This volume has been digitized, and is available online through the Biodiversity Heritage Library. For access, go to: www.biodiversitylibrary.org. P ee fa Yı ” TADR - l > a 4 > x 4 ) \ v f (/ 1 167 DR N | t \r | k Ti \ t B r N en Lim ATAHRETAN ANKER er I en „6b ih A ee nlalait VER ie 2 hal z w wi" + Di Neue Denkschriften der allgemeinen Schweizerischen Gesellschaft für die gefammten Naturwillenfcaften. NOUVEAUX MEMOIRES SOCIETE HELVETIOUE SCIENCES NATURELLES. Zweite Dekade, Band X mit XXXII Tafeln. ZURICH auf Kosten der Gesellschaft. Druck von Zürcher & Furrer. 1864. Neue Denkschriften _ der allgemeinen Schweizerischen Gesellschaft gefammten Natnrwillenfhaften. ITS NT NOUTEAUX MEMOIRES SOCHTE) HELVETIOUR DES SCIENCES NATURELLES. Band XX mit XXXII Tafeln. ZURICH auf Kosten der Gesellschaft. Druck von Zürcher & Furrer. 1864. 2../Y447 Bike WE (FR TEREES AT DT E mad Tu. K Yiaıloellssad naınerssiawwee Ey LoJeT 0) 1758 5 . tel asetn ie arm BRKIomim XUBAVOOM yı Au HT JERATNDZ BADAANIT EV KaaNaı)A Inhaltsverzeichniss. Lethea Bruntrutana ou &tudes paleontologiques et stratigraphiques sur les terrains jurassiques superieurs du Jura Bernois et en particulier des environs de Porrentruy, par J. Thurmann. Oeuvre posthume terminee et publiee par A. Etallon. (Suite et fin.) Supplements ä la Faune des Lepidopteres Suisses. (Phalenides, Pyralidides, Crambides et Tortrieides.) Par J. C. De la Harpe, D. M. Troisieme sup- plöment aux Phalenides de la faune Suisse 2 b \ i Contributions ä la flore fossile italienne. Sixieme’memoire. Par Charles- Th. Gaudin et le Marquis Carlo Strozzi. Zur physikalischen Geographie von Unter-Mesopotamien, von Dr. Alexander Schläfli : ; Physiologisch-systematische Untersuchungen über die Ceramiaceen von Dr. C. Cramer, Prof. Heft 1. ——— Ga — Bogen. Seiten. 181, 955500 1—81 1—31 1—123 1—131 Tafeln. XVI. IV. uni Anz | . 1} a ee . - | u kalırı v ref Bi | En - 2 u Jr 2 N >» ı » ’ i air 4 LETHEA BRUNTRUTANA OU ETUDES PALEONTOLOGIQUES ET STRATIGRAPHIQUES SUR LES TERRAINS JURASSIQUES SUPERIEURS DU JURA BERNOIS ET EN PARTICULIER. DES ENVIRONS DE PORRENTRUY PAR 3. THURMANN. OEUVRE POSTHUME TERMINEE ET PUBLIEE PAR A. ETALLON. (SUITE ET FIN.) Wort TEzITEE KAETIITATNA ANHTL name 18 zo >IET „u Bu2 j SET TA FRI PARAT AALANIIET ie sıor Asa AHUL 1 2 jo ga Kram AS A *Classe des Polypes. Trochocyathus erueiana, Et. — pl. L. fig. 1. Moyenne espece, cono-eylindrique, largement conique a la base, un peu coudee. Calice peu profond; eloisons inegales suivant les ordres, au nombre de 60, couvertes sur les flanes de tubercules &epineux, inegaux, un peu irregulierement disposes sur 9 a 10 lignes courbes en eventail ä partir de la base, rarement soudes a ceux de la cloison voisine et seulement pres de la columelle; celle-ei bien developpee, fasci- eulee, tortueuse; les palis indistincts. Hauteur — 15"; diametre — 12 sur 15°”. Hypovirgulien moyen. — Croix-Dessus, Sous-Waldeck. — Rare. Oculina suprajurensis, Et. — pl. L. fig. 2. Petite espece, branchue. ä rameaux greles; tissu tres-compacte, Epais; poly- pierites portes sur des branches assez courtes, assez largement creuses au sommet: cavite centrale retr&cie par le developpement du tissu; surface extreme completement lisse. Diam. du calice — 11/,"”. Marnes astartiennes. — Bure. — Tres-rare. Cette espece n'est connue que par un debris; la cavite centrale est visiblement retrecie; cependant les autres caracteres internes n’ont pu @tre examines. Enallohelia Gresslyi, Et. — pl. L. fig. 3. Petite espece, haute, dendroide, formee de 7 a8 rameaux dichotomes, allonges- eylindriques. Calices A peine etales, profonds, ne se remplissant qu’en partie, l’une restant m&me creuse, mais tres-etroite, dans toute la hauteur de la tige, avec des etranglements aux bifurcations; ces calices un peu inegalement alternes, ayant une tendance ä se placer d’un m&me cöte de la tige, libres lat&ralement dans une grande u 3888|: etendue. Üloisons assez &paisses, inegales suivant les ordres, au nombre de 20. mais dependant evidemment du systeme hexameral par l’absence de quatre tertiaires: cötes fortes, triangulaires, au nombre de WU a 30. Haut. du polvpier — 200”"; diam. des tiges et des calices = 2'/,”"; distances des bifurcations — 30 ““; longueur des polypierites — 4””; intervalles calicinaux — 6" Hypovirgulien moven. — Waldeck: Croix-Dessus. — Assez commun. (enre Dendroheha. Et. Ray. Montb. 1860, p. 36. — Psammohelia, Fr. Intr. Polyp. p. 176. Polypier mamelonne ou dendroide, produit par une gemmation nombreuse, irre- guliere, quelquefois subspirale; caenenchyme bien developpe et tres-compacle, sur- tout dans la tige mere. Polypierites costules seulemeut pres du calice et les inter- valles couverts d’une granulation tres-forte. Columelle styliforme; cloisons inegales, non dentees, non debordantes. Ce genre a la plupart des caracteres des Acrohelia, moins les cloisons extreme- ment developpees et de plus une columelle. Le remplissage rapide indiqu& par M. de Fromentel n'est qu’un effet de fossilisation: la Stylohelia? dendroidea doit rentrer dans ce genre. Dendrohelia coalescens, Et. — pl. L. fig. 4. Madrepora, Goldf. Petref. p. 23, pl. 5, fig. 6. — Dentipora, Blainv. Diet. Sc. Nat. LX, p- 348. — Madrepora ibid., p. 355. — Oeculina, Br. Inder, p. 834. — Stylina? E. H. Polyp. paleoz. p. 60. — Hist. Cor. Il, pag. 246. — Madrepora sublaevis, Mich. Icon. Il, pl. 3, fig. 5. — Lobocoenia. d’Orb. Prodr. Il. p. 40. — Stylina? E. H. Polyp. paleoz. p- 60. — Hist. Cor. Il. 246. -— Astrea 6radiata, Th. Coll. — Dendrohelia, Et. Ray. Montb. 1560, p. 36. — Psammohelia gibbosa, aspera, dendroidea? From. Intr. Polyp. 1561, p. 177, et Stlyohelia? dendroidea, ibid. p. 181. Polypier plus ou moins branchu, commengant par une base &largie, puis forme de rameaux serres, Ires-inegaux, a surface irreguliere, droits ou courbes, anastomoses. Calices saillants, en cönes renfles. de petits diametres, assez profonds, irregulierement distribues ou subspiraux; intervalles plus ou moins grands suivant l’äge et la grosseur de la tige. Loge ouverte dans toute sa hautenr, quoique tres-retrdcie a la base; cloisons Ara de droites, inegales suivant les ordres; deux eycles; les secondaires peu developpees, les primaires un peu debordantes, a peu pres toutes soudees a la columelle par des trabiculins espaces. Les intervalles des calices garnis d’une grosse granulation, s’erigeant en cötes seulement sur les calices et surtout pres du bord; 4 cycles. Aceroissement sur toute la surface. Diam. des calices = 11/,””; distances des centres calicinaux = 2&5""”, en moyenne — 3””; diam. des branches = 12 a 25"; diam. de la base = 60 a 70". Epicorallien inferieur. — Caquerelle. — Commun. Cette espece Eeprouve de nombreuses, mais faibles modifications, qui, augmentees encore par l’etat d’usure ou de fossilisation, peuvent laisser croire a des espe@ces distinetes; nous les avons suivies sur de nombreux individus. A ce mäme genre doit se rapporter l’Heliocenia? Thiollieri, Et., qui du resle a ete indiqu&e comme douteuse; toutefois on ne pourrait pas rapporter a celte espece quel- ques liges separdes de celle-ei; les calices sont disposes de m&me sur 3 ou 4 spi- rales, et le diametre des tiges est peu different; iei, les cloisons sont en general faiblement debordantes et forment une eöte pleine sur la muraille. Pleurosmilia graeilis, Et. — pl. L. fig. 5. Petite espece, eiroite, allongee, eylindrique, legerement courbee. Calice eircu- laire ou faiblement comprime, peu profond. Cloisons inegales suivant les ordres, un peu courbees au centre, assez &paisses; celles des deux derniers cycles sensiblement plus minces; 5 eycles complets. Columelle assez etroite, peu epaisse, plus ou moins oblique au grand axe du calice et, par suite, formant une spirale allongee sur toute la hauteur. Epitheque non observee. Haut. — 50”"; diam. — 14 sur 13"”. Epicorallien. — Mont-Terrible. — Assez rare. Pleurosmilia Marcoui, Et. — pl. L. fie. 6. Cor. Ht.-Jura; Ray. p. 52. — Authophyllum variabile (pars), Th. Coll. Malgre quelques differences, les individus designes ici paraissent appartenir & l’espece du Haut-Jura; le calice est un peu plus petit et subeirculaire (28 sur 30 millimetres). I y a5 eyeles complets, les cloisons sont un peu moins &paisses el l’epitheque tres-forte. Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. 30 — Genre Ellipsosmilia. Ce genre incompletement defini par d’Orbigny n’a pas ete adopte par MM. Milne- Edwards et J. Haime, et les especes en ont &t& reportees dans plusieurs autres; cependant il en est quelques-unes qui ne rentrent pas dans les genres connus et permettent de croire a une association de caracteres que l’on retrouve dans l'ensemble: c'est done ä elles que j’ai cru devoir, dans mes Rayonnes du Corallien, reserver le nom d’Ellipsosmilia. Or, on remarque: I° des cloisons non dentees, ex.: les especes placees dans les Trochosmilies: 2° des cloisons €paisses, ex.: Montl. inequalis; 3° pas de columelle; 4° Epitheque. Ex.: les especes placees dans les Montlivaultia. Le choix de caracleres nous parait justifier pleinement l’etablissement du genre, quand m&me sa diagnose par d’Orbigny laisse croire a une faible Epitheque; dans l’appli- cation, pour les especes du Prodrome, l’Epitheque est signaldee. Au lieu d’employer un nom nouveau pour ce genre, nous avons mieux aime en modifier les caracteres. acte pour lequel il serait facile de citer de nombreux exemples. Il ya donc lieu de le preferer a celui de Epismilia, qui a et@ propose plus tard. El. Thurmanni, Et. — pl. L. fig. 7. Authophylium variabile (pars), Th. Coll. Polypier assez &leve, fortemant comprime, droit ou courbe un peu dans le sens du petit axe. Calice elliptique, assez profond, forme en partie par les expansions des lames. (loisons @paisses, peu serrees, a bord arque, un peu debordantes, dilatees au centre contre une columelle ideale droite, allongee, faiblement coudees vers ce point, inegales suivant les ordres; 5 cycles complets. Traverses fortes et assez rares; grosses cötes tres-saillantes, espacdes, granulees. alternativement plus fortes. Epitheque €paisse, arrivant jusqu’au bord calicinal. Haut. — 80 a 90””; diam. du calice = 50 sur 5 "”. Zone corallienne. — Mont-Terrible. — Rare. Stylosmilia Michelini, E. H. — p. L. fig. 8. Kno. et Wal. Verst. Il. p. 23, pl. 6, fig. 1. — Stylosmilia Michelini, Edw. et H. Ann. Se. Nat. X. p. 275, pl. 6, fig. 2. — Hist. Corall., p. 221. — Br. Lethea, p. 109, % a pl. 151, fie. 14. — From. Mmtr. Polyp. — Lith. allobroghum, Th. Coll. — ?Litho— dendron dichotomum, Mich. Icon. p. 95, pl. 19, fig. 6 (non Goldf.). — Calamophyllia, E. H. Br. Leth. p. 104, pl. 151, fig. 10. Deux varietes: Var. a. — Polypierites longs, eylindriques, droits, assez serres, se bifurquant äa de longues distances sous un angle assez fort, puis se courbant pour marcher pa- rallelement a la branche mere. Var. 5. — Polypierites jeunes, tres-promptement distinets, mais restant encore longtemps r&unis a la branche, 10 a 20 ou 25 millimetres, et formant ainsi des faisceaux aplatis ou prismatiques, plus ou moins espaces; comme cons&quence des lacunes dans l’interieur du polypier et des branches courbees et enchev£etrdes. Caracteres internes identiques; systeme cloisonnaire tout-A-fait regulier; trois eycles de cloisons tres-inegaux; les primaires Epaisses, droites, soudees par des tra- bieulins espaces ä la columelle, qui est forte, styliforme, un peu comprimee; les ter- tiaires assez faibles. Pas d’epitheque; des cötes pres du calice, le tube en ce point etant conique et plus etroit; puis des stries longitudinales tres-fines, posterieures aux premieres par l’epaississement de la muraille, toutes granulees. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez commun. La var. d est peut-@tre plus commune que l’autre; la figure des Recherches sur les Polypiers ne represente pas l’aspect general de cette espece. Les especes placdes dans ce genre par M. de Fromentel doivent @tre reportdes ailleurs; il n’y a pas, et ne peut y avoir d’epitheque, le mode d’aceroissement de la muraille s’y opposant du reste; elle est d’abord faible avec de grosses cöles correspondantes aux cloisons, puis les intervalles se remplissent peu ä peu; le nouveau tissu recouvre m&me les cötes et est marque de stries longitudinales tres-fines. Il est possible que les cloisons soient dentdes. Aplosmilia aspera, d’Orb. — pl. L. fig. 9. Lobophyllia, Mich. Icon. p. 89, pl. 20, fig. 3. — Eusmilia? Ed. H. Ann. Sc. Nat. X, p. 266. — Aplosmilia, d’Orb. Prodr. I, p. 37. — E. H. Hist. Cor., p. 190. — Et. Ray. Cor. p. 54. — Fr. Int. Polyp. p. 132. „Polypier en main etalee, atteignant 200 a 250 millimötres de hauteur sur 300 millimetres de largeur; rameaux allonges subeylindriques, un peu comprim6s, se dicho- tomisant irregulierement et se coudant dans la bifurcation sous un angle plus ou moins aigu. Calices elliptiques generalement, peu profonds; cloisons Epaisses, debordantes; 362 - cdtes eristiformes, saillantes, plus ou moins serrees sur loute la surface du polypier Columelle aplatie.* Diam. des calices — I? a 15"". Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. Aplosmilia semisuleata, d’Orb. — pl. L, fig. 10. . Coll, — Eusmilia? E. H. Ann. 17, fig. 8. — Th Lobophyllia. Mich. Icon. p. 89, pl. — Eh (Hist- Core p- 190. Sc. Nat. X, p. 266. — Aplosmilia, d’Orb. Prodr. II, 37. — Fr. Int. Polyp.., p- 132. Ensemble de la precedente, avec des cöles assez grosses, espacdes, presque eonlinues, au nombre de 20 environ, subegales pres du calice. — Tres-probablement variete de la precedente. Diam. des calices — 16 sur 10”. Epicorallien. Caquerelle. — Tres-commun. Aplosmilia spathula, Et. — pl. L. fig. 11. Ray. Cor. p. 55. Fr. Int. Polyp. p. 133. Branches peu nombreuses, flabelliformes, &cartees; cöles distinetes sur toute la hauteur, eristiformes par places, moins d&veloppces ailleurs. Vallees subdroites, pro- fondes; cloisons inegales; les primaires assez Epaisses, les aulres minces. Columelle mince. Haut. — 200””; diam. des series — 3 Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. Le trone est moins different de celui de l’Ap. semisulcata que le tronc de l’espece du Haut-Jura; mais elle s’en distinguera loujours parfaitement par ses cloisons plus > 2m lines et plus nombreuses. Dendrogyra angustata, Et. — pl. L. fig. 12. Meandrina, d’Orb. Prod. Il, p. 39. — Dendrogyra, Et. Ray. Cor. p. 57. — Ray. Montb. p. 22. — Dend. elegans, Fr. Int. Polyp. p. 158 (non d’Orb.). Polypier un peu etale, ä collines rapprochdes, 6troites, plus ou moins contourndes, simples; cloisons et columelle un peu moins &paisses que dans la D. rastellina, disposdes de Ja m@me maniere. —_— 563 — Diam. des series — 3"". Epicorallien. — Caquerelle. — Tres-rare. L’unique individu que nous avons pu examiner ici a ses collines plus contournees que ceux du Haut-Jura. Dendrogyra rastellina, Et. — pl. L. fig. 13. Meandrina, Mich. Icon. p. 99, pl. 18, fig. 7. — E.H. Hist. Cor. p. 395. — Myrio- phyllia, et M. elegans, d’Orb. Prod. Il. p. 38. — Dendrogyra, Et. Ray. Ht.-Jura p. 56. — Meandrina Joliacea (pars), Th. Coll. — Dend. rastellina et @quicostata, Fr. Int. Polyp. p- 158. Polypier hemispherique, gibbeux. plus ou moins regulier. Collines simples, en arete assez elevde, plus ou moins contourndes, moins sur les bords qu’au centre, debordees par les cloisons, qui sont Epaisses. entieres, plus fortes encore aux angles des valldes, granuldes lateralement, perpendiculaires ä l’aröte, mais se coudant brus- quement pour rejoindre le centre calieinal; 2 eyeles et quelques cloisons du 3° Colu- melle forte, saillante, aplatie, unie ä une Jame qui se continue, plus ou moins Epaisse, dans toute la longueur de la serie. Diam. des series = 5""; et. — 4”" dans les series paralleles. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez commun. La M. elegans, d’Orb. doit &tre rejelee, car les caracteres qui ont servi a la distinguer sont le propre d’individus roules et uses; la largeur des valldes, l’epaisseur des cloisons sont variables, m@me dans un seul individu. Aussi est-il possible que les diverses especes signalees ne soient que des varietes d’une m&me forme speeifique. Dendrogyra Thurmami, Et. — Pl. L. fig. 14. Meandrina foliacea (pars), Th. Coll. Identique de disposition ä la precedente, dont elle differe seulement par sa taille plus grande et ses vallees plus larges et ayant 6 a 7"". Epicorallien. — Caquerelle. — Assez rare. Je crois qu'il faut regarder les Dendrogyres a larges vall&ees comme espece distinete, car leur extension g&ographique est limitee; ainsi on ne la trouve pas dans le Haut-Jura et dans l’Ain, oü cependant la D. rastellina et tr&s-commune. 16 — 364 — Dendrogyra subrastellina, Et. — pl. L. fig. 15. Grande espece, atteignant une taille enorme, 50 centimötres, subplane, irreguliere, a vallees assez peu profondes, r&gulieres, ayant une tendance ä se disposer en cercles concentriques. Üentres calicinaux peu distinets; cloisons subegales. coudees et mor- celdes au centre, de maniere ä faire une lame columellaire plutöt spongieuse que com- pacte; 13 a 14 cloisons par 10 millimetres. Diam. des series — 5"”. Hyvpovirgulien. — Waldeck. — Assez commun. Cette espece ne se distingue que difieilement de la D. rastellina; les cloisons subegales, les centres peu distinets et la columelle spongieuse sont des caracteres qui paraissent constants. Ce dernier devrait peut-etre faire revenir au nom propose par d’Orbigny. si ce nom, par sa forme me&me, ne consacrait en m&me temps deux erreurs. La D. arcensis, Fr., du m&me niveau du Jura Graylois, parait avoir ses vallces plus larges et ses cloisons plus distantes. Rlhipidogyra percrassa, Et. — pl. LI. fig. 1. Pied largement fixe, eleve, flabelliforme. presentant une bifurcation; cloisons extrömement &paisses; diametre des series — 20””, et un peu plus bas — 35°”; 3 cycles, les primaires continuant des cötes tres-Epaisses, longues de 15"” et espa- cces de 3 a 4. Haut. — 50”"; larg. — 135"”. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez rare. Cette espece parait avoir les cloisons moins fortes que la R. crassa du Corallien Graylois, parcontre la lame est plus epaisse. Rbipidogyra flabellum, E. H. — pl. LI. fig. 2. Lobophyllia, Mich. Icon. p. 92, pl. 18, fig. 1. — Stylogyra, d’Orb. Il, p. 38. — Rhipidogyra, E. H. Hist. Corall. p. 215. — Et. Ray. Haw-Jura p. 60. — Fr. Intr. Polyp. p- 155. Polypier simple, flabelliforme, pedoncule, ä valldes peu sinueuses, peu profondes. Cloisons tres-inegales, plus ou moins debordantes. Cötes alternativement inegales, longues, continuant les eloisons. Columelle profonde. Haut. — 70°"; larg. des series — 10 a 12””, Epicorallien. — Caquerelle. -— Rare. Genre Styline. Distribution des especes: f i cal. — a St. Bernensis. i 2 evcles } len 1.363 > — 21% » virgulina. Svste [ — ee » tenax. 4. Systeme globuleux l rn — ya Girodi hexameral. RT. cal. serres, egaux —/Al/ » Girodı. Polypier er cal. espaces, inegaux = 4," » semilumularis. | e \ — » Ablensis. \ branchu; trois eycles, cal. = 41, » c@spitosa. f ( Ordres subegaux, cal. Hypes » Bernardana. | — „ oclosepta. . globuleux | Ord. ineg. —,zmu » Waldeckensis. B. 5 N | — z1,,00 » castellum. meral. m: 1 Bolr ier 1 ee J Ordres inegaux, cal. — » stellata. YP nl » subegaux —=24a3”"" » decipiens. subdendroide — » Bletryana. ° \ dendroide — gum » ramosa. C. Systeme j calices espaces diam. — 21% a 3”” » tubulifera. deeameral » serres „> 5 Ai » lobata. Stylina Ablensis, Et. — pl. LI. fig. 3. Polypier en masse globuleuse; ealices plus ou moins serres, tres-grands, ä peine saillants; 3 cycles, les primaires et les secondaires subegaux, arrivant jusqu’au centre a une columelle aplatie; les terliaires peu developpes; peut-eire un 4° cycle tout-a-fait rudimentaire; 4 cycles de cötes alternativement inegales. Gemmation abondante. Diam. des calices adultes — 61/2""; diam. des polypierites — 9”. Zone astartienne. — Vieille-Route. — Rare. L’espece la plus voisine est la Styl. alveolata, avec un quatrieme cycle tres-peu developpe. La description type a ete faite sur des individus alteres; ceux-ei le sont egalement; le rapprochement ne peut done @tre que provisoirement etabli. Stylina Bernardana, Et. — pl. LI. fig. 4. Pseudocenia Bernardana et elegans, d’Orb. Prodr. Il, p. 34 (non Aplosastrea). — Stylina, Et. Ray. Ht.-Jura p. 68. — Fr. Intr. Polyp. p. 191. Polypier en masse amorphe, plutöt eleve que surbaisse. Calices peu serres, en cönes peu saillants, circulaires, assez profonds, a murailles elevees. Cloisons minces, —_— 366 — peu debordantes, distribudes en deux ordres, dont le second est ä peine developpe. Cötes subegales, fines, grenues, non confluentes avec celles des calices voisins. Columelle saillante, au fond du calice styliforme. Hauteur totale — 50”"; diam. des calices = 1Y/;””; diam. des polypierites = 2””, ou un peu plus. Zone astartienne. — Vieille-Route, Essert-Tainie. — Rare. Epicorallien. Laufon. — Rare. Stylina Bernensis, Et. — pl. LI. fig. 5. Astrea serradiata, Th. Coll. Polypier fixe par un etroit pedonceule, puis tres-promptement etal& pour former en haut une masse irregulierement arrondie, ou subplane lobee. Calices eirculaires, peu serres, €gaux, profonds; muraille mince, eylindrique, peu elevee; deux eycles de eloisons, les primaires assez fortes, n’arrivant pas jusqu’au centre, les autres rudi- mentaires; deux cveles de cötes larges, etaldes; columelle profonde. Haut. — 60”"; diam. des calices = 1'/2"”; diam. des polypierites — 3". Epicorallien. — Caquerelle. — Assez rare. La St. baceiformis n'est pas assez connue pour qu'il soit possible d’y associer cette espece. Elle est trös-voisine de la St. virgulina, dont elle ne differe que par la taille des calices, qui, ici, est constante. Stylina Bletryana, Et. — pl. LI, fie. 6. Ray. Montb. p. 23, pl. 3, fig. 12. Polypier assez elev&, turbine, lobe, avec une tendance dendroide. Sur les flancs, calices un peu obliques en haut, assez uniformes, ä intervalles assez grands et egaux; muraille peu elevee; centre calieinal profond. 16 cloisons, dont celles du premier ordre Epaisses et arrivant jusqu’au centre, les autres minces, quoique assez developpees; deux ordres de cöles assez larges, mais peu dlevees. Haut. = 90""; diam. des calices = 1'/3””; diam. des polyp. = 21%””. Hypovirgulien. — Waldeck. — Rare. Les calices sont un peu plus grands, les branches moins distincetes et la taille plus forte que dans la St. ercelsa du Corallien du Haut-Jura. Stylina castellum, E. H. — pl. LI. fig. 7. Astrea, Mich. deon. p. 118, pl. 27, fig. 4. — Adelocenia, d’Orb. Prodr. Il, p. 32. - Stylina, E. H. Polyp. paleoz, p. 59. — Hist. Cor. p. 243. — Fr. Intr. Polyp. p. 189. — Astrea tubulosa (pars), Qu. Der Jura p. 702, pl. 85, fig. 8 (non Goldf.). — Sareinula octoradiata (pars), Th. Coll. Var. Basileensis, Th. Polypier en masse amorphe, convexe, arrondi, irregulier. Calices assez serres, peu inegaux. mediocrement eleves; cloisons droites, au nombre de 16, dont les 8 der- nieres sont tres-peu developpees; les premieres s’epaississent un peu vers le centre, sans y arriver; les cötes, au nombre de 32, subegales. Plancher bien developpe, convexe en haut, portant au centre une pelite saillie columelliforme, qu’on n’apergoit pas continue dans l'interieur; le premier plancher tres-rapproche de la surface. Diam. des calices — 41%”"; diam. des polyp. = 6 a 7””. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez commun. Cette espece n’a pas de columelle bien certaine, malgre la saillie centrale, et elle a un plancher tout aussi developpe que dans les Cyathophores typiques. J Stylina cespitosa, Et. — pl. LI. fig. 8. Ray. Ht.-Jura p. 65. — Astrea limbata, olim, Th. Coll. Polypier dendroide, tres-rameux, eleve; branches droites, serrees, d’un diametre de 30 a 40 millimetres. Calices espaces, eirculaires, egaux, non obliques; cloisons assez &paisses, surtout vers le bord calicinal, liees ä des cötes droites, accentudes, non confluentes avec celles des calices voisins et se relevant m&me de maniere ä limiter les polypierites par une ligne polygonale; 3 eycles complets, deux subegaux, le 3° tres-faible; cötes un peu inegales et granulees. Columelle styliforme, ronde, assez forte. Des bourrelets d’accroissement. Diam. des calices — 1Y2"”; diam. des polyp. = 3a 4"”. Epicorallien. — Caquerelle? — Tres-rare. La portion de tige examinee est plus petite que celles du Haut-Jura; les calices sont les m@mes; les bourrelets n’ont pu &tre etudies d’une maniere certaine. Ce n’est pas la St. limbata E. H., dont les cötes principales sont les plus fines. Stylina decipiens, Et. — pl. LI. fig. 9. Astrea Sradiata, var. Basileensis, decipiens, Th. Coll. ? Stylina limbata (pars), Goldf., Quenst., non Edw. et H. Cette espece, qui presente presque autant de varietes que d’individus, a les plus \ O3 SPE grands rapports avec la St. castellum, dont elle ne dilfere que par la taille des calices; ceux-ci sont peu profonds. Ce n'est pas la St. octonaria du Ht.-Jura; car, dans celle-ci, la columelle est bien developpee et les cloisons y sont souddes bien visiblement. Diam. Diam. Polypier: Polypierites: descalıces: des polyp.: Epicorallien:: Var. a etale serres > Zu Lau Pont d’Able. — Rare. Nee: hy läches 214”” 4&5”" Caquerelle. — Rare. Var. eiehy serres 2” 3“ ? Var. d en tete lobee peu serres 3”” an Caquerelle. — Assez rare. Var. e en tete serres 2” 4m 4 — Assez commun. L’ouvrage de Goldfuss comprend sous le nom de St. limbata deux figures, qui paraissent bien distinetes; la premiere branchue appartiendrait, d’apres MM. Milne- Edwards et J. Haime, au systeme hexameral. et la seconde @videmment est octo- merale; elles ne peuvent done pas @tre r&unies, comme lindique l’Histoire des Coral- liaires. D’un autre cöte, M. Quenstedt persiste a appeler St. limbata une espece qui, ayant &t& publice apres l’autre, ne doit pas conserver ce nom. Je ne pense pas toutefois que ce soit l’espece ci-contre; ce serait plutöt notre St. Thevenini, qui a les calices tres-profonds; le peu de neltet@ des descriptions et des figures de Goldfuss et de Quenstedt m’a empäche de les reunir. Stylina Girodi, Et. — pl. LI. fig. 10. Astrea 12radiata (pars), Th. Coll. — Et. Cor. Ht.-Jura p. 64. Polypier en töte arrondie, un peu irreguliere; calices serres, peu profonds, eir- eulaires, uniformes; 3 cycles de cloisons minces, plus @paisses au centre et vers la muraille; les deux premiers subegaux, le troisieme tres-peu developpe et ä cloisons tres-minces. Columelle forte et un peu comprimee; 4 cycles de cötes, alternali- vement et fortement inegales, droites, confluentes avec celles des calices voisins. Diam. des calices — 4), a 5""; distances des polypierites = 5 a 8"". Epicorallien. — Caquerelle, Del&mont. — Assez rare. Comme on le voit, les calices sont un peu plus grands que dans la St. Girodi du Haut-Jura; les autres caracteres sont les mömes: aussi doit-on la considerer comme une variete de celle-ci. — 5369 — Stylina lobata, d’Orb. — pl. LI. fig. 11. Explanaria, Goldf. Petref. p. 110, pl. 35, fig. 5. — Br. Leth. p. 253, pl. 16, fig. 20. — Stylina, d’Orb. Proar. I, p. 386. — E. H. Hist. Cor. p. 245. — Fr. Mntr. Polyp. p- i91. — Astrea 10radiata (pars), Th. Coll. — Stylina tubulosa (pars), Br. Lerh. 1851, p- 108. Ensemble en töte assez eleve, irreguliere sur les cötes; calices gros et espaces; cötes inegales. mm Diam. des calices — 4""; des polyp. — 10"". Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. Stylina octosepta, Et. — pl. LI. fig. 12. Polypier en masse amorphe, un peu irreguliere, avec des bourrelets &pithecaux sur la hauteur. Calices peu saillants, &cartes, assez regulierement distanis et uni- formes. Cloisons debordantes, Epaissies sur la muraille, se continuant en cötes sail- lantes, portant des granulations, confluentes avec celles des calices voisins, mais alternes pour la taille; des intermediaires plus fines, non grenues, ne continuant pas les eloisons. Deux ordres de cloisons: le premier soude ä la columelle, qui est forte, styliforme; le second moins developpe. Haut. — 100 a 120”; diam. des cal. = 2 a 21/,””; diam. des polyp. = 3””. Zone astartienne. — Vieille-Route; Essert-Tainie. — Commun. On pourrait distinguer de cette espece deux ou trois varietes, fonddes sur de petites inegalites de forme et de diametre des calices; la forme generale est aussi plus irreguliere que dans les individus du Corallien. Stylina ramosa, E. H. — pl. LU. fie. 1. Pseudocenia ramosa et digitata, d’Orb. Prodr. I, p. 34. — Stylina, E. H. Polyp. paleoz. p. 61. — Hist. Cor. Il, p. 243. — Fr. Intr. polyp. p. 190. — Astrea’limbata, Qu. Handb. p. 647, pl. 57, fig. 15. — Der Jura, p. 701, pl. 85, fig. 1. — Thamnasteria Sradiata, Th. Coll. Polypier cespiteux, eleve, forme de branches allongees, irregulieres, tr&s-serrees, d’aspeet tres-rugueux, A courtes expansions flabelliformes sur les soudures. Calices profonds, a muraille mince et tranchante. Cloisons au nombre de 16; celles du premier ordre debordantes, cerätees, n’arrivant pas jusqu’au centre; celles du second, # - 30 — peu developpees. Traverses fortes et disposees en planchers; columelle reduite ä une faible saillie au fond du calice; trois ordres de cötes: celles des deux premiers egales, fortes, carendes, saillantes; les autres tres-faibles. Haut. — 400””; diam. des cal. — 2””, ou un peu plus; des polyp. — 3 a 4””; des rameaux — 30". Epicorallien. — Caquerelle. — Commun. La description type donne l’espece comme subdandroide; les autres caracleres paraissant les memes, quoique incompletement indiques. l'associalion m'a semble devoir etre faite. Stylina semitumularis, Et. — pl. LII, fig. 2. Astrea i2radiata, Th. Coll. Stylina semitumularis, Et. Ray. Montb. p. 23, pl. 3. fig. 11. Polypier en masse convexe, plus ou moins r&guliere. Calices inegaux et ine- galement serres, peu profonds; muraille faiblement elevee. Columelle forte et bien developpee, comprimee. Üloisons inegales suivant les ordres, les primaires assez epaisses, avec une dilatalion vers le centre, les secondaires ä peine plus minces que les pr&eedentes, presque aussi longues el aussi un peu €paissies vers le centre; les tertiaires faibles; 4 cyeles de cötes: celles des trois premiers eycles subegales, pouvant ndanmoins &tre distingudes par ordres; celles du quatrieme tres-fines. Haut. — 60””; diam. des calices adultes — 4\g””; des polypierites = 7 a 10". Hypovirgulien. — Sous-Waldeck. — Assez commun. Je ne separe qu’avee doute celte espece de la St. tumularis (Astrea Mich.), du moins telle que l’ont donnee MM. Milne-Edwards et J. Haime; une columelle un peu comprimde, des calices probablement moins eleves et plus petits m’ont paru des motifs suffisants d’eloignement. Stylina stellata, Et. — pl. LII. fig. 3. Petite espece en lame etalde, eupuliforme. Calices petits, peu profonds. non saillants. tres-espaces; 2 ordres de cloisons inegales; 32 cötes Egales. Haut. — 20””: diam. — 100””; diam. des calices = 11%””: intervalles calicinaux = 2 a 5"", Zone astarlienne. — Vieille-Route. — Rare. — 31 — Malgre les variations que presentent les St. octonaria et Bernardana. celle-ci a un aspect tellement different par l’eloignement des polypierites, quelle m’a paru cons- tituer une espece bien distincte. Stylina tenax, Et. — pl. LI. fig. 6. Astrea 12radiata, Th. Coll. Polypier amorphe, ou en masse subconique ou globuleuse, irreguliere. Calices assez serres, un peu proeminents dans les individus bien conserves, au niveau dans les autres. Cloisons inegales suivant les ordres, sur toutes les dimensions, plus diffe- rentes encore dans les jeunes, toutes saillantes sur la muraille, avec un renflement pro- noncee; 3 cyles; 4 ceycles de cötes inegales dans le jeune äge, subegales plus tard, le plus souvent confluentes avec celles des calices voisins; columelle forte, styliforme, un peu comprimee. Gemmation assez abondante. Haut. et diam. — S0 a 90""; diam. des cal. = 3””; diam. ‚des polyp. = pres de 6”. Zone astartienne. — Vieille-Route, Essert-Tainie. — Commun. L’association ä la St. Dufrenoyi (Ast. tubulosa, Mich. non Goldf.), par suite de ca- racteres externes ä peu pres semblables, ne peut avoir lieu maintenant, celle-ci n’etant pas sufisamment connue. La St. Valfinensis a des calices un peu plus petits et ses eloisons moins inegales et la columelle cylindrique. Stylina tubulifera, E. H. — pl. LI. fig. 5. Astrea, Ph. York., p. 126, pl. 3, fig. 6. — St. tubulosa, Mich. Icon. p. 97, pl. 21, fig. 6 (non Goldf.). — Decacenia Michelini, d’Orb. Prodr. II, p. 33. — Stylina, E. H. Brit. Cor. p. 76, pl. 14, fig. 3. — Hist. Cor. II, p. 244. — Et. Ray. Ht.-Jura, p. 69. — Fr. Mtr. Polyp. p. 191. — Astrea 10radiata, Qu. Handb. p. 648, pl. 57, fig. 30. — Der Jura, p. 702, pl. 85, fig. 4. — Th. Coll. Polypierites plus ou moins developpes, assez peu eleves, plus &cartes et plus hauts sur les bosselures; les cötes inegales, le plus souvent unies a celles des calices voisins, souvent aussi arrivant dans les intervalles et enfin, dans quelques individus, se soudant suivant une muraille polygonale assez &levee. Columelle tres-forte et saillante. %7 Deux varietes: une a les calices de 21/4”” de diametre, et l’autre de 3""; on trouve ces diametres quelquefois sur le m&me pied. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez commun. — Delemont. — Rare. Stylina virgulina, Et. — pl. LI. fie. 6. Astrea sexradiata, Th. Coll. (non Goldf.) Polypier en masse amorphe, ou conique irrdguliere, subplane superieurement. Calices eireulaires, serres, profonds; murailles minces, cylindriques, peu elevees. Deux eycles de cloisons, les primaires assez fortes, n’arrivant pas jusqu’au centre, les autres rudimentaires; 2 cycles de cöles egales, €paisses, et par consequent lres- espacdes. Columelle probablement tres-profonde et libre. Intervalles des calices faibles, plans, larges de 1””. Diam. des calices — un peu plus de 2”. Iypovirgulien. — Waldeck. — Assez rare. La columelle n’a pu &@tre examinee; comme elle devait etre libre dans une grande &tendue, elle a dü &tre detruite; plus profondement, le polypier est com- pletement denature par la fossilisation. Cette espece est remarquable par la dispo- sition de ses cötes; elle est m&me assez difficile a distinguer de cerlaines Convexastrdes usdes. Stylina Waldeckensis, Et. — pl. LI. fig. 7. Assez grande espece, amorphe ou en töte arrondie. Calices eirculaires, inegaux, a remmation abondante; murailles minces, peu elevees; centre calicinal profond. Les cloisons, au nombre de 16, distribudes en 2 ordres, celles du premier minces, cristi- formes sur la muraille, &paissies pres de la columelle; celles du second rudimentaires; egalement 16 cötes, subegales, continuant les cloisons. Columelle styliforme et profonde. Diam. des cal. = 3"”"; des polyp. = 41%, a 5"". Hypovirgulien. — Waldeck, Croix-Dessus? — Assez rare. Les calices de celle espece paraissent beaucoup moins &leves que ceux de la St. castellum, et les cötes et les cloisons sont moins €paisses. Un certain nombre de ealices n’ont que 6 cloisons prineipales; on en trouve aussi avec 7 et 9; la colu- melle parait tres-faible et semble n’ötre qu’un tubercule place au fond du calice. — 313 — Cyathophora Bourgueti, E. H. — pl. LI. fig. 8. Astrea, Defr. Diet. Se. Nat. XLIl, p. 350. — Ast. spherica, ibid. p. 382. — Cyathophora Richardi, Mich. Zcon. p. 106, pl. 26, fig. 1. — Stylina Bourgueti (pars), E. H. Ann. Se. Nat. X, p. 290. — Stylina Bourgueti et Cyath. Richardi, d’Orb. Prod. II, p. 34, 40. — Cyathophora Bourgueti, E. H. Polyp. paleoz. p. 62, X. — Hist. Cor. II, p. 271. — Cyath. Richardi, Fr. Int. Polyp. p. 279. Polypier en tete irreguliere; ealices eirculaires, ou subpolygonaux; les angles correspondants aux cloisons secondaires serres, peu saillants; cloisons assez Epaisses, peu larges, inegales; deux ceycles bien visibles, les autres rudimentaires et incomplets; cötes subegales; planchers bien developpes, regulierement convexes. Diam. des calices — 5"" Epicorallien. — Caquerelle. — Tres-rare. Les rares individus examines ici sont trop mal conserves pour qu'il soit possible de preeiser si c’est la Cy. Bourgueti plutöt que la Cy. Claudiensis; du reste, cette der- niere n’est peut-&tre que l’autre, beaucoup mieux conservee, ä laquelle elle arri- verait apres avoir et& denaturde par la fossilisation. D’un autre cöte, tous les indi- vidus que j’ai eu occasion d’examiner appartiennent le plus souvent les bons ä la seconde, les mauvais A la premiere. L’irregularite dans le nombre des systemes com- mence m&me depuis le premier cycle; les eloisons sont tres-etroites superieurement et s’elargissent seulement ä l’approche du plancher, sur lequel elles arrivent presque jusqu’au centre. Cyathophora minima, Et. — pl. LI. fig. 9. Polypier globulaire, irregulier, bossel&. Calices tres-petits, profonds, tr&s-serres; l’exotheque presque nulle; 2 cycles de cloisons inegales suivant les ordres, Epaisses contre la muraille, tranchantes, et s’arretant assez loin du centre; les cötes tres- courtes. Planchers bien developpes, plus epais encore vers les cloisons, determinant avec celles-ci dans les coupes de petits rectangles, dont la hauteur est ä peine plus grande que la largeur. Haut. = 50””; diam. des cal. = 1”"”; diam. des polyp. = 1%3""”. Zone astartienne. — Essert-Tainie? — Tres-rare. Cette espece pourrait peut-etre se placer dans les Convexasirees; elle est main- tenue ici a cause du peu de developpement de l’exotheque. — 31 — Convexastrea semiradiata, Et. — pl. Lil. ig. 10. Astrea serradiata, Th. Coll (non Goldf.). Polypier plus ou moins tale, subplan ou convexe. Calices ü peine saillants, profonds, espaces; 2 eycles de cloisons inegales suivant les ordres, Epaisses, peu larges, cristiformes sur la muraille et se conlinuant en cötes non confluentes avec celles des calices voisins, entre lesquels elles se terminent en pointes. Planchers bien developpes. Haut. — 40””; diam. — 80”":; diam. des calices — 1'%”"”: diam. des polyp. = 3", Zone astartienne. — Vieille-Route, Essert-Tainie. — Assez commun. Au premier aspect, cette esp&ce appartient r&ellement aux Convexastrees el est voisine en particulier de la €. serradiata; mais les planchers sont tellement developpes qu’elle pourrait aussi entrer dans les Cyathophores; ces planchers se retrouvent dans toutes les autres Convexastrees; les caracteres dilferentiels deviendront alors: des cloisons plus larges, des cötes fusiformes, non confluentes, qui existent cependant chez les pr&c&dentes, et un developpement plus grand de l’exotheque. Astrocenia pentagonalis, d’Orb. — pl. LI, fig. 11. Astrea, Goldf. Petref. p. 112, pl. 38, fig. 12. — Astrocenia, d’Orb. Prodr. I. p. 286. Astrocenia? E. H. Hist. Cor. II, 261. Polypier en masse amorphe, irreguliere, de faible taille; polypierites polygonaux, ordinairement pentagones, irr&guliers; calices peu profonds; 3 ceycles irreguliers et incomplets, difficiles a distinguer; les cloisons inegales suivant les ordres, variant de 12 a 24”; columelle d’assez faible taille; murailles peu Epaisses. Diam. des polyp. = 2””. Epicorallien. — Caquerelle. — Commun. La Thamnastrea concinna usce ressemble beaucoup a cette espece; ici, les cloisons ne sont pas confluentes avec leurs voisines, oulre qu’elles ne sont pas dentees. Actinocenia stellata, Et. — pl. LI. fig. 12. Polypier d’assez petite taille, discoide, convexe, etroitement pedoneule; calices a partie externe plane, ä fossette profonde; muraille tres-mince; rayons septo-cosltaux €pais, alternes avec ceux des calices voisins, formant deux cyles; quelques tubereules — 31 — intercostaux, commencement d’un troisieme eyele. Columelle eylindrique, &paisse, saillante, occupant le fond du calice; Epitheque Epaisse et ondulee. Diam. des calices = %,""; diam. des polyp. = 11/2"”. Epicorallien. — Caquerelle. — Tres-rare. Le bel individu rencontre a la Caquerelle a tous les caracteres internes de ceux du Haut-Jura; les polypierites depassent un peu 11/2", sans atteindre 2””; il forme une petite masse constitude par eing ou six lobes arrondis, et a une taille de 60"”, ainsi plus grande que ceux de St.-Claude, qui n’auraient pas &te rencontres a l’etat adulte. Heliocenia variabilis, Et. — pl. LIl. fig. 13. Ray. Ht.-Jura p. 75. — Stylina ? Fr. Intr. Polyp. p. 193. Polypier en masse convexe, plus ou moins irrdguliere; calices serres, assez ele- v6es, elliptiques. Cloisons Epaisses anterieurement, un peu debordantes, depassant peu le bord calieinal, conlinudes par une granulation fine, serree; columelle saillante, styliforme, un peu aplatie. Haut. — 80”"; diam. des calices — 1!/2””. Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. En plagant cette espece dans les Stylines, M. de Fromentel ne parait pas avoir compris le genre dont elle est un des types; l’absence de tissu compacte, le non- remplissage des loges, l’aspect general me semblent devoir la laisser ici de prefe- rence, au lieu de la placer dans les Oculinides, comme l’a fait M. de Fromentel pour le genre tres-voisin des Stylohelia. Allocenia trochiformis, Et. — pl. LU. fig. 14. Astrea, Mich. Icon. p. 115, pl. 27, fig. 6. — Stephanocenia, d’Orb. Prodr. Il, p. 35. — E. H. Hist. Cor. 1, p. 267. — Allocenia, Et. Ray. Ht.-Jura p. 18. - Pentastrea pul- chella, Th. Coll. Polypier amorphe, de petite taille; calices serres, polygonaux, peu profonds; co- lumelle saillante, styliforme, comprimee; une seule couronne de palis soudes ä la columelle dans presque toute sa longueur, allonges, obliterant les cloisons du premier cycles; celles du second, saillantes, unies ä la columelle; le troisieme plus etendu que le premier. Muraille assez epaisse, epitheque complete, plus ou moins ondulee. —_ 3716 — Haut. — 30 a 40”; diam. des cal. — I1%””. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez rare. Dans quelques exemplaires bien conserves les cötes sont couvertes de granu- lations tres-fines et irregulieres. Serait-ce lä un eflet de cristallisation ou un indiee de division des cloisons? Nous n’avons pu, ä cel &gard, acquerir aucune cerlitude. Les cloisons paraissent €galement granulees lateralement. Nous laissons donc provisoire- ment cette espöce pres des precedentes. Leptophyllia depressa, Et. — pl. LI. fig. 1. Ray. Ht.-Jura, p. 82. Polypier turbine, etroitement pedoneule, ä calice subeirculaire, peu profond, sub- plan dans quelques individus; une fosselte assez creusce au centre, unie au reste par des bords plus ou moins declives. Cloisons tres-fines, serrdes. subegales, de möme niveau superieur. uniform&ment dentees; 6 cycles, le dernier incomplet. Cötes tres-faiblement marquees sous le vernis Epithecal. Haut. — 10 a 12”; diam. 15 a 20°”, Epicorallien. — Caquerelle. — Assez commun. Cette espece a une cerlaine ressemblance avec la Lobophyllia incubans, Mich. ; celle-ci n’est pas assez connue pour que l’associalion puisse @tre regardde comme certaine. Accidentellement un individu s’est montr& double par suite d’une reproduction par gemmation, qui a eu lieu assez pres du centre. Montlivaultia Bonjouri, Et. — pl. LIU. fig. 2. Ray. Hi.-Jura, p. 85. . Polypier turbine, subeylindrique superieurement. Calice eirculaire ou un peu elliptique; cloisons tres-minces, finement dentees; celles des premiers eycles sube- gales, r&gulierement radices, non debordantes, entieres; 6 cycles et le commence- ment du 7* Cötes subegales. finement granulees; Epitheque tres-Epaisse, en s’arretant a 10”” du bord calieinal. h Haut. — 60”; diam. — 38 sur 42”, Epicorrallien. — Caquerelle. — Tres-rare. — 377 Montlivaultia cuneata, Et. — pl. LIll. fig. 3. Ray. Montb. p. 24, pl. 4, fig. 16. Petite espece, peu elevee, pas plus haute que large, comprimee, inclinee, faible- ment coudee, acuminee ä la base, probablement libre. Calice elliptique assez pro- fond. Cloisons minces, peu inegales, nombreuses, serrees, un peu debordantes sur la muraille, formant 5 eycles complets. Haut. — 12””; diam. des cal. = !1 sur 15 Zone strombienne. — Porrentruy, etc. — Assez commun. Ceite espece est de la taille des Leptophyllies du Corallien; comme elle n'est connue que par des moules, il est difficile maintenant de preeiser le genre oü elle doit entrer. Cette espece existe partout, sans @tre bien abondante; peut-etre est-elle difficile a retrouver au milieu des transformations de nature et de forme que lui a fait subir la fossilisation. um . Montlivaultia dilatata, E. H. — pl. LI. fig. 4. Caryophyllia, Mich. Icon. p. 86, pl. 17, fig. 4. — Lasmophyllia, d’Orb. Prodr. ll, p. 30. — Montlivaultia, E. H. Brit. Cor. p. 83 (non M® Coy). — Montlivaultia, Hist. Cor. p. 300. — Fr. Int. Polyp. p. 116. — Authophyllum variabile (pars), Th. Coll. Grosse espece, courte, conique, renflee ä la base, un peu coudee; calice sub- eirculaire, peu profond; 52 cycles, formes par 140 cloisons serrees, arrivant droites au centre, inegales suivant les ordres; centre columellaire non allonge. Haut. — 45””; diam. = 50””. Zone corallienne. — Mont-Terrible. — Assez rare. Montlivaultia elongata, E. H. — pl. LIN. fig. 5. Guett. Mem. Ill, pl. 26, fig. 6. — Caryophyllia elongata, Defr. Diet. Sc. Nat. VII, p. 193 (non Mich.). — Cary. moreausiaca et clavus, Mich. Icon. p. 85, pl. 17, fig. 1, et p. 87, pl. 17, fig. 6. — Lasmophyllia moreausiaca, d’Orb. Prodr. Il, p. 30. — Montlivaultia Morellana, E. H. Polyp. paleoz. p. T5. —- Montl. elongata. E. H. Hist. Cor. p. 304. — Fr. Intr. Polyp. p. 112. ] Polypier eleve, subeylindrique, a peine courbe, assez epais. Üalice eireulaire; cloisons regulieres, d’epaisseur peu differente; cötes subegales, cependant alternative- ment un peu plus faibles; 5 cyeles complets. — 318 — Haut. — 9""; diam. — 40°", Zone corallienne. — Mont-Terrible. — Rare. L’Histoire des Coralliaires indique 72 cloisons; c’est la seule difference notable, si tant est que, dans lindividu decrit, les cloisons aient pu &tre toutes comptees. Montlivaultia grandis, Et. — pl. LIN. fig. 6. Ray. Ht.-Jura p. 54. — Anthophyllum variabile (pars), Th. Coll. Polypier allonge, droit: calice elliptique, profond; cloisons regulierement dentees, celles des premiers eycles sensiblement plus €paisses, les unes droites, les autres rapprochees du grand diametre, arquees en dedans, pour rejoindre une columelle ideale, large de 10“”, sans dents ä leur bord interne, toutes un peu €paisses, vers cette columelle; 6 evcles et le commencement du 7”; epitheque Epaisse. Haut. — 130“"; diam. des cal. — 35 sur 40”, Epicorrallien. — Mont-Terrible. Assez commun. Je reunis ä cette espece dillerentes formes coniques, courbees ä la base, qui en sont probablement les jeunes. quoique les passages ne puissent @tre saisis faci- [7 lement. Montlivaultia astartina, Et. Haut. — 100”*; diam. des cal. = 25 sur 35””. Zone astartienne. — Vieille-Route. — Assez commun. Malgr& une taille plus faible et un nombre moindre de cloisons (140 environ), ces derniers individus semblent ä peine differents de ceux de la Montl. grandis, tous les autres caracteres visibles etant identiques. La M. plicata parait renfermer plusieurs especes, dont celles-ci sont deja separdes. Sous le nom d’Authophyllum variabile, Thurmann en a reuni un beaucoup plus grand nombre encore. Montlivaultia incurva, Et. — pl. LI. fig. 7. Polypier peu elev&, plus large que haut, ä base tres-£troite, probablement libre. fortement coude ou recourbe ä la base; l’origine se trouvant meme en-dehors du eontour calicinal. Calice elliptiqgue, a courbe peu excentrique; cloisons fines, sub- egales, plus de 5 cycles (110). Haut. — 16”; diam. des cal. = 30 sur 36”. Zone strombienne. — Haut-de-Cauve. — Assez rare. -- (Moules). Montlivaultia subeylindriea. E. H. - pl. LIN. fie. 8. Caryophyllia, Mich. Teon. p. 56, pl. 17, fie. 3 et ?2. — Lasmophyliia, d’Orb. Prodr. II, p. 30. — Montlivaultia, E. H. Polyp. paleoz. p. 14. -—- Hist. Cor. p. 304. — Fr. ır. Polyp. p. 117. Grande espece, tres-etroite, subeylindrique,. un peu renflee par places, faiblement courbee. Calice eirculaire, souvent de plus petit diametre que l’ensemble, assez peu profond. Cloisons inegales suivant les ordres, celles du premier cycle fortes et de- bordantes (72 a 76); le einquieme souvent incomplet et compose de cloisons assez minces; pas de dentelures au centre. Epitheque non observee. Haut. = 50 a 100””; diam. — 20”. Epicorallien. — Mont-Terrible. — Assez commun. Les individus du Jura Bernois, tout en conservant le diametre de la var. minor Mich., depassent m&me la hauteur de la figure 2, sans avoir cependant le m&me diametre. Montlivaultia vasiformis, E. H. — pl. LI. fie. 9. Caryophyllia, Mich. Icon. p. 88, pl. 19, fig. 5. — Acrosmilia, d’Orb. Prodr. 1, p. 30. — Montlivaultia, E. H. Polyp. paleoz. p. T5. — Hist. Cor. p. 311. — ? Fr. Intr. Polyp. p- 110. Polypier en cöne court, a base plus ou moins etroite, grele meme, un peu courbee. Calice subeireulaire, assez profond, irregulier. Cloisons nombreuses (140 environ), minces, droites, finement granulees en haut, dechiquetees vers le centre. oü elles determinent une apparence de columelle spongieuse, etroite et cylindrique. Cötes egales; Epitheque non observee. Haut. — 35 a 40”"; diam. des cal. = 25 a 30””. Epicorallien. — Mont-Terrible. — Assez commun. L’etroitesse de la base, l’irregulariie du calice. la finesse des cloisons m’ont fait rapporter les individus qui offrent les caracteres preeites ä l’espece de la Meuse, quoique celle-ci ne soit pas suflisamment connue, et en supposant que Fune et l’auire soient des Montlivaultia. Montlivaultia virgulina, Et. — pl. LI. üg. 10. Espece de moyenne taille, conieo-eylindrique, allongee, comprimee et & peine coudee. Calice elliptique, assez profond. Cloisons inegales, assez minces, peu 18 — 330 — debordantes, fortement dentdes, surtout au centre, et les d&coupures determinant une columelle spongieuse, elliptique; 5 eycles complets et peut-@tre quelques cloisons du 6°, Epitheque complete, &paisse, portant de forts bourrelets horizontaux ou oblique- ment ondules. Haut. — 50”"; diam. des cal. — 25 sur 14"”. IHypovirgulien. — Croix-Dessus; Waldeck? Assez rare. Montlivaultia Waldeckensis, Et. pl. LIN. fig. 11. Petite espece, courte, conique. Calice profond, subeireulaire, un peu elliptique; eloisons inegales, assez minces, formant 5 eycles complets; les dents internes deter- minant une sorte de columelle cireulaire etroite. Haut. — 20”"; diam. — 18 sur 14””. Hypovirgulien. Croix-Dessus; Sous-Waldeck. — Assez rare. Je note seulement pour memoire ces deux especes. tous les caracleres n’ayant pu &tre convenablement observes. Rhabdophyllia cervina, Et. — pl. LIV. fig. 1. Thecosmilia cervina, Et. Jura Graylois, 1860, p. 18. — Lithodendron plicatum, (du. Der Jura, p. Til, pl. 87, fig. I (non fig. 2, non Pusch, non Goldf.). Polypier form& d’un assez petit nombre de branches tres-läches, subeylindriques, irregulieres, enchevetrees; les calices en Lete, quoique d’inegale hauteur; bifurcation assez rapide, se faisant a des distances de 40”" environ. Calices le plus souvent un peu comprimes, profonds; cloisons minces, inegales suivant les ordres‘, les der- nieres Ir&s-faibles; 4 eveles incomplets, environ 40 eloisons; aulant de cötes &gales, fortes. saillantes, porlant 3 ou 4 series de granulations un peu alternes, ordi- nairement r&duites par la fossilisalion a l’etat de simples tubereules; quelques rares bourrelets. Haut. — 100 a 120”"; diam. des calices simples et des branches — 7 a 8"". Hypocorallien. -— Caquerelle. — Assez commun. C'est peut-Ötre le Lith. plicatum, mais moins serre, surtout si on adopte la figure donnde par M. (Quenstedt; les quelques plis que l’on remarque par places nous avaient d’abord fait placer cette espece dans les Thecosmilies; comme nous n’avons pu re- connailre l’Epitheque avec cerlitude, nous la laissons ici provisoirement. Ce n'est pas toutefois le veritable Lich. plieatum, qui a &t6 place dans les Latimdandres. — 3831 — Rhabdophyllia flabellum, Et. — pl. LIV. fig. 2. Calamophyllia flabellum, Blainv. Diet. Sc. Nat. WX, p. 312. — Man. p. 347. — Litho- dendron, Mich. /con. p. 94, pl. 21, fig. 4. — Calamophyllia, E. H. Rech. Ann. Xl, p. 262. — Eunomia, d’Orb. Prodr. II, p. 32. — Calamophyllia striata (pars), E. H. Hist. Cor. Il, p- 345. — Fr. Mir. Polyp. p. 136. — Lith. rauracum, Th. Coll. Polypier cespiteux, compose de rameaux assez peu dichotomes, paralleles, tres- serres, comprimes, triangulaires, rarement elliptiques; nodosites et inegalitles sur les aretes comme sur les flancs. Üloisons fines, saillantes, granulees, egales, ou insen- siblement inegales; 4 eycles et des cloisons du 5° dans deux des syst&mes. Haut. — 150”"; diam. moyen = 6"". Epicorallien. — Caquerelle. — Commun. Ce n'est peul-eire ici qu’une variete moins grande de la R. strangulata, Et. (R. un- data, Ei. Ray. Ht.-Jura p. 87); les caracteres de details sont idenliques. Quoique MM. Milne-Edwards et J. Haime rapportent aux Calamophyllies le Lith. flabellum, je n’hesite pas par la forme generale a idenlifier les deux especes, l’individu figure elant visible- ment altere. Zone astarlienne. — Porrentruy (Vieille-Route). — Bressaucourt. — Assez rare. Zone Strombienne. — Porrentruy (Hi.-de-Ceuve). — Rare. Je n’apergois aucune difference entre les individus de ces deux niveaux et ceux du Corallien, avec ceite reslrietion toutefois que le iype du /labellum n’est qu'une variele de l’espece iype, qu'il est presque toujours possible, du reste, de retrouver sur le möme pied, cette compression des rameaux n’etant pas generale. Il faudrait alors y r&eunir comme synonyme la R. kimmeridgiensis, Fr. Intr. Polyp. p. 135, et meme la A. Micheloti, quelques pieds se montrani irreguliers, comme nous avons pu, du reste, le conslater pour la A. strangulata, si abondante dans le Corallien du Ht.-Jura. Cette irregularite des branches se monire dans tous les jeunes individus el cesse ordi- nairement plus tard. Rhabdophyllia strangulata, Et. — pl. LIV. fie. 3. Calamophyllia strangulata, d’Orb. Proar. Il, p. 31. — KRhabdopkyliia, undata, El. Ray. Cor. p. 87T (non E. H.). — Rhabd. valfinensis, Fr. Intr. Polyp. p. 138. Polypier en touffe serree, forme de polypierites plus ou moins dichotomes, ordi- nairement droits, assez serres, arrondis, ou le plus souvent triangulaires; cöles fines, subegales, plus ou moins marquees, continues, souvent en laisceaux et dichotomes. Cloisons minces, formant > cycles. Haut. 150 a 200°”; diam. des liges = 10”” en moyenne. Corallien. — Caquerelle. — Rare. L’association que nous avions faite autrelois des Ahabd. undata et strangulata venait d’une observation faite daus la collection Bernard, determinee par d’Orbigny; comme nous avons donne la description de la Calam. ir gern reelle. ce dernier nom nous semble devoir &tre adopte de preference. Cladophvllia suprajurensis, Et. — pl. LIV. fig. 4. Polypier en buisson, a rameaux tres-nombreux, allonges, @lroits, cylindriques, assez serres. inegaux. Calices circulaires ou elliptiques pres des bifurcations, qui sont assez rares et n’arrivent que deux ou trois fois sur la tige, ä parlir de la base. Cötes fines, egales, granuleuses, formant 4 eycles complets, plus quelques-unes du 5* , au nombre d’environ 60. Epitheque caduque, peu Epaisse, formant seulement par places des bourrelets plus robustes, qui seuls restent sur les polypierites. Haut. — 140°”; diam. des tiges — 3 et rarement 4”; distances des bifurcations — 50 a 60”". Zone strombienne. — Banne. — Rare. Cladophyllia Thurmanni, Et. — pl. LIV. fig. 5. Petite espece a rameaux dichotomes, assez peu serres, un peu enchevätres, se bifurquant sous des angles de 25 a 30°, et a des distances de 10 a 15””; rameaux eylindriques, a peine courbes d’une bifurcation ä l’autre. Epitheque complete et tres- forte. formant de gros bourrelets horizontaux, quelquefois un peu inclines; 3 cycles ordinairement incomplets, le nombre des cloisons variant de 16 20 ou 24; celles-ci €paisses, inegales suivant les ordres, les dernieres peu d@veloppees. Diam. des tiges = 3 a 4”". Epivirgulien. — Combe-Voitelier. Assez commun. Cette espece est, pour la forme et le diametre, intermediaire entre les deux figures donndes par Goldfuss pour le Lith. dichotomum; celle-ci est incompletement connue. Calamophyllia virgulina, Et. — pl. LIV. fie. 6. Polypier peu &leve, compose de rameaux assez peu serr&s, cylindriques, un peu — 9383 — irreguliers et recourbes, se dichotomisant sous un angle variant de 5 a 30°, etä intervalles assez rapproches. Calices circulaires ou promptement elliptiques pres des points de separation ; cloisons assez €paisses, 4 cycles complets. Bourrelets epithe- caux bien distincts, libres, horizontaux ou tres-peu obliques, rapproches les uns des autres de 11% a 2”. Haut. — 80 a 90”";, diam. des calices = 8""”. Hypovirgulien. — Croix-Dessus. — Rare. L’espece la plus voisine est la €. connecta (Thecosmilia olim) du Corallien du Haut- Jura: dans celle-ci, les polypierites sont unis sur une grande hauteur. Thecosmilia Bruntrutana, Et. — pl. LIV. fig. 7. Grande espece, assez peu rameuse; polypierites subeylindriques ou elliptiques, s’isolant tres-rapidement, dichotomes, tres-rarement trichotomes, sous un angle de 60°, marchant ordinairement par deux et formant superieurement et lateralement 12 a 15 calices, en lete assez irreguliere; ceux-ci peu profonds, subeirculaires, sur une assez grande longueur, puis se dilatant tout-a-coup en longueur et en largeur a l’instant de la bifurcation. Cloisons minces, peu inegales, faiblement debordantes, au nombre de 60 a 70; le meine nombre de grosses cötes, Egales, A granulations regu- lieres, elevees, bien distinetes et placdes sur une m&me ligne. Columelle spongieuse, assez developpee, oceupant le !/; du diametre de la tige. Epitheque non observee. mm, Diam. des tiges et des calices jeunes = 10""; diam. des calices ä l’&poque de la Fon S mm bifurcation — 15 sur 25””; distance des bifurcations = 25 a 35””. Hypovirgulien. — Croix-Dessus; Waldeck. — Assez commun. Thecosmilia erassa. d’Orb. — pl. LIV. ig. 8. Dendrophyllia glomerata et dichotoma? Mich. Zeon. p. 88, pl. 18, fig. 3 et 4. — Theco- smilia glomerata el crassa, d’Orb. Prodr. II, p. 31. Polypier cespiteux, peu eleve, assez serr&, forme d’un petit nombre de branches inegales en longueur et irregulierement distribudes; distance des bifurcations 20 Aa 30”"; tige eylindrique, m&öme assez pr&s du point de separation. Calices peu pro- fonds, avec une fausse columelle spongieuse, assez &troite, produite par les dents internes des cloisons; celles-ci nombreuses, minces, droites, inegales en longueur suivant les ordres; cötes egales, l&gerement &paisies, au nombre de 90. Epitheque assez mince, marquee de faibles bourrelets, en general absente. . 354 Haut. — 100 a 120”"; diam. des liges = 12 a 18”". Epicorallien. — Caquerelle, Pont d’Able. Assez commun. D’Orbigny nous semble avoir abandonne a tort le nom de dichotoma, qui ne faisait aucune doule cependant; comme ce nom n'est rien moins que deseriplif, nous avons adopte celui de l’auteur de la Paleontologie francaise. La Th. glomerata n’a ete associde qu’avee doute. Thecosmilia irregularis, Et. pl. LIV. fie. 9. Polypier cespiteux, tres-clale, peu eleve, forme de branches assez faibles, de taille differente, irregulieres, subeylindriques ou aplaties. se bifurquant rapidement ä des distances de 20 ä 30”" et dans tous les sens: calices tous de m&@me niveau, nombreux, plus ou moins serres, & fissiparit& Ires-abondante, tres-inegaux, irreguliers, rarement eirculaires, separes cependant par des intervalles ä peu pres constants de 4””. Üloisons assez minces, inegales suivant les ordres. formant 5 ceyeles. Haut. — 100 a 120”"; diam. moyen — 8"””, variant de 6 a 185"”. Zone astarlienne. Vieille-Route: Essert-Tainie. — Rare. Cette espece, dont la disposition generale est a peu pres la möme que celle de la Th. magna, se dislingue par ses rameaux plus petits, plus irreguliers, ce qui Jui donne un aspeect tout different. Thecosmilia laxala. Et. pl. LIV. fie. 10. Espece assez elevce, formee d’un petit nombre de rameaux läches, etales. dicho- tomes sous un angle mediocrement aigu. Tige toujours eomprimee, m&me aussilöt apres la bifurcation, celle-ei ayant lieu a des distances inegales (30 a 60""); calices peu profonds; une apparence de columelle spongieuse, faible: cloisons minces, quoi- que inegales, suivant les ordres, non debordanles, environ S0 cloisons par calice, aussitöl apres bifurcation. Üötes subegales; epitheque non observee. Haut. — 150""; diam. des cal. = 15 sur 10 a 12"". Epicorallien. — Caquerelle ; Pont-d’Able. — Assez commun. Celle espece n’a point les cloisons aussi inegales el aussi debordantes que la Th. Buvigneri; les cöles sont plus egales, les liges moins eylindriques, du moins en la comparant a lespece du Corallien inferieur de la Haute-Saöne, qui parait r&unir tous les caracteres de celle de la Meuse. 335 — Thecosmilia magna, Et. — pl. LIV. fig. 11. Lithodendron magnum, Th. Coll. Polypier cespiteux, assez peu eleve, forme& de branches &paisses, solides, eylin- driques, serrees, se bifurquant rapidement a des distances de 30 A 40””; tous les ques, polypierites s’accoissant de maniere ä former superieurement une surface subplane ou faiblement convexe; 40 rameaux environ; les intervalles de 5"". Calices pro- fonds, en grande majorite subcireulaires; cloisons d’inegale largeur suivant les ordres, ) =) > [ ö mais fines et ä peu pres inegalement epaisses; 5 eycles, dont le dernier incomplet, savoir 80 cloisons en moyenne; 32 cötes &gales, sranuldes par 10”". J I © » © pP Haut. probable — 150""; diam. des calices — 12””. Zone astartienne. Essert-Tainie. — Assez rare. Thecosmilia sublevis,. Et. — pl. LV. fie. 1. Lithodendron leve, Mich. icon. p. 93, pl. 19, fig. 8. — Th. Coll ‚non Th. Levis, Et. Ray. Ht.-Jura). — Eunomia, E. H. Ann. Sc. Nat. Xl, p. 260. — Cladophyllia, Hist. Cor. p. 364. — Fr. mtr. Polyp. p. 145. Polypier cespiteux. tr&s-eleve, large, forme d’un grand nombre de branches serrdes, sans se toucher cependant, subeylindriques ou comprimees, irregulieres. tr&s- inegales, bifurquees sous des angles tres-aigus et a de longs intervalles, le plus souvent rapidement separes. Ualices assez peu profonds; cloisons inegales suivant les ordres, formant en general 5 eycles, plus et surtout moins suivant les dimensions des calices. Epitheque tres-epaisse, formant sur la tige de forts bourrelets ondules, et plus forts encore a des distances de 10”" en moyenne. Haut. — 5 a 600""; diam. des liges — 5 a 25""; dist. des bifurcations — 100”” en moyenne. Epieorallien. — Caquerelle. — Rare. L’inegalitö et l’el&vation des bourrelets m’ont semble suffisamment distinguer cette espece de la Th. Claudiensis, dont les allures sont A peu pres les m&mes. A T'epoque de la publication de mes Rayonnes du Corallien du Haut-Jura, aucune Theeosmilie n’etait designee sous le nom de Ievis; ce nom devrait revenir ä l’espece de l’/conographie, mais pour &viter un double emploi nous designons celle-ci sous le nom de sublevis, d’autant plus que le donne:ne presente pas une idee exacle de la disposilion de la surface. 356 Thecosmilia trichotoma. E. H. — pl. LV. fig. 2. Lithodendron Gold. Petref. p. 45. pl. 13, fig. 6. — Rem. Nordd. Ool. p. 19, pl. 1, fig. 9. Qu. Der Jura, p. 710, pl. 46, üg. 13. — Caryophyllia, Blainv. Diet. Se. Nat. LX, p. 312. — Br. Lethea, p. 258, pl. 16, fig. 16. — Edw. in Sk. Il, p. 358. — Lla- docora, Br. Index p. 304. — Thecosmilia, E. H. Ann. X, p. 270? — Hist, Cor. p. 356 et Fr. nır. Polyp. p. 142. Grosse espece, courte, etalde, se bifurquant a des distances inegales, en 2, 3 et möme 4 branches; rares bifurcations secondaires; les branches dirigees dans tous les sens. Calices profonds; cloisons grosses, &paisses, espacces. au nombre de 30 4.45 par calice. Epitheque tres-Epaisse. Haut. — 100”” environ; diam. — 15 a 235””, Zone corallienne. — Mont-Terrible. — Tres-rare. Jusqu’ä present cette espece a et& represenlee d’une maniere assez inexacte; les figures de Remer et Quenstedt indiquent des cloisons grosses et rares; c'est aux individus qui oflrent ce caractöre que nous reservons le nom de trichotoma. (ienre Stiboria. Et. Cor. Haut-Jura, Suppl. p. 10. Polypier massif, etroitement fixe, en James peu &paisses; les series d’assez faible longueur; calices doubles, plus ou moins torlueux, separes par un sillon assez elroit, au fond duquel on apergoit plusieurs series de granulalions; lissu peu compacte. Centres complelement indistinets, pas de columelle. Les cloisons dentees seulement pres du centre; une Epilheque. Les Lithophylliacees meandroides sont tres-rares dans les terrains jurassiques; nous avons deja demontre (Ray. Hi.-Jura p. 57). que la plupart des especes altribuces aux Meandrines devaient rentrer dans les Eusmiliens. Les Meandrina tersella, Goldi. (non Mich.) et M. venustata, Mich. ne sont pas suflisamment connues et semblent avoir ie elablies sur des speeimens denatures. La premiere a et& placde avec doute par MM. Milne-Edwards et J. Haime dans les Meandrina et les Leptoria; plus tard M. de Fromentel a donne cette derniere association comme certaine, probablement sur d’autres observations que celles de la figure des Prirefacta. Ce genre se distingue des genres Meandrina, Manicina, Diploria, Leptoria, Celoria par 'absence complete de columelle; ila les collines creusdes, comme les Diploria et quelques Manicina. Les Hydnophora n’ont — 381 — pas non plus de columelle, et les arötes simples sont peut-ätre le seul caractere differentiel de grande valeur. Stiboria suprajurensis, Et. — pl. LVI. fig. 1. Polypier d’assez grande taille, en lame peu &paisse, adherente par un pedoncule etroit; surface superieure inegalement plane. Series assez courtes, plus ou moins droites, quelquefois tres-contournees. Collines creusees en leur milieu d’un sillon assez etroit, garni au fond de quelques rangees de granulalions. Cloisons Epaisses. un peu debordantes, tranchantes en haut et non decoupees, portant seulement vers le centre 3 ou 4 dents assez grosses, qui n’apparaissent pas en outre sur les primaires: centres indistinets, quelquefois cependant des inflexions qui indiqueraient une moyenne de 16 eloisons par calice; les primaires un peu plus fortes que les autres et souvent soudees a leurs opposees. En-dessous, une Epitheque qui parait avoir ete complete et assez forte; sous celle-ci, des cötes espacdes recouvrant un selerenchyme comme divise en branches dichotomes. Diam. des series = 5""”; leur long. — 5 a 20”": 32 cötes par millimetre. Zone virgulienne. — Alle. — Rare. Nous avons rencontre cette curieuse espece dans les bancs marno-calcaires co- lores, contre lesquels est adossee la plus grande partie du village d’Alle, couches remarquables par la quantite de petils gasteropodes qu’elles renferment et que nous ne. connaissions pas ä l’&poque de la redaction des premieres parties de ce travail. Nous pouvons comparer cette espece a la Meandrina bisinuosa, que MM. Milne-Edwards et J. Haime regardent comme une Symphyllie douteuse; avec une largeur un peu moindre, les series sont beaucoup plus courtes dans la Stiboria suprajurensis. On trouve des individus comme formes de lames superposees de 4&5”” d’epaisseur; les collines sont presque toules caverneuses avec cristaux interieurs, ce qui nous a fait supposer que le tissu n’en etait pas tr&s-compacte. Favia magniflora, Et. — pl. LV. fig. 3. Polypier d’assez petite taille, en masse arrondie; calices ovalaires, peu irregu- liers, la fissiparit& &tant tres-prompte. Calices Espaces, larges et parlant peu nom- breux sur la surface du polypier, assez profonds, peu &leves. Cloisons minces, inegales suivant les ordres, surtout quant ä la largeur; 6 eycles, le dernier plus ou moins complet et etant en outre forme de cloisons rudimentaires. Columelle spongieuse, 19 BEE; bien distinete. quoique peu developpee, formee de 15 a 20 poutrelles et dents internes relevees, qui oceupent le centre du calice sur un diametre de 2”. Diam. du polypier — 30 a 70”"; diam. des calices — 12 ä 15””; intervalles ealiecinaux — 11% Hypovirgulien. — Roche de Mars; Croix-De:sus. Assez rare. Favia Gresslyi, Et. — pl. LV. fig. 4. Polypier en lame peu Epaisse, convexe; calices eirculaires, ou ellipliques, un peu inegaux et irrguliers, assez profonds, tres-serres; columelle nulle, ou marqude par quelques dents internes; eloisons inegales suivant les ordres; probablement 5 eycles incomplets, le dernier ici nul, d’oü seulement 40 cloisons €paisses, indgales suivant les ordres; muraille bien d@veloppee. Epitheque assez forte. Diam. des cal. — 10"", quelquefois — 12"”"; intervalles = 2"". Zone astartienne. — Vieille-Route. — Tres-rare. Un seul individu, un peu d@nature, ne permet pas de juger si le dernier eycle est complet; ses eloisons plus epaisses, les calices un peu plus grands que dans la Favia Michelini du Corallien, avec laquelle elle a le plus de ressemblance, ne le laissent pas confondre avec celle-ci. Favia Thurmanni, Et. — pl. LV. fig. 5. Ray. Montb. p. 27, pl. 6, fig. 25. Espece de grande taille, peu elevee, etalee, a surface un peu inegale; calices subeirculaires, irreguliers, assez espaces, peu profonds; cloisons faiblement debor- dantes, in@gales suivant les ordres, formant 5 eycles incomplets, au nombre de 60, dont les 30 dernieres rudimentaires. Columelle nulle. Diam. des cal. = 6""; intervalles calicinaux = !% A 11/2". Hypovirgulien. — Croix-Dessus; Waldeck. — Assez commun. Celle espece ne se distingue qu’avec diflicull@ des F. Michelini et Nautuanensis, la derniere n’etant probablement qu’une variele de la premiere; des calices un peu plus pelits, moins prolonds, plus espaces, des cloisons moins debordantes, un polypier plus etal& sont des dillerences qui paraissent constantes, les individus eludies n’elant pas d’une conservalion parfaite. — 389 — Confusastrea Burgundi@, d’Orb. — pl. LV. fig. 6. Astrea, Blainv. Diet. XL, p. 329 (non Leym.). — Mich. Icon. p. 106, pl. 24, fie. 4. — Confusastrea, d’Orb. Prodr. Il, p. 36. — E. H. Hist. Cor. p. 452. — Et. Ray. Ht.-Jura p- 103. Pentastrea, Th. Coll. Polypier de grande taille, a surface superieure subplane ou convexe. Üalices eirculaires ou elliptiques, espaces, avec une exoltheque abondante. Rayons septo- costaux, plus ou moins flexueux, minces aux extremites, plus Epais sur les murailles;; cloisons faiblement saillantes, constituant 3 a 4 cycles, et s’arrätant a une certaine distance de l’axe. Planchers bien developpes. Haut. — 200"”"; diam. des cal. — 20 a 24”; diam. des polyp. = 25 a 30". Epicorallien. — Mont-Terrible. — Tres-rare. Confusastrea Dianthus, Et. — pl. LV. fie. 7. Polypier de grande taille, a peu pres aussi large que haut, fixe par un etroit pedoncule, form& dans le jeune äge d’un petit nombre de polypierites plus ou moins etales, soudes entr’eux, puis s’elevant inegalement, isoles ou par faisceaux de 2 A3 et de maniere ä rester toujours libres en partie, sur la surface comme sur le pour- tour. Calices eirculaires, ou peu elliptiques, peu profonds. Cloisons debordantes, elevees sur la muraille, se continuant en cötes non confluentes avec celles des calices voisins, in&gales suivant les ordres, formant 4 cycles complets et dans quelques calices un certain nombre de cloisons du 5°; un espace vide au centre. Endotheque tres- abondante; les traverses fortes et disposees en planchers obliques. Epitheque tres- epaisse, continue, complete, fortement ondulee, penetrant dans toutes les sinuosites du pourtour et entourant m&me les polypierites isoles de la surface. Haut. — 200"”"; diam. des polyp. — !5 a 15”"; elevation maximum de ceux-eci —= 0°”, Zone astarlienne. — Vieille-Route; Essert-Tainie. — Assez commun. Jeune, cette espece a singulierement l’aspect de certaines 'Thecosmilies; a l’etat adulte, elle se rapproche beaucoup de la pr&cedente; ses calices sont cependant un peu plus petits et sa surface toujours tres-inegale. Un individu montre une double gem- malion, l’une extracalicinale, l’autre intracalicinale au !/; de la longueur externe des eloisons. — 3% Isastrea fallax, Et. — pl. LV. fig. 8. Thamnastrea fallax, E. H. Hist. Cor. p. 577. — Agaricia fallax (pars), Th. Coll. Grande espece, etalee, subplane. Calices de forte taille, coniques, assez pro- fonds, polygonaux, peu inegaux. (loisons minces, serrees, un peu coudces, inegales suivant les ordres, confluentes sur une partie de leur longueur, celles des deux pre- miers cycles subegales; 4 eycles et le commencement d’un 5°; au moins 50 cloisons, rarement 60. Diam. des cal. — 10”"; rarement plus ou moins. Epicorallien. — Laufon. — Rare. Zone corallienne. — Caquerelle; La Croix. — Tres-commun. Faut-il voir dans cette espece les Is. explanata et helianthoides, dont le nombre des cloisons serait moindre, mais seulement par suite d’observations incompletes ou portant sur des individus alteres? C’est probable, surtout quand la plupart des auteurs posterieurs a Phillips et a Goldfuss leur en donne un nombre superieur; les individus du Der Jura ont 50 cloisons et plus; ceux du Lethea geognostica en ont &galement davantage. Üependant, jusqu’a ce que la verificalion ait et& faite sur les echantillons qui ont servi de types, nous eroyons devoir mainlenir le nom impos& depuis longtemps par Thurmann et qui a ainsi une certaine autorite. puisqu’il a et& inscerit dans l’Aistoire des Coralliaires; seulement aucun des individus de la collection ne peut se rapporter au genre Thamnastree. L’Is. confluens, Th. olim (non Goldf.) est un individu brise de cetle möme espece, qui alors pr&sente en dessus l’aspect d’une Microphyllie a courte serie, par la destruction des cloisons intermediaires. Isastrea Thurmanni, Et. — pl. LV. fig. 9. Tres-grande espece, etendue, en lame assez epaisse; surface superieure sub- plane, ä peine convexe; calices polygonaux, de grande taille, assez excaves, marques au centre d’une fossette profonde; cloisons tres-minces, fortement dentees et gra- nuldes, droites ou assez flexueuses dans les angles des calices, au nombre de 72 ä 90 et m&me 100; les intervalles des cloisons pres de deux fois plus Epais que celles-ei: epitheque Epaisse et fortement plissee. Diam. des calices — 15 a 20”; diam. total — 200 a 50”". Zone corallienne. — Caquerelle. — Rare. Tres-probablement cette espece n’est pas nouvelle, mais les caraclöres donnes jusqu’a present sont faux ou tellement incomplets que nous hesitons ä faire l’asso- = Mu= ciation: l’Agarieia erassa, Goldf. (Isastrea, E. H.) est usce et parait n’avoir que 48 cloisons ; l’Isastrea Greenoughi n’en a que 56 ou moins; l’Agaricia rotata, Qu. (non Goldf., Mich.) pourrait en @tre rapprochee, s’il n’y avait pas des confluences de calices qui la reportent dans un autre genre. Elle est voisine de l’Ast. explanata, Goldf., dont elle differe par la taille des calices et le nombre des cloisons. Du reste, ici, comme dans l’espece precedente, nous eroyons que les especes ont et& etablies sur des individus denatures, oü le nombre des cloisons avait diminue par la destruction des dernieres. Ne serait-ce pas aussi une simple variete de la pr&e&dente? Parfois on rencontre des individus de taille tout-a-fait intermediaire, et d’autres oü des calices de l’une et de l’autre taille sont egalement repandus. Isastrea fasciata, Et. Agaricia, Th. Coll. Espece rare, mal conservee, connue seulement par une portion laterale; les mm calices irreguliers, suballonges, avec un diam. de 2 a 2% Epivirgulien. — Combe-Voitelier. — Tres-rare. Isastrea favulus, Et. — pl. LV, fig. 10. Agarieia, Th. Coll. Polypier assez elev&, conique, plan en haut; calices subegaux, polygonaux, ordi- nairement en pentagones plus ou moins allonges; muraille Epaisse, tres-elevee, cristi- forme et partant centre calicinal profond; eloisons droites, espacdes (les intervalles 2'/, fois plus grands), un peu inegales suivant les cycles, finement dentees, au nombre de 20, avec quelques autres en general rudimentaires, les primaires souvent soudees au centre. Sur les flancs du polypier, calices egalement developpes, mais obliques. Haut. et diam. — 80 a 100°"; diam. des polyp. = 2V2””. Zone astartienne. — Vieille-Route; Essert-Tainie. — Assez commun. Cette espece est remarquable par les saillies de ses murailles; l’Isastrea limitata les a moins fortes, avec des calices de plus grand diametre. Peut-etre se retrouve-t-elle dans le Corallien; du moins, un individu sans indi- cation de localite s’y rapporte assez exactement. Isastrea grandillora, Et. — pl. LV. fig. 11. Polypier peu Epais, en lame assez mince, etalee, plane en dessus; polypierites distinets dans le jeune äge ou distribues par faisceaux. Calices tres-grands, poly- — 32 gonaux. a peine excaves, subegaux, les jeunes ayant une croissance tres-rapide; murailles rudimentaires, non pro@minentes. Cloisons (72 a 50) assez minces, inegales suivant les ordres, les primaires et secondaires @gales, arrivant jusqu’au centre, le plus grand nombre coudees et formant des faisceaux, correspondant le plus souvent avec celles des calices voisins. Dents du bord septal tres-fines, &gales; Lraverses abondantes. Epaiss. de la. lame — 15 a 20“"; diam. des cal. = 15°”, avant tout indice de reproduction, plus tard depassant 20°". Zone aslarlienne. — Miserez. — Rare. Cette espece est bien voisine de l’Is. tenuistriata, E. H.; les cloisons sont disposees de la möme maniere; les calices un peu plus grands, la lame plus mince sont les seules differences qu'il soit possible de constater jusqu’a present. Parmi les autres especes qui ont des caracteres a peu pres semblables il faut eiter les Is. Goldfussana et crassa; il est cependant douteux que les individus figures par Goldfuss soient des Isastrees, les modifications de fossilisation n’arrivant pas, & ma connaissance, a cette forme. Comme dans les Prionastrees, les polypierites du jeune äge ne sont pas tous econtigus; l’absence complete de columelle doit l’eloigner de ce genre. Isastrea Bernensis, Et. - pl. LV. fie. 12. Polypier assez &pais, a surface plane; calices assez peu profonds, un peu inegaux; muraille mediocrement &levee; cloisons inegales, faiblement flexueuses; une petite fossetie au centre; 36 cloisons en moyenne. Diam. — 5 et rarement 6””. Zone astartienne. — Essert-Tainie. — Assez comınun. Var. a. Calices plus petits et plus profonds; diam. — 5 a 6””; profondeur — au Var. b. Aspect partliculier, par suite d'une r&production tres-active; la gemmation ayant lieu a faible distance du bord, on croit reconnaitre des series. » Isastrea propinqua, Et. pl. LV. fie. 13. Agaricia propingua, Th. Coll. Je ne connais celte espece que par un seul individu ayant tout-a-fait l’aspect de Nls. helianthoides, Goldf. pl. 22, üg. 465 exclusivement); les aulres caracleres sont des —_— 33 — calices plus petits et a cloisons plus nombreuses, 4 eyeles complets; ce serait peut- etre un Echantillon use, dont les ar&tes intercalieinales auraient disparu et se seraient arrondies. Les aretes sont plus abaissees encore que dans l’4g. rotata, Mich. (non Goldf., non Quenst.), avec cette eirconstance que les calices sont plus inegaux et ont les cloisons plus nombreuses; l’Is. Münsterana a les murailles saillantes. Diam. des cal. — S""”. Zone corallienne. — Caquerelle. — Tres-rare. Quoique MM. Milne-Edwards et J. Haime aient appel& Is. ? Mosensis 1’Ag. rotata Mich., j’ai prefere specifier celle de la Caquerelle, dont les cloisons sont tres-minces, serrees et comme E€paissies vers le centre; pas de columelle. Ce n’est pas une Thamnastree, les cloisons n’etant pas confluentes. Isastrea Gresslyi, Et. — pl. LV. fig. 14. Ag. fallax (pars), Th. Coll. Calices plus petits que dans l’7s. helianthoides, irreguliers et inegaux, aussi profonds; muraille assez Epaisse; cr@te un peu obtuse; les primaires et secondaires sensiblement plus saillantes que les autres, un peu flexueuses, non soudees au centre du calice. du moins assez profondement; 36 ä 40 cloisons, presque confluentes avec celles des calices voisins, tr&s-minces, separdes par un intervalle 3 ä 4 fois plus &pais qu’elles. Diam. moyen — 8””. Zone astartienne. — Vieille-Route:; Essert-Tainie. — Assez rare. Cette espece n’habite pas avec |’Is. helianthoides; son aspect est sensiblement diffe- rent; peut-etre n’est-ce qu’une variete locale. Mierophyllia Amedei, Et. — pl. LVI, fig. 1. Polypier dendroide. forme de 15 a 20 branches. dichotomes le plus souvent, sub- eylindriques, un peu irregulieres, croissant en diametre juqu’a la bifurcation suivante, serrees et m&me anastomosdes. Vallees courtes, formees de 2ä4 calices. Collines tres-contournees, saillantes. Calices assez profonds; cloisons un peu debordantes, tres-minces, serrees, plus ou moins droites. finement erenelees; 3 eycles et le com- mencement du 4°. Haut. — 150””; diam. moyen des tiges — 15""”; diam. des cal. -— 2ä 4””; diam. des series — 11/2””. Epicorallien. — Caquerelle. — Commun. 394 Par erreur, dans mes Rayonnes du Haut-Jura, la M. Bonjouri se trouve inserite sous le nom de Latimeandra, les correetions faites pendant l’impression n’ayant pas die comprises. J'ai deja signale son voisinage de la Microphyllia Lotharinga, dont les calices sont moins profonds et les tiges de plus grand diametre; iei. les collines sont plus contournees encore et les calices plus petils. J'ai indique aussi la convenance et la necessite de demembrer le genre Latimeandra de MM. Milne-Edwards et J. Haime et de revenir aux genres proposes par d’Orbigny, savoir le genre Microphyllia pour les especes A collines simples, en ar&tes, a murailles souddes. amorphes ou branchues, et le genre Latimeandra, en y comprenant toutefois les Comophyllia, pour les especes a series libres dans le jeune äge, plus ou moins soudees plus tard. mais a murailles toujours distinetes. Le genre Thorisastrea, er&& par M. de Fromentel pour repesenter ces dernieres, est tout-A-fait inutile. Le genre Stibastrea ne differe de ce dernier que par son grand developpement exothecal, analogue A celui des Pachygyres. Microphyllia eurtata, Et. — pl. LVI. fie. 2. Polypier de grande taille, en masse convexe; series assez courtes, surtout vers le centre, oü se trouvent m&me bon nombre de ealices simples; collines un peu arrondies, fortement eontourndes. Üloisons assez minces, serrdes, subegales, au nombre de 30 ä 36 par centre calicinal, 25 par cenlimetre; apparence d’une forte columelle par une depression du bord interne des cloisons, et leurs dents fortes en ce point. Diam. moyen = 5"" Epicorallien. — Caquerelle. — Tres-rare. Les calices s’isolent ici plus que dans la M. contorta du Haut-Jura; ce serail peut-@tre la Meandrina Edwardsi, Mich., si pour celle-ei les valldes n’avaient te indi- quees si profondes et en m&me temps si inegales. Microphyllia faseiata, Et. — pl. LV1. fie. 3. Agaricia, Th. Coll. Grande espece, subplane, a surface irr&guliere; valldes tres-courtes, les calices se separant promplement, inegaux, irreguliers, peu profonds, sous des angles bien nels; ga et lü de grosses collines, @levdes, pres desquelles les parties voisines sont comme a fond plat. Cloisons tres-minces, chargees de grosses granulations, lices entr’elles 395 par de fines lamelles; 5 eycles complets; sur les flancs, des bourrelets d’accroissement bien marques. Diam. des cal. = 6 a T"”. Epivirgulien. — Combe Voitelier. — Rare. Microphyllia Gagnebini, Et. — pl. LVI. fie. 4. Grande espece en masse uniformement convexe. Vallees assez courtes et pro- fondes; collines elevees, Epaisses, anguleusement contournees, peu regulieres; calices a centre profond, separes dans les vall&es par de faibles cretes. Cloisons fines, subegales, finement et uniformement dentees; 5 cycles complets dans les calices isolö&s. Gemmation assez abondante, se faisant a egale distance du bord et du centre. Diam. des cal. isoles — 10""; diam. des series — 8 a 12””; profondeur — 3". Hypovirgulien. — Roche-de-Mars. Tres-rare. Avec une forme ä peu pres indentique ä la Microphyliia Raulini, les calices sont moins profonds, moins espaces et partant plus nombreux dans une m@me vallee. Microphyllia helvetica, Et. — pl. LVI. fie. >. Grande espece, a surface tres-irreguliere, lobee. Series tres-inegales, peu pro- fondes, longues, subdroites; les collines de hauteur differente, les unes tr&s-peu elevees, au nombre de 2 a 3, subparalleles entre d’autres beaucoup plus fortes; les areles intercalicinales d’une mäme vallde tres-peu distinetes. Calices peu profonds, espaces, en ligne, rarement deux de front dans la möme vallee. Cloisons tres-fines, nom- breuses, egales entr’elles, flexueuses par places, formant de 4 a5 cycles par un grand nombre de cötes additionnelles dans les angles et aux points de bifurcation; au fond des vall&es 4 ou 5 lames, qui les parcourent dans toute leur longueur et vers lesquelles viennent s’arräter des cloisons le plus souvent perpendicnlaires. Diam. normal des calices — 8 a 9””; diam. des series — 8 a 20”; profondeur = 1a 3". Hypovirgulien. — Sous-Waldeck. Tres-rare. La disposition des collines et des valldes distingue facilement cette espece de la M. Scemmeringi, la forme la plus voisine. L’Ag. foliacea, Qu. n’en est pas eloignde; mäme quand elle serait identique, le nom en devrait @tre change, celui de foliacea ayant deja Et€ employe& pour une espece toute differente. Les calices paraissent plus grands. 50 396 Microphyllia Lotharinga, Et. — pl. LVI. fie. 6. Meandrina, Mich. Icon. p. 100, pl. 22, fig. 2. — Meandrophyllia, d’Orb. Prodr. Il. — Isastrea? E. H. Polyp. paleoz. p. 103. — Hist. Cor. p. 540. — Latimeandra, Fr. Inır. Polyp. p. 162. Polypier subdendroide ou branchu, a rameaux paralleles tres-rapproches; vallees courtes, en zigzag, assez profondes, renfermant 3 & 5 calices; collines uniformes, tres- flexueuses, ä contours arrondis. Cloisons assez €paisses, non debordantes, inegales, les dernieres soudees ä celles d’ordre superieur, fortement dentees, surtout vers le centre, oü apparait m@me une columelle spongieuse; 24 a 36 cloisons par calice. Haut. — 400 a 500””; diam. des tires — WM a 50”":; diam. des calices subdeli- mites — 5”"”":; diam. des series — 31% a 4””. Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. Microphyllia munita, Et. — pl. LV1. fig. 7. Polypier en masse discoidale, renfl&ee au centre, a surface un peu inegale; vallee courte, quelquefois en fer ä cheval, a murailles fortes et €levees, tandis que celles des polypierites de la m&me vall&e sont au contraire faibles, quoique tres-distinctes; 5 cvecles, dont le dernier incomplet, les cloisons tres-fines, subegales, soudees entr’elles, avant d’arriver au centre. Diam. des calices adultes et des grandes vallees — 7 a 5". Epivirgulien. — Combe-Voitelier. — Rare. Microphyllia dumosa, Et. pl. LV1. fig. 8. Polypier subdendroide, a rameaux courts ou allonges, serres, irregulierement eylindriques. Vallees tres-courtes, au fond desquelles 2 ou 3 calices peu distinets, droites ou courbes, la gemmation ayant lieu sans ordre. Collines assez «levees, triangulaires, tres-contournees, anguleuses; cloisons un peu debordantes, tres-fines et partant diffieiles a separer par eycles; ceux-ci au nombre de 3 a 4, en nombre variable suivant la forme des calices. Haut. — 200”; diam. des tiges = 12 a 15””; diam. des calices et des series - 2/”". Zone strombienne. — Banne; Haut-de-Ceuve. — Commun. A Haut-de-C&uve on rencontre des pieds qui ont jusqu’a 50 a 60 branches. On n’en rencontre jamais que des moules; les collines paraissent plus tranchantes, plus droites que celles de la M. Bernensis du Corallien, dont l’ensemble est aussi plus regu- lier; les cloisons de celle-ci paraissent aussi plus Epaisses. Microphyllia serpentina, Et. Assez grande espece subplane. Vall&es peu profondes, courtes, irregulieres, plus ou moins coudees. Collines eristiformes, ä contours arrondis et tres-flexueuses, la gemmation se faisant pres du bord calieinal m&me; les cötes de separation des calices d’une m&me vallee insensibles. Calices assez peu profonds, a centre bien marque. Cloisons fines, subegales, fortement dentees, les dernieres paraissant soudees a celles d’ordre superieur; les primaires souvent plus €elancees que les autres et se montrant ainsi tres-distinetes; 5 eyeles presque complets; dans quelques calices isoles S0 cloisons. Diam. des calices = 6"", avant toute apparence de bourgeonnement. Hypovirgulien. — Sous-Waldeck. — Tres-rare. La M. contorta du Corallien a les calices plus petits et les collines moins flexueuses. mm Microphyllia Thurmanni, Et. — pl. LVI. fig. 9. Meandrina astroites, Th. Coll. (non Goldf.) Polypier en masse convexe, plus ou moins irreguliere; calices souvent isoles, surtout sur les parties pro@minentes; les vall&es tr&es-courtes, formees ordinairement de deux calices et d’un plus grand nombre seulement sur les parties deelives; sur les flancs, oü ils prennent en m&me temps plus de developpement lateral, ces valldes sont assez peu profondes, limitdes par des murailles ceristiformes. Cloisons inegales suivant les ordres, un peu flexueuses, irregulieres, soudees ä celles d’ordre superieur; les princi- pales soudees aussi au centre; 31/ eycles dans les calices isoles. Separalion des calices d’une m&me vallee sensible, quoique peu distincte. Diam. des calices isoles — 4””; diam. normal des series = 3”", ou un peu moins. Zone astartienne. — Vieille-Route. — Assez commun. Cette espece a la forme generale de la M. variabilis du Corallien; elle a seule- ment les calices plus petits et les cloisons nombreuses. Thamnastrea concinna, E. H. — pl. LVI. fig. 10. Astrea, Goldf. Petref. p. 64, pl. 22, fig. la. — Iremocoenia varians, Stephanocoenia We a coneinna, d’Orb. Prodr. I. p. 386. — Thamnastrea, E. H. Brit. Cor. p. 100, pl. 17, fig. 3. — Hist. Cor. Il, p. 577. — Et. Ht.-Jura, p. 118. — Centastrea, Fr. Itr. Polyp. p. 217. Polypier convexe, arrivant parfois ä une grande taille, a surface reguliere ou mamelonnee. Calices peu profonds, polygonaux; cloisons assez €paisses, serrees, inegales, regulierement et fortement erenelees. geniculees aux angles; 3 cycles, le dernier rarement complet. Columelle styliforme, assez forte, soudee aux cloisons. Epitheque mince; cötes fines, regulieres, grenues. Diam. des calices — 2””. Zone corallienne. — Caquerelle. — Commun. — Agaricia tridistans (pars), Th. Coll. Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. — Pentastrea pulchella, Th. Coll. L’espece de Thurmann a et& etablie sur des individus uses de la Ih. concinna ou de l’espece donnee par Goldfuss sous le nom d’Astrea pentagonalis. L’Astrea graeilis (Goldf. Petref. p. 38. fig. 13) n'est tres-probablement qu’un individu use de cette esp&ce qui devrail porter ce dernier nom, car sous celui de A. coneinna se trouvent des especes qui n’apparliennent pas du tout aux Thamnastrees. M. Quen- stedt, dans le Handbuch, comme dans le Jura, n’admet que la Thamnastrea graeilis, tandis que l'autre espece est reportdce par lui dans les Stylines. Quant ä l’Ast. concinna (Goldf. ibid. pl. 38, fig. 5). c'est une espece d’un autre genre, une Astroc@nie ou une Cenastree. Il existe dans nos terrains deux formes extrömement voisines de l'’espece que nous decrivons ici, les Th. portlandica et suprajurensis. La premiere a les cloisons moins flexueuses, un peu plus inegales, et ä dents plus rares et plus fortes; la der- niere se distingue de toutes deux par ses cloisons plus nombreuses, plus minces, plus egales, ses dents fines et serrdes, au nombre de 15 par millimetre, les intervalles calicinaux sont aussi plus larges et plus plans. » Zone astartienne. — Vieille-Route. — Assez commun. Hypovirgulien. — Waldeck et Sous-Waldeck. — Assez commun. - Agaricites astroites, Th. Coll. Individus denatures, impossibles ä distinguer de l’espece du Corallien. Thamnastrea Coquandi, Et. — pl. LVI. fig. 11. Ray. Ht.-Jura p. 117. Polypier convexe; calices polygonaux, assez profonds, un peu inegaux; cloisons assez epaisses, subezales, droites; granulations tres-nettes sur le bord septal; 3 eycles — 399 — et quelques cloisons du 4* Columelle pleine, forte, saillante et comprimee; traverses abondantes. Haut. = 200°”; diam. des cal. = 3 a 4”. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez commun. Thamnastrea dendroidea, Bl. — pl. LVI. fig. 12 und 13. Astrea? Lx. Polyp. p. 85, pl. 78, fig. 6. — Thamnasteria Lamourouxi, Lesauv. Soc. Hist. Nat. Paris I, p. 243, pl. 14. — Thamnastrea dendroidea, Bl. Dict. LX, p. 337. — Man. p. 372. — Thamnastrea gigantea, Holl. Petref. p. 404. — Les. Ann. Se. Nat. XXVI, p- 329. — Edw. in Ik. II, p. 428. — Br. Leth. p. 256, pl. 16, fig. 22. — Thamnastrea Lamourouxzü, Mich. Icon. p. 109, pl. 25. fig. 3 mon Astre«). —- Thamn. dendroidea et affınis, E. H. Ann. XII, p. 157 et 758. — Thamn. dendroidee et Dactylastrea subramosa, d’Orb. Prodr. II, p. 36 et 37. — Th. dendroidea, Br. Leth. II, p. 99, 1851. — E. H. Hist. Cor. p. 563. — Fr. Intr. Polyp. Grande esp&ce branchue, ä rameaux subcylindriques, serres, ou un peu irreguliers par leur lenteur ä se diviser; calices de petit diametre, subpolygonaux, presque snper- ficiels; cloisons assez peu Epaisses, coudees sur les murailles, fortement dentees, inegales entr’elles et formant-3 cycles presque toujours incomplets (20 cloisons). Columelle faible, un peu comprimee; bourrelets d’aceroissement assez marques sur les branches. Haut. totale — 400””; diam. des rameaux — 15 & 20””; diam. des cal. — 2°, Epicorallien. — Laufon. -—— Commun. Thamnastrea Lomontiana, Et. — pl. LVI, fig. 14. Agarieia quinquedistans, Th. Coll. Polypier eonique surbaisse, ä surface subplane, irreguliere. Calices polygonaux., presque superficiels, subegaux. Cloisons Epaisses, inegales suivant les ordres, va- riant de 16 ä 19, droites, coudees pour Ja plupart au point de confluence avee celles des calices voisins; columelle faible, styliforme; traverses forles et tres-Epaisses. Haut. — 40”"; diam. — 100 a 120°”; diam. des cal. — 4””, ou un peu plus. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez rare. Ü’est la Th. Coquandi, quant ä l’ensemble, mais avec des caliees plus grands, des eloisons moins nombreuses et plus &paisses. ww — Thamnastrea suprajurensis, Et. — pl. LV1l. üg. 15. Polypier massif, d’assez grande taille, convexe, irr&gulier; calices ä cavite centrale peu profonde, pelits, separ&s entr’eux par un meplat prononce; cloisons tres-fines, d’Egale Epaisseur, fromant 3 cycles, avec quelques cloisons du 4° (24 a 26), les ter- tiaires seulement plus courtes que les autres. Columelle styliforme, assez forte; cötes tres-Egales, relices aux cloisons par des parties llexueuses; sur les cötes et les rayons des dents tres-fines, au nombre de 15 par millimetre. Diam. des calices = 11/”” en moyennant; diam. de la cavite calicinale = 1””; inter- valles = 1'1/, a 3"”. d Epivirgulien. — Combe Voitelier (Theveney). — Rare. ? Hypovirgulien. — Sous-Waldeck. — Assez commun. (Speeimens uses ou denatures.) Cette espece est dificile a distinguer de la 7A. Portlandica; nous avons dit plus haut, ä la 7%. concinna, en quoi elle differait de l’une et de l’autre. Thamnastrea mieroconos. Et. — pl. LVII. fig. 16. Astrea, Goldf. Petref. p. 63, pl. 21, fig. 6. — Quenst. Handb. p. 649, pl. 58, fig. 3—4. — Der Jura, p. 707, pl. 86, fig. Let? figg. 2—3. — Agaricia foliacea (pars) ibid. p- 651, pl. 56, fig. S (non 7). — Agaricia granulata, Schfh. Petref. Sudbay. Jahrb. .1851, p- 412, pl. 7, fig. 6 (non Goldf., Mich.). — Agaricia 8distans, Th. Coll. Polypier conique, tres-surbaisse, en lames assez €paisses. Surface superieure plane; calices sub&gaux, irregulierement distribues, ou plac&s en lignes concentriques sur le m&me polypier. creuses seulement vers le centre et assez profondement; le reste du calice se confondant avec la surface. Cloisons tres-minces (36 a 52). coudees vers le centre du polypier, un peu flexueuses, parlagees ordinairement en 2 faisceaux, et subparalleles par places ou sur les bords. Epitheque complete et epaisse, formee de bourrelets forts, serres. Columelle pleine et probablement styliforme, avec quel- ques dents de cloisons, qui simulent une columelle spongieuse. Haut. — 30 a 40”; diam. — 120“; diam. des calices <= 7"". Zone corallienne. — La Croix; Caquerelle. — Assez commun. Var. 5b. — Disposition identique, calices comme allonges dans le sens du rayonne- ment, ayant alors 10 a 12°”, mais 5 a 6 seulement dans le sens des cercles con- centriques, qui sont assez reguliers. a1 — Les cloisons compactes separent bien cette espece de l’Arachnoides. Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. Agaricia coneinna, Th. Olim. (non Goldf.) lci les cloisons ne sont plus qu’au nombre de 32, et paraissent un peu plus Epaisses. Il faut, sans doute, rapporter a cette forme l’Agaricia granulata, Schafh. (non Mich., non Goldf.): ensemble est le m&me, l’epitheque a la möme disposition; seulement la figure donnde par M. Schafhäutl ne represente pas exactement les calices. Thamnastrea minima, Et. — pl. LVII, fig. 17. Ray. Ht.-Jura, p. 118. — Centrastrea, Fr. Intr. Polyp. p. 218. Polypier ieci en plaques minces, convexes, atleignant jusqu’a 80"" de diametre. Calices serres, egaux, reguliers, polygonaux; fossette eylindro-conique assez pro- fonde. Columelle faible, styliforme; 14 a 16 cloisons subegales, Epaisses, serrees, geniculdes aux points de confluence, fortement ereneldes. Epitheque concentrique, tres-forte. Diam. des calices — 1". Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. tenre Stephanastrea. Et. Cor. Ht.-Jura, Suppl., p. 10. Polypierites polygonaux unis par leurs murailles, qui forment une arete simple ; columelle styliforme peu saillante; cloisons confluentes, finement et egalement dentees; deux cycles inegaux de palis, le plus fort correspondant aux primaires. Le genre et l’espece que nous etablissons sont-ils reellement nouveaux? D’abord les dentelures du bord des cloisons n’offrent aucun doute, et s’il n’en est pas de m&me de toutes les anciennes Stephanocenies, les deux genres existent bien r&ellement. Dans aucun des individus du Haut-Jura, assez nombreux et assez bien conserves pour- tant, nous n’avons pu avoir avec cerlitude soit les dents, soit la double couronne de ‚palis; nous avons done plac& dans les Stephanocenies ou les Allocenies les divers individus; il n’est, d’un autre cöte, guere possible de les confondre avec l’espece suivante, dont la forme est deeid&ment branchue et dont les cloisons sont reellement confluentes. 402 Stephanastrea ramulifera, Et. pl. LVI. fie. 2. Petite espece formee de rameaux peu nombreux, courts, obtus, partant d’un axe, rarement dichotomes. Calices polygonaux, presque superficiels. ä fosselte bien mar- quces au fond de laquelle est une columelle styliforme faible et peu elevee; cloisons minces, finement dentees, inegales, plus ou moins larges, mais conservant vers la muraille leur epaisseur relative et suivant les ordres. Trois eycles complets, tous ä peu pres de möme largeur. Le premier cycle de palis correspondant aux eloisons primaires, form& de lobes gros et arrondis; celui des cloisons secondaires plus faible et peu profondement decoupe. La muraille n’etant pas toujours visible sous la con- fluence des cloisons. Diam. des calices = 11/2 ""; haut. totale = $ a 100 "". Epicorallien. — Laufon. Rare. (enre Üownastrea. Et. Cor. Ht.-Jura, Suppl. p. 10. Ce genre est suflisamment defini en disant que les especes. qui le forment, sont des Isastrees ä columelle styliforme et compacte; elles different done des Thamnastrees par leurs murailles elevees et par leurs cloisons non parfaitement confluentes; ordi- nairement les principales d’un calice correspondentä celles des derniers eycles de l’autre. Nous avons dejä deerit deux especes de ce genre; seulement comme la columelle les @loignait des Isastrees, nous les avions placdes dans les Thamnastrees. Depuis cette epoque nous avons eu occasion d’etudier de nouveaux individus et de nouvelles formes. D’un autre cöte, MM. Reuss et de Fromentel ayant signal& des Astroc@nies ä cloisons dentees, il y avait donc lieu de les eriger en genre distinet; seulement M. de Fromentel, en employant pour elles le nom de Enallastrea, ne s’est pas apergu que d’Orbigny avait donne ce nom ä des esp£ces toutes dillörentes. Cenastrea Martis, Et. pl. LVI. fie. 3. Espece dendroide assez peu elevee, formee de T a $ rameaux dichotomes, courts, peu serres, irregulierement flexueux, prives de bourrelets d’accroissement. Calices polygonaux, profonds au centre; cloisons libres, trös-inegales, toutes arrivant sur la muraille, qui est solide, oü elles forment une faible erete; les primaires &paisses - 48 — et larges; celles du 4° eyele tres-faibles et continuant les cloisons d’un autre eycle dans les calices voisins; dents des cloisons peu nombreuses (5 ä 6). grossissant vers le centre. Golumelle assez forte, profonde, aplatie; 4 eycles, le dernier incomplet et rudimentaire, le nombre des cloisons variant de 36 a 40, et 16 a 20 grandes cloisons bien visibles. Diam. des cal. = 21/""; diam. des tiges = 12 a 15”. Hypovirgulien. — Roche-de-Mars, Combe Vaumacon. — Assez commun. Cenastrea Thurmanni, Et. — pl. LVI. fie. 4. Ihamnastrea, Et, Ray. Montb., 27, pl. 6. fie. 23. Polypier dendrcide, peu eleve, A rameaux assez serres, inegaux, tres-irregu- lierement eylindriques, bosseles ou comprimes. la dichotomisation se faisant ä de courtes distances (30 a 40”). Calices serres, subpolygonaux, assez profonds. Cloi- sons [ortes, inegales, en longueur surtout, suivant les ordres; le 3”“ cycle incom- nıe plet; celle du 4” tres-faible, d’oü 36 a 40 cloisons seulement. Columelle assez forte, un peu comprimde; pas de bourrelets d’accroissement. Haut. — 150”"; diam. des tiges — 10 a 25”": diam. des cal. = 2"”. Zone strombienne. — Banne. — Commun. Les Can. Martis, Sahleri, Thurmanni ont le m@me aspect, la m&me structure; elles ma different par la taille des calices; dans la premiere, il yen a 4 par 10””, 7 dans la deuxieme et 5 dans la troisieme; les dimensions des rameaux sont ä peu pres dans le m&me rapport. Comme ces caracteres sont constants. ce sont bien reellement des especes distinctes. Clausastrea parsa, E. H. — pl. LVI. fie. 5. E. H. Hist. Cor. I, p. 552. — Fr. mt. Polyp. p. 231. — Agaricia quinquedistans, Th. Coll. Grande espece en lame assez Epaisse, ä surface plane, ou ä peine convexe. Calices superficiels plans, la fosselte calieinale large, eylindrique, descendant jusqu’au fond du polypierite; rayons septo-costaux, horizontaux, au nombre de 32 avec quel- ques-uns de plus ou de moins, &troits, confluents avec ceux des calices, coudes, ä peine flexueux; ceux des premiers ordres arrivant a petite distance du centre. Des 51 - 404 traverses solides formant un plancher complet. d’abord horizontal, puis excave au centre, au nombre de 6 a 8 par 3"”. Diam. total — 100 a 200*"; diam. des fossettes — I» a 2"; diam. des poly- pierites — 5 a T””. Zone corallienne. — Caquerelle. — Assez commun. Les calices de cette espece paraissent assez variables, car il n’est pas rare de trouver des individus qui sur un m&me polypier ont deux ä trois tailles differentes. Peut-ötre ne faut-il voir que des varietes dans la plupart des especes signaldes par M. de Fromentel. Goniocora soeialis, Et. — pl. LVI. fig. 6. Cu Lithodendron. Rem. Nordd. Ool. Suppl. p. 57, pl. 17, fig. 23 (non p. 19, pl. 1, fig. 3). — Goniocora (non E.H. Brit. cor. p. 92, pl. 15. fig. 2. — Hist. Cor. II, p. 604. — Et. Ray. Ht.-Jura 119. — Fr. Mmtr. Polyp. 148). Polypier assez peu rameux; ä branches Eparses. cylindriques, bifurquees le plus souvent ä angle droit et a d’assez faibles distances. Cötes inegales, allernativement et aussi irregulierement grosses et forlement granuldes; quelques cötes additionnelles ä celles qui correspondent aux trois eycles de cloisons. Celles-ei inegales suivant les ordres. minces. les primaires arrivant jusqu’au centre. Haut. — 60 a 80”"; diam. — 4”. Zone corallienne. — Pont d’Able. — Assez commun. Rien dans l’ouvrage de Remer n’indique qu'il y a eu plus de 24 cötes dans les individus qu'il figure: c'est done a celte forme que devra de preference rester le nom de socialis; l'’espece d’Angleterre pourra retenir celui de plicata. (enre Isocora. Polypier rameux, ä branches plus ou moins serrees, quelquefois r&unies en faisceaux sur une cerlaine longueur. Cloisins minces, un peu flexueuses, formant trois eycles, les primaires et secondaires arrivant au centre. Reproduction par gem- malion assez abondante, les autres @lant assez rapproches, mais m&me des le jeune äge separds par une muraille. Une epitleque complete et epaisse, recouvrant tous les rameaux. 405 — Isocora Thurmanni, Et. — pl. LVM. fie. 7. Petite espece, formant une touffe assez haute et assez large; les calices tous plac&s au m&me niveau; les polypierites assez serres, mais libres et cylindrignes, quelquefois sur 5 ou 6 la file, et alors polygonaux, mais seulement sur le bord ca- lieinal. Muraille mince; calice peu profond, presentant une fossette au centre, assez large; cloisons minces, irregulierement onduleuses, granuldes, echinulees laterale- ment; les primaires et secondaires r&unies au centre, les terliaires larges, coudees et soudees aux primaires. Epitheque tr&s-Epaisse. Haut. = 100”"; diam. total — 100 a 120””; diam. des calices = 3"”. Zone corallienne. — Pont d’Able. — Bien rare. Une partie des caracteres de ce genre sont douteux; Ja presence ou l'absence de la columelle n’a pu &tre donnee d’une maniere certaine; les cloisons ont ete re- garddes comme dentces A cause de leur peu d’Epaisseur, de leurs ondulations, des grains 6chinules des flancs, de la soudure des testaires, de la fossetle centrale: cir- constances qui se relrouvent dans les Cladocores ou les Goniocores. Le genre Donacosmilia a sensiblement les m&mes caracteres que celui-ci, seulement les eloisons sont enliöres; au premier aspect ceite espece est voisine de la Stylosmilia Michelini; la presence de l’epithöque n’est guere possible pour celle-ci; une columelle bien developpee, des cycles inegaux, et tr&s probablement des cloisons entieres sont d’autres caracteres dilferentiels. Comoseris irradians, E. H. — pl. LVU, fig. 8. Siderastrea meandrinoides, M° Coy. Ann. Wat., Xl, p. 419 (non Pavonia Mich.) — Comoseris irradians. E. H. Brit. Cor. p. 101, pl. 19, fig. 1. — Et. Ray. Ht.-Jura, p. 121. Polypier en masse arrondie. Collines peu saillantes, plus ou moins lexueuses, n’embrassant qu’un petit nombre de calices, paralleles sur les bords du polypier. Calices superficiels dans les plaines; rayons septo-costaux assez minces, un peu flexueux; 3 cycles, le dernier incomplet. Diam. des calices. = 2%”". Epicorallien. — Caquerelle. — Assez commun. Epiastartien. — Fremont. — Tres-rare. 406 Comoseris meandrinoides, d’Orb. — pl. LVII. fig. 9. Pavonia Mich. Icon., p. 100, pl. 22, fie. 3. Comoseris d’Orb. Prodr. Il, p. 40. E. H. Ann. Sc. nat. XV, p. 141. — Et. Ray. Ht.-Jura, p. 122. Cette espece ne dilfererait de la pr&ec&dente que par ses collines plus &carlees, plus flexueuses, ses cloisons plus grossieres et moins nombreuses. Zone corallienne. — Caquerelle. — Tres-rare. Je niinseris cette espece qu’avec doute; l'unique individu de cette provenance est use; en oulre, la distinction des deux especes me parait assez peu probable. (senre Thamnoseris. Thamnoseris (Thamnastrea?). Fr. Int. Polyp. p. 241. Polypier compose en masse arrondie, ou en lame peu €paisse; epilhöque mince et complete; columelle papilleuse; celoisons confluentes, Epaisses, couvertes sur leur bord libre et sur leurs faces de grains tres-saillants et exirömement serres, qui cons- titnent des synapticules plus ou moins mombreuses. Ce genre a les cloisons disposees comme celles des Psamnoseris et des Stephano- seris; il s’en distingue immediatement en ce qu’il est compose. M. de Fromentel (Polyp. Weoc., 65) a &tabli le genre Polyphilloseris pour des esp&ces qui ne paraissent differer des Thamnoseris que par leurs calices sans cavites et a centres saillants. Ce caraclere, qui a ele regarde comme generique, nous semble effectivement d’une cer- taine valeur pour la constitution des polypes. Ce m&me mot est presente comme une modification de Polyphyliastrea de d’Orbigny, changement inutile si le genre est identique; ce que je ne crois pas pourtant, car la courte deseriplion du Prodrome (en supposant qu’elle soit vraie) indique certainement un polypier poreux (Prodr. Il, 37). Le genre Polyphyllastrea a et€ place dans les Thamnastrees par MM. Milne-Edwards et J. Haime. On peut definir ce genre comme des Thamnastrea sans traverses, a granulalions synapliculaires , tres-fines et Ires-nombreuses. Les Thamnastrees devront rentrer dans ce genre lorsqu’elles seront mieux connues. Thamnoseris Froteana, Et. — pl. LVI. fig. 10. Polypier conique, turbine, & bourrelets d’accroissement bien marques sur le — 407 plateau inferieur, quelquefois m&me sur le pourtour du polypier; surface superieure subplane, ou un peu convexe, irröguliere. KCalices subegaux , sensiblement polygo- naux, presque superficiels, avec un centre bien marque. Cloisons inegales suivant les ordres, d’epaisseur peu dilferentes, synapticules assez rares; 3 cycles et le com- mencement du 4° ; faisceau columellaire bien distinet, ä tissu vermicule. Haut. = 50"”; diam. = 80. a 90”"; diam. des calices = 5"". Zone astartienne. — Vieille-Route. — Assez commun. Meandrarea Gresslyi, Et. — pl. LVI. fig. 11. Agaricia Gressiyi. (pars.) Th. Coll. Polypier eupuliforme, etal&, un peu irregulier. Vallees allongees, renfermant de 3 ä& 5 centres calieinaux peu visibles, quoique marques par une depression gend- ‚ale distinete; collines plus ou moins flexueuses, assez droites cependant; calices de pelite taille, rarement plusieurs de front dans la meme vallee. Cloisons assez grosses, formees de trabieulins irreguliers, quelquefois souddes entr’elles, du moins apres lossilisation; deux eycles, en general incomplets, dans les calices isoles. Epaisseur du Polypier — 15”"; diam. — 120”” au moins; diam. des calices x 5 des series = 3 a Sa rm isoles = 9 Hypocorallien. — Caquerelle. — Rare. Meandrarea tuberosa, Et. — pl. LVI. fig. 12. Pavonia tuberosa et meandrinoides, Th. Coll. Polypier le plus souvent globuleux; sur les flancs de gros bourrelets d’aceroisse- ment. Ualices superliciels, en series assez courtes, plus ou moins irregulieres. Cloisons tres-minces, serrees, paralleles sur les collines; coudees et flexueuses ail- leurs; 3Y2 eycles. Haut. et diam. — 70"”; diam. des series = 31". Hypovirgulien. — Waldeck. — Assez rare. Cette espece presente avec la M. cerebriformis les dillerences suivantes: Des series un peu plus larges et plus onduldes sur les bords, m&me en restant assez ‚Tongues. 408 Microsolena Bruntrutana, Et. — pl. LVII. fig. 13. Polypier ä plateau inferieur horizontal; alors tres-convexe endessus. Calices peu inegaux, superliciels, ä fossette marquee, trös-etroite; columelle rudimentaire; cloisons au nombre de 30, tres-grossieres, formees de poutrelles grosses, inegales, irregulieres. Diam. des calices — 9""; diam. du polypier — 60”"; haut. — 40””. Zone astarlienne. — Vieille-Route. — Rare. Mierosolena Cxsaris, Et. — pl. LVI. fig. 14. Grande espece fixce par un elroit pedoncule, ä plateau inferieur horizontal; surface superieure convexe, pulvinee, en ar&tes intercalieinales arrondies, larges, le centre assez profond. Cloisons grossieres, droites; trabieules grosses et irregu- lieres; 4 eycles entiers. Gemmation abondante; Epitheque forte et complete. Haut. — 45”; diam. — 100”"; diam. des cal. = 8 a 9", Hypocorallien. — Mont-Terrible (Jules-Csar). — Assez rare. Cette espece a les calices plus grands et les cloisons plus nombreuses et plus grossieres que les M. irregularis, excarata et Julü. Mierosolena expansa, Et. —- pl. LVMI. fie. 15. Ray. Ht.-Jura, p. 126. — Agaricia Gresslyi, (pars) Th. Coll. — Edw. Hist. Cor. Ill, p. 199. — Et. Ray. Montb. pl. 6, fig. 26. Fr. Intr. Polyp., p. 253. Polypier etale, en coupe tres-Evasee, subplane, de 100 a 200”" de diam. et de 10 & 20”” d’Epaisseur. Calices superficiels, avec une fossette calicinale profonde. Cloisons minces, peu nombreuses, assez espacdes, form&es de trabieules faibles, for- mant 3 eycles, partagdes ordinairement en deux faisceaux, fortement coudees au centre, puis paralleles suivant un rayon du polypier. Souvent les calices disposes en cercles concentriques. Columelle simple. Diam. des calices = 8 a 9"". Zone corallienne. — Courchavon. — Tres-commun. Par erreur, dans notre Monographie des Coralliens du Haut-Jura (Rayonnes), il a ele imprime 2 au lieu de 3 cycles; plus tard, avant toute connaissance ou publication des ouvrages de MM. Milne Edwards et de Fromentel, traitant du m&öme genre, nons avons figure celte esp&ce avec 24 cloisons, nombre qui existe dans l’espece type 409 du Haut-Jura (Ray. de Montbeliard, pl. 6, fig. 26). Les conditions de forme et de station sont les m&ömes que pour la M. Koechlini Fr. (non H.), pour laquelle 32 cloisons sont indiquees. Beaucoup d’individus ne peuvent ätre attribues qu’avec doute A l’une ou a laulre espece, aA cause du nombre des cloisons, celui-ci variant de quelques- unes en plus ou en moins. Il est done tr&s-probable qu'il ne faille voir la que des varietes, et alors le nom de M. expansa devrait peut-etre disparaitre; cependant, comme dans la grande majorit& des echantillons les nombres extr&mes sont eonstants, il ya lieu de les adopter. Les caracteres diffErentiels seraient alors pour le M. Koechlini: un polypier plus mince, des cloisons plus nombreuses, plus serrees, au nombre de 19 par 5”", tandis que dans l’autre on n’en compte que 11. Jusqu’a plus ample informe, il faut maintenir encore le chiffre de 48 cloisons donne par J. Haime, et qui n’est pas d’accord avec celui de M. de Fromentel. Microsolena Gresslyi, Et. — pl. LVII. fig. 16. ? M. Koechlini, H. in M. Edw. Hist. Cor. Il, p. 202. — Dimorpharea, Fr. Int. Polyp. 254 (non J. H.). — Agaricia Gressiyi (pars) Th. Coll. Polypier en lame mince, turbinee, excavee en haut, ou plane, ou faiblement convexe. Calices superficiels, a fossette bien marquee, au fond de laquelle est une columelle forte; rayons septo-costaux confluents, distribues en deux faisceaux, ray- onnant assez regulierement du centre a la circonference du polypier; 32 rayons serres, formes de poutrelles fines, egales; 34 poutrelles d’un centre calicinal aA un aulre. Diam. des calices — 7” Zone Corallienne. — Caquerelle, Fringeli. — Tres-commun. A Courchavon, la roche est remplie de l’espece pr&cedente sur une hauteur de > a 6 mötres; c’est exactement la forme et l’aspect rougeätre des specimens du Haut-Jura, tandis que ceux-ci rappellent l’aspect marneux de ceux de Chassigny et de Champlitte. Comme nous l’avons dit plus haut, nous adoptons le nombre de 32 cloisons, que nous avons sous les yeux; ce ne peut &tre l’espece reelle distinguee par J. Haime. Microsolena irregularis, d’Orb. — pl. LVM. fie. 1. Agaricia granulata, Mich. Zcon. p. 100, pl. 23, fig. 1 (non Goldf., non Schafh.). 410 Centrastrea, d’Orb. Prod. Il, p. 27. — Oroseris? St.-Michieli, E. H. Rech. XV, p. 138. — Microsolena, d’Orb. Prod. Il, p. 37. — Thamnastrea, E. U. Hist. Cor. I, p. 584. -— Mieroso- lena, El. Aay. Ht.-Jura, p. 124. — Edw. Hist. Cor., Ill, p. 195. — Fr. Mur. Polyp., p. 353. Polypier turbine, assez cleve, a surface superieure plane. Calices inegaux, assez profonds, separes par des ardles arrondies. Gemmation abondante; apparence de series et irreguliere distribution. Üloisons grossieres, avec une disposilion & se metlre en faisceau, au nombre de 30. Columelle rudimentaire ; epitheque complete et forte. Haut. — 60 a 70”"; diam. — 80""; diam. des cal. — 5"" Epieorallien. — Caquerelle. — Rare. Le polypier est iei par consequent un peu plus &leve que dans les individus signales jusqu’äa present. Mierosolena Julii. Et. pl. LVIU. fig. 2. Agaricia tridistans (pars), Th. Coll. Polypier turbine. assez etendu, ä surface superieurement plane, pulvinde. Ca- lices de petite tailie, subegaux ä centres calieinaux assez ereuses; ceux-ci separes par un renllement arrondi, large. Gemmation tout-A-fait superieure. Uloisons tres- fines, droites, ou A peine llexueuses; formant 4 cyeles complets; 5 cloisons par millimetre. Epitheque complete et tres-Epaisse; bourrelets marques. Haut. — 60a 70°”, diam. = 130”";, des’ cal. = 4"". Hypovirgulien. — Caquerelle. — Peut-@tre cette espece n’est-elle qu’une variete de la M. excavata du Haut-Jura; dans sa forme generale, ses calices plus petils, se trouvent des dilferences appre- ciables. Miecrosolena sinnata, Et. pl. LVIM. fie. 3. Polypier conique, irregulier, assez dlale, a surface superieure tr&s-inegale, avec une tendance a ötre plane. Üalices peu inegaux, a gemmalion tres-abondante, presque superliciels, a cavile subeonique, les ar&tes &lant ndanmoins Ires-obluses; cloisons presque droites, d’apparence grossiere, A trabicules minces, un peu inegales; eolumelle rudimentaire. Epitheque forte. Haut. — 40 a 50""; diam. — 100”"; diam. des cal. — 5"". Zone astarlienne. — Vieille-Route. — Assez commun. — 41 - Genre Trocharea. Polypier simple. sans epitheque, largement fixe, ayant la structure des Micro- solenes. Il se rapproche beaucoup du genre Anabacea; mais iei les cloisons sont plus dis- tinctement poutrellaires, et il en differe encore par la large adherence de sa base. Trocharea actiniformis, Et. — pl. LVM. fig. 4. Petite espece courte, cylindrique, hemispherique en haut, largement fixe; le diametre de la base depassant m&me celui du calice. Centre calicinal &troit, assez profond cependant. Cloisons poutrellaires assez fortes; 5 cycles, le dernier plus ou moins complet, suivant l’äge et la taille. Columelle indistincte. Haut. — 7”"; diam. du polypier = 9””. Hypovirgulien. — Croix-dessus. — Assez rare. Genre Thamnarea. Polypier branchu ou allonge, ä tissu solide, fortement perfor&, comme vermi- eule; calices superficiels; cloisons confluentes, ivregulieres, plus ou moins plissees, Echinulees; absence de murailles. Les cloisons ne sont bien visibles que dans cerlaines circonstances, par exemple aussitöt apres le depöt des lames d’accroissement, plus ou moins perforees du reste, qui entourent successivement le polypier; les granulations se forment ensuite, s’u- nissent assez rarement entr’elles; lorsqu’elles sont distinetes, la surface parait forte- ment Echinulee et les cloisons deviennent indeeises. C’est sur ces granulations que se depose la nouvelle lame; l’ensemble se compose done de planchers superposes, soutenus par des poutrelles ordinairement en ligne droite. L’interieur des tiges est completement vermieule. Les calices de ce genre ne sont pas delimites comme dans les Poritiens; les eloisons, tout en etant confluentes, ne sont pas distribuges comme dans les Microso- lenes ou la Meandrarea; le cenenchyme, si il existe, ne se dislingue pas du reste du tissu, et il est, en lous cas, moins abondant que dans les Montiporiens; c’est m&me 52 ce peu de c@nenchyme qui est la cause de sa separation des Psammocores, avec lesquels il a de grandes analogies. Thamnarea arborescens, Et. pl. LVII. fig. 5. Polypier branchu, assez eleve, forme de 3 a 6 branches dichotomes, un peu comprimdes, droites, ou faiblement contournees; calices bien distinets par leur centre, qui est assez profond; dans celui-ci quelquefois un tubercule columellaire; deux cycles de cloisons et quelques advenlives soudees aux premieres, toutes contournees ou plissees, ou encore portant des expansions laterales, qui amenent le plissement des voisines. Surface un peu inegale. Haut. du polypier — 50 a 100””; diam. des tiges — 6 ä 15””; dist. calic. 4 a 5°”. Hypocorallien. — Caquerelle. — Rare. Celte espece est beaucoup plus commune au mäöme niveau dans la Haute-Saöne. Thamnarea digitalis, Et. — pl. LVIN. fig. 6. Assez grande espece allongee, digiliforme, A surface un peu inegale. Calices superficiels, a peine distinets m@me; cloisons tres-grossieres, form&ees de poutrelles grosses, inegales, irregulieres, obscur&ment plac&es en lignes droites, appartenant a 3 cycles, le dernier toujours incomplet et manquant dans la moilie des systemes. Haut. — 75°”; diam. — 25"”; diam. des cal. — 4””; 12 planchers par 5””; diam. de la partie spongieuse = 5 ä 7”” Hypocorallien. — Calabri. — Rare. Le tissu de cette esp@ce est tellement grossier et confus, il se rapproche telle- ment de celui de certains Spongiaires, qu’on peut se demander si elle apparlient r&ellement aux Zoanthaires; elle se trouve du reste en compagnie de Petrospongides et sa place au milieu des polypiers trabieulös du Glyplicien n’a pas encore &te sig- nalde jusqu’ä present. Elle existe au m&me niveau dans la Haute-Saöne. Ce n'est peut-ätre aussi qu’une variete de l’espece precedente, dont le tissu avec l’äge se modifierait sensiblement; l’anterieur des tiges de la premiere, toujours d&nature par la fossilisalion, n’a pu &tre examine. — 48 — * Olasse des Foraminiferes. Conodyctium bursiforme, Et. — pl. LVI. fig. 9. Cor. Ht.-Jura, p. 150. Grande espece ellipsoidale, un peu ovoide, terminde par un tube subeylindrique allonge; test assez mince; surface couverte de pores nombreux, circulaires, ordi- nairement en quinconce; puis de sillons tres-faibles, a peine marques, souvent elfaces, dans un plan perpendiculaire a l’axe, et distants entr’eux de !/,"" en moyenne; ordinairement 4 rangees de pores sur des intervalles qui sont arrondis. Long. totale — 30””; ventre — 15 sur 10””; diam. du tube = 4"". Epicorallien. — Laufon. — Tres-rare. Genre Racemulina. Les especes de ce genre paraissent avoir la m&me organisation que les Orbu- lines, mais elles sont aggregees par agglutinalion ou par de tres-faibles expansions des tissus; ce qui n’arrive pas pour celles-ci. Racemulina ararica, Et. — pl. LVII. fig. 12. Coquilles spheriques ou a peine ovales, formant de petits paquets de 12 a 15 individus, tous de mince taille, irregulierement distribues, simplement accoles. Diam. — 1 & 1Y,””; diam. de la colonie = 7 a 10". Virgulien. — Alle. — Tres-rare. Cette espece est plus commune dans la Haute-Saöne; elle ne nous est connue que par les impressions qu’elle laisse sur les valves de l’O. spiralis, qui l’ont re- couverte. Faut-il y voir des @ufs de mollusques? Racemulina bernensis, Et. — pl. LVII. fig. 13. Espece plus petite que la pr&cedente, beaucoup plus serree, deformee, un peu hexagone vers les soudures, spherique en haut; ensemble irregulier plan, ou con- vexe coude. — 44 — Diam. — un peu moins de 1””. Epiastartien moyen. — Porrentruy (Route de Courgenay). — Tres-rare. Connue seulement par une impression sur une valve inferieure d’huitre. Racemulina subelathrata, Et. — pl. LXI. fie. 15. Grande espece dichotome, form&ee de branches assez larges, courbees, se rap- prochant de leurs voisines. quelquefois les touchant, et formant ainsi une espece de reseau. Colonies formees d’individus places sur 2&5 rangs, et paraissant en oulre se superposer sur 2 ä 3 couches; rangs assez irreguliers. plus ou moins espaces, quoique tres-serres entr’eux. spheroidaux ou ovalaires. Diam. des cal. — 1””; larg. des rameaux — 2" & 5"; long. totale — 1%0 a 150°". Epiastartien. — Provenance ? Cette espece a &t€ rencontree dans une Ammonite; elle s’etait plac&e dans la derniere loge, puis, par la destruction du test et d’une partie du remplissage, les in- dividus ne sont plus visibles qu’on coupe; la largeur constante des rameaux, l'irregu- larit& des diametres, la difference d’epaisseur des intervalles nous ont empäches de rapporter celte espece aux Bryozoaires, oü se trouvent quelques formes voisines lorsqu’elles sont plac&es dans les m&mes condilions. Goniolina geometrica, Buv. — pl. LVII. fig. 10. Chama. Rem. Nordd. Ool. Suppl. p. 35, pl. 18, fig. 39. — Spherites regularis, Qu. Handb. p. 630, pl. 61, fig. 25. — Goninlina geometrica, Buv. Meuse, p. 47, pl. 32, fig. 33—39. — Terebratula clavellata, Ctj. Kim., p-. 33, pl. 3, fig. 9—10. Ensemble ellipsoidal, un peu ovoide; plaques hexagonales, tres-variables de taille, leur diametre n’etant pas toujours en rapport avec celui de lindividu; aux angles une petite car&ne, qui se prolonge vers le centre; celui-ci marqu& par une petite saillie conique. Diam. moy. — 2 sur 16””; diam. des plaques = % a 114”. Hypostrombien. — Chevenez. — Assez commun. Epiastarlien moyen. — Porrentruy. — AÄssez rare. Zone astartienne. — Bure. — Rare. Les caracteres donnes par M. Buvignier pour la @. mieraster (Meuse, p. 47, pl. 32, fig. 38--39) paraissent apparlenir ä une espece usde; tous les individus examines =. ici presentent les m&mes dispositions. Peut-eire faudrait-il voir plusieurs especes dans les diverses varietes que nous signalons iei; il est cerlaines formes plus sphe- riques, avec plaques plus grandes relativement. Dans la Haute-Saöne, cette espece habite surtout le Virgulien inferieur. Goniolina Thurmanni, Et. — pl. LVIN. fig. 11. Espece voisine de la pr&c£dente, mais beaucoup plus regulierement ellipsoidale; plaques tres-petites, marquees de forts sillons aux sulures et impressionndes au centre; des cötes rayonnantes aux angles. Diam. — ? 18 sur 12””; diam. des plaques = 1%””. Epiastartien superieur. — Ermont. — Tres-rare. Cristellaria Thurmanni, Et. — pl. LVIH. fie. 7. Petite espece discoide, formant 1'!