) و السعر‎ Bo مصايد‎ ll اعتزرت فان‎ dus a), Jus سلطانك و‎ use فى‎ (ME وأو تستعيل‎ cao أن جردت أو‎ ades بها‎ px موا و‎ a H anale حتى يظهر‎ bas و نبل باعتبارها‎ d.e و توضع بامثالها‎ 19) f. 34. 20) f. ab 21) f. 44. i. ليه‎ dien? موونة‎ ab sh: à D L5 65 ن‎ pus] فى‎ e من عنانك‎ Wr FERME واد و تلعق‎ ied] y "Il على‎ : gell se A الغر‎ calf 13] Lis" 3; | 68 روين!‎ Ca و ان لم يكن كزلك ففى مزا‎ Ge dl, والطبيعة قابلة‎ _ نفس نفسه فاحسن سياستّها وستّر بالأناة‎ alie al jl الكتاب لن‎ ' الكتاب على داء غردزته‎ Lis والروية عبيهأ ووضع من دواء‎ » | JAN Jet, بضيائه ما نعش منهأ الغليل‎ (gas اة وقل‎ Lol, BIER ?) حتی قارب بعون‎ el bil وبعث الوسنان و‎ 4 S ls, Lie US صوابا ان يكون.‎ jl PE ا مطبوعين‎ i QU عل خواص‎ 3, ix حون طالب‎ Wl الب‎ K ER ag NZ سوقم‎ Us? p ى ملو‎ le 3 دون عوامهم و‎ ٠ S كلام‎ gels من‎ ls, L ت عليه سهمه و أودعته‎ Es P ER منوم‎ E الزوال و الانتقال وما يتلافون‎ FRE الزعادفى الرنيا و ذكر‎ E اذا افترقوا فى المواعظ والزعن‎ a اذا اجتمعوا ويتكاتبون‎ a 7 به‎ dbe الله‎ jl ذلك‎ Lil, والصبر والهوى واليقين‎ | ais l5 p وبين‎ HI gs lile à; SI ds Ab; صادقا‎ ذلك‎ als] p قسوة القلوب‎ all. عن مزعب‎ pa T) و اخرى مضعكة‎ isto وكلمة‎ as j » القائلون و لاروّم بزلك‎ les Js] و غروض‎ ERN و‎ ile 33) ob و اتعاب احق‎ Al م نكل‎ sl , QM ’ sl, al, See (LS اذا كان‎ ell للنفس حضة‎ من‎ à, suelo Lens edd Was sad deer ال‎ Lis LJ a الصغائر انشاء الله ' وسينتهى‎ ds [ فاذا‎ Less 2.531 دوى عن الخراف و‎ L EG, اب الم‎ di a) ار تضعك‎ die cus as Loga Cu مر بك ايها‎ کے دتا‎ ol انك‎ p اردنا به‎ Les فيه‎ ool) seb. PU? as نشردت‎ Lä عن يترخص‎ EN ك فان‎ ae omg لم يعمل لك دون غرك ها على‎ OL us d de التزمتين لزعب سطر‎ GS تك و لو وقع فبه‎ اليه معك ؛‎ ( La من احببتا أن‎ de ولاعرض‎ ale els lus تغتلف‎ SE d^ SUME = de u abs, Aën Ab من نادرة‎ 29) f. 4b. 23) f. 59. 24) f. 50. 65 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 66 ١ا اذا مر بك‎ bus pe D e? ls Ns Gier رعورة »^£ أو وصفٍ‎ f افصام‎ jd فان‎ ee a رش‎ ER gom ol = و التخاشع‎ | 353)! وقول‎ pest N N | ;ul Kat: » y pes as وقال ابو‎ | Hir d au] بين‎ peo & led] dl a ES الصريق لبريل بن ورقاء a>‏ قال للف ی صلعم ^R lo Wi‏ » J3‏ مسوم in ael PEN cue _ SS‏ اللات كن Je Jis «ds‏ بن E‏ طالب صلوات الله عليه TER‏ Lie ‘23 SA JU» a, ab» an] y‏ ا معن فلو اه ری کان ا ابيكم مويلا at‏ الحارث س دوين قال so)‏ ن لاعرث بن سروس dh Ke pin Sale‏ قيل للشعبى Jus‏ اير فى dd‏ فا uu‏ اترو d oos‏ AR‏ لك ينر ds Cell, cul s] 3%) dei‏ a ^‏ نات ااغافلات qo‏ الامرين bs‏ بین ال و Get‏ لك ف BEA QJ JUI‏ © مراك على كل حال ودينك فى كل مقال بل s ën‏ Ae Ans‏ حكاية تحكيها او رواية تر ويها m‏ الكناية وبا B‏ بكلاوتها التعريض * و احببت ان (” رى فى القلبل من هذا على isle‏ السلف e»!‏ فى ill JL‏ على الس ٠‏ lo iili‏ عن às‏ الوياء p PE id‏ ان القوم و | قارفو LÉ, Lois,‏ اديانهم ces;‏ وكذلك ell‏ ان . مر dde Al o‏ من التوادر فلا يزعن عليك e o Gss Č)‏ 3 m és li, Giet gi oen cl Ge Ul, E. ا وسامثّل لك مثالا قبل‎ colat EL, aue Codi 2 فى تن‎ e Ji 5 abf Usb الدش زفق الل‎ D je mms Ul us ld o alas? JEG 25) f. 64; cf. Ahlw. Six poets p. 172. 26) To obe تعبس و‎ ds XXVII. alis» Yes al Y Gs مرتی »3 + رولت ولا‎ SA lo, 3L € pe A بالاعران الو حقوقهأ‎ NC E E مله الالفانا‎ oe ac وكات اغ الها ابن‎ lul. cT; Jill dis Lie ^ die Cr الفاطها‎ us. lon LS ol «ludi ilb بين‎ m cuil LG us LE, ES ges pf ومن‎ d خزاعة من‎ sl: Gei, Les) فلا تجن لها‎ GP قال مالك‎ | jo ds Ki * y اللا‎ de و‎ al à, JL. seht d. الناعتون بوزن 57 SE SE‏ اا رامل ren‏ ان دا وان مر بك خبر A‏ شعر ea‏ عن AN‏ الثاب وما بنى AU 4 eli ade‏ سين As ue Ld Le‏ العنى مع الحاجة اليه و السبب الأخر ان ill‏ اذا Jes‏ lg ei dé,‏ ول شی فان Uds Blech‏ عو دونه اراك نقصانَ len!‏ من re i‏ الامر وقوامه على واحدة تعتاح I)‏ ان sb‏ نفك بها وعى ان تحضر الكلة موضعهأ بسببها ,3 Gh xe ol Lee»‏ lt:‏ مسك فاذا Col,‏ مالا تشاكل ما dé‏ من del‏ Ue) ar يقال‎ oU, انتهزتها‎ Lade وفرصةً‎ 4: dl loi LP Wil les La ساعات‎ Jul الغول فان‎ eb c الصواب وقالوا رب كلمة تقول دعنى وان وقفت‎ JH ole a ya inis dall Lie do UE, lasse معنن يكون له‎ à dt الكتب‎ A اقول بقع‎ - Er = id vie Le Ee Lt gd Ge وك‎ n fer بقع‎ à Gm 28) Die ganze Phrase ist hier so vocalisirt wie im Codex; cf. al-Iqd, ed. Buläq I, p. 296, 1. 6—7. 29) f. 7a, 30) f. 7. 31) f. 87. 5 67 Bulletin de l’Académie Impériale 68 ARM فى کتاب‎ e? u jl SES SI e SS MU Jur, | واعلم انا‎ و أخواننا‎ CH ES السن والعرفة وعن‎ CH عو فوقئأ‎ d عن‎ CR فصول‎ à EU] RE gus جم‎ RP NEAN ومن‎ ان ناخل عن‎ " gie عن من عو دوننا غير‎ el See ya alus العام‎ m Zi lo „e 5 Nas LJ, d dad "ol re ان‎ Et 3 a a) لعب‎ Y. "I e ch y ER قال‎ 7 eiii دل‎ . AES عر‎ ‘à و‎ CH عن عكرمة عن‎ a ur et Wi عن لان‎ PIE) e lo potou AS mel Gen Ju SS اقوام‎ EMi um Pa "I ف مثل کنابتا لان‎ ولا يغفى على من سمعه من حيث كان‎ Al لا يلتبس‎ . عو استعباد‎ Gb الدين و الحلال و الحرام‎ ue Le Y , Aer ترام لك‎ e الا عن‎ 9) Vs dis tula, نغتاره من‎ Lë مزعبنا‎ EIS, فى 35 منه الشكوك‎ IE bas p en ed, oil n à] dl E ecl I ملو‎ Let Jo Js als aio | os على ذل ل وري تمه فل دي حلريث فى‎ SER; : 32) Prof. Girgas schlägt vor مستنكفين‎ zu lesen, und das ist wohl das richtige. 1 33) Der Sinn dieses ganzen Passus ist durch den Context ganz sicher. Ibn Q. will offenbar sagen, dass «il prend son bien oü il le trouve », aber der Text bietet eine Schwierigkeit, die in der doppel- ten Nogakion . غير‎ — hii liegt. Man sollte erwar- ten: «wir haben diese etc. gesammelt, indem wir nicht verschmähten etc.» Anzunehmen aber, dass der Copist LUL für bul] . verschrieben habe, ist kaum möglich. Es bleibt also nur das Kraft- | mittel, annehmen. dass der, Autor aus der Construction gefal- len ist. 34) f. 80. ~: 85) Cod. ARE 36) f. 94. ANE H po Dal) e Ke n? eR JU? و‎ él شرف 'فاوله‎ poil prbss و و‎ gll ودب‎ Jadal الموجود و رفض‎ (o? "m و العاقل‎ ac ن‎ Geck SE وکین‎ a); ole , 3 v‏ ينظر العدل لا بع SCHT 0 AU AR)‏ بالقسطاس Uv PE; Sail) J‏ ونت مله sad‏ و الأشعار Lies‏ s | ult NT :‏ فنولها SÉ‏ 6 علد Co E s wa‏ T `‏ دعل iul si)‏ افراده عنها وهو al‏ لنت Jf qne‏ Dez P eof E‏ على دل a)‏ كنات الشر انه us,‏ المعارن a 4‏ تاب الشعر J33l SL ? us JU coU,‏ من SU mo isl] CA 4‏ السللان cie ala. ass‏ call Js® d‏ و dud‏ ادواله وعن Le Uf » 4 paws‏ ڪتام | * ٠‏ صاحبه :الى استعماله من الاداب 9 » بعاملتة و مشاورته (* له وما LE‏ السلطان ol‏ باعل به os Load à 0‏ عاك ias y‏ و al‏ و tel Js als‏ م أن | عب E elt) Aalt‏ لف Sed SL‏ اباكلة لتلك. LEN‏ و الكتاب ZU)‏ كتاب Le all‏ JE SE‏ لكتاب السلطان ass‏ اليه و جعلتهنا جرا Lal‏ و فيه dell‏ عن آدابالارب و قكايدها و Le,‏ ell E 7‏ 5 و Gi‏ و الكراع و Sa 3 Le‏ er u = a ; LA mi i men ud‏ e‏ اخبار الدولة » zl‏ » د لجار ‚ul‏ zx. cur SEN E‏ و فيه S E Li‏ ]]32544 au) 3 Soil à 1‏ فى الكبير zu Eat GË A‏ و الخطار سل ل sl, ut‏ الارادات , الإماق gll»‏ الق لفل sl, dl,‏ : والعزو الويبة a, Ji,‏ د اللباس و الطيب a led,‏ aible à» mco 3 "T r D 37) f. 95. -- 3 38) Cod. مساورته‎ 39) f. 109. کتاب cese‏ و الأخلاق IRCH‏ الكتاب i‏ 69 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 70 N التوسط فى‎ P Lo) لك‎ YE والبناء و المزام‎ äle) و‎ io | التجارة‎ Al ليسار و‎ ) lire Sé افعال 2 شرانی‎ . D EA e Line datz, e 3 ai lo) See Ch ذلك‎ à c d b, soldi | € و الكثاب الزرابع ان لكتاب 5 discoas‏ اليه EU, lz , Ueleg‏ الأخبار عن ola‏ الاس à‏ الطبائع و ذموم و عن مساوى الأخلاق من الحسن Sall,‏ السعابة و الكزب és,‏ و cpu‏ as s sl‏ ال راك و البغل و ا حمق و نوادر الحنقى و pri eub‏ وان من الان و الجن و الأنعام 3 Lu]‏ ee ul,‏ الا EN‏ ذلك GI‏ النوادر وابيات الجر والكتاب SES Cr‏ العا )5 , kal dad‏ عن العلم ا و التعلمين وعن الكلب و La‏ و القرآن AN,‏ و الكلام فى الدين و UL,‏ SL 3 T‏ و البلاغة j‏ الل ق ls d)‏ » الكلام رغ dale. bull, «dl. ers: ol)‏ فى ذلك من cul, isl‏ الشفر و الكتاب BULL. SL‏ TU. الله‎ escis العلم‎ CU مقازب‎ El fas, zm 3 و كلا‎ >lo; J ce | الأخبار عن‎ as واحل|‎ | J للت ,ال‎ ose] Lo! Ms, Lu LI, ol, والشيب و TEE‏ ,الا : ومقامات mbd, SU , Jl Ae 3l]‏ و غير ذلك skel Je ZA 2) as, الأخوان‎ SES السابع‎ SL, الأخوان واختبارم والأخبار عن و الحخية وه | للصريق على سديقه ille,‏ الناس رسس ارتم اللا ie JL,‏ و illl‏ , ]154 والتهادى و obs]‏ والتعازى و التهان وذكر JL‏ الاخوان وذكر القرابات و الولل és,‏ Es.‏ الأخوان و تعاديهم و تبافضيم و ما فى ذلك رابات iur dE‏ و الكتاب الثامن كتاب yel JE‏ هذا الكتاب مقارب لكتاب 40) f. 10^. 41) f. 114, 42) f. 11^. PS ESI و و فيه‎ Léi Ls» aJ] Aionas "m E P و الهرية‎ of و‎ el à ll, él; 4| geil äsla Ni د‎ women C s a Ul dosis الكلام ومن‎ bl, pipi و اعوال‎ Lost و‎ el, JJ, Lie والرد‎ Zell Al عند E Se dis Séi‏ الطلاقة all,‏ و العادة من العرين Laser], les all, الا‎ PS es el»! Les‏ و اصطناع o J VP à jl‏ و القناعة EL al; Je,‏ + ن النوادر mu ll P‏ Defi AAT الاخبارعن‎ and g pbb) كنات‎ a) والكتاب‎ tees, ol SE all, Lili,‏ ا فقراء elo fs, JYI ci E 2 T P 5 belt T‏ و الصوم 9 aryl‏ ل و الدعاء الى U‏ و الضيافة و ر البغلاء بالطعام bog slc,‏ eat‏ من iul; Sa‏ وشرب SE, dull‏ الاطعمة و منافعها )7 و مصالحهاأ 9 LEA‏ ر ok‏ العرب 3 إل وشا à‏ ذلك من النوادر وابيات 5 SET , ta.‏ Nm Lie s dla] SES Ul :‏ مقارب لكتاب الطعام Se,‏ تزع الأ كل و UI‏ م الاطيبين JS Jes‏ ذهب Ces» all pe Las. lab: a‏ ذا BE‏ و E sd Se Wd E REUS |, Ars‏ اخلاقهن t m Bee‏ لتكام و ما يكن و JEU xl‏ a‏ ذلك و Jt LR, 12d]‏ الا ااا Ex RIRs‏ و المشايغ و gum‏ التكام و وصابا yi‏ اا ع الو ا لا E‏ و معاشرتهنّ و الدخول بهن el, i‏ و الولادات P‏ مساويون 49 » Me; Le}‏ )47 الغرب cul, au‏ كاب اا Li‏ بها Je‏ ا اللات Gs‏ 3 عا سرا cuis set‏ ا la) »‏ الشعر * 95 o‏ ابواب lira MUT‏ لك ف Je‏ 43) f. 124. 44) ? Cod. jL 45) f. 12b. 46) Cod. الابيات‎ 47) f. 18. 5* 71 Bulletin de l'Académie Impériale eg Ll]‏ لأعنيك من eli a E‏ طول النظر Jic‏ حلروث Cu‏ الى بعض مأ اودعتها Lisa‏ تريل اى موضعه فتسةخرجه pe AR‏ يذوب عنه yn "ek SL,‏ je‏ الا بار بى الأشفان زان PI yle Le Calf‏ من أن ble‏ بها اوتوقف من Sete‏ سی كن lee ex‏ lll ES ol, Sail, SRE Css,‏ Dear حل الك ادر و الضامبك ما‎ cu E EM E LIL الشقة‎ Das بالسلامة ومن‎ LA الغنيمة‎ ut ليم به الأبواب‎ y Lia ها | ودعته الكتاب‎ ns من‎ De » D Le À و‎ Len ب‎ grt ان‎ Au) AR A Uu" ET dE ds E SE ans ; Je m OL Wir ersehen aus dieser Vorrede, wenn wir das oben aus dem Adab al-Kätib mitgetheilte dabei stets im Auge behalten, dass ein beträchtlicher Theil der Werke unseres Autors — und namentlich auch die beiden bekanntesten, das Handbuch der Geschichte und das Buch über die Dichtkunst und die Dichter — als ein grosses Ganzes angesehen werden muss, als eine Art Encyclopädie des Adab. Konnte er hoffen, durch diese Reihe seiner Werke dem drohenden Verfall der Adabstudien möglichst vorgebeugt, und damit also den antiarabischen Velleitäten einen Damm entgegen- gesetzt zu haben, so blieb ihm noch die Aufgabe, auch die antiislamische Bewegung der Freigeister zu be- kämpfen. Die Erfüllung dieser Aufgabe hat offenbar eine andere Gruppe seiner Werke zum Zweck, von der uns wenigstens zwei noch erhalten sind, nämlich die beiden in Leiden aufbewahrten مشكل القران‎ und الحريث‎ le. In den Vorreden zu. denselben wird dieser Zweck mit grösserer oder geringerer Deutlich- keit ausgesprochen sein. Sie verdienen gewiss die allergrösste Aufmerksamkeit und Dr. Houtsma wird | hoffentlich die von ihm geplante Edition wenigstens einer derselben bald in Angriff ex cf. De strijd p.13, LAT u Jedes der beiden Bücher, die unser Codex enthält, + 48) f. 135, zerfällt in zahlreiche Capitel, die zwar nicht numerirt, aber durch grössere Überschriften ausgezeichnet sind. Ich habe mir indessen erlaubt, im Codex am'Rande ` Nummern beizufügen. Das erste Buch كتاب السلطان‎ enthält folgende Capitel: 1) f. 13°, IR 2126. . اختيار العمال‎ 37.1: 29°. a دغر بر السلطا‎ "E السلطا‎ ine 4) f 36° » K x و ال‎ ij^ ed] 5) f. 44°. الأصابة و الراى‎ 6) f. 46". اتباع الهوى‎ 7) f. 47°. ael , Las , pull 8) f. 51°. والكتابة‎ SUR 9) f. 59'. JUI bus 10) f. 67°. التضاء‎ . TETE الأحكام‎ 123) f. 79° الظام‎ | 13) f. 83°, ا ميس‎ 14) f. 85° — 91°; 97; 93e, اجات‎ 0 15) f. 93%. adl aa) السلطان و القاء‎ ble التلطف فى‎ ٠ 16) f. 94". PRINT à الحفوق‎ 17) f. 94°. 18) f. 98'. 19) f. 100". 20) f. 106°. Auf f. 107" erscheint wieder ein Beispiel von geist- - reichem Dank السلطان‎ Ki, 3; demselben folgt f. 107° eines oJ.» (3 und ebenda unten qy) SC على‎ dé á Überhaupt scheinen die Abschnitte 15 — 20 eigent- lich ein Capitel auszumachen, das able التلطف فى‎ ` 3 EL (ohne nühere en heissen sollte. — —— Fol. 108“ schliesst das erste Buch mit der Unter- schrift: الغ ويتلوه ان شاء‎ au sed), كتاب السلطان‎ o Das zweite Buch beginnt ohne weitere Vorrede mit ` 1) f. 109. le ul و‎ co, ll آذاب‎ 2) f. 123°. تغتار للسفر ولاعرب‎ All الأوقات‎ 3) f. 124°, اللقاء‎ Ae الرعاء‎ 4) f. 125° اللقاء‎ Ae على الصبر‎ SIE Ar des Sciences de Saint - Pétersbourg. 74 73 5)f. 129. Eod] ذكر‎ 6) f. 180". و السلام‎ sol ف‎ 7) f. 133°. اداب الفروسية‎ 8) f. 135°. ER 9) f. 144%. التغويز‎ 10) f. 146°. الفال‎ Sahl ف‎ 1) £ 152". IN, ج ف العبافة‎ =) ol je 12) f. 154°. Jl 18 cob 13) f. 159°. و الحبير‎ JU SR 14) f. 150°. I باب فى‎ 15) f. 161°. dedi Let 16) L 169. و اشعارعم‎ Ù ll, lai, LA Wa Sb 141 187° lo AS a باب ا جيل ف ا حروت‎ 18) f. 196°. الرولة والنصور و الطالبيين‎ Aal Po 19) f. 205°. TERRE Die Art der Behandlung der in den Capiteln be- rührten Gegenstände ist im allgemeinen die in sol- chen Werken übliche: Traditionen aus der Zeit des Propheten und der vier ersten Chalifen, historische und andre Anecdoten aus dem arabischen und nicht- arabischen Leben, Sentenzen und Aussprüche berühm- ter und unberühmter Personen, Sprüchwörter und Ge- dichte liefern das Material. An der Spitze stehen zu- meist Traditionen, wo solche aufzutreiben waren. ` Vortheilhaft zeichnet sich unser Werk vor vielen ähnlichen, namentlich späteren, dadurch aus, dass die Quellenangabe im Ganzen sorgfültig durchgeführt ist. Es lässt sich deutlich folgendes System #) beobachten: 1) Hadithe werden stets, wie es sich gebührt, mit Je etc. eingeleitet und der Sanad angegeben. 5 3) Anecdoten historischen Inhalts, Aussprüche histo- rischer Persönlichkeiten und ähnliche Materien, so- ~ Weit sie von arabischen Dingen handeln, werden durch ein einfaches JL eingeleitet, dem der Name der be- treffenden ee folgt, oder durch den Namen ohne das JU. Förmliche Sanade sind selten. 3) Verse Stehen meistentheils ohne alle Quellenangabe, soweit sie nicht zu den Anecdoten etc. gehóren. 4) Nicht- arabische Materien werden mit wenigen Ausnahmen sr s s Frucht von des Autors Lecture angeführt 1 E ER de consequente Durchführung desselben kann nicht er- EM erden. mit قرات فى‎ oder فى‎ allein mit Angabe des betr. Bu- ches, aber meist ohne Nennung des Autors. Ad 1. ist nichts besonderes zu bemerken. Ad 2. kann man getrost behaupten, dass alle so eingeleitete Notizen aus Büchern stammen; wir finden lauter be- kannte Autorennamen: Ibn al-Kelbi, Heithem b. Adi, Sharqi b. al-Qatämi u. a. mehr. Besonders häufig aber ist al-Madäini benutzt (fol. 20°, 33°, 54^, 117°, 127^, 160°, 167°, 182%, 189^, 193°, 202°, 211^). Das ein- zige Citat aus Muhammed b. Isháq, das sich f. 187° findet (=) ابن‎ JU), ist auch das einzige, welches wir direkt controliren können. Es entspricht mit ganz unbedeutenden Abweichungen dem Texte der Wüstenfeld’schen Edition p.435 Z. 13 bis 436 Z. 1. Die Quellen endlich für nichtarabische Materien sind zweierlei Art, nämlich erstens nicht näher be- zeichnete «Bücher der Perser ,الع‎ Indier Gell und Byzantiner » وم‎ Gel , und zweitens Werke, deren Titel genannt sind. Mit den Angaben ersterer Art lässt sich nicht viel aufstellen. Der Vollständigkeit wegen führe ich an, dass «Bücher der Inder'^)» eitirt werden Lt 15°, 29%, 30%, 32°, 35%, 37", 40^, 45^, 53^, 93", 113" und 114°. «Bücher der Perser» j f. f f. 19°. 290, 24*. 50°, 567, 113^, 197°, 150° und 175°. Ein- mal nur ist ein «Buch ger Rüm» angezogen, nämlich f. 158°: ,, JJ .وجرت فى‎ Das Citat giebt die Riche des 8 jährigen Füllens an علامة‎ Es unterliegt wohl keinem Zweifel,‏ .فراعة all‏ ا حول dass alle diese Werke von unserem Autor in arabi-‏ schen Übersetzungen benutzt wurden. Unter den An-‏ gaben der zweiten Art steht, der Zahl der Citate‏ nach, in erster Reihe ein Buch, das den Titel „WI‏ führte. Wir finden dasselbe fol. 17“, 22, 26°, 56^,‏ B6'—87" und 98°. Mit Ausnahme‏ ,60 ,^55 —. "04 der Citate auf f f. 17^, 36° und 98^, die nur von‏ reden, beziehen sich‏ بعض ملوك | م resp.‏ بعض SU),‏ alle übrigen auf Chosru Parviz und zwar geben f. 22°‏ und 26° Auszüge aus Briefen, die derselbe aus dem‏ Gefängniss an seinen Sohn geschrieben, f. 54“ eine | 50) Die Citate enthalten verschiedene kurze Sentenzen, meist den Umgang mit Königen betreffend, und enthalten durchaus nichts was für die augenblicklich auf der Tagesordnung stehende Frage über die indisch.-arab. Mediein von Bedeutung wäre. Dagegen wird aber f. 34@ — 354, ohne Angabe der Quelle, ein Gespräch zwischen dem Barmekiden Jahja und Mankah dem Indier- mitgetheilt, dasan 1 75 Bulletin de l’Académie Impériale 76 CNA Seiten lange Instruction desselben an seinen aali; f. 66° eine eben solche an seinen JU) بيت‎ und f. 86'——87^ an seinen ..حاجب‎ Alles dies !) ist in dem sententiósen und unertrüglichen rhetorischen Ton gehalten, der Dank dem persischen Einfluss die mar- kige und urwüchsige echt arabische Beredsamkeit aus der Gunst des Publicums verdrángt hatte. Im Fihrist? wird p. 118, Z. 28 ein Werk des Abdallah Ibn al-Mugaffa angeführt فى سيرة‎ LI SES انوشروان‎ und ibid. p. 305, Z. 11 ein وما‎ zul ctt ax ls. Letzteres scheint von vornherein aus-‏ ملو geschlossen, ersteres dagegen kónnte vielleicht mit‏ dem von Ibn-Q. benutzten UJ] identisch sein. Dage-‏ صادب gen spricht freilich die Angabe des Fihrist 5,4 فى‎ انوشرو أن‎ , dafür aber der Umstand, dass Ibn al-Mu- qaffa auch sonst von unserem Autor citirt wird. Fol. 30°, 32^ und 40° wird sein Werk الآداب‎ citirt, f. 166° Kalila wa Dimna, f. 98^, 118'— 123^, 175° die p" |, worunter ja unzweifelhaft?) eben Ibn al-Mugaf- fa’s Übersetzung der officiellen pers. Chronik zu verste- hen ist; f. 14°u. f. 164“ ist Ibn al-Muqaffa ohne Nennung des Werkes Gewährsmann und f. 16°—17° ist ein lan- ges Citat aus einem 42] betitelten Buch, das ebenfalls ohne Zweifel mit Ibn al-Muqaffa's à] الررة‎ identisch ist. Nüchst dem el ist häufig in pers. Materien ein Buch citirt, welches ul, ol oder ul heisst. Die Form eel ist natürlich die richtige; ur) ist das per- sische Aequivalent des arabischen ol. Die Citate stehen f. f. 20°, كوو‎ 114—116", 117%, 134°— 135° und 152° — 154b. Das erste giebt einen Passus aus einer Rede 4l: eines nicht näher bezeichneten pers. Königs; derselbe giebt folgende goldene Versprechun- y ; JU Y eT So), SE ولف الأشاء د‎ Lä gen: wi دەر / در‎ dem eg و Kessen RE Das dritte f. 114° —‏ dd zwar ohne Interesse ist, aber doch die erste rent des Mankah noch bedeutend über Tabari hinaufrückt; cf. A. Müller in ZDMG. b. 34. p. 496. Mankah und einige andre indische Ärzte wer- den übrigens auch schon von al-Djähiz (+ 255) erwähnt. 51) Aus demselben Werke stammt wohl ein dritter Brief dessel- ben, der f. 66% ohne Quellenangabe steht. ium 52) Der Mangel eines Index der Büchertitel wird gewiss von allen Arabisten schwer empfunden, und die Herstellung eines solchen würde die Benutzung des trefflichen Werkes zu literärbistorischen | Untersuchungen bedeutend erleichtern. Das zweite giebt | 116, wozu noch f. 127 kommt *), so wie eine Zeile auf f. 117^, enthält detaillirte Vorschriften über die im Kriege zu beobachtenden Regeln, und verdient die Aufmerksamkeit derer, die sich für die kriegswissen- schaftlichen Theorien des Orients interessiren. Fol. E 134° — 185^ finden wir aus dem uad كتاب‎ Vor- schriften, wie der Pfeil النشات‎ am besten zu hand- habén und der Schlägel ull all zu führen sei. Das ` gas, 11. Capitel endlich des 2. Buches, sl Le فى العافة و انال‎ p Ke 159^ — 154, ist 7 ebenfalls dem genannten Buch entnommen. d Das Wort us als Titel persischer oder aus dem persischen übersetzter Werke kommt im Fihrist meh- reremal vor, ist aber nicht immer erkannt worden. P..314, z. 21 haben wir ein dal PT, ae) SL à جور‎ und ein الضرب بالدوالجة‎ g=! SES), p. 305, 2. 12 ein a.b - آینن‎ LS ohne weitere Bezeichnung, p. 138, ne ات‎ ur ll p. 118, 407 endlich ein نامه فى‎ : ell von Ibn al: Muqaffa. Leider ist über den Cha- racter des letzten Werkes nichts bekannt, da auch die : Lesart à] nicht ganz sicher zu sein scheint; vgl. die Anm. zu d. Stelle. Es ist daher nicht unmüglich, dass Ibn Q. dasselbe benutzt hat. Andrerseits aber ist es ebenso gut möglich, dass unser Autor seine d Citate über Pfeilwerfen und Çauladjânspiel aus den — ; oben erwähnten Monographien über diese Gegenstände ` dp hat. Hätten wir ein vollständiges Exemplar ` - der Ujün, so liesse sich diese und andre Fragen mit p. grösserer Sicherheit entscheiden. Von den drei Citaten aus dem ‚= سير‎ bezieht sich das erste f. 98"— 99^ auf Ardasir I. «Als derselbe 2 nämlich die Krone definitiv sich errungen hatte, ver- … sammelte er das Volk, hielt eine eloquente Rede, er- … 53) Hierin stimme ich mit Nóldeke, Gesch. der Perser und Ar. zur Zeit der Sassaniden etc. p. XXI, Anm. 2, überein, móchte aber | doch den Verfasser des Fihrist gegen eine andere Anm. Nöldeke’s ` (ibid, 363 Anm. 1. am Schluss) in ep os Ob der Verf. des ` Fihrist «mit Unrecht» das von Ibn ugaffa übersetzte Werk el auf Chosrau I. bezieht, oder mit et das können wir vor- ` läufig noch nicht endgültig entscheiden. Zweifel aber kommen, wie billig, dem Angeklagten zu Gut. اجلو > اجات‎ ۴ y». 54) Dieses Blatt ist beim Binden an die falsche Stelle en 55) In der Anm. zu dieser Stelle wird die Lesung ur) wenig- stens in Anregung gebracht. S 77 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 79 mahnte zu Eintracht und Gehorsam, warnte vor Auf- ruhr, und theilte das Volk in vier Categorien (Stünde, lol). Das Volk fiel anbetend nieder und der Spre- cher we antwortete dem Kónig.» Diese Antwort wird nun mitgetheilt. Sie enthält nur die überschweng- lichsten Danksagungen für die grossen Wohlthaten seiner Majestät. Das Citat f. 175° giebt die bekannte Anecdote von Bahram Gür’s Meisterschuss. Viel wichtiger als diese ist aber das lange Citat f. 118° — 123^, welches die ganze Geschichte von des Firüz Krieg mit اخشنوار‎ 5) dem Könige der Hajätila enthält. Das ist ein werth- voller Beitrag zur Kenntniss des wahren Charakters | der pers. officiellen Chronik. Schliesslich eitirt Ibn Q. noch eines seiner eigenen Werke, nämlich jll) فى ابيات‎ all „US, wor- unter das im Fihrist p. 77, Z. 15 erwähnte كنات‎ zu verstehen ist. Dieses Citat findet sich‏ معان الشعر f 1 157* Ibn Q. führt dort nämlich eine jener räth-‏ selnden Pferdebeschreibungen in Versen an, in denen | ‚aufgezählt wird, wie viel kurze, lange, breite u. s. w. . Körpertheile das betreffende Bons hat. In Chalef al- Ahmar's Qaside kommt bekanntlich solch eine Be- Sehreibung vor; cf. Ahlwardt’s Chalef al Ahmar etc. p. 232 sq. Das von unserem Autor beigebrachte Ge- dicht gehört nach Abu Hätim dem ,,cl;2J الغفار‎ Ae ‚Abu Obeida behauptete, den Verfasser des Gedichtes nicht zu kennen. Das Gedicht hat 11 Verse und be- ginnt so: sh Teen وقد‎ EP Ag رحب ليانه‎ A8 SEA Ibn Q. v nur den Text, verweist aber auf sein is bad . . Oben genanntes Buch, wo er dasselbe erklärt habe. An wichtigeren historischen Notizen hebe ich noch hervor: 1) f. 199"— 200? die Tódtung der 80 Omejja- den, die in Folge eines zweimal wiederholten lapsus dem Mancür zugeschrieben wird. Die Quelle ist nicht angegeben. 2) Fol. 175^ — 176° die Bezwingung der Veste non in Jemen durch den Merzban und f. 150° 56) So lautet der Name hier; cf. Noldeke L. e. p. 123, Aum. 4. die Expedition des Vahraz nach Jemen, beides nach | KL. 3) Eine Reihe interessanter Anecdoten über Omar f. 59° — 62, 4) Das Capitel über القضاء‎ f. 67^— 77°, welches durch eine Reihe gut gewählter Anecdoten die schon in so alter Zeit florirende Cor- ruption des Richterstandes illustrirt. In weitere Details kann ich mich hier nicht einlas- sen. Ich schliesse mit dem Wunsche, dass es gelingen möchte, ein completes Exemplar unseres Werkes irgendwo aufzutreiben. Das wáre eine für die ar. Cultur- und Literaturgeschichte der älteren Zeit hóchst werthvolle Acquisition. Zur feineren Anatomie der Milchdrüse während der Lactationsperiode. Von A. Saefftigen. (Lu le 14 ` octobre 1880.) Aus dem histologischen Laboratorium der St. Petersb. Universität. (Avec deux planches.) . Die mieroscopische Untersuchung der Milchdrüse dürfte bei der ausserordentlichen Zartheit dieses Or- gans, der Winzigkeit der wichtigsten Formbestand- theile und der Natur des Secrets, der Milch, welche bei ihrer Undurchsichtigkeit überaus stórend in den Gang der Beobachtung eingreift, vielleicht mit mehr Schwierigkeiten verknüpft sein, als die Untersuchung irgend einer andern Drüse; rechnet man noch den Umstand hinzu, dass die Herbeischaffung des Mate- rials an gewisse Bedingungen geknüpft ist und nicht jederzeit ermöglicht werden kann, so möchte in allem Obigen der Grund dafür zu suchen sein, weshalb die Ansichten der Gelehrten über den Prozess der Milch- absonderung so widersprechend lauten, und die Litte- ratur der Jetztzeit über dieses Organ so arm ist. Letz- terer Umstand war das Motiv, dass ich bei der Wahl eines histologischen Thema mich für die Erforschung ` ` S der Milchdrüse entschloss, und wenn ich auch noch nicht im Stande bin, ein in allen seinen Details voll- E kommenes, einheitlichen Bild darzustellen, so will ich doch die Ergebnisse, die ich während einer längeren Beschäftigung mit diesem Organe gesammelt habe, kurz mittheilen. Bevor ich aber mit der Beschreibung der einzelnen Elemente der Milchdrüse beginne, möchte 70 Bulletin de l'Académie Impériale so ich noch einiger Beobachtungen über die Abhängigkeit ihres secretorischen Theils von den Nerven erwähnen. Schon a priori konnten durch einen künstlichen Reiz der Milehdrüsennerven nicht dieselben eclatanten Er- gebnisse erwartet werden, die man z. B. an den Spei- cheldrüsen erzielt hat, trotz der Analogie, die sich an beiden Organen in vielen Hinsichten beobachten lässt; nichtsdestoweniger wurde eine Beschleunigung der Function der durch den electrischen Strom irritirten Milehdrüsen bemerkt. Als Beispiel mag eine Katze dienen; wührend der zweiten Woche der Lactations- periode konnten ihr durch Melken nur einige wenige Milchtropfen aus jeder Warze abgewonnen werden. Nachdem die Drüse dem Nervenreiz vermittelst des Inductionsstromes im Verlauf von einer Minute aus- gesetzt gewesen war, wurde nach dem Versuche vor- ausgegangener Abtragung der Haut an den betreffen- den Stellen, eine Anschwellung der Milchausführungs- gänge beobachtet, und das ganze Drüsengewebe ge- wann einen mehr weisslichen Ton. Diese Symptome verstärkten sich, wenn man den Strom in Pausen von drei bis fünf Minuten mehrere mal nach der Reihe einwirken liess. Nach dem Versuche sonderte sich die Milch beim Melken in grósseren Quantitäten aus. Da die Blosslegung. der Drüsennerven behufs Ver- bindung mit den Electroden mit dem Abtragen eines bedeutenden Theiles der Drüse selbst von der Bauch- wand verbunden war, das Organ also in diesem Falle in anormale Verhältnisse gebracht werden musste, wo schon der blosse Luftreiz auf die pbysiológischón Functionen einwirken konnte, ausserdem die Manipu- lationen mit den ausserordentlich feinen Rr. glandu- lares der Nn. supraclaviculares und intercostales pre- cür war, bediente ich mich des reflectorischen Nerven- reizes, indem ich die centralen Stümpfe der Nn. va- Eun gus und ischiadicus benutzte. Leider war es wegen der äussersten Feinheit der Milchausführungsgünge sehr schwer, ein Glasrohr in . einen derselben einzuführen, so dass eine genauere Messung der Milchzunahme während des Versuches nicht móglich wurde; schnitt man die Warze an ihrer Basis ab, um den während des Experiments wachsen- den Milchtropfen zu fixiren, so hinderte das durch die Irritation reichlicher hervorquellende Blut die Beobachtung. Ahnliche Erscheinungen, wie bei Anwendung des electrischen Stromes, ergaben sich, wenn man Jabo- randi oder Pilocarpin in sehr verdünnten Lösungen ins Blut injicirte. Am auffälligsten waren die Resul- tate, die durch Jaborandi an einer Katze erzielt wur- den,-die sich schon nicht mehr fern vom letzten Sta- dium der Lactationsperiode befand, und deren Junge sich nicht mehr ausschliesslich von der Muttermilch ernährten; ausserdem war das Thier cirea anderthalb Wochen hindurch vor dem Versuche in einem engen Raum gehalten, und sehr unregelmässig gefüttert worden. Durch mechanischen Druck konnte durchaus keine Milch aus der Drüse gepresst werden, dagegen quol- len etwa 15 Minuten nach Injection von Jaborandi beim Melken die ersten Milehtropfen heraus; in Zwi- schenpausen von 10 Minuten habe ich dieselbe Warze gemelkt, und nach Verlauf einer halben Stunde konnte man die Milch durch Druck in einem feinen Strahl heraustreiben. Hierauf fing die Drüse an schwächer zu fungiren, und nach etwa einer bis anderthalb Stun- den hórte jede Thätigkeit wieder auf. Dieses wären sümmtliche Ergebnisse, die durch physiologische Ex- perimente erzielt wurden. Noch will ich in Kürze des Einflusses der verschie- - SE EN PENES ur Es 0-0 A denen Reactive auf das Drüsengewebe, namentlich auf ` ` die eigentlichen Drüsenzellen, erwähnen. In frischem Zustande, bei Benutzung von humor aqueus als Untersuchuugsflüssigkeit, ist die Milchdrüse der microscopischen Beobachtung fast unzugänglich - wegen der ausserordentlichen Zartheit der Drüsen- zellen, die sich durch Zerzupfen, ohne durch Macera- tion dazu vorbereitet zu sein, durchaus nicht isoliren lassen. Die Zellen werden von den Nadeln zerrissen, wobei die Kerne herausfallen, und der ganze Zell ` inhalt sich unter die Untersuchungsflüssigkeit mischt. Ausserdem hindern die unzähligen Fettkügelchen, die sich nicht fortspülen lassen, die Beobachtung. Der Zusammenhang der Elemente musste daher durch irgend ein Reagens gelockert werden. Die schönsten Präparate habe ich von Drüsen erhalten, die einen ; bis zwei Tage in einer 3 — 5%, Chloralhydratlósung ` oder einer gleichconcentrirten Solution des Krause'- - schen molybdänsauren Ammoniaks gelegen hatten, in- dem ich dieselbe Flüssigkeit als Medium wührend der Beobachtung benutzte. Die einzelnen Elemente liessen sich leicht durch Zerzupfen oder Schaben mittelst des hd Si des Sciences de Saint-Pétersbourg. Scalpells isoliren, und die Zellconturen traten scharf hervor. Die Kerne und Kernkórperchen waren ein wenig gequollen, und in molybdänsaurem Ammoniak nahm diese Quellung nach längerem Einwirken des Reagens zu. Als Fürbungsmittel leistete letzteres Re- activ hier nichts, da nur das Bindegewebe einen bläu- lichen Ton gewann, während weder die Drüsenzellen selbst, noch deren Kerne sich tingiren liessen. Die meisten der Milchkügelchen, welche nicht im Proto- ` plasma der Drüsenzellen lagen, lösten sich von den übrigen Elementen ab und tauchten an die Oberflüche der Untersuchungsflüssigkeit unmittelbar an die un- tere Fläche des Deckgläschens empor, so dass sie beim Durchmustern der Präparate nur wenig störten. ` Fast eben so gute Resultate ergab schwaches Jod- serum TL, nur war das Zerzupfen darin mit mehr Schwie- rigkeiten verbunden, Nach längerer Einwirkung dieser Flüssigkeiten schrumpften die Drüsenzellen und nahmen eine kör- nige Beschaffenheit an, so dass sie für die Unter- suchung untauglich wurden. Die günstigste Beobach- tungszeit ist der andere Tag nach dem Einlegen in die Reagentien. | Das bei Untersuchung anderer Drüsen von Manchen _ . empfohlene chromsaure Ammoniak in fünfprocentiger Lósung leistet hier nichts, weil die Zellconturen fast spurlos verschwinden, und darin macerirtes Gewebe sich nachträglich nur schwer und unvollkommen zer- zupfen lässt. Die übrigen chromsauren Salze, sowie die freie Chromsäure, verändern stark das Protoplasma der Drüsenzellen, und ihre Einwirkung offenbart sich in den einzelnen Fällen so verschiedenartig, dass es schwer hält, den richtigen Zeitpunkt für die Unter- suchung zu treffen. Gute Schnitte erhielt ich aus Stücken, die in ge- sättigter Pikrinsáurelósung mit darauf folgender Alko- ; holeinwirkung gehärtet waren; statt der einfachen Pikrinsäure habe ich mich auch des Kleinenberg’- ons ID —————— » 5 : .. _ 1) Eigentlich weiss ich nicht, ob das Jodserum, dessen ich mich mit besonderem Erfolge bei Isolirung der spáter zu erwähnenden Korbzellen bedient habe, obgleich es fast farblos war, schwach ge- nannt werden kann, weil es schon 1Y/, Jahre vor dieser Arbeit prä- parirt worden war und sich in dieser Zeit, obgleich es meist an ei- | nem dunklen Ort stand, leicht Jodverbindungen haben bilden kón- nen, da von Zeit zu Zeit einige Tropfen starken Jodserums zuge- gossen worden waren. Bereitet wurde es aus dem Fruchtwasser von Schafsembryonen : schen Gemisches (100 Pikrinsäurelösung, 2 Schwefel- säure, 300 Wasser), bedient. Unmittelbar konnte Spiri- tus nur in verdünntem Zustande angewandt werden, um allmählich bis zur vollständigen Erhärtung des Gewebes verstärkt zu werden. Direete Anwendung des Alko- hols hat eine starke Schrumpfung zur Folge, wobei das Plasma der einzelnen Drüsenzellen fast zu einer homogenen Masse zusammengedrückt wird. Durch vorhergegangene Behandlung mit einer 0,2-procenti- gen Lösung von Chlorplatina, behufs vorläufiger Fixi- rung der Elemente, traten die Kerne sehr scharf her- vor und liessen sich auch nachträglich gut tingiren. Der Chromsäure und ihrer Salze habe ich mich hier wiederum nur selten bedient, weil diese Reactive zu sehr das Gewebe entstellten und oft Trugbilder verursachten. So habe ich z. B. an Chromsäureprä- paraten Drüsenzellen gesehen, welche auf langen dün- nen Stielen sassen, die sich an ihrer Basis wieder aus- breiteten; solche Gebilde hatten das Ansehen von Spermatoblasten en miniature, was sich an anderen Präparaten niemals bemerken liess. | An allen derartig behandelten Schnitten konnten keine Milchkügelchen beobachtet werden, weil ihr Inhalt sich in Alkohol gelóst hatte. Nach Chromsäure- einwirkung machten sie den Eindruck von membran- losen Fettkügelchen ; manchmal liess sich eine Ver- einigung derselben in gróssere Tropfen wahrnehmen. . Um diesem Übelstande abzuhelfen, wurde das Gewebe der Einwirkung von 1procentiger Osmiumsäure wäh- rend 24 Stunden ausgesetzt, wobei es eine schnitt- fähige Consistenz erhielt. Die Milchkügelchen bekamen ihre charakteristische schwarze Färbung, verloren die Fähigkeit bei nachträglicher Behandlung mit Alkohol sich zu lósen und konnten unverrückt in den Drüsen- zellen und den Hohlráumen der Drüsenbläschen beob- achtet werden. Die Zellkerne, etwas graubräunlicher als das fast hell gebliebene Protoplasma imprägnirt, traten an Osmiumpräparaten leidlich scharf hervor, ebenso die Kernkórperchen; nur die Zellconturen wa- ren leider nicht überall gleichdeutlich wahrnehmbar. Die Anordnung der Elemente konnte an Osmium- säurepräparaten am sichersten constatirt werden. - Was die Tinction anbetrifft, so habe ich sie nur sel- ten an Macerationsprüparaten angewandt, weil sämmt- liche Farbeflüssigkeiten zu stórend auf die Zell- und Kernconturen wirkten. Ausserdem liessen sich schon 6 * S3 Bulletin de l'Académie Impériale "4 macerirte Gewebestücke, nachdem sie in irgend einer Tinctionsflüssigkeit gelegen hatten, nur unvollkommen zerzupfen. Die besten Dienste hat mir noch eine Lósung des Brazilin und Hämatoxylin geleistet; erstere erhielt ich, indem ich Fernambuck- oder Sapanholz in halb- procentiger Alaunlósung kochte und der filtrirten ab- gekühlten Lösung einige Tropfen Essigsäure bei- mischte. Einen Tag lang in Jodserum macerirte Drüsen- stückchen von der Grósse eines Stecknadelkopfes wur- den auf weitere 24 Stunden in diese Flüssigkeit ge- than und darauf in sehr verdünntem Glycerin (1 Gl. zu 6 Aq.) zerzupft. Die Zellkerne waren intensiv schar- lachroth tingirt, während das Protoplasma fast farblos geblieben war. Auch Schnitte wurden mit gutem Erfolg auf diese Weise gefärbt; bediente man sich zu.ihrer Tinction des Hämatoxylins, so trat der beste Effect ein, wenn man ausserordentlich schwache Lösungen in grosser Quantität 24— 48 Stunden einwirken liess. Karmin und Anilinfarben haben weniger geleistet. Ersteres benutzte ich, um die Elemente des Binde- gewebes zwischen den Drüsenläppchen und Drüsen- bläschen hervorzuheben. : Sämmtliche Schnittprüparate wurden in verdünntem Glycerin oder in essigsaurem Kali untersucht und con- servirt, da Canadabalsam dem Gewebe eine glasartige Durchsichtigkeit verlieh, welche die Wahrnehmung einzelner Details in hohem Grade erschwerte. Um nicht bei genügend Bekanntem zu verweilen, will ich von dem macroscopischen Bau der Milchdrüse absehen und zur Beschreibung zunächst ihrer wichtig- sten Formbestandtheile, der a معدي‎ oder Epi- thelialzellen, schreiten. Das sind zarte, áusserst kleine, membranlose Ge- bilde von abgerundet polygonaler oder unregelmässi- ger Form; oft sind sie cylinderfórmig oder conisch, so dass ihre Höhe die Breite übertrifft. Sie bestehen aus einem structurlosen, hellen, fast durchsichtigen, stellenweise kórnigen Protoplasma, welches einen ver- háltnissmássig grossen, oft länglichen Kern mit einem oder zwei Kernkórperchen umschliesst (Taf. 1. Fig. I, II, IID. Ausserdem enthalten diese Zellen in mehr | Ber minder grosser Anzahl Fettkügelchen von sehr verchiedener Grösse; diese sind aber von den in der Untersuc hungsiinssigkeit suspendirten Milchkügelchen, die sich oft an die Drüsenzellen heften, schwer zu un- terscheiden, und oft war es sogar zweifelhaft, ob die fixirte Zelle in ihrem peripherischen Theil Milchkügel- chen enthielt, oder ob diese ihr bloss von aussen ad- härirten. Daher habe ich beim Abbilden der Drüsen- zellen von den Milchkügelchen vollständig abgesehen und sie nur auf Taf. 1. Fig. I, 5 und III, 5 aufgezeich- net, um ihre Grösse im Verhältniss zu der Zelle an- zugeben. Die Drüsenzellen kleiden die Acini und Drüsengänge in ununterbrochener Schicht aus. Nur selten, und das an kleinen Drüsenbläschen, z. B. an manchen Acini einer trächtigen Katze, habe ich zwei Lagen beobach- ten können, eine peripherische und eine centrale. In diesem Falle waren die Zellen der centralen Schicht länglich, conisch zusammengedrückt und kleiner als die an der Peripherie (Fig. II auf Taf. 2). Einen Unterschied der Drüsenzellen der Acini und der Milchgänge habe ich nicht bemerken können. Kache Se PR Al CR (Le BEE a Letztere trugen auch nicht, wie etwa die Secretions- . gänge der Speicheldrüse, ihr eigenthümliches Gepräge, sondern waren aus vollständig denselben Elementen . 1 und in gleicher Anordnung zusammengesetzt, wie die Acini, terschieden werden konnten; ebenso ist es mir nie gelungen, den Übergang von Drüsenbläschen in Drüsen- E gänge deutlich zu beobachten. In manchen Fällen, namentlich an einer Kaninchen-- — drüse, seltener bei anderen Thieren (Katze, Taf. 1, Fig. III, 7), waren von diesen Drüsenzellen aus feine Fortsätze E HarL r rubi 2,51 5 111 2, 3, e führte mich dieses auf den Gedanken, ob ich es hier nicht mit Nervenenden zu thun hätte, mit etwas Ähnlichem, wie Pflüger?) es an den Zellen der Speicheldrüsen beschreibt; bald jedoch musste diese Ansicht verworfen werden, da die Fortsätze verhältnissmässig bei wenigen Drüsenzellen anzutreffen waren und sich niemals bis ins Protoplasma hinein, etwa bis zum Kern, verfolgen liessen. Auch riefen Chlorgold und Osmiumsäure nicht die ihnen eigen- thümliche Reaction auf Nervenfasern hervor. Ich glaube ` eher, hier mit Plasmafortsätzen zu thun gehabt zu haben, freilich ohne dass mir ihre Bedeutung klar ge- 2) Pflüger, Stri cker’ s Handbuch der Lehre von den Geweben. Leipzig 1871. : so dass sie an. Schnitten von diesen kaum un- 85 des Sciences de Saint-Pétersbourg. SO worden wäre; an manchen Präparaten (Taf. 1, Fig. III 7) konnte verfolgt werden, wie die Conturen des Protoplasma sich allmählich in einem Winkel näher- ten und in einen Fortsatz ausliefen. Im Übrigen wa- ren diese Bilder den Pflüger'schen Präparaten ver- gleichbar, nur dass sich das der Drüsenzelle entgegen- gesetzte Ende des Fortsatzes nie wie dort im Zusam- menhange mit einer Ganglienzelle erblicken liess. Merkwürdig an einigen Fortsützen war, dass sie un- mittelbar an der Zelle ausserordentlich dünn waren und von da ab, je weiter sie sich verfolgen liessen, umsomehr an Dicke zunahmen. Theilungen dieser Zellen konnten an allen, sowohl fungirenden, als auch solchen Drüsen, die don träch- tigen Thiere entnommen waren, beobachtet werden (Taf. 1, Fig. I 3, 4, II 1, 6, III 3, 6, 8), niemals aber wurden sie massenhaft an bestimmten Orten oder zu gewissen Zeiten gefunden. Solche Bilder, wie sie z. B. Lavdowsky °) von durch den electrischen Strom ge- reizten Speicheldrüsen zeichnet, konnten an der Milch- drüse nicht wahrgenommen werden; wenn sich Zell- theilungen vorfanden, so waren es ihrer 1—3 im Durchschnitt eines Drüsenbläschen, ‚während andere Stellen des Präparates keine einzige Zelltheilung zeig- ten, und an Macerationspräparaten konnten auch nur wenige im Verhältniss zu den vielen intacten umher- schwimmenden Zellen entdeckt werden. Ich glaube überhaupt annehmen zu dürfen, dass die Zelltheilung . hier langsamer vor sich geht, als in den Speichel- drüsen, und dass hauptsächlich diesem Umstande die ungünstige Wirkung aller künstlichen Reizmittel auf das Quantum der beim Experimente sich ausscheiden- den Milch zuzuschreiben ist. Auch die Kariolysis bei A habe ich be- obachten kónnen, wenn auch selten und nicht so deut- lich ausgedrückt, wie ich sie an fertigen Präparaten aus dem Salamanderhoden und der Haut von Tritonen- a larven gesehen habe. Es liess sich trotzdem an man- Er. chen Kernen ein sternartiges Aussehen, an anderen : fadenfórmige Fortsätze bemerken. Ich bibe solch einen Fall mit móglichster Sorgfalt auf Taf. 1, Fig. I, 4 ab: gebildet. Die geeignetste Untersuchungsflüssigkeit für Kern- 3) M. Lavdowsky. Zur feineren Anat. und Physiol. der Spei- cheldrüse, insbes. der Orbitaldr. — Archiv für microscop. Anatomie UT von La Valette St. George und ere Band XIII, Heft 2. = "Taf. 1, Fig. 1 8, 7, 11, I1 8, 4, III theilungen war Humor aqueus mit einem minimalen Zu- satz von Ameisensäure. Ich verfuhr folgendermaassen: Aus einem Stücke der frischen, noch warmen Drüse, das auf den Objecttrüger in einige Tropfen Hwmor aqueus desselben Thieres gelegt war, wurden durch Zupfen und Schaben die Kerne aus den Drüsenzellen herausgepresst, was leicht gelang; hierauf wurde das Ganze mit einem Deckgläschen bedeckt, und darauf ein kleiner Tropfen einer 1%, Ameisensäure hinzugethan. Auf diese Weise liess sich sowohl symmetrische, als auch unsymmetrische Kerntheilung und in vielen Fäl- len eine sternförmige Verdichtung der Kernsubstanz um das Kernkórperchen herum bemerken (Taf. 1, Fig. IV, 1 — 4). Die Beobachtung war allerdings durch die Winzig- keit dieser Drüsenzellkerne und durch die starken Systeme, die angewandt werden mussten, erschwert, trotzdem aber kann ich diese sternfórmige Verdichtung nicht als ein durch die Ameisensäure hervorgerufenes Artefact bezeichnen, da ich an Kernen, die sich nicht theilten, nie dergleichen habe beobachten kónnen. Was die Grósse der einzelnen Drüsenzellen ein und desselben Organs in den verschiedenen Acini, wenn man sie senkrecht zu ihrer Basis ansieht, betrifft, so variirt sie ausserordentlich, so, dass es schwierig ist, ein bestimmtes Maass anzugeben. Die Abbildungen 5, 6 stellen Flüchen- ansichten von Stücken aus Acinuswünden einer Katzen- drüse mit verschiedengrossen Zellen dar. Bei ihrer Vergleichung finden wir, dass die Kerngrósse meisten- theils sich gleich bleibt, und dass das Volumen von der Masse des Protoplasma abhängig ist. Auch die Hóhe der Drüsenzellen ist, wie schon oben bemerkt wurde, verschieden; es konnte in dieser Hin- sicht sogar eine bedeutende Differenz zwischen den Zellen ein und desselben Drüsenblüschens bemerkt werden. Fig. IV auf Taf. 2 stellt neben verhältniss- mässig niedrigen Zellen solche dar, die den Durch- schnitt ihrer Basisfläche 4—5 mal an Höhe übertreffen. Was die Farbenimbibitionsfühigkeit dieser Zellen betrifft, so habe ich bemerkt, dass ihre Kerne sich* gut in Lüsungen von Hämatoxylin, Brazilin und in stark mit Essigsüure versetzten Anilinfarben tingiren; das Protoplasma nimmt in diesen Flüssigkeiten keinen Farbstoff auf, wohl aber wird es imprägnirt von Chlor- gold, Goldchloridnatrium und Palladiumchlorür, wäh- 7 Bulletin de l’Académie Impériale ss rend die Kerne dabei hell bleiben. Neutrale Anilin- lósungen, oft auch Karmin, geben eine diffuse Fär- bung, während Osmiumsäure und Platinchlorid fast gar nicht auf den Farbenton der Drüsenzellen influiren. Wenden wir uns nun zu anderen Elementen der Milchdrüse, die auch zu ihrem secretorischen Theile gehören. Neben den Drüsenzellen finden wir im Innern der Acini sphärische Gebilde von kleinerer Gestalt, als erstere in ausgewachsenem Zustande; sie enthalten gewöhnlich Milchkügelchen in einem körnigen Proto- plasma. Das sind diejenigen Zellen, welche die soge- nannten Kolostrumkörperchen geben; ich will sie hier der Kürze wegen Kolostrumzellen nennen. Fig. I 9,10, Fig. VI 1—3 auf Taf. 1 und Fig. III, a, « auf Taf. 2 zeigen sie auf verschiedenen Stufen der Entwickelung. Ich habe sie an Drüsen trächtiger und solcher säugen- der Thiere gefunden, die eine Zeitlang schlecht ge- füttert worden waren, oder sich in der letzten Zeit der Lactationsperiode befanden. Ihre Kerne sind verhält- nissmässig kleiner und nur in solchen Zellen vollkom- men prall, in denen noch keine Fettkügelchen zu sehen sind; in Milchkügelchen enthaltenden Zellen zeigen die Kerne mehr oder weniger unregelmässige Conturen und machen den Eindruck, als wären, sie atrophirt. Die Vertheilung dieser Zellen in er se ist sehr unregelmãssig. An manchen Acinusd itten findet man ihrer drei bis fünf, während an anderen Präpara- ten desselben Thieres man sie auf dem Durchschnitt eines ganzen Drüsenläppchen nur vereinzelt bemerken konnte. In situ lassen sie sich an Schnitten aus in Osmiumsäure gehärteten Stückchen demonstriren, ohne darauf folgende Alcoholbearbeitung. Schnitte aus Os- miumpräparaten waren überhaupt die einzigen, an wel- chen ich die Kolostrumzellen deutlich von den Drüsen- zellen unterscheiden konnte., Dabei lässt sich auch ihr Inhalt an EE die sich schwarz fárben, genau controliren. Diese Zellen sind zwischen die typischen Drüsen- “zellen eingebettet und von letzteren nur selten voll- ständig, gewöhnlich nur theilweise umschlossen, so dass ihre eine Hälfte frei ins Innere des Acinus hin- einragt. Frei werden sie schon als Kolostrumkörper- chen, wo sie dermaassen mit Milchkügelchen überfüllt ` < sind, dass sie ein maulbeerartiges Aussehen bekommen. Nach Ansicht Raubers*) wären diese Gebilde weisse Blut- und Lymphzellen, welche aus dem Interstitial- gewebe in das Drüsenbläschen eingewandert hier durch Fettdegeneration Milchkügelchen zu bilden beginnen; genannter Forscher hält sämmtliche geformte Bestand- theile der Milch für ein Product nur dieser Zellen. Was erstere Annahme betrifft, so sind meine Beob- achtungen an den oben erwähnten Kolostrumzellen nicht so ausgedehnt gewesen, dass ich im Stande wäre, sie positiv für selbstständige typische secernirende Elemente zu erklären und eine mögliche Einwanderung in den Acinus in Abrede zu stellen, oder für eine solche zu plaidiren und die Kolostrumzellen für iden- tisch mit weissen Blut- und Lymphzellen des anlie- genden Stroma zu halten; ich will hierzu nur folgendes bemerken: Die Zahl der Kolostrumzellen war unver- hältnissmässig klein im Vergleich zur Masse der lym- phoiden Elemente des die Drüsenblüschen umschlies- senden Bindegewebes, in vielen milchhaltigen Acini fehlten sie gänzlich und wurden, wie schon oben er- E: E CENE EE TS Eng le wähnt, nicht in allen Drüsen gefunden; ‘andererseits ` konnten im bindegewebigen Gerüst mancher, Kolostrum- zellen enthaltender Acini die lymphoiden Kórperchen ` nicht entdeckt werden. Wenden wir uns für ein paar Aun zum Pro- zess der Milchabsonderung. Es existiren heutigen Tags zwei Ansichten darüber, * " die beide vertheidigt werden. Ein Theil der Gelehrten hält dafür, dass die Drüsenzellen nur ein einziges Mal Milchkügelclien zu formen im Stande seien, und dass sie, nachdem sich dieselben in ihrem Innern gebildet ` und eine gewisse Grósse erreicht haben, sich von der Acinuswand lósen, ins Milchplasma übergehen, beim Freigeben der fertigen Milchkügelchen zu Grunde = gehen und durch neue Zellen ersetzt werden. Nach 3 Meinung Anderer vermag ein und dieselbe Drüsen- ` ` zele unbestimmte Zeit hindurch Milchkügelchen zu erzeugen, indem sie die fertigen aus ihrem jp ins Innere des Acinus hinausstósst. Einen ganz anderen Ursprung der Milch leitet Rau- ` ber, wie schon erwähnt wurde, von Lymphoiden-Ele- menten her, indem er die Epithelialzellen von der Production der Milehkügelchen ausschliesst, — eine Ansicht, die sich mit beiden oben genannten Theorien ` : A. Rauber. Über den Ursprung der Milch und die Ernäh- er der Frucht im Allgemeinen. Leipzig 1879, SO des Sciences de Saint-Pétersbourg. 90 und allem, was ich über den Prozess der Milchsecre- tion beobachtet zu haben glaube, nicht verträgt. Ohne mich ausschliesslich emer der ersterwähnten beiden Ansichten anschliessen zu können, muss ich be- kennen, wenn auch nicht Beweise für jede dieser An- schauungen, so doch starke Andeutungen gefunden zu haben, die beide Theorien möglich machen. Als Erklä- rung für den Untergang der Drüsenzellen mógen die Pro- toplasmaconglomerate, sowie einzelne Zellkerne dienen, die ich oft in den Acini wahrnehmen konnte. Des- gleichen möchte folgender Umstand zu Gunsten der- selben Anschauungsweise sprechen. An der Wand eines Drüsenbläschens (Schnitt, Osmiumpräparat Taf. 2, Fig. VI), dessen Inneres mit Milchkügelchen überfüllt war, dessen Zellen also in letzter Zeit stark gearbeitet hat- ten, fand ich die Zahl der Drüsenzellen zu gering im Verbaas: zum Product, das sie geliefert hatten, und die Vermuthung lag nahe, es hätten an der Basen der Milchmenge noch andere Zellen theilgenommen und wären in Folge der Arbeit zu Grunde gegangen. Ihre Überreste sah man allerdings nicht, weil die vie- len Milehkügelchen alles Übrige maskirten. Die Zell- kerne lagen in diesem Falle im Acinusdurchschnitt im unregelmässiger, durch Lücken unterbrochener . Reihe, und manche von ihnen waren in der Theilung begriffen. Nur die Protoplasmamasse bedeckte die ganze Acinuswand, freilich in verhältnissmässig nicht dicker Schicht, die am dünnsten an kernlosen Stellen war. Man konnte sich diesen Umstand dadurch er- klären, dass ein Druck von innen des von Milch strotzen- den Acinus auf das Protoplasma der übriggebliebenen Zellen ausgeübt wird, und dass in Folge dessen dieses sich auszubreiten sucht. Eine andere Deutung finde ich in der 1 mir, während ich dieses schreibe, zugänglich gewordenen Abhand- lung Heidenhain’s°). Letzterer und Partsch °) ge- hen freilich von dem Standpunkte aus, dass die Drüsen- zellen nicht vollständig zu Grunde gehen, sondern es äussere sich ihre Secretion in einem Abstossen der = Milchkügelchen nebst einem Theile des Protoplasma, in welchem der Kern mit einbegriffen sein kann. Wen- det man dieses auf gegebenen Fall an, so würde man 5) Handbuch à der Physiologie, widmen von Hermann. dan 1880. Fünfter erster Theil, pag 338. a C. Partsch, iod den feineren Ban der Milchiräse. Brealäu es am Grunde der Lücken mit dem übriggebliebenen Theile des mit dem Kerne in das Drüsensecret über- gegangenen Protoplasma zu thun haben. Obige Bilder nun bewogen mich anzunehmen, dass die Drüsenzellen nach der Milchabsonderung zu Grunde gehen, bis ich in der letzten Zeit meiner Arbeit durch andere Erscheinungen stutzig gemacht worden bin. Als Beispiel mag ein Acinusdurchschnitt (Osmium- präparat. Taf. 2, Fig. V) dienen, welcher der durch den Inductionsstrom irritirten Hundedrüse entnommen war. Die Drüsenzellen erschienen gleichmässig an einander gereiht, und ihre Conturen waren scharf gezeichnet. Im Innern des Acinus liessen sich sphärische Milch- kügelchen in geringer Anzahl wahrnehmen, während die meisten sich im Plasma der Drüsenzellen befanden. Letztere konnten von ersteren leicht dadurch unter- schieden werden, dass sie zusammengedrückt waren, und zwar so, dass ihre Längsachsen im Verhältniss zum Acinus radiär verliefen. Diese Veränderung der Form lässt sich durch den seitlichen Druck erklären, der bei dem durch das Reactiv bedingten Schrumpfen des Plasmas auf: die Milchkügelchen ausgeübt wird. Das Charakteristische nun bestand in der Anordnung dieser Milchkügelchen; sie lagen nämlich alle in dem Theile des Protoplasma, welcher dem Acinuscentrum zugekehrt war; hinter ihnen befanden sich die Zell- kerne, und der Theil des Protoplasma, welcher an die Acinusmembran grenzte, war vollständig frei von Milch- kügelchen; über einige der letzteren war es schwer zu urtheilen, ob sie sich schon im Secret oder noch im Protoplasma befanden: sie erschienen auf der Grenze und riefen den Eindruck hervor, als ob sie eben frei würden. Es liesse sich diese Anordnung der Milchkügelchen schwer erklären, wenn man den Untergang der Zellen annehmen wollte, und ich glaubte daher hier mit einer _ Absonderung von Milchkügelchen zu thun zu haben. Nach den neuesten oben genannten Untersuchungen von Heidenhain und von Partsch würde diese An- nahme insofern modificirt werden, als bei Absonderung der Milchkügelchen der ‘um sie gruppirte Theil des Protoplasma mit abgestossen würde. Da es mir nicht gelungen ist, die Ursachen für diese beiden augenscheinlich wesentlich von einander verschiedenen Erscheinungen zu finden, muss ich mich jedes positiven Urtheils über, den Prozess bei der x 91 Bulletin de l'Académie Impériale AE E 1 7 Milchabsonderung enthalten, zumal es mir gewagt scheint, gleichzeitig in dem einen Falle eine vollstän- dige Vernichtung der Zelle, im anderen ihre weitere Function anzunehmen. So viel über die speciell secernirenden Zellen der Milchdrüse; wenden wir uns nun zu ihren anderen Elementen. In den Drüsenbläschen finden sich Kerne, oft 2—4 in jedem Durchschnitt, welche hart an der Acinus- membran sitzend erscheinen (Taf. 2, Fig. II c; VI e, VII a ete.). Anfänglich nahm ich an, die Zellen, mit deren Kernen ich es hier zu thun hatte, lägen inner- halb der Acinusmembran, und ich kónnte sie selbst nicht unterscheiden, weil ihre Protoplasmaconturen — ich stellte mir diese Zellen membranlos wie die Drüsenzellen vor — in Osmiumsüure, woraus ich die ersten Präparate erhalten hatte, nicht deutlich ausge- drückt worden seien, wie das leider oft bei Osmium- säurepräparaten der Milchdrüse der Fall ist. Die Ver- muthung lag nahe, dass diese Zellen eine ähnliche phy- siologische Bedeutung hätten, wie etwa die Ursamen- zellen der Samendrüse, und zur Bildung der speciell secernirenden Drüsenzellen dienten. Erst bei Durch- musterung von Macerationspräparaten erwies sich die Irrigkeit dieser Ansicht. ` In diesem Falle nämlich wurde ersichtlich, dass die Kerne, deren ich oben erwühnte, zu modificirten Binde- gewebszellen gehörten, die ich mit Anderen der Kürze halber Korbzelen nenneu will, da sie die Bestand- theile eines bindegewebigen Korbes sind, welcher das Drüsenblüschen umschliesst. Mehrere von diesen Ge- bilden sind auf Taf. 1, Fig. VIII 1 — 10 dargestellt. Es sind das ühnliche Zellen, wie man sie an anderen Drüsen beobachtet hat, und vollkommen identisch denen, die Lavdowsky aus der Speicheldrüse isolirt und abgebildet hat. Als modificirte Bindegewebszellen müs- sen diese Gebilde ihrer abenteuerlichen Gestalt wegen genannt werden, und weil ihre Fortsätze sich theilen, während es doch sonst für ausgebildete Bindegewebs- zellen als eine conditio sime qua non gilt, dass ihre Ausläufer sich nieht verzweigen. betrachtet man solch eine isolirte Korbzelle en profil, so erscheint der Kern nicht mitten in der Zelle, sondern an einer Seite hervorragend, und zwar an der Seite, die in natürlieher Lage dem Acinus zugekehrt ist. An Schnitten sind diese Zellen sehr schwer oder gar nicht wahrnehmbar, und dann eben erscheinen ihre hervorragenden Kerne zwischen die Drüsenzellen eingeklemmt. Zur Isolirung der Korbzellen wurde Jodserum an- gewandt, und das ist das einzige Reactiv, welches wirk- lich gute Dienste leistet; dabei ist man an keine be- stimmte Zeit für die Untersuchung gebunden, im Gegentheil, je länger das Gewebestückchen in Jod- serum gelegen hat, desto vollkommener lassen sich die Zellen isoliren und werden ausserdem durch das Reactiv nicht verunstaltet. Aus Prüparaten, die 5 bis | 7 Wochen lang in Jodserum gelegen hatten, gelang | es mir ganze Korbtheile (Taf. 1, Fig, VIII 7) zur Anschauung zu bringen. 4 En face betrachtet, haben die Korbzellen das Aus- ` sehen eines Sternes, dessen Centrum vom Zellkórper mit Kern und deutlichem Kernkörperchen gebildet ` wird. Von diesem Zellkörper nehmen etwa 3 — 6 ; Fortsätze ihren Anfang, von denen manche sich thei- len. Diese Fortsätze vereinigen sich mit ähnlichen an- — - derer benachbarter Zellen und bilden auf diese Weise ein Netz oder einen Korb, der sich eng an das Drüsen- — bläschen, d. h. unmittelbar an die Drüsenzellen an- schliesst und von da aus sich weiter über die Drüsen- gänge erstreckt. Die Form des Kerns, welcher grös- ser ist, als der Drüsenzellkern, ist selten rund, Mor cun pers beeinflusst; so ist er z. B. auf Taf. 1, Fig. VIII 4 — dreieckig. Fig. IX auf Taf. 1 stellt einen Theil einer Acinuswand mit einer Korbzelle ¿n situ vor. | . Die Grösse dieser Zellen variirt noch mehr, als die a der Drüsenzellen, und ist mit von der Grösse de Ach a nus bedingt; in Fig. VIII 1, 2 sind zwei extreme Fälle abgebildet. Auch eine Theilung der Korbzellen- — — kerne konnte, am häufigsten an stark secernirenden ` Drüsen, beobachtet werden (Taf. 1, Fig. VIII 5, 7,in Fig. VIII 9 eine Zelle mit drei dben durch Theilung 1 entstandenen Kernen). d Lavdowsky beschreibt an den Gaumenschleimhaut- E drüsen des Kaninchens Zellen, die sich von den ge- ` wöhnlichen Korbzellen durch einen mehr eubischen ` - Körper und stumpfe schaufelfórmige Fortsätze unter- ` scheiden. An der Milchdrüse liessen sich in Zupí- prüparaten Zellen bemerken, die manches Ähnliche —— mit jenen hatten; sie waren bedeutend kleiner, als ` ` sonst Korbzellen sind, hatten einen grossen Kern und ` / des Sciences de Saint- Pétersbourz. 91 zeichneten sich durch kurze schaufelfórmige Ausläufer aus; eine cubische Zellkórperform konnte hier nicht beobachtet werden. Ausserdem unterschieden sie sich von den typischen Korbzellen dadurch, dass ihre Kerne einer intensiveren Tinction durch Hämatoxylin und Brazilin fühig waren. Trotzdem tragen diese Zellen ein zu wenig specialisirtes Gepräge, um sie aus der alleemeinen Gruppe der Korbzellen auszuschliessen und ihnen eine besondere Function zuzuschreiben. Viel eher kónnte man es hier mit noch nicht ausgewach- senen, unentwickelten Korbzellen zu thun haben. Einen eigenen Charakter haben dagegen die Zellen, die auf Taf. 1, Fig. VII 1, 2 abgebildet sind. Sie fal- len auf durch ihren mächtigen ovalen Kern mit grossem Kernkórperchen. Man wäre geneigt, diese Gebilde ihrer Form nach für Elemente einer Membran zu hal- ten, und ich dachte hier mit Elementen der membrana propria zu thun zu haben, bis ich mich davon über- ` zeugte, dass letztere homogen ist. Diese Zellen haben einen flachen, unregelmässigen, durchsichtigen Zell- kórper, der an Grósse den Kórper der Korbzellen be- deutend übertrifft; wie bei letzteren nehmen vom Kór- per Ausläufer ihren Anfang, die aber sehr unregel- mässig vertheilt und von denen die meisten bedeutend e. feiner, als die der Korbzellen sind. Oft (Taf. 1, Fig. VII Î) spaltet sich der Zellkörper und läuft dann in feine Fäden aus. An Schnittpräparaten ist alles dieses nicht wahrnehmbar, und so ist mir denn der Fundort und die Rolle, die diese Zellen in der Milchdrüse spielen, vollstàndig unbekannt geblieben. Die schónsten und meisten Prüparate wurden durch age Maceration des Gewebes in fünfprozentiger . €hl ósung gewonnen. Wie schon oben erwähnt wurde, ist die membrana propria des Drüsenbläschens structurlos; sie erhält nach Alcoholeinwirkung ein körniges Aussehen. Um ihr Verhältniss zum Drüsenbläschen kennen zu lernen, benutzt man am besten eine fünfprocentige Lösung von molybdänsaurem Ammoniak; sie erscheint alsdann, wie das Sarcolemma des Muskels nach Wasserimbibi- , tion, in blasenartigen Ausbuchtungen. Aus solchen Prüparaten erhellt, dass die Korbzellen von der mem- brana propria umschlossen werden, nicht ihr aussen : anliegen, und dass letztere in keins organischen Zu- sammenhange mit ersteren steht, oder doch wenigstens . nur durch einen sehr leicht zerstörbaren Kitt mit ih- nen verbunden ist. Dasselbe wird auch in Zupfpräpa- raten dadurch bestätigt, dass man niemals die Ver- ästelung der Korbzellen durch ein Häutchen verbun- den sieht. | Fig. VIII auf Taf. 2 zeigt die Membran b mit dem anliegenden Korbzellengeflecht a, wie sie durch Aus- pinseln und Ausspülen eines Schnittes erhalten wurde. Das Präparat muss ich aber als ein zufälliges bezeich- nen, da es mir später nie wieder gelungen ist, die membrana propria auf diesem Wege zur Anschauung zu bringen. Das Gerüst des ganzen secretorischen Apparates: der Milchdrüse wird durch Bindegewebe gebildet, des- sen Fasern in stürkeren Strängen und Schichtungen die Drüsenläppchen und in schwächeren die einzelnen Acini von einander trennen. Ein sehr hübsches und übersichtliches Bild von diesem Gerüst erhält man, wenn man zum Färben der Schnitte Karmin oder Picro- karmin benutzt. Die Acini bleiben farblos oder werden gelb tingirt, während alle bindegewebigen Elemente einen intensiven rothen Ton annehmen. Am effectvoll- sten färben sich Schnitte aus Chromsäurepräparaten. Zur Demonstrirung von Plasmazellen bedient man sich des Hämatoxylins, auch Brazilin hat mir vortreff- liche Dienste geleistet. Von ihrer Existenz habe ich mich durch das Recept von Ehrlich?) überzeugt. | Ausser Plasmazellen findet man noch im Binde- gewebe in grosser Anzahl die spindelförmigen Binde- gewebskórperchen in zwei Gestalten, die auf Taf. 1, Fig. V 1, 2 abgebildet sind. Was die nervosen Elemente der Milchdrüse anbe- trifft, so habe ich meist negative Resultate erhalten. An passend bearbeiteten Schnitten der Katzendrüse (Osmiumsäure oder Chlorgold mit nachfolgender Amei- sensäureeinwirkung) liessen sich nur Trümmer von Nervenfasern zwischen den Drüsenläppchen veran- schaulichen, und auch an Zupfpräparaten konnte man niemals das Verhältniss der Nerven zu den Acini sich aufklären; eben so wenig war es möglich, einen Zu- sammenhang zwischen Nerven und secernirenden Ele- menten zu bemerken. Gangliencomplexe, wie sie an den Speicheldrüsen bekannt sind, habe ich an den Hun- 7) P. Ehrlich. Beiträge zur Kenntniss der Anilinfärbung und ihrer Verwendung in der mikroscopischen Technik. — Archiv für mikroscopische Anatomie, herausgeg. von La Valette St. George und Waldeyer; dreizehnter Band, zweites Heft, pag. 263 95 Bulletin de l'Académie Impériale derten von Schnitten aus den verschiedensten Partien der Milchdrüse, die ich während meiner Arbeit durch- mustert habe, auch nicht entdecken kónnen. Eine auffallende Erscheinung waren zwischen dem Bindegewebe quergestreifte Muskelfasern. Anfangs musste ich ihr Vorhandensein an Macerationspräpara- ten dem Zufall zuschreiben; erst Schnitte aus verschie- denen Theilen der Drüse überzeugten mich von ihrer Anwesenheit. Später habe ich sie bei allen Thieren bemerkt, am häufigsten an der freilich schon verfal- 'lenen Drüse eines alten Weibes. Ich kann nicht ‚schliessen, ohne meinem hochver- ehrten Lehrer, Hrn. Professor Ph. Owsjannikow, für die Anleitung und die Rathschläge, die er mir während |- der Arbeit reichlich hat zu Theil werden lassen, mei- nen innigsten Dank auszusprechen. — Erklärung der Abbildungen, Tan 4. Fig. I. Drüsenzellen nach 1—3tägiger Maceration in Jodserum. 1, 2, 3. vom Kaninchen, 4, 5. von der Ratte, 6. Drü- senzellkerne der Katze. 8, 7. Flächenansichten zweier Acinuswände der Katze in verschiedenen Stadien. 11. Drüsenzelle der Katze aus einem dritten Stadium. 9, 10. Kolostrumzellen aus ei- ner Katzendrüse. Fig. II. Drüsenzellen nach eintügiger Maceration in einer 5procentigen Lósung von molybdänsauren Ammoniak. 1,4 ma Kaninchen, 3, 4. 9 der Katze in ver- 6,5. vom Hun- de, erstere in Theilung begriffen, letztere mit Basse verlängertem Protoplasma. Fig. HI. Drüsenzellen nach eintügiger Maceration in 5procentiger Lösung von Chloralhydrat. 1, 2, 3, 4. vom Kaninchen, 5, 6, 7. von der Katze, 8, 9. vom Hunde, erstere mit verlängertem Pros toplasma. Fig. IV. Drüsenzellkerne der Katze, frisch in Jod- serum untersucht, mit Beigabe von Ameisensäure in lprocentiger Lösung. | 1, 2. in symmetrischer, 3, 4. in unsymmetrischer Theilung begriffen. Katze |Fig. VI. Kolostrumzellen aus Osmiumsäure von 1% aus der Katzendrüse. 1. mit deutlichem Kern, 2. Übergangsstadium, 3. eigentliches Kolostrumkörperchen. Fig. VII. Flache Zellen, anscheinend Bestandtheile einer Membran, aus 5procentiger Chloralhydrat- lösung isolirt; von der Katze, Fig. VIII. Korbzellen aus der Katzendrüse. Jodserum. 5. in der Theilung begriffen. 8, 7. nach 6wöchentlicher Einwirkung von Jodserum. Er- hang zweier Korbzellen , eines Korbes mit sich theilenden Kernen. 9, 10. aus molybdänsaurem Ammoniak. nach 6wóchentlicher Maceration in Jodserum. a. Drüsenzellen. b. Korbzellen. Taf. 2. (Schnitte.) Fig. I. Aus einem Drüsenläppchen der trächtigen Katze (Ammon. bichromic. — Alcohol — Picrokarmin). a. Drüsenzellen. b. Inhalt der Acini. gewebiges Gerüst. d. Gefässe. von UL — Alcohol). a. Drüsenzellkerne der peripherischen Schicht. b. . der centralen Schicht. c. Korbzellenkern. Wochen nach dem Wurf (Osmiumsäure). lich sichtbarem Kern. b. Gefäss. 0,2*/, — Alcohol — Hämatoxyl.). .. Wurf (Osmiumsäure 1/ — Alcohol). ' a. freie, b. im Protoplasma der Drüsenzellen See? dirte Milchkügelchen. d. Gefässe. nach dem Wurf (Osmiumsäure UL — Alcohol). Fig. V. Spindelfórmige Bindegewebskörperchen der 4 ] — 8. nach 2 — 3wóchentlicher Einwirkung von. steres Präparat veranschaulicht den Zusammen- 4 letzteres einen Theil Fig. IX. Aussenansieht einer Acinuswand der Katze T" 7 KE c. Binde- — Fig. III. Zwei Acini einer Katzendrüse, etwa fünf E a. Kolostrumkörperchen vor der Reife. a’. mit deut- ` N Fig. IV. Drei Acinustheile einer Hundedrüse; eine - Woche nach dem Wurf (Chlorplatinalösung von i a. Drüsenzelle in Theilung. b. hohe Drüsenzellen. Fig. V. Acinus einer Hundedrüse, 2 Wochen nach dem = Fig. VI. Drei Acini einer Hundedrüse , eine Woche d à: Zellen ik der Ebene des Schnibes. b Zellen der ` ^X 96 ` Fig. II. Acinus einer trüchtigen Katze (Osmiumsäure 0 jc P ME E sc COL MR EEE ES | Bulletin de Acad mpd Sc TKM. ASäefftigen Zur Anatomie dMifchdrúse während d Lactationspermde. Taf. GE NEF de Taf IT ionsperio ali t áhrend d Lac 2 ISE Wi d Milchdr gen:Aur Anatomie Asaeffti Sc TIVI. ii Imp. de [Aead. iin Bulle 97 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 9s unteren Wand. d. spindelförmige Bindegewebs- körperchen. e. Korbzellenkern. Fig. VII. Aus einer Hundedrüse, eine Woche nach dem Wurf (Chlorplatin, Alcohol, Brazilin). a. cree e Wensch, e cid der Mi 1 Fig. VIII. 1 goiek und membrana propria der Katzendrüse (Picrinsäure, Alcohol). Die Zeichnungen wurden durch ein Zeichenprisma der Firma Seibert & Kraft entworfen, die der ersten Tafel bei Benutzung des Systems JV VI, die der zwei- ten Tafel bei Benutzung des Systems M V derselben Firma. Fig. I, Taf. 2 entspricht einer 250fachen Vergrós- serung und ist durch ein englisches '"/zólliges System gezeichnet. Zur Spectroskopie des Wasserstoffs. Von Dr. B. Has- selberg. (Lu le 28 octobre 1880.) (Avec une Planche.) Bei Gelegenheit seiner bekannten Untersuchungen über die Spectra der Gase in Geissler'schen Róhren hat Wüllner!), ausser den schon von Plücker?) be- obachteten Spectralerscheinungen des Wasserstoffs, unter gewissen Verhältnissen in mit diesem Gase ge- . füllten Röhren noch ein neues, vorher nicht gesehenes Spectrum gefunden, welches er als ein besonderes Spectrum desselben Gases bezeichnet. Dies Spectrum zeigté sich jedesmal dann, wenn der Inductionsstrom, namentlich unter Einschaltung einer Leydner Flasche, durch die Róhre geführt wurde, nachdem die Verdün- nung des Gases auf den hóchsten, mit einer Sprengel- schen Luftpumpe erreichbaren Grad getrieben war. — Das vorher rothe Licht der Róhre ging dabei in ein helles Grün über und dem entsprechend bestand das Spectrum aus einem Systeme sehr heller im Grünen und Blauen liegender Liniengruppen. Um die Lage der Hauptlinien näher zu bezeichnen benutzte Wüllner die Minimalablenkungen seines Prismas, dessen bre- chender Winkel 60° 2’ 0 ee. und für welches die D Pogg. Ann. Bd. CXXXV. p. 497. 2) Phil. Trans. 1864. Tome XXVII. Brechungsindices der drei W tofflinien die fol- genden Werthe hatten : u. n — 1,743355 H; : == 1,772210 H,: — 1,790564. Die von W üllner gemessenen Linien werden nun folgendermassen beschrieben: [o — kleinste Devia- tion]. N 1. Mittelste helle Linie der ersten aus drei hellen Linien bestehen- den Gruppe: X 2. Mittelste Linie der zweiten, aus drei bestehenden Gruppe: X. 3. Zweite hellste Linie der drit- ten, aus zwei hellen Linien be- stehenden Gruppe: . Erste helle der vierten, aus zwei sehr nahe liegenden Linien bestehenden Gruppe : . Mittelste Linie der fünften, aus drei hellen Linien bestehenden Gruppe; die Linie ist die hellste und hat mehr als Spaltbreite 3) . Mittelste helle Linie einer Grup- pe von wenigstens sechs einzel- nen Linien: 9602 -AT 407 = 63 10 15 — 63 29 20 = > = 63 46 25 re Ox — 64 22 20 = o — 64 38 40 Ausser diesen Linien waren noch H; und einige, ‚obgleich sehr schwache Spuren von H, zu sehen, so- wie an der Grenze des Grün gegen "Gelb hin eine schwachhelle Partie. Ferner liessen sich zwischen der ersten und zweiten Gruppe zwei schwache, helle Li- nien und zwischen der dritten und vierten Gruppe etwa drei schwache Linien beobachten. Jenseits H. erschienen noch einige helle Streifen, deren Lage je- doch nur sehr beiläufig angegeben ist. — Man ersieht aus dieser Beschreibung, dass das frag- liche Spectrum jedenfalls einen ganz anderen Charac- ter trágt, als diejenigen Spectra, welche vorher von Plücker u. A. in Wasserstoffröhren beobachtet wa- ren, und es musste natürlich zunüchst die Frage ent- stehen, ob dies Spectrum dem Wasserstoffe selbst wirk- lich zugeschrieben werden konnte; ob nicht dasselbe 3) Die Linie ist in der Wirklichkeit doppelt, ebenso wie dieun- der Gruppe. | mittelbar vorhergehende Linie 7 99 Bulletin de l'Académie Impériale vielmehr von irgend einer anderen Substanz, mit wel- cher das Gas in Berührung gewesen, herrühre. — Da Schwefelsäure und Phosphorsäure-anhydrid zum Aus- trocknen des Gases benutzt waren, so kónnte der Ver- dacht entstehen, dass das Spectrum auf Schwefel oder Phosphor sich zurückführen liesse, namentlich weil be- kanntlich Wasserstoff auf concentrirte Schwefelsáure re- ducirend wirkt, oder man konnte vermuthen, dass das- selbe aus Theilen der Spectra des Aluminiums und des Quecksilbers aufgebaut wäre, da die Electroden aus dem erstgenannten Metalle bestanden und das Auf- treten der helleren Quecksilberlinien in Geissler'- schen Róhren bei starken Verdünnungen eine sehr ge- wöhnliche Erscheinung ist. Diese Fragen hat auch Wüllner näher untersucht, ohne indessen dabei zu irgend einem Resultate zu kommen, welches derar- tigen Vermuthungen günstig wäre. Unter solchen Ver- hältnissen hat sich deshalb Wüllner für berechtigt angesehen das fragliche Spectrum als ein neues Linien- spectrum des Wasserstoffs zu bezeichnen. Gegen diese Deutung der Erscheinungen trat aber kurz nachher Ångström’) auf und zeigte, wie es scheint, aus sehr triftigen Gründen, dass das neue Spectrum, den Wüllner’schen Xprsickerh den entge- gen, jedoch Schwefel angehóren musste. Als nümlich Angstróm mit Hilfe der von Wüllner gegebenen Zahlen die Wellenlängen der gemessenen Linien gra- phisch ableitete und mit denjenigen der Hauptlinien des Schwefelspectrums verglich, so stellte sich, unter des Umstandes ‚dass weder Willner’ 8 Messungen, noch ( die vorhandenen Wellenlängenbestim- mungen im Schwefelspectrum auf eine besonders grosse Genauigkeit Anspruch machen konnten, zwischen den beiden Spectra eine so gute Uebereinstimmung heraus, dass an der Identität des Ursprungs derselben kaum gezweifelt werden konnte. Um die Zulässigkeit dieser Ansicht deutlich zu zeigen, mag die darauf bezügliche Zusammenstellung Angstróm's*) hier aufgeführt werden : Angebliches Wasserstoffspetrum : ien M 1. Gruppe von 3 Strichen; 5671 mittlerer Strich: . ..... ) — 5647 | 5645 ) 5613 4) Pogg. Ann. Bd. CXXXVII. p. 300.—C. R. Vol. LXXIII. p. 368. 5) a. a. O. p. 304. Die Wellenlängen sind hier, wie überall wei- ter unten in Einheiten der 7ten Stelle des Millim. angegeben. 100 X 2. Gruppe von 3 Strichen ; 5474 mittlerer Strich: ...... — 5469 | 5451 | 5432 X 3. Gruppe von zwei Strichen ; 5345 zweiter SER ... :.: — 5334 | 5322 N 4. Gruppe von zwei Strichen; = 5221 f 5207 erster SCIRE ae 5191 NM 5. Gruppe von 3 Strichen; 5027 mittlerer Strich:. . . .... — 5015 3 5013 4994 NM 6. Gruppe von über 6 Stri- chen; mittlerer Strich: . . = 4930 4926. Diesen Zahlen gegenüber, deren Beweiskraft bei unparteiischer Beurtheilung wohl schwerlich in Ab- rede gestellt werden kann, sucht indessen Wüllner nichtsdestoweniger seine vorher gefasste Meinung auf- recht zu erhalten, indem er, wegen der grossen Zahl der im Schwefelspectrum vorkommenden Linien, die hier aufgezeigten Übereinstimmungen als zufällig be- trachtet, und für die Identification zweier Spectra das Aufzeigen einer auf sämmtliche Linien derselben sich erstreckenden Übereinstimmung als conditio sine qua non verlangt. Das Unberechtigte einer solchen Forde- rung leuchtet aber sofort ein. Denn, wenn es auch einerseits principiell richtig ist, dass aus der Coinci- denz einiger wenigen, isolirt liegenden Linien auf die Identitàt zweier Spectra im Allgemeinen nicht ge- schlossen werden darf, so ist andrerseits zu beachten, dass, wenn wie hier die Übereinstimmung sich nicht nur suf die Lage, sondern auch auf die relative In- tensität und auf die Gruppirung der Linien bezieht و‎ fast.alle disponiblen Mittel zu einer Identification er- schöpft sind, sobald wegen der speciellen Verhältnisse des Versuchs das zu bestimmende Spectrum nur als Ver- unreinigung eines anderen, und deshalb unvollständig, auftritt. Unter solchen Umständen kann man im All- gemeinen nicht erwarten etwas mehr als die Haupt- linien des beigemischten Spectrums zu erhalten, und die Wüllner'sche Forderung würde, consequent festgehalten, in den meisten Füllen nicht nur jede Identification eines unbekannten Spectrums unmöglich machen, sondern sogar das Creiren vieler neuen Spec- tra nad sich ziehen, denen in der Wirklichkeit jede entsprechende EG ona fehlt. Die Wüllner’sche Ent- 101 des Sciences de Saint -Pétersbourg. gegnung auf die Ängström’sche Critik scheint dem- nach bei weitem nicht von der Natur zu sein die- selbe zu entkrüftigen. Wenn nun noch weiter darauf Rücksicht genommen wird, dass die späteren Unter- suchungen Salet’s®) die Ängström’sche Auffassung der Spectralerscheinungen des Wasserstoffs vollstän- dig bestätigen, so ist meiner Meinung nach aller Grund vorhanden dieselbe als die einzig richtige zu betrachten. . Da jedoch die vielbestrittene Frage nach den mehr- fachen Spectra der Gase von der grössten Wichtigkeit, nicht nur für die Spectroskopie im Allgemeinen, son- dern auch für die Anwendung derselben auf mehrere Fragen der Astrophysik ist, so dürfte jede zu einer endgültigen Erledigung derselben beitragende Erfah- rung noch immer ein nicht geringes Interesse bean- spruchen können, und dies ist der Grund, wesshalb ich im Folgenden auf einige Versuche und Beobachtungen die Aufmerksamkeit zu lenken mir erlaube, welche, in einer, wie mir scheint, wahrhaft auffallenden Weise die Ängström’ sche Deutung des eigenthümlichen Wüllner’schen Wasserstoffspeetrums bestätigen. Im Laufe einer zu ganz anderem Zwecke unter- nommenen Versuchsreihe, mit welcher ich seit einiger Zeit beschäftigt gewesen bin, benutzte ich unter An- derem zur Herstellung eines gewöhnlichen Luftspec- Drums unter variirten Bedingungen der Temperatur und des Drucks einen Entladungsapparat von der bei- stehenden Form. Eine etwa 20 Millim. weite und 15 Centim. lange Röhre A (Fig. 1) war an ihren beiden Enden durch zwei luftdicht schliessende Pfropfen ver- schlossen, durch welche zwei capillare Rohrstückchen ebenfalls luftdicht geführt waren. Zwei feine Platin- . drühte waren in dem engen Canal dieser Röhren ein- geschmolzen und endeten im Inneren von À in zwei als Electroden dienenden Spitzen s,s', auf welche, ge- wissermassen als Zapfen ein etwa 25"" langes Stück desselben Capillarrohrs gesteckt war. — Diese An- ordnung hatte zunächst nur den Zweck dem Funken eine gradlinie Form zu sichern. — Von den beiden Seitenrühren a und b diente das eine dazu den Appa- rat mit einer Geissler'schen Luftpumpe zu verbinden, das andere, wenn nôthig, zum Einlassen fremder Gase. Bei den hier zu besprechenden Versuchen war der 6) Salet: Sur les spectres des Métalloides. Paris 1872. p. 19. Apparat mit gewöhnlicher, nicht getrockneter Luft gefüllt, und dem entsprechend das Rohr 5 einfach luft- dicht verschlossen. d Als nun unter diesen Bedingungen der Strom einer grossen durch 5 Bunsen'sche Elemente erregten Induc- tionsrolle durch den Apparat geführt wurde, so erhielt man natürlich zunächst das gewöhnliche Spectrum der Luft und bei allmälich fortschreitender Verdünnung alle schon längst bekannten Abstufungen des cannelir- ten Stickstoffspectrums, auf welchem die drei Wasser- stofflinien H. H, und H, projiciirt waren. Sobald die Verdünnung Te so hohen Grad erreicht hatte, dass der Druck jedenfalls nur Bruchtheile eines Millim. be- trug, war das Stickstoffspectrum vollständig verschwun- den und es blieben nur die Wasserstofflinien übrig, neben welchen einige, an Intensität allmälich zuneh- mende Streifen des Kohlenoxyds erschienen, wie es un- ter ähnlichen Verhältnissen in Geissler’schen Röhren fast immer der Fall ist. — Insofern boten die Erschei- nungen nichts Neues. Ehe ich aber die Versuchsver- hältnisse weiter abänderte, fiel es mir ein zuerst eine 103 Bulletin de l'Académie Impériale | 104 Leydner Flasche in den Kreis des Inductionsstroms einzuschalten, um zu prüfen, ob die sonst im Allge- meinen gemachte Erfahrung, dass dieselbe bei kleinen Drucken sich nicht ladet und infolge dessen auf das Spectrum keinen Einfluss ausübt, sich auch im gegen- wärtigen Falle bestütigen würde. Ich wurde dabei, muss ich gestehen, etwas überrascht zu finden, dass das vorher weissliche, den ganzen Apparat bis weit in die Verbindungsróhre mit der Luftpumpe hinein aus- füllende Licht sich augenblicklich in den engen Canal des Róhrchens r zusammenzog und zugleich seine Farbe in eine eigenthümliche Mischung von Roth und Grün veränderte. — Gleichzeitig erschien im Spectroskop ein ganz neues Spectrum, welches, ausser den jetzt etwas versohwommen gewordenen Wasserstoftlinien, von Gelbgrünen an bis weit ins Violette hinein eine grosse Menge sehr heller und gut markirter Linien zeigte. Anfangs glaubte ich in diesem Spectrum das- jenige des Chlor zu erkennen, was aber bei einer näheren Untersuchung sich als irrig erwies. Um in- dessen hierüber unzweideutigen Aufschluss zu erhal- ten, unternahm ich eine móglichst genaue Wellenlün- genbestimmung sämmtlicher mehr hervorragender Li- nien, und zwar durch mikrometrische Verbindung der- selben mit passend liegenden Linien des Kupfers, Cad- miums, Zinks, Bariums und der Luft, deren Wellen- längen Thalén's Tafeln entnommen wurden. — Jede zu bestimmende Linie wurde dabei durch vier unab- hüngige Messungen mit den Referenzlinien verbunden und ausserdem von einzelnen derselben zwei verschie- dene Beobachtungsreihen ausgeführt. Um von der bei diesen Beobachtungen erreichten Genauigkeit eine Vorstellung zu geben, mógen hier die Resultate der Wellenlängenbestimmungen einiger Hauptlinien des Spectrums aufgeführt werden, welche an zwei ver- schiedenen Tagen erhalten wurden: Oct. 2. Oct. 4. Mittel. 5431,4 | 5428,0 | 5429,7 5452,4 | 5449,5 | 5451,0 5471,9 | 5469,4 | 5470,6 5508,2 | 5506,4 | 5507,3 5563,6 | 5559,1 | 5561,3 5605,6 | 5602,1 | 5603,8 5642,7 | 5635,9 | 5639,3 5660,7 | 5658,7 | 5659,7 Im Allgemeinen dürfte hiernach der wahrschein- liche Fehler einer Wellenlänge auf kaum mehr als eine Einheit der 7*" Stelle veranschlagt werden kön- nen, was, da das Spectroskop nur ein Rutherfurd'- sches Prisma mit einer beiläufigen Dispersion von 7^ zwischen B und H besass, als recht befriedigend und für den Zweck der Identification des Spectrums hin- reichend bezeichnet werden kann. — Wie schon erwühnt, war das Licht im engen Canal des Róhrchens r, sobald das genannte Spectrum auf- trat, eine Mischung von Roth und Grün, oder besser ausgedrückt, aus einer centralen rothen Linie mit einem grünen Mantel gebildet. — Nachdem aber der Strom einige Minuten durch den Apparat gegangen war, ging das Licht allmälich in ein helles, beinahe reines Grün über, wührend das Rohr r von Aussen von einem schwach violetten, eifórmigen Mantel um- hüllt war. ‘Das Spectrum dieses Mantels, welcher of- fenbar dem continuirlichen Theil der Entladung ent- spricht, war aus einem schwachen Kohlenoxydspectrum und den beiden Wasserstofflinien H, und H, zusam- mengesetzt, wogegen die im engen Canal stattfindende Funkenentladung das eigenthümliche Linienspectrum besonders in der Nähe der Electroden mit grossem Glanz zeigte. Im Allgemeinen traten, als der Strom geschlossen wurde, zunächst nur die stárkeren Linien hervor, und erst nachdem die Entladungen einige Zeit angehalten hatten erreichte das Spectrum eine voll- ständigere Entwickelung. — Auf diesen Umstand im Zusammenhange mit der Deutung des Spectrums werde ich weiter unten zurückkommen. Im Ganzen habe ich im Spectrum 40 Linien der . Lage nach bestimmt. Dies ist aber bei weitem nicht die ganze, überhaupt sichtbare Anzahl, denn als die Lichtentwickelung in der Röhre ihr Maximum er- reichte, oder wenn der Apparat so vor dem Spalt auf- — gestellt wurde, dass das die Electroden zunüchst um- gebende Licht ins Spectroskop gelangte, liessen sich bedeutend mehr Linien erkennen, während für sämmt- liche Linien die Intensität zugleich erheblich vermehrt erschien. Es wäre demnach ein Leichtes gewesen, die Messungen auf mindestens noch ebenso viele Linien auszudehnen; da es mir aber zunächst nur darauf an- kam, das Spectrum zu identificiren, so habe ich mich mit der erwähnten Anzahl begnügt, weil nach meiner . : Meinung dieselbe zu diesem Zwecke jedenfalls aus- 105 des Sciences de Saint- Pétersbourg. reicht. Um aber die Identification noch weiter zu er- leichtern, habe ich mich ausserdem jedesmal bemüht, die relative Intensität zu schützen und dazu die Zah- len 1...6 benutzt, indem ich mit 1 die schwächsten und mit 6 die hellsten Linien bezeichnete. Nach einigem Herumsuchen fand ich bald, dass das einzige bekannte Spectrum, welches sich dem vorlie- genden befriedigend anschloss, dasjenige des Schwe- fels ist. Über dies Spectre existiren, soviel ich weiss, bis jetzt nur zwei vollstündigere E EEN gen, nämlich diejenigen von Plücker und Salet. Die Resultate der ersteren sind von Watts °) auf Wellen- längen reducirt, welche indessen aus leicht ersicht- lichen Gründen nicht auf sehr grosse Genauigkeit An- spruch machen kónnen, da die für die Reduction er- forderlichen Elemente in genügender Menge nicht vorhanden sind. Ebenso scheinen die Bestimmungen Salet's nicht die wünschenswerthe Schürfe zu be- sitzen. Zum. Zwecke der Identification dürften indes- sen diese Untersuchungen eine ausreichende Zuver- lüssigkeit darbieten. In der folgenden Tafel habe ich demnach den von mir erhaltenen Wellenlängen die entsprechenden aus Plücker's Beobachtungen von Watts abgeleiteten Zahlen gegenübergestellt und da- bei zugleich die Plücker'schen Intensitätsschätzungen mit aufgenommen. Die letzte Columne giebt schliess- lich die Differenzen zwischen meinen Resultaten und puce Plücker's: Spectrum des "Spectrum des Rohrs r. Schwefels. HS D. À. J À. J. 56597 | 4 5657 8 lz 2,7 5639,3 6 5641 10 |— 1,7 56038 | 5 5609 10 | — 532 85618 1.4 5568 8 |— 6,7 5516,9 | 2 5522 4|— 541 5507,83 | 4 | 5508 8|— 0,7. ~ 54705 3 5473 8 |— 25 5451, | 6 5452 10 |— 1,0 ` 54384 4 5438 8 |+ 04 54297 | 6 5425 6 I + 47 r 5418,4 4 TEA er 5386, | 3 =a T = 7) Watts: Index of Spectra. London 1872, 106 Spectrum des Spectrum des Rohrs r. Schwefels Hp À. J. 1 J. 5341, 5 5338 10 [+ 3,7 53192 | 6 5304 10 | 2-155 5217, | 1 5207 2 |--105 52144 5 5199 8 [2-154 52001 | 3 | 5182 10 | 2-184 51425 | 3 5143 6 | — 5 01029 | 4 5096 8 |-- Ga 50783 | 8 | 5068 2 |--10,5 5044,9 1 5044 4 |+ 0,9 50325 | 5 50271, 10 | + 5,5 50127 | 5 | 5009) | s |+ 37 49939 | 4 4990 6 |+ 3,9 4941,5 1 4942 4 |— 05 49250 | 4 4924 8 |+ 1,0 ` 49185 | و‎ 4922 6 |— 35 4901,9 1 4902 6 | — 043 48845 | 1 4884 6 | -- 05 481560 | 6 4813 8 |+ 6 48085 | 4 4804 4 |+ 45 47928 | 3 4791 4 |= Ls 47785 | 2 4777 2 |= 15 47628 |.1 4768 3 |— 552 4752,8 1 4762 2|— 92 ' 47149 | 8“ 4718 8 |— 3,1 45515 | 5 4552 10 | — 05 4524,7 5°, 4523 10 |= 1,7 4485,1 4 4485 10 [+ 04 44640 | 5 4466 10 | — 0 Vergleicht man in dieser Tafel einerseits die Wel- lenlängen unter einander, und andererseits die resp. In- tensitätsschätzungen, so glaube ich, dass jede weitere Argumentation für die Identität der beiden Spectra als vollständig überflüssig angesehen werden kann. Allerdings treten bei einigen Linien recht erhebliche Differenzen hervor; dieselben glaube ich aber aus ‘| guten Gründen den Plücker'schen Beobachtungen hauptsüchlich zuschreiben zu kónnen, da ühnliche Ab- weichungen auch zwischen Thalén's und Plücker's Messungen des Spectrums des Chlor häufig vorkom- 8) Plücker hat hier resp. die beiden Linienpaare 5030, 5024 mit der Intensität 10 und 5013, 5004 mit der Intensität 8. In mei- nem Spectroskope erschien nur das zweite Paar deutlich getrennt _ aber nicht das erste, weil die Linien verschwommen waren. Ich habe deshalb das Mittel der Plücker'schen Zahlen benutzt. 107 Bulletin de l’Académie Impériale 108 men?) Vergleicht man aber schliesslich die beige- fügte, nach den obigen Beobachtungen ausgeführte Zeichnung des Spectrums mit der bekannten Abbil- dung des Schwefelspectrums nach Plücker, so dürfte jeder noch vorhandene Zweifel an der Identität der beiden Spectra vollständig verschwinden. . . Gehen wir jetzt auf die Wüllner'sche Beschreibung seines s. g. Wasserstoffspectrums nochmals zurück, so finden wir gleich, dass die von ihm gemessenen Linien gerade den Hauptlinien des obigen Spectrums ent- sprechen. Um dies deutlich zu zeigen, habe ich noch- mals möglichst scharf die Wüllner'schen Messungen auf Wellenlängen reducirt und die erhaltenen Zahlen den entsprechenden in meinen Beobachtungen in der folgenden Tafel gegenübergestellt. Wüllner's Spectrum H — Spectrum. des Rohrs r. 1) 5640 5639,3 2) 5464 5451,0 3) 5395 - 53192 4) 5216 52144 5) 5012 5012, 6) 4928 4925,0 Man sieht, dass die Wüllner'schen sechs Linien gerade mit den stürksten der von mir gemessenen identisch sind, und wenn ausserdem meine Zeichnung mit der oben reproducirten, wörtlichen Beschreibung Wüllner’s zusammengestellt wird, so lässt sich die Übereinstimmung auch auf die Gruppirung der Linien ausdehnen. Es unterliegt demnach meiner Meinung nach keinem Zweifel, dass das von Wüllner in seiner Wasserstoffróhre beobachtete Spectrum mit dem vor- liegenden und demzufolge auch mit demjenigen des Schwefels identisch ist. Hr. Wüllner macht auf einer anderen Stelle seiner Untersuchungen über die vorliegende Frage") die sehr richtige Bemerkung, dass «es selbstverstündlich ist, «dass man, so lange nicht zwingende Gründe vorlie- «gen, eine Verschiedenheit der bei einem und dem- «selben Kórper beobachteten Spectra anzunehmen, 9) Vergl. Thalén: Om Spectra, tillhórande Yttrium, Erbium, Didym och Lanthan. Sw. Wet. Akad. Handlingar. Bd. 12 N 4. Stock- holm 1874. p. 8. 10) Pogg. Ann. Bd. CXLIV. p. 481. «sich für die Unveründerlichkeit des von einem Stoffe «gelieferten Spectrums entscheiden wird». — Da ich dieser Meinung nur unbeschrünkt beitreten kann, so kann ich andererseits nach der obigen Untersuchung nicht umhin, der Meinung Ausdruck zu geben, dass, wenn Wüllner seine Beobachtungen des erwühnten, eigenthümlichen Spectrums seiner Wasserstoffróhre mit Plücker's Schwefelspectrum eingehender ver- glichen hätte, als es der Fall zu sein scheint, er trotz der geringen Zahl der Messungen doch vielleicht Be- denken getragen hütte, dasselbe als ein neues Wasser- stoffspectrum zu proclamiren. Wenn es sich um eine so wichtige Frage wie die Existenz oder Nichtexistenz eines neuen Spectrums handelt, so wáre es wohl em- pfehlenswerth gewesen, die Messungen auf nicht nur sechs Linien zu beschrünken, da eine doppelte oder dreifache Anzahl mindestens hätte gemessen werden kónnen, und dies besonders dann, wenn man für die Identification der Spectra im Allgemeinen so strenge Principien aufstellt wie Hr. Wüllner. Da das von mir beobachtete Spectrum unzweifelhaft mit dem Wüllner’schen angeblichen Wasserstoff- spectrum identisch ist, so wird vielleicht Jemand, der die Abstammung beider Spectra vom Schwefel den- o8 noch nicht anerkennen will, den Einwand machen kónnen, dass in meinen Versuchen Nichts hindere, dasselbe ebenfalls dem Wasserstoffe zuzuschreiben, da bei denselben die Entladungen in feuchter Luft stattfanden. Diesem Einwand gegenüber lässt sich aber dann die Frage aufwerfen, warum bei meinen Ver- suchen das fragliche Spectrum gerade Wasserstoff und nicht mit ebenso grossem Rechte Stickstoff oder Sauerstoff, welche beiden Gase auch anwesend wa- ren, zugeschrieben werden soll. Oder wie kann man sicher sein, dass die Wüllner'sche Róhre bei einem solchen minimalen Drucke keine Spuren von diesen Gasen, welche den übriggebliebenen Spuren von Was- serstoff an Menge vergleichbar würen, enthielt? Wenn es möglich ist für Wasserstoff zwei verschiedene Li- nienspectra anzunehmen, so sind a priori keine Gründe vorhanden, dieselbe Móglichkeit in Betreff der beiden anderen Gase zu negiren. — Die Versuche lassen aber eine bei weitem mehr entscheidende Beweisführung . zu. Ich habe schon bemerkt, dass das mehrerwähnte Spectrum nicht sofort nach dem Stromschlusse in vol- ler Entwickelung zum Vorschein kam, sondern erst P Bullefin de l'Acad. Imp. der T XXVII. Hasselberg: Zur Specteokopie des Wassersfoffs. 60 2 8e. : 58 51 56 55. E? 50. 49 AB ; 41 4. 45. EI 43 A2 | 4 gd $. D 5 : 5 Hp | hr " | 3 | ll | SERM D. i = ER b. X = ©. 2 E S pedrum ل‎ = < Lith.GdeGastelli W.0.# Lin NR S'Petersburg 109 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 110 nachdem die Entladungen einige Minuten durch die Róhre gegangen waren. Ebenso zeigten die Versuche, dass die Intensität der ganzen Erscheinung erst all- mählich sich bis auf ein gewisses Maximum steigerte und dass weiter der Glanz und die Anzahl der Linien in der Nàhe der Electroden erheblich grósser, als in den übrigen Theilen des Rohrs waren. Dies Alles spricht sehr dafür, dass das genannte grüne Licht der Róhre und dessen Spectrum in der allmühlich eintretenden Erhitzung und Verdampfung des Glases seinen Grund hatte, und dass der Träger desselben sich aus den Bestandtheilen des letzteren entwickelte. Und in der That scheinen mir einer solchen Annahme a priori keine ernsteren Bedenken entgegenzustehen, da, wie bekannt, in der Bereitung mancher Glassorten schwe- felsaure Salze eingehen. Allerdings ist es wahr, dass die Anwendung dieser Salze, ebenso wie diejenige,der kohlensauren Salze zunächst nur das Einführen eines Alkali in den Glassatz bezwecken, und dass in der fer- tigen Schmelze hauptsächlich nur das letztere zurück- bleibt; es ist aber nicht unwahrscheinlich, dass dabei auch eine kleine Menge Schwefel übrig bleiben kann, welche genügend ist, um sich spectroskopisch kund zu geben. Um diese Vermuthung nüher zu prüfen, ersetzte ich das zuerst benutzte Röhrchen r durch ein anderes, aus einer alten Geissler’schen Röhre abgeschnittenes, und suchte nun, unter im Übrigen ganz unveränderten Verhältnissen, das vorher studirte Spectrum hervor- zurufen. Aber durch kein Mittel liess sich dies be- "werkstelligen; weder durch Vermehrung der Strom- stárke, noch durch Einschaltung mehrerer Leydner Flaschen neben oder nach einander konnte ich, abge- sehen von den Natriumlinien, welche háufig sämmt- lich erschienen, im Spectroskop etwas anderes erhal- ten, als eine Superposition der drei Wasserstofflinien auf einem schwachen Kohlenoxydspectrum. Sowie ich aber das erste Rohr r einführte, erschien das Spectrum wieder. Dasselbe negative Resultat ergab sich auch bei Anwendung mehrerer anderer Róhrchen von ver- schiedener Weite und Abstammung. In keiner der geprüften Sorten liess sich das Spectrum hervorrufen. Dies Alles zeigt aufs deutlichste, dass die Natur des benutzten Rohrs und nicht diejenige des eingeschlos- senen Gases hier das Maassgebende gewesen sein muss, da es sonst unbegreiflich wäre, warum das Spectrum. in dem einen Falle auftritt, im anderen aber nicht. * Die Wüllner'sche Bemerkung, dass unter den hier stattfindenden Versuchsverhältnissen der Widerstand . in der Róhre ein sehr grosser ist, habe ich voll- stándig bestütigt gefunden. Sobald das Spectrum sei- nen höchsten Glanz erreichte, sprangen nämlich zwi- schen den Spitzen eines neben dem Rohr in die Lei- tung eingeschalteten Funkenmikrometers bisweilen blendend helle Funken über, obgleich die Schlagweite die unter Einschaltung einer Leydnerflasche sehr er- hebliche Grösse von etwa 5™ betrug. Dies ist bei- nahe das meiste, was ich der mir disponiblen Induc- tionsrolle zumuthen darf, ohne dieselbe zu geführden. Nach vielfacher Überlegung scheint mir aus allen hier erörterten Umständen die Richtigkeit der Äng- ström’schen Deutung des Wüllner’schen angeblichen Wasserstoffspeetrums mit vollständiger Evidenz her- vorzugehen. Was das zweite, aus schattirten Streifen bestehende Wasserstoffspectrum Wüllner's betrifft, so gehört dasselbe nach Ángstróm dem Acetylen und diese Ansicht hat auch durch die Versuche Salet’s volle Bestätigung gefunden. Diesen Punkt betreffend, halte ich aber vorläufig mein Urtheil zurück. Das bei : hóherem Drucke auftretende continuirliche Spectrum kann ich mit Wüllner schwerlich als ein dem Was- stoffe eigenthümliches Spectrum betrachten, da nach Wüllner’s eigenen Untersuchungen auch andere Gase unter analogen Verhältnissen continuirliche Spectra liefern. Es bleibt also nur ein einziges, aus den vier bekannten Linien H... H}, H, und H, bestehendes Spectrum als für den Een éigonthttalich übrig, dasselbe Spectrum, welches wir in den Protuberanzen der Sonne und als Absorptionsspectrum in der Sonne ` und den meisten Fixsternen beobachten kónnen. Erläuterung der Tafel, - Das erste Spectrum stellt das im Rohre r beobach- tete Spectrum vor. Dasselbe enthält, ausser den direct gemessenen Linien, noch einige schwache, welche durch Schätzung eingetragen wurden. Das zweite Spectrum enthált die Hauptlinien des Sonnenspectrums und das dritte die von Wüllner gemessenen Limes seiner Wasserstoffröhre. OT Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint- Petersbourg. A BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses derniéres séances les ouvrages dont voici les titres: First annual report of the United States entomological commission for the year 1877 relating to the Rocky Mountain Locust. Washington 1878. 8, Siebke, H. Enumeratio insectorum Norvegicorum. Fasci- culum IV, Catalogum dipterorum continentem, edidit J. Sparre Schneider. Christianiae 1877. 8. Bidrag til Kundskaben om Norges Arktiske Fauna. I. Mol- lusca regionis arcticae Norvegiae. Oversigt over de i Norges arktiske Region forekommende Bledyr af Dr..G. O. Sars. Christiania 1878. 8. Kaukasische Mollusken, gesammelt von Herrn Hans Leder in m beschrieben von Dr. O. Boettger in Frank- furt Jensen, Olaf. S. Turbellaria ad litora Norvegiae occiden- talia. Turbellarier ved Norges Vestkyst. Bergen 1878. 4. Certes, A. Sur une méthode de conservation des Infu- soires. Paris 1879. 4 Annual report of the Curator of the Museum of compara- tive zoology at Harvard College for 1877—78. Cam- bridge 1878. 8. Mittheilungen der ا‎ cm Meam in Wien. VIII. Band. Xe 5.,6. . Wie Stieda, Ludwig. 8. bis a Sum aus der russischen Literatur über Anthropologie und Archäologie. (Aus | dem Archiv für Anthrop. Bd. XI pag. 287 — 389. 4 Lenhossék, Joseph de. Des déformations artificielles du crâne en général, de celles de deux crânes macrocé- phales trouvés en Hongrie et d'un crâne provenant des temps barbares du méme pays. Budapest 1878. 4. Plateau, J. Sur une loi de la persistance des impressions dans l'oeil. Druxelles 1878. 8 De Campos junior, Antonio Maria. Un congrés perma- nent de géographie en Portugal au XV? siècle. Leiria 1878. 8. Bulletin de la société de géographie. Novembre 1874. Janvier, Février 1875. Février, Avril 1877. Février, Septembre — Décembre 1878. Janvier — Avril 1879. Paris. 8 —_— — — ERS ne Bordeaux. 1878 Ne 24. 1879 Je 1—10. Bordeaux XV. Jahresbericht des Votis für Erdkunde zu Dresden. Dresden 1878. 8. Jahres-Bericht des Frankfurter Vereins für Geographie m DEM Jahrgang XL—XLII. Frankfurt a. M. ns of the Royal Geographical Society and Month | Record of en Vol. I Ne 1— 5, Jan. Br 1879. London. 8. Boletin de la sociedad de geografia y estadistica de la re- püblica Mexicana. Tercera época. T. IV Correspon- derate al ano de 1878. Nümeros 4 y 5. México 1879. 8. Expédition polaire suédoise de 1878. Lettre de M. le pro- fesseur Nordenskiüld à M. Oscar Dickson. Trad. du suédois. Upsala 1878. 8. Thonissen, J.-J. Le droit pénal de la république athé- nienne précédé d'une étude sur le droit criminel de la Grèce légendaire. Bruxelles-Paris 1875. 8. Mémoires de la société nationale des antiquaires de France. Quatrième série. Tome huitième. Paris 1877. 8. L'investigateur. XLIV? année Novembre, Décembre 1878. V° année Janvier — Avril 1879. Paris. 8. Maury, Alfred. Rapport adressé à M. le Ministre de l'in- struction publique, des cultes et des beaux-arts, sur les archives nationales pour les années 1876 et 1877. Paris 1878. 8. Regno d'Italia. Ministero dei lavori pubblici. Cenni mo- nografici sui singoli servizi. I. Relazione generale. II. Strade ordinarie (nazionali e provinciali sussidiate). III. (provinciali et comunali) IV. Strade ferrovie. V. Fiumi. VI. Navigazione interna. VII. Consorzi idrau- lici. VIII. Bonificazzioni. IX. Porti. X. Edilti. XI. Poste- XII. Telegrafi. Roma 1878. Fol. Fanti, Innocenzo. Studi sull ultimo progetto del nuovo codice penale Italiano. Vol. I. Parte E Fasc. 1 — 3. Imola 1877. 8. Mittheilungen des Geschichts- und Alterthums-Vereins zu Leisnig im Kônigreiche Sachsen. V. Heft. Leisnig ` . 1878. 8. | hrift des I berg alterthumsforschen- den Vereins in Meiningen zum Jahresfeste, welches am 14. November d. J. begangen werden wird. Mei- ningen 1878. 8. Dannenberg, Karl. Erzbischof Adalbert von Hamburg- Premen und des Patriarchat des Nordens. Mitau IST... 8. Arendt, Otto. Die internationale Zahlungsbilanz Deutsch- lands in den letzten Jahrzehnten der Silberwährung. ` Berlin 1878. 8. Politische Correspondenz Friedrichs des Grossen. Erster Band. Berlin 1879. 8 - Preussische Statistik. XLVI. Beiträge zur Medieinalsta- tistik des preuss. Staates und zur Mortalitätsstatistik der Bewohner desselben für das Jahr 1876. XXXXVII. - Monatliche Mittel des Jahrganges 1877 für Druck, Temperatur, Feuchtigkeit und Niederschläge und fünf- tügige Wärmemittel. Veröffentlicht von H. W. Dove. Berlin 1878. 4. Paru le 11 février 1881. Bulletin de F Acad. Imp. des sc. LISTE DES Supplément. TRAVAUX DE M. BROSSET, : MEMBRE DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES. DE SAINT - PÉTERSBOURG, + LE 22 AOÛT (3. SEPTEMBRE) 1880. ') 1. Géographie. 1. Description géographique du Ghouria, extraite d'un journal russe. Nouv. Journ. as. T. X (1832) p. 582—539. 2. Description de l'ancienne Géorgie turque, com- prenant le pachalik d'Akhaltzikhé et le Gouria; traduit de l'arménien du docteur Indjidjian, par M. Brosset. Nouv. Journ. as. T. XIII (1834), p. 458 — 487 3. Régistre des cartes géorgiennes manuscrites, acquises par le Musée Asiatique. (Lule 15 déc. 1837). Lé 1) Éerits périodiques et autres mE dans lesquels ont paru les articles de M. Bross acd M [1* série], iie X et XI ( aei — Nouveau Journal atique [2° série], Tom — XVI (1828— 1835) — 3° série, ner I et II (1836), III pem — 4° série, Tomes XIII (1849) et XV (1850) — 6° série, Tome IX (1867). Mémoires de l'Académie Impériale des sciences de Saint-Pétersbourg, VI? série, Tomes IV et V ~ VIIe série, Tomes IV X 9, VI X 6, VII N 10, XI N® 18 et 18, XIII N 5 et XIX 5 Bulletin scientifique de l'Académie Imp. des sciences de fabei-Páiüribéury, T. II—X ~ — historico -philologique . .., T. I—XII, XIV—XVI ~ — de l'Académie. .., T. I, III — X, XII —XVI, XVIH —XX, XXII — XXV. Mélanges asiatiques, tirés du Bulletin historico-philologique et du Bulletin de l'Académie, T. I — V Das Asiatische Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften zu ` St. Petersburg. Von dem Director desselben Dr. Bernh. Dorn. SPb., 1846. 80. Recueil des actes de la séance publique de l'Académie u des sciences de Saint-Pétersbourg, tenue le 29 décembre 183 Yuenbin 3anucuu MWwneparopckol Akagemin Hays» no I m 111 oodd niam. T. I n II. Sanucuu Muneparopcuoë Axagemin Hays», U. II a XV. ! Bull. sc. T. III col. 317—320 = ? Das Asiat. Mus. p. 521—526 (tiré à part 8° 6 4. Rapport sur la publication de la Géographie de la Géorgie, par Wakhoucht. Texte, traduction, accom- pagnée de notes et cartes. (Lu le 2 aoüt 1839). Bull. sc. T. VI col, 141—160 (tiré à part 89 28 p.). Ld 5. Wakhoucht. oj^ 6 وو رهج ذ‎ sel 365 Léo ge ee Alt se bo däoescl ادن ادو‎ 006 Ma gs Description géographique de la Géorgie, par le Tsarévitch Wa- khoucht, publiée d’après l'original autographe, par M. Npucymaeuie Aemnaoscuuxe nmarpaa», VIII" (1839), IX° (1840), Ar (1841), XV* (1846), id (1847), XX* (1851), XXIII* (1854), XX V* (1856) n. XXVHI* (18 3anucku Pycckaro Apx se o Oémecrsa. CII6. 80. T. IV Masetcria Pyccnaro Ceaser O6wmecrtsa. CII6. 4°. T. Lo IV. VI n VIL Nastcrin ER OrAtaenia Pyccnaro Apxeonoruyeckaro- Oéwecrea. IV. 8. T. Iu Tpyabi style Dore. O6mecrsa. 49, T, VIII. Master mn. Pyccuaro Teorpaduueckaro Q6ujecrea, CII6. 80, T. I ji و‎ Kasuas». Tuæzsucr, fol. Années 1847—1854, 1856, 1860, 1862. 3anasnaschih Btoruun®. Tuone, fol. geng: 1848 Hasuascuiñ Hanengapp. Tuærucr, 89, Année 1848, Hypnan» Munucrepcrsa HapoAHaro proi fach enia (= ab M. H. II. ) CH6., 89, 4. XVI (1837), XIX (1838), XXX (1841), XL (1843), Le LII (1846), LXVII (1850). — m ne ersbourg, 4° et fol. Années 1847, 1850, 1851, 1855 Amen BkAomocTs. in-fol. Années 1846, 1847, 1850, 1853 t 1855 ۰ A. d. 0116.80. Ann ée 1 Lebeau, Histoire du Bas-Empire. a XIII (1832), XVII (1834), XX (1836) et XXI (1836). 1 Brosset. [Texte géorgien, avec traduction française en regard]. Avec 6 cartes lith. SPb., 1842. 4° XXX +- 540 p. — 6, Des principaux fleuves de la Grande-Arménie, d’après le Djihan-Numa de Kiatib-Tchélébi, par Am. Jaubert, avec la traduction d'un fragment arménien du Dr. Indjidjian. Nouv. Journ. as. T. XII (1833), p. 458 — 470. (. Bpocce n Kennen. Pa360p? [pykonsenaro] co- oppen r. 111011683: « Crarmerimeckoe onncanie ApMAH- CO o6JaCTW». X npuc, Menny. narp. (17 anp. 1841), p. 169—209. 8. O öymaraxp 326100110313: emm, 1811111111011 Bb apxu8b Hun. Pycekaro l'eorpaænueckaro OóntecrBa. Hang. M. Pycck. l'eorp. 061. T. I (1865), Ora. IL, p. 179 — 187 (tiré à part 89 9 p.). 2. Linguistique. é 9, Notice sur la langue EES par M. Bros- set jeune. Journ..as. T. X (1827) p. 351 — 364 (tiré à part: Paris, 1827. 0 16 p.). 10, Sur la langue Géorgienne, par M. Brosset jeune. Journ. as. T. XI (1827) p. 321 — 844 11. Observations adressées au Conseil de la Société R-le Asiatique sur un Vocabulaire Géorgien et sur une Grammaire Géorgienne (Editeur M. J. Klaproth). Par M. Brosset, Membre de la méme Société. 13 nov. ' 1829. — Suite aux Observations sur un Vocabulaire Géorgien-Francais et sur une Grammaire Géorgienne (Editeur M. J. Klaproth). Par M. Brosset, Membre de la Société R-le Asiatique. 18 déc. 1829. 32 p. in- 8° autographiées. 12. Notice et analyse raisonnée du commencement de la Grammaire géorgienne du patriarche Antoni I, intitulée: L'Art Libéral, ou Préceptes grammaticaux, par M. Brosset jeune. Nouv. Journ: as. T. XI (1833) p. 385 — 414. ^13. gestes sbbsg dons gobs PBoyeot Abol 5 .مصوذودوة ناذه‎ L'Art Libéral, ou Grammaire Gé- orgienne, par Brosset jeune, Membre du Conseil de la Société Asiatique. [Avec une Préface, datée: Paris, 2 oct. 1834.] Paris, 1834. 8° XI + 4 + 292 p. au- tographaées. Lithogr. de Roissy. Cf. 19 la notice bibliographique de M. Eugène Se sur L'Art eme parue dans le Journ. des Savants, mars 1835 (tiré à part 8 p.) — 20 3. Sjögren, Literarifche Anzeige, or la St. Petersb. 5 1838 N 97. LL. Notice sur le dictionnaire géorgien de Soulkhan Saba Orbéliani, récemment acquis par la ee Royale de Paris. Nouv. Journ. as. T. XIII (18 le méme tome, p. 487. 15. Apercu général de la langue géorgienne, pur M. Brosset jeune. Nouv. Journ. as. T. XIV (1834) p. 369—405. 16. Éléments de la langue géorgienne, par M. Brosset jeune, membre adjoint de l'Académie Imp. de Russie et membre du conseil de la Société Asia- tique de Paris. Ouvrage publié aux frais de la Société اس‎ Paris, Imprimerie R-le, 1837. 8° LVI +- 366 + 1 p. 34) p. 171—187. V. les Errata, dans Contenu: Introduction (p. I — XXII. - Errata et additions pour la Grammaire géorgienne (p. XXIII — VI). NES géorgienne (p. 1 66). Cf. Ta |. Sjögren, SLiterarifée gene, dans la Gf. Petersb, ta. 1838 Xe 9 17. un sur le dictionnaire manuscrit géor- gien-russe-latin de M. D. Tehoubinof. (Lu le 15 sept. 1837). Bull. sc. T. III col. 41 — 48 (tiré à part 89 11 p.). 18. Pas6opr coummeuis r. Myóunosa: «Dictionnaire géorgien-russe- francais». (Texte francais). - IX upuc. /Ieuuz. marp. (17 anp. 1840), p. 55 — 63. : 19. Lettre à M. Bopp [du 22 oct. 1844], sur sou Rapport relatif aux recherches deest. de M. r docteur Rosen. (Lu le 1 nov. 1844). Bull. hist.-phil. T. II col. 129 — 142 (tiré à part 89 17 E 20. Pasőopb تت سدق‎ r. "lyOmmoma, mort 3arıa- Biewb: «Pyccko-rpyauuckiii cJoBapb». Aen francais). VI upuc. )Ieuua. Harp. (24 maa dE) p. 111 — —— 21. [Rapport sur les livres en langue de T'Osséthi, présentés au nom de S. A. R. le prince Théimouraz, le 9 oct. 1835. Nouvelles diverses. | Journ. as. 3° Ser. T. I (1836) p. 202 — 208. - v 22, Sur la littérature des: euch (Note commu- ETT niquée par M. Brosset.) | | 2 Journ. as. 3° Ser. T. III (1837) p. 819. E 23. Rapport sur une traduction thouche de Tiir: | toire-Sainte. (Lu le 15 juin 1849). Bull. hist.-phil. T. vi col. 342—343 = Mél. as. T. I p. 142—144 (tiré à part 89 3 p.). 24. Pas6ops coummenia r. H. Bien p NONB 3ATJAB.: + «Hayaasupın oeHosanis T’aikanckaro aura, Ham Hpak- — T, VII (1831) p. 321—372 (tiré à part du 3 THJCCKAA metroga, Au yAoOnbitmaro mayseniad ero». [4 aoneceuia: 31 cent. 1845, 31 vesp. 1846, 25 mapr. 1846 u 24 maa 1851]. XX upue. Jeun, marp. (1851), p. 177—187 (tiré à part 80 11 p.). 3. Littérature et Belles-Lettres. 25. État actuel de la littérature géorgienne [v. X 26]. (Lu le 29 avr. 1828). Nouv. Journ. as. T. I (1828) p. 434—454. / .2%6. Notice sur la Bible géorgienne imprimée à Moscou en 1742. Addition au Mémoire intitulé: État actuel de la littérature géorgienne [v. M 25]. Nouv. Journ. as T. II (1828) p. 42— 21. Première Histoire de Rostéwan, roi d'Arabie, traduite du roman géorgien intitulé l'Homme à la peau de tigre, suivie de quelques Observations sur les dictionnaires géorgiens. Nouv. Journ. as. T. II (1828) p. 277—294. 98. L'Académie Géorgienne. Par Brosset jeune, Membre de la Société Asiatique. Annonce. [Projet de chrestomathie géorgienne]. 4 p. in 8° autographiées. 29. De la Poésie Géorgienne. Par Brosset jeune, Membre de la Société Royale Asiatique de France. Paris, 1830. 80 p. in 8° autographiées. | 30. Recherches sur la poésie géorgienne; notice de deux manuscrits et extraits du roman de Tariel, par M. Brosset. Mémoire lu à la Société Asiatique, les 2 juin et 1 déc. 1828, 30 avr. 1829 et 5 avr. 1830. [Paru en 3 articles]. Nouv. Journ. as. T. V (18 30) p. 257—954; T. VI (1830) p. 875—394; * art., commencant àu cha- pitre: «V. Esquisse du Tariel», avec Dairination de 81 à 132). -~ 94. Notice des manuscrits géorgiens envoyés en | France par le prince Théimouraz. Nouv. Journ. as. T. XII (1833) p. 155—162. 32. Notice littéraire sur quelques auteurs géorgiens, E | par M. Brosset jeune, membre du conseil de la So- ciété Asiatique. Nouv. Journ. as. T. XIV (1834) p. 143—164 et 339—950. 29. Le Miriani, ou histoire du roi Miri. Conte ge- ' orgien, traduit en francais et précédé d'une notice lit- X x : -* Le Mi cM. ust. — téraire, par M. Brosset jeune, membre du conseil de la Société Asiatique. [A la fin, le texte géorgien des chap. VII et XVI du Miriani]. Nouv. Journ. as, T. XVI (1835) p. 489—475, 559—581; Journ. as. 8° Sér. T. I dies 5) p. 48—75, 337—369 (tiré à part, sous le titre: iriani,.... traduit en dena et accompa gné de notes pur . Paris, 1836, 5*1 20 p.) 94. Analyse du roman géorgien Amiran Daredja- niani. (Lu le 15 sept. 1837). Bull. sc. T. III col. 7—16 (tiré à part 8° 14 p.). 39. Histoire et littérature de la Géorgie. Discours | prononcé à l'assemblée générale de l'Académie Imp. des Sc. de St.-Pétersbourg [le 29 déc. 1837], par M | Brosset. [Suivi du Catalogue de livres géorgiens tant imprimés que manuscrits, anciens et modernes]. 1 Drame. des actes, nad p. 605—117, 118—178 (tiré à part: SPb., 1838. 4? p. 1 — 54 Discours; p. 55— 114 Catalogue). — ? Traduction russe, sans aret, dans le K.M. H.T. u. XIX (1888), p 274—335, sous le titre: Barasx» Ha ucropiıo un aureparypy l pysii f. Oyepk® ucvopiu u anTepary pbi Tpysin, Chine ond 1840, * HI, p. ie article qui est un extrait des principaux travaux de M. Bros 36. Notice du roman géorgien intitulé Rousouda- niani. (Lu le 16 mars 1838). e Bull. sc. T. IV col. 58—62 (tiré à part 8° 14 p.). 37. Encore un manuscrit géorgien offert à l'Aca- démie par M. Iosélian scio en vers, par An- toni]. ! Bull. sc. T. IV col. 63—64 (tiré à part 8° 3 p.). ~ ? Das Asiat. | Mus. p. 551—553. 98. Acquisition de livres géorgiens par le Musée Asiatique, par M. Brosset [présenté le 26 oct. 1838]. ! Bull. sc. E V col. 26—32 (tiré à pes 8° 9 p. ~ ? Das Asiat. Mus. p. 554— 39. Traducido géorgienne, en vers et en prose, de l'Anvari Sohaili, ou fables de Pidpai, manuscrit offert à l'Académie par M. Pétré Kébadzé. Rapport de M. Brosset. (Lu le 11 janv. 1839). ! Bull. sc. T. V X 116 col. 320 ~ 2 Das Asiat. Mus. p. 587. 40. Notice des manuscrits géorgiens récemment acquis par l’Académie. (Lu le 5 févr. 1841). 1 Bull. sc. T. VIII col. 305—320 (tiré à part 8? 2 p-) + ? Das Asiat. Mus. p. 622—641. 41. Notice sur un manuscrit géorgien [recueil d'hymnes, traité du calendrier, miracles attribués à St. Giorgi, etc., avec des épigraphes]. (Lu le 18 aoüt 1843). Bull. hist.-phil. T. I col. 229—234 (tiré à part 8° p. 28—386, à la suite de l'art. sur le mari russe de Thamar, v. plus bas X 187). 42, Notice sur un manuscrit géorgien palimpseste — — appartenant à M. Sreznevski. (Lu le 19 août 1859). Bull. hist.-phil. T. XVI p. 862—868 = Mél. as. T. III p. 665—675 (tiré à part 8° p. 665—675). 43. Inventaire détaillé des manuscrits géorgiens du monastère d'Ivéron, au mont Athos, rédigé en 1836, par le P. Hilarion, confesseur de Salomon H, dernier ` roi d'Iméreth, à la demande de l'archimandrite Sé- raphin, et traduit du géorgien par M. Brosset. | rap! PER Journ. as. 6° Sér. T. IX (1867) p. 337 — 350 (dans la Notice sur le couvent ibérien du mont Athos, par M. Victor Langlois). 44. De la littérature romanesque géorgienne. (Lu le 16 août 1877). ull de l'Acad. T. XXIV col. 282 — 300 — Mél. as. B T. VIII p. 417—442 (tiré à part 0خ‎ p. 417—442 45. Notice des manuscrits arméniens appartenant à la bibliothèque de l'Institut Asiatique établi près le Ministère des Affaires Étrangères. (Lu le 29 sept.1837). Bull. sc. T. III col. 21—26, 36—41 (tiré à part 8? 15 p.). 46. Notice sur Edchmiadzin. (Lu le 14 févr. 1840). ! Bull. sc. T. VII col. 44—64 — ? Réimprimée, avec trad. russe dans l'ouvrage: Karanorz kHmurawb 211117181181011 ónGa3ioTeKu, v. plus bas, ذال‎ 47. Lettre de M. Korganof, procureur du Synode arméno-grégorien, à l'Académie Imp. des Se., du 7 mars 1842 [annotée par M. Brosset]. (Lule 16 sept. 1842). Bull. hist.-phil. T. I col. 59—64 (tiré à part 8? 8 p.). 48. Apmanckaa amreparypa. IR. M. H. Ip. Y. LII (1846), Orı. VII, p. 33 — 85 — 2 KaBKa3b 1846 X: 48 ~ 3 CIIG. na. 1846 Nè 243 - 49, Notice sur un manuscrit arménien des Epitres de St. Paul. (Lu le 3 juin 1859). Bull. hist. -phil. d ech €0l1. 351—352— Mél. asiat. T. III p.663—664 (tiré à part 89 p. 663— 50. Activité Henne des Géorgiens et des Armé- niens, en Russie, en Transcaucasie et en Crimée. X 1, (Lu le 5 sept. 1862). X 2. (Lu le 6 nov. 1863). X3. (Lu le 8 juin 1865). Y 4. (Lu le 28 juin 1866). Je 1. Bull. de Acad. T. V col. 393—395—Mél. as. T. IV p. 667—670. X 2. Bull. de l'Acad. T. VII col. 45—46 — Mél. as. T. V p.59—64. Bull. de l'Acad, T. VIII col. 549—561 = Mél. as. T. V‏ .3 قال p. 851—368.‏ N 4. Bull. de l'Acad. T. X col. 390—392— Mél. as. T. V p. 529—532. (Tirés à part des Mél. as., avec la méme pagination). 91. Sur deux rédactions arméniennes, en vers et en prose, de la légende des saints Baralam — Varlaam, et Ioasaph — Iosaphat. (Lu le 21 févr. 1878). Bull. de Acad. T. XXIV col. 561 — 567 = Mél. as. T. VIII p. 535—543 (tiré à part 8° p. 535— 543). 52, Notice sur un manuscrit arménien nouvellement aequis pour la Bibliothéque Imp. Publique [de contenu astrologique et astronomique]. (Lu le 28 nov. 1878). Bull de l'Acad. T. XXV col. 277 — 282 — Mél. a. T. VHI p. 613—621 (tiré à part 80 p. 613—621). 4, Voyages. 53. Quelques remarques sur un livre intitulé: «Reise | durch Russland nach dem kaukasischen Isthmus, in den Jahren 1836, 1837, 1838, von K. Koch, Doctor E . Stuttgart und Tübingen, 1843. 2 vol. 8°,» (Lu le 15 janv. 1847). Bull. hist.-phil. T. IV col. 49 — 80 (tiré à part 8° 43 p.). 54. Projet d'un voyage littéraire à exécuter en Gé- orgie. (Lu le 18 juin 1847). Bull. hist.-phil. T. IV col. 305-316 (tiré à part 89 15 p.). 55. A l’Académie Imp. des Sciences Section d'hi- . stoire et de philologie. Tiflis, 9 (21) mars 1848. [Sur lenvoi de divers objets scientifiques]. (Lu le 5 mai . 1848). Bull. hist.-phil. T. V col. 122—126 (tiré à part 89 5 p.). 56. Extrait de deux lettres de M. Brosset à M. Reinaud [1* Akhal-tzikhé, 20 nov. 1847, 2" SPb. 13 aoüt 1848]. Journ, as. 4° Sér. T. XIII (1849) p. 180— 184. 57. Extrait d'une lettre de Mr. Méghwineth-Khou- tzésis-Chwili à Mr. Brosset [en date de Gori, le 19 oct. 1848. Apercu de son voyage en Géorgie]. (Lu le 2] nov. 1848). Bull. hist.-phil. T. VI col. 54—55. 58. Rapport général sur les résultats d'un voyage littéraire en Géorgie, à S. E. M. Safonof, directeur de la Chancellerie civile du prince-lieutenant du Caucase (en date de SPb. 18 févr. 1849). ! Journ. as. 4° Ser. T. XV (1850) p. 48—86 ~ ? Extrait russe, | dans le Kasra3B, 1849 Xe V 40—42, sous le titre: Peay.ısrarsı nyre- Ara, bpocce uo l'pysin. (H3pıeueno nat nncbMa Kr. C. Caoo- mecTBls3 T. spen Kanneıspin Hamberunka Kanskasekaro, JL C. '. CIO: 20 wesp. 1849). 59. Instruction et itinéraire pour le voyage arclióo- logique de M. Dimitri Méghwineth-khoutzésof. (Lu le 3 août 1849). Bull. hist.-phil. T. VII col. 27—32 — Mél. asiat. T. I p. 155—163. 60, Pérévalenko. Rapport sur un voyage en Géor- gie. Oni, 14 nov. 1849. [Avec annotations de M. Bros- set] (Lu le 25 janv. 1850.) Bull, hist.-phil. T. VIII col. 97—103 = Mél. as. T. I p. 261—268 (tiré à part 8? 8 p.). 61. Rapports sur un voyage archéologique dans la Géorgie et dans l'Arménie, exécuté en 1847-1848 ` par M. Brosset. Avec un atlas de 45 pl. lithogra- phiées fol. SPb., 1851. 8°. [Paru en 3 livraisons: 1" 1849, 2. 1850, 3* 1851]. Contenu: [Titres et dédicace] (p. I — VI). ride Déc. 1849 (p. VII — XII). T rapport (2° livr. p. 1 — 108 S A S. E. 1 oct. 1847. (Environs de Tiflis. District de Thélaw.) ! (p. 1—99). ? En abrégé sous le titre: Rapport de M. Brosset à 5. E. M. M. le éme Ouvarof, ministre de l'instr. publ. Tiflis, — le comte Ouvarof, min. de l'instr. publ., président de l’Acad. Imp. des Sc. (Lu le 29 oct. 1847.) — Bull. hist.-phil. T. IV col. 369— 378 (tiré à part 8° 13 p.) ~ ? Traduction russe de cet extrait, sous le titre: IIucexo r. Bpocce KB E. Ciar. rpaæy YBapopy... 3akask. Bcra. 1848 NN 29 — 31. 2) endice. A la Conférence de lAcad. Imp. des Sc. section d'hist. et de philol. Tiflis, 17 oct. 1847. (Chartes du comptoir synodal à Tiflis, ete.). ! (p. 100 — 2 Inséré en abrégé, dans le Bull. hist.-phil. T. V. col. 4 — 8, sous le titre: Second rapport de M. Brosset, adressé à la Con- férence. .. (Lu le 12 nov. 1847.) (tiré à part 8? p. 1—5). 2€ rapport (2° livr. p. 104—192). 1) & S. E. le prince Vorontzof, lieutenant du Caucase. Tiflis, 30 nov. 1847. (Environs de Mtzkhétha. District sans tzikhé.) ! (p. 104 — 183). ® [nséré dans le Bull. hist.-phil. T. V. col..7—16, 21—30, sous le titre: Troisiéme rapport de M. Brosset, adressé à S. E. le prince lieutenant du Caucase. (Lu le 8 janv. 1848.) (tiré à part, 80 p. 6— 30, à la suite du Second rapport, lu le 12 nov. 1847, cité ci- desisus). 2) Antiquités du Gouria, dont les copies m'ont été communiquées par le prince Michel Barataief, et par M. Trjaskofski (p. 188 — 189). 3) Additions: 1° sur les inscriptions hébraiques du cimetière juif d'Akhal-tzikhé (p. 190); 2? notice nécrologique sur M. Dubois de Dus صو‎ + le 25 avr. 1850. ! (p. 190—192). notice nécrologique sur Dubois a été insérée dans le 1 ourn. de SPb. 20 mai 1850 N 1116 (tiré à part 4° 1 p. en 2 col ie? 3 de duction russe de la notice, 0116. By. 31 mai 1850 Ae 121. عم‎ , erger? 1850 K 50 28 irona ~ 5 3E. M. H. II. 4.67 den Ora. VII, 3° ee E livr. p. 1— 152). AS. E. le prince Vorontzof... 6 mai 1848. (Études sur la biblio- Se d’Edchmiadzin et sur les antiquités arméniennes.) (p. 1 — 120). 2) Excursion à Ani, en 1848, par M. N. Khanykof. SPb., 10 (22) A S. E. le prince Vorontzof... 14 janv. 1848. (Études sur les chartes iiu . 1—5 c quelques modifications, dans le Bull. hist.-phil. T. V col. 934 — - 240, 241—254, 257 — 264, 278 — 288, sous le titre: Rap- port à S. E. le prince Vorontzof, sur les chartes géorgiennes, par M. Brosset. (Lu le 11 août 1848.) (tiré à part 8° 55 p.). 5* rapport (2° livr. p. 1— 48). A S. E. le prince Vorontzof... 1 nov. 1848. eg Monuments religieux, des divers cultes.) (p. 1— 6° rapport (3° livr. p. 1 — 148). 1) Lettre au prince Alexandré Eristhwis-chwili, maréchal de la noblesse du cercle de Gori. 14 nov. 1848. (District de Gori.) !(p. 1—91). 2 Bull. hist.-phil. T. VI col. 55—64, 65—94, 97— 124, 140 — 144, 145 — 148, sous le titre: Lettre sur une excursion dans le district de Gori. (Lu le 24 nov. 1848.) (tiré à part 8? 100 +- 1 p.). A la Conférence de Acad. Imp. des Se, section d'hist. et de philol. 23 févr. we [sur le voyage de M: Dimitri Meghwineth-khou- tzésof]. ! (p. 92 ? Bull. bt gui. T. VI col. 161 — 164 (Lu le 23 févr. 1849.) — Mél. as. T. I p. 28—32 De à part 8 p. 1-4). — V. plus bas, X 86 3) Inscriptions + wr ac par M. Dimitri Meghwineth-khontzé- sis-chwili. ! ? Bull. sid. t VI col. 164—176, 177—191, 219—222. (Lu le 6 mars 1849.) — Mél. as. T. I p. 33— 69 (tiré à part, avec le rapport de Mr. Brosset du 23 févr. 1849, 8° p. 5 — 41). san) A ice. [Sur les travaux, découvertes et communications archéologiques de M. M. Platon Iosélian, N. Khanykof, Tokaref, Koch, - Slivitzki, Abich et le baron Louis D 15 déc. 1850. (p. 129—146). | 7* rapport Lé livr. p. . E. le pan Vo oti. ie Odich. )(p. 1— 86). € rapport (179 livr. p. 87— 151 E. le prince Vorontzof. . ipa date]. (Antiquités dela Min- 1). . 17 déc. 1848. (Antiquités du Sa- 1 : mourzakhan et de Rp ) (p. 87 — 150 + 1 p. de Rectifications). 9* rapport (2° livr. p. 1— 43). S. E. le Fai Sos. koum.) (p. 1 — 43). 10° rapport e livr. p. 44— A S. E. le prince Vorontzof. . (p. 44 — 64). 11° rapport (3° livr. p. 1—5 AS. ee Vorontzof. . et ses ade (p. 1— 52). 12* rapport (8° ir. p. 55 — 10 AS. "E. le prince Vorontzof. . et retour.) (p. 58 — Gë Résumé ! (p. 1 — 22). ? Bull. hist.-phil, T. VII col. 5 . 95 déc, 1848. (Mingrélie. Letch- 64). . 28 déc. 1848. (Mingrélie, send: 2). . 4 janv. 1849. (Iméreth. Kouthais 107). . 11 janv. 1849. (Iméreth. Radcha 117—126, 151— 158 = Mél. as. T. I p. 169 — 192 (tiré à part 8° 24 p.), sous le titre: Apercu den ral du voyage de M. Bros set dans la Transcaucasie. (Lu le 9 févr. 1849.) — Cf. plus haut, Je 58: Rapport général...à... M. i Safonof, publié dans le Jouri as. 1850, et en russse, dans le Kaskasb, 1849. Table synthétique des matières (p. 23 ` Table chronologique des faits, des Haile, du personnages, des ma- nuscrits et autres objets (p. 40 — 58). Contenu des livraisons: 1"*, 1849: 3 rapport (p. 1— 152). Li p. 1— 86) 8°. — (p.87— 151) Te 1850: 1 Acn (p. 1— 103). 2 (p. 104 ب‎ 192). 5° ل‎ (p..1—48). 9° dear (p. n 10° (p. — 64). E Bets : 4° — (p. 1—50). 6° (p. 1— 148). 11° — (p. 1—52). 12° — (p. 58—107). -Résumé (dp. 1—22): 62. Rapport de M, Brosset sur les voyages exécu- tés sous les auspices du prince Vorontsof, lieutenant du Caucase, par M. Dimitri Meghwineth-Khoutsésov. (Lu le 6 févr. node 1 Bull. hist.-phil. T. X e 91 — 94, 117 — 128 — Mél. as. T. II .69— 89 سم‎ Traduction russe, dans le Kansase 1852 MX. 35, 36 et 37, sous le titre: lomecenie Axax. Bpocce e Cebra., Kunaro M. C. Boponupony (tiré à part: Tneanc, 1852. 8° II + 27 p.). 63. Rapport sur la 2™ partie du Voyage du P. Sar- gis Dchalaliants dans la Grande- Arménie. (Lu le 11 mars 1859). Bull. hist.-phil. T. XVI col. 201—205 — Mél. as. T. III p. 589—594 (tiré à part 89 p. 589—594). 5. Archéologie. - 64. Description de quelques antiquités géor Eeer e Avec 1 pl. lith. (Lu le 28 mai 1841). > Bull. se. T. IX col. 153—156 (tiré à part 8° 6 p.). x 65. O 7606011310151 m cnocoóax maysaTb TAMAT- — neg crapmupr Dpyaim. Tnæmer, 5 OKT. 1847. Kasr. kaxemjapb. 1848, p. 129—144 (tiré à part 89 16 p.). 66. [Ouncanie rpysnuo-rpesecroi TIIAMAHMIBI, xOAAIHEÎCA Bb "ecwenckoit 6oraababnt ]. Han H. Apxeoı. 06151. T. III, sur. 6 (1861), col. 506—509. 67. Notesur un manuscrit gree des quatre Évangiles, rapporté du Souaneth-Libre et appartenant au comte Panine. (Lu le 6 oct. 1870). [Ce man-it renferme un certain nombre d'épigraphes géorgiennes.] Bull. de l'Acad. T. XV col. 385—897 — Mél. asiat. T. VI. p. 269—986 (tiré à part 89 p. 269—986). 68. Rapport sur les recherches archéologiques faites par M. Bakradzé dans le Gouria, en 1873, par ordre le l'Académie. (Lu Je 22 janv. 1874). Bull. de PAcad. T. XIX col. 432—436—Mél, as. T. VII p. 167— 172 (tiré à part 80 p. 167—172.) 69. Rapport sur l'ouvrage manuscrit de M. Ba- kradzé, contenant l'exposé des recherches archéolo- giques faites par l'auteur, dans l'Adchara et dans le Gouria, par ordre de l'Académie, en 1873. (Lu le 2 mars 1876). Bull. de l'Acad. T. XXII col. 264—277 — Mél. p. T (tiré à part 89 p. 1—20). 0. [Lettre à M. le comte Ouvarof, président du bra provisoire du Congrès de Tiflis, en date du 2 janv. 1878, sur les antiquités à Sr cus. au M ores Apesuocru. Tpyası Mock. Apxeox. Oóm. T. I. 1880, 4?: IIporokoası 1-ro nen TuœxnccKkaro re KOMH- tera, 15 okr, 1879, col, 2— 85; T. VHI 11. Note sur le village arménien d’Acorhi et sur le couvent de St. Jaeques. (Lu le 9 oct. 1840). Bull. sc. T. VHI col. 41—48 (tiré à part 8? 11 p.). 12. Notice historique sur les couvents arméniens de Haghbat et de Sanahin. (Lu le 6 avr. 1842). . Bull. se. T. X col. 308—336 (tiré à part 8° 46 p.). 19. Rapport sur la lettre [de M. Abich, sur les ruines d'Ani] précédente. (Lu le 28 mars 1845). Bull. hist.-phil. T. II col. 373—876. 14. Noticesur le couvent arménien de Kétcharhous, à Daratchitchag. (Lu lé 12 nov. 1852.) SS Bull. hist.-phil. T. X col. 341—852 = Mel: as. T. II p. 133—149 (tiré à part op p. 133—149). 15. Les ruines d'Ani, capitale È l'Arménie sous . les rois Bagratides, aux X et XI s., histoire et descrip- | tion par M. Brosset. I° Partie. Description, avec un Atlas de 24 pl. lith. SPb., 1860. 4 V + 1 — 92 p. IT Partie. Histoire, avec un Atlas de 21 pl. lith. SPb. 1861 4° XVI--93—176 p. Contenu: T? partie: - 1? [Titre] (p. I—II). Ha- ' ehronologique 20 Sommaire [de la I° partie], p. IH— V. 80 Les ruines d'Amt, I° partie. uen dud (p. 1—91). II* partie: fe Introduction (p. I—XIII). 20 Table de la 2° livraison (p. XV). 30 Chronologie de l'histoire d'Ani (p. XV—XVI) 40 Les ruines d'Amt. II? partie. Histoire. [ Ttraduction d’une partie de l'ouvrage, écrit en arménien, du P. Minas Bjechkian: «Voyage dans le Léhastan (Pologne) et autres contrées habitées par des Arméniens émigrés autrefois d'Ani. Venise, 1830 89»]. (p. 98—142). 59 Note, communiquée par M. Kunik, et tirée de l'ouvrage: Wia- domo$é o Ormianach w Polszeze. Lwów 1842, par X. Zachariasié- wiez (p. 142—143). 69 Aion: 144—14 FE. naine de Marmachen] (p. 148— 79 Appendice, Description du couvent JA et notice sur a A frivatii auteur arménien du XIII s. (p. 152— — 174). H Index général des planches [avec une notice sur l'aigle à deux tétes tracé au ge d’une croix, sur un des monuments de la ville d'Ani] (p. 175—176). 76, te critique de quelques passages de la Deseription de là Grande-Arménie, du P. L. Alichan, relatifs à la topographie d'Ani. (Lu le 14 juin 1861.) Bull. de PAcad. T. IV col. 255—269 = Mél. asiat.. T. IV p. 392 —412 (tiré à part 8° p. 882—412). 11. Sur les couvents arméniens Eon et de Sa- nahin, (Lu le 25 avr. 1862). Bull. de Acad. T. V. col. 215 —231 = Mél. asiat. T. IV p. 605—628 (tiré à part 89 p. 605—623). 78. Omnucanie womaerbipeii Axvarckaro m Camarum- ckaro, apxumanıpıra Ioanna Kpsimckaro. Description des monastéres arméniens d'Haghbat et de Sanahin, par l'archimandrite Jean de Crimée, avec notes et Appen- I. [Communications du P. Barnaba d'Isaia] (p. dice par M. Brosset. (Présenté à l'Académie le 8 aoüt 1862). SPb., 1863. 4° 94 p. Mém. VII Sér. T. VI X 6. Contenu: aert, 1-3. Û MOHACTLDÉ AXHATCKOME (p. 1—46). Yacıs 2-1. O monacrmph Canarnnekome (p. ESCH Appendice I. Inscriptions d'Haghbat, manquant à la copie 3.1.6 Jean de Crimée] (p. 7 II. Sana e Description, par le P. Sargi: ete. ip. 77—91). Liste es. supérieurs connus d'Haghbat et de Sanahin, mentionnés dans les EN en Loue 19. Lettre de Mr. Tokaref à M. duret ied date de Tiflis, le 23 sept. 1849), sur quelques antiquités cho et autres, des environs de l'Elbrouz [pu- _ bliée par M. Brosset, avec ses URP TER Kap je. 19 oct. 1849). | Bull. hist.-phil. T. VII eol. 939—940 = Mél. asiat. T. I p. 207— -216 (tiré à part 8° 10 p.). ~ Cf. Kankas 7 irona 1850 N 44, l’article de Mr. Sli yitz hi, relatif à la lettre de M. Tokaref et aux observa-- tions de M, Brosset, 80. [Rapport de M. M. Brosset, le prince G. Ga- garine, D. Grimm et K. ا‎ sur le voyage de ep au Caucase]. oa. Oom, T. VII, S (1871), col. 191—195. —Comp. QN. d'lüssor. arm. T. IT, p 6. Inscriptions. ` 81. Lettre à M. le rédacteur du Journal asiatique, sur l'emploi des chiffres arabes dans une inscription géorgienne du XT’ siècle. Journ. as. 3° Sér. T. III (1837), p. 465 —472. 82, Explication de diverses inscriptions géorgiennes, arméniennes et grecques. Avec 11 planches lith. (Lu le 17 aoüt 1837). Mém. VI Sér. Sc. pus hist. et phil. T. IV, p. 815 — 446 (tiré à part: SPb., 1838. 40 132 p.). 83. Explicktiol de quelques inscriptions géorgiennes. (Lu le 18 août 1837). Bull. sc. T. II col. 372-877 (tiré à part 89 8 p.). Cf. lpysunckig zpeBHocru, HAXNUCH u woHeTbi Tl(aBxa) C(ane- BEBA). JR. M. H. H. 9. XVI (1837), p. 485 — 498, article composé d'aprés l'article précité de M. Bross ' 84. Inscriptions tumulaires gem de Moscou et de St.-Pétersbourg, expliquées par M. Brosset. (Lu le 11 janv. 1839). Mém. VI Sér. 8e. polit., hist. et phil. T. IV p. 461—521 (tiré ai 49 61 p.). SC Rapport. sur différents S oH d géorgiens en- voyés à l'Académie par Mgr. Eugène, exarque de Gé- orgie. (Lu.le 26 janv. 1844). 1 Bull. hist.-phil. T. I. col. 347 — 349 (tiré à part 80 3 p.) ~ ? Das Asiat, Mus. p. 716— 86. Inscriptions E par M. Dimitri Megh- en tUm le 6 mars Bg M. Brosset sur le voyage de M. D. Dee i quei i lu le 23 févr. 1849, 89 p. 5—41) — ? Voyage archéol. de M. set, 6* rapport, p. 96—128. ` 81. Essai de déchiffrement des inscriptions de l'église de Manglis. (Lu le 31 mai 1850). ` 1 Bull. hist.-phil. T. VIII col. 81—87 = Mél. as. T. I p. 252—260 de à part 8° 9 p.) =? Traduction russe, dans le Kapxasr 1850 , sous le titre: Onrr pas6opa naanuceii Manrancckaro geg dans le Kaskas 1862 21 ioma M 48, p. 263—264, un article‏ 3ت signé «C...» et intitulé « Maurauccxift xpam®», suivi d'une note de‏ la Redaction («3awbrka Pegaxin»), Zeie un long extrait, en‏ traduction russe, de l’article de M. Bro‏ 88. Inscriptions et antiquités png et autres, recueillies: par M. le colonel Bartholomæi, avec expli- | cation par M. E AUT 3 pl. lith. (Lu le 7 mai ee | ! Bull. hist.-phil. T. X col. 97—116 — Mél. as. T. II p. 90—116 | (tiré à part 8" p. 90— 116) ~ ? Traduction russe, dans le KaBKa3®, 1854 XXX» 68—71, sous le titre: l'pysunekia n xpyr. HaınucH u xpes- HOCTH, CoÓpaHHbrs 11011601813. BapTO:JOMeew' b, CB HOACHEHIAMH aka. Bpocce. 89. Hagen Manrancekaro xpama. I. Mas.teyenie u3% nncbya M. A. Baproïomes. II. OGracaenia r. Bpocce. CB 11111010. CHHMKOM?. 3an. U. Apxeox. Oóm. T. IV (CII6. 1852): Ilepeuers zachranit, 55— 157 (mucsmo r. Baproıomen); p. 158—162 (o6racnenie r. Bpoece) (tiré à part 89 8 p.). 90, Inscriptions géorgiennes, recueillies à Gandza et à Phoca, par M. Pérévalenko. (Lu le 7 janv. 1853). Bull. hist.-phil. T. = col. 32—42 = Mel. as. T. II p. 150—164 (tiré à part 89 p. 150—164). 91. Lettres de M. Bartholomæi, relatives aux an- tiquités géorgiennes; envoi de M. le colonel Khodzko; inscriptions d'Akhal-Kalak, par M. Pérévalenko. | Avec explications de M. Brosset]. Avec 5 planches lithogr. (Lu le 14 oct. e Bull. hist.-phil. T. XI col. 241—272, 273—299 — Mél. as. p. 264—344 etd gau ER " 264—944). ' — Rectificätions, Bull. hist.- phil. T. XII 128 92. Notice détaillée sur les églises de Sawané et de Manglis. Avec 2 pl. lith. [Non achevé; seulement sur Sawané]. (Lu le 3 oct. 1856). Bull. hist. er T. XIV col. 161—168 = Mél. as. T. III p. 86—46 (tiré à part 89 p. 36—46). 93. Explication de quelques inscriptions, photogra- phiées par M. Sévastianof, au mont Athos. (Lu le 15 févr. et 12 mars 1861). Bull. de Acad. T. IV col. 1—16 = Mél. as. T. IV p. 369 — 391 (tiré à part 89 p. 369—391). 94, Notice concernant T. inscriptions géorgiennes , | recueillies par le P. Nersès Sargisian. (Lu le 25 sept. 2 قم Bull. de l'Acad. 'T. VI col. 489—495 — Mél. as. T. V p. 49—58 (tiré à part 89 p. 49— 95, Inscriptions géorgiennes et autres, recueillies par le père Nersès Sargisian et expliquées par M. Brosset. Avec 4 pl. lith. (Lu le 13 oct. 1864). SPb., 1864. 4? 24 p. Mém. VII Sér. T. VII, XX 10. 96. Pa360pr AByXb PCpy3HHCKHX NKOHHBIXB HAAUN- ceñ. (CB 1 113111011 Has. M. Apxeoa. O6m, T. VI (1868), col. 30—40. 97, a. Études sur les monuments géorgiens pho- ` tographiés par M. Iermakof et sur leurs inscriptions. (Avec 2 planches). (Lu le 25 mai 1871). : Bull. de l'Acad. T. XVI col. 433 — 464 — Mél. as. T. VI p. 447. — 490 (tiré à part 8% p. 447—490). b. (Suite et fin.) Bull. de Acad. T. XVI col. 526—548 = Mél. as. T. VI p. 491 — 523 (tiré à part 8° p. 491—523) Contenu 19 Zem de M.] Longpérier. Paris, 8 sept. (27 août) 1871 (p. 491—49 20 [Notice de M.] W. Stassoff. SPb., 7 août 1871 (p. 493 — 523). 98, Sur une inscription géorgienne de l'église pa- triarcale de Mtzkhétha. (Lu le 15 févr. 1877). Bull. de PAcad. T. XXIII col. 499 — 510 = Mel. as. T. VIII p. 251—267 (tiré à part 80 p. 251—267). 99, Note sur les inscriptions arméniennes de Bol- ghari. Avec 1 pl. lith. (Lu le 13 oct. 1837). Bull. sc. T. HI col. 18— 21 (tiré à part 89 4 p.). 100. Pasóops Aniückuxp Haınncei, Crarbsa Akaae- muka bpocce. [IIoumcaga 6 vesp. 1852.] Kanskas», 1852 NX 18—21. 101, a. Notice sur la plus ancienne inscription : ar- ménienne connue [à Sourb-Ohannés, sur le Mourad- tchai]. (Lu le 1 août 1856). Bull. hist.-phil. T. XIV col. 118—125 = Mél. as. T. IH p. 1—11 (tiré à part 89 1 b. pds. Avec 1 pl. lith. Bull. hist.-phil. T. XIV col. 168 = Mel. as. T. III p. 47. 102. De quelques inscriptions arméniennes, remar- quables au point de vue chronologique. Avec 1 pl. lith. (Lu le 2 déc. 1859). Bull, de Acad: T. I col. 399—413 — Mél. as. T. III p. 735—756 (tiré à part 80 p. 735—756). ` 403. O6» apuaucenxe 118/11111021515 Bb Boarapaxs (Cb 2 Ta6.l. CHHMKOBB). m H. Xpxeo:z. Oóm. T. H sein. 5 ipu col. 181—184 عم‎ 2? Han. Bocr. Org. M. Apxeoı. Oo, 4.1. ern. 5 (1860), p. 145 — 150 (3 piches lith. Em au IV T. des Han 104, [Onncanie erapunuoü Ere Cb APMAHCKOM Ha nucbro. Co CHUMKOMB. | Has. U. Apxeos. Oóm. T. III, sem. 6 (1861), col. 513—520. - 105. [3ambuanis M. M. Bpocce o opt Jesa V I-ro, — . mam knankiücko-apuanckaro |. - Mss. H. Apxeoı. Oóm. T. IV, sun. 5 (1862), col. 479—481. ; 106. Sur l’histoire ancienne de l'Arinénie, d'apres les textes hiéroglyphiques et cunéiformes. (Lu le 13 avril 1871). Bull. de Acad. T. XVI col. 332 — 340 = Mél: as. T. VI p. 889 ~ —— 400 (tiré à part 80 p. N 407. Traduction de l'inscription arabe qui se trouve sur un battant de porte au couvent de Gélath en Imé- 8 reth, par M. Fræhn [extrait de l'article allemand de M. Frsehn, inséré dans les Mém. VE Sér. T. III 1836]. Journ, as. 3° sér. T. II (1836) p. 177—180. 108. Quelques inscriptions musulmanes, d'Ani et des environs de Bakou; extrait d'une lettre de M. Khanykof, Tiflis 28 janv. 1849. [Avec quelques obser- vations de MM. Brosset et Dorn.] (Lu le 23 mars 49). bu hist.-phil. T. VI col. 193—200 (tiré à part 89 10 p.). 109, Extrait d'une lettre de M. Khanykov à M. Brosset, Tiflis, 11 janv. 1852 [sur la découverte d'un manuscrit de Rachid-ed-din, et sur l'inscription per- sane d Abou-Said, à Ani]. (Lu le 6 févr. 1852). Bull. hist.-phil. T. IX. col. 284 — 286 — Mél. as. T. I p. 561 — 562 (tiré à part 80 p. 561—562). 110, Note sur le yarligh d'Abou-Said-Khan con- servé sur les murs de la mosquée d'Ani. Par M. Kha- nykov. Tiflis, 7 (19) mars 1852. [Précédé d'un Aver- tissement, par M. Brosset]. (Lu le 16 avr. 1852). Bull. hist.-phil. T. X. col. 81—86 = Mél. as. T. II p. 61—68 (tiré à part 89 p. 61— 68). 411. Notice sur deux inscriptions cunéiformes, dé- couvertes par M. Kästner dans l'Arménie russe. Rap- port de M. M. Brosset et Kunik [suivi d'un mé- moire de M. Lerch.] (Lu le 8 août 1862). 1Bull.de Acad. T. V col. 428—435— Mél. as. T. IV p. 671— 680 ~ ?'Traduction russe, dans les 3anuckn, T. II (1862), p. 136 -— 142, sous le titre: O Arer, KXHHOOÓpa3HbIX'b HAJuIMCHX'b, OTKpbITEIX'b op ec Bb pocciückoh Apmenin, [Cv reg 38111101611 r. 412. Rapport sur diverses inscriptions [alphabé- tiques et cunéiformes] recueillies par M. Jules Kästner et Ad. Berger. Avee 1 pl. (Lu le 29 janv. 1864). Bull. de PAcad. T. VII col. 275—281 = Mél as. T. *N- E 113—118 (tiré à part 8° p. 113—118). 7. 0 113. Dissertation sur les monnaies géorgiennes, tra- duite d’une lettre du prince royal Théimouraz; avec des éclaircissements par M. Brosset jeune, membre ` de la Société Asiatique. Avec 1 pl. lith. Nouv. Journ. as. T. XV (1835) p. 401—445 (tiré à part 50 47 D). . 14. Dissertation sur les monnaies géorgiennes, par M. Brosset jeune. Journ. as. 3° Ser. T. II (1836) p. 5—85. 115. Note sur quelques monnaies géorgiennes du Ld x Musée Asiatique. et sur une inscription tibétaine - d’Edchmiadzin. (Lu le 25 août 1837). ! Bull. sc. T. = col. 381—384 (tiré à part 89 4 p.) etes Asiat. Es Mus., P. 508 — 5 ; i 9 Cf. usce en Bajumicn M MoBerbr TI(asaa) C(asea15ena) K. M. H. TI. 5 0 7 485—498, article composé d’après lar- ticle précité de * Bro 116. KEE Dorn et Brosset. 2036075 co- quHenisı KH. Baparaesa, moy 38113816315: «Hynnamara- ‚geckie eakrbi P'pyauuckaro uaperBa». 13 mapra 1846. [Le texte du Rapport est en francais et il est suivi de . l'article:] Revue de numismatique géorgienne, par M. Brosset, destinée à servir de pièce justificative au rapport précédent. (Ci-joint une planche m ) XV npuc. Jeun. narp. (1846), Pas6opr — p. 2 ; Revue — p. 247—324 (tiré à part, sous le titre: e nk sur l'otyrágo inti- tulé Hymusmaruuecxie æakrbt Tpyansckaro mapersa; et Revue de numismatique géorgienne par M. Brosset. Avec 1 pl. lith. SPb. 1847.» 8? 88 p.: Pas6op®, p. 1—10; Revue, p. 11—88. 117. Réponse à M. de Bartholomæï [à propos de son article: Surle classement des médailles géorgiennes au type sassanide, du point de vue de l'art]. (Lu le 20 aoüt 1847). - 1 Bull. hist, - phil. T. IV col. 340 — 345 (tiré à part 89 8 p.) ~ 2 Journ. de SPb. 17 juil. 1847 Xe 300 ~ 3 Traduction russe, dans les Cı. .رطم‎ 29 iroa2 1847 Ns 170, sous le titre: OrB br» r. Baproïomen. 118. Notice sur une médaille de l'an 1790, se rap- portant à l’histoire de la Géorgie. Avec 1 pl. lith. (Lu le 1 aoüt 1851). 1 Bull. hist.-phil. T. IX col. 33—36 = Mél. as. T. I p. 480—484 (tiré à part 89 5 p.) — ? Traduction russe dans le Kaskas, 1851 X 79, sous le titre: 06% oxxoïû meran 1790 r., ornocameñca KB ucropiu lpyain. 119. Lettres sur la numismatique géorgienne, par M. le colonel Bartholomæi. [Publiées et annotées par M. Brosset]. (Lu le 6 févr. 1857). Bull. Se pa T. XIV col. 246-256 et 279—286 = HI p. 82— 120. d CeJbI;KykO-Ppy3Hunckas MOHETA (CO- 6panis ku. A. D. Darapnna). Co cuumkomp. Maii, GE = Mél. as. T. eor. Oóm. 3. I, stm. 8 (1859), col. ^ie 70. 121. Pa it Heaopasywkmiü 10 noBoAy CTATEA [peaakropa ra3erbi KaBka3b, ©. boptuepa, naneuaram- Hoi pt, Kaskasb 1860 MX: 44 u 45]: Honpaska Dpy- 3unckoii a'bronucn [Ha OCHOBAHIH HyMUI3MATHHeCKUX'b JAH- HbIXb, COOÖIEHHBIXB H. A. baprogoweews]. I. 111150 r. Bpocce [KB pezakropy Kaskaaa, orb 25 iron. 1860, CB npuo;:xeniew b cTaTbH: OTBETD Hà CTATbIO: Eoupanks Ppyaunckoii rona II. O6pacnenie r. Baproaomen. Kaskas 1860 N ei me r. Bpocce et npuaox.) u X 82 (o6BacHeHia r. vui es). 122. A propos dn livre intitulé: Essai de classi- | fication des suites monétaires de la Géorgie, depuis l'antiquité jusqu'à nos jours, par M. Victor Langlois. 80 ~ 1 Paris, 1860. in 4°, 139 p., X pl. (Lu le 9 nov. 1860). Bull. de l'Acad. T. III col. 180—215 = Mél. as. T. IV p. 153—208 (tiré à part 89 p. 158—208 Cf. l'explication de la monnaie de David Couropalate, donnée par M. Brosset, et communiquée par M. Lisch !dans les Jahrbücher des Vereins für meklenburgische Geschichte. 26 Jahrgang. 1861, p. 275 — Burn le Zeitschrift für Münzkunde (Berlin 1859—1862 in- 49) p. 2 Un SE exemplaire, bien conservé, de la monnaie en question, fait partie d’une trouvaille faite en 1879 à Lodeinoié Polé, gouver- nement d'Olonetzk —— 123. Monographie des monnaies arméniennes. Avec 2 planches. (Lu le 20 oct. 1837). Bull. sc. T. VI col. 33—64 (publié à part, SPb., 1839, in 4° 44 p.). 124. Notice sur des monnaies coufiques trouvées à Kieff et déposées à l'Ermitage Impérial. Journ. de SPb, 1851, p. 2337—2338. 125. Bpocce, Jopu, Bezbnunnoss-3epHoB3?. Pa360p cou. Il. Cagea5esa, non» 3araas.: Mogerbi Jery- 3HAOBP, [[xararangoBh, Jlkejaupuaosb n apyris, oôpa- maBmiaca BB 30101011 Opah pt, onoxy Toxrampıma. XXVIII* npuc. Hemu, Harp. (1858), p. 149—155. 126. Rapport sur les lettres numismatiques et ar- chéologiques de M. Bartholomaei, relatives à la Trans- caucasie. (Lu le 10 sept. 1858). Bull. hist.-phil. T. XVI col. 72—74=Mél, as. T. III p. 487—489 127. [O npioopbrenisxs BOCTOYHbIXb 21011615 , CAB- JAHHBIX BB nocrbggee Bpema liwneparopceuws 21111 - Tax eM]. (Unrano BB 3acba. 14 cenr. 1859). Has. H Apxeoa. O6m. T. II nun. 4 (1860), col. 253—255. 198. 0 Ceman woRHeraxb, H o MoHeTb Aayurp-bexa. (IIncpuo «eua ocHoB. H A. Bapro,omen Kb Il. C. CaseabeBy, c» npumbyaniamn akagemuka M. H. bpocce). Hss. H. SÉ O6m,, T. If. sem. 4 (1860), col. 236—239. 129. [Mubnie M. H Bpocce, B. B. Bexsamnaosa- 3epuosa all. H Jlepxa, o monorpaæin xaJmeckHxb moner» B. E. Tusenrayaema]. (Inrano 7 maa 1861). Has. M. Apxeoaz. Oói. T. IV enn 2 (1862), col. 192—196. 130. [Hasberie o Han6orbe 3awbuareabHbiX MOHE- Tract, Bn1BHHBIXE M. H. Bpocce Bb npoaoaxenie HOCABA- HAXb AByXP JTE]. (Hurauo 5 vesp. 1862). Has. H Apxeoı. Oóur, T. IV Bim. 5 (1862), col. 481—483. 131. [Onncanie HÉKOTOPHIXE MOHETB, DDUCJAHHbIXb — Bb Jap» OóurecrBy remepaurs-4eiTenaurows Barsano- — BbIMb, 7 Hony). (Turano 5 EBD. 1862). ET xeoz. 061. T. IV oun. 5 (1862), col. 484—485. e 432. en numismatique orientale de l'Ermi- ` tage Impérial; 1852 — 1879. (Lu le 24 avril 1879). Bull. de l'Acad. T. e m as. T. VIII p. 641—665 (tiré à part 8° p. 641 3 10 8. Chroniques. 133. a. Chronique géorgienne, traduite par M. Bros- set jeune, membre de la Soc. H" Asiatique de France. Ouvrage publié par la méme Société. Paris, 1830. 8? LV + 165 +1 p. 1? Dédicace à M. J. Saint-Martin (2 29 Introduction. De la chronologie géorgienne | (p. SC? Qua No- tice du manuscrit de la Chronique géorgienne (p. X 39 Vie du Sakarthwélo, ou Histoire de la feed ee française et annotations] (p. 1— 101). 49 Ordre des successions royales en Karthli, Cakheth , Iméreth, Mingrélie,Gouria et Perse,tel qu'il résulte de la Chronique ci- dessus, et d'après le classement de M. SIN (p. 102—106). = Paléographie (p. 107— 12 69 Géographie. Additions e observations pour servir à P'intelli- gence de la Gen géorgienne (p. 130—165). 