56.08 mit > 541 d 20 ЕТОВЕ DES SERRES ET DES JARDINS DE L'EUROPE, ANNALES GENERALES D'HORTICULTURE, TOUT CE QUI CONCERNE LE JARDINAGE D'UTILITÉ ET D'ORNEMENT ; LA CULTURE DES PLANTES DE SERRES ET DE PLEIN AIR; CELLE DES PLANTES POTAGERES, DES ARBRES FRUITIERS, FORESTIERS ET D'ORNEMENT; LA DESCRIPTION DES PLANTES LES PLUS RÉCEMMENT INTRO- DUITES DANS LES JARDINS ; L ARCHITECTURE HORTICOLE, APPAREILS HYDRAULIQUES, CHAUFFAGES, INSTRUMENTS DE JARDINAGE, ETC. ; L'EXAMEN DES QUESTIONS D'HISTOIRE NATURELLE, DE MÉTÉOROLOGIE, DE GÉOLOGIE ET DE PHYSIQUE GÉNÉRALE QUI INTÉRES- SENT LE PLUS DIRECTEMENT LA GRANDE ET LA PETITE CULTURE; DES RELATIONS DE YOYAGES, ETC. PAR MESSIEURS : D Е. ups. Membre de la Société de physique de Genéve, de . Linn, de Londres, etc. E. Bor Ad. ocean yr . ¥. 0. x. p 1 agetur. e de bota au Muséum d'Hist. Natur., de la Soc. nine d'Hort. d viis ris. р. Вк Alph de Cando dolle, b р dant de l'Instit., Contin du Prodrome Aren, D. С. 2. В. Carnoy, BH ӛз Scie Сх. Е. A. Carrière pépinières au Jardin des Plantes de Paris, ete. dm CARR. F. Crépin, anc. Prof. de bot. ù l'École d'Hort. de l'État, Con- servateur au Musée royal d'Histoire Naturelle à Bruxel- 26: J. Decaisne, 2А. »f. de l’Institut, Prof. au шэнжэ d'Hist. Nat. de Paris, auteur du Jardin fruitier, ete. J. D à =, ee uysson, а сетВ. Duchartre, de er => à la Facult. des Sciences, etc. Dra. Н. В. Geppert, D. M. Directeur du Jardin Botanique et Pro- fesseur à с de Breslau, Membre de l'Acad. Nat. Cur. СоЕР Ch. — E А Anvers. Св. Cte de Gom à Am Ct* de 6. Karl Koch, +. Prof, à l'Univ. de Berlin. Ex Ch. Naudin, de l'Institut, ап Muséum же. эмт relle de Paris, J. E. on, Dir. de l'École = ^ ж. et таз la Fae. des Science. de Montpellie 3. E. P. J. Putzeys, vr. Secrétaire géné éral es шал ы la Justice, Vice-Prés. dela Soe, royale de Flor J.P: P. E. де Puydt, > . Secrétaire dela Soc. royale d'Hort. de Mons. ` D. P. H. 6. Reichenbach fils +. Ог ès Sciene., Prof. et Dir. du Jardin spray de Hambourg. Вснв, FIL olxem, à в. ees Cet de uem а Botanique au a de Pie досы танай, à Herrenhausen. H. Lies Louis Van Houtte, C. $“. «Б. etc. Horticulteur, Editeur dela FLORE. L. VH TOME XX. IJ M ISSO M GAND (BELGIQUE). LOUIS VAN HOUTTE, ÉDITEUR. à 1374. цайг 979 MARÉCHAL VAILLANT, BOISBUNEL. 544 EUCÈNE MAISIN , GRÉGOIRE. 94 COMMISSAIRE DELMOTTE , GREGOIRE. MILAN DE ROUEN, BOISBUNEL. 799 LA QUINTINYE , BOISBUNEL. 80 BEURRÉ DELFOSSE, GRÉGOIRE. Off. ый & pit n Horto Van Houtteano CALEBASSE BOISBUNEL, BOISBUNEL. ELORE DES SERRES ET DES JARDINS DE L'EUROPE. ANNALES GÉNÉRALES D'HORTICULTURE. 2039— 20406. NOS POIRES (Planehe L). 80. Beurré Delfosse pi еее SYNONYMES : — ilippe Delfosse, er Delfosse Vide ete Delfosse, Bourgmestre ры. Poire de toute première qualité, müri®sant de Dried: en février. Chair blanchátre, fine, trés-fondante, наз faiblement granuleuse au centre, d'une eau excessivement abondante, acidule, sucrée, rafraichi issante, possé édant un parfum parti iculier d'une extrême délicatesse. cognassier, for chables, d'une grande fertilité. Fruit moyen et parfois plus volumineux. 1 est peu de fruits aussi mér ХЭРЭ que "rep ci; il peut rivaliser avec « Bon e de Malines traitée, elle a une vigueur c tous les ans à partir de la quatriéme année. . Calebasse Boisbunel(Boisbunel). о mürissant en vier- ou fondante, peu granuleuse; eau sucrée, assez abondante, bien par fumée; il lui manque un u de succulence. Bois fort et vigoureux, venant trés-bien sur cognassier, se mettant facilement à fruits et faisant de trés-belles nifique et sec опв bon е dd, diras de сна Greffé sur cognassier, le cordon oblique lui va très-bien, malgré s =. Ё 94. Commissaire Delmotte (X. Grégoire). Poire de deuxième qualité, mürissa décembre-janvier. Chair jaunátre, grosse, mi- r ,mais préféran Sc? de jolies pyramides, d'une таа соп- уепа е. Fruit moyen ou au-dess moyenne. Ii y a un grand dissentiment entre les ч > 93 8 SÉ + 2079. Glanage horticole. Martin et Се. -- Végétaux‏ — ا inconnus et productions ein ‘Peper gene — Charlatans‏ horticoles. — Les maladies des plantes et les puits‏ — Le ‘moisi pestilentiel et les ic = du moderne. Be — Mon ami le Docteur Н. — are publications oü se réfugient la théorie et la pratique, il y aurait une jolie place à prendre pour un journal d'horticulture, d ic à apparitions régulieres ' et fréquentes, à pages euses, qui, glanant parmi tous ceux qui existent, tiendrait le public au courant de ce qui se peut produire de curieux ou d'utile. Citant tout les ouvrages, минь тө guerre au charla- tanisme, ce serait comme un Moniteur complet de Г des cum Utile aux jardi- niers, utile aux amateurs, aux proprié- taires, plein de bons conseils pour ceux qui ne savent pas et d'intérêt pour ceux . qui savent, furetant partout, glanant | 6 NOS POIRES (Рълхсне 1). amateurs sur le mérite de cette variété ; l'au- lle с m teur des meilleures poires, la rend dins ce nombre restreint; mais au- rions étre d on ти ce fruit est de second ordre: il n n'est pas trés-vigou- reuse, mais elle est d'une fertilité remarquable. ugène Maisin (X. rc Poire de premiere се mürissant en decembre-jan- vier. Chair fondante, sucree, eg ра rfumée, d'une saveur exquise, Fruit moyen ou au-des- sous ue Қы т Е E. к ЛБ, © 5 в pas encore trace de fr Ды sur un arbre qui а au moins 6 ans e. “оп а pu ramasser au mois de seien se rident et se ratatinent entiörement. Cette variete demande donc une grande somme de cordon oblique; là ses fruits riront et , : , D seront р dédaigner : les мш que Boi 1 nous a envoyés e i ont mür E a nous ont paru bons. "Fruit assez g за u еке Роіге ant üt faiblement m Arbre vigoureux, prenant toutes les fo a Фи ande fertilité. Belgique, cette variété ne tient bien ses fruits qu'en espalier; il t d'elle comme de « La Quintinye. » Nos pyramides de « Maréchal Vaillant » fleurissent énorméme jusqu'ici nous seul fruit! Il faut donc o 8 comme ceux que M. Boisbunel nous а envoyés, fruits que nous tigurons ici et que 22 avons trouvés délicieux. Fruit volu- min 735. "Milan de Rouen (Botsbunel). Роше, ge sant fin aoüt et commencement de septem bre. Chair jaunátre, demi-fine, demi-fondante, cognas e jolies pyramides, d’une très-grande г а cultivar avant tout dans les vergers. moyen et parfois plus volumineux. sier, partout, il pourrait s’appeler a juste titre Le Glaneur horticole. Modeste comme tout ce qui veut étre utile, il indiquerait les sources ow il puise, citerait ses auteurs, et, loin de leur nuire, il ferait D à sa naissance, mais qui, le moment des sacrifices passé, pourrait avoir un bel avenir. Si la fortune avait eu psc idée de verser en mon escarcelle un peu de c trésors qu'elle a err tdg si inutilement à nombre de braves gens qui les gaspillent | n sans profit pour personne, j'aurais bien volontiers entrepris un travail de ce genre; mais Гіп passé i et c'est autre part qu'elle fait ses risettes. Contentons-nous done d'offrir lidée à Ф 22 qui la voudra prendre, et, EE la bienveillante hospitalité de la livrons-nous par-ci par-là au Ga horticole que nous inaugurons aujourd'hui. — Avecautantd'humilité que pourraiten montrer l'un des ministres actuels de notre pauvre France, j'avoue que je ne suis qu'un bien piétre connaisseur, en fait de plantes, à cóté des illustrations de la e mais comme, d'après les proverbes — ceite posee des nations tré un peu bien menteuse, — on a souvent besoin n з des végétaux dont probablement ils seraient jamais venus à bout de nous йош; quels que soient leur renommée et leur sese incontestabl t rd, je gage que pas un d'eux ne Cer епсоге Назад Princesse Marie, à fleurs jaunes! je gage que, chez les plus жаға CNE” а Am 978 PRINCE NAPOLEON , BOISBUNEL. 826 HOWELL, THHOWELL. 796 D'ANDRY, BÜSBUNEL. e | УГ 736 VERMILLON D'EN HAUT, BOISBUNEL. 178 ONONDAGA. Off. Lith.& pict in Н Van Houtteano BEURRE NANTAIS, MAISONNEUVE. LOUIS NOISETTE , BOISBUNEL. 218. Beurré Nantais (Е. Maisonneuve). SYNONYME: Beurre de = es. 1 e et fois de première qualité, mürissant en ao rotor re. Chair blanche, fine, fondante, exempte de pierres, se gr — sur franc et: pyramides aussi régulières que jolies, d’une едш fertilité. Fruit moyen et souvent plus volumineux. Cette variété est bonne sans étre exquise et meilleur trés vaises à par шр пове « Beurré Nantais » était aussi bien que au » char е р fruits de haut Se pen tandis que les gelées de | mai avaient ruiné tous nos fins fruits. Il faut . dire aussi а la d: эр Nantes est excellente our le verger, et le plein vent améliore : жем уд nt ses “fruits 726. Docteur Andry (Boisbunen Рота де pr і mbre- . décembre. Chair des plus blanches, жері demi- NOS POIRES. ? 7 (Planche М). centre, d'une eau abondante, sucrée, douée d’une saveur musquée fort délicate. qr assez vigoureux sur franc et s sur cogna. ssier, formant de jolies б та mides, d'une grande. fertilité. Fruit mo Nous n’ M ins dégusté ce fruit qu'une fois et il nous a paru bon, sans être très-fondant. 826. a Нотей). Роіге de premiè pepins, d'une eau abondante, suc ineuse, délicate et bien parfumée. Arbre de bonne vigueur sur при formant des pyramides E quables d'une grande fertilité. "Fruit ; volum Excellente variété qui donne énormément. L es de2 à 3 ans de greffe se couvrent déjà de fruits чарьгсай et, malgré leur généro- sité, elles continuent de végéter convenable- ment. . Louis Noisette 38 Бор AA de ité, mürissa en bre et Arbre tres-vigoureux, fertile. Fruit moyen ou gros | Жеты collecteurs — à fleurs, 0 ver 50 vari Wes E а dien? qui ? Ой méme en — den og 3 m siers de Chine th le fruits ordinaires харх des fruits trois fois lan, et ce cela existe ; tout cela se vend couramment, en aussi grandes quantités que possible, au premier acquér reur qui veut bien se présenter. L'établissement est situé un peu loin peut-être, mais c'est égal. Allez- vous en à Alger, rue de Rovigo, 13, et là vous trouverez MM. Martin et С“, horti- culteurs de Paris, qui se feront un EC oter — moyennant fina de toutes ces richesses. MM. in et Се ont Г ur de vous informer tous qu'ils sont arrivés d' Angers, avec un riche assortiment de plantes à fleurs et d'arbres à fruits des plus nouveaux, des plus rares, et des meilleures espèces connues de la France et de l'étranger; leur catalogue est imprimé tout neuf, avec ргігге de le com- muniquer à vos amie amateur (sic). Vous me direz à cela : « Mais ce mais Si cela n pas d'opérer en plein jour. Les Martin, et leur re, ne расите рав es ous, en ce m % 8 NOS POIRES (PLANCHE M). 178. Onondaga. SYNONYMES : Swan’s Orange, Empereur ра ге de deuxiéme e quelquefois de алары qualité quand son eau est bien parfum i ob iv Chair blanche et sd fine, fondante ou mi-fondante, juteuse, assez granulense au centre, d'une eau abondante, sucrée, aigrelette, sans arome bien prononcé, mais douée cependant d'une een saveur. iré sant ыг toute espéce de sujet, mais surtout pu fran formant de jolies pyramides d'une fertilité ordinaire, d'une trés-grande fertilité en plein vent. Fruit volumineux. . Prince Napoléon (Bo/sbunel). Poire de première qualité, mürissan Chair blanc-verdâtre ou jaunátre, mi- зээл Se mi-fondante, granuleuse au cœur, d'une abondante, sucrée, vineuse, délicatement ДЕ fumée. Arbre d'une vigueur satisfaisante sur cognassier, for de jolies pyramides, d'une grande f fertilité Excellente variété — plus Steeg, d d'en LM Poire қасаға ténue SEH une astringence Arbre d'une Here ordinaire, croissant non мош bien cognassier que sur franc, for- ant de jolies “pyramides, d’une grande ferti- lité. Fruit moyen quelques uns, et d'autres qui n'existent pas, mais qui sont néanmoins appliquées à tout le monde, je ne saurais vous dire au juste si ces drôles ne sont pas dans leur droit. Tout ce que l’on peut faire et ce que je fais — сезі un peu la réputation qui m'incombe — c'est d'inviter les honnêtes gens, horticulteurs et amateurs, à se méfier des canailles. — Tenez, rions un peu pour faire passer cela. Savez-vous pourquoi nos plantes souf- frent, pourquoi nos pommes de terre sont malades, pourquoi nos са ont l'oidium et le lloxera, pourquoi nos arbres fruitiers мэн бин les animaux, et leur roi lui-méme — vous et moi — deviennent chétifs, souffreteux et malin- urtout des puits arté- siens! Imprudents et аниа que nous sommes! Quand nous n'avons pas de rivière à notre portée, quand la pluie s'obstine à ne pas sortir de ses réservoirs de là-haut avec autant d'acharnement qu'un rapport us we dg andons à l'intérieur a aen ; nous ereusons notre mère, et c'est là qu'est le mal. Ah! si nous perforions la terre et qu'il n'en sortit rien, à la bonne heure! mais leau sort, la malheureuse! et tout est bouleversé. Je ne ris pas, voyez-vous. Cela esí exposé tout au long, et avec preuves à l'appui, dans une brochure de 53 pages, Dubue, hydraulicien-pompier, à à l'humanité toutes ses puis le tonnerre, qui doi tessence du salpétre, jusqu’ l'air et la terre, m il restitue leur antique rôle d'éléments, sans s'inquiéter de ce que dira la science энэн. М. Dubuc nous explique les tempétes, et je croirais manquer à mon devoir en cachant cette explication aux horticulteurs. « La pluie, « en passant dans l'air, l'écarte pour pren- re son passage; cet air se trouve 1 St Ser dans 1ев contrées voisines, mais « le plus fort de cet air est ce que la pluie « foule devant elle, en poussant et en « appuyant sur le sol; cet air, se trouvan nt ' « pris entre la résistance du sol et le poids « de l'eau qui tombe, se trouve comprim rimé «et prend son courant en glissant sur là « terre, sur le cóté oü il trouve le moins « de résistance de comprimation, c'est-à- « dire le côté ou la pluie ne tombe pas « avec autant d'abondance; du cóté où la | « pluie tombe davantage, l'eau repoussé « cet air le long du sol avec précipitation « et en faisant un grand мэн c'est се « que nous appelons une tem Quant au brouillard, rien de pius ER 1058 STE DOROTHÉE. DE GAEST DE BRAFFE. 1013 SENATEUR PREFET, BOISBUNEL. 117 GÉNÉRAL TOTTLEBEN, FONTAINE DE GHELIN. 055 CASTELINE, CASTEL. 190 XXV ANNIVERSAIRE DE LEOPOLD |", GREGOIRE. MARÉCHAL DILLEN, VAN MONS. La, НО 490 SOUVENIR DE LA REINE DES BELGES, GREGOIRE. =-= 975 PRÉSIDENT MAS, BIHOREL. 128 MONSEIGNEUR SIBOUR, GREGOIRE NOS POIRES. (Planehe N). . Casteline (Castel). Poire de première > = + -vent, cet arbre Fruit au-dessus de 2 mo e. ne des poires de verger, ce qui n'óte rien à Poldume: saveur de ses fruits! Impossible d'imaginer de plus beaux pleins vents que les siens et qui EE davantage. Pour s'en faire une idée, il faut parcourir les environs de Lille et de Wambrechie es (Nor 4), où l’on rencontre pas la serpette. ге peut fo et au u deli, авиан nt tout poe janvier et souvent m 117. Général Tottleben стаи де eue lin). Poire de deuxiéme et Pur fois de premier bre et nove схе. dante, sucrée, aigrelette, aromatique et savou- reuse. + "une grande vigueur, préférant cognassier, mant de belles pyramides d'une fertilité médiocre, prospérant convena- р ide, r- tout ailleurs. Ce qui étonne aprés cela, c'est qu тегі 1 des poires en quantité. C'est du m cequi а lieu ch . Charles Vande Үе 146, fabricant à Renaix, qui en possede un magnifique haut-vent, donnant chaque année e superbes poires et en abondance. Malgré leur volume considérable, ces fruits résistent bien е vents, et nous avons s assurer us-méme qu'ils sont bien supérieur. T aante 1 à 287 que l'on récoltait sur l’espalier de son vois 127. Maréchal Dillen disi Mons). SYNONYME : Dillen d'a premiére qua iMt, m mürissant en octobre-novembre. Chair blan ien fondante, juteuse, contenant qu elques pierres autour des pepins, "Peta eau abondante, trés- ne saveur aigrelette et légerement musquée fort agréable. Arbre de Here ir ordinaire, se greffant нэл toute espéce sujet, formant des лемні к faites,d’une БИН генети. Fruit v 128. Monseigneur | Sibour (т. дэн ovem ie. Chair blanchátre, assez grosse, ge td dante, juteuse, contenant des pierr es autour des loges, d'une eau abondante, ptr vineuse, ` a v Lab e. Arbre vigueur ants sur cogn Se forman ordinaire. Fruit au-dessus de 1а шоу 975. basa) Mas (Bihorel). premiére а mürissant en > nE reux et още, préférant vit gros ou très-gros, aussi beau que le Beurré Bachelier m 64) avec Тенк Па beau- coup de ressemblanc . Sainte- thée (7. de Gaest de Braffe) Poire de première qualité, mürissant en octobre-novem Chair fine, beurrée, d'une eau abon et sucrée. Arbre vigoureux, pour plein vent, espalier et pyramide, Fruit volumineux. Le poids énorme de l'air pèse sur la surface de l'eau ; il ouvre les pores de cette surface phére, se ramasse s’est ramassée assez épaisse еп brouillard, c'est ce qu'on appelle nuages. A nous autres arriérés qui croyions que, — le E était plus rapproché de la terre mais dans une direction plus oblique, et geg éloigné Ге l'été mais plus perpendi- culaire, M. Dubuc fait savoir que c'est tout le contraire : le soleil du printemps se rapproche de terre et celui de “gene Ce quil nous signale encore e l'air ne peut tra- мин l’eau E AT. pw elle qui le porte. s passons au /ғатай destructeu га ра sur le chef-d'œuvre divin, et c prenons bien comment cet homme Жин oic | nous ыш la terre; l'eau arrive et 168 « Co l'ouvrage de Dieu au ceur pour arriver à sa жине totale. e que, pour obtenir de l'eau, tuyaux des sources se vi mme « l'atmosphère suit toujours ғы dans la « terre par sa pression autant que l'eau « est profonde, alors l'air remplit tous ces « tuyaux vides, et cet air se corrompt, « propage des maladies de peste sur toute « la contrée ой cet air 8 ёуароге. » 10 NOS POIRES (PLANCHE N). Er ал! té n'est qu'aux ons se Tour rnay, son pays natal; mais elle as à se répandre dés qu won aura pu orothée » pour faire son — weng Lous les jardins et, à coup sür, personne ne se repentira de lui avoir donné l'hospitalité. 1013. Sénateur Préfet (Bozshunel). Poire de premiére qualité, mürissant de mars en mai. Chair blanche, fine, fondante, d'une eau abon- dante, acidule, sucrée,vineuse. Arbre vigoureux sur fr алс, trés-fertile. Ce nouveau gain rivali- sera avec Olivier d Serre es (п 337) ; c'est un fruit exquis. Fruit m r cette année deux e au commandons chaudement cette variété Arek ve 420. Souvenir de la Reine des Belges (X. Grégoire). Poire de p. et parfois de deuxiéme qualit é, mürissant en o re-novem- bre. Chair jaunátre, assez aima. fondante, juteuse, fortement pierreuse au cœur remarquablement vigoureux, sur cognassier, formant de fortes pyramides, d'une fertilité D aire, Fruit au- dessus de la moyenn 120. Vingt-cinquiéme Anniversaire de Léopold І(Х. Grégoire). Poire de toute pre- savoureux arome. r ошын Paap alier P pos burner comp létement. Fruit au-dessus de la mo Cette variété est u eilleurs gains de M. X. Grégoire, mais elle est délicate et diffi- faire tenir ses fruits jusqu'à complète maturité. мн conseillons de lui donner le mur à bonn osition.Là ses fruits ne se St раз Î ils ин de toute beauté et exqui Vous voyez comme l'explicatien 8. simple, et vous étes étonnés de ne l'av «ruptions, évaporées dans l'atmosphère « des lieux infectés, donnent des maladies, « principalement sur les plantes de hautes 4 tiges, telles que treilles, arbrisseaux, « qui recoivent les rosées de ces буарога- «tions empoisonnées. » Et voilà ce que les mortels en général, et les poëtes en nn, appellent эь rosée bienfai- ante ! Mais ce n'est pas tout, oh! non! alors les maladies se gangrènent dans les êtres par la contagi i mme de terre, la betterave, la carotte, jusqu'au fraisiers, puis la vigne, la cerise. Apres la vigne et la cerise, les plantes de pâture ont leur tour, et alor. бэшэг тегі, les bestiaux qui les nangent se u dont les puits artésiens détruisent le chef-d'œuvre de la divinité, nous mangeons ces êtres souffrant du fluide mort et corrompu renfermé dans leurs жору бе! nous voilà gangrenés nous-m ! echt tout сесі, vous étes irop азаа pour que је vousla dise. Ne : fection et la moisissure. 11 e creusons donc plus de puits, artésiens ou autres; nous amènerions әне; la putré- tenant pour nous, ainsi que de dit notre Rmi que chaque seau d'eau tiré de rège l'existence des étres de la а Ч voici le moment pour les өү inventifs de rechercher avec quoi doréna- vant nous pourrions bien arroser nos lantes. Maintenant, une réflexion que nous ne ` mment! voilà un homme qui sait qwen биен monter l'eau de la nature, il nous сета putréfactions, et voilà 25 ans rle moins, qu'il passe sa ый сотте e e à faire m Et tandis savoir pourquoi, jours, nous amen corruption et la moisissure! Ah! M . Dubuc! vous êtes bien coupable Sat Dien et devant les hommes! | | ооо яс RAL DUVIVIER, 801880 | MADAME TREYVE, TREYVE. 733 AMIRAL CECILLE , BOISBUNEL. GENE | жи BERGAMOTE НЕІМЕТТЕ, BOISBUNEL 3 VICE-PRÉSIDENT DELEHAYE, | | | 748 PROFESSEUR HENNAU, GRÉGOIRE. BEVRRE DILLY, N DILLY. Off. Lith.& pict-in Horto Van. Houtteano. COLMAR DE LAHAUT, GREGOIRE. | | | 1 NOS POIRES. (Planche О). 733. Amiral Cécille (Boisbunel). Poire de n décem pierreuse au es plus abon- dantes, fra iche, СУПУ oig заса et parfu- mée. Arbre 'une grande vigueur, requérant le cognassier , form jolies pyramides d'une fertilité Pie же prospérant en plein vent. паша > en e, quoiqu’un peu nn en? ехсе!- lente et roe parfu fum ée. Nous arbre E variété parmi les espéces de choix pour verger; nous conseillons seulement aux amateurs de la rgamote ee Зее О ur un arriè prospérant parfaitement su mant de fortes pyramides, venable. Fruit moyen. variété a son mérite : elle croit bien et mdr herbacé. ре vigoureux, ` cognas for une fertilité con- Ce donne à veille ; mais ses fruits passent vite, t, com ualité, nous lui préférons d’autres variétés, par ee 1 de mp- tion » qui, chez nous, m « Madame Ттеуге » et surtout « Leroy ди Кеш. 1050. Beurré Dilly (Dilly). SYNONYMES: ndn tique Beurré Delan- тоу, Poire de Jolla Poire de première qualité, mürissant d'octo- bre à fin novembre. Chair blanchátre, "t ga les v Se ce soit un trés- 1 оуеп. lui qui a un bou erger ne peut ma quer d'y planter cette variété de choix, vrai- venir en plein vent; vigueur, port, fertilité, ténacité du fruit, rien ne lui manque; on eut e n faire, avec la « Fondante des bots » et la « = Карие, » un type parfait de ce mode de cultu 95. Colmar pas haut (X. giereg эээ de deuxième er? mürissant de déce tévrier. Chair blanchátre, demi-fine zs p f e convenable. Bon fruit de verger. Fruit moyen. эл» COMM: ant en blanchätre, fine, mi-fon ser поп — d’une eau abondante, sucrée, acidule, aroma- es air Berge ez, me disait, il n'y a pas huit jours, mon ami le docteur H., tous vos professeure халин sont des. Je lui mis la main sur uche, redou- tant une co Pps malsonn nan Gs et assuré- ment injuste. — vez-vous donc contre eux? lui dis-je. -- "Ce que j'ai — voyez нг ouv Du coin do l’œil je lus, comprenant son exclamation : reportée Pn Pant par Gressent, 1г édition, 1862 con- naissez-vous? — Guère. » En c ce moment, ertain ed de foi de ma connaissance. — Alors, vous ne connaissez pas le — Пе grâce, modérez-vous, mon am 1; sachez que vous parlez d'une de nos gloires horticoles. » П me regarda longuement; j'eus la fermeté d'âme de ne pas éclater de тіге. — Lisez ceci, dit-il; il s’agit d'obte- nir des bouquets de mai, dans le pécher, à la base des bourgeons anticipés. Je lus: «L^ opération consiste à piquer. « avec une lancette faite exprès, l'œil n « développé du prolongement et la base du « bourgeon anticipé développé, de maniere «А blesser tet vaisseaus. devies du сала « médullair « Cette pires irós-lógire produit. l'effet « suivant : Les vaisseaux coupés donnent «lieu à un End du cambium à « l'intéri il en résulte un amas « ие, E ire qui ne tarde pas à « don issance à œil, et bientôt « cet œil re une petite lambourde. » ntinuez, me dit docteur. Je continuai avec le plus grand serieux du o « de ma découverte, « ар es expériences réitérées et des « personne та compris.... Cette opération « est хэрчсэн pour les masses ; elle ne « rendra des services réels qu'à ceux qui « voudront шунан travailler, se « donner la peine de chercher où sont les 19 NOS POIRES (PLANCHE О). tique a délicate. Arbre d'une vigueur satisfai- sante, se greffant sur cognassier et y formant des packs mides convenables, d'une fertilité ordinaire mais constante. Fruit moyen. aire observer qu’ici que, cette variété est d’une lenteur день ante à se mettre à fruit. Chez 2m chez arno mont à Velaines, pas ore u uton Coin ans que nos arbres sont pl yons que cette variété exige toen өп Key midi ; nous con seillons aux amateurs inta un seul cordon oblique. Ce fruit, en Жее cas, est magnifique et excellent; nous avons en convaincre par des дорро ои que М. Bois- bunel lui-méme a bien voulu nous envoyer et qu пове. one servi маг de figures que nous ша Se Treyve (Treyve). Poire de uali op Leen bien acidule, уалы par- mée. Arbre de vigueur modérée, se greffant r cognassier, formant des pyramides régu- liéres, d'une grande fertilité. Un des meilleurs et des plus beaux fruits de la saison, Fruit rotundo: ne saurions assez engager tous ceux qui n'ont pas cette délicieuse poire dans leur et, ee année, on est sir d’avoir du fruit, et Kg fru nne Paar, poussant conv e- nablement sur toute espéce de sujet, formant des pyramides aan es,d’une grande fertilite. мээн au-dessus de . Vice- د‎ Delehaye (X. @re- Да Роіге de premiere qualité, mürissant en octobre. Arbre très-vigoureux et trés-fertile. Fruit moyen « жое 460168 du canal E -- Сопбпйе2-4опс! « acheter E nen alors ара que j ыы franc hement de rire. — 8 me trom сащ 4 du Jardin-Ecole de Sannois, et cette cies pette appelant les acheteurs = Ён с Ч 8 - та : g - T : : qu feit le tour du monde? — Et personne ne parle là-dessus? — On pa rite pour arriver à professer des choses pour lesquelles on n'avait pas été élevé le moins du mon enten dre ticulture. — D'accord; mais écrire u œuvre = се — Rien de plus facile, mon r ami, et, vous le voulez bien, d pouvez, vous aussi, devenir grand auteur horticole; vous 7 mettrez aux profanes de visiter moyen- nant 2 francs; vous donnerez des consul- tations, orales à 5 francs et écrites à 10 franes; vous inventerez des formes d'arbres auxquelles vous accollerez votre ttes H., des cordo nous y voici. D'abord, il ne vous sera pas nécessaire d'étre énormément ferré sur l'arboriculture. — Je remplis parfaitement la condition. — un aplomb héroique. — Ce sera peut-étre plus difficile. — Troisièmement, et c'est là le point important, vous devrez savoir manier les ciseaux avec adresse et EE — — Comment cela? — Vou ez me prendre. Ouvrez-moi Зөв, Зээл Edition 1862, fort bien! Maintenant voyez сеші-сі: Ри Breuil. Cours élémentaire d'arboriculture. 1857. Comparez chapitres, divisions, мээн titres, aliénas lisez d'un cóté la Physiologie végétale, et lisez-la de l'autre, lisez : nutrition, accroissement, reproduction, mort, lu- miére, chaleur, tout enfin, et vous com- prendrez bien vite. Voyez Du Breuil, page 19: « Tissu « а. Multitude de petites vésicules « agglomérées, он» les unes aux PLACEA ORNATA Lindl. 2 Andes du Chili. ` _ Orangerie. 57 Ара TRS А NOS LECTEURS. Nous avons voulu inaugurer les premiéres pages du XX* volume dela FLORE en en laissant les honneurs à nos éminents nouveaux collaborateurs, dont le concours nous est acquis, nous l'espérons, pour longtemps. Beaucoup d'intelligence, d'aptitude et d'expérience créent seules les spécialistes. la vie est de t trop courte durée, les ótudes trop ardues, pour qu'une téte, quelle que soit son organisation privilégiée, puisse jamais parvenir à briller quand elle veut embrasser des branches que rien ne relie. Nous souhaitons done avec. joie la bienvenue à ces puissants auxiliaires, et nous rentrons courageusement à pleines voiles dans la mer orageuse oü nous nous sommes embarqué il y a bientót trente ans, espérant bien y voguer à l'avenir avec moins de points de relâche. . Que notre cœur témoigne aussi sa profonde gratitude pour la bienveillance que nous accordent, depuis tant d'années, nos fidéles abonnés, qui nous secondent avec une si grande patience dans la táche bien difficile que nous nous sommes imposée! Nous ne pouvons que les. en remercier avec effusion. LOUIS VAN HOUTTE. 2047. PLACEA ORNATA мог. Amaryllideæ. CHARACT. GENER, — Vide KUNTH, Епит., | declinata, apice adscendentia, З perigonii medii V, 503. longitudine, 3 alterna paulo longiora. Antheræ CHARACT. SPECIF. — Bulbus tunicatus. marginatæ, dorso Folia bina, Dim per A Reeg ia, nitida, sub- tus obtuse carinata. Scapus solitarius, foliis apice mucronatis, 8 tuor miniatis ornatis fe pas expanso-reflexis ; inferioribus late divaricatis. Corona hexa- phylla (6-partita Lindl.), alle declinata, alba, apice punicea; foliolis suberectis, e disco epigyno ortis, lineari-spathulatis , extus cari- natis, apice emarginatis. Filamenta 6, valde near н, pa ide coccinea. Sty or. HERB. in Bot. Reg. iech flexuosam æmulat Placea ornata LINDL. in Bot. Reg., 1841, t. 50. — Кам., Am., 150. — KUNTH. in Епит., V, 503 Introduit des Andes E de la mon- e Aconcagua, oü il croit à une altitude de 8000 mètres environ, le Placea ornata se contente d'un abri contre nos froids et reparait ECH bril- lant chaque année. « autres 3 dont 2, parois sont com- « munes. Voyez Gressent, « Tissu ола. Réunion de petites vési- « cules contigués, à parois communes. » Du Breuil : EC de a Yih « дан еліні la forme hexagone ; vues au « Elles offrent des coupes : 2 14 « Ee а simulent les alvéoles « des abeilles Du Breuil : « Tim vasculaire. Présente « aspect de tubes s'unissant de dis- « tance en distance, de manière à simuler n « présentant l'aspect des mailles ` « allongé. » Et ainsi га suite. Mailles d'un Jilet allongé au lieu де: Mailles allongées d'un filet; c'est là le type; ainsi est composé "à Ganz т du traité de l'illustre profes- oupures énergiques dans le domaine à du: Ste phrases remuées, formes actives changées en formes passives, e£ vice versi; retenez bien 1а méthode. ntenant, dame! il faut bien aussi mettre un peu du sien, n'est-ce pas? Alors, on écrit que ча arbres soumis à la taille ne vivent pas 5 ans en moyenne; оп écrit que la Bergamotte Esperen est un arbre infer- ti а e? portant de petits fruits; 15 1е rri Bs, lui, est un fruit de nantais ын eæcel- 8 nsieur, Victoria, Pond's seedling, Reine Claude rouge et que la Bell de Choisy est la meilleure de toutes les cerises ; que la pomme e ra Sg dre est eccellente; que ГАрі n recherché pour son coloris ; que la Reinette rise Haute-bonté est un gros fruit; que “За. Reinette de Caux est très-grosse et d'un + 2080. Le Phylloxera et les vignes américaines. : En ce moment il n'y a pas, pour la vitieulture francaise, et en particulier pour u midi, de question plus brü- lante que celle du Phylloxera. Cette source, autrefois si féconde de la ете pas seu acé es rdu est presque 5 ; la Dróme, les В р de Valence её d'Arles, de ший MISCELLANÉES. vert jaune, et autres àneries semblables. Par dessus tout cela, mon cher Docteur, il vous faudra piétiner à pieds joints sur votre modestie naturelle ; vous déclarerez que, par vos rocédés, vous gagnez 7 ou 8 années u = r formation de. la charpente; e vous ta illez plus ganaches! ratic intelligences qui ne comprenne nt pas le coup de la lancette! " ee vous serez devenu un professeur fameux; vous ferez la pluie et le beau temps aupres de bonnes pätes de remueurs de terre et de coupeurs d’arbres, dans les jardins, dans les potagers, les ver- gers, жаран un Ministère vous recom- mandera à ses administrés et prónera vos ouvrages, et une grosse Société d’horti- culture, que ommerai, VOUS su illes je vo pliera d'accepter ‚ses meda ra 8 garde; je crois que le D paraître un Traité d'arboriculture ! Tout се qu'il y aura de plus moderne THÉODORE BUCHETET. See localités de l'Ardèche, du Gard et é Orientales, ont jusqu'ici été épargnés; | 5 = < 2 < > o x ES < к ғ ч Сс « х T€ des CALATHEA ( Maranta ) М ] AKOYANA Ed “а. Morr. s We Ч ти ` а HE an йл (ий. & pict in Horto к 2048—49. MARANTA MAKOYANA Новт. Calathea (Maranta) Makoyana Ео. Mn. Marantaceæ. а SPECIF. — Calathea стрели subelata, rhizomate 8 eylindı rica, gracilia firma, lenia, f sca, 1 vaginata, apice strumosa, struma elongata pal- lide viresce ma elliptica ovato- -lanceolata, | basi subcuneata v. truncata, lateritiis inæqualibus, subundulata, apiculata, lucida, glaberrima, discolor, fasciolis secun- dum nervum medianum pinnatis, alternatim his elongatis, lanceolatis, arcuatis, paralle viatis, дение v. ovatis, attenuatis, supra e subtus rubro-viola- sima. Inter fasciola, lamina, с notata, fenestrata vide t non vidimus.... Ep. MN. , Belg. hort., 1873, p. 321. Quelques exemplaires de ce bien joli Maranta nous ont ete envoyes du Bresil par М. Jules Peltzer, mais 3 l'état de cadavres. D'autres, plus heu- reux que nous, en ont recu des exem- plaires vivants. Il en est arrivé de deux côtés en Angleterre; il en est venu à Liege, chez MM. Jacob-Makoy et С“, et ce sont ces derniers qui nous en ont livrés amplement pour servir notre clientele. Cette simultanéité d’arrivages n'a pas manqué d'occasionner d'assez gra- ves ennuis aux maisons qui en ont été lobjet. Ainsi, Messrs James Veitch, qui s’en croyaient les seuls possesseurs, ayant vendu le Maranta sous le nom d'Olivaris, se sont vus forcés d'acheter à d'autres confréres ce que ceux-ci en avaient recu, afin de ne pas s'exposer à déplaisante affaire, ressource qui leur a fait défaut dés qu'ils eurent appris non- seulement que leur Olivaris existait ailleurs, mais que la science en avait publié la diagnose et établi la priorité. 'est de M. Emile Wittig que nos confrères de Liége l'ont recu avec ce renseignement que Гевресе serait ori- mais ce serait se faire une dangereuse compter longtemps sur insi qu'il arrive toujours dans les mal- heurs publies, les donneurs d'avis n'ont pas manqué, non plus que les vendeurs de recettes. La liste des médications sueces- sivement préconisées serait déjà trop longue pour étre détaillée ici; qu'il nous suffise de dire qu'on a essayé bon nombre , de ces remédes; que la plupart ont été les opérateurs, ont été funestes à la vigne, sans endommager beaucoup son parasite. Tous, en définitive, ont été jugés inutiles, nuisibles ou trop coüteux. Un seul a fait exception et s'est montré véritablement efficace : c'est la submersion prolongée des vignobles; mais combien y a-t-il de pro- priétaires dont les vignes soient situées de telle maniere qu'on puisse les couvrir d'eau? Il faut reconnaitre pourtant que le mal qu'on s'est donné pour lutter — le nouvel ennemi de la vigne n'est tout à fait sans résultat. Il a fait réfléchir les cultivateurs, ce qui est e = : remis en mémoire, à de 8 qui Гауаіеп trop oublié, ce principe ode mental de toute culture qu 'il faut restituer au sol, par les engrais et les aae ments, ce qu'on lui a ied par tes. On ne violente pas la MEN on ne peut pas la contrai deed à produire quelque ыы. - lion, à moins цөс Тина subite de 16 МАБАХТА МАКОҮАХА Новт. ginaire de la province des Mines (Minas Geraes), d'un bois voisin de Cachoeira do Cravo. Enfin, en le publiant, M. le profes- seur Ed. Morren, rappelle que, dans le Bulletin de la Société royale Linnéenne de Bruxelles, M. Aug. Devenster, à cette époque chef des cultures chez Mad. Legrelle-Dhanis, à Berchem- Anvers, a donné les indications sui- vantes, que nous reproduisons avec plaisir comme venant d'un excellent praticien : « Les Marantacées exigent une serre chaude bien ombragée et une atmos- phère humide. L'humidité doit être modérée, mais constante, dans la terre, que l'on aura soin de bien drainer pour que l'eau ne séjourne pas dans les pots. Ces pots seront plus larges qu'élevés, et cela en pro- portion de la force des exemplaires. importe surtout d'entretenir la propreté des feuilles par des bassi- nages fréquents. C'est le moyen de préserver les plantes de l'araignée et du tigre, qui attaquent fréquem- ment les Maranta. « La terre de bruyère un peu sa- bleuse convient aux Maranta. Il n'est pas utile d'y ajouter du sphagnum vivant, dont quelques personnes pré- conisent l'emploi. Aprés des essais comparatifs, j'ai obtenu de plus ж а а аА ААА аА а e e а а а А À À д А beaux exemplaires, une végétation | , « « plus riche et plus précoce, en em- « ployant de la terre de bruyére sans « la mélanger de sphagnum. « Les Marantacées annoncent elles- mémes, par l'enroulement des feuil- les, que l'humidité n'est plus suffi- sante dans la serre : on remédie immédiatement à cet état de choses par l'arrosement des chemins, arro- sement du reste indispensable, soir et matin, n'importe dans quelle saison. « Certains amateurs essaient de cul- tiver des Marantacées dans leurs appartements et même en plein air : A À À À e À А défaut d'humidité dans les apparte- ments ou de chaleur en plein air. AA e À AA A nuisible aux Maranta. « Multiplication : On multiplie les « Marantacées de graines et de dra- « geons. Les graines doivent être se- « mées, dés leur maturité, en terrines « ou en pots remplis de terre de bruyere « un peu sableuse. : « Оп met les terrines sous châssis « à chaud, jusqu'au momen « levée; on repique les jeunes plants « et on les remet en bâche chaude, « jusqu'à ce qu'ils aient atteint assez « « , séparément. » 1. VH. de développement pour être empotes | vH quelque parasite inapercu, cryptogame ou insecte, tenu tout exprés en réserve pour rendre ce se e mette rapidement fin à cette vie languissante. C'est méme culture énervante, en a fait deux fois, coup sur coup, la triste épreuve : elle n'est pas encore débarrassée de l'oidium, que déjà , le Phylloxera est en train de l'achever. submersion des vignobles, telle que Ға pratiquée M. Faucon, a produit ce double effet, d'abord de faire périr Гіп- i principes i comme un puissant amendement ; aussi n'y a-t-il point lieu d’être surpris qu'à la suite de fertilisants à la terre; elle a l'opération, les vignes aient repris une vigueur de végétation qu'elles ne connais- saient plus depuis longtemps. d'avoir un cours déverser, ils ont prodigué les engrais et les amende- | , ments. Sous l'influence de cette améliora- tion de la culture, les vignes se sont rele- | t moins maltraitées par le бев : elles son : | Phylloxera, et elles donnent des produits | qui, sans être fort élevés, indemnisent encore suffisamment le cultivateur de ses | avances. Si done il y a un remède contre | le mal, c’est dans une culture plus soignée ` et plus nourrissante qu'il faut le chercher, | et non point dans des drogues d'un emploi | c’est tenter l'impossible, à cause du ` De plus, l’action du vent est très- | de la D'habiles _ viticulteurs en ont ainsi jugé, et ne pou- | vant submerger leurs vignobles, faute | Nac е алда c co E LM EEN 2050--55 CLEMATITES. uspend aux arcades, суран Childe- Harold, v. Les pages de la FLoRE se sont suc- | portraits de Clématites en faisant cessivement enrichies de nombre de | paraître d'abord la figure du Clematis portraits de ces ornements rustiques | tubulosa (FLORE, ПІ, 195), ravi par dont le Japon et la Chine ont, dans | TURZANINOW à cette Mongolie dont ces derniers temps, doté nos froides contrées. Tressons teurs SIEBOLD et FORTUNE; et asso- cions à ces grands noms ceux des hom- mesintelligents qui, des premiers, se sont empares de ces beaux types pour les hybrider : Mes- sieurs Isaac АХ- DERSON HENRY, JACKMAN, SIMON- То 018, LEMOINE, ` NOBLE, CRIPPS, Rınz, BRIOLAY, CARRE, Dav- VESSE, BAKER et autres qui ont fourni leurs riches productions à l'hor- ticulture quilesare- multipliées par mil- lions pour les répandre dans le monde 2 trésors, еп plantes ornementales, entier. us sont encore presque inconnus e La FLORE a étrenné sa galerie de dont l'introduction serait d'autant plus difficile et coûteux, qui n'ont aucune | ү: se faire sentir pendant bien des chance d'atteindre l'insecte, et qui, trop | a souvent, laisseront dans le sol des prin- | gene ев tout, il se peut qu'aucun genre cipes délétères dont les funestes effets | de médication, ni les engrais, ni les amen- 5. 5 18 CLÉMATITES. désirable que nos gelées ne pourraient | Mexique, le Brésil, le Chili et méme là guère les atteindre. atagonie! ‚Оп peut dire, ce semble, par le peu de Ce Clematis tubulosa d'Asie appar- végétaux que nous possédons du Kamt- | tient à la section des espèces à tiges chatka, de la Mantchourie, et méme ! érigées, droites, non grimpantes, comme le Clematis erecta. ie А \ i “Ч «fto G2 N; AX $ JN RS riétés à fleurs pleines. Les Clématites à tiges non grimpantes se subdivisent en es- prospèrent dans un sol riche et profond, et forment de beaux gueur, de toutes sor- ХУ tes desols; mais leurs \ | grosses racines, des- cendant assez profon- dément, ont besoin 2 2 Ж 22 97770 , Ж % ” Ж aux massifs composés d'arbustes atteignant = de cinq à six pieds; i см un sol bien ameubli et ith де br eben | profond avec addition d'engrais leur est За l'Himalaya pn sen е ше et | in ispensable ; elles doivent être (аШеез Ман без Bon) | 8 bien con- au printemps jusqu'au bois bien aoüté, peens que ne le sont le | puis munies de bons tuteurs, en laissant сек dements, пі mé : . ee dont anis à weg e рено, ne puis- | fertilité premières ; aussi, en prévision de vigne ne retrouve j уУпохега, et que la | cette éventualité, quelques propriétaires Jamais sa vitalité et sa | songent-ils sérieusement à remplacer 1а DEEG? rte QI lub, & pict in Н yar ( hybr. ) MARMORATA CLEMATIS ( Bateman ) . CLEMATIS 2008 с P RUBELLA 1064 2 CLÉMATITES. au sommet des rameaux la faculté de | choir : ceci pourles sortes qui s'y prétent. | 19 fleurs bleues dont Carriére a donné la figure dans la Revue horticole sous le Avr Yi j A А 4 en, j «а АА! а M. : ©», 2, «ча, тебе m. : Zen Tout récemment епсоге, Lemoine nom tout jardinique de Clematis sem- s’est emparé d'un hybride à grandes perflorens Durandi. vieille vigne d'Europe par les еврёсев américaines plus jeunes, plus vigoureuses et, dit-on, peu ou point sujettes à être attaquées par le Phylloxera, bien que le Phylloxera soit américain. On sait effec- v tivement que les cultivateurs des Etats- CLÉMATITES. de pouvoir disposer d'une orangerie Dans nos régions septentrionales o 16168 pour y abriter ces espèces et vari | ü ê la neige, la gr D le et les gelées de mars т Б улас m Тұла Ba К EE Ae sont subitement sui- vies de journées chaudes, on sera charm © à SS Г 2 9 5 ЕЗ Ж m ng Ф . во Ре as Gg в 8 ча e © Ф-Ф .2 Б Ro SE S3 с "5 5 c o -Ф et parfois d'avril battus sur leurs espèces indigènes, comme sur un pis-aller. Ces vignes, longtemps 1881 à acclimater mune, se sont ra- é ayant jamais г X la vigne com Unis, n’ chez eu CLEMATIS (hybr.) 1783 CLEMATIS VITICELLA RUBRA GRANDIFLORA (Jackman ) 1779 BEN MRS JAMES BATEMAN | 5 I. leurs progrés par un peu de chaleur, on peut les avancer au point d'en obtenir 1S plantes beaucoup CLÉMATITES. le par de l'engra i à ces NM CMM E EE —————5————— "II donne à ide qu iqui terre rendue fert i 1 la fin de janvier jus- des beaux jours. 1S des fleurs depui "а l'arrivée autant | imulant ` qu , ites sont d en st de vigueur. Les Clémat plus dignes de ces soins qu habiles, bien sup é par choi- à l'opinion qu'on , erieures tait faite. On a commence s'en é ées, par les soins | , , 86 sont montr D D D de quelques cultivateurs entreprenants et méprisées 22 CLÉMATITES. Les Clematis calycina, cirrhosa, | leur diversité à varier l'aspect des indivisa, montana, qu'on ne peut certes | Cl. patens et des Cl. florida, ces dernie- gt ШЕШ | р SA | 1 | ( эд STE N Géi? W ^ >й LATE „= | res surtout représentées par la variété tales, n'en contribuent pas moins par | connue sous le nom de (1. John Gould tanément ou obtenues de semis, et enfin, sir les meilleures espèces, puis, dans ces après de nombreux triages, се qui est, espèces, les meilleures variétés nées spon- Ойг, “Cano. “» д. BEN CLÉMATITES. Veitch, si précieuses et qui produisent un effet d'autant plus puissant que les soins de culture leur ont été pro- digués : rempotages successivement agrandis, engrais liquide et fond des pots düment muni de tessons, de bri- quaillons, ес. es murailles sont d'une grande ressource, dans nos régions froides, pour y palisser les espèces et variétés printanières du groupe des Cl. montana, florida et patens ; tandis que la section des sortes estivales et automnales, les CT. lanuginosa, Viticella et Jackmani, la principale de toutes, apporteront, et pendant des mois, le plus riche con- tingent. de beauté que jamais. jardin puisse produire; et jusqu'en novembre, fleurs se succéderont par inter- valles et à profusion Les Clématites peuvent encore étre cultivées couchées sur le sol à la maniere des Verveines, et elles feront, traitées de la sorte, les plus charmants tapis de fleurs. Imaginez un pare dont le terrain légèrement ondulé permette à l'oeil d'observer à distance ; supposez-y une plate-bande de la Cl. Jackmani plantée cóte à cóte d'une planche d'une sorte à fleurs bleu clair; puis une troi- 23 X sième sorte de coloris bleu foncé à ruban rouge, et enfin une quatrieme d'une autre gamme : pourrait-on citer un autre genre de plantes qui joigne, à autant d'effet, autant de durée, autant de robuste croissance, et qui Tequiert aussi peu de peines que le. genre Cle- matis ? Et ces guirlandes que chantait Lamartine ! Que seraient aux yeux du poéte les formes et les coloris modernes? La pompe tropicale enguirlandant les arbres des foréts de parasites, de lianes et d'épiphytes de toutes sortes, n'est- elle pas égalée, si pas surpassée, par le charme que produisent les Glycines bleues et blanches, les Chèvre-feuilles, et cette cohorte de Clématites dont on ne se fait encore qu'une bien piètre idée, — tandis que les Erables blancs , les Hétres noirs, les Houx si verts apporteront leur surcroit d'ornementa- tion à ces lianes si fraiches, cieuses, appelées à róle dans l'aménagement des jardins! Et les taillis, et les fourrés dans les châteaux ! Le maître, indifférent à tout ce qui n'est, pas plaisirs de ville, s'op- posera-t-il à ce que son jardinier y jette des Capucines, des Pois de senteur, pour le dire еп passant, le grand moyen cependant fort estimés et se vendent con et on a tout lieu de croire qu "ауес de nou veaux efforts on parviendra 4 leur denge des qualités qui les mettront au niveau des erüs les plus estimés de l'Ancien Monde. à Ja vinification. voie ouverte à l'industrie vinicole, et il serait peu sage de n’en point tenir compte, r la seule raison qu’elle est nouvelle, c'est-à-dire qu'elle sort de la vieille rou- ine. C'est à un agriculteur belge, M. Le Hardy de Beaulieu, établi depuis 25 ans aux Etats-Unis, que nous devons les ren- seignements les plus comple ets sur ces vignes américaines, qu'il a cultivées lui- rande échelle. Elles se Viti. i ma ou ренин ia. Toutes quatre ont é de nombreuse s variétés, нез 1 moins remarquable que on cite quelques-unes de ces vignes qui datent de l'époque où les premiers colons 24 des Chèvre-feuilles, des Clématites et autres plantes grimpantes, qui y feront merveille et charmeront les yeux de ses hôtes ? Le genre e Clematis a trouvé son clas- sificateur horticole Se? la personne de М. Tuomas Moore, de Chelsea, dont la modestie égale di talent. M. СЕО. CLÉMATITES. JACKMAN, de Woking, a eu l'heureuse idée de se l'associer. pour rédiger le livre si intéressant qu'il vient de publier en langue anglaise, livre orné de vignet- tes que M. GEO. JACKMAN а eu l'ama- bilité de nous confier pour en faire jouir les lecteurs de la FLORE. L. VH. CLÉMATITES FIGURÉES. 