/; a 2 et m&me 2'/ tours, faiblement recouv- rants, avec un ombilie, lequel n’est cependant pas toujours tres-marque; coupe cor- diforme, sans arete tranchante; 25 a 25 loges simples, fortement convexes en avant, la derniere large de '/;""; de faibles etranglements correspondants aux cloisons et sensibles sur la surface, lorsque celle-ei est bien conservee; test lisse, couvert d’une poncturation tres-fine, subegale. un peu irreguliere quoique quinconciale; 36 & 40 perforations par millimetre. Diam. = 1Y, a 13/,""; epaiss. = 14””. Zone astartienne. — Pont-d’Able. — Rare. Cette espece est beaucoup plus abondante dans le Doubs. Les Crist. Pleuriauna, Rupellensis d’Orb. du Corallien ne sont pas suffisamment connues; les Robulina gibba, Reneroplis Orbignyi Rem. paraissent avoir des tours plus recouvrantis, plus nombreux, et les loges plus larges et partant plus rares avec une convexite moindre. Je n’ai pu, dans aucun cas, verilier la position de l’ouverture; aussi cette esp&ce n’est-elle que provisoirement rangee dans le genre Cristellaria. Cristellaria Contejeani, Et. — pl. LVIN. fig. 8. Espece voisine de la pr&c&dente, mais toujours plus pelite et plus renflee. Celle-ei serait plus speeiale aux environs de Porrentruy. — 46 — Zone astartienne. — Pont-d’Able. — Commun. Elle se retrouve tres-rare dans le Corallien de la Haute-Saöne. Vebbina dilatata,. Et. pl. LVIU. fig. 14—15. Et. Cor. Ht.-Jura, Suppl. p. 10. Petite espece en chapelet serpuliforme, adherente, croissant en grandeur depuis l’origine; chacune des parties cuneiforme, deux fois plus large que longue, lice ä ses voisines par une filament calcaire de m&me nature que le reste; tissu irregulier, form& de pores assez inegaux, n’ayant guere que Y; & Y, de diamelre et accom- pagnes de porules irreguliers. Long. = 10””; diam. — 1””. Epicorallien. — Laufon. — Rare (sur des polypiers). Cette espece parait beaucoup moins rare dans le Diceratien du Haut-Jura. * Classe des Trypozoaires. (Genres de place douteuse.) Cliona distans, Et. — pl. LVI. fig. 16. Cavites complötement isolees, eirculaires ou ovales, ou irr&gulierement ellipsoi- dales, allongees, tres-peu profondes. Diam. = 1 a 5""; prof. — 1"”. Zone astarlienne. -- Essert-Tainie (Bressaucourt). — Rare. Cliona multicava, Et. — pl. LXI. fig. 16. Tres-petite espece, ereusee spheriquement, ordinairement isol&e, quelquefois touchant deux ou trois voisines, avec lesquelles les communications paraissent tout- ä-fait accidentelles; ouverture sup6rieure assez large; cette espece semble se rencontrer rarement, mais elle abonde sur quelques debris d’huitre ou de Carpentaria. Diam. — %,””; diam. de l’ouv. = moins de 1/””; distance — 1 a 2”” en moyenne. Epicorallien. — Laufon. — Rare. — A — Cliona ovata, Et. — pl. LVIM. fig. 17. Cavites voisines des prec&dentes, mais plus isoldes, et paraissant specialement avoir la forme d’un ovoide allonge. Diam. — 6 sur 2". Zone strombienne. — Voyebaufs (Porrentruy). — Rare. Talpina astartina, Et. — pl. LVII. fig. 18. Petite espece peu rameuse, ä branches courles, faiblement et irregulierement dichotomes, les unes droites, les autres courbdes; oscules peu nombreux, au nombre de 1 a 2 par branche simple. Long. = 10””; diam. des rameaux — 15"”. Hypoastartien. — Perche. — Rare. Dendrina punctata, Et. — pl. LVIN. fig. 19. Petite esp@ce en colonies assez serrees, nombreuses, formde de branches ra- pidement et abondamment dichotomes, bien separdes dans le jeune äge, puis bientöt tellement enchev£trdes, qu’elles ne peuvent plus ätre distingudes que sur les bords de lensemble. A l’äge adulte, l’ouverture tres-petite est subcentrale; dans le jeune äge elle est laterale. Diam. de l’ensemble = 1/,;""; diam. de l’ouverture = Ya5"". Zone astartienne. — Bure. — Commun. Dendrina fodicans, Et. — pl. LVIM. fig. 20. Tres-petite espece en colonies assez serrdes,, formde d’une petite cavite A ou- verlure assez variable, envoyant de pelites branches exir&mement courles, formant comme une nebulosit& autour de l’ouverture. Diam. de l’ensemble = 1/0". Zone strombienne. — Porrentruy. Assez commun. Dendrina dumosa, Et. — pl. LVII. fig. 21. Petite espece en colonies peu serrdes, peu nombreuses; tubes assez gros, subegaux, irregulierement coudes, peu dichotomes, la branche prineipale conservant le plus souvent son importance; les branches secondaires restant courtes. — 418 — Long. — 2””; diam. = 1/y0””. Epiastartien. — Ermont. — Tres-rare. Dendrina ramulifera, Et. pl. LVIN. fig. 22. Trös-petite espece comme isolde, forme&e ordinairement d’une branche unique, peu ramifice et ä branches courtes; la perforation situee a la base de la branche principale. Long. = !%5””. Zone strombienne. — Porrentruy. — Rare. Haguenowia minima, Et. — pl. LVIl. fig. 23. Tres-petite espece formee d’un assez grand nombre d’individus subsociaux, quoi- que completement et inegalement isoles, en poches hemispheriques, dont le diametre est de 1/42”” „ et contenus dans les limites de Yo a Ya”. Zone astartienne. — Perche. — Tres-rare. Cette espece n'est pas beaucoup plus grande que les Balpina punctata et fodicans ; mais comme l'interieur en parait lisse, nous le plagons dans le genre Hagquenowia. * Classe des Spongiaires. Cobalia jurensis, Et. pl- LVIN. fig. 24. Ray. Ht.-Jura, p. 132. — Sp. Ht.-Jura. Soc. jurassienne, p. 140, pl. 1, fig. 2—3. Spongiaire a reseau pierreux, perce de pores irreguliers, a demi perforants, se ereusant dans le test des mollusques une pelite cavilte circulaire, avec des sillons nombreux, simples ou dichotomes, fins, assez profonds, s’&chappant radiairement sur la surface a une distance de 10 a 15””. Diam. des cavitles — 2 ä 2yg””. Epicorallien. — Caquerelle. — Assez commun. Eudea perforata, Et. — pl. LVIN. fig. 25. Spongites, (Qu. der Jura, p. 695, pl. 54, fig. 27. — Eudea, Et. Ray. Montb., p. 28, pl. 6, fig. 27. — 19 — Assez grande espece simple, assez variable dans sa forme, subeylindrique, irre- guliere; oscules superfieiels, legerement bordes; sous le perienchyme un tissu ver- micule assez fin. Quelquefois les oscules sont disposes en ligne droite horizontale. Canal central assez etroit. Long. — 235”"; diam. — 10 a 12°". Zone corallienne. — Caquerelle. — Assez rare. Parendea lloriceps. Et. — pl. LVIN. fig. 26. Spongia, Ph. York. p. 126, pl. 3, fig. $. — Scyphia amicorum (pars), Th. Coll. Spongiaire compose, forme d’un petit nombre de branches, naissant les unes sur les autres, plus ou moins soudees et rapprochees. assez regulierement ovoides. allongees, etroites au sommet. Sur les branches des saillies obtuses, subarrondies, ou assez longues. paralleles entr’elles et a l’axe. ou un peu obliques. Tissu ver- mieule fin; pores et porules inegaux, les premiers cependant de faible taille. Canal central de diametre un peu different; au sommet quelques sillons profonds, mais courts et indivis, a la base un bourrelet epithecal. Haut. — 50 ä 60””: diam. — 12””; diam. du canal — 3 a 4”. Zone corallienne. — Caquerelle. — Commun. Des intermediaires semblent lier cetie espece aux precedentes et a la suivante, et il est peut-&tre impossible de se prononcer definitivement sur les variations de formes que revetent tous ces Spongiaires. Parendea amicorum, Et. — pl. LVII. fig. 27. ? Spongia lagenaria, Mich. Icon., p. 114, pl. 26, fig. 4. -— Se. amicorum (pars). Th. Coll. Espece voisine de la precedente, dont elle differe par ses branches beaucoup plus separdes des la base, les bosselures irregulieres de sa surface. son lissu ver- mieule plus fin et son canal central plus &troit. Haut. — 40””:; diam. des branches — 12””: diam. du canal — 2%/ a 3"”. Zone corallienne. — Caquerelle. — Assez commune. Parendea bullata. Et. — pl. LVIU. fig. 28. Polycoelia, Fr. Intr. Spong., pl. 1. fig. 9. — Parendea (pars). Et. Ray. Montb., p. 29, pl. 6, fig. 38. 33 — in Spengiaire compose, comme forme de Spongiaires simples. accoles. plus ou moins soudes, tous renfles, um peu allonges, arrondis en haut. adherents par une large base. Canal central assez &troit: quelques sillons assez profonds et courts au sommet. Tissu vermicule assez grossier; pores moyennement larges; porules beau- coup plus petits. Cette espece se rencontre aussi isolee. Haut. — 12”; diam. — 10 a 12”; diam. du canal — ?2"”. Zone corallienne. Caquerelle. — Rare. L’ensemble est un peu moins soude que ne l'indique la figure donnee par M. de Fromentel: regardant cette soudure comme reelle et ayant de nombreuses ressem- blances avec d’autres individus voisins de Sp. lagenaria, Mich 'non Lamx. . nous n’en avions fait d’abord qu’une seule espece que nous croyons devoir demembrer aujour- d’hui. sans etre bien certain de la validite des deux especes, car nous donnons en- : core avec doute la Sp. lagenaria comme synonyme de la Par. amicorum. La forme dessinde dans Iconographie, si elle est r@elle, pourrait s’appeler Parendea Michelini. Parendea astrophora. Et. pl. LVIN. fig. 29. Cnemidium astrophorum (pars), Goldf.. pl. 35. fig. 5 b. (non fig. $ a. e., non Qu. — ? Se. intermedia, (Ju. (non Goldf.). Der Jura, p. 697, pl. 84. fig. 19. — Hippalimus astrophorus (pars), d’Orb. Prod. I. p. 390. — Cnem. plano-truncatum, Th. Coll. Spongiaire compose, forme d’un assez grand nombre de tubes, distribues sans ordre. courts, en tete etalde. fixes neanmoins par une base assez large, plutöt su- perposes que naissant les uns des autres; quelques cötes obtuses longitudinales, bien visibles sur la partie renflöee. Tissu grossier, ä poutrelles grosses. solides et compactes. Pores grands, surtout sur la partie superieure convexe, irreguliers et assez serres. (anal assez large, un peu irr@gulier. Haut. — % a 50“; haut. des tubes — 15 a 18”": diam. - 14”"; diam. du ca- nal — 3””, Zone corallienne. — Caquerelle. — Assez commun. Vest assez exactement la figure donnde par M. (Quenstedt: seulement ici les tubes ne se mettent pas de niveau. 421 Parendea gracilis, Et. — pl. LVIU. fig. 30. Siphonocoelia elegans, Fr. Inmtr. Spong., p. 31. pl. I. fig. 7 (non Se. elegans, Goldf., qui est aussi une Parendea,. Petite espece &iroite, allongee. courbee, ordinairement d’une maniere reguliere; rarement des bosselures; surface superieure carrement tronquee. Tissu tres-fin, compacte,. continu. Canal central large. relativement ä la taille. Un bourrelet ä la base. Haut. — 307: diam. L az Hypocorallien. — Caquerelle. — Commun. L’espece la plus voisine est la Par. punctata, Goldi. et Qu.; celle d’Allemagne est encore plus elroite et a son lissu plus fin encore. Ce west pas en tous cas la Se. elegans, Goldf.. de plus grande taille et a tissu beaucoup plus grossier. La Se. Bronni, Qu. (Jura, pl. 84, fig. 20;.non Goldf.) a la m&me forme; elle est seulement plus courte et agregee. Parendea cornuta. Et. — pl. LVM. fig. 31. ? Scyphia elegans, Goldf. Petref., p. 5. pl. 2. fig. 5. — Hippalimus, d’Orb. Prod. Ip 390. Grande espece allongee, courbee, a surface tres-irreguliere; iei des cavites plus ou moins profondes, la des saillies en car@nes. eristiformes m&me:; lissu grossier, a pores un peu allonges dans le sens de l’axe. plus forts sur les. saillies. Tube central assez &etroit. En haut quelques sillons irreguliers et non constants. Haut. — 70””:; diam. — 20"”. Zone corallienne. — Caquerelle. — Rare. La Se. elegans, Goldf. (non Fr.). n’est peut-Etre qu’une jeune de cette espece: cependant. comme la taille est moindre avec un tube plus grand, l’association n’a &te donnee qu’aveec doute. Parendea prismatica. Et. — pl. LIX. fie. 1. Petite espece. courte, epaisse, un peu inclinge. subeylindrique, un peu renflee au milieu. prismatique inferieurement, par suite de la presence de 6 a5 cötes, plus ou moins elevees, eröldes, ou obtuses. Pores de grande taille, egaux ei egalement es- paces; porules tres-petits, uniformes. nombreux, places 3 ä& 4 de front sur les inter- 422 valles des pores. Canal assez large; rudiments de canaux au sommet; un fort bour- relet epithecal ä la base. Haut. — 15"" Zone corallienne. — Caquerelle. — Rare. mm : diam. — 12”":; diam. du canal = 3”". Cnemidium parvum, Et. — pl. LIX. fig. 2. Ray. Ht.-Jura, p. 144. — Sp. Ht.-Jura. Soc. Jur., p. 148, pl. 1, fie. 15. Cne- midium extus-sulcatum, 'Th.. Coll. Petite espece conique, un peu courbee, pedoneulde, Aa surface superieure sub- plane, ou un peu convexe, sillonnee de canaux rayonnants plus marques au centre et ä la circonference. Ouverture centrale assez grande. Tissu grossier: pores assez grands; epitheque basilaire. Haut. — 12”":; diam. — 12"””; diam. du canal — 3". Zone corallienne. — Gaquerelle. — Rare. (senres Desmospongia et Didesmospongia. Les caracteres de ces genres sont d’avoir une depression centrale ou plusieurs depressions, au fond de laquelle ou desquelles viennent aboutir en cercle les pores abducteurs. Le cercle de pores et la cavite tiennent evidemment lieu d’oscules, a ce point m&me qu’il est diffieile d’en separer certaines Tremospongia ou Sparsispongia. Aucune liaison n’existant entre les especes simples et les especes composdes, deux genres sont ici indiques. Le type des especes simples sera la Spongites semi- einctus erebratus, (u. Der Jura, p. 695, pl. 84, fie. 5—b. Didesmospongia Thurmanni, Et. — pl. LIX. fie. 3. En. mundus-osculatum, Th. Coll. Spongiaire sessile, en masse arrondie, convexe, un peu irregulierement, plus renflde pres des oseules; ceux-eci loges au fond d’une cavile spherique et corres- pondant a quelques tubes profonds, reunis en faisceaux et penetrant presque toute la masse. Tissu vermicule, assez grossier; les poutrelles arrondies, assez fortes; pores et porules diflerents; 7 a 8 centres osculiformes. 23 — m Haut. — 25”"; diam. = 30 a 35""; diam, des centres osculiformes — 3””; dist. de ceux-ci — 15”"”. Zone corallienne. — Caquerelle. — Tres-rare. Le Spongites glomeratus, Qu., der Jura, p. 695, pl. 84, fig. 11 (non 10), a quelque ressemblance avec notre espece; les depressions osculiformes manquent, ainsi que le cercle des pores. Stellispongia pertusa, Et. — pl. LIX. fig. 4. ?. Cnemidium astrophorum (pars), Goldf., pl. 35, fig. Sa, c (non Sb). — Cne- midium rimoso-pertusum, Th. Coll. (non Cn. pertusum, Reuss. Kreide). Spongiaire ordinairement simple, en tete arrondie, surbaissee, avec de grosses cötes obtuses sur les flanes. Oscules tres-larges, irreguliers, coniques, pendtrant jusqu’a %g profondeur dans le tissu; branches de l’etoile courtes, profondes, droites, peu nombreuses, non ou a peine bifurquees. Tissu grossier, A poutrelles assez solides et compactes. Haut. — 15 ä 18”"; diam. — 18 a 22””; diam'.de l’oseule = 3a 5°”. Zone corallienne. — Calabri. — Assez rare. Stellispongia aperta, Et. — pl. LIX. fig. 5. Petite espece prismatique, pedonculde, a surface des parties saillantes, angu- leuses ou mousses, presentant deux centres stellaires. Ouverture centrale tres-large, ereusde en cöne allonge, dans lequel viennent aboutir les sillons qui en rendent la surface interne un peu inegale; rayons assez profonds, courts, peu ou pas dicho- tomes. Tissu vermicul& grossier; les pores assez uniformes, comme stelles; les porules uniformes aussi, nombreux. Diam. = 12 a 20””; haut. = 12”". Hypocorallien. — Calabri. — Rare. Cette espece n’est peut-etre qn’une variete de la pr&cedente, avec laquelle elle vit; son canal central beaucoup plus grand, bien forme, des rayons moins forts, et un tissu un peu plus grossier, peuvent &tre regardes comme des caracteres diffe- rentiels. D’un autre cöte, ce canal central n’est pas assez parfait, et il se termine trop rapidement en pointe pour que l’espece puisse rentrer dans les Siphoniens. 424 Stellispongia hybrida. Et. — pl. LIX. lie. 6. Petite espece. courte, subeylindrique, ventrue, raccoureie, tronquee oblique- ment: eavit& centrale conique, assez peu profonde. large: ensemble peu epaissi en haut: faibles sillons rayonnants, s’etendant neanmoins assez loin. peu bifurques. Tissu assez erossier. surtout en haut. Haut. 10 a 12"; diam. — 11". Zone corallienne. — Caquerelle. — Rare. Stellispongia glomerata. Et. — pl. LIX. fig. 7. Cnemidium stellatum, Mich. Icon. , p. 115. pl. 26. fig. 5 (non Goldf. Reuss). — Spongites glomeratus \pars). Qu. Der Jura, p. 695. pl. 54, die. 10 (non fig. 11. non Achilleum. Groldf. Reuss.). Assez pelite espece, a parties distinetes; les cavites centrales se monlrant au milieu d’une saillie renilee, tres Epaisse; cette cavile etroite rapidement formee, re- cevant quelques tubes abducteurs et canaux tres-courts. rares. non bifurques. Tissu tres-grossier: les poutrelles &paisses. Zone corallienne. Caquerellle. — Rare. Cette espece est de taille un peu moindre que lindividu dessine par M. Quen- stedt: c'est Ir&s-probablement la une simple difference d’äge. Astrospongia corallina. Et. pl. LIX. fig. 8-9. Cnemidium pyriforme, Mich. (non Reuss, non Tragos, Goldi.), Icon., p. 114, pl. 26, fig. 6. — On. rotula, ibid., p. 115, pl. 26, fig. 7 (non Goldf.). — Enaulofungia corallina, Fr. mtr. Spong., p. 48. pl. 3, fig. 11. -- En. globosa, ibid. pl. 4. fig. 3. — Astro- spongia, Et., Ray. Montb., p. 29, pl. 6. fig. 29. Spongiaire globuleux ou hemispherique, un peu irregulier, a lissu Ires-grossier, a cause de la grande inegalit6 et de la taille des pores et des porules. Surface presque compl&tement oecupee par une etoile de $ a IV rayons, assez larges. peu profonds, arrondis, ayant ordinairement son centre aı sommet; beaucoup plus rare- ment ?2 et möme 3 etoiles. et alors sur des individus de grande taille. Pas de de- pressions au centre de l’etoile. . Diam. — 15 a 20°", Zone eorallienne. — Gaquerelle, Galabri. — Tres-commun. 25 — Thurmann avait admis plusieurs especes, qui nous semblent des varietes: 1. Cnemidium sulcato-depressum. Ensemble deprime, centre de l’etoile peu profond: assez rare. 2. Cnemidium suleato-acutum. Ensemble renfle, globuleux ou conique. tronque: etoile de 1°: tres-commun. 3. Cnemidium rimoso-stellatum. Ensemble globuleux ; centre de l’etoile assez pro- fond; sillons fortement creuses, plus rares et plus eourts que dans la 2°; assez rare. Cette derniere se rapproche de quelques individus de la Stell. pertusa, mais il n’y a pas de canal au centre. Une forme tres-voisine existe dans le Cn. rotula, Mich. (non Goldf.), Stell. sub- rotula, d’Orb.; il n’y a sans doute pas ä hesiter a le donner comme synonyme; ce- pendant le tissu parait beaucoup plus fin dans l’espece de la Meuse. S’il etait de- montre que c'est Ja une erreur de dessin, l’espece devrait porter le nom de Ast. subrotula. Astrospongia rugosa. Et. — pl. LIX. fig. 10. Petite espece spheroidale, portee sur un pied court, au milieu une grande etoile a centre peu excave; les sillons profonds, s’etendant sur toute la surface, peu bifur- ques. Tissu tres-grossier; poutrelles epaisses, compactes, contournees; pores tres- inegaux, un grand nombre me&me osculiformes, ce qui fait paraitre la surface cou-, verte d’asperites. Haut. — 15°”; diam. — 17””. Zone strombienne. — Porrentruy. — Rare. Ceriospongia mundus-stellatus, Et. — pl. LIX. fig. 11. Cnemidium mundus-stellatus, Th. Coll. Spongiaire globuleux, surbaisse, portant, sur des saillies tres-obtuses, un cer- tain nombre d’etoiles peu distinctes, ä sillons assez courts, dont le point de r&union est marqu& par une petite depression reguliere; tissu assez grossier, en poutrelles comprimees, lamelleuses. Haut. — 25”":; diam. — 25 a 40””; diam. des etoiles — 12 & 15”. Zone corallienne. — Caquerelle. — Assez commun. — 4% Ceriospongia Bernensis, Et. — pl. LIX. lig. 12. Petite espece largement adherente, ä face inferieure plane, ondulee, non re- couverte cependant d’une epitheque; face superieure hemispherique, deprimee, un peu etendue sur les Manes. Etoiles bien marquees, a rayons nombreux, dichotomes, assez profonds. Tissu vermieule assez fin; peu de porules. Haut. — 10" ; diam.. = 22". Zone corallienne. — Caquerelle. Rare. Celle espece est assez voisine de la precedente et n’en est peut-etre qu’une variele. a part la forme; le tissu en est plus fin et les rayons sont plus etendus. plus nombreux et plus dichotomes. Ceriospongia multistella,. Et. — pl. LIX. fig. 13. Ray. Montb., p. 31, pl. 6, fig. 30. Grande ‚espece,, en masse irreguliere, arrondie, lobee, couverte de petits ma- melons arrondis, oblus, au sommet ou sur les flancs desquels une etoile informe, comme gereee. Tissu tres-dIin, regulier; pores et porules peu dillerents. Diam. variable jusqu’a 40""., Zone strombienne. — Route-de-Ceuve, Banned. — Rare. Epistrombien inferieur. — Haut-de-Ceuve. — Tres-rare. Hypostrombien. — Porrentruy. — L’individu de l’Epistrombien est sous forme d’une grande lame; c'est le propre des jeunes individus, qui, d’habitude, sont de moindre diametre cependant. LGelui de ’Hypostrombien a au contraire la surface tres-aceidentee. Ce ne doivent ötre la que des varietes. Amorphospongia tuberifera, Et. — pl. LIX. fig. 14. (irande espece, A lissu Ires-compacte, adherente par une base assez £lroite, convexe lateralement, portant en haut de nombreuses saillies elevees, tendant m&me a s’eriger en excroissances subrameuses, les unes grosses, arrondies ou irregulieres, les autres plus ou moins spiniformes. Haut. = 55""; diam. — 70"". Zone corallienne. — Tres-rare. — a Cette espece a des rapports assez nombreux avec l’Am. uberina (Spong. Ht.-Jura, pl. 1, fig. 17); l’une et l’autre ont le tissu tr&s-compacte, ce qui n’arrive pas d’habi- tude chez les Spongiaires, seulement il est tellement irregulier qu’il n’est guere pos- sible d’y voir des Bryozoaires; ici, en outre, le tissu siliceux est trop denature pour qu’il soit possible de l’etudier. Cette espece nous a ete donnde sans indication de localite. Amorphospongia ? pustulata, Et. — pl. LIX. fig. 15. Espece encroütante, recouvrant d’une couche mince quelques valves de coquilles, et s’elevant ga et la assez serrde en pustules de quelques millimetres de diametre tout-a-fait irregulieres. Hypostrombien. — Porrentruy (Ermont). — Rare. Genre Plococoeha. Ce genre parait tout-a-fait analogue au genre Plocoseyphia, dont il ne differerait que par le tissu, qui ici est celui de la section de nos Spiculidiferes. Neanmoins, dans l’espece qui nous sert de type, le tissu est tellement altere qu’il nous reste quelques doutes sur sa forme reelle; c’est seulement par analogie que nous la maintenons A cette place. Plococoelia obscura, Et. — pl. LIX. fig. 16. Achilleum, Th. Coll. Grande espece formee de deux lames accolees, rapprochees, ou laissant meme entr’elles un espace cupuliforme, fortement et assez regulierement plissees en zig- zag arrondis; l’ensemble comprime en eventail. Tissu reticule assez grossier; sur la surface pas d’oscules, pas d’epithöque, mais des rugosites assez sensibles. Grands individus: haut. = 100””; larg. — 120”"; ep. des lames = 10". Taille moyenne: haut. — 50””;, larg. — 60 a 70"”; ep. = 10". Zone corallienne. — Calabri. — Commun. Cette espece a quelque ressemblance avec la Spongia contorto-lobata, Mich. (Plo- coscyphia, d’Orb.), seulemeut ici il n’y a jamais que deux lames plus ou moins rap- prochees et paralleles. 54 m 3 TE Cupuloeoelia rugosa, Et. — pl. LIX. fig. 17. Scyphia, Goldf. Petref., p. ST, pl. 32, fig. 2, ? 9, pl. 3, fig. 6. — Cupulospongia, d’Orb. Prod. I, p. 391. Grande espece infundibuliforme, a lame £paisse. regulierement conique, assez profonde:; tissu reticule grossier; linterieur uni ou ä peine bossele, l’exterieur por- tant des bourrelets d’accroissement mal dessines, concentriques; pied assez etroit. Haut. — 55”; diam. = 110*"; ep. — 22"". Zone corallienne. — Calabri. — Rare. Les bourrelets sont plus rares et moins marques que dans la figure donnee par Goldfuss. Cette espece est aussi plus ouverte. Faut-il admettre comme unique espece les trois formes si differentes d’ouverture qui sont reunies sous ce meme nom ? APPENDICE VERTEBRES. REPTILES ET POISSONS. Les Vertebres ne sont representes dans le Jura bernois que par un petit nombre d’especes et encore les restes qu'il est possible d’en recueillir sont-ils loin d’en per- mettre souvent la determination. Nous ne donnerons donc que quelques indications. Les Cheloniens sont representes par au moins trois especes: 1° Chelonia ... pl. LXI. fig. 1. Piece vertebrale, arrondie en haut, remarquable Jar sa.grande Epaisseur; l’os est compacte partout. — Epistrombien inferieur. — Courgenay. 2° Chelonia... pl. LXl. fig. 2. Espece analogue a la Chel. Valangiensis, Pict.; c’est-A-dire avec une carapace en forme de toit; seulement ici les os sont bien plus epais A proportion. Ils sont comme caries dans la partie interne. — Epistrombien “ inferieur. — Banne. 3° Emys .... pl. LXI. fig. 3. Hyposternal droit d’une Emyde d’une taille beau- coup plus petite que celle des precedentes. — Strombien. — Courgenay. - On rencontre dans le Strombien du Banne et I’Hypovirgulien de Cöte-de-Mars d’assez nombreux debris de cötes qui en outre peuvent se rapporter a ces especes et pour lesquelles d’autres signalements ne sont guere possibles. Peut-etre faut-il rapporter a une des especes pr&cedentes le debris represente pl. LXI. fig. 27, et qui parait appartenir a un ongle. — Zone strombienne.. — Banne. Les Sauriens sont plus rares encore que les Cheloniens. 1° Cöte .... pl. LXI. fig. 5. — Epistrombien inferieur. — Bois’ des Echies, sur Villars. . ) 2° Tibia ... pl. LXl. fig. 4 (Yy -grand.). — Zone astartienne. —"Dampvant. 3° Teleosaurien (Ganoide sauroide, Th.), pl. LXI. fig. 12 (12a, grand. nat.).'— Zone astartienne: — Courdemaiche. aim: — 30 — 4° Machimosaurus Hugü, Ag.. pl. LXI. fig. 6 et 7. — Zone strombienne. — Banne. Chavannes. 5° Plesiosaurus... ou peut-€ire des dents Ires-allongees d’Ichthyosaurus. La coupe est trop eirculaire pour indiquer un Teleosaurien. Pl. LXI. fig. 8. — Zone strumbienne. — Le Banne. 2 6° Plesiosaurus. ... meme remarque que pour l’espece precedente; pl. LXI. fig.9. — Hypovirgulien. — Roche-de-Mars. M. Agassiz divise les poissons en 4 grands ordres: Ütenoides, Cycloides, Ga- noides et Placoides. On ne rencontre guere dans les terrains jurassiques que les derniers. Les Ganoides forment une douzaine de familles, dont trois surtout sont represen- tees dans nos terrains. savoir les Lepidoides, les Sauroides et les Pyenodontes. Les Lepidoides ont des dents en brosse sur plusieurs rangees et des ecailles plates, rhom- boidales. Ce sont des poissons trapus. On en connait un certain nombre d’especes du Jura superieur, prineipalement de Solenhofen, Kelheim, Hildesheim, Boulogne, Civin. ete. On ne cite guere jusqu’a present dans notre region qu’une espece trou- vee d’abord aux environs de Soleure, puis, par M. Flamand, dans le Virgulien de Montbeliard: c'est le Lepidotus laevis, Ag. M. Contejean signale dans l’Epiastartien, probablement par erreur de determination. le Lepidotus gigas du Lias. Les Sauroides ont des dents coniques, pointues, alternant avec de petites dents en ' brosse. et les Ecailles comme les Lepidoides. Ce sont des poissons @lances. On en eonnait un certain nombre d’especes des terrains jurassiques superieurs, surtout de Soienhofen, Kelheim, Civin; il y en a aussi des traces dans ceux du Jura. J’ai une dent de l’Astartien inferieur, qui parait appartenir a cette famille. Les Pyenodontes ont les dents en pave, arrondies, ou allongees, dont la racine est creuse. Les debris de cette famille sont tres-repandus dans nos terrains supe- rieurs du Jura. Elles apparliennent surtout aux genres Pycnodus , Sphaerodus et Gyrodus. Les Placoides forment 5 ou 6 familles, qui, la plupart, ont des representants dans le Jura superieur; on n’en signale jusqu’a present dans notre region qu’un tres-petit nombre des genres Ischyodon et Strophodus. . En resume, les debris de poissons dont la connaissance importe le plus A nos terrains sont en petit nombre et on ne les trouve le plus souvent qu’ä l’&tat de dents isol&es, dont nous nous contenterons de constater les provenances. — mu — Ganoides. Pyenodus, Ag. — Dents prineipales demi-cylindriques, en forme de feves. P. Hugii, Ag. — Hypovirgulien. — Route d’Alle. —P. affınis, Ag. — Probablement contenu dans les diverses formes representees dans la pl. LXI, fig. 25. P. gigas, Ag. — Strombien. — Porrentruy. — Pl. LXI, fig. 23—24. | Strombien. — Porrentruy (Banne). — Pl. LXI, fig. 21 et 22. P. Nicoleti, Ag. “oe 88° | Hypovirgulien. — Route d’Alle. — Pl. LXI, fig. 22 et 2%. \ Astartien inf. — Bure, Porrentruy (3”° combe). — Pl. LXl, fig. 14. | Strombien. — Porrentruy. — Pl. LXI, fig. 13. Sphaerodus. Ag. — Dents hemispheriques en forme de bouton. S. gigas, Ag. — ? Porrentruy. — Pl. LXI, fig. 17—19. C'est tres-probablement d’un dent du Lepidotus laevis, Ag. 6yrodus, Ag. — Dents subhemispheriques, marquees de sillons concentriques. G. jurassieus, Ag. — Strombien. — Porrentruy (Banne). — Pl. LXI, fig. 20. Cette figure, comme du reste les figures 15 et 19, sont des dents laterales peu Pyenodus ... caracterisees du genre Pyenodus. Capitodus, Mü. — Dents allongees, a racine cylindrique, renflee au-dessus, et amincies en biseau. €. Gresslyi, Th. — Strombien. — Porrentruy (Banne). — (Pl. LXI, fig. 21.) Petite espece, longue de 11”” et large de 6””. Celte forme, dont Munster fait le genre Capitodus, qu’il place dans les Pyenodontes malgre leur mode d’insertion, mais que Mr. Agassiz repousse de cette section, ne serait selon Mr. Gressiy qu’une dent partieuliere de ?. Augii. M. Nicolet l’indique comme une dent ineisive. L’ana- logue existerait pour le P. gigas. La forme la plus voisine est celle du Pyenodus ... Pictet et Jaccard, Jura Neuchä- telois, p. 71, pl. 16, fig. 6; seulement ici la racine est longue et cylindrique, la face interne est donc sans carene, un peu moins creusde et ä stries marquees. Lepidotus, Ag. L. laevis, Ag. — Chaux-de-fonds, Soleure, Aix. — Montbeliard. — (Pl. LXI, fig. 28.) BE Placoides. Strophodus. Dents larges, tronquees aux extremites, tordues en surface gauche. r St. subreticulatus, Ag. — Strombien. — Porrentruy (Banne. Ht.-de-Coeuve). — Pl. LXI, fig. 29. Hypovirgulien. — Id. Roche de Mars). — Pl. LIX. fig. 10. ll faut ajouter a cela une dent de placoide squalide ‚lisse de l’Astartien inferieur de Bressaneourt; c'est probablement un Ozyrina ou un Hybodus. Üe serait [’O. Bressan- courtiana (pl. LXI, fig. 111. Dans les Aybodus les eönes sont moins tranchants que dans les Ozxyrina. Signalons encore quelques especes, dont les dents rappellent celles des Diodons?. Hybodus. etc.. de Roche de Mars (pl. LXI, fig. 11) et des vertebres (pl. LXI, fig. 16): ainsi qu’une vertebre de Squalide (pl. LXI. fig. 16) de I’Hypovirgulien superieur de Roche de Mars. Les poissons de Civin. etudies par Mr. Thiolliere, en offrant l’ensemble de So- lenhofen, paraissent coralliens et ne renferment aucune des especes ci-dessus. Üe- pendant, s’il n’y a pas d’erreur, le terrain de Civin renfermerait l’Exogyra virgula. Artieules. Urustaces. Decapodes brachyures. Genre Pithonoton. Pithonoton hypoecrita, Et. — pl. LX. fig. 1. Prosopon, Th. Coll. — Pithonoton, Et. Crust. Jur., p. 10, pl. 1, fig. 2. Petite espece subrectangulaire, subplane, arrondie en haut, un peu retrecie en arriere, front assez allonge, fortement recourbe en dessous, cötes portant des anten- nes tres-reduites. Orbites grandes, bien marquees, peu profondes, occupant toute la portion anterieure de la carapace. Sillons du test profonds, les posterieurs inter- rompus et separes par un petit renflement tuberculeux, le nuchal portant un fort sinus en son milieu. Les diverses regions assez bien delimitees; deux tubercules pres du rostre sur la division anterieure. Granulations assez grosses, obtuses, peu ser- rees, a peine plus rares et plus grosses en avant. Carapace : long. = 12°"; larg. = 10"; ep. = 5°". Hypovirgulien. — Courtedoux (Croix-Dessus). — Rare. (Genre Goniodromites. Goniodromites rostratus, Et. — pl. LX, fig. 2. Pithonoton, Mey. Kreb. p. 24, pl. 4, fig. 36. — In Mü. Beit. V, p. 76, pl. 15, fig. 4 (non fig. 5—6) — in Paleontog. p. 74, pl. 15, fig. 4-6 (non Br.). — ? Qu. Handb. p. 263, pl. 20, fig. 4. — Der Jura, p. TTT, pl. 95, fig. 41, 44 (exelusivement)- — Goniodromites, Et. Crust. jur., p. 12, pl. 1, fie. 1. Carapace subeirculaire, faiblement et assez r&gulierement convexe, limitee late- ralement par une carene tranchante. Sillons peu profonds quoique assez nets, tous deux presentant un faible sinus dans leur milieu, et assez rejetes en arriere, la divi- _— sion anterieure elant ainsi de beaucoup la plus vaste; les diverses regions assez distinetes, la cordiale portant trois tubercules. Orbites ires-longues, un peu plus etroites en leur milieu; pres du rostre, qui est court, deux &chanerures livrant pas- sage a des antennes assez fortes. Granulation fine, €gale. a peu pres r&pandue egalement. Carapace : long. = larg. = 15”*; ep. = 619””. Diceration. — Laufon. — Rare. Genre Orhomalus. Orhomalus virgulinus, Et. — pl. LX, fie. 5. Gammarolithes. El. Crust. Jur. Soc. geol. XVI, p. 200. — Orhomalus, Et. Crust. Jur. Soc. Vesout, p. 14, pl. 2, fig. 1. — Glyphea marochira (pars), Th. Coll. Main pen Epaisse, plane interieurement, peu convexe en haul, assez rapidement retrecie vers larticulation. qui reste large cependant; doigts courts et robustes, sub- droits. Granulation inegale, variable avec les individus. quelquefois dirigee en lignes plus ou moins obliques et ondulees. Variete a. Rides tres-prononcees sur presque toute la surface. subparalleles. obliques: une forte depression en haut pres de l’articulation. Long. = 35°"; larg. = 35””; ep. = 11”. Zone virgulienne. — Alle. — Trös-rare. Variete db. Rides peu serr&es, horizontales; deux fortes depressions lalerales. Long. = 30”; larg. = 30”"; ep. = 15”. Hypovirgulien superieur. — Porrentruy (Sous-Waldeck). — Rare. Cette derniere forme se retrouve dans la Haute-Saöne. au möme niveau. Orhomalus macrochirus, Et. — pl. LX, fig. 6. @lyphea (pars,. Th.Col. — Orhomalus, Et. Crust. Jur. Soc. Vesoul, p. 14, pl. 2, fig. 2. Grande espece, voisine de la precedente, dont elle differe par son bord interne plus large, les doigts plus courbes, la main plus concave ä linterieur, moins large- ment articulee, les tubercules plus inegaux, les rides moins marquees: variable du reste avec les individus et l’etat de la fossilisation. Zone strombienne. — Banne. — Rare. 45 — Orhomalus .. . — pl. LX, fig. 8. Crust. Jur., Soc. Vesoul, p. 15, pl. 2, fig. 3. Cette espece parait differer de la precedente par la forme beaucoup plus conique de ses doigts, leur forte courbure, la largeur de leur base et les trois rangees de tubercules ä l’interieur. Zone strombienne. — Banne. — Rare. Örhomalus astartinus, Et. — pl. LX, fig. 7. Crust. Jur., Soc. Vesoul, p. 17, pl. 2, fig. 6. Pince de faible taille, allongee, &paisse, arrondie; main tres-courte ; doigt conique, droit; granulation grossiere, serree, de plus en plus grosse vers la partie interne. Long. = 25 a 30””; larg. 15"” ; ep. =- 9"", Astartien inferieur. — Porrentruy (Perche). — Tres-rare. La forme un peu differente de cette espece meriterait peut-etre l’etablissement d’une autre coupe generique. Decapodes anomoures. Genre Prosopon. Prosopon jocosum, Th. — pl. LX, fig. 3. Et. Orust. Jur., Soc. Vesoul, p. 20, pl. 1, fig. 3. Petite espece, un peu allongee, tres-renflee; la division anterieure subhemisphe- rique, garnie de fortes protuberances, occupant la moitie de la longueur de la cara- pace, division moyenne oblique en arriere, creusde au centre; les sillons marques par le renflement des parties voisines; pas de regions orbitaires; la carapace un peu cereusde de chaque cöte du rostre; tubercules rares, peu saillants, repandus egale- ment sur toute la surface. Carapace : Long. = 9""; larg. = 61/%2"”; ep. = 5"". Hypovirgulien. — Courtedoux (Croix-dessus). — Rare. Genre Pagurus. Pagurus jurensis,. Et. -- pl. LX, fig. 10. Crust. Jur., Soc. Vesoul, p. 21, pl. 2, fig. 9. 55 — 436 Pince de petite taille, courte, oblique, a bords paralleles; lat&ralement d’assez fortes Epines, surtout au cöte correspondant au doigt mobile; face interne presque lisse, granulation tres-fine sur l’autre face, doigt eylindrique, droit, assez löng. Main: Long. = 10°"; larg. = 11””; ep. = 71”. Zone strombienne. — Porrentruy. — Tres-rare. Decapodes macroures. Genre Stenochelus. Stenochelus Gresslyi, Et. — pl. LX, fig. 4. Crust. Jur., Soc. Vesoul. p. 21, pl. 1, fig. 4. Petite espece, assez allongee, arrondie aux extremites, peu €paisse; les trois grandes divisions assez marquees par les sillons transverses, mais la division ante- rieure de beaucoup la plus grande, partagee de nouveau par des sillons plus faibles; les diverses regions tres-distinetes. Surface couverte de grosses granulations tu- berculeuses rares, plus marquees en haut, les carönes laterales de la carapace gar- nies elles-m&emes de tubercules. Carapace : Long. = 914””; larg. = 1”; ep. = 3°”. Hypovirgulien. — Courtedoux (Croix-dessus). — Tres-rare. (renre Uallianassa. Callianassa suprajurensis, Et. — pl. LX, fig. 9. Pagurus Qu..'Handb., p. 265, pl. 20, fig. 8 u. 9. — Der Jura, p..804, pl. 99, fig. 20. — Glyphea stenochira, Th. Coll. — A. M. Edw. Thalass. foss., p. 51, pl. 15, fig. 5. — EI. Crust. Jur., p- 34, pl. 1, fig. 13. Pince de tres-petite taille, allongee, mince, reetangulaire; doigt court et £troit, test lisse, carenes laterales tranchantes; sur celle qui correspond au doigt mobile, de chaque cöte 5 a 10 petites impressions. Pince : Long. = 8"*; larg. = 3"*. Hypostrombien. — Porrentruy (Ravin-Carraz). — Tres-rare. Epiastartien. — Porrentruy (Plateau des Cötes). — Tres-rare. — 31 — Genre Eryma. Eryma Thurmamni, Et. — pl. LX, fig. 11. Crust. Jur., Soc. Vesoul, p. 41, pl. T, fig. 4. Pince de grande taille, ä articles robustes, courts, epais, ponctuation etroite, peu serree. Au m&me niveau, une carapace de peltite taille (probablement une jeune), sillon nuchal tres-oblique, sans depression secondaire; sillon sus-branchial &troit, peu pro- fond; le second moitie plus court, ne communiquant pas avec lui; ponctuation fine et uniforme. Patte: Long. de la main = %””; larg. = 18””. Hypostrombien. — Porrentruy (Combe de Petit-Pas, Va-Bechaz). — Rare. La carapace n’olfre pas de caracteres differentiels saillants avec nos autres es- peces jurassiques; par contre, la palte est tres-distinete de chacune d’elles. Annelides. $. 1. Especes eylindriques. Serpula subflaceida, Et. — pl. LX, fig. 12. S. flaceida, Reem. Nord. Ool., p. 34 (non Mü., Qu.). — S. subflaccida, Et. Cor. At -Jura. Soc. Doubs, VI, p. 63. Espece d’assez faible taille, tres-allongee et tres-contournee, eylindroide; les flexuosites tout A fait irregulieres, quelquefois coudees a angle droit; test Epais, lisse; stries d’accroissement ä peine marquees, pas de soudure entre les replis ou les divers individus. Long. = 1ä 2 deeim.; diam. moy. = 2”. Hypocorallien. — Caquerelle, Calabri. — Tres-commun. La S. flaccida est indiquee dans l’Oolite ferrugineuse, la en effet elle s’etale et s’allonge comme l’a represente le Petrefacta Germaniae; iei elle occupe moins d’es- pace; elle est intermediaire entre celle-ci et la S. gordialis; elle est plus cylindrique que la premiere, et elle se distingue en outre de toutes deux par l’epaisseur de son tube. — 48 - Serpula Laufonensis, Et. — pl. LX, fig. 13. Espöce trös-voisine de la pr&cedente, ä test plus &pais encore, lisse, ou tres- faiblement marquee de stries d’aceroissement; tube sur de pelites longueurs regulie- rement cylindrique, formant des masses libres tres-compliquees ou r&unies en fais- ceaux spiralds, mais avec @loignement plus ou moins grand des individus. Long. = 1 ä& 1!/, deeim.; diam. = 2". Epicorallien. — Laufon. — Commun. Serait-ce l’espece precedente qui dans un autre milieu aurait des habitudes tou- tes differentes ? Son tube est plus &pais, plus regulierement eylindrique, outre les differences dans le mode d’aggregation des individus; la disposition en faisceaux spi- rales n’arrive qu’ä un certain moment; il n’est done pas probable que ce+soit une Galeolaria. Serpula gordialis, Schl. pl. LX, fig. 14. Schl. Petref. I, p. 96. — S. contorquata, ibid. p. 96. — S. gordialis Goldf. Petref., p. 234, pl. 69, fig. 8 (non p. 340, pl. 71, fig. 4; non Gein. Kreid.). — (Pars) Br. Leth., pag. 415. — Qu. Der Jura, p. 176, pl. 95, fig. 33 (? p. 393, 664). — ? Handb., p- 321, pl. 24, fig. 23 (non fig. 22). Petite espöce, assez allongee, eylindroide, enroulee sur elle-m&me en spire plus ou moins irreguliöre et flexueuse; quelquelois en plaque, le plus souvent chevau- chant sur elle-möme; test &pais et lisse. Long. = 50 a 100”"; diam. = 2". Corallien et Hypocorallien. — Caquerelle, Calabri, .... — Commun. Les plaques ont 15”" environ de diamelre; celte espece atteint rapidement son diametre, qu’elle conserve ensuite sans modification bien grande; cette disposition de l’enroulement et son diametre plus grand la separent de l’espece suivante, ä laquelle il faut trös-probablement rapporter les formes donndes par Mr. Quenstedt sous le nom de $. gordialis. Nous avons pris pour type les individus de Natheim; ceux qui leur ont &t6 associes par Goldfuss des marnes ä Ostrea acuminata devront probable- ment constituer une espece distinele. Serpula ilium, Goldf. — pl. LX, fig. 15. Petref., p. 234, pl. 69, fig. 10. Petite espöce, &troite, allong6e, presque filiforme, plutöt plissee en zigzag, que — 39 — eontournee sur elle-meme; la disposition spirale tres-irreguliere, ayant rarement lieu sur elle-m&me, presque tonjours, animal s’ayangant avec l’accroissement 'du tube; test lisse, peu Epais. Long. = 50 a 120”"; diam. = 1", Corallien. -— Caquerelle. — Assez commun. Serpula medusida, Et. — pl. LX, fig. 16. Petite espece, etroite, Ires-allongee , formant des paquets tr&s-contournes sur eux-mömes, en replis serr&s tout-a-fait irreguliers, plus rarement etalee, et A lexuo- sites läches; test lisse, assez Epais. Long. = 100 a 150””; diam. = 11/"”. Zone strombienne. — Porrentruy. — Assez commun. Epiastartien (16). — Porrentruy (Va-Bezege). — Rare. Cette espece est intermediaire pour le diametre entre les S. gordialis et ilium; elle parait beaucoup plus longue que toutes deux; elle est plus compliquee. Serpula spiralis, Münst. — Pl. LX, fig. 17. Goldf. Petref., p. 233, pl. 69, fig. 36. (?fig. 3a). — Qu. Der Jura, p. 776, pl. 95, fig. 28. — ? Vermeties M. Edw. in Lamk. Invest. V, p. 633. Espece d’assez grand taille, rapidement eroissante, puis stationnaire, enroulde d’abord sur elle-meme suivant 2 a 4 tours, arrondie dans la partie libre, largement etalee inferieurement; les lames laterales tres-developees et souddes m&me au tour prec&dent de maniere A rendre la suture invisible; Ja partie superieure est tout-A-fait lihre, droite, ou un peu flexueuse, amincie a son extremite, le peristome &tant ainsi tranchant, et portant quatre sillons longitudinaires tres-faibles, non visibles dans la partie enroulee; test epais, ä peu pres lisse. Hauteur de l’ensemble = 35 a 40””; diam. du tube = 6 a 7”. Corallien. — Caquerelle. — Assez commun. La figure 3a des Petrefacta Germaniae ne doit pas appartenir a cette espece; la partie libre est beaucoup plus courte, et le peristome est devenu tranchant par l’amineissement rapide du test. Serpula lacerata, Ph. — pl. LX, fig. 18. York, p. 169, pl. 4, fig. 35. zz: mw = Grande espece, &troite, assez allongee, reunie en masse ordinairement fasci- culde; les tubes plus ou moins soudees entre eux, le plus petit nombre droits, les autres decrivant des courbes souvent inverses, er&t&s dans le jeune äge, puis mar- ques de 4 sillons que se prolongent jusqu’en haut; surface couverte de stries d’ac- croissement tres-prononcees, determinant m&me de petits filets; test mince. Long. = 120 a 150””; diam. = 56"”. Hypocorallien. — Mont-Terrible. — Assez commun. Cette espece est tres-voisine de la S. quadristriata a laquelle nous avons rap- porte une forme du fer Kellowien et m&äme du Corallien inferieur de la Haute-Saöne Jura Graylois, Lyon, p. 13 et 26). les differences avee celle d’Allemagne nous ayant paru insensibles. lei nous avons des filets d’accroissement tres-marques, un diame- tre moindre ä longueur egale. Ce caractere des filets nous a paru represente par Phillips, quoique la cr&te du jeune äge et les sillons de l’äge adulte n’aient pas ete signales. S- 2. Especes triquötres. Serpula Goldfussi, Et. — pl. LX, fig. 19. S. capitata, Goldf. Petref.. p. 228, pl. 67, fig. 17 (non Phill.). Petite espece courte, trigone, peu flexueuse, les flancs l&gerement renfles, vers la bouche un epätement du test d’un diametre a peu pres double de celui-ei du tube; stries d’aceroissement peu marquees. Long. = 20°"; diam. = 1””. Corallien. — Caquerelle. — Tres-rare. Serpula limata, Mü. — pl. LX, fig. 20. Goldf. Petref., p. 229, pl. 68, fig. 1. — Et. Cor. Ht.-Jura. Doubs VI, p. 65. Espece de taille moyenne, flexueuse, non enroulde, adherente dans toute son etendue par une assez faible base; flancs convexes, carene dorsale peu prodmi- nente sur toute la longueur; stries d’accroissement bien marquees; par places, des filets saillants, restes d’anciennes bouches, pr@sentant un faible sinus en leur milieu. Long. = 40 a 50”” ; diam. = 4 a 5””. Epicorallien. — Laufon. — Assez commun. Les individus que nous avons ä signaler sont de möme taille et ont les m@mes — MM — caracteres que ceux que nous avons decrits dans notre Monographie du Corallien du Haut-Jura ; devraient-ils conslituer une espece distincte ? Serpula muraenina, Et. — pl. LX, fig. 21. Petite espece droite, a peine flexueuse, non etalde a la base, presque arrondie, portant en haut une tres-faible carene crötee, lisse; les flancs arrondis et couverts de plis onduleux d’accroissement, fins, egaux, uniformes, se dirigeant faiblement en avant sur la er@le; bouche arrondie. Long. = 28”"; diam. = 3”". Hypocorallien. — Mont-Terrible. — Rare. Cette espece ressemble aux jeunes de la S. limata, mais les ornements ne sont pas les m&mes; il est possible que les conditions dans lesquelles elle a et& rencon- irde n’aient permis que les caracteres signales plus haut; elle entoure destiges d’En- erines de faible taille. Serpula simplex, Et. — pl. LX, fig. 22. Petite espece isol&e, contournee, subeylindrique, adherente sur toute son eten- due, un peu etal&e a la base, portant en haut une petite carene en filet prismatique, carre. Stries d’accroissement peu marguees; bouche formant lateralement un demi- cercle; rosire assez proeminent. Long. = 10 a 12”; diam. = 1". Marnes astartiennes. — Bure. — Rare. Voisine de forme de la S. muraenina, elle n’a pas de plis flexueux et, a la longueur egale, elle est beaucoup plus etroite. Serpula turbiniformis, Et. — pl. LX, fig. 23. Espece assez longue et grosse, en spirale presque regulierement turbinde, sub- ronde, portant en dehors une carene lamelleuse, au-dessous de laquelle est un me- plat, faiblement creuse möme en sillon; bouche ronde, infundibuliforme; test tres- mince, ä peu pres lisse, si ce n’est sur la carene oü se presentent quelques aspe- rites. Hauteur de l’ensemble = 15””; diam. du tube = 4"". Marnes astartiennes. — Perche. — Tres-rare. Serpula subnodulosa, Et. — pl. LX, fig. 29. Petite espece, solitaire, irregulierement flexueuse, lineaire dans le jeune äge; carene superieure cristiforme; les flancs un peu convexes, marques de fortes slries d’accroissement, un peu inegales sans &tre rassemblees par faisceaux onduleux; ros- tre bien developp6e; test assez &pais. Long. = 2 a 35””; diam. = 3"", Zoanthairien. — Caquerelle. — Rare. L'espece la plus voisine est la S. nodulosa Goldf. (Petref., p. 229, pl. 68, fie. 4), qui est pres du double plus longue sans avoir plus de diametre et qui a en outre des nodosites a peine visibles iei; ce n’est peut-Etre qu’une forme de la S. murae- nina placde dans d’autres conditions de vie; la carene est plus developpee, les flances moins renfles. les stries d’accroissement plus grossieres et le test plus Epais. Elle est placee sur des tiges de Crinoides qui n’ont pas plus de diametre que celles oü habite la $. muraenina; celle-ci est toujours enroulee, tandis que l’espece ei-con- tre s’etale en ondoyant. Serpula Banneiana, Ei. pl: LX, fig. 30. Assez grande espece, solitaire, largement adherente dans toute son etendue, ra- pidement eroissante, etalee; les flanes renfles, parcourus en leur milieu par un sil- lon lineaire; en haut une forte crete, irregulierement flexueuse. Test mince, faible- ment strie, mais marqu& cependant d’ondulations peu saillantes. Long. = 50”"”; diam. = 1””. Zone strombienne. — Porrentruy. — Rare. Cette espece nous semble differer de la S. quinquangularis, telle que nous avons decrite celle-ci et avec laquelle elle se trouve, par sa taille plus grande, l’absence de carenes laterales et par son test plus mince encore; [une et l’autre ne nous pa- raissent pas pouvoir du reste ätre assocides a la plupart des formes donndes par Goldfuss sous le premier nom. Serpula alligata, Et. — pl. LX. fig. 24. Tres-grande espece, plus ou moins flexueuse, quelquefois subdroite, irreguliere, en faisceaux formes d’un petit nombre d’individus, relies entr’eux par une expan- sion du test parfois enorme, la soudure 'devenant indistincte. Forme tr&es-carende — 4138 — dans le jeune äge, mais bientöt arrondie, inegale, et ne conservant plus que quel- ques sillons ind&cis par places. Bouche ronde, largement creusde en entonnoir dans l’epaisseur m&me du test. Long. = 130””; diam. = 12”. Dieeratien. — Laufon. — Assez commun. Cette espece a la plupart des caracteres de la S. grandis; comme sa taille reste un peu moindre, qu’elle n’est pas entierement solitaire, et qu’elle envoie de larges expansions pour s’unir A ses voisines, nous avons cru devoir en faire une espece distinete. Elle n’est pas rare non plus dans la Haute-Saöne, et les individus que par leur taille ou leur isolement l’on pourrait rapporter ä la S. grandis sont tres- rares. Goldfuss indique pour cette derniere la Haute-Saöne comme provenance, et il Juni donne comme niveau les terrains jurassiques superieurs, cependant les individus qu’il a dessines sont places sur des Huitres qui ne se rencontrent pas ä cette hau- teur. Il convient done de laisser le nom de Grandis aux formes de l’Oolite inferieure. Serpula Deshayesi, Mü. — pl. LX, fig. 23. S. sulcata, J. Sow. Min. Cone., p. 633, pl. 608, fig. 1 (?fig. 2) (non Lamk.). — S. Deshayesi, Mü. Goldf. Petref., p. 232, pl. 68, fig. 18, a, c, d, e (non fig. b). Grande esp£ce solitaire, allongee, plus ou moins flexueuse, adherente le plus souvent dans toute son etendue, mais n’en restant pas moins trigone lorsqu’elle est lihre, avec une carene bien marquee, cylindrque seulement sur une tres-pelite etendue A läge adulte; bouche interne ronde, avec une legere inflexion en avant dans la partie superieure. Stries d’aceroissement assez bien marquees, peu flexueuses; test Epais; sur les flanes un faible renflement longitudinale, en forme de carene, ac- compagne de deux sillons paralleles, le superieur le plus souvent invisible, la carene diminuant alors de nettete pour laisser toute sa valeur au sillon inferieur. Long. = 120 a 150””; diam. = 9 a 10””. Hypocorallien marneux. — Caquerelle. — Assez commun. Nous possedons de beaux individus de cette espece que leur e&tat siliceux per- met de retirer facilement des calcaires marneux bleuätres dans lesquels ils sont en- fouis; adherents ou non, ils sont toujours trigones, en m@me temps plus sveltes que la S. suleifera du Glyphicien du Haut-Jura et qui ne nous parait pas autre que celle du Caleareous grit. Leur niveau est peut-etre inferieur a celui de la S. suleifera, ils isent dans des calcaires marneux ui ont encore l’aspect oxfordien, mais que nous ’ 56 > Te erovons deja, ä cause de l’ensemble des fossiles qu’ils renferment, appartenir au Corallien dont ils remplaceraient en parlie la suite de couches que nous avons de- signee ailleurs sous le nom de Glyphicien. $. 3. Espece tetragone. Serpula Thurmanni, Ctj. — pl. LX, fig. 26. Etude du Kimm., p. 327, pl. 2, fig. 13—15. — S. philastarte, Th. Coll. Une petile espöce sociale, subdroite, legerement flexueuse a son origine, telragone; les flanes subplans ou faiblement concaves, les carenes &lant ainsi bien marquees, quelquefois un peu cretees. Test peu &pais, couvert de siries d’accroissement assez fortes. Long. = 8"; diam. = 1°”. Zone astartienne. — Porrentruy, Bure. — Commun. A Porrentruy, cette espece est tellement empätee qu’on ne l’apergoit guere qu’ä la surface des banes; elle parait beaucoup plus commune dans le Doubs; elle forme des Jumachelles tres-serrees, mais ne parait pas soudee ä ses voisines. $. 4. Especes polygonales. Serpula canalifera, Et. — pl. LX, fig. 27. Petite espöce adherente dans toute son Etendue, plus ou moins flexueuse, soli- taire, ou peu pressee par ses voisines. Ensemble trigone, divise par deux canaux lateraux largement creus&s, rapproches du sommet; sur je meplat superieur une caröne ondulde, faible, n’oceupant pas tout celui-ci; les carenes laterales saillantes, comme aildes portant au-dessous un leger sillon; surface d’adherence peu etalee. Peristome en bas tres-oblique en arriere, puis en haut prolonge en un long rostre; eirculaire et droit seulement & l’äge adulte. | Long. = %0””; diam. = 21/9"”. Zone astartienne. — Porrentruy, Bure. — Assez rare. Cette espece, rapprochde par la taille et la grosseur des S. runcinata et quinquan- qularis, est nettement distinete de toutes deux par les deux profonds canaux qui se trouvent de chaque cöt& de la carene mediane et par ses deux sillons places au- dessous des carenes laterales. | . — 45 — Serpula heliciformis, Goldf. — pl. LX, fig. 28. S. tricarinata (pars) J. Sow. M. C., p. 633, pl. 608, fig. 3 (non fig. 4, non Goldf). — S. heliciformis, Goldf. Petref., p. 232, pl. 68, fig. 15. — S. quinquangularis, Qu. Handb., p- 321, pl. 24, fig. 35 et ? 39 (non Goldf.). Assez grosse espece, enroulee, senestre, pentagonale ordinairement, quelquefois triangulaire ou m&me hexagonale et heptagonale, suivant le developpement des cötes et des sillons; croissance rapide, et dans l’äge adulte erection d’une faible partie du tube en cylindre garni de fortes stries d’accroissement £cailleuses; les stries bien marquees du reste dans toute la longueur; test assez Epais, surface d’adherence peu etendue. Long. developpee = T0 a 90""; diam. du disque = 15 a 15””; diam. du tube =5a6””. Zoanthairien. — Mont-Terrible. — Assez commun. J. Sowerby a peut-tre eu raison de ne faire qu’une seule espece des deux formes qu’il a indiqudes dans son ouvrage, car l’enroulement pourrait n’etre qu’une influence de station, les tiges de polypiers auxquels adherent les nombreux individus que nous avons sous les yeux etant toujours de petite taille. Comme dans la Haute- Saöne la forme allongee de la fie. 4 se rencontre egalement, nous avons cru devoir adopter les deux especes, a cause de la constance de l’enroulement senestre et de la rapidite plus grande d’aceroissement du tube, dans les individus que nous venons de decrire. La S. tricarinata, signalee iei, n’est pas toutefois celle de Goldfuss (Petref., p- 230, pl. 68, fig. 6); ce dernier auteur place la S. heliciformis dans la Haute-Saöne, en lui attribuant une forme qui n’est qu’exceptionnelle. Serpula tricarinata, Sow. — pl. LX, fig. 32. J. Sow. Min. Con., p. 633, pl. 608, fig. 4 (non fig. 3, non Goldf.). Grande espece, voisine ä tous Egards de la precedente dont elle a les carenes, les sillons lateraux, les ornements, mais dont elle differe en ce qu’elle n’est pas enrou- lee et que l’accroissement est plus regulier et moins rapide; les stries d’aceroisse- ment sont aussi plus inflechies dans leur milieu, et a l’äge adulte elle ne parait pas eprouver de modification A l’extremite du tube. Mömes dimensions, avec un peu plus de longueur cependant, et m&me prove- nance. — 46 — Serpula quinquangularis, Goldf. — pl. LX, fig. 31. Petref., p. 230, pl. 65, fig. 5 (c. speeialement). — Roem. Nordd. Ool., p. 35 (non Qu.). Espece de pelite taille, solitaire, quoique r&pandue et assez serree, assez rapi- dement croissante, flexueuse, parfois subdroite, adherente; ensemble trigone avec deux carönes lalcrales prononcees, les lat&rales quelquefois aildes, Ja superieure cri- stiforme, irregulierement ondulee; les sillons inferieurs Ires-peu marques. Test peu epais, ä siries d’accroissement plus ou moins forles, souvent sublisse. Long. developpee = 30""; diam. = 4 a 5"”. Zone strombienne. — Porrentruy, ete. — Assez commun. Goldfuss a donne sous le nom de $. quinquangularis des lormes assez extraordi- naires el qui sont m@me rares ailleurs que dans les terrains jurassiques; la seule qui doive @lre prise pour lype est representece dans la fig. S, e; elle est indiqude dans le Kimmeridien du Haut-Rhin, ce qui l’a fait adopter dans toutes les citalions faites pour le Jura. Au m&me niveau se trouve une espece que nous croyons dil- ferente el que nous avons donnee plus haul sous le nom de S. Banneiana. Serpula radula, Et. — pl. LX, fig. 33. Cor. Ht.-Jura, p. 66. Petite espece, tres-allongee, faiblement adherente, plus ou moins contournee, chevauchant parfois sur elle-möme, arrondie, polygonale en haut par la presence de 6 a 7 cötes egales, serrdes, bornees ä la partie superieure; stries d’accroissement tres-marqudes, sublamelleuses, formant treillis avee les cötes longitudinales. Diam: de l’ensemble = 15”"”; diam. du tube = 1% a 1"". Die@ralien. — Caquerelle. — Rare. Genre Galeolaria. Galeolaria Lachesis, Et. — pl. LX, fig. 34. Pelite espece lisse, sociale, en faisceau ou formant un ensemble enchevätre dont le diametre est d’environ 5""; tubes tres-allonges, rapidement quoique faible- ment onduleux; les intervalles tres-faibles, les lubes se touchant presque, sans ce- pendant parailre soudes si ce n'est rarement; test lisse, assez &pais. u — Long. = % a 30”"; diam. des tubes = 1), a 14". Epiastartien superieur. — Pont d’Able. — Tres-rare. Genre Spirorbis. Spirorbis Thirriai, Et. — pl. LX, fig. 35. Assez grande espece, regulierement enroulde, a tours non recouvrants dans le mö&me plan, carree, un plus large cependant dans le sens du diametre, non comple- tement fermee au centre, ne paraissant pas avoir el& atlachee en ce point qui est large de 1 A 2”, et libre dans toutes les autres parties; les carenes quelquefois bordees et Epaissies ou granuldes en chapelet irr&gulier A l’interieur, souvent presque ellacdes, surtout ä lexterieur. Test assez &pais, marque de fines stries d’accroisse- ment. Tube ordinairement detache sur une faible longueur a l’äge adulte; 2 a 3 tours. Diam. du disque = 8 a 9""; ep. = I%””. Hypocorallien. — Mont-Terrible. — Assez commun. Cette esp&ce se rencontre toujours ä l’etat siliceux; il serait possible que les modifications eprouvees par les carenes fussent un effet de la fossilisation. Elle nous parait appartenir aux dernieres couches reellement oxfordiennes et c’est une des especes que dans la Haute-Saöne, oü elle est tres-abondante, nous avons prise pour point de repere. Spirorbis elathratus, El. — pl. LX, fig. 36. Cor. Ht.-Jura, Soc. Doubs, VI, p. 68. Tres-petite espece, faiblement ombiliquee, enroul&e a tours peu recouvranls, droite ou senestre; les tours ronds ou mediocrement etal&s, marques sur la parlie dorsale de 4 cötes fines subegales et uniformement espacdes, et sur les flancs de quelques autres plus distantes et plus irregulieres; stries d’accroissement fortes, des- sinant des lamelles qui avec les eötes determinent un treillis distinet dans le jeune äge, ellace le plus souvent ä l’äge adulte. Peristome borde. Diam. = 11% a 2””; ep... = 143"”. Epicorallien. — Laufon. — Rare. Spirorbis compressus, Et. — pl. LX, fig. 37. Cor. Ht.-Jura, Soc. Doubs, VI, p. 68. Petite espece, indifferemment enroulee, plane, formee de 3 a 4 tours subcarres, — Wi assez recouvrants; deux carenes externes, dont la superieure la plus forte, quoique ne correspondant pas au sommet du tube; stries d’accroissement bien marquees. Diam. = 3 a 4””; ep. moins de 1”. Epicorallien. — Caquerelle. — Rare. Voisine quant ä la taille et a l’enroulement du Sp. clathratus, elle s’en distinguera par son applalissement et l'’absence de cötes longitudinales. A tous les niveaux, on rencontre un certain nombre de coneretions fucoidales, a surface irrdguliere, ou plus ordinairement striees suivant la longueur par des sil- lons subparalleles, ou encore quelquefois couvertes elles-m&mes de concretions fu- coidales ou de veritables fucoides. Parmi toutes ces formes, il n’en est guere qui soit determinable ; le suivant seul a regu un nom de Thurmann. Ramulina minima, Th. — pl. LXII, fig. 17. Tres-petite espece, paraissaut a peine longue de quelque centimetres, formee de rameaux tenus, rapidement et frequemment dichotomes, a angle d’ouverture s’appro- chant d’un droit; le diam. des rameaux n'est guere que de !/ de mm. Zone astarlienne. — Courdemaiche. — Assez commun. TABLEAU GENERAL DE REPARTITION DES ESPECES DES TERRAINS JURASSIQUES SUPERIEURS DU JURA BERNOIS. especes obserye&es ou inscrites dans la collection par J. Thurmann. simplement indiquees dans les manuscrits. especes seulement probables. © o + Virgulien | Strombien | Astartien | Corallien Vertehres. A u Z__ 1 IE 2 l&lehzls dh lholushta lich si8]2ils; Ion |o5!2 Reptiles et Poissons. EEE 10 = "] 15.17 20 321 |” 3 Genres. Especes. Teleosaurien (Ganoide Th.) MachimosaurusHugii, Ag. Plesiosaurus - Saurien (Cöte) Ichthyosaurus - Emys ? ] | - Chelonia Tr Fl - De - Lepidotus laevis, Ag... - . .... = [2|-|:}° Ya . . |» (Sphaerodus) gigas, Ag.: . . ... - |[*)+°|° |- = er | Squalide (vertebre) ar Ba cn =) I EI Face] Bau Iren. Pyenodus affinıg, An. |. 8... 3 Weil. ERRSBST = 3-6 3= - | . Bisas Aw 7) 2, Zelt -E-|-I<|Hi- . BE TER + Hugii, Ag.. Nicoleti, A. . - . - I- HH >| (Gyrodus jurassieus, Ag. Th.) |. (Capitodus Gresslyi, Ag. Th.) . Hybodus Bressaucourtianus, Th. Strophodus subreticulatus, Ag.. Articules. Crustac6s. Pilhonoton hypoerita,; Bit: ' = 5* .- ..I4]: Orhomalus astartınng, Ei; ' - Br sr sie macrochira, Et... . .. |=!s!l: ae RR ÄFER, . + . TE r . ı er Fer pt . ee .. F | | | | | Goniodromites rostratus, Et.. . . . .1.|: % ... E: | - | | + Virgulien! Strombien Astartien Corallien aa Te I} r Zen Ins, L I Te Te ae Ei! ng DIE RESELZETTER 5 ‚10. FA1Slı7| +20 Genres. Espöces. | | [5 2] Virgulinus, Et. . .... 1-1» v le |. Prosopon jocosum, Th. . Pagurus Jjurensis, Et. Stenochelus Gresslyi, Et. . Callianassa suprajurensis, Et. Eryma Thurmanni, Et. . Annelides. Serpula alligata, Et. Banneiana, Et. canalifera, Et. Deshayesi, Goldf. Goldfussi, Et... gordialis, Schl. heliciformis, Goldf.. ilium, Goldf. . lacerata, Th... Laufonensis, Et. . limata, Mü. medusida, Et. muraenina, Et. . . . quinquangularis, Goldf. radula, Et. . ä simplex, Et. spiralis, Mü. . subflaceida, Et. . subnodulosa, Et... Thurmanni, Ctj.. tricarinata, Sow. turbiniformis, Et. Galeolaria Lachesis, Et. . Spirorbis clathratus, Et. compressus, Et. . Thirriai, Et. . Mollusques. Cephalopodes. Belemnites astartinus, Et. . . . . [ee u° ih ° | ee a NE an hin vun torte le: 2 Nautilus diceratianus, Et... . . |» |>|- S ii helle. | re as, w giganteus, d’Orb. . . . || *|»|* a Er .b+ . ; Marcouanus, d’Orb.. . . |-[-J- [1° |® ER = + ullanııs . ? Moreauanus, d’Orb.. . . |» !+löJö]l*|*|*|-|*-|- . . i subinflatus, d’Orb. . -le/elsis| le Pr + . . ! Ammonites Achilles, d’Orb. : -l.l.].lel.i+l- |» R > - i Contejeami, Th. : Bu a Eu Ce En DI “ul » . ı crenatus, Sow. f-|- Ihr leer ll -l | il l- Genres. Especes. Ammonites Erinus, d’Orb. Lallieranus, d’Orb.. Lapieidorum, Th. Lemani, Th. . Lestocqui, Th. longispinus, Sow. Martis, Et. oculatus, Bean. . orthocera, d’Orb. pleatilis, Sow. . - Rupellensis, d’Orb.. Wetzeli, Th. . Aptychus Flamandi, Th. Gasteropodes. Melania Calypsoides, Th.. gigas, Th.. h parvula, Th. . Bupula, Eh ar Renaud-Comtei, Th. striata, Sow. . Exelissa minuta, Pictet Chemnitzia athleta, d’Orb. Bronni, d’Orb. Cho, d’Orb. 4 corallina, d.Orb.. Cornelia, d’Orb.. Danae, d’Orb. Delia, d’Orb. . Laufonensis, Th. Monsbeliardensis, Th. 2 multispirata, Et. Phanori, Et. . Pollux, d’Orb. Nerinea ararica, Alte] ak... berno-jurensis, Et. . bicristata,. Et. Bruntrutana, Th. Bruckneri, Th. Carpathica. Ze. . Castor, d’Orb.. . Clymene, d’Orb.. costulata, Et.. . .. Danusensis, d’Orb. . Defrancei, Desh. depressa, Voltz ... elegans. Th. . . Elsgaudiae, Th. . fallax,. Th.. Gosae, Roem.. Kohleri, Et. Virgulien | Strombien N | 22 27 x ++ oo. Corallien 21 |93 |24 95 | 26 + I % I-+ g > er 2 — —+ + u + ._ —+ 2 : a r + ; Hullishsunie + lee ol. . RE Em BEE 2 Samen . ©s > rar 9, Ye . 37 eu u Virgulien | Strombien Astartien Corallien JHE sl7/s lulızlıa alle] 23 [a1 |25 | 26 3/5| | | ol | 15 | 17 27 Genres. Espöces. | Nerinea Banfonenna;tih: 4.2.2 salat Sr . | + r Monsbeliardensis, Ctj. 1 fe fette lie Aue . Mustorist Ge 5 Tre, we rn ee = r Munsteri, Et.. . . . .1=]-]|.|.|+]. |» ll e nodosa, Voltz. . lu. Krealie .|+ - Roemeri, Ph’. -|+ ° sexcostata, d’Orb. -. [TAN 2 speciosa, Voltz Pe I en a Fl De I | 1 1) je . subpyramidalis, Mü. . . |» |.|.|.|-|./.I#. lte . suprajurensis, Voltz . . |. !./.1.1.|+1.|. + s tapulams, ty... % 2.2.,.71.31%. | len s uurıtella,sd/Orbi, 2.0. Mu nl ie + Ursicinea, Th. + Acteonina Yaomata, In. 2.0 Sir eo) Al eallkeeeae ce vırpmlina, BE 28 20 lee P atttita, Di ı . 28 2 AR AR er, @lEnBa,7Ghr.. % Eigener) ht Waldeckensis, Et. . . . |. +. ER Natica albella, Th. > le +|. amata, d’Orb. ’ le 0. amdana, AUh:#, 1.4.8, 7. SE |. Ball® cochlita, Th... ... „2... 1.!-|-I+#l-|- |. |. er dubia, Roem. . a HR hen) De Ne cn EN I PR. BIER ÜOLDE. N. Re Te ul Eudora, d’Orb. 10104 12 ellOllee | - PITRBRBLN ET. . -ı+1.1.]16/.1.|+1:. |. grandis, Mü. . . . 12 Ol ale | hemispherica, d’Orb. +1. 1.141.1.1+4+|. mieroscopica, Ütj. len Ro alle pugillum, Th. +. . +. semiglobosa, Et. -101.|+ ./+ . . suprajurensis, Et... +. als . Thurmanmni, Et.. . - (ER Are lt turbiniformis, Roem. . +6 .I+ Fr) el vieinalis, Th... Se ER +. . Neritopsis Mancallata.,r Geis. :4 SH A Ele = . delphinula, d’Orb.. . -- -» J.J.I |. |. }.}.}#|. |» a er suprajurensis, Th. 2 ie er a RN 2, Neritoma Hermanciana, Et. . - » |.|.|. +. 81 ce 1108 Nerita canalifera, Buv.. . - - I»|.|» 2 lee le Laufonensis, Th. ‘.:... .I.|.|. Er . sigaretina, Buv.. . Kehren BE + . Trochus angulatoplicatus, Mü. . . |.» |. |-|.1»|-|. an gr . arena, Et, 0. 2.2 2. 4% = N alien sstartinun; Ch. „22:2: 1a] wald Ermontianus, Th. . . .. I» /.I.|.1.}.|.|+. ae plebeius, Th. . . 2. [124.111 1. IF» a Ketiforun, Hin 2 8: 4 Seelen - et. virgulinus, Th. .. 2... .Jef#] + ]»1 |»: En u rn Chilodonta hidentata, Et. .72!2 2 Re] +|.|. ' Turbo bieostatus, Et: . » . » [oJ Je le1.]>» |. |. |.|- . + Epulus, d’Orb. . » . . I.J.1e 1.11. l- le. Fl. 8 Genres. Turbo Stomatia Capulus Pleurotomaria Ditremaria Pterocera (Rostellaria) Fusus Purpura Purpurina Cerithium Emarginula Patella Especes. Erinus, d’Orb. Julii, Et princeps, Roem. . subfunatus, d’Orb. . tegulatus, Mü. virgulinus, Th. Gresslyi, Et. . suprajurensis, Th. Antoniae, Et.. . Banneiana, Th. . . Curtis-Udolphi, Th. Hesione, d’Orb. . Philea, d’Orb. Solodurina, Th. . discoidea, Et.. mastoidea, Et. quinqueeineta, d’Orb. . Abyssi, Th. anatipes, (tj.. Monsbeliardensis, € Ki i Oceani, Lab. Ponti,"bab.. ® 2 Rupe Ilensis, d’Orb. . subornata, Et. Thirriai, Ctj.. . Thurmanni, Ctj. alba, Th. Fi: Buvigneri, Et. - Deshayesana, Buy. . Wagmeri, Th.. enectus, Et. gigas, Et... . Lapierrea, Buv. . ornata, Et. . Michaelensis, Et. gemmifera, Et. suprajurensis, Et. Bernense, Et. ’ buceinoideum, Bur.. corallense, Buv. . exile, Et. x gracilentum, Et.. limiforme, Roem. obductum, Et. peresum, Et. . Rinaldi, Et. sociale, Th. tabidum, Et. . paucicosta, Et. castellana, Th. F Humbertina, Buv. . minuta, Roem. Strombien Astartien as Qual 3 10 Eikd | |2]» = Corallien Especes. pygmea, Th. . carinata, Th. . perspirata, Th. . planospirata, Th. suprajurensis, Roem. Acephales. ampla, Et.. gracilis, Et. granifera. Et. Auduini, Et. . Jurassi, Et. : subrecurya, Et. . acuticosta, Sow. amygdalina, Th.. angulosa, Ag. : canaliculata,, Roem.. complanata, Roem. . constricta, d’Orb. contraria, Ag. exaltata, Ag.. myacina, Ag.. lineata, Goldf. neglecta, Th.. hemicardia, Roem. . orbiculata, Roem. parcicosta, Ag. - - paucicosta, Roem. . peetinata, Ag. . pinguiuscula, Th. Protei, Ag. 3 recurva, Äg. . scalpellus, Th. vicinalis, Th... . gracilis, d’Orb. . hortulana, d'’Orb. helvetica, Desh. . robusta, Desh. ‘ Contejeani, Et. . . glabriuscula, Th. . pudica, Ctj. „ . sinuata, d’Orb. . subrugosa, Et. caudata, Ctj. . expansa, d'’Orb. . gibbosa, Et. . insignis, (tj. . parvula, Et. striata, d’Orb.. . . virgulina, Et.. . . triangularis, Et. Der er" ee er a ah 0 Zur Ya 1 Zu u ii. Aka, 20 Da Yo Sa 22 | ++: ++. + 21l,.| „|2 <123|24 55 Lu ER CE) Di Bine er u er Genres. Palaeomya Corbula Thracia Gressiya Psammobia Arcopagia Capsa Tellina Mactra Cyprina Unicardium Cardium Corbis Astarte Especes. trigonnellaris, Et. . Deshayesea, Buv. fallax, Ötj. : Thurmanni, Et. . incerta, Desh. pinguis, d’Orb. tenuistriata, Desh. . comitatus, Et. excentrica, Terq. globosa, Et. orbieularis, Et. concentrica, Et. . virgulina, Et. dubia, Th.. Bourgueti, Th. Thurmanni, Et... parvula, Th. . ovata, d’Orb. . pertruncata, Et... Zwingeri, Th. Brongniarti, Pict caudata, Pict. cornucopiae, Ötj. cornuta, d’Orb. gregaria, Et.. Munsteri, Et.. . nuculiformis, Pict. . Orbignyana, Et.. parvula, d’Orb. . suevica, Et. tenuirostris, Et.. . apicilabratum, Et. . globosum, d’Orb. : axino-elongatum, Th. . axino-obliguum, Th. Banneianum, Th. collineum, Buv. . corallinum, Leym. eduliforme, Roem. . fontanum, Et. Lemanei, Et. . Lotharingieum, Buv. pseudo-axinus, Th. . septiferum, Buv. cerenata, Ctj. . ceoncentrica, Buv. Collardi, Et. . dubia, Et... mirabilis, Buv. subelathrata, Buy. . berno-jurensis, Et. . [Ss 1 * BEE +4tt +44 +44 4: reinen +++: Sarnen +0. SLIOy Menke — 6 — Virgullen! Strombien Astartien Corallien 19 \2 ıs1% ıl2 ENETE ESESEE SEE |3 | | 1517| 9 Genres. Especes. | starte engulata, Ct. -. -. - - I|-I+/+ »Jöl-I»I-|-|-] - |» Duboisana, d’Orb. . . . 1-I-I./.»I.[-]j-1.]1-.] | = |» . patens, CH. - -. » . 1e4e1-144 >1- 1-11 1-04 |» ee - | >- > pererassa, Et... - - . -. 4=-1*]-1-9-1-]*1 >] -]- . . pisolina, Ctj. . ET ee pseudolaevis, MO). SUBEISIad \ robusta, Et. . . -1>1>1>1-]>1 1°] submultistriata, d’Orb. - [-|*|+1-1-I.1»| supracorallina, d’Orb.. -. |.|-|.|.J.|. suprajurensis, d’Orb. . . |.|#+.|.J- Opis semilunulata, Et. Tetsirgetr Ba + sopalins, EL: Her et je een - Opisenia llammis, BL. - ©. %.. =. 1-1, 1-11 etel>1el1el> eee > IE + — | Lucina Buvigneri, Et - - - - 1-1] -]-1.5-1-1=-1-]-1-R - | - Goläfussi, .Desh.. .. . hs the] 1515 29 ee 3 plebeia, Ct. - - - . - Je] i+H] 1-1 - HH 141 Ir] - 1-11» ee substriata, Roem. . . - |.i+'- ++: + I+ HEISE. 1. je turgida, Ei... 1.]-] 1. 1. Eee. 1-1 Vermieri; BL.» .. i.. :.. 121.141 21-11 - 1» | - IS» 1er E Cardita astartına, Th. . °... - 1-1. [°]-9>1- 1-11 - 17 > IE» 1 . Bamenzis, EL.» 1... 31 Is] FI TE Pe = squamicarina, Buv.-. - - 1-1. -1-#-]-]-]°]-|-]-]- [Jo pri - I +]. j > tetragona, Et. > . | virgulina, Th. . | Myoconcha complanata, Ei... . - - |.|. | perlonga, Ei. ... . . 1.1. Trigonia coneinna, Roem. . | Contejeani, Th. . 5 . 2 I. geographica, Ag. i BE - Ar _ - granigera, Ütj. - - .!. . Greppini,Et. . . - -. - |- Brass Th. 1 Ale Julii, Et. . - Meriani, Ag. . muricata, Roem.. . - » |. tee The u - Haar Parkinsoni, Ag.. -. - - |.|. IH. /HH >)» Em Sk A subconcentrica, Et... - SBm rn ER Zu ee suprajurensis, Ag. . - ++: +/+-/+1-I#"]-|]-|>-j- Nucula Menkei, Roem. ‚ “Feitl - .I-]- + she hes Isoarca multistriata, Et. = aldi. "ech A I+i-:. sublineata, Et. a ne ee er er | DEE Arca bipartita, Roem.. R If» .j.j>- 1 al .I-/+l.-|. Choffati, Th. . 2 Pr. Ba Pa Be EEE) Contejeani, Et: . . - . |. Te ee ee sublata, d’Orb. . . . . |» .I-1-I+H =» |] - > > Laufonensis, Et.. . BE) en pe [rn Den En Be ar Pr I 9 DIE On Mosensis, Bur. 3 Be re A nobilis, Ctj. . . . . .|-|-|- .Ii+H1 -1.- haha ERT rhomboidalis, Ctj. . r -lelejei-e ji» jeher» >| >, © rustica, Otj. . = I en Eee en ee I De | . subtexata, Et. . F 1]: -/-]-j-j-1-1-E- Hl |e texia, d’Orb. . . +. 1.| +. Pepe - 1-11 Virgulien | Strombien Astartien Corallien N 3 19 | 21 = 1 6 8 —11|12 ll || 24 |25 b 20 | 22 Genres. Especes. Pinna amplanı@oldienı.s Erle Banneiana, Th. u... le intermedia, Et. . virgulina, Et.. Ä .|- o lealrealee ul. || leoalen (Trichites) Sr, A ao ullaolls.allieillolenle|eollonilenc onllaor io ||anra em Dlanurs Riem Le Tee are c + EEE = . © © ... + - . . Saussurei, Ih: » 2... je le el... Mytilus AbbreviatussieRh . 2.10. 8. lienlnei nen =slet- ana, COS ER oe aaa lee ASDartinuse KRnE Real tnanllneilte ö ENTEnNMETUSTHRh.N a elle. Se Nunensis,, Mara Ne. ee ON Net . lonsaeyuss @y. a een] Ale ee til lite — en SL 3 Aber 4 +. oO perplicatus, Bt. . . . . Sul alı lie 5 subaequiplicatus, Goldf. . |. 1010|. |+++ subpeetinatus, d’Orb. . . |. |.|.|.|.|./+. kaquetmus,Buwz. elle Phıirmanatia re elle sl. vırgulimus, Bit (2 9 2 lt lellenlerlne Lithodomus oliva, Th. . el ert-telWeyiles allellollWello3\lna.ll.o lang, lg 0 dan lol elallanalaslonlalallallo.|o.).o Boeialish Sch u ll renlkeile 5 x - Somwerbyan Eh. 2 lee la lee .|+ Diceras amletins, Ike. 2 Re Nullealltenlae el eAlealkse lei sul, a Il remis Ne + + + Suprajurensis, Th. „ . . Je). miele El.) 1 2 ® x . see N re lallanllallanlloieloltelielollesil on 2 c Verenae, Th... . s alle ea li. Avicula gervillioides, Ct. . - » 1- |. +1. 1. |.|. sul „N te Aal Gessneni, Anh ea St En Sl ol & supracorallina, Btz 2°. 7. 1 all Neal ee el ale +|-.|- Perna Bstartinanehite. © 208 el eAlnedlken ned sslkerieen neh ve ea a lo . myiloidesselike . 2.) 2 wel ae nt le 6 nhombuss Bitte ne a aA leer aeal| dl es ae ER Et Subplanas Bla ae rle-tle Gervillia Goldfussi WEL ee . . Pexnordes. Desert lea ers ee- - . sulcatausBt. sa aan lee erste te tetragona, Roeem. . . - |. + .|.|. ++ + + «|. ||. . Inoceramus suprajurensis, Th. . . . |. |.|.!.|1.|. + +|. 0 al Eu ge Lima olonleiehn Alba oA lo alsilolllkerleelisllaitenkeileo 00% || os ul“ c le astartıina, Mh. MB le ll lueol el ge e Iu Ne th Dita ao alla lkaıslalkos]lailalleo|l o Sl. lese Corallina, Th. 5 Welliwecllfenle la ee lie densipunctata, Roem.. . 1.4. . - 04 | 0: | [Rsell de ec Gaudini, Et. . ne (ME a 3 aller. de 02 see een | © Greppini Eisernen E ale... | alle leonlanlis in qumendass ha el Se lRle ie. Sl o ul lsps]legeli ol" o Thaufonensis,suRhe Bea lau enwellkenil, „olkeHlell »llnsallsHal aa ee EEE Re ee |i=t Leral ee NERGEIGHENG enteo en Bo ale | Kae allclc|on o.|l.callioıe jo || © Meta. 1 Bi a N le esuleale SE «Elena een Olko wo ollallallo alla emelallaorıo | oc o|lo lol oc (Meran HÜIE 0 a alle aelalellolae le. lsmlı alla eo | ol o Pecten Especes. pectiniformis, Br. Berienb. ieteti, Et. pygmea. Th. . Renevieri, Et. . . rhomboidalis, Ctj. . rigida, Goldf.. rotundata, Buy. . Salzgowiae, Th... semielongata, Et. semipunctata, Et. spectabilis, Ctj. . sublaevis, Th. . subregularis, Th. . suprajurensis, Ütj. . tumida, Roem. vicinalis, Th... virgulina, Et. araricus, Et. . . articulatus, Schl astartinus, Et. 3 Baumontanus, Bur.. Banneianus, Et. . Benedicti, Ctj. Billoti, Ctj. » Buchi, Roem.. Delessei, Et. . erinaceus, Buv. . Flamandi, Ctj. Protei, Et. globosus, Qu.. Grenieri, Ctj.. - Hermanciae, Et.. Laurae, Et. lens, Sow. . Monsbeliardensis, ch Nicoleti, Et. . octocostatus, Roem. Pagnardi, Et. . Parandieri, Et. . pertextus, Et. ualicosta, Et. Sahleri, Et. Sarmerensis, Et. Schnacteimensis, Qu. . semiplicatus, Et. solidus, Roem. . . subfibrosus, d’Orb. . subspinosus, Schl. . subtextorius, Mü. Veziani. Et. . vimineus, Sow. . su 3 als 26 ms anna 1116|, Stromblen Astartien u} a La Ser Sa ir SET ee ee ee ee er u 5 eunfa u e 15 17 819/21 15, 20 | 22 HEBEN: +I- sch hen Bi er Ne re |» File a, * ad Opal ER: Especes. Waldeckensis, Et. . . inaequistriatus, Voltz . velatus, d’Orb. irregularis, Et. semiarmata, Et... Virgulina, Et. imbricata, Et. alligata, Et. . auriformis, Ct). . Contejeani, Et. . cotyledon, Otj. dilatata, Desh. Dubiensis, Ctj. Ermontiana, Et.. hastellata, Schl.. Langi, Et. . Monsbeliardensis, Ch. £ multiformis, K. D.. nana, Sow. . quadrata, Et.. rastellaris, Mü. . semisolitaria, Et. Sequana, Th.. solitaria, Sow. spiralis, d’Orb. subnana, Et.. . . suborbicularis, Roem. . subreniformis, Et. . subsolitaria, Et.. Thurmanni, Et. vallata, Et. virgula, Defr.. foliacea, Et. . . E Monsbeliardensis, ch i nerinea, Bur.. Raulinea, Buy. Brachiopodes. Bauhini, Et. . . bicanaliculata , Schl. Biskidensis, Zeu. Bourgueti, Et. Gagnebini, Et. Gessneri, Et... humeralis, Roem. insignis, Schl. Moravica, Glock. Parandieri, Et. retifera,. suprajurensis, Th. Waldheimia Delemontiana, Opp. ++: ++: Genres. pinguis, semiconstans, Especes. Rhynchonella pectunculoides, Opp.- - pullirostris, Et. . sublentiformis, Et.. Et. Et. . Thecidium Stomatopora Berenicea | Coltyrites | (Dysaster) | Pygurus Echinobrissus Holectypus Pygaster Stomechinus Pedina Glypticus Echinodermes. Thurmanni, Br. . Bryozoaires. virgulina, Et.. intermedia, H. densata, Et - . Thurmanni, Et. . capilliformis, H.. tenuissima, Et. . virgulina, Et.. Rayonn&s. bicordatus, Des. . goesgenensis, Th. Roedersdorfensis, Th. f Blumenbachi, Ag. Bonanomii, Et. Hausmanii, Des.. jurensis, Marc. . Goldfussi, Des. . gracilis, d’Orb. major, d’Orb.. truncatus, Des. . Meriani, Des... Desori, Et. . dilatatus, Ag. . patelliformis, Ag. tenuis, Ag. . - Aroviensis, Des.. Contejeani, Et. lineatus, Des.. Monsbeliardensis, Th.. subaspera, Et. sublaevis, Ag. affinis, Ag. . hieroglyphicus, Ag. magniflora, Et. . . Pseudodiadema Bruntrutanum, Des. complanatum, Des. . conforme, Et.. Cotteaui, Et... hemisphericum, Des. . en. van RE. Mn Or Jar ER - TE SEHIEr an N ET SESTESTELS ES Or +4 Sc is a A! EEE I I AI Fr Genres. Diplopodia Hypodiadema Acrocidaris Hemipygus Acrosalenia Pseudosalenia Hemidiadema Hemicidaris Pseudocidaris Cidaris Rhabdocidaris Astrogonium Comatula Apiocrinus Millericrinus Especes. Pseudodiadema mamillanum, Des. . neglectum, Et. squalidum, Et. subconforme, Et. Aroviensis, Et. parvula, Et. planissimum, Et. subangularis, Me. Coy. Thurmanni, Et... florescens, Des. Gresslyi, Et. . Marcoui, Et. . elongata, Et... subformosa, Et. . foliaceus, Et... virgulinus, Et. angularis, Des. decorata, Wright Gratteriensis, Et. aspers, Ei. . . stramonium, Des. Agassizi, Et.. . complanata, Et... Cotteaui, Et... erenularis, Ag. diadema, Ag.. Gresslyi, Et. . jurensis, Et. . Lestocqui, Th. mitra, Ag.. . simplex, Th. . urceolata, Et.. virgulina, Et. ararica, Et. . Thurmanni, Et... baculifera, Ag. cervicalis, Ag. coronata, Ag.. Cotteauis, Bir. florigemma, Ph. . philastarte, Th. . Parandieri, Ag.. . macroacantha, Et. . nobilis, Des. . . Orbignyana, Et.. astartinum, Et. . Gresslyi, Et. . Guettardierinus Orbignyanus, Et. Meriani, Des.. . polyeyphus, Mer. similis, Des. . asper, Et. . Virgulien Strombien Astartien Corallien Dina isenschune uni, him chiranke nk Far Minsk Jam k Sat Ma YaX Yasha Ya). Vak Ya Wa. Fe Wire Ye Yes Tat Da Val} OT el Te ER OT ... 000. = 3 aa er Ber BEE See ES ee ee EEE EEE DEE Oel TE LET TEEN + + . +|« Ale 5 en Chan ua Orte ses Ya ana ask yes Ostae IHE FE Mer) 8 a Ci ER kat Karma ER Leer Passt Yan Yo can Tamil Van Yarx ML} erleWeihnnkef .eckemnamierker et etz Tee tern he Jene aueh ee ans enne 9 10 IT EEE u EL Te ur Yasc ank Pro ya Bent I ME Par uam yannC DE wi Kr ) nme menu ne neben e For to PETER TEC NWERT JRR? VaBıT Toair VorRr 11 a ee a 12 13 aaa oo ga Enno See le ie u ee enge 14 15 ee ei gie es eRleine: Yalıcııa, 17 sis > Wa us ++: +: ++: ::: 4°... 4°... 4°. "ent... .. 19 20 ui ie, Jen ie, i9t 23 o 0 Aa de a 24 0.0. 0. Done Genres. Millericrinus Ceriocrinus Pentacrinus Eugeniacrinus Trochocyathus Oculina Enallohelia Dendrohelia Pleurosmilia Ellipsosmilia Stylosmilia Aplosmilia IL Dendrogyra Rhipidogyra | Stylina Espödces. calcar, d’Orb.. conicus, d’Orb. Duboisanus, d’Orb. . echinatus, d’Orb. granulosusEt.. Hoferi, Mer. . Munsteranus, d’Orb. Nodotanus, d’Orb. . perechinatus, Et. scutula, Th. : Greppini, Desori, Th. Hoferi, Qu. - Polypes. cruciana, Et... . suprajurensis, Et. Gresslyi, Et... coalescens, Et. gracilis, Et. Marcoui, Et. . . Thurmanni, Et. . Michelini, Et.. aspera, d’Orb. semisulcata, d’Orb.. spathula, Et. angustata, Et. rastellina, Et. . subrastellina, Et. Thurmanni, Et. . flabellum, E. H.. percrassa, Et. ablensis, Et. . . Bernardana, Et... Bernensis, Et. Bletryana, Et. . castellum, E.H.. coespitosa, Et. decipiens, Et.. Girodi, Et. . lobata, d’Orb. octosepta, Et. ramosa, E. H. semitumularis, Et. i stellata, Et. tenax, Et.. . tubulifera, EH virgulina, Et. Waldeckensis, Et. . Et. (Opp). amblyscalaris, Th. . olzis Strombien Astartien Coralllen sl2luılhelıs SH | 2 lozlonls; 0 | | J15|17| wi SE +|. a Sl :|+ . . + Pe Er. I: ; 3 |.» R + . u | % e E= 1%: “ıeR . Tr .-|+|.|+|. { | % ee 19 + | | | Be : 1 I° . . . . . + . + . +|. .|+ — a F £ +|. el . +. | £ +43 . or . F um 7a j ä +1. e R +). Elan +|. . . «ih . 5 . .I.|J+ +. | are MR eIzusE \ Ne Heat H Urt el, . . ” ” . ” . ” + E3 . .|.|/+I- gun! N . I! +| » . . . N 5 ir, Baur Genres. Cyathophora Convezastrea Astrocoenia Actinocoenia Helioceonia Allocoenia Leptophyllia Montlivaultia Rabdophyllia Cladophyllia Calamophyllia Thecosmilia Stiboria Favia Confusastrea Isastrea Microphyllia Especes. Bourgueti, E.H. minima, Et. ; semiradiata, Et.. pentagonalis, d’Orb. stellata, Et. variabilis, Et. trochiformis, Et. depressa, Et. . astartina, Et. Bonjouri, Et... cuneata, Et. . dilatata, E.H. elongata, E.H. grandis, Et. ineurva, Et. . subeylindrica, E. I: vasiformis ?, E.H. virgulina, Et. 2% Waldeckensis, Et. cervina, Et. . Aapellam, Et. strangulata, Et.. suprajurensis, Et. Thurmanni, Et... striata, Bl.. virgulina, Et.. . Bruntrutana, Et. crassa, d’Orb.. irregularis, Et. . laxata, Et. magna, Et. . sublaevis, E.H. trichotoma, E. H. suprajurensis, Et. magniflora, Et. Gresslyi, Et. . Thurmanni, Et. . Burgundiae, d’Orb. | dianthus, Et... Bernensis, Et. fallax, Et... fasciata, Et. favulus, Et. . . grandiflora, Et. . Gresslyi, Et. . propinqua, Et. . Thurmanni, Et. . Amedei, Et. . curtata, Et. dumosa, Et. fasciata, Et. . Gagnebini, Et. Virgulien Strombien Astartien Corallien AEIRR) HEISE EIEprIENIET 23 [21 |25 | 26 35 10 15 | 17 20 |22 27 . +|. : + Al er : + al: 2 : +|. |» - +|. I . Eile | - +|. | : +|. Sala + sele Ale a +|. .|+. e ln: So ul Ar a: + all: Fe: 4 +. s Klin NEN + Jlhe bo Allee =” -I+|. llehlıe ö hs art A + vrald|ıa A + + & HER 4 ; 2 : .|+|. Ä | x ‘ F : + 3 f h Ir 5 en au h ac o alkslie lie R .|+ .|+!.|. ö .|-+. L tale + . +. lee 5 2 Afa1'%3 + . - +|+ . 6 : el Sl. “|; . N . .|t+ Fe u + = . a En enl?e Sm o 5 lau + 2 el‘ Fl a Ti . «+ —Ilalı fe Z|R- ‘ ls» |#: 2 60 Strombien Astartien Corallien 19 8 — 111213 ten 10 20 22 Genres. Espöces. Mierophyllia helvetica, Et.. - . - - I=!-I+1.J-i-j-/-|-1-f el. > BZ en Lotharinga, Et. - .. .. - 1-1-1=1.I-Te1212 1-1, -.| 2 1 +l# [Is munita, El -— - .. + .+lpleF sT-=-T el] arte Pe ara 5 Ir serpentina, Et. . ii . . aueh Thurmanni, Et. . Uns - > . Be I Er Pa en 2 Thamnastrea concinna, E.H. RA . - i+l-1. 1 +1#+1% Coquandi, Et. u. Sl 5 bc Frhr lie dendroidea, BL - . - ® . Eee Lomontiana, Et. .:.- . |-]=-]=I-J«!1=-]-» 5 . +. 1» miceroconos, Et. - - .. ..|=!-|I=«Iaf=-!=-1e.le - - + + - aimıma, Bi: +.) 4 Ei... Sal .jele - . SHEN ad ensi . 0l-'=-'» au . . . Stephanastrea nulife - - - |» — . Coenastrea Martis, Et - Er ZASAERT TI \ “770 Thurmammı, Et. - -: -: sttA1=-Fahsi sale 1er ee +» I >» Je l8 Olausasören , 'parva, EI. -- + %--,2-1=1 >] =poB = Tetedie | > 1 = gu Drop u Goniocora socialis, Et. . en en a a EI I 219 Er Isocora Thurmami, Et: - .- -- <-1-1-1- 12321» 1 =]. 1-19 1 ee . Comoseris irradians, E.H. a a 1 0 en me 3 En >; ee 77 meandrinoides, d’Orb.. - I|-!-|-1-I-|1-|I-./1-.|-|-] + |» |. |. fr | Thamnoseris Froteana, Ei. - - - - |-|-|-]=-]=-|*1-|-j-j-] - | +1 -I#] - Meandrarea Gresslyi, Et... - - - - |» » „us - . tuberosa, Et. - .: - -44=-]- II »1] - | | Microsolena Bruntrutanz, EEE. . - . |-|.'- - Camsaas, Bir - k- -.% aleslioafefele expanen, Ei. - E- „.Zsls . Gresiyi, BE. >: -4%514=1=1# irregularis, d’Orb. . - - |-!-|-1].]=-'- +tt 4 mE 2. 2... Free - (1 | | sinuata, Et. . . een ee 1 i |: Au malh Trocharea actiniformis, Et. -I./+» ta. 5 seele Thamnarea arborescens. Et... -lelejefelj-ie|e|ei- a -/j-I1+]1. digitalis, Et. . “ia | -ial-]-.|-|- Er rn EN u nn \ \ j | | Foraminiferes. 95 | | | Conodyetium bursiforme, Et. - - -. - |» !.|-|.}- te: 1. #1]: u. 141 +18 Racemulina ararica, Et. AHA RS BAD AB E Fun? apa r Bernensis, Et. a FT Be re u Pe) © „1 Eu m subclathrata, Et. a Fa Ba EB Pa EI EI BE DIE EU EZ EZ EZ EZ EEE EZ Gomiolina geometrica, Bur. Au 'ImkFeR 21. 1 12 ia 2 Thurmami, Et... . - «le 1-1.1-1s|#1-1-1-irl - De beief- | -1>-]- Cristellaria Contejeani, Et. . . - ARM BAPE ESEBIraEn :. © 1 #ls Thurmamni, Et.. .- - elol-TeJ-]e1-]-1-1-1. Pe Joel - | - I =] - Vebbina dilatata, Et. . . L A] - il: Ei F ls 0 9 öb e Cliona distans, Et. . - .«ls.is+le el: |. en en en 2-2, m IE multicava, Et. . "AR FPARBRBB BER, "N uno e ovata, Et... . -KEEERRBEE]: EEE 5: Talpina astartina, Et.. - ea Ne) 4 a 7° Ku Bad a Da re apa jet 172 Fee We?" Tan Bang Ten 5 Strombien Corallien Virgulien Astartien 2 1= 3 EAFTILEITE) ESS RRBETIRSAERE PRY TAT o. 1517| |2012 wı Genres. Espöces. | Dendrina dumosa, Et. #. Bea le lie. Balls . Fodreans- HEISE ee ee eu eprer | ullleee |, ee, ins 5 5a ee elle ramnlitera, Bt.% - .. lelellı.le|eje tie. | ei. lei o|- Haguenowia minima, Et. -. - . . „ [eI-|e[el.l-l-)-|2/e|e 7. al + |. Cabalia JULORSIE N DE tet Een Bellke Ireslie a Ile |Lenjie Amorphozoaires. | | Endea perforata Rt SEI 2 ER le een ee ee nein en le |.» 5 Parendea eu es llarlen len ellelenenllerlianhe los] Al aaloellre lee N astopnora ABLE ee het te [elle ne ee Nelken lee el ein = ee el elloilicllonlenkelreiein|leill sl ol oulfal®e "oe RT Dr a Mar a Sa al hol "alla dal weheilke alla | Is nal hr Se, } Horieepss Eh. West alle ee Eee ea] 13 2 | as Eee ee rel ul ll = iz | i 3% +++++ sraalis, Bir Lie. Ze leilneilke lelee belle |7e3]r SDhesel to mental een... prismatica, Et... 2. helle le lee el elle je | RER Cnemidium ne a sion oullonlienienleuncule lo ro ==" Didesmospongia Thurmanni, Et.. . . . [*|-|=.|j.I-|-|.|.|.|- emo Ic Sl Stelnsnongia 2 apenta, Bit e en 2 2 elle Jen [el les = 1 sale ee ea re EST en =] > [Et glomerata, Et. . . . . [-|-|.|-|.|.|-|- a a En Eu En u u Eu ee Kyıberdasaitege ge EI El lan e en Da > . alwerltalige our Din el lee ulenlalauı > © | or louıo Boll Astrospongia corallina, Et.. . . . . |»|.|. NN DE Nee | eb HER ee Te ee | ea nen helle Re, N ee) leute Note a eo Ceriospongia‘ Bernensis, Et. . . . . [=|.|.|.|-1.|-|.).1.|- |.) .|.|® An multistella, Et... . - . |»|. |. ++. all ll ae mundistellata, Et... . . |-|. |. \olnollierl.olc Flo leoilionliae ro elle. Amorphospon- pustulata, Et. . . . . |» oe oheilleillerleälee | > oo lc [gia tuberifera, Bt. . . . . [ef-Je|-j-[-|-|.|.|- re Sllelr Plococoelia obsaura, Bits Au Eee la ne llelie a BE oo Ir er illeo Cupulocoeia rugosa, Et. . . .... |*|*|- cl onen DR oelisc -\+]. Plante (Fucoide). Raniulina A eo oleileilkallonlsolkilkel ke ln sulsonlsalonliie en ll < RESUME DU TABLEAU ET PASSAGES D’ESPECES. [Reptiles 5 |Poissons 4 [€ rustacös . |Annelides. Cephalopodes Gasteropodes . 120 716) 5] 5/3 Aogphales . . |. 0]50 sıfısızisie2 ss orkzıdısıeasi den si.].|. |.) Orthoconques |. 2121645 ass) 711: 30| £10|34| 35 Pleuroconques |. |13)20| 2] 3 | 8 7] 3112] 6] 3] 30 410] 6 Brachiopodes . 3: ia | 21. DEE: al ılı | | | | | Bryozoaires . Echinodermes . Echinides . Crinoides . Zoanthaires . sep ssıluanlg 28 SUPPLEMENT aux Cephalopodes et Gasteropodes. Depuis l’impression de la partie de cet ouvrage qui traite des Cephalopodes et des Gasteropodes, nous avons etudie de nouveaux gisements qui nous ont fourni quelques especes; nous avons en outre trouye dans ’Hypovirgulien tout ä fait supe- rieur une zone en deux localites differentes (Alle et Chevenez) oü se rencontrent des Gasteropodes de tres-petite taille, abondants sinon comme especes, du moins comme individus; encore parmi eux en est-il bon nombre dont la reconnaissance nous a ete jusqu’a present impossible. Voici la description de ces especes, dont quelques-unes seulement ont &te indiquees ailleurs, aux environs de Montbeliard surtout. Belemnites diceratianus, Et. Cor. Ht.-Jura, p. 17. Nous avons trouve des debris probables de cette espece dans la zone coral- lienne, ä mi-chemin de la montee des Rangiers. Ammonites Martis, Et. — pl. LXI, fig. 1. Espece d’assez faible taille, ä peine ombiliquee, Epaisse, ä dos arrondi; sur les ilanes, des ornements en filet carre, tr&s-nets dans leur milieu, attenues sur le dos, oü ils s’arrondissent; filiformes vers l’ombilic, pres duquel m&me ils disparaissent, en se montrant parfois plus ou moins marques que leurs voisins. Diam. = 60"; ep. = 35°”. Hypovirgulien. — Outre Roche de Mars (Porrentruy). — Tres-rare. Nerinea berno-jurensis, Et. — pl. LXII, fig. 2. Assez grande espece, conico-cylindrique, allongee, ä tours plus hauts que larges, fortement excav6s, separes par une suture angulaire profonde; rangees de tuber- 61 468 cules diflerentes, la superieure assez netie, la suivante plus fine et peu marquee; la troisieme mediane, intermediaire entre les deux preeedentes; les deux suivantes trös- faibles et a peine marquees; et enfin la derniere composde de tubercules assez gros. mais indeeis. Stries d’aceroissement bien marquees et tres-obliques vers la bande du canal, qui est peu visible. Long. = 120 a 140”"; diam. = 18". Epistrombien. — Chevenez, Fahy. — Commun. Cette espece habite avec la N. Elsgaudiae, avec laquelle elle a et& probablement confondue:; nous en avons trouve d’assez beaux exemplaires entre Chevenez et Fahy. Nerinea virgulina, Et. — pl. LXI, fie. 3. Petite espece, subeylindrique, assez allongee; tours un peu plus hauts que larges. faiblement excaves, portant 5 rangees prineipales de tubercules; entre la seconde et la troisieme, une autre rangee plus faible, enfonede; la derniere formee de tuber- eules un peu plus gros. mais indeeis, et avant celle-ei une suite de plis qui simulent une septieme rangee. Long. = 70 a 80""; diam. = $""., Hypovirgulien superieur. — Chevenez. — Assez commun. Serait-ce la N. Styloidea, Ctj.? Les ornements ne paraissent pas etre les m&mes ou n’ont pas le interpretes de la m&me maniere? Serait-ce seulement une difference individuelle, ou un eflet d’usure ? Acteonina attrita, Et. — pl. XIV, fig. 5. Tres-petite espece, subeylindrique, le dernier plan sur les Illancs et occupant la plus grande partie de la longueur totale: spire courle. reguliere, formee de 3 a 4 tours. Test lisse. Long. = 3”"; diam. = un peu plus de 11"". Epivirgulien. — Combe Voitelier. — Rare. Natica suprajurensis, Et. — pl. XIV, fig. 16. Petite espece, renflce, ä spire assez allongee, reguliere; les (4) tours en gra- dins obliques, a cause d’une legere carene qui parcourt le test a peu pres a egale distance des deux sutures; test couvert de stries d’accroissement bien marquees. Long. = 21””; diam. = 17”". Zone virgulienne. — Alle. — Assez rare. - 469 — La forme renflee de cette espece, malgre sa spire assez allongee, distingue fa- cilement cette espece de ses congeneres du m&me niveau geologique. Trochus retiferus, Et. — pl. LXI, fig. 4. Petite espece, conique, a angle spiral tr&s-ouvert; surface laterale continue; bord superieur tranchant, la partie anterieure du dernier tour comme excavee; sur la partie visible des tours, 7 cötes, dont la troisieme, plus espacde que les voisines, est decoupee en filet a railles carrdes par des plis d’aceroissement assez reguliers, for- mant des noeuds aux points d’interseclion, et assez obliques en avant vers la suture; entre la seconde et la quatrieme cöte un leger enfoncement. Haut. = 10””; diam. = 17”. Hypovirgulien. — Roche de Mars. — Tres-rare. - Trochus arena, Et. — pl. XIV, fig. 15. Tres-pelite espece, conique, carenee; spire reguliere, formee de 3 a4 tours, le dernier oceupant les %, de la longueur totale. La carene plane, limitee par deux filets, d&coupes par des cötes transversales de m&me valeur, qui se continuent en- suite jusqu’ä la suture; les intervalles assez profonds relativement; sur le dernier tour en avant, 6 cötes concentriques aussi en filet, entre lesquels apparaissent trans- versalement plutöt des stries d’aceroissemert que de veritables cötes. Long. = 11,””"; diam. = 1””. Epivirgulien. — Combe Voitelier. — Tres-rare. Fusus enectus, Et. — pl. XIV, fig. 14. Petite espece allongee; spire reguliere, de 6 tours fortement convexes, comme carenes en leur milieu, ornes de 6 cötes longitudinales, dans les intervalles desquelles s’en lrouvent une ou deux autres plus petites, et decoupdes par des cötes trans- verses obliques, qui avec celles-lä determinent un reseau; les intermediaires restent cachees au fond des mailles de ce reseau. Long. = 12””; diam. = 4””. Zone virgulienne. — Alle. — Rare. Cerithium exile, Et. — pl. XIV, fig. 15. Tres-petite espece, conique-allongee; spire reguliere, de 7 tours convexes, bien separes; 4 grosses cötes longitudinales, en filet, dans les intervalles desquelles s’en 10 ° — trouvent 4 ou 5 autres beaucoup plus fines; de semblables a celles-ci. mais plus espacdes et un peu plus fortes, couyrent toute la partie anterieure du dernier tour. Les tours presentent en outre, dans leur partie inferieure, 10 ä 12 cötes transverses, obliques, obtuses, plutöt tubereuleuses, qui produisent un renflement au point de ren- contre des grosses cötes longitudinales. Long. = 7””; diam. = 2°”. Zone virgulienne. — Alle. — Rare. Purpurina suprajurensis, Et. — pl. LXII, fig. 5. Assez grande espece, ä spire allongee, formee de tours fortement en gradins, surtout par une serie de tubercules qui naissent sur les bords, et ayant ainsi la forme de cylindres superposes; ces tubereules et les parties voisines recouvertes de fines cötes longitudinales; plus haut, 6 a 7 cötes indeeises, faibles, plus nettes sur d’autres cötes obtuses. qui naissent des tubereules et montent vers le bord superieur apres s’etre bifurquees; en avant sur le dernier tour, 4 sillons etroits, qui laissent entre eux des cötes larges, comprenant tout l’espace jusqu’a la columelle. Haut. = 48””; diam. = 30°”. Hypovirgulien superieur. — Chevenez. — Rare. Pterocera Monsbeliardensis, Ctj. — pl. LXI, üüg. 6. Kimm., p. 262, pl. 8, fig. 9. Petite espece, assez peu allongee, fortement ailee; sur le dernier tour, 5 cötes determinant des digitations et dont les deux extr&mes sont peu marquees; sur les tours de la spire, deux de ces cötes toujours en Evidence; entre ces cöles, 4 a 6 autres beaucoup plus faibles, dont la mediane peu marquee; ces m&mes cöles inter- mediaires se multipliant sur l’aile. Sur la spire quelques plıs transverses ä peine marques. Haut. = 28””; diam. (aile non comprise) = 11””, Hypovirgulien superieur. — Chevenez. — Assez rare. Cette forme presente avec celle de Monbeliard quelques diflerences; les cötes prineipales sont mieux marquees par rapport aux autres et la derniere digitation est tres-rapprochee de la spire. Du reste, il y a tres-probablement dans les Pr. musca Desl.. Rost. costata Roem. des formes voisines qui pourraient s’en rapprocher, si elles elaient mieux connues. Cerithium gracilentum, Et. — pl. XIV, fig. 12. Tres-petite espece, allongee; spire reguliere, formee de 8 tours convexes, ele- ves, ornes de 4 cötes tuberculeuses, ayant par tour 18 a 20 tubercules, et separdes par d’autres plus petites et constituees de m&me, mais ä tubercules un peu plus petits et un peu plus nombreux; ces dernieres se continuent sur la partie anterieure du dernier tour. Long. = 7°”; diam. = un peu plus de 1”, Zone virgulienne. — Alle. — Rare. Cerithium obduetum, Et. — pl. XIV, fig. 10. Petite espece, conique, faiblement fusoide; spire formee de TäS tours convexes. peu eleves, ornes de 12 cötes longitudinales, alternativement plus fortes et plus faibles, ondulees par 16 a 15 cötes transverses, un peu obliques, obtuses, assez etroites, qui se continuent presque jusqu’a la suture superieure. Long. = 7””; diam. = 21%””. Epivirgulien. — Combe Voitelier. Tres-rare. Cerithium peresum, Et. — pl. XIV, fig. 9. Tres-petite espece, conique-allongee; spire reguliere, formee de 9 tours carenes, convexes; deux cötes longiludinales saillantes, dans les intervalles desquelles s’en trouve une autre plus faible, et decoupees par 12 cötes transverses ä peu pres de meme valeur que les premieres. Long. = 21/””; diam. = 54,"”. Epivirgulien. — Combe Voitelier. — Tres-rare. Cerithium tabidum, Et. — pl. XIV, fig. 11. Tres-petite espece, conique-allongee, spire reguliere, de $ tours faiblement con- vexes, ornes de 4 cötes longitudinales, entre lesquelles s’en trouvent autant d’autres plus faibles, d&coupees par une quinzaine de cötes transverses un peu obliques, plus fortes au point de rencontre avec les premieres. Long. = 7””; diam. = 214,"”. Zone virgulienne. — Alle. — Assez commun. Table alphabetique des especes et des synonymes. A. Acrocidaris elongata, Et. —_ formosa, Ag. - subformosa, Et Acrosalenia angularis, Des. — aspera, Ag. _ decorata, Wright -- Gratteriensis, Et. Acrosmilia vasiformis, d’Orbh. Acteonina altrita, Et. collinea, Contejean - Waldeckensis, Et. Actinocoenia stellata, Et. . Adelocoenia castellum, d’Orh. Agaricia fallax, Th. foliacea, (Ju. . granulata, Mich. = = Schfh. . Gressiyi, Th. - oetodistans, Th. — propinqua, Th. - quinquedistans, Th. — tridistans, Th. Allocoenia trochiformis, Et. Ammonites Achilles, d’Orb. = bispinosus, Ziet., (Qu. Ammonites Gontejeani, Th. u ? Erinus, d’Orb. _ inflatus, Rein., Ziet. = Lallieranus, d’Orb. Lapieidarum, Th. Lemani, Th. Lestocqui. Th. _ longispinus, Sow _ Martis, Et. — orthocera, d’Orb. Rupellensis, d’Orh. _ verrucosus, Bay.. Gieb. Wetzeli, Th. Amorphospongia ? pustulata, Et. = tüberifera, Et Amphidonte ? spiralis, Pusch. - virgula. Pusch. Anatina caudata, Ctj. — expansa, d’Orb. — gibbosa, Et. . — helcetica, d’Orb. — insignis, Ctj. parvula, Et. . striata, d’Orb. — subrugosa, d’Orb. . virgulina, Et. Anomia foliacea, Et. . — Monsbeliardensis, Otj. — nerinea, Buv. — Raulinea, Buv. Anomia squamula, Th. — vercellensis, Th. Anthophyllum variabile, Th. Apiocrinites Mülleri, Goldf. _ — Qu. Apiocrinus echinatus, Qu. Meriani, Desor polyeyphus, Mer. — Roissyanus, d’Orb. - similis, Desor Aplosmilia aspera, d’Orb. — semisulcata, d’Orb. . spathula, Et. Aptychus Flamandi, Th. Arca Aslartina, Th. bipartita, Roem. Choflati, Th. Contejeani, Et. errala, Desh. — ?hians, Ct). - inquirenda, Th. Langü, Th. lata, K. et D. — Laufonensis, Et. — Mosensis, Buv. — nobilis, Ctj. rhomboidalis, Ctj. — rustica, Otj. — sublata, d’Orb. — subtexata, Et. . texta, d’Orb. texata, Goldf. Arcomya helvetica, Ag. — robusta. Ag. Astarte Berno-jurensis, Et. — ceingulata, Ctj- — _ cireularis, K. et D. — (Collardi, Th. . — cuneala, Roem. — curvirostris. Goldl. Astarte detrita, Th. — dubia, Th. ; Duboisana, d’Orb. — Ebersteini, Th. — elegans major, Ziel. — ?gibbosa, Ütj. grandiuscula, Th. gregarea, Th. laevis, Goldf. Lemanei, Th. minima, Br. — _ Goldf. Monsbeliardensis, Ct). multistriata, Leym. — patens, Ctj. pisolina, Ct. - percrassa, Et. — plana, Roem. — polymorpha, Gtj. pseudolaevis, d’Orb. — robusta, Et. — Sequana, Qt). - — subelathrata, Th. submultistriata, d’Orb. subplana, d’Orb. — supracorallina, d’Orb. . suprajurensis, d’Orb. Vernieri, Th. vicinalis, Th. . zeta, Qu. Astrea Basileensis, Th. Bourqueti, Defr. Burgundiae, Bl. - castellum, Mich. decemradiata, Qu. _ — Th. —_ coneinna, Gold!. — dendroidea, Lx. — duodeeimradiata, Th. — limbata. Qu. Page. 192 188 192 193 192 177 196 189 191 187 189 191 193 191 194 194 193 191 191 191 193 190 186 191 191 189 192 190 190 189 367 373 389 366 371 369 397 399 368 370 371 369 Astrea limbata, Th. — Goldf. microconos, Gold!f. octoradiata, Th. pentagonalis, Goldf. serradiata, Th. - sphaerica, Defr. trochiformis, Mich. — tubulosa, Qu. Br. _ Ph. Astrocoenia pentagonalis, d’Orb. Astrogonium astartinum, Th. Astrospongia Corallina, Et. _ rugosa, Et. . Atreta imbricata, Et. . Avicula Gervillioides, Ctj. Gesneri, Th. } — Goldfussi, K. et D. — modiolaris, Mü. Roem. oxyptera, Ötj. — plana, Otj. - subplana. d’Orb. supracorallina, Et. Thurmanni, Cij. Arinus obscurus, Sow. Belemnites astartinus, Et. _ diceratianus, Et. Berenicea densata, Et. _ Thurmanni, Et. Buccinum bidentatum, Buv. Bulla carınata, Th. — Michelinea, Buv. — perspicata, Th. 474 Bulla plano-spira, Th. - suprajurensis, Roem. ©. Calamophyllia dichotoma, E. H. - flabellum, Blainv. strangulata, d’Orb. - striata, E. H. virgulina, Et. Callianassa suprajurensis, Et. . Capitodus Gresslyi, Th. . Capulus (Pileopsis.) suprajurensis, Th. Cardita astarlina, Th. Bernensis corallina, Th. — pferocardium, Th. pterocardioides, Th. - squamicarina, Buv. suprajurensis, Ötj. tetragona, Et. - virgulina, Th. Cardium alatum, Deluc. axino-elongatum, Th. . - — -obliquum, Th. - Banneanum, Th. - — Buvigneri, Desh. . - cochleatum, Qu. — collineum, Buv. — corallinum, Leym. — diurnum, Ctj. — eduliforme, Roem — fontanum, Et. — Lemanei, Et. — Lotharingieum, Buv | — pisolinum, Otj. | — Protei, Brongn. — pseudoaxinus, Th. — sepliferum, Buv. . | — striatum, Buv. | Carpenteria irregularis, Et. Caryophyllia clavus, Mich. _ elongata, Defr. Page. 144 144 360 381 381 381 382 136 431 127 200 201 199 184 184 199 200 201 200 184 181 182 181 184 181 183 184 177 182 184 186 183 182 151 182 185 184 267 377 377 Caryophyllia Moreausiaca, Mich. subeylindrica, Mich. trichotoma, Bl. — vasiformis, Mich. Capsa Bourgueti, Th. — Thurmanni, Et. Centrastrea granulata, d’Orb conecinna, Fr. minima, Fr. Cercomya elongala, Th. expansa, Ag. — gibbosa, Ag. lato-plana, Th. — siriata, Ag. . Gerioerinus (Millerierinus), Greppini, Opp. Cerithium Bernense, Et. — buceinoideum, Buv. corallense, Buv. — exile, Et. ? gracilentum, Et. grandineum, Buv. — Humbertinum, Buv. limiforme, Roem. obductum, Et. — perseum, Et. — quinquangulare, Th. . - Rinaldi, Et. _ sociale, Th. _ tubidum, Et. Cerispongia bernensis, Et. - multistella, Et. — mundus-stellatus, Et. Ceromya capreolata, Ct}. — comilalus, Ct). — ezxcenlrica, Ag. — globosa, Buv. — inflata, Ag. & obovata, d’Orb. = orbicularis, d’Orb. — tetragona, d’Orb. . Chaetetes polyporus, Qu. Chama berno-jurensis, Th. Chama geometrica, Roem. . Chemnitzia athleta, d’Orb. Bronni, d’Orb. Glio, d’Orb. corallina, d’Orb. cornelia, d’Orb. Danae, d’Orb. Delia, d’Orn. Laufonensis, Th. Monsbeligardensis, Th. . multispirata, Bit. Phanori, Et. Pollux, d’Orb. Chilodonta bidentata, Et. . Cidaris Agassizi, Cott. alsatica, Ag. aspera, Ag. baculifera, Ag. Blumenbachi, Ag. — Mü. ? conoidea, Yu. Cotteaui, Bit. erucilera, Ag. diadema, Yung. florigenima, Phil. histricoides, (Ju. Hoffmanni, Roem. . monilipora, Ph. Orbignyana, Ag. Parandieri, Ag. = Desor. . — Et. philastarte, Th. philastarte, Th. pyrifera, Ag. et Desl. triphrygia, Ag. Cidarites erenularis, Goldf. Lamk. conoideus, Qu. mamillanum, Roem. pseudodiadema, Lamk. subangularis, Goldf. 62 Page. 414 89 87 87 I0 90 59 89 88 87 38 83 89 123 338 326 338 336 338 338 327 337 337 315 337 338 324 315 339 338 338 338 335 337 324 339 327 327 327 311 315 317 Cladocora trichotoma, Br. - Cladophyllia suprajurensis, Et. _ Thurmannii, Et. laevis, E. H. Clausastrea parva, E. H. Gliona distans, Et. — multicava, Et. — ovala, Et. Clypeaster Blumenbachi, K. et D. - Hausmanni, K. et D Clypeus aculus, Ag. = Ag. Cnemidium astrophorum. Goldf. . — Goldf. . _ ertus-sulcatum, Th. . mundus-osculatum, Th. _ mundus-s’ellatum, Th. _ parvum, Et. plano-truncatum, Th _ pyriforme, Mich. - rimoso-pertusum, Th. rimoso-stellatum, Th. _ rotula, Mich. stellatum, Mich. - sulcato-acutum, Th. . sulcato-depressum, Th Cobalia jurensis, Et. . Coenastrea Martis, Et. - Thurmanni, Et. Comatula Gresslyi, Et. Comoseris irradians, E. H. _ meandrinoides, d’Orb. Confusastrea Burgundiae, d’Orb. e Dianthus, Et. Congeria jurensis, } Conodyetium bursiforme, Et. . Convexastrea semiradiata, Et. . Corbis cerenata, Ctj. — eristata, Buv. . — Collardi, Et. - eoncentrica, Buv. . — dubia, Ei . Corbis mirabilis, Buv. — subelathrata, Buv. . Corbula Banneana, Th. — Bruckneri, Th. — Deshayesea, Buv. . -— fallax, Ctj. — Thurmanni, Et. Corimya ? lata, Ag. — Studeri, Ag. . — Imuistriala, Ag. - Crassatella bernojurensis, Th. Cristellaria Contejeani, Et. = Thurmanni, Ei. Cucullea ovalis, Roem. — tezla. Roem. Cupulocoelia rugosa, Et. . Cupulospongia rugosa, d’Orb. Cyathophora Bourgueti, E. H.. = minima, Et. _ Richardi, Mich. Cyprina Brongniarti, P. et R". _ caudata, Pictet — cornucopiae, Ctj. — cornuta, d’Orb. — ?erassilesta, Colt. - gregaria, Eli. Münsteri, Et. _ lineata, Ctj. - — nueuliformis, Pictet — Orbignyana, Et. . — parvula, d’Orb. — securiformis, Ctj. . — _ suevica, Et. tenuirostris, Et. . Dactylastrea subramosa, d’Orb. Decacoenia ? Michelini, d’Orb. . Delphinula bicarinata, Buv. _ funata, Goldf. E= squamala, Buv. Dendrina tumosa, Et. Page. 188 186 186 167 164 165 165 166 165 166 192 115 415 211 211 4128 428 373 373 373 175 176 178 178 179 179 177 174 176 179 174 178 177 180 399 371 125 126 125 417 Dendrina fodicans. Et. — punclata, Et. = ramulifera, Et. Dendrogyra aequicostata, Fr. — anguslata, Fr... _ elegans, Fr. rastellina, Et. . - subrastellina, Et. — Thurmanni, Et. Dendrohelia coalescens, Et. Dendrophyllia dicholoma, Mich. -- glomerata, d’Orb. Dentipora coalescens, Bl. Diadema Aroviense, Th. — Bruntrulanum, Th. — complanatum, Ag. — conforme, Ag. — erenulare, Desm. = Davidsoni, Wright — Flamandi, Et. — florescens, Ag. - hemisphaericum, Ag. — Lamarcki, Desm. — mamillanum, Ag. . — neglectum, Th. — parvulum, Th. — planissimum, Ag. . — princeps, Th. - pseudodiadema, Ag. — spinosum, Ag. — subangulare, Ag. - — transversum, Ag. - — Würtembergicum, Th. . Diceras arielina, Lamk. — Monsbeliardensis, Ct). — Sanclae-Verenae, Gresly — suprajurensis, Th. — ursicina, Th. . — Verenae, Gr. Didesmospongia Thurmanni, Et. Dimorpharea Koechlini, Fr. Diplopodia Aroviensis, Et. Diplopodia parvula, Et. - planissima, Et. .— subangularis, Des. . - Thurmanni, Et. Ditremaria amata, d’Orb. . — discoidea, Et. - mastoidea, Et... - ornata, d’Orb. . — quinqueeincta, d’Orb. Donaeites Aldouini, Brongn. Donax Saussurei, Brongn. . E. Echinites globulatus, Schl. . Echinobrissus Goldfussi, Desh. — gracilis, d’Orb. — major, d’Orb. u micraulus, d’Orb- — Thevenini, Et. — truncalus, Desl. Echinus hieroglyphicus, Mü. — linealus, Goldf. — perlatus, Ag. Ellipsosmilia Thurmanni, Et. Emarginula paueicosta, Et. Enallohelia Gressiyi, Et. Enallofungia corallina, Fr. _ globosa, Fr. Enerinites echinatus, Schl. . _ Milleri, Schl. = pietus, Schl. _ (subechinatus), Schl. Eryma Thurmanni, Et. Eudea perforata, Et. . Eugeniacrinus Hoferi, Mü. Eunomia flabellum, d’Orb. —_ laevis, E. H. Eusmilia ? aspera, E. H. — ? semisulcata, E. H. Ezogyra anguslata, Br. — auriformis, Goldf, — reniformis, Goldf. Ezogyra reniformis, Goldf. spinula, Th. — spiralis, Qu. tuberculifera, K. ei D. — evirgula, Goldf. Explanaria lobata. Goldf. . F. Favia Gresslyi, Et. magniflora, Et. — Thurmanni, Et. Fusus enectus, Ei. G. Galeolaria Lachesis, Et. Gammarolithes virgulinus, E!. Gastrochaena ampla, Et. gracilis, Et. . eranifera, Ei. Gervillia ariculoides, Gold!. Goldfussi. Et. — Kimmeridgensis, CO}. _ d’Orb. — pernoides, Ctj. Desl. — suleata, Et. . — telragona, Ci. - — Roem. . Glyphea macrochira, Th. — stenochira, Th. Glypticus affınis, Ag- hieroglyphicus, Ag. . Konincki, Ag. et D. . - magniflora, Et. . Goniaster astartinum, Th. Goniocora socialıs, Et. - Goniodromites rostratus, Et. Goniolina geometrica, Buv. - Thurmanni, Et. - 478 Page. 276 ' Gresslya comilatus, Et. 274 274 74 275 368 4 115 138 - excenfrica, Terq. - globosa, Et. — orbicularis, Et. Gryphea mima, Phil. . — _ nana, Sow. — spiralis, Desh. — evirgula, Desh. Guettardierinus Orbigoyanus. Et Gyrodus jurassieus, Ag. Haguenovia minima, Et. Heliocoenia variabilis, Et. Hemicidaris Agassizi, Et. E anqularis, Ag. complanata, Et. Cotteaui, Et. - erenularis, Ag- — Grasseriensis, Th. . - Gresslyi, Et. . jurensis, Ei. - Lestocqui, Th. _ mitra, Ag. E = simplex, Th. . siramonium, Ag. = Thurmanni, Ag. = —— Ag. urceolata. Et. virgulina, Et. - Wrighti, Cott. Hemidiadema stramonium. Desor Hemipedina conforme, Des Hemipygus foliaceus, Et. . _ virgulinus, Et. Heteropora capiliiformis, J. H. _ tenuissima, Et. virgulina, Et. . i 1 Hinnites inaequistriatus, d’Orb — velatus, d’Orb. 157 | Hippalimus astrophorus, d’Orb. 157 _ elegans, d’Orb. Holectypus Meriani, Desh. _ neglectus, Thurm. Homomya compressa, A2. _ gracilis, Ag. _ hortulana, Ag. Hypodiadema florescens, Desor. Gresslyi, Et. — Marceni, Et. Wrighti, Cott. Inoceramus pernoides, (u. — suprajurensis, Th. Isastrea Bernensis, Et. fallax, Et. — faseciata, Et. — favulus, Et. - grandiflora, Et. - Gresslyi, Et. ? Lotharinga, E. H. — propinqua, Bit. - Thurmanni, Et. Isoarca multistriata, Et. — sublineata, Et. Isocardia carinata, Voltz costulata, Voltz - Thirr. . - e Gr. — excentrica, Voltz — inflata, Voltz — — Thurm. — ?lineata, Mü. ? — 1 6Goldf. obovala, Roem. —_ orbicularis, Roem. _ pulchella, Thurm. - siriata, d’Orb. — tetragona, K. et D. Isocora Thurmanni, Et. L. Lasmophyllia Moreausiana, d’Orb. 377 Lasmosmilia dilatata, d’Orb. Moreausiaca, d’Orb. —_ subeylindrica, d’Orb. Latimeandra Lotharinga, Fr. Lavignon rugosa, d’Orb. Leda Thurmanni, Ctj. Lepidotus laevis, Ag. Leptophyllia depressa, Et Lima astartina, Th. - aviculata, Mü. Bonanomii, Et — coneinna, Th. corallina, Th. - densipunctata, Roem. — Dunensis, Th. - filifera, Th. — Gaudini, Et. — grandis, Th. — Greppini, Et. — inquirenda, Th. - Laufonensis, Th. — Magdalena, Buv. — Meriani, Et. — Monsbeliardensis, Cij. — Oltenensis, Th. — ovalis, Th. — peectiniformis, Br. — perrigida, Et. . — Picteti, Et. — proboscidea, Sow — pulchra. Th. — pygmea, Th. — Renevieri, Et. . — rhomboidalis, Ctj- — rigida, Desh. — rigida, Thurm. — rotundata, Buv. — rudis, Sow. — Salzgowiae, Th. — semielongata, Et. — semipunctata, Et. - semitecla, Th. oo -t w .D u Dee) SIOoon SEIEN SHRLSZENIE ES SIE . Lima spectabilis, Ci. subastarlina, Cl. sublaevis, Th. . - subregularis, Th. suprajurensis, Ütj. . — tumida, Roem. — Verdati, Th. - vieinalis, Th. — virgulina, Th. . ; Lithodendron allobroghum, Th. - _ ? dichotomum, Mich. —_ laeve, Mich. . magnum, Th. - plicatum, Qu - rauracum, Th. sociale, Roem. _ trichotomum, Goldf. Lithodomus oliva, Th. — pisum, Th. socialis, Th. . — Sowerbyi, Th. Lobocoenia sublaevis, d’Orb. Lobophyllia aspera. Mich. . _ flabellum, Mich. - semisulcata, Mich. Lucina Buvigneri, Et. — dubia, Et. — Elsgaudiae, Ctj. _ _ Th. — globosa, Buv. . — Goldfussi, Desh. — obliqua, Goldf. — plebeja, Cij. — sirialula, Buv. — substriata, Roem. . — turgida, Et. — Vernieri, Et. . — Zeta, Qu. . r Lutraria concentrica, Mü. . - = = Goldf. R Lyriodon geographicum, Br. 5 — muricalum, Goldf. . ww DD NW ysıw ww WW nn vw or ai Sr 450 Lyriodon suprajurense, Br. — truncalum, Br. M. Mactra acuta, Roem. . — Euleri, Th. — Guettardi, Th. — neglecta, Th. — nuculoides, Th. — ovala, d’Orb. . d’Orb. - — ovala, Roem. . — pertruncala, Et. — sapienlium, Ctj. — Saussurei, d’Orb. — Iruncala, Ct). - — Zwingeri, Th. Mactromya rugosa, Ag. Madrepora sublaevis, Mich. Meandrarea Gresslyi, Et... tuberosa, Et. . Meandrina angustata, d’Orb. —_ aslroiles, —_ foliacea, Th. rastellina, Mich. Meandrophyllia Lotharinga, d’Orb. Melania Bronni, Roem. — dalypsoides, Th. — gigas, Th. — ormalta, Th. — parvula, Th. — pupula, Th. — Renand-Comtei, Th. — striata, Bronn. - — Roem. _ — Sow. Microphyllia Amedei, Et. . _ eurlala, Et. . _ dumosa, Et. . _ fasciata, Et. . - Gagnebini, Eu - helvetica, Et. gBEgsgenzägex & Dr 41 — Page. Page. Microphyllia Lotharinga, Et. . 2 5 396 ; Montlivaultia astartına, Et. ER 2 378 _ munitaEtcene see. 336) | - Bonjouri, Et. Fahrten 376 _ serpenlina, Et. . > 397 — cuneata, Et. . £ ; ; 377 2 Thurmanni, Et. . t : 397 | — dilatata, Et. . i h r 377 Microsolena Bruntrutana, Et. | B 108 — elongata, E.H. . h 1 377 - Caesaris, Et. ; i , 108 | - grandis, Et... . S ek - expansa, Et. . . ; e 408 | - incurva, Et. . 5 k } 378 — Gresslyi, Et. . ; ; ; 409 | _ Morellana, E. H. . 1 ’ 377 irregularis, d’Orb. : . =1097)| _ subeylindrica, EH. . . 379 - Julii, Et. 2 } { : 410 | vasilormis, E. H. ; i 379 - ? Koechlini, H. in M. Edw. . 109 = virgulina, Et. ! rn Bed = sinuata, Et. . 2 : ; 10 | _ Waldeckensis, Et. 2 \ 380 Millericrinus aculeatus, d’Orb. . ; - 346 | Mya concentrica, Roem. . i { 169 = — Pictet ı 5 316 — ? depressa, Sow. 5 ? ; x 165 asper, Et. ; i F 346 — Meriani, Th. ; : i ; 169 — astarlinus, Th. e a 345 — rugosa, Roem. . i 4 { y 169 Beaumontanus, d’Orb. . : 344 Myaeites jurassi, Qu. - - R ; 150 = calcar, d’Orb. r ; r 346 Myoconcha complanata, Et. z : ; 202 . conicus, d’Orb. . 4 ; 347 — perlonga, Et. . 2 t 2 201 Duboisanus, d’Orb. 2 318 | Myriophyllia elegans, d’Orb. . e i 363 = echinatus, d’Orb. . i 2 316 — rastellina, d’Orb. . 2 i 363 _ granulosus, Et. . h N 347 | Mytilus abbreviatus, Th. . RNwIE 220 Greppini, Opp. - R 319 | — acinaces, d’Orb. . 3 1, 228 — Hoferi, Mer. . : i i 345 | - amplus, Sow. ? 4 ; ! 217 = horridus, d’Orb. . : 316 | — aslartinus, Th. b h . : 221 _ Munsteranus, d’Orb. . b 317 | — intermedius. Th. . ? R : 221 — Nodotanus, d’Orb. R 2 318 | — jurensis, Mer. | 3 { r 220 — perechinatus, Et. . h : 345 | — longaevus, Ctj. . Ä ; e 224 _ rosaceus, Goldf. . ; R BIT | — pectinatus, Roem. . A ; ; 222 — scutula, Th. . e ’ : 350 | es — Sow. . ; h } 219 Milnia decorata, Haime . : i : 322 | — ?pernoides, Roem. h | s 222 Modiola inclusa, Ph. . 3 b f ; 225 | — perplicatus, Et. . 2 i Ä 223 - — Ph. \ 3 i : 226 | — plicatus, Quot. A Ä ; 223 — inconsuli, Thirr. . n ? - 220 | - subaequiplicatus, Goldf. { i 220 — plicatus, Quot. . > e Ä 223 — sublaevis, Goldf. . i { ; 220 — scalprum, Sow. . I 220 — subpectinatus, d’Orb. . ! 08219 = —— Thirr. . R h B 220 — "Thirriai, Et. . 2 h ; : 222 — Thirriae, Gr. : : 3 : 222 | — triqueter, Buv. . f : : 222 — — Th. A 222 — ‚virgulinus, Et: sen pt — — Volz . ; E 3 222 — _ Volz . 4 Y 5 219 N. Monodonta ornata, Münst. . I n : 131 \ Natica albella, Th. . £ x 2 : 116 Natica amoena, Th. cochlita, Th. cochlita, Th. ?decussala, Münst. . Delemontana, Th dubia, Roem. . Elea, d’Orb. - Eudora, d’Orb. gigas, Bronn. . globosa, d’Orb. — Roem grandis, Münst. . - hemisphaerica, d’Orb. macrostoma, Roem. microscopica, Cı. neritaeformis, Th. pigmea, Th. pugillum, Th. . semiglobosa, Et. suprajurensis, Et. . Thurmanni, Et. ?transversa, Pusch. turbiniformis, Roem. vieinalis, Th. Nautilus dorsatus, Roem. giganteus, d’Orb. inflatus, d’Orb. Marcouanus, d’Orb. Moreauanus, d’Orb. subinflatus, d’Orb. Nerinea ararica, Et. . berno-jurensis, Et. bicristata, Et. Bruckneri, Th. Bruntrutana, Bronn. Bruntrutana, Th. . Bruntrutana, Th. . - Voltz Carpathica, Zı. ? Castor, d’Orb. Ciymene, d’Orb. . costulata, Et. we Nerinea Danusensis, d’Orb. Defrancei, Desh. . - d’Orb. depressa, Volız. elegans, Th. . Elsgaudiae. Th. Erraio, d’Orb. fallax, Th. Goldfussi, Th. Gosae, Roem. grandis. d’Orb. — Voltz Kohleri, Et. . Laufonensis, Th. . Mandelslohi, Br. Monsbeliardensis, Ctj. Mosae, Citj. — dOrb. Münsterı, Et. Mustoni, Cij. nodosa, Voltz. Orbignyana, Th. . Rinaldina, Et Roemeri, Phillips. Roemeri, Th. Salinensis, d’Orb. sexcostata, d’Orb. speciosa, Voltz. subpyramidalis, d’Orb. subturritella, d’Orb. suprajurensis, Voltz. tabularis, Cij. trinodosa, Voltz. - turriculata, Th. turritella, d’Orb. turritella, Voltz. Ursicina, Th. vagina, Th. . virgulina, Et. Nerita canalifera, Buv. — cancellata, Qu. — Laufonensis, Th. 109 110 100 Nerita sigaretina, Buv. — DUrsieiniana, Th. Neritoma Hermanciana, Et. Neritopsis Beaumontina, Buv. cancellata, Gein. corrugata, Th. Cottaldina, d’Orb. — decussata, d’Orb. — delphinula, d’Orb. - Hermanciana, Th. = suprajurensis, Th. Nucleolites Goldfussi, Desm. _ micraulus, Ag. . — scutalus, Goldf. sculalus suevieus, Qu Nucula Bernouillü, Th. — ?lenticulata, Ct). — Menkei, Roem. — parvula, Th. - Zwingeri, Th. 0. Oculina coalescens, Br. — suprajurensis, Ei. Opis semilunulata, Et. - virgulina, Et. — suprajurensis, Ctj. Opisenia difformis, Et. Orhomalus astartinus, Et. = macrochirus, Et. _ Et. virgulinus, Et. Oroseris? St. Micheli, E. H. Ostracites hastellatus, Schl. _ pectiniformis, Schl. Ostrea alligata, Et. — ascendens, Qu. — auriformis, Ct. - Bruntrutana (var. Portlandica) — carinala, Roem. —_ _ Ziet. - Ziet. Ostrea ? claustrata, Pusch. colubrina, Goldf. Gontejeani, Et. eotyledon, Gtj. deztrorsum, Qu. Dubiensis, Ctj. Ermontiana, Et. ? gregaria, Br. = K. et D. - Mü. Sow. - Qu. gryphoides, Gtj. hastellata, Schl. hastellata, Qu. Langii, Bit. Monsbeliardensis, Ctj. Moreauana, Buv. multiformis, K. et D. nana, Et. nana, d’Orb. nodosa, Mü. palmetta, Sow. peetinilormis, Schl. ?pulligera ascendens, Qu. quadrata, Et. rastellaris, Et. rastellaris, Mü. Roemeri, d’Orb. rugosa, d’Orb. sandalina, Ctj. semisolitaria, Bit. sequana, Th. . solitaria, Roem. solitarıa, Sow. spiralis, d’Orb. spiralis, Qu. subnana, Et. suborbicularıs, Roem. subreniformis, Et. . subsolitaria, Et. Thurmanni, Ei. 63 Page. 251 279 271 271 281 272 270 278 250 278 281 281 276 279 279 280 272 269 271 275 276 278 278 236 250 277 278 278 273 279 275 279 270 279 281 274 276 276 269 276 280 273 Page. | Page. Ostrea vallata, Et. R R 5 4 278 Pecten Flamandi, Cij. j ; R . 264 virgula, Defr. . 1 ; Auen + 275 — Frotei, Eı. ö s em) —BEB > | — globosus, Qu. umere oee Pagurus jurensis, Et. Kae irn 85 — Grenieri, Cij. nem Kur — suprajurensis, Qu. weni AB Hermanciae; Etirlt aallankm +: 256 Palaeomya triangularis, Et. e \ L 161 inaequicostatus, Ph. . ; 252 trigonellaris, Buv. . s . 164 Laurae, Et. - ; en Parendea amicorum, Et. - N R : 119 — tens, Roem. J ! R B 262 astrophora. EL» ». . . 319 — lensıSow.. ir... asilebs 261 bullata, Eı. P , : 119 Monsbeliardensis, Cij. - 5 ß 252 cornuta, Et. e , $ £ 421 — Moreauanus, Buv. - e > 250 floriceps, Et i : 5 119 Nicoleti, Et. . : 1 » s 263 gracilis, Et. ; > - e 121 ? Nisus, d’Orb. E i : : 255 prismatica, Et. . = ! ä 421 — obscurus, Th. - ö e r s 266 Patella Castellana, Th. E ; 4 . 143 octocoslatus, Roem. . . k 252 Humbertina, Buv. . R ; ! 143 Pagnardi, Et. . , a & . 259 minuta, Roem. R ; 3 A 113 — Parandieri, Et. : 5 ; : 266 pygmea, Th. . F \ 144 — pertextus, Et. e J x A 257 suprajurensis, Th- 4 R 143 - qualicosta, Et. B & rue — 260 Panopara donacina, Ütj- - n R 5 151 — Sahleri, Et. . E 5 E k 261 = concentrica, dOrb. . , . 169 — Sarmerensis, Ei. - \ £ ; 259 - jurassi, Buv. a re +50 — Schnaitheimensis, Ei. -». -» . 35 _ sinuosa, d’Orb. . : . . 151 — Schnaitheimensis, Qu. . e - 255 _ tellina, d’Orb. . . ; ; 118 — semiplicatus, Et. . ; E 261 Voltzi, Buv. e ; i 149 — solidus, Roem. : ; i - 262 Pavonia crusiula, Th. ; - , ® 293 — seplemcoslalus, Roem. . - 3 252 — meandrinoides, Th. 2 ’ , 407 — ?subarticulatus, d’Orb. . : e 255 - tuberosa, Th. k k ; . 107 — subfibrosus, d’Orb. 2 i RI Pecten aequalus, Qu. - ul ur") — subspinosus, Schl. runden uhr — araricus, Er . b s ee: )- | subtextorius, Mü. . F z . 256 articulatus, Schl. . Be 255 — subteztorius Schnaitheimensis, Qu . 255 aslartinus, Et. . 260 suprajurensis, Buv burger 2 Banneanus, Ei. oo 259 — Veziani, Et. . 4 i ; .. 265 — Beaumontanus, Buv. 260 — vimineus, Sow. . i : 258 Benedieti, Cij. R 258 — Waldeckensis, Et. en. Billoti, Cıj. - kuumpe »2EV | Bilina aspera;"Golk . us ke 480 — Buchi, Roem. . $ ® PR ER... ) — subaspera, Et. 2 } 2 : 308 — Dediemi; Boem. %. 4 emule 2ER — sublaevis, Ag. nenn > BOB — Delessei, Eı. 263 Pentacrinus alternans, Roem. . . or - distriatus, Leym. 262 _ amblyscalaris. Tb. . . 351 erinaceus, Buv. ‚ ori U | _ astralis, Qu. .» - 2 - 351 — fibrosus, d’Orb. re | = Bajocensis. dOrb. . . . 351 Pentacrinus Desori, Th. = Nicoleti, Des. — oxyscalaris, Th. ? scalaris, Roem. Pentastrea pulchella, Th. Perna astarlina, Et — plana, Th. var. major, Th. — rhombus, Et. - subplana, Et. — Thurmanni. Ctj. Pholadomya aculicosta, Sow. —_ Agassizi, Ct). - Aldouini, Buv. amygdalina, Th. -- angulosa, Ag. — Barrensis, Buv. Brongniarti, Pusch. canaliculata, Roem. _ complanata, Roem. — Conlejeani, Et. contraria, Ag. donacina, Desh. — Goldf. B> he Qu. elongata, - elongata, d’Orb. - glabriuscula, Th. - gracilis, d’Orb. — helvetica, Desh. hortulana, d’Orb. multicostata, Ag. Leym. Voltz Murchisoni, Sow. . — myacina, Ag. — neglecta, Th. orbiculata, Roem. paueicosta, Roem. — pectinata, Ag. - pinguiuscula, Th. . - Protei, Ag. _ pudica, Cij. Pholadomya recurva, Ag. - robusta, Desh. = rostralis, Ag. — rugosa, Pusch. = scalpellus, Th. —_ sculala, Ag. = sinuata, d’Orb. subrugosa, Et. = truncata, Ag. : _ vieinalis, Th. Pholas pseudochiton, Ctj. Pinna ampla, Goldf. - ? Banneana, Ct. Banneana, Th. crassitesta, Th. — fribosa, Mer. — intermedia, Et. pinnigena, Labeche Saussurei, Desh. . ? Saussurei, Leym. - virgulina, Et. Pithonoton hypocrila, Et. Pleuromya Audouini, Br. _ donacina, Ag. Greslyi, Ag. tellina, Ag. = Voltzi, Ag. Pleurosmilia gracilis, Et. _ Marcoui, Et. . Pleurotomaria Antoniae, Et. — Banneiana, Th. Bourgueti, Th. Gartis-Udolfi, Th. Hesione, d’Orb. . Monasteriensis, Th. Philea, d’Orb. solodurina, Th. . Plicatula semiarmata, Et. . virgulina, Et. Placocoelia obscura, Et. , Polytrema capilliformis, d’Orb. . Prosopon jocosum, 'Th. Page. 154 160 152 185 153 153 157 156 153 155 282 217 216 217 218 218 216 218 218 218 217 433 150 118 151 1418 149 359 359 130 128 128 129 130 129 128 129 268 268 427 293 435 456 Page Page. Proto suprajurensis, Voltz - ArY?- ; A Purpurina gemmifera, Et. 3 an Psammobia concentrica, Et. - - 169 = Michaelensis, Et. . j 139 - virgulina, Et. . 170 - suprajurensis, EL . F 170 Psammohelia ? aspera, From. . . 358 Pyenodus affinis, Ag TE \ 131 ? dendroidea, From. . . 358 - gigas, Ag. - 3 x \ 131 ? gibbosa, From. . 5 . 358 - Hugii, Ag. . t ! 231 Pseudocidaris ararica, Et. : s . 334 Nicoleti, Ag. : & ia -ası Thurmanni, Et . e e 333 Pygaster Bonanomii, Gressiy - & 296 Pseudocoenia Bernardana, dOrb. . . 885 — Desori, Et. . : andı BR digitata, d’Orb. . 369 dilatatus, Desh. . : 303 - elegans, d’Orb. - . - - ? Gresslyi, Desor. - zerek 30% - ramosa, dOrb. : .. 0.369 | - laganoides, Ag. - 308 Pseudodiadema Bruntrutanum, Desor . 312 — patelliformis, Ag. Mob. 303 - complanatum, Desor : 314 — tenuis, Ag. - i 4 . - 304 E conforme, Et. . - . 312 Pygurus Blumenbachi, Ag. - . 295 Cotteaui, Et. i : 314 — Bonanomi, Et. . k ; 296 Flamandi, Et. . 2 ° 315 - fragilis, Cott. - ; - 297 bemisphaericum, Desor . 315 — Hausmanni, Ag. - - ; 297 mamillanum. Colt. . 2 311 ? Icaunensis, Colt. i . 297 - mamillanum, Desor : 310 — jurensis, Marcou . 3 ‘ > 298 neglectum, Desor . 311 - nasulus. dOrb. - h £ 297 _ squalidum, Et. e zonnahs _ subeonforme, Et. . *. 313 R. Pseudosalenia aspera, Et. 00 00..832%%# | Rabdocidaris Orbignyana, Desor 27389 Pterocera Abyssi, Th. - i 48 — macroacantha, Et. 339 — analipes, Ci - - 0... 435 | Racemulina ararica, EL . . .» 213 - calva, Ct. . 3 2 . r 136 | - Bernensis, Et. : . > 113 Monsbeliardensis, GU. - . 2170 - subelathrata, Et. . i Be; Oceani, Auct. .- - 433 | Ramulina minima, Tr - 218 Oceani,, Delib: zuinukı A, «um 132 | Rhabdophyllia cervina, Et. 380 orsata, Bus, ae miki- . - 131 | - flabellum, EL . . 381 Ponti; Delabi uw . : 133 | _ strangulata, Et... - er...) - Ponti, Desl. PRRTEN ; , 133 _ undata, Et. iu, Rupellensis, d’Orb. - - 134 | _ valfinensis, Fr. BB - sezcostalta, Desl. 200% 133 | Bhipidogyra percrassa,.Et. un. ı .. 36% subornata, Et. - ur: © - Nlabellum, E. H. 36% suprajurensis, Cl. - . - 136 | Rhynconella inconstans, d’Orb. 290 PMurrisi; Chi. ok oareunmnine — peetunculoides, Et 289 - Thurmanni, Ci. : ; \ _ pinguis, Opp- 290 Purpura gigas, Ei. . : ee 138 _ pullirostris, Et. 291 — :, Lapierrea, Buy. ersten en NR - semiconstans, Ei. . 290 — "jornata,.BEl: - . * AT. ia dere _ sublentiformis, Et. 292 Rhynconella Thurmanni, Br. “ Rostellaria alba, Th. ? angulicostata. Buv. Buvigneri, Et. . Deshayesea, Buv. Gaulardea., Buv. incerta, Th. tenuistria, Buv. Waeneri, Th. S. Sareinula octoradiata, Th. Scalaria minuta, Buv. Scyphia Serpula amicorum, Th. ? elegans, Goldl. ? intermedia, (Ju. alligata, Et. Banneiana, Et. canalifera, Et. capitata, Goldi. contorquala, Schl. Deshayesi, Mü. flaceida, Roem. Goldfussi, Et. gordialis, Goldf. gordialis, Schl. heliciformis, Goldl. ilium, Goldf. lacerata, Phil. Laufonensis, Et. limata, Münst. medusida, Et. muraenina, Et. philastarte, Th. quinquangularis, Goldf. quinquangularis, Qu. radula, Et. simplex, Et. . spiralis, Münst. subflaecida, Et. subnodulosa, Et. . sulcata, J. Sow. Serpula Thurmanni, Ctj. - trıcarinala, Sow. . = Iricarinata, Sow. . - turbiniformis, Et. Siderastrea meandrinoides, M. Goy.: Siphonocoelia elegans. Fr. Solen helveticus, Th. Sphaerites regularis, (Ju. Sphaerodus gigas, Ag. Spirorbis clathratus, Et. — compressus, Bit. _ Thirriai, Bit. Spongia ? lagenaria, Mich. Spongites glomeratus, Qu. Stellispongia aperta, Et. _ glomerata, lt. hybrida, Et. - pertusa, Et. Stenochelus Gresslyi, Et. Stephanastrea ramulilera, Et. Stephanocoenia concinna, d’Orb. Stiboria suprajurensis, Bit. Stomatia Gresslyi, Et. Stomatopora virgulina, Kt. Stomechinus Aroviensis. Desor = Gontejeani, Et. = linealtus, Desor = Monsbeligardensis, Desor Strombus dentieulatus, Schl. Oceani, Brong. ? Ponti, Brong. — d’Orb. Strophodus subretieulatus, Ag- Stylina Ablensis, Et. Bernardana, Et. Bernensis, Et. — Bleiryana, Et. t Bourgueti, E. H. et d’Orb. — castellum, E. H. — coespitosa, Et. decipiens, Et. Girodi, Et. Page. Anh 145 45 A 405 421 160 414 431 447 LUWG 47 119 424 123 42 12 123 436 402 397 387 126 292 305 307 305 306 133 133 134 134 132 365 365 366 366 373 366 367 367 368 Stylina limbata, Goldf. lobata, d'Orb. octosepta, Et. ramosa, E. H. A semitumularis, Et . stellata, Et. tenax, Et. i tubulifera, E. H. tubulosa, Br. _ Mich. virgulina, Et. . Waldeckensis, Bit. Stylohelia ? dendroidea, From. Stylosmilia Michelini, E. H. I Talpına astartina, Et. Tellina oblita, Th. parvula, Th. parvula, Th. rugosa, Roem. Studeri, Th. Terebratula Bauhini, Et. bicanaliculata, Schl. biplicata, Buch. _ Roem. : biplicata suprajurensis, Th. Biskidensis, Zeuschn. Bourgueti, Et. bucculenta, Ziet. carinala, Leym. clavellata, Ctj. coarctata, Park. concinna, Roem. corallina, Leym. Gagnebini, Et. Gesneri, Et. globata, Roem. humeralis, Roem. insignis, Bit. Qu. substriata, Qu. . 