79 Table (1 p.). b. Chronique géorgienne, Manuscrit de la Bibl. du Roi. Ouvrage publié par la Soc. Asiatique. Texte géor- gien. Paris, 1829. 8° VIII + 150 p. [authographiées par M. Brosset] Lith. de Fonrouge. [Broché à la suite de l'ouvrage précédent.] ; Contenu : 1° [Titre français] (p 20 [Titre géorgien] 2 je des rois de Géorgie] ( p. IV). 49 Spécimen des divers caractéres costs (y. V — VIII). 59 [Texte géorgien de la Chronique] (p. 1—112 6? Paléographie. Inscriptions trouvées sur es marges d'un vieux manuscrit de la Bibl. R!* (arm. 25) (p. 113—12 79 Observations, Additions, Corrections pour 0 texte de la Chro- nique géorgienne (p. 129—150). Cf. Journ. des Sav. 1831 p. 81, Bibliographie. 134. Itinéraire du très-révérend frère Augustin Badjétsi, évêque arménien de Nakhidchévan, de l’ordre ` des Frères-Prêcheurs, à travers Eeer .. Tra- — Quit... par M. Brosset jeune. 0 EN as. 3° Ser. T. III (1837) p. 209—245 et 401—421. . 135. Rapport sur l'envoi de manuscrits géorgiens par 8. E. M. le Sénateur Baron de Hahn [Chronique .. de Wakhtang, Wakhoucht, etc.]. (Lu le 25 mai 1838). Bull. sc. T. IV col. 184—186 (tiré à part 89 4 p.). - 1436. Matériaux pour servir à l'histoire de la Géor- gie depuis l'an 1201 jusqu'en 1755, par M. Brosset. [Avec 1 carte lith.]. (Lu le 7 déc. 1838). "ees VI Sér. Sc. polit. hist. et phil. T. V Ze 165—315 (tiré à part: SPb. 1. 49 151 p., sous le titre: Matéria .. par M. Brosset, 1 Académicien extraordinaire, décoré de Poidre de S* Anne, de ge classe). y ul. RE Eri =- [Préface] (p. 165—177, ou 13} ` L Dates de Wakhoucht Ge et Reg) (p. 177—219, ou 13—55). i epe si eme [traduction et Eee, (p. 220 —315, ou 56—151 137. Examen critique des annales géorgiennes, pour les temps modernes, au moyen des documents russes. (Lu le 1 nov. 1844). ! Bull. hist.-phil. T. II col. 209—240, 241— 273, 289—335; T. IIT p. 49—62, 65 — 112, 161 — 164, 177 — 197 (tiré à part 8° 1"° partie 622-25 p.; 2° partie 66 p.; 3° partie 89 p.; 4° partie 29 p.) — ? Tra- duit par TaxeunoB®, dans le 3K. M. H. Il. u. LI (1846) Ora. II, p. 1 — 35, 71—131, sous le titre: Kpuruueckiä 00305 rpyautickuxb JÉ- Tonuceh HOBbÜMHXB npeMemb, no PYCCKUMB HCTOHBHKAM'b, 138. Des sources originales de l'histoire de Géor- gie. l'article. Chronique de Wakhtang. Ancienne tra- duction abrégée, en arménien. 2° article. Abrégé his- torique de Wakhoucht, jusqu'au V° s. de notre ère. Journ. de SPb. 1847, 1? art. 16 mai . 249 et 17 mai |: 250; 2 4 juin JV 265 et 8 juin N 269 (tiré à part 8° 39 p.). art. 139. Notice d'un manuscrit arménien offert à l’Aca- démie par 5. E. M. le Baron de Hahn, sénateur. (Lu le 7 déc. 1838). ! Bull. sc. T. V col. 117—128 (tiré à part 80 15 p.) > Mus. p. 562—575. 140,a. Projet d'une collection d'historiens arméniens inédits. T' article. (Lu le 30 oct. 1840). Bull. sc. T. VIII col. 177—189 (tiré à part 89 16 p.). b. Projet d'une collection d'auteurs arméniens iné- dits. 2° article. (Lu le 29 oct. 1841), Bull. sc. T. IX col. 258—268 (tiré à part 89 22 p.). 141. Analyse critique de la Beeoórtas neropis de Vardan. Édition princeps du texte arménien et tra- duction russe par M. N. Émin. (Lu le 7 mars 1862). SPb., 1862. 4? 30 p. Mém. VII Sér. T. IV, X 9. 142. Notice sur l'historien arménien Thoma Ardz- rouni, X. s. (Lu le 12 déc. 1862). (Suite.) (Lu le 20. févr. 1863). Bull. de Acad. T. V col. 588—554 — Mél. as. T. IV p. 686—709 (tiré à part 89 p. 686—709); Suite, Bull. de l'Acad. T. VI col. 69— 102 = Mél. as. T. IV p. 716—763 (tiré à part 80 p. 716—763). 143. Notice sur l'historien arménien Mkhithar d'Airivank. (Lu le 23 janv. 1863). : Bull. de l'Acad. Tes col. 3—4 = Mél. as. T IV p. 714 — 715 (tiré ~ Das Asiat: | à part 80 p. 714— 144. Histoire de la Siounie par Stöphannos Orbélian, traduite de l'arménien par M. Brosset. Première li- vraison, Histoire de la Siounie [traduction et annota- ` tions]. SPb., 1864. 4° p. 1— 300. — Seconde livrai- son. Introduction [par M. Brosset]. SPb., 1866. 4? p. 1— 186 + p. 301—306. 11 Contenu : 19 Histoire de j4 Siounie. Introduction [par M. Brosset] (2° li- ye p. 1—186 . Notions NUN (p. 1— 8 à Description [traduction, abrégée, de Së maie du P. In- djidj z la حي سيا‎ de la Siounie, Arm. anc. p. 229] (p. 4—11). e généalogique de BEN de la Siounie; 1'* époque (p. 1113) $ 4. Princes ur et Sisacans, nouem. des deux familles, à des degrés inconnus (p. 13). b. are EE A des princes et rois de la Siounie; 2° époque (p. 1 $ 6. a sur les princes de Siounie portés dans les listes pré- cédentes et sur quelques autres, d’après les historiens arméniens (p. 15— 35). $ 7. RER religieuse [d’après le P. Indjidj] (p. 35— 43). $ 8. Série des métropolitains de la Siounie {d’après le P. Indjidj, St. Orbélian et le P. Sargis Dchalal, Voyage dans la Grande-Armé- nie, t. II p. 286] (p. 43—59). $9. Topographie de la Siounie [extrait de la Préface mise par le p. Chahnazariants en téte de son édition de l'Histoire de la Siounie; traduction de la notice géographique du P. Léon Alichan, dans «La Grande Arménie», en arm. Venise, 1855, avec une carte; et d'aprés les deux ouvrages du P. Indjidj] (p. 59—61). $ 10. Le Qarabagh ou Chouchi, par le P. Léon Alichan (p. 61— 69). $ uvents; Vaïo-Tzor [d’après le t. II du Voyage du P. Sar- gis Dchalaliants, dans la Grande-Arménie] (p. 69—122). $ 12. Couvents du canton de Géghakouni, décrits par le P. Cha- khathounof, Descr. d'Edchmiadzin, II, 207 sqq. (p. 122—130). S 13. does du canton de Sotk [d’après le P. Chakhathounof etc. (p. 180— $ 14. C MEO de PArtsakh, Desch (Khatchen et Aghovanie). d anc. p. 801—305 (p. 137—170). $ 15. Courte notice sur Stéphannos Orbélian; ses ouvrages 5 170—17 $ 16. te généalogiques, des principales familles mention- nées dans les inscriptions précédentes [v. les § 11—14] (p. 178—183). Table [de l'Introduction par M. Brosset] (p. 184—186). 20 Histoire de la Siounie. Série de récits intéressants, au sujet de notre maison sisacane, où les souvenirs anciens ont été rangés dans un ordre admirable, par humble et faible d'esprit Stéphannos, surveillant et métropolitain suprême de la Siounie, fils du très glo- rieux prince des princes Tarsaïdj, mentionné dans le mémento de ce livre [traduction et annotations] (1° livraison, p. 1—300 Table des chapitres [de St. Orbélian] (1° livraison, p. 301 — 304). Corrections et additions [à la traduction de M. Brosset] (p. 305 —-306). Cf. Litterarisches Centralblatt 1865 Xe 12. 145. Etudes sur l'historien arménien Mkhithar d'Airivank, XIII s.; I’ et II Parties, de la création du monde au commencement de Père chrétienne; HI Partie, jusqu'en 1289 de J.-C. (Lu le 22 déc. 1864 | et le 13 avr. 1865). ` Bull. de l'Aead. T. VIII col. 391—416 = Mél. as. 315—850 (tiré à part 89 p. 315—350). 146. Examen d'un passage de l'historien arménien Oukhtanès, relatif à la prétendue conquête «de I'Ibé- rie» par 'Nabdtliidonosor (Lu le 4 juin 1868). Bull. de l’Acad. T. XIII col. '948—260 = Mél. as. T y 742—760 (tiré à part 80 p. 742—760). PER 147. Études sur l’historien arménien Oukhtanés, X s. (Lu le 5 nov. 1868). Bull. de l'Acad. T. XIII col. 401—454 — Mél. asiat. T. VI p. 15 — 89 (tiré à part 80 p. 18—89). 148. Histoire ehronologique par Mkhithar d'Airi- vank, XIII s., traduite de l'arménien, sur le manuscrit du Musée te par M. BE (Lu le 22 déc. 1864). SPb., 1869. 4° XXIII4-110 p. Mém, VII Sér. T. XIII X 5 Contenu : Préface (p. I-XXM). Histoire chronologique, composée par le vartabied Mkhithar Airivantsi [traduction et annotations]. m n (p. I* partie. De l'euvre divine des six jours (p. 6—26). H° Geier ‘Avec la grâce de N.S. J.-C., second travail de Ter Mkhithar vartabied, pour la er? de Dieu (p. 27 —110 149, Sur l'Histoire composée en arménien Mr Thoma Ardzrouni, X s., traduite en francais par M. Brosset. (Lu le 28 oct. 1869). Bull. de l'Acad. T..XIV col. 428—432 — Mél. as. T. 2326 — 232. 150. Deux historiens arméniens Kiracos de Gan- tzac, XIII s., Histoire d'Arménie; Oukhtanès d'Ourha, X s., Histoire en trois parties; traduits par M. Brosset. SPb., 1871, 4° LXII+351 p. [Paru en 2 livraisons: la 1" en 1870, la 2° en 1871]. : Contenu: Introduction (p. I— LXII; 2"* livr.): I. Notices sur Kiracos et sur Oukthanés (p. I—XXIV). II. Calendrier arménien (p. XXIY —LY ). III. Desiderata de Phistoriographie arménienne (p. LV — LXI. Histoire d'Arménie, par le vartabied Kiracos, de Gantzac [tra- duction et Aet simpel (p. 1—194; 179 livr.). Appendice. [Traduction latine ‘de quelques guess ile MM par M. Petermann, de l'Acad. de Berlin] (p. 195—2 Histoire en trois ques composée par l’évêque Ter Oukht tanès, ur vii potent de Narec et vartabied de tations VI p. artie. Epitomé ions (p. 206 276; 1° livr.). 2° partie. Sécession des Ibériens (p. 277—851; 2° livr.). 151. Samouel d'Ani; revue générale de sa chrono- SE (Lu le 12 oct. 1871). e l'Acad. T. XVIII col. 402 — TC Mél. as. T, VI p. 741—198 (tiré à part 80 p. 741— —798). . 152, Des historiens arméniens des XVII et XVIII siècles. Arakel de Tauriz, Régistre chronologique, annoté par M. Fran (Lu le 31 oct. 1872). SPb. 1873. 4° 60 p. Mém. VII Ser. T. XIX, N 5. Conte 116 Partie. Principes et PR qe dedi de la a chronologie ar. — (p. 1—14). ® Partie. [Sur les ur d'édition des historiens arméniens. Notice sur Arakel.] (p. 14—22). ge D '— 562, renferme . M. Brosset. T. II. SPb., 12 Régistre chronologique d'Arakel [traduction et annotations] (p. 22 153. Notice sur le diacre arménien Zakaria Gha- bontz, auteur des Mémoires historiques sur les Sofis, XV —XVII s. (Lu le 13 nov. 1873). Bull de lAcad. T. XIX col. 320—333 — Mél. as. T. VII p. 93—112 (tiré à part 89 p. 98—112). 154, a. SE d’historiens arméniens. T. I. Th Ardzrouni, X s., Histoire des Ardzrouni; Arakel, de Tauriz, Zen s., Livre d'histoires; Iohannés de Dzar, XVII s., Histoire de l'Aghovanie; traduits par M. Brosset, SPb., 1874. 8° XXXII + 618 p. C tenu: 19 Introduction: Sheppard acies EE (p.I-XIXj; Notice sur Arakel de Tauriz (p XXII 20 Histoire des Ardzrouni Par. n puces Thoma Ardzrouni [traduction et annotations] e. E 3° Livr © ó yaf s vartabied Arakel, de Tau- riz [traduction et امج عونت‎ e 267 — 608). [Le chap. LIV, p. 553 l'Histoire la pays des Aghovans, composée par le vartabied Iohannés de Dz 49 Appendice : I. Sur we Dani (p. 609—613). IT. Sur le Taron et les Taronites (p. 613—618). b. Collection d'historiens arméniens. Traduits par 1876. 8° IV + 696 p. Contenu: [Titre] (p. I). 19 Avis préliminaire et Table des matières (p. III—IV). 20 Mémoires u sur les Sofis, par le diacre Zakaria [XVII s.] (p. 1—15 30 Cartulaire du 8. Asile de Iohannou-vank, par le diacre Za- karia (p. 155—190). 4° Histoire d’Aghovanie, Jod le catholicos Ésai Hasan-Dcha- laliants [XVII s.] (p. 191— ° Davith-Beg. Histoire a de Davith-Beg, des combats des Arméniens de Khaphan contre les Turks, ayant eu lieu de notre temps, c'est-à-dire en l'année du Seigneur 1722 et de Père armé- nienne 1171 (p. 221—256). 6° Mon histoire et celle de Nadir, chah de Perse, par Abraham de Crète, catholicos [XVIII s.] (p. 257—338). 0 Samouel d'Ani, Tables chronologiques (p. 339— 484). [Les pages à-gauche renferment les annotations et commentaires de M. Brosset, en regard de la traduction du texte des Tables, publiée sur les pages à-droite]. 8° Souvenirs d'un officier ayant servi dans le Caucase, années 1835 — 1838 [traduction d'un ouvrage russe, publié dans le Pyccx. Bern. 1864, 0 دم‎ Je. tiré à part, 8° 1865]. (p. 485—696). ` 155. Revue de la littérature historique de l'Arménie. (Lu le 25 mai 1876). Bull. de Acad. T. XXIIcol. 303—812 = Mel. as. T. VIII p. 21 — °4 (tiré à part 89 p 9. Chartes. 156. Documens originaux sur les relations diplo- matiques de la Géorgie avec la France vers la fin du x : règne de Louis XIV, recueillis par M. Brosset jeune. _ [Avec 1 fac-similé.] y. Journ. as. T. IX E 193 — 221, 339 — 366, 437 — 456 p). . Nou - (tiré à Sen: Paris, 1832, 80 3 457. Additions au M&moire sur les documents ori- ginaux concernant la Géorgie (Journ. Asiat. mars, avril, mai 1832). Nouy. Journ. as T. X (1832) p. 168—190 (tiré à part 89 25 p.). Conten I' Appendice. Calcul ا‎ ie des Géorgiens, extrait d’un ms. envoyé par le prince royal Théimouraz (p. 168—177, ou 1—12). II* Appendice. Sur les cachets géorgiens, avec l'extrait d'une lettre du Prince royal Théimouraz [avec 1 pl. lith.] (p. 177—190, ou 12—25). 158. Archéographie géorgienne. [1' article]. (Lu le -9 févr. 1837). 2° article. (Lu le 22 juin 1838). Bull. sc. 1" art. T. III col. 878—381 (tiré à part 89 5 p.); 2€ art. Bull. sc. T. IV col. 266—272 (tiré à part 89 10 p.). 159. Copie figurée de quelques cachets géorgiens. Avec 1 pl. lith. (Lu le 6 mars 1840). Bull. se. T. VII col. 165—169 (tiré à part 8° 6 p.). 160. Correspondance en grec des rois géorgiens du Cakheth avec la Russie, pendant le XVII’ siècle. Avec 1 pl. de fac-similé. (Lu le 8 oct. 1841). Bull. sc. T. IX col. 349—380; T. X col. 112—128 (tiré à part 8° 66 p.). 161. Rapport à S. E. M.le Ministre, Président de l'Académie, par M. Brosset. Moscou, 29 juill. 1844 [sur la marche de ses occupations à Moscou]. (Lu le 1 nov. 1844). Bull. hist.-phil. T. II col. 145—160 (tiré à part 8? 22 p.). 162. Rapport à S. E. le Prince Vorontzof, sur les chartes géorgiennes. [Tiflis,] 14 janv. 1848. (Lu le 11 aoüt 1848). Bull. hist.-phil. T. V col. 224—240, 241—254, 257—264, 273 —288 (tiré à part 89 55 p.). 163. Notice sur une lettre géorgienne du roi Ar- tchil à Charles XII, 2 févr. 1706, et sur les divers séjours du roi Artchil en Russie. (Lu le 28 oct. 1853). 1 Bull. hist.-phil. T. XI col. 172 —192, 215—222 = Mél. as. T IL. p: 211—248 (tiré à part 89 p. 211 — 248) ~ ? Traduction russe, dans les Yu, San, Akay. uo I u HI. Oryba. T. II gsn. 4 (1854), p. 545— 579, sous le titre: O rpyaunckow» nucbwb napa Apumda KD HIBOACK. xopour Kapıy XII, or» 2 vesp. 1706 r., u o 137665183181215 naps Apuna Bb Pocciu. 164, Notice sur un document géorgien du XVII s. (Liste de la dot, remise par Léwan-Dadian au roi Ro- stom, quand celui-ci épousa [Mariam,] la sœur de Lé- wan). (Lu le 1 août 1856). ! Bull. hist.-phil. T. XIV col. 129—142 — Mél. as. T. III p. 17—35 (tiré à part 89 p. 17— 35) ~ 2 Traduction russe, signée: «/[.», dans - le Karka3, 1856 MX 98 et 99, sous le titre: Maxzou3BÊcTHbIi nicb- Menn DAMATHUKE XVII CTOI. Ha PDY3HHCKOMT slI3bIK T. 165. llepenncka Ba mocTpaHHbIX'b S3bIKAX', riyadi- | CKHX'b napeit ch pocceiiiekuwm rocyaapsawm, orb 1639 no 1770 r. [Haan akaa. M. U. bpocce]. DR 1861. 4° 10 +- XCI + 233 p. 13 Contenu 10 6 gedet Avant-propos. Janv. 1861 [textes russe et français en regard]. (4 p.). 29 ]Tepeuenrp npousmecrBiñ (4 p.). 30 Hcropuueckiñ ne de AUHAOMATUYECKUX’b cnomeniii wg E cilickuuu rocyaapam 210512111 u JeHHbIi Hà Dänn, 53. Zenger Ilaoenomt, EC upa luasuow» apxuBb u EEN Hà pyeckiii A3BIKE YUHOBHUKAMH roro xe apxusa (p. I—XCI). 49 ]Tepeuucka. fierté originaux et traduction russe en regard, en deux colonnes] (p. 1— 238). 166. Rapport sur un recueil de documents histo- riques, publié par la Commission archéographique du Caucase. (Lu le 25 avr. 1867). ull. de Acad. T. XII col. 17—28 = Mél. as. T. V p. 651—667 (tiré à part 89 p. 651—667). 167. Note sur le manuscrit géorgien X 23, de la Bibliothèque Imp. de Paris [épistolaire historique des XVII et XVIII s.] (Lu le 20 janv. 1870). Bull. de l'Acad: T. XV col. 45 — 58 = Mél. 233 — 252 (tiré à part 8? pe 233—252). 168. Sur un projet d'étude des chartes géorgiennes. (Lu le 7 mars 1878). Bull. de l'Acad. T. XXV col. 54—63 = Mél. as. T. SE 545—557 (tiré à part 80 p. 545—557). às. T,-VE p. 10. Chronologie. 169. Note en réponse à une question proposée par M. Klaproth, dans le Journ. asiat., décembre 1829, p. ` 99 note 2, par M. Brosset. [1° Noms des à années, en gé- - orgien. o Koroniconi]. Nouv. Journ. as. T. V (1830), p. 231 — 233. 170. Extrait du manuscrit arménien n° 114 de la Bibliothèque royale, relatif au calendrier géorgien; tra- duit par M. Brosset. Nouv. Journ. as. T. X (1832), p. 526 — 532. 171. O ubkoropbIxb HEAOCTATKAXE TPY3HHCKOÏ Xpo- HOJOriH. | KaBKa3'b 1850, NN 24 et 25. 172. O nogom» counHemiu upos. /lioxopbe mo sacra APMAHCKOÏ XPOHOAOTIH. Yu. 3an. no I a HI Ora. Aan T. II BB, 1 (1853), p. 221 — 222 173. Notice sur un manuscrit géorgien de la Biblio- théque Imp. publique, provenant de M. Tischendorf. (Lu le 26 févr. 1858). Bull. hist. aget T. XV col. 177 —189 — Mél. as. T. III p. 264 —280 (tiré à part 89 p. 264 — 280) 174, Traité géorgien du Son ecclésiastique, composé et écrit en l’année mondaine: 6741, ère grecque (5508); 6837, ére géorgienne (5604); 455 du 13* cycle pascal Bone 1938 de l'incarnation. | (Manuscrit de Mtzkhétha), traduit par M. Brosset. (Lu le 23 nov. 1865). Bull. de Acad. T. IX col. 448 — 469 — Mél. as. T. V p. 420—451. 175. Études de chronologie technique. Par M. Brosset. Première Partie. Prés. le 5 sept. 1867. SPb., 1868. 4° LI p. + p.1—88.—Première Partie. Suite. Prés. le 5 sept. 1867. SPb., 1868. 4° p. 89—178. Mém. VII Ser. T. XI, NN 13 et 18. Contenu: ek nn (p. I— LI). I. Traité géorgien de comput. Manuscrit de T ischendorf, Gothos Imp. publique, 941—965 de J.- Introduction (p. 1 — 2). [Texte géorgien ] (p. 2 — 9). Traduction [et annotations] (p. 10 — 20). . Traité de comput ecclésiastique, composé et écrit en l'année mon- daine: 6741.... 1233 de l'incarnation. Manuscrit de Mtzkhétha. Avis pr éliminaire (p. 4 — 23). [Texte géorgien] (p. 2 )- Traduction [et EE (p. 89 — . Traité du calendrier, par le "E Wakhoucht; d’après le manuscrit autographe, du ze Armeen 1755. [Texte géorgien] (p. 57 Traduction [et E a — 88). IV. Comput pascal arithmétique chien avec annotations, de - l'ouvrage: IIacxa:is apuomeruyeckan n pysusas. Orua fIkoskima CIIG., 1856, 306 p. Mors 2° éd. 1862, 452 p. 89. (p. 89—175 > Conclusion In. (E 116. De la PECH technique géorgienne ecclé- siastique et civile. (Lu le 27 mai 1875 Bull. de Acad. T. XXII col. 455—488 = Mél. as. T. VIII p. 41 —87 (tiré à part 89 p. 41—87). à la Bi- 11. Histoire. 177. Notice du Code géorgien, manuscrit de la Bi- bliothèque royale. Nouv. Journ. as. T. III (1829), p. 177 — 201. 418. Nouvelles de l'armée d'opération du Corps spécial du Caucase, (Extrait du Journal E orgien de Tiflis du 27 nov. 1828). Nouv. Journ. as. T. HI (1829), p- 380, 384— et 471 — 473. 179, Courte relation du commencement, du progrès et de l'état de la Mission géorgienne ... par le P. Ber- nardo Maria, ... [traduit du latin par M. Brosset]. Nouv. Journ. as. T. X (1832) p. 193 — 218. .180. Précis de l'histoire des invasions des Mongols dans l'Asie occidentale, au XHI s. Lebeau, Hist. du vete T. XVII (1834), p. 449 — 481 x à part: Paris, 1834. 89 p.-449— 481). 181. Correspondance avec la Géorgie [sur les tra- vaux de PI. Iosélian et du P. Kouthatéladzé, relatifs à l'histoire et aux antiquités de la ae (Lu le 8 p 1838). Bull. se. T. IV col. 205—207 (tiré à part 894 p.). 14 182. Monographie géorgienne de Moscou. [1° Mo- numents religieux. 2° Sépultures. 3° Archives. 4° Ma- nuscrits|. (Lu le 31 août 1838). Bull. sc. T. IV col. 279 — 302, 328 — 336 (tiré à part 89 45 Bi 183. Revue des antiquités géorgiennes. (Lu le 2 nov. 1838). Bull. sc. T. V col. 35 — 48 (tiré à part 89 19 p.). 184. Matériaux pour l'histoire de Géorgie depuis le XIII siècle, (Lu le 7 déc. 1838). (Extrait). Bull. sc. T. V col. 100 — 104 (tiré à part 8° 7 p.). 185. De l'état religieux et politique de la Géorgie jusqu'au XVII s. (Lu le 1 févr. 1839). 1 Bull. sc. T. V col. 225—256 (tiré à part 89 45 p.) ~ ? Traduction russe, dans lé Ab M. H 3. XL (1843), Ora. II, p. 131— 146, 191— 234, sous le titre: O peauriosHOwb u HOAUTHYECKOMB 201088311 l'py- ain ao XVII 8. Ilepesoxe 1. 186. Histoire des Bagratides géorgiens, d'aprés les auteurs arméniens et grees, jusqu'au commence- ment du XI s. [avec 4 tableaux généalogiques]. (Lu le 9 mai 1843). Bull. hist.-phil. T. I col. 145—174, 177—208 (tiré à part 89 76 p.). Contenu: I. De l’origine des Bagratides géorgiens, jusqu'en 786 de J.-C. Il. Second avénement de la dynastie Bagratide, en Géorgie (786 .-C.). "ot Histoire des Bagratides arméniens, en tant qu’elle se lie à celle de la Géorgie, et des Bagratides géorgiens, d’après les sources ar- méniennes. IV. Notices fournies par les Mess arméniens sur les princes Bagratides du Tao et de l'Ahphkhaz 181. Notice sur le mari russe de Thamar, reine de Goérgie. (Lu le 26 mai 1843). Bull. hist.-phil. T. I col. 209—229 (tiré à part 89 28 pð. 188. Essai chronologique sur la série des catholi- cos d’Aphkhazeth. (Lu le 22 sept. 1843). Bull. hist.-phil. T. I col. 305—324 (tiré à part 8? 29 p.). 189. Ppysuucekii napesuss Teümypasp [+ 23 OKT. 1846]. : CII6. ska. 1846 N 250. : 190. Notice historique sur les trois dernières an- nées du régne de Wakhtang VI et sur son arrivée en Russie, d’après des documents authentiques. (Lu le | ` 21 août 1846). Bull. hist.-phil. T. III col.321—345, 358—376 (tiré à part 8064 p.). 191. Crarncrnueckie ogepkn Ppyausckuxs quaerit. . Kaskase, 1847 26 aup. Ne 17; 21 iron. Xe 25; 28 irom. Je 26. 192, Sur les portes de fer, conservées au couvent de Co en Imirétie. ^ 1 Jour e SPb DP /O09Ó f. A نم‎ 2 Tra- duction Seng faite par M. Brosset, dans les CIIG. m 13 MAT. 1Q47 NON [t1 1847 N: 58, sous le titre: O gekonnt, BOPOTAXP, XPAHAUHXCA BB lexarekow» woHacTbipb np —Ó€— ~ 3Réimpression du méme article russe, d’après les 0116. ,ركام‎ dans le Kapkas 1847 X 16. 193, a. js&»eol: (s53635s ... Histoire de la Géor- gie, depuis l'antiquité jusqu'au XIX s., traduite et publiée par M. Brosset. I° Partie. Histoire AA jusqu’en 1469 de J.-C. [Texte géorgien. SPb.] 18 18 4" 484 p. b. Histoire de la Géorgie, depuis l'antiquité jusqu'au XIX s., traduite du géorgien par M. Brosset. I’ Par- tie. Histoire ancienne, jusqu'en 1469 de J.-C. [Tra- duction et annotations]. SPb., 1849. 4° 694 p. c. Additions et éclaircissements à l'Histoire de la ` Géorgie depuis l'antiquité jusqu'en 1469 de J.-C. Par M. Brosset. SPb., 1851. 4° 494 + 2 p. Contenu: ? Chronique arménienne [abrégé arménien des Annales géor- giennes, traduit par M. Brosset] (p. 1—61) 20 Additions: I. Des travaux dont l'histoire de la Géorgie a été l'objet ue o . Sur la langue géorgienne (67 } : Sur les rapports des Persans avec la Géorgie, dans la seconde 1 V s. de l'ére Ke (67—80). . Sur le Lie de Lazique (81—107). V. Histoire de la scission religieuse entre les Géorgiens et les Arméniens, depuis la fin du VI s. (107—125). . Notice sur les saints pères syriens, venus en Géorgie sous le roi Pharsman VI (542 — 557 de J.-C.) (125—132). . Notice supplémentaire sur 8. Abo (132 — 186). . Notice sur S. Néophyté, évêque d'Ourbnis (137—138). . Histoire des Douanes géorgiens, d’après les auteurs armé- niens s grecs, jusqu'au commencement du XI s. (138— 18$). X. Pour le régne de Bagrat III, renfermant la description et Piistoire du couvent ibérien du mont Athos, et de celui de la Croix, à Jérusalem (189—209). : Récit des auteurs arméniens sur le règne de GiorgiI (209 : Rapports entrela Géorgie et la Grèce, sous Bagrat IV (218 1, gi 8 KEE de divers auteurs, relatifs au règne de David II (228—236). 8 2. Extraits d'auteurs musulmans, relatifs à la ri de Tiflis, par David-le-Réparateur (236—241). § 3. Re- levé chronologique de faits mentionnés chez les auteurs mu- sulmans (241— . Règnes de Dimitri I et de Dawith III (244—248). XY. Notice sur les gouverneurs musulmans de Tiflis (248—253). ègne de Giorgi III (253—266). - , concernant le régne de Thamar. $ 1. Notice et détails histo- ; riques sur la famille des mers (266—279). 8 2. Affaires de N (279—288). § 3. Sur les deux maris de Thamar (288—296 d 4. ا‎ ne rie de Thamar ^ Renseignements sur les régnes de Giorgi-Lacha et de Rou- an. $ 1. Extraits de Vardan, etc. (298—309). 8 2. pe sions e? Djélal-ed-Din en Géorgie- (809—317). $ 3. Vo des Géorgiens en Mongolie (317—329). § 4. Extraits Jop - teurs musulmans (329—333). $ 5. Chronologie des règnes de Giorgi-Lacha et de Rousoudan (33 XIX. $1. Fin de l'histoire, et généalogie complète des Orbélians (334—339). § 2. Digression sur les rois de Khatchen (339—367) 15 XX. Autre rédaction du règne de David VI, fils de Dimitri II (368 — 371). De l'origine des eristhaws du Ksan (372-385). Expéditions de Timour en Géorgie (386—397). Témoignages des écrivains étrangers, relatifs à l'histoire de la Géorgie, depuis la mort de Timour, jusqu'en 1459, et chro- nologie des règnes et des faits (398—4 11 Extraits de Ciracos, auteur armén. du XIII s., relatifs prin- cipalement au règne de Thamar et de ses successeurs (412 — 437). XXI. XXII. XXIII. XXIV. . Ouvrage de Malakia-Abégha (438 - 467). . Extraits de l'Histoire ‚des Aghovans, en arménien, par Mosé Caghancatovatsi ES 5 [n gene. . Histoire de la Uo de- ` puis l'antiquité jusqu'au XIX s. II^ Partie. Histoire mo- derne, depuis 1469, jusqu'en 1800 de J.-C., publiée en géorgien par M. Tchoubinof. [SPb.] 1854. 4° XXXIII + 576 p. En téte du volume (p. VI—XXXIII), une Préface, de Mr. Tchou- binof, datée du 2 juill. 1854, textes russe et francais en regard, in- titulés, le premier : Ipexucxosie. Hssbcria 06b ucropumueckux'b CO- ec sur les ouvrages historiques, en langue géorgienne, concernan Géorgie, et sur ceux qni sont entrés i la composition de cette seconde partie de l'Histoire de la Georg e. Histoire de la Géorgie, fa l'antiquité jusqu'au XIX s., traduite du géorgien par M. Brosset. II’ Par- tie. Histoire moderne. 1" livraison. [Traduction, an- notations et Additions]. SPb., 1856. 4° 660 C 0 Histoires particulières du Karthli, du Cakheth, du Samtzkhé et 3 l'Iméreth, par le Tsarévitch Wakhoucht Sm 1). 29 Suite et fin des Grandes-Annales (322-376). 3° Dates recueillies par le Tsarévitch ee (377—406). 49 Additions [I—IX]: I. Régne de T HI (407 —411). ; 8 Turks en Perse à la fin du XVI s. Extraits de l'Histoire ee lus (411—419). Résumé du régne de Suimon I (419—421). Extraits de l'Histoire d'Arakel de Tauriz, relatifs aux règnes de Suimon I et de Giorgi X (421—44 Extraits d'Iskender-Moundji, concernant um invasions des rois de Perse dans la Géorgie, au XVI s. (44 . Extraits de l'Histoire de Pharsadan . سا‎ (509—577). . Notice sur les trois dernières années du règne de Wakhtang VI, d’après les documents des Archives de Moscou (577—601). Phéchang (601—614). € eg eege (615— de Perlen, Fi matières (655—660 ` f. Histoire de la Géorgie depuis l'antiquité jusqu "an XIX s., traduite du géorgien par M. Brosset. IT Par- tie. Histoire moderne. 2° livraison. [Traduction, anno- tations et Additions]. SPb., 1857. ich 2- + 576 p. Dates at qtatiatianos des d et SLALISLIQUES UCD uy 5 51 dem F 19 Table des matières (2 p.). Notice sur les eye de Sekhnia Tchkhéidzé et de Pa- pouna Orbélian] (1—6). 5 Notic tice sur une histoire en vers du roi Chah- Nawaz I, par | 30 Chronique de Géorgie par Sekhnia enee (7—54). 49 Chronique de Papouna Orbélian (55—20 59 Vie d'Eréclé II, par Oman Kherkhéoulidzé (208 — 227). 69 Histoire de la Géorgie, fin du XVIII et commencement du XIX s. Lies détachés, fournis par des RM (228—334). dditions [X—XVII ; cf. livr. X. Résumé chronologique des régnes ads IT de Cakheth, et de Théimouraz I, d’après les documents des Archives russes (335— XI, pour l’histoire d'Iméreth, sous ... Artchil fils de Wakhtang V (845— 553). XII. Lettres du roi Eréclé II. $ 1. Campagne dans l'Inde (854— 370) 2. Campagne de 1770 (370—373). $ 3. Renseignements di- diea A à ) 8 4. Sur le tsarévitch Léon, fils d'Eréclé IT (37 XIII. fe jpa 1 l’histoire de la Géorgie, à la fin du XVIII s. (380—406). XIV. Chartes ue relatives au Cakheth (407—431). XV. Essai DRE sur la série des catholicos d'Aphkhazeth XVI. ee is les KE (441—562). XVII. Lettres du comte Paul Potemkin au roi Eréclé II (563— gel g. Histoire de la Géorgie, depuis l’antiquité jusqu’au XIX s., traduite du géorgien par M. Brosset. In- troduction et Tables des matières. SPb., 1858. 4° CCOXIV + 2 + XCVI p. Contenu : * 1° Introduction: [Plan de l'ouvrage et manuscrits employés] (I— HI). I* Partie. Vues générales et histoire littéraire. 8 1. Noms de la su E — XI. $ 2. Sources de l’histoire géorgienne (XI — LXXV IP = tie. Essai sur l’organisation PERI en Géorgie, au moyen des chartes (LXXIX—CCXIV). Sommaire de l’Introduction (2 p.). 29 Table des matières de la I® Partie de l'Histoire de la Géorgie : et des Additions (I—XLI). — Index des mots géorgiens et arméniens : و‎ dans les notes (XLI—XLV). able des matières de la seconde partie ou de l'Histoire mo- dms de la Géorgie (XLVI—XCIT). — Index des mots géorgiens ex- pliqués dans les notes de l'Histoire moderne (XCIII—XCVI) 194. Notice sur deux fragments relatifs à l'his- toire de la Géorgie, au XIII s., sous le régne de Tha- mar. [1' fragment: Bataille de Chamkor, en 1203. 2" fragment: Sac d'Ardébil, vers l'an 1209]. (Lu le 9 janv. 1852). ! Bull. hist.-phil. T. IX col. 289—304— Mél. as. T. I; 6 à part 89 p. 563— re) 2 Traduction du 1” it les uen. Jan. no I u III Org. T. I (1853), p. 478—490, sous le titre: ee 0 rpyamnckoii napunk TamapĚĖ, Bb xpensneii € JATE- parypb. O IHamkopckoñ out BB 1203 r. ~ 3 Autre traduction, dans le KaBka3’ 1854 V 65—67, sous le titre: Eeer ÓwrBa (BB 1208 r.) Hat, 331111131 akan. Bpocce. Cf. une note bibliographique, signée M. A. lis. BHuKkoB®), dans les CII6. Bka. 1853, Ae 165, sous 3 titre: Encaiorpaeuw. 3a- . M'ÉTKA no 11080113 Pascyxjenis, HàneuaTaHHaro BE Yuen. Sam. 0 EX a 111 ora. (T. I, c. 478 n ca&ı.), uox» sanas.: ee 0 Tpy3. na puu Tawapb, Bb Apepneh pycckoi ınrepar SC 195. Notice sur un Nomocanon géorgien Spy — bebo, manuscrit du Musée Asiatique de l'Acad. Imp. des sc. € 103 a. (Lu le 11 déc. 1873). 16 Bull. de PAcad. T. XIX col. 387 — 374 — Mél. as. T. VII, p. 113—166 (tiré à part 89 p. 118—166). ~ 196. Ouepk» kparaueckoñ ncropin Dpyaiu 10 1469 r. 4° 200 p. [Manuscrit]. 197,a. Programme d'un prix d'histoire proposé par 1 Académie Impériale des Sciences de St.-Pétersbourg dans sa séance publique du 29 décembre 1853 [1° «origines et affinités des Ibériens», des Meskhes (Mcoyo:) et des Colques, ainsi que leurs rapports avec les autres peuples; 2° la Géorgie depuis les invasions des Mongols, au XII’ s., jusqu'à l'apparition des Turcs dans la Mer-Noire vers la fin du XV s.]. 8° 3 p. b. Ilporpamma neropnaeckoï npeMin, mpejo:kenHoiit Muneparoperow C. IIerepóyprekoro Arazemier Haykp, BB nyÖanynomp es 3acbjauiu 29 AeKaĞpA 1853 rona. 55 2 Oruerr, H. Akax. Hayxk aa 1853 r. ~ ? Yu. San. uo I u MI Ora. T. II, p. 682—634. c. Programme des deux prix hilo, proposés par l’Académie Impériale des Sciences de St.-Péters- bourg, dans la séance publique du 29 décembre 1858. I. Origines ibériennes. II. La Géorgie, aux XIII' — XV’ siècles. 8° 3 p. d. IIporpamma 4BYXb ncropmaeckux 11211111, DDGLI0- 3KCHHBIXB l[Iurneparopcekoro C. Ilerepó6y prekoio À kajewiero Hayk» m» 117611151101158 3acbgauim 29 xekaôpa 1858 roja. I. IIpouexo:kaenie man: II. I’'pysia, up XIII XV crorbriaxe. Oruerp H. Akan. an 3a 1858 r. 198. Détails sur le droit public arménien, extraits du Code géorgien du roi Wakhtang, et traduits du géorgien par M. Brosset. Nouv. Journ, as. T. IX (1832), p. 21—30. 199. Rapport sur un manuscrit arménien [Mkhi- thar-Goch, Livre de décisions judiciaires]. Cu le 17 août 1849): Bull. hist.-phil. T. VI col. 380—382 = = Mél. as. T. I p. 150—152 (tiré à part 8° 4 p.) 200. Listes chronologiques des princes et métro- polites de la Siounie, jusqu'à la fin du XIII s. (Extrait d’un Mémoire présenté à la séance du 23 août 1861). (Lu le 22 nov. 1861). Bull. de l'Acad. 2 IV col. 497—562 — Mél. as. T. IV p. 501—592 (tiré à part 8° 501—592). 201. Sur isse ancienne de l'Arménie, d’après les textes hiéroglyphiques et cunéiformes. (Lu le 13 avril 1871 les 0116. Bbx. 21 app 1855 Bull. de Acad. T. XVI col. 382—340 = Mél. as. T. VI p. 389 — 400 dech à part 8° p. 389— 400). 12. Biographies. 202. Notice historique sur M. Afntoine|-J{ean] Saint-Martin, membre de l’Institut (Académie des Inscriptions), chevalier de la Légion d'honneur, rédac- teur du Journal asiatique, par M. Brosset jeune, son élève. Lebeau, Hist. du Bas- m e T. XIII (1832), p. I—XXIH. (tiré à part: Paris, 1833. XXII p. in 8?). 203. Histoire de du patriarche arménien . de Constantinople, Avédik. (Lu le 13 avr. 1838). Bull. sc. T. IV p. 87—96 (tiré à part 89 13 p.) 204. [Notice nécrologique sur M. Frédéric Dubois de Montpéreux, t 25 avril (7 mai) 1850]. 1 Journ. de SPb. 20 mai 1850 X 1116 (tiré à part 1 p. 4? sous le titre: Nécrologie. ~ ? Traduction russe dans les 0116. sta, 1850 31 wan X 121 ~ 3 Kaskasr 1850 X 50 28 iona — 4 Traduction russe dans le AR M. H. IL u. 67 (1850) or, VII, p. 48—50 — ° Rapports sur un voyage .... dans la Géorgie, 2° rapport p. 191—192. 205. [Discours prononcé aux obsèques de M. l'Aca- démicien Christian Martin Fræhn (+ 16 août 1851) par M. Brosset, le 20 août 1851]. ! Journ. de ee 26 août 1851 N 1488 ~ ? Journ. as. 4° Ser. T. XVIII p. 594— 206. O iind rpy3. napa Teïñmypasa (+ 1761). ! Notice explicative, accompagnant l'édition du portrait, 2 p. fol. Auen. San. no I u II ora. T. II (1854) p. 460 — 461 ie 8 mex. 1853) — 3 CII6. nba. 1853 M 221 ~ 4 Kanskas» 1853 V 7 207. [Discours prononcé aux obsèques de M. l Aca- démicien Anders Sjógren T 6 janv. 1855, par M. Bros- set, le 11 janv. 1855]. - 1 Journ. de SPb. 18 janv. 1855 5 607 2 Traduction russe dans X 16 — 3 Bull. hist.-phil. T. XII col. 209 — 212 — Mél. russes T. II p. 504 — 507, avec rectification de quelques errata. 208. Hbeko1sko ur udi Hà KHHLy r. age «Pycexan repasıuka (CII6., 1855)». 2 XXV upuc. emn. Harp. (1856), p. 101—107. 209. Nouvelles recherches sur l'historien Wa- ` khoucht, sur le roi Artchil et sa famille, et sur divers personnages géorgiens enterrés à Moscou. (Lu le 14 . janv. 1859). Bull. hist.-phil. T. XVI col. 145—152, 161—183 = Mél. as. T. III p. 533—575 (tiré à part 8? p. 538—575). 210. Dorn, Kunik, bao has Bros- set. Premier rapport sur les manuscrits de feu l’Aca- démicien Boutkof, de la section de langue et de litté- rature russes, (Lu le 23 sept. 1859). LI 17 Bull. hist.-phil. T. XVI col. 446—448 — Mél. as. T. IV p. 3—6 (tiré à part 8° p. 3— 211, a. Le prétendu masque de fer arménien, ou Autobiographie d' Avétik, patriarche de Constantinople, avec pièces justificatives officielles. [1° article: intro- duction renfermant un apercu général de la question du masque de fer]. (Lu le 21 aoüt 1873). . Bull. de l'Acad. T. XIX col. 186—197 = Mél. as. T. VII p. 1 — 18 (tiré à part 89 p.1—18). b. Le prétendu masque de fer arménien, ou Auto- biographie du vartabied Avétik, de Thokhath, déposé du patriarcat de Constantinople et de l'emploi de su- périeur de Jérusalem; traduite de l'arménien. Par M. Brosset. [2° article: traduction du mémoire 0: Avé- tik, composé en 1710, et piéces justificatives]. (Lu le 21 aoüt 1873). Bull. de l'Acad. T. XX col. 1—100 — Mél. as. T. VII p. 179 — 322 (tiré à-part 80 p. 179—322). 13. Mélanges, relatifs à la Géorgie et à l'Arménie. 212. [Variétés géorgiennes. Par M. Brosset jeune.] 32 p. 8? autographiées, avec pagination en lettres géor- giennes. (Lith. de A. Fonrouge.) Contenu: 19 Quelques es un morales en langue géorgienne [texte géor- gien et traduction] (p. 1—16). 29 Calendrier huir exact et véridique [texte géorgien et tra- 3). pre en regard] (p. zette Se 13 août 1820, à Tphilis. X 32. Notice sur Me parer [texte géorgien et traduction en regard] (p. 24—29). xtrait d’une liturgie manuscrite de la Bibliothèque R!® de Paris nixie géorgien et traduction latine en regard] (p. 29—382). 213. Pièces diverses relatives à la Géorgie, tra- duites par M. Brosset. [1° Carte géorgienne de la Géorgie, par Wakhoucht. 2° Inscriptions géorgiennes. 3° Fragmens poétiques]. Nouv. Journ. as. T. VI (1830) p. 305—320. 214, Mémoires inédits, relatifs à l'Histoire et à la Langue géorgiennes, composés ou traduits et écrits par Brosset jeune. [Paris], 1833. 2 vol. 8° auto- _ graphiés. (Lithographie de Roissy). - A Contenu du 1° volume, p. 1— 57 p. sans pagination: 1° Aperçu Général de la langue géorgienne (p. 1—4 20 Table générale des matières [des 2 volumes des Mémoires] . 40). 39 Mémoires relatifs à l'histoire des pays géorgiens dans les 17° | et 18° s.; d’après deux manuscrits de la Société Asiatique de Paris. 3 partie, 1833 [sans pagination]: a) Avis (1 p.). b) Marre de Ste Kéthéwan, reine de Cakheth [par le tsarév. Theimouraz]. Préface [de l'auteur, texte end S traduction fran- çaise]. (1 P ch: géorgien de l'ouvrage] (15 €) Mort rand moouraw Giorgi Saacadzé ux le tsarév. Thei- mouraz. de SE (7 p.). d) Pièces diverses 1) Chiromancie. (Extrait d’un manuscrit acquis récemment par la Bibl. Roy!9). [Texte géorgien et trad. française]. ! (6 p. 2 Traduit en russe dans le Kaskas», 1854, N E sous le titre: l'py3HHCKAA XUPOMAHTIA. 2) Astrologie. (Extrait du manuscrit le plus ancien du roman de Tariel de la Bibl. R!°). ee lunaire exact et veridique [Texte georgien et trad. francaise]. 3) Autre piece relative à WEE (Extrait d’un man-it du lexique de Soulkhan- BE ho BE acquis par la Bibl, R!®). [Texte géorg. et trad. français Ji ' 4) Modèles de lettres. HR trad. et explic.]. ( (9 p 5) Fragment d'un man-it liturgique...[Texte géorg. = trad. ]. (6 p.). 6) Chanson à refrein. [Texte géorg. et trad.]. (2 p.). Contenu 2° volume, 138 p. sans AUS a) Avis. Table des matières [du Précis ci-aprés] (1 b) Précis des guerres qu 'eut à 80 outenir dans ses i contre les Cakheth, et és lieux, du roi Giorgi XIII*, l'héritier de son trône suprême, issu de David, issu de Bagrat, prince-royal Dawith. [Par le tsarév. Theimouraz. Texte géorgien et traduction frangaise]. (125 p.). c) e. au Jeter; en caractères géorgiens vulgaires enche- vêtrés (1 d) Dirk (11 p.). 215. Rapport sur quelques dons offerts à l'Académie. (Lu le 16 avr. 1852). Bull. hist.-phil. T. X col. 62—64 = Mel. asiat. T. II p. 86—37 (tiré à part 8° 2 p.). ; 216. Bpocce, Kyuuks, [lnœuep® u Beasann- HOBB-SCPHOBB. O coópauiu pykoumcei m Apyrixb ApeBHocreit, mpejJoxemubix rr. Pmpkosmuawm Bb npo- nawy Mmo. 117159110131 Bu6aiorert. (/Lonecenie NT. Bb Ver. dua. Ora. 7 Mapr. 1862). 3an. M. Araı. Hayx®, T. XV, xn. 2 (1869), p. 252—964. 217. Notice sur une collection de matériaux histo- riques et philologiques due à M. Ad. Berger. (Lu le 23 janv. 1863). Bull. de l'Acad. T. VI col. 1—3 — Mél. asiat. T. IV p. 710—713 218. Variétés arméniennes. Avec 1 pl. (Lu le 20 - nov. 1863). [Non achevé; seulement le $ ly sur la cryptographie arménienne.] Bull. de l'Acad. T. VII col. 90—99 = Mél. as. T. V p. 65-7 (tiré à part 89 p. 65—77). 219. Variétés géorgiennes. I. Calendriers lunaires. II. Sur une 111311181111118 géorgienne, du XVI s. [à Mos- —— cou]. III. Tombeau et épitaphe du roi Solomon D. d'Imé- reth, à Trébisonde. (Lu le 16 janv. 1868). | Bull. de PAcad. T. XIII p. 5—19 = Mél as. T.V p. 721—741 — (tiré à part 80 p. 721 dei or 8 18 14. Byzance. 990. Chronique de Trébisonde, composée en grec par Michel Panaréte, publiée pour la première fois, d'aprés un manuscrit de Venise, par M. Tafel, à la suite des opuscules d'Eustathe, en 1829, et traduite en francais par M. Brosset jeune Lebeau, Hist. du Bas- Empire, T. XX (1856) p. 482—508. 221. Fragments d'auteurs orientaux doi à la prise de Constantinople. Lebeau, Hist. du Bas-Empire, T. XXI (1836) p. 307—381. 9 Contenu: 19 Mélodie élégiaque sur la prise de Stambol [par Abraham, XV s.], trad. de l'arménien par M. Brosset (p. 807— 0 Règne du sultan Mahmad (II? du nom). Extrait d'un manuscrit géorgien, relatif au siége de Constantinople. Trad. par M. Brosset (p. 315—381). 299, Bpocce n Kyuus». 28336075 coumgenis 6n- 6xiorekapa Hun, 113:01. Duóaioreru 1-pa 9. eoup-My- paubra, 11025 38113816315: «Essai de chronographie Byzantine de 395 à 1057». XXIII apuc. JLemux. marp. (1954), p. 63—84. 15, Chine. 993. Essai sur le Chi-King, et sur l'ancienne poésie chinoise. Par M. Brosset jeune, éléve de M. Rému- sat, membre de la Société R'" Asiatique de Paris. "Pars, 1828: 30 p. 8&*. 224. Relation du pays de Ta ouan, traduite du chi- nois par M. Brosset jeune. Nouv. Journ. as. T. II (1828), p. 418—450 (tiré à part: Paris, 1829, 89 34 p). 225. Pa360pp xuralickoi rpawwaTuks wonaxa Ia- KHHOA. VIII npuc. Joi Harp. (17 anp 1839), p. 33—44. 996, Rapport à l'Académie Imp. des sciences, sur la bibliothèque chinoise du Musée asiatique. (Lu le 27 nov. 1840). 1 Bull. sc. T. VIII col. 225 — 240 (tiré à part 80 22 p) = ? Das Asiat. Mus. p. 603 — 622— 3 Traduction russe, zK. M. H. II. T. XXX .— (1841) ora. III, p. 22, sous le titre: Oroert o kuraückoi óuóaxiorek b Aaisr un. Akaı. Hayk». . 291. Rapport sur l'ouvrage de M: Callery intitulé: . Systema phoneticum sons sinicæ. (Lu le 15 déc. 1843). Bull. د‎ T. I col. 294—297 (tiré à part 80 5 p.). 16. Ouvrages publiés avec la coopération de M. Brosset. . 938. eg gm-bésbgoggmo وطهومتاليت‎ . . . = Ppysuso-pyccko-epaguy3ckiit cAoBapb, cocraBJeHHbiit ]laguaow» H y 61110 85131. Dictionnaire géorgien-russe- français, composé par David Tehoubinof.... Ou- vrage qui a remporté au grand prix Démidoff. CII6., 1840. 4° (16) + XV + 734 p. Contenu: [Titre et dédicace] (4 p 19 Préface. ee: [par M. Brosset. 30 juill. 1840. Textes français et russe en regard] (12 p.). 20 Kparkan rpy3HHCKAA TPAMMATHKA . Abrégé de grammaire géor- gienne [textes russe et traduction suede en regard] (p. I— XV A 89 [Cokpamenia. Abréviations] (1 p 49 [Tex basbrunbiii C30Bapb. 0 triglotte] (p. 1—692). 59 CunonumBi. Synonymes (p. 693—706). 69 Kopnu rpyauEckux? 12081. Radicaux se (p. 707—728). 79 Cnucok» ynorpeönreap#bümuxp uM IRCKHX'b U KEH- ckax». Liste des noms d'hommes et de ie les lus usités (p. 729—731). 80 l'eorpaenseckiii c1osaps. Dictionnaire géographique (p. 732 — 734). 99 Addenda et emendanda (2 p.). 999, Oyepk» ucropin n aureparypsı Ppyain [extrait des principaux ouvrages de M. Brosset]. Cia Ores. 1840 T. III p. 387—378. 930 9 ودعو او 6 اجوق ادو اوو‎ BapcoBa KOWA 3e ds gsf دچ‎ danos Sylo jol Zog, وجوه هم دپ وذو تاذ‎ 0 9eoos gas ons دیو‎ dalað, "been 9>- 0چ 6دودپ‎ dgogsols © gg bnbobegolsos. vsb 6-376- 996g; [L'Homme à la peau de tigre, en russe Bap- Copa koxa, poème écrit par Chotta Rousthwel. Nou- velle édition, faite par les soins réunis de MM. Bros- set, Zakaria Palavandof et Davith Tchoubinof. Saint- Pétersbourg.| . .. 1841. 8° XIV + 238 + 1 p. Contenu: 1? [Titres], p. I—IV. 29 [Dédicace, au Tsarévitch Théimouraz], p. 30 Gabs ~ bhgyg5m As [Préface, signée:] TE Ze 1841 Ves. S6mbys [le uc aoüt 1841. Brosset], p. VII—XIV si [Le poème], p. 1—224. 50 26063 w Me o [petit go, p. 225—238. 69 Tres [rectification], 1 p. La publication de ce livre a été précédée d’une annonce, impri- més en géorgien et en russe, sous le titre: 36mg6sd8s, IIporpauwa. 9 4 p. | 231. Lettres numismatiques et archéologiques, relatives à la Transcaucasie, écrites par le général J. Bartholomzei. [Publiées par M. Brosset]. Avec 4 planches lith. SPb., 1859. 4 IX + 2 + 6 P 3 - Contenu: TERIS [par M. de (p. I-IX). - [Lettres] (1—111). Explication dn planches (p. 112—116). 232. Le Caucase pittoresque, dessiné d’après nature par le Prince Grégoire Gagarine, avec une intro- 19 duction et un texte explicatif par le Comte Ernest Stackelberg. Paris, 1847 —1849. fol. 22 p. Avec LX planches lith. 233. Karaıorp kHurawb 301113111011 OuOJioreku [cocragienapiä r. 15013110811316 u] mam T. Bpocce, JIKcTpaopauHapHbIMB Akagewmkowb. CU. 1840. Catalogue de la bibliothéque d'Edchmiadzin [composé par M. Korganof et] publié par M. Bros- set, Académicien extraordinaire. SPb., 1840. 8°121 p. [Textes russe et français en regard.) Contenu: ; 1° Cebxbnia 06% Oumiaxsuæb. Notice sur Edchmiadzin (p. 2 — 61). La Notice a été présentée à ze le 14 fevr. 1840 et publiée dans le Bull. sc. 4 co SC —64. 29 06151311 KATAIOI'E KHuraM IITAMb OUMALSHHCKOÏ 611011101 تلكاع‎ . Catalogue de la bibliothèque "PEdchmiadzin (p. 62— 121). Cf. plus haut N° 46 et 47. 234. Ucropia Arsan» Moücen KaraukarBaum, mica - Texa X mBbka. Tlepesoap c» apmancraro [K. Ilarka- HbaHa]. CII6., 1861. XV ه‎ 374 + 2 p. 8°. 235. licropia Hwneparopa Mpakia. Coummenie enn- ckona Ce6eoca, nucarexa VII 8. 1167768015 5 0 [K. Darpantanal CII6., 1862. XVI + 216 p. 8°. 236. Vcropia xauueos Bapıanera 168088, nuca- Tea VIII 8. Ilepesoap c» apmanckaro IR Marka- HbAHa]. CII6., 1862. XI = 165 + 3 p. 8°. 231. Lebeau, Histoire du Bas-Empire. Nouvelle édition. Revue entièrement, corrigée et augmentée d'aprés les historiens orientaux, par Mr. de Saint- Martin membre de l’Institut (Acad. des Inser. et Belles-Lettres). Paris, 8°. T. I—XIII, 1824—1832 [publiés par M. de Saint- Martin]. T. XIV— XXI, 1833—1836, continuée par M. Brosset J”. T. XXVII, N°2. BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.- PÉTERSBOURG. TOME XXVII. (Feuilles 8—17.) CONTENT. Page. . 0. Backlund, Développement des perturbations absolues d'une comète ............... 113—135 €. Kalchbrenner et E, de Thümen, Énumération et description des champignons recueillis - dans la Mongolie et dans la Chine septentrionale... ..............,........... 135—142 M. Koria, Observation des taches de JUPE... .,..:..,..........,....... 142—145 S. Przybytek, Les produits de l'oxydation de PÉrythrit..... ..................... 145—151 B. Dorn, Remarques complémentaires sur les monnaies des Ileks, anciens khans du ۴ Türkistan.. و ني 5 يتك و‎ EE E 151—164 M. Bogdanow, Remarques sur le groupe do 2610611401685 ل وب‎ in eue 164—168 H. Wild, Relation entre les lignes isanomales de température et les lignes isobares (avec 2 Cartes): cosa نان د وح‎ di in ane men Tar eir e d eu جا‎ 2 168—186 0. Chwolson, Influence de la pression sur la résistance électrique des fils métalliques . . 187—212 Dr. E Morawitz, Les Bourdons russes du Musée Zoologique de l'Académie. .......... 213—265 0, Chwolson, Sur la valeur des erreurs dépendantes du retard ou de la prématurité des impulsions, dans les méthodes de M. Weber pour mesurer des courants électriques RAREST E LM LN eue Le DEN Tod rien E i 265—272 — ii aeg: par ordre de l'Académie Impériale des sciences. Mars 1881. . Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie d des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.). BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Zur Entwickelung der absoluten Stórungen eines Co- meten. Von 0. Backlund. (Lu le 11 novembre 1880.) Zu den schwierigeren Aufgaben der Astronomie ge- hórt die theoretische Ortsbestimmung der Himmels- kórper unseres Sonnensystems. "Wenn die Bahnen, in welchen sich die Kórper bewegen, kleine Excentrici- täten und Neigungen haben, so ist zwar diese Auf- gabe als vollstándig gelóst anzusehen. Denn in diesem Falle ist es móglich die Coordinaten ein für alle Mal als Functionen der unbestimmt gelassenen Zeit der Art zu bestimmen, dass die Lage des Himmelskörpers, durch Specialisirung der unabhängigen Grösse f, in jedem Augenblick mit einer der gegenwärtigen Be- obachtungskunst entsprechenden Schärfe angegeben werden kann. UE Handelt es sich dagegen um Bewegungen in Bahnen von beliebiger Excentricität und Neigung, so kónnen wir nicht sagen, dass die Aufgabe sich einer so voll- kommenen Lósung erfreue, so lange die Annalen der Astronomie nicht die Theorie irgend eines Cometen aufzuweisen haben, die in Genauigkeit und Vollstän- digkeit sich mit der Theorie eines der álteren Plane- ten messen kónnte. Durch die Epochemachenden Ar- beiten von Hansen und Gyldén ist Bedeutendes geleistet zur Förderung der Theorie der absoluten Stórungen in Ellipsen von beliebiger Excentricität ` und Neigung. Wenn auch durch diese Arbeiten die Aufgabe, die absoluten Stórungen eines Cometen zu ermitteln — theoretisch genommen — gelöst ist, so dürfte es doch wohl zu gewagt sein zu behaupten, dass die Untersuchungen auf diesem Gebiete als abgeschlos- sen zu betrachten sind. In Theorieen dieser Art wird es meistentheils erst bei ihrer Anwendung auf concrete Fälle möglich ihre Vorzüge und Mängel richtig zu be- urtheilen. Indem ich die folgenden Bemerkungen der Öffentlichkeit übergebe, glaube ich, dass meine Erfah- ‚rungen bei den Untersuchungen über die absoluten Jupiter-Störungen des Encke’schen Cometen mich zu diesem Schritt berechtigen. Tome XXVII. Bei der Ermittelung der absoluten Stórungen be- stehen die Hauptschwierigkeiten in der Entwickelung der negativen Potenzen der Entfernung des gestórten Körpers vom störenden, in der Verbindung dieser Entwickelung mit den Coordinaten und in der Inte- gration der dadurch erhaltenen unendlichen Reihen. Meine Bemerkungen beziehen sich nur auf die bei- den ersten Punkte. Zwar ist es mir gelungen, in meiner Arbeit: «Zur Theorie des Encke'schen Co- | meten», unter Zugrundelegung zweier von Gyldén in der Einleitung zu seinem «Recueil de Tables» gegebenen Formeln, Methoden zu finden, welche die numerischen Rechnungen bei den Entwickelungen der negativen Potenzen der Entfernung und deren Pro- ducte in die Coordinaten wesentlich vereinfachen. Später habe ich aber andere Gesichtspunkte gewonnen, von welchen aus betrachtet die Aufgabe sich etwas an- ders gestaltet. Nicht ohne Bedeutung scheint mir die Substitution zu sein, wodurch für die mittlere Anoma- lie ein Winkel o eingeführt wird, der mit jener in ähn- licher Weise verbunden ist, wie die excentrische Ano- malie mit der wahren, mit dem Unterschiede jedoch dass über die der Excentricitüt entsprechende Constaute willkürlich verfügt werden kann. Diese Substitution führt auf einfache schon längst bekannte Entwicke- lungen. Bekanntlich ist Hansen der erste, der mit Erfolg die Störungsfunetion in unendliche Reihen entwickelt hat, in welehen die Coefficienten nicht, wie früher, gleichfalls unendliche nach den Potenzen der Excen- tricität und Neigung fortschreitenden Reihen sind. Er hat nachgewiesen, dass im allgemeinen eine grössere Convergenz erlangt wird, wenn man die Reihenent- wickelungen nach den Vielfachen der excentrischen Anomalie und nicht, wie in der Theorie der alten Pla- neten üblich ist, nach den Vielfachen der mittleren Anomalie bewerkstelligt. Wenn auch dadurch in vie- len Fällen die Convergenz in Bezug auf den ge- störten Körper eine genügende wird, wie z. B. bei 8 115 Bulletin de l'Académie Impériale 116 den kleinen Planeten und unter gewissen Verhältnis- | oder: i sen auch bei Cometen, so treten doch häufig Umstände gd = d + P GPS EE .)8( auf, wo die Convergenz nach der excentrischen Ano- malie sich als unzureichend erweist. In seiner bekann- ten Pariser Preisschrift zeigt Hansen, wie unter allen Umständen eine hinreichende Convergenz erlangt werden kann, wenn man darauf verzichtet die Stö- rungen durch einen einzigen für die ganze Bahn gel- tenden Ausdruck anzugeben. Die Hansen'sche Me- | thode, die auch Partitions- Methode genannt wird, besteht darin, dass die Coordinaten des Cometen in verschiedenen Theilen der Bahn durch verschie- dene Veränderliche ausgedrückt werden. Durch Ein- führung der neuen Veránderlichen wird die Bahn in zwei oder mehrere Theile getheilt, und es ist einleuch- tend, dass je weiter man die Theilung treibt, desto grüsser die Convergenz nach den neuen Variablen — von Hansen partielle Anomalien genannt — werden muss; denn das Verhältniss des variablen Theiles im Ausdrucke für das Quadrat der Entfernung wird offen- bar um so geringer, je kleiner der Theil der Bahn ist, welcher durch die partielle Anomalie dargestellt wird. : Bezeichnen wir mit (A) die Entfernung des Cometen vom Planeten, mit r den Radius vector des Cometen und mit r’ denjenigen des Planeten, und bedeutet fer- ner H den Cosinus des Winkels zwischen r und r} 9o Pe (AP = P + r? — 9rrH. ` H kann man folgendermassen ausdrücken: H=Acosfcosf + Bcosfsinf'+Csinfcosf'+ Dsinfsinf} wo f und f die wahren Anomalien des Cometen resp. Planeten bedeuten und A, B, C, D Constanten sind, die nur von der gegenseitigen Lage der beiden Bahnen abhängen. r, rcosf und rsinf sollen nun vor allen . Dingen durch die partielle Anomalie ersetzt werden; die Formeln, wodurch dies geschieht, ergeben sich e aus der Natur der Theilung der Bahn. r”, r'cosf' . und r'sinf können wir in bekannter Weise nach den ` Vielfachen von g', der mittleren Anomalie des Plane- ten, entwickeln. Ist der stórende Planet einer der Hauptplaneten, so werden diese ECH sehr convergent. Wird die mittlere Anomalie der Epoche c' genannt, Dit ; po SCH g =C+rnt wo x und n die mittlere tägliche Bewegung des Pla- neten resp. Cometen bezeichnen. Der Theilung der Bahn gemäss kann nt als periodi- sche Reihe nach der partiellen Anomalie ausgedrückt werden. Wir kónnen daher g' aus dem Ausdrucke für (A)? eliminiren, wodurch wir ein Resultat von der Form: (AP = M, + M, cos c + M, cos 2c + ... + N, sind’ + N sin 26 + ... erhalten. Die Coefficienten M, und N, sind nur von dem Orte des Cometen abhängig, sie sind also Functio- nen der partiellen Anomalie. Als Epoche wird gewóhn- lich die Zeit des Durchganges durch das Perihel ge- wählt, d ist also die mittlere Anomalie des Planeten in diesem Augenblick. Da nun die periodische Reihe, welche für nt eingeführt wird, bei jedem Umlaufe des Cometen denselben Werth wieder annimmt, so kann die rechte Seite von (a) die mittlere Anomalie des Pla- neten nur dann zu jeder Zeit darstellen, wenn zu © nach jedem vollendeten Umlaufe die constante Grósse 2n. ” hinzugefügt wird; denn diese Grösse ist die mitt- lere Bewegung des Planeten in der Zeit, welche der Comet braucht um wieder zum Perihel zurückzukom- men. d ist also eine Grösse, die sich bei jedem Um- laufe sprungweise um den constanten Betrag 2r - = ändert. Wollen wir nach Hansen die Störungen der mitt- leren Anomalie, des Logarithmus des Radius vector und des Sinus der Breite in Bezug auf die Bahnebene ermitteln, so geschieht dies mit Hülfe der sogenannten Elementenstórungen Y, F, E, p, 4. Diese ergeben sich, ;| wenn nur die Störimgen erster Ordnung. verlangt werden — was wir in der Folge voraussetzen wollen — durch Integration aus den Gleichungen: = = maa) P (a) © cosf'4-Q Mut inf, BA ` — maa (FP POLE QT) PE m'aa LE Z eosf'« Q (A) ^ sinf'-R,(A)^*] - (P + + Qo) | ` tigen. 117 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 118 = — M a'a TAONE ” cos f + Q, (A)? sin f'| el KM 12 — m'a'a(P,*: . dp sec i j > ma^a {P,(A) ^5, ” cosf + Q,(A) 5 “sin a waa (Pf + GA) sec û a = ma”a|P,(A) ?- E cosf' + Q, (4) sinf'] —m'da(P,“ co mi Q; DE). Es bedeutet in diesen Formeln: o die partielle Anomalie. a die halbe grosse Axe der Cometenbahn. a die halbe grosse Axe der Planetenbahn. . m die Masse des Planeten. i die Neigung der Cometenbahn gegen die Fundamen- talebene. P,, Q,, R, etc. sind Functionen der Coordinaten des Cometen. Als Störungen erster Ordnung sind Y, P, 5, p, و‎ mit den Störungen der gewöhnlichen Elemente - folgendermassen verbunden: Ge 20e Y T o l-e 2e i P = og A M 9 6a 9e AM RU e op = sin? òQ 80 — cos? ài wo die Bezeichnungen auf der rechten Seite die her- kómmlichen sind. Es ist aus diesen Formeln ersichtlich, dass wir vor Allem die Grösse (A) * zweckmüssige Theilung der Cometenbahn kónnen wir ` dafür Sorge tragen, dass die Entwickelung dieser Grósse in Bezug auf die partielle Anomalie hinreichend convergent wird. Wir haben uns also hauptsüchlich . mit dem zweiten Argument, d. h. mit c' zu beschäf- Bei dem gegenwürtigen Stande der Theorie dürfte man wohl sehwerlich veranlasst sein, die Entwickelung von (A) ® analytisch in Bezug auf beide Variabeln durchzuführen. Es soll im Folgenden vorausgesetzt werden, dass die Entwickelung nach c analytisch zu ermitteln haben. Durch | ausgeführt wird. Sollte man sich veranlasst finden den umgekehrten Weg einzuschlagen, d. h. die Ent- wickelung in Bezug auf.die partielle Anomalie analy- tisch und in Bezug auf c' mit Hülfe der mechanischen Quadratur zu bewerkstelligen, so besitzt man gerade in der Partitionsmethode ein Hülfsmittel die analyti- sche Entwickelung bequem einzurichten. Unter der Vor- aussetzung, dass die Reihenentwickelungen in Bezug auf die partielle Anomalie durch mechanische Quadra- tur geschehen soll, kónnen wir also annehmen, dass die Coefficienten M;, N, im Ausdrucke für (A)? Con- stanten sind. Zur Beurtheilung der Convergenz findet man leicht durch die Art und Weise wie der Ausdruck für (A) abgeleitet ist, dass M, und N, von der ersten Ordnung, M,und N, von der zweiten Ordnung u. s. w. in Bezug auf die Excentricität der Planetenbahn sind. Es kann deshalb (A) ? nach den steigenden Potenzen des Verhältnisses : M, cos 2c' + N, sin 20 + M, cos 3c' + N, sin 3c! +... Mo + M, cos c' + N, sine’ entwickelt werden. Noch vortheilhafter verfährt man, ` wenn man nach Gyldéns Angabe den Ausdruck für (AP mit dem Trinom 1 + xcosc' =+- ysinc multiplieirt und dabei x und y so bestimmt, dass die 2c enthaltenden Glieder verschwinden, denn dadurch wird das angeführte Verhältniss von der zweiten Ord- nung in Bezug auf die Excentricität. : : Bezeichnen wir mit 7, die Summe der Glieder ` nullter Ordnung und mit 7, die Summe der Glieder zweiter und hóherer Ordnungen, so wird (1 سه‎ 2 cos c + ysinc') (AP = T, +T, Es wird sich häufig für die numerische Rechnung empfehlen soviel wie möglich in 7, das Sinus-Glied wegzuschaffen, wenigstens in der Nähe der kleinsten Entfernung der beiden Bahnen. Dies kann in genü- — gender Weise geschehen durch zweckmässige Bestim- mung der Constante F in der Gleichung | das Er E Nach dieser Substitution erhalten wir (1 = z cos Ẹ + ysin&) (A)? = T, 2- T, 8* Bulletin de l’Académie Impériale 120 wo also — F, My + m, cose + n Siné Ze س ms COS 3Ë سه‎ m, cos 4Ẹ +... + n,sin 36 + n,sin 46 +... In der Entwickelung (A) = )1 ة005 نه‎ sin 7, - Pop ry F +51 "EO liegt daher die eigentliche Schwierigkeit in der Ermit- telung der negativen Potenzen von T. Wir schreiben 7, unter der Form T, = mtl + Pcos( + A). Die Entwickelbarkeit der negativen Potenzen von T, nach den Vielfachen von & hängt also von © ab; kann die Annäherung der beiden Körper so gross werden, dass ® sehr nahe gleich Eins wird, so convergirt die Ent- wickelung so schwach, dass sie practisch unausführbar wird. Das Hülfsmittel der Partition auch in Bezug auf den störenden Körper zu ergreifen — obgleich theo- retisch möglich — würde auf so grosse practische Schwierigkeiten stossen, dass man wohl eher auf die Ermittelung der absoluten Störungen verzichten, als diesen Weg einschlagen würde. Kann man dagegen durch Substitution einer neuen Variablen in geeigneter Weise die Convergenz steigern, so liegt es auf der Hand, dass die Partitionsmethode wirklich fruchtbringend gemacht werden kann. Für & führt Gyldén das A y ein, definirt durch die Gleichung ع‎ = 2am 3E 2 5X (mod. k), wo K das vollständige elliptische Integral erster Gat- ` tung bedeutet. Dadurch wird 2K = 54 + A)}.*) Wenn k passend gewählt wird, so wird die Entwicke- T, su D + © cos (2am — lung von T, *) Das grosse Verdienst der Einführung der Theorie der ellipti- schen Functionen auf das Gebiet der Stórungstheorie gebührt Gyl- dén. Es ist offenbar ein Irrthum, wenn man, wie geschehen ist, die Priorität dieses Gedankens Ân gstróm zuschreibt. Die Art und Weise, wie letzterer sich die Anwendung der elliptischen Functio- nen auf die Stórungstheorie gedacht hat, beschränkt sich in der That auf die Ermittelung gewisser Entwickelungscoefficienten und steht keineswegs mit der Lösung des Stórungsproblems in einem so wesentlichen Zusammenhang, wie Gyldén’s Theorie. — ? — die mit Hülfe der Theorie der ellip- tischen Functionen sich ausführen lässt — nach den Vielfachen von x erheblich convergenter. Wird näm- lich k durch m I ue dq bestimmt und F so gewählt, dass A zugleich Null wird, so ergiebt sich Aam 2, = ميد‎ us (koe RU 8k T, M, EE KH ), WO 9 k? = م‎ = 1 — 6, Die Entwickelung von UE GT OK ui LEE E, T E = ag Si KC E | 1 ist dann besonders leicht; dass in diesem Falle die Convergenz nach x wesentlich grösser sein muss, als nach E ist einleuchtend. Hat man nun aber in dieser Weise die Wahl von k einmal getroffen, so kann sich die Sache bei anderen Specialwerthen von o nicht so einfach gestalten, denn P ändert sich mit den Punkten der Cometenbahn, auf welche T, in Folge der Specialisirung von o sich bezieht. Indessen , büsst die Convergenz nichts ein, wenn k sich nur wenig von a unterscheidet. Dass Æ aus den grösseren Werthen von c bestimmt werden muss, ist ersichtlich, es ist aber keineswegs nothwendig, dass es aus dem grössten, oder dem der kleinsten Entfernung entspre- chenden $ abgeleitet wird; dies kann sogar unter Umständen unvortheilhaft sein. Durch diese Substi- tution ist Gyldén im Stande, eine sehr elegante Trans- formation des Ausdruckes für (A)? zu liefern, die sich für die Entwickelung von (A) ^? nach den Vorschrif- ten im ersten Theil von Hansen's «Auseinandersetzung einer zweckmässigen Methode etc.» besonders eignet. Die übrigen Functionen von E die in den Entwickelun- gen vorkommen, lassen sich ohne Schwierigkeit durch y ausdrücken, denn es kommt dabei wesentlich darauf an, die Cosinus und Sinus der Vielfachen von & durch trigonometrische Reihen nach den Vielfachen von x auszudrücken; dazu hat Gyldén ausführliche Vor- schriften in den «Studien auf xus Gebiete der Stó- ` rungstheorie» gegeben. v. Asten hat durch seine Arbeit: « Dates über die Theorie des Encke'schen Cometen. I.» zur des Sciences de Saint- Pétersbourg. 122 Genüge bewiesen, dass diese Methode vollkommen be- friedigend ist, insofern es sich darum handelt, die Endresultate durch convergente Ausdrücke anzugeben. Jedoch erwies sich zugleich die numerische Rechnung als sehr mühsam; besonders schwierig gestaltete sich die Bildung der Quantitäten (A) 35 cos f' und (A) ? a sin E Dass diese Schwierigkeit wesentlich beseitigt werden kann — wenigstens soviel wie man in Betracht der Natur der Aufgabe verlangen kann — soll spüter ge- zeigt werden. Um die mühsamen numerischen Rechnungen bei der Entwickelung von (A)? cosf' und (A) sinf; die wesentlich von dem Umstande herrühren, dass das elliptische Argument y schon in den Ausdruck für (A)? eingeführt wird, so viel wie möglich zu vermei- den, giebt Gyldén in seinen späteren Arbeiten über diesen Gegenstand Methoden, die ersten Entwickelun- gen nach gewissen Functionen von y anstatt nach Viel- fachen von x selbst auszuführen. Man gewinnt dadurch den Vortheil, dass die reichen Hülfsmittel der ellipti- schen Functionen herbeigezogen werden kónnen. Da jedenfalls die Endresultate nach dem Argumente x ge- geben werden müssen — dies ist nämlich durchaus nothwendig, wenn man die Entwickelung in verschie- denen Theilen der Bahn nach verschiedenen Functio- nen von x gemacht hat — so sind von Gyldén Ta- feln gegeben, durch welche man das Argument y bequem einführen kann. Von den verschiedenen Func- tionen, die Gyldén zu diesem Zweck anwendet, se ich besonders A au 24 Eh , nach deren Potenzen 2. Y inter gewissen Bedingungen entwickelt werden kann, hervor. In meiner Schrift über den Encke-- nem. Cometen habe ich angegeben, wie ` vg C een cosf und WI": r sinf” ebenfalls als Potenzreihen nach dieser Function ent- wickelt werden können. Es ist selbstverständlich, dass die Beschaffenheit der Tafeln von der Natur der Function abhängt, welche in trigonometrische Reihen nach y verwandelt werden soll. Die Function kann nun der Art sein, dass die Ent- wickelung von 7' ®, oder sogar auch von (A) und dessen Producten sehr leicht geschehen kann, dass aber ` die Function solche Tafeln bedingt, dass deren An- wendung die gewonnenen Vortheile aufhebt. — Gyl- dén's neuere Methode setzt voraus, dass es zweck- mässig sei, einen und denselben Werth von k für alle Cobtetububión beizubehalten. Es soll jetzt eine andere Substitution angegeben werden, die auf convergente Reihenentwickelungen von T, ? führt. Wenn man für $ einen Winkel o einführt, der mit & in derselben Weise verbunden ist, wie die excentri- sche Anomalie mit der wahren, so kann man a priori einsehen, dass es möglich ist, durch zweckmässige Disposition über die der Excentricität entsprechende Constante eine bedeutende Convergenz zu bewirken. Es sei also tnê jE = Vlt woraus die folgenden Relationen hervorgehen: tang ; 9, عو به cos É — x C08 : PR she ———— 1—xcosQ ' Substituiren wir diese Ausdrücke für cos& und acid | T, = m, + m, cos + n, sin und machen von den folgenden Bezeichnungen Ge- brauch, nämlich PPS T ré M y "n Mo Rach E — q cos Q VV1 — x 1 Don S q sin Q, so kónnen wir schreiben T, = mo(1 — ux) 1— xCosp E + q cos (p— OU. . نه‎ Ch) oder ظ‎ )1 T, = len (1—x cosp) {1-4 cos (p— Q)] (2) So lange p < 1 ist, wird es immer möglich sein, SS x so zu bestimmen, dass gleichzeitig sowohl diese 123 Bulletin de l’Académie Impériale 124 Grösse wie auch و‎ kleiner als عر‎ wird. Es ist deshalb klar, dass unsere Substitution auf convergentere Ent- wickelungen der negativen Potenzen von T, führen kann. Die Formel (2) giebt "n 2 Bis (1— x cos p)" isin tegil *) [my1—ux)]? Die beiden letzten Factoren kónnen nach bekannten Methoden nach den Vielfachen von 9 entwickelt wer- den, worauf diese beiden Entwickelungen zu verbinden sind. Da x für ein und denselben Cometen und Pla- neten selbstverständlich denselben Werth haben muss, so kann (1— xcoso) ? ein für allemal berechnet werden, so lange es sich um einen gewissen Cometen und Planeten handelt. Man hat also nur {1 + g cos(p— QF} * für jeden Specialwerth der partiellen Anomalie zu entwickeln. Da die Convergenz in Bezug auf-ọ von x abhängt, so hat man vor allen Dingen x so zu wählen, dass die durchschnittliche Convergenz möglichst gross wird. Es lassen sich offenbar dafür keine allgemeinen Regeln auf- stellen, da die in jedem besonderen Falle obwaltenden ` Umstände berücksichtigt werden müssen. So viel lässt sich jedoch sagen, dass das Maximum der durch- schnittlichen Convergenz annähernd erreicht wird, wenn man x so wählt, dass die Convergenz in der grössten und kleinsten Entfernung der beiden Bahnen nahe dieselbe wird. Der kleinste Werth von q wird demnach für einen mittleren Werth von (A) stattfinden. Durch eine solche Wahl der Constante — die durch eine leichte Voruntersuchung getroffen werden kann — wird auch derjenige Theil der Stórungsfunction, welcher die Reaction des Planeten auf die Sonne aus- drückt, von derselben Convergenz. Wenn x mit dem von Gyldén für die Berechnung der Tafeln in seinem . «Recueil de Tables» angewandten Werth des verklei- nerten Moduls k, identificirt wird, so wird in Bezug ` auf Jupiter und Encke's Cometen eine derartige Aus- ~ gleichung der Convergenz nahezu erreicht. Wir haben nun zu zeigen, wie die bei der Ablei- tung von (A) ? und der Differentialausdrücke der Störungen zu berücksichtigenden Functionen von E durch ọ ausgedrückt werden sollen. Da diese Functio- nen als trigonometrische Reihen nach den Vielfachen von $ vorausgesetzt werden kónnen, so haben wir nur anzugeben, wie cos i£ und sin Aë nach den Vielfachen von © zu entwickeln sind. Der Definition von © zufolge kann diese Aufgabe offenbar auf folgende bekannte Aufgabe zurückgeführt werden: «Die Cosinusse und Sinusse der Vielfachen der wahren Anomalie in Reihen zu entwickeln, die nach den Cosinussen und Sinussen der excentrischen Anomalie fortschreiten.» Wir kónnen daher folgende Entwickelungen aufstellen: cosi£- RR, R Pyeoso«(R +R ع‎ Ze: sini = (R ° — R_M)sinp+(R®-R_,M)sin2p-+. | wo die A? nach den Vorschriften in Hansen's «Ent- wickelung des Products einer Potenz des Radius vectors etc.» zu berechnen sind. ; Wir sind jetzt zu dem Punkte gelangt, wo wir die Entwickelung von (A) ^, A cosf und (A) ? 5 sin f in Reihen nach den Vielfachen von o in Angriff neh- men können. Aus der Formel (a) ergiebt sich, dass die Ermittelung dieser Gróssen sich hauptsächlich auf Multiplication von Reihen reducirt. Dabei ist die eine Reihe immer die Entwickelung von T ? oder eine damit in Bezug auf Convergenz Bauwalente. Die anderen Reihen sind diejenigen, welche die Grössen 3 , (1-27 z ومن‎ + y sin £y", P cos j 5 sinf” liefern; diese, als Reihen nach den Vielfachen von £, be- sitzen eine bedeutende Convergenz, welche durch die Einführung des Argumentes o mittelst der For- meln (4) nicht unbeträchtlich verringert wird. Es würde deshalb eine sehr zeitraubende Arbeit sein, wenn man zuerst T und die übrigen Factoren, je- den für sich, in Reihen nach den Vielfachen von 9 entwickeln und dann die Producte durch mechanische - Multiplication bilden wollte. Diese Schwierigkeit kann aber beseitigt werden, wenn 125 des Sciences de Saint- Pétersbourg. wir die Vortheile, welche die Substitution von o ge- währt, richtig verwerthen. Aus (3) geht hervor, dass — ? zunächst unter der Form P. wir T erhalten, wo Z eine nach den Vielfachen von ọ fort- schreitende unendliche Reihe bedeutet und P für (1 — x cos o)" gesetzt ist. Auf dieselbe Form lässt sich, wie wir so- gleich sehen werden, auch 3 (1 + xcos& + ysin£) ? (Ay? am bequemsten bringen. Nun wird es sich aber zei- 3 gen, dass die Le P.T,, P.(12-zcos£A-ysin£)*, aber vor allem P-- ” cos f und P. " sinf', wo P nicht überall . dieselbe Pi von (1 — x cos ©( zu sein braucht, wesentlich convergenter sind, als T,” etc. Nehmen wir Sen an, dass wir die Entwickelung - woe (n) : T =(1—x an N^ in) ip gebildet haben, so ergiebt Eich Ges Substitution in den schon angeführten Ausdruck für (A) °: 1 1,8) ; (A) ?—(12-2€08£ 4-ysin£)' (1—xcosp) bx sin} i و a(9) cos‏ — $ (1 — x cos 9 T, ( 2 go e ip tr Sato) x (Aaf, Wir haben dann zunächst die Ausdrücke als Reihen nach © Vere ails Zu diesem Zwecke pa es zuerst nöthig, RT, (1—x coso T, ` mach diesem Winkel zu entwickeln, was wieder die Entwickelung von (1 — xcosp)?cosi£ und (1 — xcos 9) sinit vorausssetzt. Sei allgemein NETAY WP = (1 — x cos o) e?" "IS zur Entwickelung vorgelegt. Man sieht dann sogleich, dass diese Aufgabe, laut der festgestellten Relation | zwischen & und 9, keine andere ist als d giv ZF wo o das Verhältniss zwischen dem Radius vector und der halben grossen Axe bedeutet, nach der excentri- schen Anomalie zu entwickeln. Wir kónnen also schreiben rt. + CO 2 Stee (1— xc089) TE AR ée کہ‎ © Dieses ist eine bekannte Entwickelung. In der «Ent- wickelung des Products etc.» giebt Hansen ausführ- liche Methoden die W-Coefficienten zu berechnen. Für unseren Zweck ist es hinreichend, folgende For- meln anzuführen : ir i—r TT x (1+x,)" RK: „ist Lx, (Cn, nar s. 2 1.2 = c wr gan)(G-r-—1) Ur -Yx, 7 1.2 FAN GEBOLA Heier- G—76—724-1). 2 = 1.2.3 1.2 m} (irr)(iHr—1)(i+r—2) (ir) 1.2.3 oe EE (Lex m En à هه‎ (i-r— 1) Gera) (ir) (i—r)(i—r+1) a : 1.9.8.4 1.2 * =} — y. ji-r —0G6—r1 Gr) Val 5 1.2 LE eue (i—n(—r--1)6—724-2) tAr) 2 p 1.2.8 1.2 ب‎ — ina) r LT (=r) (+1) EEN (ier) (1x) p "d 13 1.2.8 rf _ kon (7-1) (or) (i—r+8) (ir) (ir) 4^ : 1.2.8.4 1.2 ee 3 Mit x ist x, verbunden durch die Relation - d = Fra 127 Bulletin de l’Académie Impériale 12$ Für die Entwickelung von (1 — x cos 9 T, hat man also in den vorstehenden Ausdrücken r — 2 und © der Reihe nach = 3, 4, 5 zu setzen. Wegen der Geringfügigkeit der Coefficenten Mg, m, ..., ng, n,.... wird also die Herstellung von ` V 05 COS} > Ts 2 Ba in) T unter der verlangten Form sehr leicht. Nach zweima- liger Wiederholung dieser Operation — da die Be- rücksichtigung der beiden ersten Potenzen von T. im Allgemeinen ausreichend ist — ergiebt sich (A) ® sehr leicht unter folgender Form: (A)? = (1 +g cosE-y sinẸ)? (1 — x cosọ)? > BEL ip. (1 — x cos oy دم In Aus diesem Ausdruck sollen A abgeleitet werden. Die dazu nöthigen Entwickelungen von (A) * 5 cosf', (A 5 sinf' (1 + zcosé + y sin E)! (1— x cos 9), (1 + zcosE + ysinË) = cos f (1 — x cos oy, (1 + x cost + ysin&) 5 sinf (1 — x cos o)! nach o erhält man aus den obigen Formeln indem man nur zu beachten hat, dass in den Ausdrücken für die - W-Coefficienten r = 3 und à = 0,1,2.... sind. Die in dieser Weise erhaltenen Entwickelungen müssen sehr convergent sein, denn für à — 0, 1, 2,3 geben die Formeln endliche Ausdrücke für (1 — x cos ”زج‎ eiY — 35, die keine höhere Potenzenn von e” — 1*, als die dritte enthalten und die für gróssere Werthe von i, als 3 hervorgehenden unendlichen Reihen werden mit klei- nen Gróssen von wenigstens der vierten Ordnung in Bezug auf die Excentricität des störenden Körpers multiplicirt, sie kónnen also nur sehr wenige Glieder von Belang liefern. In unseren Reihenmultiplicationen ist also immer | die eine als Factor auftretende Reihe sehr conver- gent. Indem es also gelungen ist eine bedeutende zu setzen| Convergenz für die ee Potenzen von = und folglich auch von (A) °, (A we ;cosf, (A) nt sinf herzustellen, erweist sich auch der Weg, auf welchem . wir die letztgenannten Grössen erhalten als überhaupt sehr bequem. Die einzige zeitraubende Arbeit bei diesen Entwickelungen besteht in der Multiplication der beiden Reihen für (1 — xcoso) ° und {1 + geos(p — Q} 3 Übrigens beschränkt sich diese Schwierigkeit auf nur wenige Special-Werthe in der Nähe der kleinsten Entfernung der beiden Bahnen, wo q sehr nahe gleich x wird. Dass diese Multiplication sich ausserdem sehr übersichtlich ausführen lässt geht aus folgenden Be- trachtungen hervor: Die Berechnung der Coefficienten i in (1 — x cos we = AN + 24, cogo + 24/ cos 29 +... und ! |1--xcos(9— Q)} ? = ON + 2a, cosy + 2a, cos 99 +... + 2b sin ọ + 26,0 sin 20 +... geschieht am einfachsten nach Hansens Vorschrif- ten in «Auseinandersetzung etc.» Es sei ferner: (1—xc089) ? fi = q cos (p — o? — a, + 2a cos o + 2a,” cos 29 + 20, cos 3p+.. + 28," sine + 28, sin 2p + 28, sin 3 +... so ergeben sich folgende Ausdrücke für die Coeff- cienten dieser Entwickelung: o = Ag 00 4-2 4g 00 + T. Mae. = Ama, + LAN 4 (9) q Ma (4, "m Ama + (449 AT ay +... a, — Aa (4,9 + 4 mg (+ (4, À Del (NIE ALS a, + des Sciences de Saint- Pétersbourg. 130 129 BI = — (4,9 A 0pm — (4,9 — 4 p m — (A? — ADAM — D gëf A A0) KÉ ( 4m us Am pm m ( Am xi Am Am Z O e E S oe ^» s-.* 5» 4 9 s: e À 4 9" 4 ee هد" هد و جو‎ 6 oe 525 8 PE Hat man die Coefficienten A, a’ und b™ ermit- telt, so lassen sich A"*?, a"*™ und HTH durch be- queme Recnrsionsgleichungen ableiten. Es ist nicht zu erwarten, dass ebenso bequeme Formeln zur Be- rechnung von a"? und 8" *? aus a™ und 8” auf- gestellt werden können. Wenn g nicht sehr klein ist, und 8 (n + 2) so geben die folgenden Formeln er u wenn a% 2 s pu nd gt Ber» B spe = schon bekannt sind, hinreichend sicher und zuweilen auch bequemer als die directe Ermittelung : Lo E peu oe n + ae —m, 8 Ep ln RÊ D Haas 9 9 noe OT we? EE m (attt - a?) 2 2 3 : vi (9 TT) «8127 كر لواو‎ wo zur Abkürzung gesetzt ist: L ساح‎ > qsinQ m, = GE q cos Q) l = + 5 xq sin 0 my = — 5 xq cos Q. + Nach diesen Formeln lassen sich aber a, * 5, a 79, (F2 and a *? oder 8, nicht berechnen, sie P müssen also direct abgeleitet werden. Es sollen nun, um die Brauchbarkeit .der vorste- henden Entwicklungen darzuthun, Beispiele angeführt *) Bei der Ableitung von et und 8,” +2 nach diesen Formeln ist zu RS, dass a, U* 19722 ang pn t9 sun #2) — a- ne xd werden. Ich wähle zuerst den folgenden Ausdruck für (A): (Af = 1 1 +- 0,0444208 cos E +- 0,0148742 sin & 145, 954038 --44,608506 cos& — 3,836112sin£ + 0,010477 cos 35 + 0,006665 sin 3Ẹ — 0,000432 cos4£ — 0,000543 sin 48 + 0,000011 cos5 + 0,000034 sin BE} Es gilt dieser Ausdruck für einen Punkt der Come- tenbahn, dessen Entfernung von der Jupiterbahn nur unbedeutend von der kleinsten Entfernung der beiden Bahnen verschieden ist. Für x wird derjenige Werth des transformirten Moduls k,, welchen Gyldén seinen Tafeln zu Grunde gelegt hat, angenommen, also log x = logk, = 9,9042551. Es wird dann | logg — 9,8999293 Q-— — 16228 22,54. Die Entwickelung von (1—k, cos el "ergiebt sich . aus dem «Recueil de Tables» pag. 74 — 75. Es war also nóthig nur x {1 + gcos(p — Q)} ? zu entwickeln. Für den betreffenden Punkt der Come- tenbahn ist weiter 3 (1 + zcos& + y sin 25 5 -cos / = — 0,1074774 — 0,9476671 nt. — 0,3314905 sin£ — 0,0089468 cos 25 — 0,0065291 sin 25 — 0,0001172 cos 3% — 0,0001963 sin 3% ه‎ 0,0000024 cos AE + 0,0000121 sin AS —+ 0,0000003 cos 5$ — 0,0000007 sin 56. Mit Hülfe der angeführten Ausdrücke für die W- Coefficienten wurde darauf ermittelt: (1—xcosp)(1+x cosE-y sing) : ee 1,5394545 — 2,8008640c089 — 0,2222638 sino + 0,8893696 cos 29 + 0,1526742 sin 2° — 0,1362030 cos 3p — 0,0303861 sin Ze + 0,0000002 cos 4p + 0,0000008 sin 4p 9 Bulletin de l’Académie Imperiale 132 Es wird dann: (A)7*5, cosf' = 23/6014 — 39,8801cos® + 6,2245 sino + 24,4439 cos22 — 9,9201 sin 29 — 12,1992 6053 + 9,4173 sin 39 + 5,1601 cos 4p — 6,9411 sin 4o — .1,6638c0859 -+ 4,4287 sin 5o + 0,2012c0869 — 2,5374sin 69 + 0,2735c0879 + 1,3267 sin 79 — 0,3331 cos 8p — 0,6314 sin 89 + 0,2600 cos 9p + 0,2694 sin 99 0,1690 cos 109 — 0,0965 sin 10® 0,0985 cos 119 + 0,0236 sin 119 0,0519 cos 129 + 0,0031 sin 12 0,0252 cos 139 — 0,0093 sin 139 0,0109 cos 149 + 0,0081 sin 149 0,0042 cos 159 — 0,0060 sin 15@ 0,0012 cos 169 + 0,0032 sin 169 0,0003 cos 179 — 0,0014 sin 179. Der Factor m’206264,8 ist in diesem Ausdruck enthalten. m’ bedeutet die Jupitermasse. Die in dieser Weise erlangte Convergenz ist eine sehr bedeutende, wenn man bedenkt dass in der entsprechenden Ent- wiekelung nach den Vielfachen von & noch die Glieder in 60 E merklich sind. Zufolge der für dieses Beispiel getroffenen Wahl von x ist der Punkt, für welchen g sein Minimum erreicht, nicht weit vom Aphel belegen. Nach dem Minimum von q wird wieder die Entwicke- lung von fı + qcos(o ب‎ ol S weniger convergent, dann ist aber das Verhältniss 74 so klein geworden, dass es zweckmässiger ist, me den Vielfachen von $ unmittelbar zu entwickeln, und erst die Endresultate durch ọ auszudrücken. Um die anfánglich rasche Zunahme der Convergenz mit der | Entfernung vom Aphel zu zeigen, soll noch ein Bei- 7 spiel angeführt werden *). Der Ausdruck ver *) Dieses Beispiel ist zum Theil von Herrn Grofe in Dorpat +. "gerechnet. (Ay = 1-4- 0,04594 E SURGE UR (36,105687 + 29,827020cos&£ — 5,179108 sin ¢ 0,009084 cos 3% — 0,003972 sin 2% 0,000403 cos AE + 0,000112 sin 3£ 0,000007 cos 5£ — 0,000020 sin 46) bezieht sich auf einen Punkt der Cometenbahn, dessen wahre Anomalie ungefähr 206° ist. Entwickeln wir nun (A) ? nach den gegebenen Vorschriften, so er- halten wir (A) ?— 5,4997 — 578167 cose -+ 1,9801 sing —+ 0,5346 cos 29 — 1,1979 sin 2o + 0,2013 cos 39 + 0,1540 sin 39 — 0,0287 cos 4o + 0,0259 sin 4o — 0,0018 eos 5o — 0,0052 sin 5o + 0,0008 cos 69 -+ 0,0001 sin 69 + + Wenn man in diesem Falle nach & entwickeln wollte, so wäre es nóthig noch die Glieder in 24€ zu berück- sichtigen um dieselbe Genauigkeit zu erlangen. Es wird nicht ohne Interesse sein die Entwickelung auch nach dem elliptischen Integral x auszuführen um die Convergenz in Bezug auf dieses Argument mit derjenigen nach ọ zu vergleichen. Zu diesem Zweck kónnen wir die angeführten Ausdrücke für (A35 cos f und (A) ? benutzen. Wird nämlich in der Formel (1), T x — k, und 9 — p gesetzt, so wird sie iden- tisch mit der von Gyldén durch Transformation von elliptischen Functionen erhaltenen Formel (5) in der Einleitung zu seinem «Recueil de Tables». Setzen wir daher | 2K Gen لج ص عداو‎ Pa so ergeben sich die Cosinus und Sinus der Vielfachen von ọ als trigonometrische Reihen nach den Viel- fachen von y mittelst der Formel S EE A Bones SE e Ka دك‎ HO en دي‎ nx = lg gsY— ly, حي‎ 00 : wenn die H™ bekannt sind. Für den angeführten Werth von k, geben aber Gyldén’s Tafeln diese Co- efficienten in bequemer Weise. Aus dem obigen Aus- drucke für (A)? © = cosf ergab sich mit Hülfe dieser Tafeln: = 134 133 des Sciences de Saint - Pétersbourg. (A)? © cosf — 26/8847 rungsfunction, welcher unabhängig ist von (A), leichter — 44'7868cosy + 7/6458siny zu eer da die Convergenz dieses Theils unmit- hudssac pa C1 ROI 9 telbar auf der Grósse x beruht. Ae. Sé rice 1 : D Die jetzt auseinandergesetzte Substitution ist nicht EC ud اي‎ die einzige, die auf die Form + 1,7775cos4y — 6,2278 sin 4y P > + 0,7964 cos 5% + 2,8347 sin 5y : me AULA ue MEE jm 6% von 1 rio (A) " führt, wo P so beschaffen ist, Ee SC d dass din Producte in — .0,24583c088y + 0,0999 sin 8% E + 0,0672c089y — 0,0948 sin 9y T,, (1 + cost + ysin&)’ 5 cosf" — 0,0017 c0s10x =- 0,0515 sin 10 und à — .0,0110eos11y — 0,0201 sin 11 (1 + zcosÉ + ysin E) © sinf + 0,0088 cos 127 + 0,0044 sin 12y | — 0,0044 cos 13% + 0,0008 sin 13y convergenter sind als diese Gróssen selbst. Die Ent- + 0,0010cos14y — 0,0015 sin 14x wickelung von (A) "` (A) 7, cosf und D sin f” 5 $0000 OS عر‎ -F MOIS me 19x nach den Potenzen von 4 ,, sx m geschieht wesentlich — 0,0003 co816y — 0,0008 sin 16% acd it ; SS nach demselben Princip, und ist in der Schrift: «Zur und für (A) " im zweiten Beispiel: Theorie des Encke'schen Cometen» umständlich be- (A)? 5/5072 — 6,1238 cosy + 1,8730 sin y handelt. Aber auch in dem Falle, wo das Argument + 0,5211 cos 2y — 1,1674 sin 2y + 0,5634 cos 3x + 0,0237 sin 3% — 0,0909 cos 4% + 0,1751 sin 4% — 0,0629 cos 5X — 0,0257 sin 5% 0,0139 cos 6y — 0,0208 sin 6x 0,0070 cos 7y + 0,0048 sin 7x 0,0021 cos 8% + 0,0024 sin 8x 0,0006 cos 9y — 0,0006 sin 9X. A- + — Die Convergenz nach den beiden Argumenten o und X ist also nahe dieselbe. : Wenn die Umstünde derart sind, dass die durch- schnittliche Convergenz einen kleineren Werth für x fordert, als der hier angewandte, so ist es leicht ein- zusehen, dass dadurch einige Entwickelungen sich be- . quemer Bestellen. denn erstens wird die Entwicke- Jung von (1 — x ia)? | convergenter und folglich die Multiplication derselben . mit derjenigen von | (1 + 9 (p — Qr? einfacher, und zweitens wird derjenige Theil der Stö- x Schon in den Ausdruck für 7, eingeführt wird, lässt sich (A) ? auf die besprochene Form brin- gen. Da dieser Umstand bis jetzt nicht beachtet worden ist, so werde ich mit einigen Worten andeu- ten, wie in diesem Falle die Bildung der Producte (ه)‎ * kann. In v. Astens Abhandlung : «Untersuchung über die Theorie des Encke'schen Cometen I.» Pag. 26—29 ist auseinandergesetzt, wie die Form : "A= A. moe } x T cos f' und (A) * > = sinf vereinfacht werden hergestellt werden kann. n (À y) ist die von Gyldén > folgendermassen definirte Function: nG = (1—7 1) (ge) (1-769 — 1»). Hier ist folglich Peng a Sind nun die EUER. von 7 (on (— 13 7 ‚cos fi uz x sin f D n (GX) | (— 135 Bulletin de l'Académie Impériale 136 nach den Vielfachen von y wesentlich convergenter als S cosf' und 2 sin f, so hat P auch in diesem Falle die verlangte Eigenschaft. Dies findet in der That Statt, denn der Definition von n (4 x) gemäss ist vr = AC MP uw ey 8 Te s woraus wir folgern können: | AOD = nn toe" re Y n8, Für i — 1 wird die rechte Seite dieser Gleichung | non We ein Ausdruck, dessen Entwickelung nach y nicht un- bedeutend convergenter ist, als die Entwickelung von e-1, Für i— 2 wird die Entwickelung der rech- ten Seite von derselben Convergenz wie diejenige von eg 15 aber in diesem Falle wird die Entwickelung mit der Excentricität € multiplicirt, u. s. w. Wenn in den Ausdrücken für s cosf und sin f" noch die Glie- der in 12y berücksichtigt werden müssen, so kónnen in den Ausdrücken für P . Z cos f und P. 3 sin f” schon die Glieder in 8y vernachlüssigt werden. Fungorum in itinere Mongolico a clar. G. N. Potanin et in China boreali a cl. Dr. Bretschneider lectorum enumeratio et descriptio. Curis Caroli Kalch- brenner et Felicis de Thümen. (Lu le 16 sep- tembre 1880.) Agaricus (Tricholoma) Georgii Fr. Epicr. p. 43. Fr. Hymenomyc. europ. p. 67. Mongolia borealis: Altai australis, in foro urbis Kobdo, fungus venalis pretio «dzen» uno. (Potanin X 29.) China, Ta-ting-moet Pai-kóu-mo (Bretschneider &12 et 37.) Lamellae attenuato-adnexae, confertae, lineares; hinc Tricholoma hoc esculentum ad A. gambosum Fr. aut Ag. albellum De C. haud referendum. Late dispersa species etiam in Africa australi obvia. Agaricus (Pleurotus) ostreatus Jacq. Mongolia borealis, Regio Jenissei superioris ad flu- vium Torcholyk in arboribus. 23 Sept. 1876. (Po- tanin X 4.) Forma in Salicibus nascens, Agaricus (Pleurotus) mongolicus Kalchbr. nov. spec. Pileus carnosus, compactus, obtusus, ambitu irregu- laris, pellieula disrumpente, dilute gilvo-ferruginea, glabra, squamoso- maculata tectus; stipes solidus, excentricus, curtus, ventricosus, curvato-adscendens, ferrugineo-squamulosus et longitudinaliter rimosus; caro firma, in pileo alba, in stipite lutescens; lamel- lae obtuse-adnatae, latiusculae, ventricosae, confer- tae, pallidae. In truncis Mongoliae borealis, sine loco (Potanin X33.) A proximo Ag. tessulato Bull. et ceteris suae gregis stipite squamoso distinctus. Agaricus (Pleurotus) Bretschneideri Kalchbr. nov. spec. Pileus carnosus, tenuis, plano-convexus, integer, pel- licula subeoriaeea glabra, fusca, saepe areolatim disrumpente tectus; stipes solidus, excentricus, bre- vis, incurvus, subaequalis, glabriusculus, pileo di- lutior; lamellae sinuato-adnexae, utrinque attenu- atae, confertae, pallidae, siccitate argillaceae. China borealis, Hiang-sin et Hiang-ku, in truncis (Bretschneider X 14 et 15.) Pileus 1—3 poll. latus, 1—2 lin. crassus, saepe uno latere contractus, subreniformis; stipes '/, poll. longus, 3 lin. crassus. — Ab Ag. tesselato Bull. pileo haud compacto, ab Ag. pardali Schulzer sti- pite tenui colorato bene distinctus et utroque multo minor. Agaricus (Pholiota) Potanini Kalchbr. nov. spec. E serie Lignatilium, Squamosorum. — Pileus carno- sus, compactus, convexus, obtusus, testaceo-fulvus, marginem versus albidus, squamis floccosis, fugaci- bus, albis adspersus, rugosus et in areolas disrum- pens, areolis elevatis, tuberculaeformibus, glaberri- mis; stipes solidus, validus, ad basin bulbose dila- tatus, testaceo-pallens, sed maxima ex parte fibrillis albis obvolutus; annulus floccoso-lacerus, plerumque pileo adhaerens; lamellae subdecurrentes, integer- rimae, fuscescentes; sporae breviter ovatae, 0,009 mm. longae. Mongolia borealis in truncis (G. N. Potanin X 16.) Nobilis omnino species, statura et habitu Ag. comosi Fr. juxta quem in Systemate collocandus erit. Pileus, in speciminibus juvenilibus a me 137 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 138 visis 1—2 poll. latus, procul dubio in rite evolu- tis 3—4 poll. et ultra attingit; stipes in bulbo pollicem et ultra crassus; tuberculi pilei pisi cir- citer magnitudine, vertice fulvelli, glaberrimi, hine inde maculam farinaceam gerunt, squamarum eva- nidarum reliquias. Agaricus (Pholiota) praecellens Kalchbr. nov. spec. E serie Pholiotarum truncigenarum, lamellis demum fuscis distinctarum, amplus, firmus. Ag. comoso Fr. et Ag. heteroclito Fr. proximus. — Pileo crasso, carnoso, valde excentrico, imo sublaterali, convexo, margine involuto, 3—4 pollices lato, squamoso (?), haud fulvente; stipite solido, valido, 3 — 5 pollices longo, pollicem et ultra crasso sursum .attenuato, basi subventricoso, breviter radicante, albo, fibril- loso-floccoso; lamellis latis ('/, pollicar.), arcuatis, emarginato-adnatis, fuscis; caro pallida. Mongolia borealis, regio Jenissei superioris, ad flu- vium Torcholyk, in arboribus. 23. Sept. 1879. (Potanin No 5.) Specimen quod adest, in laminas dissectum uberiorem descriptionem non admittit, sed omnino fungum praebet, qui dignus 'est ut ulteriori. observationi commendetur. — Ag. heteroclitus Fr. stipite curto, basi praemorso-radicato, Ag. comosus Fr. lamellis adnato-decurrentibus omnino differt. Agaricus (Pholiota) aurivellus Batsch. Fig. 115. Fr. Hymenomyc. europ. p. 220. Mongolia borealis, Han-hai ad fluv. Telgir-morin, in trunco crasso Salicis cujusdam, 18. Sept. 1877. (Potanin M 3. ) ‘DL Ath E 11 Dat Agaricus (f ) | h var. filamentosus Schaeff. : Fr. Hymenomyc. europ. p. 220. ` Mongolia borealis, Altai australis ad fluvium Irtysch nigrum (Kara-su). (Potanin X 31.) Specimen quod adest annulo caret, sed pileus lu- teus, squamoso-maculatus, stipes bulbosus, squar- roso-squamosus-et ceterae notae speciem probant. Agaricus (Psalliota) campestris Lin. var. praticola Vitt. Mongolia borealis, Montes Tannu-ola, ad fluvium Ar- Torcholyk. 2 Oct. 1878. Ce Né 1.) — Carne crassa, illico rufescente ! Polyporus (Mesopus) obscurus Kalchbr. nov. spec. Lentus, pileo tenui, coriaceo, convexo vel depresso, azono, laevi, margine nudo, cum stipite pro ratione longo, fibroso-striato, basi subbulboso, brunneo; pori decurrentes, alveolares, oblongi irregulariter hexagoni vel reticulati, umbrini; sporae oblongae, hyalinae, 0,009 mm. longae, 0,003 mm. crassae. Mongolia borealis, sine loco (Potanin M 20, 25,26, 27, 28) E foedere Pol. incendiari Fr. et P. alveolarii Fr., sed a priore coloribus obscuris, ab altero pileo haud umbilicato aut infundibuliformi distinctus. — Pori ob tenuitatem dissepimentorum flaceidi, siccitate crispantur. Polyporus (Merisma) heteroclitus Bolt. Fries, Epicrisis p. 452. Pileus fibroso-coriaceus, e tuberculo radicali oriun- dus, lateralis, subsimplex, tenuis, late expansus, subreniformis, vix (spurie) zonatus, villoso-glabra- tus, fulvo-aurantiacus; pori submediocres, : perbre- ves, angulati, lutei. Substantia fibroso-fomentaria, fulvo-aurantia, Mongolia borealis, Han-hai ad fluvium Chargana in humo ad silvae marginem (Potanin X 9.) Pileus 14 centim. longus, 10 centim. latus, 3—5 millim. crassus, incremento rapido stipulas obvol- vens. Pori facile mycelio mucedineo-obliterati. — Licet iconem Boltoni Tab. 164 non viderim et fungus noster — fors atypicus — a descriptione l. c. aliquantulum differat, nomen hocce pro eo ser- vandum putavi! | Polyporus (Merisma) sulphureus Fr. Fr. syst. mycol. I. p. 357. Mongolia borealis, jugum alpium Tannu-ola, ad flu- vium Ar-Torcholyk, in Larice, 29. Sept. 1879. (Po- tanin X 3.) Polyporus (Merisma) sulphureus Fr. var. nov. eoehlearius Kalchbr. : = pa Caespitoso-multiplex, caseosus, rigido-fragilis, pileis — e tubere communi prodeuntibus, connatis, inaequa- — libus, linguiformibus vel ad apicem dilatatis, subtus. concavis, cochleariformibus, albo-flavis; pori minuti, molles, subangulati, lacerando-inaequales, isabellini, 139 Bulletin de l’Académie Impériale 140 Mongolia borealis, Altai australis; Han-hai ad truncos arborum (Potanin X 30.) Polyporus (Anodermeus) nidulans Fr. Epicr. p. 455. Mongolia borealis, Han-hai ad fluv. Unü-güt-en-gol in truncis Laricis sibiricae Fisch. et Pini Ledebourii Endl., 2 (14) Octob. 1877 (Potanin X 32.) Statio insolita in arboribus acerosis dubia quidem movet; sed nullam reperimus notam, qua specimen missum a Polyporo nidulante definite distingue- retur. Boletus badius Fr.? Mongolia borealis, Regio Jenissei superioris, ad flu- vium Ulangom, 6 Sept. 1879. (Potanin € 7.) — Non certe determinandus! Clavaria spinulosa Pers. Observ. II. Tab. 3. Mongolia borealis, Han-hai ad fluv. Chargana (afflu- entem Eder) ad sylvae marginem in solo, 7 Septbr. 1877. (Potanin X 8.) Differt ramis haud elongatis, rubiginosis potius quam cinnamomeis, ita ut facile nova sit species, sed species novae ex hac regione, ni evidentissimis superstructae sint notis, — nemini gaudio esse possunt! . Hirneola Auricula-Judae (Lin.) Berk. China borealis, sine loco (Bretschneider X 13.), vulgo Mari. » Naematelia? morchellaeformis Kalchbr. Globosa vel subpileata, basi processu stipitiformi aucta, hymenio gyroso-plicato, nigro-fusco; nucleo duro nigricante. — Humectata non tumescit! Mongolia borealis, Han-hai ad fluv. Bujantu-gol in glareosis graniticis (Potanin X 17, 18.) Cerasi majoris magnitudine. — Fructificatione non observata, genus hujus fungi dubium! Geaster lugubris Kalchbr. nov. spec. ° Peridium exterius, adhuc clausum, Avellanae nucis magnitudine, subglobosum, subtus egregie umbili- . catum, glabrum, argillaceum, apice albidum; aper- tum dein in septem — octo lacinias, anguste lan- ceolatas, apice passim bifidas, disruptum, pagina interiore strato tenui, continuo (vix rimoso) nigro tecta. Peridium interius basi umbilicata sessile, globoso depressum, glabriusculum, argillaceo-fus- cescens, vertice album; orificium parum prominens, subtiliter fibrillosum, in porum irregularem fatis- cens. Capillitium et sporae umbrinae. Sporae glo- bosae, verruculosae, minutae, 0,0035 mm. diam. Mongolia borealis, Han-hai, ad fluvium Eder, 4 Septbr. 1877. (Potanin X 4.) Peridio basi umbilicato et laciniis nigris ab huc- dum notis Geastribus bene distinctus! Lycoperdon marginatum Kalchbr. nov. spec. Peridium globoso-depressum, basi late turbinatum, passim plicatum, in peripheria margine subacuto notatum, granulis angulatis vel stellato-mucronatis ornatum, albido-fuscescens; sporae globosae, sub- glabrae, 0,0025 mm. diam., cum ange cinereo- umbrinae. Mongolia borealis, Thian-schan orientalis, declivitas borealis, in humo To acerosarum (Potanin X 35.) 5 Peridium 2 — 4 centim. diametro. — Specimina modo exoleta adsunt, sed ob marginem, qui haud fortuitus videtur, et colorem sporarum obscurum, ad variet. Lyc. gemmati vix referri possunt! Lycoperdon pyriforme Schaeff. Mongolia borealis, Han-hai (Potanin.) PHELLORINA Berk. emend. Peridium capitatum, persistens, suberoso-corticatum, apice irregulariter dehiscens, includens massam sporarum, immixtis floccis paucis; stipes solidus, fibrosus (postremo cavus). Sporae laete coloratae. Cel. Berkeley (Fungi Zeyh. Tab. 22.) in diagnosi sua pro genere hoc expresse stipitem cavum poscit; se- rius tamen monet, se modo unicum et quidem exo- letum specimen vidisse, cui diagnosin suam super- perstruxisset. Hinc, pluribus speciminibus jam nunc visis, emendationem his convenientem diagnoseos licitam justamque putamus. Phellorina erythrospora Kalchbr. nov. spec. Capitulum stipiti contiguum, globoso-depressum, squa- mis validis angulatis auctum, vertice plerumque laeve; stipes subaequalis vel basi bulbosus, squamis - 14i des Sciences de Saint - Pétersbourg. 142 firmis, imbricatis, longitudinaliter sulcatis, apice truncatis vestitus; sporae globosae, 0,006 mm. diametro, coloris lateritii. : Mongolia borealis, Altai australis in pratis humidis ad faucem fluvii Urten-gol. (Potanin X 36.) Tota alba; capitulum pomi minoris magnitudine (3 — 4 centim.), in vertice tenue, 0,5 millim. crassum; stipes 10 — 15 centim. longus, digitum crassus, intus sublignosus, demum rhabarbarinus, cortice suberoso subdiscreto, albo amictus. Phell. inquinans B erk. differt stipite (ex icone) obconico, vix squamoso et sporis flavis. — Speciem nostram — mirum sane — etiam ex Africa australi ha- bemus! Spathularia flavida Pers. Syn. fung. p. 610. Mongolia borealis, Han-hai ad fluvium Jamaty in sylvis inter museos, 1 Septbr. 1877. (Potanin X 2.) Phyllachorae Angelicae Fuck. Symb. myc. p. 219. Dothidea Angelicae Fr. Syst. myc. II. p. 561. Mongolia borealis, Altai australis, ad fluvium Köngöi- ty (Irtysch nigri). in foliis vivis Umbelliferae igno- tae, ut videtur Archangelicae speciei, 18 Septbr. 1876. (Potanin X 5.) Aecidium Oxytropidis Thüm. nov. spec. Aec. pseudoperidiis dense gregariis et plerumque folii paginam inferiorem totam occupans, numquam con- fluentibus, orbiculatis, paullo elevatis, aureo-flavis, ore subcrasso, integro, disco minime obscuriore; sporis globosis aut compresso angulosis, episporio laevi, subcrasso, intus plasmate homogeneo, hyalinis vel pallidissime flavescentibus, 20"" diam. Mongolia borealis, ad fluvium Ulei, affluentem lacus Kosogol ab occidente, in sylvaticis, in Ozytropi flori- bus azureis quadem, 16 Junii 1880. (Potanin.) Uromyces Hedysari Fuck. Symb. mycol. Nachtr. III. p. 15. Mongolia borealis, Altai australis ad fluvium Köngöi- ty (Irtysch nigri) in Papilionacearum speciei inde- terminatae foliis vivis, 18. Septbr. 1876. (Potanin X 6.) Pirostoma circinans Fr. Sum. veget. Scand. p. 395. Mongolia borealis, Altai australis, ad lacum Chara- — ussu, non procul ab urbe Chobdo, in culmis emor- | tius adhuc erectis Phragmitis communis Trin., 15 Mart. 1877. (Potanin X 1.) Arcyria punicea Pers. var. fusca Fr. Gasteromyc. p. 17. Rostafinski, Monogr. Sluz. p. 268. : Mongolia borealis, ante Altai australem ad fluvium Irtysch nigrum, in ligni putridi reliquiis, 26. Aug. 1876. (Potanin X 11.) Sclerotium Clavus De C. De C. F1. franc. VI. p. 115. Mongolia borealis, Regio Jenissei superioris ad ripam fluvii Ulangom , in Graminearum speciei spicis vivis, 18 Sept. 1879 (Potanin M 6.) Beobachtungen von Jupiter's Flecken. Auszug aus einem Briefe des Herrn Kortazzi, Director der Sternwarte in Nikolajew, an den Akademiker 0. Struve. (Lu le 25 novembre 1880.) In Ergänzung meiner durch Ihre Vermittelung im August der Akademie gemachten Mittheilung (Bull. de l'Acad.) über die Rotationsperiode von Jupiter, habe ich die Ehre Ihnen noch einige Resultate aus meinen neuesten Beobachtungen dieses Planeten mitzuthei- len. Dem Briefe, mit dem ich jene Notiz begleitete, hatte ich eine kleine am '”/, Aug. angefertigte Zeich- nung des Planeten beigelegt, mittelst welcher ich un- ter anderm Ihre Aufmerksamkeit auf einen helleren weissen Fleck richtete, der sich im oberen Theile des Äquatorialgürtels etwas rechts vom rothen Fleck zeigte‘). Einige Tage später hatte dieser helle Fleck, 1) Die erwäbnte Zeichnung, nebst re Auszug aus dem Beobachtungsjournal, sei hier reproduci 1880 Aug. 17. 14^ 30» m. Zt. Nik. Der kleine dunkle Fleck, rechts vom grossen (rothen) Fleck, iet. = 143 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 144 ohne Veränderung seiner Gestalt und Lage innerhalb des Âquatorialgürtels unter beiläufig 8? Breite, seinen Ort in Bezug auf den rothen Fleck sichtlich in Länge geändert. Sobald ich das bemerkt hatte, begann ich seine Durchgangszeit durch den mittleren Meridian des Planeten in Verbindung mit der des rothen Flecks zu beobachten. Es gelang mir ihn bis zum 21. Sept. zu verfolgen. An diesem Tage befiel ich krank und musste während 2 Wochen das Zimmer hüten. Als ich nachher zum ersten Mal wieder den Jupiter ansah, konnte ich den hellen Fleck nicht mehr erkennen. Bis zum 21.Sept. war es mir aber doch schon gelun- gen denselben während eines 61 Rotationen des Pla- neten umfassenden Zeitraums zu verfolgen. Während dieser Periode hatte derselbe seine Länge in Bezug auf den rothen Fleck um 210? geändert. Aus den gleichzeitig angestellten Beobachtungen des rothen Flecks ergiebt sich die Rotationsperiode des Jupiter R, = 9" 55" 365 72 + 0712, aus den Beobach- tungen des weissen Flecks dagegen R, = 9“ 49" 5 + 055. Dieser Unterschied erklärt sich offenbar aus der relativen Ortsánderung, deren lineürer Betrag so- mit ermittelt werden kann. Ich habe denselben fol- gendermassen abgeleitet. Die beobachteten Momente des Durchgangs des weissen Flecks 6 durch den mitt- - Jleren Meridian waren: ` bauchung. Der weisse F 1. Aug. 27 .11*18"40; Nik. m. Zt. 2: Sept: 5. 11.394 0 -— Dre | IS 48. T EE 4: ax6: 123.0 90 = Bua rdf 10 58- 4 بت‎ Aus den zwischen Aug. 10. und Nov. 1 erhaltenen Beobachtungen des rothen Flecks k habe ich darauf dessen jovicentrische Länge für dieselben fünf Momente ' mit Berücksichtigung der Aberration abgeleitet und er- hielt damit die jovicentrischen Längenunterschiede der beiden Flecke für jene 5 Epochen. Aus diesen Daten ergeben sich zunüchst die relativen Winkelgeschwin- x ` digkeiten v' (in Minuten ausgedrückt), die einer Stunde der Trabant I, das sehwarze Fleckchen nahe dem linken Rande, oberhalb des Gartels, der Schatten dieses Trabanten. Dem rothen Fleck gegenüber zeigt der obere Gürtel sehr entschieden eine Aus- n dem oberen Theile des Gürtels rechts vom rothen Fleck ist sehr hell. Unterhalb des mittleren der ` - drei unteren Äquatorialstreifen befindet sich ein dunkler wolken- ` artiger Fleck. Bilder ruhig. Vergr. 330. mittlerer Zeit während der 4 Intervalle entsprechen. Indem ich dann, nach Arago, den Äquatorialhalb- messer des Jupiter zu 9530 geogr. Meilen annahm, und die jovicentrische Breite des Flecks nüherungs- weise zu 8? S, erhielt ich für die stündliche lineare Geschwindigkeit des weissen Flecks auf der Oberflüche des Planeten v, die nachfolgenden Werthe, wobei vor- ausgesetzt ist, dass der rothe Fleck seine Stellung auf dem Planeten ganz unverändert erhalten habe. 1—2. v-—21'200 ع ره‎ 58,20g.M. 228; 21,06 57,80 — 3-4; 20,82 STI = 4— 5. 21,10 57,92 — Die lineare Geschwindigkeit v, beläuft sich somit in einer Stunde im Mittel auf 57,77 g. M. Ihr entspricht eine Bewegung in der Minute v,, — 7,14 Kilometer, oder in der Secunde v, = 390,6 engl. Fuss. Herr Schmidt hat in den Astr. Nachr. N 1973, unter Annahme eines Radius des Planeten von 10009 g. M., der also beiläufig um Y, grösser ist als der von mir angenom- mene, einige relative Bewegungen von Flecken aufge- führt, von denen die grósste 316 engl. Fuss beträgt. Derartige Bewegungen von Massen, die sich uns als helle oder dunkle Flecken auf der Jupiterscheibe dar- stellen, sind offenbar durch atmosphärische Strömungen auf dessen Oberfläche in der Richtung der Drehung um seine Achse oder derselben entgegengesetzt anzu- sehn. Als physikalische Erklärung dieser Strömungen dürfte meines Erachtens nur die eine gelten: Ver- schiebung von Theilen der Atmospháre in der Richtung vom Âquator zum Pole Sé ‚oder umgekehrt, in Folge von T iten, wie das auch auf unserer Erde geschieht. Bewegt sich z. B. eine Wolke aus diesem Grunde vom Âquator zum Parallel von 8”, so wird sie, weil sie eine lineare ee, - 21.95. 9. d g. M. | von West nach Ost von 6031,9 g. M. stündlich besitzt, wie sie dem Äpuator entspricht, unter 8° Breite sich gegen die Umgebung mit einer relativen Geschwin- - digkeit von 58,8 g. M. in der Stunde verstellen. Demgemäss würde die geradlinige rasche Bewegung des unter 7°—8° südlicher Breite befindlichen Flecks b vollkommen durch die Annahme erklürt werden kón- nen, dass er aus einer atmosphärischen Masse be- fy = 145 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 146 steht, die sich vom Âquator auf jene südliche Breite verpflanzt hat. Es ist sehr auffallend dass, wie oben erwähnt, meine letzten Beobachtungen des rothen Flecks Aug. 10. — Nov. 1. aus 200 Umdrehungen des Planeten die Ro- tationsperiode desselben zu 9^ 55" 367 statt des früher gefundenen Werthes 9* 55” 35,42 ergeben. Schmidt findet (Astr. Nachr. & 2342) an beiläufig dieselbe Zeit, nämlich aus 64 Umdrehungen zwischen Aug. 22. und Sept. 17. den Werth 9^ 55” 3653. Sollte sich in jenem Unterschiede nicht eine kleine Verstel- lung des rothen Flecks in Breite zum Äquator hin aus- sprechen ? Als ich am *™/ Nov. den rothen Fleck beobachtete, bemerkte ich wiederum im obern dunklen Äquatorial- streifen einen hellen weissen Fleck von derselben Ge- stalt, wie sie der Fleck b gehabt hatte, und genau auf derselben Stelle in Bezug auf Breite; in Länge war er aber beiläufig um 27° von dem Orte entfernt, wo sich zu dieser Zeit der Fleck b hätte befinden müssen, wenn er beständiger Natur gewesen wäre und fortgefahren hätte sich mit gleicher Geschwindig- keit auf der Oberfläche des Planeten zu bewegen. 4 Tage später, am '?/ Nov. um 1155, befand sich die- ser Fleck fast genau der Mitte des rothen Flecks k gegenüber. Seine jovicentrische Winkelgeschwindigkeit in der Richtung West nach Ost ergiebt Sich daraus = 19'6 in der Stunde. Über die Oxydationsproducte von Erythrit. Von S. Przybytek. (Lu le 29 avril 1880.) Die Oxydation derjenigen mehratomigen Alkohole, in denen die Hydroxylgruppen sich in primärer und secundürer Stellung befinden, ist noch wenig unter- sucht. Sich auf die Oxydation des Mannits, der die Zuckersäure') und die Oxydation des Dulcits, der die Schleimsáure ?) liefert, stützend, konnte man voraus- Setzen. dass in dergleichen Alkoholen die primäre Alkoholgruppe sich früher und leichter oxydire, als die secundäre. Wäre es so in der That, so müsste man aus dem vieratomigen Alkohole, Erythrit C,H, (HO),, 1) Backhaus, Journ. de Pharm. (3). 38. 2) Laurent, Comptes Rendus. 30. 41. Carlo Journ. de Pharm. (3). 28. 161 e Tome XXVII. unter gewissen Bedingungen die Eine der isomeren Weinsäuren —, aus dem Glycerin C,H, (HO), die Tartronsäure erhalten. Bei der Oxydation des Erythrits mittelst Platinschwarz [De Luynes?), Sell‘)] und mittelst rauchender Salpetersäure [Lamparter)] ist bis jetzt jedoch nur die einbasische Erythritsáure er- halten worden. Die Bildung der Tartronsäure bei der Oxydation des Glycerins ist noch nicht mit Sicherheit constatirt worden. Durch die Oxydation des Erythrits mittelst Salpeter- säure ist es nun mir gelungen Eine der Weinsáuren zu erhalten. Dem vorgesteckten Ziele entsprechen am besten (den angestellten Versuchen gemäss), folgende Bedingungen. Auf eine Lósung von einem Theile des Erythrits in 2'/, Th. Wasser muss man 2%, Gew. Th. reiner Salpetersáure von dem spec. Gew. 1,37 nehmen. Im Anfange ist die Reaction nicht bemerkbar;. nach einigen Stunden jedoch fängt die Flüssigkeit an Gas- bläsen zu entwickeln und sich blau zu färben. Lässt man diese Flüssigkeit bei gewóhnlicher Zimmertem- peratur (15^ R.), so dauert die Gasentwickelung sogar nach einem Monate noch fort. Ufn die Oxydation zu beschleunigen bringt man die Mischung in einen Kolben, der mit einem Rückflusskühler verbunden ist, und er- wármt auf dem Wasserbade, damit die Gasentwicke- lung nicht zu heftig werde. Nach einer Woche des Erwärmens (bis 25 — 50°) hört die Gasentwickelung auf. Man erhält eine farblose Flüssigkeit, welche stark nach Blausäure riecht. Um den Überschuss der Sal- petersáure und die flüchtigen Oxydationsproducte (Blausäure, Kohlensáure) zu entfernen wird diese Flüs- sigkeit auf dem Wasserbade erwärmt unter bestündiger Erneuerung des verdampfenden Wassers. [Ohne diese Vorsichtsmassregel zeigt sich bei einer gewissen Con- centration der Flüssigkeit wiederum die oxydirende Wirkung der Salpetersäure: die Flüssigkeit färbt sich gelb und fängt an Blasen der Stickstoff-Oxyde zu ent- ` wickeln]. Dann sáttigt man die Flüssigkeit mit kohlen- saurem Blei, bringt den dabei entstandenen weissen, flockigen Niederschlag des Bleisalzes auf das Filter und wäscht es mit Wasser aus. Dieses unlösliche Blei- 0 salz zertheilt man im Wasser und zerlegt es sodann mit Sébwefelwaeserstoff. Die vom Schwefelblei ge- ` m 8) oue Jr a. (4). 2. 385. 4( 0.5 5) Annalen, Chen. Pharm. 134. T 147 Bulletin de l'Académie Impériale . LE trennte Lósung wird auf dem Wasserbade eingedampft und im Exsiecator über H,SO, stehen gelassen. Nach einiger Zeit gesteht dabei die ganze Flüssigkeit zu Krystallen. Diese Krystallmasse stellt ein Gemenge von Weinsäure und Oxalsäure dar. Die Lösung der krystallinischen Sáure giebt bei der Süttigung mit Kalkwasser einen reichlichen, flockigen Niederschlag. Dieser Niederschlag geht beim Behandeln mit Essig- süure zum Theile in Lósung über, zum Theile bleibt er ungelóst. Dieser ungelóst bleibende Theil besteht aus reinem Kalk-Oxalat. Das in Essigsäure lösliche Kalksalz setzt sich während des Abdampfens der Lösung in Form von glänzenden, harten, schwach gelblich gefärbten Blätt- chen ab. Unter dem Mikroskop betrachtet stellt dieses Salz kleine rhombische Tafeln dar. Beim Glühen auf dem Platinbleche schwillt es stark auf, schwärzt sich und verbrennt langsam. Es enthält keinen Stickstoff. Das frisch gefällte Salz löst sich leicht in Essigsäure; getrocknet wird es jedoch schon schwer löslich, sogar in siedender Essigsäure. In Salzsäure löst es sich leicht; beim Sättigen dieser Lösung mit Ammoniak scheidet es sich wiederum in weissen, glänzenden Kry- stallen ab. In dieser Form wurde es auf das Filter ge- sammelt, gewaschen und getrocknet. Die Analyse des bei 130° — 145° getrockneten Salzes gab folgende Resultate. 1) 0,2077 grm. des Salzes gaben bei der Verbren- nung 0,1793 grm. CO, und 0,0658 grm. H,O. Wo- raus; gefunden berechnet für C,H,0;Ca C. 23,50. 23,50. HE 35 2.91. Folglich enthält das bei 130 — 145? getrocknete Salz noch ein Molecul Krystallwasser. 2) 0,1727 des Kalksalzes liessen nach dem Glühen 0,0453 grm. CaO nach, was 18,80?/ Ca entspricht. ... Ein Salz von der Zusammensetzung C,H,O,Ca + H,O enthält 19,42°/, Ca. . Dieses Kalksalz wurde in das Kaliumsalz überge- führt durch Erwärmung mit einer wässerigen Lösung von Pottasche. Die alkalische Lösung wurde von CaCO, abgetrennt, mit Essigsäure gesättigt und durch . essigsaures Blei gefällt. Das erhaltene Bleisalz wurde gewaschen, mit Wasser geschüttelt und mit Schwefel- : wasserstoff zerlegt. Die in dieser Weise abgeschiedene Säure krystal- lisirt in langen sternfórmig gruppirten Nadeln, oder in kleinen viereckigen Platten. In Wasser ist sie sehr leicht löslich, in Aether unlöslich. Beim Erwärmen schmilzt sie, schwillt auf, schwärzt sich und verbreitet einen Geruch an gebranntem Zucker. Die wässerige Lösung der Säure wirkt nicht auf das polarisirte Licht. Das saure Kaliumsalz ist in Wasser sehr leicht löslich. Bereitet man eine conentrirte Lösung der Säure, theile sie in zwei Theile, von denen man Einen mit Kalihydrat oder Pottasche sättigt und giesst. dann beide Theile zusammen, so bildet sich kein Nieder- schlag. Fügt man aber Alkohol hinzu, so setzen sich auf den Boden und die Wände des Gefässes ölartige Tropfen ab, die bald in Aggregate von Krystallnadeln übergehen. Diese Krystalle wurden auf ein Filter ge- sammelt und mit Alkohol gewaschen; an der Luft ge- trocknet verloren sie bei 100° nichts an Gewicht. 0,1260 grm. des Salzes gaben 0,0590 grm. K,SO,, was 0,0264 grm. K entspricht. Folglich enthält das Salz 20,95%, Kalium, während C,KH,0, 20,78% K enthält. T saure Ammoniumsalz krystallisirt in durch- sichtigen, rhombischen Krystallen. Dieses Salz ist ebenso wie das entsprechende Kaliumsalz sehr leicht in Wasser löslich. Das Bleisalz wird in Form eines weissen klum- pigen Niederschlages erhalten (der beim Stehen unter dem Wasser dicht und körnig wird). In Wasser ist dieses Salz sehr wenig löslich; es enthält kein Krystall- wasser. Die Verbrennung mit Bleichromat des bis- |zum Erreichen des beständigen Gewichtes bei 100° getrockneten Salzes hat folgende Resultate ergeben: Genommen wurden 0,1820 grm. des Salzes, erhalten 0,0890 grm. CO, und 0280 grm. H,O. gefunden berechnet für Pb C, H, Og 0. 49,2994 1 E. H-.--140 1,12. Das Silbersalz stellt einen weissen, flockigen am Lichte sich schwärzenden Niederschlag. Beim Kochen mit Wasser zerlegt es sich schnell, indem es metalli- sches Silber theils in Form eines schwarzen Nieder- schlages, theils in Form eines Spiegels absetzt. Auf Grund der beschriebenen Eigenschaften - — näm- lich: der leichten Lóslichkeit der Säure selbst, ihres sauren Kaliumsalzes und des sauren Ammoniumsalzes 149 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 150 und endlich der عوك‎ a der Lósung der Säure die Polari bene zu drehen, — kann man schlies- sen dass die aus dem Erythrit erhaltene Weinsüure die optisch inactive Mesoweinsäure sei. Die Untersuchungen von Pasteur‘), Dessaigues’) und Jungfleisch®) haben gezeigt dass alle isomeren Weinsüuren unter gewissen Bedingungen in einander überzugehen fähig sind. Um nun festzustellen, dass die aus dem Erythrit erhaltene Säure — wirklich Wein- säure sei, habe ich versücht sie in der Traubensäure nach der Methode von Jungfleisch überzuführen: 10 Theile krystallisirter aus Erythrit erhaltenen Sáure wurden mit einem Theile Wasser in zugeschmolzenem Rohre während 35 Stunden bis zu 170° — 175° er- hitzt. Beim Oeffnen des Rohres zeigte sich ein bedeu- tender Druck; es entwickelte sich viel CO,. Der Inhalt des Rohres wurde mit heissem Wasser ausgezogen, von den im Wasser unlóslichen Zersetzungsproducten der Säure abfiltrirt und auf dem Wasserbade einge- dampft. Beim Erkalten gestand die ganze Flüssigkeit zu einer strahligen Masse, die ganz denselben Anblick hatte, wie die Säure vor dem Erwärmen. Es erwies sich jedoch dass die nun erhaltene Säure schon eine gewisse Menge Traubensüure enthielt: Die concen- trirte Lösung zur Hälfte mit Kalilauge gesättigt lie- ferte sogleich einen beträchtlichen, weissen, krystal- linischen Niederschlag. Dieser Niederschlag wurde von der Lösung abgetrennt, mit einer nicht sehr grossen Menge Wasser ausgewaschen und getrocknet. Die in Form des löslichen Kaliumsalzes nachgeblie- bene Säure wurde durch essigsaures Blei niederge- schlagen, und das Bleisalz mit H,S zerlegt um die freie Säure auszuscheiden. Dieselbe wurde von Neuem mit Wasser erwärmt um noch einenTheil von ihr in Trau- bensäure überzuführen u. s. w. In dieser Weise ist es gelungen eine ziemliche Menge des schwerlöslichen sauren Kali-Salzes zu erhalten. Aus ihm wurde das ... Bleisalz bereitet und letzteres durch H,S zerlegt. Die S durch Filtriren vom Schwefelblei abgetrennte Flüssig- keit wurde eingedampft und bei gewöhnlicher Tempe- ratur stehen gelassen. Bald entstanden in der Flüssig- keit einzelne gut ausgebildete Krystalle, welche die Form von rhombischen Prismen hatten. 6) Comptes rendus. Paris 36. 978, 37. 162. 7) Bulletin soc. Chim. Paris. 1863. 41 et 355. C. R. 55. 769. . 8) Comptes rendus. 75. 439 und 1769. 0,2890 grm. dieser krystallinischen Säure verloren bei 100 — 115? 0,0316 grm. Der Verlust beträgt 10,939. Die krystallisirte Traubensäure C,H,O, + H,O verliert unter diesen Umständen 10,71", H,O. Die Lósung dieser Krystalle zu einer Gypslósung hinzugegossen rief nach einigen Minuten das Erschei- nen eines Niederschlages hervor. Fügte man aber im Anfange Ammoniak, so trübte sich die Lósung beim Umrühren sogleich, indem sie einen krystallinischen in Salzsäure lóslichen Niederschlag ausschied. Die salzsaure Lüsung des Salzes schied beim Neutralisiren mit Ammoniak das Kalksalz von Neuem ab. Diese Ei- genschaften stimmen vóllig mit denen der Trauben- säure überein. [Pasteur?) Fresenius!°).] Die Ausbeute an Weinsäure bei der Oxydation des Erythrits unter den oben angedeuteten Bedingungen betrügt beinahe 10%. Zugleich mit der Weinsàure bilden sich unter diesen Bedingungen immer eine be- trächtliche Menge Blausáure und eine mehr oder minder betrüchtliche Menge Oxalsáure. Die Menge der letzteren vermehrt sich wenn die Oyxdation des Erythrits in verdünnteren Lüsungen geführt wird. Die Erythritsäure aus den Oxydationsproducten des Erythrits auszuscheiden ist mir bis jetzt nicht ge- lungen. | Bevor ich zu den Oxydationsversuchen des Erythrits mit Salpetersüure übergegangen worden war, habe ich versucht diescn Alkohol. mittelst kaliumpermanganat zu oxydiren. Dabei wurde die Bildung von CO, von Ameisen- und Oxalsäure constatirt. Zu den Versuchen dienten schwache (V, 9) wüsserige Lösungen von KMnO, dessen Menge darauf berechnet war das an- gewandte Erythrit bis zur Weinsüure zu oxydiren. Die Reaction giebt sich bald nach dem Vermischen durch Veründerung der Farbe und durch die Ent- wickelung von Blasen von CO, kund; nach einigen (5—6) Stunden ist sie beendet. Die farblose neutral reagirende Lösung wurde von den Oxyden des Mangans abgeschieden. Ein Theil von ihr wurde mit Phosphor- süure angesüuert und auf ein Drittel abdestillirt. Es wurde ein Destillat erhalten, der eine saure Reaction ` | | besass, und, wie die Untersuchung gezeigt hat, betrücht- | 9) Annales Chim. Phys. (3). 24. 442. 28. 56. 10) Annalen. Chem. Pharm. 41. 1. 53. 229. ^ 10* j 151 Bulletin de l’Académie Impériale 152 liche Mengen Ameisensäure enthielt. [Die Lösung gab die characteristischen Reactionen mit HgO und Ag,0]. Ein anderer Theil des Oxydationsproductes des Ery- thrits wurde durch essigsaures Blei gefällt. Das Blei- salz wurde in Wasser suspendirt und mit HS zerlegt. Die wässerige vom Schwefelblei befreite Lösung wurde eoncentrirt und krystallisiren gelassen. Es bildeten sich leicht verwitternde, lange Krystallnadeln, welche beim Glühen nicht schwollen und sich auch nicht schwärz- ten. Das aus dieser Säure bereitete Silbersalz ver- änderte sich wenig am Lichte, im trockenen Zustande beim Glühen zerlegte es sich unter Verpuffung. Das - Kalksalz dieser Säure ist krystallinisch und in Essig- säure unlöslich. 0,3120 grm. des bei 100° bis zum beständigen Ge- wichte getrockneten Kalksalzes gaben nach dem Glühen 0,1192 CaO, was 38,07%, beträgt. Die Theorie for- dert für C,CaO, + H,O — 37,67 CaO. Demnach ist es unzweifelhaft dass die vorliegende Säure Oxal- säure war. Bei der Oxydation des Erythrits mittelst des Chrom- gemisches oder wässeriger Lösungen Chromsäure wurden dieselben Oxydationsproducte erhalten, d. h. Kohlensäure, Ameisensäure und Oxalsäure, diese letztere — als Hauptproduct. Für diese Versuche wurden schwache (1'/, — 2'/5/) Lösungen von K di oder CrO, genommen. Diese Arbeit ist im Laboratorium des Hrn. Pro- fessors A. Butlerow ausgeführt worden. f Nachträge zu der Abhandlung über die Münzen der lleke oder ehemaligen Chane von Turkistan '). Von B. Dorn. (Lu le 2 décembre 1880.) Ich habe die in Rede stehenden Herrscher [leke genannt, welche Bezeichnung auch bisweilen von Fraehn, Soret — wenngleich nicht durchgehends — Tornberg u. A. gebraucht worden ist. Auf Münzen habe ich das Wort Ilek (SLI) nur bis zum Jahre 433 gefunden; sein sonstiger Gebrauch ist aber noch : später nachweisbar. In morgenländischen cuelga" 1) en T. XXVI, S. 542—571; Mélanges asiatiques, T. VIII, 8.708— lern findet man die Benennung Lek- (Ilk-, Iluk)- Chan oder Iik Ilchan; s. Kasem-Bek, Vacrb1oBa- uie, S. 119. Ibn el-Athir (IX, S. ٠١6 u.a.) nennt z. B. den Ahmed ben “Aly .ايلك الغان‎ Sonst sind diese Chane auch noch unter anderen Namen, z. B. Chane oder Chakane von Turkistan, der Hoeihe- Türken u. s. w. bekannt; s. Grigorjev, Kapaxaumabi, S. 193—194. Von Lary werden sie einfach als (S, welche in Mawerannahr geherrscht haben, bezeichnet. Grigor- jev, wie früher erwühnt, nennt sie Karachaniden, von dem Begründer der Dynastie, Kara-Chan Satuk, wel- cher zuerst den Islam annahm und sein ganzes Leben hindurch bestrebt war, ihn allgemein einzuführen. Ich würde die Benennung Satukiden vorziehen, sofern noch heutigen Tages Satuk Bughra- Chan in Kaschghar wohl- bekannt ist. Sein Grabdenkmal ist ein sehr hochge- haltener Wallfahrtsort; s. Forsyth, S. 17, Photo- graphie X 81 u. 82 und Bellew, Kashmir, S. 308. Doch sind diese Bezeichnungen zu eng, da nicht alle Chane von Satuk abstammten. Im Jahr 1873 war ein Nachkomme desselben, Muhammed - Chan Chodscha, Gouverneur des Artysch-Districtes; s. Forsyth, S. 17. S. 544 B., 705 M. Wie unbestimmt und willkür- lich diese Würdebezeichnungen waren, beweisen die Münzen Nasr's I., wo er Jael, SL, دشا‎ L genannt wird. Ahmed ben Aly wid: oU) (x. X 44), خاقان‎ (M. X 45. 49), o ls (M. X 37) EECH Muhammed ben Sulaiman (X 112 u.113) als خاقان‎ und „laib bezeichnet u.s. w. خاقان‎ und خان‎ werden oft promiscue gebraucht; s. Grigorjev, Heusy. MOHETBI, S. 4—5. 8. 544 B., 706 M. jai أبرعيم بن‎ ist jetzt zu strei- chen. Sachau führt einen Tufghadsch-Chan Ibrahim ben Nasr Ilek an; s. die S. 569 B., 739 M. befindliche Liste l. der Chane, 12), wo das da Gesagte nach der jetzt mit- getheilten Liste zu ändern ist. Wir lesen auf der Münze vom Jahre 432, N 103 beide Benennungen, nur anstatt Tafkadsch طنغأج (طغقام)‎ geschrieben, und طنغام‎ auf I. bezieht sich wahrscheinlich nicht auf den regierenden Chakan (s. M. X 105), sondern auf Ibra- him; s. die Liste der Chane, Y 12). Was die anderen - | Namen anlangt, so werden es wohl die von Provinz- oder Städtegouverneuren sein ; s. Fraehn, Opp. post. II, S. 212 Ich habe S. 544 B., 706 —7 M. Nasr und Ahmed 153 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 154 als Brüder angenommen.; auch nach Raverty (S. 902) waren sie es; s. Beilage. Ich habe gesagt (S. 545 B., 707 M.), dass Ahmed ben ' Aly erst vom Jahre 401 an allein regierte. So nach seinen Münzen aus Samarkand, Soghd, Ischtichen, Usch, Achsiket; es bleibt aber immer sonderbar, dass wir nicht Münzen aus früheren Jahren von ihm haben, wenn er wirklich nach der von Sachau, S. 41 mitge- theilten Angabe von 383—403 regiert hat. Nun lässt Raverty (S. 903, V.) auch Nasr von 383 — 403 re- gieren. Wer von beiden der ältere oder gebietendere war, will ich aus Mangel an näheren, zuverlässigeren Nachweisen als die den Münzen entnommenen Andeu- tungen es sein mögen, unentschieden lassen, aber wenigstens als Münzherrn gebührt jedenfalls Nasr der Vortritt, während die Benennung «Grosschan» (üb J; >) für Ahmed zu sprechen scheint. Und sind die angegebenen Jahre hinsichtlich des Regierungsanfanges der beiden Ileke richtig, so haben sie, wie es scheint, zusammen oder doch neben einander und zu gleicher . Zeit regiert. Nach den Münzen muss übrigens Ahmed. länger regiert haben als 403; s. Beilage. Erklären lässt sich der Mangel an früheren Münzen durch den Umstand, dass diese Ileke erst seit dem Sturz der Samaniden und zum Theil nach deren Vorbilde, an- gefangen zu haben scheinen, Münzen mit Musulmani- schen Inschriften prägen zu lassen. Die erste sichere bis jetzt bekannte Ilek-Münze schreibt sich in der That aus dem Jahre 389 her, in welchem das Samaniden- Reich von ihnen genommen wurde. Die von Soret, lettre à M. Jousseume, S. 18, V 1 angeführte Münze aus dem J. 381 oder 385 ist allzu zweifelhaft. Ahmed wird als Fürst von Kaschghar aufgeführt ; Nasr scheint in Ferghanah oder Uzkend oder sonst wo seinen Wohn- sitz gehabt zu haben; vergl. Raverty, S. 903 und die Münzen aus Buchara, Samarkand, Chodschendeh, Ferghanah, Usch, Uzkend, Ilak. Der auf der Münze vom Jahre 389 genannte Kara-Chakan kann nicht der . Grosschan gewesen sein; bei Raverty a. a. O. ist rich- tig Ahmed ben ° Aly als Grosschan bezeichnet. S. 547 B., 710 M., X 22. Als Verfasser ist Sa- weljev zu nennen; s. auch Mél. as. S. 744. Der S. 547 B., 711 M., X 2 genannte Arslan Ilek wird kein anderer sein als Arslan I., dessen Regie- rungsanfang gewóhnlich in das Jahr 408 gesetzt wird. Wie er aber, der Bruder (?) Nasr's schon a. 390 auf der Münze erscheint, darüber wird uns vielleicht ein- mal die Geschichte Aufschluss geben. Seine Nennung auf jener Münze ist übrigens noch kein Beweis, dass er früher als 408 die Alleinregierung angetreten habe; s. Sachau, S. 44. ; Was den Nasir el-Hakk anlangt, so will ich Folgendes bemerken. Ich habe diesen Ehrentitel eigentlich im- mer für den des Nasr angesehen, welchen er von dem Chalifen el-Kadir-Billah erhalten haben wird; s. Nov. Supplem. S. 248. Grigorjev ist (1863) zwar nicht gegen eine solche Annahme, meint aber, die Karacha- niden-Herrscher von Mawarennahr hätten wenigstens ` in der ersten Zeit nach der Eroberung sich als Vasallen [der Uigurischen Chane im Chinesichen Turkistan oder auch ?] der Chinesischen Kaiser ansehen können und auf den Münzen den Namen ihres politischen Ober- herrn anbringen wollen, wie sie eben den Namen ihres geistlichen Oberherrn, des Chalifen el-Kadir- Billah anbrachten. Wenn daher die Annahme einer Abhän- gigkeit der Chane von den Chinesischen Kaisern [oder den müchtigsten Uigurischen Chanen im Chinesischen Turkistan] nicht unzulüssig sei, so frage es sich, ob eben jener Titel nicht auf den gleichzeitigen Chine- sischen Kaiser zu beziehen sei? Die Frage müsse durch Sinologen, welche sich mit der Geschichte Mittelasiens - beschäftigt haben, nüher untersucht und entschieden werden. Fraehn hatte (1821) einen Einfluss der nähe- ren Berührung, in der «diess Volk» mit seinen Nach- baren, den Chinesen u. s. w., stand, auf die Graphik der Münzen angenommen, s. Das Muhammed. Münz- kabinet, S. 34. Nimmt man einmal die Möglichkeit an, dass pol E nicht dem Nasr, sondern einem anderen Herr- scher zukommen könnte, so würde sich immer noch an Satuk denken lassen, welcher den Titel C sb mit demselben Rechte führen konnte, wie der grosse Send- bote ) (داعئن كبير‎ Hasan ben Zaid, Herrscher von Taba- ` ristan von 250 — 270 — 864—883 diesen Titel führte. Sonderbar mag es erscheinen, dass der Titel nicht auf allen Münzen Nasr's, auf welchen der Name des el- Kadir-Billah vorkommt, gefunden wird. Das wird von dem Münzwardein oder Stempelschneider abgehängt haben. Wir finden auf den in Rede stehenden Münzen verschiedene derartige Willkürlichkeiten. Ich glaube, 2) Das in [ ] Eingeschlossene hat keine Geltung mehr. 155 Bulletin de l’Académie Impériale 156 dass der in Rede stehende Titel einzig und allein dem Nasr zukommt und die Frage: wer war er? wegfällt. Ich bin überdiess der Meinung, dass er nur einem Muhammedanischen Fürsten beigelegt werden konnte. Ein Beispiel übrigens, dass ein Kaschgharischer Herr- scher auf seinen Münzen den Namen dessen anbringen liess, welchen er als seinen Oberherrn anerkannte, haben wir aus der neuesten Zeit. Jakub-Chan von Kaschghar (+ 1877) liess Gold- und Silbermünzen mit dem Namen des Türkischen Sultans "Abdu'l- Aziz in Kaschghar prügen. — Über andere auf Befehl der Chinesischen Regierung im Jahre 1295 — 1877,8 in Kaschghar u. s. w. geprügte Münzen mit Chinesi- schen, Mandschuischen und Arabischen Inschriften ein anderes Mal. S. 548 B., 711 M, X 6. finden wir auf dieser Münze Nasr's aus dem Jahre 390 den Namen Ahmed ben Nasr, also wohl des Sohnes des letzteren. Sollte er derselbe sein, welcher auf der Münze vom Jahre 411 X 54 als Ahmed ben Ilek erscheint? War er vielleicht von Seiten Arslan's I. Statthalter von Buchara und hatte als solchen Bigha- Tegin zum Nachfolger? s. die Münzen M 55 u. s. w. S. 550—1 B., 715 M., X 26. Bei dieser Münze finden wir in Fraehn, XXXI, S. 109, hinsichtlich der Randinschrift (? állj) pas ál SS „bs, die Frage, ob darunter nicht Ahmed zu verstehen sei? Ahmed’s Titel war allerdings قطب الرولة‎ . all الرولة ونصر‎ „bs fin- den wir später auf den Münzen M 65. 84. 86. 90 (2). 91, als den Titel Bughra Kara-Chakan’s. S. 552 P. 717 M., X 40. Wir finden Münzen aus den Jahren 404 mit doni Namen Ahmed, geprägt in es-Soghd, Ischtichen, Samarkand; aus dem Jahre 405 in Usch und Soghd; aus dem Jahre 407 in Achsiket; daneben aber wiederum Münzen von Buchara mit den Jahren 404. 405. 408 und dem rüthselhaften Worte حلمار‎ (? ull). Wie mag es kommen, dass unterdes- ' sen der Name Ahmed’s auf den in Buchara geprägten Münzen X: 40. 41. 43. 46 nicht erscheint? . Die unter X 42, S. 553 B., 718 M. stehende Münze schreibt Poole einem Ahmed Ibn Muhammed zu. Ich finde das Wort Jy. nicht in der Beschreibung, das da befindliche عمسن‎ gehört zu qy) Jos Mir ist | . auch sonst kein Ahmed ben Muhammed aus dieser Zeit . vorgekommen, obgleich auch Fraehn einen Kotb- Wës ` eddaula Ahmed ben Muhammed erwühnt; s. Das Mu- hammed. Münzkabinet, S. 33; in seinen späteren Schrif- ten findet sich ein solcher Name nicht. Der Beiname الںولة‎ La kam dem Ahmed ben ‘Aly zu. Der auf der Münze X 100 genannte Ahmed ben Muhammed kann hier nicht in Betracht kommen. S. 553 B., 719 M., X 47. Ein Dscha far-Tekin wird von Weil (S. I) als ein Bruder des Ahmed ben ` Aly und Statthalter von Buchara im Jahr 389 angeführt; im folgenden Jahre 390 ward er von dem Samaniden Abu Ibrahim Ismail gefangen genommen, erscheint aber i. J. 396 wieder als einer der von seinem Bruder Ahmed nach Balch (dessen Gouverneur er gewesen war) gegen den Ghaznewiden Mahmud geschickten Feld- herren; s. Ibn el-Athir, IX, S. 111 und (ps, und Gri- gorjev, S. 226. Dieser Dscha far-Tegin ist also wohl der auf den Münzen aus den Jahren 406, X 47 (und 409, X 52), erscheinende Tschaghra-Tegin und, wie sehon v. Bergmann bemerkt hat, ganz verschieden von Tschaghra-Tegin, dem Sohne Bughra-Chan's. Er führte den Titel Saif-eddaulah; ob sein Musulmanischer Name Husain war, finde ich nirgends angegeben; die- ser Name kommt dem Sohn des Bughra- Chan zu, wel- chem wiederum der Titel Saif-eddaulah abzusprechen ist. Muneddschim-Baschi berichtet, dass Bughra- Chan seinen ältesten Sohn Tschakyr- Tegin zu seinem Nachfolger ernannte. Als er starb, blieb ausser diesem nur noch ein unerwachsener Sohn einer anderen Frau. nach, welche den Thronfolger vergiftete und ihren eige- nen Sohn Ibrahim nachfolgen liess. In Folge dessen entstanden Streitigkeiten mit den Brüdern und Un- ordnungen in den Staatsangelegenheiten, so dass der Herr von Samarkand ` Imad-eddaulah Abu’l- Musaffer Tamgadsch (Ibrahim?) i. J. 440 sich der Staaten be- müchtigte. Auch nach Ibn el-Athir, IX, S. rij und Anderen (vergl. Raverty, S. 950, X., wo er Dscha far- Tigin genannt wird) war Husain ANTES Tegin ein Sohn des Bughra- Chan und wurde von seinem Vater zum Nachfolger bestimmt. Das fand aber erst im Jahre 439 Statt und Tschaghra-Tegim kam gar nicht zur Regierung. Tschaghyr (8. 553 B., 719 M.), so wie (5^) und 11) ist zu tilgen. S. 555 B., 721 M., € 55. Der Titel الرولة‎ le scheint nach dio Münzen dem Arslan beigelegt werden zu können, aber er gehört sicherer dem بيغا‎ Bigha-Tegin an, Ich habe aus einem beson- deren Grunde den ersten Namen Tigha gelesen; vergl. 157 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 158 auch Recens. S. 131, € 33 u. S. 132, X 38. Ich ziehe jetzt die Deni Bigha (vergl. ye vor. Aber der Titel بها الرولة‎ wird, so viel ich weiss, in keinem Geschichtswerke dem Alas gegeben; Soret's An- gabe (Éléments etc. S. 158), dass der Titel بها الرين‎ den Ilek- Chanen Tughan und Arslan zukomme , habe wenigstens ich nicht ER gefunden. Wir aedi Münzen mit dem Namen . ol بها‎ aus den Jahren 412, Æ 55; 414, X 60; 415, Y 61 u. 62; nur mit لرولة‎ E aus den jane 413, N 53, 415, ` 63 und 64. S 556 B., 722 M., IV. (9) Arslan- Chan II. habe ich mit einem Fragezeichen unter dem Jahr 413 an- gebracht, weil Arslan I. kaum über das Jahr 410 hinaus regiert zu haben scheint und nach Muned- dschim- Baschi's Angabe nach seiner Niederlage dem Throne entsagte und sich in ruhiges Privatleben zurückzog. Wenn dagegen der später auf Arslan- Münzen vorkommende Name Jusuf (53) wirklich der Musulmanische Name des Arslan war, so kónnte doch nur an Arslan I., welcher ein Sohn ' Aly's war, gedacht werden. Die Frage, je welchem Arslan die von a. 410—431 mit dem Namen Arslan versehenen Münzen zuzuschreiben sind, bleibt für mich s auf Weiteres eine ungelöste. Die Münzen X 62, 101 u. 102 sind von Silber. S. 559 B., 726 M., X 78. In Fraehn's Münzheft, S. 144 ist 0 Raosna hr auf 11. so gegeben: all»‏ على بن العسن (العسين) الغ S. 559 B., 726 M., € 79. Schems-eddaulah war der Ehrentitel des Arslan-Tegin. Wir finden ihn aber zu- sammen mit Arslan Ilek, X 81; Tanghadsch- Chan, N 85. 87. 88; Tanghadsch Bughra Kara-Chakan, N 92. 8. 561 B., 730 M. Eine Münze von Arslan Ilek und Jusuf ben Aly, Resch, a. 429 hat sich gefunden; s. . Mél. as. VIII, S. 744, Sie ist auf S. 567 B., 738 M. gehörigen Ortes einzureihen — X: 99 1. رسو‎ 2. 8. 562 B., 781, N 103 1. Nasr ben Arslan I.; vgl. = Weil; Yi S. 565 B., 735 M., M 118. نكين‎ LL ist wahr- scheinlich = من‎ ll, wie wir das erstere Wort auf der Münze X 1 14 finden. 8. 737 M., Æ 7 les: Ta d » بها الرولة‎ ايلك‎ S. 567 B., 735 M. füge hinzu: a. 431 Buchara. IL oJ]. 8. 568 B., 739 M. 1). Das Jahr d. Fl. 430 würde in die Jahre 1038,9 fallen, aber Bellew hat ófter 1037 auch ohne Beigabe des Muhammedanischen Jahres. S. 570 B., 742 M.. X 19; anstatt 490 1. 49. Münzstätten. Css) Achsiket (s. Jakut: Kell, a. 407. 415. cl Ischtichen, a. 404. sëch Uzkend, a. 393. 394. 395. 396. Usch, a. 400, 405.‏ أوش Ailak, nach Jakut und A. Ilak, a. 395. 398. 399.‏ ايلاق Buchara, a. 390. 395. 399. 400. 404. 405.‏ خارا .416 .415 .414 .413 .412 .411 .408 .407 .406 ,426 .425 .424 .423 .421 .420 .419 .418 .417‚ .490 .435 .433 .431 .430 .428 .427 HET Chodschendeh, a. 390. 410. Dabusiah, a. 420. 425.‏ دبوسية Ja. (mit u. ohne Artikel) es-Soghd, Soghd. a. 404, 405. 412. 418. 420. 432. Samarkand, a. 400. 401. 404. 407. 490. 49..‏ سمرقئل ?605 .558 ohne (?) u. mit Artikel, (es)-Saghanian?, es-‏ صغانيان Saghanian, a. 397, M 18. 431, X 100.‏ Ferghanah, a. 390.393.397.398. 399.400. 49.‏ فرغانة Kutlugh Ordu, a. 417. (Ein Kutlugh Orda‏ قتلغ MY‏ s. Forsyth, S. 44.)‏ Kermineh, a. 415. 424.‏ كرمينة Kerminiah, a. 409 ?.‏ كرمينية Kesch, a. 429, 431.‏ كش E CR Uschkend?, a. 392. ? Ale, a. 415, X 65. a. 413, Ñ 59.‏ ,سكساملى2 a. 415, M 63.‏ كسامل2 Bulletin de l'Académie Empériale 160 Liste der Chane. 1) "Abdu’l-Kerim Satuk ( (ستق‎ Kara-Chan, (nach Abu'l:-Feda u. A. سبق‎ Sabak und شبق‎ Schabak). 2) Musa ben Satuk. 3) Schihab-eddaulah Harun ben Sulaiman, genannt Bughra-Chan I., Herr von Kaschghar und Bela- saghun bis zur Chinesische Gränze hin. + 383 oder 384. Nasir el- Hakk Abu’ l= Hasan (Husain; s. M. X 6) Nasr I. ben ` Aly ben Musa. . 40., nach Ra- verty 403. Er wird von verschiedenen Bericht- erstattern gar nieht erwähnt; s. Beilage. Münzen: a. 389. 390. 392. 393. 394. 397— 399. 400. 401; s. Mél. as. S. 744. Kutb-eddaulah Abu Nasr Ahmed I. ben Aly ben Musa. + 40.; nach Einigen 403 oder 404: Nach Sachau regierte er von 383—403. Der Titel Schems-eddaulah, welchen ihm mehrere Geschicht- schreiber beilegen, kommt nach Einigen (s. auch Poole, S. 120), dem Ikk-Chan Sulaiman Abu Nasr zu; s. Beilage. Münzen: a. 401. 404. 405. 407. * Ein Ahmed-Chan ben Abi Nasr (Ahmed?) ben ` Aly zwang den noch immer unbekehrten Theil der Türken mit Gewalt der Waffen den Islam anzunehmen. Fr. XXXI, S. 55. Raverty lässt naeh Musa, Ahmed, dann Bu- ghra-Chan, nach diesem Nasr folgen. Die von mir 4 — Qt — angenommene Reihefolge ist den Münzen ent- | nommen. Hat Nasr nach Ahmed regiert, so hat er doch ge- gen zwölf Jahre vor ihm Münzen schlagen lassen und Ahmed hätte erst nach Nasr's Tode dasselbe gethan. Aber beide sollen ja in einem und demselben Jahre gestorben sein, was durch die Münzen widerlegt wird. 6) Scheref-eddin Tughan- Chan ben ` Aly ben Musa. 7 408 oder 409. Nach Sachau hat er von 403—408 regiert. Münzen (von oder unter ihm? oder Ahmed? geprägt): s. a. 404, Anm. 1) u. € 40; 405, X 43; 406, X 46; 407, M 50; s. Beilage e). 7) AbwE Musaffer Arian A I. ben Aly ben Muta: (so Lary). Hinsichtlich der mit dem Namen Arslan verse- | henen Münzen s. den Anhang, S. 565 B., 736 M. .8) Kadr-Chan I. Jusuf ben Mira Chan Harun ben Sulaiman. + 423. Grigorjev schreibt Kadyr Geen. Bel- lew: Kadir; Raverty nennt ihn einen Sohn des Jusuf. 9) Scheref-eddaulah Abu Schudscha | Arslan- Chan II. ` ben Kadr-Chan, Herr von Kaschghar, Choten u. s. w. Wie lange er regiert hat, ist nicht bekannt. T 439. Raverty nennt ihn einen Sohn des Bughra- Chan; Weil und Sachau, einen Sohn des Kadr- Chan Jusuf. Münzen von ihm? u. Schems-eddaulah Arslan- Tegin; s. S. 569 B., 741 M. (9°) und Anhang, "Sr 665 B; 736-M. 10) Mahmud I. Bughra-Chan II. (Kara-Chakan) ben Kadr-Chan. Nach Sachau von 423—439. Münzen: a. 415? 424. 425. 426. 435. Wenn Bughra- Chan wirklich von 423 — 439 regiert hat, so können die Münzen aus den Jah- ren 415.424. 426 nicht von ihm als in Buchara regierendem Herrn ausgegangen sein; sie wür- ` den bis 433? in die Zeit fallen, wo Arslan IL. (?) regiert hat; vergl. Sachau, 8. 37. Die erste dem Bughra- Chan zukommende Münze wäre die vom J. 435. Auf dieser Münze wird er Tanghadsch Bughra Kara- Chakan genannt, aber diese Namen finden wir auch schon in den Jahren 424, N 84 u. 86; 425, X 90. 91 auf nicht in Buchara ge- prägten Münzen. Bughra-Chan ernannte zu seinem Nachfolger seinen Sohn Tschaghra-Tegin, der aber nicht zur Regierung kam; s. oben. Er wird von Einigen Dscha far (_ss>) -Tigin genannt; s. dagegen Gri- gorjev, Kapaxammbi, 5. 235, 35. Er heisst da Tschakyr ( حقر‎ Tschakra?) ES 11) Ibrahim I. ben Mahmud Bughra-Chan. 12) Ibrahim II.“ Imad-eddaulah Abwl- Musaffer. Tan- ghadsch?)- Chan I., nach Raverty Abw’l-Musaffer u. s. wW., der Sohn eines Ibrahim ben Nasr. Er kam nach Einigen im J. 440 zur Regierung. ; Side) nennt ihn Tafkadsch ( gb), wie Si : TE GL n طفقاج‎ scheinen promiscue gebraucht w worden zu sein. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 162 sonst auch auf Münzen findet. Sachau, S. 43 nennt ihn 'Zmad-eddaulah Tufghadsch- Chan Abu'l- Musaffer Ibrahim ben Nasr Ilek; vergl. Ibn el- Athir, IX, S. rti — rir, wo des Weiteren an- gegeben wird, dass Ibrahim der Sohn eines from- men Mannes Nasr Ilek war, der sich Samarkand’s bemächtigt hatte. Nach dessen Tode folgte ihm sein Sohn Tafghadsch (Ibrahim) nach; er besass namentlich Samarkand und Ferghanah. Die S. 562 B., 731 M. unter der Münze Æ 103 stehenden Fragen erhalten also durch Ibn el-Athir's An- gabe ihre Erledigung. Ibrahim (der Musulmani- sche Name des) Tanghadsch-Chan ben Nasr ben Arslan I. war ein besonderer Fürst. + 460. vergl. die Bemerkung unter der Münze M 105. — Münze: a. 432 (Tanghadsch-Chan Ibrahim?); 13) Schems el- Mulk Nasr II. ben Tafkadsch. + 472. Münze: Æ 106. 14) Chisr-Chan ben Tafkadsch. 15) Ahmed-Chan II. ben Chisr-Chan. + SE: Münze: ® 108. / 16) Mahmud-Chan II. + 490, ‚nach Anderen 495. Münze: a. 490. 17) Kadr-Chan II. ben ' Omar-Chan ben Ahmed- Chan. + 495. 18) Muhammed Arslan-Chan III. ben Sulaiman ben Bughra-Chan ben Dawud; s. Weil, S. 274. ! Münze: a. 49. 19) Abu'l- Ma ali Hasan-Tegin ben ' Aly; Weil (8.275) nennt ihn « Toghfedj- Husein;» s. N 2 20) Rukn-eddin Mahmud- Chan III. ben Arslan. Den Titel Rukn-eddin giebt ihm Raverty, S. 907, XX; nach der a. 558 genannten Münze kommt er dem Kilidsch Tafghadsch zu oder den beiden? 21) Tangadsch- Chan. II. ben Muhammed-Chan (ben Sulaiman). 3:550 oder 551 (??). Nach der Münze vom J. 558: Rukn-eddunja weddin Kilidsch Tan- ghadsch oder Tafkadsch-Chan. Münze: a. 558. 2 9) Dschelal-eddin ` Aly ben Hasan-Tegin, bei Mu- ` neddschim- -Baschi: Dschelal-eddin Chur-Chan ;(خورخان)‎ vergl. Weil, S. 276; Grigorjev, S. 243—245. Tome XXVII. 23) 'Osman-Chan. + nach Raverty 609. Vergl. Ham- mer, Gemäldesaal, VI, S. 171. Münze: a. 605? Beilage. Zu den Angaben über die Ileke Nasr und Ahmed, 1) Satuk. 2) Musa. 3) “Aly. 4) Ilek-Chan Sulaiman Schems-eddaulah Abu Nasr. 5) Bughra-Chan Harun ben Sulaiman. + 383 oder 384. Nach Ibn Chaldun, ed. Bulak, IV, S. #4» regierte er vor seinem Bruder Sulaiman; so auch Poole, S. 120; vergl. Weil, S. IV. - 6) Nasr ben ' Aly ben Musa. Tabakat-i- Nasiri, S.51—52: Abu’l- "Han Ilek Nasr, Sohn des “Aly, Bruder des Grosschanes, zog in Geht ein den 10. Si'l-Kadah 389. Ebenda, S. 52, Anm. 8: der Ilek (Nasr), Sohn des Bughra-Chan nahm Buchara ein den 10. Si'l-Kadah ` 389; s. S. 51, Anm. 6. — 5.903 — V.: Der Ilek-Chan Abu’l- Hasan Nasr, Sohn des Aly, Bruder des Harun Bughra- Chan*), mar- schirte von Uzkend gegen Buchara u. s. w.; von Fer- ghanah (S. 52) und zog den 10. Si'l-Kadah 389 in Buchara ein. ; Nach Mirchond (Hist. des Samanides, ed. Defré- mery, S. 146) zog der Ilek-Chan (Ahmed oder Nasr?) von Kaschghar aus; vergl. Tab. Nas., wo S. 52, Anm. 7 gesagt wird, dass der Ilek- Chan (Nasr?) von Kasch- ghar aus marschirte. — 8. 902. Emir Abw'l- Hasan Ilek Nasr ben ' Aly, Bruder des Grosschanes, d. i. des ersten Zlek-Chanes Ahmed ben ` Aly ben Musa. Nasr + 403. Nasr ben Aly erscheint nach dem Obigen als 1) Sohn des ‘Aly und Bruder des Grosschanes; 2) als Sohn des Bughra-Chanes; 3) als Bruder des Harun Bughra- Chan ben Sulaiman; 4) a!s Bruder des Ahmed ben ' Aly ben Musa. Als Grosschan erscheint Ahmed ben ' Aly. 7) Kutb-eddaulah Abu Nasr Ahmed ben Aly ben Musa. d 40., gewóhnlich 403 oder 404. qM 4) Harun Bughra- Chan war Sohn des Sulaiman. 11 —. umstände Nasr’s 163 Bulletin de l'Académie Impériale 164 Er zieht nach Ibn el- Athir, IX, S. ıo am 10. Si'l-Kadah 389 in Buchara ein. Ahmed, Bruder des Tughan und Arslan, regierte nach Ibn el - Athir von 383—403. Nasr (ebenso) regierte nach Raverty von 383—403. Ahmed zieht am 10. Si'l-Ka dah in Buchara ein. . Nasr, ebenso. . Nach der Münze X 49 hat Ahmed noch im Jahr 407 regiert. 8) Tughan- Chan (bei Poole, a. a. O. Tughan- Chan Ahmed) regierte von 403—408. In Folge dieser Zusammenstellung kónnen folgende Fragen entstehen: a) Wie kommt es, dass der Titel Schems-eddaulah, welcher dem Ahmed von den Geschichtschreibern beigelegt wird, nicht auf den Münzen erscheint? b) Wer, Nasr oder Ahmed zog am 10. Si'l- Ka dah 389 in Buchara ein? c) In welchem Jahre ist Ahmed gestorben? d) Auf welche Weise haben Nasr und Ahmed. von 383 — 408 regiert? Wer war der ältere? Nach den Münzen ist Nasr früher abgetreten als Ahmed. €) Tughan- Chan hat von 403 — 408 regiert. Die Münze Ahmed’s vom Jahre 407 fällt in diese Zeit. Wie ist das des Näheren zu erklären? Wir kónnen einer Erklärung von Seiten Sachau's ent- gegensehen; s. S. 41 seiner Abhandlung, welche überhaupt die übersichtlichste Aufzählung der in Rede stehenden Herrscher nach ihren ver- ` schiedenen Abzweigungen bietet. ` f) Muneddschim-Baschi nennt den Ahmed Ilchan (olal!) Abu Nasr Ahmed ben ' Aly Schems-eddau- lah; s. Grigorjev, S. 216, wo desselben Be- merkungen über den Ilek- Chan Ahmed als den Sohn oder Bruder des Bughra-Chan nachgesehen werden können. Nach Raverty, S. 902. 111. re- gierte Ahmed vor Bughra- Chan. Nur Nasr ben "Aly wird (S. 903. V.) der Bruder des Bughra- | Chan genannt und Bughra- Chan (S. 902. IV.) als der Sohn Sulaiman’s, des Sohnes des Zlek-Chanes Ahmed bezeichnet. Wie dieses Alles in Einklang . bringen? Es scheint, dass diese verschiedenen Angaben dem Umstande rade sind, dass man die Lebens- , den, wie erwähnt, mehrere Bericht- erstatter gar nicht anführen, mit denen Ahmed’s oder umgekehrt, vermengt hat. Ahmed, Nasr, Bughra- Chan, Tughan- Chan, Tschaghra-Tegin und Arslan I. werden von einem oder dem anderen Berichterstatter als Sóhne ` Aly's bezeichnet. Abu Nasr findet sich mit Ilek-Chan Sulaiman und Ahmed zusammen. Ich zweifele nicht, dass die obigen Fragen früher oder später die er- wünschte Beantwortung finden werden. x Die Schwierigkeiten, welche sich in der Erklärung der Münzen darbieten, haben St. Lane- Poole bewo- gen, die Chane von Turkistan gar nicht in das Ver- zeichniss der Münzen prägenden Dynastien aufzuneh- men; s. À scheme of Mohammadan dynasties during the Khalifate. London. 