1779. C. Mrs. James Bateman (Jackman). euge: passant ensuite au lavande clair ; 8 корк и quables par de fente lilas fon MM rri rubra poe (Ja 1783. Ja ck- South Kensington (Lon- dres). Fle eurs TU impie ët de quatre à six pétales lie de vin 1064. C. rubella (Jackman). L'un ded meilleurs gains de ce célébre semeu Appartient à la série des vrais C. а dont elle digne compagnon, et à catégorie de е dont la partie cen- 8 est nuancée de cette des pousses latérales axillaires se char- geant de boutons à fleurs qui se dévelop- pent successivement jusqu'àla mauvaise 2008. C. marmorata Сі еее Cette jolie var 1816, n nous dit M. Jackman, a le port du C. Vii 1995. C. Due es бн їл gi variété qui шан à elle свет, Bu. troisieme nee chez mis de llemen = levés à la sse paternelle et à l'horticulture, comptaient ore ро eee de tr олус et trés-ac vailleurs, L venus d'Angleterre s'établirent dans le ays, ce qui leur donne plus de deux siècles de durée, et néanmoins elles sont encore pleines de vigueur et d'une ferti- lité exubérante. Cet ifi sont cordiformes, Mir ar glabres et luisantes. Les grappes, soutenues par de longs et gréles pédoncules, n’ont guère que de quatre, six à huit us. mais elles: sont extrêmement nombreuses, et 8 fort e 8 qui distingue la itis Labrusca, et qui déplait générale- ment aux Européen ns. La flor raison est plus tardive d'un mois que de la Vigne d vag al et la maturité du raisin arrive de méme un mois plus tard, ce qui rend Zeg vigne impropre au climat du nord de la France. vigne vulpina est originaire des États méridionaux, principalement des deux Carolines. Sa variété la plus remar- Off Lith ар dÉ BEGONIA OCTOPETALA Lher. en ete . Plein air, 9 Perou. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, III, 212. CHARACT. uvae — B. foliis longe petio- - latis reniform vato-rotundatis cordatis . ducissimis ovatis glabris, floribus albis extus _ virescentibus, 6 longe pedicellatis lobis 8 | fem. brevipedicellatis lobis 6 elliptieis, an basi ا‎ a maxima ; а patenti-adscendente apice uberosa, acau- - lis. Petioli 1-1 1/2 pedales, puberuli. Limbi 6-8 ati, " inæquales, superne glabriusculi n. pubescentes, subtus ad nervos præsertim eege lobis obtusis brevibus crebre ser- rato-dentatis. Stipule ovate? Scapus bipe- 2056-57. BEGONIA OCTOPETALA Інв. Begoniaceæ. ман spe 8-10 florus. Bracteæ membranaceæ, 4-6 lin. Jen Dës subi пірге P Pedicelli puberuli. c. 9-12 lin. longi, Ee 2 exter- nis; fl. fem n. 6 lin. longi. Capsu 5-6 lin. lon ga, cum ala oblique 12-16 lin. lata, ex ovario berulo minimis cos- issima nunc pollicem Limam. Pavon! Mac Lean, Mathews! H. Hook DC. Prod., ХУ, 1, 283, n» 12. Begonia octopetala LHER. — Ноок. Bof. Mag. t. 3559. HUSZIA OCTOPETALA KL. ombay, --Ноок., — Begon., р. 18, t. 1. EGONIA GRANDIFLORA KNOW. et WESTC. — F1. 10273 1, p. 51, tab. 25 (fide auct.). Originaire des environs de Lima. М.В. Кол] l'avait expédié à son agent i nous l'avons acquis, а | deer dont 16 ee fait pu . ces lignes Іі Cette espèce, qui а à peu près le port d'un Tussilago japonica tres-räble, de- | + premier printemps, sur une couche . à melon afin d'en hater la feuillaison, 4 pour les livrer, aprés les gelées tardives, аа pleine terre, au plein soleil. . Nos premiers Bégonias bulbeux ex- | pediés en Angleterre y furent fort mal ` accueillis : < c'était du rubbish, > nous ` écrivait une grande maison de Lon- | dres; et peu s’en fallut qu’elle ne nous remballät notre envoi. — Mais peu mps après, un confrère de nos bons amis de la même métropole vit nos glorieux massifs en pleine terre, en plein air, littéralement couverts de leurs immenses fleurs : nos Bégonias bulbeux furent dès lors réhabilités. C’est qu’au lieu du plein air, on les avait là-bas accommodés à la serre chaude ! chose étonnante, car MM. Veitch, en annonçant la mise en vente de leur 9. Veitchi qui nous а servi dans nos croisements, avaient cependant eu soin de faire pressentir la rusticité de cette espèce qui dérive des plateaux élevés des Andes! Nous reléguons nos tubercules de Bégonias bulbeux pendant l’hiver avec ceux de nos Gloxinias, dans quelque réduit à l’abri de la gelée 1. ун. est celle à laquelle les Américains ont cupperno ев е 1 lieu d'être violet, et elle est la meilleure | quable, et jusqu'ici la plus recherchée, de toutes pour la fabrication des vins blanes ; de plus, sa production est énorme. On cite, Бе exemple, dans la Caroline du nord, un pied de vigne Seuppernong qui CN à lui seul les deux tiers d'un e prodigieux : développement fait comiprendre d'emblée 4 26 wee que la culture de cette vigne doit spin radicalement de celle d'Europe. Elle n ос. La vendange se fait en secouant les sarments; les grains mürs se détachent de la grappe et sont recus sur un drap étendu à terre. Comme les grains ne mürissent pas tous à la fois, la vendange se fait en deux ou trois temps, séparés par quelques jours d'interva Un he Ce? pourrait à la rigueur rece- voir 100 pieds de vigne рем, soit 1 P Au surplus, la distance à mettre Tiam eux varie suivant le plus ou A moins d аа de la terre; e plus Se terre est de weg si elle est médiocre cas, on compte sur un produit de 250 à 300 hectolitres de vin Ve: — Ajou- tons que cette белі е 4оі ais étre taillée, ce qu 9 simplifie ета ment Ја cultu Il est évident qu'une race si productive, nd mé elle ne donnerait que des och ravagés par le Phylloxera et dépos- rs anciens vignobles; mais Saccommodera-teil de nos climats? , d'apres est. pas de méme pu midi cette partie du midi qui voit mürir l'olive. La vigne Scuppernong Wo peu le froid ; dans sa contrée natale, elle endure tous pour elle, d'autant plus qu'elle pousse tardivement au printemps. Le centre de la France ne parait pas non plus pouvoir lui convenir, faute d'un été assez nen longé, car, méme aux environs de Lyon oü un viticulteur мэн M. Pulliat, l'a rée, raisi es s 'es ere arrivé quà une агшаана C'est donc, du quant à présent, une race essen- e la France, à l'Espagne, à l'Italie et aux autres pays de méme latitude; n'empéche de croire qu'il s'en formera aussi, раг la méme cause, dans les vignes son aire de culture pourra s'étendre à la majeure partie de la France, partout du moins oü le sol a une certaine profon- deur. Il est évident que pour nourrir un vaste développement de tiges et de branches, il lui faut un système de racines proportionné, et qu'elle ne le formerait pas sur les faibles couches de terre végé- ui recouvre la n T EI s © 2.5 =@ © "ВЕ аз зо = Or о 2. oe 3 Ф =] = RU © аз bi e з >. о "d 5 S, © 5 . депг 4 laquelle s'enfoncent ses racines qui la met à l'abri des atteintes ди Phyl- M o Gel La culture des vignes américaines est, comme on le voit, une belle expérience à avons la satisfaction de за com- ой un habile et persévérant ena M. Laliman, a déjà obtenu de remar- quables succès. A côté de cette See s'en place une autre, qui ne sera probable- féconde en résultats : anciens cépages. лавак Зан зүйд чө pleines d'espoir pour l'avenir, et qui seront peut-étre, pour des eg ёл commencement d'une nouvelle ére de pro spérité. Ces prévisions ne sont pas aventurées ; elles pen sur des faits acquis, en Amérique d’abord, et depuis peu en Europe, où l'idée de ces croisements est encore toute récente. Nous terre, par Pearson, еп Сна ие de Fontainebleau avec cle Raisin- fraise d au goüt, autant qu'agréable à la vue p ue les viticulteurs, les jardiniers et ODONTOGLOSSUM VEXILLARIUM À. С. Rchb.f. 2 Venezuela. Serre chaude 2068. ODONTOGLOSSUM VEXILLARIUM Н. С. Выснв. FIL. Orchidaceae. RAE GENER. — Vide supra, FLORE, I, . (1845), р. 125. CHARACT. РН — Affine ete ne is oblongis рне us ат sis, labello і angusto sagittato, dei expanso in Se amplam ele- Cen interposita, HB. fil., Garden. flabellatam emarginato-bilobam , carinis vatis geminis acutis basi, columna aptera brevi. H. GR Chr., août 31, dontoglossum vexillarium Н. С. REICH. in arde. Chr., 1867, 901. — Idem. 1852. 667. En 1867, à la page 901 du Gar- den E le р" H. С. Rei- chenbach s'exprimait ainsi : < Voici un rival dangereux pour le vieux Odonto- glossum Phalenopsis lui-même; sa fleur blanche est plus large, plus дец- cate; ses pétales sont rosés et aussi son labelle qui est en forme de flèche et jaune à la base. On dit que le nouveau venu est petit desa nature et que ses feuilles sont délicates. « Ой croît-il? Nous ne pouvons le divulguer. — Qui l'a découvert? Nous n'en savons rien. — Quel est le posses- seur du specimen? Nous ne pouvons le dire. — Comment l'avons-nous ? Znfan- dum, regina, jubes renovare dolorem(). O Reine, vous m'ordonnez de renou- veler une indicible douleur!). — L'un de nos amis,M. S —t L— , de U — г C — n, près Londres, avait été mis en possession de cette fleur pour six jours afin de la soumettre à notre examen, mais en s'engageant : 1° A пе la mon- trer à personne d'autre qu'à nous; 2° A n'en pas parler beaucoup; 3° A n’en pas prendre le dessin; 49 А ne pas la faire photographier; ‘et 5 À ne pas la regarder plus de trois fois. « Nous avons été assez indiscrets, (1) VIRGILE, Eneide, liv. IT, v. 3. les amateurs d'expériences se mettent à 8 e étre si grand, qu'un jour, peut-étre, on t 2081. L'exterminateur Aux détails que nous avons donnés à la page 161 du XIX* volume de la FLORE sur l'insecte qui ravage les champs de pommes de terre dans toute l'Amérique du Nord, aj 8 ceux qui bee et qui nous sont fournis par le e Doryphora decempunctata, écrivait M. Se secrétaire de la Société d'ento- mologie de l'Ontario, dude son ved sur l'année. 1872, a pullulé par essaims formi- dables; on en écrase par milliers sur les les rues, le long des sement de ce fléau pour lannée suivante. « Les cultivateurs canadiens ont décou- vert un moyen efficace pour combattre le trouvera que l'invasion du Phylloxera, qui aura donné lieu à ces recherches, aura été, non un fléau, mais un bienfait de la Providence. de 1а Pomme de terre. Doryphora : c'est l'arséniure de cuivre. du plátre, à raison de 15 à 20 parties de farine ou de 30 à 40 pine de plâtre contre une d'arséniure. « La nature donne aussi un or iun contre le Doryphora : c'est u petit Coléoptère, la Coccinelle à es points (Bête à Dieu) qui a ses larves. » 98 ODONTOGLOSSUM VEXILLARIUM Н. б. Весн. FIL. continue le D" Reichenbach, pour en faire la description ; espérons que cette mer- veilleuse beauté sera exposée quelque jour à South Kensington. » Cinq ans plus tard, le méme Garde- ners’ Chronicle contenait, sur le même Odontoglossum vexillarium, les lignes анкер рш de cette nouvelle diagno Pseudobulbis lineari-ligulatis diphyllis; foliis lineari-ligulatis acutis; pedunculis paucis, а sexfloris; eis tri lis minutis; alis vis alis Pang етуий REiCHB. Fil. (Gard. Chr. , 1872, ai 13. « Beauté de premier rang, dans le genre de l'Odontoglossum Warscewiczi Reicu. fil.. Cette grandiose espèce a des fleurs à tres-large labelle et détróne aisément Г halenopsis, vieux déjà, tandis que notre favorite est toute nou- velle. Ses fleurs sont d'un blanc pur teinté de rose; l'extrémité de son immense labelle et jaune. beauté d'une plante d'un mérite aussi transcendant ; disons seulement que son importation a toujours été d'une difficulté extrême et qu'elle a presque constamment éprouvé le sort de tant d'autres belles especes qui n'ont pu sur- vivre à des traversées bien chanceuses. Ce qui est établi désormais, c'est que son introduction premiere en Europe est due à l'nfortuné Bowman; que Wallis et Roezl n'ont guère été heureux dans lesiniportations qu'ils en ont faites, et que c'est seulement de M. Henry Chesterton que MM. Veitch ont finale- ment été assez heureux d'en recevoir à l'état vivant. ans ses numéros du 10 mai et du 23 juin de l'an dernier, le Gardeners’ Chronicle revient de rechef sur l'ex- tréme beauté de l'Odontoglossum veril- larium dont il existerait, paraîtrait-il, diverses variétés; mais on ne peut rien inférer d'exemplaires faibles comme ceux que nous possédons, ni rien айг- mer à cet égard. On se récrie contre les omissions qui existent dans la plan- che du un Magazine; la nötre est pei croyons-nous, d’après un бейеү "Дейди, nous пе pouvons encore, d’après nos propres fleurs mal venues, rien certifier ; il faut attendre d'autres floraisons qui ne se ug " attendre VH (1) From Dr Hoae’s Cottage Garden. 1 2082. Pelargonium zonale doubles. — Leur origine. Lyon, 17 mars 1874. А M. Louis Van Ностте, А GAND. Monsieur et GE: “ООР. oubles, à laquelle j'ai contribué pour ma faible part dans l'intérêt de la vérité historique hor- ticole ; car je suis d'avis qu'il est utile,pour l'art horticole et la science, que l'origine des plantes nouvelles, la date de leur im- tion, les i scurs : je obse cherche à les dégager des ténèbres où l'insouciance, l'ignorance et aussi l'in- térét mercantile (mal compris) p ont tenus Fane, cher Collègue, qui vivez pour le progrès et la vérité, vous pouvez, en moment, m'aider dans la revendication de la vérité sur l'origine du premier Pelar- gonium zonale double. J'ai écrit dans les ис anglais, et particulièrement dans The Garden, que le premier noue p double fut trouvé à Clermont-Ferra ne comment, et qu'il y existait редки plusieurs années lorsque M. Chaté est allé l'y cher- her. Je tiens ces renseignements de notre regretté H. Lecoq et j erer? Mais voilà que M. Laxton écrit dans hi | 1 LAPAGERIA ROSEA Ruiz & Pav. FLORE ALBO. meridional volumes de la 2059-60. LAPAGERIA ROSEA xr ALBA. Smilaceæ 5 Philesieæ. СНАВАСТ. GENER. et SPECIF. — Vide supra, FLORE, V, р. 491. Bien que nous ayons figuré déjà le Lapageria rosea dans l'un des premiers FLORE, nous avons pensé qu'ayant à en publier la variété à fleurs toutes blanches, nous pouvions, sans inconvénient, les associer ici et, en en tressant les fleurs, montrer une fois de plus combien sont luxueuses ces deux admirables plantes de simple orangerie, qui passent nos étés dehors vec nos Camellias, la culture de ces deux genres de plantes étant absolu- ment la méme. Il semble d'ailleurs que les Lapa- geria et les Camellia, bien qu'originai- res d’hémisphères différents, mais crois- sant à des latitudes quasi identiques, les premiers au Chili méridional,les séconds en Chine et au Japon, trouvent, dans leurs régions respectives, la moiteur de Yair et une sorte de terre tourbeuse similaires qui leur conviennent, car ici, placés dans des conditions semblables, ils rivalisent de vigueur et de santé. L. VH The Garden que double existait, i établissement horticole de Belgique. Il ne dit pas où ni lequel. Pouvez-vous me renseigner à cet égard? m'obligeriez J'attendrai votre réponse avant d'en- voyer ma réponse au journal anglais. Je suis certain que vous étes de mon avis, qu'il faut exciter la curiosité des hor- tenir note de le- Pelargonium zonale a dan [2 D les publier, car sans l'imprimerie toutes les sciences seraient encore dans l'obscurité. + 2083. Sa VIE, rédigée sur les documents autographes issé grand homme, et suivie de sa correspondance avec les principaux naturalistes de son époque; par A.-L:-A Fée. vol. in-8°, тв pages билип) агне des Mémoires de la Societe roya Re Selene і de Lille: publiée séparément à Paris еп 1832, chez Levrault et Treuttel et Wurtz. Aucune histoire de Linné n'existait dans notre langue; c'était une lacune que M. Fée a cru devoir remplir; car si la vie nd écrivain, et surtout d'un natu- raliste, est toute entière dans ses œuvres, Comptant sur votre obligeance, je vous serre cordialement la main. Votre dévoué Collègue, JEAN SISLEY. adresser, lettre la publicité de la Fiore, pour le cas ой il se trouverait parmi nos lecteurs quelqu'un qui put affirmer ou infirmer le fait avancé par M. Laxton au sujet de l'origine du Pelargonium double. L. VH. LINNÉ. Linné, par luniversalité de ses connais- par limpulsion quil imprima i ment aux diverses branches des sciences d'observations, par sa correspon- dance active avec ses contemporains, méritait en outre les honneurs d'une détaillée. Déjà l'Allemagne 30 s les mains d'un curé de province qui avait été chargé den faire une traduction en anglais. La seconde biographie, écrite par Linné lui-même et publiée encore par Afzelius, est la plus complète de toutes, car elle va jusqu'à la fin de l'année 1776, et l'on sait que la mort du grand homme MISCELLANÉES. poser un fort volume qui sera lu avec le plus s intérét par les savants de toutes les clas L'auteur partos son ouvrage en quatre es qui à lannée 1707, et finissent en 1776. I 272225 Py <о да Fern! fy sien ға alae нін Әд‏ مص Er Mm (1) ande ша асқаны, Late Sls anne eut lieu vers le commencement de 1778, année où les sciences et les lettres firent d'autres pertes douloureuses. Ces écrits, joints à l'analyse des préfaces de plusieurs ouvrages de Linné, oü l'on trouve les dates bonde sants, ont fourni à M. Fée matiere à com- си, 22 SE а Lay, renferment age l'histoire des principaux événements de la vie privée de Linné, et celle de ses succes scientifiques. concis, sans être entièrement Bn d'images, dans lequel ils жан rédigés, et На Зб ОО (1) Fae-simile d'une lettre de ІлххЕ à BERNARD DE JUSSIEU. EVE LILIUM (Hybr) KRAMERI. : 2. Japon. Plein air. Ў т х 2061—62. LILIUM (нувв.) KRAMERI 7. D. Ноок. Liliaceæ. СНАВАСТ, GENER. - Vide supra, FLORE, H € HARACT. HYBR. — L. caule gracili erecto simplici 4-pedali tereti viridi fusco leviter striato, foliis sparsis horizontalibus breviter ris supr flore solitario terminali inclinato v. horizontali 5, D poll. diametro albo pallide roseo v. car eo, perianthio infundihuliformi-campanul ato, 0, еүзаёина бий авгоїаНн subacutis epapillosis supra medium revolutis, staminibus declinatis, ае tie БОЭТ Омог polline ferrugineo, stigmate vir Lilium ER Krameri J.D. Ноок., Bot. Mag., 6058, icon hic iterata. Ce Lis, introduit du Japon par MM. Teutschel, agents de M. Kramer, conformément à eroient qu'il serait un intermédiaire entre le 2. speciosum (lancifolium des Зи) et le Z. japonicum.M. Wilson avance que son feuillage et l'odeur de ses fleurs le confirment dans cette opinion, mais qu'il serait désireux de savoir quel aurait été le porte-graine dans cette copulation. A cette question que nul ne résoudra jamais, il y en aurait une autre plus raisonnable à adresser à cet excellent amateur : c'est celle qui aurait trait 4 la forme du L. japonicum qu'il fait. intervenir ici, alors que le prototype de cette espèce est jusqu'ici un mythe pour tous ceux qui se sont évertués à chercher à dex découvrir. Се n'est pas le 2. odor (Еговк, IX, 53) que M. Planchon s ‘est efforcé d'établir, Lis malingre, pauvre étalon, né à la suite d'un travail de armés fort long, dans lequel la galerie n'a guère joué que le rôle de tourne-feuilles, et qu'est venue singu- lierement simplifler la révision du genre Lis, entreprise dix-huit ans plus tard (1), ой bien du monde est rapporté à à un type commun. Et puisqu' il est présu- mable que, dans cette génésie, le dévolu sera échu à un solide coopérateur, Гар- parente robusticité du produit le faisant pressentir, il ne serait pas téméraire d'émettre l'hypothése que ce pourrait bien être le 2. Browni (Fiore, I, 257) qui aurait joué le róle de procréateur dans l'occurrence, puisque, à l'aide d’autres attaches (Gardeners’ Chronicle, 1871, 903), notre beau 2. auratum (FLORE, XV, 57) aurait des ascendants similaires. L ҮН. (1) J. б. BAKER, Е. S. A new Synopsis of all the eng Lilies SCH Chron., 1871, 104, 201, 479, 708, 903, 1325, 1422, 1651. que, idm notre avis, la traduction n'a pas décoloré. Pour compléter les Mémoires , M. Fée a ajouté un chapitre Derniers instants de la vie de Linné, dans lequel on trouve une cou noticé sur ce quil fit les deux dernières années de sa vie, années, il est vrai, pour la science, et pendant les- quelles Linné fut presque constamme malade et finit par perdre ses facultés пеон е Second livre contient la correspon- Ф dance de Linné avec ш naturalistes de plus faible 225 de collés écrites par ce dont la correspondance était si prodigiensement. active qu'il man- dait à labbé rite! 8 que dix mains comme la sienn urraient. suffire à répondre à toutes les lettres t lui sont adressées, et que quiconque le verrait 39 MISCELLANÉES. pourrait croire qu'il ne fait autre chose universellement Sec Па correspon- М : imile de ces divers suite de la correspon- dance, l'auteur place les т de Linné sur quelques botanistes céle ,M. “Fée donne, liste qui, sin auteur systématique et nomenclateur, écri- vain, etc., offrent plus d'utilité pour le lecteur, et ce travail e M. Fée semble un de ces éloges académiques destinés à étre lus devant une gode de savants et de gens du monde. Aux uns, il rappelle ce que le mérite de Linné бебе de plus saillant; pour les autres, il fait ressortir u d t écrivain, ncore pour les savants que M. Fée a Буу son chapitre intitulé: Geng de Linné. En sa qualité de pané He il Ca défend contre les eg de neipaux n Ce tte tâche était ae од à re nvie, cet passion basse qui porte plus ordinairement à la critique que le but de servir la cause e la vérité. M. Fée présente ensuite plusieurs ren pleins d'intérêt sur Linné éré dans sa vie privée, sur ses Gaston, son herbie etc. Enfin, le quatriéme а ' dernier livre renferme la bibliographie oü les écrits de Linné sont énumérés chronologiquement depuis 1731 jusqu’à Ga ши ajoute des notes analytiqu tenu des ouvrages les plus rerase iab 8: il indique aussi les éditions qui en ont été faites. Le nombre de ces écrits est très- considérable; mais il faut envisager que M. Fée уй px les théses qui ont été de ce grand naturaliste, qui avait l'habi- tude de jeter ses idées sur d'étroites lan- retrouvés sont publiés dans l'ouvrage de . Fée. Ce sont, pour la pe des kh ceu très-abrégées d'animaux, et urtout d'insectes. On n'y eme que o ur le Crinum asiaticum, caractères réformés du genre Schmidelia. (GUILLEMIN, Archives de botanique). T 2084. ROBERT BROWN. Son Leier à la place Geer étranger de dm stitut = France eg par i m es de divers ordres, ore | it associés étrangers Toutes les fois que la mort efface un de » le nom qui parait le plus illustre hors de France dans le monde savant : aussi parcourir la liste des associés étrangers de l'Académie de- pnis sa fondation, c'est passer en revue s les hommes dont le souvenir se lie à histoire des grands progres de l'esprit les Newton, les Leibnitz, les Euler, Ai Linné, les Haller, les Volta, etc La science que nous cultivons peut done s'enorgueillir de ce qu'en ce moment, de ces huit élus entre toutes les illustrations scientifiques, deux sont MM. De Candolle et Robert Brown. C'est dans sa séance du 4 mars dernier, eos SARRACENIA PSITTACINA Mchx. = Sud Etats-Unis Plein air 2063. SARRACENIA PSITTACINA Міснх. Sarracenieæ, v SL OT. GENER. — Vide supra, FLORE, HARACT. SPECIF. — Foliis abbreviatis поена extus glabris, tubo е basi angus- tata o ovideo dorso incurvo-flexuoso ventre ala Е non ventricoso et ubi ala latior cum ea 12- 16 mill. e lone cucullato 2-3 cent. longo, sursum obtusissimo, un . purpurea ad- modum iffert. Maeulze hid in lobo et circa faucem frequentes. Scapus in specim. meis ugel. 2 decim. altus. ide fere S. purpureæ. Pons ‚obovato-oblon Lobus folii саро psittaci refert. In Georgia et Florida, (Rugel) et Louisiana. DC., Prodr., X Sarracenia psittacina 4 5 4. дог ЭЭ ұсы Mis. N. Y d, p. 105; Ton ҒА SEE 59; MAST. Gard а 1866, >. Se ы dg. folii. Sa OLATA Transact. 25 phil. Ev "аг. p “ТҮ, 49,1. is (fide auct.). ARRACENIA PULCHELLA CROOM. in Silim. Cape ; XXV, Т9: Tandis quele Sarracenia Drummondi (FLoRE, УІ, 81 et X , 289) a pour habitat exclusif les rivages qui baignent les Antilles, depuis l'embouchure du Mississipi jusqu' en Floride, le Sarra- сета psittacina et le 5. rubra, ont une aire s’étendant de ce dernier Etat jus- qu'en Géorgie Фой nous les tirons; le S. variolaris et le 8. flava, se rencon- trent jusques dans la Caroline du Sud. On pourra, si Гоп veut, se donner le luxe de les cultiver en terrines recou- vertes de larges cloches,légérement sou- levées par le bas à l'aide de cailloux, ce qui leur ménagera un peu d'air et assez d'humidité pour que les arrosements ne doivent pas leur étre trop multipliés. L. VH. que l'Académie a nommé M. Brown. Sur 47 suffrages, il en a obtenu 29; des autres se sont partagés entre ses concurrents dont aucun n'en a réuni plus de 7. C'étaient MM. Bessel, de Buch, Faraday, Herschell, Jacobi, Meckel, Mitscherlich, Œrstedt et lana. Qu'au milieu de tant de travaux brillante dus à ces ане auteurs, ceux de M. Brown aient su fixer particulière- ment l'attention et rallier la majorité de l'Académie, c'est ce qui n'étonnera pas nos lecteurs, accoutumés sans doute pour la plupart à l'étude de ses ouvrages. Il nous suffit donc ici de les rappeler briève- Wk en insistant sur les résultats es nous arréter aux r M. Brow M. Brown abandonna de bonne heure la pratique de la médecine pour la botanique, vers laquelle l'entrainaient un сой une aptitude particulière. Il accompagna le capitaine ыы» aux terres australes, et, revenu en Europe, il s’occupa de la publi- cation de la Flore de la Nou velle-Hollande. onde savant un grand botaniste, et la Visite fut la plus prompte à le reconnaitre. Il est vrai que l'auteur était le premier, hors de notre pays, qui sortit du cercle étroit ой s'étaient renfer- уч de sentir qu'il était parfaite- ent compris, par cela méme qu'on la modiflait en Em Sans doute, 5 34 MISCELLANÉES. un habile botaniste, rien n'était plus propre | la combinaison des rapports naturels, que à exercer et à démontrer la sagacité dans | l'étude des plantes de la Nouvelle-Hol- 2223 A (где. ж; Жж” 7 ЖО? | 27” pe 8 PAY TE Ir Perd (Ee LU a An E а об 2 the AP qu ӨТ” À тэлэх зон و‎ ра 4 2 Arm ЕТ KH ot К л. Cay 7e CF ara Ter SE Ten 42, м хэ? I АҒ, АС А ar лке A Ze, : HEFTE ға Jemen Ace T | fewer pur. CYPRIPEDIUM JAPONICUM Thunb. 2 Japon à Plein air 2064-65. CYPRIPEDIUM JAPONICUM Тнохв. Orchidaceæ-Cypripedieæ. HARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, ш, (1847) 186. ARACT. SPECIF. — С. foliis СӨЗДІ suhrotundis suboppositis n. nervosis. Cau res, erectus, villosus, pedalis. Folia in 585 заре “аш amplexicaulia, subopposita, sub- tunda, acuta, sinuato-undulata, nervosa, aes Ser lata. jene florem foliolum sessile, solitarium, oblongum, acutum, inte- grum, vix pollicare. Flos terminalis, solitarius; magnitu ine floris calceoli Cypripedium japonicum THUNB. Fl. jap. 30. aponice : Fotei So, it. Kumagaji So. Crescit prope Iedo. C'est 1а premiere fois que cette евресе . nous arrive du Japon dans un état comparativement vivant; ses rhizomes avaient toujours jusqu” ici succombé aux fatigues d’un long voyage. La planche que nous en donnons est le Sac-simile d'une peinture que nous a envoyée M. Teutschel. L. VH lande, de ces plantes si différentes de сеПев des autres grands continents par leurs i leur organisation, de ces plantes qui ne nous apparaissent que comme sous le masque, suivant l'e 8- de ces végétaux, de quelques groupes naturels, M. Brown a continué à donner une foule d'apercus neufs sur les familles, sur r leurs limites, leurs rapports ef mpositi de l'inflorescence (Mém. sur les уш дын, celle de шэн des en es v egetaux (Мет. sur les Raflesia), celles qui inté- ress eg r géo graphio botanique (divers n va- с comme ceux de la préfloraison (Prod. FI. Nov.-Holl.), des stomates (Proteac. Nov.- Ной.), etc. Dans ces dernières années, la questi mais bien pleins (Kingia. — Asclepiad.), dans lesquels Па fait con- naître le double élément да probléme, l'organisation de Гоуше d'une part et du pollen de l'autre; et l'on peut espérer de voir bientót éclairci le mystère tte fonction par les beaux travaux des is de diverses nations, de la nótre pa e qui développent et étendent 10 sie RE les principaux titres de M. Brown à ladmiration des botanistes, comme classificateur, — eme graphe et physiologiste, c'est é ceux qui lui ont valu le suffrage d ГАса- démie. Félicitons-nous d'avoir trouvé cette heureuse occasion de placer ici son éloge ; celui des autres botanistes n'est ordinaire- ; е nous avons 8 terminons n exprimant le désir qu'elle continue à i qu'elle les multiplie, et en ra Brow sieurs de ses travaux complément qui ne = іден étre laissé à d'autres mains qu'aux es. “сэн oup de plantes de la Nouvelle- Hollande se trouvent — de la main de M. Rob. B un grand nombre | d'herbiers. Il nous а сөй» semblé utile de joindre ici un авоии de son écriture. Ajoutons que Robert Brown, que Hum boldt appelait le Prince 27 botanistes, e? mort а Londres, en 1858 Жо. MISCELLANÉES. t 2085. LAMARCK. — HISTORIQUE du chevalier DE LAMARCK, x G. Cuvier. Lu А PAcadémie des Seiene s de Paris us la séance publique SC? rs 18: аста пе ре Мох- NET, autrem appelé le chevalier DE AMARCK, папой à Bazantin, village de Picardie, 139 Albert et Bapaume, le üt 1744. Il était le onzième enfant ncienne maison de arn, dont le patrimoine peu considérable par lui-même, se trouva tout à fait dispropor- tionné pour une si nombreuse progéniture. L'Eglise offrait alors des ressources et quelquefois une grande fortune aux cadets de familles nobles; M. de Monnet y des- tina de bonne heure son jeune fils, et, our lui fit commencer ses études au collége ч jésuites d'Ami iens ; hgag Depuis des siècles, пазен sur la bréche au siége de Dee op ue e aurait pu renoncer à suivre de tels . exemples. Son pere résistait cependant; mais ce bon vieillard étant mort en tout passeport, d'une lettre régiment de Beaujolais. On peut se figurer l'humeur de cet officier en se voyant ainsi embarrassé d'un enfant que sa minechétive son 1 e бозы. et devait attaquer le аднака l'armée alliée commandée par le prince .— de Brunswick. Des le point our, M. de Lastic por: : combat, la compagnie ой était M. de marck fut placée dans un lieu où elle зе | trouva exposée à tout le feu de Г аг ennemie. Dans la confusion de la on l'y oublia. Déjà tous pe oficiers, наве уг étaient tués il i au jeune volontaire, devenu si prom ent le commandan cette miens troupe. « On неш poste, répondit l'en colonel, voyant que cette com ralliait pas, lui envoya une даан qui se glissa par toutes sortes de senti couverts pour arriver jusqu'à elle. trait de fermeté ayant été rapporté maréchal, il fitsur-le-champ M. de La peine bien | que ses instructions lui pre mps aprés, M. de Lamare ance; mais 1 militaire. les suites ` dérangement grave qui, por battu sur les lieux, Гоцев, 4 Paris se confier à des mains TROPÆOLUM POLYPHYLLUM Cav. % Chili. Chassis froid. 2066. TROPÆOLUM POLYPHYLLUM Сау. Tropæoleæ. НАБАСТ. Ce — Vide supra, FLORE, 11 Wée janv., CHARACT. geg — Т. foliis Bet sectis, segmentis 5-10 oblongis obovatisve sub- dentatis basi е petalis штен» calyce sublongioribus obtusis iniegersimis. In hilensi monte Cordillera. CAY., Ү, р. 65, t. 395. sec. DC., Prodr., I, 684, n Tropæolum рогуръуНиш Слу. Toute une jih: à l'air libre, garnie de cette espèce de Capucine à racines tubéreuses, quasi-rustique, est, admirée ici chaque. printemps par les visiteurs qui s'extasient devant l’extrême beauté de ses longues guirlandes glauques, gar- nies de feuilles élégamment découpées, en festons, bizarres de forme, toutes farineuses et qu'embellissent de SE fleurs jaunes de trés-longue La multiplication du ШУА poly- Phyllum, par tronçons de tiges souter- raines, est facile, et nous pouvons en disposer en quantité pour toutes sortes "usages س БТЕ Les soins de divers chirurgiens’ renommés us de succès, et le danger e, feu enon, avec sa sagacité ordinaire, reconnut le mal et y mit fin une solitude ой il eut tout le loisir de se livrer à la méditation La profession des ‘arme 8 ne lui avait pas fait perdre de vue Pendant som séjour à Monaco, la végéta- tion singulière de cette contrée rocailleuse coup plus haut qu'il aurait voulu, nuages, qui faisaient presque tout son spectacle, lui- inspirèrent par leurs divers aspects ses үгээ idées de météoro- logie. C'était plus de d qu'il n'en fallait 2 echauffer u &active et акад ale. II comprit pi Medias "Voltaire Fa dit de Condor- Cet, que des découvertes durables pou- vaient lillustrer er, qu’ une com- Leg d'infanteri il trouvait ieren sion "camarades: Cette nouvelle résolution n'était guére moins courageuse que la première. Réduit dant qu'il eût le temps d'études eene? il bius диета pour vivre dans les bureaux d'un banquier. Ses médita- tions, les contamplations auxquelles il se livrait, le consolaient cependant, ‚et quand er de l'histoire naturelle en recollant, our les porter, les vieux souliers de ses Enfin, a mis dix savants par un ouvrage d'un plan neuf et Sand СОВИН, pleine d'intérêt. Depuis longtemps, en suivant les hér- Poriadny ou en visitant le Jardin du oi, il se livrait, avec eeux qui étudiaient 6 38 MISCELLANÉES. la botanique en méme temps que lui, à des discussions vives sur l’imperfection de tous les systèmes de distribution alors еп vogue, et sur la facilité d'en créer un qui conduirait eng sürement et plus prompte- ment à la détermination des plantes. Se amis, par intérêt pour lui, le défierent en quelque sorte; il s prin à Na prouver son dire par r le fait, e mois d’u ви, зэр relàche, T e écrit sa Flore franca VU rage n'a ni la prétention d'ajou- ter des espèces à la ae de celles que l'on d Fran е в rales, divisant et su lec pour peu qu'il entende le langage descriptif et quil fasse usage de ses yeux, le conduit, dis-je, comme par la main, et le fait arriver inévitablement, éme en s'amusant, à la détermination om. Cette put, en le prenant pour guide, se croire botaniste. n livre paraissant à une époque ой la ie était Hn une eim 5, la presque sans exemple, CH fit donner par le roi, en 1779, la pre- dissent ; férence sur M. Descemet qui était présenté ngue vie, place que cette espèce de passe-droit lui mot, le pauvre rare, et surtout alors, ponies: de la faveur de la cour et de celle du SE de M. de Buffon lui valut un autre avantage; désirant faire voyager son fils, qui venait de terminer ses études, il дара à M. de Lamarck de lui servir chargé de visiter les jardins et les cabinets étrangers, et de les mettre en , pendant une partie 1781 et 1782, 1а Hollande, l'Allemagne ей la Hongrie. Il vit Gleditsch à Berlin, Jac- i Murray à Goettingue ; il pays étrangers, et dont les nótres n'ap- prochent pas encore, malgré юэ ce qui à été fait pour eux depuis trente de M. de Buffon, “celle du place que, même sur le point de se voir arracher iiis, se manifestèrent dans l'éta- blissement; on demanda méme à la Con- tanto Gon де la supprimer, ce qui se voit par deux brochures qu i fut obligé 5 er pour la défendre; et si, quel- années 0. 22 il obtint une cef un peu пв précaire, ce ne fut qu'en erg Жао» une fois de vocation. En 1793, le jardin et le Se du ын urent reconstitués sous le titr séum d'histoire naturelle; tous les елер naires supérieurs furent faits do age ei rgés chacun bog la branche «еп- et cha seignement le rapport avec leur plus emploi précédent ou ge études person- nelles, et M. de Lamarck, plus nouveau Hort. MAXIMOWICZI. ARALIA | Rustique comme un chêne. — Port étrange, tige très-épineuse, feuilles longuement PM, en éventail, d'une 71 élégance extrêm EB Ces айыны. à à feuillage flabelliforme ‚sont d'autant plus recherchés J'ornementation de nos jardins que rien ае pareil n'existe dans notre Flore locale. Pour imprimer à la végétation de nos pares un caractère exotique, nous devons recourir à d'autres zónes, еп donnant un abri protecteur, à l'en- trée de nos hivers, à tout ce que nous empruntons aux régions plus favorisées température. Г avons eu Хүнээр chance ЖЭЛ une verdure très-pittoresque et qui tranche sur tout ce qui l’environne, sous le rapport de la douceur de la 2067—68. ARALIA MAXIMOWICZI : Il doit désire) des parages les plus septentrionaux du Japon, et, répétons- le, il est rustique comme un Robur. C'est le produit d'une graine unique qui semble s'étre fourrée en tapinois dans l'un des précieux sachets si libérale- ment distribués par le D" Regel et qui provenaient du voyage au Japon du D" Maximowicz ; car le savant deeg du Jardin impérial de St-Pétersbourg, frappé d’étonnement à la vue de cet arbuste, nous déclara qu il lui était tout à fait inconnu ; qu'il n'avait nullement paru en Russie parmi les provenances. du célèbre explorateur. Le D" Decaisne, du Muséum de Paris, qui honora, lui aussi, notre Etablissement d'une visite, nous fit une déclaration identique. Nous nous sommes donc cru autorisé à orner la belle inconnue d'une dédicace provi- soire, rappelant le nom de son illustre introducteur. L. VH. l'avait divisé, à ce SC оп appelait alors les insectes et les Il avait E юм де cinquante ans, et | peut-être plus duse а tout | се quil. a publié sur la botaniq (Ісі Cuvier donne quelques Ge sur les travaux zoologiques de Lamarck ; mais, malgré l'intérêt qu ‘ils | nous signaler le mérite de Lamarck sous le rapport posae éier Nous av e M. de Lamarck s'était livré. KE à la oli: Dës les pre- Ge 7%» “зовж célebre M. Latreille que l'Europe reconnait pour son maitre dans cette immense partie de lhistoire naturelle; bientót il se vit menacé du pl nd malheur qui puisse frapper un naturaliste : des nuages qui s'épaississaient par degré, mais sans ré- mission, sans relâche, ne lui laisserent plus apercevoir qu ‘obseurém ent toutes ces ee gree dont l'observation faisait sa seule jouissance. Aucun effort de l'art ne par ar linvasion de се fléau ni y m r remède. Cette lumière MISCELLANÉES. 40 malheur d'autant plus complet qu'aucune qu'il avait tant étudiée Іші échappa entie- rement, et il a passé plusieurs de ses | des distractions qu'un peu d'aisance aurait dernières années "D une cécité absolue, | pu lui procurer ne lui était permise. om ага on. ч) animaux Cowes eg aseo да yegelaux parcile wesl Оноре, dëi WE a ad d | & да ЭРЭЭ” Бер ` Соку баи CERTE yoly Sei t u | eges ) s : 8 | ; ; y дих сөздей “ «Ус, Cougs (e SU gts i| Ca di dus Yeung uc adhe | ls uu} aux aal v М 2) па : ie Ge Communi “де ا‎ ай LAN Interieur, е “Л съ Pen “à u b | | d Ve 7, ue Ale Commune, Ce ЗЕ рам! 2, DU Ps d 4 ex eu poles ) dent, € auff Хук deu Уеа как дері; Se Vigeant дө Ақы 4-1, « SECH | pt Г ! | 26 en Compares , gta Jive Cons las ауу individ, j^ dran" en au fe d кави Ont |) им, "m ly а ди yu Со M > ЧОЙ. x 57 иа де Со — £ 1 prio enh a une rie Ouman. 2 Jas е e à ` E D o medio qua а lue энд ань 4 Giel, Py e пета P d T / jt и l е хас animaux ВА б: ( 1814.) dek Er “ 2) dai, % ‘des Олд. arc А NI инт MANTISIA SALTATORIA Sims. 2 Inde or. Serre chaude. CHARACT. GENER. — Anthera duplex. а lineare, longissimum, apice bilo- atum asl tege SPECIF. — Rad. perennis, fibris copio ‚carnos is DEIER Caules annu i, ad latus inclinati, ‚ 1-2 ped. Folia alterna, bifaria, ad Гаты sessi- lia, lanceolata, acumine longo, filiformi, mar- | cido, utrinque pubescentia, 69 poll.,1 i lata. igula truncata. Бо я 8 о 2 = GD 3 Panicula erecta, pedalis cum pedem fere lata, læte purpureo cationes alternæ, longæ, Ee, ei десен ев, -o:ornlea. Ramifi- floribus numerosis successivis alternis sessi- libus parvis, lzete purpureis ее “Bracte® solitariæ, dilute purpureæ, gl is oblongæ, ad flores cordate. Flores’ solitarii, sessiles in axilla bracteæ. Cal. clavatus, glaber, dilute purpureus, 3 dentatus, cum tübi corollæ dimidio 8 Таһ is unguntur, cadit, inferiore ee js Limbus tripar- 2069—70. MANTISIA SALTATORIA Sins. Scitamineæ. titus : lacinia superior erecta, basin dorsi fila- menti premen колец, navicularis; inferiores 2 oblique cordatæ, exæ; omnes dilute purs pur ере vii текс laciniis limbi exterioris majus, intense auran- um “лэн gracile, Lahinm UR. basi alis 2 Léna gracilibus, planis, diver ibus, recurvis. À lis renifor- ibus. Germen ovatum, costis 9 longitudina- libus, ^ loculare. Stylus gracillimus, receptaculo infun ibulifo oblonga, villosa. — Panicula radicali; filame asi ala utrinque subulata; antheris semiluna- ribus, alatis Вохв., Fl. ind. 5 4 (sub &ronna SUBULATA!) — MANTISIA SALTATORIA SCH T 2 ag. 5 ера Ste Enc., Suppl., REA ANDR. پو‎ a ER 117 (846: See "Obs. ій Кохв. et "WALLICH., 1. c.). — GLoppa RADI- carıs ROXB., tat. Research., XI, р. WEET., Hort. suburb., 2. — A la recherche de dróleries, nous avons mis la main sur un exemplaire de ce petit DANSEUR, égaré depuis fort longtemps. Nous l'avons multiplié de graines et nous en offrons des exem- plaires dans notre. Cat. n° 155, р. 197, à 5 fr., sous les noms de Globba salta- toria, Mantisia, Opera Girl, Danseur. Marié quatre fois, père de sept enfants, et méme ses premières économies 8 quelques-uns de ces placements hasardeux, appáts trompeurs si souvent offerts à la crédulité par des spéculateurs sans honte Sa vie retirée, suite des habitudes de sa jeunesse, sa po dans des systèmes peu d vec les 8 qui dominaient dans 1 ences, Жалсан рав lui concilier la faveur des dispensateurs des grâces ` a lorsque les infirmités ва nomb enées par la vieillesse, eurent re, accru ses оа, toute son existence se Sciences, attirés par la réputation que lui avaient value ses ouvrages de botanique et de zoologie, voyaient ce ee ere quin avec surprise ; il leur semblait п gou- vernement protecteur des sciences aurait 32 avec lequel се vieillard illustre supportait les atteintes de la fortune et celles de la nature ; ils мо surtout le dévoue- ment qu'il avait su inspirer à ceux de ses enfants ЫН étaient demeurés auprès de lui. Sa fille ainée, entièrement consacrée aux devoirs de l'amour filial rar des années entières, ne Га pas quii tté un in- stant, s'est prétée à toutes les цав. qui pons suppléer au défaut de sa vue, a crit sous sa dictée une partie de ses 42 La unse, les bractees et les fleurs en sont bleues, et le labelle est d’un beau jaune. Son nom dérive de ce que ses charmantes fleurs miment fantasti- quement des danseurs qu'un fil ténu comme un cheveu met en mouvement à la moindre secousse qu'on imprime à la plante; leur ensemble simule un corps de ballet Nous tenons M Sie рийн en serre chaude. Nous en mettons la ra- donnons un compost formé de terre franche et de terreau de feuilles, mé- MANTISIA SALTATORIA Sims. langé d'un cinquième de sable. La plante a terminé sa période végétative vers la fin de septembre, époque à laquelle on cesse de l’arroser, pour la remiser sur quelque tablette dans la méme serre, mais à l'abri des rayons solaires, en ayant soin toutefois de ne pas laisser la terre se dessécher com- plétement. En mars, on la rempote et on la place sur une couche tiede; et quand elle entre en végétation, on la E ргев des jours en serre chaude, o elle se met à fleurir dès avant болн rition du feuillage. Nous cultivons de la méme maniere le Mantisia Rezli, dont les DC sont jaune d'or vH. derniers ouvrages, n'a pas cessé de Гас- , 8a fille ainée ne quittait plus la Tai A sa premiere sortie, elle fut incommodée par l'air libre dont elle avait perdu l'usage. S'il est rare de porter à ce point la vertu, il ne l'est pas 5 que d'avoir raconté ce qu'ont fait pour lui ses enfants. M. de Lamarck est décédé le 18 46- cembre 1829, à Гаре de quatre-vingt- cinq ans La plac e que M. de Lamarck occupait à Get a été donnée à M. Auguste Saint- Hilair t, Cuvie а fait ressortir les traits les plus saillants ela vie du célèbre Lamarck; mais en parlant de ses divers ouvrages, il a peut- étre trop insisté sur ceux qui ne tournent pas à la gloire de ce grand naturaliste. n notre qualité в avons beaucoup regretté que. Cuvier n ‘ait fait aucune mention d'un .in-4 sont entièrement de ouvrage qui seul aurait assuré la réputation de Lamarck; nous voulons parler de la par- tie botanique дег робне п dont les premiers volumes, entier dus à à cet auteur, sont le fruit de date sur les genres de plantes, leurs affinit te. L'Encyclopédie, malgré son époque déjà ancienne, est encore un d Tages journellement et dont ils tirent le plus de — ements. . в ajoutons ici la liste des опугади on puisse reconnaitre les WEE d'espéces et les obser- vations qu'il a laissées dans les herbiers. LiSTE DES OUVRAGES DE BOTANIQUE PUBLIÉS PAR LAMARCK. 19. Encyclopédie méthodique. Botanique. Les quatre premiers volumes de ce: grand ouvrage de Lamarck, à l'exception du troisième où quelques articles sont dûs à D a paru en. 1783; Phistoire | de la botanique, et les ромын EE off. LY oe BA wi INDICA itch AZALEA Van Houtte . ( гоша | ( John 2071—72. -AZALEA INDICA JOHN GOULD VEITCH (Van Носттк). L'un des plus beaux gains que l'Éta- blissement ait jamais obtenu, possédant toutes les qualités que l'on exige de nos jours d'une perfection. Il a été primé par le jury de la Société royale de Flore de Bruxelles qui a, en outre décidé i un de ceux que portait le programm Léier: ` SIGISMOND RUCKER, mis en vente l'an dernier, devance de quel- ques jours l'Az. JOHN бош VEITCH. Tous deux au port exquis, au feuillage superbe, se mettent toujours franche- ment en boutons et appartiennent à cette catégorie de variétés râblées qui 8 EE naturellement au premier printemps 8 le secours d'aucune chaleur artificielle. Dans notre nouveau gain, les fleurs sont encore plus grandes et les stries rouges plus accentuées que dans l'Az. UE Rucker de facture si magis- ie deux gains magnifiques ont done été doublement couronnés par le jury de Bruxelles aprés l'avoir été à Lon- dres, à Gand et à Liége; ce quadruple triomphe а été partagé par l'Az. Сом- TESSE DE BEAUFORT aux riches macules un cillet, par l'Az. Louise DE KERc- HOVE le bijou de la famille, l'autre étant dédié à Mad. la COMTESSE DE KERCHOVE, par l'Az. VUURWERK au bois un peu mince, qui réclame 1a vigi- lance du cultivateur et beaucoup de seringages; la floraison de ce dernier est hätive, de méme que celle de lAz. BARONNE DE VRIÈRE aux rares stries roses sur satin blanc. Quant à PAZ. BARONNE DE ST-GENOIS, c'est, au contraire, un de ceux qui clóturent la saison: ses fleurs s'épanouissent pen- dant toute la durée du mois de mai. Li чи. la lettre Aal jusqu'à Chou. — Le seco e TI 74 pages, a été publiée en 1786; il contient = acca jusqu? or ages, va da Par ticlé Gortère de 7 articles depuis Mauvisque jusqu'à La de l'Encyclopédie кла у мон is les Suppléments, а été continuée par M. Poiret : elle forme un total de neuf volumes in до, Illustration des genres. Deux volumes de texte сай -4, 1791, 1793 е 55 suivantes; es gravées sur cuiv а été мэн continué par М. Poiret Flore francaise, ou Description succincte de tos les plantes CH SE pe urelle- rance, disposée ouvelle méthode d'analyse, et à Adae m a joint la citation de leurs vertus les merie royale, publiée en 1793. La troisiéme a paru 3 Lamarck а eu pour collaborateur dans cette derniére édition M. De Candolle qui l'a 49. Extrait de la Flore. française, un volume in-8. Paris 5°. de l'Académie ies Sciences de Pari Won page 342). 6». oires sur les classes les plus conve- nables à établir parmi les végétaux, et sur l'ana- ans le règne — al, ayant égard de part et utre à la perf ction eng organes. (Mémoires de l'Académie, 176, 437). 9, Mémoires sur le deus muscadier (myris- tica). (Mémoires de l'Académie, 1788, page 148). s autour du monde su м 1 observations les po essentielles à faire en botanique. Lu à la té d'histoire natu- relle en 1791. (Bulletin de ща Société philoma- 1 2086. NOTICE BIOGRAPHIQUE SUR H. Ruiz premier botaniste et chef de P'Expédition да Регоп et du Chili. (Extrait d'un oprane anglais intitulé : An Historical Eulogi on Don Hippolito Ruiz Lopez, etc., hate Лот the spanish; publié en 1831 à Salisbury, chez W. Brodie). L'éloge historique de Ruiz a paru à Madrid en 1815; mais l'ouvrage étant devenu rare, M. Hatcher de Salisbury, en a fait une traduction qui vient d'étre pu- blige par les soins de M. Aylmer Bourke Lambert. цэ lecteurs verront sans doute avec intérét п seulement за les traits les plus saillants de la. vie dy célèbre auteur de la « Flore du Pérou. Don E Ruiz Lopez était né 16 8 аой% 1754, dans la ville de Belorada. sant en lui d'heureuses dispositions, l'en- voya à Madrid continuer son éducation. П яу желді еп effet, et sous les yeux d'un autre de ses oncles, Don Manuel Lopez, professeur de phar macie dans cette ville, : d'horticul- ture, établie par le roi Ferdinand VI au Soto de Migas Calientes, = fréquenta j jour- nellement le jardin de établissement malgré la distance m Геп séparait et la rigueur de la saiso Don Hippolyte Ruiz avait atteint sa trente-troisiem nee, quand le roi Charles: III rg la noble idee d’une excursion botanique dans les royaumes du Pérou et du Chili, et lui en confia la direction le 8 avril 1777. Les douleurs d'une maladie de poitrine ne purent em- pécher Ruiz d'obéir aux ordres du monar- que et de saisir ауес empressement une ві belle occasion de contribuer à l'avance- ment Ke la science s egen" done le 4 novembre 1777, accompagné de J. Pavon et de J. Dombey, botanistes distingués, et aborda à res 2 8 avril suiv 8 lors commence longue série ps voyages et de ee ces voyages. qui pour- raient M "intéresser кре жойни nos _ MISCELLANÉES. RUIZ. lecteurs, pour ne nous appesantir que su les o see e: hauteurs des Cordillières et des An leurs précipices et leurs rochers n'effraient pas lintrépide voya- geur. Partout où l'appelle l'intérêt de la science et de l'humanité, il ne compte pour rien ses peines et même sa vie. ins ces no Ces Zeg entrepris dans une province en et révoltée contre son Са e excursions courageuses dans des mines dont l'exploi- tation est abandonnée depuis 10 lon 8. est pas encore assez PRES lui de récolter ainsi à ses Sch er les diverses branc tions avec celles de tous les auteurs, dans l'espérance de faire jouir un jour la science de ces documents inappréciables. C'est à Macora qu'il rassemble tous ses trésors ; c'est là qu'il réunit tout ce qui n'a rec incendie éclate dans la ue ses manuscrits, son herbier, les produc- tions naturelles recueillies = les mon- gnes, le journal de yage, les dessins et les descriptions. de үеге de віх cents plantes comparées avec celles de de Plumier, de Jacquin, réduite en 22 les secours que lui prodiguerent deux de ses serviteurs, l'intrépide botaniste, dans un désastre aussi imprévu; mais sentant que, s'il avait fait une perte, il ne devait que mettre plus d’ardeur à ses recherches a réparer, Ruiz continua à A жуды l'intérieur du ра et ne revint en Espagne que chargé des M nen qui devaient assurer sa réputation daus le monde sava : Le 12 бер 1788, il aborda à Cadix. notre botaniste alors tout entier de eier Gë publication. de ses travaux. te gouvernement, IRIS KAEMPFERI. 