488 | Terebratula insignis, Schub. lagenalis, Qu. . —_ lampas, Qu. _ lentiformis, Roem. _ longirostris, Nils. Moravica, Glock. Moravica, Suess. Noszkowskiana, Zejsm. En = Zeuschn. ornithocephala, Dan. Parandieri, Et. perovalis, de Buch - Pusch. Repeliniana, d’Orb. - sella, Leym. — ? strioplicata, Qu _ subsella, d’Orb. —_ suprajurensis, Th. tetragona, Roem. Thurmanni, Voltz Thamnarea arborescens, Bit. - digitalis, Et. Thamnasteria octoradiata, Th. Thamnastrea affinis, E. H. coneinna, E. H. Coquandi, Et. dendroidea, Bl. dendroidea, Br. E. H. d’Orb. fallax, E.H. . _ gigantea, Noll. — Lamourouziü, Mich. Lesauv Lomontiana, Bit. mieroconos, Et. minima, Et. = suprajurensis, Et. Thamnoseris Froteana, Et. Thecosmilia Bruntrutana, Et. = cervina, Bit. _ erassa, d’Orb. 459 Page. Page. "ae glomerata, d’Orb. . 2 k 383 Trochus acuticarina, Buv- . i s £ 124 irregularis, Et. e 2 384 — aequalis, Buv. 2 h } ! 122 er laxata, Et. k : 5 5 381 — aequilineatus, Qu.. e ö 124 — magna, Et. . : 5 5 385 — angulatoplicatus, Münst 2 ! 122 — sublaevis, Et. P ; ; 385 E angulosus, Th. N z i 124 trichotoma, E. H. . - 386 arena, Et. . ; & h ? 469 Thracia depressa, d’Orb. . - - 160 — astartinus, Th, . ; E i 122 — incerta, Desh. b ! e 165 - Daedalus, d’Orb. . ; k : 122 - suprajurensis, Leym. 5 s r 166 echinulatus, Buv. . 6 R 3 122 tellinoides, Desh. . £ ö . 166 Ermontianus, Th. 5 e 121 — tenuistriata, Desh. 5 ! : 166 Humbertinus, Buv. : 4 - 124 Tremocoenia varians, d’Orb. . : : 397 — plebejus, Th. ; : { e 122 Trichites giganteus, Qu. - - . : 218 reliferus, Et. 2 : Ä : 469 & planus, Et... k . { ; 219 subfunatus, d’Orb. ; F : 126 = Saussurei, Th. . E b ; 218 virgulinus, Th. 2 ; ? ; 122 Trigonia alina, Ct. - 3 e g ; 202 Turbo bicostatus, Et. { Ä 5 B 125 — clavellata, Leym. B 2 5 202 — Epulus, d’Orb. - . - : 125 — concenlrica, Ag. - j we: 203 — Erinus, d’Orb. ale: Kr e 126 — concinna, Roem. ; x ; 204 - Juli, Et. . : & : ; : 124 — Contejeani, Th. . R - 2 207 — laevis, Buv. . . - . - 126 > costata, Roem. . x 2 1 204 — Michaelensis, Buv. . e : 3 139 Re cuspidata, Sow. . { s i 205 — princeps, Roem. . - . : 123 geographica, Ag. , y 4 203 rugosiuscula, Buv. . e 5 : 126 y granigera, Ci. . he. 205 — subfunatus, d’Orb. . 5 ee, 126 u Greppini, Et. N N - 206 — tegulatus, Münst. . 4 i 2 124 Gressiyi,ThaleilomuialD „1% 206 — virgulinus, Th . . 0 1 inzon Tllot j > i 174 Turritella longula, Th. var. Ner. Mustoni 99 Julii, Et. N . e j ’ 206 - Th. var. Ner. tabularis 99 — Meriani, Ag. e r ! f 205 _ mille-milia, Th. . ; ; : 86 muricala, Roem. . 4 N : 202 _ papillata, Ag. r } 3 F 204 U. u ce nr Unicardium apicilabratum, Et. R 180 —_ oemeri, Ag. : ; h > 192 subeoncentrica, Et. . : 203 V subeoslala, Leym. e A : 205 r - suprajurensis, Ag. - 20% | Vebbina dilatata, Et. A en — truncala, Ag. N; 5 : 204 Venus affinis. Goldf. . , eh: 177 Trocharea actiniformis, Et. ; 4 : 4 — — Mu. : y R , e 177 Trochites ceylindrica, Hof. . ; ; > 346 — Bauhini, Th. . . : a £ 174 Trochocyathus eruciana, Et. . j ’ 357 — Brongniarüi, Qu. - h i i 175 Trochotoma Humbertina, Buy. . ; k 131 = —_ Roem. . Ä ; : 175 - quinquecineta, Buv. c 2 131 — carinata, Roem. n > : ; 174 Venus Saussurei, Goldf subinflera, Gold. (rapeziformis zunu»- 18. 19. Roem. W. 171 Waldheimia Delemontiana, Opp. 171 nn EXPLICATION DES PLANCHEN. Planche |. Belemnites astartinus, Et. Nautilus giganteus, d’Orb. . subinflatus, d’Orb. Planche IH. Nautilus Marcouanus. d’Orb. - Mareauanus, d’Orb. Ammonites Lailieranus, d’Orb. . orthocera, d’Orb. Rupellensis, d’Orb. . Planche II. Ammonites longispinus, Sow. = Erynus, d’Orb. - Achilles. d’Orb. Lemani, Thurm. Planche IV. Ammonites lapicidarum, Th. - Lestoegui, Th. . Planche \. Ammonites Contejeani, Th = Wetzeli, Th. Melania striata, Sow Planche VI. Melania gigas, Th. - - Renaud-Comtei, Th. Page Fig. 20 74 - 21. 7A - 22. 75 - 23. - 24 - 25. 70 =; 26. 70 E27, 77 - 28. 77 - 29. 78 - 30. 78 - 31 78 = 832 73 - 33 79 - 31. - 35. — 36. 80 37 80 - 38. - 39. - 0. 81 81 83 _ MM. - 42. - 83. 83 - Ai 8 - 85 Melania calypsoides, Th. - pupula, Th. - parvula, Th. Scalaria ? minuta, Buv. Chemnitzia Bronni, d’Orb. . Monsbeligardensis, Th. Glio, d’Orb. Laufonensis, Th Phanori, Et. Danae, d’Orb. athleta, d’Orb. Pianche VII. Chemnitzia Delia, d’Orb. — Pollux, d’Orb. corallina, d’Orb _ Cornelia, d’Orb. Nerinea Elsgaudiae, Th. _ fallax, Th. Bruckneri, Th. Gosae, Roem. Bruntrutana, Th. Carpathica, Zeuschn. Planche VIll. Nerinea costulata, Et. Jepressa, Voltz sexcostata, d’Orb. bieristata, Ei. tabularis, Ch. x zur 289 Page. ig. 46. 7. Nerinea Mustoni, Ctj. _ suprajurensis, Voltz = Delrancei, Desh. = Laufonensis, Th. Ursieina, Th. speciosa, Voltz — elegans, Th. = nodosa, Voltz ne Roemeri, Phil. — Gilymene, d’Orb. _ vaginata, Th. Pianche IX. Nerinea Castor? d’Orb. Kohleri, Et. ararica, Bit. — turritella, Voltz. Acteonina collinea, Ctj. Natica gigas, Bronn — Elea, d’Orb. — . Eudora, d’Orb. — vieinalis, Th. semiglobosa, Et — .cochlita, Th. — Thurmanni. Et... — grandis, Münst. — dubia, Roem. - . pugillum, Th. — amoena, Th. albella, Th. — turbiniformis. Roem. mieroscopiea, Gt. Planche X. Natica hemisphaerica, d’Orb. Neritopsis cancellata, Gein. —— delphinula, d’Orb. — suprajurensis, Th. Neritoma Hermanciana, Et. . Nerita sigaretina, Buv.. . — canalifera, Buv. . — Laufonensis, Th. 119. Trochus Ermontianus, Th. — plebeius, Th. virgulinus, Th. — astarltinus, Th. — angulatoplicatus, Münst. Chilodonta bidentata, Et. Planche XL. Turbo princeps, Roem. astartinus, Th. Juli, Et. — tegulatus, Münst. Purpurina Michaelensis, Et. Turbo bicostatus, Rt. . Epulus, d’Orb. . — sublunatus, d’Orb. — Erinus, d’Orb. . Capulus suprajurensis, Th. Pleurotomaria Philea, d’Orb. Banneiana, Th. Monasteriensis, Th. = solodurina, Th. Gurtis-Udolf, Th. Hesione, d’Orb. = Antoniae, Et. Ditremaria quinqueeincta, d’Orb. Pianche XI. Ditremaria discoidea, Et. — mastoidea, Et. Pterocera Thirriai. O1). — Oceani, Delab. — Abyssı. Th. — Ponti, Delab. — Rupellensis, d’Orb. = subornata, Et. - anatipes, Ct). = Thurmanni. Ct). Rostellaria Wagneri, Th. —_ Deshayesea, Buv. Planche XIIL. Rostellaria alba, Th. 64 . 120. 121. 122. 123 124. 125. 126. 127. 128. 129. 130. 131. 132. 133. 134. 135. 136. 137 — wo a N wen ee a 2» ie SHrER - Da Rostellaria Buvignieri, Et. . Purpura gigas, Et. ornata, Et. Lapierrea, Buv. Cerithium limiforme, Roem. corallense, Buv. . = buccinoideum, Buv. . sociale, Th. Bernense, Et. = Rinaldi, Et. Emarginula paucicosta, Et. Patella Humbertina, Buv. Castellana, Th. minuta, Roem. Bulla suprajurensis, Roem. — planospira, Th. . perspirata, Th. . — carinata, Th. Planche XIV. Aptychus Flamandi, Th. Chemnitzia multispirata, Et. Nerinea Monsbeliardensis, Ctj. Münsteri, Et. . Acteonina Waldeckensis, Et. Stomacia Gresslyi, Et. Purpurina gemmifera, Et. Acteonina altrita, Et. - Cerithium peresum, Et. = obductum, Et. = tabidum, Et. graeilentum, Et. - exile, Et. Fusus enectus, Et. Trochus arena, Et. Natica suprajurensis, Et. Opisenia difformis, Ei. Planche XV. Gastrochaena gracilis, Et. _ granifera, Et. _ ampla, Et. \ RS EETINETRN 7 l Sk Ja El u Er LH U ze Pleuromya tellina, Ag. - _ Voltzi, Ag... _ donacina, Ag. Ag. Pholadomya Protei, Ag. - myacına, Ag. - orbiculata. Roem. angulosa, Ag. . contraria, Ag. - Planche XVI. Pholadomya paucicosta, Roem. neglecta, Th. — multicostata, Ag. scalpellus, Th. recurva, Ag. pectinata, Ag. -. - amygdalina, Th. vicinalis, Th. Planche \Yll. Pholadomya pinguiuscula, Th. _ canaliculata, Roem. . - complanata, Roem. . — subrugosa, Et. . = sinuata, d’Orb. . _ Contejeani, Et.. glabriuscula, Th. — pudica, Ctj. - hortulana, d’Orb. _ gracilis, d’Orb. Planche \YIIL, Pholadomya ? helvetica, Desh. ? robusta, Desh. Anatina caudata, Ctj. striata, d’Orb. . gibbosa, Et. — expansa, d’Orb. parvula, Et. Planche XIX. Anatina insignis, Ctj. . eeanenruR De er - > DO ER ED IN r nn Dr —) . D Anatina virgulina, Et. CGorbula Deharpesea, Buv. _ fallax, Ct). — Thurmanni, Et. Thracia incerta, Desh. . — tenuistriata, Desh. Gresslyia globosa, Et. - excentrica, Terg. Planche XX. Gresslyia orbicularis, Et. E— comitalus, Et. Psammobia concentrica, Et. = virgulina, Et. -- Thurmanni, Et. . - Bourgueti, Th. Tellina parvula, Th. Mactra pertruncata, Et. — Zwingeri, Th. — ovata, d’Orb. Planche XXl. Cyprina Brongniarti, P. et R' — caudata, Pict. -- parvula. d’Orb. — nueuliformis, Pict. — Munsteri, Et. — suevica, Et. — cornula, d’Orb. — eornucopiae, Ctj- — gregaria, Et. — Orbignyana, Et. — tenuirostris, Et. Planche XXL. 1°?°Cardium Banneanum, Th. 4° —_ axino-elongatum, Th. — axino-obliguum, Th. Unicardium apicilabratum, Et. Cardium eduliforme, Roem. . Palaeomya trigonellaris, Buv. == triangularis, Et. . eo un —- Ma je KNRHFENDS Cardium fontanum, Et. eorallinum, Leym. . — septiferum, Buv. —_ Lemanei, Et. . Planche XXII. Corbis subelathrata, Buv. — erenata, Qt). — . dubia, Et. — mirabilis, Buv. . — concentrica. Buv. — Collardi, Et. Astarte supracorallina, d’Orb. — cingulata, Cij. — 6tj. var. — submultistriata, d’Orb. — pseudolevis, d’Orb. . — Duboisana, d’Orb. — bernojurensis, Et. — suprajurensis, d’Orb. — pesolina, Ctj. — perecrassa, Et. Planche XXIV. Astarte robusta, Et. — patens, Ctj. Lucina Goldfussi, Desh. Opis semilunulata, Et. . — virgulina, Et. Lucina plebeja, Ctj. — substriata, Roem. — turgida, Et. — Buvigneri, Et. — dubia, Et. — Vernieri, Et. Cardita squamicarina, Buv. — astarlina, Th. — virguliua, Th. — Bernensis, Et. . — _ tetragona, Et. : Myoconcha complanata, Et. . — perlonga, Et. Page. 184 184 185 186 186 187 188 188 189 188 189 190 190 191 191 192 192 192 194 193 193 194 197 195 195 196 197 198 198 199 198 199 200 200 201 201 202 201 1. 2. = 3. r. 3. I pn» I »b.unpupyp »» I vu - ' .ue:- + ,unr Planche XXV. Trigonia murieata, Roem. — Contejeani, Th. — ‚Julii, Et Gressiyi, Th. . zeographica, Ag. subeoncentrica, Et. Greppioi Eu. . Parkinsoni, Ag. Planche XXVI, Trigonia suprajurensis,, Ag. - Meriani, Ag. concinna, Roem. Nucula Menkei, Roem. . Isoarea multistriata, Et sublineata, Et. . Arca Cholilati, Th. — sublata, d’Orb. nobilis, Cy. - rhomboidalis, Ctj- — Contejeani, Et. — texia, d’Orb. Planche XXVIL. Mosensis, Buv. — bipartita. Roem. . — subilexata, Ei. h £ Laufonensis, Et: . Pinna Saussurei, Desh. Planche XAVII. Pinna Bauneana, Th. . . - intermedia, Et. . 3 — ampla, Goldi» . z Trichites giganteus, Qu . Planche XXX. Mytilus subpectinatus, d’Orb. — abbreviatus, Th. — jurensis,/Mer. : . subaequiplicatus, Goldf. PeZı on.n ven N Myulus intermedius; Th. . .- — virgulinus, Et . ) - acinaees, d’Orb perplieatus, Et. longaevus, C1j- . — triqueter, 'Bux. . ’ - astarlinus. Th. . c h Thirriaı, Eı. Lithodomus socialis, Th. Planche XXX. Diceras arietina, Lamk. — .. Sanetae-Verenae, Gressiy Ursieina Th. suprajurensis, Th. Gessneri, Th. - b gervillioides, Cij. — - supracorallina, Et . Perna rhombus, Eı. Gervillia Goldfussi, Et. Avıcula Planche XXX1. Gervillisa pernoides, Desl. . — sc .— - * - ‚lelragona, Roem. . Perna subplana, Et. E astarlina, Et. x Tr Inoceramus suprajurensis, Th. Planche XAXIl. Lima pecliniformis, Br. rotundata, Buv. . - - Magdalena, Bw... -. - semielongata, E.. . - — suprajurensis, Cl. - - — - subregularis; Th. er, - Pati) Bea .—. '% rhomboidalıs, Ctj. : — pigmes;Th.einen. Greppim. Et. - - = vieinalis, Th. ee ENEREE BESENRENNBER 1. 2 3. 4. 5 6 7 8 nom uNn m Lima Lima Planche XXXII. perrigida, Et. Oltenensis, Th. rigida, Desh. astartina, Th. Meriani, Et. eorallina, Th. semipunctata, Et... virgulina, Th. Planche XXXIY. spectabilis, Ci. Monsbeliardensis, Ctij. : tumida, Roem. Renevieri, Et. aviceulata, Munst. Salzgowiae, Th. inquirenda, Th. Planche XXXV. Pecten globosus, Quenst. erinaceus, Buv. - araricus, Et. ; 5 subspinosus, Schloth. Monsbeliardensis, Cij. Laurae, Et. oclocostalus, Roem. Planche XXXVi. Pecten subfibrosus, d’Orb. artieulatus, Schloth. . Schnaitheimensis, Qu. subtextorius, Münst. . vimineus, Sow. Hermanciae, Et. pertextus, Et. Billoti, Ctj. Frotei, Et. . Banneanus, Et. . Sarmerensis, Bt. Pagnardi, Et. . qualicosta, Et. 213 244 216 2146 248 218 249 250 250 251 251 252 253 252 254 255 255 256 256 256 257 257 258 259 259 259 260 Pecten astarlinus, Et. — Beaumonlanus, Buv. — Benedicti, Ctj. — semiplicalus, Ei. Planche XXXVIL. Pecten Buchi, Roem. = lens, Sow. . Waldeckensis, Et. solidus, Roem. . Nicoleti, Et. — Parandieri, Et. — Grenieri, Ci. — Veziani, Et. Delessei, Et. — Sahleri, Et. — Flamandi, Cij- Hinnites velatus, d’Orb. = inaequistriatus, d’Orb. Planche XXXVIIL. Carpenlieria irregularis, Et. Plicatula semiarmala, Et. = virgulina, Et. . Ostrea suborbicularis, Roem. — Contejeani, Et. . — Ermontiana, Et. —ssthusmannımhla- — Monsbeliardensis, Ctj. — auriformis, Cl. . Planche XAXIX. Östresa sequana, Th — colyledon, Ctj. -— spiralis, d’Orb. . — subnana, Et. -—- multiformis, K. et D. — Dubiensis, Ctj. — - »DBanal4BR — quadrata, Et. — subreniformis, Et. — virgula, Defr. . eaunurppr sun nn u a yo = Pe Serupurpmn- uR=S Ostrea rastellarıs, Munst. — hastellata, Schloth. Planche \L. semisolitaria, Et subsolitaria, Et. Langii, Et. solitaria, Sow. . Anomia foliacea, Et. - nerinea, Buv. — Monsbeliardensis Ci Raulinea, Buv. Ostrea alligata, Et. Ostrea Planche \LIl. Terebratula suprajurensis, Th. — Biskidensis, Zeuschn. Gagnebini, Et. . humeralis, Roem. = bicanaliculata, Schl. . Bauhini, Et. Bourgueii, Et. - Moravica, Glock. insignis, Schub. _ Gessneri, Et. - coarctata. Park. Park. Planche \LIl. Terebratula Parandieri, Et. . Waldheimia Delemontiana, Dpp- Rhynconella pectunculoides, Et. - semiconstans, Et. - pinguis. Opp- - Thurmanni, Bronn. sublentiformis, Et. Thecidiom sp- indet. sp. indet. Berenicea densata, Et. . _ Thurmanni, Ei . 5 Heteropora capilliformis, J. H tenuissima, Et. . u METTTIITTTT [2 - oO ww n “mn vum wi „en u a h ER .-unurpon Heteropora virgulina, Et. Lima Laufonensis, Th. . — sublaevis, Th. densipunctata, Roem. . Planche \XLIll. Pygurus Blumenbachi, Ag. — Bonanomii, Et. Planche \LIV. Pygurus Hausmanni, Ag. jurensis, Marcou Echinobrissus major, d’Orb. - Goldfussi, Des. gracilis, d’Orb. Thevenini, Et. Planche \LYV. Holectypus Meriani, Desor. . Pygaster patelliformis, Ag. . tenuis, Ag. dilatatus, Des. Desori, Et. Stomechinus lineatus, Des. . Aroviensis, Des. = Contejeani, Et. Pedina subaspera, Et. . ä Glyptieus hieroglvphicus, Ag. affinis, Ag. - magniflora, Et. Planche \LYVI]. Stomechinus re Desor . Acrocidaris Pe Er elongata, Et. Hemipygus virgulinus, Et. Acrosalenia decorata, Whrigt Gratteriensis, Et. angularıs, Des. SERSEE ERERR syE% w o sıoumrumNne u u nz "Ss eneurumn De ARHEEN Page. Pseudosalenia aspera, Et. . . 324 Fig. 18. Cidaris florıgemma, Phil. = WERTEN... #2, 328 - 19. — Parandieri, Ag. A «- - ESEL . 324 - 20. Rhabdocidaris Orbignyana, Des. _ — E . 2 1325 - 21. -- macroacantha, Et. Planche XLY1l. Planche XLIX. Pseudodiadema mamillanum, Des. 310 Fig. 1. Comatula Gresslyi, Et . negleclum, Des. . 311 - 2. Apiocrinus Meriani, Des. — eonforme, Et. . 312 = ,3. -- - Des. subeonforme, Et. 312 =? - similis, Des. squalidum, Et. . 313 ee — Des. - complanatum, Des. 314 > 1:6; — polyeyphus, Mer. - Cotteaui, Et. . 314 - 7. Millerierinus Hoferi, Mer. _ hemisphaericum, - 8 perechinatus, Et. Des. . . 315 9: — asper, Et. Diplopodia planissimum, Et. 2315 - 10. _ calcar, d’Orb. . —_ Aroviensis, Et. . - 316 - 11. - granulosus, Et - Thurmanni, Et. . . 316 12 — conieus, d’Orb. — subangularis, Des. . 317 - 13. —_ echinatus, d’Orb. parvula, Et. TEE - 14. _ Munsteranus, d’Orb. Hypodiadema florescens, Des. . 318 - 15. en Duboisanus, d’Orb. — Marcoui, Et. . . 319 = 16. _ species indeterminata = Gressiyi, Et. . . 319 - 17. = Nodotanus, d’Orb. . a z n Gen en a Hemidiadema stramonium, Des. . 326 - 20. Millerierinus Milleri, d’Orb. . Hemicidaris erenularis, Ag.. . 327 - 21. _ Richardianus, Des. . _ mitra. Ag... 7.0328 - 22. Pentacrinus amblyscalaris, Th. - Gressiyi, EL. . . 328 - 23. — Desori, Th. == complanata, Bit. . 329 - 24. Eugeniacrinus Hoferi, Münst. = jurensis, Et. . v. 329 _ Agassızi, Et. . 2330 BamcarE — urceolata, Ei. . . 331 Fig. 1. Trochocyathus cruciana, Et. = virgulina, Et. . . 331 2. Oculina suprajurensis, Et. —_ Lestoequi, Th. . . 332 - 3. Enallohelia Gresslyi, Et. = Cotteaui, Ei. . . 332 - 4. Dendrohelia coalescens, Et. simplex, Th. . . 333 - 5. Pleurosmilia gracilis, Et. Pseudocidaris Thurmanni, Et. . 333 6: _ Marcoui, Et. _ ararica, Ei. . . 334 - 7. Ellipsosmilia Thurmanni, Et. Cidaris philastarte, Th. . 335 - 8. Stylosmilia Michelini, E. H. — baeulifera, Ag. u Et - 9. Aplosmilia aspera, d’Orb. — 7 ‚Götteani, Er © . = 337 - 10. - semisulcata, d’Orb. & "ı-1 w © w © [1 w © w © © D- Ba = eu N » ee er Aplosmilii spathula Rt. Dendrogyra angustata, Et. rastellina, Et. Ei. . subrastellina, Et. - Thurmanni, Planche Lil. Rhipidogyra percrassa, Er. . Nabellum, E. N. Stylina Ablensis, Et. - Bernardana, Bit. Bernensis, Bit. Bletryana, Et. eastellum, Bt. caespılosa, Et.. decipiens, Et. Girodi, Et lobata, d’Orb. octosepla, Et. Planche LU. Stylina ramosa, E. | semitumularıs, Et. stellata, Bit. tenax, Ei. . tubulifera, E. H. virgulina, Et. Waldeckensis, Et. Cyatbophora Bourgueti, E. H. minima, Bit. Convexastrea semiradiata, Et. Astrocoenia pentagonalis, d’Orb. Actinoeoenia stellata, Et. Heliocoenia variabilis, Et. Allocoenia trochiformis, Et. Planche LIE. Septophyllia depressa, Et. Montlivaultia Bonjouri, Et. euneata, Et. . dilatata, E. H. _ elongata, E. H. [ en zeuepes me.wr Montlivaultia grandis, Et. ineurva, Bit. subeylindrica, E. H. vasilormis, E. H. virgulina, Et. . Waldeckensis, Planche LIV. Rhabdophyllia cervina, Et. . llabellum, Et. == strangulata, Et. Gladophyllia suprojurensis, Et. Thurmanni, Et. Calamophyllia virgulina, Et. Thecosmilia Bruntrutana, Bit. - erassa, d’Orb. irregularis, Et. . laxata, Bt. _ magna, Ei: Planche LY. Thecosmilia sublaevis, Et. trichotoma, E. H. Favia magnillora, Et. Gresslyi, Bt. — Thurmannıi, Et Confusastrea Burgundiae, d’Orb. —_ Dianthus, Bit. Isastrea fallax, Bit. Thurmannı, Et. — favulus,. Et. - grandiflora. Et. Bernensis, Et propinqua, Et. Gresslyi, Et. Planche LYI. Hulz Amedei, Bt. eurtata, Et. = faseiata, Bi. - Gagnebini, E. helvetien, Bit. Er“ Page. 378 378 379 379 379 380 380 381 381 382 382 382 383 383 381 381 385 385 386 387 388 388 389 389 390 390 391 391 392 392 393 393 394 395 395 395 m mm m m „oNe SE go "In u RW DD [31] _ m Microphyllia Lotharınga, Ei. — munila, Et. _ dumosa, Et. . En Thurmanni, Et. . Thamnastrea coneinna, E. H. —_ Coquandi, Et. dendroidea, Bl. . _ Bl. Lomontiana, Et. — suprajurensis, Et. mieroconos, Et. — minima, Et. Planche LVI. Stephanastrea ramulıfera, Et (oenastrea Martis, Et. = Thurmanni, Ei. Clausastrea parsa, E. H. Goniocora socialis, Et. Isocora Thurmanni, Et. Comoseris irradians. E. H. . — meandrinoides, d’Orb. Thamnoseris Froteana, Et. Meandrarea Gresslyi, Et. — tuberosa, Et. Mierosolena Bruntrutana, Et —- Caesaris, Et. = expansa, Et. - Gresslyi, Et. Planche LVIN. Microsolena irregularıs, d’Orb. _ Julii, Et. — sinuata, Et. Trocharea actinilormis, Et Thamnarea arborescens, Et. _ digitalis, Et. Cristellaria Thurmanni, Et. . _ Contejeani, Et. . Conodyctium bursiforme, Et. Goniolina geometrica, Buv. . ni pub Due tue wu BD — — = x = [N Se N VE N wwNRN DD m m ke 00 Tau ae ww DD — 7° wnNne- v— [-2 - Goniolina Thurmannı, Et. Racemulina ararica, Et. _ Bernensis, Ei. Wehbina dilatata. Et. - Et. Cliona distans, Et. Et. Talpina astartına, Et. Dendrina punctata, Et. ovala, — fodicans, Et. dumosa, Et. ramulifera, Et. Haguenovia minima. Et. Cobalia jurensis, Et. Endea perforata, Et. Parendea floriceps, Et. = amicorum, Bi. bullata, Et. - astrophora, Et. gracilis, Et. >= cornulta, Et. Planche LIX. Parendea prismatica, Et. Cnemidium parvum, Et. Didesmospongia Thurmanni, Et. Stellispongia pertusa, Et. -- aperta, Et. - hybrida, Et. _ glomerata, Et. Astrospongia corallina, Et. — Et. rugosa, Et. Ceriospongia mundus-stellatus, Et. — Bernensis, Et. . _ multistella, Et. Amorphospongia tuberifera, Et. ? pastulata. Et. . Plococoelia obscura, Et. Cupulocoelia rugosa, Et. Planche LX. Pithonoton hypocrita, E. Page. 415 113 413 +16 116 416 417 417 117 117 417 118 +18 H18 118 +19 119 119 120 421 r2i 421 422 422 123 123 424 424 424 124 425 125 126 426 4126 427 427 128 433 Page. 2 Goniodromites rostratus. Et 133 Fig. 6. 3. Prosopon jocosum, Th. 135 - 17. \. Stenochelus Gressiyi. Et. 136 Z .2. 5 Orhomalus virgulinus. Et. 131 - 9. ‘ macrochirus, Et 131 - 10. 7 astartinus, Et. 135 - 11. 8. _ species indeterminata 135 Er -1B: 9. Callianassa suprajurensis. Et, 136 443: ı0. Pagurus jurensis. Et. 135 - 14. 1. Eryma Thurmanni, Eı 137 - 15. 12. Serpula subflaceida. Et. 137 - 16. 13 En Laufonensis. Et. 138 - 17. Ei gordialis, Schloth. 138 - 18 15 — ılium, Goldf. 138 = 49. 16. medusida, Et. . 139 - U. 17. spiralis, Münst 139 - 21 18 lacerata, Ph. 439 - 2 19 _ Goldfussi. Et. . 440 - 22. 20. _ limata, Münst. . 110 = a. 21. _ muraenina, Ei. 141 - 25. 22. = sirmplex, Et. 1 - 2%. 23. turbiniformis, Et. 41 - 2. a. — alligata, Et. 112 - 28. 25 - Deshayesi. Münst. 113 - 29. u. _ — Thurmanni, Ctj. 115 27. canalifera, Et. . 1 Fie. 1. 28. — heliciformis. Goldf. . 115 2. 29. = subnodulosa, Ei 2 - 3 30. — Banneiana, Et. = . 442 - 4 3. — quinquangularis, Goldf... 146 E18: 32. tricarinata, Sow. 445 - 6 3. — _ radula, Eı. n6 Ed in: 34. Galeolarıa Lachesis. Et. 16 = IB. 35 Spirorbis Thirrıai, Et. . 47 - 9. 36. — _ clathratus, Eı. 47 - 10. 37. - compressus, Ei. #7 - 11. Planche LXI. - 12. 1. Chelonia 129 - 13. 2. — : 429 - 14. Su Keys. 2. Fa nn 129 - 65 . — (Tibia). R vor 129 = 16. 5. —. (Odte)ı« 129 17. m——— III — Machimosaurus Hugii. Ag. Ag. Plesiosaurus Strophodus subretieulatus, Ag. Oxyrhina Bressaucourtiana, Et. . Teleosaurus Pvenodus Sphaerodus gigas, Ag. - Ag. - - Ag... Gyrodus jurassicus, Ag. Capitodus Gresslyi, Th. Pvenodus Nicoleti, Ag. gigas, Ag. Aw. affınis, Ag. - - Nicoleti, Ag. Emys? (ungula) Lepidotus laevis, Ag Strophodus reticulatus, Planche LXTI. Ammonites Martis, Ei. . Nerinea berno-jurensis, virgulina. Ei. Trochus retiferus, Ei. Purpurina suprajurensis. Et. Pterocera Mo liardensis. Cij. Arca rustica, 23 Cardium eollineum, Buv. Trigonia granifera, Cy. Pınna virgulina, EL. . Trichites planus, Ei. . . . Khynchonella pulli is, A Gueitardierinus | Et. Millerierinus scutula, Th. " Racemulina subelathrata, Et. Cliona multicava, Ei. . - Focus! wi nee, sauna) Ag | v Et. az A Ren 2 nel] N. a Fr a Ah ahı wr Se ER Bi Mi ” Tr UL hlln.Lethen Brunn. = * Brar. Zith, 4 wr th. Brunte. Le tk- 3 | Brut hi. 0. Jurrm z y rap. Jr Linn £, Kueem: (era ray Lith Querm Gray. Zith. Auerm Gray hirä deerm. Ir. n — Leth. Bru haft. j #3 & N x s x a rs N . Th. & Er — Lath. Branr. u” BI: X Frey. Litb. 4. Querm. T 1. Et — Loth. Bruntr. Erz Zith. 2. Eure q Pond Th& Kt. Leth.Bruntr. f Ei 4 3: £ Fr. Larh.Brımir. ft ug Th.&Fi. Leth. Bruntr. a » Theft Lab TOMIT. . AAN. Th.& Ei. Leth. Bruntr. ns " re ah en AB.» SR = ei = Kom etl. B I Takt NER Bruntr. hit. Leh ne EL Be de Er x x Vin, : jkr run b That. Leth. PA Kick. m Beth. 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Elyplisien Anlerites Qu a d Ürg- BEIM Themen) ala Wr Bon Ep VESEHEIBRHEEN nn m Pholadomyen I Oxfordien SUPPLEMENTS A LA FAUNE DES LEPIDOPTERES SUISSES, (Phalenides, Pyralidides, Crambides et "Tortrieides.) Par J. C. De la Harpe, D. M. oo — TROISIENE SUPPLENMENT AUX PHALENIDES DE LA FAUNE SUISSE. (Voir: Nouveaux M&moires de la Societ& helvetique des seiences naturelles; Vol. XII. p. 146, et Vol. XIV.) Les mömes motifs qui m’engagerent, il y a 6 ans, a publier un 2° Suppl&ment & la Faune Suisse, pour les Phalenides, me font un devoir d’en donner aujourd’hui un 3° et dernier. Je le fais suivre des corrections et adjonctions devenues necessaires pour les familles des Crambides et des Tortricides. Les N°s indiqu&s pour les Phalenides sont ceux du Catalogue qui termine le 2? Supp- lement; je n’ai pas cru devoir les changer encore une fois. Le nombre des phalenes suisses s’@leve actuellement a 363 especes: celui des Pyralidides et Crambides a 198, et celui des Tortricides a 323. Lausanne, Mai 1863. 5.b. Porrinaria. Zell. Hub. sup. f. 566. — Heyd. Cat. 63. Var. viridata. Guen. hist. gen. t. IX. p. 347. Assez fr&quente sur toutes les Alpes et a toutes les hauteurs, en juillet. Les päturages humides. Les caracteres tires de la coloration de la cöte, des pattes anterieures, du dessous du thorax et du front, destines a la distinguer de viridaria, me paraissent fort peu sürs. Plus on s’eleve sur les Alpes, plus la teinte verte de l’insecte devient sombre; les tarses des pattes anterieures sont alors noirätres et le front gris fonce, mel& de rougeätre; la cöte presque noire. A mesure que l’on descend, ces teintes fonc&es disparaissent; dans les sous-alpes et les montagnes basses, le dessous du thorax se montre blanchätre, grisätre, le front plus fauve et la cöte päle. Enfin, au pied des Alpes, les teintes rouges de ces me&mes parties sont plus ou moins &videntes. La taille et les villosit@s du corps ne signifient rien, parce que, dans toutes les especes cosmopolites, la taille diminue et les villosit&s augmentent avec l'altitude. Jai recu de M. Mann, de Vienne, des exemplaires de porrinaria parfaitement semblables a ceux colleetes dans nos Alpes. Je ne saurais non plus les separer de viridaria m&me comme variet@ et je me range & l’opinion de M. Guenee qui reste dans le doute jusqu’a preuves positives de la validit@ de l’espece. 14. Laevigaria (ta). W. V. Hub. 74, 331. Renularia. Hub. 331? — Faune suisse, 2° Suppl. 27. b. Ayant pu me procurer des individus bien frais de renularia Hb., je me suis con- vaincu qu'ils ne differaient en rien de sa laevigata, fig. 74. — Ces deux figures sont du reste assez peu exactes, la fig. 331 est preferable: je pense done qu’il eonvient de les reunir döfinitivement sous une m&me d@nomination. La couleur jaune nanquin que j’avais notee etait le resultat de la vetuste et labsence d’ombre mediane un accident. J’ai recu cette espece de Meyringen et je l’ai prise dans les environs de Lausanne. 18. Bischoffaria. Hub. 586—588. Apres avoir compar& ä plusieurs reprises les fig. de Hubner avec divers exemplaires de cette espece, j’etais demeur& convaincu que jıavais sous les yeux l’espece figuree: je l’etais beaucoup moins quelle fut r&ellement distincte d’incanaria var. grisescens. En voyant la teinte enfumee se produire sur des mäles, j’en concluais que ces individus devaient &tre s&pares d’incanaria, puisque, dit-on, elle ne se montre que chez la femelle. Tous mes doutes seclaircirent au mois de juin (30) 1858, lorsque je pris, dans une maison de Lausanne, la veritable Bischoffaria que je n’avais pas vue jusques la. Comme elle est voisine d’incanaria et qu'elle appartient au m&me groupe, je dois la caracteriser de maniere ä @viter desormais toute confusion. L’individu pris etait heureusement un mäle tres frais. Les figures de Hubner n’en donnent pas une idee tres exacte; en tout cas, elles s’appliquent mieux & elle qu’a incanaria var. grise. Je n'hesite done pas a les rattacher a lindividu que jjai sous les yeux. La taille et le dessin sont les m&mes dans les deux especes. Incanaria varie dans sa teinte, du blanc au blanc säle et au gris de fumee. La femelle est plus souvent foncee que le mäle. Chez elle les teintes claires de la frange, de la marge, de la ligne fulgurale et de la bande mediane s’obscureissent comme les fonc&es, en sorte que les individus gris ont une couleur generale tirant sur le roux qui rend les clairs peu apparents. Les dentelures des trois lignes transverses, marquees de noir sur les nervures, restent en tout cas bien visibles. „Dans Bischoffaria la distribution des teintes est differente. La couleur generale des sup£rieures est le gris de fer presque noir, sous lequel disparaissent entierement les dentelures des lignes transverses. Les parties claires telles que la frange, les points marginaux entre les nervures, la ligne fulgurale et le pourtour des gros points discoi- daux, sont d’un blanc pur tres saillant, cequi modifie entierement le facies de linsecte. La structure des antennes et des tarses posterieurs est Ja m&me de part et d’autre. Il est encore d’autres caracteres distinctifs. 1° Bischoffaria a le front noir, le sinciput blane pur, le collier presque noir et les @paulettes blanches. Le thorax et labdomen sont noirätres et ce dernier est annel@ de blanc; toutes choses qui n’existent pas dans incanaria. 2° Les teintes les plus foncees, dans la 1"°, sont places le long de la cöte, sur la marge des 2 cötes de la ligne fulgurale et a la base de l'aile; dans la 2%, Ja marge seule pr&sente des nuances plus obscures. 3° Les points blanes places - entre les nervures, sur la marge, sont gros et tres saillants dans Bischoffaria; ils Fe sont a peine visibles dans sa voisine. 4° La frange est tres distinetement entrecoupee a sa base de gros points noirs chez celle-la; ils sont ä peine visibles sur la variete grise de celle-ei. 5° Le dessous de Bischoffaria est beaucoup plus clair que dans incanaria var. enfumee, comme on le voit dans la fig. 587 de Hubner. Desormais la confusion ne sera done plus possible et Bischoffaria occupera enfin la place qui lui revient. 20.b. Litigiosaria. Bdv. Gener. 1899. Dup. sup. IV. 54, 5. — Hub. revis. 30. — Hub. sup. f. 303, 304. — Guen. hist. nat. t. IX. 859. — Heyden. Cat. 642. — Stauding. Cat. Geom. 40. Nitidularia. Deutsch. Insect. Je n’ai pris en Suisse que la femelle. Une fois, en aoüt, sur la rive du lac, pres Lausanne. C'est avec raison que Boisd. compare cette espece a caespitaria, Bork., car elle ressemble a la femelle de cette espece et beaucoup moins a straminaria ou A im- mutaria. Le sommet plus aigu du anterieures et l’absence de foureau aux tarses posterieurs, chez le mäle, l’en distinguent suffisamment. Ce dernier caractere la rapproche de commutaria. Rare partout et encore confondue souvent avec d’autres especes. — Litigiosaria 99. de mes Contributions a la faune de Sicile n'est pas celle de Guenee, ni celle que je deeris ici. Est-ce bien celle de Rambur? Les points marginaux sont chez elle situes sur la frange et non A sa racine comme chez celle de Boisd. 21.b. Subversarıa. Lah. J’ai recu cette nouvelle espece de Mr. Rothenbach. Je n’en ai vu qu’un exemplaire mäle. On ne peut la rapporter a inornata Haw., dont la frange est limitee par un filet (Guen.), ni a maritimata qui n’a de points marginaux que chez la ?. Voir pour la distinguer a deversaria, seule espece avec laquelle on puisse la confondre. 22. Deversaria. Treit. — Guen. hist. gen. t. 9. p. 5. Depuis la publication du 2% Suppl. je n’ai point appris que suffusaria Treit. ait ete trouvee en Suisse; mais en revanche Mr. Rothenbach a pris, pres de Schüpfen, une = = Acidalia plus voisine de deversaria que de suffusaria, qu'il n'est point facile de distinguer d’elles et que je nomme subversaria. La caracteristique de ces 3 especes est malaisee si on se borne au dessin, parce quil n'est pas constant. Certaines lignes s’eflacent ou s’expriment plus fortement suivant les individus; d’autres s’&cartent, se rapprochent ou s’inflechissent un peu differemment. La position du point discoidal r@lativement a la ligne transverse mediane varie aussi. Dans les trois especes les tarses, le front noir, les antennes et la taille sont sem- blables. | La couleur des individus frais est differente; suffusaria est de couleur jaune- nanquin päle; deversaria est jaune-paille avec une nuance olive; l’espece de Mr. Rothen- bach n’a pas cette derniere teinte. Les points du centre des ailes sont petits et peu marques, sur les sup6rieures, dans deversaria et suffusaria; ils le sont un peu mieux aux inf@rieures. Dans l’espece nouvelle ils sont gros, tres marques aux 4 ailes en dessous, et triangulaires. La marge des ailes presente les meilleurs caracteres distinctifs. Dans deversaria la base de la frange est marquee par une serie de petits points noirs places vis-a-vis des nervures, en dehors de la ligne de d@emarcation. Suffusaria n’offre pas ces points, mais une ligne de d@marcation fine et noire, bien marquee. Subversaria porte une serie de points alonges, triangulaires et contigus, A la place de la ligne de demarcation. Guen&e voit dans inornata Haw., degeneraria et suffusaria, trois varietes d’une meme espece; je erois quil est dans l’erreur. Les points marginaux peuvent disparaitre ou se prononcer, mais non se changer en ligne ou en lunules. N’ayant pas vu inor- nata en nature, je ne puis en parler. 30. Ochraria. W. \V. C'est beaucoup moins de perochrearia qu'il importe de distinguer ochraria que de rufaria. La taille de la premiere reste toujours inf@rieure et les lignes transverses plus ondul@es sont aussi plus r&gulierement espac6es; la frange est toujours un peu plus foneee que le fond et souvent limitee par une rang&e d’atomes noirs. Le dessin et la couleur d’ochraria sont identiquement les m&mes que ceux de rufaria. En dessous, ce m&me dessin differe dans les deux especes; tandis que celui de la seconde est form& de lignes fauves sur un fond clair, sem@ d’atomes de la m&me coulenr et de quelques points noirs; celui d’ochraria est formee de lignes presque noires et le fond est recouvert d’un grand nombre d’atomes de la m&me couleur. er" Les franges different aussi dans les 2 especes; chez rufaria elle est limitee| par un trait fauve peu apparent en-dessus et en-dessous. Ce me&me trait est brun, tres apparent, surtout en-dessous, et form& de lignes placees bout & bout, s&parees par les nervures, dans l’autre espece. Les individus bien dessines d’ochraria presentent quelques points bruns sur les franges, surtout aux inferieures en-dessous, que rufaria ne porte jamais, Mais le caractere essentiel se trouve dans les antennes du imäle; ru- faria les a & peine denticulces sur les bords et pubescentes en-dessous; tandis que celles d’ochraria sont fortement cilies, ont les tubercules bien s&pares et portent un poil brun a chaque articulation ou dentelure du bord. 3l:b. Antiquaria. Her.-Schf. Hub. revis. 47. Hub. sup. f. 340, 341 & — Heydenr. Cat. 669. Sylvestraria. Dup. hist. 177. 8, (non 7). — Guen. hist. gener. t. 9. p: 452. et Gallorum. 2 Macilentaria? Ramb. faun. Andal. -- Bdv. 1876. — Hub. sup. f. 230, 231. J’ai receuilli cette espece a Rovereaz, pres Lausanne, dans les pres, au milieu des bois, au mois de juin 1859. La femelle y est moins frequente que le mäle. Le pa- pillon vole dans l’herbe et se suspend aux chaumes. Macilentaria Ramb. appartient- elle reellement a la femelle? c’est ce que je ne puis decider sur une figure, chez des especes aussi difhiciles a distinguer. Voir a sylvestraria au sujet de la confusion qui existe avec notre espece. Antiquaria ressemble pour la taille, le facies et le dessin, a remutaria; son aspect soyeux est plus prononc& encore; mais les lignes transverses sont plus nom- breuses et mieux marquees et le bord des posterieures porte une legere echancrure la ou remutaria offre un angle saillant. Cette espece etant encore peu connue en Suisse et en Allemagne et confondue avec d’autres, il convient d’en donner une description complete. La couleur generale est le jaune-paille päle, tres sali par des atomes noirätres et par 4—5 lignes transverses d’un jaune-nanquin. La couleur des lignes se repand sur le disque le long de la cöte. Les atomes noirs sont disperses sur toute la surface des ailes, mais plus nombreux sur les lignes. Ailes anterieures. Cöte legerement arquee, surtout vers le sommet. Celui-ci un peu aigu. Bord externe presque droit, s’arrondissant a l’angle abdominal. 5 lignes Erg Terl transverses bien marqu6es: la 1"°, ä partir de la racine de laile, est arquee; la 2de plus large, est plus ou moins ondul&e et droite; la 3° parallelle a la pr&c&dente est generalement plus saillante et plus ondul&e; la 4° est de rechef plus large, surtout du eöte de la cöte, droite et ondulee; l’espace clair qui la s6pare de la 3° est £troit; la 5°, separece de la precedente par une ligne claire formee de lunules, est peu prononcee. 8 points noirs, souvent eflaces, sont places sur la base de la frange, ä l’extr&mit& des nervures. La frange unie et de la couleur du fond, est sCeparee de lui par un trait noirätre tr&s fin et parfois imperceptible; ce trait unit les points noirs les uns aux autres par autant de petits arcs. Le dessous des anterieures reproduit le dessin du dessus, mais tres modifie. Sur un fond gris-charbonne, on observe: 1° Un espace gris uni oceupant la racine de l’aile jusques ä son milieu. Un petit point noir, invisible en-dessus, se place vers le bord externe de cet espace. 2° Une large bande moyenne plus claire. 3° Un trait noirätre, bien marque, dentel& en dehors, sur chaque nervure. 4° Une ombre transverse claire, puis une charbonnde. 5° Une ligne de lunules elaires, se detachant sur lextr&emite noircie de l'aile. Les nervures sont dessinees en brun; la frange claire et luisante contraste avec le fond charge d’atomes noirs. Un trait noir, portant les points noirs du dessus, spare la frange du disque. Ailes posterieures semblables aux anterieures; avec les lignes transverses con- tinuant celles deja deerites a l’exception de la 1"° qui manque. Un tres petit point discoidal sur l’espace basilaire, tres pres de la 2° ligne. Bord externe portant un l&ger sinus en face de la cellule. Frange comme aux anterieures. Le dessous des posterieures continue le dessin des anterieures et n’en differe que par l’espace basilaire moins charbonne, par la 3° ligne tres sinueuse et par l’espace clair, median, plus large. Le bord est bien marque par un trait fonc&, anguleux. Palpes tres courts, fauves A l’extremite; front fauve; collier de m&me couleur. Antennes du mäle fauves, unies et Juisantes en-dessus, garnies en-dessous d’une double rangee de forts eils, disposes deux a deux, noirs a la base et divis6s en pinceau transparent ä leur sommet. Tubercules gros, detach6s, saillants et eilies. — Thorax fauve clair; abdomen uni , blanc-jaunätre ; anus plus clair, d&passant le bord des posterieures. — Ventre l&gerement fauve ; pattes noirätres en-dessous; tarses de la derniere paire sans renflement, ni foureau, ni pinceau de poils; armes d’une paire de forts &perons. La femelle est un peu plus petite que le mäle, porte les ailes anterieures un peu plus pointues et les posterieures plus &troites. ze fi er Par l’absence de foureau aux tarses des posterieures cette espece se rapproche de commutaria, mais elle s’en distingue a d’autres &gards. Mr. Guenee lui conserve la denomination de Duponchel quoiqu’elle repose sur une erreur. Loin d’eclaireir par la la synonimie on l’embrouille encore davantage, ainsi que celle de sylvestraria Bork. actuellement fix&e definitivement. 32.b. Vulpinaria. Mann. Cat. Hub. sup, f. 473, 474, — Nest point une variete de rusticaria et doit prendre rang parmi les especes suisses. Les tibias des pattes posterieures portent 2 @perons dans l’un et l’autre sexe, ce qui n’a pas lieu dans rusticaria. (Her.-Schf.) 33. Confinarıa. F. v. R. Lisez Confirmaria, et Heyden. Cat. 693. 34. Commutaria. Treit. sup. Ajoutez encore aux synonimes. Sımplarıa, Er.n. b. 5394, 314,207 2. Nitidaria. Bdv. 1904. (Guen.) Gypsaria, Bdv. 1905. (Guen.) 38. Sylvestraria. Bork. — Tireit. Immutata. Guen. hist. gen. 9. p. 498. La fig. 97 de Hubner reproduit mieux la sylvestraria de Dup. par ses bords externes droits que celle de Hub. sup.; cependant elle porte les 4 points discoidaux qui n’existent pas dans l’autre. Sa fig. 94 est Straminaria: voir dans Treitschke vol. 6, 2° p., p- 307 le dedale eree par Hubner sur ce point. La description de Borkhausen n’est pas exacte a part ce quil dit des 4 points et de l’angle obtus du bord posterieur des inferieures. Les stries ne sont pas presque droites; du reste il n’a vu qu’un exemplaire. Treitschke decrit mieux que Bork. la vraie sylvestraria. Les fig. 103—105 de Hub. sup. sont tres exactes, il faut donc s’en tenir a elles et a la description de Treitschke, et ne pas retourner en arriere aux descriptions incomplettes et si souvent contest6es des anciens auteurs. ” rn Quant ä la fig. 8 pl. 177 de Duponchel j’ai pu m’assurer qu'elle appartient a antı- quaria. Her.-Schf. (H. S. f. 340, 341), espece assez repandue en France et que jlai aussi recueillie dans nos environs. Des individus recus de MMrs. Bruand et Bellier-de-la Chavignerie, comme appartenant a la sylvestraria de Dup., ne laissent aucun doute a cet egard. Mr. Her.-Schäffer a d’ailleurs constate qu'ils appartenaient bien a son an- tiquaria (voir cette derniere espece). 39. Caricaria. Hub. sup. f. 553. 554. Depuis la publication du 2° Suppl. aux Phalenides jjai recueilli dans les marais de la vallee d’Aigle, & la fin de juin et en juillet, plusieurs individus appartenant & cette espece. Elle y vole parmi les joncs et se pose aussi sur les arbustes bas. Les carac- teres qu’elle presente dans cette derniere localite differant a quelques @gards de ceux que m’avaient offerts les individus de Zurich, je dois modifier ma description. La blancheur des ailes superieures, dans l’etat frais, n'est pas parfaite, car elles sont saupoudr&es legerement d’atomes noirs tres petits, disperses sur la moitie externe du limbe et surtout sur les 4 rayes transverses. Celles-ci ne sont cependant point pro- duites par l’accumulation de ces atomes, car elles sont brunätres. Les points du disque sont generalement visibles aux inferieures; tandis quiils sont petits aux sup£rieures oü ils manquent souvent. Le dessous des ailes sup£rieures a la base, et m&me sur le disque, est souvent enfum& au point de masquer entierement le point central. La frange est large, luisante, sans points ni lignes, avec un l&ger reflet jaunätre. Les rayes transverses, ordinairement peu marquees, sont jaunätre ou brunätres; la 3° (a partir de la base) est parfois noire et alors tres marquee dessous et dessus. La femelle est volontiers un peu plus petite que le mäle et d’un blanc de lait plus pur. 40. Cerusaria. Lah. Depunctata, Gu£n. hist. gen. 9. p. 500. La denomination de Guen&e pourrait &tre adoptee definitivement avec avantage. HM — 49b. Imitaria. Hub. 51. Treit. — Dup. — Hub. revis. 73. — Heyden. Cat. 638. J’ai pris cette espece m£ridionale pres de Lugano, appliqu&e sur les rochers, en eptembre (2° generation). 50. Aureolaria. Fab. Je dois a l’obligeance de Mr. Bellier de-la-Chavignerie quelques exemplaires de cette espece provenant de Fontainebleau et qu'il m’affirme &tre la flaveolaria de Bdv. I faut done ajouter aux synonimes d’aureolaria. Flaveolaria, Bdv. N° 1861 et le tracer au N° 49 de la faune suisse. 5l. Flaveolaria. Hub. La femelle est un peu plus petite que le mäle, avec les anterieures plus päles et plus aigues au sommet. Vole peu et lourdement; reste rare. 92. Auroraria. Hub. J'ai collecte cette espece dans les marais de la vallee d’Aigle en juillet 1855. 60. Schaefferaria. Lah. Faun. helv. Subpunctaria? Hub. sup. f. 415. Cette espece est indiqu&e dans Hub. sup. Nachträge (p. 135), sous le nom de ru- ficiliaria. Guende ayant designe une espece du Canada, voisine d’albicillaria, par le m&me nom, la designation de Her.-Schf. ne pouvait subsister. Plus tard ce dernier adoptant ma cerusaria (Acidalia) a transport@, je crois, le nom de subpunctaria, qu'il avait donne a celle-ci (fig. 311—313), a ma Schaefferaria. — Gyraria, Treit. n’est pas notre espece. 61. Pupillaria. Hub. 69. Gyraria. Hub. 434. Se montre sans nul doute dans la Suisse transalpine: essentiellement mediterraneenne. Je rapporte gyraria, Hub. 434 (non 543) & cette espece, apres avoir fait de vains —- 12 eflorts pour l’en separer specifiquement. La couleur des atomes et du fond, les points centraux et ceux de la marge, la teinte de la frange, la ligne ponctuee, l'angle median des posterieures, oflrent des variations, comme le fait d’ailleurs remarquer Guence. Quant ä Schaefferaria elle ne peut se rapporter A aucune figure de Hubner ou de Duponchel et doit rester distinete. Je regrette que Mr. Guenee ne laie pas vue. - = \ 95. Petraria. Esp. Bois de Sauvabelin en juin; abondante au milieu des arbustes d'une clairiere mare- cageuse, entour6e de chenes et de hötres. 108. Ulmaria. Fab. Prise dans les sous-Alpes vaudoises, en juin. 112. Capreolaria. W. V. Dans les Alpes l’&cclosion d’automne est parfois retard6e jusqu'au printems et lin- secte parfait apparait en juin. 116. Serotinaria. Hub. Ajoutez aux synonimes. Freyer n. b. t. 600. f. 2. Varie du gris brun, entremele de faune, au jaune säle tachete de gris. — On peut la confondre avee dilucidaria tres chargee d’atomes fonces. L’absence_ totale de faune sur les ailes, le sommet un peu arondi des sup£rieures, le manque d’atomes en dessous et de festons a la marge des inferieures, chez cette derniere, serviront ä les distinguer. 117. Mendicaria. Hub. sup. f. 491— 495. Dilucularia, Kerferst. (non Frey. n. b. t. 570, 1, 2.) Les antennes sont d'un gris-päle endessus; le front est brun. La ligne de points das inferieures forme une courbe uniforme. Les lignes transverses sont plus espacdes que chez dilueidaria. Le fond des ailes est blanc enfume. L’ombre ant@emarginale est nulle ou peu marquee. = 13 = 118. Dilueidaria. W. V. Hub. sup. f. 494, 495. Ajoutez ä la description: Antennes blanches au dos. Front blanc. Fond constamment de couleur blane-bleuätre. Ligne de points des posterieures formant un angle a son milieu. Ombre ant&marginale presque toujours bien marquee, surtout chez le mäle. 119. Spurcaria. Faun. helv. Caelebaria. H. S. f. 421, 507. M. R. Zeller m’a fait voir un exemplaire de la caelebaria, provenant du Tyrol. qui se rapporte evidemment a ma spurcaria. On adoptera la denomination que l’on preferera, peu m’importe. Cette espece est tres voisine d’operaria. Lorsque je la rapprochais de Zelleraria je n’avais vu que la femelle de celle-ci; le mäle lui assigne une tout autre place. 120. Zelleraria. Frey. J’ai pu voir deux individus, mäle et femelle, provenant de la haute Engadine. Cette espece forme avec Andereggaria un petit grouppe distinet. Le mäle est beaucoup plus grand que la femelle, a peu pres comme furvaria. Il est uniformement gris perl@ avec deux rayes rapprochees, presque parallelles et un point discoidal, peu visible, entr’elles. La raye externe forme un angle aigu, vif, sous la cöte; elle est a peine dentelee. Les inferieures sont partagees par une raye den- telee, 2 fois recourbee. Une lunule discoidale. Corselet recouvert de longs poils blanchätres. 121. Operaria. Hub. Cette espece est r&ellement suisse. M. Zeller l’a prise dans les hautes alpes d’Engel- berg et de l’Engadine; Mr. Rothenbach pres de Langnau. J’ai collect@ la femelle sur le mont Joly, en juillet, audessus de St. Gervais (Faucigny) a 7000’; elle porte des rudi- mens d’aile marqu&s de 2 bandes transverses noirätres. — Le front est gris-roux. Les barbillons des antennes sont spatules, ainsi que chez celebaria qui en est voisine. = 123. Pullaria. Hub. Ajoutez aux synonimes: Hub. sub. f. 500, 501 2. — On rencontre dans le Jura des individus presque entierement blanc-jaunätres et sans dessin. 124. Meyeraria. Lah. Faune suisse. Ambiguaria. Faun. suis. 2° Suppl. Ayant pu me procurer 2 individus tres frais Tun 8, pris ä Lavey ä la fin de Mai 1857, l'autre 2, captur& a Meyringen, en juin m&me anne, jıai soumis cette espece A un nouvel examen. ‘Mr. R. Zeller l’a collectee sur les Alpes du Celerina. La fig. pl. 186, de Dup. oflre quelque analogie de teinte et de dessin; mais elle est trop peu exacte pour servir de point de depart. Les fig. 379, 380 et 381 de Hub. sup., beaucoup plus exactes, ne peuvent en aucune facon lui £tre apliquees; ainsi done Meyeraria doit subsister distmete d’ambiguaria, Hub. sup. Voiei du reste quels sont les caracteres distinctifs de Meyeraria. Elle ressemble plus a mendicaria qu’a dilueidaria; mais les antennes du mäle sont filiformes. Sa teinte grise n’a pas l’aspect bleuätre et luisant de la 24°, ni le pointille grossier et brun de la 1"®. La couleur du fond est le blanc säle fortement recouvert par un pointille gris-de-fer. Dans lun des mäles que jıai sous les yeux la teinte generale est form&e de la r&union de trois pointilles, un blanc pur, un gris clair et un gris fonc&, outre le pointill& noir des stries et des taches. Les antennes, chez le mäle, sont filiformes, sans cils ou villosites, et portent des tubercules presque carres et bien distinets les uns des autres. Les tarses post£rieurs, dans le m&me sexe, sont courts et tres renfles. Le front est gris; de la couleur de la tete. Les 4 taches ocul&es du disque sont grosses et bien dessindes. Les points mar- ginaux sont petits. Le dessous est d’un gris roux, finement pointill@; enfum& parfois aux ant@rieures. La femelle ne differe du mäle que par ses teintes un peu plus claires. La figure de la faune suisse est mauvaise et ressemble plus a dilueidaria ®, qua Meyeraria (Collection R. Zeller.) 126. Glaueinaria. Hub. Freyer. n. B. 593. f. 2 et 3. Le fond est quelque fois d’un beau jaune paille. 128. Variegaria (ta). Dup. t. 184. f. 4 (non- 185, f. 5). Hub. sup. f. 503, 504. — Heydenr. Cat. 137. — Guen. hist. ERI-UNSRATS. Mucidata. Frey. ä. Beitr. 125, 3. — Faun. suisse. 2° Suppl. Confondue jusqu'ici avee mucidaria Hub. 148. — Hub. sup. f. 502. — Cette es- pece toujours rare, a 6t& prise par Mr. Wullschlegel dans les environs d’Olten. Je Tai aussi regue de Sicile. Elle se distingue de mucidaria par plusieurs caracteres; mais il suffit de men- tionner les antennes filiformes, non pectinees, chez le mäle. Les tubercules de l’an- tenne sont &troits, along6s en cöne, rapproches les uns des autres et recouverts d’un duvet fin. 144. Crepuscularia. W.V. Defessaria. Fr. n. B. t. 510, f. 1, n'est qu’une mauvaise variete de cette espece. 151. Strigillaria. Esp. Cette espece est bien suisse; je l’ai prise le 10° juin 1858, au pied des montagnes d’Ollon (Vall&e d’Aigle) dans les taillis. Mr. Meyer l’a recoltee a le m&me &poque pres de Viege. La var. brune (Hub. G. 540, 541) la et@ par Mr. Wullschlegel dans les environs d’Olten. 166. Hipocastanaria. Hub. Mr. Rothenbach a collect@ plusieurs fois cette espece dans les environs de Schüpfen, du 20 mai jusqu’en septembre. 168. Bombycaria. Bdv. Cette espece existe aussi dans la haute Engadine; Mr. Hnateck, de Sils, l’eleve chaque annee. Le corps de la femelle est rev&tu d’un duvet noir et de longs poils blancs. Les rudimens d’ailes blanes, sont particulierement velus. 173. Venetiaria. Hub. ? Hub. sup. f. 444. 174. Torvaria. Hub. Horridaria, Hub. 149 n’est pas une 9, mais un 5 (Treit.). — La femelle est rare et a les superieures encore plus arondies au sommet que ne les represente la fig. 363 de Hub. L'angle de la 2% ligne transverse n’existe pas toujours quoiqu'en dise Treitschke. 174.b. Alticolaria. Man. Cat. 1856.) Guen. hist. gener. IX. p. 320. Cette espece , fort rare, d@couverte pour la premiere fois en Tyrol par Mr. Mann, a et& r&coltee dans les Alpes, au-dessus de Meyringen par Mr. J. Ott, auquel nous devons plusieurs especes rares ou nouvelles. Je n’ai vu que le mäle. Son facies et sa couleur sont ceux de Torvaria, et non de trepidaria, avec laquelle elle a peut-&tre et@ confondue. Sa taille est un peu inferieure. Le noir fonce des quatre ailes a un &clat soyeux. La cöte des sup6rieures est fortement arquce a sa base. Les lignes transverses sont au nombre de trois et se dessinent en noir mat; la premiere (des la base) est arquee, la seconde rapprochee de la pr&c&dente, forme deux coudes, lun vers son milieu, l’autre vers le bord posterieur; entr'elles existe un point de m&me couleur. La 3° ligne forme d’abord un angle qui siapproche de la marge, puis deux ondulations jusqu’a l’angle abdominal oü elle se termine. La frange des su- perieures est limitee par un trait fonc& et par trois ou quatre taches chatoyantes vers le sommet. Les inferieures portent deux bandes chatoyantes qui occupent la moitie de l'aile ') Voir le Bulletin de la Societs vaudoise des sciences naturelles. T. V, N. 10. p. 228., en — et sont s&par&es par une bande d’un noir mat, ondulee. La marge est limit&e par un trait noir, brise, dessinant un sinus en face de la cellule (comme dans les Gnophos). La frange est d’un noir fuligineux. Le dessous des 4 ailes est d’un noir Juisant. Un gros point existe sur la cellulle des anterieures. La marge des 4 ailes est bordee par une large bande jaunätre, bien tranchöe, bord&e de noir fonc& du cöte interne et divisee en avant par un trait noir qui s’evanouit en filet et vient toucher la marge en face de la cellule. Le trait noir qui limite les franges est ici tres marque. Les cuisses, le corps, les palpes et la t&te sont couverts de longs poils noirs. Les antennes sont filiformes, noires. Cette espece intermediaire entre les Gnophos et les Psodos, genres tres voisins, pourrait motiver une fusion des deux. 151. Plumularia. Frey. Rheticaria. Faune suisse. Je restitue A cette espece son nom primitif puisque MM. Lederer et Gu&nee ont mo- difi@ celui de Boisduval (Nr. 1940) et l’ont remplac& par concoloraria. Jai recu de la haute Engadine cette espece, bien distinecte de purpuraria. Ajoutez aux synonymes: Hub. Sup. f. 475 —477. — Gu£n. hist. gener. t. 10, p. 173. 188. Erutaria. Bdv. N’est pas tres rare dans nos Alpes: Au Val-d’Iliers en juillet; au Creux-de-Champ, vall&e d’Ormont dessus, mi-juillet; dans les clairieres des for&ts de sapin. ai pris deux fois des individus mäles sur lesquels les ailes inferieures n’existaient pas. Il faut ajou- ter aux synonymes. Nebulosaria. Heydenr. Cat. 362. Cambricaria. Curt. — Leder. — Guen. hist. gener. t. 9, p. 440. 196. Suecenturiarıa. Lin. Jai recu de Mr. J. Ott a Meyringen la variet@ brune figuree par Hübner (f. 247), ainsi que la variet& grise non figuree dans Hübner. 3 198. Modicaria. Hub. Ajoutez aux synonymes! Semigrapharia, Bruand, Cat. du Doubs. Jai regu, sous ce nom de Mr. Bruaud, une vari&t& plus päle et plus jaunätre, figuree au Nr. 537 de Hubn. suppl. Impurata, Hubn. 347, regue aussi de France et de Sicile. 206. Obrutaria. Fisch. v. Rösl. Collection. Hub. Sup. f. 145, 146. Pimpinellata, Hub. coll. Piperata. Wood. ? Majoraria. Faune suisse, Nr. 198°, 2me Suppl. f. 2. M. Jäggi, de Berne, l’a prise dans les environs des bains du Gurnigel, en juin. Je n'hösite pas a reunir cette espece A celle que jai decrite sous le nom de majoraria, quoique les exemplaires (un peu alteres) regus de Mr. Herrich -Schäfler m’aient d’abord conduit a les separer. Obrutaria, majoraria et arceutharia sont, peut-etre, autant de varietes de la meme espece; lexamen de la question exige des individus tres f[rais et nombreux. Mr. Staudinger r&unit helveticaria a arceutharia: je ne puis partager cette opi- nion. Helveticaria, recue de Anderegg, a les anterieures plus allongees en forme d’amande, et les posterieures a peu pres depourvues de dessin. 208b. Distinctaria H. S. f. 162, 163. Javais admis cette espece, dans mon 1° supplement, au nombre des especes suisses. Plus tard, m’6tant convaincu que les individus auxquels je donnais ce nom appartenaient a castigaria, jai dü les retrancher du Catalogue. Maintenant un nouvel exemplaire, que je tiens de Mr. Ott & Meyringen, exige que je retablisse cette espece. Gest d’ailleurs lavis de Mr. Herrich-Schäffer, qui possede des @chantillons semblables venus de Laponie. L’individu femelle que jai sous les yeux se rapproche extremement de castigaria; aussi me contenterai-je de signaler les caracteres qui l’en distinguent. 1° La teinte g6- nerale est le gris pur, ardoise sur les clairs, sans m£lange de fauve comme chez casti- garia. 2° Les 4 points discoidaux sont formes par un trait noir, gros aux supe- rieures, petit aux inf@rieures. 3° La moiti& interne de l’espace marginal, 6largie a la cöte, se r&tr&eit brusquement et depuis la cellule ne forme plus qu'un etroit ruban. 4° Une >. 8 dent noire ä la cöte au-devant du point discoidal. 5° Moiti& interne de laile a peine dessinee, sablöe de gris. 6° Dessous plus clair, sans teintes fauves. 213. Valerianaria. Hub. 395. Doit &tre conserv&e comme espece. Un individu recueilli a Meyringen par Mr. J. Ott r&produit parfaitement la fig. 395 de Hubn. et ne peut tre confondu avec Begrandaria. 213b. Laqueraria. Fisch. v. R. Hub. revis. Nr. 67. — Hub. sup. f. 181, 182. — Heydenr. Cat. Nr. 511. Subumbrata. Treit. Intricata, Treit. in litt. — Fisch. v. R. (olim). Facies de pusillaria. — Les vergers pres de Schüpfen (Rothb.). 233. Scripturaria. W. V. Placidaria. Frey. N. B. 600. 3. 239b. Lapidaria. Hub. 324. Guen. II. 435. — Hub. sup. f. 286, 287. Trouvee une fois dans les environs d’Olten, sur le Jura, par Mr. Wullschlegel! 250b. Zumsteinaria. Lah. Mittheil. der schweiz. entom. Gesellsch. Nr. 1. p. 24. Cette espece, entierement nouvelle, a &t& decouverte par Mr. Meyer-Dur, dans les environs de Viege (Haut-Valais), du 30 mai au 20 juin 1861. Je ne puis reproduire ici la description que j’en ai donnee dans les «Mittheilun- gen» de la Societe suisse d’entomologie. L’espece dont elle se rapproche le plus me parait &tre aptaria, quoique son colorit et son aspect general soient fort differens. 253. Aretaria. Lien. Albimacularia. Frey. n. b. 534, 5. Toniata. Steph. — Gu£n. hist. gener. t. 10. p. 293. Assez fr&quente aux Plans (Alpes de Bex) dans les bois de sapin des Sous-Alpes, en juillet. La femelle est ordinairement un peu plus grande que le mäle; celui-ci porte ä lanus un mouchet de poils bruns. Sur quelques individus la bande moyenne s’@largit en dedans par la coloration en brun d’une bandelette transverse, limitee elle-m&me par une ligne grise qui fait partie du premier ruban. Dans ce cas le point discoidal se place au milieu de la bande moyenne et non sur son bord. Ces individus ressemblent a spadicearia. 255. Laetaria. Lah. Faune suisse. Hub. sup. f. 555. La figure de Hub. sup. est trop päle. Sur les individus frais la marge a une teinte verte beaucoup plus prononc@e et la bande moyenne est plus noire. La figure que jiai donnee sous le nom de Kollariaria est plus exacte, quoique ses teintes soient un peu trop tranch@es. — Les basses Alpes, en juin. 266. Minoraria. Treit. Une variet& recueillie dans les Alpes passerait aisement pour une espece nouvelle, tant elle differe des individus ordinaires. Chez elle les deux rubans blancs sont parta- ges par un trait gris prononce, et ombr&s de fauve. La bande moyenne est fortement tachee de gris et de noir. Trois dents de la ligne fulgurale sont marquees en noir, en face de la cellule. Les posterieures sont tres enfum6es. Il resulte de cette augmenta- tion de teintes fonc&es un aspect sombre tres different du facies ordinaire. 277. Funeraria. Hub. 260. Ajoutez aux synonymes : Hub. Sup. (Nachträge) f. 542. Cette figure est trop couverte de noir. Mr. Guönee fait erreur lorsqu'il r&unit funeraria a tristata Lin. Funeraria BR we (H. S. f. 542) est commune sur nos Alpes et n’est point nouvellement trouvee; elle n’stait que confondue avec tristata. La distinction des deux especes est par trop aisee. Celle de hastata et de hastulata l’est moins, quoique tout aussi assuree, si lon a de bons exemplaires sous les yeux. 281. Decoloraria. Hub. Frey. n. b. 600, 1. Consentaria. Frey. n. b. 486. 28h /Eiydraria. P.'viR: Mr. Wullschlegel l’a aussi collectee pres d’Olten. 286. Lotaria. Bdrv. Ajoutez aux synonymes: Hub. Sup. f. 453. 5. Le sommet de l’aile est trop obtus dans cette figure. 287. Ablutaria. Bdv. Index Nr. 1626. Hub. Sup. f. 382, 383. — Dup. Cat. — Zell. Ent. Zeit. 1849. p. 212. Olivarıa. Dup. hist. pl. 183 (non Hubn.). Salicata. Guen. hist. gen. t. 10. p. 283 (non Hub. Sup.). ? Muscosata. Leder. (non Donzel). — Heydenr. Cat. 383. Ferraria? Hub. Sup. f. 398. — Hub. revis. Nachtr. — Heydenr. Cat. 372. ® Hispalata? Ramb. Catal. pl. XXI. £. 7. Podevinaria. Hub. revis. Nr. 136. — Hub. Sup. f. 250. — Heydenr. Cat. 382. Bullet. de la Soc. vaud. des science. nat. Nr. 40. p. 227. Afın de faire disparaitre la confusion qui regne sur lune des especes les plus r&- pandues en Europe, il importe tout dabord de revenir a la denomination de Boisduyal a laquelle Dup. rapporte la figure tres recomnaissable qu'il en donne sous le nom d’Olivarıa. Je l’ai recue d’Autriche comme muscosata, Leder., de France sous le — nom d’ablutaria, Bdv., de Mr. Herrich-Schäffer lui-meme sous celui de Podevinaria; de Palerme et des Alpes, etc. conservant partout ses caracteres distinctifs, tres reconnaissa- bles et fournissant les m&mes variations. Si l’on veut etablir deux variet@s malgr& les nombreuses transitions qui existent, il faut prendre celle ou le gris fonc& domine (fer- raria) pour lune et muscosaria, Leder. pour celle qui est teinte en jaune, mais cette derniere ne comprendra gueres que des femelles. Aux caracteres tir&s des antennes et de la marge, on peut joindre celui que donne le pointill& blanc, &parpill& sur les nervures et visible surtout sur le deuxieme ruban, en dehors de la bande moyenne. Mr. Gu&nee rapporte aablutaria, Bdv. l’infidaria, Lah. faune suisse (flavicinc- tata, Dup. hist.), qui en est tres differente; puis il raltache Podevinaria, H.S. a sa- licata, W. V. (qui n’est point celle de Hub. sup.), ainsi que ferraria, H. S. De la sorte, l’obscurit& s’accroit au lieu de diminuer. — Pourquoi toujours ressusciter la sali- cata de Hubn. que chacun congoit a sa maniere ? 292. Nobiliaria. Hub. Sup. Les individus provenant d’Autriche et figures par H. S. sont g@neralement plus pä- les que ceux de l’Engadine : ceux-ci sont fortement teintes de couleur olive, me£langee de jaune et de brun. Chez eux les posterieures sont quelquefois presque entierement noirätres, avec la frange jaunätre, bien entrecoupee. Le point discoidal des sup£rieures, lorsqu'il existe, est jaune-safran. 293. Caesıarıa. Hub. Cette espece, ne varie en Suisse que dans certaines limites. Je n’ai pas encore pu trouver de passages entre elle et flavicinctaria, Hub. Les quelques ombres safrandes que Fon observe sur certains individus restent Join du jaune orang& vif de cette derniere. I existe d’ailleurs des differences constantes, telles sont: 1° la teinte blanchätre, uni- forme, des posterieures en-dessus, sur laquelle se detache en gris un point discoidal bien marqu6, deux lignes marginales, ordinairement A peine visibles et une l&gere ombre grisätre sur la marge, dans quelques individus. 2° En-dessous, les anterieures sont con- stamment enfum6es, avec deux taches jaunätres allongees a la cöte et la bande moyenne parfois designee par un trait externe. 3° Les posterieures, du m&me cöte, sont blan- chätres, pointill&es de gris, et du reste semblables a l’autre face. 4° Les 4 points dis- coidaux bien marques. er Jai recu de M. Wocke une flavicinctaria, Hub. provenant des Alpes de Norvege qui n’est autre que la variet@ jaunätre de caesiaria et en reste bien distincte. 293.b. Annosaria (ta). Zetterst. f. lap. Je ne possede qu’un seul individu de cette remarquable espece; il a &t@ pris dans l’Oberland par Mr. J. Ott. Je l’ai rapporte a l’espece de Zettersted sur l'autorit& de Mr. Staudinger. Son dessin, sa configuration et la coupe de ses ailes la rapprochent de caesiaria. Elle s’en distingue au premier coup-d’oeil par la teinte noire generale des anterieures, sur laquelle se dessinent finement en blanc pur: 1° quelques petits points places sur la racine des nervures dans l’espace basilaire, sans s’etendre sur la bande mediane, quils delimitent a son bord interne; 2° deux lignes de points places aussi sur les nervures et indiquant a la fois la limite externe de la bande mediane et la place du deuxieme ruban; 3° Ja ligne fulgurale form&e de chevrons aigus dans sa moitie anterieure, de lunules et de points dans sa moitie posterieure; 4° quelques traits et points situes sur l!’extr&mite des nervures. La frange est blanchätre, divis6e par une ligne noirätre et entrecoup£e par de petites taches de cette derniere couleur, au niveau des nervures. Les memes ailes, en-dessous, sont d’un gris noirätre avec deux taches blanchätres ala cöte vers le sommet, les chevrons de la ligne fulgurale faiblement indiques, l’extre- mit& blanche des nervures et la frange d’un blanc säle, entrecoupee de points noirs. Les posterieures sont gris de fer en-dessus, plus foncees du cöte interne; traver- sees, au-dela de leur milieu, par deux bandes maculaires blanchätres, paralleles a la marge, dont la posterieure est plus prononcde. Un gros point discoidal gris est rap- proch® de la racine de laile. Nervures marquees en blanc tout le long de la marge. Une ligne noire, entrecoupee par les nervures, limite la frange. Celle-ci est semblable a celle des superieures; mais avec une ligne de division a peine indiqu&e. Bord abdomi- nal noir marque de deux points blanes vers sa terminaison. En-dessous les m&mes ai- les ont l’espace basilaire gris de fer, marqu& d’un point discoidal: cet espace est limite par un trait plus fonc& qui le separe d’une bande post-mediane, lavee de clair en de- dans, ombree de gris en dehors. L’espace marginal est blanchätre, de la couleur de la frange : la ligne de points noirs et les intersections de la frange y sont prononc£es, Antennes filiformes, annel&es de blanc. Palpes courts, noirs en avant, blanc-jaunä- tres en dessous. Gorge blanche. Front noir fonce. Double collier jaunätre. Corselet noir, sem& de poils blancs, surtout en arriere. Abdomen noir, annel& de blanc en-des- mr sus; jaunätre en-dessous. Pattes noires en-dessus, blanc-jaunätres en-dessous. Mouchet anal noir; jaunätre a son extr&mite. Cette phalene est tellement differente de caesiaria par sa couleur noire mouchet6e de blane pur que je n'hesite pas a la considerer comme une espece distinete: elle se rapproche d’ailleurs davantage, par plusieurs caracteres, de flavieinctaria que de cae- siaria. Mr. Staudinger de Dresde m’affirme que dans le nord caesiaria varie (ce qui n’a pas lieu dans nos Alpes) au point de fournir des individus entierement blancs et d’au- tres presque noirs. Ce fait extraordinaire merite un examen plus attentif. L’on sait as- sez que les elimats froids disposent les Lepidopteres a rev@lir des couleurs fonc&es. Dans le nord verrait-on chez ces insectes tantöt la predominance du noir, tantöt celle du blane? Cela serait possible. Danc ce cas il faudrait attribuer ces modifications A des causes differentes et voir si, peut-&tre, le noir est le r@sultat des longs hivers et le blanc des longs jours d’et& agissant sur les larves. Si cela est, les vari@tes noires et les varietes blanches du nord doivent apparaitre les unes au commencement, les autres ä la fin de la saison !). 294. Flavicinetaria. Hub. 354. Frey. n. B. fig. 504 et larva. La figure de Hubner est assez exacte, a part, le milieu de la bande mediane trop clair, le point discoidal des anterieures trop prononc& et celui des posterieures rare- ment visible et dans ce cas-la tres peu marque. II est fort difficile de distinguer cette espece de caesiaria, et cependant la diffe- rence de moeurs trahit une difference sp£ecifique —: la premiere fort commune sur la zöne moyenne des Alpes, dans le voisinage des sapins, se pose toujours contre les ro- chers et dans les cavernes; la seconde, tr&s rare partout, excepte dans l’Engadine, se cache dans les grandes herbes des hautes Alpes. Jai pu me procurer plus d’une douzaine d’individus bien conserv&s et leur examen n'a fait que confirmer ma premiere opinion. Ind&pendamment des teintes d’un jaune orang& vif qu’on ne rencontre jamais chez caesiaria, on peut noter comme differences constantes: 1° L’aspect des posterieures en-dessus, dont l’espace basilaire est constam- 3) Conf. Bulletin de la Soc. vaud. des science. nat. Nr. 47. p. 388. — Contribulions ä la faune de Sicile. re ment plus fonc& que le reste de l'aile, la marge plus ou moins enfumee et separee de cet espace par un lisere plus clair. L’angle abdominal de ces me&mes ailes porte le long de la frange une &claircie. 2° L’absence de point discoidal, a part quelques exceptions ot il se montre faiblement. 3° Le dessous des quatre ailes assez uniformement gris- jaunätre, lögerement moins enfume aux posterieures; avec la moitie interne plus foncee et le bord externe de la bande moyenne du dessus marque sur les quatre ailes par une ombre noire diffuse. 4° Le pointill@ gris du dessous est plus prononce que dans caesiaria. 5° Labsence de points discoidaux du meme cöte aux anterieures, dans tous les cas. L’intensite du gris qui forme le fond varie beaucoup: jai vu des individus ou la bande moyenne et la marge sont presque noires, a l’exception des taches jaunes et de la ligne fulgurale; il en est d’autres ou le gris de fer disparait presque entierement. 296. Infidarıia. Faune suisse. Cette espece bien plus facile a distinguer de flavicinctaria, Hub. que ne lest caesiaria, est cependant sans cesse confondue avec la premiere. — Les caracteres tires de la frange sont les plus sürs. Aux anterieures, en-dessus, elle est blanche, sans ligne de division, sans trait, ou points a la base, et plus ou moins entrecoupee de gris. En- dessous, aux m&mes ailes, m&me disposition; pour l’ordinaire elle est limitee par un bord blane, &troit, inögalement renfl& de distance en distance qui lui donne un aspect festonne. Aux posterieures, sur les deux faces, ce bord blanc est ordinairement plus saillant et la frange en parait mieux festonn&e encore. Le trait noir qui limite la frange, divise par Vextremite blanche des nervures, manque ici dans tous les cas. 29%7.b. Frustraria (ta). Treit. VI. 2. p. 50. — VD. p. 218. Dup. sup. t. IV. pl. 71. — Boisd. 1774. Frey. n. b. 54, 2. — Hub. sup. f. 205, 206. Heydenr. C. 396. — Guen. hist. t. X. Nr. 1368. Muscosata. Donz. An. Soc. entom. Hub. Gey. 595 (mala) — (non Leder.). Mr. Rothenbach l’a prise pres d’Auvernier (Jura) en juin 1846. Je l’ai regue de Mr. Leresche, provenant du Jura vaudois, et de Mr. Ott, collectee a Meyringen. La haute Engadine. Elle est identique dans ces diverses localites, quoique plus ou moins color&e en vert et nebuleuse. Muscosata Donz. n’est pas m&me une variete. 4 299. Incultaria. Hub. sup. Ajoutez aux synonymes: Hub. sup. f. 456 ®. 300. Achromaria. Lah. Faune suisse. Saxicolata, Leder. (Stauding.). Trös voisine de nebularia H. S. 370, 371. Je n’'hesiterais m&öme pas ä les r&unir si dans ces figures la frange &tait entrecoup6e, le 2° ruban restait bien separ& de l’es- pace marginal, la ligne fulgurale &tait indiquee vers le sommet seulement et a peine vi- sible, enfin, si les inferieures &taient plus &troites et moins dessinees. La couleur lege- rement jaunätre dachromaria la fera toujours ais&ment distinguer de toutes les varie- tes de nebularia. 304. Sororarıa. Hub. Hub. sup. n. Schmett. f. 52, 53. Tacetaria? Frey. 640, 2. (H. S.) Je l’ai recue de la haute Engadine. Les individus provenant du Labrador sont iden- tiques. 308.b. Munitaria (ta). Hub. 346. Hub. revis. Nr. 168. — Hub. suf. f. 53. — Guen. hist. t. I. Nr. 409. — Heydenr. Cat. Nr. 542. — Staud. Cat. Nr. 491. Arcticaria. Germ. faun. ins. — Zetter. ins. lapp. Collinaria. Metzn. ent. Zeit. Jai recu cette espece de la haute Engadine. Elle parait fort rare en Suisse; meme dans les hautes Alpes. 309. Bipunctaria. Bork. Gachtaria. Frey. n. B. 594, 595, est a peine une vari&t@ plus foncee. 316. Silacearia. W. V. Ajoutez aux synonymes:! Frey. n.,B. f. 587. 316.b. Capitaria. Her.-Schf. H. S. Deutsch. Ins. 165. pl. 3. — Hub. sup. f. 460. — Heydenr. Cat. Nr. 550. Balsaminata. Frey. n. B. 588. — Zell. Tres rare en Suisse; jen ai recu de Mr. Ott un exemplaire femelle pris dans ’Ober- land bernois. La chenille tres voisine de celle de silacearia en reste cependant distincte (Dr. Rössler; in Jahrb. des Ver. f. Naturk. Herzogth. Nassau v. XII. p. 387). L’individu, fort bien consery@, que je possede r&pond parfaitement a la caracteris- tique donnee par Her. Schf. Cette espece &tant peu repandue dans les collections et souvent avariee, j’ajouterai quelques details fournis par lindividu que jai sous les yeux. — La taille est un peu au-dessous de celle de silacearia; mais la coupe des ailes est identiquement la m&me. Les antennes au lieu d’etre annel&es de blanc le sont de jaune clair. Les palpes sont de la m&me couleur avec tres peu de noir a la base en dehors. Le front est entiere- ment jaune, tandis que dans silacearia les antennes et le front sont grisätres, tachetes de noir. L’espace radical est noir fonce, coupe carrement. Le 1° ruban forme une ondu- lation dans son milieu et non une pointe externe saillante.e La bande mediane est d’un noir pur, a peine ötranglee dans son milieu. Les nervures ne se dessinent point en clair, ni sur elle, ni sur le 1° ruban, ni sur l’espace radical. Le 2° ruban, fort &troit, est borde, vers la cöte seulement, de deux fers de fleche, dont l’anterieur se confond avec une tache costale noire: les autres fers de fleche sont fort petits. L’extr&mite des ner- vures, en dehors du 2° ruban, sont saillantes et colorees en jaune jusques a la frange. La couleur jaune se repand sur l’espace terminal du cöte de l’angle anal et sur les clairs de la frange. Aux inferieures en-dessus la m&me teinte jaune existe sur l’extremit@ des nervures et sur la frange entiere. La ligne de lunules y est &galement arrondie et fes- tonnee, ce qui n’a point lieu dans silacearia. Le dessous est d’un gris pointille, jaunätre, avec le dessin moins prononce que chez sa voisine. L’abdomen est couleur de rouille en-dessus, un peu rose en-dessous. Les pattes sont anrelees de brun et de fauve clair aleur extremite et noirätres sur les cuis- ses, en-dessus. Em 317. Reticularia. W. V. Le mäle de cette espece presente une particularit@ que je ne trouve citce nulle part et qui pour les amateurs de classifications lui vaudrait I’honneur de motiver un genre ä part. Il existe chez lui, vers l'articulation de l'aile anterieure et en-dessous, un gros pinceau de poils noirs, dirige du cöte du disque et insere tres pres du bord in- terne. Ces poils sont roussätres a leur base et reposent, lorsque les ailes sont ployees, sur une tache jaunätre visible sur le disque de laile inferieure et sur une autre sem- blable ä la face inferieure des anterieures. Evidemment ici la couleur du pinceau a de- teint des deux parts sur la face correspondante des ailes. 318.b. Coraciaria (ta). Hubn. 278. Var. psittacariae. Faune suisse. Miata. Lin.? (Guen.) — Gu£n. hist. gener. t. 10. p. 460. pl. 13. £. 2. Bulletin de la Soc. vaud. des scienc. nat. Nr. 40. p. 223, On sera surpris que je retablisse maintenant coraciaria comme espece, apres avoir affırme sur le vu d’un individu (2° supplement), quelle &tait une variet@ de psittaca- ria, prouvee par de nombreuses transitions. L’individu que javais alors sous les yeux etait bien en effet une variet@ de celle-ei et lorsque jeus la vraie coraciaria sous les yeux, c’est lui qui m’a convaineu de lexistence de deux especes distinetes. Les indivi- dus marbres de blanc qui appartiennent ä psittacaria restent completement differents de coraciaria, et r&eciproquement les formes plus foncces de coraciaria(j'en ai sous les yeux) ne passent point a psittacaria. La taille, Ja coupe des ailes et le dessin different toujours. La figure de Hubner est certainement mauvaise, mais beaucoup moins qu’on ne la alfırm&; elle reste tr&s reconnaissable. Celle de Guenee est tres bonne, mais prise sur un petit individu. Je ne puis reproduire ici tout ce que jai dit dans le Bulletin de la Soc. vaudoise sur la distinetion de coraciaria, de frustraria et de psittacaria. Coraciaria fait en Suisse deux apparitions, une en mai et juin, lautre en aoüt et septembre. On la prend surtout dans les vall&es au pied des Alpes, ou elle se pose de preference contre les rochers. — Meyringen, Aigle, Schüpfen. Gu&nde lui a restitue la denomination de Linn&; je doute fort que la synonymie gagne en clart& a ces r¶- tions tardives et souvent hazardees. 319. Firmariıa. Treit. Cette espece est positivement suisse. Mr. Alf. Rothenbach l’a prise en aoüt, en sep- tembre et en octobre pres de Schüpfen. J’ai recueilli une femelle a Aigle, au mois de mai. Mr. Meyer-Dür l’a enfin collect&e au printemps dans les environs de Viege (Valais), ou elle n'est point rare, en compagnie d’obeliscata var. variaria. Firmaria a done deux generations comme variaria. 328.b. Sımularia (ta). Hub. 345. Hub. revis. Nr. 194. Geneata. Feisth. An. ent. 1834. — Boısd. 1732. — Hub. sup. f. 396. Recueillie une fois en Valais par Mr. R. Zeller, entomologiste Zuricois. 350. Aemularıa. Hub. 448. Ajoutez aux synonymes: Her.-Schf. neue Schmett. f. 49, 50. Mr. Her.-Schäffer m’affırme que testaceata Hb. 338, reste distincte de tersaria aussi bien que daemularia. PREHIER SUPPLEMENT AUX PYRALIDIDES er aux CRAMBIDES DE LA FAUNE SUISSE. Nouveaux M&moires de la Societe helvetique des sciences naturelles; Vol. XIV. p. 7. Voir Pyralidides. Her.-Schf. 2. Cuprealis. Hub. Je l’ai regue de Mr. Couleru qui l’avait capturee dans les environs de la Neuveville. Crambides. Her.-Schf. Genre Duponchelia. Zell. Isıs. (Epicorsia. Hub. verz. — Nascia. Gu£n. 2.b. Cilialis. Hub. f. 119. Hub. sup. f. 60? Acutellus? Eversm. — Guen. Pyral. Dans les marais d’Aigle, fin de juin et juillet; rare. 4 Individus; 3 8. 1 2. Tres voisine de Catalaunialis, quoique bien distincte d’elle. Celle-ci a le sommet des anterieures allonge, aigu, presque faleiforme: les stries longitudinales blanches, plus nombreuses et plus marquees. Mr. Her.-Schäffer, qui a vu mes individus, les croit identiques avec sa figure 60, quoique l'apparence soit differente. en. En tout cas l’espece que jai sous les yeux est exactement celle de Hubner (f. 119). On ne peut s’y meprendre. On doit cependant reprocher a cette figure le sommet des superieures trop aigu, les palpes trop courts; l’abdomen (du mäle) trop court aussi (il depasse le bord des postörieures de toute la longueur du mouchet anal); l’absence de trace me&diane sur les infrieures et enfin l’angle abdominal des sup£rieures trop arrondı. La fig. 60 de Hub. sup. differe bien davantage. Les palpes sont figur&s plus longs; langle abdominal des anterieures est encore plus efface que dans la fig. de Hubn., il n’existe pas trace de la deuxieme ligne transverse aux anterieures: les lignes inter- costales jaunes n’y paraissent pas non plus; celles des nervures sont differentes: les in- ferieures sont uniformement jaunätres et non traversces par un trait gris et ombrees de la m&me couleur sur la marge et au centre; enfin labdomen est plus long. Les differences qui la separent de catalaunialis (f. 56, 57) sont plus marquees encore, surtout en-dessous. — Je penche a croire que eilialis Hub. 119, doit former une espece distinete et conserver son nom, et que celle de Hub. sup. doit garder la de- nomination d’Eversman jusqu’a preuve du contraire. La description de Treitschke est insulfisante pour £claircir la question. Celle de Her.-Schf. parle des franges d’un blanc- sale et grises, des lignes costales un peu plus claires, des palpes deux fois plus longs que la t@te, du dernier article des palpes long et lineaire; toutes choses qui sont diffe- rentes dans la mienne. 1. Flammealis. W.\V. Jai recu de la France occidentale une variet@ entierement d’un noir bistre. Le dessin est le m&me et les taches blanches de la frange tres saillantes. Tr., Atralıs. Hub. 2% Hubn. Beitr. Th. 3. t. 2. f. K. — Treit. — Hub. revis. Nr. 23. A Lausanne; une fois, dans un jardin, en juillet. Ce qui est dit d’atralis Hub. dans la faune se rapporte a nigralis, en retour il faut transporter a atralis, Hub. 27 ce qui est dit de nigralis, Hub. 26 (Nr. 19 de la faune). 13. Pyrenaealis. Dup. Guen. hist. gen. t. 8. p. 153. Le mäle differe quelque peu de la femelle par sa taille plus faible. — Oberland bernois (Ott). Br ye 14. Rupicolalis. Hub. Guen. hist. gen. t. 8. p. 154. Ajoutez aux caracteres qui Ja distinguent d’holosericealis; antennes, chez le mäle, simplement pubescentes, tandisque dans sa voisine elles sont plutöt ciliees (Guen.). La difference est peu prononcee, mais reelle cependant. 16. Alpestralis. F. Guen. hist. gener. t. 8. p. 158. Jen ai vu un grand nombre d’exemplaires; car elle n’est pas rare. La femelle ne differe pas sensiblement du mäle; si ce n'est pas une taille souvent un peu plus forte. Les marbrures azurees sont parlois si nombreuses qu'elles semblent former la couleur du fond sur laquelle le noir se dessine en points et en taches. Le dessin rappelle celui des Eudorees; sur certains individus on distingue les deux raies transverses, la tache en x et les trois taches de l’espace marginal. Les franges sont d’un blanc azur& pur sur les individus tres frais, mais entrecoup6es aux anterieures. Les posterieures portent souvent en-dessus, pres du milieu de la marge, 2 a 3 petites taches azurees et sur leur bord anterieur une tache plus grande, indecise, blanchäire. 15. Helveticalis. Anderegg. Jai recu quatre exemplaires recueillis par Mr. J. Ott sur les hautes Alpes de Oberland bernois. Ces individus sont plus corses et plus robustes que ceux de Mr. Anderegg; ce qui tient, peut ötre, a ce que ces derniers sont @leves artificiellement. Cette espece se reconnalt aisement a ses ailes blanchätres en-dessous, marquees d’un gros point noir discoidal aux sup6rieures et d’une ceinture noirätre sur la p£@ripherie des quatre ailes. Les ailes portent, sur le disque et en-dessus, des £cailles bleuätres disper- sees, trös nombreuses A l’6tat frais. 18.b. Conspurecalis. Lah. Six exemplaires, pris dans les hautes Alpes de l’Oberland bernois, m'ont &t& adres- ses par Mr. J. Ott. Mr. de Heyden m’&erit quil en possede un exemplaire 2 pris a la Bernina dans l’Engadine. En aoüt 1860 jıai collect@ un individu ?, au pied du Petit- Meuvran pres des neiges qui dominent le glacier des Martinet, a 7000‘ L’insecte vole au soleil et se cache sous les pierres lorsqu’on cherche A le saisir. U. WER Tient le milieu entre helveticalis et rupicolalis, tres voisin de nevadalis Stgst. (v. Heyd.). Taille plus forte, 25°”. Noirätre, nuanc& vaguement de gris soyeux olivätre; sans dessin. Ailes anterieures oblongues, sommet arrondi, cöte droite; &paules moins saillantes que chez rupicolalis. Quelques taches bleuätres diffuses sur le disque. Une tache jaunätre aux %3 externes de la cöte donne naissance & la deuxiöme transverse A peine indiquee, sinueuse, finement £Eclair&e de gris. Un trait gris et quelques taches claires indiquent la place de la premiere transverse au 1/3 interne de laile. Un gros point noir, mal limit& sur la cellule. Frange grisätre, faisant suite au fond; blanchätre a lextremite. Inferieures noirätres, nuanc&es de clair avec des reflets chatoyants et soyeux chez les individus tres frais. Un trait indistinet, päle, continue la deuxieme transverse et limite un large espace plus fonc& a la marge. Dessous d’un gris de sou- ris uniforme et luisant. Le point discoidal des anterieures peu apparent. Un trait eir- ceulaire clair indique la place de la deuxieme transverse. Cöte legerement plus £clairee. Poils jaunätres &pars pres de la racine des inferieures. Palpes labiaux de la longueur de la tete, Epais, @cailleux, recourbes en bas; troi- sieme article noir en-dessus, nu. Palpes accessoires releves en forme de petit pinceau. Trompe visible. Antennes du mäle filiformes, non pubescentes. — Corselet carr&, noirä- tre, sem& de poils gris. — Abdomen annele de blanc säle. Pinceau anal, chez le ö, tres long, noir dessus, blanc dessous. Femelle plus massive que le mäle et mieux dessinee. 19.b. Albofascialis. Treit. Hub. sup. f. 19. — Frey. ä. b. 84. Mr. Wullschlegel, entomologiste zel&, a recueilli quelques exemplaires sur l’Engel- berg, pres de Olten. Rare dans la localite m&me qu'elle habite. 21.b. Vittalis. Lah. Ce n’est pas sans hesiter que je me suis decid@ a s@parer cette espece de cin- gulalis a laquelle elle ressemble extr&mement. Il suffit d’indiquer les caracteres qui len distinguent pour la determiner. — Deux individus pris sur les hautes Alpes de Bex, en juillet. — Taille un peu plus forte que celle de cingulalis; ailes superieures un peu plus allong&es, coupees legerement en bizeau ä& l’extr&mite, en sorte que le sommet est plus aigu, quoique encore legerement arrondi, et l’angle abdominal est tout & fait &mousse£. 5 We La raise transverse est plus large, d'un blane un peu terne ou un peu roussi. La frange porte un tr&s petit liser@ blane a son extr&mite. Les pattes, la gorge, le dessous des palpes, sont d'un blanc plus ou moins roux. Les cuisses et une partie des tarses sont nuances de noirätre. Racine des anterieures, en-dessous, avec des vergetures fauves, tres prononc£es. 23. Punicaealis. W. V. Cette esp&ce varie beaucoup plus peut-tre que purpuralis. Jai sous les yeux des individus provenant de Sieile, qui sont d’un rouge sang clair, sur la marge, tandis- que le disque et la racine des ailes sont couverts de l’or le plus pur. Leurs inferieures se divisent en deux espaces, lun interne, plus large, entierement jaune d’or, travers& par un filet brun arqu& et marqu& d’une tache cellulaire de m&me couleur; l'autre ex- terne rouge brunätre, portant une trace jaunätre parallele a la marge. Un caractere in- diqu& dans la figure 103 de H.-S. suffira pour distinguer cette espece de toutes ses voi- sines: la tache posterieure de la bande maculaire est traversee, d’avant en arriere, par un filet brun qui n’est autre chose que l’extr@mite de la ligne coudee. Ce caractere est plus constant chez le 5 que chez la 2; mais il sert a determiner la forme de la ligne coudee tout autrement disposee dans cette espece que dans les autres. lci, en effet cette ligne quitte la cöte en passant entre les deux taches anterieures et decrivant un petit sinus autour de la deuxieme tache jusqu’‘a son cöte interne d’ou elle se dirige en ondulant, droit au bord interne en partageant la derniere tache. — J’en ai vu un grand nombre. 24. Porphyralis. W. V. Collect@e dans le Hasli par Mr. J. Ott. 25. Purpuralis. Lin. De toutes les esp&ces voisines c'est celle qui pr@sente le plus d’incertitudes. Apres en avoir examine un grand nombre je suis reste convaincu qu'il faut, de deux choses une, ou bien r&unir sous cette espece, avee Fisch. v. Röslerst., les grandes varietes dItalie, les petites des Alpes et leur adjoindre ostrinalis, ou bien former, outre pur- puralis, trois especes s@pardes. Je me rangerais a cette derniere opinion si javais pu examiner un assez grand nombre diindividus &trangers a la Suisse. Mais en admettant cette deuxieme alternative, & laquelle des quatre especes conservera-t-on le nom de A purpuralis? Je donnerais la preference a la plus repandue dans l’Europe centrale. Les figures de Hubner et de Duponchel sont trop incorrectes pour servir de types; cepen- dant Hub. f. 35 parait avoir et& prise sur celle dont je parle et pourrait designer pur- puralis. La grande espece du midi n’a pas ete figuree: celle des Alpes parait avoir fourni la figure 105 de H.-S. — Ostrinalis est figur&e H.-S. f. 107 et 108. En attendant que cas difficultes soient resolues, je designerai la forme meridionale et plus grande par coccinalis; celle des Alpes, plus petite, par puralis, avec Mr. de Heyden. Nous aurons ainsi: A. Purpuralis, offrant pour caracteres principaux : 1° Une coloration rouge-brun, terne, plus vive sur la marge est vers le milieu de l’espace moyen. Le brun passe au noir pres de la cöte, au sommet de l’aile et autour des taches. Les nervures sont sou- vent marquees legerement en brun. Le rouge des inferieures est plus recouvert de brun-noir. 2° Les anterieures plus larges que dans puralis et ostrinalis; un peu moins que dans coccinalis. 3° Leur bord externe droit, du cöt@ du sommet assez aigu, est arrondi a l’angle interne. 4° La troisieme tache (posterieure) formant une demi- lune, trident@e en dehors. 5° La bande transverse des posterieures du m&me jaune que les taches des anterieures. 6° Les lignes ant@marginales tres peu prononcees, surtout en-dessus, n’etant gueres representees que par quelques points jaunes disposes en ligne courbe vers l’angle posterieur. Le dessous varie beaucoup; les taches claires y sont moins etendues que dans les autres varietes. Le jaune de la base aux sup£rieures est tres rarement visible. B. Coccinalis se rapproche plus que les deux autres de purpuralis par ses formes et sa taille plus forte. Quelques individus sembleraient m&me former le passage entre celle-ci et phoenicaealis, F. v. R.° J’en ai recu d’Allemagne une sous ce der- nier nom. Ce qui distingue surtout cette variete est l’extension que prennent toutes les taches et les lignes d’un jaune d’or pur. La bande maculaire fait un angle moins pro- nonce avec le bord abdominal et l’espace marginal est sensiblement d’une &gale largeur dans toute son £tendue. Les lignes ant&marginales sont fortement exprimees par un trait jaune, parallele A la marge qui est droite. La tache posterieure devient presque arrondie. Le jaune apparait fortement a la base des quatre ailes. Les franges sont jaunätres. Le pourpre vif des ailes porte fort peu de brun aux sup6rieures. Cette va- riet@ ne se trouve en Suisse que dans le Tessin. C. Puralis se distingue beaucoup mieux de purpuralis, moins bien d’ostrina- lis; cependant on rencontre de petits individus de la premiere qu'il est a peu pres im- — 36 possible de s&parer. Ses traits distinetifs prineipaux sont une taille constamment plus petite, avec les sup6rieures un peu plus &troites et coupees plus carr@ment sur le bord externe. Le rouge des ailes a une teinte violette qui dans ostrinalis passe au rose, Les ombres noirätres de la cöte, du pourtour des taches et du disque des inferieures sont tres prononc&es. La tache jaune de la base disparait plus ou moins sous le noir. Un trait fin, vif, droit, borde presque constamment la frange des quatre ailes. La bande maculaire est plus maigre, ses taches sont plus petites et se touchent quelquefois (dans ostrinalis elle se confondent); sa couleur jaune est plus päle, surtout aux post6- rieures. La direction de cette bande est sensiblement oblique et l’espace marginal est plus large en arriere qu’en avant. (Cette disposition est encore plus prononcee dans ostrinalis. La tache posterieure de la bande est £troite; elle forme un croissant tri- dent& plutöt qu’une demi-lune. Le bord externe des franges est blanc. Cette forme est fr&quente dans les Alpes. D. Ostrinalis, Hub. 113 ne peut-£tre distingue de puralis que dans ses for- mes exagerees ol le jaune des bandes devient presque blanc, ou le rouge passe au rose vif, otı le bord externe et la bande maculaire s’inelinent encore plus sur la direction de Vaile et olı les taches se fondent les unes dans les autres. La taille reste constamment plus faible. Les ailes inferieures sont noires; les anterieures presque sans me£lange de cette derniere couleur; les franges sont blanches a lextremite; le filet ant&marginal comme dans la pr&cedente. Je lai recue de l’Engadine et lai recueillie en mai dans les environs de Sion. 28. Aenealis. W. V. Recueillie par M. Meyer-Dür, dans les environs de Viege, Haut-Valais. 35. Fuscalis. W.V. Yai collect6, pres d’Aigle, sur une pente tr&s chaude, une variete assez remarquable. Son dessin est plus vif et plus vari6. La marge des superieures est plus foncee que le disque, et la ligne claire qui borde la deuxieme raye transverse en dehors est trös marqude. Aux införieures Ja marge est d’un gris-fone& uni; la ligne claire et la raie qui Iui succöde sont fortement marquees. Le reste de laile est d’un gris-Tauve, clair. La coupe des ailes ne permet pas de la confondre avec terrealis. 35.b. Deceptalis. Lah. Quoique tres voisine de fuscalis, je n’hesite pas un instant a la considerer comme espece differente. On ne peut la confondre avec terrealis dont les sup£rieures ont toujours le sommet allonge et aigu. Les caracteres qui la distinguent de fuscalis la separent d’ailleurs aussi de terrealis. — J’ai recu deux exemplaires mäles, de Mr. Ott, de Meyringen. Deceptalis a completement le facies de fuscalis, aussi faut-il y regarder de pres pour distinguer l’un de l’autre. Les dimensions, la coupe des ailes, la teinte g6- nerale est la m&me; le dessin est seulement moins prononce dans le premier. A la face superieure on peut noter comme caracteres distinctifs de deceptalis: 1° Les dentelures de la deuxieme ligne transverse moins aigues, moins prononc6es, moins eclairees de jaunätre, en dehors. 2° L’angle rentrant de la m&me ligne, pres de la cöte des superieures, peu marque. 3° Une rangee de tres petits points bruns, sur la marge, a l’extr&emit& des nervures, placee sur le bord d’un trait jaunätre. 4° Deux points dis- coidaux aux inferieures (lorsqu’ils sont apparents). Les differences des deux especes sont plus saillantes ä la face inferieure; on y note: 1° Les inferieures beaucoup plus claires et blanchätres que les sup£rieures: ce qui n’a pas lieu dans les deux especes voisines. 2° Deux points discoidaux tres prononcös et petits, aux inferieures. 3° La ligne transverse des m&mes ailes form&e d’une rang6e de points noirätres, contigus, et non d’une ligne brunätre continue. 4° Une rang£e trös sail- lante de points noirs, limitant la frange des quatre ailes, plac&s sur un fond plus clair jaunätre. Chez fuscalis et terrealis ces points sont remplaces par un trait peu marque. Ces differences suffisent pour distinguer nettement la nouvelle espece. Il est fort probable quelle existe d&ja quelque part dans les collections, confondue avec fuscalis. 36. Pulveralis. Hub. Se prend en abondance dans les marais de la vall&e d’Aigle, en juillet. Les femel- les m’ont paru plus frequentes que les mäles. 39. Flavalıis. W.V. Assez frequente sur les päturages secs et chauds du pied du Jura (Rothb.). Aux caracteres qui la differencient de citralis on peut ajouter l’apparence ocul&e de la tache reniforme. u Du reste, ayant regu d’Allemagne des cinctalis sous le nom de flavalis, jai quel- que lieu de croire que plusieurs entomologistes prennent la premi®re pour la deuxieme et par suite citralis pour la vraie flavalis, qu'ils Connaissent peu. 46.b. Rubiginalis. Hub. 79. Fisch. v. R. t. 27. — Dup. 218. — Treit. — Hub. revis Nr. 86. — Gu£n. hist. t. 8. p. 363. — Heydenr. Cat. 90. Le 28 juillet, entre Faido et Giornico (Rothb.). — Espece m£ridionale : je l’ai regue de Sicile. 49. Alpinalis. W. V. Au pied du Bernina (Rothb.). Les figures 175 et 176 de Hubn. doivent &tre rapport6es a monticolalis. 50. Monticolalis. Khlw. Alpinalis, Hub. 175, 176. — Hub. sup. 7—10. Certains individus mäles ont les %, anterieurs des inferieures d’un blanc un peu sale, sur lequel se dessinent les nervures en gris. Dans alpinalis ces nervures parais- sent peu, le blanc est plus pur et le bord abdominal est couvert de gris. Il y a plus; sur le bord externe de la partie blanche chez la premiere se voit un trait gris, mal li- mite, separant une l&gere ceinture blanchätre, fondue sur ses bords avec le gris. Alpi- nalis n’a jamais cette bande blanchätre, et l’espace blanc est nettement termine, 52. Manualis. Hub. A 6t& prise par Mr. Ott dans les Alpes bernoises (Rothb.). 53. b. Donzelalis. Guen. Deltoid. Nr. 392. 500. Sororialis, v. Heyd. Graubündn. Jahresber. 1858—1859. Jai vu, dans la collection de Mr.Milliere a Lyon, l’espece de Guen6e, identique avec celle recueillie par Mr. de Heyden lui-m&me dans les Grisons et que j’ai sous les yeux. Elle est extrömement voisine de nebulalis et non de rhododendronalis et au premier abord n’en parait qu'une forme fande par le soleil. L’individu provenant des Alpes frangaises est plus grand que les nötres, mais son dessin est de m&me, ä peu pres nul. Ben wen La teinte generale de Donzelalis est constamment plus claire. Les ailes, d’un blanc sale en-dessus, sont en-dessous largement ombrees de noirätre, le long de la cöte, tandis que chez nebulalis cette partie est pr&@cis&ment la plus claire. Enfin ne- bulalis porte sur les ant&rieures les deux taches ordinaires que sa voisine ne presente pas ou presque pas. La femelle, comme dans nebulalis et d’autres especes alpines, a les ailes plus courtes, coup6es droit a la marge et par cons@quent plus aigues au sommet. 58. Sophialis. Fab. Frey, n. b. 600, 4, 5 (fig. mala). 61. Clathralis. Hub. A Martigny, sur le rocher de la Bätia, en juillet. Dans le Haut-Valais; environs de Viege (Meyer). 64. Numeralis. Hub. Son existence en Suisse est douteuse; sous ce nom se cache probablement de- erepitalis ou olivalis var. leucophaealis, Hub. 64.b. Decrepitalis. Fisch. v. Rösl. Hub. revis. Nr. 126. — Hub. sup. f. 67, 68. — Guen. hist. t. 8. Nr. 519. — Heyden. C. 64. Rare dans nos Alpes. Je lai regue de Mr. Ott A Meyringen. La femelle est par- fois presque entierement blanche et sans dessin. Le mäle ressemble quelque peu & oli- valis; mais ses ailes acumindes l’en distinguent sur-le-champ. Le point discoidal des postörieures est aussi double. Aux m&mes ailes la bande brune marginale est moins bien determinee. 64.c. Elutalis. W. V. Hub. sup. f. 16. — Fisch. v. Rösl. 92. f. 1. — Heyden. C. Nr. 105®. — Staudinger Cat. Nr. 190. Albidalis. Hub. 118. Lutealis. Haw. Institialis. Curt. — Steph. Aetialis. Guen. — Dbl. Haut-Valais; environs de Viege; assez commune, fin de mai 'et commencement de juin (Meyer-Dür). 68. Olivalis. W. V. Je n’ai pas encore rencontre des individus qui se rapprochent de la figure 61 (um- bralis) de Hubn.: tous ceux que jai vu sont beaucoup plus marques de blanc. ll serait ä souhaiter que nous eussions enfin une bonne figure de cette espece, qui reproduisit lun de ses caracteres essentiels, deja not& par Fabricius et par Haworth, celui de porter deux points cellulaires aux inferieures. 69. G. Eudorea. Curt. — Dup. (Scoparia. Haw. — Gu£n.) Jai du revoir completement et a plusieurs reprises ce genre difhicile et dont la synonymie devient de plus en plus embarrassee. J’ai publie dans le journal entomolo- gique suisse (Mittheil. der schweiz. entomol. Gesellschaft, Nr. 4) un synopsis des es- peces europeennes, auquel je renvoie les entomologistes embarrasses. 70. Centuriella. W. V. Corrigez aux synonymes l’erreur suivante: Numeralis. Zetters. 11. Ambiguella. Treit. Je n’ai pas vu de vraie ambiguella avec la tache en x ombree de fauve; ces in- dividus-la appartiennent ou a ingratella, et ils ont alors le sommet moins aigu qu'ambiguella, ou a mercurella qui a laile plus large. Atomes gris de fer, fond bleuätre. 73. Manifestella. H.-S. f. 104. Graecella. Gn. — Cembrae. Haw. Steph. — Zelleri. Wocke. Un exemplaire pris dans les Sous-Alpes d’Aigle et d’autres provenant des environs d’Olten (Rothb.), me permettent d’asseoir son diagnostic. La taille est plus forte que celle d’ambiguella; le fond päle et grisätre est sur- charg& d’atomes roux; la tache en x est ä peine ombr&e de la m&me couleur, parfois m£&me elle disparait; les deux autres sont effac&es. La ligne transverse interne est ar- quee, l’externe, tres oblique, est brisee dans son milieu et peu denticul&e; l’une et l’au- tre ä peine bord&es de clair. Sommet aigu; marge droite, fort peu oblique. La taille, la simplieit@ du dessin et la teinte generale rousse la font aisement distinguer. 74. Asphodeliella. Man. De nouveaux individus en petit nombre, il est vrai, sont venus confirmer mon dia- gnostic. Facies et taille dambiguella; atomes roux; fond blanc pur; marge coup&e carr6- ment; sommet arrondi; taches ombrees de jaune; large bande rousse, unie, sur le troi- sieme espace. 15. Phaeoleuca. Zell. Lm. 1846. — H.-S. f. 204. Sciaphilella. Faune helv. Nr. 75. Mr. Rothenbach l’a retrouv@e sur les bords du lac de Bienne, au-dessus de Thouanne, appliqu&e contre les rochers; du 17 juin au 13 juillet. 76. Mercurella. Znk. — Tereit. — H.-8. f. 108. Pas toujours facile a distinguer dingratella et de conicella; il faut ici s’en tenir aux individus bien frais. 76.b. Conicella. Lah. En parlant de mercurella (faune suisse) jai dit que chez certains individus la bande moyenne se retrecissait beaucoup vers le bord interne. Ces individus, provenant du pied des Alpes d’Aigle, n’etaient pas fort bien conserves. Depuis lors jjai pu en ob- tenir de tres frais et jy ai reconnu une espece distincte. Il suffit de la differencier de mercurella a laquelle elle ressemble pour la taille et le dessin. Dans conicella la cöte est droite dans ses 3; internes, dans mercu- rella elle est ceintree. La bande moyenne de la premiere a la figure d’un entonnoir par le fait du rapprochement des lignes du cöt@ du bord interne. On peut ajouter que conicella a les atomes fauves tandiıs que sa voisine les a le plus souvent gris, et qu’enfin le troisieme espace est stri& longitudinalement de traits noirätres qui sont rares et rarement marques dans l’autre espece. 7%. Ingratella. F. v. R. — Zell. Linn. p. 283. £. 5. Cette espece est bien suisse, seulement elle est difficile a distinguer. Elle se place entre dubitalis d’une part et les petits individus de mercurella de l'autre. Espece a etudier sur les exemplaires suisses qui paraissent differer de ceux d’Au- triche: Sous-Alpes de l’Oberland, etc. 6 — due 78. Octonella. Zell. Isıs 1839. Parella. H.-S. f. 119, 120 (non 100, 101, 102). Hautes Alpes de l’Engadine et du Haut-Valais. Juillet. Jai deja dit qu'il importe de restreindre cette espece aux figures 119 et 120 de H.-S. si l’on veut sortir de la confusion qui existe sur ce point et la distinguer une fois de valesialis. J'ai vu trois exemplaires, un mäle et deux femelles. L’une des femel- les est sensiblement plus grande que l'autre. La teinte du fond est le blanc enfume, tirant sur le brun. Cette teinte est telle- ment recouverte de noir (surtout chez la femelle) quelle n’apparait qu’en dedans de la premiere transverse, en dehors de la deuxieme et clair-semee sur l’espace marginal. Les trois taches du disque disparaissent ordinairement sous les atomes noirs. — L’es- pace moyen, assez large, forme un coude prononce au milieu de son bord externe; ce dernier est finement denticule. — La frange est d’un blanc enfume et precedee d’une serie de points noirs. L’aile anterieure est etroite comme celle dambigualis, avec la cöte presque droite; son sommet est sub-aigu et sa marge sensiblement oblique. La femelle a cette aile plus aigue au sommet et parlois plus courte et plus £troite, coup£e plus obliquement, avec les deux points internes bien marques, comme dans su- deticella ?. Les ailes posterieures sont d’un gris fonc& avec la frange jaunätre. — Le dessous est uniform&ment gris ardoise, luisant et porte l’ombre d’une bande plus claire vers ses 2/, externes. La tete, les palpes et le corselet sont noirs semes d’@cailles blanchätres; les palpes accessoires, tres visibles, forment un pinceau blanc a l’extremite. L’abdomen en-dessus est brun, annel@ de blanchätre. 78.b. Imparella. Lah. Cingq exemplaires de la haute Engadine; quatre mäles, une femelle. — On pourrait peut-Ötre lui appliquer la figure 101, H.-S., parce que le dessin ressemble a celui de valesiella (muranella); je prefere cependant le reserver pour cette derniere, repan- due en Allemagne sous le nom de parella. Il faut avoir sous les yeux plusieurs individus frais pour la distinguer soit d’oc- tonella, Zell., soit de murana v. valesiella. La femelle, plus petite, avec le sommet des antsrieures plus aigu, ressemble a celle de sudeticella, n’etait le parall&lisme des deux lignes transverses chez imparella. u Differe de murana par ses ailes plus &troites et d’un bleu azur& tres prononce; la frange des anterieures est en outre presque entierement blanche. Le bord externe est sensiblement moins arrondi et plus obliquement coupe. Le dessin offre peu de dif- ferences ä part les lignes transverses plus distantes. Octonella a d’ailleurs le fond des ailes jaunätre et la bande moyenne presque entierement noire. Chez imparella, celle-ci est a peine bordee de bleuätre de part et d’autre, et son bord externe tres denticule, forme, non un angle, mais un sinus court et prononce. Ailes &troites, allongees, terminees en biseau. Dessin peu saillant; des trois espaces, le moyen fortement saupoudr& d’atomes gris de fer, se detache en fonce sur les deux autres qui sont d’un gris bleuätre. Une tache triangulaire noirätre. au mi- lieu du bord externe. La tache en & circonserit parfois deux petits points blancs; les deux taches internes, punctiformes, bien visibles, isolees et &loignees de la ligne interne. Posterieures gris-bleuätres, un peu enfumees au sommet. Dessous uniformement gris- perle. 80. Muranella. Curt. — Stph. Delphinatalis. Gu£n.! Valesialis. Dup. 229, 3. Parella. Zell. — Guen. — H.-S. f. 101, 103. J’ai dü comparer un grand nombre d’exemplaires provenant de diverses contr&es de l’Europe pour parvenir a definir nettement cette espece qui se trouve confondue dans les collections avec toutes celles de sa taille qui s’en rapprochent pour le dessin. C'est elle qui est habituellement vendue par les marchands de Vienne sous le nom de pa- rella, Zell. Elle presente trois varietes passant les unes aux aufres par tous les intermediaires possibles. Sa taille varie quelque peu et se montre surtout developp@e chez la var. valesialis, Dup. (non Zell.). Dans le nord elle est parfois d’un tiers plus petite. La coloration grise ou noire varie A tous les degres et par sa teinte et par son abondance. Le dessin et la coupe des ailes restent identiques. Lorsque le fond blanc-bleuätre n’est recouvert que de quelques taches grises et reste partout bien visible, elle fournit la var. delphinatalis, Guen., qui se retrouve sur les päturages meridionaux de nos Alpes et avait &t& recueillie par Mr. Gu&nee dans les environs de la grande Chartreuse. — Parella des marchands de Vienne et murana des =. Mu Anglais s’appliquent generalement aux individus bien recouverts de gris de souris ou de gris de fer. Ce sont les plus frequents dans nos Alpes. Dans celles de Norwege et de l’Allemagne orientale le gris passe au noir. Dans nos hautes Alpes du Valais et des Grisons le gris devient noir pur, ce qui rend d’autant plus saillant le pointille et les lignes claires d’un blanc-bleuätre, ainsi se forme valesialis, Dup. La denomination anglaise etant la plus ancienne doit prevaloir; celle de Dup. appli- quee A octonella, et parella ätrois ou quatre autres, doivent disparaitre. 82. Pallida. Stph. — Wood. La d&nomination anglaise, plus ancienne, doit &tre preferee a celle bien plus barbare de H.-S. 83. Vandaliella. H.-S. 157 (Pyral.). Resinella. Guen. Hist. t. 8. Nr. 563. ! Synonime determine par un individu regu de Mr. Guenee lui-m&me. 83.b. Laetella. Zell. Linn. p. 298. £. 8. Hub. sup. f. 115. — Gu£n. hist. t. 8. Nr. 560? — Heyd. C. 116. Albatella, Fisch. v. R. — Heyd. C. 119. Jai collect@ cette jolie espece au milieu de l’&t€ dans les bois de sapin au-dessus de Lausanne. Mr. Wullschlegel l’a prise dans les environs d’Olten. On ne peut la confondre qu’avec vandaliella dont elle est tres voisine; mais sa blancheur franche et ses taches moins nombreuses, d’un noir pur, la font bientöt recon- naitre. Tres differente de crataegella päle; celle-ci conserve toujours un fond sable de gris, a la deuxieme ligne inflechie sur deux points et non en forme de sinus unique, ne porte pas de points blancs en avant et en arriere de la tache en z, et enfin a la frange divisee et grise. 85.b. Petrophila. Standf. Std. E. Z. 1848. Vesuntialis? Guen. hist. t. 8. n. 551. Erralis? Guen. id. id. Taille et facies de dubitella, sans trace de fauve et avec les ailes un peu plus etroites. Fond blanc-azure; dessins gris de fer. Cinq exemplaires pris par Mr. G. Le- resche dans les environs de Ste.-Croix. Cöte presque droite; bords externe et interne legerement arrondis; sommet ä peine obtus. Espace basilaire blanc-bleuätre; articulation marque@ de noir; premiere ligne droite, formant un angle vif, dans son milieu, du cöte de la racine de l’aile. Espace moyen fortement recouvert d’atomes gris-noirs; sur lui se dessinent en noir: 1° les deux taches internes punctiformes; l’anterieure parfois legerement pupillee; 2° les nervures sous forme de reticule longitudinal; 3° la tache en x souvent marquee d’un point blanc. — La deuxieme ligne finement denticulee et simplement coudee, se dirige du point de cour- bure directement et obliquement vers le bord interne. Troisieme espace comme le pre- mier; une ombre noirätre, elargie a son milieu, occupe toute la longueur de la marge; les nervures sont ici marquees en gris. Frange blanche, luisante, plus ou moins entre- coupee de gris et divisee pres de sa racine par un trait noir entrecoupe de blanc. — Inferieures enfum&es en-dessus, luisantes, marqu&es d’une trace transversale peu visible et d’une ombre fonc&e sur le bord. — Dessous entierement gris-roux, uni, luisant, plus fonce aux superieures. — Femelle semblable au mäle ou un peu plus petite avec l’ovi- ducte saillant. Cette description est prise sur les individus de notre Jura. Les exem- plaires de petrophila, communiques par Mr. le Dr. Wocke, different des nötres par leur dessin tres charbonne sur toute la surface de l’aile. 86. Aneipitella. Faune suisse. Trunecicolella. Staint. J’ai vu plusieurs individus des deux sexes, tous identiques. Elle se rapproche d’am- biguella et des grands individus de crataegella; on la prend aisement pour la pre- miere eflac&e; mais elle en differe 1° par son fond grisätre uni, sur lequel ne se des- sinent que les deux lignes, les trois points et une ombre de tache marginale; 2° par sa cöte egalement ceintree; 3° par l’ombre fauve et legere de la tache en x; 4° par l’es- pace moyen plus £largi, tandis que le terminal est plus £troit; 5° par ses anterieures sensiblement plus larges; 6° par les posterieures pellucides, päles, sans traits, ni verge- tures. La frange, blanchätre, est divisee par un trait gris. La deuxieme ligne transverse, denticul&e, forme une courbe uniforme a convexit@ externe. Tout l’animal est frele et delicat, ce qui seul le fait distinguer de manifestella. Sa ressemblance avec cra- taegella lorsqu’elle est fonc&e et de grande dimension, a fait penser que ce pourrait bien &re la mercurella de Lin., ce qui nous importe assez peu maintenant. Sr 88.b. Uliginosellus. Zell. Bresl. Zt. 3. f. 8. Jai trouve cette espece assez abondante dans les marais d’Aigle, au bord du Rhöne, vers le milieu de juillet, en m&me temps que pascuellus, et melde avec lui. La comparaison d'un nombre suffisant d’exemplaire m’a convaincu de ses droits a for- mer espece A part. Aux caracteres deja indiques il faut ajouter : 1° Une taille constam- ment inferieure ä celle de pascuellus avec les ailes proportionnellement plus larges; 2° les inferieures plus blanches et d’un blanc de lait enfume; le mouchet anal du mäle de la m&me couleur; 3° le bord externe des sup£rieures a peine infl@chi dans son mi- lieu; Ja portion anterieure de ce bord est beaucoup moins saillante que dans pascuel- lus et la postörieure est moins arrondie; 4° entre la ligne bris&e ant@marginale et la marge, n’existe pas d’espace bleuätre sur lequel se dessinent les points marginaux; ceux- ci places sur une bandelette jaune ou blanche, sont plus gros, plus saillants et rappro- ches de la ligne ant@marginale; 5° la moiti@ interne de cette derniere ligne legerement arquee et non droite; 6° enfin, la bande longitudinale, argentee et ensiforme, plus large, touche a la cöte dans sa moitie interne. Dans pascuellus elle sen rapproche insensiblement et n’atteint la cöte qu’a sa base. Les teintes sont generalement plus päles que dans pascuellus. La femelle ne differe pas du mäle. Le papillon voltige toujours au milieu des jones et des graminees. Par l’extremit& des anterieures il se rapproche extrömement de pratellus et par sa bande argentee et pure, de pascuellus. La femelle de pratellus, lorsqu'elle est blanche, se rapproche beaucoup d’uligi- nosellus; mais ses posterieures sont noirätres et sa bande ensiforme marquee en long d’un ou deux traits bruns. Cette bande porte souvent une trace fauve dans uligino- sellus, tandis que dans pascuellus elle n’en a aucune. 92.b. Scirpellus. Lah. Je n’ai pu collecter jusqu'ici que trois individus, un mäle et deux femelles, appartenant a cette espece tres rare dans la localit@ m&me qu'elle habite. Les marais d’Aigle, en juin et juillet, avec pascuellus, uliginosellus, cilialis, aureliellus, etc. Il est aise de la caracteriser en la comparant a pascuellus d’une part et a hor- tuellus de l'autre; les anterieures sont terminees a la maniere de la premiere; le disque reproduit celui de la deuxieme, mais‘ l’aile est plus &troite et plus allongee. Taille 25””. Voici du reste sa description. mm Tete, corselet et palpes de couleur gris-jaunätre, avec des reflets m£talliques sem- blables a ceux du laiton poli. — Palpes vrais, aigus, allonges, recourb&s l&gerement en- dessous, deux fois plus longs que la tete, recouverts de longues £cailles, subul&es. Pal- pes accessoires de moitie plus courts, formant un mouchet securiforme, appliques sur les precedents. Antennes setiformes, brunätres, lisses dessus, a peine pubescentes en- dessous. Ailes anterieures &troites, allongees, tres lisses, brillantes, d’un jaune me&lange de gris avec des stries metalliques couleur de laiton. La cöte est presque droite dans ses 3/, internes et recourb@ee legerement vers le sommet. Le bord externe porte une echancrure prononcee a angle vif. Le bord interne est presque droit, arrondi vers la base. Sommet tres aigu. Angle anal tres arrondi. Le disque, sur un fond olivätre clair, porte un grand nombre de lignes costales disposees en @ventail, a @clat metallique plomb& et bordees d’ecailles noires pres de leur extremite. La couleur fauve du fond n’apparait qu’entre les lignes costales. Le long de la cöte se voit une bandelette longi- tudinale de la couleur des nervures, qui remplace la bande nacree de pascuellus. La ligne transverse antemarginale est coudee brusquement, a angle presque droit, en re- gard de la cellule: sa teinte est plombee, metallique. Sa moilie anterieure limite un triangle fauve sur lequel est inscrit une ombre brune, plus ou moins marque et en forme de V. Cette ombre s’appuie en dehors sur un petit trait blanc qui la separe de la frange; en dedans sur un trait fauve. La moiti& posterieure de cette ligne est separ&e de la frange par un espace demi-£eliptique, gris, pointille de noir, bord& de fauve, sur lequel se dessinent trois a quatre points noirs, allonges et nervulaires. La frange, jaune de laiton tres brillant, porte un petit trait blane a sa limite, le long du triangle apical. Les anterieures sont en-dessous entierement d’un gris enfume, avec la frange plus elaire, d’un gris mel& de fauve. Inferieures grisätres des deux cötes en dehors, blanchätres en dedans, avec la frange d’un blanc säle. Abdomen entierement gris-fauve; mouchet anal plus clair. Palpes ordinaires. 96.b. Aureliellus. Fisch. v. R. t. 89, 1. Hub. revis. Nr. 176. — Heiden. Nr. 77. J’ai collecte quatre individus appartenant a cette espece, deux femelles au mois de juillet 1860 et deux mäles, en juin 1861 et 1862, les uns et les autres dans les marais d’Aigle ou elle est rare. A en juger d’apres mes exemplaires les figures de Fischer v. 2 Rösl. ne sont pas completement exactes; le mäle, fig. 1, a, est trop nuanc& de fauve, il a les anterieures coupees trop carr&ment au sommet et les antennes capillaires: la femelle fig. 1, ce (aussi bien que le mäle), porte les deux lignes transverses trop rap- prochees; interne est lögerement arquee, presque droite; l’externe forme un coude tr&s prononce A ses %3 anterieurs et un sinus pres de langle anal. Les ailes sont un peu plus &troites et la tache des inferieures, sur le mäle et sur la femelle, plus fonc&e. Cette tache est form&e par un bouquet de poils fauves legerement souleves. 103. Rorellus. Lin. Il n'est point prouve que cette espece existe r&ellement en Suisse. Les exemplai- res de Mr. Rothenbach appartenaient a angulatellus. 110. Myellus. Hub. Jai regu de l’Engadine une variete d’un brun-verdätre fonc& qui ne se distingue des autres que par ce caractere. Le bord interne sur lun des individus, porte une bande- lette blanche qui partie de la racine de laile, s’eteint avant son milieu; cette bandelette est divis6e, par une tache de la couleur du fond, en regard de la premiere intersection de la bande centrale. 112. Luctiferellus. Hub. 324. Treit. — Her.-Schf. Nr. 209. Lorsque j’enregistrai cette espece je n’avais sous les yeux que luctuellus, H.-S., f. 21, dont un seul exemplaire, un peu plus nuanc& de blanc, se rapprochait de la figure de Hubner, sans cependant &tre identique. Des lors jai pu me procurer plusieurs exem- plaires du vrai luctiferellus. Il existe &videmment ici deux especes distinctes. Luctiferellus porte, sur un fond brun-noir, les taches blanches beaucoup plus grosses et plus nombreuses, dessous et dessus. On rencontre des luctuellus qui ont les taches medianes plus developpees: mais en-dessous le blanc n’apparait qu’en l&ge- res teintes, vers le sommet des inferieures. La frange blanche, ou blanchätre, des infe- rieures, le sineiput et le dessus des palpes de la m&me couleur, le blanc plus ou moins saillant du dos, la distinguent encore mieux de luctuellus. Cette espece paralt, en Suisse, plus rare que luctuellus; elle habite aussi les hau- tes Alpes centrales. Sa taille est volontiers un peu plus forte. Les exemplaires tres marques de blanc en ont parfois des vergetures sur les post£rieures. Simplonellus Dup. n’appartient ni a cette espece, ni a la suivante. EA, = 112.b. Luctuellus. Hub. sup. f. 21. Dup. 270, 4. Luctiferellus, var. Treit. Heeriellus, Heyd. ined. Cacuminellus. Zett. Le fond brun-noir de cette espece est ordinairement melange de nuances fauves, surtout le long de la marge. La frange des anterieures est parfois entrecoupee de pe- tits traits blancs et limitee de la m&me maniere. Aux inferieures les franges ne sont jamais blanches; le dessous est quelquefois nuanc& legerement de cette couleur. Jamais de trait blanc sinueux le long de la marge aux memes ailes en-dessus, comme on en rencontre parfois dans luctiferellus. Tete, palpes et corselet bruns ou gris-fonce. 113.b. Fulgidellus. Hub. 365. 366 (265, 266). Treit. — Dup. 272, 2. — Hub. revis. Nr. 211. Recueillie en Suisse. M. Benteli m’a presente un individu pris sur la Gemmi. Fulgidellus se distingue de radiellus, avec lequel seul il est possible de le confondre, par la teinte d’un brun pur; par la ligne longitudinale fortement dentel&e en scie en arriere, accompagnee de deux autres plus petites tres nettes; par la frange brune divis6e en deux nuances et entrecoupee nettement en regard des lignes argentees; par le bord externe arrondi, coup& plus carr&ment, avec le sommet moins aigu; enfin, par les posterieures blanchätres avec des vergetures brunes vers le sommet. 114.b. Furcatellus. Zett. ins. lap. Laponicellus. Dup. — Guen. Radiellus. Curt. — Steph. — Wood. Radiolellus. H.-S. f. 4. Cette espece que jai regue de Mr. Mann sous le nom de Ledereriellus, prise en Tyrol, se collecte aussi dans l’Engadine, ou elle n'est pas tres rare. Plus petite que radiellus. T£te, palpes, corselet, ailes sup£rieures d’un brun-rougeätre fonce. Ligne longitudinale elargie a son extremite, digitee, d’un blanc sale. Franges, ailes posterieu- res, dessous des quatre ailes et abdomen, gris-fone@ un peu rougeätre. La figure de Hubner sup. a si mal reussi sur l’exemplaire de l’ouvrage que j’ai consult@ qu’il n’est pas possible de constater l'identite. 116. Deliellus. Hub. L'indication de Mr. Zeller, de Zurich, est erronee; lindividu signal@ se rapporte a tristellus. — En retour j’ai trouv@ cette espece assez abondante sur les collines ari- des et tr&s chaudes des environs de Sion, en septembre. Comme elle est mal deecrite dans Treitschke et ordinairement confondue avec la var. paleella (Hub. 51) de tris- tellus, il est bon d’indiquer ses caracteres distinetifs: Deliellus est d’un jaune-paille pur, jamais teint@ de jaune-souffre, ni d’orange. — Sa cöte est constamment droite ou möme legerement concave ce qui fait paraitre l’aile plus etroite. Ses nervures blanches sont de moitie plus tenues que celles de tristellus. Les points de la marge peuvent manquer dans lune et l’autre espece. Deliellus ne porte jamais de deuxieme raie transverse a peu de distance du bord externe. 120. Rostellus. Faune helv. Mr. de Heyden m’£crit que cette espece existe aussi dans l’Engadine, oü il la col- lect&e. Mr. Herrich-Schäffer la figuree plus tard sous le nom de monochromellus (Hub. sup. f. 164. Pyral.). La teinte de cette figure est trop päle et trop grise. 121.b. Zinckenella. Treit. XL 1. Zell. Is. 1846. — Hub. revis. Nr. 230. Etiella Treit. X. 3. — F. v. Rösl. t. 29. — Dup. sup. 278, 5. Cette espece meridionale a &t@ prise dans le Haut-Valais, a Viege, par. Mr. Meyer- Dür. 123. Perfluella. Zinck. Mr. Rothenbach a collect@ cette espece dans les environs de Schüpfen. Ses indivi- dus sont plus rouges que la figure de Hub. sup.. surtout a la base de laile. 129. Palumbella. W. V. Un tr&s grand individu sur les Alpes de Bex, en juillet, a 5000‘. 137. Germarella. Dup. Modifier les synonymes : Melanella. Treit. (non Dup.). = = 139. Melanella. Dup. sup. t. 60 (non Treit.). Je l’ai recue de Ste.-Croix, recueillie par Mr. G. Leresche. 14. Aethiopella. Dup. Cat. Que n’a-t-on laisse de cöt® les errements de Duponchel a l’occasion de cette es- pece si mal figuree et si imparfaitement decrite, dans son ouvrage, qu'il est impossible, sans recourir A d’autres sources, de dire s'il avait devant les yeux celle-ci ou sa voi- sine alpicolella, Zell. Jai m&me lieu de croire que lorsqu'il deerivit son Ennychia monspessulalis il avait devant lui cette derniere espece et qu'en l’appellant plus tard Phycis aethiopella il entendait par la celle a la quelle nous conservons cette denomi- nation. Aethiopella, auquel on aurait dü conserver la designation d’helveticella donnee par Zell., habite exclusivement, parait-il, les hautes Alpes. Elle se distingue bien moins par le dessin du dessous des ailes que par sa teinte gris-noirätre, visible surtout aux inferieures. Ses ailes sont plus spatulees, plus etroites a leur extr&mite. La deuxieme ligne transverse decrit un sinus tres visible dans son milieu. Mais ce qui la caracterise surtout est l’existence, sur les individus frais, de poils d’un beau violet, disperses sur le disque des superieures, sur le corselet, a l’extr&emite des palpes et surtout a l’exterieur des tarses. Alpicolella presente quelquefois des £cailles de la m&me couleur sur le disque des ailes, mais jamais sur les tarses. 144.b. Alpicolella. Zell. Isıs. Hub. sup. f. 50, 51. Habite de preference les expositions rocailleuses et chaudes des Alpes valaisannes. Mr. Staudinger l’a rapportee d’Espagne. - Les inferieures sont d’un noir fuligineux fonce. Leur frange est grise, emarginee de blanc et quelquefois entierement blanche a l’exception d’un filet noir a leur base. Les superieures ont le troisieme espace (terminal) noir-uni et pur, les deux transverses in- certaines et le disque sem& de petites @cailles blanches, arrondies, formant un vrai tapis perle. Jamais d’ecailles violettes sur les antennes, les palpes et les tarses comme sa voisine. 145. Cinnamomella. Dup. Assez frequente dans les lieux chauds, surtout au premier printemps. Le Maure- mont; les vignes de Lavaux et d’Ollon. Bienne, dans les lieux sees: premier juillet; Schüpfen : 24 septembre (Rothb.). 157. Cribrella. Hub. Au pied de la montagne A Villeneuve. 158. Flaviciliella. Man. Zell. — H.-S. Zusätze p. 148. f. 144. Collection Rothenbach. — Recue aussi de l’Engadine. Gen. XXIV.b. Anerastia. Hub. — Zell. 164.b. Lotella. Zinck. Treit. — Dup. 283, 6. — H.-S. f. 90—92. — Zell. Is. 1848. — Staud. Cat. Nr. 534. Miniosella. Zinck. — Steph. Pulverella. Hub. 454. Recueillie par Mr. Benteli dans les environs de Berne. Toujours rare. 165.b. Interpunctella. Hub. 310. Dup. 60, 280, 5. — Hub. revis. Nr. 359. — Heyd. Cat. Nr. 161. Prise dans les environs d’Olten par Mr. Wullschlegel. — Excessivement frequente dans les magasins de droguerie a Lyon, ou sa larve d@vore les fruits secs. 1 ao vım ww 1 des Pyralidides et des CUrambides I. Pyralidides Aglossa. Gatalogue synoptique Faune. Suppl. . Pinguinalis . - Cuprealis Asopia. . Farinalis . . Fimbrialis . Glaueinalis Pyralis. . Brunnealis . Angustalis II. Crambides. Cataclysta. . Lemnalis. Duponchelia. . Cilialis Tegostoma. . Comparalis . . Straliolalis . - Potamogalis . - Nymphaealis Agrotera. . Nemoralis No. 1 2. sr w sep No. ah | 10. Endotricha. Faune. Suppl. 8. Flammealis . 11. Stenia. . Carnealis Punctalis . Cynaeda. Dentalis Hercyna. . Atralis . Pollinalis . . Pyrenaealis . . Rupicolalis 6. Holosericealis . 7. Alpestralis . . Andereggialis . . Helvelicalis . 20. Gonspurcalis Botys. . Nigralis 2. Albofascialis . Anguinalis . Cingulalis . Vittalis - Octomaculalis . - Punicaealis . - Porphyralis . No. - [2 10. No. Ä 40. SUISSEeS. Faune. Suppl- No. No. . Purpuralis . v. Coceinalis . v. Puralis . v. Ostrinalis . Caespitalis . Sanguinalis . 2. Aenealis . 3. Rhododendronalis . Murinalis . Literalis . . Urtiealis . . Repandalis . Terrealis . . Fuscalis Deceptalis . . Pulveralis . Crocealis . Citralis . Flavalis . Hyalinalis 5. Pandalis . . Verticalis . Lancealis . Sambucealis . . Stachydalis . . Verbascalis . . Rubiginalis . 53. Silacealis . Praetextalis . . Alpinalis . 