1880, S. 7. d Bemerkungen über die Gruppe der Pterocliden. Von Modest Bogdanow. (Lu le 29 avril 1880.) Im Jahre 1878 hat Elliot!) einen «Study of the Pteroclidae or family of the Sand Grouse» betitelten Aufsatz veröffentlicht, in welchem die Gruppe der Sandhühner ganz vorzüglich erläutert ist. Zur Ver- vollständigung dieser Arbeit móchte ich in Nachfol- gendem die Resultate geben, zu welchem mich das Studium ! dieser Vögel geführt hat. Gestützt auf anatomische Daten gelangt Elliot zu dem Schlusse, dass die Pterocliden zwischen die Tau- ben und die Hühnervögel gestellt werden müssen, ein Platz, welcher ihnen bereits auch vor Elliot’s Arbeit angewiesen war und über dessen Richtigkeit nicht der geringste Zweifel auftauchen kann. Mir scheint es jedoch noch rationeller, die Pterocliden weder zu den Tauben, noch zu den Hühnervögeln zu stellen, sondern sie zu einer besonderen Ordnung zu erheben, da viele Organisati thümlichkeiten, so wie die Lebens- ` weise ‚sie scharf von den Rasores trennen. So ist die Form der Flügel und Füsse keineswegs hühnerartig, ; die Fárbung ist eine ganz eigenthümliche und ebenso | auch die Lebensweise; die Eier ferner gleichen denen der Tauben, besitzen aber eine ganz besondere Fär- bung und das Gelege der Pterocliden besteht norma- 1) Proc. zool. Soc. of London 1878 p. 233. 165 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 166 ler Weise nur aus 3 Eiern, wührend es bei den Hüh- nervógeln bekanntlich viel zahlreicher ist. Die Jungen endlich sind bei den Pterocliden nach dem Ausschlüpfen mit einem Flaum von ganz eigenthümlicher Färbung bekleidet, dabei nicht blind, aber doch ohne die Fáhig- keit zu laufen. Genug, alle diese Merkmale, so wie noch viele andere, nóthigen mich, die Pterocliden zu einer besonderen, zwischen die Columbae und Rasores zu stellende Ordnung zu erheben, für welche ich den Namen Hetcroclitae vorschlagen móchte. Ausser den Pterocliden muss noch die Familie der Tinocoridae zu dieser Ordnung gerechnet werden, wie es bereits von Seiten Charles Bonaparte's, des gróss- ten Systematikers unter den Ornithologen, geschehen ist. Die Übereinstimmung zwischen den Attagis und Pterocles ist eine so auffallende, dass man sich un- willkührlich wundert, wenn Gray”) die Tinocoriden zu den Grallatores stellt, und dass man vergeblich nach Gründen für diese Anordnung sucht. Die genann- ten beiden Genera gleichen einander nicht bloss im Äussern, in der Form des Schnabels, der Flügel und der Füsse, in der Befiederung etc., sondern bieten auch im Charakter ihrer Aufenthaltsorte eine ganz eigenthümliche Übereinstimmung: dar. Die Pterocles- Arten bewohnen Wüsten und sind stets Begleiter des Kamels, die Attagis leben auf den Alpenwiesen der Anden und sind Begleiter der Lama-artigen Thiere. Mich für heute auf obige vorläufige Notiz über die Ordnung der Heteroclitae beschränkend, gehe ich zur Beschreibung von zwei neuen P/erocles- Arten über. 1. Pterocles Sewerzowi Bogd. 1774. Tetrao caudacutus Gmelin, Reise durch Russ- land, III, p. 93, tab. XVIII (Q). 1784. Tetrao abeng Gmelin, ibidem IV, p. 27. 1811. Tetrao chata Pallas, Zoographia Rosso - Asia- tica, II, p. 73. 1832. Pterocles caspius Mönötries, Catalogue rai- - sonné, p. 43. Piérooles alchata seu chata, Auctorum rossicorum. | ORTEN "E ues | durchaus übereinstimmen. Leider ist es mir nicht ge- lungen, Sahara- oder überhaupt afrikanische Exem- ا‎ ` | ` Nachdem ich in verschiedenen Museen die asiati- schen und spanischen Exemplare von Pterocles alchata verglichen habe, bin ich längst zu der Überzeugung 2) Gray, Hand-list of the Genera and Species of Birds. III p. 20. | enluminées. CV gelangt, dass beide beträchtlich von einander abwei- chen. Aber.erst jetzt, nachdem ich die "Literatur über Pterocles alchata genau durchgesehen habe, bin ich im Stande mich dahin auszusprechen, dass die Exemplare aus den genannten Gegenden zwei vóllig verschiedenen Arten angehóren. : Der jüngere G melin erhielt bei seinem Aufenthalte in Ghilan von den Persern das asiatische Sandhuhn und benannte es anfänglich Tetrao caudacuta, weil er, wie er selbst sagt, die Linnéische Pterocles alchata nicht gesehen hatte. Auf seiner Abbildung ist ein Weib- chen dargestellt, welches er aber für ein Männchen erklärt. Später, als er den Vogel am Terek erhielt, benannte er ihn einfach Tetrao alchata. Pallas führt denselben Vogel als Tetrao chata auf, ohne ihn von dem echten Pterocles alchat zu unterscheiden. M éné- tries dagegen, der den Vogel bei Baku erbeutete, be- schrieb ihn als neue Art unter dem Namen Pterocles caspius, nach einem Weibchen, welches im Museum der Akademie sub X 3195 aufbewahrt wird. Wie sich aus der Beschreibung entnehmen lässt, kannte Méné- tries, ebenso wie Gmelin, nicht einmal das Geschlecht des von ihm erbeuteten Exemplars und da er keine Stücke des Linnéischen Tetrao alchata zum Vergleich besass und sich bei der Bestimmung an Temmi nck’s Hist. nat. génér. des Pigeons et des Gallinacées hielt, so erklürte er dieses Weibchen für eine neue Art. Wenn Gmelin und Ménétries das asiatische Sand- huhn vom westeuropäischen wirklich unterschieden hätten, so hätten sie auch die differentiellen Merkmale angegeben, was aber weder von Seiten des einen, noch des anderen geschehen ist. Ebenso hat auch keiner der späteren Ornithologen diese beiden Formen unter- . schieden, nichtsdestoweniger sind die Unterschiede zwischen den asiatischen und den spanischen Exem- plaren von Pterocles alchata scharf und bestündig. Ich habe sämmtliche Abbildungen ?) von Pterocles alchata durchgesehen und bin zu der Überzeugung gelangt, dass sie alle nach spanischen Exemplaren angefertigt sind und sowohl mit letzteren, als auch unter einander plare der Pterocles alchata zu sehen, jedoch muss das 3) Brisson, Gage a I. pl. XIX. f. 1; — Buffon, Planches CVI; itsch, Vögel Europa’s. tab. "XXXI II. f. 10; — Dresser, Birds of Sange part, AAKE 11* 167 Bulletin de l’Académie Impériale 168 Sahara-Sandhuhn nach Loche’s Beschreibung in der Exploration de Algérie dem spanischen sehr gleichen. Die asiatische Form unterscheidet sich sowohl von den Abbildungen und Beschreibungen, als auch von den Exemplaren der spanischen durch folgende Merk- male: die rostfarbene Binde, welche den schwarzen Kehlfleck umgiebt, ist heller und schmäler, und auf den Wangen und über dem Auge ist diese Farbe noch bleicher mit einer Beimischung von Gelb. Die Kropf- binde ist sehr hell und von ockerbrauner Frabe. Die Ränder der kastanienbraunen Flügeldeckfedern sind rein weiss. Auf den hinteren Deckfedern und auf den Schulterfedern sind die schwarzen Säume breiter. Die Färbung des Rückens ist heller und der gelbe Ton in- tensiver. Die gelblichen Streifen auf den Bürzelfedern, den oberen Schwanzdecken und den Steuerfedern sind intensiver und breiter. Die weissgraue Farbe der Schwingen erster Ordnung ist heller und reiner; über- haupt erscheinen alle Farben beträchtlich bleicher. Bei den Männchen im Übergangskleide sind die Unterschiede ebenso deutlich, wie bei den Alten. Zwi- schen den Weibchen sind die Differenzen geringer, dennoch fehlt es nicht an constanten. Bei den asiati- schen Stücken sind die Binden auf den vorderen Flügel- deckfedern von rein weisser, auf den hinteren dagegen von perlmutterweisser Farbe und je älter der Vogel wird, desto weisser erscheinen die Binden, was bei den spanischen, selbst bei ganz alten Stücken, nicht vor- kommt. Die Kropfbinde ist bleicher, ` Sämmtliche Exemplare aus den aralo-kaspischen Steppen, aus Turkestan, Transkaukasien und Nord- Persien gehören zu dieser Art, und ich benenne die- selbe zu Ehren des Hrn. Dr. N. A. Sewerzow, der sich so lange Jahre mit der Erforschung Turkestans, wo dieser Vogel einheimisch ist, beschäftigt hat. Eine ausführliche Beschreibung nebst Abbildung des Pte- rocles Sewerzowi werde ich später in meiner projectir- ten Fauna der aralo-kaspischen Steppen geben. 2. Pterocles Ellioti Bogd. Diese Art ist auf ein ausgewachsenes männliches Exemplar begründet, welches Dr. Rüppell in Abys- sinien erbeutet hat und welches im Museum der Aka- demie sub M 3112 aufgestellt ist. Pterocles Ellioti steht dem Pterocles exustus sehr nahe und ist von Dr. Rüppell auch unter letzterem Namen eingesandt worden; er unterscheidet sich von der genannten Art aber durch die geringere Grüsse und den längeren und dickeren Schnabel. Die Färbung ist durchweg bleicher, aber der Hauptunter- schied besteht darin, dass Pterocles Ellioti fast gar kei- nen gelben Ton besitzt, während dieser Ton bei Pterocles exustus sehr stark ausgeprügt ist. Statt des gelben Tons findet sich bei der ersten Art ein hellrothbrauner. Ein weiteres sehr scharfes Unterscheidungsmerkmal bietet sich darin, dass bei der neuen Art auf dem Vor- derarme vor der schwarzen Endbinde ein grosser drei- eckiger Fleck von rein weisser Farbe vorhanden ist. Über die Beziehungen zwischen Isobaren und Isano- malen der Temperatur. Von H. Wild. (Lu le 23 décembre 1880.) (Mit 2 Karten.) Als ich der Classe in der Sitzung vom 29. April dieses Jahres den letzten Theil meiner Arbeit «über die Temperaturverhältnisse des russischen Reiches» zum Druck vorstellte, hatte ich die Ehre derselben auch Isanomalen-Karten zur Ansicht vorzulegen, wel- che ich zur Erklärung der Isothermen construit hatte. Ich knüpfte an die letztern schon damals die bemer- kung, dass es mir gelungen sei, die unregelmässige Temperatur- Vertheilung über dem Russischen Reich, wie sie sich in den Isothermen darstellt, an der Hand der Isanomalen, welche die Unregelmässigkeiten besser zur Anschauung bringen, befriedigend aus den a priori gegebenen Ursachen der letztern zu erklären. Dabei waren insbesondere die Windverhältnisse zu berück- sichtigen, welche ihrerseits unmittelbar von der Ver- theilung des Luftdrucks, wie sie durch die Isobaren dargestellt wird, abhangen. Eine Vergleichung der Isobaren und Isanomalen ergab sich somit von selbst. [und führte mich unmittelbar zur Erkennung einer innigen Beziehung dieser zweierlei Linien-Systeme. Auf diese Beziehung gestützt wurde es mir nicht bloss möglich, die da und dort etwas unsichern Isobaren nach den Isanomalen zu verbessern, sondern ich konnte sogar mit grosser Wahrscheinlichkeit die Existenz ei- - nes wegen mangelnder Barometer-Beobachtungen aus . dieser Gegend noch unbekannten Druckmaximums im Norden Sibiriens erschliessen, des Sciences de Saint - Pétersbourg. 170 Obschon ich dies Alles in jener Arbeit eben we- gen der zur Erklärung der Isanomalen benóthigten Windverhältnisse umständlich besprochen habe!), so lag es doch dem Zweck derselben zu fern, diese Be- ziehung zwischen Isobaren und Tinos dort ge- nauer und insbesondere durch eine kartographische Scizze der bedeutenden Modificationen der erstern, zu der ich geführt wurde, augenfälliger darzulegen. Tch beabsichtigte dies in einer besondern Abhandiung, aber erst dann zu thun, nachdem ich noch: mehr zu- verlässige Barometer- und Wind - Daten gesammelt haben würde. Da ich indessen aus einer Mittheilung im November-Heft der Zeitschrift der oesterreich. meteorol. Gesellschaft ersehen habe, dass Herr Teis- serenc de Bort in Paris sich mit demselben Gegen- stande befasst hat, ohne indessen, wie es scheint, in die Details eingedrungen und in Folge davon zu wei- tern Schlüssen gelangt zu sein, so dürfte es geboten sein, jetzt schon auch meinerseits jene genauern Nachweise der fraglichen Verhältnisse zu geben. In den beiden beiliegenden Karten sind für den Januar und Juli die Isanomalen durch rothe, die Iso- baren durch blaue Linien dargestellt. Die Isanoma - len der Temperatur repräsentiren einfach eine Copie der in meinem ob’citirten Werk gegebenen und bedür- fen daher keines weitern Nachweises. Die Isobaren dagegen habe ich neu ausschliesslich auf Grundlage foldender Daten construirt: 1) Barometerstände berechnet von Herrn Ryka- tschew in Tabelle V seiner Abhandlung: «La di- stribution de la pression atmosphérique dans la Russie d'Europe»?) für alle Orte mit Ausnahme der später ergänzten und verbesserten Daten, wel- che in den nachstehenden Quellen enthalten SC? 2) Barometerstände berechnet von Herrn E. Stelling in der Tabelle S. 12 seiner Abhandlung: Über die Seehöhen der meteorologischen Stationen in Sibirien auf Grundlage neuer Isobaren °); 1) Die Fertigstellung des Druckes der Arbeit ist durch den Be- schluss der Academie, die Isanomalen-Karten ebenfalls durch den Zeng vervielfältigen zu lassen und dem Isothermen - Atlas beizu- , etwas verzögert worden. Es war in Folge dessen selbstver- vites nóthig, an mehreren Stellen des Textes Modificationen bei Beziehung auf diese Isanomalen - Karten vorzunehmen. ' 2) Dieses Repertorium T, IV. X 6. 1874. 3) Dieses Repertorium T. VI. X 11. 1879. 3) Barometerstände, die in der Tabelle I (am Schlusse) enthalten sind und für Nowaja Semlja, Turuchansk, Archangelsk, Kem, Ssaratow, Barnaul, Irkutsk, Nerischinsk, Kiachta, Urga, Blagoweschtschensk, Poti und Krasnowodsk neu nach den Annalen des physikal. Central- Observatoriums, für Werchne- Udinsk nach den Original- Tagebüchern im Archiv des letztern berechnet, für Spitzbergen Wijkan- der's Abhandlung, «Observations météorol. dé lex- pédition arctique Suédoise 1872 — 73»*), für Schanghai und Decima Fritsche’s Klima Ostasiens ?) entnommen, für Vardö, Bodö und Mandal nach dem Jahrbuch des norwegischen meteorologischen Insti- tuts und für Wisby nach dem der schwedischen Central- Anstalt, endlich für Budapest und Sulina nach den Jahrbüchern der ungarischen und óster- reichischen Centralanstalten wieder von uns berech- net worden sind. Alle diese Barometerstönde und so auch die der Tabelle I sind auf das Meeresniveau und auf die Schwere in 45° Breite reducirt, also unmittelbar vergleichbar. Die mit einem Stern (*) bezeichneten Daten in Tabelle I repräsentiren graphisch von mir ausgeglichene Werthe, denen bei der Construction der Isobaren der Vorzug gegeben wurde. ' Die Isobaren sind nun mit genauer Berücksichti- gung aller dieser Daten °) gezogen; indessen sind die letztern an vielen Stellen unserer Karte so spärlich vertreten, dass dabei der Willkühr noch ein beträcht- licher San blieb. In dem ganzen weiten Raum aber von 60° an nordwärts und óstlich von 50? Lànge von Greenwich (oder 20^ Länge von Pulkowa auf un- serer Karte) enthalten sogar die ob'erwühnten Tabel- ` len mittlere Barometerstände von bloss 3 Orten, nàm- - lich Nowaja Semlja, Turuchansk und Jakutsk. In ` diesen Gegenden verzeichnete Isobaren wie z. B. die- jenigen von Buchan'*), dem überdies die 2 erstern Orte fehlten, müssen daher als ganz unsicher bezeich- net werden und man wird, wenn andere leitende Anhaltspunkte fehlen, besser thun, da gar keine Iso- a Kongi. Svenska Veten. Acad. Handi. Bd. XII. X 7 (1873). 5) L. v. Schrenck, Reisen und Forschungen im Amur- Lande Bd. IV. 2 Tier St. Petersburg 1877. 6) Ausserdem habe ich noch einige Daten aus Mohn's Klimato- logie von Norwegen (aus Schübler's Pflanzenwelt Norwegens) 8. rii nachdem ich dieselben ebenfalls auf 45° Breite redu- eirt 171 Bulletin de l'Académie Impériale 172 baren zu ziehen, wie wir dies in den Karten des Herrn Stelling (l. c.) sehen. Und doch würe die Kenntniss der Isobaren wegen Beurtheilung der Windverhält- nisse, wegen barometrischer Höhenmessungen u. s. w. auch da áusserst wichtig. Das Studium unserer zwei Karten gewührt nun in der That einen solch' willkommenen Anhaltspunkt anderer Art für die Construction der Isobaren. Wenn wir nämlich zunüchst ganz von dem Theil der Iso- baren absehen, welcher auf die erwühnten Gegen- den fállt, so lässt doch in den übrigen Partieen der Karte ein Vergleich der Isobaren mit den Isanomalen sofort einen innigen Zusammenhang beider erkennen. Dieser Zusammenhang tritt besonders deutlich im Januar hervor, wo eben alle Verhältnisse sich schär- fer markiren. Wenn man sich die Isanomalen in die- sem Monat etwas nach Norden und nach Westen ver- schoben denkt, die einen etwas mehr als die andern, so wird man finden, dass sich die beiderlei Curven- Systeme, die Isanomalen und Isobaren, wenn auch nicht in allen Details, so doch in den Hauptzügen decken würden. Etwas südöstlich von einem Depres- sions- Centrum, finden wir nämlich immer ein locales Maximum positiver Anomalie und ebenso südóstlich von Centren hohen Luftdrucks locale Maxima negati- ver Anomalie und um diese Centren gruppiren sich die weitern Isobaren resp. Isanomalen in ähnlicher Weise an. Dies Verhalten ist aber ganz entsprechend der Mosi der ' Temperatur- Anomalien in und um die gewó i Centren und Maxima ` des Londres. die vür als Cyclonen und Anticyclo- nen unterscheiden, und es wird auch auf dieselbe Weise, wie in diesen, durch die um diese Centren kreisenden Winde erklürt. Auch die Centren der mitt- : leren Minima und Maxima des Luftdrucks werden nämhch nach denselben bekannten Gesetzen wie jene von mittleren Winden umkreist. Ein Blick auf die Karte, wo nach der Tabelle II (am Schlusse) ebenfalls ` durch; mit dem Wind fliegende Pfeile die mittleren oder vorherrschenden Winde aufgezeichnet sind, wird dies genügend darthun. — Bei genauerem Zusehen wird man auch im Juli die erwähnte Beziehung zwischen den Isanomalen und Isobaren in den Hanptaneen be- stätigt finden. Nachdem so der Zusammenhang .zwischen Isobaren und Isanomalen nicht bloss empirisch erkannt, son- dern auch innerlich begründet war, lag es nahe, auf Grundlage desselben die Isanomalen, welche wegen der viel zahlreichern und verhältnissmässig genauern Temperaturbeobachtungen als genügend gesichert zu betrachten sind, in den genannten Gegenden mit we- nig Barometerdaten zur Verminderung der Willkühr beim Ziehen der Isobaren und im nordöstlichen Sibi- rien, wo so zu sagen alle positiven Daten fehlen, zu deren hypothetischer Ergänzung zu benutzen. So habe ich denn nicht bloss in allen Theilen der Karte viel sicherer, ja sogar, durch die Isanomalen be- stärkt, häufig in genauerem Anschluss an die Beobach- tungsdaten die Isobaren ziehen können, sondern bin auch zur Annahme geführt worden, dass in Ostsibi- rien im Januar nicht bloss ein Druckmaximum in der Nähe des Baikal-Sees wie in den Buchan’schen und Stelling’schen Isobaren-Karten bestehe, sondern deren zwei, nämlich ausser dem letztern etwas zu be- schränkenden, dem das Maximum negativer Anomalie in der Maudschurei entspricht, noch ein zweites stär- keres am untern Lauf der Lena und des Olenek, das dem Haupt-Maximum negativer Anomalie zwischen Irkutsk und Werchojansk entsprechen würde. Durch diese Annahme werden auch ohne Weiteres die sonst ganz unverständlichen Windverhältnisse in Turuchansk, Jakutsk und Werchojansk erklärt. Man wird über- haupt auf der ganzen Karte des Januar kaum eine Windrichtung finden, welche nicht mit den neuen verbesserten Isobaren in-vollkommener Übereinstim- mung wäre. — Im Juli kann dies ebenfalls fast ohne Ausnahme mit Bezug auf die neuen Isobaren behaup- tet werden. Die letztern sind aber gegenüber den bisherigen verhältnissmässig noch mehr verändert als - die des Januars. Es gilt dies namentlich von den Iso- baren im ostspitzbergischen Eismeer und im nord- westlichen Europa, ferner von den Theilen derselben am Schwarzen und Kaspischen Meer, dann von den beiden Minima an der Mündung des Amur und in Kamtschatka, der Trennung des Stelling’schen Ma- ximum-Gebietes nordöstlich vom Baikal-See in zwei. nämlich ein kleineres, locales bei diesem See und ein ` von Jakutsk nach Nordosten sich hinziehendes Gebiet hohen Luftdrucks, endlich eine bedeutende Verlünge- rung und Verstärkung des Stelling'schen Gebietes ` niedrigen Druckes in Central- Asien in den nórdlichen Theil von Mittel- "n hinauf. 173 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 174 Nach den Daten derselben Tabellen und unter Be- folgung desselben Princips habe ich auch für die vier übrigen Monate — März, Mai, September und No- vember — und für das Jahr, für welche die Isanoma- len- Karten in meinem genannten Werk gegeben sind, neue Isobaren construirt, welche indessen der Unkos- ten halber hier nicht reproducirt sind. Ich kann daher von ihnen nur sagen, dass sie sich ebenso ungezwun- gen an die Isanomalen anschliessen liessen, wie im Januar und Juli, dass die vorherrschenden Winde ebenfalls in sehr guter Übereinstimmung mit ihnen stehen und dass sie einen allmáhlichen Übergang von den Isobaren des Januar zu denen des Juli und wieder zurück deutlich erkennen lassen. Dieser Isobaren habe ich mich in meinem genannten Werk bei der Discus- sion der Isanomalen bedient, so dass man dort auch bereits Angaben über die Haupt- Abweichungen der- selben von den bisherigen Isobaren finden wird. So kann denn mit grosser Sicherheit die em- pirische Regel aufgestellt werden, dass die Isobaren in ihren Hauptzügen mit den Tempe- ratur-Isanomalen übereinstimmen und sich auch annähernd mit ihnen decken, wenn man sie sich in südôstlicher Richtung mehr oder weniger verschoben denkt. . Ich habe oben schon darauf aufmerksam gemacht, dass diese Regel ihre Erklärung und rationelle Be- gründung in derselben Weise findet, wie die Entste- hung der bekannten Temperatur-Anomalien in und um die Cyclonen und Anticyclonen. Es kónnte hóch- stens hier noch die Frage entstehen, warum die Iso- baren sich an die Isanomalen und hide an die Iso- thermen selbst anschliessen. Halten wir uns zur Beantwortung dieser Frage zu- nächst an die normalen Temperatur- und Druckver- _ hältnisse d. h. diejenigen, welche ohne die durch den Unterschied von Land und Wasser und andere Um- stände bedingten Störungen eintreten würden und wobei also je auf demselben Parallel dieselbe Tempe- ratur und derselbe Druck stattfinden würde. Die er- stere können wir als durch die Dove’schen mittleren oder normalen Temperaturen der verschiedenen Brei- tegrade gegeben betrachten. Um die letztern zu ge- winnen, wurden den Isobaren-Karten von A. Buchan für das Jahr,.den Januar und Juli je die Barometer- stände für die 36 Schnittpunkte der Meridiane 0°, 10°, 20°, 30°, etc. von Greenwich aus mit den Pa- rallelen von 70°, 60°, 50°, 40°, 30° und 20° ent- nommen, die Mittel für den betreffenden Parallelkreis gezogen und nach Verwandlung der Zolle in Millime- ter daran dann noch die Reduction auf die Schwere in 45° angebracht. Bei einer zweiten ähnlichen Be- rechnung ersetzte man die Buchan’schen Werthe innerhalb des Bereiches unserer Karten durch die nach meinen Isobaren sich ergebenden Grössen. In der nachstehenden Tabelle sind die so nach den Buchan- schen Isobaren allein und nach den Buchan’schen (B.) und meinen (W.) Isobaren zusammen erhaltenen mittle- ren Barometerstände der verschiedenen Breiten mit den Dove’schen Normaltemperaturen derselben aufgeführt. MITTLERE BAROMETERSTÄNDE MITTLERE TEMPERATUREN Nördliche Jahr Januar Juli Jahr Januar Juli Breite. nach B, n. B. u. W.| nach B. n. B. u. W.| nach B. n. B. u W. nach Dove. 70. | 758,5 | 759,3 | 759,3 | 761,3 | 756,0 | 756,8 | — EN 7,2 65. | 758,8 | 759,4 | 759,4 | 760,5 | 756,2 | 757,2 | — 5,2 —21,1| 10,9 60 | 759,2 | 759,7 | 759,7 | 760,7 | 756,5 | 757,6 | — 1,0. = 13,5 55 | 760,2 | 760,4 | 760,7 | 761,8 | 757,1 | 7580 | 2,2 —11,3| 152" 50 | 761,2 | 761,3 | 762,1 | 763,9 | 757,7 | 758,3 Da 68| 17,0. 45 | 761,9 | 762,0 | 763,4 | 764,1 | 758,3 | 758,5 | — 9,5 — 1,1 | 19,7 40 | 762,2 | 762,3 | 764,3 | 764,4 | 758,7 | 758,7 | 13,6]: Aë 224 35 | 762,1 | 762,2 |-764,4 | 764,4 | 758,8 | 758,7 159) UF! 241 QU - TEILT Fllen | 31586, — 2L0:- 14,8 | 25,8 25 — 760.8 | 769,2 op 708,1 — 23,4 18,6. 26,8 20 E 1 9620] - سيد‎ (S| — | A 211| 27,6 175 Bulletin de l'Académie Impériale 176 Hieraus ersehen wir, dass der bedeutenden Ernie- drigung der Mitteltemperaturen der verschiedenen Parallelkreise mit zunehmender Breite sowohl im Jahresmittel als in den Monaten Januar und Juli keineswegs eine proportionale Zunahme des mittleren ` Luftdrucks entspricht, sondern dass auf ein Anwach- sen desselben von 20? bis ungeführ 37? Breite nachher sogar eine Abnahme nach hóhern Breiten hin folgt. Im Jahresmittel betrügt die Zunahme des Luftdrucks von 20 bis 37° Breite bloss 2,5"" und die Abnahme von 37 bis 70° Breite nach Buchan 3,7 ", nach sei- nen und meinen Isobaren zusammen aber bloss 3,0" Im Juli ist die Veränderung des Barometerstandes mit der Breite noch geringer, indem die Zunahme bloss 1,3"" und die darauf folgende Abnahme mit Zuziehung meiner Isobaren auch nur 2,0"" (nach Buchan allein 2,8"") beträgt. Die grösste Verände- rung des mittlern Drucks tritt jedenfalls im Januar ein, wo die Abnahme von 38° Breite bis 70° nach Buchan 5,1"" erreicht; mit Zuziehung meiner Isoba- ren betrügt dieselbe bis zu einem Minimum bei 64^ allerdings nur 3,9"", worauf der Druck gegen höhere Breiten hin wieder etwas ansteigt. Dass demnach der normale oder mittlere Luftdruck der verschiedenen Breitengrade verhältnissmässig so wenig variirt — im Maximum zwischen 20 und 70° Breite bloss um A". wenn wir unsere neuen Isobaren berücksichtigen — , ja gerade die Hauptvariation von 37° Breite an in einer Abnahme desselben gegen Norden hin besteht, weist darauf hin, dass wenig- stens von jener Breite an nicht bloss die Temperatur der Luftschichten in der Nähe der Erdoberfläche maassgebend für den normalen Druck der Luftsäule über uns ist, sondern im Gegentheil die relativ hóhe- ren Temperaturen der hóhern Theile der Atmosphäre den Ausschlag geben. Der in den untern Schichten der Atmosphäre nach Süden abfliessenden kalten Luft entspricht also offenbar auch in diesen mittlern Ver- hältnissep eine südnördliche Strömung der in der Nähe des Äquators aufgestiegenen warmen Luft. Betrachten wir jetzt die wirklichen Temperatur- und Druckverhältnisse als eine durch die unregelmäs- sige Vertheilung von Land und Wasser und dergl. mehr bedingte Abweichung von den obigen mittlern . oder normalen Temperaturen und Barometerstünden der verschiedenen Breiten, so müssten offenbar die Isanomalen des Drucks ganz den Temperatur- Isano- malen entsprechen, wenn jene Veränderungen sich nur auf die untern Luftschichten beschrünken wür- den. Da aber, wie wir oben gesehen haben, der nor- male Druck mit der Breite im Gegensatz zur Tempe- ratur so wenig variirt, so werden die Isanomalen des Drucks nur wenig von den Isobaren selbst abweichen, also die Isanomalen der Temperatur unter der letzt- genannten Bedingung sich in der That im Wesentli- chen unmittelbar an die Isobaren anschliessen, — was zu zeigen war. Aus dieser Betrachtung folgt aber noch weiter, dass wir überall da, wo die Isobaren von den Isano- malen betrüchtlich abweichen, als Grund dafür auf Veründerungen in den Strómungen der obern Schich- ten der Atmosphäre schliessen kónnen. So weisen z. B. relativ stärkere Ausbiegungen der Isobaren des Jahres über dem nordwestlichen Sibirien gegen Süd- osten zu unzweifelhaft auf eine obere nordwestliche Ausgleichsstrómung zwischen der Cyclone des nord- atlantischen Oceans und der Anticyclone über Cen- tral- Asien hin. Die oben abetrahiria Erfahrungsregel betreffend die Beziehungen zwischen den Isobaren und Tempera- tur-Isanomalen, welche durch die im Vorigen gege- bene theoretische Begründung den Character eines Gesetzes erhalten hat, wird gewiss durch weitere be- zügliche Forschungen, die ich auszuführen beabsich- tige, noch eine bestimmtere Fassung erhalten. Bei der Bedeutung aber, welche dieselbe für das Ziehen der praktisch so wichtigen Isobaren nach meiner eige- nen Erfahrung hat, hielt ich es für nützlich, dieselbe auch in dieser, noch etwas provisorischen Form mit- zutheilen. Die thermischen Isanomalen werden von jetzt an jedenfalls ein sehr willkommenes Hülfsmittel bei der Construction von Isobaren (mittlerer Zustände) : | darbieten, ja bei dem Mangel zuverlässiger Barome- terdaten aus vielen Gegenden zu diesem Ende gerade- zu unentbehrlich sein. . Nachschrift. In den beiliegenden Kira und Tabellen habe ich bei den Winden und Barometerstünden drei Beobachtungsreihen im Norden noch nicht berück- sichtigen kónnen. ee 1) Die Wind- und Barometerbeobachtungen auf dem Schiffe «Tegetthoff» der ósterreichischen Po- larexpedition unter Weyprecht und Payer, konnte 177 des Sciences de Saint - Petersbourg. 178 ich nicht benutzen, da die abschliessende Bearbeitung der meteorologischen Beobachtungen während dersel- ben durch Herrn Vice-Admiral B. von Wüllerstorf- Urbair noch nicht erschienen ist und die Barometer- Mittel, wie sie in Payer’s Werk: «Die österreich- ungarische Nordpol-Expedition in den Jahren 1872 — 74 (Wien 1876)» S. 375 und 376 mitgetheilt sind, meinen Isobaren zufolge als fehlerhaft d. h. als viel zu klein zu betrachten waren. Eine bezügliche Aus- kunft, die mir Herr von Wüllerstorf auf meine An- frage gütigst unterm 4. Januar 1881 ertheilte, bestä- tigte vollkommen meinen Schluss, indem darnach an an den dort mitgetheilten Daten eine Correction von + 9"" anzubringen ist. Mit der Reduction auf das Meeresniveau und auf die Schwere von 45° Breite wären also jene Werthe, die einenähnlichen jährlichen Gang des Barometerstandes wie in Spitzbergen erge- ben, um etwa 11"" zu vergrössern, und würden dann auch ihrer absoluten Grösse nach in allen Monaten . ausser im Januar und März mit meinen Isobaren ziemlich gut übereinstimmen. Um auch in diesen letztern Monaten einen Anschluss der letztern an jene zu erzielen, müsste meinen Isobaren im Ostspitzber- gischen Meer zwischen Spitzbergen und Nowaja Semlja noch eine Ausbiegung gegen das Franz-Josef-Land hin ertheilt werden. Da indessen nach den gefälligen ` Mittheilungen des Herrn von Wüllerstorf die nach den ersten vorläufigen Zusammenstellungen gegebenen Barometer-Daten am angeführten Ort auch sonst man- cher Verbesserungen bei genauerer Durchsicht der Beobachtungen bedurften, so hielt ich es für besser, solche Veränderungen erst nach der Publication der definitiven bezüglichen Werthe allfällig vorzunehmen. 2) Eine zweite bezügliche Beobachtungsreihe ist die bei Serdze- Kamen während der Überwinterung der Nordenskióld'schen Expedition daselbst 1878—79 angestellte. Die daselbst beobachteten mittleren Ba- rometerstände für 9 Monate sind vorläufig von Lieu- tenant Bove mitgetheilt”). Die Ausgleichung dieser hóchst unregelmässig verlaufenden Stände und die Ergänzung derselben für die 3 fehlenden Monate: Juli, August und September durch Interpolation wird indessen eine besondere eingehende Untersuchung er- heischen und daher wohl besser bis zur Publication der definitiven Beobachtungs- Resultate aufzusparen sein. Überdies fehlen zur Zeit noch genauere Daten über die Winde, indem nur allgemein (a. a. O.) ange- geben ist, dass vom November bis Mai nordwest- liche Winde vorherrschten. 3) Von den schwer zugànglichen, im hydrographi- schen Departement der Marine aufbewahrten, Origi- nalbeobachtungen unter Lieutenant Anjou in Ust- jansk aus den Jahren 1820 — 23 wurde seiner Zeit, als man dieselben für mein Werk über die Temperatur- Verhültnisse des Russischen Reichs benutzte, im phy- sikalischen Central- Observatorium nicht bloss für die Temperatur, sondern für alle Elemente eine Abschrift genommen. Es war vergessen worgen, letzteres im ` Catalog unseres Archivs zu bemerken, so dass mir dies erst nach Vollendung meiner Isobaren-Karten bekannt wurde. Ich gebe im Folgenden die nachträg- lich berechneten Windbeobachtungen und Barometer- stände dieses Ortes. 7) Annalen der Hydrographie und maritimen Meteorologie. Jahr- gang 1880. Heft VIII. USTJANS Kk. Zahl der Winde in Procenten der Gesammtzahl der Beobachtungen. Monat n. Stil. N | NE IIE ENE |. Sw |l-w | Nw | su | 8. Zahl der Beobacht. 1820 October | 2,9| — |125| 871 — | 19|144| 58|538| 52 Novemb. | 0,8| 1,2 | 12,8 | 20,3 | 23,2| 17,9 | 148| 1,21 79| 127 Decemb. | 4,6| 0,5| 4,3 | 16,0 | 22,9 | 182| 13,4 | 4,0 | 16,11 217 1821 Januar 241 18: 22) ILU 250] 290 167! 38] 6,11! 213 ` Februar | 0,3| 0,5 | 11,5 | 20,3 | 26,3 | 25,8 | 104| 08| 42| 192 Tome XXVII. 12 179 Bulletin de l’Académie Impériale Monat n. Stil. N NE E SE | 8 SW | w | NW | säll loe April 5,8 | 28,9 | 25,8 | 161| 2,3| 43| 0,3. 6,3|102| 304 Mai 6,6 | 28,9 | 25,6 | 11,6 | 12| 29|115| 98! 2,0| 205 Juni 9.9. 32,1 423| 3,1! 0,7! وج‎ 101 17! 6,8 |: 207 Juli ij&0| 2541 90,6: 266 | 45| — | — هد‎ I 4 August | 19,1|18,4| 44| 0,4| 04|119| 5,5 | 16,9 | 22,9 | 118 Septemb. | 7,1 | 11,9 | 21,0 | 24,2 | 2,1| 3,7|158| 1,7 | 12,5 || 120 October | 7,7 | 10,9 | 15,7 | 14,9) 6,0 | 12,5 | 12,9 | 1,6, 17,7 | 124 Novemb. | 2,9 | 7,1| 8,7 1699. 3441121) 7,1, 1| 92| 120 Decemb. | 2,4! — | 48 | 16,1: 69|341|292| 0,8| 5,6| 124 1822 Januar | 0,8| — | 1,0/207|112 315 | 18,8 | 3,3 17,1| 123 Februar. | — | 2, 1,0 | 26,2 | 18,6 | 26,9 | 14,1| 4,1! 6,9| 145 Márz حت‎ 39519541881 54 177 BITIRSE 98 October | — | 1,2113,5| 9,8 | 15,2 | 152 | 21719234! — 61 Novemb, | — 3| 8,2! 15,8 | 39,1|248| 2,5| 5,0| 34| 119 Decemb. | — | — | 13,6 | 24,4 | 37,3 | 17,0] 4,1| 0,6| 2,4| 169 1823 Januar | — | 0,8| 4,3 | 18,2 | 32,6 | 21,9 | 15,3 | 0,5| 6,4| 188 Februar | 0,6! 2,4| 6,8 | 10,1 | 18,0 | 31,3 22,2! 2,8| 57| 158 März 0,4! 42| 8,6 | 23,4 | 30,1 10,1! 5,4| 235 152| 171 April 17] 7,0 | 20,1 | 18,0 | 11,0 | 19,5 | 17,81 4.5١ 05| 194 Mai 5,2 | 24,4|927,7| 8,4! 22| 2,0|104|17,3| 2,3| 173 Juni 148| 9,6|144|100| 9,0! — |165|141| BI] 198 Jui F102 8,8! 36,6! 66| — | 3,3|1581107| 79 215 August | 12,8 | 16,5 19,2 | 711 £9 33 te 72| 195 Septemb. 7,4! 10,7 2,8 5,2 5,0 | 10,4 22,6 | 16,4 | 19,5 159 October | 0,6 | 6,2 Bei 778 | 30,5 114 | 18,5 | 3,9 SH 77 Mittelwerthe und Resultanten. | ; Mittlere Wind- | Vorherr- N | NE| E | SE| 8 | 8W| W | NW | Still. R. | schende richtung. Windr. : Januar 10| 08| 3,4 16,6 23,1 27,5 15,3 2,5 9,9|8 22°13’w. 550! ssw? Februar | 0,3| 1,7 6,4118,9 21,0 28,0 15,6, 2,6| 5,6|S 29°26/W. | 58,4| SSW? März 0,2| 3,7114,0120,8 17,8, 83/11,6, 5,3|183|8 17°38’E. |33,4| SSE April | 3,8118,0123,0117,0, 6,6 11,9! 9,0! 5,4! 5,3|S 75°50’E. |274| ESE Mai 5,9 26,6,26,6110,0! 1,7) 2,4 11,0113,6| 2,2 | N 5194015. 385] NE Juni 12,1 20,8 28,4 6,6 14| 88, 79| 92|N 55?54'E. |39.1] NE Juli 13,1 | 15,1 | 28,6 | 16,6 16, 7,9, 5,4| 9,5|N 71°50'E. |402| ENE 4,8 2,2 August |160 17,4 11,8) 3,8) 2,6 7,061100 15,7,15,1|N 0?38'E. 287| N Septemb. | 7,2/11,3/11,9]1477| 3,6. 7,0 19,2 9,0. 16,0|N 5° 2/W.| 26| N° October | 2,8 4,66/15,7]10,3 12,9 10,2 16,9, 8,7 17,9|S 14°49’W. |15,7| SSW? Novemb. | 1,2, 3,2 9,9117,7 32,2 18,3. 81 26! 6,8|S 195818. 524| $ Decemb. | 2,3 0,2 7,6 18,8 22,4 23,3|15,6| 1,8. 8,018 14?15'W. |50,0| SSW? E Jahr. | 5,5103 | 6ر15‎ | 14,3 12,6 12,3124 | 67/10,3| 8 2716 E. |15,6| SSE° des Sciences de Saint- Pétersbourg. Monatsmittel des Luftdrucks in Millimetern ohne Red. auf das Meeres- niveau und 45? Breite. Jahr. Febr. | Màrz. | April. | Mai. Juni. Juli. | Aug. | Sept. | Octob. Dec. | Jahr. 1821 1822 1823 Mittel = 759,0/752,5 764,9 67,5 765,8 770,6 717 771,2 63,9 758,2 54,6 756,8 767,4 767,4 752 1013) 52,9 756,8/754,4/757,7/759,9/759,1/763,8| — | 59,5| 64,1 55,7| 58,2 755,0/758,0 55,8 ,0/756,3 759,9/759,3/764,0760,3 Graphisch durch Vergleich mit Jakutsk, Nertschinsk und Turuchansk ausgeglichene Werthe. |771,2]768,0|762,9|758,9|755,5|754 Wenn man den vorherrschenden Wind des Januar und des Juli nach dieser Tabelle in unsere Karten ein trägt, so wird man eine ganz befriedigende Überein- stimmung derselben mit dem Verlauf unserer Isobaren erkennen, Was die Barometerstände betrifft, so ist zunächst“ zu bemerken, dass keinerlei Angaben über das benutzte Barometer, seine Correction und die Höhe seiner Aufstellung vorliegen. Die Beobachtungsdaten der er- sten Monate (October 1820 — Februar 1821) muss- ten ausgeschlossen werden, da sich in ihnen unerklär- liche, später nicht wiederkehrende Sprünge zeigten. Für die Breite von Ustjansk (70° 55’) beträgt die Reduction auf die Schwere von 45? : 1,6"", Über die Erhebung des Ortes über Meer habe ich zwar bis dahin nichts Näheres in Erfahrung bringen können, doch muss dieselbe wohl mindestens zu 15 Meter an- gesetzt werden, so dass die Reduction der Barometer- stände auf das Meeresniveau und auf die Schwere von Tabelle I. ‚01753,8]754,6|756,3|759,0|762,5|767,3]760,3 45° Breite mindestens 3"" in runder Zahl betragen wird. Unter dieser Voraussetzung würden pie corri- girten und ausgeglichenen Barometerstände sein im Januar 774,2"", Juli 756,877, von welchen der des Juli vollkommen mit dem aus meinen theoretischen Isobaren folgenden stimmt, wäh- rend der des Januar bloss 2"" unter meinem theore- tischen Werth für diesen Ort bleibt. Nach den Buchan'schen Isobaren würde dagegen die Abweichung der Beobachtung von den theoreti- schen Werthen sein: im Juli + 4,5 +7,77 mm , im Januar Wir kónnen also hieraus schliessen, dass durch die Beobachtungen in Ustjansk unser hypothetisches winterliches Druckmaximum in Nordostsibirien wenn nicht bestätigt, so doch mindestens sehr wahrschein- lich gemacht wird. Barometerstünde reducirt auf das Meeresniveau und auf die Schwere in 45° Breite, Zahl ] 1 ar CARTE. Jan. | Feb. | März.| April. Mai. | Juni. | Juli. | Aug. | Sept. | Oct. | Nov. | Dec. | Jahr. 1 [Spitzbergen ........ 754,6| 757,1 | 760,7 | 766,4 | 768,3 | 759, 4,4 | 760,1 | 760,7 | 760,2 | 761,3 — |Spitzbergen *....... 56,4] 56,4| 60,7| 66,4| 67,0١ 62,1|762,0| 62,3) 60,9| 60,0| 60,5 | 60,5 | 761,3 1 | Nowaja Semlja...... 61,81 648| 582| 640| 646| 566| 616| — | — | 560! 61, oei 2 .— | Nowaja Semlja * 61,8| 61,9| 62,2| 64,0| 64,6| 59,9| 59,2| 58,9| 58,7| 58,9| 59,8| 61,3] 60,9 11-1 ota OUT ME 542| 63,8| 545 | 57,5 | 60,1) 59,2| 58,8! 580 55,1| 539| 54,7 | 548| 562 41LIBNS. 1. 58,8| 54,2| 54,8| 57,9| 58,7, 59,1| 58,3| 58,0| 55,5| 54,6| 55,0| 544| 56,2 CBLC een ID 9,7| 58,4| 57,8| 58,1| 60,5| 60,2| 59,0| 57,9| 59,6| 56,9| 56,9| 57,9| 58,5 38 | Archangelsk ....... 59,3| 58,5| 57,6| 59,9| 59,8| 58,1| 57,9| 58,1| 59,1| 58,3| 57,9| 58,11| 585 VCI d sec TORNEO E codi dua Qe Ec ae rper AEA Bulletin de l’Académie Impériale Zahl 5 ORCE . | Jan. | Feb. | Màrz.|April.| Mai. | Juni. | Juli. | Aug. | Sept. | Oct. | Nov. | Dec. | Jahr. ahre SITaorachassk ...... e 771,6 764,1 | 761,3 | 761,1 | 760,1 | 755,5 | 754,2 | 755,8 | 758,2 | 759,6 | 763,0 | 767,8 | 761,1 — || Turuchansk *. ...... 71,4 67,272| 63,6| 60,3| 57,5| 55,2| B4,8| 55,2] 57,0| 59,7| 63,1]. 67,9 61,1 8 | Jakutak * .......... 78,8! 75,6 | 71,2| 66,6| 61,9| 59,1] 58, 4! 648| 69,1! 73,1 | 76,8] 68,0 20] Irkulak ل‎ un an 79,8} 76,6 | 72,7| 67,2| 62,9| 59,8| 56,9| 59,5 | 65,4 | 70,4, 74,4 | 76,1! 68,4 4 | Werchne-Udinsk 80,9| 79,8| 78,1, 66,5, 62,6) 58,4| 56,1| 58,5, 65,1| 70,8| 75,9| 77,5| 68,7 82 | Nertschinsk ........ 78,9, 76,1| 70,8| 63,6, 59,2, 56,9, 56,0, 58,5) 63,6) 67,9, 72,5| 76,3] 66,6 38 Baal Lak 18-705 | 68,5| 64,0! 60,0| 55,4! 53,0| 55,8| 60,9| 65,1, 69,2| 69,9] 63,7 ud ETS o cm 76,8| 74,7! 67,5| 63,9| 59,9| 58,5| 56,1| 60,2| 65,7| 69,0| 71,6| 72,9| 66,4 rb DRR*I A lw 76,3, 74,7, 68,7| 63,9| 60,2| 57,2| 56,1| 59,0) 65,7, 69,0 71,6} 73,5| 66,4 2 ve diet 19; 71,5! 64,8| 68,3| 57,4| 57,1} 54,6| 57,0, 61,3| 65,8] 67,8) 69,8] 63,5 — | Blagoweschtschensk*| 71,9! 71,5| 66,5, 62,8| 58,4! 55,8! 54,6| 57,0, 61,3| 65,8| 67,8| 69,8| 63,5 T TB. ves 66,4| 65,2| 64,5| 61,5| 59,1| 56,5| 56,5| 55,6| 58,7| 62,8| 65,6| 66,3| 61,6 10 | Schanghai......... 70,2! 68,7| 65,5| 61,5| 57,7| 54,6| 52,8| 53,9) 59,6) 64,7| 68,8| 69,6| 62,3 10 | Why. 61,2! 61,2. 60,1| 59,1١ 60,3| 60,4! 599| 60,1| 58,5| 59,9| 58,8, 58,1| 59,8 8 Mandat... ......... 57,5| 58,9| 57,8| 60,6| 61,7| 60,8) 58,3| 58,2| 59,1| 59,5| 58,8, 592| 59,1 7 ESA ue 69,2 66,5! 62,1] 62,7| 60,6) 59,8| 56,8! 59,7| 63,5| 66,8| 66,0! 62,7| 62,9 2 | Krasnowodsk........ 67,5| 63,8| 62,0| 61,1! 60,0| 57,4. 55,3| 58,0| 61,3| 65,8| 65,5| 67,5] 62,1 5 [Sulina....... is 66,6١ 62,4 59,8| 59,8| 59,9| 59,5| 58,6 | 59,6١ 61,6| 64,1! 63,2| 624| 61,4 7 EE E 65,8| 63,2! 60,8] 58,2| 58,6| 59,5| 60,0! 60,7| 61,7| 62,5| 61,4| 62,7|.61,2 WA o ez 649| 621| 616| 61,5| 601! 589| 589) 617| 64,0| 64,1| 64,0] 62,3 TAB H. Vorherrschender Wind. GR t Ei Jan. | Febr. (März | April.| Mai. | Juni. | Juli. | Aug. | Sept. | Oct. | Nov. | Dec. | Jahr. Spitzbergen ........ e] SSE | NNE | SSE | SE? EN E — NE wo | SSE | SSE E SE N owaja Semlja...... e... | SEO | SEO | SEO | ESEO | SSE | NNW | NW ESE SE ESE | ESE E E N etc ky W2 | WSW?| WSW | WNW?| NNW NO | ENE NE | SW | SW? | WS NW? | WSW Leuchtthurm v. Orlow è 2. SW? | WSW | W WNW | WNW | WNW N W | WSW | WSW?/WSW?| W » orshowetz SW2 | SW W |WNW*| N N? N? WO |WSW, W |WS VSW | WSW » v. Ssosnowetz | WSW | SW W NWO | NNW | NNE? | NNE N W 8 WSW? wsw2| W » v.Shishginsk | SW? 8 SSW 8 E ENE E ESE | SSW | WSW | SW? W? | SSW » udju SSW | SSW | SSE NE | NNW N N S SSW | SSW wo a OU a Pa ts SW | SW W |WSW9| NNE | NE? 8 WSW | SW9 | 88W | SW W SW? 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Konstantinopel ...... ...| NNE | SSW | WSW | NW NNE | NNE | NNE | NNE | NE N ` NNW | NNE Seimpherößäl.....- gees à E NE | NE SW |SSW| SE | E (Sea E | ESE ewastopol .............| NE | EN NE S | SSW | SW | WSW ENE | ENE | ENE NE Kolonie Orlow........... E E | SE SE | SSE 8 8 ESE | ESE | SE SE RAPTA POCCIHCKOÑ آلا ا‎ 11 221 en ee L LA Maemraor 16,500.000 oxuguveckoe Jaaedente À Urea d Wa > Jsanomalen I Dës, ù ASS = 2n N S Te N S SN 185 des Sciences de Saint د‎ Pétersbourg. ^ UA es Jan. | Febr.| März.| An) Mai. | Juni. | Juli. | Aug. | Sept. | Oct. | Nov. | Dec. | Jahr. Ekaterinoslaw ..... e SSE | SSE | SSE | SE E | SW | WSW| WSW| 8 | SSE | SW | SSE | SSE Fagna Versos ies es E E? E? | EBE | SSE | SW | WSW| ESE| E E? E E? | ESE agito vis PRE 218 go E E | ESE | WNW | WNW | NNE | E | ENE | ESE | WSW | ENE Charkow..............,.| ENE | 8 | ESE | WSW | WNW | WNW | WNW | NE | NE E | SSE | ESE | NW Polk rover des à à sel N | 88W | 8 NE | SW | WSW | WSW | WNW | EN SWI N W Se, Ne ss...) 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Beschreibung des Apparates. Auf Veranlassung des Herrn Akademikers H. Wild wurden im physicalischen Cabinet der Academie einige Versuche zur Bestimmung der Wirkung des hydrosta- tischen Druckes auf den Widerstand von Metalldräh- ten ausgeführt. Frühere Versuche von Wartmann in dieser Richtung (Archives N. S. T. IV p. 12. 1859) ‚erscheinen nämlich als nicht völlig entscheidend. Wartmann nahm sehr weichen Kupferdraht, 1,3 Mm. dick und setzte ihn zuerst in einem Piezometer einem Drucke von 9 Atmosphären aus ohne jedoch dabei eine Veränderung des Widerstandes zu bemer- ken. Hierauf HERES er die Drähte zwischen zwei Stahlpl legtem Kautschukfutter und setzte sie successive wachsenden Pressungen (bis zu 5770 Kilogr.) aus. Dabei zeigte sich eine temporäre Vergrósserung des Widerstandes, welche bei Aufhe- bung des Druckes verschwand. Bei diesen Versuchen fand jedenfalls eine Verdünnung und Verlängerung der Drähte Statt; Beides musste eine Vergrösserung des absoluten Widerstandes hervorrufen. Ob zugleich eine Veränderung des specifischen Widerstandes statt- fand, ist aus den Versuchen nicht zu ersehen, da die Grössen der relativen Formänderungen des Drahtes nicht bestimmt wurden. Nun musste aber gerade die, durch die Form- resp. Volum-Änderungen hervorge- rufene, Änderung des specifischen Leitungswiderstan- des von besonderem Interesse sein und über diese we- nigstens einige Andeutungen zu erhalten, war der Zweck der Untersuchungen, deren Resultate hier mit- mit getheilt werden sollen. Die Drähte wurden in einem grossen Piezometer, welches auf der begefügten Zeichnung im Durchschnitt in sechsfacher Verkleinerung gezeichnet ist, gepresst. Der Haupttheil des Apparates war bereits von früher her im physicalischen Cabinet vorhanden und nur der . dickwandige Messing-Cylinder EF, welcher zur Auf- nahme der Drühte diente; war besonders für diese Ver- suche angefertigt worden. An den mit Wasser gefüll- ten Cylinder CB nebst Erweiterung À ist an der einen Seite der Manometer D, an der anderen, die mit dem Hahn K und der Öffnung ß versehene Röhre di be- festigt. Auf eine die Öffnung Û umgebende kreisrunde Platte konnte der Messingcylinder EF aufgesetzt und durch sechs Schrauben wasserdicht befestigt werden. Vermittelst der grossen Schraube gs und der Quer- stange wv konnte der Kolben U herabgedrückt und so in dem Wasser leicht ein Druck von sechzig Atmo- sphüren hervorgerufen werden. Der ganze Apparat ist vermittelst eiserner Stangen an drei verticale eiserne Süulen befestigt, von denen auf der Zeichnung nur die Eine, V, zu sehen ist. Ist der Messingcylinder EF an die Róhre di angeschraubt, so communicirt sein Inneres durch die Röhre ß mit dem übrigen Theile des Apparates. An die Aussenseite des Cylinders ist die Klemme à, an die Innenseite die Klemme — fest eingefügt. Auf der entgegengesetzten Seite ist der Cy- linder durchbohrt und in die Durchbohrung ein von der Wand des Cylinders wohl isolirter Messingstab durchgesteckt, an dessen Enden die Klemmschrauben m und n befestigt sind. Durch die isolirende Umhül- lung ist die Durchbohrung dicht geschlossen. Der un- tere Theil des Cylinders ist auf der Nebenfigur genauer zu sehen (gegen das Original drei Mal verkleinert). $ 2. Methode der Beobachtung. Der zu untersuchende Draht wurde lose um eine Glasröhre gewunden und das eine Ende durch die Röhre hindurchgesteckt, so dass sich also beide Draht- enden an demselben Ende der Röhre befanden. In den Messingeylinder EF war ein für allemal die breite Glasröhre 00 eingesetzt und zwar vor dem Einsetzen der Klemmschrauben c und n. In diese Röhre wurde nun die engere Röhre mit dem zu untersuchenden Drahte eingeschoben und die Drahtenden in den Klem- men c und n befestigt. Vermittelst der äusseren Klemmschrauben m und à konnte der im Piezometer befindliche Draht in den Stromkreis eingeführt wer- den. Die Beobachtungen wurden ohne Ausnahme bei - 60 Atmosphären Druck ausgeführt. Einige, auf den Zeichnungen nicht angegebene, durch eingefügte . Schrauben geschlossene Oeffnungen in der Kugel A liessen nach mehrmaliger Hervorrufung stärkerer Pressungen stets Wasser hindurch — in Folge dessen bei den Versuchen nicht über 60 Atmosphären gegan- gen wurde. Zur Messung der durch das Pressen hervorgerufenen Widerstandsänderungen, wurde der im physicalischen 2 silberrheostat benutzt, dessen g ceenaue des Sciences de Saint- Pétersbourg. g sich befindet im «Mélanges phys. et chimiques» Tome IX, 1876, p. 665, (tirés du bulletin de D Ae, Impér. des Sc. de St. Pétersb. T. XXII p. 409—440) und abgedruckt D d «Repertorium für Experimentalphysik etc. von Ph. Carl» T. XIII pag. 203. — Daselbst ist ausführlich OA | 7 deed dL o Mood d 7 A " d Ser 5 SU VI NN zz N Z N 8 N f t À Hi die 7 H ; 1 r S 1 1 H V 1 : 5 CO Ho A 4 E ES Z El رر‎ des 7 :— Lad umm xa \ > Cabinet der Academie befindliche Jacobi’ sche Queck- | gezeigt, wie jener Rheostat, der eigentlich aus zwei ` selbstständigen Rheostaten besteht, in eine Wheat- ` Stone "sche Brückencombination eingeschalten ist, so ` dass die beiden Hälften desselben in zwei einander compensirende Zweige der Brücke eingehen. Eine über- ` sichtliche Darstellung der Vertheilung der Brücken- theile ist zu finden in der Arbeit «Über die Wirkung. (d 191 Bulletin de l’Académie Impériale 192 des Ausglühens auf den Widerstand harter Drähte», =. Mélanges phys. et chimiques, T. X, 1877, pag. 379; (tirés du bulletin de l'Ac. des Sc. de St. Pétersb. i XXIII p. 465—491); abgedruckt im «Repert. für Experimentalph. von Ph. Carl» T. XIV pag. 1. An beiden Stellen s. Fig. 1. — In den daselbst mit A' B' bezeichneten Zweig wurde vermittelst dicker Kupferdrühte der zu untersuchende Draht eingeschal- ten, indém die Enden derselben bei » und à am Piezometer festgeschraubt wurden. Die Messung der Widerstandsünderung geschah an dem 1. c. durch II bezeichneten Rheostaten, welcher mit dem zu unter- suchenden Drahte in ein und demselben Zweige der Brücke eingefügt war. In die Brücke war der l. c. er- wühnte vorzügliche Galvanometer eingeschalten, dessen Magnet vollständig aperiodische Schwingungen aus- führte. Unter Einstellung des Rheostaten soll eine solche Einstellung desselben verstanden werden, bei welcher der Strom in der Brücke Null war. Ein Sca- lentheil S des Rheostaten beträgt nach neuerdings ausgeführter Messung 1 : 11417 Siem. Einh. — Da der Rheostat und der untersuchte Draht in denselben Zweig der Brücke eingeschalten waren, so wurde die Widerstandsänderung ohne jede Multiplication durch directe Substitution gemessen. Eine Vergrösserung der, bei der Einstellung des Rheostaten erhaltenen, Zahl bedeutete also eine äquivalente Verminderung der un- tersuchten Widerstandsmasse. Die Versuche wurden sämmtlich so ausgeführt, dass die Temperatur des Wassers nahe 4° C. war. Dies wurde auf folgende Weise erreicht. Der Rheostat und der Galvanometer befanden sich in einem grösse- ren Saale. Aus diesem führte eine Thür in ein langes . schmales Zimmer, an dessen einem Ende, ganz nahe an der erwähnten Verbindungsthür sich ein Fenster befindet, während auf der entgegengesetzten Seite des- ‚selben eine Thür auf die Treppe hinausführt, welche A S mit dem äusseren Raume communicirt. In dieses lange .. Zimmer nahe bei dem Fenster und der Verbindungs- . thür wurde der Piezometer aufgestellt. Die Verbin- dungsdrühte wurden durch zwei in die ‚Thür gebohrte Lócher hindurchgeführt und dann diese letztere gut geschlossen. Wurden das Fenster und die auf die E . Treppe führende Thür geöffnet, so war es bei einer . Aussentemperatur von 5—10° C. Kälte leicht in 4—5 Stunden in dem Zimmer eine Temperatur von etwa + 2? C. zu erreichen. Während der Versuche wurde das Fenster offen gelassen, die Thür nach der Treppe hin dagegen geschlossen. Das Einschrauben des Stempels und wieder Zurück- ziehen desselben geschah auf lautes Commando (des Beobachters am Rheostaten), welches wegen der ge- ringen Entfernung, trotz der geschlossenen Zwischen- thür deutlich zu vernehmen war. Die Einstellungen am Rheostaten geschahen auf eine etwas cigenthümliche Weise. Es erwies sich nàm- lich als vóllig unmóglich die Temperatur so zu reguli- ren, dass die Einstellung des Rheostaten lüngere Zeit eine constante blieb. Vielmehr fand stets eine ununter- brochene Veränderung dieser Einstellung und zwar langsam nach irgend einer Richtung hin Statt. Es wurde etwa 16 Mal der Rheostat eingestellt und zwar ab- wechselnd bei 0 Atmosphären und bei 60 Atmosph. (genauer 1 Atmosph. und 61 Atmosph.) und bei jeder Einstellung die entsprechende Zeit notirt und dann durch Interpolation die durch das Pressen allein her- vorgerufene Widerstandsänderung bestimmt. Anfangs wurden nun die Einstellungen des Rheostaten nach geschehener Veränderung im Piezometer wie üblich aufgesucht. Dies erwies sich als hóchst unbequem. Durch das Suchen wurde ein häufiges Stromschliessen nóthig, was natürlich móglichst zu vermeiden ist; beim Suchen musste oft vielmals der Rheostat vor und dann ` wieder rückwärts geschraubt werden, ganz abgesehen von der enormen Unbequemlichkeit für den Beobach- ter, welcher beständig zwischen dem Fernrohr. und deni Rheostaten hin und hergehen musste. Um das Aufsuchen der Einstellung des Rheostaten zu vermei- den wurde auf folgende Weise verfahren. Es wurde zuerst eine Zeitlang die Geschwindigkeit und Rich- tung der Veränderung in der Rheostateneinstellung beobachtet und dann ungefähr die Grösse bestimmt um welche sich diese Einstellung bei Vergrösserung des Druckes um 60 Atmosphären verändert. Nun- wurde zugleich mit jeder Veränderung im Piezometer ` ` der Rheostat a priori eingestellt und zwar nicht an der ungeführ zu erwartenden Stelle, sondern etwas weiter nach derjenigen Richtung hin, nach welcher die be- ständige Veränderung der Einstellung stattfand und nun der Strom etwa alle 10 Secunden momentan ge- schlossen. Der hierbei anfangs beobachtete Ausschlag 193 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 194 wurde immer geringer und zuletzt Null. Der Moment wann dies geschah wurde angeschrieben. Bei allen Versuchen vergrósserte sich langsam die bei Einstel- lung des Rheostaten abgelesene Zahl; es wurde daher jedesmal der Rheostat auf eine Zahl eingestellt, die grösser war als die ungefähr zu erwartende. Da diese Einstellung ziemlich beliebig gewählt werden konnte, so erklärt es sich, dass in den weiter unten folgenden Protocollen der Beobachtungen die Einstellungen des Rheostaten ziemlich regelmässig auf ganze oder halbe Scalentheile der Rheostaten-Scala treffen. Um es kurz zu sagen: Statt Scalentheile des Rheostaten aufzusuchen, wurden Zeiten aufgesucht. Es zeigte sich, dass nach dieser Methode bequem, sicher und schnell beobachtet werden kann. Sofort nach Beendigung der Versüchsreihe wurde die Schraube F herausgenommen und in die Offnung ein langes dünnes Thermometer gesteckt und so die Temperatur des Wassers im Cylinder Z bestimmt. Es wurde darnach gestrebt, dass diese Temperatur . möglichst nahe gleich 4? C. sei, da bei dieser Tempe- ratur durch die Compression des Wassers keinerlei Temperaturveründerung stattfindet (s. z. B. Zeuner «Grundzüge der mechan. Wärmetheorie»» 2. Auflage 1877, pag. 532). Nach den ursprünglich von W. Thomson gegebenen theoretischen Formeln über die Temperaturünderung bei der Compression des Wassers zeigt es sich dass, wenn die Anfangstemperatur hóher ist als 4° C., die Compression, wie bei den Gasen, eine Würmeentwickelung erzeugt. Ist jedoch die An- fangstemperatur tiefer als 4^ C., so entsteht im Ge- gentheil eine Abkühlung. Die theoretisch berechneten Werthe der Temperaturveründerungen stimmen sehr gut überein mit den von Joule («On the thermal Effects of Compressing Fluids», Phil. Magazine V. 17. 1859 Mai) experimentell gefundenen Werthen, wie aus einer von Zeuner zusammengestellten vergleichenden Ta- belle ersichtlich ist. Bei gewóhnlicher Zimmertempe- ratur würde die Compression also eine Erwärmung und in Folge dessen eine Vergrósserung des Wider- standes hervorgerufen haben, welche móglicher Weise die eigentlich zu beobachtende Grösse völlig maskirt hàtte. Uebrigens wurde vergleichshalber jeder der Drähte ausser bei etwa 4^ C. auch noch bei gewóhn- licher js cr fae den Compressionen aus- ` gesetzt. Tome XXVII. |Die Differenzen zwischen den berechneten und den S $ 3. Resultate der Beobachtungen. In diesem $ sollen die Versuche nicht in der Reihen- folge dargelegt werden, in welcher sie ausgeführt wur- den, sondern in veränderter, mehr übersichtlicher Reihenfolge. I. Um sich zu überzeugen, ob die, bei anderen Ver- suchen beobachtete Widerstandsänderung nicht viel- leicht ihren Grund hat in einer durch den Druck des Wassers hervorgerufenen Veränderung in der relati- ven Lagerung gewisser Theile des Apparates z. B. in einem festeren Andrücken der Klemmschraube c an den Cylinder EF oder in einer ähnlichen Veränderung, deren Möglichkeit übersehen wurde — wurden die ` ` Klemmschrauben s und n durch einen kurzen Kupfer- | draht verbunden und bei gewóhnlicher Zimmertempe- ratur untersucht ob durch Hervorrufen eines Druckes von 60 Atm. eine merkliche Veründerung stattfindet. 5. (17.) Màrz 1880. Druck. Zeit. Rheostat. Rheostat. Differenz. 0 Atmosph. 2°343” 10,0 ie S s — 361 10,5 10,41 009 T 0 » — 89 11,0 x 60°» عه‎ 40 11,3- 11,22 0,08 3 0. » -= 414 11,5 E 60 » — 491 11,7 11,7 0,00 E De tad ILS S 60 » — 44 12,0 12,0 0,00 di 0- > E 1394 60 » — 461 . 12,44 12,37 0,03 ETS 18 — 146 Temperatur 16,1? C. Die Bedeutung der ersten drei Colonnen ist wohl ohne Weiteres klar. In der vierten Colonne stehen die Scalenwerthe des Rheostaten bei dem Druck von 60 Atm. durch Rechnung aus der vorhergehenden und der nachfolgenden Einstellung bei 0 Atm. gefunden. beobachteten Einstellungen sind in der letzten Colonne angegeben. Sie sind völlig verschwindend. Die ander- ` weit beobachteten Widerstandsänderungen können also ` nicht in, durch den Druck hervorgerufenen Verände- rungen ‘der, zum Piezometer gehörenden Theile der Schliessung Men Grund haben. II. Kupferdraht nicht isoliri. Dicke 0,40 TES Länge 3340 Mm.; Widerstand 8251 S. (Scslentheile | des Rheostaten). 195 Bulletin de l’Académie Impériale 196 Temperatur 3,8°C 23. Februar (6. März) 1880. : Druck. Zeit Differenz. Rheostat. Rheostat. O Atmosph. 11°10 ” 30,1 60 » — 11 31,0 30,93 —0,67 0 » — 11$ 30,5 0 » — 131 31,5 60 » — 144 32,5 31,86 —0,64 0 » — 15 32,0 0 % — 16$ 32,4 e 60 » — 171 33,3 32,57 —0,73 "2 0 » — 181 33,0 : 0 » — 191 33,0 60 » — 201 33,8 33,10 —0,70 0 » — 211 33,2 0 » — 22} 334 - 60 » — 23 342 33,92 —0,68 0 » — 28$ 33,7 0 » — 25 4,9 i 60 » — 26 34,6 34,03 —0,57 0 » — 274 34,2 60 » — 28} 35,0 34,31 —0,69 0 » — 291 34,5 60 » — 30 35,1 34,65 —0,45 < 0 » — 31$ 85,0 ` 60 » — 324 35,7 35,13 —0,57 0 » — 331 35,3 Mittel —0,63 Scalentheile des Rheostaten. Bet diesen Versuchen wurde die im vorigen 8 er- wühnte Methode der Einstellung des Rheostaten noch nicht benutzt. . . Die.in der vierten Colonne befindlichen berechne- . ten Werthe der Einstellung des Rheostaten sind sämmt- 7 Vorzeichen — vor den Zahlen der letzten Colonne. Sei (5w), die Veränderung des Widerstandes unter dem Drucke von 60 Atmosphären, so haben wir also im Mi ttel ROMAE oda CUBS ` Da der Widerstand des Drahtes 8251 S. ist, so a berechnet sich für die relative Veränderung > des Widerstandes durch I Atmosphäre Druck = = —0,00000127 — — — Resultat I. Bei 3,8? C. erleidet der Kupferdraht durch eine Atmosphäre Druck eine relative Vermin- derung des Widerstandes um etwa 0,0000013. III. Derselbe Kupferdraht wurde ferner bei ge- wöhnlicher Zimmertemperatur (17,0° C.) untersucht. Bei dieser findet ein Erwärmen des Wassers beim Pressen und hiedurch ein Wachsen des Widerstandes des Drahtes Statt. Eine ganz ungefähre Berechnung ergab für die Grösse dieses Wachsens über 2 Scalen- theile des Rheostaten. Sie war also grösser, als die bei den vorigen Versuchen citirte Verringerung des Wider- standes. Letztere musste also gleichsam maskirt er- scheinen; bei den Versuchen musste ein Resultat er- wartet werden, umgekehrt als wie bei den vorigen. Keineswegs durfte man aber etwa eine, dem berechne- ten Werthe entsprechende, Vergrósserung des Wi- derstandes erwarten, da bei der angewandten Ver- suchsmethode nichts berechtigte zu glauben, dass nach jeder Druckveründerung die Drühte sofort genau an der betreffenden Temperaturünderung participiren. Nur des ungefähren Vergleichs wegen konnten die Versuche bei Zimmertemperatur von Interesse sein. Grosse Re- gelmässigkeit der Zahlen konnte ebenfalls nicht er- wartet werden. 25. Februar (8. März) 1880. Temperatur 17,0? C. Druck. Zei Rheostat. Rheostat. Differenz. O Atmosph. 8° 31" 15,1 : 0 » — 4 .148 15,22 +0,42 0 » مه‎ 04. 15067 ; 60 » — 61 15,8 18,80 +0,50 0 » جد‎ E ENV | 60 » — D$,- 450 90:2 A 0 » —d8i TE 60 » — 15 16,6 17,00 0ه‎ 0 » — 16 17,2 : 60 » nr Eee. 16,6. L62 +0,60 0 » = 19127. 17,2 60 » — 191 16,6 17,2 +0,60 0 » — 201 17,2 Miitel --0,46 „Th. d Rheost Wie erwartet erscheint hier die Veränderung ent- : gegengesetzt als bei den vorigen Versuchen. Weiteres aus dem gefundenen Mittelwerthe der sehr unregel- mässig verlaufenden Zahlen zu folgern, ist nicht móglich. 197 des Sciences de Saint = Pétersbourg. Firnissschicht versehen und so isolirt um jede Müg- lichkeit einer, übrigens an und für sich jedenfalls ver- schwindend geringen, Verzweigung des Stromes durch das Wasser vorzubeugen und den möglichen Einwurf, dass die beobachteten Veründerungen nicht dem Drahte sondern der Flüssigkeit zuzuschreiben sind, zu besei- tigen. Unter letzterer Annahme liesse sich übrigens schwerlich der Unterschied zwischen der in II und in III beobachteten Veränderung erklären. 195 Ein bei 7,8? C. gemachter Versuch ergab, wie nur 6. (18.) Márz 1880. Temperatur 40? C. kurz annotirt worden ist, am 2.(14.) Febr. 1880 keine Druck. Zeit. Rheostat. Rheostat. Differenz. merkbare Anderung des Widerstandes. Dies Resultat | 0 Atmosph. 10° 91" 50,6 : widerspricht nicht den oben erhaltenen Resultaten. 60 » — 101 52,0 51,12 —0,88 0 » — 114 52,0 IV. Messingdraht. Dicke 0,463 Mm.; Länge 2680 | 60 » == 32 53,5 52,50 —1,00 Mm., Widerstand 15060 Sc.-Th. des Rheostaten. 0 : — 12$ 53,0 Dieser sehr harte Draht ist aus einem Drahte von der bx E2 ru 54,5 9907. „0,98 Dicke 0,912 Mm. ausgezogen und ist einer von den 0 3 x ez s 54.67 43 Messingdrähten für welche die Veränderung des Wider-| م‎ - = 161 5 5 5 Me ' standes beim Spannen einer Untersuchung unterworfen | co : a 171 57.0 56.00 1.00 P k : 4 ? 3 m y) wurden, deren Resultate demnächst veröffentlicht wer-| o i IB 56.5 den sollen. Wir wollen schon jetzt diesen Draht durch | 60 ý EE 58,0 57,00 —1,00 D bezeichnen. 0 » — 20 57,5 : Ee # Bo o m a 60 » — 214 59,1 5805 —1,05 . Februar (12. März : emperatur 3,4? C. i 1 - es Druck. Zeit, Rheostat. Rheostat. Differenz. 9 228 58,5 Mittel Se pem. 0 Atmosph. 10/19 " 66,0 Khao 60 » — 191 67,0 66,12 —0,88 0 » — 201 Der hier gefundene Mittelwerth ist ein wenig grósser, 60 » — 21 67,4 66,42 —0,98 |als der vorige. Doch ist der Unterschied nicht gross o. — 215 66,5 genug um ihm eine wesentliche Bedeutung zuzuschrei- U — 22 00,9 | ben und bei der Kleinheit der untersuchten Grösse 4 A >= S ; Se 67,15 —1,05 und der Schwierigkeit der Beobachtung erklärlich. » — ` S à ? 60 — 25 68,6 67,70 —0,90 0 : -. 96 67,9 : VI. Derselbe Draht bei Zimmertemperatur. 60 - = 4 à 68,8 67,96 —0,84 8. (15.) März 1880. Temperatur 17,4° C. 0% — 272 68,0 Druck. Zeit. _ Rheostat. Rheostat. Differenz. 0 » — 29 68,5 Mittel —0,93 60 * — 41d 20,3 21,9. +0,90 | Sc.-Th. d. 0 $ حم‎ 491 21,5 | Rheost. |60. » — 481 22,0 22,89 +0,39 g c6 ANT : m duci Wie bei dem Kupferdrahte wurde auch hier eine 0 x 444 28,5 Sa 60 » — 45 23.5 23,94 +0,44 . äusserst geringe Verkleinerung des Widerstandes ge- 0 3 0 de T (E funden. : 0 a — 471 BE عي‎ a ss dn O y. Derselbe Draht wurde sorgfáltig mit einer dicken = : de 2 A 4 28,10 --0,00 | — 3 Ein Mittelwerth aus den wenigen, ganz verschiede- nen Zahlen zu bestimmen, hätte keinen Sinn. = Uns genügt das unzweifelhaft positive Vorzeichen, das Vorherrschen des durch das Pressen erzeugten calorischen Effectes. Nehmen wir als Mittelwerth aller in IV und V gefundenen Werthe für (w), die Grösse (50( = — 1 Se., 199 Bulletin de l’Académie Impériale 200 so wird unter Benutzung des oben gegebenen Wider- standes des Drahtes in Scalentheilen: dw ner 3 _ __0,0000011- ree j w Resultat II. Bei etwa 4° C. erleidet der benutzte harte Messingdraht durch eine Atmosphäre Druck eine relative Verminderung des Widerstandes um etwa 0,0000011 VII. Bleihdraht. Dicke 1,85 Mm.; Widerstand . 1270 Sealentheile des Rheostaten. Es ist dies derselbe ` Draht welcher in der oben erwähnten Arbeit «Über die Wirkung des ee. etc» unter X XIII un- tersucht wurde. Ses Die bei 60 Atmosphären eintretende Temperatur- : erhöhung ist bei 17,0° C. gleich etwa 0,075? C. und . durch diese wird der Widerstand des Bleidrahtes um : nur 0,38 Sc.-Th. des Rheostaten erhöht. Bei der be- . . deutenden Dicke und schlechten Wärmeleitungsfähig- ` keit des Bleidrahtes konnte man erwarten, dass die calorische Wirkung im Gegensatz zu den vorigen Bei- Spielen hinter der Druck- Wirkung zurückbleiben würde. Letztere erwies sich in der That als sehr bedeutend, = 17° C. erhaltenen Resultate fur selir wenig von ein- ander unterschieden waren. 4. (16.) März 1880. Temperatur 6° C. Druck. Zeit. Rheostat. Rheostat. Differenz. 0 Atmosph. 10° 2" 14,0 » — 21 15,0 14,15 —0,85 » — 3 14,3 » — 4 15,5 1465 —0,85 » — 5 15,0 » — 5} 16,0 15,17 — 0,83 » = Gi 10,0 des — 7- 165 15,02 .— 0,88 » SFE 1701019087 » — 10 16, | » — 101 17,5 16,64 —0,88 » — 113 17,0 Mittel 0,85 . Sc.-Th. des Rheost. . in Folge dessen die bei 6° C., bei 8,2? C. und bei|g VIII. Derselbe Bleidraht. 23. (11.) März 1880. Temperatur 8,2? C Druck. Zeit. Rheostat. Rheostat. Differenz. 0 Atmosph. 10° 4" 7,5 60 7 3» — 41-7 885 7,02. — 0,88 0 » — 54 7,8 60 » — 64 9,0 8,05 — 0,95 0 » — 71 8,2 60 e zo 9:3. 8,43 ES 0,87 0 » — HÄ 8,5 60 » l1 9,22...8,08- => 5,02 0 » — 12 8,8 60 e T 9.9 8,90 — 1,00 0 » — 14 9,0 60 >» — 141 100. 905. — 0,94 0 » — 153 9,2 60 و‎ COE wo 920 — 0.80 Üs 10 9,2 60 >» 2 goj 10,9 9,39 220,88 AE — 211 9,4 Mittel — 0,92 Se.-Th. des Rheostaten. = Derssibe Bleidraht bei Zimmertemperatur. 7. (5.) Februar cd Temperatur 17,0? 0 Zei . Rheostat. Differenz. bos k. Rheostat -0 Atmosph. gäe 17,0 0 » — 211 18,0 17,93 — 0,77 0 » — 221 17,5 60 » — 23 18,5 17,71 — 0,79 0 « — 24 18,0 60 « — 241 19,0 18,17 — 0,83 0 « — 251 18,5 60 « — 27 19,5 18,87 — 0,68 . 0 » = 7 € 19,0 60 » — 29 20,0 19,30 — 0,70 0 — 30 19,5 Mittel — 0,74 Der Unterschied zwischen den beiden in VII und VII erhaltenen Mittelwerthen dürfte sich móglicher- weise durch Ungleichheiten im Druck erklären lassen. Der in IX erhaltene Mittelwerth ist kleiner als jene — ganz wie erwartet — eine Folge der hervortre- tenden calorischen Wirkung. Doch bleibt die Zahl ` negativ, ganz im Gegensatz zu den für Kupfer und Messing bei Zimmertemperatur erhaltenen Werthen. Nehmen wir für (dw), den Werth — 0,88 Sc.-Th. des Rheostaten, so erhalten wir mit Bezugnahme auf | den oben ängegebenen Widerstandswerth des Blei- | drahtes das 201 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 202 Resultat III. Bei etwa 7° C. erleidet der Bleidraht durch eine Atmosphäre Druck eine relative Verminderung des Widerstandes wm etwa 0,000012, also zehn Mal . mehr als beim harten Messingdraht. Zusammenstellung der bisherigen Resultate: Draht. Rel. TAE d. Wid. bei m. Druck. aD Kupfer 0,0000013 Messing 0,0000011 Blei 0,000011 Resultat IV. Werden die Drähte bei 17; C. im Pie- zometer gepresst, so überwiegt bei Kupfer und Messing die calorische Wirkung über die directe Druckwirkung, beim Blei dagegen die directe Druckwirkung über die calorische Wirkung. $ 4. Mittheilung weiterer Untersuchungen bezüglich des Messingdrahtes. Derselbe Messingdraht, welcher den im vorigen 8 sub IV, V und VI mitgetheilten Pressungsversuchen unterworfen wurde, ist noch auf eine Reihe weiterer Eigenschaften untersucht worden; durch Combination der Resultate derselben mit dem oben als Resultat II bezeichneten lassen sich einige theoretische Betrach- tungen anknüpfen, deren Werth freilich in sehr ho- hem Grade dadurch beeintrüchtigt wird, dass sie sich vorläufig nur auf einen einzige Draht beziehen. Im- merhin aber kónnen jene Betrachtungen zum Wenigsten insofern von Nutzen sein, als sie zeigen in welcher Richtung hin weiter gearbeitet werden muss und ein Einbliek in das rüthselhafte Wesen des Leistungs- widerstandes zu erhoffen ist. Folgende Gróssen sind im Ganzen für den oben erwähnten Messingdraht D bestimmt worden: 1) Der Elasticitätscoefficient E in Kilogrammen. 2) Der Torsionscoefficient C. 3) Daraus abgeleitet das Verhältniss x der Quer- concentration zur Längendilatation bei der Wirkung | einer longitudinalen spannenden Kraft. 4) Das Base e der relativen Widerstands- änderung ^7 — Zur pe Längenänderung — beim Spannen. 5) Dierelative Widerstandsänderung ZC beim Druck einer Atmosphäre im Piezometer. 6) Der Radius. Es sollen nun kurz die Resultate der noch nicht besprochenen Versuche dargelegt werden. I. Der Elasticitätscoefficient E wurde auf die ge- wöhnliche Weise gemessen. Als Spannungsgewicht dienten 12 russische Pfunde. — Die Verlüngerungen wurden mit einem, von Herrn Brauer construirten Kathetometer mit Ocularmicrometer gemessen. Die Köpfe der Micrometerschrauben sind in 100 Theile ` getheilt; 210,5 solcher Theile entsprachen bei beiden Micrometern bei der betreffenden Aufstellung einem Millimeter. Der Draht war oben durch eine eiserne Klemme festgehalten; unten dagegen war er um einen eisernen Ring gewunden, an welchem die zur Auf- nahme der Gewichte dienende eiserne Schale hing. An zwei Stellen des Drahtes waren Marken ange- bracht, deren Verschiebungen bei der Belastung durch die Ocularmicrometer der beiden Fernröhre des Ka- thetometers gemessen wurden. Jede Marke wurde dadurch hergestellt, dass ein sehr dünner Platinadraht (etwa 0,1 Mm. dick) zweimal um den Messingdraht an der betreffenden Stelle herumgeschlungen und fest ` angezogen wurde, wodurch zwei horizontale Ringe ent. — — standen. Die freien Enden des Platinadrahtes wurden zusammengedreht und durch etwas Wachs an den Messingdraht angeklebt. Durch eine mit den Ringen in gleicher Höhe aufgestellte Gasflamme wurden auf diesen feine, horizontale Lichtlinien erzeugt, auf deren eine der horizontale Faden des Fadenkreuzes im Ocu- — larmicrometer eingestellt wurde. Zuweilen, wenn die: ‚Ringe nicht dicht aneinander lagen, zeigte sich zwi- | schen ihnen ein Lichtpunkt von der Oberfläche ds Messingdrahtes; auch dieser Lichtpunkt konnte zur Ein- stellung des Micrometers dienen. Die Länge des Stückes zwischen den Marken betrug 575,14 Mm. Bei jedem ` Abnehmen der Gewichte wurde die zur Aufnahme der- — — selben dienende Schaale ein Wenig gehoben. Es wur- ` den die folgenden Verlängerungen des Drahtes, aus- _ ‚gedrückt in Scalentheilen der Micrometerschraube, am 21. Februar (5. März) 187 9 gemessen: 359 — 358 — 360 — 361 — 361 — 359 — 360 — 358, = im Mittel 359,5 Se. Th. oder 1, ‚708 Mm. Nach der E Formel ` T Ep wo also = 575,14 Mn, p 12 Pl, “u= 1,708 Mm., erhalten wir 7 p» ae Bulletin de l’Académie Impériale 204 di 526,00r—" Kern a 5 (1). Die Grösse r soll vorläufig nicht eingesetzt werden. II. Der Torsionscoefficient C wurde durch Schwin- gungsbeobachtungen bestimmt. An einen schweren eisernen Ständer war ein horizontaler Arm geschraubt und an das Ende dieses letzteren eine verticale eiserne Röhre. In diese Röhre wurde von unten der stabför- mige Fortsatz einer grossen eisernen Klemme herein- gesteckt und durch seitliche Schrauben festgehalten. Die Klemme hielt das obere Ende des Drahtes. Das . untere Ende wurde durch eine Messingklemme ge- halten, welche an der oberen Fläche des Ringes ange- ` schraubt war, welcher den, als constantes Gewicht die- nenden Messingstab, trug. Das zwischen den beiden Klemmen befindliche verticale Drahtstück hatte eine Länge von 584,1 Mm. Senkrecht zu dem Messingstab war ein Holzstab mit nach oben gerichteten Spitzen angebracht, an welche zwei Gewichte in den drei ver- schiedenen Abständen a = 50,6 Mm., b = 202,55 Mm., c = 354,8 Mm. aufgehängt werden konnten. Beide Gewichte wogen zusammen P = 0,97062 Kigr. Waren nun 4, 4, und 7, die drei Schwingungszeiten bei den drei Lagen der Gewichte, so konnte man für C zwei Werthe berechnen, die wir durch C, und C, bezeichnen wollen, und zwar ist P عم‎ — a?) zl E E isi (£5? rs p C, = P (c? — b2) 2 4907 (ie — t?) rh * (2). Folgendes sind die Resultate der Schwingungsbeob- achtungen; es wurde erhalten für: 38t 30t, 30t, 33" 26,6 32" 29,3" 49" 56,9° 96.7 — 29,2 cup T — 26,6 — 929,4 — 56,2 — 96,4 — 99,4 da Bp d e 285 — 29,2 > 56.2 m1. —— 290 — 56,7 c gU عد‎ 8 — 56,0 UNDO CNS .— 562 — "967 = 987 => 56,5 — 26,6 CE — 56,5 — 26,9 = 48.6 ` 571 | — 99,0 = 57,0 — 98.1 nr =: 9293 = 57,1 -— 993 — 29,3 Daraus wird erhalten t, = 52,8071; 4, — 1” 4,9685'; t, = 1" 25,8852". Alle Gróssen, ausser r in (2) eingesetzt geben C, = 9,7480r * Klgr.; C, = 9,7614r * Klgr.; also im Mittel . ze 9755r KI s (3). III. Die Grösse y. (das Verhältniss der Querconcen- tration zur Lüngendilatation bei einer longitudinalen spannenden Kraft) ist gleich = — 1; benutzt man die in (1) und (3) angegebenen Werthe von E und C, so erhält man u — 26,9967? — 1 oder mit genügender Genauigkeit: y = 277° — 1 CRC wo r in Millimetern einzuführen ist. IV. Das Verhältniss c der relativen Widerstands- veränderung € zur relativen Längenveränderung T ist für eine Reihe von Kupfer- und Messingdrähten bestimmt und zwar waren die letzteren alle aus einem und demselben dicken Drahte gezogen. Die Resultate dieser Bestimmungen sollen in einer späteren Arbeit zusammengestellt werden; hier sollen nur kurz die auf den Messingdraht D bezüglichen angegeben wer- den. Der Draht befand sich im Wasser und wurden gleichzeitig seine Verlängerung und die Widerstands- zunahme bestimmt. Der Apparat war so eingerichtet, dass man nicht sicher sein konnte, dass beim jedes- maligen Auflegen der Gewichte stets die gleichen Wirkungen hervorgebracht werden; doch war dies auch nicht nóthig, da ja nur das Verhältniss der beiden Wirkungen gemessen werden sollte. Sei nun / die Länge des Drahtes, dessen Verlün- gerungen A/ im Kathetometer gemessen wurden (von Marke zu Marke); und zwar sei Al ausgedrückt in Sca- lentheilen der Micrometerschraube; J, die Länge des Stückes, dessen Widerstand w bestimmt worden; 7 die Länge des ganzen den Spannungen unterworfenen Stückes, dessen Widerstandszunahme Aw gemessen wurde. À die Anzahl der Scalentheile des Micrometers, welche einem Mm. entspricht. Bei der betreffenden Aufstellung war A — 236, Es ist nun Mo Le اله‎ Gil aer tbc 0.71 Aw g = + "AT: 205 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Es war nun 4, = 658 Mm.; ! = 676 Mm, w = 3909 Sc.-Th. des Rheostaten; +. — 680 Mm. Aw und AZ sind die direct beobachteten Verände- rungen. — Aw wurde selbstverständlich auf dieselbe Weise am Jacobischen Rheostaten gemessen, wie die Veränderungen des Widerstandes am Piezometer. Am Rheostaten und am Fernrohr arbeiteten die Herren Studenten Strauss und Onoschko; am Kathetometer der Referent. — Es wurden die folgenden zusammen- gehórigen Werthe beobachtet. Aw A des Rheost. Sc.-Th. der Microm.-Schraube. Sc.-Th. 25,0 425 25,6 449 25,0 422 25,2 436 25,0 431 25,3 433 24,9 495 24,7 428 Dies giebt im giis E — 0,05837. Die oben angegebene Formel für c ergiebt nun quu 230037 2: (8) Bei der Bestimmung dieser Grösse ist die Kennt- niss des Drahtradius gar nicht nóthig. ` V. Die relative Widerstandsänderung = bei einer Atmosphäre Druck im Piezometer war oben zu 0,0000011 — = سن gefunden worden. Sei « die relative Verlängerung des‏ Drahtes bei einer Spannung von 1 Atmosph. an den‏ Enden; sie ist gleich dem Verhältniss des Druckes‏ einer Atmosphäre auf den Quadrat-Millimeter zum‏ Elastieitätscoefficienten des Drahtes; erstere Grösse‏ ist gleich 0,010328 Klgr.; letztere ya in (1) ge-‏ funden worden. Für das Verhältniss ? erhält man | wa auf diese Weise ee... (6). wa VI. Der Radius r des Drahtes wurde an drei Stellen und in zwei zu einander senkrechten Richtungen ge- messen. Leider erwies es sich dabei, dass der Draht nicht völlig cylindrisch war. Es wurden die folgenden drei Paar Radiuswerthe gefunden: 0,2328 0,2294 0,2326 0,2313 0,2324 0,2296 Also war wohl jedenfalls 0,2326> r > 0,2294 ....... (1) und als Mittelwerth aller sechs Beobachtungen Y-z0,9318:. nio iE (8). - Der Grund, woher die Grôsse r in die Ausdrücke (1), (3), (4) und (6) nicht eingeführt wurde ist folgen- der: es zeigte sich, dass auf einige der weiter unten zu besprechenden theoretisch interessanten Grössen, der Werth von r einen so grossen Einfluss hat, dass man z. B. für eine derselben 2,6 oder 4,8 erhält, je nachdem welchen der beiden in (7) angegebenen Grenz- werthe von r man den Berechnungen zu Grunde legt — obwohl diese Grenzwerthe sich nur um 0,0032 Mm. unterscheiden. Eine auch nur angenähert sichere Be- stimmung solcher Grössen musste von vornherein auf- gegeben werden. Um nun genau zu wissen, welche Grössen in geringer und welche in bedeutender Ab- hängigkeit von r sind, wurde für diese Grösse vorläufig in die Formeln kein Zahlenwerth eingeführt. Für jede der, weiter unten zu betrachtenden neuen Grössen sollte eine Formel aufgestellt werden mit x als alge- braische Grösse. VII. Eine im chemischen Laboratorium der Aka- demie durch Herrn Wischnigradski ausgeführte Analyse zeigt dass der Draht 63,66%, Cu, das Uebrige fast nur aus Zn und einer sehr geringen Spur. Pb be- steht. Im Weiteren werden wir nur (4), (5) und (6) brau- = chen; diese 3 Formeln sollen hier nochmals mit etwas veränderter Bezeichnungsweise wiederholt werden. A) Das Verhältniss vu der Querconcentration zur Längendilatation ist —27?-—1 B) Das Verhältniss c der relativen Widerstands- änderung = zur relativen Längenänderung a —-- (bezogen auf ein und dasselbe Stück) beim Spannen ist o= — COO. reegen — w.a C) s Verhältniss der relativen Widerstandsün- Y. x * derung © Z bei 1 Atm. Druck im Piezometer zur rela- or Bulletin de l’Académie Impériale 208 tiven Längenänderung e bei einer Spannung von einer Atmosphäre an den Enden des Drahtes ist gleich $e — — 0,056487? — Z —— w.a MENT De, $ 5. Theoretische Folgerungen aus der Combination der bei- den mit dem Messingdrahte ausgeführten Untersuchungen. Wir wollen nun die beiden in (10) und (11) gefun- denen Werthe theoretisch beleuchten. Sowohl bei den Spannungs- als auch bei den Pressungsversuchen hat . man es unzweifelhaft mit einer Aenderung der Dimen- Sionsverhültnisse des Drahtes zu thun, welche von ` leicht zu berechnenden Widerstandsinderungen Aw und 2 (und entsprechend 5’ und =) begleitet sein musste. Diese wollen wir nun von den beobachteten Widerstandsänderungen in Abzug bringen; die Reste drückten Aenderungen im specifischen Widerstande des Drahtes aus, hervorgerufen durch die veränderte innere Constitution. Diese Reste wollen wir durch A’w, ò'w und entsprechend s" und 2x bezeichnen. Beim Spannen erleidet der Draht eine relative Ver- — längerung a und eine relative Querconcentration pa. — . Es ist also er _ DÜ rail SE Ar vo) de h. nach TA - oes 2x m 9, 305 — 54% ey HE So gross ist das Verhältniss der rel. specifischen ` Widerstandsänderung zur relativen Längenänderung Se: Ei Spannen. Gë | Beim Pressen im Piezometer erleiden, wie man nach ei iniger Ueberlegung. leicht einsieht, die sümmtlichen - Dimensi D sionen des Drahtes durch eine Atmosphäre . Druck eine relative Verkürzung, die wir der Kürze . halber vorlii fig n mit § bezeichnen wollen. Dann ist E oap) wt Eu حا‎ ËCH ارمس‎ “Nun ist aber hs = a (1 — 3p); also “= 3 کل‎ d Sit. E "Diese Grösse 3 — - 54r? muss positiv sein, weil sonst nicht der Draht vom Zug eine Dichtigkeitsverminde- dë _ Durch SE von (10) erhalten wir als Rest |. rung erleiden würde, was jedoch nach der Elast.- Theorie immer sein muss. Wir haben aber, s. (11), einen negativen Werth für E gefunden. Die Differenz ist .)13( .54° + 3 — ?^/0,056437 — — ة So gross ist das Verhältniss der relat. specifischen Widerstandsänderung bei 1 Atm. Druck im Piezometer zur relativen Längenänderung x bei einer Spannung von 1 Atm. an den Enden des Drahtes. Ehe wir auf Grund der bisher abgeleiteten Aus- drücke zu einigen weiteren nicht völlig strengen Schlussfolgerungen übergehen, wollen wir eine sche- matische Uebersicht der ausgerechneten Grössen u, 2e T ua = = und Ls zusammenstellen, indem wir die ab- soluten "Zallanwerihe derselben ausrechnen. Da wir aber für r keinen genau sicheren Werth, sondern nur zwei Grenzwerthe in 7 gefunden haben, so werden wir uns begnügen müssen durch Einsetzen derselben auch für die erwähnten Grüssen nur Grenzwerthe zu be- rechnen. Wir erhalten folgende Zahlen: ; N 1) Der Radius des Drahtes: 0,2326 > r. > 0,2294. 2) Das Verhältniss « der Querconcentration zur Längendilatation: - 0,461 > u > 0,421. 3) Das Verhältniss der relativen Widerstandsän- derung = zur relativen Längenänderung a beim Spannen: +. à Aw .2,305 = هده 4( 8 ال‎ t relativen specifischen Niderriendpsuberung — zur relativen Lüngenünde- beim Spa‏ = ج 0,383 < 2® < 0,468. 5) Das Verhältniss der relativen Widerstandsän- ` 1 derung = bei 1 Atm. Druck im Piezometer zur re- lativen Längenänderung = = & bei einer Spannung von 1 Atm. an den Enden des Drahtes: | — 1,043 > 2. > — 1,073. 209 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6) Das Verhältniss der relativen specifischen Widerstandsänderung = bei 1 Atm. Druck im Pie- e 5 E òl zometer zur relativen Längenänderung 7 ner Spannung von 1 Atm. an den Enden des Drahtes: ^w w m E zo 44291. Wir ie nun zur Hauptfrage: woher rührt die Aenderung des specifischen Widerstandes? offenbar | : erstens von der beim Spannen und Pressen eintre- tenden Temperaturänderung und zweitens von einer Veründerung in der Structur, in der gegenseitigen Lagerung der Atome. Da beim Spannen eine Abkühlung, beim Pressen dagegen eine Erwärmung des Drahtes stattfindet, wir aber beim Spannen eine Vergrósserung, beim Pressen eine Verringerung des specifischen Widerstandes ge- funden haben, so ist es klar, dass die obenerwühnte zweite Wirkung die erste überwiegt. Es ist nicht mög- lich die Wärmewirkung in die Rechnung einzuführen, da man nicht wissen kann, um wieviel die beim Spannen oder Pressen erzeugten Temperaturänderungen bis zum Moment des Einstellens des Rheostaten durch das umgebende Wasser wieder vernichtet worden sind. Trotzdem dürfte es vielleicht nicht ganz überflüssig sein, auf Grund der erhaltenen Werthe der relativen specifischen Widerstandsänderungen einige weitere Folgerungen zu bauen unter der Annahme, dass diese Aenderungen lediglich durch die veränderte Structur hervorgerufen sind. Da die Veränderung in der ge- genseitigen Lagerung aus zwei Theilen besteht, re- prä entirt durch die Längenänderung und die Dicken- änderung, so liegt es nahe die Annahme zu machen, dass jede dieser beiden Veründerungen für sich suf den specifischen Widerstand einen Einfluss hat. Möge nun jede relative Lüngenünderung a ganz allein für sich genommen eine relative Aenderung des speci- fischen Widerstandes So und jede relative Dicken- . änderung b ganz allein für sich genommen eine Aen- . derung des specifisehen Widerstandes yb erzeugen. Bei den Spannungsversuchen haben wir in der Länge eine relative Dilatation a, und ausserdem eine relative Dickenänderung, die wir durch — ua bezeichnen wollen. Dies giebt statt des Widerstandes w den ver- änderten: Tome XX VII. : & bei ei- nen (1 + &a) (1 — yua) = = w (l + a — yua) d. h. 7 Aw o = pi E س‎ py = (27r? — 1) y. Durch Combination dieser theoretischen Gleichung mit (12) erhält man & — (27? — 1) y = 3,305 — 54,3 . (14). . Bei den Pressungsversuchen haben wir eine relative Verringerung 8 aller Dimensionen, wo 8 — a (1 — 21). Dies giebt w= Dao =w (1 — B) (1 — y8) = w (1 — EB — y) oder ; | = س )ع سا نو باجم‎ AE + (و‎ d. h. que = Ey) 0—2 p) = E + y) (8 — 54r). Durch Combination dieser Gleichung mit (13) er- halten wir: ` E + y = eu EE 2 9 + EE * 54r EY (I5). (14) und (15) stellen zwei Gleichungen mit den zwei Unbekannten & und y vor. Um die Werthe der- ` selben zu finden, muss für r sein Werth eingesetzt werden und hier entsteht eine grosse Schwierigkeit. Setzt man für > den kleineren der beiden in (7) an- gegebenen Werthe, so erhält man z.B. £ — 2,63; der grössere jener Grenzwerthe giebt dagegen & = 4,77; der in (8) angegebene Mittelwerth ergiebt £ — 3,52 und | y = 6,98. Diese Zahlen zeigen, dass man es aufgeben muss für den betrachteten Draht einen genauen Werth der Constanten £ und y zu suchen. Ein Umstand aber ` fiel in's Auge. Es schien als wäre y stets sehr nahe doppelt so gross als £, unabhängig von dem, innerhalb der in (7) angegebenen Grenzen, angenommenen r. Ist y wirklich doppelt so gross als Ẹ, so heisst das, A dass die Veränderung der Dicke einen doppelt so grossen Einfluss auf den specifischen Widerstand hat, als die Veränderung der Länge. Dies aber wäre iden- - RS tisch damit, dass die Veründerungen der Länge und 3 ; Dicke nicht unabhängig von einander auf den spe- — - cifischen Widerstand des Drahtes einwirken, sondern | dass letztere Grösse einzig und allein abhängt von der relativen Volumenänderung, die wir durch w bezcich- S nen wollen. S B" Bulletin de l’Académie Impériale 212 Nehmen wir jetzt an, dass die relative Volumen- änderung w eine Veränderung des specifischen Wider- standes &w hervorruft. Wir haben es bei dieser An- nahme nicht, wie oben mit zwei sondern nur mit einer Grösse & zu thun und können aus den Versuchen zwei Werthe für dieselbe berechnen, die wir durch $, und & bezeichnen. Ferner sei t = 2 es käme also Alles — darauf an zu zeigen, dass für jeden der móglichen = — Werthe von r, s. (7), = stets sehr nahe gleich 1 ist. Für den Fall der Spannung ist die relative Vo- lumenünderung o = a (1 — 2 u); also wäre die re- lative Widerstandsünderung E? = a (T — 2g). Dies giebt gi = tt = 2 p) = E )3 — 54). Dies und (12) giebt 3,305 — 54r? C = e ال‎ EE EE (16). Für den Fall der Pressung ist die relative Volumen- änderung w = — 3 « (1 — 2 u); also müsste die relative Widerstandsänderung x = — 3k a (1 — u) sein. Dies giebt 8w CS Dies und (13) giebt eZ SE (1 — 3u)es — 36, (0 — 5479) 1 + 0,018812r—2 — 18r? - Endlich erhalten wir Lu M oi 3,305 — 2 | Lee beo 1-4-0,018812777 — 1872 * ^ " * (48) Durch Einsetzen verschiedener Werthe von x er- ` ` halten wir nun die folgende Tabelle {_ Unte à y u— Gran Mittelwerth: Grenzwerth: (0,2294. -02313 0,2326 &— 26. 3,47 4,8 = 1,13 1,07 1,03 . Während also die Werthe von ني‎ und £, in hohem Grade unsicher sind, erweist sich ihr Verhältniss + als durchaus nahe an 1 d. h. die Spannungsversuche und. die Pressungsversuche geben fast genau denselben Werth für das Verhältniss & der relativen Volumen- änderung zur relativen Aenderung des specifischen Widerstandes. Im Mittel ist & = 3,6. Setzt man q — 1, so erhält man r = 0,2333, ein Werth, der nur sehr wenig ausserhalb der Grenzen liegt, welche in (7) für r angegeben sind. Die sämmtlichen in diesem $ durchgeführten Be- trachtungen führen zu folgendem Resultat: Resultat V. Der Messingdraht erleidet beim Spannen und Pressen im Piezometer ausser der, durch die ver- änderte Länge und Dicke bedingten Aenderung des Widerstandes, auch noch eine Veränderung des speci- fischen Widerstandes. Nimmt man an, dass Letztere nur eine Folge der veränderten Structur sei, so führen die Versuche zu folgendem Resultat: Die relative Grösse y derselben ist proportional der relativen Volumen- änderung o. Die Spannungs- und die Pressungs-Ver- suche ergeben fast genau denselben Werth für den Fac- tor E, wenn y = Dip gesetzt wird. Der absolute Werth dieses Factors kann aus den Versuchen nicht genau er- mittelt werden; er ist aber jedenfalls zwischen 2,75 und 4,75; im Mittel ist er gleich 3,6 d.h. jede relative Volumenänderung führt eine etwa 3,6 Mal so grosse relative Aenderung des specifischen Widerstandes mit sich. Bei den letzten Entwickelungen hatten wir ange- nommen, dass diein (12) und(13)gefundenen relativen specifischen Widerstandsänderungen nur von der ver- änderten Structur herrührten. In Wirklichkeit findet ' | aber noch eine Temperaturünderung statt, deren Wir- kung, wie oben erwähnt, der beobachteten Wider- standsänderung gerade entgegengesetzt gerichtet ist. .|Die von der Structuründerung herrührenden speci- fischen Widerstandsänderungen sind also in Wirklich- keit grösser, als die in (12) und (13) gefundenen Werthe. Da die Würmewirkung aber müglicher Weise durch das umgebende Wasser zum grösseren Theile vernichtet wird und da ferner beide Werthe (12) und (13) zu klein sind, so kann es wohl möglich sein, dass zwar E y und & absolut genommen unrichtig, dass aber die Verhältnisse € : y und = 6, : &,, worauf es vor Allem ankommt, nahe richtig gefunden wurden. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 214 Die russischen Bombus-Arten in der Sammlung der Kaiserlichen Academie der Wissenschaften. Von Dr. F. Morawitz. (Lu le 20 janvier 1881.) Bei den meisten hier angeführten Hummeln habe ich die münnlichen Genital-Anhünge, welche für die Bestimmung der Arten die sichersten Merkmale dar- bieten, ausführlicher als es bis jetzt geschehen, be- schrieben, indem über letztere nur in einigen Werken, namentlich in der Bienenfauna Nassau's von Schenck, in den Apidae Scandinaviae von Thomson und in der von Schmiedeknecht herausgegebenen Arbeit über die Hummeln Thüringens, zum Theil unvollstándige Angaben, die zwar für jene Localfaunen genügen, zum Vergleiche mit nahestehenden russischen Arten aber nicht ausreichen, vorhanden sind. Ausserdem habe ich einige bereits früher publicirte, schwer zu unterscheidende und auch diejenigen Arten, welche bis jetzt nur in einem Geschlechte bekannt waren, mit neuen Diagnosen versehen, in denen ich einige Merkmale, die den älteren Beobachtern entgangen waren, anführe, um die Bestimmung derselben zu er- leichtern. Die Arbeiter-Weibchen führe ich nicht abgeson- dert auf, indem dieselben sich von den Mutterhummeln nur durch geringere Grósse und hellere-Flügel unter- scheiden. — Gemessen habe ich die gróssten Indivi- duen der hier aufgestellten neuen Arten. 1. terrestris L. Fauna Suec. M 1709. — Thomson. Hymen. Scandin. II. p. 32. fig. 9. — Sehmiedekn. Jenaische Zeitschr. für Naturw. 1878. p. 356. Tab. X. Fig. 1. E minis segmentis primo tertioque nigro-, secundo flavo-, reliquis albido-hirtis. — hortorum Fabr. S. E. II. 320 . ut a, sed fascia flava abdominis medio interrupta. thorace antice abdominisque segmento secundo fere nigro- FYE. — Cryplarum. Fabr. E. $. Il. 817. . fascia BON a en — autum- nalis Fabr. E. S. II. 3 . thorace segmentisque E d duobus anticis a AEN flavo-pilosis, illo fascia interalari nigra. — spo- radicus Nyland. Ap. boreal. 233. . nigro-pilosus, thorace fascia antica flava; abdo- | f. ut e, sed thorace, fascia interalari nigra ex- cepta segmentoque primo abdominis albido-pilo- sis. — viduus Erichs. in Middend. sibir. Reise II. p. 65. — patagiatus Nyland. Ap. bor. 234. . flavo- pilosus, mesonoto, seutello abdominisque segmentis. 3—-7 albido-hirtis. — lucorum L. Fn. Suec. X 1716. d. Der von Thomson gegebenen, ausführlichen Be- schreibung der männlichen Genital-Anhänge habe ich beizufügen: die Spatha läuft am Ende in zwei deut- liche Spitzen aus; die Sagitta ist bis zum Ende gleich- breit, bandförmig; die Endhälfte ist nach aussen ge- krümmt und deren Scheibe mit einer tiefen Grube versehen; der Endrand abgestutzt mit vorspringenden Ecken. — Schmiedeknecht behauptet, dass die Endhälfte der Sagitta am Unterrande einen tiefen ` Ausschnitt habe; bei zahlreichen von mir angefertig- ten Prüparaten ist aber nicht die Spur einer Ausran- dung vorhanden. Radoszkowsky trennt im Bullet. de Moscou. 1877. II. 218. viduus vom terrestris, aber mit Unrecht, denn es lässt sich, ausser in der Behaarung, auch nicht an den Mundtheilen ein unterscheidendes Merkmal nachweisen. Diese Art ist im gesammten russischen Reiche vor- handen; sie bewohnt die heissen Tiefebenen und geht im Gebirge bis zur Schneeregion Die Varietät viduus ist in dem arctischen und óstlichen Theile Sibiriens einheimisch. Ss 2. mastrucatus Gerst. Stettin. ent. Zeit 1869. 326. — Schmied. 1.c. 400. . XI. Fig. 8. — brevigena Thomson. 1. c. 42. . 13. — Radoszk. l. c. 187. a. nigro-hirsutus, abdominis segmentis tribus vel quatuor ultimis fulvo-pilosis. : . ut a, sed thorace antice flavo-piloso. Si ka 0 o € cis flavo- pilosis. a segmentis anticis utrinque albido-pilosis. — alpi- genus Mor. Hor. soc. ent. Ross. X. 182. — Radoszk. l c. 217. e. ut d, sed abdominis segmentis anticis totis albido- x pilosis. de. Das Weibchen dieser Art ist von allen übrigen leicht zu unterscheiden durch den sehr breiten Cly- ut b, sed seutello abdominisque segmentis anti- — . ut a, sed thorace antice, scutello abdominisque — 215 Bulletin de l'Académie Impériale 216 —. - peus, die schmalen Wangen und die gezahnten Man- À dibeln. — Der Kopfschild ist reichlich um die Hälfte breiter als lang, dicht punctirt und flach gewölbt; die Oberlippe hat mitten auf der Scheibe eine tiefe, nach dem Grunde zu erweiterte Grube, welche an der Spitze von einem schwach gekrümmten, dicken, fast wulst- s artigen Rande umgeben ist. Die Wangen sind um die - - Hälfte breiter als lang. Die Mandibeln sind an der Basis deutlich punctirt, aussen ohne schräge Furche; am Innenrande sind drei zahnartige Hervorragungen sichtbar: die untere ist die grósste, die mittlere die kleinste von. stumpf-dreieckiger Gestalt, die obere fast viereckig und ein wenig ausgerandet. : An den männlichen Genital-Anhängen ist die Spa- tha am Grunde gekielt, die Spitze derselben gespalten. Sagitta in der Mitte erweitert, das Ende sichelförmig gebogen. Stipes innen sehr tief ausgehóhlt; die Aus- hóhlung erstreckt sich, von der Basis beginnend nur bis über die Mitte hinaus, ist am Grunde sehr flach, mitten grubenartig vertieft und hier aussen von einem — scharfen Rande umgeben. Die äussere Fläche des mit m^ - fast abgerundeter Spitze versehenen Stieles zeigt kei- S nen Eindruck und es ist nur in der Mitte eine häufig sehr undeutlich ausgeprägte Querlinie vorhanden, Squama ein wenig breiter als lang, fast dreieckig, mit zugerundetem Hinterrande und sehr flach eingedrück- . ter Scheibe, innen am Grunde eine kurze, schräg nach innen und ein wenig nach hinten gerichtete abge- stumpfte Lamelle aussendend. Die Laeinia ist auf der Unterseite fast überall ganz matt und hier am Grunde mit langen, am inneren Rande sehr dicht stehenden — róthlichen Haaren besetzt; der Aussenrand derselben ist ziemlich spärlich und kürzer behaart; sie überragt sehr deutlich die squama, ist hier nur wenig kürzer . schwach ausgebuchteten, mit spitz vorspringenden Sei- .. tenecken ausgestatteten Endrand.. -~ Im Caucasus und in Turkestan in Höhen zwischen 6000—9000" vorkommend. . 3. hypnorum L. . Fauna Suec. Æ 1715. — Thoms. l. e. 40 Fig. 7.— Schmiedekn. 1. e. 384. — apricus Fabr. Syst. Piez. ` 848. — ericetorum Panz. Fn. Germ. 75. 19. 4. . © clypeo longitudine latiore hinc illinc. punctato; genis latitudine apicis paullo longioribus; antennarum als letztere und hat parallele Seitenründer und einen | artieulo quarto quinto breviore; labro fossa profunda transversa apice lamina fere lineari clausa, impresso; mandibulis sulco obliquo nullo; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-ferrugineo-velutinis, meta- tarso angulo apicali postico haud spinoso-producto. ` 3 antennarum articulo tertio quarto paullo lon- giore, mandibularum barba nigra, pedibus posticis ti- biis externe convexis punctis piliferis paucis insculptis, metatarso postice longe piloso, segmento ventrali ul- timo apice calloso; appendicibus genitalium: spatha punctulata apice bifida; sagitta subtus basi emarginata denteque minuto armata, margine laterali limbo lato obducto, apice faleato; stipite interne excavatione pro- - funda basi tantum signata, dorso medio canalicula transversa, interdum obsoleta, indicato, apice sub-ro- tundato angulo interno prominulo; squama triangulari -longitudine paullo latiore, disco leviter impresso, intus basi paullo dilatata, margine interno minus profunde excavato; lacinia squamam angulo apicis externo tan- tum superante, subtus nitida sat crasse punctata, basi margineque. interno longius pilosa, externe apiceque breviter ciliata; margine postico fere truncato angulo interno dentiformi. a. nigro-pilosus, thorace supra aurantiaco-villoso, abdominis segmentis duobus vel tribus posticis albido-hirtis. ; üt à, sed thorace EAR interalari nigra signato. — totins Wahlb. Zeitschr. für die gesammt. Naturw. Halle. 1857. IX. 134. . ut a, sed a segmento primo aurantiaco- EIC . ut €, sed abdominis segmento secundo etiam au- - rantiaco-villoso. — calidus. Erichs. Middend. sibir. Reise II. 65. ut d, sed abdominis as tertio apice late aurantiaco-villoso. em ba? D eS D Ich muss hier noch EE hervorheben, dass die am Ende sichelfórmig gekrümmte Sagitta unten mit einem kleinen Zähnchen bewehrt und vor diesem | am Grunde ausgerandet ist; die Seiten sind vom Zühn- chen an bis zu dem nach abwärts gekrümmten Stücke der Spitze mit einem breiten chitinösen NONE dac geben. Diese Art ist über den nórdlichen Theil Russlands und Sibiriens verbreitet und erreicht. die arctische 3s e 217 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 218 Region. — Im Hochgebirge Caucasiens und Turke- stans ist dieselbe bis jetzt nicht beobachtet worden. 4. Tilingi nov. sp. 9 clypeo longitudine paullo latiore disco crasse spar- sim punctato; genis latitudine apicis vix longioribus; labro medio fossa transversa apice lamina arcuata clausa minus profunde impresso; mandibulis sulco obliquo nullo; pedibus intermediis trochanteribus sub- tus ferrugineo-velutinis, metatarso angulo apicali po- stico haud spinoso-producto, segmento ventrali ultimo haud carinato; fulvo-villosus, abdominis segmentis tri- bus apicalibus albido-hirtis, tertio basi nigro-piloso; ventre griseo-ciliato. 20 mm. d. antennarum articulo tertio quarto paullo bre- viore; mandibularum barba flava; pedibus posticis tibiis convexis punetis paucis piliferis insculptis, me- tatarso postice longe piloso, segmento ventrali ultimo margine apicali vix calloso; append. genitalium: spa- tha laevi apice subtilissime bifida; sagitta basi fortiter emarginata, subtus denticulo armata, lateribus vix limbatis, apice falcato; stipite interne leviter excavato, apice rotundato el interno haud prominulo; squama triangulari longitudine paullo latiore, margine interno distincte excavato; lacinia subtus nitida basi margi- neque interno rufo-pilosa, subtilissime sparsim punc- tulata, apice truncata angulo interno prominulo squa- mam superante. 12 mm. Var. facie, pectore pedibusque nigro-pilosis. Beim Weibchen ist der Kopfschild ein wenig brei- ter als lang, die Scheibe flach gewölbt, grob und sehr zerstreut, die umgeschlagenen Seiten verhältnissmässig dicht und etwas feiner punctirt, die Basis und die Sei- ten desselben fuchsroth, sehr selten schwarz behaart. Die Wangen sind kaum lünger als an der Spitze breit. Die Oberlippe ist mit einer flachen, quer-ovalen Grube, welche an der Spitze von einem fast bogenförmig ge- . krümmten, vorstehenden Rande umgeben ist, versehen . und hell rostroth bewimpert. Am Kopfe sind die Schlä- fen, das Hinterhaupt, Stirn und Gesicht fuchsroth be- | haart , nur längs dem inneren Augenrande einige wenige ‚schwarze Haare sichtbar; bei einem Stücke . sind alle diese Theile mit dunkeln Haaren bedeckt. An den Mandibeln ist eine schräge Furche nicht aus- gebildet. Der Thorax ist überall dicht fuchsroth be- kleidet, die Brust nur ein wenig heller als der Rücken, sehr selten aber schwarz. Die Flügelschuppen und die Adern der schwach gebräunten Flügel pechbraun oder schwarz gefärbt. Am Hinterleibe sind die beiden vor- deren Segmente dicht fuchsroth, das dritte schwarz behaart; auf der Endhälfte des letzteren stehen viele dunkel-rostrothe Haare; die drei Endsegmente sind mit weisslichen Haaren bedeckt. Die Ventralringe sind greis gefranzt. Die Beine sind fuchsroth, sehr selten dunkel, die innereFlüche der Metatarsen schwärz- lich behaart, die mittleren Schenkelringe auf der Un- terseite rostroth befilzt. Das Männchen stimmt in der Behaarung fast voll- kommen mit dem Weibchen überein. Der Kiefernbart ist hell röthlichgelb. Der Kopfschild ist dicht fuchs- roth behaart. An den robusten Fühlern ist das dritte Glied ein wenig kürzer als das vierte, das fünfte ist deutlich länger als letzteres. Die Schienen des dritten Beinpaares sind aussen convex, stark glänzend, mit wenigen haartragenden Puncten besetzt, der untere Theil der. Scheibe ganz kahl. Die Genital-Anhänge sind denen des B. hypnorum äusserst ähnlich; an der squama ist aber der innere Rand der ganzen Länge nach deutlich rinnenförmig ausgehöhlt, die untere Fläche der Lacinia ist äusserst fein, kaum sichtbar punctirt, am Stiele der obere Theil der Innenfläche nicht grubenartig vertieft, sondern abgeflacht, die Spa- tha glatt, der chitinöse Saum am Seitenrande der Sa- gitta sehr schmal. Diese, dem B. hypnorum zunächst verwandte Art, ist von je Tiling in der Nähe des Hafens Ajan in | Kamtschatka gesammelt worden. ..- . B5. modestus Eversm. Bullet. de Mosc. 1852. I. 134. Radoszk. Le 203. © clypeo latitudine parum longiore disco vix t punc: tato; genis latitudine apicis paullo longioribus; labro — baicalensis Hé fossa basin versus angustiore, apice lamina fere ` lineari clausa, impresso; mandibulis'sulco obliquo’nullo; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-veluti- nis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-pro- ducto; segmento ventrali ultimo haud carinato; supra pallide flavo-pilosus, abdominis segmentis 3—6 albido- — hirtis basi plus minusve pilis nigris immixtis, subtus - pedibusque griseo-villosus, corbieula nigricante. ` d facie flavo-pilosa; antennarum articulo tertio - Bulletin de l'Académie Impériale 220 quarto sesqui fere longiore; mandibularum barba flava ; pedibus posticis tibiis externe splendidis glabris, pa- rum convexis, metatarso postice longe-piloso, segmento ventrali ultimo margine apicali haud calloso; append. genitalium: spatha apice bifida; sagitta subtus basi haud emarginata, medio dente minuto armata, apice faleato; stipite excavatione interna minus profunda medium haud attingente, apice rotundato angulo in- terno prominulo; squama semi-ovali margine interno distinete excavato; lacinia subtus nitida sparsim crasse punctata, basi margineque interno rufo-pilosa, supra squamam parum superante, apice truncato angulo in- terno lobum minutum emittente. Dem hypnorum ähnlich gebaut; beim Weibchen des letzteren ist aber der Kopfschild verhältnissmässig ` breiter und die Grube auf der Oberlippe anders ge- staltet; beim Männchen der Kiefernbart schwarz ge- färbt, die Aussenfläche der Hinterschienen deutlich ‚ behaart, die Sagitta an der Basis mit einem Aus- schnitte, die Squama von dreieckiger Form, etc. Die Exemplare in der Sammlung Eversmann's stam- men von Irkutzk. — Aus der Baicalsee- Gegend ist diese Art von L. v. Schrenck und Dr. Radde mit- gebracht worden. 6. Scrimshiranus Kirby. Monogr. Ap. Angliae II. 342 9. — Thoms. l. c. 41. Fig. 17. — Jonellus Kirby 1. c. 388. &. — mar- les Gerstück. Stett. ent. Zeit. 1869. 317. 9 clypeo longitudine vix latiore crasse minus dense punctato; genis latitudine apicis fere brevioribus; labro medio fossa parva basin versus angustiore, apice lamina angulata clausa, impresso; mandibulis sulco obliquo . nullo; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro- -~ ferrugineo-velutinis, metatarso angulo apicali postico . haud spinoso-producto; segmento ventrali ultimo vix carinato. ey antennarum articulo tertio quarto paullo lon- . giore; mandibularum barba sordide-flavescenti ; ; pedi- bus posticis externe convexis sat dense punctis pilife- ris insculptis, metatarso postice longe piloso; segmento ventrali ultimo margine apicali sub-calloso; append. genitalium: spatha apice bifida; sagitta subtus basi . emarginata denteque armata, apice falcato; stipite in- gente, externe canalieula transversa plus minusve pro- terne leviter excavato, excavatione medium haud attin- funda instructo, apice rotundato angulo interno vix prominulo; squama triangulari disco impresso, mar- gine interno distincte excavato; lacinia subtus nitida, sparsim crasse punctata, basi margineque interno rufo- pilosa, externe apiceque breviter ciliata, margine api- cali truncato angulo interno appendicem brevem fere rectum emittente, squamam angulo externo tantum superante. a. nigro-pilosus, thorace antice scutelloque sulfureo- villosis; abdominis segmentis duobus vel tribus posticis sordide-albido-hirtis. .ut a, sed abdominis segmento antico utrinque sulfureo-villoso. . ut b, sed abdominis segmento antico toto sulfu- reo-villoso. .ut c, sed abdominis segmentis secundo basi vel toto sulfureo-villoso. . ut d, sed abdominis segmentis ultimis nigricanti- bus, pilis tantum paucis pallidis immixtis. Im Kórperbau mit hypnorum übereinstimmend und sind auch die männlichen Genital-Anhänge beider Arten einander täuschend ähnlich; beim hypnorum ist aber am Stipes die Aushóhlung der Innenfläche an der Basis grubenartig vertieft, die innere Ecke an der Spitze deutlich vorspringend und der Aussenrand der Sagitta mit einem breiten Saume eingefasst. Diese Art kommt in Finnland, im nórdlichen Russ- land und, mit Ausnahme der südlicheren Gegenden, in ganz Sibirien vor. e eS a es 7. pratorum L. Fn. Suec. 1711. — Thoms. 1. c. II. 39. fig, 15. — Schmiedekn. I. c. 386. tab. X. fig. 6. — arbusto- rum Fabr. Syst. Piez. 347. — ephippium Zetterst. : Ins. Lapp. 473. — lullianus Nyland. Ap. bor. 236. Q clypeo longitudine parum latiore sat dense punc- tato; genis latitudine apicis paullo longioribus; labro medio fossa parva basin versus angustiore, apice la- mina arcuata clausa, impresso; mandibulis sulco obli- quo nullo; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud |spinoso-producto, segmento ventrali ultimo carinato. d antennarum articulo tertio quarto longiore, man- dibularum barba flavescenti; pedibus posticis tibiis externe convexis punctis piliferis paucis inseulptis, metatarso postice longe piloso, segmento ventrali ultimo 221 des Sciences de Saint = Pétersbourg. margine apicali haud calloso; append. genitalium: spa- tha apice bifida; sagitta subtus basi fortiter emargi- nata, dente minuto armata, apice falcato; stipite exca- vatione interna minus profunda medium vix superante, angulo interno apicis rotundati haud prominulo; squama semi-ovali latitudine paullo latiore, margine interno distincte excavato; lacinia subtus nitida subtilissime sparsim punctata, basi margineque interno rufo-pilosa, externe apiceque breviter ciliata, margine apicali trun- cato squamam paullo superante, angulo interno pro- cessum parvum subeurvatum emittente, externo inter- dum acuto. : a. atro-hirsutus, thorace fascia antica citrina deco- rato, abdominis segmentis 4— 6 fulvo-villosis. b. ut a, sed abdominis segmento secundo fascia me- dio interrupta flava, — subinterruptus Kirby. FC: 356: c. thorace antice cum pectore, scutello segmentis- que abdominis duobus anticis flavo-pilosis. — Burellanus Kirby l. c. 358. Mit hypnorum und der vorhergehenden Art zunächst verwandt. An den männlichen Genital-Anhängen ist die Squama durch die abweichende Form leicht von der des Scrimshiranus zu unterscheiden. Diese in Europa weit verbreitete Art ist bis jetzt nur im europäischen Russland und in Transcaucasien beobachtet worden. Der óstlichste mir bekannte Fund- ort ist Kasan. 8. haematurus Kriechbaumer. Verhandl. der K. K. zool. bot. Gesellsch. in Wien. 1870. 157. 9 clypeo longitudine paullo latiore sat dense punc- tato; genis latitudine vix longioribus, labro medio fossa parva basin versus angustiore, apice lamina fere lineari clausa, leviter impresso; mandibulis sulco obli- quo nullo; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-produeto; segmento ventrali ultimo haud ca- rinato. ` e d antennarum articulo tertio quarto sesqui fere lon- giore; mandibularum barba flava; pedibus posticis tibiis externe convexis punctis paucis piliferis insculp- ` tis, metatarso postice sat longe piloso; abdominis seg- mento ventrali ultimo apice incrassato; append. geni- talium: spatha angustiore apice bifido; sagitta subtus | basi emarginata, medio dente armata, apice faleato; stipite interne basi fossa profunda medium haud attin- ! gente signato, externe fovea distincta impresso, mar- | gine apicali sub-rotundato angulo interno vix promi- | nulo; squama triangulari disco impresso, basi intus leviter dilatata; lacinia subtus nitida sparsim punc- tata, basi margineque interno rufo-pilosa, externe api- ceque breviter ciliata, margine apicali truncato angulo externo acuto squamam superante. a. atro-hirtus, thorace antice segmentisque abdomi- nalibus secundo tertioque flavo-villosis, ano pilis ferrugineis immixtis. | : b. ut a, sed capite, thorace abdominisque segmentis tribus anticis flavo-villosis, scutello utrinque pilis nigris immixtis. In der Kórpergestalt dem pratorum sehr ähnlich; das Weibchen wird aber leicht erkannt an dem Man- gel des Kieles auf dem letzten Ventralringe, die ver- hältnissmässig flachere Grube auf der Oberlippe, welche vor dem Erdrande von einer geraden Leiste begrenzt wird; das Männchen hat aber abweichend gebildete ` Genital-Anhänge, welche in der Form der Squama fast vollkommen mit hypnorum übereinstimmen, von diesem aber durch den anders gestalteten Endrand der Lacinia, das stürker entwickelte Zühnchen auf der Unterseite der Sagitta und den deutlichen Eindruck an der Aussenflüche des Stipes leicht zu unterscheiden ist. Bis jetzt nur aus Transcaucasien und dem türki- schen Armenien bekannt. . 9. lapponicus Fabr. Syst. Piez. 345. — Thoms. l. c. 41. fig. 16. — montanus Smith. Zool. II. 549. 9 clypeo longitudine latiore sat dense punctato, ge- nis latitudine apicis fere brevioribus; antennarum ar- ticulo quarto quinto sesqui breviore; labro medio fossa subrotundata apice lamina fere arcuata clausa, im- presso; mandibulis sulco obliquo nullo; pedibus inter- mediis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto. . d. antennarum articulo tertio quarto longiore; man- dibularum barba nigra; pedibus posticis tibiis externe - convexis punctis raris piliferis insculptis, metatarso ` longe piloso, segmento ventrali ultimo margine apicali calloso; append. genitalium: spatha angustiore apice ` B. bifido; sagitta subtus dente armata, basi emarginata, د‎ - . arcuata clausa, 223 Bulletin de l’Académie Impériale 224 apice falcato; stipite vix excavato, apice rotundato an- | gulo interno prominulo; squama longitudine dimidio “latiore, margine externo fere semicirculari, medio sub-emarginato; lacinia subtus nitida, subtiliter sparsim punctata, basi margineque interno rufo-pilosa, externe apiceque breviter ciliata, squamam vix supe- rante, margine apicali truncato angulo interno próces- sum leviter curvatum emittente. a. nigro-pilosus, abdomine, segmento primo excepto, rufo-vel fulvo-villoso. b. ut a, sed thorace antice flavo-piloso. c. ut b, sed scutello flavo-piloso. d.ut c, sed abdominis segmento primo utrinque flavo-piloso. e. ut d, sed abdominis segmentis duobus ou flavo-villosis. Die männlichen Genital- Anhänge sind denen der vorhergehenden Arten ähnlich gebaut, unterschei- den sich aber sehr. leicht durch die abweichende Form der Squama; diese ist beim lapponicus um die Hälfte breiter als lang, der äussere und hintere Rand bilden zusammen einen Kreisabschnitt, der innere ist fast - gerade und in der Mitte sehr schwach ausgebuchtet; die Spitze ist nach Innen verschoben. . Diese Art ist über das gesammte arctische Gebiet des russischen Reiches verbreitet und kommt auch auf Nowaja Semlja vor. — Während dieselbe im Hoch- gebirge der Schweiz und Tirols eine häufige Erschei- en ist, fehlt sie im Caucasus. 10. sibiricus Fabr. i Syst. Piez. 349. Q. ` ©. clypeo latitudine parum longiore minus dense .punctato, genis latitudine apicis paullo longioribus; — labro medio fossa profunda transversa, apice lamina | impresso ; mindha? ske obliquo distincto; مط‎ intermediis trochanteribus subtus : atro-velutinis,, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto; segmento ventrali ultimo haud ca- ` rinato. Ir aitennarum articulo tertio nue vix longiore; mandibularum barba nigra; pedibus posticis tibiis ex- terne convexis punctis multis piliferis insculptis, me- tatarso postice sat longe piloso, segmento ventrali ultimo margine apicali leviter incrassato medio emar- ginato; append. genitalium: spatha basi latiore, apice interno. bifido; sagitta basi angustiore, apice processu denti- formi deplanato valido armata; stipite elongato apice rotundato, excavatione interna minus profunda, ex- terne leviter vage impresso; squama latitudine longiore margine apieali sub-rotundato, basi emarginata lami- nam parvam emittente; lacinia subtus basi dense rufo- hirsuta, deinde crebre punctata, vix nitida; supra squamam superante ibique latitudine dimidio longiore, apicem versus sensim angustata, angulo apicali interno appendice brevi munito. a. subtus atro-, supra flavo-pilosus, fascia intera- lari abdominisque segmentis quarto quintoque vel etiam sexto fulvo-villosis. 5 b. ut a, sed thorace supra flavo-piloso, unicolori.— QUSE. Fischer de Waldh. age de Zool. 1843. 1. Diese schöne, in Sammlungen seltene Art, lit noch sehr mangelhaft bekannt. — Bei dem Weibchen ist ` der Kopf länglich, überall schwarz behaart, die Stirn verhältnissmässig fein, am oberen inneren Augenrande dichter und feiner punctirt; der obere Theil der Schlá- fen ist gleichfalls mit einer feinen Punctirung ver- sehen. Der schwach gewülbte Kopfschild ist ein wenig länger als breit, die Basis und der obere Theil der umgeschlagenen Seiten sehr dicht und ziemlich grob, die Scheibe sehr fein und sparsam punctirt. Die Ober- lippe hat mitten auf der Scheibe eine tiefe Grube, welche breiter als lang und an der Spitze vón einem schwach bogenförmig gekrümmten, vorstehenden Rande umgeben ist; die Seitenhücker sind fast abgeplattet und vor dem Endrande nicht vertieft. Die Wangen sind deutlich länger als breit, fein und zerstreut punc- — tirt. An den Mandibeln ist die schräge Furche deut- —— - lich entwickelt. Das dritte Fühlerglied ist fast doppelt | so lang als das vierte; dieses so lang als breit und ` kürzer als das folgende. Der Thorax ist unten schwarz, oben und an den Seiten sehr dicht- sammetartig gelb * behaart, zwischen den Flügeln meistentheils mit einer — rothen oder orangefarbenen Querbinde geziert. Die Flügelschuppen sind schwarzbraun gefärbt, die Flügel ` braun getrübt. Auf dem Hinterleibe sind die drei vor- deren Segmente gelb, die beiden folgenden roth, das ` ` letzte schwarz behaart, die Ventralringe Ê be- wimpert. Die Beine sind mit schwarzen Haaren .be- deckt und nur die innere Fläche der Metatarsen dun- | 225 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Ge, 226 kel rostroth schillernd; die hintersten Schienen sind aussen sehr fein nadelrissig und daher seideglänzend. Beim Männchen sind Clypeus und Hivterhaupt gelb, die übrigen Körpertheile ähnlich wie beim Weibchen behaart. Die Spatha ist am Grunde schwach erweitert, die Spitze deutlich ausgerandet. Sagitta an der Basis ein wenig verengt, in der Mitte erweitert, die Spitze herabgebogen und mit einem grossen, abgeplatteten, nach innen und vorn gerichteten, zahnartigen Fort- satze bewehrt. Am schlanken Stipes ist der Endrand zugerundet, ohne vorspringende Ecken; die Innen- flüche desselben ist schwach ausgehóhlt, die Aussen- fläche kaum vertieft. Die Squama ist länger als breit, mit fast bogenfórmigem Endrande; die innere Seite derselben ist am Grunde mit einem deutlichen Aus- schnitte, welcher von einem kleinen, fast zugerunde- ten Vorsprunge begrenzt wird, versehen. Die Lacinia ist unten an der Basis dicht, am Innenrande spärlicher roth behaart, ziemlich grob und dicht punctirt, schwach glänzend; von oben betrachtet erscheint dieselbe kür- zer als die Squama, ist etwa um die Hälfte länger als breit, nach der Spitze zu allmählich verengt; diese schräg abgestutzt und deren innere Ecke in einen kleinen Fortsatz ausgezogen. In Ost-Sibirien. Irkutzk. — Krasnojarsk. 11, Regeli Mor. Mél. biol. tir. du Bull. de l’Acad. imp. des sc. de St. Pétersb. X. p. 444. Der citirten Beschreibung füge ich noch hinzu: die Grube auf der Oberlippe des Weibchens ist an der Spitze von einer gebogenen, vorstehenden Leiste eingefasst und sind die Trochanteren der Mittelbeine unten sammetschwarz behaart. — Die Genital-An- hänge des Männchens sind denen der vorhergehenden Art ähnlich gebaut, der Endrand der Squama erscheint aber fast abgestutzt mit zugerundeten Seitenecken; die Lacinia hat unten am Grunde einen sehr dicht roth behaarten, kleinen Höcker und ist, von oben be- -trachtet, fast so lang als die Squama, nach dem Ende zu allmáhlieh verengt. Im Kuldsha-Gebiete. 12. vorticosus Gerstäck. Stett. ent. Zeit. 1872. 290. — montanus Radoszk. l. c. 209. : Tome XXVII. Q. clypeo latitudine longiore, sat dense punctato, fortiter convexo; genis latitudine apicis sesqui longio- ribus distincte punctatis; labro medio fossa profunda sub-quadrata apice lamina fere lineari elausa, impresso; mandibulis sulquo obliquo instructis; pedibus interme- diis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto; segmento ventrali ultimo haud carinato. d. oculis magnis; antennis elongatis articulo tertio quarto paullo longiore; mandibularum barba sordide- flavescenti vel nigricanti; pedibus posticis tibiis ex- terne convexis punctis sat numerosis piliferis insculp- tis, metatarso postice longe piloso; segmento ventrali ultimo margine apicali medio profunde emarginato; append. genitalium: spatha angusta apice bifido; sa- gitta apice incrassata dente valido armata; stipite elongato, excavatione interna minus profunda, externe leviter vage impresso, apice truncato angulo interno haud prominulo; squama longitudine paullo latiore, marginibus apicali truncato angulis rotundatis, latera- libus fere parallelis, interno basi laminam parvam sub-rotundatam emittente; lacinia subtus basi-tuber- ` culo dense piloso munita, parte apicali excavata, medio dilatata, supra squamam superante ibique latitudine dimidio longiore, apicem versus angustata, apice an- gulo interno lamina parva armato. a. atro-pilosus, thorace scutelloque flavo- villosis, illo fascia interalari nigra signato; abdominis . segmentis tribus vel quatuor posticis fulvo-villo- sis, anticis duobus flavo-velutinis. . ut a, sed abdominis segmento tertio fere toto flavo-villoso, pedibus pallide-hirtis. . atro-pilosus, thorace albido-vel niveo-velutino, fascia interalari lata nigra decorato; abdominis segmentis tribus posticis fulvo-, duobus anticis niveo-villosis. Beim Weibchen dieser verkannten Art ist der Kopf langgestreckt, die Stirn am oberen Augenrande grob und nicht sehr dicht punctirt, die Zwischenräume der Puncte hin und wieder runzelfórmig erhaben; der SA kr obere Theil der Schläfen ist gleichfalls nicht beson- ` : ders dicht punctirt und die Sculptur aus groben und - feinen Puncten zusammengesetzt. Der Kopfschild ist deutlich länger als-breit, mit gewölbter Scheibe, auf welcher überall zerstreut stehende, bald gröbere, bald feinere Puncte vorhanden sind; die Basis ist beider- — 227 Bulletin de l'Académie Impériale 225 seits verhältnissmässig dicht, die umgeschlagenen Sei- ten sehr sparsam und grob punctirt. Die Oberlippe hat auf der Mitte eine sehr tiefe, bis zum Grunde reichende Grube, welche deutlich breiter als lang und an der Spitze von einem fast gerade vorstehenden Rande eingefasst ist; die Seitenhócker sind schwach gewölbt, mit glatter, glänzender Scheibe und von dem Endrande durch eine sehr flache Vertiefung geschie- den. Die Wangen sind reichlich um die Hälfte länger als breit, die äussere Fläche derselben zwar sehr zer- streut, aber deutlich punctirt. An den Mandibeln ist die schräge Furche stark ausgeprägt. Das dritte Füh- lerglied ist verhältnissmässig stark verlängert und reichlich um die Hälfte länger als das vierte; dieses ist länger als breit und ein wenig kürzer als das fünfte. Beim Männchen sind die Wangen nur ein wenig länger als an der Spitze breit. An den Anhängen der E Genitalien ist die Spatha fast gleich breit, mit tief - ausgerandeter Spitze; die Sagitta ist am Grunde ; schmäler als in der Mitte, die Spitze nach abwärts gekrümmt und verdickt, einen sehr starken, nach innen und vorn gerichteten, abgeplatteten Zahn aussendend. Stipes schlank, mit abgestutztem Endrande, dessen ~ imere Ecke abgerundet ist; aussen ist derselbe flach = vertieft, innen schwach ausgehöhlt. Die Squama ist ur etwas breiter als lang, fast viereckig; der Endrand ist abgestuzt mit zugerundeten Ecken, die Seiten parallel, die innere fast gerade und an der Basis einen kleinen, halbkreisfórmigen Anhang tragend. Die Lacinia ist `` befilzte Schwiele ausgezeichnet, hinter derselben der ganzen Länge nach ausgehóhlt, in der Mitte erweitert, nach der Spitze zu allmáhlieh verengt. Von oben be- trachtet erscheint die Lacinia deutlich länger als die Squama, mit breiterem Grunde und schmaler Spitze, -von deren innerer Ecke ein kurzer , zugerundeter und ein wenig gekrümmter Fortsatz entspringt ; der Aussenrand ist von der Basis bis zur Mitte sehr dicht roth bewimpert. | Im Kórperbaue mit "Mer vorhergehenden Art über- . einstimmend. | S In Transcaucasien in Höhen von 3500-6000’ vor- kommend; nach Gerstäcker auch in Daurien. 13. lapidarius L. Fn. Suec. X 1712. — Thoms. l. c. 37 fig. 5. — Schmiedekn. l. c. 403 tab. XI. fig. 10. unten am Grunde durch eine hóckerartige, dicht roth Q. clypeo longitudine latiore sat dense punctato; genis latitudine apicis paullo longioribus; labro medio fossa profunda transversa, apice lamina sub-angulata clausa, impresso; mandibulis sulco obliquo distincto ; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-veluti- nis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-pro- ducto; segmento ventrali ultimo vix carinato. d. antennarum articulo tertio quarto sesqui fere longiore; mandibularum barba nigricanti; pedibus posticis tibiis externe convexis punctis piliferis paucis insculptis, metatarso postice longe piloso; segmento ventrali ultimo apice reflexo; append. genitalium: spa- tha angusta apice bifido; sagitta lineari apice aculeo armata; stipite interne minus profunde excavato, ex- terne interdum canalicula transversa medio signato, apice subrotundato angulo interno haud prominulo; squama longitudine paullo latiore fere semi-ovali, intus basi laminam parvam emittente; lacinia subtus basi rufo-pilosa, sat nitida; supra squamam superante ibi- que longitudine vix latiore, lateribus fere parallelis, apice emarginato. a. nigro-pilosus, abdominis segmentis tribus dumis puniceo-villosis. b. ut a, sed thorace antice flavo-piloso. c. ut b, sed scutello abdominisque segmentis duobus anticis flavo-pilosis. — montanus Gerstäck. Stett. ent. Zeit. 1869. 322. .ut a, sed thorace antice, scutello abdominisque segmentis duobus anticis sordide-griseo-pilosis; segmentis abdominalibus tribus posticis pallide- ` fulvo-villosis. — Sicheli Radoszk. Bull. de Mose. 1859. 481. tab. 5 fig. 2 . ut a, sed thorace antice scutelloque e sis. — caucasicus Radoszk. ib. fig. 3 f. ut e, sed thorace supra toto candido = griseo- sion. -— eriophorus Bieberst. Mém. de la soc. de Nat. de Mosc. II. 1809, p. 5, tab. I. fig. 2. Die Varietät a ist im nördlichen und mittleren eu- ropäischen Russland weit verbreitet und kommt i in den | asiatischen Provinzen gar nicht vor. — Die Varietäten b und c sind im turkestanischen und caucasischen Ge- birge häufig, seltener kommen im letzteren auch die Varietüten e und f vor. — Die Abänderung d ist in Ostsibirien und Kamtschatka einheimisch und daher wohl nicht mit dem auf den Schweizer Alpen vorkom- menden alticola Kriechb. identisch, wie Radoszk. D ® ` tricolor Dahlb. L c. 40. a. 229 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 230 Bull. de Mose. 1878. 213 glaubt; die Beschreibung des letzteren passt so ziemlich auf eine Varietät des rid unl 14. incertus. tunicatus Smith. Trans. Ent. Soc. II. new. ser, 43. T. VII. fig. 7 Q?. — niveatus Kriechb. Verh. der K. K. zool. bot. Ges. in Wien 1870, 458. 9 ?. — montanus Radoszk. Bull. de Mosc. 1878. 209. Q. clypeo longitudine paullo latiore disco sat dense subtiliter punctato; genis latitudine apicis vix longio- ribus; labro medio fossa profunda transversa, apice lamina arcuata clausa, impresso; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto; segmento ventrali ultimo haud carinato; atro-pilosus, thorace supra lateribusque ni- veo-piloso, fascia interalari nigra decorato; abdominis segmentis primo secundoque niveo-, tertio atro-, reli- quis puniceo-villosis. 20 mm. Im Kórperbau zwar vollkommen mit lapidarius über- einstimmend, sind die Wangen aber kürzer als bei der vorhergehenden Art und dürfte daher dieselbe erst nach dem Bekanntwerden des Männchens mit jener vereinigt werden kónnen. — Radoszk. zieht tunicatus und niveatus zusammen und stellt beide zu montanus Lep., einer Art, welche der mangelhaften Beschrei- bung wegen nicht zu entrüthseln ist; — funicatus kommt aber in Indien vor und könnte trotz der sehr ähnlichen Behaarung eine andere Art sein; niveatus aber ist in Palästina gefunden worden und passt die Beschreibung des Kopfes gar nicht auf incertus, indem Kriechbaumer von demselben sagt: der Kopf ist lang- gestreckt, der Kopfschild in der Mitte der Länge nach ziemlich stark gewólbt, etc., was mehr auf vor- ticosus hindeutet. 7 Diese schóne Hummel ist von mir in Caucasien, in Höhen zwischen 3500 — 8000" gesammelt worden. — Ausserdem kommt sie auch im Tjan-Schan vor. 15. nivalis Dahlb. Bomb. Scandin. 40. — Thoms. l. c. 35 fig. 11. — — balteatus Dahlb. 36. . — Kirbiellus Curtis Ross's 2" Voy. App. p. 62. pl. A. fig. 2. — montanus Radoszk. 1. c. 209. ©. clypeo longitudine latiore; genis latitudine apicis paullolongioribus; labro medio fossa profunda subqua- E e KS E CN Ee imnresao tnh Hel 2 È ? teralibus planis apice acute marginatis ; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto; tibiis posticis subtilissime alu- taceis; segmento ventrali ultimo carina brevi instructo. 3. antennarum articulo tertio quarto paullo longiore; mandibularum barba nigra pilis flavis immixtis; pedi- bus posticis tibiis externe convexis, splendidis, summa basi tantum punctis piliferis insculptis, metatarso pos- tice longe piloso; segmento ventrali ultimo apice sub- reflexo; append. genitalium: spatha basi lata, apice bifido; sagitta medio subtus dente valido armata, parte postica SUP e conv Ls saute concava, margine apicali semi-rotundato exte externo … pilis raris obsito medio dilatato ibique bidentato; sti- pite vix excavato, externe fere plano, dorso medio cana- licula transversa signato, margine apicali subrodundato angulo interno dentiformi; squama longitudine vix latiore fere semicirculari, angulo interno acuto valde prominente, margine interno canaliculato, leniter emar- ginato, basi lamina minuta munita; lacinia subtus ni- tida, distinte punctata, margine interno ruto-fimbriato ; supra squamam parum superante ibique apice angulo externo fere recto, interno lobiformi plus minusve serrulato. a. flavo-pilosus, fascia inter alas segmentoque tertio abdominis nigris. ut a, sed abdominis segmentis apicalibus fulvo- pilosis. ut a, sed abdominis segmentis apicalibus nigro- ER summo apice pilis fulvis immixtis. , ut a, sed abdominis segmentis ultimis sordide-al- bide pion ; nigricans, abdomine apice pallido. Das Männchen dieser hochnordischen Art ist dem des lapidarius sehr ähnlich, aber um die Hälfte grösser und durch den verschiedenen Bau der Genital-Anhänge von demselben sofort zu unterscheiden. An letzteren = = a P ist nàmlich die Spatha am Grunde sehr breit, mit ge- E. Sagitta am Aussenrande sparsam ` ž spaltener Spitze. bewimpert, in der Mitte unten mit einem sehr starken Zahne bewehrt, von hier ab oben gewölbt, unten und aussen concav; die ein wenig erweiterte Spitze mit halbbogenfórmigem Endrande, welcher aussen in eim ` sehr kleines, aber scharfes Zühnchen ausläuft; zwischen 15* 231 Bulletin de l'Académie Impériale 232 dem auf der Unterseite befindlichen grossen Zahne . und der Spitze, etwa in der Mitte, ist die Sagitta ver- dickt und diese Stelle mit zwei nach aussen und unten gerichteten kleinen, aber scharfen Stacheln, die eine flache Ausrandung begrenzen, versehen. Stipes innen mit sehr flacher Aushóhlung, aussen fasst eben, der Endrand schwach zugerundet, mit zahnartig vorsprin- gender innerer Ecke. Squama kaum breiter als lang; der äussere und hintere Rand derselben bilden zusam- men einen Kreisabschnitt; der innere hat an der Basis eine kleine zugerundete Lamelle und einen vorsprin- genden hinteren Winkel und ist derselbe der ganzen Länge nach ausgehóblt. Lacinia am Aussenrande sehr - kurz, der Innenrand länger und sehr dicht bewimpert; von oben betrachtet überragt dieselbe nur wenig die Squama und ist das freie Ende etwa parallelogramm- förmig und ein wenig nach innen gebogen; der hintere Rand ist behaart und fast abgestutzt, mit beinahe rechtwinkeliger Aussenecke, die innere Ecke aber ist vorgezogen, mit zugerundeter Spitze und fein gezäh- neltem Rande; die Unterseite der Lacinia ist glänzend, deutlich und dicht punctirt. Im Norden Finnlands. — Torneo. Enontekis. — Aus dem arctischen Theile Sibiriens ist diese Art mit- gebracht worden von den Academikern v. Midden- dorff (Udskoi-Ostrog), Schmidt (Inseln des Jenissei); auch von Tschekanowsky am Oleneck und von Dr. J. Sahlberg bei Turuchansk gesammelt. — Nach Wahlberg kommt nivalis in Lappland an der oberen Grenze der Birkenregion vor. = 16. hyperboreus Schönh. AN Holm. 1809. 57. tab. 3. fig. Le. one E ER latiore sat dense en: ; genis ~- latidudine apicis paullo longioribus; labro medio fossa profunda subquadrata, apice lamina sub-arcuata clausa; impresso; mandibulis suleo obliquo distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, meta- tarso angulo apicali postico haud spinoso- producto, segmento ventrali ultimo haud carinato; nigro-hirsu- tus, thorace abdominisque segmentis duobus anticis 2, له‎ Thom: 3. antennarum articulo tertio quarto paullo longiore, mandibularum barba nigra; pedibus posticis tibiis ex- . terne convexis, nitidis, glabris, metatarso postice longe aurantiaco-fulvis, thorace fascia interalari nigra signato. | piloso; abdominis segmento ultimo margine apicali re- flexo; append. genitalium: spatha basi lata apice bi- fido; sagitta subtus valide dentata, margine externo sparsim piloso, supra convexa, subtus excavata, apice rotundato, medio leviter dilatata ibique bidentata; sti- pite interne minus profunde excavato, externe impres- ; sione vaga notato, dorso medio canalicula transversa signato; squama latitudine fere longiore basi externe sat profunde impressa, margine postico rotundato, in- terno subtilissime undulato angulo apicali haud promi- nulo, basi lamina nulla; lacinia subtus nitida rare punc- tata, margine interno sparsim fimbriato; supra squa- mam parum superante, longitudine duplo fere latiore, apice angulo externo rotundato, interno lobiformi. Das Münnchen ist dem der vorhergehenden Art, na- mentlich der Varietüt c sehr ühnlieh, lässt sich aber durch den abweichenden Bau der Genital- Anhänge leicht unterscheiden. -Spatha breit, mit gespaltener Spitze; Sagitta in der Mitte unten mit einem starken Zahne, oben schwach gewölbt, unten ausgehöhlt, die Spitze abgerundet, der Aussenrand dünn behaart, hin- ter der Mitte ein wenig verdickt und hier mit zwei kleinen scharfen Zähnen versehen. Stipes aussen flach vertieft, innen seicht ausgehöhlt, mit einer wenig vor- springenden hinteren Ecke und einer Querfurche mitten auf dem Rücken. Squama fast länger als breit, am Grunde aussen mit einem ziemlich tiefen Eindrucke; der äussere und hintere Rand derselben bilden zusam- men einen Bogenabschnitt, der innere ist fast gerade aber sehr fein undulirt, der hintere Winkel nicht vor- springend, am Grunde keine Lamelle. Lacinia unten dünn, aussen dichter behaart und überragt nur ein wenig die squama; der hintere, bewimperte Rand der- selben hat eine abgerundete äussere und eine deutlich vortretende, lappenförmig vorgezogene und ein wenig nach abwärts gekrümmte innere Ecke. Aus dem arctischen Theile Sibiriens vom Academi- ker Schmidt (Inseln des Jenissei) und von Dr. J. Sahl- berg aus Turuchansk mitgebracht. — Nach Dahlbom im nördlichen Finnland bei Enontekis, nach Wahl- berg im lappländischen Gebirge in der Nachbarschaft. der Schneegrenze. 17. alpinus L. Fn. Suec, N: 1719. — Thoms. 1. e, 36.. Das Männchen dieser Art ist mir E — In 233 des Sciences de Saint- Pötersbourg. 234 der academischen Sammlung sind nur Weibchen, aus der süd-óstlichen Mongolei stammend, vorhanden. — Radoszk. bull. de Mosc. 1878. 186. besitzt Exem- plare aus dem Norden Finnlands. — Nach Wahlberg in Lappland oberhalb der Baumgrenze. 5 18. confusus Schenc k. Nassauische Jahrb. XIV. 151. — Schmiedekn. 1 c. 406 tab. XL. fig. 9. Q. clypeo latitudine longiore dense punctato; genis latitudine apicis paullo longioribus; labro medio fossa minus profunda dense ferrugineo-hirta impresso; mandi- bulis suleo obliquo indistincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto; segmento ven- trali ultimo haud carinato; antennarum articulis quarto quintoque longitudine fere aequalibus, conjunctis ter- tio vix longioribus. d. oculis magnis; antennarum articulo tertio quarto duplo longiore; genis latitudine apicis brevioribus; mandibularum barba nigra; pedibus posticis tibiis ex- terne convexis punctis numerosis piliferis insculptis, metatarso postice longe piloso; segmento ventrali ul- timo splendido, disco transversim impresso, margine apicali elevato; append. genitalium: spatha medio valde dilatata; stipite brevi, crasso, ante apicem fere con- stricto, excavatione interna profunda limbo distincto cireumducta, angulo apicis interno prominulo; squama subquadrata disco impressa, margine interno profunde latissimeque excavato; lacinia subtus nitida distincte punctata, basi lateribusque ciliata, apice bi-appendicu- lato: appendice interno minore spiniformi, externo va- lido dentiformi squamam longe superante; sagitta fere lineari apice subrotundato, margine externo medio dilatato. . nigro-pilosus, segmentis abdominis tribus vel qua- ١ tuor posticis puniceo- vel fulvo-villosis. ut a, sed thorace antice flavo-piloso. ut b, sed scutello abdominisque sens antico etiam flavo-pilosis. . ut c, sed abdomine apice albido-piloso. Bei dieser hóchst eigenthümlichen Art stimmen die beiden Geschlechter in der Lünge der Wangen nicht mit einander überein; beim Männchen sind dieselben auffallend kurz, beim Weibchen länger als an der Spitze breit und ist bei diesem die üussere Hülfte derselben m. qi gu dicht punctirt. — Besonders merkwürdig sind die männlichen Genital-Anhänge beschaffen: Spathamitten sehr breit; der kurze Stipes ist bauchig aufgetrieben, aussen mit einer deutlichen Querfurche, innen bis zu der aufwärts gerichteten Spitze tief ausgehöhlt; die Aushöhlung von einem scharfen Rande umgeben. Die Squama ist einem Viereck ähnlich, dessen äussere Seite aber länger als die innere ist; die Scheibe derselben ist mit einem tiefen, bis zum Endrande ausgedehnten Eindrucke versehen; der Innenrand ist sehr tief aus- gehöhlt, gleichsam weit auseinander klaffend und einer ovalen Grube ähnlich. Die untere Fläche der Lacinia ist glänzend und deutlich punctirt, die Basis nebst den Seitenrändern röthlich behaart, der Endrand in zwei Fortsätze auslaufend, von denen der innere, kleinere und kürzere die Form eines scharf zugespitzten, ein wenig gekrümmten, zum grössten Theile unter der Squama versteckten Stachels hat, während der äussere die Squama weit überragt und einen langen, abgeplatte- ten, allmählich zugespitzten, beiderseits dichtbewimper- ten Zahne ähnlich ist. Die Sagitta ist linear mit fast abgerundeter Spitze und'aussen in der Mitte von einem breiten chitinósen Saume eingefasst. : Im Gouvernement Volhynien. 19. soroeensis Fabr. Ent. Syst. I. 318 9? — Thoms. l. c. 36. fig. 6. — Schmiedekn. 1. c. 390. tab. X. fig. 7. — Proteus Gerstäck. Stett. ent. Zeit. 1869. 325. — ib. 1872. 292. Diese Art müsste den Namen Proteus führen, indem Gerstäcker dieselbe zuerst ausführlich beschrieben ue | hat. — Den genauen Beschreibungen Gerstücker's, Thomson's und Schmiedeknecht’s füge ich einige An- gaben über die männlichen Genital-Anhänge hinzu. — Die breite Spatha ist in Folge einer sehr feinen Punc- tirung schwach glänzend, mit gekielter Basis und ge- spaltener Spitze. so lang als breit, mit zugerundeter Spitze und aus- geschnittenem Inncnrande. daher fast nierenförmig S erscheinend; die Basis aussen muldenfórmig vertieft. Die unten glänzende, sehr fein punctirte Lacinia hat ` einen dicht roth bewimperten Innenrand, überragt Stipes vor dem schräg abgestutzten ` Ende aussen mit einem sehr flachen Eindrucke, innen _ |der ganzen Länge nach seicht vertieft; die hintere innere Ecke nicht vorspringend. Susan fast doppelt ` ` 235 Bulletin de l'Académie Impériale 236 deutlich die Squama und ist hier ein wenig länger als breit, mit fast parallelen Seiten; die hintere Ecke des Endrandes ist scharf zugespitzt, die vordere sendet einen schmalen, abwürts gekrümmten Anhang aus, der etwa doppelt so lang als breit ist. Die Sagitta hat mitten am unteren Rande ein kleines Zühnchen; die Spitze derselben ist stark erweitert, mit fast gerade abgestutztem Endrande, dessen innere Ecke scharf zu- gespitzt erscheint. Im nórdlichen und mittleren Russland weit verbrei- > tet, auch im caukasischen Gebirge einheimisch. — Im - — Tjan-Sehan gleichfalls vorhanden. 20. leucopygus Mor. : Fedtsch. Reise nach Turkestan. Apidae I. 2. hc Q. clypeo longitudine paullo latiore disco sparsim punctulato; genis latitudine apicis fere brevioribus; labro medio fossa minus profunda, apice lamina angu- lata clausa, impresso; mandibulis sulco obliquo sat distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus ferrugineo-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto; segmento ventrali ultimo que ter carinato. a. flavo-pilosus, mesonoto pilis numerosis nigris disco immixtis, interdum fasciam angustam inter alas formantibus; abdominis segmentis tertio nigro-, quarto pallide-umbrino-vel castaneo-, quinto sex- ` toque albido-pilosis, — b. ut a, sed pectore eiiis fere totis nigro-pi- losis. : Der vorhergehenden Art im Ganzen ühnlich, aber von derselben leicht zu unterscheiden durch die klei- nere und flachere Grube der Oberlippe, die, wenn auch schwach ausgeprägte schräge Furche an den Mandi- beln und den starken, bis zur Mitte reichenden Kiel _ des letzten Ventralringes. — Der Kopf ist vorzugs- . weise mit schwarzen Haaren, denen auf der Stirn und ` dem Hinterhaupte gelbe ET sind, bedeckt. Der Thorax ist überall sehr dicht gelb, die Brust blasser behaart, auf der Scheibe des Mesonotum mit einem hwärzlichen Haarbusel ‚der sich zuweilen alsschmale tet, geziert. Auf dem Abdomen sind die beiden ersten Segmente sehr dicht gelb, das dritte schwarz, das vierte kastanienbraun, die folgenden weisslich panari die Ventralringe sind greis bewimpert. An den Beinen Binde beiderseits bis zu den Flügelschuppen ausbrei- |. sind die Schenkel blassgelb oder greis, die Schienen schwärzlich, die Tarsen rostroth behaart. — Bei einem Stücke sind die Beine und die Brust schwarz behaart. Diese Art ist bis jetzt nur in Turkestan gesammelt worden. Im Ferghana-Gebiete in Höhen zwischen 8100— 13,300. — Im Amu-Darja-Gebiete. — Am Iskander-Kul. — 21. subterraneus L. Fn. Suec. N. 1718. — Thoms. l. c. 26. fig. 10. — Latreillellus Kirby. Ap. Angl. II. 330. d. — Schmiedekn. 1. c. 370. tab. X. fig. 3. — Tunstalla- mus Nyl. Ap. bor. 231. — Jonellus Schenck. Nass. | Jahrb. VO. 14. — flavo-nigrescens Smith. Zool. IV. 1566. Q. clypeo latitudine vix longiore basi utrinque spar- sim, lateribus sat dense crasse punctato; genis latitu- dine apicis sesqui longioribus; labro medio fossa magna basin versus latiore, apice lamina arcuata clausa, im- presso; mandibulis sde obliquo distincto; pedibus in- termediis trochanteribus subtus atro- Yelutinfé, meta- tarso angulo apicali postico vix bam UE seg- mento ventrali ultimo carina longa signato. d, antennarum articulo tertio quarto paullo longiore; mandibularum barba nigra; pedibus posticis tibiis ex- terne nitidis, leviter excavatis punctisque piliferis in- sculptis, metatarso postice brevissime piloso; segmento |ventrali ultimo nitido sparsim punctato, apice haud - calloso; append. genitalium: spatha basi latiore, apice bifido; sagitta parte apicali subtus medio appendice tridentato armata, apice arcuatim dilatata angulo ex- terno bispinoso; stipite oblique truncato, profunde ex- cavato, excavatione limbo laterali distincto obducto, externe apicem versus impresso, impressione cum ca- nalicula transversa dorsali saepe confluente; squama lata margine interno incurvo; lacinia subtus aciculata, subtilissime punctata, margine interno fimbriato, ex- terno breviter ciliato, supra squamam parum superante ibique longitudine latiore, angulo antico processum brevem emittente. . atro-pilosus, ano fusco. totus fusco-pilosus. . ut a, sed segmentis posticis griseo p — soróensis Kirby. 1. c. 354. . ut c, sed thorace antice, scutelloque pilis. non- nullis flavescentibus immixtis. o هاه‎ GH des Sciences de Saint- Pétersbourg. e. ut d, sed thorace antice scutelloque flavescenti- pilosis. ut e, sed abdominis segmento antico flavescenti- villoso. . ut f. sed abdominis segmentis secundo terkingue margine apicali flavescenti-pilosis. — hortorum var. bicingulatus Eversm. Bull. deMosc. 1852. I. 1382 E» & An den männlichen Genital-Anhängen hat die Spa- tha eine verhältnissmässig breitere, Basis und eine deutlich gespaltene Spitze. Sagitta mit breiter Grund- hälfte ; die Casse trägt mitten um lichen Rande einen eigentl hen, deutlichal ten, am freien Ende in drei kurze Zühnchen auslaufenden, an der Basis schwach verengten Anhang; die Spitze der Sa- gitta ist stark erweitert, mit fast bogenfórmig gekrümm- tem Endrande; von diesem verlüuft, an dem inneren Winkel beginnend und bis zu dem in der Mitte befes- tigten Anhängsel reichend, ein ziemlich breiter chiti- nüser Saum; der Aussenrand der Spitze ist mit zwei scharf zugespitzten Stacheln besetzt und zwischen die- sen ausgerandet. Der Stipes ist innen mit einer tiefen, von einer scharfen, namentlich an den Seiten deut- licheren Leiste umgebenen Aushóhlung versehen; die äussere Flüche desselben ist, von dem etwa in der Mitte befindlichen Quereindrueke an fast bis zu der ein wenig schrüg abgestutzten Spitze hin, tief einge- drückt. Die Squama ist etwa doppelt so breit als lang, mit abwürts gebogenem Innenrande. Die untere Flüche der Lacinia ist kaum glänzend, áusserst fein nadelrissig und spärlich punetirt, mit róthlich bewimpertem Innen- rande. Die Lacinia überragt nur wenig die Squama, ist hier fast um die Hälfte breiter als lang, mit paral- lelen Seiten und abgestutztem Endrande, von dessen vorderen Ecke ein kurzer, breiter, abwürts gekrümm- ter Fortsatz entspringt. Diese Art ist über den nórdlichen und mittleren Theil Russlands verbreitet; kommt auch im Hochge- birge Caucasiens vor. — In West-Sibirien. 22. distinguendus Mor. Hor. soc. ent. Ross. VL 32. — Thoms. |. c. 26. — pratorum Fabr. Piez. 349.— fragrans Kirby.1. c. 329. — Nyland. Ap. bor. 229. — elegans Schmiedekn. l. e. 376. tab. X. fig. 4. Diese Art ist der vorhergehenden, abgesehen yon der Behaarung, täuschend ähnlich. Das Weibchen un- terscheidet sich nur durch die kaum deutlicher vorge- zogene hintere untafe teke am Metatarsus der Mittel: AT eine, das Männchen an den Genital- Anhängen. Es ist nämlich der Eindruck an der Aussenfläche des Stipes weniger tief und nicht so scharf abgegrenzt, die Stacheln am Aussenrande : der erweiterten Spitze bei der Sagitta viel kürzer, einen fast geraden Zwischenraum einschliessend und der ab- wärts gekrümmte Theil des Innenrandes an der Squama . verhältnissmässig breiter als beim subterraneus. — Kónnte auch als nórdliche Rasse des subterraneus an- gesehen werden. Über das nórdliche und mittlere Russland verbrei- tet. In Ost-Sibirien bei Krasnojarsk, Irkutzk und Ja- kutzk häufig. 