1018... Alerandre von Humboldt [Siebold ] i 1016... Prof . de Friese [Siebold 7. 2 Japon. Plein air. 2073—74. IRIS KÆMPFERI тев. _Irideæ. Iris Kæmpferi SIEB. fin, on y arrive! — Le D" Mas- | admirables /ris K«empferi, dans le A la ters consacre un leading article aux n° du 11 juillet 1874 de son Gardeners’ Plusieurs graines de ses nombreux envois Pleins d'intérét pour la b e, grand nombre de personnages illustres, de sociétés et d'académies, s'é lus aider de tous leurs moyens la publication de la Flore du Pérou et du Chili. Mais un voir se terminer une si belle entreprise : les fonds consacrés à ce travail fure nt viden largement récompensé Ruiz n'obtint à son retour qu'une faible partie зо honoraires dont il jouis- sait, et cela en violation de l'engagement contracté par le roi Charles ПІ, Зэс s'était obligé à continu ses com- pagnons la moitié du traitement qui leur effet. Le gouvernement, au contraire, avait contraint ces botanistes de poursuivre leurs recherches sept ans au-delà du temps fixé sans les dédommager de ce surcroit de fatigues. Cependant,le temps qu'il n am ee pas à la publication de la « Flore du Pérou, ou dans le laboratoire de Genee dont il avait hérité par la mort T ын oncle, linfatigable voyageur le consacrait au bien de l'humanité par г utiles application à l'économie animale des végétaux re- n chissant la matière médicale de prudeum реа substances médicamenteuses. Non content de rendre service à la ne dissertation sur un mémoire relatif au Quina fand lu par M. Le Roy à la es de Médecine de Paris ; un supplé- t à la Philosophie botanique de Linné, och il travailla conjointement avec Don Antonio Palau era. Le journal 5 son voyage de récit des trois années d'un vie toute laborieuse an "il se proposait de mettre au jour, avait été perdu dan l'incendie de Macora Mais rien ne saurait mieux donner une idée du mérite de Ruiz que la « Flore du Pérou et du Chili, » monument précieux qui réfléchit autant d зонани sur la bota- nique de l'Espagne que sur sa presse, ses artistes et sa littérature. Сөзі surtout à applications à l'économie domestique et à la matiere médicale, d'une grande quantité de caisses remplies de plantes vivantes, il enrichit la science de plus de deux mille dessins et de presque. autant de descrip- tions(!). (1) Son herbier entier, ainsi que plusieurs volumes de descriptions et d'observations ma- et du Pét tpa blige en trois volumes in-fol. Zoé e u quatrième volume sont maintenant dans la pomum d'un Иган», de 7 i 46 IRIS KJEMPFERI Sizs. Chronicle; il y figure une 2 que | depuis de nombreuses années, cultivé M. E. G. Henderson s’est dédié and dans notre Établissement où gra On sait que l’Zris Kengferi est, ' nous le rangeons parmi l'élite de nos Après des travaux aussi multipliés, on | de le compter au nombre de leurs mem- пе s'étonnera pas que tant de sociétés et | bres. Les francais aussi, pendant le temps > Leur V ai түреді de rer peer 2 los Butter, n AN ТУЛ?" gue ert v0 /ғ алийн a С? б Балалр p» dantur t А Д lo fos guste ctt "e vous onrrer da de les dare, Ae EE EE fire 22 term, je 25 28 Gre “е r damy е7 Жж отот а 7222 EE md el eg: Via ee A Volumes TA ; gue 2 ally 4 Covent um veal те Pou Eai» | 4 B а Mahd ге 28 Жл, Roo. d’académies aient prétendu à l'honneur Londres (O. Mese 12, Red Lion Square), Ux en istes a cédé des emplaires res À plusieurs bota de notre Бе адауы ал се. Note du Rédacteur). de leur gong? еп Espagne, surent rendre hommage au mérite éminent du Pianiste du Chili, is plusieurs lettres de Joseph Bonaparte en font foi. SS IRIS KAEMPFERI. 1015. елате lin Siebol.d Siebold 1020) Souvenir Siebold + Japon Plein air IRIS KJEMPFERI Size. plantes de plein air tout à fait rustiques. Notre Prix-Courant N° en relate les variétés disponibles cette - 47 annee, de septembre en mars, et dont es deux planches ci-contre sont des échantillons. L. VH. Entouré de sa famille, cher à à ses amis, manité, quand la тет хэн le psy dans ва Soixante-deuxieme année. Le zóle et l'application avec Wette il dirigeait son dant la durée de son expédition botanique, lui occasionnèrent une grave лоби qui le conduisit au tombeau. Sa pe été vivement sentie en Espagne et ure Bu. горе. хасав par tous les vrais amis de la scie Une lettre autographe de Ruiz nous yant été comm uniquée, il nous a paru u den donner ісі Rae EE ct.) t5 + 2087. CASSINI. N. а) М.Н Cassini, Membre honoraire de l'Académie royale des sciences et de la Société philomatique; par M. LEMIN Descendant direct d'une famille illustre dans les sciences mathémati turée fut d'abord destiné à parcourir la carriere brillante de ses ancétres. Henri Cassini, né en 1781, était, comme il le dit lui-méme dans la préface de ses Opuscules риу See us cinquième et le dernier de ce nom evait siéger à l'Académie des ей желеу mais il ne pas dans les rangs de cette Société célebre au méme titre que ses parents. Des circon- stances extraordinaires, le séjour paisible de là campagne et un penchant déterminé vers la contemplation de la nature dans ses plus humbles productions, firent aban- donner au jeune Cassini = science des astres pour celle des végé t amour Зе la botanique, si vif, si brûlant, lorsque M. С = cM tirer des considérations sur les causes finales, cette doux dis-je, pour la science des vé égétaux de s’éteindre à un âge plus mür, se fortifia davantage quand son devoirs impérieu x de son éta sorte qu'on ne saurait dire si je дейд» instruit le cédait au magistrat. conscien- cieux et ` infatigable. d'autres le soin de faire apprécier les services que Н. Cassini а rendus à la Société dans les divers g е la magis- trature qu’il а WE eent C'est seulement à rais e son mérite comme savant bo бый ee? -— nous allons tácher de le faire connai Dés sa jeunesse, il лае t formó un ee énorme d'observations manuscr sur divers objets de botani nique ; mais d eg savant. Се fut probablement cette consi- dération qui détermina Cassini à se livrer presque exclusivement à l'étude de la vaste et intéressante famille des Synanthérées. Dans l’accomplissement de son projet, il fut considérablement aidé par MM. ssieu e sfontaines, qui, quoiqu'i adop- iassent pas ses idé t ses innovations, nt génére n is n leurs bibliothèques et leurs herbier: > les mains de M. Cassini, Tac 8 a une branche d сета, aujourd'hui décorée du ite y" y? rologie, et que son auteur refondit complétement à neuf. Il examina avec. plus minutieuse attention l'organisati id ВН. Josie n été e A e suppléant á an tri- | bunal de prem insta ent de la Seine, pais J uge, Vice-Président de се ` tribunal, Conseiller à Ia сэ royale de ur ds Conse iller à 1 a Cour de Cassation et P s laisserons à ' France. 48 florale des Synanthérées, хүүн » ur en tribus SC il porta le à 19 qu "il earactéri e m d'une grande цаасны de Ба, soit entiè- АНА aug n'eut pas la satisfaction de le voir adopter par la pluralité des MER pan eg а FO PRI со PUS, ma жы мал. ANE cu / Жас ted abe d = co fee - MISCELLANÉES. du stigmate de ces Id fut lu à l'Insti- | Le tut, le 6 avril 1812. I vement, de 1813 à 1895, six autres qui Gaich Zeck objet ve étamines, la corolle, Гоу: et ses accessoires, le nectaire, les адне де Іа Synanthérologie, et les caractères des tribus. Ces mémoires ont t à l'impression sous le titre d'Opuscules амуй. 26 9. 47, er е, وه‎ минат, е py “әз” une en. Gran Били “найс Gre уван Mo acm / ОС Lou €x AC Cee ae Se dU уан: £: “еи 9 هه‎ 2 ы А POI са 22 ае тыла тен tane eM а v азы , Is а GS رم‎ ИС: 22122 PTUS emu PP ds и opie Puy? Sg A por "og Be san Ve Oo erste, ^ ipe M aite dun I CBr anne taana erer VE en nop 2 ( (1710 за botanistes; disons méme que, uud oe termes heureusement adaptés 8 organes peu connus ou ша! décrits, le lan- gage t ninr repoussé, comme корэн d'un néologisme surabondant et d'un u © Les écrits de qon sur les Bra sont fort nombreux. Son premier күзе йы contenant l'analyse du style et кіді E Ze? Nommé membre de la Société .philoma- tique et rédacteur de son Bulletin pour la partie botanique, il y inséra une longue série d'articles importants oü il fonda une multitude de genres nouveaux, donna des descriptions complétes d'espéces nouvelles et des observations intéressantes de phy- EOS végétale. . M. Cassini ne se borna pas à l'étude des atleri . end R CARMINEUM х -2 Lu > 2 шм c ос « CYNERIUM 2075. GYNERIUM ARGENTEUM CARMINEUM RENDATLERI. Gramines. CHARACT. GENER — Spicule bifloræ, mascule et feminæ in distinctis plantis; flore altero sessili, Siro à edicellato. Masc. : Glu- сауа, imberbis ; superior brevior, bicarinata. Stamina 2. мн mule 2, minutæ, collaterales, crassiusculee em.: Glumæ 2, mem- branacese aline, canaliculatæ,flores superan- tes; superior triplo longior, apice angustata. pilis simplicibus, subdentic 2 membranaceæ, Ken tre ovario dimidio breviores. Caryopsis... Culmi ——_ altissimi. Folia longissima, serrulato- -spino Panicula —À diffusa. Spicuiæ pedicel. en 2% -- et Вохрі.. rag equinoct., ТАВ, Apost. 138, t. 24, f. h. — — kom Se: Gram., I, 25 1. ‚ CHARACT. SPECIF. — Paniculæ ramosis- simæ ramis flexuosis ; en аар réie flosculis remotiusculis, longiss uspi idatis, diaphanis, dioicis ; foliis Briss. elongatis, marginatis, serrulatis ynerfum argenteum NEES ab ESENB., in Мавт. Bras., ТЇ, 462. os SCHULT., Mant., III, 605. ARUNDO ріоіса SPRENG., Sys fia ARUNDO Кил SPR., hrb. (ех TRIN. mpi). Bien que nous n'ayons pas vu fleurir encore le Gynerium argenteum ideis t de mettre en vente Phonorabilité à faire de suite l'acquisition d'un stock ақын solide pour y faire participer immédiatement notre clientele. La FLORE a, des premières, fait connaître, il y a quelque vingt ans, le type du Gynerium argenteum; notre. ех- cellent ami, le Dr D. Moore, du Glas- nevin Botanic Garden, a introduit cette noble plante du sud du Brésil où elle habite, notamment dans les vastes plai- nes connues sous le nom de Pampas. Elle supporte assez bien nos hivers ordinaires en Belgique. A l’approche des froids, nous réunissons ses feuilles en un faisceau, que nous lions serré de manière а prévenir l'introduction de la pluie et de la neige au cour de la plante de feuilles mortes, rence celles du chêne ou du hêtre, ‚ quand les grands froids commencent à sévir et font craindre leurs ravages Nous cultivons encore le Gynerium à feuilles panachées, catalogué sous le e Gynerium argenteum foliis albo-lineatis ; il atteint la hauteur du type, mais nous lui préférons une va- riété naine de stature, également pana- chée, et connue sous le nom un peu long de 6. argenteum elegans compac- tum foliis niveo-lineatis. Nous ne pouvons rien dire du (7. arg. Bertin, Payant perdu, — ni du 6. Wes- serlingii fol. var., à panachure jauna- tre. — Nous ne possédons pas la variété ш o Synanthérées ; il étendit ses eue à d autres parties de la botanique. d SN l'analyse de l'e minées (lu à l'Institut en кетер 1821 et іпзеге dans ses Opuscules phytologiques); mémoire sur la Phytonomie, ЛЫС ant des observations anatomiques 8 Bourrache, et des considérations кп sches eritique et raisonnee des sur la structure des végétaux (lu à la Société philomatique en 1821, et inséré dans les Opuscules phytologig 3° une e nique de M. de Mirbel (publiée dans le Magasin encyclopédique de février et mars 1816); 4? une observation sur les feuilles du Cardamine pratensis (lue à la Société philomatique, le 27 avril 1816, et 90. GYNERIUM ARGENTEUM CARMINEUM RENDATLERI. G. arg. violaceum dont parle M. Car- rière dans la Revue horticole à qui nous avons emprunté l'artiele contenu dans le ХП vol., р. 179, de la FLORE. ; 2 INS Se < ` 227422 ) 521242 ИЯ) >. | > XD NS 5 j 2) M NER d 8 272 puis се prin- , 2 , temps et ne l'avons cultivé que pour 27 72 м ) en avoir des exemplaires solides à vendre; mais que nous avions pleine confiance dans l'obtenteur de qui nous tenons aussi la figure dont notre plan- che est le fac-simile. Ce nouveau Gynerium est d'une taille vraiment majestueuse. Ses tiges florales atteignent 3 ше- tres de haut; elles sont tres-fortes, bien plus soli- des que celles de toutes les variétés connues, et résistent bien au vent; les panaches, d'une lon- eur moyenne de 80 cen- l'hiver, ils passent insen- siblement à une teinte il occupera toujours le milieu, à cause de sà haute taille. Il est bon d'ajouter aussi qu'il est très-rustique. La plan- che que mous publions aujourd'hui ne peut don- ner qu'une idée de son coloris, attendu qu'elle ne représente que l'extrémité d'une tige florale. p. ҰН. rumeur am insérée dans les Opuscules phytologiques); 99 la proposition d'une nouvelle famille philomatique le 5 avril 1817, insérée dans les Opuscules phytologiqués); 7° une noté sur le Phallus impudicus (publiée dans le Bulletin de la Société philomatique de juin 7); 8° une note sur le calice du Scutellaria galericulata (publiée dans le iété phi tiq س malie du mode de fécondation dans la Campanule à feuilles rondes (lues à la “ҮЕ, 1 Y CRÆTÆGUS OXYACANTHA Filicifolia. 5 Prusse orientale . Rustique (8 mapa Да 6 лако. е. Vë 2076. CRATÆGUS OXYACANTHA FILICIFOLIA. Véritable trouvaile! — La planche ci-contre, faite d'aprés une toute jeune greffe, est certes bien loin de rendre toute la beauté du feuillage de cette Aubépine. Nous la rangeons parmi les plus élégantes productions modernes. Des feuilles adultes, semblables à celles que nos exemplaires produisent en quan- e en ce moment, mettraient tout le onde de notre avis gw’ elles simulent p» feuilles d Adiantum! Les enthou siastes diront méme qu’elles valent celles de V Adiantum Jr yense! — Nous п’ contredirons point. — Nous avons cul- tivé en pots io d'exemplaires du nouveau Crategus que nous avons enre- gistré dans notre Cat. n? 155, page 265; nous l'annoncerons de nouveau dans notre Catalogue d'automne, ainsi qu'un délicieux petit Caragana de phy sionomie toute anormale ‚qui forme de charmants petits globes et qui, lui aussi, est dis nible dès maintenant. Notre stock étant restreint sera bientôt épuisé. L. vH. Société philomatique, et publiées dans les Opuscules phytologiques); 10° des obser- vations sur la germination des graines du nus et d'autres Cruciferes (lues à la Société philomatique le 18 juillet 1818, et insérées dans les Opuscules phytolo- giques); зон рои sur l'origine des étam 8 les fleurs monopétales байн Ce? CH Bulletin de la Société philomatique, n° d'avril 1819); 12 une note sur le Myosurus minimus (insérée ns le méme recueil, juillet 1819); ? des observations et réflexions sur une monstruosité du Scabiosa columbaria (insé- rées dans le Bulletin de la Société philo- matique, mai 1821). Le grand Dictionnaire des Seiences e ce botaniste; et l'on regrettait partout que cette masse d'observations füt enfouie dans un ouvrage si volumineux et si difficile à consulter. M. Cassini avait vint EE frapper ce savant, le 16 avril 1832. П fut enlevé en quelques heures, par le terrible fléau du choléra, à la socióté qu'il 2 et servait comme magistrat, et la science dont il était un des plus actifs investigateurs. Membre honoraire H , s'il ent possédé le titre d'académicien titulaire, et qu'il eüt eu des fonctions нес ей af 3 rempli i Note additionnelle. — Le fac-simile de l'écriture de M. Cassini que nous ajoutons à sa notice biographique, a pour sujet ва propre opinion sur la valeur de la plupart des genres qu 'il a proposés. On verra qu Ч était, quant à 1а ideis = associations génériques, un ju ige e plus severe pour lui-méme qu'envers idus autres bota- nistes. + 2088. WALLICH. SUR LE CATALOGUE DES HERBIERS de pla asiatiques distribué aux botanistes d Marüpe, par Ce c atalogue, qui а paru en plusieur rs parties détachées, vient d'être complété par l'envoi des dernières feuilles aux- quelles se trouvent joints une table alpha- bétique des genres et un index des familles avec la liste des genres qui s'y rapportent. . u So MISCELLANÉES. elle ne contient pas moins de 7,683 espè- ces, dont le plus grand nom mbre e st com- osé de plusieurs échantillons récoltés en à E et à la détermination des plantes, et qui a écrit entièrement de sa main le Cata- logue lithographié. M. le D* Wallich en offrant ses remer- ciemen а à M. Royle, ex-directeur du jardin botanique de Saharunpore, à l'assis- e doit les tables qui accom- e pagnent Catalogue, annonce q botaniste distingué vient d'arriver des ndes en Angleterre avec une magnifi e grande partie de ces plantes provient des régions de Kuna- wur et de Cashmire, si fertiles et si peu ex lorée s jusqu'à présent, et elles seront incessamment publiées par lui-méme. SUR LE JARDIN BOTANIQUE de Calcutta, et sur les collections faites par les Anglais i а tome troisième des 2 م Botanical Miscellany. ) Vers ces derniers temps, on a porté un vif intérét, en Angleterre et dans les aliments, no constructions, et tant d'autres un qui se rattachent aux arts, à la médecine et à l'économie domestique. Elle n Geert pas Carey дақ apprend dans lintro- duction de Y Hort enghalensis que, dès succéda à celui-ci dans l'administration de cet établissement. Par la persévérance de ses-efforts et de ses travaux, le nombre des espèces qu'il contenait en 1814 s'élevait à istes' du d tions faites par Tui und mer furent transmis M mpagnie des Indes à prit par la suite le nom d'Hamilton; fut, |. après la mort du D" Roxburgh, chargé des | mêmes fonctions; il eut l'occasion, dans ses voyages, d'étudier les plantes d'une im- mense étendue du territoire de l'Inde, et rand nombre mination du Dr Wallich à la surin- tendance du jardin de Calcutta, à la place Ham ilton, établit one nouvelle une gra d tion que los directeurs de la Compagnie des din sur un pied qui ce genre connus en Europe. E pas moins de 5 milles de circonférence, et | puis de 300 jardiniers et travailleurs y sont constamment occupés. Des succursales de ce vaste jardin furent de tales de leurs provinces, soit soit vivantes. La plupart répondirent à be appel, et leurs nombreux envois augm tèrent bientôt les immenses lem be | la Compagnie des Indes п 1820, le Dr Wallich, jaloux d’enri- Toe encore le jardin et l'herbier confiés à ses soins, entreprit un pénible voyage qui dura dix-huit mois ма les Дем et les d 4 8 5 5 Ф- 2% un "е Ф Е e E м” "3 > 5 = ё- d "Фо —. = со d: =. ZE 5 5 Kei n "n ee a combien une telle ехрбаїйоп, dirigee par un aussi savant | botaniste, dut accroitre les richesses natu- | relles qu'on possédait à а опна | inq ans après, il parcourut les vastes foréts de bois de constraction “ат Vest de plantes 8 du royaum | vince de Rohilcund, de la vallée de Deyra, | qui | coltant les | CHL, beth. À pret г» Horto lin Нот сато, AMARYLLIS PROCERA DTRE 2 Bresil . Хегге temperee 427 2011-18. AMARYLLIS PROCERA Dore. Amaryllidaceæ. r GENER. — Vide supra, FLORE, CHARACT. SPECIF. — E bulbo maximo, in collum producto; foliis osis, longis- gem distichis, parte super ue falealta patulis -vel reflexis, parte inferiore erecta longe vagi- Me ‚sieque pseudocaulem crassum, elatum (1-2 ш met.), externe vaginis m aridis ob- tectum efficientibus, apice о utraque pagina striatis, андаа айн нь, scapo centrali erecto, foliis bre- viore, valde compresso,ancipiti ; spatha bivalvi, Tuis lanceolatis, inæqualibus, altera latiore hicarinata, altera angustiore plana, in planta florida flaecidis, deflexis, arescentibus, rubes- centibusque, ut et bracteæ eet: floribus intermixtæ; floribus pluribus (4-12), umbellatis, nn speciosis, lilacinis, infun- dibulato-campanulatis, deflexis; perianthii 6 æquilongis, illis apice crasso-m ; sta- minibus st ue reclinatis, apice incurvo rrectis, perianthio brevioribus ; la parva CTR., J ournal 1 dela Sociité centrale T’ hort., Pari is, 1863, up procera DcTR., l.c PPEASTRUM PROCERUM Би, Like Illustr. ere. XI, p. 408. Nous cultivons l'Amaryllis procera en plein air, en plein soleil, exposé à tous les temps, depuis le mois de mai jusqu'en octobre et nous 4. еп serre tempérée + 7° ri conserve ici son feuillage о {оше l'anné Па Чон en février chez М. Riviere, jardinier en chef au palais du Luxem- bourg, à Paris, et chez Mad. Furtado, a à son chateau de Roquencourt, pres de Versailles; les hampes portaient quatre et six fleur rs. Il est originaire du Brésil. M. Binot de Petropolis, prés de Rio-de-Janeiro, l'a découvert « à une lieue de sa case, rocher granitique flanquant une montagnes qui r les vallées de се district. » Encore n'est-ce que dans la partie supérieure de ce versant qu'il est abondant, tout ce qui existait eic. Mais aucune expédition ne fot plus à Ava, n à l'expérience et à la sagacité ae illustré voyageur; et lorsque les col- lections de ce vaste et fertile pays furent a dans r conserver les ierg а GC les зае fréquents des coléoptéres, 8, dans ces contrée les fou brülantes, dé re i bientót etleséchan- tillons et le papier qui les renferme. seul moyen de les soustraire aux attaques de. ces redoutables insectes, est done d'iso- ler de tous côtés les caisses de plantes en les placant au milieu de vases remplis d'eau ; et la chaleur excessive y rend l'éva- о poration si rapide, que lorsque M. Wallich avait ainsi disposé ses plantes, un Indien remplacer l'eau qui 8 'évaporait, jusqu’ à ce que la fraicheur du soir lui permit de remettre au lende- main la continuation de cette pénible eat? C'est avee ce vaste h n dres dans l'automne de 1828. Là, toujours plein d'intérét pour la science, il concut le noble désir de faire participer шинэ que possible le monde civilisé à sesimportantes recherches, et dans ce but, il partagea les échantillons doubles qu'il avait rapportés, entre les botanistes les plus сөзден 1е8 engageant en méme temps à pre à la publication des genres et Fa df vers lesquels ils auraient surtout dirigé leurs études. On loua à cet effet un appar- tement destiné à recevoir ces collections 8 51 dans la partie la plus accessible ayant été raflé; et l'on ne s'en procure plus qu'en s'aidant de cordes et d'échelles. En outre, le propriétaire du terrain ayant pris l'éveil sur la valeur de la Flor da Imperatriz, a interdit l'entrée de sa propriété par une clôture : d’où il résulte que M. Binot, jardinier français établi à Petropolis, parrain et introducteur de l'Amaryllis procera dans le monde horticole, qui s'en était d'abord librement approvisionné, ne sait plus trop ой s'en pourvoir. Il tient done la dragée haute; il n'y a guère qu'un an qu'il donnait ‘pour 1000 reis (6 fr. environ) la plante toute empotée et fleurie; aujourd’hui, il n’en livre plus que pour un prix quadruple et hors floraison. (Major Taunard, Revue horticole, p. 402, 1863). A propos d’Amaryllis — non pas de ce gaillard au long col, l’Amaryllis procera, dont il vient d’être question et AMARYLLIS PROCERA Dcre. que jamais nous n’avons rencontré dans nos pérégrinations, précisément dans ces | mêmes parages que nous avons arpentés | en tous sens(!); — à propos d'Amaryllis, disons-nous, mais d'une espèce ordinaire qui foisonne là- bas, mes un jour un provençal qui, à la vue d'un tas de Cebola Sin-Sin — tel est le nom qu'y portent ces en SC purgatif des indigenes — ста 2% « Dieu soit loué! des гасне = je suis au Brésil ! un, deux... — « Cré SS fit-il; mais са wa рав їе goüt de notre cher oignon d'Europe! » Nous faisons gràce au lecteur de la suite. VH. ... “ . (1) M. le "Aio. an а oui parler, dit-il, de la Serra do March qui nous es une admirable ferme oü, be raison dé l’altitude des lieux, tous les fruits d'Europe rospéraient : Ne serait-ce pas là en du « Piree pris pour un nom d’hom qui diminuerent rapidement par l'effet des nombreuses distributions qu' on en fitaussi- tót. Examiner, étudier un si grand nombre d'espèces pour en dresser un catalogue complet, avec des numéros Б NE laure aux échantillons distribués, n’était pas travail ere importance et sans difficulté. Le Dr Wallich s’en acquitta avec le zèle qu'on lui connait, et ce catalogue, écrit en entier de sa main, fut ensuite lithogra- ié. Indépendamment des collections = M. Wallich, la Compagnie des Indes sédait өвсөө dans son Muséum de nom- breux her e ы p recueillis par d'autres bota- nistes. M. Wallich obtint de la générosité des directeurs de agnie qu'il en opérerait la distribution comme il l'avait déjà fait pour ses propres plantes. Ces collections se composen 1° D'un herbier d'espèces recueillies principalement dans les Circars par le D" Patrick Russel, 2° D'un herbier de la péninsule de l'Inde réuni par les soins des D" Kleyne et Heyne, et du D" Rottier. 39 D'un grand herbier de feu F. Hamil- ton (auparavant Buchanan), provenant de | e 4222 de l'Indoustan 4? D'un petit herbier de Roxbur 59 D'un herbier de plantes lagen раг | е Finlayson, chirurgien et natu- | raliste de la mission extraordinaire à Siam |. M. Georg et à la Cochinchine, en > бо D'un autre herbier très-considérable recueilli dans différentes localités de péninsule de l'Inde, pa chargé dans ces derniers temps de la direc- tion du re botanique de Madras. 7 e plusieurs collections réunies à celle de ida Compagnie des Indes, par le | zèle du docteur Wallic Nous avons appris que tous ces herbiers | parla С efficacement aux progrès de la science. nous rencontra- | Је | n'en avais jaunes срещи depuis que ` — Пеп mangea | la | г M. Richard Wight ` К АНАМА PENTAPHYLLA Fol. var. lanan D utt RE 2079—80. ARALIA PENTAPHYLLA FOL. VAR. Araliaceæ. CHARACT. GENER. — Calycis margo bre vissimus, integer vel сепия Petala 5 apice 5. Styli 5 expansi diva- ricato-patentes. Bacca 5-locularis sæpius torosa. Pyrenæ chartacese. — rutices ex mer. bor. indigens. Folia composita. Flores Geiger?) in paniculam seepe dispositi albi. DC. Prodr., IV, 251. ARACT. SPECIF. — A. caule arboreo Boe foliis digitatis, foliolis 5 ovatis acutis subpetiolatis superne serratis, umbellis sim- plicibus pedunculatis. THU Aralia pentaphylla Тномв. Fl. jap., 128. — DC. Prodr., IV, 259, 16. Sous-arbrisseau ne supportant pas entierement les froids de nos hivers, mais trop joli pour que nous lui refu- А propos d’Aralia — narrons ici l'un des trucs... de l'ancien associé de шер Меуег, très-connu à Gand,. 3 LA FLORE PREND UN CHINOIS DANS UN TRAQUENARD Un habitant du Celeste-Empire, tou- de nos miseres, arpentait tout recemment encore nos rues de Gand, les poches pleines de carottes coupees en rondelles qu’il offrait à 200 franes le mille. Il portait sous le bras des branches d'un arbuste mystérieux, dont sa reli- gion lui défendait de révéler le nom. Ces branches, disait-il, rendaient leur poids, leur parfait equivalent en excellent papier de Chine, sans déchet. Son air paterne inspirait l’admiration; le haut prix du chiffon faisait le reste. Il etait de plus porteur de deux peintures qu'il avait, disait- il, rapportées de Chine. Ces peintures représentaient deux de ses cousins ger- mains en grande activité de service, sions, pendant cette période, un са abri dans la plus simple orangerie deux fabricants de papier établis à Kik- Han-Kong. ба prononciation nasale et son accent glapissant tout chinois, ere amplement suffi déjà pour effa- r le moindre doute à l'égard pe ва véritable nationalité; mais il vait encore là un tel cachet de RS blaues entre son pens et celui de ses cousins germains, que l'un de nos fabricants de papier se fat résolu à lui acheter son rottes.... brevet (S. G. D. G. si le hasard ne Peat a amené à гүвээ: la FLORE ! En feuilletant cet ouvrage, dans notre + 2089. DRUMMOND. NOTE SUR LES VOYAGES BOTANIQUES d M. DRUMMOND dans les parties sud et ouest > Etats-Unis, et sur les collections qu та пуоувев; раг М. OOKER (Botanical Miscellany, — série, premiére partie; janvier 1853, p. 51). . M. Thomas Drummond s'est déjà fait connaitre depuis longtemps par son жей et son ardeur pour la botanique, par s recherches bryologiques et la publication des Musei re ainsi que par ses voyages dans l'Amérique septentrionale com aide- ви du docteur Richardson, et cabinet, pour y trouver des succéda- nés du chiffon, son ébahissement fut eur, qu’apres avoir marqué des rats, il leur a rendu la liberté, sur un pari qu'ils se laisseraient reprendre, ce ui a eu lieu peu de j és. En effet, appareil sont telles, que 1а e lui est d'aucun secours d nneau, est une petite ouverture 2 dont la lumiére engage les rats à ARALIA PENTAPHYLLA FOL. VAR. extrême quand il vit apparaitre sous 868 yeux les susdits cousins germains, et surtout quand il constata la parfaite identité entre les pein- tures du farceur chinois et celles que donna la Етовк en 1850, tome VI, pp. 183 et 184, c'est- été artistement grattées. — Mais vous m’apprites hier cousins n'ont que - Ah! Monsié, ché nous, pon air! — C'est-à-dire qu'à l’âge de 12 ans vos cousins cultivaient déjà la carotte? C'est précoce ! L. ҮН. ( Historique.) sauter de la fin du passage d sur la tablette 2. Le tonneau doit être en partie enfoncé dans la terre. e succès tient surtout au choix de l’endroit : on doit placer le piége ieu où les rats n répan a paille, des blé a environs de la pe. De la drèche légèrement | colorée et aromatisée avec de l'huile de carvi ! forme le meilleur appât La planche trappe 6 doit tourner sur un pivot et porter à xtrémité u і à visiter tous les jours le tonnea u est l'endroit fréquenté par les rats, pour enlever ceux qui sont morts. (Farmer's Magazine.) dans la seconde expédition, commandée par tions botaniques et zoologiques ne sont pas le capitaine J. Franklin. Ses соПес- moins remarquables par la manière dont tre-poids | à-dire, il y a vingt-quatre ans! | Les inscriptions seules avaient. fit le chinois, on est atilte dé ir! A ee? шайы сат ына аса Ше арк саса аа; LIRIODENDRON TULIPIFERA L. folis aureo-marginalis. 4- + - 5 de зепиз, Europe. Rustique 2081—2082. LIRIODENDRON TULIPIFERA FOLIIS LUTEO-MARGINATIS. Magnoliaceæ. CHARACT. GENER. et SPECIF. — Vide supra, FLORE, ХІХ, page 163. > А la page 163 de notre XIX”! volume, nous n'avons figuré qu'une simple feuille de ce bel arbre, en affirmant que toutes celles que porte l'admirable variété dont nous nous sommes rendu l'acquéreur exclusif, sont toutes identiquement bordées d'un large ruban jaune, et поп pas, comme dans tout ce qui était connu jusqu'ici, tantót bordées, tantót mouchetées à gauche ou à droite, ou pas du tout le plus souvent. Aujour- d'hui, c’est une branche entière de ce bel arbre que présente notre planche qui en montre les grandes fleurs et tout le luxe qu'étale cet ensemble dans les pares op on l'accueille. Mais ne le possede pas qui veut; et s'il prospere en Belgique dans les bons fonds un peu frais, dans les sols con- venables aux ormes et aux platanes, il exige de plus une situation ouverte; les ombrages nuisent à sa végétation, et les plaies qu'on lui fait se referment avec difficulté; elles exsudent alors un suc dont la perte est préjudiciable à son accroissement. Les marcottes repren- nent au bout de deux ans; les exem- terre. Aussi ne saurions-nous assez le recommander pour toutes les latitudes au sud de Berlin et de Varsovie jus- qu'aux rivages de la Méditerranée. Disons toutefois qu'il existe des Tuli- piers dans le parc de Sans-Souci, prés de Berlin, qui y vivent depuis 75 ans et ont 60 pieds d'élévation; qu'il s'en trouve au Jardin botanique de Berlin qui ont 90 pieds, mais dont les pousses, quand elles ne sont pas bien aoütées, gèlent parfois. Pres de Hanovre, à Schwóbber, un Tulipier, planté depuis 160 ans, уа atteint prés de 100 pieds de haut.... — Mais, nous demandera-t-on, d’où tirez- vous ces données? — Attendez! — Avez- vous connu Mae Intosh? — Ah! me répondrez-vous, l'inventeur du véte- ment imperméable si fam Intosh dont nous voulons parler, était jardinier au service du Prince Léopold de Saxe-Cobourg, au château de Clare- mont, en Angleterre, avant son avéne- ment au tróne de Belgique, — et tout le monde l'a connu plus tard au palais de Laeken, prés de Bruxelles. Donc Mac Intosh a raconté avoir oui dire que, du temps de l'Empire, Timperatrice Joséphine avait habité le Château de Laeken, et qu'elle avait confié la sur- intendance du parc à un chef amené de Paris; qu'en 1834, il y existait un Tulipier ayant alors 20 pieds de haut, 2 pieds de diamètre à la base; que cet arbre fleurissait et gr ainait chaque année, et que le pauvre surintendant, grimpé au sommet de l'arbre pour en recueillir les graines, en était tombé et s'était tué! — 57 non 6 vero... nous en avons, dans tous les cas, tiré la narration d’un livre bien précieux intitulé : Arboretum et Fruticetum britannicum, par J. C. Loupon! Oui, par J. C. Loudon, que M. J E appelait avec dédain un compilateur les échantillons sont conservés, que par le goüt avec lequel le choix en a été fait. Une assiduité aussi constante et couronnée des plus heureux résultats fit penser au 58 et auquel l'horticulture devrait tresser des couronnes, car, d’après nous et bien d'autres, c'est aux J. C. Loudon, aux Philippe Miller, aux Robert Sweet, ete., que nous devons tout le bagage de notions horticoles dont s'est meublée notre tête; 1 . Nous donnons, pour finir, les deux notices biographiques que M. P. La- ROUSSE Сопвасге, dans son Grand dic- tionnaire universel du XIX® siècle, à Jean Claude Һогрох et à Jane WEBB, sa digne compagne, non moins dévouée que son mari à la science botanique et ‘qui l'aida puissamment dans l'élabora- tion de ses travaux si considérables. « LOUDON (Jean Claude), botaniste anglais, né à Cambuslang (Lanarkshire en 1783, mort en 1843. Il se destina de bonne heure à l'horticulture et se fit connaitre, dés 1803, par un livre intitulé : Observations sur la manière de disposer les squares publics, que suivit deux ans plus tard un 770916 sur les serres chaudes. Еп 1809, il prit la direction d'une ferme dans le comté d'Oxford, mais renonca bientót à l'agri- culture, et, après avoir publié un Z'raité sur la culture du froment (1812), entreprit en Europe un voyage, pendant lequel il visita surtout la Pologne et la Russie. De retour en Angleterre, il se voua exclusivement à l'étude de la nr? | ES і e LIRIODENDRON TULIPIFERA FOLIIS LUTEO-MARGINATIS. qui a nom J. C. Loudon, qu'en inter- calant à cette place, et en compagnie des hommes auxquels nous devons de la reconnaissance, un tout petit fac- simile dont nous avons trouvé l'original collé à l'intérieur de la couverture de notre exemplaire del Arboretum et Fru- ticetum britannicum de J. C. Loudon. botanique, et ses nombreux ouvrages n'ont pas médiocrement contribué à populariser cette science. Nous citerons comme les plus remarquables : clopédie du Jardinage. (1829); pagnon de la serre; Encyclopédie d'agriculture (1825); Encyclopédie des plantes (1829); Arboretum. et frutice- tum, britannicum (1838, 8 vol. in-8); Encyclopédie des arbres et des arbris- seaux (1842), etc. La publication de son Arboretum lobligea à des dépen- ses considérables; et ses embarras pécuniaires, joints aux souffrances d'une douloureuse maladie, attristèrent les dix dernieres années de sa vie. » « Loupon (Jane Wess), femme de lettres anglaise, épouse du précédent, née en 1800, morte en 1858. Elle avait placé la scéne de son récit dans D' Graham et à M. Hooker que, dans l'intérét de la science, personne ne serait plus capable que M. Drummond d'explorer les parties les moins connues du midi et TACSONIA INSIGNIS Masters, ? Pérou . Serre temperee. LIRIODENDRON TULIPIFERA FOLIIS LUTEO-MARGINATIS. 59 l'avenir, en l'an 2000, il était question de plusieurs choses, que l'on traitait alors de chimériques, telles que les chemins de fer, le télégraphe élec- trique, l'éclairage des horloges, les charrues à vapeur, etc. Cette derniere idée attira surtout l'attention de Lou- don, et donna lieu, entre lui et Miss Webb,à des relations qui se terminèrent par un mariage. Mistress Loudon aban- donna alors la carrière littéraire et s'adonna à l'étude de la botanique, oü elle acquit bientôt des connaissances assez étendues pour pouvoir aider activement son mari dans ses travaux. et publier elle-même, à l’usage des dames, plusieurs ouvrages qui obtinrent une publicité extraordinaire. Tels sont : la Botanique des dames (1842); les Sillons lumineux de la nature (1844) ; l'Annuaire d'histoire naturelle pour les jeunes personnes (1844); les Fleurs Sauvages de la Grande- Bretagne(1840); le Jardinage des dames (1851, 8* édit.) et surtout le Parterre des dames (1849- 1850, 4 vol.), qui se recommande autant par l'ordre remarquable des matières que par les magnifiques illustrations dont il est orné. Le Gouvernement anglais faisait à Mistress Loudon, depuis là mort de son mari, une pen- sion de 100 livres sterling (2,500 fr.) par an. » L. YH. 2083—84. PASSIFLORA (TACSONIA) INSIGNIS Masters. Passifloraces. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, П, avril 1846, pl. 10. oblongis laciniato-serratis concavis, sepa is tubo ter longioribus lineari-oblongis obtusis 8 bulbo basi tubi inclusa membranacea detlexa margine lacera, gynandrio gracili exannulato, ovario villoso. TACSONIA INSIGNIS MASTERS, Gard. Chr. 1873, р. 1112, cum fig. — J. D. Ноо Dec. 1873, t. 6069, icon hic iterata. sn a Le D" J. D. Hooker rend à son tour hommage à l’extrême beauté du Zac- sonia insignis, devant lequel s'incline le Р" Maxwell T. Masters qui l'oppose en rival dangereux au magnifique 74050044 Van Volzemi, déjà si superlativement beau. Il regrette que M. Anderson, jardi- nier à Sowerby-House, Hull, n'ait pu lui fournir que fort peu de renseignements à l'égard de la contrée d’où proviendrait cette superbe liane qu'il croit originaire u Pérou, Фой l'aurait envoyée un M. Yarborough Greame; ce dernier renseignement aurait été donné par M. Backbouse, d'York. Il est impossible, nous dit le D" Mas- ters, d'imaginer une plus brillante espèce que cette Passiflore, l'une des Reines du jour tant pour la beauté du feuillage que pour celle des fleurs : le feuillage, large et quelque peu rugueux, est d'un vert brillant; les fleurs, gigantesques, ont les sépales d'un rouge violet, tandis que les pétales sont d'un rouge pur. Nous en livrerons en automne. L de l'ouest des Etats-Unis, et s'il était possible, les régions montagneuses, si et de la Californie. Grâce à la libéralité des amis de la sci le voyageur trouva , е , y intéressantes et si peu connues, du Mexique | bientót à sa disposition les fonds néces- 60 saires pour cette expédition, et on lui Orlé: tions en Anglete mo vai en outre explorer cal, que possible tout l'ouest de cette latitude, et tácher surtout d'atteindre les possessions mexicaines du côté de leurs limites septentrionales. Dans sa première lettre, adressée à M. Hooker et datée de New-York , il exprime 1 (7 mai 1831) : « Retenu dans cette ville pour quelques jours, j'ai fait une courte excursion dans les parties boisées du pays, et comme il se présente une occasion de vous les faire passer sans frais, je vous envoie quelques plantes que j'ai observées en fleur. П y en a peu d’interessantes(l), mais elles resteront comme un souvenir . de mon passage à Philadelphie. J'ai trouvé plusieurs age que je n'avais pas ren- contrées, lor E = latitudes plus с. uantité suffisante pour 6 blióes: telles sont, entre autres, les suiv an- ytrichum a le Didy- us, une espece de Grimmia ulvinata, 4” une autre um, ісі plusieurs Musées qui renferment des (1) Cet envoi avait plus de valeur que ne lui en attribuait la modestie de mond. de plantes du pri nant de la Penn- sylvanie, et par erue а le Floerkea si p connu, sur leq equel M. Lindley "an de d don MISCELLANÉES. objets curieux d histoire naturelle, que j'espère trouver moi-même. J'ai о entre autres, la collection de Mousses d Muhlenberg, dont les échantillons, ше en mauvais état, ont suffi pour ше er voir que plusieurs manquent encore à me collections. La saison, à ce qu 'on pré étend, une grande quantité с différentes de anie ttes, Ён en un seul jour, үзі observé en fleurs les Р. Pec galmata, геад, dels ovata, lanceolata, et une deux autres que je ne connais pas хүрээн Un envoi de racines, provenant princi- palement de Saint-Louis, accompagnait une lettre, datée de la Nouvelle-Orléans co fleurs, car elle a beaucoup du l'apparenee du Lin de la Nouvelle Zélande: mais ses feuilles sont plus longues et plus étroites. Elle porte le n° 27 dans mon cata- logue. Il ya aussi une autre plante, n° 7, singulière, flottant sur la surface à la manière des Zemna; j'ignore à quelle famille elle appartient. (Cette plante re- marquable est l'Azolla caroliniana. Note de | кепге 1е plus abondant est le Verbena, et je crois qu il уа plusieurs E qui n'ont pas été décrites par Pursh Le 18 mai 1832, trois caisses arrivérent parfaitement conservées.Elles contenaient, entre autres choses, une collection de pres e e 2. Ф ә ск recueillies dans ce voyage. Cette collection est remarquable par le soin avec lequel les Mousses et presque toutes les autres plantes sont conservées. On trouve dans les дэрээ un genre t de nombr probablement nouveau reux | ia din gi ait. u Rice Pendant le printemps et l'été, M. Drum- SN дет COME 814 PETITE MARGUERITE , ANDRÉ LEROY. 96 DUC DE NEMOURS, VAN MONS. 100 DEUX SOEURS , DEMOISELLES KNOOP. 797 UNEL. 99 SURPASSE - MEURIS, VAN MONS. „бо 10018 САРРЁ, BOISBUNEL. к ЕРТЕ S AST 2 уриан SS T LI th Horta Van. Houtteanc 77 599 THÉODORE VAN MONS, VAN MONS. one m 8 EMILE HERPIN, BIVORT. 2085--92. NOS POIRES. S Р) franc et sur coignassier, formant de jolies pyr dora d'une fertilité satisfaisante. Fruit au-dessus de la moyenne. vette variété est quelque peu capricieuse, te, on doit dire que ses pro- t pas à dédaigner. Nous ajouterons qu'elle 7 er pour мис vent, et très- productive sous cette form 96. Due де хоног Mons). SYN ONYMES : Woiselte, Beurré Noisette. première qualité, mürissant еп Octobre-Novembre. Chair blanche, fine, fon- dante, juteuse, non pierreuse, d’une eau fort abondante, sucrée, légèrement ac ide, délicieu- sement parf umée ; mant de jolies pyramides lité. Fruit volum ile e Herpin (F. гатсо?8 Bouvier). Fruit de deuxième qualité, mürissant en Décembre- Janvier. Chair rose, fonda ante. À greffer indif- ae nt sur fi anc et sur coignassier. Fruit "en Le Berriays (Boisbunel е Роше Де рге- miére qualité, мен ant fin A pore om mon explora les environs de la Nouvelle- ses excursions fut un collection de près de trois cents espèces, non compris les Crvptogames. D'après ses dernières lettres, il paraitrait que l'inten- tion de linfatigable voyageur serait de se diriger vers les Natchatoches, sur la nstances peuvent encore apporter des rdoditieations à à ce projet. і 2090. BENJAMIN DELESSERT. Notice sur les collections EE de . BEN Par NJAMIN DELESSERT à Nous croyons devoir insérer la Nis suivante sur les collections de M. Benja- min Delessert, parce qu'elles renferment les herbiers-types de plusieurs botanistes qui ont publié des ouvrages importants. Nous donnerons successivement des No- tices semblables sur les autres collections tanistes n nos correspondants à nous me i endre ces renseignements aussi com- plets que possible. es premiers matériaux des E de M. Benjamin Delessert олі 646 rassem- blés dès l'année 1 r son nie SE іеппе D York, en 1794, à l’âge de vingt-trois Ste. regretté de tous ceux qui ont pu apprécier Son ardeur et son 298 Dour 1еѕ sciences, son dévouement à atrie et les excel- Gg qualités E ` ont rendu cher à ses res, à ses amis et à toute sa famille. Bai 168 Ee quil fit successive- ment en France, en Suisse, en Hollande, en Danemark, en Ecosse et en Angle- шин il recueillit presque toutes pt plan- tes de ces différents pays, etil y a ajouté un ан ара de plantes du Sigo de l'Inde, du Сар et de Ceylan. enjamin Delessert, qui avait ac- nnier de Versailles ; elles là de trois mille plante 8, recueillies par Commerson aux iles de 9 62 NOS POIRES (PLANCHE Р). Fruit moyen et — рк, ee ee Nous - faisons grand cas de : il est excellent j : Ж "doi le mettre en ariétés encore trop rares qui résistent aux intempéries e Mai. . Louis Cappe (Boisbunel). Poire de pre- miére qualité, sant en Novembre et Déce ins. ayant les mémes Ce que Doyenné d'hiver (voir ce nom e 64). Arbre vigoureux, préférant le franc, frès-fertile. Fruit assez pat 3 ros. MM EHE Leroy). ээн е : M Demees ter; цэнгэн De e Ferdinand De Mu » Marie Poire. d rg première qualité et souvent de deuxième quand l’eau est реп parfumée, müris- sont de la n Septembre. Chair blanc ) et mi-fondante, assez ette variété prospère surtout en cordon obli- que au mur. 522. nen. з (Van Mons). re d'Été, Théodore Poire de premiére qualité, mürissant au commencement d'Octobre. Chair blanc-verdá- » fine, fondante, juteuse, presque exempte de pierres, d'u au abondante, sucrée, vi- neuse, possédant un parfum délicat et о » ement sur coi nass 2 ге comman fruitier quand on а soin de ne pas les cueillir trop tard. France, de Bourbon, au Cap, au détroit de Magellan, au Brésil et dans l'Inde. m. Do l'herbier de Syrie de M. Labil- lavdibro ot AGLUACLC CU Dans cet herbier se trouvent les types des plantes perm dans les Decades syriace Un grand nombre de pla ntes inédites et dans un рай 6 den de conservation en font également par 3°. De l'herbier de Barbari rie de M. Des six cents pla iati: Elles avaient été données à M. Lemonnier avant la publication + la Flora atlantica. Son célèbre auteur a eu l'extrême com- plaisance de les r 28 et 1829, et de dénommer celles Bs pou- vaient offrir quelques ambiguité 49, D'un herbier de plantes de Perse, recueillies par Michaux. Le voyage en Perse fut la première expédition scienti- recueillir des objets et des пут omne utiles à l'agricult ure, il ne né les plantes sressaient geet la botanique, et celles qu'il rapporta de Perse, quoique peu st ы sont très- remarquables. 5°. Et en outre de plus de dix mille plantes formant l'herbier général de M. Le- monnier sert se procura à Amst M. B. Deles dam toutes les collections botaniques d : avaient appartenu aux deux Burmann, composées d'un herbier de l'Inde qui avait été formé par Hermann, Pryon, Kleinhoff, des Dec originales, d’après lesquelles ont été faits les dessins de ces deux ouvrages, sont parfaitement conservées. Cette collection, montant à plus de vingt- mille espèces, renferm tuyn, etc. On sait d’ailleurs que Burmann . L.), promoteu À oe zélé de la botanique, accueillit qui lui avait été recommandé par Gegen t que fut chez lui que l'illustre Suédois es l'hiver de 1735. L'herbier de Bur a été consulté par les plus célèbres Cem nistes d'aujourd'hui, à Гей teurs de son époque. er. 956 56 HUB ERT СВЕ | GOIR E , GREG OIRE 788 Қ , VAN MONS 219 2 BEU RRÉ BRE TON NEA U , ESPE REN 30 Y D ' TRIO 0 MPH E D Е 20 DOIG NE , $IMON BOUVIE A. 092% ЕММЕ HIVE R. 917 / BEU RRE HARD D NPO H ENPONT ‚ HARDE NPON Т. M "TU tin Hort ДОГО у. ре © Yan Hoi 1 ioutteanc NOS POIRES. 