25. Faune. Suppl. - Monticolalis . - Polygonalis . 58. Manualis . SI ST ST SI 1 no ve SD —- be N 1 1 92. . Nebulalis . Donzelalis Aerealis . 2. Margarilalis - . Stietiealis . Stramentalis . Sophialis . Forliealis . . Cinetalis . ;8. Clathralis >59. Palealis . Ferrugalis . Numeralis - Decrepitalis . Elutalis . Prunalis . . Cyanalis . . Pascualis . . Olivalis Stenopteryx. . Hybridalis Eudorea. . Centuriella . . Ambiguella . . Perplexella . - Manifestella . Asphodeliella . Phaeoleuca . . Merecurella . Conicella . Ingratella . Octonella Imparella . Sudeticella . Muranella Pallida . . No. = _— o > GI I or or 1 u - u - - ER=SS 64. 49. =) Ex No. 50 Faune. Suppl. No. No, 93. Vandaliella 3 — 94. Laetella — 83» 95. Crataegella 4 — 96. Dubitella 85 — 97. Petrophila . _. 85» 98. Ancipitella 86. 86. Chllo. 99. Forficellus . 87. — Crambus. 100. Pascuellus . 88 — 101. Uliginosellus . —. 88» 102. Dumetellus 89 — 103. Pratellus 0. — 104. Adipellus A. — 105. Lucellus 92. — 106. Seirpellus . —. 92» 107. Hortuellus . 93 — 108. Saxonellus . A. — 109. Alpinellus . 3 — 110. Gerussellus % — 111. Aureliellus —. 96+ 112. Inquinatellus . 97. — 113. Angulatellus 98, — 114. Culmellus 99. — 115. Falsellus . 10. — 116. Verellus . .101. — 117. Chrysonuchellus 102. — 118. Rorellus . 103. 103 119. Taeniellus . . 104. — 120. Aridellus . 105. — 121. Margaritellus . . 106. — 122. Pinetellus . 107. — 123. Mytilellus . 108. — 124. Conchellus . .109. — 125. Myellus . . 110. 110 126. Speculellus 111. — 127. Luctiferellus . 112. 112 128. Luctuellus . er iar 129. Pyramidellus . . 113. — 130. 131 132. 133. 134. 135. 136. 137. 138. 139. 110. 11. 142. 143. 1414. 145. 146. 147. 148. 119. 150. 151. 152. 153. 151. 155. 156. 157, 158. 159. 160. 161. Faune. Suppl. No. 0. Fulgidellus —, 113» Radiellus ‚1A. — Furcatellus oki 44 Tristellus .115. — Deliellus . 116. 116 Selasellus . ar, — Luteellus . 118... — Perlellus .119. — Rostellus 120, 420 Lythargyrellus . 121. — Pempelia, Zinckenella —. 121’ Garnella 122. — Perfluella 123. 123 Subornalella . 124. Adornatella 125 Ornatella 120 — Obducetella . 127. — Carbonariella . 128, . — Palumbella . 129. 129 Nephopteryx. Abietella 130. — Roborella 431,4 — Rhenella 132. — Janthinella . 133. — Argyrella 134. — Hypochalcia. Auriciliella 135. — Dignella 136. — Germarella 137. 137 Ahenella 138... — Melanella . 139. 139 Lignella . 140. — Zophodia. Ripertella . 14. — CGompositella . . 142. — Faune Suppl. Asarta. No. 162. Alpicolella . . 143. 163. Aethiopella . 144. 164. Helveticella —. Ancylosis. 165. Cinnamomella . 145. Trachonitis. 166. Cristella . 146, Myelois. 167. Rosella . 147. 168. Luridatella . 148. 169. Legatella 0149, 170. Advenella . . 150. 171. Suavella 151: 172. Terebrella „52% No. 144 ua» | 145 — 55 Faune. Suppl. | Acrobasis. No. 173. Tumidella . 153: 17%. Rubrotibiella . . 15%. 175. Consociella 61553 Nyetegretis. 176. Achatinella . 156. Homaeosoma. 177. Cribrella 24374 \ 178. Flaviciliella sl 179. Ceratoniella 159: | 180. Obtusella . 160. 181. Binaevella . 164° | 182. Convolutella 162: 183. Boisduvaliella . 163. 184. Sinuella . . 164. 0. | Anerastia. No. 185- Eotella rasen Ephestia. 186. Elutella . 165. 187. Interpunctella — Achroea. 188. Alvearia . 166. Melissoblaptes. 189. Anellus . 167. Aphonia. 190. Colonella . 168. Galeria. 191. Mellonella . . 169. Faune. Suppl. No. 161» 165° PREMIER SUPPLEMENT AUX LEORTREOFDES DE LA FAUNE SUISSE. (Voir: Nouveaux M&moires de la Societe suisse des sciences naturelles; Tome XVI. p. 9.) 2. Abildgaardana. Fah. Jai recu de Mr. L. Couleru une famille entiere de cette espece dont il avait fait l’education. La forme ordinaire (Hub. 55) &tait de beaucoup la plus nombreuse et variait sur- tout par la puret@ plus ou moins marqu&e du blanc de l’espace basilaire et par la cou- leur plus ou moins fauve ou brune de l'espace terminal. La forme nycetemerana (Hub. 240) comptait quelques repr6sentants dont l’espace basilaire etait fauve. Un seul individu mäle representait la var. permutatana, Dup. avec cette diffe- rence que toutes les portions claires @taient d’un roux fauve, sur lequel se dessinaient en brun-noir, la tache interne et la tache costale; celle-ci semblable, pour la forme, a celle d’erutana, H.-S. Une vari6t& plus curieuse encore, et linverse de la derniere, a “t@ prise a Olten par Mr. Wullschlegel. Les ailes anterieures sont d’un noir velout@ avec des reflets vio- lets et de nombreux points d’un noir mat. Une petite tache rouill&e existe a l'angle anal et une grande tache triangulaire, tronqude en arriere, d’un beau blanc-jaunätre, 0C- eupe le milieu de la cöte. 2 4. Erutana. Hub. sup. f. 9, 19. Mr. Herrich-Schäffer m’&crit que tristana, Hub. 50 et logiana, H.-S. f. 24. — Hub. 64, ne sont que des varieies d’erutana. Tristana doit donc disparaitre de notre catalogue. Cette fusion met un terme a un desordre qui allait croissant. 9. Ferrugana. W.\. Je dois ajouter que les anterieures chez cette espece sont plus ou moins röticulees et portent volontiers un point noir au dessus du centre. Sur cing individus de Iythar- gyrana je nai pu decouvrir ni röticule, ni points. Au lieu d’asperana lisez: adspersana. 10. Adspersana. Hub. Mr. G. Leresche a pris la femelle dans les environs de Ste.-Croix; elle reproduit parfaitement la figure 406, Hub. sup. — L’Engadine. 3. Pilleriana. W.\. Abonde, en juillet, dans les buissons de ronce, au bord des vignes, a Ollon, et ce- pendant on n’appercoit pas trace de son passage dans les vignes elles-me&mes. 37. Ochreana. Hub. 154. Mr. Meyer l’a recueillie abondamment dans les environs de Viege (Haut-Valais). Ses individus sont semblables aux miens. Un grand mäle avait les ailes coupees plus oblique- ment et plus ötroites, la tache costale isol&e et le facies de Viburnana 9. — (est par erreur que cette espece est indiquee dans les environs de Schüpfen. 31.b. Strigana. Hub. 141. Treit. — Dup. — Fröhl. — Guen. — Hub. revis. Nr. 60. Gnomana. Mus. Schif. Vole en juin sur les pentes chaudes, parmi les taillis des environs d’Ollon (Lah.). 39. Dohrniana. Man. Steineriana. Hub. sup. f. 419. La distinetion de Dohrniana et de Viburnana est A peu pres impossible, pour le mäle; la femelle seule, fort difficile a decouvrir, est totalement difförente. Lorsqu’on 8 w—z rencontre des individus mäles A ailes troites, avec une l&gere ombre cuivr6e au centre, on peut dire avec certitude que lon a sous les yeux Dohrniana. (es exemplaires sont rares. Faut-il encore rattacher a cette espece tous ceux qui sont pointilles? En tout cas ceux dont la t&te est recouverte d'une houppe fauve, plus claire que les ailes, doivent &tre places parmi les viburnana. Il ne m’est pas possible d’en faire, avec Mr. Wocke (Catal. de Lepidopt.), une m@me espece que Lusana et Steineriana. Lu- sana a les anterieures plus obtuses et plus @troites. La tache costale, Je poli luisant des anterieures et la blancheur de la moiti& externe des posterieures distinguent sulhi- samment Steineriana. La figure 419 de Hub. sup. appartient a Dohrniana; je pos- sede des individus pareils. : a 42. Adjunctana. Treit. Recne de l’Engadine. Alpes bernoises (Rothb.). La femelle differe quelque peu du mäle; elle est plus grande, plus fauve; ses ailes sont plus retieulees et les posterieures ont une teinte unie plus fonc£e. 43. Obliterana. v. Heyd. Une femelle, que jai pu me procurer, est d’un brun-fauve luisant, plus fonce que dans la figure 361, H.-S., sans aucune trace de dessin. 46.b. Vulpisana. Frey. Hub. revis. Nr. 71. — Hub. sup. f. 34. Jai recueilli un individu mäle de cette espece dans les marais d’Aigle, en juin 1861. Sa couleur est le rouge-brun fonce; elle ne porte aucun dessin visible; on decou- vre seulement quelques retieules sur les superieures; la marge et la cöte sont de cou- leur rouille fonc&e. Les anterieures sont beaucoup moins robustes que chez heparana. 59. Rolandriana. Hub. C'est par erreur que cette espece est indiqu6e en Suisse. Fe 63. Flavana. Hub. 258 (non 15%). Hub. revis. Nr. 95. — Heyd. Cat. Nr. 120. — Dup. catal. ? Icterana. Fröhl. — Guen. ind. Intermediana. Hub. sup. — Faune helv. Nr. 64. C'est cette espece-ci et non palleana, Treit. qui se prend dans les Alpes jusqu’a 6000 pieds de hauteur, en juillet. Elle y est constamment jaune päle, avec les post&- rieures parfois entierement charbonnees en-dessus, comme dans la figure de Hubner. Je ne l’ai jamais observ&e dans la plaine. Palleana doit done disparaitre de la faune suisse pour faire place a flavana, Hub. 258, et intermediana ne peut £tre distinguee specifiquement de cette derniere, comme Vindique avec raison le catalogue de MM. Staudinger et Wocke. La r&union de flavana, Hub. 157, a palleana Treit. comme variet&, n’est pas admissible d’apres les exemplaires que jaai sous les yeux. 65. Rusticana. Treit. Je l’ai regue de Ste.-Croix (Jura), prise par Mr. Leresche, et de l’Engadine. 67. Lusana. v. Heyd. | Pas fort rare, en juin, sur les basses Alpes. Montagnes d’Ollon et du Val-d’lliers. 68. Scrophulariana. Hub. sup. Sa pr@sence en Suisse n’est point &tablie; elle ne parait &tre d’ailleurs qu’une forme de viburnana due ä la nourriture et a la provenance septentrionale, 12. Mediana. Fab. La var. aurantiana, Koll. — H.-S. f. 411 — a et& prise dans les environs de Viege par Mr. Meyer. 75. b. Dipoltana. Treit. sup. Hubn. (Tin ) f. 345. — Treit. (Tin.) — Dup. sup. — Guen. ind. — Heyd. Cat. 167. — Hub. revis. Nr. 117. Zebrana. Dup. pl. 260. Margaritana. Wood. 1121. — Steph. Mr. Rothenbach co.lecte cette espece dans les environs de Schüpfen et me la com- muniquee. 77. Tesserana. W. V. Jai recu de Mr. G. Leresche ä Ste.-Croix, la variete H.-S. fig. 327. 78. Rutilana. Hub. Le mäle differe volontiers de la femelle par ses ailes plus allongees ou la couleur rouge s’etend sur le disque aux depens des trois bandes jaunes. La premiere en par- tant de la base se reduit quelquefois a un gros point, irregulierement decoupe, qui n’at- teint pas les bords de laile. La deuxieme s’oblitere dans son milieu; elle est alors remplacee par deux points, dont l’anterıeur seul touche constamment a la cöte. La troi- sieme devient un gros point entierement cerne de rouge et de forme triangulaire. La frange reste d’un jaune päle entremele de quelques £cailles fauves, rarement limitee par un petit trait rouge. Chez la femelle les posterieures sont plus foncees et le dessous plus enfume. 79. Valdensiana. H.->. Aurofasciana. Man. — Faune suisse. Afın de ne pas confondre cette espece avec aurofasciana, Haworth, il convient d’adopter la d&nomination de Mr. Herrich-Schäffer. 32, Baumanniana. Fab. Jai recueilli dans les Alpes de Bex une variet@ qui s’@loigne completement de lu- tulentana. Liintervalle des taches brunes est entierement d’un jaune-souffre uni, sans points bruns ni retieules; les points brillants sont rares et les zspaces clairs plus etendus. 83. Deutschiana. Zett. ins. lapon. p. 981. Wocke, Catal. Nr. 747. Lutulentana. Her.-Schäf. n. Schm. f. 35. — Faune helv. Nr. 83. Je dois ä l’obligeance de Mr. Wocke un exemplaire de l’espece de Zetterstedt dans lequel je retrouve celle que j'ai deerite dans la faune helvetique, sous le nom de lutu- lentana, H.-S. — Celle de Doverfjeld (Norvege) ne differe des individus de nos hautes Alpes que par des teintes brunes plus chaudes et plus prononcees sur les bandes, qui la rapprochent davantage de Baumanniana var., cite plus haut. Dans les Sous-Alpes nous retrouvons la forme de Norvege. Ne finira-t-on pas par trouver tous les passages des unes aux autres? 85. Rubigana. Treit. Je l’ai prise dans les Alpes de Bex, en juillet, a 3500‘. 87. Rubellana. Mus. Schif. Assez frequente sur les Alpes et le Jura. La femelle est generalement plus petite et plus grise. La taille varie beaucoup. La ligne de division de la frange est tres pro- noncee, surtout vers l’angle anal. 88. Dipsaceana. Fisch. v. Rösl. Alpes de Bex, assez frequente, en juillet. Ste.-Croix (Leresche). 88.b. Richteriana. Zell. Fisch. v. Rösl. t. 40. f. 3. — Frey. n. B. 324, 4. — Hub. revis. Nr. 145. — Heyden. Cat. Nr. 679. — Wocke, Cat. Nr. 756. Ruficiliella. Wood. Un individu mäle, dans les vignes de Sion, en septembre 1862. Cette espece varie beaucoup pour la taille, a ce qu'il parait. Mr. Herrich-Schäffer trouve la figure de Fisch. v. Rösl. trop grande; j’ai sous les yeux une femelle provenant d’Angleterre qui est beaucoup plus grande quelle. L’exemplaire pris a Sion a la taille indiquee par Fischer; tandisqu’un troisieme provenant d’Allemagne est plus petit. 94. Pallidana. Fisch. v. Rösl. Jai sous les yeux un grand individu femelle, qui differe de pallidana a quelques egards. — La tete et les palpes sont fauves clair et non blanc pur. Le troisieme article des palpes plus saillant est aussi plus roux. Le fond des anterieures est jaune-souflre clair et non blanc. La racine est fortement sablee de gris. La tache dorsale est mal limitee et porte, en dedans, une trainde grise qui se prolonge du cöt& de la racine, sur le bord posterieur. La tache ante-apicale, caracteristique de pallidana, allong£e, recourbee, allant de la cöte jusques pres de l’angle anal, est ici beaucoup plus courte et composee de deux taches jaunätres, saupoudrees de gris et contigues. Le sommet est legerement rose. Les posterieures sont noirätres et fortement charbonn&es en-dessous. Est-ce encore une espece distincte ? 34 96.b. Flaviscapulana. Fisch. v. Rösl. Hub. revis. Nr. 264 (Coceyx.). — Hub. sup. f. 97. — Heyden. Cat. 711. Gilvicomana. Zell. Is. — Wocke, Cat. Nr. 779. Une femelle recueillie par Mr. G. Leresche et determine par Mr. Her.-Schäf. 9%6.c. Sanguisorbana. Hub. sup. f. 412. Se rapproche beaucoup de l’espece pr&cedente et je n’aurais pu l’en distinguer sans les individus recus de Breslau et collectes par Mr. le Dr. Wocke. Un mäle collecte aussi, a Ste.-Croix, par Mr. G. Leresche. — La figure de H.-S. est outree et peut in- duire en erreur; jai cependant sous les yeux des individus tres frais. 97. Dubitana. Hub. La figure 71 de Hubner pourrait mieux se rattacher a ambiguana qu'a dubitana. 95. Ambiguana. Treit. Je lai prise plusieurs fois dans les Alpes et l’ai regue du Jura (Leresche). La plu- part des individus ont les posterieures marbr&es et pointillees en-dessous, vers leur ex- tr&mite. 100. Roserana. Fröhl. Prise pres de Schüpfen par Mr. Rothenbach; la n’existent pas de vignes voisines. — Commence a se r&pandre dans les vignobles de la France. 103. Riguana. Treit. Recue aussi de l’Engadine, ou elle n’est point rare. N’existe pas dans les environs de Schüpfen. 104. Stramentana. Guen. Plusieurs exemplaires recueillis sur le Weissenstein par MM. Müller et Jaggy. La femelle est semblable au mäle. Chez deux individus le fond, au lieu d’etre jaunätre ou roussätre, est entiörement gris-jaunätre. Il est alors entierement couvert d’atomes et de filets gris. Sur ce fond u se distinguent cependant la tache carr&e du milieu de la cöte et la tache dechiree du sommet. L’aspect general est celui de Nematoph. pilella. Ceite espece n’a du reste aucun rapport avec albulana, Treit. 106. Diurneana. Guen. Index. method. p. 32. Bellana. Faune suisse p. 49. Penziana. H.-S. £f. 117, 118. De crainte de faire une fausse application du synonyme de Curtis, je prefere adop- ter la denomination de Guenee; quoique je ne puisse en faire autant des caracteres dis- tinetifs quiil donne a cette espece-ci et apenziana. — La figure de Hubner est trop mauvaise pour s’y arreter. Celles de Hub. sup. sont prises tres probablement sur diur- neana. Jai vu un grand nombre d’individus appartenant a cette espece-ci, venant tous des Alpes; jen ai vu un peu moins de l’espece voisine pris dans le Jura et dans la haute Engadine. De tous les caracteres indiques deux seuls paraissent se maintenir; diur- neana a le blanc des anterieures tirant sur le bleuätre, les posterieures un peu grisä- tres et les taches noirätres plus nombreuses. Dans penziana le blanc est tres pur, mat, les taches plus noires et moins nombreuses et les post@rieures blanches en-dessus. Les caracteres tires de la forme des ailes, de la taille, de la couleur de l’anus, des pal- pes, des vergetures des ailes posterieures en-dessous, sont inconstants. Si l’on fait une meme espece de Wahlbomiana et de communana, H.-S., je ne vois pas que la dis- tinction entre diurneana et penziana puisse se maintenir. 114.b. Abrasana. Dup. sup. Hub. revis. Nr. 190. — Hub. sup. f. 99. — Zell. J'ai collect@ a Sion (Valais), au mois de mai 1861, un individu repondant exacte- ment a la figure et a la description de Her.-Schäf. — Lugano (Mey.). L'intervalle des deux premieres bandes etait l&gerement indique& aux anterieures, par une nuance plus claire; quelques points noirs &taient disperses sur le disque. — Prise et &levee sur l’ombilicus dans les environs de Lyon par Mr. Milliere. 115. Derivana. Faune suisse. J'ai regu encore quelques individus appartenant A cette espe&ce qui presentaient les caracteres indiques, a part la tache jaune discoidale que je n’ai plus observee. 4 — 115.b. Uretaceana. Hub. 318. Dup. — Fröhl. — Hub. revis. Nr. 192. — Heyden. Cat. 46. Mr. Meyer a collect“ cette espece dans les environs de Viege (Valais), en juin. 118. Rosetana. Hub. 222. Mr. Wullschlegel a pris, dans les environs d’Ölten, la variet& ou l’espece, dans la- ! | quelle jjai cru reconnaitre la rosaceana, Schläg. Sa couleur est le rose vif, carmin; la cöte est marquee des crochets indiques. Jai tout lieu de la croire espece bien distincte. 119. Arenana. Faune suisse, Je Vai retrouv&e dans les marais d’Aigle, en juin, et Mr. Wullschlegel la prise dans les environs d’Olten. Sa teinte reste toujours gris fauve, sa frange rouill6e, sa taille plus petite et sa marge arrondie. 120. Maurana. Hub. M. Meyer, de Burgdorf, a collecte cette esp&ce dans les environs de Viege (Valais). Collection Jaggy. D Y\aacılaoıns $ 121. Tussilaginana. Khlw. s Se prend aussi dans le Jura. — Ste.-Croix (G. Leresche). 132.b. Antiquana. Hub. 213, 214. Guen. ind. — Heyd. Cat. 251. — Dup. cat. — Hub. revis. Nr. 209. Divellana. Hub. 339. — Heyd. Cat. Nr. 208. — Dup. Cat. Quadrimaculana. Steph. Les Sous-Alpes de Bex; en aoüt. 133.b. Mygindana. W. V. — Fab. Hub. 181. — Dup. Cat. — Heyd. Cat. 248. — Gu£n. ind. — Hub. revis. 214. — Staud. Cat. 833. Flammeana. Hub. 321. — Heyd. Cat. 180. — Dup. Cat. — Guen. ind. Cruentana. Zell. Undatana. Bullet. Mose. Formosana. Curt. Fulvipunctana. Haw. — Steph. Les hautes Alpes: l’Oberland bernois; la Grimsel; la haute Engadine, etc. a, Les figures de Hubner sont l'une et l’autre mauvaises. — La femelle a pour l’or- dinaire les ailes anterieures plus etroites, avec le bord externe plus oblique et le som- met plus aigu. En tout cas le sommet reste plus arrondi que dans arbutana. Les posterieures sont aussi plus päles que chez cette derniere, mais elle s’en distingue sur- tout par un grand nombre d’ecailles blanches, dispersees sur la moitie externe de laile. Ces £cailles sont distribuees en bordure le long des veines rouges et forment une sorte de lizer& le long de la marge, en dedans de la ligne brune qui borde la frange. Mygindana ne saurait &tre separee darbutana ä laquelle elle ressemble extr&me- ment, ni de rosetana, darenana et de rosaceana, dont elle est tout aussi voisine. La teinte violette du fond est souvent aussi prononcee a la base que sur la marge externe; le pointill@ blanc donne seul a la teinte generale une apparence plus claire. 136. Rejectana. Lah. Cette espece se place a cöt@ d’alpınana (voir 275 b). 137.b. Astrana. Guen. index. Bruand. Catal. 996. Siderana. Dup. sup. 507 (non Treit.). Cette espece remarquable se prend dans les environs de Pontarlier (Jura). Mr. G. Leresche l’a aussi r&coltee au-dessus de Ste.-Croix, aux Granges. La chenille vit sur le polygonum bistorta, dont elle attaque les &pis en fleurs; on la trouve en juin. Ne peut &tre confondue quavee siderana, Treit. ainsi que l’a fait Duponchel. Elle s’en distingue immediatement par ses points oranges plus visibles: deux de ces points sont particulierement remarquables; l’un, situ& au tiers interne de la cöte, est de forme semi-lunaire; l’autre, en regard du premier, sur le bord interne, est allong£. L’angle anal est orange. La frange des inferieures l’est aussi a l’exception d’un point noir au sommet de laile. La tete, le corselet, les antennes et le dessus des palpes sont taches de jaune orange. 139. Pietana. Lah. Cette espece doit disparaitre; elle appartient a la femelle de sublimana, assez differente du mäle, comme je l’ai reconnu plus tard (voir Nr. 215b). 9 143. Micana. Treit. Mr. Rothenbach m’a communiqu& un individu femelle pris dans le Jura. Sa taille est celle de rurestrana. Le sommet de laile, la bande moyenne et la base sont noirätres, separ@s par deux bandes jaunes. Quelques points brillants sur le disque. Le mäle, que jai vu plus tard, ne porte des atömes noirs qu'a la base de l'aile; le reste est fauve avec de nombreux points brillants. Sa taille est plus forte. 144. Metallieana. Hub. 68. Parait assez fröquente sur les basses Alpes, en juin. Champery, dans le Val-d’Iliers Bas-Valais). — L’Enzadine, etc. 148.b. Trochilana. Fröhl. Je crains fort de me presenter ici avec une troisieme ou quatrieme espece sous la denomination de trochilana. Les figures 313 et 314 de Hub. sont bien mauvaises pour baser sur elles un diagnostic; eependant elles s’appliquent en tout cas mieux ä celle que jjai sous les veux qua Couleruana. Les citations des auteurs sont encore plus incertaines. Duponchel en fait une olivana, Treit.; les teintes jaunes de la figure de Hub. prötent a ce rapprochement. Herrich-Schäffer penche pour hepaticana: opi- nion qui me parait fort douteuse. Heydenreich suit Duponchel. Wocke (Catal. Nr. 924) donne tout & fait a gauche lorsquil en fait une Couleruana. Pour lui donner la de- nomination de Fröhlich je m’appuie sur la vue diun individu regu sous ce nom d’Alle- magne, par Mr. Rothenbach, et provenant, je crois, de Freyer. Quoiqu'il soit, voici en quelques mots sa description. L’aspect general est celui de bipunctana, Treit. n’etaient le brillant argent® des bandes claires, la tache oblique de la marge (chez tro- chilana) et les dechirures de la bande moyenne du cöte de l’angle abdominal. Le dessin se rapproche particulierement de celui de Jacunana; un peu moins de cespitana et dumbrosana. Elle se distingue de la derniere par sa tache oblique marginale terminee sur le disque en massue quarree, et de l’avant-derniere par l’absence de toute teinte rouill&e et par son sommet plus aigu. Je la comparerai de preference a lacunana. Celle-ci porte des points metalliques bleuätres que trochilana ne pr&- sente pas; ses ailes sont dailleurs plus larges et plus obtuses au sommet; ses bandes elaires plus ombr&es de stries transversales; son espace basilaire moins uniform&ment noir et tranch@ ; sa tache oblique plus longue et non recourb&e au sommet en forme de cerosse, etc., etc. Trochilana a l’espace basilaire brun, nettement tranche, avec une dent au centre, comme bipunctana, et des stries noires peu visibles. Le premier ru- ban blanc est semblable a celui de bipunctana avec quelques reflets argentes et quel- ques points bruns. La bande moyenne reproduit parfaitement celle de lacunana, moins les points metalliques violets et avec la tache du bord externe plus petite, comme dans cespitana. La tache oblique de trochilana s’est a peine detachee de la marge qu'elle se recourbe en dedans sous forme de crosse et se termine par un @patement quadrilatere, entoure de blanc argente. Sous ce rapport on la rapprocherait d’urticana, mais la erosse n'est pas arrondie et etrangl&e. Le sommet est un peu allong& et aigu; le bord externe un peu oblique et l’angle interne blanc. La frange est blanchätre avec quelques dentelures noirätres au point de contact de la tache oblique. Sommet noirätre. — Pos- terieures d’un gris de fer, uniforme sans nuance de roux ou de clair. Palpes noirätres, avec un peu de blanc sale en-dessus. L’etroitesse de ses ailes, qui la rapproche de lucana, l’a fait ais&ment distinguer de ses analogues. Je Tai recue de la haute Engadine. 150. Umbrosana. Zell. Isis. C’est par erreur que jai indique les Alpes bernoises parmi les localit&s quelle habite. 158. Mendosana. Lah. Cette espece doit encore disparaitre et rentrer dans palustrana Nr. 149. Des individus fonc&s appartenant a palustrana, recueillis pres de Gastein et que Mr. Her- rich-Schäffer m'a communiques, sont identiques avec mendosana, prise dans nos Alpes. 165. Nana. Treit. Mr. Rothenbach l’a collectee dans les environs, de Schüpfen et Mr. G. Leresche pres de Ste.-Croix (Jura). Be er 165.b. Rufimitrana. Fisch. v. Rösl. Hub. revis. Nr. 245. — Hub. sup. f. 139. — Heyden. Cat. 244. Un individu femelle, parfaitement conserve, a &t& pris sur les pins, par Mr. Meyer, dans les environs de Viege (Valais). C'est avec quelque hesitation que je ratiache l'inseete que jiai sous les yeux a celui figur& et decrit par Mr. Her.-Schäf.; mais je ne saurais a quel autre le r&unir. Le des- sin differe de la figure 139, H.-S., par l’extr&mite des anterieures bien arrondie, par l’ab- sence de tache noirätre en forme de virgule, a la marge, et par les crochets non dis- tinets du fond. Palpes fauves; troisieme article invisible. Tete surmontee d’une houppe fauve. An- tennes fauves a la base, grisätres vers le sommet. Espace basilaire des anterieures gri- sätre, tachet@ de noir et limit& par une bande rouill&e en forme d’arc, faisant angle a son centre du cöt& de la marge. Espace moyen large, entierement gris; trois filets gris, tachetes de fauve, le sillonnement en travers sur un fond blanc, luisant, presque argente. Bande moyenne £troite, rouillee, pointillee de noir, envoyant de son centre un filet fauve ä la tache subapicale. Celle-ci est d’un fauve vif, tres irreguliere, et porte quel- ques rares points noirs sur ses bords. Une ligne argentee la separe de la bande moyenne; deux ä trois taches de m&me aspect se logent entre ses rameaux. Sommet fauve, tres arrondi. Cöte marquee de quatre crochets peu apparents. qui sont la terminaison des lignes argentees. Un trait noir limite la frange brune, luisante. Un point blanc, peu vi- sible, sous le sommet, ne divise pas la ligne de la frange. Posterieures d’un gris brunätre plus fonc& vers le sommet, semees d’€cailles noires. Frange grise a l’extr&mite anterieure, blanchätre vers l’angle posterieur. Ligne de limite tres marqu&e en-dessous, bordee de part et d’autre d’un liser@ blanchätre. 169. Arbutana. Hub. 195. Nos exemplaires ressemblent tellement a mygindana, ä part la taille, quiil est diffieile de les en distinguer; en tout cas y a-t-il plus de difference entre arenana et rosetana, qu'entre les deux premieres. 175. Squalidana. Fisch. v. Rösl. Prise dans les environs de Lausanne. 179.b. Botrana. W. V. Hub. revis. 267. — Hub. sup. f. 315. — Gu£n. ind. Vitisana. Jacq. Misc. Reliquana. Hub. Verz. (non f. 75). En mai, dans les environs de Viege (Valais). Meyer de Burgdorf. 191. Gentianana. Fröhl. La cöte est rouillee A son extr@mit&e et ses erochets sont bruns. 193.b. Lapideana. Fisch. v. Rösl. Hub. revis. Nr. 287. — Hub. sup. f. 246. — Heyden. Cat. 28. Sudetana. Khlw. Un exemplaire en 1858, pres de Lausanne, dans un bois de hetre. 204.b. Turbidana. Treit. sup. Dup. sup. 64. — Gu£n. ind. — Hubn. revis. Nr. 304. — Hub. sup. f. 245. — Heyden. Cat. 343. — Staud. Cat. 960. Zelleriana. Schläg. Fuscana. Khlw. Terreana. Mus. Podev. En abondance sur une prairie humide au milieu des tussilages, pres de Burgdorf, en mai 1862 (Meyer-Dür). La figure de Duponchel est au-dessous de toute eritique; celle de Hub. sup. est peu reconnaissable, en tout cas inexacte; heureusement que la description de Treit. est parfaite. — L'insecte a une couleur fauve sombre. 206. Seutulana. W.V. Mr. Rothenbach m’ecrit qu'il ne l’a pas recueillie pres de Schüpfen. 212. Graphana. Tireit. Ne peut &tre jusqu'ici enrögistree parmi les especes suisses. = „ y n > . 215.b. Sublimana. Fisch. v. Rösl. Hub. revis. Nr. 320. — Heyd. Cat. 361. — Hub. sup. f. 229. Jai recu cette espece de l’Engadine. Le mäle differe sensiblement de la femelle; tandis que le premier rappelle Brunnichiana, la deuxieme (pour la plupart des exem- plaires du moins) ressemble a ulmana. J'ai donne une description tres detaill&e de celle-ci sous le nom de pietana (faune Nr. 139). Il est des individus de ce sexe chez lesquels la tache du bord interne s’@teint en majeure partie avant d’arriver A la cöte. Quant au mäle, il est sulfisamment caracterise dans la deseription qu’en donne Herrich- Schäffer. Les sommets gazonnes des hautes Alpes; toujours rare. 220. Citrana. Hub. 185. Bords du Leman et vallee d’Aigle seulement. 221. Incana. Zell. Les individus de Mr. Rothenbach ont l’&cusson carr&; ceux de Mr. Herrich-Schäffer l’ont arrondi. 223. Conterminana. Fisch. v. Rösl. Je l’ai prise quelquefois dans les environs de Lausanne. Il faut rapporter a cette espece ce que jai dit de jaceana, faune suisse Nr. 227. 224. Deecipiana. Lah. Espece A retrancher. La comparaison d’un grand nombre d’individus m’a convaincu de l'insuffisance des caracteres qui doivent la distinguer de Hohenwartiana. (Voir ä cette derniere.) 225. Aspidiscana. Hub. Varie beaucoup pour la taille et la largeur des ailes. Le mäle a frequemment la base des inferieures plus ou moins blanche. Je ne l’ai pas observ& chez la femelle qui les a toujours plus fonctes. Cette derniere est souvent plus petite, avec les anterieures proportionnellement plus larges. Jai recu de l’Engadine la variet&@ figur6e sous le Nr. 241 (nebritana) de H.-S. Les a posterieures, chez le mäle, ne sont pas constamment blanches a la base; mais le milieu des anterieures est strie longitudinalement de vergetures de cette couleur, sous forme de bande transverse irr&guliere, sous laquelle ressort la couleur noire du fond en traits longitudinaux. Cette variete peut ais@ment passer pour une espece differente. 226. Hohenwartiana. W. V. Espece tres variable. Sa taille peut atteindre (dans les Alpes surtout) celle de Wahl- bomiana. Les ailes inferieures, chez le mäle, sont quelquefois entierement blanchätres. Les crochets sont tantöt tres nets, tantöt embrouilles et peu visibles. Dans les Alpes le brun du disque est plus fonce. La tete est tantöt blanche, tantöt fauve. Le sommet des inferieures porte souvent quelques vergetures blanches, moins prononcees que dans As- pidiscana. Jamais on ne distingue, comme dans celle-ci, une bande brune se pro- longeant entre le quatrieme et le einquieme double-crochet. Monetulana. Hub. 257, appartient tres probablement a Aemulana. Pupillana, Hub. 20, represente parfaitement l’espece telle qu’elle se rencontre ordi- nairement. Je possede des individus ? qui se rapprochent de Her.-Schäf. f. 296; je n’ai cependant jamais vu la tache interne aussi tranchee, ni marqu&e de traits bruns, et sur- tout pas le bord externe aussi obliquement coupe. 22%. Jaceana. Zell. Ne peut &tre conserv&e. Les individus que je rattachais a cette espece appartiennent A conterminana. 225. Aemulana. Schläg. (non Hub. Verz.). Cette espece est plus voisine d’Aspidiscana que de Hohenwartiana. L’&cusson est etroit, d’un jaune assez vil. 229. Laharpana. Rothb. Trois individus que jjai recus de mon ami Mr. Rothenbach £&taient meles avec in- cana, Zell. — Il convient de mieux preciser le diagnostic. Le facies est celui deHohen- wartiana avec l’envergure de 16””. Pour la forme et la coupe des ailes, elle repro- duit ibiceana, avec une taille inferieure a la sienne. Comme cette derniere elle a la cöte blanchätre, dans sa partie consacree aux crochets; une bande longitudinale d’un brun-fauve sur le centre du disque, et une semblable plus elaire tout le long du bord interne. L’@cusson est blanchätre, carre, bord@ de deux lignes plombees tres eourtes et coup& a son bord anterieur par l’ombre brune du centre. — Les crochets servent par- ticulierement a la distinguer dibiceana; ils sont doubles, au nombre de quatre, le der- nier, du cöt& de la racine de l'aile, est souvent peu visible; les trois premiers sont ordi- nairement bien espaces: leur couleur est le blanc-fauve. Dans incana les crochets sont blanes, indistincts a partir des deux premiers; dans ibiceana ils le sont encore plus et toute la cöte est marqu&e de points bruns. Les ailes inferieures du mäle sont blanchätres a la base; celles de la femelle, et leur bord, dans le mäle, sont d’un gris-brun. La frange des sup£@rieures se divise en deux parties, linterne grise, pointillee; l’ex- terne fauve, unie. Celle des inferieures est d'un blanc sale. Du reste la description concorde avec celle que j’ai donn@e dans la faune. 229.b. Ibiceana. Her.-Schäf. Syst. Verz. 1861. Un individu dans les marais d’Aigle. en juillet. La distinction des trois bandes longitudinales est moins prononcee que dans Lahar- pana; du reste la taille est plus forte (19”"); les ailes sont proportionnellement plus etroites et l’&cusson plus petit, moins distinet. Deux caracteres la distinguent surtout des especes voisines. 1° Ses crochets blanchätres indetermines (pour l’ordinaire) formant une serie de traits bruns et plombes, s’etendant aux %; externes de la cöte et quelque- fois jusques a sa racine; 2° cing & six points bruns sur le bord posterieur des supe- rieures (ils peuvent manquer). Un ou deux traits noirs, sur l’&cusson fauve-clair et borde de deux lignes plomb£&es brillantes. Bord externe des superieures un peu @vide, ce qui rend le sommet plus saillant. 233. Fagiglandana. Zell. Environs de Ste.-Croix (G. Leresche). 234. Obesana. Lah. Espece ä retrancher:: c'est la femelle de Resinana Nr. 167. 235. Splendana. Hub. Environs d’Olten (Wullschlegel), de Lausanne; sur les ch@nes (Lah.). 238. Fulvifrontana. Zell. Ajoutez aux synonymes: Germmana. Hub. f. 47. 243. Chavanneana. Lah. Cette espece doit disparaitre; elle n’est que la femelle de Bugnionana, toujours assez differente du mäle. Il conviendrait de la figurer. 244. Gruneriana. H.-S. Les Alpes de Bex, en juillet. Rare. Var.: distinetana, Man. Au Wylerfeld pres Berne (Jaggi). 246. Ustulana. Hub. Pres de Berne (Rothb.). 248. Nebritana. Treit. Exel.: Synon. Hub. sup. f. 241. N’a pas ete prise aux environs de Schüpfen. 251. Acuminatana. Schläg. Sur l’Almend, a Thoune (Jaggi); pas recoltee par Mr. Rothenbach. 253. Alpestrana. F. v.R. Un individu pris le 31 juillet, sur l’Almend, pres Thoune, differe sensiblement de la figure 193. H.-S. — Taille d’une petite blepharana. Fond gris fonce, fortement rouille, comme dans acuminatana. Bord externe plus oblique que chez blepharana, mais moins que sur la precedente. Sommet arrondi; sinus sous-apical sans point blanc. Cinq a six points noirs le long de la marge:; l'anterieur au sommet. Moiti@ interne de la frange blanc-jaunätre, comme dans Gruneriana. — Tache du bord posterieur peu apparente; large en arriere, tres oblique du cöt& de la racine de l'aile; striee de gris. Espace ba- silaire allonge en pointe jusques sur le milieu du disque et marqu& de stries ondulees. — Crochets de l’extremit& de la cöte simples, blanes; les autres plombes. Lignes plom- bees brillantes. Ecusson ovale, sans taches, ni marques. — Tete portant une houppe 10 a = de poils gris qui s’avance sur les palpes; ceux-ci sont jaunätres, avec le dernier article tenu, allonge. 254. Plumbagana. Treit. Na point &t& prise dans les environs de Schüpfen. 254.b. Cacaleana. Man. Hub. revis. Nr. 378. — Heyd. Cat. 472. Mr. Rothenbach l’a collectee dans les Alpes. Non figure dans Hub. sup.; la fig. 264 ceitee est curvana. 266.b. Foeneana (ella). Lin. Treit. — Dup. — Hub. revis. Nr. 400, etc. Pflugiana. Fab. Tibialana. Hub. 40. Environs de Viege (Valais), en juin (Meyer). 270. Geniculana. Lah. Cette espece n'est pas fondee sur des caracteres suffisants. — Interruptana varie beaucoup, ainsi que jai pu m’en assurer, et geniculana neest qu'une variet& femelle. — La teinte generale est plus ou moins grise ou brune; la strie blanche de l’@cusson tan- töt & peine marquee, tantöt longue et prononcee. Le voisinage de l’ecusson est parfois sem& d’ecailles fauves. La frange passe du gris de fer au blanc pur et sa ligne d’in- tersection est plus ou moins marquee. 275.b. Rejectana. Lah. Faune suisse Nr. 136. Un individu recu de l’Oberland et mieux conserye m’a permis de preciser la place que cette espece doit occuper. Les einq points noirs qui bordent la marge de l’aile, comme dans blepharana, la rapprochent de cacaleana et dalpinana. Ces points sont petits et situes tr&s pres de la frange. Un point diinterseetion jaune a peine marqu& existe au-dessous du som- met. Celui-ei est arrondi et saillant comme dans eacaleana. Aucune trace de lignes plombees. ni de dessin, a part quelques l&geres ondulations sur le disque. Cing erochets an a la cöte, jaunätres, espaces, peu marques, quelques-uns doubles. Le disque est fine- ment marbre, de couleur gris-bronze dans sa moitie externe et grisätre dans l’in- terne. Pas de tache au bord interne, mais une tres faible &claircie. 276. Augustana. Hub. 205. Souvent plus petite, plus uniform&ment foncee, avec les dessins peu marques, dans les hautes Alpes. 278.b. Vigeliana. Hub. sup. f. 195. Flexana. Zell. e. Zeit. Captur&e par Mr. Rothenbach dans les environs de Schüpfen. 254. Ericetana. Zell. Le Haut-Valais (Jaggy). Frequente dans l’Engadine. La femelle est un peu plus petite et a les ailes plus £troites. 256. Quadrana. Hub. Les femelles prises dans les Alpes reproduisent parfaitement la fig. 256 de Hub. sup. 290. Ramana. Lin. Paykulliana. Fab. Fımbriana. Wood. N’a point ete prise pres de Schüpfen. 291. Siliceana. Hub. Mr. Rothenbach possede une superbe variet@ noire, marbree ca et la de violet; avec les doubles cerochets blanes tres saillants. L’ecusson moitie noir et moitie blanc. Mr. Wullschlegel en a collect@ une autre entierement grise avec une grosse tache noire au bord interne. 298. Minutana. Hub. L’indication de Mr. Rothenbach est erronee. 76 303. Luana. Lah.'). Lyellana. Faune suisse (non Curt.). Mr. Herrich-Schäffer m'@erit que Lyellana Curt. n’est que badiana; il devient done necessaire de changer la denomination de cette nouvelle espece. Assez repandue dans toute la region moyenne des Alpes d’Aigle, de Bex, et du Bas- Valais; sur les pentes gazonnees, en juillet. ı De nouvelles captures m’ont permis de determiner plus exactement les caracteres qui la distinguent de badiana, seule espece avec laquelle on puisse aisement la con- fondre. 1° La taille de Luana est g@neralement un peu plus forte; du moins chez le mäle. 2° La teinte generale des fonces est le gris-noir et non le gris-bistre. Cette difference se remarque surtout sur la tache interne, sur les posterieures et sur toute la surface inferieure. 3° La partie blanche (interne) de la cöte ne porte jamais de points bruns. 4° Elle se prend exclusivement dans les herbages touflus; badiana est commune dans les haies de noisetier. Les autres caracteres sont plus variables; cependant la pointe aigue, formee par la rencontre des deux bandelettes obliques et dirigee du cöte du sommet, est gen&ralement plus allongee; le sommet de laile l’est aussi davantage. 304. Myrtillana. Treit. Le Jura (et non les environs de Schüpfen), Rothb. L’Engadine, etc. 305. Dentana. Faune suisse. Espece ä retrancher. Mon erreur provenait de quelques individus regus d’Allemagne sous le nom de myrtillana et qui appartiennent peut &tre a une espece encore inde- terminee. 307. Incomptana. Faune suisse. D’autres exemplaires plus frais ne font que confirmer mon diagnostic. Les caracteres essentiels de cette espece, comparee a comptana, sont: la taille plus grande; la teinte d’un brun noirätre; les ailes plus £troites et plus acumindes; l &eusson ovale et non arrondi, en grande partie couvert par une grosse tache et un trait semi-eireulaire; lespace basilaire mal limit& et irr@gulierement anguleux sur le disque; ') Luan, nom de la montagne oü je la pris pour la premiere fois. une intersection noirätre, sur la frange, au-dessous du sommet crochu et de la double intersection blanche. 308. Unguicana. Fab. La femelle est volontiers plus foncee, mieux dessinee, sans melange de brun. 310. Fluctigerana. F. v. R. Au Gurnigel (Jaggi). 312. Harpana. Hub. 7". Ramana. Dup. — Guen. — Fröhl. (non Lin.). Laetana. Fabr. Commune. — Environs de Lausanne, dans les taillis humides (Lah.). Schüpfen idem, (Rothb.). Juillet. Enumeration systematique des Tortricides suisses. Les nombreux changements que ce suppläment apporte ä la serie des especes m’obligent ä la remanier en entier afin d'eviter un desordre trop complet. La premiere colonne de chiffres, apres le nom d’espece, designe le numero de la faune, la deuxiöme celui du suppläment. Teras. Lozotaenia. Faune. Suppl. No. No. Faune Suppl. | Faune. Suppl. - No. No. No. No. 49. Ribeana . . . . 38. 1. Cristana - . . -. 1. — | 25. Ameriana . . 26. — 50. Corylana. . . . 29. — 2. Abildgaardana . 2. '2 126. Picena 2... 2. — 51. Hytrionana . 50. — 3. Erutana 4.3.4 27. Xylosteana . . . 238. — 52. Nubilana . . . . 5l. — 1. Favillaceana I. — 28. Crataegana . 29. — 53. Musculana 52. — 5. Schalleriana 6. — 29. Laevigana . . . 30. — 54. Oxyacanthana . . 53. — 6. Comparana . - - 7. — 30. Dumetana 3. — Argyrotosa, 7.Rufanra . .:-.:. . — 31. Gerningana . . . 32. — |... i 5 BE 55. Holmiana . . . 5. — 8. Ferrugana 9. 9 32. Consimilana 33. — Di; ü 56. Hoffmanseggana . 55. 9. Aspersana 10. 10 | 33. Diversana 3. — Er R z | E ser 57. Loefflingiana 56. — 10. Lithargyrana 11. — | 34. Pilleriana 35: 35 - e | 3 58. Bergmanniana . yf 11. Quercinana . 12. — 35. Groliana . 6. — a 59. Forskaleana 5 — 12. Boscana . 13. — | 36. Ochreana 37. — RE x ] % „ , 60. Bifasciana 6. — 13. Mixtana 14. — | 37. Strigana . —. 37 14. Umbrana . 15. — | 38. Steineriana . ss — Ptychoioma, 15. Maccana . 16. — | 39. Dohrniana 39. 39 61. Leachiana 6. — 16. Scabrana . 17. — 40. Gnomana 40. — Tortrix, 17. Abielana . 18. — | 41. Costana 1. — | an 18. Treveriana . 19. — 42. Adjunctana . 22. 12 62. Viridana . Ge > 19. Nebulana %0. — | 43. Obliterana . 23. 33 | la FR 20. Literana . 21. — | 4. Sorbiana a. — | Korg Buatiotmn 65. 65 21. Asperana 2. — | 45. Cerasana . 435 — 65. Viburnana BB; 22. Contaminana 23. — | 46. Cinnamomeana ag. — | 6% Lusana 87. 23. Caudana . 21. — | 47. Vulpisana ET Lophoderus. 21. Eflractana 25. — | 48. Heparana 47. — | 67. Ministrana 6 68. 69. Xanthosetia. Faune. Suppl. Hamana Zoegana . Eucelia. . Mediana . Ablabia. . Gouana . Pratana Eupoecilia. . Alpicolana - Dipoltana Cochylis. . Decimana . Tesserana . Rutilana . . Valdensiana . Zephyrana . Perfusana . Baumanniana . Deutschiana . Smealhmanniana . . Rubigana . Jucundana . Rubellana . Dipsaceana . . Richteriana . . Humidana . Musseheliana - Phaleratana . Posterana . Carduana 94. . Purgatana Pallidana . - Cruentana - Flaviscapulana . Sanguisorbana . . Dubitana . No. 70. 71. 72. No. 72 100. 101. 102. | 103. 104. 105. 106. 107. 108. | 109. | 110. 111. 112. 113. 114. 115. 116. 117. 118. 119. 120. 121. 122. 123. 124. 125. 126. 127. 128. IN — Faune. Suppl. No. Ambiguana 98. Graliosana . 99. Roserana . 100. Cheimonophila. Gelatana . 101. Phtheochroa. Rugosana . 102. Sciaphila. Rigana . 103. Stramentana . 104. Albulana . 105. Diurneana . . 106. Penziana llzk Candidana . . 108. Incertana . 109, Chrysanthemana 110. Wahlbomiana . 111. Minorana ur Virgaureana . 113. Pasivana . 114. Abrasana — Derivana . 115. Poecilochroma. Crelaceana _ Parmatana . . 116. Melaleucana re Euchromia. Rosetana . 118. Arenana ..119. Maurana . 120. Tussilaginana . 121. Terreana 122% Gentrana 2a! Rhiacionia, Hastliana „124: No. 98 129. 130. 131. 132. 133. 134. 135. 136. 137. 138. 139. 140. 111. 112. 113. 144. 145. 146. 147. 118. 119. 150. 151. 152. 153. | 154. | 155. 156. 157. 158. 159. 160. 161. 162. 163. 164. 165. Ditula. Faune. Suppl. No. No. Ophthalmicana . 125. — Cortlicana . 126. — Profundana 127. — Oppressana . 128. — Achatana . 129. — Pinicolana . . 130. — Ratzeburgiana . 131. — Sericoris. Trifoliana 132. Antiquana . —. 132» Striana 133. — Mygindana —. 133» Zinckenana 134. „— Sudetana 135. — Siderana 137. — Astrana . 37 Textana 138. — Schaeflerana . 140. — Spuriana .141. — Porphyrana 122 = Micana . 143. 143 Metallicana 144. 144 CGonchana 1415. — Giganleana 146. — Cespitana 147. — Olivana . 148. -— Trochilana —. 148» Palustrana . 149. 158 Umbrosana 150. 150 Lacunana 151. — Rurestrana 152. — Urticana 153. — Venustana . 154. — Lucana . 1559 — Bipunctana 156. — Irriguana 157. — Trifasciana 159. — Charpentierana . 160. — Notocella. Faune. Suppl. No. No. 166. Udmanniana . 161. — Coccyx. 167. Comilana 162. — 168. Proximana . 163. — 169. Nigricana 164. — 170. Nana . 165. 165 171. Rufimitrana =. 165? 172. Clausthaliana . 166. — 173. Resinana 167. 234 174. Fuligana . 168. — 175. Arbutana 169. 169 176. Senecionana 170. — 177. Buoliana 171. — 178. Turionana . 172. — 179. Pudendana 173. — 180. Duplana 1 — 181. Squalidana . 175. 175 182. Metalliferana . 176. — 183. Ulmana . 177. — 184. Schreibersiana 178. — 185. Andereggiana 179. — 186. Botrana —. 179° 187. Fischerana . . 180. — Penthina, 188. Salicana . 181. — 189. Inundana 182. — 190. Aculana . .183. — 191. Hartmanniana 184. — 192. Picana 185. — 193. Capreana 186. — 194. Ochroleucana 187. — 195. Variegana . 188. — 196. Pruniana 189. — 197. Sauciana 190. — 198. Gentianana - 191. 191 199. Sellana . 192. - 200. Betuletana - .-193. — 201. Lapideana . —. 193b No. No. 202. Dealbana ‚1 — 203. Aceriana 495. — 204. Sullusana .1496.; — 205. Incarnalana re 206. Koborana EB — 207. Tripunctana -19. — 208. Ocellana -. 200. — 209. Simplana - 201. — 210. Servillana . “202. — Poedisca. 211. Similana 203. — 212. Mendiculana 20. — 213. Turbidana . —. 201» 214. Confusana . 205. — 215. Scutulana 206. 206 216. Dissimilana 207. — 217. Demarniana 208. — 218. Delitana 209. — 219. Couleruana SAH = 220. Monachana 211. 221. Poecilana 213. 222. Cirsiana 214. — 223. Brunichiana 215. — 221. Sublimana . 4315? 225. Luctuosana 216. — Aphelia, 226. Lanceolana 217. — Semasia, 227. Infidana . 218. 228. Absyntiana 219. — 229. Citrana . . 220. 220 230. Incana . 221. 221 231. Caecimaculana . 222. — ‚ 232. Conterminana . 223. 223 233. Aspidiscana . 225. 225 231. Hohenwartziana 226.221.226 235. Aemulana . . 228. 228 236. Laharpana . . 229. 229 Faune. Suppl. Faune. Suppl. NO. 0. 237. Ibiceana —. 29? 238. Hypericana . 230 Roxana, 239. Armana . 231. — Carpocapsa, 210. Pomonana . 232. — 241. Fagiglandana . . 233. 233 242. Splendana . . 235. 235 213. Sunedana 236. — Grapholita. 244. Daldorfiana 237. — 215. Fulvifrontana . . 238. 238 216. Coecana .239. — 2417. Plumbatana 210. — 218. Blepharana 24H. — 249. Bugnionana 242. 213 250. Gruneriana . . 244. 211 251. Microgramımana . 215. — 252. Ustulana 216. 216 253. Tenebrosana . . 217. — 251. Nebrilana . 248. 218 255. Gemmiferana . 19. — 256. Funebrana . 250. — 257. Acuminalana . . 251. 251 258. Ligulana 252. — 259. Alpestrana 253. 253 260. Plumbagana . 251. 251 261. Cacaleana . Pure n I1 7. 262. Calizinosana .255. — 263. Argyrana . 256. 264. Kochiana 257. 265. Janthinana . 258. — 266. Woeberiana ..259. 267. Composana 260. — 268. Corollana 261. 269. Loderana 262. — 270. Fissana . 263. - 271. Dillusana 264. BA RannerBupp!: | Syndemis. | Phoxopteryx. 272. Coniferana. . . 265. — | ne ne 273. Coronillana . . 266. — | 292. Vaceiniana. . . 283. — 309. Mitterpachiana . 300. — 274. Foeneana . . . —. 266" | 293. Ericetana . . . 284. 284 | 310. Derasana . . . 301. — 275. Orobana . . . 267. — | 294. Cuphana . . .285. — | 311. Badiana.-. . . 302, — 276. Jungiana - . . 268. — , 295. Quadrana . . . 286. 286 312. Luana (Lyellana) 303. 303 T Inter uplana 22269. ae | Stessnonirenal | 33. aallana - » 304.304.305 278. Spiniana . . . 271. ı 314. Comptana . . . 306. — 279. Ephippana . . 272. — | 296. Freyeriana. . . 287. — 315. Incomptana . . 307. 307 280. Trauniana . . . 273. — | 297. Campoliliana . . 288. — 316. Unguicana . . . 308. 308 281. Petiverana. . . 274. — | 298. Immundana . .289. — | 317. Uncanaeeasa ag 282. Alpinana . . . 275. — ' 299. Ramana . . . . 290. 290 ' 318. Fluctigerana . . 310. 310 283 Rejectana . . . 136. 275” | 300. Siliceana . . . 291.291 319. Cuspidana . . . 311. — 284. Augustana . . . 276. 276 | 301. Naevana . . . 292. — 320. Harpana . . . 312. 312 285. Mercuriana . 277. — | 302. Abiegnana. . . 293. — 321. Sieulana . . .313. — 286. Loxiana. -. . . 278. — | 303. Pygmaeana . . 294. — 287. Vigeliana . -. . — 278° | 30%. Frutetana . . . 295. — Cheimatophila. 288 Strobilana . . 279. — 305. Rubiginosana . . 296. — 322. Hyemana . . . 314. — 289. Pactolana . . . 280. — | 306. Penkleriana . . 297. — 290. Gosmophorana . 281. — 307. Minutana . . . 298. 298 291. Scopariana . 282. — | 308. Lithoxylana . . 299. — — Ta Ir II II—_— 11 Eu 6 3 £ ruigeznd sianba? ‘ Igupi.n am 'i . Er j wu at ibs sn wel ‚Ar 46 in .erisgint 0 Tr & EN) va N and A ai n setreiquas; rt: 4 .iq a 4 5 5 eaLirnurzz { u ists u "Ri De are! 4 wlHlegam, g i 1 u srhannend Art uU grey 7) DEZ RE ru Me, ‘ IE icL£ : mir 00% Heer 3 sr anzu, Mt a DE Re "5732777 EEE u A Be Ale RATE el Ze 4 anal a: u N m unsirelden ‚Apr ii van eh TE “u. shrierendiid ARE re IRTETE N - SL 2 2212 7 is er es] % ww) -y muee> Dr Arie Dr, IE. 26 sr Ars zone B 27 DEZE te 1 Zee er coat TI nasder) ATE Henizduk ‚DE nachurnan „TER sicht TE sa yülg it ne “esinuga IE ansaneie. ee von una Er none Ar Te ee ee unsere ner. ME GONTRIBUTIONS FLORE FOSSILE ITALIENNE SIXIEME MEMOIRE. CHARLES-TH. GAUDIN er LE MAROUIS CARLO STROZZI. — 0 — AKIOMANM AMAIXIe 22V | 2 ann hg het Fi I. PARTIE GENERALE. Jai deerit dans le IV’ Memoire des Contributions ala flore fossile italienne un certain nombre de feuilles provenant des travertins de la Toscane. Ces feuilles faisaient partie d’un envoi considerable d’empreintes vegetales recueillies dans les environs de Livourne, au Val d’Arno et sur d’autres points de la m&me contree. Je m’etais propose de publier tous les @chantillons interessants de cette riche moisson, mais jai dü, pour cause de sante, renoncer pendant quelque temps A tout travail assidu et bien A regret differer de semaie en semaine et de mois en mois la publication d’une partie de ces documents et le renvoi des originaux A leur proprietaire. Si jentre dans ces details, c'est afın d’avoir loccasion d’exprimer a mon collaborateur, M. le Marquis Strozzi, mes remercie- ments pour l’obligeance avec laquelle il m’a confi@ ses fossiles pendant si longtemps et mes regrets du retard bien involontaire qui a et@ apporte a leur determination et ä la publication de quelques-uns d’entr eux. J’espere que ce travail, pour avoir &t& retard& et tronque, ne sera cependant pas complötement inutile. La collection pal&ophytologique er&ee par les soins de M. Strozzi et dont la plupart des echantillons ont &t£ examines ou determines par M. le Prof. Heer sera desormais une collection type, et les figures correctes qui ont &te publiees d’une bonne partie des feuilles qui la composent faciliteront les recherches dans ce domaine si riche et si varie des terrains de VItalie. Il eüt &te avantageux de publier la majeure partie des &chantillons recueillis, mais les raisons indiqu&es plus haut m’ont forc& ä me limiter aux especes nouvelles, en y joignant un petit nombre d’especes deja recueillies hors de I’Italie, mais dont l’apparition a des latitudes bien moins elevees presente quelque interet. J’y ai ajout® deux ou trois &chantillons qui pouvaient jeter quelque jour sur des especes deja recueillies en Italie, mais pas encore suffisamment connues. Si la disposition des figures sur les planches laisse quelque chose A dösirer, c’est qu'il a fallu c@der aux exigences que m’imposait un espace tres limite. Pe: Je prends aujourd’hui conge de la flore fossile d’Italie et des Contributions par les- quelles jai cherche A jeter quelque jour sur les rapports de cette flore avec celle de notre molasse; il ne me reste done qu’a remercier Messieurs les membres de la com- mission qui ont bien voulu accueillir ces essais dans les Memoires de la Societe helvetique et ä exprimer a mon collaborateur tous mes regrets de ce que je suis rest& si fort au- dessous du but que je m’£tais propose. Eglantine pres Lausanne, 25 Juin 1862. Les fossiles qui m’avaient @t& confies provenaient en partie de localites deja connues et mentionnees dans les m&moires prec@dents: Montebamboli, Bozzone, Gaville, Castelnuovo, Avane, Montajone;, en partie de localites nouvelles: Puzzolente, Montemasso, Parrane, Cafaggio. Limone, Piombino. La position des premieres est maintenant assez bien connue. Les argiles bleues, les argiles brülees sont voisines de la formation d’Oeningen: elles se trouvent a la limite du miocene sup£rieur et forment le passage aux couches du pliocene proprement dit. En revanche, je ne possede aucun detail stratigraphique sur les nouveaux gisements et je n’ai connaissance d’aucun fossile marin qui y aurait &t& recueilli. Force nous est donc de chercher a nous orienter uniquement au moyen des empreintes vegetales. Au point de vue petrographique, on peut dire que Puzzolente se distingue par un calcaire marneux tres blanc, des gres et des argiles jaunes, sableuses et friables; Monte- masso par un calcaire blanc et friable et un gres pareil a celui de Montajone; Limone par un calcaire grisätre et schisteux, ou jaunätre et marneux; Piombino par une argile sableuse gris de fer; Cafaggio par un calcaire bitumineux de couleur grise; Parrane par un gres pareil & celui de Montajone. Avant de passer ä l’etude de la flore, jetons un rapide coup d’oeil sur les especes interessantes fournies par les divers gisements. 1. Montebamboli. Cette localit© deja passablement connue, gräces aux travaux de plusieurs savants, a fourni de belles tortues du genre Trionyx, que jai vues au Musee de Sienne et qui m£riteraient d’ötre publices; on y a €galement recueilli de nombreux debris de mammi- feres (Sus choeroides Pomel). Aux espöces vegetales deja connues: Sabal major, Fagus ande Le dentata, Platanus aceroides et Diospyros pannonica, on peut ajouter les Acer otopteriz et Ponzianum, qui ne sont peut-etre qu’une m&me espece, le Fagus Deucalionis Ung., qui ne me parait pas differer beaucoup du F. sylsatica, les Dryandroides Gaudini Sism. et lignitum, et le Crataegus incisus OÖ. W. 2. Bozzone. Parmi les especes recueillies dans le calcaire bitumineux du Bozzone, on peut citer: Fagus Deucalionis, Cinnamomum polymorphum, Oreodaphne Heeri; de magnifiques Echantillons des Quereus nerüfolia et drymeia; le Populus mutabilis, var. oblonga: enfin le Rhamnus Bozzonica m. espece nouvelle. 3. Gavwville. Les argiles brül&es sont toujours une mine imepuisable; elles ont fourni la majeure partie des echantillons et une quarantaine d’especes. Parmi celles que nous n’y avions pas rencontrees, il faut nommer: Populus Heliadum, Acer integrilobum, Juglans bilinica, Laurus Guiscardü, Verbenophyllum aculeatum Ett.: parmi les nouvelles, la magnifique Osmunda Strozzü m., recueillie au niveau du Sansino, le Myrtus Veneris m., le Laurus Gastaldii m., une feuille que je rapporte au genre Inga, le Ficus Gavillana m. 4. Castelnuovo. Il ne faut pas confondre le Castelnuovo situe dans le Val d’Arno (voir la carte publiee par M. Strozzi dans le 2" memoire) avec le Castelnuovo piemontais qui a &t6 etudie par M. E. Sismonda. — Le gisement du Val d’Arno a fourni une dizaine d’especes, entr’autres: Sapindus densifolius, Berchemia multinervis, Celastrus Bruckmanni, Rhus Lesquereuxiana et parmi les nouvelles: Myrica italica m., Salie nympharum m. — appartenant au groupe du 5. cinerea — et Persoonia Scarabelliana m. 5. Avane. Avane appartient egalement aux argiles brülees du Val d’Arno. On y a recueilli Alnus Kefersteini, Castanea atavia var., Laurus ocoteaefolia et deux feuilles de Ceanothus ebuloides OÖ. W. 6. Cafaggio n’a fourni qu’un rameau de Glyptostrobus Europaeus. 7. Parrane. On peut mentionner: Cinnamomum polymorphum, Cornus Buckü, Rhamnus Decheni et une petite noix que je rapporte a la Carya striata. 8. Limone. L’espece interessante de ce gisement est la Protea lingulata H., bien caracterisee, et qui a et trouvee jadis dans la molasse marine des Montenailles sur Lausanne, A la limite du Mayencien et de I’Helvetien, et plus tard a Münsingen, dans le Mayeneien du Canton de Berne. Citons encore une autre Proteac@e, Persoonia Limonensis m., voisine de la P. Sca- rabelliana de Castelnuovo. 9. Piombino. D’apres M. Strozzi, Piombino appartiendrait au pliocene; les marnes a feuilles y sont d’une couleur gris-foneee. On ya trouve les especes suivantes: Tarodium dubium Stbg., Fagus castaneaefolia Ung., Celastrus Capellinüi H., Elaeodendron Capellinii m. et une petite feuille de Legumineuse: Leguminosites Piombinensis ın. 10. Montajone. ÖOutre un grand nombre d’empreintes de l’Oreodaphne Heerü, dont quelques-unes de grande dimension, M. Strozzi a recueilli a Montajone le Populus Heliadum et une feuille d’un &rable voisin de l’Acer trilobatum v. patens. 11. Puzzolente. Cette localite forme avec la suivante les plus interessants des nouveaux gisements decouverts par M. Strozzi. On ya recueilli environ 19 especes, parmi lesquelles on peut mentionner les suivantes: Populus balsamoides, leucophylla, Heliadum, mutabilis v. repando- erenata; Myrica salicina, Quercus elymodrys (qui sy trouve en nombreux exemplaires et s’est rencontre @galement sur un autre point, a Poggione), Cinnamomum polymorphum, Acer integrilobum var., platyphyllum var., et Sismondae. En fait d’especes nouvelles: Quercus montebambolina m., Laurus tusca m.; enfin un fruit a double aigrette: Carpolithes arietinus m. 12. Montemasso compte une douzaine d’especes: les Populus leucophylla et P. Gaudini F. O., ce der- nier en deux beaux exemplaires pris dans une marne calcaire blanche et friable; Populus re. mutabilis v. repando-crenata ei crenata, Quercus etymodrys, Ficus sarzanellana, Oreodaphne Heerü, Cinnamomum polymorphum, Banksia helvetica et Celastrus Capellinii. Comme espece nouvelle remarquable, il faut citer le Platanus academiae m., magnifique espece, qu'on ne saurait, aux feuilles seulement, distinguer du Platanus orientalis var. caucasica Tenore. Si le Platanus aceroides Goepp. parait &tre le prototype du Pl. occidentalis, le Platane de Montemasso est bien certainement le prototype du P!. orientalis, originaire de l’Asie et qui s’est repandu en Italie, ou les Romains doivent l’avoir introduit. C'est celui qui ornait les jardins de l’Academie a Athenes. J’ai donne a notre platane de Montemasso le nom de Pl. academiae afın de mieux rappeler ce type oriental si nettement caracterise.*) Un dernier groupe de fossiles se compose d’echantillons recueillis dans les traver- tins du Val d’Era et dont M. Strozzi a eu la bonte de m’envoyer les dessins. On y re- marque la Vitis vinifera L., le Smilax Targionii, la Planera Ungeri, lA'cer integerrimum Viv. (trachyticum Kov.) qui ne me parait gueres differer de l’Acer Lobelii Ten. de IItalie actuelle, une feuille de Chene, voisin du @. confertifolia, et une autre qui appartient pro- bablement au Sambucus nigra L. M. Strozzi regarde ces travertins de Jano, San Vivaldo et Casicello comme un peu plus anciens que ceux de Massa marittima et comme forniant la continuation de la flore de Montajone. Le melange d’especes vivantes me porte a croire quils ne different pas beaucoup de ceux de Massa et qu’une partie au moins est tout aussi recente. On peut s’assurer par la comparaison des especes recueillies dans les divers gisements dont je viens de parler qu'ils appartiennent tous, sauf peut-&tre Piombino et une partie des travertins, au miocene sup£rieur. Cela est surtout vrai de Puzzolente, de Monte- masso et aussi de Limone. Puzzolente, qui a 7 especes en commun avec Montemasso, se rattache a Montajone par les Populus balsamoides, Heliadum et leucophylla et !’Oreodaphne Heerii; au Bozzone par 4 especes; a Senegaglia et a Gleichenberg par le Pop. leucophylla *) Le Platanus oceidentulis v. acerifolia est abondant au Nord des Alpes, mais on le prend toujours pour le Pl. orientalis, qui est beaucoup plus rare, bien qu'il supporte notre climat. Je n’en connais dans notre canton quun seul pied, qui se trouve a Lausanne dans un jardin situ& sous la terrasse de la Cathedrale. 1l est abondant en Italie et y presente une foule de varietes. P. S. — Depuis que ces lignes ont &te ecrites, une lettre de M. le Prof. Heer, m’apprend qu'au dire deM. le Dr. Hooker fils, des experiences faites recemment en Angleterre, au moyen de semis, auraient prouve que le Platanus acerifolia n’est qu’une variele du Pl. orientalis, et non du Pl. occiden- talis. Les graines du Pl. orientalis doivent avoir produit le Pl. acerifolia de nos promenades. — Le Platane occidental n’aurait qu’'un chaton femelle par pedoncule, tandis que l’acerifolia en aurait plusieurs. La question ne serait done pas encore tranchee. Du reste, ceci ne modifie en rien la determination du Pl. academiae, qui apparlient au vrai Lype oriental. = (dom et le Quercus etymodrys. Montemasso se relie egalement a Montajone par l’Oreodaphne Heerii et le Populus leucophylla; au Bozzone par les m&mes especes, plus ’Ulmus pluri- nervia et le Cinnamomum polymorphum; ä Sarzanello par l’Oreodaphne Heerii, le Po- pulus leucophylla, le Ficus Sarzanellana et le Celastrus Capellini; a Gleichenberg par le P. leucophylla et le Q. etymodrys. — Gaville, malgr& ses 38 especes, ne pr&sente qu'un petit nombre d’especes communes avec les nouvelles localites. On peut citer comme la plus importante l’Oreodaphne Heerii. — Puzzolente et Montemasso appartiennent donc au niveau de Senegaglia, de Sarza- nello, de Montajone et de Gleichenberg et sont probablement un peu plus anciens que les argiles brül&es de Gaville. Limone, si l’on s’en tenait a la seule Protea lingulata, ferait peut-tre partie du mio- cene moyen, mais certaines especes, ainsi qu’on la deja vu, semblent s’ötre maintenues plus longtemps en Italie qu’au nord des Alpes; telles sont la Sequoia Langsdorfi, le Quercus Charpentieri, le Populus Gaudini F. O. Il est possible que la Protea lingulata du Mayencien et de l’Helvetien ait pu, en Italie, arriver jusqu’a l’Oeningien. II. DESCRIPTION DES ESPECES. l. Sphaeria annulus m. PL U. fig. 6. Piombino. Disques grands, eirculaires, avec un disque interieur muni d'une ouverture au centre. On apercoit a la loupe, sur quelques-uns de ces disques, une depression punctiforme. 2. Osmunda Strozzu m. Pl. 1. fie. 1—4. Gaville. Niveau du Sansino. Frondes doublement ail&ees; pennules alternes, nombreuses, lanc&ol&es, finement crenel&es; nervures secondaires bifurquees. Au premier abord, cette fougere pr&sente quelque ressemblance avec les Pteris pennae- formis et Parschlugiana; en y regardant de plus pres, on voit que les pennes sont moins longues et plus etroites; leur longueur @gale 3—4 fois leur largeur; elles sont sessiles, arrondies A la base, a partir de laquelle elles diminuent graduellement de largeur jusque vers l'extremite, qui, cependant, ne se termine pas en pointe. Le bord est finement dente, ce qui le distingue de celui de la Pteris Parschlugiana. Les nervures secondaires se partagent, des leur origine, en deux branches bifurquees atteignant le bord. Cette ner- vation est celle des Osmunda. Deux groupes de six corpuscules arrondis (fig. 4) ont laiss& leur empreinte sur le revers de la plaque, qui porte la fronde fig. 1; deux de ces corpuscules sont encore en place. Le groupe tout entier semble se rattacher a un fragment de tige et rappelle vivement le mode de fructification des Osmunda. Cette espece ressemble beaucoup a l’O. regia L.; elle parait en difförer par ses pen- nules plus larges et toutes d&pourvues d’aileron A la base; ces pennules sont &galement plus larges et plus longues que celles de l'O. Heerü m. La fronde etait sans doute de grande taille: l’&chantillon, dont la fig. 1 ne donne qu’'une partie, porte deux pennes; l’une, dont nous donnons le dessin, a 7 pennules d’un cöte et a6 de l’autre; la seconde, les restes de 5 et de 3 pennules; la base et le sommet ne sont pas conserves. Un accident regrettable a detruit l’&chantillon qui portait la fig. 3. 2 = 3. Smilax Targionii m. Pl. II. fig. 13. Travertins du Val d’Era. Feuille ovale, elliptique, entiere, a trois nervures principales; nervure moyenne plus forte que les deux autres; nervures lat@rales montant a angle aigu, presque parallelement au bord, et se rencontrant au sommet. Bien que cette empreinte, dont le dessin ma @t& envoy& par M. Strozzi, soit plus elargie a la base que celle du II" Memoire, Pl. X, fig. 5, je ne vois pas de caracteres suffisants pour les s@eparer. Le Paliurus ovoideus Goepp sp. Schossnitz, Pl. IV, fig. 43, a quelque rapport avec cette empreinte, mais les nervures laterales sont plus fortes, elles montent sans flexuosite; les nervures tertiaires qu’elles emettent montent en se recourbant et en formant un angle beaucoup plus aigu. Dans notre figure, au contraire, ces nervures sont beaucoup plus irr&gulieres. Il en est de m&me dans la figure donnee par M. Heer, Flor. tert. Pl. CXXT, fig. 59. 4. Populus Gaudini F. 0. Pl. 11. fie. 5. Montemasso. Feuilles longuement petiolees, grandes, ovales-elliptiques, souvent cuspidees au sommet, entieres ou ondulces. ! La marne calcaire blanche et friable de Montemasso a fourni deux empreintes de ce peuplier. L’une, que nous donnons ici, est mieux conservee dans son ensemble; elle est munie d'un fort petiole; on compte de chaque cöte 6—7 nervures secondaires re- courbees en arc; les nervures tertiaires sont assez visibles. La seconde feuille, que nous regrettons de ne pouvoir inserer, faute de place, est prise dans la m&me marne calcaire blanche. La base en est plus elargie; le bord mal conserv@ parait dentel@, mais c'est le resultat d’un aceident. Les nervures secondaires, au nombre de 7— 8, sont fortement courbees en arc; la nervation est admirablement conservee sur certains points et forme un tissu reticule a mailles assez grandes. — 5. Populus mutabilis repando-crenata H. Pl. II. fig. 14. Puzzolente, Montemasso. Fenilles pour la plupart longuement petiolees ; les unes ovales, ovales-elliptiques, elliptiques et lane6oltes, entieres ou er&nelces, plus rarement dentees en scie; les autres suborbieulaires, oblongues ou lanc&ol6es, grossierement dentees. — Heer, Flor. tert. = > La feuille dont je donne iei la figure est de Puzzolente; elle est suborbiculaire ou un peu cordiforme, et le bord en est irregulierement dente et sinueux. Des formes pareilles se sont @egalement rencontrees a Montemasso, avec le P. mutabilis oblonga, dont, faute de place, je ne donne pas la figure. 6. Populus Heliadum Ung. Pl. UI, fig. 15. Montajone. Puzzolente. Feuilles presentant une forme subquadrangulaire, sinuato-dentees; nervures principales laterales allongees, montant a angle aigu. L’echantillon de Montajone est bien conserve, les nervures primaires laterales sont dirigees en avant et bifurquees a leur extremite: elles donnent naissance a des nervures secondaires. qui sont &galement bifurqu6es:; les nervures secondaires, partant de la nervure moyenne, presentent le m&me caractere de bifurcation. — 1. Salıx nympharum m. Pl. I. fie. 15—18. Argiles brülees de Castelnuovo. Gaville. Feuilles petiolees, ovales, ovales-allongees ou lanc£olees, attenuees a la base, sinuees, legerement dentees ou entieres; nervures secondaires recourbees en are pres du bord. — Les empreintes de ces feuilles sont nettement marquees dans une argile rougie par la combustion des lignites:; elles presentent une certaine variete de forme et sont tantöt longues et etroites, tantöt courtes et atteignant leur plus grande largeur au-dessus de la moitie du limbe. Leur longueur varie de 3— 10 centimetres, leur largeur de 1—2. Les nervures sbcon- daires, au nombre de 10—15, sont recourbees en are et plus rapprochees vers le sommet de la feuille. On distingue nettement dans tous les Echantillons ces nervures, qui, partant de la nervure mediane, vont s’anastomoser avec la nervure secondaire plac&e au-dessous et sont caracteristiques des feuilles de Salir. Le tissu reticule saillant de la face infe- rieure a laisse dans l’argile une empreinte tres-nette; sa surface superieure est presque lisse. Cette jolie espece se rapproche du Salix einerea L.. dont elle differe par ses feuilles plus petites. L’echantillon fig. 17 est de Gaville. Il rappelle le S. angusta A. Br.; mais si.on le compare avec la fig. 15%, on verra quil y a beaucoup de rapports entre ces deux feuilles. — S. Myriea italica m. Pl. I. fie. 19. Castelnuovo. Feuilles coriaces, munies d’un court petiole, lanceolees, attenuees a la base, dentees en scie; dents nombreuses, obtuses; nervure moyenne peu saillante. = MM = ” Dans les deux &chantillons provenant de Castelnuovo et pris dans un calcaire marneux jaune, les nervures secondaires ne sapergoivent pas distinetement, bien que la substance de la feuille soit conservee en partie: les dents sont peu saillantes, mais distinetement visibles et fortement dirigces en avant. On peut comparer cette espece a la Myrica polycarpa L. 9. Betula prisca Ett. Pl. II. fie. 10. Gaville. Jai donn® dans le II" M&emoire de bonnes figures de la B. Brongniarti et indique, page 40, les caracteres qui. d’apres M. Heer, semblent distinguer cette espece de la B. prisca. (es caracteres reposent sur le nombre des nervures secondaires; la B. Brongniarti en aurait 10—12:; la B. prisca 8—9. Si ces caracteres sont suffisants, ce dont je ne suis pas completement convaincu, la _B. prisca existerait aussi a Gaville. C'est ce qui ma decide a donner la figure d’un fort bel @chantillon, auquel il ne manque que lex- tremite superieure. Malgre sa grande taille, il ne compte que 8—9 nervures secondaires; celles de la paire inferieure montent a angle aigu presque parallelement au bord; elles sont presque oppos@es et @mettent 4—5 nervures tertiaires prononcees; la plus inferieure est tres-forte et monte parallelement au bord. Les autres nervures secondaires @mettent pareillement des nervures tertiäires a leur extr&@mite. Le limbe est dentel& sur les bords et les dents, bien que peu saillantes, sont cependant nettement d&coupe6es; celles aux- quelles aboutissent les nervures secondaires sont gen@ralement plus grandes que les intermediaires. 10. Quercus nerüfolia A. Br. PL LU, fie. 1. Bozzone. Feuilles p@tiolees, subcoriaces, luisantes en-dessus, allongees Janc&olees, acumindes, entieres ou munies de dents a leur sommet:; nervures secondaires nombreuses, camp- todromes. Le Bozzone a fourni deux empreintes, dont je donne ici la meilleure ; elle est munie d’un petiole long et assez mince; la direction des nervures secondaires et leur courbure correspondent a celles du Quercus nerüfolia et distinguent cette feuille de celles du Laurus princeps. Une feuille assez pareille a € publi&e par M. Heer; Flor. tert. Pl. LXXV, fig. 2. Peut-ötre, la feuille que j’ai figure dans le II" memoire, Pl. VIIL, fig. 1, devrait-elle se rapporter &galement au Q. nerüfolia. 3° — 11. Quercus etymodrys Ung. Pl III, fig. 11. Puzzolente, Montemasso, Poggione. Feuilles longuement petiol&es, oblongues, obtuses, sinuato-dentees; dents presque triangulaires, pleuronerves; nervures secondaires simples. Cette espece est fr&quente a Puzzolente; jai dü me borner a un seul &chantillon de cette localit&; il en est qui peuvent se rapporter parfaitement aux figures donnees par Massalongo dans ses Studü sulla flora fossile del Sinigalliese, et a la fig. 3, Pl. II de l’ouvrage de M. Unger. Le Quercus etymodrys differe du Q. Seillana par la plus grande largeur des dents et par leur disposition. Dans la premiere espece, elles commencent A partir de la base, tandis que, dans la seconde, elles ne commencent que vers le milieu de la feuille; elles sont en outre plus petites et plus rapproche£es. 12. Quereus montebambolina m. Pl. III, fie. 10, 13. Montebamboli, Puzzolente. Feuilles lanc&ol&es, acumindes, arrondies A la base, sinuato-dentees, oligonerves; dents eparses, obtuses, ou terminees en £pine deliee. Plus larges vers la base, ses feuilles diminuent graduellement vers le sommet; elles n’ont de chaque cöte qu’un petit nombre de nervures et de dents separ&es par un sinus peu profond; les dents sont peu saillantes et munies parfois d’une petite pointe en forme d’epine. — L’Echantillon fig. 10 est pris dans la marne sableuse et friable de Puzzolente; celui de la fig. 13 dans le calcaire bitumineux de Montebamboli. — Bien que le bord de la 1° feuille soit un peu plus ondule et celui de la seconde plus nettement decoup6, je ne pense pas quil faille voir ici deux especes distinctes. Cette belle espece nouvelle pour la Flore fossile a un cachet ame£ricain plutöt qu’Europeen; elle est m&me presque identique a une variete du Quercus Castanea Ph., rapportee du Tennessee par M. le Forestier Berthollet. 13. Quercus tofina m. Pl. VI, fig. 3. Travertins du Val d’Era. Feuille petite, petiolee, ovale et elliptique, apiculee, dentee, nervures secondaires 6—7, dents dirigees en avant. Cette petite feuille est arrondie a la base; elle a, d’un cöte, cing dents, auxquelles aboutissent les nervures secondaires, et de l’autre, quatre; les dents sont generalement simples; leur cöte inferieur est courb& en avant, le superieur presque horizontal. Cette espece rappelle le Q. confertifolia. u U = 14. Ficus Gavillana m. Pl. III, fie. 8. Feuille entiere, petiolee, ovale-lanc£olee, attenuce a la base; nervures secondaires montant ä angle aigu. Cette jolie empreinte, que lon peut rapporter avec beaucoup de probabilite au genre Ficus, compte 8 paires de nervures secondaires; celles de la paire inferieure montent, en formant un angle tres-aigu, parallelement au bord et vont rejoindre la paire sup£rieure, dont les nervures sont @galement oppos@ees, mais forment un angle plus ouvert, comme cela se passe dans beaucoup despeces de figuiers; les nervures sup£rieures sont alternes; les tertiaires principales forment un tissu irregulier tres läche. Cette espece ne se rapporte A aucune des especes fossiles d@ja publiees; en revanche, elle presente une certaine ana- logie avec les Fieus microcarpa Wahl, benjaminea W., nitida W., et lucida W. Cette res- semblance est surtout grande pour la consistance et la grandeur de la feuille ainsi que pour le nombre et la disposition des nervures secondaires ; les nervures tertiaires, en revanche, sont autrement disposees dans les figuiers que je viens de nommer; elles partent de la nervure principale et courent parallelement aux nervures secondaires, tandis que, dans notre espece fossile, elles sont plutöt perpendieulaires aux nervures secondaires, comme cela sobserve dans les Fieus lutescens Nois. et aurantiaca, avec lesquelles il faut surtout comparer notre F. Gavillana. 15. Platanus academiae m. Pl. II, fig. 1. Montemasso. Feuille profondement pinnatifide, a cing lobes; lobes lanc&oles, les intermediaires entiers, les anterieurs plus ou moins dentes; nervures secondaires nombreuses, distantes, recourbees en arc. La position que jjai donnee a cette feuille pourrait faire penser que je la considere comme ayant te trilobee et que je prends le lobe vertical pour le lobe median. I n’en est rien. Cette feuille avait evidemment einq lobes et nous aurions iei le lobe inter- mediaire et le lobe exterieur de droite. Il mandquerait ainsi a notre empreinte le lobe median, et. de plus, le lobe intermediaire et le lobe exterieur de gauche. Ce qui prouve que le lobe de gauche de notre empreinte n'est pas le lobe median, mais un lobe intermediaire, c'est que les nervures secondaires ne sont pas symetriques; les angles qu’elles forment . de part et d’autre de la nervure prineipale sont inegaux; ils sont plus aigus du cöte du lobe exterieur, et plus ouvert du cöt& du lobe median; de plus, les deux bords exterieurs Zu up ne sont pas symetriques; les sinus places de part et d’autre de ce lobe vertical devraient etre A la m&me hauteur, ce qui n’est pas le cas; enfin, le sinus de droite est beaucoup plus grand que celui de gauche, absolument comme cela se voit de part et d’autre du lobe intermediaire dans le platane vivant. Cette magnifique espece appartient a un groupe tout different de celui du Pl. ocei- dentalis, auquel on compare le Pl. aceroides Goepp. Par ces feuilles profond&ment palma- tifides, il se rattache evidemment au groupe du Pl. orientalis, qui offre souvent une variete ä lobes entiers et non dentes et que M. Tenore a decrite sous le nom de Pl. orientalis var. caucasica. (»Habet foliorum lobos lanceolatos, fere integros« Cav. M. Tenore. Ricerche sulla celassificazione dei Platani, pag. 18 et fig. 3.) J’ai recueilli sur la promenade de l’Acquasola, A Genes, des feuilles ou l’on ne voit qu’une seule dent a lun des lobes ex- terieurs; tous les autres sont entiers et ressemblent a ceux de notre figure I. Cette va- riete se retrouve @galement aux Cascines de Florence. Elle a une nervure principale aboutissant au lobe median, et deux nervures laterales qui parcourent les lobes interm&- diaires. Ces nervures laterales @mettent chacune, a environ 1 centimetre de hauteur, une forte nervure qui aboutit au lobe exterieur dente lui-m&me, comme c'est, du reste, le cas dans le Pl. occidentalis. 16. Laurus gracilis m. Pl. II. fie. 9. Gaville. Feuille coriace, entiere, elliptique lanceolee, acuminee au sommet; neryures secon- daires @parses, montant a angle aigu, fortement camptodromes. Par sa forme generale, cette feuille rappellerait le Rhamnus Decheni OÖ. W., mais la feuille &tait coriace. Elle n’a qu'un petit nombre de nervures secondaires fortement di- rigees en avant et recourbees en arc; une petite verrue nettement marquee se distingue a laisselle de six nervures. La surface de la feuille est occupee par un tissu reticule tres-fin. 17. Laurus Gastaldi m. Pl. III. fig. 14. Gaville. Feuille coriace, ovale-lanc&ol&e, entiere; nervures montant a angle aigu, tres-peu arquees et ne se recourbant en arc que tres-pres du bord. Cette empreinte est prise dans un conglomerat ferrugineux et rouge; elle porte a l’aisselle de presque toutes ses nervures une petite verrue et rappellerait ainsi le Laurus a Guiscardii m: mais le L. Gastaldü est plus lanc&ole, les nervures montent plus droit et ne se bifurquent pas. Cette empreinte est celle de la face inferieure: la nervure mediane a laisse un sillon profond. 15. Laurus montemassana m. Pl I, fig. 7, 12. Montemasso, Puzzolente, Poggione. Feuilles entieres, coriaces, ovales-lanc£olees, arrondies a la base, obtuses au sommet: nervure moyenne forte, nervures secondaires courbees en arc. Malgre une &tude attentive de ces feuilles, je ne puis pas dire que je sois arrive a une conclusion bien satisfaisante a leur sujet. Leur nature &videmment coriace ressort de la maniere dont elles sont a demi roulees sur leur longueur, de l’@paisseur de la nervure moyenne, qui a laisse dans le gres un sillon profond, quoique de peu de largeur. Par leur forme generale, elles se rapprocheraient du L. princeps H., mais elles sont beaucoup plus petites; seraient-ce peut-£tre des feuilles de L. princeps qui ne seraient pas parvenues a leur complete croissance? Mais les trois &chantillons, dont nous n’avons figur& que deux, ont &t& recueillis chacun dans un gisement different, et on n’a trouve a Montemasso qu'une seule feuille du L. princeps. Il faut remargquer, en outre, que le L. princeps est attenu® a la base et muni d’un petiole; nos feuilles different sur ces deux points; elles semblent avoir &te sessiles et feraient penser aux feuilles de Pistacia, si la base n’etait egale et la nervation differente. Jenvisage done cette espece comme nouvelle. 19. Protea lingulata H. Pl. I, fig. 9. Limone. Feuilles sessiles, linguiformes , fortement attenu@es a la base : nervure moyenne faible, nervures secondaires hyphodromes, montant sous un angle tres-aigu. M. Strozzi a recueilli de cette feuille l’empreinte et la contre-empreinte; toutes deux sont presque entieres et bien conservees. La feuille est un peu plus pelite que celles que jai recueillies aux Montenailles sur Lausanne (Fl. tert. Pl. XCVI, fig. 20), mais elle a la m&me forme et la m&me nervation. 20. Persoonia tusca m. Pl. I, fig. 13, 14. Castelnuovo. Feuilles coriaces, ovales lanc&ol&es, attenu6es a la base en un court petiole ; nervures secondaires tres-delicates , ascendantes. 2 La Persoonia tusca ressemble par sa forme a la ?. firma, mais elle s’en distingue par des nervures secondaires plus delicates et dirigees autrement; dans la P. fürma, elles montent en formant un angle plus aigu et ne se bifurquent pas; elles restent davantage paralleles entr’ elles. La P. tusca differe de la P. laurina H. (non pas la P. laurina Sm., espece vivante) par sa nature &videmment coriace et de la P. daphnes Eit., par son ex- tremite plus arrondie et le retr@cissement plus prononce du limbe sur le petiole. 21. Persoonia limonensis m. PL T, fie. 10. Limone. Feuille coriace, entiere, obovale; nervures secondaires tres delicates, montant a angle aigu. Cette espece parait diflerer de la pr&c&dente par sa forme obovale et les bords de son limbe qui viennent rencontrer le petiole sans s’inflechir, ni s’attönuer. Elle peut se comparer a la P. laurina Sm. espece vivante, dont M. d’Ettingshausen a donne l’empreinte (die Blattskelette der Dicotyledonen, Pl. V, fig. 8, 9). 22. Banksia helvetica H. Pl. II, fig. 5. Montemasso. Feuilles coriaces, roides, presque sessiles, att@nudes graduellement du cöt& du petiole:; obovales-lanceolees, entieres ou dentees au sommet; nervure moyenne forte, nervures secondaires nulles ou peu saillantes; nervation hyphodrome. (Heer, Flor. tert.) Cette feuille a dü &tre coriace, le bord est legerement roule en-dessous; la nervure moyenne reste tres visible jusqu'au sommet de la feuille; les nervures secondaires sont tres-delicates et ne s’apercoivent ca et la qu’a laide de la loupe. (et &chantillon cor- respond bien a ceux de la Flore tertiaire, fig. 47 et 48, Pl. XCVI. 23. Diospyros anceps H. Pl. II, fig. 4. Gaville. Voir II" Mem., page 51. Il m’a paru utile de publier le dessin d’une feuille aussi bien conservee. 24. Berberis puzzolentana m. Pl. II, fig. 4 et 4*. Feuille coriace, rigide, presque sessile, attenuece en petiole a la base, obovale-ob- longue, obtuse, entiere, nervure moyenne peu saillante et disparaissant avant d’atteindre le sommet; nervures secondaires recourbees en arc, delicates. Par sa forme, cette feuille rappelle la Pimilea oeningensis, mais la nervation en est differente; elle forme un tissu reticule, saillant, presque chagrine. On trouve souvent sur quelques pieds de la Berberis vulgaris L. des feuilles petites, entieres ou presque entieres, et qui ont un tissu reticule si prononce que les nervures secondaires en deviennent tout & fait indistinctes. Ces feuilles sont moins nombreuses que les autres, mais cependant assez abondantes. 25. Cornus Buchü H. PL I, fie. 9. Parrane. Feuilles ovales, elliptiques, entieres; nervure montant a angle aigu. Cette feuille pr&sente quelque rapport avec celle de €. Buchü que M. le Prof. Heer a publiee Flor. tert. Pl. CV, fig. 9, et pourrait bien appartenir a la m&me espece; elle est elliptique, terminee en pointe: on voit distinetement trois nervures secondaires fortement courbees et dirigees en avant. Deux autres sont moins visibles. — Le cornus mas L. a des feuilles munies de trois ä huit nervures secondaires, de sorte que dans cette espece le nombre des nervures ne saurait etre un caractere sp£cifique. Pour ce qui me concerne, je n'hesiterais pas a voir tout simplement ici une feuille de Cornus mas L. 26. Vitis vinifera L. Pl. IV. fie. 9. Travertins anciens du Val d’Era. Viris Ausoniae m. olim! Jai publie dans le I* M&m. Pl. XII, fig. 3. et dans le IV* Pl. III, fig. 6 et 7, des fragments de feuilles qui me paraissaient appartenir a une espece de Vigne, V. Ausoniae m., que je comparais A la V. Labrusca W. de l’Amerique. L’&chantillon, dont le dessin m'a &t& envoy& par M. Strozzi, ne presente r@ellement aucune difference qui justifie la separation de cette espece d’avec la YV. vinifera L., cultivee ou sauvage (lambrusca des Italiens). Cette ressemblance m’a engag® ä faire de nouvelles comparaisons entre les feuilles que javais publiees sous le nom de V. Ausoniae et les feuilles de la vigne ordi- naire. Cette recherche m’a convaincu que les feuilles du Me&m. IV, Pl. III fig. 6 et 7, qui ont leur lobe median beaucoup moins retreei a la base, ne sont que de jeunes feuilles de la V. vinifera, L. ou plutöt des feuilles comme on en rencontre souvent a la base des rameaux. Notre sfbantillon presente une irregularit® qui ne me parait pas due A une faute de dessin. Les lobes lateraux n’ont jamais qu'une nervure prineipale &mettant des nervures secondaires, a moins qu'ils ne portent un lobe secondaire, comme c'est le cas du lobe de gauche. Rögulierement, la seconde nervure de droite a partir de la base devrait aboutir au lobe median et non au lobe lateral. 27. Myrtus Veneris m. Pl. II, fig. 15. Gaville. Feuille petiolee, entiere, obovale-orbiculaire; nervure moyenne atteignant le sommet, nervures secondaires formant un angle ouvert, s’anastomosant en arcs assez £@loignes du bord et courant parallelement avec lui. On peut compter sur cette empreinte 7—$8 nervures secondaires delicates; les arcs, par leur r&union, forment une nervure marginale absolument comme dans le Myrtus com- munis L. Les feuilles de cette derniere espece sont plus grandes, plus ovales-lanc£ol£es, mais on trouve sur un meme pied de Myrte des feuilles qui ont la forme de notre em- preinte; elles sont moins abondantes que les autres et semblent n’&tre pas parvenues a leur taille reguliere. Le M. Veneris differe des especes fossiles decrites jusqu’a ce jour, mais se rapproche beaucoup de l’espece europeenne. Feuilles d’erable. Les feuilles d’erable recueillies dans ces divers gisements different toutes par quelques details, soit des especes fossiles deja decrites, soit des especes vivantes auxquelles je les ai compar6es; jaai done renonc& ä les rattacher aux unes ou aux autres d’une maniere definitive et ä leur donner un nom que ma conviction ne justifiait pas. J'aurais pu les laisser entierement de cöte; mais la publication de figures exactes @tant, amon avis, un des &löments les plus propres ä faciliter l’&tude en fournissant de bons materiaux de com- paraison, jjai pris le parti de les publier. Je me contenterai d’indiquer les especes vi- vantes et fossiles avec lesquelles ces empreintes me paraissent presenter le plus de rap- ports, et je conserverai a part moi la conviction que les fig. 1 — 5, Pl. IV, pourraient bien appartenir a une m&me espece, aussi voisine au fond du type de l’A. monspessulanum que de tout autre type. On trouve souvent r&unis sur le m&me rameau d’4. monspessulanum le type le plus connu a 3 lobes, et le type des A. opulus, opulifolius , coriaceus a 5 lobes et 5 nervures principales. Dans le type a 3 lobes, le lobe median est tantöt egal aux deux autres, comme dans notre fig. 3, tantöt plus grand, comme dans la fig. 1, tantöt plus court, comme dans - la fig. 5; l’angle form& par les nervures laterales avec la nervure moyenne varie dans l’A. monspessulanum de 35° a 95°. a Ws 28. La feuille fig. 1 de Gaville a quelque rapport avec 1A. integrilohum O. W., mais elle est encore beaucoup plus voisine de eertains &chantillons d’A. opulus que je possede. 29. La fig. d me parait appartenir au m&me type, tout en se rapprochant de l’A. Sismondae m. 30. La fig. 3 ne differe de 1’A. monspessulanum que par l’angle que forment les deux nervures laterales; cet angle est plus petit que ce n’est ordinairement le cas dans l’A. mons- pessulanum. || rappellerait ainsi l’A. integrilobum, mais l’A. integrilobum a des lobes divergents tres-allonges et acumines. Jai deja dit, du reste, que langle form& par la nervure moyenne et les nervures laterales varie, dans IA. monspessulanum, de 35° a 95°. 31. La forme fig. 5 se trouve sur l’A. monspessulanum, et fr&quemment, mais cette feuille de 1/ plus grande que ne le sont celles de l’Erable de Montpellier, qui presentent souvent ce type a lobe median plus court que les Jateraux. On peut aussi rapprocher cette forme de celles de IA. platyphyllum H. 32. La feuille fig. 2 rappelle, en un peu plus grand, le type de feuilles a 5 nervures et a 5 lobes de l’A. monspessulanum. Ce type a deux dents de chaque cöte de lobe median et ıne de chaque cöte des lobes lateraux, comme dans notre empreinte. 33. Acer integerrimum Viv. Pl IV, fie. 7. Travertins du Val d’Era. Feuille a 5 lobes; lobes entiers, acumines, termines en longue pointe. Cette espece (VA. trachyticum de Kovatz) presente beaucoup de rapport avec 1A. Lobelü Ten. de Vltalie; je Vaurais r&unie A Vespece vivante, si dans les &chantillons d’A. Lobelii que je possede les nervures des lobes inferieurs ne faisaient entr' elles un angle plus petit que langle droit, tandis que dans notre figure, dans celles de M. de Kovatz et dans celles de Massalongo, ces deux nervures sont a peu-pres opposees; elles forment un angle egal a deux droits ou m&me plus grand que deux droits. 34. Acer otopterix Gp.? Pl. IV. fig. 6—8. (A triangulilobum Goepp.) Montebamboli. Feuilles trilobees, emargees A la base, arrondies; lobes lateraux un peu divergents, triangulaires, dent‘s en scie; sinus aigus. M. Goeppert a publi@ dans sa Flore de Schossnitz les fruits de 1A. otopteri@ si re- narquables par leur grandeur. M. Heer a pu montrer depuis, gräces aux d&couvertes faites dans la flore fossile de VIslande, que les feuilles de TA. triangulilobum Gp. doivent ötre celles de Varbre ji portait ces grandes samarres, — Pau wer Le fragment de feuille fig. 8. ressemble beaucoup a la feuille de l’A. otopterix Gp. et aussi A notre Acer Pcnzianum; dans cette derniere espece toutefois les lobes sont moins pro@minents et moins divergents, ce qui constitue la principale difference entre la feuille de l’A. otopterix (A. triangulilobum Goepp.) et celle de I’A. Ponzianum. On peut done rapporter ce fragment a l’A. otopterix. Peut-&tre 1’A. Ponzianum n’est-il qu’une variete de l’A. otopterix; la presence des deux formes a Montebamboli, parle en faveur de cette sup- position. Il faudrait, pour decider la question, que l’on decouvrit a Montebamboli les grands fruits si caracteristiques de I’A. otopterix. Le fragment que nous donnons ici se distingue en ce que son lobe median n'est pas elargi au milieu, mais ce caractere n'est pas constant, ainsi que M. Heer l’a obsery@ sur les feuilles d’Islande. La feuille publiee dans le II" Mem. Pl. X, fig. 11, appartiendrait ainsi a l’A. otopterix. Notre fig. 6 est une jeune feuille, que je rattache a la m&me espece, mais qui pourrait egalement se rapporter a l’A. Ponzianum. Les formes des feuilles incompletes et celles des jeunes pousses presentent souvent beaucoup de rapports d’une espece a l’autre. 35. Sapindus faleifolius A. Br. Pl. Il. fig. 16. Gaville. Grande et belle feuille, toute pareille a celles que M. Heer a publiees dans la Flore tertiaire. Voyez Pl. CXIX, fig. 2. Elle est munie d’un court p£tiole et se distingue aınsi du S. densifolius. J’avais donne dans le I” Mem. Pl. XII, fig. 9, 10, le dessin de deux feuilles que je rap- portais au S. faleifolius.*) Cette determination est rendue plus probable par la d&couverte de ce nouvel &chantillon et celle des S. dubius au Bozzone et S. densifolius a Castelnuovo. *, Un illustre savant, Monsieur le Dr. Joseph-D. Hooker, dans son magnifique travail sur la Flore de l’Australie, p. 21 (On the Flora of Australia, üs origin, ete.), a proteste avec beaucoup de vivacite contre cette determination en partieulier et, me parait-il, contre le mode de proceder adopte par les personnes qui se livrent a l’etude des emmpreintes fossiles. Cette protestation des botanistes qui s'oecupent exelusivement des plantes vivantes n’a rien que de naturel: les procedes de determination &tant entierement diflerents, les habitudes et les aptitudes de l’esprit en viennent a diflerer egalement. Jai vu un savant botaniste ne pouvoir distinguer une feuille de Platane d’une feuille d’Erable! Lorsqu’on s’est occupe pendant des semaines ou des mois de l’examen d’une meme espece de feuille fossile, on arrive a en reconnailre de petils fragments auxquels ne verrait rien du tout un botaniste preoceupe unıquement de l'aspect general de la plante et des organes de fructification. Je comprends parfaitement l’etonnement de M. le Dr. Hooker a la vue d’un fragment de feuille, I’ M&m., Pl. XII, fig. 3, determine comme appartenant au genre Pitis, et cependant, dans ma conviction tres-arretee, la determination est correcie; cette feuille ne peut &tre qu’une feuille de Vigne. Je n’entends pas dire par la que toutes mes determinations soient bonnes, non, mais toutes sont des el&ments utiles. La botanique fossile n’a pas employe d’auıre procede pour arriver, en peu d’annees, ä des r&sultats dont les botanistes vivants eux-memes sont forces de tenir compte. m Er 36. Verbenophyllum aculeatum Ett.? Pl. II, fig. 7. Gaville. Feuille petiolee, allongee-lanc&olee, entiere:; nervure moyenne forte, nervures secon- daires recourbees en arc. M. d’Ettingshausen, Flore de Koeflach, Pl. Ill, fig. 11. a donne le dessin de feuilles avec lesquelles ce fragment pr&sente quelque analogie. Dans notre &chantillon, les ner- vures secondaires sont separ&es par un assez grand nombre de nervures plus fines; le tissu est ponctu@ ou marque de petites protuberances, qui pourraient provenir d’aiguillons ou de petites €pines; elles se remarquent @galement sur la nervure moyenne et rappellent ce qu'’on peut observer sur la nervure moyenne de la figure donnee par M. d’Ettingshausen. Cette determination n'est cependant pas encore assurte. 37. Uelastrus Capellinn H. Pl. II, fie. 11. Montemasso. Piombino. Voy. II" Mem., pag. 52 et Pl. V, fig. 5. Cette feuille, dont je donne le dessin fig. 11, est coriace; elle a presque la m&öme forme que celle de Sarzanello, mais la nervation en est beaucoup mieux conservee. Dans la premiere, les nervures plus fines sont entierement eflac&es; il n’est done pas possible d’etablir une comparaison rigoureuse, ni d’arriver a une determination assuree, d’autant plus que dans notre feuille la base n'est pas completement arrondie. La nervure moyenne est forte; les nervures secondaires extrömement delicates, si- nueuses, recourbees en arcs @loignes du bord et reliees entr' elles: elles sont moins saillantes que le tissu reticul@ qui est tres-serre; c'est une nervation que l'on pourrait appeler hyphodrome. Piombino a fourni une feuille ovale, entiere, a nervure moyenne forte, a nervures secondaires tres-delicates, a peine indiquees; le tissu reticul® n'est pas conserve. Elle pourrait bien appartenir a la m&me espece. 38. Celastrus Bruckmanni A. Br. Pl. III, fig. 6. Castelnuovo,, marnes grises. Feuilles presque coriaces, munies d'un court petiole, ovales, obtuses au sommet, entieres, un peu att@nutes a la base, nervures secondaires 3—5 de part et d’autre, courb£es, camptodromes. an La forme de cette feuille concorde assez bien avec les dessins et la description que M. Heer en a donnes dans la Flore tertiaire; on peut comparer entr' autres les fig. 34, 35 et 37 de la Pl. EXXI. On y remarque la me&me inflexion de Fun des cötes de la feuille, A une certaine distance du petiole. 39. Elaeodendron Capellini m. Pl. II, fig. 12. Piombino. Feuille petiolee, elliptique-allong&e, lanc&ol&e, acuminee au sommet, attenuee a la base, regulierement et obtusement dentee; nervure moyenne assez forte, nervures secon- daires nombreuses, montant a angle aigu, flexueuses, recourb£es en arc, reliees entr’ elles; mailles formant un tissu läche. Les nervures secondaires de la paire inferieure qui eötoient le bord font penser a certaines especes de Fieus, mais l’aspect general de la feuille et de la nervation la rap- proche davantage du genre Elaeodendron; le bord est nettement decoupe et forme une serie de dents obtuses, qui en occupent la plus grande partie. On peut comparer cetfe espece a l’Elaeodendron Gaudini H., Flor. tert., Pl. CXXIF, fig. 3, 4, et a VE. australe Vent. qui a une nervation toute semblable; voir Ettingshausen, die Nervation der Dicotyledonen, Pl. 58, fig. 3. 40. Geanothus ebuloides ©. W. PI. IL, fig. 12. Avane, argiles brülees. Feuilles ovales-lanc&olees, erenelees-dentees, subtriplinerves; nervures secondaires inferieures suprabasilaires, courbees, camptodromes. La description donnee dans la Flor. tert. peut s’appliquer a l’echantillon dont je donne ici la figure et a un autre de la m&me localit&; toutefois l’@chantillon publie par M. Weber dans les Paleontographica II. Pl. XXI, fig. 3, et celui de la Flor. tert., Pl. CXXII, fig. 26, sont mal conserv@s; il en est de m&me des deux echantillons d’Avane, et il faut done se borner a admettre la grande probabilit@ de cette determination en attendant la decou- verte de meilleurs echantillons. 41. Rhamnus bozzonica m. Ett. Pl. 1, fig. 8. Bozzone. Rhamnus a feuilles elliptiques; nervures secondaires d—5 distantes, camptodromes, ascendantes, nervures tertiaires transverses. Fr 8 On peut comparer cette empreinte a celle que M. Heer a publiee dans la Flore tertiaire, Pl. CXXIII, fig. 26. Notre feuille pr&sente quelques legeres differences; ainsi le bord est ondul&, la feuille compte une nervure de plus, les nervures secondaires inferieures sont plus rapprochees; si cette feuille nappartient pas au Ahamnus colubrinoides, elle de- vait appartenir a une espece bien voisine. 42. Crataegus incisus 0. W. PLI, fig. 11. Montebamboli. Feuille p£tiolee, ovale-lanc£olee, acuminee, incisee-lobee; lobes inferieurs peu sail- lants, doublement dentes, dents courb@es en avant, aigües; nervure moyenne forte; ner- vures secondaires inferieures se prolongeant jusqu’a l’extremite des lobes, les sup£rieures bifurquees. les tertiaires aboutissant a l’extremit@ des dents. Cette feuille est un peu mieux consery&e que celle qui a &t@ publi6e par M. O. Weber dans les Paleontographica et a laquelle le sommet manque completement; c'est ce qui m'engage a donner ici le dessin de l’empreinte de Montebamboli; elle appartient @videm- ment ä la m&me espece. On peut indiquer comme especes vivantes analogues un Cra- taegus de la Nouvelle-Orl&ans publie par M. d’Ettingshausen O. C. p. 208, fig. 237, et le Cr. pareifolia Ait de l’Ame£rique du Nord O. C. p. 210, fig. 242. 43. Urataegus puzzolentana m. Pl. 1, fig. 6. Puzzolente. Feuille membraneuse, obovale-orbiculaire, attenu@e a la base, dentee, penninerve, nervures secondaires au nombre de 8—9 de part et d’autre, simples, paralleles, un peu courbees, atteignant le bord. Par sa forme, cette feuille se rapproche du Cr. aria var. perollana (IV Mem., Pl. Vll, fig. 5), mais la nervation est differente; les nervures secondaires de la paire inferieure montent obliquement et aboutissent a la 7”* ou 8” dent; les dents inferieures sont occup&es par autant de nervures tertiaires parties de cette paire inferieure; ici, les nervures inferieures aboutissent a la premiere dent, les autres montent parallelement a celles-ei:; elles sont un peu courb@es et aboutissent aux dents, qui sont simples la oü elles paraissent bien conserv&es; du cöt& gauche, le bord parait doublement dente, mais il est moins bien conserve. On n’apergoit pas de nervures tertiaires, ce qui est d’accord avec les dents simples de la partie inferieure. On peut comparer a cette espece les Cr. tomentosa, aidon, punctata Ait., erusgalli, latifolia et cuneifolia, ete.; mais dans toutes ces especes les dents sont plus nombreuses, plus rapprochees, plus ac@r&es, et la nervation est diff@rente. — 44. Inga gavillana m. Pl. II, fig. 2. Gaville. Feuille entiere, ovale-lanceol&e, acuminee, attenu6e a la base qui est inegale; ner- vure moyenne forte, nervures secondaires formant un angle tres-ouvert. Dans son magnifique ouvrage (Die Blattskelette der Dicotyledonen) M. d’Ettingshausen a donne l’empreinte physiotypique de plusieurs especes d’Inga, dont quelques-unes ont une grande analogie avec notre feuille de Gaville. On n’a qu’a comparer les empreintes des /nga tetraphylla, I. bracteata pag. 224, fig. 274 et 276, et 1. lasiopus pag. 226, fig. 270. Nous avons ici, comme dans les especes d’Inga, une base sensiblement inegale; la nervure moyenne est assez forte, jusque bien au-dela de la moitie; elle est un peu courbee; les nervures secondaires forment des angles plus aigus a la base (environ 45 °) et plus ouverts vers le haut (environ 75°); elles se recourbent en arc a quelque distance du bord; le vernis dont la feuille a &t& malheureusement recouvert ne laisse apercevoir ni les nervures tertiaires, nı le tissu. Le genre Inga appartient sans doute plutöt aux contr&es tropicales de ’Amerique du Sud, mais il remonte jusqu’au golfe du Mexique, ou il rencontre les Liquidambar et les Taxodium. 45. Leguminosites firmulus H. Pl. I, fig. 2. Gaville. Feuilles subcoriaces, ovales; nervures secondaires formant un angle ouvert, campto- dromes. J’ai publi@ dans le II" M&m., Pl. VII, fig. 18, une feuille toute pareille a celle dont je donne aujourd’hui le dessin. Je l’avais rattachee au Juglans acuminata A. Br. La pre- sence de trois autres petites feuilles a Gaville, le fait qu’elles ont un plus grand nombre de nervures secondaires que ce n'est ordinairement le cas dans les petites feuilles du J. acu- minata (l'une d’elles en compte 11 de chaque cöte), m’engage a adopter l’opinion de mon cher maitre et ami, M. le Prof. Heer, et ä les rattacher toutes a l’espece qu'il a figuree sous le nom de Leguminosites firmulus. Voir Fl. tert., Pl. CXXXIX, fig. 2. 46. Leguminosites piombinensis m. Pl. I, fig. 5. Piombino. Feuille coriace, lanc&ol&e, a base tr&s-inegale, munie ga et la de petites dents; ner- vures secondaires nombreuses, camptodromes. 3 Cette petite feuille a dü tre tres-coriace; au premier coup d’eil, elle parait entiere, mais a Ja loupe, on distingue de petites dents eparses. On compte environ 18 nervures secondaires de chaque cöte; elle se recourbent en are; les espaces intermediaires sont remplis par un tissu retieule tres-distinet. 47. Phyllites gavillanus m. Pl. III, fie. 7. Gaville. Fenille ötroite, lanceolee, acuminee, attenuce a la base, munie gä et la de petites dents: neryvure moyenne assez forte, nervures secondaires montant a angle aigu, abou- tissant a lextr&mite des dents ou recourb6es en are. Je mai trouve aucune feuille a qui comparer cette empreinte, sauf celles de la For- sythia viridissima Lindl., mais cette ressemblance n’est pas suffisante pour rattacher cette feuille au genre Forsythia. II faut attendre de meilleurs echantillons. 48. Phyllites rotundilobus. Pl. Il, fie. 8. Travertins du Val d’Era. Feuille rigide,, lineaire, pinnatipartite, lobes petits, presque arrondis, separes par un sinus eirculaire et parcourus par une seule nervure. Je dois a lobligeance de M. Strozzi la communication de ce dessin, qui rappelle certaines formes de fougeres, comme aussi celles de quelques Comptonia et Dryandra. Je le publie afin d’attirer l’attention des personnes qui seront appel6ces a explorer les travertins de la Toscane. 49. Uarpolithes arietinus m. Pl. II, fie. 3. Puzzolente. Fruit ovale-allong®, resserre, puis renfl@ a la base, surmonte de deux prolongements ou styles filiformes recourbes. L’echantillon porte deux empreintes de ce fruit; lune est bien conserv6e; le fruit proprement dit mesure 7”" de longueur; il est rugueux, strie, et parait renfl@ a la base en une protuberance spherique. Les aigrettes, qui mesurent 35"" de longueur, ne paraissent pas avoir &t@ plumeuses; on n’apercoit du moins pas de traces de poils. L’autre empreinte situ6e pres du bord ne montre que le fruit Iui-meme; il est de la m&me grandeur et a peu pres de la m&me forme que le premier; la base seulement de laigrette est conserv6e. | I — L’aigrette de ce fruit rappelle celle des cl&ematites, mais celle-ci est simple et non pas double comme celle de notre figure, qui me parait &tre form&e de deux styles per- sistants correspondant a deux carpelles appliques un contre l’autre ou contenus dans une meme enveloppe. Je n’ai pas trouve de fruit auquel notre espece fossile corresponde exactement. Certaines especes d’ombelliferes presentent ainsi deux carpelles appliques un contre l’autre et surmontes d’un style persistant filiforme. Ainsi les Meum mutellina, Sium falcaria, Oenanthe fistulosa, mais les styles n’atteignent pas des proportions aussi considerables. On n’apercoit du reste pas sur notre fossile de traces de disques. Les materiaux me manquent pour etablir de meilleures comparaisons, et je dois laisser A ceux qui sont mieux places le soin de trouver le genre auquel ce fruit peut &tre rapporte. CATALOGUR DES ESPECES eontenues dans le dernier envoi de M. le Marquis Strozzi. ESPECES. Montebamboli. Puzzolente, Parrane, Cafaggio. Montemasso. Gaville, Montajone. Castelnuovo Piombino. Poggione Sphaeria annulus Gd. Osmunda Strozzii Gd. Glyptostrobus europ. Br. Pinus Saturni Ung.? | » uncinoides Gd. SequoiaLangsdorfi Br.sp. ‚ Taxodium dubium St. ' Smilax Targionii Gd. Populus leucophylla Ung. Heliadum Ung. Gaudini F.-O. mutabilis H. a) repando-crenata. b) oblonga. Salix nympharum Gd. Myrica italica Gd. » salicina Ung.? Alnus Kefersteini Gd. Betula prisca Ett. Castanea atavia Ung.? Fagus Deucalionis Ung. |MB.| » castaneaefolia Ung. Carpinuspyramid. Gp.sp. Quercus dryıneia Ung. "; Sans autre dösignation plus pr£eecise. ESPECES. Quercus etymodrys Ung. » roburoides Gd. » Scillana Gd.? | Montebamboli. |Vat «Arno. | Parrane. | Cafaggio. = | Montemasso. | Bozzone. | Gaville. | Montajone. | Castelnuovo. | Piombino. | Limone. |Pogsione. gs Ri | Puzzolente. ja=] {=} » montebambolinaGd. |MB. » tofina Gd. » neriifolia A. Br. » myrtilloides Ung. » chlorophylla Ung. » Haidingeri Ett. Planera Ungeri Eitt. Ulmus plurinervia Ung. Ficus lanceolata H. » gavillana Gd. » sarzanellana H. Platanus aceroides Gp. » academiae Gd. Laurus princeps H. » Gastaldi Gd. » Guiscardii Gd. » montemassana Gd. » gracilis Gd. » ocoteaefolia Ett.? » agathophyllumUng.? Oreodaphne Heerii Gd. » rectinervis Gd. Cinnamomum polymor- phum A. B. Banksia helvetica H. ja-] = PER. 2®. DryandroidesGaud.Sism. |MB. » lignitum Ung. sp. Protea lingulata H. Persoonia tusca Gd. » limoniensis Gd. ESPECES. Verbenophyllum aculea- tum Ett. Diospyros anceps H. » brachysepalah. Andromeda protog. Ung. Berberis puzzolentana. CGornus Buchii H. Vitis vinifera L. Myrtus Veneris Gd. Acer integerrimum Viv. integrilobum O. W.? platyphyllum A.Br.? Sismondae Gd.? Ponzianum Gd. otopterix Gp.? trilobatum - patens Ung. sp. Sapindus densifolius H. » faleifolius A.Br. Gelastrus Capellinii H. » Bruckmanni A. Br. Elaeodendron Capel. Gd. Berchemia multiner.A.Br. Rhamnus ducalis Gd. » Decheni W. » Rossmässleri Ung. » bozzonica Gd. GeanothusebuloidesO.W. | Rhus Lesquereuxiana H. | Juglans Strozziana Gd. » bilinica Ung. Carya tusca Gd. » striata Gd. | Montebamboli. MB. MB.| [ia d’Arno. | Parrane, | Montemasso. | Bozzone. | Montajone. | Castelnuovo. | Limone. | Poggione. Val d’Era. ESPECES. Pterocarya Massalon. Gd. Crataegus ineisus O. W. » puzzolentana Gd. Cassia ambigua Ung. Inga gavillana Gd. LeguminositesfirmulusH. » piombinensis Gd. Phyllites gavillanus Gd. » rotundilobus Gd. Carpolithes arietinus Gd. Total: 95. 3| | | ae | SlEIs|, 31=3|= = | SAAB S | ele Il“ |% | | I MB. | I | | 1 | I 1} 1} | N Wut, SSN Eu Du, «271 | Bi Bea [20 sn Re | Montemasso. Bozzone. m | Gaville. aan: [ep) . Ss | j | | 5 » - =2|S|< & |: Ss 3 = - = iS zidj2|sieieis s)218|12|8|3|-> Sales Ice s)2|3=S = ge. = _ - << > N EP El Fe a | IR) ‚wlan anne ‚| WO uni ee) Ad wnterdaeg « ’ } Ze ey] wuridlene und) RR Dir { 1 i ‚bo sanifitwen el HE I Zen Hari eniizontnagen sh bb Siengnidkneig * 1 bit munuuifieng none av Rt i IF 9 audekibantrı « ; er zZ 1.0 un Baar: 173 Po Pe} Ah BEA RE SAAL KERLE RER VERIR BEL BEA SERE LEE WE } 1} - N x P) { ı io u i a2 i# ID LI a BB) > > * 2 LITE Sus Scarabelli 8.1? Laurus Montemassana.7_ Rhammus bozzenica. \ egunmnosites piombmensis. 6 Üratae 1-&.Osmmunda Strozzu .5.L atahea. 9.Protea In$ulata.10. Persoona Iimonensis. 11. Crataegus neisa. 13.14.Persoonia tusca.1518. Salz nympharım 19. Myrıca u ne een ae ee Eee RE Tath Anstalt» J.Warster u. Coop m Wintertiun. 4. Ouercus nerüfoha. 2. Legummosites selerophylius. 5. Quereus tofina. 4.Diospyros aneeps. 5. Populus Gaudıni F.O. 6. Sphaeria annulus. 7. Verbenophylkım aculeatum. 8. Phyllites rotundılobus 9 Cornus Buchn.10. Betula prısca.11.(elastrus Capellmn . 12. Ceanothus ebuloides. 15. Smilax Targiomi . 14. Populus mutabıhıs repando erenata.15. Popuhıs Heliadum.. LEE LE Ba SELT u EEE Lith Anstalt v. J] Wurster u.lomp.in Wmtertkor 1. Platanus academuae. 2. Inga europaea. 5. (arpohthes arıetinus. +. Berberis puzzolentana. 5. Banksia helvetica. 6.(elastrus Bruck _ r - man. 7. Phyllites Savıllanıs. 8. Ficus Savillana. 9. Laurus Sracilis. 10. 13.Quereus montebambolina. 11.Ouercus etymodrys. 12 Elaeoden _ B Zi n D Di. - en 7 “ 3 Pa Zen} PyanN Arie Ze En > 22 he 5 Zur physikalischen Geographie Unter-Mesopotamien Dr. Alexander Schläfli. y ‚ f ß KIN, | | 07 -— 2 Br yidastgosn) ae N Ku ja ge dr N DE ZT nr ie > L P « n Bu 2... AeimstogoasM- 10 ee | WE;? EL I ' d Yun warn TI LER 1 u eur N v oe a Deere ze wi ee are. N ee nn ö u 2 34 N: Pr x A Au = Kr 5 er ee 2 ee 2 % 3 Wi TEE x zer ren re } a Tr r no Das 7 | A ee iu r ö Ban Are sr ee Bu ee 220 En SR > Ber: ‚ i Te Bei sa d an sd Fuer u ans dei Zur physikalischen Geographie von Unter-Mesopotamien. Das ganze untere ‚Mesopotamien ist ein ebenes Alluvialland, gebildet durch die Anschwemmungen seiner beiden‘ Ströme, des Euphrat und Tigris. Viele noch jetzt lebende Arten von ‚Süsswassermollusken findet man weit von diesen Gewässern entfernt tief im Boden begraben, während maritime Arten und das Vorkommen von zahlreichen grössern Salzlachen, so wie die mit salzigen Bestandtheilen geschwängerte Erde für eine einstige marine Ueberschwemmung zu sprechen scheinen, deren Spuren wir ebenfalls in den Sagen der arabischen Autoren (z. B. in Masudi) angedeutet finden. Unter-Mesopotamien, dessen Grenzen wir von Bagdad und der babylonischen Land- schaft abwärts bis an den Persergolf annehmen, ist eine vollkommene Ebene. Denn die wenigen Erhöhungen sind entweder niedrige stabile oder sich bewegende Sandhügel, oder erweisen sich als das Produkt menschlicher Arbeit. Steine irgend einer Art, einige seltene Kieselablagerungen ausgenommen, sind nirgends anzutreffen. Der Boden dieses Blachfeldes besteht meist aus Lehm, der je nach der Gegend ver- schieden ist an Farbe und CGonsistenz , durch eine mehr oder weniger starke Beimischung mit sandigen, salzigen oder organischen Bestandtheilen. Gleichwohl ist Unter-Mesopotamien bei den so günstigen klimatischen Verhältnissen eines der fruchtbarsten Länder der Erde, auf dem die mannigfaltigsten Culturgewächse in Hülle und Fülle gedeihen könnten — heutigen Tages freilich bietet es, wenige Punkte abgerechnet, eine kahle Wüste dar. Wo sich in frühern Jahrtausenden ein Garten an den andern reihte und stark bevölkerte Städte das Land bedeckten, sprossen jetzt aus dem ‚ausgedörrten Boden Tamarisken, Salicornien, Salsolen, Akazien, Kappern und Oceitorpen. Gleich dem Nil sind Euphrat und Tigris die befruchtenden Träger menschlicher Cultur geworden, Dank ihren Gewässern wurden die mesopotamischen Steppen in die blühendste Landschaft verwandelt, genügend, Millionen menschlicher Wesen zu ernähren. Zur Jetzt- zeit beschränkt sich die Cultur nur auf wenige Uferpunkte, die gleich Oasen aus der traurigen Wüste hervorschauen. Die unzähligen Canäle, welche das Land nach ‚allen Er Richtungen hin durchzogen und bewässerten, sind zum Theil eingetrocknet oder geben Anlass zur Bildung ungeheurer Sümpfe, die ebenfalls Wüsteneien ihrer Art sind. Klimatisch zerfällt Unter-Mesopotamien in zwei Theile, die weniger in den Boden- verhältnissen an und für sich ihre Begründung finden, als in den atmosphärischen Er- scheinungen. Die erste Zone erstreckt sich von Bagdad und der babylonischen Landschaft abwärts bis etwas oberhalb Kurna, dem Vereinigungspunkte des Euphrat und Tigris. Ihre genaue Grenze mag hier der Punkt bezeichnen, bis wohin die Fluth aufwärts steigt: am Tigris das Dorf Abdallah-ibn-Ali 175 engl. Meilen, und am Euphrat die Sümpfe von El-hammar 185 engl. Meilen oberhalb des Meeres. Die zweite Zone begreift den Lauf des Schatt-ul-Arab mit seinem Deltalande in sich. 'Erstere ist trocken, heiss, im ganzen gesund; letztere heiss, feucht, mit starker Thaubildung,' ungesund und fieberschwanger. In der vorliegenden Skizze werden wir uns nur mit der obern Region beschäftigen, da sie mir bei einem längern Aufenthalte ein besseres Beobachtungsfeld darbot, als die untere, die ich nur flüchtig durchzog. Erstere könnten wir wieder gemäss den Terrains- verhältnissen in eine Sumpfregion und eine Wüstenregion ‘unterscheiden, in deren jeder ich eine Station hatte, auf welcher ich während mehreren Monaten verblieb, nämlich Samaua am ımtern Euphrat und Bagdad am Tigris. Bevor ich zu den speciellen Verhältnissen dieser Lokalitäten übergehe, möchte ich noch mit einigen’ Worten der Instrumente erwähnen, auf die sich zum Theil die vorlie- genden Beobachtungen basiren. Leider fehlte mir ein Barometer und das Saussure'sche Hygrometer 'verdarb leider schon nach einem Gebrauche von wenigen Monaten, so dass sich die Aufzeichnungen nur auf die Temperatur der Luft und des Euphrats, zum Theil nur auf die Feuchtigkeit der Luft, auf die gefallene Regenmenge, auf Wind, Witterung und Bewölkung beschränken. Meine beiden Gentesimal-Thermometer, denen eine Correktion von + 0.4 und 0.7 an- gebracht werden musste, standen in Samaua gegen die Sonne ımd die Strahlung erhitzter Flächen so gut als möglich geschützt, auf dem flachen Dache eines Hauses 4,8 Meter über und 20 Schritte vom‘ Euphratufer entfernt. Da das Haus von jedem Winde umspielt war und gleich dahinter die Wüste begann, mögen die Thermometerangaben ziemliche Exaktheit darbieten. Temperatur, Hygrometerstand, Wind und Bewölkung wurden in Samaua von: zwei zu zwei Stunden notirt und ‘die Minima‘ des Thermometers bei Sonnenaufgang, die Maxima 3 Uhr Abends genommen. Die''Euphrattemperatur wurde um 8 Uhr Morgens und 4 Uhr Abends aufgezeichnet. Br Einige Schwierigkeit bot sich mir in Samaua bei Bestimmung der Zeit, da ich den wahren Mittag nur vermittelst einer kleinen. Sonnenuhr. ermitteln konnte. In Bagdad wurden Minima. und Maxima zu. derselben Stunde .notirt.. zuweilen aber auch stündliche Temperaturbeobachtungen gemacht. Die Stellung des Thermometers bot aber auch hier viel grössere Schwierigkeiten ‚dar, als in Samaua. Auf dem flachen Dache konnte es nur. bei Sonnenaufgang aufgehängt werden, denn später. würde die Strahlung des im Sommer zu 70—80 ° erwärmten Daches und .der'glutherhitzten' Mauern. viel zu hohe Temperaturen ergeben haben. . Es wurde daher in einem offenen , ‚dem Winde ausgesetzten und nur. von der. Morgensonne beschienenen Raume im ersten Stocke, einem sogenannten Aiwan. aufgestellt. Meine Wohnung. lag ungefähr 300 Schritte‘ vom, Tigris entfernt, im Innern der Stadt, Minima. und Maxima sind daher wahrscheinlich etwas zu. hoch — die Strahlung der Mauern. lässt, sich in. Bagdad trotz. grösster Sorglalt und bestem Willen nicht ganz vermeiden. Sowohl in Samaua ‚als, Bagdad. wurden vereinzelte Beobachtungen über den. Stand des Thermometers an der Sonne gemacht, indem ich das Instrument flach auf dem Lehm- boden des Daches gelegt den Sonnenstrahlen aussetzte. , Die erhaltenen Zahlen sind so hoch, dass ich es wohl erleben könnte, dass Gelehrte sie als unexakt verwerlen, bis sie selbst ihre Köpfe der Sonne Bagdads ausgesetzt haben. Die Temperaturangaben ‚beziehen sich immer ‚auf das hunderttheilige Thermometer. Bei der Bewölkung wurde die Eintheilung von O—10 angenommen, indem ich mit 0 einen ganz klaren Himmel ohne die geringste Spur, einer Wolke, mit 10 einen ganz bedeckten Himmel bezeichnete. Bei der Windstärke wurde mit 1 ein schwacher, mit 2 ein. mässig starker, mit 3 ein sehr starker Wind: angedeutet. I. Samaua. 1. Topographie Samaua’s und seiner Umgebung. Unterhalb der zerstörten Stadt Lemlun und noch mehr abwärts dem Flecken Abu- dschuwarir zweigen sich vom Euphrat eine Menge Canäle ab, welche zusammen ein aus- gedehntes Sumpfrevier bilden, in das sich der Strom verliert und welches wieder mit der grossen Wasserfläche von Imam Ali oder Nedschef zusammenhängt. Am Ausgange dieser Marschen, kaum anderthalb‘ Stunden: von.dem seichten See von Rumäthia oder dem Bahrga n —_— = E entfernt, liegt am rechten Ufer des wieder zu 200 Schritt Breite angewachsenen Euphrats das kleine Araberstädtchen Samaua, gerade an der Stelle, wo sich Euphrat und Tigris nach ihrer Annäherung bei der babvlonischen Landschaft wieder am weitesten ent- fernt haben. Doch auch nördlich und nordöstlich dehnen sich auf Seite der Dschesireh im Gebiete der Afatsch-Araber eine Unzahl mehr oder minder beträchtlicher Wasserflächen aus, welche sich fast ohne Unterbrechung bis Kurna, dem Vereinigungspunkte des Euphrats und Tigris. hinziehen und durch den Nahr Dagara, Nahr Yussufieh, Schatt-ul-Hay, Schatt-ul-Kehr und eine Menge anderer kleiner Canäle gebildet werden. Die Formation dieser Sümpfe wird noch erleichtert durch die jährlichen Anschwellungen der beiden Ströme, durch die ge- ringe Erhebung des Landes, das an den meisten Stellen nur wenige Fuss über dem gewöhnlichen Wasserspiegel des Stromes oder der Canäle hervorragt und an vielen Punkten sogar tiefer liegt als jener. Im Westen Samaua’s breitet sich auf der arabischen Seite eine sterile, vegetations- lose Sandwüste aus, in der zwischen dem Canal von Imam Ali und zwischen Samana, kaum 21/3 Stunden von letzterm entfernt, ein grosser Salzsee liegt. Wie gesagt steht der grösste Theil des Städtchens Samaua auf dem rechten Euphrat- ufer, während auf dem linken nur einige Araberhütten und die Regierungsgebäude sich befinden. Beide Ufer werden von schönen Palmenhainen und einigen Gärten eingefasst. Gleich hinter denselben beginnt zu beiden Seiten die traurige Wüste, die im Westen durch einige wellenförmige Sandhügel, im Norden durch die Sümpfe von Rumathia unter- brochen wird. Der Boden Samaua’'s und seiner Umgebung ist ein lehmiges, zuweilen schlammiges. mit sandigen und salzigen Bestandtheilen vermischtes Alluvium Der Lehm ist von Farbe gelblich grau, oft, besonders an feuchten Stellen, mit einem leicht bläulichen Anstrich, aber nicht jenen Grad von Bläue darbietend, wie sie oberhalb der Sümpfe von Rumathia an den Uferwänden wahrgenommen wird. Nach Regen und darauf folgender trockener Witterung zerspringt: die Bodenoberfläche, namentlich auf früherm Cultarboden, in po- Ivedrische Stücke und schilfert sich die Erdkruste an betretenen Wegen baumrindenartig ab. Die grösste Zeit‘des Jahres über ist der Wüstenboden fest und starr gebrannt und mit einer leichten Schicht von Staub und Sand mehr oder weniger überzogen. Bei dem ersten Regen dringt die Feuchtigkeit nur schwierig in den trockenen, ausgeglühten Boden, und es bildet sich dann an der Oberfläche ein abscheulicher klebender Koth, der an den Schuhen wie Schnee haften bleibt: So fand ich am 27. November, nachdem bei u a 7 Millimeter Regen gefallen, unter 3 Centimeter Tiefe noch eine vollkommen trockene, ausgedörrte Schicht Erde: am 3. December war nach weitern 7 Millimeter Regen die Feuchtigkeit nur 4 Centimeter, am 14. December nach 19.5 Millimeter 15 Centimeter eingedrungen. Erst auf die nachfolgenden bedeutendern Niederschläge wurde der Boden gleichmässiger von der Feuchtigkeit durehdrungen, so dass ich bei 1 Meter Tiefe keinen Unterschied mehr, zwischen einer obern feuchten und untern trockenen harten Schicht wahrnehmen konnte. Gegen Mitte October findet nach Eintritt der mit Feuchtigkeit geschwängerten Süd- ostwinde ein merkwürdiges Phaenomen statt, das: einige Reisende für ein Ausschwitzen der Feuchtigkeit gehalten haben. — An gewissen Tagen sieht nämlich die Bodenoberfläche am Morgen ganz durchnässt aus, wie wenn während der Nacht ein leichter Regen oder starker Thau gefallen wäre. Das erste Mal beobachtete ich die Erscheinung am 27. Octo- ber, nachdem mehrere Tage mit Südostwind vorausgegangen und die Morgentemperatur schon bedeutend gesunken war. Die Luft war an jenem Morgen auffallend feucht und erfrischend, das; Hygrometer zeigte seit Monaten wieder zum ersten Male über 70°. Dass diese Durchnässung des Bodens ein blosses Einsaugen der Luftfeuchtigkeit war, das die reichlich enthaltenen Salzbestandtheile erleichterten — Thau war nicht auf die Pflanzen gefallen — zeigte die Beobachtung, dass die Feuchtigkeit kaum einige Millimeter in den Boden gedrungen war. Folgt nun eine höhere Temperatur oder ein trockener Nordwest- wind, verdunstet die Feuchtigkeit in wenigen Stunden und lässt an der Bodenoberfläche eine leichte schimmernde Salzkruste zurück. Auf die Zunge genommen, schmeckt die Erde Samaua’s mehr oder weniger salzig. Salz effloreseirt überall und im Winter ‚erscheint manchmal nach Regengüssen und darauf folgender trockener Witterung die ganze Wüste von dem hervorgeschwitzten Salze wie mit einer leichten Schneedecke überzogen. Salpeter scheint mehr dem mittlern und obern, als dem untern Mesopotamien eigen zu sein, obschon er gegen den Tigris hin auch angetroffen wird. 2. Der Euphrat. Ungleich dem plötzlich anschwellenden Tigris steigt der Euphrat ‘von Mitte December an nur allmälig aber stets, und erreicht seinen höchsten Stand (gegen Ende Mai) erst einen Monat später als jener. Während ersterer mehr in Folge heftiger Frühlingsregen anschwillt, verdankt der Euphrat das allmälige Heben seiner Gewässer neben seinem bedeutend längern Laufe mehr dem Schmelzen des, Schnees in den anatolischen Hoch- 0 gebirgen. In Bagdad steigt der Tigris zu jener Periode (Mitte bis Ende April) im Mittel 20—21 Fuss über seinen niedrigsten Stand, während der Euphrat bei Samaua . nachdem er den grössten Theil seiner Gewässer gesammelt, kaum 13-15 Fuss. Das Euphratwasser zeigt, in ein'Glas gegossen, eine “schmutzig weissgelhliohe Fär- bung. In Zeit von einigen Minuten setzt sich der’ grösste Theil der unorganischen Bei- mischung, die in feinzertheiltem Thone besteht, am Boden des Gefässes ab. Durch die gebräuchlichen porösen Thongefässe sickert das Wasser klar und krystallhell durch und hat abwärts der Einmündung des Canals von Imam Ali einen leicht salzigen Beigeschmack, während es aufwärts dieser Stelle von lieblich süssem Geschmack ist. In Samaua hat das Wasser ebenfalls nicht jene diuretischen Eigenschaften wie bei Hille und löst die Seife nicht mehr so gut auf. 3. Culturgewächse und Ackerbau. Trotz seinen. salzıgen Bestandtheilen ist der Boden Samaua’s sehr. fruchtbar und zur Cultur von fast jeglicher Art von Gewächsen geeignet. Wenn aber je ein Volk zäh am Althergebrachten hing, so sind es die Araber. Wie der Beduine in seiner Wüste um- herscehweift und dasselbe patriarchalische Räuber- und Hirtenleben führt. wie seine Altvordern ‚vor Tausenden von Jahren, ebenso ist der arabische Ackerbauer noch auf derselben Stufe stehen geblieben, als zur Zeit, da Babylonier und Assyrier diese Fluren bebauten. Das Schöpfrad, die Egge, der Pflug‘) und der Spaten haben noch jetzt dieselbe primitive Construktion und Form beibehalten, wie wir sie auf den Basreliefs Assyriens und Aegvptens dargestellt finden. Ist ım Herbst unter ‚den ersten leichten Regenschauern die Saatzeit gekommen, wird die anzubauende Landstrecke während einigen Tagen reichlich bewässert,, durchweicht und gepflügt. Das Terrain. wird nun in eine Anzahl mit erhöhten Rändern und Ver- tiefungen umgebene, 9— 10 Sehritt lange und 4—8 Schritt breite Quadrate getheilt und der Samen ausgestreut. Wie in Anatolien, wird auch hier die spannenhoch aufgeschossene Weizen- und Gersten-Saat abgeschnitten und als Pferdefutter gebraucht. Das vorzüglichste Culturgewächs bildet in Unter-Mesopotamien so auch in Samaua die rag (Phoenix nr Trotz ihres Eee Wuchses wird sie mit Vorliebe *) Der ‚Püug (arab. Pe ist ein einem — S ähnlicher Bean Baumstamm; dessen eine Spitze nach unten und innen, die andere nach oben und aussen geht. In der Mitte wird eine plumpe Stange befestigt, an der zwei Ochsen ziehen. An dem ganzen Instrument ist keine Spur von Eisen oder einem andern Metalle zu finden. s I fu von der arabischen Bevölkerung gepflanzt, da bei geringer Pflege ein Baum schon im achten bis zehnten Jahr 20—30 Oka Früchte und nach 50—70 Jahren noch dieselbe Quantität liefert. Von den durch Gestalt, Farbe, mehr oder weniger grossem Zucker- gehalt verschiedenen und zahlreichen Varietäten von Datteln kommen folgende 10 in Samaua vor: 1. Dschib-dschab. 6. Gümdar. 2. Brehm. 7. Dschösi. 3. Chastaui. 8. Brahimi. 4. Degel. 9. Chidraui. 5. Schekr. 