23. altaicus Eversm. Bull. de Mosc. 1846. II. 436. tab. IV. fig. 1. Q. capite valde elongato; clypeo latitudine longiore; ` genis latitudine apicis duplo fere longioribus; labro — medio fossa magna apice lamina lineari clausa, impresso, | tubereulis lateralibus disco sub-excavatis; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochante- ribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico spinoso-producto; segmento ventrali ultimo breviter carinato. Are : 3. antennis elongatis, gracilibus, articulo tertio quarto sesqui longiore; mandibularum barba nigra; pedibus posticis tibiis externe nitidis, sub-planis, meta- tarso postice breviter piloso; segmento ventrali ultimo ` margine apicali haud calloso; append. genitalium: spa- tha angusta apice subbifida; sagitta parte apicali sub- tus medio appendice basi constricto armata, apice valde dilatato-incrassato; stipite truncato excavatione in- terna profunda limbo acuto circumducta, externe levi- ter impresso, dorso medio obsolete transversim cana- d liculato; squama longitudine duplo fere latiore, apice — rotundato, basi laminam ineurvam emittente; lacinia ` subtus opaca dense ruguloso-punctata, margine interno ER fimbriato, externo densissime ferrugineo-ciliato, squa- ` mam parum superante ibique longitudine duplo fere - latiore, margine apicali oblique-truncato angulo, antico lamina incurva munito. : E: a. atro-pilosus, thorace supra abdominisque segmen- ` tis duobus anticis flavo-velutinis. i -: Bulletin de l’Académie Impériale 240 7 b. ut a, sed thorace fascia inter alas nigra decorato. en... — Tschitscherini Baer. An den männlichen Genital-Anhängen ist die Spa- tha auffallend lang, die Basis derselben schwach ge- kielt, die Spitze sehr fein gespalten. Sagitta wie bei den vorhergehenden Arten mit sehr breiter Grund- hälfte; die Endhälfte ist mitten am unteren Rande mit einem starken, an der Basis verengten Anhange be- setzt, dessen freies Ende abgestutzt erscheint, mit dorn- artig vorgezogenen Seitenecken; die Spitze ist stark erweitert, mit verdicktem Endrande. Stipes innen tief ausgehöhlt und die Aushóhlung von einem scharfen Rande umgeben, aussen vor der abgestutzten Spitze ` vertieft. und der Rücken mit einer oft undeutlichen Querlinie versehen. Squama fast doppelt so breit als lang, mit zugerundetem Endrande, innen am Grunde in eine ziemlich breite, am freien Ende umgebogene Lamelle auslaufend. Die Lacinia ist unten sehr dicht punctirt — gerunzelt, mit bewimperten Rändern, über- ragt nur wenig die Squama und ist hier fast doppelt so breit als lang; der Endrand derselben ist abgestutzt und trägt dessen innere Ecke einen Anhang, welcher dem am Grunde der Squama' befindlichen ähnlich, -~ aber kleiner ist. - Diese schöne Art kommt in den asiatischen Provin- zen des russichen Reiches vor: im Altai, in Turkestan und in Transcaucasien. 24. hortorum L. Q. capite elongato; clypeo latitudine longiore, basi . medio depressione longitudinali subtiliter punctata . Signato ibique utrinque sparsim crasse punctato; genis latitudine apicis duplo longioribus; labro basi integra, . medio fossa apice lamina sub-arcuata clausa, impresso; `. mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis .. trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico spinoso-producto ; segmento ventrali ultimo breviter carinato. - .. d. antennarum articulo tertio quarto sesqui lon- tibiis externe splendidis, glabris, metatarso postice sat longe piloso; segmento ventrali ultimo fere truncato, utrinque nigro-fasciculato; append. genitalium: spatha angusta apice bifido; sagitta lineari apice obtuso, sub- tus dense serrata; stipite excavatione sat profunda, apice rotundato, externe impresso, dorso medio cana- giore; mandibularum barba nigra; pedibus posticis | lieula transversa, saepe obsoleta, interdum cum im- pressione laterali confluente, instructo; squama magna auriculata, margine apicali ineurvo, basi angustiore. ibique lamellam latam emittente; lamella supra leviter emarginata, spina acuta terminata, margine postico integro vel undulato, saepe serrulato; lacinia subtus nitida, punctata, sat dense pilosa; supra squamam su- perante ibique latitudine dimidio fere longiore, margi- nibus lateralibus parallelis, apicali angulo postico acuto, antico processum peculiarem emittente: processu deplanato latitudine longiore apice bispinoso, spina postica longiore. a. totus atro-pilosus. — Apis Harrisella Kirby. RLO GLI b. ut a, sed abdomins TEN tribus posticis fusco- ferrugineo-pilosis. c. ut a, sed abdominis segmentis tribus posticis al- bid: pilosis. d. ut a, sed thorace antice scutelloque flavo-pilosis ; alis infuscatis. — ligusticus Spin. Ins. Ligur I. 29.— Radoszk. Bull. de Mosc. 1877. II. 193. e. ut d, sed abdominis segmentis tribus posticis al- bido-pilosis. f. ut e, sed abdominis segmento primo flavo-piloso. — ruderatus F abr. Ent. Syst. II. 317. — Thoms. l. c. 25. — Schmiedekn. 1. c. 362. g. ut f, sed abdominis segmento secundo basi medio flavo-piloso. — hortorum L. Fn. Suec. € 1710. — Thoms. 1. c. 24. fig. 8. — Schmiedekn. Le 366. tab. X. fig. 2. — Radoszk. l. c. 192. h. ut رع‎ sed abdominis segmento secundo fere toto flavo- piloso. — hortorum var. asiatica Mor. in Fedtsch. Reise n. Turkest. p. 4. — ruderatus Radoszk. l. c. 193. . û. ut h, sed abdominis segmentis secundo utrinque macula e pilis nigris composita ornato, quarto basi flavescenti-fimbriato. k. ut h, sed thorace supra toto flavo-villoso, meso- noto dist pilis fuscis immixtis. l. supra aurantiaco- vel flavo- hirsutus, abdominis segmentis tribus posticis ilbicantibus vel flaves- centibus, tertio nigro-piloso. — consobrinus Dahlb. Bombi Scand. 49. 30. — Thoms. Le 23. — Radoszk. l. c. 195. m. ut l, sed abdomine segmento quarto ve toto, secundo lateribus late et apice i 241 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 242 An den männlichen Genital-Anhängen hat die Spa- tha, welche verhältnissmässig schmal ist, eine fein ge- spaltene Spitze. Die Endhälfte der Sagitta ist linear, ein wenig nach abwürts gekrümmt, mit zugerundeter Spitze, unten sehr dicht und scharf gesägt. Der Stipes ist innen ausgehöhlt, mitten auf dem Rücken mit einer schwächer oder stärker ausgeprügten Querfurche ver- sehen, die Aussenfläche von diesem Quereindrucke an und fast bis zur Spitze, die abgerundet ist, hauptsüch- lich längs dem unteren Rande ausgehóhlt. Die Squama hat eine entfernte Aehnlichkeit: mit der Ohrmuschel des Menschen, ist an der Basis bedeutend „schmäler als an der Spitze, welche nach innen umgebogen ist; am Grunde entspringt eine breite Lamelle, die nach hinten gerichtet und deren oberer Rand stürker oder schwächer ausgerandet und am freien Ende von einem Scharfen, aufwürts gerichteten Stachel begrenzt ist; der hintere Rand dieser Lamelle ist selten einfach, häufig undulirt oder auch gesägt Das die Squama überragende Stück der unten ziemlich dicht und lang rostroth behaarten Lacinia ist etwa um die Hälfte län- ger als breit, mit fast parallelen Seitenrändern und bogenförmig nach innen gekrümmt; am Endrande ist die hintere Ecke sehr wenig vorspringend und mehr oder weniger zugespitzt, die vordere aber in einen lan- gen Fortsatz ausgezogen, welcher deutlich lünger als breit und nach dem freien Ende hin ein wenig ver- schmälert und hier mit zwei ungleichen, feinen Zinken bewehrt ist; in gewisser Richtung betrachtet, erscheint dieser Anhang einem Stiefel auffallend ähnlich. Diese Art ist in der gesammten palaearctischen Region vorhanden, indessen sind einige Varietäten derselben nur in bestimmten Bezirken anzutreffen ; so z. B. var. a bis jetzt nur in England, var. b im Süden Frankreichs und auf Corsica, var. c in der alpinen Region der Schweiz, var. d, e und f am häufigsten im Süden Europas und in Transcaucasien, var. g fast überall, auch in Sibirien, in den südlichen Gegenden Europas nur in hochgelegenen Gebirgsthülern; var. h in Mittel-Asien und im Caucasus, var. à auf Sicilien, var. k in Ost-Asien, var. l und m in Finnland, im nórdlichen und óstlichen Sibirien, auch in Lappland -nach Wahlberg in der Birkenregion. Anmerkung. Mit dieser Art wird auch noch, nament- lich mit der Var. consobrinus der in der Schweiz und _in Tirol vorkommende B. ee Gerstäck. Stett, Tome XXVII. ent. Zeit. 1869. 319. vereinigt, aber mit Unrecht, indem die männlichen Genital-Anhünge einige auffal- lende Abweichungen darbieten; der Stiel ist verhält. nissmüssig breiter als beim hortorum, der Endrand desselben einem stumpfen Dreiecke ähnlich, die innere — ` Aushöhlung tiefer, der äussere Eindruck flacher; der an der Basis der Squama befindliche Anhang läuft in zwei deutliche, dicht neben einander stehende Stacheln aus, von denen der vordere bedeutend kürzer als der hintere ist. Die Lacinia ist unten ziemlich grob und dicht punctirt, kaum glänzend, der Innenrand roth bewimpert; sie überragt die Squama nur wenig und ist hier fast breiter als lang, nach innen gekrümmt, am Endrande die hintere oder äussere Ecke scharf zugespitzt, die innere aber in einen breiten und kur- zen Fortsatz auslaufend, welcher an seinem freien Ende vorn mit einem kleinen Zähnchen, hinten mit einem langen, gekrümmten und scharf zugespitzten Stachel bewehrt ist. : Er Da aber der Name opulentus bereits früher von ` Smith im Journal of Entomology I. 1862. p. 153 an eine chinesische Hummel vergeben worden ist, so pro- ponire ich die interessante Alpen-Art Gerstückeri zu nennen. 25. mendax Gerstäck. Stett. ent. Zeit. 1869. 323. — ib. 1872. 288. — pomorum Radoszk. Bull. de Mosc. 1877. 184. 9 clypeo genisque latitudine dimidio longioribus; labro basi impressione transversa minus profunda sig- nato, medio fossa nulla; mandibulis sulco obliquo in- distincto; antennarum articulo tertio sequentibus duo- bus conjunctis longitudine aequali; pedibus interme- diis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto; tibiis posticis fere opacis; segmento ventrali ultimo haud CARO. d oculis magnis; antennaruum articulo tertio quide triplo longiore; mandibularum barba sordide-flaves- centi; pedibus posticis externe sub-planis, vix nitidis, ` sat dense pilosis, metatarso margine postico pilis lon- - gis obsito; segmento ventrali ultimo apice densissime ` ` rufo-ciliato haud calloso; append. genitalium: spatha ` basi latiore apice acuminato; stipite truncato brevi, ante apicem transversim sub-canaliculato; squama lati- ` tudine dimidio longiore apicem versus sensim angus- tata, disco impressa, margine interno incrassato fovea ` ` Bulletin de l'Académie Impériale 214 signata; lacinia subtus parte apicali dense punctata, fere opaca, supra squamam superante ibique unguicu- lari, margine externo longe fimbriato; sagitta basi vix dilatata, apice acuto, margine externo subtilissime dense serrato. . nigro-pilosus, segmentis abdominalibus tribus posticis rufo-villosis. ut a, sed thorace antice, scutello abdominisque segmento primo flavescenti- pilosis. . ut b, sed clypeo disco fasciculo flavo ornato. ut c, sed abdominis segmento secundo etiam fla- vescenti-villoso. Diese Art steht durch ihre ausgezeichneten plasti- schen Merkmale in der Reihe der europàischen Hum- meln ganz vereinzelt da; ähnlich ist der mongolische B. lugubris Mor. gebaut, von dem aber nur ein Ar- beiter- Weibchen bekannt ist. Die männlichen Genital-Anhänge sind sehr einfach gebaut: Spatha am Grunde erweitert, mit einfacher Spitze; der innen schwach: ausgehöhlte: Stipes verhält- nissmässig kurz, mit abgestutztem Ende, hinter der . Mitte mit einer schmalen, wenig vertieften Querfurche. Squama fast mehr als um die Hälfte länger als breit, oben mit muldenförmig vertiefter Scheihe; unterhalb der abgerundeten Spitze ist am verdickten Innenrande _ eine tiefe ovale Grube vorhanden. Lacinia unten dicht . punctirt, kaum glänzend; von oben betrachtet am Grunde ebenso breit als die Squama; von der Mitte an stark verengt und klauenförmig nach innen ge- krümmt, mit zugerundeter Spitze; der Aussenrand derselben ist mit langen rothbraunen Wimperhaaren besetzt. Die verhältnissmässig schmale Sagitta ist scharf zugespitzt, die Endhälfte mit fein gesägtem Aussenrande. ee | Im turkestanischen und caucasischen Hochgebirge. A 7 Su ^ 26. laesus Mor. in Fedtsch. Béise nach Turkestan. Apidae. pe 3. |o clypeo latitudine paullo longiore sat dense punc- . tato; genis latitudine vix longioribus; labro medio fossa . transversa apicem versus latiore, lamina fere arcuata . clausa, impresso; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-veluti- nis, metatarso angulo apicali postico fortiter spinoso- producto; segmento ventrali ultimo haud carinato. . G8. antennarum articulo tertio quarto sesqui bre- viore; mandibularum barba flavescenti; pedibus posti- cis externe convexis punctis piliferis insculptis, meta- tarso postice breviter piloso; segmento ventrali ultimo margine apicali calloso; appendicibus genitalium: spa- tha basi latiore, apice acuminato ; sagitta brevi, lineari, subtus medio dente parvo armata; stipite ex- terne summo apice impresso, interne leviter excavato, margine apicali fere truncato angulo interno paullo prominulo; squama longitudine latiore, apice truncata angulis lateralibus externo rotundato, interno promi- - nente; intus basi laminam peculiarem bispinosam emit- tente; lacinia subtus nitida, ante apicem plica trans- versa densissime rufo-pilosa divisa; supra squamam superante ibique latitudine dimidio longiore, margini- bus lateralibus parallelis, apicali oblique truncato, basi intus processum linearem fere liberum emittente. a. flavo-pilosus, mesonoto supra anrantiaco-villoso ; abdominis segmento anali nigro-setoso. b. pallide-flavo-pilosus, mesonoto disco nigro-villoso. c. ut b, sed mesonoto fere toto nigro-villoso. An den männlichen Genital-Anhàngen ist die Spa- tha am Grunde verhältnissmässig breit und fast scharf zugespitzt. Die Endhälfte der kurzen Sagitta ist linear, unten mit einem kleinen Zähnchen bewehrt. Stipes in- nen flach ausgehóhlt, mit schwach vorspringendem hinteren Winkel, aussen an der Spitze tief einge- drückt. Squama ein wenig breiter als lang, mit schwach bogenfórmigem Aussenrande; der hintere ist gerade abgestuzt, mit abgerundeter Aussenecke; die innere Ecke ist gleichfalls abgerundet, aber deutlich vortre- tend; unter diesem Vorsprunge ist am Innenrande ein nicht besonders tiefer Ausschnitt vorhanden, an dessen Basis eine fast bis zum freien Ende gleich breite, in zwei Stachelu auslaufende Lamelle, welche nach innen . und hinten gerichtet ist, steht. Die Lacinia ist unten vor der Spitze mit einer dicht behaarten Querfalte versehen, vor derselben ausgehóhlt und stark glün- zend; von oben betrachtet erscheint die Lacinia nur wenig schmäler und fast länger als die Squama, ist ` etwa um die Hälfte länger als breit, mit fast paralle- len Seiten und schräg ا‎ von innen un vorn nach hinten und aussen verlaufendem Hinter- rande, dessen Seitenecken abgerundet sind; am Innen- rande ist noch ein hinter dem inneren Winkel der Squama hervorragender Fortsatz sichtbar, welcher etwa doppelt so lang als breit und gerade abgestuzt, 245 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 246 . dessen Ecken dornartig vorgezogen sind und welcher nach innen gerichtet ist. Im Körperbau und in der Behaarung mit einigen Varietäten des B. variabilis übereinstimmend ; von allen bekannten Arten aber leicht durch die auffallend construirten männlichen Genital-Anhänge zu unter- scheiden. Diese Art ist weit verbreitet. Im asiatischen Russ- land: in Turkestan, im Tjan-Schan und in Transcau- casien; im ewropäischen ist die Var. b in der Umge- gend von Reval und Dorpat, die Var. c nahe bei St. Petersburg von Sagemehl gefunden worden. Anmerkung. Die Varietät c des Bombus laesus könnte möglicher Weise verwechselt werden mit dem ähnlich behaarten, vielleieht auch in Russland vor- kommenden PD. mucidus Gerstäck. Stett. ent. Zeit. 1869. 524. — equestris Radoszk. Bull. de Mosc. 1877. 204, welcher in der Schweiz und in Tirol ein- heimisch ist. — Um allen Irrthümern vorzubeugen, füge ich hier der citirten Beschreibung noch einige Details hinzu. Beim Weibchen des mucidus ist der Kopfschild nur wenig lünger als breit, die Wangen aber sind fast um die Hälfte länger als an der Spitze breit; die Oberlippe hat mitten eine tiefe Grube, wel- che an der Spitze von einer kaum gebogenen Leiste begrenzt ist; die Mandibeln sind mit einer schrägen Furche ausgestattet, die Trochanteren des mittleren Beinpaares unten rostbraun oder schwärzlich befilzt, der Metatarsus derselben am unteren hinteren Winkel in einen sehr kräftigen Dorn ausgezogen und das letzte Abdominalsegment nicht gekielt. — Beim Männchen ist das dritte Fühlerglied fast doppelt so lang als das vierte, welches verhältnissmässig sehr kurz, fast brei- ter als lang erscheint; der Kiefernbart ist schwärz- lich; an dem dritten Beinpaare sind die Schienen aussen ziemlich dicht behaart, der hintere Rand des Metatarsus kurz bewimpert; das letzte Ventralseg- ment mit callösem Endrande. — Spatha scharf zu- gespitzt. Sagitta fast linear, unten in der Mitte mit einem äusserst kleinen Zühnchen ; das hintere Drittel allmählich zugespitzt und am Aussenrande von einem "schmalen, chitinósen Saume umgeben. Stipes innen kaum vertieft, die Aussenfläche gewölbt. Squama fast um die Hälfte breiter als lang, mit schräg abge- stutztem Endrande und abgerundeten Ecken; die Seitenränder sind von ungleicher Lünge: der äussere ` ist fast doppelt so lang als der innere, welcher an der Basis eine breite, fast halbkreisförmige, nach innen und hinten gerichtete, am freien Ende in zwei kurze Spitzen auslaufende Lamelle trägt. Die Lacinia ist un- ten am Grunde ausgehöhlt, die Aushôhlung nur in der Mitte glänzend und glatt, ringsherum punctirt; die Endhälfte und der et, äusserst dicht und ` lang roth bebartet. Von oben betrachtet überragt die Lacinia die Squama ganz bedeutend, ist hier reichlich doppelt so lang als diese, stark gerunzelt und fast matt; am Grunde eben so breit als die Squama, von der Mitte an bis zur abgerundeten Spitze hin allmäh- lich verengt; am Innenrande, hinter der Basis, ist ein sehr gestreckter, schmaler Vorsprung sichtbar, dessen Ecken stark vortreten; in gewisser Richtung gesehen erscheint die vordere Ecke abgerundet, die hintere aber zahnförmig EE yr agrorum Fabr. Ent. Syst. II. 321. — Thoms. Le 28. — Schmiedekn. 1. c. 416. tab. XL fig. 13. — muscorum Smith Zool. II. 545. — intercedens Nyland. Rev. Ap. bor. 285. Q elypeo latitudine paullo longiore sat dense punc- tato; genis latitudine apicis sesqui fere longioribus; labro medio fossa apicem versus dilatata, ante apicem lamina transversa lineari instructo; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-ferrugineo-velutinis, metatarso angulo api- cali postico spiniformi ; segmento ventrali ultimo ca- ^ rina longa signato. d antennis articulis intermediis Subst arcuato-pro- minulis, tertio quarto paullo longiore; mandibularum barba nigricanti; pedibus posticis tibiis externe con- vexis punctis piliferis insculptis, metatarso postice breviter piloso; segmento ventrali ultimo apice calloso- incrassato; append. genitalium: spatha angusta apice acuminato; sagitta parte basali dilatata, apicali lineari externe subtilissime serrulata; stipite brevi truncato, —— vix excavato, externe sat profunde impresso; squama ` latitudine paullo longiore apice rotundato, margine in- terno minus profunde emarginato basi spina longa ar- - mato; lacinia subtus nitida ante apicem plica trans- versa dense pilosa divisa, supra squamam superante ibique unguiculari, basi processum sub St occul- ` tum, apice furcato, emittente. e Bulletin de l’Académie Impériale 248 ` a. supra totus fulvo-villosus. — italicus Fabr. Ent. Syst. II. 321. . ut a, sed abdominis segmentis stand tértioque atro-hirtis, apice fulvo-fimbriatis. . ut a, sed abdominis segmentis intermediis atro- SI a pilosis. d. ut c, sed abdomine basi, ventre, pectore pedibus- que atro-hirtis. — arcticus Dahl. ke حب‎ apricus Zetterst. Ins. Lapp. 475. رق‎ — Curti- sellus Dahlb. 1. c. 49. d. — . ut d, sed thorace antrorsum vel fere toto Ber د‎ mniorum Fabr. Syst. Piez. 350. An den männlichen Genital-Anhängen ist die Spa- tha schmal, mit scharfer Spitze. Sagitta unten nicht gezahnt, die Endhälfte derselben linear, nach unten gekrümmt, aussen fein gesägt. Der Stiel ist verhält- nissmüssig kurz, innen kaum ausgehöhlt, an der abge- stutzten Spitze der innere Winkel nur schwach vor- tretend, aussen von der Mitte an bis zum Endrande hin tief eingedrückt. Die Squama ist länger als breit; der äussere und hintere Rand derselben bilden zusam- men einen Bogenabschnitt; die innere Seite ist schwach b" ausgerandet; diese Ausrandung wird an der Spitze von = der nach innen vorspringenden, abgerundeten Ecke, : am Grunde von der gleichfalls nach innen vortreten- den Basis begrenzt; letztere ist mit einem scharfen und sehr langen Stachel, der nach hinten und ein we- nig nach unten gerichtet ist, versehen. Die Lacinia ist unten glänzend, mit einer vor der Spitze stehen- den, dicht behaarten Querfalte bezeichnet; der äussere Rand derselben ist bogenfórmig, die Spitze tief halb- ` kreisfórmig ausgeschnitten: der Ausschnitt ist hinten ` von einer die Squama klauenförmig überragenden , scharf zugespitzten Ecke begrenzt, vorn aber in einen . unter der Squama versteckten, abgeplatteten, an der - Spitze in zwei kurze Zinken auslaufenden, nach innen . und ein wenig. nach unten gerichteten F ortsatz aus- gezogen. ` ` Diese Art ist fast über das gesammte Fussische Reich verbreitet, bewohnt im Caucasus und in Turke- _ Stan das Hochgebirge, geht über Sibirien bis Kam- P tschatka e E sich auch in der arctischen Region. CS * 28. muscorum L. Fn. Suec. x H114. — Thons Lc 28.— Sehmiedekn. 1. e. 419. tab. XI. fig. 14. — senilis Smith. Bees of Gr. Brit. 214. — venustus Smith. id. II. Ed. 9 clypeo latitudine paullo longiore sat dense punc- tato; genis latitudine apicis parum longioribus; labro medio fossa sat magna basin versus dilatata, apice la- mina transversa sub-arcuata instructo; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico spinoso-producto; segmento ventrali ultimo breviter carinato. d. antennarum articulo tertio quarto saute lon- ` giore; mandibularum barba nigra; pedibus posticis tibiis externe convexis punctis numerosis piliferis in- sculptis, metatarso postice breviter ciliato; segmento ventrali ultimo fere opaco apice haud calloso; append. genitalium: spatha basi latiore apice acuminata; sa- gitta subtus dente minuto armata, apice margine ex- terno dilatata, fere securiformi; stipite truncato, levi- ter excavato, externe apicem versus distincte impresso, angulo apicali interno prominente; squama longitudine parum latiore, apice sub-rotundato, margine interno fere recto basi laminam latam triangulariter acumina- ` tam, dentiformem emittente; lacinia subtus parum ni- tida margine interno rufo-ciliata, plica transversa dense pilosa divisa, parte basali laevi; supra squamam superante ibique obtuse triangulari, basi spina acuta instructa. 3 a. flavo-pilosus, thorace supra aurantiaco villoso. b. ut à, sed abdominis segmento ultimo nigro-piloso. An den männlichen Genital-Anhängen ist die Spa- tha mit breiter Basis und scharfer Spitze ausgestattet. Sagitta unten in der Mitte mit einem kleinen Zähn- chen, die Spitze etwas verdickt und an der Seite mit einem schmalen Saume umgeben, dadurch. fast beil- förmig erscheinend. Stipes innen schwach ausgehöhlt, aussen mit einem etwa von der Mitte bis zur Spitze reichenden, tiefen Eindruck versehen; der Endrand desselben ist abgestutzt, mit vorgezogener innerer Ecke. Die Squama ist etwas breiter als lang, mit fast zugerundeter Spitze, deren üusserer Winkel abgerun- det, der innere aber scharf ist und ein wenig vor- springt; der äussere Rand ist schwach bogenförmig, der innere fast gerade und hat letzterer an der Basis eine hier sehr breite, dreieckige, scharf zugespitzte Lamelle. Die Lacinia ist unten durch eine vor der Spitze stehende, dichtbehaarte Querwulst getheilt; der 249 des Sciences de Saint- Pétersbourg. - 250 Aussenrand derselben gebogen und sparsam bewim- pert, der Innenrand lang gefranzt. Von oben betrach- tet überragt die Lacinia die Squama als ein mit fast abgerundeter Spitze versehenes Dreieck, dessen innere Seite kürzer als die äussere ist. Der Innenrand der Lacinia ist mit einem, zum Theil unter der Squama ` verborgenen, scharfen Stachel bewehrt und zwischen diesem und der Spitze deutlich ausgerandet; vor die- sem Stachel sieht man die untere Querwulst der Laci- nia als schwärzlich gefárbten Hócker vorragen. Über das russische Reich weit verbreitet und, mit Ausnahme der arctischen €— fast überall vor- handen. | 29. variabilis Schmiedekn. l. e. 424. tab. XI. fig. 15. © clypeo latitudine longiore sat dense punctato; genis latitudine apieis sesqui longioribus; labro medio fossa profunda basin versus dilatata, apice lamina transversa lineari instructo; mandibulis sulco obliquo distincto ; pedibus intermediis trochanteribus subtus fusco-ferrugineo-velutinis, metatarso angulo apicali postico spinoso-producto; segmento ventrali ultimo breviter carinato. d antennarum articulo tertio quarto — lon- giore; mandibulartum barba sordide fer ruginea vel ni- . grieanti, pedibus posticis tibiis externe convexis punc-. tis piliferis insculptis; segmento ventrali ultimo apice calloso inerassato; append. genitalium: spatha basi lata apice acuminato; sagitta subtus medio dente mi- nuto armata, apice margine externo dilatato; stipite sat brevi leviter excavato, externe apicem versus de- planato, apice truncato angulo interno valde promi- nulo; squama longitudine paullo latiore apice rotun- dato, basi intus lamina lata triangulariter acuminata suche; lacinia subtus nitida, plica transversa dense pi- losa divisa, parte basali excavata laevi, apicali spar- sim punctata; supra squamam apice nnéuiculari supe- rante, margine interno leviter bi-emarginato, angulo postico acuto, antico sub squama occulto processum furcatum emittente. - a. totus nigro-hirsutus. b. ut a, sed abdominis segmentis posticis Een pilosis, €, ui b, sed abdominis segmentis duobus anticis umbrino-, reliquis flavo-pilosis. - d. capite, pectore, pedibus abdomineque flavo-pilo- ` ` sis, segmento secundo pilis rufis decorato. ut d, sed thorace antice scutelloque flavo-pilosis. . ut e, sed mesonoto scutelloque fulvo-pilosis, pilis ` nigris paucis immixtis. supra omnino fulvo-pilosus, segmento anali parce nigro-villoso. | An den männlichen Genital-Anhängen ist die Sean | breiter als lang, der äussere und hintere Rand der- T = | selben bilden zusammen einen Halbbogen; der innere ist fast gerade und hat am Grunde eine sehr breite, aber meist dreieckig zugespitzte, seltener am freien Ende ausgerandete oder dreizackige Lamelle, welche nach innen und nur ein wenig nach hinten gerichtet ist. Die Lacinia hat unten vor der Spitze eine þe- haarte Querfalte und ist das hintere Stück derselben grob punctirt; der äussere Rand ist bogenförmig, der innere dicht bebartet. Von oben betrachtet überragt die Lacinia die Squama als ein Dreieck, dessen innere Seite bedeutend kürzer als die äussere und dessen Spitze klauenfórmig gebogen ist; der Innenrand er- scheint schwach undulirt und sendet am Grunde einen ` am freien Ende gegabelten, unter der Squama ver- steckten Anhang aus. Mit Ausnahme des hohen Nordens fast über das gesammte russische Reich verbreitet; der östlichste mir bekannte Fundort ist Krasnojarsk. 30. Schrencki n. sp. 9 clypeo latitudine paullo longiore sat dense punc- tato, genis latitudine apicis sesqui longioribus, labro medio fovea magna profunda subquadrata, lamina ante-apicali transversa lineari instructo; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochan- teribus subtus rufo-velutinis, metatarso angulo apicali postico spinoso-producto; segmento ventrali ultimo haud carinato; flavo-griseo-hirsutus, thorace abdomi- nisque segmentis duobus anticis supra fulvo-villosis, tribus sequentibus basi pilis numerosis atris, fasciam formantibus , immixtis , ultimo breviter fusco- piloso; 16 mm. d pilositate feminae similis; antennarum articulo tertio quarto paullo longiore; mandibularum barba - nigra; pedibus posticis tibiis externe convexis. punctis piliferis numerosis insculptis, metatarso postice sat longe piloso; segmento ventrali ultimo apice calloso; 251 Bulletin de l’Académie Impériale 252 append. genitalium: spatha apice acuminato; sagitta subtus dente minuto armata, apice margine externo dilatato; stipite truncato, minus profunde excavato, externe apicem versus fortiter impresso, angulo pos- tico interno valde prominente; squama longitudine vix latiore margine postico medio leviter emarginato, angulo externo rotundato, interno recto; intus basi lamina dentiformi acuminata munita; lacinia subtus ante apicem plica transversa dense pilosa divisa, squa- mam margine interno toto superante. 15 mm. — Beim Weibchen ist der Kopfschild etwas länger als breit, schwach gewölbt, die Scheibe verhältnissmässig dicht punetirt; diese Sculptur aus feineren und da- zwischen eingestreuten gröberen Puncten bestehend; auf den umgeschlagenen Seiten sind auf der unteren Hälfte sehr grobe, auf der oberen feine und dicht ge- drängt stehende Punete vorhanden. Die Oberlippe, deren Endsaum dicht róthlich bewimpert ist, wird durch eine sehr grosse und tiefe, fast quadratisch ge- formte Grube getheilt; die Seitenhócker sind glatt und die vor der Grube stehende Querleiste linear. Die Wangen sind um die Hälfte lànger als an der Spitze breit. An den Mandibeln ist die schräge Furche sehr deutlich entwickelt. Die Stirn ist grob punctirt, die glatten Zwischenräume der Puncte sind breiter als diese. Der Kopf ist gelblich-greis, auf dem Hinter- haupte fuchsroth behaart; auf der Stirn und längs dem inneren Augenrande sind einige wenige schwarze den hellen Haaren beigemengt. An den Fühlern ist das vierte Glied so lang als breit und um die Hälfte kür- zer als das fünfte; das dritte ist ein wenig länger als letzteres. Der Thorax ist oben überall fachsroth, an den Seiten und unten gelblich-greis behaart. Die Flü- gelschuppen sind pechbraun gefärbt, die Flügel bräun- lich getrübt. Auf dem Hinterleibe sind die beiden vor- deren Segmente fuchsroth, die übrigen gelblich-greis bekleidet ; auf dem dritten, vierten und fünften sind . an der Basis viele schwarze Haare, welche eine mehr . oder weniger vollständige dunkle Querbinde darstel- len, den hellen beigemischt. Das letzte Segment ist mit kurzen bräunlichen Haaren besetzt, die Ventralringe lang greis gefranzt, der letzte fein und dicht punctirt und kaum gekielt. An den Beinen sind die Schenkel . greis, die Schienen der beiden vorderen Beinpaare aussen schwärzlich, die mittleren Trochanteren unten rostroth, der hintere Rand derselben fast weiss be- haart. Die Schienen des dritten Beinpaares sind ziem- lich stark gewölbt und glänzend, am Grunde in gerin- ger Ausdehnung matt und hier fein punetirt; die Körb- chenhaare gelblich-greis, mit dazwischen eingestreuten schwarzen. Die Metatarsen sind innen dunkel roth- braun behaart, der des mittleren Beinpaares am unte- ren Winkel des hinteren Randes dornartig vortretend. Das Männchen stimmt in der Behaarung mit dem Weibchen überein, auf dem Kopfe aber sind die schwar- zen Haare in überwiegender Menge vorhanden und ist nur der Clypeus in weiterer Ausdehnung mit blassen besetzt. Die Mandibeln tragen einen schwarzen Bart. An den Fühlern ist das dritte Glied um die Hälfte länger als das quadratische vierte, aber deutlich kür- zer als. das fünfte; die Geisselglieder sind vom fünften an auf der unteren Seite stark vortretend. An den Hinterbeinen sind die Schienen aussen ziemlich dicht behaart und deutlich gewölbt, der hintere Rand des Metatarsus mit ziemlich langen Haaren, .die aber im Verhältniss zu der Breite des letzteren ein wenig kür- zer sind, besetzt. Der letzte Ventralring hat einen verdickten Endrand, ist sehr fein punctirt und matt glänzend. — Spatha mit breiter Basis und zugespitz- tem Ende. Sagitta in der Mitte unten mit einem sehr kleinen Zähnchen bewehrt, die Spitze schwach erwei- tert und deren äusserer Rand vor einem schmalen Saume umgeben und dadurch fast beilförmig erschei- nend. Der abgestuzte Stipes ist innen seicht ausge- höhlt, aussen mit einem bis zur Spitze reichenden Ein- drucke versehen; die hintere innere Ecke weit vor- springend. Die Squama ist kaum breiter als lang, mit schwach bogenförmig gekrümmtem Aussenrande; der hintere Rand ist schräg abgestutzt und dabei mitten schwach ausgerandet, die äussere Ecke desselben ab- gerundet, die innere fast rechtwinkelig; der Innenrand ist fast gerade und trägt an der Basis eine am Grunde breite, dreieckige, stachelförmig zugespitzte Lamelle, - welche derjenigen des B. muscorum ähnlich ist. Die Unterseite der Lacinia ist deutlich punctirt, an der Basis lebhaft, sonst matter glänzend, vor der Spitze mit einer dicht roth behaarten Querfalte versehen. Betrachtet man die Lacinia von oben, so erscheint dieselbe parallelogrammfórmig mit weit vorgezogenen Ecken des hinteren Randes, welcher wie der Endrand der Squama schräg verläuft; die hintere Ecke ist drei- eckig und zugespitzt, die vordere, von der Seite ge- 253 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 254 sehen, fast quadratisch und abgestutzt erscheinend; vor dieser ist ein schwarzer Hócker, durch Verdickung der unteren Querfalte gebildet, sichtbar. In der Kórpergestalt der vorhergehenden Art ähnlich. Von L. v. Schrenck aus der Amur-Gegend mit- gebracht; von Tschekanowsky bei Padun gesam- melt und auch am Oleneck gefunden, 31. ussuriensis Radoszk. Bull. de Mosc. 1877. II. 196, Q eapite elongato; clypeo latitudine longiore basi sat dense punctato; genis latitudine apicis duplo fere longioribus; labro basi integra, medio fossa parva im- presso; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus in- termediis trochanteribus subtus rufo-velutinis, meta- tarso angulo apicali postico spinoso-producto ` seg- mento ventrali ultimo breviter carinato; thorace supra abdominisque segmentis duobus anticis pallide-ochra- ceo pilosis, reliquis nigro-hirtis apice albido-fimbriatis. d pilositate similis feminae; antennarum articulo tertio quarto paullo longiore; mandibularum barba flava; pedibus posticis externe convexis, splendidis, basi tantum punctis nonnullis piliferis insculptis, me- tatarso postice breviter ciliato; segmento ventrali ul- timo subnitido minus dense punctato, margine apicali calloso-rotundato; append. genitalium : spatha elon- gata, angusta, apice bifido; sagitta subtus medio den- tata, apice sub-securiformi externe paullo dilatato ibi- que truncato-denticulato ; stipite crasso apice rotun- dato, intus late profundeque excavato, externe fovea magna distincta, dorso canalicula transversa signato; squama longitudine triplo fere latiore angulo interno prominente, basi spina longa arcuata apice acuto mu- nita; lacinia subtus nitida, crasse punctata denseque rufo-barbata, supra squamam longe superante ibique latitudine triplo fere longiore, marginibus lateralibus sub-parallelis, apice angulo postico triangulariter acu- minato, antico processum peculiarem biramosum emit- . tente: ramis validis, postico acuminato, antico denti- A. eulis numerosis obsito. Bei dieser Art ist der Kopf langgestreckt und sind die Wangen fast doppelt so lang als an der Spitze breit. — Beim Weibchen ist der Clypeus deutlich län- ger als breit, schwach gewólbt, das obere Drittel des- selben grob und ziemlich dicht punctirt; die glatten Zwischenräume der Puncte sind kaum breiter als diese; die umgeschlagenen Seiten desselben sind gleich- falls, mit Ausnahme des unteren Drittels, grob und dicht punctirt und mit langen bráunlich-gelben Haa- ren besetzt; die übrigen Theile des Kopfschildes sind schwarz behaart. Die Oberlippe ist fein und zerstreut punctirt, mitten auf der Scheibe mit einer verhältniss- mässig kleinen Grube, welche an der Basis zugerun- det und vor dem rothgelb bewimperten Endrande breiter ist, versehen. An den Mandibeln ist die schrüge Furche deutlich ausgebildet. Scheitel und Stirn sind schwarz, die Schlüfen greis behaart; auf dem Hinter- haupte und zwischen den Fühlern steht ein gelblicher Haarbusch. An den Fühlern ist das dritte Glied etwa doppelt so lang als das vierte; dieses so lang als breit und um die Hálfte kürzer als das fünfte. Der Thorax ist sehr dicht, unten gelblich-greis, oben blass bräun- lich-gelb behaart. Die Flügelschuppen sind hell pech- braun gefärbt. Am Hinterleibe sind oben die beiden ersten Segmente sehr dicht blass bräunlich-gelb, die übrigen schwarz behaart, das dritte, vierte und fünfte - am Endrande mit einer ziemlich breiten gelblich- greisen Haarbinde eingefasst, das letzte dicht punctirt mit rothgelb bewimperten Seitenrändern; die Bauch- ringe sind greis gefranzt, der letzte fein und dicht punctirt und mit einem kurzen, unter rothgelben Haa- ren verborgenen und daher schwer sichtbaren Kiele versehen. Die umgeschlagenen Seiten des zweiten Ab- dominalsegmentes sind grob und nicht besonders dicht punctirt. An den Beinen sind die Schenkel oben gelb- lich, unten greis, die Schienen róthlich, die Trochan- teren des mittleren Beinpaares unten brennend roth behaart, die vier letzten Tarsenglieder rostroth ge- färbt. Die Metatarsen sind röthlich behaart, der mitt- lere am hinteren Winkel des unteren Randes in einen längeren, der des letzten Beinpaares in einen kürzeren Dorn ausgezogen. Die Kórbchenhaare sind róthlich. Das Klauenglied der Vorderbeine ist unten dicht mit borstenartigen Haaren besetzt. Das Máünnchen ist dem Weibchen sehr ühnlich be- haart. — An den Genital-Anhängen ist die Spatha lang, schmal und die Spitze gespalten. Sagitta unten mit stumpf zugerundetem Zähnchen und beilförmiger ` Spitze, welche aussen etwas erweitert ist; dieser Vor- — sprung ist gerade abgestutzt und am Rande gezähnelt. Der dicke Stipes ist innen breit und tief ausgehöhlt, 255 Bulletin de l'Académie {impériale 256 aussen vor der Spitze mit einer fast ovalen, mulden- forme vertieften Grube und mitten auf dem Rücken mit einer Querfurche versehen. Squama reichlich drei mal breiter als lang, mit fast abgestutztem Hinter- rande, dessen Ecken zugerundet sind und von denen die innere deutlich vorspringt und dàbei nach oben gekrümmt ist; innen am Grunde ist die Squama mit einem langen, gekrümmten, scharf zugespitzten Stachel bewehrt. Die Lacinia ist unten sehr dicht róthlich be- bartet; betrachtet man dieselbe von oben, so über- ragt sie die Squama bedeutend und ist im Ganzen etwa drei mal so lang als breit, mit fast parallelen Seitenrändern und einer auf der Mitte der Scheibe bis zur Spitze verlaufenden, kielfórmig erhabenen Linie; die Spitze selbst ist ein wenig erweitert und höchst eigenthümlich: dieselbe ist tief ausgerandet, die Aus- randung hinten von einem scharf zugespitzten drei- . eckigen Zahne begrenzt; die vordere Ecke. läuft in einen im Verhältniss zur Breite doppelt längeren An- hang aus, von dessen Spitze zwei lange Äste abgehen; der hintere von diesen ist gerade nach hinten gerich- tet und ein wenig abwärts gekrümmt, einem dünnen scharf zugespitzten Stachel.gleichend; der vordere ist in der Nàhe seiner Ansatzstelle geknickt und aufwürts gerichtet, dabei nach aussen und ein wenig nach vorn gebogen und innen und an der Spitze mit kleinen, . dicht neben einander stehenden Dörnchen besetzt. Diese Art ist in der Körpergestalt und in der Form des Kopfes mit B. hortorum verwandt; das Männchen unterscheidet sich leicht durch den abweichend gebau- ten letzten Ventralring und die ganz verschiedenen Genital-Anhänge; das Weibchen ist der var. consobrinus sehr ähnlich; bei diesem ist aber der Clypeus verhält- nissmässig stärker gewölbt und das obere Drittel des- selben nur beiderseits an der Basis mit zerstreuter stehenden, gröberen Puncten und mitten am Grunde mit einer êh odér weniger deutlichen, fein und ziem- lich dicht punctirten, länglichen Depression versehen; mentes aber sind zur Basis E viel feiner und dichter punctirt. . An der Ussuri- -Mündung von Maack gesammelt. 32. sylvarum L Fn. Suec. N. 1713. — Thoms. l. c. 30. fig. 4. — . Schmiedekn. 1. c. 412, tab. XI. fig. 12. — vetera- die umgeschlagenen Seiten des zweiten Abdominalseg- | nus Fabr. Syst. Piez 352. — pygmaeus Fabr. Syst. Piez. 253. 9. clypeo latitudine vix longiore sat dense punctato; genis latitudine apicis paullo longioribus; labro medio fossa profunda fere transversa, ante apicem lamina sub-arcuata instructo; mandibulis sulco obliquo dis- tineto; pedibus intermediis trochanteribus subtus ferru- gineo-vel nigricanti-velutinis, metatarso angulo apicali postico spinoso - producto; segmento ventrali ultimo breviter carinato. d. antennarum articulo tertio quarto paullo longiore; mandibularum barba nigra; pedibus posticis tibiis ex- terne convexis sat dense pilosis, metatarso postice bre- viter ciliato; segmento ventrali ultimo fere opaco mar- gine apicali calloso-incrassato; append. genitalium: spatha basi lata, apice acuminato; sagitta subtus dente minutissimo armata, apice securiformi; stipite trun- cato, leviter excavato, angulo apicali interno rotun- dato-prominente, externe sat profunde impresso; squa- ma longitudine paullo latiore, apice-rotundato, mar- gine interno basi appendicibus binis armato: superiore spiniformi, inferiore membranaceo, plano, triangulari- ter acuminato; lacinia subtus plica transversa dense pilosa divisa, parte basali nitida fere laevi, apicali punctata, margine interno rufo-fimbriato; supra squa- mam superante ibique longitudine paullo latiore, tri- angulari, basi processum liberum subquadratum emit- tente. . supra pallide flavo-hirtus, thorace fascia intera- lari nigra signato, abdominis segmentis tribus postieis rufo-, tertio nigro-pilosis. ut a, sed thorace griseo-piloso, fascia interalari nigra latiore. . ut b, sed abdominis segmentis duobus anticis ni- gris, pilis numerosis rufis variegatis. — Mlokasse- wiczt Radoszk. Bull. de Mosc. 1877. II. 212. . üt c, sed abdominis segmentis duobus anticis ni- gro-hirtis. ut d, sed thorace fre toto nigro. | . pallide-testaceo-hirtus, thorace fascia ee nigra, abdominis segmentis 3— 5 basi setulis nigris, fasciam fere formantibus. —- equestris ,Drews. et Schiödte LEO. tab. II. BE: سم ايج‎ ` Radoszk. Le 203. — arenicola Thoms. Ee 31. — Schmiedekn. 1. c. 415. An den männlichen Genital- nn ist Spa- | 8 M Ss; ce TT ER X 257 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 258 tha am Grunde breit, mit zugespitztem Ende. Sagitta auf der Unterseite mit einem sehr kleinen Zähnchen und schwach beilfórmig erweiterter Spitze. Stipes mit ` abgestutztem Endrande, dessen innerer Winkel ein wenig vortritt; innen schwach ausgehöhlt, aussen nach der Spitze zu tief eingedrückt. Squama kaum breiter als lang, mit abgerundeter Spitze, an der Basis des Innenrandes mit zwei über einander liegenden Anhän- gen versehen, von denen der obere hornig ist und einem langen, etwas gekrümmten Stachel gleicht, der untere aber ist membranös, blasser gefärbt und einer abge- platteten, dreieckigen Lamelle ähnlich. Die Lacinia hat auf der Unterseite eine stark vorragende, fast die ganze Breite einnehmende, schwarze, dicht behaarte, höckerartige Querwulst; vor dieser ist die Lacinia lebhaft glänzend, hinter derselben aber deutlich punc- tirt; der Aussenrand ist bogenförmig. Von oben be- trachtet überragt die Lacinia die Squama als ein scharf zugespitztes Dreieck, dessen innere Seite am Grunde mit einem von der Squama nicht verdeckten, fast pa- rallelogrammfórmigen, an der Spitze ein wenig erwei- terten und abgestutzten Anhang versehen ist. Vor diesem Anhange ist noch ein schwarzer Hócker, durch Verdiekung der unteren Querwulst entstanden, sicht- bar. Diese Art ist, mit Ausnahme der mittel-asiatischen Provinzen, über das gesammte russische Gebiet ver- breitet. — Von den Varietäten sind: a in den mittle- ren und südlichen Theilen des europäischen Russlands, f im Norden und in ganz Sibirien, b, c, d, e in Cauca- sien einheimisch. 33. Rajellus Kirby. Mon. Ap. Angl. II. 367. 9 — Thoms. 1. 6. 32. — Schmiedekn. 1. e. 409. tab. XI. fig. 11. — Apis Derhamella Kirby. Le 363. d. Q. clypeo genisque latitudine paullo longioribus, illo sat dense punctato; labro fossa minus profunda, sub-obsoleta, medio leviter impresso, ante apicem la- mina transversa incrassata munito; mandibulis sulco obliquo distincto; mesonoto fortiter convexo; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-ferrugineo-ve- lutinis, metatarso angulo apicali postico fortiter spi- noso-producto; segmento ventrali ultimo vix carinato. — & antennarum articulo tertio quarto longiore; man- dibuearum barba nigricanti; pedibus posticis tibiis ex- Tome XXVII. terne convexis punctis piliferis insculptis, metatarso postice breviter piloso; segmento ventrali ultimo nitido sparsim punctato, apice calloso-incrassato; append. ge- nitalium: spatha basi sat lata apice acuminato; sagitta subtus dente fortiori armata, apice securiformi; stipite truncato angulo interno parum prominulo, leviter ex- cavato, externe usque ad apicem impresso; squama longitudine latiore apice rotundato, intus basi laminam triangularem dentiformem emittente; lacinia subtus tuberculo valido transverso divisa; tuberculo margine libero piloso; supra squamam superante ibique trian- gulari, longitudine vix latiore, basi processum liberum emittente; processu lineari latitudine duplo fere lon- giore, apice truncato. a. atro-pilosus, abdominis segmentis tribus posticis fulvo-villosis. b. ut a, sed abdominis segmento secundo pilis rufes- centibus immixtis. €. ut b, sed thorace antice abdominisque segmento primo fusco-cinereo-pilosis. d. thorace subtus griseo-, supra albido-vel flavo- hirsuto, fascia inter-alari nigra signato; abdomi- nis segmentis duobus anticis griseo-vel flavo-pi- losis. An den männlichen Genital-Anhängen ist die Spa- tha am Grunde ziemlich breit, mit scharfer Spitze. sagitta in der Mitte des unteren Randes mit einem starken Zahne, das Ende beilförmig erweitert. Stipes mit abgestutzter Spitze, deren innerer Winkel schwach vorspringt; innen seicht ausgehöhlt, aussen tief einge- drückt. Squama breiter als lang, mit zugerundeter Spitze; der innere Rand trägt an der Basis einen brei- ten, allmáhlich zugespitzten, nach hinten und innen gerichteten Zahn und unter diesem eine häutige Lamelle. Lacinia unten stark glänzend, durch einen grossen, querstehenden, schwarzen, am freien Ende behaarten Hócker getheilt; die vordere Hälfte kaum, die hintere deutlich punctirt, der Innenrand ziemlich spürlich mit langen Cilien besetzt. Von oben betrachtet erscheint das die Squama überragende Stück der Lacinia von dreieckiger Form, ist nur wenig breiter als lang und sendet vom Grunde des inneren Randes einen geraden, schmalen, fast doppelt so langen als breiten, abgestutz- ten Fortsatz aus, welcher von der Squama nicht ver- deckt wird. Diese Art ist im Norden und in den mittleren Pro- 259 Bulletin de l'Académie Impériale 260 vinzen des europäischen Russlands, Var. 4 auch im Caucasus vorhanden. 34. zonatus Smith. Catalog. of Hymen. Ins. Apidae. 1854. 389. 9. Q. clypeo longitudine paullo latiore dense punctato; genis latitudine apicis paullo longioribus; labro medio fossa sub-transversa, ante apicem lamina lineari in- ` Structo; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, meta- tarso angulo apicali postico spinoso-producto; tibiis posticis externe fortiter convexis summa basi crasse sparsim punctatis; segmento ventrali ultimo obsolete carinato. mandibularum barba flavescenti; pedibus posticis tibiis externe convexis punctis piliferis multis insculptis, me- tatarso postice breviter ciliato; segmento ventrali ul- timo apice calloso; append. genitalium: spatha sat an- s gusta apice acuminato; stipite excavatione interna mi- ~ . mus profunda, externe apicem versus leniter impresso, -. canalicula dorsali transversa interdum obsoleta; squa- ma longitudine vix latiore, margine postico oblique truncato, interno fere toto lobatim producto, lobo apice bidentato; lacinia subtus nitida basi vix punctata, apice ` pilosa, margine interno dense barbato; supra squamam superante ibique latitudine paullo longiore, unguiculari, basi intus processum liberum subquadratum emittente; . sagitta subtus medio obsolete dentata, apice securiformi. . atro-pilosus, thorace antice, scutello abdominisque segmentis, duobus posticis exceptis, flavo-villosis. — apicalis Mor. Hor. XII. 13. d. . ut a, 560561116110 atro- villoso. — Sfevenii Radoszk. Bull. de Mosc. 1859. 486. tab. V. fig. 10. 9. ut b, sed abdominis segmento quarto atro-villoso. ut c, sed abdominis segmento primo fere toto- atro-villoso. . atro-hirtus, thorace antice segmentisque abdomi- nis quatuor anticis albido-villosis, — calidus . Eversm. Bull. de Mose. 1852. II. 133. ©. ut e, sed abdominis segmentis anticis disco flavi- cantibus. An den männlichen Genital-AubMngon ist die Spa- tha ziemlich schmal und zugespitzt. Sagitta unten in der Mitte kaum gezahnt, mit beilfórmiger Spitze. Sti- pes innen schwach ausgehóhlt, aussen sehr flach ein- © S Qm. ~ n. d. antennarum ar iuis tertio quarto sesqui longiore; | det. gedrückt; am Endrande der innere Winkel ein wenig vorspringend; Squama breiter als lang, mit schwach eingedrückter Scheibe; der Aussenrand derselben ist kaum bogenfórmig gekrümmt, der hintere fast abge- stutzt mit zugerundeter äusserer Ecke; der gesammte Innenrand läuft in eine Lamelle aus, die grósstentheils hornig, theilweise aber membranós ist; diese Lamelle erscheint, von oben betrachtet, dreieckig und ist mit zwei kurzen, scharfen Spitzen am freien, nach hinten und innen gerichteten Ende bewehrt. Die Lacinia ist unten glänzend, die Basalhälfte kaum punetirt, die Spitze behaart, der Innenrand dicht bebartet, der Aussenrand nach innen bogenförmig gekrümmt und röthlich bewimpert. Von oben betrachtet überragt die Lacinia die Squama und ist von klauenförmiger Ge- stalt; der Innenrand sendet einen von der Squama nicht verdeckten, fast quadratischen Anhang aus; dieser An- hang ist nach innen gerichtet, das freie Ende desselben abgestutzt mit deutlich vorgezogenen Ecken. Auf der taurischen Halbinsel und in Transcaucasien; die Var. a in den heissen Thälern und in der Steppen- region, die Var. e und f im Hochgebirge. 35. fragrans Pallas. ; Itin. 1.474.—Eversm. Bull.de Mosc. 1852.11. 129. ©. clypeo longitudine paullo latiore, sat dense punc- tato; genis latitudine apicis vix longioribus; labro me- dio fossa magna basin versus latiore, apice lamina ele- vata arcuata clausa, impresso; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis trochanteribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico haud spinoso-producto; segmento ventrali ultimo breviter carinato; subtus atro-, supra densissime flavo-piloso; thorace fascia interalari segmentoque abdominis ultimo nigro-villosis; alis infuscatis violaceo-micantibus. Sehr ähnlich dem B. distinguendus, von welchem er sich durch die kürzeren Wangen, den auch auf der Scheibe ziemlich dicht punctirten Kopfschild und den kürzeren Kiel auf dem letzten Ventralringe unterschei- — Das Männchen ist noch unbekannt; auch in Eversmanns Sammlung ist keines vorhanden. Im Süd-Osten Russlands, in Transcaucasien und Central-Asien. | | 36. pomorum Panz. Ku m. Fn. Germ. 75. 18. — Schmiedekn.l. c. 381. „tab, m X. fg. 5, — equestris Thoms. lici SE | | 261 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Q. clypeo latitudine longiore, basi utrinque lateri- busque deflexis sparsim crasse punctato; genis latitu- dine apicis dimidio longioribus; labro fossa magna, mi- nus profunda, subtiliter punctata, basin versus latiore, ante apicem lamina transversa sub-arcuata instructo; mandibulis sulco obliquo distincto; pedibus intermediis teribus subtus atro-velutinis, metatarso angulo apicali postico spinoso-producto; segmento ventrali ultimo haud carinato. — ; d antennarum articulo tertio quarto paullo longiore; mandibulis haud barbatis; pedibus posticis tibiis ex- terne convexis sat dense pilosis, metatarso postice bre- viter ciliato; segmento ventrali ultimo apice rotundato haud 6211050: append. genitalium: spatha basi latiore, apice vix bifido; sagitta medio subtus dentata, apice securiformi infra emarginato, emarginatura antice spina acuta terminata; stipite late excavato, externe impres- sione sat profunda, dorso canaliculo transversa distincta signato; squama oblique subtriangulari, longitudine paullo latiore, basi laminam fere semi-ovalem emittente; lacinia margine interno rufo-fimbriato, subtus nitida, basi profunde excavata, parte apicali subtiliter spar- sim punctata; supra squamam superante ibique latitu- dine distinete longiore, lateribus parallelis, apice an- gulo interno lobatim producto. a. nigro-pilosus, abdominis segmentis tribus posticis rufo-hirtis. . ut à, sed abdominis segmento tertio etiam rufo- - hirto. nigro-hirsutus, abdomine supra, segmento primo excepto, ferrugineo-piloso. . ut c, sed thorace antice scutelloque fusco-griseo- hirtis, abdominis segmento primo lateribus cine- reo-villoso. | : . pectore, ventre femoribusque griseo-pilosis, tho- race supra flavo fascia lata interalari nigra, ab- dominis segmentis secundo tertioque rufescenti-, primo, quarto quintoque flavescenti villosis. — elegans Seidl in Mus. caes. Vindob. thorace, fascia interalari nigra excepta, albido- piloso; abdominis segmentis secundo tertioque fulvo-, quarto quintoque flavo-, primo albido-villo- sis. — canus Pallas in Mus. Berol. — interce- dens Radoszk. Horae. XII. 99. or 3 ® x^ 35 ut e, sed abdomine pallide flavo-hirsuto. — me- | somelas Gerstäck. Stett. ent. Zeit. 1869. 321. — Schmiedekn. 1. c. 379. . Subtus atro-, supra citrino-pilosus, capite, fascia thoracis interalari anoque nigro-villosis. — arme- niacus Radoszk. 1. c. 202. pallide-cinereo-hirtus, capite fasciaque thoracis interalari nigro-pilosis, abdominis segmentis posti- . eis flavescenti villosis. Das Männchen dieser Art fällt durch den Mangel des Bartes an den Mandibeln auf und unterscheidet sich dadurch von allen mir bekannten. — An den Ge- nital-Anhüngen ist die Spatha am Grunde erweitert, die Spitze kaum gespalten. Sagitta mit stark beilför- mig erweiterter, unten tief ausgerandeter Spitze, deren vordere Ecke in einen scharfen Stachel auslüuft; das Zühnchen unterhalb der Mitte gleichfalls stärker als bei den verwandten Arten entwickelt, in gewisser Rich- tung gesehen, breit, abgeplattet und zugerundet er- scheinend. Stipes innen ziemlich tief und breit ausge- hóhlt, die innere Ecke der zugerundeten Spitze nicht vortretend, aussen eine tiefe, fast ovale Grube und mitten auf dem Rücken eine seichte Querfurche vor- handen. Squama wenig breiter als lang, nach hinten zu dreieckig verengt; der äussere und hintere Rand bilden zusammen einen Halbbogen, der innere ist kaum ausgerandet und verlüuft nach hinten und innen; die Squama ist einem schiefen Dreieck ähnlich und ist die Scheibe derselben mit einem runden Grübchen, die Basis des Innenrandes mit einer sehr breiten, fast halbeifórmigen Lamelle versehen. Die untere Fläche der Lacinia ist schwarz gefärbt, glänzend, sehr verein- zelt punctirt; die Basalhälfte ist tief ausgehóhlt und der Innenrand dicht bebartet. Von oben betrachtet, überragt die Lacinia deutlich die Squama und ist hier lànger als breit, mit fast parallelen Seitenrändern; der cw ec. D hintere Rand ist abgestutzt, mit schwach vortretender äusserer Ecke; die innere ist in einen fast quadrati- schen Anhang ausgezogen, an dessen hinterem Winkel ein gekrümmtes Häkchen sichtbar ist. ‚In den südlichen Gouvernements des europäischen Russlands und in Caucasien einheimisch. 37. uralensis. rufescens Eversm. Bull. de Mose. 1852. IL 131. ——— — elegans Radoszk. Le 205. D Q. clypeo latitudine longiore basi utrinquelateribus- — — 17* > — lich gewölbt und auf dens Bulletin de l'Académie Impériale 264 que sparsim crasse punctato; genis latitudine apicis paullo longioribus; labro fossa magna subtiliter rare punctata, basin versus latiore, ante apicem lamina trans- versa instructo; Se sulco obliquo distincto; pe- dibus intermedi hanteribus subtus atro- tte velutinis, metatarso angulo apicali postico spinoso-pro- ducto; segmento ventrali ultimo distincte carinato. d. antennarum articulo tertio quarto paullo longiore; mandibularum barba nigricanti; pedibus posticis tibiis externe convexis sat dense pilosis, metatarso postice breviter ciliato; segmento ventrali ultimo margine api- cali haud calloso; append. genitalium: spatha angusta apice obsolete bifido; sagitta subtus medio dentata, apice securiformi margine externo subtilissime serru- lato; stipite apice rotundato, excavatione interna mi- nus profunda, externe apicem versus impressione vix nitida subrugulosa signato, canalicula transversa dor- sali distincta; squama longitudine duplo latiore angulo postico interno valde prominulo-rotundato, basi lami- nam incurvam emittente; lacinia subtus basi excava- tione splendida, margine interno rufo-ciliato; supra squamam parum superante ibique longitudine triplo fere latiore, margine postico angulo externo sub-acuto prominulo, interno processum curvatum emittente. a. atro-pilosus, thorace antice, scutello abdominisque segmento antico cinereo-flavescenti-villosis; ab- domine supra rufo-ferrugineo-hirsuto. . ut a, sed abdominis segmentis posticis pallide- fulvo-pilosis. ut b, sed thorace, fascia interalari nigra excepta, slidbunisque ne antico pallide- fiavescenti villosis. Beim Weibchen dieser schónen Hummel-Art ist der Kopf einfarbig schwarz behaart. Der Kopfschild ist - deutlich länger als breit, ziemlich schwach gewölbt, die Scheibe desselben mit feineren und gröberen, die umgeschlagenen Seiten auf der unteren Hälfte und die Basis beiderseits mit wenigen groben Punkten versehen. Die rostroth gewimperte Oberlippe ist mitten durch eine breite, aber flache, auf dem Grunde glänzende, fein und zerstreut punctirte Grube, welche an der Ba- .. Sis breiter ist, getheilt; zie Hócker sind deut- en nur einige wenige grobe Puncte eingestochen. An den Mandibeln ist die schrüge Furche deutlich entwickelt. Das dritte Fühlerglied ist _ um die Hälfte länger als das vierte; dieses ist kaum = 5 länger als breit und ein wenig kürzer als das fünfte. Der Thorax ist unten schwarz, oben gelblich-greis behaart, zwischen den pechbraunen Flügelschuppen mit einer schwarzen Binde geziert. Der obere Theil der Mesopleuren ist meistentheils greis bekleidet. Das Abdomen ist oben, mit Einschluss des letzten Segmen- tes, schön rostroth, der erste Hinterleibsring auf der Basis schwarz, beiderseits und am Endrande gelblich- greis behaart. Die Ventralringe sind róthlichgelb be- wimpert, der letzte mit einem starken, fast bis zur Mitte reichenden Kiele versehen. Die Beine sind schwarz, die Metatarsen innen dunkel rostbraun be- haart; an dem mittleren Beinpaare sind die Trochante- ren unten sammetschwarz befilzt, in gewisser Richtung gesehen, rostroth schillernd; die untere hintere Ecke des ersten Tarsengliedes in einen kurzen Dorn ausge- - zogen. Das Männchen stimmt in der Behaarung mit dem Weibchen überein, es sind aber die Mesopleuren in weiterer Ausdehnung greis bekleidet, auf dem Kopf- schilde und der Stirn sind den sehwarzen helle Haare beigemengt. An den Fühlern ist das dritte Glied ein wenig lünger als das vierte; dieses erscheint etwas län- ger als breit und ist fast noch ein mal so kurz als das fünfte und die folgenden, welche oben sehr schwach ausgerandet sind. Die Mandibeln sind dunkel bebartet, an der Basis schmutzig gelb behaart. An dem dritten Beinpaare sind die Schienen aussen gewölbt, schwach glänzend und dicht behaart, der Metatarsus mit kurz bewimpertem Hinterrande. Auf dem letzten Abdominal- segmente sind den hellen Haaren nur einige wenige schwarze Mix ee der E decus einfach zugerundet, sehr fei lelrissig und kaum glän- zend. Spatha ziemlich schmal mit undeutlich gespalte- ner Spitze. Sagitta unten in der Mitte mit einem star- ken Zähnchen, die Spitze derselben beilfórmig erwei- ` tert; der àussere Rand dieser Erweiterung sehr dicht gezähnelt. Der am Ende schwach bogenförmig zuge- - rundete Stipes ist innen flach ausgehóhlt; die Aushóh- - lung die Spitze des Stieles nicht erreichend ; aussen ist auf dem Rücken, in der Mitte etwa, eine vertiefte ` Querfurche vorhanden und vor der Spitze befindet sich ` ein sehr seichter, schwach gerunzelter und kaum glän- zender Eindruck. Squama doppelt so breit als lang; der äussere und hintere Rand derselben bilden zusammen einen Kreisabschnitt; der innere ist schwach ausge- 265 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 266 randet und trügt an der Dasis eine nach innen und unten gekrümmte, mit fast parallelen Seiten versehene Lamelle, die etwa um die Hälfte linger als breit ist und Gen Endrand kaum zugerundet erscheint; die innere hintere Ecke der Squama ragt bedeutend her- vor, ist ein wenig aufgebogen und abgerandet. Lacinia unten am Grunde tief ausgehóhlt und hier stark glün- zend und grob, zerstreut punctirt, die Endhälfte sehr fein nadelrissig und matter erscheinend; der Innenrand ist roth bewimpert. Die Lacinia überragt die Squama nur wenig, ist hier fast drei mal so breit als lang; am Endrande tritt die äussere Ecke ein wenig hervor, die innere ist in einen ziemlich langen, hakenfórmig nach | abwärts gekrümmten Fortsatz ausgezogen. Diese Art ist dem B. pomorum und namentlich den Varietäten elegans und canus sehr ähnlich; die Männ- chen unterscheiden sich leicht durch ihre verschiede- nen Genital- Anhünge; das. Weibchen des uralensis durch die kürzeren Wangen und den deutlich gekiel- ten letzten Ventralring. Der Name rufescens konnte für diese Art nicht bei- behalten werden, indem derselbe bereits früher von Lepeletier an eine andere Art dieser Gattung ver- geben war. In den südlichen Ausläufern des Urals nach Evers- mann häufig. Über die bei Multiplikations- und Reflexions-Methode durch die Verfrühung oder Verspätung der Stösse entstehenden Fehler. Von 0. Chwolson. (Lu le 20 janvier 1881.) © Wendet man, um die Intensität eines momentanen Stromes zu messen, oder um die Intensitüten zweier solcher Ströme zu vergleichen, eine der beiden von Weber in Vorschlag gebrachten Methoden an, so hat man in bekannter, vorgeschriebener Weise den mo- mentanen Strom in dem Momente wirken zu lassen, wo der, vermittelst Fernrohr und Scala beobachtete Magnet im Multiplicator die Ruhelage passirt. Offen- bar kann es aber selbst bei grösster Übung nicht móg- lich sein, diesen Moment vüllig genau zu treffen, selbst wenn ein und dieselbe Person den Magnet beobachtet und die momentanen Strôme wirken lüsst. Wenn aber zwei Personen mitwirken, so dass der Eine auf Kom- mando des Andern, am Fernrohr Beobachtenden, die- jenigen Manipulationen ausführt, durch welche der mo- mentane Strom erzeugt wird, z. B. die Rolle eines Erdindueters umlegt, so können nicht zu vernach- lässigende Zeitdifferenzen zwischen dem Passiren des Magneten durch die Gleichgewichtslage und dem Wir- ken des Stromes entstehen. Man kann die Frage nach der Grüsse des, durch solche Zeitdifferenzen entstehen- den Fehlers aufwerfen, wobei man, da die Grösse die- ser Differenz unmöglich bekannt sein kann, allerdings nicht erwarten darf, dass die Antwort dazu dienen könne, factische Correctionen einzuführen. Vielmehr wird die Antwort uns nur die Möglichkeit. geben die obere Grenze jener Fehler zu bestimmen; aber auch dies kann von Interesse sein. Kaum dürfte es möglich sein jene Zeitdifferenz mit Sicherheit kleiner als 0,1 Sec. zu machen, — daher lohnt es sich wohl zu unter- suchen welchen Fehler im Endresultat eine solche Zeitdifferenz hervorruft. Wir wollen ein für allemal annehmen, dass wenn der Magnet sich von der einen Seite der Ruhelage nähert, so verspätet der Stoss um /, Secunden, wenn ` er sich von der anderen nähert — um #, Secunden. Beide Grössen sind durchaus als Constante zu betrach- ten d. h. sie treten unverändert in gleicher Weise bei jedem Durchgang des Magneten durch die Ruhelage auf. Dies folgt ganz einfach daraus, dass ja die Beob- achtungen so lange fortgesetzt werden und erst dann ein endgültiges Resultat denselben entnommen wird, wenn die Ausschläge (bei Anwendung beider Weber’- schen Methoden) constant geworden sind, was nur ge- schehen kann, wenn auch die Fehler, welche durch die Verspätungen entstehen, also auch diese Letzteren constant geworden sind. Selbstverstündlich können 1. und {, auch negativ sein, Es ist nicht nothwendig anzunehmen, dass /, und 4 gleich seien. Beobachtet man z. B. mit dem rechten Auge, so fällt der Blick in verschiedener Weise auf die beiden Seiten des Gesichtsfeldes und dies kann auf ` die jeweilige Grösse der Verspätung von Einfluss sein. Ferner kann es geschehen, dass die beiden entgegen- gesetzt gerichteten Manipulationen beim Erzeugen der … z | entgegengesetzt gerichteten Ströme nicht gleich be- — quem sind. Endlich kann sich während der Versuche die Ruhelage verschoben haben, was auf die Ungleich- ` heit der Zeiten t, und ż, einen Einfluss haben muss. Ld 267 Bulletin de l’Académie Impériale Die sämmtlichen weiteren Entwickelungen stützen sich auf einen einfachen Satz, der zuerst bewiesen wer- den soll. Wir setzen voraus, dass die Bewegungsglei- chung des Magneten do dt? ist. Die, in dieser Gleichung hinzuzufügenden additiven Glieder kónnen wir vernachlässigen, da die Wirkung geringer Verspütungen selbst nur gering sein kann. Ist t die Schwingungszeit bei abwesender Dümpfung und À das logarithmische Decrement, so haben wir, + 92a T? 8 9-0 ES bl (4). - .. wenn wir noch zur Abkürzung = E e ا ل يو ب‎ (2) setzen, 3 fs Rn > WC? ` Vo لاعف‎ Y em e Hieraus erhalten wir d TA % T? KE Ge EU ne (3). 9 — tyzt a X) Diese Gleichungen können dazu dienen, « und ọ zu bestimmen, wenn t und À durch Versuche bestimmt worden sind. Durch Integration von (1) erhält man bekanntlich . für den Winkel ọ und dann für die Geschwindigkeit v die Formeln sterne "gn e... (b und | v = v e~” {cos of — - sin glj..... (5)|? wo Vy = Co PY E DEI ety (6) die Anfangsgeschwindigkeit ist. Die Formel (5) zeigt, dass bei gleichen Zeiten 7 die Geschwindigkeiten v den e Anfangsgeschwindigkeiten v, proportional sind. Den- . ken wir uns nun, dass einmal nach ¢ Secunden der Anfangsgeschwindigkeit Vo die Geschwindigkeit «v, entspreche und ebenso ein anderes Mal v?" und v, die entsprechenden Grössen vorstellen. Einer dritten _ Anfangsgeschwindigkeit diy جك‎ p Eet würde dann offenbar nach t Secunden die Geschwin- digkeit : w = v, das er (8) entsprechen. Wir können nämlich statt (5) zur Ab- us geg bm... D setzen. Nun wäre der Annahme nach o, = o, F(t); ol = v,F (t) und w, = wF() (10). Addirt man die ersten beiden Gleichungen und be- nutzt mau (7), so erhält man durch Vergleich des Resultates mit der dritten Gleichung die zu erwei- sende Relation (8). | Satz. Entsprechen den Anfangsgeschwindig- keiten o? und «c? nach té Secunden die Ge- schwindigkeiten v, und v,, so entspricht der Anfangsgeschwindigkeit w, = v + v? nach t Secunden die Geschwindigkeit w — Ù + Va Selbstverständlich finden die drei Geschwindigkeiten v, v, und w bei ganz verschiedenen Ablenkungswin- keln ب‎ statt. Vergleicht man die Geschwindigkeiten v, die gleichen Winkeln +, also ungleichen Zeiten £ ent- sprechen, so sind diese den v, nicht proportional, denn aus (4) und (5) erhält man durch Elimination von t: - arct i Aras Ds = Ve (41). Es ist klar, dass wenn v, und v, Geschwindigkeiten ` bei dem gleichen Ablenkungswinkel o wären, so würde w nicht gleich v, + v; sein. Der obige Satz führt uns zu dem folgenden, für uns wichtigsten Resultat: wird zu einer bereits vor- handenen Geschwindigkeit nach £ Secunden v, die neue v, hinzugefügt, so kann statt dessen eine fictive Vergrösserung der Anfangsgeschwindigkeit um v angenommen werden, ganz unabhüngig von der Grüsse der Geschwindigkeit v;. Die Relation zwischen v, und v® ist in (10) gegeben. Multiplicationsmethode. Es seien die Aus- schläge constant geworden; c sei die durch einen ein- zelnen Stoss erzeugte Geschwindigkeit, wenn im Mo- ment des Stosses der Magnet sich in der Ruhelage befindet; dass er dabei den Windungen des Multipli- cators parallel ist, soll als selbstverständlich voraus- gesetzt werden. Seien ferner f£, und t, die beiden Ver- spätungen, o, und o, die beiden Werthe von o in den Momenten der Stösse, c, = c cos ọ, und c, = c cos 9» die durch Letztere erzeugten Geschwindigkeiten. Es ist leicht o, und وه‎ durch /,, € und den halben Schwingungsbogen © auszudrücken. Führt man in die zweite Formel (4) für v, seinen Werth + (v + ap) = * arctg? x ?,—97 ein und zerlegt nach SSC von f, und £5, So er- x hält man bei Weglassung aller Glieder ausser des ersten des Sciences de Saint- Pétersbourg. ^ x er artcg = ` d f er (12). Seien endlich noch e und c? die beiden An- fangsgeschwindigkeiten, die auf Grund des oben Ent- wickelten statt der Geschwindigkeiten c, und c, ge- setzt werden können und w, und w, die beiden so er- haltenen fictiven ganzen Anfangsgeschwindigkeiten. Setzen wir, wie in (9) eot Q, = 0t, cos pt — = A E so ist c LL CE (t) | = "يه‎ (h) | Zur Bestimmung von w, und W haben wir die Gleichungen © » CN RARES D D 5 9 v Da ceteris paribus als Mass der Stürke des momen- tanen Stromes der halbe Schwingungsbogen d genom- men wird, so berechnen wir die Gröse w = V, (w, + Kë durch welche 4 bestimmt wird. (15) giebt NO E e, € + e _ € F (tı) + Co F(t) | WT d TIE s. (14), oder endlich aes i : RARE es ) COS Qa . (46). Einer constant gewordenen me ee w würde aber allgemein eine durch den einzelnen Stoss erzeugte Geschwindigkeit c' entsprechen, welche durch die Gleichung EE ue ET E gegeben ist. Dies in (16) giebt endlich 1 F'(t,) cos se + Fit,) cos Pa 6. 2mm D x {ABBE 4 Hier ist c das wahre nr der Stromintensität, c das in Folge der Verspätungen t, und t, unrichtig den Versuchen entnommene Mass derselben. Aus (13) ‚erhalten wir allgemein Su = 1 + 2a + oder, s. (3), 2x À F (t) = 1 + ToU + 1 (p + Zelt z? (x? + 3) ja Ku Die allgemeinste Formel erhält man durch Ein- führen von (17) in (16, a) und von (12) in cosg, = 2 1 — % und cos 9, = uds es ist: LX TÀ n? (T? 32%) وى‎ PR C = C D See Vi + to) +556. 0 1 ه‎ là) — 0? T? 2 > arctg © — Ie € À (4 + GC) | ne d. (18). Wächst das Decrement À von O bis 1,4, so wächst a x der Factor e * ^ von 1 bis 2,66. Vergleicht man nun die beiden letzten Glieder in den Klammern, so sieht man, dass sie sich um einen Factor unter- scheiden, welcher im ersten grósser als 1, im zweiten wohl stets kleiner als 0,02 ist. Man sieht hieraus, `| dass das letzte Glied wohl; in allen Fällen zu vernach- lässigen ist. Statt (18) kann man also schreiben: (a) De Cl (18, a) At? (n? 4- 32) ER ; RÉ T À Euh t VRR Von Interesse sind die folgenden zwei Specialfälle: 1) Es seit, = £, = t; dann ist , uo 2m - 2 (x2 + 2 Ss C eel +. tVr + 1 + PEN "| (48, b). 2) Es sei £, = — t, = t, was der Fall sein könnte, wenn die Mittellage unrichtig bestimmt würe; dann ist n? (n? + 3 12) = . (48, €) 2 t? (x? + M) Reflexionsmethode. Für diese gelten, wie sich leicht nachweisen lässt, ebenfalls die oben entwickelten Formeln (16, a), (18, a), (18, b) und (18, e) we das wahre, c' das den Versuchen entnommene Mass = der Stromstärke bedeutet. Da die Zeiten f, und #, nie gegeben sein können, so können auch die Formeln nur dazu dienen, sich von der Grösse des Fehlers eine gewisse Vorstellung zu bilden. Praetisch am werthvollsten dürfte hierbei die Formel (18,b) sein. Diese Formel kann in sehr roher Annäherung so geschrieben werden: d= e)1 + d=c (t + a d SC 3 Einen ungefähren Begriff von der Grösse des, durch die Verspätungen entstehenden Fehlers giebt schon : diese Formel. Wir berechnen drei Beispiele: Ns 1) Nehmen wir möglichst günstige Bedingungen. ` Es seien À und / gering, t dagegen gross z. B. ` jc 0,9, t = 29 Bac. und die Verspätung t = 0,2 2770 ` 271 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 272 Sec. Dann ist der relative Fehler A EI doch '49/ 2) Nehmen wir für à, 2 und t Mittelwerthe, also I2DA-—068f- 15 Sec. und à = 0,5 Bec., so ist der relative Fehler 0,053 d. h. volle 5 EU 3) Nehmen wir ungünstige Beluran an, die aber immerhin vorkommen dürften z. B. À = 1,5, t — 8 Sec. und / = 0,8 Sec., so erhalten wir für den relativen Fehler 0, 316 d. h. volle 31,6%. Diese Beispiele zeigen, dass durch die nicht Recht- zeitigkeit der Stósse ein sehr bedeutender Fehler entstehen kann. Der relative Werth dieses Fehlers ist, in erster grober Annöä- herung ungefähr gleich =, wo à das log. De- crement t die Schwingungszeit und / die Ver- spätung sind. Vergleicht man zwei Intensitüten, so würde sich der Fehler völlig wegheben, wenn bei beiden zu mes- senden Strömen die Verspätungen gleich wären. Dies ist aber sehr unwahrscheinlich, besonders wenn die Intensitäten also auch die Geschwindigkeiten der Be- wegungen des Magneten sehr verschieden sind. Leicht kann es geschehen, dass z. B. bei grosser Geschwin- digkeit der Stoss zu spät, bei geringer zu früh er- — folgt. Näheres lässt sich nicht sagen, da die betreffen- . den Verhältnisse in hohem Grade von den individuellen Anlagen des Beobachters abhängen müssen. Wir : . wollen als Beispiel die oben entwickelten Formeln für — den im Observatorium zu Pawlowsk befindlichen Mul- ~ tiplicatordämpfer von Meyerstein anwenden, mit . welchem die absolute Inclination vermittelst eines Erdinductors gemessen wird. Für diesen Dämpfer ist L5 0,72 und t= 21 Sec. Dies m (18,0) eingesetzt + giebt 0 "1 +0 gau. t) + 0,00626 (,24-15)] (20). E Nimmt man , — {, — tan, so wird € — 611 + 0,0668 + 0,01252 £} (20 a). Daraus berechnen sich die folgenden zusammenge- .. hórigen Werthe von t, S und des relativen Fehlers v . in Procenten. 25s 01i Mec 0,3 Sec. 0,5 Sec. 0,7 Sec. <= 1,0068 1,0211 1,0386 1,0529 à y,» I— 0,68%, 2.31% 3,86%, 5,29%, | . Verspätet also jeder Stoss um etwa !, Sec., ` So entsteht ein Fehler von fast 2',*/! 0,005 also. | | Soll das Verhältniss o — z zweier Stösse bestimmt 1 werden und sind #, und t, die Verspätungen bei der Bestimmung des ersten, L und £, die bei der Bestim- mung des zweiten, so ist die, den Versuchen entnom- mene Grösse c' gleich: / _ 1+ 0,0334 (f + tel + 0,00626 (H2 + t3?) (24). 1 + 0,0334 (tz + t) + 0,00626 ) + 142) Sei 5 — 4 = +? und À, = 1, — +; dann erhält man nach Ausführung der Division e = c {1 + 0,0668 (£— 7) + 0,01252 ) — 7’) + + 0,00449 (t — +) t}, oder abgekürzt G Geo en... Es werde nun mit dem erwähnten Dämpfer die In- clination bestimmt, deren wahrer Werth 2 sei, wäh- rend in Folge der Verspätungen £ bei horizontaler und > bei verticaler Drehungsaxe des. Inductors der Werth 2’ erhalten wird. Es soll der Fehler Ai = i— i gefunden werden. (23) giebt unmittelbar igi = tgi {1 + a]. Hieraus A cH tgi, also cos% 7 igi — tgi = Aigi = Ai = sin 9i. Setzen wir i = 70° 42’ und für a seinen Werth aus (22), so erhalten wir | Ai = : 0,3908 (L— 7) 10, 0668 +- 0,012527 + + 0,017017} Vernachlässigt man die letzten zwei Glieder in der Klammer; so erhält man Ai = 0,0261 (t — +) Sei nun / — ع‎ = 0,1 Sec 4, SO ist M - 9. Die ausserordentliche Grósse dieses Fehlers, trotz der Annahme eines so kleinen Werthes für t — رج‎ zeigt, wie bedeutend der Einfluss der Nichtrecht- zeitigkeit der Stüsse auf das Endresultat ist, wenn die absolute Inclination mit dem Inductions - Inclinato- rium bestimmt wird. Eine Unsicherheit von einigen ` Minuten bei der Bestimmung jener Grósse findet so- mit eine genügende Erklärung. Paru le 31 mars 1881. T. XXVII, N° 3. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME XXVII. (Feuilles 185—325. GONTENTU. Page. M, A, Boutlerow, Glace sous là «pression critique» :...:...:...!:,......,4,,.,.,. 273—289 H. Wild, L'orage magnétique du 11—14 août 1880 (avec une de a 283—300 ——— Difference dans le magnétisme terrestre entre St-Pétersbourg et Pawlowsk.. 300—319 A. Sawitsch, Les oppositions des planètes Vesta, Saturne et Neptune, observées en 1880 à l'observatoire académique de St.-Pétersbourg...................,.......... 819—320 H. Wild, Détermination exacte de l'inclinaison absolue au moyen de linclinatoire d'in- EE uesccriesexicebueccécukrkskenseyto (a 320—333 Dr. W. Gutzeit, Sur l'époque de la rédaction de la vie de St.-Georges d'Amastra...... 333—338 E. Kunik, Remarques complémentaires sur les recherches concernant l'époque de la rédaction de la vie de St.-Georges d'Amastra. Éclaircissement de quelques points de Chronologie russe-byzantine du IX sióclé. Ee ee gece EE re 338—362 V. Bouniakowsky, Quelques remarques sur les propriétés d'une classe particulière des fractions décimales périodiques ..................... ME EM Med اه‎ 362—369 Ludw. Struve, Sur l'étoile double 2:60 — n Cassiopejae .......,.,,............... 369—393 L, Rütimeyer, Rapport sur une partie des manuscrits postumes de M. Brandt, membre GO RAI EE ds diam liste la dle nine eine 393—400 OU Dl DDR, ee Ia 400 وه Imprimé par ordre de l’Académie Em des sciences. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie EE Gë sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) Aoüt 1881. BULLETIN DE L'ACADEMIE DIPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Glace sous la „pression critique‘. Par M. A. Bout- lerow. (Lu le 3 février 1881.) Premiére notice. Il y a environ cinq mois que M. Carnelley a donné la premiere nouvelle de son expérience sur l’ échauffe- ment de la glace sous la pression, qu 'il nomme cri- tique). Cette nouvelle peu detaillée a éveillé de dif- férents doutes, et il s'est formé déjà une petite litté- rature à cesujet. Les savants qui en ont parlé forment deux catégories. Tout le monde admet, ensemble avec M. Carnelley, que la glace peut étre volatilisée sans fondre, mais les uns pensent comme lui que la tempé- rature de la glace elle-méme peut atteindre un degré beaucoup supérieur à la température ordinaire de sa fusion, tandis que les autres ne croient encore guére à la réalité d'un fait aussi extraordinaire. M. M. John Aitken?), Otto Pettersson?) et Oliver Lodge*) appartiennent à la premiére catégorie, et le dernier de ces trois savants a méme essayé de developper quel- ques vues théoriques pour expliquer la possibilité d'échauffer dans de certaines conditions les corps solides, sans qu'ils fondent, audessus de leur point de fusion. M. M. Hannay 5), Lothar Meyer "et John Le Comte?) appartiennent à la seconde catégorie des auteurs. Mais tout en écrivant la dessus, personne, à ce qu'il parait, n’a répété l’expérience de M. Carnelley, quoiqu'il soit tout-à-fait évident que le pivot de toute l'affaire se trouve dans la question de realité du fait avancé par M. Carnelley. Dans sa courte réponse à M. Hannay, M. Car- 1) «Nature». Thursday, September 9. 1880 «Chemical News». Friday. September 10. 1880. 2) «Nature» November 11. 1880. 3) Berichte der Deutsch. crum: Gesellsch. XIII. 2141. 4) «Nature». January 20. 1 5) «Nature». September 5 iie 6) Berichte der Deutsch. Chem. Gesellch. XIII. 1831. 7) «Nature». October 28. 1880. Tome XXVII. nelley°), toujours sans donner la description de l'ex- périence, dit que la boule de son thermométre a été lo- gée dans la masse méme de la glace; il promet en méme temps d’exécuter son expérience devant la Chemical Society à sa prochaine séance. M. Carnelley a tenu sa promesse, et les Chemical News, ayant donné une courte description (peu satisfaisante -il est vrai) de l'appareil employé et de la marche de l'expérience °), il est devenu possible de la répéter dans des conditions si non tout-à-fait identiques, au moins trés analogues à celles où s' est mis M. Carnelley. L'observation de ce savant, si elle est correcte, pré- sente un immense intérét et je me suis decidé à re- produire son expérience. Dans les lignes qui suivent je présente à l'Académie la description de l'appareil em- ployé et du résultat auquel je-suis arrivé. Je dois avouer que j'appartenais et j'appartiens encore au nombre de sceptiques, et mon observation n'a pu que fortifier ces doutes. Les conclusions reclament ici sans doute une grande circonspection, à laquelle on est invité aussi, je crois, par ce qu'on sait jusqu'à présent sur 'acide carbonique pris à l'état solide. A la tempé- rature ordinaire ce corps se trouve sous une pres- sion beaucoup inférieure à la pression critique, et dés lors on devrait attendre, d'aprés l'observation de M. Carnelley, que sa masse pouvait s'échauffer jus- | qu'à une température comparativement elevée; cepen- dant, autant qu'on le sait, l'acide carbonique solide conserve sa température audessous de — 70? L'appareil que j'ai employé (voir la figure) présente une grande analogie avee la pompe à mercure. Il était | composé d'un tube en verre ayant environ 16"" de diamètre intérieur et une lengueur de 0.7" à 0.8”. Un ballon en verre, d'une capacité un peu supé- rieure à une demi-litre, a été soudé au bout supé- rieur de ce tube. Une cloche renversée, munie d'un 8) «Nature». September 30. 1880, ; 9) «Chemical News». Thursday, December. 23, 1880, et aussi Berichte der Deutsch. Chem. Gesellsch. XIII. 2406. * 18 275 Bulletin de l’Académie Impériale 276 orifice, entoure ce ballon et sert de réceptacle au mélange réfrigérant de glace et de sel marin; le bouchon de la cloche est traversé par le tube. Un tube mince, muni d'un bon ro- binet en verre et portant un entonnoir à son bout supérieur, est soudé à la partie supé- rieur du ballon. Un thermo- métre placé dans l'intérieur du gros tube était fixé à un fil de platine contourné en spiral et retenant par son élasticité le thermométre à une certaine hauteur du tube. Un tube assez long en caou- tchouc, solidement attaché au bout inférieur de cet appareil barométrique, le réunissait à une grosse ampoule en verre servant de réservoir à mercure. En élevant ce reservoir et en ouvrant le robinet, on remplis sait l'appareil entièrement avec du mercure; en faisant descendre le reservoir, on for- mait le vide barométrique dans le ballon et dans le -tube renfermant le thermomètre. L'appareil étant tout-à-fait rempli de mercure jusqu'au robinet, on a introduit de l'eau récemment bouillie dans l'entonnoir supérieur et on l’a fait descendre dans le tube à tra- vers le robinet. En soulevant et faisant descendre à plusieurs reprises le réservoir à mercure et en ouvrant chaque fois le robinet pour laisser échapper les bulles de gaz, on parvint à priver entiérement d'air l'eau introduite dans l'appareil. Cette eau formait au-dessus du mercure une colonne environ de 7™ de hauteur. Je dois mentionner ici une précaution que j'ai jugée utile et que j'ai prise. Il n'est pas impossible d'admet- tre que la chaleur rayonnante, en traversant la glace, va échauffer le réservoir du thermomètre plongé dans sa masse, sans que la glace s'échauffe elle-méme; un certain intervalle peut se former alors entre la glace et les parois du réservoir thermométrique, et si le - cylindre de glace, en se tenant par sa partie supérieure, reste encore suspendu au thermométre, le réservoir de ce dernier, en s'échauffant par le rayonnement, pourra atteindre une température plus ou moins élevée, tan- à Ed disque la glace và garder sa température au dessous de zéro. Pour éviter cette source d'erreur, j'ai entouré le réservoir du thermométre par une mince feuille de platine en laissant un interstice assez considérable entre les parois du réservoir et cette feuille. Cet in- terstice restait rempli de glace pendant l'éxperience, de sorte que le thermométre ne pouvait s'échauffer que par la chaleur conduite par la masse de glace, si cette dernière était capable de s’échaufter elle méme. La marche de l'éxperience était presque la méme que chez M. Carnelley. En placant du mélange refri- gérant autour de l'endroit du tube, oü se trouvait la co- lonne d'eau, on a fait geler celle-ci. On a fait descendre alors jusqu'à un certain point la surface de la co- lonne mercurielle, et en chauffant le tube avec pré- caution on a fondu la surface du cylindre de glace. La communication entre le vide supérieur et le vide in- férieur, séparés jusqu'à présent par le bouchon de glace, s'est établie maintenant par l'intermédiaire de l'espace annulaire, qui se trouvait entre la glace et les parois du tube. Le ballon supérieur étant entouré du mélange refrigérant, la goutte d'eau, qui se trouvait suspendue au bout inférieur du cylindre de glace, s'est solidifiée, dés que les deux vides sont entrés en com- munication; la surface de la couche d'eau qui s'est ras- semblée audessus de la colonne mercurielle a commencé aussi à se prendre en masse. Dés lors la glace a per- du la faculté de se liquéfier: elle se sublimait lente- ment sans fondre, tandis qu'on chauffait les parois du tube au moyen de la flamme directe d'un bruleur de Bunsen. La distance entre la surface intérieure du tube en verre et la surface extérieure du cylindre de glace pendant l'expérience était environ de 2"" à 4"". tandis que la température de verre s'élevait certaine- ment à quelques centaines de degrés. On a continué de chauffer assez longtemps jusqu'à ce que presque la totalité de la glace s'est volatilisée, mais le thermométre restait stationnaire en indi- quant la température environ de — 6°. Une circonstance assez curieuse s'est présentée pen- dant l'experience. Le refroidissement du ballon supé- rieur étant devenu insuffisant pour un moment, la pression dans l'appareil s'est accrue et la surface de la glace a offert immédiatement des indices de liqué- faction. Le thermométre s'est élevé alors jusqu' envi- ron à + 6^; mais dés qu'on a renouvelé le refroi- 277 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 278 dissement du ballon, tout en continuant de chauffer le verre sans interruption, la goutte d'eau qui s'était de nouveau rassemblée au bout inférieur du cylindre de glace devint rapidement solide, et au méme moment le mercure du thermomètre est retombe jusqu environ à — 6°. Cette note a été ecrite lorsque j'ai enfin eu hier l’occasion de lire l'article detaillé de M. Carnelley publié dans le numéro de «Nature» (February 10, 1881) qui vient d’être reçu à St. Pétersbourg. A pré- sent j'ai l'intention de répeter de nouveau l'expé- rience dans des conditions tout-à-fait identiques à celles de M. Carnelley. Il serait prematuré de se prononcer dès à présent d'une manière décisive sur la question qui nous occupe, mais néanmoins l'observation que j'ai faite n'étant pas dépourvue d'intérét, et l'appareil que j'ai em- ployé paraissant étre plus commode que celui de M. Carnelley — je crois ue pas devoir différer la pré- sentation à l' Académie des lignes qui précédent. On voit d'aprés le dernier article de M. Carnelley que M. Stokes a cherché à expliquer le phenomène d'échauffement du thermomètre de la méme manière que moi. M. Carnelley a cherché alors à s'assurer de la réalité du phenoméne par des mesurés calorimétri- ques qui paraissent confirmer ses conclusions, mais la description détaillée de ces derniéres expériences nous manquent encore et il faut l'attendre avant de pouvoir former un jugement sur leur portée. St.-Pétersbourg. Le 3 (15) février 1881. Deuxiéme notice. (Lu le 17 février 1881.) Conformément à l'intention que j'ai exprimée dans ma premiére note presentée à l'Académie, j'ai répeté encore quelque fois l'expérience de M. Carnelley, sans recouvrir, comme je l'ai fait dans ma première expérience, la boule du thermométre par une feuille en platine. On a tantót fait géler l'eau tandisque la boule du thermométre y était plongée, tantót on l'a fait bouillir dans le vide, de manière qu'elle venait se jeter en bouil- lant sur le réservoir du thermométre placé un peu au dessus et se figeait sur ses parois. Ces dernières condi- ^ tions furent donc tout-à-fait identiques à celles oü s'est placé M. Carnelley. Dans touts les cas on obtint des résultats négatifs, c’est à dire qu'on ne par- vint pas à remarquer un indice certain quelconque de l'échauffement de la glace elle méme dans l’inté- rieur de sa masse. Tant que la boule thermométrique restait enveloppée de glace, le thermométre ne s'éle- vait point au dessus de 0^ pendant qu'on chauffait le tube au moyen de deux bees à gaz de Bunsen et la iempérature de ses parois n'était pas loin de celle du ramollissement du verre. Si la pression croissait à cause du refroidissement insuffisant du réservoir supérieur et la surface de la glace commencait à fondre, la co- lonne mercurielle s'élevait à quelques degrés audessus de zéro, mais le thermométre retombait dés qu'on refroidissait soigneusement le réservoir. On est parvenu, il est vrai, à élever la température de la boule thermométrique à quelques degrés au des- sus de zéro quand une partie de sa surface était libre de l'enveloppe de glace; dans ce cas la température ne croissait cependant que trés lentement, et cela a eu lieu méme lorsque la quantité de glace adhérant au _ thermométre devenait petite et la plus grande partie de la surface de la boule thermométrique restait déjà à découvert. L'accroissement de la température et la volatilasation de la glace se ralentissaient toutes les fois qu'on éloignait la flamme; mais si il arrivait que les restes de glace tombaient en se détachant de la surface . thermométrique lorsqu'on avait déjà cessé de chauffer etube, le thermométre s'élevait rapidement à plusieurs degrés à la suite du rayonnement des parois encore chaudes. En un mot, on a toujours pu observer distincte- - ment l'effet réfrigérant de la glace, sans pouvoir arri- ver à élever sa température, quoique les conditions préscrites par M. Carnelley se trouvassent rigoureuse- ment remplies: le refroidissement du réservoir supé- rieur était tout-à-fait suffisant pour maintenir facile- ment la glace à son état solide pendant toute la du- rée de l'expérience, le chauffage du tube était aussi energique que possible et la glace n'était pas chaque fois accumulée en grande masse autour du réservoir thermométrique. En méme temps on a pu se convain- cre, qu'une partie du mercure du thermométre peut atteindre une température au dessus de zéro, pendant qu' une certaine quantité de glace, tout en laissant à découvert la grande partie de la surface de verre, reste ` ` | 18* SH * rature ordinaire. Dans touts ces cas, 279 Bulletin de l'Académie Impériale 2590 encore adhérente au parois du réservoir à mercure. La colonne mercurielle s'éleve alors au-dessus de zeró et sa position est le resultat de l'effet mixte de l’échauffe- ment et du réfroidissement partiels que la masse mer- curielle subit de différents cótés. Je présume que c'est ce qui a eu lieu dans les expériences executées par M. Carnelley, et c'est surtout la condition étrange, qu'il préscrit, d'avoir la-glace à l'état particulier de minces couches, qui me fait penser que M. Carnelley a pu élever la température du mercure sans avoir toutefois élevé la température de la glace elle-méme. Il est vrai que les resultats des essais calorimétriques executés per M. Carnelley semblent parler en faveur de son opinion, mais ne serait il pas cependant pos- sible qu' une certaine enveloppe de vapeur chaude ad- - hère à la surface de la glace et se laisse transporter avec elle dans l'eau du calorimétre en y neutralisant le pouvoir réfrigérant de la glace? On sait que M. Lodge a essayé de donner l'expli- cation du phenomène observé par M. Carnelley. Les raisonnements de M. Lodge sont, je crois, de nature à s'accorder avec nos idées sur l'état sphéroidal des corps, état analogue à celui où se trouve la glace de . M. Carnelley, mais ils n'expliquent nullement la pos- sibilité (?) d'élever la température de la glace dans l’intérieur de sa masse sans la faire fondre'?). Si la transformation de la glace en eau était accompagnée d'un aceroissement de volume, on aurait pu comprendre encore que cette transformation puisse étre empechée par le manque d'espace, ou, ce qui revient au méme, par la résistance que la parcelle de glace éprouve du cóté de la masse environnante de la méme substance; mais c'est le contraire, c'est une diminution de volume, ` qui a lieu quand la glace fond. Je viens de faire allusion à l'analogie des conditions, ; oüse trouve le liquide à l'état sphéroidal et la glace dans l'expérience de M. Carnelley, ou bien, par exemple, une masse d'acide carbonique solide pris à la tempé- la substance, étant hors de contaet immédiat avec les parois chaudes, ne recoit la chaleur que par le rayonnement, et cette par M. od ge: aprés avoir chauffé tea on éloignait Ser ment le feu, et la glace, contrairement à ce qu’attend M dge, restait sans aucun changement, lorsque la température des parois du tube s'abaissait. chaleur est à chaque instant complétement absorbée par la transformation des particules superficielles en gaz, tandis que l'intérieur de la masse de la substance maintient sa température comparativement basse. C'est ainsi que la température d'un liquide à l'état sphéroi- dal reste ordinairement un peu inférieure au point d'ébullition, et de méme la température de la glace, dans l'expérience qui nous occupe, n'a pas besoin de dépasser le point de fusion, Il est aisé de comprendre la stabilité relative de la glace dans ces conditions: l'existence de l'eau liquide étant mise hors de possibi- lité par Pabaissement du point d'ébullition jusqu'au- dessous de 0; une absorption de chaleur comparative- ment énorme (de 615 calories — somme de la chaleur latente de fusion 79 c. et celle d'évaporation 536 c.) sur la surface de la glace, qui s'évapore, en est la con- séquence; la diminution de volume de la glace par la volatilisation marche Caeteris paribus, 7,8 fois environ plus lentement qu'elle ne marcherait par la fusion "). M. Lodge pause que la quantité de vapeur formée à chaque instant n’a pas besoin d’être proportionelle à la quantité de chaleur reçue et que, par conséquent, la substance peut bien être surchauffée. Ceci étant vrai pour une masse liquide en ébullition, il croit de- voir l’admettre d’autant plus pour un solide qui se vola- tilise. Je ne pense pourtant pas qu'une telle manière de voir soit conforme à la realité, et la température comparativement basse, conservée par l'eau ou par la glace à l'état Eobéroidal (état où l'évaporation, quoique trés active, ne se produit que sur la surface chauffée par le rayonnement) conduit plus tôt à penser que la - quantité de vapeur formée dans ces conditions est strictement proportionelle à la chaleur recue. En effet, sauf la cohésion, rien ne s'oppose ici à ce que les mo- lécules, en devenant gazeuses, s'éloignent de la surface où elles ont été attachées, tandis que la cohésion elle- méme n'agit que d'un cóté sur ces molecules superfici- elles. Pour que cela arrive avec une masse liquide ou solide placée librement sur un support chaud, il faut que la vapeur formée au premier moment posséde une tension assez forte pour soulever toute la masse et la mettre hors de contact avec la surface chauffée. Si cela n'arrive pas, si la substance liquide reste adhèrente à 11) 11 n'est pas impossible en méme temps, que le pouvoir ab- sorbant de la glace (surface ims est plus faible que celui de l'eau (surface humide). des Sciences de Saint-Pétersbourg. cette surface, le phénomène de l’ebullition ordinaire va commencer et la substance peut alors être sur- chauffée. Dans ce dernier cas, l’adhésion du liquide aux parois, la cohésion de chaque particule avec toutes les autres qui l'entourent de touts les côtés et enfin le poids de la couche, qui surmonte la particule recevant la chaleur, tout ceci entrave la liberté des molécules; la température continue donc à monter jusqu’ à ce 01671011165 ces résistances soient vaincues. Lorsqu’ une bulle, c'est à dire une surface, parvient à se former au sein d'une telle masse surchauffée plus ou moins, les molécules placées sur cette surface, n'étant plus rete- nues par la cohésion que d'un cóté, commencent à se détacher plus facilement, et la surface, ainsi que la quantité des molécules qui se détachent du liquide en devenant gaseuses à chaque moment, croissent rapide- ment. Cet acroissement est encore acceleré par la dimi- nution de la pression de la couche supérieure à mesure que la masse de vapeur formée monte au sein du liquide. Ainsi, je ne crois pas qu'on ait le droit de comparer l'état d'un liquide en ébullition à celui d'une masse de substance, qui ne s'évapore qu' à la surface. Un phenoméne rappelant jusqu' à un certain point la forma- tion des bulles de vapeur au sein d'un liquide, qui se trouve à l'état ordinaire d'ebullition, a cependant lieu dans l'expérience de M. Carnelley, — c'est lorsqu'une mince pellicule de glace, en s'attachant au parois de verre, sépare un espace limité, en formant, pour ainsi dire, une bulle; le phenoméne ordinaire, celui de fu- sion, vient alorsse manifester immédiatement dans son iutérieur. J'ajouterai encore qu'il est intéressant de voir avec quelle facilité remarquable la glace se volatilise dans le vide à la températüre ordinaire: dés qu' on refroi- dit fortement une partie des parois de verre sans chauffer la glace, la surface froide vient presqu'aussi- tót se tapisser par de petits cristaux d'eau solide. Pour observer la permanence de la glace placée sous la pression critique, on n'a pas bésoin de recou- rir absolument à un appareil à mercure: il suffit d'in- troduire, comme je l'ai fait dernièrement, un certain changement dans la construction du kryophore. Cet appareil, dont on voit ici la figure et dont la destina- tion est de faire accessible à l'observation un état par- ticulier de la glace, aurait pu recevoir le nom de kryo- scope. La partie essentielle de cet appareil consiste en un fil de platine a destiné à soutenir la glace suspendue pendant l'expérience, il joue ici, sous ce rapport, le méme rôle que le thermomètre dans l'expérience de M. Carnelley. Ce fil est fixé dans le tube b de ma- ` nière à être mobil dans la direction de l'axe du tube, ce qui permet à la glace de se soulever ou de sauter s’il le faut, pour laisser échapper la vapeur, qui se forme à la surface inférieure de la masse. Un vide aussi parfait que possible est fait à l'intérieur de l'ap- pareil par l'intermédiaire du petit tube c, qu'on ferme aprés à la lampe. Le ballon d du kryoscope étant placé dans le mélange réfrigérant de neige et de sel marin et l'eau dans le bout e une fois gelée, ou peut chauffer ce bout fortement sans faire fondre la glace. Je n'ai pas l'intention de continuer ces expériences, — M. Carnelley le fera sans doute lui móme, — mais je crois utile de remarquer qu’ avec le kryoscope on pourrait peut-être recourir à un moyen nouveau pour s'assurer que la température de la glace ne peut monter au-dessus de 0°. Il suffirait pour cela de re- courir aux substances convenablement choisies, peu vo- latiles, offrant la faculté de subir un changement ma- nifeste quelconque, dés que leur température s'éleve à un certain nombre de degrés audessus de 07. On verrait alors, je présume, qu' une telle substance ne subit aucun changement tant qu'elle reste compléte- ment entourée de glace et en éprouve plus ou moins l'influence réfrigérante. St.-Pétersbourg. Le 17 février (1 mars) 1881. D 283 Bulletin de l’Académie Impériale 284 Über das magnetische Ungewitter vom 11.—14. Au- gust (n. St.) 1880. Von H. Wild. (Lu le 3 février 1881.) (Mit einer Curven-Tafel.) Nach der làngern, der Minimums-Epoche der Son- nenflecken und Nordlichter entsprechenden verhält- nissmässigen Ruhe der magnetischen Instrumente ist die gegenwärtige gesetzmässige periodische Zunahme jener auch bei den Variationen der erdmagnetischen Elemente im August des Jahres 1880 durch eine grosse mehrere Tage umfassende Stórung eingeleitet wor- den. Deshalb und weil der Vergleich einer, vom Observa- torium in Kew mir freundlichst eingesandten Copie der Aufzeichnungen dieser Stórung durch den dortigen Magnetographen mit der entsprechenden Registrirung unseres Magnetographen im Observatorium in Paw- lowsk mir einige interessante Besonderheiten darzu- bieten schien, hielt ich eine Untersuchung derselben für geboten. Dieses blenetiche Ungewitter war wie gewöhnlich von starken, in die Telegraphen-Leitungen sich ab- zweigenden Rrietrömen und von einem an vielen Or- ten beobachteten Nordlicht begleitet; es sind indessen nicht sowohl ‚diese begleitenden Erscheinungen und deren mehr oder minder grosse Verbreitung, als der Verlauf und Charakter der eigentlich magnetischen Störung nach den Aufzeichnungen photographisch selbstregistrirender Instrumente an verschiedenen Or- ten, die mich hier beschäftigen werden. Zu diesem Studium standen mir ausser den Aufzeich- nungen der Variatiouen aller 3 Elemente d. h. der De- clination, Horizontal-und Vertikal-Intensität durch Unifi- Jar-und Bifilar-Magnetometer und Lloyd'sche Wage von Kew und Pawlowsk noch zu Gebote die vom Uni- filar und Bifilar des Magnetographen des Observato- riums in Zikawei (China) verzeichneten Curven, welche Herr Director Dechevrens in einer Notiz über diese magnetische Stórung publicirt hat, sowie eine Copie der Unifilar-Curve des Magnetographen in Melbourne, . welche Herr Ellery, Superintendent dieses Observa- toriums, nach Kew eingesandt hatte und von der mir Herr Whipple, Superintendent des Observatoriums in Kew, freundlichst eine Copie anfertigen liess. Die Lángen und Breiten der 4 Orte sind: Breite. Länge von Greenwich. Pawlowsk... 59?41' nórdl. 9^ 9" östl. ES ni BL 8 -» 0 19 westl. 20195961: -. 9] 12 .-» 8 6 östl. Melbourne .. 37 50 südl. 940 » Die Declinations-Curven für diese vier Orte, die Curven für die Horizontal-Intensität für drei derselben und endlich diejenigen für die Vertikal-Intensität der ersten zwei Orte wurden nun nach Reduction auf gleiche Zeitabseissen und annähernd gleiche Einheiten für die Ordinaten je so untereinander auf dasselbe Papier auf- getragen, dass der Anfangspunkt bei allen auf 12^ a. Pawlowsker Zeit fiel. Die hierdurch gebotene unmittel- bare Vergleichbarkeit der Variationen an den ver- schiedenen Orten ergab Folgendes. An dem genannten Tage lassen sich bei der Decli- nation deutlich 3 gesonderte Störungen unterschei- den, von denen aber nur Anfang und Ende der ersten, sowie der Anfang der zweiten und das Ende der drit- ten schärfer ausgeprägt sind, während die zweite und dritte nicht durch ein Intervall absoluter, sondern bloss relativ grösserer Ruhe getrennt erscheinen, so dass Ende der erstern und Anfang der letztern nur unsicher zu bezeichnen sind. Soweit nun, als hier- nachdieSicherheit der Bestimmung von Anfang und Ende der Störungen reicht, erfolgen die- selben und insbesondere der Ans an allen 4 Orten simultan. . Die erste Declinations-Stórung beginnt in Pawlowsk und Melbourne — für Kew und Zikawei gehen die Curven nicht soweit zurück — am 11. August um 12^ 15" a. (Mittag) Pawlowsker (bürgerlicher) Zeit (10° 13” a. Greenwicher Zeit) und endigt für alle 4 Orte übereinstimmend um 3^ 0" a. Pawlowsker Zeit (0* 58" a. Greenwicher Zeit) des 12. August. — Die zweite stärkere Stór ung f langt ti l an allen 4 Orten um 1” 20" p. Pawlowsker Zeit (11° 18” a Greenwicher Zeit) des 12. August an und endigt un- gefähr um 9* 20" a. des 13. August. — Der Anfang der 3. Störung kann auf 1" 50" p. des 13. August an- gesetzt werden und das Ende derselben auf 9—10^ a Pawlowsker Zeit des 14. August. Was nun aber die einzelnen Wellen jeder Störung oder die Zickzacks der Curven, Gipfel (peaks) und Gruben (hollow), wie sie Balfour Stewart genannt hat, be- 285 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 296 trifft, so zeigen dieselben nur bei den beiden náchsten Orten, Kew und Pawlowsk noch einige Ähnlichkeit, diejenigen von Zikawei und Melbourne sind dagegen ganz abweichend. Folgendes sind die Unterschiede der registrirten Maxima und Minima der Declination wührend der ein- zelnen Stórungen, wobei in der 2. Stórung für Kew und Melbourne, in der 3. Stórung für Kew das Maxi- mum geschätzt werden musste, da die Curve über den Rand des photogr. Papiers hinausgegangen war. Amplitude der Decl. Variation bei der 1. Stórung. 2. Stórung. 3. Störung. in Pawlowsk...... 45' 64 51 CRN ee 2 70 43 „j Melbourne. .... 21 84? 30 5 ZIKAWOL E 8 14 8 Während sich also hieraus bei der 1. und 3. Stó- rung ein normales Verhalten, d. h. eine Abnahme der Grósse der Variation nach niedrigeren Breiten hin, ergiebt, tritt wenigstens für erstere 3 Orte ein gerade umgekehrtes Verhältniss bei der zweiten i. e. gróssten Stórung ein. An allen drei Stórungstagen endlich manifestirt sich bei allen 4 Orten durch die Stórungen hindurch die normale tügliche Variation der Declination, die sich bekanntlich nach der Ortszeit richtet; es erscheinen also die anormalen Variationen als Schwankungen um den normalen Gang der Magnetnadel. Bei den Curven der Horizontal-Intensitát und der Vertikal-Intensität lassen sich dieselben drei Stórungen unterscheiden, und fallen Anfang und Ende derselben für alle Orte recht genau mit den oben angegebenen Terminen bei der Declination zu- sammen; es sind also wenn nicht eine einzige Kraft, so doch jedenfalls gleichzeitig auftretende und ver- schwindende Kräfte, welche diese Stórungen aller 3 Elemente des Erdmagnetismus bedingen !). In Pawlowsk und Kew zeigen ferner die Stórun- gen dieser Intensitäts- Componenten insofern eine Übereinstimmuug als bei beiden zu Anfang der Stó- 1) Diese Simultaneität des Anfangs und Endes der Störungen gilt auch für diejenigen der Horizontal - Intensität in Toronto (Canada), wie ich nachtráglich der von Herrn Carpm ael, Superin- tendent des dortigen Observatoriums, mir gütigst eingesandten und des Drucks dieser Abhandlung empfangenen Copie der Aufzeichnungen des Magnetographen-Bifilars in Toronto entnehme. rung die Intensitäten wachsen und spáter wieder ab- nehmen, dagegen zeigt sich sonst in den einzelnen Ber- gen und Thälern keine Ähnlichkeit, auch fällt ganz be- sonders die grosse Differenz in den Amplituden der Schwankungen für beide Orte auf. Die Schwankungen in Kew erscheinen klein neben denen von Pawlowsk, während die Variationen in Zikawei zum Theil sogar grösser sind als die des letzteren Orts, wie folgende Zu- sammenstellung der Differenzen der Extreme zeigt, wobei dH und dV diese Differenz in absolutem Maasse und dH: H sowie dV:V eben dieselben bezogen auf die ganzen Werthe der Horizontalintensität H resp. Vertikalintensität V als Einheit darstellen: Ort 1. Stórung. 2. Stórung. 8. Stórung. Amplitude der Horizontal-Intensitat (mm. mgr.) dH dH:H dH dH:H dH dH:H Pawlowsk 0,0222 0,0136 K ‚0396 0,0242 0,0376 0,0230 Kew 0188 0,0105 0,0093 0,0052 Zikawei . 0,0150 0,0037 Dm. 0,0132 0,0181 0,0041 Amplitude der Vertikal-Intensität (mm. mgr.) dV dEr dV dY:V . dV avy Pawlowsk 0,0186 0,0040 0,0608 0,0180 0,0859 0,0076 Ke 9 0,0009 0,0118 0,0027 0,0061 0,0014 Diese den Curven entnommenen Daten stützen sich auf folgende Werthe eines Millimeters der Ordinaten derselben in absolutem Maasse nach Gauss (Millimeter, Milligramme, Zeitsecunden): Werth von 1™® der Ordinaten in absolutem Maass: Bifilar Lloyd'sche Wage dH dH:H av aV:V Pawlowsk 0,000293 0,000179 0,000665 0,000142 Kew . 0,000587 0,000327 0,000489 0, 9001 09 Zikawei . 0,000624 0,000194 Die Curve der Lloyd'schen Wage für die Vertikal- Intensität hat Herr Dechevrensin der erwähnten Notiz nicht reproducirt,sagt aber darüber in dem begleitenden Text, dass in Zikawei die beiden Componenten der In- tensität Väriationen in entgegengesetztem Sinne erfahren hätten, so dass also die Störungswirkung nicht sowohl eine Veränderung der ganzen Intensi- tät als vielmehr eine solche der Inclination bewirkt hätten. So soll z. B. am 12. August von 8” 40” p. bis 10^ 20" p. die Inclination daselbst zufolge der Stö- rungen der beiden Intensitüts- Componenten um 17' 20" gewachsen sein, während die Declinationsvariation ` in derselben Zeit bloss 15’ betragen habe. ~ fa. 287 Bulletin de l'Académie Impériale 2858 Dieses Verhalten der relativen Variationen der bei-| „10, | Pau (ër, VE, WE JL den Componenten der Intensität und damit der ganzen | __— t —————— —P— TA GERS TRANSAT Intensität und der Inclination in Zikawei ist also ge- 12. 11 4,3 |1,6352 | 4,6777 4,9553 T0 43,9 ZUM SER 2 |0 48,2 1,6440 |4,6847 |4,9648 39,8 rade entgegengesetzt der ob’erwähnten Gleichartigkeit ? : i , ET 311 4,1 |1,6523 |4,7042 4,9859 38,8 dieser beiderlei Intensitätsstörungen in Pawlowsk und 4 |1 10,4 11,6535 |4,7008 4,9831 372 Kew, wo demzufolge umgekehrt die Inclination fast 5 |1 11,6 1,6530 |4,7048 |4,9867 38,5 unverändert geblieben ist, während die ganze Intensi- 6 |1 4,9 |1,6482 | 47060 3 41,9 tät eine bedeutende Zu- und Abnahme erfahren hat. 7 |1 0,4 |1,6381 |4,6965 |4,9740 46,3 Dass also, wenn wir Alles zusammenfassen, in Kew die 8 |0 55,5 |1,6343 | 4,6906 |4,9672 47,4 Declination verhältnissmässig starke, die Inclina- 9 10 58,9 (1,6341 |4,6843 |4,9611 46,1 tion fast keine und die ganze Intensität nur eine ge- 10 |1 3,9 |1,6266 [4,6705 |4,9456 47,9 ringe Störung, in Pawlowsk die Declination eine 11 [0 56,0 1,6324 |4,6730 | 4,9499 44,7 mässige, die Inclination fast keine und die Intensität 12 |0 49,4 1,6267 | 4,6682 | 4,9435 47,3 eine sehr starke, endlich in Zikawei die Declination | 13. 1 |1 9 1,6185 4,6528 4,9262 49,3 eine geringe, die Iuelination eine verhältnissmässig 2 [0 45,7 | 1,6248 20975 A28 46,1 : e E S 3 [0 47,2 |1,6323 | 7 41,5 starke und die Intensitüt fast keine Stórung erfahren - RE 4 [0 52,0 |1,6215 | 4,6626 |4,9365 49,4 haben soll, ist eine so auffallende Thatsache, dass ich 5 |1 11,5 |1,6328 | 4,6628 | 4,9404 42.1 für das bezügliche Verhalten der Störungen in Paw- 610 58,5 1,6291 4,6677 4,9438 45,6 lowsk und Kew hier noch die nähern Nachweise durch 7 |1 1,7 1,6293 | 46726 5 46,6 Zahlen glaube beibringen zu müssen, 8 |1 0,0 11,6298 |4,6737 | 4,9497 46,5 In der nachstehenden Tabelle I gebe ich für jede 9 [0 54,1 |1,0272.| 4,6755 | 4,9506 48,6 volle Stunde mittlerer Pawlowsker Zeit die den Auf- 10 [0 53,6 | 1:6288 | 4,6777 | 4,9532 48,1 zeichnungen des Magnetographen in Pawlowsk entnom- 11 [0 55,6 |1,6286 | 4,6779 4,9533 48,3 men und nach den absoluten Messungen im August | Mittag |0 55,0 1,6299 |4,6810 | 4,9566 48,1 auf absolute Werthe reducirten Stände der Declination, 1 |0 55,9 1,6311 | 4,6806 | 4,2567 47,3 Horizontal- und Vertikalintensität sowie die aus den 2 |1 1,8 1,6347 4,0823 4,9595 45,3 . beiden letzteren abgeleitete Inclination und Ganze In- 3 |0 59,2 1,6460 4,6868 | 4,9674 38,9 tensitàt (nach Gauss'chen Einheiten i. e. bezogen auf ut OS ET T MA | ie 5 |0 57,4 11,6858 | 4,6841 |4,9615 45,0 mm. und mgr.): ` 6 |0 56,9 |1,6369 |4,6843 | 4,9621 44,3 7 |0 56,2 11,6441 |4,6785 | 4,9590 38,3 EM ML TS E 8 [O 45,0 |1,6353 |4,6778 | 4,9554 43,9 | 9 [0 52,1 11,6311 |4,6737 |4,9501 45,7 1880. Decli- Horizont. Vertical- | Ganze Incli- 10 |0 57,8 |1,6279 | 4,6699 4,9455 46,9 . August. nation. |Intensität. UPS vede Muss Iii s: 1,6344 4,6680 4,9 459 49.9 1* | 0038/4 | 1,6343 | 4,6690 | 49468 | 70°42/5 12 |0 36,7 |1,6305 | 4,6667 | 4,9433 44,5 2 |0 49,2|1,6399 | 4,6688 | 4,9484 388| 14 1 |0 38,9 1,6305 | 4,6649 | 4,9416 ‚44,1: 5 |0 50,8 | 1,6362 |4.6773 [4,9552 43,2 4 |1 0,1 1,6297 |4,6619 |4,9385 43,9 6 |0. 50,4 1,6364 |4,6775 | 4,9555 | 43,1 e E ميان‎ Ee MU 7 |0 49,5 |1,6361 4,6775 |4,9554 43,3 6 |O 56,4 |1,6261 4,6690 4,9441 47,9 9 |0 52,8 |1,6336 146769 49540 | 448 8 |0 49,9 1,6278 4,6758 4,9510 48,3 10 |0 54,3 |1,6324 |4,6767 |49534 | 45,5 9 [0 52,2 | 1,0320 46777 4,9544 200 11 |0 59,2 |1,6321 |4,6763 | 4,9529 45,6 10 [0 49,8 |1,6314 |4,6772 | 4,9536 46,3 Mittag |1 0,6|1,6350|4,6770 |49545 | 439| 11 |0 52,6 1,6310 4,67714,9533 | — 46,9 i Mittag |0 55,0 |1,6315 | 4,6773 | 4,9537 46,2 289 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 290 1880. Decli- | Horizont.| Vertical- | Ganze Incli- 1880. Declina- | Horizont. | Vertical- | Ganze Incli- August, | nation. |Intensität |Intensität | Intensität, nation. August. |tion 10°+-.|Intensität. | Intensität. | Intensitát.| nation. 14. 1“ | 0*56;8 1,6327 | 4,6775 | 4,9548 |70°45,5 | 13. 1^|8?39/4 | 1,7958 | 4,3816 | 4,7353 | 67° 42;8 2 0 57,9 1,6341 4,6779 4,9551 44,7 2 49,4 | 1,7921 | 4,3898 | 4,7323 44,8 3 ,0 56,4 1,6346 | 4,6782 | 4,9556 44,4 3 40,6 / 1,7051 | 4,3814 |4,7349 43,2 4 :0 55,0 1,6354 | 4,6785 |4,9561 44,0 4 54,0 | 1,7948 | 4,3810 |4,7344 43,3 5 {0 55,0 1,6373 | 4,6788 |4,9570 42,8 D 47,5 |1,7994 | 4,3812 |4,7363 40,3 6 0 54,5 1,0358 4,6781 9 43,6 6 51,4 1,7946 | 4,3811 |4,7344 43,5 7 10 54,3 |1,6369 | 4,6782 |4,9563 42,9 7 59,3 | 1,7962 | 4,3815 |4,7354 42,5 8 0 53,0 |1,6379 4,6779 |4,9564 42,2 8 54,0 |1,7968 | 4,3824 | 4,7364 42,4 9 :0 54,5 1,6358 | 4,6771 | 4,9549 43,4 9 54,0 |1,7945 | 4,3826 | 4,7358 44,0 10 |0 52,3 |1,6353 | 4,6771 |4,9547 43,7 10 53,0 |1,7945 | 4,3834 | 4,7365 44,2 11 10 58,5 1,6353 4,6756 | 4,9533 43,4 11 53,1 |1,7935 | 4,3836 |4,7363 44,9 12 10 52,7 |1,6361 |4,6745 |4,9526 42,6 | Mittag 55,1 11,7928 | 4,3841 | 4,7356 45,5 1 56,8 | 1,7934 | 4,3844 | 4,7370 45,2 Zum Vergleich sind in der folgenden Tabelle II die 2 |9 2,3 11,7939 | 4,3847 | 4,7375 45,0 für dieselben Stunden mittlerer Pawlowsker Zeit den 3 0,5 1,7965 | 43860 | 4,7397 43,6 Aufzeichnungen des Magnetographen in Kew entnom- ` ie se a pe e menen bezüglichen Daten zusammengestellt. 685 9, 4 179 62 438 66 47 401 43.9 Heu Tabelle II. 7 50,9 | 1,8009 | 4,3869 | 4,7422 40,9 8 51,5 | 1,7982 | 4,3873 |4,7415 42,8 1880. Declina- | Horizont. | Vertical- Ganze Incli- 9 48,1 1,7978 4,3860 4,7402 42,7 August. [tion 10 +. | Intensität. Intensität. [Intensität. | nation. 10 |9 .4,511,7972 |4,3856 | 4,7396 43,0 11 |8 45,5 11,7958 | 4,3844 | 4,7379 43,6 12. 1° |8° 46,3 1,7958 | 4,3845 147378 6744/0 12 45,2 |1,7949 | 4,3843 | 4,7379 44,2 2 38,5 1,7973 (4,838839 | 4,7380 42,4| 14. 1 44,4 |1,7938 | 4,3838 | 4,7366 44,8 3 46,5 |1,7961 | 4,8848 | 4,7384 43,5 2 43,3 |1,7931 |4,3820 | 4,7347 44,7 4 49,3 | 1,7964 | 4,3850 | 4,7387 43,4 3 42,3 1,7956 | 4,3829 | 4,7365 43,3 5 48,9 |1,7964 |4,3852 |4,7389 43,4 4 42,6 |1,7954 | 4,3827 | 4,7362 43,4 6 49,4 | 1,7966 |4,3853 | 4,7391 43,8 5 51,5 1,7964 | 4,3822 | 4,7361 42,6 7 51,6 |1,7965 | 4,3853 | 4,7390 43,4 6 58,5 | 1,7948 | 4,3830 | 4,7362 43,9 8 47,4 |1,7964 | 4,3854 | 4,7391 43,5 7 19 3,4 |11,7964 |4,3828 | 4,7367 42,8 9 48,4 |1,7962 4,3854 | 4,7390 43,6 8 18 56,1 1,7929 | 43836 |4,7361 45,3 10 50,4 1,7957 |4,3851 |4,7385 43,9 9 | 53,6 |1,7947 |4,3846 | 4,7377 44,4 11 51,0 |1,7962 |4,3852 | 4,7388 43,5 10 49,4 |1,7941 | 4,3853 | 4,7381 45,0 Mittag 51,4 1,7962 |4,3852 | 4,7388 43,5 11 51,2 | 1,7938 | 4,3853 |4,7380 45,2 1 54,6 | 1,7961 |4,3847 | 4,7383 43,5 | Mittag| 53,0 |1,7937 | 4,3854 | 4,7380 45,3 2 46,9 |1,7915 |4,3842 |4,7361 46,5 1 45,0 |1,7938 |4,3852 | 4,7379 45,2 3 19 8,2 1,7968 |4,3862 | 4,7400 43,4 2 57,5 |1,7944 | 4,3851 |4,7380 44,7 4 13,6 |1,7988 |4,3859 | 4,7404 42,0 3 58,7 1,7945 |4,3855 | 4,7384 44,8 5 14,3 11,7992 | 4,3884 | 4,7429 42,4 4 58,9 |1,7947 |4,3858 | 4,7388 44,7 6 8,2 |1,7986 |4,3914 | 4,7455 43,6 5 57,1 |1,7956 | 4,3862 |4,7395 44,2 7 |8 59,3 |1,7953 | 4,3907 |4,7436 45,7 6 56,2 | 1,7955 | 4,8860 | 4,7393 44,2 8 19 0,811,945 4,3886 |47413 45,6 í 55,4 11,7958 | 4,3863 | 4,7397 44,1 9 1858,2 |1,7958 | 4,3877 4,7410 44,5 8 52,6 |1,7965 | 4,3865 | 4,7401 43,7 10 41,5 1,7991 | 4,3860 | 4,7406 41,8 9 54,2 |1,7958 4,3864 | 4,7398 44,1 11 46,8 1,7985 | 4,3852 | 4,7397 42,0 10 54221,7957 |4,3862 | 4,7895 12 47,4 11,7951 ‚4,3843 4,7376 44,0 11 55,9 |1,7964 | 4,3858 | 4,7394 | 12 51,8 | 1,7959 |4,3855 | 4,7390 : 19 Tome XXVII. Bulletin de l’Académie Impériale 292 Endlich theile ich nachstehend zur Beurtheilung der Grósse und Relation der Stórungen zum normalen täglichen Gang noch die 9-jührigen Mittel des täglichen Gangs der Declination, Inclination und der ganzen In- tensität in Petersburg- Pawlowsk für den August mit. Dieselben sind als Mittel für 6 Jahre der Abhandlung des Herrn R. von Trautvetter: «Die magnetischen Beobachtungen am physikalischen Central-Observato- rium zu St. Petersbnrg in den Jahren 1870 — 77»°) entnommen und durch Hinzufügung derjenigen von 1878 —80 in Pawlowsk aus den Annalen des physika- lischen Central-Observatoriums zu 9-jährigen ergänzt. Sie sind als Abweichungen vom Monatsmittel darge- stellt und für diese selbst sind diejenigen des August 1880 in Pawlowsk zum Vergleich mit den obigen ge- stórten Werthen zu nehmen. Diese sind aber: Absol. Decl. 0756700 Pawlowsk August 1880 7043/09 4,9549 Petersburg-Pawlowsk. Tabelle III, ` Absol. Incl. Abs. ganze Intens. Die Werthe für Declination, Inclination und ganze Intensität dieser 3 Tabellen sind für den 12. — 14. August auf der beiliegenden Tafel graphisch aufgetra- gen, wobei die starken ausgezogenen Linien die mitt- leren oder Normal-Werthe und die schwachen ausge- zogenen Linien die gestórten Werthe für Pawlowsk, die punctirten Linien aber die gestórten Werthe für Kew darstellen. Eine Betrachtung dieser Tafel lässt ohne Weiteres folgende zwei Thatsachen erkennen: . Während die Störungen der Declination in Paw- lowsk und Kew nahezu denselben Betrag erreichen, sind in Pawlowsk diejenigen der Inclination doppelt und die der ganzen Intensitát nahezn 5 Mal so gross als die in Kew. 2". An allen drei Tagen zeigt auch die Grösse der Stórungen bei den 3 Elementen, insbesondere aber bei der Intensität, einen täglichen Gang, der seinem Ver- lauf nach im Wesentlichen mit der normalen täglichen ` Variation dieser Elemente übereinstimmt. Für Kew ergiebt sich in Übereinstimmung damit eine durch- schnittliche Verzógerung im Eintritt der Maxima und Minima dieser Periode von 2 Stunden entsprechend der Lüngen-Differenz beider Orte. Zur Erhärtung der letzten Thatsache theile ich noch in der Tabelle IV die entsprechenden Daten für das magnetische Ungewitter vom 18.— 20. Januar 1873 mit, welehe damals den Aufzeichnungen des Magnetographen in St. Petersburg entnommen wor- den. Es sind hier die Werthe der betreffenden Ele- mente für alle 15 Minuten gegeben. | August Declination. Inclination. | Ganze Intensitàt. 1* Pos ERI —— 0,71. TS 0,0097 6 s T64 |: 065 | — 0,0009 3 — 2,08 | — 0,65 — 0,0007 4 — 9,89. | — 0,54 | — 0,0005 SCH — 3,02 | — 0,49 | — 0,0004 6 — 3,97 | — 0,24 | — 0,0004 a — 4,17 0,18 | — 0,0005 8 — 4,22 0,74 | — 0,0006 9 — 3,38 1,23 | — 0,0006 10 = 1,34 LBG | --——4:0010 11 1,47 1,81 — 0,0012 Mittag 4,31 1,56 — 0,0011 SE 6,39 1,07 — 0,0006 3 6,54 0,54 0,0002 3 5,42 0,08 0,0011 à 4 21415. — 0926 0,0016 8 1,61 | —.0,34 0,0017 6 x 0,55 |. — 0,41 0,0014 E 0,28 -— 0,56 0,0012 Se 0,20. | — 0,71 0,0012 9 — 0,01 | — 0,85 0,0009 10 — 0,26 | — 0,84 0,0005 11 0,78 | .— 0,87 — 0,0001 12 — 1,27 | — 0,71 | — 0,0005 2) Wild's Repertorium für Meteorologie Bd. VII X 3. 187 St. Petersburg. Tabelle-IV. 1873. Decli- |Horizont.| Vertical- | Ganze Incli- Januar nation. ‚Intensität Intensität Intensität.| nation. 18. 2°15’| 1° 44/0 | 1,6387 | 4,6828 | 4,9612 |70°42/8 30| 43,41,6385 | 4,6828 | 4,9612 42,9 45 | 43,0 1,6393 | 4,6830 | 4,9616 42,4 3- 0| 42,7|1,6392| 4,6831 |4,9617 42,5 15 | 42,3|1,6393 4,6833 | 4,9619 42,5 30| 41,8 1,6392 4,6834 | 4,9620 42,6 45 | ` 41,5 1,6393 4,6833 4,9619 492,5 4 0|. 41,4 1,6392 4,6834 49620 42,6 15| 410 1,63914,0833 4,9618 42,6 30 | 40,811,6391 4,6833 | 4,9618 42,6 45 | 41,0 1,6390 4,6833 | 4,9618 42,7 5 0| 41,6 1,6385 4,6832 4,9616 43,0 15| 413 ا‎ 4,9616 43,0 30 43,1 45 41,6 1,6384 4,6832. 1,9615 43,1 293 des Sciences de Saint- Pötersbourg. | 294 1873. Decli. |Horizont. | Vertical Ganze Incli- 1873. Decli- |Horizont. | Vertical- | Gan Incli- -- Januar nation. |Intensität. Intensltät.|Intensität.| nation. Januar. nation. Intensität. Intensität. Intensität. nation. 18. 6^ 07] 1°42/4| 1,6389 | 4,6832 | 4,9617 | 70°42/7 | 19. 6* 0’|1°40/0|1,6391|4,6774|4,9563|70°41/3. 15| 39,61,6386 |4,6831 4,9615, 42,9 15| 40,7 1291146781 |4 0669 41,4 30| 38,111,6878 4,6834 | 4,9615 43,5 30| 43,0 1,6390 4,6792 4,9579 41,8 45| 36,8 1,6380 | 4,6839 | 4,9621 43,5 45| 44,8|1,6383|4,6803 49588| 425 7 0| 40,6|1,6373 | 4,6842 | 4,961 44,0 7 0| 42,7|1,6384| 4,6809 4,9594 42,5 15| 41,41,6371) 46842 | 4,9620, 44,1 15| 41,5|1,6386 | 4,6814 | 4,9599 42,5 30| 40,4 1,6365 4,6846 | 4,9622 44,6 30| 41,2 |1,6390 4,6817 | 4,9603 42,3 45| 39,211,6368 4,6846 | 4,9623) 44,4 45| 38,01,6374 4,6821 4,9602) 435 8 O| 39,61,6373 | 4,6846 | 4,9625 44,1 8 0| 37,3|1,6388 4,6826 4,9611| 427 15| 39,71,6378 4,6845 [4,9626 | 43,8 15| 38,81,6392 4,6829 4,9615 425 30| 39,51,6381 |4,6842|4,9624| 43,5 30| 39,61,6393 | 4,6830 4,9616| 42,4 45 37,81,6377. 4,6841 | 4,9621 43,7 45 39,91 1,6401 | 4,6830 4,9619 41,9 9 0| 38,6 1,6386 |4,6840 | 4,9623 43,1 9 oi 40,6|1,6397 4,6830 4,9618| 422 15 38,7 |1,6384 | 4,6838 | 4,9621 43,2 15 41,7|1,6397 | 4,6831 4,9619 42,2 30| 37,9|1,6377\4,6838|4,9619| 43,7 30| 41,5[1,6394|4,6831|4,9618| 42,4 45| 36,4|1,6381 | 4,6837 | 4,9619 43,4 45| 39,1]1,6391/4,6832|4,9618| 42,6 10 Of 30,81,6368 4,6837 |4,9615| 442| 10 0| 40,5|1,6388| 4,6833 4,9617| 42,8 15| 22,3/1,6272|4,6834|4,9613| 43,9 15| 40,011,6374| 4,6836 |4,9617| 43,8 30| 14,81,6378 4,6826 |4,9608| 43,3 30| - 41,1/1,6375| 4,6837 |4,9617| 43,8 45| 15,611,639014,6813/49599| 42,2 45| 40,2|1,6370| 4,6837 4,9615| . 44,1 11 0| 17,81,6352 4,6805 |4,9579 44,5 11 0| 41,2|1,6354| 4,6840/4,9613| 45,2 15| 21,9/1,6354|4,0809|4,9584| 44,5 15| 43,6 1,6333 4,6843 49609) 467 30| 23,9|1,6355 |4,6806 |4,9581 44,4 30| 47,111,6350 4,6847 4,9619| 45,8 45| 25,8|1,6352 4,6806 |4,9580| 44,6 45| 46,4 1,6333 4,6848 4,9614| 46,8 Mittern. | 27,9 | 1,6361 | 4,6809 | 4,9586 440| Mittag| 46,1/1,6225|4,6851/4,9614| 47,4 19, 15 28,6 1,6356 | 4,6804 | 4,9580 44,3 15 43,7 1,6319 | 4,6855 4,9616 47,8 30| 29,811,6359146797|49574| 43,9 30| 42,8|1,6330|4,6859|4,9623| 472 45| 37,0|1,6358|4,6785|4,9562| 43,7 45| 40,7 1,6331 4,6866 4,9630) 47,3 1 0| 33,211,6368 |4,6772|4,9553 49,7 1 O| 37,8|1,6332 |4,687414,9638| 47,4 15| 29,3 1,6379 |4,6770 | 4,9555 42,0 15| 48,6 |1,6336 4,6879|4,9644| 47,3 30| 25,2|1,6383|4,6772|4,9558| 41,8 30| 52,0|1,6340 4,6896 4,9661 47,4 45 28,4 1,6394 | 4,6785 | 4,9574 41,3 45 50,0 1,6332 | 4,6906 | 4,9668 48,2 2 0| 30,6/1,6401|4,6791|4,9582 41,0 2 0| 49011,6342 4691049675) 47,6 15| 30,2|1,6897 | 4,6790 |4,9580 41,3 15| 48,8 1,6339 46913 49677| 47,9 30| 31,8/1,66889|]4,6791]4,9578| 41,8 30| 52,51,6358 4692349693) 468 45| 36,9| 1,6387 | 4,6792 | 4,9578 42,0 45| 51,0|1,6354 4,6936 | 4,9704 47,4 3 0| 38,6 1,6381 4,6790 4,9575. 42,8 3 0| 52,0 1,6362 4,6944 49714 47.1 15| 38,01,6397 | 4,6786 4,9576| 41,2 15| 55,8 1,6352 4,6964 4,9729| 482 30 39,0 |1,6405 | 4,6776 |4,9569 40,4 30 54,1 1,6357 }4,6986 | 4,9745 49,6 45| 32,711,6396 4,6763|4,9554| 40,7 45| 50,0 1,6335 147001149759) 50,1 4 O| 42,2|1,6883|4,6768|4,9554| 41,7 4 O| 46,2 1,6329 4,70171 4,9772) 50,9 15| 49,5 1,6362 |4,6772| 4,9551 43,1 15| 38,9| 1,6312 4,7029 |4,9778| 52,3 30| 40,7 1,6422 4,6766 | 4,9566 39,1 30| 27,3/1,66821|4,7001|4,9754| 510 45 37,5 | 1,6402 | 4,6752 | 4,9546 40,1 45 38,5 | 1,6333 | 4,6998 49755). 650,2 5 0| 39,5|1,6393|4,6760 4,9550 40,8 5 0| 38,9 1,6304 47025 | 4,9771 52,7 15 47,7.,1,6370 | 4,6760 | 4,9543 42,3 15 31,9 | 1,6302 47029 4,9774 52,9 30 47,4]1,6387| 4,6771|4,9559 41,5 30 32,4 1,6321 | 4,7008 | 4,9761 51,2 45|] 46,411,0892|4,0772|4,9561| 41,2 45| 34411,6334/46992149750| 50,0 19” 295 Bulletin de l'Académie Impériale 296 1873. Decli- |Horizont. | Vertical- | Ganze Incli- 1873. Decli- |Horizont.| Vertical- | Ganze Incli- Januar nation. PatensBat. Totégjet Intensität.| nation. Januar. nation. |Intensität.|Intensität.|Intensität.| nation. 19. 6^ oli 37,0 1,6324 | 4,6980 | 4,9735 |70°50/4 | 20. 6^ 0'|1?38/9|1,6368 | 4,6834 | 4,9612 59 15 31,8. 1,6335 | 4,6960 | 4,9720 49,2 15 39,1 | 1,6370 | 4,6834 | 4,9613 44,0 30| 37,2 1,6345 4,6942 4,9706 48,1 30| 395116370146835|49613| 44,1 45 | 32,6 1,6349 | 4,6933 4,9699 | 47,7 45| 38,9|1,6370|4,6835|4,9613| 441 7 ol 30,2 1,6357 14,6919 4,9688 46,8 7 ol 39,4|1,6370|4,6835|4,9613| 441 15 33 4 | 16346 4,6909 149675, 47,3 15| 39,1|1,6370|4,6835|4,9613| 44,1 30 34,5 1,6349 4,6902 | 4,9670 47,0 30 38,6|1,6870|4,6835|4,9613 44,1 45| 34,5 1,6350|4,6895 |4,9663 46,7 45| 38,6|1,6370|4,6835|4,9613| 44,1 8 0 35,4 1,6348 46887|4,9655| 46,7 8 ol 379|1,6369|4,6836|49614| 44,1 15 36,5 1, 6339 | 4,6883 | 4,9649 47,2 30 35,0 | 1,6336 | 4,6882 | 4,9647 47,3 Eine gleiche dem normalen täglichen Gang der ver- 45 | 35,0 1,6336 | 4,6883 4,9648 47,4 | schiedenen Elemente folgende Periodicität der Stö- 9 0 32,1 1,6343 | 4,6878 | 4,9645 46,8 rungsintensität habe ich bei einer früher nicht publi- 15 30,6 1,6338 | 4,6868 | 4,9634 46,9 cirten Untersuchung des magnetischen Ungewitters 3 a sie re er us vom 1. und 2. Februar 1870 in Petersburg und 10 0 39 9 16344 4.6860 496928 46. Kew, sowie desjenigen vom 24. und 25. October 15 35.1 1.6342 4.6857 4,9625 46,4 1870 in Petersburg gefunden. Beim Durchgehen 30 35,3 | 1,6356 4,6848 | 4,9621 45,3 der im Anhang der Annalen des physikalischen Cen- 45 34,4| 1,6356 | 4,6842 | 4,9615 45,1 | tral-Observatoriums für 1870 mitgetheilten stündlichen 11 0 36,1 | 1,6348 4.6840 4,9611 45,6| Werthe der magnetischen Elemente e man sich 15 36,2 | 1,6347 | 4,6834 | 4,9605 45,5 | hievon leicht überzeugen. 30 32,8 1,6344 | 4,6825 4,9595 45,5 Diese, besonders bezüglich ihrer Präcision zum Theil 45 31,0 1,6325 4,6809 4,9574 46,4 | neuen Thatsachen scheinen mir auch auf die immer Mittern. | 32,5 1,6338 4,6804 4,9574 45,4 | noch räthselhafte Natur der Störungskräfte ein neues 20. 15 28,0 1,6356 | 4,6800 4,9576 44,2 | Licht zu werfen. Aus der zweiten Thatsache nämlich e SECH SE eil ses lässt sich schliessen, dass die Störungskräfte wohl 1 ol 326 1.63 46 4.6810 4.9582 45 1 | Bur als plötzlich und daher auch überall auf der Erd- 15 3 47 1,6356 4.6807 49 589 4 43 oberfläche gleichzeitig eintretende Verstärkungen der- 30 | 40,4 1,6405 4,6803 | 4,9595 41,0 | Jenigen Kräfte aufzufassen sind, welche die normalen 45 46,8 | 1,6404 | 4,6769 | 4,9562 40,3 Variationen der erdmagnetischen Elemente bedingen, 0s 42,4 | 1,6368 | 4,6760 | 4,9542 49,5 | wobei den zur Zeit der Stórungen zugleich auftreten- 45 35,8 | 1,6363 | 4,6772 | 4,9552 43,1 den starken und raschen Schwankungen der letztern 30 37,9 1,6357 | 4,6789 | 4,9565 43,8 | gemáss anzunehmen ist, dass zugleich mit der durch- 45 37,3 | 1,6352 | 4,6805 |4,9579 44,5 | schnittlichen Verstärkung jener Kräfte rasche und 3, 0| 38,2|1,6357 4,6814 |4,9589 44,4 | heftige Pendulationen derselben um ihren mittleren es 37,8 1,6359 4,6817 4,9598 44,4 Betrag eintreten. 30 | 37,1 1,6359 4,6819 | 4,9595] 444| Die bekannten Gelêk der täglichen und jährlichen 4 4 Ee e ved ved s Perioden der Variation der verschiedenen erdmagneti- 15 379 163 58 A 6898 4 9603 4 A7 schen Elemente, welche dieselben, als von der localen 30 38, 9 1.6357 4.683 0149604| 448 Sonnenzeit (Rotationszeit der Erde) und von der rela- 45 | 38,6 |1,6358 4,6831 4,9606 4 4,7 tiven Lage der Erde zur Sonne abhängig hinstellt, so- 50 38,5 1,6363 4,6832 | 4,9608 44,4 wie das Gesetz der 25- bis 26-tägigen Periode der Ho- 15 38,4 | 1,6362 | 4,6831 | 4,9607 44,5 rizontal-Intensität entsprechend der Rotationszeit der 30 39,6 | 1,6369 | 4,6832 | 4,9610 44,0 | Sonne weisen auf die Sonne als erste Ursache dieser 45 38,7 1,6364 | 4,6834 | 4,9611 44,4 periodischen Variationen hin; die der 11-jäbrigen Son- 297 des Sciences de Saint- Pétersbourg. nenfleckenperiode entsprechende 11-jährige Ungleich- heit in der Amplitude der periodischen Variationen der magnetischen Elemente, sowie die mit jener ebenfalls übereinstimmende 11-jährige Periode der Häufigkeit und Grósse der magnetischen Stórungen machen es vollends unzweifelhaft, dass die Sonne als das vor- züglichste Agens?) der periodischen und nicht periodischen Variationen der Elemente des Erdmagnetismus zu betrachten ist. Es frügt sich also nur noch, in welcher Weise wir uns diese magne- tische Fernwirkung der Sonne vorzustellen haben. Nehmen wir an, die Sonne sei ein magnetisirter Kórper ähnlich wie die Erde, dessen magnetische Axe nicht mit seiner Rotationsaxe zusammenfalle, so wären die erwähnten täglichen und jährlichen normalen Va- riationen leicht verständlich und wir hätten dann nur zur Erklärung der weiteren Thatsachen anzunehmen, dass der Magnetismus der Sonne zur Zeit der häufigen Sonnenflecken resp. der gesteigerten eruptiven Thätig- keit derselben auch eine starke Zunahme erfahre und zwar im Zusammenhang mit diesen Eruptionen und daher wie diese plótzlich und wiederholt zu- und ab- nehmend. Es hat nun in der That keine Schwierigkeit, Angesichts der jeder Vergleichung mit irdischen Vor- gängen ähnlicher Art spottenden Müchtigkeit der Erup- ‚tionen auf der Sonne bedeutende, die letzteren beglei- tende Elektricitätsentwickelungen und elektrische Ent- ladungen vorauszusetzen, welche den Magnetismus der Sonne sprungweise modificiren. Ob dagegen der absolute Betrag des letzteren und seiner Veränderun- gen wirklich so bedeutend sei, wie er sein müsste, um die beobachteten Variationen der magnetischen Ele- mente hervorbringen zu kónnen, erscheint wohl zwei- felhaft. Nach den bekannten Gesetzen der magneti- schen Fernwirkung ist es nämlich leicht, eine untere Grenze des hierfür geforderten Magnetismus der Sonne zu berechnen. Der Ablenkungswinkel v aus dem magne- tischen Meridian, den eine Declinationsnadel auf der Erde durch einen Magnet vom magnetischen Moment M in der Entfernung Æ auf der Senkrechten durch den magnetischen Meridian im Mittelpunkt jener Na- del erfäbrt, ist gegeben durch den Ausdruck: Sai = von Kreil entdeckte und von Andern, wie Sabin , Airy bestätigte von der Mondzeit abhängige Variation a E Elemente verschwindet neben den von der Sonne ab- hàngigen. e 2M Sin? = gag wenn H die horizontale Componente des Erdmagnetis- mus reprüsentirt. Nun ist in absolutem Gauss'schem Maass der Log. des magnetischen Moments der Erde nach Gauss*): 29,93136, und somit würe dasjenige der Sonne bei gleicher Magnetisirung wie die Erde, wenn wir dasselbe der Masse proportional setzen: Log. M — 35,48159 In demselben absoluteu Maasse kónnen wir in run- der Zahl setzen: Hx XA Endlich ist, in Millimetern ausgedrückt, die mitt- lere Distanz von Sonne und Erde gegeben durch: Log. E — 14,18184. Führen wir diese Werthe oben ein, so ergiebt sich, dass die Sonne bei verhältnissmässig (der Masse nach) gleicher Magnetisirung wie die Erde in günstigster relativer Stellung die Declinationsnadel auf der Erd- oberfläche um: : — 0018 ablenken würde*) Um also in mittleren Breiten eine der halben tüglichen Decl. Variation i. e. ungefähr 4 entsprechende Ablenkung hervor- zubringen, müsste die Sonne circa 13000 Male stärker magnetisirt sein als die Erde und die- ser Magnetismus müsste bei den grossen Stö- rungen, wo Ablenkungen bis zu 2° beobacht et werden, zeitweise um das 30-fache zu- und ab- nehmen. Da nun die Sonne, selbst wenn sie einen nach un- sern Begriffen bis zur Sättigung magnetisirten Stahl- magneten darstellte, höchstens pro Masseneinheit 2000 Male stärker -magnetisch als die Erde sein könnte, so erscheint es dieser Berechnung zufolge nicht wahr- scheinlich, ‚dass die normalen erdmagnetischen Varia- tionen und die Störungen allein auf eine solche directe 4) Resultate des magnet. Vereins für 1838 S, 4 Eine ganz analoge Berechnung über den Dies directen magnetischen Einfluss des Mondes auf die Declinations- und Incli- nationsnadel auf der Erde hat schon Stoney (Philos. Magaz. Vol. XXII. 8. 294. 1861) angestellt und gefunden, dass bei gleicher Mag- netisirung (dem Volumen nach) der Mond die Declinationsnadel um höchstens 07094 und die Inclinationsnadel um hóchstons 07 e ab- lenken kónnte 299 Bulletin de l’Académie Impériale 300 magnetische Fernwirkung der Sonne zurückzuführen sein. Hiergegen spricht auch die erstere Thatsache näm- lich die Ungleichartigkeit der Stórungen an, nament- lich der geographischen Länge nach entfernten Orten und die so ungleiche Wirkung derselben auf die ver- schiedenen Elemente der erdmagnetischen Kraft. Diese Facta weisen im Gegentheil auf eine andere störende Kraft hin, welche ihren Sitz auf der Erde selbst hat und für die also die Entfernungen auf der Erdober- flache nicht verschwindend sind, wie für eine von der . Sonne ausgehende Kraft. Als eine solche Kraft kónnen wir aber die, beson- ` ders zur Zeit der Nordlichte auftretenden, elektrischen Ströme in der Erde betrachten, welche ihrerseits nach der hauptsüchlich von A. de la Rive vertretenen und ausgebildeten Ansicht als Entladungsstróme des Erd- Condensators anzusehen sind. Die Erscheinungen der Luftelectricitit nàmlich lassen nach ihm darauf schlie- ssen, dass die Erde mit ihrer Lufthülle gewissermaassen eine grosse Leidnerflasche darstelle, deren eine mit negativer Electricität geladene Belegung die leitende Erde selbst und deren andere positive Delegung die ebenfalls leitenden, weil sehr verdünnten, hóheren Schichten der Atmosphüre repräsentiren, wührend die dichtere Luft dazwischen den trennenden Isolator re- prüsentirt. Die Entladungen dieses Condensators in der Nähe der Pole bewirken die Nord- und Südlichter und geben zugleich zu Ausgleichsströmen in der Erd- rinde Veranlassung, welche wenn sie von den Polen beiderseits bloss bis zum Âquator gehen und dort zu den hóheren Schichten der Atmosphüre zurückkehren, | m zu Ablenkungen des Nordpols der Declinationsnadel auf der nördlichen Halbkugel nach Westen, auf der südlichen nach Osten Veranlassung geben, aber auch entgegengesetze Wirkung haben kónnen, wenn sie in der Erde von Pol zu Pol gehen. Solche für gewóhn- lich schwache, aber continuirliche electrische Entla- dungen, welche zur Zeit der Nordlichter in plótzliche und sehr starke übergehen, sind nach der Intensität der wirklich beobachteten Erdströme jedenfalls aus- . reichend zur Hervorbringung sowohl der normalen ` wie anomalen Variationen der magnetischen Elemente . und lassen auch deren Verschiedenheit von Ort zu Ort leicht verstehen. Wir brauchen jetzt schliesslich nur noch auzuneh- men, dass diese Entladungen der Luft- resp. Erdelec- tricitat im Allgemeinen nicht in beliebiger Weise er- folgen, sondern durch die Sonne regulirt werden, so werden diese beiden Factoren so zu gemeinsamer Wir- kung verbunden, dass alle principiellen Schwierigkei- ten für die Erklärung der Variationen des Erdmagne- tismus gehoben sein dürften. Wenn nämlich hiernach die Sonne durch ihren Magnetismus und die electri- schen Vorgänge bei ihren Eruptionen mehr nur aus- lósend auf die Entladungen der angesammelten Luft- und Erd-Electricitäten unserer Erde einzuwirken hat, so brauchen wir jene nicht verhältnissmässig so unge- heuerlich vorauszusetzen, wie dies bei einer bloss di- recten magnetischen Fernwirkung derselben geschehen müsste. Die vollstindige Übereinstimmung aber, wel- che sich in der Periodicität der Nordlichter und der Sonnenflecken ergeben hat, gewührt eine genügende thatsáchliche Basis für unsere Hypothese. Nach dieser Theorie der Variationen des Erdmag- netismus, die ich eher als eine ergünzende und zusam- menfassende denn als eine durchaus neue bezeichnen móchte, wird den Erdstrómen eine wichtige Rolle zu- getheilt. Ehe ich daher an eine weitere Ausführung dieser Theorie in den Details gehen wollte, hielt ich es bei der theilweisen Unbestimmtheit der bisherigen Beobachtungsdaten über diese Ströme für geboten, vorher selbst ein experimentelles Studium derselben -zu unternehmen. Hierzu werden mir aber die bezüg- lichen Einrichtungen Gelegenheit geben, welche im nüchsten Sommer mit der grossmüthigen Unterstütz- ung der. Direction der Russischen Telegraphen beim t Observatorium in Paw- lowsk werden hergestellt werden. Wir können hoffen, dass Angesichts der bereits sehr bedeutenden Störun- gen der Intensität in unserer Breite diese Beobach- tungen ganz besonders aufden Zusammenhang der Erd- ströme mit den Intensitätsänderungen des Erdmagnetis- mus ein neues Licht werfen werden. Die erdmagnetische Differenz zwischen St. Petersburg und Pawlowsk. Von H. Wild. (Lu le 3 mars 1881.) Da jetzt von dem meterologisch-magnetischen Ob- servatorium in Pawlowsk bereits für 3 Jahre voll- ständige erdmagnetische Beobachtungen vorliegen, , 0 dürfte es an der Zeit sein, zur Verknüpfung der neuen ; Gestórter Gans in Pawlowsk. Normaler Gang in Pawlowsk. -------- Gestörter Gang in Kew.. bees letin de l'Acad.des sc. T.XXVII. ime ée | 13 August 1880. 1890. — a 1 | 14 Angust 1880 HWild, Magnet. Ungewitter vom DW c. 4 6 8 10 Mititaé 1 Do, d 1 10 Ò A 5 DIE $9 LOT LS 10 | Mittag | 2 1 6 8 10 $ | 1 4 6 8 0 |Mittas | 2 A 10 | $ 7 علي‎ > 1 1 À : | 1 i z NS A € Ia N T ; \ i | 1 1 | "S - 0 A te; à N AN dis | 7 Cie = p b RENE "Teen | LINZ EI SEHEN as s del سم‎ — A Eu N / ak L aeg 4 ك‎ A A SEND Lol -iA ZN oe : A ` P t xt. ^ e , No ج اک یی لا‎ x 2 `a : 3 Ser Gan ل‎ E = ^ 5 Pr. m - L > - ie N N \ Ps ^ Ex : eT E Y in. E ? r ` O7 ` D F 7 ap - Y No ^ A Li 04 à 5 za cas e 5 y x ^. P ND CA 1 : 020 F 9 * t mass S 2 "3 3: 5 SC U P Y E ` af S / au 7 Decliniation ل‎ n T. : ١ م‎ d 7 N 4 TH uid. 7 . 4^ d d wi SE gn, pae: O WDE qiu - aE ا‎ Ts : MIT TT e zl mm m sche zm mm zm = pm ع سلا ع‎ - "d ا‎ S i .- por ee Ts ل‎ 5 pu — —- "ا‎ - |. Henn. ao عم عات اماك‎ ann 28 e Lo م سام شاع‎ cs an ob LE KE -— 5 - We sd س س سا‎ An. - e? PR — = - hi T" ld "caus ^ Eu pr ++" ON Laer tr - T “age De ied با‎ g + S S ^A40220 nclination | : l , SCH — | : rs l - ; EN | | | | 4.9600 ds SS | | | A TN i : 7 : — — SEMEL UP. x 3 \ = 4.9570 ® BEE al um mos Pd E 5 لح‎ : Le" A A Ó p= | E s EN Pu e 9 سے = .> 5 له‎ 49220 CS سے ر‎ 4 Ton p. 4 à p. : N m MEE 5 A y RE : 7 wi — o — d | 49540 3 í Ze Dë) E ien à Men الس‎ ^ Si — E | ` ` 4 D : L er Tn کے‎ TS m í * ——T—-—i---T-- x E 3 7 2 TT4---4- E Ki * ER a mnt 1 D مسي‎ Ss CH * $ Sen eer D Let. u al $ ` Si 5 pear - > i 43510 Ni dë N : 4 C I Es ee ge ne m | 4950 ` i e ii " 5 1 Le" e SC $ >” 1 bad x m. a E TS Arm em Ne, Pa - E Ki ١ N A Te Le Nap. odio ^ 3 “اج م اع > ا‎ "së A N M] u^. WR A b : : + معن‎ : 3 5 | ١ i FITO i^ | x - r ا‎ S = K ار‎ t v / \ WE: Ganze Inltensität. ry : $ o | mittag | $} A E ees" 0 H koi o4 | à p be P | &R | 4$ |] | à ] 5. 301 des Sciences de Saint - Pétersbourg. bezüglichen Béobachtungsserie mit der frühern im me- teorologisch-magnetischen Observatorium des physika- lischen Central- Observatoriums in St. Petersburg die erdmagnetische Differenz dieser beiden Orte festzu- stellen. Diese Differenz kann zunüchst, wenn wir von loca- len Einflüssen absehen, also bloss allgemein normale Verhältnisse ins Auge fassen, leicht vermittelst der bekannten Längen- und Breiten-Differenz der beiden Observatorien aus den magnetischen Karten abgeleitet werden. Ich habe mich zu dem Ende der für das Jahr 1880 geltenden, von der Deutschen Seewarte in Hamburg herausgegebenen 3 Karten mit Linien gleicher Declination, Inclination und Horizon- tal-Intensität bedient. Aus diesen Karten folgt, dass in der Nähe von St. Petersburg entspreche: Westl Decl. Inclination. Horiz. Intensit. 1’ zunehm. óstl. Länge = 0,53 Abn. 0.00 — 0,000067 Zun. VU zunehm. nördl. Breite = 0,18 Abn. 0,66 Zun. 0,000667 Abn. Nun liegt nach den Annalen des physikalischen Central-Observatoriums für 1878 (I. Theil Einleitung S. 111. Anmerkung) das magnetische Observatorium in Pawlowsk um 13° 973 = 13/2 östlich und um 14 44,7 = 14,75 südlich S vom alten magnetischen Observatorium in St. Peters- burg. Hieraus in Verbindung mit den obigen Werthen berechnen sich leicht die magnetischen Differenzen: dD für die Declination, d? für die Inclination und dA für die Horizontal-Intensitüten der beiden Orte und mit diesen Grössen sind dann weiterhin die Differenzen dV für die Vertikal-Intensitüten und dK für die Total- Intensitäten nach den Formeln: sin 4 1 tet 1. dY — 855 .dH + 1. . H. di 1 sin û : zu finden, wo ? die absolute Inclination und H die abso- lute Horizontal-Intensität am einen oder anderen Ort. Im Jahr 1879 war aber in Pawlowsk im Jahresmittel: i = 70?41'35" H = 1,6372 (mm. mgr.) so dass wir für die verschiedenen Elemente des Erd- magnetismus schliesslich folgende Zahlenwerthe der normalen Differenzen von St. Petersburg und Pawlowsk aus den magnetischen Karten er- halten: St. Petersburg — Pawlowsk. Westl. Decl. Inclination. Horiz.-Intens. Vertik.