63 (Planche ©). 212. Beurré Bretonneau (Zsperen). cvs clie ` Docteur Bretonneau, Bre- on re oe premiére qualité dans = sols légers auds, pour cuisson dans les surtou ës? manger un Beurré Bretonneau au mois ФА 188. Beurré Dalbret (Van Mons). SYNONYMES : Dalbret, Beurré Delbret, ondante d'automne, Beurré d’Albret, Calebasse d’Albret, Poire de proite qualité, mürissant en Sep- tembré-Qcta bre Chair verdátre, trés-fine, juteuse, ferme quoique fonda ante, pierreuse autour des loges, d'une eau des plus abondan- tes, fraiche celle du Beurré Gris. Arbre de moyenne vigueur sur franc et sur coignassier, formant de petites mais e ir Pep d'une fertilité remar- quable. Fruit moyen Cette variété est d'une fertilité peu commune et sans alterna oire ous ne saurions assez en recommander la culture SE SYNONYMES : ман. Reurré at. 1 + 177 7 A Decurre ( WE d a “4 Beurre d'Arenberg (fran- Gloux- Morceau oul nw Gloire de Binc ponts Winter жене birne. mürissant de blanche, fine, fon- e première quali té, Décembre en Février. oe sii juteuse, à peu exe e pierres, d'une eau E RADE, acidule, sucrée, par- fois атое ouée d'une saveur parfumée es i neux. Il serait par- faitement in utile, à notre avis, de cultiver cette vari té en ide ou au ve 8 jamais une e poire ; avant la fin de Juin, tout y est déjà pared et perdu. En Гаппее 1809, М. Delessert fit Гас- quisition de l'herbier de Ventenat, auteur du a de plantes du Jardin de Cels et du magnifique ouvrage du Jardin de la Malmaison. Cet herbier, qui remplit cent quarante boites, est nommé avec une grande exactitude. П est disposé suivant la méthode naturelle, et contient une im- que Swartz, Vahl, Schrader, Balbis, etc. 11 comprenait en outre deux porte-feuilles de plantes envoyées du Brésil à de ярост Joséphine et données par elle ntenat. . Delessert se хэлээ les colle dere ‘rassemblées par Palisot de Beauvois dans l'Amérique septentrionale, et les тына de la Nigritie qui ont servi à la publication de la Flore d'Oware et de Benin. En 1827, le fonds des collections de Thuillier fut acquis par M. Delessert. Outre les plantes des environs de Paris qui forment un herbier à part, ses collections renferment une grande quantité de derer exotiques, données à à Thuillier par MM. Ri- chard, De Jussieu et par des voyageurs. Elles ont été travaillées qui les a en grande partie étiquetées. Les collections de M. Delessert com- prennent en outre Un herbier de Saint-Domingue, rassem- blé par M. Poitea Un herbier de Tile de la Trinité, par M. Sieber. Trois herbiers de la A bes et de tue le premier recueilli - du 2 et du Pérou, par Ruiz et Pavo Trois herbiers + la Nouvelle-Hollande, trouvent réunies la plupart des ме décrites par М. R. Brown dans son Р/0- 64 NOS POIRES Ф абак 9). 233. Doyenné d'hiver (Vilain). femen, » ature, Heurré Roupp, P Dem de Pentecôte, Bordat Pad- dington Poire i toute Кеше qualité, mürissant de Février en Avril. Chair blanchâtre, des plus cœur, d'une eau abondante, d'une aigrelet. fort agréable et d'un délicieux sur Zeenen venant bien е t, d'une grande fertilité. Fruit volumi- ruits donner. Malgré son ancienneté, peu de poires d'hiver Laden - Шербет la palme еп qualité aussi bien qu’en volume. 956. Hubert Grégoire (As sees Poire miére q ualité, = ant en rbre trés-vigo o eux sur Wat sur eg wat formant de belles аи. Fruit assez gro n voir un chez M. lee E ре és de Gand, qui proue арчи année de beau uits. Л "s somme e, pou nous, cette potro = est plat t une poire а ага ate ou une poire de opm Puma, et doit être cultivée avant tout en espal ie dromus Flore енен, recueillies et nommées par ce sa Un de la из тиз ar M. Bosc, un autre e M. Delile et un troisieme de M. Frase L'herbier de Patrin, composé de plantes zen dans la Sibérie d le. collection de plantes d'Egypte de l'expédition de Bonaparte, шоо раг М. Delile. Un herbier de la Cyrénaique, par Pacho. Un herbier de la Ponte. recueilli de 1824 à 1829, Leprieur et Perrottet et qui sort i à T publication de la Flore de Sénégambie. — Un herbier du énégal, par M. Roussillon, et un autre par M. Heudelot Deux herbiers du Brésil, envoyés par MM. Saltzmann et Blanchet. Un herbier de Madagascar, de Noronha, et un autre envoyé récemment de la méme ile par M. Goudot. Deux autres des iles de France et.de Bourbon, par M. Neraud et par Martin. Deux nombreuses collections de plantes, envoyees par MM. Berlandier et Wydler, du Mexique et de Porto-Rico. Toutes les plantes, au nombre de plus de dam: m individus, recueillies par 8 son voyage au Chili et à l'ile de M Ferien La collection compléte des plantes re- cueillies par de la marine, dans le voyage autour du monde exécuté par les Navires l’Uranie ec a magnifique collection des plantes de l'Inde, au nombre de plus de cinq mille espéces, envoyée par M. le docteur Wallich à M. Delessert, d’après les ordres de 1а Compagnie des Indes. M. le docteur Wight a bien voulu aussi lui envoyer un herbier de l'Inde. Iudépendamment des herbiers, > Musée MM іпе dolle, Correa de Serra, et d'autres célèbres carpologistes. La bibliothèque botanique de M. Deles- sert, qui ne contient i contient, on remarque Троа зе (оға greca de Sibthorp et Smith; — B DE 460 CHARLES FREDERICKX. | Van Mons. ] COLOREE DE JUILLET. | Boisbunel | 799 OLIVIER DE SERRES. | Boisbunel . | og Lih. В pit f Юг Van Houtreanc SOUVENIR DU CONGRES. | Morel | ди NOS POIRES. 23 (Planche Е). 460. Charles Frédérickx (Va» Mons). Poire uali ant en Octobre. développement satisfai- ant d'assez jolies ilité haa ues Ere moyen ou re de la moyenne, à matu ration lente et prolongée notre avis, fout amateur doit posséder cette excellente vari 720. Colorée de Juillet (Boisbunel биг contenant quelques pierres au centre, "une eau abondante, douceátre, manquant générale- petit Doyenne de Juillet lui est méme supérieur à tous égards, à part le volume Flore Portugaise d’Hoffmansegg et Link; brunnensis, = tous les grands ouvrages de Jacquin s Descriptions et Figures de plantes au Brésil de Pohl; те Flore a. litaine de Tenore, etc. On peu consulter les recueils анса et à <4 Xx r + 2091. R. NOTICE Be a E В. BARCLAY, par La botanique et!’ ordei ont perdu ‘étude d'objets étrangers à ses occupa- tions De ei ye ‚Son goüt pour le jar- à se développer en 1781, conse d pendre la publication du Botanical Magazine, et il prédit à cet ouvrage le grand dde qu'il a obtenu. C'est en 1805, lorsque, retiré à Bury- hill, il eut abandonné les айыта dont à Se a suite à son fils ainé, qu 1 8 nsacra avec ardeur à l'étude des SC Water. et plus spécialement à celles des branches de la science qui se rat- tachent à l'agriculture et à la botanique, et dont il devint le protecteur généreu ах. M. Barclay portait un vif intérét à l'agri- complètes ne se trouvent pas EE ment dans les ek: de Paris. Telles sont, entre autres, les а des sociétés linnéenne a horticulturale de 10807 augmenté cette bibliothèque de la plupart des journaux scientifiques publiés à l'étran- ger, et qui intéressent directement ou in- directement la science des végé étaux. BARCLAY. Ce et était toujours prêt à tenter les expériences qui pouvaient conduire à résultats utiles, mais son jardin ongue ra eultivait les ЗӨВЛӨЛ 1е8 Хэн гагев EN judicieux dans la ошо га; de sorte que, méme en hiv s fleurs les pius belles se бил жй sans interrup- tion. Les Camellia et les Chrysanthemum ndicum y présentaient leurs variétés infinies. les plantes nombreuses ays de mame latitude que mbre, comme si elles eussent été dans Los pays natal. Plusieurs plantes du Mexique furent ainsi disposées, parti- 66 | NOS POIRES (Рилхонк В). 209. Marquise d’Hem. SYNONYMES Belle de , Ше га. fareau, Bergamote ee tios Alle- mands). e deuxième, et parfois de Psy qualité сам ва chair est bien ‹ e d'une grande vigueur, se greffant sur Seene ou sur franc, Se design idit e piis Fruit rm Та’ е 4 Нет ait de superbes haut- aut absolument entrecueillir = cueillir tr ée gt lorsque les fruits sont encore durs et verts : sinon on ne ent plus que d navets insipides et spongie 722. Olivier de Serres (Boisbunel). ке de toute première quali é, mürissant co e peu Leuten autour des ‚ d'une eau abondan , bien sucrée, aigre- lotte” voureu Précieuse де: des trois ans. Arbre de trés-gi "an greffant sur toute espèce de sujet, formant de nn ques pyramides, d’une fertilite ordi- aire. Fruit au-dessus de la moyenne Souvenir du One pomologique (илэн Роїге de première qualité, mürissant courant d’Aoüt. Ar geg e. deier Fruit très- ros, ا‎ éno е est noo xes sur son mérite r nous, elle est гыш de qualité secondaire, Zong assez bon culièrement le Maurandia Barclayana, dont les nombreuses fleurs agréablement ant et vigoureux, attestaient jus- qu'à quel Қылды le climat et le sol lui étaient favora bles . n commerce de lettres non interrompu avec le docteur Fischer, de Saint-Pétersbourg. Mais la personne laquelle le jardin de M. Barclay fut rede- vable de ses plus précieux trésors, est, sans aucun doute, M. Charles Telfair, de пгісе, qui, par sa résidence dans ce pays fertile, a rendu d'importants services alas . Non-seulement il lui fit des de Colombo (Cocoulus palmatus DC. (4 , H t originaires es cótes orientales de l'Afrique. Il lui transmit également le poison Tanghin (Tanghinia Du Petit-Th.), et une quantité innombrable d'autres objets nouveaux de Madagascar. Ces envois n'intéressaient ue mers ortance qui ne lui doi partie Ve opis les plus curieux. Il e presque constamment auprès de lui un artiste employé à représenter les plantes plusieurs volumes grande satisfaction à les voir gier et pur dans quelques vri est-ce à lui que l'on doit tant d Merc сива dans le Botanical Magazine et dans quelques autres publications analo- e ues. Il serait trop long d'énumérer le шэн nombre de plantes dont M. Barcla eura l'introduction.en Angleterre ou qu wil distribua si généreusement : nos ja ardins ole autres espèces du Mexique, l'Zibiscus Ve i n ر‎ | 1051. BEURRÉ DUBUISSON. | Dubuisson | 35. CONSEILLER DE LA COUR. | Van Mons | . FORTUNÉE DE PRINTEMPS. | Fortuné Deremme | an поце n Off. Lith & pict in forto Var outteano MADAME ANDRE LEROY. / André [егох | JACQUES MOLLET. | Boisbunel | NOS POIRES. 67 (Planche 5). 1051. Ве urré et ger (Dubuisson). Poire Fevrier. Chair pas le mois de Fevrier; nous оле таё mangé ап commencement de Déce 35. саласа Se = Cour o Mons). SYNONYM hal de Cour, Duc S nM. Ben = + Сонг, Hó de la Cour, Gross e-marie, Maréchal de la Cour, Жегоолын Decou ire première qualité, mürissant еп debes oe ялсан Chair blanche, demi-fine, est surtout bonne dans les terrains secs e 62. Fortunée de Printemps (Fortune De Raisme SYN ONYMES : Fortunee, Fortunée de Par- А, les Thunbergia alata et angulata, s Hunnemannia fumarie ois Cler e - 212 minens, Poinciana т ‚ Arum panulatum, les Lesche See Jormosa oblata, les Argemone grandiflora et albiflora, et le Chelone atropurpurea L nique non plus que toute autre science ne e saurait être cultivée avec succes le secours des livres. Barela appréciait бше nécessité, et à une réunion éjà nombreuse d'ouvrages = littérature jo toire naturelle et de botanique, et dans ce dernier genre il possédait toutes los publi- cation üt peut être rangée parmi les plu por- ic qui existent dans la Grands жой ta 18 “до cteur Wallich, lorsqu'il résidait dans l'Inde, a dédié à M. Barclay un genre fondé sur une plante qu Па trouvée dans le Pégu, et qui fait partie de la belle fa- mille des Nymphæacées. Ce genre est établi app livré à la pratique de bon celles dont le but est d'améliorer la condi- forces commencèrent à décroitre dans l'été de 1830, et le 22 octobre de cette méme année, ses enfants pu à déplorer la perte du plas digne et du plus généreux es et le public cle is des membres les plus utiles à la so (HOOKER, Botanical Se a 2 р. 122). + 2092. La Vigne Petite Sirah. La légende qui attribue l'introduction en France des plants de E (Petite Sirah), à des pélerins venus e Syrie, ma шин un fait qui ЭЦЭГ, à confir- E Ta болсон heures me suffren pour SC се port, qui а de grandes rétentions à étre une des plus belles un 8 villes del ‘Archipel, mais qui n'a conservé aucunes traces son passé et de ses monuments, et ne les a pas encore rem- placés Loi des institutions et des édifices moder A une grande journée mo ville est la résidence d'un évéque catho- lique romain, auquel je fus rendre visite. , élevé i à Rome à la Propagande, parlait parfaitement francais et avait pour t les Francais des sentiments de ву mathie qui me valurent le plus cordial accueil. Nous étions pas habitués à de tels pro- кг 68 entier, T e жөне Fortimée, Fortunée de Reims Parmentier, Beurre de Femme; Зына de сла бін Fortunée а” hien Poire de première qualité quand son eau n’a rien de trop astrin a e Mai. Chair ande un sol chaud, s ces conditions, ses fruits midi. А cueillir vigueur "cia нд prama le franc au Да халы erbes pyramides, Fruit moyen 8 бор eier ах. Nous ne vou- drions conseiller à personne de cultiver ce fruit NOS POIRES (PLANCHE 8). e; il y reste petit, malingre, s’y gerce le P souvent et y arrive rarement à bonne maturité. acques Mollet (Boisbunel). Poire de preemies qualité, mürissant de Novembre en Mars. Ar дып vigoureux, tràe-forüilo. Fruit “ac ou gro 813. gg André Leroy uec e. Poire de premiére qualité vers 1 de Septembre. Chair blanc-verdátre, CH où demi-fine, Juteuse, u. dante, peu - leuse au centre u des plus we Age ordinaire, gr effant sur franc ou sur coignassier, formant de jolies геев d'une grande ferti lite. Fruit volumin _ cédés de la part des Grees, qui nous étaient ` La bienveillance ff d'un âge recommandable et trés-supérieur à tous les vins grecs que j'ai bus, soit avant, soit apres. C'était un vin rouge très-sucré, mais joignant, en même temps, un certain bouquet à une sapidité particu: nn Sa supériorité sur les autres v ays provenait «венийн айв d sc cépage et sol, de la fabrication, et de ce qu'il avait été mis en bouteilles au lieu d'étre conservé dans des peaux de boues. Quelques années après, ayant goûté de l'Ermitage nouveau, an environ, je lui = le EN particulier du vin de yra ucré. Je félicitai je prélat sur la bonté de son vin; il me dit qu'il provenait d'un clos d'un monastère situé dans un vallon, à moitié = 2093. Caleéolaires herbacées. Aoüt e Catalogues relatent les soins requis. ula cortusoides magenta et lila- eina (FLoRE, ХУШ, en et XIX, 35). Sont deux irésors pour nos parterres; ils passent ici l'hiver Oe sans souffrir. suffit d'en couvrir les racines de feuilles chemin de la ville haute et du port. Il me dit aussi que ce vin était fabriqué comme temps, je fis un petit détour en revenant au port pour visiter le clos et le monastère. mme dans sol maigre du raisin était petit. Mais ce q plus frappé, c'est cette analogie de goût qui me fit dire depuis, en goütant de l'Ermi- tage : C'est du vin de Syra sans sucre. Ce fait m'est revenu à la mémoire en apprenant que le plant de l'Ermitage porte le nom d petite nue Ce souvenir peut, dans une certai esu confirmer l'origine oriente: ер dudit cépage. IN US (Le Cultivateur Зун. Glanes. mortes, à l'entrée de nos hivers, pour qu'elle tapisse sans sourciller les devan- tures des chalets jusq E plenium . Thynne mettront bientót en vente un Aspleninm . с" à odeur de violette. écon n du Yucca. M. Riley, Ro) p Missouri, Etats-Unis, aurait observé que les fleurs de Yucca ne restent nn que pendant une soirée et une ; que le Procuba уиссазейа saisirait ой instant pour secouer Je pollen dans la fleur le rem infortiles à défaut de lintervention d'un insecte. SILENE HOOKERI Nutt. э. Californie Plein air. 2093. SILENE HOOKERI Nourrarr. Caryophylleæ. CHARACT. GRR. — Vide supra, FLORE, П, janv. 1846, pl. CHARACT. Se F. — pendant: tota: to- mentoso-pubescens, caulibus 'adici nate plurimis decumben tibae folio osis, foliis anguste тсия vel oblanceolatis m latum an gustatis, рон amplis ulos 2-floros dis- -nervio, limbi brevis lobis bëssegen petalis pallide roseis ungue basi ciliato Ye pai in laminam cuneatam 4-6- sensim dilatato facie 2-carinato, carinis in dentes productis, limbi lobis lineari- stami- nibus : f linis filamentis MUTA elongatis ; ovarii stipite glaberrim лене Hookeri ‚ NUTTALL, in Torr. and Gray, Е „vol I, p. 193. — Bof. Mag.; 1873, t. 6051. lon hic зе Е Боклхрені, А. GRAY, 2% Proc. Amer. Зай, wo VU, p. 330 (March, 1 Nos culturés sont meg de cette jolie Siléne au Pro er qui en recueillit les graines sur les côtes boisées des parages de Plumas, en Californie. Elle est remarquable par la dimension et la forme curieuse de ses fleurs, ainsi que par leur coloris bien tendre qui la distingue de tout се que nous connais- sions; ces fleurs malheureusement assez : fugaces, mesurent de deux à deux pou- ces et demi de diamétre et uoc) aux axes des feuilles dii sont рев centes, même laineuses, de deux à trois pouces de longueur ; les feuilles de la base sont elliptiques, spatulées, tres- rétrécies en longs pétioles; les "autres sont elliptiques, lanceolees. arquées ou acuminees, toutes uniformement pubes- centes sur ‘les deux faces; гаси де là plante n'atteint que 6 à 10 Ia base devient en quelque EN e ligneuse еп vieillissant. isio wbai. Le Gardeners Chronicle nous apprend e marteau du crieur: ayant dispersé les belles: collections de. M. Dawson, M. Anderson, l'intelligent auteur de tant d'articles sur la culture des Orchidées And encore: quelques hits pour ne pa s priver ses Caen, ses intéressantes com- munication Vol de in ns une pro- commis p ora ат Tubes au centre de laquelle trónait quelque écessaires parce qu е рей exclure ces êtres бана 1 oe le Eden doit subir et qui nous ménent à narrer le fait suivant : Un vaurien de cette engeance, surpris e Hyde Pa la garde déclarait s'élever à 55 plantes. Cette dévastation annihilait entierement toute la beauté d'un parterre dont les eege eussent joui pendant long- temps, ce mauvais шэн n'eüt pris 70 le stupide siet d'y pen sentir son mau- vais génie. Le juge, dan cette méme prom menade, “d'autres individus, restés inconnus, s'étaie à rendus cou- pables de méfaits de Тое, rendit un arrét autant dans le but de punir le MISCELLANÉES. coupable, qui s'en ressouviendra, que pour terrifier ses imitateurs, quatre livres sterling d'amen mois d'e ще isonnement en cas de non- payem vH. + 2094. Destruction de la Mouche Jaune des Rosiers ou HYLOTOME DE LA ROSE (Hylotoma rosarum (1)). Si la rose est la reine des аша, c'est un titre qu'elle paye bien chèrement ; car il n'est pas, en effet, de pla cns qui aient à lutter autant qu'elle, contre les mille chaque année, sur cette innocente fleur. e combien de cryptogames parasites n'est-elle pas attaquée? De combien d'in- sectes, ses feuilles, ses brillantes нэ majes- pas de roses sans épines, puisque la rose dE EEN ne peut armi qui, aujourd'hui, font LA D ергоцүег 1ев plus vives douleurs aux 418- ci e , est certain insecte qui cause les plus effrayants ravages dan les cultures et collections de rosiers. C'est une espéce de Tent u mouche à Scie, que les ов пране par le nom de Hylotoma rosarum mouche a été remarquée par les rosiéristes depuis fort longtemps. Au début de e son apparition, on eut le tort de p appliqué promptement et partout à la fois pour sa destruction, сеп est fait de ЭЕ == des fleurs : elle disparaîtra des E Tenthréde, ou mouche, est longue 7 à 8 millimétres ; son corps est jaune roussátre, épais, non ‘étranglé au-dessous ue Lextrémité inférieure d instrument terrible , quelques Lovelaces volatiles? Malheureu- sement non! Ce dard est une arme offen- sive servant A attaquer les rosiers qui ne peuvent parer ses coups, malgré les nom- ..| breux aiguillons dont ils on eege J'ai nt — trop souvent méme — des Tenthrèdes pour conséquences de leur apparition dans les cultures de rosiers. Les Hylotomes, ou mouches jaunes de la première fois vers la plement des mâles et des femelles ne gedet la plantation d'un vo s'arrête souvent, se repose un Fang sur rosier, et repart se poser u coit alors que ce dard est composé de deux (1) Tenthredo rosarum, Hyménoptére de la tribu des Tenthrédines. (RÉD). A ов wh «рс РЕМТЗТЕМОМ PALMERI % Amer. Nord occid. Gray ^ ы S қ 2094. PENTSTEMON PALMERI А. Gray. Scrophularineæ. я шоо. GENER. — Vide supra FLORE, , 62. CHARACT SPECIF. — P. (Eupentstemon) Palmert; erectus, elatus, robustus ;glaberrimus, glaucus, superne glandul oso-puber ulus, foliis late ov vato-v. ute inæ- ulis 2-4-floris, pedicellis gracilibus, bracteolis parvis, sepalis ovatis subacutis, corolla roseo- purpurea, tubo tur rgido-campanulato, limbo 2 1 abiato invente 2- lobo, inferiore 3-lobo, filamentis glaberrimis, staminodio villoso. — Bot. » t. 6064, icon hie Pentstemon Palme GRA Pro $i Acad. e тоа Zi р. SH = Yol. VIII, in U. 8. A. Geol. Explor. дон Parallel, Bot. 3 Ce 920. Noble plante! Superbe feuillage des plus кало, гр panieule de grandes fleur yrse candelabri- forme oü les iiem rose et carmin sur fond blanc s'évertuent à se disputer la palme de la beauté ! Originaire de ces États Nord-Ouest Américains qui commencent à peine à étre connus, tant ils sont éloignés des parages oü déjà la civilisation a planté ва bannière : l'Arizona et l'Utah sont les lieux oü l'intrépide Watson est allé en collecter des graines, acquises au- jourd'hui à l’Europe ой le Pentstemon Palmeri fleurira l'été prochain aux applaudissements chaleureux de tous les amateurs de plantes de plein air dont celle-ci sera l'une des plus belles. L. VH. lames rugueuses comme une lime, qui s'écartent, vont et viennent dans la plaie, comme pour en user les bords, et élargir ainsi l'ouvertur Pendant ce pe la mouche ne s'o саре nullement de ce qui se passe Aalen our d’elle; on peut lapprocher pour suivre l'opération, et la prendre à la main san qu'elle cherche à fuir Lorsque le trou est de largeur conve- nable, la mouche se repose un faible in- méme travail jusqu'à environ dix heures ; car, à partir de ce moment, le vol des Tenthrèdes est plus rapide; c'est à peine si elles se posent sur les rosiers, et dan s le milie ieu u du jour, elles disparaissent presque leurs stations, pour déposer de nouveaux œufs : Ой vont ces mouches de dix à cinq heures? C'est ce que je cherchai à savoir. al recherche e leur nourriture, et qu'elles e trouvaient. sur d'autres plantes que les rosiers. Je les vis sur les betteraves en fleurs, sur les ombelles de carottes, et plus particulière- eet sur 5 эсээс Cette découverte était bo ter, et, on le verra tout à ra j 'en fis mon profit J'ai dit qu'aprés la ponte, une liqueur mousseuse retombaitsur chaque ceu uf. Cette de sorte que tous les rameaux qui po 12 MISCELLANÉES. les œufs présentent еп cet endroit une ligne brune et une arqüre très-prononcée. L'action de cette liqueur est en outre tellement délétère, que le bouton à с. qui termine le rameau, cesse de grossi ce n'est que ем з: qu'il pacrient à l'épanouisseme Ceci n'est encore ‘que le prélude du mal. Quinze jours à peine se sont écoulés depuis le dépôt des œufs, que des chenilles presque imperceptibles sortent de leurs . berceaux, et se répandent sur toutes les feuilles qui deviennent leur päture; elles les attaquent par les bords et les ron- 8 € ES que l'apparence de pauvres cadav Ces PR ou mieux ces fausses che- corps prend une teinte jaune plus ou moins foncée ; les côtés deviennent verts; le dessous présente une teinte vert blan- ER 3 ces r Fopaphages est d e? viron irois semaines. C'est v $ la fin ration | nt les rosiers pour s'enfermer dans жеу cocons, et passer plus tard à l'éta de n . Les unes tombent alors à enferment ав le cocon à la fin de la troisième semaine de ce même mois, pour en sortir à l'état de mouche tent cette fois jusqu'au printemps de l'année suivante. Telles ape les mœurs de l'Hylotome de la rose et sa prodigieuse D ae : trois générations dan ourant de la végétation annuelle du ro On чен | yant та vages que cet insecte exerce dans les cultures où il s'établit, et malheureuse- a ligne brune etarquée des rameaux qui récèlent les œufs. oyons main "té ant ce qui а été fait pour la LE de cet ennemi de la rose. Aussitót que les rosiéristes de Paris ont pu apprécier les ravages de cet Hylotome, ils se sont mouche. toujours praticable, et PTR plusieurs inconvénients. D'abord en écrasant la mouche dans les doigts, on ge: bientót environné de l'odeur infecte qu'elle exhale naturellement; puis cette chasse origo qu'on prunes sur tous 5 rosiers; on foule la terre ; un temps précieux est employé à cette Eege et le moment ой la qu'on ait eu le temps de parcourir toute l'étendue des eultures. Aussi, lus nc : beaucoup de temps et d'argent dépensés à peu près inutilemen Q9 o 5 © > E. et Ф E м mouche, piqués, espérant par là détruire le germe CYPRIPEDIUM ARIETINUM Brown. 3. Amer. Nord Kr Plein air. 2095. CYPRIPEDIUM ARIETINUM В. ‚Brown. Orchidaceae. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, ш, 186. CHARACT. SPECIF. — Caule folioso, foliis lanceolatis amplexicaulibus, coroliis pentape- Ds Сург сае arietinum Б. BROWN, 77 Hort. Kem., vol. V. Le Sabot de Vénus surnommé 70/6 de bélier est originaire des parties sep- tentrionales des Etats-Unis-et du Ca- nada, où il croit en société des С. parvi- forum et spectabile dont la culture lui est en tout applicable; c'est la premiere fois que nous le recevons et qu'il nous a été possible de le faire dessiner et peindre d'aprés nature. L. VH. des chenilles. Mais autre inconvénient : eris et d'un triste aspect. Malgré cela, l'Hylotome de la rose n'avait pas cessé de M. Blan chard, далд ва Zoologie agricole, recommande re les parties piquées p vernis, etc., qui , dit-il, kuer Ze des œufs. Il Ces paraissent pas très-efficaces. Ils peuvent être d'une appli- cation facile dans les jardins où il ny a que quelques pieds de rosiers ; mais ils me paraissent impraticables dans les grandes cultures qui comptent de 20 à 25 mille individus de cet arbuste; de plus, pour diminuer un peu le mal, on dépense beaucoup de temps, et par consé- uent beaucoup d'argent. En effet, pour recouvrir de vernis ou autres substances que pareille visite sur des milliers de rosiers е реші se faire еп un jour; pourtant се travail doit être fait peu de temps après la ponte, et être suivi chaque jour, puisque chaque matin les mouches font de nou- veaux dépóts. Quant au ráclage de la terre, je le tiens également pour insuffisant et d'une exécu- tion trés-coüteuse. — Insuffisant, parce qu'on laisse toujours une grande quantité de cocons dans le sol, et que le ràclage n'atteint pas ceux qui se trouvent dans le fentes des murs, derriere les troillageë, ete. Et que de temps pour râcler ainsiplusieurs arpents de terrains, au milieu d'épi Ainsi,aucun moyen efficace de destruction : perte de temps et а” argent sans diminution du mal, voilà, jusqu'à ce jour, ce qui a été constaté. On espérait que quelques froids un peu rigoureux détruiraient les larves : les gelées de 1844 à Ho ont tué les rosiers а}, поп l'Hylotom Е езепсе d'un mel qui s'accroissait chaque pom je me à étudier les се : il est simpl ée journée, et qu'elles allaient prendre leur nourriture sur d'autres plantes, et x culièrement sur le persil en fleurs. ын découverte me donna l'idée de er 74 ditis pieds de cette ombellifére dans es tué, dans lespace de six semaines, plus e 15 cents mouches; car, arrivé à ce nombre, үзі cessé de compter. D'après ts, je crois devoir recommander à mes confrères et aux amateurs, l'emploi du persil, surtout la variété frisée, pour arriver à la destruc- tion de l’Hylotome ee la rose. Voici ce que je conseille de faire Semer au mois d'août du persil frisé, dont Г ombelle est plus forte que l'ordinaire fleuri- ront à peu près à ée eler de l'apparition dela mouche. Pour n'avoir pas à entrer dans les SE? ou Sf Dunes on peut les planter sur le bord des allées, ou der- e les corbeilles si on en veut cacher la ue. rom que les fleurs commencent à apparaitre, les mouches viennent dans le MISCELLANÉES. milieu du jour butiner dans les ombelles. А ce moment, elles ne s'occupent pas de ce qui se passe autour d'elles; on visite alors ch voit, Get? très-simple et peu coûteux; eut détruire une grande quantité d'insectes en peu de temps. apn que : autant qu'une chasse générale sera faite шон les localités où apparait ГНуююте e la 6, CO me il en est pour les өлсін La eulture des rosiers est une de la destruction de l'insecte qui la menace sérieusement. MARGOTTIN 1 2095. Notice sur la culture de la Reine-Marguerite pyramidale. La » grande et demi-naine, de la Rei АБ неден pyramidale, est sans : contredit la plus belle de ce genre; elle ou qu 'elles nn le nom de midale-pivoine, sous lequel elles wont connues dans 3 от те si élégantes, si parfaites ; elles sont aussi remarquables par les couleurs brillantes, vives, fraîches et satinóes qui les décorent, au nombre desquelles on distingue le rose avec toutes ses nuances, le blane pur, le e e de regarder la Reine-Marguerite pyrami- bed comme une plante annuelle de ретіде "Cela est tellement incontestable, que а recherchent avec ы Seu lem aspect qu'elles je eru pendant ээ H b^ 277 e, A В. | Y we uM Kean ү 22 o L an Др, малаа: " \ "e Chassis froid. SYRINGODEA PULCHELLA Hook.f. + Cap de Bonne Esperance . SS Ss АГ EE ER ET рту : TT ERSTER ei - ЕС an Mee T. ar Kane Ai ef, ee A ESI Ro S шы ды A E he WR PRA УКУ ҮЛҮ 75 20%. SYRINGODEA PULCHELLA J.-D. Hoox. : | Iridez. CHARACT. DENM et SPECIF. — S. Pe- rianthium membranaceum, h pocraterim or- b um; tas gracillimus, elongatus; limbi lobi æquales, pere, cuneato-spathulati, incurvi, glaberrimi. Stamina us, apice in stigmata 3 pa- fissus ; E цг іп loculis оо, 2-seriata. Fructus tium africæ australis ditions беден pen pusilla, bulbosa; bulbis obovideis, squam runneis levibus non reticulatis; fibris ie libus capillaribus. Folia p г pedicellati, perianthii tubo fere bipollicari pallide rubro, basi spathis oceluso; „limbo |-роП. diametro Hook, Во e Magaz., sept. 1873, t. 6072. Icon. hic iterata. M. Harry Bolus а doté nos соПес- tions de cette mignonne Iridée Sr tienne qu’il а découverte au Cap Bonne-Espérance, à 4,600 pieds Фан tude, dans cette chaine de montagnes connues sous le nom de Sneeuwbergen (montagnes de neige), dénomination qu'autrefois les Hollandais leur ont appliquée, et que les Anglais n'ont pas changée. Voisine des Z’richonema, le Syringodea se contentera du peu de soins да 'exigent les gege? ; il fleurit en ау L. VH. floraison. Convaincu que la culture par- faite de cette per d'automne satisfera ceux. qui se passionnent pour cette reine de nos jardins, je WE au désir de plusieurs amateurs en faisant connaitre le mode de culture que je suis avec succès depuis plusieurs années. C'est ce procédé qui m'a permis d'obtenir plusieurs таа nou- velles, aussi Sigue par la perfection de leur forme, l’elegance de leur port, l'ampleur de leur fleur, que par la pureté et la richesse de Seege de celle-ci. 8 1. SEMIS- Les semis se font de deux manières : en pleine terre, en € ou terrines, sous cloches ou sous chássi l Semis en e terre. Pour faire le semis à froid, en pleine terre, je choisis de Mei rango ente du midi et une terre substantielle, ; recevoir les chássis vitrés qui doivent protéger la levée des graines. Du 15 mars au 1% avril, j'enléve les cloches ou les chássis, et je pratique le semis en fait un léger я je les recouvre de quelques millimétres de terreau fin et éger que j'entretiens frais. Puis, je replace les cloches ou les chássis que je n place. guerre aux insectes, qui sont très-friands de ces petits plants, surtout quand ils я ` MISCELLANÉES. sortent de terre. € m quil faut plus Е Ce loches les araignées noires qui, pendant e Son > че дез талары considérables. S derniers soins ompléte nt. ceux que То on doit pups aux semis Ale à l'époque du repiquage en pépin Les sem ехеспіев à cette époque es traités comme je le ee pros: des plantes qui comm ront à fleu depuis les premiers Ge d 'aoüt eae en ones bre. Il ser к. Ka jur pendant longtemps de fleurs та iches, de faire ‚ plusieurs semis à dix ou be proviennent de ceux faits du mars au 1° avril, époque qu'il faut choisir de préférence, si l'on veut obtenir des pm to vigoureuses et des fleurs très-étoffée 2» Semis en pots ow terrines. Quand je possède peu de graines prove- de presser légèrement la surface de ma- nieré à ce qu'elle se trouve à 25 millim (n contreb es po rines recouvre les Semences de quelques milli- sien 46 terreau fin et léger. Lorsque le mis a , Ч , D ines nuisibles, tels que les mulots et les souris, et d'émpécher l'évaporation + 5 l'humidité contenue dans la terre néces- rature s'éléve de quinze à vingt de естен centigrädes, ou, се qui est préférable, je les place sur une couche tiède recouverte de cloches ou de châssis que je recouvre de paillassons pendant les nuits froides. Lorsque les jeunes plants se montrent, ce qui à сен six ou N jours aprés le semis, un d'air en soulevant le jeunes plants scie d plus de lumière possible. Ce ve t plus nécessaire des ge les а tigelles se sont redres- Опок il en soit, je maintiens кч les pots ou terrines sous cloches ou. sous e j'avais mis ens premiére section de ce paragraphe. 5 2. REPIQUAGE. Le repiquage se pratique'en pleine terre à l'air libre, sous cloche ou sous chassis. 19 Repiquage en pleine terre à l'air libre. Les plants provenant de sémis faits sous cloches ou sous châssis du 15 mars au 19 avril, doivent être repiqués du 20 avril au 1° mai. Ce repiquage doi léger faisait défaut ; s'il était d’une nature Pop lourde, froide et compacte, il serait prudent de faire le repiquage tel qu'il est indiqué à la deuxiéme section de ce рага- graphe. Comme ces plants sont encore jeunes, j'ai pour open de les repiquer au doigt n à un, à une distance de 20 centimétres en tous sens. Il est extrémement impor- tant de faire ce repiquage à l'époque que j'ai шош ci-dessus, c'est-à-dire quand le plant а développé seg deux premières feuilles et avant qu'il ne dureisse et né s'étiole ; car une fois arrivé à ce point on obtient encore quelques belles fleurs si la race est bonne, mais il est impossible d’avoir dé ces Reines-Margue eouvrent de cerit fleurs à la fois et Ped erh l'admiration des amateurs. Après ааа ай 02 ЕЗ о - ок Lith & po Hill. PALMERI - DORYANTHES Australie orient. e erre lemperee . 5 9 1 | | | | 2097—2098. DORYANTHES PALMERI Нил. Amaryllidacez. à CHARACT. GENER. — EE corol- sexpar tit iduum, laciniis Lopes interioribus. basi о a insertæ, е ferum, ыан Оуша ех{ге Sege radiculari umbilicum attingente. — Herba in Nove Hollandiæ ora orientali BUR sie Sg і Kë ena; radicibus fasciculatis, cau ule excelso, tereti, folioso, foliis radicalibus caulitis ега terminali e spicis suboppositis жегін Us ucifloris com floribus altern puniceis, breviter pedunculatis, ерлер sedi Mi: tibus рос coloratis. (Charact. OWN et ENDL.). егбегі inter ue suas post Agaven posuit CORREA MA idet seme ҮІ, SA t. 23-94. — Ros Dor. excelsa. ong terminal thyrsus, about 3 feet long, the pena and bracts of the same together, each with a short thick rachis bearing 3 20 flowers. Bracts acuminate, the outer one lanceolate, pale or white wmd belom the middle, g from near the celsa, and, as we thers, much shorter nen in that Ay gia BENT . Australiensis, VI, 452, CRT “Chronicle, өнд ; 1874 4, р. isi, gie icone xylogr. hic itera Doryanthes Palmeri HiLL., BENTH., 1 с, — rire Chron., 1874, 180. Quand le Doryanthes excelsa (FLORE, ХУШ, 147) fleurit à Gand, il y a une quarantaine Банзан, tout le ays se rendit dans la vieille cité de Jacques Van Artevelde pour y admirer cette merveille. Elle trónait dans la serre chaude de feu M. Auguste Mechelynck qui fut notre Mécène, et à la mémoire duquel nous aimons à reporter 108 souvenirs de gratitude. M. Auguste Mechelynck, grand amateur, avait pour jardinier, en ce temps-là, notre confrère actuel J.-B. De Saegher, qui amena le prodige à bonne fin; la plante avait atteint une hauteur “d'environ quatre mètres, couronnement des fleurs com- pris. Avant l'apparition de la tige florale, le diamètre du feuillage ne de- passait pas un mètre, et ce feuillage avait assez d'analogie avec celui d'un Fourcroya ou Agave Pitt La place des САЗАНА dans nos eul- tures, est la serre tempérée, +6° + Réaumur en hiver, et le plein air, en plein soleil, pendant les mois de juin à septembre, en ayant soin de ne les repiqué, je mouille au pied des plants et, pour faciliter leur ары je bassine les cessité, et de avoir lieu dans les premiers jours de juin, €t non quand les boutons sont formés ou préts à épanouir leur fleur, comme 16 recommandent encore quelques ouvrages. 99 Du repiquage sous cloche ow sous chássis. Les plants provenant de semis faits en pots ou terrines étant plus susceptibles de s'étioler que ceux semés en pleine terre, que possible, c'est-à-dire des qu développé une ou deux "€ i. moment 78 DORYANTHES PALMERI Нил. mettre dehors que par un temps plu- vieux, afin que le feuillage ne se res- sente pas de la transition de la pénombre au plein soleil. Comme nous le disions à la page 148 de notre XVIII* volume, la patrie des Doryanthes est Sydney, à la côte orien- tale australienne, vers le 33° de lati- tude, parage d’où nous sont venues tant de jolies plantes qui ne requièrent guère de chaleur artificielle au-delà, répétons-le, de + 6° + 8° Réaumur. Nous voici arrivés aux trois quarts du XTX” siècle, et, puisque l'introduc- tion du Doryanthes excelsa date préci- sément de 1800, il s'est conséquemment passé pres de 75 ans avant l’arrivée de la seconde espèce, celle que nous figurons aujourd'hui, et qui a été dé- couverte par M. Walter Hill, l'intrépide botaniste colonial aux soins duquel est confiée la direction du jardin publie de Brisbane, dans la baie de Moreton (Queensland), à une dizaine de degrés nord de eh . УУ. Hill а rencontré le Doryan- thes Palmeri en 1860 dans les roches elevees de la chaine de montagnes de arling, aux confins du district de Moreton; en parcourant, depuis, les mémes districts, il a eu l'insigne bon- heur de mettre ‘la main sur une sorte de Doryanthes qui serait une variété à fleurs blanches du Doryanthes excelsa. Le Doryanthes Palmeri, découvert еп 1860, a fleuri dix ans aprés, en septembre 1870, dans le jardin de Brisbane. П а été transporté, pendant le cours du méme mois, à l'exposition intercoloniale de Sydney ой a été exe- cute, par Mie Harriet Scott, le croquis qui a servi à la confection de la planche du Gardeners’ се d'oü' nous avons tiré la n Noüs sommes hien fourni en bons exemplaires du Doryanthes Palmeri dont les fleurs sont plus grandes et plus richement colorées que celles du D. excelsa; linflorescence est globu- leuse chez ce dernier, tandis que, dans la nouvelle espèce, elle forme un ёр de 5 à 6 pieds de longueur, chargé de grandes fleurs ayant l'aspect de grandes corolles de Vallota purpurea. Le D" Regel rapporte dans son Gar- tenflora, page 2 de 1864, que la pre- mière floraison du Doryanthes excelsa eut lieu en Europe, en 1814, dans les serres de M. Charles Long, à Bromley Hill, prés de Londres; que depuis il se montra dans l'établissement de MM. Conrad Loddiges et fils, qui était situé dans la commune d' Hackney englo- bée aujourd'hui dans la vorace ville de Londres. MM. Loddiges ont figuré la plante au n° 765 de leur Botanical Cabinet et ils y portent la hauteur de leur exemplaire fleuri à 25 pieds, tandis que celui qui s'est développé à St-Péters- bourg n'avait atteint que 17 pieds d'élé- vation quand il se mit à fleurir, ce qui tendrait à faire supposer que l'exces de EE produite inopportunément Hackney aura surexcité la végétation қ. déterminé cette longueur démesurée de la hampe. Le ҮН. quil importe de ne pas perdre de vue, arrive environ trois semaines après que le semis a été pratiqué. Comme souvent, à cetté époque de аа, la température est encore trop froide pour exposer les jeunes plants à l'air libre, surtout si la nature du sol est trop lourde ou trop humide, il est prudent de faire le repi- e en pleine terre, sous cloche ou sous châssis, et dans un sol possédant, autant que possible, les qualités et ayant recu les préparations i desinit dans là pre- mière section de Je mets qui om à dix-huit plants par cloche et quatre-vingts à cent sous un chassis de un mètre trente-trois centi- métres carrés. Pour faciliter la reprise, je mouille chaque plant au pied, je bas- sine, j 'ombre légèrement s’il y a nécessité; mais seulement. pendant reip em? Je donne de l'air graduellement, et ; les plants sont repris, chaque fois ын le 2 7 - "E pid 9 n HO [Ur i! °% ” BRACHYOTUM CONFERTUM Maud h Perou, Equateur Serre tempérée . 2099. BRACHYOTUM CONFERTUM Nawb. Melastomaces. CHARACT. GENER. — Calycis pom hirti v. strigosi Aaen hemisphæricus ovoi- deus; lobi 4-5, oblongi v. къв tubo æquilongi v. longiores, persistentes. Petala 4-5, obovato-rotundata, in corolla hispidi, rarius glabrati. Folia rigide chartacea, ssepius potage d onga marginibus recurvis. Flores 13 versus apices ramulorum, cernui v es, majusculi, ulati, lutei v. purpurei. Spe- mon ge Peru зуй Boliviæ et Novæ nn. nat., Lasiandrella ядан usque site erectis. — 6, 8, 13, 14 et 20). Pavon, Fl, . 318, 319 её 321 (Едет). — Arthrotemmatis Sect. Brachyotum, DC. Prod ПІ, 134. CHARACT. SPECIF. — Frutex erectus, osissimus, setoso-hirtulus, foliis parvis margini oblongis ovatisve acutis v. obtusis sis 3-nerviis, floribus pollicaribus terminali- ын solitariis breviter г pedicellatis pendulis basi ` 6-bracteatis, bracteis 2 foliaceis patentibus cete- pi к is apprexis, CH latis, antheris recurvis d E „т о, er eg: m obtuse 9-den . Ноок., Bot. Mag., t. 6918. Brachyotum confertum, NAUD., in Trans Linn. Soe. vol. XXVIII, p. Жэ Bot. Mag., XXIX, t. 6018, icon hic iterat tue OGASTRA ernes s DG. sr? vol, I, p. 135. — Naup т Жж. , Ser. 3, ol XIV, .136. — дон: SA Plant. Equit., vol. f, p. 228. Rurxıa CONFERTA, BoxpL., Rheg. t. 20. Una Mélastomée, le егіле кие ! Notre * volume, à sa page 227, nous a donné un Genetyllis tulipifera décoré de ses grosses cloches de cire toutes striolées et flammées d'écarlate, et de son char- mant petit feuillage buxiforme; à pre- mière vue, ce Brachyotum nous appa- rut comme devant appartenir au méme genre : disons, à la vérité, que les Myrtacées Joi gunt les Mélastomacées. Qu’ elles sont ravissantes ces elochet- tes à demi ouvertes, de deux couleurs si opposées et qui se marient si divine- ment! Quel pompeux appoint n'appor- tent-elles pas à la pittorescité du pay- sage dans ces Andes du Pérou et de la république de l'Équateur, si тя d'ail- eurs ! Déjà découvert par Humboldt et Bon- pland au D De de ce siècle et nommé х Вега conferta, le Brachyotum “йн fut rencontré depuis au Pérou par Matthews, dans la province de Chachapoyas ; puis dans l'Équateur par Seemann, et enfin par Jameson qui en récolta des grainés sur les collines près de Cunca, dans ce même Équateur, graines qu il adressa à M. Isaac Anderson Henry, à Edim- bourg, de qui proviennent les exem- plaires vivants en Europe. L. УН, mps le permet, jenleve les cloches ou ун chássis qui les recouvrent, car, il faut ien le remarquer, ces cloches ou chässis “пе doivent pas servir à hâter la végétation, mais seulement à protéger la reprise des jeunes plants et à abriter ceux-ci contre les intempéries — riques Les soins 3 donner aux plants qui ont été ainsi r jusqu'à Ге "aui que ceux niques dans м, section pré- cédente. Toutefois, comme ces plants ont été repiqués plus drus, ils gei ien étre relevés et mis en place du mai au 80 | . MISCELLANÉES. + juin pour être 27 traités comme je lindique сі-арге 5 3. MISE EN PLACE. Du 1* au 15 juin au plus tard, par un temps couvert et humide ou dans la soirée, ir {ес en notte les plantes qui étaient epiquées en pépinière à l'air libre pour lés mettre en place une à une, à la оар e 40 à 45 centimètres en tout sens; j'exécute cette opération dans un rss préalablement ameubli et enrichi d'engrais bien consommé. Je forme des bassins au pied de chaque plante ; je mouille chaque fois qu'il y а urgence, et je bassine même plusieurs fois dans la journée, quand la température est chaude et sèche ; ces soins rendent 1а reprise plus facile et plus prompte. Il importe beaucoup que cette reprise soit aussi rapide que possible, afin n 22007 ропг 8 plantes. Douze ou quinze jours aprés la plantation, je donne un binage р trouvent à la base des plantes, je reforme les bassins, et je recouvre la surface du sol d'un léger paillis. prodiguer, je continue les Pendant la floraison, on ne doit jamais cette transplantation en temps o arroser au-dessus des fleurs, car la quan- tité d'eau qui s'y introduirait serait sus- ceptible de casser les pédoncules ou de les recourber d'une maniere désagréable. $ 4. DISPOSITIONS DES REINES-MARGUERITES PYRAMIDALES DANS LES PARTERRES 00 CORBEILLES. La manière de disposer les fleurs dans un jardin est trós-importante, et je trouve que rien n'est plus satisfaisant pour la vue 3 qu'une corbeille ou ma plantes de ундааг ou de port différent, car elles produisent toujours une confusion his agen J'ai l'habitude de récolter les graines de mes Reines- -Marguerites par Variétés séparées; je les sème et les repique dans le même ordre. Ces variétés ayant le mérite de se reproduire franchement, sauf quelques exceptions parmi les couleurs et seulement dans quelques variétés, il résulte de là que j'ai l'avantage de pouvoir aban- inconvénient n'est pas le seul que com- porte cette maniére d'agir. En effet, si, pour obtenir de fortes plantes, on se décide à mettre les plants en place lorsqu'ils sont rites par variétés séparées, et d'exécuter ortun. J'ai dit précédemment que pour obtenir des plantes d'une beauté remarquable ап mo- ent de la сон il fallait pratiquer la ido en place lorsque les plantes — encore jeunes et fia idis res. Lorsque fleurs commencent à paraitre pendant за 507. ВОМ-СНВЕТІЕМ D'ESPAGNE. 719. BEURRÉ LUIZET. : fATI 741. BEURRE DU CERCLE PMTIQUE DE ROUEN. [ Boisbunel | [ Luizet | ort Lia. pia Pn He. 369. EMILE О’НЕУЗТ . | Esperen | 1 BEURRÉ DE LUCON. 