10. Eschresi. In den Gärten werden ferner noch gezogen: Granaten, mit klemen schlechten Früchten, Feizen, selten, Pfirsiche, Apricosen, Maulbeeren, Nebuk (Rhamnus napeca), Reben, Ro- sen, Melonen und verschiedene Kürbisarten, Rüben, Carotten, Bamia (Hibiscus esculentus), Patlitschan (Solanum melongena), Holcus, Hirse, Saubohnen, Zwiebeln, Rettige, Weizen und Gerste. Merkwürdig ist es, dass die sonst so trägen Türken hier zur Beförderung der Cultur beitragen mussten. Fast alle erwähnten Gemüse wurden von den Türken hieher gebracht und angepflanzt. Alle gedeihen recht gut. Die um Samaua liegenden Sümpfe produciren eine Masse von Reis und die zwei wichtigsten Bau- und Brennmaterialien der Madan-Araber, Binsen und Schilf, welche in Samaua auch von den Aermern zur Feuerung benutzt werden. Vom Herbst an, wo alle Vegetation verbrannt lag, bis Anfangs Frühling sammelte ich an 70 Arten Phanerogamen, über welche, sowie auch über einzelne Abtheilungen der Fauna Samaua’s später berichtet werden wird. 4. Hausthiere. Neben dem überall verbreiteten Pferde, Esel, Kameel, Kuh, Ziege und Schaf — letzteres mit vorzüglicher feiner Wolle — sind diesem Theile Unter-Mesopotamiens der Büffel und der indische Buckelochs mehr eigen. Kameel- und Büffelfleisch geben mit Reis, Datteln und Fischen die vorzüglichste Nahrung für die hiesigen Araber ab. Von Geflügel werden nur Hühner gehalten. Die vorzüglichsten Fischarten sind mit den ein- heimischen Namen: der Schabott*), Gettan, Benne,**) der getrocknet gegessen wird, der *) Cyprinus macropleronotus. **) Gyprinus niloticus. Er Emmich, der Farch. Nebenbei seı hier noch das Vorkommen des Bibers unterhalb Samaua und das des Strausses in den westlich gelegenen arabischen Wüsten erwähnt. * 5. Temperatur. Es ist gewagt, aus nur sechsmonatlichen Temperaturbeobachtungen eines: Ortes auf dessen jährliches Temperaturmittel zu schliessen, namentlich wenn weder Quellen noch Sodbrunnen dazu einen Anhaltspunkt liefern. Gleichwohl denke: ıch' dass 22.5 — 23.0 als Jahresmittel für Samaua angenommen, nicht weit von der Wahrheit entfernt sein werde. Die mittlere Temperatur vom Herbst 1861 ergab sich zu 25°, die des’ Winters 1861/35 zu 12.0°. Nehmen wir dazu die Frühlings- und Sommers-Mittel Bagdads (23.4 und 35.6), würden wir eine mittlere Jahrestemperatur von 24° erhalten. Bedenken wir aber, dass der Winter 18%%;, ausnahmsweise sehr gelinde war, dass die Sommerhitze in Samaua, ungeachtet es 2 Breitengrade südlicher, liegt als Bagdad, seiner isolirten Lage in der Wüste und seiner sumpfigen Umgebungen wegen, nie jenen Grad erreicht wie in der Hauptstadt, so können wir das Jahresmittel Samaua’s füglich zu 22.5 — 23.0° bestimmen. Immerhin mögen seine Winter der südlichern Lage und der grössern Entfernung von den kurdischen und persischen Grenzgebirgen wegen gelinder sein, als die Bagdads, und sein Jahresmittel mag das Bagdads vielleicht um 0.5 — 0.8° übertreffen. , Die Isotherme von 22— 23° wird für ganz Unter-Mesopotamien gültig sein und würde hier mit der Mittel-Aegyptens oder wenigstens mit der Cairo’s (22.4) übereinstimmen. Un- gleich ist aber in beiden Ländern, bei sonst ziemlich analoguen localen Verhältnissen, auf die wir hier nicht weiter einzutreten haben, die Vertheilung. der Temperatur auf die verschiedenen Jahreszeiten. Denn bei fast gleich warmem Frühling sind die Winter Unter-Mesopotamiens um wenigstens 3° kälter als die Mittel-Aegyptens, indess sein Herbst um {— 2, sein Sommer ‚um 3—4° heisser ist, als der des letztern. Der mittleren Jahrestemperatur Unter-Mesopotamiens entspricht die mittlere Temperatur des Frühlings oder des Monats April. _ Bei der Grösse der Differenzen zwischen Winter und Sommer ,.23— 24°, zwischen dem kältesten und MÄR Monate, 26—27°, zwischen dem niedrigsten beobachteten absoluten Minimum von 5° und dem höchsten Maximum von 51°, den Differenzen zwi- schen den täglichen Minima und Maxima, die jährlich im Mittel bei 14° betragen, bietet uns Unter-Mesopotamien den ausgesprochenen Charakter eines ächten Continentalklimas dar, während die Küsten des Persergolfes ihren maritimen Charakter nicht verläugnen können. — EB Taf. 1. Monatliche Temperatur-Mittel der täglichen Minima und Maxima und ihrer Differenzen. | j 1 Monatliches | Monatliche Mittel. Differenzen | Mittel der | y zwischen den Differenz Beobachtungsort. Monate. einzelnen zwischen Monaten. Minima und Maxima. s Minima. Maxima, | Mittel. 1861. Juli Bagdad ö August September October Novernber Samaua December 1862. Januar Februar März April Mai Juni Juli Bagdad August September October Herbst Samaua % Winter Frühling Bagdad. a Sommer Anmerkung: Die Mittel vom August 1861 beziehen sich nur auf die Periode vom 1;—18, August. Taf. Il. Monatliche absolute Minima und Maxima und ihre Differenzen. Absolute Minima und Maxima. Differenz zwischen dem Monate. Minima. 1 Maxima. monall. ab- 1 soluten Mini- ; j mum und © Datum. | oO Datum. Maximum. 1861. \ Juli 26.2 7. Juli | 24.5 2. Juli 18.4 ag al ) August 26.5 7. August 14. Aug. .- ” - ww “= September 17.1 19. Sept. 40.8 13. Sept. 23.7 October 13.0 12. Oet. 38.7... 1,6. Odt. 25.7 November 5.9 19. Nov. 4. Nov. 27.5 21.8 6.u.7.Dec. 21.6 << — w w - 1862. Januar — 0.4 11. Jan. 19.7 30. Jan. 20.1 Samaua | Dezember 0.2 16. Dec. Februar 1.0 6. Febr. 27.1 13. Febr. 26.1 März 6.0 1.März | 285 25. März 22.5 April 13.5 22. April | 34.4 | 6. April 20.9 Mai 17.1 1. Mai 43.8 21. Mai 26.7 Juni 22.3 3. Juni 48.6 14. Juni 26.3 u 26.5 | 15. Juli 181 2. Juli 21.6 August 23.1 29. August! 47.3 1. Aug. 24.2 September 18.8 21. Sept. 10.3 | 1. Sept. 22.1 - I \ \ | Anmerkung: Die absoluten Minima und Maxima vom August 1861 beziehen sich nur auf die Periode vom 1.—18. August. | "apeoad] 'F Pıp Jne anu 7987 denıgog WOA joyjıpj Sıp yoıs ueyaızaq osuage ‘Isndny 'cI—'T WoA oz sıp ne nu UIapuos ‘euop uazued uop Jne Jyoıu yoıs uayaızaq 7F9gF Isndny woA jeyıy oIq "Zunyuowuy | | | l ı | | | Su:B |ESH°TV | BT:Er | 8Bich | Z027 | Eich | Deep | TEE ZU:8 £r9 JOJur A | | | eneweg — 16977 | a1°88 | 612E | IG’EE | 08'TE | HA'ZE = 10'178 | £9'97 ISqQIOH | | | | | | | | | | | Lr6 |: ı8°17 | loser | 28/97 | 78°27 | 0997 | STRR | Z8°I7 | 82'8 62% aenıgod as°’6 |:26°07 | 0g°er | ech | m9°97 | ezisı | Serer | For | Hz JAH Jenuef | | | | | | | | "S98L | | | | | | suor | 97a) | 2er | BIish | 19797 | Weist | WVER| ZCUh | 228 | 96°% Joquwe9ad uueg | | | cL’9r | 92'87 | 9818 | 6LıB | 8008 | s0rea | rs | 1eisr | gem | erzı JOqLIOAON | | | | | | | | | — 1.68°88 | 0008 | ARTE | mUSE | LEE | 965'2G == e1’20 | £0'27 191090 | | | | | | | | = EWR | 20ER | OMZE | @UER | 20'8E | TEITE — &7°98 | 12:08 aoquaydas | | | | - | 190'98 | 08'068 | AB’En | I8°En | 9615 | WF'BE — | 09°9e | 101€ Isnany | | | pepdeg — | PoBise | Iva:agı |, urn |,.cem | 08:06 | Rue | 0688 | ZIOE mp | | | | | "1981 | | 1} | | -puaqy| 'puoqy | ‘puoqy | "puaqy | puoqy | "Bey uo3lom, "uadıop | "uadıon , "uadıoN I0SdunJyoe | | | | '9J8uoW or! u 9 AU 0 ga | Susan | &00R | mo = es IE :u9 zI0s4 tl —- = JE “ınyeaodwd , U9I9JyIEIOAg uapunIs 7 NZ Z UOA A9p [EyIım Sydıyeuom "III JeL Taf. IV. Stündliche Thermometer - und Hygrometer-Beobachtungen am 22. September 1861. | th.) 2h. 3h./ah. 56. 6h. Th. Sh. 9h.|10h. 16h. Wh. a en no -eH Morgen | 21.9 | 21.4 19.6 19.0 18.9 | 19.9 21.0 | 25.1 27.6 | 31.3 36.9 38.5 Thermometer . Abend 39.2 39.1 39.4 38.0 36.8 31.9 30.2 238.1 271363 40 24 5} 55 6 55 35 3 u Sr u Sr or [7 - 7 - - . Bygrometer Abend 10.47! 35 | a5 | a&| a7 | 5ı | Sa | SC |5 or u w u an u an \ / ( Morgen | 0.55 Taf. V. - Monatliche Mittel der Temperatur des Euphratwassers bei Samaua. Temperatur des Euphrats. Mittel von Mittel von ! Differenz ‚ zwischen den $h. th. i ° ; einzelnen Morgen. Abend. Monaten. I —— nr October November December Termmetzuue Taf. VI. 15 Windrichtung. Bagdad \ | Samaua / Samaua Bagdad | 1861. Juli August September October November December 1862. Januar Februar März April Mai Juni Juli August Septembeı October | | | | | i | | | | Bagdad | | | Herbst Winter Frühling Sommer 0 I EI N) 13 D u BB 8 [-- a >) se — | Taf. VII. Mittel der monatlichen Bewölkung und des Mygrometerständes in Samaua. Monatliche Mittel der Hygrometer. | Monatliche Monate. 8 h. Mittel. Morgen. 12h. Morgen. 9h. Morgen. 10h. Morgen. Monats- Mittel der | Maxima. Mittel de Minima. 1861. September October | | November Samaua December 1862. Januar Februar \ Herbst | Winter 3.5 | 3.4 3.4 8.0 | 31 3.1 30 |831 134 si | 32 0.93 | 0.72 | 0.83 Anmerkung. Die hygrometischen Mittel vom Februar beziehen sich nur auf die ersten 10 Tage. | N I Samaua | | | ie Taf. VII. Resume der beobachteten Phänomene. Es wurde beobachtet: Beobachtungsort. Monate. 2 | | = 5. = Sa I Mika ar a ee &n E 2 BR) = = &n$ eo © © oo ı © S S 2 |©2| 93 | (de) A 7) = = n =2| 55 | 1861. | I | il Bagdad Juli 0 04:1 0 1,0 I ng Oh. Kaas | | August 0 00% | ‚0 0 0 27 0 | 0 0 | | | | f September o|!o 0 0 0 % 0% 1 >0,2 0 October 0 oa | 0 0 17 0 02.030 | | | November 7 273 41 0 0 0 0 0 0 | | | | | | | Sa b December 107,07 105723 0 010 1 2 | | | 1862. | | | | Januar 5 10, | 0,0 1 RR: | Februar 3.414140 |.,g. or | ua lag Ro | | | [ März n 3,140) 01,20. 1.0.0.0 0 April 5 40: | 0 Ih, FI O0 0 | | Mai 5 0 | 0w 0 0% 7 0 1-0 0 Juni 1 0.0 0 0 0 0 0 0 Bagdad | Juli 0 010 0 0 0 0 0 0 August 0 ec do ST Go. un September 0 070 0:0 5 0 0 0 | | October — 21, | - |-|- | -—-ı — | me > Herbst | .2 2 | wmillluel| 5) 20 0 0 Samaua Winter 18 | 3 22: 12020 1 2 2 4 Frühling 3a Wflae Ein mA "aa a Co 6 | Bu 00. am aa um wa Bagdad ! Sommer 171) 0%8)|0 0 | fi) 0 0 0 0 | | 18 Taf. IX. Die schönen, bedeckten u. s. w. Tage; die gefallene Regenmenge u. s. w. Es waren | | Monate. Tage, Regen fiel, Ungeführe Stundenzahbl, rognote. Veränder- liche Tage, Bodeckte wölkte Tage. Tage andenen Gefallene Re-' an denen os Ganz unbe- Schöne Tage. 1861. Stundenzahl. Bagdad Juli £ : 0 August 0 September 2 0 0 October November 2: A Stunden Samaua December 1862. Januar Februar März April Mai Juni Juli August September October Herbst Winter Frühling Sommer 19 Taf. X. Bewölkung in Bagdad. Beobachtungsort. Monate. Be a ee En | Monatliche | , Mittel aus 5 = u täglichen Be- Morgen. Morgen.) Mittag. | Abend. |; Abend, 5 bachtungen. | | 1S61- | | N | Juli 0 0 0 0 0 0.0 | = | 1862. | | März 2.7 2.9 3.0 3.1 2.9 2.9 Bagdad April 2.4 2.2 2.7 3:1 „lil32:9 2.7 | Mai 1.8 1.9 2.4 2.7 2. 2.2 Juni 0.5 0.5 0.4 0.6 0.4 0.5 Juli 0.6 0.7 0.5 0.3 0. 0.5 August 0.6 0.2 02 | 02 8 4b. ‚DS 11 1 | N September 0.0 0.0 0.0 0.0 | 0.0 0.0 October = | | ! 2 I 1} } | | . Frühling 2.3 u 2 2.0 ar Wa Bagdad ur" 204 | - | | Sommer 08105 | 04 1.08 1708 0.5 | | | | Herbst 1.1.1 83,5] 02 „Sa 15 Gase Samaua | : | | | | | Winter 3.5 3.4 341, 1.081, |.,34 „2 / | | | ck | h u EEE —— | | | | | | im Jahr: ee ie | | } } 20 Die Temperaturverhältnisse des Sommers später berührend, haben wir hier noch einen Blick auf die andern Jahreszeiten zu werfen. Von August, wo die Hitze in den gewöhnlichen Jahren .ihr Maximum erreicht, verliert die Wärme auf September bedeutend an Intensität. Die Differenz zwischen beiden Monatsmitteln beträgt wenigstens 6°. Von September auf October sinkt die Temperatur noch mehr, wenn auch nicht in dem raschen Verhältnisse wie von October auf November, wo die Differenz wenigstens 7° erreicht. Der Herbst (mit 25°) ist, was Temperatur anbelangt, die angenehmste Jahreszeit in Unter-Mesopotamien. Die Morgen werden schon mit beginnendem September frisch, ja nur zu frisch. Obgleich die Wärme zu Anfang dieser Periode für europäische Consti- tutionen noch beträchtlich genug ist, empfindet der an die Gluthhitze des Sommers ge- wöhnte Körper, wenn das Thermometer Nachmittags nur noch 34 — 38° zeigt, schon ein Gefühl bedeutender Frische. Wenn wir in Europa bei dieser Wärme fast zu ersticken glauben, ist man hier froh, sich in wärmere Kleider zu werfen und schaudert vor dem Gedanken, im Winter das Quecksilber einige Male auf den Gefrierpunkt des Wassers herabsinken zu sehen. Die Winter sind im Verhältnisse sehr mild und gleichen mehr einem mitteleuro- päischen Frühlinge oder der kalten Jahreszeit der wärmern mittelländischen Gestade, Die Winterregen werden hier nicht in erstarrende Eis- und Schneemassen verwandelt, sondern wirken bei den relatif günstigen Temperaturverhältnissen befruchtend und be- lebend; der ausgedörrte Boden fängt an, sich mit frischem Grün zu überziehen und gegen Ende dieser Jahreszeit ist der Frühling schon eingekehrt. Gleichwohl wird die Winterskälte sehr bedeutend empfunden, namentlich wenn ein trockener, kalter Nordwestwind die Wüste herabstreicht und noch dazu ein düsterer Himmel das Durchdringen der wärmenden Sonnenstrahlen verhindert. Während in Samaua der Winter von 186g, der ausnahmsweise sehr gelinde war, eine mittlere Temperatur von 11.9° ergab, beobachtete Beauchamp (dessen Angaben sonst mit den meinigen sehr übereinstimmend sind), zu Anfang dieses Jahrliunderts einen solchen, der nur 9.8° hatte. Die mittlere Wintertemperatur mag also zwischen 10.5 — 11° schwanken. Von November auf December fällt die Temperatur wieder bedeutend; die Det ‚zwischen den Mitteln beider Monate beträgt wenigstens 6—7, nach Beauchamp sogar 12°. ‚December und Januar zeigen dagegen nur wenig Unterschied, mehr schon Januar und ‚Februar. December und Januar sind die kältesten Monate des Jahres. Im Februar sind ‚starke Temperatursprünge sehr häufig. Seine erste Decade ist gewöhnlich durch eine ausserordentliche Wärme charakterisirt; so stand das Thermometer am 13. Februar 1861 = (Samaua) schon auf 27°. Mit dem 15. oder 20. Februar erfolgt aber fast immer ein bedeutender Rückschlag und das Thermometer zeigt Ende Monats am Nachmittag noch kaum 20°, während die Morgen noch sehr frisch sind. In dem gelinden Winter von 1861%5 sah ich das Thermometer nur einmal unter den Gefrierpunkt des Wassers sinken (11. Januar mit 0.4), während ich vier Mal leichte Eis- krusten auf den Wasserpfützen wahrnahm. Der kälteste Monat fiel in diesem Winter auf Januar mit einer mittlern Temperatur von 11.2°. Der folgende Frühling ist kurz, mächtig regt sich die Vegetation und erreicht schon Ende März oder Anfangs April ihren Glanz- punkt. Mit Anfang Mai ist der Sommer schon mit seinen extremen Hitzgraden eingetroffen. Von Februar auf März steigt die mittlere Temperatur um 4—5°, von März auf April und von April auf Mai um je 7°. In den ersten zwei Monaten wird die Wärme durch öftere Regen angenehm gemacht. Im April erreicht das absolute Maximum schon 33—35°, während es im Mai schon 40° übertrifft. Mit Anfang Mai ist die Getreideernte bereits vorbei. Ueber die Temperaturverhältnisse der einzelnen Monate verweise ich auf Tafel I—V, die zugleich die stündlichen Thermometer- und Hygrometerbeobachtungen vom 22. Septbr. (1861) und die monatlichen Mittel der um 8 h. Morgens und 4 h. Abends beobachteten Euphrattemperatur in sich schliessen. 6. Wind. Gleich der Wärme ist in Unter-Mesopotamien auch der Wind an gewisse Jahreszeiten gebunden und an vielen Orten die Stärke seiner Strömung an gewisse Stunden des Tages, bedingt durch die fast gleichmässige Erhitzung und Abkühlung des Bodens. Es sind hier zwei vorherrschende Strömungen vorhanden, die in ihrer Gesammtheit eine schwache Analogie mit einem Monsoon darbieten. Von Mitte Frühling an bis Mitte October weht der Nordwestwind mit kleinen Abweichungen nach Nord und West so zu sagen ausschliesslich; von Mitte Herbst dagegen bis in Frühling wechselt dieser öfters mit Südost mit Abweichungen nach Ost, seltener nach Süd, ab. Bei Eintritt des Nordostmonsoon im indischen Ocean --- Mitte oder Ende October — scheint sich die östliche Strömung mit abgewendeter Richtung auch nach Unter-Mesopo- tamien fortzupflanzen. Vielleicht ist sie aber auch eine Erscheinung für sich, ohne di- rekten Zusammenhang mit dem indischen Monsoon, bedingt durch das Eindringen der warmen Luft des persischen Golfes in das durch ein rasches Abnehmen der Temperatur abgekühlte Blachfeld Mesopotamiens. Aber selbst wenn in dieser Periode der Südost in Unter-Mesopotamien zu wehen angefangen hat, dauert die nordwestliche Strömung in N — den obern Luftschichten noch einige Wochen lang fort, indem die dann so zahlreichen Cirrhi von Nordwest oder West nach Südost oder Ost ziehen. Der mediterrane Nordwest kömmt, nachdem er den grössten Theil seiner Feuchtig- keit den syrischen Gebirgsketten abgegeben, trocken und heiss in Unter-Mesopotamien an. Nur im Frühlinge ist er Träger von Cirrhi und Cirrho Cumuli, bringt selbst Regen und Gewitter. Der Südost dagegen — hier Schergi oder Scherdschi geheissen, im Gegen- satz zum Gharbi oder Nordwest — ist mehr oder weniger mit Feuchtigkeit geschwängert, führt Dünste und Wolkengebilde mit sich; wirkt besonders zur Frühlingszeit, wo er die Temperatur erhöht, auf die menschliche Constitution erschlaffend. In seinem Gefolge kommen zur Herbstzeit die ersten Regenschauer und Gewitter, die er ebenfalls im Win- ter spendet. In der wärmern Jahreszeit ist in Samaua bei vorherrschendem Nordwest um Sonnen- aufgang meistens Windstille oder nur sehr schwacher Wind. Von 10 Uhr Vormittags an wird die schwache Brise immer stärker, bis sie zwischen 2—5 Uhr Abends recht heftig weht, Sand und Staub aufwirbelnd und oft den ganzen Horizont in dieselben einhüllend. Mit Sonnenuntergang wird der Wind schwächer und hört fast zanz auf, um nach 1—2 Stunden wieder frischer zu wehen und um gegen Morgen aufs Neue abzusterben. In noch viel höherm Grade als in Samaua beobachtete ich diese heftigen Nachmittagswinde in dem oberhalb der Lemlunmarschen gelegenen Städtchen Diwanieh, wo diese fast jeden Abend in Sturm übergehen. Zu dieser Erscheinung, die nur im Gebiete des untern Eu- phrats vorzukommen scheint, mögen die vielen Moräste und stark verdunstenden Wasser- massen nicht wenig beitragen. Die Windströmung ist in Samaua sonst im Ganzen sehr regelmässig und springt selten am Tage in verschiedene Richtungen über. Findet ein Wechsel statt, geschieht diess gewöhnlich in der Nacht. Südwest und West sind seltene Winde und wehen meist nur im Sommer, noch seltener sind Süd, Nord und Nordost.‘ So selten eigentliche Stürme sind, um so häufiger erscheinen Wirbelwinde. Der Form nach die überraschendste Aehnlichkeit mit einer Wasserhose darbietend und nur scheinbar in der weisslichen Färbung von ihr unterschieden, schwebt die Colonne auf- gewirbelten Sandes und Staubes majestätisch und leicht die Wüste einher, sich mit ihrem obern Theile in den blauen, wolkenlosen Aether verlierend. Besonders zeigen sich diese Wirbelwinde im Sommer bei vorherrschendem Nordwest, wo das Auge oft mehrere Co- lonnen zu gleicher Zeit in verschiedenen Richtungen erblickt. Ich erinnere mich, während —- > meiner Fahrt von Mossul nach Bagdad Mitie Juni vorigen Jahres in einem Moment eilf solcher Staubsäulen gezählt zu haben. Oft wird die Atmosphäre durch die aufgewirbelten Sand- und Staubmassen in leich- term oder höherm Grade davon erfüllt. In Samaua ereignet sich diess namentlich häufig im August und September. Gegen 1—3 Uhr Nachmittags, wenn der Nordwest heftiger zu blasen anfängt, wird der Staub an der Bodenoberfläche emporgehoben, so dass man im Freien die Augen kaum öffnen kann. Nach einiger Zeit werden die Staubmassen in die höhern Luftschichten getragen, der Himmel überzieht sich wie mit einer leichten Dunst- schicht und die Sonne scheint nur noch blass oder röthlich durch. Ein bis anderthalb Stunden nach Sonnenuntergang wird die Staubdecke transparenter, die Sonnenstrahlen dringen kräftiger durch, nur der Horizont bleibt noch in einen hellgrauen Kreis gewickelt, bis einige Minuten vor Sonnenuntergang der Himmel auf allen Seiten wieder klar wird. Weniger wegen einer gewissen Analogie mit dem Hochrauch, als weil die Benennung mir passend erschien, habe ich dieses Phänomen mit dem Namen Hochstaub bezeichnet, unter welchem es in den meteorologischen Tabellen immer angegeben ist. In den meisten Fällen ist dieser Hochstaub local, nur auf einen Umkreis von einigen Meilen beschränkt, in andern dagegen ungemein ausgedehnt und sich auf mehrere hundert Meilen erstreckend. Ein Beispiel davon ist die Staubtrombe mit begleitendem Hochstaub, die am 20. Mai 1857 Bagdad ın Schrecken setzte und die von einem Augenzeugen, meinem Freunde Dr. Duthieul, folgendermassen beschrieben wurde: »20 Mai 1857. Des l’aube le vent soufllait de Sud-ouest; le temps etait lourd. Vers 31/3 du soir le soleil, obscurei par la poussiere repandue dans l’atmosphere, avait la päleur de la lune. A 5 heures, tout d’un coup arrive un nuage fonc® de poussiere qui couvre en un clin d’eil toute la ville, qui tombe dans nos cours et p@netre dans nos chambres. En moins d’un quart de minute, de jour on passe a la nuit la plus profonde. L’effet etait effrayant; on ne pouvait plus se diriger, m&me dans les maisons. Cette obseurite, plus grande que celle des muits les plus sombres, dura 5 minutes. Puis, peu- a-peu le ciel prit une couleur rouge, sombre d’abord, mais qui, au bout de vingt mi- nutes, ressemblait a ce qu’on observe dans le plus vaste embrasement. Pourtant, malgre cette clarte nouvelle, on ne pouvait rien distinguer a dix pas de distance; on ne voyait que du feu.« »Tous les habitants, sous limpression que les journaux propagent sur la future comete, poussaient des cris effroyables, se recherchaient les uns les aufres pour se reunir en famille et pour mourir ensemble, croyant a la fin du monde. Effectivement, le 24 bruit des vents &leves, le spectacle present devaient faire craindre quelque grand cata- clysme, möme aux esprits les plus poses. Le soleil descendait peu-a-peu vers l'horizon, la couleur rouge du eiel diminuait, en prenant tous les tons differents, mais uniformes, et dix minutes avant le coucher du soleil, on retomba dans l'’obscurit@ la plus complete. La poussiere, d'une couleur rouge brique, ne diminuait pas, on entendait toujours dans les r&gions &levees le bruit des vents; et e'&tait la en eflet que se faisait sentir le fort de l’ouragan qui depassait Bagdad. L’ouragart venait de Sud-ouest, il a envelopp& la ville par l’Ouest,, et il a &t@ repousse en partie sur la ville par les vents de Nord-ouest.« »Deux heures et demie, apres le coucher du soleil, les &toiles apparurent; tout etait a peu pres passe. II n'y avait plus qu’un reste de poussiere dans l'air. Le lendemain matin le temps &tait d’une agr&able fraicheur.« »Jai voulu savoir oü se trouvait cette terre rouge qui avait fourni la poussiere, cause de ce phenomene terrible. — On en trouve du cöt@ de Damas et dans le Nedj.« »L'etat des malades fut mauvais pendant les vingt-quatre heures qui precederent; mais tous les symptoms fächeux avaient disparu au moment de l'ouragan.« »L’ouragan n’avait pas la forme d’une trombe; la poussiere, du dernier degr@ de finesse, arrivait en nappe uniforme, et c'est ce que les renseignements suivants vont confirmer.« »Le vapeur anglais Pianetta, qui remontait le Tigre, a observ@ le m&me phenomene et-a la m&me heure, a 150 milles au Sud de Bagdad. Des voyageurs anglais ont ee forces de rester le nez contre terre, pendant 4 heures pres de Hillah.« »Deux villages, Kobbes et Djubba, situes lun sur l’Euphrate, l’autre a peu de distance au-delä, entre Hit et Anah, ont &t@ ravag&s par le vent et la poussiere. Cette remarque tendrait a faire croire que, malgre la direction des vents qui existaient a Bagdad, l'ouragan venait du cöt@ de Damas.« »A Tekrit, sur le haut Tigre, l’ouragan s’est fait sentir a la m&me heure et de la möme maniere. Deux jours apres, le Tigre a &prouve une crue subite de trois pieds, leau du fleuve devenant rouge. Il est prouy& par la, quun orage a vers@ des torrents de pluie dans le Nord.« »Jamais on n’ayait observ& pareil phenomene a Bagdad; et on ne peut pas le com- parer a ceux qu'on observe en Egypte. Lä, en eflet, l’obscurit@ n'est jamais aussi com- plete et la poussiere si fine, n’&lant pas rouge, ne produit pas l’aspect d’une vaste incendie.« »Maintenant je vois a chaque instant des malades de peur; et toutes ces maladies prennent ce type intermittant. Trois individus sont morts de frayeur pendant l'ouragan.« — 3 Wahrscheinlich finden ebenfalls ihren Grund in dem feinen aufgewirbelten Staube jene leichten, verschwindenden, dem Auge kaum sichtbaren, nebelartigen Gebilde, die an manchen Tagen des Sommers in unbestimmten Formen durch den arzurblauen Ae- ther zu schweben scheinen. 7. Hydrometeore. Wie wir oben angedeutet haben, ist die Feuchtigkeit der Luft m dem untern Eu- phratlande von den zwei vorherrschenden Windströmungen bedingt. Nachdem von Mitte Mai an der Himmel fortwährend in heiterstem Azur geprangt, nun höchst selten von einigen Cirrhi oder bei Sonnenuntergang von einem vereinzelten Stratus geziert war, bringt der Nordwestwind noch vor Beginn der südöstlichen Strömung einige leichte Cirrhi mit, an deren mannigfaltigen, zarten, verschwindenden Formen sich das Auge nicht wenig ergötzt. In manchen Jahren zeigen sich Cirrhi auch schon im Juli oder August, doch nur vorübergehend. Mit Mitte oder Ende October wird das Wetter bei eingetretenem Südost leicht dunstig, die Cirrhi vermehren sich und gegen Ende No- vember gehen sie in Cirrho-Cumuli, Cumuli und Strati über. Von nun an wird der Him- mel dann und wann ganz bewölkt oder von einer mehr oder weniger dichten Dunstschicht gleichmässig überzogen. Während im Sommer bei vorherrschendem trockenem Nordwest das Saussure’sche Hygrometer selten über 0.50 zeigt und Nachmittags meist auf 0.33—0.45 steht, erreicht es mit Beginn der Südostwinde 0.70 und mehr und bei reichlichern Niederschlägen fast den Sättigungspunkt. Die erhaltenen hygrometrischen Monatsmittel, die Quantität und Dauer des monat- lichen Niederschlages, die Grade der Bewölkung, die Art der verschiedenen Tage und die andern Phänomene sind auf Taf. VII—X angegeben. Nur ausnahmsweise zeigen sich Anfangs Juni in seltenen Jahren einige leichte Regen- schauer, und sollte im Sommer je ein Mal ein Regen fallen, so ist diess ein ausserordent- liches Ereigniss, das noch lange im Gedächtniss der Araber fortlebt. So fiel vor 43 Jahren, am Abend vom 14. August 1819, ein heftiger Regenguss, der den Tigris um mehrere Fuss steigen machte, Erst einige Wochen nach Beginn der Südostwinde erfolgen gegen Mitte oder Ende November die ersten leichten Regenschauer, die bei der geringen Quantität des Nieder- schlages kaum messbar sind. Aus einem vorüberstreichenden Cumulus ergiessen sich während einigen Secunden oder Minuten ein Paar Tröpfchen Regen, die sich des Tages 4 — pr mehrere Male wiederholen können. Nach einiger Zeit nimmt ihre Menge zu und im December fällt der Regen sowohl häufiger als reichlicher. Januar ist ebenfalls noch regenreich, während der Februar in gewöhnlichen Jahren wieder trockener ist. Im März fallen dagegen von Neuem reichlichere Niederschläge, im April bedeutend weniger, bis gegen sein Ende oder Anfangs Mai die letzten schwachen, unmessbaren Schauer, ähnlich denen, welche die Ankunft der Regenperiode bezeichneten, die kommende trockene, heisse Jahreszeit ankünden. Der Regen fällt also während sechs Monaten, von Mitte November bis Mitte Mai. Seine Quantität ist aber relativ sehr gering, denn es fielen in Samaua im Herbst 1861 bei 7 Tagen, an denen Regen wahrgenommen wurde, nur 7 Millimeter, deren Dauer {1 Stunden nicht übertraf: im Winter 186% bei 18 Regentagen, in denen es während ungefähr 43 Stunden regnete, 95.1 Millimeter; in Bagdad während dem Frühling 1862, in dem es bei 15 Regentagen ungefähr 15 Stunden regnete, 44 Millimeter. Setzen wir voraus, dass in Samaua während dem Frühling derselbe Niederschlag Statt gefunden wie in Bagdad, so stellt sich die jährliche Regenquantität zu 146 Millimeter heraus. Bedenken wir aber, dass Winter und Frühling 1862 etwas regenreicher gewesen sein sollen, als andere Jahre, mag 135-140 Millimeter so ziemlich dem durchschnitt- lichen jährlichen Regenquantum Samaua’s entsprechen. Von den 25 Tagen, an welchen ich während Herbst und Winter in Samaua Regen wahrnahm, waren 10 Tage mit unmessbaren Niederschlägen, in Bagdad während dem Frühling 1862 von 15 Regentagen sechs. Von 40 Tagen, an denen also in einem Jahr Regen beobachtet wurde, waren nur 24, an denen die Quantität gemessen werden konnte. Mein Ombrometer gibt nämlich keine sichern Zahlen mehr für (uantitäten unter 4 Milli- meter; diese schwachen Niederschläge wurden daher nur nach ungefährer Schätzung mit 0.5 — 0.05 Millimeter eingetragen. Den Einfluss der Winde betreffend, erfolgten in Saumaua von den erwähnten 25 Regen zur Herbst- und Winterszeit 17 bei vorherrschendem SO oder O.-Wind. 3.» » SW. F 375 » NW. 1 bei N; 1 bei W. Im Frühling dagegen, wo die Winde an ihrer Regelmässigkeit verlieren, scheinen auch die Niederschläge an keine so bestimmte Luftströmung mehr gebunden zu sein, obwohl nun hier der Nordwest mehr Regen bringt als der Südost, was wenigstens aus 27 meinen Beobachtungen in Bagdad hervorzugehen scheint. So waren im Frühling 1862 7 Regentage von NW, 2 von SO, 1 von 5, 3 von N, 4 von SW und 1 von W begleitet. Da die ersten gefallenen Regen nur mit Schwierigkeit in den harten ausgedörrten Boden eindringen und die Temperatur zu einer geschwinden Verdunstung noch hoch genug ist, wird die Luft zu Anfang Winters stark mit Feuchtigkeit geschwängert. Wird nun während der Nacht der Boden und die Luft stärker abgekühlt, findet Bildung von Thau und etlichen Nebeln statt. Thau fehlt sonst die ganze warme Jahreszeit über gänzlich, die Luft ist so trocken, dass eine Säbelklinge, während der vier wärmsten Monate der freien Luft ausgesetzt, kaum einen Anflug von Rost zeigt. Reife sind im Winter bei kalten Nordwestwinden häufig. In dem gelinden Winter von 1861/,9 fanden solche 12 Mal statt. Schnee dagegen wird in den untern Euphrat- und Tigrisländern nur ungemein selten gesehen, während er das Blachfeld Ober-Mesopotamiens fast jährlich vorübergehend be- deckt. In den letzten 50 Jahren fiel in Unter-Mesopotamien nur zwei Mal Schnee, näm- lich im Januar 1834 während mehrern Stunden und einige Zoll hoch (wenigstens in Bagdad), und im December 1860, wo es in Bagdad während ungefähr einer halben Stunde schneite und in Samaua während einigen Minuten. Hagel und Riesel scheinen nur selten zu sein und mehr als 1—2 Mal im Jahre nicht zu fallen. Gewöhnlich hat aber dieses Phänomen eine sehr grosse Verbreitung und dehnt sich von Bagdad bis in’s Deltaland des Schatt-el-arab aus; so z. B. der Hagelfall vom 18. April 1862. Der merkwürdigen Eigenschaft des Bodens, die Feuchtigkeit an sich zu ziehen, haben wir bereits früher gedacht. 8, Hlectmuenutalt. ‘Während im obern Theile der mesopotamischen Ebene Erscheinungen der Eleetricität, wie Erdbeben, Gewitter, heftige plötzlich entstehende und ebenso plötzlich vergehende Stürme häufig sind, äussern sie sich in dem untern Theile des Blachfeldes nur selten, In Zeit von 50 Jahren wurde Unter-Mesopotamien (resp. Bagdad) nur zwei Mal von Erd- beben berührt, ein Mal von einem Ausläufer des nordsyrischen Stossgebietes bei dem grossen Erdbeben in Aleppo im August 1822; ein anderes Mal am 7. September 1856 gegen 9 Uhr Abends, wo ein leichter Erdstoss erfolgte, der auch in Mendeli wahrgenom- men wurde und wahrscheinlich ein Ausläufer des südpersischen Stossgebietes war. Beide Male war aber die Erschütterung in Bagdad nur schwach. — 23 Das flache, von keinen nur etwas bedeutenden Erhöhungen durchzogene Blachfeld, der wasserlose, den grössten Theil des Jahres über ausgedörrte Boden, die Trockenheit und Reinheit der Luft, sind eben so viele Momente, die der Bildung von Gewittern hin- derlich sind. Während eines sechsmonatlichen Aufenthaltes in Samaua hatte ich Gelegenheit, nur 5 Gewitter zu beobachten, und nehmen wir an, dass während den Monaten März und April 1862 sich dort dieselbe Anzahl von Gewittern zeigte wie in Bagdad, nämlich 7, so werden wir wohl mit ziemlicher Sicherheit schliessen können, dass die jährliche Anzahl der Gewitter in Unter-Mesopotamien 10— 12 nicht übersteigt. Das erste Gewitter entlud sich in Samaua am 24. November, also erst einen Monat nach Eintritt der südöstlichen Strömung: das letzte in Bagdad am 26. April. Von jenen 5 Gewittern fielen in Samaua 2 auf den Herbst und 3 auf den Winter, in Bagdad anf den Frühling 7; der regenlose Sommer ist davon gänzlich frei. Ueber die Vertheilung der Gewitter nach der Tageszeit und den sie begleitenden Winden gibt folgende Zusammenstellung Aufschluss. Von Mitter- | Von Mittag Ss NW N Total. nacht bis Mitter- bis Mittag. nacht | | | re a | Samaua ıg6ı | Herbst 1 I) 0 0 0 2 1 1 und 18% | Winter ) f er 2 ei 0 | | \ | Frühling I) I) 1 A 1 107 1 6 Bagdad 1862 | | | Sommer 0 0.1.0 du9,,d, 0 0 0 | 0 ern Ararauns |amdofenn dns win urn bns ah pm un lmssognaolk Inn } | | ku 4 Aue deck Ju 4 | 8 Meist finden die Gewitter in grosser Höhe statt und sind nur schwach und kurz, haben aber die ausgesprochene Neigung, nach einigen Stunden Intervall sich zu wieder- Eu, holen. Der Blitz scheint nur selten auf die Bodenoberfläche zu schlagen und von Ful- goriten kam mir nie eine Spur zu Gesichte. Ob die relative Häufigkeit von glänzenden Meteoren und Sternschuppen, das ausser- gewöhnliche Funkeln der Sterne mehr dem klaren, unbewölkten Himmel, der reinen, dunstfreien Luft, als einem besondern Zustand der Atmosphäre zugeschrieben werden soll, mögen Andere entscheiden. 9, Der Einfluss des Klimas auf den Menschen. Es bleibt uns noch übrig, mit einigen Worten des Menschen zu erwähnen, dem mehr als jedem andern Geschöpfe die klimatischen Einflüsse ihren Stempel aufprägen. Das Klima Samaua’s kann als eines der gesundesten des Paschaliks von Bagdad an- gesehen werden. Es ist dies um so mehr zu verwundern, als es in unmittelbarer Nähe ausgedehnter Sümpfe liegt und gerade der Nordwestwind, der über einen grossen Theil jener seichten Wasserflächen streichen muss, während der ganzen Jahreszeit weitaus der vorherrschendste ist. Die Bewohner Samaua’s haben ein Gemisch von biliös phlegmatischem Temperamente und sind starkgebaute hagere Leute, die nur in seltenen Fällen im vorgerückten Alter Anlage zur Fettleibigkeit zeigen. Ihre Nahrung ist sehr einfach: Reis, Kameel- und Büffel-, seltener Schaffleisch, Datten, saure Milch, Hirse, Rüben und Zwiebeln. Als Lieblingsgericht gelten aber an der Sonne getrocknete Fische. Im Sommer und Winter fast dieselbe Kleidung tragend, ein einfaches wollenes Hemd, über welches im Winter noch ein Ueberwurf aus demselben Stoffe kommt, sind die hiesigen Araber sowohl gegen die brennenden Sonnenstrahlen als gegen die Winterkälte unempfindlich. In beiden Jahreszeiten tummeln sich die Kinder der Aermern nackt umher. Bei einer Luftwärme von nur 7 Grad sah ich auf meiner Rückreise durch die Lemlun- marschen die Buben im eiskalten Wasser sich baden, während sie im Sommer bei der heissesten Mittagssonne ohne Kopfbedeckung fröhlich umherspringen. Wollte ein Euro- päer es ihnen nachahmen, könnte er sicher sein, in Zeit von wenigen Minuten dem Sonnen- stich als Opfer zu fallen. Die Körperhaut der Samaui ist schon ziemlich tief gebräunt. Immer baarfuss gehend, werden ihre Füsse ungemein abgehärtet, ungestraft treten sie damit auf Dornen, die europäisches Schuhwerk durchbohren würden, ungestraft löschen sie mit ihren Füssen glühende Kohlen aus. Merkwürdig ist bei ihnen die ausserordent- liche Entwicklung der untern Extremitäten, die noch mehr bei den eigentlichen Madan- arabern hervortritt und die wahrscheinlich durch ihr amphibisches Leben gefördert wird. 30 Dank der immerwährenden frischen Luftströmung, der Masse von Licht, sind Diffor- mitäten des menschlichen Körpers unter den Samaui fast unbekannt, trotz einer Jugend und eines ehelichen Lebens, die keineswegs frei von allerlei Ausschweifungen sind. Wie bei fast allen Arabern sind ihre Muskeln trocken, fest, schramm, die Geschlechtstheile in hohem Grade und früh entwickelt. Mit dem 9. bis 10. Jahre erreichen die Mädchen schon ihre Pubertät, und Heirathen mit Mädchen von 8—10 Jahren sind daher ganz gewöhnlich. Das Auge des Bewohners Samaua’s, noch mehr das des Beduinen, hat eine ungemeine Schärfe und zeigt stark entwickelte Augenlieder. Ebenso ausgebildet sind die Zähne, die noch im hohen Alter ihre Vollzahl und Elfenbeinfarbe bewahren. Von epidemischen Krankheiten, Variola ausgenommen, wird Samaua nur selten be- rührt, was es zum Theil wohl seiner abgesonderten Lage zu verdanken hat. Von Bagdad aus, wohin die Cholera durch die Pilgerkarawanen aus Persien und Mekka fast alljährlich geschleppt wird und sich nach Hille, Imam Hussein und Imam Ali ausbreitet,, ist dieselbe noch nie nach Samaua vorgedrungen. Wenn dagegen Bassora von Indien und Südpersien aus inficirt wird, gelangt sie gewöhnlich durch die Pilgerschiffe den Euphrat aufwärts, so z. B. 1851, wo sie in Suk-esch-schuh und Samaua viele Opfer forderte. Die Blattern erscheinen in Samaua fast jährlich und richten oft grosse Verwüstungen unter den kleinen Kindern an, ohne dass man bis dahin gedacht hat, die Vaccine von Bagdad aus einzu- führen. Intermittirende Sumpfhieber kommen in Samaua zwar yor, aber verhältnissmässig nur selten und in leichtern Graden, ebenso Dysenterien, während leichte aber hartnäckige Diarrhöen besonders bei frischen Ankömmlingen leicht auftreten. Typhoidfieber und Petechialtyphus beobachtete ich nie, Tuberculose der Lungen ist dagegen sowohl unter den Einheimischen als Angesiedelten gar nicht selten. Ophthalmien sind bei der immer- während von Staub erfüllten Atmosphäre sehr häufig. Die Aleppobeule zeigt sich in Samaua nur in schwachem Grade und lange nicht so wie in Bagdad oder Hille. Die Wuthkrankheit scheint zu gewissen Jahreszeiten unter den Hunden zu existiren, obschon ich nie einen Fall selbst constatiren konnte. Die hiesigen Araber glauben, dass, sobald ein durstiger, abgemüdeter Hund von einer in ein gewisses Stadium der. Ver- wesung gelangten Leiche fresse, er in Zeit von wenigen Stunden wüthend werde. _Dess- wegen werden die Hunde, die an Leichen zerren, immer gleich niedergeschossen. Als Beweis führte man mir viele Beispiele an und ich zweifle durchaus nicht, dass es mit diesem ätiologischen Momente seine Richtigkeit habe. II. Der Sommer Bagdad’s. 1, Bei dem jetzigen Stande unserer Kenntnisse gibt es nur wenige Punkte der Erde, die eine so hohe Sommertemperatur besitzen wie Bagdad; nur wenige Orte Indiens, der afrikanischen Sahara, der Wüsten des persischen und rothen Meeres können sich in dieser Hinsicht mit ihm messen. Vergebens sehen wir uns aber nach einem Punkte unter gleicher Breite um, der solche hohe Sommermittel geben würde. Alle indischen Städte, in denen der heisseste Monat 33—35° erreicht, liegen bedeutend südlicher als Bagdad, nur die Küsten des Persergolfes und des rothen Meeres nähern sich ihm in dieser Beziehung. Keiner aber bietet solche extreme Temperaturverhältnisse dar als Bagdad, wo die Differenz zwischen den Sommer- und Wintermitteln 23— 24°, die Differenz zwischen dem wärmsten und kältesten Monate 26 — 27°, die Differenz zwischen den beobachteten ab- soluten Minima und Maxima 56° beträgt. Mehr als zwei Breitengrade nördlicher als Cairo gelegen, besitzt Bagdad eine mittlere Jahrestemperatur, die wenigstens der von Cairo (22.4) gleichkommt, wahrscheinlich aber um 1° übertrifft “), während die Sommer der mesopotamischen Chalifenstadt um 3—4° heisser sind als die der ägyptischen. Nach einem kurzen Frühlinge, in dem die Vegetation rasch ihren Höhepunkt erreicht, um ebenso schnell unterzugehen, ist mit Anfang Mai in Bagdad der Sommer schon mit voller Kraft eingetreten. Die mittlere Temperatur dieses Monats (30.7) weisen nur wenige Orte der südlich gelegenen mittelländischen Gestade als heissesten Monat des Jahres auf, wie z. B. Tunis und Cairo. Selbst der wärmste Monat von St. Louis im Senegal, Calcutta und Bombay in Indien geht nicht über dieses Maimittel Bagdads hinaus. In diesem Monate erreicht das Mittel der Maxima schon fast 39°, während das Quecksilber an manchen Tagen schon über 40— 42° steigt. Die Morgen sind aber noch, *) Diesem hohen Jahresmittel scheinen freilich die Beobachtungen über die Temperatur einiger Sodbrunnen nicht zu correspondiren. Das Maximum, das ich in Bagdad während Juli und August bei einem Sodbrunnen von 3.5 Meter Tiefe wahrnahm, war nur 22.3°, bei einem andern von 8.2 Meter Tiefe sogar nur 21.7°. Könnte hier aber nicht bei der grossen Trockenheit der Luft der poröse Boden durch Verdunstung der Feuchtigkeit im Innern abgekühlt werden? a besonders zu Anfang Mai, recht frisch, die Hitze aber den Tag über, da die Luft noch feucht und dann und wann heisse Wüstenwinde wehen, sehr empfindlich und den Körper abmattend. Mit Juni steigt die Hitze noch mehr und bleibt bis fast Ende August mit einem Mittel von 33-—-35° ziemlich stationär, zwischen den einzelnen Monaten nur leichte Differenzen zeigend. Der heisseste Monat fällt je nach den Jahren bald auf Juli, bald auf August, seltener auf Juni. Fast jedes Jahr erreicht das absolute Maximum wenigstens 47 48°, in manchen 49 als in der Wüste zwischen Bagdad und Felludsche unter einem Zelte beobachtet wurde. 50°, seltener 51°, wie im Jahr 1859, wo dieser extreme Hitzgrad sowohl in Bagdad Der Sommer von 1856 dagegen war sehr kühl, das absolute Maximum stieg kaum auf 44°, während das Thermometer in den Nachmittagsstunden zwischen 38 — 40° schwankte. Horizontal auf den flachen Lehmboden eines Hausdaches gelegt und der Sonne aus- gesetzt, mag das Thermometer im Sommer zur Mittagsstunde im Mittel 73 — 75° erreichen und an manchen Tagen bis auf 78— 80° steigen. Leider beschränken sich meine Beob- achtungen in diesem Punkte nur auf einige fragmentarische Aufzeichnungen, die aber immerhin schon ein interessantes Resultat geben. Von Sonnenaufgang an bis 9 Uhr Vormittags, welcher Zeitpunkt wie in andern Län- dern auch hier das tägliche Mittel ungefähr repräsentirt, steigt die Temperatur der Luft rasch, ebenso rasch von 9 Uhr bis Mittag. Nun bleibt die Wärme ziemlich stationär, indem das Quecksilber bis 3 Uhr Abends, wo das Maximum eintritt, per Stunde um kaum einen halben Grad steigt. Ebenso langsam nimmt die Temperatur bis 5 —5!/a Uhr ab, rascher gegen 6 und 7 Uhr, um nach Sonnenuntergang noch bedeutender zu fallen. Enge verknüpft mit den verschiedenen Stufen der täglichen Erwärmung der Luft ist in Bagdad das häusliche Leben und Treiben, indem man sie bald aufzusuchen, bald zu fliehen gezwungen ist und so seinen Aufenthalt in den verschiedenen Theilen des Hauses verändert, während dem Tag unter, während der Nacht auf demselben wohnt. Vor und 1-—2 Stunden nach Sonnenaufgang bringt eine leichte Brise aus Nordwest eine erquickende delieiöse Frische, ein behagliches Gefühl durchdringt den Körper, mit Wonne erfreut man sich in den offenen Räumen des Hauses oder auf dem Dache der herrlichen Morgenluft. Freilich ist diese Frische sehr relativ und nur dem an die Gluth- hitze Bagdads gewöhnten Körper als solche vorkommend, denn das Sommermittel der bei Sonnenaufgang beobachteten Minima fällt nicht unter 26—27° und entspricht dem Mittel der Maxima der wärmsten Monate Mitteleuropas. Be... Im Gegensatz zu dieser Frische ist die Luft in den Zimmern am Morgen erstickend warm, ebenso in den Strassen und Basars, in denen die Abkühlung erst nach zwei Stunden eintritt. Von 8 Uhr Morgens an steigt die Wärme rasch und gegen 10 Uhr ist sie im obern Stockwerke des Hauses nicht mehr auszuhalten. Der abgemattete Körper befindet sich schon .in reichlicher Transspiration. Man steigt nun in die unterirdischen, Serdab ge- nannten, Gewölbe, in denen die Temperatur je nach ihrer Tiefe um 5 — 15° niedriger ist als oben. Aller Bewegung entbehrend ist aber die Luft darin sehr dumpf, und der Aufenthalt in denselben besonders dem Ankömmling sehr peinlich und lästig. Alle Poren öffnen sich nun, profuser Schweiss entströmt dem Körper, in wenigen Minuten sind Hemd und Kleider durchnässt, das Kopfhaar wie von Wasser getränkt. Beim Schlafen ist die Matratze bald vom Schweisse durchdrungen, während es beim Schreiben von Händen und Armen wie ein heftiger Thränenguss herabrinnt. Der Körper muss Er- satz haben für die ungeheure Quantität Flüssigkeit, die er durch die Poren verliert und reichliches Wassertrinken ist daher schon seit dem Morgen Bedürfniss, das um so grös- ser wird, je mehr die Hitze steigt. In dem ermatteten Körper bewegt sich der Geist nur noch schwerfällig, jede körper- liche und geistige Arbeit wird lästig und schwierig; mühsam reiht sich ein Gedanke an den andern. Träge seine Glieder auszustrecken und geistlos hinzubrüten scheint am mei- sten zu behagen, und ein grosser Theil der Bagdadiner erfreut sich dieses dolce far niente. In vielen Häusern, besonders bei wohlhabenden Personen, werden an schattigen, dem Luftzug ausgesetzten Stellen, sogenannte Schardaks errichtet, Räume die auf einer oder allen Seiten mit einem dichten Gehege von gedörrten Oxytropen umgeben sind, auf welches immerwährend Wasser gegossen wird. Durch die rasche Verdunstung des Was- sers wird ihr Inneres eiskalt, und der Aufenthalt ist in ihnen daher sehr angenehm, wenn auch nicht ganz gesund. Gegen 5 —5l/; Uhr Abends tritt eine merkliche Veränderung in der Lufttemperatur ein und mit grosser Sehnsucht erwartet man diese Stunde der Erlösung aus den immer dumpfer, wärmer und dunkler werdenden Serdabs. Der offene mit Wasser bespritzte Hofraum ist nun angenehm abgekühlt, wenn schon das Thermometer noch 40 — 43° zeigt — aber wenigstens ist hier frische bewegte Luft. Nun sind aber die Zimmer in Glutöfen verwandelt, jeder Gegenstand ist in ihnen auf 42 — 45° erhitzt, die trockene Hitze pri- ckelt einen hier recht eigentlich in die Nase. In den mit Staub erfüllten Gässchen strah- 3 34 len die Mauern Glut, die den Tag über ziemlich kühlen Basars werden geschlossen und verlassen, denn es ist in ihnen nicht mehr auszuhalten. Einige Minuten vor Sonnenuntergang besteigt man das flache Dach, um hier unter freiem Himmel die Abendmahlzeit einzunehmen und sich gleich nachher zu Bette zu le- gen. Die Temperatur schwankt nun von 37 — 40° und wäre recht angenehm, wenn nicht die erhitzten Häusermassen und Mauern ein beträchtliches Wärmequantum ausstrahlten und der Wind, der den ganzen Tag über frisch geblasen, sich nicht etwas legen würde. Gleichwol bringt dem noch immer schwitzenden Körper das vom Schweiss durchnässte Hemd durch Verdunstung einige Kühlung, und man hütet sich wohl dasselbe jetzt schon zu wechseln. Aber nun scheinen Leintücher und Matratzen direct aus einem Bäckerofen zu kommen, und letztere rufen ungefähr dasselbe Gefühl hervor, wie wenn man sich bei uns im Sommer auf einen gut erhitzten Bauernofen ausstrecken würde. Doch progressiv kühlt sich jetzt die Luft ab und mit ihr die uns umgebenden Ge- genstände. Ein bis zwei Stunden nach Sonnenuntergang liegt ganz Bagdad schon im tiefen Schlafe. Ungestraft schläft man den Sommer über in Hemd und Unterhosen oder nur ein leichtes Leintuch übergeworfen unter freiem Himmel und dem Winde ausgesetzt. .Der dem Menschen so schädliche Thau fällt hier nie. Verkühlungen sind im Ganzen sehr selten und nur ganz leichter Natur. Mancher eigensinnige Europäer hat es schon ver- sucht, die Nächte im Innern der erhitzten Häuser zuzubringen, immer aber musste er durch Schlaflosigkeit oder selbst Krankheit büssen. Gemäss der Landessitte zu leben ist eben für das hiesige Clima auch das Beste und dem Körper am zusagendsten. Gegen Ende August, in manchen Jahren auch schon in seiner Mitte findet, nachdem sich die Temperatur auf ihr Maximum gesteigert , eine plötzliche Veränderung statt. Kaum erreicht das Thermometer Nachmittags noch 42°, die Morgen werden bedeutend kühler. Der Körper ist nicht mehr jener profusen Transspiration unterworfen und schwitzt nur noch bei körperlicher Anstrengung. Mit September nimmt die Temperatur noch mehr ab. so dass man gegen sein Ende genöthigt ist, die Terrasse als Schlafstelle zu verlassen und sein Bett in den offenen Räumen des Hauses aufzuschlagen, da die Zimmer noch immer zu warm sind. Den ganzen Sommer über sind Wolken, selbst nur vereinzelte Cirrhi seltene Erschei- nungen. Gegen Ende Juli oder Anfangs August tritt aber fast jährlich eıne Periode ein, in der sie sich während einigen Tagen zeigen und an Zahl und Volumen zunehmen, bis sie sich zu einer dichten homogenen Dunstmasse verschmolzen haben, durch welche die Sonne nur noch blass durchscheint. Nachmittags heitert sich der Himmel dann meist BR 0 etwas auf, um sich mit Sonnenuntergang wieder mehr zu bedecken. Mit der Vermehrung der Cirrhi nimmt die Windströmung ab, bis zuletzt fast vollständige Windstille eintritt. Durch die Wolken und die Dunstmasse wird die Ausstrahlung der Wärme gegen das Himmelsgewölbe verhindert, und der Zustand der Atmosphäre wird dann qualvoll und unerträglich, namentlich wenn aus der Wüste sich noch dazu ein glutwarmer Wind er- hebt. Dann steigt Nachmittags das, Thermometer auf 47 — 48 und mehr Grad, steht bei Sonnenuntergang noch auf 44 — 46°, während die mittlere Tagestemperatur 40° übertrifft. Die Araber nennen diese Periode, die eine Eigenheit des Sommers Bagdads bildet und 2 — 8 Tage dauert, Buhrga *) oder Har-el-timur, die Türken Churma-sidschagi (bei- des Dattelwärme bedeutend), weil sie die Reife der Datteln sehr befördern soll. Der Körper fühlt sich an diesen Tagen ungemein ermattet und erschlaflt, zu der ge- ringsten Arbeit unfähig, schon das blosse Gehen oder Stehen wird beschwerlich, die Füsse scheinen an der Erde zu kleben. Jede Arbeit wird daher unterlassen, und die Basars zum Theil geschlossen. Der Kopf wird stupid, Nachdenken zur Unmöglichkeit. Die Re- spiration ist erschwert, die Transspiration abundant, während ımmerwährendes Wasser- trinken den Durst nicht stillt. Qualvoller noch als der Tag ist dann die Nacht. Umsonst sehnt sich der ermattete Körper nach Ruhe, vergeblich wird das Bett mit kaltem Wasser begossen, um etwelche Kühlung zu erhalten — die drückende Hitze ist zu stark, der Schlaf unmöglich. Erst gegen Morgen, wenn die Glutwellen der Luft etwas nachgelassen, schliesst sich das er- müdete Auge. 2a Sind die Beobachtungen Beauchamp’s zu Ende des letzten Jahrhunderts richtig, muss sich, was aber kaum glaublich, die Windströmung in Unter-Mesopotamien seither merk- würdig verändert haben. Denn seit 10 Jahren, während welchen von den englischen Marine-Offizieren sehr exacte Notirungen über die Windrichtung vorgenommen wurden, ist von einer Südwestströmung, wie sie Beauchamp für den Sommer angibt, nichts be- merkt worden. Das gleiche Resultat ergeben meine eigenen Aufzeichnungen. Während der Sommerszeit ist im Gegentheil in Unter-Mesopotamien der weitaus vorherrschendste *) Buhrga oder Bahrga heisst wörtlich übersetzt »kleines Meer«. In was diese sonderbare Benennung ihren Grund hat, ist mir unbekannt geblieben. ; 36 — Wind Nordwest, der von Mai an bis Ende September mit kleinen Abweichungen nach Nord und West so zu sagen ausschliesslich weht und der selten von reinem West, noch seltener von Südwest momentan unterbrochen wird. Wie schon früher erwähnt, kömmt dieser mediterrane Nordwest, nachdem er den grössten Theil seiner Feuchtigkeit an den syrischen Gebirgsketten und in dem obern Theile des mesopotamischen Blachfeldes verloren, trocken und heiss in Bagdad an. Aber Dank seiner fast immerwährenden Strömung, die beinahe alltäglich von einer leichten bis fri- schen Brise variirt, wird die Hitze Bagdad's erträglicher, als man anzunehmen geneigt wäre. Die Stärke seiner Strömung ist aber in Bagdad nicht so an gewisse Stunden des Tages gebunden und bietet nicht jene Regelmässigkeit dar, wie ich sie an einigen Loka- litäten des untern Euphrats zu beobachten Gelegenheit hatte, z. B. in Samaua und Du- sanieh. Meist bläst der Nordwest in Bagdad von Sonnenaufgang an, wo er schwächer ist, in einer leichten bis frischen Brise den ganzen Tag über, oft Nachmittags an Stärke zunehmend, um bei Sonnenuntergang und die Nacht über etwas nachzulassen Vollkom- mene Windstille zeigt sich in Bagdad nur sehr selten und meist nur dann, wenn der Himmel von Wolken eingenommen ist. Den Sommer über ist der Nordwest so zu sagen immer von vollkommenster Wol- kenlosigkeit begleitet. Die Atmosphäre ist so klar und rein, dass ein scharfes Auge die Venus oft schon 1—2 Stunden vor Sonnenuntergang wahrnehmen kann. Analog dem Chams in Aegypten gibt es in Unter-Mesopotamien eine ähnliche Er- scheinung, die Sam oder Samun genannt wird. Weniger bekannt als der erstere gab er seiner Zeit zu den grössten Uebertreibungen Anlass, die sich nicht nur Reisende sondern selbst Gelehrte zu Schulden kommen liessen. Wenn man den phantastischen Erzählungen der Araber mehr Glauben schenkt als seinen eigenen Sinnesorganen, ist es allerdings nicht zu verwundern, dass man einen ganz falschen Begriff über den Sam erhält. Was ist der Sam der Araber? Auf mein Nachfragen erhielt ich von den Bewohnern Bagdads folgenden Bescheid: «Der Sam dauert von Anfang, nach Andern von Mitte Juli bis Mitte August, welche Zeit also ungefähr den Hundstagen entspricht. Diese Periode ist charakterisirt durch grosse Hitze, durch das Wehen heisser Winde, die oft einen schwefelartigen Geruch besitzen , Uebelkeit, Kopfschmerz , Schwindel, Bewusstlosigkeit er- regen und zuweilen, namentlich in der Wüste, den Tod bringen. » Wie unrichtig zum Theil diese Ansicht ist, wollen wir hier zu zeigen versuchen. Allerdings fällt in diese Periode die grösste Hitze, aber die heissen Winde, die dem Menschen so lästig werden, kommen ebenso häufig im Mai und Juni als Juli und August — 37 vor. Meist wehen sie aus West oder Südwest, seltener aus Nordwest oder Nordnordwest. Ihr seltsamer Schwefelgeruch ist ebenso unbegründet und ich habe ihn, wie so viele andere moderne Reisende, die mehr Vertrauen auf ihre eigene Nase a!s auf die Fabeln der Ein- gebornen setzen, nie wahrgenommen. In Bagdad freilich ist Schwefelwasserstoffgeruch nach Sonnenuntergang nicht selten, hält aber an ganz andern Ursachen. Oft hörte ich die leichtgläubigen Leute steif und fest behaupten , es wehe der Sam, wenn ein etwas war- mer Wind ging und eine nahe gelegene Latrine ihren Wohlgeruch verbreitete. Tod durch Auströcknung — anders kann ich mir die vielen plötzlichen Todesfälle, die unter den türkischen Truppen und Karawanen selbst während einem leichten nächt- lichen Marsche von 1—?2 Stunden vorkommen, nicht erklären — folgt ebenso gut bei Nordwestwind als bei West oder Südwest. Natürlich wirken die letztern, da sie noch mehr der Feuchtigkeit entbehren, noch schneller und schädlicher auf den menschlichen Organismus. Ganze Karawanen können so, wenn der heisse Wind sie in der wasserlosen Wüste überrascht und wenn er andauert, zu Grunde gehen. Dem Winde aber desswegen eine spezifisch giftige Eigenschaft beizulegen, scheint mir ebenso unnatürlich als unbe- gründet. Das Erscheinen der heissen Winde ist an keine bestimmte Regel gebunden. Ihr erstes Auftreten findet im Mai, seltener gegen Ende April statt, und mit Ende September hören sie meist ganz auf. Wegen der grossen Tageshitze geht ihre Existenz am Tage fast unbemerkt vorüber. Kaum ist aber die Sonne mit ihren versengenden Strahlen im Westen untergetaucht, erhebt sich an gewissen Tagen aus West oder Südwest ein warmer Wind, dessen Wellen von Minute zu Minute heisser zu werden scheinen. Das Thermo- meter steigt, nachdem es bei Sonnenuntergang auf vielleicht 33—40° gefallen, von Neuem auf 42—-45°. Die Respiration wird peinlich, Nase und Mund trocken, immerwährendes Wassertrinken zum Bedürfniss, der Schlaf unmöglich. Bespritzen des Bettes mit Wasser oder Einhüllen des Körpers in nasse Leintücher bringt momentan Erleichterung —- aber auch oft schwere Verkältung und Fieber. Nach einer Dauer von wenigen Minuten bis zu einigen Stunden hört die Glutströmung auf und macht erquickender Frische Platz. Gewöhnlich zeigen sich die heissen Winde an 2—-3 Abenden hinter einander, um dann wieder auf längere Zeit — oft über einen Monat — ganz auszusetzen. Stets wehen sie in der durch bewölkten Himmel charakterisirten und Buhrga genannten Periode. Zu- weilen werden sie von aufgewirbelten Staub- und Sandmassen begleitet, ohne dass ihnen diess aber eigen ist. 35 Nach allem dem reducirt sich also der Sam auf einen heissen trocknen Wüstenwind, der meist aus westlicher oder südwestlicher Richtung kömmt und im Sommer an einigen Tagen weht. Seine Entstehung findet derselbe wahrscheinlich in den glutheissen Wüsten Arabiens. In früherer Zeit soll die Pest oft im Gefolge des Sams gekommen sein. Auch ist durch neuere Untersuchungen erwiesen, dass Winde, die zwischen Ost und West wehen, also SO, S, SW u. s. w. den Ausbruch der Cholera in Bagdad sehr begünstigen, wäh- rend der gesunde Nordwest denselben verzögert oder die Epidemie günstig modihcirt. Ein frappantes Beispiel bildete die Choleraepidemie von 1855. Im Herbst jenes Jahres wüthete die Seuche in Bagdad, Hille, Imam Ali, Imam Hussein, Mendali, Chanakin, Kerkuk u. s. w. Die vorherrschenden Winde waren damals Südost oder Südwest. Nach Eintritt des Nordwests verschwand die Epidemie auf allen den verschiedenen Orten an ein und demselben Tage. 3. Es würde uns über die Grenzen dieser Arbeit führen, wenn wir über die verschie- denen nosologischen Punkte, die uns der tropische Sommer Bagdad’s bietet, näher ein- treten wollten. Es seien daher hier nur in Kurzem die Namen der vorzüglichsten Krank- heiten angeführt, die dieser Jahreszeit eigen sind. Sumpflieber in all’ ihren verschiedenen Formen, vom einfachen intermittirenden Ty- phus bis zum remittirenden, larvirten und perniciösen Fieber — letzteres zwar bedeutend seltener als in Bassora; Leberkrankheiten; Meningiten, besonders unter kleinen Kindern; Grippe und trockene Bronchialcatarrhe, hervorgebracht sowohl durch die trockene Luft als durch die stauberfüllte Atmosphäre; Augen- und Hautkrankheiten in den mannigfal- tigsten Formen. Unter letztern ist, neben dem hässlichen Bouton d’Alep, von dem fast Niemand verschont bleibt, ein prurigoartiger Ausschlag ungemein lästig, in noch höherm Grade die massenhafte Bildung von Furunkeln, die oft wie epidemisch auftritt und viele Personen befällt. Beiden sind die Europäer in hohem Grade ausgesetzt. Eigentliche epidemische Krankheiten herrschen sonst den Sommer über sehr selten. Die Pest erlöschte in frühern Jahren immer mit Eintritt der Hitze, während die Cholera nur nach ihrem Verschwinden zum Vorschein kömmt. III. Der Witterungskalender Untermesopotamiens. Von der gewöhnlichen Eintheilung der Jahreszeiten absehend, könnten wir in den untern Euphrat- und Tigrisländern das Jahr füglich in zwei Perioden scheiden: eine tro- cken heisse von Anfang Mai bis Ende Oktober, und eine nass kalte von Anfang November bis Ende April. Den Frühling bilden hier die drei Monate Februar, März und April , den Sommer Mai, Juni, Juli, August und September, den Herbst October und November den Winter Januar und Februar. Je nach meinem Aufenthalte bezieht sich der nachste- hende Witterungshalter auf Samaua und Bagdad. I. Samaua. 1. Herbst 1861. September. z Mittlere Monatstemperatur 29,9. Die Hitze etwas abgenommen. Die absoluten Ma- xima stiegen nicht mehr viel über 40°, während das Minimum schon auf 17° herunter- sank. Die Luft noch sehr trocken, der Himmel wolkenlos. Vorherrschende Nordwest- winde, die Nachmittags immer mit beträchtlicher Stärke wehten. Ende Monats verliess man die Hausdächer als Schlafstelle. Es blühten noch einzelne Exemplare von Cappern und Oceitropen. Grosse Empfindlichkeit der Schleimhaut der Verdauungsorgane. Leichte Diarrhoen, Dysenterien, Quotidianfieber und Ophthalmien. October. Mittlere Monatstemperatur 26,0. Die Wärme schon bedeutend abgenommen, wenn auch das absolute Maximum noch 38 — 39° erreichte. In der ersten Woche fingen an sich einige Cirrhi zu zeigen, die gegen die vierte bedeutend zunahmen. Vorwaltender Nordwest, mit Mitte October traten aber die ersten Südost- und Ostwinde ein, mit welchen die Feuchtigkeit der Luft beträchtlich zunahm. Mit der ersten Woche war die Dattelnerndte, die schon mit Ende August begonnen, beendigt; einige Tage später die der Granaten. Ein arabischer Spruch sagt: wenn die Datteln fallen, fangen Dysenterien an. In der ersten Woche: (schon das dritte Mal im Jahre) wurden von Neuem Gurken- und Melonensamen gesteckt. Mit dem 26. October kamen Züge von Krähen an. Der 0 °— Strom hatte seinen tiefsten Stand erreicht. Dieselben Krankheitsformen wie im vorher- gehenden Monat. November. Mittlere Monatstemperatur 19.0. Während das absolute Maximum kaum noch 33° erreichte, sank das Minimum schon auf 5.9°. Es verging nun selten ein Tag, ohne dass nicht Cirrhi, Cirrho-Cumuli oder Cumuli den Himmel schmückten. Südostwinde wechselten mit Nordwestwinden ab, doch war die nordwestliche oder westliche Strömung in den höhern Schichten immer vorherrschend, da die Wolken nach SO oder O zogen. In der dritten Dekade Novembers erschienen die ersten schwachen Regenschauer, auch das erste Ge- witter und der erste Regenbogen. Man pflügte in dieser Periode die Felder, säete Waizen und Gerste, die auf andern gut bewässerten Aeckern zum Theil schon hervorsprossten. Man säete ebenfalls Zwiebeln und Saubohnen (Vicia Faba). Gegen Mitte November wurden die Blätter der Maulbeer- und Granatenbäume gelb und fingen an gegen sein Ende abzu- fallen. Die Wasserschildkröten verschwanden und sonnten sich nur noch an wärmern Tagen am Uferrand. Der Strom war noch immer sehr niedrig. In vereinzelten Exemplaren blühten noch Oxytropen und Kappern. Anfangs November Variolaepidemie in Samaua; leichte intermittirende Fieber und Ophthalmien. 2. Winter 1861/62. December. Mittlere Monatstemperatur 12.2. Das absolute Maximum erreichte kaum 22°, während das Quecksilber schon fast auf den Gefrierpunkt des Wassers herabsank. Südostwinde wechselten mit Nordwest ab. Die Luft sehr feucht. Stärkere Regengüsse fielen in der zweiten Hälfte des Monats. Mitte December der erste Reif und Frost. Gegen seine Mitte stieg der Strom um mehr als einen halben Fuss. In Folge der Regen der letzten Novemberwoche sprossten eine Menge Pflanzen her- vor, von denen einige schon blühten. Die Tamarisken, Oxytropen verlieren ihre Blätter. In einem Garten sah ich einige junge Reben und Pfirsichbäume ausnahmsweise in Blüthe. Mitte December waren die Ameisen so ziemlich verschwunden, obschon sie den gan- zen Winter über mit Ausnahme einiger kalter Tage in den Häusern herumkrochen. Heu- schrecken und Eidechsen sind aber noch immer anzutrellen. Krankheiten: Pneumonien, Bronchita; gegen Ende December Wechselfieber. re. we Januar 1862. Mittlere Monatstemperatur 11.2. Das absolute Maximum erreichte kaum 19°, während das Quecksilber einige Male auf den Gefrierpunkt des Wassers sank. Südostwinde wech- selten mit Nordwestwinden ab. Die Luft sehr feucht. Mitte Januar stärkere Regengüsse. Einige Fröste und Reife. Ende Monats schöne Frühlingstage, in denen die Saubohnen schon zur Blüthe kamen. Auf Culturboden sprossten eine Menge Pflänzchen hervor; die Fledermäuse flogen wieder herum, und die Ameisen gingen im Freien von Neuem ihrer Beute nach. Der Euphrat an Höhe ziemlich stationair, nur unbedeutende Schwankungen darbietend. Krankheiten: Catarrhe der Respirationsorgane. Februar 1862. Mittlere Monatstemperatur 12.5. Das Thermometer stieg schon auf 27°, während es an einigen Morgen nur wenig über dem Gefrierpunkte des Wassers stand. Vorherrschende Nordwestwinde, nur selten von Südost unterbrochen. Die Luft noch stark feucht. Einige Reife. Die Regen wurden seltener, der Himmel wolkenfreier. s Mit Anfang Februar herrliche Frühlingstage; in seiner ersten Woche wurde der schon anderthalb bis zwei Spannen hoch aufgeschossene Weizen für Pferdefutter geschnitten; die Vegetation regte sich mächtig, besonders auf Culturboden, während die der Sümpfe noch scheinbar todt dalag. Am 5. Februar kamen die Schwalben an; am 10. standen Aprikosen- und Pfirsichbäume in schönster Blühte. In der zweiten Hälfte des Monats trat aber ein bedeutender Rückschlag in der Temperatur ein. Der Euphrat hatte um einen Fuss an Höhe zugenommen. Krankheiten: Catarrhe der Respirationsorgane; Furunkel. I. Bagdad 1562. 3. Frühling. März. Mittlere Monatstemperatur 16.4. Die Morgen noch sehr frisch, während das absolute Maximum 28.5° erreichte. Vorherrschende Nordwestwinde, die oft Regen und Gewitter mit sich bringen. Die Witterung sehr veränderlich. Die Luft feucht. Gegen Mitte Monats war der Tigris beträchtlich gestiegen. Mitte März blühten Populus euphratica und ver- schiedene Weidenarten, Glycyrrhiza glabra, standen Maulbeer- und Feigenbäume schon im Blätterschmucke. ir April. Mittlere Monatstemperatur 23.1. Das Thermometer stieg von 13.5 als absolutes Mi- nimum schon auf 34.4. Vorherrschende Nordwestwinde, die einige Gewitter und schwa- che Regen mitbrachten. Die Feuchtigkeit der Luft nahm ab. Die Sommerkleider wurden gegen seine Mitte angezogen. Anfangs Monats waren die Früchte von Rhamnus napeca (Nebuk) reif, standen Maul- beeren, Citronen, Orangen in schönster Blüthe und erfüllten die Luft mit Wohlgeruch. Masse von Flöhen in allen Häusern. Ende Monats hatte der Tigris seinen höchsten Stand erreicht — ungefähr 20 Fuss über dem Sommerniveau. Krankheiten: Grippe, complizirt mit der seltenen und merkwürdigen Acrodynia an der Innenfläche der Hände und Füsse. Mai. Mittlere Monatstemperatur 30.7. Das Thermometer stieg schon über 43°. Vorherr- schende Nordwestwinde mit einigen leichten unmessbaren Regenschauern. Der Himmel gefüllt mit Cirrhi und Cirrho-Cumuli. Die Luft fängt an trocken zu werden. Mit Anfangs oder Mitte Mai schlug man seine Schlafstätte auf dem flachen Dache auf, und stieg gegen sein Ende während des Tages in die unterirdischen, Serdab, genannten Kellergewölbe. Mit Mitte Monats fiel der Tigris rasch. Mit Anfangs Mai wurden die Gerste und der Weizen geschnitten, kamen die ersten reifen Maulbeeren, Aepfel, Apricosen, Bohnen, Erbsen und Gurken auf den Markt, einige Tage später Patlitschan und Bamia. Es blühten Cappern und Tamarisken. Mit Mitte Mai zeigten sich Heuschreckenschwärme in ungeheuren Massen. Krankheiten: Dysenterien kleiner Kinder, complicirt mit Meningiten; Hautausschläge. 4. Sommer 1862. Juni. Mittlere Monatstemperatur 35.4°. Das absolute Maximum betrug 48.6°, während das monatliche Mittel der Maxima 43.8°. Nordwestwinde gänzlich vorherrschend ; kein Regen mehr; die Luft sehr trocken, der klare Himmel nur dann und wann von einigen verein- zelten Cirrhi getrübt. Zuweilen nach Sonnenuntergang heisse Wüstenwinde. Mit Mitte Juni kamen die ersten Trauben zu Markte, gegen sein Ende in grossen Quantitäten, ebenso die verschiedenen Melonenarten. Alle Vegetation sonst verbrannt. Vom 15. — 20. Juni hatten die Schwalben ausgebrütet und verliessen ihre Nester, Krankheiten: Intermittirende und remittirende Fieber, Hautausschläge ; Meningiten und Diarrhoen kleiner Kinder. — ke oe Juli. Mittlere Monatstemperatur 36.9°. Mittel der monatlichen Maxima 44.7°, während das absolute Maximum 48.1° erreicht. Nordwestwind gänzlich vorherrschend; nach Sonnen- untergang oft heisse Winde. Die Luft sehr trocken, der Himmel unbewölkt, dann und wann wurde er aber von einer gleichmässigen Dunst- und Staubschicht bedeckt, die Hitze steigerte sich dann zum Unerträglichen. In der Nacht oft Meteore. Krankheiten: Intermittirende und remittirende Fieber, complicirt mit Dysenterien; Hautausschläge, Meningiten unter den kleinen Kindern. August. Mittlere Monatstemperatur 34.5. Die Hitze, die in der ersten Woche noch intensiv war, nahm bald nachher bedeutend ab, so dass das absolute Maximum nur 47.3° er- reichte. Die Luft sehr trocken; Nordwest so zu sagen ausschliesslich wehend; Himmel klar, unbewölkt. Störche und Schwalben zogen Anfang Monats fort. Vom 1. — 15. August die ersten reifen Datteln auf dem Markte. Rhamnus napeca blühte den ganzen Monat über, während er an andern Baumen noch Früchte trug. Die Fliegen, die mit der Hitze verschwunden, kamen mit ihrer Abnahme wieder hervor. An den Hunden Massen von Zecken, so dass viele starben. Krankheiten: Immer noch Sumpffieber und Meningiten; Otiten; Ophthalmien. — Bagdad, Ende September 18862. A. Schläfli. Beilagen. Beilage 1. — Tabellen über die Mortalität der Stadt Bagdad. Als Anhang zu den climatologischen Verhältnissen Unter-Mesopotamiens füge ich hier noch einige Tabellen über die Mortalität der Stadt Bagdad bei, die ich den Registern der dortigen Quarantaine entnahm. Freilich sind sie nur von relativem Werthe, da einerseits die genaue Bevölkerungsanzahl Bagdads — die heute ungefähr 70.000 Seelen beträgt — in den einzelnen Jahren nicht bekannt ist, und daher eine genaue Proportion zwischen den Lebenden und Verstorbenen nicht leicht aufzustellen ist, anderseits dann und wann der Quarantaine der Tod eines Individuums, namentlich kleiner Kinder, verheimlicht wer- den konnte. Die Zahlen erstrecken sich nur auf die stabile Bevölkerung Bagdads mit Ausschluss der Garnison, der Pilgerkarawanen und der herumliegenden Orte, wie z. B. Imam Mussa. Den einzelnen Monaten ist stets der vorherrschende Krankheitsgenius bei- gesetzt. Die Eintheilung in Altersklassen war nur in einem gewissen Grade zulässlich, da keine Geburtslisten geführt werden, und oft das Auge des Arztes das Alter eines Individuums sicherer bestimmt als das Individuum selbst. Dem zufolge wurden nur 5 solcher Klas- sen angenommen : 1) Bis und mit { Jahr ) Im Sommer ist ihre Mortalität sehr beträchtlich, nament- 2) Von 1—7 Jahren lich bei Kindern europäischer Abkunft. 3) Von 7— 15 Jahren. 4) Von 15 — 60 Jahren. 5) Von 60 Jahren aufwärts. Die Anzahl der Greise namentlich unter der eigent- lich arabischen Bevölkerung ist in Bagdad sehr gross und zeugt von einem gesunden Clima. Die Zeit fehlt mir, näher auf den Gegenstand einzutreten und einige Gesetze, die die Tafeln enthalten, weiter auszuführen. Ich lege sie daher dem Fachmanne als ein- fache Documente vor. .M = Mortalitätstabellen für die Stadt Bagdad. (Zusammengestellt aus den Registern der Quarantaine von Bagdad.) 132 Janı 1898: Alter der Gestorbenen. Vorherrschender Krankheitsgenius. Jahr. Von 1-7 'Vou 15-60 Bis zu 1 Februar 6| 6|48 | 17 | 80 März 11 79026 |.17 || 90 April 2, 12| 7|32|418 | 81 Mai 29 6 8|&6 | 19 | 108 | Juni 16 47 5, 27 1 yılvı 7A | Juli 29 2 8| 38 | 12 89 | August 20 | .9)10|37| 9 | 105 | | September | 19 10 3,34 | 9 5 October si 5Iı 8|53|16 | 90 November | 20 | #7 | 17 105 | 38 | 227 | ' December | 21 23 76226 193 | Choleraepidemie vom 31. October bis 9. December. ' Im Jahr |208 144 88 528 | 190 1158 2. Jahr 1854. Alter der Gestorbenen. Monat. Von 1-7 Jahren. Von 7-15 Jahren. Von15-60 Jahren. -- le 7] [7 ai Bis zu 1 Januar 34 | 50 |1 0 |76 26 | 196 | Rest von Cholera; Diarrhoen. | Februar 31 | 39 9 64. 20 ' 166 | Morbilli in Bagdad; Variola in Sulimanich. , März 25 27 6 66 19 143 id. « « April 17119) 6163| 13 | 118 id. « « Mai 27 14 1148 20 | 120 | Grippe. Starke Fieber in Bassora. Juni 21 15 8,3% 47 98 | Ophthalmien; Lumbago ; Rheum.; Anginen.. Juli 36 | 10| 5 | 44 | 9 | 10% | Gastrische Fieb. mit heft. Erbrechen. August 41 15 6137 45 | 11& | Starke Fieber in Bassora. September |28 13 5/35 15 ' 96 | Petechialtyphus in Mossul. October 3315| 9|a9| 9 ‚ 120 November | 28 18 | 54913 | 113°| Variola in Bagdad, December | 24 29 | 534,22 | 114 id. Im Jahr [353 267 | 85 |599 | 198 | 1502 Br Mortalitätstabellen für die Stadt Bagdad. 3. Jahr 1855 Alter der Gestorbenen. Monat. Zr ——— | & T all altegle = Vorherrschender Krankheitsgenius | | SEI EIRS IE IPe IE | 1855. I=S]53.2.333| > Ale ame , Januar 19 | ı8| 5 | 57 | 22 | 121 | Februar 13 | 11 7.42 27 100 | Bronchiten, Pneumonien in Bagdad. Epizotie in Chanakin. | März 22 |15| 5 |82 |22 112 | April 25 9 7.64 23 128 | Typhoidfieber unter den gefangenen Kurden. | ' Mai 16 |ı2| 917517 | 129 id. | Juni 3222| 8|a7 \15 | 126 | Diarrhoen. | Juli 59 24 10 A1 | 21 | 155 | Biliöse Eieber; Bronchiten; Coqueluche. Typhus in Suli- | | August 12/12 | 3/33 | 12 | 11a [manich. | September | 27 , 10 | 6,28 |18| 8 | October [13 | 14 | 6 3213| 78 ‚ November | 13 10 | 4 3'!55 32 | 121 | Cholera in Bagdad von Mekka importirt. | December 17 | 12 Im Jahr |300 | 173 | 73 1572 238 1356 Choleraepidemie vom 9. — 26. December. 4. Jahr 1856. Monat. Vorherrschender Krankheitsgenius. 1856. Cholera verschwunden. Intermittirende Fieber. id. Januar Februar März April | | Mai | \ Bronchiten; Diarrhoen. Juni | Meningiten; Dysenterien. Variola in Bedra. Juli \ 5 | | \ Bronchiten ; Ophthalmien. Starke Variolaepidemie in Bedra. August Gastr. Fieber mit Cerebralsympt. u. Drüsen-Anschwellung. September Pseudomembranöse Anginen ; gangrenöse Stomatiten, October Cholera in Bagdad und im ganzen Irak. November | | Grippe. Dezember Variola. Im Jahr |236 | I 89 ri 226 Choleraepidemie vom 5. October bis 11. November. rn ee Mortalitätstabellen für die Stadt Bagdad. 5. Jahr 1857. Alter der Gestorbenen. Monat. „.le.8:|2 219 : x N > _ »Slkslushieire| « Vorherrschender Krankheitsgenius. 1857. |.2 s=2.3=2333| > | an E3E@53 2° € Januar 16 | 11 | 3 | 46 20 | 94 Februar 9/1019 | 32! 24 84 | Scarlatina; Variola. , März 17 | 19 | 1 | 37 | 30 | 104 | Bronchiten; Typhoidfieber unter gefangenen Kurden. ‚ April 13 13|8|43 28 | 105 | Anginen; Pneumonien; id. | Mai 1417| 5.38 | 9 83 | Intermittirende Fieber; id. \ Juni 27.1097 | 10 36 ' 17 97 | Intermittirende Fieber; Typhoidfieb. unter den Gefangenen ‚ Juli 7,12) 5) 36 | 12 | 72 | Intermittirende Fieber. [aufgehört. \ August 9 5) 6)32| 8 60 | Fieber in Bassora und Suk-es-schuch. | | September| 5) 6) 4,29 | 8 52 | Biliöse Fieber ; Anginen. | October 9|21|15| 15 | 16 | 106 | Cholera in Bagdad, Imam Hussein, Imam Ali. | November | 18 | 26 | 13 |69 | 47 173 | Cholera; Morbillen; Influenza; Dysenterien. | December | 6 6 | es /a0 | | 82 | Bronchiten. Im Jahr [148 153 | 85 483 243 1112| Choleraepidemie vom 16. October bis 23. November. ı U Jahr 1858. Alter der Gestorbenen. =) ='T ol. A ie =|so > 2 mini 51 a - Ss|e »|o > Ueber 60 3 1 - > Vorherrschender Krankheitsgenius. Januar 7 | 11 12 30 29 | 89 | Vereinzelte Variola. Februar 12 8| 938 20 | 87 | Vereinzelte Variola. März 6 10 31-44 1128 91 | Grippe. April 9 7:81,33 |20 87 |Grippe. Bronchiten. Mai 19° 2 5|A6 16 | 88 | Bronchiten, Pneumonien, gast. Affectionen complicirt mitirre- | | | gulären intermitt. Fiebern; perniciöse Fieber: Scarlatina in Juni 5. 17| 91|30|145 | 76 | Typhoidfieber in Sulimanieh. [Mossul. Juli 910) 2126 \ 14 | 63 |Larvirte Fieber; multiple Abscesse; Coqueluche. August 18 3| 5128| 10 64 | Einige Fälle von Dysenterie; Eczem. September] 2) 1) 3 31 10 | 47 |Cholera in Muhammera und in Hedchas. October 6| | 622 18 | 56 |Cholern in Bassora. November | 6 | 727) 10 | 56 id. Typhoidfieber in Bagdad. December | 1# 11 | 12 | 43 | 21 | 101 |Morbilli und Variola in Bagdad. | Im Jahr |113 | 90 | 83 |108) 211 | 905 - 48 Mortalitätstabellen für die Stadt Bagdad. Jahr 1859. Monat. - Du ” Bäre 1859. |.2 == a |» Januar DU IT Februar s.10 März "BR: April 9 6 Mai 22 11 Juni 15 15 Juli 4 6 August 13 | 10 September | 18 | 9 October 7:1 45 November | 8 9 December 21.1 Im Jahr |150 107 Von 7-15 Jahren. Tale, - Ber 2 = "2j0o8| * eäas| © smale8r| u > _ 36 15 68 34 | 21 82 a | 26 | 88 27 13| 57 a4 | 17 | 102 10 |, A 87 26 I 18 56 21 140 34 15 80 29 | 11 54 27 16 63 29 | 12 | 57 123 187 | 926 Anginen; Eruptionsfieber; Meningiten. Larvirte Fieber. Multiple Abscesse. Variola; Coqueluche; irreguläre intermittirende Fieber. Coqueluche; Neuralgien. Diarhoen. Mepingiten; adynamische Dysenterien. Intermittirende Fieber ; passive Haemorrhagien. Passive Haemorrbagien; perniciöse Fieber. Gastrische, catarrhalische Fieber. Perniciöse Fieber. Einige Fälle von Variola. | Variola und Morbilli. Jahr 1860. Alter der Gestorbenen. == ss 4 = nz - | ısco. |„583 = ie bie | Januar 73 ‘ Februar 10.15 März 5/2 ‚ April 8| 7 | Mai 919 Juni 12 | 13 | Juli 16 10 ‚ August 15 | 21 September] 7 11, ‚ October 7 yuB'| ‚November | 3 10 ‚ December | 7 52 | Von 7-15 Jahren. _ IE wel = Seins 8353 2 | 32 | 1a | 88 539 6 1518| 98 19 10. 50 23118 | 6 793 26 12 68 27 10. 8 oıa| 5 3190| 6 6:17,08 59 | 24 | 155 | — 106 201 72 371, 158 | 916 Vorherrschender Krankheitsgenius. Morbilli; Variola; Neuralgia‘ facialis. Morbilli; Variola. Pneumonien; Enteriten; Neuralgien. Grippe. Morbilli; larvirte Fieber. Larvirte Fieber; Meningiten. Larvirte Fieber; passive Haemorrhagien. Diarrhoen; Bronchiten. Gastro-Meningiten ; Ophthalmien. id. id, Intermittirende Fieber. - Intermittirende Fieber; Cholera. Morbilli. Choleraepidemie vom 9.—30. December. Me Mortalitätstabellen für die Stadt Bagdad. 9. Jahr 1861. Alter der Gestorbenen. Monat. Vorherrschender Krankheitsgenius. 1861. Bis zu 1 Jahr. Von 1-7 Jahren. Cholera. Cogueluche, Catarrhe der Respirationsorgane. Pneumonien; Capillarbronchiten. Capillarbronehiten; Pneumonien. Larvirte Fieber; Ganglientumore. Gastromeningiten. Hepasiten ; passive Haemorrhagien; Blephoriten; Ophthal- id. [mien. Januar Februar März April Mai Juni Juli August September October November December DOoOrD_n + 18 go oı wo vr or en Do 8 oo. fer] [7 a - u Irrezuläre intermittirende Fieber mit Cerebralsymplomen. Cholera. Cholera; multiple Phlegmone. Cholera in Kerbela: Variola. S SU = -T © or vie Choleraepidemie vom 26. Sept. bis 17. Novemb. in Bagdad ; Im Jahr 62 134 | 66 395 144 801 = “ In Imam Ali, Kerbelr den ganzen December über, 10. “Jahr”1862: Alter der Gestorbenen. Monat. = ID „1 „| - L £- c 5 —_ 2# U B si25|° s| 7 Vorherrschender Krankheitsgenius. 1862. = 55 „= 73353 are 5>185 SAle Januar 3 5| 2,24 4 38 | Bronchiten; Pneumonien. , Februar 2! 81 74724| "51 id. larvirte Fieber. März 2| 9 7/28| 7 53 | Bronchiten; Grippe. | April 1| 6) 31027 | #5 | 52 |© Grippe. ‚ Mai 3,8 5.125 | #5 58 Grippe. | Juni 595.311 8 58 | Intermittirende, remittlirende Fieber; Meningiten; Dysen- | ‚Juli 40 | 12 |} a 2121 520 052 id. [terien. | | | August 6| 84 30 | 9A 57 id. Otiten. September | — | — | — —- — je October jr Peyen | November | — | — | — | — | —!| — | December |— | — | — FE = 3 — Im Jahr TocEsE h- \ - 1 I. Beobachtungspunkt. E Sl S | a = 1861 Hr: — — 7} | 5 | 6 | Alexandrette Mai | m > 2 = 1. Lagerplatz (2 Stunden hinter | EB 5 Belem) id. | F ı [2- Lagerplatz Dorf El-beda id. Al arerplatz . B: 3 ine ıtz nn m eppo 1d, Eu | I I | au id. id. | © g | i £ | 3 5 |. Lagerplatz nach Biredschik , | a = neben einer Cysterne id. | 8 - |2. Lagerplatz nach Biredschik bei | = einer Cysterne id. | & = | 3. Lagerplatz nach Biredschik bei E | einer (ysterne id. | Ss. | Lagerplatz Dorf Asi id. | 2 | E; 2 °z |. Lagerplatz nach Siwerek id. = | Karabagtsche Dorf im Karadsche iu . = Dagh id. 2 | Ebene von Diarbekr. Dorf Mesere | id. 3 Diarbekr id. | i: id. id. -_ id. id. © | Tschelik, Dorf am Tigris Juni z\ Eski Mossul am Tigrrs id. FR . Hypsometrische Bestimmungen. on |e .|® L ; © Bl - 4 » 23 3% - 4-3 ER ..2%3 388° EB |$| Fin 8 13 5 2 | el a 2” 8 pe » | Bi 3 3 h. Morg. 21.0 758.93) Wi-2 | 9 | | | | 3 3Yzh. Abd.) 24.1)751.71 SWıi-2 2 aAl6 « « 1174 750.06 swiı i| 5/7 « « 115.0/730.99| Swi | | 75 « Mrg. 20.9 721.57 SWI 2 8 6VY«u « 15.1,724.77| SWi 110 | | | | 17 5Y2 « Abd. 30.4 703.16, SWi 0, | | 18| 6 « Mrg. 16.7,696.17| SW | 1 19% « Abd.129.7 702.6 SW 0) 2017 « « |21.9710.53) SWi | 0 265“ « |21.21670.87| SWı|o | 2613 « «u 124.7657.08| SW | 2 273 « « 131.9/066.81| SWı | 0 23 5“ « 125.9006.85| SWI 0 29,6 « « 120.1.69.19 Swi 0| 30 12 « Mitt. 27.6 696.38 SWi | 3.5 «Abd. 27.1 712.18) SWıi | 0 5/3 « « 28.172519 SW2-3 0 Witterung. bedeckt; kl. Regen.!) schön. Cumuli. Cirrhi. id. id. id. sehr dunstig. prächtig. ?) id. Cumuli. schön Cirrhi.>) y' prächtig. schön Cumul. prächtig. id. id. id. id. id. Anmerkungen. ') In der Ferne Ge- wilter, ?) Temperatur des Gysternenwassers 15.6 6 h. Abends bei zwei Meter Tiefe. 3) Temperatur des Cysternenwassers 13.0 6'/g h. Abends bei 2"/, Meter Tiefe. *) Temperatur des Cysternenwassers 13.6 5 h. Abends bei 2'/g Meter Tiefe und Luft- temperatur von 27.1. ’%) Temperatur des Gysternenwassers 14.1 6 h. Abends bei zwei Meter Tiefe und Luft- temperatur von 26.1, 6) Sehr stürmisch. Wiistensturme, II. Beobachtungen in Mossul. Thermometer. 2 2 x GT 0 TTS), =} =D ea . ne A : af Fig ge Z 5. = AEEEEEENEZESEZESERSHETEIE SEN 2 A ee Isı2l=2|12|1:|23|j2|3|3 EE ® Anmerkungen. alas) aa I Fee at << t etre = ziel a Po Kanal le | S > a & © a = = = Ex N “7 71203) « | « 2358| « | « |29.3| « 1331| « |26.8| « |W-NW prächtig 5 - eh schön 8121.6 « « |27.1/28.9| « 31.0) « 33.9 « 129.41) « |SWÄ1-3| Cumuli Nachm. Wüstenstürme. | = - ar oe schön | 9/2114 « ‚26.1 27.0! « « 1326| « 1333| « |31.5| « NWi Cirrhi 10[22.0 226 « 2369 « | « 30.1 « |31.230.6 « 29.5|NWı-2 Schön }|Morg. während 2-3Mtn. | Cumuli || einige Regentropfen. | 11]22.5| « « 1264| « « « « 30.9) « |28.727.1) NWi prächtig | 12]23.5/21.9 «| « « « 30.2) « |31.7)| « | « 127.9] NWi id. 13|21.8) « |26.1/27.5 « |30.3)32.0 « |334| « | « 283] NWi) id. 14122.8 « « |28.8/29.9| « 32.83 « |35.3| « « 28.7|W-SW id. | ) | | 115|23.0| « « 28.9 « « | «a 134.2) « « « « |W-NW id. III. Beobachtungen über den Kochpunkt des Wassers in Samana. N S = er © Beobachtungszeit. & R 3 E F lea F 25 |s |E33| 8 |3| Ss uhr Localität. s2|&1,828| S IS| 28 Witterune. | ö ze |8 Is=2| 5 |E| 5E = 5} = o = > > ei = s |581is82|2 a|l= 1861. = = a E37 = an a = ee sehe > ee er Ed Samaua Septber. 22 Ah. Abds.| 100.568 | 38.0 16.4 |046 0, NWi | prächtige. id. October | 1. 12 « Mittg.| 100.072 |36.9 16.8 0.50 0) NWi id. id. ide | 4 2« Abds.| 99.964 |37.4 | 16.4 0.49 0 NWi id. id. id. | 8.92 « Morg.| 100.041 |29.9 | 121 055 1| NWi id. id. id. 15| He: « 100.134 24.8 | 10. 1053 0) NWi id. Cirrhi. id. id. 15) 12 « Mittg.| 100.041 |34.9 | 17.6 048,0, 5S2 id. id. id. |15| 3 « Abds.| 99.902 36.2 | 190 046 0, S2 id. | id. id. 16 10 « Morg.| 100.011 30.4 a7 ‚048 0) Wi id. \ | | I er IV. Temperatur einiger Sodbrunnen und Quellen. s Beobachtungszeit & AR E b Oln & - pr z se2je25l5:5 Localität. = | 2 =25le33| 2 5| Anmerkungen. 1861. a -|H2 | ” - | en — Aleppo (Sodbrunnen) Mai |10) 8 h.Mrg.| 16.9 | 11.5 | 22.9 |In einem Chan, id. id. 10) S’/%a« « 17.0 | 12.0 | 23.5 |In einem Privathause. | Siwerek (Södbrunnen) id. 24 11! « « 16.5 7.5 | 27.9 |In einem Chan. Mossul (Sodbrunnen) Juni | 73 «Abs.| 18.8 | 10.2 | 33. [In einem Privathause. Bagdad (Sodbrunnen) Juli | 2)5 «« 22.0 | 3.5 | 22.3 id. Hille (Sodbrunnen) Aug. 21 10, «Mrg.| 23.1 5.0 | 34.3 id. Schwefelquelle von Ain-i-Kibrit | | (bei Mossul) Juni 8 6 «Abs.| 25.3 29.1 Quelle von Mär-llia (bei Mossul) | id. |12| 6'%«Mrg.| 19.4 24.3 Quelle v. Hammam Ali (bei Mos- sul), die grosse id. |15|6 «Abs.| 48.7 30.8 id., die kleinere id. )15) id. 17.2 30.8 | id., die dritte id. |15] ud. 25.3 30.8 | V. Temperatur des Tigriswassers während der Fahrt von Mossul nach Bagdad. Tem- peratur Aeussere des Beobachtungsört. Beohachtungszeit. Luft- Witterung. s F Wassers 5 des temperatur. Tigris. Mossul, ANA 7 Kan re 15 1'% h. Abend 21.0 33.9 | prächtig. Karaköi BE n.i/ 15 5 h. Abend 21.1 320 id. Nimrud 0 RR 16 8 h. Morgen 22,5 28.6 id. ] Sultan Abdullah . ' ; 16 1% h. Abend 22.4 32.8 id. DRM, « UWE: 17 10 h. Morgen 23 2 30.3 id. In der ' | 18 | 6 h. Morgen 23.7 29.1 id. weitern | 18 6 h. Abend 250 32.8 id. Hinabfahrt | 19 5 h. Morgen 23.4 24.3 id. AR Bazdad. 1861 1862 Erster Sodbrunnen. Beobachtungszeit. . Juli 5 h. Abends . Juli 6 h. Abends . Juli 5 h. Abends . August 5 h. Abends . August 5 h. Abends . März 7 h. Morgens . Mai 5 h. Abends 31. Mai 6 h. Abends 17. Juni 6 h. Abends 1. Juli 6 h. Abends 15. Juli 6 h. Abends E 3. August 5 h. Abends : 15. August 6 h. Abends : 28. August 4 h. Abends 5 (4. September 4 h. Abends g 23. September 2 h. Abends N Temperatur einiger Sodbrunnen in Bagdad. Tem- peratur des Sod- brunnens. 21.8 22.2 22.2 21.7 21.5 21.5 21.6 21.5 Tem- peratur der Luft. Tiefe des Sod- brunnens in Meter. an Beilage IH. — Meteorologische Beobachtungen Juli 1861. in Bagdad im Juli 1861 Bewölkungsgrad. Temperatur. Anmerkungen. Morg. Vorherrschender 6 h. Morg. 12 h. Mittg. 3h. Abends. Anmerkungen. Gefallene Regen- Tägliches menge in Millim. 6h. Abends. | Differenz Maxima. Minima oh. | Maxima 2 | tina nz > 1% 1) In der Nacht vom 1./2. Juli ein prächtiger Komet, dessen ungeheu- rer Schweif fast die Hälfte des Ho- rizonles einnimmt. 2) Zwei Stunden nach Sonnen-| untergang eine prächtig purpurrothe Sternschuppe. Viele Sternschuppen. 3) Seit gestern Abends Nordwind. 4) Nach Sonnenuntergang starker Nordwind, der bis Mitternacht an- f dauert. _ = nv al (00. DAN oO 2%“ uw ni = [I [> z w 8 ve vi wo -. ne 4-10 |1.82 | 27.83) 13.99| 0 51) 0.42 2 090 5659090009 9909 0990595990909 050090 o seo|lseoseossossosscssesso0sc0000000 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 e|les<|oosoosoos0sss00s0000000000000>00 Juli 1861. Thermometer- und Hygrometerbeobachtungen von BB) im Juli 1861 in Bagdad. 5) c zu 2 Stunden ® Hygrometer. | = . . an . . ” = I u an 1 . | Bee | ren ee ee mE Sa ° Ss o |= © P=] E-) >> ° e) 2 n= © an 8 P-) Asa banı 2 | euiee ES ea an, < =, &| Fi Ei = 2 IE Be I a Ss | = a ER ER Bi = 2 2 Se TEN BER eo | | | | | | ı | 31.0 | 35.5 | 39.1 | 42.1 | 24.0 | 43.8 41.5 31.2 | 0.48 | 0.416 | 0.45 | 0.42 | 0.41 042 | 041 0.8 2 | 31.0 | 32.9 |38.6 22.5 |a3.7 |a3.7|20.7|350| 50| 29| 2a| 39) 39) 38| 22| a6 3 |31.9 |34.7 37.1 39.8 a13|anı | 396 3u1| a7| a7) a5| al a3] A| a0) a] 1 | 30.2 | 32.9 | 38.9 | 10.0 12.9 |12.6 39.7 34.6] 53| 52| 8) 46 a1) A0| 13 46 5 | 29.9 |31.5 [35.2 36.6 |37.3 |38.3 | 36.1 3142| 53) 51] 29| a8| a7| a6| 50 3 6 | 30.5 | 33.0 | 36.3 37.9 38.8 | 39.0 1364 30.9| 53) 52) 50 a7 46 16) 48 | 51 7 |272 31.8349 39.8 41.5 141.3 301,328| 55 | 52| 49| a7) a4 43 45 8 8 | 28.9 |33.2 | 35.1 38.3 |39.7 | 10.8 38.5 33.6| a9| a8| a7 | a6| a3) a3) a6) 9 9 | 29.7 | 32.9 | 36.7 | ao. 'a2.1 |a.20 | 39.2 | 341] 50) 29| a8| a7| 24) Mal a6 09 | 10 | 29.3 |32.3 36.9 |a1.1 |420 [1.7 384 32.0| 29| 29| a7| a5) a2 23| 25 | Ag 11 | 29.9 |33.9 |38.9 13.6 |a0.1 |n3.9 38.4 345] a7| a7| a6] al Al All 23| 46 | 12 | 30.9 | 35.1 |39.0 | 23.0 | au. |au.0 1377 301| a8| A7| 05| 23) A2| 23| m a7 13 | 30.2 | 34.8 | 38.6 40.7 428 | 22.4 39.7 3838| 48| A7| a6| a2, 40) A| ua) As| 13 | 30.1 | 34.4 | 37.9 | 39.3 202 11.0 41.0 |34.0| 52| 50| a9| a8 Mal 23| 05 28 | 15 | 30.8 | 34.1 | 37.1 | 39.6 | 40.9 | n1.2 | 39.7| 33.2] 50) 29| a8) A7|ı Al 13) 25) 49| | ı6 | 30.2 | 33.1 36.9 39.1 20.9 |a1.ı 393|33.7| 50| a9| a7| a6) 45) 25) a6| 50l 17 | 28.7 |37.0 |n0.2 |10.0 41.8 | 21.0 39.0340] 1818| 23 42 12 a2| 13) a6 18 | 31.1 |35.2 | 38.1 20.0|4.3 21.5 | 39.7,338| 50) 39| a6 aa] 23 A2| A3| a8 | 19 | 29.9 133.9 [39.1 20.9 21.7 |a1.9 | 39.7 |321| 51) 50| a7) a0] 22) a3| m2| a9 | 20 | 30.3 |35.7 |39.2 20.8 41.6 |a21.0 |391|329| a9| a9| a6| anı a3 a3| a5 49 ae RR ENT EI 1 DER ARESE SENDE IE SITE 0 FD ER En nn SE a er ee le | 2 EEE Bol 1 al ae en je Als rn ie — | = le le Aa ee Be Kr 1 en a ne 25 | 29.9 | 32.8 | 36.1 | 38.1 | 39.5 | n0.2 | 38.9 | 345| 52) 51) 50| 3939| ATI 16) 38) 50 ı 26 | 30.2 |33.7 36.0 38.9 41.5 |a0.8|n0.ı [32.7] 51| 50| 29| a2) Ar 45| H6| 29 27 | 31.1 |36.2 |10.5 a2.u |a3.1 123.3 |n0.2|350| 49| a8| a6| aa) M| A2| | 47 23 | 31.4 |34.2 |39.2 |a1.0 |a1.7 |a21 36.9|33.8| 51| 50| a8| a5| 43| A| a7) 29 29 | 29.6 | 32.1 | 37.2 39.9 | 202 |a1.2 38.6 | 3112| 51| 50| 29| aa| 22) A| a6| | 30 | 29.4 |33.9 |37.7 39.8 |a1.8 | 22.0 | 20.3 | 32.9| 52 | 51| 19| 2a| 2133| 35| 26 9 31 | 30.7 | 34.3 | 38.2 |no.1 |a1.6 |a2.2 |n0.7 |35.0| 50| 29| 27) 23 Mo u 05 48 1-10) 29.96 33.07 [36.88 39.82 41.33 11.43 38.92 33.47| 0.51 | 0.19 | 0.47 | 0.45 | 0.43 | 0.43 | 0.45 | 0.48 11-20] 30.23 |34.72 38.50 40,74 |11.97 41.94 139.33 33.61 | 0.49 | 0.48 | 0.46 | 0.44 | 0.43 | 0.43 | 0.44 | 0.48 21-31) 30.33 133.91 37.84 110.03 141.34 41.89 39.39 34.61 | 0.51 | 0.50 | 0.18 | 0.45 | 0.43 | 0.44 0.46 | 0.49 ‚1-31 | 30.17 '33.90 |37.7% 40.20 11.55 111.75 39.21 33.90| 0.50 | 0.19 | 0.47 | 0.45 0.43 | 0.43 0.45 0.48] August 1861. Meteorologische Beobachtungen in. Bagdad im August 1861. Temperatur. ye . Bewölkungsgrad. | Vorherrschender Anmerkungen U Anmerkungen. Bagdad a | August 1861. Gefallene Maxima, Minima Regenmenge 6 h. Morg.| 6h. Abends Tägliches Mittel, Minima. Differenz. | Maxima. 1) Abends im Weste einigen Strati. 5.5 2) Vormittags eine Masse Cirrhi 15.3 19 1 | nach Osten ziehend. | 3) Nachts eine Masse von Stern- 11.6 10.55 0.16 [52 _ 19 schuppen. 4) Nachmiltags einige nach Osten! ziehende Cirrhi, | 5) Nachts sehr viele Sternschuppe n, | meist lange Streifen ziehend. 6) Abends einige Cirrhi. 7) Von Morgens 10 h. an stieg die Temperatur sehr rasch und erreichte gegen 3 h. Abends das Maximum von’ 48.7°; bei Sonnenuntergang zeigte, das Thermometer noch 45°. Von 11h. Vormittags fing der Himmel an weiss- lichblau zu werden, um Mittag schien E die Sonne nur noch blass durch. Bis, 30.3 | 15. | 61% h. Abends war der Himmel in’ | ein schwaches Weissgrau gebüllt, das erst nach Sonnenuntergang einem hei- 30.8 |17.6 | 39 | : \ ) [tern Himmel Platz machte, mit dem 323 | auch die Temperatur sich bedeutend 1 \ minderle. Den ganzen Tag über sehr 33.1 134 schwul und drückend. | | 5) Die Hitze heute sehr erträglich , 32.4 | 11.5 | | da immer ein frischer Nordwestwind wehte. 29.8 30.4 | Pe 31.7 \118 — f) et |a4} 03 Ko.al lied \ ‚13.05 [0.50 10 \ Te 1-18]13.95 no \ —— August 1861. Thermometer- 57 und Hygrometerbeobachtungen von 2 zu 2 Stunden im August 1861 in Bagdad. Bagdad E] 2) - _ 7) 3 Sn = « Hygrometer MEERES leise 20 MRS FERIgE MEERE EBENEN TER | EERSTIEFIEENT 30.6 34.3 37.1 40.0 41.8 | 41.7 | 40.5 | 32.9 | 0.55 | 0.55 0.54 | 048 0.46 0.47 | 0.48 | 0.49 30.5 | 34.0 | 37.5 | 30.4 | 42.0 | 42.1 | 39.9 | 33.0 19 418 18 16 45 41 46 49 30.9 | 34.1 | 38.1 | 40.0 | 41.9 42.1 | 40.1 | 34.9 48 47 47 46 45 44 16 49 34.1 35.6 | 39.0 40.5 | 413.1 | 43.6 | 38.6 | 33.3 19 18 17 46 43 43 45 49 30.1 | 34.3 | 37.8 | 39.9 | 41.9 41.7 | 39.1 | 33.8 51 50 48 46 4 40 44 48 30.7 134.1 | 38.3 | 40.6 | 42.3 | 42.2 | 39.0 | 31.7 49 48 47 416 40 39 44 48 29.6 | 33.9 36.5 | 38.4 | 410.5 |.40.4 | 38.7 | 32.8 53 51 19 44 410 4 45 47 27.7 | 33.4 | 36.2 | 38.6 | 39.9 | 40.0 | 38.3 | 33.9 49 48 47 45 39 39 46 49 29.0. .|,34,1.|137.3 |, 39.8 | 41.0 1/11.2 | 37.2.| 34.6 35 33 50 46 42 4 45 48 31.1 | 34.2 | 36.9 | 11.1 | 43.0 | 43.3 | 38.1 | 35.0 48 48 47 46 44 42 16 48 30.7 | 34.0 | 35:9 | 40.1 | 41.4 | 41.9 | 365 | 34.1 49 18 48 45 40 40 4 49 31.1 | 36.7 | 38.3 | 41.9 | 44.9 | 45.0 | 39.7 | 35.0 50 18 47 44 41 20| 35 49 31.2 | 37.1 | 43.5 | 46.7 | 48.4 | 48.6 | 11.4 | 38.7 50 47 416 | 39 37 37 | 40 46 | 31.4 | 38.3 | 46.0 | 47.1 | 48.3 18.0 | 41.9 | 36.3 48 47 45 |, 40 38 38 | 4141| 39 33.6 | 38.8 40.4 4412 | 46.4 | 46.1 | 40.8 | 39.1 St 50 48 46 43| 30 | 47 49 33.9 lie Uhe Soli are lbe- - 1-1 - 1-11) -| -| 4 ssalanecpn ap iklayma Ike 101 u] & | Th Toro] ee er zäh (ak hide WET ba | e4 u, 2 | =|, = ed le a a ET ER A ————————— | | | | | | N 30.43 11.74 41.83] 38.95 3359| 0.51 0.50 | 0.18 | 0.46 | 0.46 | 0.42 0.45 0.48) - D’ © - "u (>) B © nd © = 31.01 35.60 39.1% 41.96 I 43.81 43.87 I) 40.66) 39.80 36.54 050 108 0.47, ‚0.42 0.10 , 0.39 0.43 0.48, | | | \ | | | 35.00) 0:50 | 049 var 03a aaa 040 Ar | 048) | I März „; | Temperatur. Z& i - =} 1 |195 | 601135 2 120.1 6.8 13.3 3 120.0 | 6.1 !13.9 4 |199 75/124 5 120.3 | 82 121 6 |21.0 81 12.9 7 1199 78 12.1 s 1207 | 86 121 9 |208 | 85 123 10 |21.1 9.8 11.3 11 120.9 10.7 10.2 12 120.9 | 12.3 8.6 13 |20.7 1135 | 7.2 12 |204 1314| 70 15 1203 138 6.5 16 119.8 12.5 | 53 17 120.9 |134 | 7.5 ıs |203 111 62 19 |20.0 11.8 | 82 20 |21.1 '10.0 | 11.1 ‚21 |21.6 10.2 114 22 |21.4 10.9 13.5 23 |26.0 12.3 13.7 23 136.1 122 13,9 25 [28.5 | 16.0 12,5 \ 26 19.1 17 | 24 ı 27 |®63 941 172 28 |20.0 139 61 29 |B28 153 75 ' 30 |241.7 12.8 119 \ 31 |e7.1 |13.8 | 13.3 1-10120.33 | 7.74 12.59 11-20/20.53 12.75 7.78 | 1-31| 21.70. 16.40 58 1862. Hygro- 55 Bewölkungsgrad. meter. ss we esEl82s 5 8 51 8|: as Ber | Sl Eu En siaeelz 3 alslae PaeMe EEE u u ul u Ba a 1 u nn u | 4 Tail] ee = /a uf 0 9.0 | non] |) "or. 0400 ll Ei] 21a) 5 | 95 ae — | — | 0 1121 11.81 2 T AER —i—_ 0 1 2 2 1 1 1.4 ZEIT KIEL FENE U HE: —!—-10 EAN Far U TE 1 TR Zara: —ı — DH we Tat. et = —Aar 0 fa | | dk — EEE EN IRU FOND E® —/—-|0 541.25:11.8.] 4a'17%5:15% —| — | o fı2]1:.2 | | 2|-2)20 — | -[12|ı0|1ı0o| 9|ı10| 8|94 — — 126.8| 10 10 | 10 | 10 | 10 10.0 RE I 11 N a I EEE BA EN | Halli 2 | el 2 a ee | Fe ie EHRE BEA USE Be nel lu 1120| Adna Man — | —| 0 Jı 1 |>4 | © | 10 |» 01.0.8 IE IN") 1 41/100 0 0 04 ze A otrote | Iaei ie — | —139|.3|,8 | 10 10,10 82 —|—Jj1ı93| 8s| 8| 8s/10| 93|86 —/i—fo]| 0) .0|e.| 0| 000 Bra ilee | 80. | 10 | 40.02 — | —t0 [10|0|10 10 | 10 10.0 ee 12:12, | Ha de län a Te ee I I 3.736 3.532 36 39 2180| 3.54 3.8 ee ——— 338|27 29 so 3 2.9 2.9 Vorherrschender Wind, Anmerkungen. s01 NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi NWi s01 NWi NWi NWi NWi NWi NWi Meteorologische Beobachtungen in Bagdad im März 1862. | Anmerkungen. 1-11) Cirrbi, Cirrho-Cumnli. 12) Cumuli; veränderlich. 13) Cirrhi. 14) Sehr dunstig. Die Nacht uber leichter Regen. 15) Morgens stark bewölkt. Abds. 3h. starkes Gewitter, das sich gegen $h. wieder erneuert. In der Nacht starker Regen. 16-23) Cirrbi, Cirrho-Cumuli. In dieser Zeit waren die Blätter der Maul- beer- und Feigenbäume schon ganz 2) | entwickelt. Am 22. März war der Tigris bedeu- tend gestiegen, so dass die Schiffl- brucke abgenommen werden musste, 24) Morg. Cirrho-Cumuli und Cu- 7)| muli, leicht dunstig. Gegen 9 h. Morg. fing der Himmel ansich mit dichtem Dunste zu überziehen. Abends 3/2 h. Gewitter mit einem Platzregen. Abds. 9"/2 h. wieder ein Gewitter mitfeinem kleinen Regenguss. 25) Witterung unentschieden und sehr variabler Wind, NW jedoch vo herrschend. 1'/2 h. Nachmittags witter und kleiner Regen, 26) Prächtig klar. 27) Dunstig bedeckt. 28) Dunstig überzogen. 29.30) Cirrbi und Cirrho-Cumuli Be — April 1862. Meteorologische Beobachtungen in Bagdad im April 1862. | .. | Temperatur. Hygro [55 Bewölkungsgrad. S I & meter. | == >= & | EB E >=, u = Is | u sel & > | == = I2-| =: Ss S ss S= Sets = ale ll gele Anmerkungen. ' B:|2|1:2|5|2] 222 >212|=|3|2|=2| 37°5 ; <| 5 = E ei E |SS$| . .laı 2ı «< o5S| = = = = = = = 12731 = aa = & 8 S < = = = |SOE| o 3 = = = = > 1-5) Cirrhi, Cirrho-Cumuli. In dieser 1 130.8 18.2 | 12.6 |0.82 0.62| 0 0 1 1 1 1:08] NWi 1) Zeit waren Maulbeeren, Orangen, Li- 2 130.5 19.7 10.8 | 85| 61] 0 2 3 3\ 3 2|26| wi |o) monen in schönster Blüthe, während las ime sale sro ala 000 one | 2) nn a stur Tenaig| #4 130.9 |15.9 15.0 | 72) 541 0 0 0 0 1 1'04| NWi |ıa werdend und um 31/2 h. einige ferne 5 133.0 |14.8 |18.2 | 87| 52| 0 0, 3 313 4 2.0] NWi |5) |Donnerschläge, die sich 7/2 h. Abds. 6 |34.4 121.1 !13.3 ]| S0| 66) 1.4 1 2 5 s 10. 52| S0ı 6 bei einigem Regen wiederholen. 7 |293 217 | 76| so 2] 0o| ı 2 10/10 10 66| SO1 |7) Lehe tederne na 8 [28.9 17.1 ,11.8 | 77, 56| 0 2 1 t 1 1: 12| NWi 8) 8-11) Cirrbi, Cirrho-Cumuli. 9 [26.7 | 15.0 |11.7. | 77| 62| 0 0:0!’0| 0! 0)00| NWi 12) Morg. Cr., Cr.-C., Nachm. Cum., 10 128.5 158 127] s2' 5710 0 0 1 1 1!0s wi 9 Strati und 3 h. Abds. kleines Gewitter Ad 28.4 16.0 12.4 | 75| 56| 0 0:.01:4| 11|4|06] NWi 10) ge rei Cr.-C., gegen 3 b. Ads Konten sell ) Morg. Cr., Cr.-C., geg . Ads. 12 |30.6 ‚17.1 13.5 | 74, 57| 0 0 0 1 1 4 0.6| NWit |tt)|ziemlich bedeckt, starker Wwind. Bei I 13 |32.7 19.3 13.4 | 78) 58|1.0 Pe} 3 5 5.34! NWi |j2)!Sonnenuntergang sich aufhellend. PER ERS ETER BE D aarı ur Br ne Br Br Er E17 1001161] Prenlkunng nr Formen a 5 Is o = En A 5 | */ [dunstig, Abends schön klar. | \ E 289 161 — 23 = 0 1 2 3 b) 2 | 2.6 NW 1 |14)| 15) Morgens Cr., Cr.-C. p! 30.4 116.9 13.5 | 72 59| 0 Een | 1 2 1 | 1.0| NWi |ı15)| 16) Dengrössten Theil des Tages der 17 |30.5 |17.1 113.4 | 82) 68| 0 3 9 9 9 978 si 46) Himmel dunstig bedeckt. | SEE PIRWESTE TE FIRE 0 EPE ETEEETERTEETEETBETT BESTE HE TC] HERD nr E19 [27.5 |16:5 Hs] ler] o| 7, 1.1) 2 | a | a2| mwi |hs) an Bee N r“ - P N 5 u » < 20 [28.1 Air 13.7 | 86, 66| 0 5) A| 2, 2 2 3.0| NW1 |19)|Der Himmel eine Stunde vor dem Ge- 21 127.7 115.3 112.4 | 82) 65| 0 Ruly2 ä 1 1 | 24 Sı |20)|witter grell gelb gefärbt. | 2 282 135 107 [80 0065| 0) OLE 1106| Sa Bl Cr., ae Seit 14 Tagen 23 lagı 1nı na | se’ 651 0 ua 5 B „|Endemie von Grippe. h 98 |972 13.6 Pr est srl oo } ei 2 5 2 16 SW 1 22) 25) 11Y/2 h. Vorm. Anfang eines she] 5 i 9 11.2 2 4 14| Ni |23)|ken Gewitters, das mit mehr oder we-, 25 130.6 15.2 15.4 | 77 58] 0 1 1 1 1 1 1.0) Ni |2ajjniger Unterbrechung bis 4 h. Abends 26 |234 197 | 37| 78 68[25| 5,1010. 9 1088| Ni |25) ee: ei fe ai 27 7. / ; - N E - z 3 26) Cr.-C. und Cum., etwas dunstig. Hi ua bist 1.138 se 4 10 w2lo2| 21|3|26 so1 26)| 27) Morg.bedecktundkleinerRegen ‚717.8 114.9 | 96 61j21|10| 2 2 2 1 34%4| Wi |27)\nachher sich aufheiternd. 29 |3041 1169 1132| 76 A| 0| 6, 2 1, 1, 1,22) NWı jas)| 28 29) Cr., Cr.-C. Seit einer Woche‘ 30 |30.9 1162 1127 | 2 lo | ı 1) ı a| 1120| wwi 29) die ersten Gurken aufdem Markte. | | | | | | | Unter Datum vom 29. April schrieb Gelars er, mer —., eriepn man mir ausBassora, dass in d. her- umliegenden Dörfern am 18.Aprilein) 2 | Ze | a0 sehr starker Regen mit Hagel gefallen; BE. 2] | 4-10 130.35 117.64 12.71l0 81 001.1 | 0.7 1.2 4 | | e 23.36 Hess H 11.40|0.77 0.62 42 129| 31|34| 45 | 3-7 | 3.3 bei dem Dorfe Sfuan waren die Hagel- 21-30|28.70 115.63 ‚ 13.07|0.83 0.64 |4.6 | 3.6 2.3) 2.3 \ 2.12.2125 körner so gross wie kl. Granatäpfel; ' — — je je ee ir en es wurden durch dieselben 20 Schafe ‚1-30 129.30 |16.91 | 12.39]0 80 0.62 | 9.9 | 2.4 | 22|27| 31|29| 27 und einige Büffel getödtet. Der Regen i — Frl . | | | | fiel so heftig, dass er die Saaten au 23.10 £ 1 0.72 den Feldern zusammenschwemmte. Mr Mai 1862. Meteorologische Beobachtungen in Bagdad im Mai 1862. ‚| Temperatur. : | Hygro- Bewölkungsgrad. 3 _ a meter. 5 2 Bl 2 = | = << |?# al Er " Bl: e|2 Pr 32 18 Anmerkungen. säsl: B = le (ae 12 s Pl a IE IE ER r 3 = = us: ab: = 2 ı 1327 17.1 15.6 JO 80 0.61) 0 | 1 1 213772 NWi 1) Cirrhi Morg., später Cr.-Cumuli 2 133312! 897] 80! 6210.05) 9 19 71% 3 Sswi und Cumuli; Nachmitt. etwas dunsti . : | | 58 ) 0 zur ‘/und schwül. Die ersten Maulbeere 3 a. en “ a = PR , : r f 4 > NWi und Aepfel auf dem Markte. ’ 38.9 212 17.7| 7450| 0| 1 v ) 0 NWi 2) Vorm. bedeckt und einige Tro 5 Bi. 22.3 | 19.1 176899] 015 1 1 1 1 Sit pfen Regen, später sich aufhellen 6 139.5/210|155| 74, 5310| 2 "2 2 | %2 i NWwi aber dunstig. At An! e 2. 91 eu ...5 ( 3 2 r ‚| 3-9) Cirrbi, Cr.-Gumuli. Erbse s ca R > ” ” “ . : W £ ’\und Bohnen auf dem Markte. s 1391 207 1841| 69 .. 0|ı ! an NWwi 10) Gegen 9 bh. Morg. sich dunsti 9 1353719974154] 721 53] 0°) 0° 1 1 1 1 NWwi \|bedeckend und Mittags einige Tropfe, 10 365 20.4 ı61| 72 > | 0.051 0 5 9 1 2 Ni Regen; nachher sich aufheiternd 1 I351 21 100| 68 60 olı 3 arm Sso1 ‘| Nachts prächtiger Mondhof. Die Heu er > um N la lo |» Ei / |schreckenschwärme in d. Uumgebun 12 135.0 19.6 15.4] 63 er 1:01 1 - - & NWi von Bagdad angekommen. Patlitscha. ı3 136.2 18.121178] 75| 3] 0| 7 | 2 1 1 1 NWi |13)|und Bamia.auf dem Markte. 11 133.7 21.1 12.6 | 72) 56 0.05, 3 va 1215 | 2 NWwi 1 11) it em Ken rap - =a 999 Fe 2, le; 5 74.9 |, =) | dunstig bedeckend, Abends bei Nor ”» er I er ah ak Bin P rn 2 > 12,12 NW 1-2 wesiwind sich aufhellend. 16 36.2193 16.9 | 62] 55] 0) ı 1 1 1 7 NWwi 12.13) Cirrhi, Cirrho-Cumuli. 17 139.6 ' 19.9 | 19.7] 60| « 0/0 1 1 1 1 NWi 14) Vorm. veränderlich. Nachmi 18 j30.1 21.4 187 a 1 1 1 1 NWwi abscheuliche Staubwolken und einig | 2 Be s | Tropfen Regen. Die Aprikosen scho 119 | 1.252318 ,194| «| « a rin, NWi m - i >o la33 23.1 202 . ’ 1 { 5 5 wi seit einer Woche reif. ; ı® . as. . i = 2 15) Morgens Cirrhi, nachher si 21 1338305133] « « 1 1 23 1 SWi J21)|mehr bewölkend. Abds. starker 22 | 39.6 27.1. 125| « N 1962 IE | 6 | 8 NWi mit Staubwolken und einigen Regen 9a/987!41.9 ie } tropfen. Den Weizen und die Gerst ER gt 26 a: Sihrs . 2 3 e a NWI schneidet man schon seit einer Woch ‚2ı 132012511166) « « 72|2|23 NWi 16-21) Cirrbi und Cirrho-Cumu 5 13T Be tr‘ 9'172 1 2 18 NWi 22) Morg. Cirrhi, Cr.-Cumuli, sp 26 | 21.8 | 23.3 18.5 x « 0.9 0.0 0 NWwi ter Cumuli; 4 h. Abds, einige grosse | ' a7 (a7 1239 j178| « « 0000.14 Ni en Ayaım 10.3 721310] « ı T2 | 2 |'2 4 NW1-2 25) Morgens fast bedeckt, nach ' 31.81 21.6| 17.27 «I « 1 2 | 21219 1 NWit Cirrhi, Cirrho-Cumuli. m7ja3ızı] «| « BEBKZEBEE wi 26) Nach Sonnenuntergang Wette «| « iyvaise ie |l® Nwi leuchten im Süd und später ein 39.3 \ 21.5 | 14.8 Regentröpfchen. 27. 28) Cirrhi, Cirrho-Cumuli. 29) Cirrbi, Cr.-C. und Cumu Nachmittags zum Theil dunstig deckt. 2 30) id. 37.3720.97 16.10] 0.74 0.54) 0.10 37.572119 116.38| «| « 11.36.25.78 | 15.58 1-31 38.7722.65| 16.1 — 071 | 2.2 | 18) 19 2a 27 21 Juni 1862. 61 Meteorologische Beobachtungen in Bagdad im Juni 1362. | .| Temperatur. Hygro- 5 Bewölkungsgrad. St meter Sy | EST, 1 2cbssichauhn [sel =] 8 El8 ee. nn 5 S le ı = = = |s- Zi Ele een 6 Ss | 6 = e\e |o8lo & | SH el | | (ao Ira ra 38.1 24.4 13.7 [0.58 0.50 [0.05 9 10 | 10 9 3 82 30.7 22.5 18.2| 70500 | 0) 0| 0|,1| 002 71.2 \22.3 118.9 | 5&| 45| 0 1 1770 0/0104 20.6 |21.8 115.8 | 53| 26] 0 | 0 01 01,1| 1104 38.91 193.7°1152 | 57 al 0 | 2 1) 0,0 | 0110 10.3 | 23.0 1723| 53| 5|0|.0| 0o| 0!.0| 01/00 11.5 |23.8 117.7 | 52 351,0 |.0| 0/0. 0| 000 39:1.123.8:) 15.3. )..63 | 481.0. | 0 | 0,|' 0.|..0 || 0 /0.0 390 23.7 1153| 63) 47| 0 | 0) 0| 0|.0, 0100 42.4 126.6 115.8 | 52 28 o lo! 0 01.0| 0100 43.5252 1181| «| «| o0| 0o| 0) 0|,0| 000 Be Nor @ı cr o t 01: 10811.0.1300 1 102 46.7. 1278 189 | «|, «| 0| 0) 0) 0|.0| 102 48:6: 28.0 120.6 | «| «| oo oal, iO, LI Orca II 4 10:8 9 eo | ol ol 0100| 0/00 1731285 1881 « «| 0] o| 0o| ol o| 0/00 46.4 128.0 1484| «| «<|0 | o| 0o 0.0. 000 18287 1er lo | 0 0 lol al 1104 46.6 |29.9 167 |" @o | 0 | lo | 0),0.| 0 | 0.0 17.0 30.3 14167 | «| «|o| o o| o|.o| o|o.o 46.8 131.5 [153 "lo | 0 | 0| 0 |>0.| 0 00 47.2 130.1 171] «| «10 | 0| e| 0.01 0.2 16.2 313 1149| «| «|0| 0) 0 0) 0 0700 24.7.1291. 1156| «| « Anmerkungen. 31: = e I|=|1=5|1571813 523 Ep =h3| 2) 8|7317134° 352€ 9# a =) aloe: Sees ı ]A6.8 | 29.6 0/!0/|0|07)|0|00| 0o| NWi 2 18.1 28.0 0 0 1) 0 { 0o2| 0 NWwi 1) Er an ae Segen h. Abds. 22.29 } 17.6 | 31.7 f f f N { 10| o NWwi e en Pi 43.7. a 2 } 16.3 31.8 5 9 2 f f 36 0 wi ER indstille Nachmittags; ends einige m Pe ange = P 2 n e 22] © NWi 3) Cirrbi den ganzen Tag, ebenso Wind- 6 [320 | 275 0),07,0710]| 0,00) @| NWı stille. Nach Sonnenuntergang heisser West- 7 ]429 30.2 07210/07000) 0] NWi wind; das Thermometer stand noch 8'/2 h. s 115.0 28.6 0!0!0)0!'0'0o| 0| NWi Abends auf 44°. 9 At 291 1) 0 0 0 1 02| 0 s01 4) Vormittags ziemlich stark bedeckt mit 10 la65 30.4 f f f f 2 ı>| o 801 Pit ae Cumuli. Abends wieder > Ten . a a x } =) ® Wi 5) Vormittags viele Cirrbi und Ür.-C., 12 16.8 32.8 1 0 0 0 0 02| 0 NW 1-2 Abends ganz aufgeheitert. 13 15.7 294 0 B ® 0 0 00) o| NWi 6) Von Morgens 10 h. an dunstig werdend, 14 |34.3 | 28.9 0°7070:1.0 170 |00] 0] NwWi Abends 2 h. scheint die Sonne nur noch matt 15 145.81265/1193101070710 ı 02] o| NWwi durch. Abends im Westen einige Cr.-C. Seit 16 29 301 1251 1 0 0 0 0.02 0 NWwi ar VWipche viele Ei ar ı |m0o 80 molo 0 0 0 0.00 o|NWwı-2 ee ee 18 14712711126) 0|010 0'000) 0 |NWwi-2 8) Cirrhi den’ ganıza Tag. 19 42.6291 135] 0 0 0.00.00) 0 |NWi-2 ET Re - srı7 — ® > » m ferlerwsleis ie lefs ao] ajamie] | Yoacca uar ame = 2 = ? He 11) Cirrhi Abends. zur 2500 briart Dazu Wü P ’ e 0. 0.0) © |NW12 12) Cirrbi Morgens. . o1I90|070''0 |00] 0O| NW2 ehr . x 13) 9'/ h. Abends prächtiges Meteor von 0'0/0,0),0 00] o| NW2 SO nach NW gehend, an der Spitze eine Ku- 0i0!0)0°'000| 0 |NWI-2 gel, von Gestalt eine Orange bildend, die 26 13.7 /1lın6lo!o 0/0 0.00] EINWI-2 ohne Geräusch zerplatzte; Farbe wie Feuer. | | 7 Gegen Mitternacht ein zweites Meteor von U T2s2|282 | 11070) 0 | 0 0 |'o 0.0] © NWI-2 S nach W gehend, scheinbar sehr kurz, wie- ‚28 |33.7129.7/111.0| 0 0 0 0 0 00] 0 |NWI-2 der mit einer orangegrossen und orangefar- 9 Ja7r/is1lı66]| 0 |) 0000.00] o|NWwIı-2 bigen Kugel endend, die ohne Geräusch zer- 16.3291 172|0 10 0/0), 14 02| O| NWi |12)]| platzte. } 57/29 ı03l 3 | 8 10 3'354] 0| Nwi li; el em einige Cirrhi, die Nacht sehr BEER FR ae 7 ER schwül. 45.16 30.01 1.2) 14 06/04/06 0.8| 0 15) Morgens eine ra hy) meh -20] 41.13 4101. 01'0 2'.02| 0 gegen 9 h. zunehmen und in Cr, un e- 1 13888 > . 09| . = 05|l o übergehen. Windstille. Die Luft schrecklich \ 1 re PTR USE dumpf und erschlaffend. Abends sich etw, | \ 05l o aufheiternd. 1-31 | 14.68/29.25 | 15.12] 0.6 0.7 05/03 0A {nn I Juli 1862. Stündliche Thermometerbeobachtungen im Bagdad im Juli 1862. Thermometer Lufttemperatur. auf der Terrasse der Sonne ESSEN 5h.|6h.|7n.|sh.|[on. 10h.[11 h.|12h. 16. 26. 36.|ah.)5h.|ch. Tn.|ı2H.| ıH. | 26. | 36. Mrg. Mrg. Mrg. Mrg. Mrg. Mrg. Abd.f Mitt. Abd. Abd. — — a o a - = u) 36.0 39.2 « 35.4 39.1 41.9 13.8/41.6 44.9 15.1 « 42.3 40.3 39.0] 68.1 | 71.0 “ « 1 [57 1) I v [7 I ve R I l 1 l l I f f | I I ! I | | | | | f l j 23 132.0 31.8 32.8 « 37.3 39.6 12.0 « ‚44.0 411.6 41.3 43.4 42.0 10.9 38.5 «| « |70.5 | 71.6 | | | | « 2.3 12. 812.7 13.1823|« |“ |. | | | | | 18/727 | 727| « 25 [27.6 28.3 31.0 « 135.9| « | « 13.0 43.2|43.3 13.6 32.3 32.1 141.539.0| 72.6 | 75.5 75.6 75.4 | > | | | | 26 129.1 30.0| « « 36.8 39.0 « 1231 ‚43.7/43.7 43.1 43.3 12.7 11.6 38.9 | 17° sb ARE I 00/1 30) | 27 [29.3 30.2|« |« 137.0/« |« a1.ch3.ılas3as3la3ıl a |« |« [aa | TuS | Tas | 752 | | | | | | | \ | | | | | | | | | | | | | | 28 [23.7 30.3 « |« Is6.6« |« |« |« 13.723.743.5| « 41.1110.0 72.3 7541 le | | | | | | | | SH 29 |2s.1 « | « 134.1/36.1,40.2) « 13.2 13.3 41.0 44.0 44.7 13.3 41.8 41.81 75.0 75.1 75.9 762 | | | | | | ER | | | 30 [29.1 29.6 33.4 35.8 39.2 42.8 12.9 15.8 « 16.316345.6 « |« |« [765 a | | | | | | | | | I 31 |29.230.3| « |« 137.5 39.2.22.6 « 11 14.9 35.7 15.7 35.1 44.0 1 « | le us | Ill IRRE 64 August 1862. Meteorologische Beobachtungen in Bagdad im August 1862. »i | Thermometer. Bewölkung. B & Eusssssct aha 0000 = N sheı=|»15|%$|e es ss EBSEBES ee < Im 8 Ra] Su These 1 47.3 135.3 | 12.0 1) 3 3 3 3|42| 0 2 146.7 | 35.2 11.5 8 3 3 2 1134| 0 3 4358 1315 139 | 0! oT oT o0| 0] 0-T 0 a 435.3 |31.3 | 14.0 0 0 0 0 0.0 0 5 43.9 |32.0 | 11.9 0 0 0 0 0 0 0 6 10.8 28.6 122 0 0 0 0 0 0 0 Aa. 1274 1137 | 0|!o| 0) 1| 0)02| 0 8 131.0 |27.7 | 13.3 0 0 0 0 0 0 0 9 la1.9 |27.8 |1a1 |) 0 04 14 Ad: 0.04: 9 12.5 129.4 | 13.1 0 0 0 0 0 0 0 410.6 27.3 13.3 0 0 0 0 0/10 0 399 |27.1 J128| .0/!o| 0o| 0| 0..0.|0 41.4 \23.3 | 18.1 0 0 0 0 0 0 0 43.1 | 27.0 | 16.1 0 0 0 0 0 0 0 12.5 126.2 |161| 0)!o| 0o| 0o/| 0/0o| og a2. 126.9 1155| 0170| 0| 01 01 07, 0 108 252 15.6 0 0 0 0 0 0 0 0.3 128.3 1120| 0 !o| 0| 0o| o0o|o|o 1.0 27.4 1306| 0.0] 0) 01 0)01 8 20.6 |25.1 |155| 0 0 0| 0) 0/|0o|o 106 218 1158| 0 0 00 0 0|0 394 2710123) 0 0000010 394 25.5 1139| 0 0) 0 0) 0/0|o 100 26 1141| 0 00 0,0 0)0 01 258 1310 0.00, 0,010 10.9 1251 11558| 0/0 0o| 0o| 0/0 oo aM 1252 1159| 0 !!o|lı o/ 0) o0/o|o 393 26.0 1353| 0 0, 0,0,0/0|0 87.6 123.1 1135| 0 /0| 0| 0) 0|0|0 389 26.7 122|0 0 0 0'00)o 10.6 236 1.0| 0 0,0 0 0 0|0 1-10113.59 30.62 12.97 | 1.706, 0,7, 0.701. 08| 0 11-20111.26 26.10 11.86) 0.0. 0.0 0.0. 0.000 0.0| 0 21-31[39.81 2531 14.19) 0.0 0.0 0.0 0.0 0.000 {) 11.55 27.11 11.11| 0.6, 02 02 o3| 0 ‚2 0 r = = Wind. Anmerkungen. NWOo-1|1 NW1-2 |2) NWi NWi NWi NWi NWı |3) NWi NW1 |3) NWi NWi NW1-2 NW1-2 NW1-2 NW1-2 NWi- NW1-i NW1-i NWi- NW1-2 NW1-2 NW1-2 NW1-2 NW1-2 NW1-2 NW1-2 NWi NWi NW1-2 NWi NW1-2|6) 1} — LO Du Di 0 Anmerkungen. | ! | 1) Der Himmel Morgens fast ganz bedeckt; j nachher sich "etwas aufbeiternd. Die Hitze) ist unausstehlich. Nach Sonnenuntergang er-V stickend heisser Südwestwind. | 2) Der Himmel den ganzen Tag über mit dichtgedrängten Cirrbi mehr oder weniger! bedeckt. Nach Sonnenuntergang wieder heis- ser Südwestwind, 3) Nachmittags einige vereinzelte Cirrhi. 4) id. 5) Ein kleiner Comet sichtbar. 6) Von Vormittags an starker Wind mit! schwachen Staubstürmen. j Die Störche haben Anfangs Monats die Stadt verlassen; ebenso die Schwalben. August 1862. Stündliche Thermometerbeobachtungen in Bagdad im August 1862. Stündliche Thermometerbeobachtungen. | 1 5h. | 6h. | Th. sh. | 9h. |10h. .|12h.| 1h. |2h. | 3h. = : - | Zh. | sh. Mrg. | Mrg. | Mrg. | Mrg. | Mrg. | Mrg. | Mrg. | Mitt. | Mitt. Mitt., Abd. Abd. Abd. Abd. Abd. — —— August 1862. 27.4 | 27.8 | 28.6 30.8 | 34.0 38.0 39.5 | 40.6 | 40.9 | 41.0 | 21.1 10.9 | 40.0 39.8 38.0 | « 27.7 28.3 | 29.5 | 30.9 | 34.2 37.9 39.1 30.0 | 40.3 | 40.6 31.0 | 40.8 20.2 39.9 38.3 | « 27.8 | 28.3| « « | 35.2 38.0 40.1 1.3 | 21.2 411.6 41.9 | 41.5 | 41.0 39.6 37.3 « 1 [35.3 |35.7|36.3| « 41.6 23.4 4.6 45.8 46.4 46.7 47.3 47.0 46.0 « 325 2 [35.2361] « | « 202 « 14.3 21.9145.9 46.2 26.7 16.1 44.8 32.9 Aa 3 [31.5 322345) « 1388 «| « 31.815.0 152 351450 21.7 1.0 11.5 | « 4 130.3|30.6| « | «@ | « | « 33.4 a2.1|44.8 145.0 45.3 31.8 22.6 28.3 |213| « 5 1320| °« | «| % «| « |v« |23.2| 13.6 43.8 | 23.9 | 43.2 22.9 223 3207| « 6 [28.6 29.0] « |33.2|35.6 37.8 39.1 20.0 40.4 40.6 40.8 40.7 40.1 39.7 36.5 | « 7 8 9 1} 10 [29.4 29.7 |30.1| « |35.9 38.2 40.6 42.0 42.3 42.5 11.8 41.6 40.9 38.1 37.0 « 1 |273 «| «| «1332| « |38.8 40.1 |40.2 10.5 40.6 39.9 38.2 37.1 36.0| « 12 |er1| « | «| « 1346| « |37.8 39.1 139.6|39.9 39.8 39.0 38.1 37.0 35.8| « 13 [23.3 24.5 | 26.1 |29.9 | 32.7 35.0 | 38.9 10.2 10.3 40.8 41.4 41.1 40.5 39.8 38.5 | 37.0 11 [27.0 279 0 | « 136.1 38.2 40.5 121 42.5420 13.1 12.9 12.0 41.2 10.5 385 15 [26.2 26.7| « | « 134.9 | 38.0 20.1 41.5 41.9 42.2 42.5 41.9 41.6 40.9 |38.0| « 16 [26.9 27.1) « | « |35.0 37.9 30.2 41.6 |41.7|41.9 12.4 41.9 10.9 39.2 36.9 « 17 |25.2 25.1 |27.3 | 30.0 | 32.8 35.0 | 37.3 40.0 10.1140.8 40.8 40.0 39.1 37.8 37.0 | « 18 1283| « | « « « | 36.1 | 37.8 39.9 | 40.0 | 30.1 40.3 4301| « | « « « 19 [275 «| «| «| « 1363| « |40.6 30.8 |40.9 |41.0 40.5|39.3 37.0 35.7| « 20 125.11256| « | « |33.9136.0| « [39.3 |a0.1ja0.2 20.6 3939| « | @ |« |°« 2ı |243 « | « | «.)32.5|33.7| 36.7 | 39.6 | 20.2 0.5 10.6 39.8 | 38,1 | 37.6 36.1 |35.3 2 larıl « I“ |“ |. | «| « |32.6|38.1|39.0 39.4 | 39.0 |38.2| 37.1 36.5 |35.1 23 l25.5 25.7| « | « |321| « | « |37.5|38.0 | 39.0 | 39.1 | 39.1 | 38.1 | 36.8 | 35.7 | 34.2 2ı |25.6 25.9 |28.2| « [33.2] « | « 139.0 39.5 |39.8 40.0 39.1 |38.0 | 36.9 | 35.9 | 33.1 > [2583| «| «| «1332| «| «| « |39.3|30.9 40.1 38.9|38.0| 36.7 35.2 33.9 26 |251| «| «| « 1347) « |37.1|30.7| 40.0 |20.6 10.9 39.6 |38.2 | 36.9 135.1 33.8 27 |252| « | « | « |3%.0|35.8 37.3 |20.0| 30.1) 40.7 | 41.1 | 20.7 | 39.7 37.2 | 35.9 [33.0 23 (26.0 «| c| «| « 37.6 138.3 38.8 385 37.6 36.5 31.7 32.3 29 [23.1 123.8 2571286) «| « 31.9 36.1 37.0|37.5 37.6 36.9 35.8 31.5 33.2 |32.5 30 | 26.7 | 27.0 27.5 |29.7 | 33.0 | 34.8 | 36.0 | 37.1 | 37.9 | 38.4 38.9 | 38.2 |37.6 35.8 33.4 | 31.9 31 [23.6 123.8 21.9 27.0 32.2 36.1 38.0 ssulder 10.0 | 20.6 | 10.0 38.3 37.136.534 10 — 66 September 1862. Meteorologische Beobachtungen in Bagdad im September 1862. si | Thermometer. Bewölkung. B = FRE DE | aPEn Bee ur 5 5 2 Bu BE BE Erer Se: |3 Anmerkungen. = BE: ED ee BıE.& 3 a pe ee. | a al. Bäls 5 Aule 2 = = = ++ 2134338. > = 1 1309 252 1571 0 0) 0|01010],0 NW1-2 211398 |23.6 162 |-0:.| 0.) 01:04.010.1:0 NW1-2 1) Von 11’ — 12 Uhr Mittags Hoch- 3 1105 251 154 00 0.0 00 0 NWi staub, der aber gleich nachher plötzlich » 1398 233 1641| 0 0 0, 0'0/0|o NWwi verschwindet, 5 139.6 24.9 19.7 0/0!» 0,00 0 |NWu. 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Meteorologische Beobachtungen in Bagdad während August und September 1862. Thermometer auf dem flachen Dache eines Hauses der Sonne ausgesetzt. August. September. - Thermometer der Sonne ausgesetzt. Thermometer der Sonne ausgesetzt. 12h: 5 2 h 3h. 12 h. | 1h. 2-h. 3h. Mittags. | Abends. Abends. Mittags. Abends. Abends. Abends. 66.0 | 648 66.5 65.0 67. | 667 68.1 66.9 oo ur u DD - Beilage IV. zur Meteorologische Beobachtungen September 1861. in Samaua im September 1861. - £ 5 Hygrometer. = Richtung und Stärke des w inded. = ® I Er 7 » sieisjelsjsjslsjsis: s Is | 2 |S|8l8e [8 Eis on Eu S =) 5} s IE Ss ° I 5 5 slz|2/72/=|3|3|2 3|> = = = = 3 = uw: Ey Er en r F ed 3 « < | < slaäls = nz ir en = = ara a Me -- = Ss | = u nz = B 2a = “> »_|= e = - hr a - e | 2 | \ .50 0.19 0.47 0.11 0.41 0.11 (0.45 0.47 NWi | Nwi | NWi NW2 | NW3 | NW2 NWi | NWi 1 2 | 50| a9) a8| a5| a1 a2] a7) 99 id. id. id. id. id. | NW3 | NW2| id. 3 | 51) 50 a8 a6) a2| a8] as) 50 id | id | id | id | ia | id Nil id. a | 52) 50 a9 35) a0 au) a5] a8 id. | id | id | id | id | ia id I ia 5 | 50) 29 a8 a6) 32 12) a6 38 id. id. ide INW3| id. id. | NW2| id. 6 | 51) 50 a8 a6) 30 a1 a5 a7 id. - I: id. ide | NW2|NW2|NW2 | NW id. z Ls5ı| 38| 37| a5| a33| a3] a7) 39 id. id. id. | id. NW3| id. NW2| id. s | 52) 50 38 a5) 43) a2| 47) 50 id. | id. | id. 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Fid | .51 049 048 010 012 0 .53 ‚0.52 0.19 [0.6 0%, 0.45 0.50 0.52 \ ı 7 0.55 j0. 52 Er = 16 10. 47 0.50 P .53 P- 0.416 0.44 0.45 vs % Ei & x 5 { |: & & £ Si fr ER September 1861. -Meteorologische Beobachtungen in Samaua im September 1861. -_ BR ige 2 Ten Temperaturbeobachtungen von SB ES ee FE = 2 zu 2 Stunden. s2 8 Euphrats. F = = = Eng 5 = | Maxi- | Mini- | Diffe- |6 h. |8 h. | 10h. 12h.|2h.j4h.|6h.| sh. 28, sh./4h| = = 52 ma. ma. | renz. Mrg. | Mrg. Mrg. Mitt. | Abd. | Abd. | Abd. | Abd. Er = = | Mre. | Abd. 5 2 | | | | | 1 | 39.7 219 178 [22.5 27.7 35.4 37.8 39.5 [381 135.6 1310| « |240 277 | 0 2 38.6 | 21.0 | 17.6 |21.7 ‚27.6 | 33.0 37.1 38.6 | 37.9 | 34.7 | 31.2 « 24.1 | 27.4 1) 3 39.2 | 20.3 18.9 | 20.6 27.1 ‚34.9 | 36.7 39.0 | 37.8 | 34.0 | 30.9 « 23.8 | 27.4 0 1 40,1 | 21.5 18.9 121.9 | 27.8 ‚39-6 | 37.4. | 40.0 | 39.1 | 34.2 | 30.8 « 23.9 | 27.9 0 b) 40.5 | 20.7 19.8 |21.3 | 27.1 135.7 ‚378 40.1 ‚39 0 133.9 31.4 « 23.7 274 {1} 6 410.3 | 22.0 18.3 | 22.4 ‚28.1 |.39-9 1369 40.0 39.3 33.5 | 30.7 « 23.8 | 27.2 0 7 39.9 | 23.1 16.8 |23.8 | 284 | 35.2 , 35.4 39.3 38.6 | 35.1 | 29,9 « 237_|26.9 0 8 39.5 | 22.1 17.7 | 22.6 ‚27.6 35.4 361 39.3 38.3 \ 33 3 ‚30.1 « 2337| 26.9 0 9 40.1 | 19.5 206 |20.0 |26.9 | 35.3 !36.3 |39.9 | 37.8 | 33.5 | 30.3 « 23.6 26.7 0 ı0 | 39.5 | ısa | 21.1 |19.1 27.0 135.0 136.1 392 382 319 2397| « [235 269| 0 11 40.7 | 20.4 | 20.3 120.8 | 27.8 |35.1 | 40.0 ‚20.4 | 38.8 35.1 | 30.0 « 2 , 26.6 0 12 40.6 | 20.3 20.3 | 21.0 | 26.6 135.8 1397 40.3 |39.9 | 34.0 ‚30.8 « 23.2 | 26.9 0 13 10.8 | 20.6 | 20.2 | 21.9 ‚26.1 34.6. | 40.9 | 40.7 139.5 34.9 29.7 « 23.3 27.3 0 14 40.1 | 20.5 19.6 |19.9 | 26.2 | 34.7 | 38.5 | 39.8 |39.2, 33.6 |29.8 « 23.2, | 27.1 0 15 | 302 | 191 | 21.1 |198 126.4 135.2 |37.2 |39.6 139.0. |32.5 |29,8 | ‚« |232 272| 0 16 40.0 | 18.8 | 21.2 | 20.6 ‚26.0 133.3 |38.1'| 39.7 [38.5 | 34.1 | 29.4 « 23.0 | 27.2 0 17 40.3 19.1 21.2 |19.9 |25.9 | 34.6 | 38.0 | 38.6 ‚38.0 33.0 |27.7 « 22.9 | 27.0 0 18 | 38.8 | 19.3 | 19.5 [18.9 125.7 34.4 138.2 38.4 37.3 |31.6 129.3 | 60.9 |22.9.|27.0| 0 19 30 11 21.4 |19.0 |26.5 | 35.5 | 37.4 ‚36.9 [35.3.1 30.9 |27.1 | 52.2 |22.8 | 26.1 1) 20 39.6 | 22.6 17.0 |23.2 |26.3 | 34.8 | 39.3) |38.3 135.5. 31.6, 28.2 | 57.0 122.5 | 24.4 1) 21 39.3 | 21.5 17.8 | 21.7 | 26.7 1313 37.9 37.2 |35.0 | 31.9 | 27.7 56.6 |22.7 | 24.7 0 22 | 394 | 1883 20.6 |19.9 |251 31.3 38.5 | 38.4 | 38.0 [31.9 | 28.1 «. |22.7.,| 24,9 0 23 | 39.0 | 20.4 | 18.6 |21.2 |26.3 | 34.1 |38.9) | 38.1 |35.1..| 31.7 |28.0 | 62.6 |23.1, | 24.7 0 24 39.2 | 19.1 | 20.1 | 19.4 | 24.2 | 32.1 |39.8 | 38.7 |35.3.. 31.9 \29.1 | 61.9 |23.2, | 24.7 1) 25 40.1 | 19.7 | 20.4 '| 20.0 | 25.0 32.0 | 39.4 39.6 | 38,8 | 31.7 "282 « 22.7, 24.8 0 26 39.9 19.5 | 20.4 | 19.7 | 25.2 [32.7 |39.5 | 39.6 | 37.1. 31.2 | 28.7 « 22.4. | 248 0 27 40.0 | 19.5 | 20.5 | 20.5 |26.4 | 34.9 | 39.8 |39.7 |35.2..| 31.4 | 29.0 58.2 | 22.3, | 25.2 0 28 38.6 | 18.9 |. 49.7 5) 494 , 26.0 \ 32.4 37.8 38.5 | 37.4. |33.0 | 29.6 | 60.1 | 22.2, |25.0 0 29 39.0 | 20.4 | 18.6 |205 26.5 |32.5 | 37.8 | 37.7 \,35.7 31.4 28.1 « 22.3 | 25.0 0 0 30 38.3 | 18.4 | 19.9 |18.5 |26.1 | 31.6 | 37.9 | 38.2 \35.4,,| 32.1 |28,0 | 59.7 | 22.1, | 24.8 oo 7o | 1-10 | 39.80 | 21.05 18.75 |21.59 127.53 35.34 [36.76 '39.51 138.41 134.27 130.57 « 123.78 127.17 11-20 | 39.96 \ 19.78 20.18 |20.50 126.32 |31.76 38.73 39.27 38.10 133.11 129.28 « 123.05 2668| 0 21-30 | 39.28 Ben 19.66 |20.05 125.75 132.82 138.73 138.57 36.30 31.82 28.45 « 122.97 24.86] 0 — oo o 1-30 | 39.68 20.15 19.53 20.71 126.53 134.31 \38.07 139.12 37.60 133.07 129.43 « 123.13 26.24) 0 — 29.91 September 1861. Samatn Septemb. 1861. 1 nm wide 0 10 m 909909909096 -_ SS 8 © So ...;>.-.—°9.>:..>-.°.-.—.>.>s:. >: 9595956090 | j | j \ | 1-10)0.0 ,0.0 00 0.0 ‚0.0 00 | am ‚0.0 ,0,0 11-20|00.,0.0 0.0 0.0 0.5 | | 21-3000 0.0 | ‚0.0 ‚0.0 |0.0 | 1-30 0.9,)00 /00 10.0 j02 103 |00 2029599950959: 90°0 PER 10h. Morg. = = “= 95999599 59 9 90 9 090909090 — % Ikungsgrad EUEBERE BET 2% slı<4& BE = a’) syaılzs Sr er za = = Ze 0 0 0 0 0:0 oo. 00/00 0 0 0 0 0 0 o0/0'0j0/0]0 o/|0/i0o]o/o)0 0 0 0 0 0 0 oloi0o7o/oT79 0 0 0 0 0 0 oj0oi070j0]jo 0 0 0 0 0 0 0101070) 07% oJoio1o0o/o1o 010107070) oo 0o/v/o'o oJ0oi0o]Jojo!o o 0. 0!00 0 01010707010 0,00 oo 0.0 o0jo;0oj7ojeoTo 0/5 /10707| 0719 0jeiolofeo]o EEZRZZECER 00 0'000 BEERZZECEE’ BRERZZECER| BEERZEEDEE| 0.0. 0/0o/0olo 00.0000 olololojo'o 00,010 hi o ol 1.00 A ‚02 0.0 00 00 ur —— 0.00 0 Anmerkungen. | Meteorologische Beobachtungen in Samaua im September 1861. Anmerkungen 1) Am 20. September schwammen am Himmel leichte Staubpartikelchen, die gegen Mittag zunahmen; um 2 h. Abends war der Himmel schon ganz bedeckt und die Sonne nur noch matt durchscheinend. Starker Nord- wind; das Barometer gestern sehr hoch, seit Mittag bis 2 h. um 3 Millän. gefallen. Bei Sonnenuntergang schien die Sonne als unge- beure maltgelbe Scheibe durch. Etwas nach- her heiterle sich der Himmel plötzlich auf und war klar und mondbell. 2) Nachmittags etwas Hochstaub, düstrer Himmel und schwimmende Staub; artikelchen. 3) Nachmittags schwacher Hochstaub. 4) Nachmittags schwacher Hochstaub October 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im October 1861. Samaua October 1861. © Temperaturbeobachtungen von 85 „| Teppera; Thermometer Gt°. rar Sas| tur des au LINE, 3 5 2 | Euphrats. Hi EI % Maxi- | Mini-| Diffe- | oh. | sh. | 10h. |ı2n.| 2h. | An. | on. | sh. =:= ah. | sh. ma. ma. | renz. | Mre. | Mrg. | Mrg. | Mitt. | Mitt. | Abd. | Abd. | Abd = Mrg. | Abd. an ee 2 ee BERN DOM Tau not url liege —— 37.72 | 17.1 | 20.6 | 17.3 | 24.4 | 30.% | 36.9 | 37.4 136.1 | 31.5 | 27.4 | 60.4 | 23.5 125.7 38.1 17.z1| 20.4 17.9 | 26:1 | 30.& | 37.5 187.7 | 36.2 | 31.4 | 27.6. | 62.3 | 23.3 | 25.8 37.2 | 18.1 | 19.1 [18.3 | 25.5 | 30.5 | 36.5 | 37.0 36.1 | 32.3 | 26.9 | 68.6 | 23.1 | 25.6 37.2 | 18.10| 19.3 |‚18.4 | 25.0 | 30.1| 37.2 | 37.1 36.0 | 31.0 | 28.1 | 65.2 | 24.3 | 25.7 38.5 18.2 | 20.3 [18.5 | 24.9 | 29.5 | 37.1 38.3 | 38.2 | 34.2 | 30.4 | 64.5 | 24.5 | 26.4 38.7.| 18.9 19.8 119.0 | 214,8 | 32.5 | 37.7 | 38.2 |)36.7 | 32.2 | 27.2 | 641 | 24.4 | 26.4 36.6 | 20.0 | 16.4 | 20.3 | 25.0 | 30.9 | 35.3 135.9 | 33.7 | 31.5 125.1] 624 | 24.2 26.3 "36.5 | 19.9 | 16.6 | 20.1 | 24.8 | 30.5: 35.2 | 36.3 | 35.7 | 31.5 | 27,1 | 67.2 | 23.3 26.0 36.2. | 17.7 | 18.7: |17.9 | 2%.8 | 30.9 35.9 |'36.4 \)35.0 | 30.1 | 26.8 | 61.1 | 22.6 24.9 34.1 17.9) 16.2 18.1 | 24.7 29.0 | 33.1 | 35.8 132.4 | 27.2 | 24.3 | 58.6 | 22.4 21.2 31.9. | 14.9| 17.0 .|15.9 | 20.4 | 26.1 | 30.2 | 31.6 | 30.9 | 26.8 | 22.2 | 60.8 | 20.9 22.4 32.7 | 13.0| 19.7 | 13.0 | 20.6 | 24.4 | 29.7 | 32.6 | 30.9 | 27.0 | 23.4 | 61.1 | 19.6 | 22.2 33.7 | 14.0 | 19.7 114.0 | 20.9 | 25.6 | 31.8 33.5 | 32.6 | 29.1 123.9 | 60.9 | 19.7 22.4 34.8 14.9) 19.9 | 14.9 | 21.4 | 25.2 | 33.9 | 34.5 | 33.0 | 30.1 | 25.6 | 61.2 20.0 | 22.2 37.4 | 16.4 | 21.0] 16.4 | 23.2 | 30.0 | 34.9 | 37.3 | 36.2 | 31.5 126.7 | 44.1 [20.1 | 23.4 37.7 | 20.0 | 17.7 |20.1 24.1 | 30.2 | 37.1 | 37.5 | 37.1 33.3 | 27.0 | 62.7 | 20.6 23.1 38.1 19.6 | 18.5 .|19.6 | 24.0 | 28.7 | 36.2 | 38.0 | 37.9 | 33.7 | 26.8 | 63.6 | 19.6 | 24.0 36.7 | 17.8 | 18.9 |17.9 | 23.7 | 27.9 | 36.1 | 36.6 | 36.0 | 32.1 | 28.5 | 58.9 21.4 | 24.0 35.4 | 18.0/| 17.4 118.1 | 21.3 | 26.1 | 33.3 34.7 \3%.1 | 29.6 | 26.1 | 58.8 | 21.6 | 24.1 31.8 | 15.8 19.0 | 16.0 20.5 | 25.6 | 33.1 | 31.7 | 34.4 | 28.9 | 24.2 | 57.6 | 21.5 | 23.9 3%.6 | 14.7 | 19.9) 114.9,| 19.8 | 25.1 | 31.7 134.3 | 33.9 | 27.9 | 26.0 | 56.9 | 20.9 23.9 34.0 | 13.8 | 20.2 | 14.0 | 18.6 | 24.0 | 30.2 | 33.8 132.8 | 27.0 |27.3| 55.3 | 18.1 | 23.0 35.21| 15.6 | 19.6 |16.0 | 21.2 | 25.# | 32.3 | 35.2 | 34.5 | 30.2 | 25.5| 52.7 | 19.3 23.2 33.1. | 15.0 | 18.1 | 15.6 | 18.2 | 24.5 | 31.6 | 33.0 | 32.4 29.3 21.5 | 56.2 | 19.8 | 23.1 33.1 | 15.9 | 17.2.) 16.3 | 18.7 | 25.9 | 31.7 33.1 | 31.2 | 28.1 | 23.7 | 55.8 | 20.2 | 23.0 33.5 | 18.6 | 18.9: | 17.9 19.1 | 25:8 | 32.0:\/33.5 | 32.2 | 28.6 |21.9| 47.6 | 19.0 122.4 32.8 | 19.7 | 13.1 119.9 | 22.r | 26.1 | 30.5 |32.7 | 32.3 | 29.1 | 23.0 | 50.3 | 19.9 | 21.7 32.9 | 1K.4 1 18.5 | 14.8 | 16.8 | 24:6 | 30.1 |32.9 |131.2 | 28.5 124.6 | 49.1 | 19.9 | 21.6 32.5.| 15.8 | 16.7 716.0 | 19.1 | 25.7 | 31.6. 32.4 \31°4 28.6 | 25.2 | 55.5 | 19.1 21.6 33.5 | 16.8) 16.7 | 17.0 | 19.9 | 26.4 | 32.6 | 33.4 | 33:1 | 29.1 126.3 | 52.0 | 19.2 | 21.7 32.7 | 15.4 | 17.3 | 15.7 [19.8 | 23.9)| 30.2) 32.5 32.0 |'26.9 |24.7 | 52.1 | 19.1 | 21.4 37.10 | 18.36 | 18.7% 118.58 |25.00 |30.47 |36.24 |36 98 35.61 |31.29 |27.09 | 63.44 23.59 |25.70 35.32 | 16.44 | 18.88 [16.59 |22.0% |37.00 |33 63 35.10 34 34 |30 21 125.49 | 58.97 20.50 123.17 33.44 | 15.61 | 17.83 115.92 119.12 25 22 131.34 133.34 32.56 28.50 125.08 | 53.04 119.50 22.38 35.29 | 16.80 | 18.49 |17.03 |22.15 27.56 33.74 135.14 134.17 30.00 125.89 | 58.48 |21.19 123.75 22.17 Gefallene Regen- menge in Milli- metern. = -E-- SO SS SO OS OS OS SS S S SS OS OS CO SO OS SO 9009 So o * Oetober 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im October 1861. E 2 m m - Hygerometer. Es Richtung und Stärke des Windes. -==Z = 3= 3 == = = z u. TE TE Ta Te m: 200 e — » Meike >eize | = | 5 1252 r Z 2 = — — =5 2 15 1 Jess 12 | 2 jerel 8 E 5 = = = na au u zZ S siesz K 2 - e S Ss no a7 © are 2 13 IEselıa r B - > = ra Kr Ti IE n = = = = «< = S = be air 55 Sf: Sa BE = = = Ss = + 2) = ) U nn — hs = _ sh. aan) t 0.61 10.60 0.53 0.50 0.49 0.18 0.19 0.51 NWiINWi NWi' NWi | NWiI | NWi NWi 2 I 561 ai Sıl as) ac 151291 52 id id id. id. I id id id. 3 I 56! 5! 50 38' a5! 36) 511.53 id id id. id. 'NW1-2 id id. a I 561 3551. Hl ag! a6l 16) 51] .52 id. id id. Irid. It id id id. 3 I 56! 55) 5139| a8 48) 38] 9 id id id. id. | id id id. 6 5 oa a 279.5 id id id. id. id id id. 7 1 621 601 575%) 521 50| 531.53 id id id. id. NWi! id id. 8 | 58! 536! 5% 52! 391 39 51! 57 id id id id. lid id id. 9 1 63I 21 '56|"52| 50) 517752) 54 Ni Ni Ni Ni Ni Ni Ni 10 | 621 60 57 53| 50! 3521531 38 id. 1 id. id. id. id N02 id. wmIs 73 509 3 NWwi ' NWit id. 1d.2.1::N® Ni id. 12 | 571 537: 3350| 191 981501 52 id. id. NWi ı NWi!NWi. NWi NWi 13 | 581 571 521750) as) el! 5 id. #17 id. id. id. INWI id. id. 11 | 5381 571 52050! a8! 18|9|55 id. id. id. id. id. id. id. 15 | 55) 531 49 38) 36 36. 47139 id. | id. |SW-W S2 |.SO2 | SO1 so1 16 ı 511 51 38 36 161) 161 36! W id. |.17 id. wi 1801.1'S0174 id. Ni 17 1 551 511 49 a7| a6 35) 36 51 id. ° 17 id. SO 1 id. 4 idi id. id. 18 | 55| 521 50 47) a6| 35) a8) 50 id. | Jr id Na (TNı0dı Na Ni id. 19 I 581 531 51 7439| 3473 375115 id. id NWiıNWi' NWi. NWi NWi a7 5 19| a7! 37 51 id. id wa \awredı wi wi Ni 63 &' 58| 571 56. 571I Ni Ni Na I 'Nı Ni Ni id. 63) 62) 53 39 50 56 soı ' S01 SOt | SOı | SOır | SO1 s01 67 6 s3| 50! 18/50) Nic dı Nee | sid Heid id». | id id. 6518 55| 531 5rysii soı S0O1 ide 1.:äd. dr id id id. id id.) 04 id. idee) id. 01 SO1-2 SO2 802-3 SO3 | SO2 so2 | SO2 id. |'S02 | SO2 id. SO1 | SO1 | SO1 id. | Son! id. id. | id.) id 1801 1 id son id. ide id. le ide vi id VErTEsSTErTEnTEB‘T — WB October 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im October 1861. = rare & © a ea : 33 ® Bi2ı=2|5|$ E Ze ok: Anmerkungen. aslalsjaj=|=|=|= |< 2: SlS.aE 1 Jake | = 1 — 1 — | — 1 — | 1 0 | 0 0 0 0 0 0 0/00] « 1) Die Venus heute schon zwei Stunden vor 2 010 0,0 0 0 0 0 0.0] « |Sonnenuntergang sichtbar. 3 0+0 0 0 0 0 0 0100| « 2) Nachmittags einige Cirrhi. 4 0 0 0/90 0 0 0 0/00|« 3) Vormittags einige Cirrhi. Der Euphrat um b) 0,0 0/0 0 0 0 0 /0.0| « |ca. einen Fuss an Höhe zugenommen, eine Menge 6 0 0 0 0 0) 0 0 0 0.0 1) Wasserpflanzen aus den Lemlunsümpfen mit sich Z 120.020] 12.05 1.0. 11 1 1 1 1 0.5 | 2) |führend. 8 0 a 5% | 0 1 2 | 1 1 0.9 3) 4) Nachmittags Cirrhi. 3)0,0/0!I0j0[|1),1)0]/02])}) 5) Cirrhi, immer von W oder WNW nach 1010/14 4,17 2,1 2 ee! 0 |1.0|5)|O oder SSO ziehend. 11 0/0 1 1101010100016) 6) Vormittags einige Cirrhi. 12 0 0 1) 0 | 0 0 0 010.0] « 7) Vormittags sehr veränderlicher Wind. Die 13 0 0 1) 0/0 0 0 0 |0.0| « |Windfahne dreht sich von N, NW, W, SW, bis 14 0 0|o0 0 0 0 0 0 .0.0| « |S, zuletzt starker Südwind. Der Euphrat wieder 15 0.10 0,0 0 0!o0 0 0.0 7) gesunken. 16 0,0 ) 0 0 0 0 0 100|« 8. 9) Nachmittags einige Cirrhi. 17 DA 1) 0 0 0,0 0 /00|« 10) Vormittags viele Cirrhi, Abends im NW 18s|10!0!0)01010)0|010.0| « Jeinige Cumuli. 19, |,0|.0|0o|J0|,0| 1 JA | 1Joals) 11. 12. 13. 14) Cirrhi. 20 0 0 0 0 0 1 1 1 |0.4 9) 15) Vormittags Cirrhi und Cumuli, die gegen 21)jı) 2/1) 1,2) 1),14 | 1 |4.2]|10)|Mittag zunehmen; heftiger SSOwind, der Massen 22.151 112/2j%41|%&]|3 | 2 |2.4 |11)/von Sand und Staubwolken aufwälzt, dienach NW | 237,1, 0 21501 1.0 11 0., 1 1 | 1 | 1 0.5 |12)|getrieben werden, während die Cirrhi nach SO. Pe) ro Br [PR En | TEN BE re PR Fe ie) 16) In der Nacht vom 26./27. die Luft bedeu- 23. :1,0.|-0| | 0 |} @-[ 0.1.0 | 21 1 0.2 |14) |tend feuchter geworden und diesen Morgen etwas | 2, 2|2|4|,3)|2 | 1 | 2 |2.2|15)|Thau gefallen. 27” |)1/)0/0/0,0|,07,0)0Jo.1|ı6) 17) Vormittags von 71/a—8'/2 starker Nebel. 2812710 10|0,0|0|0| 0 1.5|17) 18) Nach Mittag Anhäufungen von Cr., Cr.-C. 29 1 1 2 4 |, 2 1 1 1 |1.4 18)|und C., etwas dunstig, Abends schön klar. 30 1 1 1 2.03 1 1 | 2.0 |19) 19) Cr. und C. 31 1 2 1 2 1 1 1 1 | 1.2 |20) 20) Cr. Der Euphrat wieder um Yz Fuss an 779 G Vemkanlast | 700 ame Fre Duanemeatt nn Höhe zugenommen. 1-10|00 [0.2 0.2 [02 0.4 |0.5 |0.4 |0.2 |0.26 11-20] 0.0 |0.0 /01 |0.1 /0.0 02 0.2 0.2 0.08 21-51 1.0 11.8 110 11.4 11.9 1.2 |1.0 |1.0 11.28 1-31[0.3 0.7 |04 10.6 [0.8 10.6 \0.5 |0.5 0.54 05 ” 12 — November 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im November 1861. nu = |, Temperaturbeobachtungen von eich: Tempera- 5 E = # | Thermometer Ct°. Su bknden =7 &| tur des s53| Sp “2 > i son Euphrats. cl BE fm — 34% 3 S;| # 2 | Maxi- | Mini- |Dife-|6 h. 85h. 90h. 10h. 12h 2hahjch sh. ıon.