-Intens. Total-Intens --4/28 +9/70 — 0,0107 +0,0117 + 0,0075 wo also ein positives Vorzeichen bedeutet, dass das betreffende Element um diesen Betrag in St. Peters- burg grósser sei als in Pawlowsk. Differenzen von annühernd gleicher Grósse müssten nun auch die Beobachtungen der beiden Observatorien ergeben, wenn weder am einen noch andern Orte Stó- rungen der normalen Verhältnisse durch Local-Ein- flüsse stattfänden. Diese Bedingung können wir aller- dings für das magnetische Observatorium in Pawlowsk als erfüllt betrachten, dagegen haben wir alle Ursache, erhebliche stórende Local-Einflüsse beim alten magne- tischen Observatorium in St. Petersburg zu vermuthen. Es ist daher durchaus geboten, die faktischen Diffe- renzen zwischen beiden Orten auch aus den Beobach- tungen selbst abzuleiten. Hierzu bieten sich dreierlei Wege dar. Zunächst besitzen wir aus den letzten Tagen des Decembers 1877 gleichzeitige Beobachtungen an beiden Orten nämlich directe stündliche Ablesungen der drei Vari- ationsapparate Unifilar, Bifilar und Lloyd'sche Wage im Observatorium in St. Petersburg und photographi- sche Aufzeichnungen der drei entsprechenden Apparate des Magnetographs im Observatorium in Pawlowsk, welche auf Grundlage der absoluten Messungen im December in St. Petersburg und im Januar in Paw- lowsk auf absolute Werthe für beide Orte zurückzu- führen sind. Sodann kónnen wir die Jahresmittel der in den Annalen des physikalischen Central-Observato- riums vollständig publicirten magnetischen Beobach- tungen für 1877 in St. Petersburg, für 1878 in Paw- lowsk zu dem Ende vergleichen, wenn wir dabei den aus den frühern Beobachtungen am erstern und spä- tern am letztern Orte sich ergebenden mittleren säcu- laren Gang der verschiedenen Elemente in Anschlag bringen. Endlich lassen sich in ganz entsprechender Weise ateh bloss die December-Mittel 1877 in Peters- burg und die Januar-Mittel 1878 in Pawlowsk hier- für verwerthen. Ehe wir indessen diese Vergleiche der beiderlei Beob- achtungen vornehmen können, müssen wir aus ihnen N Bulletin de lAcadéinie Impériale 301 vorher noch die allfällige Instrumental-Differenz elimi- niren. Es sind nämlich die absoluten Messungen in St. Petersburg und Pawlowsk mit Meets In- strumenten ausgeführt worden. Die absoluten Bestimmungen der Declination und Horizontal-Intensität erfolgten in St. Petersburg seit 1869 bis Ende 1877 mit dem kleinen magnetischen Reise-Theodolithen X 38 von Brauer, den ich im Repertorium für Meteorologie (Bd. I. S. 264) beschrie- ben habe und bei dem schon im Jahr 1875 ein stó- render Einfluss wegen Eisengehalt erkannt worden war. In Pawlowsk dagegen sind alle absoluten Decli- nations-Bestimmungen von Anfang 1878 an entweder direct mit dem Meyerstein'schen Declinatorium ange- stellt oder wenigstens auf dessen Angaben reducirt und die absoluten Messungen der Horizontal-Intensität wurden mit dem magnetischen Theodolithen N° 59 von Brauer ausgeführt, der nach denselben Principien wie X 38, grösser und mit einigen Verbesserungen con- struirt ist. — Die absoluten Inclinationsbestimmungen in St. Petersburg geschahen bis und mit 1875 mit dem Inclinatorium von Pistor und Martins in Berlin und die spütern, mit dem Inclinatorium M 22 von - Dover in London erhaltenen Messungsresultate (Mittel der beiden Nadeln I und II) sind bis Ende 1877 stets auf die Angaben jenes Pistor'schen Instrumentes (dito Mittel der Nadeln I und II) reducirt worden. In Paw- lowsk dagegen sind von Anfang 1878 an stets die mit dem Dover'schen Inclinatorium unmittelbar erhaltenen Daten (unmittelbare Mittel der Nadeln I und II oder darauf reducirte Werthe) ohne weitere Correction ver- werthet worden. Was zunächst diese Inclinations-Bestimmungen be- trifft, so sind schon im Jahr 1875 in St. Petersburg, als man von einem Instrument zum andern überging, die Angaben beider durch sorgfältige Messungen ver- glichen worden. Darnach gilt je für das Mittel der zwei Nadeln I und II bei jedem Instrument die Re- lation: Inelination nach Pistor und Martins — — Inclination naeh Dover X 22 + 4/30 und dasist also auch die Relation der absoluten Werthe der Inclination in St. Petersburg und in Pawlowsk. Um also die absoluten Daten für die Inclination in 5t. Petersburg aus den Jahren 1870— 77, wie sie in den Annalen des physikalischen Central- Observatoriums publicirt sind, auf dasselbe Instrument zu reduciren, welches seit 1878 in Pawlowsk dabei benutzt worden ist und auf das sich die publicirten Werthe für diesen Ort beziehen, muss von jenen durchweg 4,30 subtra- hirt werden. Eine Vergleichung der Angaben des Declinatoriums von Meyerstein in Pawlowsk mit denen des Declinato- riums vom kleinen magnetischen Theodolithen M 38 in genau demselben Zustande, wie er in St. Peters- burg gebraucht worden war, hat in Pawlowsk im Jahre 1878 durch die Herren J. Mielberg und G. Hell- mann und im Jahre 1879 durch die Herren E. Stel- ling und Le Grand-Roy stattgefunden. Zu dem Ende wurden nämlich die absoluten Declinationsbestimmun- gen mit dem Theodolith X 38 einfach mit den gleich- zeitigen Angaben des Unifilars des Magnetographen . verglichen, nachdem die letzteren durch Beziehung auf die absoluten Declinationsmessungen am Meyer- stein'schen Declinatorium auf absolute Werthe redu- cirt worden waren. Wegen unsicherer Bestimmung des Azimuts der für den Theodolithen X 38 benutzten Hülfsmiren müssen die Messungen vom Jahr 1878 verworfen werden; diejenigen des Jahres 1879 erge- ben dagegen folgende sichere Werthe: Meyerstein's Differenz. Brauer’s en Stelling. ‚ppeodolith 38. ec 5. ea 8*28"a. 0?51,62 0°56,17 —4;55 » TX 34 92,09 56,45 4,66 » » 9 951.3. 52,16 56,65 4,49 6. » 1359 F 229] 0593 441 Mittel... — 4,53 + 0,08 1879. Le Grand Roy. 16. October. 1^22" p. 0°59/5 1°41 — 4,6 1? 5 4 6 57,2 2,0 4,8 20. 5 3 52 57,2 1,4 4,2 » » 4 19 55,5 0,4 4,9 2b = 1:17 59,8 4,7 4,9 » » 1 46 59,3 4,5 5,2 I. 2 36 56,5 0,7 4,2 28, 3 1 18 58,5 3,2 4,7 » » 1 44 57,8 2,5 4,7 Mittel.... — 4,69 | + 0,22 P 305 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 306 Wenn wir dem mittleren Resultat von Le Grand- Roy wegen der grósseren Zahl der Beobachtungen das doppelte Gewicht geben, so folgt also hieraus: Declination nach Theodolith M 38 = — Declination nach Meyerstein — 4/64. Um also die Daten für die absolute Declination in St. Petersburg, wie sie in den Annalen des physikali- schen Central-Observatoriums publicirt sind, auf das- selbe Instrument zu reduciren, das seit 1878 in Paw- lowsk für diese Messungen benutzt worden ist, und so die vom erstern Orte publizirten Declinationen unab- hängig von der Instrumentaldifferenz mit denen von Pawlowsk unmittelbar vergleichbar zu machen, müs- sen jene um 4,64 vergrössert werden. Um endlich die Resultate der Bestimmungen der Horizontal-Intensität vermittelst des kleinen magneti- schen Theodolithen X 38 mit denen zu vergleichen, die mit dem Theodolithen M 59 von Brauer gewonnen werden, haben die Herren J. Mielberg, Hellmann und Stelling in den Jahren 1878 und 1879 in Paw- lowsk folgende Messungen mit dem erstern Instrument ausgeführt, welche dann vermittelst der gleichzeitigen "Aufzeichnungen des Bifilars auf den Theodolithen X 59 bezogen werden konnten. Brauer’s Brauer’s Theod. 59 Differenz. J. Mielberg. Theod. 38. resp. Magnetograph. 1878 30. Juli. 1,6370 1,6352 0,0018 » » 1,6367 1,6356 0,0011 » » 1,6407 1,6372 0,0035 Mittel. ... 0,00213 Hellmann. 1878 13. Aug. 1,6426 1,6366 0,0060 IL 1,6402 1,6358 0,0044 14. . » 1,6447 1,6381 0,0066 iT. x 1,6419 1,6372 0,0047 18. » 1,6450 1,6392 0,0058 Mittel.... 0,00550 Stelling. 1879 4. Sept. _ 1,6404 1,6376 0,0028 6. » 1,6390 ` 1,6341 0,0049 Mittel.... 0,00385 Westl.Decl. Inclinat. Horiz.-Intens. + 4/64 —4;30 — 0,0038 Tome XXVII. Von diesen drei Beobachtungsreihen verdient die des Herrn Mielberg trotz der geringen Zahl von Messungen dasselbe Gewicht wie die des Herrn Hell- mann, da ersterer eine Jahre lange Gewóhnung der Beobachtung mit dem Theodolithen M 38 voraus hatte; ich habe bei der Berechnung des Endresultats auch dem Mittelwerth des Herrn Stelling dasselbe Gewicht wie den beiden erstern beigelegt, da seine Beobach- tungen jedenfalls unter den günstigsten áussern Um- ständen d. h. sicher ganz ungestört durch locale mag- netische Einflüsse erfolgt waren. Wir finden somit in absolutem Gauss'schem Maasse: Horizontal-Intensität Theodolith 38 = — Horizontal-Intensität Theodolith 59 + 0,0058. Es sind somit die in Petersburg erhaltenen Daten für die Horizontal-Intensität zur Reduction auf das in Pawlowsk gebrauchte Instrument um 0,0038 zu ver- kleinern. | Aus diesen Instrumental-Differenzen für Inclination: di — 4/30 und für Horizontal-Intensität: dH — 0,0088 berechnen sich aber die für die Vertikal-Intensität und Total-Iutensitüt resultirenden entsprechenden Grössen dV resp. dK nach der Formel 1) ganz wie oben. Wenn | wir dabei wieder dieselben Werthe für die Inclination und Horizontal-Intensität wie dort setzen, so erhalten wir: dV = 0,0296 dK = 0,0292 2 0. h. es sind die in Petersburg gefundenen Werthe der absoluten Vertikal-Intensität um 0,0296 und die der Total-Intensität um 0,0292 zu verkleinern, um sie zur unmittelbaren Vergleichung mit den in Paw- lowsk bestimmten bezüglichen Werthen von den In- strumental-Differenzen beider Orte zu befreien. Fassen wir Alles zusammen, so sind also behufs Reduction der in St. Petersburg gefundenen und in den Annalen bis 1877 publicirten Werthe der magnetischen Elemente auf dieselben In- strumente, die seither in Pawlowsk benutzt worden sind, an jene folgende Correctionen anzubringen: Total-Intens. — 0,0292 Vertik.-Intens. — 0,0296 Zë 307 Bulletin de l'Académie Imperiale 308 Nach Ermittelung dieser Instrumental-Correctionen gebe ich jetzt in der folgenden Tabelle I zuerst eine Zusammenstellung der erwähnten gleichzeitigen Be- obachtungen in Petersburg und in Pawlowsk in den letzten Tagen des Decembers 1877, wobei an den betreffenden, in den Annalen für 1877 publicirten Werthen für St. Petersburg bereits die obigen Cor- rectionsgróssen angebracht sind. Die Aufzeichnungen des Magnetographs in Pawlowsk sind nach den im Januar 1878 daselbst ausgeführten absoluten Bestim- mungen der 3 Elemente in entsprechender Weise, wie dies später mit den Aufzeichnungen im Januar erfolgte (siehe Annalen für 1878 I. Theil), auf absolute Werthe reducirt worden. Declination. Tabelle I. 26. December. 27. December. 28. December. BEER: Pawlowsk. Mr bees °-| Differenz. | Pawlowsk. gm Differenz. | Pawlowsk. en Differenz. 1^a.m. FIND HAT I04 [Ir 95 198| 10,3 2 11,0 | 21,4. 10,4 9.9| 20,3| 10,4 3 114, 21,6| 10,2 10,01 20,9| 10,3 4 112 | 21,5| 10,3 10,7| 21,1| 10,4 5. 11,5| 21,7| 10,2 11,0! 21,4| 10,4 6 11,1| 21,92) 10.1 11,1| 21,5| 104 7 11,3) 21,35 10,0 11,2| 21,9| 10,7 8 10,8 | 20,8| 10,0 11,4) 22,0 10,6 9 10,8! 21,2| 104 11,8! 22,4! 10,6 10 11,4| 21,8| 10,4 12,4| 23,3| 10,9 11 1912/3|1?22/3| 10/0 11,9| 22,2| 10,8 131| 23,5| 10,4 Mittag | 13,0) 23,0| 10,0 12,00 | 22,3| 10,3 19,2 23,3| 10,4 2581 21251 23,0] 10,5 1350| 22.5]. 105 125} 92291104 2 12,3| 228| 10,5 lil E 103 116 22,0| 10,4 3 11,4| 218| 104 106,8| 21,2| 10,4 11,7| 22,1| 10,4 4 11,4| 21,6! 10,2 114-917). 106 118| 21,8| 10,5 5 1L6| 21,7| 10,1 ill 315. 104 11,3! 21,9| 10,6 6 115| 21,9| 104 11,0! 214| 104 11,4| 22,0| 10,6 7 11,5| 21,7| 102 10,8 1": SESE 10,5 111| 21,3| 10,2 8 11,1| 21,5) 104 10,8! 21,3| 10,5 11,00 21,6| 10,6 9 10,3| 20,8| 10,5 10,3| 2081 10,5 11,0| 21,4| 10,4 10 10,4 20,9| 10,5 9,9| 20,3| 10,4 8,2| 18,9| 10,7 11 10,5| 2081 10,3 10,1| 20,7| 10,6 2302709 107 Mittern| 10,6| 20,8| 10,2 10,22; 20,8| 10,6 10,1) 20,4| 10,3 BEND | — SC = | 2د‎ 510,361: 2-23 Declination., i 29. December. 30. December. 31. December. Geier Pawlowsk. ET Differenz. Pawlowsk Dung Differenz. Paylowsk, PP eer ei Differenz. Fami 8,511°1950| 10,5 ]|1?10/1|]1720,8| 10,7 |1° 9,/4|1,19/9| 105 2 8,9| 18,7| 10,4 10,3] 21,1) 10,8 11,2) 21,8! 10,6 3 11,2! 218| 106 10.01 20%! 107 8,4| 18,9| 10,5 4 10,2| 20,8| 10,6 10,01 21,0| 10,4 9,2| 19,7| 10,5 5 8,6| 19,1| 10,5 10,7| 21,2| 10,5 10,1| 20,8| 10,7 6 10,1} 20,6| 10,5 106| 21,2| 10,6 10,6| 21,01 10,4 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 310 29. December. 30. December. 31. December. T; Pawlowsk. eed Differenz. Paylowsk, P ien "` Differenz. |Pawlowsk. E. S | Differenz. 7^a.m.|1?10/5 11°20/9| 10/4 |1°10/6 PAF 10/6 [|191076|1921/6 |. 11/0 8 10,9| .21,4| 10,5 108 21,8| 10,5 10,60 21,0| 10,4 9 118] 218; 105 10,9! 21,5| 10,6 TO. 226,17 104 10 117 9921 108 11,5| 22,0| 10,5 142-258: 168 11 12,0 |- 226 10,6 134... 22564 10,0 12.01 2255 10,5 Mittag | 12,7| 28,1| 10,4 19,417 92,83: 10,4 12,8! 23,0| 10,2 1’p.m.| 12,0| 22,6| 10,6 1211 226: 105 12:81 28117 10,8 2 112.216. 104 11,7! 22,2| 10,5 19:71 23,1}: 1044 3 11:6: 22.2) 10,6 11.819901 107 12,1) 22,5| 10,4 4 11651. 293.91: 106 112-2191 107 11,812: 2251 10.8 5 155|.3220| 19,9 EL ALE 20107 1150 2195 103 6 10,5| 20,8| 10,8 10,8 21,4| 10,6 111: 25615104 7 112| 21,7| 10,5 108| 212| 10,4 | 111| 217| 10,6 8 10,4| 20,9| 10,5 10,5. 21,0| 10,5 10,9| 21,5! 10,6 9 10,0! 20,4| 10,4 10.41. 21,0| 10,6 10,:2| 21,0| 10,8 10 10,0| 20,3| 10,3 10,3| 20,7| 10,4 9,9! 20,6| 10,7 11 9.74: 20.0%..10,3 .10,0|. 20,3| 10,3 10,0! 20,7| 10,7 Mittern.| 9,7| 20,1| 10,4 9,6 20,5| 10,9 9,6 |. 20,3! 10,7 Mittel — ec 1048 — -— | 10,57 — — | 10,54 (am 1,6382 | 1,6368 |—0,0014[|1,6374 1,6367 |- 0,0007 2 380! : 3661 . 14| -31 370 — 7 3 3901..:8071= 13) 381] -375|— 6 4 Hl 3002 191 .3/4| 8568! 6 5 5827 IO — 19| 276! 870 6 6 Ball .968|— 1951 377) 8211+ 6 7 STO 469). “111: SI. BLA I 5 | 8 9781: © 8681: 10}: 3711: 3981 4 5 9 1,6394 |11,6364 |-0,0080| .379| seg 12| 378, 3871|— 2 S 10 491|..304|— ° 97| 3171. 336212 . i10] ML Ae 4 e 11 888! 361|— : 27| 381} 309 Di 307 964! 3 © Mittag | .395| - 3701 : 35| 385) 37812 > To © 909 90! 4 p Phan SDI. $74 — 328] -3881 8770 Lit MISI. A 4 > 3 393. 3711... 293] 2388 Ol MNI N A 3 : 3 390|- 3601 . 21]. 385 IOS 9| 1277! .878.— 4 > 4 350: = 369 — Jr 8857 8782 OF O 372 | 3 S 5 188). 2690 . Ol - MB do| 374. 879 93 6 387| 368|— 19| 382) 373|- (0 873; 37112 2 = 7 387| . 8369| 18k < 882) 80 9| 3741 372|— 2 j 8 389! : 3721— 17:39 2.971 8] 83723] 371|- 1 x 9 388| .372|— Aë | SFO BI 071|: 8691. 2 z 10 386| 371|- 15! 876| 828712 9|-—H1|- 366i 3 > 11 356| 8701-7 16|} 373) „3671 — e|. 3721. 369l- 3 5 Mittern.| 383| 367 -— 16| - 373|- 365,— 8| 369) 3866|— 3 = Mittel | -- — — | — | س‎ |—0,0011!- — — : |— 0,0004 5 311 Bulletin de l'Académie Impériale 312 Vertikal-Intensitàt. 29. December. 50. December. 31. December. DES Pawlowsk: 3 Si Differenz. | Pawlowsk. ge Ze Differenz. Paylowsk. | ne | Differenz. 1^a.m. 4,6648 4,6788| 0,0140 [4,6662 4,6769 | 0,0107 2 648 763 115 662 751 089 3 649 119 130 655 139 084 4 649 770 121 657 770 113 5 650 760 110 659 770 111 6 650 792 142 660 773 113 7 650 790 140 662 780 118 8 652 756 104 662 776 114 9 655 747 092 659 778 119 10 655 776 121 661 775 114 11 655 753 098 645 756 111 Mittag |4,6651 4,6806 0,0155 656 786 130 643 769 126 1^p.m 649 805 156 657 808 151 645 766 121 2 647 769 122 659 793 134 645 755 110 2 647 769. 124 658 788 130 645 774 129 4 647, 772 125 658| 774 116 645| 771 126 5 642 794 159 658 767 | 109 644 733 089 . 6 643 785 142 658 741 083 645 759 114 7 643 816 113 658 756 098 648 754 106 8 644 788 144 658 102 094 649 754 105 9 644 748 134 659 777 118 651 730 079 10 645 773 128 661 779 118 650 765 115 E) 646 789 143 662 762 100 651 (ek; 126 Mittern. 647 788 141 661 770 109 651 771 120 Mittel | — — — — — 0,0117 — — 0,0111 Wenn man die Differenzen-Columnen in dieser Ta- belle durchgeht, so ersieht man leicht, dass bei der Déclination die Differenzen am 26. und 27. December . noch ein recht deutliches Anwachsen zeigen und erst vom 28. an einigermaassen constant werden, dass also — das Unifilar des neu aufgestellten und eingerichteten . Magnetographen erst vom 28. an für diese Vergleichung ~ eine genügende Stabilität erreichte. Verhältnissmässig noch grösser sind die anfänglichen Veründerungen des Magnetographen-Bifilars, so dass . wir für den Vergleich der Horizontal-Intensität jeden- — fallsnur die Daten des 31. Decembers benutzen können. Auch bei der Lloyd'schen Wage des Magnetographen sind in den ersten Tagen noch einseitige Veründerun- . generfolgt, welche es daher gerathen erscheinen lassen, S ` für die Vergleichung der Vertikal-Intensität ebenfalls S mur die Resultate des 31. Decembers zu benutzen. Mit Berücksichtigung dessen ergeben sich also fol- gende factische Differenzen der Elemente des Erdmag- netismus in St. Petersburg und Pawlowsk: St. Petersburg — Pawlowsk. Westl. Decl. Inclination. Horiz.-Intens. Vert.-Intens. Total-Intens. + 10,50 فى‎ 2,80 — 0,0004 +0,0111 + 0,0103 Hier sind die Differenzen für die Inclination und die Total-Intensität aus denen für die Horizontal- und Vertical-Intensität nach den Formeln; 3. di = 5 (H.dV — V.dH) dK = X (V.dV + H.dH) berechnet worden, wobei H = 1,6370, .V.— 4,6770, K.= 4,9552 d. h. gleich den December-Mitteln 1877 gesetzt wurde. m des Sciences de Saint- Pétersbourg. 314 Für die Bestimmung der faktischen magnetischen Differenz beider Orte nach der zweiten der ob’er- wähnten Methoden kónnen wir die Jahresmittel der verschiedenen Elemente für St. Petersburg am besten der Abhandlung des Herrn R. von Trautvetter: «Die magnetischen Beobachtungen am physikalischen Central-Observatorium in St. Petersburg in den Jah- ren 1870 — 77»!) entnehmen, an denen dann nur noch die obigen Instrumental-Correctionen anzubringen sind. Die Werthe für Pawlowsk finden sich in den I. Thei- len der bereits erschienenen Annalen des physikalischen Central-Observatoriums für 1878 und 1879 und der im Druck begriffenen für 1880. Man erhält so die nachstehende Tabelle II. 8t. Petersburg. Tabelle II. Declination. Inclination. Horiz.-Intensität. Vertical-Intensität. Total-Intensität. 1870|2? 8/47 |170°39/99 1,6244 4,6298 4,9065 7/29 S 0,00 0,00 0,0088 1501 418: 40,83* 1,6262" ,6385* 4.9153" ree. 0,001 0,0087 0,0089 1872|1 53,90 41,68 1,6280 4,6479 4,9949 6,09 —0,5 0,0020 0,0035 0,0039 1873| 47,81 41,11 1,6300 4,6507 4,9281 ,06 0,51 0,0019 0,0077 0,0079 1874| 41,75 41,62 1,6319 ,6584 4,9360 : 6,20 —0,87 0,0018 10,001 0,0017 1875| 35,55 40,75 1,6337 [4,65 4,9377 6,05 1,0 0,0012 0,0082 0,0081 1876| 29,50 41,82 1,6349 4,6678 4,9458 5,74 0,62 0,0009 0,0053 0,0053 1877| 23,76 42,44 1,6358 4,6731 4,9511 Pawlowsk. 1878 7,68 41,03 1,6865 4,6689 4,9474 5,42 0,56 0,0007 0,0046 0,0045 1879| 2,26 41,59 1,6372 4,6735 4,9519 5,43 0,81 -0,0001 0,0031 0,0029 188010 56,83 42,40 1,6371 4,6766 4,9548 NB. Die mit einem Stern (*) bezeichneten Zahlen für 1871 sind linear interpolirt. Zur Reduction auf dieselben Werthe der Constanten insbesondere des Inductionscoefficienten wie in den späteren Jahren sind für 1878 in Pawlowsk die in den Annalen enthaltenen Daten der Horizontal-Intensität um 0,0001 und der Verti- cal- und Total-Intensität um 0,0003 vergrössert worden (siehe Einleitung des I. Theils für 1879 S. XXXII). Unter Berücksichtigung des Ganges der Jahres- 1878. Declination. Inclination. Hor.-Int. Vert.-Int. Tot.-Int. e D o / o 1 Differenzen der verschiedenen Elemente an beiden Or- | St Petersburg. 1 18,18 70 45,28 1,6366 4,6781 . 4,9560 awlowsk..... 1 7,68 70 41,08 1,6365 4,6689 4,9474 ten lassen sich nun mit ziemlicher Sicherheit für St. Petersburg aus den Werthen für 1877 diejenigen für 1878 zum Vergleich mit den in Pawlowsk beobachte- ten herleiten. Die nachstehende Tabelle giebt diese beiderlei Werthe und ihre Differenzen. Differenz -+ 10,50 + 2,20 + 0,0001 + 0,0092 -+ 0,0086 Die so erhaltenen factischen Differenzen der erd- 1) Repertorium für Meteorologie Bd. VII. Nr. 3. 1880. 315 Bulletin de l'Académie Impériale 316 magnetischen Elemente in St. Petersburg und Paw- lowsk zeigen, wie man sieht, eine ziemlich gute Uber- einstimmung mit den nach der ersten Methode gefun- denen. In der folgenden Tabelle II habe ich endlich zur Ermittelung der fraglichen Differenz nach der dritten 8t. Petersburg. Tabelle III, Declination. Horizontal -Intensitit December, Differenz. Januar. December. Differenz. Januar. o ! 1874 38,76 | 1° 44/8 1,6321 à — 0,02 | : toss 0,0007 d 1875 32.05 | 38,74 1,6331 1,6336 | — 0,39 | 0,0004 1876 . 26,44 | 31,66 1,6367 1,6335 SLE — 0,0018 1877 21,45 | 26,02 1,6370 1,6349 Pawlowsk. 1878 1° 4/63 SR të LKE 1,6365 1,6363 0.18 | | 0,0006 c 1879 | 0 59,36 | 4,50 1,6372 1,6371 ' 0,00 ; 0,0002 1880 | 0 53,96 0 59,36 1,6367 1,6374 0,20 0,0004 1881 — 54,16 — i 1,6371 St. Petersburg. Inclinatio n. ; Total-Intensitàt. 1873 | 70? 41/01 s 4,9331 n 0/58 : 0,0033 1874 41,07 „ | 70° 41/59 4,9367 4,9364 — 1,55 — 0,0035 1875 39,59 39,72 4,9312 4,9332 1,54 0,0075 | 1876 42,36 41,13 4,9534 4,9387 | 0,63 d 1877 | 42,53 42,99 | 4,9552 AME s 49507 ; Pawlowsk. | 1878 41,40 41,16 4,9489 à = 0,37 * à 0,0003 207 1879 41,90 41,03 4,9531 4,9492 — 0,88 — 0,0010 1880 43,01 41,52 4,9561 4,9521 — 0,38 — 0,0 1881 — : 42,63 — ous 4,9558 Methode aus den Annalen die December- und Januar- Mittel der verschiedenen Elemente für St. Petersburg und Pawlowsk unter Anbringung der ermittelten In- strumental-Correctionen an denen des ersteren Orts zusammengestellt und je die Differenzen der zwei un- mittelbar auf einander folgenden Monate gebildet. 317 des Sciences de Saint د‎ Petersbourg. 318 Wie man aus dieser Tabelle ersieht, ist die Diffe- renz der Mittel des Decembers und des darauf folgen- den Januars viel grössern Schwankungen sowohl dem Betrage als dem Zeichen nach unterworfen als diejenige der Jahresmittel in Tabelle II; es wird daher die Her- stellung des Januar-Mittels 1878 für St. Petersburg gestützt auf den mittleren säcularen Gang vom Decem- ber zum Januar eine verhältnissmässig viel unsicherere sein und somit auch die nach dieser Methode zu ge- winnenden Werthc für die magnetische Differenz bei- der Orte eine geringere Zuverlässigkeit besitzen. Wenn wir das Mittel aller in Petersburg und Paw- lowsk erhaltenen Differenzen von December und Ja- nuar benutzen, um aus den December-Mitteln 1877 des erstern Ortes die Januar-Mittel 1878 für densel- ben zum Vergleich mit dem in Pawlowsk beobachteten herzustellen, so findet man: 1878. Januar. Westl. Decl. Inclination. Horiz.-Intens. Total-Intens, St. Petersburg. 1?21,28 70°42,61 1,6371 4,9557 Pawlows 1 10,61 70 41,16 1,6363 4,9473 Differenz -+ 10,62 + 1,45 ها‎ 0,0008 + 0,0084 Für die Differenzen der Declination und der Total- Intensität ergiebt sich also noch eine gute Überein- stimmung mit den frühern Resultaten, während die- selbe, wie erwartet, für die zwei andern Elemente zu ` wünschen übrig lässt. Es wird daher gerechtfertigt sein, für das Schluss- Resultat dieser Vergleichung nur das Mittel der nach den beiden erstern Verfahren erhaltenen Werthe zu bilden. Demzufolge sind also die faktischen d. h. be- obachtungsmässigen Differenzen der erdmag- netischen Elemente in St. Petersburg und in Pawlowsk: St. Petersburg — Pawlowsk. Westl..Decl. Inclination. Horiz.-Intens. Vertic.-Intens. Total-Intens. + 10/50 + 2/50 — 0,0001 -+0,0102 -+ 0,0095 Diese factischen Differenzen weichen nicht uner- heblich von den zu Anfang aus den magnetischen Karten berechneten normalen ab. Betrachten wir nun die Abweichungen der letztern von den frühern als Ausdruck der localen stórenden Einflüsse ausschliess- lich im Observatorium zu St. Petersburg, indem wir die im Observatorium zu Pawlowsk erhaltenen Werthe der magnetischen Elemente als normale resp. unge- stórte voraussetzen, so würde daraus folgen, dass die lokalen Stórungen im alten magnetischen Observatori- um zu St. Petersburg die westliche Declination um 6;2 zu gross, die Inclination um 7;2 zu klein und die Totale Intensität um 0,0020 (mm. mgr.) zu gross (die Horiz.-Intens. um 0,0106 zu gross und die Vertical-Intensität um 0,0015 zu klein) erschei- nen lassen. Einen derartigen stórenden Effect würde aber un- gefähr eine grosse im Südosten des alten magnetischen Observatoriums gelegene Eisenmasse hervorbringen, welche durch Induction der Erde magnetisirt worden wäre. Da nun in der That das Observatorium am West- ende St. Petersburg's liegt, dessen Häuser durchweg mit Eisen gedeckt sind und ausserdem von ihm nach Süden zu eine sehr grosse Eisengiesserei und andere Fabriken sich befinden, so hat jene Stórung nichts Auffallendes und wir brauchen daher zu ihrer Erklär- rung nicht an besondere geologische Verhältnisse des ` Bodens um St. Petersburg zu denken. Zur unzweifel- haften Eruirung aber dieses Verhaltens dürfte es sich jedenfalls empfehlen, auch noch in einigen andern Punkten der nächsten Umgebung Petersburgs verglei- chende Bestimmungen der erdmagnetischen Elemente auszuführen. In allen den Fällen aber, wo es sich einfach darum handelt, die in den Jahren 1870—1877 im alten mag- netischen Observatorium in St. Petersburg erhaltenen und in den Annalen des physikalischen Central-Obser- vatoriums publicirten erdmagnetischen Daten unmittel- bar mit den seitherigen magnetischen Beobachtungen im Observatorium in Pawlowsk zu vergleichen resp. jene auf diesen Ort und die neuen Instrumente daselbst zu reduciren, muss man ausser den vorstehenden fac- tischen Local-Differenzen noch die früher gegebenen Instrumental-Differenzen berücksichtigen. Vereinigen wir diese beiderlei Differenzen, so erhalten wir als Summe der Local- und Instrumental-Differenzen für St. Petersburg — Pawlowsk S Westl. Decl. Inclination. Horiz.-Intens. Vertic.-Intens. Total-Intens. + 5,86 +7,80 + 0,0037 + 0,0398 —+-0,0387 Diese Gróssen sind also von den erdmagnetischen Daten in St. Petersburg zur Ausführung der obigen 319 Bulletin de l'Académie Reduction auf Pawlowsk abzuziehen. Nur an den Daten von 1870 sind ausserdem noch kleine Correctionen anzubringen, welche in der erwähnten Abhandlung des Herrn v. Trautvetter angegeben sind, nämlich für die Inclination: + 1/1, für die Horizontal-Intensität: — 0,0007, für die Vertical - Intensität: + 0,0028 und für die Total-Intensität: + 0,0025. St. Petersburg, 1. (13.) Màrz 1881. Les oppositions des planètes Vesta, Saturne et Nep- tune observées en 1880 à l'observatoire acadé- mique de St.-Pétersbourg. Par A. Sawitsch, (Lu le 17 mars 1881). - Les positions des planétes ont été obtenues à l'aide du cercle méridien; elles se rapportent aux temps des passages par le méridien de l'observatoire; les décli- naisons sont corrigées de la réfraction et de la parallaxe. Sous le titre: corr. du N. Alm. sont données les diffé- rences qu'il faut ajouter aux positions des planétes d’après le Nautical Almanac anglais pour obtenir les positions observées. Vesta (Opposition en 1880). Les étoiles de comparaison ont été € et n Ophiuchi; azimuth de la lunette a été determine par la combi- naison des passages de ces étoiles et les passages de ` Ursae Minoris, les positions apparentes des étoiles étant admises d'aprés le Nautical Almanac pour l'an 1880. Date Asc. droite Corr. de Décl. app. Corr. de 1880. app. N. Alm. (austr.) N. Alm - Mai 24 | 16^567 54°28 |+1%57| — 150 gaan |— 178 25 | 55 56,81 |+1,29 Jt $9 |— B6 28 53 - + 1,45 15 46,0 |-- 1,5 29 ® 1,61 |] 1.96 17 80,1 | — 02 BE EM + 1,65 21 141 |— 58 Juin l' 48 59,49 |+1,61 93 140 |— 97 3 | 16446" 56/91. |+ 137] — 15° 27 203 | — 106 Moyenne.. — + 1555 Moyenne... — 453 Saturne (Opposition en 1880). Les étoiles de comparaison et détermination de l'azi- muth ont été les mémes que pour la planéte Neptune, comme il sera dit plus loin. Impériale 320 Date Asc. droite (Corr. de Décl. app. Corr. de 1880. app | N.Alm. (boréales.) N. Alm. | Oct. 20 | 1} 37m 53745 | — 0,291 +712 78 — 4,3 26 36 6,31 E 2 80 ir Moyenne..... — 0549 Moyenne.... — 2,8 Neptune (Opposition en 1880). ` L'azimuth de la lunette a été obtenu à l'aide des observations des passages de l'étoile polaire (a Urs. min.) à sa culmination supérieure et des étoiles de comparaison: e Pisc., n Pisc., o Pisc., B Arietis, « Arie- tis, € Ceti et Y? Ceti. Les positions apparentes de ces étoiles ont été admises d'aprés le Nautical Almanac pour l'an 1880. Date Asc. droites Corr. de Décl. app. Corr.de 1880. N. Alm . (boréales.) N.Alm. Oct. 20 | 2^45" 45714 |+0%08] -e-14? 5/4078 | +08 25 45 13,00 — 0,07 3 11,3 + 1,3 26 45 6,62 |-+0,04 2455 | +56 Nov. 1 44 27,71 0,51 4-13 59 38,8 +12 5 44° 1,25 + 0,53 57 39,5 + 3,4 16 42 48,74 0,18 52 10,1 | +32 Moyenne.... + 0721 Moyenne.... + 9 Ainsi les tables calculées par M. Newcomb s’accor- dent bien avec les observations. Genaue Bestimmung der absoluten Inclination mit dem Induetions-Inclinatorium. Von H. Wild, (Lu le 31 mars 1881). Durch meine Abhandlung «Über die Bestimmung der absoluten Inclination mit dem Inductions-Inclina- torium»!) habe ich gezeigt, dass das Weber'sche In- ductions-Inelinatorium bei Benutzung desselben nach der von seinem Erfinder angegebenen Methode eine unter Umständen ebenso grosse, wenn nicht gróssere Unsicherheit für die Bestimmung absoluter Werthe der Inclination darbiete als das Nadel-Inclinatorium und dass diese Unsicherheit auf die von der Weber'- schen Theorie vorausgesetzte, in Wirklichkeit aber im - Allgemeinen nicht erfüllte Constanz der Multiplikator- function der angewandten Galvanometer zurückzufüh- ren sei. Die von mir gefundenen bedeutenden Differen- 1) Mémoires de l'Acad. Imp. d. Sc. de St.-Pétersbourg. T. XXVI. Nr. 8. 1878. : des Sciences de Saint-Pétersbourg. zen in den Angaben des Nadel-Inclinatoriums und der von mir benutzten beiden Inductions-Inclinatorien von Meyerstein und von Leyser konnten um so weniger speciellen und ausnahmsweisen Eigenschaften der zu letzern gehórenden Galvanometer beigemessen werden als ja auch bei ähnlichen Vergleichungen der Resultate der beiderlei Instrumente im Observatorium zu Buda- Pest’), ferner im Observatorium zu Utrecht?) etc. sich entsprechende Differenzen ergeben haben. In Folge der Bemerkung in meiner Abhandlung, dass das Inductions-Inclinatorium bei der üblichen Beobach- tungsmethode erst dann sichere absolute Werthe der Inclination werde liefern kónnen, wenn die Gesetze der Bewegung eines Magnets innerhalb eines Multiplika- tors auch für nicht sehr kleine Amplituden resp. mit Berücksichtigung der Veränderung der Multiplikator- function bei gróssern Ablenkungswinkeln mathematisch entwickelt sein werden, haben seither in der That zwei Physiker nämlich Herr Chwolson in St. Peters- burg‘) und Herr Schering in Göttingen’) sich fast gleichzeitig mit diesem Gegenstande befasst und diese Aufgabe mit gewissen Annäherungen gelöst. Herr Chwolson ist noch einen Schritt weiter gegangen und hat seine Theorie speciell auf die von mir in Pawlowsk benutzten beiden Inductions-Inclinatorien von Meyer- stein und von Leyser angewendet, die erforderlichen Constanten- Bestimmungen an deren Multiplikatoren im Sommer 1880 ausgeführt und dann aus meinen Bestimmungen gegenüber den von mir nach der Weber'- schen Theorie berechneten Werthen folgende Differen- zen zwischen den Angaben des Inductions-Inclinatori- ums und des Nadel-Inclinatoriums von Dover erhalten: Berechnung nach der Theorie von . Weber Methode der Methode der Multipl. Reflex. Multipl. Reflex. 1534: 288 -033 119 Induct. Meyerstein. — Incl. Dover: » Leyser — » » 4,99 SL 0,68 0,45 2) Siehe Jahrbücher der K. ungar. ee für Meteorol. u. Eth Bd. 1: u. folg. Buda-Pest 1 3) 8 HE voor 1876, 77, etc. I. Decl. 4)O. Chwolson, Über die Dämpfung von Schwingungen bei grósseren Amplituden. Mémoires de FAcad. Imp. des Sc. de St.-Pé- tersbourg T. XXVI. Nr. 14. April 1879 und Allgemeine en der — Mice. ibid. T. XXVIII Nr. 3. April 1 t. Scher ng, Allgemeine Theorie der inia te ein Multiplikator aa einen Magnet ausübt, Ann der Physik u. Chemie. Neue Folge. Bd. IX. Juni 1879. Tome XXVII. Durch die Berechnung nach der vollkommenern Theo - rie sind also, wie wir senen, ds Fe That die Ergeb- nisse der v Instrumente und Beobachtungsmethoden einander bedeutend nüher ge- bracht worden, so dass das mittlere Resultat für die Differenz: Inductions-Inclinat. — Incl. Dover: 0/64 nur noch mit einer Unsicherheit von + 0/26 — + 16" behaftet bleibt. Inzwischen war ich bemüht gewesen, die Schwierig- keit welche die Inconstanz der Multiplikatorfunction bei grösseren Ablenkungswinkeln für die Theorie dar- bietet, auf rein experimentellem Wege zu umgehen. Dies wird in der That móglich sein, wenn wir die beiderlei Stellungen der Drehungsaxe der Inductor- Rolle im magnetischen Meridian so wählen, dass die- selbe mit der Inclinations- Richtung beiderseits an- nähernd gleiche Winkel einschliesst und somit auch die Ablenkungen des Multiplikator-Magnets in beiden Fällen nahe gleich gross werden. Alsdann fällt aus dem Resultat der Einfluss der Variabilität Se Multiplika- torfunction mit dem Ablenl inl Wir erhalten nämlich in diesem Falle folgende rte drücke für die Berechnung der Inclination aus den bei Anwendung der Multiplikations-Methode schliesslich constant gewordenen Amplituden des schwingenden Magnets. Heissen wir ®, diese constante Amplitude, wenn die Drehungsaxe der Inductor Rolle im magnetischen Me- ridian mit dem Horizont den Winkel a, einschliesst, so ist eum 8. 3 mauer erwähnten Abhandlung der te St J, gegeben durch: SEL vom E e Het, T. sin (i — a) — b. 2 wo T, die totale erdmagnetische Kraft und H, die Ho- rizontal-Componente derselben, 4, die Inclination zur Zeit der Beobachtung, c eine von der Stromfläche des Induetors und dem Widerstand der ganzen Leitung abhängige Constante und b eine vom Trügheitsmo- ment und magnetischen Moment des Magnets i im Multi- plikator und von der Dämpfung des letzteren abhängige Constante, endlich K, die sogenannte Constante des Multiplikators darstellt. Diese Constante X, ist aber im Allgemeinen noch als abhängig vom Ablenkungs- 21 Bulletin de l’Académie Impériale 324 winkel des Magnets anzusehen, also noch eine Function von ®,. Mit Berücksichtigung vis und der Relation: T, = = zd. kann die Gleichung 1., auch so geschrieben werden: 1 25 1 0 ارق .ل‎ = sin (i — a) = vm B A wo wir der Kürze halber gesetzt haben: E 2. E ns à. Bei der Drehung um eine Axe, deren Neigung zum Horizont a, ist, erhält man anolog für die Stärke des Bugs Stroms: X YA Ss E PR K, A UT M wenn H, und i, die für diese Zeit geltenden Werthe der Horizontal-Intensität und der Inclination, 4», die neue constante Ablenkung im Multiplikator und K, die für diese Ablenkung geltende Multiplikator-Constante darstellen. Die Constante C kann dagegen, wenn die beiderlei Messungen rasch nach einander erfolgen, in beiden Fällen als gleich betrachtet werden. Aus 3. und 4. folgt daher die Relation. SUR, e rr e. sin (à — aj) = C cos is. sin Du — a4) sin (à — Gel Setzen wir nun: d, = à + di, H, = H + dH, K, = K, + dK 6. wo di und dH bei rascher Folge der Beobachtungen und dK bei geringer Verschiedenheit von P, und رو‎ kleine Gróssen sein werden, so geht 5. mit genügen- der Annáherung über in: ix ex ee + + oto sin (à —a,) ___ D 7 sin (à — 01) JAEN o, ge حم‎ D Hier ist: o. pa da — di aH dk P, = D, (1 — tg i di — 1 IE To re gesetzt worden d. h. die unmittelbar beobachteten Grössen a, und ®, sind durch solche ersetzt worden, . welche vorher in Betreff der Änderung der Inclination, der Horizontal-Iatensitát und der Multiplikator-Con- stanten corrigirt worden sind. Aus Gleichung 7. ergiebtsich aber für die gesuchte Inclination û, zur Zeit der ersten Beobachtung: e en rue. 9 — tang à = Qd", cos a, — ©, cos e, nv se w^» € Wenn a, und a, verschiedene Winkel und, wie vor- ausgesetzt, b, und ©, doch nahe gleich sein sollen, so ist dies nur móglich, wenn wir die Drehungsaxe bei den beiden Beobachtungen um nahe denselben Winkel nach der einen und andern Seite von der Richtung der erdmagnetischen Kraft aus neigen d. h. also nahezu: à, = à, + v und à, = i, — v machen, wo v diesen Neigungswinkel repräsentirt. Dann wird auch nahezu sein: o, = — ®.. Es frägt sich nun, für welchen Winkel v wird unter übrigens gleichen Umständen das genauste Resultat für à, erhalten werden. Um dies zu bestimmen, differenti- ren wir die e 9. nach P’, und erhalten so: |. de^, . .10. sin2i f di,= RE Se sina, D ur. Wenn wir in diesem Ausdruck: du = i + 0, ون‎ — à — ©, di setzen, so wird: di und diese Gleichung geht schliesslich, da nach Glei- chung 2: tang v 2d À sin v‏ — تن ist, wo À nahezu eine Constante repräsentirt, über in: 1 0 Le OT Hieraus folgt, dass für einen gewissen Fehler d® bei Beobachtung des Ablenkungswinkels ® des Multi- plikatormagnets der Fehler di, in der Bestimmung der Inclination um so kleiner ausfallen wird, je kleiner der Winkel v der Drehungsaxe des Inductors mit der In- clinationsriehtung genommen wird^). Da indessen der cosinus nur langsam mit wachsendem Winkel abnimmt und erst bei 26? gleich 0,9 wird, so kann der Winkel v, wenn andere Umstände es wünschenswerth erschei- nen lassen, ohne erhebliche Verminderung der Genauig- keit ganz gut bis zu dieser Grenze vergrössert werden. 6) Auf diesen Umstand hat auch schon Dr. Schering aufmerk- sam gemacht (Tageblatt der 51. Versammlung Deutscher Naturfor- scher in Cassel 1878 Seite 42) und zur Erhöhung der Empfindlich- keit des Erdinductors mit demselben Messungen in der Nähe der Inclinationsrichtung er 325 des Sciences de Saint - Petersbourg. Wir könnten also z. B. in Pawlowsk, wo die Inclination zur Zeit in runder Zahl 70° 40’ beträgt, sehr wohl bei vertikaler Lage der Drehungsaxe i. e. a, = 90° oder v — 19° 20° einerseits und bei einer Neigung dersel- ben um a, = 51° 20° gegen den Horizont anderseits ohne wesentliche Beeinträchtigung der Genauigkeit des Resultates nach unserer Methode die Beobachtun- gen ausführen. Wir werden im Verfolg sehen, dass die Wahl dieses Werthes für v i. e. des Complimentes zur Incliration von praktischer Bedeutung ist. Was nun die nach dieser Methode bei gewissen Werthen von v und d zu erzielende absolute Sicher- heit di, der Inclinationsbestimmung betrifft, so hängt dieselbe vom Werth der Constante 4 ab und diese ist, wie aus Gleichung 2. hervorgeht, um so grösser je grösser die Empfindlichkeit des angewandten Multi- plikators (K) ist. s Bei den später mitzutheilenden Versuchen am Meyer- stein'schen Inductions-Inclinatorium waren z. b. das eine Mal: pocm19519.0 عد‎ 150,00 40 = +0,05 und das andere Mal: zs hl O2 7,00. db = E005 woraus nach Gleichung 11. folgt: di, = - 11,7 und di, = =± 10,9 Wollte man also eine gróssere Genauigkeit als 11 bis 12" in Bestimmung der Inclination erzielen, so müsste der Multiplikator dieses Instruments empfind- licher gemacht werden, was z. B. durch Anwendung eines astatischen Doppel- Magneten erzielt werden kónnte. Nach S. LXXX der Einleitung zu den Beob- achtungen im Observatorium zu Pawlowsk von 1878 °) beträgt aber der Fehler einer einzelnen Beobachtung resp. Registrirung der magnetischen Variationsappa- rate daselbst für die Inclination: عت‎ 0/23 = +138, so dass es zur Zeit noch überflüssig erscheint, eine gróssere Genauigkeit in der absoluten Inclinationsbe- stimmung als die vorstehende erzielen zu wollen. Um Messungen der Inclination nach dieser Methode bequem und sicher, wie es für die normalen Beobach- tungen in einem magnetischen Observatorium nóthig ist, ausführen zu kónnen, habe ich folgende Veründe- 7) Annalen des physikal. Central-Obseryatoriums für 1878. I. Th. rungen an dem in der erwühnten Abhandlung beschrie- benen Inductor von Meyerstein im Winter von 1879 auf 80 ausführen lassen. An dem quadratischen Mahagonieholzrahmen, wel- cher die Drehungsaxe des Inductors trügt, wurde an dem einen der beiden Messingzapfen, welche die auf jener senkrechte horizontale Drehungsaxe dieses Rah- mens bilden, ein vom Mechanikus Brauer in St. Peters- burg mi," auf Silber getheilter Vertikal-Kreis von 245"" Durchmesser angebracht. Die Holzstützen dieser Zapfen liess ich ferner mit Lagern aus Hartguss - versehen und an demjenigen von diesen, wo sich der Vertikal-Kreis befand, ausserdem einen Trüger mit Niveau und zwei Mikrometer- Mikroskopen zur Ab- lesung der Kreistheilung befestigen. Beim justirbaren Niveau betrügt der Werth eines Theiles: 1 pars — 4,0 und bei den beiden Mikrometer-Mikroskopen kommen auf einen Theil des Kreises i. e. 10' zwei Umdrehun- gen der Schraube. Somit ist ein Theil der in 60 Theile getheilten Trommel: 1 Trommeltheil der Mikrometer — 5/0. Zur Nivellirung der Horizontal-Axe des Rahmens resp. also der Axe unsers Vertikal-Kreises diente ein ebenfalls neu angefertigtes messingenes Niveau, dessen Füsse so hoch sind, dass es auch bei vertikaler Stellung ` des Rahmens resp. der Inductoraxe über diesen weg aufgesetzt werden kann. Bei diesem Niveau ist: 1 pars = 952. Demzufolge konnte dieses Niveau zugleich mit dem frühern beobachtet werden, welches auf das obere Ende der Drehungsaxe der Inductor-Rolle aufzusetzen ist und das einen Parswerth von 13,2 besitzt. Die Brücke, welche zur Nivellirung der Drehungs- axe des Inductors in der Horizontal-Lage auf diese auf- zusetzen ist, wurde mit einem besondern fixen Niveau von 5,3 Parswerth versehen und für die genatie Ein- stellung jener Axe in den magnetischen Meridian liess ich eine neue 260 "" lange Magnetnadel mit umkehr- barem Achathütchen anfertigen und unter deren spitzen Enden auf der Brücke eine Gradtheilung anbringen. An den Stützen, welche die Drehungsaxe des Rah- mens tragen, wurden endlich um Messingzapfen dreh- 21% Bulletin de l’Académie Impériale bare Nasen mit passend abgeschrägten Enden befestigt, an welch’ letztere man den Rahmen zur Schiefstellung der Drehungsaxe des Inductors anlegte und dann wie bei der Horizontal- und Vertikal-Lage durch Schrau- benbolzen festklemmte. Kleinere Neigungsänderungen ringere Neigung als die der Inclinationsnadel gegeben und beim Anziehen der Klemmschrauben des Rahmens darauf gesehen, dass das Niveau des Mikroskopträgers wieder genau auf die Mitte einstand; alsdann las ich | den Vertikal-Kreis ab und beobachtete nun am Multi- wurden durch abgepasste und dazwischen zu legende | keilfórmige Stücke bewerkstelligt. Am zugehórigen Galvanometer liess ich zunüchst durch einen Untersatz mit Zapfen und Büchse den Mul- tiplikator um seinen Mittelpunkt drehbar machen, was sowohl zur Bestimmung der Multiplikatorfunction als | zur besseren Einstellung der Windungsebene in den magnetischen Meridian vortheilhaft erschien. Sodann wurde auch der Suspensionsfaden des Magnets mit einer Glasróhre bis an's obere Ende umschlossen und an der Umhüllungskapsel des Spiegels ein fixer Spie- gel so befestigt, dass er von der Scala ein zweites Bild im Fernrohre gab. Derselbe dient zur Messung der Winkel, um welche man den Multiplikator selbst dreht. Da aber bei Entfernung des Kastens behufs Einlegung des Magnets oder Ersetzung desselben durch den Tor- sionsstab der fixe Spiegel verschoben wird, so liess ich ausserdem noch eine kleine Theilung nebst Index an der Grundplatte des Galvanometers zur Fixirung der Multiplikatorstellung anbringen. Der Suspensionsfaden des Magnets wurde zwischen den Beobachtungen durch Einlegung des Torsionsstabs und eventuelles Nachdrehen am Torsionskopf jeweilen detordirt und der Multiplikator so gestellt, dass der- selbe Strom bei seiner Umkehr den Magnet nach bei- den Seiten gleich viel ablenkte. Die Justirung des Inductors in allen seinen Theilen erfolgte genau in der früheren Weise (siehe die erwühnte Abhandlung S. 7 und folg.). | Beobachtungen im Sommer 1880. . Bei diesen Beobachtungen wurden ausschliesslich solche Neigungen der Drehungsaxe des Inductors be- nutzt, welche nur wenig von der Inclinationsrichtung beiderseits abwichen. Vor jeder Messung machte ich zuerst die Drehungsaxe des Inductors vermittelst des aufgesetzten Niveaus genau vertikal, justirte das Ni- veau am Mikroskopträger, bis seine Blase in der Mitte stand, und las mit den beiden Mikrometer- Mikrosko- Den den Vertikalkreis ab. Darauf wurde jener Drehungs- . axe vermittelst der erwähnten Nasen eine etwas ge- plikator mit Fernrohr und Scala die Elongationen der Magnetnadel, während Herr Mechanikus Döring auf mein Commando den Inductor nach dem Princip der Multiplikationsmethode umlegte. Nach Erzielung ge- nügender Constanz der erstern brachten wir schliess- lich die Drehungsaxe des Inductors in die zweite, un- gefihr um 100' abweichende Lage, worauf wieder die Ablesung des Vertikalkreises bei unveränderter Lage des Mikroskoptrügers erfolgte und entsprechend die Elongationen der Magnetnadel beim Umschlagen der Inductor-Rolle beobachtet wurden. Eine vollständige Messung dieser Art nahm dürchsehnittlich 40 Minuten in Anspruch. Es ist kaum nóthig zu bemerken, dass ich die Zeiten, zu denen die constant gewordenen Elon- gationen beobachtet wurden, jeweilen genau notirte. Nach dieser Beobachtungsweise erhält man aus der Differenz der Ablesungen am Vertikalkreis nicht die in Formel 9. aufgeführten Winkel a, und a,, sondern deren Complimente. Bezeichnen wir diese entsprechend mit b, und b, so hat also die Berechnung nach der Formel: . 0 9,cos. b, — o, . cos b^, At Din bd. ne ^ 15. zu erfolgen, wo jetzt: p, = 0, + di li 1 CN dH UE = P, = وف‎ (1 — tgi di i5 — E) ist, wenn wieder b, und %, die unmittelbar beobachte- ten Grössen bei der 2. Messung und + di eine Ver- grösserung der Inclination und + dH eine Vergrösse- rung der Horizontal-Intensität von der ersten Messung zur zweiten darstellen. In der nachstehenden Tabelle theile ich die Beob- achtungsdaten mit, welche zur Berechnung der Incli- nation i, aus den einzelnen Messungen nothwendig sind. Die in der Tabelle aufgeführten Werthe von i, H, di und dH sind für die angegebenen Beobachtungszeiten den Aufzeichnungen des Magnetographen im unter- irdischen magnetischen Pavillon entnommen. 329 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Tabelle I Datum. | Zeit. | d, | b, | i, H, | Zeit. | 6, | b, di bd Juni | 12. | a^22"p.! 1,00 | 19° 29710” 70° 4143" | 1,6382 | 3^35"p.| 16,53|20918/25"|— 4" | + 0,0001 s» | 2 14 50 | 1652/9) 1997 4122 | 16388 | 4 12 p SE 3240 |—921 | 0,0006 » |15.| 2 45 p.| 2623|20 5452 4152 |1,6383 | 3 0 p.|— 10,00 18 4225 |+16 |— 0,0004 » |15.|] 335 p. 1661120 19 7 4138 |1,6288 | 3 47 p.| — 10,49 | 18. 4132 |— 22 | 4- 0,0007 » | » | 420 p.|—10,57|18 3935 4183 | 16391 | 4 32 p.| 1687 20 2022 |— 16 |-4-0,0007 » |1.| 237 p.| 1694120 2017 4213 | 16377 | 9.52 p. — 971.18 4233 |+11 |— 0,0001 » | » | 319 p.|—10,6|18 4233 4148 | 1,6382 1 p.| 1674120 90 0 |—2 0,0006 » |18.|11 29 a.| 1752/20 2 4345 | 16352 |11 46 a.|— 92118 43 7 |—13 |+0,0003 » | » | 485 p.|—10,70|18 4017 1142 | 16988 | 4 50 p. 1686 |20 2032 |+ 9 |— 0,0002. » |»|7H pl 1632/90 1852 4136 1,6390 | 7 22 P. |— 10,70 18 3957 0,0000 » |925.| 838 p.| 14,80|20 1250 43 1 | 1,6366 | 346 p. —1 68 18 2917 — 0,0002 » |» | 417 p.|—18382|18 3015 4241 | 10872 4 50 p 1400 20 1217 —18 |+0,0004 » |29.| 5 18 p.|— 13,65 |18 0 41 30 | 529 p.| 1418/20 1230 + 0,0002 Juli | 22. | 4 10 p.| 1435190 1097 42 33 16374 | 422 p. — 1440 18 2845 |— 8 | 3ه‎ » | « | 4 42 p.|—13,63|18 2937 42 12 | 1,6379 | 4 56 | 1400/20 1017 |—18 | 4-0,0003 In der folgenden Tabelle stelle ich die nach den Formeln 13. und 14. mit den vorstehenden Daten be- rechneten Werthe von ?, zusammen mit den oben schon mitgetheilten Werthen dieser Grósse, die aus den An- gaben des Magnetographen abgeleitet sind und somit solchen entsprechen, wie sie gleichzeitig mit dem Do- ver’schen Inclinatorium M 22 erhalten worden wären, Die Differenzen in den letzten Columnen repräsentiren also den Unterschied in den Angaben des Induetions- Inclinatoriums und des Dover'schen Nadel-Inclinatori- dk K, bei der Berechnung stets — 0 gesetzt worden. Wie ich 8. 17 meiner mehrfach erwühnten Abhand- lung bereits gezeigt habe, bedürfen die unmittelbaren Angaben des Inductions-Inclinatoriums von Meyerstein wegen des stórenden Einflusses seines Multiplikator- magnets noch einer Correction von + 15. rection ist in Tabelle II an den Wegthen von ?, (In- ductor) bereits angebracht. " Tabelle H ; Mittl Fehler o. e i Mittlere Abw. ittlere Fehler Datum. Differenz. Diff vom |. 8 Inductor. | Magnetogr. TARE E ` "SE? e Endre- sultats. Juni 12.| 1,00 | 16,53 |70°40'38”l70°4143"|—1' 5" » » 0,64 | 16,52 40 14 4122 |—1 8 » |15.| — 10,00 | 26,23 41 5 41 52 |—047 » 15.— 10,49| 16,61 | 4110 | 4138 |—028 » |»|— 10,57|16,87| 4156 | 4133 | 023 » 117.|— 9,71|16,94 | 4159 | 4213 |—014 » |»|— 10,16|1674| 41 2| 4148 |—046 » 18|— 931117523] 4854 | 43451-0 9 » |» |— 10,70|16,86| 4059 | 4142 |--043 +|» F 1070/1632}: 41.8.1; 4136. | —0328 — 13,68 | 14,80 4117 43 1 |—144 » |»|— 13,32 | 14,60 4125 4241 |—1 16 — 13,65 | 14,18 39 42 41 30 |—1 48 Juli 22.| — 14,40 | 14,35 40 38 4233 |—1 55 » | » |— 18,63| 14,00 4l 5 4212 | —1 7 E 6" 047" ES EC 134" + 25,9 -t- 9,8 | f | | | | | | 219-975 عه ums. Da die Grössen — unbekannt sind, so sind sie Diese Cor- Bulletin de l’Académie Impériale Die Resultate der beiden letzten Beobachtungsreihen sind je zu einem besonderen Mittelwerth vereinigt wor- den, weil innerhalb derselben das Verhältniss der bei- derlei Amplituden nahe constant blieb, also auch die unbekannte Correctionsgrösse E innerhalb jeder die- ser Reihen sehr nahe als constant betrachtet werden kann. Die Differenz der Mittelwerthe der einen und andern Reihe zeigt dagegen, dass dies selbst bei so kleinen Amplituden für unsern Multiplikator nicht mehr gilt, sowie das Verhältniss der beiderlei Amplituden ein erheblieh verschiedenes wird. Da bei der letzten Reihe die Amplituden sehr nahe dieselben waren, also da in der That & — = 0 wird ge- setzt werden können, so muss dieses Résultat offenbar als das verlüsslichste betrachtet werden. Darnach hátten wir also die Relation: — — UBA E 955 — HATE OI Inductions-Incl. — Incl. Dover Dieser Werth weicht um volle 2’, also weit über die Fehlergrenze hinaus, von dem oben aus meinen frühern Beobachtungen nach der Theorie des Herrn Chwolson abgeleiteten ab. Die Erklürung dieser Ab- weichung dürfte unschwer in dem schon von Herrn Chwolson (S. 100 u. 109 seiner citirten zweiten Ab- handlung) bemerkten Eisengehalt der beiden Multi- plikatoren von Meyerstein und Leyser zu suchen sein, der beim Drehen der letztern um ihre Axe die Ruhe- lage der Magnete betrüchtlich veránderte und deshalb die Anwendung der Theorie auf die Bewegungen der Magnete in ihnen zum Theil illusorisch machen musste. Ehe ich daher weitere Versuchsreihen und insbe- sondere auch solche mit grössern Neigungswinkeln der Drehungsaxe des Inductors (v = 19719") unternehmen wollte®), schien es mir geboten, vorher den Multipli- kator von diesem Fehler zu befreien. Die Wahl dieses grössern Neigungswinkels in der Folge dürfte deshalb von praktischer Wichtigkeit sein, weil es, wie wir ge- sehen haben, stets für die Bestimmung der Winkel b nóthig sein wird, die Vertikal-Lage der Drehungsaxe bei jeder Beobachtung zu bestimmen; folglich wird, wenn wir einfach b, — 0 und b, — 38? 40' (angenähert) 8) Einzelne Probeversuche bei solchen grósseren Winkeln sind wohl ausgeführt worden, kónnen aber hier nicht mitzühlen, da der Inductor dabei noch nicht die gehôrige Festigkeit besass. wühlen, eine ganze Einstellung erspart werden und überdies vereinfacht sich dann auch die Formel für die Berechnung der Inclination nicht unbeträchtlich. Durch eine besondere Untersuchung") hat Herr Chwolson kürzlich noch gezeigt, wie bedeutend die Fehler im Resultat werden kónnen, wenn, wie unver- meidlich, die Stósse bei der Multiplikations- und Re- flexionsmethode nicht rechtzeitig d.h. im Moment des Durchgangs der Magnetnadel durch die Gleichgewichts- lage erfolgen. Diese Fehler heben sich allerdings bei Bestimmung der Inclination durch die Drehung um zwei verschiedene Axen im Resultat auf, wenn die Ver- zögerungen oder Verfrühungen der Stösse bei den bei- derlei Beobachtungen dieselben sind. Nun zeigte mir die Erfahrung, dass diese Zeiten bei einer und dersel- ben Person offenbar von der Geschwindigkeit des Durch- gangs der Nadel durch die Gleichgewichtslage resp. der Amplitude der Schwingungen abhangen und daher nur bei gleicher Amplitude auch gleiche Verfrühungen resp. Verspätungen der Stósse zu erwarten sind. Auch von diesem Gesichtspunkte aus bietet also die Wahl gleicher Amplituden einen besonderen Vortheil dar. Der mittlere Fehler von + 21,2 = = 0/35, wel- cher unsern einzelnen Bestimmungen für die Differenz von Inductions-Inclinatorium und Nadel-Inclinatorium resp. Magnetograph (der letzten Reihe) noch anhaftet, ist zusammengesetzt aus dem Fehler des Inductions- Inclinatoriums für sich betrachtet und dem Fehler, mit weichem man aus den Aufzeichnungen des Magneto- graphs die Inclination ableiten kann. Dieser letztere Fehler ist nun wie schon oben mitgetheilt wurde + 0/23 — + 13,8. Demzufolge ergiebt sich für den mittleren Fehler einer Bestimmung der Inclination mit dem Inductions-Inclinatorium nach unserer Methode der Werth: di, = y21;2 — 1878 — + 16,1 = + 0/27, welcher also wenig grósser ist als der a priori S. 7 für diesen Fall ausgerechnete, wobei eben der bei der Be- obachtung des Winkels v (resp. b, und b,) begangene Fehler nicht mit in Anschlag gebracht worden war. Es muss schliesslich noch ausdrücklich hervorge- hoben werden, dass zwischen den ersten drei und den zwei andern Messungen der-letzten Gruppe nahezu ein 9) Dieses Bulletin T. XXVII p. 265. Mars 1881. 333 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 334 Monat verstrichen war, dass vor den letztern Messungen der ganze Apparat von Herrn R. von Trautvetter und mir gemeinsam neu justirt wurde und dass dann auch Herr v. Trautvetter die letzte Messung der Reihe ausführte. Obschon also des erwähnten Fehlers im Multiplika- tor halber die ganze Untersuchung durch die Beobach- - tungen im Sommer 1880 noch nicht als abgeschlossen betrachtet werden kann, so haben die letztern doch bereits folgende Resultate ergeben. 1*. Bei der Anwendung solcher Stellungen der Dre- hungaxe des Inductors, bei welchen die letztere um gleiche, 30? nicht überschreitende Winkel nach der einen und andern Seite von der Inclinationsrichtung abweicht, also nahe gleiche und entgegengesetzte Aus- schläge der Multiplikatornadel erhalten werden, kann man eine relative Genauigkeit von mindestens = 16 in den einzelnen Bestimmungen der Inclination mit dem Inductions-Inclinatorium erzielen. 2". Es ist sehr wahrscheinlich, dass bei Anwendung dieser Methode unabhüngig von der Inconstanz der Multiplikatorfunction auch dieselbe absolute Genauig- keit der Inclinationsbestimmung erreicht wird. Zur Zeit ist wegen des dem Meyerstein'schen Multiplika- tor anhaftenden Fehlers durch Benutzung der neuen Beobachtungsweise die Unsicherheit über die absolute Correction unseres Nadel-Inclinatoriums freilich erst bis + 1’ verringert worden, wenn wir nämlich vor der Hand das Mittel des Resultates aus den neuen Beob- achtungen' und des nach der Chwolson'schen Theorie aus meinen früheren Beobachtungen berechneten als richtig voraussetzen. Über die Lebensgeschichte des heil. Georgios von Amastra und die Zeit ihrer Abfassung. Von Dr. W. von Gutzeit. (Lu le 20 mai 1880.) In den «Acta Sanctorum» befindet sich die Heiligen- geschichte des Georgios, Bischofs von Amastra, in welcher eines Plünderungszuges und der Greuelthaten der Russ an der Nordküste Kleinasiens und eines am Grabe des Heiligen geschehenen Wunders Erwähnung | geschieht, eines Wunders, welches die Bekehrung eines | Fürsten der Russ zum Christenthum nach sich zog. | Einige Forscher haben Veranlassung gefunden, die Ab- fassung dieser Heiligen-Geschichte einem Zeitgenossen Oskolds und Dirs zuzuschreiben und sie in die Zeit bald nach deren Raubzuge gegen Konstantinopel(865)zu setzen. Andere, wie Ssolowjev (Gesch. Russl. I.) haben angenommen, dass Russen Angriffe auf griech. Gebiet bereits vor 865 unternommen hätten, und, aller Wahr- scheinlichkeit nach, an den Ufern des schwarzen Meeres schon vor der Hälfte des IX. Jahrhunderts, vor Ankunft Ruriks, bekannt gewesen würen. Die Beweise dafür sollen sich in den Legenden des h. Stefan vonSsurosch und des h. Georgios von Amastra finden. Jene setzt Ssolowjev in den Anfang des IX. Jahrhunderts, diese soll, wie neuerlichst Prof. Wassiljewskij darzulegen versucht hat, vor dem Jahre 842 geschrieben sein, und zugleich beweisen, dass die Russ schon vor 865, richtiger vor 842 das byzantinische Reich überfallen „| hätten und dass das allgemeine Bekanntwerden des Namens der Russ nicht erst 865, sondern schon vor 842 erfolgt wäre. Prof. Wassiljewskij EE zu diesen Aufstellungen . | folgende Gründe geleitet. Zuvórderst der Umstand, dass der Verfasser der Heiligengeschichte nirgends der Heiligenbilder Erwäh- nung thut und ein solches Nicht-Erwühnen nur denk- bar sei für die Zeit vor 842, bis zu welcher die Bil- derstürmer die Oberhand gehabt und sie sowol wie die Bilderverehrer gezwungen gewesen würen, für oder gegen die Bilder Schweigen zu beobachten. Das Jahr 842 hütte diese Fessel gelóst. Indessen ist nicht zu übersehen, dass das Jahr 842 keine vollständige Beruhigung der Gemüther herbei- führte, dass vielmehr, zu diesem Zwecke, für noth- wendig erkannt wurde, im Jahre 879 die Verordnung von 842 zu wiederholen. War keine vollständige Be- ruhigung durch die Verordnung von 842 erzielt, so gewiss auch keine vollständige Ausgleichung der An- sichten über den Bilderdienst. Es konnte somit mancher «Rechtglüubige» selbst nach 842 dem Bilderdienst fremd sein, oder wenigstens, Friedens halber, von den Heiligenbildern schweigen. Wurden auch viele «farb- lose», d. h. keine Aeusserung über den Bilderdienst enthaltende geistliche Schriften jener Zeit von Spüteren einer «Verbesserung» unterzogen, d. h. Bilderdienst Betreffendes hineingewebt, so geschah dies doch, wie | selbst Prof. Wassiljewskij bemerkt, keineswegs mit 355 Bulletin de l'Académie Impériale 356 allen und konnte daher auch die Amastra - Legende einer solchen angeblichen Verbesserung entgehen. Die Folgerungen aus dem Schweigen (ex silentio) haben überdies stets ihr Bedenkliches. Nicht minder fraglich ist die Beweiskraft einer anderen Annahme des Prof. Wassiljewskij: es müsse die Heiligengeschichte nicht lange nach dem muth- masslich gegen 811 erfolgten Tode!) des Georgios verfasst sein, weil derselbe eine untergeordnete Stellung in der geistlichen Hierarchie eingenommen und das Gedächtniss eines solchen Mannes sich schwerlich 60 bis 70 Jahre, d. h. bis zum Jahre des Oskold-Dir- schen Raubzuges erhalten hätte. Auch deuteten die Worte: «dass schon die Zeitgenossen des Georgios Wohlthaten empfangen, aber auch das nüchstfolgende Geschlecht» darauf hin, dass der Verfasser wahrschein- lich selbst zu dem nächstfolgenden Geschlecht gehört habe, vielleicht selbst ein halber Zeitgenosse des Ge- orgios gewesen. — Diese Muthmassungen scheinen jedes haltbaren Grundes zu entbehren. Denn theils lehrt die Geschichte, dass die Lebensläufe der Heiligen oft lange nach dem Tode der zu Verherrlichenden nie- dergeschrieben wurden, theils thun die letztangeführten . Worte, streng genommen, nur dar, dass die Wohlthaten und Wunder zwar den Zeitgenossen, selbst dem nächst- ` folgenden Geschlecht, keineswegs aber noch Späteren . zu Theil geworden sind. Eine dritte Annahme des Prof. Wassiljewskij, dass der Verfasser der Heiligengeschichte ein Diaconus Ignatius gewesen, scheint noch weniger Gründe für sich zu haben. Denn Suidas sagt wórtlich: Ignatius schrieb die Leben der heiligen und gesegneten Patri- archen Tarassios und Nikephoros; ferner Grabgedichte, Briefe, Jamben und viel Anderes. Hat es nun Glaub- lichkeit, dass in dem «vielen Anderen», wie Prof. Wassiljewskij meint, die Lebensgeschichte des Ge- orgios enthalten sei, dass Suidas Grabgedichte, Briefe und Jamben für wichtigere Arbeiten als eine Heiligengeschichte angesehen und daher jene, nicht diese erwähnt, oder überhaupt von dieser geschwiegen hätte, wenn Ignatius ihr Verfasser gewesen? 1) Das Jahr 806 oder 810 ist nur Vermuthung. Geboren 760 und gestorben 806 oder 810 würde der Heilige etwa 46 — 50 Jahre alt geworden sein. In Cap. VIII. $ 35 der Heiligengeschichte wird er- wähnt, Georgios habe zu dem Kaiser Nikephoros (reg. v. 802—811) in einem näheren Verhältniss gestanden. Die Heiligengeschichte erzählt, dass ein Angriff der Russ stattfand, eines, wie Alle wissen, im höchsten Grade wilden und grausamen, nicht eine Spur von Mensch- lichkeit in sich tragenden Volkes; der Patriarch Pho- tios in dem Rundschreiben von 867, spricht in fast damit übereinstimmender Weise, von dem Volke der Russ als von einem allbekannten, weltberühmten, alle anderen Völker an Rohheit und Mordlust hinter sich lassenden Volke. Der Schluss liegt daher nahe, dass der Verfasser der Heiligengeschichte unter denselben Eindrücken, wie der Verfasser des Rundschreibens geschrieben habe, kein Grund aber vor, dass, wie Prof. Wassiljewskij meint, die Kennzeichnung der Russ als «allbekannte, weltberühmte» einen ähnlichen Raub- zug wie den von 865 schon vor 842 voraussetzen lasse und dass gerade dieser Raubzug von vor 842 die Russ zu all- und weltbekannten gemacht habe. Denn ohne Zweifel musste dass Ereigniss von 865 hinreichen, um die Russ als Schrecken in Aller Mund zu bringen und den 867 schreibenden Photios von ihnen als einem allbekannten u. s. w. Volk sprechen zu lassen. Seine Worte durch ein ähnliches Ereigniss vor 865, selbst vor 842 zu stützen, ist nicht im Ent- ferntesten nöthig, um so weniger als die Griechen von den Gesandten der Russ des J. 838/39 wie von Ange- hörigen eines bis dahin selbst dem Namen nach unbe- kannten Volkes sprechen und mittheilen, dass diese Russ von 838/39 den Weg nach Konstantinopel nur unter gros- sen Gefahren mitten durch viele wilde, ihnen feindliche Völkerschaften gefunden. Anders lagen die Dinge zur Zeit des Photios. Denn nun hatten die Russ bereits, wie Photios, doch wohl auf Grund eingezogener Kunde es ausspricht, jedenfalls aber in vollständiger Ueber- einstimmung mit Nestors Nachrichten von der Besitz- ergreifung Kijews durch Oskold und Dir und ihrer Herrschaft über die Polänen, die ringsumher wohnen- den Völkerschaften geknechtet und konnten, dadurch übermüthig gemacht, ihre Arme sogar gegen das by- zantinische Kaiserreich — und also doch wohl zum ersten Male — erheben. Entschieden wahrscheinlicher ist demnach, die Heiligengeschichte des Georgios in die Zeit nach 865 als in die Zeit vor 842 zu ver- setzen. Und berichten denn nicht Photios, welcher mit der inneren und äussern Politik des griechischen Staates durch vieljährigen Staatsdienst mehr als Jemand ver- traut war, und ebenso andere gleichzeitige und spätere 4 des Sciences de Saint = Pétersbourg. 338 ) von dem Raubzuge des Jahres 865 als dem ersten, und ebenso vou der Be- kehrung der Russ nach 865 als der ersten? In jeder Hinsicht — das am Grabe zu Amastra geschehene Wunder wird, wenn es vor 842 stattgefunden haben soll, eine vollständige Unwahrscheinlichkeit. Allen Vermuthungen und Ueberzeugungen von einem Raubzuge der Russ vor 842 dürfte noch der Umstand entgegentreten, dass kein einziger Byzantiner eines solchen Raubzuges Erwähnung thut, obgleich die Re- gierungszeit Kaiser Theophils, in welcher derselbe stattgefunden haben müsste, eingehende Schilderung erfahren hat und obgleich die Russ von der Propontis anfangend bis Amastra hin die Nordküste Kleinasiens verwüstet haben sollen. Wenn in dieser Erzählung auch unter Propontis (ausnahmsweise!) nicht das Mar- marameer, sondern der Bosporus verstanden wäre, wie Prof. Wassiljewskij meint, so wird es dennoch stets fraglich bleiben, weshalb von einem Verwüstungszug vor dem Jahre 842 Alle schweigen, während der von 865 alle Federn in Bewegung setzte. Doch selbst der Raubzug von 865 kann nicht als derjenige angesehen werden, welcher dem Verfasser der Heiligengeschichte von Amastra vorschwebte. Denn so wie die Byzantiner und Nestor von einer Verhee- rung der Nordküste Kleinasiens durch Oskold und Dir nichts wissen, so bezeugen jene wie dieser von der durch Igor im Jahre 941 erfolgten fast buchstäblich dasselbe: die Russ verwüsteten die kleinasiatische Küste Bithyniens, Paphlagoniens und Nikomediens und haus- ten in der Weise, dass sie sich an den Qualen der un- glücklichen Gefangenen weideten, die Leute ans Kreuz schlugen, mit Pfeilen erschossen, ihnen eiserne Nägel in den Kopf trieben, Tempel, Klöster und Dörfer in Asche legten. Und wie sehr stimmen mit diesen Nach- richten Nestors die Angaben im Cap. IX. 8 43 der Heiligengeschichte! Es liegt somit auf der Hand, dass die Heiligenge- schichte nicht den Plünderungszug Oskolds und Dirs, sondern den Ueberfall Igors im Jahre 941 im Auge hatte. Eine gewissermassen abschliessende Bestütigung erhält diese Annahme durch die im $ 46 enthaltene Versicherung, dass spáter die Russ in jenen Gegenden nicht mehr als Feinde erschienen wären. Denn Igors Zug dahin war der erste und letzte. Die Legenden schildern bekanntlich Vorgänge, Tome XXVII. welche nur zum Theil auf geschichtlichen Thatsachen beruhen. Sie sollten auf die Gemüther wirken, einen kirehlichen Hirten verherrlichen ; die wirkliehe Ge- schichte war für manche Hagiographen Nebensache und wird, zum Theil deshalb, über die Zeit der beschrie- benen Wunderthat der Leser in Ungewissheit gelassen. Jedenfalls erheischt die Vorsicht, nicht zu viel, nicht zu sichere Geschichte aus Legenden zu entnelimen. Juni 1878. Ergánzende Bemerkungen zu den Untersuchungen über die Zeit der Abfassung des Lebens des h. Georg von Amastris. Ein Beitrag zur Aufklärung der russisch-byzantinischen Chronologie des Or" Jahr- hunderts von E. Kunik. (Lu le 10 mars 1881.) Der Verfasser des oben abgedruckten Aufsatzes sandte mir denselben einzig und allein in der Absicht zu, mich davon in Kenntniss zu setzen, dass er mit der in der (i. J. 1878 erschienenen) Monographie über das Leben des h. Georgs von Amastris aufgestellten Ansicht hinsichtlich der Zeit der Abfassung der Vita nicht einverstanden sein kónnte. Obgleich ich die Ein- wendungen theile, welche in dem Aufsatze gegen die sonst in vielfacher Hinsicht lehrreiche Schrift des Herrn Professor Bacmbesckiii ’) vorgebracht werden, so ist es mir doch unmóglich, die Abfassung der Vita in die Zeit nach dem Jahre 941, d. h. nach dem Zuge Igors gegen Byzanz zu setzen. Dessen ungeachtet scheint es mir zeit- gemäss zu sein, durch den Druck jenes mir privatim zuge- schickten polemischen Aufsatzes die Aufmerksamkeit der sich mehrenden Vertreter der Byzantinistik auf ein Denkmal der hagiographischen Literatur zu lenken, wel- ches schon an sich verdient, nach verschiedenen Seiten hin besprochen zu werden, und ausserdem zu den älte- |sten Quellen der russischen Geschichte gehört. Zunächst scheint es, dass es sich bei der Bestim- mung des Zeitalters des Hagiographen nur um die Entscheidung einer rein chronologischen Frage handelt; allein von dieser Entscheidung hängt auch die -' 1) Karie an AMAaCTPHACKATO, (IIo gese; rpeseckowy norausHury). Gedruckt im #Kyp#. mus. Bap. upocs. 1878 oder in SE 195, oTa. 2, Go 277—306 und Macr» 196, ora. 2, € erp. 128 — l. Eine mir einst von Hase verehrte genaue Copie des griechischen ben Gest der Vita s. Georgii habe ich, um die Benutzung derse zu erleichtern, der Bibliothek der Kosenie der W. übergeben 2 Bulletin de l'Académie Impériale 340 Art und Weise der Verwerthung der Vita zu histori- schen Zwecken ab. In dieser Hinsicht lässt sich nicht leugnen, dass zwei Hauptrichtungen einander schroff gegenüberstehen, nämlich die der Vertreter des sog. nor- mannischen Systems und die der Anhänger einer schwer mit einem Worte zu bezeichnenden Richtung, da die- selbe, nach dem Vorgange des verstorbenen Solowjew, ` auch von andern achtungswerthen Männern gebilligt wird, die mehr oder minder entschieden das norman- nische Element als einen wesentlichen Factor beim Aufbau des russischen Staatswesens anerkennen und nur willkürlich den Namen Rus (Pycs) in eine Zeit hinaufrücken, wo derselbe an den Küsten des Pontus noch ganz unbekannt war. Man kónnte diese Richtung die antichronologische nennen, doch über die An- gemessenheit dieser Bezeichnung kann nur das End. resultat des Streites über die Zeit der Einnahme von Amastris und Suroz (Sudak) entscheiden. Nicht wenige Normannophoben haben ausser manchen unlautern Quellen auch die Vita s. Georgii amastrensis benutzt, um vermittelst derselben ihr in der Luft schwebendes Dogma zu stützen, dass schon lange vor Rurik slawische Russen im Süden und insbesondere am cimmerischen Bosporus ansässig gewesen wären und von verschiedenen Seiten aus schon vor 865 Züge gegen das byzantinische Reieh unternommen hätten; allein es lohnt sich nicht mehr der Mühe, um- ständlich nachzuweisen, wie dieser und jener Ere Kämpe aus Mangel an Übung in der Behandlung chro- nologischer Fragen zu einem so groben Anachronis- mus gelangte, da der seit zwei Jahrzehnten wüthende Streit über die Herkunft der Rôso-Wärjager in den Hauptpuncten als erledigt angesehen werden darf, be- sonders seitdem das umfassende Werk von Gedeonow nebst dem dazu gehórenden Ergänzungsbande gedruckt vorliegt °). Wenn ein Mann, wie der verstorbene Gedeo- now, dem man Scharfsinn und einen Schatz von man- nigfachen Kenntnissen nicht absprechen kann, im Laufe von 30 Jahren (1847— 1878) es nicht vermochte, die Grundlage des normannischen Systems zu erschüttern — was er selbst in seinem letzten Nachworte ) 1. crp 192) ziemlich unverblümt eingestanden hat —, so ist diess noch weniger von andern Gegnern des nor- E ye e u en nn nscabıoganie C. l'exeonoBa. 2 TH. 0116: 1 — Honoa Kb coumnenib ` Baparu u Pycr. (Erscheint uti in ade Ce? Axaaxewiu HayK®). mannischen Systems zu erwarten, um so mehr als bei der Mehrzahl der immer wieder auftauchenden Anti- normannisten nur Leidenschaftlichkeit die Feder führt. Auch nicht zwei der Normannophoben der letzten zwei Jahrzehnte stimmen in den Hauptpuncten des Streites unter einander überein, sondern bewegen sich in der Regel nur in einem den Leser nicht selten zur Heiter- keit stimmenden Chaos von sprachlichen und histori- schen Voraussetzungen und Paradoxen. Ein solcher und kein andrer Ausgang des neuen Streites war na- türlich für jeden mit dem Gegenstande Vertrauten zu erwarten, wenn man auch durchaus anerkennen muss, dass durch diesen Streit die Wissenschaft selbst viel- fach gewonnen hat. Was die Ansichten der Vertreter des rein normanni- schen Systems in Betreff des Zeitalters des unbekannten Hagiographen von Amastris anbetrifft, so darf nicht ge- leugnet werden, dass dieselben in der Gegenwart sehr weit auseinandergehen; doch lässt sich erwarten, dass diese Divergenz, da sie nur chronologischer Art ist, von keiner langen Dauer sein wird. Wie ich schon bemerkt habe, so vermag ich nicht die Überzeugung zu theilen, dass der in der Vita s. Georgii geschil- derte Zug mit dem Igors i. J. 941 identisch ist. Diese Ansicht wurde schon i. J. 1849, wenn auch ohne nähere Begründung von dem zu den Normannophoben gehórenden Philaret (früher Bischof von Riga und dann als Erzbischof von Tschernigow verstorben), aufgestellt und stimmt allerdings gut zu dem einem unbekannten byzantinischen Chronisten entnommenen Berichte der russischen Chronik über den Zug von 941; allein die von Scylitzes - Comnenus aufbewahrte Nachricht über den Zug von 865 (Tà òè &vros Ebğeivou xal näcav thv Urol napadtav ó Tav Pos eröpdeı xal XOTPÉYETE aroAoc) ` schliesst die Thatsache nicht aus, dass schon in die- sem Jahre Paphlagonien von den Piraten heimgesucht wurde. Auch ist nicht unbeachtet zu lassen, dass der ganze Verlauf des Zuges von 941, wie ihn uns die By- zantiner, Liudprand und Nestor schildern, sich gar nicht in Einklang bringen lässt mit dem Verlauf des Zuges nach Amastris, wie ihn die Heiligenlegende schil- dert. Die russische aus 1000 (nicht: 10,000) Seekäh- nen bestehende Flotte Igors ging i. J. 941 fast ganz zu Grunde. Nach Leo diaconus (VI, 10; vgl. IX, 2) rettete sich Igor mit kaum 10 Fahrzeug (mél cuv Stra Außer). Durch Nestor erfahren wir, dass Igor 341 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 342 ganz und gar nicht an den Abschluss eines Friedens mit Byzanz dachte, sondern sogleich Vorbereitungen zu einem Ebene traf. Nach dot Vita. s. ege? da- gegen endigte die Verwüstung derkl hen Küste in Amastris mit einem gänzlichen Umschwung der Ge- sinnung der heidnischen Rös, welche die gefangenen Christen frei liessen und aus grimmigen «Wölfen» zu sanften Lämmern wurden. Ausdrücklich wird freilich nicht gesagt, dass der Führer der Räuberbande sich taufen liess, aber auch nach dem Kaiser Constantin er- folgte die Taufe der Rös in Kiew nicht sogleich nach dem Zuge von 865, sondern erst nachdem sie von By- zanz aus durch reichliche Geschenke u. s. w. bewogen worden waren, in einen friedlichen Verkehr mit den Griechen zu treten. In eine ganz andere Zeit versetzt der Professor der Kirchengeschichte an der Moskauer geistlichen Aca- demie E. Golubinski?) den im Leben des h. Georg er- wähnten Zug, nämlich etwa in die Zeit von 800—820 und zwar lässt er denselben von normannischen Pira- ten ausgehen, die sich nach seiner Ansicht schon da- mals an den taurischen Küsten und an denen des asow’- schen Meeres unter dem Namen der Rös niedergelas- sen hätten. Es gehörte eine feste und rein wissenschaft- liche Ueberzeugung dazu, um auf diese Weise den Knoten zu lósen. Aber gerade die Thatsache, dass zwischen einem Forscher, wie Prof. Golubinski, und mir eine so grosse Verschiedenheit der Ansichten über die Zeit der Einnahme von Amastris und Suroz durch die Rós besteht, liefert den besten Beweis, dass es sich zwischen uns nur um eine rein chronologische Con- troverse handelt. Im Grunde genommen läuft der Ge- gensatz meiner Ansicht zu der des Prof. Wasilijewski auf dasselbe hinaus. Nachdem Solowjew und Gedeonow gestorben, war es mir ganz besonders angenehm, in meiner in den «3aummcku» der Academie abgedruckten Schrift: «T'arunıo u Yepsomopckan Pych», eine Contro- verse der Art mit zwei andern sowohl in russischen als auch in byzantinischen Quellen bewanderten Gelehr- ten im Interesse der reinen Wissenschaft auszufechten. Es war mir einst beschieden, die Vita s. Georgii amastrensis in den Kreis der historischen Forschung zu ziehen. Schon damals bekannte ich mich zu der An- sicht, dass der in der Vita erwäbnte Zug der Rós iden- 3) Hcropis pycekoit nep. Tow I, 1. Mocksa 1880, crp. 46, 47. tisch wäre mit dem von 865, wenn es mir auch bei dem ersten Versuche nicht gelang, diese Ansicht gegen alle Angriffe hinlänglich sicher zu stellen. Nach dem Erscheinen der Arbeiten der beiden erwähnten Gelehr- ten bin ich mehr als jevon der Richtigkeit meiner An- sicht überzeugt, dass nämlich die Vita nicht in der ersten, sondern in der zweiten Hälfte des 9. Jahrhun- derts abgefasst worden ist. Die Frage, ob der Verfasser der Vita eine der Homilien des Patriarchen Photius vom J. 865 und dessen Rundschreiben vom J. 867 gelesen hat und ob sich Anklänge an diese Schrift- stücke in seiner Charakteristik der Rös nachweisen lassen, bleibt eine offene. Zum festen Anhaltspunkte diente mir jetzt bei der Bestimmung der Zeit der in den Legenden von Amas- iris und Suroz geschildeten Züge die Chronologie der Róso-Wárjager*) und ihres Vordringens nach dem Süden, d. h, nach Kiew und den Gegen- den des cimmerischen Bosporus. Die russische Chro- nik, welche man unter der einmal üblich gewordenen Benennung der des Reverendus Nestor (IIpenoao6npiü Hecrops») eitirt, reicht zur Feststellung der róso-war- jagischen Chronologie bei weitem nicht aus. Glück- 4) Schon längst hat man bemerkt, dass die Bezeichnung der in Russland auftretenden Normannen durch Baparo-Pycesı (Warjago- Russen) nicht gut g TEE war, weil zur Zeit der ege A des russi- ^ bei den Slawen schon ein Gesammtname, i Es sicht einem Jeden frei, sich der besonders durch Pogodin in Umlauf gesetzten Benennung Vs pde واوا‎ » oder der Benennung «Röso-Warjager» zu bedie- Dagegen ist eine ipee seg über die Transscription des Wortes Dep » sehr wünschenswe scriptionen wie « Waräg » oder SA e» zu billigen liegenden Falle überhaupt unmöglich, die eigen nthümlich ids usprache der Silbe p4 (kirchenslawisch pa = ria) durch dentsche, franzósische oder englische Schrift wiederzugeben; da der Conso- nant (r) durch den folgenden Vokal eine Erweichung erfahren hat. Will man sich mit der rein graphischen Trausscription «Wariag» nicht begnügen, so würde allerdings die deutsche und polnische Form «Warja jag» noch am besten die me e Et von Baparr, aus- en A- Vokale nicht als > deren Fällen der lange nordische Stammvocal im Slawischen ver- kürzt erscheint Wie verhält es sich aber mit der Betonung von «Warjag»? Im Munde der literarisch Gebildeten ruht der Ton auf der Endsilbe die- ses Namens, während bei den Byzantinern Bapayyoc, (Bapayyo:) stets ein Proparoxytonon war und auch im altschwedischen *Wäring sicher der Ton auf der Stammsilbe ruhte. Kein Zweifel, dass diese Betonung auch in der ältesten Periode de Zeit, sondern so- gar noch in ar, bis jetzt gebräuchlichen topographischen Be- p erhalte 99* 343 Bulletin de l’Académie Impériale 344 lieher Weise stehen uns dazu auch ausländische Quel- | len zu Gebote, deren Verfasser im 9. Jahrhundert leb- ten oder im 10. Jahrh. ihre Nachrichten niederschrieben und deren Schriften entweder vollständig auf uns ge- kommen sind oder sich in Excerpten bei späteren Com- pilatoren erhalten haben. Mit Hülfe derselben habe ich - versucht, für die Zeit der Abfassung der Legende vom Amastris einen «Terminus a quo» zu gewinnen, nämlich das J. 865, so dass die Abfassung derselben nicht vor diesem Jahre, sondern erst einige Zeit nach demselben erfolgt sein kann. 9. März 1881. Das älteste Zeugniss über das Auftreten von Röso- Wärjagern in Byzanz oder über die Fahrten derselben auf dem Pontus stammt bekanntlich aus dem J. 839; doch müssen die Gesandten des Fürsten der «Rhos», wie Galindo das griechische "Dez transseribirt, späte- stens im Herbste 838 in Byzanz angelangt sein. Aus dem Briefe des Kaisers Theophilus, in welchem er dem fränkischen Kaiser die Gesandten auf das wärmste empfahl, ist deutlich zu entnehmen, dass die Norman- nen bis dahin mit dem später sog. «warjagischen Wcge» nach Byzanz noch nicht vertraut waren. Ausserdem ergiebt sich aus der Erforschung der internationalen Verhältnisse jener Zeit, dass die Gesandten von 838 und somit auch ihr Kriegsherr, Häkan (Chacanus) ge- nannt, schwerlich Unterthanen des schwedischen Ober- kónigs am Mälarsee waren, sondern dass hóchst wahr- ١ scheinlich jener Fürst seinen Hochsitz schon diesseits des baltischen Meeres aufgeschlagen hatte entweder unter Tschuden oder in einer slawischen Colonie auf| tschudischem’ Grund und ‘Boden. Die Aussagen der russischen Chronik widersprechen einer solchen An- nahme nicht, da man zugeben muss, dass die Jahrzah- len 859 und 862 keinen Anspruch auf Glaubwürdig- keit machen dürfen, weil sie erst in spüterer Zeit an die Spitze der kurzen einheimischen Tradition über die Verjagung der Wárjager und die darauf erfolgte Wiederberufung eines Fürstengeschlechtes aus. den (schwedischen) Rós gestellt wurden. Etwa zwanzig Jahre spüter zogen Askold und Dir mit Genehmigung ihres Kriegsherrn Rurik und von einer Gefolgsschaar begleitet auf dem warjagischen Wege nach Byzanz, um dort Kriegsdienste zu nehmen. Vor Kiew angekommen — jedenfalls nicht erst 862 oder gar 864 — zogen sie vor, sich dort an der Stelle der Chasaren zu Herrschern über die slawischen Pol- janen aufzuwerfen. Nachdem sie ihre Kriegsmacht durch herbeigestrómte überseeische Wárjager verstürkt und offenbar auch einen slawischen Heerban organisirt hat- ten, erschienen sie plótzlich im Sommer 865 mit einer Flotte vor den Mauern von Constantinopel, nachdem sie wahrscheinlich vorher durch Spione oder Kaufleute erfahren hatten, dass der Kaiser im Frühjahr an der Spitze seiner Armee und Flotte zur Bekämpfung der (spanischen) Araber auf Creta ausrücken würde. Die Vorbereitungen zu diesem alle Krüfte des byzantini- schen Reichs anspannenden Zuge werden wahrschein- lich seit der Niederlage und dem Falle des Emirs von Meliténe (MeArryvî im nördlichen Kleinarmenien) eifrig betrieben worden sein. Der Emir fiel im Sept. 863. Auf die Gesandtschaft von 838 oder eine spátere, je- doch vor 865 in Byzanz angelangte scheint der Patri- arch Photius in der zweiten Homilie eis thv لامقموة‎ zën ‘Pos anzuspielen?). Diese Anspielung macht er aber nur zu dem Zwecke, um mit Bestimmheit zu erklären, dass dieselben Rós nun auch (im Sommer 865) die Waffen gegen das Kaiserreich erhoben hätten (... aUis arav Tic ébouciac #(+ة‎ poVTo). Auch in dem in den ersten Monaten des J. 867 abgefassten Rund- XAT schreiben an die orientalische Geistlichkeit hebt er mit Nachdruck hervor, dass die Rôs erst dann, nachdem sie zuvor die rings um sie wohnenden Völkerschaften sich unterworfen und in Folge davon übermüthig ge- worden wären, ihre Hände erhoben hätten gegen das romaische Beicht... a òh xal xata tic bouaïxis à ris... 4Eexs Gutsa, Noch aus mehreren andern Stellen in den Homilien des Patriarchen, die von mir?) zusam- mengestellt wurden, ist zu folgern, dass man in Byzanz vor dem J. 865 durchaus keinen Anlass hatte, die Rôs zu beschuldigen, je einen Angriff auf byzantini- sche Besitzungen gemacht zu haben. Alle diese Aus- 5) Lexicon Vindobonense. Rec. A. Nauck. Petrop. 1867 (II, p. 218, 1. 1—3): «Diejenigen, welchen einst das blosse (zu ihnen gedrungene) Gerücht von den Romaïern (Griechen) durchaus unerträglich er- schien », haben nun (i. J. 865) die Waffen erhoben u. s. w. 6) Tlarpiápit Lomp, KAKb ABTOPUTETE 115 onpexbaenis Bpemenu nepBaro Bpa;KLe6Raro eiie Póco-Bapsarom Ha BU3aHTiñCKYIO MM- i M. Pycs, crp. 283—291.) Ich habe mich besonders auf folgende Stellen der Homilien berufen: Seite 203 (11), 208 (1, 5, 12 bis 15), 216 (14—15), 217 (13), 218 (28), 219 (1—3). 345 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 346 sagen des Patriarchen zusammengenommen bilden eine Phalanx von Beweisen, welche zu durchbrechen auch dem gewandtesten und belesensten Kritiker nicht ge- lingen wird. Ja, es ist, wie wir bald sehen werden, noch ein zweiter Schluss aus jenen Stellen zu ziehen. Die scharfe Polemik, zu welcher der Streit über die Wärjager seit 1859 Veranlassung gegeben, hat näm- lich mich zur Aufhellung einer Specialfrage geführt, hinsichtlich deren Alle, selbst die Normannisten nicht ausgenommen, bis jetzt im Dunkeln tappten. Es ist ein bleibendes Verdienst von Gedeonow, i. J. 1862 einen fruchtbringenden Anstoss zur Bearbeitung der Frage über die sog. pontischen Russen (Hepnowopckas Pych) gegeben zu haben. Ausführlieh hat er sich über die- selben in seinen «Ergünzungen» (p. 136—160) verbrei- tet; doch konnte schon seine Marotte, unter den Tauro- scythen des 7. Jahrhunderts slawische Russen am cim- merischen Bosporus zu wittern, so wie seine Vermen- gung der normannischen Rós mit den verslawten und rein slawischen Russen des 11. Jahrh. in jener Gegend nicht zu haltbaren Ergebnissen führen. Ob es mir ge- lungen ist mit Hülfe theils unbekannter theils früher übersehener oder missverstandener Quellen Licht in jenes Völkergewirr am cimmerischen Bosporus zu brin- gen, mögen stimmberechtigte Kritiker entscheiden. Kein Zweifel, dass es vor Allem darauf ankommt, die Zeit, wenn auch nur approximativ zu bestimmen, wann normannische Piraten sich an den cimmerischen Küsten niedergelassen haben. Wie schon oben angedeutet wurde, ist es bei uns, besonders seit dem Auftreten Solowjews, selbst unter den Normannisten Mode ge- worden, nicht nur von russischen Niederlassungen an den taurischen und asow'schen Küsten in den ersten Jahrzehnten des 9. Jahrhunderts zu fabeln, sondern man lässt sogar von da aus den Zug von 865 nach Byzanz und den nach Amastris unternommen werden. Alle diese und ähnliche Phantasiegebilde werden durch die rôso- warjagische Chronologie verscheucht. Vor der Niederlassung der ersten Dynasten in Kiew kann von solchen Piratennestern in Taurien u. s. w. nicht die Rede sein. Argumenta a silentio haben oft ihr Missliches; doch das steht fest, dass Photius sich die Rós des J. 865 als im nordwestlichen Theile des Landstriches, welcher den Byzantinern als der Norden galt, hausend dachte, nicht aber im Nordosten des schwarzen Meeres. Wenn Piraten aus den Rós schon während des ersten Pa- triarchats des Photius (857 — 867) vom cimmerischen Bosporus aus die griechischen Besitzungen und Kirchen «innerhalb des Pontus» nach ihrer barbarisehen Weise heimgesucht hätten , so wäre diess dem Patriarchen sicher zu Ohren gekommen, da die Erzbischöfe von Cherson (an der Bucht von Sewastopol) und Kertsch, so wie die Bischöfe von Gothien (v, Fotðiæ xotAn), Su- dak, Matarcha (Taman) u. s. w. ihm untergeordnet waren. Wie sehr sich Photius für die Ausbreitung des Christenthums gerade in jenen Gegenden interessirte, erfahren wir aus dem Briefe, welcher sich aus seiner Correspondenz mit dem Erzbischofe Antonius von Kertsch erhalten hat. Kurz, wir dürfen mit Sicherheit annehmen, dass die Aussagen des Patriarchen über das erste feindliche Auftreten der Rós die Existenz derselben an den taurischen Küsten i. J. 865 und vor- her geradezu ausschliessen. Auch das, was wir von Arabern und Persern über die pontischen Piraten, von ihnen «Rus» oder «Ros» genannt, erfahren, spricht nicht zu Gunsten eines so hohen Alters ihrer Niederlassungen im Nordosten des schwarzen Meeres. Nach einer längst gedruckten, aber ganz übersehenen persischen Quelle hatten sich «Rüs» von dem Chasarenchagan ein Stück Land ausgebeten. Der Chagan trat ihnen angeblich einige Inseln (nach orientalischem Sprachgebrauche vielleicht im Sinne von Halbinseln oder Küstenstrichen, die durch einen Fluss begrenzt waren) ab. Durch die Besetzung derselben war der Grund gelegt zu der normannischen Flibustierco- lonie am cimmerischen Bosporus, welche eine Zeitlang durch ihre Seerüubereien, aber auch durch ihren Ge- rechtigkeitssinn in den Beziehungen zu ihren Clienten auf dem Festlande sich bemerkbar machte. Es ist móglich, dass dieses Piratennest schon gegen Ende des 9. Jahrhunderts bestand, da die ältesten orientalischen Quellen, welche der pontischen «Rus» gedenken, dem Anfange des 10. Jahrhunderts anzugehóren scheinen und auch die Bekehrung dieser Piraten zum Christen- thum, so wie ihr Uebertritt zum Islam uns auf die Zei- ten Igors führt. Gegen die erstarkenden Militaircolonien der Grossfürsten von Kiew (Beumkokms;eckas sepmo- uopckas Pyes) konnten die freien pontischen Bos (Bous- Han gepnowopckas Pych) auf die Dauer sich nicht hal- ten. Auch waren sie zu schwach an Zahl, um Züge, wie den von 865, oder den von 913 ins caspische Meer zu unternehmen. Von ihnen aber mag das schwarze 347 Bulletin de l’Académie Impériale 348 Meer den Namen des «Russenmeeres» und die den Orientalen und Griechen bekannte Handelsstadt «Poste, Rusija» ihren Namen erhalten haben. Kleinere Raub- züge nach der Südküste und der Südostküste des cas- pischen Meeres kónnen allerdings von pontischen Pi- raten mit Genehmigung des Chasarenchagans noch im 9. Jahrhundert unternommen worden sein. Zuerst wird eines Zuges der «Rus» nach Abesgun zur Zeit von Hasan ben-Said (864—884), also spätestens um 880 . — um eine runde Zahl zu gebrauchen —, gedacht. S. Dorn, Caspia, p. 3. Bei den Untersuchungen über die pontischen Russen war ich natürlich auch veranlasst, die Frage über die Zeit der Einnahme von Amastris zu behaudeln. Das, was hier darüber gesagt wird, ist, einige für nicht- russische Leser bestimmte Notizen abgerechnet, ein Auszug aus meinen chronologischen Untersuchungen (l'auumjo u epromoperaa Pych, crp. 336—345), die ich erst beim Beginn des laufenden Jahres zum Ab- schluss bringen konnte. Die Vita s. Georgii amastrensis scheint vollständig nur in Einer Abschrift auf uns gekommen zu sein. Diese ist in einem Foliobande der pariser Nationalbib- liothek enthalten, welche ursprünglich einen Bestand- theil einer grösseren Sammlung der Acta sanctorum in griechischer Sprache bildete. Der Schrift nach zu urtheilen, stammt dieser Band aus dem 10. Jahrhun- ` dert’). Im J. 1658 wurde von den Bollandisten eine lateinische Uebersetzung jenes Ms. der Vita gedruckt (Acta sanctorum. Febr. Tom. III. p. 269—279); doch war damals noch eine zweite, wenn auch unvollstándige Handschrift des griechischen Originaltextes vorhanden (Acta s., p. 268), über deren Alter indessen der latei- nische Uebersetzer sich nicht ausspricht. Schwerlich hat sie sich im Archiv der Bollandisten erhalten. Der Name des Verfassers der Vita ist unbekannt. Er selbst gesteht ein, dass er kein Zeitgenosse des Bi- schofs Georg, welcher etwa um 815 starb, gewesen war, sondern einer späteren Zeit ( Zoé ypôvoc; vgl. Bacubesckiit, p. 164) angehörte, was freilich nicht die Annahme ausschliesst, dass seine Geburt noch in eine Zeit fiel, wo die Erinnerungen an den Heiligen noch 7) Nach der Angabe von Hase i. J. 1845. Vgl. die Monographie von Bacuusesckiii, p. 287, der den pariser Codex in Petersburg be- nutzen konnte. Derselbe stammt wohl eher aus der zweiten, als aus der ersten Hälfte des 10. Jahrhunderts. wenig durch die Legende entstellt waren. Nicht unbeach- tet darf bleiben, dass der Hagiograph die von ihm auf Anregung einer hervorragenden Persönlichkeit, Na- mens Johannes verfasste Vita für sein erstes schrift- stellerisches Product ausgiebt und dass zu seiner Zeit schon eine Menge von Wundern seines Helden im Um- laufe waren, von denen er nur zwei beschreibt. Das eine erfolgte bei einer Ueberschwemmung der Stadt Amas- tris, das zweite später (tà à £c...) bei der Invasion der Rûs (£poÿcs «àv "Doc, Aus der lebendigen Schilde- rung des Wüthens derselben móchte man schliessen, dass der Hagiograph Augenzeuge davon war. Schrieb er aber sein Werk unmittelbar nach dem Abzuge der Rós? Diese Frage bejahend zu beantworten wird sich kaum Jemand entschliessen, der den ganzen Abschnitt über das Erscheinen der heidnischen Rós, ihr erstes Auftreten in Amastris und die schliesslich erfolgte Aussóhnung derselben mit der geángstigten christlichen Bevölkerung ohne vorgefasste Meinung liest. Nicht nur liegt in dem legendenartigen Character dessen, was auf die scharfe Characteristik der Rös folgt, ein un- widerleglicher Beweis, dass der Hagiograph gar nicht Augenzeuge war von dem, was sich im Tempel mit dem Führer der Heiden ereignete, sondern es muss eine ganze Reihe von Jahren vergangen sein, ehe die Legende davon die Form erlangte, in welcher der Ha- giograph sie nach Hörensagen wiedererzählt hat. Auch sagt er nirgends ausdrücklich, dass das Wunder, wel- ches nach dem Einbruch der Rös in den Tempel am Grabe des Heiligen sich ereignete, der Zeit nach das letzte war, was er kannte, sondern er hatte aus einer Reihe von Wundern nur zwei als besonders erwähnens- werth ausgewählt. Nach dem Wortlaut des griechischen Textes hat der Hagiograph auch gar nicht behauptet, dass die Rös später nie mehr die Stadt Amastris über- fallen hätten, sondern seine Worte beziehen sich nur auf die Zeit, wo die Rös noch in Amastris sich aufhiel- ten. Mit andern Worten, die Rös hörten plötzlich auf, in Amastris sich als Heiden zu benehmen. Danach dem Gesagten es mehr als wahrscheinlich ist, dass der Hagiograph das Leben seines Helden erst eine geraume Zeit nach der Einnahme von Amastris durch die Rós abgefasst hat, so hat auch die Phrase in der Characteristik der Rós, als eines, wie Alle wissen, überaus grausamen und rohen Volkes (igo2oc... Tv "Pos, £)veuc, ùs ravres lsacıy, @uotatou xal ëmgoe) 349 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 350 nieht die Bedeutung, welche ihr von Gedeonow und den beiden jüngsten Erklürern dieser Stelle gegeben wird. Welche Vülkerschaften oder Küstenbewohner verstand der Hagiograph unter den «Allen»? Zunächst natürlich die Bewohner von Amastris und Paphlagonien, dann überhaupt seine Leser aus dem Kreise seiner Glaubensgenossen. Des Wörtleins «Alle» wegen den Namen der Rós zu antecipiren, dazu ist kein genügen- der Grund vorhanden. Um das J. 880 oder kurz vor- her verfasste ein Landsmann von unserem Hagiogra- phen, — der Paphlagonier Nicetas David das Leben des Patriarchen Ignatius, worin er seine Schilderung des Wüthens der Rós auf den Prinzeninseln i. J. 865 mit den Worten beginnt: «Um diese Zeit überfiel das mordbefleckteste (tò uavovetaroy) Volk der Scythen, die sog. Rûs...» Wenn für ihn das Auftreten der Rûs i. J. 865 hinreichte, um sie mit einem solchen Prädi- cat zu beehren, so konnte dasselbe auch unser Hagio- graph thun, der wahrscheinlich nicht viel später, aber wohl auch nicht viel früher, als Nicetas, sein Werk ab- fasste. Móglieh würe es, dass schon um 870 oder 880 sich einzelne normannische Piratenschwürme an den chasarischen Küsten (s. oben) niederliessen, von denen die Araber und Perser schon früh berichten, dass sie auf dem schwarzen Meere Alle unbarmherzig niederschlugen, die ihnen in die Hände fielen. Auch wenn diese Niederlassung noch etwas später als um 880 ihren Anfang nahm, so wird es doch nach 865 nieht ganz an normannischen Piraten auf dem Pontus gefehlt haben. In Folge des 866 abgeschlossenen Frie- dens zwischen den Griechen und den Dynasten von Kiew waren die Besitzungen der Griechen an den Küsten des Pontus im Allgemeinen gegen Invasionen der Nor- mannen sicher gestellt. Kein mit der Geschichte der Normannen Vertrauter wird sich aber einbilden, dass die in Kiew hausenden oder dahin von jenseits der Ostsee kommenden Wárjager dort nach. 865 ihrem Handwerk entsagt hätten. Von Zeit zu Zei IneSchwärme in den Pontus eingelaufen sein, um auf demselben, wie es auf der Ostsee, der Nordsee und dem mittelländi- ° schen Meere geschah, Schiffe zu plündern oder die Be- völkerung der nicht griechischen Meeresküsten zu über- fallen. Nicht leicht konnte man darüber schneller unter- richtet werden, als in Amastris, das nach der Aussage von Nicetas im Leben des h. Hyacinth einen sehr lebhaf- ten Handel mit allen Küstengegenden des Pontus trieb. Ich übergehe einige andere Stellen in der Vita (s. Fazuxxo n Hepnow. Pycr, crp. 341), die hier noch zu einigen Erórterungen Veranlassung geben kónnten. Diejenigen, welche ihren Glauben an das Erscheinen von normannischen Piratenschwürmen auf dem Pontus in der ersten Hälfte des 9. Jahrhunderts nicht aufge- ben kónnen, werden vergebens sich nach unbekannten Quellen umsehen, die zu Gunsten ihres Anachronismus lauten?). Der in der Vita Georgii geschilderte Raubzug an der kleinasiatischen Küste vom Marmarameere bis nach Amastris, auch wenn er keine Episode der grossen Invasion von 865 gebildet hätte, konnte unmóglich in Constantinopel schnell in Vergessenheit gerathen sein, da manche Ruinen von Kirchen und Klóstern noch lange sichtbar geblieben sein dürften. Und ein Photius sollte davon nicht die geringste Kunde erlangt haben? An dem langen kleinasiatischen Küstenstrich von der Propontis an bis Amastris fehlte es nicht an Ansiede- lungen aller Art und Amastris selbst war kein arm- seliges Fischerdorf, sondern eine blühende Handels- stadt, die mit der Hauptstadt einen beständigen Ver- kehr unterhielt. Selbst die Kirche von Amastris nahm seit der Zeit des Bischofs Georg eine gewisse ex- ceptionelle Stellung ein, ohne der Obergewalt des Pa- triarchats entzogen zu sein. (S. die Monographie von Bacnabesckiii, p. 293, 294, 143.) Der Verfasser der «Geschichte der russischen Kirche» hat, um das von mir aufgestellte Jahr 865 zu beseiti- gen und an dessen Stelle die unbestimmten Zahlen 859 oder 861 zu setzen, sich auch auf das von dem Paphlagonier Nicetas David abgefasste Leben des Pa- triarchen Ignatius berufen. Schon Bayer hatte errathen, dass Nicetas bei der Schilderung der Plünderung der ` Prinzeninseln durch die Rós den dritten Aufenthalt des Patriarchen auf der Insel Terebinth mit dem zwei- ten verwechselte. Umständlicher ist diess von mir (la, mugo0 u Hepnmow. Pyeb, crp. 307 — 312) nachgewiesen worden. Zum Ueberfluss sei noch bemerkt, dass, nach den eigenen Worten des Nicetas, Photius und der Cà. 8) Für Manche ist noch immer das Leben des h. Stephan von Sugdaia (Cypoo'b, Cyrak®) eine in chronologischer Hinsicht zu- verlässige Quelle. Bereits i. J. 1849 habe ich vermuthet, dass die darin geschilderte Einnahme von Cherson (, Kertsch und Sugdaia) identisch ist mit der von Leo diaconus und Nestor erwähnten Ein- nahme von Cherson durch den Grossfürsten Wladimir. Unabhängig von mir ist auch der Metropolit Macarius zu derselben Ansicht ge- langt. S. jetzt l'ainaxo n WHepuox. Pret, crp. 332—336. 351 Bulletin de l’Académie Impériale 302 sar Bardas genau unterrichtet waren von den Verhee- rungen und den Mordthaten der Rós auf den Prinzen- inseln. Es kann also auch nicht durch Nicetas die Aus- sage des Patriarchen Photius beseitigt werden, dass vor dem Zuge (des J. 865), in Folge dessen er seine zwei Homilien schrieb, die Rós nie die byzantinischen Be- sitzungen überfallen hatten. Wie hätte der Patriarch diess so stark hervorheben kónnen, wenn die ihm be- kannte und ven Nicetas geschilderte Verwüstung der Prinzeninseln u. s. w. kurz vor 865 erfolgt wäre! Zuletzt mag noch eine Bemerkung über das Jahr 865 folgen, in welches ich zuerst i. J. 1860 den von Photius erwähnten Zug gesetzt habe im Gegensatz zu dem allgemein angenommenen Jahr 866. Nie würde man auf die letztere Zahl verfalleu sein, wenn man sich nur an die Byzantiner gehalten und sich nicht durch die russische Chronik hátte irre führen lassen. An dem Jahre 866 festhalten zu wollen, würe eben so thóricht, als wenn man den Zug Napoleons nach Russ- land in das J. 1813 setzen wollte. Nach den byzanti- nischen Chronisten, womit auch Photius in seiner ers- ten Homilie übereinstimmt, war die Invasion der Rós gleichzeitig mit einem Zuge des Kaisers gegen die Ara- ber auf Creta. Solcher Züge mit der ganzen Armee und Flotte hat der Kaiser Michael III. während seiner Alleinregierung (857 bis 26. Mai 866) zwei unter- nomuen, wenn auch ohne Erfolg, da er von der ersten Expedition dureh die Ankunft der Rós abberufen wurde, von der zweiten schnell von jenseits der Dardanellen nach der Hauptstadt zurückkehrte, als sein Oheim, der Cäsar Bardas vor seinen Augen ermordet worden war. Wenige Wochen nach seiner Rückkehr in die Hauptstadt entschloss er sich Basilius den Slawen (aus Thracien) zum Mitregenten anzunehmen, und liess ihn als solchen zu Pfingsten (26. Mai 866) krónen. Wir sind über den klüglichen Verlauf der 2. Expedi- tion gegen die Cretenser durch byzantinische Chronis- ten und Heiligenlegenden, und die in ihnen enthaltenen absoluten und relativen chronologischen Daten so ge- nau unterrichtet, dass von der Bereunung Constanti- nopels dureh die Rós im Sommer 866 nicht mehr die Rede sein darf. Auch wird dieses Jahr 866 durch den Brief ausgeschlossen, in welchem Papst Nicolaus I iu den ersten Tagen des M, September 865: das in den letzten Tagen des M. August erhaltene Schreiben des Kaisers Michael beantwortete. Dariu führt er unter den Widerwärtigkeiten, welche das byzantinische Reich und insbesondere den Kaiser Michael III. während sei- ner Regierung betroffen, zuletzt (postremo) auch die Invasion der «Pagani» an, welche die Umgegend von Constantinopel verwüstet hatten. Wie genau sein Be- richt (Suburbana) mit dem des venetianischen Chro- nisten Johannes diaconus (suburbanum bellum) und dem des Photius übereinstimmt, kann Niemand in Ab- rede stellen. Da, wo der Patriarch von der Verwüstung der Umgegend von Constantinopel (Hom. I, p. 208, 8: ca npo Tic ROAEMG...; p. 209, 4: «àv 6 TÓÀEQG . .. pement Homil. II, p. 218, 4: ta te Yap 26015 au- tfc. . xal ré 6م‎ Tol Acteog...) spricht, bemerkt er ausdrücklich (p. 208, 26), dass der Kaiser ausgezogen war gegen andere Barbaren, nämlich die Cretenser. Auf den ersten Blick scheint es zweifelhaft zu sein, ob Michael i. J. 865 oder 864 seinen ersten Zug ge- gen die Cretenser unternahm; doch sprechen schon Gründe militärischer Art (s. 'amujj0 n Tepa. Pych, emm. 294) gegen die Zulassung des J. 864, welches hóch- stens eine Stütze finden kónnte an den Angaben des unter dem Namen des Symeon Logothetes bekannten Chronisten. Nach diesem würde die Invasion der Rós in das 9. und 10. Jahr der Alleinregierung Michaels fal- len (also in den Schluss des 9. und Anfang des 10. Jah- res?). Angenommen auch, dass dieser Compilator in einer unbekannten Quelle einmal ein richtiges Datum aufgelesen hat, so wissen wir doch nicht, ob er den An- fang der Alleinregierung des Kaisers in 1 J. 856 oder 857?) setzte und von welchem Monate an er sie rech- nete. Móglicher Weise benutzte Symeon zwei verschie- dene Quellen über den Zug; denn der legendenartige Schluss seiner Erzühlung, der durch die Homilien des Patriarchen vollends als unhistorisch erwiesen ist, stammt aus einer ee jungen Quelle?) 9) Hergenróther, der Patriarch ape I. I 362, 370. eiJ.1 18 gedruckten Zei- es Symeon des Lo- gotheten bekannten Chronisten die ee eines plene nisten erregten, der im Stande war, die Frage über diesen Symeon ihrer Lósung entgegenzuführen. Ebenso erfreulich ist es, dass ys in den «Byzantinischen Studien» von F. Hirsch aufgestellten ee einen andern Byzantinisten angeregt haben, in den G och tiefer einzudringen. Prof. Wasilijewski konnte bei’ seinen Ur suchungen über das Leben und die Schriften des Pymeocn NE KU3HU H weoga M Mun, Hap. npocs. 1880 r. oder Yacız 212, crp. 379 — 437) schon eine früher bouée Nachricht über das Zeitalter des Symeon Metaphrastes benutzen, die Baron Rosen bei dem christlichen Araber aranctand praana 353 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 354 Mit mehr Recht dürfen wir uns zur Bestimmung des Jahres des Zuges der Rós auf die russische Chro- nik berufen. Derjenige Anonymus, welcher ihr die Form gab, in welcher sie im Wesentlichen auf uns ge- kommen ist, hatte nur die Absicht Zahlen anzugeben von der Zeit an, wo der Name Rus (Pycb) zum ersten Mal in der ihm vorliegenden byzantinischen Chronik vorkam, d. h. naeh ihm im 14. Jahre der Regierung des Kai- sers Michael III., dessen Regierungsantritt für ihn zugleich der Ausgangspunkt bei der Feststellung der Chronologie der Genesis des russischen Staates war, weil er den Namen «Pycb» zum ersten Mal unter der Regierung desselben Kaisers erwáhnt fand und zwar in Folge des Zuges nach Byzanz (i. J. 865). Den Re- gierungsantritt des Kaisers selbst setzt er «in das Jahr 6360, in die 15. Indiction», also nach christlicher Zeitrechnung in das J. 852. Von diesem (vermeintlich) ersten Jahre der Regierung Michaels an gerechnet fiel das 14. Jahr derselben allerdings ganz richtig in das Jahr 865. Da wir aber bestimmt wissen, dass Michael seine Regierung (unter der Kormündschaft seiner Mut- ter Theodora) bereits am 21. Januar 6350, in der 5. Indiction (also am 21. Jan. 842) antrat, so hat sich Nestor oder sein Gewährsmann um 10 Jahre ver- rechnet oder geirrt. Auf den ersten Blick scheint am einfachsten die Annahme, dass ein Copist des zu Grunde liegenden byzantinischen Urtextes jenes Datums oder ein slawischer Copist der Uebersetzung desselben «14» für «24» falsch gelesen oder geschrieben hat. Noch mehr dürfte die Vermuthung ansprechen, dass ein Copist die Indictionszahl «15» aus Versehen für die richtige Zahl «5» gesetzt und in Folge dessen auf dem Wege der Berechnung das byzantinische Weltjahr 6360 ange- setzt hat, das wirklich mit der 15. Indictionszahl zu- sammenfällt. In der That, ist die Hinzufügung eines : (— 10) zu einer andern Zahl in denjenigen Denk- mälern der mittelgriechischen Literatur, in denen man Jachja-al-Antäki (Johann der Antiochener) aufgefunden hat. Dieser verfasste um 1035 eine Fortsetzung des bekannten Geschichtswerks von Eutychius und gedachte darin auch des Symeon M. in folgender Weise: «Im 4. Jahre der Regierung des Basilius wurde Nikolaos Chry- kannt Symeon der Secretair, der Logothet, welcher die Geschichte der Heiligen und ihrer Feste verfasst (oder: zusammengestellt) hat». 1. Jahr der selbstständigen Regierung Basilius des IT. gilt das Jahr 976. Tome XXVII. sich der Zahlbuchstaben bediente, in der Zeit vor und | nach Michael gar nicht so selten. Sind wir indessen wirklich berechtigt, den Ursprung des ersten Regierungsjahres (6360) des Kaisers Mi- chael bei Nestor aus einem blossen Schreibfehler zu erklären? Noch weniger als früher (1864) möchte ich jetzt ohne Weiteres diese Frage bejahen. Bekanntlich setzte man vor dem Aufkommen der christlichen Aera die Geburt Christi in verschiedene Jahre nach Er- schaffung der Welt, was bei Späteren zu Confusionen Veranlassung gab. Diese Confusion ist unter andern auch bemerkbar in den mehr oder minder erweiterten Redactionen und Uebersetzungen der chronologischen Tabelle, welche in dem sog. Xpovoypapızov auvrouov (Chronographia compendiaria, .Ibronncenp BR CKOPE, Jl. pt xparub) des Patriarchen Nicephorus (+ 828) enthalten ist. In der russischen Chronik wird kurz vor dem Beginn der Erzählung von der Berufung Ruriks ein Excerpt aus einer erweiterten Redaction jenes chronographischen Compendiums mitgetheilt und dabei die oben schon erwähnte chronologische Angabe (6360, in der 15'^ Indiction) über den Regierungsantritt Michaels des III. angebracht. Es ist nun zu entschei- den nöthig, ob Nestor oder sein Gewährsmann durch Vermengung mehrerer von einander verschiedenen Zeitrechnungen zu dem J. 6360 gelangte"). Wie auch die Frage über den Ursprung der Zahl 6360 (= 852) bei Nestor gelöst werden wird, — für unsern Zweck ist seine Angabe, dass der Zug Askolds und Dirs im 14. Regierungsjahre des Kaisers Michael erfolgte, von nicht geringem Werthe, weil dadurch die Richtigkeit des auf Grundlage byzantinischer Quellen gewonnenen Jahres 865 bestätigt wird. Indessen hat der russische Chronist nicht bedacht, dass er durch Hinzufügung des Jahres der Welt zu seiner Erzählung seine eigene Autorität wieder untergraben hat. Er be- ginnt nämlich seine Erzählung auf folgende Weise: 11) Schon i. J. 1864 habe ich in meinem Aufsatze: Xposoaorn- yeckin omu6ku Hecropa scabıcrsie nescnoit éncremer (in den Nach- trägen zu Pogodins Abh.: T. l'exeonop u ero cucrema, abgedruckt in den 3anucku Akaxemin H., Tome VI, IIpuao:xxenie 2, crp. 64—73) dazu anzuregen versucht. Gelöst muss diese Aufgabe werden. Leider bie- tet die neue kritische Ausgabe der sog. Chronog. compend. (Nice- phori opuscula historica. Edidit C. de Boor. Lipsiae 1880) nur den ursprünglichen Text derselben. Bei der Classificirung der später Redactionen, muss man auch, ausser slawischen Mss., die SAD: orieritalischen Literaturen in Betracht ziehen 23 355 ` Bulletin de l’Académie Kmpériale 356 B» bro 6374. Mae Ac- Im J. 6374. (Es) zog As- rout u up» na T’pern, u kold und Dir gegen dieGrie- upmie?) BB 14 abro Mua- chen, und er kam an") im xania Dänn... 14. Jahre des Zaren Mi- chaels... Was in der Chronik auf diese Eingangsworte folgt, ist wörtlich einer slawischen Übersetzung einer spä- teren Redaction der Fortsetzung des Georg hamar- tolus entnommen, in welcher der Verlauf des Zuges schon durch die Legende entstellt war, wie deutlich aus der Vergleichung mit dem Bericht des Patriarchen Photius hervorgeht. Die Eingangsworte dagegen ge- hóren dem Redactor an, welcher der russischen Chro- mik die Form gab, in der sie wesentlich auf uns ge- kommen ist. Denn mehr als ein Kriegszug beginnt in ihr mit den Worten: une, nome (er zog; vgl. besonders unter dem J. 941). Die chronologische Angabe: «im 14. Jahre des Kaisers Michael» kann nur aus einer byzantinischen Quelle stammen, die übrigens eben so wenig, wie die unter dem J. 941 ausgeschriebene bis jetzt aufgefunden ist. Wenigstens ist in keiner der bis jetzt bekannten griechischen und slawischen Redactio- _nen der Fortsetzung des Georg hamartolus der Zug Askolds in das 14. (24.) Regierungsjahr Michaels ge- setzt. Dagegen ist der byzantinische Ursprung des der Erzählung vorangestellten Weltjahres mehr als zweifel- haft, weil 6374 als byzantinisches Weltjahr vom 1. Sept. 865 bis 31. Aug. 866 (als russisches Weltjahr vom 1. Merz 866 bis 28. Febr. 867) reichen und also dann der Zug Askolds in das 15., resp. 25. (anstatt in das 14., resp. 24.) Regierungsjahr Michaels fallen würde. Ein Seezug der Rós nach Byzanz ist natürlich nur während des Sommers denkbar und nach dem Obigen kann von einer Gleichzeitigkeit des zweiten Feldzuges Michaels (im Frühjahr 866) gegen die Cretenser und 12) In der neuen Ausgabe der russischen Chronik nach dem Cod. Laurentianus (.lbronmee nuo Jaspeuriesckomy cuucky. Cn6. 1872) steht das zweite Verbum allerdings im Plural (u upuuxoma, und sie kamen an) und zwar nach dem Cod. Radivill. und dem Cod. Acad. Mosq., während die Codd. Laur., Troicens. und Hypat. den Singular bieten. Es ist noch zu entscheiden, welche Lesart die ursprüng- lichere ist. Auffallend ist überhaupt, dass das Verbum nicht im Dual -. steht, wie in der wohl aus einer andern Quelle stammenden Tradi- tion von der Trennung Askolds and Dirs von Rurik. Askolds Ge- schichtlichkeit ist jetzt auch durch den tendenziósen Bericht Saxos über Hvithserk, den angeblichen Sohn des Dänenkönigs Ragnar -Lodbrok (Taıuszo m uepuow. Dee. 193—211) sicher gestellt, ob auch die Dirs, ist eine andere Frage. der Invasion der Rós (mitten im Sommer) gar nicht die Rede sein. Wie ist nun das falsche Weltjahr 6374 anstatt 6373 zu erkliren und wer hat unter den Historikern das falsche Jahr 866 in Umlauf gesetzt? Bayer, der zuerst den Zug Askolds in einer eigenen Abhandlung und nicht ohne Erfolg bearbeitete, konnte sich damals nur in einem kleinen Kreise von noch gar nicht untersuchten Quellen bewegen und doch entschied er sich vermóge des ihn auszeichnenden Donum divinationis criticae für das J. 865. Schlózer aber subtrahirte (schon i. J. 1768) mechanisch 5508 von 6374, ohne zu bemerken, dass dann das 14. Jahr der Regierung Michaels nicht zu 6374 — 866, sondern zu 6373 — 865 passen würde. Mir scheint auch das J. 6374 der Chronik selbst ein- zig und allein auf einer mechanischen Berechnung des eigentlichen Redactors derselben zu beruhen. Für ihn stand es fest, dass Michael im J. 6360 in der 15. Indiction die Regierung angetreten hatte. Ebenso zwei- felte er nicht daran, dass die Invasion von Askold im 14. Jahre der Regierung Michaels sich ereignet hatte. In der Formel 6360.2— 14 = 6374 (d. h. 852 + 14 — 866 p. Chr.) scheint mir einfach der Schlüssel zu der Erklärung des Ursprungs der falschen Zahl 6374 (866) zu liegen, die der Chronist seinem System zu Liebe an die Spitze der von ihm aufgefundenen Nachricht über den Zug Askolds stellte. Durch die Zahl 865 fällt nicht nur das Jahr 862 oder 864 als das des Abzuges Askolds von Rurik, sondern auch das J. 862, als das der Berufung Ruriks, die alle ohnehin, abgesehen von andern Gründen, nicht aufrecht zu erhalten würen, sobald man die Glaubwür- digkeit der traditionellen Nachricht zulässt, dass Ru- riks Brüder zwéi Jahre nach ihrer Berufung starben. S. darüber l'axmago m Yepnom. Pycb, erp. 316. PS. Bemerkungen über den Tag der Befreiung Con- stantinopels à. J. 865. Diejenigen, welche mit der byzantino-slawischen Hymnologie und Legendenlite- ratur vertraut sind, werden es auffallend finden, dass in der obigen chronologischen Untersuchung des 5^ Juni, als des angeblichen Tages des Abzuges der Rûs aus dem Hafen von Constantinopel, gar nicht gedacht ist. Es geschah diess absichtlich, weil die äusserst verwickelte, wenn auch interessante Frage über 357 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 358 die byzantinische Volkssage von dem wunderthätigen Gewande der Muttergottes noch gar keine gründliche Bearbeitung erfahren hat. Schon 1845 hatte ich her- vorgehoben, dass man seit Tatischtschew (geb. 1686, gest. 1750) die Feier der Errettung der byzantinischen Hauptstadt durch die Muttergottes i. J. 626 unkri- tischer Weise in Verbindung bringe mit den Ereig- nissen des Jahres 865. Ich hatte dabei besonders Anıp. Hukoz. Mypasbess, den Verfasser eines dürftigen Ab- risses der russischen Kirchengeschichte im Auge, der damals, wo die Arbeiten von Macarius und Philaret noch nieht erschienen waren, in Fragen der Art für eine Autorität galt. Nach ihm werde, so las man in seinem Büchlein, der einst zur Zeit Askolds zu Ehren der unbefleckten Jungfrau, als der obsiegenden Für- kümpferin Lo brepuayo oTtpartny® = B36panHo BOC- Boys), gedichtete Hymnus noch immer in der russischen Kirche gesungen ?). Auch der i. J. 1866 verstorbene Erzbischof von Tschernigow Philaret hatte keine strenge Sonderung der verschiedenen Nachrichten über die ` Feier der Errettung Constantinopels von den Barbaren in der Zeit von 626—865 angestellt, als er in den Jahren 1859 und 1860) den Satz aufstellte, dass die Bos Askolds am Dirr Juni 864 von Constantinopel ab- gezogen würen und dass dann der Patriarch zur blei- benden Erinnerung an die Errettung der Hauptstadt angeordnet hätte, in Zukunft dieselbe am 5'" Juni in den Tempeln zu feiern. Hier kann natürlich keine umständliche Prüfung der Haltbarkeit dieser Sätze angestellt werden, doch dürfte es im Interesse der russisch- byzantinischen Chronologie nicht überflüssig sein, einige Bemerkungen über dieses Datum zu machen. Bekanntlich war einst ein Gewand der Muttergottes (n rapdevırn oroAn, bei den Chronisten: tò &yıov ci Ozotóxou wpoyópiov, slaw. paa) in der blachern'schen Kirche (vaös êv BAxyéovac) niedergelegt worden. Schon lange Vor 865 war in der Bevölkerung von Byzanz 13) Die betreffende Stelle steht bei Murawjéw pag. 13 (Heropia Pocciñcroï mepksm. Bropoe usxanie. CIIO. 1840. Eine englische ° Übersetzung von Blackmore erschien 1842 in Oxford und eine deutsche von Jos. Kónig in Karlsruhe 1857). 14) ERU a ysenie o6» ornaxe 116101811. Tomb MI. Cn6. 1859, crp. 350 n 342. — Meropuuecriñ 0030p mbcnonbnuenb u mkcnomkuin vi nepken. Hepmnros» 1860, crp. 262. (H31a- gie BTOpoe, 701011161506. Yepsur. 1864, crp. 348). Cf. Hosuprü ME- cauecıopp Bocrora. Apxnmarıpura Cepria. Toms II. Mocksa 1876 (Sau bru), crp. 159, 265. die Sage aufgekommen, dass durch dieses Gewand; - namentlich durch das Eintauchen desselben in das Meer ein Sturm erregt werden kónnte. Auch der Abzug der Rós aus dem Hafen von Constantinopel soll nach einigen compilirenden Chronisten durch einen Sturm veranlast worden sein, durch den fast ihre ganze Flotte ihren Untergang fand. Allein diese Auffassung des Abzuges kommt erst seit dem 10'^ Jahrhundert vor. Nicht nur kennt sie noch nicht der Kaiser Constantin porphyrogenitus (+ 959), sondern aus seiner Angabe über das Auftreten der Rós i. J. 865, so wie aus den Mittheilungen des Papstes Nicolaus I und der venetianischen Chronik geht auch unwiderleglich hervor, dass die Rós nicht nur unbe- siegt, sondern auch «ungestraft» von dannen zogen. In demselben Sinne schildert auch der Patriarch Photius den plótzlich erfolgten Abzug der Rós, so dass Po- godin es sogar für selbstverständlich hielt, Photius habe diesen Abzug durch Gold erkauft. Indessen kónnte derselbe auch aus mehr realen Motiven erklärt werden. ` Es ist leicht einzusehen, wie die Abfahrt der feind- lichen Flotte im Laufe der Zeit mit der Volkssage von dem Stürme hervorrufenden Gewande der Mutter- - gottes verknüpft werden konnte. Der Patriarch for- derte wührend der Belagerung in einer ergreifenden Rede das Volk auf, die Muttergottes um Hülfe anzu- fliehen und nach einer unter schweren Ängsten mit ihm durchwachten Nacht liess er das Gewand der «Für- bitterin» auf dem Stadtwall (tò eryos) herumtragen. Eben zu derselben Zeit oder unmittelbar darauf traten die Rös ihren Rückzug an. Schon an sich ist es nicht a dass der Patriarch, nach dem Beispiele früherer Genera- tionen, eine Erinnerungsfeier an die, wie er sich aus- drückt, «unerwartet» erfolgte Errettung der Haupt- stadt angeordnet habe. Philaret und (nach ihm) Por- phyrius (erbipe Geck, crp. 64) schlossen diess dar- aus, dass schon in alten Handschriften den Bier Juni eine Commemoratio (uven, nawATb) angesetzt ist zur Verherrlichung der Jungfrau Maria für die Befreiung Constantinopels von (ungenannten) Barbaren. Iion. 5. Ilamers cb 410- Bbko4:0mHewmb HAHECEHBIE uawb (Ob) namiecrBHKMb HOPAHbIXb ETAA 50111111316 - 28* Mvnun Ts petà ghavðpw- míac &mtvey Velo huv po- f) “à Lex i. T Jn pepe GET Ev. 17 TOV «pBapov zeng, öre 359 Bulletin de l’Académie Impériale 360 uéX\Aovraçg us LT airy DIET OT aiy uahorılendaı, xai Qowp MAYAPA Tano: 66650441, ó oixcipuov xai orhavdownos Deo; eux £A£cug ott, HPABELHPIMB OTb 10 UPBAAHHA ` euni 6015 MRAOCHDIH pagi MHJOCTH Gro 113516 BCAKHK HAJEE 11300811 HbI MOJIITBAMH upb- -YHCTBIK BJaJbIUHIe HPACHO- i bBbr Mapne. GT AG YA map &Amióa racav EAuTpw- cao Tuas). Porphyrius glaubt, dass die uvhuwn den Inhalt der beiden Homilien des Patriarchen Photius (eis my &go- Boy zën "Deel in gedrüngter Form wiedergebe. In der That lassen sich, was mir schon längst aufgefallen war, mehrere Anklänge an die Schilderung nicht verken- nen, die in der zweiten Homilie (Lex. Vindob. p. 223. Pariser Abdruck, p. 170) vorkommt. Nur kann man sich kaum vorstellen, dass der Verfasser der Comme- moratio dieselbe nach jener Schilderung entworfen, d. h. dàss er den einen Ausdruck aus Zeile x, den an- dern aus Zeile z auf jener citirten Seite entlehnt habe. Eher móchte man annehmen, dass Photius selbst die uvnpn bald nach dem Abzuge der Rûs abgefasst habe. Der Bischof Porphyrius hatte den 5'" Juni, als Tag einer Befreiung der byzantinischen Hauptstadt, auch bei byzantinischen Prophetologen und in den {renia mpopousecrB» (Lectiones prophetiarum) vor- gefunden. Auch zwischen einigen derselben und. den beiden Homilien des Patriarchen Photius glaubte er ein inneres verwandtschaftliches Verhältniss zu ent- decken. Zum Beweise führte er (Jersıpe Becbapr, 65— 66) aus einem Prophetenlogen, der einem Kloster (Baanrionckomy MoHacTsıpio) in Thessalonich gehört, mehrere Fragmente jedoch nicht im Originaltext, son- 15) Die „uyun“ fand Porphyrius (Yersiıpe Gecbabr crp. 64) in einem ihm gehörenden Synaxarium auf, das angeblich im 10 Jahrh. Sollte Letzteres schon in der ursprünglichen Redaction des griechi- schen Textes gestanden haben? Noch vor dem Erscheinen der Schrift von Porphyrius erhielt ich von meinem verstorbenen Freunde H. C. Buaspekiit den Text der pvnpn (vom 5 Juni) mit der densel- ben begleitenden Frage: Kommen darin etwa Ausdrücke des Pa- triarchen Photius vor? (H$rs au Tyrb Berpaskemiü Doria?) An Varianten bietet dieser Text nur folgende in Z. 3: qoBeoXc Aner Ze xa: avéyens. 2.5: péhhovrac mavras quc. Z. 10: aro rap’ inia TAYTAS NUAS EAUTIWGATO, = ’ | | | | | | dern nur in russischer Übersetzung an. Indessen ist auf diese angebliche Übereinstimmung einstweilen kein Gewicht zu legen, da Porphyrius bekanntlich auch den Originaltext der Homilien des Patriarchen Pho- tius nicht mit der nóthigen Akribie abgeschrieben und übersetzt hat ®). Ob unter dem Dirr Juni der Tag des Abzuges der Rós zu verstehen ist, — darüber wird man nur dann zu einer festen Ansicht gelangen, wenn man alle Le- genden über die Befreiung Constantinopels vom J. 626 bis 865 oder noch besser bis 1043 streng kri- tisch untersucht haben wird, was auch nach dem bis jetzt einstweilen gedruckt vorliegenden Material ge- schehen könnte, Möglicher Weise existirte auch eine Legende über die Erlósung Constantinopels aus der efahr, die der Hauptstadt von Seiten des Bulgaren- chagans Krum drohte. Übrigens wäre vom Standpuncte der historischen Chronologie aus Nichts gegen die Beziehung des Ai" ` Juni auf den Zug von 865 einzuwenden. Durch das Verwüsten der Wälder kann die Zeit des Aufganges des Dneprs und andrer Flüsse im südlichen Russland keine erhebliche Veränderung erlitten haben. Eine von Normannen geführte róso-slawische. Flotte von 360 Kühnen konnte allerdings Anfangs Juni vor Con- stantinopel erscheinen. Der Gf. Igor langte i. J. 941 am 11. Juni mit einer Flotte von 1000 Fahrzeugen vor der byzantinischen Hauptstadt an. Sollte einst der 5. Juni als sicheres Datum für den Abzug der Flotte Askolds aus dem Hafen von Con- stantinopel nachgewiesen werden, so würe damit immer ein fester Ausgangspunct in chronologischer Hinsicht gewonnen. In den Monat Juni würde dann auch noch die Einnahme von Amastris fallen, wo schon eine fried- 16) Porphyrius hat übrigens nicht den vollständigen Original- text der Homilien herausgegeben, sondern eine kritische Ausgabe derselben versprochen, die aber bis jetzt noch nicht erschienen ist. Die Editio princeps (im «Lexicon Vindobonense», besprochen von Emanuel Miller im Journ. des Sav. 1870, p. 166—169. Der nach der Editio princeps gemachte Abdruck in «Fragmenta historicorum graecorum. Vol. IV. Pars prior,» wurde besprochen von Egger Jm | Journ. des Sav. 1871, p. 54) ist genau nach einem sehr deutlichen photographischen Facsimile veranstaltet, das der verstorbene II. M. CeBacTRAHOBT auf meine Bitte gemacht hatte, Unlängst hat Dr. Karl Konrad Müller (in Würzburg), von dem wir eine kritische Ausgabe der griechischen Kriegsschriftsteller zu erwarten haben, Fragmente von den beiden Homilien, zum Theil in abgekürzter Form, in einer heidelberger Handschrift aufgefunden. S. Zeitschrift für die Kirchen- geschichte. Band IV. Gotha 1880, p. 132. 361 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 362 liche Annäherung (s. oben) zwischen den Rós und der griechischen Bevölkerung stattfand. Somit könnte auch noch vor dem Aufhören der Schiffahrt i. J. 865 der Friedensvertrag (srovöai eipnvixai) zwischen Kiew und Byzanz, dessen Kaiser Constantin porphyrog. ge- denkt, wenn nicht definitiv abgeschlossen, doch we- nigstens fest verabredet worden sein. (Vgl. eis suußa- ctt; >Axucapcvoc bei Constantin). Letzteres muss wenigstens schon vor dem Winter 865 geschehen sein, weil sonst der Kaiser Michael i. J. 866 nicht schon so frühzeitig (im Merz oder April) mit der Armee und Flotte gegen die Cretenser aufgebrochen sein würde. Die Furcht vor einer neuen Invasion der Rös mag in Byzanz vollends geschwunden sein, nachdem die Dynasten von Kiew sich zu militärischer Hülfs- leistung '”) bereit erklärt und ausserdem sich geneigt gezeigt hatten, einen Missionsbischof anzunehmen. In dem in den ersten Monaten des J. 867 abgefassten Rundschreiben versichert der Patriarch Photius, dass die Rôs bereits getauft wären und unter einem Bischofe ständen, während sie noch vor kurzem (rpè wıxgoö) einen Raubzug gegen das byzantinische Reich unter- nommen hätten. Die Ankunft des Bischofs und die Taufe der Rós muss also wohl in den Sommer 866, wenn nicht gar in den Herbst 865 gesetzt werden. Der Kaiser Constantin porphyrog. war von dem Ver- lauf dieser Begebenheiten genau unterrichtet, allein ihm kam es darauf an, die Verdienste seines (vermeint- lichen) Grossvaters Basilius zu vergróssern. Zu diesem Behuf verschwieg er nicht nur ganz, dass der Beginn der Friedensverhandlungen mit den Rös noch in die Alleinregierung seines wirklichen Grossvaters Michael . 17) Die bisherigen Deana der Ausdrücke Unnxoo: xa! mpósevot n dem Rundschreiben des Patriarchen Photius scheinen mir ganz fien zu sein, Ohne hier eine umständliche Untersuchung dar- über auzustellen, bemerke ich nur, dass diese beiden Termini technici mitunter schon in der classischen Graecitüt in einem Sinne gebraucht werden, welcher an den Begriff streift, den Photius damit verknüpft zu haben scheint. Leider giebt es noch kein Speciallexicon zu den grie- chischen Inschriften. Die «mpósevot» werden uns durch die Verträge militärische Bundesgenossenschaft an, die uns auch in den Ve von 911, 944 und 972 entgegentritt. Auch bei der Taufe der Bul- garen, der Grossfürstin Olga und ihres Enkels Wladimir bedingten sich die Griechen militärischen Beistand für gewisse Fülle oder ge- radezu ein Hülfscorps aus. In einem ähnlichen Sinne, wie Photius die Rós, scheint Kaiser Leo (Tact. XVII, 8: 77. Cf. s. 43) um 905 die Magyaren für Ürnxoc der Byzantiner anzusehen. Bekanntlich hatte er sie einst zur Hülfe gegen die Bulgaren herbeigerufen. fiel, sondern behauptete sogar, obgleich er das Rund- schreiben des Patriarchen Photius vor sich liegen hatte, keck, dass der erwähnte Bischof vom Patriarchen Ignatius geweiht worden wäre, was gar nicht denkbar ist, da Ignatius erst im Oct. 867 sein zweites Patri- archat antrat. Man hat das von Constantin begangene Falsum durch verschiedene unerlaubte Interpretatio- nen des Textes seiner Erzühlung, so wie durch chro- nologische Deuteleien zu vertuschen versucht. Man vergass dabei nur, dass der Kaiser Constantin es dar- auf abgesehen hatte, seinen vermeintlichen Grossvater Basilius und den Patriarchen Ignatius zu verherrlichen und zwar auf Kosten des K. Michael und des Patr. Photius, gegen welche er ohnehin eine starke Antipa- thie hegte. Quelques remarques sur les propriétés d'une classe particuliere des fractions décimales périodiques. Par V. Bouniakowsky. (Lu le 28 avril 1881.) Le 6™ Cahier du Journal Zeitschrift für Mathematik und Physik ^) contient une Note de M' O. Schlómilch intitulée: Notiz über gewisse periodische Decimalbrüche. L'éminent Auteur communique dans cette Note une propriété curieuse dont jouissent beaucoup de nombres entiers réciproques. Voici en quoi elle consiste: Soit N un entier tel, qu'en convertissant a en fraction décimale, on obtient une période composée d’un nombre pair 2k de chiffres. Cela étant, il arrivera que, pour un grand nombre de valeurs de l'entier N, dont l'Au- teur précise la nature, cette période jouira de la pro- priété suivante: chacune des sommes que l'on trouve en additionnant le premier chiffre de la période avec celui du rang (k + 1), le second avec celui du rang (k + 2), et en général le chiffre de l’ordre (à) avec celui de l'ordre (k + X), sera divisible par 9. Voici les exemples contenus dans la Note: Valeurs de N: Valeurs de — x: Done +. = 0,142857.. He. 1 = 0,090909 .. 13:..... = 0,076923... *) 25 Jahrgang, 1880, page 416. Bulletin de l’Académie Impériale 364 363 Valeurs de N: Valeurs de LT 3 - Te E 0,002987... 1 Hs. o; = 0,010989. 1 143......5 = 0,006993... Nous remarquerons d'abord que la propriété, ob- servée par M. Schlómilch, n'appartient pas exclu- sivement aux fractions de la forme As en effet, il est N facile de s'assurer que ces deux autres fractions Nic? N —1 PPT et 2- N H converties en décimales, produisent des périodes qui possèdent la méme propriété, Ainsi, pour les nombres N ci-dessus, nous trouvons: N: SE SE 1), 4,54. 0,804 142807, .0,428*071* 4B. . Il. 009090 400... - 0,45**45**45.... 19... .0,9227070**923.. 0,461*538**461 ... 77 ....0,987*012**987... 0,493*506**493. .. 91....0,989*010**989... 0,494*505**494. ., 143....0,993*006**093... 0,496*503**496. .. Les demi-périodes sont marquées d'un seul asté- risque*, et les périodes totales de deux e On er ra de plus que les périodes de et de Se ` ne different entre elles que par l'ordre de leurs demi-périodes. J'observerai au sujet de la susdite communication de M. Schlömilch qu'il existe beaucoup de fractions ordinaires qui ne rentrent pas dans le cas que l'Au- teur à considéré, et qui, converties en fractions déci- males, jouissent, comme les siennes, de la propriété relative aux chiffres qui se correspondent dans les deux demi-périodes. Occupé depuis quelque temps de recherches con- cernant certaines fractions tant décimales qu'à base de numération quelconque, et dont la dérivation est fondée sur la considération des séries recurrentes, j'ai été conduit à un grand nombre de fractions qui pré- sentent plusieurs particularités curieuses et entre autres celle qui a été indiquée par M. Schlómilch. Voici l'un des modes de génération de ce genre de fractions que j'ai employé: pour déterminer leur chiffre décimal d'un ordre quelconque n, je calcule le terme du méme ordre n de la série récurrente génératrice; soit N la valeur numérique de ce terme. Cela fait, je prends pour le chiffre décimal cherché la somme mi- nima des chiffres de N, c.-à-d. le reste de la division de N par 9, en remplacant le reste zéro par 9. Ainsi, par exemple, si l'on avait N — 78, on réduirait ce nombre d'abord à 7 + 8 — 15, et le résultat final serait 1 + 5 — 6. L'ensemble des chiffres, trouvés de cette maniére, formera la période en question. Voici quelques résultats de mes recherches sur ce genre de fractions. Prenons pour premier exemple la fraction décimale 0, Y Y Yz Lë Dae 9,9595* Gaz (1) dont les chiffres successifs se déterminent par la con- gruence E WI Ji k42 "bit y sen EOL. (ho: ل‎ Nous verrons plus bas que la période sera composée d'un nombre pair 2% de termes, sauf le seul cas où elle n'en aura qu'un. Le calcul de la fraction (1) exige visiblement que deux de ses chiffres soient donnés, les deux premiers par exemple, et que nous désignerons par a = y, et b — y, De plus, pour que la période commence des le premier chiffre, nous supposerons que «a et b sont tous deux différents de zéro; en outre nous convien- drons, comme nous l'avons déjà dit, de remplacer par 9 tout nombre que l'on trouverait congru à zéro sui- vant le module 9. L'intégration de la congruence aux différences finies (2) conduit à la formule le) (a) JC EST leed. a, 0) qui servira à calculer la valeur du chiffre d'un ordre quelconque m. En faisant successivement m — À etc. 365 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 366 on aura y =a y, — b, „=a+b y=a+2b etc. L'examen circonstancié de la fraction décimale (1), formée d’après la loi exprimée par la congruence (2), conduit aux conclusions suivantes: 1°) Toutes les périodes de la fraction (1) commen- cent par son premier chiffre décimal. 2^ Les deux premiers chiffres a et b sont arbi- traires, en en exceptant zéro. 3") La fraction (1) ne peut avoir que des périodes de un, de huit et de vingt-quatre chiffres. 4^) La période unique de un chiffre est évidemment 0:9999. 5°) Les périodes composées de huit chiffres sont au nombre de huit, nommément: 0,3369*66397*336.... 0.369663931369: — . 0,3933*6966**393... .. 0,6393*3696**639.... 0,6639*3369**663.... 0,6966*3933**696... 0,9336*9663**933,... 0,9663*90336**966....) wo Cero Comme plus haut, nous avons marqué d'un astérisque le dernier chiffre de la demi-période, et de deux asté- risques la fin de la période entière; de plus on obser- vera que ces 8 périodes se réduisent, à proprement parler, à une seule, car 7 d'entre elles s'obtiennent en faisant subir une permutation circulaire à tous les chiffres de la huitième période restante. 6°) Les périodes de 24 chiffres sont celles qui pré- sentent le plus de variété. Ce sont celles qui ne com- mencent pas par deux chiffres, dont chacun est divi- sible par 3, c.-à-d. par 38, 36, 89, 63, 66, 69, 93, 96, 99. Tout autre couple de chiffres significatifs donnera lieu à une période de 24 chiffres. Le nombre total de ces périodes, comme il est facile de le voir, est de 72 qui, à proprement parler, se réduisent aux trois suivantes, essentiellement différentes entre elles : 0,112358437189*887641562819**112... | 0,224617865279*775382184729**224.... 0,448325731459*551674268549**448. . | (5) Les trois périodes qui commencent par les couples de chiffres 88, 77 et 55 s’obtiennent respectivement par la seule transposition des demi-périodes (5) com- mençant par 11, 22 et 44. Quant aux 66 périodes restantes, qui commencent par deux chiffres significa- tifs différents entre eux et non divisibles par 3, on voit de suite que chacune d’entre elles dérive de l’une des périodes (5) en faisant subir à ses éléments une simple permutation circulaire. Après cette énumération détaillée des divers cas qui se présentent, nous pouvons conclure en définitive, que la totalité des 81 périodes des fractions décimales récurrentes, déduites de la congruence (2), se réduit à cinq, dont toutes les autres se déduisent par la voie _ de simples substitutions circulaires de chiffres sans exiger aucun calcul. Ces cinq périodes primitives sont d'abord la période à un chiffre 0,999..... , ensuite l'une quelconque des 8 périodes (4) et les trois périodes (5) à 24 chiffres. Toutes ces périodes jouissent de la propriété observée par M. Schlómilch. Les 81 pé- riodes trouvées comprennent tous les cas possibles, car c'est précisément le nombre total des variations à répétition des 9 chiffres 1, 2,3... 9 pris deux à deux. Si, au lieu de la congruence (2), nous employons la suivante : (O nous arriverons à des fractions périodiques qui pos- sèderont la même propriété ; en voici des exemples: 0,990... 0.9393766967339... 0,113785951761*886214948238**113.... 0,253277342898*746722657191**253.... 4. = Wn; + y,, — à (mod. 9), : - Considérons encore les fractions décimales récur- rentes, déterminées par la congruence p Ym (7) qui conduit à quelques nouvelles particularités des fractions périodiques qui en dérivent. L'intégrale de Hr v7 MA, (MON, 9 a 367 Bulletin de l'Académie Impériale 368 cette congruence est exprimée par la formule très simple Ym £(2" 7! — 1) (b — a) + a (mod. 9), dans laquelle on a posé y, = a et "9 „=b. En obser- vant que 2 — ] — 7.9 = 0 (mod. 9), 01414. . 0,717..., 0,2825..., 04141:.., 0,4747...,. 0,5203. 5,, DA, S 060104... 05289... Viennent en dernier lieu 54 périodes à six chiffres, qui jouissent d'une propriété que ne présentent ni les périodes indiquées par M. Schlómilch, ni celles qui dérivent des congruences (2) et (6). Ces 54 périodes affectent neuf formes différentes relativement aux restes de la division par 9 de chaque somme des deux chiffres qui se correspondent dans les deux demi-périodes de la fraction. Ces restes recoivent toutes les valeurs 1,2, 3....9; pour chacun de ces nombres on trouve six périodes, dont cinq arbitraires dérivent de la sixième par la voie des substitutions circulaires. Voici entre autres neuf de ces périodes, relatives à chacun des restes 1, 2, 3... 9; elles serviront à former toutes les 45 restantes : Restes de la division par 9 . de la somme des deux chiffres correspondants dans les démi- ` Périodes déduites de la loi de récur- iod E24 0,167*943**167... EIS ls 0,235*986**235. . Rc NU 0,278*154**278. . . 4 eei 0,197*346**197... S UA s 0,265*389**265.. . c xus 0,218*457**218... M M e. 0,764*913**764. .. M لم‎ 0,329*568**329... go EUM _0,751*248**751. Il suit de ce que nous venons de voir, que l'en- semble des périodes trouvées, qui toutes commencent par le premier chiffre décimal, se compose de 9 pé- riodes à un chiffre, de 18 à deux et de 54 à six on en conclut de suite que le nombre des chiffres, contenus dans les périodes que fournit la loi de récur- rence (7), ne dépasse pas six. En effet, on a d'abord ` les 9 périodes d’un seul chiffre 00111 7 210,999.70 389.,,, Ensuite 18 périodes, composées de deux chiffres, nom- mément 0,2828..., 0,3636..., 0,3939. 0,5858..., 0,6863...; 0,9696... 0,8585.:., 0,9393..., 0,6969. ., chiffres, en tout 81 périodes qui comprennent la to- talité dés cas possibles. Sans nous arréter pour le moment sur les fractions périodiques récurrentes à base de numération différente de 10, nous présenterons seulement quelques exemples numériques qui se rapportent aux fractions déduites de la congruence Ua cm Ni Mag (mod. NI 1), N étant la base du systéme de numération. Ainsi, pour N= 7, on trouvera les fractions 0,666..., : 0,4426*2246**442,. . 0,112352134156*554314532516**112... dans lesquelles chaque somme des deux chiffres, qui se correspondent dans les deux demi- périodes, est égale à N— 1 — 6. Soit encore N — 11; pneum le nombre N—1 — 10 par à, on aura DA... 0,718976*392134**718... ` 0,6281886414*4821224616**628. . . En faisant subir aux chiffres des deux dernieres frac- tions des permutations circulaires, on obtiendra de nouvelles périodes qui, comme ces dernières, jouiront de la propriété relative à la somme des chiffres cor- respondants dans les deux demi-périodes, somme qui, dans le cas actuel, sera divisible par N — 1 = 10. Du reste nous observerons que cette propriété, ainsi que celle qui consiste en ce que les périodes commen- cent par le premier chiffre décimal, comme dans les 369 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 370 fractions déduites des congruences (2) et (6), n'a pas généralement lieu pour les systèmes de numération à base différente de 10. Je remets à une autre occasion l'exposition des ré- sultats auxquels je suis parvenu relativement à cer- taines fractions décimales, également récurrentes, mais formées sous des conditions en partie différentes de celles qui ont été admises plus haut. 26 avril 1881. Über den Doppelstern 2.60 — v Cassiopejae. Von Ludwig Struve. (Lu le 28 avril 1881.) Der Doppelstern n Cassiopejae, als solcher zuerst von W. Herschel 1779 beobachtet, hat, den Beobach- tungen zufolge, seit seiner Entdeckung bis in die neue- ste Zeit den Positionswinkel um beiläufig 100° geän- dert und zugleich in Distanz von beiläufig 11" bis gegen 5" abgenommen. Er bietet zugleich ein erhóh- tes Interesse durch den Umstand, dass er eine sehr grosse Eigenbewegung besitzt und noch mehr dadurch, dass letztere, wie es namentlich die neueren Beob- achtungen von Herrn Wagner nachgewiesen haben, merklich ungleichförmig erfolgt. Nach W. Struve's Schützungen sind die Gróssen der beiden Componen- ten 4,0 und 7,6. Die Bahnelemente dieses Doppelsterns sind bereits von verschiedenen Seiten Gegenstand eingehender Untersuchungen gewesen, denen jedoch ohne Aus- nahme nur die Veränderungen des Positionswinkels zu Grunde gelegen haben. Unter den vorliegenden Bahnbestimmungen sind die folgenden drei als die am sorgfältigsten bearbeiteten anzusehn. 1. Doberck). 2. Dunér?) 3. Gruber?). Si. 29987 50° 50 83° 20' i 53 50 68 26 48 18 À : 223 20 245.55 229 27 e 0,0763 0,6268 0,6244 U 222/435 176/374 1957235 T 1909,24 1924,787 1901,955 a 9783 1076812 8,639 1) Transactions of the Royal Irish Academy. Vol. XXVI, 1876. 2) Bulletin enge 2 N 224 und Dunér «Mesures mi- crométriques» 1875, pag 3) Astronomische Nieto: Bd. 88, 1876. Tome XXVII. Diese drei Elementensysteme, obgleich in einzelnen Stücken erheblich unter einander abweichend, zeigen doch im Allgemeinen denselben Charakter; anders liess es sich auch nicht erwarten, da sie, abgesehen von der halben grossen Axe, wie vorstehend erwähnt, aus- schliesslich aus den Veránderungen des Positionswinkels abgeleitet sind und bei allen dreien zwei verein- zelte Messungen von W. Herschel aus den Jahren 1782 und 1803 eine überwiegende Rolle spielen. Nun sind aber, wie O. Struve nachgewiesen hat *), die ein- zelnen Positionswinkelmessungen von W. Herschel bei allen Distanzen in gleicher Weise wahrscheinlichen Fehlern von 2? bis 3? unterworfen und ausserdem darf auch die Annahme nicht ausgeschlossen bleiben, dass möglicherweise eine oder die andere Herschel’sche Angabe durch Ablese- oder Schreibfehler erheblich mehr entstellt sein kónnte. Aus diesem Grunde erschien es mir geeignet, neue Elemente abzuleiten, indem dabei von den Beobach- tungen des älteren Herschel ganz abgesehen würde. Auf den Rath meines Vaters, des gegenwürtigen Directors der Pulkowaer Sternwarte, habe ich meine Untersuchung ausschliesslich auf dieDorpater(1831 — 1837) und Pulkowaer (1841 — 1879) Beobachtungen, unter einziger Hinzuziehung der vortrefflichen von Bessel imJahre 1830 erhaltenen Bestimmung, begrün- det. Der Vorzug, den ich diesen Bestimmungen gege- ben habe, dürfte wohl eine genügende Erklürung in dem Umstande finden, dass die drei genannten Be- obachtungsreihen schärfer als irgend welche andere un- ter einander verglichen sind und auf Grundlage der im Vol. IX der Observations de Poulkova enthaltenen Un- tersuchungen gewissermaassen ein gleichartiges Gan- zes bilden. In derselben Schrift sind zwar auch die vortrefflichen und zahlreichen Beobachtungen von Dembowski und Dunér möglichst streng auf das Pulkowaer Beobachtungssystem bezogen; daaber diese Beobachtungen der Zeit nach mit genügend zahlrei- chen von O. Struve zusammenfallen, erschien es mir zweckmüssig, sie nicht unmittelbar in die Rechnung . hineinzuziehn, sondern dieselben zur Controle der ab- geleiteten Resultate vorzubehalten. Dasselbe gilt auch für die Beobachtungen von Dawes, die in Bezug 4), Études sur le mouvement relatif des deux étoiles du système de 61 Cygni (Mém. de l'Ac. de St. Pétersbourg, Tome XXVII, M 11), 1880, pag. 36. 24 371 r Bulletin de l'Académie EImperiale 372 auf ihre Epoche wohl mehr Berücksichtigung ver- dient hätten, andererseits aber ganz vereinzelt da- stehen und daher auf ein den angewandten Beobach- tungen annähernd gleiches Gewicht nicht Anspruch machen können. Ist durch diese Wahl der Beobachtungen der durch- laufene Bogen im Vergleich mit demjenigen, den die früheren Rechner angewandt haben, um etwa ein Drittel verkürzt, so hoffe ich diesem Nachtheil ein bedeutendes Gegengewicht gegeben zu haben, indem ich die Distanz und ihre Veränderungen mit gleichem Gewichte wie die Richtungen für die Ableitung der Bahnelemente hinzuzog. Die Gleichberechtigung der Distanzen und Positionswinkel scheint mir im vorlie- genden Falle vollkommen gerechtfertigt: einerseits haben die Untersuchungen von O. Struve?) darge- than, dass bei den Distanzen, um die es sich hier handelt (10” bis 5”) der wahrscheinliche Fehler der einzelnen Messungen in Distanz im Mittel aus seinen und W. Struve’s Beobachtungen genau dem gleich anzusetzen ist, der für die Positionswinkel (im Bogen des grössten Kreises ausgedrückt) angenommen werden muss und für Bessel stellt sich, nach dessen eigenen Untersuchungen °), wenigstens für diesen Stern noch ein viel günstigeres Verhältniss für die Distanz her- aus. Andererseits ist zu berücksichtigen, dass bei der offenbar sehr langgestreckten scheinbaren Bahn des Begleiters für den Zeitraum unserer Beobachtun- gen die Winkelveründerung, linearisch ausgedrückt, nur um sehr wenig die Distanzveründerung übersteigt. Aus den einzelnen in den genannten Beobachtungs- reihen gegebenen Messungen bildete ich Mittelwerthe nach Intervallen von durchschnittlich 3 bis 4 Jahren, so dass ich für jede Coordinate 14 solcher Werthe erhielt. Die einzelnen Messungen waren zuvor móg- lichst sorgfältig nach den in Vol. IX der Observations . de Poulkova gegebenen Vorschriften für systematische Fehler corrigirt und auf das von O. Struve ange- nommene Messungsystem reducirt; zugleich wurden an die einzelnen Positionswinkel die in diesem Falle sich hóchstens auf drei Minuten belaufenden Correctio- nen augebracht, um sie auf das Aequinoctium 1850,0 zu beziehen. 5) Observations de Poulkova, Vol. IX, pag. (152). 