81 2100—2105, NOS: POIRES. (Planche ру: 741 (296). Beurré du Cercle pratique de Rouen (Boisbunel fils). SYNONYME ` Beurré du Cercle. е première qualité, mürissant fin en. bre et commencement d’Octo bre. Chair de belles pyramides, d’une SE excessive. тг au-dessous de 223. Beurré de Lucon. SUY ONYMES: Beurré gis de d das e od gris d’hirer nourea d’hirer рамена, Beurré Wee: Deene Beurre ris de E «ves, npe de Fontenay, Beurré gris Lucon, Poire de première qualité, mürissant de Decembre en Fevrier. Chair jaunätre, fine, fo ndante, juteuse, pierreuse autour des lc 5 ап а extrémem ent abon ier n Fruit au-dessus de la moyenne et parfois plus volt umineux, ment re ecouvert de rouille. Cette тагы евї seg délicate; elle demande, pour réussir, le franc, un ter ain sec et leget, Massage ou le dos à Core expositio 713. Beurré Luizet 227 Poire de рге- тіеге qualité, mürissant еп Décem r de ааг fertilité extréme. Fruit gros, allongé. journées chaudes et brülantes du mois d'aoüt, je place le matin, au-dessus s des plantes, une toile à saison, elle est indispensable pour la maturité des grain $ 5. cHoIX DES merken cts ET RÉCOLTE DES SEMENCE La race de Reine-Marguerite pyrami- - dale que je possède est tellement pure qu'ellese reproduit franchement et qu'il est rare que je sois obligé d'arracher, parmi le grand nombre de plantes que je cultive, quelques pieds défectueux sous le rapport e la forme de leur fleur. J'ai toujours бате que les variations qui s'operent . Les variétés les plus suscep- tibles de subir des modifications dans leur coloris, sont: les roses qui passent au blanc, le violet foncé unicolore qui donne кей - ©» 14% л vraiment dignes d'étre p ropagées. ainsi que j'arrive chaque année à augmen- ter le nombre des variétés que je cultive. Le choix des porte-graines ne saurait étre 82 “307. — ee SYNONYMES : nory, Bon-Chretien ’automne,G ‚Presiden = tomne rande- Mansuette ER. Tokami, le Хэгийн doré d'Espagne А Blanche Са SM ее Spin om rosse-Grande eege, 2 vate деде este mene d'hiver, Gra- cioli de la Toussain remière Шы pour la cuisson, de troisième pour le couteau, mürissant courant au peu abondante et souvent insuffisante, е е, assez sucrée, NOS POIRES (PLANCHE T). rarement aromatique. Arbre d'une grande vigueur, se greffant sur franc et sur coignas- sier, formant de fortes pyramides, d'une ferti- lité satisfaisante. Fruit au-dessus de la moyenne uefois considéra 369. eg d'Heyst (Zsperen). Poire de pech qualité, mürissant еп Octobre-No- e. Chair verdátre, ruit moyen et souvent plus volumineux, ovoide-allongé, gris- rouille sur fond vert clair. indifférent. Voici comment j'opére: je marque les plantes dont le Ba est le E parfait et dont les fleu ongues lan- E, sur lesquelles doivent briller les couleurs les plus pures. оно сез variétés e choix ne donnent ordinaire- que très-peu de цана J'attribue e faihia quantité de semences que l'on obtient de telles plantes à la perfection de leur fleur. Chaque année, je suis à méme de vérifier fleurs de mes "rias les graines ne lèvent pas toujours J'ai dit que les Reines-Marguerites de choix ne donnent qu'une très-faible quan- tité de se re indistinetement sur toutes les бос ой је er trouve. J'agis en cela contrairement usage recommandé dans la culture des me variétés. Ainsi, jusqu' à ce jour, e la re commandé de ne oss les See qu'à e circonférence des fleurs ou, de prefe- rence, sur les plus petites, ou sur celles qui se développent tardivement. Cette observation ne concerne pe la Reine- Marguerite pyramidale pivo our que la récolte di. graines soit facile, il est utile de laisser adhérant aux sommités florales de longs pédoneules et de choisir, pour cette opération,le moment ой le soleil et l'air auront dissipé l'humi- ité etla rosée de la nuit. Au fur mesure que je coupe les pédoncules, je les réunis en petits paque ets, toujours par variétés séparées, et munis d'une étiquette; ces paquets sont ensuite suspendus dans un endroit très-sec et très-aéré pour que les têtes puissent s’y dessécher. е 5 6. MALADIES ET INSECTES NUISIBLES. La Reine-Marguerite est sujette à une ne tarde pas à seio эн jai faites ne m'ont pas епсоге fluence e prenait naissan Le Chanere est une maladie qui attaque rez-de-terre la tige de ces pass Il ne la Кеіпе- n les effets sont quelquefois désastreux, ne se montre qu'à l'époque de la floraison. ei | ES 168. NEC PLUS MEURIS. / Van Mons | 840. BEURRE 9PAE. [ J Van Geert ] 104. COURTE-QUEUE D'HIVER. / Boisbunel | | : . Lir. РС in Horto Van Houtteano : : 59. BEURRÉ SUPERFIN. / Goubault | 08.9 an Houtteano. 84. BEURRÉ DUVAL. | Duval | NOS POIRES. 00 83 (Planche U). 84. Beurré Duval (Duval). SYNONYMES : Duval, —— понгеан, Audibert, Francois Duc ael. Poire de première wail 6, mürissant en Octobre-Novembre. Chair blanche, très-fine et serrée rtilité peu commun et quelquefois plus volumineux, ovoide- ааваа jaune-pai 849. Beurré Spae (Fr. Spae). Fruit le plus souvent de première qualité, mürissant en > Octobre. Chair goe, E juteuse, d’une eau bien sucrée et parf mée. Arbre peu vigou- реке бог wen au moi Wei sur Эф gei ier 9 Dale) дига 2) ргетпіеге qualité, E На n Oct blanchátre, tine et très- fonda CH E uli peu granu uleu ceur, d'une bondante, fraiche, Cen sucrée imprégnée ¢ d’un parfum ussi savoureux que prononcé. Arbre vigou- it assez volumineux, 'ovoide ventru, à peau lisse jaune clair, — Les Cloportes sont des insectes tres- nuisibles; ils occasionnent, dans les semis, des dégáts parfois considérables. Toutefois, il est un lorsque ces parties ont été ainsi préparées, оп 168 place cà et là entre les jeunes plants, en Ayant Soin de les renverser sur elles-mömes de manière à cé qu'elles forment de petites cloches; comme les dlóportes recherchent les lieux frais, ils t d terre, on trouvera їп тат nombre que Г. on pourra aisément 46% Ces йакын: пе SE pas les seuls qu'il faut regarder comme nuisibles ; les Zoches Commettent aussi de grands ас égâts. O doit ud rechercher avec tout le soin Ce travail doit avoir lieu le matin de dE heure, ou le soir, ou aprés une р! ше Qu ant à l'Araignée noire, оп пе par- vient à là détruire qu'en la poursuivant pendant le jour, о elle court à la surface du sol. C'est principalement dans la nuit qu'elle commet ses ravages. Toutes attaque les жетек жасататын оп doit faire dé nombreux bassinages; l'humidité étant nuisible à py reproduction de cette araignée, arréte ses ravages E favorise la . végétation Kos plantes attaquées. Le Рис est causent b o s grand Reines-Margueri rites ; s'attacher de pré référe projetant, une forte уж ction de tabac à fumer sur les parties ой il existe. TRUFFAUT FILS. t 2096. Insectes musiciens. Voilà un titre qui promet; le tout est de savoir comment il faut l'entendre. C'est du 1" j juin Lorsque, dit-il, je résidais dans le vil- lage de Taganana, l'un des plus délaissės et des plus deier Ser ie. la pointe nord, de lile de ériffe, mon attention fut. = а Bou А ivl par eu particularité de alors pour moi, d'une Байг e espèce ГУ et qui n'avait encore été нее, que je crois, chez aucun coléopter C'était + 22 mai. Mon domestique por- tugais, que j'avais envoyé me chercher 84 | NOS POIRES (Рглхснк 0). lavé de rouge — Cette excellente е demande un sol et assez sec. Beurré Hardy et le p Dalbret,elle remplace très-avantageusement l’ancien ' Beu € gri devenu si délicat qu'il ne predni ‘plus mare qu'en 1 Ей et à bonne e pau ver тахин )- Mar en Ma ae fine, très-f te, bla ik рМ tre, d'une eau u trés-abondant e, trés-sucrée bien hee n peu musquée. dixe ellent fr uit 3 t nous l'avons trouvé fort bon, quoique pas tout à fait fondant. 168. Nec plus Meuris (Van Mons). plus Мен", Вен Serrurier d иг SYNONYMES : Же sen. Winter Meuris, e de premiere qualite, mürissant en en Janvier. Cette voten ad iété prospère aussi en plein v + ineux, arrondi-turbiné Ze: ра! e doré, "lors à en rouge sombre côté ёсон au solei des insectes, me rapporta ce jour-là onze individus d’un gros Ac u'il avait trouvés dans les tiges creuses et desséchées d'une plante, que je reconnus, à la description qu'il m'en fit, pour le Kleinia neriifolia, plante commune dans tout l'archipel des Dt, J'avais jusque- d nombre d'insectes phorbes, que mon E que j'asso- сізів à mes excursions, avait adopté méthode d'inspecter les vieilles tiges. "n rn rien bon rien, nn ons presque Kai SC x, comme si des musiciens invisibles étaientcachés dedans. Mon homme étonné y regarda de plus pres, et bientót il découvrit, SÉ du tuyau de la tige creuse, un premier Acal- rus dont les stridulations annoncaient qu'il it du nombre des exécutants de ce Ce d'un nouveau genre. à les mettre à mort ma collection; mais ayant fa promis avec ma conscience, j'en fis périr huit, et je gardai les trois autres pour e musi- ain maines, et je réussis méme à les emporter vivants jusqu'à Madère, ой, malheureuse- ment, ils périrent de faim ‘apparemment, e la veille de mon départ pour l'Angle- ‘Con trois pauvres insectes avaient été jusque-la, pour moi, une source intaris- sable d’amusement par leurs A 1 que je provoquais à toute heure en 168 excitant de diverses manières, de e, musique était alors assez forte pour se faire entendre à un pepe de dis- urais dire si toutes les sont дена de сейе par leur conformatio de notables différences de taill e. Au sur- хал, Lerminalis très-petit À. Wollastoni produit des sons qu "une ott, un peu fine n'a aucune peine à distinguer c. Мрм. (Wollaston, Annals of nat. history ; july 1860.) КА ' -e de AR KENNES , | Van Mon. 486. HELENE GREGOIRE. | Grégoire | 375. COLM ! an Mons | 048. PRESIDENT MULLER. | Grégoire | Off. ив Ера loro Van Houtteano E | 998. COLMAR D'ARENBERG. / Van Mons | ss 975: PREMICES D'ÉCULLY. [ Luizet | NOS POIRES. ` (Planehe V.) 228. omar he (Van Mons). SYNONYME жекеле — de Prin- temps, Мые stes de Fondante de Jaffard, eg Poire de deuxième qualité, mürissant en Novembre- Décembre. Chair blanchátre, demi- ne et demi-fondante, roux. A cultiver dé préférence en form ма ыгы 375. Colmar Kennes (Van Mons). sp сей : Beurré Kennes e de première qualité, занй courant P nci on Chair trés-blanche, demi-fine, ferme, хан ирнээ juteuse, contenant quelques pier- aupres des loges, d'une eau abonda ante, . Sici fraiche, excessivement parfumée. Arbre sez vigoureux, se développant plus hâtive- ent sur frane e r in Сен ва mais fi ant cependant ce dernier sujet pyramides fortes et élégantes, d'une excessive fertilité. Fruit au us de la e, pyri- 486. Héléne ire (X. Grégoire). de premiére qualité, mürissant en Octobre + 2097. Eucalyptus globulus. On s’est beaucoup occupé récemment, dans le monde scientifique, des résultats obtenus en France par l'acclimatation de ce nouveau végétal, et nous avouons avoir été un peu en défiance devant les qualités merveilleuses qu'on lui attribue. Dési ran amicales avec quelques habitants de Can- nes, et les renseignements ainsi que les échantillons qui nous ont été adressés ne laissent aucun doute à cet égar est le 6 mai нрав que l'Eucalyptus fut дын pour la première fois sur la terre de Van-Diemen, que Labillardière, allant avec Entrecasteaux à la recherch tirer d'une végétation si exubérante, vou- lut en doter son pays. Cet arbre, toujours vert, arrive à une hauteur de 60 à 70 mètres et quelquefois plus. Le Gommier bleu de Tasmanie, саг on lui donne aussi ce nom, est dela famille des Myrtacées; c'est un arbre à rameau tétragones au sommet; ses feuiiles e plus jeunes sont subcordiformes, opposées ; les rnent, diversement ре ótioles, i те vernies, м céolées. Les fleurs sont axillaires, gémi- nées ou ternées, sessiles оп munies d'un pédoncule court, large, comprimé. Les boutons floraux sont pruineux, verru- queux, Ken ou presque lissés à double opercu Le ibê du calice est souvent hémis- egli ou pyramidal, turbiné, anguleux ourvu de cótes rares, égalant presque к longueur de Горегсше intérieur, lequel est très-déprimé. Les filets des étamines uatre et cinq loges d'un diamètre maxi- mum de trois centimètres. Les feuilles к: atteindre une longueur maximum de 35 centimètres et une largeur de 10 өн. t où il pousse, l'Eucalyptus est dans le Midi de prov d'une huile essentielle volatile contenue en кече dans ses бел 5. M. Ardissón, pharma H retiré de l'Eucalyptus зы. rer: sui- Br < E) Une teinture alcoolique. Une teinture éthérée. Deux huiles essentielles résines de propriétés M. le docteur Gi nid А Lei occupé de leur «ургана thérapeuti L'Eucalyptus possede dis өрний re- E - année est aussi ra 86 | ` NOS POIRES (PLANCHE V). ` 5 Novembre. Chair blanche, fine et ferme, fon- et parfois un peu p ovoide, d'un vert brin mices Dë деды ën de deuxième qualité, mürissant еп bre- Ono bre. Chair blanchá tre, “rs podes se, devenant aisém eh IS des loges, ent páteuse et con- Аалы quelques pierres autour d'une eau abondante, fine, sucrée, assez savou- musquée. Arbre de vigueur ordi- куы эл act aussi bien sur fr апс que sur rui précoce ац тарро е nous parait réunir toutes les conditions voulues pour faire de superbes ОЛЗЫГ 848. sident EM (X: rigore: ет де я qualité, mürissant еп Хоу Arbre fertile. Fruit assez gros. marquables. Lorsquil est deg il a laspeet d'une masse pyriforme, mais il change rapidement suivant les erg climatériques dans lesquelles il se dév loppe; il s'étend quelquefois en ae des la base et présente des rameaux qui s'élévent obliquement; le plus souvent son élevé et la pompe verticale de ses feuilles ont pour avantage de ne pas arréter les ray ons du Gg et leur permet d'arriver jusqu'au sol. A GE les semis plantés au mois de rrain propice, Mec UAR en huit mois an hauteur de 6 mètres. La végétation de la seconde et Pas pide que celle de la première ; ensuite elle se an en hau- teur, mais le ігопс grossit. Les Eucalyptus de huit à dix ans ont une hauteur moyenne de 18 à 20 mètres et une circonférence 2 1719 à 1715, à cinquante centimétres Degli quelques années, cet arbre est ou gt an cent ou cent cinquante ans dans les foréts ordinaires. Son bois est excellent et se conserve en raison d пепх; п Ae оп Тш à la соп- се des navires ; mel a vu des planches de 60 mètres ыг lon e$ Wale: absorbantes de а о les anations aroma ique S de ses шш ші donnent des qualités ми е son ргіпсіре rési- i pour l'assainissement des pays maréca- geux. П est remarquable que dans tous où il purs librement, le climat est extrémement salubre; on garder comme l'antidote des fievres palu- déenne M. Malines l'a propagé en Espagne et M. Trottier en Algérie; ce dernier, qui fonde les plus belles espérances sur ce produit, a lu à la posite d'agriculture d'Alger le зорро su « Un hectare D je en WEE si l'on réduit l'écartement des lignes à 6. mètres et celui des arbres dans cette breux emplois seront vendus au-dessus de 5 fr. l'un ; or, la premiere éclaircie produirait 2,500 fr. A huit ans, le reste de la plantation aura les dimensions propres aux travaux de chemins de fer, et chaque arbre pourra atteindre le prix de 20 fr. Un hectare d'Eucalyptus aurait done donné, en huit ans un Халиун brut de 6,200 fr. e qui précède, on атгаад. 1 Аргев prendr EE l'intérêt qui s'attache à l'accli- matation de ce végétal ; malheuresement eg essais tentés à Paris età Lyon n€ t ment contre les Be de la tempéra- kd hivernale ; n pour se e décourager, et nous eroyous avec des soins mieux on on, éussi (Le Cultivateur ege Rchb. Р. Serre tem peree. < ж < шы > = = о ae < - ` الس‎ < > Lu e ” < = e P © х Ф С NT юэ e 2106. MASDEVALLIA НООТТЕАХА H. С. Конв. ғ. Orchidacez. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLonE, X, 77. „ CHARACT. SPECIF. — Пепве cæspitosa : е pedunculis unifloris, supra basin vaginatis , validis; bractea cucullata pedicello multo bre- viori; flore aperto; sepalis semiovato-triangulis longe caudatis, caudis latiusculis, super icie interna hispidulis; tepalis basi utrinque angu- Le X* volume de la FronE, page 77, a étrenné les Masdevallia par l'apport du M. elephanticeps qui porte les plus grandes fleurs du genre. Le ХУП vol., . 155, a produit le M. Veilchiana dont les dimensions sont équivalentes, en moyenne, à celles des fleurs des autres espèces qui se distinguent, en général, par des coloris étranges ou scintillants, mais attrayants dans la plu- part des cas, et parfois très-fantastiques comme nous le prouverons par les espèces que déjà nous avons en prépa- ration. Е intus; limbo involuto, per medium, columna apice postice acuta. Н. б. Вкснв. ғ., Gardn. Chr., 1874, July 25, D . sdevallia Hontteana RCHB. ғ. (sectio Saccilabiata) in Garden. Chr., 1874, p. 98. La presque totalité des Masdevallia habite les régions alpestres : c’est une notion d'une importance majeure et que le cultivateur ne doit jamais perdre de vue s'il ne veut pas échouer comme tous ceux qui ont erré faute de ce renseignement capital sur l'altitude alpestre, 6-10,000 pieds, station habi- tuelle, répétons-le encore, de ces petites plantes qui y vivent par touffes dans la mousse, sur les vieux arbres ou entre les rocailles; elles aiment la fraîcheur | et le grand air. Ce sont précisément ces données précieuses qui expliquent la + 2098. Culture Fruitióre. — Le Framboisier. Insectes nuisibles au Framboisier. — Le r à pour en 1 Framboisie nemis les chenilles 1 i les moyen de se délivrer des vers blanes est de semer des laitues au printemps, dans les massifs de Framboisiers, et aussitót qu'on voit ces laitues se faner, de chercher au pied, d'y trouver lennemi et de le détruire ; c'est le plus simple, le plus sür moyen de s'en débarrasser. Récolte. — La récolte des framboises de maturité ; elles sont, de plus. attaquées par des vers ou par une sorte de punaises qui leur donnent un goüt tres-desagreable. Usage. — La pulpe fine, parfumée, mucilagineuse de la framboise, dit Roques ans son Nouveau traité des plantes usuelle i ment liqueurs extrémement suaves. On peut obtenir, par la fermentation des i i se framboises, des liqueurs vineuse la Pologne, on se désaltè ‚au framboise. Les Russes et les Suédois pré- - 88 MASDEVALLIA HOUTTEANA В. С. RCHB. ғ. grande mortalité qui les frappe, le plus souvent, dans leur importation rrachés de leur habitat, les Mas- devallia ont presque toujours 4 a faire beaucoup de chemin pour arriver au rivage ой ils doivent étre confinés pour y біте embarqués. Et la descente de ces hautes altitudes jusqu'à la mer n'est point l'affaire d'un jour; dans ees sta- tionnements successifs, ils rencontrent des températures plus élevées que celles de l'air vif et pur de leurs sites natals, et leur frèle constitution s’altère déjà et ne les prédispose guère à supporter la longueur du voyage qu'ils doivent faire, avant d'atteindre leur destination finale ой, disons-le de suite..., le tombeau les attend la plupart du temps. Quant à сепх qui échappent aux Vicis- acquis 4 nos cultures; car, une fois bien portants, ils ont la vie dure, a condition d’étre tenus avec nos Odonto- glossum en une serre tempérée, en pots bien drainés et garnis de bonne terre de bruyère entremélée de lycopodes pygmées (Selaginella apoda SPRING) et tenue eut moite. Ainsi traité, le genre Masdevallia apportera son bril- lant contingent à nos collections .d'Or- chidées, prié à cette différence d'élévation supra- marine. Le Masdevallia Houtteana, nous apprend le р" H. С. Reichenbach, aurait été introduit 4” abord par M. Wal- lis qui l’aurait trouvé à 8000 pieds d'altitude; puis, à l'état vivant, par M. Lalinde et Patin qui en ont fait vendre aux enchères, à rires et en ont adressé également à à M. B. S. Wil- liams, d'Holloway ; quant à nous, nous ne devons à la munificence de M. Patin, notre bien digne compatriote, qu'une simple photographie peinte : c’est d’après elle que nous pouvons illustrer la FLORE de Гезрёсе qui nous est dédiée et dont les fleurs sont abondantes, blanches, mouchetées, à l'intérieur, de pourpre couleur dont les longs appendices sont exclusivement teints. L. VH. а, avec les fruits du Framboisier, miel et de l'eau, une 2227 e d'hydromel e u'ils irouvent délicieu En France, on se sert souvent des boisé, dit encore le docteur Roques n us and on se porte bien, mais on ne croit plus à son efficacité quand st malade : c'est un remède trop simple, trop facile. Eh bien! deux, trois D cuillerées de ce sirop économique que vou mélez à une pinte d'eau ou à égale quan- tité d'eau d'orge, d'eau de chiendent, for- ment une tisane précie que , le repos et cette bois- son, guérissent ou contribuent puissam- ment à guérir les fièvres bilieuses, que ээ chaleurs de l'été multiplient. Quand les Framboisiers sont en plein rapport, on peut remplacer ce sirop par les fram- boises et les groseilles fraiches. On en exprime le suc, que l'on délaye dans la tisane avec une suffisante quantité de sucre Vina e de framboise. — On obtient un inn дш framboisé par la а simple infu- sion de framboises dans le vinaigre. En quantité de sucre, on а un si s et fort utile contre les maux de p» de framboises. — Prenez une livre de framboises bien fraiches et une demi-livre de groseilles blanches. = Ч soit en ari Epovarp Ге Fort. (La Maison de Campagne.) CYCLOBOTHRA LUTEA Lindl. 4 Mex ue boss 2107. CYCLOBOTHRA LUTEA Тамог. Liliaces. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, XI, 195. CHARACT. SPECIF. Caule о pedunculis bracteis longioribus; floribus tariis, campanulatis; petalis rhombeo- gees 8, acuminatis, apice calvis, sepalis calvis concolo- ribus longioribus. LINDL. in Bot. Reg., t. 1663. Cyclobothra lutea LINDL. 1. c. Icon hic ad naturam picta. CYCLOBOTHRA BARBATA SWEET. Fl. Gard., НЬ t. 273. FRITILLARIA BARBATA ий et KUNTH. Les prairies du Mexique et de la Californie sont émaillées d'une foule de jolies Liliacées qui s’acclimatent très- facilement dans nos jardins quand nous nous donnons la peine de leur octroyer un simple chássis sous lequel elles passent nos hivers; ceux-ci passés, l'air libre de nos climats suffit amplement pour les faire croître, fleurir et porter ues graminées naines pour les Kee contre les rayons 50- laires qui, sans cette précaution, meur- triraient leurs frèles tigelles. Que l'on jette un coup d’œil sur le Cyclobothra alba que contient notre onzième volume, à la page 195 : là, son manteau est tout blanc, ainsi que les cils dont sa robe est vétue à l'intérieur; breuses qui les perpétuent. 1 2099. Les ceufs des parasites des oiseaux. Rien, dans l'Univers, хэн пі petit ni sie, en : l'impression s us en Wee 11881 le mieroscope n fait-il découvrir zech merveilles НЫ ture dans les parcelles les plus infimes de la matière, et méme, osons le dire, dans m xécrable parasite, дылы ‚sous le Lee soleil du midi (et qu'on retrouverait к en le cher- chant bien, jusque su 1: it), le pou ve ses attractions et ses charmes. Occupons-nous donc de cette s bords fleuris de . vermine, puisqu ‘aujourd'hui le — 270 de son cóté, no t vrai, de celle E le Hardwicke's цуг эвийг qui fait m délices dee Salon e Lon d: qui est la portée des mieroscopes les plus. ordinaires), des structures dont la com- es, et encore n'en apercevons- nous ainsi que les travaux extérieurs les plus avancés. Que serait-ce donc si nous 90 ` pouvions pénétrer au cœur même de l'édifice et assister aux i clatichs du rite! mettre de cóté nos nous reconnaitrons que tout ns la Figures d'œufs d'insectes parasites . X 50 MISCELLANÉES. parlé avec admiration de l'industrie du Castor, qui se construit des huttes gros- sières avec de la terre et du bois; mais qu'est cette industrie à côté de celle de ‘ces insectes minuscules qui bâtissent sur une barbe de plume et faconnent l'infini- ment petit ! Il y a encore immensément à découvrir dans ce monde des insectes parasites, que A Œufs d'un Nirmus . . . Е Grue d’Australie . . . Ж 30 B Malli d'Australie x 60 G Ground Hornbill . . . х 60 aon n талбайг Жаулы Hornbill . X38 D ne couronnée | м БО I TF op de Temminck . x 45 Е Faisan de Bohême. . . X 45 К Faisan doré . - X DÉI attes, leurs crochets et tous leurs appen- Хон si bien appropriés à la gymnastique qu'ils doivent exécuter sous les plumes de l'oiseau ; leurs appétits et leurs instincts 8 la science n'a abordé un peu sérieusement que Чери les derniers perfectionnements du oscope. Elle n'est encore qu'a vastibule du temple, mais elle еп soup- conne déjà les profondeurs. Chaque espèce, ou au moins chaque genre d'oiseaux, а ses parasites propres, et comme on connait aujourd'hui bien prés de 10,000 espéces d'oiseaux, on voit d'emblée le chemin que 2 T LEPTOCERAS CHRYSANTHA. Plein air. AQUILEGIA Amer. Nord occid . “ер, ло Key, “4 2 2108. AQUILEGIA LEPTOCERAS CHRYSANTHA. Ranunculace». CHARACT. GENER. et SPECIF. — Vide supra, FLORE, ІП, 296. CHARACT. VAR. — Elata, 2-4 pedalis, race- rate flavis, sepalis gege: — A. Gray in Proc. Amer. 245. eg et n Garda. Chron. ‚ 1873, р. 1335 et 1 Aquilegia Paap a chrysenth ЕТЕ Hook: in Bof. Mag., +. 6073, icon hie iterata: lanceolatis, «аралы 21 pollicaribus. A. c. e L’elegante découpure du feuillage des Ancolies, leurs grandes fleurs riche- ment colorées, la rusticité de leur cul- ture, leur petite stature même, leur ont, de tout. temps, mérité l'attention des amateurs, dans les parterres desquels elles өлу un des plus agréables orne- ments. Сене variété nouvelle est native du Nouveau-Mexique et de l'État de l'Ari- zona dont les aborigènes disputent encore, pas à pas, le sol à la civilisation. - L, VH. Yon a à paprourie. Cost 1 un n champ ou ù les explorateurs seront au large, et ой, de longtemps, ils ne ыш раз de ве faire concurrence. C'est, parait-il, parmi les HM мин parasites des oiseaux que se rencontr superficiellement examinées, ont été réu- nies en grand эчү» sous le nom géné- rique de Mallophaga (mot à à mot Mangeurs de poil i blement un jour ration des бийг de quelques unes de ces espèces. Une des plus communes, et qui infecte le Ground Hornbill (Fig. G), pond ses œufs en séries parallèles et contiguës sur la face interne des barbes de plumes d cot. oiseau. Examinées au microscope, ces $ rangés rappellent de près ces polypiers de Bryo- zaires, dont chaque loge contient un animal distinet, des de tentaeules. Le arasite du Malli d'Australie pond des œufs d'une toute дейі forme et поп moins r tiple rangée de cils raria dont esta. mité, munie d'un double crochet, ressemble étonnamment à une ancre de navire, et mieux encore aux spicules dene synapte. Mais les plus curieux de ces ceufs sont e Pavo nigripennis de Sclater, Ce ta ort d'imagination, pourrait y trouver une corolle à nombreux pétales, des étamines, un ovaire et un long style terminé par son stigmate. nsi- dérable. L'ensemble de la ponte, mi m comme un glomérule de fleurs piques, est un objet des бе. нат а observer à laide du microscope binoeu- laire. On comprend quil est extrémement fi surtout grande quand il s'agit des parasites d'oiseaux exotiques. Par exemple, l'œu ci-dessus figuré (Fig. A) que nous attri- 92 | SC MISCELLANÉES. buons à un Nirmus, peut effectivement | r à ce qué nous pensons et méme qu'il ne signifie rien du tout. Des divers ceufs dont nous , qui appartient à une espèce du sous-genre Co/pocephalum, de Nitzsch. Ce qui ne nous laisse aueun doute à ce sujet, c'est que nous avons un exem- plaire du parasite lui-méme, dont l'abdo- men contient deux œufs semblables à celui de la Fig. H. On peut regarder comme très-probable que tout ces ceufs appartiennent aux gen- res, d'ailleurs trés-larges, Philopterus et Liotheum, car, malgré la variété de leurs formes, on reconnait qu'ils sont construits : C œufs présentent d'autres caracteres. Ce ne sont pas non plus des œufs de diptères, puisque ceux-ci sont des sacs simples, ovales, entiers et non operculés. Les œufs des hémiptères (Acanthides) ont bien quel- que ressemblance avec ceux des Mallo- 4, mais ils sont dépourvus de c appendices des opercules qui caractérisent a généralement les ceufs des vrais parasites En réunissant un certain nombre de ces i ornementés des parasites du Malli et du Paon aux ailes noires. La forme qui s'écarte le plus du type ordinaire est celle qu'on rencontre sur les plumes du Ground Hornbill (Fig. G) et sur la grue d'Aus- tralie; mais nous avons tout lieu de croire que, si ces ceufs sont un jour bien déter- es, sont l'oeuvre d'un habile micrographe de Londres, M. J. T. Norman, de City ad, qui a eu la complaisance de les faire passer sous nos . En donnant * connaissances. Plus ils s'avanceront dans ce champ sans limites, plus ils verront se presser sous leurs pas de nouveaux sujets d'admiration ; plus aussi ils reconnaitront sur toute la nature l'empreinte d'un Pou- voir illimité, sublime au-delà de toute conception, omniprésent, éternel et divin. . NDN. (Traduit très-librement du texte de M. Н. C, Richten). + 2100. Multiplication du Rosier par boutures de racines. peu fraiche mais Installées dans une serre tempérée ou sous châssis, les racines se conservent saines. La plupart émettent de petites racines blanchátres. An printemps, ces boutures de racines, déjà pourvues de radicelles, seront plan- tées à fleur de terre, séparément ou en petit nombre, dans des pots de 7 à 8 centi- métres. Une chaleur de fond de 12 à 15 degrés aidera beaucoup à la reprise et à l'éléva- tion n ou plusieurs bourgeons de la partie supérieure: des racines. On obtiendra ainsi des rosiers francs de pieds de boutures de racines. ; Ce moyen, que le hasard a fait décou- vrir il y a peu de temps, devrait etre employé depuis longtemps. (Bull. Soc. d'hort. de Montdidier.) Е ET E КОКТУ E ee E E алтыг EE EE R. Br. Serre temperée : ELEGANS SEAFORTHIA Australie Э H EE E ] 93 2109. SEAFORTHIA ELEGANS В. Вв. | 2 - Palme. CHARACT. GENER. — Flores polygamo- Seaforthia Б. Brown, Prodr., 267.— Мавт.,. ша, e fundo corolle; filamenta filifor Se libera; autheræ утна subsagittate. Ovarii rudimentum, Fem. corolla maris, ‘imbricato- convoluti. um. Embryo basilaris. — Palme elegantes in Novee Hollandiz littore orientali ор et Авіге insulis tinitimis provenientes; ondibus pinnatis, E reduplicatis, erosis, Баай ovalibus, parvi Palm., t. 105, 105, 109, 128, 129. — ? Prxcuos- Perma LAB BILLARD., іп Мет. de lInstit., 1800, EE Genera plantarum, n° 1730. reci . БРЕСТЕ. — S. caudice procero; angusto- ARR, apice oblique trun- nis eech ‘Moran pees oblongis, obtusis; staminibus 24; baecis alibus; nucleo iter 5-sulcato. Ma t. — In Novæ Holla littore orientali tropico. — Caudex 30-ped Spadices infra fro x i-2- Bac има viridis, | adulta testaceo- SBA (Mart. KUNTH, Enumeratio me HI бере 189. Hóte privilégié de nos serres tempé- ments, ce qui se comprend quand on rées et y prospérant sous une tempéra- | sait qu'on rencontre ce Palmier jusque ture de 7°-8° Réaum. Très-propre, très- | dans les contrées les plus froides. de employé à la décoration wd apparte- | l'Australie. L. VH. 1 2101. De 1а Taille qu'il convient d'appliquer aux Rosiers, par M. ERNEST BALTET. sait que la taille du Rosier est On nécessaire pour maintenir la forme du sujet et conserver sa vigueur en régula- risarit sa floraiso Le sécateur өні: г outil le plus commode pour cette opération. Longueur de la taille. Le Rosier de- ande-t-il à être taillé court ou à être taillé long? — Telle est la «т оп jour- aquelle certaines ant duin invariab ourte гурилаа le déve- loppement du Gem et diminue le nombre es fleurs ; 2^ Une taille longue affaiblit la végé- | exemple, aux variétés délicates, et une taille longue, à six ou huit yeux, aux plus vigourenses. Qu'en résulte-t-il? — Voyons pour le premier cas En taillant tres-court, vous eric la ceux-ei, la téte affaiblie meurt bientót Faut-il done dire зэр Фашгев i : « Ne taillez pas = Rosiers? — Qu’ sn d cas? gréable et forme un obstacle à la lation de la е. es терен оный: doivent la faire Keister. comme la taille courte. Mais une taille moyenne, еле, trois ou quatre yeux bien constitués, sera préfé- ug Et au lieu d'établir € “difference ur la longueur des branches conservées, | 15 94 MISCELLANÉES. nous l'établirons sur leur grosseur, et, selon la v M eti eur des sujets, nous dirons : Aux Rosiers délicats, supprimez les parties s malades ainsi que ni ec? de chétive apparence, pour conserver quatre ou cinq des plus belles бесы. auxquel- les vous appliquerez 1а taille. Aux sujets très-vigoureux, supprimez les sus branches gourmandes, et con- servez au contraire, en assez grande quantité, les brindilles ши, plus dis- posées à fleurir qu'à donner de gros ra- meaux stériles. Si la variété = peu flori- fère, laissez dans toute leur longueur quelques-unes des plus courtes de ces u. аш. ee une floraison pré- car urgeons terminaux sont койа Sieg e que ceux de la base des rameaux. x sujets de bonne vigueur, de plus Le ramilles qui donneront une prompte floraison On choisit toujours les jeunes branches qui se rapprochent le plus de lempate- ment, et l'on démonte le vieux bois de l'année geb Taille à long bois des Rosiers très-vi- oureux. Si, malgré votre soin à пе con- ourman e e les tailler qu'à 20 ou 30 cen- les bisschen à la longueur habituelle, si vous ne voulez pas les voir promptement se dégarnir. Si la vigueur persistait, vous pourriez continuer alternativement une taille ordi- naire = E e taille à long e longue convient encore aux Taille des Rosiers grimpants. Се qu'on demande aux Rosiers grimpants, c'est de garnir de fleurs l'espace qu'ils ont à remplir Or, nous combinerons notre taille avec eux de manière à en obtenir une abon- dante floraison, sans laisser dénuder la base des branches Nous “Бол, parmi les деж vigou- reux, un cer гізіп nombre de г ux à peu pres également répartis, dai perde taillés très-longs, de 50 centimètres à riser le D E de nouveaux ra- ux à la nj sem de М. айе. Selon que le Rosier est remontant о n, on le taille en hiver ou pendant Ч végétation à floraison printannière, ces Rosiers devront être taillés aussitôt “a floraison terminée, c'est-à-dire dans le mois de juin; les rameaux se développeront Der ant tout l'été vd se couvriront de fleur au printemps suivant. Si on leur сов en outre une demi- taille à la fin de l'hiver, en supprimant le tout quand on aura le soin d'en abaisser l'extrémité pour fav md 2 développe- ment des bourgeons inféri rs. Taille des Rosiers ок Les Ro- siers remontants setaillent dela mi-février à la mi-mars. Sans devancer cette époque, puisque la gelée est trés-nuisible au bois mo oelleux hâles froids et desséchants soient passés pour tailler les espèces gélives ; car ces € fatiguent beaucoup les jeunes pous- s de ces variétés. П est prudent de ne i häter le développement des bourgeons or on а besoin ; cependant ce serait une non moins grande que de trop цог car on dérangerait tout à coup la végétation déjà active; on amoindrirait Eis (1) On entend par Rosier à floraison printa- niére les Rosiers non remontants. 1 3 ODONTOGLOSSU M 3. Mexique ^n z © Jan Houttens in A 729 $ + 24 2110. ODONTOGLOSSUM ROSSII Шмот. VAR. MAJUS. Orchidaces. ү u GENER. — Vide supra, FLORE, ‚ 54. ARACT. SPECIF. — О. pseudobulbis catis cæspitosis ancipitibus ipm uie. foliis oblongo-lanceolatis scapo radicali su longioribus, bracteis membran За carinatis acuminatis, sepalis lineari-lanceolatis carinatis acuminatis ене petalis oblongis obtusis revolutis, labello subrotundo ovato — undulato lamellis un xus confluentibus rotun- datis denticulis duobus anterioribus obtusis, columna aptera pubescente. Hab. in Mexico. CHB. к. in Walp. Ann., VI, page 8: : Cette charmante Orchidée mexicaine fleurit ici chaque année; elle nous est venue sous le nom d'O. FE hrenbergi; sa culture est des plus faciles; nous l'avons fait peindre d'aprés nature. Levit. la vitalité du sujet de toute la sève conte- ofit appliquée avec avantage aux sortes très- vigoureuses, puisqu'en contrariant leur végétation, elle tournera au profit de leur floraison. Journal de la Société centrale d Horticulture de Paris JOSEPH SCHWARTZ, Rosiériste à Lyon. + 2102. Résumé des idées de Darwin мээн à l'origine et à 18 variabilité -des races domestique Les i out domestiques d'une même espèce sont comme autant d'individus qui, 1 ces gropa distincts. communément que ment une v enis espéce, l'espèce cheval, les с DE > Z съ "sS м Ф “+ e ~- о er ‚© > je Фа о 5 Р. سے‎ 00 ee = = 03 я Ф © B un Е - er Ф intelligente de l'hommé: n monstruosités et les variations accidentel- les, lesquelles se manifestent ordinaire- ment chez des individus isolés qui présentent des différences particulières avec le type général de Гевресе à laquelle 118 appartienne ent. Parmi des individus isolés et реза: me liers écarts au type commun pouvaient, dans certains cas et pour certains usages, lui être plus utiles que d'autres, et il a ensuite recherché les moyens 3 avoir, par t séri 6 caracteres raordinaires, c'est-à-dire autant de races distinctes. Ces moye consistent à bien oisir les individus с offrant les caractères exceptionnels voulus, 1 nservation de се t ‘Car l’experience a tré qu indi- vidu présentant des caractères extraordi- ils ne possèdent les caractères excepti 'à que leurs D lorigine de toute domestiques de chevaux, bœufs, m chèvres, porcs, pigeons, poules, etc., si % | MISCELLANÉES. différentes entre elles et si éloignées du type sauvage par la stature, par la gran- deur et la forme des cornes et des oreilles, par la longueur, la EE la flexibi- lité du poil, par l'abondance de la graisse, la forme générale du cor etc. On peut en dire autant de beaucoup de. plantes cultivées dans les jardins, dans e que ces pes extraordinaires ch 'autres, sous celle SE particuli eres dans la maniere de vivre, telles qu’un Steng Tinh chaud ou plus froid, plus humide ou plus вес, un abri plus ou moins efficace contre méme temps que la réclusion, les E nts particuliers, etc.; de sorte que la domes- ticité, ainsi que la culture artificielle. peuvent être considérées comme nuisibles, parce qu'elles sont fréquemment une cause de stérilité complète ou partielle; mais en nuent de ume et de solidité ; d'autres, soumis à une nourriture particulière, les mamelles se sont fortement développées. Dans la Flo e = n’eleve que des co- i e que ce sont les seuls reproduc La variabilité n'aurait aucune valeur pour la production des races, si elle . n'était pas accompagnée de l'hérédité par laquelle les enfants tendent à présenter les caractères des are et sur es les éleveurs n n do Ber quo caractèr iques, mais instincts a l'intelligence. La variaté des caractères résultant de la domesticité est trés-grande. Souvent deux individus d'une méme езресе domes- tique different plus entre eux que le individus de deux espèces sauvages. a reculés, гаа races bien distinctes et ui se sont montrées, dés le principe, très-variables, 236 ааа encore maintenant. xemple dans le fro- ment, da res plan tes «авай et aussi dans fronts a animaux domestiques desquels nous pouvons toujours obtenir de nouvelles races ent et en peu de temps. Considérant tous ces faits, et particu- lièrement les gran n D différentes races de «hians, de chats, venues d'une seule ou de plusieurs chien de la Nouvelle-Hollande, de notre mun, d'une espèce particulière de Les l’Abyssinie et peut-être d'autres espèces de l'Orient ; les pores, de quelque sanglier asiatique et non pas d'Europe; les chevaux, d'une espèce asiatique ; les chèvres, aussi de quelque espèce asiatique, et non pas du et sur эн pigeons domestiques. Toutes: leurs races ;le messager anglais, le tournant à | | | | TRICAUDATA Duchartre. ` ARISTOLOCHIA Off Lith A ра" 2111. ARISTOLOCHIA TRICAUDATA u Aristolochieæ : CHARACT. ма — Vide supra, FLORE, IV, mai 1848, pl. 3 CHARACT. 4 CIF sarmentosis BR exu — Arborescens, ramis osis artieulatis, sn dilatato abrupte reeurvo, ore late expanso uni- labiato margine superiora tenuiter recurvo | emarginato, inferiore in ligulas 3 longissime subulatas flexuo -pollieares — e,gy- ne i obs. ovatis ustis per dt ia gynos- temii segmentis a io priate дыш. бөріше «амал Ducuar- TRE in Lem ust. Hortic АН; Misc, p. 97 et 2l Бі t. 522. Ge Ae Mag., "Зе sér., ххх. . 6067, cum icone ше itera а. Originaire des foréts de Chiapas, dans l'extréme partie orientale du Mexique, 2. Ghiesbreght Гепуоуа à son patro . А. Verschaffelt. Elle accroît. Vul. espèce nouvelle la série des Aristoloches qui luttent d'étrangeté par leurs formes baroques et par leurs coloris bizarres ou brillants. En consultant la table des quinze premiers volumes de la FLORE, à la fin du 15*, et, complétant la compulsation, en jetant un coup d'œil à la fin du Gre на volume, on rencontrera spè ‚qui paient par f ite du feuillage quand l'inflo- rescence n'offre pas ses caractères anor- maux; malheureusement, bien souvent, une odeur fetide depare сез étranges fleurs dont l'une simule le bec gig tesque d'un oiseau anti-diluvien, l'autre la gigantesque oreille d'un monstre pa- raissant appartenir aussi à des temps reculés. Celle dont nous offrons aujour- d'hui le portrait se signale par Pheu- reuse absence de toute mauvaise sen- eur, ce qui n'est pas, du reste, sa moindre qualité. Sauf Aristolochia Sipho rustique, toutes appartiennent aux contrées tro- picales, sont plus ou moins grimpantes, et exigent la serre chaude. L. ск ҰН. courte téte, le romain, le barbu, le gavu, e rieur, l'eneapuchonné, le paon, ete., different beaucoup entre elles par la forme générale, par le nombre des plumes de la queue et des ailes, par la structure, par les for rmes variées du bec, la longueur du ement du jabot glande oleifere, par le nombre des squam- mes sur les pieds, par les membranes entre les doigts, par leur mode de voler, r la for t la grandeur des œufs, par leurs cris, et finalement par la forme et es dimensions de tous les os et le nombre des vertèbres et des côtes ; elles diffèrent tant entre elles, qu'un naturaliste ‚ qui les croirait des oiseaux sauvages, n'hé Seit terait pas un instant à en faire autant 4 espèces eu ehm Et cependant tout fait croire qu'ils proviennent tous d'une espèce sau- ғат isque l'on ne connait pas 4’езрёсез Exc: ayant les caracteres singuliers des races domes- tiques qu à l’état sauvage ; domestique. etilales m 98 . MISCELLANÉES. un temps très-long pour se manifester par la production de toutes les races que l'on b cues aujourd'hui r se faire une idée de quelle manière Dus les races domestiques, si distinctes extraordinaires, car l'homme choisissant toujours entre les produits de chaque gé- nération les individus ayant ces caractè- res de /a өдийг la plus distincte, il doit avoir vu pas pa ces Les domestiques si di stinctes se sont produites, mais ction convenablement et ОЕ engen directio partie de l'un des parents et en partie de l'autre. . L'élection méthodique pour produire de nouvelles races domestiques n'est pas un Ф armi les peuples peu civi- lisés. Cela se anm facilement quand on considère qu'elle peut être pratiquée sans Т 2103. Que de ressources n'offrent pas les mu- railles laissées sans emploi dans les serres, dans les orangeries! dant les utiliser en face: st munie d'une oreillette, et dans бас une foule le stig et sans un ~ déterminé. Un hom ucoup de chiens de син choisit naturellement les meil- érations nouvelles гас chiens de bœufs destinés à des usages fruitiers, choisit toujours les semences tures des meilleures plantes qu’il possède ou qu'il peut se procurer pour les faire germer et pour les greffer sur d'autres plantes. Au moyen de cette élection régulière et continue, pourvu qu'elle soit prolongée pendant un temps tres-long, les caracteres re lus insigni- fiants, peuvent devenir très-distincts et les nous ignorons, et l'origine ter et es premiers &leveurs. me, on peut tres-bien connaitre et étudier les dialectes comment et quand origine of. С. Омвомг. Garniture de murailles. de plantes seraient hébergées : geres, des Epiphylles et toute des plantes pendantes qui n’est pas peu nombreuse et qui y prospéreraien Ces pots à oreillettes pourraient passer la belle saison dehors accrochés à quelque mur au nord ou au levant, etc. L. VH. des Fou- la — 2 “а = Ka p PIT md m UU 4 % Mexique. STANHOPEA MARTIANA Lindl. Serre chaude. XIX 2119--13. STANHOPEA MARTIANA Linou. Orchidaceae. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, | — LINDL. Bot. Reg., 1843, 225 t 4 ine IL eh 1846. ole jn = STANHOPEA VE А Mon Gand, — , epichilio ligulato apice retuso subæqualiter дына sepalis oblongo ligulatis; gynostemio prope aptero et exalu- lato, velutino. — LINDL. Bot. Reg., 1840, Misc. 109. — BATEMAN Orchid. Мет. Guatem., t. 21. eadem, que in вт Mexico. " Karwinski, Galeotti " » fide LINDL. — Reus. in Warp. Ann ° 9. Nous avons toujours remarqué qu'en | à la base des pseudo-bulbes, d’où elles Angleterre les Stanhopea étaient, le | s'infléchissent brusquement vers le bas : plus souvent, relégués au second plan. D’ou provient cet ostracisme ? Est-il un genre plus aisé à cultiver, à feuillages d'un plus beau vert, à fleurs plus belles, plus grandes, eurissant plus volon- tiers? Est-ce leur aróme, ой domine le melon gazé de vide qui déplait? De gustibus... . Toujours est-il que le chef du Gardeners' Chronicle lui-même t de cet étrange dédain. Quant à nous qui toujours avons aimé les Stanhopea, nous les revoyons tous les ans avec un nouveau plaisir ; comme leur luxueuse floraison coincide avec l'époque des chaleurs, nous sus- pendons dehors nos corbeilles de Stan- hopea,etlä, personne ne trouvera qu'elles répandent un parfum trop prononcé. Nous disons done que nous cultivons les Stanhopea en corbeilles formées de raboteuse moyen de partie inférieure de ces plantes que partent les hampes florales qui naissent par suite, nécessité de les suspendre eg, mieux jouir de la beauté de leurs eu Aussitót que celles-ci sont passées, le moment du rempotage est arrivé ; c'est l'époque à laquelle les seringages sont nécessaires pour favoriser l'émission des racines nouvelles avant la venue de l'hiver, pendant lequel on laissera ces plantes presqu'à l'état sec et dans un milieu où le thermomètre ne s’élèvera gue à plus de + 10° + 12° Réaumur. mps de repos est indispensable aux Spore pour les amener ensuite à fleurs. Si, au contraire, cette règle de conduite n’était pas observée: si les des pousses de feuilles nouvelles, mais pas de fleurs; et ces pousses, encore, seraient débiles, parce qu elles naîtraient à un moment op les rayons impuissants d’un soleil blafard se mon- trent 4 nous sans e de calo- rique. . VH. + 2104. Amarantacées comme engrais, M. Boutin, dans une des dernieres Séances de TE adémie des sciences за Paris, а appelé l'attention des agricu potasse (dans ques cas 22 9), de la ge desséchée) que renferment la plupart des espéces de la famille des Amarantacées. La récol шээх scientifique du 6 février). 100 — = MISCELLANÉES. t 2105. Sarracenias. En consultant les tables de 1 арена сораша sur le fouillage. | Le Sarra — img en usant du. ше iraitement, fera merveille sur 1 tablette de la e chaude. L. VH. SARRACENIA PURPUREA. SARRACENIA PSITTACINA. VIGNE.... a suc rouge. 101 2114—15. VIGNE A SUC ROUGE. M. H. Bouschet, amateur du midi de la France, nous a adressé, il ya quelques années, une grappe d'un raisin qu'il appelait le « Petit Bouschet, semis d'Aramon fécondé par le Teinturier. » Ce raisin âpre, très-âpre, пе peut certes passer pour comestible ici; nous igno- rons се que c'est que l'Aramon, mais nous avons ressouvenance que le Tein- turier est une variété produisant un raisin trés-noir, dont on dit que certain commerce se sert pour colorer le vin. Le suc de notre plante est remarquable, rouge; mais c'est exclusivement au point de vue ornemental que cette vigne accroissement rapide, et, à son feuillage est d'un rouge vif carminé. . Bouschet dit que, dans le midi, il en est tout autrement; que la vigne dont il est ici question « est un cépage préeoce, aussi fertile que la plupart des espèces méridionales et donnant des vins de coupage ou des vins de table de haute qualité, suivant le temps qu’on laisse fermenter la vendange. » L. VH. т 2106. La respiration des plantes. Les plantes, sous l'influence des rayons solaires, émettent de l'oxygène, en décom- posant l'acide carbonique contenu da l'air, c'est-à-dire qu'elles purifient l'atmos- phère. Le bon sens populaire ne se trompe done pas en parlant de l'air pur de la campagne. Le paysan qui, penché sur sa charrue, respire cet oxygène, est fort et robuste; son teint est hálé par la surabon- dance de vie et de soleil. Le citadin, presque toujours @nfermé, est pâle, car l'atmosphère qu'il respire est pauvre; aussi lorsque, laissant la grande ville, il mons et réchauffe son sang. Ces belles allées d'arbres, qui sont l'ornement de nos і quais et de пов promenades publiques, ces squares trop peu nombreux, il est vrai, semé а xh là sur nos places, еп ansarde, non-seulement rappelle à Гоп- vrière quelques rares journées Феба! dans les prés i тое, avec les premiers rayons du soleil, n peu de cet air pur qui fait chanter les ois oiseaux perdus dans les кн pp “fle eurs respirent également, mais les effets ipie ne der pas les méme es u euil p © Si SS 578 — © en с к. с" о ‚m “ск >. 