|2 2-8 n.Jın | = &| 7] ma. | ma. | renz. | Mrg. Mrg. Mrg. | Mrg. Mitt. | Abd. | Abd. | Abd.) Abd. | Abd. | = "| Mre. |Aba.| & 2 ı |320 206 | 11a |20.7 29 86.1 |27.6 |31.8 |31.8 130.1 |260 |21.2 |22.1 | 2 | 32.9 | 168 | 16.1 |17.0 | 19.9 124.7 |27.0 31.7 |32.8 | 131.0 27.1 1218| 23.8 3 |330 | 161 | 16.9 |16.3 18.7 |23.6 |27.8 31.9 132.9 |31.0 |26.8 |239 1227 x 1331 | 160 | 17.3 |16.2 |19.0 |24.2 |27.9 32.6 |33.0 |31.8 |26.9 |23.6 21.5 5 | 31.2 | 128 | 18.1 |13.1 18.0 |20.7 |261 |30.8 31.2 29.3 |22.2 |20.5 | 19.0 6 129.3 | 11.3 | 18.0 17.1 \19.1 1232 |27.6 129.2 28.1 1239 19.1 19.8 7 151 120.3 23.5 29.7 31.4 29.9 26.0 22.3 | 20.1 29.5 | 12.3 | 17.2 1 31.4 11.7 | 19.7 |13 i 274 12.4 15.0 |1 11.9 |197 |22.7 | 26.0 |27.3 |260 21.4 175 1111 10.8 | 16.0 !19.6 24.5 26.1 21.8 20.2 17.1 119 7.6 | 17.9 | 8.1 |10.8 |16.8 |18.4 | 23.7 |25.3 |23.9 |19.3 12.9 | 11.4 110.7 \15.9 !ıs.0 241 |25.6 |23.4 20.0 !ı6.1 128 73 183 | 8.1 |11.6 |16.5 | 20.2 | 25.0 | 25.6 !24.0 |19.6 |1%23 | 11.7 62 | 20.3 | 64 | 95 16.7 |20.3 | 23.6 26.4 | 24.1 |201 116.8 14.0 121.2 123.3 22.9 22.8 18.1 117.3 | 16.0 11.0 152 111.5 11.9 117.0 |21.8 21.5 26.1 21.9 20.2 17.9 11.7 250 | 92 158 | 94 126 16.5 20.1 |23.1 24.8 /22.0 19.6 117.0 |119 214 | 9.8 | 14.6 |102 |12.2 | 16.7 |19,9 |or.ı 124.4 1231 |17.1 15.2 132 216 | 59 187 | 6.9 |11.4 18.0 |20.3 |22.9 124.5 |23.2 19.0 16.1 |12.8 2357 | 89 168 | 90 | 9:7 169 |17.9 21.1 |25.0 21.1 1211 172 113.1 277) ’86 1171 9.9 110.3 |157 19.9 121.2 257 21.7 1220 19.0 175 233 112 94 lına 129 181 |19.0 227 233 221 21.1 19.0 180 5 0 5 16.3 [20.2 |23.3 |27.5 |29.3 127.6 123.5 |21.1 | 18.9 8 3 BvuwwßWt SRH x 10 or = wo 5 _ je] % ee} iv wm w © Dr m ww -_ IV —) _ _ _— in -_ or - 1 or 71 [87 I o =» > 9 9 2 920 90. SSOS Ss SO SS 9 90 9 209009009 = 19.3 , 18.0 16.7 14.5 s © I 265 154 11.1 |154 117.8 |18.9 120.1 |21.0 126.4 21.7 123.0 20.9 | 20.1 05 | 27.6 | 17.5 | 10.1 [17.6 |17.9 |21.0 124.0 25.9 |27.5 |25.0 23.3 224 20.7 0.9 28 ısı 67 |187 |186 |19.6 1199 |21.3 228 |21.3 | 19.9 |17.0 |158 3.2 192 | 13.3 | 5.9 |12.2 j11.8 171 119.3 192 ‚19.0 117.9 |175 ‚17.0 15.9 2.3 10.0 | 115 103 10.9 132 164 19:5 121.5 119,9 19.1 117.3 15.8 0 113 | 12a Itra 1a 1173 |189 [218 23.7 |21.8 120.1 19.1 17.0 0 11a | 98 |120 12.7 |15.7 19.3 20.1 | 21.3 | 20.1 18.8 17.1 156 0.05 11.0 | 10.5 |11.3 |13.3 |15.8 |18.8 |20.5 | ee I) 1", | > o or 8.18 | 16.77 | 8.90 111.49 116.85 119.81 123.87 125.06 23.75 19.41 116 28 | 13.416 12.93 | 10.42 |13. ‚2. 33 \17.27 119.56 21.95 2327 21.68 190,28 18.55 17.09 \ DN = tt | r 72 | 16.90 |14.04 17.27 21.51 onerlaban 2941 30. 50 28.96 2. 39 21.44 19.69 | | Pia a Bed ra me 11.36 18.541 bis ‚25.08 26 28 21.79 21.36 18.76 16.75 ba Dura FE A a u 1-30 | 26.11 ler 14.70 112.15 19.06 Pr November 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im November 1861. "=: Hygrometer FEE Bewölkung. Sranfsglsmng | Sl ellss | 51 sa | s er Sl lsleıkealsrslsre as 5 elegantes ıneoele | 7 | 2, Jar |) <|;<|ı oo | © S = [| + [7-) [e) = 82° |» |e 1385 al+lolo|Iı | | N 1 [0.63 0.62 0.62 |0.60 '0 5% |0 53 /0.52 '0.54 [0.56 /0.60| 0.57 | 5| al 3) 2 al al a) al ala 2 62.621760) 5817,52 | 50] 291 51 535551, 55 | %, 1 aka) Era Alta) 3 65 |, 62| 63| co| 57| 51| 50| 51| 53[,55| 57 [| 1) 2| 2] 3| 51 6) 5| 1] 1 il 4 65| 64) 61) 59) 54| 50| 419| 55| 62| 63 1-3 | 3:1. 91) 20720 20 len 85 Ga 617 591 5779| 9 5075| ses ol oo et IE FG 59 58| 57| 56] 52| 50| 50| 52| 53| 52| 54 | 0| 0) 0/0) 0/0) 0) 0| 0| 0 | 4107 59| 58| 57| 56| 53| 50| 51| 52| 52] 56| 54 [| 0| 0] 0o| 0] o/| o| o| 0o| o 0 8 | 61| 6o| 59) 57| 52| 51| 52| 52| 56) 50| 56 | 0). 0) 0) 0) 0| 0| 0] 0] oo, 9 65) 62| 63| 60| 54) 52| 53] 55| 57 | 59| 58 | ol. 0| 0) 0| 0/ 0| ol ol oo 10 66| 65| 64 | 61| 55| 53| 52| 56| sol 6a| 59 | al a) a) dj ajalıalalıı a 11 68| 67| 66) 62| 60 56| 57| 59 62| 66| 2 | 0| 0) 0| 0) 0/0 o| 0) oo 12 70) 69| 6727| 65| 62| 61| 62) 64| 65| 67| 65 | 1| 1) 0| 0) 0/0) 0o| 0) 0) o 13 70, 69| 66). 64) 61| 59) 59| 62| 6a) 67| 6 | 0| 0| 0) 0) 0) 0| 0) .0| 0) o 14 65 | 64| 62| 61) 59| 55| 541 56 | 59 | cal 59 | il ı]| 1 2) 2) 7) 5, 5| 51 5) 15 z0| 70| 68| 6ı| 57| 62| 53| 55| 50| 2] sı | 8| s| 8s| 8| 9| 9| o| 7) 5| 5| 16, | 1:76, 1,,27 72 | 64| 58| 54| 60| 63) 67, 73| 65 | 3) 2) 2) !| 1) 1) 0] 0] 0| 0 17. | 74| 73| 72 70) 62| 57| 59| 61, 66| 72] 65 | 0) 0| 0) 0) 0) 00/0 0,0 18 76| 74) 72| 70| 68| 63| 642) 65| 67) 72| 69 | 0| 0/0) 0/0) 0| 0) 0 0 o 19 79) 77| zu| 72| 69| 62| 60| 63) 66) 1) 69 | 4) 1) 1) 1) 0) 0| 0) 1| 0 o| 20 77\.76| 75| 73| 68| 62| 60| 61) 62, 72| 68 | 0) 0| 0 0| 0) 0| o| 0| 0 0) 21 26| 75| 72| 70| sol sa) 56| 55| 57| 60| 65 | 1) 1| ı 1) ı| 2| 2| 3| 2| 2 22 67) 67| 68) 68| 63| 6r| 61| 62) 64| 67) 6% [10/10/10 10/10)10|10|10| 1010 23 70, 69| 70| z1| 70| 66| 64 64) 67, 72) 69 [10/10/10 410/10) 9/10|10|10|10 21 79, so| 79| za| 68| 67| 68| 71) 73) 75| 73 |Jı1o/10| 9) 7| 8) 9| 9| 9| 9| 9 25 st 83! sı) s2| s2| 76| 80) 82| s3| S6| sı [1010| 9| 910/40] 10| 10/1010 26 s9| s9| 87 | sr|-s2| s2| 83| sa| sa| 87| 85 | 3| 6| 9| 9/10/10| 7,10)10|10 27 s9|) 89! 89) sz| so| 72| 72| 75) 80| 84) so (1010| 0) 0o| 0| 0| 0) 0| 0 o 28 ss| sec! s2| so| 75 | 66| 65 67 70) | 2 | 2) 2/13) 2] 2] 2 al 1 u) ı 29 s6| s5| sı| s3| 79| 77| 78| so| sa|l s7| s2 | 5| 7| 9lı0| 9| 7/10| 9| v| 7 30 ss| ss| s6| 83) 7a| 71) 7o| 72| z6| so| 79 | 3| 3| 2| 2| 5|10,10|10|10/ 10 1-10 [0.63 |0.62 0.60 \0.58 \0 53 [0.51 0 51 \0 53 \0.56 0.58 | 0.56 11.0 1.2 1.0 10.9 11.0 11.2 11.1 0.6 10.6 10.6 11-20 0.72 0.72 0.69 |0.66 0 62 0.59 |0 59 |0 61 [0.64 0.69 | 0.65 11.4 |1.3 [1.2 11.2 11.4 1.7 1.4 1.3 |1.0 11.0 21-30 |0.82 0.81 0.80 0.78 |0.73 ‚0.69 |0 70 0.71 0.74 10.78 | 0.76 |6.% 6.9 7.2 6.0 |6.5 6.9 16.9 7.2.6.9 \6.9 1-30 [0.72 |0.72 '0.70 10.67 |0.63 .0.60 |0.60 [0.62 |0.65 |0.69 | 0 66 |2.9 3.1 3.1 127 |3.0 3.3 [3.1 |3.0 2.8 12.8 A | — % November 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im November 1861. = Richtung und Stärke des Windes. - © "3 . —|: E Pr: s:lz2 s3|531|15;3 =:t,31[% Anmerkungen. | SBEEEIIERZIEFIPFUERFEZERETE | z = 4 = = - < | < « = «< Een ee ee: Fam (Bez men I 1 Ni Ni Ni Ni Ni || Ni Ni NO 1 1) Vorm. C.. später Cr. 2 | 01 | 01 | 01 | ot | 01 | 01 | 01 } 01 2) Cr. 3 id id s0o1 02 2 | 02 2 id 3) Morg. Cr., gegen Mit- | ı id. | id 01 O1 0117. 072.204” un tag Cr.-C. u. C., von West] 5 id. | id. id. id. id. | NO1 Ni Ni nach Ost ziehend. Sehr] 6 |NW1|NWi|NWIi| id. id. 01 O1 01 staubig. | 7 1501 | SO1 01 id. id. id id. id 4) 5) 6) 7) Cr. | 8 O1 Oi id. id. id. id. | id. id s) Vorm. Cr., gegen Mit- lag etwas dunstig werdend, C., Abends im Su. SW An- bäufung von C. und Str. | 9) Vorm. Massen von C. und Str., die Nachm. noch 9 Ni Ni Ni N2 | N2 | N2 10 id. id. I|NNWı| Ni Ni | Ni id. id. 11 INNWIINNWi| id. INWA|I NWi | NW I NWL|NWi 2 |NWi | NWi NWi) id. | id. id. | id. | id. 13 id. id. id. | id. id. i j 14 id. id. NAsI- Ni 3 W1 S mehr zunehmen. Abds. 5 h. 15 s0o1ı ' Soı SO1 | SOı | S01 s01 | NO1 NO1 einige Regentropfen. Vor 16 |NW1i | NWi | NWi1 | NW1i| NWi | NWi | NW1| NW 1 |10) | Sonnenuntergang heiterte 17 id. id. id. id. | id. | id. ad. 1 Sc, « |sich der Himmel wieder 18 id. | id. id. id. ! id. id. 1 ıd. | Zur « | ziemlich auf. Prächtiger Son- 19 id. id. | id. id. | id. | id. | id. id. |11)|nenuntergang, hohe vergol- 20 id ia 1 id: 1d) 4 39.4]. 1. 03 O1 |« |deteCr., weiter unten licht- O2 |12)|graue € , noch weiter unten id. 13) schwarzgraue stark gezackte 22 id. id. 01 id. 01 | 01 id. © (0) = - 0) & I | 21 | 01 | 01 ya 01 02 | 02 | 02 23 id. | id. id. id. id. | id. | O1 id. |14)[C. u. Str., welche ein in 21 id. | id. id. id. id. | id. | 15) | den höhern Schichten herr- 25 Wi Wa Wa wi | wı | wı ' Wi | Wi |16)|schender SW n. NO treibt, 26 id id. Ss01 | SOı | Soı | SO1 | SO1 | SO1 |17)| während unten NO wehte. | 27 01 | 01 | 01 | 01 | 01 | 01 | 01 | 01 [19| 10. 11) Cr. 28 er | id. id. id. id. id. | id. id. |19)| 12) Cr., Cr.-C. u. C., von) 29 | SO1 | s01 | 502 | SO2 | SO2 | SO2 | SO2 | SO2 [20)|W nach O gehend. 30 | NWi | NWi| NWi NWi | NWi | NWi | NWi ı NWi b )] 13) Morgens 9 h. kleiner | Regen; den ganzen Tag dunstig bedeckt. — 14) Vorm etwas vor 10 h. einige Tropfen Regen, ebenso Abends 5h. — 15) Morgenroth. Von Morg. 5 bis 9 h. 4 Mal kleine Regen, gegen 10 h. sich aufbeiternd. 11'/2 h. Anfang eines Gewilters mit 7 Donnerschlägen, das von SW nach NO zieht; 1'/2 h. Abds. Regen- guss; 4 h. Abds. Regenbogen; 5'/ h. Abds. von Neuem 2 Donnerschläge und kleiner Regenguss; bis $.- Untergang palmartig gestreifte Cr., die von W nach O ziehen. Abds. hefliger Ostwind, der bis Mitter- nacht andauert. — 17) Nachts Regen. Morgenroth. Den Tag über viele Regengüsse. Der Regen in der Wüste 3 Centimeter eingedrungen. — 18) Thau und starker Nebel. — 19) Morg. C., Cr.-C., Abds. Er. — 20) Vorm.C. und Str. im S$.; 9 h. 10 Min. Anfang eines Gewitters, das ziemlich stark ungefähr eine Stunde dauert; 12'/, h. Mitg. von Neuem starker Donner; 4 h. Abds. wieder dumpfer Donner. Regen | kaum messbar. — 21) Vorm. Cr.-C. u.C.; Nachm. sich dunstig bedeckend. — * 3 [2] = R=| = {eb} o© jeb} A December 1861. 77 Meteorologische Beobachtungen in Samaua im December 1861. Thermometer Gt?°. Temperaturbeobachtungen von 2 zu 2 Stunden. Tempera- tur des Euphrats. N gen- Lilli- Maxi- | Mini- | Diffe- | 6 h. ma. ma. | renz. | Mreg. 19.2 | 10.8 8.4 | 11.0 12:6 ‚1, 11.7 5.9 | 12.0 17.0 | 11.3 5.7 [11.4 18.9, 120 6.9 | 12.1 20.0 6.5 | 13.5 6.7 | 21.8 8.3 | 13.5 8.3 | 21.8 | 10.3 | 11.5 | 10.4 20.9 7.2 |: 13.7 zer 16.4 | 13.0 3.4 | 13.0| 19.8 lan 4,2 [15.4 19.7 7.9 | 11.8 8.0 19:8 1,1484 8.7 | 11.2 16.5) 48 h 6:7 79.9) 14.6 7.8 6.8 7.8 | 8.8 3.9 4.9 4.0 11.0 | 0.2 | 10.8 | 0.3 | 12.9 4.8 8.1 3.0 13.0 0.3 12,5 1.0 13.9 3.0 | 10.9 3.6 16.2 3.3 | 10.9 5.4 14.7 2290161438 3.0 15.4 4.6 | 10.8 4.8 15.3 8.0 7.3 s.1 172.20, 1185 6.2 | 41.5 17.4 3:171012.3 9.2 17.0 5.4 | 11.6 3.% 17.1 6.8 | 10.3 6.8 14.5 8.6 3.9 8.6 13.0 | 10.9 2.1 110.9 16.7 Li) 8.8 2.9 47.1 9.4 7.7 \ 10.0 19.29 | 10.62 | 8.67 |10.80 14.64 | 5.43 | 9.21 | 5.62 15.99 | 7.37 || 8.62 | 7.47 16.64 | 7.81 | 8.83 | 7.96 BEUTE 9 h g. | Mrg. 15.7 11.7 [113.7 14.8 | 13.9 14.4 16.1 14.2 11.3 16.6 13.3 15.4 13.0 10.5 5.7 5.0 82 1.8 8.1 8.5 7.3 8.1 10.8 12.6 10.2 10.0 11.0 11.5 12.7 9.6 13.2 14.84 9.25 10.63 11.57 10h. Mrg. 16.8 15.7 14.5 15.7 14.3 16.0 19.1 14.9 17.1 14.9 16.8 11.9 6.8 6.9 9.8 6.4 10.0 10.9 10.2 11.7 12.9 14.0 13.3 12.9 13.2 16.4 | 11.1) 12h. Mitt. 17.4 16.9 16.3 17.9 20.1 \ 20.9 19.7 16.4 18.4 17.5 18.9 15.7 13.2 8.4 IK ee 11.4 10.3 11.9 15.0 12.8 13.4 15.3 15.6 16.0 16.3 16.0 13.1 12.5 14.4 15.8 18 23 113.15 14.65 15.34 18.3 | I} | 2.h. | Abd. 19.2 17.6 17.0 , 18.9 19.3 21.8 21.7 20.8 16.3 19.1 19.7 19.8 16.5 14.6 8.8 11.0 12.7 13.0 13.9 16.2 14.7 15.3 15.2 17.5 17.4 16.9 17.1 14.5 13.6 16.7 17.0 19.23 14 62 15.97 16.61 4 h. Abd. 17.1 16.0 | 16.1 17.8 18.6 20.4 20.6 18.9 15.1 17.5 18.3 17.9 | 14.1 12.5 8.0 9.5 11.2 11.8 12,1 141.8 13.0 14.0 14.1 15.0 | 15.7 15.6 13.0 13.7 16.0 15.6 17.81 13.02 14.71 15.18 16.1) sh. Abd. 13.4 13.6 14.1 16.0 14.2 15.1 15.8 13.7 13.6 9.0 6.1 Tel 8.4 9.3 10.1 klar 9.4 12.1 12.5 12.0 11.0 11.9 12.0 11.2 12.1 13.3 12.5 13.5 | 13.0, 15.3 | [13.1 | ausgesetzt. 10h. Abd. Thermometer Mittags der Sonne 12.7 | 25.6 12.8 13.6 120 10.9 14.1 10.9 14.4 15.9 10.0 14.1 11.9 1.14 7.9 4.8 7.0 3.1 6.2 8.1 7.3 7.0 10.8 12.1 10.0 8.9 10.7 10.1 11.0 10.9 12.0 10.7 12.69 8.38 10.38 « « « 10.48 | « metern | ah. . Abd. Gefallene Re menge in 15.3 15.0 | 14.9 15.3 15.0 15.2 15.0 14.8 14.2 415% 19% 15.2 | 15.1 1327 \ 10.8 10.9 10.0 9.1 9.0 9.1 9.9 10.5 11.6 12.9 12.8 12.3 12.4 12.1 11.8 12.1 12.0 15.07 | 21.3 11.33| 5.9 11.85 | 14.3 — 12.92 | 41.5 ger 19 ES} Derere.o o.lo Ben Su ae, = 1 = Ss + or oe? ooÖooosooooo.o_©%7° 10.0 11.3 11.8 11.2 11.2 11.3 11.7 11.0 11.2 14.33 10.98 10.88 - I RB Oo 12.06 — 12. 13 = I. December 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im December 1861. ygrometer. Bewölkungsgrad. amaua 12 h. Mittg.' 2 h. Abends. 4h. Abends. 6h. Abends. Abends Hygrometer. Mittel aus Maxi- ma und Minima. 6 h. Morg $h. Morg 10h. Morg. 2 h. Abds 4 h. Abds 6 h. Abds. Tägliches Mittel Dece sh. I) = 1 -T-1 oO =) N Be — ur — 3 nn u 5 o _ Skuomwsosowo-.- Zn E23 on ww I PN - iv u SS. [ovwon- = wo -STST=T 1 sınD- worum monona- Sr our mp Sum. fe je Dow aD GC SH NO OD m m0960 .9 u ee De DD De N DO u —z 3 = z TE nm Oo wi 1 £ _ _ En a gi Re CD ne m UST DO ST ST SION SO D DIDOoOoS-“ SS 9590, ND - Ve m DD OS [oe oo > TO GT 0 So or D .6 2 7 7 6 63 61 71 89 88 7 7 7 8 7 7 7 7 76 1-1 o.o [e) SI ST TTS ST 1 EN Br er - N ur 2 E2 1 DI NDS" DD OoSoo Fr mm Oo (WO oo o@ % »> © [59 En _ er o we ma iD ma CO ma 00 CS m RT ma an CO er ID SD CO TO a wu m Da DD a = wi = = una ver m nm N oO © je _ 5| 1 I I | ‚10 10.10,10 10 1010 1010.10 10 10 10 9 du N | I} I 1-10|0.87 0.87 0.1 0.81 0.76 0.73 0.72 0.76, 0.79 0.82] 79.60 5.7 [5.5 58 5.187 511.9 11-20|0.89 ron 0.81 0.79 0.76 0.77 ‚0.80 105% '0.87| 82.15 138 4.1 non. 3.413 sul } ei | 21-21|0.95 “. 9 0. .92 0.89 pP 87 0.81 Feel .85 087 0.89 0. 92| 89.10 157154 1 4. ML 1.55 1.318 4.8 1.8 18] 1-31 0.93 0.90 /0.87 0.81 0.81 0. 73 0.78 lo 8ı \o.31 0.87 | 8381 [5.1 |5.0 14.9 1.0 a1 45 | = En December 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im December 1861. S Richtung und Stärke des Windes. 3 5 Ss 2 2 & & = 7 5 ä Pr ö 3 E E Ela 2 | ee ale Tea se an = ZEN a AS a Ar = >) = a = = Ss = re « < « « <«< = < ı | NWwi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi 1) 2 | Ni Ni Ni Ni INNWAINNWÄ| Ni Ni Ni Ni Ni 2) 3.| SO1 | SOt | SO1 |SO1 | So1t | SOı | SO1 | SOı | SO | SOt | SO1 3) 4 id. | Nwi | nwı | NWi | NWwi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi 4) 5 |NWi| id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. 5) 6.) SO1.| SOA1 |-SO1 | SO1 | SO1.| SOt.| SO1 | SOA so1 | SO1 soi 6) 7 id. id id id id id. idee d id id. id 7) | | 8 id. id. | id. id. id. id. id. id. 01 O1 id. 8) | 9| o1 Oi O1 02 02 02 02 02 02 02 | 01-2 9) 10. | Swı | SWi | SWi | SW | swi | SWi | SWi | SWi | swı | SWi | SWi 10) lır | ia. | soı | sor | soi | soı | soı | so | SO1 | soı | SO1 | Soı | ıi 12 | SOA id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. 12) 13 | NWi | NWi | Nwi | NWi | Nwi | Nwiı | Nwi | NWi | nwiı | NWi | NWi 13) 12] rd, id. id. id. id. |NW1-2 NW1-2NWi-2NW1-2 id. |NWI-2| 14 | 15 id. id. id. id. id. NWi | NWt | NWi | NWi | id. NWi 15) 16 id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. 16 17 Idee ride Nw2 | Nwa2 | NW2|Nw2 | NW2 | NWw2 |nw2 NW2|NW2| 17 18 id. | id. Nwi |NWi | NWwi | Nwi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi 18 19 | swı | Swi | Sı-2 |SO1-2| 02-3 | 02-3 | O0 2-3| 02-3 | 02-3 02 |02-3 | 19 20 |Nwi | NWwi | nwi | NWwi | Nwi | NWi | NWi | NWi | NWwi | NWi | NWi | 20 au udape |vid: id. |NNWi| WNWWNWIWNWIWNWIWNWI| id. id. 21) | 22 | id. id. | id. | Nwı | NWwi | Nwi | NWi |.NWi | NWi | id. id Ke22 23 | SO1 | SOı | SO1 |SO1-2,SO1-2 SO2 | SO2 |SO1-2 SO1-2| SO1 |SO1-2| 23) 22 | id | id | id |soı |soı |soı | SO1,) SO1 | SO1|.id. | SO4,| 2#) | 25 |Nwı | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi1 | NWi | NW1 | NWi | NWt | 25) 26 | id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. 26) ) ) 27a id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. 27 ee DR = December 1861. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im December 1861. Anmerkungen. 1) Viele C. und Str. den ganzen Tag, die Sonne aber meist durchscheinend. 2) Morgens früh ein kleiner Regen, ebenso 8 h Morgens aber unmessbar; Mittags der Himmel stark dunstig, die Sonne schwach durchscheinend. Nach Sonnenuntergang starker Regenguss. 3) Kleiner Regenguss von 0.05 mm.; gegen Abend sich etwas aufheiternd. 4) Morgens bedeckt, gegen 10 h. sich aufheilernd, Mittags Cr. und Cr.-C.; Abends ganz klar. 5) Der vorgestrige Regen ist bis auf 4 Cim. in den Wüstenboden gedrungen, Einige Stellen, wo das Was- ser nichl eindringt, Pfützen bildet und gleich vertrocknet. 6) Vormittags C. und Cr..C, 7) Vormittags Cr.-C., später Cr. $) Vormittags C., gegen Mittag dunstig werdend; die Sonne aber meist durchscheinend. Im Garten vou Kassimbey stehen junge Trauben und Aprikosen in Blüthe. 9) Den ganzen Tag feine Regengüsse,, abscheulicher Kolh. 10) Früh Morgens einige Minuten nach Mitternacht ziemlich starkes Gewitter über uns, slarker Regen- fall, das Gewitter ca. Y/z Std. dauernd. Morgens aufgeheitert, Mittags Cr.-C. und Cr. sehr schnell von SW nach NO ziehend 11) Morgens Cr., Abends C. 12) Morgens C., die sich gegen Abend anhäufen, 5 h. Abends kleiner Regen; schöner Regenbogen. 13) Vormittags 3 Regengüsschen von 0.5 mm. mit ca. 3—4 Min. Dauer. 14) Morgens früh Cr., Abends NNW2-N2-NW 2. Die ganze umliegende Wüste, namentlich alter Gultur- boden, ist von Salzausschwilzungen wie mit Schnee bedeckt. Die Feuchtigketi fand ich heute 15 Cim. in den Boden gedrungen, unterhalb welchem noch trockener Sand ist. 15) Den ganzen Tag dunstig bedeckt, die Sonne nur schwach durchscheinend ; sehr kalt. 16) Morgens der erste schwache Reif; das Wasser in der Wüste in den Pfülzen zum ersten Mal ge- froren; Morg. überall feingestreifte Cr., im W ein Str.; im Norden nebelförmiger Streifen über dem Dsche- sireh, der fast jeden Tag zu sehen ist. Vormittags viele komelartige Cr. mit einem Kern und schön ge- bogenem feinem Schweife. Abends sich bewölkend. 17) Vormittags viele C., Mittags einige Cr.; Abends 4 h. prächtiger Stratuskranz am ganzen Horizont. 18) Morgens schwacher Reif; das Wasser gefroren; gegen Mittag feine schön gestreifte Cr., Abends €. und Cr.; schöner Mondhof. 19) Morgens Reif; Vormittags starker SW-S-SO, der gegen Mittag zunimmt, die ganze Atmosphäre von feinem Staub erfüllt, gegen 4 h. Abends sich aufheilernd. Der Euphrat um ca. ein Fuss gestiegen; er führt eine Masse Wasserpflanzen aus den Reissümpfen. 20) Morgens Nebel; Nachmittags einige Cr. 21) Schön C., Morgens quer über den Dschesireh Nebel. 22) Morgens C.; Nachmittags nur einige Cr. 23) Vormittags starke C.; windig und staubig; Nachmittags fast bedeckt; 1 Stunde vor Sonnenunter- gang kleiner Regen von 3 Minuten. 24) Morgens ziemlich bedeckt, Vormittags sich aufheiternd, einzelne Cr. 25) Gestern und heute herrliche Frühlingstage; die Schildkröte wieder aus dem Wasser hervorgekro- chen, Heuschrecken, Libeilen, Wespen; die Flora aber ziemlich ausgestorben. Morgens und Abends Cr., Mittags flockenarlige Cr. 26) 8 h. Abends kleiner Regen von 0.1 mm.; den Tag über einige Cr. 27) Morgens bedeckt, Vormittags sich aufheilernd, Abends nur einige Cr. 25) Den ganzen Tag dunstig bedeckt; 9 h. Abends Regenanfang, der ungefähr 6 Stunden bis Morgen früh dauerte mit 14.1 mm, 29) Den ganzen Tag bedeckt, Abends aufgeheitert, Nacht sternhell. Gestern Abend und heute einige Fälle von Nocticaria und Pruritus, 30) Morgens Nebel, Tags über C. und Cr.-C. 31) Vormittags C. u we 0 PPaE DEE — Januar 1862. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im Januar 1862. 21 Temperaturbeobachtungen von ERS Tempera- = | 5 Thermometer Üt°. en u: tur des 2535| Sg : SS 5|Euphrats. | © < |! A 5 | Maxi- | Mini- |Diffe-|6 h.|s h.|9 h.|10h.| 12h. 2h. 4. |6h. | sh. |10h.|S sh ah|& 8 = | ma. ma. | renz. | Mrg. | Mrg. | Mrg.) Mrg.| Mitt. | Abd. | Abd. | Abd. Abd. | Abd.| Mrg. ‚Abd. 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Meteorologische Beobachtungen in Samaua im Januar 1862. grometer. 258 Bewölkungsgrad. | > ea TEE RR TEE FIFI TIER 212j218131>22,15151818121821213|313|5= a l2|2j/ 21h #251|213 |) Als) 4/13 je 215/313: le4Je@s.|slsisisisiels/slslält a zs:leoloajleiSj/ajal+jelo|S 0.82 0.52 0.81 087 '0.00| so5 |o 0/0 ol2l3 5 6| 6l6 „| 9) 9 87 = 72 1) 77| sı| 87| 83.0 8i'9] 9| z1'6|’5| 3.31 21% 95! 9 | 87 | 88| 77\ 70| es| al 79| 82] sı.o | ol 0! 3/1 2135| 32|2|12 ss! 87| 82 sıl 79| 71| zei s2| s6| 9o| 80 | 8! si s|zislslslıel 5ls or! 9e| 87| 7al e7| 65 87| e7| =) sol 75 [ol ol ololojalıarılala ss! 8s| sr| 731 6ri 60) 59| 6r| 70| z5| 735 | ıl a] ı| 1] 2| 2| 2) 2] 210 sc! sr) sol 73| 65! 58| 58| 8a | 77| 72.0 | 1| 1) ı1| 0) 0| 0| 0! o| 01.0 se! 85| sıl vs! zıl es e7| el | ss| 765 | ol ol ol al 5| 3| 5ıal ala | 91 0 ser alla re oo alalalala dg ss| 85| 32! 78| 87! 70 73| 83| sel sel 7.5 | al al al 2! ıl a) 201] of 97| 95! 89| sı| 72| v1 72| 76| z8| 83] sno | o| ol 00/0 1| 10|0|00 92) 92 90 86) ı7| 77 76 sıl ss) 9ol no | 5/ s!s/slsiziela2 33 10 5 37 66) 74! 79) s6| 785 | ai 3] ı| ol 0/1] 0) 0) 00 93| 89| 80| 76! 86! 63! 62| e9| zei 8s3| 5 | 2! ei ılalılal 7)5i5l5 s2| 91) 85 83| 7ıl os 71, 77| 83] so [31 2lelalalıala sısle 92; 92| 89 87| 80| 78| 77) 78| sı| 85.5 | si'a| s/10| 8| a] 9| 9] 9l 9 97| 93 90) 85) 80| 78 76 83| S6| s5 | ol ol o/olı 2/1 1) 0/0 98| 95! 93| s8| so! 76, 76| 79| sa) 87.0 | s| sIisı z/9a/ 7/9 7'919 92| 91 90| s8| 79| 77 78| 83| 86| 81.5 |10 10|9|83 7/5 8| 9/9 93| 93 | 89| sa| 76| za 75| 79| s6| 83.5 | slıs| s| sl al 2| 31 al 5l5 98| 97| 92) 95) 96) 90 | 89| 98| 98| 91.0 | 510/10 1010 1010 101010 99| 97| 95) 9ı| 89| sı | 81) 86) 9 soo | 3|1 2|5| 8| 9/51 5/3| 2le 97| 95| 92| 89 85| 79 80) 78 85| 875 |ı\sl al ılalelo ala) »5| 93, 80| 51 90 7 s1| 83| 85 85.0 |5/| 3/36 73/7555 9896| 91) 85| 81) 78| 83| 89) 94 ss.o | 1/0 0) 1Jı 21000 100) 97) 91| 84) 80| 77 | 78| 80) 85 885 | 2) 1l0/ 0 a 100 03, s2| v0] 8 88| 86| 87) 88) 90 89.5 alsir|sielmlels's 5 02 90 86 81 7A 68 67 73 50 5 |1100 1000000 90 87) 80| 77| 70| 67| 70, 77| si) 285 | 0| 0) 0) 0) 1)3)3/ 0/00 90 | 87| 82| 79 73 70 72 78 9 so | sl ılalalhala) ala] 0) 0 EL sr) 80 r2| 69| | 75 84 825 | 1] 112) 5/9 9) 75/55 nn [ne mn! 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IS Aussehen des Himmels. 7 5 en I en = 3|6 h. |E8>h:2| 29ch.o| 10Shr. miese le ach, 4h. 6 h sh. | ı0h der | Sonnen- | Mitta Sonnen- | 5 ‚3 | Morg |Morg. | Morg. | Morg. | Mitg. | Abds. | Abds. | Abds. | Abds. | Abds. | Wind. | aufgang. 8 untergang. >| 1INWA/NWi| NWi | NWi NW1-2NW1-2NW1-2) NWi | NWi | NWi |INW1-2| prächtig | schön Cr. | schön C. 1)) 2|wı |wı| Wi | wi | Wa |Wa-2| Wı-2 Wı-2| Wi-2) Wi-2 | W1-2| bedeckt sichaufheit.] id. 2) 3|Swı SWwı| SWi | SWı | SWı | SWi | SW | Swı | SW | SW1 | SW | prächtig | schön C. | id. Cr. 3) 4\NwWi1INW1i| Wı | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | bedeckt 'sichaufheit.| variabel 4) 5| id. | id. |Ni-2|Ni-2 N2 | N2-3 |N2-3 N2-3| N2 | Ni | N2-3 | prächtig |prächtig |schön-Cr.| 5) 6| id. | id. | NW1 NW1-2NW1-2) NW2 | NW2 | NW2 | NW | NW1 |NW1-2| schön Cr. | id. Cr. id. 6) 7| id. | id. | ide | Nwi | NWi | NWi | NWi |NWi | id. id. | NWi | prächtig | prächtig | prächtig | 7) 8| SO1 SO1-2)S0O1-2| SO2 | SO2 | SO2 SO2-3 SO 2-3|SO2-3| SO2-3| SO1-3 id. id Cr. id. C. 8) | 9] SO2|SO2| SO2 | id. id. | id. | Soı | SO1 | SO1 | SO1 |SOLr2| id. id. prächtig | 9) ‚10|NWi NW NWI-2 NWI-2 NW2 | NW2 | NW2 | NW1 | NWi | NWi INW1-2| id. Cr. id. id. Cr.| 10) | 70. id. NWi| NWi | NW1i | NW1 | NW1 | id. id. id. NW1 | prächtig | prächtig | prächtig | 11) 12] S01 SO1 S01-2| SO2 | SO2 SO2 | SO2 | SO2 | SO1 | SO1 |SO1-2| variabel sichbedeck.|aufgeheit. | 12) ia] w1ı | w2| W2 | W2 w2 | W2 | w2 | Wwı | wi Wi |W1-2| bedeckt | prächtig | prächtig | 13) '14| id. |W1-2 W1-2 S1-2 SO1-2 SO1-2, SO1-2) SO1 | SO1 | SO1 [SO 1-2| schön Cr. | schön C. schön Str.| 14) 115|NWiINWi1| NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi id. id. Cr. | id. €. |45)\ 116| id. id. id. id. id. id. id. | id. | id. id. id. bedeckt | bedeckt | bedeckt | 16) 17] id. id. id. id. id. id. oe eh, el Sit id. id. prächtig | schön Cr. | prächtig | 17) | 48 ad. id. Eid: za ine id. ide ide dee id. id. bedeckt | bedeckt |s. aufheit. | 18) 19) S01|501 | SOı |501-2/S01-2, SO1 SO1-2, SO1 | SO | SOı [|SO1-2| id. |sichaufheit.) variabel | 19) (a Endea Eine ders 2SOM | ESOAE2 1de 1 LSoH IE ide al ade id. | S01 id, schön C. | schön Cr. | 20) |1[04-2|042| 012] 02 02 | 02 |oı2| 02 | 02 | 012012 id. Regen Regen | 21) 22| Wı |Wı w1-2| NWi NWi | NWi | NWi | NWwi | NWi | NWwi | NWi id. variabel | variabel | 22) 2331Swı SWi| swı | SWi | SWi | sWwi | SWi | SWi | SWi | SW1i | SW1 | schön Cr. |schön Cr.-C.| schön C. 23)| 124| id. id. id. id. dass des urn: id. id. id. id. id. Cr.-C. fastbedeckt) variabel | 24) 125|[Nw1ı|NWi1 | NWı| NWi | NWi ı NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | NWi | prächtig | schön Cr. | schön Cr. 25) \26| id. id. id. id. id. id,= 870. id. Id. Erde 10.2 erde id. id. 26 | ) 127| id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. id. €.| dunstig | dunstig | 27) 28|NW2|NW2 NW2 | NW2 | Nw2|NW2 NW2 Nnw2| id. | id. |NW4-2| prächtig |prächtig | prächtig | 28) |29I|NWıINW1| NWi | NWi | Nwi | Nwi | NWi | NWi | id. ide | NWi id. id. Cr. id. 29) | ) ) 130|Soı |SO1 SOo2 | SO2a |Nnw2 | NW2 | NW2|NW2 | NW2 | id. NW 1-2 id. id. id. Cr.| 30 31|NW1/)NWi|NWi| Ni Ni Ni Ni Ni Ni Ni N 1-2 id. bedeckt | schön C. | 31 = ME = Januar 1862. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im Januar 1862. Anmerkungen. 1) Vorm. Cr., Abds. viele C.; die Wüste wieder von den Salzausschwitzungen wie mit Schnee bedeckt. 2) Morgens bedeckt, Nachmittags Cr., Cr.-C., im Osten starke C.-Ansammlung. 3) Viele C. gegen Mittag, Abends Cr. 4) Morgens bedeckt, gegen Mittag sich aufbeiternd, Abends Cr.-C., C. 5) Nachm. einige Cr.; der Horizont bei starkem eisigem N ganz aschgrau, während der Zenith hellblau. 6) Morgens schwacher Reif und leicht gefroren; vereinzelte Cr. Vormillags. 7) Morgens Reif, vereinzelte Cr. 8) Gegen Mittag starke Massen von Cr., in denen sich blaue Strassen durchziehen; Abends im W C.; Nachmittags starker SO, der Nachts in Sturm übergeht, 9) Die ganze vorige Nacht SOsturm, früh 5 h. Morgens kleiner Regen von 1.2 mm. und ein einziger Donnerschlag; Vormittags leichte Cr. 10) Schön Cr., Vormittags im SO einige C. 11) Morgens Reif und gefroren; Nachmittags zerstreute Cr. 12) Morgens fast bedeckt. 13) Morgens bedeckt, später aufgeheitert, vereinzelte Cr. Der Fluss seit 14 Tagen stationär, aber hoch (wohl 22—3’ über dem herbstlichen Stand). 14) Morgens Reif, Nachmittags (., später Str. 15) Vormit. Cr., gegen Abend C. und Str., die Cr. von W nach OÖ gehend. 16) Den ganzen Tag mehr oder weniger bedeckt. 17) Morgens Reif; gegen Mittag einige Cr, id. Abends. 18) Den ganzen Tag mehr oder weniger dunstig bedeckt, am Abend sich aufheiternd, 19) Morgens fast bedeckt, Mittags grosse Ansammlung von Cr.-C. und C. 20) Morgens ziemlich bedeckt, gegen Mittag schön (., später Cr. 21) 10 Minuten vor 8 h. Morg. kleiner unmessbarer Regen. Schon seit einer Woche viele calarrha- lische Bronchiten und Schnupfen; 10 h. Morg. wieder kleiner Regen; etwas nach Mittag sich aufheiternd; die Wolken ziehen reissend schnell von O nach W. Bis Mittag geregnet 1.6 mm. ca. 4 —/, Std.; 4 h. Abends im NO schöner Regenbogen; 5 h. Abends beginnt ein recht starker Regen, der wohl 4—5 Std. dauerte und das aussergewöhnliche Quantum von 32.1 mm. zeigte. 22) Auch heute früh Morgens noch etwas Regen; Morgens bedeckt, gegen Abend sich ziemlich auf- heiternd, Nachmittags einige Brisen aus N und NNO. 23) Vormittags einige zusammenhängende Cr.; Abends 4 h. starke C.-Bildung im S u.SW und 5 h. kleiner grosstropfiger Regenguss von 0.1 mm. Die Zwiebeln in Blüthe. 24) Die letzte Nacht 23/24 nachtheilige atmosphärische Strömungen, ohne dass eine Schwüle vorherrschte; viele Personen konnten nicht einschlafen, meine Kranken waren diesen Morgen alle mehr oder weniger fiebernd; auch diesen Morgen viel Husten. Morgens Cr. und Cr.-C.; gegen 10 h. nehmen die C. zu, gegen 11 h. der Himmel fast bedeckt und kleiner Regenguss von 0.05 während 1 Minute. Dte Saatkrähen flogen gestern schon während dem Tage in Massen umher. Auf das Excitment der gestrigen Nacht mag wohl SW eingewirkt haben, 25) Den Tag über einige Cr. und Cr.-C. von W nach O ziehend. 26) Diese Nacht wie auch die letzte starker Thau, so dass das Thermometer auf der Terrasse ganz mit Tröpfchen belegt war. Morg. einige Cr., ebenso Abends. Der Euphrat diese Nacht um fast einen Fuss gestiegen. In den Dattelwäldern, besonders in alten Wassergräbchen, Menge hervorsprossender Pflanzen 27) Von Vormittag an stark dunstig werdend. 28) Morgens früh C. und Cr.-C. 29) Schwacher Reif. Cr. den ganzen Tag. 30) Den ganzen Tag Cr.; starker 502 geht plötzlich Mittags in NW2 über. 31) Morgens 2r.; 10 h. Vormittags dunstig werdend; 3 h. Abends sich wieder aufheiternd. 4 85 Februar 1862. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im Februar 1862. 1-10 | 17.99 11-20 | 21.38 21-28 | 16.71 1-28 | 18.69 4.79 13.20 8.48 | 12.90 3.59 6.29 SZ. oe 12.49 11.12 12.40 « « w « « « 11.81 | 9.17 « « « « « « « « « « « 15 ; E u Dr ei rs == ‚|Tempera-| 2: ES Thermometer Ct?°. ae Fa 233 tur des : = i > 2 z| Euphrats. [= : - Sa | ——— = | Maxi- | Mini- Die-| oh. | sh. | 9 b./on.|12h.| ch. |&n oh. |sn./1on |S 82] sn. | an. [&4 ma ma renz. | Mre. | Mrg. | Mreg. | Mrg. | Mitt. | Abd. | Abd. | Abd.| Abd. | Abd | = Mrg. | Abd. 1 17.3 4.5 | 12.8 4.5| 6.7 10.5 | 12.8 | 16.& | 17.1 | 16.2 | 14.0 | 11.4 9.6 « 10.8 | 12.7 0 2 20.8 5.0 | 15.8 3.0 | 11.3 | 14.3 | 17.2 | 19.5 | 20.4 | 20.8 | 17.0 | 14.7 | 10.0 | 32.3 | 10.7 | 12.9 0 3 21.5 4.6 | 16.9 4.6) 8.2 | 10.9 | 14.6 18.3 | 21.0 | 20.9 | 17.5 | 16.0 | 14.8 | 37.1 | 11.3 | 13.3 0 4 22.7 | 12.0 | 10.7 | 12.0 | 14.6 | 16.0 | 17.4 | 20.5 | 22.3 | 21.0 | 18.7 | 16.3 | 149 | 416.2 } 12.6 | 14.4 0 5 13.5 7.3 6.0 | 7.5 | 9.0 | 10.1 | 12.0 | 12.6 13.5 | 11.8| 9.6) 61| 2.0 « 12.3 | 14.2 0 6 12.1 1:0] 4411;1 1.01 2.8| 6.7| 9.8 | 11.6 | 12.1 | 11.4 | 10.0 | 10.4 | 81 « 10.1 | 10.9 0 7 15.9 5.3 | 10.6 5.3| 9.7 | 11.4 | 13.1 | 14.4 | 15.9 | 14.1 | 11.0| 9.4 | 6.5 « 10.2 | 11.2 0 8 17.0 ZI HERE 2.3| 6.1 | 13.0 | 14.1 | 15.6 | 16.9 | 14.8 | 12.1 9.9 | 6.6 « 10.2 | 12.0 0 9 19.5 28 11116:2 2.8| 6.0 | 12.3 | 15.5 | 18.5 | 19.3 | 18.9 | 15.0 | 123 | 82 « 10.5 | 11.9 0 10 19.6 2.9 | 16.7 | 2.9| 8.4 | 13.0 | 15.3 | 18.6 | 19.6 | 18.8 | 14.1 | 11.9| 9.0 | a8.2 | 11.0) 22.7 0 11 24.3 4.9 | 19.4 | 4.9 | 10.4 | 13.9 | 16.9 | 20.0| « | 22.4 | 18.0 « « « 11.6 | 13.4 0 12 25.7 8.8 | 16.9 « « « « « « « « « « « « « 0 13 27.1 11.8 | 15.3 « « « {7 « « « « « « « « « 0 14 20.0 | 10.4 9.6 « « « « « « « « « « « « « ) 35 15 26:8 1,13:2 | 11:6 « « « « « « « « « « « « « j _ 16 241.9 | 10.0 | 14.9 « « « « « « « « « « « « « 0 17 20.3 8.6 | 11.7 « « « « « « « « « « « « « 0 18 16.7 6.4 | 10.3 « « « « « « « « « « « « « 0 19 14.1 5.9 8.6 « « « « « « « « « « « « « 1) 20 13.9 3.2 | 10.7 « « « « « « « « « « « « « 0 21 14.5 3.6 | 10.9 « « « « « « « « « « « « « 0 22 17.2 7.9 9.3 « « « « « « « « « « « « « 15.0 23 14.8 4.5 | 10.3 « « « « « « « « « « « « « 0 24 14.9 7.8 7.1 « « « « « « « « « « « « « 0 25 16.4 2:3 13:9 « « « « « « « « « « « « « 0 26 17.2 6:07 112 « « « « « « « « « « « « « 0 27 19.6 6-2 1.12:9 « « « « « « « « « « « « « 0 28 19.1 3.7 | 13.4 « « « « « « « « « « « « « fi) SS 9595099590909 «99090 _ > - „1 9-,W 9009095999959 «== 909 _ -_ ee Te - -.- . - oh ss sss os oO nn Du) BE u u so o9oS5S "SS Nm mm 9 © ____L N "Woono5950°595"5 991" «© .-non" oo 595 "swawaaNı ©o90 « 00000 ANNO TO NIOO9O9995S5S59 “N WO SO SO 9090 -_ _ Bewölkun a oO N Oo 99959959090 «LI S OS NS OS SS OS bi by qaıder pe 1eıW \sagası J9moAadAy BRHOPILIGEURAEAKE N Bere rn ui 0.80 87 « 0.87 « K (6 850 78 NN NS NS - 4 & Ä s 0. 62| 78| 83 NN NS NSG MD bo. 69 0.73 £ =] = - = + 62 sususvuvusus,H Io 67 0 66 Meteorologische Beobachtungen in Samaua im Februar 1862. « Hygrometer. „ossooooo90s50o 95" "ss 92. - so. 0. 7 14 1.6 1. 1.1 11.4 2.0 11.6 1.6 2.0 1.6 - zoo 090 9999095 «vn NS OS 99 «SS oO [Ze Zu Zu Zu 2; 0.95 0.93 0.83 0 75 Februar 1862. zI81 ER 1.3 1.1 11.0 1.0 08 11.3 1.4 1.4 la 1.3 1.5 3.0 12 8 11.8 11:3 11.0 11.1 11.3 [1.1 1.7 11.7 |2.1 2.0 3.2 2.0 201.9 11.6 1.3 1.6 0.86 | 0.81 0.85 0.79 0.73 |0.69 0.68 0.76 0.81 0.90 « 0.95 « So - 1 Eau —— _ u Februar 1862. Meteorologische Beobachtungen in Samaua im Februar 1862. = E elsn|snlıin[|ıen|e2en|an. Anmerkungen. 2 Morg | Morg. | Morg.| Mitg. | Abds. Abds. '1ılsoı|So1)SO1| SO1 |SO1|SO1|SO1|SO1| ı) 1) Morg. viele C., Cr.-C.; Vor- 2[sw2|sw2 SwW3| SW3 SW3|SW3| Wi | wi 2) |mittags sich mehr aufheiternd, Cr., 3) S01/S01 so1i| SOı |S0O1|SO1|SO1|SO1 3) |etwas dunstig, viele Mücken. 4INW1INWIINWI| NWi |NWIINWIINWI|INWE| 3) 2) Einige Cr. Vom Sturm die) '5INW2|NW2|NW2 NW2 |NW2 NW2 NW2 NW2| 5) |Atmosphäre mit Staub und Sand er- 6|NWIINWIiINWI| NW INWIEINWIINWI NWA| 6) |füllt. Der Euphrat um 3/, Fuss ge- ZEN FU. NA. EN Ni Ni | NG | id. id. 7) |fallen. Abends Fledermäuse. | s|nwiııNWi|NW1| NWi INW2|NW2| id. | id. 8 3) Nachm, einige Cr., ebenfalls 9) 2d. id. id. id. |NWi|NWI) id. id. 9) |von SO nach NW ziehend. Ueberall 10| id. id. id. id. id. | id. id. id. | 10) |sprossen junge Pflanzen hervor. | 111Soı /SO1 )SO1| SO1 ,S0O1,)SO1|SO1A | SO1| 11 4) Im SW Morg. einige Cr.-C.| 12) id. id. id. id. id. id. id. id. | 12) [später nur vereinzelte Cr. 13| SO2|SOo2|SO2| SO2 |S02 | S0O2|SO2|SO2| 13 5) Morg. fast bedeckt; 7!/ h. 141] SO1| id. id. | SO3 | SO3 | id. id. |SO1 | 14) |M. einige Regentropfen; 10 h. M. 15|NWi|NWIINWEINWL-2 NW2 | NW2|NW1|NW1| 15) | plötzlich sich ganz aufhellend. — 16) id. id. ide. INW1i1|INWÄi/INWA| id. id. | 16) |Die Schwalben angekommen. 17| id. id. id. |NW2INW2|NW2| id. id. | 17 6) Der Himmel miteiner gleich- ıs| id. | id. | id. | id. |NW3INW3|NW2]| id. ‚28 id. INW2INW2]| id. id. id. id. id. | 28) | schwindende Cr. Cr., Cr.-C. und C den Tag über; gegen 5 h. Abds. plötzlicher NWsturm von ca. 5 Min. Dauer; der förmigen Dunstschichte bed.; dann l 1 19| id. id. id. id. INW2INW1|NWA| id. |1 20) id. id. id. id. id. |NW2| id. id. |2 21] id. id. id. id. id. INW1| id. id. | 21 22] id. id. id. id. id. id. id. id. | 22 23| id. id. id. | NWi1 | id. INW2]| id. id. |23 24] id. id. id. |NW2| id. INWi| id. id. |2 Ss) 7d- id. id. id. id. INW2| id. |i 2 26| id. id. id. id. id. id. id. id. | 26 27| id. id. id. | NWi| id. INW1| id. id. |2 und wann einzelne Sonnenstrahlen. I 7) Morg Str. und C., späler| sich ganz aufhellend. ) ) ) ) ) ) 8) Morgens Reif. ) ) ) ) ) 9) Morgens Reif. 10) Schwacher Reif; die Pfir- siche und Aprikosen in schönster Blüthe. 11) Nachm. einige kleine ver- oı 12) Mittags einige Cr. — 13) Starker SO; der Horizont durch Staub und Sandmassen ganz grau. — 14) Morgens C.; 3 h. Abends bedeckt sich der Himmel; kleiner Regenguss; Gewitter mil 10 Schlägen, das bis 41/2 h. dauert; noch einmal ein kleiner Regenguss; Nachts starker SOsturm und einige Regengüsse. — 15) Recht schwül; einige Cr. — 16) €. Morg., später weniger. — 17) Cr., Cr.-C. den ganzen Tag. — 18) Cr.; die Atmosphäre mit Staub erfüllt; Nachm. etwas Hochstaub. — 19) Abreise von Samaua. — 20) In den Sümpfen von Rumathia; Cr.; die Frösche quaken. — 21) Rumathia. Mor- genroth. Cr., Cr.-C. Tags über. — 22) Von den Ruinen von Mussa bis Sora stromaufwärts. Himmel dunstig bedeckt; 9'/ h. Vorm. Regen, der ohne Unterbrechung bis 10 h. Abds. anhält. — 23) Schwacher Nebel über dem Strom Morg.; Mondhof Tags über Er., Cr.-C. und €. Abds. in Diwanieh. — 24) Leichte Himme! momentan von Staub bedeckt; Abds. bei Imam Amran-ibe-Ali. — 25) Er. Abds. in Chuschu- schieh. — 26) Cr. Abds. in Dscherbuyeh. — 27) Cr. Abds. in Hille. — 28) Cr. Von Hille bis zum Skendrieh-chan. = : Z— Beilage V. Beobachtungen über die Temperatur des Tigriswassers bei Bagdad. 1862. | Juli. August Septemb. | October ei 1.5 | 5 zZ Dh 8) 2 2 Zee di Sa Anmerkungen. alELEl.E.|S les he B w X- 5 E =: =: E: o | o o 2 127.9 | 26.4 1 |24.4 Bei der grossen Entfernung meiner Wohnung 4 |27.9 26.7 2 23.3] vom Tigris konnten die Beobachtungen über die 8 | 27.8 26.6 5 | 20.1 | Fiusstemperatur nur unvollständig angestellt wer- 1 12 | 27.8 26.6 6 | 20.0 | den. Die Beobachtungszeit war immer '/ Stunde | ıs Ier.3 25.6 7 |20.0 | vor Sonnenuntergang und die Temperatur bezieht | 1.3292 25.9 a « sich auf die Oberfläche des Wassers, nahe am |» |. 2333| « | « | Ufer. 22 27.2 22.8 | « | « Temperatur des Schatt-el-arab bei | | 3; | Muhärmmera. | | a | 2333| « | « | October %s 2778| 17 28.4 16 72 = < Sonnenauf- ah Abonia Sonnen- | gang. untergang a iımsl a |383 | ır |a72| « « alsılsaiasjısjzum|. |“ 28 18.7 20.4 20.0 | 30 128.9] 20 | 27.2 | 21 23.3 a « 29 18.8 20.5 20.0 ıJl«Jalas|aijiss|. |« 30 18.8 20.4 19.9 « « 23 | 238.1 30 | 23.9 a « 31 19.1 20.2 19.9 « « 24 | 28.0 « « « « “ « 26 | 26.7 « « « « « ” 28 | 27.3 « « a « “ « s0 | 27.2 « « « « Notiz. Am 15 April 1862 war im persischen Golf ein fürchterlicher Südoststurm. Auf den Bahrein- inseln wurden 6— 7000 Dattelpalmen entwurzelt und 70—80 einheimische Schiffe fanden bei diesen Inseln ihren Untergang. a Meteorologisches Journal gehalten auf einer Reise von Bagdad nach Bombay über den Persergolf 1862. October. Windrichtung. October 18862. Beobachtungsort. Anmerkungen. Anmerkungen, Sonnenaufgang Sonnenuntergang NW1/NW2 NWi Bagdad ) 1) Nachmittags viele Cirrhi aus NW | i id id. id. kommend; nach Sonnenuntergang starker | id. | id. id. Wind. id. |NW2 id. 2 2) 3) 4) Staubwolken Nachmittags. id. id. id. 5) 2'%Std nach Sonnenuntergangein | id. id. id. prächtiges grüngelbliches Meteor, das | NW1| NWi id. von NW nach SO geht und ohne Knall id. id. id. sich verliert. id. | id. | Abfahrt von Bagdad 6) Abends einige Cirrhi. id. id. Tigris-abwärts 5) 7) Morgens Strati im Süden. id. | id. id. Ss) Cr. den ganzen Tag. id. | id. id. 9) Cr. den ganzen Tag. id. | id. id. 10) Den ganzen Tag mehr oder weni- id... Sid.eil id. ger bedeckt. NW2 NW2 NW2 id. 11) Morg. Nebel; Nachmittags leicht NW1 NW1|NWi dunstig und Cr. so1 | SO1 SO1 id. 12) Morgens und Abends Cr. NW1 NW1|NW1 id. 13) Sehr starker Thau. id. | id. id. id. 14) Cr., Strati den Tag über. NW2 NWi FO O0 909909909090909 09090909090 Bassora 15. September 1862. 41/,—5 Stunden nach Sonnenunter- gang ein prächtiges vollmondgrosses Me- teor, das von NW nach SO geht und mil einem kanonendonnerartigen Knalle zer- platzt; während einigen Sekunden Tages- helle. 27.6 27.5 26.9 26.6 | 26.2 26.5 27.7 15.6 28.0 15.3 27.0 | 18.6 « 9 10 'NWi NWi1| Abfahrt von Bassora a id. id. Muhämmera 12) td. nid: id. « id. | id. id. 13) id. | id. [Abfahrt v. Muhämmera]|14) | (Mir mitgetheilt). 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0| 0 1 0 0 0 0 0, 0 1 0 0 1.4} 6] 0 1 0 0 1 m» O9 rm mA.ıJmM SO O0OVWO0o0909000090 090 5S Sr SS S- OS S SS OS SO SO SO =» 0.00 om 0 mo Notiz. Das Minimum wurde bei Sonnenaufgang, das Maximum um 21/7 h. Abends abgelesen. Ba, November 1862. Schatt-el-arab, persischer Golf. Temperatur des S Lufttemperatur. | Schatt-el-arab | Bewölkung.| Windrichtung. b - z und des Meeres. Beob- = = sw $ = = Eee „285 » en = achtungs-, = Anmerkungen. ! Elsa 2 = 5 Rlız eis 2 z m SIEHE =s2l3S 5 S2el=S5| = = ort. | z 3HJE aaa ® ara a8 f n ZHibislsH E | 11 15.6 | 251 23.5 | 19.0 / 20.6 20.0] 0 3) 5|NW1j SOı | SOılı == : | 1) 1) Nachm. Cr., Cr.-C.! 2|18.4 | 256 22.0|199 | 21.112041] 8) 9 | 9] O1 ;SO2| id. I 2 = = | 2) | Mondhpf. 3]21.7 25.5 233/199 21% 212) 9 9 10|SOı | SOr id. || = &F5 | 3)! 2) bedeckt, Mondhof. | 17208 221 2012032117206) 9 10 10) id. | NOt| N2 || S2= 5 | 9)| 3) bedeckt; Y, St. vor 5120.55 25.7 23.4 ]20.1 | 214 211| 9 } 3| Ni Ni Ni =) = | 5) | Sonnenuntergg. Gewitter | 6] 19.4 25.8 23.6 | 20.6 22.3 21.8; 1 2 1 | Stille Stülle NWi == 7@ ;ı 6)|und Regen. \ 71223 | 22.2.| 23.0 | 20.7 | 22.5 | 21.3 4 7 3| Ni s01 501 “2 m 7) 4) bedeckt; vor Son- 8121.01252'233/120041271 22] 9 | 3 | 2]|Sulle | id. id - 2 | 8) | nenuntrge. starkes Gewit- 9202 25.3 23.1]20.5 233 30| 8 1 ı| N2 NWı NW2|’ << = | 9)|ter und Regen 10] 20.9 | 23.8 | 22.9| 23.1 233 222] 0° 0 0o|JNWiI NW2 NW1|1Meer. Abds.| — 5) Mrgs. bedeckt, spä- 1/21 25 220/216 21 2329| 0 0 1| Ne Ni Na |! Apnsehir. | 40) |ter sich aufeiternd. | 12|23.7 26.1 251|252 258 3533| 1 1 %] id. 'NWENWiIll "RS |11)| 6) Einzelne Cirrhi. 13 | 26.0 | 26.7 | 258] 25.7 26.9 ,27.0| Ss 3 2/)SWı id. | id. |\Berdistan. | 12)| 7) Mrgs. fast bedeckt; 111 25.3 | 265 | 25.7 126.3 | 27.8 | 2382| 3 | 2 ı11NO1] id. id. 13) | cachher sich aufheiternd. 15 | 26.1 | 27.4 | 26.0 | 26.7 28.3 | 27.3 1 67 2 {NW Variabel | Variael I| Bay von | 4%) Ss) 9) id. 161254 | « « 127.8279| u zı/a73 | So1 | SOı SO 1 |j Pschirru.| 15) | 10) Abds. einige Cr. ) 171255| « unl27 |, « 101 9 j),24S021 02 | ®2 | 16)] 11) Cr., Cr.-C. den gan-] 18 \ u x @ { 10 3 2 id. id. s01 17)!zen Tag. j 19| « 1 « & « « 10 8 21 02 O1 O1 18) 12) Mrgs. fast bedeckt; 20] « « « « ) ü 10 4 1 | id. id. id. 19) | gegen Mttz. auf der Küste A| e« « a fr « « 8i’a2| 2| O1 | Ni Ni 20) | schwaches Gewitter. Nach. 22| 17.3 27.0 218] 21.6 « « 3 2 2| Ni Stille. Stille. en 21) Sonnenuntergang in NO 231 175/26.21232 1223/2641 250| 3) 8! 5INO1| O1 01 = 22): Wetterleuchten und bald 21] 17.812377 213] 217/250 / 2211| 2 5' 5INWı NWi' NWi & 23) | nachher einige starke Re- 251 17.3 2442/12071 2243/352/22.0| 1 1 2/NWw2 NW2 NW2 N - 24) | genschauer. 26] 14.8 2582131228 350 2338| 1 1 411 Wı NO1/SWı = 25)| 13) Cr.den ganzen Tag. 27: 20.8 23.3 2201| 223, 218 23.1 1 8 s| 02 02 O1 26) 14) Mrgs. Cr., welche 281 21.0 26.5 2341125|/2351/21.4| 2 1 2| O1 Stile. Ni 27)| später zunehmen; nach 29 | 20.5 252) 21.7 123.3 | 21.9|232| ı 1 31 ON 28) | Sonnenuntergang starke 30120.5/126.61219]35/351|3ı1| 1; 2| ı| id. id. id. ] 29) | Regenschauer. 16) bedeckt: Vorm. Gewitter, Regen und Regenbogen. In der Nacht 15) Mrgs. fast bedeckt, später sich aufheiternd. Vorm. wieder ein starkes Gewitter und Regen; um 9 Uhr ‚wieder ein Gewitter. 17) Mrgs. früh Gewitter und Regen. Fall von haselnussgrossen Hagelkörnern. Nach $.-Untergang Wetterleuchten im N und heftiger SOwind. 18) Mrgs. Re- genbogen. Vorm. Gewitter und Regen. 19) Mttes. starkes Gewitter und heftige Regengüsse. Abds. sich aufheiternd. 20) Mrgs. früh Gewitter u. Regen. Vorm. sich aufheiternd. 21) Cr., Cr.-C., Abds. Str. 22) Mrgs. C., gegen Mtig. sich |bedeckend ; Abds. aufheiternd. 23) Mrgs. früb Gewitter und Regen; Cr., Cr.-C. Mtigs. kleiner Regen 24) Cr. 25) Cr., Cr.-C. Nach S-Untergang leichter Regenschauer. 26) Cr., Cr.-C. den ganzen Tag, Nachm. sich bedeckend; Mondhof; |das Meer geht sehr hoch. 27) Cr., Cr.-C.; schwacher Mondhof. 28) Cr., Cr.-C. u. Str.; schwacher Mondhof. 29) Cr., 'Cr.-C. den ganzen Tag. Anmerkung. Die Temperatur des Schatt-el-arab und des Meeres wurde immer auf ibrer Oberfläche genommen. Bei den Beobachtungen über Lufttemperatur stand das Thermometer 12—13 Fuss über der Wasseroberfläche. Dezember 1862. Persischer Golf: indisches Meer. Lufttemperatur. Bewölkung. | Windrichtung. temperatur. Beob- Anmerkungen. F o =; @ [77 [ Anmerkungen 2 h. Abds, unlergang untergang Sonnen- Sonnen- Sonnen- Sonnen- unlergang Meeres- - 2082| 2542| 21.0| 23.0| 351/238] 2| 1 | 1[ 01 |NOL!| 01 Ye 1)| 1) 2) Cirrhi. 17.53 | 28.11 2211 2241| 24.7| 22.01 1 1 1 Ni Ni Ni | = 2) 3) Mrgs. fast bedeckt; 21.1| 26.0) 23.1 « ı 2128| 2338| 8| 5 5| O1 O1 O1 E 3) |später sich aufheiternd. 22.0| 27.1 | 24.2| 23.1| 2217| 237| 5| 2| 1| id. | id. |Stille.|} 2 4)| &) Zerstreute Cr. aus 18.9 | 28.2! 94.2| 22.8| 251| 24.0| 3 2 2 | Stille. Stille. Ni - 5) |INW kommend. 22.0| 211, 23.0| 23.1 23.7 23 0,471 Dr 0mro4 on ® 6)| 5) Cr, GC. 224 212 231|235 239 2327| 1 2 2|NWi Ni NO1| „ E 7)| 6)7)s) Cirrhi. Wegen 22.9 24.8 9236| 23.8| 24.4 2170.12 76.045702 1/02 | =27,==| 8)|Krankheit sind die Beob- 21.0| 257 | 23.5| 24.0 2415 212] 0 0 0| id. Stille. | Stille. ssfes — [achtungen vom 5.— 12. 23.8| 25.7| 23.6 « k « 0 0 0 |Stille. id. [051 ED: — | Dezbr. unterbrochen. 3412| 25.3| 23.2| 2120| 25.0 0! 0 0| id. | O1 | id. | Maskat. | _| 9) Cirrhi. 22.1 | 25.2| 23.1| 24.0 25.1 Al a I Pe a De Tel Para #7 ae © id. id. 9)| 10) Mregs. Str., spät. Cr. 222| 25.0) 23.9 | 22.1) 229) 22.8] 0| 0 | 0| id. |NO1 | NO1 id. — | 11) Cr. Cr.-C. Nach S.- 21.2| 26.1| 22.0| 22.1) 225| 21] 0) 0) 0| id. | id. |Stille. id. — | Untergg. im SW u. NW 24.2| 25.9| 22.3| 4838| « «l.010|) 0[ Ni. Ni | Ni | — | Wetterleuchten, leichter 23.1| 25.1| 24.8] 24.7] 2422| 237| 2| 1 I NO1| 01 || O1 10) | Regenschauer. Das Meer 233| 2382| 7] 2873| 2217| 2213| 2 | 3| 31 01 | id. | id. 11) |sehr unruhig. 2337| 23.6| 2353| 235 | 3237| 232| 5| 9 | 9 | id. |SO1|SO2 = 12)| 12) Fast bedeckt. Das 23.6| 25.2| 222| 23.8| 22.3|239| 5| 5) 3|SO1| id. |SO1 = 13) | Meer sehr unruhig. 228 26.0 251/222 251 22.3] 2 1 1 |Stille.‘ NO1 Stille. = 14)| 13) 14) Cr., Cr.-C. 22.1| 25.1| 227 | »ua | 2329| a6| 1 | 1 | 0 | Nt | id. |NO1 = 15)| 15) Cirrhi. | 22.9| 25.0) 2211| 21.521252 2327| 0o| 0| 0O| id. INWiNWI = — | 16) Cr.Abds.DerFeuch- 22.8| 25.5 | 23.8| 22.812511 248| 0 |°0| 1| id Ni id < 16) |tigkeitsniederschlag auf 22.8, 241.8 23.51 24.6 | 25.0 24.4 1 2 2 id id. id = 17)!dem Verdeck ungemein | [? Io 1 = 17) id. > Januar 1363. | | = | ie ke ie 7) Januar 1863. 23.3 24.5| 24.0] 24.2 24.4 sei +483:| 3: Nine Neu Ni = 18) | 18) Cr., Cr.-C., Strati. 22.7| 23.7| 231| 23.8| 223) 2.0| 1 | 111, id: id. id. 77 19)] 19) 20) 21) 22) Zer- 21.6 254 22.0| 235 221 237| 2 2 3|NO1 NWi NWi | 20) |streute Cr. Abds. vom 5. 21.9| 21.0 | 22.9| 21.2| 23.9 2351| 1 | 2| 2| id. |NO1|NO1 21) | Januar in Sicht von Bom- 22212522r.2122.01.9987 | 2231-3 | 1 | 1 1.-id. id. id. J 22) | bay. | PO ze Beilage VI. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien, angestellt an Bord J. B. M. S. Nitoeris von Lieut. W. Collingwood in den Jahren 1850. 1851. 1852. Stationen, die in dem Journal erwähnt werden: 1. Bagdad. 2. Gharrara, 1‘, Stunden unterhalb Bagdad, am Tigris. 3. Ctesiphon, 6 Stunden unterhalb Bagdad. 4. Howeisch, 7 Stunden oberhalb Bagdad. 5. Bassora, bei dem englischen Konsulate in Marghie (1 Stunde oberhalb Bassora). 6. Muhämmera. Die Temperaturgrade habe ich von Fahrenheit in Centigrade reducirt. Das Thermometer stand am Morgen auf dem Schiffe, von Vormittags an in der grossen Cabine unter dem Windfange. Die Windstärke betrefiend, bezeichnen die Zahlen 1—12 folgende Stärke mit eng- lischer Benennung: 0. calme 7. moderate gale 1. light airs 8. fresh gale 2. light breeze 9. strong gale 3. gentle breeze 10. whole gale 4. moderate breeze 1l. storm 5. fresh breeze 11. hurricane. 6. strong breeze April 1850. 93 Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im April 1850. z1 Thermo- April 1850 meter. Mittags, Sonnen- untergang. | Richtung und Stärke des Windes. NW2 und SO6 O zu N2 s014 SO 2-6 OSO und NWi4 NW 2-6, SO2 NW 5-2 NW 2 id. Sso2, NW2 NW 2-5 NW2 so2, NO2 NO2, NW2 NWı4 NW2 NW1 NW1, SO1 NW 2-1 NW2 NW3, SO3 SO3, NW3 NW2 id. id. NW3, SO3 N3 Wi tät erräwn es, Beobachtungsort. schön klar; einige Wolken Flussabwärts n. Bassora düster; wolkig id. wolkig; Regen id. Morgens schön; Abends Regen Bassora schön, einige Wolken Nach Muhämmera id. Muhämmera schön; einige Wolken; Abds. Wetterleucht. id. id. id. Flussaufwärts n. Bagdad id. schön; einige Wolken wolkig; bedeckt; Gewitter; Regen schön: einige Wolken id. Flussabwärts n. Bassora id. Mai 1850. Thermo- & meter. = UL - =; TS = 1 | 28.9 | 31.7 2 | 31.7 | 32.2 3 | 31.4 31.7 + | 30.0 | 31.1 5 | 28.1 30.0 6 | 30.6 30.6 7 | 33.3 | 32.2 8 |31.7 35.0 9 | 30.0 27.8 10 | 26.7 27.8 11 | 28.3 28.9 12 | 27.8 | 27.2 13 | 26.7 | 26.1 11 | 21.1 25.0 15 | 21.1 24.1 16 | 26.7 | 27.2 17 | 27.8 28.3 18 | 28.9 28.3 19 | 28.9 29.4 20 | 30.6 31.1 21 |31.1 31.7 22 | 30.0 32.2 23 | 30.0 31.1 21 | 30.0 31.1 25 | 29.1 31.1 26 | 30.0. 31.7 27 | 30.6 | 31.1 28 | 33.3 35.6 29 | 31.7 | 33.4 30 | 33.3 35.0 31 | 35.0 | 35.6 Br Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Mai 1850. Richtung und Stärke des Windes. NW. SO, N 2-3 NW3 NWı-6 NW 2-4 NW2, SO2 SO 1-2 NW2, NO2 NO, NW 2-3 NW 1-1 W, NW, NO2 SO, NW, SO2 SO, W 1-2 NW 2-7 sehr variabel SO, WSW2 sehr variabel SO, SW, NW2 NW2 NW 2-4 NW2 id. W zu N2-1 Witterung. schön; einige Wolken wolkig bedeckt schön; einige Wolken Mrg. schön, Abds. düster bed., Wetterleucht. id. Abends einige Regenschauer schön; einige Wolken bedeckt; einige Regenschauer schön; einige Wolken id. bedeckt bedeckt ; düster id. id. bedeckt; Gewitter; Regen Morgens Regen; bedeckt bedeckt Morgens schön; Abends bedeckt schön; einige Wolken Beobachtungsort. Flussabwärts n. Bassora Bassora Muhämmera Bassora id. id. Flussaufwärts n. Bagdad Flussabwärts n Bassora id. id’ m | | | ! | Juni 1850. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Juni 1850. = meer Richtung und I - 2 Stärke Witterung. Beobachtungsort. '2| = ‚=3=| des Windes. | FE [ge a I rn 1 | 33.3 | 35.6 NW2 schön; einige Wolken Abwärts nach Bassora 23 | 38.9 | 37.8 NW4-6 id. Von Bassora nach Muhäm- 3 | 34.4 33.3 NW 2-4 id. Bassora [mera 4 | 32.2 | 34.4 NW2 id id 5 | 33.3 32.8 NWA4-5 id id 6 | 32.8 | 33.3 NW6 id id 7.132.4| 33.3 id. Sandsturm Flussaufw. nach Bagdad 8 | 34.4 | 33.3 NW 5-6 schön; einige Wolken id. 9 | 35.0 | 38.3 NW3-4 id id 10 | 34.4 35.0 NWi4 id id 11 | 33.3 | 33.9 NW3-6 id id 12 | 32.2 | 33.3 NW2 id id 13 | 31.1 32.8 id. id Bagdad 14 | 30.6 | 33.3 id id id 15 | 29.2 | 33.3 id id id 16 | 32.2 | 32.4 id id id 17 | 32.2 | 33.3 id id id | 18 | 33.3 | 35.0 NWi prächtig id. 19 | 34.4 35.6) NWi, SO 1, O1 id. id. 20 |35.6 10.6] NW2, 02 id, id. 21 la « SO1, Ni id. id. | 22 | 43.3 35.6 NW2, S0O2 id. id. | | 23 | 32.2 | 33.3 NWw2 id. id. | ‚24 |31.1 30.0 id. id. id. 23 | 33.3 | 32.2 id id id 26 | 32.2 | 31.1 id id id 27 | 35.6 | 32.2 id id id 28 | 34.41 31.1 id id id 29 | 33.3 | 31.1 NW 2-4 id id 30 | 32.8 | 32.2 NW2, S2 prächtig; einige Wolken id. Juli 1850. oo wm wu N —- Juli 1850. % Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Juli 1850. Thermometer. Sonnen- 26.9 21.1 25.6 25.0 22.2 25.6 25.6 21.4 25.0 24.1 23.3 26.7 25.6 21.4 21.4 23.3 22.8 23.3 25.6 22.8 23.3 21.1 21.4 23.9 21.4 25.6 37.8 « 37.2 37.2 36.9 35.6 37.8 37.8 37.8 H.i 37.8 | 37.8 36.7 36.7 37.2 23.3 37.2 23.3 | 36.7 10.6 | 35.0 11.1 36.1 21.4 36.1 3 h. Abds, 11.7 38.3 38.9 38.3 38.9 38.9 37.2 36.7 37.2 10.6 38.9 37.8 10.0 40.0 40.0 40.0 39.2 37.2 37.8 37.8 10.0 10.0 41.7 11.7 40.0 37.8 37.8 38.3 HM. Sonnen- untergang. = or n 32.2 32.2 31.4 34.4 33.9 31.9 33.3 32.2 36.7 34.4 33.9 35.6 35.6 34.4 37.8 33.9 35.6 36.7 31.4 31.4 35.6 36.1 36.1 36.7 36.1 31.4 35.0 37.8 Richtung und Stärke des Windes. N, SW, Sı O zu N, SW 1-2 WNW, NO 1-2 SSW, NW, SW2 NW3 NW2 NW, SW, W2 NW 2-5 NW 4-2 NW 1-3 NNW, S zu Wi NW, WNW2 NW 1-2 N zu W, N 2-6 N, NW, W1-2 NW, WWS 1-2 W zuN, SzuW1-2 WNW, Szu W 1-2 N zu W 2-1 NW2 NNW 2-5 NW 2-1 NW 2-5 NW 2-3 Witterung. prächtig schön; einige Wolken id. prächtig prächtig ; dunstig prächtig id. id. prächtig; etwas dunstig prächtig id. id. prächtig; etwas dunstig prächtig Fall d. Tigriswas- sers in engl. Zoll. [Se Du © w DENN DDR GDDNDNKM Beobachtungsort. Bei dem Dorfe Ho- weisch am Tigris vor Anker August 1850. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im August 1850. S Thermometer. S Richtung und e 2 B sr | so - | & = Stärke Witterung. E Beobachtungsort. Ei s&| = < | E5 des Windes. 1 | 24.4 | 10.0 | 41.1 | 35.6 |WSW,SO,W, S1-2 prächtig 2 | Dorf Howeisch 2 | 23.9 | 39.4 | 40.0 | 35.0 W, Sw1-2 id 2 id. 3 | 24.4 | 37.2 | 38.9 | 36.1 W1-2 id 2 id. heisser Wind 1 |24.4|40.0| « |3.2| WSW, Sı-2 id 2 iq a 5 | 26.1 |38.9 | 20.637.2| N und S2-5 id. 2 id id 6 | 25.6 | 40.0 | 11.7 | 38.3 NW 4-6 id. 2 id. id. 7 |27.8|38.9 |21.1|37.2| NNW-W 4-6 id. 0 id. id 8 | 23.3 | 35.6 | 36.7 | 31.7 NW 2-3 id, 0 id. — 9 |22.8|35.6 |37.8|28.9| N zu 0, S3-2 id. 24% id. 10 | 21.9 | 37.2 | 37.8 | %« S, SW 1-2 id 3 id 11 | 22.8 | 35.6 | 38.9 | 35.0 NW2 id 4 id. 12 | 24.4 | 36.7 | 38.3 | 32.2 NW 2-6 id 3 id. 13 |22.2 | 31.1 36.1 | 32.2 NW 2-1 ia 3 id 11 | 21.9 | 35.6 | 38.1 36.4 NW, S2-4 id 2 id. 15 | 23.9 | 35.6 | 38.3 | 35.0 Ss, NW2 id. 2 id. 16 | 22.8 | 35.6 | 38.3 | 33.9 NNW 2 id 2 id 17 | 20.0 | 33.3 | 37.8 | 34.4 id. id. 1 id. 18 | 20.6 | 35.0 |37.2 | 333| W, NNW2 id. 1 id. 19 | 21.1 37.8 39.2 |36.1| NW, NNW2 id. { id. 20 |22.2| « 11.11 36.7 NWw2 id: n B 21 | 22.2 | 38.9 | 20.6 | 36.7 NO, NW2 id. 0 id. 22 | 23.3 |40.6 |22.8|37.8| N, NO, NNWi id. ) id. 23 | 26.1 10.6 | 22.8 | 37.2 NW0-1 id. ) id. 21 | 21.1 |38.9 | 10.0 36.7 N, SO 1-2 id. 0 id. 25 | 25.6 |41.7 22.2 |37.8| O zu S, SO 1-6 schön, einige Wolken | 0 |Höhenstaub; Sandwol- g 26 | 21.4 40.0 | 12.2 | 37.8| ONO, N, NW2-7 id. 0 |ken. Die Atmosphäre f 27 | 27.8 |37.8 37.8 30.4 NW 2-6 ia. 0 | mit Sand erfüllt ii 28 | 21.4 | 38.9 | 38.9 | 36.7 NW 2-5 id. ) Dorf Howeisch 1 29 |23.9 38.9 10.0 36.7 NW 2-6 id. 0 id, h 30 | 22.2 | 37.8 | 10.0 37.2 NW2-1 id. 0 id. 31 |22.2 37.8 40.0 35.6 NW 2-3, S id, 0 id. 18 a Thermometer. 1850. Richtung und “= N EN 2 ” = — - == Er B EB: Stärke Witterung. = ©] Beobachtungsort. ee Ss = os r* 22 = = |< |2%2 des Windes. DES =) el re ar! —R= r . —— = Ku SL. = pnl>- E® - | 1 | 23.3 | 40.0 | 41.7 37.8) NW, SW, SO2 prächtig Bei dem Dorfe Ho- | 2 | 23.3 | 37.8 | 40.0 | 34.21] SW, S, NNW2 id. 1 |weisch am Tigris vor 3 123.3 |37.2 | 20.6 31.7 W, WSW2 id. 0 Anker | 1 [23.3 | 38.9 | 11.1 35.0 | SW, S, WSW 1 id. N) id. | 5 |23.9 |a1.1 | 32.0 | 35.6 Ss, Nwi u. N) id. 6 | 23.3 | 37.8 | 10.0 | 32.2 NW2 id, 1 id. 7 | 19.4 | 33.9 | 36.7 | 33.3 NW5 id. 1 id. s | 21.4 | 35.6 | 38.3 | 34.4 NW4 id. 0 id. 9 | 21.1 | 36.7 | 39.4 | 33.3 NW 2-1 id. 1 id. 10 | 19.1 |38.9 |a2.2 36.1l NW. swa id. 0 id. 11 | 22.2 | 39.4 | 12.2 | 37.2 NW2 h ) id. 12 | 22.8 | 40.0 | 12.2 | 36.1 id. il 1 id. 13 | 22.2 | 37.2 | 39.1 | 32.1 NW 2-1 id, 1 id. 14 | 20.6 | 34.% | 36.7 | 31.7 id. id N id. 15 | 18.9 | 33.3 | 34.4 | 31.1 NW2 id, i 16 | 19.4 | 32.2 | 34.4 | 32.2 NW, W, SW 1-2 id. 17 |22.8 | 33.3 33.3 | 32.8 NW 2-1 id. 18 | 16.1 | 26.7 | 30.6 | 30.0) NW, SW2-5 id. 19 | 13.3 | 30.6 | 32.2 | 30.0 NW 2-1 id. ‚20 | 13.9 | 26.7 28.9 | 26.7 NW2 id. 21 | 18.3 | 32.2 | 31.4 | 30,0 id. id. 22 | 16.7 | 30.0 | 35.6 | 28.9 id. id. 0 id. 23 | 17.2 | 32.2 | 36.7 | 36.1 NW, SW 1-2 id. Yys id. 21 [17.8 31.1 33.3 31.7] W, S, NWo-2 id. Ya id. 25 [21.1 | 30.0 | 33.9 | 32.2] SO, W, NW 1-2 id. Ya id. 26 | 17.2 | 32.2 | 36.1 | 31.1 N, SW, S2 id. 2 id. 27 | 17.8 | 35.0 | 36.7 | 32,8 NW, SW2 id. 0 id. 28 1178| « |33.9 | 30.6 NW2 id. 0 id. 29 | 18.9 | 32.2 | 32.8 | 31.1 SW1-2 id. 0 id. 30 | 19.4 | 28.9 | 31.7 | 28.3 Ssw2 id. 0 id. October 1850. 99 3 Thermometer. nen nd Seirke Tigris „| = ler 5 | a Be | wo] | Sles = | s2l32 = | = 3: 558 S SEES 62) Sl 1| 18.3 | 31.1 | 32.2 | 31.1 S IWNW|WNW WNW|2|2/010 2| 21.1 28.9 | 34.1 32.2] SO N INNW|INNW|I2|2Jo|o 3|22.2 | 35.0 |36.7|31.7]0S0 0SO S |Nw|al2[/0|0 | 20.0 | 29.2 | 35.0 31.7] NW | NW | NW | id. |64/2|0|0o 5| 18.9 | 30.0 | 35.6 129.2 | id. | id. id. id. |2/2J0|o 6 | 17.2 | 32.2 | 33.9 | 32.2 | id. id. id. id. 2111010 z|ı8.9 | 34.2 | 35.6 |32.2| N | id. id. id. |2/213|0 8 | 20.0 | 31.1 |33.9 |31.1| NW | id. id. ide |1)2J0|0o 9 | 19.4 | 31.1 | 33.3 | 30.0 | id. id. | id. id. 1/2[0|0 10| 18.9 | 29.4 | 33.3 | 30.0 | id. | id. id. id. |2|2lolı 11! 18.9 | 31.7 | 34.2 | 31.41] id. | id. id. id. |2|2lo0oJı 12. | 18.9 | 31.1 | 36.7 | 32.2] id. | id. id. id. \2|2Jolı 13 | 20.0 |32.8|35.6 33.3 | id. | id. | id. | id Jajıjolı Min | 19.2 | 32.2 | 36.7 132.8 | id. | id | id lie Jılalolı 15 | 18.9 | 33.3 | 32.2 | 32.2 | id. id. id. ide 102217251700170 Mlıs| 18.3 | 30.6 | 33.9 |30.0| id. | id. | id. |mno|2/ılo|o 1117| 16.7 | 32.8 | 33.9 | 32.2 | id. |variabelvariabell ONO | 22|0|12 Hıs| ı7.s |31.7\32.8|30.0| 0 | 0 0) o \2l2lolı N19| 18.3 | 30.0 |31.1|29.2| SO | SO | SO | so [212010 Ii20 | 20.0 | 26.1 |30.0 28.3] id. | id. | id. | id. |2!2J0)o 1121| 19.4 | 28.9 | 31.1 | 29.4 | id. id. id. id. 2 127,070 122 | 16.7 | 25.6 | 30.0 |26.7|nw | nw | uw | sw |2|2J0|0 1123| 17.8 | 27.8 | 31.1 26.1| id. | id. id. ide |2|2]0|0 124 | 17.8 | 26.1 |28.9 | 25.6 | id. | id. id. ide a 1 125 | 17.2 | 25.6 | 31.7 | 26.7 | id. id. id. id. 172 | 1192| 0 126 | u.a 27.2 | 31.1 |28.3| id. | id. | id. id. \2 2 [17 |o 127 | 15.6. 125.6 |30.0|27.8| N | sw | sw | so |2|2[0|0 128] 17.8 | 26.1 30.6 27.2INW | NW | NW | NW |2/2|0 #% 129| 17.8 28.9 31.7 |27.2| id. | id. id. ide \2|210|6 130 | 17.2 | 25.6 | 28.9 |26.7 | id. | id. id. ide |2|210|3 Isı|ır.2 25.0 29.2 26.1| id. | id. | id. | id. I2/2lo|c = Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im October 1850. Witterung. Beobachtungsort. prächtig Vor Anker bei dem sehön, Wolken Dorfe Howeisch bis Morg. ein Regenschauer, be- Ende October prächtig [deckt id, id. id. Abds. variabel variabel, Abds. Regen Morg. schön, Abds. düster prächtig schön, Abends bedeckt prächtig id. bedeckt, veränderlich bedeckt bedeckt, Regenschauer id. prächtig variabel, Thau variabel schön, einige Wolken prächtig id. id. 30. 27/2 engl. Z. — 100 — November 1850. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im November 1850. Wind Thermometer. e Richtung | Witterung, Beobachtungsort. aufgang Sonnen- November 1850, aufgang Sonnen- 1|17.2|26.1 129.4 127.8| SO | SO | SO | SO |2|2[j0|6 bedeckt Dorf Howeisch | 2 | 15.6 | 29.4 | 26.7 \ NO NW | NW Nw Iı 12/00 variabel, bedeckt id, | 3 | 16.1 | 30.6 32,2 25.6 | SO so so so 1127070 bedeckt id. alıs.ıla1.1/322| « | id. | id. | id. | id. J1/3[0j0 schön, Wolken id. | 51 15.6 | 30.6 | 31.1 | 26.7 | id. id. id. NW !2|6|0|0 prächtig id. 6| 16.1 | 25.0 | 30.6 25.6| NW | uw | nw | ia. !alslolo id. ja. | 7|16.1 32.1 132.2)29.4| id. id id. id: ' P2 | 291.0:|,0 schön, Wolken id. N 8|17.8 | 24.2 29.3 | 26.7 | id. id id. id | 6 2/00 bedeckt id. | 9| 16.7 | 25.6 | 33.9 |27.8| NO | SO so so !2|/2Jo'o id. sa | 10 | 16.7 | 27.8 | 32.8 | 30.0 | id. id. id. id 2121010 schön, Wolken id. 11 | 16.7 | 27.8 27.2|26.1] SO id. N NW !2!2!0'0| Thau, schön, Wolken id. 12] 15.0 | 21.2 | 25.6 19 2| NW | uw | nw | ja. Is /alojo schön, Walken ia. 13 | 12.2 | 23.3 | 23.3 | 20.0] id. id id. id 411310/0 id, id 14| 7.8 | 21.1 20.0 16.7 | id id id. id. |2/2Jolo id. id 15) 8.9 | 20.6 | 20.6 | 17.2| id id id. |" ad. #2 |:20101/0 id id. 16 | 10.0 | 21.1 | 21.1 | 20.0) id. | id id. |’ id. |2 274% o id. Thau |\ Totalsteigen des 17| 10.6 |20.6 |25.6 |19.2| id. | id. | id. | id. [2/2|3|0 id. ja. leere 18 | 10.6 | 25.6 | 21.1) 19.2) id. | id | id. | id | 2 2|ı | 0| Thau, schön, Wolken Bagdad 19] 10.6. 120.6 20.6 115.6] id. | id. | id. | id. 2)2)0 3% prächtig id. 20| 7.8 22.2 21.4 18.3| N variabellvariabell SO | 2 nö] 0 | 2 |Mrgs.schön, Abs. bed.,Re- id. jzı| 8.9 16.7 17.2 |45.0|nw | Nw | nw | nw ‚2/2|0 1 schön, Wolken [gensch. id. el 7.8 18.9 /21Al17.8| id. | id. | id. | id. Ielelolo prächtig ia. 23| 7.8 18.9 22.8 1z.2| id | id. | id | id [2l2lılo id. id. 21| 7.2 20.6 22.8 |17.2| id. variabel SW so 2 ost /o variabel, bedeckt id, 35| 7.2 10.27 18.3] SO | SO | SO | id. E '6|2/0 bedeckt id. 126| 7.81 10.2 22.8 19.3| id. | NW | NW | NW ı2|2j0|3 schön, Wolken id. al 2slemeles0lı5clnw| ia | id | id. j2j2j0|2 id. id. \38| 7.8 20.0/22.8 17.8| ia. | id.“ id | id. Te EINE id. id. 29| 8.9 28.3/23.9 20.0) id. id. | id. | id. [2/2[0|/o id. Flussabwärts 30) 1.4 25.6 22.8 |18.9| id. | id. | ide | id. |2/2Joio ide Reif id. | | 2411/2192 engl. Z. Dezember 1850. | = Thermometer. 3 = & en € Elo=s| |. alse|3| “ 1] 6.7 | 26.7.) 26.7 | 19.4 2| 3.3 | 20.0 | 25.6 | 18.9 3| 6.7 20.6 | 16.7 | 15.6 #| 6.7 | 19.4 | 18.9 | 16.1 5| 8.9 | 21.1 | 19.2 | 16.1 | 6| 7.8 |21.1| 22.2 | 19.4 7| 7.8 19.2 | 21.1 20.0 | 8| 7.8 |17.8 | 17.8 | 15.6 I 9| 1.1.122.8 | 23.3 | 18.9 10 | 5.6 | 19.4 | 22.2 | 20.0 11| 7.8 | 16.1 | 17.8 | 16.1 12 | 5.6. | 14.4 | 18.3 | 15.6 13, 333ul14.1 | 11.1064 14|-5.6 111.7 |15.6 | « 15| 0.6 | 16.7 16.7 83 16| 2.2 | 15.6 | 19.2 | 15.0 17 | 1.1:| 12.8 | 18.9 | 12.2 18| 1.1 | 13.3 | 17.2 | 10.0 19 | 1.1 | 14.2 | 15.6 | 19.8 20| 0.3 17.8139 83 21|-0.6| « « « 22|-1.1|15.6 |172| 89 23| 0.6 13.9 | 45.0 10.0 24| 2.2 |17.8| 15.6 15.6 4125| 1.4 15.6 17.8 14 126 | 5.6 17.820.656 12.8 27| 2.2 |12.2/20.0 133 28| 3.9 13.3 114 7:8 29| 2.2 |10.6| 8.9) 89 30| 5.6 13.3 100 10.0 31| 5.6 17.2 21.1 12.2 Wind Richtung Stärke Lied ER ® Pest: el Witterung. = |iP|z NW. S Ss s |2|#|0olo schön, Wolken w. sw | sw ı' sw I2|2| 00 id. SW id. NO idtz 62 109 0 nebelicht, variabel so so so so |22|o.o bedeckt id. id. id. id. 2 20 0) 0 id. id..| NW | NW NW |2,2| 0/0 schön, Wolken NW id. id. id. |2 3| 0/0 bedeckt, Regen id. ide |; NNW NNW |2|2| 0/0 schön, Wolken id. Ss so so #ı|2| 0| 0 id. so so id. id. 12:6 64] 0) 0 bedeckt, variabel id. NW ide |NNW|2|2| 0/0 bedeckt, Hagel NW W \variabellvariabel| x 2 | o| 0 schön, Wolken id. ' NW NW NW a2'2!0|0 bedeckt id. id. id. id. | 2/2 0/0 schön, Wolken id. id. id. ide, 82 1°247.6|°0 id. id. id. id. id. |2|2]|20| 0 id. id. id. id. id. |2/2| 4|0 id. id. id. id. id. 12|2|03 id. id. id. id. ide 2,2 | 0 5 |Mrgs. schön, Abds. bedeckt id. id. id. id. : 7144923150116 schön, Wolken id. id. id. id. 1 101 0) 6 variabel id. id. id. | id. ,1,2| 0/0] schön, Wolken did, | dA; lt Adi #3 2010170 id. Thau variab. variabel S S | 22 Jg 3 id. s0 | So so so [22] 0|2 bedeckt, Regen id. | NW. NW | nw |2 2 0,2 bedeckt NW id. | id | id. [2/2[| 10 id. id. SW sw Ss | 2,2 8 | 0 variabel, Regen so so so so |4 6|0 2 Regen id. id. id. ide a ed id. id. !WSW wsw| w. !2\2| 00 bedeckt 36 29 engl. Z Flussabwärts id. id. id. Bassora id. id. Flussaufwärts Januar 1851. 1m vw we ww 1O — 12 — Januar 1851. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Januar 1851. Wind Thermometer. Richtung Stärke Tigris sel/« = Ü - ı ES |® > 8 Witterung. Beobachtungsort. | 25] * a:| = | = [as |3 5] ® 5.6/14.2/12.2| 91 SO | SW | NW | NW | 341210 schön, Wolken Unterbalb Bagdad | 0.0 10.0 12.2 8.9| NW NW id id. | 2/2210 bedeckt id. 2.8 14.4 10.0 13.3] SW SW SW SW }2|2710|0 schön, variabel id, 06) 9.41| 61| « id. |; id. id id. 2 #0, 0 |bedeckt, noch aufgebeitert id. 28| 83| 83/12. 2|l NW | NW NW NW I21/210j0 schön, Wolken id. -2.2 10.0 10.0 12.8| SW | SW SW | SW 1.2/210|0 id. id. | 0.0/11.1/133 « | SO 0::/OzuN: N }1/2/0|0 id. id —1.1 142.4 | 15.6 | 11.7] NW | NW | NW | NW !21210|0 id id | 1.7 15.6 16.7 10.6| id. id W Ss 2 3/00 bedeckt id. | 1.3 23.9 | 13.9 12.8 | SO S NW | NW |2 2/0 0 |Morg.bedeckt, Abds. schön id. | 2.8/18.3 | 18.9 12.3] NW | NW id id. |:1 | 2.]-0 | 0 schön, Wolken id. | 2.4/19.4 |17.8 | 13.2] id. | id id id. 2 | 20 | 0 |Morg.schön, Abds. bedeckt id. 1.1,13.3 15.0 11.1! SO | SO | so | so |2|312 | 0 !xrgs. Regen, Abäs.schön Bagdad 6.1 | 16.7 | 17.8 | 15.6| id. | SW NW | NW |& 20 0.|Morgs. Regen, id. id. 6.41115.6 16.41 11.7|NW | NW | jd id: 2124210 schön, Wolken id. | 5.6 16.7 18.9 11.1| id id id. Isid j2i2J0jı jR; id. 3.9 118.3 | 18.9 12,8 | id. id. id id 2/2110 id. id. | 2.2 19.4 | 18.9 | 15.6| id. id id | id h2j2]J1lo id. id 39 20.0 20.6, 14.4| SO | SO |, SO | SO a1 6|% 0 bedeckt, Regen id. 4.1113.3 15.6 11.1 Ss S variabel'variabel; 4 | 3 | 0 | 0 | Mrgs. bedeckt, Abds. schön id. 7.2110.0|13.3| 10.0] SO I NW | SW | NW |2|2/1|0 Nebel, schön id. 5.6 j11.1|12.2/ 11.11 NW id.) NW | id. |2/3] 1/0 schön, Wolken id. 5.6 20.0 21.1 10.0| id. | id. | id. id. |2/2]1)0 bedeckt id. 2.2.2.0 21.1 13.3| id. | id. | id id. |1|2|[0 2] Nebel, Abends variabel id, 6.7113.9 11.7 11.1| SO | SO so so Jı1/2]j0|o bedeckt, Regen id. 5.6 115.6 16.7 10.6] S | NW |; NW | NW |2 | 2|1"% 0 bedeckt id. 23/194 21.1 1843| NW | id. | id. id. ‚2,21% 0 variabel id. 12 228 id | id id izle bedeckt id. 5.6 111.7 12.8 10.0| SO | SO | SO | SO '2/3j0jo id. id. 6.1128 128 10.0| id. | id. | id. | id. 16|6|01] bedeckt, Regen id. 6.7 21.1 21.1 15.6| id. | SW |WSW|WSW 3 2 |1 0 variabel id. 19'/, 3 engl. Z. — 13 — Februar 1851. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Februar 1851. Thermometer. Witterung. Beobachtungsort. Sonnen- aufgang Sonnen- untergang Sonnen- aufgang Sonnen- untergang schön, Wolken Bagdad bed., Gewitter, Regen,|Flussabwärts n. Bas- bedeckt [Hagel id. [sora id. schön, Wolken Nebel, bedeckt Bassora Regen id. bedeckt Flussaufw. n. Bagdad Nebel, bedeckt id. schön, Wolken id. bedeckt id. schön, "Wolken Ise air Aneanz Monats bedeckt ei is heute war der | 8 on ÄSıNDpBNo on nn 6o SeNHOoOnNMD MW ne ‚12.8 NW | | 16.1 |variabel S variabel | 13.3 | SO so so 13.9 | 22.2 | 13.3 |variabel NW NW 17.2 20.0 14.4 i i 18.9 18.9 | 15.0 18.9 21.1 | 12.2 18.9 18.9 13.9 23.9 23.3 15.6 20.6 25.6 18.3 10.0 20.0 | 21.1 15.6 13.3 | 25.6 | 33.9? 15.6 11.1 | 17.2 | 22. 15.6 13.3 2.6 27.8 18.9 12.2 23.3 | 30.0 22.8 6) 6. ug 6. 3. T. 1. 2. le Un 6. 3. 6. 3. 3. 6. Fluss 84 Zoll ge- stiegen. Bagdad bedeckt "Bagdad Mrgs. bedeckt, Abds. schön schön, Wolken DD DD DOCK SI Nor oro. 5 © © .© Sr a7 Sr 9 = 7. © ııosıso © BPDBDODNNDNDw schön, Wolken Co) som nn on © NG) „wm oo wm bedeckt schön, Wolken ww DD wu wmN w w ww wm w 99 67V2 engl. Z. 104 — März 1851. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im März 1851. Wind Tieris x Richtung Stärke] ” = u Ri a8 ex 4 S B j 8 & S|= Witterung. Beobachtungsort. es zus|I 25 = = eb I= ||| 2 # = Sala = a5 je |2|” 117.2 | 27.8 | 28.9 | 25.0 Ss SW ı SW NW |2!210|0 schön, Wolken Bagdad alı1.1| 25.6 22.211941] NW | NW | NW id 2|2/j18| 0 id. id. 3| 10.0 | 22.2 | 22.8 | 13.3 | id id. id. SO. 12 |21,0 | 0 id. id. A| 13.3 |28.3 | 26.7| « so so so id. |3/5[0/0 bedeckt Nach Bassora 5| 15.6 | 32.8 | 35.6 | 26.7 | id. id id id 66|7|00 id id 61|15.6 | 23.3 | 26.1 18.3 | id id NW | NW 16 3 0 id id 715.6 |25.0 | 21.2) 15.6 | NOO |0OSO | SO so | 3/00 id. Bassora 8lı5.6 | 22.2 22 21.1] NO |NON| NW | NW |3|2[0|0 id Muhämmera 9|13.3.| 22.2 | 21.2 |21.1| NW | NW | id. | id. 2 121010 schön, Wolken id. 10 | 13.3.| 24.2 | 22.2 | 15.6 | id. id. id. id: 112 1:8):0:| 0 id. Bassora ulıs.s 2nnl256 1061| id. id | id id I2]j2l0lo id. id. 12| 15.6 | 23.3 | 26.1 |26.7| id. |OSO| id. id. |2/2[0|o id, Nach Bagdad 13 | 13.2 | 21.1 | 25.6 |17.38| id. , NW | id. id. |212/0/0 id. id. 14) 12.8 | 20.0 | 19.4 | 14.4 |variabel OSO | SO so 2 2/00 bedeckt id. 15 | 13.3 | 26.1 | 25.0 115.6] SOO ı SW | NW | NW |2/3/0'0 id. id. 16| 11.1 21.1198.3 1183| SW | id. sw | Sw 2/2|0 0 schön, Wolken id. 17| 7.8 | 21.2 126.1118.9| NW |NW | NW | NW | 2 | 2 [96 K id. ( Bagdad ı8| 8.3 22.2 222 189| id. id. id. id. 1212/80 id. re 19| 10.0 |23.9 | 23.3 |18.3| SO ; SO | SO SO ı2/2[0|3 id. 96 Zoll gestiegen. 20| 11.7 26.1 126.7 21.7| sw |nw|nw | nw|2/2lo|a ia. Bagdad 2ıl12.8/22.1|26.7|22.2| NW id. id. | id. ‚2|2|0 2 id. ia 22 | 15.6 | 18.3 | 22.2 15.6 | id. id. id. id. 12/2/0|0 bedeckt id. 23 | 11.7.| 21.4. | 27.8 | 22.2 | id. id. id. id. 13/3[0/0 schön, Wolken id. 21| 13.3 26.7 28.3 |21.1| ide id. id. id. |3/3|0/o id. id 25|12.8 97.8 289 m2| sw sw sw Sw 2|2|3 0 id. ia 26 | 13.3 | 26.7 | 28.9 | 21.1| NW | id. id. id. 12|2|30 id. id 27| 15.6 126.7 27.8 26.7] SO | SO | SO | SO |#16 13%, 0 bedeckt id. 28 115.6 | 23.3 | 21.4 | 22.8| id. SW| NW | NW |#|2/|3|0 schön, Wolken id. 29 | 11.1 21.1 26.7 |21.1| NW | NW | id. id 2.2065 0 id, id 30 | 15.6 26.1 24.2 121.7] id. | NO N 1 N 2 | 2 |31%| 0 id. id. 31|13.3 25.6 |26.7 24.1] NO | id. \variabelivariabell 2 2 |3 | 0 id. ia 166.7 engl. Z. April 1851. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im April 1851. Wind = Thermometer. Richtung Stärke Tigris. | > = | BE 5 3 53l28|5 | 5 |: Eee: Zr ee ee | = ee 1|12.2|23.3 25.6 23.3] NV |NW | NW NW |2 2|5|o0o bedeckt Bagdad 2|15.6 |25.6 125.6 |222| NO NO | NO | NO 2 oa|l3 o id. id. 3| 15.0 | 26.7 | 32.2 25.0| SW sw| sw | Sw |2 2|2 o schön, Wolken id. 218.9 |28.9|30.6|222| ie |w| w| ww 2 2|2 | 0 prächtig id. 5 | 15.6.) 25.6 | 26.7 |22.2]| W |NW NW NW |2|215 0 bedeckt id. 6| 12.3 | 25.0 26.1 |22.2| NW ide | de id 2 213% 0 schön, Wolken id. 7| 15.6 27.8 27.2) 24.4| id. | NO |ı NO Nom ae bedeckt id. 8|20.0 27.2 30.0242) id. |sw| sw | sw [2 |2|3| wolkig id. 9 | 17.8 | 28.9 | 30.0 | 27.3| NO | No | NO | No |2 l2lı id. id 10 | 17.8 | 25.0 | 25.6 |24.2| id S so SO7ZIE22 520 | 2 id id Aa) | 17.22 026.% | 26.4 26.1. | SON | SO) | id. id. |2 | 2| 031, id id 12| 18.3 | 24.4 | 23.9 |21.2| NO | NO | NO NO |2|2 id Flussabwärts n. Bas-, 13 21.1] 30.6 |31.1 |26.1| SO | SO | SO | SO |2 2| | id. id. [sora 111222 27.8 28.3 1256| NW |nw | nwW| O |2 2a) id id 15 | 21.1 | 30.6 | 31.1 | 26.1 (0) (0) ide |'NW | 1 [1 | prächtig Bassora 16 | 22.2 | 27.8 | 28.3 | 2356| NW NW id [ehsel | 2/2 | schön, Wolken Mohammera. 17|21.1 129.4 32.2 26.7] O 0.) Ton Maria id. id. 18 | 21.1 | 30.0 30.0 125.0| SO |INW | NW Inw |2 2 | prächtig Bassora. 19| 19.2 | 28.3 27.8 |2u.2| NW id. | id | id |212| | id. id. 20 |20.6| 29.2 130.6 |25.6| id. | id. | id. | id. 1212| | variabel id." 21|22.2|30.6 28.9 25.6] SW SW| SW | sw 2 2 bedeckt id. 22|25.6 25.6 « l2u.a| NW |NW | NW | NW |6 8 schön, Wolken id. 123 17.8 | 25.6 26.7 25.0 | id. ide | Kid ob Alam bedeckt, Regen id. 2: | 18.9 125.0 26.1 25.0| id. | id | id | id 1212| | schön, Wolken PR 55 [21.1 26.1|27.8 |22.2| id. | id. | id. | id. 21a id, id. | 26|20.0 267 « 29.4] id. | id. id. | id. [2 |2 | id. id ler | 22.2 | 30.0 Ianı ers| ia | id. | id. ee id id. Das | 21.1 129.4, 31.1, 278| id. | id. | id. | id. 1212| | id id 129 | 20.6 30.6 31.7 28.9 | id. id. | id. | id. |2|2 id. id 130 | 21.1 29.1 30.0 28.9 | id. id. | id. id. |2|2 id id. | | May 1851. — 106 Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im May 1851. May 1851. Thermometer. aufgang Sonnen- Su DD v8 -» Gr Ge Se a DD m mn me ww ww WW m DD DD BKRHKKDOH = e sr 0 vi non» ww on 26. 157 re -1 25.6 25.6 267 23.9 21.1 25.6 25.0 25.6 26.7 26.7 26.7 21.4 25.6 26.7 | Mittag 32.2 35.0 35.0 31.4 36.1 32.2 32.2 32.8 33.3 35.6 35.0 37.2 37.8 37.8 31.4 38.3 39.4 35.6 w De a mem Se 80 DSB —- 35.6 31.4 33.9 35.6 35.6 36.1 37.8 36.7 36.7 35.0 35.0 36.1 36.1 37.8 "38.3 38.9 36.1 10.6 10.0 37.8 21.1 38.3 30.0 be Sonnen- NW id. NO NW id. so NW id. id. so NW NO NW id. id. id. NO so id. Wind Richtung NW |! NW | NW id. id. id. NNW | NNW | NNW NW | NW | NW id. N NO SW so >10) NW NW variabel id. id. id. SW variabel SO id. id. id. id. id. variabel N NW so NW variabel NW id. NW id. id. id. calme SW SW variabel id. NO Ss NW variabel NO so so so id. NW N NW id. NW NO 16) so NW | NW | NW id. id. so id. id. NW id. id. id. variabel variabel O so so NW NW | NW id. id. id. id. id. id. id. . ct D- [NND N DRM NO a u Stärke we ei u © ‚o = ru 2/1 2.4 | Sl 2.174 2,18 1144 2141 Dr] 2.143 1 1 DD ww TO Witterung. wolkig variabel id. schön, Wolken wolkig; starker Thau schön, Wolken prächtig ‚schön, Wolken; sehrschwul variabel id. prächtig id. id. id id. id variabel bedeckt; etwas Regen schön wolkig variabel id. prächtig wolkig prächtig id, variabel prächtig variabel id. id, | Beobachtungsort.' Bassora | h I | flussaufwärts nach Bagdad Juni 1851. Meteorologische Beobachtungen im Untermesopotamien im Juni 1851. Thermometer. chende 2,8 Stärke Tigris. | Sl er fen Sara lee Witterung. Beobachtungsort. Nas 2 | s2 |5/8|2|= an 3 n = | | zZ an = > | z un Be 34.42| NW | NW | NW | NW 112. [49/02 25 prächtig Bagdad 32227 nr ideas id. 0. ad id. 10 In Non A variabel id. 32a ide, id. | ad Inlid. Kanlaanlore prächtig id: 1328| id. | id. | id. |came Jı [olo|2 schön, Wolken id. 5 | 26.7 | Stel Ede nd: ide | NW Iı3/2l0|4 wolkig id. | 6| 26.7 [34.2 [3.2 | st ınnw| id. | id. | id. Jalalo|s schön, Wolken id. z|[21.2131.11333 [294 nW| id. | id. | id. [alaljo|s prächtig id. | 8| 22.2 j28.9 31.1 \127.8| id. | id. | id I id alwl010 schön, Wolken id. 9|23.3131.7|32.2|30.0| id. | id. | id. id. Jajalola ia. id. | f0| 23.0 [31.7 |32.8 |31.1| id. | id. | id. id a0 [735002150 id. id It | 23.9 132.2 132.8 31.7 | id. | id. | id. id. 3 | 30) 0 lo id. id l12|22.7 30.6 31.7 29.4) id. | id | "ade ı lach Kar nagılod| 2 id. id. 131 23.3 31.1 35.0 32.2! id. | NNW| NNW | id. 13|2,70|2 prächtig id in | 23.3 |36.1 | 37.8 |32.2| id. |Nw | NW | id. |2|2Jo|a2 schön; Sandwolken id. | 15 | 23.3 | 34.4 36.1 33.3 | id. | id. id. id. |2)2]0|2 schön, Wolken id. | 16! 23.3 134.4 |36.1 32.8] id. | id. idh 0 ıdi | 027 1,211.0 | 2 id. id. 17|26.7|36.7 38.3| 34.2] id. | id. id. | id. | 2|2]|0|12 id. id. | 18 | 26.7 | 36.1 37.8 33,3 | id. I id. id. | id. |2|12Jo|6 prächtig ide | 19| 27.8 137.8 |20.0 1350| id. | id. | id. | id. [2 2|0 3% id. id. 20 | 26.7 | 37.8 | 38.9 |35.0| id id. id. | id. | 4|3|0 3% schön, Wolken id. 21 | 27.8 | 32.8 | 34.4 |32.2| id | id. | de Im ick | ea namıyan 2 prächtig id. 22 23.9 |32.8 3282 30:6, idas| ide | ce aid 1622 522005 id. id. B3 22.2 |32.2 35.6 32.2| id. | id. | id | id. [2|]2j0|3 id. ia DD: | 22.8 35.0 35.6 1322| id. | id. | id. | id. |2/2[010 id, id 6; |22.2|37.2 20.0 3350| NO | id | id. | ia [1 lılo|s id. sehr schwül[Das Schiff bei Ghar- 622.2 [38.3 21.7 35.6|NW | id. | id. | id. 13/3j0|3 id, id. rarah B7 | 22.3 |36.1 |37.8| 33.3 | id. | id. da |". id (637) 38072 id. id. id 28 | 21.7 |31.4 37.2 1322| id) id. | id | id jalal0]2 id. id. id 29 [22.2 |34.2 |38.3 32.8 | id. | id. | id id. [2/[3[0|0 id. id. id 80 |26.7)83.9 |37.8 32.8| id. | id. | id , id. [5|2j010 3a ia | 085} engl. Z. er — 105 - Juli 1851. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Juli 1851. | Thermometer Wind ri = 1! ; De Richtung Stärke] = = E „Is 7 ö se 182|8|-|_ Witterung. Beobachtungsort, Piesi5 iz = |ı = Is2l5lei3|s | ja Jajse]lsr Fern ıl23.9|& |36.7/33.9| NW | NW | NW | NW |2 |3710 |0 prächtig Gharrara 2|23.3 31.41 | 37.2 | 30.0 | id. id. id. id. 41310|3 id id. 3| 23.3 | 36.7 37.8 | 31.7 | id. id. id. id. 3/4]|0|3 id id. 1] 21.1 | 35.0 | 37.2 | 32.8| id. id id. id. Al210| 2 id. id. 5122.41 |38.9 | 39.4 | 32.8] NNW| NO id. id. 3410| 2 id. id. 61 26.1 36.1 10.6 135.0] NW | NW id. id. 2/1110|3 id id. 121.4 |35.0 39.4 | 35.6 | id. id. id. SW /1/1]0|2 id. id 8126.7|38.9 1.1 |36.1| id. id. id. NW /1j1]j0]2 id. id. 9| 25.0 | 39.1 11.7 | 37.2| id. id. id. id 1] 491 012 id. id. 10| 25.6 410.0 41.1 35.6) id. id. id. id 19100 8 id. id 11126.7 39.1 11.1 35.0) id. id. id. id 41|42j0 1 id. id 12| 26.7 37.2 38.9 |34.4| id id. id. id Alaloji id. id 13 | 26.7 | 37.2 38.9 | 34.4 | id. id id id 4|42/0|1 id. id 14 | 26.7 | 33.9 35.6 | 32.8| id. id id id 5|5[0|2 id. id 15 | 23.9 | 33.3 | 35.0 | 31.7 | id. id id id 5/16/0|2 id id 161 25.6 | 34.4 35.6 | 30.0) id id id id 66/00 id. id. 17 | 26.7 | 35.6 10.0 35.6 | id id id id 6/6|0|0 id, id 18 | 26.7 36.7 40.6 33.3 | id id id id 41|2|01 id. id 19 | 21.4 | 35.0 40.6 33.3 | id. id. id. id. 43|3|02 id. id 20|26.7 36.1 39.1 35.0| id. id. variabel SO 2|1[0,3 id. id. 21 | 26.7 |37.2 21.7 35.0| SW | SW So | No ‚1lJ1lo|2 id. id 22 | 26.7 21.7 |21.7135.0| NW |NW | NW | NW |a|2Jo|2 id. id l23| 21.1 37.8 10.6 33.9| id. id. id. ide 3, 3[0|2 id. id 241 25.6 |34.4 | 37.2 |33.3| NO | id. id. de 82: 230 | © id; id 125123.9 36.1 37.8 33.3] NW id. id. id. | 2 2|0 | 2 id. id. 126 | 26.1 25.0 39.4 33.9 | id. id, id. id. 2|2/0,1 id id, 27|25.6 37.2 38.9 33.3 | id. id. id. id. 2/4100 id. id 1281 27.2 | 38.3 10.6 34.4| ide id. | id. id. ‚#/3)0,0 id. id 29|30.0 38.3 10.6 35.6| id. id. | id. | id. 22|0 0 id: id. 30| 30.0 37.2 10.0 35.0| id. | id. | id. id. A 'alo'o id. id 31125.6 35.0 10.0 33.9| id. | id. id. id. |2 2lo ı ja id 0 47 engl. Z. August 1 851. 109 Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im August 1851. Wind 3 Thermometer. Biehtane SE Tigris. 2 |‘ = | el | 8 = EIE| [El Witterume. $ = E = | |< 213/182» \ = |as]3®|# | = Jasl2leja® 1| 24.4 | 35.6 41.1 |35.6| NW NW | NW NW 1 prächtig BI 226.7 | 38.3 |12.8|37.2| SW | SW| SW SW El 1 170 1.01102 id. | 3| 26.1 412.8 441.41 40.0] SO NO id. calme |111|0|% id., ‘sehr heiss Mi 2|26.7 122.8 |41.71420.0| SW | NW | NW NW |2 | 7|0|1 id. B 528.3 |a2.3 33.9 20.0| vw id. | id. | id. 12|2|00 ia. Mm 6| 29.4 | 41.7 |43.9 | 37.3 | id. id. id. id. 312[0!0 id.. Sandwolken 1 7| 26.7 | 20.0 | 25.0 38.9 | id. id. id. id. 22|0|12 id. 1 8|29.4 1.7 22.2 38.3 | id. id. id. id. «| 2|21012 id. | 9|27.8| 37.8 12.8 38.3| id. | id. | id. id. 3|2|010 Schön, Wolken 10 | 28.3 | 35.6 | 38.3 | 35.6 | id. id. id. id. 2:,210|0 prächtig 11 l27.2 37.8 |90.0'35.6| id. | id. | id. | id 1212000 R l12|27.2 35.6 30.6 35.6| id. id. | id. id. | 2 74] 0 vo id. 6 28.3 | 38.9 | 41.1) 35.6 | id. id. id. id. 3.12.10) 14 id. 5 28.3 | 37.2 | 38.9 | 32.8| id. id. | id. id. 2/2100 % ' 27-8 | 33.3 | 36.7 | 32.8 | id. id. | id. id 2) 2 5 1010 id. Ei 27.2| 34.2 38.9|32.2| id. | id. | SO |wid. J2ja2Jjo1o0 id. B17| 27.2 | 35.6 39.2)35.0| id. | id. | id. Ss 22000 id. |»s 27.2 | 37.8 | 39.1 |34.2| SO id. | NW | NW 22|0|10 HL 1119| 27.2 | 36.7 | 39.2 |36.7| NW id. id. id. 21210|0 id! l20| 23.9 38.3 | 10.6 37.8] id. id. | id. id. |2|3|0|0 id. >: 25.6 10.6 10.6 35.6| id. id. id. id. 13/2|010 id. B22 | 29.3 | 37.2 | 11.71 35.0| id id. | id. | id. 2 /alo a ie 123 |23.3 | 36.1 |a0.0|36.1| id. id ı sw | id 2,2Jo ı ie 12: 26.1|31.1121.7|37.8| id id. | NW | NO |2/2|o 1 id. 125 | 25.0 39.4 12.2 37.8| ide id. wariabelvariabel 1 | 1|o 1 id. 126 | 26.7 | 39.2 22.2 |36.7| ide id |NW|NW 2 2l0o a ae 727.8 | 21.7 222 |37.2| id. | id. | id. | id I2ljalolı id. 128] 21.4 37.8 40.0 |35.0| id. id. | id. id. 2 2-110 0 id. I29 125.6 38.9 21.1 |37.2| id. id. id. id. /2 21100 id. sehr schwül [30 | 21.4 |a1.ı ja1.1]37.8| id. id. | id. id. |2 2-1] 00 id. 131|21.1 37.8 10.0 |35.6| id. id. | id. id. |2 | 2|0 % id. 0 18 engl. Z. Br Beobachtungsort. September 1851. 110 Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im September 1851. Thermometer. R Wind IR Richtung Stärke & [aelestıg |< Je - > = - >32 1/22 383 10.0 33.9 variabel variabel SO | 111 312561378 M.ı 37.2 NW SW id. 2 3 3/233.3 123 31.1 37.8 id. NW | calm 244 4|22.8 36.1 10.0 35.0 id. id. NW | 2 |”%2 ;/23.3 10.6 31.1 35.0 id. id. id. 21» 6/126.1 37.8 38.9 34.4 variabel variabel! calme 2 1-0 7/2212. 30.6 41.1 36.1 so NW NW i214 8/2328 37.2 10.0 36.1 NW calme | id. '2 1-0 sic. 38.9 41.1 36.1 id. NW a. 42]% ı0| 23.3 37.2 111 31.4 id. id. ealme 2 1-0 1123.93 10.0 1.1 37.8 id. NO id. 2 1-0 er 38.3 4.1 35.0 6) id. NW NwWwiıla 131 23.3 36.7 1.6 35.6 id. N W calme 1 1-0 12123.9 139.1 322 356 variabel NV NW | NW 2 22 151 25.0 36.7 11.1 35.0] NO id. SW 221% 16] 23.9 | 38.9 38.9 36.1] SO so so so i 1 132 17] 21.7 | 36.1 38.9 33.3 id. NW NW NW |ı 2-1 18/228 36.1 3.1 32.1| NW id. id. id. 2 2-1 19/1233 38.9 41.1 35.0 variabel NNW id. id. 7110 201 25.0 41.7 394 372] id. so so id. 2 4-2 21|23.1 37.2 383 35.0| NW W NW id. 2 2-1 22|20.6 31.4 37.8 32.13] SSW NW id. m. 41218 23| 21.1'37.2 37.2 32.8] NW id. id. id. 321|12 2/20. 31.13 37.2 3222| S N id. id. 2 1 3235| 21.1' 36.1 37.2 2322| W SW |; SW IWNWI| 2i2 26|20.6 31.4 37.2 3222| NW NW variabel SO |2 2-1 27123.3 35.6 37.2 30.6 Ivariabel id. NW | NW !ı 2-1 alse2 233 72 oo|Nnw id id I id lele 29| 20.6 32.2 36.7 |32.2| id. id. id. id. | 2 2-1 30|17.8 32.2 36.1 30.0| id. id. | ah id. | 2 2-1 i Tigris. oeeoeee®© | Steigen [u u |. 9..s.—s—o.8 seo. 561 86 51 51 5 1 5 5 1 51 oo o 5 05 al2 9 8 989 8 98 8 So so so Witterung. prächtig id. schön, Wolken prächtig engl. Z. Regenschaue Beobachtungso Gharrara DieCholera in Bag dad ausgebrochen. id. id. October 1851. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im October 1851. Thermometer. Ban E SE n& 7 E =E Witterung. Beobachtungs- 2 = A| S3lasjlon = = n | | 1 |17.8.| 32.8 | 31.1 |28.9| NW NW |.NW | NW | 2|2]| 0 |,0 prächtig Ctesiphon. 2| 16.7 31.7 34.4) 30.6) id id. id W' <ı 2 IA | (0 ‚50 id. id. 3[18.9 31.7 35.6 30.6| id W W SW s 2|2| 0 Io variabel id. 4| 17.8 | 31.7 35.0 30.0] SW NW | NW | NW | 1 |1 || 0 Io schön, Wolken id. 5[22.2|31.7 35.0 32.2] SO variabel id. id. 212] 010 id, id, 6 | 17.2:|.31.7 | 35.6 |30.6| NW | NW id. id. 42 |ı2] 0 Io id. id. 7|18.9 | 32.2 | 36.1 | 30.0 id. id. id. id. | 212 | 0 Io prächtig id. 8| 18.9) 33.3 | 36.7 | 31.7 | id. id. id. id. 2212| 0 ho id. id 9| 16.7 | 31.1 37.2 | 31.7 id. variabel variabel id. t | | 0° ]50 id. id 0| 16.734. | 38.3|31.1| id. | NW | NW id. 112] 0 10 id. id 1| 16.7 | 31.1 35.0 |30.6 | id. id id id. 4 2/2] 0 Iso id id. 2| 15.6 | 31.1 | 33.3 | 28.9 | id. id id id 2|%*| 0 |:0 id id. 3! 13.9 | 30.6 | 35.0 30.0] SW so Ss Ss 2.141 0 40 schön, Wolken id. #| 20.0.1 27.8 | 32.2 27.8| NW -.| NW | NW | NW | 21|2|00 bedeckt id. 5| 17.8 | 29.4 | 30.6 |28.9| NNW | id id id 2 4) 0 0 | bedeckt, Gewitter, Regen id. 6 | 15.6 | 26.7 30.6 | 27.2 N N NO SO 6-3 2| 1 0 |bdckt,Regen,strk. Hagelfall id. 13.9.) 26.1 /28.3/)30.0| NW | NW | NW | NW |2/2/010 schön, Wolken id. 18 | 11.7 | 23.3 | 27.8 | 24.4 | id. id id id 2 2 |°0 10 id. id. 19 | 15.6 | 28.9 31.1 26.7| id. id. | a. I'm. 2 a | a Wo id id 20 | 15.6 25.6 28.3 23.9 | id. id. id. id: 8 2142| A 1180 id id. | 51 | 12.8 25.0 28.9 2n.ı | id. id.) a. id. ıl2la | Wo id id. 122 | 13.9 | 26.7 | 27.8 | 22.2 | id. id. id. id. &| 2 152 |°1 50 id id. P3 | 11.1) 27.2 | 31.7 | 24.2 | id. id. | ISO. 4 SO | 2 If | io Jun bedeckt id. | 24|15.6 22.8 27.8 23.9 | id. (6) id. 4 NW | 2 2 | 0 jo id. id. 13.9123.9 [25.0 21.1] SO | id. | NW variabel 22 |, |0| bedeckt, Regen id. | 15.6 25.6 25.6 22.2 |variabel NW id. | NW 2 2|%10 variabel id. 27|15.6 122.2 28.9 2283| NW | id. id. variabel 2,2| 0 J0 bedeckt id. | 28 | 16.1 123.3 | 23.9 24.1| NO O variabel SO 2-6 2| 0 |0 bedeckt, Regen id. | 29 | 16.7 1267 ma | O | id. wisw.22[|010 schön, Wolken id. | 30 | 16.7 26.1 | 29.4 24.4) SW | N NNO | NNO 2 2 |11,|0 bedeckt, Regen id. 1|17.2|28.3|32.8|30.0| NW | S | 97j;,N0 2422| 310 bedeckt, Regen id. l 4 111% 1 engl. 2. November 1851. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im 112 Steigen . a = 1|20.0 28.9 30.0 | 25.6 2|15.6 23.3 21.7 22.2 3| 18.2 | 19.4 | 18.3 | 22.2 413.3 | 26.7 28.9 24.4 5lı2.2|25.0 26.7 21.4 6l 11.8 | 25.0 | 25.6 | 22.8 zlı1.1'25.6 26.7 | 22.2 11.1 27.8 | 29.1 | 23.9 13.9 23.3 25.6 22.8 10|13.9 | 21.1 26.1 | 18.9 11 | 11.1 | 20.6 | 23.9 | 19.4 12| 12.4 21.1 | 26.7 | 20.6 13 | 10.0 21.1 26.7 | 20.0 14 | 15.6 | 22.2 23.9 | 19.4 15| 15.6 25.0 25.6 | 24.4 16 | 15.6 25.0 25.6 | 21.1 17|13.3 | 20.0 21.1 17.2 18] 13.3 24.4 26.7 20.0 19| 10.0 | 21.7 24.1 | 19.4 20| 7.8 20.0 2.2 156 | 7.8 17.2 20.6 15.6 32| 7.2| 20.0 24.4) 17.8 3233| 8.9 18.3 20.0. 15.0 [22] 9.1 20.0 20.0 22.0 I25| 8.9 21.1 22.8 20.0 I26| 8.9 | 21.1 22.2 20.0 27| 10.0 19.4 21.1 17.2 28 | 10.0 20.0 20.1 20.0 29| 9.1 18.3 19.2 | 13.4 30| 9.4 16.7 20.0 | 15.0 oO SS >» DSDS © = ” Wind Richtung Stärke NI%@ ı = Jsegmeal’ın NO! N N NW 51% N id. id. N le2|® variab.._ _W 16) NO 2 17% NO |'NO | NO | id. 212 NW | NW | nw| nw |l2|2 id. | id. id. id. |2|2 id. | id. id. id. 212 id. | id. id. id. 22 id. id. id. id. 22 id. | id. id. id. |2|2 id. | id. id. id. 22 id. 'variabel SO so 2'192 so | so id. id. |2|2 id. | id. id. id. '2|2 id. | id. id. id. I2|a variab.! NW | NW | nw !2|2 NW | id. | id. id. Jı a id. id. id. id. |2 1% NO | id. | id. id. !2|2 NW | id. aa 12 id. | id. id. ia 1212 id. | id. | id. ia. |2|2 id. | id. id. 1 ia 1212 a id. |2 12 dp, | He) 1122 i) id. | ide] id. |2 le id | id. | id. | id I2|2 ia | 1 iah2ie id. | id. | id. | id. |2|2 id.’] id. | ide) id. | 212 I I S|e-- sw ununso > >.--swnn-- Witterung. variabel variabel, Regenschauer bedeckt, Regen schön, wolkig id. id. bedeckt id. schön, Wolken schön, Wolken id. id. prächtig id. id. schön, Wolken engl. Z. November 1851. Beobachtungsort. Gharrarah 113 December 1851. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im December 1851. Thermometer. Richtung Tigris. Beobachtungs- | ort. - ın & = >) © a D z © E = ° 7 Steigen Sonnen- untergang Mittag 3 h. Abds, Sonnen- Mittag Sonnen- | Nachmittg 1) 6.41 | 17.8|20.0114.4| NW | NW | NW | NW |2 | 24 >10 schön, Wolken Bagdad 2| 8.3 | 19.1 21.1, 1141| SO | SO |. SO 1, SO ; 2 ei] Jo Im id, id. 3| 6.7 19.4 | 21.1 | 15.0 | id. id. id. id. 4 2 28 20 to variabel id. | 72 | 19.£ | 20.6 | 14.4 | id. | id. id. id. 2/3] 01 | bedeckt, Regenschauer id. 5| 10.0 [21.1 | 17.8 | 16.1 [variabel NV | NW | NW |2/2| 000 bedeckt id. 6| 11.7 | 15.6 | 20.0 | 16.1] SO so so | SW!2|2| oo bedeckt, Regen id. 7\140.0 | 16.1 115.0 14.4] id. id. id. | SO) 4 217221 0. N84 id. Regen id. 8| 8.9|15.6 | 16.1, 1422| NW | NW | NW | NW |2|2| 210 schön, Wolken id. I 9 5.0 | 17.2 | 12.2 110.6] SO so so | SO |2|2| 100 bedeckt, Regen id. Ho| 6.1 13.3 | 15.6 /128| NW | NW | Nnw | nw |2/2l1 lo schön, Wolken id. | 5.6 |16.7| 15.0 | 12.8| id....\. id. | id. | id. 12|2|10 [io id. id. | M12| 6.7 | 16.7 16.7 |12.2| SO | SO so | so ı2|2| 2|o bedeckt; Regen id. | P13 | 10.0 | 11.7 | 13.3 | 11.1) NW NW NW id. 21,22 0095 bedeckt; Regen id. | 14) 6.7139 16.1 122| SO SO SO | id. 2 2| 0 5| Nebel; schön; Wolken id. 15| 2.2 13.9 115.0 |13.3| id. id. | id I id 12/21 ole Nebel, variabel id; 16 | 11.1 | 15.0 | 16.7 13.9) id. id. id. | id. |22| 05 |bedeckt, Gewitter, Regen id. | 17 | 10.0 | 17.2 |17.8 13.3 | id. id. id. + \. id. 4210] oo schön, Wolken id. 13 | 6.7 15.0 |15.0113.3| SW | SW | SW SW |2/2| 0|0 bedeckt id. is | 6.7 112.2 14.6 1383| NW NW | NW | NW |2|2| 0lo Nebel, bedeckt id. Bo | 5.6 12.8 | 12.8 |11.1| id. id. id. id. + 22] au] 2 70 schön, Wolken id. 5.0 111-7 | 13.9 | 11.1| id. ide 7 Ad: id. ) 22142110: Wo variabel id. 5.0 15.6 15.6 12.2| id. id, | ads id.. |2[2/15|o schön, Wolken id. 5.0/13.3113.3 1141| NO .| id. | id. | id. |2|2| 120 bedeckt id. 4.4|18.2144 106| NW | id. | id. | id. 1212| 055 id. id. 5.6 [13.3] 12.3 |10.0| id. | id | id | id |2|2| 0la schön, Wolken id. 3.3 116.7) 16.1 [11.2] id | id. | id | id. I2!2| o|s id, ze 1.2115.0|15.0 133] SO | so | so | so |2|2| o|2 id. id. 4.4 115.6 |15.0/13.9| NW | NW | NW | NW |2|2| o|ı id. id. 5.6 [12.2] 11.2 | 11.1 | id. | id. | idl > 1, 10 | ala Ola id. id. 3.9 16.111424 11.1| SO | SO | SO | SO |2,2| 02 bedeckt id. 7.8.|172|18.4 11.1) id. | id. id id. )a!5| olo id. id. 77 50 engl. Z Januar 1852, se ve ww ww - BERBNENEBENEKRNN Sonnen- Januar 1852. 114 - Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Januar 1852. Thermometer. aufgang. Sonnen- untergang 16.1 10.0 15.6 10.6 15.6 10.0 18.9 « Sonnen Stärke) aufgang Witterung. unlergang | Vormittag Nachmittg Sonnen- bedeckt, Regen schön, Wolken bedeckt schön, Wolken prächtig id. schön, Wolken bedeckt id. id. Regen bedeckt id. id sehön, Wolken prächtig bedeckt schön, Wolken prächtig id. bedeckt, Regen id. bedeckt bedeckt, Regen schön, Wolken prächtig sehön, Wolken Beobachtungsort. Ctesiphon | Nach Bassora fluss- \ abwärts id. Nlussaufwärts nach Bagdad - 115 Februar 1852. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Februar 1852. Thermometer. 2 igris. Stärke] aris Beobachtungsort. | Februar 1852. Fallen Sonnenauf-| Mittag Sonnen- Vormittag schön, Wolken id. bdkt.: Regen; Gewitter w on ww id. id. stürmisch schön, Wolken id. bedeckt; Regen schauer schön, Wolken NW | NW so so variabel| variab. NW | NW id. i DD DD. DD N DD vw DD 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 bedeckt; Regen nova oıxc om 2 0905902090569 variabel SO id. bedeckt; Regen NW so NW [0 schön, Wolken Nebel; bedeckt; Regen Regen; variabel schön, Wolken bedeckt; Regeu NW NW | id. 14.4 |variabel SW 6.7 15.6 22.8 18.3) SO so 6.7121.7|23.9 16.7| id. id. variabel; Regen zz. u schön; Wolken [07 bedeckt; Regenschauer schön, Wolken D vo u BD wWwuDN NND 116 März 1852. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im März 1852. F Thermometer. N. a8 Stärke Tigris. z y u BE TREE DET Fu "Rejataı TE Witterune. nlesi»|81j:8|:8| > | 3 |s3j2lels|s ; | = = < zs.lExs — « Eu I|gIBI >12 alss|3|31l:32[155| 5 | ZI E Bl: 5 7 = nSEjae = n 5 |2 JG 1771 [11.1 16.1 | 18.9 | 15.6] NW NW NW NW 2121 1lo0 schön, Wolken al t1.1 17.8 19.1 |17.2| id id id id 2/21 0/41 id. si 7.8 | 21.1 | 22.8 | 18.3 id. id. so So ı2|12|0|2 id. 4| 12.2 | 22.2 22.8 | 17.2 |variabel! SO id. id. 2-32-3) 2 0) bedeckt; Regenschauer 5| 12.2 | 26.1 | 26.7 | 22.2] SO id. NO NO 3 124 3190 bedeckt 6| 12.2 20.6 21.1/18.9]| NW NW NW NW i2|/12]j0 1 schön, Wolken 7|12.2 20.0 21.1 | 19.4 id. id. variabelvariabel 22|1|05 id. 8] 12.2 21.1 28.3 | 18.3 [variabel © SW SW 2 8-5] 0 1)bed.; starkes Gewitter; glti.t 16.7 23.3 18.9| SW SW W NW | 31-61 0| 2 variabel 10| 12.2 21.7. 21.2 |20.0| id. >16) so so !2|j&l o/ı schön, Wolken lin 222 22.2 20.0| NO |WSWwsw W 2-1 2| 80 bedeckt 12| 10.0 ı.2/17.2/12.3| NW | NW | NW | NW lelılaelo Regen 13! 10.0 21.7 20.0 14.4 id. N id. id. 2|2!10| 0 variabel; Regen al 7.8 21.1 | 19.8 | 17.2] id. NW SW SW 12 | 14 8] 0 variabel 15| 10.0 19.4 20.6 | 17.2| id. id. NW NW i2 21 2| 0 schön; Wolken 16 | 10.0 21.7 3.3 | 17.2] id. id. id. id: #2 12.1 0/9 id. 17|12.2 21.1 26.1/22.8| N N N N 2/2 olıa id 18| 13.3 26.1 26.1 23.3 16) so SO ı SO 2. 6| 8. Olbed.; sehr stark. Gewitter; 19|133 25.6 29.1 21.4| SO | id SW | NW a-6 8| 0| 0| schön; Wolken [Regen 120| 11.1 18.9/23.3/120.0| NW | NW | NW | id. sal2lalo id. 21 | 11.1 22.8 | 22.2/20.0| id. | id. id. id. /2/ 2]J20| 0 id. 3231| 11.1 22.8 | 22.2| 21.7| id. id. SW | SW ı|2| 2/18| 0 id. 123 | 12.2 | 25.6 28.3 | 21.2] SO so so so !2j2| 2|o id. Izı|ı22 26.7 283 28] id. | id id | id ı2 5| 08 id. 125| 13.3 27.8 28.3 20.0| id. | id. | NW | NW 3-67-2] 0/1 variabel 26|122 18.9 233 ıs3| NW | NW | id | id. 12 2J08 ia. 27|11.7 21.7 21.2 20.0| id. | id. | id | id. 2/2[ 20 schön, Wolken 38|13.3 26.1 272 20.0| id. id. | id. | id. 2 2j2ıl oo bedeckt; Regen 129| 13.3 22.2 23.9 20.0| id. id. | is I id. 12 ed 3] schön; Wolken 30 12.2 35.0 %.7 222| id. id. | dd id |2 | 2/00 id. 3 2/2/0|0 id. 12.2 23.3 26.1 20.6) id. id. 7 a. ı nd. Beobachtungsor IT — April 1852. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im April 1852. | | Thermometer. : Wind 2 Tigris u a. 3 Be ı* BP ce || m r m > | u [a4 20 ®| E 23 Witterung. Beobachtungsort. isses | 3 || 2=| = SE IE Srseu@g Ereieie: | ns a nn = ns & [77 5 | >| > nn | | 25.6/)27.8|233| so | so | so | so |aj2| o|1s bedeckt Bagdad 23.8|26.1)22.3| id. | id. | NW | NW |2|2]| 0| 0 schön, Wolken id. 21.723.939 20.6| NW | NW | id. | id. |2|2| 1] id. id. | >22 1228| id. | id. | id. id. |2|2| 8] 0 id id. | 92:8 125.602 id. dk | id. |2|2| 6| 0 id id. 24.4126.71261| id. | id. | SO | SO |2,2| 0] 0 variabel id. D.N | 27.2239] SO so id. id. | 6, %| %| O|pedeckt; dunslig; Regen id. 26.1|27.8126.7| id. | id. | nwW | NW Ja|2|6| 0 schön, Wolken id. 23.9|25.61239| NW | NW | id. | id. |2|2|12| 0 id id. 21.1 | 25.6 | 24.4 variabel) id. | id. | id. |2|2 20| 0 id id. 28.9,31.7 26.1] SO id. Oil Iiel de &ı2 de 0 id id | 32.2 | 32.2 | 27.8.1. 40,4) SO ||} sid: id. |2 2 |23| 0 id id, 21.4|26.7|239| NW | NW | id. | id. 1 |2} ol ia id. 20.0 21.7 120.6| id. | id. | id. id. 'a|2|o|e id id. 21.1 | 28.4 | 21.1,1, Jid....\.id. id. id. | 2\2|8 0 id id | 27.8 | 26.7 |25.6| ‚id. .| id. id. id. | 1 12 |10| 0 Yarialel id. 28.3 30.6261] id. | SO | so | so !I2|2Jı0 0 bedeckt; Regen id. 23.9289 |26.1| id. | NW | NW | NW |2|2| 0/8 Gehand Wolken id. 25.0 127.8 |25.6| id. id. id. id. | 2 | 2| 0120 id. Nussabwärts nach 29.41 31.71 26.1| id. id. id. id. !2|% id. Bassora 31.1133.3 26.7| id. |, SO so so 12-11-2 variabel id. 31.7|30.6|211| SO | NW | NW | NW || 2 id. Bassora 27.8 | 29.4 | 27.3] NW id. id. id. [212 schön, Wolken id. 30.0 | 32.2 | 26.7 | id. so so so |A1|6 Tanıdhel id. 30.0 | 31.7 | 27.2| id. NW id. NW |ı2|6 bed.: Gewitter; Regen id. 28.9 | 27.8 25.6 | id. id. NW id. 3 W202 schön, Wolken id. 30.0 | 30.0 |25.0| id. id. SW so |2|6 id.; Wetterleuchten id. 27.2 27.8 |25.6| SO ide | NW | NW |7 |6 hedeskt id. 23.3 | 24.41) 23.3| NW id. id. id. |3 13 schön, Wolken id. » u IE » » » » DIN 0 EEE IR INN] » id. 119) 63 | engl. 2. 23 Mai 1852. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Mai 1852. | , x Wind Tieri R Thermometer. Richtung Stärke IgriS. in —-l— — EEE PRaRE — | N * IS _} preeRe EEE E se a 7 E : 2 E $ - | ü Witterung, rar as A| 2 laslas Z = BIRHGE 1 | 20.6 | 30.0 |33.3|28.3| SO | so | so | so |ale | schön, Wolken Bassora 2| 21.1. 130.6 | 28.3 | 26.1| SW | NW | NW | NW Is-alea | bedeckt id. 3 | 21.1 |27.2 |28.3|23.9| NW | id. id. id. Isla schön, Wolken id. 1 121.1 27.2 |28.3|23.9| id: | id. id. | id. Ja|s | id, id 5| 18.9 |27.2| 28.3 | 21.4] id. | id. id. id. 6, | id id 6| 19.1 26.1 | 28.3 25.0 | id id id. | id. 3 | A id. id z|21.1 |26.1 126.7 125.6| id | id. | id | ia jale id. ia s|22.2|28.3 291 125.6| id. | id. id. | id. 3|2 ia. ia 21.1 | 30.0 | 31.7 28.9 | id. 10 | Mack Blake | 2 | id. id. 10 | 26.7 | 31.1 | 32,2 | 30.0| id. id. id. id. 2.2 id id 11 | 21.1 | 32.2 | 33.3 | 30.0 | id. ide | uch FIN za: 2/1 | id.; starker Thau id. 12 | 22.2 | 35.6 | 36.1 | 31.7 | id. variabel variabellvariabell 1 | 5 | id.; Thau id. 131 25.6 32.1 36.1 27.8| id. | NW | NW | NW |6 | \ | schön, Wolken; verein- id. 11 | 23.3 133.3 | 33.3 | 29.2 | id. id. | id. | id. 113 | bedeckt [zelter Hagelfall id. 115] 23.3 | 30.0 |32.2|29.%| id. | id. | id. | id. |212 | schön, Wolken id. 16 | 21.1 134.2 35.0 31.1| id. | id. | id. | id. 2|2 | prächtig id. 17125.6)3%.2 136.1 |31.7| id. | id. | id. | id. 2|2 | schön, Wolken id. 18|25.6133.3 35.0|31.1[ id. | id. | id. | id |2jı | prächtig id. 1 | 21.2 |33.9|35.0 |31.1| id. | ;a. | id. | ia Jajıal | ia. id 20 | 26.1 | 36.1 37.2 35.0 | id id. | side "lisa. #72 102 | id. id 21 | 26.1 )33.9 | 35.0 28.9 | id. id, lic lie, 2 A id. id 22 | 26.1 |30.6 131.0 29.1] id. | id. | id. | id. (212 id. id 123 | 25.0 | 31.1 | 32.2 \30.0| id. id. id. id. | 2|1 id. id 21 | 26.1 | 32.2 | 33.3 |31.7 | id. | id. | id. | id. j2lı id.; Thau ia’ [25 | 26.7 | 35.0 |38.3 31.7] id. | id. | id. | id |2Jı id.; Thau id. 126 | 25.6 | 35.6 | 37.8 32.2| SO | so | 50 so |1|2 id. id 27 | 26.7 |35.0|36.1132.2| NW |nw | NW | NW |2 be id. id 28 | 26.7 | 35.6 | 36.1 ,33.9 | id. id. \variabell SO | 22 id. id 129 | 26.1 |35.0 135.6 |30.6| SO | SO | NW | calme | 1 | 1 id. id | 30 26.7 |38.3/ 10.6 |31.1| NW | NW id. NW \ | 2 id. Nlussaufwärts nach 131 | 26.7 | 35.6 | 35.0 | 29.1 | id. id. id. id. |2|% id.; Wolken Bagdad 2 in = Juni 1852. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Juni 1852. Thermometer. : Wing Tigris si Richtung Stärke = =|s a ee Ze Mi daher Witterung. Beobachtungsort. Baler Bo 8 | a Au an SB reale = ! be) el Seelen .= reelle le») 5 | 52|1|52] 55 |58 = s2|5|<8|2|8 1|28.9 | 32.8 35.0 | 31.7| NW |NW WzuSIW zu s 421210|0 prächtig flussaufwärts 2|23.3 | 39.1 | 10.6 33.3 | id. ww. SW ||"Swe #3: >24] 00) 0 id. id. 3|23.3|33.9|32.8|27.8| id. |NW| NW | nw |a |2|0|0 id. id. 2|20.0|32.8|35.0 30.6) id. | id: | id. | id. |312]0)0 schön, Wolken Bagdad 5|23.3|31.2 |36.1|31.7)] SO | so | so | so '63]0|0 id. id. 6123.3 33.3 31.1 31.1] NW | NW | NW | NW | 22j0|0 id, id 723.3 | 36.1 | 37.2 | 3323| NO | NO | NO | NO |2/2]013 prächtig id 8| 26.7.1 36.71 37.2|32.8| id. | id. | id | id. I|2 2[oja id. id 9|26.7.|39.2 20.6 |35.0| id. | id. | id. | id. !ale2l[o|s id. id 10|23.3 |32.2 34.2 |30.0| NW |NwW | NW | nw |3 2Jo|a& ia ia 11 | 24.4 | 30.6 | 31.7|30.0| id. | id. | id. | id. |a|2[0j&% id. id 12|23.3 32.8 33.3 |31.7| id. | id. | 1a Iran. es 12]° 3 id. id 13 | 24.4.35.0.| 36.7 |33.3 | id. | id. | id. id. |2|21]0|3 id. id p13 | 26.7 | 36.7 | 37.8 | 32.8 | id. | id. | id id. |212[0|3 id. id 15 |26.7 }36.1 37.8 | 32.8 | ia. | id. | id. | id 2/2[o|)& ia id. I16| 26.1 | 32.2 | 32.8 | 31.1 | nnw |NNW|NNW|nNnw|5s 2[0|3 id. ia 17|26.1 32.8 | 3211 31.1| id. | id. | id. | ia Falalola ia) ia 18 | 25.6 | 32.2 | 33.9 | 30.0| NO | id. id. id. |3|2[0|3 id id. 19| 25.0 | 32.8 | 33.9 31.1] id NO | N id 2210| 3 id. id 20 | 26.7 | 30.0 | 33.9 |30.6| NW |NW | NW | nw |3/2])0|3 id. id I21 | 24.2 | 32.2 | 33.9 30.0] id. | id. | id. | id. Ia|2jo}3 id id B22 | 25.6 132.8 | 33.9 |31.1| id. | id. | id. | id I2|2|[o|3 id id. 23 | 25.0 | 34.4 | 35.6 32.2| id a) fi id. |212[0)5 id Gharrarah 21|25.6|33.3 [33.3 |31.1| id. | id id id. |a/al[o|a id id. 95 | 26.7 33.9 | 35.0 131.7 | id. | id: | id | ia JalsJo|5 ia ia 26 | 26.7 133.3 |35.6 | 31.1] id id id id. |a\aJjo|3 id id. a7 | 25.6 | 32.8 | 35.0 | 31.7 | iq id id id. |2|2|0|5 id. id. es | 25.6 | 33.3 |35.6 |30.0| id. | id. | id. | ia. [alalol5 id. ia 129 | 25.6 |33.3 | 31.4 | 31.7 | id id id id. [413[0)5 id id. 130 | 26.7 | 33.3 | 35.0 1322| id id id id. |2|2[0|& id id. | | o 89 | engl. Z. -— 1% Juli 1852. Meteorologische Beobachtungen in Untermesopotamien im Juli 1852. 0 90 engl.2. # Thermometer. en: a Stärke Tigris "laulndl$ laslaelın = a5 |2l@le|- Witterung. Beobachtungsort. ou 8 = = = = < 2 a» „1519|. 4 ja zn = . 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T Me Viele a eh han a0, ] Aus & and Mm nie a 10 2 ZUR un» Om. Oak ” L, % a Sans che he a BT | "ie 9 aus ee vs PERL, 2 « ren s Physiologisch - systematische Untersuchungen über die ('eramlaceen Dr. C. Cramer, Prof. der Botanik am schweiz. Polytechnicum. r re f ” . ns T unyandonnsi) adnaitemataya- loeigoloiayd‘T TAOCWEOV be) H unbiahh ww iu j ver KERN ‚Yontuesgpai' nal a | ) unreTar Binunbbin 1165 Ka MRNLSSTEEDN di ı hafk; A huniunaunll uni ud ren a ee ne rer A von unraiern" + sh A Ahr el) { bie A a hu * rühren) Baunze Bam ‚rail a Sea Kir. nee a nr ee ee ee ee deine hr „more a un oh u nd er RN sen Dial kino, hl Luna ob man mn) var na Nah , Eruıe 5 0ER Ayiaidug uadkerıt Mapa, Anne Aka a AIErEE TE vs ! SEE | A Ban iz 1 2% Br x “- VORWORT. Bei der Wiederaufnahme meiner Publikationen über die Florideen gedachte ich ursprünglich mit den niedrigern Ceramiaceen zu beginnen und zu den höhern Formen fortzuschreiten. Da erschien über jenen Gegenstand Nägeli’s „Beitrag zur Morpho- logie und Systematik der Ceramiacex“. Eine so bedeutende Arbeit musste mich nöthigen, meine eigenen Untersuchungen theils zu erweitern, theils da und dort zu wiederholen. Eine weitere Folge davon war, dass ich mich entschloss, zunächst meine Untersuchungen über die höhern Ceramiaceen zu veröffentlichen, soweit sie dazu reif waren. Es schien mir das um so zweckmässiger, weil meine Untersuchungen über die niedrigern Ceramiaceen der vielen nöthigen Tafeln und der damit verbun- denen Kosten wegen doch kaum auf einmal hätten publizirt werden können, und die vorliegende Arbeit nun eine Art Ergänzung zu Nägeli’s Beiträgen bildet. — Bei der Darstellung der gewonnenen Resultate glaubte ich einem analytischen Gang den Vorzug geben, das Allgemeine dem Besonderen anreihen zu sollen; bemerke aber, dass manches Gesetz von allgemeinerer Bedeutung als solches noch nicht hervor- gehoben wurde, weil ich erst noch mehr Material zur Begründung seiner Allgemeinheit vorzulegen gesonnen bin. — Die Beiträge zur Lehre von der Verzweigung (pag. 84) sind ein erster schwacher Anfang in dieser Richtung. — Ich empfehle dem Leser meine Schrift mit dem Wunsch: er möge die mühsame Lecture zutrauensvoll und mit derselben Liebe durchgehen, mit der ich die mühsamere Untersuchung angestellt IV habe: dann wird der Genuss, den mir diese Wunderwelt bereitet, auch für ihn nicht ausbleiben. Schliesslich erfülle ich eine angenehme Pflicht. indem ich allen Den- jenigen, die mir Material für diese und die später zu veröffentlichenden Untersuchungen geliefert haben, meinen Dank ausspreche, ganz besonders Herrn von Martens in Stuttgart. der mir auf das Freigebigste von seinen Herbariumschätzen mitgetheilt hat. Juni 1563. Der Verfasser. Tg Euptilota Harveyi. (Kg.) Cramer. Oestliche Falklands-Inseln. Algae marinae siccatae, herausgegeben von Dr. L. Rabenhorst und G. von Martens. Nr. 174. — Untersucht im April 1859 und October 1562. Tafel I. Fig. 1—3. Die Pflanze*) besitzt zweierlei Thallomstrahlen **): begrenzt in die Länge wach- sende und unbegrenzt sich verlängernde. Ich werde die erstern in der Folge meist Langtriebe; die letztern Kurztriebe ***) nennen. Dieselben unterscheiden sich nicht bloss durch ihre relative Länge, sondern auch durch die Entwickelungsgeschichte, sowie ihre Function. Die Kurztiriebe werden kaum über 1”” lang, sind nackte, d. h. unberindete Zellreihen, entweder einfach, dann höchstens 18gliedrig; oder verzweigt, in diesem Falle bald einseitig, bald zweiseitig verzweigt und zwar gewöhnlich opponirt gefiedert. Bisweilen tragen auch die secundären Kurztriebe einzelne Zweige. Die tertiären Kurztriebe können, wenn zu mehreren vorhanden, ebenfalls einerseitswendig oder zweizeilig sein; selten aber stehen zwei auf einem Glied. Primäre, secundäre und tertiäre Kurztriebe liegen in ein und derselben Ebene unter sich und mit den sogleich zu besprechenden Langtrieben. Die Verzweigung der Kurztriebe beginnt bald an der Basis, bald erst weiter oben, wie denn auch oft einzelne Glieder mitten in der Reihe beasteter astlos sind. Im Allgemeinen ist die äussere Seite +) der Kurztriebe hin- sichtlich der Verzweigung begünstigt, sofern hier die Verzweigung oft weiter unten beginnt und überhaupt eine grössere Anzahl von Aesten sich findet (Fig. 2), eine Thatsache, die noch bei sehr vielen Florideen sich beobachten lässt. Die primären *) Das Exemplar, das ich zu untersuchen Gelegenheit hatte, trug in reichlicher Menge Sporen- mutterzellen, wodurch das Studium der vegetativen Erscheinungen etwas erschwert wird. Ueber- dies waren viele Stammspitzen abgebrochen. Ich bemerke dies für Diejenigen, welche vielleicht meine Untersuchung an Exemplaren aus der gleichen Sammlung wiederholen. **) Systematische Uebersicht der Erscheinungen im Pflanzenreich von C. Nägeli. *+*) Siehe weiter unten. +) »äussere« Seite, mit Rücksicht auf die Axe, woran der Kurztrieb sitzt. 6) Kurztriebe stehen meist zu zweien opponirt auf Gliedern unbegrenzter Axen, seltener einzeln, einem Langtrieb gegenüber. Die Kurztriebe können reproductiv werden. Die Sporenmutterzellen entstehen aus Scheitelzellen von Kurztrieben. Die Langtriebe erreichen eine Länge von 50 — 120 ””, die ganze Pflanze wird nach den Kützing’schen Grössenangaben bis 300”" lang. Die Langtriebe sind ebenfalls Zellreihen *), aber später dicht berindet, dabei merklich flach gedrückt. Sie erzeugen fast ausnahmslos auf jedem Gliede zwei opponirte Aeste. Alle Zweige eines Lang- triebes liegen in ein und derselben Ebene und verzweigen sich ihrerseits ebenfalls in dieser Ebene und so fort. Von den Aesten eines Langtriebes sind die grosse Mehr- zahl Kurztriebe. Auf circa 500 Aeste fielen nur 50, d. h. 10%, berindete Langtriebe von übrigens verschiedener Länge. Nie stehen zwei Langtriebe auf demselben Gliede, vielmehr ist jedem Langtrieb ein Kurztrieb opponirt. Bald tragen zwei successive Glieder je einen Langtrieb, dann alterniren die letztern stets; bald liegen 1 bis 11 bloss mit Kurztrieben versehene Glieder zwischen zwei successiven Langtrieben, alsdann ist die Stellung der Langtriebe, seltene Ausnahmen abgerechnet, der Art, dass diejenigen Langtriebe, welche auf Gliedern mit gerader Nummerzahl stehen, einerseitswendig mit dem Ausgangsstrahl **), die mit ungerader Nummerzahl aber anderseitswendig sind. Am Grunde einer unbegrenzten Axe findet sich immer eine Reihe von Gliedern (5 — 21), die bloss Kurztriebe tragen. Der erste Langtrieb einer unbegrenzten Axe kann mit Bezug auf die Axe, woran jene inserirt ist, bald nach aussen, bald nach innen schauen. Bisweilen gehen ursprünglick unbegrenzte Axen später in begrenzte über, selten in Folge der Umwandlung ihrer Scheitelzelle in eine Sporenmutterzelle, aber auch, wo dies nicht der Fall ist, glaube ich die Haupt- ursache in der Spoeenbildung suchen zu müssen; die Sporenbildung ist nämlich bei diesem Exemplar der Pflanze so reichlich, dass sich eine nachtheilige Rückwirkung auf die normale Entwickelung der vegetativen Organe leicht denken lässt. Wachsthum. Sowohl Kurz- als Langtriebe sind ursprünglich einzellig und verlängern sich theils durch Scheitelwachsthum (primäres Längenwachsthum), theils durch nachträgliche Streckung der Glieder (secundäres Längenwachsthum), welche durch von unten nach oben fortschreitende Querwandbildung angelegt werden. Gleichzeitig mit dem secundären Längenwachsthum findet Diekenwachsthum statt. *) Kützing schreibt der Pflanze mit Unrecht einen nicht artieulirten Stengel zu. **) Der Ausgangsstrahl mit 0 bezeichnet. — 3 Die endliche Länge der Kurz- und Langtriebe wird zum weitaus grössern Theil vom secundären Längenwachsthum bedingt *). Das Scheitelwachsthum der Kurztriebe ist begrenzt, dasjenige der Langtriebe normal unbegrenzt. Das secundäre Längenwachs- thum beider Arten von Thallomstrahlen dagegen ist begrenzt, im Uebrigen bei Lang- und Kurztrieben anfangs auf der äussern Seite merklich stärker, so dass dieselben sichelförmig nach oben gekrümmt werden. Später gleicht sich wenigstens an Lang- trieben, oft auch an Kurztrieben, die Differenz wieder aus, der Trieb wird gerade. Die Scheidewände zwischen den Gliedern eines Kurztriebes stehen genau senkrecht auf seiner Längsaxe; da aber diese anfangs gekrümmt ist, sind sie zuerst nicht pa- rallel unter sich, sondern convergiren gegen die relative Hauptaxe hin (Fig. 1a. Alle Aestevon «u.ß). Bei Langtrieben verhält sich die Sache eine Zeit langebenso (Fig.1«u.Pß). vom ten — 2jten Gliede an aber sind die Scheidewände abwechselnd nach rechts und links geneigt. Fig. la«. Es steht dies im Zusammenhang mit der Verzweigung. Die Verzweigung schreitet an Kurztrieben ziemlich regelmässig von unten nach oben fort, die Zweige der äussern Seite entstehen durchschnittlich etwas früher als die Zweige der innern auf gleicher Höhe und werden etwas länger, auch sind sie nicht selten zahlreicher, so dass wir allgemein sagen können: Die äussere Seite ist bevorzugt; aber — die Astbildung ist eine beiderseits continuirlich fortschreitende. — Ebenso verhalten sich im Ganzen anfangs die Langtriebe **). Wir erblicken daher an der Basis jedes jungen Langtriebes mindestens 4, gewöhnlich eine grössere Anzahl, 17 oder selbst 22 Glieder mit je zwei opponirten, in ein und derselben Ver- ticalebene liegenden, gleichwerthigen Aesten, von denen die äussern nur elwas grösser zu sein pflegen. Fig. 1 aß. Von da an aber schreitet die Astbildung alternirend weiter. Jedes Glied egzeugt vorläufig nur einen Ast, der erste liegt nach innen, der des folgenden Gliedes nach aussen, der dritte wieder nach innen und so fort. Ihnen gegenüber bilden sich zuvörderst keine Aeste. Erst wenn etwa 4 oder 6 alterni- rende Aeste gebildet sind, entstehen auf der denselben opponirten Seite andere Aeste, so dass dann auch jedes Glied zwei Aeste trägt. Die Astbildung ist hier *) Das oberste Glied des Langtriebes a« Fig. 1 a Taf. 1 war beinahe 30 Mikromillimeter (3%1000”"”) lang und breit, ein ausgewachsenes Glied aber 350 Mikm. lang und ohne Rinde „240 Mikm., mit Rinde 950 Mikm. breit. Durch secundäres Längenwachsthum kann si@h mithin ein Glied 11%; mal verlängern, durch Dickenwachsthum 8 mal verbreitern. **) Sehr wahrscheinlich beginnt. die Verzweigung an Lang- und Kurztrieben nicht:am allerun- tersten, sondern bloss an einem der untersten Glieder und schreitet von da an den Kurztrieben, sowie zunächst auch an den Langtrieben nach unten: und oben continuirlich fort. — 4 wohl auch eine fortschreitende, aber sie schreitet auf zwei zickzackförmigen, sich kreuzenden Linien fort, von denen die eine immer etwas hinter der andern zurück bleibt. Die Astbildung ist keine beiderseits continuirlich fortschreitende, sondern eine beiderseits intermittirend fortschreitende oder noch bezeichnender eine beiderseits interponirend fortschreitende. Fig. 1 a « oben. Ich nenne die erst gebildeten Aeste: Priman-Aeste, die nachträglich entstehenden: Secundan-Aeste **). Die Priman- und Secundanastbildung unterscheidet die Langtriebe später wesentlich von den Kurz- trieben. In weitaus den meisten Fällen erzeugt jedes höhere Glied eines Langtriebes je einen Priman- und Secundanast, selten erst das zweite oder dritte (das Ausgangs- glied mit 0 bezeichnet). Ich habe den ersten Fall über 50 mal, den zweiten nur zwei-, den dritten nur einmal an Stammspitzen beobachtet. — Die Priman- und Se- cundanäste entstehen nicht bloss ungleichzeitig, sie bleiben noch lange Zeit von ver- schiedener Länge, die Secundanäste viel kürzer als die Primanäste. Fig. 1 a. Aeste von «. — Die Priman- und Secundanäste stehen noch in einer andern, als der oben berührten merkwürdigen Beziehung zu den Lang- und Kurztrieben: Die Secundanäste werden ohne Ausnahme zu Kurztrieben, keine einzige Beobachtung spricht entschieden für das Gegentheil. Die Primanäste aber haben in potentia unbegrenzte Entwickelung. Die Mehrzahl derselben wird freilich auch zu Kurztrieben, die sich später von den aus Secundanästen entstandenen durch nichts unterscheiden lassen. Auf 250 Gliedern eines Langtriebes mit 500 Aesten fielen nur 50, d. h. 10 % berindete Langtriebe von übri- gens sehr verschiedener Länge. Aus diesem Grunde ist es begreiflich, dass von den unbegrenzten Aesten eines Langtriebes bald mehrere aufeinanderfolgende einerseits- wendig sind, bald alterniren. Dass niemals zwei Langtriebe auf dem gleichen Gliede stehen, wurde schon früher bemerkt. Zählen wir nun aber, von einem jungen Lang- trieb, dessen Primannatur deutlich zu erkennen ist. ausgehend, Glied um Glied ab- wechselnd nach rechts und links weiter, so bemerken wir dass die meisten Langtriebe eine Stellung einnehmen, welche dem Gesetz der Alternation der Primanzweige völlig entspricht. Ich sage nur „die meisten Langtriebe“, denn Ausnahmen kommen hie und da vor. Anfangs glaubte ich daraus den Schluss ziehen zu müssen, dass aus- nahmsweise eben auch Secundanäste unbegrenztes Längenwachsthum annehmen können. Ich hatte aber damals noch nicht beobachtet, dass bisweilen nicht jedes Glied, son- dern erst das zweitfolgende wieder einen Primanast hervorbringt. Die Beobachtung dieser Thatsache aber erklärt jene scheinbaren Anomalien auf's Einfachste. *) Nicht zu verwechseln mit den Ausdrücken: primäre und secundäre Aeste. — 5 Rindenbildung. Wie schon gesagt sind die Kurztriebe stets nackt, die Langtriebe später berindet. ‚Querschnitte durch die Basis kräftiger Langtriebe zeigen in der Mitte eine grosse Zelle (Axenzelle), umgeben von einer Menge unregelmässig angeordneter kleinerer, bis 15 auf dem Radius. Die Rinde eines Langtriebes gehört physiologisch nicht ihm selbst, sondern seinen Aesten an, ist „astbürtig*. Sie entsteht ziemlich frühe. In Fig.1 z. B. erblickt man deren Anfänge schon vom elftobersten Gliede an. Gewöhnlich erzeugt das Basalglied jedes Astes eines Langtriebes drei, seltener zwei abwärts wachsende, gegliederte und sich verzweigende Berindungs- fäden. Entstehen ihrer drei, so liegt der eine genau senkrecht unter dem ihn her- vorbringenden Thallomstrahl und entsteht zuerst, während die andern später angelegt werden und dem Beschauer theils zu- theils abgekehrt sind. Fig. 3. Vergl. Fig. Lab und die Erklärung dieser Figuren am Schluss der Arbeit. Später erzeugt gewöhnlich auch noch das zweitunterste Glied des Astes auf der äussern Seite we- nigstens einen Berindungsfaden. Fig. 1 a. Indem wenigstens die nach vorne und hinten blickenden Berindungsfäden nicht bloss nach unten, sondern auch gegen die Mediane der Verzweigungsebene des Haupttriebes zu wachsen und sich verzweigen. werden des letztern Gliederzellen bald vollständig von der Rinde bedeckt. Fig. Tab. Die Rinde wird mehrschichtig in Folge üppiger Entwickelung: Verlängerung und Verzweigung der ursprünglichen Berindungsfäden. Die Sporenmutterzellen sind tetraödisch getheilt. Sie entstehen normal an Kurztrieben durch Metamorphose der Scheitelzellen derselben. Sowohl primäre, als secundäre und tertiäre Kurztriebe können in Sporenmutterzellen endigen. Die secundären und tertiären thun es vorzugsweise. Bisweilen verwandeln sich schon einzellige Anlagen für Kurztriebe in Sporenmutterzellen. Diese sind somit bald ge- stielt, bald sitzend. Fig.2. Ihr Vorkommen am Ende von Langtrieben ist abnormal. Die Antheridien sind mir unbekannt. Die Keimfrüchte kenne ich ebenfalls nicht; wenn es aber erlaubt ist, aus dem Verhalten von Ptilota einen Schluss auf dasjenige der Gattung Euptilota zu ziehen, so entwickeln sie sich an Kurztrieben. Kützing sagt von der Gattung Euptilota: Cy- stocarpia ad apices ramulorum ramulis pinnatis involucrata. Ptilota plumosa. (ramer. Ptilota plumosa Ag. partim. Taf. 14.5. 11—5.,11 1 —23. Wir besitzen über diese zierliche Floridee bereits eine einlässliche Untersuchung von Nägeli *). Die Resultate meiner eigenen in den Jahren 1859, 1860 und 1862 angestellten Beobachtungen stimmen in, mehreren wesentlichen Punkten mit den An- gaben von Herrn Professor Nägeli nicht überein, weshalb ich hier nochmals auf diesen Gegenstand zurück komme. Ich habe 13 verschiedene Exemplare der Pllanze, die ich unter den nachfolgen- den Namen erhalten hatte, untersucht und will dieselben mit römischen Buchstaben bezeichnen. A. Piilota plumosa. Ag. Helgoland. Ende Aug. 1853. leg. C. Cramer. B 5 5 R 4 leg. Aeuckens. Ü ” 5 „ Havre. leg. Gonsul Wanner. D „ sericea. Harv. Torquay. leg. L. Fischer, Prof. in Bern. E r y » Plymouth. leg. Hippel (ex Herb. Heerii). F 5 a „ Aberdeen. Alge mar. siec. v. Hohenacker N. 444. G „ plum. tenuissima. Ag. Dovor. leg. Nägeli (ex Herb. Heppii). H % " 5 „ Cherhourg. leg. Lenormand (ex Herb. Rechsteineri). I „ elegans (= plum. tenuiss.) Cherbourg. (yiıy R ) K » plumosa tenuissima. Ag. Cherbourg. Hohenacker N. 129. L 5 u Ag. Wahrscheinlich von Cherbourg. leg. Pelvet (ex Herb. Fischeri). M .„ sericea. Harvey. Irland. leg. Moore (ex Herb. Heppii). N, A „ Cherbourg. leg. Pelvet (ex Herb. Heppii). Nägeli sagt in seiner eitirten Arbeit über Pt. plumosa: „Die Theilung der Schei- telzelle kann sich immer wiederholen, die Axen sind daher ihrem Begrilfe nach unbegrenzt. Doch verlängern sich die wenigsten wirklich ohne Ende, sondern in den meisten abortlirt die Zellenbildung in der Scheitelzelle früher oder später. Dieses Aufhören des Wachsthums scheint aber von äusseren Einflüssen abzuhängen, da es ganz unbestimmt eintritt. Alle Axen sind daher als einander gleich, somit als Laub- *) Die neuern Algensysteme von GC. Nägelı. a axen *) zu betrachten.“ Fassen wir alte Partieen der Pflanze oder auch kümmer- liche Exemplare in’s Auge, so kann es allerdings so scheinen. Wir finden hier Aeste von allen Dimensionen bunt durcheinander gemischt. Ganz anders an jüngern kräf- ligern Sprossen, diese zeigen an ganz: bestimmten, nicht zufälligen Stellen kurze, an andern beträchtlich längere Zweige. Jene bleiben lange Zeit kurz, diese verlängern sich immer mehr, entwickeln sich ferner, wie bei Euptilota, nach andern architecto- nischen Gesetzen, haben auch andere Functionen. Es ist wahr, ein absoluter Unter- schied zwischen beiden Arten von Aesten besteht nicht, sofern die einen den Charakter der andern annehmen können und umgekehrt. Wir werden also nicht von begrenzten und. unbegrenzten Axen schlechthin reden, sondern bloss von relativ begrenzten und unbegrenzten oder besser von Kurz- und Langtrieben **). - Ausser Kurz- und Langtrieben besitzt Ptilota plumosa noch Adventiväste. Die Kurztriebe werden als solche kaum über 2”” lang, sind entweder ein- [ache höchstens 10gliedrige Zellreihen, dann nackt; oder sie sind verzweigt, oft deutlich opponirt gefiedert, dann sind die primären Kurztriebe öfters etwas berindet. Selten tragen wenigstens die äussern seeundären Kurztriebe ebenfalls 2 Zeilen oppo- nirter Aeste, dann können auch die seeundären Kurztriebe schwach berindet sein. Primäre, secundäre und tertiäre Kurztriebe liegen ‘auch hier in ein und derselben Ebene unter sich und mit den unten zu besprechenden Langtrieben. Die Kurztriebe sind im Allgemeinen viel regelmässiger verzweigt als bei Euptilota, sehr oft ununter- brochen opponirt geliedert; nur die untersten und obersten Glieder tragen, besonders nach innen, oft keine Aeste, so dass also auch hier die äussere Seite hinsichtlich *) Nägeli nannte bekanntlich früher die begrenzten Axen der Algen »Blätter«. Wenn er Ptilota nur Laubaxen zuschreibt, so läugnet er somit das Vorkommen von begrenzten Axen bei dieser Pflanze. **) Diese Ausdrücke sind keineswegs synomym mit den Bezeichnungen »begrenzte und unbe- grenzte Axen«; denn es gibt ausser begrenzten Kurztrieben und. unbegrenzten Langtrieben auch unbegrenzte Kurztriebe und begrenzte Langtriebe. So sind die Nadelbüschel (Kurztriebe) der Kiefer begrenzt, diejenigen der Lärche, sowie die Kurztriebe der Buche, Birke etc. unbegrenzt; es sind ferner die Langtriebe der Kiefer, Tanne und vieler Laubhölzer unbegrenzt, diejenigen des Haselstrauches, der Weissbuche aber begrenzt, sofern die Terminalknospe im Herbst abstirbt und der Trieb später durch die oberste Seitenknospe fortgesetzt wird. Da die Ausdrücke »Kurz- und Langtriebe« hinsichtlich der Wachsthumsintensität keinen absoluten Gegensatz bezeichnen, sind sie den Ausdrücken »begrenzte und unbegrenzte Axen« mindestens in allen den Fällen vorzuziehen, wo sich nachweisen lässt, ‚dass entweder die begrenzten Axen hie und da unbegrenzt oder die unbegrenzten hie und da begrenzt oder gar sowohl die begrenzten nicht constant Fee als auch die unbegrenzten nicht constant unbegrenzt in die Länge wachsen. 293 der Verzweigung begünstigt erscheint. Dies gilt auch mit Bezug auf die Verzweigung der secundären Kurztriebe, ihre äussere Seite erzeugt vorzugsweise und längere Aeste als die innere und die äussern secundären eher als die innern secun- dären. Die primären Kurztriebe stehen meist zu zweien opponirt auf Gliedern relativ unbegrenzter Axen, selten einzeln, dann einem Langtrieb gegenüber. Häufig gehen Kurztriebe später in Langtriebe über, jedoch bloss primäre Kurztriebe und nur, wenn ihre Scheitelzelle nicht reproductiv geworden. Die Kurztriebe können repro- ductiv werden, Sporenmutterzellen und Keimfrüchte entstehen aus Scheitelzellen von Kurztrieben. Die Antheridien sind mir nicht bekannt. Die Langtriebe werden sicher bis 60”* lang, vielleicht noch länger, die ganze Pflanze bis 150”” und wohl darüber. Sie stellen ebenfalls Zellreihen dar, sind aber später dicht berindet, dabei flach gedrückt. Jedes Glied erzeugt zwei opponirte Aeste, ausgenommen die Basilarglieder. Alle Zweige eines Langtriebes liegen in ein und derselben Ebene und verzweigen sich gleichfalls in dieser Ebene und so fort. Von den Aesten eines Langtriebes sind die meisten Kurztriebe, doch überwiegen letztere hier Jange nicht in dem Maasse wie bei Euptilota. Auf 6312 Glieder mit 12624 Aesten fielen 2737, also 21,7% Langtriebe (bei Euptilota 10%). Nie stehen von Anfang an zwei Langtriebe auf dem gleichen Gliede, vielmehr ist auch hier jedem Langtrieb ursprünglich ein Kurztrieb opponirt: Die Stellung der Langtriebe einer relativ unbegrenzten Axse ist viel regelmässiger als bei Euptilota. Seltene abnormale Fälle, die Folge von Sympodienbildung *) sind, abgerechnet, alterniren die suecessiven Langtriebe einer unbegrenzten Axe constant. Meistens trägt je das zweitfolgende Glied wieder einen Langtrieb, nach diesem am häufigsten das drittfol- gende, dann das 4., 1., 5., 6. Von 2737 an obigen Exemplaren angestellten Beob- achtungen zeigten wieder einen Langtrieb auf je dem 1. 2. 3. 4. 3. 6. Gliede 20a "1908°, "719 61 10 2 Beobachtungen oder 1,50 69,56 36.277 2,23 0,6 0,07 Procente, auf je dm 2. und 3. Gliede zusammengenommen - 2623 Beobachtungen, oder 95,54 Procente. An ältern unbegrenzten Axen sind die Intervalle zwischen den successiven *) Siehe weiter unten. ZW Langtrieben durchschnittlich etwas kleiner, als an jüngern. Von 817 Beobachtungen an 24 relativ ältern Langtrieben zeigten wieder einen Langtrieb auf je dm 1. 2. 3. 4. 3. 6. Gliede Ss 600 200 9 Beobachtungen oder 0,98 73,4 24,5 1,1 Procente, auf je dem 1. und 2., sowie je dem 3., 4., 5., 6. Gliede zusammengenommen 608 209 Beobachtungen oder 74,4 25,6 Procente. Von 1431 Beobachtungen an den relativ unbegrenzten Aesten jener 24 Langtriebe zeigten wieder einen Langtrieb auf je dem 1. 2 3. 4. d. 6. Gliede Edi DM 3 ki | 9 1 Beobachtungen oder 1,75 65,06 29,2 3,29 0,63 0,07 Procente, auf je dem 1. und 2., sowie 3., 4., 5., 6. Gliede zusammengenommen —e 956 475 Beobachtungen oder 66,51 33,19 Procente. Es bestätigte sich dies auch bei der Mehrzahl der einzelnen Exemplare *). Bis- weilen waren auch die Intervalle zwischen den obern Langtrieben ein und derselben unbegrenzten Axe durchschnittlich etwas grösser, als zwischen den untern. Das Basilarinternodium **) eines Langtriebes jedoch besteht ohne Ausnahme aus einer grössern Anzahl von Gliedern, als alle übrigen Internodien. Den ersten Langtrieb einer unbegrenzten Axe erblicken wir frühestens auf dem neunten Gliede, oft erst viel weiter oben ***). Er liegt mit Bezug auf die Axe, woran jene inserirt ist, con- stant nach aussen. Während die Kurztriebe als solche seitlich nur Kurztriebe hervor- bringen, erzeugen die Langtriebe normal wieder Langtriebe und Kurztriebe, sowie oft Adventiväste. Nicht selten nehmen Langtriebe früher oder später begrenztes Wachsthum an. Nie werden Langtriebe reproductiv, es wäre denn, dass sie die Antheridien hervorbringen, was ich nicht weiss, aber bezweifle. Dass die Langtriebe *) Siehe unten. **) So nenne ich die untersten Glieder eines Langtriebes bis und mit demjenigen, welches den ersten secundären Langtrieb trägt. ***) Siehe unten. ww - DB von Ptilota Sporenmutterzellen und Keimhäufchen hervorbringen , halte ich übrigens nicht für unmöglich; wenn es aber geschieht, geschieht es jedenfalls erst, nachdem sie ihr unbegrenztes Längenwachsthum eingebüsst haben. Die Adventiväste sind stets unberindete, säbelförmig nach oben gekrümmte, einfache Zellreihen, mit begrenzter Entwickelung, bis 20gliedrig, mit intensiv rothem Inhalt in den wenig verlängerten Zellen. Aeltere Partieen von Langtrieben sind in Folge reichlicher Adventivastbildung oft ganz filzig. Die Adventiväste entstehen aus der Rinde *). Vom Wachsthum der Thallome von Ptilota plumosa gilt im Allgemeinen das, was von Euptilota gesagt worden. Ursprünglich einzellig, verlängern sich sowohl Kurz- als Langtriebe zunächst durch Scheitel- oder primäres Längenwachsthum unter wiederholter, nach oben fortschreitender Querwandbildung, dann und hauptsächlich durch secundäres Längenwachsthum. Ursprüngliche Länge eines Gliedes — 13,6 Mikm., endliche Länge — 685 Mikm. Das Dickenwachsthum **) der Thallome beruht auf transversalem Flächenwachsthum der Gliederzellmembran und der Rindenbildung. Ursprüngliche Dicke eines Gliedes — 10,6 Mikm., endliche Dicke eines Gliedes ohne Rinde — 240, mit Rinde — 800 Mikm. Das primäre Längenwachsthum der Kurztriebe von Ptilota ist relativ begrenzt, dasjenige der Langtriebe relativ unbegrenzt, während das secundäre Längenwachsthum, sowie das Diekenwachsthum von Kurz- und Lang- trieben begrenzt ist. Kurz- und Langtriebe sind in der Jugend in Folge bevorzugter Entwickelung der Aussenseite sichelförmig nach oben gekrümmt, die Querwände also gegen die Hauptaxe hin convergirend; erst später gleichen sich die Differenzen aus, so dass die Querwände parallel erscheinen. Bei Langtrieben alterniren sie dann aber vom neunten oder einem noch spätern Gliede, kurz vom Basilarknoten ***) an pe- riodisch nach rechts und links, entsprechend ihrer spätern Verzweigungsweise. Ebenso verhalten sich Kurztriebe, die nachträglich unbegrenzte Entwickelung ange- nommen haben. Die Verzweigung beginnt an Kurztrieben und der Basis von Langtrieben an einem der untersten Glieder (zuerst aussen, hier bisweilen am untersten Gliede, dann innen) und schreitet von da an sowohl abwärts als aufwärts fort. Die untersten 1— 3 *) Siehe unten. *) Nicht zu verwechseln mit dem Dickenwachsthum der Gliederzellmembran. “=, D. h. demjenigen Gliede, welches den ersten Langtrieb trägt. a Glieder erzeugen bisweilen keine Aeste oder nur Astanlagen. Die Innenseite des Basilargliedes ist constant‘ astlos *). Dass auch unverzweigte Kurztriebe vorkommen, wurde bereits weiter oben angeführt. Die Aeste der Aussenseite von Kurz- und Langtrieben bleiben einige Zeit bevorzugt. Während nun die Kurztriebe auf der bezeichneten Stufe zunächst stehen bleiben, vertauschen die Langtriebe bald die beiderseits continuirlich fortschreitende Astbildung mit beiderseits intermittirend oder interponirend fortschreitender, d. h. sie erheben sich zur Priman- und Secundanast- bildung, ein Verhältniss, das von Nägeli ebenfalls übersehen wurde (Taf. II Fig. 5. Taf. II Fig. 1, 2, 3). Da der äussere Ast des Gliedes, auf welchem die continuirlich fortschreitende Astbildung aufhört, sich in der Folge wie ein Primanast verhält, d.h. zum Langtrieb wird, will ich ihn als ersten-Primanast bezeichnen. Es zeigten alsdann 156 Beobachtungen den ersten Primanast aussen, keine einzige innen und zwar auf dem 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. Gliede 10 11 9 18 31 16 2 3 17 4 1 2 2 Beobachtungen, ausserdem noch keine interponirende Verzweigung auf Glied 26 27 238 1 1 1 Beobachtungen. Der zweite Primanast eines Langtriebes, constant innen, steht nicht wie bei Euptilota gewöhnlich auf dem nächstfolgenden Glied, sondern vielmehr meistens auf dem 2. und 3. folgenden, selten auf dem 4., 1., 5. oder 6. folgenden Glied und so fort. Dem entsprechend sind bei Ptilota gewöhnlich 2—3 Wände nach der gleichen Seite geneigt (Vergl. Fig. 5, Taf. I. — Fig. 1— 3, Taf. II). Die Intervalle sind etwas ver- schieden bei verschiedenen Pflanzen**), sie sind verschieden bei verschiedenen Sprossen derselben Pflanze ***), endlich wie es scheint auch in,verschiedener Höhe am glei- chen Spross-+). Die Primanäste entwickeln sich von Anfang an viel kräfliger, als die Secundanäste und schreiten nach einiger Zeit ebenfalls zur Priman- und Secun- danastbildung, d. h. nehmen die Natur von Langtrieben an, während die Secundan- äste zu Kurztrieben werden. Da demnach jeder Primanast später zum Langtrieb wird, muss die Anzahl der Langtriebe bei Ptilota plumosa grösser sein als bei Euptilota, *, Siehe weiter unten. **) Siehe unten. | *=) An jüngern durchschnittlich etwas grösser als an.