6) Abhandlungen von Bessel, herausgegeben von Engelmann: Vol. II, pag. 288. Bei Ableitung der Bahnelemente bin ich im Wesent- lichen der zweiten von J. Herschel”) vorgeschlage- nen Methode gefolgt. Nur in dem Puncte bin ich von derselben abgewichen, dass ich das immerhin mehr oder weniger willkührliche Ziehen der Interpolations- curve vermied und statt dessen die Positionswinkel und Distanzen so anwandte, wie sie direct beobachtet sind. Ich erhielt somit 14 Geichungen von der Form 0 — 1 + az + By + (2? + 92 + ey, wo z, y die aus den durch die Beobachtungen gege- benen Mittelwerthen abgeleiteten rechtwinkligen Co- ordinaten bezeichnen. Diese Gleichungen, nach der Methode der kleinsten Quadrate behandelt, ergaben folgende Werthe : a = — 0,1698 Q = - 0,5459 Y = — 0,0685 8 = + 0,0509 e = — 0,0457 welehe den Bedingungsgleichungen der Ellipse (88 — Heel — (8? — Ley) (P — 4e) > 0 dy — 4er >> 0 Genüge leisten. Aus der so gefuudenen scheinbaren Ellipse leitete ich dann die wahre Ellipse und, unter wiederholter Anwendung der Methode der kleinsten Quadrate, nach den dynamischen Gesetzen die mittlere Bewegung und die Epoche ab. Auf solche Weise erhielt ich folgendes Elementensystem der wahren Ellipse : 2 45° 3’ Aen, 1850,0 1736.92 x 938 17 e 0,6296 U 148790 T 1905,02 a 8,786, welches sich offenbar den von Dunér gefundenen Ele- menten am Nüchsten anschliesst. Mit diesem Elementensystem habe ich zunächst die zu seiner Berechnung angewandten Beobachtungen 7) Memoirs of the Royal Astronomical Society. Vol. XVIII 1850. 373 des Sciences de Saint - Petersbourg. 374 möglichst streng verglichen. Das Resultat der Ver- gleichung ist in der folgenden Übersicht enthalten, leicht verständlich sind, indem ich nur noch bemerke, dass durch angehängtes o Beobachtungen und durch deren einzelne Columnen durch ihre Überschriften |c Resultate der Rechnung bezeichnet sind, t o o 8B lana Adat er B 1830,75 | 86?16'| 87? 3'107073107093|— 0° 47'|— 072138 |— 0,020 | Bessel 24 1832,05| 87 38 | 88 6 | 9,990 | 9,990 | — 0 28 |— 0,081 0,000 | W. Struve 5 1836,11 91 46 | 91 29 | 9,599 | 9,645 |+0 17 |+- 0,048 | — 0,046 » 7 1841,34| 97 59 | 96 14 | 9,130 | 9,159 | ف‎ 1 45 |+ 0,280 | — 0,029 | O. Struve 3 1847,40]1102 17 |102 27 | 8,534 | 8,548 | — 0 10 |— 0,025 |— 0,014 » 5 1849,66 |105 28 |104 59 | 8,310 | 8,310 | 0 29 |+ 0,070 0,000 » 4 1851,841108 46 1107 37 | 8,083 | 8,079 [+1 9 |+ 0,162 |+ 0,004 » 3 1854,56 112 36 111 5 | 7,952 | 7,778 |-- 1 31 |+ 0,206 |+ 0,174 » 4 1857,22|]114 44 |114 42, 7,540 | 7,509 |-2- 0 2 |+ 0,004 |+ 0,031 » 2 1860,681120 8 1119 56 | 7,200 | 7,144 |+- 0 12 |+ 0,025 |+ 0,056 » 2 1867,611132 91132 2| 6,410 | 6448 [+0 7 |-1- 0,013 |— 0,038 » 5 1871,181137 52 |139 13 | 6,102 | 6,149 | — 1 21 |— 0,157 |— 0,047 » 4 1874,18|145 54 1145 50 | 5,662 | 5,918 [+0 4 |+ 0,007 |— 0,256 » 5 1878,39 |154 17 1155 58 | 5,226 | 5,650 | — 1 41 |— 0,166 |— 0,424 » 5 Man ersieht hieraus, dass die Positionswinkel inso- | Jahres angestellt hat. Im Mittel ergeben nämlich dieselben; fern befriedigend dargestellt werden, dass, wenn auch einzelne grössere Abweichungen vorkommen, der häu- fige Zeichenwechsel keine Andeutung für bedeutende Ungenauigkeit der Elemente bietet. Anders verhält es sich mit den Distanzen, bei denen zwar die ersten zwölf befriedigend stimmen, die zwei letzten aber Abweichungen zeigen, welche das Maass des für zufällige Fehler Zulässigen zu übersteigen scheinen. Die aus diesem Umstande hervorgehenden Bedenken gegen dié Genauigkeit der von mir abgeleiteten Bahn- elemente werden jedoch durch die Vergleichung mit den dem letzten Jahrzehend angehörigen Messungen von Dembowski und Dunér, welche für die Distanzen Abweichungen in entgegengesetztem Sinne zeigen, wesentlich vermindert. Dass die letzten Differenzen in der vorstehenden Tafel keinen progressiven Cha- rakter haben, zeigt schon die Vergleichung dreier Messungen, die mein Vater im Laufe gegenwärtigen — m 1881,16 0,—161759' 0, —0,= —1^8'— — 07109 کرم 9 :م‎ 5,264 Po — 8, = — 072409. Der Fehler in der Distanz ist also hier erheblich ge- ringer als für die nächst zuvorgehende Epoche. Wichtiger jedoch für das Urtheil über den Werth meiner Elemente erscheint mir, wie erwühnt, die Ver- gleichung mit den Dembowski'schen und Dunér'-. schen Beobachtungen, welche ich in der nachfolgenden Übersicht, unter Hinzufügung der wenigen und deshalb nicht ins Gewicht fallenden Dawes'schen Messungen, zusammenstelle. An die einzelnen Beobachtungsreihen sind bereits die nach Vol. IX der Observations de Poulkova erforderlichen Reductionen angebracht, um sie auf das Beobachtungssystem von O. Struve zu be- ziehen. Dawes. 0,— 0 Anzahl d , H, 9c Po Pe 9, — و‎ im Bogen. "oce | Dichtungen | / | H 1832,87 | 88742 88^46 9/817 : 97923 | —0° 4 |—05012|— 0,106 | $ 1841,80 | 95 47| 96 4| 9,411 | 9,110 | —0 17 | —0,045 | + 0,301 1 1854,00 |109 36 110 20| 7,982 | 7,847 | —0 44 | —0,100 |+0,135 1 94* Bulletin de l'Académie Impériale Dembowski. ٤ H, 9c Po Pe %—®, ne Po Poe | our 1856,40 |113?50'113?35' 7,738 | 7,592 | + 0° 15' | -+ 0,033 | + 07146 22 1863,26 |122 16 124 10 | 7,170 | 6,880 | — 1 54 | — 0,228 | + 0 21 1865,18 1125 381127 30 | 6,940 | 6,688 | — 1 52 | — 0,218 | + 0,252 17 1867,16 1129 15,129 17 6,780 | 6,506 | — 0 2 | — 0,004 | + 0,274 15 1869,12 1132 581134 58 | 6,463 | 6,332 | —2 0 | — 0,221 | + 0,131 10 1871,05. 1136 13/138 56, 6,347 | 6,172 | = 2 43 | — 0,293 | + 0,175 14 1873,18 139 55 143 34| 6,076 | 5,995 | — 3 39 | — 0,382 | + 0,081 13 1875,01 144 29 147 45, 5,969 | 5,857 | — 3 16 | — 0,334 | + 0,112 13 1876,94 |149 53/152 23| 5,781 | 5,734 | — 2 30 | — 0,262 | + 0,047 13 Bud er; 1868,37 |131 45/133 29| 6,594 | 6,401 | — 1 44 | — 0,194 | + 0,193 5 1869,93 1135 131136 40, 6,366 | 6,264 | — 1 27 | — 0,159 | + 0,102 4 1872,50 1140 301142 4| 6,224 | 6,047 | — 1 34 | — 0,165 | + 0,177 7 1874,22 |144 511145 56| 6,023 | 5,916 | — 1 5 | — 0,112 | + 0,107 1 1875,51 |146 38/148 56| 5,976 | 5,821 | — 2 18 | — 0,234 | + 0,155 10 Ohne mich auf eine Erklärung über den Ursprung der bedeutenden constanten Differenzen?), die sich 8) Anmerkung von 0, Struve, Die grosse Abweichung, welche im vorliegenden Falle meine Distanzmessungen von denen der Herren Dembowski und Dunér zeigen, ist in der That eine sehr auffal- lende Erscheinung. Sie ist um so auffallender, da die Messungen, aus welchen die Mittelwerthe für die beiden letzten Epochen (1874 und 1878) gebildet sind, je 3 verschiedenen Jahren angehóren und die einzelnen سه‎ in den verschiedenen Jahren vortrefflich unter timmen. Die Annahme ungewühnlich grosser zufälliger Fehler, welche in entgegengesetztem Sinne bei mir und den andern Beobachtern gewirkt hätten, scheint mir vollkommen ausgeschlossen werden zu müssen, Selbst bei einzelnen Beobachtungen kommen Abweichungen von solchem Betrage, wie die Differenzen sie hier zei- gen, sowohl bei mir wie bei den beiden andern Beobachtern nur ganz ausnahmsweise vor und gelegentlich der Vergleichung meiner Beob- achtungsreihe mit den beiden andern hat sich ergeben, dass für Mittelwerthe aus mehreren Beobachtungen sich der Unterschied zwischen Dembowski und mir, bei 200 verglichenen Sternpaaren von 3" — 8" Distanz, auch nicht ein einziges Mal anf 0/4 belaufen hat. In der Vergleichung mit Dunér kommen Differenzen von sol- chem Betrage etwas häufiger vor, aber doch auch nur 5 Mal bei 150 läufig einer halben Secunde, bei einem Sternpaare wie n Cassiopejae, dem gewiss von den einzelnen Beobachtern besondere Sorgfalt zu- gewandt ist? Es muss also nach einer auf alle Messungen desselben Beobach- ters gemeinsam wirkenden störenden Ursache geforscht werden und speciell gilt das in Bezug auf meine eigenen المت‎ für welche ie Abweichungen der Distanzen von den au s dem Co omplex aller Beobachtungen abgeleiteten Bahnelementen im letzten Jahrzehend am gróssten gewesen sind. Als solche gleichartig wirkende Ursache kann ich nur die nahe Gleichheit der Stundenwinkel erkennen, un- ter denen sämmtliche Messungen der letzten Jahre von mir ange- hier zwischen den Messungen meines Vaters einerseits und denen der Herrn Dembowski und Dunér ande- stellt sind, und zwar ist dieser Winkel ein solcher, bei welchem, in Verbindung mit dem sich in der kurzen Zeit verhältnissmässig nur wenig ändernden Positionswinkel von o Cassiopejae, das von der Richtung zur Verticalen abhängige variable Glied meiner systemati- schen Correctionen ein negatives Maximum von beiläufig 0/15 er- reicht. Würde dieses SU nicht berücksichtigt, so wür- den alle meine Distanzen um die angegebene Quantität zu ver- -gróssern sein und die Ce nachbleibenden Differenzen hàtten dem schon eine befriedigende Deutung in den nachgebliebenen kleinen Ungenauigkeiten der ermittelten constanten Differenzen, in der Móg- lichkeit kleiner Divergenzen bei Sternen von verschiedener Farbe und Helligkeit, in ungewóhnlicher Accumulation zufälliger Fehler u. s. w, finden. Ein Aufgeben der systematischen Distanzcorrectionen halte ich jedoch für durchaus nicht gerechtfertigt, da sie aus den Messungen an künstlichen Doppelsternen in ver$chiedenen Jah- ren mit grosser Sicherheit und sehr befriedigender Oba istiran hervorgegangen sind. Wohl aber halte ich es für sehr möglich, dass meine betreffenden Untersuchungen in Bezug auf Distanz noch nicht ausgedehnt genug gewesen sind. Während nämlich die ent- sprechenden EE über die Winkelcorrectionen - zu 3 Distanzen, weil deren Abbängigkeit von der Richtung zur Verticalen erst später erkannt wurde , auf 2 Epochen und in diesen auf Messungen in nur 6 unter einander wesentlich verschiedenen Richtungen beschränkt. Eine Folge davon war dass die für die Cor- rection der Distanzen abgeleitete Formel nur ein vom doppelten Winkel gegen die Verticale abhängiges variables Glied enthält, wäh- rend bei den Richtungsfehlern sich zugleich ein vom 4-fachen jenes Wiukels abhàngiges Glied aufs nase aussprach, welches in ` 377 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 378 rerseits kundgeben, einzulassen, scheint mir doch die Schlussfolgerung berechtigt, dass im Mittel die Distanzen auch für die letzte Periode befriedigend durch meine Elemente dargestellt werden. Für die seit 1870 angestellten Messungen findet sich nämlich im Mittel: Po — Pe nach O. Struve — 07242 » Dembowski + 0 104 » Dunér -- 0 146 oder, unter Voraussetzung gleicher Gewichte, im Mittel für die drei Beobachter: rd Dagegen entsteht hier ein etwas gewichtigeres Be- + 0,003. denken in Betreff der Darstellung der Positionswinkel, welche, übereinstimmend bei allen drei Beobachtern (O. Struve, Dembowski, Dunér), für die letzte Zeit nahezu um gleiche Quantitäten in demselben Sinne abweichen. Es dürfte sich daher wohl empfeh- len, gelegentlich die Rechnung noch ein Mal vorzu- nehmen, um auch in dieser Beziehung den neuen Be- obachtungen strenger zu genügen. Man übersieht leicht, dass die Abweichungen darauf hindeuten, dass die von mir gefundene Umlaufszeit etwas zu klein ist und sich daher wahrscheinlich noch mehr der von Dunér gefundenen nähern würde. Darauf deutet auch die Vergleichung mit den Beobachtungen von W. Her- schel, welche ich nachtrüglich vorgenommen habe. Es findet sich nämlich: ; 6, — 9 hl de r و6‎ 9, i Pe &—®, im Bogen. Po 7 Pe Beobachtungen 1780,17 1514.97 E ui is 1 1782,45 |62?13'|52?58' + 9? 15^ | + 17527 1 1803,10 |70 51168 1 +2 50 | + 0,544 1 Die Beobachtung von 1803,10 darf man billiger- weise als ganz befriedigend übereinstimmend ansehn, Grósse das erste Glied erheblich übertrifft. Besteht für die Distanzen ein solches vom 4-fachen des Winkels gegen die Verticale abhängi- ges Glied, so würde, nach Analogie zu schliessen, die in vorliegen- dem Falle durch das erste Glied erzeugte Verkleinerung der Distan- zen voraussichtlich reichlich compensirt werden liegt daher für mich in den hier aufgetretenen Differenzen eine dringende Auf- forderung die Messungen an den künstlichen Doppelsternen in Be- treff der Distanzen zu vervollständigen und ich beabsichtige diese Arbeit sogleich nach nn günstiger Sommerwitterung im laufenden Jahre vorzune erner bleibt noch dis von mir bereits in der Einleitung zum Vol. IX der Obiiervitious de Poulkova (pag. 108) als unentschieden bezeichnete Frage offen, ob die Distanzcorrectionen , so wie sie aus den Messungen an künstlichen Sternen in nahezu horizontaler Richtung des Fernrohres ermittelt worden sind, in voller Strenge s gegen den Horizont eine wesentliche Rolle spielt. An der angeführten Stelle ist zugleich erwähnt, dass die früheren Untersuchungen NE hin- deuten, dass für h ariablen Phu ES erheblich verringert werden müsse. Abo auch diese Frage kann der Entscheidung nur dann näher geführt wer- den; wenn erst die Correctionsformeln für die an künstlichen Dop- pelsternen gemessenen Distanzen, mit der erforderlichen Strenge ermittelt sein werden. Bei dieser Gelegenheit will ich noch bemerken dass die a priori nicht unbedingt zurückzuweisende Annahme: ich hätte etwa in den betreffenden Jahren und Jahreszeiten alle Distanzen durchweg er- heblich kleiner gemessen wie sonst, in der Vergleichung anderer um da, nach den bereits erwähnten Untersuchungen mei- nes Vaters, die Abweichung nur sehr wenig den wahr- scheinlichen Fehler der Messung übersteigt. Dagegen übersteigt allerdings für 1782,45 die Abweichung beilàufig um das Vierfache den wahrscheinlichen Fehler der Messung und es muss ferneren Deobachtungen über- lassen bleiben, zu entscheiden, ob wir dieselbe der Ungenauigkeit der von mir gefundenen Elemente oder vielleicht einem zufälligen grösseren Schreib- oder dieselbe Zeit gemessenen Sternpaare durchaus Ken Bestätigung ndet E 12 Betreff der Richtungen bestehen bei SE wie es die Bedipcigan meines Sohnes zeigen , os nicht unerhebliche constante Differenzen zwischen meinen und Dem ski’s Mes- sungen, während die des Herrn Pantsi sich den meinigen viel nà- her anschliessen, In dieser Beziehung glaube ich für meine Mes- sungen einen entschiedenen Vorzug in Anspruch nehmen zu dür- fen, weil bei ihnen die durch so viele andere Erfahrungen sich be- währt habenden teste eg möglichst streng berücksichtigt sind, während wir für Dembowski wohl zu der Annahme berechtigt sind, dass die ers Fehler in den Richtungen erheblich kleiner sind wie bei mir, zur Zeit aber noch nicht zu dem Schlusse, dass sie gar nicht existiren oder nur in einem anz zu vernachlässigenden Grade, Es lässt sich gerade bei geübten Constanz der Messungsweise, die nicht die streng richtige zu sein b i Beob- achtern, die sich nur gelegentlich mit derartigen Meinen be- schäftigen 379 Bulletin de l'Académie Impériale 380 Ablesefehler von W. Herschel zuzuschreiben haben. Nach wenigen Jahren wird voraussichtlich die in neue- rer Zeit eingetretene starke Winkelveränderung zu wesentlich genaueren Elementen führen, als sie der verhältnissmässig kleine von mir benutzte Bogen hat bieten können und es wird dann von Interesse sein, die Rechnung zu wiederholen. Vorläufig jedoch glaubte ich den von mir gefunde- nen Elementen eine in soweit genügende Genauigkeit -zuschreiben zu dürfen, um den Versuch zu wagen mit ihrer Hülfe, aus der anderweitig erkannten unregel- mässigen Eigenbewegung des Hauptsterns, zu ange- näherten Schlussfolgerungen über die Lage des Schwer- punets zwischen den beiden Sternen und daher auch über die relativen Massen derselben zu gelangen. Die Rectascensions- und Declinationsdifferenzen der beiden Sterne sind mit Hülfe der Bahnelemente durch Aa — 9 sin @ sec à und A8 = ¢ cos © gegeben. Be- zeichnet man nun mit k — Eu das Verhältniss der Masse des Begleiters zu der Summe der Massen beider Sterne und mit n, und n, die Eigenbewegung des Schwerpuncts des Systems resp. in Rectascension und Declination, ferner mit a und à den Ort des Haupt- sterns für die Zeit € nach Reduction auf das constante Aequinoctium /,, so ist der Ort des Schwerpuncts zur Zeit L durch die Formeln: a — 0. 2e n, (5) -ه‎ ko, d,— ò nt —t) A- kA gegeben. Die durch die Präcession erzeugte Verände- rung der Eigenbewegung in ihren beiden Coordinaten ist im vorliegenden Fall, wie überhaupt für alle Sterne, die nicht ganz nahe dem Pol stehen, vollständig zu vernachlässigen. Hat man genäherte Werthe für die gesuchten Quantitäten, so sind die Correctionen der- selben nach den Formeln: 0 — — da, + (4, — t) dn, + Aa dk + da 0 = — dd, + (t — t) dn, + Addk + 5 zu ermitteln, wobei die für jede einzelne Epoche zu- sammengezogenen Beobachtungen je eine Gleichung liefern. Für die beabsichtigte Rechnung standen mir zu- iejeni itionen zu Gebote, welche A u wers, unter Anwendung der Pulkowaer Präcession und der von ihm selbst ermittelten Eigenbewegungen, in dem Vorwort zu dem von ihm, behufs Reduction der Zo- AMO US U e nenbeobachtungen der Astronomischen Gesellschaft, bearbeiteten Fundamentalcataloge für 1875,0 gege- ben hat. Diese Positionen entsprechen der Zeitfolge nach den Catalogen: Pulkowa 1845, Greenwich 1861, Pulkowa 1865, Leipzig 1868 (nur für Decli- nationen), Cambridge 1872 und Greenwich 1872. Zu diesen kommt aber noch als besonders wichtiges Datum die von Bradley beobachtete Position hinzu, welche als mit der von Greenwich 1861 identisch angesehen werden muss, da aus der Vergleichung von Bradley mit dem genannten Greenwicher Cataloge die von Auwers in seinem Fundamentalcataloge angegebenen Eigenbewegungen abgeleitet sind. Die Epochen der Bradley'schen Beobachtungen habe ich dem hier in Pulkowa gedruckt vorliegenden Theile der Auwers'- schen Bearbeitung jener Beobachtungen entnommen und zwar für Rectascension 1754,45 und für Decli- nation 1751,16. Von den erwähnten Bestimmungen habe ich bei meiner Rechnung die des Cambridger Catalogs für 1872, welche der Zeit nach mit der auf ungleich viel zahlreicheren Beobachtungen begründeten Greenwi- cher Position zusammenfällt, weggelassen. Dagegen habe ich die grosse Lücke, die nach dem Vorstehen- den zwischen der Bradley’schen Bestimmung und dem , | ersten Pulkowaer Cataloge besteht, nach Möglichkeit auszufüllen mich bestrebt, indem ich zu meiner Rechnung noch die zuverlässigsten älteren Bestim- mungen vom Ende des vorigen und Anfang dieses Jahrhunderts hinzugezogen habe, nämlich die Beobach- tungen von Piazzi, Groombridge, W. Struve und Argelander. Ueber die Ableitung der aus diesen Be- obachtungen auf 1875,0 bezogenen Positionen habe ich die folgenden Bemerkungen zu machen. l. Piazzi. Da eine definitive, dem jetzigen Stande der Wissenschaft entsprechende Bearbeitung der Pi- azzi schen Beobachtungen noch nicht vorliegt, so habe ich dieselben als Differentialbeobachtungen behandelt. Aus den publicirten Palermer Tagebüchern?) ergiebt sich dass Piazzi, oder vielmehr sein Gehülfe N. Cac- ciatore, wiederholt n Cassiopejae an denselben Tagen mit den Sternen x, ري‎ a und y Cassiopejae am Passa- 9) Storia celeste del R. Osservatorio di Palermo dal 1792 al 1813, herausgegeben von C. L. v. Littrow 1845, 391 des Sciences de Saint- Pétersbourg. geninstrumente beobachtet hat, deren Rectascensionen im Mittel auf 6" und Declinationen innerhalb eines Grades mit den entsprechenden Coordinaten von n Cas- siopejae zusammenfallen. Ich habe nun für die Rect- ascensionen nur solche Tage zur Rechnung hinzugezo- gen, an denen alle vier Vergleichsterne gleichfalls be- obachtet waren, für die Declinationen musste ich mich mit solehen Tagen begnügen, an denen wenigstens zwei der genannten Sterne ausser y Cassiopejae beobach- tet waren; an zwei Tagen habe ich noch Û Cassiopejae als Vergleichstern für Declination mit hinzugezogen. Zunüchst wurde aus sümmtlichen innerhalb einer Stunde mit n Cassiopejae an denselben Tagen beobach- teten Pulkowaer Hauptsternen der Abstand des Instru- ments vom Pole nach der Methode der kleinsten Qua- drate abgeleitet. Zu diesem Zweck wurden die Durch- gänge durch die einzelnen Fáden mit Hülfe der von Auwers") gegebenen Fadendistanzen auf den Mittel- faden reducirt und die correspondirenden scheinbaren Oerter der gebrauchten Sterne nach Angabe des Fun- damentalcatalogs unter Benutzung der «Quantitates Desselianae pro annis 1750 — 1840» berechnet. Bei Auflósung der Gleichungen gab ich den nur an 2 oder 3 Füden beobachteten Sternen das Gewicht 0,6, bei ` 4 Fadenantritten 0,8 und bei 5 Fäden 1,0. Den Col- limationsfehler des Instruments habe ich als O ange- nommen, da die in der Sforia celeste veróffentlichten Beobachtungen keine Angaben zur Bestimmung des- selben bieten. Man übersieht übrigens leicht, dass ein Fehler in dieser Annahme wegen der nahezu glei- chen Declination von n Cassiopejae und dem Mittel aus den vier Vergleichsternen nur von verschwindend kleinem Einfluss sein kónnte. Auf solche Weise er- hielt ich: | 382 m+ At n 1804 October 31 ل 21:40 هده‎ 5 » November 1 21,48 — 0,13 » » 2 cp 21,42 — 0,28 » » 3 هد‎ 20,90 — 0,11 » » 5 -L- 21,41 imeem 0,21 » » 6 <+21,64 — 0,29 » » 7 --21,88 <+0,11 1805 November 10 +11,85 — 0,18 » » -2-11,52 — 0,26 Auwers'') giebt für die von mir gebrauchten Zei- ten folgende Werthe von n an 1804 October 29—31 — 0507 »' November 1—6 — 0,32 7—8 — 0,10 Die Übereinstimmung scheint mir insofern als eine befriedigende bezeichnet werden zu können, als beide Rechnungen darthun dass es sich für » um sehr kleine Quantitäten von gleichem Vorzeichen handelt. Für die Beobachtungen von 1805 sind von Auwers keine n angegeben. Das vorstehende Verzeichniss von m =- A lehrt zugleich, dass auch der Uhrgang für die Zwi- schenzeiten zwischen den Durchgängen der Vergleich- sterne und von 9 ar n ohne Bedenken vernach- lässigt werden kann. Unter Ausschluss der die Ableitung von » betref- fenden Rechnungen giebt die nachfolgende Tafel eine Uebersicht der an den einzelnen Tagen für die Rec- tascension von n Cassiopejae erhaltenen Resultate. Die aus dem Fundamentaleataloge unter Berücksich- tigung der hóheren Glieder der Präcession abgeleite- ten scheinbaren Örter der Vergleichsterne habe ich mit « bezeichnet und den mit ihrer Hülfe abgeleiteten scheinbaren Ort von n Cassiopejae mit ap ` » » Name Zahl nto? gòj Mr DAE des Sterns t der Fáden| (899—189) % 4 = "o 1804 October 31 | x Cassiopejae | 0*21”41391 5 + 0505 t 1522550 | 0 n e 0^37"25561 3 » 25 51,20 5 0,03 |-- 11 13,18 51 3 » 29 12,13 4 "001 l+ 7 62,22 20 A P 49 D » 37 4,36 5 Y » 44 43,54 5 + 0,03 |— 7 39,15 45 4,79 64 November 1 | x Cassiopejae | 0 21 41,82 4 + 0,04 + 15 22,68 | 0 22 3,08 | 0 37 25,76 4 » 95 51,22 4 — 008 |= 11 18,21 26 12,37 58 a » : 29 p 96 5 = 0i - |[3-. 7-62,49 29 38,26 75 Y) » 87 5 TI 44 s Es 5 4-002 |— 7 39,10 | 45 4,79 69 10) Reduction der Beobachtungen der Fundamentalsterne am Passageninstrument der Sternwarte zu Palermo in den Jahren 1803 bis 1805. 1866 pag. 2. 11) a. a. O. pag. 14. 383 Bulletin de l'Académie Impériale Name Zahl BEN SE? a a Datum des Sterns T der Fáden n(tg3o—tg5) Xo 3 8 1804 Novbr. 2 | x Cassiopejae | ١ 0 4 + 0510 |+ 1522542 | 0h22” 3508 | 0^37"25550 AE" 25 51,52 4 — 0,06 |+ 11 1294 | 26 12,36 30 و‎ 29 12,24 5 — 002 |+ 7 52,24 | 29 33,26 50 » 37 4,52 3 1j 44 43,76 5 + 605 |— 7 8919]| 45 478 59 Cassiopejae | 0 21 42,47 5 + 0,04 |= 15 22,25 | 0 22 8,07 | 0 37 25,32 oun i|. 95 51,67 4 — 0,09 |-+ 11 12,99 | 26 12,36 35 E^ D 29 12,52 5 — 001 ]|-- 7 52,15 | 29 33,25 40 » 37 4,68 5 docs 44 43,96 5 + 0,02 |— 78926 | 45 4,77 51 Cassiopejae | 0 21 42,01 j + 007 |+ 15 2244 | 0 22 3,04 | 0 37 25,48 ppc ov 95 51,97 4 — 004 |+ 111297 | 26 12,34 31 8-8 29 12,16 5 — 0,02 |4- 7 52,20 | 29 88,22 42 » 31 4:38 5 RE 44 43,54 5 + 0,04 : |— 7 39,12 | 45 4,75 63 November 6 | x Cassiopejae | 0 21 41,95 5 + 0,10 + 15 22,24 | 0 22 3,02 | 0 37 25,26 4 P 25 51,10 4 — 0,06 |+ 11 12,93 | 26 12,33 26 qo» 29 11,84 4 — 002 |-+ 7 52,24 | 29 33,22 48 7 » 37 4,09 8 Y» 44 48,64 5 + 0,05 |— 7 39,50 | 45 474 24 November 7 se ejae | 0 21 41,58 4 — 0,04 + 15 22,34 | 9 22 0 37 25,34 e 4 is 95 50,90 4 + 0,02 |+ 11 13,08 | 26 12,32 40 dois 29 11,44 5 . + 001 It 7 52,53 | 29 33,20 73 N » 852-2906 . 5 Tri 44 43,16 5 = 002 Les H 39,20 | 45 4978 51 1805 Novbr. 10 | x Cassiopejae | 0 21 55,27 5 + 0,06 + 15 22,39 | 0 22 6,76 | 0 37 29,15 Dc x 26 4,32 4 — 0,04 |+ 11 13,24 | 26 15,95 19 ® 29 25,38 5 — 001: | 7 M53I-| 99 86,92 13 y cy 37 17,60 4 Yo 44 57,08 5 + 0,03 |— 7 39,45 | 45 8,69 14 November 11 | x Cassiopejae | 0 21 55,79 5 4- 0,09 + 15 22,50 | 0 22 6,7 0 37 29,25 d » 26 4,70 4 — 0,05 |+ 11 13,45 26 15,94 39 kc 29 25,64 5 — 0,02 |+ 7 5254 | 29 36,90 44 4:89 37 18,20 4 Tol 44 57,61 | 2 + 005 | 7 39,36 | 45 8,68 04 Im Mittel erhält man nun für die einzelnen Tage | Cassiopejae entsprechen, aus allen 9 Bestimmungen folgende scheinbaren Rectascensionen für n Cassi- opejae, denen ich zugleich die auf 1805,0 mit Hülfe der Auwers'schen Eigenbewegung reducirten mittle- ren Rectascensionen hinzufüge ` Scheinb. Æ. Mittl. Æ. 1805,0. 1804 October 31 0° 37” 25557 0^ 37" 23:66 . » November 1 25,70 80 CUM 2 25,48 59 » 8 3 25,40 52 » 5 5 25,47 61 » » 6 25,30 44 » » 7 25,51 66 1805 November 10 29,15 36 » » 11 29,30 02 oder im Mittel, unter Anwendung von Gewichten, die der Zahl der beobachteten es von 9 für 1805,0: a — 0^ 37” 23:586 Die mittlereEpoche der Beobachtungen ist 1805,05. Für die Declinationen gestaltete sich die Rechnung in so fern einfacher, als auf die Stellung des Instru- ments keine Rücksicht zu nehmen war, indem die Durchgangszeiten durch den Verticalfaden genügend darthun, dass das Azimuth des Verticalkreises, an welchem Piazzi die Beobachtungen anstellte, immer ein so kleines gewesen ist, dass es auf die beobachte- ten Zenithdistanzen und in noch höherem Grade auf deren Differenzen keinen merklichen Einfluss gehabt haben kann. Da es sich ferner hier um Zenithdistan- zen von beiläufig 20° handelte und n Cassiopejae im- mer zwischen den nur um wenige Grade verschiede- nen Vergleichsternen lag, so konnte ich mich ohne 385 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 386 Bedenken darauf beschränken, die mittlere Refraction an die einzelnen Beobachtungen anzubringen. Letztere habe ich mit Hülfe der «Tabulae refractionum in usum speculae Pulcovensis congestae» berechnet. Die übri- gen Rechnungen in Betreff der Declinationen sind so- wohl für n Cassiopejae wie für die Vergleichsterne in analoger Weise ausgeführt, wie für die Rectascensio- nen. Die Resultate aus den einzelnen Beobachtungen sind in der nachfolgenden Tafel in ähnlicher Weise wie für die Rectascensionen zusammengestellt. : Name Beob. Mittlere Dum Kreislage des Sterns |Zenithdistanz| Refraction 35 ò Zu 1797 Novbr. 29 | Kreis Ost | ¢ Cassiopejae | 14°40’ 0/0 15/1 — 8? 57' 283 |+ 52°47' 0,8|-- 56° 44' 85,1 M » 17 18 39,0 179 |—1 18 465, 55 25 46,3 32,8 ñ » 18 37 24,0 19,4 Y » 21 30 8,0 22,7 +2 52 47,8| 59 37 18,8 81,5 November 30 » West | ¢ Cassiopejae | 14 40 19,0 15,1 — 3 57 28,8|4- 52 47 7,0|4- 56 44 30,8 a » 17 18 56,0 179 |—118 440| 55 25 464 30,4 7 » 18 37 38,5 19,4 Y » 21 80 26,0 22,7 + 2 52 50,8| 59 37 18,9 28,1 December 1 ».. OST ¢ Cassiopejae | 14 39 58,5 15,1 — 3 57 25,8 +52 47 7,1|4- 56 44 9 a » 17 18 35,0 179 |—118 46,5١ 55 25 46,5 33,0 N » 18 37 20,0 19,4 Y. m 21 30 3,0 22,7 14-2 52 46,3| 59 37 19,1 32,8 December 3 » West | ¢ Cassiopejae | 14 40 15,5 15,1 — 3 57 26,8 4-52 47 7,3+-56 44 35,6 M » 17 18 57,0 17,9 |—1 18 420| 55 25 46,8 28,8 n » 18 37 37,5 19,4 Y » 21 80 24,0 22,7 +2 52 49,8| 59 37 19,4 29,6 1807 Decbr. 8 » Ost B Cassiopejae | 19 58 52,0 20,9 4-1 17 51,4 Cod 5 47,6/+- 56 47 56,2 : x » 28 45 $5 - 25,3 +5 488,3 1 52 35,9 57,6 [a4 » 14 43 475 15,1 — 3 57 18,9 52 50 38,0 56,9 « « 17 22 22,5 18,0 — 1 18 41,0! 55 29 16,7 57,1 D » 1841 2,0 19,5 x December 5 f 14 48 83,5 | 16,1 |-357169| 52 50 38,2 55,1 S» 1722 9,0 | 180 |—1 18 38,5| 55 29 169 55,4 "om 18 40 460 | 19,5 1808 Decbr. 6 » Ost x Cassiopejae | 23 46 0,5 25,4 +5 4 40,4 +61 52 54,6 مه‎ 56 48 14,2 & > 1722515 | 180 |—1 18 36,0) 55 29 35,2 11,2 N » 18 41 26,0 19,5 December 12 » West | x Cassiopejae | 23 45 25,5 25,4 +5 4 379 |+61 52 En 48 17,8 kc 0E 17 22 160 | 180 . |—1 18 390| 55 29 14,7 > ف‎ 18 40 53,5 | 19,5 | December 23 ». Ost a Cassiopejae | 17 22 54,0 18,0 — 1 18 35,0|4- 55 29 36,2)+ 56 48 11,2 n » 18 41 27,5 | 19,5 : Tr 21 34 15,5 | 228 |--2 52 518| 5941 64 15,1 Wir erhalten somit aus den einzelnen Tagen die fol- Schelib, Decl. er” ed. . H H D D ed genden scheinbaren جد جردي‎ von q عع رسن‎ Seet 30,7 37,1 zu denen ich sogleich die auf 1805,0 mit der Auwers’-| 1807 Dec. 3 » Ost 47 57,1 39,4 schen Eigenbewegung reducirten mittleren Declinatio- | » » 5 » West 55,8 37,3 nen hinzufüge : 1808 Dec. 6 » Ost 48 12,7 91,1 Scheinb. Decl. i. De » » 12 » West 16,0 . 39,8 s D Eu pie ug » » 20 » Os 13,2 36,4 1797 Nov.29 KreisOst + 56°44 3371 + 56°46 4070 » » 80 » West < ROB 36,6| Offenbar zeigt sich hier in den Jahren 1797 und » Dec. 1 » Ost 32,9 39,5 | 1807 ein constanter Unterschied von 2" bis 3" in den Tome XXVII. West | B Cassiopejae | 19 58 36,5 | 209 |--117 51,9 هأ‎ 58 5 47,8-1- 56 47 55,9 x » 23 45 21,5 253 |4-5 4418| 61 52 36,1 54,8 387 Bulletin de l’Académie Imperiale 358 Declinationen nach der Kreislage, in welcher die Beob- achtungen angestellt sind und es liegt die Vermuthung nahe, dass derselbe zufälligen Theilungsfehlern der für n Cassiopejae in Anwendung kommenden Striche, de- ren Betrag Piazzi”) selbst auf 2" bis 3” anschlägt, zugeschrieben werden muss. Hiergegen sprechen schein- bar die drei Beobachtungen des Jahres 1808, welche dieselbe Abweichung in entgegengesetztem Sinne zei- gen, so dass man versucht sein kónnte, anzunehmen, dass vielleicht in den gedruckten Beobachtungen ein Fehler in Bezug auf die Kreislage sich eingeschlichen habe. Wegen der in dieser Beziehung bestehenden Unsicherheit habe ich mich entschlossen, die letzte Beobachtung vom 23. December 1808, welche ohnehin nicht in den Corsi vorkommt, sondern nur in den Os- servazioni staccate, ganz auszuschliessen, um eine gleiche Anzahl von Beobachtungen in jeder der Kreis- lagen zu erhalten. Somit findet sich im Mittel für 1805,0 die mitt- lere Declination von n Cassiopejae ò = ~ 56° 46' 38,35; Mittlere Epoche 1803,18 Die auf solche Weise für 1805,0 erhaltenen Coor- dinaten von n Cassiopejae sind darauf möglichst streng unter Berücksichtigung der Eigenbewegung nach Au- wers (in Rectascension + 051346 und in Declination — 07481) auf das Aequinoctium von 1875,0 bezogen. Es ergab sich als schliessliches Resultat &—0'41"32:684 - 85 — 4- 57^ 97,92 2. Groombridge. Die Groombridge'schen Be- obachtungen sind bekanntlich nie ausführlich publicirt. Ich musste mich daher mit den Positionen begnügen, wie sie in dem von Airy herausgegebenen Cataloge aufgeführt sind. Dieselben gelten für die Epoche 1810,0, ohne dass bei der Reduction auf die Eigen- bewegung Rücksicht genommen ist; es sind aber auch ausserdem im Züdcliffe- Catalogue für 1845 die Epo- chen der Groombridge'schen Beobachtungen für die einzelnen Sterne angegeben. Unter Berücksichtigung dieser Epochen habe ich an die Positionen des Cata- logs von n Cassiopejae und derselben Vergleichsterne, die für die Reduction der Piazzi’schen Beobachtun- gen benutzt wurden, die entsprechende Correction für eigene Bewegung angebracht. Sodann wurden die Po- sitionen der Vergleichsterne dem Fundamentalcataloge entsprechend auf 1810,0 reducirt. Das Mittel der auf diese Weise für die vier Vergleichsterne gefundenen Correetionen habe ich darauf an die für eigene Bewe- gung verbes sertePosition von n Cassiopejae angebracht Es ergab sich: Catalog für 1810,0 mit Berücksichti- Positionen nach dem Name des Sterns gung der E. B. Epoche |Fundamentaleataloge du dè a 5 a ò : x Cassiopejae |0^ 22" 175303 + 61° 52' 52784 1807,2 17:641 | 54749 |+ 0°338| + 1765 Re 26 26,721| 52 50 59,60 1809,6 [27,025 | 57,87 + 0,304] — 1,73 o » 29 47,481) 55 29 36,98 1806,8 48,069 | 36,34 |+ 0,588| — 0,64 7 » 37 40,781 56 48 14,16 1806,8 y » 45 19,864) 59 41 5,85 1806,8 20,289 6,30 |+ 0,425| + 0,45 Im Mittel beträgt daher die Correction in Recta- scension + 0,414, in Declination — 0505 und wir er- halten für a Cassiopejae: 1810,0 a—0"37"41:195 $— ب‎ 56°48 14/11 Mittlere Epoche 1806,8 Die Reduction auf 1875,0 ergiebt dann 12) Della Specola astronomica di Palermo Libro IT, 1792 5 XXXI. pag. 43. =z 415391695 3— + 572 9' 7706 3. W. Struve. An die im Catalogus generalis der Positiones mediae für 1830,0 unter Berücksichtigung der Eigenbewegungen gegebenen Positionen wurden zunüchst die von W. Struve angegebenen Correctio- nes ultimae angebracht. Darauf wurden für vier Ver- gleichsterne und für y Cassiopejae die Rechnungen in ühnlicher Weise wie für Groombridge ausgeführt, wie folgende Tafel zeigt: 389 des Sciences de Saint = Petersbourg. 390 Vans des Blake Positionen des Catalogs für 1830,0 ies psc mr) da d. a 8 o 5 BCassiopejae | 0^ 0” 9° ‘31 | +58°12" 43,2 97291 49,78 — 07019 — 0542 3 » 27 .32 56 52 57 37,0 132,639 | 36,11 | هه‎ 0,079 | — 0,89 d a 30 54,61 55 36 13,8 |54,710| 13,22 | + 0,100 | -— 0,58 H » 38 52,00 56 54 40,7 i x 1 14 45,89 59 20 54,0 |46,000| 54,10 | + 0,110 | = 0,10 Hieraus findet man im Mittel die an den Ort von y Cassiopejae anzubringende Correction da = -+ 0:067 d$ — — 0,60 und wir haben daher anzunehmen: 1830,0 a = 0^ 38” 525067 8 — -+ 56? 54' 40710 mit der Epoche 1823,36, oder, auf 1875,0 bezogen, «&—0'41"327627. 3 —+57°9 7/17 4. Argelander. Bei den in seinem bekannten Ca- taloge «DLX stellarum fixarum positiones mediae in- eunte anno 1830» gegebenen Positionen ist gleich- falls bereits die Eigenbewegung berücksichtigt. Die Epochen der Beobachtungen sind nicht genau bekannt, aber Argelander?) giebt selbst an, dass alle seine Beobachtungen, deren Zahl für n Cassiopejae 55 be- trägt, in der Zeit zwischen dem Sommer 1827 und 1831 ausgeführt sind; wir werden daher schwerlich um mehr als ein halbes Jahr irren, wenn wir für die Epoche der Eigenbewegung auch die seines Catalogs, d. h. 1830,0 annehmen. In Folge eines Missverstünd- nisses wurden hier nur drei Vergleichsterne zur Re- duction auf das von Auwers EEN System benutzt. Es fand sich: Nine de Positionen des Catalogs für 1830,0 Ds de du di o 5 e 5 B Cassiopejae| 0^ 0" 9521 | + 58°12 4371 | 9:291 | 492778 | 404081 | — 9 o » 30 32,64 55 36 13,5 | 54,710 13,22 | + 0,070! — 0,28 Ti à 38 52,07 | 56 54 40,6 EE 1 14 45,91 | 59 20 54,1 | 46,000 | 54,10 |—+0,090[ 0,00 Hieraus folgt im Mittel die Correction der Arge- lander’schen Positon da = = 0080,48 = — 0,20. Wir haben daher für 1830,0 anzunehmen a —0^38"52:150 8= به‎ 540 oder, auf 1875,0 reducirt, a—0"41"32;646 3—+57°97,42 Zu den auf solche Weise gesammelten Daten zur Untersuchung der unregelmässigen Eigenbewegung von n Cassiopejae ist mir schliesslich noch ein sehr werth- voller Beitrag zugegangen, indem Herr Wagner die Freundlichkeit hatte, für meinen Zweck die von ihm im letzten Jahre angestellten Beobachtungen speciell | zu reduciren. Aus sechs Beobachtungen erhielt er, auf das Aequinoctium von 1875,0 bezogen, aœ —0^41"33;038 Mittlere Epoche 1881,00 In dem nachstehenden Verzeichniss habe ich die für meine Rechnung benutzten Positionen zusammengestellt unter Hinzufügung der Gewichte, mit welchen sie in die Rechnung eingetragen sind. Beim Ansetzen dieser v bin ich einestheils dem Vorgange von Au- wers "‘), anderentheils dem Rathe von Herrn N agnor gefolgt. 13) a SE 14) DE KMS pag. 4—6. 95* Bulletin de l'Académie Impériale 392 Rectascension Epoche p Declination Epoche p I Brady... 0^ 41" 32:815 1794,15 | l 579 803 | 1751,56 | 1 2112821. . 21 32,684 1805,05 | 1 I2. 1803,19 | 1 3. Groombridge . 32,635 1806,80 | 1 7,06. | 1806,80 | 1 4. W. Struve.. 32,627 1823,36 | 2 7,17: 2629,86 | 2 5. Argelander... 32,646 1830,00 | 2 7,42 |1830,00 | 2 6. Pulkowa..... 32,762 1847,78 | 4 7,89 -118406,99 | 2 7. Greenwich... 32,815 1861,90 | 2 8,03 |1861,60 | 3 8. Pulkowa... 32,841 | 1865,00 | 7 8,I0 | 1865,00 |: 7 9. Leipzig ..... 8,38 | 1866,83 | 2 10. Greenwich... 32,949 1874,80 | 3 9,08 4|1874,80 | 3 11. Pulkowa..... 33,038 1881,00 | 3 Als erste Annäherung wurde nun der auf das Ae- quinoctium von 1875,0 redueirte Greenwicher Ort von 1861 angenommen, nämlich: 2558,20 41*82/815 — d,— -+ 57? 9' 8503 und der Ableitung entsprechend: Nn, = + 0,1346 ng = — 0,481 Hieraus ergeben sich nach den vorstehend angege- benen Formeln folgende Bedingungsgleichungen : aus den Rectascensionen 1.— da, + 120,55 dn, — 0,256 k+ 0,000 —0 p—1 2.—da+ 69,95dn,+1,2714—0,131—0 1 3.—da,-+ 68,20dn,2-1,278k—0,180—0 1 4.—da,4- 51,64dn,4-1,284k—0,188—0 2 5.—da,+ 45,00dn,+1,237k—0,169—0 2 6.—da, + 27,92dm,--1,0155—0,053—0 4 7. —day-- 13,10dn,+0,7314+0,000—0 2 8.— da 10,00dn,2-0,656k-2-0,026—0 7 9.—da,4- 0,20dn,4-0,473k--0,134—0 3 10.—da,— 6,00dn,+0,202k+0,223—0 3 : aus den Declinationen 1.—dd,--123,44dn; —2,1315--0,00 —0p-—1 2.—dd,+ 71,82dm,4-4,119k—0,11 —0 1 3.—dd,-- 68,20dn,4-3,732k—0,97 —0 1 4.—dd,+ 51,64dn,4-1,652k—0,86 —0 2 5.—dd,+ 45,00dn,-+0,625k—0,61 =0 2 6.—dd,-- 38,01dm,— 1,783k— 0,14 —0 2 7. — dd,-- 18,40dn, —3,672k+0,00 —0 3 8.—dd,+ 10,00dm,—4,0515--0,07 —0 7 9.—dd,4a- 8,17dn,—4,946k--0,35 —0 2 10.—dd,+ 0,20dn,—4,942k+1,05 =0 3 deren Auflösung nach der Methode Quadrate zu den Werthen führt: der kleinsten aus den Rectascensionen da,—=+0/219=#0;016 also a,— 0'41"33;034 dn, = -- 0700209 =0,00026 n, = + 0713669 k = ه‎ 0,224 Œ 0,019 aus den Declinationen dd =—0,28#0,14 also d= 57°9'7;75 dn, = — 0,0008 + 0,0041 nı = — 0,4802 k= ه‎ 0,147 + 0,044 Nach Substitution der gefundenen Quantitäten in vorstehende Gleichungen bleiben die folgenden Fehler nach: aus den Æ, ans den Decl. j 0—0 0-6 Ek —0;023 — 0,06 2. —+ 0,081 + 0,84 3: + 0,030 — 0,04 4. — 0,011 — 0,30 5. — 0,017 — 0,21 6. + 0,012 — 0,10 ra — 0,028 — 0,25 8. — 0,025 — 0,24 9 + 0,021 + 0,01 10. + 0,037 + 0,63 Summe der Fehler- quadrate Zu — 0,0204 2,781 Bei gleichfórmiger Eigenbewegung würde sich aus den vorstehenden Daten für den von Auwers im Fun- damentaleataloge gegebenen Ort von n Cassiopejae 393 des Sciences de Saint = Pétersbourg. 394 Zpv* aus den Rectascensionen zu 0,5185 und aus den Declinationen zu 7,824 ergeben. Vereinige ich die beiden vorstehend gefundenen Werthe von % ihren Gewichten entsprechend in ein Mittel, so ergiebt sich k ح‎ + 0,212 + 0,018 Die Substitution dieses Mittelwerthes von k in die einzelnen Bedingungsgleichungen muss natürlich die Summe der Fehlerquadrate etwas erhöhen; es findet sich dann aus den Rectascensionen Zpv* — 0,0231 aus den Declinationen — 3,209. Die bedeutende Verminderung in der Summe der Fehlerquadrate besonders in Rectascension dürfte wohl als ein starkes Argument für die Unregelmüs- sigkeit der Eigenbewegung und zu Gunsten deren genäherter Bestimmung angesehen werden. Dass die Einführung derselben in die Declinationen nur einen geringeren Einfluss auf Erhóhung der Übereinstim- mung hervorbringt, erklärt sich zumeist aus der Lage der scheinbaren Bahn des Doppelsterns. Das von mir abgeleitete Elementensystem, verbun- den mit der von O. Struve'°) bestimmten Parallaxe von y Cassiopejae ع‎ — 071543 Æ 070450 ergiebt die Summe der Massen beiden Sterne m سه‎ m = 8,33 Sonnenmassen und die Verbindung dieses Werthes mit dem für k ermittelten die Masse des Hauptsternes zu 6,57, die des Begleiters zu 1,76 Sonnenmassen. Bericht über einen Theil des im Manuscript vorhande- nen litterarischen Nachlasses von Herrn Geheim- rath Joh. Friedr. Brandt, Mitglied der Kais. Akad d. Wissenschaften in St. Petersburg. Von L. Rüti- meyer. (Lu le 12 mai 1881.) (Die nachstehend besprochenen so wie noch manche an- dere Manuscripte desselben Autors sind bei der Akademie deponirt und kónnen Fachmännern zur etwaigen Bearbeitung oder Benutzung auf Verlangen überlassen werden). Von dem Sohne des verstorbenen Geheimrathes und Akademikers J. Fr. Brandt in Petersburg aufgefordert, den mit meinem eigenen wissenschaftlichen Arbeits- feld in nüchster Beziehung stehenden Theil des litte- rarischen Nachlasses seines Vaters durchzusehen und 15) Bull. Phys.-Math. de PAcad. de St. Pétersbourg, Vol. XIV, 1856. namentlich zu prüfen, was davon eventuell zu einer posthumen Publication geeignet sein móchte, gebe ich in dem Folgenden Bericht über das Ergebniss dieser Durchsicht. Voraussenden will ich, dass ich mich die- sem Auftrag gern unterzogen habe, ebensowohl aus pietätsvoller Hochachtung für die Person des verstor- benen Akademikers, mit dem ich trotz der grossen Entfernung unseres beidseitigen Wohnortes wieder- holt in persónliche Berührung zu treten die Freude gehabt habe, als für dessen umfassende und höchst bedeutsame wissenschaftliche Leistungen, deren sorg- fältige Gewissenhaftigkeit und Scharfsinn mir weit jüngerem Mitarbeiter von Jugend an als ein Vorbild naturhistorischer Beobachtung und Kritik gegolten hat und noch gilt. Das voluminöse Convolut von Manuscripten, das mir zugestellte wurde, enthält folgende Arbeiten, die ich, ohne mich an eine bestimmte Reihenfolge zu hal- ion; ungefähr in der Ordnung, in welcher sie zusam- mengelegt waren, bespreche. 1. Über Futterreste von Rhinoceros tichorhinus. (Ne 27.) Die Arbeit, verfasst vor 1846, ist soviel als fertig redigirt und enthält hauptsächlich die Untersuchung der Futterreste aus den Zähnen des Wilui'schen Nashorns durch den Botaniker C. G. Meyer, Director des botanischen Gartens in Petersburg. Beigelegt sind, obwohl Meyer vor der Vollendung der Untersuchung starb, sehr schóne Zeichnungen von dessen Hand. — Einige Ergebnisse dieser Untersuchung sind mitge- theilt (durch Alex. v. Humboldt) in den Monatsbe- richten d. Berliner Akademie 1846, 234, und neuerlich von Sehmalhausen im Bulletin de l'Acad. de Pétersb. "| XXII, 1876.291. Mélang. biol. IX. 661.— Nichtsdesto- weniger würde es, zur Vervollständigung der so wich- Be N ofionen über die einstige Lebensweise der sibiri- Nashö ü in kö ‚wenn dieser Aufsatz nebst din: ihn begleitenden Zeichnungen, noch nachträglich in extenso zur Publication käme, da kaum zu zweifeln ist, dass die sorgfältige Arbeit von Meyer sich noch auf den heutigen Tag stichhaltig erweisen würde. 2. Bemerkungen über die Entwicklungsstufen der Hufthiere. o 24, Das so betitelte Fascikel enthält eine ganze Anzahl von Entwürfen zu einer vergleichend-osteologischen 395 Bulletin de l'Académie Empériale 396 Charakteristik erstlich der Säugethiere im Allgemeinen, zweitens der Hufthiere im Besondern. Bezüglich letz- terer sind Anfänge da zu Monographien über Chalicotherium. Hippopotamus. Anoplotherium. Schweine. Palaeotherium. Pferde. Lophiodon. Sivatherium ete. Listriodon. Zu verschiedenen Zeiten begonnen und während einer Anzahl von Jahren jeweilen durch neue Nach- trüge vermehrt und umgearbeitet, erscheint keine dieser Abhandlungen als abgeschlossen. Auch scheinen die Nachträge und Vervollständigungen ungefähr mit dem Jahre 1876 abzubrechen, so dass spätere Litte- ratur nur selten berücksichtigt ist. Obschon sicher mit dem Plan einer Publication in derartiger Form, als eine Reihe von Monographien ein- zelner Genera oder grósserer Gruppen begonnen, scheint dennoch dieser Plan mit der Zeit verlassen worden zu sein, und scheinen diese Arbeiten des Fer- neren nur noch als Collectanea benutzt worden zu sein, wovon Vieles dann doch seine Verwendung fand in den grossen Arbeiten Brandt's über Nashórner, über Sirenia und Cetaceen. Wie alle Arbeiten Brandts, sind auch diese Ent- würte bezeichnet durch überaus sorgfältige und mög- lichst vollständige Benutzung der ihm, sei es in den Sammlungen Petersburgs, sei es in der Litteratur oder durch Correspondenz erreichbaren Materialien. Den- noch würde sich aus den oben angeführten Gründen gegenwärtig keine derselben mehr zur Publication eig- nen, da keine derselben bis auf den heutigen Stand der Kenntniss fortgeführt ist, und der allgemeine Überblick, der sicher das letzte Ziel Brandt’s bei diesen Samm- lungen bildete, mittlerweile durch neuere Arbeiten, seien dies pal ische Kupferwerke oder andere yz sammenstellungen, wie vor Allem Gaudry’s Enchaine- ments du monde animal überholt ist. Ohne dies würden diese Monographien ohne weitläufige Illustration durch Abbildungen der Litteratur nur beschränkte Dienste leisten, so werthvoll sie auch für ihren Verfasser selbst gewesen sein mussten. Am ehesten würde sich noch, der Seltenheit des zu Grunde gelegten Materiales hal- ber, die Abhandlung über Sivatherium zur Veröffent- lichung geeignet haben. . Aber auch hierüber ist in neue- E rer Zeit von Lydekker in der Palaeontologia indica so viel Neues mitgetheilt worden, dass es kaum mehr am Platze sein könnte den Entwurf von Brandt zu veröffentlichen. 3. Fascikel X 25, betitelt: Manuscript für meinen Conspect der lebenden und nach fossi- len Resten aufgestellten Pachydermen und ihrer Verwandt- schaften. Ihrer ganzen Natur nach schliesst sich diese Samm- lung der vörigen an. Sie besteht aus Collectaneis über Sirenia, verwendet in Brandt’s Symbolae Sireno- logicae. Nasenhórner, verwendet in den Publicationen über diese F'amilie. : Collectanea über gegenseitige Beziehungen der ver- schiedenen Säugethiergruppen. Ebenfalls in den ` obigen Publicationen vielfach verwendet. Bemerkungen über den Platz, welchen die Gattun- gen Nesodon, Toxodon, Macrauchenia unter den Pachydermen einzunehmen haben dürften. Diese letztere Arbeit, ziemlich fertig redigirt, bil- det eine bis etwa auf das Jahr 1868 fortgeführte, und vortreffliche Zusammenstellung des damaligen Wissens über diese sonderbaren südamerikanischen Hufthiere. Ob dieselbe, wie der Verfasser laut einer Bemerkung Pag. 198. Fasc. II. III. von Symbolae Sirenologicae beabsichtigte, zur Veröffentlichung kam vermag ich nieht nachzuweisen. Aber auch wenn dies nicht der Fall sein sollte, so würde sich doch eine jetzige Ver- öffentlichung nicht mehr eignen, seitdem über diese Genera weit vollstindigere Materialien, als sie Brandt zur Verfügung standen, in eine Anzahl von Museen gelangt und durch Burmeister, Flower und An- dere mit Hülfe trefflicher Abbildungen bekannt ge- worden sind. 4. Convolut M 1. betitelt: Zur Vermittelung der Extreme der Transformationstheorie. Auch dieses sehr umfangreiche Convolut, das vo- luminüseste von Allen, besteht wesentlich aus Collec- taneis, seien dies Lesefrüchte oder eigene Reflexionen bald vereinzelter Art, bald solche, welche von Zeit zu Zeit und in verschiedener Form zu umfangreicheren Aufsützen mit bald so, bald anders gewühltem Titel o 397 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 398 zusammencrystallisiren. Kein Zweifel — dies geht aus der umfangreichen Sammlung so deutlich als móglich hervor — dass Brandt dureh Darwin's Schriften, obwohl ihm dessen Gedankengang bezüglich von Bezie- hungen verschiedener Organismengruppen unmôglich neu sein konnte, in tiefer und nachhaltiger Art bewegt wurde, und dass er es ausserordentlich ernst nahm, über so wichtige Probleme, denen ja Brandt’s eigene weitaus meisten Arbeiten zugewendet waren, und über deren von Darwin so bestimmt durchgeführte Formulirung mit sich selbst in's Klare zu kommen, ja es für eine Art von Gewissenspflicht hielt sich auf Boden seiner reichen und langen Erfahrungen, die ja namentlich auf palaeontologischem Gebiet denjenigen D arwin's be- züglich des Détails weit überlegen waren, auszuspre- chen. In keiner der mir vorliegenden Sammlungen von wissenschaftlichem Material spricht sich daher das persónliche Gepräge von Brandt's Art des Arbeitens so typisch aus wie in dieser: Emsiges und gewissen- haftestes jahrelanges Sammeln sowohl der Thatsachen selbst als der Beurtheilung derselben durch Andere, und zwar auf móglichst weiter Basis, Alles was Licht auf das bezügliche Gebiet werfen konnte mit heran- ziehend und, wo ihm eigene Beobachtung unzugüng- lich war, sich an die Fachmünner um Belehrung und -Urtheil wendend. Das eigene Urtheil geht dabei aus- serordentlich vorsichtig zu Werke. Mochte er auch in den letzten Schlusssützen auf Boden eigener Erfah-: rung seine allgemeine Richtung schon von frühe an gewonnen haben, so hütet er sich wohl vor rascher Formulirung desselben, und versucht nur von Zeit zu Zeit, immer neu bedacht auf sorgfältigste Prüfung analogen oder abweichenden Urtheils Anderer, in pro- visorischen Entwürfen, die abzuschliessen er sich scheut, von Neuem dem Gedankengang, den er Jahre- lang mit sich herum trägt, Vollständigkeit und logische Reife zu geben. Dies spiegelt sich schon ab in der Natur und in den Titeln der einzelnen Fascikel des in Rede stehenden Convolutes.. Theilweise sind es blosse Collectanea aus der Litteratur, die bis zum Todesjahre Brandts gehen, theilweise mehr oder minder fertig redigirte Entwürfe entweder referirender oder kritischer Art, sei es über den ganzen Umfang oder über einzelne Gebiete der Frage, wie : «Kurzer Versuch einer Widerlegung der von Darwin zur Erklärung des Ursprungs der organi- schen Wesen aufgestellten Theorie», etwa 40 redi- girte Seiten, aber mit Zuthat einer grossen Menge von Litteraturnachtrügen, Intercalation neuer Gedan- ken, Umarbeitungen des anfänglichen Textes; — fer- ner: «Verhältniss des Menschen zum Affen» ein un- ausgearbeiteter Vortrag; — «Materialien zu einer Kritik des Darwinismus», eine Sammlung von Lese- früchten mit gelegentlichen Entwürfen von Zusammen- stellung; «Bemerkungen zur Würdigung der Trans- formationstheorie der Organismen», der am fertigsten redigirte Theil der Sammlung, aber ebenfalls ohne Abschluss und mit einer Fülle von Einschiebseln und Nachtrügen. Ä Schon aus dieser kurzen Schilderung der Sammlung geht genugsam hervor, dass, so sehr auch Brandt fort und fort mit der Publication einer umfassenden Äus- serung und Motivirung seiner Meinung über Dar win's Transmutationstheorie beschäftigt war, er selbst zu einem Abschluss der Formulirung derselben nicht ge- langt war, sondern sich unablässig, mochte auch viel- leicht die Rechtfertigung des eignen Urtheils immer befriedigender ausfallen, von Neuem mit Ergünzung und Berichtigung an der Hand neuer Thatsachen oder Urtheile befasste. Immerhin finden sich bald da bald dort Äusserungen , welche als Corollarien seines Ge- dankenganges gelten kónnen und die Stellung Brandts zu den Darwin'schen Lehren bestimmt kennzeichnen. Daher einige derselben hier Erwähnung finden mógen: «Fassen wir Alles über die Darwin'sche Theorie Gesagte zusammen, so ergiebt sich dass sie die Ab- stammung der Arten, Gattungen, Familien und Clas- sen aus einer einzigen oder wenigen Urformen weder beweist noch erklärt, — Dass namentlich weder sein Kampf um's Dasein, noch selbst seine natürliche Zucht- wahl den Ursprung der Arten genügend nachzuweisen im Stande ist.» «Ich nehme mit Kólliker ein Entwicklungsgesetz für organische Wesen an, denke mir aber dasselbe als den Ausdruck einer dem Erdkörper durch eine zweck- und planmüssig wirkende Grundursache alles Seins mittelst Praedestination inhaerirende Befähigung. Alle organischen Kórper entwickeln sich demnach, wie mir scheint, planmässig und als für einen gewissen Zweck bestimmte Wesen aus organischer Ursubstanz in über- _ aus zahlreicher Menge und vermuthlich in Form von protozoenühnlichen Gebilden. Die einen verharrten als t 399 Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 400 solche, die Andern entwickelten sich vermöge einer ihnen angebornen speciellen Bildungsfähigkeit zu nie- dern oder höhern, selbst höchsten Wesen. Jede beson- dere Art ging also aus einem zu ihrer speciellen Ent- wickelung befähigten Urorganismus hervor. So ent- standen aus Tausenden, ja vielleicht Millionen von Urformen je nach den Existenzbedingungen, welche die Erde bot, also vielleicht periodisch, die artlich verschiedenen noch lebenden, so wie die bereits aus- gestorbenen Thiere und Gewächse.» «Meine Theorie ist nur eine modificirte Descendenz- theorie. Sie weicht von derjenigen Lamark's und Dar- win's jedoch darin ab, dass sie zahlreiche niedere Ur- formen annimmt, die sich planmässig, je nach ihrer Art, durch einen innern Impuls ebenso, nur in andern Formen zu verschiedenen Graden der Vollkommenheit erhoben, wie der Embryo im Ei erst verschiedene Stufen durchlüuft.» Es ist nicht hier am Platz, weder solche Âusse- rungen mit dem gegenwärtigen óffentlichen Urtheil über so schwierige Fragen, das ja seit dem Tode Brandt's kaum compacter geworden ist, in Vergleich zu bringen, noch etwa es mit den Anschauungen sei- nes grossen Zeitgenossen C. E. v. Baer zu confron- tiren. Als bezeichnend mag nur erinnert werden, dass im Gedankengange Brandt’s sich durchweg der Blick mehr nach den Ursprüngen des Bestehenden, in demje- nigen Baer's mehr nach den Zielen desselben richtet, Der Eine hált sich streng innerhalb der Schranken des Naturhistorikers, wührend der Andere fort und fort sich nach Keimen, Regungen und Zielen von Psyche umschaut. Über die mir vorgelegte Frage, bezüglich Publi- cation dieses wissenschaftlichen Nachlasses geht meine Ansicht dahin, dass, so überaus erwünscht und lehr- reich eine so gewissenhafte, umsichtige und vorur- theilsfreie Prüfung der Transmutationstheorie, wie sie an der Hand seiner gewaltigen Erfahrung von Brandt unternommen worden war, für die Zeitgenossen hätte sein müssen, es wohl schwer, wo nicht unmóglich sein würde, mit Hülfe der Manuscripte eine Zusammen- fassung zu versuchen, die Brandt’s Gewissenhaftigkeit und Sorgfalt entsprechen kónnte. War er selber bis zum Ende seines Lebens unablüssig mit Klürung und Ausreifung seines eigenen Urtheils über solche Fragen bemüht, so würde es eine schwere Aufgabe sein, die Motivirung und Formulirung desselben nach seinem Tode in einer Weise durchzuführen, für welche man auf seinen vollen Beifall hätte zählen kónnen. Lassen wir vor Allem sein Vorbild auf uns wirken, um zu hinterlassen, was wir der vollen Kritik der Epoche, der wir angehóren, für gewachsen halten. Basel, 30. Januar 1881. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. — L'Académie a recu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Archiv für österreichische Geschichte. LVI. Bd. 2° Hälfte. LVII. Bd. 1° Hälfte. Wien 1878. 8. Beckh-Widmanstetter, Leopold v. Studien an den Grab- stätten alter Geschlechter der Steiermark und Kärn- tens. Berlin 1877—78. Bulletin de la commission centrale de Statistique. T. XIII. Bruxelles 1878. 4 Negen-en veertigste verslag der handelingen van hed friesch Genootschap over Geschied-Oudheid-en taal- kunde te Leeuwarden voor het jaar 1876 — 1877. Voorafgegaan door de toespraak van den voorzitter Mr. J. Dirks, bij het visstigjarig bestaan van hed Genootschap, en gevolgd door historisce hezinne- ringen. 8. Diplomatarium Norvegicum — udgone af C. R. Unger og H. J. Huilfeldt. Niende Samling. Anden Halvdel. Tiende Samling. Første Halfdel. Christiania 1878. 8 Bugge, Sophus. Rune-Indskriften paa Ringen i Forsa kirke i nordre Helsingland. Christiania 1877. 4. Broch, O.-J. Le royaume de Norvège et le peuple nor- végien. Rapport à l'exposition universelle de 1878 à Paris. Christiania 1878. 8. La Norvége. Catalogue spécial pour en univer- selle de Paris 1878. Christiania 1878. Beretning om Bodsfænyslets Purser hed i SE 1876. 1877. Christiania 1877. „18. Den Norske Turistforenings Ke for 1877. Kristiania. 8. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illu- strantis. T. IV. Continet: libros antiquissimos civitatis Cracoviensis. W Krakowi 1878. 4. Lehr, Ernest. Éléments de droit civil russe (Russie, Pologne, provinces Baltiques). Droit des personnes et droit de famille; droits réels; successions ab in- testat. Paris 1877. 8. ren Paru le 10 août 1881, T. XXVII, N° 4 et dernier. ei ç BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.- PETERSBOUR G. TOME XXVII. (Feuilles 26—36. CONTENT. 0. Backlund, Les éléments et l'éphémeride de la comète Encke pour 1881. Dr. B. Hasselberg, Sur la spectroscopie des metalloides.......... opes auis ape BRUM 405—417 — —— —- Observations spectroscopiques des comètes 18815 et 1881c (avec une planche.) 417—425 €. J. Maximowiez, Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. IV (avec une planche) 425—460 E. Bonsdorff, Sur une nouvelle connexité dans l'espace. .......,................... 560—572 Ci-joint le titre et les tables des matières du tome XXVII du Bulletin. Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences. Décembre 1881. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie ie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, V 12.) E BEFLETIN . — DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSDOURG. Elemente und Ephemeride des Encke'schen Cometen | von A sten (Bulletin de l’ Acad. 1878) gegebenen durch für das Jahr 1881. Von 0. Backlund. (Lu.le|strenge Berücksichtigung der durch die 6 alten Pla- 12 mai 1881.) : neten wührend des letzten Umlaufs erzeugten Stórun- gen, sowie durch Anbringung einer provisorischen orrection von — 59783 an M, wie sie eine vorläu- fige Vergleichung der 1878 angestellten Beobachtungen mit der Asten'schen Ephemeride ergeben hat. Für die Einwirkung des sogenannten widerstehenden Mit- tels auf y. und 9 habe ich nach Asten die Werthe Die der folgenden Ephemeride zu Grunde liegenden Elemente sind: Ep. und Osc. 1881 Juli 2.0. M. Berl. Z. M = 319° 26’ 48,66 Qux 51456 20,78 = 934 94 9,15 | M. Aen, p/— -+ 0710442 und أو‎ — — 3/68 in Rechnung ge- A p . m = 158 30 5,50 { 1881,0 tragen. t = 125 ` 0,28 Bei der Berechnung der Ephemeride sind die Stö- p = 2 rungen durch Venus, Erde, Mars, Jupiter und Saturn Vorstehende Elemente unterscheiden sich von den | berücksichtigt. Log. Entfernung. D 12^ M. Berl.Z. RE I. Diff. Decl. d LD# Pro d vz Aber.Z. EI h50”315 + 25°48 5,0 SE 0,27798 0,25637 14"58* ae + - d E: S p 26 9150 E i17 0,27589 ^ 0,25099 `- 14 e 2 54 24,06 : 083 26 16 32,7 14 069 027977 | 0,24665 14 36 Aug. 1. 2 56 1 | 0527. 26 BO 58,5 14 248 0,7012. 0,24004 14 95 2 958 92,08 15505 . 20 45 828 14 191 0,6744 0,23446 14 14 3 8 0 2344 2 AS CU HO 14 571 026478 0,22881 14 3 4 3 9 26,44 LE 2. 0,26199 0,228 18 52 5 $8 4 8118 adr o AT NO m is 18 0,250223 0,21730 13 41 6.8.6 87,5 BN 97-45 208 ae 026642 — 0,2114 13 30 7 8 8 4621 p 98 0 423 eis 0,258600 0,20549 13 19 : + 2 10, +- A 8 . 8 10 56,66 21258 +28 16 140 i5 425 025078 0,19948 18 8 9 813 919 21/70 20 Bí 55 15 $29 0,4788 0,19340 12 57 10 315 23,91 N 26445 10 054. 0,4460 0,8724 12 46 : 11 3 17 40,94 21». 298-589 16 ips 024192 0,18100 12,35 12 390 9 2o RN 16 27 0,288901 0,17409 12 24 13 3 99 22,35 2 ass 29 36 873 1620 0,23587 0,16830 12 13 14 . 8 94 46,97 deret Pun d Zi “028279 0,16183 3 15 . 8 97 14,39 22557 8010 98 16 952 . 0,229007 ^ 0,1528 11 52 10. 89914472 . 2594 9020189 17 (fg 022601 ` 0,4804 ` ua 17 ^ 8 32 18,13 ve? 30 44 31,5 MINE 0,22331 0,14192 11 30 + 2 36, + d 3 34 54,78 4-91 2 2, ; 0,13511 11 19 1 3 37 34,84 2 5: 5 9119 Wd 5 A 0,21679 0 20 3 40 18,49 3 05 op B BE Aan 031847 - . 0,2124 10 58 21 843 591 Be: DE DI BEA 18244 01010. . 0,11417 10 47 22 3 45 57,33 3 Ce 32 14 29,8 18 40,7 apr 0,10701 10 37 3 48 52,97 eere 82 33 4, , 10 2 = 8 5 53/00 87.5, 32 51 59,8 2 zn 0,19973 0,09242 10 16 95 . 8 54 57,91 8 482 8ه‎ 11 99 19 0,9617 0,08499 10 5 96 358 7,74 3 988 38 30 35,0 1) aya 09267 ` 0,07747 9 55 97 4 192284 3 15,10 38 50 14,6 d 0,18892 0,06985 9 45 + 8 20,72 +1 D d 4 43,56 4-94 10 8,7 > 0,18520 0,06214 9 34 27151 826,65 ^ g480178 20,99 ` og 0,05434 9 24 : 3 82,96 20 255 - 017768 0464 90 4 11 43,17 - 8 39.65 94 , 20 37.1 14076 0,04644 9 14 4 15 22,82 m 851117 20 504 017877 , 0,08845 9 4 Sept. 1 4 19 9,60 HM 5 59.91 33 06984 0,03036 8 54 ð 428 3,9 Se MOL 21 166 ٠ 016595 0,02218 8 44 3 7 6,34 id: wu 21970 216182 . 0,01800 8 94 4 4 31 17,29 22000 36 85 540 aru Orti: 0, 8 24 5 435 37,97 2006. 36 57 29,8 Jl Ap 05954 9,99708 8 14 “6 44) 718 4329/9. + 97 19.148 ? ` 0,4930 9,98853 8 5 + 4 40,07 +21 504 e Tome XXVII. 403 Bulletin de l’Académie Impériale 12^M. Berl. Z; 1881 Sept. 7 BESSS ka Fe il Own Qi im RL 4^ 44" 47520 8,19 54 40,83 59 eo co coc e 0 د 3- من من مه م‎ I I NA A حت 5ت‎ 20 20 Or ox ot Ex O1 O1 Or Ot Où Va BR Va, , Noe ` حر‎ en حبر‎ to 00 e 2 9 44,01 12 16 31,93 1223 7,01 12 29 30,56 12 35 43,92 _ 12 41 48,45 ,55 3 10 | ` 18 16 29,82 13 22 12,86 13 27 58,80 13 58 18,40 4 L Diff. + 4750599 5 2,64 9 58,08 10 20,81 Decl. A + 9 18 548 Sue IoÍÓOcOuocemo- يم عن ون سا ين wo CANON J Ka p نازیر‎ pmd kat kat bet pd Eat ` bt pd bat et kat bei bei ki ke ke Fe be Fei Fe Fe kel Fe Fe I. Diff. 21' 5479 21 Log. Entfernung. (omes senc ` S ream mn n É vo 0, 10290 0,09780 0,04738 0,04120 9,97905 9,97131 9, ‚17698 9,76357 9,62979 9,61470 d v.8 9,89894 9,88972 9,74404 9,74064 9,74634 9,75111 ? 9,95090 0,02313 Aberr.-Z. 7"55 0000 -1-- else E E EH EN EN MOOI IE BRRRRRRRRE Ve WOEN EN OUO OUT O نت نت‎ oo ددا د د‎ si تہ‎ cl 1 5 دو‎ 1 E 5 405 des Sciences de Saint -Pétersbourg. Ki 406 Für den Fall, dass der Comet nach dem Perihel noch beobachtet werden kónnte, wird folgende ange- nüherte Ephemeride beigefügt : Log. Entfernung. Ni 12^ M. Berl. Z. RL Decl. d ro des 1881 Nov. 18 14391 —11219/1 9,55023 9 29 15 7,9 20 35,2 9,59705 8 26 15 36,2 23 14,3 9,65725 0,14793 30 16 3,3 25 14,8 Js 0,17261 Dec. 4 16 28,9 26 48, 9,77414 0,19449 8 16 52,8 27 45,0 9,82447 0,21506 12 17 15,1 28 26,1 9,86930 0,23398 16 17 35,7 — 28 50,5 9,90923 0,25168 Beiträge zur Spectroskopie der Metalloide von Dr. B. Hasselberg. (Lu le 28 avril 1881.) In einem neulich erschienenen Aufsatze ') habe ich einige Versuche beschrieben, aus welchen wie ich hoffe in unzweideutiger Weise die Richtigkeit der Äng- ström’schen Ansicht hervorgeht, nach welcher das von Wüllner in sehr weit evacuirten Wasserstoff- róhren beobachtete und als ein drittes Wasserstoffspec- trum bezeichnete Spectrum in der That mit dem schon aus Plücker's Untersuchungen bekannten Li- nienspectrum des Schwefels identisch ist. Angstróm leitete dasselbe von der zum Austrocknen des Gases benutzten Schwefelsäure her, was, da Wasserstoff auf concentrirte Schwefelsäure reducirend wirkt, sehr wahrscheinlich sein dürfte. Indessen kann für das Entstehen desselben noch ein anderer Grund unter. Umstünden geltend gemacht werden. Es ist nämlich sehr leicht möglich, dass der in manchen Glassorten vorhandene Schwefel bei der höchsten Evacuation der Róhre verdampft und ins Glühen kommt, und diese Deutung entsprach in der That den Verhältnis- sen bei meinen Versuchen, da, ohne dass Schwefel- süure überhaupt zum Austrocknen benutzt wurde, das Spectrum unter sonst unveränderten Verhältnissen in einer Róhre auftrat, in anderen, der Prüfung unterwor- fenen Sorten aber nicht. Die Anordnung des bei diesen Untersuchungen benutzten Entladungsapparats war aber derart, dassnur ein Theil der Entladung, námlich der eigentliche Funken, dureh den engen Canal ging, während der continuirliche Theil, oder die Lichthülle, das Rohr wie ein schwach leuefitendor, ei- 1) Bull. de l'Acad. de St. Pétersbourg Vol. XXVII, p. 97. förmiger Mäntel umgab, und da es häufig vorkam, - dass unter diesen Umstünden der Funken und dessen Spectrum nicht, oder nur intermittent zu Stande kam, indem die ganze Entladung sich gelegentlich auf die Lichthülle allein reducirte, so schien es mir von In- teresse zu untersuchen, wie sich die Erscheinungen gestalten würden, falls die ganze Entladung gezwun- gen wurde durch einen derartigen engen Canal von unbedeutender Lünge zu gehen. Ich liess mir dem- nach drei kleine Geissler'sche Rühren herstellen, bei denen die Lünge des capillaren Theils, sowie die- jenige der beiden Erweiterungen nur etwa 25"", der innere Durchmesser der engen Canäle aber resp. etwa 0,25, 0,50 und 0,75 Mm. betrug. Durch eine kleine Seitenröhre konnte die Röhre mit einer Geissler’- schen Quecksilberluftpumpe verbunden werden. Bei der äussersten Verdünnung gelang es mir num aller- dings nicht in diesen Róhren das Schwefelspectrum hervorzurufen; — es traten aber bei einer derselben einige andere Erscheinungen auf, welche für die rich- tige Deutung der von Wüllner in mit Kohlenverbin- dungen gefüllten Róhren beobachteten Spectra von Bedeutung sein dürften, und deren Mittheilung ich aus diesen Gründen für dienlich erachte. | Als Wüllner vor etwa 12 Jahren seine in vielen -Bezichungen werthvollen Studien über die Spectra der Gase in Geissler’schen Röhren ?) anstellte, hat er in einer mit Sauerstoff gefüllten Röhre, bei allmäh- lich fortschreitender Verdünnung des Gases successive drei verschiedene Spectra beobachtet. — Das erste - derselben war das aus Plücker’s Untersuchungen schon bekannte Linienspectrum des Sauerstoffs; das zweite bestand aus mehreren, breiten, nach dem Ro- then hin scharf begrenzten, nach dem Violetten aber allmählich verlaufenden Banden, und das dritte, welches erst bei der äussersten Verdünnung zum Vorschein kam, setzte sich aus mehreren Liniengruppen im Grünen und Blauen zusammen. Diese Spectra wur- den damals von Wüllner sämmtlich dem Sauerstoff zugeschrieben. Kurz nachdem zeigte aber Ängström?), dass die beiden letzten Spectra resp. dem Kohlen- oxyd und dem Chlor gehören, und da Watts bei seinen Untersuchungen über die Spectra der Kohlen- verbindungen ein Spectrum beobachtet hatte, dem 2) Pogg. Ann. Bd. CXXXV, p.51 5. : 8) Pogg. Ann. Bd. CXLIV, p. 305. — C. R. 6 em p. 369. We ZE i S 407 6 Bulletin de l'Académie Impériale 408 das zweite Sauerstoffspeetrum Wüllner’s sehr ähn- lich war, so wurde W üllner hierdurch, sowie auch durch die vorher übersehene Bemerkung Plücker's, dass bei starker Evacuation jede G eissler'sche Röhre das Kohlenoxydspectrum zeigen kann, dazu veranlasst, die Spectra der Kohlenverbindungen in Geissler’schen Róhren näher zu studiren. Das Resultat dieser Un- tersuchungen*) war, dass Wüllner die beiden oben- genannten Spectra nebst noch drei anderen nunmehr der Kohle zuschrieb und in einer Erwiderung auf die Angstrôm’sche Kritik in sehr zuversichtlicher Weise die Unzulässigkeit der dort gemachten Einwen- dungen zu beweisen suchte. Ich habe bei einer ande- ren ‘Gelegenheit 0 hauptsächlich nach den späteren Untersuchungen. Ängström’s und Thalén's auf die grosse Unwahrscheinlichkeit dieser Auffassung der = Spectralerscheinungen der Kohlenverbindungen auf- merksam gemacht, glaube aber jetzt, gestützt auf die oben erwühnten Versuche, im Stande zu sein für die Richtigkeit der Ängström’schen Deutung des bei minimalem Drucke auftretenden s. g. Kohlenspec- trums Wüllner’s ebenso bindende Gründe anzuführen wie für die Züruckführung seines s. g. dritten Wasser- stoffspectrums auf Schwefel. Ich gehe demnach zur Beschreibung der hierauf bezüglichen Versuche über. Was zunächst die Spectralerscheinungen betrifft, welche die beiden ersten der obengenannten kleinen Röhren bei successiver Verdünnung und beim Durch- à : gange des Stroms einer grossen, durch 6 Bunsen'sche ` Elemente erregten Inductionsrolle darboten, so liessen sich keine ungewöhnliche Erscheinungen beobachten; — das Spectrum war dus gewöhnliche des Stickstoffs ,welche durch wech- selnden Druck bedingt werden, und deren Beschreibung mit allen J x j als allgemein bekannt hier unterbleiben kann. Bei . der äussersten Verdünnung verschwand aber allmählich = dies Spectrum und es traten, ausser den vier Ze a Ha; H, = CH D is ` welcher von Plücker und Wallner als ein zweites . Spectrum des Wasserstoffs bezeichnet wird, noch . Spuren der Haupteannelirungen des Kohlenoxyds und ein Paar Linien des Sauerstoffs und des Quecksilbers auf. — In diesen Verhältnissen fübrte die Einschal- ‚sehr hell gewordenen Wasserstofflinien H, A nan à s aj Pogg. Ann. Bd. CXLIV, 481—525. . 5) Mém. de l'Acad, de St, Petersbourg Vol. XXVHI, X 2, 2 17. tung einer Leydner Flasche in den Kreis des Inductions- stromes keine Veränderung herbei. — Die Röhren verhielten sich bei dieser starken Evacuirung ganz anders als eine andere Röhre, in der durch eine be- sondere Vorrichtung die Luft vollkommen ausgetrock- net war. Diese Vorrichtung bestand einfach darin, dass an dem einen Cylinder der- Röhre eine Kugel luftdicht aufgeschliffen war, in welche vor dem Aus- pumpen Phosphorsüure-Anhydrid eingeführt wurde. Nach vollendeter Evacuation wurden die Hähne der Róhre geschlossen und nachdem nunmehr der Strom einige Secunden durch dieselbe gegangen war, liessen sich keine Spuren der Wasserstofilinien mehr bemer- ken. Ebenso trat niemals der oben erwähnte Lini- encomplex bei D hervor, sondern das Spectrum ver- blieb bis auf die höchste, "en der Geissler’schen Pumpe ` erreichbare Verdünnung unveründerlich das Banden- spectrum des Stickstoffs. Die häufig vorkommende Angabe, dass dies Spectrum seine beste Entwickelung bei etwa 8 oder 10 Mm. Druck zeigt, und sowohl bei Verminderung als bei Vermehrung des Drucks an Glanz und Deutlichkeit abnimmt, fand ich nicht be- stätigt; im Gegentheil ist bei minimalem Drucke unter diesen Umständen die Intensität des Spectrums wahr- haft blendend und eher grósser als bei 8 Mm. Druck. Den Grund der obigen Angabe bin ich demnach ge- neigt in der nicht genügenden Trockenheit des ange- wandten Stickstoffs zu suchen, da dabei unter sehr ge- ringem Drucke die Entladung hauptsächlich durch die Feuchtigkeit und nur in geringem Maasse durch das Gas selbst vermittelt wird. Das Verhalten des dritten Rohrs von 0,75 Mm. Durchmesser bei der äussersten Verdünnung war ein ganz anderes als das eben besprochene der beiden übrigen Röhren. Sobald der Druck seinem Minimum sich näherte, änderte sich nämlich die Farbe der Röhre nach und nach in ein schönes Grün und im Speetro- ۾‎ | skope war, statt des vorher sichtbaren, ziemlich hellen . Spectrums des Kohlenoxyds, eine Menge neuer Linien zu sehen, welche ein näheres Studium als die Haupt- linien des Chlor erkennen liess. ‚Gleichzeitig hatten sich ` die Aluminium-Eleetroden krumm gebogen, auf mehre- ren Stellen kleine kugelfórmige Anschwellungen erhal- ten und schmolzen schliesslich bis auf die Befestigungs- punkte ganz ab. Um nun deutlich zu zeigen, dass dies Spectrum einerseits wirklich dem Chlor gehört und an- 409 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 410 meinen eigenen und nach Thalén's Bestimmungen gegenübergestellt, sowie schliesslich diese Zusammen- stellung mit den auf Wellenlüngen reducirten Wüll- ner'schen Messungen verglichen. Das Resultat dieser Untersuchung ist aus der folgenden Tafel ersichtlich: - dererseits mit dem angeblichen, eigenthümlichen Koh- lenspectrum Wüllner's identisch ist, habe ich für eine grössere Anzahl der Linien die Wellenlängen möglichst sorgfältig bestimmt und die erhaltenen. Werthe den entsprechenden des Chlorspectrums nach Wüllner’s s. g. Kohlenspectrum. | Qu e ck- ein | Spectrum des Chlor. À. Beschreibung. | : | Kei | Thalén, | Bemerkungen. f57 98 Helle gelbe Linie 5789 | | 15775 » » |5768 II. 5676 | Beginn einer 5678 schmalen Gruppe III. . 5462 |Erste Linie einer! 5460,5 5455,7 |5456,7|5455,5 Gruppe von 4 Li- 5442,5 | 5443,6 | 5443,5 [Sehr helle Linien. nion 5422,0 |5424,0|5423,0 | Meinen ime 5389,7 |5392,45391,5 5283,5 |5284,7|5285,0 5222 |Erste Linie einer 5220,1 |5219,8|5220,0 Saat Dane beitan Suppe 5216,2 |5216,2|5216,5 f des Spectrums. inie , Momm 5190,1 |5188,8|5188,0 VL. 5167,1 |5172,2 51720 5161,9 | 5160,8 | 5160,0 |} Schwächere Linien. 5145,5 — |! 0 5112,7 |5112,8|5112,0 15101 |Gränze der Grup- 5102,3 ° 5102,4 | 5102,7 Vii na pe: helle Linie 5098,2/5098,21f ^ ^. PP 5077 | Helle Linie 5078,1 |5077,6|5077,0 V. 5005 Helle Doppellinie:| 5002 Mitte 5005 4995,0 | 4997,7 | 4994,0 | Deutliche Linie. 4963 | Helle Linie 4969,7 | 4972,4 | 4967,5 0 4931 |Erste Linie SS 16975 ré | Schwache Linien. einer E r VI. Gruppe ici i012 Bet Hellere Linien. ^ Li- 4903,5 (4904,4 | 4903,2 iu 4881 Letzte] ® 4895,2 |4896,9|4895,5][ ^ . 197e «me 6) Diese Linie doppelt. Mitte eingestellt, Bulletin de l'Académie Impériale 419 Wüllner's s. g. Kohlenspectrum. Qu e dc ck Ee Speetrum des Chlor. À. Beschreibung. MN eti Thalén. Bemerkungen. | berg. 4821 |Gruppe von 3 Li- ‘4819,0 |4819,814817,7 | VII. 4812 nien 4809,2 | 4809,7 | 4809,7 |} Sehr helle Linien. 4796 4795,6 |4793,9 | 4793,0 Í 4782,1 |4780,8| 4779,5 l 4770,9 |4769,0| 4768,0 |} Schwache Linien. 4741,3 |4739,7 | 4739,0 f Gruppe von 3 Li- — — |4648 VIILA4643 nien: Mitte — — 14640 l Helle Linien ?). | ufr 4038| 4371 Gruppe von 3 Li- nien: Mitte L Es dürfte bei einer nüheren Betrachtung dieser Ta- fel kaum bezweifelt werden kónnen, dass das fragliche Spectrum Wüllner's der Hauptsache nach mit dem ` von mir im Rohr X 3 beobachteten, und demnach auch mit demjenigen des Chlor identisch ist. In der That enthalten gerade die Gruppen IIT, IV, VI, VII, VIII die am meisten hervorragenden Linien des gan- zen Chlorspectrums und die Übereinstimmung der Werthe der Wellenlàngen ist annähernd genug, um. jeden Zweifel über die Identität der Objecte auszu- schliessen. — Die Übereinstimmung wäre gewiss noch grüsser geworden, wenn die Wüllner'schen Mes- sungen einerseits genauer, dann aber mehr detaillirt ausgeführt wären. — Wenn aber Hr. Wüllner Äng- ström den Vorwurf macht, dass er beim Vergleichen der angeblichen neuen Spectra sowohl mit demjenigen des Schwefels als des Chlor nur die annähernde Ue- bereinstimmung in der Lage der. Linien berücksich- tigt, die ganze Gruppirung derselben aber ausser Acht gelassen hat, so ist dies ein Vorwurf, dem jede Berech- tigung abgeht, da die Wüllner'sche Beschreibung der Spectra zu unvollständig ist, um eine strengere Vergleichung überhaupt zu erlauben. Ausser den eben besprochenen: Chlorlinien sind, wie man findet, in dem angeblichen Kohlenspectrum Wüllner's noch die Hauptlinien des Stickstoffs und 7) Diese Gruppe ist mit der starken Gruppe des Luftspectrums um À — 4630,5 herum vermischt. Die am náchsten liegenden Linien der Litstéren sind : A = 4649, 4642, 4640. des Quecksilbers vorhanden. Das Linienpaar I ist un- zweifelhaft mit den beiden bekannten, gelben Linien des Quecksilbers identisch und ebenso dürfte es keinem Zweifel unterliegen, dass die Gruppen II und V resp. den beiden intensivsten Gruppen des Stickstoffspectrums bei A — 5678 und 5002, 5005 entsprechen. Die hellste Linie des Quecksilbers bei À — 5460,5 kann ebenso als vorhanden angesehen werden, denn diese Linie liegt in der That so nahe der ersten Linie der starken Chlor- gruppe zwischen % — 5456 und à = 5390 dass eine Trennung derselben mit so schwachen Mitteln, wie Wüllner sie besass, nicht leicht hat geschehen kónnen. Es ist mir auch selbst vorgekommen, dass beide Li- nien gleiehzeitig anwesend gewesen, und wenn dabei das Chlorspectrum bisweilen intermittent war, so hatte es den Anschein, als wenn dasselbe sich gele- gentlich bis auf die erste Linie der besagten Gruppe auslóschte. Eine directe Vergleichung zeigte aber, dass die zurückbleibende Linie nicht die Chlorlinie A — 5456, sondern unzweifelhaft die Quecksilberlinie ` )- 5460, war. Herr Wüllner schliesst aus dem Umstande, dass das obige Spectrum bei fortschreitender Verdünnung das vorher vorhandene Bandenspectrum des Kohlenoxyds ersetzt, dass dasselbe aus dem Letzteren entstehe, und demnach auch nothwendig als ein Spectrum der Kohle anzusehen sei. In dem von mir benutzten Rohre X 3 ging dem Auftreten des Spectrums ebenfalls die Er- scheinung des Kohlenoxydspeetrums voraus, ja noch 413 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 414 mehr, es kam sogar háufig vor, dass die beiden Spec- tra intermittent einander Platz machten oder, — obwohl seltener — gleichzeitig erschienen, aber dieser Um- stand hat durchaus nicht diejenige Bedeutung die ihm Herr Wüllner zuschreibt. Denn wenn das fragliche Spectrum wirklich aus dem Bandenspectrum des Koh- lenoxyds entstände, oder mit demselben in chemischer Beziehung in irgend welchen Zusammenhang zu brin- gen würe, so müsste wohl unter im Übrigen unver- änderten Verhältnissen dasselbe immer auftreten, so- bald das Bandenspectrum sich gezeigt hat, und daraus die Anwesenheit von Kohle in irgend einer Form fac- tisch bewiesen ist. Dies ist aber gar nicht der Fall. Denn in den beiden ersten Róhren ist es, wie schon bemerkt, sogar bei der äussersten Verdünnung abso- lut unmóglich gewesen auch nur eine Spur desselben zu entdecken, trotzdem, dass in beiden Fällen. das Bandenspectrum , obwohl nicht intensiv, doch deut- lich, vorher beobachtet war. — Wenn aber das Spec- trum in dem einen Falle aus dem Kohlenoxydspec- trum entsteht, so ist kein Grund vorhanden, wesshalb es in einem zweiten, genau ühnlichen Falle ausbleiben sollte. Gehört demnach das Spectrum dem ‚Chlor, — und nach den vorherg gen scheint mir in der Beziehung kein Zweifel mehr möglich, — so ist zunächst die Frage zu beantworten, woher dies Chlor stammt. Die Antwort liegt nahe, da in den meisten Glassorten Chlorverbindungen a mässig vorhanden sind, und es bei der äussersten Ver- dünnung, wobei der Widerstand in der Röhre sehr gross wird, ebenso wahrscheinlich ist, dass das Chlor ins Glühen kommt wie z. B. nico oder Schwefel oder andere Stoffe, die in der Glasmasse enthalten sein mögen. — Für diese Anschauungsweise bietet in der That der ganze Verlauf der Erscheinungen beim Entstehen des Spectrums einen sehr überzeugenden Be- leg. In ähnlicher Weise wie in Betreff der unter ähnli- chen Verhältnissen das Schwefelspectrum zeigenden Róhre, die ich früher beschrieben habe, erschien das Spectrum auch hiernicht sofort nach dem Stromschlusse, sondern entwickelte sich, der allmälichen Erhitzung des -Robrs entsprechend, erst nach und nach bis auf einen gewissen Grad der Vollstündigkeit und des Glanzes. Ebenso zeigte sich die helle grüne Farbe des Rohrs be- sonders dort als ein lebhaft glänzender Lichtstern, wo die gekrümmten Electroden die Glaswand berührten. Untersuchte man schliesslich, nachdem das Spectrum sich längere Zeit gezeigt hatte, das Rohr genauer unter dem Mikroskope, so liess sich eine ganz erheb- liche Corrodirung der inneren Oberflüche des Glases beobachten, von der bei einer unbenutzten Róhre oder bei einer Róhre, welche die Spectra der Glasbestand- theile nicht gezeigt hat, keine Spur bemerkbar ist. — Das Rohr glich in der That auf seiner innern Ober- fläche in sehr täuschender Weise einer glatten Eis- fläche auf welcher eine grosse Menge Eisscherben aus- gestreut sind. Es steht dieser Umstand ohne Zweifel mit dem Erscheinen des Chlorspectrums in engem Zusam- menhange und dürfte wohl als ein Anzeichen einer sehr merklichen Zersplitterung der Glasoberfläche durch den Einfluss des Entladungsstromes betrachtet werden kónnen. Auf der Innenflüche der weiten Robrtheile war, ausser dieser Corrodirung, stellenweise noch ein dunk- ler Überzug zu sehen, welcher, unter dem Mikro- skope betrachtet, eine boni sehr schöne, netzför- mige Struktur zeigte und wahrscheinlich aus ausge- fälltem Platin bestand, da die Aluminiumdrähte bis auf ihre Befestigungspunkte an den Platinringlein ab- geschmolzen waren, Dass dieser Überzug nicht aus- gefällte Kohle sein kann, scheint mir daraus hervor- zugehen, dass derselbe nur in den weiten Theilen der Röhre in der Nähe der Electroden vorhanden ist, während die Capillare davon keine Spur zeigt. Nach alledem kann ich nicht umhin die Wüllner- sche Deutung des vorliegenden Spectrums als eine unbedingt irrige zu betrachten. Aus der Gesammtheit der beobachteten Erscheinungen scheint es mir sogar sicher, dass dasselbe mit demjenigen des Kohlenoxyds in gar keinem anderen Zusammenhange steht, als dass sie beide gelegentlich in einem und demselben Rohr auftreten kónnen. Es wäre desshalb wohl kaum nóthig nach noch weiteren Argumenten für die Richtigkeit der hier ausgesprochenen Anschauungen über die Na- tur und den Ursprung des Spectrums zu. suchen; — da jedoch Wüllner's Interpretation desselben, der Ängström’schen Einwendungen ungeachtet, noch häufig ohne alle Kritik in spectroskopischen Arbeiten wiederholt wird, so dürften noch einige Beobachtun- gen, welche mit derselben ebenso wenig wie die obi- gen verträglich erscheinen, ein nicht geringes Inte- 415 Bulletin de l’Académie Impériale 416 resse beanspruchen können und desshalb auch hier eine kurze Erwähnung finden. Seit einigen Jahren besitze ich eine fertig gekaufte Stickstoffrühre, welche, nachdem sie lange Zeit das gewöhnliche cannelirte Stickstoffspectrum sehr schön gezeigt, plötzlich ihr Aussehen und ihr Speetrum der- art veränderte, wie es schon von Reitlinger und Kuhn in ihrer Abhandlung: «Über Spectra negati- ver Electroden und lange gebrauchter Geissler’scher Röhren» °) in einem analogen Falle beschrieben worden ist. Beim Durchgange des einfachen Inductionsstromes ohne Leydner-Batterie erscheint nämlich die Capillare nunmehr in einer fahlen, rothblauen Farbe, die weiten Theile unbestimmt röthlich und in allen Theilen des Rohrs ist der Hauptsache nach fast gar nichts ande- res zu sehen, als das Speetrum des negativen Pols, auf welchem im engen Theile ab und zu noch einige fremde, gleich näher zu besprechende Linien erschei- nen. Die eine Electrode ist zu einer Kugel zusam- mengeschmolzen und der überhaupt sehr grosse Wi- derstand der Röhre erreicht sein Maximum wenn diese Electrode die positive ist. An einem neben dem Rohr in den Kreis des Inductionsstromes eingeschalteten Funkenmikrometer springen dabei häufig Funken von 1,5 bis 2 Zoll Länge über, Die in allen Theilen der Röhre sehr starke Fluorescenz ist bei der genannten Strom- richtung besonders intensiv. Wie man findet, sind diese Erscheinungen ganz mit den von Reitlinger und Kuhn beobachteten übereinstimmend. Diese Be- obachter scheinen nun die Erscheinungen ihrer Röhre nicht weiter verfolgt zu haben; — schaltet man aber in den Kreis des Inductionsstromes eine Leydner- Batterie derart ein, dass die Entladungen eine mög- lichst grosse Tension erhalten, so ändern sich die Ver- hältnisse in sehr beträchtlicher Weise, sowohl in Be- zug auf das Aussehen der Röhre als in Bezug auf das Spectrum derselben. Die Farbe der weiten Theile bleibt fortwährend roth, erscheint aber erheblich mehr gesättigt, während die Fluorescenz bedeutend abnimmt; dagegen schlägt die Farbe des Capillarrohres in ein helles Blaugrün mit häufig aufblitzenden, gelben, offen- bar von Natrium herrührenden Lichtpunkten über. — Im rotirenden Spiegel erscheint die Entladung jetzt vollkommen disruptiv, sogar in den weiten Röhrenthei- 6) Wien. Sitz, Ber. Abth. IT, Vol. LXI. 1870. len, während dieselbe ohne Batterie entschieden conti- nuirlich ist. In den weiten Theilen tritt das Spectrum des negativen Pols mehr zurück und es sind die Banden des gewöhnlichen, cannelirten Stickstoffspectrums sehr deutlich zu sehen. Das Spectrum des capillaren Theils ist dagegen von ganz anderer Natur als vorher, und besteht aus einer grossen Menge heller, scharfer Linien, die in ihrer Gesammtheit beim ersten Blick einen sehr fremdartigen Eindruck machten. Diese Linien, von denen auch ohne Batterie einzelne bisweilen aufblitz- ten, bilden zusammen eine Superposition der beiden Spectra des Stickstoffs und des Chlor, wie man aus dem folgenden Verzeichniss der am meisten hervorragen- den unter ihnen ersehen kann. Es waren nämlich an- wesend : A) Aus dem Spectrum des Stickstofs : 1) Die Gruppe bei Az h941 2) » » » e 5678 Sg » » — 5535 4) Die Linie — 5045 5) Die helle Doppellinie — 5005 und 5002 6) Die Gruppe bei - — 4630,5 B) Aus dem Spectrum des Chlor : A = 5455 und À — 5390 3) Die Linien — 5355, 5332; 5285 2) Die Doppellinie = 5220, 5216 4) DieganzeGruppezwischen = 5190 und À = 5078 5) 1) Die Gruppe zwischen » » » » = 4940 » ت‎ 4895 6) »- 3 » = 4820 » —4740 y) » 3 » » = 4648 » = 4638 Wir haben hier wieder das Wüllner’sche s. g. Kohlenspectrum so vollständig wie man es nur wün- schen kann, aber schwerlich wird es Jemandem einfal- len hier auf ein Spectrum der Kohle zu denken. Die Reinheit der in käuflichen Geissler’schen Röhren enthaltenen Gase ist allerdings gewöhnlich sehr wenig verbürgt; falls aber in der vorliegenden Röhre Koh- lenverbindungen wirklich vorhanden wären, so hätte man wohl, wenigstens vor der Veränderung der Röhre, Spuren des Kohlenoxydspectrums bemerken müssen, -da bei der Anwesenheit auch der kleinsten Spur einer solchen Verbindung dies Spectrum bekanntlich viel leichter erscheint, als dasjenige des Stickstoffs, und zwar derart, dass dasselbe, einmal in einer Róhre vor- 417 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 415 handen, nur mit der gróssten Schwierigkeit sich be- seitigen lässt. Solange aber die Röhre ihren ur- sprünglichen Charakter noch behielt, war darin nur das reine Bandenspectrum des Stickstoffs zu sehen. Da übrigens die käuflichen Geissler’schen Röhren ge- wöhnlich nicht weiter, als bis auf etwa 8 oder 10 Mm. evacuirt werden, so ist kaum eine merkbare Ver- dampfung des Fetts der Luftpumpenhähne zu befürch- ten, wenigstens habe ich bei diesem Drucke in Stick- stoffrühren keine Spur des Kohlenoxydspectrums be- obachtet. Wie man demnach auch die Sache betrach- ten mag, so lässt sich, auch wenn von den Positionen der Linien ganz abgesehen wird, die W üllner'sche Ansicht den Erscheinungen der vorliegenden Róhre unmóglich anpassen. Bei dem jetzigen Zustande der Wissenschaft bildet in der That das Verhalten der Gase in Geissler'schen Róhren in vielen Beziehungen einen der dunkelsten Punkte der Spectralanalyse und die Experimente ha- ben in Bezug darauf bei weitem noch nicht ihr letztes Wort gesprochen. Von diesem Gesichtspunkte aus besitzt auch die Wüllner'sche Versuchsreihe einen nicht zu verkennenden, reellen Werth. Bei der Inter- pretation der beobachteten Erscheinungen aber wäre es meiner Meinung nach jedoch wohl wünschenswerth gewesen, wenn Einwendungen von so competenter Seite wie Ängström eine sorgfältigere Beachtung zu Theil geworden wäre, da dadurch ohne Zweifel die jetzt thatsächlich vorhandene Complication und Ver- wirrung auf diesem Gebiete der Spectroskopie erheb- lich geringer ausgefallen würe. Spectroskopische Beobachtungen der Cometen 1881 b und 1881 c von Dr. B. Hasselberg. (Lu le 25 août 1881.) . (Avec une planche.) Die grosse Helligkeit der beiden vorstehend ge- nannten Cometen hat, trotz den in beiden Fällen hier obwaltenden, durch die nórdliche Lage unserer Stern- warte bedingten, weniger günstigen Umständen, mir jedoch Gelegenheit gegeben einige Beobachtungen der Spectra derselben anzustellen , durch welche die in meiner Abhandlung: «Über dio Spectra der Co- Tome XXVII. meten etc.» !) ausgesprochenen Ansichten über die Na- tur dieser Erscheinungen eine neue Bestätigung ge- funden haben, und deren Mittheilung demnach nicht ohne Interesse sein dürfte. In der erwähnten Abhand- lung habe ich nämlich, nach einem eingehenden Stu- dium aller bis Anfang des vorigen Jahres bekannt gewordenen Spectralbeobachtungen von Cometen den Satz aufgestellt, dass den Spectra dieser Himmels- kórper nur ein einziger Spectraltypus, nämlich das Spectrum der Kohlenwasserstoffe, zu Grunde liege, und dass die in einzelnen Fällen beobachteten Abwei- chungen von diesem Grundtypus nicht der Art sind, dass dadurch der Character der Spectra veründert wird, sondern dass dieselben nur als Indicien eigen- thümlicher, physikalischer Zustände der die Haupt- masse der Cometen bildenden Kohlenwasserstoffe zu betrachten sind. — Diese Übereinstimmung mit dem Kohlenwasserstoffspectrum findet, den Beobachtungen zufolge, auch bei den beiden vorliegenden Cometen in sehr befriedigender Weise statt. — Wegen der grossen Helligkeit der hiesigen Sommernächte ist es in Betreff des Cometen b allerdings nicht gelungen etwas mehr als den mittleren, hellsten Streifen des Spectrums zu beobachten; — die Lage und das Aussehen desselben zeigten indessen eine so nahe Übereinstimmung mit der entsprechenden Bande des Spectrums der Kohlenwas- serstoffe, dass die Identität derselben wohl schwerlich bezweifelt werden kann. Bei dem Cometen c dagegen war die Übereinstimmung des Spectrums mit dem- jenigen der Kohlenwasserstoffe eine so vollständige und soweit bis ins Einzelne gehende, dass das eine Spec- trum sogar als eine Copie des andern angesehen wer- den kónnte. Ehe ich zu den Beobachtungen selbst übergehe, mógen zunächst das benutzte Instrument und die Be- obachtungsmethode mit einigen Worten kurz beschrie- ben werden. An dem älteren Heliometer der Stern- warte (Öffnung des Objectivs — 188"", Brennweite — 3,124") wurde ein Spectroskop «à vision directe» von Merz angebracht, dessen nähere Beschreibung ich an einem anderen Orte?) schon gegeben habe, bei dem aber im vorliegenden Falle nur ein Prismensatz und die schwächste Vergrósserung (4,5) zur Anwen- 1) Mém. de l'Acad. de St Pétersbourg. T. XXVIII X 2. 2) Mém. de l'Acad. de St Pétersbourg. T. XXVI X 4 a 419 Bulletin de l’Académie Impériale 420 dung kamen. Unter diesen Verhältnissen zeigt das Instrument die D-Linien eben getrennt und im Übri- gen alle nur einigermaassen hervorragende Linien des Sonnenspectrums. — Die Einstellungen wurden mit Hülfe einer im Brennpunkte des Oculars angebrachten Stahlspitze ausgeführt, welehe durch eine Mikrometer- schraube bewegt wird, an deren in 100 Theile ge- theilter Trommel die Lage der Spectralstreifen abge- lesen wurde. Um diese Angaben auf Wellenlängen zu- rückzuführen, wurden am Abend vor der Beobachtung und am folgenden Morgen in derselben Lage des Fernrohrs, in der die Beobachtungen des Cometen stattfanden, einige naheliegende Sonnenlinien gemessen und daraus die Wellenlàngen der Cometenbanden theils . graphisch und theils nach der bekannten Formel: n Na Ne -- M abgeleitet. In dieser Weise dürfte der sonst recht merkliche Einfluss der Durchbiegung des Spectroskops bei verschiedenen Stellungen des Fernrohrs eliminirt sein. Bei den Beobachtungen wurde der Spalt so eng gestellt, wie es, in Anbetracht der Schwüche des Ob- jects, mit einer befriedigenden Deutlichkeit des Sehens verträglich erschien und zwar konnten stets bei der benutzten Spaltweite die Hauptsonnenlinien deutlich gesehen werden. Übrigens hat, da die Schneiden sich symmetrisch zu ihrer Mittellinie óffnen, eine Erweite- rung oder Verschmälerung des Spalts auf die Lage der Spectrallinien keinen merklichen Einfluss. Beim Cometen 5 war der Hintergrund des Spectrums durch das continuirliche Spectrum des diffusen Him- melslichts hell genug erleuchtet, um zu jeder Zeit die Mikrometerspitze gut sehen zu kónnen. In Betreff des Cometen c dagegen war dies nur unvollkommen, und in der Nähe desStreifens À nach der weniger brechbaren Seite des Spectrums hin gar nicht der Fall. Die Ein- stellungen, welche für das Sonnenspectrum und die . Banden B und C des Cometen in der Richtung der . Farbenfolge im Spectrum stattfanden, mussten aus diesem Grunde bei der Bande À in umgekehrtem Sinne erfolgen und die abgeleiteten Wellenlängen bedürfen . demnach einer Correction wegen des todten Ganges der Schraube. Diese Correction, welche nach mehreren gut übereinstimmenden Messungen an Sonnenlinien, in der fraglichen Spectralgegend — 1,6 Mill. Mill. be- trügt, ist an den weiter unten folgenden Wellenlüngen- werthen des Streifens À angebracht. Comet 1881. b. Nachdem der Comet am 24. Juni hier gefunden war, habe ich gleich am folgenden Abend versucht sein Spectrum zu beobachten. Um dabei zunächst mich mit demselben etwas vertraut zu machen und zugleich um genauer beurtheilen zu kónnen, inwiefern die Licht- stärke des Cometen die Anwendung eines kräftigeren Spectroskops zulassen würde, habe ich anfünglich ein kleines Sternspectroskop Vogel'scher Construction in Verbindung mit einem 5-zólligen Fernrohr in Anwen- dung gebracht. Das Spectrum, in diesem Instrumente gesehen, bestand fast ausschliesslich aus einem schma- len, sehr hellen, continuirlichen Spectrum des Kerns, in dessen unmittelbarer Nähe schwache Spuren der gewóhnlichen drei Banden auf dem ebenfalls hellen Spectrum des diffusen Himmelslichts projiciirt zu er- kennen waren. — Die Banden schienen nach dem Rothen hin scharf begrenzt, nach dem Violetten aber verschwommen. Im continuirlichen Spectrum des Kerns war die relativ grosse Helligkeit der rothen und gel- ben Theile besonders auffallend. Das Spectrum con- trastirte in dieser Beziehung sehr mit dem Spectrum des Himmelsgrundes, in welchem von Roth und Gelb nur Spuren vorhanden waren. Dies Verhalten des Kernspectrums war übrigens mit dem gelben Farben- ton des Kerns in voller Übereinstimmung. Juni 26. Mit demselben Apparat wie gestern wurden die damals gemachten Wahrnehmungen wiederholt bestütigt. Das Kernspectrum schien mir an Hellig- keit demjenigen eines Sterns 9. Grósse mindestens gleich zu sein. Die Gasstreifen waren ebenfalls vor- handen und ich glaube auch die rothe Bande der - Kohlenwasserstoffe ( — 618,7) ab und zu bemerkt zu haben. Juni 27. Mit dem grossen Spectralapparate am He- liometer erschien das Spectrum sehr schwach, so dass nur der mittlere Streifen überhaupt gemes- sen werden konnte. Von den übrigen Banden wa- ren nur Spuren zu bemerken. Das Kernspectrum schwach. Unter Anwendung der Ángstróm'schen Werthe des Sciences de Saint = Petersbourg. 422 für E: A:— 526,0 Kr 616,7 ergeben die Messungen für die scharfe Kante der Bande B (n — Anzahl der Einstellungen) Aoc 519.7 EDS na Juni 28. Das Spectrum unveründert Auch heute nur der Streifen B zu messen. Die erhaltene Wellen- länge ist: = E E I. n= 21. Juni 29. Die Gasbande schwach, während das Kern- spectrum relativ hell erscheint. Die Messungen, welche wie immer sich auf die scharfe Begrenzung der Bande nach dem Rothen hin beziehen, ergeben: à = 517,77 = 0,1 n = 20. Juni 30. Das Spectrum scheint sich jetzt etwas abge- schwächt zu haben, namentlich das Kernspectrum. Die Bande scheint nichtsdestoweniger in günstigen Momenten durch eine helle, feine Linie begrenzt zu sein. Die übrigen Streifen konnten nur vermuthet werden. Für die Bande B wurde erhalten: À SHE 4 = 20. Juli 1. Die Bande D scheint an Intensität heute eher zu- als abgenommen zu haben. Es wurde die Wellen- länge erhalten : 817.370, WX — 20. Juli 2. Das Spectrum war heute zu schwach, um wei- tere Messungen zu erlauben. Durch das kleine Stern- spectroskop gesehen, erschien das Kernspectrum sehr geschwächt, doch waren die weniger brech- baren Theile desselben noch immer erheblich mehr entwickelt als im Spectrum des Himmelsgrundes. Stellt man nun die oben erhaltenen Wellenlängen- bestimmungen des Cometenstreifens zusammen, so er- hült man den folgenden Überblick: Juni 27. 2 = 519.7 $ 03 » 28. 517,9 E 01 ». 29. 517,7 2c 04 53 90. UIT. WU Juli 1 513 £ Uf Mittel: À = 517,6 2 3) Die beiden Linien b, und b, liessen sich mit dem benutzten Für den entsprechenden Streifen des Speetrums der Kohlenwasserstoffe gilt bekanntlich die Wellenlänge: À — 516,4 und die Übereinstimmung ist demnach bei einem so schwierigen Objecte, wie es das Spectrum des Cometen hier war, genügend, um die Identität der Streifen als unzweifelhaft erscheinen zu lassen. Comet 1881 c. Bei weitem günstiger als heim EE Co- meten waren für die bacht die Verhältnisse, unter denen der dritte Comet des gegenwärtigen Jahres erschien. Die grössere Dunkel- heit der Nächte ersetzte zum grossen Theil den durch die geringere Hóhe des Cometen bedingten Lichtver- lust und dem entsprechend sind auch die Beobach- tungen erheblich vollständiger und mehr befriedigend als diejenigen des Cometen b. Es konnten nämlich nicht nur alle drei Streifen des Spectrums gut gemes- sen werden, sondern die erhaltenen Werthe der Wel- lenlängen derselben und die sonstigen Beobachtungen zeigen auch auf das deutlichste, dass das Spectrum mit demjenigen der Kohlenwasserstoffe identisch war. Aug. 20. Erste Beobachtung. Von den drei hellen Streifen des Spectrums erschien der gelbe und grüne nach dem Rothen hin scharf begrenzt, der dritte Streifen war aber nur als Lichtmaximum zu erkennen. Vom Kern liess sich ein schwaches, die Banden verbindendes, continuirliches Spectrum be- obachten. Für die weniger brechbare Kante der Ban- den wurde im Mittel aus 5 Beobachtungen erhalten: Bande À : À = 564,2 E 0,6 » B: 516,5 er rS 0,4 Das Spectrum ist in der Fig. 1 abgebildet. Aug. 21. Der Comet erscheint bei sehr durchsichtiger Luft heute heller als gestern, ebenso das Spectrum. Alle drei Streifen waren nach der weniger brech- baren Seite hin entschieden scharf begrenzt und in der mittleren und hellsten Bande konnte, ausser einer sehr hellen Anfangslinie, noch eine helle Linie Spectroskop natürlich nicht trennen, wesshalb hier das Mittel der beiden resp. Wellenlängen 516,6 und 516,8 genommen ist. 27* 423 Bulletin de l’Académie Impériale in der Abschattirung derselben bemerkt werden, welche hóchst wahrscheinlich mit dem zweiten Ma- ximum der entsprechenden Kohlenwasserstoffbande (à = 512,8) zu identificiren ist. Dieselbe zu mes- sen gelang indessen nicht. Das continuirliche Kern- spectrum. liess sich auch etwas weiter nach dem Rothen hin verfolgen als vorher, nämlich über den Streifen À hinaus, und in den Durchschnitts- punkten desselben mit den Banden des Gasspec- trums erreichten diese ihre grósste Helligkeit. In den Banden À und B schien das Maximum der Helligkeit mit der scharfen Begrenzung zusammen- zufallen, wogegen beim Streifen C eine mehr uni- forme Beleuchtung stattzufinden schien. Dies ist in guter Übereinstimmung mit den bekannten Eigen- schaften des Kohlenwasserstoffspectrums. Das Aus- sehen des Spectrums habe ich in der Fig. 2 wieder- zugeben versucht. Die mikrometrischen Messungen gaben für die Wellenlängen der Streifen die fol- genden Werthe: Bande 4:4 = 561,5 E&E 06,8 n — 7 a e S= he 24 — 7 Bo Ci. 4150-04 8$ —5 Aug. 22. Das Spectrum weniger hell als gestern, wahrscheinlich wegen geringerer Durchsichtigkeit der Luft und infolge des niedrigeren Standes des Co- meten. Der Partialstreifen der Bande B konnte je- doch auch jetzt unzweifelhaft gesehen werden. Fol- gende Bestimmungen der Wellenlängen wurden er- halten: Bande 4:4 = 562,6 E 0,4 n— 9 E wel 8168: EOS 4— 10 » C: = 473,0 2E. 0,6 nos . Aug. 24. Das Spectrum noch etwas schwächer. Be- sonders schwer war der Streifen C zu messen, da- gegen À und B noch immer leidlich hell. Über die scharfe Begrenzung der Banden nach der weniger . brechbaren Seite des Spectrums war indessen kein Zweifel und in Bezug auf die Helligkeitsvertheilung in denselben war wenigstens bei B das Maximum der Helligkeit an der Kante gelegen. Bei A liess sich schwerlich eine Steigerung des Glanzes nach dem Rothen hin constatiren, aber andererseits auch keine Abnahme der Intensität. Der Partialstreifen in B ab und zu zu sehen. Die Messungen ergaben: 424 Bande 4:4 = 563,7 3: 0,5 n — 8 M bot —518,0 :5::0,2 n — 9 ER = 474,9 04 n= 6 Aug. 26. Wegen Schwäche des jetzt sehr niedrig stehenden Cometen konnte nur der Streifen 5 ge- messen werden. In günstigen Momenten war auch die scharfe Kante der Streifen À und C zu sehen, ohne jedoch befriedigende Messungen zu erlauben. Es wurde erhalten: Bande BEA — D17,9 E02 u — 12. Stellt man die obigen Beobachtungen übersichtlich zusammen, so ergiebt sich: Bande A: Bande B: Bande C 1881 Aug. 20. A — 564,2 516,5 = » 21 561,5 515,5 474,0 » 22 562,6 516,8 473,0 E 5657 18.6: 474,5 » 26. ES 517,3 ph Mittel: À — 563,0 516,9 473,8 +04 3203 3 Bei der Ableitung der Mittel ist den Werthen der verschiedenen Tage dasselbe Gewicht gegeben. Ich glaube dies um so mehr als zulässig betrachten zu kön- nen, als die wahrscheinlichen Fehler der einzelnen Be- stimmungen nahezu dieselben sind und für die drei Streifen auf resp. 0,6, 0,3 und 0,5 Mill. Mill. veran- schlagt werden können. Eine Berücksichtigung der Ge- wichte würde jedenfalls die Decimalstelle nur um eine oder ein Paar Einheiten verändern können. Vergleicht man nun schliesslich das Schlussresultat der Beobachtungen mit den analogen Spectralôrtern des Kohlenwasserstoffspeetrums, so muss man zugeben, dass die Übereinstimmung eine vollkommen befriedi- gende ist. Man erhält nämlich: Spectrum des Spectrum der Cometen: Kohlenwasserstoffe: Bande A : 563,0 + 0,4 563,4 5: 79559 t 03 516,4 » 0:47882- 0,3 473,7 und dies in Verbindung mit dem oben beschriebenen allgemeinen Aussehen der Banden ist genügend, um à KK ud S SZ er 425 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 426 die Identität der beiden Spectra mit einem Grade der Sicherheit zu beweisen, wie es bei Beobachtungen von so schwieriger Natur, wie die vorliegenden, kaum bes- ser gewünscht werden kann. Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. IV, Scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 26 mai 1881.) (Cum tabula lapidi incisa.) Reaumuria trigyna. Glabra, ramis patulis jam a basi racemose floriferis; foliis semiteretibus linearibus ob- tusis s subattenuatis ; fasciculis AAS oligophyl- paucis i ; braeteis e basi dilatata orbiculata breviter mucronatis dense imbricatis, cum sepalis quibus breviores ceterum con- similes basi connatis; petalis in alabastro contortis suboblique obovatis, filamentis subulatis integris, stylis tribus. Mongolia australis: in deserto aridissimo secus montes Alaschan sito frequens (Przewalski, 1873.) Quam R. songarica m. omnibus partibus multo major et flores non sessiles, ceterum habitu similior quam R. persicae Boiss. (Fl. or. I. 761.), cui ex characteri- bus diagnosticis proxima, quae tamen foliis dense fas- ciculatis ovatis, flore duplo majore filamentisque basi crenatodentatis, praeter alia signa abhorret. R. Shawiana (Hololachna, Hooker fil. in Henders. et Hume, La- hore to Yarkand, 313. n. 65. c. tab.) inter nostram et R. songaricam quasi intermedia videtur, sed decan- dra et ovario oblongoovali instructa aliisque signis distans. In nostra stamina circiter 40 et ovarium glo- bosum. Hololachna Ehrenb. cum Reaumuria jungenda vi- detur, nam stamina pauciora in priore quoad numerum tam indefinita sunt quam in secunda, reliqua signa autem, quibus ad utramque distinguendam utuntur autores, vel fallacia vel utrique communia sunt, v. gr. stamina pl. v. m. connata, flores sic dicti axillares, petala Hololachnes perperam inappendiculata a Ledebour dicta, cet. lis Myricaria platyphylla. (S 2. racemis lateralibus Ledeb. Fl. Ross.) Viridis, ramis foliatis longissimis vix ramu- losis, foliis maximis patentibus planis ovatis breve acuminatis acutiusculis; pedunculis basi squamatis bracteis persistentibus concavis demum patentibus ovatis obtusis pedicello duplo longioribus calyci ae- qualibus; sepalis obtuse ovatis petala obovata paulo, stamina fere ad apicem coalita subduplo superantibus, ovario ovoideo breve attenuato. Mongolia australis: montibus Alaschan frequens (Przewalski, 1872). Frutex virgatus üsque 10-pedalis foliis latissimis maximisque inter omnes statim cognoscendus. Folia ad 15: 12 mill. magna. Comparanda tantum cum M. dahurica 8. macrophylla Bge., M. longifolia Royle et M. elegante Royle; prior, praeter alia signa, foliis linearioblongis, secunda foliis medio, tertia foliis apice latioribus, utraque indica praeterea racemis ex inno- vationibus ortis differt. Hypericaceae orientali - asiaticae, Elodes Adans. Fam, II. 444. Endl. Gen. pl. 5465. E. virginica Nutt. Gen. II. 17. Torr. et Gray Fl. N. Am. I. 167. Hypericum virginicum L. Cod. 5755. Var. asiatica m. H. virginicum Miq. Prol. 146. Franch.Savat. Enum. 1.56. Regel? Fl. Usur. n. 104. E. crassifolia Bl. Mus. Lugd. bat. II. 15. H. petiola- tum Miq. Prol. 146., nec Walt., nec Franch. Savat. I. 56. E. japonica BL. 1. c. Japonia: prov. Hiuga ad Norioka yama (J. Keiske!), - circa Yokohama aliisque locis Nippon mediae (ipse, Tschonoski), prope Hakodate variis locis (ipse); Mandshuria (Maack, ex Regel, planta nunc deest). Var. asiatica a planta americana multis notis differre ` videtur: in priore sepala erecta coriacea obtusa crasse vittata, petalis utrinque obtusis fere duplo breviora, pars connata filamentorum liberam aeguans, antherae vesicula ampla exserta, styli germine ovoideo vix breviores, capsula ovoidea, semina (in utraque qua- dratoovalia, seriatim insculpta) fere duplo majora. In planta americana inveni sepalà patentia membranacea ` acuta, tenuissime vittata, petala utrinque acuta, triente tantum calyce longiora, partem connatam filamentorum liberam multo superantem, vesiculam antherae minu- tam, saepe inclusam, stylos germine oblongo fere triplo breviores, capsulam oblongam. Folia vero, ex Blumeo in pl. japonica crassiora, inveni rarius etiam aeque tenuia ac in americana. Quum tamen in E. Fraseri 427 Bulletin de l’Académie Impériale Spach, Suites à Hulton, Ys 366. filamenta aeque alta ac in nostra d vero a S$. Watson Bibl. Ind. I. 124. E. virginicae Ni utt.synonyma habetur, notae adductae partim variare videntur, quamobrem etiam nostram tantum pro varietate habere malui. Planta asiatica magis juvenilis, interdum tamen et lusus, sistit H. petiolatum Miq., a planta americana (H. petiolato W alt.) facili negotio foliis sessilibus neque petiolatis cognoscendum. Crescit enim cum typo, in quem sensim abit, habeo denique specc. nondum flo- rentia juvenilia, quae folia omnia basi attenuata et alia, quae superiora basi rotundata gerunt. Stamina, ex Blumen in E. japonica altius connata, ex mea inves- tigatione aeque alte connata, ceterum vero nonnihil hoc puncto variabilia sunt. Hypericum L. Stamina 5-adelpha, styli 5. Conf. ad 2. » 3-adelpha, styli 3. Conf. ad 7 2. Frutices petalis staminibusque caducis (Norysca, Spach). 8. ° Herbae. Petala staminaque persistentia (Roseyna Spa ch) 5. 3. Folia cive in styli fere vis apicem connati. H. chinense L. » ovata vel elliptica 4. Styli in unicum SRE capitato connati RE ne RU Tea rec se م‎ on Styli liberi Lis EE ES 5, Flores magni petalis valde obliquis, styli ovario longiores, folia oblonga apiculata ... H. Ascyron L. H. formosanum m. H. patulum Thunb. OE. T MEME H. Przewalskii m. Folia deis oblonga apicis. pedunculi breves, styli ovario breviores ............. y Canis 3-locularis ge ach). 8. -locularis A Sekt: 14. 8. Folia connata..... » non connata. 9. H. Gebleri Ledeb. Y . H. Sampsoni Hce. H. hirsutum L. .........nnnmn...n...„........... bra. 10. $ 10. Caulis lineis 2 elevatis anceps, folia late ovalia. 11. Caulis teres 1l. Puncta foliorum numerosa majuscula, se- pala lanceolata H. perforatum L. Puncta foliorum minuta vel obsoleta, Sepala H. 886 686 6 ss KE ée RS Pen ess ee »e + + 6 ee RS Low o 2 s i "4 nn nn. Folia sessilia basi cordata, ovato- vel lan: ceolatooblonga. 18. 13. Puncta foliorum nigra, flores pauci........ H. erectum Thunb. » » pellucida, flores parvi n . Seniavini m. ET SC ge 14. ae ultra 50, petala calyce duplo longio- ra, folia late ovata emarginato-obtusa. . H. EN Ledeb. Stamina 10—25, petala calyce breviora vel vix longiora. 15. 15. Folia ovata amplexicaulia sessilia......... » oblonga petiolata basi attenuata. . H. mutilum L. attenuatum Choisy. . H, hakonense Fr. Sav. - H. oliganthum Fr. Sav. Fruticosa. l. H. chinense L. Syst. ed. X. p. 1184. (1759). Hance in Trim. Journ. of bot. 1879, 8. Choisy? in DC. Prodr. I. 545. Bge, Enum. Chin. n. 61. Norysca chinensis Spach, Hist. d. pl. V. 427. Blume, Mus. Lugd. Bat. II. 22. H. aureum Lour. Fl. Co- chinch. ed. Willd. 578. Norysca aurea Bl. l. c. 23. Hyper. chin. 8. Hook. Arn. in Voy. Beech. 172. N. punctata? Bl. 1. c. H. monogynum L. Sp. pl. ed. 2. p. 1107. (1763). Thunb. Fl. Jap. 297. H. salicifolium Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. I. 162 n. 194. Miq. Prol. 147. Franch. Savat. Enum. I. 55. N. salicif. Bl. 1. c. H. monog. var. salicifolia Choisy in Zoll. Verz. 150. Bioru vulgo Bijo Janági, Kaempf. Am. exot. 845. Kwa- wi Arb. III. 19. China: prov. Kwan-tung (fide Hance), Formosa prope Tamsuy (Oldh.! n. 29. pedunculis 1-floris, an sponte?), prov. Schensi urbe Han-tschun-fu cultum (Piasezki), Pekino cultum (coll. rossici). Japonia, anne tantum spontefactum: prov. Higo in m. Higo-san (ipse), Yokoska inter frutices (Savatier!), colitur in Nagasaki et Yokohama, nec non in hortis Calcutt.! et europaeis. Hoc sub titulo omnes species Blumeanas conjun- gimus, e sepalorum et foliorum forma, longitudine sta- minum et stylis pl. m. connatis distinctas, quae vero ne bonarum varietatum nomine merentur, exclusa fortasse sola N. punctata, mihi ignota, calyce foliisque nigro punetatis instructa. Stamina sub anthesi enim elongantur, primum stylos non attingunt, demum illos superant. Folia formae antiquissimae hortensis, e China australi receptae, descriptioni Loureirii bene respon- | dent et sessilia v. infima subamplexicaulia sunt. Planta Chinae borealis folia pariter sessilia et infima semiam- plexicaulia fert, sed folia et sepala jam interdum acuta, saepius vero obtusa habet. Pl. japonica cum illa congruit, sed folia sepalaque acuta frequentiora sunt. Folia a Blume perperam eglandulosa dicuntur, sunt enim dense minute. pellucidopunctata, non semper | bene distincte tamen. Puncta vero nigra pauca, de quibus ait Choisy, equidem in sepalis nunquam, in foliis rarissime vidi et pro fungulis parasiticis habeo, quae si frequentiora sunt fortasse N. punctatam Blumei sistunt. 2. H. formosanum, (Norysca) Fruticosum glabrum, ramis teretibus, summis compressis; foliis charta- 429 des Sciences de Saint - Pétersbourz. 430 ceis concoloribus sessilibus crebre pellucidopunctatis (punctis utrinque prominulis) ellipticis v. ovatis utrin- que acutiusculis; bracteis foliiformibus pedunculos 1- floros continuos superantibus; sepalis basi connatis quam petala oblique obovata triplo brevioribus acute oblongis; petalis caducissimis stamina duplo stylumque superantibus; stylis ex toto connatis stigmate unico capitato; ovario 5-sulcato placentis dorso sulcatis mul- tiovulatis. Formosa, prope Tamsuy (Oldham! n. 31.). Praecedenti proximum, sed foliis, staminibus brevi- bus et stigmate distinctum. Ramulis compressis, floris foliorumque magnitudine et indole H. patulo simile. 3. H. patulum Thunb. Fl. Jap. 295. Icon. t. 17. Miq. Prol. 147. Sieb. Zucc. 1. c. 161. Franch. Savat. l. c. I. 55. Hook. f. Fl. Brit. Ind. I. 254. N. patula Bl. l. e. 23. H. uralum Ham. ex Don in Bot. mag. 2375. Fl. Nepal. 218. Hance in Trim. Journ. bot. 1878, 104. N. oblongifolia Bl. I. c. 22. quoad synon. Don. H. oblongifolium W all. Pl. as. rar. t. 244. (non Choisy). Japonia: Nippon, prope pagum Susokatoge (Tex- tor!), Hakone (Tanakaet Ycutschima!)et frequenter cultum in hortis Yedo, Yokohama et Nagasaki (ipse); China: Chin-kiang (Hance), prov. Schensi (Piasezki); Himalaya! Don H. uralum et H. patulum enumerat et prius distinxit ramis ancipitibus, foliis planis nec margine revolutis, mucronulatis et stylis quam stamina brevi- oribus nec paulo longioribus. Vidi tamen et in planta japonica ramulos ancipites, folia mucronulata et simul margine revoluta, stylos vero saepius quam stamina breviores, quum in H urali specc. sat multis cultis et spontaneis stamina superant. Ita ut haec ob signa certe utrumque jungendum est. Attamen in longe numerosi- oribus exemplis ¿indicis antherae duplo minores quam in japonicis et tantum in iis ex Assam a Simons lectis aeque magnae; an hie latet dichogamia? Semina pl. japonicae oblonga recta lucidula minute striolata et sculpta, utrinque apiculata, castanea, pl. indicae mox similia, mox /, vel duplo breviora, late ovalia igitur. Frutex sesquipedalis e Schensi allatus quoad antheras et stylos ad H patulum, quoad ramulos et folia mu- cronulata potius ad H. wralum pertinet. Herbacea. 4. H. Ascyron L. Cod. 5741. Ledeb. Fl. Ross. I, 446. Miq. Prol. 147. Franch. et Savat. Enum. I, 55. Maxim. Fl. Amur. 65, 469. Roscyna japonica Bl. Mus. Lugd. Bat. IT. 21. Roscyna Gmelini Spach l. c. V, 430. H. pyramidatum Ait. h. Kew. ed. 2, IV, 422. Torr. et Gray l. c. I, 158. Roscyna americana Spach l. c. 431. Tomo-ye-só, Kusu bijó, Soo bokf, AIV, 34. China: parte boreali prov. Hunan (Hance in Trim. . Journ. bot. 1880, 259.), ditione fl. Pekinensis, prope m. In-schan (Tatarinow), m. Conolly, Takio-sze (Dr. Bretschneider), m. Siao- wu-tai -shan (Hancock!); Mongolia austroorientali, ad Siwan- tze (Artselaer!); Altai; Dahuria, Sibiria baicalensi ad Irkutzk, et orien- tali non procul ab Olekminsk (Kruhse!); Mandshuria tota usque ad fines Koreae, Korea, ad Port Chusan (Wilford!) et archipel Koreano (Oldham! n. 84.); Japonia: Nippon, in m. Hakone (Savatier!), prov. Nambu (Tschonoski) et cirea Hakodate ins. Yezo (ipse), cultum in Yedo; in Kamtschatka (Kegel!); in - America boreali. Hoe omne quantum vidi est a. genuinum m., sd quod sine vllo dubio ducendum est H. pyramidaum Ait. et florist. amer. Ipse Aiton tantum distixxit sepalis sub- rotundoovatis et caule 4-gono simplic? in H. Ascyro, sepalis ovatis acutis et caule subtetragono ramoso in H. pyramidato. Spa ch ad sectiones Roscynae diversas duxit, ob sepala H. Ascyri in floribus primariis valde inaequalia, 2 foliacea, in H. pyramidato subaequalia, nunquam foliacea. Sed tempore Aitoni innotescebat tantum pl. sibirica simplicior, illa ex Mandshuria et Japonia autem aeque ramosa ac americana. Sepala et in pl. asiatica vidi rarius acuta, in pl. americana vero passim obtusa et interdum inaequalia, nonnullis foliaceis. Reliqua omnia, imo quoad. capsulas et semina in utraque identica. Variat etiam pl. americana foliis multo angustiori- bus stylisque ovaris sesquilongioribus, ita ut talis jam accedat ad . longistylum m. 1. c. Foliis duplo angustioribus, stylo ovarium duplo superante, quam capsula parum breviore. Altai, Dahuria cum typo, Mandshuria passim, usque ad lacum Hanka (Przewalski), fl. Suifun (Golden- X x 431 Bulletin de l'Académie Impériale 432 stádt!) et Sungari (ipse), Mongolia cum typo, Ja- poniae ins. Kiusiu, ad pedem jugi centralis Kundsho- san. 5. H. Gebleri Ledeb. Fl. Alt. III, 364. Icon. t. 487. Fl. Ross. I, 446. Maxim. l. c. 461 et 65 (hic sub H. Ascyro, var. y. brevistylo m.). Trautv. et Mey. Fl. Ochot. n. 77, F. Schmidt, Fl. Sachal. n. 86. Roscyna Gebleri, Spach L c. V, 430. Altai, Songaria ad Noor-Saissan, Mandshuria: ad fl. Sungari (ipse) et Amur inferiorem (ipse, Augus- tinowicz), Sibiria austroorientali, ad Udskoi (Mid- dendorff!), Sachalin (Fr. Schmidt!). A praecedente distinctum flore duplo minore, stylis brevibus et seminibus utrinque appendicula obtusa membranacea semini aequilata instructis, neque utrin- que apiculatis. An H: Ascyron brevistylum Debeaux, florule du Tchéfou n. 19., revera huc, ob defectum speciminis affirmare nequeo. 6. H. Przewalskii. (Roscyna Spach). Pluricaule gla- berrimum, caulibus subsimplicibus teretibus polyphyl- lis; foliis versus basin caulis cito decrescentibus et approximatis, infimis minutis obovatis, sequentibus ovalibes. reliquis ovatoellipticis, omnibus sessilibus basi cordatis ape emarginatis, pellucide punctatis subtus glaucis; floribes apice caulium ternis, centrali quam flos lateralibus quam folium longi ; sepalis erectis oblongis inaequalibus fructu. aceretis, petalis ob- longis paulo obliquis duplo longioribus stamina stylosque ultra medium connätos ovarium superantes aequanti- bus; capsula ovoidea acuminata. een prov. Kansu, parte alte alpina occidentali, ad fl. Yussun-Chatyma (Przewalski, 1880). Statura H. Gebleri, cui proximum, sed foliis et pe- dunculis stylisque elongatis diversum. A H. Ascyro, eujus stylos habet, flore duplo minore, petalorum foliorumque forma سوا الل‎ Folia usque 45: 25 mm. magna. Corolla lutea, diam. plus quam 20 mm., sicuti calyx epunctata, stamina 5- adelpha phalangibus 15-andris distinetis, antheris sub- globosis eglandulosis. Ovarium S او‎ laeve, pariete tamen trans lucem viso tenuissime parallele pellucido- vittato. Semina valde immatura, ita ut capsula denique verosimiliter quam illa afntum. non minor. 7. H. Sampsoni Hance in Seem. Journ. bot. 1865, 378. Franch. Savat. En. I, 55. H. looo pim Maxim. in Bull. Acad. Pétersb. XII, 60. (1867). Tsuke-nuke-otogiri, Soo bokf, XIV, 31 Japonia: cirea Nagasaki sat frequens; China: Ningpo (Forbes!) Canton (Sampson! misit Hance), Formosa boreali, prope Tamsuy (Oldham! n. 30.);—? Khasia in Himalaya orientali (file Dyer in Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 255) Ob sepala subaequalia, ovarium haud 3-coccum sed 3-loculare et stamina 3-adelpha ad Hypericum sensu Spachii pertinet, sed in nullam e sectionibusa Spach, Jaubert et Spach et Boissier propositis bene qua- drat. Capsula vesiculifera et semina profunde longi- tudinaliter striata Drosocarpia referunt, quibus a Hanceo adnumeratur, sed obstant sepala integra; Milleporum esse nequit ob capsulam evittatam char- taceam. Plantam indicam a Simons in Khasia lectam, ex Dyer, non vidi, sed examinavi ab eodem collectore 1 in Assam lectam, ex herb. Calcutt. missam, et hanc ab Sinico-japonica diversam inveni sepalis basi attenuatis, pellucidopunetatis, nec vittatis, duplo longioribus, mar- gine non nigropunctatis, et ovariogloboso nequeovoideo. etalorum indolem in exemplo male conservato exa- minare non contigit, stamina tamen etiam 3-adelpha. Ob signa adducta pl. Indiae conspecificam esse dubi- tare licet. 8. H. hirsutum L. Cod. 5762. Ledeb. Le 449. Spach lI. c. V, 391. Mongolia boreali-occidentali, declivitate jugi Thian- schan septentrionem spectante, regione sylvosa fl. Kungess (affl. Ili) rarum (Przewalski, 1877). Distrib. a Songaria et Altai per Rossiam australem et mediam nec non Caucasum in Europam occidentalem usque in Sueciam, Angliam et Hispaniam. 9. H. perforatum L. Cod. 5758. Led. Fl. Ross. I 447. Spach l. c. V, 388. Dyer in Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 255. Mongolia boreali: in jugo Altai australi ad fl. Kan- dagatai (Potanin), inter fl. Tschuja et urbem Chobdo (Kalning); China occidentali, parte boreali prov. Schensi ad fl. Han (Piasezki). Distr. ab Altai occi- dentem versus. Var. confertiflora Debeaux fl. du Tchéfou, 35. in Act. soc. Linn. Burdig. vol. 31: «floribus quam in 433 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 434 typo duplo majoribus densisque in corymbum termina- lem dispositis ». China borealis: prov. Schan-tung, in pratis sabu- losis litoris prope Yan-tai, ex Debeaux. Sepala quam in pl. europaea breviora dicuntur. — Var. haee mihi ignota. 10. H. attenuatum Choisy in DC. Prodr. I, 548. Ledeb. l. c. 448. Turcz. Fl. Baic. Dah. I, 251. Maxim. Fl. Amur. 65. Hance in Trim. Journ. bot. 1874, 259 et 1878, 104. Sibiria baicalensi ad Irkutzk et lacum Baikal; Da- huria; Mandshuria: ad Schilkam inferiorem et Amur superiorem pluribus locis (ipse, Augustinowicz), ad fl. Sungari, Amur australem et partem inferioris rarius, nec non secus Usuri fl, (ipse), ad fl. Mo affl. lacus Hanka (Przewalski!), sinum St. Olgae (F. Schmidt!) et Possiet (ipse), fl. Suifun (Golden- stádt!), Mongolia australi: ad Siwan-tze (Artselaer!), in jugo Muni-ula, rarum (Przewalski, 1871); China media (fide Hance): Chin-kiang (Stronach) et Kiu- kiang (Móllendorff) — pl. chinensem non vidi. — Praesto est denique, H. kamtschatico admixtum, e Kamtschatka in herb. Fischer, quoad patriam tamen valde dubium. Sepala variant acute ovata et lanceolata. Semina cum illis H. erecti subidentica. Simillimum sequenti, sed dis- tinctum (an semper?) caule ob lineas elevatas a petiolis decurrentes subancipiti, foliis minute pellucide mar- gineque nigropunctatis, basi attenuata semiamplexi- caulibus, innovationum et caulium floriferorum consi- milibus, flore triente majore, sepalis petalisque apice nigropunctatis, staminibus petala aequantibus v. super- antibus, ` capsula basi attenuata calyce plus duplo lon- giore. H. attenuatum Lk. Enum. h. berol. II, 275(1822) nomen quidem Choisyano (1824) vetustius, sed ex spec. culto in herb. Schraderiano certe nil nisi Webbia platysepala Spach, quae ipsa a H. canariensi L. (Webbia apud Spaah) non differt nisi sepalis ob- tusis, quae tamen in omnibus speciebus Canariensibus mox obtusa mox acuta variant. 11. H. erectum Thunb. Fl. Jap. 296. Miq. Prol. 147. Bl. Mus. Lugd. Bat. II, 25. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. I, 162. H. attenuatum F. Schmidt, Tome XXVII. Fl. Sachal. n. 87, nec Choisy. Ofo-giri-só, Soo bokf, XIV, 30. Tota Japonia, nec non in Sachalino. Caulis terep. Fola ubique v. ad marginem nigro- floriferi bed latiora E Genie, ovato- oblonga) obtusa cum apiculo? Cyma composita sae- pissime densa. Sepala lanceolatooblonga obtusiuscula petalaque saepius tota nigropunctata lineataque. Sta- mina petalis '/ saltem breviora, antheris glandula nigra superatis. Styli staminibus breviores, ovario duplo longiores, divergentes. Capsula ovoidea, stylorum basi- bus brevibus rectis coronata, crebre parallele tenuiter vittata, calycem fere vel plus duplo superans. Semina ovalia viridulobrunnea, minute lineata atque celluloso- sculpta. Specc. a Tschonoski in Nippon media lecta, ad var. obtusifoliam Bl. l. c. pertinentia, foliis basi non latioribus minus amplexicaulibus, sepalis petalisque punctatis neque lineatis H. attenuato accedunt, sed ob caulem teretem, sepala lanceolatooblonga et fructum minorem ad H. erectum ducenda. Sunt verosimiliter individua primum florentia, quibus folia iis sureulorum similia et inflorescentia pauperior propria videntur. Ipse prope Yokohama legi specimen calyce foliaceo capsulam fere aequante a typo abludens. H. maculatum W alt. a nostro vix specie differt caule nigropunctato, punctis nigris foliorum crebrioribus, flore fructuque triente v. fere duplo minoribus. 12. H. hakonense Franch. Savat. En. II, 298. H. petiolatum lidem ibid. I. 56, nec Walt. nec Miq. H. spec. dubia Miq.! Prol. 368. (ad spec. Itó Keiskei VII (nec XIII) n. 609. s. n. Hime otogiri-só). Nippon: Hakone (Savatier! n. 157° s. n. Hyperici spec.), ibidem alio loco (Tanaka et Ycutschima! steril.), Fudzi-yama, supra sylvas (ipse). Foliis linearioblongis distincte petiolatis, vulgo subtus glaucis, crebre glandulosopunctatis a H. erectc bene distinguendum. 13. H. Seniawini. (Taeniocarpia, Jaub. Spach) gla- brum, caule tereti fastigiatoramoso, foliis subpetio- latis subcordato-lanceolatis obtusis, punctis pellueidis magnis numerosis; floribus parvis in cymas densas multifloras trichotomas apice caulis ramorumque dis- positis; sepalis oblongolanceolatis acutis vittatis mar- der A 435 Bulletin de l’Académie Impériale 436 ine nigropunctatis quam petala anguste oblonga ver- sus marginem superne parce nigropunctata plus duplo brevioribus; antheris nigroglanduligeris sepala pauloque stylos supereminentibus; stylis ovario anguste ovoideo 3-sulco longioribus. -= E China australiore a Seniawin datum in herb. Fischer. Flores parvi H. corymbosi Mühlbg. vel H. erecti Thunb., sed ab utroque diversum punctis crebris pel- lucidis foliorum, petalorum punctis nigris parcis et inflorescentia minus foliosa, ab H. erecto floribus multo. numerosioribus, a H. corymboso floribus magis dissitis. Folia crassiuscula, 30: 8 mill. magna, punctis su- perne non, subtus valde prominentibus. Sepala 2,5 mill, petala 7—8 mill. longa. Stamina numerosa 3- adelpha, ovarium 3-loculare. Capsula ignota. 14. H. Kamtschaticum Ledeb. Comment. in Gmel. ex Fl. Ross. I, 447. Hyper. n. 3, Gmelin F1. Sibir. IV, 179. Kamtschatka! Subsimile H. elliptico Hook., sed jam stylis haud connatis abhorrens. Speciei post Gmelinum a nemine visae sequitur diagnosis: (Seet. Brathys Mut.) Spithamaeum herbaceum gla- brum, caule simplici erecto tereti, foliis parce nigro punctatis amplexicaulibus late ovatis apice rotundato emarginatis; cyma foliata pauciflora, pedicellis folio florali brevioribus; sepalis inaequalibus obtusis peta- lisque duplo longioribus oblongis nigropunctatis, sta- minibus circa 60 breve 1-adelphis sepala superantibus quam styli brevioribus, ovario late ovoideo 3-sulco 1- loculari stylis divergentibus breviore. Pedale, tenue. Folia membranacea opaca non pellu- cide punctata, a 17: 12 usque ad 27: 15 mm. magna. Flos diametro 24 mill. Petala post anthesin corrugata inflexa. Antherae glandula nigra innata. Stigmata sub- . lateraliter capitellata. 15. H. oliganthum Franch. Savat. Enum. pl. jap. H, 299. Japonia (Savatier, fide Franchet); ins. Kiusiu ad pedem vulcani Wun-zen, pratis siccioribus (i pse). Ob ovarium 1-loculare ad Brathyn pertinet, stamina circa 20— 24, flores fere sequentis. Affine H. elliptico Hook., quocum comparaverunt cl. auctores speciei, quod autem floribus multiplo majoribus distat, nec non H. canadensi L., radice annua diverso. 16. H. mutilum L. Cod. 5770. Torr. et Gray, FI. N. Am. I, 164. c. synonn. Mart. Fl. Brasil. fasc. 81, p. 186. c. synonn. H. japonicum Thunb. Fl. Jap. 295, t. 31. Miq. Prol. 147. Hancein Trim. Journ. bot. 1874, 259. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. I, 163. Benth. Fl. Hongk. 23. Franch. Savat. l. c. I, 56. Hook. fil. Fl. Brit. Ind. I, 256. Brathys quinque- nervia Spach in Ann. sc. nat. 2 ser. V, 367. D. ja- ponica, B. laxa et forsan aliae, Bl. Mus. Lugd. Bat. II, 19. H Thunbergà Franch. Savat. En. II, 300. Himé otogiri-sö, Soo bokf, XIV, 32. Per totam Japoniam, a Kiusiu usque ad Yezo austra- lem, frequens, Chinam mediam (Kiu-kiang, Shearer!) et australem (Hongkong, Wright!, Formosa, Oldh.! n. 31), Indiam!, Ceylon!, Tasmaniam!, Novam Zelan- diam!, Americam borealem! et australem! H. mutilum sensu auctt. American. hic acceptum est, vix tamen videtur planta Linnaei, saltem ex phrasi ejus in Mant. II, 456. e Gronovii fl. Virgin. 88 mutuata: «folia cauli tam arcte adpressa, ut vix con- spicua», quod tantum quadrat in H. Sarothra Michx. H. japonicum cum H. mutilo nullibi comparatum inveni nisi apud Franchet et Savatier, qui novam speciem ab iis propositam (H. Thunbergii) posteriori nimis fortasse affinem declarant. Revera inter utramque speciem nullum discrimen. Contigit quidem tale pri- mum invenire in seminibus pl. americanae et austra- liensis laevibus, asiaticae longitudinaliter sulcatis, sed postea semina suleata rarius et inter americanas, sub- laevia in 051011615 inveni. Adsunt etiam variationes in longitudine stylorum, mox '!4, mox 1 ovarii aequan- tium, et petalorum, quae calycem aequant vel exce- dunt vel non attingunt, sed secus locum et aetatem (in floribus serotinis breviora) variant. — Quoad ha- bitum quum in Asia, tum in America duplex occurrit lusus: alter foliis magis crassis opacis, caule simpli- ciore versus apicem tantum pauciramoso, alter foliis tenuioribus cauleque ramoso. Prior nascitur tempore , | Sicciore v. in oryzetis exsiecatis, posterior locis humi- dioribus, et observavi atque collegi individua, ubi caulis folia erassa opaca, rami vero pellucida gerunt, vel folia inferiora caulina opaca et crassa, superiora vero membranacea formantur, ita v. gr. si oryzetum A37 des Sciences de Saint = Petersbourg. 438 v. alia statio humidior fit. Plantula primum florens bracteas foliiformes, tum elongata sensim angustiores format, ita ut signa a cl. Franchet ex bracteis obtusis et acutis petita minimi pretii habenda, eo magis quum in americanis etiam utraque bractearum forma obve- nit et bracteae acutae cum foliis opacis et pellucidis promiscue occurrunt. — Nihilominus ex patria obser- vatur differentia quaedam habitus: species in America boreali luxuriat foliis majoribus, internodiis breviori- bus cauleque ramosiore, in Japonia et Asia tropica aeque alta, gracilior tamen occurrit, in America au- strali palmaris simplex et parvifolia, in Australia per- nana invenitur. Pl. europaea, cum Oryzae seminibus, ut opinant, ex America boreali introducta, habitu cum japonica magis quam cum vulgatiore boreali-ameri- cana consentit. Obveniunt tamen et inter americana, ut jam dixi, specc. gracilia, crassifolia, simpliciora, omnibus punctis japonicis simillima. — Inter specc. indica adsunt exempla dense caespitosa, quae tamen ex indivi- duis numerosis una ex capsula enatis constare videntur. In Japonia vulgo palmare, rarius tamen et sesqui- pedale, stamina 10 — 20 variant libera, brevissime 1- vel 3-adelpha. | Inter specc. indica vidi nonnulla foliis basi non cor- datis, ovalibus, quae mihi dubia sunt et bonam saltem varietatem sistere videntur. Species dubiae. H. olympicum Lour. Fl. Cochinch. ed. W. 577.— nec Linn., e Cantone et Cochinchina, arbor, ex autore, 10-pedalis, foliis ovatolanceolatis, pedunculis laterali- bus et terminalibus subbifloris, flore luteo, staminibus 3-adelphis, capsula triloculari polysperma. H. petiolatum Lour. l. c. — nec Walt., e Can- tone, dicitur frutex diffusus tripedalis, foliis petiolatis vix tomentosis late lanceolatis, pedunculis axillaribus et terminalibus plurifloris, flore flavorubro, staminibus 3-adelphis cum glandulis 3 magnis alternantibus, cap- sula ut in praecedente. H. cochinchinense Lour. 1. c. Lindl. in Trans. hort. soc. VI, 67. e Cochinchina (Loureiro) et Macao (Lindley). An Cratoxylon polyanthum Korth.? Cratoxylon Bl. C. polyanthum Korth. in Verh. Nat. Gesch. Bat. 175, t. 36. Benth. Fl. Hongk. 24. c. synn. China australis: Hongkong (Forbes!), Whampoa (Hance!) nec non in Philippinis et archipelago Ma- layano. — Zygophyllum Potanini. Perenne glabrum, caulibus dif- fusis dichotomis, foliis petiolatis bijugis foliolis oblique obovatis 2—3-nerviis, rhachi alatomarginata; floribus alaribus geminatis pedicello sub anthesi breviore, po- stea longiore; calyce colorato petala superante, stami- nibus paulo, stylo elongato magis exsertis, filamenti squamula basi adnata; fructu nutante orbiculato late alato loculicido; seminibus contiguis imbricatis elevato- papillosis atris. Songaria: in montibus Tarbagatai, ad rupes Kon- bucha (Potanin); Mongolia: declivitate australi jugi Thian-schan (Potanin), inter oppida An-ssi-tscheu et Hami (Piasezki). Affine Z. Karelimi Fisch. et Mey. (Z. Lehman- niano Bge), Z. pterocarpo Bge et Z. macroptero C. A. Mey. Prius, simillimum, differt radice annua, foliolis ]-nerviis, squama filamento fere ex toto adnata, stylo pedicelloque in fructu immutato brevissimis, seminibus albidis; secundum foliolis capsulaque oblongis, tertium capsula basi tantum dehiscente, petalis calyce longio- ribus, caule scabropuberulo aliisque notis. Z. portula- coides Cham. denique foliis saepe 3-jugis, petalis nul- lis, capsula pentagona nee alata abhorret. Palmare v. paulo altius, fragillimum. Foliola plana, 10: 5 usque 30: 20 mm. magna. Calyx 7 mm. lutes- - cens, Petala spathulata, sepalis duplo saltem angu- stiora, ad medium staminaque aurantiaca. Capsula 15—18 mm. longa et lata, chartacea. Semina in lo- culo 4— 5, pendula (in Z. Karelini vidi in capsula erecta ascendentia, in nutante pendula). Zygophyllum mucronatum. Perenne multicaule dichotome ramosissimum, caule foliisque parce aculeatoscabris; fo- liis petiolatis trijugis, foliolis planis crassis linearioblon- gis mucronatis; floribus axillaribus singulis, alaribus dum adsunt geminis, suberectis; pedicello longitudine calycis, petalis albis vulgo sepala, staminibus longioribus petala superantibus, squama filamenti laciniata; cap- sula nutante 5-angula cylindrica utrinque acuminata; seminibus in loculo 2—3 oblongis haud imbricatis. Mongolia australi: montibus Alaschan, in deserto aridissimo (Przewalski, 1873); China occidentali: EC T iE oce d bt EE. 439 Bulletin de l’Académie Impériale prov. Kansu, valle fl. Hoangho, ad austrum urbis Lan-tscheu (Piasezki, 1875). Affine Z. subtrijugo C. A. Mey. et Z. Melongenae Bge. Prius differt glabritie, foliolis latioribus obtusis, capsula utrinque rotundata, secundum pube molli, fo- liis subbijugis, foliolis obovatis obtusissimis, flore nu- tante et fructu late elliptico utrinque rotundato. Specimen e Kansu ultra spithamam altum, plus quam pedem latum, parce aculeolato-scabrum, exem- pla alaschanica vix palmaria densissima, multo sca- briora. Folia margine aculeolatoscabra, passim laevia, rhachi 6—10 mm. longa, 1 mm. lata, apice breviter subulato -appendiculata, foliola 5 — 8 mm. longa, 1— 1,5 mm. lata, apice obtuso cum mucrone hyalino. Pedunculi floriferi 3—5 mm., fructiferi 5—8 mm. longi. Sepala 5 mm., petala 7 mm., sed in alaschanicis in eodem individuo calyce duplo breviora occurrunt. Squamae lineares dimidiae adnatae. Capsula 15 — 18 mm. longa, 3 mm. lata, videtur indehiscens. Semina 3 mm. longa, oblonga, compressa, laeviuscula, nigre- scentia. Biebersteinia heterostemon. Tota glandulosa et villosa, radice tenui fusiformi; stipulis liberis ovatis longe acu- minatis; foliis omnibus petiolatis ambitu elliptico-lan- ceolatis paucijugo-subbipinnatisectis, laciniis pinnatifi- dis, lacinulis paucis lanceolato-linearibus acutis; brae- teis praeter infimas ovatis cuspidatis; thyrso multifloro denso pedunculis erectopatulis 3— 2-floris pedicellos triplo, his calycem duplo superantibus; sepalis ovatis acutis petala obovato-oblonga apice obsolete triloba fere aequantibus; glandulis tori stipitatis reniformibus; filamentis glandulas spectantibus squama ovata trun- cata acuta v. 2-cuspidata longe ciliata appendiculatis, alternis subulatis glabris. - China occidentalis: prov. Kansu, in ripa sinistra fl. Hoang-ho prope Lan-tscheu (Dr. Piasezki), jugis alpinis secus fl. Tetung, in pratis passim frequens (Przewalski). ` B. multifida DC., cui soli subaffinis , differt: radice tuberosa multicipite, stipulis truncatolaceris, foliis fere omnibus sessilibus, ambitu linearibus v. linearilanceo- latis, densissime multijugis, lacinulis crebris linearibus; racemo subpaucifloro laxo, pedunculis patentibus ab- ortu 1-floris pedicellum 3—10-lo superantibus, hoc calycem subaequante, sepalis óvatooblongis filamentis- Ld que omnibus sensim subulato-attenuatis, glandulis tori sessilibus. Celastraceae Asiae orientalis. Euonymus L. ') Clavis specierum dichotoma. =. semine brevior. 2. » emen totum vestiens 2. Ramali s verrucosi, im opposita membrana- COR. Tructüs GEASS CESED ae qe E.verrucosa Scop. Ramuli laeves, folia coriacea saepe alterna, fructus dorso breve alatus................ E. nana M. B. 9. Capsula 4-partita, rami saepe corticatoalati. E. alata Thbg. Capsula lobata v. Kite E a. 4. 4. PUE coriacea Ge nacea a 9. ss... 6. Capsula lobata 7 » subglobosa vix 4-sulcata, frutex pro- PACS TREND E ea CRT E.hederacea Champ. Ze en en ire pides ist les ..... E. chinensis Lindl. undalis arasi e cov E. japonica Thbg. ges res virentes...... . longifolia Champ 8. Folia AE Geng iis, » ovalielliptica, flores purpurascentes . 9. Gemmae acuminatae Rege pedunculi gra- ciles (normales) multiflori. Gemmae acutae ovatae, ao pauci- v pluriflori. 13. 10. Capsula alata. 11. » lobosa, flores purpurascentes... 11. Tetramerae. 12. nn alae descendentes, flores atro- BEE Lin nase cn, E. sachalinensis m. 2. Alae 1 0 rdantes: flores ie Ta folia oblongoobovata EE د‎ E. macroptera Rupr. Alae basi apiceque co Sep SÉ nn nds over: à E. schensiana m. . E. laxiflora Champ. .. E. oxyphylla Miq. بم E. nipponica m. rennes ones een . Bungeana m. 15. Flores minuti in pedunculo tenui. 16. » majusculi in pedunculo firmo striato, petas albida SS AG rr Vin E. europaea E 16. Folia PRE foror videos. e 2 . E. ussuriensis m. lanceolata parva, flores atropurpurei . E. Przewalskii m. Sempervirentes. Tetramerae. 1. E. japonica Thunb. Fl. Jap. 100. Bl. Bijdr. 1147. Siebold, syn. pl. oecon. n. 269. Banks, Ic. Kaempf. t. 8. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. I, n. 156. Hook, Arn. Bot. Beech. 261, t. 54. (fl., opt.). Miq. Prol. 17. Regel in Ind. sem. h. Petrop. 1866, 102. Franch. Savat. Enum. I, 79. Iso Kuroggi 1) Apud Linnaeum masculini, apud Plinium vero feminei generis. 441 des Sciences de Saint~ Pétersbourg. 442 i. e. k. littoralis, aliis Bupó et Mayumé, Kaempf. Am. exot. 790. Per totam Japoniam frequens: Kiusiu, circa Naga- saki, in littore et alibi (Oldham!, ipse), Nomosaki, in montibus abruptis ad mare (ipse), regione littorali princip. Hizen (Buerger!); Nippon (Thunberg): Hakone, Octobri frf. (ipse); Yokoska, in sepibus (Sa- vatier!), circa Yokohama, vulgaris, Junio fl., Novembri frf. (ipse); Yezo: Hakodate, in hortis, Konoma, in fruticetis non rara, et alibi; Bonin-sima (Hooker et Arnott, Small! frf.). Utuntur pro sepibus vivis. Japonice masaki, fide Siebold. 8. radicans Miq. l. c. 18, 373. E. jap. varr. t, x, À, u, Rgl. 1. e. 103. E. radicans Sieb. herb., Miq. 1. c. 366 (herb. Itó Keiske n. 127! s. n. tsuru masaki). Franch. Savat. l. c. I, 79. In montibus Nippon spontaneam observavit K eiske, fide Siebold mss.; in hortis saepe colitur, foliis di- verso modo variegatis, v. c. Yedo (ipse), ita et in Europam introducta; Yezo: circa Hakodate, in sylvis rupibusque humo prorepens frequens, sterilis, in sylvis Onoma et Mohidzi arbores usque ad altitudinem 20 ped. ascendens, fine Octobris fructif. (ipse). - Siebold, qui tantum sterilem observasse videtur vel saltem sine fructu, E radicantem distinxit (in adnot. mss.) caule verrucoso radicante et foliis mino- ribus ellipticis. Species quoad aetatem et stationem valde varians. Var. 8. in sylvis et ad rupes terrae appressa et ste- rilis, fibris radicalibus crebris e caule erumpentibus, folis parvis in eodem individuo late ovalibus apice rotundatis, brevissime petiolatis (12: 7 ad 17: 12 mm. magnis), ovatis obtusis distincte petiolatis v. ellipticis obtusis (18: 12 ad 25: 16 mm. magnis). — Arbores ascendens paulatim magis macrophylla fit et petiolis normalibus (6 — 10 mm. longis) praedita, lamina variante a rotundato- ovali (40: 35 mm.) in ellipticum (40: 25 mm.) ramis adhuc radicantibus. Talem, arbores 20 pedes usque ascendentem, trunco digitum majorem crasso, vidi fructiferam. Apice enim non amplius re- pet, folia pl. typicae format obovata v. elliptica (30 : 17 ad 55:35 mm. magna) et fructificat. Pedunculi fructi- feri tamen saepius solito breviores, petiolum parum v. non superantes, et fructus vulgo pauciores (1 v. 2). Flores tantum in spece. cultis observavi, ubi omnibus punctis eum typicis congrui, foliorum vero indoles mi- nus mutabatur, quam in vetustis spontaneis. Hac varietate multo frequentior est status normalis, qui fruticem erectum, 4 — 8-pedalem v. arbusculam pedem usque crassam, fere a basi ramosam et dense frondentem sistit. Hunc statu juvenili non vidi, nescio igitur, an semper juventute repat v. tantum locis um- brosis. Folia vero etiam valde variabilia, a rotundato- ovali per ellipticum in obovatum et hoc in eodem ramo ludentibus. Spece. florentia et fructifera mox foliis ellipticis breve obtuse acuminatis (40: 20 mm. magnis) v. acutiusculis, v. (in pl. e Hakone) lanceolatoellipticis acuminatis, solito minoribus (45: 15 mm.) vel in culta (variegata) et pl. e Bonin lanceolatooblongis obtusis (50: 15 mm.) v. in arbore vetusta forma variis, usque ad 90:55 mm. magnis. — Folia a medio versus apicem serrulata, serraturis mucronulo atro facile caduco cre- nulata, crenis mox fere obsoletis mox distinctissimis et magnis. La Nostrae proxima videtur E. crenulata Wall., quae foliis vulgo subintegris, margine revolutis, fructu tur- binato floreque duplo majore petalis fuscis diversa (vidi specc. Schmid n. 106, Metz n. 1544 et Wight n. 444 distrib. Kew.). E. theaefolia Wall. (Griffith n. 1960, hb. Calcutt.!), quam Miquel E japonicae nimis affinem putat, abhorret foliis utrinque lucidis impresso-rugosis, ovato- v. rite lanceolatis acuminatis, pedicellis divaricatis elongatis. JE. pendula Wall.! (vidi etiam e Srinagur, Gurhwal: Falconer n. 362, et a Royle lectam), quam primum pro Æ. japonica habebat Wallich in Roxb. fi. Ind. ed. Carey, II, 405, bene distincta trunco arboreo ramis gracilibus pendulis, foliis lanceolatis acuminatis gegen, ser- raturis crebris incumbentibus in mucronem pallidum sensim attenuatis, nec non flore duplo majore. 2. E. chinensis Lindl. in Trans. hortic. soc. VI, 74. (1826)—nec Lour. Walp. Repert. I, 530. E. nitidus Benth. in Lond. journ. of bot. I, 483. (1842) et Fl. Hongk. 62. Seem. Bot. Herald, t. 83. Hooker fil. Fl. Brit. Ind. I, 610. China (Lindley! flor.): Hongkong (Wright! fl. frf., Forbes! frf). India: Bengalia (Griffith! n. 1970), ex Hookero fil. verosimiliter culta. — Londini sub dio culta perennavit, teste Lindleyo. Planta homonyma Loureirii (fl. Coch. 194) quum 443 Bulletin de l’Académie Impériale 411 plane ad aliam familiam pertineat?), nomen Lindleyi vetustius restituendum est. Bentham, l. prius citato, plantam suam sub nom. E. chinensis in horto societatis Londinensis jam multos annos abhinc vidisse asserit, sed descriptionis Lind- leyi, qui Loureiroanum nomen ne nominat quidem, ignarus novum nomen dedit, quia planta in Lourei- rianam minime quadrabat. Ex Lindley, qui florentem tantum novit, E. vaganti Wall. et Æ. japonicae Thunb. affinis, me judice proxima E. theaefoliae Wall., quae differt petalis ru- bellis, stylo distincto, fructu subgloboso vix angulato duplo saltem minore. Quum planta Lindleyi fere ignota sit, specimen ejus, olim cum Fischero communicatum, describam. — Ramulus annotinus 5 cm. longus, 1'/,mm. crassus, acute angulatus, glaberrimus, versus apicem folia 4 internodio 1 cm. longo sejuncta gerens, cum cicatrici- bus aliorum duorum ad basin. Folia petiolo 5 — 6 mm. fulta, coriacea, utrinque lucidula et elevatoreticulato- venosa, profunde viridia, costis tenuibus utrinque cir- citer 6 ante marginem arcuato-conjunctis, lanceolato- obovata breve acuminata, margine subcartilagineo a medio minute incumbenticrenulata, 47-55 : 19 — 18mm. magna. Inter folia suprema surgit ramulus innovans 6 cm. longus, paulo tenuior, 4-angulus, basi perulis 2 coriaceis lanceolatis fultus, tum parvis inter- vallis perulas 4 similes, post internodium 1 cm. longum par perularum linearium 5 mm. longarum gerens, item post spatium 2 cm. cicatrices 2 perularum, tum post internodium 18 mm. longum par foliorum, inter quae nascitur par foliorum juvenile. Folia novella chartacea, elliptica, utrinque acuminata, lamina 45 —47 : 21 — 22 mm. magna, crenis mucronulo atro deciduo terminatis. Stipulae setaceae minutae fugaces. Pedunculi ex omnibus perularum axillis praeter imas, oppositi, erectopatuli, tenues, 25— 28 mm. longi, apice bracteis 2 submembranaceis line- aribus 1—2 mm. longis instructi, 3- vel 2-chotomi, pedunculis lateralibus 9—12 mm., apice iterum 2- bracteatis et 2— 3-chotomis, bracteis squarrosopaten- tibus. Pedicelli nudi filiformes 5—6 mm. Calyx diam. 3 mm., laciniis depressorotundatis. Petala 4 transverse orbiculata basi subcordata in unguem bre- 2) De E. chinensi Lour. confer ad calcem inter species e genere exclusas. vissime attenuata, integra, patentia, 2 mm. longa. Antherae 4 quadratorotundatae luteae, filamento bre- vissimo latissimo. Stigmata sessilia. Pentamerae. 