2 2 аз © e | о = A 8 et examinons ce qui se passe dias la respi- ration Дея йош. Les fleurs exhalent un oduisant une sensation agréable, et ne sont a ment nuisibles; mais si, dans une 14 102 chambre close, vous leer une cer- taine quantité de fleurs, cet air, qui ne se renouvelle ‚pas = a eu se charge fu: tain pirent Suas nt en donnant naissance à des éthers Sege "telles sont les m y respire est es mémes effets occasionnés par les Sot pourraient se produir Connaissant les causés qui président à ces différents phénomènes, sachons done éviter les accidents occasionnés par noran с “ацан agrandit tous les jours le MISCELLANÉES. cercle de ses connaissances; quantité de faits qui, autrefois, dépendaient de causes ignorées et t inconnues, peu à peu entrent aine de la science ; rien n'est ü au NEUEN tout est mesuré et régulier dans la vie de notre planète ; chaque étre qui végète ou qui vit a un but, utile et t petits qui s'agitent à ses pieds, il Pans confondu Son ignorance еб son es ont est effrayé de sa petitesse , car il ne peut concevoir linfini . CHAMECIN, Chimiste 1 2107. Origine du Pelargonium zonale double. Monsieur le Rédacteur en chef du Garden, ‘ai lu avec intérêt, dans le numéro du 27 décembre de votre journal, l'article de M. Peter j ale 8 pouvoir donner le nom la date de l'obtention du premier zonale double. Comme je considére qu'il importe à l'art et à la science horticoles que le noms des importateurs de plantes nou- velles et ceux des obtenteurs de variétés bles soient constatés, pour ser- vir à l'histoire de la floriculture, je profite de cette occasion pour combler la lacune signalée par M. Peter Greeve. Le regretté M. H. Lecoq m'écrivit le 1“ mars 1869 (il était alors directeur du n 92 « été cultivé ici dans шоп jardin et dans ‘autres, sous le nom de Triomphe d Gergovia, depuis plusieurs années (je ne sais combien), et personne n'y fai- pensant comme moi «а а а д A сы « M. Amblard, horticulteur à Cler- mont-Ferrand, en récolta de la graine et en obtint plusieurs variétés à fleurs doubles, dont l'une fut ne et nommée Gloire de Clerm endue, par mon entremise, à M. Lou s Van Houtte, de Gand, qui la mit ic com- merce sous le nom de Ranuneuliflorum “за a д а а Une autre variété A fleurs doubles « existait alors à Clermont sous le nom € de Martial Champfour, qui était d'une « е р" foncée. que Triomphe de « Gergo М. Bulle Chats, hortieulteur à Paris, passa à Clermont en 1863 et fut frappé par l'aspect de ces zonale doubles et acheta les deux variétés. En juin 1864, il envoya des fleurs de T'riomphe de Gergovia ep il бін 18 nom d'Auguste Ferrier) à M. Vic Lemoine, koroner à Nancy, qui = servit immediatement de leur ge pour feconder каа Beauté de Su- resnes, et en obtint : en 1865, Gloire de Nancy; en 1 1866, раг SCH méme fécondation, Triom les mirent au commerce sans en accuser l'origine. қ En 1869, j'obtins, par fécondation artificielle de Boule des BERN par Gloire de N Victoire de Lyon et Ci е Royer, le premier, d'un сга- a Ж le second, rose clair pur. n 1871, j'obtins Charles D armin, Emilio байдаг et Francois pie dog tous les trois три ou moins carmin CALOCHORTUS LEICHTLINI Hook. f. + Californie Chassis froid . г 2116. CALOCHORTUS LEICHTLINI J. D..Hoox. Liliaceæ. СНАЛАбТ: GENER. — Vide supra, FLORE, П, mai HARACT. SPECIF. — Humilis, foliis gra- mineis } poll. latis longe vaginantibus dorso rotundatis facie concavis anguste acuminatis glauco-viridibus , inibus ineurvis, scapo gracili foliis paulo longiore 2-3 floro, spathis foliis consimil ribus 2 4 poll. diam. late en sepalis ovato-lanceolatis recurvis dorso medio fuscis, petalis demum reflexis latissime obovato-cuneatis apiculatis margini- bus vix erosis albis plaga parva purpurea supra foveam nec arife flavis obtusis, ovario stylo brevi, stigmatibus 3 brevibus recu Calochortus Leichtlin OOK., Bot. Mag., t. 5862. Icon hic ad natur. e picta. Il y a précisément 28 ans que parut, en 1846, dans le 2° volume de la FLORE (= mai), la planche Re d’inaugu- rer 2 genre Calochortus nous dira que mis planche d'aujourd'hui ne promet guère auprès de la première : nous l’avouons hum- | wer tout en rassurant nos lecteurs à l'égard des Calochortus déjà intro- duits et que nous mettrons bientót en scène, en attendant la venue de ceux qui prouveront que ce joli genre est acquis désormais à nos jardins. Un simple coffre bien drainé,recouvert d'un chassis vitré, abrite suffisamment toutes ces petites plantes bulbeuses qui y fleu- rissent chaque année en avril-mai. L. VH. 1872, j’obtins le premier double Aline isley, par la fécondation artificielle d'un semis de Madame Vaucher troisiéme génération, par un double rouge de mes semis. Un grand nombre d'autres zonale dou- bles ont été obtenus par Alégatière, rousse, Bruant, Chaté, Aldebert, Bou- charlat, etc , mais tous plus ou moins ressemblant à т de Nancy et à Ma- dame Lemoin Les faits importants à inscrire aux premier à les perfectionner par la fécon- dation artificielle, et que le premier double blanc de semis fut Sieg pn moi. JEAN SISL (Extrait du Gains E ا‎ 1 2108. Van Houtte et C° à New-York. Comme il s'agit de nous, notre confrère a eu l'ama 1 2109. Multiplication du Voici comment M. Aubert s'est servi, puisqu'on le trouve décrit goe le Traité du Melon, par Jacquin, elle énumère d'incroyables soi-disant рго- duits que Gan Angers exporteraient pour i première fois , etc., etc. FLORE a trop souvent déjà арисецере 868 lecteurs de ces effrontés gredins L. VH: Melon par le bouturage. ouvrage qui date de. plus de 40 ans. Au primeur, il prit, sur ses plantes, quelques boutures qui s'enracinérent au bout de cinq à six jours. Aprés leur repis, ces 104 boutures furent plantées sur une petite couche formée de débris ramassés dans le jardin, et qu'il couvrit d'un châssis à trois bouturage du melon peut rendre service dans certains cas ; ainsi, dit-il, il est déjà trop tard pour qu'on ait chance d'en récol- ter les fruits, tandis que des boutures MISCELLANÉES. faites à la méme époque auront parfaite- ment le temps de fructifier. — Ce jardi- nier écrit encore qu'il emploie, pour le concombre, la muktiplieation par boutures de préférence à celle par semis. Récoltant du concombre blanc depuis le mois d'avril П prend ensuite des boutures de vingt en vingt jours, et les pieds qu'il en obtient se mettent à fruit, dit-il, plus prompte- ment que ceux qu'il aurait pu avoir de graines (Journ. de la Soc. centr. d'hort. de France). Т 2110. Le client et le marchand. « Je ne veux ! — Je ne veux de RHO- DODENDRONS QU'EN BOUTONS ! ! » On convoite! — Lan d’après, on recon- тойе, et toujours en vain! urquoi? — Parce me CR ae renom trouvant toujou urs — юм presque E épuisées a Ge а 'elles > eu a temps de faire boutons. chez endeur 8 nous étions amateur — nous acquer- s des exemplaires jeunes encore, ment, de ces raræ aves, tous en boutous. БУУН + 2111. Un pois sur la conscience. Le Pois de . a strié blane qui se ed au kilogra un peu plus cher que les Pois de MAS, d son poids d'or + 2112. Le vent et ‚ Tl existe près de la petite ville de Col- e pays pendant 24 heures, et abattit par milliers des oranges qui pendaient aux arbres du voisinage. Un grand nombre de ces fruits de t pas la m leurs aiguillons, et leur aspect 6 méme que les jours précédents. Kee Se sous l'appellatif miroitant de « The Queen.» imilar to a Pelargonium! to а Carnation! « One shilling per packet ! » Indécent ! : LEW le venin des orties. lons, examinés à une forte loupe, ne pré- déterminer dans les propriétés des orties une métamorphose si extraordinaire? — Le venin de l'ortie grièche, et peut-être des autres espèces, serait doué, d’après nous, eet certaine volatilité. Par un air calme ва transsudation à travers сараен et les cellules des poils u fur et à uu plante. Ce qui semble donner du poids à cette explication, c'est que les orties dont il a été précédemment question, commen- caient à recouvrer leurs propriétés urti- cantes huit jours aprés le coup de vent qui les avait rendues inoffensives. Сн. NAUDIN. 7» ^ 4 us 20И 70 maid о n 12 uot H V ERYTHRONIUM GRANDIFLORUM % Californie. Pursh. Chassis froid. 2117. ERYTHRONIUM GRANDIFLORUM Porsu. Liliaceæ. ee GENER. — Vide FLORE, VIII, CHARACT. SPECIF. — Foliis oblongo-lan- ceolatis , subcomplicatis, obtusis; porn laciniis ovato- lanceolatis, acuminatis, f ere а 1 foliis concavis, impun s et stigmate imd trifido, ab Е. albido riii diu forma et 4 117. ЗАЛ са а зас ig RET intensius via sepalis ab ima basi ere reflexis. LINDL. — KUNTH > num., ГУ,218, de PunsH, Flora, I, 231). — et SCHULT., Syst , VII, 374. > LiINDL., Bot. die , t. 1786. Erythronium grandiflorum, a 1ле: LiNDL., Воѓ 1786. Foliis oblongis, lanceolatis ; всаро гесц- lariter ramoso, 5-floro, foliis duplo . gran soe, gigan- ит Hook., Flor. Boreali-Americ. Т I, 182, Rien n'est plus attrayant, au ‘prin- temps, que notre joli Zrythronium Dens canis dont notre VIII* volume, p. 273, rappelle la fidèle image; 8 variété à fleurs rouges et celle à fleurs blanches se font réciproquement valoir; et, à la fonte des neiges, leur feuil- lage vert tendre, marbré de taches chocolat, est toujours pour nous l'une de ces joies 40 nous rappelle le der- nier printem Quoi qu’il en soit, elle est vieille, £5 cette jolie plante! et qui sait sila nou- velle venue, que nous sommes allé qué- ` rir dans les Montagnes Rocheuses, la vaudra. Sa premiere floraison ne nous a pas émerveillé; attendons qu'elle refleu- risse quand elle sera bien établie. Disons qu'au printemps ГЕ rythronium ame- ricanum nous a montré ses fleurs d'or que Геврёсе est parfaitement RAS et que nous en préparons le portrait ainsi que de bien d’autres RN 1 2113. Objections au procédé de сирени des vignes pour la destruction du Phyllo xera ; indicati n d'un autre procédé. Lettre de M. Сн. Naupin à М. ELIE DE BEAUMONT. J'ai lu, avec la plus grande уар, а реп p tout ce qui a été r le a, et il en est results шаг Sieg la ерен de linutilité ou de l'impra- ticabilité de tous les moyens préconisés jusqu'ici pour le combattre, sauf la sub- mersion des vignobles, qui i n'est possible que dans des circonstances exception- nelles. L'arrachage des vignes, quoique lus hautes autorités it pas devoir étre autres. Je lui oppose les raisons suivantes : 1° Еп en: l'arrachage des vignes, on ne semble pas se rendre suffisamment compte de l'énormité de ce travail. C'est Collioure, le 23 juillet 1874. sur les dernières racines de la vigne, les plus jeunes et les plus succulentes, que le Phylloxera s'établit de SE c'est là seulement quil peut v ees et, pour les atteindre; uir ^ sol au moins à 0%, e розданы её souvent beaue coup plus bas. Un pareil nod équivaudrait au “лайсна du terrain, et l'on sait ce que coütent les défoncements. Si mainte- nant nous son ce seul travail engloutira des millions, et que, 811 est rendu obligatoire par une loi, 106 | MISCELLANÉES. ce sera contraindre dos ec à des sacrifices auxquels se résoudront quavec la plus dise ns, et demander à l'Etat des indemnités que € budget, déjà obéré, ne comporte gue 2e Cet arrachage ne servira à rien, car il est méme par le press le plus minutieux du sol, on extraye la totalité des гасіпев mps les plus faibles, elle ne résisteront pas à la traction qu'on exercera sur les racines plus volu- mineuses шэн plus fortes; elles se briseront resteront en terre avec les insectes qui ctes longtemps sur des ra ront plus les parties vertes de la plante; incontestablement, mais je fais observer qu'on peut obtenir ce résultat avec beau- coup moins - frais, ainsi que je le dirai tout à l'heu 3° L'arrachage des vignes sera dange- ourra devenir, et il deviendra remuant un sol infesté, en ra ant à 1 SS la terre du fond d 8 n s'attachant aux brindilles, aux herbes biia ou aux feuil- les de vignes tombées à terre, et que le vent poussera dans toutes loi directions, ont par atteindre les vignes restées saines j usqu ue-là. А mon avis, c'est un Hangee qu'il ne faut point courir. Атгасһег les vignes (et il faudra s'y ptómes du la besogne à laquelle le Phylloxera garg weg lentement et à meilleur co pt car on ne voit guère où e arrachage pourra s'arréter, puisque la surface envahie ne cesse de s'élargir. J' Өв à cela que le progrès du Phyllo- xera deviendra d'autant plus rapide qu'on favorisera davantage = ею раг l'ameublissement du sol Telles sont les ерта “objections que je crois pouvoir faire à la mesure рго- п aurait d offrant plus de chances de s clusions suivantes, que je destra et à environnant; 2° de scier les ceps entre “э terres, c'est-à-dire au niveau de la sance des grosses racines ou un peu au- dessus, soit à 12 ou 15 centimètres de Ee, еб de recouvrir de terre les souches amputées ; les ceps coupés seraient plante fourragère appropriée au climat et à la nature du sol, telle que lupin, tréfle, dene eric. etc., et couvrir cette semence par un simple coup de herse, qui ne ‘ferait que ЕМЕ la ye de la terre, tout en l'égalisa ode de титан dans lequel il n'est pas question d'insecticides, et qui ne sort point des méthodes agricoles ordi- naires, serait par lui-même très-peu coü- teux et ne trouverait vraisemblablement t perdant quelques récoltes de vin, serait dédommagé, dans une certaine mesure, par la production fourragère, dont il ferait, suivant les lieux et les saisons plus ou moins favorables, une, deux ou méme plusieurs coupes par année. Au bout de Sy 7772 1 p ша | age e 7 / ӨТ бө. & met: in Horto Van Houtteuno. CYCAS CIRCINALIS 1 $ Inde. Serre temperee . 472 2118—19. CYCAS CIRCINALIS Г. Cycadeæ. CHARACT. GENER. — Strobili maseuli uamæ imbricatæ, cuneatæ, subtus crebre loculigeræ, apice ssepius acuminatæ. Feminei xis basi gradatim (tenn. Жаш, Ш, t aterali; femineo post flores in centro vegetante (RHEEDE Malab. III, t. 1 20, f. 5). Ali, rhachi Ere, le: fem. nn ТЭС supra gen 2-10 fructus gerentibus in laminam ovatam e | anglic. introd. (Hook. onge acuminatam dentato-lobatam desinenti- bus, fructibus junioribus pilosis demum apice glabratis. In Malabaria locis mont. vel arenosis (Rhee e) et Ceylona (h. Herm. ex id. wait.! n.: aig jam t. 2826 et 2827 (excl. syn. plur.); Miq. monogr., Prodr. hwait. enum 4 T1 M — longæ, incluso га mine uncinato 15- rior supra leviter p ovi columbini Le Cycas circinalis est le roi du genre! Il simule un Palmier de la plus exquise élégance. C'est à lui que les amateurs donnent la préférence comme pièce centrale dans l'ornementation de leurs serres tempérées où la ЕШ ture peut être maintenue à + 6° + pendant l'hiver. Autour de la tige ae l'ombre de ses frondes élégantissimes qui n'interceptent ni l'air, пі la lumière, peuvent se grouper d'autres plantes. Des seringages sont, pour ainsi dire, les seuls soins de propreté que l'arbre requiert. Sa parure est éternelle, parce- que, du centre de son stipe, s'élèvent annuellement de nouvelles gerbes de frondes qui accroissent la majestueuse beauté de ence e. Bien que le Cycas circinalis soit originaire ds Tles de la Sonde et des Moluques, on le rencontre à l'état de culture dans toute l'Inde Orientale intertropicale. Quand l'arbre a atteint ва, ріп s grande croissance, les Indiens, apres l'avoir abattu, le coupent par tronçons pour en retirer la fécule qu'ils soumettent à plusieurs lavages à l'eau froide. Ils remuent souvent la pâte mise au four pour la sécher et la divi- ser en petits grains. Cette substance deux ou trois ans, quand on aurait acquis la preuve qu'il n'existe plus de Phyllo- E xeras vivants dans le sol, l'herbe serait enfouie sur place, en qualité d'engrais vert, ce qui n'empécherait point d'y ajou- ыг d'autres fumures plus particuliérement convenables à la vigne, et l'on doin au rétablissement du vigno Dans cet intervalle, que seraient deve- регі; dernier moment pour appliquer le remède, un Ф er со - = о un E сон оз в о 02 в 8 = с Ф ч < ю wi. % 2 + e = Ф tion des ceps, la plupart repousseraient, 108 est analogue au sagou que l'on retire, du reste, d'autres espèces du genre et de di- vers Palmiers. Les amandes du fruit se mangent grillées, et, avec le duvet de ses feuilles, les insulaires font des étoffes ; les feuilles servent pour couvrir les mai- sons, et leurs nervures tiennent lieu de chanvre pour fabriquer des cordes. Quand les Cycas nous arrivent du pays natal, on les lave, on les brosse, on leur enlève les parties meurtries, tout ce qui pourrait les déparer, et l'on sectionne tout ce qui ne serait pas par- faitement sain. On doit laisser, surtout en hiver, les plaies se cicatriser par- faitement avant de planter, surtout si la base, ce qui doit être enterré, a dû _ subir quelque retranchement par Гас- tion de la serpette. Dans ce dernier cas, on entoure cette base d’une couche assez épaisse de charbon de bois pulvérisé, on antidote contre la pourriture. Une fois les Cycas plantés dans un mélange formé de bonne terre à froment et d’un quart de terreau de couche et de terreau de feuilles entremêlé de charbon et de déchéts de poterie, surtout à la base qui doit être bien drainée, on ne les arrose que bien légèrement d'abord, et l'on ne prodigue l'eau que quand on а affaire à des individus bien sains et parfaitement enracinés. C'est le feuillage surtout qui, le plus souvent, exige seul des bassinages multipliés, Та їешрега- ture étant moite d'ailleurs. L'Établissement possède des Cycas circinalis parfaits de santé et qui, arri- ent précisément de leur pays natal, ont pas encore développé leurs fron- ge ; 18 sont faciles à transporter, et avons de CYCAS CIRCINAL!S L. pour ainsi dire sans frais. Nous en 10 à 300 francs ; les tiges, dans ces derniers prix, mesurent un mètre de hauteur et ont soixante cen- timètres de circonférence environ. Nous avons également des Cycas revoluta THUNB. de toutes dimensions. On en trouvera la figure dans le УГ volume de la FLORE, à la page 343. C'est Гевресе japonaise qui, conséquem- ment, est de serre froide et des plus ornementales, quoique la palme de la legerete et de l'elégance revienne de droit au Cycas icu Puisque nous en sommes aux Cycas, à ces végétaux luxueux dont l’acquisi- tion, assez dispendieuse à la vérité, est une mise dehors qui n'est pas à recom- mencer tous les jours, car, une fois acquises, ces plantes durent bien plus qu'une existence humaine et acquièrent chaque année une plus value qui терге. sente, et au delà, l'intérét usuraire d'un capital bien placé; — puisque nous y sommes, offrons un autre superbe orne- ment, une autre richissime parure for- mée d'envergures de splendides feuil- lages ondulant gracieusement à la cime de nos groupes : nous voulons parler des Fougères arborescentes du Cap de Bonne-Espérance, telles que le Cyathea Burkei, arrivé tout fraîchement d'Afri- que, et qui est au moment d’etaler ses rondes magnifiques au sommet de tiges ayant de 1 à 3 mëttes de hauteur et de 0%50% à 1™20° de circonférence; elles n'exigent, elles, pour prospérer qu'une température de + 4° à 6° RÉAUM, en hiver. L; Vit. sinon la premiere année, du moins à 1а deuxième ou à la troisième, et ce serait autant d’acquis pour la reconstruction du vignoble. De nouveaux ceps se forme- raient, plus vigoureux et plus vivaces que terre se de fertilité, е де а n jus, еп ui qu'à cause de l'immense étendue de pays : il occupe. Сн. NAUDIN. Off. Lith & pict іп Horto Van Houtteano. 1050 2190. BERTOLONIA HOUTTEANA. Ме!авботасегв. СНАВАСТ. GENER. — Vide supra, FLORE, ҮП, 291. Nous avons fait voir notre nouveau gain, dà à notre multiplieateur Fr. Mar- chand, à toutes les Expositions de nos Sociétés horticoles, et partout il a été acclamé et a obtenu des médailles d'or. ‚On croira peut-être qu'un pareil biju, car tout le monde le dit : c'est un incomparable diamant ! — on croira peut-être qu'il sera d'une culture diffi- cile : pour donner cependant une idée de ce qu'il peut endurer, disons qu'il a tróné (médaille d'or) pendant DOUZE JOURS à l'Exposition de Lille, donc une absence de vingt jours environ, voyage compris ; que là, il a dà, sous sa double cloche, dans une simple tente en к. сһев, affronter un froid de 2-3 degré pendant ces nuits si néfastes aux SE bles de France. De là, la méme plante est allée se faire décerner la médaille d'or à l'Exposition de la Société Royale de Tournay; puis la на Vier de Gand Га couronnée on tour, au acclamations de nos Be бекіне de toutes les parties de la Belgique ui l'ont qualifiée de merveille des merveilles! Enfin est venu le tour de Bruxelles ! oici ce qu'en dit M. Aubanel, de P Indépendance belge, dans sa Revue l'Exposition de la Société pron ps néenne de Bruxelles : 2 Nous pouvons | donner un libre cours à nos éloges, sür de n'exposer personne aux déceptions. Il y a une heure agréable à passer dans la vaste cour du palais de justice, et, pour que le visiteur la mette à profit, nous lui vouloir bien nous accepter comme guide et cicerone. « Arrêtons-nous, tout d’abord, à Геп- trée, dans la salle qui s'ouvre devant + 2114. Hovea Celsi BoNPL. Si, une seule fois en votre vie, vous avez vu, dans une serre froide, un petit buisson bien coquet, bien gentil, portant un feuillage ramassé, lancéolé, presque arrondi, vous vous rappellerez ses fleurs nombreuses d'un gros pel pes HE 5 et за areil! — Nous s des graines fraîches disponibles SCH "кейіне il s'agit d d'une papillonaete, elles sont d'une levée certain L. VH. t 2115. Fraise Monseigneur Fournier ен Nouveau gain surpassant, par ses diver- Ses qualités, peut-étre toutes les Fraises actuellement dans le commerce C'est un fruit de première grosseur, en côte obt rouge très-foncé brillant, à et très-fra La Sos ge est peu feuillue, ва hampe forte, sa production constante jusque dans ses dernieres fleurs qui donnent encore de beaux fruits. C'est une variété tardive, et, chose келд np Ka a force très-bien, comme n convaincre Ce Immédiatement disponible au prix 5 francs les deux pieds. L. VH 10 le contrôle, et ой sont déposés les her- biers et certaines plantes délicates, qu'on ne peut exposer à l'air. Là se trouve, sous globe, la rareté rarissime de l'Exposition, une plante obtenue de semis par M. Louis Van Houtte, de Gand, la Zertolonia, helle à ravir avec ses fonds bruns veinés de rouge, et cótée au faible prix de 6000 francs. « Nous disons faible p plante gagnée de semis et offrant le plus d'avantages au commerce. » Bien que M. Aubanel ne se soit fait ici que l'écho de l'opinion publique, nous ne l'en remercions pas moins de sa toute bienveillante appréciation ; elle a d'autant plus de mérite à nos yeux qu'elle sort d’une plume très-compé- tente, comme le savent fort bien cer- BERTOLONIA- HOUTTEANA. tains Basiles qui doivent s'en ressou- venir encore. Notre Bertolonia Ноц бата, ne s'élévera pas en tige; il continuera à reposer son féerique feuillage sur la terre du petit vase, recouvert d'une cloche, qu'on lui donnera sur la tablette de devant de la serre chaude ой on l’hé- bergera; il ne demandera que des soins de propreté et de rares arrosements pendant l'hiver. Mais il y a eu unanimité pour nous déconseiller de faire paraitre son por- trait dans la FLORE, tant il déprécie son modèle ! Cependant la planche est parachevée, et, toute informe et ridicule шеПе soit, nous ne pouvons reculer; on sait assez quela peinture est presque tou- jours impuissante a rendre tout ce que certains tons chátoyants ont de suave; et, par dessus tout, cette divine couleur d'aniline y est remplacée par un déses- pérant rose d'un ton terne, comme l'est, du reste, toute cette maudite planche ! L. VH. 1 2116. Flore des Serres et des Jardins de l'Europe. L'Editeur de la Fiore vient de recevoir de Florence, par voie diplomatique, la mé- la Société Royale de Toscane lui ont fait l'honneur de lui décerner. — L. VH. leur daille d'or que les Dames patronesses de | en est profondément reconnaissant. | L. VH. t 2117. Le Gombo, fruit de Hibiscus esculentus (1). M. Alphonse Lavallée, secrétaire-géné- ral de la Société centrale d'horticulture de France, a présenté le 9 juillet dernier, du méme nom, mais qu'on prépare aussi d'autres manières. Dans les pays chauds, on en fait une grande consommation, et on en conserve méme pour les besoins de toute l’année. Dans ce dernier cas, on coupe le jeune fruit en rondelles qu'on fait sécher à mi-ombre. La plante produit beaucoup, méme dans nos pays, quand on la cultive convenablement. Ainsi, М. La- Tout le secret de cette culture consiste en ce que les plantes exigent beaucoup d'eau et surtout en ce qu'elles ne doivent jamais dépasser le niveau ou les bords des coffres dans lesquels on les cultive. Quand elles ivent àce niveau, on doit s'empresser d'exhausser le coffre en y mettant une ausse. Si l'on ne prend cette précaution | рге très-simple, la plante périt bientôt ri қ (Belgique horticole.) (1) Au Brésil, 16 i, sie cuit avec la carne secca et en accroît encore l'aspect gluant : le n Б . L. үн, tout est des moins appétissa CAMELLIA JAPONICA Madame t oS ANS j^» 2 Же 2 7714 Ze 2 111 2121—26. LES CAMELLIA JAPONICA MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, FESTIVA (DEL GRANDE, GIARDINO SANTARELLI. Depuis un demi-siècle, l'industrie horticole de Gand est renommée our ses Camellias, ses Rhododendrons, ses Azalées de l'Inde et ses Azalées rus- iques. C'est d'Italie, principalement, qu'elle a tiré les meilleures variétés de Camel- lias, pour les reproduire à l'infini et les réexporter sous une forme gracieuse vers tous les points du globe. Les Rhododendrons, dont les nom- breuses especes, croisées entre elles, ont procréé ici des milliers de variétés, de rechef reproduites elles-mémes en nom- bre immense, sont aussi très-recherchés. Les types d’Azalées nord-américai- nes, aux petites fleurs multicolores ez trompette, ont servi à féconder l Azalée les anglais nous enlèvent chaque année en leur conservant, eux, le cachet de leur origine : Azalées de Gand. Divers horticulteurs du continent les affublent, au contraire, bien ridicule- ment, du nom d’Azalées américaines! N'auraient-ils done à vendre que de elites trompettes américaines, des pro- totypes tubulés? Mais non! ils tirent 1 2118. Leptopteris superba. Nous venons de recevoir de la Nouvelle- agni de nt naguér de 25 à 75 francs; nous pouvons en livrer aujourd'hui de larges exemplaires à 75 Їгапс8 et au-dessus, dont les troncs mesurent un mètre de circonférence et ont une hauteur de qua- rante centimètres. Ce sont les plus luxueux exemplaires qui aient jamais été introduits Originaire des forêts sombres et humides de la froide Nouvelle-Zélande, le seul soin que le Leptopteris superba requiert est 119 CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. parfaitement ces hybrides de Gand; ils ne sauraient les trouver ailleurs, et leur qualificatif d’americain est un piètre boniment que nous devons relever en mémoire des Мовттев, des VAN CASSEL, des VAN ACKER, des Lours VERSCHAF- FELT, etc., tous gantois, les seuls et uniques créateurs de ces productions hybrides, obtenues par eux seuls à = de fécondations croisées ! Ceci dit, ajoutons un nom 4 аас liste оа: celui de feu Louis HELLEBUYCK. Ісі, dira-t-on peut-étre, perce le petit bout d'oreille de l'intérét, car nous nous sommes rendu acquéreur de ces gains de fraiche date, les der- niers venus, et disons-le, les plus beaux de tous; et déjà nous en avons mis, dés l'automne ша une douzaine de variétés en vente : Louis Helle- buyck, Auguste Mon, Bijou de Gendbrugge, Р" Auguste Cambier, Domenico Scassi, iode "es Francois De Taye, Louis Aimé Houtte, Mad. Alex. Hardy, Rose 4 Flandre, Mina Van Houtte et Sang de Gendbrugge, en attendant la suite: toutes plantes branchues et en boutons. Nous étions autrefois les tributaires des Anglais pour l’Azalée de Inde; mais, depuis une quinzaine d'années, les rôles sont changés : c'est Gand qui ap- provisionne l'Angleterre de cet article; c'est à Gand que, dans ces derniers temps, les plus belles variétés sont nées, et c'est la famille, Vervaene qui а pro- 8 évertués à travailler ces jolies plantes ; et de l'Etablissement Van Houtte, par exemple, sont sortis des gains auxquels Londres a décerné d'un coup cinq Cer- tificats de 1° classe, la plus haute récompense qu’accorde un jury anglais. d'étre tenu dans une caisse vitrée hermé- de bois concassés. On veillera à lui ména- T 2119. . Alphonse de Candolle vient d'étre élu associé de l'Académie des sciences de l'Institut de a 45 ans que x = Candolle a publié son premier mémoi Laur pert Fée est décédé, à Paris, le 21 mai de cette année, à là e Le Liens Concours d’Orchidées exo- ger un bon drainage. Il prospérera en société des Selaginelies, \ des Pteris serru- lata et d'un choix d'A nquiégaieront | l'ensemble que nul rayon kien ne pour jamais atteindre; quant au gei il se réglera d’après les saisons. MISCELLANÉES. tiques qui a = lieu à Liége, le 5 juillet, pour le prix de la Fédération des Sociétés d Логийн. de Belgique (500 tane) te amateurs rche, е ompte, a paru, % [admirable заваа CH pee Les poteries usuelles et ipee = de MM. de Koninck, de Diest, en Bra bant, méritent la SEN po elles joui issent déjà : elles viennent de recevoir à l'exposition de Liége une médaille en Me nt. Le projet d'une exposition o tionale de fruits, qui aurait lieu à Am- dam, au mois d'octobre 1875, “vient ann serait convoqué à la commission organisatrice est formée ; de In < Sul ШІ m си ИШ, : D, | Шин ЗАЛ ис À | Up гад. à | + “Ч, р ui мүр NP A TW. ah ER : = T. a> t Я 1 " EN "ТТТ ANTS N RAA M “тарь: N г 0 DIN Ч Ж 2 > NE St ge зі M NN oe FIN NN ! Тс КОСА ai : зүс Ж ә ! ege р d 279 — (TTA ABE decer Жабық : ж CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. 113 A part l'Angleterre, nous n'avons pourtant exposé nos gains que dans notre pays; nous les avons po de Gand à Bruxelles, à Liége, à Tournay, ete. , et de vinta: nos ме de l'Inde sont. revenues couronnées des premiers prix; il est méme des jurys qui, n'ayant pas trouvé suffisantes les médailles affectées à ces concours, les ont unanimement doublées de valeur, prouvant ainsi que si le proverbe affirme 8 « Nul west prophète en son pays » e n’est pas en Belgique, la patrie-mère de Vhorticulture, que ce dicton peut s’appliquer. Revenons aux Camellias, l’une des trois branches principales de nos cul- tures. gs Que Gand soit la patrie d'adoption des Camellias, c'est ce que les Chinois et les J хайлна diraient s'ils avaient voix au chapitr Qu'on le ee? qu'on nous vante l'Anjou : e'est plus patriotique que vrai ! Et qui est-ce D confirmera notre dire? — La raison La. raison réside x toute entière dans les procédés de culture. Ils consistent à soustraire le Camellia à l'influence perfide de notre froid climat, jusqu'à que surviennent les pluies "chaudes de l'été pendant lesquelles le Camellia, ressentant l'influence salutaire de l'air humide de sa patrie, gonfle ses pores, | se sature de vigueur, en un mot trouve „= son bien-être dans notre plein air æs-- tival. Nous laisserons donc à l'Anjou Villu- sion dans laquelle il se complait, quand il affirme que le Camellia y est natu- ralisé. MM. А. van Lennep, président; D. Vis- Er. irésorier; C. A. A. Dudok de Wit, А : эж В. Galesloot, secrétaire. Le congrès rait particulièrement à eres de la cris des fruits. Exposition internationale d'Anvers , : il comprend 128 concours fleurie n a médaille d'or du Roi Lei 12 Orchidées, franes pour 30 Amaryllis, 200 franes кт zn gen, la médaille d'or de la Rein siers, le grand prix de la Féération (500 francs) pour L5 Palmiers, et ainsi de — Les ama- тз qui n'auraient pas le p gramme feront bien de le qos à M. Alphonse de Cock, теме де 18 Société, afin de se préparer aux concours. sans larges. Le Scénographe du D' Candéze est un petit appareil go He de poche, ne pesant pas plus de rammes et à l'aide duquel chaeun peut faire de la photogra- méme volume qu'une lorgnette de théátre : il А ди done pas encombrant пі fatigant à porter. Les glaces à négatif sont préparées атое et elles sont tellement sensibles | photographier à l'aide de cet del ses appareil. Il est hors de doute qu'il rendra aux е et aux horticulteurs des ser- ces qui seront appréciós. Veut-on fixer ging d'une plante intéressante, il suffi 114 CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. Nous avons, nous flamands, la pré- tention de substituer au climat méme des bords de la Loire, une atmosphère factice, en donnant au Camellia l'abri et le degré hygrométrique d'air qui lui sont favorables, et qui l’amènent, en fin de compte, à étre de vente quand on vient ici chaque année, de préférence, chercher une marchandise moélleuse, bien développée, bien aoütée, bien bou- tonnée, à point nommé. Que ceux dentro nos clients assez sensés pour nous adresser leurs ordres EN DUE SAISON jugent nos dires et répondent, mais non pas les retarda- -taires qui s'y prennent toujours après es autres, prétendant encore être les mieux servis ; ces derniers ne s’inquiètent pas si l'horticulteur a offert sa marchan- dise, prête à être livrée dès le mois d'aoüt et pendant les mois de septembre et d'octobre; ils laissent même s’ecouler le mois de novembre; et quand l'hiver est passé ; quand ce qui restait à vendre est écoulé, ils s'en viennent alors vous adresser des listes des sortes sur les- quelles ils se sont finalement décidés à jeter leur dévolu; etil faut néces- annoncant ce qu'il ne posséde pas, un fabrieant de catalogues gonflés de tout ce qu'on trouve partout, excepté chez lui; en un mot, ces retardataires, pour vous faire payer cher le dépit qu'ils éprouvent par leur propre faute, cher- chent encore parfois à vous nuire, à vous diserediter, et s'en vont ailleurs pour étre mieux servis. Ils trouvent, la plupart du temps, porte de bois, parce qu'ailleurs, comme ici, la marchandise de bonne qualité s'écoule vite, le mar- peut se = e een chez soi, mais aux Exposi en voyage, en visite. . Veut-on le enin réduit d'un arbre, la vue d'un pare, d'un square, d'un établissement d’horticulture, rien n'est désormais plus facile et plus rapide. ous n'entrons pas ici dans oe plus grands détails. M. le D* Cand qui habite à Glain-lez-Liége, a publié є sur le scénographe une broc chure oü l'on trouve 2 е теп A е prix d'un scénograph complet est de 50 franes icine Nouveaux Мааша (Calathea) de MM. Jacob-Makoy. — Aux Expositions de Gand et de Liége, MM. Jacob-Makoy ont présenté quelques spécimens d'un nom- ` reux envoi de Calathea qui leur est arrivé du Brésil. Ces Calathea sont les suivants : C. mirabilis, feuilles lancéolées, étroites, allongées, ornées sur les nervures secon- daires de macules sessiles, décurrentes, foncées, se détachant en forme de flamme av forme lancéolée, 5 RE et d'un vert foncé sur un fond rt pâle ; C. medio-picta, ion ovales- ar courtes et larges ; sur un fond grisâtre et clair se détache un dessin vert, presque noir, figurant une feuille pennée à folioles en forme d'olive et pétiolulées. Ces Ма- ranta, sur lesquels nous reviendrons, sont d'excellentes acquisitions pour les serres. Adiantum lunulatum Burm. — Cette remarquable et intéressante Fougere v jent d’être introduite dans l'établissement de ` MM. Jacob-Makoy, à Liege. Elle a figuré cette année dans quelques ‘Expositions sous п en une fois pennées, à folioles en forme de demi-lune, Eiere? cour- Geesen free. S eege d d A KR Да sec 53, 2 ^ N DUM en х7, may v 4 { ` ы H м NR de? 1 А > ye % D Ч. “еқ, | a wa? NS 3 v» ы Y Pear e MALE М ) ф ? җы С» ut a : d INE P A Wi y NS à DER EEE s oec odes NM 1 к. m KA 5 »* 1 ЛУС Sie ум d фена КРАЙ. Па t ХА ! "y мо 1 b YA es 1 ма Ж KE р (t 4 іу VELINT. Wen 9 же ни я чь Ab "Rex Ч SA "i Е a * A Loo A b] n 5 | i TL af Ka le | Lo My YO у 4 17 | у; е Эй : "+ e LE ھر‎ Cu» A vy | ny ; Ж ә ! w HS "9 ЖЫЙ ама? У ум CN өл.) Se, CA. à A rap: Ч Lu m " j МО d “.... 4 1 de "ҮГ La Ms rh Ra 1 фа, з УМ ^ e d ‘ ҚТА х Ау, \ A) 5° mM. v CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. 115 - chand aimant à bien satisfaire sa clien- tèle par ce qu'il a de mieux, jusqu'à ce qu'arrive enfin ce qu'on appelle le fond du sac; et ils jettent l'anathéme au pauvre "fournisseur qui n'en peut mais et qui n'a... qu'à bien se tenir! Les mécontents jugent les autres асч à leur exemple; ils пе s’imaginent pas que les meilleurs Camellias s'éclipsent les premiers, que les sortes les plus précieuses passent devant; ils se figu- rent qu'ils resteront là, sur les tablet- tes, patiemment à les attendre jusqu'à Páques, époque à laquelle, fussent-ils encore disponibles, il serait toujours chanceux defaire voyager. des Camellias en boutons parce que la sève а fait son office et qu'elle va achever l'émission des pousses nouvelles qui formeront le bois de l'année. Que l'on nous pardonne cette boutade en raison des ennuis que nous causent, chaque année, ceux qui veulent du Ie choix, quand la saison de vente est passée, ou à sa fin Qui demandent hors saison des Gloxinias de 1* choix, de 17% grosseur, quand on en a livré tous les jours, et par grandes quantités, poris novom jusqu'au mercredi des ! Cent mille rosiers nf émigré! — C'est égal; on veut ер Їр choix, de la quintessence... Eh bien! Bien ! с "est P simple et moins Wi AE a née prochaine, si vous voulez bien een encore à votre infortuné fournisseur! Ah! vous voulez des Crocus à l'état sec, quand ils sont déjà en fleurs! e des Jacinthes Gë? et des Tulipes ` aussi! Mais finissons, car nos confrères bées ; à l'extrémité de chaque feuille, il se forme une pia plante qui se comporte si toute une colonie se du monde dans l'hémisphère austral. Les Glaïeuls doubles. — Dans l’une des deux dernières séances de la Société d'horticulture de la Haute-Garonne, “ч avons eu l'occasion de faire. connaitre n semis vue, l’année chez cet horticulteur. Ainsi que cela est arrivé pour d'autres plantes, le Pelargo- nium zonale, par exemple, des éno- mènes de duplicat semeurs, presque en verbes emps. Dans la Reoue ное du 15 novembre dernier, ten = m Kä Sange: certaines variétés de Glaieuls du même semeur, ce qui fait espérer que, dans avenir prochain, on posse édera des géie de Glaïeuls doubles. Déjà, il croit pouvoir désigner comme doublant ou semi-doublant d’une manière presque constante les varié- tés suivantes Octavie, plante semi-naine et l'une des plus merveileuses nouveautés de 1872; puis aussi Horace Vernet, variété de 1870, et semi-doubles. Il en est deux variétés Prince of e et жс шеп ез est le chiffre norm Il est à re marquer, nous dit M. Carrière, ев s fleurs semi-doubles ou à pièce multiples, sont Mine plus longue durée, та un сегіз л et produisent, jus plus vp que eeng mi бор KE оп normal (F. d'hort. n la Pie s utt 1874, р. 98.) Influence des forêts sur le climat. Des observations très-exactes et faites déja pendant plusieurs Rear par la d» 116 CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. rient sous cape, pensent comme n et trouvent que le sujet, loin d'être épuisé , n’a dit encore que son premier mot. Le CAMELIA Мар. Амвв. VERSCHAF- FELT est l’une des dernières fleurs qu'ait Nous ne lui avons pas demandé d’où ce Camellia dérive; mais toujours est-il que nous le rangeons parmi les variétés très-voulues, parce qu'il se couvre volontiers de boutons qu'il ne laisse jamais choir. Nous avons voulu le montrer une fois pour toutes dans toute la plénitude de sa beauté. L'amateur ne se rend pas suffisamment compte de la différence de dimensions que montre une fleur soigneusement amenée par un traitement rationel sur une plante de croissance vigoureuse, et une autre fleur que lui donne un chétif exemplaire traité par un arabe qui ne l'arrose que quand elle n'a pas soif, on qui l'échaude sous une température artificielle ridi- cule. Nous avons emprunté au Gardeners’ Chronicle, dont la rédaction nous accuse peu généreusement de pillage, la vue d'un Conservatory-boudoir, dans lequel s'étale un Camellia richement encaissé; et laissant notre climat froid et bru- meux, nous faisons aussi jouir nos lec- teurs d'un paysage italien ой le Camellia retrouve son sweet home, à condition que l'humidité et l'abri de plus hauts que lui ne lui fassent pas défaut Dans le nord, chez nous, déjà vers la fin de septembre, de trompeuses belles tion des foréts du canton de Berne, il ressor 2° Se l'humidité moyenne de l'air dans les foréts est, suivant le vent, de 10 à 20 pour cent plus grande qu'en rase cam- 2° Que la température moyenne de l'air dans la forét est plus basse aussi qu'en rase campagne 3» Que la température des arbres est Lem basse à la hauteur d'un homme que s la couronne de l'arbre we Que la température moyenne du sol . de la forét est ent plus basse que а des cham 59 Que la busto de la pluie et de la neige était, en rase campagne, plus consi- dérable que dans la forêt; et enfin 6° Que dans la forêt, une quantité bien plus considérable de la pluie s'infiltrait en du Chasselas de Fontaine- — M. Capmas a fait connaitre A la Socict centrale d'horticütie de France, séance du 25 juin 1874, un document historique — qui lui a été com- muniqué par M. L. Brun, ancien Directeur EE ае ГЖ, 13 х > Ч IT ла 1, comme la reproduction textuelle d'un acte ue renferment les archives de cette ville. Il résulte de ce document que la célèbre et historique treille de Fontainebleau, qui а fourni tous les éléments des plantations de Chasselas qui sont devenues une source de richesse ж les environs de cette ville, а été cré s Francois I avec du plant ue ce oer fit venir de Cahors et qui fut planté, puis dirigé, pendant deux années consécutives, par un habile vigne- ron de cette ville. Voici la traduction de cette note qui la ville de Cahors. « L'an 1 juin, furent envoyées certaines trois ya sives du y notre souverain sei remier о Sénéchal et pla à Fontainebleau prés Paris dit Prince, qui y était Зара веч vint faire - CAMELLIA JAPONICA оог det ў Grande CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. 117 journées, chauffées par un soleil qui va s’éloigner rapidement, abusent souvent le maitre qui croit devoir sermonner son jardinier quand la vigilance mati- nale de celui-ci l'exeite à soustraire ses Camellias à l'influence funeste des premiers froids. Et cependant, ce n'est Jamais un mal de les rentrer, méme un peu tót, pourvu que leur terre soit suf- fisamment humectée, et alors qu'elle ne pourrait plus se ressuyer si des pluies froides venaient à survenir; sans comp- ter qu'avant le lever du maitre, le Jardinier а déjà pressenti l'approche de froids piquants au lever du soleil. , Rationnellement cultivés, les Camel- lias forment leurs boutons en juin, juil- let et aoüt; à la fin de ce dernier mois, ils sont tout formés et gros; la rentrée est donc logique, car l'air comparativement froid de l'automne ne peut plus leur être salutaire, tandis que la toiture d'une serre, en les préservant de la chute des pluies, ne dispense pas le jardinier de les seringuer au besoin et de leur donner le plus d'air, le plus de courant d'air possible, tant que le ther- · mométre dépasse le degré de congé- lation. Cette période passée, le feu ne sera allumé, bien modérément, qu'alors que la gelée menacera d'entrer dans la serre ; mais comme pendant l’arriere- automne, pendant les jours clairs, la chaleur solaire frappant le vitrage, méme aéré, éléve la température inté- rieure, il n’est guère nécessaire de chauffer artificiellement, surtout si le jardinier а concentré la chaleur am- biante du local, en fermant les ventila- teurs avant la venue du soir. Les Camellias devront toujours étre tenus le plus froidement possible; la chute de leurs boutons, et même de leur feuillage, est une preuve certaine que leur cultivateur serait bien mieux à la autre voyage pour le Roy, lui rapporta . d'autres plants et vingt barriques de vin lets. » qu'il chargea sur trente mu Cereus peruvianus var. monstro- sus Orro. — M. G. Demoulin, président de la Société d'horticulture de Mons et rand ama de Cactées, nous écrit le 3l juillet dernier : « Depuis quelque années, j'obtiens sur mon Cereus monstro deuxième fois, il se produit, d'une même auréole, une double fleur soudée par les ovaires. Ce pl et que je vous expédie pour que vous puissiez en uger su.» floraison du С. monstrosus est еп : sa fleur, elle etait à prévoir, tant elle est d'accord avec la théorie botanique. On sait,en effet, à пеп pouvoir douter, que le tube récepta- culaire qui enveloppe l'ovaire des Cactées et qui forme le tube calyeinal de leurs fleurs est d'origine axile, c'est-à-dire de méme nature que la tige elle-méme. — Се détes- | сі acearum. table petit cryptogame, parasite des Mal- vacées, que nous avons signalé au com- mencement de cette année, n'a pas manqué d'envahir toute l'Europe sans épargner la Belgique; il s'attaque aux Mauves sau- vages et aux Roses trémières des jardins ; nous avons vu, aux environs de Herve, dans la province de Liége, les Roses trémières bes par. originaire du Chili d'où il a passé еп Australie, et c'est par cette voie qu'il est arrivé l'année dernière en Europe. Il соп- stitue en ce moment une menace pour les planteurs de coton. Mar. (Belg. hort.). Toxicité des fruits du Gui. — On lit dans le Journal de pharmacie et de chimie: Le docteur J. Dixon, de Whitehaven, à 16 118 CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. basse-cour que dans une serre où son maintien n'est plus tolérable. Mais admettons qu'il ait trop chauffé : son premier devoir, dés l'aube du jour, consistera à prodiguer les seringages ; et non seulement les Camellias seront copieusement seringués, mais aussi tou- tes les autres plantes de serre, en évitant de laisser tomber trop d'eau sur la terre des pots qui contiennent des plantes délicates. Quand il s'agira d'arriver à point nommé aux Expositions, on s'y prendra d'assez bonne heure pour n'avoir pas à forcer au dernier moment. La chute des boutons est un indice certain que la balance entre la chaleur et l'humidité n'a pas été observée. Malgré toutes les précautions que puisse prendre le jardinier, de maudits souvent à s'introduire et à s'établir dans les pots oü ils fatiguent les racines par leurs pérégrinations incessantes ; on doit forcément les en déloger. Leur présence se trahit par de petites agglomérations de terre pétrie que l’on observe à la surface des pots. En ballot- tant ceux-ci et en les secouant vivement, on parvient à détruire beaucoup de ces vers; en retournant la motte sur la main, on en extrait encore; enfin, quel- ques miettes de suie éparpillées à la surface du vase, еп se délayant dans l'eau d'arrosement, les rendent malades, et иле très-légère addition de noix vomique leur est un toxique qui n'en- dommagera pas les plantes. Les lombries infestent souvent nos cultures de Camellias et d’autres lantes, quand on se sert de composts non préalablement étendus en couches minces sur le sol, à l'exposition du soleil, et qu'on remue à l'aide d'une planchette pour en enlever les lomb"ies qui viennent se tortiller convulsivement . fait connaitre dans le British medical Journal du 21 février, un саз d'empoi sonnement résultant de l’ingestion des fruits du Viscum album, observé chez un jeune garcon de 14 ans, qui fut trouvé commenca à éprouver des vertiges et, dés ce moment, perdit connaissance. ` Germination des graines. — MM. De- hérain et Ed. Landrin ont soumis à 5 k : is оп ignorait le mode d'action de ces agents indispensables. MM. Dehérain et Landrin se sont proposé le réveil de la vie végétale. apres MM. Dehérain et Landrin, c'est la condensation des gaz dans la graine qui estle point de départ de la germination. il ne peut y avoir aucune formation des principes immédiats nécessaires à l'évolu- tion du germe. ; Les recherches de MM. Dehérain et Landrin, toute scientifiques qu'elles sont, de se rendre compte peuvent avoir, sur le succes de ses semis, CAMELLIA JAPONICA Же га те à к teca CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. 