ältern. Siehe pag. 9 oben. 7) An obern Partieen etwas grösser als an untern. a 7 obwohl die Intervalle zwischen zwei successiven Langtrieben bei letzterer Pflanze meistens grösser sind. Aus demselben Grunde müssen aber auch bei Ptilota die Lang- triebe constant alterniren, da ja auch die Primanäste alterniren. Ich habe schon weiter oben seltener Ausnahmen von dieser Regel, bedingt durch Sympodienbildung, gedacht: Bei Exemplar H. sah ich einmal einen Langtrieb, der längere Zeit ganz normal interponirende Astbildung gezeigt hatte, auf gewisser Höhe durch einen auflallend stark entwickelten, übrigens völlig normalen, zum Langtrieb gewordenen Primanast auf die Seite gedrängt, der Art, dass der Ast die gerade Verlängerung der Hauptaxe bildete und das Ende der letztern ein Ast zu sein schien. Unmittelbare Folge davon war dann weiterhin, dass man auf Seite der verdrängten Hauptaxe zwei einerseitswendige successive Langtriebe vor sich zu haben glaubte. Die seitwärts gedrängte Hauptaxe trug von der Insertionsstelle des begünstigten Astes an ganz wie dieser eine Reihe gleichwerthiger opponirter Aeste: Kurztriebe, von welchen die äussern etwas stärker als die innern waren. so dass es um so mehr scheinen konnte, es habe die Hauptaxe einmal zwei einerseitswendige suecessive Primanäste hervorgebracht. Allein es war dies nur Sympodienbildung und ich denke mir den Vorgang so: Zur Zeit, als die wahre Hauptaxe jenen in der Folge be- sonders üppig vegetirenden Primanast hervorgebracht, wurde erstere durch irgend eine, vielleicht äussere Ursache in ihrer normalen Weiterentwickelung zurückgehalten, der Ast entwickelte sich daher stärker und drängte die Hauptaxe seitwärts. Diese erholte sich allmählig wieder, aber der Lage nach jetzt Ast, übernahm sie auch die Natur eines Astes, d.h. begann wieder mit continuirlich fortschreitender Bildung zweier Reihen opponirter gleichwerthiger Kurztriebe, um erst später sich von neuem zur Priman- und Secundanastbildung zu erheben. Auch als Folge einer echten, dichotomischen Verzweigung liesse sich die beschriebene Erscheinung zur Noth begreifen. Allein wir müssten dazu von einem Gesetz Umgang nehmen, für dessen Constanz bei Ptilota plumosa tausendfältige Beobachtungen sprechen, wir müssten voraussetzen, es habe sich eine der frühern Scheitelzellen jener Hauptaxe ausnahmsweise, statt durch eine horizontale oder wenig geneigte Querwand, durch eine verticale Wand getheilt und so in zwei neue Scheitelzellen gespalten, deren jede in der Folge einen Langtrieb erzeugte, die eine einen kräftigern als die andere. Ich halte die erste Erklärung für die richtigere. Noch einige andere Abweichungen von den bisher entwickelten en habe ich zu besprechen. Nicht immer, wenn auch gewöhnlich, wird der Primanast eines Internodiums *) vor den Secundanästen desselben angelegt, es kann z. B. geschehen, dass der nächst untere Secundanast zuerst gebildet wird; aber immer werden die Secundanäste eines Internodiums sehr bald und für lange Zeit vom zugehörigen Primanast beträchtlich überholt, so dass zugestanden werden muss: es verdienen die Primanäste von Ptilota plumosa, wenn auch nicht immer mit Bezug auf die erste Anlage, so doch hinsichtlich ihrer ersten Entwickelung ihren Namen vollständig. — Nicht immer erheben sich ferner die Primanäste später selber wieder zur Priman- und Secundanastbildung, so besonders bei den Exemplaren N. M. L. Es kann der Fall eintreten, dass sie sich später von den Secundanästen durch nichts unterscheiden, als durch etwas bedeutendere Dimensionen auch ihrer Zweige, durch einfache, wohl auch doppelte Fiederung, wenn die Secundanäste unverzweigt oder einmal gefiedert sind. Diese nie zu verkennende Differenz rechtfertigt aber hinreichend die Unterscheidung von Lang- und Kurztrieben. Fig. 3 Taf. II ist eine schematische Darstellung eines Langtriebes von Exemplar N, mit bloss drei wirklich unbegrenzten Aesten und einer Menge von Langtrieben, die sich nur durch etwas bedeutendere Dimensionen, deutliche Fiederung und Rindenbildung von den Kurztrieben unter- schieden. — Bei üppiger Entwickelung der Pflanze endlich bleiben aber auch nicht immer die Secundanäste auf begrenztes Längenwachsthum und beiderseits continuirlich fortschreitende Astbildung beschränkt; sie können vielmehr gleich den Primanästen unbegrenztes Längenwachsthum annehmen und interponirende Astbildung zeigen und thun dies in der That nicht selten. So kömmt es, dass üppige Sprossen öfters da und dort zwei, selbst drei einerseitswendige successive oder auch auf einzelnen oder zwei bis drei successiven Gliedern je zwei opponirte Langtriebe zeigen, so’ kömmt es, dass mit einem Worte bisweilen jede Gesetzmässigkeit in der Stellung relativ begrenzter und unbegrenzter Aeste, jede Differenz zwischen Lang- und Kurztrieben zu fehlen scheint. Dies geschieht aber erst später, wenn der Spross zu gross ge- worden ist, als dass ihn die oben geschilderten Entwickelungsgesetze noch in seiner Totalität zu beherrschen vermöchten **), so dass dann nichts anderes übrig bleibt, als an einzelnen zufällig bevorzugten Zweigen desselben, seien sie nun ursprünglich Priman- oder Secundanäste, Lang- oder Kurztriebe gewesen, die gleiche Fülle von Erscheinungen sich wiederholen zu sehen. Je länger aber die einzelnen Theile sich *) So nenne ich das Knotenglied, plus die nächst untern internodialen Glieder. **) Wir können Aehnliches an jedem Strauch oder Baum beobachten. Eu 7 in ihrer Entwickelung der Hauptaxe anschliessen oder unterordnen, Ein Gesetz das Ganze zusammenhält, desto regelmässiger und zierlicher erscheint diese mikroskopi- sche Astwelt. Fig. 2 Taf. Il gibt ein schematisches Bild eines solchen regelmässigen Sprosses von Exemplar B, nicht ganz bis in's Detail durchgeführt. Zur Ergänzung dient Fig. 1 a, b. ce Taf. Il. Der erste Primanast der Hauptaxe P. Fig. 2, steht auf dem 13. Gliede (‚p). Darauf folgen noch 21 alternirende Primanäste ap. sp — zp*). Zwischen denselben steht die entsprechende Anzahl Secundanäste. Alle Aeste sind noch etwas aufwärts gekrümmt, die äussern von kräftigerem Wuchs **) als die in- nern. Ueberdies, und davon war noch nicht die Rede, sind auch die En Aeste in gleichem Sinne kräftiger als die untern. Die obersten sind natürlich wieder kleiner, weil noch jugendlich. Doch das ist nicht alles: Was für die ganze Reihe von Aesten im Allgemeinen gilt, das gilt auch, wenn wir die je zwischen zwei successiven Primanästen derselben Zeile liegenden Secundanäste, sowie die unterhalb des ersten und zweiten Primanastes befindlichen unter sich vergleichen: Sie nehmen an Stärke von unten nach oben stetig zu, je der oberste Secundanast ist der längste, dickste und am reichsten verzweigte (Fig. 2 Taf. I). — Alle Aeste der Hauptaxe P. waren verzweigt, die äussern Aeste eines jeden (die äussern tertiären Axen also) wiederum von kräftigerem Wuchs ***), als die innern und die obern Aeste kräftiger als die untern, die obersten noch unentwickelten waren dem entsprechend wieder kleiner. Die meisten der 22 secundären Primanäste (;p, ap — 22p) zeigten noch nicht inter- ponirende Verzweigung, erst bei achten war Priman- und Secundanastbildung ein- getreten, sonst würden sich wohl auch hier innerhalb der grössern Wachsthums- Welle kleinere Wellen zwischen je zwei successiven gleichzeiligen Primanästen etc. gezeigt haben. — Fig. 1 a, b, e Taf. Il zeigt drei Stücke des fünften Primanastes der Hauptaxe P. Fig. 2. Derselbe besass 29 Glieder, hatte es gleichwohl noch nicht zur Priman- und Secundanastbildung gebracht. Auf dem dritten Gliede standen zwei einfache, relativ kurze Aeste, von denen der äussere bevorzugt war. Aehnlich ver- hielt sich Glied 4. Die zwei Aeste waren etwas grösser als die nächst untern (Fig. 1 ec). Auf dem 11. Gliede standen merklich grössere Aeste mit beginnender Fiederung, der äussere war auch hier auf's Evidenteste bevorzugt (Fig. 1 b). Etwas weiter oben nahmen die Dimensionen der Aeste wieder ab, die Verzweigung aber noch zu, in “ Und z zwar 17 auf je dem 2., 3 auf je dem 3. und einer auf dem nächst folgenden Gliede. **) Länger, und, was man der Zeichnung nicht ansehen kann: dicker und reicher verzweigt. ***) Länger, dicker und reichlicher verzweigt. = U der Nähe der Stammspitze dagegen fanden sich nur noch einfache kurze, zuletzt bloss einzellige Aeste (Fig. 1 a). Auch hier ist die Aussenseite begünstigt. Wie dieser Ast verhielten sich auch alle übrigen Primanäste und soweit möglich alle Secundan- äste der Hauptaxe P. (Fig. 2 Taf. II). Was ich hier für Ptilota plumosa noch nach- zuweisen versucht habe, das Gesetz der Zunahme des Längenwachsthums und der Wiederholungsfähigkeit der Aeste einer Axe von unten nach oben, gilt noch für viele Florideen und Pflanzen überhaupt; auch das Auftreten kleinerer Wellenberge innerhalb der grössern Welle der Wachsthumsintensität *) bei Ptilota ist nicht ohne Analogieen bei verwandten Pflanzen sowohl, als bei viel höher organisirten Gewächsen. Man muss nur bedenken, dass die Erscheinungen, welche sich bei Ptilota etc. in einer einzigen Vegetationsperiode vollziehen, in andern Fällen bisweilen Jahre er- fordern, um zur Verwirklichung zu gelangen. Rindenbildung. Während bei Euptilota nur die Langtriebe später berindet sind, können bei Ptilota plumosa alle Axen, sowohl Kurz- als Langtriebe, Rinde hervorbringen. Dieselbe entsteht bei Kurz- und Langtrieben wesentlich nach denselben Regeln. Die Unterschiede sind bloss gradueller Natur. Es ist aber passend, die Rin- denbildung der beiden Arten von Thallomen bei Ptilota auseinander zu halten. a. Rindenbildung bei Langtrieben. (uerschnitte durch ältere Partieen von Langtrieben zeigen in der Mitte die platt gedrückte Axenzelle, um diese herum mehrere Schichten unregelmässig angeordneter, nach aussen kleiner werdender Rindenzellen, bis sechs auf dem Radius. Die Rinde der Langtriebe von Euptilota gehörte physiologisch ausschliesslich den Aesten an, war astbürtig; bei Ptilota plu- mosa dagegen entspringt die Berindung theils an der Basis der Aeste, theils an den Gliedern des berindeten Langtriebes selber, ist mithin theils astbürtig, theils stamm- bürtig. «. Stammbürtige Rinde von Langtrieben. Ast- und stammbürtige Rinde tritt sehr frühe auf, zuerst die stammbürtige, oft schon am T., 6., ja selbst 5. Gliede von oben kann man deren Anfänge beobachten. Wie schon Nägeli nachgewiesen hat, wird nämlich am obern Ende eines jeden der um diese Zeit etwas flaschenförmigen Glieder auf der zu- und abgekehrten Seite, gewöhnlich nicht gleichzeitig, je eine quadratische Zelle durch eine im Ganzen verticale Wand abgeschnitten (Taf. III Fig. *) Die Wachsthumserscheinungen lassen sich bezüglich ihrer Intensität sehr wohl graphisch darstellen. 16 1-—-3*). Diese primäre Rindenzelle **) gibt darauf vier secundären die Entstehung, indem meistens zuerst die beiden untern, dann die beiden obern Ecken durch schiefe Wände abgeschnitten werden (Taf. I Fig. 4. — Taf. II Fig. 1. — Taf. II Fig. 1 —3). Dabei bleibt es aber nicht stehen, vielmehr finde ich, im Gegensatz zu den Nägelischen Angaben, zwar nicht immer, aber meistens, zwischen den beiden obern secundären Rindenzellen später noch eine fünfte. Dieselbe entsteht zuletzt, indem der mittlere obere Zipfel des Restes der primären Rindenzelle auch noch abgeschnitten wird (Taf. I Fig. 4). Von den secundären Rindenzellen erzeugen die beiden untern 4, die drei obern 1—3 tertiäre, die sich durch Scheitelwachsthum und Querwandbil- dung in gegliederte Zellfäden verwandeln und hie und da verzweigen (Taf. I Fig. 4. Taf. I Fig.5a). Jedes Glied eines Langtriebes erzeugt auf die angegebene Weise stammbürtige Rinde, ausgenommen das unterste. Nach Nägeli ist auch dieses nicht ausgenommen. ß. Astbürtige Rinde von Langtrieben. Wie Nägeli richtig angibt, sind die Basi- larglieder der Aeste einer berindeten Axe ganz in deren Rinde eingebettet. Nach ihm sollen aber ferner alle Glieder einer Axe, also auch die Basilarglieder, am obern Ende, sowohl vorn als hinten, jene viereckige primäre Rindenzelle hervorbrin- gen, diese nach oben und unten je zwei Berindungsfäden aussenden , und die letztern von den Basilargliedern der Aeste sich über die Glieder der Hauptaxe verbreiten, d. h. nach meiner Ausdrucksweise die Hauptaxe mit astbürtiger Rinde versorgen. Allein wie schon gesagt fehlen solche Rindenzellen den Basilargliedern sämmtlicher Axen. In der That zeugen denn auch Nägeli’s eigene Zeichnungen gegen seine Aus- sage. Die Basilarglieder verhalten sich wie folgt: Nicht lange, nachdem an der Hauptaxe die Bildung der stammbürtigen Rinde begonnen hat, nur wenige Glieder weiter unten, sieht man in den Basilargliedern der Aeste drei Theilungswände auf- treten. Durch eine derselben wird von den beiden äussern Ecken des Gliedes die obere, durch die andere die untere Ecke abgeschnitten, während die dritte Wand die obere der beiden innern Ecken abschneidet (Fig. 1 Taf. Ill). An Basilargliedern von Pri- manästen folgen die drei Wände gewöhnlich in obiger Ordnung auf einander, wäh- rend an Basilargliedern von Secundanästen die zweilgenannte Wand wohl ebenso häufig zuerst auftritt, als die erstgenannte. Von diesen drei Wänden steht diejenige, wodurch *) Die stammbürtige Rinde ist auf allen Figuren, mit Ausnahme von Fig. 4 Taf. II, schraffirt. **) Nach Nägeli eine einzellige secundäre Laubaxe (siehe die neuern Algensysteme). die untere äussere Ecke abgeschnitten wird, entschieden häufig senkrecht auf der Verzweigungsebene und gibt einem abwärts über die Hauptaxe wachsenden Berin- dungsfaden die Entstehung (Fig. 4 Taf.I.—Fig. 1b, ce. Taf. II). Nicht selten aber steht jene Wand etwas schief auf der Verzweigungsebene, die Zelle, die durch die- selbe gebildet wird, liegt dann etwas nach vorn oder hinten; durch eine in entgegen- gesetzter Richtung gegen die Verzweigungsebene geneigte Wand wird später eine ähnliche, die erste deckende Zelle gebildet. Diese beiden Zellen wachsen dann ab- wärts über die Hauptaxe, zwei astbürtige Berindungsfäden darstellend. Ganz auf die letzte Art scheint es sich constant mit der dritten jener Wände zu verhalten, mit jener Wand, welche die obere innere Ecke des Basilargliedes der Aeste abschneidet; sie steht nicht senkrecht auf der Verzweigungsebene, gibt also nicht etwa einem Thallomzweig die Entstehung *), sondern sie steht etwas schief; ihr folgt eine ent- gegengesetzt geneigte Wand, so dass wir auch am obern Ende der Innenseite jedes Basilargliedes als Anlagen für astbürtige Rinde zwei sich deckende primäre Rinden- zellen erhalten, von welchen später vier secundäre abgeschnitten werden etc. (Fig. 5 «@ «! Taf. I). Nur die Wand endlich, welche die obere äussere Ecke des Basilar- gliedes abschneidet, steht wohl ohne Ausnahme senkrecht auf der Verzweigungsebene. Die Zelle, welche durch dieselbe gebildet wird, ist die Anlage zu einem Thallom- zweig. Dieser kann einzellig bleiben oder sich etwas strecken und durch Querwand- bildung in eine 2- bis 3-, selbst 6gliedrige Zellreihe verwandeln, doch geschieht das letztere selten. Auch von diesem rudimentären Basilarzweig kann astbürtige Rinde auf die Axe, deren Berindung besprochen wird, übergehen, und zwar gleichviel, ob er ein- oder mehrzellig sei. Ist er einzellig, so erzeugt eben diese einzellige Basilarastanlage (Fig. 1 « Taf. 1ll), ist er mehrzellig, so erzeugt sein unterstes Glied auf der freien äussern Seite einen abwärts über die in Frage kommende Axe wach- senden Berindungsfaden. Jede Gliederzelle eines Langtriebes, mit Ausnahme der ersten, erzeugt nach alle dem an ihrem obern Ende vier Astzellen, erst eine rechts und eine links, woraus wieder Thallome **) hervorgehen, später eine vorn und eine hinten, primäre Rinden- zellen ***). Die unterste oder erste Gliederzelle eines Langtriebes dagegen bildet an ihrem obern Ende aussen eine Astzelle (die Anlage zum Basilarast), innen zwei sich *) Vergleiche oben pag. 11, Zeile 1. **) Bald zwei Kurztriebe, bald ein Kurztrieb und ein Langtrieb. — »Primäre Tochteraxen.« Nägeli. ***) »Secundäre, der Mutteraxe ungleiche Tochteraxen.« Nägeli. 3 EB deckende Rindenzellen, vorn und hinten keine Astzellen; dageren am untern Ende aussen 1 bis 2 Astzellen. aus welchen Wurzelfäden werden. Ueberdies kann auch der Basilarast einen Wurzelfaden erzeugen. Jede Gliederzelle, mit Ausnahme der untersten, wird somit auf beiden Seiten zusammengenommen im günstigsten Fall von 20 Punkten aus von Berindungsfäden überwachsen: 1) von den 2 mal 2 untern secundären stammbürtigen Rindenzellen aus, 2) von den 2 mal 2 meist 3 obern secundären stammbürtigen Rindenzellen aus, 3) von den 2 mal 2 untern secundären astbürtigen Rindenzellen an der innern Seite der Basilarglieder der Aeste aus, 4) von den 2 mal 1—2 primären astbürtigen Rindenzellen aus, welche aussen am untern Ende der Basilarglieder der Aeste entspringen, 5) von 2 mal 1 primären Rindenzellen, welche von den Basilarästen erzeugt werden, aus. Das unterste Glied eines Langtriebes dageren wird auf beiden Seiten zusammen bloss von 10 — 11 Punkten aus mit Berindung versorgt: 1) von 2 mal 4 secundären Rindenzellen am Innenrand. 2) von den 1 — 2 primären Rindenzellen unterhalb des rudimentären Zweiges an der Aussenseite, 5) vom Grund dieses Basilarastes aus *). Poren besitzt weiterhin jede Gliederzelle eines Langtriebes, mit Ausnahme der untersten, wie auch Nägeli angibt. höchstens 6, das Basilarglied hingegen 5 — T, nämlich: einen gegen die nächstobere Gliederzelle hin, einen gegen die Gliederzelle der Hauptaxe, woran jener sitzt, einen Porus weiterhin nach der Seite des Basi- larastes, je einen gegen jede der zwei primären Berindungszellen der Innenseite und 1 bis 2 endlich aussen am untern Ende gegen die abwärts wachsenden Wurzelfäden hin. Jede der quadratischen primären Rindenzellen gewöhnlicher Glieder **) hat 5 — 6 Poren: 1 Porus an der Innenfläche nach der Gliederzelle der Mutteraxe hin und 4 — 5 Poren an den Seitenflächen, 2 unten, 2— 3 oben, nach den secun- dären Rindenzellen, welche an ihr befestigt sind. Jede Gliederzelle eines Berindungs- fadens hat wenigstens 2 Poren, einen an der untern und einen an der obern Endfläche nach den beiden Zellen, an die sie in ihrer Reihe anstösst, ferner einen dritten, vierten oder selbst fünften seitlich, wenn sie einen, zwei oder gar drei Aeste trägt. Kurz: nur in der Scheidewand zwischen physiologisch zusammengehörigen Zellen findet sich je ein Porus ***). Die Rinde von Ptilota ist ein blosses Zellfadengeflecht. Doch kehren wir zu unserm eigentlichen Thema der Berindung von Langtrieben *) Vergleiche mit obiger Stelle: Die neuern Algensysteme von Nägeli p. 207, Zeile 32 — 44. “, D. h. aller Glieder mit Ausnahme der Basilarglieder. ***) Vergleiche hiemit: Nägeli, Algensysteme pag. 208 Zeile 12 — 27. ai zurück! Bei Weitem nicht alle Langtriebe sind stark berindet, selbst bei Langtrieben mit interponirender Verzweigung kommen merkliche Unterschiede hinsichtlich der Mächtigkeit der Rinde vor. Am geringsten ist die Berindung von verkümmerten Langtrieben, diese zeigen bisweilen kaum astbürtige Rinde, sondern fast bloss stamm- bürtige. — Dass die Rindenzellen in Adventiväste auswachsen können, wurde schon angeführt. Es sind die äussersten Rindenzellen, welche dies thun. Sowohl ast- als stammbürtige Rinde scheint Adventiväste hervorbringen zu können, denn die letztern stehen gleichmässig rings um die Hauptaxe herum. b. Rindenbildung bei Kurztrieben. Die Kurztriebe verhalten sich hinsicht- lich der Berindung vollkommen wie Langtriebe, wenn sie unbegrenztes Wachsthum angenommen haben; dagegen etwas verschieden bei begrenzter Entwickelung. Die Differenz ist aber bloss graduell. Sie zeigen nämlich im zweiten Falle bald ast- und stammbürtige Rinde, bald bloss stammbürtige, zum Theil auch gar keine Rinde. Völlig nackt sind constant tertiäre Kurztriebe bei zweimaliger Fiederung, ferner secundäre bei einmaliger, bisweilen aber selbst primäre, wenn den Kurztrieben jede Verzwei- gung fehlt oder fast fehlt. Bloss stammbürtige Rinde zeigen die secundären Kurz- triebe, wenn sie tertiäre tragen und bisweilen die primären, wenn bloss zwei Grade von Kurztrieben vorhanden sind. Mehr oder weniger stamm- und astbürtige Rinde endlich kommt vor an den primären Axen üppiger ein- oder zwei Mal gefiederter Kurztriebe. Stamm- und astbürtige Rinde entsteht nach denselben Regeln, wie an Langtrieben, nur kommen eben gewöhnlich bloss die ersten Stadien vor. Siehe übrigens oben. Die Sporenmutterzellen sind sitzend oder gestielt, tetraädrisch getheilt und entstehen durch Metamorphose der Scheitelzellen von Kurztrieben aller Grade; da- gegen, soweit meine Beobachtungen reichen, nie aus Scheitelzellen von Langtrieben *). Die Antheridien von Ptilota plumosa sind mir unbekannt. Die Keimfrüchte, vom Aussehen der Keimfrüchte von Callithamnien, haben genau die Stellung der Sporenmutterzellen, entstehen auch wie diese aus Scheitel- zellen von Kurztrieben. Trichophore **) habe ich hier bis jetzt nicht beobachtet. Schon aus dem bisher Gesagten geht hervor, dass Ptilota plumosa eine ziemlich veränderliche Pflanze ist. In der That sind denn auch von verschiedenen Autoren Varietäten aufgestellt und beschrieben worden, von Külzing z. B. fünf: Pt. plumosa *) Vergleiche pag. 9 unten. **) Sitzungsberichte der k. bayr. Akademie. Beitrag zur Morphologie und Systematik der Cera- miacez von C. Nägeli. 12. December 1861. | var. formosa, Brasiliensis, serrata, elegans (tenuissima), filiformis. Einzelne derselben gehören nicht zu Ptilota plamosa, sind nicht einmal Ptiloten, so: Pt. plumosa var. formosa, Brasiliensis, serrata *); aber auch nach Ausscheidung alles dessen, was mit unserer Pflanze nichts zu schaffen hat, bleibt immer noch eine Reihe von Formen übrie, deren Extreme eine so verschiedene Tracht besitzen. dass selbst geübtere Beobachter ihre nahe Verwandtschaft von vorne herein kaum errathen würden. Ich habe mich bemüht, die Ursachen dieser Unterschiede aufzufinden und auf Grund derselben Varietäten festzusetzen, muss aber gestehen. dass mir das letztere fast nicht gelingen wollte. In der Reihe A, B, C— N, welche die von mir untersuchten Exemplare dem äussern Habitus nach bilden, ist A das üppigste, N das kümmerlichste Exemplar. Allein, wie die folgenden Mittheilungen lehren, lassen sich die verschie- denen Exemplare gar nicht mit Rücksicht auf alle einzelnen den Habitus mehr oder weniger bedingenden Momente in derselben Weise anordnen, und selbst bei Hintan- setzung einzelner Momente ist es nicht möglich, einigermassen feste Grenzen zu ziehen. Man findet am Schluss dieser Arbeit einen Versuch zur Beeründung und Charakterisirung der Varietäten von Ptilota plumosa. Der Habitus von Ptilota plumosa wird bedingt: 1) von der relativen Länge der unbegrenzten Hauptaxe und ihrer Aeste, insbesondere ihrer unbegrenzten Aeste. An üppigen Exemplaren sind die secundären Langtriebe relativ viel länger als an weniger üppigen. Bei jenen haben daher die Fiedern einen elliptischen oder breit lanzettlichen, bei diesen einen schmal lanzettlichen bis linealischen Umfang. Bei A z. B. zeigte ein 60” langer Langtrieb 22”” lange unbegrenzte Aeste, bei B eine 17”” lange Hauptaxe 5”” lange Aeste; bei N dagegen sind Sprossen, wo das Verhältniss bloss 1%/, 1%,”” beträgt, nicht selten. Es hängt dies bis auf einen ge- wissen Grad damit zusammen, ob die secundären Langtriebe sich wieder unbegrenzt verlängern und interponirende Astbildung zeigen oder nicht. Bei A, B, C besitzen alle Primanäste unbegrenzte Entwickelung ete., bei N dagegen die Mehrzahl begrenzte, sie sind hier nur durch relativ grössere Dimensionen und deutliche Fiederung von den meist einfachen Kurztrieben verschieden und zeigen keine Priman- und Secun- danastbildung. Aehnlich bei L und M. 2) von der gleichförmigen oder ungleichförmigen Entwickelung der Primanäste eines Langtriebes. Bei A, B, zum Theil auch C sind alle Primanäste lange Zeit gleich *) Vide unten. — HH = entwickelt, bei N, M, L kommen hingegen häufig nur vereinzelte zu unbegrenzter Entwickelung, während die übrigen verkümmern. (Vergleiche die schematischen Fi- suren 2, 3 Taf. II.) 3) vom Grad der Wiederholung bei Lang- und Kurztrieben. An üppigen Exem- plaren ist die Wiederholungsfähigkeit beider Arten von Thallomen grösser als an magern. Reichliche Wiederholung der Langtriebe ist schon bei Betrachtung mit un- bewaffnetem Auge von Bedeutung, reichliche Wiederholung der Kurztriebe dagegen bedingt mehr den Charakter der Pflanze unter dem Mikroskop, ist aber um so be- achtenswerther, als bei der Mangelhaftigkeit von Herbariumpflanzen, die häufig nur kleine Bruchstücke sind, die Wiederholungsfähigheit der Langtriebe oft gar nicht zur wünschbaren Anschauung gebracht werden kann. Bei A, B, bisweilen auch C kommen bis drei Grade von Kurztrieben vor, bei andern Exemplaren nur einfach gefiederte Kurztriebe aber in überwiegender Zahl, bei N und M sind unverzweigte Kurztriebe sehr häufig und verleihen den Langtrieben ein kammförmiges Aussehen. 4) von dem frühern oder spätern, häufigern oder seltenern Uebergang der Se- cundanäste in Langtriebe.. Bei B, auch A erfolgt dieser Uebergang, wenn auch nicht selten, so doch erst später, so dass Priman- und Secundanäste relativ lange deutlich unterscheidbar sind; bei K, H, 1, © treten Langtriebe, entstanden aus Seeundanästen, früher und besonders bei K, H, I sehr häufig auf, wesshalb die letziern Exemplare einen buschigen Habitus zeigen; auch bei D, F und G sind sie nicht selten, bei N, M und L spärlich. 5) von dem Reichthum alter Langtriebe an Adventivästen. BeiK,H,F,C waren Adventiväste sehr häufig, bei D, G häufig, bei E, I, L, M, N spärlich vorhanden, bei B und A sehr spärlich oder fehlend. 6) von der Gliederzahl der Internodien. Je grösser die Anzahl der Glieder, we- nigstens der höhern Internodien, desto gestreckter, schmächtiger ist im Allgemeinen die Pflanze. Es stand der erste Primanast auf dem 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. Gliede BEREAN 1 Zinn 1 mal B 1 1. 2288792 1, Bis: Br 1 4 D 112 9 204 1 E 1 1: 0,5 Min 9 u F 13. Bree Y auf dem 9. 10. 11. 12. 13. bei G Bern A eh 1 »..2 K Ku? L 1 M 1 N j 4 14 I HR 1 3 1 2 1..,2 14. 15. 16 1 2 4 | 1 D Lahr nd 2 «Admdß. 49, Brdil 1 ARE bunt, 4 1 20. 21. Gliede mal Man sieht aus dieser Tabelle, wenigstens da, wo eine grössere Anzahl von Beob- achtungen angestellt wurde, dass schon das Basilarinternodium bei verschiedenen Exemplaren durchschnittlich aus einer verschiedenen Anzahl von Gliedern zusammen- gesetzt ist. Bei A stand der erste Primanast meistens auf Glied 12, bei B auf 16, bei E auf 15, bei H auf 13, bei L auf 15 und 17. Auffallend ist dabei, dass habituell einander nahestehende Exemplare, wie A und B, so grosse Differenzen zeigen, wie sich weniger ähnliche Pflanzen. Es standen die übrigen Primanäste auf je dem von 118 Beobacht. bei A in ode „ TER beiiB „ oder „ Be Tu beiC „ oder „ a. ae beiD „ oder „ ee beiE „ oder „ Zinaie beiF „ oder „ 2) 29 bo) bei G - oder „ a re beiH „ oder „ 10 1,8 2. 0,71 5. 6. Gliede Beobachtgn. Procenten Beobachtgn. Procenten Beobachtgn. Procenten Beobachtgn. Procenten Beobachtgn. Procenten Beobachtgn. Procenten Beobachten. Procenten Beobachten. Procenten auf je dem 1. 2: 3. 4. 5. 6. Gliede von 194 Beobacht. bei I in 4 148 42 Beobachten. oder „2,06 76,29 21,65 Procenten muy beiK „ 90 28 8 1 Beobachten. oder „ AST UT I PROB Procenten 5 ber Ba P8 9 215719 16 5 1 Beobachten. oder „ 0,56 60,06 33,24 4,47 1,4 0,25 Procenten „ 145 5 beiM „ 2 87 50 4 1 1 Beobachten. oder’ „1,4 60,007 34.50 2,8 0,7 0,7 Procenten „ 208 A bei N „ 3 96 97 11 1 Beobachtgn. 1705 a Dead 3 aa Bu EEE 25257 0,46 Procenten. Vorstehende Tabelle lehrt für’s erste, dass auch bei den einzelnen von mir unter- suchten Exemplaren von Ptilota plumosa die grosse Mehrzahl der höhern Internodien (des zweiten bis nten) zwei- und dreigliedrig sind. Ein-, vier-, fünf- oder sechsgliedrige kommen selten vor; ja fast bei allen Exemplaren überwiegen auch die zweigliedrigen über die dreigliedrigen, nur bei N halten sich zwei- und dreigliedrige Internodien nahezu das Gleichgewicht. Weiterhin geht aber aus dieser Untersuchung hervor, dass, wie die Gliederzahl der Basilarinternodien, so auch die Gliederzahl der übrigen In- ternodien bei verschiedenen Exemplaren nicht ohne weiters aus deren äusserm Ha- bitus sich errathen lässt. Wir können wohl sagen, dass an üppigen, gedrungenen Pflanzen im Allgemeinen weniggliedrige Internodien vorherrschen, müssen aber die Existenz von Ausnahmen zugeben; so ist es besonders auffallend, dass B, obwohl in der äussern Tracht sich A durchaus anschliessend, bloss 61% zweigliedrige hö- here Internodien zeigte, A dagegen 94%. Es ist dies hier um so auffallender, als die Basilarinternodien von B durchschnittlich aus einer grössern Gliederzahl bestehen als bei A. Eine ähnliche Ausnahme bildet Eund D. Es bilden die 13 Exemplare hinsicht- lich der Häufigkeit zweigliedriger höherer Internodien folgende absteigende Reihe A mit 94,07%. D mit 70,24 %. CC, 90,32, B „618, Fi sg; L „60,06 , G » 56,2 b) M 2) 60,00 ” 176,29, E „56,88 , BT N „ 46,15 „ Be STB — 4 7) von der Wachsthumsintensität der Gliederzellen. 8) von der Mächtigkeit der Berindung. Mit Hissicht auf die Punkte 7 und 5 wurde an möglichst analogen Sprossen Länge und Dicke je des W. Gliedes von oben gemessen und zwar die Dicke des Gliedes mit und ohne Rinde. Die Ergebnisse waren folgende: Länge Dicke Anfänge stammbürtiger Rinde ohne mit Rinde zuerst bemerkbar auf beiA 35 4 45 Theilstriche*) Glied 6 von oben. B % 25 50 ” su " 38 25 60 “ 7 3-\ ® D2 16 36 > „u n E30 14 33 i£ BER R. F 14 15 30 . ie & 6 3 20 32 . u $ Bi 4:47 13 22 . | ” I steht H sehr nahe. Ku..22 ? 25 m PER | u L.:. 22 16 32 2; a > u M 15 10 15 ” PR ” N. 131% Be, u ” Diese Tabelle lehrt, dass üppigere Exemplare im Ganzen grössere Glieder und mäch- tigere Rinde besitzen als schmächtige, während man vielleicht erwarten möchte, bei letztern seien die Glieder länger. Die letzte Columne zeigt überdies noch, dass die Rindenbildung an analogen Sprossen bei allen Exemplaren ungefähr gleich weit oben beginnt. Ich erinnere nochmals daran, dass auch die Kurztriebe üppiger Exemplare kräftigere Rindenbildung zeigen als schmächtigere Pflanzen. Zum Schluss noch die Bemerkung, dass ich andere Arten von Ptilota plumosa nicht kenne. Die von Kützing als species genere dubie neben Ptilota plumosa ge- stellten Arten: Ptilota hypnoides Harv., pectinata Harv. und densa Ag. spec. sind keine Ptiloten, Pt. sericea Harvey ist eine Form von Pt. plumosa, Pt. articulata I. Ag. ist mir unbekannt, Pt. accida Ag. spec. gehört nicht hierher. — Der Gattungs- begriff von Euptilota und Ptilota soll später festgestellt werden. *) Der Werth eines Theilstriches beträgt 0,0034 =” nn Bu Pterota *) plumosa **) mihi. (novum genus et nova species.) Taf. 14.5. — VW 1-7. — V1-5.— VIl-5. Ich kenne von dieser Pflanze 7 Exemplare, die ich vorläufig mit den Buchstaben A —G bezeichnen will, und unter folgenden Namen erhalten habe: A Ptilota plumosa Thorshavn auf Stromöe. Faroer Inseln. leg. Bauer. ded. v. Martens. B Plumaria peetinata — Ptilota pect. Harv. Meer v. Ochotzk. leg. Wornessensky. „ C Ptilota serrata. J. Ag. Nohant im Staate Massachuseits. leg. Dr. Weinland. „ Bınhs „ mit Crisia scruposa. Lx. Neu-Herrenhut in Grönland. 5 E „ plumosa Ag. — Kg. Grönland. Hohenacker. ex Herb. Heppii. E,nty “ 5 „ Neu-Herrenhut inGrönland. Hohenacker Meeralgen N. 332. Geniz A = „ Island. ex Herb. Nägelii. Die ersten Untersuchungen über diese Pflanze machte ich Anno 1553 an Exemplar Nr. G. Die Hauptresultate brachten die Jahre 1860 und 1862, wo ich die übrigen Exemplare einem sorgfältigen Studium unterwarf. Auch Pterota plumosa besitzt Kurztriebe und Langtriebe, die wie bei den vorigen Pflanzen an der Stammspitze entstehen, somit als Normaläste zu betrachten sind; ausserdem kommen aber bei Pterota plumosa auch zweierlei abnormale oder Adven- tiväste vor: begrenzte und unbegrenzte. Die Kurztriebe erreichen eine Länge von !/% bis höchstens 5””, sind Anfangs sichelförmig nach oben gekrümmte, später gerade, flachgedrückte, scheinbare Zell- körper, an der Basis ganzrandig, weiter oben opponirt sägezähnig bis sägespaltig (Fig. 3 Taf. VI) oder deutlich 1—-2Mal opponirt gefiedert (Fig. 1 Taf. VI). Wie bei Euptilota und Ptilota, so sind auch bei dieser Pflanze die Kurziriebe, genau betrachtet, von der Basis an verzweigte und berindete Zellreihen, lassen also primäre, secundäre und tertiäre Axen unterscheiden. Die äussern Aeste einer Kurztriebaxe sind wenig- stens im Anfang stärker als die innern; dem entsprechend die äussern Zähne des primären Kurztriebes meisst grösser als die innern. Die primären Kurztriebe stehen ursprünglich immer alternirend zweizeilig an Langtrieben,, später oft opponirt zwei- *) Von zregwrös und dies von zregör Feder, womit man fliegt, steife Feder; dagegen Ptilota von zzrı)ozog und dies von zziAov Flaumfeder. Die Pieroten sind'alle rigider als Ptilota. **) Wegen der häufigen Verwechslung mit Ptilota plumosa. 4 Pe. 1° zeilig oder auch je einem Fruchtast oder einem Langtrieb gegenüber oder allein auf einem Gliede. Sie bilden dabei mit der Hauptaxe zunächst einen spitzen, später einen rechten Winkel. Die Kurztriebe erzeugen wieder Kurztriebe, indem sie sich ver- zweigen. Bisweilen gehen sie später in Langtriebe über; sie können sowohl unbe- grenzte als begrenzte Adventiväste hervorbringen und reproductiv werden. Die Langtriebe werden bis 70”" lang und wohl noch länger, die ganze Pflanze bis 160””, Sie sind ebenfalls dicht berindete verzweigte Zellreihen, daher scheinbare Nachgedrückte Zellkörper. Alle Langtriebe von Pterota plumosa verzweigen sich in ein und derselben Ebene unter sich und mit den Kurztrieben. Sie erzeugen sowohl Lang- als Kurztriebe. Die meisten Aeste eines Langtriebes entwickeln sich begrenzt, nur wenige unbegrenzt, und diese sind dann gewöhnlich unregelmässig angeordnet, nur bei B auf längere Strecken alternirend zweizeilig, je einem Kurztrieb gegenüber. Die Stellungsverhältnisse der Kurztriebe wurden bereits geschildert. Ein Langtrieb kann nachträglich zur begrenzten Axe werden, ferner Adventiväste hervorbringen und der Reproduction dienen. | Vom Wachsthum von Pterota plumosa gilt im Allgemeinen, was oben von Ptilota angegeben wurde. Die Kurztriebe aller Grade, sowie die Langtriebe sind auch hier in Folge Bevorzugung der Aussenseite anfangs sichelförmig nach oben gekrümmt, die Querwände somit gegen die relative Hauptaxe convergirend (Taf. IV Fig. 1, 2a b, 3. Taf. V I—5). (Vergl. die Erklärung der Tafeln.) Bei Langtrieben aber schauen die Querwände später oft, im Zusammenhang mit der von einem ge- wissen Zeitpunkt an interponirend fortschreitenden Verzweigung, abwechselnd mehr oder weniger nach rechts und links, siehe besonders Fig. 1—3 Taf. V. Die Verzweigung, welche bei Euptilota und besonders Ptilota zuerst aussen, dann innen auf einem der untersten Glieder begann und von da an abwärts und aufwärts fortschritt, beginnt bei dieser Pflanze zwar auch zuerst aussen, dann innen; aber dort auf dem untersten, hier auf dem zweituntersten *) Gliede und schreitet dann an Kurztrieben aller Grade und eine Zeit lang auch an Langtrieben beiderseits *), Denn das Basilarglied erzeugt nach innen niemals einen Zweig. Auf vielen Zeichnungen scheint zwar dasselbe aus drei neben einander liegenden Zellen, einer Axenzelle und zwei Astan- lagen zu bestehen, z. B. Fig. 2, 3 Taf. IV, Fig. 3 Taf. V; allein an der Stelle des innern Drittels liegen auf einem gewissen Stadium immer zwei Zellen über einander: primäre Rindenzellen ersten Grades. — Sofern der äussere Drittel des Basilargliedes, zunächst eine einzige einer Astanlage ent- sprechende Zelle darstellend, später auf die Rindenbildung verwendet wird, könnten wir mit einigem Recht auch sagen: die Verzweigung beginne aussen und innen erst nach dem 2. Gliede. Pr eontinuirlich nach oben fort, in der Art, dass die äussere Seite hinsichtlich der Ver- zweigung fast constant der innern um 1— 6 Glieder vorauseilt. Dabei findet wenig- stens bei den Kurztrieben noch eine andere kleine Verschiedenheit zwischen Pterota einerseits und Euptilota und Ptilota anderseits statt; denn während bei den letztge- nannten Pflanzengattungen die Aeste erst durch Scheidewände abgegrenzt werden, wenn die Glieder in Zelläste ausgewachsen sind, findet hier die Scheidewandbildung vor einem merklichen Auswachsen statt. In jedem Gliede bildet sich zuerst eine excentrische, von oben und innen schief nach unten und aussen laufende Längswand, wodurch eine kleine äussere und eine grössere innere Zelle gebildet wird (Fig. 1, 2a,3 Taf. IV. — Fig. 3 — 5 Taf.V). In der letztern Zelle *) entsteht darauf eine ähn- liche aber entgegengesetzt geneigte Längswand. Das Glied besteht jetzt aus 3 Zellen, einer mittlern oder Axenzelle, welche sich in der Folge noch vergrössert, aber nicht mehr theilt, und 2 seitlichen freien, welche Astanlagen sind und sich später durch senkrecht auf ihrer Längsaxe stehende Wände theilen etc. (Taf. IV Fig. 2a, 3. — Taf. V Fig. 3). Obwohl zuerst angelegt, werden die untersten Aeste einer Axe doch’bald von den obern überholt. In Folge davon, sowie des eigenthümlichen bei der Rindenbildung zu besprechenden Verhaltens der Basilarglieder aller Aeste geschieht es, dass sowohl Kurz- als Langtriebe wenigstens an der Basis ganzrandig, erst weiter oben gezähnt oder gefiedert erscheinen (Taf. IV Fig. 2a, b. — Taf. V Fig. 3). Es kann geschehen, dass auch die obern Aeste verkürzt bleiben, sich aber nichts destoweniger verzweigen. Das Organ erscheint dann noch weiter hinauf ganzrandig. So sah ich nicht selten Langtriebe, die bis auf die Höhe des 20. Gliedes keine vor- springenden Aeste zeigten. Wir können in eine Masse zusammen schmelzende Aeste concret, isolirte hingegen discret nennen. — An Langtrieben tritt, wie bereits be- merkt worden, später immer interponirende Verzweigung ein. Der erste**) Primanast steht auch hier constant aussen, im übrigen gewöhnlich auf dem 8. — 12., seltener auf dem 10. — 15. oder einem noch höhern Gliede. Bei A sah ich Langtriebe von 20, ja selbst 30 Gliedern, die noch keine interponirende Astbildung zeigten, sondern bis zur Spitze opponirt gefiedert waren. ' Sie liessen sich auf diesem Stadium von üppigen Kurztrieben nicht unterscheiden. Dass sie später Priman- und Secundanast- bildung gezeigt haben würden, ging aus ihrer Stellung hervor. Aus einer viel ge- ringern Anzahl von Gliedern besteht das Basilarinternodium unbegrenzter Adventiv- *) Wenn sie nicht dem Basilarglied angehört. **) Im obigen Sinne. Siehe pag. 11, Zeile 9 von oben. m zweige, wie später gezeigt werden soll. Die höhern Internodien auch gewöhnlicher Langtriebe sind meistens zweigliedrig (Taf. IV Fig. 1, 3. — Taf.V Fig. 1,2,3.4.5% Es zeigten nämlich von 398 Beobachtungen an höhern Regionen der Langtriebe von Pterota plumosa wieder einen Primanast auf dm 1. 2. 3. 4. 5. Gliede 0174870. 0:97 4 0 Beobachtungen oder 93.0 6.5 02 Procente. Die Gliederzahl höherer Internodien ist bei verschiedenen Exemplaren etwas ver- schieden. Es zeigten wieder einen Primanast auf dem 1. 2. 3. 4. 5. Gliede von 56 Beobachtungen an A 36 0 Beobachtungen „74 “ ,s Ele 02 y 2 > „’C 231 b Bi > „D 7 y „ 85 I „WE s5 % Yen y Pl ı 7 l 5 „ 139 y zIG 139 - Bei der Mehrzahl der Exemplare sind nach vorstehender Tabelle die höhern Inter- nodien fast constant zweigliedrig, nur A. wozu Fie. 2 und 3 Taf. IV, weicht etwas stärker ab. Ob verschiedene Sprosse desselben Exemplares. sowie verschiedene Internodien desselben Sprosses sich ebenfalls verschieden und dann ebenso oder anders verhalten. als von Ptilota gelehrt wurde, konnte wegen der äusserst diehten Berindung der vorliegenden Pflanze und dem häufigen Abort von Secundanästen nicht ausgemittelt werden. Der Primanast eines Internodiums. mit Ausnahme des Basilarinternodiums, wird hier im Gegensatz zu Ptilota ausnahmslos zuerst angelegt, die Secundanäste folgen nach. Bisweilen sind schon 4 alternirende Primanäste sichtbar. dazwischen noch keine Spur von Secundanästen (Taf. V Fig. 1.3). Nennen wir wieder diejenigen Glieder, welche Primanäste erzeugen: „Knoten“, die zunächst übersprungenen : „Zwi- schenknotenglieder“, ferner Knoten, plus nächstuntere Zwischenknotenglieder: „In- ternodien*, und die Seite eines Internodiums, auf welcher der Primanast liegt: „Primanseite*, die andere: „Contraprimanseite*. so können wir weiterhin aussagen: 1) Alle Zwischenknotenglieder erzeugen 2 opponirte, in der allgemeinen Verzwei- gungsebene liegende Secundanäste, die Knoten aber je einen . dem Primanast gegenüber. . (6 2) Die Anlegung der Secundanäste beginnt auf der Primanseite und endet auf der Contraprimanseite. 3) Sie schreitet dort abwärts, hier aufwärts fort; der knotenstän- dige Secundanast entsteht somit zuletzt. Besteht das Internodium bloss aus zwei Gliedern, dem Knoten und einem internodialen Gliede, so geschieht es indessen fast ebenso häufig, dass der knotenständige Secundanast vor dem nächst untern, dem internodialen der Contraprimanseite entsteht, als umgekehrt; nie aber wird jener vor dem internodialen der Primanseite angelegt. Ueber 40 Beobachtungen sprechen dafür, keine dagegen. (Vergl. Fig. 1. 3 Taf. IV. —Fig. 1, 2, 3, 4,5 Taf. V.)— Auch hier eilen die Primanäste auch in ihrer Weiterentwickelung den Secundanästen voraus, ja zunächst verhältnissmässig weit mehr als bei Euptilota und Ptilota. An Langtrieben von 10 — 20°” Länge sind nicht selten die Secundanäste von blossem Auge kaum zu erkennen. — Während nun aber bei Euptilota und besonders Ptilota die Priman- äste normal unbegrenzte, die Secundanäste begrenzte Entwickelung besitzen. ist dies bei Pterota gerade umgekehrt. Die an jungen Langtrieben von Pterota sichtbaren alternirenden Aeste sind somit Kurztriebe. — Die Primanäste von Pterota werden in der Folge ohne Ausnahme zu Kurztrieben. nicht alle Seeundanäste aber zu Lang- trieben, ja es kommen überhaupt lange nicht alle Secundanäste zur weitern Ent- wiekelung. Am häufigsten entwickeln sich zu Langtrieben oder doch überhaupt weiter: die knotenständigen Secundanäste, viel seltener internodiale. Während bei der Mehr- zahl der Exemplare nur einzelne wenige Secundanäste zu Langtrieben werden, diese daher unregelmässig angeordnet sind, zeigt B ganze Reihen knotenständiger, zu Langtrieben gewordener Secundanäste; ihnen gegenüber stehen begrenzte Priman- äste. Verlängerte internodiale Seeundanäste kommen auch bei diesem Exemplar selten vor. Es verdient die berührte Eigenthümlichkeit der knotenständigen Secundanäste besonders betont zu werden: obwohl der knotenständige Secundanast eines Interno- diums oft zuletzt, niemals zuerst angelegt wird. entwickelt er sich doch am ehesten und üppigsten und überdies stets früher weiter, als die internodialen Secundanäste desselben Internodiums (Taf. IV Fig. 3. — Taf. V Fie.3,4). Wenn ein Secundanast, gleichviel ob knotenständig oder internodial, zum Langtrieb wird, so divergirt er von der Hauptaxe bleibend unter einem Winkel von eirca 45°, entwickelt er sich dagegen, zwar weiter, aber begrenzt, so kann er entweder zum Kurztrieb werden, der sich von normalen, aus Primanästen hervorgegangenen Kurztriehen nicht unter- scheiden lässt, oder er dient der Fortpflanzung, wird zum Fruchtast,, eine Erschei- nung, die an den reproductiven Exemplaren A— G sekr häufig und bei Langtrieben — 30 späterer Generation häufiger als an Langtrieben früherer Generation eintritt. Im einen und andern Falle beträgt seine vertieale Divergenz später 90°, wie bei normalen Kurztrieben. Es kann auch geschehen, dass ein Secundanast, der längere Zeit inter- ponirende Astbildung gezeigt, d.h. sich als ein Langtrieb verhalten, nachträglich in einen Fruchtast endigt und dadurch begrenzt wird. Auch äussere Einflüsse haben bisweilen erst später ein Verkümmern des Scheitels von Langtrieben zur Folge, so bei A und ©. Was nun die Ursache der nachträglichen Begrenzung sei. es können alsdann an dem verkümmerten Langtrieb inserirte primäre Kurztriebe unbegrenzte Entwickelung annehmen und zwar nicht etwa bloss je einer, etwa der oberste, son- dern mehrere. Bei A sah ich einmal den 1., 2.. 3. und 5. Primanast von oben in Folge Aborts der unbegrenzten Hauptaxe zum Langtrieb geworden. (Die Spitze des viertobersten war abgebrochen.) Ein ander Mal hatte der dritt- und viertoberste Kurz- trieb unbegrenzte Entwickelung angenommen. Nur in sehr seltenen Fällen hingegen verwandeln sich primäre Kurztriebe ohne eine solche Veranlassung, also an normal vegetirenden Langtrieben, in unbegrenzte Axen (bei A und E je ein einziges Mal beobachtet). Umgekehrt können auch primäre Kurztriebe, die ausnahmsweise unbe- grenzte Entwickelung angenommen und eine Zeit lang interponirende Astbildung gezeigt hatten, von Neuem begrenzt werden, dadurch dass ihr Scheitel zum Fruchtast wird. Häufig werden endlich zu Fruchtästen ohne weiteres die primären Kurztriebe der Basilarinternodien unbegrenzter Axen, und die primären Aeste von Kurztrieben, die aus Primanästen hervorgegangen, d. h. secundäre Kurztriebe höherer Internodien. Die Rindenbildung ist bei Pterota plumosa sehr üppig und dieht, schon aus diesem Grunde schwer zu studiren, noch um so mehr als die etwas derbe Cuticula dem Zerdrücken der Präparate in chlorsaures Kali haltiger Salpetersäure *) oft hart- näckig widersteht, so dass sich die einzelnen Zellenkomplexe nicht immer trennen lassen. Kurz- und Langtriebe erscheinen später berindet; bei beiden entwickelt sich die Rinde nach denselben Regeln. Die Rinde sämmtlicher Axen entsteht ausschliess- lich aus je dem ersten Gliede, dem Basilargliede ihrer Aeste, ist also, wie bei Eu- ptilota, astbürtig. Das Verhalten der Basilarglieder ist bei allen von mir untersuchten Exemplaren foldendes: Jedes Basilarglied theilt sich zunächst durch eine auf der Verzweigungsebene der Pflanze senkrecht stehende, etwas excentrische Längswand in eine kleinere äussere Zelle, der Entstehungsweise nach eine Astanlage, mit Be- *) Siehe meine Schrift über die Ceramieen. Pflanzenphys. Untersuchg. Heft IV. Vorwort, . zug auf ihr späteres Verhalten aber erste oder äussere primäre Rindenzelle ersten Grades *) (Taf. IV Fig. 4, ,11**), und eine grössere innere Zelle, Rest des Basilar- gliedes. Von der grössern Zelle werden dann, ähnlich wie an den Basilargliedern von Ptilota, zwei neue Zellen abgeschnitten durch zwei Längswände, deren eine vom innern Rand des ursprünglichen Gliedes gegen die Mediane der vordern, die andere gegen die Mediane der hintern Fläche des ursprünglichen Gliedes läuft. Da zwischen vorderer und hinterer Seite der Pflanze kein Unterschied besteht, ist es begreiflich, dass sich bald die vordere, bald die hintere neue Zelle zuerst bildet. Das Basilarglied besteht auf diesem Stadium aus 4 Zellen: aus der äussern oder ersten primären Rindenzelle (Fig. 4 ‚l', in Fig. 5 schon weiter getheilt), aus zwei innern Rindenzellen, von denen zwar die eine vor der andern entstanden ist, die ich aber, weil ihre Reihenfolge wechselt, doch gleich, nämlich als zweite Rindenzellen ersten Grades, als gl! und gl! bezeichnen will (Taf. IV Fig. 4 und 5), und endlich aus dem noch kleiner gewordenen Rest des ursprünglichen Gliedes, aus der Axenzelle oder Centralzelle (Fig. 50 Z). Die Centralzelle theilt sich in der Folge nicht weiter; da- gegen jede der primären Rindenzellen, zuerst die äussere, dann die innere. Wir wollen die beiden letztern zuerst in’s Auge fassen. Sie verhalten sich unter sich gleich. Nennen wir die Kanten derselben, welche dem innern Rand des ursprüng- lichen, in Fig. 4— 6 parallelepipedisch dargestellten Gliedes entsprechen , äussere Kanten der zweiten primären Rindenzellen, die Kanten an der Mediane des Gliedes hingegen innere, die übrigen obere und untere Kanten, so können wir die Thei- lungserscheinungen an den beiden innern primären Rindenzellen in folgende Sätze fassen: Jede dieser primären Rindenzellen ersten Grades theilt sich durch 4 Wände, wodurch nacheinander zuerst die innere untere, dann die äussere untere, darauf die äussere obere und zuletzt die innere obere Ecke abgeschnitten wird. Die Theilung schreitet somit im Kreis herum und wir erhalten aus jeder der innern Rindenzellen ersten Grades fünf neue Zellen, von denen die mittlere als primäre Rindenzelle letzten und zwar fünften Grades zu bezeichnen ist (215 Fig. 6 Taf. IV), die übrigen dagegen secundäre Rindenzellen darstellen und zwar: ‚II! bis „Il!. Diese Zellen zeigt Fig. 6; die erste und zweite secundäre Rindenzelle erscheinen zwar hier be- reits weiter getheilt, daher nicht mehr ersten Grades, sondern jene fünften, diese *) Pflanzenphys. Untersuchg. Heft IV. p. 5. Anm. 3. **) Der Pfeil b gibt die Längsrichtung der Axe des Basilargliedes an, der Pfeil a die Richtung der Axe, woran der Ast mit dem Basilarglied sitzt. m — dritten Grades. Die dritte und vierte secundare Rindenzelle sind dagegen in genannter Figur noch unverändert. Die beiden 215 sind Dauerzellen *), die secundären Rinden- zellen dagegen können sich weiter theilen. Die ‚erste derselben thut es zuerst und am lebhaftesten. Die neuen Theilungen folgen wenigstens in der ersten seeundären Rin- denzelle oft genau denselben Regeln: es werden nach einander zuerst der innere untere, dann der äussere untere, darauf der äussere obere, zuletzt der innere obere Zipfel abgeschnitten und so eine erste secundäre Rindenzelle fünften Grades, umgeben von 4 tertiären Rindenzellen ersten Grades, gebildet. Von der zweiten secundären Rinden- zelle ersten Grades (z1l1) wird zuerst die äussere untere, dann die äussere obere Ecke abgeschnitten, die Mutterzelle verwandelt sich dadurch in die zweite secundäre Rindenzelle dritten Grades (2113), mit zwei tertiären Rindenzellen. — Von den ter- tiären Rindenzellen werden später quartäre, von diesen olıne Zweifel quintäre abge- schnitten, aber ohne dass sich eine andere Regel aufstellen liesse,. als: es werden vorragende Ecken abgeschnitten, wo sich eben solche finden (Fig. 6 Taf. IV ). — Ganz anders verhält sich die erste oder äussere primäre Rindenzelle ersten Grades Fig.4 („1!). Dieselbe theilt sich nämlich nach einander durch 4 Wände, welche senk- recht auf der Längsaxe, sowie der aussern Seite des parallelepipedisch gedachten Basilargliedes stehen, und 5 Zellen die Entstehung geben, von denen 4 die beiden obern und untern Kanten der zu- und abgekehrten Seiten der ursprünglichen pri- mären Rindenzelle einnehmen, während die fünfte, zwischen ihnen liegend von der Mitte der Centralzelle bis an die freie äussere Seite des Gliedes sich erstreckt. Die letztere Zelle kann als Basilarastanlage leizten Grades aufgefasst werden, wurde aber in Fig.5 und 6 als erste primäre Rindenzelle letzten (sten) Grades als ‚15 be- zeichnet und die andern vier Zellen als secundäre Rindenzellen. Welche von diesen secundären Rindenzellen zuerst entsteht, weiss ich nicht. vermuthe aber, dass das untere Paar vor dem obern sich bilde, zwischen vorderer und hinterer secundärer Rindenzelle eines Paares aber kein Unterschied hinsichtlich der Zeit der Anlegung exislire. d. h. bald die vordere, bald die hintere Zelle eines Paares zuerst entstehe. lelı vermuthe das letztere, weil vordere und hintere Seite der Pflanze, unter sich gleich sind und die Reihenfolge der beiden innern primären Rindenzellen, von denen ja auch eine nach vorn, die andere nach hinten schaut, thatsächlich keine constante ist; ich vermuthe das erste, dass nämlich das untere Paar zuerst angelegt *) Bisweilen erzeugen sie noch eine fünfte secundäre Rindenzelle und werden dadurch sechsten Grades. Siehe weiter unten. werde, einmal weil die untern secundären Rindenzellen der äussern Hälfte des Ba- silargliedes sich meistens zuerst, vor den obern, weiter theilen, dann weil das untere Paar mit Bezug auf die Basilarastanlage letzten Grades oder die erste primäre Rindenzelle fünften Grades (,15) aussen liegt, die Basilarastanlage ersten Grades, d. h. die äussere primäre Rindenzelle ersten Grades (I!) aber auch zuerst, d. h. vor den innern oder zweiten primären Rindenzellen ersten Grades entsteht. Die äussere oder erste primäre Rindenzelle fünften Grades (,15) theilt sich nicht mehr, dagegen thun es die 4 secundären Rindenzellen an der Aussenseite des Basilargliedes und zwar, wie Fig. 6 lehrt, auf analoge Weise, wie die primären Rindenzellen der Innenseite. Nennen wir diejenigen Kanten derselben, welche dem äussern Rand des Basilargliedes entsprechen, äussere, die gegenüberliegenden an der Mediane des Gliedes innere Kanten, die andern obere und untere, so wird nämlich von einer jeden secundären Rindenzelle ersten Grades zuerst die innere untere, dann die innere obere, darauf die äussere obere und zuletzt wohl auch noch die äussere untere Ecke abgeschnitten. Es werden hiedurch eine Reihe von tertiären Rindenzellen gebildet, die sich weiter theilen und quartären die Entstehung geben können, und die secun- dären Rindenzellen ersten Grades in secundäre Rindenzellen eines höhern Grades verwandelt. In Fig. 6 sieht man an der Stelle der untern secundären Rindenzelle ersten Grades: eine secundäre vierten Grades mit drei tertiären (‚— 3111), wovon ‚IH bereits eine quarläre Rindenzelle erzeugt hat, und an der Stelle der obern secun- dären Rindenzelle ersten Grades: eine secundäre dritten und zwei tertiäre, deren jede eine quartäre hervorgebracht, also zweiten Grades ist. Es schreitet hienach die Theilung auch in den secundären Rindenzellen der Aussenseite des Basilargliedes im Kreise fort und zwar in gleicher (homodromer) Richtung, wie in den innern primären Rindenzellen und deren Abkömmlingen. — Nach diesen Mittheilungen ersuche ich den Leser, die Figuren 1 und 2a, b, c auf Taf. IV in's Auge fassen zu wollen. Fig. 1 stellt die Stammspitze eines üppig vegetirenden Langtriebes von Exemplar A dar, dessen 7 oberste Internodien zwei-, die 3 folgenden dreigliedrig waren. Das weitere Verständniss dieser Figur macht nach dem Frühern keine Schwierigkeiten mehr. Fig. 2 a zeigt die Spitze des 18. Primanastes jenes Langtriebes, von oben gezählt. Die Zeichnung lässt drei Grade von Kurztrieben unterscheiden: einen primären, se- eundäre und an den untersten dieser tertiäre. Secundäre und tertiäre Kurziriebe sind noch unberindet, die astbürtige Rinde der primären Axe aber ist in ihren ersten Stadien bereits vorhanden. Beim: Durchmustern der Basilarglieder der einzelnen secundären 5 = Kurztriebe wird einem die Bezeichnung einzelner Zellen, entsprechend ihrer physio- logischen Bedeutung, den Vergleich mit den schematischen Figuren 4, 5, 6 Taf. IV möglich machen; ich halte mich daher bei dieser Figur jetzt nicht länger auf, um so mehr als ich später auf die ersten Stadien der Rinde zurückkommen werde. In Fig. 2 b ist der 24. äussere Ast des Kurztriebes, dessen Spitze 2a zeigte, abge- bildet. mit sammt dem Stück der Hauptaxe, woran dieser secundäre Kurztrieb sitzt. Er ist oben mit disereten Aesten besetzt, deutlich opponirt gefiedert, unten mit con- creten Aesten versehen, daher ganzrandig. Seine Basis zeigt Spuren von Rinden- bildung, das Basilarglied, sowie das Basilarglied des gegenüberstehenden secundären Kurztriebes sehr üppige Rinde, der Art, dass die Axen- oder Üentralzelle der be- grenzten Hauptaxe oder des primären Kurztriebes von der Rinde ganz bedeckt ist. Der aus dem Basilarglied des in dieser Figur vollständig dargestellten secundären Kurztriebes hervorgegangene Rindencomplex ist mit punktirten Linien eingefasst und hat bei Entwerfung der schematischen Fig. 6 als Vorlage gedient. Auch die Central- zelle dieses Basilargliedes ist schon fast ganz in der Rinde verborgen. Sie wurde, wie auch die nächst obern, mit + bezeichnet. Die äussere oder erste primäre Rin- denzelle fünften Grades (,15) und die dem Beschauer zugekehrte innere oder zweile primäre Rindenzelle fünften Grades (15) sind ebenfalls in die Rinde eingesenkt, die secundären Rindenzellen liegen etwas höher, noch höher die tertiären und am höchsten die quartären. Die tertiären und quartären Rindenzellen konnten ihrer geringen Di- mensionen wegen auf dieser Figur nicht näher bezeichnet werden, doch ist es mit Hülfe der schematischen Fig. 6 ein Leichtes, die Bedeutung einer jeden Zelle heraus- zufinden. Ist dies geschehen, so wolle man den aus dem Basilarglied des opponirten secundären Kurztriebes hervorgegangenen Rindenkomplex vergleichen. Derselbe ist der bessern Orientirung zu lieb durch eine von Zeit zu Zeit unterbrochene Linie eingefasst, die grössern Zellen wurden ihrem physiologischen Werthe nach marquirt, man wird sich daher auch hier ohne grosse Mühe zurecht finden und überzeugen, dass die Anordnung der Rindenzellen hier zunächst ganz dieselben Regeln befolgt, erst später unwesentliche Modifikationen auftreten. Dasselbe wird ein Blick auf die Rinde zeigen, welche aus den Basilargliedern des nächst untern und nächst obern Paares von secundären Kurztrieben hervorgegangen. Dort wurden nur die aus je der zugekehrten innern oder zweiten primären Rindenzelle entstandenen, hier nur die aus je der äussern oder ersten primären Rindenzelle entstandenen Zellen gezeichnet. Endlich wolle der Leser seine Aufmerksamkeit der Fig. 2 c zuwenden. Ich habe das in Fig. 2 b dargestellte Präparat umgekehrt und die Berindung des Basilarinterno- diums des in Fig.2 b ausgeführten secundären Kurztriebes auch von der andern Seite gezeichnet. Fig. 2 c gibt die Rinde der Unterseite, allein nicht so wie ich sie nach Umkehrung des Präparates sah, sondern vielmehr so wie sie sich hätte zeigen müssen, hätte ich die in Fig. 2 b dargestellte zugekehrte Rindenhälfte weggeschnitten und die Berindung der untern Seite von der Centralzelle des Basilarinternodiums aus betrachtet. Ich modifieirte meine ursprüngliche Zeichnung in der angedeuteten Weise, um die Vergleichung mit der Rinde der in Fig. 2 b zugekehrten Seite des Basilar- internodiums zu erleichtern. Der betreffende Rindenkomplex ist wiederum von einer punktirten Linie eingefasst, die übrige Bezeichnung analog. Man sieht, dass die in- nere oder zweite primäre Rindenzelle nicht bloss 4, sondern 5 secundäre erzeugt hat, also sechsten Grades (21°) ist. Ebenso verhalten sich die beiden innern oder zweiten primären Rindenzellen des nächst untern Basilarinternodiums. (Vergl. Fig. 2 ce und b.) Im Uebrigen aber beweist Fig. 2 c, dass die Berindung der hintern Seite eines Basilarinternodiums in der Hauptsache durchaus nach denselben Regeln construirt ist, wie die der vordern. — Aber der gestrenge Leser wird auch einen Beweis dafür verlangen, dass dieser complieirte Rindenkörper wirklich nach den in Fig. 6 schematisch, durch Striche von ungleicher Dicke etc. dargestellten Regeln sich all- mählig bilde. Wenn das der Fall ist, so bitte ich ihn, mir bei Erläuterung von Fig. 3 Taf. V zu folgen, dabei einigen beiläufigen Bemerkungen über die Resultate des Zer- drückens analoger Präparate Glauben zu schenken oder meine Experimente zu wie- derholen. Die genannte Figur stellt die Spitze eines sehr üppigen Langtriebes von B dar, und wurde mit der grössten Sorgfalt ausgeführt, nachdem ich mich durch viele Untersuchungen an andern Sprossen, die geopfert wurden, befähigt hatte, mir über jede Zelle sichere Rechenschaft zu geben. Die beiden obersten Glieder der Hauptaxe sind noch ungetheilt, das dritte trägt nach rechts bereits einen einzelligen Primanast. Der nächst untere, ebenfalls einzellige Primanast auf dem fünften Gliede schaut nach links, der dritte, bereits vierzellig, wieder nach rechts. Auch der vierte stellt eine Zellreihe dar. Secundanäste fehlen bis dahin. Der erste sichtbare Secun- ‘ danast, noch einzellig, ist dem fünften Primanast opponirt. Das nächst untere Glied zeigt auf der Primanseite einen Secundanast, auf der Contraprimanseite keinen. Es hat sich also an diesem Internodium der knotenständige Secundanast früher als der internodiale der Contraprimanseite gebildet. Am nächst untern Internodium sind alle Secundanäste vorhanden. Das Basilarglied des 7. Primanastes ist bereits durch eine u etwas excentrische Längswand getheilt. Zerdrückt man ähnliche Stadien in chlorsaures Kali baltiger Salpetersäure vorsichtig *), so gelingt es, die beiden Zellen von einander zu trennen, sonst aber nichts; wir haben also zunächst an der Stelle des Basilarglie- des nur zwei neben einander liegende Zellen und obige Scheidewand geht durch. Am 8. Primanast ist die Theilung weiter geschritten, seine 11 ersten Glieder haben nach aussen, Glied 4— 7 auch nach innen Astzellen hervorgebracht. Der gegenüber stehende knotenständige Secundanast ist bereits zweizellig, die nächstuntern inter- nodialen Secundanäste dagegen sind noch einzellie. Würde ich das Basilarglied des 8. Primanastes (sp) zerdrückt haben, so würde ich ohne Zweifel wie bei ähnlichen Stadien an der Stelle der innern Hälfte desselben bereits zwei, vielleicht schon drei Zellen gefunden haben: je eine auf der zu- und abgekehrten Seite (21! und ;I!) und eine Zelle in der Mitte (CZ). Es geschieht nämlich gar nicht selten. dass sich die Wände, wodurch die beiden innern primären Rindenzellen ersten Grades entstehen, nicht an der zu- oder abgekehrten Seitenfläche, sondern an der zu- oder abgekehrten Längs- kante, welche an die äussere primäre Rindenzelle stösst, anlegen, und dann kann man die Centralzelle ohne Zerdrücken des Präparates nicht sehen, höchstens ihre Existenz ver- muthen. weil dann die innere Hälfte des Basilargliedes meist etwas gegen den Beschauer zu vorgeschoben ist. Der neuntoberste Primanast zeigt auf der convexen äussern Seite bereits eine Reihe zweigliedriger Aeste. Sein Basilarglied ist merklich weiter aus- gebildet. Man sieht daselbst sehr deutlich die Centralzelle (CZ), rechts und links davon je zwei andere Zellen. Die zwei Zellen auf der innern Seite des Gliedes sind: die zugekehrte zweite oder innere primäre Rindenzelle zweiten Grades, plus die erste secundäre ersten Grades (212 + ‚Il!**. Es liegen unter diesen Zellen vielleicht zwei ähnliche, vielleicht aber auch schon drei (nämlich die abgekehrte zweite oder innere primäre Rindenzelle dritten Grades, plus die erste und zweite secundäre ersten Grades [213+ ‚II + >11:]). jedenfalls mindestens Eine Zelle, die dann als abgekehrte zweite oder innere primäre Rindenzelle ersten Grades als gl! zu bezeichnen wäre. In analogen Fällen war das Resultat beim Zerdrücken der Präparate dem Gesagten entsprechend. — Die zwei Zellen auf der äussern Hälfte des Basilargliedes von ;p sind allem Anschein nach doppelt; möglich, dass zwischen ihnen bereits eine fünfte Zelle, die erste oder äussere primäre Rindenzelle fünften Grades (,15). liegt. Bei ähnlichen *) Ich habe dies Präparat, sowie das der Fig. 2 Taf. IV zu Grunde liegende nicht zerdrückt, sondern als Beleg für meine Zeichnungen aufbewahrt. °*) Vergleiche jetzt und in der Folge immer die schematischen Figuren. > Flächenansichten gelingt es durch Zerdrücken des Präparates bald nur 2, bald 3, 4 oder 5 Zellen nachzuweisen, je nachdem erst 1, 2, 3 oder alle 4 secundären Rin- denzellen gebildet sind. Die Zelle in der Mitte der 4 Rindenzellen, die erste primäre Rindenzelle fünften Grades (,15) ist dabei gewöhnlich in der Flächenansicht des Ba- silargliedes nicht sichtbar, weil sich die obere und untere secundäre Rindenzelle in der Mitte der zu- oder abgekehrten Seitenfläche der ursprünglichen ersten primären ersten Grades gewöhnlich berühren. Der 5;p opponirte knotenständige Secundanast ist dreizellig, die internodialen des nächst untern Gliedes sind erst einzellig. Dass von den Seeundanästen eines Internodiums der knotenständige sich zuerst weiter ent- wickelt, zeigen noch deutlicher die drei folgenden Internodien. — Der 10. Primanast zeigt aussen 1 — 3gliedrige, innen 1 — ?2gliedrige *) Aeste. Am Basilarglied ist die Centralzelle deutlich. Von der zugekehrten zweiten primären Rindenzelle sind bereits die erste und zweite secundäre ersten Grades abgeschnitten. Die erste primäre Rindenzelle ersten Grades (aussen) ist hier jedenfalls in fünf Zellen zerfallen, in die ‚15 plus ı—;11!, von welchen letztern die beiden zugekehrten sichtbar sind. Auch die Ba- silarglieder einzelner secundärer Kurztriebe, d. h. einzelner Aeste des 10. Primanastes zeigen Anfänge von Rindenbildung. Zum Verständniss der Theilungen am Basilarglied von ;op reicht das früher Gesaste aus. — Der 11. Primanast zeigt aussen 1 — 4gliedrige, innen 1— 3gliedrige Aeste *). Das Basilarglied lässt die Centralzelle ebenfalls durch- blicken. Auf der zugekehrten innern primären Rindenzelle ruhen bereits drei secun- däre, deren erste sogar schon eine tertiäre trägt. Die äussere Seite des Basilargliedes zeigt dem Beschauer zugewendet zwei secundäre Rindenzellen, wovon die eine zwei tertiäre trägt. Die ‚15 ist verborgen. An den Basilargliedern einzelner Aeste des 11. Primanastes, und zwar sowohl an innern als äussern, sind jedenfalls schon vorhanden: ‚ıl', plus C Z, plus gl!, plus alt. Da und dort hat sich wenigstens die erste primäre Rindenzelle ersten Grades schon weiter getheilt. Das Basilarglied des dem 11. Pri- manast opponirten Secundanastes zeigt ebenfalls schon die C Z, aussen die zwei zugekehrten secundären Rindenzellen ersten Grades, innen die zugekehrte zweite primäre Rindenzelle, mit ‚II und gll‘. Von den zwei folgenden Paaren internodialer Secundanäste war nur die Hälfte rechter Hand klar. Die beiden internodialen Secun- danäste rechts bestanden aus je einem Glied (Basilarglied) und der Scheitelzelle s. s. Das Basilarglied verhält sich bei beiden Aesten gleich: Nach innen lehnt sich auf *) Scheitelzelle mit gezählt. Sa > der zugekehrten Seite an die Gentralzelle an: die g3l3 mit der ‚Il! und >11!, aussen bemerkt man zwei secundäre Rindenzellen ersten Grades; die ‚15 ist verdeckt. Auf der abgekehrten Seile würden beim Zerdrücken jedenfalls ähnliche Zellen zum Vor- schein gekommen sein. — Der 12. Primanast endlich zeigt aussen 1 — 6-. innen 1— 4- gliedrige *) Aeste, die zum Theil selbst wieder Astanlagen (tertiäre Kurztriebe) tragen. Das Basilarglied des 12. Primanastes zeigt ausser der Centralzelle (+) auf der zuge- kehrten Seite innen: die zweite secundäre Rindenzelle vierten Grades mit der ;—z11 Rindenzelle, wovon ‚II und zll je eine tertiäre tragen; aussen sieht man deutlich die ‚l5 aus der Tiefe hervorgucken, über derselben zwei secundäre Rindenzellen, die eine mit drei, die andere mit zwei tertiären Rindenzellen. Eine an der untern secundären Rindenzelle der Vorderseite befestigte tertiäre Rindenzelle, nämlich ‚Il, trägt ihrerseits bereits zwei quartäre Rindenzellen. Von den Basilargliedern der Zweige des 12. Primanastes sind die Mehrzahl ganz normal und nach dem Bisherigen ohne Weiteres zu deuten. Das Basilarglied des äussern Astes von Glied 10 ist dadurch ausgezeichnet, dass von der zugekehrten innern oder zweiten primären Rindenzelle gegen die Regel nicht die innere untere, ‘sondern die obere äussere Ecke zuerst abgeschnitten wurde (;Il!). Aehnlich scheint es sich auch mit dem Basilarglied des äussern Astes von Glied 17 zu verhalten; die zweite secundäre Rindenzelle trägt hier drei tertiäre, von denen die mittlere, mit einer tertiären Rindenzelle, vermuth- lich zuerst entstanden ist, und an der äussern untern Ecke liegt. Das Basilarglied des dem 12. Primanast opponirten Langtriebes besteht aus einer Centralzelle, zwei zweiten oder innern primären Rindenzellen, von denen die zugekehrte zwei secun- däre (‚Il [mit einer tertiären Rindenzelle] und >11!) trägt. Aussen bemerkt man drei Zellen; die zwei links sind I? mit ‚III:, die Zelle rechts ist eine secundäre Rinden- zelle ersten Grades. Nicht siehtbar sind die erste primäre Rindenzelle fünften Grades, sowie natürlich die secundären Rindenzellen der Unterseite. Es ist dies die passendste Stelle, um einige Worte über die Vertheilung der Poren hinzu zu fügen. Wie bei Euptilota und Ptilota, so findet sich auch bei Pterota plu- mosa in der Mitte jeder Scheidewand zwischen zwei physiologisch zusammengehö- rigen Zellen ein Porus. Es besitzt somit jede Zelle von Pterota so viele Poren, als Zellen an dieselbe stossen, mit denen sie physiologisch zusammengehört, mit welchen sie früher oder später eine einzige Zelle ausmachte. Es ‚besitzt des genauern die *) Scheitelzelle wieder mit eingerechnet. Centralzelle jedes Basilargliedes oder jedes Basilarglied letzten Grades 5 Poren, je einen in der obern und untern Endfläche, einen in der Mitte der äussern Seitenfläche gegen die erste primäre Rindenzelle fünften Grades (,15) hin, und zwei an der in- nern Seitenfläche gegen die beiden zweiten primären Rindenzellen fünften Grades (215) hin. Die übrigen Gliederzellen besitzen hingegen nur 4 Poren, je einen an der obern und untern Endfläche nach andern Gliedern hin, je einen rechts und links gegen Basilarglieder von Aesten hin. Die primären Rindenzellen letzten Grades, und zwar sowohl die innern als äussern, besitzen je 5 Poren; mittelst eines derselben communieiren sie mit der Centralzelle des Basilargliedes, die andern 4 kehren sie den secundären Rindenzellen entgegen. Die innern primären Rindenzellen haben bisweilen 6 Poren, in den Fällen nämlich, wo sie 5 statt 4 secundäre Rindenzellen tragen. Die secundären, tertiären und quartären Rindenzellen besitzen je einen Porus, durch den sie mit einer Rindenzelle der nächst vorhergegangenen Generation ver- bunden sind, plus so viele Poren, als Rindenzellen einer spätern Generation von ihnen getragen werden. Adventiväste besitzt Pterota plumosa zweierlei: begrenzte und unbegrenzte. Jene sind säbelförmig nach oben gekrümmte, einfache oder verzweigte Zellreihen, welche durch Auswachsen der Rindenzellen an Fruchtästen entstehen und als Hüll- strahlen der Sporenmutterzellen dienen oder auch selbst in Sporenmultterzellen en- digen. Es sind rindenbürtige ächte Adventiväste mit begrenzter Entwickelung. Die unbegrenzten Adventiväste entspringen an der ganzrandigen Basis von Kurz- und Langtrieben, meistens nur oder doch viel häufiger an Langtrieben, an Kurz- und Langtrieben fast ausnahmslos innen, den Divergenzwinkel des Mutterastes halbirend (Taf. 3 Fig. 4). Man findet am gleichen Triebe gewöhnlich nur einen, selten zwei, sehr selten drei Adventiväste in einer Reihe hinter einander. Im letztern Falle ist der oberste stets weitaus am kräftigsten entwickelt (Taf. VI, Fig. 2, 4, 5 adv.). Diese unbegrenzten Adventiväste stimmen in allen Punkten mit normalen Langtrieben überein, mit Ausnahme davon, dass die interponirende Verzweigung an Adventiv- langtrieben,, wenigstens bei A, früher beginnt; sie verzweigen sich in der allge- meinen Verzweigungsebene und tragen den ersten Primanast aussen (Taf. VI Fig. 5). Einmal sah ich an der Basis eines unbegrenzten Adventivastes auf der Innenseite einen secundären unbegrenzten Adventivast hervorsprossen. Die unbegrenzten Ad- ventiväste entstehen nicht aus Rindenzellen, sondern aus den Scheitelzellen ursprüng- lich verkürzt gebliebener Aeste der ganzrandigen Basis der Mutteraxem, sind also, u weil seiner Zeit an der Stammspitze angelegt, unächte Adventiväste, und zu verglei- chen mit den Trieben höherer Pflanzen, die aus Proventivknospen sich entwickeln. Die Sporenmutterzellen von Pterota plumosa sind tetraödrisch getheilt, kürzer oder länger gestielt und bilden kolbige Stände, Fruchtäste. Zu Fruchtästen werden in erster Linie: Langtriebe, vor oder erst nach Eintritt der interponirenden Astbildung. und zwar theils Langtriebe, entstanden aus knotenständigen oder inter- nodialen Secundanästen, theils Langtriebe, entstanden aus Primanästen in Folge Aborts der Hauptaxe, theils Adventiv-Langtriebe, d. h. unächte unbegrenzte Adventivzweige; in zweiter Linie werden zu Fruchtästen: Kurztriebe und zwar theils primäre Kurz- triebe. nämlich die normal begrenzten Aeste der Basilarinternodien von Langtrieben vorzugsweise die innern), theils secundäre Kurztriebe,. nämlich der erste Grad von Zweigen an Kurztrieben, die aus Primanästen entstanden sind (wiederum vorzugs- weise die innern), nie aber aus Primanästen hervorgegangene primäre Kurztriebe (Taf. Il Fig. 5). Zu Sporenmutterzellen können werden die Scheitelzellen sämmtlicher Axen, welche sich in Fruchtäste verwandelt haben, sowie die Scheitelzellen von deren normalen Aesten (Taf. IV, Fig. 7), dann aber auch, wie schon gesagt, die Scheitelzellen primärer und secundärer begrenzter Adventivzweige, welche nach- träglich in Menge aus Rindenzellen hervorwachsen und im Verein mit sterilen säbel- förmigen, 6 — Sgliedrigen, einfachen oder verzweigten, rindenbürtigen Adventivästen (Hüllstrahlen) dem Fruchtstand ein keulenförmiges Aussehen geben. Auch Pterota plumosa ist nach alle dem eine nicht wenig veränderliche Pflanze. Wodurch werden die Differenzen verschiedener Exemplare bedingt? Lassen sich Varietäten festhalten? Die relative Länge der unbegrenzten Hauptaxe und ihrer Aeste, insbesondere der unbegrenzten Aeste, ist von geringer Bedeutung, weil hier bei allen Exemplaren nur einzelne Secundanäste, meist ohne alle Regel, zu unbegrenzter Entwickelung gelangen. Ebenso verhält es sich mit der gleichförmigen oder ungleich- förmigen Entwickelung der Langtriebe: alle Exemplare zeigen hierin wenig Regel- mässigkeit. Langtriebe, hervorgegangen aus an sich begrenzten Axen, hier Priman- äste, sind bei allen Formen von Pterota eine abnorme, sehr seltene Erscheinung, üben daher keinen erheblichen Einfluss auf die äussere Tracht der Pflanze aus. Von grösserer Bedeutung sind: die Verzweigungsweise und in Folge dessen der äussere Umriss der Kurztriebe, die grössere oder geringere Häufigkeit unächter Adventiväste und, die beiden vorigen Verhältnisse vielleicht zugleich bedingend, die grössere oder geringere Häufigkeit von Fruchtästen. In diesen Beziehungen steht das sterile Mm — Exemplar A von den Faroer-Inseln allen übrigen mir bekannten, fertilen Formen gegenüber. Pterota plumosa var. superba, so will ich Exemplar A bezeichnen, hat zwar auch an der Basis ganzrandige, oben bloss opponirt sägezähnige, oder sägespaltige begrenzte Axen (Taf. VI Fig. 3), häufig aber auch auf’s Schönste ein, ja selbst zwei Mal 'opponirt gefiederte Kurztriebe mit schmal-lanzetilichen oder linealischen Aesten, bis 40gliedrige primäre, bis 2ögliedrige secundäre und 7gliedrige tertiäre begrenzte Axen (Taf. VI Fig. 2, 1). Unächte Adventiväste sind bei dieser Pflanze zahlreich vorhanden, an Kurz- und Langtrieben gleich häufig, meistens einzeln, selten zu zweien, einmal zu dreien (Taf. IV Fig. 2), constant innen, den völlig rechten Winkel, welchen der Mutterast mit der Hauptaxe bildet, halbirend. Ueberdies sind die Inter- nodien bei dieser Pflanze durchschnittlich aus einer etwas grössern Zahl von Gliedern zusammengesetzt, gewöhnliche Internodien zwar auch vorherrschend zweigliedrig, nicht selten aber auch dreigliedrig (siehe pag. 28 Zeile 11 v. oben) und Basilarglieder 10 — 15-, bisweilen über 30- und 40gliedrig. Von den Secundanästen entwickeln sich die knoten- ständigen immer weiter, zwar bei Weitem nicht immer unbegrenzt. Nicht selten verlängern sich auch einzelne internodiale, bisweilen sogar alle Secundanäste eines Internodiums, doch nie alle unbegrenzt. Fruchtäste fehlen ganz, daher eben vielleicht die üppigere Entwickelung der vegetativen Theile. Bei den übrigen 6 Exemplaren sind die Kurztriebe an der Basis ganzrandig, weiter oben höchstens sägespaltig (Taf. VI, Fig. 4, 5), unächte Adventiväste viel seltener und vorherrschend an Langtrieben, meist einzeln, selten zu zweien, sehr selten zu dreien, fast constant innen, den spitzen oder rechten Winkel, welchen der Mutterast mit der Hauptaxe bildet, halbirend. Fruchtäste fehlen keinem dieser Exemplare. Bei den einen aber sind fast nur die in potentia unbegrenzten Secundan- äste in Fruchtäste umgewandelt, so bei B, bei andern tragen häufig auch die Pri- manäste, sowie die Basilarinternodien von Langtrieben (nur innen oder auch aussen) Fruchtäste, d.h. es sind hier auch an sich begrenzte Axen in Fruchtäste verwandelt, so beiC. Gewöhnliche Internodien sind constant oder beinahe constant zweigliedrig, Basilarinternodien 9 — 12gliedrig. Von den Secundanästen entwickeln sich die inter- nodialen ohne oder fast ohne Ausnahme gar nicht weiter. Bei B zum Beispiel fiel auf 200 weiter entwickelte Secundanäste nur ein einziger internodialer. Die knoten- ständigen Secundanäste entwickeln sich in der Regel, doch bei Weitem nicht immer, unbegrenzt weiter, relativ am häufigsten unbegrenzt unter allen Exemplaren überhaupt 6 42 bei B. Ich will dasselbe Pterota plumosa var. ramosa nennen, die übrigen Exemplare C — G aber unter dem Namen Pt. plum. vulgaris zusammen fassen. Zu Pterota plumosa gehört ohne Zweifel Kützing’s Ptilota plumosa var. formosa. Vielleicht ist diese Pflanze mit meiner Pterota plum. var. superba -identisch. Eine Form von Pterota plumosa ist ferner auch Kützing’s Ptilota plumosa,var. Brasiliensis, sofern man seiner Angabe „precedenti“, nämlich der Ptilota plum. var. formosa, „affinis“ trauen darf. Pterota densa. (Ag.) Cramer. (Ptilota densa. Ag.) Taf. II Fig. 6. — Taf. Vll Fig. 1 — 5.) Die ersten Untersuchungen über diese Pflanze machte ich im Juli 1853 an einem Exemplar aus dem Herbar des Herrn Prof. Nägeli. Sie wurden wiederholt und er- weitert im Februar 1860 und October 1562 an einem Exemplar aus dem ehemals Regelschen Herbar in Zürich. Diese merkwürdige Pflanze ist der vorigen nahe verwandt. doch immerhin als eigene Art zu betrachten. Die Langtriebe erzeugen in weitaus den meisten Fällen erst auf je dem dritten Glied wieder einen Primanast. Von 93 Beobachtungen zeigten auf je dm 1. 2. 3. 4. Gliede wieder einen Primanast l 1 85 3 Beobachtungen oder 1.1 1.1 94.6 3.2 Procente. Ein- und zweigliedrige Internodien habe ich nur an unbegrenzten Adventiv- ästen beobachtet, wo das zweite Internodium ein Mal ein-, ein ander Mal zwei-, in zwei weitern Fällen dreigliedrig war. Der erste Primanast steht an normalen und abnormalen oder Adventiv-Langtrieben constant aussen, an normalen Langtrieben auf circa dem achten Gliede, an abnormalen oder Adventiv-Langtrieben bisweilen schon auf dem vierten Gliede. in Uebereinstimmung damit, dass hier, wie bereits bemerkt, auch das zweite Internodium bisweilen aus einer geringern Gliederzahl zusammengesetzt ist. Secundanäste entstehen an jedem Internodium zwei Mal so viele als internodiale Glieder da sind plus eins. Die internodialen Secundanäste der Primanseite werden zuerst angelegt. dann folgt der unterste der Contraprimanseite 43 (sechs Mal beobachtet, Fig. 3 Taf. VII), zuletzt der knotenständige (zwei Mal beob- achtet, Fig. 1, 2 Taf.VII). Nie wird ein Secundanast vor dem Primanast desselben Internodiums angelegt. Die Primanäste eilen auch in ihrer weitern Entwickelung den Secundanästen weit voraus, verzweigen sich im Allgemeinen von unten nach oben eontinuirlich fortschreitend, opponirt zweizeilig. Die äussern Aeste entstehen etwas früher als die innern; wie denn überhaupt die äussere Seite eines Primanastes lange begünstigt und damit im Zusammenhang dieser sichelförmig bleibt. Die Entwickelung der Primanäste ist begrenzt, man kann nickt mehr als drei Grade von Kurztrieben unterscheiden. Diese sind concret, die Primanäste daher im unentwickelten Zustand blattähnlich, nur opponirt sägezähnig, nie gefiedert oder gar doppelt gefiedert. Die Zähne der Kurztriebe von Pterota densa sind scharf (Fig. 3 Taf. III), aussen etwas stärker als innen. : Die untern Primanäste eines Langtriebes werden oft nicht ‘über 1"" lang, die obern dagegen bis 5”". Es macht sich also auch hier das Gesetz des nach oben zunehmenden Längenwachsthums an den successiven Aesten derselben Hauptaxe geltend. (Vergl. Fig. 4 Taf. VII.) Die Secundanäste, an sich unbegrenzt, verhalten sich hinsichtlich ihrer spätern Entwickelung bei verschiedenen Langtrieben verschieden. Ich habe ein Exemplar vor mir mit vier Generationen von Langtrieben. An dem ältesten unbegrenzten Spross, am primären Langtrieb (siehe I I der etwas schematischen Fig. 4 Taf. VII, und vergl. die Erklärung der Tafeln) finde ich alle knotenständigen Secundanäste unbegrenzt verlängert: sie alterniren, zwei sind ab- geschnitten worden, zwei andere scheinen zufällig abgebrochen zu sein, haben aber breite Stummel zurückgelassen. (In der eitirten Figur wurden 5 knotenständige Se- eundanäste angebracht, aber nur einer weiter ausgeführt.) Hie und da haben sich selbst internodiale, jedoch bloss der Contraprimanseite angehörige Secundanäste der Hauptaxe nach Art der Langtriebe mehr oder weniger, doch stets bei Weitem schwä- cher als die knotenständigen weiter entwickelt (a, b Fig. 4 Taf. VII). Zwei der knotenständigen secundären Langtriebe haben nach Art der Lang- und Kurztriebe von Pterota plumosa an ihrer Basis, innen, einen unbegrenzten Adventivast erzeugt (‚11 Fig. 4 Taf. VIl). Die bevorzugten, knotenständigen secundären Langtriebe ihrer- seits tragen auf den Contraprimanseiten auch stärkere und schwächere unbegrenzte Aeste (tertiäre Langtriebe), allein von diesen sind die bisweilen nur stummelförmigen schwächern knotenständig, die unter sich ebenfalls alternirenden stärkern hin- gegen internodial, und zwar vom obern Ende der Contraprimanseite des Internodiums je um %, selten 1/ seiner Länge entfernt, also offenbar aus je dem untersten, selten — 4 zweituntersten internodialen Secundanast der ÜGontraprimanseite entstanden. (Siehe ‚Hl bis -IIl.) In einem Falle hatten sich beide internodialen Secundanäste der Contra- primanseite unbegrenzt verlängert. Bisweilen tragen auch die bevorzugten tertiären Langtriebe an der Basis (innen oder aussen oder beiderseits) einen ‘unbegrenzten Adventivast. (Siehe ‚Ill und „II Fig. 4 Taf. VI. Die Secundanäste der bevorzugten tertiären Langtriebe (also quarläre Langtriebe *) endlich sind nicht selten , mit einziger Ausnahme je des untersten der Contraprimanseiten, in Fruchtäste verwandelt („Il Fig. 4 Taf. Vil). Der unterste, bisweilen auch zweitunterste der Contraprimanseiten ist steril oder noch gar nicht weiter entwickelt, also wohl im Stande, wie die ana- logen Seeundanäste der secundären Langtriebe, früher oder später sich unbegrenzt zu verlängern und die Wiederholung der Langtriebe zu vermitteln. Zur Vervollständieung des Bildes habe ich noch hinzu zu fügen, dass die unbe- grenzte Hauptaxe, fast alle secundären und alle tertiären Normalaxen **), mit einziger Ausnahme der bevorzugten tertiären Langtriebe, welche aus je dem untersten oder zweituntersten Secundanast der Coniraprimanseiten hervorgingen, zwei Jahre alt, diese bevorzugten tertiären Langtriebe aber, und ebenso die basilaren unbegrenzten Adventiväste der secundären Langtriebe. sowie einige wenige auch aus je dem un- tersten Secundanast der Contraprimanseiten hervorgegangene Aeste der Hauptaxe (z.B. Taf. VI Fig. 4 b) einjährig ***) sind. Nach diesem können wir das Ganze in folgende Sätze zusammenfassen. Im ersten Jahre entwickeln sich unbegrenzt: die Hauptaxe (primärer Langtrieb) und deren knotenständige Seeundanäste (seeundäre Langtriebe). Von den internodialen Secundanästen der Hauptaxe entwickeln sich unbegrenzt höchstens und viel schwächer: je die obern der Gontraprimanseiten, so Taf. Vll Fig. 4 a. Die kno- tenständigen Secundanäste der secundären Langtriebe bleiben kurz und werden wahr- scheinlich zu Fruchtästen; denn wenn sie an meinem Exemplar wie die ihnen oppo- nirten Kurztriebe steril erscheinen. so kömmt dies ohne Zweifel daher, weil die Sporenmutterzellen bereits abgefallen sind. Die internodialen Secundanäste der. se- eundären Langtriebe bleiben ganz unentwickelt. Im zweiten Jahre verlängern sich je die untersten Secundanäste der Contraprimanseiten der secundären Langtriebe, *) Ebenso die der schwächlichen secundären Langtriebe. **) Also Kurz- und Langtriebe. | ***) Man erkennt das Alter der verschiedenen Sprosse am Grad ihrer Erhaltung. An zweijäh- rigen Sprossen sind alle zürtern Theile zerstört, an einjährigen aufs Beste erhalten. In Fig. 4 Taf. VII sind die zweijährigen Sprosse schraffirt, die einjährigen weiss gelassen. ei bilden sich an der Basis derselben sowie einzelner secundärer Langtriebe unbegrenzte Adventiväste, und verlängert sich hie und da auch der unterste Seceundanast einer Contraprimanseite der Hauptaxe. Die Secundanäste der Contraprimanseiten aller dieser neuen Langtriebe mit Ausnahme je des untersten oder je der beiden untersten, ferner manche Secundanäste der Primanseiten werden zu Fruchtästen. Diejenigen Secun- danäste, die das nicht thun, bleiben zunächst ganz klein, um vielleicht im dritten Jahr sich zu verlängern. Immer und überall entwickeln sich die knotenständigen Secundanäste, obwohl zuletzt angelegt, vor den internodialen des gleichen Interno- diums weiter, sei es zu Lanetrieben oder zu Fruchtästen. Die Rinde. welche Kurz- und Langtriebe später dicht berindet, ist wie bei Pterota plumosa astbürtig, übrigens kaum ganz nach denselben Regeln gebaut. Ihre Entwickelungsgeschichte ist noch genauer zu verfolgen. Adventiväste besitzt auch diese Pflanze zweierlei: begrenzte und unbegrenzte. Die begrenzten sind rindenbürtige. ächte Adventiväste. ähnlich wie bei Pterota plumosa an Fruchtästen vorkommend und selbst der Reproduction dienend. — Un- begrenzte Adventiväste, die sich von normalen Langtrieben höchstens durch weniggliedrige Basilarinternodien (siehe oben pag. 42) unterscheiden, sah ich erstens am Grunde der Basilarinternodien seeundärer und besonders tertiärer Langtriebe, dort einzeln bloss innen, hier meist einzeln innen „ selten zu zweien, dann je einer innen, einer aussen inserirt. Dieselben entstehen wohl wie bei Pterota plumosa aus Scheitelzellen der sonst verkürzt bleibenden untersten Aeste der Mutteraxen und sind somit als unächte Adventiväste anzusprechen (adv. ‚Il, ;11l, -Ul Fig. 4 Taf. VIN. Zweitens sah ich unbegrenzte Adventiväste auf der Contraprimanseite höherer Inter- nodien meist noch jung, einzeln oder zu mehreren zwischen den Secundanästen. Diese Adventiväste entstehen, wie es scheint, aus Rindenzellen. sind also. wie die begrenzten Adventiväste an Fruchtästen, ächte Adventivzweige (adv. Fie. 5 Taf.VII. Vergleiche die Beschreibung der Abbildungen). Reproduetion. Zu Fruchtästen werden erstens und vorzugsweise ihrer Natur nach unbegrenzte Axen, nämlich: a) die knotenständigen Secundanäste späterer Ge- neration, b) von den internodialen Secundanästen späterer Generation vorzugsweise der obere der Contraprimanseiten, nicht selten auch wenigstens der obere, bisweilen beide der Primanseite. (Der unterste der Contraprimanseite wird bekanntlich später zum Langtrieb.) Die internodialen Fruchtäste sind kleiner als die knotenständigen. ec) knotenständige und internodiale (mit Ausnahme der internodialen der Primanseite) — Mi Secundanäste der schwächlichen internodialen secundären Langtriebe und der Adventivlangtriebe. Zweitens begrenzte Axen und zwar a) die Aeste der Basilar- internodien von Langtrieben (Taf.Vll Fig. 5 k), besonders die innern (bis 6 in einer Reihe). aber auch äussere (bis 4). b) Primanäste, jedoch bloss secundäre, nämlich die Sägezähne gewöhnlicher Kurztriebe, besonders die innern (bis 7), selten auch äussere bis 3. (Fig. 6 Taf. Ill). Die Sporenmutterzellen sind tetraedrisch getheilt, mehr oder weniger lang gestielt und entstehen theils aus den Scheitelzellen aller der Axen, welche sich in Fruchtäste verwandeln können, theils aus Scheitelzellen tertiärer Kurztriebe. theils aus Scheitelzellen der rindenbürtigen (ächten, begrenzten) Adven- tivzweige: niemals hingegen aus Scheitelzellen primärer, aus Primanästen hervorge- sangener Kurziriebe. Pterota asplenioides. (Kg.) Uramer. (Ptilota asplenioides Ag. Spec. Rhodocallis asplenioides. Kg. Taf. VII Fig. 6 — 10. Ich verdanke ein Exemplar dieser Pilanze, von der Insel Kadiak im nördlichen stillen Weltmeer,. der Güte des Herrn von Martens. Nach meinen Untersuchungen vom Februar 1860 und October 1562 ist die Pllanze trotz ihrer abweichenden äussern Tracht sehr nahe verwandt mit Pterota densa, vielleicht sogar eine blosse Form derselben. Die Langtriebe erzeugen den ersten Primanast auf eirca dem 10. Gliede, constant aussen. unbegrenzte Advenliväste ebenfalls früher auf dem 4., selbst 3. (Fig. 7), einmal indessen erst auf Glied $ oder 10. Die spätern Primanäste fallen auch hier in weitaus den meisten Fällen auf je das dritte Glied. alternirend nach rechts und links. Von 122 Beobachtungen zeigten auf dm 1. 2%. 3. 4 >. Gliede wieder einen Primanast 2". Voss 7 Mes. Sera 1 Beobachtungen. Dabei muss hervorgehoben werden, dass ein- und zweigliedrige Internodien fast ausschliesslich an Advenlivästen wahrgenommen wurden. Es ist nämlich das zweite Internodium bei unbegrenzten Adventivästen fast immer eingliedrig (24 Mal beob- achtet), alsdann das dritte meist zwei- und jedes der folgenden dreigliedrig, z. B. Fig. 7. Selten ist schon das zweite Internodium dreigliedrig. Bisweilen war das = wg zweite Internodium zweigliedrig, dann die folgenden dreigliedrig, oder auch das zweite und dritte zweigliedrig, erst die folgenden dreigliedrig. Dreimal endlich waren alle Glieder vom zweiten an dreigliedrig (Fig. 8, 9). Secundanäste werden auch hier an jedem Internodium doppelt so viele angelegt, als internodiale Glieder vorhanden sind, plus eins. Zuerst entstehen gleichfalls die internodialen der Primanseite (Fig. 7, 8). dann der unterste der Contraprimanseite (3 Mal beobachtet, Fig. 9), zuletzt der knotenständige (4 Mal beobachtet, Fig. 8, 7). Nie wird ein Secundanast vor dem Primanast des zugehörigen Internodiums angelegt. Die Primanäste haben begrenzte, die Secundanäste in potentia unbegrenzte Entwicke- lung. Jene verhalten sich in der Folge fast ganz wie bei Pterota densa, sind anfangs stark sichelförmig nach oben gekrümmt (Fig. 7), ganzrandig oder aussen gezähnelt (Fig. 7). später gerader, unter einem Winkel von eirca 45° von der Hauptaxe ab- stehend. bisweilen beiderseits sägezähnig, dabei manchmal mit stärkern Zähnen auf der innern Seite (Fig. 10), bisweilen auch bloss innen gesägt. Auch bei dieser Pflanze haben wir ein- und zweijährige Langtriebe neben ein- ander. Die einjährigen, in grosser Zahl vorhanden, sind bis 60”"" lang *), mit alter- nirenden unten kaum 1””, oben bis 4 oder 5”” langen, um circa 45° abstehenden Kurztrieben besetzt (Fig. 6 a, a‘, a”, b. Vergl. die Erklärung der Abbildungen). Von den zugehörigen Secundanästen sind ausschliesslich die der Contraprimanseite weiter entwickelt, die grosse Mehrzahl derselben ist in Fruchtäste verwandelt, bloss an den grössern einjährigen Langtrieben finden sich Seeundanäste mit unbegrenzter Entwi- ckelung. Diese sind knotenständig, meistens kaum so lang, selten etwas länger als die ihnen opponirten Kurztriebe (Fig. 6a, a‘). Die aus diesem Grunde ruthenförmigen einjährigen Hauptaxen stehen theils einzeln, theils büschelweise an den sehr ver- stümmelten zweijährigen Langtrieben (Fig. 6 **), jeweilen am untern Ende der Contraprimanseiten der successiven Internodien und sind hervorgegangen, wenn einzeln stehend: aus internodialen Secundanästen, besonders je dem untersten der Contraprimanseiten [a, a‘, a’ (b entstand aus dem zweituntersten) |, wenn büschel- weise vereinigt: zum Theil ebenfalls aus solchen Secundanästen, zum Theil aus basilaren Adventivästen dieser, zum Theil wahrscheinlich auch aus rindenbürtigen Adventivästen der zweijährigen Hauptaxe; wenigstens sind derartige rindenbürtige Adventiväste mit bewaffnetem Auge schon an einjährigen Langtrieben und zwar an *) Die ganze Pflanze wird bis 170”" lang. **) Die einjährigen Triebe sind auch in dieser Figur weiss gelassen, der zweijährige schraffirt. » deren Conlraprimanseiten nachweisbar. Einmal zählte ich zwischen einem begrenzten Primanast und dem nächstobern zum Fruchtast gewordenen knotenständigen Secun- danast 12 Aeste. Von diesen war einer sicher, ein anderer wahrscheinlich aus einem internodialen Secundanast hervorgegangen, ein dritter stand auf der Innenseite der Basis des Primanastes, es bleiben also immer noch 9 Aeste übrig, welche kaum anders als durch Auswachsen von Rindenzellen entstanden sein konnten, um so mehr. als man bisweilen 2 solche Aeste der Contraprimanseite auf gleicher Höhe stehen sieht. Die Rinde ist ebenfalls astbürlig. nie sah ich an andern als Basilargliedern Rindenzellen entspringen. An alten Parlieen der Pflanze zeigen die Rindenzellen ein zwar sehr schwaches Bestreben abwärts zu wachsen. Die reproductiven Verhältnisse sind in der Hauptsache ganz wie bei Ptilota densa. Die Sporenmutterzellen sind telraädrisch getheilt, kürzer oder länger gestielt, in Fruchtäste mit ächter Adventivastbildung vereinigt. Zu Fruchtästen werden auch hier sowohl an sich begrenzte als unbegrenzie Axen, nämlich: 1) die Secundanäste der Contraprimanseiten mit Ausnahme je des untersten, bisweilen auch zweituntersten, in erster Linie also die knotenständigen; im Gegensatz zu Ptilota densa hingegen nie Secundanäste der Primanseite. 2) Aeste der Basilarinternodien von Langtrieben, be- sonders die innern. bis 9 hinter einander. 3) Primanäste, jedoch bloss secundäre und nur der Innenseite angehörige, bis 5 hinter einander. Es ist mir sehr wahrscheinlich, dass die knotenständigen. vielleicht auch nächst untern Secundanäste der zweijährigen Triebe ebenfalls reproductiv waren. dann aber später zu Grunde gingen und dass in Folge dessen im nächsten Jahre, man erlaube mir, mich forstlicher Ausdrücke zu bedienen, Stockausschlag aus Proventiv- und ächten wie unächten Advenlivknospen entstand *). Ist dies richlig, so entspricht meine Pierota asplenioides so ziemlich den secundären Langtrieben des oben beschriebenen Exemplares von Pterota densa. Die Hauptunterschiede bestehen in dem Mangel grösserer knotenständiger Langtriebe an den zweijährigen Axen. in der mehr büschelförmigen Anordnung der Stockausschläge, in der viel bedeutenderen Längen- entwickelung. dem ruthenförmigen Habitus der Langtriebe, in der zwar nicht con- stanten stärkern Zahnbildung auf der Innenseite der Kurztriebe und dem Mangel von Fruchtästen auf der Primanseite. | „N Als an lassen sich bildlich bezeichnen die verkürzt gebliebenen Secundanäste, als ächte Adventivknospen die rindenbürligen Adventivastanlagen der Contraprimanseite, als un- ächte Adventiv- oder auch Proventivknospen die Adventivastanlagen am Grund der Basilarinternodien von Langtrieben. Pterota Californica. (Rupr.) Cramer. (Plumaria californica Ruprecht. Ptilota hypnoides Harvey.) Taf. II Fig. 7. — Taf.VI Fig. 6. — Taf. VIII Fig. 1—3. Ich verdanke zwei Originalexemplare dieser schönen Pflanze, ein Keimfrucht- und ein Antheridienexemplar, gesammelt von Wornessensky beim Fort Ross in Californien, ebenfalls der Güte des Herrn von Martens und habe dieselben im Januar und Februar 1860 und im October 1562 untersucht. Der erste Primanast eines Langtriebes, constant nach aussen blickend, scheint auf eirca dem 6. bis 8. Gliede zu stehen, ob an Adventivlangtrieben weiter unten, kann ich nicht angeben. Die höhern Internodien sind an allen Langtrieben meist dreigliedrig. Von 58 Beobachtungen zeigten auf Glied 1 2 3 4 wieder einen Primanast 2 3 51 2 Beobachtungen. (Vergl. Fig. 1,3 Taf. VII). Von den Secundanästen eines Internodiums „ die niemals vor dem zugehörigen Pri- manast entstehen, werden fast constant diejenigen der Primanseite zuerst angelegt, bald zuerst der obere (6 Mal beobachtet), bald zuerst der untere (auch 6 Mal be- obachtet); darauf folgen die Secundanäste der Contraprimanseite und zwar zuerst der unterste (2 Mal beobachtet, Taf. VII Fig. 3), dann ohne Zweifel der mittlere, zuletzt der knotenständige. Einmal entstand der unterste der Contraprimanseite vor dem obern der Primanseite. Die Primanäste haben begrenzte, die Secundanäste unbegrenzte Entwickelung. Nur in sehr seltenen Fällen verwandeln sich Secundanäste, und zwar nach meinen Beobachtungen bloss knotenständige, in normal gestaltete Kurztriebe, oder umgekehrt Primanäste in unbegrenzte Axen und zwar das Letztere, ohne dass ein Abort der Hauptaxe Schuld daran wäre. Unter mehr als 400 Beobachtungen, die nichts Ab- normes zeigten, fanden sich kaum je 6 der einen und andern Ausnahme. Die Kurztriebe sind etwas sichelförmig, im Alter weniger als in der Jugend, sehr fein sägezähnig, aussen deutlicher als innen (Fig. 6 Taf. VI). Sie werden kaum über 4"" lang und stehen unter einem Winkel von 45 —70° von der Hauptaxe ab. Von den Secun- danästen kommen zur weitern Entwickelung constant und zuerst: die knotenständigen, fast constant aber auch alle internodialen, diejenigen der Primanseite sowohl als 7 — 50 diejenigen der Contraprimanseite. Von 45 Internodien des Keimfrucht-Exemplares trugen ausser dem knotenständigen 1 2 3 4 internodiale Secun- danäste l 3 6 35 Internodien und zwar und zwar und zwar 1 Internod. 2 Internod. je ein Paar je zwei Paare ein Paar je zwei opponirter Aeste und opponirter Aeste. opponirter einerseits- einen einzelnen Ast. Aeste. wendige Aeste. An dem üppigern Antheridienexemplar mit zahlreichen unbegrenzten Adventivästen *) sah ich einmal ein viergliedriges Internodium mit einem knotenständigen und 6 inter- nodialen paarig opponirten Secundanästen, nebst 6 Adventivästen auf der einen und 7 auf der andern Seite. Obwohl ohne Zweifel zuletzt angelegt, entwickeln sich auch hier die knotenständigen Seeundanäste doch zuerst und stärker als die internodialen weiter. Bei dem Keimfrucht-Exemplar ist die etwas platt gedrückte Hauptaxe (der primäre Langtrieb) 65"" lang, in der Mitte 11/”"” breit, nach unten und oben sehr verjüngt; die knotenständigen unbegrenzten Secundanäste derselben erreichen bei einer Breite von !/g”” eine Länge von 12””, die internodialen von höchstens 2””, Das üppigere, unten mit einer kleinen Haftscheibe versehene Antheridien-Exemplar **) zeigt an der $0”” langen, in der Mitte 11/,, an der Basis Y;"" breiten, auch nach oben verjüngten Hauptaxe bis 25”” lange, 1”” breite knotenständige, dagegen nicht über 4”” lange internodiale Secundanäste; die knotenständigen Secundanäste der Hauptaxe ihrerseits tragen bereits bis 4” lange tertiäre knotenständige Secundanäste. Von den bevorzugten Langtrieben der Hauptaxe sind ferner die untern und obern kürzer als die mittlern, und von den Secundanästen eines Internodiums je der un- terste jeder Seite fast immer kürzer als die obern der gleichen Seite. Es lässt sich somit auch bei dieser Pflanze eine Zunahme des Längenwachsthums bei den succes- siven Aesten eines Langtriebes im allgemeinen, sowie bei den Aesten jedes ein- zelnen Internodiums nachweisen ***. Generationen von Langtrieben zähle ich bei dem *) Siehe unten. **) Von dem Habitus dieses Exemplares gibt Fig. 2 Taf. VIII eine Vorstellung. Man unterlasse jedoch nicht, die Erklärung dieser Figur am Schluss der ganzen Arbeit nachzulesen. ***) Auch die successiven Kurztriebe einer Axe von Pter. Calif. sind von ungleicher Länge: unten kurz, nach oben länger und immer länger, endlich wieder kürzer. Siehe ebenfalls Fig. 2 Taf. VII. Ban we Keimfrucht-Exemplar 3, bei dem Antheridien-Exemplar 4; es sind aber hier nur die primären bis und mit tertiären unbegrenzt, die quartären, auch einzelne tertiäre, in Antheridien verwandelt. Primäre bis und mit quartäre Langtriebe sind das Product eines einzigen Jahres. Unbegrenzte Adventiväste, doch nicht über 2" lang, finden sich nur am Antheridien-Exemplar, hier aber in Menge und zwar: 1) häufig an der Hauptaxe zwischen den Normalästen, zu 6 — 7 auf jeder Seite eines Internodiums, durch un- regelmässige Abstände, anfangs auch geringere Grösse, von Secundanästen leicht zu unterscheiden; es sind vermuthlich rindenbürtige ächte Adventiväste (Taf. II Fig. 7 und Erklärung der Abbildungen). 2) nicht selten an der Basis der secundären knoten- ständigen Langtriebe, sowohl aussen als innen, bis zu 3 in einer Reihe; es sind durch nachträgliches Auswachsen von Astanlagen der Basilarindernodien entstandene unächte Adventivzweige (siehe ebendaselbst). 3) selten an der Basis von Kurztrieben der Hauptaxe, stets innen und einzeln, wohl wie die sub 2 genannten Adventiväste entstanden (Taf. VI Fig. 6 adv. [hier noch jung ]). In Betreff der begrenzten Ad- ventiväste siehe unten. Die Antheridien sind traubenförmig aus kleinen hyalinen Zellchen zusammen- gesetzt. Zu Antheridien werden: 1) manche internodiale Secundanäste der Hauptaxe, sowie der erstern knotenständige Secundanäste, wenn vorhanden. 2) einzelne kno- tenständige und sehr viele internodiale Secundanäste der bevorzugten (knotenständi- gen) secundären Langtriebe, jene erst nachdem sie eine Zeit lang interponirende Verästelung gezeigt. 3) alle Secundanäste, knotenständige und, wenn vorhanden, auch internodiale der bevorzugten tertiären Langtriebe. 4) sehr selten ein Zahn auf der Innenseite eines Primanzweiges. 5) ächte und unächte Adventivlangtriebe sammt ihren etwa vorhandenen knotenständigen Secundanästen ,„ insbesondere die ächten Adventiväste der Hauptaxe und die unächten der Basilarinternodien bevorzugter knotenständiger secundärer und tertiärer Langtriebe. — Der traubenförmige Habitus der Antheridien wird bedingt durch reichliche Bildung begrenzter rindenbürtiger Ad- ventiväste, welche ebenfalls in der Erzeugung von Samenzellchen aufgehen. Die Keimhäufchen finden sich am Ende kurzer keulenförmiger Aeste, von Hüllstrablen umgeben. Keimfrüchte erzeugen bloss an sich unbegrenzte Axen und zwar ausschliesslich Secundanäste der Contraprimanseiten der bevorzugten se- cundären Langtriebe, theils knotenständige, theils internodiale Secundanäste. Bald endigte nur der knotenständige Secundanast in ein Keimhäufchen, bald 1— 2 inter- nn wen nodiale oder auch der knotenständige und ein internodialer. Ich darf nicht verschwei- gen, dass das Keimfruchtexemplar, welches ich zu untersuchen Gelegenheit hatte, mit der Bildung von Keimfrüchten kaum begonnen hatte. Später würden vielleicht auch Secundanäste der Primanseiten an der Bildung von Keimhäufchen sich betheiligt haben. Die Keimhäufchen sehen aus wie diejenigen der Callithamnien. Triehophore habe ich nicht beobachtet. Bonnemaisonia asparagoides. (Ag.) Cramer. Taf. VII Fig. 4— 11. — Taf. IX Fig. 1 — 12. Bonnemaisonia reiht sich mit zwei andern Galtungen: Euetenodus Kg. und Chon- drodon Kg. den bisher beschriebenen Pflanzen unmittelbar an, obwohl sie von Kützing in verschiedene Gruppen und zum Theil weit weg von den Ptiloten gestellt werden. Meine ersten Untersuchungen über Bonnemaisonia asparagoides stammen aus dem Jahr 1553, sie wurden wiederholt und erweitert im Februar 1560 und November 1862. Ich habe im Ganzen 7 englischen und irländischen Küste. Alle stimmen in den wesentlichsten Punkten mit einander überein; es ist denn auch Bonnem. asparag. kaum mit einer andern Floridee zu verwechseln. Auch Bonnemaisonia asparagoides hat Lang- und Kurztriebe. Adventiväste fehlen durchaus. Bei keiner der bis dahin besprochenen Pflanzen sind die Unterschiede zwi- schen Lang- und Kurztrieben so ausgeprägt wie hier, dennoch können auch bei Bonnem. wenigstens Langtriebe zu Kurztrieben werden. Die Kurztriebe stehen fast constant alternirend zweizeilig an Langtrieben, in untern Regionen oft einem Langtrieb, in obern meist einem Keimbehälter gegenüber ; sehr selten stehen sie zu zweien opponirt auf gleicher Höhe *). Sie sind nicht über 3”” lang, haarfein, merklich flachgedrückt, in der Jugend sichelförmig nach oben gekrümmt, später gerade und unter einem Winkel von über 45° abstehend, im Uebrigen berindete Zellreihen , scheinbar unverzweigt, genau betrachtet aber auf der Aussenseite eine Reihe rudimentärer secundärer Kurztriebe tragend. Niemals gehen Kurztriebe in Langtriebe über oder erzeugen sonst Langtriebe, nie bringen sie Keimbehälter hervor. Exemplare untersucht, 3 von der französischen, 5 von der *) In diesem Falle ist der eine immer aus einem Langtrieb durch Verkümmerung entstanden. Zus, Die Langtriebe stehen seitlich an andern, besonders ältern Langtrieben, con- stant je einem Kurztrieb opponirt, sonst ohne Regel, da nicht jedem Kurztrieb ein Langtrieb entspricht. Die Langtriebe sind ebenfalls flachgedrückte berindete Zellreihen, wenigstens bis 130°” lang *), bis 1”" breit, wiederholt in ein und derselben Ebene unter sich und mit den Kurztrieben verzweigt, Lang- und Kurztriebe erzeugend, fast nie in Kurztriebe übergehend, dagegen oft begrenztes Längenwachsthum anneh- mend, theils in Folge Abortes, theils in Folge der Umwandlung zu Keimbehältern. Wachsthum. Sowohl Kurz- als Langtriebe von Bonnem. wachsen mittelst einer einzigen Scheitelzelle in die Länge. Bei jenen theilt sich die jeweilige Scheitel- zelle durch horizontale Querwände, bei diesen entstehen nur eirca die fünf untersten Glieder durch horizontale Querwände, alle Uebrigen durch sehr stark und alternirend nach rechts und links geneigte Wände. Es hängt dies auf’s Innigste zusammen mit der Verzweigungsweise der Langtriebe. Bei Langtrieben und besonders Kurztrieben ist im Anfang die äussere Seite begünstigt, daher Lang- und besonders Kurztriebe etwas gebogen und die Querwände unter sich nicht parallel, sondern gegen die Hauptaxe convergirend erscheinen (Taf. VIN Fig. 4, 5). Die Verzweigung beginnt an Kurz- und Langtrieben unten und schreitet nach oben fort; allein dort einseitig, nur aussen, hier später zweiseitig; dort continuirlich, hier später interponirend. Von den Kurztrieben wird bei der Rindenbildung ausführ- licher die Rede sein. Der erste Primanast eines Langtriebes steht auf dem 3. — 5. Gliede von unten und schaut ohne Ausnahme nach aussen **). Alle höhern Glieder, vom 3. bis 5. an, erzeugen je einen Priman- und einen Secundanast. Die Priman- äste eines Langtriebes alterniren constant unter sich, ebenso die Secundanäste. Von 515 Beobachtungen zeigte keine einzige eine Abweichung von der angegebenen Regel. In Fig. 4 und 5 Taf. VIII iragen alle Glieder der Hauptaxe vom 2. an ab- wärts einen Primanast, dagegen dort erst das vierte, hier erst das sechste von oben einen Secundanast. Die Secundanäste bleiben auch in ihrer weitern Entwickelung noch längere Zeit hinter den Primanästen zurück, entwickeln sich überdies normal ganz anders als diese: Die Primanäste werden ausnahmslos zu Kurztrieben, die Se- cundanäste entweder zu Langtrieben oder zu Keimbehältern oder zu Kurztrieben, *) Die ganze Pflanze wird wohl über 180" Jang. **) Bisweilen folgen an der Basis eines Langtriebes aussen zwei Kurztriebe unmittelbar auf einander (Taf. VIII Fig. 8). Der obere derselben ist der erste Primanast des Langtriebes, der untere also kein Secundanast. Ich werde später hierauf zurückkommen. >4 oder sie verkümmern gänzlich. Zu Langtrieben werden vorzugsweise die Secundan- äste der untern Regionen der Pflanze, doch nicht über 42 — 59, durchschnittlich also 47%, derselben. Es standen nämlich von 5l Langtrieben an ältern Partieen eines Exemplares von Bonnemaisonia asparagoides auf je dm 1. 2. 3. 4. 5. 6. Gliede 24 6 5 7 4 2 zusammen 51 Langtriebe. Somit waren zwischen denselben unentwickelt geblieben: 0 6 16 21 16 10 zusammen 69 Secundanäste. Es standen von 29 Langtrieben an einem andern Exemplar auf je dm 1. 2. 3. 4. 5. 6. Gliede 204 2 1 1 1 zusammen 29 Langtriebe. Somit waren zwischen denselben unentwickelt geblieben: 0 4 4 3 4 5 zusammen 20 Secundanäste. Es haben sich mithin im ersten Fall unbegrenzt entwickelt 5100/,5, oder 42,4%, im zweiten Fall 290/,, oder 59,2%), in heiden Fällen zusammen gerechnet nur 47,34%. Dass aus diesem Grunde die relative Stellung der unbegrenzten Aeste oder Langtriebe einer Axe unregelmässig ist, wurde bereits bemerkt. In obern Regionen der Pflanze werden die Secundanäste selten zu Langtrieben, viel häufiger zu Keimbehältern (siehe unten). In Kurztriebe verwandeln sich die Secundanäste äusserst selten; in Folge dessen sieht man nur in sehr vereinzelten Fällen auf demselben Gliede zwei opponirte Kurztriebe. Der letzte der oben genannten Fälle, dass nämlich Secundan- äste völlig verkümmern, kömmt wieder häufiger vor und zwar in untern und obern Regionen der Pflanze. Es ergibt sich dies aus dem früher Gesagten mit Nothwen- digkeit. Rindenbildung. Sowohl Lang- als Kurztriebe sind später berindet. Die Rinde der erstern ist astbürtig, die Rinde der letztern theils stamm-, theils astbürtig. Es ist zweckmässig, die Rindenbildung der Kurztriebe zuerst zu besprechen. a. Rindenbildung bei Kurztrieben. Die Kurztriebe, ursprünglich einzellig, verwandeln sich, wie bereits angegeben worden, durch von unten nach oben fort- schreitende Querwandbildung rasch in eine Zellreihe (Fig. 4 und 5 Taf. VIll). Es können auf diese Weise 20 und mehr Glieder entstehen. Wie die Anlage, so schreitet auch die weitere Ausbildung der einzelnen Glieder eines Kurztriebes von unten nach oben fort. Sie beginnt lange bevor alle Glieder angelegt sind, gewöhnlich am Basi- larglied. Dieses, dann das 2., 3., 4. u. s. f. theilt sich zunächst durch eine auf der — 5 Verzweigungsebene der Pflanze senkrecht stehende, wenig excentrische Längswand in eine kleinere äussere Zelle (wir wollen dieselbe einstweilen als Astanlage bezeich- nen) und eine grössere, innere Zelle (Rest des Gliedes [Fig. 4 und 5 Taf. VI]). Von der grössern Zelle werden dann zwei neue Zellen abgeschnitten durch zwei Längswände, deren eine vom innern Rand des ursprünglichen Gliedes gegen die Mediane der vordern, die andere gegen die Mediane der hintern Fläche des ursprüng- lichen Gliedes läuft. Die Reihenfolge der beiden Wände ist ohne Zweifel keiner Re- gel unterworfen. An der Stelle des ursprünglichen Gliedes finden sich jetzt 4 Zellen: eine am äussern Rand (Astanlage), zwei sich deckende am innern Rand (innere pri- märe Rindenzellen) und eine schmale Zelle in der Mitte zwischen den übrigen (der noch kleinere Rest des ursprünglichen Gliedes, Axenzelle oder Centralzelle C. Z.). Sämmtliche Glieder eines Kurztriebes von Bonnemaisonia verhalten sich demnach im Anfang genau wie die Basilarglieder der Aeste von Pterota plumosa (Vergl. pag. 30 Zeile4 v.untenu.Fig.4 Taf.IV). Auch im fernern Verhalten besteht manche Analogie. Wir wollen bei unserer Darstellung einen ähnlichen Gang einschlagen wie bei Pterota. Die Cen- tralzellen theilen sich in der Folge auch hier nicht weiter, dagegen die beiden innern primären Rindenzellen und die Astanlagen. Jene verhalten sich unter sich gleich und ähnlich wie die analogen primären Rindenzellen von Pterota. Nennen wir wiederum die Kanten derselben, welche dem innern Rand des ursprünglichen , in Fig. 9 a, b Taf. VIN perspectivisch in zwei Hälften dargestellten Gliedes entsprechen , „äussere Kanten der innern primären Rindenzellen“, die Kanten an der Mediane des Gliedes hingegen „innere“, die übrigen „obere und untere Kanten“, so können die Theilungs- vorgänge an den beiden innern primären Rindenzellen in folgende Sätze gefasst werden: Jede der innern primären Rindenzellen theilt sich durch 4 Wände, wodurch nach einander, wie bei Pterota, sämmtliche 4 Ecken und zwar zuerst auch die innere untere, dann aber die innere obere, darauf die äussere untere (selten jene vor dieser), zuletzt die äussere obere abgeschnitten wird, und wir erhalten aus jeder primären Rindenzelle ersten Grades fünf neue Zellen, von denen die mittlere als primäre Rin- denzelle fünften Grades zu bezeichnen ist (I5 Fig. 9 a Taf. VIII), die übrigen dagegen secundäre Rindenzellen darstellen und zwar ite bis ste 11. Der Unterschied im Verhalten der innern primären Rindenzellen von Bonnemaisonia und der innern primären Rin- denzellen von Pterota besteht also bloss darin, dass die Bildung der secundären Rindenzellen von der ersten an, statt im Kreise, bei Bonnemaisonia alternirend nach rechts und links oder umgekehrt fortschreitet. Die beiden innern primären Rinden- Bl) zellen fünften Grades sind Dauerzellen, die secundären Rindenzellen dagegen können sich weiter theilen. Die neuen Theilungen folgen auch hier mindestens in der ersten seeundären Rindenzelle, welche sich zuerst und am Lebhaftesten weiter theilt, bis- weilen genau denselben Regeln, siehe Fig. 10 a Taf. VII, wo auch die erste se- eundäre Rindenzelle von 4 Zellen (tertiären Rindenzellen) umgeben, also fünften Grades ist, die erste der terliären ihrerseits sogar bereits einer quartären die Entste- hung gegeben hat, und die übrigen secundären wenigstens 1 — 2 lertiäre tragen. — Ganz anders verhält sich die Astanlage am äussern Rand des ursprünglichen Gliedes. Die Er- scheinungen sind etwas verschieden, je nachdem wir die Astanlage der 2 — 5 unter- sten oder der übrigen, höhern Glieder in’s Auge fassen. Jene gehen ohne Weiteres ganz in der Rindenbildung auf, theilen sich allem Anschein nach durch 4 Wände, welche senkrecht auf der Längsaxe des primären Kurztriebes, sowie dem äussern Rand des ursprünglichen Gliedes stehen und 5 Zellen die Entstehung geben, von denen 2 die beiden obern, 2 die beiden untern Kanten der Astanlage einnehmen, während die fünfte. zwischen ihnen liegend, von der Mitte der Centralzelle bis an den freien äussern Rand des Gliedes des primären Kurztriebes sich erstreckt. Ich bezeichne die letztere Zelle als äussere oder erste primäre Rindenzelle fünften Grades, die übrigen als seeundäre Rindenzellen (Fig. 9 b Taf. VII), weil nach dem eben Mitgetheilten das Verhalten der bis dahin als Astanlagen bezeichneten Zellen der 2— 5 untersten Kurztriebglieder von Bonnemaisonia völlig übereinstimmt mit demjenigen der ersten oder äussern primären Rindenzelle der Basilarglieder von Pterota plumosa. (Vergl. pag. 32 Zeile 15). Die secundären Rindenzellen theilen sich in der Folge ebenfalls; doch kann ich darüber nichts Näheres angeben. — Die einzelligen Astanlagen (oder Scheitelzellen der secundären Kurztriebe) der höhern Glieder eines Kurztriebes von Bonnemaisonia gehen nicht ohne Weiteres in der Rindenbildung auf, iheilen sich vielmehr zuerst durch eine auf der Verzweigungsebene der Pflanze senkrecht ste- hende von oben und innen schief nach unten und aussen steigende Wand in eine oben am äussern Rand des ursprünglichen Gliedes befindliche Zelle (eine neue Schei- telzelle) und eine der Centralzelle anliegende Zelle (Gliederzelle). In der neuen Scheitelzelle wiederholt sich nicht selten derselbe Vorgang noch einmal, so dass wir schliesslich einen secundären Kurztrieb erhalten, bestehend aus 2 Gliedern und einer Scheitelzelle (Fig. 10 b Taf. VIH). Die Scheitelzelle und das zweite Glied dieses Aestchens theilen sich in der Folge nicht weiter. Die Scheitelzelle erscheint später als ein ungemein zartes inhaltsarmes Zellchen, verkümmert vielleicht hie und da 3 — vollständig. Das erste Glied dagegen theilt sich. und’ zwar genau wie die zur Rolle der ersten oder äussern primären Rindenzelle sich erniedrigende Astanlage der 2 bis 5 untersten Glieder eines primären Kurztriebes in 5 neue Zellen, von welchen die mittlere, als Gliederzelle fünften Grades oder als Axenzelle oder Centralzelle des seeundären Kurztriebes, die übrigen als primäre, mit Bezug auf den primären Kurz- trieb astbürtige Rindenzellen zu bezeichnen sind (Fig. 10 b Taf. VI). Aus dem Gesagten wird zweierlei klar: 1) dass die Kurztriebe von Bonnemai- sonia in der That genau'betrachtet nicht einfach, sondern wenigstens vom 2. bis 5. Gliede an einseitig verzweigt. mit einer Reihe kurzer secundärer Kurztriebe auf der äussern Seite versehen sind; 2) dass die Rinde derselben theils stammbürtig (innere Berindungshälfte). theils astbürtig (äussere Berindungshälfte vom 2. — 5. Glied an) ist. Mit Rücksicht auf die äussere Berindungshälfte der 2 bis 5 untersten Glieder der Kurztriebe sind zwei verschiedene Auffassungsweisen denkbar: Legen wir das Haupt- gewicht auf die Entstehungsweise der äussern primären Rindenzellen der genannten Glieder, auf ihre Analogie’ mit den unbegrenzten Astanlagen der höhern Glieder, so können wir dieselben. ‘wie ich es anfane's that, ebenfalls als Astanlagen bezeichnen und auch der Basis der Kurztriebe von Bonnemaisonia stamm- und astbürtige Rinde zuschreiben *). Legen wir aber das Hauptgewicht darauf, dass die Astanlagen am äussern Rand der 2? 5 untersten Kurztriebglieder in der Folge ihre Astnatur gänz- lieh einbüssen ,‘in der Rindenbildung ohne Weiteres völlig aufgeben, so müssen wir diese Astanlagen als erste oder äussere primäre Rindenzellen bezeichnen, wie ich es schon bei Pterota plumosa, nachher auch bei Bonnemaisonia that. Die Kurztriebe vom Bonnemaisonia besitzen alsdann’ an der Basis nur stammbürtige, erst weiter oben stamm- und astbürtige Rinde. Ich glaube der zweiten Auflassungsweise den Vorzug geben zu müssen. Es bleibt mir noch übrig, die Belege für die mitgeiheilte Entwickelungsgeschichte der Rinde an Kurztrieben von Bonnemaisonia beizubringen. Das Object ist so klein und zart, dass mittelst Längs- und Querschnitten irgend erhebliche Resultate schwer- *) Consequenter Weise muss dann,aber auch bei Pieröta plumosa ‚die, erste aus die Basilar- glied der Aeste entstehende Zelle nicht als erste oder äussere primäre Rindenzelle, sondern als Astanlage bezeichnet ‘werden. Folge davon ist, dass sich die Deutung der Rinde von Pierota eiwas complicirier gestaltet, sofern es dann nicht genügt, diese Rinde; schlechthin als astbürug zu bezeichnen, Biepe, vielmehr als entstanden aus „den ‚Basilarg gliedern der, Aeste und den Basilar- ästen der letztern. d. h. als entstanden aus zwei Successiven Generationen von Aesien zu be- trachten ist. sun 00 HASUYDIUER 1916 | ade e 8 = KK: lich herauszubringen wären. Die Methode. deren ich mich bediente, war daher wie- derum die mübsame aber erfolgreiche Quetschmethode. Ich zerdrückte die verschie- densten Entwickelungsstadien vorsichtig in chlorsaures Käli haltiger Salpetersäure, während ich in’s Mikroskop blickte und zeichnete genau alle Zellen. die dabei zum Vorschein kamen. Auf Taf. IX Fig. 1—9 findet sich eine kleine Auswahl dieser Zeichnungen. So lange ein Kurztriebglied noch einzellig ist, erscheint natürlich auch beim anhaltendsten Drücken an seiner Stelle nie mehr als eine Zelle. Auf dem näch- sten Stadium lässt es sich in 2 Zellen spalten: Astanlage (respective erste primäre Rindenzelle) und Rest des Gliedes. Auf der folgenden Stufe der Entwickelung er- scheinen an seiner Stelle 3 Zellen: Astanlage (respective erste primäre Rindenzelle) aussen. zweite primäre Rindenzelle (innen) und Rest des Gliedes. (Fig. 1 a. Vergl. die nebenstehende perspectivische Ansicht des ganzen Gliedes (Fig. 1 b). — Dann er- scheinen 4 Zellen (Fig. 1a‘): eine stäbchenförmige. die Axen- oder Centralzelle und 3 annähernd quadratische, nämlich die Astanlage (respective erste oder äussere primäre Rindenzelle), rechts von der Centralzelle und die beiden innern primären Rindenzellen. (Vergleiche die nebensiehende perspectivische Ansicht des ganzen Gliedes Fig. 1 b‘.) — Etwas später erscheint die äussere primäre Rindenzelle (Ast- anlage) der 2—5 untersten Kurztriebglieder 2 — 5zellig. je nachdem erst eine oder alle 4 secundären Rindenzellen von derselben abgeschnitten worden sind. Fig. 2 a zeigt 2 Fälle, wo alle 4 Rindenzellen gebildet sind und die äussere primäre Rinden- zelle fünften Grades umgeben. (Vergleiche die perspectivische Fig. 2 b.) Etwas später erscheint weiterhin die Astanlage höherer Kurztriebglieder 2 — 3zellig. aus Scheitel- zelle und 1— 2 Gliedern zusammengesetzt, das erste dieser Glieder vielleicht noch ungetheilt oder bereits in 2 — 5 Zellchen getheilt. So zeigt Fig. 3 a ein höheres Glied eines primären Kurztriebes in seine Zellen zerlegt, dessen Astanlage 2gliedrig und am ersten Glied erst mit einer einzigen Rindenzelle versehen ist. (Vergl. Fig.3 b ß.) — In Fig. 4 und 5 sind dagegen vom Basilarglied des ebenfalls 2gliedrigen secundä- ren Kurztriebes bereits 3 Rindenzellen abgeschnitten, an der Stelle dieses Gliedes erscheinen daher 4 Zellen. (Vergl. Fig. 4 bß.) Von den stammbürtigen primären Rindenzellen, links von der stäbehenförmigen Centralzelle sind in diesem Falle bereits je 1— 2 secundäre Rindenzellen abgeschnitten. (Siehe Fig. 4a«, 5a .« und vergl. Fig. 4 b «.)— In Fig. 6 a ist das Basilarglied des 2gliedrigen secundären Kurztriebes in 5 Zellen (4 Rindenzellen und 1 Centralzelle) zerfallen. (Vergl. Fig. 6b 3. Die stammbürtigen primären Rindenzellen des primären Kurztriebes haben je 4 secundäre 5 Rindenzellen, eine der letzten sogar bereits eine tertiäre erzeugt. (Vergl. Fig.6b « mit ae.) — Fig. 7 zeigt die stäbehenförmige Uentralzelle dreier successiver Glieder eines primären Kurztriebes mit den zugehörigen Berindungscomplexen der innern Gliederhälften. — Fig. 8 ähnliche Stadien zweier successiver secundärer Kurztriebe wie Fig. 6b. — Fig. 9 endlich ein etwas weiter vorgerücktes Stadium eines se- cundären Kurztriebes. Die beiden untern Rindenzellen sind zweigetheilt. — Zur Ver- gleichung dieser Abbildungen mit den Flächenansichten Fig. 4, 5, 6, 7, S Taf. VIl ist kein weiteres Commentar nöthig als die Erläuterungen der Tafeln. b. Rindenbildung bei Langtrieben. Wie bereits angegeben wurde, wachsen die Langtriebe nur im ersten Anfang mittelst horizontaler Querwände, die übrige Zeit mittelst stark und alternirend nach rechts und links geneigter Wände in die Länge. Ihre Glieder, mit Ausnahme der untersten, sind somit am einen Rand viel höher. Hier wachsen sie dann auch bald seitlich aus. Der Vorsprung wird durch eine etwas excentrische Längswand abgeschnitten, der einzellige Primanast entwickelt sich unter Quertheilung ete. weiter zum Kurztrieb. Erst wenn dieser bereits mehr- sliedrig geworden, entsteht in dem dreieckigen Rest des Stammgliedes eine zweite. ebenfalls etwas excentrische Längswand, wodurch derselbe zerfällt in die Anlage zum Secundanast und die der leichtern Orientirung wegen auf den Figuren 4, 5, 5 Taf. VII schattirte Centralzelle der unbegrenzten Hauptaxe. Diese Üentralzelle ist eine Dauerzelle, theilt sich nicht mehr, vergrössert sich bloss, streckt sich namentlich sehr bedeutend, verschwindet aber für das Auge bald im Innern der Rinde, um so mehr, als ihre Membran zart bleibt, das Lumen inhaltsarm wird; so in Fig. 6 und 7 Taf. VIll. Die Rinde der Langtriebe ist astbürtig, entsteht aus den Basilargliedern der Aeste, welche theils Kurz-, theils Langtriebe sind. Da das Verhalten aller Glieder, somit auch der Basilarglieder der Kurztriebe bereits geschildert worden, bleibt mir nur noch das Verhalten der Basilarglieder der unbegrenzten Aeste zu besprechen übrig. Wie bereits mehrmalen bemerkt, bleiben die Seeundanäste in ihrer Entwicke- lung längere Zeit bedeutend hinter den Primanästen zurück *) (Fig. 4— 8 Taf. VII, und gliedern sich zuerst mittelst horizontaler Querwände. Man sollte erwarten, dass die erste Wand, welche in der Langtriebanlage auftritt, eine horizontale Querwand sei; dies ist jedoch nicht der Fall, die erste Wand ist vielmehr eine auf der Ver- zweigungsebene senkrecht stehende, etwas excentrische Längswand und spaltet *) Ausgenommen das Basilarglied, wie alsbald gezeigt werden soll. a die Secundanastanlage oder erste Scheitelzelle des Langtriebes. in eine kleine aussere und eine grössere innere Zelle. (Siehe den zweitobersten Secundanast in Fig..4 u.5 Taf. VIll.) Von diesen zwei Zellen ist die erstere Basilarastanlage und entspricht den Astanlagen auf der äussern Seite der einzelnen Glieder der Kurztriebe; die letztere dagegen ist. Scheitelzelle zweiten Grades des Langtriehes. Erst diese theilt sich als- dann durch eine Querwand in eine neue Scheitelzelle und eine Zelle, die wir nicht schlechthin Glied nennen können, sondern gleichselzen mussen dem Rest der Kurz- triebglieder. welcher übrig bleibt nach Bildung der äussern primären Rindenzelle.. Sie ist somit einer Gliederzelle zweiten Grades aualog. Sie verhält sich vollständig dieser Deutung gemäss, theilt sich durch zwei Wände, von welchen die eine vom innern Rand der ursprünglichen Seeundanastanlage gegen die -Mediane der vordern, die andere gegen die Medianue der hintern Fläche läult, in 3 Zellen: eine Axen- oder Gentralzelle in der Mitte und je eine primäre Rindenzelle ersten Grades auf der zu- und abgekehrten Seite, welche letztere auf die bekannte Weise 4 secundären Rin- denzellen die Entstehung. geben. (Vergl. Fig. 9 a mit Fig. 4. 