3. E. hederacea Champ. in Kew journ. of bot. III, 333. Benth. fl. Hongk, 63. Hongkong, unico loco abundans, ceterum rara (ex Bentham). _ Ovula, contra characterem genericum, pendula des- cribuntur. 4. E. longifolia Champ., Benth. ll. cc. Hongkong, rara, ex Bentham. 5. E laxiflora Champ. 1. c., nec Bl. Benth. Le Hongkong, rara, teste Bentham. Omnes tres non vidi. Foliis deciduis. Miror, cur Bentham et Hooker Gen. pl. I, 361 et Baillon, hist. d. pl. VI, 30. Euonymis folia persistentia tribuerunt, dum exstat in temperatioribus sat magnus specierum numerus et E. fimbriata W all. inter éndicas, foliis caducis instructus. Gemmae elongatae imbricatae. 6. E. schensiana, Glabra, perulis margine lacero atro- purpureo, ramulis teretiusculis; foliis petiolatis lanceo- latis vel linearilanceolatis utrinque acuminatis nervo excurrente mucronatis, a basi argute setaceoserrulatis laevibus utrinque opacis; pedunculis folia duplo super- antibus multifloris, pedicellis divaricatis; capsula laevi cruciatim 4-alata, utrinque truncata, alis loculum superantibus, calycis laciniis depresse orbiculatis. China occidentalis, prov. Schensi, urbe Han-tschun- fu, init. Maji fr. nond. mat. (Dr. Piasezki). Proxima E. frigidae Wall! (vidi typum et var. e Sikkim, frf. a Treutler collectam), quae tamen sem- pervirens, perulis integris ochroleucis elongatis (nec rotundatis), foliis basi obtusis apice caudatoacuminatis remotius cum mucronulo caduco crenulato-serrulatis, pedunculis folio aequalibus vel brevioribus, fructus loculo alam superante. E. angustifolia Pursh (v. fruc- tif.), foliis caducis conveniens, ramis 4-angulis, foliis brevissime petiolatis discoloribus fructuque echinato, praeter alia signa abhorret. 5 Spec. 1. collectum sistit ramulum 11 em. longum, versus basin ramulos duos oppositos 2 cm. longos et supra illos alium brevissimum ferentem, apice omnium 415 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 446 innovantem, pennam corvinam crassum, cortice vetusto castaneo laevi, recente albido. Innovationes 5— 25mm. longae, perulis basalibus et pedunculos fuleientibus jam caducis, gemmarum terminalium subsex imbricatis virentialbidis margine latiusculo atropurpureo passim fisso, infimis rotundatis, reliquis ovatis obtusis. Paria foliorum in ramulis 1 — 3approximata. Petioli 3 — 6mm. longi. Laminae 30:12 ad 35:15 mm. magnae, char- taceae, subglaucovirides, costis utrinque 4— 5 debilibus arcuatis indistinctis, versus marginem anastomosanti- bus, serraturis sensim in mucronem atrum attenuatis. Pedunculus superstes unicus 70 mm., radius lateralis (reliquis abortivis) angulo obtuso divergens 40 mm., tum item singulus lateralis (altero deciduo) ad latus dejectus 8 mm., et cum illo subcontinuus pedicellus 18 mm. longus, capsulam 1 ferens. Capsula rubens, nondum matura diam. 20 mm., altitudine 5 mm., alis 8 mm. longis, 6 mm. latis, planis, apice rotundatis. 7. E. macroptera Rupr. in Bull. phys. math. XV, pl. Maack. n. 24. Ramis ramulisque elongatis; foliis oblongoobovatis acuminatis ; pedunculis elongatis pluri- floris; floribus 4- meris lacteis, sepalis petalisque rotundatis integris; capsulis depressis basi con- vexis, 4-alatis alis acuminatis elongatotriangulis ascendentibus loculo longioribus. Maxim. Fl. Amur. 75. F. Schmidt, fl. Sachal. n. 97. E. latifolia Rgl. in Act. h. Petrop. IV, 321. — non Scop. In Mandshuria orientali montosa sylvatica: ad Amur inferiorem a Dshai ad Maji in sylvis; circa portum Deans-Dundas prope Wladiwostok, in fruticetis frigidis, (ipse); Japonia: Nippon media, in sylvis alpinis (Tscho- noski! fl), Yezo, prope Nodafu, in sylvis montanis (idem! in collect. Albrecht.); Sachalin, a Dui et Arkai meridiem versus, in faucibus et ad margines sylvarum acerosarum (S chmidt!, Glehn!). Incolae Sachalin? ramis strictis gracilibus pro ar- cubus utuntur, testante Schmidt. Fructus forma ut in E. fimbriata Wall., sed folia di- versissima. Quo fructu ab omni E latifolia et E. sacha- linensi distincta. In .E. macroptera enim capsula cir- cumscriptione apice plana, basi vero convexa, ab alarum marginem superiorem horizontalem, inferiorem autem ascendentem, flores 4- (3-) meri ochroleuci et folia elongata et apice latiora, quibus characteribus ab utra- que affini dignoscitur. 8. E. sachalinensis. Glaber ramis ramulisque brevi- bus subtortuosis crassiusculis v. gracilibus elongatis; foliis a late subrhombeo vel ovatoelliptico subito acu- minato in oblongoellipticum sensim acuminatum lu- dentibus, crebre crenulatoserrulatis, serraturis juven- tute mucronulatis; pedunculis semel v. bis trichotomis 3-plurifloris folium fuleiens superantibus, floriferis - erectis, fructiferis abortu 1—3-carpis nutantibus; floribus 5-meris, sepalis integris, petalis atropurpureis rotundatis breve unguiculatis; capsula circumscriptione apice convexa basi plana, alis loculo brevioribus sub- deltoideis margine inferiore horizontalibus, superiore descendentibus. Æ. latifolia var. sachalinensis F. ` Schmidt, fl. Sachal. n. 98. E. latifolia Franch. Savat.? Enum. I, 79. quoad pl. Savatieri. In Mandshuria austroorientali: littore inter 44 et 45? lat. (Wilford! flor.), ad fl. Suifun (F. Schmidt! frf) ad viam versus Ninguta ducentem, 50 stadia a fl. Suifun (Goldenstüdt! frf.), circa portum Bruce, in faucibus sylvosis (F. Schmidt! frf.), circa sinum | Possjet, ad latera lapidosa collium, in fruticetis (ipse, fr. juv.); in Sachalino, cum praecedente specie et eodem tempore fl. et fructif. (F. Schmidt!); Japonia: in vul- cano Fudzi-yama (Tschonoski! fl. c. fr. juv., forma pedunculis trifloris); China maxime occidentali, prov. Kansu, regione alpina secus fl. Tetung (Przewalski! 1880). E. latifolia Scop. differt modo crescendi E. macro- pterae, foliis oblongoellipticis sensim acuminatis, pe- dunculis bis 3- v. 5-chotomis, petalis roseis non un- guiculatis, capsula apice basique plana vel concava, alis rotundatis loculo brevioribus vel rarius subaequi- longis, a basi ad apicem extensis, neque versus apicem evanidis. ` | Frutex ad 10-pedalis, 2 poll. crassus, cortice fusco lenticellis crebris albidis. Flores quam in E. latifolia sesquimajores, capsulae subaequimagnae. Plantam Savatieri circa Yokoskam collectam non vidi et cum dubio huc duxi. Var.? foliis ovatis subito vel ellipticis sensim acu- minatis dense setaceoserrulatis serraturis patulis, pe- dunculis folio usque duplo brevioribus 3-floris. An E. melanantha Franch. Savat. Enum. II, 312.? (e m. Hak’san a Rein collecta). Nippon media, in alpe Niko (Tschonoski! flor.). E. melanantham Fr. Sav. nondum vidi. Dieitur 447 Bulletin de l'Académie Impériale 448 habere folia subtus nigropunctata, quamobrem cum nostra conjungi nequit, quamvis reliquis signis con- gruere videtur. Ob fructum ignotum pro specie nova proponere nolui. 9. E. oxyphylla Miq. Prol. 18. Fruticosa v. arborea glabra, ramis elongatis gracilibus; foliis breve petio- latis ovato- vel rite ellipticis vel ellipticolanceolatis subito cuspidatis, argute inaequaliter serrulatis; pe- duneulis elongatis gracilibus plurifloris; floribus 5- meris, sepalis petalisque rotundatis integris his pur- purascentibus albidisve; capsula globosa subdepressa exangulata. E. latifolia A. Gray, Bot. Jap. 384. E. laxiflora Bl.! in schedis, nec Champ. Per totam Japoniam: Kiusiu, in sylva inter prov. Satsuma et Hiuga (Rein! fl), sylvis vetustis prov. Simabara (ipse), Kiri-shima-yama (Rein! flor.), valli- bus m. Homan-take (Buerger! fl. frf.); Nippon, in m. Oyama (Bisset!), haud procul ab Aso (J. Keiske), Yokoska (Savatier!), Yokohama in fruticetis lucisque non rara (ipse), in alpe Niko (Tschonoski! fl., Sa- vatier! fr. immat.), prov. Nambu (Tschonoski! frf.), in umbrosis ad fretum Sangar (Small! fl); Yezo, cirea Hakodate, in fruticetis (ipse); in Korea: ad por- tum Tschusan (Wilford! fr. juv., s. nom. Æ. latifoliae). Gemmae breves ovoideae. Pentamera. 10. E. nipponica. Glabra ramis ramulisque gracilibus tenuibus teretibus; foliis subtus pallidioribus elliptico- v. rite lanceolatis acutissime cuspidatis crenulatoserru- latis; pedunculis folio longioribus filiformibus 3— 5- floris, pedicellis divaricatis florem superantibus; flori- bus albidis 5- meris; calycis dentibus brevissimis latissimis, petalis orbiculatis brevissime late unguicu- latis, antheris stigmateque subsessilibus. Æ. sp. probab. nova, Miq. Prol. 363. Japonia (botan. japonicus in hb. Lugd. Bat.!): in collibus sylvosis tractus Niko (Tschonoski! flor., 1905. .— Habitus E alatae Thunb., sed flos 5-merus et pe- dunculus pedicellique flaccidi elongati, nec rami su- berosoalati. JE. americanae L. omnino accedit florum magnitudine et partium forma, satisque similis foliorum forma et dimensione, sed fructus nostrae ignotus affi- nitas itaque dubia. Pedunculi E americanae tamen folio breviores 1—3-flori, pedicellis brevibus. Perulae gemmarum paucae acutae, exteriores se- quentibus vix breviores, quo charactere ab Æ. alata magis distat et Æ, americanae appropinquat. Tetramerae, capsula (ubi nota) 4-loba. 11. E, Bungeana Maxim. Fl. Amur. 470. Hance in Journ. Linn. soc. XIII, 77. Debeaux, flor. de Shanghai n. 28. in Act. soc. Linn. Burdig. XXX, 23. Baker and Moore in Journ. Linn. soc. XVII, 380. E. micranthus Bge, Enum. Chin. n. 79. nee Don?). Turcz. Enum. Chin. n. 42. In Mandshuria maxime australi: prov. Schin-king, ad Chien-shan (Ross, fide Baker et Moore); Mon- golia: 'Thian-schan orientali, cirea Hami (Dr. Piasez- ki!, an culta?); China boreali, in argillosis (Kirilow! fl. frf., mis. Turczan.) ditionis Pekinensis (Skatsch- kow! fl. frf.) Pekino culta, in montibus sponte fre- quens, Majo flor., Septembri frf.(Dr.Bretschneider!), v. gr. in sylvaticis prope Lun-züan-ssy (Bunge! fi.), in cemeterio catholico, Julio flor. (Tatarinow!), Takio- sze (Möllendorff! frf.), China media: in moenibus urbis Shanghai (Debeaux). Inter omnes nostrates insignis petiolis elongatis, foliorum forma et glaucedine. Lamina enim fere orbi- culata, subito in cuspidem dimidiam laminam metien- tem petiolum aequantem attenuata, chartacea, folia Pyri communis vel Rhamni argutae paulo in mentem vocans, argute serrulata serraturis mucrone arcuatim incurvo incumbentibus, adulta 65 : 50 mm. magna, petiolo 20 mm. longo. Flores alboviresceütes, diam. 7 mm. Filamenta stylusque distincta, petalis tamen fere duplo breviora, antherae atropurpureae. Capsula matura flavovirens, basi rotundata, apice concavo-trun- cata, laevis, profunde 4-sulcata, loculis dorso acutius- cule ventreque carinatis, valvis dehissis obcordatis, 12 mm. lata, 9 mm. alta. Semina arillo miniato tota inclusa. Adnot. Plantam, sub nom. Æ. Forbesi Hance in Journ. of bot. 1880, 259. e ditione Shanghaiensi (collibus Feng-wang-shan) promulgatam, quam nondum vidi, ex descriptione a specc. florentibus E. Bungeanae distinguere nequeo, neque mensurae partium commu- 3) E. micranthus Don Prodr. fl. Nepal. 191., ex spec. auth. olim cum Fischero communicato, ad E. vagantem Wall. pertinere videtur, neque ad E. fimbriatam Wall, ad quam cum dubio duxit Lawson in Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 611. 449 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 450 nicatae diversae. Dantur enim et inter nostra specc. pedunculi solito multo breviores (6 lin. longi) et folia pl. florentis pariter membranacea sunt. 12. E. usuriensis. Glabra, ramis ramulisque brevi- bus crassiusculis teretibus, foliis late ellipticis subito acuminatis minute serrulatis serraturis incumbentibus nigroapiculatis; pedunculis folio brevioribus tenuibus apice 3—5-radiatis radiis nonnullis 3-floris, pedicellis patentibus florem minutum 4-merum superantibus, se- palis depressorotundis, petalis orbiculatis viridibus, antheris stigmateque subsessilibus. Mandshuria: ad latera graminosa sylvosa vallium secus Usuri superiorem frequens, fine Maji flor. (1pse). Affinitas ob fructum ignotum obscura. Habitus fere E. europaeae var.. Hamiltonianae, sed inflorescentia diversissima, flores miauti et antherae non atropur- pureae. lisdem signis differt E. alata. Cum E. verru- cosa ob hujus ramulos verrucosos, flores majores et in- florescentiam paucifloram non comparanda. Frutex vel arbuscula sesquipollicem erassa cortice laevi atrocinereo, coma parva. Perulae glabrae. Folia maxima, praeter petiolum 4 — 5mm.,65 : 35 mm. magna, vulgo paulo v. duplo minora, membranacea, profunde viridia, costis arcuatis tenuibus utrinque 4 vel 5. Sti- pulae breves fimbriato - partitae caducissimae. Flos diametro vix 4 mm. Antherae ochraceae. . 13. E europaea L. Cod. 1597. Typica: foliis minoribus, pedicellis vix vel rarius divaricatis, floribus paucioribus, antheris ochraceis, . fruetu vulgo roseo. — In ditione nostra desideratur. -8. Hamiltoniana: Vulgo grandifolia, radiis cymae magis multiflorae divaricatis, antheris atropurpureis, fructu ochroleuco v. (in pl. mandshurica) roseo. E. Ha- miltonianus Wall. in Roxb. Fl. Ind. II, 403 (1824). Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 612. Brandis, For. fl. 78, t. 16. Miq. Prol. 363. Franch. Savat. Enum. I, 78. E. atropurpureus Roxb. Fl. Ind. I, 627. — nec ل‎ E. europaeus Thunb.! Flor. Jap. 101. Maxim. in Bull. phys. math. XV, 127. Modoras, Euonymus vul- garis, Kaempf. Am. exot. 790 ex Linn. h. Cliffort. E. Sieboldianus Bl. Bijdr. 1147 (1826). Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 157. Miq. Prol. 18. F.Schmidt, Fl. Sachal. n. 99. Franch. Savat. Le- I, 79. II, 312. E. majumi Sieb. Syn. pl. oecon. n. 267 (1830). E. Maackii Rupr. in Bull. phys. math. XV, 358 (1857). Tome XXVII. Maxim. Fl. Amur. 75. E. europaeus 8 Maacki Rgl. fl. Ussur. n. 121. E. Vidali Franch. Savat. l. c. II, 312. Hab. in India secus Himalayam, a Kaschmir! ad Nipaliam !, Mongolia boreali-orientali, tota Mandshuria, ins. Sachalin, et per totam Japoniam. Loca specialia invenies ad calcem enumerata. Post examen exactum supellectilis optimae et copio- sissimae omnium formarum, quam pl. europaeae, tam pl. asiaticae, nulla alia inter utramque discrimina invenire potui quam illa, quae supra exposui, quaeque me judice ad speciem -propriam distinguendam eo minus suffi- ciunt, quum formas numerosas ambiguas ante oculos habeam, ita ut character unicus certus tantum super- sit ex antheris atropurpureis pl. asiaticae et ochraceis pl. europaeae. — Vulgo autem pl. asiaticae individua luxuriantia opponuntur formae typicae E. ewropaeae, sub silentio vero praetereunt hic individua magis nu- merosa asiatica, typo pl. ewropaeae appropinquantia, illic lusus varios pl. ewropaeae, ad asiaticam acceden- tes. Ita E.Hamiltoniana dignoscitur foliis amplis latis, cymis plurifloris divaricatis et fructu ochroleuco. Sed ' E. europaeus 8. macrophyllus Schleicher! pl. exs. et illi synonymus E. multiflorus Opitz (Tausch! hb. Bohem.) pariter cymas plurifloras habent, quae in pl. Schleicheri etiam divaricatae sunt, folia earum late elliptica bene in pl. hàmalaicam v. japonicam qua- drant, licet fere duplo minora sint. — Typus E europaeae a Schleichero distributus pedunculos trifloros quidem, sed pedicellos divaricatos offert et folia late lanceolata habet, qualia (at majora) apud Brandis in Æ. Ha- miltoniana delineantur. — In E. europaeo B. angusti- folio W allr.! folia invenimus oblongolanceolata, qualia plantae Mandshuriae occidentalis propria sunt. — Fructus ochroleucus, qui .E. Hamiltonianae proprius dicitur, rarius observatur et in E. europaea, testanti- bus Mertens et Koch (Róhl. Deutschl. Fl. III, 247) et equidem tales vidi in specc. duobus ex Italia. Forma vero capsulae in utraque varietate ludit plus v. minus basi turbinata, magnitudo in utraque inter 7 et 13 mm. variat, Testa utriusque lucida laevis cinnamomea, — Blume ramos obscure 4-gonos describit, Brandis aliique teretes, revera sunt teretes, lineis a pulvino cujusdam petioli ortis percursi. Utraque varietas ocurrit glabra v. foliis subtus ad reticulum pubescentibus. In utraque perspicitur in in- . 99 451 Bulletin de l'Académie Impériale 452 dividuis variis differentia in longitudine genitalium, sed in var. Hamiltoniana dichogamia mulia magis ex- pressa, Datur enim forma bi qua petala duplo saltem brevioribus, stylo stamina duplo superante, forma macrostemon: staminibus petala fere aequantibus, stylum duplo superantibus, et forma ge- nitalibus utriusque sexus subaequilongis. E. Vidal? Fr. Sav., a me non visa, ad formam macrostemonem per- tinere videtur. i Autumno (Octobri) vel hieme (Februario) var. Ha- miltoniana interdum iterum floret, sed fructus vel non format, vel 1-spermos, oblique globosos cito caducos, quod fortasse pendet ab insectis tunc jam evanidis, fecundationem inter formas diversas non efficientibus vel etiam ob formam macrostemonem illo tempore de- ficientem. Observavi circa Nagasak? et vidi cultam, in Americam borealem a D-re Hall introductam, a cl. Sargent mecum communicatam. Ex omnibus formis sub var. Hamiltoniana enume- ratis E. Maacki Rupr. proxima est E. europaeae ob folia, pedunculos paucifloros et capsulas roseas. Ludit glabra v. subtus ad folia scaberula v. puberula. Fru- tex tortuosus 4-pedalis v. gracilior orgyalis. E. Maackii occurrit: ad fl. Onon Borsa Mongoliae 2 > rossicae (Pallas! fol. lanceolatis v. elliptieis); in Man- dshuria secus Amur fluvium, ab Ulussu-modon (foliis ut in Pallas., sed longius acuminatis) usque ad mon- tem Oghobi prope ostium (Glehn!), secus totum Usuri et Suifun fl., ad lacum Hanka (F. Schmidt!), circa . sinum Possjet (ipse). E. Sieboldiana Bl. saepius E. Maackii simillima, rarius E. Hamiltonianae respondens, foliorum latitu- dine, acumine, magnitudine, nec non inflorescentia valde ludens, late diffusa per totam Japoniam, ubi a Kiusiu ad Yezo in planitie et montibus altis (v. gr. Fudzi- yama in regione fruticum) frequens occurrit et fruti- cem saepe altum v. imo arborem ?/ pedis erassam, 25 ` pedes altam sistit. In Sachalino australi (F. Schmidt! b 4 — 5-pedalis, capsula aurantiaca) 14. E. Przewalskii. Frutex tenue ramosissimus pro- funde viridis densifolius microphyllus, truncis ramis- que vetustis late corticatoalatis alis 4 — 5, junioribus viridibus acute 4 — 5-angulis; foliis lanceolatis v. ob- longo-lanceolatis acuminatis argute serrulatis obsolete venosis; pedunculis filiformibus folio longioribus, pe- dicellis 3 — 5 florem fructumque superantibus; flori- bus minutis 4-meris atropurpureis, sepalis semiorbi- culatis, petalis subquadratis, genitalibus subsessilibus; capsulis parvis latioribus quam altis vertice planis basi subeuneatis 4-lobis, lobis infra medium dorsum breve angusteque alatis; arillo luteo semen dimidium involvente. In China occidentali: prov. Kansu alpina, alt. 8 — 10 mill, ped. supra mare (Przewalski fl. et fr. nond. mat.). Ab affini E europaea valde differt ramis tenui- bus, foliis duplo minoribus bast nec medio latissimis rotundatis neque cuneatis, apice sensius longiusque attenuatis, floribus duplo minoribus fuscis, petalis la- tioribus quam longis, stigmate antherisque subsessi- libus. Frutex usque 5-pedalis. Folfa sub anthesi 10:3 mm., in fructu 35:15 mm, magna. Flos diam. 4 mm., cap- sula 10 mm. lata, 5 mm. alta. 15. E. verrucosa Scop. Fl. Carniol. I, 165. Ledeb. Fl. Ross. I, 498. 8. pauciflora Rgl. Fl. Usur. n. 120. Parcius ver- rucosa, foliis superne parce, subtus densius pubescen- tibus, flore centrali brevissime pedicellato. E. verruco- sus? Maxim. in Bull. phys. math. 1. c. 516. Rupr. ibid. 532. E. pauciflorus Maxim, Fl. Amur. 74. F. Schmidt, Fl. Amg. Bur. n. 90. Mandshuria: ad Burejam inferiorem (F. Schmidt !), Amur australem et inferiorem (ipse, Glehn!), Usuri . inferiorem (Maack!), Suifun fl. (F. Schmidt!), circa Wladiwostok (ipse). Frutex 2 — 10-pedalis, characteribus adductis con- stanter quidem a typo distinctus et longo terrarum in- tervallo ab illo remotus (loca proxima E. verrucosae: Ural, Transcaucasia et Armenia), sed nimis similis quin pro specie propria habeatur. Adnot. E. verrucosus var. tchefouensis Debeaux flor. du Tché-fou n. 26, l. c. p. 38, etsi ramis verru- cosis et fructu simili, ex descriptione, instructa, ob folia elliptico- v. subovatooblonga obtusa crassiuscula coriacea vix non species propria censenda erit, sed plantam ipsam nondum vidi. 16. E. nana M. B. Fl. Taur. Cauc. III, 160. Le- deb. Fl. Ross. I, 499. In China occidentali: prov. Kansu alpina, alt. 7500 di 453 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 454 ped. s. m. (Przewalski! 1880); Mongolia australi: jugo Alaschan, rarissima, bipedalis (idem, 1873); Turkestan orientali: valle Tschirtschik, mont. Talas- tau (A. Regel!), nec non Caucaso! et Bessarabia! Species anomala ob folia innovationum et interdum ramulorum florentium alterna vel pseudo-verticillata. Perulae ciliatae. Stipulae minutae subulatae cadu- cissimae. Folia coriacea. Flores atropurpurei. Cap- sula 10 mm. alta et lata, basi turbinata, apice trun- catoconcava, sub 4 — 3-loba, lobis dorso breve cari- natoalatis, valvis post dehiscentiam obcordatis, coria- ceis, roseis. Arillus trientem v. dimidium seminis fusci, ovoidei, 3 mm. longi vestiens, ex sicco miniatus. Al- bumen ochroleucum. Embryo parum brevior flavescens, cotyledones late ovales planae non multo radiculam superantes. Capsula 4-partita. 17. E. alata Thunb. Fl. Jap. 98 (sub Celastro). Siebold, Syn. pl. oecon. n. 268. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 158. Miq. Prol. 18, 363. Fr. Sav. Enum. I, 78. E. Thunbergiamus Bl. Bijdr. 1147. Baker et Moore in Journ. Linn. soc. XVII, 380. E. subtriflorus Bl. 1. c. Sieb. Zuce. l. c. n. 159. Melanocarya alata Turcz. in Bull. Mose. 1858. I, 453. Celastrus striata Thunb. Fl. Jap. 98 et Icon. ined.! (exalata fructifera). Typica: glabra, ramis pl. m. suberoso 4-alatis, pe- dunculis 1— 3-floris. Thunb. Ic. pl. Jap. dec. IV, 3. (frf. s. n. C. alati). In Japonia: Nagasaki (Buerger!), Miako (idem!), Yokoska (Savatier!), Senano (Tschonoski!), Yoko- hama et Hakodate (ipse), Tsusima (Wilford!); Man- dshuria australi: prov. Schin-king, ad Fung- whang- shan (Ross, fide Baker et Moore); China media: prope Shanghai collibus Feng-wang-shan (Forbes!). 8. subtriflora Franch. Sav. 1. c. IT, 511. Bl. sp. pr. Glabra, ramis exalatis, pedunculis ut in praece- dente.1 — 3-floris, v. longioribus sub-5-floris. In Japonia: Nagasaki (Oldham! num. 156 et sine X, s. n. E. Sieboldiani , ipse), alpibus Kundshosan Kiusiu centralis, arbuscula 4V, poll. crassa (ipse), jugo Hakone (Tanaka et Ycutchima!), Yokohama et Hakodate (ipse). — Lusus subquinqueflorus: Japonia (Blume!): Kumamoto ins. Kiusiu (ipse). Hortensis occurrit foliis albovariegatis (herb. Sie- bold!). y. pubescens: ramis alatis v. exalatis, foliis subtus pl. m. pubescentibus, pedunculis var. typicae. .E. alatus Maxim. Fl. Amur. 73. Regel Fl. Usur. n. 119, t. VIL fig. 1—4. E. Thunbergianus Hance in Journ. of bot. 1875, XIII, 131. In Japonia rara: Senano (Tschonoski, alata), alpe Niko (Bisset! exalata); Mandshuria: ad Amur austra- ` ; lem et partem inferioris, hinc per regionem montanam sylvaticam secus Sungari et Usuri ejusque affluentes (ipse) usque ad Suifun fl. (Goldenstädt!), Wladiwo- stok et Possiet (ipse), vulgo alata, rarius exalata; prov. Schin-king (Ross, ex Baker et Moore); China boreali et media: ditione Pekinensi, saepius exalata (Tatarinow!), Jehol (David ex Hance), m. Po-hua- shan (Bretschneider!),-Shanghai et Ningpo (Swin- hoe, fide Hance). ; Japonice, teste Siebold: nisi kigi, ko vel oni ma- jumi; Goldis ad Sungari fl.: indacho-cheié. Habitus Æ. verrucosae, sed petala viridia et capsula partita. Perulae gemmarum atromarginatae, rarius con- colores. Stipulae fimbriatae fugaces. Capsulae loculi raro omnes evoluti, valvae tenue coriaceae, post dehis- centiam complicatae atropurpureae. Semen fuscum, arillo miniato totum involutum. Franchet et Savatier 1. c. IT, 312. habent var. ciliatodentatam, a me non visam: «foliis lanceolatis margine ciliatoserratis», sed vidi folia a late elliptico cum cuspide obtuso brevi v.longiusculo acutissimo ad ` lanceolatum et serraturas majores v. minores obtusio- res v. acutiores ludentes. Species exclusae. E. Tobira Thunb. Fl. Jap. 99. est Pittosporum To- bira Ait. E. chinensis Lour. Fl. Coch. ed. W. 194. e familia excludenda: herbacea, cirrhis scandens, foliis trilobis asperis, bacca supera polysperma. Celastrus LL Folia coriacea persistentia, capsulae 1-spermae ^ membranacea v. chartacea decidua, Sears (ubi notae) 3 — 5- spermae. 3. 2. Pedunculi brevissimi, capsula subglobosa sessilis. C. Hindsii Bth. p petiolo longiores, capsulae stipitatae cis PE OR E Ae Ne INS MNA C. Championi Bth. 8. fabula ee er oin C. angulata m. Flores a llares. 4. : 4) Masculini generis apud Linnaeum, sed A xnAastpos apud Theophrastum, quem sequor. 29* 455 Bulletin de l'Académie Impériale 456 4. Stipulae caducae membranaceae. 5. » persistentes spinosae.......,..... C. flagellaris Rupr. D Pola 206070186 028 EN eee a ... C. articulata Thunb. » apice latiora...,....... re C. crispula Rgl. Sempervirentes. 1. C. Championi Benth. in Kew journ. bot. IIT, 334. Flora Hongk. 64. Catha Benthami Gardn. et Chan. in Kew journ. bot. I, 310. China australis: in faucibus prope Hongkong, vul- garis (Wright!); Himalaya: Sikkim (Treutler!), Khasia (ex Bentham). In Hookeri fil. Fl. Ind., nescio cur, omissa. 2. C. Hindsii Benth. in Kew journ. bot. III, 334. Catha monosperma Benth. in Lond. journ. bot. 1 483. Celastrus monosperma Benth. FL Hongk. 63, nec Roxb. China australis (Hooker!): Macao (Hance!), Hong- kong (Hinds!, Wright!) Planta chinensis ab indica (C. monosperma Roxb. fl. Ind. I, 625. Hook. f. fl. Brit. Ind. I, 618), quam vidi e Sikkim a Thomson et Clarke, ex Bengalia orientali a Griffith, ex Assam a Jenkins lectam, praeter characteres olim a Benthamio indicatos: flores in pedunculis axillaribus capitato-congestos in posteriore et fruetus formam, optime distincta reticulo toto folio- rum So prominente neque tantum trabeculis t lis. Capsula C. Hindsii Sisi subglobosa, illa C. monospermae distinctissime stipitata, stylus prioris brevissimus, posterioris longius- culus, prior in sicco virens, posterior nigrescit. In utraque specie, praeter pedunculos axillares bre- vissimos paucifloros, occurrunt tales longissimi pani- culatim multiflori, rami aphylli censendi, C. Kiusiana Franch. Savat. En. II, 314., florens descripta, e Kiusiu prov. Hiuga a Rein allata, mihi ignota, satis ex descriptione convenire videtur, praeter folia ovata v. oblongoovata, quae in C. Hindsii oblonga y. oblongoobovata esse solent. LUD tasp Foliis deciduis. 3. C. angulata. Glabra, ramis acutissime angulatis castaneis, foliis chartaceis modice petiolatis, late orbi- culato- vel obovato-ellipticis subito obtuse brevissime acuminatis argute crenatis; panicula conica terminali multiflora, rhachi pedicellisque crassis angulatis, pedi- cellis capsula subglobosa trivalvi stylo brevissimo co- ronata duplo saltem brevioribus; seminibus sub-5 totis arillo inclusis. China occidentalis: prov. Kansu, valle fl. Hoangho austrum versus ab urbe Lan-tscheu, fructif., verisimili- terque eandem sterilem in ditione ripae sinistrae ejus- dem fluvii frutescentem foliis late obovatis v. arboream, detexit Dr. Piasezki. Specc. sterilia omnibus punctis cum fertili congrua, praeter folia obovata et petiolos breves (5—6 mm., nec 20 mm.). Si revera conspecifica, tum stipulae (in ramo frf. caduca) firme membranaceae, late subulatae. — Folia quoad formam et consistentiam cum majori- bus C. articulatae convenientia, sed affinitas videtur cum C. paniculata W., quacum forma foliorum, panicula terminali et capsula vulgo trivalvi congruit, et a qua tantum differt ramulis nec teretibus nec albopunctatis et rhachi paniculae pedicellisque crassissimis neque gracilibus. Rami steriles flagelliformes habitum C. arti- culatae similem indicant. 4. C. articulata Thunb. fl. jap. 97. et icon. ined. (sub C. orbiculata, quod nomen apud Thunb. in fl. Jap. pag. XLII). Bge. Enum. Chin. n. 80. Turez. Enum. Chin. n. 43. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 155. Miq. Prol. 17, 363. A. Gray, bot. Jap. 384. Franch. Savat. Enum. I, 80. F. Schmidt, fl. Sachal. n. 100. C. Tatarinowit Rupr. in Bull. phys. math. XV, 357. in adnot. et C. ». sp. Maxim. Ind. Pekin. 470. Sachalin: peninsula austrooccidentalis (F.Schmidt!); tota Japonia frequens: circa Hakodate (Small!, ipse), princip. Nambu et Senano (Tschonoski!), Yokohama, Nagasaki et Kiusiu interiore (ipse); Korea: portu Chusan (Wilford!); Mandshuria australi prope fines Koreae, circa sinum Possjet (ipse, F. Schmidt); China boreali et media: Pekin (coll. ross.!), versus Ssi-schan et Ssi-yui-ssy (Bunge!), Yin-shan, Pan-shan, Nankau, Mount Conolly, Takiosze (Dr. Bretschnei- der!) Lun-züan-ssy (Tatarin ow!), Kiu-kiang (Shea- rer!). 8. humilis, procumbens, foliis minoribus ellipticis. C. punctata Thbg. l. c. 97. S. Z. 1. c. n. 154. Miq. l. c. 17, 363. Regel in Ind. sem. h, Petrop. 1861, 51. Fr. Sav. L c. C. striata? Mia. 1. c. 142. Fr. : Sav. 1. c. et II, 314. — nec Thunb. Japonia (Blume!): Yokoska (Savatier!), Naga- 457 des Sciences de Saint- Petersbourg. 458 saki, Simabara (ipse); Korea: portu Hamilton (Wil- ford!). Certe nil nisi eadem locis sterilibus, in saxis cet. enata et in typum sensim abiens, neque a Japonensibus pro specie habita, uti docet jam nomen utrique com- mune: tsuru mumé modoki. In utraque, forma rami vetusti cortice fusco lenticellis punctiformibus albidis. Siebold, teste Miquel 1. c. 142., ramos innovantes perperam armatos dixit, habent vero gemmas axillares perulis acutis duriusculis instructas, quales etiam Miquel l. c. descripsit. C. articulata nomen est errore typographico ex C. orbiculata mutatum, uti docent fl. Jap. et icones ma- nuscriptae Thunbergii. Quum tamen utrümque nomen minus aptum sit, prius ubique receptum servavi. Nomen vero C. scandentis, e Thunbergii flora Japonica ab A. Gray citatum, non inveni, neque affinitatem C. articulatae cum C. scandente cum Grayo tam arctam agnoscere possum, prior enim inflorescentia axillari, posterior terminali gaudet. 5. C. crispula Regel in Ind. sem. h. Petrop. 1861, 51. Walp. Müll. Ann. VII, 578. b. China, cult. in horto Petropol. florens. Scandens, glabra, ramulis hornotinis et annotinis acute angulatis; foliis crenatoserratis, inferioribus ob- ovatis acutiusculis, reliquis obovatolanceolatis subito breve acuminatis; floribus albidoviridulis. — Foliorum forma tantum a C. articulata distincta, an satis? Utraque | m in frigidariis petropolitanis culta ramos solito tenuiores foliaque solito minora gerit, sed folia et flores utriusque aequimagna. 6. C. flagellaris Rupr. in Bull. phys. math. XV, 357. et Decas pl. Amur. c. tab. Dioica volubilis radicans, glabra vel superne adque venas foliorum subtus scabe- . rula, ramis teretibus vetustis castaneis, stipulis per- sistentibus in spinam deorsum uncinatam mutatis; folis membranaceis longe petiolatis orbiculatis vel late ellipticis subito breve cuspidatis, argute se- taceoserrulatis ; pedicellis axillaribus paucis fasciculatis flores 5-meros aequantibus vel.superantibus; sepalis obovatis ciliolatis, petalis oblongospathulatis antheras ovatas superantibus, stylo persistente stigmate peltato; capsula globosa pedicellum subaequante incomplete 2— 3-loculari 1—5-sperma; semine toto arillo invo- luto. Maxim. Fl. Amur. 76, 462. C. cilüdens Miq Prol. 17. Fr. Sav. En. I, 80, II, 318. Mandshuria: ad Amur مهاه‎ in mont. ا‎ rara (ipse, sterilis), supra ostium fl. Sungari (Maack! fr.immat.), Possjet prope fines Koreae ad rupes prae- ruptas calidas non rara (ipse, fr. immat.); Japonia ` (Itó Keiske! in herb. Lugd. Bat.): Kiusiu (Rein ex Franchet et Savatier). Stipulis spinescentibus statim a C. ARE et scandente distincta, priori (rotundifoliae) quoad foliorum consistentiam, formam et magnitudinem similis, sed serraturae diversae. A C. scandente SA ER en non terminalibus abhorret. Rupes v.arbores 25 pedes altas ascendens et vesti- ens, semper volubilis, trunco digitum majorem crasso, spinis albidis, floribus viridulis. Capsula immatura 5-nervia, septis nervis impositis 2 vel 3, basin versus latioribus, superne nerviformibus. Ovula 5, in quovis intervallo inter nervos singulum, minima jam arillo multiplo majore, fere illum seminis aequante, inclusa. Seminis testa fusca. Embryo non visus. Species exclusae, C. dilatata Thunb. in Act. soc. Linn. II, 332. et Icon. ined., est specimen foliis adultis Orézae japonicae Thunb. e C. striata Thunb. Fl. Jap. 98. est Euonymus alata Thunb., forma exalata. i C. adenophylla Miq. Prol. 17., ex ipso in Ann. mus. Lugd. Bat. II, 85. est [lez crenata Thunb. Gymnosporia Wight et Arn. G. Wallichiana [TRUM deret: Res EE A . diversifolia m. 1: G. Re Laws. in Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 621. Celastrus Wallichiana W. A. Prodr. 159. Hance in Journ. of bot. 1878, 226. C. rigida W all. in Roxb. Fl. Ind. II. 396., nec Thunb. In China australi: Amoy (Hance), ora australi prov. Kuan-tung (Sampson et Hance!), ins. Hainan (iid. et Bullock, ex Hance); in India variis locis Bengaliae, Pendshab et Decan occurrere dicitur. | Specc. chinensia ad hanc speciem a Benthamio relata esse refert Hance, sed differunt ab indicis, ex eodem, ramis pube furfuracea ferruginea puberulis, fructu pisum, nec nucem avellanam aequante. Arillus dicitur albus, semen vix ad medium. tegons. 459 Bulletin de l’Académie Impériale 460 2. G. diversifolia. Ramis teretibus rectis furfuraceo- uerum spinis axillaribus folio brevioribus anguste foliia glabris 61014115 Pal vis - coriaceis subtus elevatoreticulatis, late übovatis apice rotundatis v. emarginatis, aliis integris aliis paucicre- natis; cymis dichotomis paucifloris axillaribus folio brevioribus; sepalis petalisque illa duplo superantibus ovatis; capsulis subglobosis minutis 2— 3-valvibus in- complete septatis; arillo semen lucidum dimidium te- gente. Catha diversifolia &. Gray in sched. In archipelagi Lu-tschu insula U-sima, (Small! fl. G. Royleana Laws., huic proxima, differt foliis late ellipticis acutis serratis duplo majoribus, cymis pluri- v. multifloris, capsulis triplo majoribus turbinato-obo- vatis, septis completis, semine opaco. Vidi spece. Roy- leana sub nom. Cel. spinosae et Royleanae hb. Royle, Griffithiana ex Affghanistano, Falconeriana e Pendshab, N 359. Folia 17:11 mm. usque 25:12 ad 14 mm. magna, petiolo 2mm. Corolla diam. vix 2mm. Capsula 4 — 5 mm. alta, 5—6 mm. lata. -Elaeodendron Jacq. Folia coriacea margine revoluta in petiolum crassum attenuata in- tegra apice obtuso emarginata pl. m. late elliptica, cymae den- Ke egen brevem aequantes, calyx SEN ies 5- en S nicum Fr.Sav. Folia des utrinque aoutiascola oblongo- elliptica argute crenulata petiolo tenui, cymae laxiusculae folium dimidium ae- quantes, flos rite 4-merus .............. E.? Fortunei Turcz. 1. E. japonicum Franch. Savat. Enum. II, 315. Nippon: prov. Simosa (Kramer! in hb. Franchet). Proximum Æ. attenuato Rich. (e Cuba! et Guade- loupe!), sed in hoc folia tenuiora, distinete neque haud reticulata, cymae graciliores et longiores petiolum superantes et flores pedicellati, neque inter bracteas sessiles. Flores E japonici, quos vidi, calycem corol- lamque campanulatam neque patentem habent, discum 10-crenatum crassum undulato-plicatum, extus stamina . basi adnata ferentem, supra germen basi disco immer- sum conniventem. Germen biloculare ovulis erectis. Foliorum indole et consistentia Ilicem integram Thunb. valde latifoliam, florum facie et magnitudine Euryam simulat. Cymae brevis rhachi ramulisque ab- breviatis crassis ab omnibus congeneribus, bene mo- nente Franchet, primo obtutu diversa. 2. ES Fortunei Turez. in Bull. Mosc. 1863, I, 603. China media (Fortune! 1845. A, 46.). Turczaninow de genere speciei propositae dubitat, nil tamen habet de ovulis, quae collateralia et pen- dula sunt in ovario 4-loculari, neque erecta. Discus cum ovario basi connatus 4-crenatus crenis stamina ferentibus petalis liberis alterna. Ab Z/aeodendro, Euonymo et Celastro ovulis pendulis, ab ultima prae- ` terea foliis oppositis, a primo ovario isomero neque saepissime oligo- (2—3-) mero differt. Melius omnium igitur ad Æuonymum accedere videtur, ubi Æ. hede- racea Champ. etiam ovulis pendulis instructa dicitur. Fructus E. japonici et E. Fortunei ignoti. : Species exclusa. E. spec. nond. determinata, Sieb. Zuce. Fl. Jap. fam. nat. n. 152., fide herbarii Sieboldiani, nil nisi specimen sterile Ticis Oldhamà Miq. Tripterygium Hook. f. Stigmata 3, fructus basi cordatus, apice trun- T. Wüfordi, Hook. f. Stigmata 6, fructus basi obtusiusculus, apice lus acuti iude us T. Bullockii Hance. 1. T. Wilfordi Hook. fil. in Benth. Hook. Gen. pl. I, 3868. Regel, Gartenfl. 1869, 105, t. 612. Fr. Savat, En. I, 80, II, 315. Formosa (Wilford! n. 484. v. fruct., Oldham! n. BU c. alab.); Kiusiu: in fruticetis jugi interioris Kundshosan, sat alte supra mare, Septb. frf., prov. Higo, in cacumine sylvoso m. Higosan, init. Julii c. alab. (ipse); Nippon: prov. Sin-shiou (Savatier, fide Franchet) Introduxi in hortum Petropolitanum a. 1864. Frutex sarmentosus, trunco pollicem crasso, ramis longissimis flagelliformibus supra alias arbords fru- ticesve incumbentibus, ramulis brevibus (pedalibus) fructiferis obsessis. CRC a Ber Br a فوم عومد د‎ ee 2. T. Bullockii Hance in Journ. of bot. 1880, 259. China centrali: prov. Hunan parte boreali, in colli- bus demissis secus fl. Siang (Bullock, ex Hance). — Non vidi. Genus delendum. Reimia racemosa Franch. Savat. Enum. II, 314. Nippon, prov. Oni (Rein, ex Franchet): Amakusa (Dr. Rein!). 461 des Sciences de Saint- Pétersbourg. A62 Spec. a me visum, ni fallor ab ipso cl. Franchet determinatum, saltem ejus in descriptionem omnino quadrans, est exemplum florere incipiens Iteae japonicae Oliv. (Nagasaki: Oldham!, ipse). Adnot. E Hippocrateaceis, nuper ad Celastraceas sub titulo subfamiliae ductis, e Japonia nulla hucusque ` jnnotuit, e China, quod sciam, enumerantur: Salacia chinensis L. f. DC. Prodr. I, 571. et S. cochinchinensis Lour. Fl. Coch. ed. W. 642., DC. l. c., quam synonymam prioris habet De Candolle; et quam utramque cum? ad S. Roxburghi? Wall. ducit Lawson in Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 627. Hippocratea obtusifolia Roxb. fide Bentham, fl. Hongk. 62. Vitis Piasezkii. (Sect. V. Vitis, Miq. in Ann. mus. Lugd. Bat. I, 73). Dioica gracilis, ramis novellis parce, petiolis tique ad vens, subtus و‎ pube rufa confervoidea tectis; stipuli oblongis deciduis; foliis membranaceis ambitu cordatis ternatis, foliolis petiolulatis, centrali longius petiolulato bé utrinque acuminato, lateralibus oblique ovatis acutis, omnibus riucronato-incisoserratis et saepe terminali 3-, lateralibus 2-lobis; cirrhis parcis loco cymarum; cymis oppositifoliis petiolo longioribus oblongis passim | dichotomis multifloris; floribus 5- (4-) meris parvis, petalis calyptratis, filamentis fl. ? antheras 4-plo, fl. $ duplo superantibus, ovario fl. d astylo, 9 stylo ovarium aequante, stigmate indiviso. China occidentalis: jugo Tsun-lin, inter prov. Schensi et Kansu finitimo (Dr. Piasezki, 1875). — Flores, fide collectoris, Resedam spirantes. V. incisae Nutt., quae etiam petala saepe apice connexa, saepius tamen libera semperque cito cadentia | habet, proxima videtur, sed neque glabra, neque tam fragilis et magis angustifolia. Inter Vites typicas unica, quod sciam, foliis compositis instructa, atque hoc signo potius Ampelopsides aemulans, inter cujus species indicas vel sinicas adsunt satis similes, v. gr. V. an- gustifolia all. Spece. pauca collecta ramos lignosos, pennam cor- vinam erassos sistunt, cortice cinereobrunnescente di- lacerante tectos. Innovationes pedales filum emporeti- cum crassae. Stipulae 5mm. longae. Petioli 20— 30mm. foliolis lateralibus paulo terminali sesquibreviores. In- florescentia V. Labruscae floresque non majores. Fructus desiderantur. Chesneya mongolica. Incana, foliis 2— 3-jugis, foliolis utrinque appresse sericeis, superne virescentibus punc- tatisque subtus argenteis, obovatosubrhombeis atro- purpureomucronatis; stipulis reflexis ovatolanceolatis acuminatis; pedunculis 1-floris folio brevioribus; calycis dentibus subaequalibus, summis 2 fere ad apicem con- natis; corolla aurantiaca calycem plus duplo super- ante; alis quam carina et vexillum aequilonga paulo brevioribus; stylo sub stigmate circumcirca barbellato; legumine sericeo linearioblongo acuminato leviter com- presso calyce angustiore triploque longiore 3 — 5- spermo; seminibus obscure alveolatis angulatoreni- formibus. Mongolia australis: desertum ad pedem jugi Alaschan borealis, in glareosis argillosis, rara (Przewalski). Species sui juris, stylo barbellato et legumine parvo subtereti a reliquis discrepans. Folia 20 mm. longa, | foliola circa 6 mm. longa et fere totidem lata. Corolla 14 mm., legumen 15mm. longa, hoc vix 3mm. latum, coriaceum, tarde dehiscens, valvis facile in strata duo secedentibus, quorum exterius membranaceum, interius crassius coriaceum. Semina 2 mm. breviora. Güldenstädtia diversifolia. Breviter caulescens decum- bens incano-sericeovillosa tum virescens; stipulis mem- branaceis amplis late ovatis fere ad apicem connatis; foliolis 9 — 11 suborbiculatis truncatis foliorum in- feriorum in obovatum, reliquorum in ovatum vergen- tibus, terminali longiuscule petiolulato; pedunculis ] — 3-floris; calycis 4-fidi labio superiore 2-dentato; corolla duplo longiore atroviolacea, ovario oblongo circa 22-ovulato, stylo hamato distincto; legumine sericeo oblongo breve acuminato compresso utrinque marginato pleiospermo. China occidentalis, secus superiorem partem fl. Hoangho, alt. 9 — 11 mill. ped. s. m. CHENE 1880). Proxima G. himalaicae Baker in Hook. f. Fl. Brit. Ind. II, 117., quam vidi in Kumaon, alt. 12,500 ped. s. m. lectam a Strachey et Winterbottom s. n. G. wniflorae et cujus sequitur diagnosis: G. himalaica Baker: Brevicaulis, pilis fulvis dense sericeovillosa; stipulis ultra medium connatis late ova- tis membranaceis; foliolis 9—13 orbiculatoobcordatis 463 Bulletin de l’Académie Impériale 164 omnibus subsessilibus; pedunculis I — 3-floris; caly- cis dentibus 5 apice acuto glandula pedicellata ter- minatis, 2 superioribus altius connatis; corolla caly- cem usque triplo superante, ovario ovalioblongo stylo brevi; «legumine glabro lineari, 6 — 8-spermo latere superiore anguste marginato». Vexillum in utraque, in himalaica profundius, emar- ginatum. Alae G. diversifoliae latiores carina duplo longiores, in G. himalaica angustiores carinaque an- gustiore triente longiores. Magnitudo foliorum florum- ` que in utraque fere eadem, sed corolla nostrae in sicco nigra, in himalaica purpurascens. Hedysari species fruticosae, sect. Heleroloma et genus Corethrodendron Basineri monogr. Hedys. sistentes, omnes Mongoliae et finiti- mae Songariae et Davuriae incolae, corolla vulgo su- pra fructum marcescente, carina dorso arcuata a re- liquis diversae, ceterum arcte inter se affines et corolla fere identica instructae: alis nanis, vexillo et corolla subaequilongis, ita dignoscuntur: Sears en Saar v. insuper aculeati. 2. es glaberrimi. 2. Calyx FRE issus dentibus 5 inaequalibus ad latus deorsum- que rejectis, foliola 20—40 H. multijugum m. Calyx 5-dentatus haud fissus. 3. 3. Teams un res * CC e valde con + $ 4. Foliola Ser ramorum es elliptica, re- liqua linearioblonga , lomenti arti iculi ex- ; ا‎ a EU ne net det H.mongolicum Turcz. ee omnia obovata v. oblonga, atüculi 5. Rhaches foliorum superiorum foliolo en natae, flores apice racemorum folio vulgo "breviórum ADP END. essaie H. arbuscula m. Rhaches foliorum, paucis inferioribus 3—5- jugis CAE nudae, r racemi folium saepius superantes flori ies SpArsis............... 6. Calycis ie cu sum ani, inferiores 8 acu- di f oliola RST v. Ana ioblonga r.e... H. laeve m. ycis dentes omnes acuminati ët nde Kn elliptica y. ellipticooblonga . . >: EE LE . scoparium F. Mey. . H. lignosum Trtv. 1.H. fruticosum L. f. Suppl. 333. Ledeb. Fl. Ross. 1,704. Turez. Fl. Baic. Dah. I, 336. Basin. Monogr. Hedys. 35. c. tab. Transbaicalia: ad Selengam (Wlassow! s. n. ros- sico: schumichta) in lapidosis prope Selenginsk et cet. (Turczaninow!), Werchne-Udinsk (Sedakow!); Da- hwria: campis subsalsis ad Argun fl, inter Chailassutu et Abagaitu (Turczan.!); Mongolia: Kjachta (Uftju- shaninow!), parte orientali secus tractum mercato- rium (Kirilow! mis. Turez.) prope Iro (Tatarinow!). Basiner l. e. varietates distinguit «. sibiricum, fo- liolis majoribus et latioribus et 8. mongolicum. Ita etiam Turczaninow, ad D. plantam dahuricam du- cens, mongolicam autem pro nova habens. 2. H. mongolicum Turcz. 1. c. 337. in adnot. ad H. fruticosum. Maxim. Fl. Amur., Ind. Mongol. 481. Mongolia: locis subsalsis et arenosis ad tractum mercatorium orientalem (Kirilow! 1831, mis. Turez., et 1841). 3. H. multijugum. Fruticosum, foliolis 20 — 40 al- ternis obovatis v. oblongis obtusis subtus, petiolis per- sistentibus ramisque sericeopilosis; calyce superne fisso dentibus brevissimis inaequalibus; alis calycem vulgo, carina vexillum aequantibus; lomenti pubescentis vel glabri articulis reticulatorugosis ad nervos praesertim margine aculeos subulatos interdum parcos gerentibus. Mongolia australis: deserto ad jugum finitimum Nan- shan; Kansu occidentali alpina in argillosis (Prze- walski, 1872, 1879, 1880). Proximum H. fruticosum L. f. differt calyce, petio- lis racemisque brevioribus, numero saepiusque forma foliolorum, Ceterum planta mongolica nostra habet sese ad Kansuensem, ut H. fruticosi var. B. ad var. a Turcz. Frutex 2 — 5-pedalis densus, ramis tenuibus, flori- bus amplis profunde roseis (variantibus albis), foliolo- rum numero et den sd alarumque longitudine ludens. 4. H. laeve. ruban: foliolis 9 — 17 alternis distantibus subtus minute pilosulis linearioblongis in- ferioribus obtusis reliquis mucronatoacuminatis, petio- lis persistentibus ramulisque glabris; calycis dentibus late deltoideis tubo multo brevioribus; alis e calyce arum exsertis, carina vexillum aequante; lomento glabro laevi. .. Mongolia australis: regione Ordos, locis fertilioribus arenarum Kusuptschi dictarum,.neque alibi, gregarium et frequens (Przewalski, 1871). — Septempedale ra- mosissimum, floribus ex sicco purpureis. Valde affine H. mongolico Turcz., quod tantum lo- mento villoso atque reticulato tute distinguitur. ` 465 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 466 5. H. lignosum Trautv. Catal. pl. Lomon. n. 39. in Act. h. Petrop. I, 176. Mongolia orientalis: Dolon-nor(Lomonossow!, v. s. in hb. Trautv.). 6. H. arbuscula. Arboreum orgyale erectum, foliis inferioribus 3 — 4-jugis, superioribus praeter foliolum terminale ad rhachin nudam reductis, foliolis subtus appresse sericeopilosis linearioblongis utrinque acumi- natis; racemis folio saepe brevioribus floribus approxi- matis; calyce subbilabiato dentibus brevibus acutis; alis calyce parum longioribus, vexillo carinam vix su- perante; leguminis articulis valde convexis villosis ru- gosoreticulatis. Mongolia australis: deserto ad pedem jugi Alaschan extenso in arenis Tyngeri dictis frequens (Przewalski). Speciosissimum, dense foliosum et ramosum, flori- bus roseis numerosis tectum, ceterum .H. scopario F. Mey. valde affine et habitu inter praecedentia et sequens medium. H. scopariwm differt tamen statura viminea denudata, rhachibus foliorum superiorum om- nino aphyllis, racemis paucifloris laxissimis, calycis laciniis subulatis. Utrumque sistit genus Corethroden- dron Fisch. et Basin., vix tamen generice a Hedy- saro separandum, nam articuli lomenti in nostro jam minus convexi, et habitus jam Hedysaro propior, calycis conformatio vero etiam in aliis speciebus varia occurrit, v. e. calyx superne fissus in H. multijugo nostro, 7. H. scoparium Fisch. Mey. in Schrenk, Enum. pl. novar. 1841. 87, in adnot. Ledeb. 1. c, 704. Co- rethrodendron scoparium Fisch. et Basin. in Bull. phys. math. IV, 315. et in Basin. Monogr. Hedys. 46. c. tab. Songaria orientalis: ad lacum Saissan (Fisch. et Mey.!); Mongolia: deserto a Thian-schan boream ver- sus, inter vicos Adak et Nom, in arenosis (Potanin, 1877), deserto ad pedem Alaschan, rarum (Przewal- ski, 1872). | Specc. a Przewalski lecta e frutice sumpta 8—10 pedes alto, prope radicem pollicem v. sesquipollicem crasso, frutex songaricus describitur 3 — 6-pedalis. Austrum versus igitur ramosius et speciosius. Potaninia gen. nov. Rosaceae Potentilleae. Calycis persistentis tubus infundibuliformis 3-brac- teolatus, lobis 3 deltoideis. Petala 3 calycis lobis vix Tome XXVII. majora, rotundata, decidua. Stamina 3 petalis alterna. Filamenta brevia ad marginem glabrum tumentem disci crassiusculi intus dense sericei inserta. Antherae ovatae non exsertae dorso affixae introrsae. Carpellum centrale 1 ovale dense sericeopilosum; stylus basilaris versus stigma capitatum sensim crassior, carpello pa- rum longior. Ovulum solitarium infra medium loculum latere stylino insertum, anguste oblongum, ascendens, mieropyle supera, integumento unico crassiusculo. Fructus? — Fruticulus palmaris, parte hypogaea crassa ramosissima cortice valde dilacerato, epigaea densis- sime dumoso-ramulosa, ramulis ob petiolos vetustos persistentes undique horridis, foliis minutis coriaceis ternatis v. quinatis (foliolis terminalibus 3 tum basi connatis), foliolis apice petioli articulatis sessilibus facile cadentibus, stipulis petiolo adnatis amplis hya- linis, floribus axillaribus peduneulatis ebracteatis mi- nutis albis, pube omnibus partibus parciuscula elon- gata sericea. P. mongolica. Mongolia centrali: in deserto a jugo Alaschan sep- tentrionem versus, Septembri 1879 deflorescentem de- texit Przewalski. Habitus Potentillae fruticosae pusillimae exarescen- tis fere consumptae, qualis, semper tamen multo pul- chrior, in alte alpinis desertis centrasiaticis crescere solet; at flores (paucissimi parvuli vix conspicui) valde diversi, ob calycem elongatum potius Prunum quandam simulantes. Est in Asia id quod Purshia cum affinibus in desertis Americae borealis. Ab omnibus Potentilleis differt flore trimero, staminibus rite alternis, prope Potentillam tamen ponenda videtur. Foliola 2 : 0,5 mm. magna, flores diametro 3 mm. Coluria longifolia. Viridis pilosa, foliis radicalibus li- nearibus multijugopinnatisectis, rhachi nuda, segmen- tis orbiculatis grandicrenatis imbricantibus, foliis cau- linis paucis ad segmenta 1—3 reductis; cauliculis plu- rifloris; petalis obcordatis, staminibus ultra 100, sta- minodiis nullis. China occidentalis: prov. Kansu, pratis alte alpinis, rara (Przewalski, 1880). Altera species, Coluria geoides R. Br., praeter to- mentum densum, foliola habet pauciora in folium ob- longoobovatum collecta, rhachin dentatam, flores mi- nores, petala rotunda, stamina circiter 30, staminodia 30 467 Bulletin de l'Académie Impériale A65 ampla inflexa. Planta fangutica quam altaica multo speciosior. De Coluriae genere, a Baillon perperam cum Geo conjuncto, confer meas Adnot. de Spiraeaceis, in Act. h. Petrop. VI, 132, 246. Spiraea mongolica. Ramis subangulatis, foliis omnibus consimilibus triplinerviis glaberrimis subtus glaucis in- tegris obovatis v. oblongoobovatis; corymbis racemo- sis multifloris ramulo foliato laterali insidentibus, pe- dicellis flore plus duplo longioribus; staminibus petala superantibus; folliculis e calyce erecto exsertis intus gibbis extus styliferis ventre villosis, stylo subinfra- apicali. S. crenifolia var. y. Maxim. Adnot.-de Spir. in Act. h. Petrop. VI, 181. Mongolia australis et Chinae prov. Kansu (Prze- walski, 1871, 1873, 1880). Fructu nune collecto speciem hane a S. crenifolia distinctam esse in manifesto est. Habitus foliaque in- tegra locum indigitant inter Sect. Chamaedryi seriem 1., sed ramuli floriferi foliati et folia omnia consimilia po- tius seriei 2. adnumerant. Foliis accedit ad S. hype- ricifoliam Lam. et DC. et S. crenifoliam C. A. Mey., a priore differt corymbo racemoso, a secunda folliculis exsertis, ab utraque foliis integris, quo signo foliisque |. triplinerviis a S. alpina et S. media distat. Addenda ad Chrysosplenia, Adumbratione mea conscripta (conf. harum Diag- noseon manip. I, 1876) in lucem prodierunt species a cl. vv. Franchet et Savatier in Enum. pl. jap. vol. II. descriptae, e quibus nonnullae novae, nonnullae mearum synonymae, equidem descripsi Ch. baicalense (in Bull. soc. natur. Moscou, 1879.), Franchet C. Fauriae (in Bull. soc. bot. de France, XXVI, 84.) et nunc iterum duas novas describendas habeo. Quam ob causam non inutile habeo clavem analyticam omnium specierum nunc notarum et adnotationes in eas, ubi aliquid monendum est, Chrysosplenia dividi possunt, ut ipse antea feci: primo loco ex floris conformatione, nempe calyce sub anthesi patente cum ovario infero vel calyce semper erecto ovario basi tantum adnato, secundo loco ex modo innovationis, tertio loco ex foliis alternis v. oppositis. Quum vero ex specc. siccis de calycis sub anthesi positione interdum difficile sit judicandum, melius for- tasse et commodius sane videtur, primariam eamque naturalem divisionem petere: 1. ex innovationibus, 2. ex foliis alternis v. oppositis, 3. ex floris conformatione aliisque signis. Quae divisio in sequente clavi tentatur: 1. Innovationes hypogaeae. a. Folia alterna, semina ubi nota laevia, Folia er nulla, eorum loco squamae pl. m. dense imbricatae e. Stolones ae nudi, apice squamigeri. 2. Folia ee 8. 2. Folia detnr internodiis ا‎ Feat Hook. f. et Th.‏ ا Folia ires in nuire Fe‏ Gym URTIOER. REO RECTED Oh.‏ 3. Rosula Ans radicalium squamis stipata, cau- lis nudus, cyma capitata multiflora, rhizoma cras- sum, oder filiformes =. TE paucis sub- membra . Ch. nudicaule Bge . Rosula es isdieulium squamis nullis fulta. 4 4. Caulis nudus, folia subpeltat Ch. peltatum Turez. » iat 5. Folia reniformia crenata, cyma multiflora, capsula h. e rs L. n‏ قوقع » 9o. 9 9 o? 9 3 9 a * c 9 3 8 Ro»‏ وا يه untflorum m. "tta t sw CCR ner.“ de serrer - crenata, ne er es 2/, libera, se- mina ovalioblo Ch. Wrightii Franch. b. Folia opposita, semina costis muricatis. Stolones nudi apice bulbiferi....... Ch. Maximowiczi Fr. Sav. 2. Innovationes epigaeae. a. Folia alterna, semina (ubi nota) laevia. Folia caulis an et innovationum foliatorum ne integra, a superioribus erenatis em sa et m Folia omnia rite FR squamiformibus nul- lis 6. Folia caulis fertilis paucicrenata, sterilis mul- N, semina globosa te 0,5 mm h. ovalifolium M.B. Folia omnia consimilia paucigrénata, semina ovalia glabra plusquam 1 mm Ch. carnosulum Hk. f. Th. i- ides gue paucae et magn = umerosae et parv 8. Caules E cyma ا‎ “pluriflora, plantae brunneohirtae. 9. Caules ramosissimi glabri, rami fere omnes flore nm nn مي يه 6 يمو‎ ns see ss... singulo cymaque terminalis 2—3-flora floribus longe pedunculatis EE EE h are m. 9. Obiter crenatum, flores bedicellati. L6. ... Ch. adoxoides Griff. Distincte crenatum, flores subsessiles.. idianum Dne. 10. Elatum multicaule, cyma pluriflora. o .flageiferum F. Schmidt. Pollicaria urs sys subuniflor 11. Folia D- érénata...."., 0.2. art x tenellum Hk. f. Th. » pr fen 3- loba E E Ch. Sedakowi Turez. b. Folia opposita. Caulis elongatus rep ramulis axillaribus bre- vibus 1- Le foribus onge porer semina 0 laevia gla ات‎ eo die h. valdivicum Hook. Caulis floriferus erectus v. non repens, cyma ter- minalis, 12. des Sciences de Saint = Pétersbourg. 470 469 12. Folia radicalia in squamas membranaceas حم‎ caules et innovationes d india rosulam terminalem folioru um pari unico versus basin. Stamina 8 mer duplo superantia, irit. basi adnata, semina ser- ratocostata Ch, Fauriae Franch. Folia radicalia rite evoluta. 18; gne foliorum اا‎ 14. » istin RE 20. 14. Stolones innovantes praeter rosulam terminalem nudi,semina ege costis eni Ch. B Stolones foliati. Semina laevia, beds truncata 1/, v » costata, capsula basi vel 1/, ad Semina pilosa v. papillosa subglobosa. 18. labra. 17. KE 7:441 15. dt on 16. 9. 16. » gla 17. Capsula semisupera, semina ovalia v. ovalioblon- ERI IC SIUS Ba Sa NITE meins Ch. ramosum m. Capsula Vs süpera, semina subglobosa. . Ch. tanium Hook. 18. Semina minutissime papillosa. ........... . oppositifolium L. AO CC (LIU CPE DEA LE ibis Ch. americanum Schwein. 19. Gas seminum an EE ا‎ E Ch. baicalense m. RP ÉD h. pilosum m. 20. Folia longiora mam ps (elliptica), multicrenata, capsula bicornis. Folia rotundata. à 21. Capsula Se pea » si adnata d Geh semina costata v. lineata, power calyce longior 22. Bipollicare cyma capitata densa......... ..... Ch. sinicum m. Seier ic اد اص‎ cyma laxa sparsiflora, semina scaberniuiis.éedvev qi ne are Ch. trachyspermum m. 23. Macrophylla, folia concolora, semina lineata li- 2 REIS muriebllatis: yoyi rn . macrostemon m, uu een discolor, semina costata costis longe Set, A4 Ee E E EE Ch. discolor Fr. Say. 24. Folia ge nets. 25. » antice profunde paucicrenata. 21. 25. p er i v. p ja infer. adnata. 29. 26. Sena eege » costata di VID deniers Ch. sulcatum m. 27. Semina glabra. 2 » ilis longis hirsuté. un ra Ch. trichospermum Edg. 28. ere isophyllum, E trüncita, semina A TR en les TR OR Don. PE caulibus on re capsu recte bicornis, semina 1 mm......... à sonnerie Nutt. 29. Tetrandrum, semina ot r 8 . Ch. Grayanum m. Octandra, flores longe pedicellati 30. Flos lacteus, folia pleraque itane E AF Ch. Vidali Fr. Sav. » viridis, folia rotundata, semina ser SE 15 pi- TE EE ruv Ch. macrocarpum Cham, M. Capsula semisupera bicornis stylis patulis. 32. basi tantum adnata bicornis stylis paral- lelis. 83. 32. Semina seriatim costata costis longe hispidopilo- D ross Puis PORE ER Oi CER pe FE a C c er Ch. Echinus m. Semina seriatim muricellatéliiente Ge ان‎ Ch. rhabdospermum m, 38. Wee albi antheris nigris, sepalis acumina- ARTE E E E E ME SE Ch. album m. Flores lutei antheris Gates sepalis rotundatis, se - mina muricellatolinea Ch. sphaerospermum m. D | uc t os s Ut ex clavi praecedente manifestum est, pleraque Chrysosplenia facile distinguuntur. Adest tamen inter gregem numerosam specierum foliis oppositis, stoloni- bus foliatis, series supra ex foliis distincte vel in- distincte serratis in duas subseries divisa, quae hinc inde difficultatem servabit, quia in specie una v. altera foliorum serraturae variabiles inveniuntur, ita in CA. piloso et Ch. sphaerospermo. Quum in posterum etiam aliae species fortasse hoc puncto variabiles inveniantur, non inutile videtur, hanc seriem, ex foliis distincte v. indistincte crenatis facile quidem in subgreges se- cernendam, innovum exponere tali modo, ut crenarum folii nulla mentio fiat, ita: Folia opposita, vitas non repens, innovatione epigaea, foliata, cyma florum termina Stamina exserta. 2. » . inclusa. 8. 2. re Root obtusa, folia longiora quam lata: Ch. discolor t Ch. macrostemon, cf. supra sub 23. A bec gem folia CH quam longa, antherae nigrae: Ch. o 8. Capsula semisupera basi tantum en 4. Folia distincte longiora ie d Ch. sinicum, Ch. trachysper - - 5. Semina laevia. 6. » costata. he 6. Sie Gees osa v. papillosa. T: ER ovalioblonga: Ch. A 3 « subglobos | 8. Caulis Qu ص وبصي‎ floresque magna, semina 1 mm., cap- nthum sula !/, supera: Ch. m rad debiles folia Mores n parva, capsula !/, supera: Ch. ne- sub 28. palense, Ch. glechomaefolium, supra s 9. dnd. undique papillis v. ve tecta. Poss » seriatim longe hispida: Ch. E 10. Pili (Ch. americanum) v. FE (Ch. p breves. Conf. supra 18. Pili longi: Ch. trichospermum. l1. Grieg seminum laeves: Ch. sulca e ee Ch. RE A 12. ect nerd Ch. Gray 14. Semina laevia ped riot Ch. macrocarpum. » costata. 15. . Costae seminum laeves: Ch. baicalense. » » tae. 16. Semina apiculatoelliptica costis profundis ?/, mm. longa: Ch. p 5 Semina globosa elevatolineata, !/, mm.: Ch. sphaerospermum. Species Chrysospleniorum nunc notae 39 per orbem valde inaequaliter distribuuntur. Duabus austro-ame- ricanis exceptis, reliquae omnes hemisphaerio boreali propriae et quidem praesertim Asiae. Unica species (Ch. alternifolium) per totum hemisphaerium boreale dispersa et simul regiones arcticas adiens, e ceteris A71 Bulletin de l'Académie Impériale 472 Asiae propriae sunt 32, Americae boreali 2, Europae 1 et Europae et Asiae (minori et Caucaso) communis est 1. Sedes principalis generis igitur est Asia ubi 34 species crescunt, e quibus 2 tantum (CA. alternifolium et Ch. dubium) in Europam et prius etiam in Americam migraverunt. Chrysosplenium dividitur in 14 alternifolia et 25 oppositifolia. E prioribus ne unum quidem CH opae v. Americae peculiare est. E 14 alternifolüs 1 japonicum, reliqua Asiae conti- nentali propria. Species innovatione hypogaea binae Himalayae, Chinae occidentali et Sibiriae peculiares et. ex his 6 tantum 1 (Ch. Wrightii) mari proxima, reliquae centraliasiaticae appellari possunt. Alternifolia innoyatione epigaea in Himalaya 4 occurrunt, singula viget in China occidentali, 3 in Sibiria quarum 1 (Ch. flagelliferum) etiam Japoniam adit. Etiam in hac serie igitur 1 tantum mare adit, reliquae centrasiaticae. Tota series alternifoliorum igitur centrasiatica prae- sertim est et omnes ejus species (quantum cognitae) semina laevia habent. Non ita sese habent oppositifolia. E 25 speciebus Himalayam inhabitant 3, Chinam occidentalem 2, Si- biriam baicalensem 1, Asiam centralem igitur 6. Re- liquae regionibus mari propioribus indigenae: 2 euro- paeae (1 in Caucasum progrediente), 2 boreali-ameri- canae. 2 austroamericanae, 11 japonicae (1 in floram Pekinensem, 1 in Mandshuriam littoralem propagata), 1 kamtschatico - sachalinensis, 1 mandshurica. Ita op- positifolia potius maritima appellanda. Fere omnes gaudent innovatione epigaea, unica quae stolones hy- pogaeos habet Japoniae propria est. Semina in 21 speciebus innotuerunt: laevia (in nonnullis pilis tecta) sunt in 11, omnibus enim ewropaeis, americanis, 2 himalaicis, 1 sinica, 1 sibirico-japonica, 1 japonica, costata in 10: et quidem 6 japonicis, 1 kamtschatica, — 1 mandshurica, 1 sibirica, 1 himalaica. Semina lae- via etiam hic igitur 3 centrasiaticis et extraasiaticis peculiaria, costata vero in centrasiaticis tantum in 2, in maritimis asiaticis vero apud 8 occurrunt. Praeter has divisiones principales inter Chrysosple- nia dantur typi aliqui praestantiores. Inter alterni- folia habemus 2 centrasiatica foliis radicalibus caren- tia innovatione hypogaea (Ch. Griffithii et Ch. uniflo- rum), 2 centrasiatica foliis praeter summa squamifor- mibus (Ch. ovalifolium et Ch. carnosulum), 2 item cen- trasiatica tenerrima humillima cymis sub-1-floris (CA. tenellum et Ch. Sedakowii), 1 pariter centrasiaticum ramis axillaribus numerosis 1-floris (Ch. axillare) et reliqua ad Ch. alternifolium accedentia etiam Asiae centrali peculiaria sunt, 1 (Ch. flagellifero) excepto, typum proprium orientalem sistente. Multo minor polymorphia inter oppositifolia. Ch. valdivico excepto, quod refert Ch. axillare inter al- ternifolia, sed revera repens est, reliqua omnia inter se valde similia sunt; non exceptis imo Ch. Maximo- wiczù stolonibus nudis hypogaeis excellente, et Ch. Fauriae ubi folia radicalia in squamas mutantur, priore typum Ch. Griffithii, secundo illum Ch. ovalifolii inter ` alternifolia paulo in mentem vocante, utroque Japo- niae indigeno. — Reliqua longe numerosiora tam inter se consimilia, ut aegre sub anthesi tuteque tantum ex seminibus distinguenda sint. Patet vero ex praecedentibus, juga Asiam centra- lem limitantia speciebus quidem pauperiora esse quam Japonia et regiones adjacentes littorales, typis pro- priis autem ditiora. Extra Asiam typus peculiaris invenitur unicus: Ch. valdivicum in America australi. Superest ad descriptiones antea a me promulgatas supplere loca v. synonyma v. adnotationes nonnullas et addere species novas in clavi indicatas: Ch; uniflorum. Nanum erectum glabrum simplex, foliis radicalibus in squamas carnosas plures arcte imbrica- tas orbiculatoovatas mutatis; cauliculo subhypogaeo ex omnibus axillis foliorum delapsorum radicante et longe stolonoso stolonibus nudis; foliis alternis ad api- cem pseudoverticillatis v. approximatis laminà longius petiolatis reniformibus v. cordato-suborbiculatis gran- dierenatis crenis utrinque 4 emarginatis; flore termi- nali bracteis parvis foliaceis 2 involucrato subsessili solitario v. cum accessoriis 1 v. 2 multo serioribus; sepalis semiorbiculatis stamina parum superantibus, ovario '/, libero truncatobilobo Si conicis erectis stamina fere aequantibus. China oceidentalis: prov. Kansu alte alpina (Prze- walski, 1880). Ex prima fronte Ch.alternifolio simile, abhorret vero . caulis basi bulbifera loco foliorum radicalium et ovario apice libero stylis rectis, semina autem vix non similia erunt, nam valde immatura quae praesto sunt etiam ovoidea. Tubera quae in Ch. alternifolio occurrunt a 473 des Sciences de Saint = Petersbourg. 474 bulbo nostro diversissimi, sunt enim gemmae axilla- res tuberosoincrassatae et una cum caule vicino amylo faretae. Squamae Ch. wniflori cauli immutato tenui basi attenuata insident et passim apice obscure cre- nulatae sunt. Ob hanc squamarum conformationem Ch. Griffithi Hook. f. Th. proxime affine est. In sy- nopsi mea Ch. Griffithi ob caulem nudum et folia si- milia Ch. nudicauli et peltato consociavi, sed horum rhizoma durum et sat longum apice squamas membra- naceas gerit, in Ch, Griffithi vero, quantum video e delineationibus a cl. Hooker et me ipso factis, caulis pars basalis rhizomatis loco fibris radicalibus termina- tur, supra quas squamae 3 ovatae, illis Ch. wniflori similes, observantur, sed an carnosae sint adnotare omisi. | Plantula 2 — 3- pollicaris, parte epigaea pollicari, folia minoribus Ch. alternifolii aequimagna, flos ter- minalis diam. 6 mm., laterales diam. 3 mm. Ch. Wrightü Franch. et Savat. Enum. II, 356 in adnot. In littore maris Ochotensis a Ch. Wright lectum prostat in mus. Paris. Vidi delineationem a cl. aut. be- nevole communicatam. Juxta Ch. alternifolium L. collocandum. Ch. axillare Maxim. Chrysospl. n. 3. Nunc innovum iisdem regionibus lectum prostat a Przewalskio fructiferum. Flos in fructu vix major, calycis lobis erectiusculis, capsula semisupera apice rectilineotruncata, stylis parte libera capsulae duplo brevioribus rectis, seminibus 6—10, ovoideo-oblongis nitidulis subrugulosis minutissime cellulososculptis sub- laevibus, 1,5 — 1,65 mm. longis. Ch. Sedakowi Turcz., Maxim. l. c. n. 11. Locis adde: Sibiria baicalensis: secus viam versus alpem Chamar-daban ducentem, prope Sludanka flor, 1879, nec non ad viam postalem non procul a Moty in rupe Nil appellata defl. 1881. legit Ksiezopolski. Ch. oppositifolium L. Maxim. l. c. n. 14. Locis adde: Lapponia (Huebener in herb. Boiss.) Ch. baicalense Maxim. in Bull. Mosc. 1879, 21. Sibiria baicalensis. è Prope Ch. oppositifolium L. locum tenet. Ch. ramosum Maxim. 1. c. n. 15. Synonymis adde: F. Schmidt, Fl. Amg. bur. n. 162. Ch. yesoënse Franch. Savat. L c. II, 355, 649 (ex ipsis). Ch. kamtschaticum Fisch., Maxim. l. c. n. 17. Adde: F. Schmidt, fl. Sachal. n. 187. Locis adde: Sachalin (Brylkin, Glehn). Chr. trachyspermum. Glabrum, stolonibus numerosis foliatis foliis (terminalibus maximis) obovatis- fere a basi repandocrenatis crenis utrinque 10 — 14, cauli- culis debilibus foliis in petiolum lamina longiorem at- tenuatis spathulatoobovatis a medio utrinque sub-7-cre- natis crenis incumbentibus parvulis; cyma pluriflora laxa foliata, floribus dissitis infimis longiuscule pedi- cellatis viridibus, sepalis quadratis stamina parum su- perantibus, ovario capsulaque semisuperis bicornibus cornubus exsertis ovatis in stylos subito acuminatis divergentibus, seminibus circiter 40 globosis hinc acu- tis circumcirca minutissime scabris, 0,5 mm. China occidentalis: prov. Kansu alpina, in faucibus secus rivulos rarum (Przewalski, 1880). Ob capsulam semisuperam inter seriem 8. Nepalen- sia collocandum, Ch. trichospermo Edg. et Ch. macro- carpo Cham. propius affine. Sed habitu et characte- ribus nonnullis etiam Ch. macrostemoni m. (e Japonia) accedit, quod foliis (tamen acutis) hibernantibus amplis floribusque in fructu pedicellatis cymaque demum laxiuscula simile est, sed valde differt staminibus exser- tis, capsula basi tantum adnata etiam parte connata exserta seminisque forma, superficie et magnitudine. Ch. Echinus Maxim. 1. c. n. 24. Ch. echinulatum Fr. Savat. 1. c. II, 359, 650. Locis adde: Fudzi-yama (Savatier!) Semina leviter costata costis pilos elongatos linea- res ferentibus. Ch. Grayanum Maxim. 1. c. n. 26. Synon. adde: Ch. Dickinsit Fr. Sav. 1. c. IT, 357 et Ch. nipponicum Fr. Sav. I e. II, 356, ex ipsis II, 650. Locis adde: Nügata et alpe Niko (Franchet et Savatier!). Pili seminum interdum pauci, v. caduci. Ch. macrostemon Maxim. 1. c. n. 28. Adde: Franch. Savat. ]. c. II, 358 (descriptio). Ch. discolor Fr. Sav. L e. II, 359. Nippon: montibus Hakone et m Niko (Dickins! comm. Franchet). 475 Bulletin de l’Académie Impériale 476 Praecedenti affine Ch. sphaerospermum Maxim. 1. c. n. 31. Locis adde: China borealis, ditione florae Pekinen- sis, in alpe Siao-wu-tai-shan, supra limitem sylvarum (Móllendorff, 1879). Varietatem sistit foliis solito minus profunde cre- natis. Ch. Fauriae Franch. in Bull. soc. bot. de Fr. XXVI, 84. Nippon: prov. Etschigo, prope Niigata, in. m. Nitz (Faurie!) Species sui juris, ut in clavi indicatum est. Species minus notae. ` Ch. Vidali Franch. Savat. Le II, 360. Nippon: prov. Simotsuke (Vidal). Vidi delineatio- nem ramulumque sterilem a cl. aut. communicatum. Ch. multicaule Fr. Sav. Enum. II, 361. Nippon boreali (Hogg !). Simillimum Ch. sphaerospermo, sed albiflorum. Utraque species ob semina ignota quoad locum mihi subdubia, PB Ribes stenocarpum. (Grossularia) Orgyale densissime ramosum, ramis acute angulatis glabris; aculeis infra- : axillaribus validis ternis patentibus medio validiore, sparsis nullis; petiolis parce glanduloso-setosis lamina subbrevioribus, lamina utrinque parce pilosa rotun- data basi truncata v. subcordata 3—5-loba, lobis ob- tusis pauci-grandique crenatolobatis, pedunculis recur- vis petiolo vulgo brevioribus subunifloris 2— 3-bractea- tis pedicelloque breviore cum calyce glabris, calycis tubo parte libera quam laciniae linearioblongae re- flexae breviore tubuloso-campanulata; petalis oblongis glabris antheras oblongas aequantibus calyce fere duplo brevioribus, stylo cylindrico fere ad medium bifido glabro stamina superante cruribus contiguis; baccis pl. m. anguste oblongis utrinque attenuatis glabris. China occidentalis: prov. Kansu alpina sylvatica (Przewalski, 1872, 1880). Baccae acidae dicuntur, in specc. suppetentibus pol- licares viridilutescentes, omnium specierum mihi no- tarum angustiores. — Asimillimo R. macrocalyce Hance (in Journ. of bot. XIII, 1875, 35., e regione Pekinensi!) et a R. grossu- larioidi m. e Japonia floribus minoribus glabris et forma mutuaque relatione partium floris distincta, nec non forma baecarum a posteriore (in priore ignota) diversa. — Omnes Grossulariae asiaticae ceterum tam inter se affines (R. ambiguo m. excepta), ut in posterum, si formae transitoriae notae erunt, fortasse cum R. Gros- sularia conferruminandae, Triosteum L. Species 5 hucusque notae ita disponendae: Flores e caulis perfoliatus. 2. Spica terminalis. 4. 2. Stamina Konen inclusa, corolla calycem subaequans, calycis limbus in drupa sessilis. 3. Stamina stylusque longe exserta, corolla calyce duplo longior, calycis limbus supra drupam tubulosus tubo quam margo aequa- liter lobatus parum breviore............. . sinuatum m. eor brunnescentes in axillis ae T. perfoliatum L. ochroleuci in axillis solitarii....... ngustifolium L 4. Folia integra basi connata............... T.himalayanum Wall » "pinnatiüda HBOS. د د د م وا‎ T. pinnatifidum m. Typus duplex igitur in genere obvius: hinc floribus axillaribus, illinc floribus terminalibu$. Posterior Asiae centrali proprius, prior vero iterum subdividitur in T. sinuatum m. (Mél. biol. VII, 553.) genitalibus ex- sertis, limbo calycis aequali ad medium tantum fisso, Mandshuriae et Japoniae proprium, at rarissimum, et species borealiamericanas valde inter se affines: ge- nitalibus inclusis, limbo calycis ad basin inaequaliter partito, e quibus una etiam perrara est. T. pinnatifidum. Pluricaule simplex longe superne glanduloso- ubique hirsuto-pilosum; foliis liberis basi attenuata subcordata vel euneata semiamplexicaulibus sessilibusve, summis obovatis acuminatis integris, re- liquis ultra medium bijugo- pinnatifidis sinubus rotun- datis laciniis acuminatis; spica terminali; drupa tri- pyrena. China occidentalis: prov. Kansu in sylvis alpinis frequens (Przewalski 1872 fructif., 1880 flor. et fr nond. mat.). | A proximo T. himalayano Wall. differt foliorum forma et floribus ebracteolatis. Plantam himalaicam tamen sub anthesi non vidi, Wallich, qui fusius de- scripsit (in Roxb. Fl. Ind. ed. Carey, II, 180) floren- tem non novit, Hooker fil. et Thomson (in Journ. linn. soc. IT, 173) atque Clarke (in Hook. fil. Fl. Brit. Ind. III, 8. sub T. hirsuto) florem non v. brevius de- scripserunt. 477 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Calyeis 3 mm. longi dentes inconspicui brevissimi rotundati, tubo glanduloso-villosissimo decuplo bre- viores. Corolla 7 mm. longa basi inferne distinetissime gibba, anguste tubuloso -infundibularis incurva, limbo continuo parvo lobis rotundatis, extus sordide viridis, intus brunnea, utrinque pilosa. Stamina 5 infra me- dium tubum inserta, antherae oblongae virides, lobos corollae non attingentes. Stylus cylindricus basi pilo- sus. Stigma cuneatocapitatum trilobum. Drupa calyce coronata lutea 10 mm. longa, ovoidea, trisulca, carne parcissima. Pyrenae tres, 8 mm. longae, obcompressae laeviusculae nigraé. Semen convexoplanum, ventre bisulcatum. Species exclusa. T. hirsutum Roxb. Fl. Ind. I, 538. — Mephitidia Roxburghii Wight et Arn. Prodr. fl. penins. Ind. or. I, 390., qui specimen authenticum imperfectum vide- runt, nune Lasianthus cyanocarpus Jack apud Hook. f. Fl. Brit. Ind. III, 179. T. hirsutum «Wall.» apud Clarke l. c. nunquam a Wallich propositum fuit. Anaphalis ex emend. Benth. Genus a Benthamio reconstructum, praeter genus Candolleanum, sect. 2. ejus Antennariae amplec- tens, characteribus mere artificialibus iisdemque in- constantibus fultum est, scil. capitulis androgynis et pappi setis liberis, neque ut in Antennaria basi in annulum connatis, Sed capitula «minus stricte dioica» in Anaphali occurrere fatetur ipse Bentham et revera dantur in eadem specie individua mere Û ( ¥ sterilia), alia sub-9 i. e. flosculo 1 v. 2 centralibus ¥ , reliquis omnibus 9, alia denique androgyna, i. e. flosculis pe- ripheriae 1-(vel passim bi-) seriatis ©, ceteris sterili- bus 3. Pappi setae vero v. gr. in À. margaritacea distincte ipsa basi in annulum concreta et cuncta nec singula cadentia. Character e setis floris ¥ vix apice incrassatis barbellatisque ab ipso Benthamio non magni aestimatur: adsunt Anaphales pappo late pul- chreque barbellato, cujus setae simul parciores inve- niuntur. — Nihilominus genus tale quale nunc circum- scribitur species habitu consimiles continet et igitur servandum, utrum vero pro genere proprio, an pro sectione Gnaphalii (quo casu parallelum esset v. gr. Cacaliae, Ligulariae aliisque in Senecione) parum in- terest. Species Asiae orientalis. SCH secus caulem longe distincte decurrentia. 2. UR v. cinereoviri rides. 3. Dense albotomentosa, capitula globosa.. Humilis, folia cauli parallela, corymbus i VOluCPASUS 1 A ممم‎ Pedales v. ultra, folia patentia, corymbus . exinvolucratus, capitula par Ala latitudine caulis , a basi vix an- ee 2 globos folia balî sensim attenuata, capitula ped nat Folia linearia supra viridia (rarius utrinque 6 m ee lactea m. n A. Hancockii m. » alata m. ee A. pterocaulon m. mm. onen» = incana. 6. pe liec lS griseoincana, cau- AP s RON e 9e Dua t UE pul Ray A. sinica Hance. ; eet niii T o acu riora acumi- sus. pedicelli Geier Sé epes aequan- tes . yedoénsis m. 7. Elata simplex macrophylla, capitula ma- juscula. د‎ so eene tuner a s A.margaritacea Benth. Humilis rámosa inicrophylls et microce- DAR LOE CEI Ad dau nis i A. japonica m. a. Folia alatodecurrentia. Species, una himalaica excepta, orientaliasiaticae. 1. A. alata, Simplex elata viridis pulvereopilosula et ad caulem dense ad folia subtus parce araneoso-to- mentosa; foliis patentibus 1-nerviis infimis spathula- tis vix alatopetiolatis reliquis linearilanceolatis breve acuminatis inermibus basi vix attenuata late ultra fo- lium vicinum decurrentibus, ala latitudine caulis; co- rymbo capitato simplici v. ramoso polycephalo; capi- tulis parvis subglobosis; involucri phyllis candidis obtuse obovatis exterioribus sensim brevioribus; pappo albo. Kansu occidentali alpina, versus templum Tschöib- sen (Przewalski, 1880). Proxima sequens distincta videtur foliis membra- naceis obovato-oblongis ala angusta ex basi longe et sensim attenuata decurrentibus, capitulis duplo mino- ribus turbinatis. Capitula (diam. 3 lin.) inindividuis © centro floscu- lum 1 ¥ sterilem habent, pappo omnium conformi tenui setis vix apice paulo crassioribus, in individuis ó flores omnes abortu d, pappo breviore parciore, setis apice lato pulehre barbellatoclavatis. — Planta 1,—2- pedalis. - 2. A. pterocaulon Franch. Savat. Ruum. pl. jap. II, 405 (sub Gnaphalio). 479 Bulletin de l'Académie Impériale 480 Nippon: in alpe Niko (Tschonoski! 1864), prov. Omi monte Ibuki (Dr. Rein, fide Franchet). 3. A. Hancockii. Humilis simplex basi stolonifera vi- ridis viscidulo-pilosa, ad caulem marginesque foliorum araneoso-tomentosa; foliis erectis 1-nerviis infimis spathulatis ceteris linearioblongis obtusis v. summis _sphacelato-acutis basi non attenuata secus caulem de- currentibus ; corymbo involucrato capitato pleiocephalo; capitulis turbinatis; involucri phyllis basi nigrescente . aequali excepta candidis nitidulis ovatooblongis obtusis; pappo albo. À. triplinervis Hance in Trim. Journ: bot. VII, 1878, 12, — neque Clarke. China boreali: in alpe Siao-wu-tai-shan ditionis Pekinensis (Hancock!), Kansu occidentali alpina, alt. 9— 12 mill. ped. s. m. (Przewalski, 1872, 1880); in jugo altissimo Nan-shan inter Mongoliam et Zai- dam finitimo (idem, 1879). A. triplinervis Clarke, pro qua sumpta fuit, differt foliis radicalibus ellipticis longe caulinisque iala داكن‎ bus petiolatis rite 3—5-nerviis, tomento 211560 denso, folis non decurrentibus, corymbo ramoso non inyo- lucrato laxiore. In nostra folia radicalia caulinaque infima haud, fasciculorum sterilium seriora tantum petiolo alato instructa, costis ubique e nervo medio egressis nec a basi liberis. — Capitula fere semper dioica, vix '/,-pollicaria, in- volucri phyllis 7 mm. longis. Pappus tenuis elongatus ubique subaequilongus, setis fl. $ tamen leviter cla- vellatis. 4. A. lactea. Caespitosa multicaulis ultrapedalis tota tomento floccoso denso incana, caulibus simplicibus erectis, foliis linearioblongis linearibusve planis 1-ner- viis fasciculorum in petiolum alatum attenuatis cauli- nis basi attenuata anguste alatodecurrentibus utri- busque obtusiusculis, superioribus acumine recurvo tomentoso; corymbo denso ramoso lobatocapitato; ca- pitulis subglobosis saepius dioicis ; involucri lactei opaci phyllis intus sensim longioribus oblongis obtusis; pappo albo capituli 2 late clavato. Kansu occidentali alpina, circa lacum Kuku-nor, 10,200' s. m. et alibi (Przewalski, 1872, 1880). Ex affinitate À. araneosae DC. caule ramoso capi- tulis fere duplo minoribus turbinatis diversae. b. Folia sessilia. Pleraeque Indicae. 5. À. sinica Hance in Journ, bot. XII, 1874, 261. China media centrali, prope Kiu-Kiang (Dr. Shea- rer!, Móllendorff!) Proxime affinis A. oblongae D C. Ab A. lactea caule ramoso, foliis sessilibus mucronatis, involucro basi to- mentoso turbinato minore squamis corrugatis distincta. 6. A. japonica Turcz. in Bull. Mosc. 1851, 200 (sub Antennaria). Miq. Prol. 110. Kiusiu: Kawara yama (Buerger!), Nagasaki (Old- ham! n. 428, ipse), Simabara (ipse); Nippon: Kioto (Rein!) Tam similis À. contoríae Hook. f., ut distinguere nequeam. 7. A. margaritacea Benth., Herder, pl. Radd. monopet. n. 138. (sub Gnapkalio): سيد‎ cinna- momea Miq. Prol. Le Kamtschatka, Manisha ia orientalis ie Sa- chalin, Yezo, Nippon in montibus, v. gr. fades: Chinae prov. Kansu parte occidentali alpina (Prze- walski, 1872, 1880), America boreali, et var. cinna- momea Herd. in India. Planta Sinico-japonica foliis firmioribus nonnunquam distinctissime 3-nerviis, rarius subtus jam cinnamo- meo-tomentosis ad pl. Indicam transitum sistit, ita ut cum am. Herdero omnem conspecificam habeam. Etiam in genuina enim folia latiora 3-nervia sunt, ner- vis lateralibus supra impressis, subtus tomento occul- tatis. 8. A. yedoënsis Franch. Savat. 1. c. 404 (sub Gnaphalio). Nippon (Savatier!). Valde quidem praecedenti affinis, sed signis ab auto- ribus datis distincta videtur. Nannoglottis n. gen. Compositae Inuleae. Capitulum multiflorum hemisphaericum heteroga- mum, floribus radii © 1-seriatis fertilibus ligulatis ligula reflexa parva oblonga integra extus pilosa, floribus disci co majoribus ¥ abortu sterilibus campanulatis 5-dentatis. Involucrum 2-seriale squamis extimis pau- cioribus foliaceis, intimis membranaceis, omnibus ae- quilongis oblongis acuminatis appressis discum sub- superantibus. Receptaculum convexum alveolatum. An- therae basi obtusae. Achaenium angulatum oblongum, radii breve pilosum, disci lineare inane glabratum. Pap- 481 des Sciences de Saint = Petersbourg. 482 pus radii 1-serialis parcus setis plumoso-barbellatis, disci ad setas 2 elongatas, reliquas brevissimas minu- tas inaequales, omnes scabras reductus. — Herba tan- ` gulica رو‎ bipedalis erecta flaccida subsimplex, tota, ad folia parce, versus apicem dense et subviscide corru- gato-pilosa. Folia magna membranacea oblonga grandi- dentata, infima in petiolum, reliqua in caulem alato- decurrentia. Pedunculi ex axillis superioribus nudi 1- cephali folium superantes. Capitula diametro pollice minora, sordide viriduloochracea homochroma. N. carpesioides. China occidentalis: in sylvis frondosis alpinis prov. Kansu (Przewalski, 1872). Antheris ecaudatis, in Znuleis rarissimis, anomala, sed ex characteribus habituque huic tribui associanda et quidem prope Vicoam ponenda videtur. — In radio rami stylini lineares semiteretes extus papillosi, in disco stylus inclusus sub ramis hispidus, rami pla- niusculi, extus convexi hispiduli, apice non dilatato obtusi, conniventes. Antherarum appendices breve ova- tae. Limbus disci breve 5-dentatus tubo aequilongus, pappi setas longiores aequans. Habitus Carpesii cernui. Cremanthodium humile. Fasciculis sterilibus nullis, caule decumbente repente oligophyllo; foliis subcoriaceis subtus incanotomentosis, radicalibus longe petiolatis, omnibus ovatis v. ovatooblongis penniveniis serratis in petiolum cuneatis; capitulo 1'/, pollicari, involucro nigrovilloso et saepe albofloccoso, ligulis late oblongis 3-denticulatis, disco luteo, styli ramis apice rotundato hispidulis, pappo albo. - Kansu, alt. 10—12 mill. ped. s. m. inter fragmina laxa lapidum frequens (Przewalski, 1872, 1880). Ob erescendi modum sui juris, Werneriae nanae Benth. (in eadem regione detectae) similis. Caulis fere spithamaeus, sed pars ascendens florifera 3-pollicaris. Foliorum lamina 30 : 20 mm. magna. Cremanthodium plantagineum. Robustum pedale, foliis subcoriaceis fasciculorum sterilium longe petiolatis gla- bris v. subtus parce arachnoideis ellipticolanceolatis v. ellipticis acutis in petiolum basi vaginatodilatatum de- currentibus inaequaliter grandidentatis penninerviis; caulibus floriferis folia radicalia parum superantibus oligophyllis, foliis basi attenuata vaginante amplexi- caulibus acuminatis; capitulo 2-pollicari; jnvolucro ni- grovilloso v. insuper arachnoideo; ligulis oblongis 3- . Tome XXVII dentatis, disco fusco, styli ramis extus apiceque rotun- dato hispidulis; pappo albo. Ibidem idem. Affine C. oblongato Clarke (v. s. Strach. et Win- terb. s. n. Ligulariae Y 4 in hb. Acad. Petrop. e Ti- beto occid., alt. 15 mill. ped.), quocum in communi habet fasciculos radicales fibris petiolorum vetustorum cinctos cauli florenti contiguos, sed folia basi neque cordata, neque rotundata, discus haud luteus, appen- dices stigmatum non acutae, corollae disci limbus tubo pluries neque parum longior, filamenta sub anthera distincte incrassata, neque aequalia. Appendix anthe- rarum in utraque oblonga. —- Lamina foliorum radi- calium 11:6 cm. magna, nervi oblique e costa egressi, arcuati. Cremanthodium lineare. Glaberrimum spithamaeum, foliis fasciculorum radicalium chartaceis subeveniis elongatolinearibus obtusiusculis basi longe attenuatis, petiolo brevi subito in vaginam ovatam dilatato; caule florifero folia radicalia longe superante foliis diminutis erectis vagi i subulatolinearibus acu- minatis, pluribus superne in bracteiformia sub capitulo abeuntibus; capitulo 1'/-pollicari, ligulis e latiore basi linearibus acuminatis, integris v. subbidentatis, disco brunnescente, styli ramis extus hispidulis apice obtu- sis; pappo albo. Kansu, regione Tangut, in pratis montium jugi bo- realis finitimi frequens (Przewalski, 1880). Typus proprius. — Folia radicalia cum petiolo 90 : 7 mm. magna. Caulis superne cum foliis et involucro nigrescens. Appendix antherae oblonga. Ligulae trium praecedentium luteae. kg Cremanthodium discoideum. Foliis fasciculorum steri- lium parvulis glabris longe tenuiterque petiolatis char- taceis subeveniis subtus caesioglaucis ovatooblongis obtusiusculis; cauliculis florigeris pluribus folia radi- calia longe superantibus spithamaeis tomento floccoso albo aspersis oligophyllis; foliis erectis linearioblongis acutis basi vaginante amplexicaulibus quam radicalia majoribus superne nullis; capitulo */-pollicari; invo- lucro nigrovilloso, ligulis 0, disco fusco, styli ramis extus hispidulis acutinsculis; pappo albo. Kansu, regione Tangut, pratis alte alpinis (Prze- walski, 1872, 1880). Petioli foliorum radicalium 30 — 50 mm., lamina 31 483 Bulletin de l'Académie Impériale 4194 15 : 6 ad 30: 10 mm. Folia caulina infima rarius breve dilatato-petiolata late ovata, reliqua v. vulgo omnia (3 — 4) basi amplectente sessilia, 40 : 7 mm. magna, caule sub capitulo longe nudo. Genitalia fusca, anthe- rae appendix ovatooblonga, filamenta sub anthera in- crassata. Capitula omnium nostrarum more generis nutantia, radices fasciculatae; fasciculi steriles, prima ubi de- sunt excepta, cauli florifero contigui. Doronicum stenoglossum, Elatum superne fastigiato- ramosum pilosum, folis oblongis minute denticulatis radicalibus acutiusculis in petiolum longissimum pro- funde decurrentibus, caulinis basi profunde cordata amplexicaulibus, superioribus basi latioribus acumina- tis; capitulis secus ramos 1—4 racemosis, lateralibus breve pedunculatis, pedunculo apice breviter obconico; involuero basi villoso phyllis linearibus longe acumi- tis ligulas fere filiformes sulfureas subsuperantibus; achaeniis omnibus pilosis pappo rufescente coronatis. Kansu occidentali, alt. 8 — 10 mill. ped. (Prze- walski, 1880). Species sui juris, involucro elongato, capitulis sor- dide sulfureis v. ex brunnescente virentibus inter om- nes facile nota. Capitula diam. sesquipollicari, terminalia pedunculo 2—3-pollicari, lateralia quam capitulum breviore fulta. Involucri viridis phylla 10 — 20 mm. longa, 1 — 17/, mm. lata. Ligulae tubo suo sesquilongiores, 1 mm. an- gustiores, 2-dentatae. Flores disci cum ovario 5 mm. longi, subeylindriei, 5-dentati dentibus anguste deltoi- deis. Pappus parcus longitudine disci, achaenio tur- binato-cylindrico 10-costato duplo longior. Senecio Sagitta (Ligularia). Elatus pallide virens su- perne tomento floccoso niveo adspersus, foliis auricu- lato-sagittato-deltoideis e sinu subcordato anguste in petiolum decurrentibus paucicostatis costis praeter in- fimas mox ramosis, argute inaequaliter dentatis, prae- cocioribus apice auriculisque obtusis junioribus acu- minatis, caulinis paucis petiolo basi vaginante semi- amplexicaulibus, superioribus basi cuneatis, summis linearibus; racemo a basi florente elongato polycephalo demum laxiusculo, pedicellis praeter infimos capitulo brevioribus; involucri basi rotundati phyllis suboctonis oblongis margine scariosis apice acuto adustis; ligulis 5—9 involucro duplo longioribus oblongis 3-dentatis, flosculis disci cirea 10; styli ramis ubique consimili- bus linearibus extus ad basin usque distincte hispidu- lis appendice longiuscula obtusa, pappo sordide ochro- leuco. Kansu occidentali alpina (Przewalski, 1872, 1880). Ex affinitate S. cacaliaefolii Schultz Bip. (Flora 1845, 50, qui Ligularia sibirica Cass.) et S. emoden- sis Schultz Bip. (ibid., qui L. racemosa D C.), ab utro- que foliorum forma et venatione distinctus. Folia S. cacaliaefolii enim pedatinervia costis laminae paucis ramosis, extimis 2 crassioribus bast marginantibus extus ramos plures emittentibus, folia S. emodensis costas numerosas tenues subparallelas subsimplices ha- bent, et extimae neque crassiores nec marginantes nec ramosae. ©. Sagitta habet costas paucas et ramosas S. cacaliaefolii, infimae tamen non crassiores sunt. Ab utroque praeterea capitulis duplo minoribus discrepat. Quo charactere ad S. Atkinsoni Clarke Comp. Ind. 207. accedit, sed hic pubescens, foliis caulinis rotun- dato-reniformibus, ligulis brevibus describitur. Nomen S. Ligulariae Hook. fil. Fl. Brit. Ind. III, 350. delendum videtur, quia Schultziano recentius, quia L. sibirica et L. racemosa perperam junguntur et inter synonyma diversissimus S. sibiricus «Ledeb. Fl. Ross. VI, 238.» (pro II, 638) recipitur. Folia caulina majora S. Sagiltae exacte illis S. sa- gittati Schultz Dip. (Cacaliae hastatae L.) similia. Senécio Virgaurea (Ligularia). Humilis glaucoviridis stolonifer racemo excepto glaber, fasciculis sterilibus secus caulem nullis, caule fistuloso foliato; foliis erectis integris infimis ellipticis bl | in petio- lum alatum basi vaginantem cuneatis, reliquis elongato- oblongis basi attenuata convoluta semiamplexicaulibus acutis et acuminatis; racemo ab apice florente 1—12- cephalo, rhachi bracteis involucroque parce arachnoi- deis, pedicellis capitulo parvulo brevioribus; involucri basi rotundati squamis 10 — 12 oblongis apice atte- nuato puberulis; ligulis subdecem linearioblongis, flosculis disci circa 20 tubulosis breve 5-dentatis, styli ramis linearibus appendicula ad apicem crassiore pa- pillosa; pappi discum aequantis albi setis scabris. Kansu occidentali alte alpina (Przewalski, 1880). Etsi prima fronte a S. altaico Schultz Bip. valde diversus, attamen proxime affinis. S. altaicus enim dif- 485 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 486 fert praesentia foliorum radicalium secus basin caulis, ligulis latioribus basi subito constrictis, appendice an- therarum oblonga neque ovata, pappo breviore, racemo saepissime denso et statura elata. Adnot. Oblata occasione hic exponere liceat tres species inter se valde affines: Senecio mongolicus Schultz Bip. (Ligularia mon- golica DC.) a sequente differt: caule solido, foliis laete viridibus subtus dense elevato-reticulatis, racemo a basi florente simplici denso, bracteis deltoideis pedi- cellisque involucro pluries brevioribus, involucri squa- mis subquinque, flosculis paucioribus, limbo corolla- rum disci ad medium 5-fido lobis oblongodeltoideis apice pubescentibus, achaenio (juvenili) oblongo, pappo longitudine tubi corollini in disco, rufescente, multi- seto barbellato valde inaequali. Hab. in Mongolia maxime orientali et in Chinae bo- realis alpe Siao-wu-tai-shan. S. altaicus Schultz Bip. in Flora1845,50. Trautv. Enum. Schrenk n. 631. Ligularia altaica D C., Ledeb. Fl. Ross. II, 621 (excl. pl. Gmelini et patria omni praeter Altai). In montibus Altai: prope Riddersk (Ledebour!, Politow!), ad fodinam Syrünowi (Dr. Lud wig!), prope Smeinogorsk (herb. Fisch.), ad Tschujam fl. (Poli- tow!); in Songaria: montibus Tarbagatai et Aktschawly (Karelin et Kirilow!), in graniticis Arassan (Seme- now!), valle fl. Takyr (Potanin!); Mongolia boreali: circa lacum Ubsa ad brachium australe fl, Charkira et in valle fl. Ulan-Natschin (Potanin! 1879); Kansu occidentali alpina, in vicinitate alpis Dshachar-dsargyn, alt. ultra 10 mill. ped. s. m. (Przewalski, 1880). Planta satis variabilis. Folia radicalia, fere semper in petiolum attenuata oblonga acuta, variant tamen in foliis vetustioribus v. in pl. Zangutica, passim in omni distincte cordatoovata acuta, Racemus (semper ab apice florere incipiens) plerumque simplex peduneulis brevi- bus l-cephalis, sed bracteae in medio pedunculo in- dicant capitula abortiva, et re vera pedunculi inferio- res sat frequenter occurrunt 2 — 3-cephali, et qui- dem aeque breves ac reliqui, aut elongati capitula superantes. — Ligulae variant involucro 1° et 2-lo longiores, plus quam triplo v. paulo magis quam duplo longiores quam latae, — Variationes stylorum mira- biles: rami oblongi v. linearioblongi, semiteretes, ap- pendice aequilata brevissime papillosa, in aliis indivi- duis rami stylini pl. m. complanati, appendice latiore, in eodem capitulo mox brevissime papillosa, mox pl. m. et imo longissime papillosohispida. — Omnia speci- mina ante oculos incipiente v. plena anthesi collecta, fructifera hucusque ignota videntur. Pappus achaenii juvenilis ovati albus involucrum superans, flosculos disci fere aequans, setis copiosis scabris. A S. altaico fortasse specie vix diversus, hujus sta- tus monstrosus censendus, est: S. Senecillis m., Senecillis glauca Gaertn., Ledeb. 176/019. Vidi spece. e Podolia australi (Besser! fructif.), culta in horto Dorpatensi (Ledebour! flor.); jugo Altaico (Koptew!, alii!); ad fl. Jenise? prope Minussinsk (T ur- ezaninow!) — omnia sibirica florentia lecta. Differt a S. altaico: foliis caulinis basi subito dila- tata (neque attenuata v. sensim minusque dilatata) cor- dato-amplexicaulibus, capitulis fere duplo majoribus (ta- men illis S. altaici e Mongolia aequimagnis) et prae- sertim fructu. Achaenium oblongum apice annulo coronatum, qui pappi setas ipso pluries breviores pau- cas albas fert, quae non tam barbellatae (ut apud aucto- res describuntur) quam solito vix longius, sed squarrose scabrae sunt. Diversitas pappi ad mentem Schultzii Bip. a Senecione generica, ad mentem Benthami haud sufficiens. Equidem Benthamio lubenter assentio, nam in Astereis observavi similes pappi variationes, transitus a Calimeri in Heteropappum sistentes, ita quidem, ut totus pappus in specc. centrasiaticis longior, ille radii vero quo magis Oceanum appropinquamur eo frequen- tius in coronulum pallescentem brevisetam mutetur. — Num forte in S. altaico analoga pappi mutatio oc- currit, si ab alpibus editis Asiae centralis ad loca magis demissa Sibiriae et Rossiae progredimur? Senecio tanguticus (Ligularia). Elatus gracilis, foliis superne capitulisque exceptis, parce araneoso-tomen- tellus, foliis subtus glaucis radicalibus nullis, caulinis pluribus brevipetiolatis petiolo basi subito dilatato semiamplexicauli, lamina ambitu cordata trijugo-pin- natipartita, partitionibus acuminatis paucilobis serra- tisque lobis acutis; panicula ampla oblonga polyce- phala, quovis ramo racemum compositum a basi floren- tem sistente, pedunculis 1 — 3-cephalis, pedicellis setaceobracteatis involucro brevioribus; involucri sub- 3 487 Bulletin de l’Académie Impériale 188 ‚ecalyculati phyllis 5 linearibus; ligulis 2 — 3 spathu- latis, disci flosculis 4 — 7 toto limbo exsertis, pappo 1-seriato albido; achaeniis glabris. Kansu occidentali, in sylvis alpinis (Przewalski, 1872, 1880). Cum S. Przewalskii m. et S. Mortoni Clarke tan- tum comparandus, ab utroque distinetissimus. A priore, cui similior, differt foliis non palmatis, pubis praesentia, defectu foliorum radicalium, petioli ratione, inflorescen- tia non simpliciter racemosa, capitulo y^ minore, co- rollae disci limbo cylindrico breve 5-dentato tubum superante, antherarum caudis acutis cum vicina con- natis, styli $ glabri ramis truncatis apice tantum pa- pillosopuberulis. Magis adhuc et prima fronte abhorret S. Mortoni: foliis palmatipartitis, caulinis petiolo va- ginante, inflorescentia latissima e corymbis composita, pappo fusco cet. Senecio Roborowskii (Cacalia). Gracilis, caule angu- lato striatoque, foliis subtus tomento araneoso incanis deltoideis acutis inaequaliter dentatis e basi truncata cuneo obliquo breve in petiolum nudum attenuatis dentibus mucronulatis; panicula pyramidali laxa pleio- cephala, capitulis cernuis; involucro subecalyculato 3-phyllo phyllis linearibus, floseulis 3, pappo albo. In alpinis Kansu occidentalis (Przewalski, 1880). Persimilis S. bulbifero m. e Japonia, qui tamen di- versus videtur caule tereti crassiore, foliis superioribus numerosis acuminato-ovatis, inferioribus cordato- v. reniformi-deltoideis basi vix recteque cuneata decur- rente, petiolo lamina breviore nec longiore, bulbillis axillaribus, panicula polycephala densiore, capitulis triente minoribus, involucri squamis 5 fuscescentibus neque viridescentibus, flosculis 5—10. Senecio deltophyllus (Cacalia). Elatus gracilis simplex, praeter petiolos margine pedunculos involucraque parce floccosotomentosa glaber, petiolis nudis laminam folio- rum inferiorum superantibus, mediorum subaequan- tibus; lamina basi truncata deltoidea, apice breve acu- minato angulisque basalibus obtusis, margine inaequa- liter repandodentato dentibus obtusis mucronulatis; pedunculis terminali et axillaribus gracilibus 1-cepha- lis folium petiolatum lanceolatum v. lineare aequanti- bus capitulo nutante plus duplo longioribus; involucri phyllis 10 diu connexis rigidis oblongis margine mem- branaceis disco pappoque albo brevioribus; flosculis oo limbo campanulato quam tubus subbreviore breve 5 —6- dentato 10—12-nervio, achaenio lineari costato. Silvis alpinis Kansu occidentalis (Przewalski, 1880). Affinis S. sagittatus Schultz Bip. (Cacalia hastata L.) optime differt petiolo brevi cuneato-alato, apice angulis- que laminae acute acuminatis, dentibus oo multo mi- noribus, panicula polycephala, squamis involucri vulgo floribusque paucioribus, corollae limbo infundibuliformi tubum plus duplo superante, pappo sordido. Capitula S. sagittati ob involucri phylla linearioblonga mox so- luta floresque omnes rectos sub anthesi tota turbinata, in S. deltophyllo vero involuerum diu cylindricum ma- net, flores autem illi propiores extus curvantur. — Flores S. deltophylli a collectore lutei dicuntur, sed ex sicco etiam ochroleuci videntur. Planta tota S. sagit- tato minor. — S. rubescens L. M. Moore in Trim. Journ. bot. IV, 1875, 228., e China media centrali, mihi ignotus, abhorret ex descriptione foliis 3 — 5- lobis denticulatisque basi cuneatis, paniculis divaricatis amplis polycephalis, capitulis ascendentibus et glabritie. Saussureae species novae. S. Medusa (Æriocoryne Hook. fil.). Tota tomento in- tricato gossypino pl. m. tecta, caule crasso brevi fo- lioso; foliis caulinis patentibus petiolatis, lamina petiolo breviore orbiculata circumcirca laciniatodentata den- tibus acutis, superioribus corymbum subtendentibus reflexis numerosis rhombeis v. lanceolatis in petiolum alatum v. 0 attenuatis pinnatifidis v. pinnatipartitis subulato-acuminatis laciniis linearibus, summis lineari- subulatis; capitulis oo rhachi dilatatae arcte innatis in hemisphaerium densissimum foliis arcte cinctum con- globatis superficie disci sola visibili, singulis cylindricis sub-10-floris, involucri apice gossypini phyllis lineari- oblongis scariosis coloratis subaequilongis; corollae purpureae tubo limbum subsuperante, pappo 1-seriato, achaenio lineari-fusiformi laevi; een parvo bre- vissime paleaceo. In alpibus Nan-shan, inter Mongoliam et Zaidam finitimis, 11 — 12 mill. ped. s. m., nec non in Kansu occidentali, regione Tangut, in alte alpinis secus fl. Tetung (Przewalski, 1872, 1879, 1880). Omnium specierum Æriocorynes pulcherrima ; pl. tangutica spithamaea, corymbo palmam usque lato, lamina foliorum pollicari, pl. nanshanica bipollicaris. 489 des Sciences de Saint ه‎ Petersbourg. 490 S. tangutica (Obvallatae m.: foliis floralibus dilatatis coloratis capitula pl. m. involucrantibus). Palmaris v. spithamaea pl. m. longe villosa, caule gracili foliato; foliis chartaceis inferioribus patentibus petiolatis ner- vosis oblongis utrinque attenuatis crasse mucronato- dentatis acutis, floralibus coloratis reticulatis cordato- ovatis capitula 1 — 5 sessilia glomerata tegentibus; involucri nigrescentis longe hirsuti sub-4-seriati phyl- lis linearilanceolatis acuminatis; pappo duplici externo scabro; receptaculo brevipaleaceo. Kansu occidentali alte alpina (Przewalski, 1872, 1880). Proxima videtur ob capitula «sericeovillosa» $. Schulizii Hook f. mihi ignotae, sed haec describitur caule «puberulo», foliis acuminatis, floralibus brevibus capitula pedicellata non tegentibus, et ob comparatio- nem cum S. bracteata Dne involucrum diversum esse debet: phyllis intimis extima plus duplo neque parum superantibus; de forma foliorum floralium nil dicitur. — AS. obvallata Wall., cui caule gracili similis et à S. involucrata Kar. Kir. (crassicauli) differt foliis floralibus cordatis, caulinis parvis non membranaceis, hirsutie caulis, foliorum et inflorescentiae, involucri phyllis angustis acuminatis, a S. involucrata praeterea receptaculo paleaceo. Corollae tubus limbum aequans, ut in S. involucrata. — Capitula fere pollicaria. S. phaeantha (Obvallatae). Spithamaea v. pedalis pilis longis mollibus ubique parce villosa; caule simplici erecto dense foliato; foliis omnibus caulinis erectis flaccidis membranaceis linearibus acuminatis margine reflexo mucronato-denticulatis, infimis in petiolum bre- vissimum late vaginantem attenuatis, reliquis basi vix attenuata sessilibus, summis corymbum fulcientibus violaceis capitula aequantibus ovatolanceolatis obtuse acuminatis; capitulis 5 — 15 sessilibus v. brevissime gracile pedunculatis ovatis basi rotundatis; involucri /,-pollicaris phyllis nigrescentibus membranaceis lan- ceolatis acuminatis subtriseriatis extimis parum bre- vioribus; corollae fuscae limbo longitudine tubi; pappo flores aequante parco basi dilatato griseo; receptaculo longe paleaceo. Kansu occidentali alte alpina (Przewalski, 1872, 1880). A S. uniflora Wall!, cujus var. pumila 1 — 3- cephala in eadem regione leeta ante oculos est, dif- fert habitu flaccido, foliis densis linearibus, capitulis parvis numerosis basi non turbinatis, pedunculis tenui- bus, corollae limbo quam tubus non sesquibreviore, pappo corolla haud breviore setis paucioribus basi multo magis incrassatis. Proportiones corollae eaedem ac in S. Hookeri Clarke (Sikkim, Elwes! sub S. gra- minifoliae var.?), sed haec cinereovillosa 1-cephala integrifolia et folia floralia obtusa habet. S. Stella (Acaules Hook. f.) Acaulis nana glabra, foliis numerosis patentissimis imbricatis e basi dilatata elongato-linearibus longe sensimque subulato-acumi- natis integerrimis, capitula cireumdantibus oo basi alte violaceis; capitulis parvis numerosis sessilibus; invo- lucri cylindrici sub-5-seriati phyllis sensim longiori- bus, exterioribus oblongis obtusis, intimis linearibus acutis, omnibus apice violaceis ceterum pallidis; tubo corollae limbum superante; pappo rufescente elongato simplici; receptaculo parvo paleaceo. Kansu occidentali: pratis alpinis secus fl. Tetung (Przewalski, 1872, 1880). Ob folia sat similis videtur S. subulatae Clarke et S. wernerioidi Schultz Bip., mihi ignotis, sed capitula numerosa et involucrum diversum. S. apus (Acaules). Perpusilla acaulis araneosa, rhi- zomate tenui elongato horizontali apice ramoso et va- ginis brunneis vetustis petiolorum vestito; foliis capi- tulum sessile vix excedentibus chartaceis oblongolan- ceolatis v. sublinearibus acutis basi attenuata petiolo vaginiformi dilatato insidentibus, summis capitulo ap- pressis ovatolanceolatis; capitulo ultrasemipollicari ; in- volucri parce tomentelli sub-3-seriati squamis paucis appressis extimis late ovatis nigroviolaceis intimis li- nearioblongis triente brevioribus; limbo corollae tubo uplo breviore; pappi corollam fere aequantis setis exterioribus scabris; receptaculi paleis achaenio angu- lis subtuberculato brevioribus. In alpibus Nan-shan inter Mongoliam et Zaidam sitis, alt. 12 mill. ped. s. m. (Przewalski, 1879). Affinis videtur S. subulatae Clarke, sed in hac folia angustiora apice subulata integra revoluta et in- volucrum rigidum (in nostra squamae exteriores mem- branaceae, interiores scariosae). S. arenaria (Caulescentes Hook. f.) Nana, rhizomate tenui horizontali apice ramoso petiolorum vaginis brun- neis laeeris tecto; caule pollicari crassiusculo foliato 491 Bulletin de l’Académie Impériale 492 tomentoso v. glabro; foliis membranaceis subtus albo- tomentosis in petiolum alatum attenuatis linearioblon- gis utrinque acuminatis sinuato-dentatis, summis capi- tulum solitarium pollicare fuleientibus et longe supe- rantibus; involucro breve lateque ovoideo parce tomen- tello v. glabro viridulo phyllis numerosis sub-5-seriatis extimis ovatolanceolatis breve acuminatis quam in- tima longe acuminata fere duplo brevioribus, acumi- nibus vulgo recurvis; corollae tubo limbum duplo su- perante; pappo sordido ad limbum attingente; recepta- culi paleis achaenia aequantibus. Kansu occidentali, in arenosis ad Hoangho superio- rem (Przewalski, 1880). Ex descriptione S. Falconeri Hook. f. proxima, quae tamen rhizomate cauleque crassis, foliis elongato-linea- ribus sinuatopinnatifidis v. dentatis lobis recurvis, in- volucri phyllis linearilanceolatis differre videtur; co- rolla et pappus tamen aequilonga dicuntur. — Pappi setae exteriores scabrae. S. katochaete (Caulescentes). Nana pollicaris, foliis subtus albotomentosis exceptis glabra; foliis coriaceis rosulatis petiolo crasso vix vaginante, lamina subcor- dato-ovata subito breve acuminata basi in petiolum breve decurrente dense mucronato-denticulata paral- lele multinervia, foliis capitulum solitarium pollicare fulcientibus sed non superantibus petiolatis lanceolatis acuminatis; involueri ovoidei phyllis coriaceis nume- rosis quadriseriatis valide 1-nerviis obtusis ex ovata basi exterioribus breve interioribus duplo longioribus longe attenuatis nigromarginatis; corollae tubo limbum sesquisuperante; pappi serie externa setosa refracta! achaenio laevi appressa et aequilonga, interna quam corolla parum breviore; receptaculi paleis achaenio brevioribus. Kansu occidentali: in pratis alpinis secus fl. Tetung (Przewalski, 1880). "Specimen unicum collectum admixtum erat plantae, quam pro varietate glabriore minore S. hieracioidis Hook. f. (a me non visae) habeo, cujus exemplis sub- acaulibus quoad folia et capitula subaequimagnum est, — Species pappi structura per totum capitulum con- stante ab omnibus notis excellens, neque reliquis par- tibus in ullam descriptam quadrans. S. nigrescens (Corymbiferae Hook. f.). Pedalis laxe caespitosa pilis longis mollibus ubique parce pilosa; caule gracili farcto stricto; foliis infimis in petiolum brevem basi vaginantem attenuatis, ceteris semiam- plexieaulibus, omnibus linearilanceolatis v. -oblongis acute sensim acuminatis reverso-denticulatis, summis capitula fulcientibus apice violaceis; capitulis 1—6 co- rymbosis folio longius pedunculatis pedunculis strictis gracilibus; involucro oblongo fere pollicem longo ni- grescente parce piloso phyllis sub-5-seriatis obtusis extimis 4-lo brevioribus ovatis intimis linearibus; co- rollae fuscescentis limbo quam tubus breviore pappum excedente; pappi setis plumosis paucis, scabris pluri- mis; receptaculo longe paleaceo. Kansu occidentali: pratis alpinis frequens et gre- garia (Przewalski, 1872, 1880). Appropinquat nonnihil S. phaeanthae etiam ob folia floralia apice colorata, sed capitula majora longe pe- dunculata et involucrum distinctissima, posterius po- tius illi S. serratae vel S. elongatae simile. Inflorescen- tia tamen et pubes diversae. S. alaschanica (Corymbiferae). Palmaris simplex, caule gracili tomentoso foliato, foliis subtus albotomentosis breviter alatopetiolatis ellipticis acuminatis, superio- ribus sessilibus lanceolatis, omnibus mucronato-den- tatis, capitula 1 — 3 glomerata brevissime crasse pe- dunculata subtendentibus subulatis integris peduncu- lisque dense tomentosis; involucro */, poll. longo tur- binatocylindrico villoso phyllis 4 — 5-seriatis exterio- ribus ovatolanceolatis quam interiora linearia 3— 4-lo brevioribus praeter intima recta acumine subulato fo- liaceo reflexo terminatis; tubo corollae limbum supe- rante pappo biseriato breviore; caudis antherarum latis breviusculis apice dense ciliatis; receptaculo longe paleaceo. Mongolia australis: in faucibus montium Alaschan, rara (Przewalski, 1873). Species, cujus exempla 2 collecta, evidenter S. el- lipticae Clarke et 5. ovatae Benth. (in Henders. Yar- kand, 325. cum tab.), utrique a me non examinatae, affinis, sed ab utraque foliis brevipetiolatis regulariter haud grandidentatis, capitulis duplo majoribus, re- ceptaculo non nudo, antherarum caudis nec bisetis nec laciniatis distincta. Folia maxima petiolo pollicari, lamina 3 : 1'/, poll. magna, membranacea (in S. ovata crassiuscula), nervis utrinque usque 7 tenuibus indistinctis. Flores rosei. 493 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 494 Pappus sordidus, exterior copiosus brevis scaber. Achaenium laeve. S. pulvinata (Corymbiferae). Vix spithamaea multi- caulis longe molliterque lanata, caulibus dense caespi- tosis basi petiolis vetustis vaginantibus arcte crasse- que obvallatis foliatis, foliis carnosis oblongolinearibus utrinque attenuatis margine integro revolutis, infimis et fasciculorum sterilium in petiolum tenuem angusta- tis, reliquis sessilibus; pedunculis folia aequantibus ex axillis superioribus; capitulis 7 — 12 dense corymbo- sis; involucro cylindricoovoideo semipollice breviore pallido phyllis appressis subquadriseriatis exterioribus anguste ovatis quam interiora oblonga et linearia plus duplo brevioribus coriaceis acutis; corollae alboroseae tubo limbum aequante pappo biseriato brunnescente breviore; achaenio angulato tuberculatorugoso; re- ceptaculo breve acuteque papilloso. ; In alpibus Nan-shan inter Mongoliam et Zaidam finitimis, 11—12,000' s. m. (Przewalski, 1879). In mentem vocat S. canam Ledeb. B. angustifoliam Ledeb. (totam speciem ex opinione Trautvetteri S. salicifoliae D C. varietatem), sed pube, foliis car- nosis, capitulis et receptaculo abunde nimisque di- stincta. — Antherarum caudae elongatae ciliatae illis S. ovatae Benth. 1. c. delineatis similes. Pappi series exterior scabra sat copiosa ochroleuca, interior plu- mosa plus duplo longior rhachi sordide purpurea pilis cinerascentibus. S. malitiosa (Sclerodontae m.: dentibus foliorum et interdum involucri phyllis mucrone cartilagineo ter- | minatis ®). Pedalis simplex, radice fusiformi, caule basi petiolis vetustis vaginato erasso parce lanato fo- lioso; foliis membranaceis pube corrugata elongata lanatis inferioribus petiolatis (petiolo basi vaginante), superioribus v. plerisque sessilibus, ambitu lineari- oblongis usque ad costam alatam pinnatipartitis laciniis linearibus divaricatis parce dentatis v. vulgo integris, apice dentibusque reversis cartilagineo - mucronatis; corymbo denso 6—15-cephalo lana densissima incano, capitulis pedunculo crasso brevissimo subsessilibus ; involucro ovoideo pollicari pallido phyllis appressis 5) Huc S. alata DC. (in alpibus Nan-shan a Przewalskio etiam Jecta), S. runcinata DC., S. laciniata Ledeb., multis locis Mongoliae borealis a Przewalski et Potanin inventa, et fortasse S. sylvatica (infra describenda). e numerosis 5—7-seriatis rigidulis, extimis ovatolanceo- latis quam intima linearia basi attenuata plus triplo brevioribus, omnibus acuminatis tenuiter pungenti- mucronatis v. saepius appendice foliacea subulata mu- cronata reflexa auctis; corollae roseae limbo tubum aequante pappum parum superante; pappi albidi setis scabris paucis; achaenio ruguloso; receptaculo paleato. Regione alpina alpium Nan-shan (Przewalski, 1879). S. laciniatae Ledeb. affinis, sed jam involucro distinctissima et cum illa aliisque seriem in genere anomalam subarmatam formans, Cousiniis hoc puncto appropinquantem, pappi setis in annulum connatis ta- men distinguendam. Adest specimen vix palmare involucro exappendi- culato et aliud pedale ubi ex axillis inferioribus sur- gunt rami stricti 1-cephali, quorum involucra omnino v. fere exappendiculata, simul cum eximie appendicu- latis in corymbo caulino principali. Pedunculi infimi passim longitudine capituli. Rhachis foliorum capitula fuleientium et vix excedentium dilatata, laciniarum longitudini aequilata, reliquorum latitudini laciniarum aeque angusta. Corolla pollicaris. Caudae antherarum elongatae a basi in pilos parallelos vix crispatos solutae. S. Przewalskii (E/atae Hook. f.). Simplex ultrapeda- lis tomento floccoso adspersa, caule tereti basi prae- sertim foliato, foliis basalibus oblongolinearibus acutis brevipetiolatis sinuato-pinnatilobis denticulatisque lo- bis et dentibus subreversis mucronulatis, caulinis pau- cis erectis sessilibus acuminatis sinuatodentatis; co- rymbo oligocephalo (capitulis 2 — 10) eoarctato denso, capitulis brevipedunculatis, involucri */-pollicaris ovoi- dei nigrescentis parce villosi phyllis rigidis appressis acuminatis 4-seriatis, exterioribus lanceolatis quam intima oblonga triplo brevioribus; corollae brunne- scentis limbo tuboque aequilongis pappum biseriatum sordidum parum superantibus ; receptaculi paleis achae- nia angulata laevia longe superantibus. Kansu occidentali alte alpina, in fruticetis (Prze- walski, 1880). S. elongatae DC. affinis. Differt S. elongata DC. praesertim tomenti absentia, foliis inferioribus ellipti- cis v. subcordatis vulgo profunde pinnatifidis partitisve, involucri turbinatocylindrici squamis sensius accrescen - tibus acutis. 495 Bulletin de l’Académie Impériale 496 S. sylvatica (Æatae). Caule elato foliato superne fasti- giato-ramoso et pubescente, ceterum cum foliis glabro; foliis membranaceis linearioblongis infimis breve alato- petiolatis obtusis reliquis obtuse acuminatis basi vix attenuata longe decurrentibus, margine alaque mucro- nato-dentatis dentibus cartilagineis patenti-recurvis; capitulis ramos caulemque terminantibus pollicaribus laxe corymbosis; involueri subhemisphaerici nigrescen- tis phyllis subsexseriatis rigidis margine dorsoque pi- losis obtusis, exterioribus oblongis quam interiora linearia subtriplo brevioribus; corollae limbo longi- tudine tubi; pappi corolla parum brevioris setis exti- mis scabris paucis; receptaculi paleis achaenium elon- gatum laeve superantibus. Kansu occidentali alpina(Przewalski, 1872,1880). Habitus e longinquo fere Cnici cujusdam, at folia longe quidem, sed non valide mucronatodentata. S. epilobioides (Zlatae). Simplex bipedalis dense fo- liata caule tereti glabro, foliis omnibus caulinis erectis scabriusculis linearioblongis basi subattenuata profunde auriculatocordata sessilibus sat dense denticulatis (den- tibus longe mucronatis) apice in acumen acutissimum elongatum integrum sensim attenuatis subtus elevato- venosis; corymbo terminali parvo denso polycephalo basi foliato; capitulis breve pedicellatis; involucri ”, pollice brevioris ovoidei parce villosuli phyllis 4—5- seriatis extimis late ovatis quam intima linearioblonga recta acutiuscula plus duplo brevioribus omnibus ni- gro marginatis et appendice subulata squarrosa ter- minatis; corollae limbo tubum pappumque sordidum superante; paleis receptaculi achaenio laevi longioribus. Kansu occidentali in fruticetis alpinis (Przewalski, 1872, 1880). Folia non dissimilia et aeque densa Æpilobio angusti- folio, sed basis diversa et costae paucae irregulariter arcuatae. Proxima S. rigidae Ledeb., sed magis gran- difolia foliis neque decurrentibus PESE integris, in- volucrum non cylindricum et minus, caulis neque sul- catus neque late corymbosoramosus, corolla minor (10 neque 15 mm.), pappus brevior (7 nec 10 mm.) Caudae antherarum longe we setosae apice la- ciniatae. Myripnois uniflora. Foliis linearilanceolatis ,- involucri phyllis 7 v. 8 externis sensim brevioribus ; — 1-floro. Kansu occidentali alpina, ad fl. Mudshik-che, non procul ab oppidulo Hui-dun (Przewalski, 1880). M. dioica Bge valde discrepat involucro 5-phyllo subuniseriato phyllis extimis paulo tantum quam intima brevioribus, capitulo plurifloro et corolla bilabiata, ceterum quoad loborum dimensionem et distributionem variabili. Sed modus crescendi in utraque specie idem, omnibus partibus in M. uniflora gracilioribus, ita ut congeneras credam. Frutex bi-tripedalis densissime ramosus, ramis vir- gatis tenuibus brevibus dense ramulosis. Folia inno- vationum alterna, ramulorum floriferorum fasciculata, vere e gemmis perulatis tomentosis cum capitulis erumpentia, breve petiolata, lamina 30 : 4 ad 7 mm. magna. Capitula in fasciculis terminalia, pedunculo 1—2 mm., involucro lineari 10 mm. longo. Involucri phylla chartacea attenuata, extima ovata, intima linea- ria. Capitula © tantum collecta. Corolla pallide rosea limbo inaequaliter 5-dentato dentibus linearibus re- curvis. Stamina minima vacua libera sub medio tubo, filamento anthera subulata basi sagittata triplo bre- viore, antheris vix supra dimidium tubi attingentibus. Stylus corollam aequans apice ramique laeves crassi subulati acuti patuli extus breviter puberuli. Pappi setae numerosae apice barbellatoscabrae, extimae pau- cae passim breviores. Achaenia turbinatocylindrica dense sericea. Codonopsis viridiflora. Volubilis puberula, foliis ovatis obtusis leviter repando-crenatis; pedunculis elongatis; calycis apice puberuli laciniis oblongis acutiusculis basi discretis; corolla sesquilongiore breviter cylindrico- campanulata luteoviridi lobis depresse deltoideis ob- tusis; filamentis late subulatis antheram subaequan- tibus. China occidentalis : (Przewalski, 1880). Arcte quidem affinis C. 2211 Benth. (Wah- lenbergiae, Schrenk) et C. ovatae Benth., sed cum neutra jungenda. Prior differt caule non volubitt fo- lis integris, corolla albocoerulescente campanulata duplo calycem superante, calycis lobis ovatolanceolatis basi contiguis sensim acuminatis, filamentis ima basi tantum dilatatis. lisdem fere signis distinguitur etiam C. ovata, quae C. clematideae omnibus partibus simil- lima, sed magis parviflora videtur et ab illa haud di- prov. Kansu parte alte alpina 497 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 498 versa suspicatur ab autoribus florae Indicae, quod in integro relinquere coactus sum ob supellectilem pl. indicae in herb. nostris non satis completam. Primula urticifolia. (Arthritica) Glabra digitalis flac- cida, foliis membranaceis longissime petiolatis lamina parva late ovata obtusa basi integra subito longe in petiolum decurrente, ceterum profunde grandiserrata serraturis paucis lanceolatoovatis acutiusculis; scapo debili folia subaequante; involucri 1—3-phylli foliolis subulatis inaequalibus, umbella 1—3-flora pedicellis elongatis; calycis anguste campanulati 5-lobi lobis ovatis acutis corollae tubo duplo brevioribus; limbo corollino quam tubus aequalis breviore lobis bilobo- emarginatis; capsula ovoidea calyce inclusa. Kansw occidentali alpina, in fissuris rupium rara (Przewalski, 1880). Folia P. macrocarpae m., sed profundius serrata serraturis passim bidentatis et petioli elongati, calyx P. macrocarpae tamen ad medium in lacinias lanceo- latas fissus, limbus tubum corollae superans, capsula cylindrica exserta. P. elliptica Royle foliis rotundatis saepe subcordatis multiserratis, calycis ad medium fissi laciniis anguste lanceolatis, phyllis involucri pedicellos breves aequantis v. superantis basi appendiculatis dignoscitur. P. cuneifolia Ledeb. discrepat foliis sen- sim cuneatis brevius petiolatis, serraturis minoribus latioribus, calycis campanulati fere partiti laciniis lan- ceolatolinearibus, corolla majore tubum superante. Stamina in exemplis paucis suppetentibus '/, infe- riore tubi inserta, antheris linearioblongis ad medium tubum longe non attingentibus. Capsula calyce '/, bre- vior, ad medium dehiscens. Primula flava. (Arthritica) palmaris, foliis subtus niveo- farinosis petiolo lato in laminam breviorem ovatam v. subcordatam obtusam crenatam cuneatodilatato; sca- . pis folia multo superantibus; umbella 2—15-flora ca- lycibusque albofarinosis, involucri phyllis e lanceolata basi linearibus attenuatis quam pedicelli parum bre- vioribus; calyce pedicellos superante corolla flava duplo breviore tubuloso-infundibuliformi 5-fido laciniis oblongolinearibus obtusiusculis; limbi corollae tubo brevioris laciniis obcordatis, staminibus versus medium tubum, ovario depresse globoso. Kansu occidentali alte alpina, ad Hoangho superio- rem (Przewalski, 1880). Tome XXVII. Subaffinis P. Stuartii Wall., foliorum forma jam di- versissimae. — Folia maxima 22 : 15 mm., petiolo 40 mm. Corolla diametro 10 mm., calyx 5 — 7 mm. longus. Primula stenocalyx. (Aleuritia) Palmaris tota scaberula, foliis obovatis v. spathulatis obtusis integris in petiolum brevem basi vaginantem attenuatis costa crassa venis- que lateralibus subtus prominulis; scapo folia pluries ` superante; involucro 3 — 15-floro phyllis linearibus acuminatis basi vix gibbis pedicellos superantibus; ca- lyce tubuloso pedicellum subduplo superante lobis li- nearilanceolatis acutiusculis; corollae lilacinae tubo calyce sesquilongiore limbo. breviore, limbi lobis emar- ginatobilobis. Kansu occidentali alte alpina (Przewalski, 1873, 1880 Juxta P. longiscapam Ledeb. collocanda, quae ca- lyce campanulato laciniis latioribus corollaque parva (duplo minore) calycem parum superante primo obtutu distinctissima. P. involucrata Wall. distinguitur foliis longe petiolatis, lamina rotundata v. ovata basi sub- cordata vix in petiolum tenuem decurrente, subdenti- culata, scapo elongato, phyllis involucri longe appen- diculatis; antherae vero prope faucem insertae fortasse tantum statum dichogamum a nostra diversum in- digitant. Calyx usque 10 mm., tubus corollae 12 — 15 mm. longus, limbus 13—18 mm. latus. Primula Pumilio. (Aleuritia) Semipollicaris scaberula, foliis late petiolatis lamina petiolum subaequante in- tegerrima obtusiuscula rhombea v. elliptica; umbella sessili 1 — 7-flora; involucri foliolis ovalibus obtusis exauriculatis pedicello brevioribus; calycis tubuloso- ` infundibuliformis tubo lacinias anguste ovatas obtu- siusculas superante; corollae pallide roseae tubo non exserto limbum laciniis biloboemarginatis subsupe- rante. Kansu occidentali alte alpina (Przewalski, 1880). Proxima P. farinosae L. 8. denudatae Ledeb. et P. sibiricae Jacq. Prior dignoscitur scapo exserto, fo- liis haud integris, phyllis involucri cuspidatis basi au- riculatis, posterior foliis longe petiolatis forma alienis, scapo exserto, involucro basi appendiculato, corollae tubo e calyce exserto. Cum minutis indicis (P. minu- tissima Jacquem. et P. pusilla Wall.) affinitas fere nulla, propter folia diversissima. 82 499 Bulletin de l'Académie Impériale 500 Flores quam in P. sibirica paulo minores, fauce flava. Antherae quas vidi triente tubi superiori inser- tae, ad faucem attingentes, lineares. Ovarium depresse globosum. Androsace erecta. Aunua, ubique breve glanduloso- pilosa, caule erecto usque pedali striato foliato pedun- ` eulisque hirsutis; foliis omnibus caulinis alternis sub- sessilibus carnosulis integerrimis ovatis v. ellipticis acutis cartilagineo-marginatis et -mucronatis; umbel- lis axillaribus et terminali longe pedunculatis dense involucratis 1 —oo-floris, involucri phyllis caulina ae- mulantibus, pedicellis flore pluries v. multiplo longio- ribus; calycis 5-fidi lobis lanceolatis mucronatis in fructu non auctis; corollae tubo calycem vix limbum- que superante; capsula calyce breviore. Kansu occidentali alte alpina (Przewalski, 1880). Stimpsoniam quandam habitu simulat, sed calyx, corolla fauce constricta, capsula apice tantum 5-valvis omnino Androsaces, ubi sectionem propriam consti- tuere meretur, nam habitus ab omnibus reliquis diver- sissimus. Occurrit 2-pollicaris 1-flora usque pedalis a dimidio caule sursum umbellifera. Folia crebra patula, maxima 10 mm. Umbella non est talis, sed potius pedunculi dense aggregati ex foliis involucri approximatis axil- lares. Corolla roseoalbida, diam. 4 mm. Pomatosace n. gen. Primulaceae Primuleae. Calyx 5-lobus persistens fructifer subaceretus, lobis praefloratione valvatis. Corolla hypogyna calyce bre- vior hypocraterimorpha, tubo breve lateque conico limbum superante, fauce tumidoannulata, limbo 5-par- tito praefloratione quincunciali. Stamina inclusa medio tubo inserta, corollae lobis opposita, filamento subulato antherà ovatà subcordatà basi insertà introrsà bre- viore. Ovarium a calyce liberum depressoglobosum. Stylus ovario brevior crassiusculus persistens. Stigma capitatum. Ovula plurima semianatropa obcompressa umbilico ventrali. Capsula corolla emarcida diu coro- nata, calycis tubo arcte circumdata et limbo ejus pa- tulo cincta, cireumscisse prope basin dehiscens. Se- mina circa 12 placentae crassae basi constrictae sub- globosae favosorugosae insidentia, angulata, hilo pal- lido ventre affixa. Albumen carnosum. Embryo sub- transversus axilis prope hilum locatus teres viridulus, radicula cotyledones vix latiores superante. — Her- bula tangutica annua v. biennis, pilosa, radice fusi- formi tenuiter earnosa, foliis dense rosulatis vaginato- petiolatis linearibus runcinato- pinnatipartitis, laciniis numerosis linearibus integris v. dentatis, scapis axil- laribus folia demum superantibus, umbellis multifloris basi multibracteatis, pedicellis flores minutos albos paulo, fructiferos pluries superantibus. — Nomen ex rOua (operculum) et cxos (scutum), quasi Androsace opereulata. Prope Bryocarpum Hook. f. ponenda, habitus tamen Androsaces annuae cujusdam et characteres florales et forma capsulae diversissima. P. Filicula. Kansu occidentali (regione Tangut) in pratis alpium Mudshik, locis a Siphneis fossis frequens, 11,000' s. m. fine Junii fl. et frf., nec non in alpibus inter jugum Nan-shan et montes Don-kyru extensis, ad fl. Rako- gol, circiter 9000' s. m., in fissuris rupium rara, sub finem Julii fructif. (Przewalski, 1880). Gentiana aperta. (Chondrophylla, annuae). Glaberrima multicaulis, rosula radicali nulla, cauliculis basi laxe ramosis; foliis ellipticis v. lanceolatis cartilagineo- acutis; floribus longe pedunculatis; calycis dentibus erectis lanceolatis acuminatis; corollae pallide coeru- leae tubo infundibuliformi calycem parum limbum pa- tulum sesqui superante, limbi lobis deltoideis acutis plieas acute bifidas superantibus; genitalibus plicis aequialtis, antheris ovatis, stylo ovarium stipitemve ejus aequante, stigmate brevi indiviso; capsula ovali inclusa. Kansu occidentali (regione Tangut), ad fl. Rako-gol, 10—11,000' s. m., in paludibus seeus ripas frequens et gregaria (Przewalski, 1880). Proxima G. apricae Dne in Jacquem. Voy. 112, t. 118, quae ex descriptione et icone tamen abunde distincta foliis imis rosulatis, foliis scabriusculis arista- tis, floribus brevius pedunculatis, calycis ad medium fissi laciniis scabris linearilanceolatis aristatis corollae tubo duplo brevioribus, tubo corollae limbum duplo superante, limbi lobis ovatis acuminatis, staminibus vix ad medium tubum attingentibus, antheris ovario- que oblongis; sed stigma pariter indivisum. G. pe- dicellata Nall. etiam similis, at ob stigmata recurva 501 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 50? majora magis distans, differt foliis aristatis radicalibus rosulatis, floribus breve pedunculatis, calycis dentibus recurvis ciliatis, corollae lobis acuminatis, plicis cre- nulatis, staminibus styloque dimidium tubum aequan- tibus, antheris oblongis. Digitalis, caespitosa. Folia parte libera 3 —4 mm. longa. Pedunculi fere pollicares. Calyx 6, corolla in sicco semper aperta 10 mm. longa, diam. 7 mm., secus lobos eorumque nervos in tubo profundius coerulea, in- tus ad faucem viridi-punctata, Antherae quam in affi. nibus duabus duplo majores, albae. Capsula (juvenilis visa) calyce inclusa stipitem crassum aequans et ab illo vix distincta, stylum superans, apice rotundata. Gentiana striata. (Pneumonanthe, annua) Caule pal- mari à basi ramoso ramisque arcuatopatentibus acute 4-angulis ad angulos sub foliis scabris; foliis radicali- bus nullis, caulinis haud vaginantibus remotis patenti- bus sessilibus ovatolanceolatis cartilagineo-marginatis- acutisque margine scabris basi scabrociliatis; floribus maximis caulem ramosque terminantibus sessilibus so- litariis erectis; calycis corolla lactea secus lobos atro- sciata duplo brevioris tubulosoinfundibuliformis vix ad medium 5-fidi secus nervos margineque scabri la- ciniis linearibus mucronatoacuminatis; corollae tubu- losae limbo perbrevi lobis deltoideis aristatis plicas humillimas denticulatas multiplo superantibus; stylo tenui stipitem subaequante capsula inclusa lineari- oblonga utrinque attenuata breviore. Kansu occidentali, in pratis alpinis parce (Przewal- ski, 1872). Species inter Pneumonanthas radice annua paradoxa et cum nulla notarum comparanda, e flore sect. Pneumo- | nanthes et caule Amarellae cujusdam, v. c. G. auricu- latae v. G. Pulmonariae, quasi conflata, Foliis margine cartilagineis capsulaque longe stipitata appropinquat G. ornatae Wall. et G. cachemiricae Dne. Caulis saepeque folia purpurascentia. Folia polli- caria in caule internodia superant, semipollicaria in ramis internodio saepe duplo breviora, apicalia florem fulcientia calycem subaequantia. Corolla 2'/, poll. longa, cum fasciis 3 atramentariis in quovis lobo, extima la- tiore in alabastro marginante secus totam corollam extensa, vicinis angustis striiformibus fasciae paralle-. lis paulo brevioribus, plicis estriatis. Stamina medio tubo inserta, filamenta subulata paulo inaequilonga, antherae oblongae liberae ad Y, superiorem tubi attin- gentes. Stigmata oblongo-linearia patentia in orbem revoluta. Gentiana Przewalskii. (Pnewmonanthe, divis. 1, Gri- seb.) Palmaris v. spithamaea erecta, collo nudo, fo- liis obscure 3- nerviis margine scaberulis obtusiusculis, radicalibus majoribus fasciculatis, praecocioribus spa- thulatis, serioribus latopetiolatis oblongolinearibus, caulinis basi vaginatoconnatis oblongis; caule erecto 4-angulo; floribus terminalibus 1-3 brevissime pedi- cellatis; calyce plus duplo corolla breviore breviter 5-fido laciniis erectis linearibus obtusis corollaque anguste obconicotubulosis, limbo corollae brevissimo lobis depresse deltoideis, plicis haud productis rectili- neis, stipite ovarium superante, capsulam linearem inclusam aequante, stylo tenui brevi, seminibus ellip- ticis testa lamellosa. Kansu occidentali, in pratis alte alpinis frequens (Przewalski, 1872, 1880) E speciebus a Grisebach enumeratis ex descripti- one ad nullam accedit, praeter G. ornatam W all., sed etiam haec, quam unicam hujus seriei examinare potui, ex specc. in Sikkim a Thomson et Treutler collec- tis, nimis diversa cauliculis decumbentibus foliatis, fasciculis radicalibus 0, eorum loco cauliculis sterili- bus dense imbricatofoliatis, foliis omnibus aequimagnis v. caulium florentium majoribus calycisque laciniis acuminatis, flore duplo minore, corolla clavata et cet. Nec magis accedunt species innominatae apud Clarke in Journ. Linn. soc. XIV, 438 sq. brevius descriptae. Ita species nunc proposita ob fasciculos radicales co- rolamque amplam potius appropinquat seriei 2 et 3 Grisebachii et transitum sistit inter has et seriem 1. (indicam). Calyx 18 — 25 mm., corolla 45 —65 mm., coeru- lescens. Antherae liberae, lineares, ochroleucae. Stig- mata oblonga revoluta. — Flores passim 4, quarto ex axilla vicina approximata orto. Gentiana straminea. (Pneumonanthe, div. 2, Griseb.) Collo filamentoso-comoso, foliis margine scabriusculis 5-nerviis linearioblongis acuminatis, radicalibus fasci- culatis; caule ascendente; floribus omnibus (saepe longe) pedicellatis in axillis 1 v. 2; calycis corolla duplo brevioris dimidiatospathacei albomembranacei apice brevissime 2 — 3-dentati dentibus confertis su- 303 Bulletin de l'Académie Impériale 504 bulatis; corollae stramineae amplae anguste obconicae breve 5-lobae lobis ovatis acutis plicas acute deltoi- deas 2 — 3-lo superantibus, staminibus in alabastro liberis. Ibidem legit idem. Affinis tantum G. decumbenti L., jam corolla azu- rea diversissimae. À G. frigida Haenke v. algida Le- deb. collo filamentoso, foliis 5- nec obscure 3-nerviis et ealyce semper partito-fisso dentibus confertis bre- vissimis angustis distinctissima. Spithamaea usque pedalis, ascendens, folia radica- lia parum superans. Corolla 2-pollicaris, mediis lobis viridipunetulata et extus secus lobos eorumque con- tinuationem in tubo viridescens, ceterum ochroleuca v. ex collectore straminea. Swertia erythrosticta. (Swertia Denth.) Caule erecto remote plurifloro, foliis omnibus oppositis, inferiori- bus in vaginam longam connatis oblongis obtusis in petiolum latum attenuatis, reliquis vagina brevi ob- longoelliptieis obtusiusculis; alabastris nutantibus, flo- ribus erectis longe pedicellatis; calycis segmentis linea- rilanceolatis longe acuminatis corolla viridi dense fu- scopunctata duplo brevioribus, corollae segmentis ob- longis acutis, fovea unica orbiculata ampla utroque latere longissime fimbriata fimbriis basalibus contiguis in squamam laciniatam conflatis; stigmatis lobis orbi- culatis recurvis. Kansu occidentali uini; in sylvis frondosis rara (Przewalski, 1880). Facies S. perennis L., sed folia infima nec alterna, nec inter se libera, florum verticilli remoti ante anthe- sin nutantes et flos diversissimus. Structurä fovearum potius speciebus persicis appropinquat, v. gr. S. lon- gifoliae Boiss. v. S. lacteae Bge, ubi tamen fimbriae jn squamam basin foveae tegentem haud confluunt. Proxima fortasse S. speciosae Wall. ob folia basi in vaginam connata et cristam fimbriarum basi conti- guam, sed folia acuminata 7-nervia, flores nutantes, segmenta calycis fimbriatodentata coule segmentis ineurvoacuminatis parum breviora certe speciem nimis diversam indicant. : -Swertia tetraptera. (Ophelia Benth.) Pedalis glabra, caule 4-alato a basi fastigiato-ramoso ramis flaccidis erectis; foliis 5-nerviis infimis petiolatis ovalibus, re- liquis sessilibus ovatolanceolatis acuminatis basi obso- lete breviciliatis; cymis terminalibus et lateralibus 3-floris, pedicellis centralibus florem 4-merum subae- quantibus; calycis segmentis ovatolanceolatis corolla coerulescente sesquibrevioribus corollaeque laciniis ellipticolanceolatis erectis, foveis 2 oblongis fimbriis brevissimis utroque latere marginatis esquamatis, fila- mentis subulatis planis. Kansu occidentali alpina, Przewalski, 1872, 1880). Habitus S. (H.) cordatae v. nervosae. S. vacillans Hance (sub Ophelia) e prov. Canton, a me non visa, cui ex descriptione non dissimilis, foliis 3-nerviis, flo- ribus confertis, corolla calycem aequante, foveis orbi- culatis squamula tectis (solitariis?), filamentis basi in annulum connexis optime distinguenda: Folia caulina 40: 10 mm. magna. Flos 8—10 mm. longus, corolla ex sicco viridis ad margines corollae exteriores lividocoerulea. in fruticetis frequens Omphalodes blepharolepis. (Maschalanthus) Biennis se- tosa, caule erecto; foliis praeter summa basi attenuata petiolatis, radicalibus subeordatoovatis obtusis, cauli- nis ovatoelliptieis breve acuminatis, summis sessilibus lanceolatis; racemis apice ramorum abbreviatis folia- tis densis paucifloris, pedicellis bractea multo caly- ceque brevioribus; calycis 5-partiti laciniis lanceolatis acutis corollae tubum aequantibus fructiferis accretis supra nuculas conniventibus; fornicibus corollae albae parvae dense ciliatis; nuculis stylo brevioribus cyathi- formibus obtuse obsoleteque subtuberculatis scabropu- berulis margine suberenato, disco infra illum ineluso laevi. Kansu occidentali alpina, ad fl. Hoangho superio- rem (Przewalski, 1880). A simillima O. trichocarpa, a me in fasciculo prae- cedente descripta, differt flore duplo minore albo, for- nicibus ciliatis, nec non foliorum forma. Omphalodes diffusa. (Maschalanthus) Annua v. bien- nis setosohispida, caule a collo in ramos decumbentes diviso; foliis praeter summa basi attenuata petiolatis spathulatis obtusis; racemis axillaribus pedunculatis paucifloris; pedicellis folio florali brevioribus calycem aequantibus; calycis profunde 5-fidi laciniis ovatis acu- tis in fructu accretis conniventibus nuculas tegentibus reticulatovenosis, sub anthesi tubum aequantibus, co- rollae coeruleae limbo quam tubus breviore; nuculis 305 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 506 stylum superantibus obtuse subtuberculatis parce pi- losis cyatho rimaeformi longitudinali subclauso, disco sub illo laevi. Ibidem, sub rupibus (Przewalski, 1880). Species quam habitu tam nucularum forma sui ju- ris, palmaris, valde setosa, floribus parvis. Tretocarya gen. n. Borageae, Eritrichieae. Calyx campanulatus 5-fidus fructifer duplo auctus erectus. Corollae hypocraterimorphae tubus calycem aequans, limbum imbricatum lobis rotundatis subsupe- rans; fornices semilunares parum prominentes. Sta- mina 5 medio tubo inserta, filamentis brevissimis, an- theris ovatis inclusis. Ovarii lobi 4 distincti subglo- bosi, vertice extus fovea parva foraminiformi notati, gynobasi vix convexae inserti. Stylus ovario duplo longior, ad faucem non attingens, stigmate truncato- subcapitato. Nuculae 4 calyce circumdatae rotundato- triquetrac subinflatae, medio ventre areola parva plana gynobasi parum convexae insertae, hinc ad verticem stylum superantem carinatae et laeves, medio dorso convexo fovea parva immarginata quasi perforatae, le- viter undulato-rugosae et pilis stellatis crasse stipita- tis majusculis adspersae. Semina a dorso compressa funiculo longiusculo supra areolam inserto appensa, testa membranacea. Albumen testae aequicrassum. Embryo virescens, radicula supera et simul axin spec- tante a cotyledonibus obovatis planis longioribus vix distincta. — Herba fangutica perennis acaulis, scabra et setosa setis tuberculo insidentibus, foliis rosulatis patentibus spathulatooblongis subrepandis, pedunculis axillaribus congestis crassis brevibus, apice 2-bracteato iterato-dichotomis cum flore centrali longe pedicellato nudo, pedunculis cujusvis dichotomiae 2 -bracteatis, cymam compositam foliatam confertam multifloram con- stituentibus, bracteis linearibus pedunculo basi adna- tis flores superantibus dentato-setosis, pedicellis cras- sis, floribus minutissimis pallide coeruleis. — Nomen à 50164 perforatus, ob nuculas dorso perforatas. T. pratensis. Kansu occidentali: planitie 10,000’ s. m. circa la- cum Kuku-nor, in pratis frequens (Przewalski, 1880). Prope Microulam. Inter Eritrichieas unica nuculis dorso perforatis. A Cynoglosseis, ubi nuculae cyathi- formes frequentiores, nucularum apicibus ultra areo- lam prominentibus et fovea immarginata differt. Folia ima 150 : 35 mm. usque magna, in petiolum alatum attenuata, reliqua basi angustata, omnia 3- nervia, costa media crassa, nervis lateralibus tenuibus margini proximis. Pedunculi 10 mm., folia floralia in- fima 30 mm. longa, altero paulo minore vix altius in- serto, inflorescentiam duplo superantia. Dichotomia prima, praeter suum florem centralem et pedunculos 2, inter quemvis pedunculum et folium ei breve adna- tum exserit pedunculum folio altius adnatum et florem singulum inter utrumque pedunculum situm accesso- rios, qui pedunculi accessorii tamen principalibus bre- viores et minus multiflori, atque omnes regulariter bi- furcantur cum flore in furca, quavis furca semper sub- inaequialta. Corolla 1 q. exc. mm. diametro. Calyx fructifer diametro 5 mm., margine et extus ad laeinias strigosus. Trigonotis petiolaris. (Oreocharis) Perennis caespitosa multicaulis flaccida appresse strigosula, cauliculis fili- formibus deeumbentibus; foliis inferioribus longissime petiolatis elliptico-oblongis, summis oblongis brevi- petiolatis; floribus ex omnibus fere axillis supraaxil- laribus remotis longe pedicellatis apiceque caulis in racemum ebracteatum confertis minutis; pedicellis fili- formibus calycem fructiferum semiclausum plus triplo superantibus; calycis utrinque strigosi 5-partiti laci- niis lanceolatis tubum corollae coerulescentialbidae superantibus; lobis corollae tubo brevioribus rotunda- tis, fornicibus integris; nuculis lucidis glabris stipitu- latis tetraquetro-obpyramidatis faciebus omnibus con- cavis dorsali maxima, basali lateralibus minore. Kansu occidentali alte alpina, ad rivulos frequens (Przewalski, 1880). Plantula palmaris tenella cum nulla e notis apte com- paranda. Prope T. radicantem (Eritrichium A. DC.) ponenda, quae valde distat statura ultrapedali, foliis amplis, floribus omnibus axillaribus magnis remotis cet. T. myosotidea (Eritrichium m. olim) racemis ma- jore parte nudis conveniens, caulibus erectis elatis, foliis caulinis magnis plerisque sessilibus, corolla ma- juscula, nuculis aequilateris abhorret. T. brevipes m. magis adhue distat. Corolla diam. 1 mm., calyx fructifer expansus vix 5 mm. Nucula quarta vulgo abortiva, reliquae vix 1 mm. $ 507 Bulletin de l'Académie Impériale 308 Arnebia fimbriata. Perennis, setis scabris patentibus tuberculo insidentibus horrida, humilis pluricaulis et a basi ramosa, foliis oblongo- v. lanceolatolinearibus, racemis apice ramorum brevibus paucifloris laxis se- cundis 2— 5; bracteis linearibus calycem fructiferum superantibus, calycis laciniis linearibus tubo corollae albo duplo brevioribus fructiferis elongatis 1-nerviis, corollae extus villosulae limbo roseo lobis rotundatis fimbriatis, stylo exserto stigmate capitato 2-lobo, nu- culis triquetris obtusis verruculosis. Mongolia australis: desertum elatum ad pedem jugi finitimi Nan-shan extensum (Przewalski, 1879.) A. fimbriopetala Stocks (in Hook. Journ. et Kew Misc. III, 180, tab. 6) differt radice annua, setis bre- vibus appressis, racemis distichis densissimis, calyce fructifero valde elongato laciniis subtrinerviis et reti- culatis, corolla flava, stigmate subintegro stylo aequi- lato, nuculis acutis basi acute bigibbis. A reliquis jam corolla fimbriata distat. Przewalskia n. gen. Solanaceae, Hyoscyameae. Calyx breve cylindricus, membranaceus, breviter obtuse 5-dentatus, fructifer maxime accrescens, ellip- tico-vesiearius, reticulatus, subtruncatus, capsulam respectu calycis minutam fovens. Corolla tubulosa limbo brevi erectopatulo dentibus ovatis margine intus plica- tis, in alabastro imbricatis. Stamina 5 inclusa sub fauce inserta, filamenta brevissima plana secus partem ad- natam pilosa, antherae ad sinus loborum attingentes oblongae medio dorso insertae loculis basi ad me- dium liberis longitudinaliter dehiscentibus. Discus an- " gustissimus annularis sub ovario tumens. Ovarium 2-loculare, stylus ad antheras haud attingens inclu- sus filiformis, stigma dilatatum bilobum capitatum, ovula numerosa subamphitropa seriebus pluribus pla- centis tumentibus septo adnatis affixa. Capsula glo- bosa, calycis fundo nidulans, 2-locularis, supra basin circumscissa. Semina compressa laeviuscula. Embryo subperiphericus, cyclicus, cotyledonibus linearibus ra- dieula elavata brevioribus et angustioribus, albumine carnoso copioso. ب‎ Herba radice crasse carnosa pleio- cephala perennans, tota glandulosopilosa, caulibus cras- sis brevibus inferne laxe squamatis, squamis superne cito in folia alatopetiolata oblonga dense approximata transeuntibus, peduneulis axillaribus apice caulis den- sissime approximatis folio brevioribus 1 — 3-floris 1 — 3-foliatis, pedicellis calyce brevioribus, corolla lutea pollice breviore sub anthesi calycem duplo exce- dente, tum marcescente illo diu inclusa, calycibus fruc- tiferis 4-pollicaribus facile abruptis ventoque se com- mittentibus longinqua itinera suscipientibus, tum de- nique in tranquillo magna grege colligentibus. P. tangutica. Regione Tangut, v. gr. ad summum fl. Hoangho, nec non in Tibeto deserto boreali, frequens. Physochlaina Q. Don, huic proxima, quam habitu, tam calyce 5-fido corollaque limbo patulo subcampa- nulatis, staminibus medio tubo insertis vulgo exsertis filamento elongato, nec non fructus seminisque indole bene distincta. Scopolia tangutica. Parce pilosula subglabra, caule crasso brevi foliis squamiformibus vestito apicem ver- sus in ramos breves iteratim bifurcos diviso et foliato, foliis petiolatis oblongoovatis acutis margine erosulis; floribus fere omnibus alaribus folio unico fultis nutan- tibus, pedunculum crassum superantibus; calyce ob- tuse subinaequaliter dentato; corolla fusca calycem subaequante lobis rotundatis tubo intus filamentisque parce pilosis, stylo columnari crasso, stigmate amplo capitato. China occidentalis: Kansu, ad summum fl. Hoangho et affluentem ejus Tetung (Przewalski, 1872, 1880). Sc. lurida Dun. (Nicandra anomala vel Anisodus luridus Lk. et Otto, Ic. sel. t. 35. Whitleya stramo- nifolia Sweet, Brit. Fl. G. t. 125.) differt pube ca- nescente omnium partium, caule elato ramoso, flori- bus axillaribus alaribusque tenuius pedunculatis, foliis floralibus binis, corolla calycem excedente, stylo gra- cili stigmateque parvo. Fructus in nostra nondum no- tus alias differentias fortasse addet. Magnitudo par- tium ceterum fere eadem. Veronica murorum. (Sect. Beccabunga Griseb.) Annua humilis a basi ramosa undique pilis articulatis longe villosa, foliis petiolatis argute inaequaliter crenato- serratis e basi subcordata inferioribus latissime ovatis obtusis reliquis ovatis v. triangulariovatis acutis; ra- cemis folio brevioribus peduneulatis paucifloris densis, bracteis linearibus calyces aequantibus, pedicellis quam laciniae calycinae linearilanceolatae acutae plus duplo ! brevioribus; corolla capsulaque calyce brevioribus, sta- 509 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 510 minibus limbo corollae duplo superatis; capsula acque longa ac lata margine longe ciliata ceterum glabra, stylo sinum vix superante; seminibus numerosis disciformi- bus. V. cana Miq. Prol. 52, nec Wall. Japonia: cirea urbem Nagasaki in muris vetustis, rara (ipse), in montibus Hakone (Siebold). 