119 | à la surface; un peu de өше, répétons- le, et une très-légère addition à la terre de Quassia атаға ou de noix vomique en poudre sont d'excellents antidotes. se ouse de vache délayée dans l'eau de nos arrosements, qu'au tout premier printemps; ce stimulant assombrit le feuillage et lui donne de la vigueur et un air de santé. Bien que nous ne sortions nos Camel- lias de nos serres qu'au mois de juillet, apres la formation des boutons, et que nous les placions,non sous l’egoutdufeuil- - lage des arbres, mais sous leur ombrage méme,nous en tenons de grandes masses sur un pallier de scories, en plein soleil, en les préservant de ses rayons par des canevas de toile, de coton huilé ou de lattes encadrées. Cette disposition a l'avantage de nous en rendre maitre en tous temps, et nous permet de retirer temporairement les couvertures pen- dant les jours couverts; ils jouissent ainsi du grand air qui verdit le feuillage. Il est des amateurs passionnés de Camellias qui leur octroyent une ou a plusieurs serres, exclusivement 4 tous les soins nécessaires et dont nous avons parlé, leur donnera de bien plus grandes fleurs, comme le montre, par exemple, la fleur monstre du Camellia - vices; mais pour obtenir de pareilles fleurs qui font la gloire du jardinier, il faut que rien ne leur fasse défaut: ni trop, ni trop peu de chaleur, jamais excès, ni manque d'humidité, ce qui est d'autant plus aisé à obtenir qu'une plante livrée à la pleine terre ne de- mande pas autant d'arrosement qu'une autre resserrée dans un vase plus sujet procédés culturaux pour obtenir les effets oulus. (Annales forestières.) Influence du gaz d'éclairage sur 18 végétation. — Des expériences ont été faites au Jardin botanique de Berlin, avec un Érable et deux Tilleuls de 31/2 à 51/2 n branches. L'un des Tilleuls recevait 50 encore parfaitement verts. : On trouva les radicelles complétement mortes; les ramifications plus anciennes des racines avaient souffert à leurs extré- ités. Le 7 janvier suivant, l'expérience ites. fut arrêtée sur deux des arbres, et con- couche supérieure du sol est plus com- pacte. (Journ. dela Soc. agric. du Brabant, 1874, p. 367). Origine du Guano. — Nous avions sans doute, que le guano, c agent de fertilisation en agriculture, se composait des excreta, accumulés depuis des siecles, de myriades d'oiseaux de mer. Le Dr Hahel qui, де longue date, s'est livré bt résidu obtenu un ins ! : d'éponges fossiles, d'animaux marins e “120 CAMELLIA JAPON. MAD. AMBR. VERSCHAFFELT, GIARDINO SANTARELLI, ETC. à se dessécher. Une pareille serre sera au levant, ce qui permettra de ne dé- rouler les claies qui la recouvrent que pour préserver les plantes de l'ardeur du soleil qui ne saurait y luire, d'ailleurs, lorsqu'il a tourné la position. L'absence de toute couverture est un grand gage de santé et de vigueur Tout ceci ne dispense pas, quant à 8 suivant la température extérieure, et chaleur artificielle d'autant plus modé- rée que, cultivés en pleine terre, il ne peut étre question d'avancer ou retarder leur о pour les mener à fleur à époque Il va de soi que Penais gisant sous la couche végétale étant composé exclusivement de platras et autres décombres, sera sévèrement expurgé de tous débris imprégnés de n’importe quelle matière malfaisante, tels qu'aci- Ф des, goudrons, etc., dont l’action meur- trière ne se ferait que trop sentir si l'on n’usait de sévères précautions à cet égard. Le CAMELLIA FESTIVA (Delgrande) est l'un de nos bons camellias d'origine italienne; ва forme est richissime et imbriquée jusqu'à l'extréme centre; ses pétales sont des plus fermes et de cou- leur cerise Е bordé d'un très-léger liséré blan Le Camellia GIARDINO SANTARELLI, d'une imbrication de toute beauté, est d'un très-beau rose, se panachant sou- vent de larges plaques blanches, qui occupent d'autres fois tout le pourtour de la fleur, n'abandonnant guère à la couleur rose que ses parties centrales. Les trois variétés ici figurées sont toujours des plus recherchées. L. VH. de plantes marines. D'un autre cóté, sait que dans le voisinage des Chinchas t autres iles à заго, les апсгев des navires ramènent quelquefois du guano du fond de l'Océan. De ces faits et d'autres encore, le docteur américain conclut queles dépôts du guano sont le résultat de l'accumula- tion de plantes et d'animaux fossiles dont a matière organique а été transformée en une substance azotée, la partie minérale rn ale, A vrai dire, siles nouvelles récentes recues du Pérou ne sont pas empreintes de пещи exagération, il n'y aurait plus à s inquiéte г de la diminution des dépôts des îles Chinchas: Une Commission scientifique, nommée par le e fer anciens habitants du Pérou connaissaient l'existence de ces mines d'un nouveau genre, et lon retrouve en grand nombre des traces de leur exploitation. A Pabellon six millions de tonnes. La pointe en fournirait deux millions, et d'autres sites en auraient révélé deux autres mil- seur 60 à 90 mètres. Elle sont recouvertes d'un stratum de formation calcaire. Les études auxquelles se livre la Com- mission péruvienne sur ces découvertes, jetteront sans doute une nouvelle lumière sur l'origine du guano. Les lieux ой cette ments de sa f: n. (Oc Bull. dela io; Se 1874, p.430). possessions hollandaises des nord е 11° degré sud de la titude, et entre le 05: ре le 140° degré est du méri- dien de Par Les plus pE sont Java, Su- Y Ы е 1 V Ku № LILIUM MARTAGON DALMATICUM Май“. | 2 Mont епедто | Plein air 121 а LILIUM МАВТАСОМ DALMATICUM Marx. Т GENER. — Vide supra, FLORE, ënne SPECIF.— Vide KUNTH, Enum., Lilium Marta agon dalmaticum VISIANI, Amico dei campi, Triest., 113. 1865, p Nous cultivions, depuis un temps im- mémorial, le Martagon espece typique et sa variété à fleurs blanches. M. le prof. de Visiani vient d'y rattacher une variété d'un vineux noirâtre, trouvée en Dalmatie dans le bois qui avoisine Much; c’est à Madame Marie de Cat- tani Selleban de Spalato que l’horticul- ture en est redevable. Notre planche donne le port et une seule fleur de grandeur naturelle de cette remar- quable plante. matra, Bornéo, Célèbes et les Moluques ; parmi les îles secondaires, on ‚= eiter Madurs, l’archipel de Rio ouw, Biliton, Bali, bawa. La superficie totale de ces iles est, e ant la partie occidentale de la Nouvelle-Guinée, de 15,274 myriamétres carrés, le triple de Г étendue dela France Situé 8 sous = tropiques, ces iles présentent, grà l'élévation de nom- oe montagnes et au voisinage de la er, des climats trés-variés, torrides dans loo plaines basses, tempérés sur les hau- Sar la plage de Batavia, la température moyenne est de 28° centigr.; a Buiten- zorg, situé à 300 -mètres ui du niveau de la mer, la température moyenne n'est déjà plus que de 22° centigr. ; dans les montagnes, le thermomètre descend au-dessous de zéro. es îles des Indes- néerlandaises sont d' une fertilité remarquable, inséré dans le Bulletin de ci Soc. d'acclimatation de Paris, 1874, p. Avis explorateurs. Le plaies, e elt: des SEH infé- rieurs, demandent une attention particu- liere sous les tropiques; le voyageur ne saurait trop se prémunir contre leur dan- n propre exemple, rant en un ulcere calleux, profond, extré- mement douloureux, ses plaie fut à la fin guérie, au moment oü je redoutais la gangrène, par un Fable banal que la Providence m’envoya : je veux parler de Гой e basilicum itant de Flores qui avait éprouvé à Belize l'effet de ce médicament, en possédait une boite qu'il mit généreu- sement à ma рид C Eia: perdu sans cet heureux conco « Je joins à cet avertissement la for- en d’un onguent em 6 avec succès à la Havane sek les ХЭ rebelles et les ulcères invétér ire, 4 par ud Térébenthine ph CEDAR; 1 pires, Alun, un huitióm Camphre en vido. un huitième. « On fait fondre au bain-marie la cire et la térébenthine ; pos on ajoute l'alun uant le mélange gouttes sur la ve on recouvre de spa- radrap et l'on change tous les trois jours. « Quant aux morsures des serpents vénimeux, je oe l'emploi de caus- e l'acide nitrique 122 avec beaucoup de promptitude, e dont ecau- jararaca est singulièrement actif ; lorsque la plaie est pénétrante, il est rare que le patient survive au delà de quelques heu- res ; si la dent du reptile a rencontré sur son "trajet quelque portion notable du sys- uem isolés. Il est done essentiel que le ER soit toujours mun даи ге- méde prompt et, énergique : (А. Voyage dans l'Amérique ere "1897, II, p. 312-13).. Florieulture populaire. Nous croyons bien faire de consigner ici un fait divers sud ос quotidiens; il est d'un > mple. meet Louise, Ше de S. M. la reine d'Angleterre, présidait, jeudi der- jer, à Londres, un севера des plus originaux et des plus touchan П ne s'agissait de rien ils que de la culture des plantes d'ornement sur les fenêtres et derrière les fenêtres, dans les quartiers pauvres de Londres. Depuis quelques années, cette se me a fait de grand à la température ge ei допсе еб humide du pays, s Fougères tropicales, des “Тыста du мек xique et du Brésil, végéter et fleurir derrière les vitres des maisons d'ouvriers à Londres et à ми. ourager cette coutume nouvelle, mais чан эн au point de vue de la . science elle-même, est digne de tout éloge. Aussi, S. A. la princesse Louise = Lorne a-t-elle fait œuvre méritoire en récompen- sant les industriels et les Ойгон de ondres qui ont trouvé le temps 1 demeures de jardins, bien modes souvent remarquables par la qualité et la rareté des plantes qu'ils renferment. Un grand port comme Londres, qui recoit des stét ges de tous les bouts du monde, voit se andre forcément, sous le 41* degré de latitude nord, des espèces exotiques qui s'y ро et égayent la demeure du travailleu MISCELLANÉES. Le doyen Stanley, le marquis de Lorne, époux de la princesse Louise, et beaucoup l'originalité et l'utilité peuvent se passer certainement de tous commentaires et de tous éloges. Plus de 1,000 liv. st. de prix ont été distribués aux cultivateurs et jar- diniers en chambre. Gilles-François Godin. — M. Félix Nève, membre de nn royale de Belgique, vient de muniquer à la Fédération des Sociétés d horticulture une notice biographique sur un botaniste d'ori- gine liégeoise qui était peu connu jusqu'ici. оаа Godin est né à Liége, le 25 février 1757, et il est mort à Lille le 20 SECH 1844; il avait été chirurgien aide-major dans les armées francaises. Il vécut à Lille dans l'intimité de Thémistocle Lestiboudois et de Henri Desmaziere. Le premier de ces өш dédia à Godin une section du genre Lysimachia, sous le nom de Godinella, et le second attacha son nom au Sphaeria Godini; Strasbourg, élève de Fée M. N prochain bulletin de la Fédération actuel- lement sous presse. . Baker.—Revision of the genera and species of Tulipeæ; broch. іп-8°, rex; du cage Society's "Journal, Lon- Baker, conservateur- la botanique horticol graphie des Liliacées à fruit capsulaire et à divisions du périanthe libres, en un m la tribu des Tulipées. Elle comprend, les Fritillaria, Tulipa, Lilium, Calochort us, Erythronium et Lloydia. D'après le relevé de M. Baker, les Tulipées connues sont au nombre de 179 espèces, savoir : 59 Fri- tillaria, 48 Tulipa, 46 Lilium, 2] Calo- chortus, 5 Erythronium, 4 Lloydia. Cette tribu occupe les régions tempérées de l'hémisphère boréal. Le plus s grand nom- bre des en se trouve en Californie et au Japon ; rivages de sie atlan structure des bulbes est différente dans les especes de l'ancien etdu nouveau continent. Les Fritillaria s'arrétent aux Montagnes- Rocheuses. Les Tulipes sont confinées sur le vieux monde, depuis l'Espagne, І Angle- ч kc Же ла, ерігін Horto V^ go" ei LINARIA ALPINA Desf. © $ Alpes d Europe. ‘Serre froide, pl.air. XIX. ous LT 7 МА cn Lo E ac ЕБЕТ BEE inde à nn aen, db RR Án 2128. LINARIA ALPINA DC. Scrophulariaceæ. CHARACT. GEN — Calyx profunde 5-partitus. Corolla SR odes tubo basi calca- rato, labio superiore erecto, palato prominulo Б ES = о B rs sula ovidea vel globosa, loculis ssepius s = ы 5 13 — ы o — ы - Ф өм 2 = 5 “© 34 о + suffrutices. Fo pius opposita Kei verticillata, superiora alterna. tirrhini, floribus seepius mino- ribus nunc minimis. In forme hine inde ucem pulvi- nato, lobis 5 ai: reflexis, st bO quinque. DC. Pr odr., X, 266. LINARIA Juss. ,gen., p. 120. — Снау. en дА D. 91. — NEES, JUN. Gen. Jf. germ. ic. 2 ENDL Gen., p.673. Cpu Sp. LINN. ELATINE Manca. Meth., p. 524. CYMBALARIA GRAY, Baumg. Наскхал DUMORT., Florul., CHARACT. SPECIF. Glabra, glauca, diffusa, ramis floriferis brevibus, foliis lineari- vel 1 Belg. verticillatis, pediceltis calyce longiori bus vel vix в, calyci lentis linearibus acutis capsula su ere us, caleare corollam sub- æquante. In alpinis Eur орге glareosis denudatis usque ad lim ites nivium et secus torrentes hinc inde in eonvalles delabit, ab Austriis Ругепгеіз- o superiore га nde -i ади recto vel incurvo. — 84. DC. Prodr., X, 282, Linaria alpina DC., loco citato. Cette frèle petite plante herbacée, des plus délicates, croît à l'état sauvage dans les Pyrénées et jusque dans les шашинд de la Transylvanie; nous l'avons accueillie dans nos jardins, et nous la classons parmi nos alpines les plus jolies. L. VH. tal des n E a ium ur mé босан et les 4 autres Nouveau-Monde. d dans Lloydia sont orien et sibériens. Le Lloydia serotina est kä Liliacée dont Taire est la a plus v aste. Flora van Neder- occupe de cryptogamie e et la getest de 1а végé étation rurale est ersonne dont fus et est cultivé et qui veut apprendre la botanique; Гааз est un véritable étudiants ‘secours pour les étudian rt. — Ueber innere Vor- avec 8 planches. — se lasser, ses obser vations. sur Гапа atomie bre n M. Goeppert rappelle les observations que 124 nous avons Сақа sur la contagion de la panachure Abu Dans opinion du D" Geeppert, la greffe en fente est le procédé le moins rationnel, pour ce motif qu'il met à nu une grande реа de tissu 22 qui ве dessèche ou ве putréfie. Bernardin. — Visite à l'Exposition de Vienne, Gand, 1874, br. ш-8°. — М. Ber- nardin, professeur à Melle-lez-Gand, a 'y trouver, Tuc les matieres d'origine végétale . Bernardin termine son intéressant et EUR tures p une 52. frap- - pante de Com n le voit par les tiotés es eet précèdent, beaucoup de ties du желі tel pro Ss tard un article de premier ordre; le caoutchouc ne servit pendant 50 ans qi à effacer les traits de crayon; le gu signalé par Humboldt en 1804, figura comme échantillon dans nos musées, jus- premier chargement en Europe; et actuel- 1 2120. Le Club us empruntons à an journal de Gre- - noble, l’Zmpartial dauphinois, nz des 9 е 10 juin 1874, l'intéressant article suivant, que nos lecteurs nous sauront sans doute gréd’ SE reprodu it écrivait en 1860 M. Adolphe Joia. dans la belle publication du Tour u Monde, non le Dauphiné n'est pas aussi “Реал que la Suisse, car aucune rógion du ©: grande vallée et des gorges que la Suisse " eA Pim te lui envier; quel- ues- laciers étonne Log но нея et par leur étendue, les nt, par MISCELLANÉES, lement le caoutchouc alimente de nom- breuses fabriques, et le guano rapporte 60 millions de francs par an au gouver- nement péruvien. » F. Duvillers. — Les Pares et les Jar- dins, Paris, chez l'auteur, 15, Avenue de Saxe. — Се bel ouvrage, dont nous avons déjà parlé eat maintenant complet. Il a été l'objet d'un rapport élogieux adressé à la Société botanique de France par MM. Chatin, Fournier et Henry Vilmorin. En outre, l'auteur a recu la souscription du département de l'Intérieur en Belgique. L’arboriculteur, rédigépar M. D. Buis- seret, professeur à ee (Hainaut). — Се journal a a été fon е l* mai de cette année ; il paraît un numéro de 8 pages in-8° tous les quinze jours; le prix de riculture fruitière et publie des annonces. e Bulletin horticole, organe de plu- шаш Sociétés de la province de Liége, vientde faire son рван А dans la presse . Ce Bulletin pourra rendre de véri- wii la bienvenue, prospérité et longue Мвв. (Belg. hort.). alpin francais. touristes qui reviennent de l'Oberland bernois, des vallées du Mont-Rose ou de Chamonix ; ou soulagent u maladies ; son Se recole des mines qui en richiront un jour une ee Los tinae des - Wiitudes gr Sliridionalés n, lus haute cime, voisine du Pelvoux, le point culminant de la France entière avant l'annexion de la Savoie, atteint io mille cent métres au-dessus de la m M. Ze constatait ensuite, en зар- puyant sur les faits, que si le Dauphiné, presque rival de la Suisse, et 4 certains rds supérieur aux Pyrénées, est серей- dant beaucoup moins connu et plus гаге- Ф 3 5ТАТІСЕ BONDUELLI Les: o Algerie. Parterre d Die E Ee faveu 2129. STATICE BONDUELLI Lzsris. Plumbaginaceæ $ Staticeæ. CHARACT.GENER.—Vide supra, FLORE,II, mars, pl. 8. . CHARACT. SPECIF. — Foliis radicalibus patentibus pubescenti-hirsutis ciliatis spathu- latis rjr аа ee а тонла ter- minali subrhombeo longe mucronato, scapis te зетом ramis ate Hess cymosis, pedunculis obpyramidalibus trialatis, floribus spinosis , calycis limbo demum campanulato bei ce Bonduelli LESTIB. іп Annal. des Sc. “. у 10,0 A t. 17. Originaire de l'Algérie et remar- quable par ses corolles jaunes, ce Statice requiert ici l'orangerie pendant l'hiver, et prospère tout l'été parmi les vivaces nos parterres; bere la devons à M. deg, шон . ment visité, la faute en est surtout aux habitants. Nulle part en Europe, selon lui, on n trouverait des populations et des umi trations plus insouciantes qu'en Dauphiné, ой le touriste manque de moyens de trans- port, de guides, d'auberges, de provisions, en un mot de tout ue l'on trouve certaines parties de la Savoie et des Pyrénées. « Il faut ee que la population se fore a que n pendant une premié ériode qu'ils vont xia bey, bon souper et D d n que, depuis l'époque ой ces lignes étaient écrites, de notables améliorations y э quelque ving étio parti pour es dans l'Oisans ік contrée si curieuse qui e mmence aux Gauchoirs pour aboutir à p Bérarde, ce pauvre hameau situé à près de 1,800 mètres d'altitude. Un hasard un nous avait Panne ын rts PE de denn Це à ses frais een тіне ations, des cartes, des vues litho- graphiées, dans le but, шан еду er et très-désintéressé, 1 au sein desquelles i| habite et d'inspirer aux étrangers le désir de les visiter. Les regrets qu'il exprimait sur l'apathie de nos compatriotes ne différaient guère de ceux qui devaient se rencontrer plus tard sous la plume de M. Adolphe Joanne. « Je fais ce que je peux, nous disait le octeur, mais je suis tout seul et ne peux pas nie, Les étrangers que la réputation de nos montagnes attire parmi ous à leur retour de la ілері n durs point lair disposés à revenir. A E , dans les bourgs, ils peuvent trouv ku oger d'une facon supportable. Раней ailleurs, mière nécessité pour des voyageurs fati- gués. Les guides sont rares, dans beau- coup de cantons introuvables, et des cour- moins à court d argent, elles feraient une chose utile et qui end rine ses 196 MISCELLANÉES. fruits, en donnant des primes, par exemple, 'habita s'en trouvät bien, car il ne faudrait pas beaucoup de passages de voyageurs pour indemniser largement des prem lers frais, et l'émulation aurait bientót cróé la con- currence et l'amélioration. Mais nos gens attendent pour faire quelque chose, que ; 168 puisse les héberger. Il n'y a pas de raison pour qu'on sorte de là, si quelqun ne prend pas l'initiative et n'impose en quel- que sorte le progrès. Et, RON le doc- ésintéressés et dévoués au bien de notre cher et beau ays. » Aprés avoir visité, en nous détournant de deux heures sur notre droite, le lac de Lauvitel, si een епса1886 dans sa ceintur de Venosc, avec la cascade de la Muzelle au fond du tableau : voyons, cher ami, ne me dites pes que votre pays ne sait ou ne veut rien f atience, me répondit- il; vous savez bien que Paquet est une exception; c'est le лата avis peut-être de toutes nos montagnes du Dauphiné, et je ne sais pas si les excursionnistes anglaises us, mais en partant mettez du vin s вода gourde et du pain dans votre havre- sac. Paquet n'a раз d’imitateurs, et vous vous en apercev carje persiste à шай que si les voyageurs exclusif des savants que ne rebutent pas les privations, et elle serait bientót con- nue de Lous ceux pour qui les grands qu spectacles de la nature ont des charmes. men e püm procurer jusqu A pem olor ster ee le lendem En eg de Venose, nous visitämes, sans plaindre nos pas, comme il convient à des gens rafraichis et bien reposés, cet le Pont-du-Diable, et jabrége en disan comme le logis pays, la maison du guide Joseph Roudier. Nous y trouvames un excellent accueil, mais il est juste de dire que nous ny trouvames pas autre chose ; depuis Venosc, sauf à ааа nous n'avions pu nous procurer du pain e part; on ne le eonnait que de seou? dans ces hameaux où l'on ne mange que la pomme de terre, très-bonne il = vrai. Chez Roudier, nous eümes du pain qué nous brisámes dans Тэрний lait ;. mais ei Pour chambre à coucher, une petite grange étroite, abondamment gege de paille fraiche. Croyez-vous, me disait le lendemain le docteur, que je n'aie pas un peu raison? z bien. C'est dommage, SCHOMBURGKIA LYONS! Lindl. % Jamaique Serre chaude. 182 | : 4 3 ў атарда e A шайы EEN 127 2130. SCHOMBURGKIA LYONSI 1лхрг.. Orchidaces. M HL GENER. — Vide supra, FLORE, I, CHARACT. SPECIF. — Sepalis petalisque ovatis obtusissimis erispis, labello ad a rini formi unguiculato concavo margine cras costis quinque subæqualibus acus MUR X Linot. in Gard. Chron., sept. 2, 1853, р mburgkia Lyonsi LINDL. in йо. вие KE t. 5172. Icon hic iterata. ETIA сох: Н. С. Вснв. in WALP. AAN., у" ÁIS; n о 4, Un Schomburgkia à fleurs ie е cou- leur bien étrange dans ce a On |1 en doit l'introduction à MM. Rollis- mouchetees de pourpre est d’u son, de Tooting, qui l'ont recu de M. Lyons, son eee dans les D an de Ste-Anne, Jamaique, ой à pu en recueillir ae exemplaires vivants. ua YH, GURES ANALYTIQUES. FI 1. Colonne et Anthere. — 2. Labelle : fig. grossies. resultats qu’elles ne pourraient m d'obtenir bientôt stimuleraient l'intérêt privé, qui ne manque pas d'intelligence ісі comme ailleurs. Le tout est de com- mencer et de stimuler. Le desideratum du bon docteur че ions ‚nous venons Am zanne, député des Hautes-Alpes, et aux- За nous empruntons le passage sui- e des associations deis esas ок еп- Procurer à nos excursionnistes fran- çais, ын la voie des journaux et par un Annuaire spécial, la publicité, et, pa suite, l'émulation que les Sociétés étran- gères assurent si largement à leurs nationaux ; e anglais, r de iid D ur préve nir les ecidents et protéger nos compatriotes ; e rager les recherches scientifiques Suisse et en Allemagne, dont Topffer a si spirituellement illustré мн Joyeuses péri- en et qui laissent dan mémoire de eux qui y ont pris ын пп Souvenir їдойаран: faire әуеден comme elles le qui portent tribut de l'univers entier : tel est, en résumé, le programme du Club Alpin fran- cais, et personne n'en contestera le сатас- tere d'utilité publique. A limitation de plusieurs. Sociétés EE continue M. Cézann e, l'orga- isation de notre Société enee n néces- sité d'une règle commune et d'une direction chaque année à la Suisse le 198 centrale avec la liberté des initiatives locales. Le Club Alpin sert de lien et d'appui à des Sections constituées par groupe de montagnes ou leur indépendance, mais, par tion au Club Alpin, elles sortent d'un isolement qui les laisserait impuissantes à faire le bien. » La première liste des membres de la Société constituée à Paris comprend plus de cent soixante membres, parmi lesquels bureau de la section de Paris sont com- posés de: MM. Cézanne, député des Hautes-Alpes, président ; uiseux, membre de l'Institut, vice-présiden Adolphe Visa gw. vice-président; Abel V emerc se aire-général; Armand "erpller, Hs ; Daubrée, de Institut, Gamard, Lequeutre, Maunoir, Albert Millot, marquis de Turenne, Viollet le Duc; Paul Joanne, secrétaire de la direc- tion. - Les statuts ont été publiés. Ils ne sont probablement pas parfaits en tous points et du premier coup. C’est un des le défaut de toutes les œuvres humaines, . même Sorties des ce les Poles privilégiés; et les institutions les plus incontestable- ment utiles, les lois müries par les dis- cussions = plus approfondies, avec le concours des hommes les plus compétents ne nous ont jamais paru elles-mêmes pré- tendre à l'approbation générale et sans réserve. Si une chose est bonne en soi, — ne fut- ce méme que par but, — il nous semble puéril d'y chercher « la petite bête » tou- jours si facile à trouver, hélas! partout. Ne no roche re qui est dans tous les cas fort désintéressée, dont le patriotisme éclairé est incontestable et qui se recom- MISCELLANÉES. mande au moins à l'examen par les noms qui Ps рада ent. nous faisions cette réflexion en relative au Club Alpin francais : « disait la note, une heureuse « on а voulu commencer par ce qui « étre renvoyé à la fin. Avec la manie « francaise de tout то оп а créé le Com ité central à Paris. A Pa le mot d'ordre des Parisiens qui prennent lomnibus pour aller au bois de Bou- « logne! Et on débute par demander de « l'àrgent! » M. Abel Lemercier répondait dans la livraison suivante: « C'était, dites-vous, ` « une heureuse idée » e de la création d'un Club Alpin français sur le modèle du Club Alpin suisse, mais trouvez prodigieux, incroyable, qu'on ait projeté sa création à Paris. Et, pour organiser cette utile association, on a osé demander (chose inouie) aux amis des Alpes, des Pyrénées, des Cévennes.... de se cotiser! « Quoi, vous Вие que l'on attaque enfin cette réforme (si France), et Fe on l'atta manière, voilà de quelle Зевс vous Гас- cueillez et l'encouragez! A = ма faute, si un > venue de Pari is a première liste “publiée est fori rmée en grande partie de Parisiens € se proposent de centraliser tous les re seignements utiles aux touristes, de publiée un premier annuaire en 1875, de porter la jeunesse française et l'argent parisien vers les Alpes les Pyrénées, le Jura, le Vosges, les Cévennes, etc. q tent, dans ce but кел désintéressé et national, ncours de sections dont la formation Ss libre, dont l'action isolée serait inefficace nous, atteindre un bon but 1 leurs rn comment donc s’y serait-on 8 еда трае dane notre г de quelques hommes qui д tant fait déjà pour étudier et faire connaître notre pays vous . ME bith ® pect ut носі vor f "Та vr “ GESNERIAFLORA Lindl. SALVIA Serre temperee Colombie 9 ыг 188. 7 3 4 3 3 4 2 Z S as ig AUS ат 55 T^ le INO E ME Bl ALS, S Ep EE ET T PCR PUPA UE ада Рр ОСА eres АЙ FEU) 2131. SALVIA GESNERLÆFLORA LINDL. Labiatæ. vos 7 GENER. — Vide supra, FLORE, CHARACT. SPECIF. — Vide Сн. LEM. іп ГИ. hort., pl. ЗЭ. а! Па gesneriwfiora LINDL. in Pazt. Fl. Gard., 11, pl. 47. Comme le fait observer avec juste raison Ch. Lemaire, cette poe dans la M. Purdie, a, sur le Salvia fulgens dérivant des lieux montagneux du Mexique et du Guatemala, un avan- tage considérable : ses fleurs, loin de tomber presqu'aussitót qu'elles - sont entierement épanouies, donnant аш! à la plante un aspect triste et mélan- и ен viennent très-tard en automne, de novembre en avril (le fulgens fleurit en été), et constituent une grande res- source ornementale pendant la mau- vaise saison. L. VH. ве présentent naturellement ici à l'esprit, et nous ne doutons pas du succès s'ils veulent prendre la téte du mouveme бие? Note de la Commission de rédaction de l'Association horticole de Lyon. Puissent les espérances ies fondateurs du Cl ub 22 se réalis ifiques, engager 1 . Jeunesse decia à parcourir nos riches montagnes u Lyo nnais , du Jura, du Dauphiné, ete., lui inspirer le goût des pe naturelles et, par conséquent, la détourner de cette vie de mollesse, de promptement et sürement au double but scientifique et moral qu'il poirit Gap a déjà son sous-comité destiné à lui venir en aide; pourquoi d'autres villes n’imite- raient-elles as le chef-lieu des Hautes- Alpes? Pourquoi surtout Grenoble et Lyon ou créer, s'il ne l'est pas encore, ce sous- comité lyonnais. Les membres de la Commission de i perm et de зек дары de l'Association horticole lyonna GAILLARD, président, à Brignais; Crnas, ancien botaniste, médecin agro- nome, à Meyzieu (Isère), a 5 ÉON D и весге , FONTANES, гын pee du ee yop , SCHWARTZ, Cou- SANÇAT, COMTE, CHRÉTIEN, Francois. 1 2121. Agilité du hérisson. ND. , propriétaire aux Batignolles, élève des hörissons Geiben ment pour faire une étude de mœurs. Chacun sa marotte. Dans son Байг sists un terrain vague de trois métres carrés environ ; c'est dans cet enclos, couvert d'herbes parasites et de broussailles, que sont ses élèves. Il avait recu la veille une vingtaine de vipères de la forêt de Fontainebleau; . c'était pour ses pensionnaires un repas de fin de saison Bien qu Ч ne vive guère ug dans ee ' société de ses animaux, М. D.. pot comme on pourrait le supposer, Ge “ - 130 hérissonné : c'est l'homme e Adm affable et le plus serviable que je aisse. l’enclos réservé aux x hárissons, il de postés dans leur salle à manger, il apporte la cage aux тіреген, ar mesure de précaution, cette cage a été c onfectionnée en fil | de fer à mailles eer en double c'est-à-dire que deux cages sont enchas- sées l'une dans l'autre A cet instant, je l'avoue, j'éprouvai la crainte qu'un ou plusieurs de ces animaux malfaisants ne vinssent à s'échapper, et je me tins prudemment à l'écart. Pourtant il пу avait aucun danger, ainsi du reste qu'il me fut facile de m'en convaincre. En vipères tombent presque en méme temps dans l'enclos vitré et rampent vive- ment autour de là prison, en quéte d'une ssue. Bientót les hérissons sortent de leur MISCELLANÉES. immobilité, se déroulent lentement, allon- gent le museau et se mettent à leur pour- uite. Cette chasse est très-curieuse et de beaucoup plus émouvante qu'un repas de boa, dépourvu d'intérêt par l'absence до la un animal en apparence impropre à la rse Les vipères esquivent subtilement les atteintes de leur ennemi, glissent rapides comme une fleche,se dressent menacantes, nt, agitent leur langue, bondissent fonts et terribles. Mais rien n'arrête leur ennemi, qui les poursuit sans relâche et les saisit. Ra cette atteinte meurtrière, la vipère se ement sa proie; les os craquent sous sa máchoire; un instant apres, tout a dis- aru ^ je le répète, le repas le plus curieux mat il soit donné d'assister. (La France). 1 2122. Pommes de terre. у nar = Merveille d' Amérique. — er compte-rendu. — L' Early Su a été essayée par MM. Reynaud et — a aire. et par M. Sorrel, à Crolles. . Reynaud, deux tubercules complète a été faite le 31 juillet, jour où elles ont = zu elles étaient par- faitement s . M. Reynaud la déclare de chair ареста trés-féculente et de bon oüt. — Conclusion, donc : bonne кте ayant le grand mérite d'être hátiv Chez M. Armand Aubergeon, un асгаж cule е а produit 4 kil. 700 gram. П s'en loue auss zue se рїаш de ce que l'Early végétation presque embarrassante. Nous avons vu nous-méme deux tuber- cules d’Harly obtenus ісі; ils étaient gros, de forme oblongue, à bes ne et d'un rose peu accusé, à yeux peu profonds, à chair шог très-fine. тва était magni- th = Dela Merveille Zi ue nt nous n'avons encore que deux comptes-re L'ho- norable M. Reynaud en dt deux tuber- лж: dont il a зам, kil. 200 gram. parfaitement sains. — Voici M. Pinot, eegene de l'asile départemen- tal es Saint-Robert : даа tubercules pesant ensemble T дебет à l'asile de St-Robert, ment aplatis, à peau ro chair blanche, yeux nombreux et profonds. Les deux plus gros pesaient, l'un 289 gr. et l'autre 250; tous étaient parfaitement sains. Variété tardive. » RUGOSUM PENTAPTERYGIUM Monts khasva Hook & Thoms., (Himal.) - v Serre froide. 0. 1 4.44 131 2132. PENTAPTERYGIUM RUGOSUM J. D. Ноок. ` Vacciniaceæ. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, XI, E. RACT. SPECIF. — P. ramis re хен 18, ramulis petiolisque junioribus pubes centibus, foliis cor erp subsessilibus ‘anceo- latis v. ovato- lanceolatis acuminatis datis serratis superne rugoso-venosis gcn pallidioribus, floribus in corymbos foliis eg te corolla alba puru нын purpureo-fasciata Ge brevioribus. HOOK. in Bot. Mag., t. 5195. Ico hic iterata Pentapterygium rugosum Hoox., l. c. Vaccinium nuGosum HOOK. et THOMS, Ms. Nous sommes porté à croire que si nous essayions de traiter en épiphytes ‚ сез Vacciniées des montagnes améri- caines et celles qui appartiennent au vieux Continent, ces végétaux luxu- riants des lieux élevés de l'Himalaya, en leur ménageant la ventilation appro- priée à leurs besoins, nous arriverions, si non à les faire prospérer, du moins à les conserver vivants, comme nous le tentons en ce moment avéc des plantes tout autres, avec des Loranthées qu’on n’a pu conserver en vie jusqu’ici et que nous sommes parvenu néanmoins a faire croitre sur des végétaux avec les- quels ils ont de l’affinité et sur lesquels nous avons essayé de les greffer. MM. Veitch, les introducteurs de l'es- ресе, qu'il sont eu la chance de recevoir vivante de Thomas Lobb, autrefois leur voyageur dans le Bootan, l'ont-ils con- servée? Nous l'ignorons et nous serions charmé qu'ils nous l'apprissent, afin d'essayer sur elle le procédé qui déjà nous a réussi avec d'autres. L. VH. + 2123. Nids factices. Par rmi les nombreuses choses remar- ole liabi l'arbre fréquenté plus а de, par les oiseaux ; on le fixe contre le tronc et les couvées des. petits oiseaux se font là,-paisiblement, presque appr réciable, Pour nous débarrasser des pé altises, man ns lanigères, et de es myriades d'insectes nuisibles à l'agri- liaires ailés dans les nids Ge que nous avons admirés, et dont chacun de nos lecteurs a déjà compris la simple et ingé- nieuse structure. (Sud-Est.) 132 MISCELLANÉES. Y 2124. CATTLEYA шаналж LINDL. = Bletia lobata Н. G. Кснв., Walp. aun., VI, 424, Bletia Boothiana H. С. Кснв. іп Отто gr Dietrich Allg. Gartenz., 1855, 322 = Cattleya lobata Linou. Garden. Chron., 1848, 2 408 с. nes hic Ce Cattleya extraordinairement beau, à incomparables cultures de М. : fleurs aussi grandes que celles du ide Booth. Notre gravure en jk eee 2 fidèle beau C. labiata, rival du Zelia gb ente portrait. a montré ses magiques fleurs dans les Spruce. CALODYCTION LEPANTHES рече "E T ә іы ы 2133. LEPANTHES CALODICTYON S»nvck. Orchidaceæ. CHARACT. GENER. — Sepala patula v. reflexa, sepius basi connata, rarius libera. Petala 2, nana, forma varia, appendiculata v. inappendiculata. Labellum parvum mv с пее atum. Columna teretiuscula, nana v. elongata. Pollinia — Herbe iphyte, S@pissime parvu . Caulis Jfliformis, d nr robustus, sim mplez, vaginatus. Folium unicu Spice v. racemi axillares. Flores НОНО du v. rubri. J. D. Hook. in Bot. Mag. yt. 5259. Geen H SPECIF. — L. vaginis caulis latis ore ciliato folio late ovato-cor- в supra sepala reflexis oblique reniformi-cordatis SEN utrin- que basi appendice filiformi instructis Lepanthes Calodictyon SPRUCE,J. D. HOOK. Bot. Mag., t. 5259, icon hic iterata. Minuscule Orchidée découverte dans plaires vivants dans les M . Osborne, autrefois à Clapham et depuis à Fulham; nous avons eu la chance de voir autrefois cette espèce dont le feuillage à réseau coloré con- stitue la principale beauté de la plante, aujourd’hui probablement perdue. L. FIGURES ANALYTIQUES. 1. Tige, feuille et inflorescence. — 2-3. Vue laterale et de face de la fleur. — 4. Boîte de l’anthère. — | 5. Pollen : fig. grossies. + 2125. Le puits artésien d'Ostende. Ce que demande Ostende, à cor et à cri — sans doute parce qu'elle est une ville d c'est magistrats mois, y resteraient toute la iun du л septembre et repartiraient le 2 Nieuport. Nous trouvons dans cette lettre le pm suivant: « J'ai ordre de vous iae pere par- « ticulièrement, messieurs, de «Ла fontaine de Wynendaele et de la « faire placer dans un endroit frais, car « М" l'archiduchesse ne boit que de l'eau, « et, par conséquent, il ne “А. « auguste өрбі SE à leur suite. Je vous « prie instamment de donner vos soins A « cet objet. J’ai pris sur moi d’en répon ier «en votre nom. Il « trop que trop peu « taine; ainsi, j'espère qu'il n'en man- « quera pas. On 1 it, on se préoccupait beaucoup plus d'avoir de l'eau que de l'accueil qu'on cedo à Ostende à la fille de Marie- Thér Cette. pénurié d'eau s'est perpétuée. Pour y remédier r, au lieu de chercher dans filtrée à travers * e, qu'on dit xister, on a fait creuser, à grands frais, un puits artésien p longs et rées, tous les Ostendais l'ont à la bouche, mais, Ô déception! cette eau est une 18 - 134 affreuse drogue, 2 п 25 dig potable ! ue ferons-no ае сараМе он e SCH nous la laissons, ны le Roggen SC à la mer? se dit-o Mais parbleu, Sie nous ne pouvons en user nous-mémes, nous la ferons avaler aux étrangers comme eau médicinale.Bien 1 2126. Le sauvetage Lorsqu'on moissonne par des temps variables, on a de la peine à sauver de la luie, non-seule les gerbes, mais aussi les javelles ; il arrive parfois qu'après avoir retourné un champ de javelles, la pluie vient les mouiller ад nouveau, et la sou est à recommenc ur I que les лы restent cou- chum г le sol humide et sous l'influence de la Яа et de l'humidité très-intenses en ce moment, le grain est exposé à germer rapidement, et la récolte est plus romise Victor droite à gauche et de gauche à droite, et MISCELLANÉES. ere n'est-ce pas? Des bains hygiéni- e leau médicinale, des huitres lieu ont découvert et divulgué les se ar médicinales de js do Lain artésien SE ш. Co? des javelles mouillées. parce moyen si simple d' entre-croisement, on arréte le mal déjà fait et on prévient celui qui est imminent. Il est bon aussi d'entr'ouvrir la téte des javelles. Rien de plus simple et de plus évident, en effet; puisque c'est le contact du sol ui provoque la germination, il est clair u'on évite ce malheur en tenant les épis à l'abri de ce contact; eh bien! pas un cultivateur sur cent ne s'avise de ce moyen. La a plupart tournent et retournent "о „> ours à sauver leur grain de la ger- mination. П est peut-ótre un peu tard pour indiquer ce procédé de sauvetage des ja- velles mouillées; mais nous espérons que plus 2 lecteur еп fera son profit à l'aven (Gazette des campagnes). I 2127. Le Jardin 220 à Saint-Pétersbourg. de cette solennité, le Czar et le grand-duc planterent chacun un jeune chöne. parc, beni par l'évéque dela Cathédrale de ensuite ouvert assisté de son clergé, fut "3 о plus de 6 hectares de terrain au centre de la ville et elle a coüté prés d'un demi- ion, non compris des dons de très- grande valeur. La création de ce magnifique jardin $ due à l'initiative du général Greig, présiden a de la Société d'horticulture, qui en а aussi dirigé toute l'exécution. Les plans et les plantations ont été exécutés sous la surveillance de la Société d'Hor- ticulture Ced son sioe- presione M. Regel x de ses membres, MM dewig. je point d l'art horticole, le our ман est un véritable chef-d’oe Gardeners' Chronicle, 184, p. 233.) к. Е 1 2128. Note sur le г ии considéré comme plante Pd lex tion très-élevée, et sur la nature desquelles il n'est pas possible d'équivoquer, qui se xiste des plantes, рип males. Ce qu'il y а de plus étonnant, et ce qui rapproche singulièrement ces plan- 8 des animaux, c'est qu'elles-mémes nourrissent directement de matières ani- ege et en quelque sorte choisissent мемен " АА 29 Ко (a E M Ku" шаға суы chr vint 1 mr 7 Less "Y pn — 2 ee Ze Mutt tong Sha va À ty, ғ piet in orte ml D assınl. C CRASPEDIA RICHEA Ai Plein air. 3 , str. mer: o Au ep 2134. CRASPEDIA RICHEA Cass. Composite. CHARACT. GENER. — Capitula 5- as een іп "glomer ulum subrotundum bra teis sub quoque gerrima. Caulis ACT. SPECIF. — Foliis radicalibus ee ter acutis v Ms gla- bratisve. Cassini, Dicé., П, Craspedia Richea MM Le. RICHEA GLAUCA LABILL. Кд: rech. Lapeyr., t. 16 et Nov. Holl. sp., Il, p. 123. CRASPEDIA GLAUCA еі PILOSA SPRENG. Syst., 44l. PERMA PEDUNCULARE RCHB, in SIEB. ! Col, "o Hollen., 384. Craspepia GLAUCA LINDL. Bof. Reg., t. 1908. La possession de cette Composée bien bizarre, bien curieuse par sa physionomie étrange, sous-entend qu’on lui réservera l’abri de la serre froide; elle s'y distinguera sur la tablette de devant, prés des jours, par son feuil- lage tout glauque, surmonté de gros capitules en globes compactes du plus beau jaune. Elle dérive surtout de l'ile Van Diemen (Nouvelle-Hollande Sa multiplieation par boutures est aisée. . VH. la proie vivante dont elles doivent se nourrir, exactement com font le animaux carnassiers ; ice sont donc car- 8 mi qu'ici cette élégante Droséracée de Am rique du Nord, bien connue des horticul- teurs, et à laquelle Linné a donné le de Dionea muscipula, c'est-à-dire d айгар- mouches. Tout le monde sait, au moins par oui-dire, que ses e qui ont un peu 1а шэнэ d'une raquette bordée de quelque zen poils "glanduleux, sont tres-sensitive ‚et qu'au m un Ke? à peu prés pénétré le sens; mais rs idées eurent le sort de toutes celles qui arrivent avant yo temps : les esprits n'étant pas préparés à les мэн оп les traita de ае es, et il n'en fut bientót plus questi ous trouvons dus le Gardeners’ Chro- cation, qui ajoute u ala a phys iologie générale. Il y a cent ans, BOR et Ellis ont été très-près d'en saisir la vraie nature, et on ne peut guère douter qu'elle n'ait été devinée par Bar- iram, qui, le qui fait fermer rapidement la feuille ré- side dans les poils de sa face supérieure; 136 оп de tout autre fétu privé de vie. C'est Linné qui à propagé l'idée fausse que la feuille se rouvrait dés que l'insecte, mort ou vif, cessait de remuer, et tout le monde la répété aprés lui, comme si la plante nal à prendre des mouches par mple passe-temps! Ellis n'ayant pas Гам du liquide sécrété, Linné est pardon- SCH ‘ant: $ si elle existe, est l'amorce du piége ; mais elle n'a par rtient certainement pas au liquide sécrété, puisque cette sécré- a été saisi et gardé prisonni pendant plusieurs heures (habituellement угы Ізі cadav vérend docteur Curtis, un des meilleurs teinté de ee mort il y a deux ans, habita ai ua- l'unique région où la Dionée est indigène. Il observa avec сте i persévérance, et il publia, en 1834, s le 1% volu du Journal de la oe Г??? naturelle de Boston, le meilleur mémoire qui eüt encore été fait sur cette plante. Il fait о de fuir. сола le docteur Curtis а omis de dire, quoique certainement le fait ne lui eût pas échappé, que les deux moitiés de la feuille, d'abord concaves a proie, qu elles étouffent, si déjà cette proie n'a succom sécrétion l'analogue de la salive ou du sue * deners Monthly, de Meeham MISCELLANÉES. gastrique, et il a conjecturé, quoique avec e certaine réserve, а ү! saisie par la plante devait servir à l'alimenter. Le fait a été définitivement mis fois de doute parun nouvelobservateur, M. Canby, qui, étant allé s'établir à Wilmington, a repris l'examen 2 la Dionée et vérifié les découverte 8 prédécesseurs, en y ajoutant diverses particularités, qui sont Philadelphie, dans le X* en d хи Gar- elles ne paraissent = avoir attiré l'attention qu'elles méritai Les points q . Can nby a établis sont : 1° que le fluide digestif est toujours sécrété ante; 2° que le liqu "a S viande crue, quoiqu'ils soient quelquefois ës раг la sie sont le plus souvent rés de la méme manière que les insec- tes, Side for rtement ро жұмс puis bibé de salive, dissous et finalement liquide digestif à la salive, o encore, au sue gastrique des animaux, qui dissout les aliments et les rend propres à lassimilation. Beaucoup de feuilles de Dionée restentinactives aprés avoir fait un repas, suivant l'expression de M. Canby; d vn s'étalent une seconde fois et font un nouveau repas, peu ut-être méme un ан нов: apres owe elles se flétrissent lentement et périssent. Avant les Seege de M. Canby, des observations analogues avaient été faites e gleterre p Darwi mémes résultats, auxquels, cependant, ce célebre езүне eet ajoute ce fait impor- t uide de la feuille de la autre découverte encore plus remarquable: CORYLOPSIS SPICATA Sieb. & Zuccar. ? d apon. | Rustique. : 476. 2135. CORYLOPSIS SPICATA Фев. ET 2060. Hamamelideæ. CHARACT. GENER. aciniis subinæqu — C. calyx adnatus, alibus. Corolla velrotur dus Gees 18 к vel pacti eva re- pando-ser ratis, serraturis setaceo-mucronatis, costato-venosis , decidui is: gemmis porulatis foliiferis vel mixtis; floribus. поени іп Ж SIEB. et Zucc. CHARACT. SPECIF. — C. foliis e basi sub- cordata late obovatis acutiusculis r сега atis, dentibus setaceis, floribus іп шэн 8 simplices 8-12-floros dispositis, calycis ide iniis lanceolatis, petalis oblongo-spa шань eren squamis bifidis. SIEB. et Zucc. Corylopsis «рїсаба SIEB. et ZUCCARINI, | Fl. japon., p. 47, t. 19. Il n'est point de visiteur qui ne s'ar- réte, dans nos pépinières, devant cet arbuste dont le port est si inattendu, laspect si glauque, la croissance si vigoureuse.... C'est devant un soi-disant Noisetier qu'on se trouve, un soi-disant Noisetier du Japon auquel le peintre, ans sa distraction, a refusé la teinte glauque, ponian si tranchée dans la nature. Rustique comme un chêne, il forme un buisson qui se couvre de grap- pes d'un jaune de primevère avant la naissance des feuilles. Dans ce que le brave von Siebold appelait ses groupes physiognomoniques, le Corylopsis spi- cata, le Jasminum nudicaule, le For- sythia viridissima , les Chenomeles (Poiriers du Japon) de couleurs si diver- ses, et tant d'autres, sont créés pour égayer et fêter le premier printemps qui s'avance! L. en piquant la feuille en un certain endroit avec la Па causé à un des su une une ée mortelle en le nour- ant de mage; sous le scalpel de rwi т жш organisme а été atteint de para lé Enfin, les GE plus récentes encore dont le docteur Burdon-Saunders a nique p nous apprennent que,dans les mouvements de la feuille de la Dionée, il se développe des courants électriques comme dans la contraction des muscles Ainsi, voilà une plante qui fait des dégage de blessure peut paralyser suite de l'in ngestion d'un aliment qui oserait affirmer qu au moins quelques Ner de cette con- science? Сн. NAUDIN. (Revue horticole.) 138 + 2129. Chássis en fer de MM. Moret fréres, fabricants à MISCELLANÉES. à Brie-Comte-Robert (Seine-et- Marne). MM. Moret fréres avaient envoyé, à titre de spécimen, un de leurs chássis de couche à l'exposition de Liége ; nous avons été frappé de la simplicité et du bon mar- ché de ce chássis et nous n'hésitons pas à insérer ici quelques renseignements 22 d'une circulaire de MM. Moret. N l'avantage de laisser sortir la buée inté- rieure ; la disposition nouvelle des poignées évite l'inconvénient du bris des carreaux ” en. d’empiler les chässis les uns sur autres. Des taquets en fer donnent la facilité de lever sans danger les châssis dans toute leur hauteur, ce qui rend les SE faciles, tout еп donnant suffi- ent d'air aux plantes placées dans le bas Sie chássis. А tous ces avantages sérieux dans la кел il faut y joindre notre nouveau syste crémone ou crémaillere fixe,qui a pour ша d'éviter aux E со 2 chássis de tomber ou d'étre renversés. » Voici, en outre, le pi as de MM. Moret : Prix des châssis de couche en fer, breveté à cinq travées, non vitrés et sans être peints. PRI PRIX LARGEUR | HAUTEUR] POIDS ро KIL. | TOTAL. OBSERVATIONS. | "a mot. kil, 2 fr. с. Les mémes chássis avec traverse 1.00 1.00 10.05 E 7.05 | circulaire pour retirer la uée, par E chaque chássis en plus 75 centimes. 5400 1.34 12.15 50 8.50 с deux supports dits oe a = four cheites pour tenir le châssis dans 1.20 1.20 13.10 Kei 2.15 |] s, par Châssis 75 centimes. 1.28 1.28 13.95 S 9.75 Avec crémone ou crémaillère pour = tenir le chässis 1646, par chaque chässis 1.30 1.34 14.50 e 10.15 | lfr. 75 c. Prix des chassis à tabatióre en fer à ferrures mobiles. LARGEUR |HAUTEUR| PRIX |LARGEUR|HAUTEUR| PRIX [LARGEUR |HAUTEUR | PRIX т.с т.с т.е гс: їп. С. їг m. с. m. с. т.с 0.25 0.35 5.70 0.45 0.60 8.50 0.65 0.85 | 11.70 0.30 0.40 6.95 0.5 0.65 9.10 0.70 0.85 | 12.00 0.30 0.45 6 45 0.50 0.70 9.40 0.70 0.90 |12.25 0.35 0.45 6.60 0.55 0.70 | 10.00 0.75 0.95 | 12.50 0.35 0.50 6.85 0.60 0.75 | 10.55 0.80 1.00 | 13.70 0.40 0.50 7.15 0.60 0.80 | 10.85 0.85 1.05 | 14.80 0.40 0.55 7.50 0.60 0.85 | 11.10 0.90 1.10 | 16.00 0.40 0.55 8.00 0.65 0.80 | 11.40 à ) ) uni Jk i pid y ! 2 (2 CATTLEYA Guayaquil & Colombie. MAXIMA Lindl. Serre chaude. 2136. CATTLEYA MAXIMA Loiu. Orchidaceæ. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, III, 198. CHARACT. БРЕСТЕ. — Vide Шмот. іп Gen. et sp. Orchid., Bot. Reg., ХХХ, 1844, sub 5. Cattleya maxima LINDL. 