8. glabrior Miq. 1. e. Major, pube parciore, racemo laxifloro folia superante. Japonia, in agris (Siebold); ins. Formosa, prope Tamsuy (Oldham, n. 407, s. n. V. laxae?) Primo aspectu V. canae W all. non absimilis, valde tamen distincta radice annua, flore minuto, capsulae forma cet. Vera affinitas inter Beccabungas quaerenda, ob valvulas capsulae maturas a columna placentifera liberas, inter quas V. wogerensis Hochst.! in Rich. Tent. fl. Abyss. II, 126. nostrae proxima, sed racemo sessili, capsula latiore quam longa bilobo-obcordata et foliorum forma bene cognoscenda. V. laxa Bth. prae- ter rhizoma perenne, omnibus partibus major, flos majusculus calycem duplo superans, stylus elongatus, sed capsula similis (v. spec. Royle et Falcon. n. 783). V. Onoei Franch. Savat. Enum. II, 457, a me non visa, ex descriptione caule usque ad apicem radicante, pube brevi, foliis tenuiter denseque serrulatis ovatis v. rotundatis supra glabris, racemis multifloris folio 2— —3-lo longioribus, capsula obovata profunde obcor- data calycem duplo superante crispulo - pubescente discrepat et ab autoribus cum V. officinali comparatur. Palmaris usque spithamaea, canescens, ramis ascen- dentibus. Folia maxima 22:17 mm., pleraque duplo minora, petiolus vulgo vix '/, interdum fere 1. lami- nam aequans. Corolla ex coeruleo albida, 2 mm. longa, 4-fida lobis rotundatis alternis minoribus ; antherae reniformes. Calyx sub anthesi 4 mm. longus laciniis 2 posticis quam 2 anticae subbrevioribus, omnibus basi paulo attenuatis, fructiferus ultra 5 mm. longus. Capsula vix 4 mm., columna stipitata, valvae demum bipartitae. Semina /, millimetro minora. Observ. Veronica cana Wall. in Benth. Scroph. ind. 45. Miq. Cat. hb. Lugd. bat. 74 quoad spec. I. Keiskei. Fr. Sav. Enum. I, 349. Kuwagata-sö, Soo bokf. I, 23., in Japonia lecta est a botan. indi- geno et allata a Siebold, ipse habui ex Kiusiu inte- rioris Kundsho-san, nec non e Nippon montib. Hakone (Tschonoski, Savatier!) Flores in pl. japonica pal- lide rubentes. Ad Veronicam agrestem L. pertinet V. hederaefolia Miq. Prol. 360 et 385, ad specc. false nominata Oldhami recepta, nec non V. arvensis Thunb. FI. Jap. 20, bene observantibus Franchet et Savatier.— Sed V.agrestis forma parvula M iq. Cat. herb. Lugd. Bat. 75. est Hydrocotyle quaedam microphylla. Planta in Japonia australi et media frequens, etiam e Chinae occidentalis prov. Schensi allata a D-re Pia- : sezki. Ad V. longifoliam L. 8 grandem Regel (V. grandem Fisch.), recte monente b. am.Glehn in sched., pertinet V. Bachofeni Heuff.! in Flora 1835, I, 253, quae a Neilreich (Gef. pfl. v. Ung. u. Croat. 188) a V. spuria L. specie vix diversa declaratur. Signa a Heuf- fel adhibita: pubes, tubus longior corollae, capsula emarginata et foliorum forma pl. m. omnia in typo passim obvia. V. Beccabunga L. var. americana Glehn mss. V. americana Schwein. in DC. Prodr. X, 468. V. Bec- cabunga F. Sehmidt, Fl. Sachal. n. 329., per totam latitudinem Americae borealis crescens, occurrit in ins. Sachalin (F. Schmidt et Glehn!) et in Japoniae ins. Yezo circa Hakodate (ipse). Addenda et emendanda ad Pedicularium conspectum. conf. Diagn. pl. nov. asiat. II. Inter messes ditissimas plantarum ex Asia centrali nuper a cl. vv. Przewalski et Potanin advectas in- veni etiam Pedicularium collectionem optimam, quae non solum species novas peculiares obtulit, sed etiam dubia nonnulla quibus aliae species oppressae erant solvere permisit. Non inutile igitur habui conspectui meo totius generis addere supplementum, quo enume- ratio ista valde augetur et saepe corrigitur. 1. LONGIROSTRES, Series 2. Graciles m. l. c. Seriei hujus olim a me tantum indicatae, quia nulla ex Asia orientali species innotescebat, nunc clavem analyticam addo: Rostrum galeae convolutum VAT t rectum ipso apice la- teraliter hamato-involutum, flores flavi 5311 Bulletin de l'Académie Impériale 51? Rostrum rectum, flores ee P. Scolopaci) Pyan al i 3— 5-fidis laciniis serratis calyceque campanulato hinc 9. Tubus corollae e calyce vix v. non exsertus quam galea multo = ١ er dE brevior, calycis dentes doit ini flaments pilosa. 8 fisso 5-fido dense longeque villosis, laciniis calycinis Tubus corollae galeam superans. 5. 4 serratis summa nana integra; corollae flavae tubo 3. peer angulo recto incurva. 4. 1 ١ | e As Heures, ia على لكوي لومم‎ 330, apie. etre calycem aequante valde incurvo quam labium maxi Nn. spica densa p caulis ramique crassi 4-fariam pilo- | mum sesquibreviore; galea in semicirculum et ultra erer e (ydo een P. tenuirostris Benth. convoluta intra labium nidulante, labii lobo medio sub- 4. Rostrum involutum apicé revolutum, caulis CSS } SEI i ebe P. pectinata Wall. stipitato obovato lateralibus maximis flabellatosemior- Ver EE ei: involutum , caulis eh on biculatis, filamentis pilosis, ovario ovoideo. Rupr. Horum Ville d Cu te au ns 8 Tamaaaia 1071© e è e e 5. Calyx sessilis AE UR à n : Sert. tiansch. 63, in Mém. Acad. Pétersb. 7 ser. XIV » pedicellatus glaber breve 5-dentatus, 5 4 corollae tubus calyce duplo longior, ros- : - : : trum apice tantum leviter incurvum. ..... P. Roborowskii m. In alpibus Thian-schan, parte occidentali (Osten- 6. Tubus corollae exsertus extus pilosus, fila- + Sacken! spec. 1 menta glabra, galea labio longior sigmoi- dea cristata margine pilosa............. . P. Fetisowii Rgl. 3 ; Ge Tubus corollae calycem 5-fidum aequans P. Roborowskii. Sesquipedalis gracilis pluricaulis, glaber, filamenta pilosa, galea labio brevior i + 5 s jé E semicircularis ecristata glabra........... P. tianschanica Rupr. caule 4-fariam foliisque pilosulis; foliis per 4 ver ticil- 7. Elata gracilis superne paniculatoramosa latis brevissime petiolatis ambitu late oblongis pinna- osa spicae valde interruptae, flores purpurei. e gracilis Wall. eege Das Votum. loire tisectis segmentis in rhachin serratam decurrentibus que ramosae, 8. pinnatipartitis lacinulis serratis; spica elongata valde 8. u purpurei. 9. A E interrupta glabriuscula; bracteis vaginato-dilatatis la- 9. Calyx Gees oblongus 5 dentatus, folia per > mina tripartita serrata; calyce oblongo breve 5-den- 3 verticillata laciniis oblongis ........... P, porrecta Wall. tato dentibus subaequalibus integris; corollae luteae Calyx hirsutus és at 5- „fidus, folia per 4 verticillata laciniis ovatis.......... P. brevifolia Don. tubo calycem plus duplo superante rectiusculo labium aequante galeam angulo acuto incurvam in rostrum tenue apice recurvum abeuntem superante; labii ampli Species habitu foliisque similes, flore discernendae. | rostrum superantis lobo medio rotundato lateralibus #, Tubus corollae galea malte brevior; maximis oblique semiorbicularibus, filamentis galeaque e calyce non v. vix exsertus. — Species himalaicae. glanduloso-punctatis; capsula e calyce exserta ovato- P.pectinataW all. Cat. 420. Benth. in D C. Prodr. X, | oblonga acuminata. . In Kansu occidentali alte alpina (Przewalski, Himalaya (Royle!, Heide!); Afghanistan, valle | 1880). Kurrum (Aitchison! n. 796). 1. Rostrum convolutum v. sigmoideum. P. Fetisowi Regel in Act. h. Petrop. VI, 349. Pe- P. pyramidata Royle in Benth. Scroph. Ind. 52. | dalis simplex caule foliisque pilosis, foliis infimis oppo- Benth. l. e. sitis reliquis per 4 verticillatis petiolatis ambitu oblon- Himalaya, versus Kashmir (Royle!), ad fauces fl. gis pinnatipartitis laciniis oblongis pinnatifidis lacinu- Satledsh (Heide!) lis serratis; spica laxa brevi villosa, bracteis dilatatis ` P. tenuirostris Benth. apud DC. 1. c. 561. inferioribus cum lamina lineari foliacea superioribus Himalaya (Royle!, Falconer! n. 795), acute ovatis mere membranaceis; calycis campanulati profunde 5-dentati hinc semifissi dentibus subintegris summo nano; corollae extus pilosulae tubo e calyce P. tianschanica Rupr. Pedalis gracilis pluricaulis, | breviter exserto incurvo galeam vertice cristatam plus caule, excepto apice, foliisque glabris; foliis infimis | quam in semicirculum incurvam apice breviter recur- oppositis superioribus 4- et 3-natim verticillatis petio- | vam labiumque parvum valde superante, lobo labii latis ambitu oblongolanceolatis in lacinias oblongas | medio minore basi angustato lateralibusque oblique ro- acutiusculas serratas pinnatipartitis; spica terminali | tundatis, filamentis glabris; capsula parum exserta late brevi interrupta; bracteis basi dilatatis superioribus | ovata apiculata. b. Tubus corollae galeae aequilongus. — Species mongolicae. 513 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 514 In Thian-schan orientali, valle Yulduz (Fetissow! specc. 2 defl. mala). 2. Rostrum rectum. a. Flaviflora. P. Scolopax. Radice tuberosa fusiformi, caule vix spithamaeo a collo ramoso ramis cauli subaequilongis ascendentibus atque spica puberulis; foliis inferioribus longiuscule petiolatis oppositis ternisve reliquis per 4 verticillatis, omnibus ambitu linearioblongis fere ad costam pinnatipartitis laciniis remotiusculis subalter- nis profunde pinnatifidis lacinulis pauciserratis; spicis interruptis ramos caulemque terminantibus, verticillis 4 — 6-floris; bracteis infimis foliaceis reliquis e basi ovata membranacea lamina pinnatifida v. serrata in- structis; calyce urceolato inflato 5-dentato dentibus 2 minoribus integris 3 alternis majoribus serratis; co- rollae flavae tubo quam calyx 1'4 longiore fere recto galeam angulo recto incurvam labium aequantem sub- superante, galeae parte rostrata rectiuscula basali lon- giore; labii. lobo medio ovatooblongo lateralibus ob- lique depresse semiorbicularibus minore, filamentis inferioribus superne pilosis, ovario globosoovoideo. Kansu occidentali alpina, ad summum fl. Hoangho (Przewalski, 1880, spec. 1.) Sequenti affinior quam P. brevifoliae, sed major, flaviflora, longespicata, brachycarpa, longifolia laci- niis non contiguis. b. Rhodanthae. P. porrecta Wall.! Cat. 423. Benth. l. c. 561. Himalaya: Kumaon (Wallich!), Kashmir (Royle!) P. brevifolia Don, Prodr. 94, Benth. 1. c. P. lani- gera Wall.! Cat. 419. Himalaya: Tibet occidentali ad Tschangra (Heide!), Kashmir (Aitchison!), Nipal ad Gossainsthan (Bu- chanan! comm. Don). DP gracilis Wall. Cat. 413. Benth. Le P. stricta Wall.! Cat. 414. P. Brunoniana Wall.! Cat. 422. Himalaya (Falconer! n. 794): Simla (Royle!), Kanaor (Wallich!, Jameson!), Kumaon (Wallich!), Sikkim (Thomson!, Treutler!), Khasia (Griffith!), Nipal (Wallich!) ` Caule elato ramoso, floribus sparsis foliisque mino- ribus ab affinibus valde discrepans, P. palustrem L. nonnihil in mentem vocans. Tome XXVII. : JI. VERTICILLATAE. 4. Armenae, m. l. c. 88. Species nova a me memorata (Kotschy, it. cilic. kurd. n. 512) nunc P. pontica Boiss. Fl. Or. IV 5. Myriophyllae, m. l. c. 89. Ob species 2 addendas sequitur dens nova forma- rum huc pertinentium: Galea fronte declivi in rostrum porrectum attenuata (i. e. media longitudine incurva). iie fronte subverticali rostro brevi (i. e. galea versus rai: incurva, adunca). Tubus corollae e calyce vix exsertu Tubus corollae calyce duplo longior rectus, tum usc ga alea labio longior We ChamissonisStev. Tubus eating calyce vix EK demum i in- fractus, labium galeam su Diffusa. multicaulis, folia Beie , fila- menta glabra Erecta, folia vrofinde bipinnatipartita, fila- menta pilo dil ir ire E En ARE P. curvituba m. Rostrum latum truncatum, infra apicem pl. m. utrinque 1-dent , labium galea bre- vius, filamenta ad aE dilatata, 7. Rostrum angustum ere ape fila- menta ad insertionem a Galea labio Sta SE latitudine galeae arum brevi Galea labio bs rostro brevissimo. 6. Rostrum galeae uncinatae continuum, brac- teae calycesque cilíata, folia pinnatisecta seg- to seess وه‎ 9 o9 d o9 wot 9 € n مهدع قاعم‎ " P. alaschanica m. CP Sr u Er EEE « » #9 pos "e . Tatarınowii m. nn t‏ ما وريه m . Humilis, segmenta foliorum obovata, brac- teae calycesque longe villosohirsuta, infra apicem 2-dentatum P. plat: yrhyncha Schrenk 6). Elatae, nn segmenta lanceolata inciso- serrata. 8. Calyx SE pilosus, rostrum breve truncatum angulo utroque acuto ......,.... Calyx breve cylindricus scaber, rostrum lon- giusculum angulo antico obtuso postico iu dentem acuminatum protracto .. P. chorgossica Reg. et Winkl. 7). nee م امعو‎ ٠ P. interrupta Steph. P. sima. Radice tenui annua, caule basi ramigero v. simplici pedali 4-fariam foliisque pubescentibus; foliis inferioribus oppositis reliquis per 3 verticillatis petiolatis oblongis pinnatipartitis laciniis ovatis obtu- sis crebre incisoserratis serraturis cartilagineo-muero- natis; verticillis trifloris villosohirsutis infimis remotis; bracteis imis foliaceis superioribus rhombeis basi cu- neata integra membranaceis ceterum inciso-pectinatis; 6) Haec et sequentes a Comosis tantum foliis verticillatis dis- tinctae. 7) in Act. h. Petrop. VI, 350, errore typographico chorgonica, e Turkestaniae orientalis montibus Chor, orgos. 33 515 Bulletin de l’Académie Impériale 516 calycis breve cylindrici inaequaliter 5-dentati dente summo deltoideo integerrimo minore, reliquis dilatato- cristatis; corollae roseae tubo rectiusculo haud exserto galea vix adunca breviore, labio ciliato a galea supe- rato lobo medio rotundato minore, galea fronte verti- cali inferne in rostrum brevissimum obtusum subito abeunte; filamentis glabris; ovario attenuato-ovoideo. Kansu occidentali in pratis alte alpinis (Prze- walski, 1880). Ob galeam distincte etsi breve rostratam huc, ob habitum et galeae (misso rostro) formam potius ad sequentem seriem pertinens, ubi prope P. violascentem, verticillatam et Korolkowi ponenda esset. 6. Verticillatae m. 1 c. 94, Character seriei hujus mutetur sic: Galeae apex angulo superiore rotundatus, inferiore acutiusculus, corollae tubus infractus. Calyces (paucis exceptis) inflati campanulati dentibus brevibus deltoideis subintegris. Species huc pertinentes ita dignoscendae: Corolla ven tubi (extra calycem) infracta. 2. » basi tubi (intra calycem) infracta. dme Weg 4 Zero bipinnatisecta. pinnatipartita, flores erbe ied acie 4. D Flores u galea labio longior abrotanifoliaM.B. purpurei, galea labio brevio . Elata, verticilli distantes cinereotomentosi . umilis, spica densa albotomentosa 5 u labio brevior. longior, bracteae 3-fidae, folia pinnatisecta segmentis pinnatipartitis, spica e a ee . P.violascens Schrenk. . Bracteae 3-fidae v. 3-partitae » integrae serratae vitiis v. Les e. 8. aules basi squamati, folia geess esch calyx w T sro. H EA x [2] ^l labii truncatus, antherae contiguae, spica brevis densa v. bes breve interrupta...... P. amoena Ad. 1; RA aram lacinulis serratis, x late campanulatus inflatus de ntibus deltoideis serratis, lobus medius labii inte- bcontiguae, verticilli nume- . Galea nana labio plus duplo 0 spica densa imbricata, bracteae fubellatae antice serratae, calyx globosus brevi dentatus dentibus integris, folia poteit P. kansuensis m. 0 RA LATE anti. o uiri e eere P. spicata Pal. Galea labio parum brevior, E elonga- tae pinuatifidae v. serratae 9. Calyx breve 5-dentatus imite integris. 10. » 5-fidus dentibus lanceolatis cristatis, folia pinnatisecta, filamenta glabra........ P. Roylei m. - nz 10. Folia pinnatipartita, € costatus, anthe- rae discretae, capsula patu Folia pinnatifida, calyx geticulatui, antherae subcontiguae, capsula patentissima. zac و‎ P. verticillata L. P. refracta m. P. moschata. Spithamaea v. pedalis e collo ramosa ramis ascendentibus, paleaceo -pubescens v. intra spi- cam villosa, foliis 4-nis subbipinnatisectis rhachi ser- rata, dot primariis lineari-lanceolatis, secundariis cartilagineo-pauciserratis; spica elongata interrupta, bracteis inferioribus foliaceis, superioribus ovatooblon- gis lamina brevi pinnatifida incisoserrataque termina- tis; floribus sessilibus purpureis; calyce cylindrico 5- dentato dentibus summo minore deltoideo integro re- liquis rhombeis cristatis; corollae tubo calycem 1'/, superante apice infracto, galea tubo latiore labio bre- viore, lobis labii denticulati rotundatis medio basi constricto; filamentis apice tubi insertis glabris; cap- sula ovoidea calycem tum inflatum aequante oblique ovata mucronata. Mongolia borealis: Altai australis pluribus locis (Potanin, 1877). Proxima P. abrotanifoliae M. B., cujus tamen flores sulfurei, bracteae ovatae integrae, calycis dentes del- toidei denticulati, lobus medius labelli brevis sessilis, capsula oblonga calyce longior et cet. . Radix tenuis verticalis. Planta recens moschum spi- rat. Folia 1'/— 2 pollicaria. Flores pollicem longi. P. kansuensis. Elata e collo esquamato multicaulis villosa, foliis 4-nis pinnatisectis segmentis lanceolatis. pinnatipartitis lacinulis pauciserratis; spica pedali in- terrupta; bracteis inferioribus pinnatisectis, reliquis tripartitis serratisque; calycis brevipedicellati subglo- bosi inflati breviter 5-dentati dentibus inaequalibus deltoideis serratis; corollae tubo ipsa basi infracto calyce plus duplo longiore galeamque superante, labii galea longioris lobis rotundatis terminali minore basi constricto; filamentis longioribus pilosis, antheris sub- contiguis; capsula parum exserta oblique ovata acu- minata. P. verticillata var. chinensis Maxim. in Mél. biol. X, 96. E Kansu alte alpina ad summum fl. Hoangho lectam denuo attulit Przewalski, 1880. Species a me pro P. verticillatae varietate olim sumpta ob labium minus, antheras spatio angusto pas- sim discretas et praesertim ob specc. nonnulla P. amoe- nae inter exempla P. verticillatae herbarii nostri mixta, 517 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 518 quorum folia pinnatisecta erant. Revera P. kansuensis affinior P. amoenae quam P. verticillatae. Differentias prioris et nostrae in clavi fusius exposui. — Labium P. verticillatae ceterum occurrit passim tam magnum ut in P. amoena, in P. amoena tam parvum ut in P. verticillata. P. Korolkowi Regel in Acta h. Petrop. VI, 348, 349. a P. amoena non diversa videtur. Radix tenuis verticalis. Folia ad 2 poll. longa, /, pollicis lata. Calyx et flos magnitudine À, verticillatae grandiflorae. P. Roylei. Humilis caespitosa, radice crassa perenni, collo squamato, pube praeter apicem caulis atque spi- cam rufovillosam nulla; caulibus Kümilibus oligophyl- lis; foliis infimis oppositis ternisve reliquis 4-nis, pin- natisectis, segmentis linearibus incisoserratis; spica densa brevi, bracteis oblongis pinnatifidis mucronato- serratisque; calyce breve pedicellato cylindrico -cam- panulato 5-fido, laciniis summa nana deltoidea integra reliquis lanceolatis valide cristatis; corollae purpureae tubo basi infracto calyce 1';,-longiore galeam supe- rante, galea labio breviore, lobis labii omnibus rotun- datis truncatis; filamentis ipsa basi pilosulis ceterum glabris, ovario ovoideo. P. amoenae var. Maxim. I. e. DV: Himalaya occidentali (Royle!), Tibeto occidentali ad Tschangra (Heide!). Ad P. amoenam accedit statura, radice, collo squa- mato et foliis, ad P. verticillatam bracteis, ab utraque tamen calycis structura abhorret. P. refracta. Villosa, radice fasciculatofibrosa pluri- cauli collo esquamato, caulibus validis elatis, foliis _ radicalibus longe petiolatis pinnatilobis, caulinis 4-nis pinnatifidis lobis obtuse ovatis obtuseque inciso-ser- ratis; verticillis numerosis inter se remotis; bracteis petiolatis oblongis serratis; calycis breve pedicellati campanulati inflati membranacei totius reticulati hinc fissi dentibus inaequalibus brevibus deltoideis integer- rimis; ols roseae tubo basi infracto calyce duplo te, galea tubo tenuiore labio amplo breviore, labii lobis rotundatis medio mi- nore basi constricto, mc basi tubi insertis ibi- demque barbatis longioribusque superne pilosis; capsu- lis divaricatis oblique ovatis acuminatis calyce fere duplo longioribus. P. verticillata var. refracta Maxim. ER 95. nnœinra In Kiusiu subalpinis (ipse). Foliorum latissimorum forma et magnitudine ab omni P. verticillata statim distincta, sed flores calycesque aeque magni. Flores ludunt albi. 7. Caucasicae m, 1. c. 99. Charater seriei sic exprimatur. Calycis dentes 5 lan- ceolati. Corollae tubus medio incurvus v. rarius rectus (nec infractus). Uterque angulus apicalis galeae obtusus. Specierum huc pertinentium expositionem offero, quamvis ne una quidem in Asia orientali crescit, quia q in descriptiones Boissieri (Fl. or. IV.) errores non- nulli irrepserunt. Corollae tubus galeaque recta continua, calyx campanulatus 5- dus dentibus lanceolatis cristatis, labium nanum ciliatum ga- lea multo brevius, folia per 5 verticillata.. P. mollis Wall. Corollae tubus medio incurvus, calyx cylin- dricus 5-dentatus dentibus subintegris. 2 2. owes SS brevius. 8. 3. Bractése oblonga subintegrae, flores albidi, ovarium uge , folia 4-na pinnatipartita shachl 202786 ne eh dut mes. P. pycnantha Boiss. ren per fores. purpurei, ovarium ovoideum, folia 3-na pinnatisecta rhachi in- Folia pinnatipartita rhachi serrata, bracteae oblongae lamina brevi serrata, flores albi, la- ; bii lobi truncati, ovarium globosum .. 0-1 P. Semenowi Rgl. Folia en peus integra, bracteae rhombeae v. 3-fidae v. serratae, cap- sula calyce ih 5. Folia opposita, unicus rhombeae 3-fidae et . P. Bourgeaui m. Le dio basi valde constricto, capsula oblique orati EENEG an rn nn Folia 4-na, bracteae ovatae EE eg er lae albae tubus intra calycem incurvus, labii lobi emarginati emeng sessili, capsula lanceo- lata acuminata re P. mollis Wall. Cat. 415. Benth. in DC. Prodr. X, 564. Bot. mag. 4599. Maxim. Le 94. Nipal (Wallich! Y cit.) Species peculiaris, flore minuto, nulli arctius affinis, ob galeae apicem utroque angulo obtusum hic melius locum tenet, quam inter seriem 6-am ubi primum enumeravi. Flores breve pedicellati. Calyx 3%, mm. longus breve campanulatus, ad v. ultra medium 5-fidus, den- tibus parum inaequalibus utrinque serraturis mucro- natis 2— 2, 10-costatus costis medianis crassioribus, fructifer inflatus et minus profunde fissus. Corolla 8 mm. longa, tubus calycem 1'/, superans galeaque brevior con- 33* . P. cadmea Boiss. P. caucasiea M. B. t 519 Bulletin de l'Académie Impériale 520 tinua recta. Galeae apex rotundatus ultra labium na- num valde porrectus. Labium circumcirca ciliatum, lobis rotundatis contiguis, sed vix imbricatis, medio duplo minore. Stamina glabra, paulo infra medium tubum (ovario altius) inserta, antherae discretae locu- lis basi obtusiusculis. Stylus e galea non exsertus. Cap- sula calyce triente longior, oblique ovata acuminata, 10 mm. usque longa. P. pycnantha Boiss. Diagn. ser. 1, 12, p. 45. Fl. or. IV. 484. Persia borealis (Kotschy! n. 166). Description Fl. or. incompletae addenda: radix valida, digitum minorem crassa, e collo late et obtuse squamato polyphylla et pluricaulis, Folia rhachi ser- rata, caulina 4-na verticillis duobus. Calyx breve erasse pedicellatus, 8 mm. longus, 10-costatus, inaequaliter 5-dentatus, dentibus summo deltoideo conspicue mi- nore integro ceteris elongatotriangularibus acutis ob- solete denticulatis. Corolla 17 mm. longa, tubus medio (ad faucem calycis) ineurvus, fere duplo calyce ga- leaque longior. Galea leviter incurva, dorso anguste cristata, apice rotundato-obtusa, labium nanum duplo superans. Labium denticulatum lobis rotundatis, me- dio duplo minore. Stamina infra medium tubum, ova- . rio globoso altius inserta, longiora apice pilosa, an- therae contiguae. Stylus e galea exsertus apice valde incurvo labium spectans. P. Bourgeaui, Palmaris caespitosa paleaceo-pilosa, ad spicam oblongam densam griseohirsuta, radice valida carnosa ramosa pluricipiti collo squamis obtusis tecto; foliis radicalibus numerosis, caulinorum verticillis 2—3; foliis infimis per 2-na superioribus per 3-na dis- . positis, pinnatisectis segmentis discretis pinnatifidis incisisve dentibus acutis; bracteis submembranaceis cuneatis a medio 3-cuspidatis calycem breve cylindri- cum (8 mm.) breve pedicellatum subsuperantibus; den- tibus calycinis 5 parum inaequalibus lanceolatis acutis obsolete denticulatis; corollae (in sicco atropurpureae 18 mm.) tubo extra calycem arcuato-incurvo illoque fere duplo galea recta lata apice rotundata cum api- culo obsoleto triplo longiore, labio galeam parum non attingente lobis diseretis rotundatis medio fere duplo minore; staminibus infra medium tubum insertis gla- bris, antheris contiguis, stylo incluso, ovario ovato atte- nuato. P. caucasica Boiss. Fl. Or, IV, 484, excl. varr. s Armenia, in rupestribus prope Gumusch - chané (Bourgeau! pl. Arm. 1862, n. 181 s. n. P. caucasi- cae? var.) Differentiae a P. caucasica M. B. numerosae supra in clavi diagnostica expositae. P. cadmea Boiss. Diagn. ser. 1, 4, p. 82. Fl. Or. IV, 485, cum var. B. longiflora. P. cadmea et P. qua- dridentata F 21 in sched., Maxim. ]. c. 100. Asia minor: Caria (Boissier), Cappadocia (Aucher, fide Boiss.), Pisidia (Heldreich!), Lycia (Bourgeau, ex Boiss.), Cataonia (Haussknecht!), Tauro (Kot- schy! 1836 n. 382, 478. s. n. P. quadridentatae V z1) alpibus Bulgar- dagi Ciliciae (Kotschy! 1853 n. 59, 131 Canlicah basi squamati, squamis ovatis obtusis. Fo- lia radicalia oo, caulina opposita, paribus 1 v. 2 mox basi mox apice dispositis. Calyx praecedentis, sed dens summus nanus deltoideus et villus densior et longior. Corolla rosea, primum 17 mm., tum tubo elongando 22 mm. longa, tubo gracili calyce primum plus quam 1%, tum plus duplo longiore (nec triplo, ut habet Boissier sub Û. longiflora: corolla deflorata a basi soluta enim ovario accrescente protruditur), extra caly- cem incurva. Galea recta apice rotundato-obtusa, tubo vix latior illoque plus duplo, demum plus 4-lo brevior. Labium sat amplum galea longius subdenticulatum, lobis diseretis rotundatis, medio basi valde constricto. Stamina primum medio, tum infra medium tubum in- serta, glabra, antheris contiguis. Stylus inclusus. P. caucasica M. B. Fl. Taur. Cauc. II, 72, III, 412. Stev. Monogr. t. 8. Bge in Ledeb. Fl. Ross. 11,272; Boiss. Fl. Or. IV, 483. excl. typo. In regione Caucasica: Caucaso orientali alpibus Kasbek (Radde!) et Sehadagh (Steven!) et in totius jugi alpinis (C. A. Meyer!), monte Alagós (Radde!), Kapudshich (id!), ad laeum Tabizchuri (id!), Kara- bagh in alpinis m. Kaepes-dagh (Kolenati!), Somche- tia (C. Koch!); Persia boreali: Damir-dagh (B uhse!), prov. Ghilan mont. Samamisicis (M. Bieberstein!), ad nives m. Totschal prope Teheran (Kotschy! n. 166. a.); Armenia: supra Erzerum (Huet!) Collum squamatum. Calyx aeque profunde ac in 2 praecedentibus 5-dentatus, 8 mm. longus, longius- cule pedicellatus. Corolla KS (v. galea purpuras- cente) 16 mm. longa, intra calycis faucem incurva, 521 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 522 tubo calycem 1'4, galeam triplo superante. Galea in- terdum medio margine dente aucta, labio (si corolla secus galeam fissa explicatur) distincte brevior. Lobus labii medius lateralibus parum minor. Stamina supra basin tubi inserta, filamenta inferiorum superne pilosa. Stylus exsertus. P. Semenowi Regel pl. Semen. n. 810. Songaria: in Alatau cis Ili (Semenow!) fauce AI- tynemel (A. Regel!); Tibet occidentali: Lahul (herb. Calcutt. !) : Descriptioni optimae Regelianae addam: radix crassa tuberosa ramosa. Calyx longiuscule pedicella- tus, 11 mm. longus, profunde 5-dentatus, dentibus omnibus serratis. Corollae ultra 20 mm. longae, fide A. Regel albae ad marginem labii purpureae, tubus ad calycis faucem incurvus, illo 1'/,, galea recta aequi- lata plus triplo longior, labium galeam aequans lobis rotundatis imbricatis omnibus emarginatotruncatis me- dio parum minore. Stamina supra basin tubi inserta, filamenta inferiora versus apicem pilosa. Stylus exser- tus. Ovarium globosum. | Planta fibetica a songarica tantum differt bracteis dentibusque calycinis acutius serratis. Incarvillea compacta. Perennis primum acaulis tum caulescens, puberula v. glabrata; foliis carnosis fere omnibus radicalibus pinnatisectis, segmentis subcor- dato-ovatis ovatooblongisve terminali basi rotundato v. cuneato majore, omnibus secus rhachin anguste de- currentibus; floribus primum dense congestis tum caule excrescente exsertis axillaribus crasse pedunculatis; foliis caulinis diminutis tripartitis v. indivisis lineari- bus bracteiformibus; calycis dentibus deltoideis acu- minatis dorso subcristato-costatis; corollae purpureae tubo dilatato, limbi ampli lobis late rotundatis imbri- catis; capsulis lignosis compresso-quadrangulis elon- gatis, seminum ala opaca. Kansu: ad summum fl. Hoang-ho (Przewalski, Planta pulchra, quum habitu tum characteribus non- nullis ab Incarvillea typica dissentiens: calycis sinus acuti (neque truncatobicuspidati), stamen sterile breve hamato-subulatum, stigma integrum infundibuliforme, semen orbiculare ala crassa vix pellucida, sed hae differentiae minoris momenti, quin genus proprium condere possint. Radix fusiformis crassitie digiti. Folia numerosa patentia palmaria, petiolo tereti crasso basi vaginante, lamina triplo longiore circuitu acuminato - oblonga, jugis 6 — 7. Pedunculi stricti erecti calyce breviores, nonnulli postea tamen capsulae aequilongi, primum 5—10 dense aggregati foliis breviores fere simul flo- riferi, tum caulis elongatione sensim exserti. Caulis denique pedalis et ultra, pennam cygneam crassus, basi ramis brevibus serius florentibus. Corolla ultra 2-pollicaris limbi diametro 1'/,-pollicari, intus, prae- cipue ad partem adnatam filamentorum, glanduloso- punctata. Antherae T. sinensis, loculis tamen brevius ovatis. Capsula 4-polliearis, 4 lin. lata, rhachi contra- rie compressa, acuminata. Interstitium inter semina in septo subnullum, ob ovulorum series plures appro- ximatas. Semina oo nucleo alae- aequilato, 4 mm. magna. Cotyledones cordato-reniformes subemargina- tae, radicula brevissima e sinu vix exserta. Lagotis Gaertn. in Nov. Comm, Acad. Petrop. XIV, 1, 538, t. 18. (1770). Gymnandra Pall. It. III, App. 710, n. 60, t. A. fig. 1. (1776). Semen (in L. glauca et L. brachystachya) cylindri- cum (neque subglobosum ut apud Gaertner delinea- tum), quantum vidi semper in capsula singulum, raphe a placenta remota parietem capsulae spectante. Post examen accuratum specierum ab autoribus propositarum, signa a staminibus, forma labiorum co- rollae et foliorum petita variabilia inveni, recte opi- nantibus Choisy, Ledebour, Trautvetter aliisque, et formas sequentes tantum distinguere potui, ipsas fortasse olim in species legitimas duas solum distri- buendas: Rhizoma elongatum obliquum stolones hypogaeos emittens, collo petiolorum basibus dilatatovaginantibus in fibras non solutis tecto. Caules foliati. Folia lata (vulgo elliptica) crenata v. in- epius mar € v. totae pl. m. hyalinae, calycem (neque corollam) aequantes. 2. Rhizoma breve praemorsum, collo vaginis ees dense fibroso, saepe stolones epigaeos remote squamatos apice tum radicantes rosuliferos emittente. Scapi aphylli folio breviores. Folia lan- ceolata acuminata vulgo integerrima, rarius serrata. Bracteae angustae foliaceae saepissime corollam aequantes. 2. Folia laevia, limbus corollae tubo triplo brevior, ERBE O SUDO ERBEFINB: erg Se evo: 8 . gla Folia rugosa, Ve: ehe: tubum sequans, stylus tubo mu e 8. MGR mee i. 4. nulli, corolla firma calyce alato eus- pidato triplo igi stylus saepis- uca Gaertn. L. brevituba m. KS KLEE L. -Korelbowi Regl, 5.»52959*9»599»9*2 وه Bulletin de l’Académie Impériale >24 4. Glabra, corolla firma calyce leviter costato acuto plus duplo longior, stigma bilobocapi- tatum, discus ad glandulam anticam re- ductus * L. stolonifera C. Koch. Puberula, corolla tenera calyce carinato cu- cullato obtuso vix duplo longicr, stigma vix dilatatum truncatum, discus completus 4-]o- bum vol partiten. Da ne E RERO L. brachystachya m. nn rent sms Caulescentes. 1. L. glauca Gaertn. 1. c. Gymnandra borealis P a11. l.c. Rgl et Til. Fl. Ajan. n. 234. G. Pallasti, G. Gme- lini et G. Stelleri Cham. et Schlechtdl. in Linnaea, II, 560 sq. Ledeb. Fl. Ross. III, 332. c. synn. @. ku- nawurensis et G. Cashmeriana Royle, DC. Prodr. XII, 25. L. decumbens Rupr. Sert. tiansch. 64. Hab. in Rossia europaea: terra Samojedorum, Ural boreali et ad sinum Karicum; Sibiria arctica: ostium fl. Jenisei, ad fl. Taimyr, Janam (Werchojansk, May- dell), Monjero et Olenek (Czekanowski et Müller), inter Lenam et Oceanum orientalem (fide Steller): terra Tschuktschorum ad sinum St. Laurentii et fl Anadyr; ad mare Ochotense prope Ajan aliisque locis; Kamtschatka, insulis. Koráginsk et Beringi; ditione fl. Baicalensi-dahuricae satis frequens usque in Dahuriam (alpem Tschokondo, circa Nerczinskoi Sawod), alpibus Sajan, m. Sabinensibus (Lessing) et Altai; montibus Songariae et Turkestaniae orientalis: Thianschan, utro- que Alatau, regno Kokand; Mongolia boreali: Altai australi, jugo Han-hai et alpibus circa lacum Ubsa (Potanin); China occidentali: prov. Kansu in alpibus secus fl. Hoangho superiorem et ejus affl. Tetung; in Himalaya centrali et occidentali; in America boreali- occidentali: ad oras arcticas, ad sinum Kotzebuei, in- sulis St. Pauli et Unalaschka, ad ostium fl. Columbia S (fide Pursh). . Variat planta late distributa foliorum forma et cre- natura, statura, corollae longitudine erga calycem, filamentis styloque brevissimis v. elongatis. Formas principales, si mavis subspecies, distinguo duas, non satis tamen constantes et transitubus passim conjunc- Nds : 1. borealis. (G. borealis Pall. Vaginis vetustis diu persistentibus, stylo e tubo pl. m. exserto. — Pl. Sibi- rica et Americana, in qua saepe bene cognoscuntur: Var. Pallasii Trautv. Enum. Schrenk, n. 875: fo- 8) ut in 3 praecedentibus, ubi in Z. stolonifera et L. glauca emar- ginatus, in L. Korolkowi integer liis ellipticis v. lanceolatis saepius integris, filamentis brevissimis. — In Rossia et late per Sibiriam austra- liorem diffusa usque in Turkestaniam et Mongoliam. Var. Stelleri Trautv. in Act. h. Petrop. V, 95: foliis lanceolatis vulgo crenatis, filamentis elongatis. In arcticis Sibiriae. Var. Gmelini (sp. pr. Cham. et Schlecht.): foliis ovatis v. ovatooblongis vulgo grandicrenatis, filamen- tis brevissimis (in Kamischatka) v. elongatis (in pl. Ajanensi). 2. australis: vaginis vetustis subnullis, petiolis an- guste dilatatis, caule decumbente v. ascendente, Folia anguste elliptica vulgo profunde crenata, filamenta brevissima v. longiuscula, stylus inclusus v. exsertus. Lagotis decumbens Rupr. et pl. himalaica. Rhizoma L. glaucae ramosum, stolonibus hypo- gaeis parce squamatis apice tum rosuliferis florentibus- que. Inveniuntur igitur exempla nuper e stolone orta, quorum rhizoma tenuius aequale fibris radicalibus ' | paucis, collum squamis paucis vetustis v. nullis instruc- tum, et alia jamdiu enata, rhizomate crasso, parallele crebre tot striis notato quot annos vigebat, fibris ra- dicalibus vaginisque vetustis numerosis. In formae 2. australis vero speciminibus a Royle et Osten-Sacken collectis paucis quae vidi rhizoma crassum fibris radicalibus abundans simul cum vaginis vetustis subnullis inveni, num forte quia sub Jove cle- mentiore partes petiolorum vetustae citius putrescunt? Corollae tübus limbum angustius v. latius lobatum plus duplo v. triplo superat. Filamenta saepius labio superiori ad marginem inserta, non raro vero etiam sinui inter labia et tunc semper brevissima, et inveni orollam ubi stamen unum sinui, alterum labio inside- bat. Styli longitudo in borealibus major esse solet quam in australi, sed observavi in eodem individuo tubo inclusum et tam exsertum ut labium superaret. 2. L. brevituba. Humilis viridis, rhizomate obliquo fibris numerosis, foliis omnibus rotundatis v. radicali- bus interdum obovatis, apice obtusis, basi obtusis cor- datis attenuatisve, venis impressis rugosis, radicalibus profunde crenatis v. cum caulinis interdum integris, petiolis basi parum dilatatis; caulibus basi decumben- tibus folia parum superantibus; spica densa ovata; ca- lyce obtuse 2-denticulato bracteas herbaceas rotunda- tas tubumque corollae aequante; corolla pallide lila- cina limbo tuboque aequilongis, antheris in sinu inter 525 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 526 labia subsessilibus ` stylo tubo breviore ovario paulo longiore, stigmate capitato integro, disco antico emar- ginato. Kansu: alpibus ad Hoangho superiorem et affl. ejus Tetung (Przewalski, 1872, 1880). A praecedente praesertim corolla brevituba et foliis rugosis differt, variis locis semperque sibi similis in- venta, attamen in posterum fortasse cum L. glauca re- jungenda. 2 — 5-pollicaris. Folia 1 — 1°, poll. longa. Calyx 6 mm., corolla 12'/, mm., antherae atrae, in L. glauca re Stolones non ne Acaules. 3. L. stolomifera C. Koch in Linnaea, XVII, 289 (sub Gymnandra). Ledeb. Le, 333. Boiss. Fl, or. IV, 527. Jaub. et Spach, Ill. t. 254. Aitchison in Journ. Linn. soc. XVIII, 85. G. armena Boiss. Diagn. 1. der. IV, 75. In Asia minore!, Armenia!, Transcaucasia!, Persia boreali! et Afghanistano (Aitchison! n. 94.). 4. L. Korolkowi Rgl. et Schmalh. in Act. h. Petrop. V, 627. (sub Gymnandra). In Turkestania orientali, alpibus Alatau! 5. L. brachystachya. Acaulis stolonifera, foliis rosulatis integerrimis Jinearilanceolatis in petiolum basi vagi- nantem pl. m. pubescentem decurrentibus; scapis vulgo pubescentibus folio brevioribus numerosis; spica ovoi- dea densa, bracteis oblongis flores albos aequantibus; calyce praeter carinas hyalino utrinque fere ad basin in lacinias ovatooblongas obtusas partito cum v. abs- que denticulo postico intermedio; corollae tenerae tubo calycem aequante, labia aequilonga superius ovatum inferius in lobos ovales bipartitum superante; stamini- bus corolla brevioribus; stigmate truncato vix dilatato; disco completo 4-lobo v. -partito; capsula ovoidea ob- tusa laevi glabra. Kansu, ad summum fl. Hoangho (Przewalski, 1880). A valde simili L. stolonifera corolla alba tenera et disco completo distincta videtur. Caryopteris tangutica. Frutex pagina supera foliorum excepta incanus, foliis patentibus longiuscule tenuiter- que petiolatis lanceolatis inciso- pauciserratis, inferio- ribus in ramulo obtusis reliquis acutiusculis; cymis densis 7 — 15-floris; flore parvo, labii inferioris lobo medio simpliciter fimbriato; loculis antherarum paral- lelis, styli ramis longiusculis. Kansu occidentali (Przewalski, 1880). Affinis C. mongolicae Bge et C. incanae Miq., priori proxima. C. mongolica differt enim tantum foliis lineari- oblongis utrinque acuminatis, respectu laminae brevi- petiolatis, margine integerrimo v. parce serrato, cymis laxis 3 — 7-floris, flore triente majore, fimbriis labii bi-trifidis. C. incana magis distat caule suffruticoso, foliis ovatis basi rotundatis v. subcordatis grandiser- ratis, cymis multifloris, sed fimbriae labii pariter in- RER Frutex 1'/,—5-pedalis habitu C. mongolicae, corolla pallide rosea v. coerulea. — Species proposita generis parvi nunc septima, conf. harum diagnoseon fasc. I. in Bull. Acad. XXIII, 391. (Mel. biol. IX, 829.) et in Bull. Mosc. 1879. I, 40. Salvia Przewalskii. (Drymosphace Benth.) Caule ascen- dente herbaceo (superne glanduloso-) pubescente foliis radicalibus longe caulinisque petiolatis crenato-denta- tis subtus incanotomentosis acutis radicalibus cordato- oblongis, caulinis acute hastatocordatis, floralibus ova- tis acutis calyce multo brevioribus; racemis composi- tis; verticillastris distantibus subbifloris, calycibus cam- panulatis striatis glandulosis labio superiore semiro- tundo obsolete 3-denticulato, inferioris late deltoidei dentibus brevibus acute triangulis; corolla calyce sub- triplo- longiore, tubo longe exserto ampliato limbo porrecto. Kansu occidentali alpina, in pratis sylvarum rara (Przewalski, 1872). : S. hians Royle Ill. t. 75. a., Benth. in DC. Prodr. XII, 276., huic proxima, ex icone bene differt foliis utrinque viridibus, verticillastris 6-floris, limbo corol- lae hiante labio superiore faleato inferioreque elonga- tis, nec non flore coeruleo, qui in nostra, ex sicco, po- tius flavus fuisse videtur. Specc. pauca suppetentia 2-pedalia. Folia radicalia pede parum breviora, lamina 120: 55 mm. magna, caulina petiolo 8 cm., lamina 8: 5 cm. Calyx sub anthesi 8, postea 10 mm., corolla 25 mm. longa, haec parte exserta recta lata cum limbo fere cylindriea, parte inclusa tubi brevi subtus subito duplo angustata, ad stricturam intus annulo fere completo diffuse pilo- 527 Bulletin de l’Académie Impériale 528 sissimo instructa. Labium superius leviter emargina- tum inferiore vix longius, rectum, breve, inferius vi expansum triplo latius quam longum, ‚lobo medio de- presse semilunari integro, lateralibus nanis oblique et depresse semirotundis. Stamina abortiva brevia subu- lata anthera minuta ovata, fertilia fauci inserta, con- nectivo medio affixo arcuato loculis sterilibus fertili triplo minoribus apice connexis. Discus antice in glan- dulam ovoideam crassam heterochromam ovario aequi- altam tumens. Stylus inclusus. Lobi ovarii fecundati obcompressi rugosostriati. Salvia Roborowskii. (Drymosphace) Glutinosohirsuta erecta, foliis petiolatis e basi truncata acute sagittato- triangulis acuminatis multicrenatis, floralibus oblongis flores calycesve superantibus; racemis compositis; verticillastris remotis subsexfloris; calycis campanulati glandulosi striati labio superiore semirotundo sub- obsolete 3-denticulato, inferiore late deltoideo denti- bus brevibus acute triangulis; corollae pallide flavae calyce vix duplo longioris tubo parte exserta inflato, limbo patente labio superiore recto leviter emarginato inferius subaequante. Ibidem ad declivitates regionis alpinae, nec non in ruderatis vetustis frequentem legit idem collector, . 1872, 1880. Affinis praecedenti, sed viridis viscida et parviflora, nec non praesertim S. umbraticae Hance in Seem. Journ. of bot. VIII, 75. e Jehol regionis Pekinensis (vidi e Jehol a Tatarinow et ex angustiis Nankau a Bretschneidero collectam). S. wnbratica abunde dif- fert foliis hastatis (neque sagittatis) saepe aeque latis ac longis grandius pauciusque dentatis, corolla caly- cem triplo superante recurva coerulea, labio superiore longiore, pariter tamen rectiusculo. Uni-tripedalis, tota viscida. Folia radicalia d caulina inferiora petiolo 8 cm., lamina 7 : 5 cm. Ca- yx 101 mm., praecedenti on Corolla 15 mm., parte inclusa tubi undique (nec subtus tantum) an- gustata, intus antice annulo incompleto longe piloso instructa. Labia subaequilonga, superius leviter cu- cullatum rectum emarginatum, inferius lobo medio transverse ovali emarginato laterales oblique depresse hemisphaericos triplo superante. Stamina abortiva fila- mento lineari brevi, anthera minuta transverse ovali connectivo distincto loculis punctiformibus terminali- bus. Stamina fertilia sub fauce inserta, illis speciei praecedentis simillima, pariter ac discus cum processu et ovaria. Stylus inclusus. Utraque species proposita galea brevi fere Euspha- ces, sed habitu huc pertinens, S. umbraticá intermediá. Adnot. S. miltiorhiza Bge prostat e prov. Schens? ad fl. Han lecta a Dre Piasezki. Descriptioni adde: calyx intus ad faucem longe al- bopilosus. Lobi laterales labii inferioris «oblongi» dici possunt si a basi corollae respicimus, respectu labii vero et altitudine lobi potius oblique transverse ob- longi nominandi, lobus medius totus supra laterales exsertus, latior quam longus, bilobo-emarginatus, basi constrictus, incisodentatus. Galea glanduloso-pilosa. Allagospadon °). Salviae sectio nova. Stamina postica fertilia, antica sterilia minuta vel nulla. Corollae tubus exannulatus. Cetera Notiospha- ces Benth. Salvia Piasezkii. Viscidovillosa erecta herbacea, fo- liis petiolatis pinnatisectis segmentis 3—5 ovatis basi angustatis incisoserratis terminali petiolulato triplo latiore acuto lateralibus acuminatis, floralibus lanceo latis pedicello vix longioribus; racemis subramosis; verticillastris laxis 6-floris; calyce sub anthesi tubuloso postea subeampanulato glanduloso vix striato, labio superiore late deltoideo acuto integro, inferiore lon- giore apice 2-dentato dentibus elongatotriangulis mu- cronatis; corolla calycem parum superante pilosa tubo aequali incluso exannulato; genitalibus inclusis, labio superiore brevi subfalcato emarginato. In montium jugo Tsun-lin inter prov. Schensi et. Kansu finitimo (Dr. Piasezki fl. et fructif.). Similis S. japonicae Thunb., ita ut varietatem pi- losam micrantham diceres. Sed corolla distinctissima. Corolla S. japonicae enim calyce duplo longior, tubo exserto intus versus basin piloso-annulato, labio su- periore recto, lobo medio inferioris latiore quam longo bilobo-emarginato. Connectivum elongatum arcuatum crure fertili loculum oblongum fere duplo, crus sterile plus duplo superante. Crura styli vix exserti brevis- sima late subulata recta. Stamina sterilia lx linea- ` ria anthera transversa subquadrata. Specimen collectum 1 spithamaeum, basi longe pa- 9) Ob stamina sterilia quae eum fertilibus locum mutaverunt. * 529 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 530 tenti-villosum, apice viscidopilosum. Folia infima tri- sécta foliolis lateralibus ovatis obtusis 6:5 mm. magnis, terminali basi truncato rotundato 12: 11 mm. magno, media 5-foliolata, lateralibus subpetiolulatis 15 : 6 mm., terminali fere rhombeo petiolulo 4 mm. longo, lamina 18:12 mm. Pedicelli calyce triplo breviores. Calyx florifer 5 mm., adspersus, tenuiter 10-nervius, ad labium superius crassior. Corolla violacea 7 mm. longa, limbo exserto patente. Galea biloba compressa brevis subfalcata, labio brevior. Lahii parce ciliati lobi laterales ovati, medius sesquimajor et duplo longior rotundatus. Sta- mina antica sub ipsis sinubus lobi infimi, minima (vel nulla) filiformia apice clavata, fertilia secus galeam infra faucet posita, faucem non excedentia, filamen- tum connectivum arcuatum superans, crus connectivi posticum fertili aequale, apice dilatato truncato hinc loco loculi incrassato, crus anticum loculo fertili ob- longo triplo saltem brevius. Stylus corolla longior, sed in corollis tribus suppetentibus apice convolutus in- clusus, crura elongata subulata superius paulo bre- vius, inferius versus basin latius et fimbriolatum v. lobulatoappendiculatum. Discus aequalis. Nuculae fere 2 mm. longae, oblongo -ellipticae tereti-subtriquetrae laeves lucidae atrovirides. : Nepeta coerulescens. (Sect. 2. dione a 2, Benth.) Pedalis erecta simplex v. pluricaulis Flesh, foliis subsessilibus ovatooblongis obtusiusculis basi subcor- datis multicrenatis utrinque viridibus laevibus; spica ovoidea aequali densa; bracteis oblongis calyces sub- aequantibus; calycis bilabiati dentibus mucronatis su- perioribus deltoideis inferioribus lanceolatis; corolla calycem plus duplo superante. Kansu occidentali alpina, ad Hoangho superiorem (Przewalski, 1880). Affinis N. supinae Stev. et N. gratae Bth., quae utraque. foliis ovatis paucicrenatis crenis magnis dis- tinguitur. Radix tenuis elongata. Folia 40 : 15 mm. magna. Spica 1'/-pollicaris, passim cum verticillastro infimo remotiore. Verticillastri fere sessiles densi. Calyx 6 mm. longus leviter incurvus infundibuliformis obli- quus 15-nervius, ad medium fissus in labia 2, sinu inter dentes duos superiores breviore. Corolla pallide coerulea = mm. longa, extus, excepta tubi parte in- Tome XXVII. fructifer 7 mm., extus pilis capitatis | clusa tenui, pubescens, tubi pars exserta paulo, faux valde inflata. Corolla tota intus atque genitalia glabra. Lobus infimus prominens. Stamina inclusa, stylus bre- viter exsertus. | Dracocephalum tanguticum. (Sect. Moldavica Benth). Caulibus erectis puberulis, foliis 2 — 3-jugo- pinnati- sectis laciniis elongato-linearibus margine revolutis subtus incanotomentosis; verticillastris subsexfloris in- terrupte spicatis; bracteis 1—3-fidis calyce multo bre- vioribus; calycis dentibus lanceolatis summis 3 longio- ribus; corolla calycem duplo superante. Kansu occidentali alpina (Przewalski, 1872, 1880). D. Ruprechti Regl. in Act. h. Petrop. VI, 363. (D. bipinnatum Rupr. Sert. Tiansch. 65.) distat fo- liorum forma, bracteis folia floralia aemulantibus pin- natifidis aristato-dentatisve, corolla maxima calycem duplo et semis superante. D. austriacum L., nostro ex prima fronte similius, differt tamen sectione, pube elongata, laciniis foliorum brevioribus, bracteis 3— 7 -fi- dis, calycis dente summo ovato reliquis lanceolatis, ` corolla triplo ealycem superante. Pedale v. bipedale. Folia caulina bipollicaria, ses- quipollicem lata, laciniae 1 usque fere 3 mm. latae. Inflorescentia valde interrupta digitalis usque spitha- maea. Calyx 10—13 mm., corolla 20—26 mm. longa, coerulea. | Koenigia fertilis. Sub ochreis pilosa, foliis erassiuscu- lis obovatis v. ellipticis omnibus petiolatis summis sub- approximatis fasciculos 1 — 3-floros axillares subses- siles gerentibus, pedicellis bractea hyalina obovata pe- rigonioque infundibuliformi 4-fido brevioribus; peri- gonii lobis obovatis subtruncatis; staminibus omnibus fertilibus 3— 7; caryopsi lenticulari v. triquetra, sty- lis brevissimis, stigmatibus 2—3. Regione Tangut, pratis alpinis prope alpem Dsha- char-dsargyn, alt. s. m. ultra 10 mill. ped. (Prze- walski, 1880). K. monandra Dne in Jacquem. Voy. 142, t. 147. differt ex descriptione et icone glabritie perfecta, fo- liis summis subsessilibus in verticillum approximatis, inflorescentia terminali multiflora, flore 1 — 2-andro. Habitus et statura utriusque eadem ac in K. islandica”), 10) a Potanin in a boreali in alpinis circa lacum Ubsa a. 1879. frequenter inventa 34 531 Bulletin de l'Académie Impériale 532 ; quae tamen perigonio staminibusque rite 3-meris et F stigmate sessili capitato semper distincta. A sequente, : praeter habitum, etiam in eo differt, quod stamina quaecunque evoluta adsint semper rite antherifera in- veniuntur. Koenigia pilosa. Caule piloso sub ochreis dense albo- barbato, foliis membranaceis majusculis ciliatis v. su- perne pilosis omnibus petiolatis rotundatoovatis sum- mis subapproximatis fasciculos axillares peduneulatos plurifloros gerentibus; pedicellis perigonium infundi- buliforme ad basin 4-partitum aequantibus, perigonii lobis subinaequalibus ovalibus, staminibus 7, 2 — 5 an- ` theriferis ceteris minutis claviferis cassis; caryopsi inelusa 3-quetra, stigmatibus stylisque brevissimis 3. Kansu occidentali alpina, ad Hoangho superiorem ejusque affluentes, ad fontes et circa domos in rude- ratis frequens gregaria, ad latera aperta montium rara (Przewalski, 1872, 1880). Species inter reliquas primo aspectu facile cognos- cenda, spithamaea simplex v. in ruderatis luxurians ultrapedalis ramosa, ad nodos basin versus radicans, caule semper tamen filiformi. Stamina, ut in praece- dente, 4 in sinu loborum posita et 3 lobis opposita (quarto semper deficiente), sed in K. pilosa vulgo priora tantum bene evoluta. Discus perigonium vestiens ple- rumque distinctus obsolete et irregulariter erenatus, ` stamina tamen fere semper paulo altius inserta. Coty- ledones orbiculatae, radicula eylindrieosubconica plus duplo longior. : Utraque species igitur staminibus numero sepalo- r rum duplici a duabus antea notis discrepat. Neque ca- ryopsis lenticularis inter generis characteres servanda, mam apud nostras in una semper, in altera saepe tri- ` quetra et talem inveni semel in ipsa K. islandica. In- -florescentia in nostris distincte axillaris. Ochreae fo- . lum juvenile involventes demum laceratodisruptae tam completae adsunt ac in Polygonis. Ita 6 nunc a Polygono differentia unica in radicula elongata ponenda, an sufficiens? Eug + Daphne tangutica. (Sect. IV. Laureola, Meisn.) Pe- dicellis hispidulis perulisque ciliatis exceptis glaber- | rima, foliis oblongo- v. obovato-lanceolatis emarginato- = obtusis basi attenuatis aveniis; fasciculis sessilibus -~ 1—3-floris; pedicellis brevissimis; perigonii lilacini in- tus albi lobis ovatis obtusiusculis tubo cylindrico plus duplo brevioribus; ovario glabro; bacca carnosa rubra. Kansu occidentali alpina, in sylvis frequens (Prze- walski, 1872, 1873, 1880). Proxima D. glomeratae Lam., quae tamen tota gla- berrima, folia venosa, corollam graciliorem lobis ob- longis tubo triplo brevioribus habet. Frutex 2—3-pedalis densissime ramosus subglobo- sus. Flores vere erumpunt e gemmis terminalibus pe- rulatis, axillares in axillis perularum, innovatione fo- liorum terminali, et usque ad folia novella plene evo- luta persistunt. Perulae paucae coriaceae majusculae ovatooblongae aeutiusculae ciliatae et ipso apice villo- sulae, mox caducae. Folia 40 ad 70 mm. longa, 8—12 mm. lata, perennantia, nonnulla vetusta usque ad fruc- tum maturum anni sequentis persistentia. Flores pe- rulas parum superantes in umbrosis toti lilacini v. vio- lacei, in apertis intus v. fere toti albi, Jasminum spi- rantes. Perigonii tubus 10 mm., limbi diametros 10 mm. v. paulo minor. Bacca globoso-ovalis 10:8 mm. Semen fere globosum. Adnot. D. Genkwa S. Z., a qua D. Fortunei Lindl. vix varietate differt, in prov. Schensi secus fl. Han in montibus variis los et semel in consortio Wikstroe- miae indicae C. A. Mey., inventa est a D-re Pia- sezki, Aprili 1875, flor. Coryleae Asiae orientalis. ` Carpinus L. Bracteolae cum ligula libera inter axin et fruc- m, amenta fr nn imbricata, bracteae ament 4 firmae a Bracteolae basi ee fructum ph m. amplec- tentes ligula nulla v. non libera. 2. 9. Folia basi profunde cordata, amen fera imbricata, 4 bra Folia basi rotun da ta. 8. 3. Amenta fructifera imbricata. 4. » laxa. 5 C. japonica Bl. nta 9 fru cteis leneris pU. e cordata Bl. 4. ee erososerrulata ramique novelli eer dr er ENTRE MEE it ee cercie cicero b EROSQ DI. Folia inaequaliter mucronatoserrata ramique novelli pilosa, bracteae 4 parvae firm . C. Tschonoskii m 5. Red in BUN basi trilobae, -......... C. laxiflora Bl. oblique ovatae non loba- tka 6. 6. Bracteolae semiovatae acutae hic inciso-ser- ratae illic subintegrae, folia pup بت‎ Ge dato-acuminata. vU SE m. Res 98540029. onen 533 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Bracteolae late oblique ovatae obtusae grandi- serratae, folia parva ovata acuta v. breve acu- NEMNMNE TL ا‎ uror eee C. Turczaninowi Hce. 1. C. japonica Bl. Mus. Lugd. Bat. I, 308. Fr. Sa- vat, Enum. I, 451. Miq. Ann. Mus. L. D. I, 121. Prol. 358. Distegocarpus Carpinus Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. II, n. 798. t. 3. C. DC. Prodr, XVI, 2, 128. Japonia (Buerger! comm. Zuccarini) in insula Nippon: circa Yokohama, sat frequens, init. Maji florens, Julio et Augusto fructif. (ipse); Yokoska (Sa- vatier!), montibus altis Hakone, Octobri fructif. (ipse), florens (Tschonoski!). Arbor pedem crassa, 30 ped. alta. Inter nostrates facile cognoscenda foliis firmis res- pectu longitudinis angustis basi rotundatis v. rarius leviter subcordatis parallele et approximato - costatis costis utrinque 25 et ultra superne profunde impressis. Bracteae amenti d ovatae acutae firme chartaceae dense parallele longitudinaliter striatae, margine dense ciliatae apice glabriusculo v. brevissime ciliolato, 5 — 6 mm. longae, antheras ovales triplo superantes. Pili antherae illa breviores. Ligula bracteolarum sem- per libera. Var. foliis paulo latioribus basi saepe distincte ob- lique cordatis, ligula non semper a margine bracteae libera, saepius basi cum illa connexa. — Circa Yoko- hama (ipse, Majo, Junio fr. nond. mat.) Blume hujus varietatis mentionem fecit, bracteolas C. japonicae variare cum ligula adnata v. libera folia- que occurrere oblique cordata affirmans. Anne potius hybrida censenda inter C. japonicam et C. cordatam? 2. C. cordata Bl. 1. c. 309. Reg]. Fl. Usur. n. 433. Dislegocarpus cordata D C. 1. c. Yezo australi: vallibus et faucibus sylvosis circa Mohidzi frequens, fine Maji florens c. foliis juvenilibus, medio Octobri fructif.; Nippon: in sylvis vulcani Fudzi-yama, init. Novembris frf.; Mandshuria australi- orientali: sylvis frondosis circa Wladiwostok (unde primus spec. 1 frf. attulit Selski), Deans Dundas et Port Bruce, Septembri frf. (ipse). Ex Selskio apud Regel 1. c. e-fructibus oleum edule exprimitur ab incolis Sinensibus. Arbor pedem usque crassa, 30 pedes alta, late fron- dens, trunco in sylvis lucidis brevi, in densioribus altius denudato. Gemmae terminales et majores late- rales ovales v. lanceolatae attenuato-acutae perulis paucis usque ad medium exsertis. Bracteae amenti d ovatae acutae naviculares membranaceae parallele non dense rugosae, margine apiceque longe laciniatopilo- sae, 3—4 mm. longae, stamina triplo A Pili fulvi anthera oblonga longiores. 3. C. erosa Bl. 1. c. 308. Miq. in Ann. Mus, L. Bat. I, 120. D.? erosa DC. 1. c. Japonia (Blume). Specimen 1., quod hoc sub nomine in herb. Lugd. Bat. servatur, ad C. cordatam pertinere adnotavi. Mi- quel vero l. c. a C. japonica non satis distinetam ha- bet. et tantum partibus glabrioribus diversam esse con- tendit, contradicente descriptione Blumeana, ex qua sequenti affinior, sed glabritie, foliis ovatooblongis 15 —20-costatis erososerrulatis diversa videtur. 4. C. Tschonoskii. Ramulis novellis petiolis foliis stro- bilisque secus costas molliter pilosis, foliis e basi ro- tundata ovatis ovatoellipticis v. ovatooblongis cuspida- ` = tis inaequaliter valideque subduplicato-mucronatoser- ratis pellucidis utrinque parallele 12 — 15-costatis costis superne non impressis; strobilis fructiferis cy- lindricis laxiusculis, bracteolis oblique ovatis acutis serrulatis v. latere rectiore subintegris basi hinc auri- culatoinflexa fructum laevem foventibus. Nippon: Hakone (flor.), Fudzi-yama (frf.) — Tscho- noski, 1864. Pro C. erosa Bl. habui, folia ex descriptione longe aliena. Proxima C. fagineae Sol. (Khasia, Griffith!, 4489), quae praesertim fo- liis sincerius ovatis apice attenuatis et longe cuspida- tis, inaequaliter (nec duplicato-) serratis differt, sed ex strobilis immaturis ante oculos bracteolas similes habere videtur. Folia 3 : 17/, poll., petiolus 5 lin. et usque ad 4'/,:2 poll., petioli 6 lin. occurrunt. Bracteae ament d late ovatae acutiusculae chartaceae subplanae parallele costatae, apice glabro excepto breviter ciliatae, 3:3 mm. magnae, antheras plus duplo superantes. Antherae apice _ pilis antherá brevioribus instructae. Strobili fructiferi — 2!/, — 3 pollicares, fructu 3 mm. longo. — Specc. flo- — rentia huc, neque ad C. laxifloram duxi, ob foliorum ` post humectationem explicatorum formam et rhachin amenti 9 florentis pubescentem, quae in C. laxiflora subglabra. 534 cujus strobilos habet, 560 Y `. glabratis laevibus, superne minute prominulo-reticu- 535 Bulletin de l'Académie Impériale 536 5. C. yedoënsis. Ramulis hornotinis foliisque ad venas | Ditione fl. Pekinensis (Kirilow! 1831. mis. Turez. molliter pilosis, foliis ovato-v. lanceolato-ellipticis basi | flor. $ c. fol. juvenil.): in montibus ab urbe versus rotundatis v. subcuneatis apice acuminatis inaequaliter | occidentem, Augusto 1865 fr. immat. (Dr. Williams! mucronato-serratis parallele sub-12-costatis firmis; | mis. Hance). gemmis terminalibus majoribusque axillaribus ovalibus Affinis C. duinensi Scop. diversae foliis plus quam perulis arcte imbricatis parallele striatis tantum apice | 12-costatis, bracteis 2 tenuibus striatis longioribus _deltoideo non obtectis; strobilis fructiferis laxis, brac- | quam latis, bracteolis fructiferis amplioribus hinc sub- teolis valde venosis semiovatis margine convexiore | integris, fructu laevi aliisque signis. incisoserrato basi parum involuto, altero recto subin- EE fide collectoris 10-pedalis. Folia omnium tegro basi auricula ovata parva inflexa fructum laevem | nostrarum minora, 23:15 ad 40:23 mm. magna, pe- subamplectente. C. laxiflora Franch. Savat. Enum. I, | tiolis 3—7 mm. longis. Bracteae d 2,5 mm. latae, 451. quoad pl. Savatieri. 1,5 mm. longae, bracteolae fructiferae 10 ad 12 mm. Nippon: in hortis yedoénsibus culta (ipse, Novem- | longae, 6—7 mm. latae. mn dg pont 7. C. laxiflora Bl. 1. c. 1, 309. Ramulis hornotinis inu side, file Tanaka ex Franchet. petiolisque demum glabratis, foliis ad venas sericeo- Similior C. vimineae Wall! n. 2800 (e Kanaor, | pilosis tum subglabris e basi rotundata v. subcordata India bor. occid., Royle!, Khasia, Griffith! 4488) | ovatis v. ovatoelliptieis subito caudatoacuminatis mu- quam C. laxiflora, quae cum illa comparabatur, sed | cronato-duplicato-serratis parallele sub-12-costatis in pl. indica folia longe caudato-acuminata gemmaeque pellucidis; gemmis terminalibus majoribusque axillari- sericeae. À C. laxiflora forma bracteolarum fructiferà- | pus ovalibus attenuatoacutis pauciperulatis perulis ad rum optime differt. medium exsertis; strobilis fructiferis laxis, bracteolis Adsunt formae duae: foliis latioribus brevius acu- | patulis dense venosis trilobis lobo medio oblique lan- minatis, illa C. laziflorae referentibus, sed firmis | ceolato margine convexiore grandiserrato altero recto (2/,—3 poll. longis, 1—2 poll. latis, petiolis 5—8 lin. | subintegro v. parce et parviserrato, lobis basalibus longis) — spec. 1 meum et planta Savatieri, et foliis | serratis utribusque subaequilongis inflexis fructum lae- angustioribus longius subeaudatoacuminatis (2— 3 poll. | yem tegentibus. D. laxiflora Sieb. Zuce. 1. c. n. 799. longis, 7 lin. ad 1 poll. latis) — spec. alterum a me DC 1. e allatum. Strobili bracteolae in utraque forma identi- Japonia (Blume!): Yezo australi: silvis montanis cae, 9 lin. ad 1 poll. longae, 3—4 lin, latae. Lenti- | circa Oiwagi, Octobri frf. (ipse); Nippon: prov. Nambu, cellae ramulorum quam in C. laxiflora obscuriores v. | incolis soro-no- -ki, fructif., Hakone, flor. et 9 defi. indistinctae. (Tschonoski!), ad pedem F ndzi-yamıa, init. Novembris fructif. (ipse, Tschonoski). C. caroliniana Wait. et C. Betulus L. huie similes strobilis bracteolisque majoribus hisce integrioribus primo adspectu differunt. Ramuli dense lenticellis parvis albidis conspersi. Folia 2 v. 3 poll. longa, 1 ad 1°, poll. lata, petioli 4—6 lin. Bracteolae frf. 7 ad 8 lin. longae, 4 ad 6 lin. la- tae. Nuculae griseae 3 mm. longae. 6. C. Turczaninowii Hance in Journ. Linn. soc. X, 203. Ramulis hornotinis petiolis pedunculisque pilosis, foliis parvis chartaceis subtus ad costas pilosis tum latis, utrinque 10—12-costatis, ovatis basi subcorda- otis v. subcuneatis breviter acuminatis acutisve inaequa- liter serratis serraturis obtuse mucronulatis; amenti d brevis bracteis latius quam longe deltoideis acutiuscu- lis firmis margine parce ciliolatis, antheris ovalibus apice pilosis; strobili fructiferi laxi breve cylindrici bracteolis patulis valde venosis oblique ovatis obtusis | O0. Davidiana Dne in Bull. soc. bot. Fr. XX, 155. inaequaliter et obtusiuscule grandiserratis basi hinc | Hance in Journ. of bot. RHG 137. fructum granulosoopacum subamplectentibus. C. spec. China boreali, ditione fl. 0 1 in m. alto Po- Turez. pl. exs. in Maxim. Ind. Pekin. 477. hua-shan (Dr. Bretschneides frf., 1877, sinice: hu- Ostryopsis Dne. 537 des Sciences de 5aint-Pétersbourg. 53% tschen-lin); prov. Kansu, latere dextro vallis fl. Hoan- gho, non procul a Lan-tscheu (Piasezki, steril.); Mongolia australi (Przewalski, 1871, 1872, 1873) montium latera fruticeto intricato 2 — 5-pedali sola v. consortio Ulmi campestris vestiens, in jugis Suma- hada et Muni-ula vulgatissima, in Alashan frequens. Ostrya 5 cop. O; virginica W. Sp. pl. IV, 469. DC. Proir. 1. :. 125. Torr. FLN: York; t. 102. Yezo australis: in sylvis frondosis circa lacum Ko- noma, nec non prope Oiwagi, sat frequens, Octobri fr. mat. (ipse); Nippon boreali, prov. Nambu (flor., cum rhachibus 9 vetustis, Tschonoski). In America bo- reali a Nova Brunswigia ad Mexicum. — Japonice: assandá. Arbor circiter 20 — 30-pedalis, trunco sat humili, 4— 9 poll. crasso, coma lata. Cortex fuscus cum len- ticellis illi Pruni Maximowiczi similis. Omnibus punctis pl. americanae similis, praeter ramulos crassiores et breviores, fructiferos fere sem- per simul amenta & apice ramulorum brevissimorum lateralium 3—4-nà gerentes, quae in exemplis fructif. americanis fere semper desunt, in floriferis vero amenta d singula usque terna adsunt absque 9, sed hoc for- tasse ob specc. male selecta. Corylus Tourn. 1. ©. heterophylla Fisch. DC. Prodr. XVI. 2. 130. excl. var. y. Trautv. Imag. 10, t. 4. Turcz. Fl. Baic. Dah. II, 134. Maxim. Fl. Amur. 241. Regl, Fl. Us- sur, n. 431. C. Avellana Thunb. Fl. Jap. 160. C. Avell. 8. dahurica Ledeb. Fl. Ross. III, 588. C. Avell. B. Thunbergi Bl. 1. c. 810. Dahuria: ad ripam dextram fl. Argun (Sosnin, Ku- libin, Turez.); Mandshuria: secus fl. Amur usque ad et ultra ostium fl. Usuri, ad fl. Usuri, Sungari et Sui- fun, fruticeta densa format in pratis siccis elatis syl- visque frondosis lucidis, prope Albasin in betuletis cum Larice et Pino sylvestri frequens, ad Chabarowkam in consortio sequentis, medio Aprilis florens, Augusto fructifera, non deest etiam in regione litorali, v. gr. Wladiwostok ubi vulgaris (ipse); in China boreali (Skatschkow!): montibus altis ditionis Pekinensis Pohua-shan (Dr. Bretschneider!, sinice ping tschen i. e, Corylus obtusa, nucibus Pekinum pro esca ad- vectis) et Siao-wu-tai shan, inter 3600 et 5000 ped. s, m. (Möllendorff!); prov. Kansu, latere dextro vallis fl. Hoangho non procul a Lan-tscheu (Piasezki, ster.); Japonia: Hakodate (Albrecht), Nambu (Tscho- noski), Yokohama et Nagasaki culta (ipse, Oldham n, 746 steril.), e Nippon media sine loci indic. (Tscho- noski). Plantam japonicam interdum paulo minus et pl. chinensem saepe magis pilosam, a mandshurica ubi uterque status occurrit varietate distinguere nequeo; nescio etiam, an in Japonia revera spontanea crescat, etsi hoc satis verisimile sit. 2. C. rostrata Ait. h. Kew. III, 364. DC. l. c. 133. Typica: foliis e basi cordata ovatis v. ovalibus acu- ` tis v. saepius acuminatis inaequaliter dentatis a medio praeterea saepe incisoserratis; bracteis setosohispidis fruetiferis parte tubulosa nucem subduplo v. magis superante nuce 2 — 3-10 angustiore apice profunde incisa. In America boreali: a Nova Brunswigia! per Wis- consin! et Saskatchawan usque ad Oregon! et territ. Washington, et a Nova Anglia! secus jugumAlleghany! per Georgiam! et Carolinam! 8. Sieboldiana B1. 1. e. 310 (sp. pr.) Foliis e basi rotundata subcordata v. subcuneata ellipticis ovalibus v. rarius ovatis cuspidato-acuminatis mucronato dupli- catoserratis et a medio incisis; bracteis setosohispi- dis parte tubulosa subconica nucem duplo v. ultra su- ` perantibus et illa 2 v. 3-lo angustioribus apice brevi- ter incisis. C. heterophylla y. D C.1. c. 130. C. rostrata Maxim. Rhamn. 10, adnot. Fr. Sav. Enum. I, 452. Japonia (Siebold!): Nippon, montibus Hakone (Tschonoski! fl. et fructif.), silvis vetustis ad pe- dem Fudzi-yama, cum var. €. et û. vel C. heterophylla? fide ineolarum, Novembri frf. (ipse), in alpe Nikko (Siebold! in hb. Lugd. Bat.) De Candolle 1. c. C. Sieboldianam ad C. hetero- phyllam referens, spec. sterile habebat et diagnosin Blumei non legebati— Umbilicus nucis parvulus. y. californica DC. 1. e. 133. Foliis e basi cordata rotundatis inaequaliter dentatis et a medio insuper incisis, bracteis setosohispidis parte tubulosa nucem subaequante v. parum longiore, umbilico nucis impresso latitudine ipsius nucis parumque convexo. Bot. Calif. lI, 100. 539 Bulletin de l'Académie Impériale 540 ` California (Hartweg! n. 1960): Nevada city (Ti- ling!), et usque ad Oregon (ex bot. Calif.) Vidi specc. fructif. sat numerosa. à. mandshurica Regl. in Bull. phys. math. Acad. Pétersb. XV, 221. et Fl. Ussur. n. 432. Foliis e basi cordata rotundatis rarius passim ellipticis v. infimis minoribus ovatis, a basi incisoserratis et antice pluri- lobis lobis acuminatis v. lateralibus acutis, fructibus var. typicae, sed usque ad 6 in amento; umbilico nuce angustiore, Hance in Journ. linn. soc. XIII, 87. C. man- dshurica Maxim. Fl. Amur. 241, 477. F. Schmidt, Fl. Amg. Bur. n. 323. In Mandshuria orientali montana sylvatica sylvis frondosis acerosisque vulgaris, a montibus Bureicis ad ostium Amur et a fl. Kerbi et Njuman secus Amur et Usuri fl. eorumque affluentes usque ad fines Koreae, ubi circa portus Bruce et Possjet fruticeta densa format, in meridionalibus cum specie. praecedente consociata, sed vulgo mere sylvestris (ipse, alii); in montibus altio- ribus ditionis Pekinensis (Dr. Tatarinow) v. c. in monte Conolly prope cacumen non frequens, in m. Po- hua-shan, sinice tsien-tschen i. e. Corylus rostrata (Dr. Bretschneider); Japonia: circa Hakodate, culta et fortasse spontanea (ipse). Specc. e Hakodate solito magis microphylla minus- que lobata et incisa, illis var. californicae subsimilia, ` sed folia cuspidata. e. mitis: foliis var. B., fructibus minoribus bracteis fulvotomentellis, setis parcis v. evanescentibus, parte tubulosa nuce 1'/-longiore 4-lo angustiore cylindrica apice tantum lobata; umbilico dimidiam nucem alto valde convexo. =~. Nippon: ad pedem vulcani Fudzi-yama cum var. p. - legit Tschonoski 1864. Var. paradoxa, fere species. Fructus siugulus x .30—40 mm. longus, pars basalis 13—15 mm. longa, 10 mm. lata, pars tubulosa 15—23 mm. longa, 2—3 mm. lata. Eaedem partes in var, Sieboldiana ibidem crescente: 30— 50 mm., basis 12 — 15 mm. longa et lata, tubus 15 — 30 mm. longus, basi 4 — 7 mm. latus apicem versus sensim attenuatus 2 — 4 mm. la- tus, igitur conicus et profundius laciniatus. Omnes hae varietates multo melius distinguendae quam v. gr. C. tubulosa W. et C. americana Walt., quae tantum bracteis d in priore acutis in posteriore longiuseule mucronatis differunt. Populus Przewalskii. (Sect. Zacamahaca Spach.) Gem- mis conicis lucidis glabris, ramis gracilibus teretibus ochroleucis; foliis pallidis superne pl. m. papilloso- puberulis petiolo tereti gracili 2 v. 3-lo longioribus parvis ellipticis utrinque acutis v. apice breviacumi- natis glandulosocrenulatis ` amentis sessilibus, & bracteis transverse ovalibus laciniatis, staminibus circa 155 cap- sulis parvis subsessilibus ovoideis obtusis pubescenti- pilosis maturis glabratis, stigmatibus 3. Regione Tanguí: ad Hoangho superiorem ejusque affluentes nec non ad lacum Kuku-nor (Przewalski, 1872, 1880); Mongolia australi intra prov. Kansu, inter fl. Hoangho et murum magnum, in Liang-tschou et Shan-dan-siang viis publicis, in arenosis Han-tschou, fine Julii et init. Augusti 1875. ster. et fructif. EA sezki). Foliis capsulisque parvulis ab kh hujus sec- tionis differt. P. balsamifera praeterea distincta capsu- lis distinctissime pedunculatis, P. laurifolia ramulis acutangulis, P. suaveolens folio fructuque duplo saltem majore, omnes tres capsulis glabris. Arbor 60 — 80-pedalis, 3 — 6-pedes erassa vel in arenosis ad Kuku - nor arbuscula 10 — 12 - pedalis, — 5-poll. crassa vel frutex. Cortex griseo-brunnes- cens rimosus. Folia 1'/, — 2-poll. longa, pollicem cir- citer lata, petiolo ',—1 pollicari. Amenta d 1, — 2 poll., © fructifera ultra 3 poll. Capsulae 2—3-valves, bilineales. : Ficus L. Species Ficuum in China et Japonia (partibus magis borealibus exclusis) sat numerosae melius ex mero ha- bitu cognoscuntur, quam ex floris v. fructus characte- ribus, quibus Miquel olim genera propria superstruxe- rat postea ab ipso reconjuncta. Quum habitus valde di- versus inter Ficus occurrat, melius videtur species di- stribuere primo loco ex habitu et tantum secundo loco ex signis floralibus, quae in stirpibus omnibus punctis simillimis diversissima esse possunt. Non possum igitur, quin characteres florales eosque non semper satis ab- solutos potius ad species dignoscendas quam ad genera condenda aptos judicem. Duplex clavis quae sequitur, prima habitu anteposito, secunda flore, opinionem meam melius illustrabit. 541 des Sciences de Saint - Pétersbourg. t2 ده e e m Q0 قمر © pod -— H bd ba — D 17. " Folia. FAR e , Costae Clavis dichotoma ex habitu: Arbores v. frutices erecti foliis juventute à serioribus non diver- sis. 2 Frutices scandentes radicantes, foliis coriaceis pl. juvenilis ab xs 5 adultae forma vel saltem magnitudine distinctissi- s Fol membranacea hieme decidua. 3 ar e coriacea v. membranacea perennantia. 5, : Folia cities lin Kë EE . F. Sieboldi Miq. Gla ASE Cu TELE RES T te . F. erecta Thunb. PUUONABS iio vai eri e RC Er E LN + F. Beecheyana H.A. . Receptacula in ramulis latar ee brevissi- mis fasciculata. 6. Receptacula solitaria v. gemina axillaria. 8. diy hispidoscaberrima , ne his- ee .. F. hispida L. f. » laevia, cs ula abra Folia medio ap atiora Mis ae- qualiter breve iden DECEM Rp t F. Harlandi Bth. Folia basi latiora EL cordata apice acu- INA Ee tia v. hispida. Folia margine integro interdum sinuato. 10. : ii eee eedem MEDIAS. ات‎ Arta L. ormia glabra ampla. . F. Carica L. basi longe eR apice latiora sinuata subitoque linearicuspi- data, receptacula pisiformia pedunculata... F. formosana m. Folia chartacea v. coriacea integerrima, basi een v. breve attenuata. 11. terales foliorum cd se remotae E eeng vel nullis Costae approximatae v. Le auctae e e venulis costae paral- lele end folia 3 Dr RR globo er SEN stipitata, sub bracteis pedunculo nullo. 13. Receptacula SCH v. pyriformia, pl. m. pedunculata. 14. . Folia chartacea elliptica subito acute cuspi- data breve petiolata, receptacula ae F. insularis Miq. Folia coriacea oblonga subito obtuse c 1 breve petiolata, receptacula" وتسم‎ F. nervosa Heyne. "*525Ga*4«*»29992a58»2»9*92a.224*9429292528 i Folia. ampla elliptica utrinque vix v. | rege s ied E repa cerasiformia. 15. Folia blonga utrinque, apice subito res og ata. 19. Folia longepetiolata coriacea impunctata re- ticulo ultimo distincto, 16. Folia brevipetiolata herbacea punctata re- ticulo ultimo indistincto. . Petioli crassi, stipula “ac ie con- voluta lanceolata acuminata.............. F. laccifera Roxb. Petioli Se sti rg apice ramulorum: parvae canaliculatae plures vel gemma o dea perulis late ovatis apiculatis babricakie F. Wightiana Wall. Receptacula eg costata. 18. » stata 55 essoglobosa albo- tuberculata F. leucotoma Poir. CRC ctt ire . F., chlorocarpa Bth,‏ ل اي Folia geräte v. dentata lobataque pubescen-‏ . .9 -1 18. ma 9. 20. ho 8 D e جع [I‏ ce m ‚Pe dun culus poene aeg (pl. . Stigma 346; folia a deem pubescentia lo- . Receptacula in Een attenuata sessilia v. dunculata. 8. . F. Oldhami Hce. e Rami glabri, receptacula albotuberculata. . cu . septica Rumph. » hirsuti, recep Receptacula cerasiformia apice ibo Gë GE . F. variolosa Lindl. € vato, cuspis foliorum brevis . Receptaeula pyriformia apice rotundata. 20. za Folia m subtus totaque planta scabro- ES pubescentik., eewer e nr F. Abeli Miq. F Folia spe subito cuspidata totaque planta 7 (praeter ramos juveniles) glabra.......... F. pyriformis H. A. A panes nulli, folia elliptica reticulo den- = sissi m Pedun ncu uli gracies, mar و‎ reticulo laxo utrinque valde Dus bd es. F. CM DM = . Folia dee de E neglecta Dne Sr obtuse rei v. non à cuspidata... F, retusa L. EOS . Folia elliptica vix v. breve et obtuse a ^ nuata, receptacula pl. m. pedunculata, ai. 00 Folia oblonga longe et acute geen re- | ceptacula globosa sessilia. ...,......, . F.nipponica Fr. Sav . Microphyllae receptaculo parvo. 25. Macrophyllae. 26. Folia pl. juvenilis Mire pedunculus cras- sus receptaculo subaequilongus........... F. Thunbergi m. olia pl. juvenilis integra, riede te- Ps nuis receptaculo duplo bre .... F. impressa Champ. . Rami tantum juventute ae, folia acuminata, receptacula Jee parva pe- dunculo lineali. Rami omnes villosi, folia non v. breve atte- nuata, re 2-pollicaria vulgo pyrifor- F. Wrightii Bth. ias F. Hanceana m. spont.) turbinatoglobosum Pedunculus neg pyriforme dimi- dium aequans . F, pumila Thunb. Ex characteribus floralibus. Perigonium 9 8 — 5-sepalum fructum sae- i 2 19, Res stigmataque tenuia unsre: So brevis GENEE stigma oblique truncatum v SR T serrata, receptacula E . F. Carica L. = Stigma J-crure, t v. 5 Senipérvitontes foliis : coriaceis. 4. ; Frutices radicantes seandentes, folia pl. ju- serinra coriacea sup tus eximie sibperforatoretieulata. 9. Arbores, rarius frut Costae foliorum Ge cum ie in- sub. 22. in clavi prima: F. n a et retusa) Costae paucae accessoriis subnullis v. pau- cis, areolae obsoletae v. distinctae. 7. breve pedu Receptacula Feen sessilia, petioli we 343 Bulletin de l'Académie Kmpériale 544 gati, lamina late elliptica subito obtuse acu- Naro D مرو دا‎ Era F. laccifera Roxb. : Receptacula in stipitem attenuata sessilia, folia nn utrinque, apice subito longe- que acu Zeen 'extipitata breve pedunculata, folia longe petiolata ellipticoovalia utrinque rotundata, apice subito brevissime cuspidata. P. Folia 3—4-pollicaria, pedunculi crassi bre- vissimi. Folia 1—2-pollicaria ovatoelliptica attenua- ta, ki ES pedunculo aequilonga cerasi- for je») . nervosa Heyne. Wightiana Wall. م F. Thunbergi m. Wrightii Bth. i Folia : aba. rociptaehl globosa parva. P. » obtusa, receptacula EEN y. tur- binato-globosa magna............... 11. Hirsuta, folia argute E acuteque jos bata, receptacula sessilia pisiform kainis e F. hirta L. Scabrae, pubescentes v. saepius ENT fo- lia non serrata. 12. . Folia noue decidua (conf, sub 3 in clavi prima: F. Sieboldi, erecta et Beecheya- . F. Hanceana m. na). Sempervirentes 13. . Frutices scandentes radicantes, folia juve- nilia difformia, seriora bis coriacea, sub- E e È nipponica Fr. Say. E inva obtuse attenua- ta, zen pedunen culata. 15. سام Si‏ BA F. impressa Champ. — 4-pollicaria elliptica, pedunculus crassus, receptacula pyriformia 5 GER coriacea. 17. herbacea v. membranacea ens non visse re receptacula pisiformi 3 Arai reticuli prominentes, folia obovata vix obtuse — PERS gracilis, recepta tacula cerasiform z Folia oblonga pee attenuata, reticulo non prominente, (Conf. sub 19. in clavi pri- - ma: F. variolosa, Abeli et pyriformis). A en intus bracteatum glabrum, foli . F. pumila Thbg. وام ومع CRE‏ p zl F. Championi Bth. 3 diaeolora subito cuspidata irregulariter sinuata, re- ceptacula pedunculata enr ns P. formosana m. Receptacula rane hispida, folis: herbacea elliptica utrinque (apice subito eur n 0 D ) . F, insularis Miq. is = te : arlandi et Receptacula axillaria, folia E (5 — poll.) chartacea punctata elliptica vix us nuata, reticulo He indistineto. (Conf. sub 17. in clavi prima: F. leucotoma, Oldhami et septica.) Frutices sandai radicantes igitur quam maxime inter se ex habitu congrui, nonnulli revera omnibus punctis fere identici, ex charactere floris et fructus in specierum receptaculis axillaribus singulis, costis fo- liorum lateralibus inter se remotis sive accessoriis. Et hoc tantum in nostris, in enumeratione vero omnium generis specierum exempla talia sane multo magis nu- merosa offenduntur. Praeterea etiam in structura stig- matum, fatente ipso Miquel, an sint truncata, obli- que dilatata v. subulata, variationes non paucae oc- currunt, ita ut interdum dubites, ad quam formam trahere debeas. In receptaculo fructifero quid sint bracteae quid perigonia, si haec sessilia et caryopsis jam facile delabitur, saepe difficile extricandum. . In aliis flores masculos frustra quaeres. Quas ob causas habitum prae structura florali ponendum censeo in ge- nere, ubi flores minimi et absconditi frequenter male neque semper eodem modo evolvuntur. Frutices v. arbores erecta. a. foliis hieme caducis. . Sieboldi Miq. Prol. 131. Frutex late ramo- sus erectus (rarius arbuscula) ad pedunculos bracteas petiolos latere superiore et rarius folia subtus ad ner- vos parce pilosus, tum saepius glabratus; foliis modice petiolatis membranaceis subtus minute punctatis lae- vibus, e basi leviter cordata linearioblongis acumina- tis, integris vel leviter undulato- v. rarissime passim profunde inaequaliter sinuatis; receptaculis axillaribus solitariis pedunculum aequantibus v. brevioribus, ma- turantibus ramulo nudo insidentibus, depressoglobosis v. supra bracteas 3 basales majusculas stipitato-sub- pyriformibus, mollibus cerasiformibus; floribus 4-(3, 5- -) sepalis brevipedicellatis 2 3-andris; caryopsi stipitata subglobosa, stylo brevi. ape stigmate 3-lobu- lato cavo. Kiusiu: circa Nagasaki non rara, Junio fructifera (Oldham! n. 784, 785 p. p., 788, Spot. Ut sequens, pro cujus varietate angustifolia liabere mallem, statu sicco folia leviter colore indigotico suf- fusa habet. In flore ? rudimentum ovarii non inveni, sed fortasse quia statu sicco examinavi, nec in vivo ac in sequente. 2. F. erecta Thunb. Ficus, 9, 15. Arbor parce lateque ramosa vel frutex ramosissimus erectus, ad ra- mos novellos stipulas petiolos passimque costam v. ra- rius subtus ad laminam foliorum parce pilosa tum vulgo glabrata; foliis deciduis membranaceis modice divisiones diversas coguntur. Idem obtinet in serie, petiolatis subtus minute punctatis late ellipticis basi 545 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 546 attenuata rotundatis v. subcordatis apice subito acute acuminatis reticulo non elevato; receptaculis atque floribus praecedentis, d cum rudimento ovarii. Thunb. in Act. soc. Linn. II, 327 et Icon. ined. (fig. et deser. malae), Banks, Ic. Kaempf. t 4. Sieb, Syn. pl. oecon. n. 173. Fr.! Savat. En. pl. jap. I, 435, II, 490. Itabu, Kaempf. Amoen. exot. 803, ex deser. F. pu- mila B, Thunb. Fl. jap. 33. F. pyrifolia Burm. Fl. Ind. 226. Miq.! Prol. 131. 7. japonica Bl. Bijdr. 440. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 778. Japonia (Siebold! mis. Blume s. n. F. erectae): Nippon, cirea Yokohama (Oldham! n. 233. fr. im- mat.) arbor ad 20-pedalis frequens, Majo et Junio fruc- tif., vulgo 7tabu-no-ki (ipse), Yokoska (Savatier! n. 1105), Simoda (Yolkin! fructif.); Kiusiu, circa Nagasaki (Oldh.! n. 719, 787 et sine X frf.) fre- quens, arborea v. fruticosa 4—8-pedalis, Augusto frf. et tota hieme aphylla cum fructibus (ipse); Usima (Wright! fr. immat. s. n. F. Beecheyanae); archipel. Koreano (Oldh.! n. 789. frf) et Korea ipsa, ad por- tum Chusan (Wilford! frf.); China australi: Wham- poa prope Cantonem (Hance! n. 1453). In horto Pe- tropolitano tempore Fischeri culta s. n. F. javanicae (flor.) Fide Siebold l. c. lignum s. n. Koitsisik usitatum, receptacula dulcedula edulia, sed equidem nunquam pro esca collecta et semper in planta ipsa intacta vidi. Species ipsi F. pumila confusa, postea receptaculo peduneulato et foliis tenuioribus recte sejuneta, sed perperam caule repente (in fl. Jap.) v. debili parum decumbente (in diss, de Ficu) vel decumbente ramis -erectis (in Actis) descripta. Collegit F. erectam, in memoria retinuit vero F. nipponicam absque dubio visam, sed non carp- tam: cur enim, nisi hanc intellexisset, in fl. Jap. stir- pes omnibus punctis toto coelo diversas pro varietati- bus ejusdem speciei tractaverit? Receptaculum vulgo globosum ludit tamen in eodem ramo basi attenuata supra bracteas basales FOU subpyriforme. 3. F. Beecheyana Hook. Arn. Bot. Beech. 271. Benth. Fl. Hongk. 329. Miq. Ann. mus. Lugd. bat. III, 294, n. 299. Archipelago Lu-tschu (file Bentham, an potius praecedens?); Formosa (Oldh.! n. 534, 539); China Tome XXVII. Zhunbergio obscura, primum cum | australiore: Ningpo (Swinhoe! mis. Hance), Hong- kong (fide Bentham). Praecedenti quidem similis, sed statim nota stipulis, ramis novellis, foliis utrinque scabris atque recepta- culo dense pilosis hirtisve. Receptacula matura distincte majora quam in praecedente esse debent, nam valde juvenilia quae vidi (flosculis © adhuc clausis, ceterum quoad structuram identicis) praecedentis majoribus jam aeque magna sunt, 25 mm. longa, 20 mm. lata. b. Folia perennantia. 4. F. hispida L. f. Suppl. 442. Benth. Fl, Hongk. 329. Miq. l. c. 296. F. oppositifolia Roxb. Corom. t. 124. Wight, Icon. t. 638. Covellia oppositifolia et C. hispida Miq. in Lond. journ. of bot. VII, 461, 462. In China australi, v. c. Hongkong, fide Bentham, in Zndia! et archipel. Malayano. 5. F. Harlandi Benth. 1. e. 330. Miq. l. prius cit. 296. In China australi: Hongkong (Wr ight?), montibus Pakwan supra Cantonem (Sampson! mis. Hance). Ex auctore affinis F. congestae Roxb. ex India bo- reali. 6. F. chlorocarpa Benth. 1. c. Miq. l. c. 296. Hongkong, fide Bentham, montib. Pakwan supra Canton (Sampson! mis. Hance). ` 7. F. hirta Vahl, Enum. II, 201. Benth. 1. c. 329. Miq. in Lond. journ. of bot. VII, 456. In China australi: Hongkong (Wright?) Macao et prope Canton (Hance!); Java! aliisque insulis Ma- layanis, ex Bentham. * F. Carica L. Cod. 7716. Thunb. Fl. Jap. 32. Miq. Prol. 131. Franch. Savat. I, 436. F. hirta Siebold, Syn. pl. oecon. n. 175. F. hirta et F. Carica, Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 780, 781. Colitur per Chinam (teste Bretschneider in Journ. N. China branch Asiat. soc. 1881, 8.) v. c. Pekino (Skatschkow! c. recept.) et Japoniam, v. c. Yoko- hama (ipse), Yokoska (Savatier), Nagasaki (Thun- berg) — Japonice, ex Thunberg: {00 kaki, a Lusi- tanis olim introducta, ex Siebold: itsisik, e China orta, Fructus satis insipidi in Japonia Wee 8. F. formosana. Arbor (?) ad ramulos petiolosque : 35 ; 547 Bulletin de l'Académie Impériale novellos parce pilosa cito glabrata, ramis tenuibus lae- vibus lutescentibus; foliis membranaceis laevibus sub- tus griseopallidis brevipetiolatis oblongolanceolatis basi longe attenuatis apice saepe latiore subito in cuspidem linearem obtusam acuminatis et infra apicem inaequa- liter hine v. utrinque sinuatim 1 — 2-dentatis, utrin- que tenuiter subsexcostatis costis reticuloque laxo parco subtus distinctis; receptaculis axillaribus solita- riis pisiformibus brevissime tenuiterque pedunculatis basi minute 3-bracteatis passim substipitatis v. utrin- que breve attenuatis mollibus; floribus bracteatis, d pe- dicellatis 2—4-sepalis 2-andris, 9 pedicellatis et ses- silibus 4-sepalis, stylo brevi infraapicali stigmate ob- lique truncato, caryopsi globosa subsessili. Formosa, prope Tamsuy (Oldham! n. 551. forma sinuata, n. 544. forma subintegra). Ad sect. Sycidii, c. rostratas, Miq. in Ann. Mus. Lugd. Bat. IIT, 292. pertinet. A F. caudata Wall., F. clavata Wall., F. cuspidata Reinw. et F. rostrata Lam., quibuscum ramulis gracilibus, foliorum forma et magnitudine receptaculoque parvo congruit, foliis membranaceis laxe reticulatis discrepat, a F. sikki- mensi Miq., ubi folia etiam membranacea, lamina dis- colore haud punctata longius cuspidata sinuatodentata atque receptaculis glabris duplo majoribus distat. Petioli 10—18 mm., lamina 70:25 ad 110: 40 v. 105: 25 mm. magna. Stipulae glabrae fuscae, e latiore basi oblongae acuminatae, cito cadentes, cicatricem circularem ad petioli basin relinquentes, 8 mm. lon- gae. Pedunculus 2 — 3 mm. Receptaculum 8 mm. v. cum stipite 10 mm. longum, 6 mm. latum, ob ca- ryopses maturantes parieti tenui sese imprimentes ` extus granulosum. Bracteolae sepalaque firmula fusca, antherae quadratae mucronulatae filamentum latum brevissimum multo superantes. Embryo non visus. 9. F. insularis Miq. in Lond. journ. of bot. VIT, 435. Frutex (?) glaber ramis tortuosis crebre ramulo- sis, foliis brevipetiolatis modicis chartaceo-herbaceis utrinque 8 — 10-costatis indistincte reticulatis ellipticis v. oblongis basi suboblique cuneatis apice subito acute cuspidatis; receptaculis subsessilibus basi 3-bracteatis pl. m. stipitatis pisiformibus intus hispidis; floribus 4...., 9 sessilibus 4-sepalis, earyopsi globosa v. ovali stylo breviore crassiusculo infraapicali, stigmate dila- tato lobulato v. integro. In archipel. Zu-tschu (herb. Hooker, ex Miquel); Formosa (Oldham! n. 541, 545, 547, 552), in Phi- lippinis (Cuming! n. 1943). Authenticam eandemque tantum quam affinem de- signatam vidi solam Cumingianam, quae tamen foliis receptaculisque (admodum variantibus) et receptaculo inter flores structura simillimos hispido cum pl. formo- sana congruit. F. insularis, saltem qualis a me intel- igitur, F. erectam Thunb. quodammodo in mentem vocat et folia passim (Oldh. n. 552) exsiccatione pa- riter indigotica fiunt. ne 10. F. nervosa Heyne apud Roth, nov. pl. sp. 388. Benth, Le 327. Miq. in Ann. mus. Lugd. Bat. III, 286. Urostigma nervosum Miq. in Lond. journ. of bot. VI, 585. F. angustifolia Roxb., Wight, Icon. t. 660. China australis: Hongkong (Wright!, Hance!); arbor vasta, coma lata. Himalaya (fide Bentham). 11. F. Wightiana Wall. Cat. 4540. Arbor glabra sempervirens foliis longe petiolatis chartaceis laevibus obsolete reticulatis ovalibus basi rotundatis v. subat- tenuatis apice subito in acumen breve obtusum con- tractis; stipulis ovatis cuspidatis dorso tomentellis; receptaculo initio axillari tum in ligno vetusto aphyllo maturante brevissime crasseque pedunculato globoso cerasiformi v. minore molli; floribus d 1-andris et © subsessilibus 4-sepalis; caryopsi subsessili v. longe stipitata rotundato-ovali, stylo filiformi acuminato ca- ryopsin longitudine duplo superante. Miq. in Lond. journ. of bot. VI, 566. Ann, mus. Lugd. Bat. III, 286. Benth. l. e. 327. F. superba Miq. (sub Urostig- mate) in pl. Jungh. I, 46. Fl. Ned. Ind. I, 2, 334, Prol. fl. Jap. 132. (var. japonica Miq., habitu robus- tiore tantum a pl. javanica distincta dicta). P. pyrifo- lia Sieb. Zucc. l. c. n. 779., nec Burm. Kiusiu: Nagasaki, in littore sinus Simabarae, fine Julii frf. (ipse), Kowara (Siebold!); Formosa (01d- ham! n. 538), Hongkong (Wright!), Decan (ex Ben- tham); Ceylon! Miquel F. superbam receptaculis in axillis foliorum delapsorum ligni vetusti fasciculatis diversam credit a F. Wightiana Wall., ubi receptacula ex axillis fo- liorum hornotinorum provenire dicuntur. Tum ad F. superbam certe pertinent pl. chinensis et formosana, sed in pl. indica ubi praeter receptacula axillaria oc- SAS 549 des Sciences de Saint- Pétersbourg. currunt etiam talia in ligno vetusto, omnes partes tam similes et receptacula pariter gemina v. singula, ut sejungere nequeam. Arbores a me visae 30-pedales, '/, pedem crassae, coma densa et lata. Folia majora petiolo ultra 60 mm., lamina 120:65 mm. magna. Receptacula virentialba, ostium versus purpurascentia, tota maculis lacteis sub- elevatis aspersa. 12. F. laccifera Roxb. Fl. Ind. HT, 545. Wt. Icon. t. 656. Urostigma lacciferum Miq. in Lond. journ. of bot. VI, 575. China australi: Canton, juxta templa (Hance! frf.); Himalaya: Silhet (Roxb.), Khasia (Hook. f. et Th.! frf.) Pl. sinica cum fig. cit. optime congrua, excepta ficu globosa, quae apud Wight globosoobovoidea, apud Roxburgh ovalis, sed in khasiana pariter globosa. 13. F. leucatoma Poir. Encycl. méth., suppl. II, 655. Arbuscula sempervirens late ramosa glabra, ra- mulis stipula caduca ad insertionem foliorum annulatis; foliis petiolatis chartaceis laevibus utrinque 5 — 8-co- statis indistincte reticulatis late ellipticis utrinque breve obtuse attenuatis v. apice rotundatis; receptaculis sub- sessilibus v. brevissime pedunculatis depresse globosis obtuse costatis alboverruculosis glabris; perigonio bre- vissimo dentato truncatove, fl. 4 1-andro, caryopsi pl. m. stipitata globosa, stylo infraapicali longiore cras- siusculo, stigmate vix dilatato concavo. Roem. Schult. Syst. I, 561. Miq. in Ann. mus. Lugd. Bat. III, 283, 296. F. venosa Willd. b. Berol. I, t. 36. F. leuco- sticta Spr. Syst. Covellia venosa Miq. in Lond. journ. VII, 468. : ad Simá Martens! frf.); Japonia maxime au- stralis: ins. Kakeah, medio Januario fructif. (Wright!); Java (Miquel). V. s. cult. fructif. s. n. F. venosae. Stipulae lineares acuminatae petiolum fere 2-lo su- perantes, ante folium bene expansum deciduae. Folia luteoviridia, subtus vix pallidiora. Petiolus 13 —28 mm. longus, lamina pl. japonicae a 85 : 65 usque 200:130 mm. magna. Pedunculus crassus 5 mm. longus, sub ipso receptaculo 3-braeteatus. Receptaculum diam. 2 em. v. majus. Nec Willdenow nec ipse flores d vi- dimus, ex Miquelio 1-seriatos. 14. F. Oldhami Hance in Ann, sc. nat. Advers. p. 43. Y. 5 ser. Formosa, prope Tamsuy (Oldham! n. 553). Ad Covelliam pertinet. 15. F. septicaRumph, Hb. Amboin. IIT, 153, t. 96. Miq. Ann. mus. Lugd. Bat. III, 284, 297. F. radiata Dne Timor, in Nouv. Aun. mus. III, 494. Covellia, Miq. Fl. Ned. Ind. I, 2, 328. Formosa, prope Tamsuy (Oldham! a. 1864 frf. sine Ji: Tino (Decaisne!), Celebes (de Vriese, fide Miquel). PI, formosana praeter receptacula pilosa nullo puncto a timorensi differt et omnibus partibus aequimagna est, ab icone Rumphii praesertim foliis magnis et recep- taculo striatocostat 0 distincta, 16. F. variolosa Lindl. Benth. in Lond. journ. of bot. I, 492. Fl. Hongk. 328. Miq. 1. c. III, 294. Hongkong (Hinds!, Wright!), montibus Pakwan supra Canton (Hance!); Bonin-Sima (Mertens! frf.) 17. F. pyriformis H. A. bot. Beech. 216. Benth. Fl. Hongk. 328. Miq. l.c. III, 294. F. Millettii Miq. in Lond. journ. VII, 438. Hongkong (Wright!, Hance!) et in China adjacen- te, ex Bentham. Var. angustifolia in Khasia! et Ben- galia orientali. xx 18. F. Abel Miq. in Ann. mus. Lugd. Bat. III, 281. F. pyriformis Miq. (nec H. A.) in Lond. journ. VII, 437. t. VI, fig. A. China (Abel) — non vidi. 19. F. Championi Benth. in Kew journ. of bot. VI, 76. Fl. Hongk. 328. Miq. in Ann. mus. Lugd. Bat. III, 295. y Hongkong (Wright!). Arbor vel frutex pallide griseoviridis, a simillima F. vasculosa Wall.! e Penang et Malacca distinguenda fronde non laeteviridi, foliis minoribus non oblongis. 20. F. neglecta Dne in Nouv. Ann. Mus. III, 494. Miq. 1. c. HI, 288. Urostigma neglectum Miq. Fl, Ned. Ind. I, 2, 347. China australis: ora occidentali ins. Hainan, ad Hoi-tow (Fogg! mis. Hance s. & 12781 absque: no- mine); Timor! Arbor 60 — 80 - pedalis trunco 14 pedes crasso, coma 120 pedum diametro, fide Fogg. Simillima F. Benjaminae L., nervis numerosioribus approximatis, receptaculis minoribus bracteisque deciduis diversae. 35* 551 Bulletin de l'Académie Impériale "2 i etos 7 21. F. rausa: L. Cod. 7724. Miq. 1. c. III, 267, 288. Urostigma retusum Miq. in Lond. An of bot. VI, 581. Ya nitida Miq. l. primo cit. Arbor glabra, foliis modice petiolatis coriaceis pallidis tenuiter parallele multicostatis laevibus ellipticis v. obovato-ellipticis basi breve cuneatis apice obtuse breveque attenuatis; re- ceptaculis solitariis v. geminis sessilibus pisiformibus basi 3-bracteatis (bracteis late ovatis obtusis majus- culis) apice non umbilicatis; floribus sessilibus, © 4-se- palis, caryopsi globosa, stylo infraapicali filiformi acu- minato. F, nitida Thunb. Fic. n. 14. Urostigma ni- `` didum Miq. l. postea cit. 582. ` Japonia: Yedo, culta, frutex ramosissimus, fine Ju- nii fr. mat. s. n. Kondzi-no-ki (ipse); Lutschu: Napa- Kiang, arbor alta (Dr. Weyrich! steril.); Siam et archipel. Sunda (Miquel); Ceylon!; Decan! variis locis. Folia arboris et fruticis nostratis ex Wem dee a petiolo 10 mm., lamina 45 : 25 mm., usque ad petiolum 13 mm., laminam 75:35 mm. magnam. Receptacula diam., ut fere semper, 6 mm., bracteis apicalibus ova- tis glabris. Sepala fructum non tegentia, fusca, firma, late ovalia. Fructus pl. japonicae a me visi stylo jam abrupto, flores $ autem in eodem receptaculo non fruc- tiferi stylo breviusculo stigmate truncato Plagiostig- matis instructi erant, quod in talibus floribus apud Urostigma occurrere ipse observavi, neque ab ipso Mi- quel negatur (in introd. ad monograph.) 2. Frutices scandentes radicantes, zs juventute micro- vel heterophylli. 22. F. nipponica Fr. Sav. Enum. pl. jap. I, 436, II, 491. Scandens juventute radicans, ramis novellis stipulis dorso petiolis. receptaculisque juvenilibus fus- copubescentibus, foliis coriaceis glabris persistentibus semper consimilibus petiolatis subtus pallidis densis- sime quasi perforato-elevato-reticulatis oblongis basi rotundatis apice subito candato-acuminatis; recepta- culis geminis v. singulis initio axillaribus maturis ra- mulo nudo insertis, brevissime pedunculatis pisiformi- bus v. majoribus bracteis apicis protrusis (nec aliter) umbilicatis basi 3-bracteatis; floribus brevissime pedi- cellatis 4-sepalis, 3 diandris; caryopsi brevissime sti- pitata globosa v. ovali, stylo infraapicali brevi, stigmate brevi obliquo. F., erecta Miq. Prol. 132., nec Thunb. Nippon: Yokoska, in rupibus (Savatier!), Kiusiu: Nagasaki (Oldham! n. 782, 783 frf.) in rupibus fre- quens, fine Octobris fructif., Simabara, similibus locis, medio Majo c. recept., forma macrophylla (ipse); For- mosa: Tamsuy (Oldham! n. 546, 550 frf.) A Miquel l. c. valde affinis dicitur F. pumilae et describitur receptaculo maturo pruni mole, qualem equidem, fruticem frequenter observans, nunquam in- veni. Receptacula jam omnino matura (pressione facile rupta) maxima quae vidi cerasum minorem non supe- rabant. «Forma Khasiana» Miq. Le (F. pubigera Wall., Pogonotrophe pubigera Miq. olim) nequaquam nostrae jungenda, habet enim receptacula intus dense longe parallele setosa (unde nomen generis Pogonotrophes) et. stylum elongatum subterminalem in flore longius pe- dicellato, foliaque etiam differunt, nam sunt concolora, tenuiora, subtus minus dense neque perforatoreticu- lata, basi subcuneata et secus costam subtus parce pilosa; pubes receptaculi non rigidula parallela, sed tenuior flexuosa et subintricata. Itaque F. pubigera Wall. non solum specie, sed ad mentem Miquelii olim etiam generice a F. nipponica diversa est. Adest tamen revera planta nostrae valde affinis, in Sikkim alt. 2-5000 a cl. Hooker collecta et sub nom. F. pubigerae distributa, quae structura florali totoque habitu cum F. nipponica convenit, sed pedun- culo longiore receptaculum interdum superante bene distinguitur. Hanc inter Ficus a Miquel in Ann. mus. Lugd. Bat. III enumeratas non invenio, 25. F. Thunbergii. Sundang radicans, ramulis stipu- lis petiolisque fulvosericeis; foliis coriaceis perennan- tibus subtus dense perforato - elevato-reticulatis, pl. juvenilis primum lobatodentatis tum integris oblique subcordato-ovatis brevissime petiolatis utrinque pilo- sis, pl. adultae vix duplo majoribus longius petiolatis subtus pubescentibus ellipticis v. ovatoellipticis, omni- bus apice attenuato v. acuminato obtusis v. obtusius- culis; pedunculis receptaculo depressogloboso cerasi- formi pilosiusculo bracteis apicis protrusis (nec aliter) umbilicato subbrevioribus; floribus d paucissimis breve pedicellatis 4-sepalis 2-andris, © longe pedicellatis 5-sepalis; caryopsi stipitata obovoidea, stylo infraapi- cali stigmateque subulato fructum supereminente. Thunb. Fl. Jap. 351, pl. obscurae n, 8, excl. syn. ETC = 553 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 554 Kaempf.; Thunb. Icon. ined. F. pumila fructu juniore, Miq.! Prol. 131. Ficus Inu stabu, sterilis, Kaempf. ke : Kiusiu: «variis locis prope Nagasaki lapidibus ad- haerens et late repens» (Thunberg! steril.), in rupi- bus scandens (Oldham! n.497, Miquel! cum F. pu- mila) fere ubique, etiam in muris vetustis, sed fere semper sterilis et juvenilis, inter Tomats et Kawara- ‚yama in Quercu alte scandens, init. Octobri flor. (ipse). Primo aspectu sequenti similis, sed major, at F. im- pressa ad Plagiostigma pertinet, receptacula mollia (neque. dura) et folia subtus obtectoperforata, sensius acuminata, minusque distincte petiolata habet. A F. pumila Thunb., quae Plagiostigma et a F. Hanceana m., quacum flore congruit (dimorphia d et 9 excepta) statim dignoscitur foliis distincte minoribus et angus- tioribus, receptaculi parvi forma, pedunculo longiore et graciliore, a posteriore praeterea receptaculo non turbinato et styli insertione. Individuum fertile a me visum trunco 2 poll. crasso ramosissimo gaudebat, ramis squarrosoflexuosis. 24. F. impressa Champ. in Kew journ. of bot. VI, 76. Benth. Fl. Hongk. 328. Miq. in Ann. mus. Lugd. Bat. III, 294. Hoóngkosg (Wright!, Hance!, Forbes!) Huc fortasse referenda pl. juvenilis sterilis, ab Old- ham in Formosa s. n. 535 lecta et sub nom. F. stipu- latae Thunb. var. distributa, ad ramos teretes radi- cantes petiolosque brevissimos pubescens, foliis maxi- mis 10:6,5 mm. magnis, opacis, subtus punctatis, re- ticulo laxo non prominente, costis utrinque 3—5, la- mina obovata basi rotundata, apice passim acutiuscula, stipulis fuscomembranaceis acuminatoovatis dorso mi- nute sericeis, deciduis. 95. F. Wrighti Benth. Fl. Hongk. 329. Miq. 1. c. Hi, 285. Hongkong. Nec a Miquel, nec a me visa. A Bentham similis dicitur F. foveolatae Wall. e subgenere Pogonotrophes, sed characteres florales Urostigmatis. À F. Thunbergi m., quacum receptaculo globoso parvo convenire videtur, foliis majusculis, à F. Hanceana m., cujus folia magna habet, foliis acu- minatis et receptaculo globoso diversa esse debet. 26. F. Hanceana m. Omnia F. pumilae Thunb., sed folia juvenilia subtus praeter costam parce setosam glabra, adulta apice obtuso haud attenuata, recepta- cula brevissime et crassissime pedunculata turbinato- . globosa in spontanea, pyriformia in culta, apice pro- tracto - umbonato basique attenuata, 2- polliearia in utraque, flores utriusque sexus brevipedicellati 4-se- ` pali, d 2-andri, caryopsis stipitata obovoidea stylo e medio latere tenui stigmateque filiformi elongato fructum superante. F. stipulata Hance in Seem. journ. of bot. IV, 54, nec Thunb. Masters? in Gard. chron. 1880, II, 716. frf., 560, 561 steril. (folia majora ni- mis acuta). China: Ningpo (Oldham! steril. 1861.), Macao, muros altos ascendens (Hance! frf.), Canton in muris (Seemann apud Hance l. c.), ? Kiukiang (Hemsley in Journ, of bot. XIV, 209, fortasse ad F. pumilam Th.) E viridariis nostris vidi sterilem cultam in h. Petrop. 1806, h. Herrenhus. fructif, 1809, h. Gryph. 1810 steril. et h. Berolin. fructif. 1830. In Anglia, fide Masters, raro, in Olyssipone, fide Gay ex eodem, frequenter fructificat, an tamen eadem, non satis mihi constat. Hance l. c.'pl. chinensem suam jam a F. pumila japonica, quam fructif. a Miquelio acceperat et si- millimam declarat, receptaculo turbinato-globoso ver- tice applanato et sericeo cum umbone protruso (neque ovoideo) distinguit. PI. juvenilis sterilis e Formosa (Oldham! n. 535.) s. n. F, stipulatae var. a F. Hancéana certe valde diversa foliis obovatis subtus elevatopunetatis neque reticulatis et supra a me cum dubio ad F. impressam Cham p. ducta est. 27. F. pumila L. Cod. 7725. (Sp. pl. ed. I. cum cit. Kaempf. Am. exot: t. 804. et In ista p. 887., excl. syn. Rumph. Scandens radicans ramis fructiferis pas- sim erectis, ramulis receptaculisque apice stipulis pe- tiolisque fulvosericeis; foliis coriaceis perennantibus subtus eximie densissimecue quasi perforato-reticula- tis pubescentibus, pl. juvenilis parvis brevissime pe- tiolatis oblique subcordato- ovatis obtusis, adultae lon- gius petiolatis multiplo majoribus ovalielliptieis apice obtuso brevissime attenuatis basi obsolete subcordatis triplinerviis et utrinque 3 -— 4-costatis; receptaculis crasse breviter petiolatis basi 3-bracteatis apice pro- tracto umbonatis pl. m: pyriformibus (rarissime sub- globosis) bipollicaribus; floribus d longe pedicellatis 555 Bulletin de l'Académie Impériale 556 4- (3-) sepalis 2-andris, ? breve pedicellatis 3— 5-se- palis, stylo brevi in caryopsi estipitata globosa brevis- simo laterali stigmate patelliformi dilatato. P. pumila var. o, Thunb. Fl. Jap. 33. F. stipulata (pl. sterilis) et F. pumila (pl. fertilis), Thunb.! Ficus 8, 9. et Icon. ined. Sieb. et Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 775, 776. F. stipulata Sieb. Syn. pl. oecon, n. 174. Miq. in Lond. journ. of bot. VII, 439. Plagiostigma pumilum et stipulatum Zuccar. in Abh. Bayr. Akad. IV, 1, 154, t. 1, fig. 6—9. Japonia australis: circa Nagasaki, tapetum vulgare murorum, rupium et arborum, fructificat autumno, maturat Majo sequente posteaque frondem innovat, in rupibus rarior fit frutex erectus ramosissimus (ipse, Oldham n. 399, 781); ins. Zutschu ad Napa-kiang (Dr. Weyrich! ster.); Formosa (Oldham! n. 549 fr. mat.) Introducta in viridaria europaea, ex Aiton h. Kew. in Angliam circiter a. 1771, ex ejusd. operis ed. 2 jam 1759 a Millero culta, sed haec fortasse erat species praecedens, at b. Zuccarini pl. cultam, ra- rius apud nos fructificantem, examinasse refert. Japonice: #abi (Siebold), pro pabulo et ad agge- res muniendos. ` In China etiam occurrere videtur, nam Miquel 1. c. a Millett lectam vidisse asserit et sub F. stipulata Thunb. describit (receptaculis magnis pyriformibus v. turbinatis setosis), hanc, una cum F. pumila Thunb. (cum syn. Kaempf. Am. 803 c. icone) et F. erecía «Thunb.» (F. pumila Thunb. 8.) utraque e Japonia et illo tempore nondum visa, ad subgenus Plagiostig- matis ducens. Planta e Formosa, ab Oldham fructu perfecte ma- turo lecta, differt quidem a japonica caryopsi minute tuberculata, quum vero omnes ab insectis excavatae et vacuae sint, etiam tuberculi isti morbosi censendi videntur. Nescio an eadem planta, quam ad Takow ejus- dem insulae legit Swinhoe, fide Hance in Seem. journ. of bot. IV, 55. Haec, ex Hanceo, a planta japonica receptaculo magis elliptico differt, ex Swin- hoe ab incolis aqua imbuta cum saccharo comeditur et Aw-keo-tsang appellatur. Etiam receptacula F. pu- milae in Japonia edulia dicuntur (Endl. Enchir. 166.), Thunberg non edulia habet, sed hoc fortasse quia plantam Rumphii perperam synonymam habet, eum Linnaeo. F, pumila Lour. Fl. Coch. ed. W. 820. e Cochin- china, diversissima est spicis terminalibus, receptacu- lis parvis eroceis. F. stipulatam Thunb. pro planta sterili juvenili F. pumilae Thunb. primus habet Schultes in Hoffm. et Schult., noms indig. p. 24. Species minus notae. 28. F. difformis Benth. Fl. Hongk. 327., an Lam.? Hongkong. Non vidi. A Miquel in Ann. mus. Lugd. bat. III, 292. n. 252. planta haec cum dubio ducitur ad F. gibbo- sam Bl., ad F. difformem Lam. Encycl. II, 500. vero, quam ipse Lamarck ad calcem generis sine numero, inter incertas igitur, enumerat et ad spec. sterile e Philippinis a Commerson lectum describit, Mi- quel cum dubio trahit F. Wassa Roxb. in Wight, Icon. t. 666, eujus descriptio et figura neque cum Miqueliana, neque cum Lamarckiana bene qua- drat. Equidem vidi e Philippimis ab Eschscholtz lectam pl. sterilem, a b. Ledebour pro F. difformi sumptam, a descriptione Lamarckii et Roxburghii discrepantem, melius cum descriptione Miquelii con- gruam, attamen diversam foliis angustioribus passim integerrimis linearibus, subtus valde elevatoreticulatis hispidisque. Hujus specimen aliud a b. Fischero rec- tius ad F. heterophyllam L. fil. amandatur. 29. F. pandurata Hance in Ann. sc. nat. 4 ser. XVIII, X 4., manip. pl. nov. p. 16. China australis: Whampoa (Hance). Non vidi. Foliorum forma (media lamina valde constricta) et. glabritie facile quidem inter nostras cognoscenda, sed incomplete descripta. Receptacula dicuntur ovoidea, mole cerasi, rubra, supra bracteas 3 sessilia, ceterum brevissime pedunculata, sed flores indescripti, sectio non indicata, foliorum consistentia et duratio ignota. Circaeaster. Genus novum anomalum. Flores hermaphroditi. Sepala 2 membranacea val- vata persistentia. Petala nulla. Stamina 2 libera sepa- lis alterna, in alabastro erecta, vel 1 (altero tum se- paloideo), filamentis planis linearibus, antheris termi- nalibus bilocularibus introrsis loculis rotundatis obli- que divergentibus longitudinaliter dehiscentibus per- sistentibus. Ovarium lineare toro parvo basi atte- nuata insidens faciebus stamina spectantibus linea con- 557 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 555 vexiuscula longitudinali percursum, 1-loculare, stigmate terminali sessili obliquo oblongo fimbriato - papilloso. vulum 1 infra ipsum apicem loculi affixum a funiculo ‘crasso brevi subhorizontali pendulum orthotropum, ob- longum, integumento unico, micropyle deorsum spec- tante, Caryopsis lineari-fusiformis stigmate coronata, a medio sursum pilis 1-cellularibus rigidis apice unci- natis diu post fecundationem formatis obsessa, basi calyce staminibusque fulta, matura a toro articulatim soluta, epicarpio membranaceo. Semen pendulum ca- ryopsin arcte explens testa tenui ab epicarpio vix ab- stersibili. Albumen copiosum extus corneum intus car- nosum. Embryo axilis basi albuminis locatus majuscu- lus linearis teres, radicula infera cotyledones lineares vix latiores arcte parallelas marginibus nervos caryop- seos spectantes aequante. — Herbula fangutica annua, caule erecto vitreo simplici cum fasciculo fibrovasali centrali solitario, cotyledonibus usque ad fructum ma- turum persistentibus magnis linearibus integerrimis, foliis estipulatis pollicaribus petiolatis suboppositis in verticillum 7 — 16-phyllum approximatis membrana- | ceis spathulatis subtus glaucis antice repandoserratis penniveniis venis paucis ramosis in serraturas mucro- nato-excurrentibus, floribus minutissimis (0,5 mm.) ` in axillis superioribus fasciculatis inflorescentiam ter- minalem multifloram constituentibus, primum breve post fecundationem longe pedicellatis; pedicellis anci- pitibus linearibus latere ad basin bractea minuta hya- lina stipatis, axi propioribus praecocioribus, omnibus ex axillis braetearum alabastra serius evoluta saepe ebracteata gerentibus, fructibus (4 mm.) pro flore em- bryoneque (1,5 mm.) majusculis. — Nomen ob simili- tudinem fructuum quandam cum illis Circaeae et simul ob folia in stellam disposita. C. agrestis. Kansu occidentali alpina, regione sylvatica alt. 7 500' s. m., in humo sylvarum nec non in agris Sinensium passim frequens, init. Augusti fl. fructif. (Przewalski, 1880). — Eadem vel valde similis planta allata fuit ex Himalaya a Strachey et Winterbottom, sed nunc in herb. Kew. desideratur, fide Oliver in litt., cui specc. nostrae cum descriptione transmisi, sententiam botanicorum Kewensium de affinitate Circaeasteris ro- gans. Ad mentem cl. virorum uni vel alteri familiarum duarum nunc insequentium adnumeranda videretur. Genus proximum Choranthaceis, a quibus tamen valde distat flore rite hermaphrodito, perigonio evo- luto hypogyno, staminibus liberis cum sepalis alternis, ovario supero, fructu non drupaceo, albumine indurato, embryone magno cotyledonibus parallelis radiculaque elongatis, stipulis nullis, inflorescentia. Magis adhue distat a Piperaceis ovulo pendulo, fructu sicco, testa seminis cum epicarpio connexa, embryone in endosper- mio axili magno, foliis membranaceis repandoserratis, inflorescentia cet. Habitu quidem in mentem vocat Ur- ticaceas nonnullas, sed nimis obstant flores hermaphro- diti, stamina sepalis haud opposita, radicula infera aliaque signa. Ita familiam propriam constituere me- retur prope Chloranthaceas collocandam, nisi hujus familiae genus anomalum habere malles, neglecta em- bryonis majusculi structura. Pinus leucosperma. (Sect. II. Pinaster 8 4. Sylvestres Engelm. Revis. Pin. 16.) Arbor excelsa cortice cine- reo, squamis fulcrantibus attenuatodeltoideis margine sublaceris, vaginis pluribus elongatis apice rotundatis tenue membranaceis mox evanidis; foliis geminis paten- tibus rigidis brevibus rectis semiteretibus mucronato- pungentibus margine scabris glaucescentibus; strobilis adultis subsessilibus ovoideis obtusiusculis, squamarum apophysi subrhombea opaca depressa carina transversa prominula v. obsoleta umbone lato mutico truncato; nueulis ovoideis magnis crasse crustaceis ala oblique ovata sesqui vel vix duplo brevioribus concoloribus ochroleucis. Kansu occidentali alpina, in silvis montanis secus fl. Tetung.affl. Hoangho, frequens (Przewalski, 1872, 880). : Simillima P. sylvestri L., a qua nunc, floribus non- dum notis, tantum semine, sed optime distincta: se- men albidum 8 mm. longum, 3 mm. crassum, ala sola (sine margine adnato) 10 mm. longa, 7 mm. lata. In P. sylvestri vero, cujus semina e diversissimis regio- nibus ante oculos habeo, semen cum ala griseobrun- neum, nucula griseomarmorata 3— 5 q. exc. mm. longa, vix 2 mm. crassa pariete tenui, ala cultriformis semen triplo v. quadruplo superans 10 — 15 mm. longa, 4—6 mm. lata. Arbor 50—70 alta, 1—3’ crassa, cortice rimoso. Folia 3/, — 10 em. longa, 1'/, mm. lata, quam in P. sylvestri magis semiteretia, canalibus resiniferis sub epidermide aeque tenui sitis 6 — 7 (in illa 6 — 12) 559 Bulletin de l'Académie Imperiale paulo tenuioribus vaginulisque tenuioribus eircumda- tis. Fasciculi fibrovasales in utraque specie dupli- ces, sed in nostra vaginula distinctiore eircumdati. Vaginae ad foliorum basin 15 mm. longae. Strobili ovum gallinaceum parvam aemulantes. Embryo non- dum maturus. Adnot. 1. Pinus Bungeana Endl., a Parlatore quoad corticem et fructum, a Hanceo in Journ. linn. soc. XIII, 87. quoad semen nondum descripta, semen habet cujus nucula illam P. Cembrae aemulat (8—10 mm. longa, 5.— 6 mm. lata et fere totidem crassa), brun- nea maculis obscuris marmorata, apice ala facillime caduca nucula 3—4-lo breviore marginiformi cincta, pariete ?/, mm. crasso. Embryo albumine oleoso '/, bre- vior elavatus 5 mm. longus, cotyledonibus circa 8. Foliorum epidermis quam in P. sylvestri duplo saltem crassior; canales sub illa resiniferos 4 majusculos, cum Mastersio in Journ. linn. soc. XVIII, 506, neque numerosos video, ut habet Engelmann I. c. 6., fas- ciculum fibrovosalem vero singulum. Adnot. 2. Juniperus conferta Parl. in Ind. sem. h. flor. 1862, 23 nomen antiquius meà .ل‎ 4 (1867) et igitur praeferendum. Pinus mandshurica Rupr. synonymon P. koraiensis S. Z., neque P. Cembrae L. var. pumilae, ut scripsit Parlatore; e patria prioris deleatur Kamtschatka et ins. Koräginsk. | Chamaecyparis breviramea m. a Mastersio l. c. 494. perperam ad Th. (Ch.) obtusam ducitur, neglecta descriptione a me data plantae juvenilis, ab ulla alia specie generis diversissimae. Abies holophylla m. ab eodem I. c. 514. synonyma A. firmae S. Z. habetur, À. homolepis S. Z. vero 1. c. 518. distincta species censetur. Prior e squama sin- gula coni jam distinguitur, de quarum differentia tacet auctor, et insuper unica inter Abietes est, quae ubi- que folia apice integerrima (Piceae igitur) habet et hanc jam ob causam ab 4. firma, cujus folia inter omnes Abietes profundius bifida sunt, separanda. À. ho- molepis S. Z. autem est status morbosus, qualem in singulis ramis À. firmae frequenter observavi. Addenda et emendanda ad fasc.. III. Tabula adjecta exhibet figuras Aceris pilos? et A. discoloris. Vig. 1. ramus deflorescens cum fructu im- maturo A. pilosi, 2. pars surculi juvenilis ejusdem fo- liis paulo magis divisis, 3. fasciculus florum m. a., e quibus Z. unus valde auctus sub lente expansus, 5. fructus m. a. immaturus. Fig. 6. Acer discolor, fo- lia 2 superiora vetusta, infimum indivisum e surculo terminali innovante, m. nat. Sub Viburno Opulo L. ad calcem stationum loco exul videatur lege exul videtur. Bakerum secutus Zrin longiscapam Ledeb. (1853) anteposui nomini vetustiori Z. filifoliae Bge (1851.) Species haee nominetur igitur I. filifolia Bge. Über einen neuen Connex im Raume. Von E. Bons- dorff. (Lu le 29 septembre 1881.) Alle geometrische Gebilde entstehen aus den drei Hauptelementen: dem Punkte, der Ebene und der Geraden, Flächen und Curven können sowohl als Punkt-, Ebenen- wie auch Strahlenorte aufgefasst werden. Gebilde, deren Elemente Gerade sind, werden Com- plexe, Congruenze oder Linienflächen genannt. Wenn der Punkt, die Ebene oder die Gerade nicht einzeln, sondern eine Combination von zweien jener drei Haupt- elemente, als Raumelement betrachtet wird, erhält man ein Gebilde, welches man allgemein nach einer von Clebsch eingeführten Benennung als Connex bezeichnen mag. Der einfachste und zugleich aus- führlichst behandelte Connex ist derEbenen-Connex, dessen Element aus einer Verbindung von Punkt und Geraden besteht. Dieser Connex ist hauptsächlich von Clebsch untersucht worden. Ein allgemeinerer Connex ist von Krause in die Geometrie eingeführt. Krause nennt denselben Raumconnex; dessen Ele- mente sind Punkte und Ebenen in Verbindung. Die beiden Hauptelemente, welche ein Element des Ebenen- oder Raum- Connexes bilden, sind von eben so vielen Constanten abhängig. Nichts hindert doch einen Connex aufzustellen, in welehem die Zahl der Variablen der beiden Classen ungleich ist. Einen solchen Connex erhält man, wenn ein Punkt (resp. Ebene) und eine Diagnoses pl nova Beie d Acad imp dsc KV! B CZ: B Maximowi 1 ; des Sciences de Saint-Pétersbourg. 561 562 Gerade im Raume zusammen als Element gedacht (92) (Ya + (Y2) (Y2) + (Ya (92), = 01 werden. Da aber ein Punkt und eine Ebene als ein- . (4) ander dualistisch entsprechend betrachtet werden kónnen, ist es genügend nur die eine Art von Connexen zu behandeln. Wir betrachten somit als Raumelement eine Combination von einem Punkte und einer Ge- raden. Weil der Punkt von 3 und die Gerade von 4 Constanten abhüngt, giebt es im Raume oo* Verbin- dungen von Punkt und Geraden. Die Coordinaten eines Punktes x bezeichnen wir mit z,, z,, z, und z, die Co- ordinaten einer Geraden mit (yz), wo y und 2 zwei Punkte auf der Geraden, oder mit (uv), wenn w und v Coordinaten zweier Ebenen durch dieselbe Gerade sind. Die Strahlen-Coordinaten der Geraden sind somit (ich = Va — موة‎ ١ (J£) = Ys — وقول‎ Yan = ,قول‎ — ës (ye), = يقلا‎ — Yi (yd), = Ya, — Yaa | (yz). = Ya — Ves Die Axen-Coordinaten sind (uv), حت‎ Ugly — Us | (uv), = wv, — uv, Meine a eM o en ve (2) (uv), = Wut, — U, (uv) = UV, — v, (uv), = UPa — Up, Weil die Punkte y und z auf den Ebenen # und v liegen, hat man zwischen diesen Grössen folgende Relationen UY + "y, + 3g + UU, Ur, + ووا‎ + Up, + W.g, = VUA, E Vaf. Vs H Vila = 0 US, 0.4 9 وھا‎ - T2, — 0 (ut), (wt), + (uv). (uv), + (uv) (wv), = 0 | Die fünf Coordinaten-Verhältnisse lassen sich in Folge der Gleichungen (4) auf vier reduciren, die zur Bestimmung einer geraden Linie erforderlich sind. In der Gleichung fix, mell = 0 wo die Punkt-Coordinaten homogen von dem m:ten und die Strahlen-Coordinaten von dem #:ten Grade sind, bilden alle diejenigen Punkte und Geraden, die zugleich jener Gleichung genügen, Elemente eines Connexes. Diesen Connex nennen wir einen Strahlen- Connex von m:ter Ordnung und »:tem Range. Der- selbe enthält oo? Elemente. Alle diejenigen Elemente, die zweien oder mehreren Strahlen-Connexen gemeinsam sind, bilden Strahlen- Coincidenzen. Nach der Zahl der erzeugenden Con- nexe hat man die erste, zweite u. s. w. Coincidenz. Im Folgenden wollen wir mittelst der Charakteristiken Theorie die wichtigsten Anzahlen für den Connex und dessen verschiedene Coincidenzen, wenn dieselben ge- wissen bestimmenden Bedingungen unterworfen sind, berechnen. Alsdann werden wir speciell den ein- fachsten Connex, namentlich den erster Ordnung und ersten Ranges, behandeln. Überall wenden wir die in der abzählenden Geometrie üblichen Bezeichnungen an und führen alle AR in symbolischer Form aus. $ 1. Ber allgemeine Strahlen-Connex von m: ter Ordnung und n:tem Range. In Mathem. Annalen IL. hat Clebsch bewiesen, dass die Gleichung eines SSES, nur in einer Weise in die symbolische Form (abyz). = 0 oder (aßw = 0 gebracht werden kann. Wenn dieselben Bezeichnungen wie in (1) und (2) gebraucht werden, erhält man die Coefficienten des = Complexes, wenn man resp. Aus diesen Gleichungen folgt, dass die Strahlen- und und Axen-Coordinaten proportionell sind. Zwischen den Coordinaten hat man die beiden Gleichungen Tome XXVII. ab), Y2), + (ab), (yz), + + Kap) UV), + (Blur); + ... eT: entwickelt. 563 Bulletin de l’Académie Empériale 564 Zwischen den Coefficienten (ab) und («8) bestehen die Relationen (ab), = (2B); (ab), = (a8),; (ab) = (AP); (ab), = (CI (ab),, = — (aß); (ab),, = (a)... In Bezug darauf kann die Gleichung (5) des Con- nexes symbolisch durch die beiden Formen (nr c0 uad (alto) ” —0...... (6) dargestellt werden. In dem Connexe (6) bildet jeder Punkt im Baume Elemente mit den Strahlen eines be- stimmten Complexes n:ten Grades. Jede Gerade bildet Elemente mit den Punkten einer bestimmten Fläche m:ter Ordnung. Jedem Punkte entsprechen somit oc? Geraden, jeder Geraden oc? Punkte. Jeder Punkt x bildet Elemente mit den Strahlen eines Com plexkegels n:ter Ordnung, der seinen Spitz in dem Punkte x hat und dessen Gleichung (abzz)"c," — 0 ist. Jede Ge- rade bildet Elemente mit m auf derselben liegenden Punkten. Wir wollen nun Anzahlbestimmungen für den Connex und seine Coincidenzen ausführen. In dem Strahlen- Connex giebt es “مه‎ Elemente. Ein derartiges Gebilde kann folglich einer Bedingung 6 :ter Dimension unter- worfen werden. Wir bezeichnen mit » die Bedingung, dass ein Punkt p auf einer gegebenen Ebene liegen, mit g, dass der Strahl g eine gegebene Gerade schneiden soll. Die Symbole 9, ‚9, und g, bezeichnen, dass der Strahl g resp. durch e einen Punkt gehen, in einer Ebene liegen oder einem Strahlenbüschel angehóren soll. Schliesslich mag G bedeuten, dass der Strahl G gegeben sei. Zufolge der Charakteristiken Theorie kann jede einfache Bedingung E. die man dem Connexe auferlegt. durch E = ap + Bg . . ausgedrückt werden. Zur Bestimmung der Coefficienten | « und 8 multipliciren wir diese Gleichung mit resp. p, und p*G. Dann bekommen wir — PU = apg, + BPW, PGE = ap°G + Brut Weil ثم‎ — 0, pgG = 0, pu, = 1, Pe, wird a = 05م‎ und 8 — pg. | Hieraus folgt, dass « die Ordnung der Fläche, die _ einer gegebenen Geraden entspricht, bedeutet. Nimmt man darauf Rücksicht, dass der Grad eines Complexes durch die Anzahl der Strahlen, welche einem Strahlen- büschel angehören, bestimmt ist, sieht man, dass 8 gleich dem Grad des einem Punkte entsprechenden Com- plexes ist. Daraus ergiebt sich o = m und 8 = m. Somit bekommt man die Hauptgleichung des Strahlen- Connexes Wenn # und n’ die Ordnung und den Rang eines zweiten Connexes bezeichnen, kann die zweifache Be- dingung, dass ein Gebilde den beiden Connexen ange- hört, durch die Gleichung = (mp + ng) (mp + mg) = mm + nng? + (mn + mn) pg.......... (8) ausgedrückt werden. Wird (8) mit resp. Pg, PG, Hü, pg, und pg multiplicirt, kommt pue EM ENS... (9) NEE (10) No E TS (11) po = ` EE (12) DOS هم د‎ RT ir. à (13) Die Gleichungen (9— 13) liefern den Satz: In der ersten Coincidenz entspricht einem Punkte eine Congruenz nn':ter Ordnung (Classe); einer Geraden entspricht eine Curve mm: ter Ordnung. Den Strahlen eines Büschels entsprechen die Punkte einer Fläche von der Ordnung mn + MN. Bezeichnet m” die Ordnung und n” den Rang eines dritten Connexes und wird E, mit mp + n’g multi- plicirt, erhält man die Grundbedingung der zweiten Coincidenz. Man bekommt E= mm m'p Zmn'n” ب‎ E n" nnn" g.. (14) 3 ۰ 0 E mn'n"! — mnn" + mnn" + m" [und , I mm'n” — mmn" + mmm! + m'm"n. Aus (14) erhült man durch symbolische Multipli- cation GL EE (15) 29,5. sm UMEN aa 29,8 = Z mn'n” ent nenne» * des Sciences de Saint-Pétersbourg. 566 565 FF AE" MW. eol (18) E, LISa 1 د‎ )19( pt, ووو 9 حت‎ EE (20) Die Gleichungen 15— 20 geben den Satz: In der zweiten Coincidenz entsprechen einem Punkte eine Linienflüche vom Grade 2 aan" und einer Geraden mmm" einzelne Punkte. Die Geraden, die in derselben Ebene liegen oder durch denselben Punkt gehen, bilden Elemente mit den Punkten einer Fläche von der Ord- nung X mn'n”. Einem Strahlenbüschel entspricht eine Curve von der Ordnung mmn". Die Stammformel der dritten Coincidenz ist "n Eo DEN Dh: asie die Ordnung und n” der Rang des vierten m wo m Connexes ist. Durch Ausführung der Multiplication erhält man E, = pg Z mm'm'n" + pg? 2 mmn'n" + pg? Z mn'nn" + ann n" .......(22) Aus (22) leiten wir folgende Formeln ab ge eau. cns (23) DE 2529 2 ms)" ......... (24) 29,5 = po E, = X mm'nn" . .. . (25) PI 22 MEN... (26) u CT (27) In 23 —27 hat man den Satz: In der dritien Coincidenz entsprechen einander der ganze Punktraum und eim bestimmter Complex C von dem Grade X mm' m n^. Jeder Punkt bildet Elemente mit 2 nnn'n" Strahlen des Complexes. Denjenigen Strahlen in C, welche in derselben Ebene liegen oder durch denselben Punkt gehen, entsprechen Punkte einer Curve von der Ordnung X aam aa" Den Strahlen in C, welche dieselbe Gerade schneiden, entspricht eine Fläche von der Ordnung 2 X mn'n'n". Die Stammformel der vierten Coincidenz ist A = pg = mmm” wi rm mm n" a PE E mm nn" n" + IPO SRNR. (28) Daraus folgen OË = ge, = E mm'mn n"... (29) DI ل "ووه سدم وح‎ LL. (30) pi DEWARWAa WA. (31) Alsdann gilt der Satz: In der vierten Coincidena entsprechen einander die Punkte einer bestimmten Fläche von der Ordnung 2 E mun wn" und die Strahlen einer bestimmten Congruenz von der Ordnung (bez. Classe) mmm" nn’. Die Strahlen der Congruenz, die eine gegebene Gerade schneiden, entsprechen den Punkten einer Curve von der Ordnung 2 Zmm'n^n" n. Wenn m” und n” einen Connex bestimmen, hat man für die fünfte Coincidenz die Stammformel é, = pg? Z mmm" n" nn + PG Z mm Wn" nn" (32) Man bekommt weiter die Gleichungen: p&£,— 2 Zmmmn HM (33) gë, = 2 Z mmm nmn! ...... (84) und daraus den Satz: In der fünflem Coincidenz entsprechen eimander die Punkte einer Curve von der Ordnung 2 E ma wm nn" und die Strahlen einer Linienfläche des Grades 2 Xam m n" nn", Wird schliesslich (32) mit mp + n"g, wo m” und n" einen siebenten Connex bestimmen, multiplicirt, erhält man die Anzahl der Elemente, die den sieben gegebenen Connexen gemeinsam sind. Diese Zahl ist E — 2 ZS mmm e NRA 2 Inder sechsten Coincidenz giebt es 2 Emm'm" n" n n'n” Elemente. Elemente, welche aus einer Geraden und einem auf derselben liegenden Punkte bestehen, giebt es in dem allgemeinen Strahlen-Connexe vierfach unendlich viele, indem jede der co“ Geraden im Raume mit m ihrer Punkte Elemente bilden. Wir nennen sie Conjugat- Elemente. In der ersten Coincidenz giebt es co”, in der zweiten oo? und in der dritten co! Conjugat-Ele- mente. Die Strahlen der Conjugat-Elemente in der ersten Coincidenz bilden einen Complex, in der zweiten eine Congruenz und in der dritten eine Linienflüche. In der vierten Coincidenz hat man eine begrünzte Zahl Conjugat-Elemente. Die Anzahlen der Conjugat-Ele- mente kónnen in zweierlei Weise bestimmt werden. Man kann sich nümlich direkt der Coincidenzformeln für Punkt und Strahl bedienen, oder auch bei der Be- rechnung die Charakteristiken - Theorie anwenden. 567 Bulletin de l’Académie Impériale Unterwirft man zuerst die oo* Elemente des Connexes (m,n) der zweifachen Bedingung, dass der Punkt mit dem zugehórigen Strahle incident sei und zugleich als Verbindungsebene jede Ebene durch den Strahl gelten lässt, erhält man die Formel der vollen Coincidenz ne = pe + ge — À = pe +9, wo n das Symbol der Coincidenz bedeutet. Durch symbolische Multiplication bekommt man hieraus i 5 à : NPI E — np ge = p 99, Weil | 99, = Is, . wird 8 npg, e de = pgs. Da jedem Punkte des Connexes ein Complex vom Grade n entspricht, ist gg, — n und somit hat man "pg, = np ge = n Man bekommt weiter "Ge = pGe + Gy Weil G, = 0 und pGe = m, ist Ea C UT rs. (37) Man hat ferner : "pg,e = leg = Ne (G + pg). Wegen der Gleichungen (36) und (37) wird 112106 = npgse = m + n... . (38) Die Gleichung (38) spricht den Satz aus: In dem Connexe (m,n) ist der Ort derjenigen Punkte, die Conjugat- Elemente mit den Strahlen eines Bündels bilden, eine Fläche von der Ordnung m + n. Die einem Strahlenbüschel conjugirte Punkte bilden eine Curve von derselben Ordnung. Die Conjugat-Elemente des Connexes (m,n) bilden ein vierstufiges System. Ist « die Bedingung, dass ein solches Element dem Connexe angehört, p und g die einfachen Bedingungen, dass ein solches Gebilde seinen Punkt auf einer gegebenen Ebene besitze, seinen Strahl eine gegebene Gerade schneiden lasse, so kann gesetzt werden | EBD EN, wo p. und v zu bestimmen sind, | Um y und v zu berechnen, multipliciren wir die Gleichung mit resp. © und va. Es wird — —— eG upa + WG epg, — DR, + 9,9. Weil pG = 1, pgg = 1, gG = 0 und P9, st = 0, pui o eG — p und epg, = v. Den Gleichungen (36) und (37) zufolge ist eG — m und epg, — n. Man bekommt somit die Stammformel Wird (39) mit (mp + ng) gs multiplicirt, erhält man den Grad des Complexes, dessen Strahlen gemein- same. Conjugat-Elemente in den beiden Connexen (m,n) und (m;») sind. Diese Zahl wird egs = mm + mm + mn...(40) Die Gleichung (40) kann leicht mittelst der Coinci- denzformel ne = pe + 9, bestätigt werden. In der ersten Coincidenz giebt es oo? Elemente. Die fünffache Bedingung, dass ein Strahl des Büschels mit einem entsprechenden Punkte incident sei, ist ngs = 2050. Wird die Gleichung (8) mit pgse multiplicirt, erhält man, wie leicht zu ersehen ist, &,pgse — mm + mm + mn. Wird (39) mit (mp + ng) multiplicirt, kommt 2 wp = m. Wir kónnen somit folgenden Satz aufstellen: In der ersten Coincidenz [m,n; min] bilden die - Conjugat-Elemente einen Complex von dem Grade mm + mm + mn. Durch jeden Punkt des Raumes gehen nn’ mit dem Punkte conjugirte Strahlen. Um die Conjugat-Elemente in den drei Connexen (m,n), (mjn’) und (m”,n”) zu erhalten, multipliciren wir (39) mit (mp + ng)(m'p + "gg, und (mp + ng) (m^p + a ol, Alsdann findet man Eaa E mmn" + E mn'n" .. (42) Ep? Z mnn” + 2nn'n"... . (43) In (42) und (43) findet sich der Satz: In der zweiten Coincidenz [m,n ; min; m", n"] bilden die Strahlen der Conjugat- Elemente eine Congruena von der Ordnung (8) Emm'n" + San und die Punkte Ass nee , — SEH 569 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 570 am Elemente eine Fläche von der Ordnung + Bunn, Bildet man die beiden Produkte (mp + ng) (mp سد‎ ng) (mp + ng) (mp =- mg) g und (mp + ng) (m'p + n'g) (m'p + n'g) (mp =~ wj) p, erhält man die Conjugat- Elemente der vier Connexe (mn), (m;n^, (m",n^) und (mn). Man findet Er HT eg = Z mmm n^ + 2Emmnn" + 2Emnn'n" (44) E JT SHE RS à D À 3 à AR À ET ep—Z=mmnn + 2Z=mnnn + 2nnnn (45) In der dritten Coincidenz [m,n; min’; m'n";m'm"] bilden die Strahlen der Conjugat- Elemente eine Linien- fläche von dem Grade X mmm n" + 2 E mmn'n” + 9 3 mm ma" und die zugehörigen Punkte cine Curve von der Or dnung Y , r 7/7 n” IH 2 nnn n" om ua + 23 mnnn" -+ Wenn schliesslich die fünf Factoren (mp + ng)....... (m’’p —+- ng) multiplieirt werden, erhält man dieje- nigen Conjugat-Elemente, die den fünf Connexen (m: (m n") angehören. Wenn die symbolischen Operationen ausgeführt werden, erhält man — EXqmm'wÓ + 25 mm'nn” n ED AMAR TEE ne (46) Wir erhalten somit den Satz: a der vierten Coincidenz [m,n; myn’; mn”; mn; kp E nr ? tr D FA min] kommen È mmmn + 2 X mmn'n n + 2 3 ma ad a "wf Conjugat- Elemente vor. Hiermit brechen wir die Untersuchung von den all- gemeinen Connexen ab und wollen im Folgenden einige Haupteigenschaften des einfachsten Falles herleiten, nämlich wenn der Connex von der ersten Ordnung und dem ersten Range ist. Ein solches Gebilde nennen wir einen linearen Strahlen-Connex. $2. Der lineare Strahlen-Connex. In dem linearen Strahlen-Connexe, dessen Gleichung | (abyz) c, = (ofge, = 0...... ist, entspricht jedem Punkte æ des Raumes ein Linien- Complex (47) ersten Grades, d. h. ein Complex, in dem jeder Punkt der Mittelpunkt und jede Ebene die Ebene eines einzigen Strahlenbüschels bildet. Jede Gerade (yz) bildet Elemente mit den Punkten einer bestimmten Ebene (47). Den Punkten xz -+ A auf der Geraden (zz) ent- spricht die Complex-Gruppe x (abyz) e. + A (abyz) € — 0. Wenn die Coefficienten des x und A einzeln gleich Null gesetzt werden, erhält man eine Congruenz erster Ordnung (abyz) c, — 0; (abyz)c, = 0, deren Strahlen Elemente mit jedem Punkte der Ge- raden (xx) bilden. Jeder Punkt der Ebene (za) kann durch die Coordinaten xz -+ A + pz" ausgedrückt werden. In dem Connexe entspricht den Punkten der Ebene (ras) die Complexgruppe x (bya) c, + à (aya) cy + 9. (abge) c,» — 0. Setzen wir die Coefficienten der x, À und p gleich Null, erhalten wir eine Linienflüche, deren Strahlen mit jedem Punkte auf der Ebene (ec?) Elemente ja bilden. Somit entsprechen in dem linearen Connex ` jeder Geraden die Punkte einer Ebene; im Gegentheil ` entsprechen den Punkten einer Ebene einfach un- endlich viele Gerade. Unter den oo* Geraden des Raumes giebt es oo’, die in ihren zugehórigen Ebenen liegen. Die Bedin- gung, dass die Gerade (uz) in der Ebene a „= 0 liegt, ist qi fe De 0, 0, 0, 1%, % Ug | = 0 und |U, u, u,| — 0. U, Vo Va V, Va 9, Alsdann wird zur Bedingung, dass die Gerade (uv) in die zugehörige Ebene des Connexes, d. h. in die _ Ebene (aßuv) c, fällt, Ci tr 56, 0,1 (aBuv) u, Ug g| = 0; (aßuv) |u, u, x — 0(48) V, 0, V, v, 9, V, | Jede der Gleichungen (48) repräsentirt einen Com- plex zweiten Grades. Ihre gemeinsamen Strahlen bil- den eine Congruenz vierter Ordnung. e hat daher a den Satz: 3 In dem linearen Connexe giebt es oo? Gerade, die in ihren zugehörigen Ebenen liegen. Jene Geraden bilden eine Congruenz der vierten Ordnung. ..86* 571 Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint- Pétersbourg. 572 Durch jeden Punkt des Raumes gehen vier Gerade, die Elemente mit jedem ihrer Punkte bilden. In jeder Ebene liegen ebenfalls vier derartige Gerade. Wir wollen nun die verschiedenen, von zwei oder mehreren linearen Connexen erzeugten, Coincidenzen betrachten. In der ersten Coincidenz entspricht jedem Punkte eine Congruenz erster Ordnung und erster ` Classe, d. h. eine solche, von deren Strahlen nur eine einzige durch einen beliebigen Punkt geht. Einer Ge- raden entspricht eine andere Gerade. Wenn die beiden erzeugenden Connexe (abyz)c, = 0 und (ab'yz) ين‎ = 0 sind, entspricht der Geraden (yz) eine andere Gerade, deren Coordinaten (abyz) (ab yz) (cc) sind. Da in dem linearen Connexe jeder Geraden im Raume eine Con- gruenz erster Ordnung entspricht, deren Strahlen mit jedem Punkte der gegebenen Geraden Elemente bilden, und zweien Congruenzen erster Ordnung und erster Classe zwei Strahlen gemeinsam sind, findet man den Satz: In der ersten Coincidenz entsprechen einer Geraden zwei andere so, dass die beiden letzteren mit jedem Punkte der ersteren Elemente bilden. . Hieraus folgt, dass in der ersten Coincidenz jede — Gerade nur mit den Punkten einer Geraden Elemente -bildet, aber die Punkte einer beliebigen Geraden bil- den Elemente mit zwei anderen Geraden. In der zweiten Coineidenz entspricht jedem Punkte im Raume eine Linienfläche zweiten Grades. Jede Ge- rade bildet Elemente mit nur einem Punkte, Den Ge- raden, die in derselben Ebene liegen oder durch den- selben Punkt gehen, entspricht eine Flüche dritter Ordnung. Einem Strahlenbüschel entspricht eine Curve dritter Ordnung. Wenn die Gleichung des dritten = Connexes FÉES ick | (a b yz) c, — 0 ist, entspricht der Geraden (yz) der Punkt (abus) (aya) (a"b"ye) (ecc) = 0, WO W, W, w, und w, die Ebenen-Coordinaten des Punktes sind. | In der dritten Coineidenz entsprechen jedem Punkte zwei Strahlen eines bestimmten Complexes vierten Grades. Jedem Complexkegel entspricht eine Curve sechster Ordnung. In der vierten Coincidenz ent- sprechen einander eine Strahlen-Congruenz 10:ter Classe und eine Fläche 10: ter Ordnung. In der fünften Coincidenz sind eine Curve 30: ter Ordnung und eine Linienfläche 40:ten Grades einander entsprechende Gebilde. Man findet schliesslich, das sieben gegebenen linearen Connexen 70 Elemente gemeinsam sind. Was nun die Conjugat-Elemente der verschiedenen Coincidenzen anbelangt, geht es aus der allgemeinen Theorie hervor, dass in der ersten Coincidenz die Conjugat-Elemente einen Complex dritten Grades bilden. Die Gleichung des Complexes wird, wenn man auf die Bedingung für das Schneiden zweier Geraden Rücksicht nimmt (aBuv) (o du) Iech, (uv) + (cc), (uo), j m (auo) (a Buv) (cc'uv) = 0........ Durch jegen Punkt des Raumes geht nur ein ein- ziger dem Punkte conjugirter Strahl. In der zweiten Coincidenz bilden die Conjugat-Strahlen eine Congruenz sechster Ordnung und die entsprechenden Punkte eine Fläche fünfter Ordnung. In der dritten Coincidenz bilden die Conjugat-Strahlen eine Linienflüche vom 24:sten Grade und die entsprechenden Punkte eine Curve 16:ter Ordnung. Schliesslich hat man in der vierten Coincidenz 40 Conjugat-Elemente. Wir haben oben gezeigt, dass in dem linearen Connexe diejenigen Geraden, die in ihren zugehórigen Ebenen liegen, eine Congruenz vierter Ordnung bilden. Zwei solche Congruenzen haben 32 gemeinsame Strahlen. Es folet daraus der Satz: In der ersten Coincidenz bilden 32 Strahlen Ele- mente mit ihren eigenen Punkten. Schliesslich wollen wir auf Folgendes unsere Auf- merksamkeit richten. Hat man sieben lineare Connexe und eliminirt die Punkt-Coordination zwischen je 4 von ihnen, erhält man 35 Complexe vierten Grades. Eliminirt man die Linien-Coordinaten zwischen je 5 von denselben Connexen, erhält man 21 Flächen zehnten Grades. Die gemeinsamen Strahlen der 35 Complexe bilden mit den gemeinsamen Punkten der 21 Flächen 70 Elemente. Tavastehus, 20, April 1881. ne e Ee pat 5 Paru le 21 janvier 1882,