1. с. EPIDENDRUM MAXIMUM RCHB.in ا‎ SN ч 99. VI, 316, n Tandis que chaque année nos grou- pes de Cattleya trónent dans nos serres, et par la pompe florale, et par la diversité de tant de coloris réunis dans des corolles de si grandes dimensions; tandis que nul autre genre n'oserait affronter la comparaison des siens, quels qu'ils soient, ae la supréme beauté de ces Reines de a famille, — il s'est trouvé un feet à la vérité le plus savant des classificateurs, qui a osé sabrer notre nomenclature Lindleyenne tant aimée, et ranger, quem Ён Jaunets, à l'instar du moyen-âge, que nos aleux confondaient sous "'appellatif d'Epidendrum! — Mais taisons-nous, саг 1е Раа vobis nous serait décoché, | d'ailleurs dans de bienveillantes corres- pondances, car l'auteur, pénétré de notre incompétence, nous fait toujours l'honneur de ne nous parler que dans le langage du siècle du Bon Henri, au temps oü l'horticulteur n'était pas méme — dans les antichambres du Ro ou justes, cependant! Puisque nous voulons, à l'instar du perruquier de Voltaire, maître André, nous donner une tournure de pseudo-compétence, avoüons que l'anatomie végétale était encore alors dans les langes, et que nul n’a eu la perspicacité de songer à sou- lever le rideau derrière lequel sommeil- laient, par exemple, les Cypripedium, les Selenipedium et tutti quanti! L. + 2130. Les fleurs emblématiques. Dans son numéro du 22 Août 1874, р. 226, le Gardeners’ Gegen гарреПе out pris le Thym pour signe de ralliement et ils en décorent les autels dela République. асап connaît les significations attri- buées à deer s fl Qui n'a déposé des Im Sonne regrettée ou planté terre qui la recouvre? Quelle jeune fille та interrogé la blanche Ae оп révé du bouquet de fleurs d'Ora Figuier des Pagodes l'est aujourd'hui pour les Inc De nos pe la superstition continue à attribue une foule de plantes des Sege merveilleuses. rappelons u : laires, les légendes relatives au regne végétal avec leur origine probable à leur Schriften des Vereins zur eeng LEE Kenntnisse Wien 1869-70, p. 309. 140 “histoire étaient relatées dans un style vif et t. Dans notre patrie qui se vante d'étre si éclairée, combien de campagnards ont une foi inébranlable dans les vertus magiques de 1а baguette de Coudrier! Combien se MISCELLANÉES. croient protégés contre la foudre parce chaumière ! % plus confiance dans les simples recueillies par le vieux berger que dans les presoripiion du médecin ou du vétérinaire OUIS iiu DVL (Belgique Нео, 0181. Xitiquotton de zine de M. Girard-Col, тене à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), Fran Les étiquettes de М. Girard-Col.ont figuré à l'exposition de Spa le 12 es de cette année; le jury leur a attribué médaille d'argent et elles ont attiré l'atten- tion publique ; nous-méme, nous avons pu en apprécier la valeur. Ces étiquettes sont de zinc et très-variées de forme et de 5 8, nous . Les Хо de zine bien miné, bien déc coupé et susceptibles de recevoir l'écriture à l'aide d'une encre ad A DH la surface méme du métal; elles sont quettes se dissimulent modestement : n'offusquent pas la vue comme les étiquettes de bois peintes en blanc ou en jaune. Les grandes étiquettes de M. Girard-Col sont remarquables ; elles sont de zinc épais et l'inscription est en caractères . noirs légèrement creusés. M. Girard-Col se prévaut avec raison des commandes qui lui ont été adressées par le Muséum et par la Société d’acclimatation de Paris, par l'Ecole normale de Cluny, M. les Jardins 8 Nous ne connaissons rien de mieu nous bornerons à une seule observation : M. Girard-Col monte ses étiquettes, desti- nées à figurer au pied des plantes vivaces ou des arbustes, sur des tiges de fer vanisé, carrées et qui ont 10 à gal- 15 milli- métres de cóté; ces tiges sont élégantes pieds de bois, assez épais, comme c qui sont e e exemple, au jardin botanique de Vien M. Gira a Cul e hist voulu nous donner une série d'échantillons que nous avons | déposés dans notre Nem de botanique à lUniversité de nous avons réuni tous les Veo “d'étiquettes que l'inspection du public. En outre, “В. Girard-Col a fait imprimer une circulaire ui donne les détails dans lesquels nous ne pouvons pas entrer ici. Il n'est d'ailleurs pas douteux que ses produits se trouvent bientót dans les meilleures maisons de commerce de Belgique M. Carrière, chef ‘des en. au Muséum d'histoire naturelle de в et rédacteur en chef de la Revue prtioole, recommande non moins chaleureusement que nous les к Ma Girard-Co е 4 hort., 1874, p. 2 us croyons m devoir communiquer à Gë lecteurs l'article de notre confrère. ne s’est pas otis de jardinage, de ag arts une све, e И: короду eg étiqu " dere dae cette aquelle, dans cette cir- de pr e co to t les plantes doivent étre étiquetées trés- isi istinguer les divers les classes, les familles, les e tribus, les e Zeg ё ^ écrites avec de ! de couleur хэнд rs e bien des veier? e rip et sous бе rapport, de nombreux 688218 t été dz мод ғың ағат ECH j wl Ч BERBERIDOPSIS CORALLINA Valdivia Hook til Plein air 596. 2137. ERBERIDOPSIS CORALLINA J. D. Hook. Вегһегійеге. CHARACT. GENER. et SPECIF. — Sepala et petala (et — ?) 9-15, extima parva patentia, intermedia or biculata concava conni- Folia alterna, simplicia, petiolata, coriacea, oblongo-cordata, grosse — -dentata. Flo- nalem nutantem foliatum dispositi, pedicellis дима coloratis ; bracteæ subtendent Species 1, chilen дар Ее habitu et cha- racter er о а Berberidi afline, ovario мъ сагро a toto Ordine differt et Papaver шин ae G. BENTHAM et J.D. Ноосв yi Berberidopsis corallina В. et H. 1. c. Tout comme le Corylopsis spicata du Japon qui a un faux air de noisetier, le Berberidopsis corallina ou chilensis est rangé dans les Hpines-vinettes ; il est originaire des parages antarctiques de l'Amérique du sud, de l'extréme Chili, et réclame, dans nos 8 froides contrées, la protection "de l’orangerie ой son vert feuillage persistant et si brillant se recouvre de fleurs mimant de rouges Begonias, des Fuchsias, etc. L. VH. faits; mais, nous n'hésitons pas à le dire, ex- cepté celles dont nous allons parler, il n'en est de quelques années, l'écriture se détériore, et bientót elles deviennent illisibles ou à peu près, indépen- damment EC дол sont шан opres оп désagréa bles à la Un надаа iel, М. А Clermont- Ferrand (Puy-de-Dôme), à Pi de recherches, de tátonnements es qualités que l'on 5 e bien lisible et variée nid ité et bon marché, rela- tif du moins, zc rapport à la durée. Donc Lë: réelle. Ces éti uettes, plus ou moins épaisses en raison des dimensions qu'elles E sont de zinc laminé, de facon à résister à l'oxyda- tion et pb par ce fait, ааг nait rables, ue l’ex xpérience n = a démontré. Ainsi hae échantillons de dive EM dd cés depuis cinq ans dans l'école de botanique du Muséum de Paris, à cóté d'éti- quettes сыр méme mg mais d'autres prove- , ве sont parfaitement conservées, tandis que toutes celles-ci nt us 0 al 8, et beaucoup méme tout à fait illisibles, entrer dans la pratique, ce qui était l'essentiel, M. J. B. Cola } tiques d'horticu collections амины fruitiers ‚ilyabeaucoup de sortes egalement зандан: quant aux formes étant d'un usage journalier tout à fait usuel : ce sont des étiquettes unies sur lesquelles, à l'aide ч ю out les etiquettes Am doivent étre écrites avec de l'encre, on wc же les же suivantes, Mn un endroit frais, les laver ensuite avec un uillé. Quant au mode d'attache ou de placement des étiquettes, il varie suivant 2! forme de 142 сеПе-сі et l'usage auquel on les destine. Ainsi, celles qui doivent ei? suspendues sont Ар cées d'un tr ou dans lequ r gal- rmet s par ties trés-délicates sans les froisser ; d* soie в sont munies d'une petite ti igelle en fer que e pique là ой l'on veut. 1 2132. Les Nous avons donné (Fiore, XIX, p. 127), d'après la Belgique horticole, une Se tion des espéces connues du genre Masde- та а; en voici un supplément : M. caloptera Н. С. Кснв. — Gard. Chron., 1874, I, p. 338. i cO ad Gei Roezl dans le nord du Pérou; les fleu viennent en épi au nombre de 6% , ouver- tes еп méme temps ; elles sont blanchátres avec des bandes шне violettes sur le calice; on en compte deux sur la division supérieure et ом sur les deux divisions inférieures. ex nena С. Кснв. — Xenia Orchidaben. II, Tab.? Gard. Chron., 1874, I, p. 372. — Les feuilles ont la longueur de la main et sont longuement pétiolées ; la hampe florale atteint un pied de haut avec plusieurs fleurs qui s le ‚labelle est linéaire, oblong-aigu à la E а été récoltée à house et de M. Williams, qui l'a теспе de M. Patin. eichenbach cite la planche 95 de sa Xenia Orchidacea pour la figure de cette plante, mais il doit y avoir une erreur dans cette citation. M. Estradæ Н. С. Всн баға. Chron. 1874, . 435. — Caltivée a ` ngs шыны ы ses fleurs sont Jaunes avee une belle шасше pourprée à MISCELLANÉES. Pour les grandes étiquettes destinées aux écoles de botanique, leurs tiges, plus ou moins Pacha sont de fer ou de fil de fer ede. ce qui leur assure une durée indéfinie Masdevallias. la base de chaque division latérale et les prolongements sont jaune foncé. Les. pétales et le labelle sont pourpre clair avec une io e noirátre au milieu du labe М. fenestrata LINDL. — Allgem. Gar- tenz., 1845, p. 224. M. Houtteana Н. С. Кснв. — Gard Chron. 1874, II, p. 98. — Forme une touffe serrée de feuilles longuement atténuées, linéaires-lancéolées, aiguës ; pédoncules uniflores, fermes, portant une bractée au- dessus de leur base. Fleur ouverte, à divi- sions du calice ovales-triangulaires, lon- guement prolongées peu sacciforme (section des Saccilabiata). M. Reichenbach en attribue la renge? à 8,000 pieds d'altitude ; elle a été ии duite l'année derniere par M. Patin et а paru dans la Flore des Serres, ХХ, 87. næqualis Н. (+. Reus. — Gard. са. 1874, È : délicate, voisine du M. triangular Lindley, découverte à la Nouvelle-Grenade > M. Patin s "pomum dans les cultures de M. Willia La fleur est très-petite, à divisions étalée, la supérieure deux fois plus longue que les deux autres, blan- chätre. М. macrura H С. Еснв. — баға. Chron., 1874, I, p. 240. — De la Nouvelle- Grenade ой il a été découvert par Mon- sieur Roezl ; de la section du M. coriacea ; pédoncule uniflore haut d'un pied ; tube calicinal court et charnu à divisions triangulaires, portant à l'intérieur, pres de la base, cinq rangs de шэнэ rudes ROSE Madem. Annie Wood. ( Hybride remontant — 2138. ROSE MADEM. (Hybride N ous regrettons vivement de n'avoir de ce bel hybride remontant; nous , leussions signalé à la reconnaissance ANNIE WOOD. remontant.) des amateurs de roses ; nous réparerons cette grave omission m dans un prochain numéro de la FLo L. VH. et ‚ cartilagineuses; ces divisions sont ter- min п 8 longs qu'elles-mémes ; le ep est оа а Ја pointe et révo- uté M. melanopus Н. б. Вснв. — Gard. Chron., 1874, I, p. 338. — De la section des pluriflores; les fleurs en épi sont blanchátres avec les roban gem а et les ovaires de couleur foncée. Découvert par M. Roezl dans le Pérou septentrional. M. Nycterina Н. С. Rous. — Le Qar- deners’ Chronicle a donus dene son numéro du 16 mai 1874 (p. e bonne figure de cette plante Sstrondinir dont les fleurs évoquent dans li RER la figure d’une an ee Peristeria Н. б. Rous. — Gard. Chron. ,1874,I, p. 500. аст радови 5 pouces, larges à peine de-l pouce; ; le labelle est améthyste ; lonne est Diane verdátre, С” Эн une plante voisine des cea LINDL., civi- lis H. G.Rcns. et equiloba Hac. M. Rei- chenbach lui a imposé le nom de М. Peris- гета à cause dela ressemblance, dont il a été frappé, de l'extrémité de la colonne et des pétales avec le Peristeria elata, quel- que chose, comme il le dit, de comparable à la forme d'une colombe . Veite ont la plante qui vient de la Nouvelle- Grenade. Un beau spécimen fleurit en ce moment dans la collection de M. J. Pirlot Liége. M. polysticta Н. С. Вснв. — Gard. Chron., 1874, I, p. 338. — Epis de 7-8 fleurs, grandes, de couleur blanchâtre avec | de жоон macules brunes. М. Roezl, ` аш а découv {е de fleurs, et qu'elle rivalise de beauté avec les Odontoglossum nevium et blandum. M. velifera Н. С. Кснв. — Gard. Chron., 1874, II, p. 98. — Très-voisin du M. Mastodon Rens. M. coriacea Sépale supérieur triangulair e longuement prolongé; sépales inférieurs presque con- nés, de coul brun jaunâtre. Récolté envoyé par ce jeune collecteur belge à M. Williams, e? Londre Nous saisissons loccasion qui nous est offerte ici pour signaler les collections de Messieurs réussissent à merveill les cultiver. Е. MORREN. (Belgique horticole.) 144 MISCELLANÉES. t 2133. L'enquéte sur 184 pomme de terre. Partisan du progrés ou de la nouveauté qui en tient lieu, ou du réchauffé que l'on nous donne souvent pour tel, j'ai fait une multitude d' expériences agricoles qui n'ont la plupart du temps été que a écoles plus ou moins décevantes. Je n'a garde de manquer d ты l'ablation des fleurs de la de terre, l'écimage, la castration, b incage, mouchage, etc., ee diverses employées pour nom- mer la même opération à quelques centi- mètres près Lorsque ) je n ai fait qu enlever les u le résultat n'a uvais, c'est-à-dire que la "oss blass dans le rendement n’a pas été sensible. J'ai méme remarqué үч, pour une cause ou une autre, les fleurs de la Marjo- эр в 'annihilaient sans qu'on y mit la crm e j'ai écimé ou castré, comme nom Soest l'opération le vendeur du pro- obtenu un désastreux effet repousser vigoureu- ent Ade entrefoiiilles qui. ont v Sensit elles aussi et que ai de nouveau écimées. Nouvelle émission d'entrefeuilles. ai perdu ainsi deux mois en végéta- tions herbacées inutiles, nuisibles, car ша, récolte a été on ne peut fun négative. T 2134. Une Le de Thomery est situé à gauche de la forét de Fontainebleau, entre cette forêt et la Seine, et à 5 kilomètres environ du cháteau; il est sur le penchant ord d'une vallée peu profonde formée par le cours du fleuve et entouré de bois de tous côtés ; mais cependant, il est protégé contre les vents du nord par une colline très-boisée et assez élevée qui forme l'autre cóté de la vallé La presque totalité des terres de la à fournir les premiers choix et surtout à étre conservés pour l'hiver; les Chasselas J'ai a aussi une fois le couchage des tiges : il y a eu également pd d entrefenilles retardant la maturation. re c'est le recouvrement à la pelle remplaçant le buttage à l'instrument ordinaire. J'ai obtenu ainsi un rendement de 22,000 kil. de Marjolin à lhectare, ce qui est joli. Si jamais je recultive la Rate ou Mar- jolin, j reprendre ce procédé. Il offre des difficultés, il est vrai, et donne un grand tr ravail; mais il récom- pense au moins de la peine, ce que Гесі- mage fait à rebours. Vous me pardonnerez ces а et vous en userez à votre . Si elles pouvaient éviter quelque ат aux culti- vateurs-ou amateurs de la Eus CH By pertes emis асырда Agrée BRÉNARD. (Sud- Est.) N. B. s le + fascieule de notre prochain ыы (XXI°), nous nous occu- perons sérieusement des поа нене intro- ductions, avec vignettes, etc. . VH visite à Thomery. de contre-espalier sont de deuxième choix et vendus а к la récolte. Thomery, ment oü l'on dé- bouche de la forêt de Fontainebleau: offre ` , à présenter une face au levant et l'autre au couchant ; quelques- uns sont parallèles et ont une face exposée au midi; ils sont tous revétus d'un chape- ron en tuiles ou en ardoises, faisant une saillie de 20 à pi centimètres, selon la hauteur du mur ; en outre, sous ce chape- ron sont scellés он supports еп fer sur lesquels, vers le commencement du mois Xe RUE opis 2272 Ж и ие” poesie ES Фм 26 pict іп Horto V^ -PANDUR АТА Lindl. COELOGYNE ? Borneo chaude . Serre 2139. CŒLOGYNE PANDURATA Lon, Orchidaces. CHARACT. GENER. — Vide supra, FLORE, VIII, 37. CHARACT. SPECIF. — C. (5 Ууссан er maximis multinervis, racemo lon bracteis oblongis cucullatis distantibus bet tege Steg ерхийн lineari-oblon- Дано section (Flaecide) se distingue par ses longs racèmes peu gis, labello basi coneavo cordato-oblongo retuso cis apicem crispo setaceo- wy c pee (lateribus deflexis pandurato) lobis basilaribus nanis acuminatis, disco levi Eure utrinque HA alta duplici verruculosa aucto citra cris- tam era verrucoso rata LINDLEY in Gard санж, "Dos. 10, P1553; Folia Orchidacea, pars 5, Celogyne Ilne nous est pas souvent donne de pouvoir reproduire dans nos colonnes е grandes fleurs d'un vert d'herbe, ornées d'une large imperiale noir jais ; c'est aujourd'hui le cas, cependant, et comme le rossignol est bien modeste par son plumage, bien que Philomèle soit le roi des oiseaux par son gosier melodieux, le Cælogyne pandurata ra- chètera sa couleur d'herbe, qui pourra déplaire à certains, par le plus suave des parfums qu'émettent ses fleurs qui, quoiqu'on en dise, sont tres-eurieuses et seront recherchées pour leur étrangeté même. П y a longtemps que l'espèce a fleuri en Angleterre; contemporaine de nos premiers ans, nous avons pu la voir dans les-serres, si fameusement célebres autrefois, de MM. Conrad Loddiges, ces bons vieillards qui ne sont plus de ce monde et auxquels nous étions si atta- ché. Le D' Lindley rapporte que c'est à Mrss. Low et C? que l'introduction du Cœlogine pandurata est due. П y a beaux jours que cette maison a le quasi- monopole des importations de Bornéo, dont l’un des leurs est, en quelque sorte, le Vice-Roi. Nous avons con- servé dans nos notes une remarque de M. BATEMAN (nous ne savons trop ой nous l'avons recueillie), qui rapporte que, croissant dans les marais brülants de Bornéo, le Celogyne pandurata · requiert une haute température. Young, dans ses Wight Thoughts, pretend que la Nature ne porte jamais le deuil : voici cependant une fleur bien barrée de noir vrai. L. ҮН. d'octobre, on dispose des — ou des cartons bitumés destinés 4 pro les grappes желін les gelées de Га team car la récolte n ait, pour les Chasselas de conserve, que ‹ аам la première quin- zaine de novem Les murs sont espacés entre eux de 10 à 12 чүт ня) к-не са plus, selon ainsi que les murs qui les supportent, re- couverts ын ur à la chaux d'une teinte gris ardoise. Les see доро aux treilles élevées le long de ces murs sont de deux sortes l’une, la plus ancienne, est la forme en cordons horizontaux, dite Treille de Tho- тегу; chaque cordon est espacé de 40 à 50 centimètres; l'autre est la forme en cordons verticaux préconisée par M. Rose harmeux; moitié au moins de ses treilles sont établies de cette facon; les rieure du mur, l'autre la moitié supérieure, et ainsi de su Cette orae nouvelle, фе e —€— non-seulement à Thomery, neo dans la plupart des jardins bourgeois, d plus facile et plus prompte à établir que la treille à la Thomery; elle produit 146 рт et couvre le mur entièrement et rapideme Nous pensons avec MM. Hardy et Du- breuil que c'est le mode le plus avantageux pour les jardins de moyenne grandeur qui n'ont pas un grand espace à consacrer à la culture du raisin de table. Dans les intervalles des murs, le she selas est cultivé en contre-espalier; on établit un double cordon horizontal vilis sur des lignes en fil de fer. harmeux a établi quelques-uns de E autre cultivateur de Thomery a form contre-espalier au moyen de petites p mettes en éventail, plantées à 80 centi- mètres environ les unes des autres et ич me trois ou quatre coursons au plus mode de culture produit énormé- ment à de très-beaux raisins. Le cep MISCELLANÉES. n'ayant que six оп huit sarments à nour- rir is ceux de remplacement, а tre et par suite de fort belles gr appes ous croyons que ce nouveau genre de contre-espalier serait eene pete А surtout au-devant des espaliers. La vigne, plantée ainsi et dans de Боп: nes conditions, рар ра oduire des la se- conde année, lorsqu'on emploie des mar- cottes bien enracinées, Ges en paniers ou en pots. Ce mode de culture est Lund d'étend gu о £l Ф Ka = E а aussi leur étre de quelque utilité HEVALIER. (Journal d’horticulture de Seine-et-Oise.) + 2135. Nouveau procédé de sciage de bois. M. Georges Robinson, de New-York, e d'un courant électrique. Le fil, auquel on imprime un mouvement de va- . et-vient pénètre à travers les bois les plus durs avec une incroyable facilité. On peut, dit l’inventeur, débiter par ce moyen un arbre en planches, en madriers et donner au bois les formes les plus capricieuses, eut tenu au rou trique, avance dans le bois en carbonisant les surfaces qu'il touche, mais cette car- bonisation est toute Y eiae. et ne peut avoir aucun effet fâcheux. Gate DE Т 2136. Sur l’Araucaria imbricata. . Оп вай que l’Araucaria imbricata а complétement réussi en Angleterre et que, dans certaines localités, cet arbre a atteint des dimensions remarquables. Ceux de Вісіоп (Devonshire) le cèdent en taille à on qui ont été plantés plus tard ou dans un terrain plus pr хаав mais 118 шинэ: l'attention par leur nombre, leur disposition en une longue а et leur fertilité. Il y a environ quar e huit à dix boisseaux de bonnes semences provenant de seize arbres qui avaient. mmencé à montrer leurs cónes en Un de ces arbres se trouva étre monoique et avait donné trente chatons et vingt-cinq cónes; on sema séparément une certaine quantité degraines provenant de ces cónes, et dm us d'une centaine poussèrent vigou- reusement. Le pr roduit total des semis PARSA faits à Bicton, l'an dernier, а dépassé le =. de 2000. C'est une satis- faction pour les vrais amateurs de — que zs constater le progres fait parles Araucaria en diverses parties d емлеге et de Irlande (1), ой se trouve le plus bel exemplaire, qui atteignait quarante pieds de hauteur il y a dix ou douze ans. Il y a à Castle Martyr (Cork) (1) A Woodstock Park, Kilkenny. > 7 Y à | + ї P Ж” ONCIDIUM AMPLIATUM MAJUS. 2 Amer. centr. Serre. chaude. XIX. 147 2140—41. ONCIDIUM AMPLIATUM MAJUS. Orchidaces. 1 aaa GENER. — Vide supra, Төзе ARACT. SPECIF. laciniis brevissimis, callo baseos 5-lobo, lobis Ew alibus patentissimis planis truncatis, inter- nantrali nnm næ cuneatis, dentati tis, reflexis , Geh bis subrotundis compressis, foliis planis Wen a risen scapo erecto apice ramoso Ann. VI, p. 744. Oncidium ampliatum majus. .. са Бі déjà vous avez vu des arrivages d'Orchidées, soit du district d'Es- cuentla, au "Mexique, s soit de la Costa E Rica, soit du Guatemala, soit des bords t ous aurez remarqué des 3 pseudobulbes larges, aplatis, à angles sortants, qui vous auront un peu rap- . pelé la physionomie des pseudobulbes, si remarquable, que portent les Onci- dium Papilio. Eh bien! c'étaient ceux de l'Oncidium ampliatum majus dont nous vous presentons ісі la figure, en vous engageant vivement à vous donner cette ample variété aux revers tout blanes, i x 8 n'hésiteront pas à cultiver l'Oncidium L. VH. ampliatum majus. un certain nombre d'arbres en pleine | prospérité et atteignant en partie net . monoique. Il 38: complétement inutile de recourir à la fécondation artificielle pour ces arbres, rande quantité de graines ` fertiles куын à Bicton l'ayant été sans l'intervention de la m directions et parfois en quantités si con- sidérables, qu'on s'en apercevait méme à une grande distance. Cet arbre d'orne- ‘ment, unique pour les jardins paysagers, n'est point encore aussi répandu qu'il devrait l'être; il est parfa aitement robuste quand il est pla anté à une exposition et : e e He E: „© © > е с = = & > un S p Ф с ек о м D л 4 о [E tantôt claires, tantó tôt s mbre feres égaient le Bid pendant i U "hiver, et au printemps, еп été et en automne, s'harmonisent toujours avec tout ce qui les entoure. (Traduit du Gardener's chronicle). (Revue horticole de la Suisse romande.) >. 1 2137. Restauration du Pécher, par M. ГЕРЕВЕ fils. Les arbres dont M. Lepère a entrepris la restauration, il y а un an, étaient t âgés d з et, depuis deux ans environ, . Sage, ent emportés et avaient perdu leurs E ор dont les branches i de charpente étaient en parti Са сов. Leur état défectueux а été caractérisé. uit р pe présentes date nai vaient eu sance; il a été, өте минж а M. Leclerc, mem du ité і S les travaux: omité, qui a s to dont ils ont été l'objet. П faut ajouter que 148 les plantations avaient été faites à des Ы inégales, et, d'autre part, que les é ranches avaient été établis à les гач dissemblables et irrégu- ier En ‘mettant la main sur ces arbres, au mois de février de l'année dernière, notre _ du voulut leur imprimer les formes n palmette et en candélabres, et, à cet effet, il abattit а branches de l'intérieur sur ceux qui e trouvaient en éventail. En général, огч une taille sévère, tout р et toutefois graduellement, ont fait naitre sur les branches une multitude de bour- geons parmi lesquels les mieux placés ont été choisis et conservés en vue de fournir nnes on voit aujourd'hui anches pourvues avec abondance et leur base de bourgeons His alimentent et assurent le remplacem la durée des ч charpentières ; y sont patios ouque ~ de mai qui promettent la fructificatio Il fallait parfois obtenir de nouvelles branches entières manquant à des places Tigis: il fallait faire naître des coursonnes sur des points déterminés; il fallait renforcer des branches affaiblies et, à cet effet, y attirer une plus grande afiluence de la sève. effes par approche des сенді terbacées furent appliquées à tou besoins; elles portèrent la sève sur Eech les parties ой cet élément vivifiant et ас опа m Toa les effets'de cet infaillible proc . Mais il ne suffit pas d'ouvrir des canaux pour faire circuler la sève, il faut l'attirer sur des points indiqués et la fixer spéciale- ment sur ceux où l’on veut activer la Le жесі et développer la croissance. On , à cet égard, que la position E о p bourgeon terminal des bran- ches est un puissant moyen d'appel; aussi on constate que M. Їерёге redresse les bourgeons de prolongemeut des branches des étages inférieurs sur les arbres qu'il traite, tandis que, pour établir la compen- sation, il cades dans la position horizon- tale rigoureusement observée et en y com- MISCELLANÉES. prenant les extrémilés, les branches char- pentières des étages supérieurs; cette simple précaution aide Басар а équili- brer les différentes parties des arbres M. Lepère a remarqué que lorsque la taille, à l'extrémité des branches, а été faite sur un œil de devant, le bourgeon qui en sort étant, à sa naissance, plus éloigné du mur, l'air circule mieux autour, et la pousse en est finalement plus vigoureuse ; tandis que le contraire se produit lorsque la taille est faite sur un œil de derrière. En arboriculteur habile et instruit par l'expérience, notre collègue ne manque pas de tailler sur PAR œil de devant chacun des prolongements des branches charpentières des étages See que la sève tend plutôt à négliger, pour monter vers les parties Бал ЭГ des arbres, et il taille, sur des x placés dans le sens inverse, lorsqu' À 8 s'agit des branches x étages Mem où la sève аћие па rellem Sur 1% ‘arbres conduits par M. Lepère, les incisions longitudinales pratiquées sur es branches, dans le but de faire dilater п ұр НЫ à ces branches comprimées et affaiblies, parce que la sève, 2. dans a marche, n'y arrive pas avec ,assez d’abondance; notre collègue en use très- largement. - 00 a lieu de faire tourner exclusivement la séve, soit au profit des la fructification ou à la réduire sensible- ment. S'il est avéré que la bonne culture est indépendante de la forme qu'on donne aux arbres, néanmoins il n ээн pa sans intérêt de les diriger dans u s qui favorise la tendance vers RTE se b parie les vues du en. Sou e rapport, il езі une forme que = ыды des parties basses des arbres. CAMPSIDIUM GHILENSE Reiss & Seem. Chili : Orangerie. УР 149 2142. CAMPSIDIUM CHILENSE Reiss ET Әкем. Bignoniaceæ. CHARACT. GENER. - ү SEEMAN, іп Bonplandia, vol. Х (1862), p. 147 HARACT. SPECIF. — Frutex volubilis obtusis v. apicu d dies tegerrimis serratisve SN antice sulcato, race- mis terminalibus pendulis 6-10-floris, ierg coccineis gracile pedicellatis. Campsidium chilense SEEMAN, l. c. OMA GUARUME Ноок., in Bot. Mag., t 4896, in adnot. (non DC). TECOMA VALDIVIANA рип! іп Linnea, 1857, р. 14. Tecoma MIRABILIS HORT. Sans sortir du Chili, dans lequel nous a retenu le brillant Berberidopsis coral- lina, arrêtons-nous devant un bien bel arbuste grimpant dont l'herbier de sir William Hooker renferme des échantil- lons à lui envoyés du Chili, il y a une cinquantaine d'années, par le D" i voyageur américain, qui y ajouta, outre, d'autres échantillons récolte dans les mêmes parages. L’aire géographique de ce Campsi- dium s'étend depuis l'Ile Wellington, par lat. 5. 40°, où elle abonde, jusque par lat. S. 50”, aux environs d'Arique, près de Valdivia, ой Га rencontré Lechler Il est étonnant, fait observer le D' Hooker, qu'un arbuste, aussi beau que remarquable et ainsi disséminé sous divers degrés de latitude, ait échappé aux investigations de M. C. Gay, auteur de la Flora chilensis, publiée par lui еп 1845, tout comme le В des années à voyager pour compte du gouvernement chilien. Il а été donné à MM. Veitch d'en doter finalement l'Europe oü l'arbre sera le bien venu, surtout dans le midi où il grimpera dans les arbres avoisi- nants et y atteindra de 40 à DO pieds de hauteur; ses longues: trompettes roses, en immenses guirlandes, y pro- duiront un supréme effet. L. VH. avons vu un spécimen de cette P promptitude qui étonne. Lepére pr muniquer ultérieurem n le dessin à ses collègues du Comité il'insiste done Ён sur ces détails. Je me borne à dire, pour le présen nt, que tou l'intérieur de Vasbse; divisé en branches dont les positions sont diverses, est enve- loppé par les deux branches les plus basses Leg après une première course we? en Zant du mur, celles-ci исине Л а vers la tige, passent à 25 centimètres sous le chaperon, se retournant vers laxe de l'arbre parallèlement à l'étage inférieur. On voit t que notre collègue tire parti d'un moyen bien simple et qui, dans ses mains, est trés-efficace : de la position VERTICALE des branches et des bourgeons terminaux. En placant sous les Dues + вен "E cet échantillon de ses tra Lepé ran court espace d'un été, des arbres dont le mauvais état était notoire... Cette opéra- tion faite, comme par enchantement, dé- note que son E attaque les sujets avec autant d'énergie que d'habileté et surtout de sûreté dans l'action ; car, forcé, 20 150 par la nature de ses iravaux, de voyager souvent pe T rester е absent, 11 ne peut suivre avec assiduité les arbres dont il- Steeg rend la areetan et quil parvient cependant à mener à si bonne fin. Si, d'un cóté, notre collégue a réussi par cette épreuve à faire ressortir à nos MISCELLANÉES. yeux, comme il le voulait, la simplicité et la valeur des procédés: qu'il a employés, d'un autre, nous avons été unanimes pour reconnaitre qu'il a su en tirer parti en praticien émérite. ort de M. MICHELIN. (Société centrale d'horticulture de France.) Т 2138. Les Sauterelles en Algérie. М.А. Rivière communique à la société centrale d'horticulture de Paris les ren- seignements qu'il vient de recevoir tou- chant l'effet produit par les moyens qu'il avait donné ordre d'employer, dans le jar- din du Hamma, afin de combattre la redou- table invasion de Sauterelles qui vient d' avoir lieu. П avait pensé qu'en couvrant ce dede d'un nuage de la fumée épaisse et piquante que donne еп brûlant un mélange d huile lourde et de coal-tar ou goudron de gaz, on pourra ait en éloigner ces insectes. Le résultat a parfaitement ré к à son espérance. Chaque fois que le vol des Sau- terelles était sur le point de s Аттен sur le jar on allumait les feux, et les insectes étaient ainsi chassés du cóté de ег où les poussait le vent du désert qui soufllait alors et qui ajoutait, de son cóté, un nouveau dange r pour les cultures en élevant la température jusqu'à 409 et 419 cent., à lombre. Pour donner une idée de la masse effrayante d'insectes qui menacait le jardin, M. A. Rivière dit que Autres Les procédés employés au Hamma ont parfaitement réussi à empécher les ue, de cette facon, elles n'ont pu ede leur ponte sur nos terrains ni sur les terrains voisins, et que, consé- quemment, l'éclosion des Criquets n'y est plus à craindre. De nombreux feux de broussailles sur lesquelles le coal-tar était répandu pro- duisaient une fumée intense et ácre en détournait les bandes considérables реа, de notre cóté. ignes d'hommes tenant toute la rte, produisaient le vacarme le plus Se le passage du vol principal a к ieee six heures de suite, ce vaste espac lombre épaisse d'un nuage SE Aussi, à la Maison carrée, ой ce vol a pu prendre terre, a-t-il couvert le sol d'une couche de 0%10 d'épaisseur. En général, n à pu préserver plus ou moins les jar- dink d'Alger au moyen de la famée ou en faisant un bruit o ces œufs n 'éclosent pas quand ils sont exposés à l'air, ou qu'ils ont été blessés, on est occupé, en ce moment, à biner la terre de tous les jardins en vue d'empécher leur éclosion. détails. dans le but de refouler les ravageurs vers la mer, oü ils trouvaient une mort certain En d'autres endroits, ой ces précautions n'ont pas été prises, les Sauterelles se sont abattues, puis ont fait leur ponte. us- sein-Bey,le terrain disparaît sous la masse des Criquets ; c'est un flot noir qui ondule d débris de la végétation; on dirait des endroits stériles et abandonnés depuis des siècles. Les Artichauts, les Poireaux, les Choux, etc., sont mangés jusqu'au cœur, et l'intérieur de la tige qui s'enfonce dans le sol est rongé. Les Figuiers de Barbarie, les germ, commencent à étre échancrés. Hier matin, j'ai assisté à ces désastres impossibles, # à dépeindre et que l'imagina- tion ne peut se figurer. АГВА SINENSIS ALALEA hune... 3 151 2148—44. AZALEA SINENSIS ALBA. Nous devions nous abstenir encore ; réelle à laquelle appartient cet Azalea rustique, si gentil, 81 coquet et à sen- teur si suave; mais on nous pardonnera de ne plus laisser vieillir dans nos car- tons ce magnifique dessin, cette exacte Adhuc sub judice lis est. HORACE. peinture, bien que nous ne soyions pas en état de préciser, pour le moment, la place certaine que doit occuper la plante ans la nomenclature; la forme de ses fleurs et leur disposition s'éloignent de tout air de parenté avec les Azalées de Chine ! | L. VH. Les habitants et les soldats font des foss nous établirons une immense Reg puis des parallèles, etc. e matin, encore engourdis par la ee, les Criquets sont réunis en eu n en tue beaucoup avec des balais, des pelles, etc.; on essaye le pétrole, mais c'est dangereux. On assure qu'un des moyens les plus efficaces est de les агговег avec de l'acide sulfurique étendu d'eau; mais comment utiliser ce moyen sur tant d'hectares? мы vu sé варата dans tout le urs de m oyage dans la province de Со среде mais notamment aux Portes e fer où, sur un parcours de 27 kilom., .quand, pou € da pes comme de la neige très- épai ee vert reris émaillés 38 Chrysanthèmes; les Seegen étaie nt a més, et toute la campagne rideau de CSR relles qui totalement. Je renonce à dé produit par cette apparition ; quelques minutes à rassembler mes idées r la première fois, je me suis trouvé au milieu de cette grêle d’un nou- veau genre. Heureusement que l'invasion est arrivée très-tard dans nos localités et qu'un grand se noyer sans ауоіг ро le flot charrie pe cadavres et en dépose de larges bancs sur le ri H. Война. + 2139. Comment un essaim d'abeilles ве maintient suspendu. n'est personne qui, en voyant une branche d'arbre courbée sous le poids d'un à beaucoup restent silencieux dovaht ce me. ble, en effet, contraire à toutes é sur un corps poli, les pattes en haut et le corps en bas. C'est cependant ce qui arrive à la mouche: elle arche ou se tient ep or la surface inférieure d'un vitrage horiz hez d'arbre, sans qu hus: paraissent fatiguées du poids. La nature nous montre là, entre mille, une eegen des lois physiques dont l'homme ne lui a arraché le secret que par bien des siècles de recherches. Il y a à peine deux cents ans que la dire la cessation d'équilibre du poids de l’atmosphère sür une surface déterminée, nous a donné l'explication de ce fait. C fut seulement en 1650 qu'Otto de Guericke, de Magdebourg, inventa la machine à faire le vide et fit la célébre expérience des hémisphères dits de Magdebourg. Ф ө — ص - seconde, qui est moins facile, mais поп i e, ils ils enlèvent le vé. Comment Б о capable de soulever un poids considérable. Supposons l'expérience faite à rebours; faisons adhérer le méme cuir au plafond; il supportera de haut en bas le méme poids qu'i u ui se passe à l'extrémité des pattes de la mouche, abeille Т 2140. Encre pour Nous avons déjà donné plusieurs for- mules pour composer une encre à écrire les noms de plantes sur des étiquettes en zinc. En voici une nouvelle que nous à M. H. Bourgeois, préparateur de chimie à l'Université de Liége : Eau distillée Ww. wA MISCELLANÉES. ou autre, qui se fixe au plafond, c'est-à-dire les pattes en haut et le dos en bas. Enfermez une abeille dans une boite ». Ce sont de véritables ventouses qui, une fois tendues , adhérent fortement, sans ce qui explique qu'un essaim d'abeilles pesant plusieurs kilogrammes, assez lourd pour qu'une branche d'arbre fléchisse sous son poids, n'adhére cependant à cette branche par le contact d'un petit nombre d'abeilles qui portent le poids de toutes les autres, ans une position renversée. a science moderne a été jusqu'à cal- culer le poids qu'on peut faire supporter au moyen du vide, c'est-à-dire au moyen de la ventouse, dans un espace déterminé. | patte d'abeille, grossie de 60 diamètres, représente une surface de plus d'un centi- métre. Chaque abeille ayant six pattes, il suffirait donc, à la rigueur, de dix abeilles pour supporter un poids d'un kilogramme. Il est facile, d’après cela, de comprendre comment un essaim, si lourd qu’il soit, peut rester suspendu pendant de longues heures, sans fatigue pour les abeilles. D" Bourgeois. écrire sur le zinc. Nous avons expérimenté cette encre qui est fort bonne : pour s'en servir, il convient d'employer une plume d'oie. Son _ seul défaut est de coüter un peu cher : un flacon bouché à l'émeri vaut environ г. 4,50. (Belgique horticole.) „ЖУУ, AR ж» 4 ve 5, FIMBRIATA Flore pleno. Orangerie. PRIMULA SINENSIS Semis anglais. 2145. PRIMULA SINENSIS FLORE PLENO. Nous avons bien hésité si nous com- | responsabilité, nous la donnons sous la prendrions cette planche dans la FLORE ; garantie de M. W^ Bull qui assure que mais l'ayant reproduite identiquement le coloris est réel et que ses graines la d’après lé Floral Magazine, et sous sa | reproduisent fidèlement. L. ҮН. t 2141. Culture et multiplieation des Echeveria. Pour avoir des plantes convenables il faut une année avant de les mettre en pleine terre, car les sujets faits le méme printemps sont trop faibles, tandis que ceux plus âgés s'allongent trop et se dé- garnissent à leur base. On doit aussi sup- primer les inflorescences à mesure qu'elles apparaissent, parce qu'elles détruiraient la symétrie et wp Е feuillage qui en n de les laisser quelques jours à sec, саб аа sans être plantés, pour cicatriser la coupe, et les placer ensuite à l'air libre dans une bonne serre tempérée. 1, au contraire, on veut en faire la mul- tiplication en grand, on détache les feuil- es, que l'on plante obliquement dans des se développer, P peu après la jeune plante apparai айга Les A 4 tan pendant l'hiver, de la serre tempérée; “ils doivent être placés près du jour, et tenus sent parfaitement, laissé languir étant remis dans un vase ments ne séjourne pas dans le fond des pots. M. Bazin, агае à Clermont (Oise), publiait, еп 1854, i suit dans Y Horticulteur oo $ « Plusieurs auteurs disent que les Eche- veria se propagent par boutures et par les rejets qu'ils émettent à la base des tiges. o et fice d'un pied, c'est-à-dire qu'il faut couper la téte d'une plante, pour lui faire émettre florale se dégarnir entierement de fleurs et se sécher naturellement. Aussitót qu'il ту a plus de fleurs, la sève se portant toujours néanmoins à l'extrémité de cette tige, fait naitre une petite rosette de feuilles; c'est alors que je coupe la hampe de deux ans, j'ai des plantes qui fleuris- assez sèchement pendant tout le temps | plus grand, redevient superbe. Par ce os. Un mélange composé de deux procédé, je propage autant d'Echeveria du parties de terre de bruyère ou de terreau de feuilles, et une partie de terre franche, est celui qui lui convient. Un bon drainage est nécessaire, afin que l'eau des arrose- - que je veux, sans rien sacrifier et sans aucune difficulté J. B. WEBE (Revue horticole). TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE XX* VOLUME. N. B. Za Table générale des matières contenues dans les quinze premiers volumes de la FLORE est insérée à la fin du tome XV, et celle des tomes XVI à XIX, à la fin du XZX* volume. aR Les caractères gras indiquent les figures coloriées. Ar A nos е, 33: Abeilles. — EE un essaim se maintient Suspe en diete | lunulatum Burm., 114. Amarantacées comme engrais. 99. Amaryllis procera Dre Aquilegia leptoceras she onthe, 91. ralia Maximowiczi, 39. — pentaphylla foliis variegatis, 55. areas imbricata. — Plantations en Angle- Aristolochia tricaudata Drre. ‚97. Asplenium fragrans й odeur de "violette, 68. Azalea indica John Gould Veitch(L. V H.),43. — sinensis alba, 151. B. aar m с — Notice biographique, par Begoni me i да. аат pend ree, г D. Ноок., 141. Bertolonia Houtteana, 109. BIBLIOGRAPHIE. — Z'A o dra rédigé par uin (Hainaut), 124. peer de plusieurs és de la province de Liege, 124. — De Fe en Nederland, par Ё. рг ofesseur UDEMA — Les Parcs et "les ) Jardins, par Е. Duvir- s, 124. ER — Revision of the ыға; ang Species of Tuli- pee, par -- Ueber | pagi Vor tss A 4% Veredeln Strducher, par Н. В. Ga RT, — pau а ER de Vienne, par BER- ARDIN, 124, De: ouveau procédé x эрсэн 146. teg confertum N 19. C. виа. анын — Époque de ndun, 68. с ichtlini J. D. Ноок., 103 Camellis j фар. F Festiva E Grande из. eric » 119. -- — mad.. Жэ schaffett, 111. — — en Conservatory- Reyes 113. — — en Italie, Campsidium шахан Reiss. et SEEM., 149. | CASSINI (HENRI), membre honoraire de démie royale des sciences et de la Société ‘hilo — Notice historique, par GUILLE MIN — Fac-simile = son écriture, 48. Cattleya lobata LINDL., 132. Cattleya maxima inii 39. Cereus peruvianus var. monstrosus, 117 Chasselas de Fontainebleau — Son origine, 116. Châssis en fer de MW. Moret frères, 138. Clematis хоног ( CC 21: a (Jackman), 17 — м James Bat 9719. (» ), 17. — viticolla rubra goes ah А Club alpin francais, is L., Eer Mt basi 89. — japo бөлісін THUNB 1». DE CANDOLLE (Агрн.), nommé associé de Р Académie des sciences de l'Institut de France, DELESSERT (BENJAMIN). — Ses collections botaniques, 61. ionæa AE An à or plante car- Doryanthes Palmeri Hor vey M — Notes sur ses voya- 8, et sur les Le: a qu'il a en- voyées en Hast leferre, par УУ. J. HOOKER, 55. E. Echeveria. — Leur culture et leur multiplica- tion Encre | pour ‘écrire sur (е zinc, 152. 4: 87 и: Eucalyptus Globulus mi — Sa culture, 50% produit, etc., par BOULADE, 85. 45 TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES DU ХХ: VOLUME. Y. FÉE (ANT. -LAUR. APOLL.), ancien professeur de botanique à 1а faculté 42 Strasbourg, etc. — Sa necrologie, 112. Fleurs emblématiques (Les), 1 ‘LORE DES SERRES ET DES T DE PEU- ROPE È nb ic de Tone — Médaille. P», 11 0 тала eke populaire en sie ge 122. d -r le clim 15. өө rnier(Boisselol), 109. Se (Ey. - ges перф За récolte, son usage, ейс., рат Ер. LEFORT Ga Gaz d ee — Son influence sur la végéta- tion, 1 Glaieuls à fleurs doubles, 115. GLANAGE HORTICOLE.— Un journal аваг -- Martin ей Cie, — в. её produc- tions miraculeus ns Pii. Les maladies ia plantes et y цэн artésiens. — Le moisi pestilentiel et les terrestre. — Arbo EIGENE en — Le coup de la lancette. — n ami le docteur H. — 227 irises, Sie М. Тнќор. BUCHE- ор IN (Gitues- FRANC.), botaniste belge. — Sa necrologie, 122. Gom 20 (Le), fruit de PHibiscus esculentus, 110. Graines. — ‚118. nn Son 0 t (Le). — See de son fruit, 1 буот argenteum carmineum 'Rendatleri, Hérisson (Le). — Son 22 129. Hovea Celsi Вохрт.., 109. I. Insectes d par Сн. N мэн 83. Iris Kæmpferi 4 lexandre von Humboldt, (Siebold), 45 A Javelles mouillées. — Leur sauvetage, \34. Jardin Alexandrowski à Saint-Petersbourg, 134. L. : —— — — Son éloge historique, par G. Cu- - , 29. gera = ne 133, Tilton superba P PRESL., 111. a) Kra n dalma Linaria aly alpina 22 Lat weg Mary, 121. vie, rédigée sur des documents dde: laissés par ce gra omme, et su .А.-1..-А. FEE, — Fac-simile de son écriture, 30. 155 Liriodendron Tulipifera foliis luteo-margi- natis, 57. LOUDON (7. C.) e£ sa femme JANE WEBB. — ‘Wore biographiques — Fac-simile ie На écriture, 58. IM. Mantisia сеи SIMS., 41. па HonT., 15. - nou dm one] Hout tteana Н. С. Еснв. omenclature (supplément), 142. Melons. — Leur multiplication par le 77222 Mouche jaune des Rosiers ( gio cree EEN -- Moyen de destruction, par MARGOTTIN, 70. де des serres. — акын. et кенені, Nids factices, 131. O. Odontoglossum Rossii Linpt. var. majus, 95. — vexillarium . Вснв., 27. Oiseaux. — Les œufs de leurs parasites, par Сн. NAUDIN Oncidium ampliatum majus, 147. Orchidées exotiques à P Reposition de Liege, en Juillet 1814, 112. nd (2) grieche (Urtica urens). — Sa pigüre wi eie par les grands vents, par Сн. NAU- ІР. Passiflora (Tacsonia) insignis MASTERS, 59. Pécher. — Sa restauration, par M. LEPÈRE fils, 147. Pelar; pu KR at — боп origine, раг. J. SISLE реки Palmer A. Gray, 71. Pentaptery rugosum J. D. Нооккв, ІЗІ. Phy dea Le) ей les vignes américaines, par Сн. IN, -- reete En en de destruction, par Cn. МАО Placea petam LINDL ‚ 13. Plantes. — Leur respiration, elt., ды CLAME- CIN Poire Amiral зе Е" — Berga leo ocv ІШ — Beurré Breto tonnan | speren), 63. ` — nel fils), 8 Dalbret Қы. Mons), 63. , ardenpent, (Hardenpont), 63 con — решен N 81. — nantais "et? 5 — Sipae (Ру. дра) 83, -- superfin | oubautt), 83 Bon-C ч (Boisbunel), 5. Casteline (Castel), 9. LE | 156. Poire Charles Frederickx (Van Mons), 65 — Colmar «агае (Van Mons), B5. Colmar Delahaut (X. Grégoire), 11. Deux sœurs (Des Knoop), er rapid y (Boistunel), 1. Doyenné d’ 4. Duc чел Nemours (Рав Mons), 61. (François Bouvier), 61. —€— d'Heyst (Esperen), 82. gène Maisin Ka dn goire), б. ps (Fo ortuné Beo UM on. — Gene if жшс (Boisbunel), 11. -- mée Totileben (Fontaine de Ghelin), 9. e Grégoir. е = Grégoire), 85 оте Huberi Grégoire | Т Grégoire) , 64. acques Mollet (Boisbunel), 68 eyve Ё en (Van Mons), % Maréchal Vaillant (Boisbunel), 6 Marquise d’Hem Milan de Rouen (Boisbunel), б. hn заз дреайний Sibour Nec plus Olivier Se? Brei (Boisbunel), 66 ondaga, Petite Margueri te (А 2 Ké 62. rémices жену (Lu Lui ent Ast Bihorel), aih Président Muller (X. Gregoire), 86 Prince Napoléon P Unt 280471. 5408 ur Hennau (Х. Ч Sénateur Préfet SE 10. du Congrès pomolog FR nude de Sourenir а Meine des Belges (X. Beet 10. Surpasse-Meuris (Van Mons), 62 62. Théodore Van Mons (Van Mons), 62. Triomphe de Jodoigne (Antoine Bou- ue T к vier), — Vermillon d'en haut (Boisbunel Ке Sa Vice-Preside nt Delehaye(X. Grégoire), мыз Vingt-cinqui eme anniversaire de Léo- pold а“ (X. Grégoire), 10. Pois de senteur rouge strié blanc soi-disant nouveau Pommes de terre nouvelles d'A тегиие, 130. — Son exter өрені, le Doryphora de- la société Geier de l'Ontario, 26. — En 44, hollandaïses Ele ne ‚120. Р Poteries usuelles et artistiques Primula cortusoides magenta et lilacina rús- 3 TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES DU XX: VOLUME. Primula j ee эн de кеі 68. -- sinensis flore pleno, 153. Puccinia бета дед, parasite des malvacées, | 117. Puits artésien d' Ostende, 133. I. та domestiques. — Idées de Darwin sur leur rigine et leur variabilité, par le Wee ONI, 95. Reine- Marguerite pyramidale.— Sa culture, etc., par TRUFFAUT FILS, 74. ы. зах” en boutons. — Le client et le mar- ROBERT BROWN. — Son élection à la place a associ étranger de l’Institut de France, 32. ac-simile de Ze Бай ure 3 mine diues Woo. 43. | Rosier. — Sa multiplication par boutures de ` racine. — La гр qu 27 E de lui appliquer, T Е 3 = RUIZ (Hivoryre), premier botaniste et chef de "Expedition du Pérou et du Chili. — Notice biographique ё, — Fac-simile de son der “иге, 46. #5. Salvia gesneriæflora LINDL., 199, Sarracenia psittacina Міснх., 33. - re, efc., eur culty Sauterelles (Les) en 4106 реа Statice Bonduelli Lesris., 195. Syringodea pulchella J. D. Ноок., 75. т. nn polyphyllum Cav.,37. ciosum quasi-rustique, 68. У. Van Houtte et Се à New-York. — Coquins qui | exploitent cette Era, 103. : томі Bouschet, 101, gne. — жс Аер e Sirah, Origine du cépage | de Е дан ge, 67. a -- Зул à Thomery, près Fontainebleau, 144.- Vol d ars commis dans une promenade publi | que à Londres, 69. WALLICH (Dr). — Sur le ie des herbiers 4 de plantes asiatiques distribue aua pL 4 botanistes d Eur oe: — — Sur le Jardin bot e de Calcutta et 3 - ар collections faites ar les anglais | "Inde orientale, 52. : № =. | Хасса, — Leur fécondation par les insectes, 68.