6, 7,5*) Taf. VI.) Wie sich die Basilarastanlage der Langtriebe theilt, kann ich zur Zeit nicht mit Si- cherheit angeben, vermuthe aber, dass ihr Verbalten demjenigen der äussern pri- mären 'Rindenzellen der 2 bis 5 untersten Glieder von Kurztrieben ähnlich sei. sie also selber richtiger als eine äussere primäre Rindenzelle bezeichnet werde. Die neue Scheitelzelle des Langtriebes, fast doppelt schmäler als die ursprüngliche (Fig. 4 und 5 Taf. Vill). theilt sich in der Folge ebenfalls durch eine Querwand in zwei Zellen. Die obere derselben ist eine Scheitelzelle und theilt sich wieder durch eine Querwand. die untere ist eine vollkommene Gliederzelle nicht bloss zweiten, sondern ersten Grades und verhält sich ganz wie eines der 2 bis 5 untersten Kurztriebglieder: theilt sich zuerst durch eine auf der Verzweigungsebene senkrecht stehende, etwas excentrische Längswand und gibt so aussen einer in der Rindenbildung völlig auf- gehenden Astanlage, also einer äussern primären Rindenzelle, später auch noch zwei innern primären Rindenzellen und einer stäbchenförmigen Gentralzelle in der Mitte die Entstehung etc. (Siehe Fig.5 Taf. Vlll Glied 2 und 3 von unten. an dem Lang- trieb rechts.) — So kann es noch kurze Zeit. fortgehen, dann aber tritt. wenn der Secundanast Pichk gänzlich verkümmert, alternirend schiefe Waudbildung und damit *; In Fig. 8 stossen die 4 secundären Hındenzellen der innern Berindungshälfte der Meier- glieder des Langtriebes in der Mitte zusammen und verdecken die sie tragende, primäre Rindenzelle fünften Grades. x = Be interponirende Verzweigung oder wohl auch die Bildung von Keimbehältern ein. Der erste Primanast, auf dem 3. — 5. Gliede, schaut nach aussen. Zwei Mal trug auch das Glied zunächst unterhalb des Knotens des Basilarinternodiums mit dem’ ersten Primanast: einen verlängerten Ast, von der Natur eines Kurztriebes. (Siehe Fig. 8 Taf. VI.) — Die Rinde von Langtrieben stammt nach alle dem von den Basilar- gliedern ihrer begrenzten und unbegrenzten Aeste her, ‘welche letztere sich zunächst ganz wie die Kurztriebe entwickeln. ‘mit einziger Ausnahme der kleinen oben er- wähnten Abweichung bei der Entwickelung ‘des Basilargliedes. Wie bereits oben in einer Anmerkung angedeutet worden und ein Blick auf die Figuren 4— 8 Taf. VI deutlich: zeigt, entwickelt sich das Basilarglied eines Langtriebes oder Secundanastes rasch und in demselben Maasse weiter, wie: das Basilarglied des gegenüberstehenden Kurztriebes oder Primanastes. nur‘ die nächst folgenden Secundanastglieder bleiben hinsichtlich ihrer Ausbildung längere Zeit hinter den correspondirenden Primanästen zurück. Wurzelfäden, wie sie der folgenden Gattung eigen sind, fehlen bei Bonne- maisonia gänzlich. Die. Poren vertheilen sich bei Bonnemaisonia nach dem Gesetz, dass bei den Ceramiaceen in der Mitte der Scheidewand zwischen je 2 physiologisch zusammengehö- rigen Zellen sich ein Porus befindet. folgender Maassen auf die einzelnen Zellen: 1) Die Centralzellen der untersten Langtriebglieder besitzen je 5 Poren, je einen am obern und :untern Ende. nach ‚andern ähnlichen Centralzellen hin, 3 seitlich und zwar einen gegen die äussere ‚primäre Rindenzelle fünften Grades und 2 gegen die zwei innern primären Rindenzellen letzten Grades hin. — 2) Die Centralzellen der übrigen Lang- triebglieder ‚besitzen je 4 Poren, je einen oben und unten wie sub N. 1, je einen rechts und links gegen die Gentralzellen der Basilarglieder der Aeste hin. — 3) Die Centralzellen der Kurztriebglieder besitzen je 5 Poren, je einen am obern und untern Ende gegen andere Üentralzelien hin, einen gegen die äussere primäre Rindenzelle fünften Grades, respective gegen die ÜCentralzelle der rudimentären Aestchen’ der Aussenseite und 2 gegen die zwei primären Rindenzellen letzten Grades der Innen- seite hin. — 4) Jede der innern primären Rindenzelle letzten Grades der untersten Langtriebglieder und sämmtlicher Kurziriebglieder besitzt 5 Poren, einen gegen die Centralzelle des Gliedes und je einen gegen die 4 secundären Rindenzellen hin. — 5, Die primären Rindenzellen letzten Grades an .der Aussenseite der untersten Lang- und Kurztriebglieder ‚besitzen ebenfalls je 5 Poren, einen gegen die Centralzelle des a Gliedes und je einen gegen die 4 von ihnen getragenen secundären Berindungszellen hin. — 6) Die Centralzellen der Basilarglieder der rudimentären Aestcehen an der Aussenseite höherer Kurztriebglieder endlich besitzen je 6 Poren, einen gegen die Centralzelle des dem primären Kurztrieb angehörigen Gliedes, einen gegen das zweite Glied, beziehungsweise die Scheitelzelle des rudimentären Aestchens und je einen gegen die 4 Berindungszellen dieser Aestchen hin. lch hatte obige Notiz betreffend die Anordnung der Poren bei Bonnemaisonia bereits niedergeschrieben, in der Meinung, es lasse sich das Gesagte der Kleinheit der Zellen halber hier nicht direct nachweisen; da zerdrückte ich ältere Parlieen der Pflanze in Salpetersäure, in der Absicht, über Vorkommen oder Fehlen von Wur- zelfäden in's Klare zu kommen, und erhielt nicht nur über diese Frage den gewünsch- ten Aufschluss, sondern fand auch alles betreflend die Poren Ausgesagte auf's Schönste bestätigt, ein neuer Beweis zugleich auch‘ für die Richtigkeit der früher geschilderten architectonischen Gesetze. Fig. Il a,b Taf. VIII stellt eine durch Druck isolirte ältere Öentralzelle eines Langtriebes dar. Sie stösst oben und unten an eine andere ähnliche Centralzelle und trägt seitlich wenig unterhalb ihres obern Endes 2 andere Zellen, Centralzellen der Aeste. Mit allen 4 Zellen ist sie durch je einen Porus ver- bunden. Jede der seitlichen Zellen ist an 5 Stellen vorgezogen: gegen die Central- zelle der Hauptaxe hin, gegen die nächstobere Centralzelle, dann nach aussen gegen die erste oder äussere primäre Rindenzelle fünften Grades , welche linkerhand (weil abgerissen) fehlt und an 2 Punkten der Innenseite gegen die beiden innern primären Rindenzellen fünlten Grades. Jede der letztern ist morgensternförmig mit 5 Verlän- gerungen versehen, von welchen die grösste gegen die Centralzelle des Basilargliedes, die andern zu den ebenfalls abgerissenen secundären Rindenzellen führen. Es ist be- kannt. dass der vom Primordialschlauch bekleidete Inhalt einer Zelle in Säuren, also auch Salpetersäure sich contrahirt, bei porösen Zellen aber, besonders von Cera- miaceen an den Poren oft haften bleibt, nach den Poren hin also vorgezogen er- scheinen muss. In Fig. 11 wurden nur die contrahirten Primordialschläuche der einzelnen Zellen gezeichnet, die Zahl und Anordnung der Vorsprünge geben uns also Aufschluss über Zahl und Anordnung der Poren der einzelnen Zellen, sowie die Zahl und Anordnung der von jeder Zelle getragenen andern Zellen. Von den Fortpflanzungsorganen von Bonnemaisonia kenne ich nur die Brutbecher. Dieselben finden sich in grosser Zahl in den obern Regionen der Pflanze, an der Stelle von Langtrieben. alterniren daher häulig mit einander. Sie sind kurz- = N = gestielte, kugel- oder birnförmige hohle Behälter, oben mit einer Oeffnung versehen und tragen im Grunde der Höhlung zahlreiche keulenförmige Keimzellen (Fig. 10 Taf. IX). Sie entstehen durch Metamorphose der Langtriebe. Ihre Entwickelung be- ginnt zur Zeit des Eintrittes der alternirend schiefen Wandbildung. Der Scheitel des Langtriebes verwandelt sich alsdann rasch in ein rundliches Conglomerat von Zellen. in welchen man oft deutlich mehrere nach oben wachsende Zellreihen zu unterschei- den vermag. Mitten aus der Zellgruppe ragt um diese Zeit ein kürzeres oder längeres, bis 102 Mikm. langes Haar *). Auf einem spätern Stadium stellt der Keimbehälter einen soliden ellipsoidischen Zellkörper dar, dessen äusserste Zellen von gleicher Grösse unter sich, übrigens sehr klein und hyalin sind (Fig. 12 Taf. IX). Das Ganze müsste für ein Antheridium angesprochen werden, würde es sich in der Folge nicht wesentlich verändern. Dadurch, dass nämlich am Scheitel die Entwickelung nachlässt. sich dagegen rings um diesen herum steigert, höhlt sich das Organ allmählig, bis es endlich die Gestalt des Brutbechers hat, in dessen Vertiefung sehr frühe junge Keim- zellen erscheinen. Die Wand des Keimbehälters besteht aus mehreren Zelllagen,, ist aber kein ächter Zellkörper, sondern aus verflochtenen verzweigten Zellreihen zu- sammengesetzt, deren Glieder 1—2 Aeste tragen, und lässt sich denn auch durch Zerdrücken in chlorsaures Kali haltiger Salpetersäure leicht in diese Zellfäden zer- legen. Die Keimzellen enthalten zahlreiche kleine Stärkekörner, die sich durch Jod schmutzig violett färben **). Bei der Keimung theilt sich die Keimzelle durch meh- rere auf ihrer Längsaxe senkrecht stehende Querwände (Fig. 11 Taf. IX). — Die Antheridien von Bonnemaisonia haben nach einer Notiz, die ich vor Jahren einer mir jetzt unzugänglichen Arbeit von Derbes und Solier entnommen, dieselbe Stel- lung, wie die Keimbehälter und grosse Aehnlichkeit mit diesen. Die erstere Angabe wird unterstützt durch das Verhalten von Euctenodus, dessen Antheridien mir be- kannt sind und gleich den Keimzellen an metamorphosirten Langtrieben sich finden. — Die Sporenmutterzellen von Bonnemaisonia sind meines Wissens noch gänzlich, *) Trichophor. Nägeli. Beitrag zur Morphologie und Systematik der Geramiaceen. **) Es widerspricht dies Nägeli's Angabe, dass ‚den Florideen Stärkemehl fehle. Uebrigens habe ich noch bei andern Florideen Stärkekörner beobachtet: So sind ältere Glieder von Pterothamnion floccosum reich an einfachen kreisrunden, wahrscheinlich linsenförmigen Stärkekörnern von bis 6.8 Mikm.; Durchmesser, die sich durch Jod violett färben. In ältern Gliedern von Dasythamnion tetricum finden sich zartbegrenzte linsenförmige Stärkekörner von bis 6 Mikm. Durchmesser in Menge. Sie sind wandständig und werden durch Jod schön himmelblau oder indigoblau, bei Zusatz von Schwefelsäure bisweilen fast schwarz. vu — u = anbekannt. Für die Art ihres Vorkommens dürfte indessen die folgende Gattung einen Anhaltspunkt gewähren. Euetenodus Labillardieri. (Kg.) Cramer. Taf. X Fig. 1 — 7. Die ersten Untersuchungen über diese Pflanze habe ich angestellt im Juli 1853. sie wurden wiederholt und ‚erweitert im November. 1962. Euctenodus Labillardieri ist mit Bonnemaisonia in. vegetativer und reprodueltiver Beziehung nahe, verwandt. Adventiväste fehlen auch hier. Die. Kurztriebe, alternirend.. zweizeilig an Langtrieben , besonders in der Jugend sichelförmig nach oben gekrümmt, stets Jachgedrückt, ganzrandig, bis gegen 3"” lang, an der Basis 1%”" ‚breit, sind genau betrachtet ebenfalls berindete ‚Zellreihen und wenigstens an der Aussenseite, vielleicht beiderseits mit ‘einer. Reihe kurzer Aeste besetzt. Sie wachsen, wie die Kurztriebe von Bonnemaisonia, durch horizontale, wegen ihrer Sichelform gegen die Hauptaxe etwas convergirende, Querwände in die Länge. (Jedes Glied theilt sich darauf zuerst durch eine auf der Verzweigungsebene der Pflanze senkrecht stehende, etwas excentrische Längswand in zwei Zellen, eine kleinere aussere ‚Astanlage) und eine grössere innere (Rest des Gliedes):; ‚Die weitere Entwickelung konnte ich wegen der ausserordentlichen Kleinheit der: Zellen *) und besonders der ungemein lebhaften. Vermehrung derselben bis jetzt nicht: weiter ver- folgen. Nie gehen Kurztriebe in Langtriebe über, nie werden sie reproductiv. Die Langtriebe, wie die Kurztriebe' viel rigider als bei Bonnemaisonia, stehen zerstreut an andern Langtrieben, doch in derselben Ebene mit den Kurztrieben und constant einem Kurztrieb opponirt. Sie .sind ebenfalls berindete Zellreihen, minder ‚Nachgedrückt als die Kurztriebe,, ein oder mehrere Zoll lang „nm der Basis auf die Höhe von 2— 4”” ganz, von da an aber ziemlich dicht mit alternirend zweizeiligen. eirca 45 divergirenden Kurztrieben und einzelnen, je einem Kurztrieb opponirten secundären Langtrieben besetzt und durch erstere kammförmig. Die Langtriebe wachsen wie bei Bonnemaisonia frühzeitig mittelst stark und alternirend nach rechts nnd links geneigten Querwände in die Länge. Die successiven erregen ner pen na nnnend y\ Wenig larhalls des Scheitels Eu die äussersten Zellen von Kursiriebeb bloss 0.001 = 0.002”” gross. wachsen zuerst auf der höhern Seite in einen Vorsprung aus, der sich durch eine Längswand abgrenzt und durch Querwände gliedert (Primanast), erst etwas später wird auf der entgegengesetzten Seite des Stammgliedes eine zweite Astzelle gebildet (Secundanast). Die Primanäste werden zu Kurztrieben; die Secundanäste zu neuen Langtrieben oder zu Keimbehältern oder zu Fruchtästen oder zu Antheridienständen oder sie abortiren gänzlich. Das letztere geschieht sehr häufig. Auf 490 Kurztriebe eines Antheridienexemplares fielen bloss 70 Langtriebe (14,3%), 19 Antheridienbe- hälter (3,9%%). Es waren somit verkümmert 401 Secundanäste oder 81,8%. Auf 154 Kurztriebe eines Keimfruchtexemplares fielen 7 Langtriebe (4,5 %), 10 Keimbe- hälter (6,5 %,). Es waren somit verkümmert 137 Secundanäste oder 89 %. Nie sah ich Langtriebe in Kuztriebe verwandelt, obwohl dies auch hier dann und wann vor- kommen mag. Hinsichtlich der Berindung ist zu bemerken, dass sowohl Lang- als Kurztriebe jedenfalls astbürtige Rinde besitzen, ob auch stammbürtige oder nicht, vermag ich zur Zeit nicht zu entscheiden. Darin aber findet zwischen Euctenodus und Bonne- maisonia decidirt ein wesentlicher Unterschied statt, dass bei Euctenodus die innern Rindenzellen von Langtrieben später in dünne Wurzelfäden auswachsen, welche sich zwischen den Rindenzellen abwärts drängen, mehrere Schichten um die Reihe der Axen- oder Centralzellen bilden und Kützings „stratum pericentrale, tenuissime et longitudinaliter firrosum“* darstellen. In den Kurztrieben von Euetenodus und bei Bonnemaisonia in Kurz- und Langtrieben mangeln solche Wurzelfäden gänzlich. Fortpflanzung. Euctenodus Labillardieri ist trieeisch. Fruchtäste, Antheri- dienstände und Keimbehälter sind metamorphosirte Secundanäste. Die Fruchtäste sind gestielte keulenförmige oder kugelrunde Organe, mit zahlreichen in der Richtung des Radius verlängerten, nach aussen verkehrt trichterförmig sich ölfnenden Höhlun- gen im Innern (Fig. 1 TafX). Die letztern sind austapezirt mit kurzgestielten, ge- theilten oder ungetheilten spindel- oder keulenförmigen Sporenmutterzellen (Fig. 2— 3,-.9--7 Taf. X) und sehr zarten einzelligen Paraphysen. Die Sporen liegen zu 4 in einer Reihe hinter einander und entstehen durch Theilung zu 2 und 2 nach ein- ander (Fig. 3, 5). — Die männlichen Exemplare von Euctenodus unterscheiden sich von den weiblichen bloss dadurch, dass die Innenwand der Höhlungen der meta- morphosirten Secundanäste statt mit viergetheilten Sporenmutterzellen und Paraphysen, dicht mit sehr kleinen, hyalinen, baumartig gruppirten Samenzellchen überzogen ist. — Auch die Keimfruchtexemplare zeichnen sich äusserlich durch kein Merkmal 9 3 aus. Die Keimbehälter haben dieselbe Stellung und Gestalt, wie die Fruchtäste und Antheridienstände, sind dagegen anders gebaut als selbst die Keimbehälter von Bonnemai- sonia. Während nämlich die Keimbehälter von Bonnemaisonia nur eine einzige Höhlung besitzen, scheinen diejenigen von Euetenodus mehrere, zwar nur 2— 3, hervorzubrin- gen. Diese sind weiter als die mit Sporenmulterzellen oder Antheridien angefüllten und erzeugen die Keimzellen nur auf dem Grund. Ich habe bloss junge Stadien ge- sehen. Chondrodon Suhrii. (Kg.) Cramer. (Taf. IX Fig. 13 und 14.) Ich verdanke ein sehr schönes Exemplar dieser Pflanze, vom Gnadenthal in Südafrica (ex Herb. Relsteineri). meinem Freunde Prof. Dr. Wartmann in St. Gallen, ein anderes, vom Cap Agulhas in Südafrica, fand ich in der Hohenacker’schen Meer- algensammlung, fälschlich als Euctenodus Labillardieri bestimmt. Vide N. 400. Die Pflanze wurde untersucht im Februar 1860. Die Kurztriebe erreichen eine Länge von 3""”, eine Breite von 1”"” (an der Basis), sind anfangs stark sichelförmig nach oben gekrümmt, später gerade oder fast gerade, flachgedrückte scheinbare Zellkörper, von einem zarten Mittelnerven durchzogen (Fig. 13), durchaus ganzrandig, streng genommen aber berindete verzweigte Zell- reihen, bis zwei Grade concreter, opponirt zweizeiliger Aeste (secundäre und tertiäre Kurztriebe) erzeugend („p Fig. 14). Die primären Kurztriebe stehen immer dicht gedrängt, alternirend zweizeilig an Langtrieben, eirca 45° divergirend, später nicht selten einem Keimbehälter gegenüber (Fig. 13). Sie erzeugen wieder Kurztriebe, indem sie sich verzweigen; nie bringen sie Langtriebe hervor oder verwandeln sich in solche. Die Langtriebe bis 200”” lang *) und im Alter bis 3”” breit, sind ebenfalls stark zusammengedrückte scheinbare Zellkörper mit deutlichem Mittelnerven (Fig. 13), eigentlich dichtberindete, wiederholt verzweigte Zellreihen. Die Langtriebe finden sich seitlich an andern Langtrieben, an der Stelle von Kurztrieben, alterniren somit mit diesen, gewöhnlich auch unter sich (Fig. 13). Sie erzeugen wiederholt Langtriebe und Kurztriebe. Nie sah ich Langtriebe in Kurztriebe übergehen. *) Die ganze Pflanze wird bis 300”" lang und wohl noch grösser. Fa 3 06 Adventiväste habe ich nie beobachtet. Wachsthum. Lang- und Kurztriebe wachsen mittelst einer einzigen Zelle in die Länge. Die Scheitelzelle von Kurztrieben theilt sich durch horizontale, in Folge stärkerer Entwickelung der äussern Kurztriebseite gegen die Hauptaxe hin etwas convergirende Querwände, diejenige der Langtriebe anfangs ebenfalls mittelst hori- zontaler Querwände, von frühe an aber mittelst merklich und alternirend nach rechts und links geneigter Wände (Fig. 14. Spitze der Hauptaxe und von ;3p). Die Verzweigung schreitet an Kurztrieben von Anfang an bis an’s Ende continuirlich von unten nach oben fort. Die Aeste der Aussenseite werden vor den- jenigen der innern angelegt. Jene, später auch diese, erzeugen alsdann in gleicher Weise zuerst aussen, ohne Zweifel nachträglich auch innen *), eine Reihe tertiärer Kurztriebe (Fig. 14). — Weder secundäre noch tertiäre Kurztriebe gelangen zu einiger Selbstständigkeit, sondern verschmelzen mit einander zu Einem Zellcomplex (Fig. 13 und 14). — Die Langtriebe entwickeln sich im ersten Anfang ohne Zweifel völlig wie Kurztriebe, daher sie auch an der Basis ganzrandig erscheinen, schreiten dann aber bald zu interponirender Astbildung vor. Jedes Glied wächst dabei zuerst am höhern Rand in einen sich gliedernden Ast (Primanast) aus, erst später, wenn der Primanast bereits 4 — 6gliedrig geworden, wird auf der entgegengesetzten Seite ein Secundanast sichtbar. Die Primanäste alterniren unter sich, ebenso die Secundanäste (Fig. 14. Ende der Hauptaxe und von ;3p.). Die Secundanäste bleiben zunächst klein und entziehen sich bald zwischen der Basis des nächst obern und nächst untern Primanastes dem Auge des Beobachters (s. Fig. 14). Die Primanäste dagegen entwickeln sich rasch weiter und verwandeln sich zum grössten Theil in Kurztriebe. Eine klei- nere Anzahl, je der 3. bis 10., meist je der 5., nimmt unbegrenzte Entwickelung an, wird zum Langtrieb. Von 426 Primanästen hatten sich 347 begrenzt, nur 79, d.h. 18,6 %, unbegrenzt entwickelt. Von diesen 79 unbegrenzt entwickelten Pri- manästen standen auf je dem 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Gliede (das Ausgangsglied = 0 gesetzt) Beeren ar Da hiernach die Mehrzahl der Langtriebe wirklich auf je dem fünften Gliede, oder noch allgemeiner ausgedrückt auf ungeraden Gliedern inserirt sind, nämlich in 7290/79 oder 91% der Beobachtungen, so ist klar, dass sie auch unter sich gewöhnlich *) Die rasche Vermehrung der Zellen in der Richtung der Dicke erschwert das weitere Verfolgen der Sache. x — en alterniren müssen. (Vergl. Fig. 13.) Die untersten Paar Glieder einer unbegrenzten Axe scheinen auch hier, wie bei Bonnemaisonia und Euctenodus, keine discreten Aeste hervorzubringen, die Basis der Langtriebe erscheint daher, wie schon bemerkt, ebenfalls auf eine kurze Strecke weit ganzrandig (Fig. 13). Der erste Primanast, der, wie es scheint, immer zum Kurztrieb wird, liegt fast constant aussen, der erste unbegrenzte Ast eines Langtriebes dagegen schaut gewöhnlich nach innen (Fig. 13). — Die unbegrenzten Aeste eines Langtriebes bleiben anfangs eine Weile in der Entwickelung hinter den begrenzten zurück. doch nicht lange. (Vergl. Fig. 14 und 13.) Dass die erstern nicht wie bei Bonnemaisonia und Euctenodus und Pterota aus Se- cundanästen hervorgehen ergibt sich 1) aus ihrer Stellung an jungen Pflanzentheilen, wo sie der Lücke zwischen zwei successiven Kurztrieben der gegenüberliegenden Astzeile opponirt sind (;sp Fig. 14); 2) aus ihrer Stellung am ausgewachsenen Spross, wo sie ebenfalls constant dem Einschnitt zwischen zwei successiven Säge- zähnen der opponirten Astzeile gegenüberstehen; 3) aus der Alternation ihrer Nerven mit den Nerven der bezeichneten Kurztriebe der opponirten Astzeile (Fig. 13). — Es verhält sich somit Chondrodon mit Bezug auf die Abstammung der Lang- und Kurztriebe zu den nächst verwandten Gattungen Euctenodus und Bonnemaisonia ähnlich wie Euptilota zu Pterota. Die Rinde von Kurz- und Langtrieben entwickelt sich sehr frühe und üppig, was die Untersuchung bedeutend erschwert. um so mehr, als auch hier die Zellen sehr klein, wenn auch nicht so klein wie bei Euctenodus sind. Lang- und Kurztriebe besitzen jedenfalls astbürtige, wie es scheint, aber auch stammbürtige Rinde. In Fig. 14 hat die siebentoberste Axenzelle der unbegrenzten Hauptaxe am obern Ende der zugekehrten Seite eine viereckige Zelle hervorgebracht, welche die grösste Aehnlichkeit mit den stammbürtigen primären Rindenzellen bei Ptilota plumosa hat. Aehnliche Zellen sieht man am obern Ende der zugekehrten Seite der Axenzellen des sechst- und siebentobersten Gliedes des elften begrenzten Astes von oben (Fig. 14 1 P-)- — Die Rindenbildung ist in der Mitte von Lang- und Kurztrieben am stärksten, daher daselbst zarte Nerven erscheinen. Rindenbürtige Wurzelfäden fehlen bei Chondrodon, wie bei Bonnemaisonia, sowohl im Innern der Lang- als Kurztriebe, während die Reihe der Axenzellen auch an alten Pflanzentheilen leicht nachweisbar ist. Die Centralzellen sind eben- falls dünn. Fortpflanzung. Die Sporenmutterzellen und Antheridien dieser Pflanze ii sind, wenn ich nicht irre, noch völlig unbekannt. Die Keimzellen entstehen im Grund kugeliger Behälter, welche, wie die Keimbecher von Bonnemaisonia, eine einzige Höhlung besitzen und sich mittelst eines Loches am Scheitel öffnen. Diese Keimbehälter finden sich in den obern Regionen der Pflanze, sind meistens stiellos und sitzen einzeln zwischen zwei successiven Sägezähnen (begrenzten Aesten) oder auch zwischen einem begrenzten und einem unbegrenzten Ast eines Langtriebes, einem Kurztrieb, hie und da wohl auch einem Langtrieb der gegenüber befindlichen Astzeile opponirt. Bisweilen sah ich auch kurzgestielte Keimbehälter in gleichen Stellungen. Aus dieser Anordnung der Keimbehälter glaube ich mit Sicherheit schlies- sen zu dürfen, dass die Keimbehälter von Chondrodon aus Secundanästen hervor- gehen, um so mehr, als dies bei Euetenodus und Bonnemaisonia unwiderleglich der Fall ist. Auch die Keimbehälter von Chondrodon lassen sich durch Zerdrücken in chlorsaures Kali haltiger Salpetersäure in verzweigte Zellreihen zerlegen, sind also keine ächten Zellkörper. Spyridia filamentosa. (Harv.) Cramer. (Taf. X Fig. 8 — 19. — Taf. XI Fig. 1— 12. — Taf. XI Fig. 8.) Die unten folgenden Untersuchungen über diese Pflanze stammen zum Theil aus dem Jahre 1552, wo mir Herr Prof. Nägeli von ihm bei Neapel gesammelte Wein- geistexemplare zur Verfügung stellte. Seitdem habe ich diese reizende Floridee selber im Golf von Neapel (Capri, piccola marina) und von Palermo gesammelt (im Spät- sommer 1856) und meine Untersuchungen wiederholt und vervollständigt (im De- cember 1862). Spyridia filamentosa besitzt sowohl begrenzte und unbegrenzte — Normalaxen, als — Abnormal- oder Adventivaxen, weicht aber im Uebrigen von den bisher betrachteten Pflanzen in mehr als einer Hinsicht wesentlich ab. a. Normalaxen. Die begrenzten Normalaxen oder Kurztriebe sind äusserst zarte, 1% bis 2”” lange, höchstens 22gliedrige, ähnlich manchen Ceramieen berindete einfache Zell- reihen, an beiden Enden etwas verjüngt, oben stachelspitzig, hinfällig, in spiraliger Ordnung an Langtrieben befestigt. Sie gehen nie in Langtriebe über, erzeugen auch sonst nie welche, bringen dagegen bisweilen Adventivkurztriebe hervor und dienen der Sporenbildung. eo —_ Die unbegrenzten Normalaxen oder Langtriebe, bis 130”" lange, 1”” dicke, eylindrische, dicht berindete und wiederholt verzweigte Zellreihen, stehen ebenfalls spiralig an andern Langtrieben, an der Stelle von Kurztrieben, gehen nie in Kurz- triebe über, erzeugen dagegen normale Kurz- und Langtriebe in spiraliger Ordnung, sowie zerstreute Abnormal-Langtriebe. Wachsthum. Sowohl Kurz- als Langtriebe wachsen mittelst einer einzigen Zelle in die Länge. Die Scheitelzelle der Kurztriebe theilt sich durch eontinuirlich von unten nach oben fortschreitende Querwandbildung (Fig. 9 Taf. X. — Fig. 12 Taf. XI). — In Folge einer leichten Krümmung des jungen Kurztriebes convergiren die successiven Querwände im Anfang etwas gegen die unbegrenzte Hauptaxe hin. Die Bildung der Kurztriebglieder wird rasch vollendet. In der Jugend bis drei Mal kürzer als lang und am äussern Rand etwas höher, sind sie später so lang als dick oder doppelt so lang und symmetrisch. Nach vollständiger Ausbildung fällt Glied um Glied ab, bis zuletzt nur noch eine kreisrunde Narbe am Langtrieb zurückbleibt (Fig. $b Taf. X). Daher kommt es, dass die Kurztriebe, Kützing’s „Cilien*, auf einem gewissen Stadium oben stumpflich, und die ältern Theile von Langtrieben unbehaart sind. — Die Scheitelzellen von Langtrieben theilen sich continuirlich von unten nach oben fortschreitend durch schwach und im Zusammenhang mit der Verzweigung nach 13 verschiedenen Seiten alternirend geneigte Querwände (Fig. Taf. X). Die Langtriebe entwickeln sich anfangs viel langsamer als die Kurztriebe, wie denn auch die Stammspitze von den frühe ihrer Ausbildung entgegen eilenden Kurztrieben bald überholt wird (Fig. 9 Taf. X. — Fig. 12 Taf. XI). Die sechstoberste Zelle der unbegrenzten Hauptaxe auf ersterer Figur ragt bereits nach vorn und oben etwas vor, die 13. sendet nach hinten einen kleinen Ast, der zum Langtrieb wird, während die Aeste des 12., 11., 10., 9., ja selbst 8. Gliedes von oben (sämmt- lich junge Kurztriebe) relativ weit grösser sind. Ob die Langtriebe vielleicht später angelegt werden als. die Kurztriebe, Spyridia filamentosa also auch Priman- und Secundanastbildung besitzt, kann ich zur Zeit nicht entscheiden. Die Glieder der Langtriebe sind in der Jugend ebenfalls mehrmalen (bis 4 Mal) kürzer als lang und am einen Rande höher, und zwar an demjenigen, gegen welchen die obere End- fläche derselben ansteigt. Späler sind sie symmetrisch und so lang als dick oder wenig länger. Verzweigung. Wie schon bemerkt, verzweigen sich bloss die Langtriebe. Die Verzweigung beginnt wenig unterhalb der Scheitelzelle, schon am 6., bisweilen ie selbst 4. Gliede von oben. Jedes Glied wächst an seinem höhern Rand in einen Vorsprung aus, der sich durch eine Scheidewand von der Mutterzelle abgrenzt und durch Quertheilung gliedert. Die successiven Aeste bilden eine Spirale um die Haupt- axe und 13 Astzeilen. Die Divergenz beträgt 5/,;, an meinen Palermitanerexemplaren sowohl als an den neapolitanischen. Der 13. Ast oder, was dasselbe sagt, der Ast des 13. Gliedes steht wieder genau senkrecht über dem Ausgangsast, wenn wir diesen mit 0 bezeichnen, annähernd auch der 5. und $., in geringerem Grade der 10. und 3. Je der 5. und insbesondere 10. Ast weicht kathodisch, je der 8. und be- sonders 3. anodisch von der Senkrechten ab. Die Divergenz wurde an Partieen etwas unterhalb der Stammspitze ausgemittelt. Die Astspirale behält ihre Richtung an ein und derselben Axe bei, ist dagegen verschiedenläufig bei verschiedenen Axen, genauer ausgedrückt: bei verschiedenen Aesten derselben Axe, also bald homodom, bald antidrom bei den Aesten ein und derselben Axe, sowie bei den Aesten einer Axe, verglichen mit dieser Axe selbst (Fig. 8 Taf. XIII, wo r rechts drehend, | links drehend bedeutet). — Die Richtung der Astspirale hängt einzig von der Stellung des ersten Astes ab. Der erste Ast eines Langtriebes, nie auf dem untersten, sondern frühestens auf dem 2. oder 3. Gliede stehend, divergirt, gleich- viel ob auf dem 2. oder 3. Glied inserirt, von einer Verticalebene, welche die beiden sich zugekehrten Seiten des I. und 2. vorhergegangenen Langtriebes der Art ver- bindet, dass ihre Verlängerung die Axe der beiden Sprossen träfe, um 5/3 bald nach links (Fig. 20 a Taf. X), bald nach rechts*) (Fig. 20 b Taf. X). Im ersten Falle ist die Astspirale constant links drehend, im zweiten rechts drehend. Wie schon bemerkt, stehen die Langtriebe an der Stelle von Kurztrieben, also auf der bekann- ten Astspirale. Der erste unbegrenzte Ast eines Langtriebes findet sich auf dem 10. — 14., gewöhnlich dem 13. Gliede. Von da an hat je der 7., seltener je der 6. Ast der Hauptaxen unbegrenzte Entwickelung. Daraus ergibt sich, dass die Anordnung der Langtriebe unter sich ohne feste Regel sein muss. Rindenbildung. Kurz- und Langtriebe sind berindet, jene unterbrochen, diese ununterbrochen. Die Rinde beder ist stammbürtig. a. Rindenbildung an Kurztrieben. Alle Kurztriebglieder, mit Ausnahme der 2—3 obersten, welche mit der Scheitelzelle die Stachelspitze darstellen, und je des untersten (Fig. 14 b, 15 b Taf. X. — Fig. 2b, 9 b Taf. XI) erzeugen an ihrem *) Bei Beurtheilung der Richtung hat der Beobachter vom betreffenden ersten Ast aus gegen die Hauptaxe hinzuseben. obern Ende durch schief von oben und innen nach unten und aussen gehende Längs- wände einen Kranz von 5 — 6 Rindenzellen. Die erste derselben liegt am Aussen- rand des Gliedes, die Bildung der übrigen schreitet, wie bei den Ceramieen, alter- nirend nach rechts und links fort. Diese primären Rindenzellen theilen sich in der Folge und bringen secundäre hervor, die secundären tertiäre und diese quartäre. Die Zellvermehrung findet hauptsächlich am obern Rand der primären Rindenzellen statt. Jede primäre Rindenzelle erzeugt zunächst durch mehr oder weniger schiefe, bloss die obern Ecken oder diese nebst den beiden Seitenrändern der Mutterzelle abschneidende Wände zwei secundäre Rindenzellen (Fig. 4—8 Taf. XI), gewöhnlich bald darauf noch eine dritte zwischen den ersten am obern Rand (Fig. 4, 6— 5), sehr selten noch eine vierte unten (Fig. 4). — In Fig. 5 entstanden am obern Rand der primären Rindenzelle nur 2 sich berührende seceundäre Rindenzellen. — Die secundären Rin- denzellen erzeugen dann ihrerseits eine, oder in ähnlicher Weise wie die primären auch zwei neue Zellen: tertiäre Rindenzellen. (Siehe besonders Fig. 5 u. 4 Taf. Xl.) — Quartäre Rindenzellen sind sichtbar in Fig. 4, 7,8 Taf. Xl. Bisweilen entstehen bloss primäre Rindenzellen. — Die primären Rindenzellen der Kurztriebe gehen durch Metamorphose in Sporenmutterzellen über. b. Die Rindenbildung an Langtrieben tritt sehr früh ein, zur Zeit, wo die Glieder noch mehrmalen kürzer als lang sind. Schon am 12. bis 14. Gliede von oben lässt sich eine Centralzelle, umgeben von 12 — 16 primären Rindenzellen, unter- scheiden. Durch Zerdrücken von Stammspitzen in chlorsaures Kali haltiger Salpeter- säure, wobei sich die einzelnen Glieder nicht selten unverletzt von einander trennen und umlegen, habe ich mich überzeugt, dass auch hier die Zellbildung von einem Punkte alternirend nach rechts und links fortschreitet (Fig. 10 Taf. X). Die erste primäre Rindenzelle liegt an der höhern Seite des Gliedes da wo der Ast abgeht und ist zugleich Basilarglied des Astes. Die von aussen betrachtet viereckigen pri- mären Rindenzellen von Langtrieben theilen sich alsbald durch je eine von der Mitte des einen Seitenrandes ihrer Aussenfläche gegen die Mitte des untern Randes lau- fende radiale Längswand in eine grössere Zelle (primäre Rindenzelle zweiten Gra- des 12) und eine kleinere (erste secundäre Rindenzelle ersten Grades ‚Il Fig. 11 Taf. X). Die erstere theilt sich gleich darauf durch eine ähnliche aber entgegengesetzt ge- neigte Wand in die primäre Rindenzelle dritten Grades (13) und die zweite secundäre Rindenzelle ersten Grades (gll’ Fig. 12 Taf. X, ferner Fig. 13 und 14 Taf. X). Nur die erste primäre Rindenzelle jedes Gliedes oder die Basilarglieder der Aeste, und = wa zwar der Langtriebe sowohl als der Kurztriebe, erzeugen constant an ihrem untern Ende 3 neben einander befindliche secundäre Rindenzellen, je eine an den beiden Ecken und eine in der Mitte zwischen diesen (Taf. X Fig. 8, unterhalb b). Jene entstehen zuerst (Fig. 10 Taf. X)*). Jedes Glied eines Langtriebes erzeugt somit zunächst 12 — 16 primäre und 2 Mal (12 bis 16) + 1 secundäre Rindenzellen, ausge- nommen natürlich das erste oder Basilarglied, welches zugleich erste primäre Rin- denzelle eines Gliedes der Hauptaxe ist und als solches nur 3 secundäre Rindenzellen hervorbringt, dafür bei seiner spätern Entwickelung vom nächst obern (2ten) Glied her von Berindungsfäden (zunächst den sich verlängernden secundären Rindenzellen des letztern) überwachsen wird (Fig. 15 B). Alle Rindenzellen (primäre und seeun- däre) sind anfangs eckig und berühren sich (Fig. 13 und 14 Taf. X); später runden sie sich ab und rücken seitlich etwas aus einander (Fig. 16 und 15 Taf. X). Bald darnach wachsen die secundären am untern Ende in kleine Vorsprünge aus, die sich an der Basis durch eine Scheidewand von der Mutterzelle abgrenzen und zwischen die primären Rindenzellen des nächst untern Gliedes einkeilen (Fig. 16 Taf. X). Zunächst wächst bloss circa die eine Hälfte der secundären Rindenzellen in solche Vorsprünge (tertiäre Rindenzellen) aus, der Art, dass zwischen je 2 primäre des untern Gliedes eine neue Rindenzelle eingeschoben wird (Fig. 15 Taf. X). Eine andere Regel kömmt dabei nicht vor; denn zählen wir von einer beliebigen secun- dären Rindenzelle seitwärts, so finden wir bald die 2., 4., 5., 7., 8. folgende, bald die 2., 3., 6. oder auch 4., 6., 10. folgende in einen Vorsprung ausgewachsen. Später erzeugt slets auch die andere Hälfte der secundären Rindenzellen eines Glie- des tertiäre (Fig. 17 X), noch später entsteht am untern Ende mancher secundären eine zweite terliäre. (Siehe die secundäre Rindenzelle rechts oben und links in Fig. 17 Taf. X). Ferner können die primären Rindenzellen zwischen ihren beiden seeundären eine dritte secundäre abwärts senden. (Siehe die beiden primären Rindenzellen in Fig. 17 Taf. X, welche der Deutlichkeit zu lieb sammt ihren beiden ersten secun- dären Rindenzellen schraffirt wurden). — Alle diese Auswüchse verlängern sich mehr und mehr, theilen sich durch Querwände, verzweigen sich nicht selten (Fig. 17 Taf. X) und bedecken die Axe mit einer dichten, wiewohl wenigschichtigen Rinde, in welcher man zuletzt die primären und ersten secundären Rindenzellen nur noch mit Mühe oder gar nicht herausfindet. Hie und da scheinen selbst aufwärts wachsende Berin- *) Ein durch Druck isolirtes und umgelegtes Glied mit Centralzelle C.Z. und 12 primären Rindenzellen , von welchen die erste und grösste bereits zwei secundäre rechts und links erzeugt hat. 10 = = dunesfäden vorzukommen (Fig. 17 Taf. X, links von dem Pfeil, welcher die Längs- richtung der Hauptaxe angibt). Zum Schluss vergleiche man noch Fig. 19 Taf. X: Längsschnitt durch einige Glieder eines ältern Langtriebes, an der Abgangsstelle eines unbegrenzten Astes, und Fig. 18 Taf. X: Stück eines Querschnittes. C. Z. = Centralzelle. I, II, II = primäre, secundäre und tertiäre Rindenzellen. Dass die in Fig. 15 mit II bezeichneten Zellen wirklich seeundäre Rindenzellen sind, ergibt sich daraus, dass ihrer etwa 30 auf den ganzen Kreis gehen. b. Abnormal- oder Advenlivaxen. Adventivlangtriebe kommen bei Spyridia filamentosa sehr häufig vor. Sie entstehen ziemlich frühe (oft schon zur Zeit, wo die secundären Rindenzellen der unbegrenzten Hauptaxe erst in kurze Vorsprünge ausgewachsen sind) und entspringen weitaus am häufigsten am obern Ende primärer Rindenzellen (Fig. I1 und 12 Taf. Xl). Sehr selten schienen sie an andern Rindenzellen zu sitzen und das gewöhnlich nur in solchen Fällen, wo die Rinde bereits so dick geworden war, dass man die ein- zelnen Zellen derselben nicht mehr mit Sicherheit deuten konnte. Sehr oft entspringen die Adventivlangtriebe an solchen primären Rindenzellen, die annähernd senkrecht über, seltener unter der Insertion des Normal-Astes des nächst untern | beziehungs- weise nächst obern) Gliedes stehen. Ausnahmen von dieser Regel sind jedoch nicht selten, wie denn auch gar nicht etwa alle Glieder einen Adventivast hervorbringen, vielmehr oft ein oder mehrere Glieder übersprungen werden. Die Adventivlangtriebe verhalten sich in der Folge in allen wesentlichen Punkten genau wie normale, er- zeugen auf jedem Gliede (vom 2. bis 3. an) einen Ast, den ersten unbegrenzten auf circa dem 13. Gliede, den 2. auf dem 19. oder 20.. den 3. wiederum 6 bis 7 Glie- der höher oben u. s. f. Die Divergenz des ersten begrenzten Astes beträgt 5/3 nach rechts oder links und bedingt die Richtung der Spirale. Die Divergenz der folgenden Aeste ist ebenfalls %3. Die begrenzten Aeste der Adventivlangtriebe können Spo- renmutterzellen hervorbringen. Adventivkurztriebe. Es ist eine bemerkenswerthe Eigenthümlichkeit der Kurztriebe von Spyridia filamentosa, dass dieselben häufig wieder auswachsen, nach- dem sich alle obern Glieder bis auf die 4 oder 2 untersten abgelöst haben. In meh- reren Fällen sass der neue Kurztrieb deutlich auf der Endfläche des obersten der nicht abgefallenen Glieder und trat mitten aus dem Berindungskranz desselben heraus (Fig. 1 und 3 Taf. XI). Bisweilen schien er aus einer Rindenzelle des primären Kurztriebes entstanden zu sein. Stets war er unmittelbar am primären Kurztrieb, 2 ht nie etwa an einem noch kleinen Langtrieb inserirt, der dann statt des neuen Kurz- triebes als Adventivast wäre zu deuten gewesen. In allen Fällen stellte er die ge- rade Verlängerung des alten Kurztriebstummels dar, war nie über 10gliedrig, später immer berindet aber nie mit Sporenmutterzellen besetzt. An meinen Exemplaren von Palermo habe ich keine Adventivkurztriebe beobachtet. Fortpflanzung. Die Sporenmutterzellen sitzen an den 2 bis 5 untersten Gliedern der Kurztriebe normaler und abnormaler Langtriebe, in wirteliger Stellung und entstehen durch Metamorphose der primären Rindenzellen der Kurztriebe. Die primären Rindenzellen der innern Seite, also die zuletzt entstandenen jedes Gliedes verwandeln sich zuerst in Sporenmutterzellen; von da schreitet die Umwandlung alternirend nach aussen fort (Fig. 9 Taf. Xl). Die Sporenmulterzellen besitzen sehr dicke Membranen und erzeugen 4 tedraödrisch gestellte Sporen. Diese keimen später bisweilen noch im Innern der Mutterzellen. Fig. 10 Taf. XI zeigt einen Fall, wo alle 4 Sporen wiederholt getheilt waren. Die Theilungswände waren nur in einer Spore deutlich genug, um gezeichnet werden zu können. Diese lässt aber bereits einen Scheitel erkennen. Die 4 keimenden Sporen dieser Figur waren durch Druck von einander getrennt worden. — Die Antheridien dieser Pflanze sind mir gänzlich unbekannt. Die Keimfrüchte stehen, aus Harvey’s Abbildungen in der Phycologia Britannica zu schliessen, am Ende verkürzter Langtriebe, von Hüllstrahlen gestützt und sind denjenigen der Callithamnien ähnlich. Spyridia aculeata. (J. Ag. Spee.) Cramer. Taf. Xl Fig. 13. Ich habe diese Pflanze im September 1856 in den Fischereien beim Castel del Ovo in Neapel in zahlreichen, auch Weingeistexemplaren gesammelt und im December 1562 näher untersucht. Mit derselben scheint identisch zu sein: ein kleines von Dr. Seb. Fischer im rothen Meer gesammeltes Exemplar, das ich Herrn v. Martens verdanke. Spyridia aculeata steht der vorigen Art nahe. Bau und Entwickelung ist in allen wesentlichen Punkten gleich. Jedes Glied eines Langtriebes erzeugt eirca 16 primäre Rindenzellen, von diesen die erste sogleich 3, die übrigen zunächst bloss 2 secun- däre. Je der 6.. häufiger 7. Ast eines Langtriebes hat unbegrenzte Entwickelung, die übrigen werden zu Kurztrieben u. s. w. Gleichwohl ist diese Pflanze, wie ich = WW = glaube, speeifisch verschieden von Spyridia filamentosa. Sie unterscheidet sich von der letztern: 1) durch die schon dem unbewaffneten Auge auffallenden, am Ende zugespitzten, kahlen, d. h. ganz oder fast kurztrieblosen, schneckenförmig einwärts gerollten Langtriebe, welche neben geraden, wie bei Spyridia filamentosa ausse- henden, nicht selten vorkommen; 2) durch die constant grössere Astdivergenz von 1/, statt 5/5: 3) durch die kaum 1/g”” langen Kurztriebe und besonders die constant auftretenden hackenförmig abwärts gekrümmten einzelligen Stächelchen, die sich am Ende jener vorfinden, durch Auswachsen der primären Rindenzellen gewöhnlich des 2, und 3. obersten Gliedes der Kurztriebe entstehen, bald durch eine Scheidewand von der Mutterzelle sich abgrenzen, bald auch nicht (Fig. 13 Taf. XI). und allen von mir untersuchten von den verschiedensten Standorten stammenden Exemplaren von Spyridia filamentosa durchaus mangeln. Herpoceras australe mihi. (Novum genus et nova species.) Taf. XI Fig. 14. — Taf. XII Fig. 1 - 15. — Taf. XIII Fig. 1-7. Herpoceras australe gehört zu den Ceramieen, über welche Pflanzenfamilie ich schon anno 1857 eine einlässlichere Schrift *) herausgegeben habe. Seit dem Er- scheinen jener Arbeit habe ich eine Reihe neuer Untersuchungen über andere Formen dieser wundervollen Familie angestellt, welche meine früher beschriebenen allge- meinen Entwickelungsgesetze der Ceramieen vollständig bestätigen, bis auf einen Punkt: den Ursprung der Keimfrüchte. Indem ich daran gehe, den Irrthum zu ver- bessern, beschränke ich mich auf diese Eine Ceramiee, in der Hoffnung, ein ander Mal auf die Systematik der Ceramieen eintreten und dann meine übrigen bezüglichen Untersuchungen verwerthen zu können. Ich fand Herpoceras australe im Herbar des Herrn Prof. Heer auf einem Exem- plar von Laminaria radiata Ag., gesammelt von Kotsky in Neu- Holland. Meine ersten Untersuchungen wurden angestellt im Mai 1857, wiederholt und erweitert im Dezember 1862. *) Pflanzenphysiolog. Untersuchg. von C. Nägeli und C. Cramer. Heft IV von C Cramer. en Die Pflanze wird nicht über '/g Schweizerzoll oder 15”” gross. Wie die übrigen Ceramieen, so besitzt auch Herpoceras nur einerlei Thallome: unbegrenzt in die Länge wachsende (Langtriebe) und unterscheidet sich hierdurch wesentlich von den oben besprochenen Pflanzen. Die Thallome sind berindete Zellreihen, wiederholt alternirend (scheinbar dichotomisch) verzweigt, auf der Unterlage kriechend und mittelst eigenthümlicher Haftorgane befestigt, dadurch von allen übrigen mir bekannten Ceramieen verschieden. Sie erzeugen aufstrebende, später wohl ebenfalls niederge- streckte Adventiväste. Mit Rücksicht auf das Längenwachsthum der Thallome verweise ich auf meine bereits eitirte frühere Arbeit über die Ceramieen und auf Fig. 1 Taf. XII der vorliegenden Schrift. Die später halb nackten Glieder werden kaum 11/, Mal so lang als dick (Fig. 6 Taf. XIII). Auch hinsichtlich der Verzweigung bitte ich an genanntem Orte nachzulesen und Fig. 1 Taf. XII dieser Abhandlung zu vergleichen. Ich habe bei Herpoceras australe nicht mehr als 5 Generationen von Thallomen beobachtet: primäre bis quin- täre. In weitaus den meisten Fällen trägt je das 3. Glied einer Axe wieder einen Ast. Der erste Ast einer Axe, in mehr als 200 Beobachtungen constant aussen, steht gewöhnlich ebenfalls auf dem 3., fast ebenso häufig auf dem 4., bisweilen selbst auf einem noch höhern Gliede. Nennen wir die Glieder, welche Aeste tragen, „Knoten“, den ersten Knoten eines Astes „Basilarknoten“, ferner jeden Knoten plus nächst untere astlose Glieder „Internodium“, somit Basilarknoten plus nächst untere astlose Glieder „Basilarinternodium *, so lässt sich das Gesagte auch so aus- drücken: Die gewöhnlichen Internodien sind meist 3gliedrig, die Basilarinternodien gewöhnlich auch 3-, sehr häufig Agliedrig, bisweilen mehrgliedrig. Von 278 gewöhn- lichen Internodien waren 2 3 4 5 6 gliedrig 1 2768 1 oder 0,3 97,5 1,8 0,3 Procent. ’ Von 113 Basilarinternodien waren 3.14. 9:6... 7.8.0 9..10,,110125,13)1.14.915%W 16170 ,gliedrig 44.4404 1.910 9 23h 1 oder 38.9 35,4 8,0 8,0 2,7 4,4 0,9 0,9 0,9 Procent. Dabei gilt noch die Regel, dass die Basilarinternodien älterer Generationen von Aesten aus einer geringern Zahl von Gliedern zusammengesetzt sind, als die Basi- larinternodien jüngerer Generationen. Von den Basilarinternodien der 3i Aeste zweier 3 — primärer Axen, welche letztere zusammen 37 dreigliedrige Internodien besassen, waren nämlich 3 4 gliedrig 27 4 oder 87,1 12,9 Procent. Und von den Basilarinternodien der 53 Aeste obiger 31 secundärer Axen waren 3 4 B) 6 7 5 3 10 gliedrig 2 2 3 be) 2 3 i 1 ee U La y——— is oder 22,6 43.4 3.4 Procent. EEEIEEEEE 00mm game _ RESET oder 22,6 77,4 .. Beim Eintritt der Reproduction, gleichviel ob Sporenmutterzellen-, Antlıeridien- oder Keimfruchtbildung, nimmt die Wiederholungsfähigkeit ab, die Enden erscheinen dann aus einer beträchtlich grössern Anzahl von Gliedern zusammengesetzt. Von 25 Thal- lomenden reproductiver Pflanzen waren 3 4 5 6 78 910 11 12 123 14 15 16 17 18 gliedrig 1 Kun E56 he 2 aunliaw2s Man vergleiche noch mit Rücksicht auf die eben geschilderten Verhältnisse die Fi- guren 14 Taf. XI. — 1bis4 Taf. Xll. Rindenbildung. Die Rinde von Herpoceras, wie überhaupt der Ceramieen, ist stammbürtig. Alle Glieder erzeugen Rinde. Dieselbe ist ursprünglich zusammen- schliessend, später unterbrochen, der Art, dass die untere Gliederhälfte nackt erscheint. (Vergleiche vorzüglich Fig. 1 Taf. XII und Fig. 6 Taf. Xlll.) Gewöhnliche und Kno- tenglieder zerfallen zunächst auf die genannten Ortes beschriebene Weise in eine Centralzelle und einen Kranz von primären Rindenzellen ersten Grades. Die erste primäre Rindenzelle gewöhnlicher oder internodialer Glieder liegt an deren höherem Aussenrand. An Knotengliedern bilden sich die erste und zweite primäre Rindenzelle, unter sich völlig gleichwerthig, an der zu- und abgekehrten Seite und dienen der Bildung der übrigen als Ansatzpunkte. Gewöhnliche Glieder erzeugen 4— 7. Kno- tenglieder 6 — 9 primäre Rindenzellen. Verhalten der primären und übrigen Rindenzellen gewöhnlicher Glieder. Alle primären Rindenzellen gewöhnlicher Glieder (zuerst die erste, dann die folgenden der Reihe nach weiter, wie sie angelegt wurden) erzeugen zunächst 4 secundäre Rindenzellen ersten Grades, an den 4 Ecken ihrer freien Aussenfläche. Zuerst ent- stehen die beiden obern, dann die beiden untern. Bei der ersten primären Rindenzelle = W = ist die Reihenfolge, in welcher je zwei neben einander liegende secundäre Rinden- zellen sich bilden, ohne Zweifel keiner Regel unterworfen, es wird bald die eine, bald die andere der beiden obern, dann der beiden untern Ecken durch eine Wand abgeschnitten. In den übrigen primären Rindenzellen dagegen richtet sich die Rei- henfolge nach der ersten primären Rindenzelle. Zuerst wird nämlich, wie ich schon früher für andere Ceramieen nachgewiesen habe, auch hier immer die der ersten primären Rindenzelle zugekehrte, dann die abgekehrte obere Ecke durch eine Wand abgeschnitten, darauf gewöhnlich die der ersten primären Rindenzelle zugekehrte un- tere, zuletzt die derselben abgekehrte, seltener die abgekehrte untere vor der zu- gekehrten, in welchem Fall dann die Bildung der secundären Rindenzellen im Kreise fortschreitet. Schliesslich erzeugt die erste primäre Rindenzelle eines internodialen Gliedes meistens noch eine secundäre Rindenzelle zwischen den beiden untern, bis- weilen auch zwischen den beiden obern schon vorhandenen. Jene entsteht gewöhnlich vor dieser (— ;1I Fig. 13, 15 Taf. XI. — Fie.3 A B rechts Taf. XII), bisweilen jedoch nach derselben (Taf. X Fig. 3 C mittlerer Rindencomplex, II - ;II). Beide werden stets nach den 4 eckständigen secundären Rindenzellen angelegt, ja erst nachdem sich wenigstens die obern derselben bereits weiter getheilt haben {Fig. 13, 15 Taf. XII und Fig.3 A BC Taf. XII). Es kann also nach dem Mitgetheilten jede erste primäre Rindenzelle gewöhnlicher Glieder später ebenfalls, wie bei Ceramium rubrum, ordinatum; Echinoceras armatum, Hystrix; Acanthoceras echionotum *), 6 secundäre Rindenzellen (3 oben, 3 unten) tragen; aber die mittlere der 3 obern entsteht bei Herpoceras im Gegensatz zu jenen Pflanzen constant nicht vor, sondern nach den beiden seitlichen. — Auch die übrigen primären Rindenzellen gewöhnlicher Glieder erzeugen hie und da, wenigstens zwischen den beiden untern eckständigen, später noch eine secundäre Rindenzelle. Ich habe indessen diesen Fall nur zwei Mal beobachtet, er kömmt somit sehr selten vor. — In Fig. 11 b Taf. XII und Fig. 12 derselben Tafel hat sich zwischen der obern und untern eckständigen secundären Rindenzelle der linken Seite (eines aus einer der 2ten bis nten primären Rindenzelle eines gewöhnlichen Gliedes hervorgegangenen Rindencomplexes) eine fünfte secun- däre Rindenzelle gebildet. Die secundären Rindenzellen erzeugen tertiäre, zuerst die obern und von diesen zuerst: je die der ersten primären Rindenzelle zugekehrte. Die tertiären Rindenzellen bringen quartäre, diese bisweilen quintäre hervor. *) Biche meine frühere Arbeit. = Weiter geht die Rindenbildung nicht. Die tertiären Rindenzellen eines Complexes sind der zugehörigen primären, die quarlären der zugehörigen secundären abgekehrt. Die Ausbildung der einzelnen Rindencomplexe von Herpoceras ist somit centrifugal (Fig. 7 — 15 Taf. All). Die obere Rindenhälfte ist ferner stets üppiger, zellenreicher als die untere (siehe dieselben Figuren auf Taf. XII), also gerade umgekehrt wie bei Ceramium ordinatum, Centroceras leptacanthum ete. Ein internodiales Glied be- steht im Alter aus kaum mehr als 90 — 150 Zellen. Schon die tertiären, ebenso die quarlären, vielleicht auch die quintären Rindenzellen von Herpoceras besitzen das Vermögen, in äusserst zarte, hinfällige, einzellige, hyaline Haare auszuwachsen ‚Fig. 5, 9, 14 Taf. All). Bei manchen Exemplaren findet man solche Haare an den obern Theilen in Menge, andern fehlen sie durchaus. Rindenbildung an Knotengliedern. Von den primären Rindenzellen der Knoten verhalten sich nur die erste und zweite, auf der zu- und abgekehrten Seite, eigenthümlich, die übrigen ganz wie 2te bis letzte eines gewöhnlichen Gliedes. Die letztern erzeugen meist 4 eckständige, secundäre Rindenzellen, sehr selten 5 (2 oben, 3 unten, so z. B. in Fig. 7, 6 Taf. XIII). Die Anlage der secundären Rindenzellen richtet sich hier nach der ersten und zweiten primären Rindenzelle. Vergleiche meine frühere Arbeit über die Cera- mieen. — Die erste und zweite primäre Rindenzelle eines Knotens erzeugen nie weniger als 5, bisweilen 6 secundäre Rindenzellen, nämlich 3oben und 2 — 3 unten. Von diesen entsteht die mittlere der 3 obern ausnahmslos zuerst, dann folgen die beiden seitlichen obern, darauf die beiden seitlichen untern, zuletzt die mittlere der untern; indessen habe ich eine solche Zelle zwischen den beiden untern eckständigen secundären Rindenzellen nur zwei Mal beobachtet, so in Fig. 7 a Taf. XIII. Die Ausbildung der secundären Rindenzellen der einzelnen Complexe eines Knotens ge- schieht ebenfalls in der Reihenfolge, in der sie angelegt wurde, und ist centrifugal (Fig. 1, 2, 7 a Taf. Xlll). — In Fig. 7 a hat die erste secundäre Rindenzelle auch auf der der primären Rindenzelle zugekehrten Seite eine terliäre hervorgebracht. Die obere Rindenhälfte ist auch hier üppiger (siehe dieselben Figuren). Ein Knoten besteht im ausgebildeten Zustand aus höchstens 140 — 200 Zellen. Haare finden sich auch an Knotengliedern. Poren. Die Centralzellen internodialer Glieder besitzen 6 — 9 Poren, je einen gegen die nächst obere und nächst untere Centralzelle und einen gegen jede der 4 — 7 primären Rindenzellen hin. — Die Centralzellen von Knoten besitzen 9 — 12 en Poren, je einen gegen die nächst obere und nächst untere Centralzelle, sowie die Centralzelle des Astes hin, je einen gegen jede der 6 — 9 primären Rindenzellen. — Die erste primäre Rindenzelle eines internodialen Gliedes, ebenso die erste und zweite primäre Rindenzelle von Knoten zeigt je 6— 7 Poren, einen gegen die Cen- tralzelle des Gliedes und je einen gegen jede der 5 — 6 seceundären Rindenzellen hin. — Die übrigen primären Rindenzellen haben 5 — 6 Poren, einen gegen die Central- zelle des Gliedes und je einen gegen jede der 4—5 secundären Rindenzellen hin u. S. w. Haftorgane. Schon bei den früher von mir untersuchten Ceramieen habe ich bekanntlich Wurzelfäden beobachtet. Sie entsprangen meist aus primären Rinden- zellen letzten Grades, nur bei Echinoceras Hystrix auch aus einzelnen secundären und tertiären Rindenzellen leizten Grades. Bei Herpoceras verhält sich die Sache anders, es wachsen hier sämmtliche Rindenzellen der einen Seite gewisser Glieder (mit Ausnahme vielleicht der primären, höchstens auch secundären Rindenzellen) in Wurzelfäden aus. Die letziern sind spärlich gegliedert, nicht verzweigt und bleiben seitlich mit einander verbunden zu faserigen Stummeln. Bei Berührung mit der Un- terlage breiten sich die Fäden am Ende etwas aus, bilden eine Scheibe mit radial gerichteten Zellen (Fig. 14 h Taf. XI). Solche am Ende scheibenförmig verbreitete Haftorgane finden sich vorzugsweise an den primären, aber auch an secundären, selten an tertiären Axen, steis nur auf der unlern Seite und nie an Knoten, sondern bloss an internodialen Gliedern und zwar an allen dreigliedrigen Internodien (ge- wöhnlichen und Basilarinternodien) ausnahmslos am mittlern Gliede. Von 76 Haftor- ganen dreigliedriger Internodien war nicht ein einziges an einem andern als dem bezeichneten Gliede inserirt. Aus einer grössern Anzahl von Gliedern zusammenge- setzte Internodien, also vorzüglich Basilarinternodien, können auch Haftorgane tragen. Die Stellung der letztern ist hier unregelmässig, doch nie an Knotengliedern. Da aber nach dem frühern gewöhnliche Internodien höchst selten aus mehr als 3 Glie- dern bestehen, und gliederreichere Basilarinternodien erst an tertiären Axen häufiger auftreten, so ist klar, dass Abweichungen von der gewöhnlichen Stellung der Haft- organe bei Herpoceras nur sehr spärlich vorkommen (Fig. 14 Taf. XI). Adventiväste kommen an primären und secundären Axen häufig vor. Sie entstehen an Gliedern mit und ohne Haftorgane, an Knoten- und Zwischenknoten- gliedern, bisweilen zu mehreren am gleichen Gliede, stets auf der obern Seite der kriechenden Mutteraxe, durch Auswachsen der primären Rindenzellen letzten Grades, 11 = zwischen deren secundären Rındenzellen sie heraustreten. Sie sind aufstrebend, meist einfach, kaum verzweigt. Der erste Ast derselben scheint gegen das untere Ende der Mutteraxe gerichtet zu sein. Bei der weitern Entwickelung legen sie sich wohl ebenfalls nieder und befestigen sich mittelst Haftorganen. Fortpflanzung. Herpoceras australe besitzt auf verschiedene Individuen ver- theilt Sporenmutterzellen. Antheridien und Keimhäufehen. Sämmtliche Fortpflanzungs- organe haben ihren Sitz an Axen späterer Generation und schwächen, wie bereits bemerkt. deren Verzweigungsfähigkeit, wie denn auch bei höhern Pflanzen die vegetativen Erscheinungen oft durch die Reproduction beeinträchtigt werden. Die Sporenmutterzellen entstehen an den einfachen oder fast einfachen Enden der Thallome aus primären Rindenzellen letzten Grades und zwar vorzugsweise aus je der ersten und letzten primären Rindenzelle letzten Grades ganzer Reihen von Glie- dern. welche dadurch beiderseits aufgetrieben werden und wie bei Gongroceras Deslongschampii ete. den keulenförmigen Fruchtästen ein etwas rosenkranzförmiges Aussehen verleihen. Die Sporenmutterzellen erzeugen durch Theilung 4 kugelqua- drantische Sporen zu 2 und 2 nacheinander (Fig. 14 Taf. Xl). Die Samenbläschen finden sich in ausserordentlicher Menge an ebenfalls auf lange Strecken einfachen oder fast einfachen Enden von Thallomen, dieselben wie bei Ceramium rubrum vollständig überziehend (Fig. 4 Taf. XII) und entstehen, wie ich schon in meiner frühern Abhandlung über die Ceramieen angegeben habe, durch Metamorphose der Rindenzellen späterer Generationen. Dabei ist aber hervor- zuheben, dass an Antheridienästen die Bildung der fünften Generation von Rinden- zellen viel früher eintritt als an vegetativen Axen, schon zu einer Zeit, wo sonst höchstens terliäre Rindenzellen vorhanden sind (vergl. Fig.5 u. 6 mit 8 u. 9 Taf. XI). Es hat das natürlich zur Folge, dass die quintären Rindenzellen von Antheridien- ästen viel kleiner sind als diejenigen vegetaliver Axen. Ausserdem besteht an Antheridienästen ein aus einer primären Rindenzelle hervorgegangener Rindencomplex schliesslich aus einer viel grössern Zahl von Zellen. Dies mag zum Theil daher kommen. dass besonders die spätern Generationen von Rindenzellen eine grös- sere Anzahl neuer Zellen hervorbringen, zum Theil aber auch daher, dass die Zellbildung hier nicht bloss auf die Erzeugung von fünf Generationen beschränkt bleibt. Ebenso verhält es sich bei Ceramium rubrum. Die Samenzellchen sind auch bei Herpoceras sehr kleine zarte Zellchen. Die Keimhäufchen von Herpoceras haben denselben Bau, wie bei den früher Era BR von mir beschriebenen Ceramieen. Trichophore habe ich nie gesehen. Sie werden ferner, wie dort, von einem halben Wirtel von Hüllstrahlen (3 —5) gestützt und entstehen constant aus der ersten primären Rindenzelle eines gewöhnlichen Gliedes, niemals an Knoten; allein jene erste primäre Rindenzelle, woraus das Keimhäufchen sich entwickelt, gehört nicht wie ich früher meinte demselben Gliede an, welches die Hüllstrahlen erzeugt, sondern dem nächst obern. Ebenso verhält es sich nach meinen neuern Untersuchungen bei Echinoceras Hystrix und ohne Zweifel auch bei den übrigen Ceramieen. Dieses die Keimhäufchen tragende Glied erscheint bei Her- poceras, ganz wie bei Echinoceras, später bedeutend verkürzt und nebst allen obern dünner als die vorhergegangenen (Fig. 2 Taf. XII). Die Verkürzung findet ein Ana- logon bei manchen Callithamnien, wo das Tragglied der Keimhäufchen ebenfalls oft kürzer als die übrigen ist, so z. B. bei Phlebothamnion corymbosum. Die Hüll- strahlen, in den wesentlichen Punkten von gewöhnlichen Thallomaxen nicht ver- schieden, gehen ebenfalls aus primären Rindenzellen hervor, treten aber nicht gleich Adventivästen zwischen den secundären Rindenzellen jener, sondern wie ich mich oft überzeugen konnte, oberhalb des obern Paares der secundären Rindenzellen heraus. Die primäre Rindenzelle, welche den Hüllstrahl trägt, zugleich dessen Basi- larglied darstellend, ist später länger als astlose primäre Rindenzellen letzten Grades selbst tieferer Glieder und trägt nach obigem die 4 secundären Rindenzellen nicht auf ihrer Peripherie, sondern auf der Aussenfläche (Fig. 3D, 4,5 Taf. XII) *). Daher kömmt es, dass die Hüllstrahlen der Keimhäufchen der Geramieen am obern Rand des Berindungskranzes derjenigen Glieder, welchen sie den Ursprung verdanken, gleichsam wie abgeschnitten zu sein scheinen (Fig. 2, 3 Taf. XII. Vergleiche noch, meine frühere Arbeit über die Ceramieen Taf. XLIX Fig. 2 und 4. Die letztere Figur ist in sofern fehlerhaft, als die Basis des Hüllstrahles e zwischen die secundären Rindenzellen hineinzutreten scheint, statt hinter denselben zu verschwinden.) Die Keimhäufchen von Herpoceras australe können an den gliederreichern Thallomenden stehen, dann lässt sich das Glied, welches dieselben trägt, nicht näher bestimmen, häufig aber befinden sie sich zwischen zwei Knoten. In diesem Falle trägt das obere internodiale Glied das Keimhäufchen, das untere die Hüllstrahlen. Erzeugen mehrere successive Internodien Keimhäufchen, so alterniren letztere unter einander (Fig. 3 *) In Fig. 4 sind erst zwei, in Fig. 5 erst dreı, in Fig. 3 D dagegen 4 secundäre Rindenzellen sichtbar. Be Taf. XIN). Es ergibt sich dies mit Nothwendigkeit daraus, dass das Keimhäulchen aus der ersten primären Rindenzelle entsteht. mu Zur Lehre von der Verzweigung, insbesondere der Florideen. Die Verzweigung ist entweder ächt oder unächt. Das Wesen der ächten Ver- zweigung besteht darin, dass ein gegebenes Organ ein neues gleichartiges nur anders gerichtetes erzeugt, und zwar durch einen bloss vegetativen Process. Ein ächter Zweig ist somit streng genommen nichts anderes als die blosse auf vegetativem Wege bewerkstelligte Wiederholung eines gleichartigen Mutterorganes. Wo auch nur ein einziges der angegebenen Merkmale der ächten Verzweigung fehlt, haben wir es mit unächter Verzweigung zu thun. Unächte Verzweigung besitzen die Scey- tonemeen, Rivularieen,, die Gomphonemen und andere Diatomaceen, Valonia, Scia- dium ete. Die Soredialäste der Flechten *) rechne ich ebenfalls zu den unächten Zweigen. Die ächten Zweige sind selbst wieder zwiefacher Art, entweder normal oder abnormal. Die normalen Aeste entstehen ohne Ausnahme am fortwachsenden Ende des sich verzweigendes Organes, die abnormalen oder Advenlivzweige an ältern ein- bis mehrjährigen Partieen. Jene zeigen im Allgemeinen regelmässige, diese, wenigstens bei höhern Pflanzen, meist unregelmässige Stellungsverhältnisse. Die normalen Zweige sind stets die Wiederholung eines gleichartigen Mutterorganes; was man hingegen abnormale Zweige nennt, entspringt nicht selten auf heterogenen Mutterorganen **). Die Normaläste entstehen im Besonderen: I. aus dem eigentlichen Scheitel des sich verzweigenden Organes, bei der ächten Dichotomie und vermuthlich auch Triehotomie und zwar: *) Siehe die schönen Untersuchungen über den Flechtenthallus von Dr. S. Schwendener. 1. Thl. **) Es steht dies im Zusammenhang damit, dass man nicht selten den Ausdruck Zweig in einem weiteren Sinne: gleichbedeutend mit Trieb, Spross oder Strahl braucht. Dem entsprechend be- zeichnet man dann auch z. B. wurzelbürtige Adventivstengel, deren Bildung eigentlich gar keine Verzweigungserscheinung ist, so wenig als die Erzeugung eines Blattes seitlich an einem Stengel, als Adventivzweige. en 1. aus einer einzigen Zelle: der Scheitelzelle, bei Dietyota dichotoma Lamour. nach Nägelis Untersuchungen *), die ich bestätigen kann; dann auch bei Diet. Fasciola Lam. und nach Hofmeisters Angaben bei Selaginella. 2. aus dem vielzelligen parenchymatischen Scheitel, bei Lycopodium Selago **) und nach Schachts Angaben beim Rhizom einiger Orchideen, bei der Erlen- wurzel, den Luftwurzeln von Laurus Canariensis und vieler Cycadeen,. sowie der getheilten Knolle einiger Orchideen. 3. aus dem vielzelligen aus den Enden zahlreicher Zellfäden gebildeten Scheitel, bei Flechten ***). Il. ganz wenig unterhalb des Scheitels des sich verzweigenden Organes, viel häu- figer und zwar: 1. durch Bildung eines Zellastes, bei Thallomen und Triehomen,, welche blosse Zellen darstellen, z. B. Bryopsis, Caulerpa, Vaucheria ete. 2. durch Bildung einer Astzelle, bei Thallomen und Triehomen, welche sich durch Scheitelwachsthum einer Zelle und Quertheilung derselben oder auch durch Bildung alternirend schiefer Wände verlängern. a. durch seitliches Auswachsen der Scheitelzelle und Abgrenzung des Vorsprunges mittelst einer Scheidewand. Sehr selten. Nach meinen von meinem Schüler Herm. Uhl von New-York bestätigten Beobachtungen bei Stypocaulon scoparium Kg., paniculatum Kg., Halopteris filieina Kg.., ferner bei der Verzweigung der wirtelständigen Kurztriebe von Clado- stephus Myriophyllum Ag. +) b. durch seitliches Auswachsen einer primären (d. h. ungetheilten) Glie- derzelle und Abgrenzung des Vorsprunges mittelst einer Scheidewand. Sehr häufig. @. bei Organen, welche zeitlebens Zellreihen, nackte oder berindete, darstellen. z. B. Trichome (Wurzelhaare) und Thallome der Calli- *) Die neuern Algensysteme pag. 185. **) Pflanzenphysiologische Untersuchungen von C. Nägeli und €. Cramer. Heft 3 v. C. Cramer. ***) Untersuchungen über den Flechtenthallus von Dr. S. Schwendener. 1. Theil. +) Nach Nägeli (Zeitschrift für wissenschaftliche Botanik Heft 1) sollen die Astzellen bei Spha- celaria scoparia Ag. eigentlich die Scheitelzellen der Hauptaxen sein und in Folge Auswachsens des obersten Gliedes auf die Seite rücken. Wenn dies richtig wäre, müsste man Stadien sehen, auf welchen die linsenförmige Astanlage noch am eigentlichen Scheitel liegt. Hunderte von Beob- achtungen zeigten mir nie einen solchen Fall, vielmehr sehe ich die Astanlage immer seitlich, schon zur Zeit, wo sie noch durch keine Wand abgegrenzt ist. Pas Tee: thamnieen, Thallome der Ceramieen, Ptiloteen, Bonnemaisonieen, Spyridieen etc. ß. beiOrganen, welche später Zellschichten (ohne? oder) mit mehrschichti- gen Nerven darstellen, z. B. Hypoglossum Leprieurii Kg. und alatum Kg. y. bei Organen, welche später Zellkörper darstellen, z. B. Polysiphonia, Bostrychia, Laurencia etc. ec. durch seitliches Auswachsen einer secundären Gliederzelle, bei den Characeen. Die den Astwirtel liefernden secundären Glieder oder Knoten der Langtriebe theilen sich bekanntlich zuerst noch miltelst einer durch den Mittelpunkt der Zelle gehende Längswand in 2 Gliederhälften, an dieselbe legen sich dann rechts und links je eine radiale Längswand an, an diese je eine ähnliche und so fort, bis der Knoten besteht: aus 2 Centralzellen und einem Kranz von peripherischen Zellen, den Astan- lagen. Die Knoten der Kurztriebe hingegen theilen sich sogleich meist nach Art der internodialen Glieder der Ceramieen in eine einzige Cen- tralzelle und einen Kranz von peripherischen Zellen, den Astanlagen. Aehnlich verhalten sich die Knoten der Berindungszweige von Chara. d. durch seitliches Auswachsen einer Gewebezelle. e. bei Organen, welche später einen Zellkörper darstellen, z. B. bei Cladostephus Myriophyllum Ag. Die Langtriebe dieser Pflanze wach- sen nach meinen Untersuchungen durch Scheitelwachsthum einer einzigen Zelle und von unten nach oben fortschreitende Querwand- bildung in die Länge. Jedes Glied theilt sich nochmals durch eine Querwand. In den secundären Gliedern treten Längswände abwech- selnd mit Querwänden auf. Erst wenn dieselben vielzellig geworden, wachsen einzelne peripherische Zellen je der obern secundären Glieder in Astzellen aus. So entstehen mindestens die wirtelstän- digen Kurztriebe, ob auch die secundären Langtriebe, kann ich zur Zeit nicht sicher behaupten. — Auf eben diese Weise, nämlich durch Auswachsen einer peripherischen Gewebezelle wenig unterhalb des Scheitels, entstehen vermuthlich auch die Normaläste mancher Moose. 3. durch gleichzeiliges Auswachsen mehrerer peripherischer Gewebezellen wenig unterhalb des Scheitels und Bildung eines parenchymatischen Zellhügels, bei den Gefässpflanzen. Die Astanlage steht hier meist in der Axel eines Blattes. 2 ge In allen den Fällen, wo der Normalast seitlich an der Hauptaxe befestigt ist, kann sich die Verzweigung an der nämlichen Axe wiederholen. Gewöhnlich schreitet in diesem Falle die Verzweigung continuirlich von unten nach oben fort, der unterste Ast ist der älteste, der oberste der jüngste. Eine merkwürdige Ausnahme hievon bildet die Mehrzahl der oben beschriebenen Pflanzen, sofern bei den Langtrieben der Gattungen: Euptilota, Ptilota, Pterota, Bonnemaisonia, Euetenodus und Chondrodon, wenn sie kräftigen Pffanzen angehören und nicht der Reproduction dienen, von einem gewissen Zeitpunkt an zwischen den neuen Aesten etwas später andere einge- schaltet werden. Ich habe mich deshalb veranlasst gefunden, „continuirlich von unten nach oben fortschreitende“ und „interponirende Astbildung*, ferner „Priman*- und „Secundanäste* zu unterscheiden. Bei all’ diesen Pflanzen steht der erste Pri- manast eines Langtriebes constant aussen und ist das erste Internodium aus einer grössern Anzahl von Gliedern zusammengesetzt als die nachfolgenden. Es war: das 2te bis nte Internodium und das Basilarinternodium £ 1 D) 3 4 5 6eliedg. Summe der bei 9° Beobachtg. Bonnemais. asparag. 55 — — — — -Ma 515 3—-ögliedrig. Euctenodus Lab. tes — — — — —,„ dutzend 2—4 „ Chondrodon Suhrii B _— —-—- — —, 5 mehr über über Euptilota Harv. 50 2 us a 3 4-2, 9 -21gliedrig, ja sicher bis u 2Sgliedrig, daeinmalselbst Ptilota plumosa 41 194 719 61 10 2, 2737 auf dem 28. Gliede noch keine interp. Verzweigung sichtbar war. Pterota plumosa FR ERNESTONDIZTE RE EEE 398 8—15, ja selbst 20— 30]. Are , bis Szliedrig. Basilarint. ” densa sch Bee 93 der Adventiväste kürzer. 24 14 h par. = EreDE a bis 10gliedrig. An Adven- „ asplenioid. meist an se 122 tivästen 3 _Agliedrig. Adventivästen „ Californica 2 3 51 21, 55° 6— Sgliedrig. Bei all’ diesen Pflanzen sind weiterhin die Primanäste alternirend zweizeilig und werden continuirlich von unten nach oben fortschreitend angelegt. Die Anlage der Secundanäste eines Internodiums beginnt an dessen Contraprimanseite, wenn dieselbe (wie bei Bonnemaisonia, Euctenodus, Chondrodon und fast constant auch 55 bei Euptilota) eingliedrig ist, dagegen ausnahmslos an der Primanseite bei mehrglie- drigen Internodien, an Basilarinternodien also an der äussern Seite. Sie befolgt im Uebrigen bei mehrgliedrigen Internodien verschiedene Regeln, beginnt an Basilarin- ternodien auf der Priman- oder äussern Seite. dann auf der Contrapriman- oder innern Seite am untern Ende (am untersten Glied oder einem der untersten Glieder) und schreitet von da beiderseils continuirlich nach oben, respective auch nach unten fort; sie beginnt dagegen an höhern mehrgliedrigen Internodien meist am obern Ende der Primanseite, schreitet daselbst abwärts fort, springt dann auf die Contra- primanseite über, um hier in umgekehrter Richtung fortzuschreiten. Stels werden die Primanäste vor den Secundanästen angelegt, nur bei Ptilota plumosa kommen Ausnahmen vor. (Siehe oben.) Stets bilden sich auch in der Folge die Primanäste rascher aus. selbst bei Ptilota plumosa constant. Suchen wir nach Analogieen für diese Erscheinungen, so wird unser Blick zuerst auf den beblälterten Zweig höherer Pflanzen fallen. Wie bei obigen Florideen, so finden sich an jedem Laubzweig zweierlei seitliche Organe, von denen die einen constant vor den andern angelegt und weiter ausgebildet werden: Blätter und Axel- knospen. Wie die Blätter begrenzt, die Axelknospen oft relativ unbegrenzt in die Länge wachsen, so thun es häufig auch die Priman- und Secundanäste dieser Flor- ideen. Die Primanäste aller Pteroten. sowie von Bonnemaisonia und Euctenodus haben begrenzte, die Secundanäste in potentia unbegrenzte Entwickelung. Man wird daher fragen: sind die Primanäste dieser Florideen nicht Blätter, die Secundanäste Stengelorgane? Die genauere Erwägung des Thatbestandes scheint mir dieser Ver- muthung nieht günslig zu sein. Abgesehen davon, dass die knotenständigen Secun- danäste immer einem Primanast gegenüber stehen und auch die internodialen nicht in der Axel der Primanäste entspringen, abgesehen davon, dass sich alle Axen, Priman- und Secundanäste, in ein und derselben verticalen Ebene verzweigen, zeigen ja oft auch Primanäste unbegrenzte, Secundanäste begrenzte Entwickelung. Bei Ptilota plumosa werden alle Primanäste normal zu unbegrenzten Axen, die Se- eundanäste zu begrenzten, und bei Euptilota, sowie bei Chondrodon verlängern sich einzelne Primanäste unbegrenzt, andere begrenzt, Bei Euptilota wachsen ungefähr 200/ Primanäste mehr oder weniger unbegrenzt in die Länge, die übrigen, sowie sämmtliche Secundanäste werden zu begrenzten Axen. Bei Chondrodon besitzen eirca 15%, Primanäste (je der 3. bis 10., meist 5.) unbegrenzte, die übrigen begrenzle Entwickelung; die Secundanäste verlängern sich hier gar nicht, ausser wenn sie 89 reproductiv werden. Ja selbst bei Pteroten, wenigstens bei Pterota plumosa, nehmen hie und da einzelne Primanäste unbegrenzte Entwickelung an, meist in Folge Aborts der unbegrenzten Hauptaxe, doch auch ohne diese Veranlassung. Aus alle dem scheint mir hervorzugeben, dass die Primanäste nicht als Blätter, die Secundanäste nicht als Stengelorgane betrachtet werden können. — Wäre es nun aber nicht vielleicht zu- lässig, die begrenzten Axen der Algen „Blätter“, die unbegrenzten „Stengelorgane* zu nennen? Ich kann mich auch dieser Ansicht nicht anschliessen. Man müsste dann auf die verticale Lage der Verzweigungsebene auch der beerenzten Axen obiger Pflan- zen gar keinen Werth legen, von dem Umstand absehen, dass die begrenzten Axen nicht immer vor, sondern oft auch nach den unbegrenzten angelegt werden (beson- ders bei Ptilota), beide Arten von Axen der Zeit der Anlage und der Stellung nach bisweilen gleich sind (besonders bei Euptilota und Chondrodon), zudem oft in ein- ander übergehen. Man müsste endlich ausser Acht lassen, dass es Algen gibt, welche bloss begrenzte, den Kurztrieben der Pteroten, Pterothamnien etc. völlig analoge Axen besitzen, wie z. B. Dasythamnion tetragonum (With.) Näg. — Dass ich die Ausdrücke Lang- und Kurztriebe den Bezeichnungen „unbegrenzte“ und „begrenzte Axen“ vorgezogen habe, bedarf nach der detaillirten Beschreibung obiger Florideen kaum einer weitern Vertheidigung, musste doch Jedermann klar werden, dass gar nicht selten sowohl an sich begrenzte Thallome zu unbegrenzten, als auch umgekehrt an sich unbegrenzte zu begrenzten werden, dass die Dauer des Längen- wachsthums bei Weitem nicht immer constanten Regeln unterworfen ist, überhaupt verhältnissmässig viel geringern Werth hat, als eine Reihe anderer oft gleichzeitig auftretender Unterscheidungsmerkmale, beruhend auf der Art des Längenwachsthums (ob die Theilung durch Querwände oder alternirend schiefe Wände geschehe), auf der Verzweigung (ob einerlei oder zweierlei Aeste entstehen, ob die Verzweigung continuirlich oder interponirend fortschreite), auf dem Ausbau (ob eine Axe berindet sei oder nicht, wie die Rinde entstehe u. s. w.). auf der Funktion (ob eine Axe der Reproduction diene oder nicht) u. s. f. — Nägeli nennt in neuerer Zeit *) die relativ unbegrenzten Axen der Algen „Stämmchen und Aeste“, die begrenzten „Zweige“ *). Ich glaube nicht dass es zweckmässig ist, mit diesen Ausdrücken, welchen der botanische Sprachgebrauch bereits einen ganz bestimmten Sinn beigelegt, einen solchen Nebenbegriff zu verbinden. — Kehren wir hienach zurück zu der alten *) Beiträge zur Morphologie und Systematik der Ceramiaceen. München. *) Agardh nennt jene »rami«, diese »ramuli «. 12 = Me Frage: gibt es der interponirenden Astbildung obiger Florideen analoge Erscheinun- gen! Ich habe bereits mehrmalen erwähnt, dass bei Lang- und Kurztrieben obiger Pflanzen nicht selten die Verzweigung auf einem der untersten Glieder beginnt, und von da an auf- und abwärts fortschreitet. Es werden also hier auf den ersten Glie- dern Normaläste eingeschaltet. Diese Analogie hat indessen geringe Bedeutung. Die grösste Aehnlichkeit mit der interponirenden Verzweigung der Ptiloten etc. zeigen die Pterothamnien. Da ich aber auf diese Pflanzen nächstens in einer besondern Schrift zu sprechen komme, halte ich mich hier nicht mehr länger auf und verweise vorläufig auf Heft 1 der pflanzenphys. Untersuchg. von ©. Nägeli und C. Cramer. - Eine weitere Analogie zeigen Organe mit successiven Astwirteln, bei der Anlage der einzelnen Wirtel. Es geschieht nämlich hier ohne Zweifel oft, dass nicht bloss die Glieder desselben Wirtels ungleichzeitig entstehen. sondern die Bildung höherer Wirtel beginnt, bevor diejenige tieferer vollendet ist. So habe ich bei Crouania altenuata J. Ag., mit viergliedrigen Wirteln auf jedem Langtriebglied, ferner bei Wrangelia multifida J. Ag. (Sphondyvlothamnion multifidum Näg.) und Wr. penicillata Ag.. mit bis fünfgliedrigen Wirteln auf jedem Langtriebglied, an Langtriebspitzen wiederholt ganze Reihen von Gliedern gesehen, deren oberste noch keinen, die folgenden erst 1, dann 2, 3 ete. Aeste trugen. Auch auf diese Pflanzen gedenke ich ein andermal einlässlich zurückzukommen. — Eine letzte Analogie scheinen endlich manche Laubhölzer zu zeigen. Hier sitzen bekanntlich in den Blattaxeln hie und da verlicale Reihen von 2 bis 3 und mehr Knospen, von denen eine, bald die oberste, bald die unterste, bald eine mittlere (die Hauptknospe) grösser ist als die übrigen (die Beiknospen). Hier dürften denn auch die Beiknospen eines Internodiums später als die Hauptknospe des oder der nächst obern Internodien angelegt werden, mithin in- terponirende Astbildung vorkommen, was aber noch zu untersuchen ist. Die abnormalen oder Adventiväste und zwar: A. die Adventiväste, welche die blosse Wiederholung des Mutterorganes, also ächte Aeste sind, entstehen: Il. durch Auswachsen einer Gliederzelle und Abgrenzung des Auswuchses mittelst einer Scheidewand. a. durch Auswachsen etc. der äussern Seite der ersten Glieder der ein bis vier untersten (äussern und innern) Normaläste letzter (zweit- oder drittletzter) Generation, bei Ballia Hombroniana Mont. und B. Callitricha Mont. (Manuseript). An. BE b. durch Auswachsen etc. von, in Folge Abbrechens der Kurztriebspitze, frei gewordenen Kurztriebglieder, bei Spyridia filamentosa ( Adventiv- kurztriebe s. 0.). Il. durch Auswachsen von Gewebezellen. 1. durch Auswachsen unächter Gewebezellen. a. durch Auswachsen und Abgrenzung einer einzigen unächten Gewebe- zelle: einer unächten Rindenzelle, bei Florideen *) und zwar: «. einer mehr oder weniger bestimmten Rindenzelle erster Generation. 1. durch Auswachsen irgend einer primären Rindenzelle letzten Grades an beliebigen Gliedern, bei Ceramium rubrum, spini- ferum, ordinatum. Hormoceras diaphanum. Gongroceras Des- Mr * longschampii. Echinoceras Hystrix **). Herpoceras australe. 2. durch Auswachsen primärer Rindenzellen letzten Grades, meist jedoch solcher, die senkrecht über oder unter der Insertion des Normalastes des nächst untern oder nächst obern Gliedes stehen, an Langtrieben von Spyridia filamentosa und aculeata. 3. durch Auswachsen je der ersten primären Rindenzelle letzten Grades an internodialen, und der ersten und zweiten primären Rindenzelle letzten Grades an Knotengliedern, bei Centroceras leptacanthum **). 4. durch Auswachsen je der letzten primären Rindenzelle letzten Grades der internodialen Glieder, bei Echinoceras armatum ***). ß. einer mehr oder weniger bestimmten oder ganz unbestimmten Rin- denzelle letzter Generation; l. durch Auswachsen beliebiger Rindenzellen letzter Generation, so die begrenzten haarartigen Adventivzweige an den Lang- trieben von Ptilota plumosa-), sowie den Fruchtästen der Pteroten +), ferner die unbegrenzten berindeten Adventiväste von Lemanea (Prolificationen des Merenchymes. Wartmann) +F). 2. durch Auswachsen von Rindenzellen einer spätern Generation an der Contraprimanseite der Internodien von Pterota densa *) Warum ich diese Adventiväste nicht unter B stelle, kann erst später klar gemacht werden. **) Siehe meine Schrift über die Ceramieen. 7) Ich halte diese Adventiväste für Thallome. Siehe unten. rr) Beiträge zur Anatomie und Entwickelungsgesch. der Algengattg. Lemanea v. Dr. B.Wartmann. 92 und asplenioides, der Contraprimanseite und Primanseite von Pterota Californica *). b. durch Auswachsen mehrerer unächter Gewebezellen. sogenannter Rindenzellen, bei Flechten **). 2. durch Auswachsen ächter Gewebezellen. a. Dieselben sind zur Zeit der Entstehung des Adventivastes frei, «. und gehören einer frühern Generation an. 1. die Axenzellen eines einschichtigen, später von mehr- schichtigen Nerven durchzogenen Thallomes bringen ein oder mehrere Adventiväste hervor, bei Hypoglossum Wood- wardi Kg. Einzelne Axenzellen erzeugen hier seitlich und vor Eintritt des Dickenwachsthums 1, 2 oder 3. wahrschein- lich bis 4 Adventiväste, je L— 2 auf der obern oder untern oder beiden Seiten. Die Adventiväste eines Sprosses bilden daher 4 Zellen, 2 auf der obern, 2 auf der untern Fläche ***). ß. die Gewebezellen gehören einer spätern Generation an. 1. die Adventiväste entstehen aus ächten peripherischen Rin- denzellen des Mittelnerven eines sonst einschichtigen Thal- lomes, bei Delesseria sanguinea (Manusecript). 2. die Adventiväste entstehen aus Randzellen eines einschichti- gen, mit mehrschichtigen Nerven versehenen Thallomes, bei Hypogloss. Woodw.; ferner bei Deless. sinuosa, wo die Zelle, welche den Adventivast erzeugt, bisweilen am Rande eines in Folge äussererVerletzung entstandenen Loches liegt (Mnser.). b. Die Zellen, welche dem Adventivast den Ursprung geben, liegen zur Zeit von dessen Entstehung im Innern des Gewebes, «. und sind Cambiumzellen. 1. stengelbürtige Adventivstengel; bei Equisetum ohne Zwei- fel aus einer einzigen Cambiumzelle entstehend, weil das Längenwachsthum der Stengelorgane dieser Pflanzen durch eine einzige Scheitelzelle vermittelt wird. 2 2. wurzelbürtige Adventivwurzeln (Mehrzahl der Wurzeläste). *) In Betreff der unächten Adventiväste der Pieroten bitte ich bei den einzelnen Arten nachzusehen. **) Untersuchungen über den Flechtenthallus von Dr. S. Schwendener. 1. Theil. ***, Vielleicht wird dieser Fall richtiger als Normalasıbildung aufgefasst und Il. 2. d.(s. pag. 86) sub- sumirt, um so mehr als Hypogloss. Woodw. noch unleugbare Adventiväste ausRandzellen hervorbringt. 93 B. Abnormale oder Adventiväste, welche heterogenen Mutterorganen enlt- springen, deren Bildung also eigentlich keine Verzweigungserscheinung ist, entstehen: *) I. durch Auswachsen einer Gliederzelle ohne (?) oder mit Abgrenzung des Vorsprunges mittelst einer Scheidewand. a. einer primären Gliederzelle. l. thallombürtige Adventivtrichome:: Wurzelhaare, die einzeln oder zu mehreren, neben oder über einander an der Basis von Thallomästen entspringen, z. B. bei den Callithamnieen, bei Euptilota, Batrachospermum ete. 2. trichombürtige Adventivthallome: Adventivzweige der Haupt- axen von Callithamnieen, insbesondere von Callithamnion tetricum Dillw..Gaudichaudii Ag. Sp., Montagnei Hook. ete.., der Pflanze später ein haariges bis zottiges Aussehen ver- leihend. b. einer secundären Gliederzelle oder eigentlich ihrer Abkömmlinge. 1. thallombürtige Trichome: Wurzelhaare der Characeen. (Der Knoten, eine secundäre Gliederzelle, erzeugt Wur- zelhaare, zwar erst nachdem er noch mehrere Theilungen erfahren hat. — Die Characeen werden besser als geglie- derte Zellreihen, denn als Gewebepflanzen betrachtet. obwohl die Knoten allerdings Gewebe bilden.) Il. durch Auswachsen von Gewebezellen. 1. durch Auswachsen unächter Gewebezellen. a. einzelne unächte Gewebezellen wachsen in isolirte Trichome aus. e. nach aussen: 1. bloss primäre Rindenzellen letzten Grades: Wurzelhaar- bildung bei manchen Ceramieen **). 2. primäre, secundäre und tertiäre Rindenzellen wachsen in Wurzelhaare aus: Echinoceras armatum **). *) Ich stelle hier die mir bis jetzt bekannten Erscheinungen der Entstehung aller Adventiv- bildungen, die an heterogenen Mutterorganen entspringen, verdienen sie den Namen Ast oder nicht, zusammen. *%) Sjehe meine Schrift über die Ceramieen. 34 3. tertiäre etc. Rindenzellen wachsen in Haare oder Stacheln aus. Öeramieen *). ß. nach innen. 1. Wurzelfäden im Innern der Langtriebe von Euctenodus. Siehe oben und bei Lemanea **). b. mehrere unächte Rindenzellen wachsen gleichzeitig in verbunden bleibende Trichome aus. «. nach aussen. 1. Bildung der Haftorgane von Herpoceras australe. 2. durch Auswachsen ächter Gewebezellen. a. dieselben sind frei. «. eine einzelne Gewebezelle wächst aus. 1. Haare (zum Theil Wurzelhaare) von Thallomen. die Zell- schiehten oder Zellkörper sind: Wurzelhaare von Sphace- laria, von blattartigen Vorkeimen, von Zellen- und Ge- fässcaulomen, des Rhizomes und der Phyllome ***). 2. blattbürtige Moosstengelchen. z. B. Echinomitrium +). ß. mehrere Zellen wachsen aus. 1. Bildung von Trichomen, die unächte Zellkörper sind, z. B. der Haftorgane von Hypoglossum Leprieurii 7). vieler Haare +4) und (7?) Stacheln. b. die Zellen sind in's Gewebe eingeschlossen. «. eine einzelne Zelle wächst aus. 1. Bildung der Wurzelhaare im Innern von Hypoglossum Leprieurii, von Laurencia ete. 2. Bildung von Haaren im Innern der Organe höherer Was- serpllanzen; besonders an der Grenze von Lufthöhlen. Bildung der Thyllen. *) Siehe meine Schrift über die Ceramieen. **) Anatomie etc. von Lemanea von Dr. B. Wartmann. ***) Viele dieser Haare sind eigentlich keine Adventivbildungen im obigen Sinne, sofern sie nicht an alten, sondern an jungen Theilen des Mutterorganes entsiehen; +) Nägeli, Zeitschrift für wissenschaftliche Botanik. ++) Pflanzenphys. Untersuchungen von C. Nägeli und C. Cramer. Heft 1. +r+) Auch derartige Haare entstehen im Jugendalter des Mutterorganes. 5 — ß. mehrere (?) Cambiumzellen erzeugen die Neubildung. 1. wurzel- und blattbürtige Adventivstengel. 2. stengelbürtige Adventivwurzeln. Die unächte Rinde bei Florideen. Ist die interponirende Verzweigung nur einzelnen der oben beschriebenen Pflan- zen eigen, so kommen dagegen alle darin mit einander überein, dass sie mit einer unächten Rinde versehene Zellreihen darstellen. Ihre Rinde, auf ein blosses Astwerk zurückführbar und desshalb unächt, ist bald auf die Langtriebe beschränkt (bei Euptilota und Herpoceras, überhaupt den Ceramieen, welche eben bloss Langtriebe besitzen), bald bekleidet sie Kurz- und Langtriebe, so bei den übrigen Gattungen. Sie ist bald zusammenhängend (Euptilota, Ptilota, Pterota, Bonnemaisonia, Eucteno- dus, Chondrodon, Spyridia | Langtriebe |, manche Ceramieen), bald später unter- brochen (Spyridia [Kurztriebe |, Herpoceras und manche andere Ceramieen). Sie ist ferner bald ausschliesslich stammbürtig (Herpoceras und alle übrigen Ceramieen, Spyridia | Lang- und Kurztriebe]), bald nur astbürtig (Euptilota, Pterota, Bonne- maisonia [Langtriebe ], Callithamnien) *), bald endlich theils stamm-. theils astbürtig (Ptilota, Bonnemaisonia | Kurztriebe]. Chondrodon |Lang- und Kurztriebe, bei dieser Pflanze jedoch vorherrschend astbürtig]). Es frägt sich nun: wie ist diese Rinde morphologisch zu deuten, ist sie ein besonderes Organ, oder lässt sie sich auf irgend ein bekanntes zurückführen? Die mitgetheilten Thatsachen befähigen uns, wie ich glaube, endgültig zu entscheiden. Bei Erörterung dieser Frage muss vor Allem auf einen wichtigen Unterschied aufmerksam gemacht werden, der sich offenbart bei der Entstehung der Rinde oben genannter Pflanzen. Die Rinde der Langtriebe von Euptilota entspringt am untern Ende der Basi- larglieder der Aeste, ebenso die äussere Hälfte der astbürtigen Rinde von Ptilota, also ganz wie die aus Wurzelfäden gebildete Rinde vieler Callithamnien. Wir werden daher die Rinde von Euptilota und die äussere Hälfte der astbürtigen Rinde von Ptilota der Rinde der Callithamnien vergleichen und, da die Wurzelfäden Trichome sind, diese Rinde trichomatisch nennen dürfen. *) Ebenso bei Batrachospermum, bei Chara etc. u Ganz anders verhält sich die Rinde von Herpoceras und der übrigen Ceramieen. die Rinde der Lang- und Kurztriebe von Spyridia, die Rinde von Bonnemaisonia. die stammbürtige Rinde von Ptilota plumosa, sehr wahrscheinlich auch die innere Hälfte der astbürtigen Rinde dieser Pflanze, sowie die Rinde der Pteroten und von Chondrodon und Euctenodus. Sie sitzt am obern Ende der jeweiligen. rindetra- genden Axenzelle, verhält sich also hinsichtlich ihres Ursprunges wie Thallomzweige *). Ist sie thallomatisch? Ich glaube ja. und will es schrittweise darzuthun suchen. Es ist oben unwiderleglich gezeigt worden. dass die Kurztriebe von Bonnemai- sonia einseitig verzweigt sind, dass die obern Glieder derselben rudimentäre secun- däre Kurztriebe auf der äussern Seile tragen. ferner dass die äussere Berindungshälfte der untern Glieder von Kurz- und Langtrieben hervorgeht aus Zellen, welche den einzelligen Anlagen für secundäre Kurztriebe völlig entsprechen, eigentlich selber Kurztriebanlagen sind. Daraus folgt aber, dass die äussern primären Rindenzellen letzten Grades an den untern Kurz- und Langtriebgliedern von Bonnemaisonia thal- lomatisch sind. Da nun das Verhalten der äussern oder ersten primären Rindenzellen der Basilarglieder von Pterota vollkommen mit demjenigen der Kurztriebanlagen des untern Endes der Aeste von Bonnemaisonia übereinstimmt, so ist natürlich auch die äussere oder erste primäre Rindenzelle letzten Grades an den Basilargliedern von Pterota thallomatisch. Von diesen einander analogen Zellen unterscheiden sich die primären stammbürtigen Rindenzellen von Ptilota plumosa durch nichts als dadurch, dass sie im Zusammenhang mit der opponirt zweizeiligen Aststellung in einer Ebene liegen. welche die Verzweigungsebene unter rechtem Winkel schneidet und zu zweien einander gegenüber stehen. Wie jene thallomatischen Rindenzellen bei Bon- nemaisonia und Pterola plumosa, und auf analoge Weise, erzeugen auch die primären stammbürtigen Rindenzellen von Ptilota plumosa 4 secundäre: zuerst zwei unten, dann zwei oben. zuletzt meist noch eine fünfte zwischen den beiden obern, welche bei Bonnemaisonia und Pterota fehlt. Ich glaube daher auch die primären stammbür- tigen Rindenzellen von Ptilota, von denen schon Nägeli vermuthete, dass es „be- grenzte. einzellige Laubaxen* **) seien, thallomatisch nennen zu dürfen. Dass diese primären stammbürtigen Rindenzellen von Ptilota plumosa den primären Rindenzellen der Ceramieen entsprechen, liegt auf der Hand. Schon Nägeli hat denn auch erstere mit den „Gürtelzellen“ von Ceramium verglichen. Bei den Ceramieen entsteht ein *) In Betreff Bonnemaisonia siehe Fig. 11 Taf. VIN. *"") Die neuern Algensysteme. Wirtel primärer Rindenzellen und zwar an internodialen Gliedern ein Wirtel von 4 — 14, an Knotengliedern ein Wirtel von einer in jedem einzelnen Falle noch etwas grössern Anzahl primärer Rindenzellen. An internodialen Gliedern liegt die erste primäre Rindenzelle constant am höhern Seitenrand und verhält sich in der Folge meist anders als die nachfolgenden; an Knotengliedern bilden sich zuerst auf der zu- und abgekehrlen Seite je eine primäre Rindenzelle, die ich seinerzeit als erste und zweite primäre Rindenzelle bezeichnet habe. Sie entstehen auf die gleiche Weise, verhalten sich rücksichtlich ihrer Theilung stets anders als die spätern, aber unter sich immer gleich. Diesen beiden primären Rindenzellen der Knoten der Cera- mieen insbesondere entsprechen die beiden primären stammbürtigen Rindenzellen von Ptilota plumosa, obgleich die nachfolgenden Theilungsvorgänge der letztern andere sind als bei jenen Zellen der Ceramieen. Die primären Rindenzellen der Ceramieen insgesammt sind endlich denjenigen der Spyridien analog. Auch die Spyridien erzeugen einen vielgliedrigen Wirtel primärer Rindenzellen. Während die successiven ersten primären Rindenzellen der internodialen Glieder von Ceramieen am äussern Rand des Internodiums senkrecht über einander stehen, bilden sie bei den Spyridien im Zusammenhang mit der spiraligen Verzweigung eine Spirale. Auch die primären Rindenzellen der Öeramieen und Spyridien sind nach alle dem thallomatischer Natur *). Nachdem ich gezeigt, dass die äussern primären Rindenzellen der Basilarglieder von Pterota plumosa, gleich den ihnen analogen Zellen bei Bonnemaisonia, ferner auch die primären stammbürtigen Rindenzellen von Ptilota und die primären Rinden- zellen der Ceramieen und Spyridien thallomatisch sind, habe ich zunächst die Be- deutung der innern primären Rindenzellen der Kurztriebe, sowie der Basis der Langtriebe von Bonnemaisonia, die der innern primären Rindenzellen an den Basilar- gliedern von Pterota und Ptilota zu beleuchten. Diese zu je zweien sich deckenden Zellen sind in manchen Fällen durch die Axenzelle des Gliedes,. welchem sie ange- hören, von der thallomatischen Rindenzelle am äussern Gliederrand vollständig ge- trennt; es kann aber auch geschehen, dass die Wände, wodurch sie gebildet werden, in der Mitte der zu- und abgekehrten Fläche des Gliedes an die thallomatische Rin- denzelle des Aussenrandes stossen. In diesem Falle, der bei Pterota plumosa bis- weilen, bei Bonnemaisonia asparagoides sehr oft eintritt (s. Fig-4—8 Taf. VIII u. vergl. die Erklärung dieser Fig., hinten), ist die Axenzelle nicht sichtbar. In diesem Falle hat aber *) Dies ist der Grund, warum die pag. 91 sub aa besprochenen Adventiväste unter A (pag. 90) und nicht unter B (pag. 93) gestellt wurden. Vergl. Anm. 1 pag. 91. 13 = ge die erste Entwickelungsgeschichte des Gliedes die grösste Aehnlichkeit mit der Bil- dung der primären Rindenzellen an internodialen Gliedern von Ceramieen. Wie an den internodialen Gliedern der Ceramieen zuerst am höhern äussern Rand eine Rindenzelle entsteht die erste primäre Rindenzelle), an diese dann auf der zu- und abgekehrten Seite sich eine neue anschliesst u. s. w., bis ein Kranz von primären Rindenzellen und eine Centralzelle gebildet ist. so entsteht auch an sämmtlichen Kurztriebgliedern und den untersten Langtriebgliedern von Bonnemaisonia, sowie an den Basilargliedern der Aeste von Pterota plumosa zuerst am äussern Rand eine Zelle (äussere oder erste primäre Rindenzelle, respective Astanlage); dann lehnen sich dieser Zelle nach einander zwei Längswände an, wodurch der Rest des Gliedes zerfällt: in eine Centralzelle und zwei Rindenzellen. die beiden innern primären Rindenzellen |vergl. Fig. 4 Taf. IV ). Mehr als drei Kranzzellen bilden sich hier nicht. Sehr ähnlich verhalten sich im Grunde auch die Basilarglieder der Aeste von Ptilota plumosa. Auch hier entstehen zuerst aussen eine, dann innen zwei Zellen. Jene ist eine Astanlage. diese sind Rindenzellen und berühren die Astanlage ebenfalls hie und da. ohne indessen die Axenzelle je ganz zu verhüllen (siehe Fig. 1 Taf. Il). Ein Unterschied existirt bloss darin. dass bei Ptilota plumosa der Ast am äussern Rand des Basilargliedes bisweilen als Ast weiter wächst, höchstens einen Wurzel- faden nach unten aussendet (vergl. pag.17 Zeile 21 v.ob.), und dass auch die Axenzelle des ursprünglichen Basilargliedes unterbalb ihres Astes am äussern Rand noch 1 bis 2 Wurzelfäden hervorbringt (s. pag. 16 Zeile 3 v. unt.). — Die Thatsache, dass die ersten primären Rindenzellen, respective Astanlagen an der äussern Seite der Kurztrieb- glieder und der untersten Langtriebglieder von Bonnemaisonia, sowie der Basilar- glieder von Pterota plumosa und Ptilota plumosa in der Folge ein anderes Verhalten zeigen als die Rindenzellen am innern Rand der betreffenden Glieder, spricht nur für die eben nachgewiesene Analogie dieser dreigliedrigen Zellwirtel mit den primären Rindenzellen internodialer Glieder von Ceramieen; denn bei den Ceramieen zeigt ja die erste primäre Rindenzelle am äussern Rand des Gliedes meistens auch ein ab- weichendes Verhalten. Wenn nun aber die bezeichneten dreigliedrigen Zellwirtel bei Bonnemaisonia, Pterota plumosa und Ptilota plumosa den Quirlen primärer Rinden- zellen an internodialen Gliedern von Ceramieen entsprechen, so sind auch die innern primären Rindenzellen an Kurztrieben und der Basis von Langtrieben bei Bonnemai- maisonia, sowie den Basilargliedern von Pterota und Ptilota den zugehörigen ersten primären Rindenzellen, respective Astanlagen am äussern Rand analog, d. h. eben- — falls thallomatisch *). Für diese Auffassung spricht endlich noch der Umstand, dass bei Bonnemaisonia asparagoides nachgewiesener Maassen die primären Rindenzellen letzten Grades am innern Rand des Basilargliedes über der Mitte der respectiven Axenzelle inserirt sind (siehe Fig. Il a Taf. VIII) **). Endlich bleibt noch die Frage zu beantworten übrig: sind wirklich auch alle Abkömmlinge der bis dahin als thallomatisch erkannten Rindenzellen thallomatisch zu nennen? Nägeli sagt an eitirtem Orte von Ptilota plumosa: „an jeder der zweiten Astzellen, welche die seceundären Laubaxen darstellen;* d. h. in meine Sprache übersetzt: an jeder der zwei primären stammbürtigen Rindenzellen „entstehen nach aussen 4 kleinere Astzellen, 2 unten, 2 oben ***) und wachsen in gegliederte und verzweigte Zellreihen (Wurzelfäden) aus.“ Nach ihm wären also nur die beiden primären stammbürtigen Rindenzellen von Ptilota plumosa thallomatisch, die Nach- kommen derselben trichomatisch. Diese Ansicht hat Einiges für sich, wenn man nur Ptilota plumosa in’s Auge fasst, führt aber auf Schwierigkeiten bei der Uebertragung auf andere Pflanzen. Ich wäre wenigstens nicht im Stande, bei den Ceramieen z. B. einen qualitativen Unterschied zwischen den primären Rindenzellen und ihren rinde- bildenden Nachkommen heraus zu finden. Nicht nur stehen oft die secundären und *) Dies der Grund warum die pag. 91 sub a 8 aufgeführten Adventiväste unter A (pag.90) und nicht unter B (pag. 93) gestellt wurden. Vergl. Anm. 1 pag. 91. **) Da nach alle dem nicht bloss die äussern primären Rindenzeilen am untern Ende von Kurz- und Langtrieben von Bonnemaisonia und der Busilarglieder von Pterota analog sind den Astanlagen am äussern Rand der obern Kurztriebglieder von Bonnemaisonia ; sondern auch die primären stamm- bürtigen Rindenzellen von Ptilota, die primären Rindenzellen der Geramien nnd Spyridıen, ja auch die innern primären Rindenzellen der Kurztriebe und der Basis der Langtriebe von Bonnemaisonia, endlich die innern primären Rindenzellen der Basilarglieder von Pterota und Ptilota, so ist klar: dass wir alle diese letztgenannten primären Rindenzellen ebenfalls als Astanlagen bezeichnen könnten. Ich habe diese Auflassungsweise meiner Darstellung nicht zu Grunde gelegt, weil die betreffenden Astanlagen ohne Ausnahme ganz in der Rindenbildung aufgehen (vergl. pag. 57), dann aber auch noch der Consequenzen wegen. Wir müssten dann Bonnemaisonia, Ptilota, Pterota, den Ceramien und Spyridien insgesammt bloss astbürtige Rinde zuschreiben und, um die hinsichtlich der Rin- denbildung bestehenden Unterschiede bei diesen Pflanzen bezeichnen zu können, verschiedenartige rindenliefernde Aeste (deutliche und rudimentäre, Aeste erster und zweiter Generation) unter- scheiden. Bei Ceramien und Spyridien z. B. würde die Rinde von rudimentären Aesten erster Generation herrühren, bei Ptilota aber theils von rudimentären Aesten erster Generation (stamm- bürtige Rinde), theils von rudimentären Aesten zweiter Generation (innere Hälfte der astbürligen Rinde), theils von deutlichen Aesten erster Generation (äussere aus Wurzelläden bestehende Hälfte der astbürtigen Rinde) Die Darstellung würde complieirt und sehr wenig anschaulich. Zudem würden wir hiemit einen Unterschied zwischen primären und spätern Rindenzellen begründen, der, wie alsbald gezeigt werden soll, in der Wirklichkeit nicht besteht. »**) Nach meinen Untersuchungen also später noch eine fünfte zwischen den beiden obern. — 10 — folgenden Generationen von Rindenzellen ganz wie die primären: wirtelig *), son- dern sie erneuern sich auch auf dieselbe Weise und zeigen auch sonst gleiche Eigen- schaften: primäre, secundäre und spätere Rindenzellen können in Stacheln oder Wurzelhaare (d. h. Trichome), tertiäre und spätere Rindenzellen in Haare (gleichfalls Trichome ) auswachsen. Nur die primären bringen Adventiväste hervor, alle Gene- rationen von Rindenzellen dagegen dienen der Reproduction, die primären liefern Keimhäufchen, primäre und secundäre: Sporenmutterzellen, und Rindenzellen der letzten Generationen: Samenzellchen. Aus diesen Gründen habe ich auch in meiner Schrift über die Ceramieen keinen Unterschied zwischen den successiven Generationen von Rindenzellen gemacht und pag. 7 Anm. von Ceramium rubrum gesagt: „Jede Centralzelle trägt einen 7 — Seliedrigen Wirtel unter sich selbstständiger Rinden- systeme, deren primäre Axen die primären Rindenzellen letzten Grades sind und am Scheitel (richtiger: um den Scheitel herum) 5 — 6 secundäre Axen tragen. Die secundären tragen einen Quirl von 4 tertiären, die terliären von 4 quartären u. Ss. w. Alle Axen sind eingliedrig und begrenzt. stummelförmig mit begrenzter Wiederholung. Das ganze Rindensystem ist in eine Ebene gedrückt.“ Da nun die primären Rinden- zellen thallomatisch sind. müssen es hienach auch die nachfolgenden sein. — Schon bei Ceramium rubrum bestehen die Wirtel späterer Generationen von Rindenzellen aus einer geringern Zahl von Elementen: bisweilen entstehen bloss 2 — 3 neue Zellen an quintären, selbst quarlären. während die tertiären und secundären stets 4 quartäre, respective tertiäre, und die primären 5 — 6 secundäre hervorbringen. Noch häufiger tritt dieser Fall bei andern Ceramieen ein, ja es kann geschehen, dass spätere Generationen nur 2 oder eine neue Rindenzellaxe erzeugen, diese statt einzellig zu bleiben, durch Scheitelwachsthum und Querwandbildung fadenartig weiter wachsen und da und dort ähnlich sich verhaltenden Zweigen die Entstehung geben, so besonders bei Centroceras leptacanthum, Ceramium ordinatum und decurrens. Dasselbe findet nun auch bei Ptilota plumosa statt: Die secundären stammbürtigen Rindenzellen erzeugen hier noch entschieden wie die primären einen Wirtel von bis 4 tertiären (Fig.5a Taf. 1), von welchen die der primären Rindenzelle abgekehrten zuerst entstehen und sich rasch fadenförmig verlängern, während die der primären Rindenzelle zugekehrten später angelegt werden und zunächst kurz bleiben. Wenn nun aber die secundären stammbürtigen Rindenzellen von Ptilota plumosa gleich sind »**, Die bis jetzt von mir beobachteten Anordnungsverhältnisse der secundären Rindenzellen ind | oben 1, 2; 2, 2, 2; 3, 3, 3 secundäre Rindenzellen, Kr ‚anlen 1,112, 3: 1,2; 8 r — WI — den primären, sollen wir nicht auch die tertiären etc. für Thallome halten, wider- spricht es doch der Natur des Thallomes gar nicht, dass die spätern Generationen von Rindenzellen zu mehrgliedrigen Axen werden? Es scheint mir dies um so eher das Richtige zu sein, als die den stammbürtigen Rindenzellen von Ptilota plumosa analogen Rindenzellen der Ceramieen und Spyridien der Reproduetion dienen und bei den Ceramieen neben den Berindungsaxen noch entschiedene Trichome in der Gestalt von Haaren, Stacheln und Wurzelfäden vorkommen, die von den Berindungsaxen sehr verschieden sind. Auch die Gattung Euctenodus, Ptilota noch näher stehend als die Geramieen, zeigt die Differenz thallomatischer Rindenzellen und von Wurzelhaaren auf’s Deutlichste. — Die primären Rindenzellen auf der innern Seite der Basilarglieder von Ptilota plumosa sind, wie oben gezeigt worden, den primären stammbürtigen Rindenzellen dieser Pflanze analog, verhalten sich denn auch genau wie dieselben, tragen je einen viergliedrigen Wirtel von secundären Rindenzellen (Fig. 5 a «‘ Taf. ]). Wir haben demnach keinen Grund, die Abkömmlinge der primären astbürtigen Rin- denzellen nicht ebenfalls für Thallomaxen zu halten. Dasselbe gilt von der innern Hälfte der astbürtigen Rinde von Pterota plumosa, sowie von der Berindung an der innern Seite der Kurztriebe und der Basis der Langtriebe von Bonnemaisonia. Aber auch die äussere Hälfte der astbürtigen Rinde der Basilarglieder von Pterota plumosa, sowie die Rinde am äussern Rand der Kurztriebe und der untern Glieder der Lang- triebe von Bonnemaisonia ist den aus den primären stammbürtigen Rindenzellen von Pterota plumosa hervorgegangenen Rindencomplexen analog, also thallomatisch. Was Spyridia betrifft, so ist zu bemerken, dass die primären Rindenzellen der Langtriebe entschieden einzellige Axen darstellen. Sie erzeugen am untern Rand drei thalloma- tische secundäre Rindenzellen, zunächst die beiden seitlichen, zuletzt die mittlere (siehe das Genauere oben), also nur ‘einen halben Wirtel von secundären Rinden- zellen. Dass die beiden seitlichen, secundären Rindenzellen vor der mittleren angelegt werden, zeigt deutlich, dass die mittlere nicht als Scheitelzelle zu der die seitlichen erzeugenden primären zu rechnen, vielmehr auch als Ast der primären Rindenzelle zu betrachten ist. Alle drei secundären Rindenzellen der ersten primären und die seitlichen secundären der übrigen primären Rindenzellen erzeugen am untern Ende oft ebenfalls noch zwei Aeste (Fig. 8 Taf. X), nur die secundären je des zweit- untersten Langtriebgliedes wachsen sogleich abwärts in gegliederte Berindungsfaden aus (Fig. 15 B und Fig. 17 Taf. X), die mittleren secundären Rindenzellen je der zweiten bis nten primären verhalten sich ebenso (Fig. 17 Taf. X). Die Kurztriebe von Spyridia machen gar keine Schwierigkeiten. — Hinsichtlich der hier nicht be- — 12 — rührten Arten von Pterota ist anzunehmen, dass sie sich in der Hauptsache wie Pterota plumosa verhalten, und hinsichtlich der Gattungen Euctenodus und Chondro- don. dass sie sich Bonnemaisonia anschliessen. Aus obigen Erörterungen geht nun Folgendes hervor: il) Euptilota Harveyi besitzt zwei Arten von Thallomen: Langtriebe und Kurz- triebe, ausserdem wenigstens eine Art von Trichomen: Berindungstrichome. 2) Ptilota plumosa besitzt 4 Arten von Thallomen: Langtriebe, Kurztriebe, Be- rindungsthallome (stammbürtige Rinde und innere Hälfte der astbürtigen), rinden- bürtige begrenzte Adventivthallome *), dazu wenigstens eine Art von Trichomen: Berindungstrichome (äussere Hälfte der astbürtigen Rinde). 3) Pterota plumosa besitzt gleichfalls 4 Arten von Thallomen: Lang- und Kurz- triebe,. Berindungsthallome (die astbürtige Rinde ), rindenbürtige begrenzte Adventiv- thallome (an Fruchtästen und — selber reproductiv). Trichome sind mir noch keine bekannt, doch fehlen Wurzelhaare kaum ganz. 4) Bonnemaisonia asparagoides besitzt 3 Arten von Thallomen: Langtriebe, Kurztriebe und Berindungsthallome (astbürtige Rinde der Langtriebe und ast- und stammbürtige Rinde der Kurztriebe). Die Trichome sind mir unbekannt. 5) Euctenodus Labillardieri verhält sich hinsichtlich der Thallome in der Haupt- sache ähnlich. Als Trichome sind die rindenbürtigen Wurzelhaare im Innern der Langtriebe und die Paraphysen zu bezeichnen. 6) Chondrodon Suhrii besitzt 3, wenn man will sogar 4 Arten von Thallomen: Langtriebe, Kurztriebe, Berindungsthallome (ast- und stammbürtige Rinde von Lang- und Kurztrieben) und verkümmernde Secundanäste. Trichome kenne ich ausser den Paraphysen noch keine. 7) Die Ceramieen besitzen zweierlei Thalleme: Langtriebe und Berindungsthallome, zudem dreierlei Trichome: Wurzelhaare, gemeine Haare und Stacheln. 8) Die Spyridien besitzen dreierlei Thallome: Langtriebe, Kurztriebe und Berin- dungsthallome. Trichome sind mir nur bei Spyridia aculeata in der Gestalt rinden- bürtiger Stächelchen bekannt. 9, Alle obigen Pflanzen sind Ceramiaceen. 10) Die Ceramiaceen zerfallen in zwei Abtheilungen: A) Ceramiaceen, die nackte Zellreihen darstellen oder bloss trichomatische *) Rinde besitzen. B) Ceramiaceen mit *) Ich halte diese Adventivzweige für Thallome wegen ihrer Analogie mit den reproducliven, rindenbürtigen Adventivzweigen an den Fruchtästen der Pteroten. **) Von faseriger Beschaffenheit. — 18 — thallomatischer *), bisweilen "thallomatischer und trichomatischer Rinde. In die erste Abtheilung gehören die Callithamnien, Herpothamnien, Pterothamnien ete., in die zweite sind zu stellen die Ptiloten, Pteroten, Bonnemaisonia, Euctenodus, Chon- drodon, die Ceramien und Spyridien. Die beiden Gruppen sind nicht scharf abgegrenzt, Euptilota bildet den Uebergang zwischen denselben. Ich glaube aber diese Gattung wegen ihrer vielfachen Beziehungen zu Ptilota der zweiten Reihe zugesellen zu müssen, obwohl sie keine trichomatische Rinde besitzt. Zur Systematik der Ceramiaceen mit thallomatischer Rinde. a. Keine interponirende Verzweigung. 1. Fam. Ceramiäceen. mihi. Normale und abnormale Langtriebe, durch periodisch nach rechts und links convergirende Querwände in die Länge wachsend. Keine Kurztriebe. Alle Axen eylindrisch, berindet. Rinde thallomatisch, stammbürtig, die grossen Centralzellen ganz oder bloss zur obern Hälfte verhüllend. Normaläste in einer Ebene liegend, einzeln an einzelnen Gliedern (Knoten) der Hauptaxe, alternirend zweizeilig, durch starke Entwickelung die Hauptaxe oft seitwärts drängend und daher Pseudodichotomieen bildend. Basilarast constant aussen. — Ab- normale Axen rindenbürtig, einzeln oder zu mehreren an internodialen oder selbst Knotengliedern, mit Rücksicht auf ihr späteres Verhalten Normalaxen völlig gleich. — Triehome rindenbürtig, theils Wurzelhaare, theils gemeine Haare oder Stacheln darstellend. — Sporenmutterzellen, Samenzellen und Keimfrüchte rinden- bürtig, niemals in besondere Behälter eingeschlossen. Die Keimfrüchte sind wie bei den Callithamnien beschaffen, jedoch ohne Trichophor, sie sitzen an ver- kürzten Gliedern und werden von einem halben Wirtel von Adventivhüllstrahlen gestützt. Herpoceras. mihi. Normalaxen niederliegend, mittelst Haftorganen, welche unächte Zellkörper darstellen, auf der Unterlage befestigt. Rinde unterbrochen, Adventiväste, Haftorgane *) Parenchymatoidisch. — 104 und hinfallige einzellige Haare erzeugend; Triecisch. Sporenmutterzellen kugel- quadrantisch. Herpoceras australe. mihi. Bis 15”” gross, mit fünf Generationen von Normalaxen. Erster Normalast con- stant aussen. Basilarinternodien gewöhnlich dreigliedrig, fast ebenso häufig viergliedrig. bisweilen mehrgliedrig; übrige Internodien fast constant dreigliedrig; Enden repro- ductiver Exemplare vielgliedrig. — Internodiale Glieder 90 — 150zellig, mit 4— 7 primären Rindenzellen; Knoten 140 — 200zellig, mit 6— 9 primären Rindenzellen. Zahl und Anordnung der secundären Rindenzellen der ersten primären internodialer Glieder gewöhnlich ;, bisweilen ;, wobei zu bemerken, dass die mittlere der obern stets nach allen 4 eckständigen, gewöhnlich aber vor der mittlern der 3 untern entsteht. Zahl und Anordnung der secundären Rindenzellen an der ersten und zweiten primären Rindenzelle von Knoten: ! oder . wobei zu bemerken ist. dass die mittlere der 3 obern immer vor allen andern angelegt wird. Zahl und Anordnung der secundären Rindenzellen an den übrigen Rindensystemen meist: : oder :. — Haftorgane an primären bis tertiären Axen, stummelförmig, später am Ende schei- benförmig ausgebreitet, durch Auswachsen der Rindenzellen *) der Unterseite je des mittlern Gliedes der einzelnen Internodien entstehend. — Advenliväste an primären und secundären Normalaxen, einzeln oder zu mehreren am gleichen Gliede, aufstre- bend, später wohl ebenfalls niederliegend, aus primären Rindenzellen letzten Grades beliebiger Glieder entstehend. — Sporenmulterzellen an den vielgliedrigen Enden der Aeste, kugelquadrantisch, aus je der ersten und letzten primären Rindenzelle letzten Grades ganzer Reihen von Gliedern, dem reproductiven Ast ein rosenkranzförmiges Aussehen verleihend. Samenzellen die viergliedrigen Enden der Pflanze überziehend. aus Rindenzellen späterer Generationen. Keimfrüchte ebenfalls an obern Partieen der Pllanze, einzeln an einem Internodium, stets aus der ersten primären Rindenzelle letzten Grades internodialer Glieder entstehend. daher unter sich alternirend. so oft mehrere successive Internodien Keimfrüchte hervorbringen. Hüllstrahlen ebenfalls an internodialen Gliedern sitzend und zwar stets durch Auswachsen der primären Rindenzellen letzten Grades desjenigen Gliedes entstehend, welches abwärts unmit- telbar auf das Tragglied der Keimfrucht folgt, im Gegensatz zu den gewöhnlichen *) Ausgenommen die primären und vielleicht secundären Rındenzellen. — 15 — Adventivzweigen hinter den seeundären Rindenzellen hervortretend. Das Tragglied der Keimfrucht ist verkürzt, ausserdem nebst den nachfolgenden Gliedern beträchtlich dünner, als die vorausgegangenen, insbesondere als das Stützglied der Hüllstrahlen. — Neuholland, auf Laminaria radiata Ag. legit Shotsky. 2. Fam. Spyridieen. mihi. Normale und abnormale Axen. Lang- und Kurztriebe. Alle Axen eylindrisch, berindet. Rinde thallomatisch, stammbürtig, die grossen Langtriebglieder vollständig, die Kurztriebglieder nur zur obern Hälfte verhüllend. Kurztriebe mittelst etwas nach innen convergirender Querwände in die Länge wachsend, Langtriebe mittelst nach mehreren Seiten des Randes geneigter Querwände sich verlängernd. Kurztriebe einfach, hinfällig; Langtriebe continuirlich fortschreitend fast auf jedem Glied einen Ast erzeugend. Aeste spiralig, theils zu Lang-, theils zu Kurztrieben werdend. Abnormale Axen theils rindenbürtige Adventivlangtriebe, an Langtrieben und später wie Normallangtriebe sich verhaltend, theils Adventivkurztriebe, am Ende abgebrochener Kurztriebe und wie Normalkurz- triebe sich weiter entwickelnd. —- Von Triehomen bis jetzt nur rindenbürtige Stacheln, an Kurztrieben bekannt. — Sporenmutterzellen an Kurztrieben, rindenbürtig, frei. Samenzellen unbekannt. Keimfrüchte, aus den Abbildungen von Harvey zu schliessen. am Ende verkürzter Langtriebe, von Hüllstrahlen gestützt, frei. Spyridia. (Harv.) Cramer. Gattungscharakter gleich dem Familiencharakter. Spyridia filamentosa. (Harv.) Cramer. Kurztriebe 1/g — 2”” lang, unten und oben verjüngt, stachelspitzig, höchstens 22gliedrig, mit einem Kranz von 5— 6 primären Rindenzellen am obern‘Ende jedes Gliedes (ausgenommen die obersten und das Basilarglied), spiralig an Langtrieben, nie in Langtriebe übergehend oder welche erzeugend,, hinfällig und nicht selten nach Abfallen der Spitze endständige Adventivkurztriebe hervorbringend, reproductiv. — Langiriebe bis 130”” lang, 1”" dick, ununterbrochen berindet. Jedes Glied trägt oben 12 — 16 primäre Rindenzellen, jede primäre am untern Rand schliesslich 3 secundäre. Nur die Basilarglieder von Langtrieben erzeugen keine Rindenzellen an 14 106 ihrem Umfang. Jedes Langtriebglied, vom 2. bis 3. an, bringt einen Normalast hervor. Die Normaläste stehen auf einer rechts- oder linksläufigen Spirale. Die Divergenz zweier successiver Normaläste beträgt %3. ebenso gross ist die Diver- genz des ersten Normalastes von der Axel der Hauptaxe. Die untern Aeste eines Langtriebes werden zu Kurztrieben, erst das 10. bis 14.. gewöhnlich das 13. Glied trägt einen Langtrieb, von da an meist je das 7., seltener 6.. Nie gehen Langtriebe in Kurztriebe über. Die Adventivlangtriebe entstehen an Normal-Langtrieben am obern Rand primärer Rindenzellen letzten Grades, meist solcher, die senkrecht über oder unter der Insertionsstelle des Normalastes des nächst untern oder nächst obern Gliedes sich befinden. — Sporenmutterzellen tedraödrisch, an Kurztrieben, wirtelig, sitzend, durch Metamorphose primärer Rindenzellen, zunächst der innern, entstehend. Samenzellen unbekannt. Keimfrüchte siehe oben. Im Golf von Neapel und Palermo leg. Nägeli und Cramer. Spyridia aculeata. (Ag.) Cramer. Kurztriebe kaum 1”” lang, mit rindenbürtigen, hackenförmigen, einzelligen Stächelchen an den obersten Gliedern. Langtriebe zum Theil gerade, oben dicht mit Kurztrieben besetzt. zum Theil am Ende schneckenförmig gekrümmt, kahl, d. h. ohne Kurztriebe. Astdivergenz bloss '/,. Sonst alles gleich. Beim Castel del ovo bei Neapel gesammelt von mir, im rothen Meer von Dr. Seb. Fischer. b. Mit interponirender Verzweigung. 3. Fam. Ptiloteen. mihi. Normal- und Abnormalaxen. Erstere theils Lang-, theils Kurztriebe. — Langtriebe, oft auch Kurztriebe später flachgedrüeckt und berindet. Rinde theils ast-. theils stamm- und astbürtig. meist thallomatisch, bisweilen thallo- matisch und triehomatisch, bei Euptilota nur trichomatisch, stets die relativ ziemlich grosse Axenzelle später ganz bedeckend. Kurztriebe mittelst nach innen eonvergirender Querwände in die Länge wachsend, Langtriebe dagegen später mittelst periodisch nach rechts und links convergirender Querwände sich verlängernd. Verzweigung bei Kurztrieben continuirlich fortschreitend, bei Langtrieben später in- terponirend. Erster Primanast constant aussen. Zweige bei Lang- und Kurztrieben in einer einzigen Ebene liegend. Gewöhnlich erzeugt jedes Glied der Hauptaxe zwei 107 — opponirte Aeste. Die Kurztriebe erzeugen normal nur Kurztriebe, die Langtriebe hingegen sowohl Lang- als Kurztriebe. Die Kurztriebe zeigen oft conerete Ast- bildung, gehen bisweilen in Langtriebe über. Umgkehrt können auch Langtriebe zu Kurztrieben werden. Die Abnormalaxen sind theils unächte Adventivlangtriebe, theils ächte rindenbürtige Adventivlangtriebe, theils endlich ächte rindenbürtige begrenzte Adventivzweige. Von Trichomen kenne ich bis jetzt bloss Berindungstrichome. — Sporenmutterzellen, Samenzellen und Keimhäufchen nie rindenbürtig, oft Stände bildend, doch stets frei. Euptilota. (Kg.) Cramer. Meist jedes Langtriebglied, vom Basilarknoten an gerechnet, erzeugt einen Priman- und einen Secundanast. Die successiven Primanäste alterniren. Dem ent- sprechend sind auch die successiven Querwände der Langtriebe anfangs abwechselnd und stark nach rechts und links geneigt. Die Primanäste werden zum Theil zu Langtrieben, grössern Theils zu Kurztrieben, die Secundanäste werden ohne Ausnahme zu Kurztrieben. Die Kurztriebe besitzen discrete Aeste. Die Rinde ist auf die Langtriebe beschränkt, astbürtig, trichomatisch. — Adven- tiväste fehlen. — Sporenmutterzellen tedraädrisch getheilt, aus Scheitelzellen von Normalaxen und zwar meist Kurztrieben. Euptilota Harveyi. (Kg.) Cramer. Bis 300”" gross. — Kurztriebe meistens zu zweien opponirt an Langtriebglie- dern, selten einzeln einem Langtrieb gegenüber, bis 1”” lang, nackt, einfach oder in einer verlicalen Ebene verzweigt und zwar 1 oder 2zeilig verzweigt, im letztern Falle gewöhnlich opponirt gefiedert. Tertiäre Kurztriebe, wenn vorhanden, selten zu zweien auf einem Glied der secundären. -— Langtriebe nie zu zweien auf einem Gliede stehend, stets einem Kurztrieb opponirt, sonst scheinbar regellos angeordnet (doch fast constant unter sich alternirend, wenn man sich auch auf den zwischen- liegenden bloss mit Kurztrieben versehenen Gliedern der Hauptaxe alternirende Lang- triebe denkt), bis 50 oder selbst 120”” lang, meist auf jedem Glied einen Primanast erzeugend (über 80 Mal beobachtet), sehr selten erst auf dem zweitfolgenden (2 Mal) oder drittfolgenden (1 Mal beobachtet), später dicht berindete flachgedrückte Zell- reihen darstellend (bis 15 Zellen auf dem Radius des Querschnittes durch alte Partieen), opponirt gefiedert, fast auf jedem Glied 2 Aeste tragend, wovon aber bloss 100% 108 wieder unbegrenzt in die Länge wachsen. Ester Langtrieb auf dem 6. bis 22. Gliede, bald aussen, bald innen. Bisweilen wird ein Langtrieb nachträglich zum Kurztrieb. — Sporenmutterzellen tetra&drisch getheilt, sitzend oder gestielt, aus Scheitelzellen primärer bis tertiärer Karztriebe. bisweilen an Scheitelzellen verkümmerter Lang- triebe. Oestliche Falklands Inseln. Alge mar. von Hohenacker. N. 174. Ptilota. (Ag.) Cramer. Meist je das zweite, und dritte Langtriebglied, vom Basilarknoten an gerechnet, erzeugt einen Primanast. Dem entsprechend sind an Langtriebspitzen gewöhnlich je 2 bis 3 Querwände abwechselnd eiwas nach rechts und links geneigt. Secundanäste entstehen an einem Internodium doppolt so viele, als internodiale Glieder da sind, plus 1. Die Primanäste werden normal zu Langtrieben, die Secundanäste zu Kurztrieben. Die letztern zeigen meist discrete Astbildung. Nachträglich gehen nicht selten Kurztriebe in Langtriebe über. wie denn auch der Stellung nach unbe- grenzte Axen bisweilen begrenzt in die Länge wachsen. Rinde an Lang- und Kurz- trieben stamm- und astbürtig, theils thallomatisch (stammbürtige Rinde und innere Hälfte der astbürtigen), theils triehomatisch (äussere Hälfte der astbürligen). — Begrenzte Adventivzweige an ältern Partieen von Langtrieben häufig, rindenbürtig, steril. — Sporenmutterzellen tedraödrisch getheilt, sitzend oder ge- stielt, aus Scheitelzellen von Normalaxen und zwar von Kurztrieben beliebiger Ge- nerationen. Samenzellen unbekannt. Keimfrüchte ähnlich wie bei den Callithamnien frei, endständig an Kurztrieben. Ptilota plumosa. (Ag.) Cramer. Bis 150”" gross. — Kurztriebe meist zu zweien an einem Langtriebglied, häufig einem Langtrieb gegenüber, bis 2”” lang. einfach (dann nackt). oder in einer verticalen Ebene verzweigt. oft deutlich opponirt gefiedert (dann die primären Kurztriebe öfters etwas berindet), selten wenigstens die äussern secundären mit opponirten tertiären Kurztrieben (dann können auch seeundäre Kurztriebe schwach berindet sein). Langtriebe nie von Anfang an zu zweien auf einem Glied der Haupt- axe, sondern einem Kurztrieb opponirt, unter sich alternirend (ausgenommen später, wenn einzelne Kurztriebe zu unbegrenzten Axen geworden oder bei Sympodien- bildung). bis 60”” lang, flachgedrückte, dicht berindete Zellreihen darstellend (bis 6 Zellen auf dem Radius von Querschnitten durch alte Partieen. Siehe im Uebrigen pag. 15). 109 — bisweilen durch begrenzte Adventiväste filzig, opponirt gefiedert, auf jedem Glied *) 2 Aeste hervorbringend. Der erste Primanast constant aussen, auf dem 9. bis 28. Gliede, die folgenden auf je dem 1. bis 6., meist dem 2. und 3.Gliede (siehe pag. 8). An jüngern Generationen von Langtrieben, sowie am obern Ende der einzelnen Langtriebe bestehen die Internodien aus einer verhältnissmässig geringern Anzahl von Gliedern. Von den Aesten eines Langtriebes haben im Durchschnitt aus sehr vielen Beobachtungen 21,7 % unbegrenzte Entwickelung. Adventiväste an Lang- trieben, rindenbürtig, begrenzt; einfache säbelförmige, bis 0gliedrige, nackte Zell- reihen darstellend, steril. — Dahin Ptil. serieea Gmel. in Harveys Phycolog. Britann., ferner zum Theil: Ptil. plum. Ag. in Kützings Spec. Ale. var.a. Plumula. (Exemplar A, B,C.) Umfang grösserer Langtriebe mit ihren Aesten elliptisch oder breit lanzettlich. Entwickelung sehr regelmässig (vergl. Fig. 2 Taf. II). Alle Primanäste unbegrenzt. Secundanäste zu Kurztrieben werdend, welche bis 3 Generationen von Axen unter- scheiden lassen und wenigstens bei A und B spät in Langtriebe übergehen. Die primären und oft auch secundären Kurztriebe sind berindet. Glieder der Langtriebe verhältnissmässig gross mit üppiger Rinde. «. glabra, ohne oder fast ohne begrenzte Adventivzweige. Dahin Exemplar A und B von Helgoland. ß- tomentosa, durch reichliche Bildung begrenzter Adventivzweige filzig. Dahin Exemplar © von Havre. var. b. elegans. (Exemplar D, E, F, G.) Weniger üppig als die vorige Form , schlanker, zarier. Kurztriebe vorwiegend ein Mal gefiedert, nur die primären Kurztriebe Rinde zeigend. Entwickelung anfangs noch regelmässig; später Langtriebe, entstanden aus Secundanästen, häufig, doch lange nicht wie bei var. c. e. subglabra, fast ohne begrenzte Adventivzweige. E. Plymouth. ß. pilosa, ziemlich reich an Adventivzweigen. D, G. Torquay, Dovor. y. tomentosa, durch Adventivzweige filzig. F. Aberdeen. *) Ausgenommen das Basilarglied, welches constant innen keinen Ast erzeugt. Bisweilen tragen die 2—3 untersten Glieder keinen Ast. — 10 var. c. Arbuscula. (Exemplar H, I, K). Von der vorigen Form durch die ungemein zahlreichen, nachträglich aus Seeun- danästen entstehenden Langtriebe, welche der Pflanze ein buschiges Aussehen ver- leihen. verschieden. «. subglabra. wie « bei elegans. 1. Cherbourg. ß. tomentosa, wie y bei elegans. H, K. Cherbourg. var. d. tenuissima. (Dahin Exemplar L, M, N.) Umfang alter Langtriebe mit ihren Aesten schmallanzettlich, bis linealisch . Ent- wickelung unregelmässig (Fig. 3 Taf. II). Primanäste zwar stärker als die Secundan- „ äste sich entwickelnd, aber oft nicht unbegrenzt in die Länge wachsend und dann auch keine interponirende Astbildung zeigend. Kurztriebe sehr oft einfach, nackt. Langtriebe, die nachträglich aus Secundanästen entstanden, fast oder ganz fehlend. Glieder relativ kleiner. Berindung spärlich. e. subglabra. L, M, N. Cherbourg und Irland. Pterota. mihi. Meist je das 2. oder 3. Langtriebglied, vom Basilarknoten an gerechnet, erzeugt einen Primanast. Dem entsprechend sind an Langtriebspitzen gewöhnlich je 2 — 3 Querwände abwechselnd nach rechts und links geneigt. Secundanäste entstehen an einem Internodium, wie bei Ptilota, doppolt so viele, als internodiale Glieder da sind, plus eins. Der knotenständige Secundanast wird zuletzt angelegt, dessen ungeachtet aber zuerst und vorzugsweise weiter entwickelt. Die Primanäste werden normal zu Kurztrieben, mit conereter Astbildung. die Secundanäste (in erster Linie die knotenständigen) zu Langtrieben. Bisweilen verwandeln sich Kurztriebe nach- träglich in Langtriebe; häufiger findet der umgekehrte Fall statt. — Rinde an Lang- und Kurztrieben astbürtig, thallomatisch. — Begrenzte ächte Adventiv- zweige an reproductiven Normalaxen häufig, rindenbürtig und selbst reproductiv; ausser diesen bei allen Arten noch unächte Adventivlangtriebe, und bei der Mehrzahl ächte rindenbürtige Adventivlangtrie be. — Sporenmulter- zellen tedraedrisch gelbeilt, mehr oder weniger lang gestielt, aus den Scheitelzellen von Normalaxen, sowie der begrenzten Adventivzweige, an keulenförmigen Fruchtästen. Samenzellen von gleichem Ursprung und gleicher Stellung. Keimhäuf- — 11 - chen, in einem Fall am Ende kleiner Secundanäste von Hüllstrahlen gestützt, ohne Triehophor. Pterota plumosa. mihi. Zweijährig, bis 160"” gross. — Kurztriebe anfangs alternirend, später oft opponirt zweizeilig oder hie und da einem Langtrieb gegenüber stehend. Zuletzt unter einem Winkel von 90° abstehend, 1/; — 5"" lang, anfangs sichelförmig, später gerade oder fast gerade, völlig oder doch an der Basis ganzrandig, oben opponirt sägezähnig oder sägespaltig, bisweilen 1 bis 2 Mal opponirt gefiedert, dabei nicht mehr als 3 Generationen von Axen zeigend, bisweilen in Langtriebe übergehend {meist in Folge Aborts der unbegrenzten Hauptaxe), der Reproduction dienend, ferner ächte begrenzte, sowie unächte unbegrenzte Adventivzweige erzeugend. — Normallang- triebe einzeln auf Gliedern der Hauptaxe, fast eonstant einem Kurztrieb opponirt, 45 —- 80° abstehend, bis 70”” lang, den ersten Primanast constant aussen, auf Glied 5 — 30, die folgenden unter sich alternirenden auf je dem 2. bis 4., meist 2. erzeugend. Von den Secundanästen entwickelt sich meist nur der knotenstän- dige weiter. Die Langtriebe können das unbegrenzte Längenwachsthum einbüssen, reproduetiv werden, ächte begrenzte, sowie unächte unbegrenzte Adventiväste her- vorbringen. Von den Adventivästen sind die ächten begrenzten nur an Fruchtästen zu finden, rindenbürtig, säbelförmig gekrümmt, einfach, oder spärlich verzweigt, steril oder der Reproduction dienend. Die unächten Adventivlangtriebe stehen an der Basis von Lang- und Kurzitrieben, fast constant innen, den Divergenz- winkel der Mutteraxe halbirend, einzeln oder zu 2 bis 3 in einer Reihe. Im letzten Fall ist der oberste derselben am stärksten, der unterste am schwächsten. Das Ba- silarinternodium unächter Adventivlangtriebe besteht aus einer geringern Zahl von Gliedern. Zu Fruchtästen können werden: 1) Langtriebe, knotenständige und inter- nodiale, normale und unächte abnormale, sowohl vor, als nach Eintritt der interpo- nirenden Verzweigung. 2) Kurztriebe und zwar sowohl primäre (die Aeste, besonders innern, der Basilarinternodien von Langtrieben), als auch secundäre (die Aeste und zwar innern, doch wohl auch äussern, der aus Primanzweigen hervorgegangenen Kurztriebe). Zu Sporenmutterzellen können werden die Scheitelzellen aller der Axen, die sich an der Bildung von Fruchtästen betheiligen, also auch von begrenzten Ad- ventivzweigen. Dahin Ptilota plumosa. Ag. in Harveys Phycologia Britannica, ferner die unten citirten Synonymen. — 12 var. a. superba. (Exemplar A.) Kurztriebe an der Basis ganzrandig, oben sägezähnig bis sägespallig, ot 1 —2 Mal opponirt gefiedert (Fig. 1— 3 Taf. VI). Primäre Kurztriebe bis 40, secundäre bis 25, tertiäre bis 7gliedrig. Basilarinternodien von Langtrieben 10 — 15, selbst 30 — 40gliedrig, höhere meist 2, nicht selten jedoch auch 3gliedrig |pag. 38). Kno- tenständige Secundanäste immer weiter entwickelt, doch sehr oft begrenzt. weshalb die Langtriebe unter sich keine regelmässige Stellung zeigen. Divergenz der Lang- triebe eirca 45°. Auch internodiale Seeundanäste kommen bisweilen zur Weiterent- wicekelung. — Unächte Adventiväste häufig, an Kurz- und Langtrieben gleich häufig, meist einzeln, selten zu zweien, sehr selten zu dreien. constant innen. — Steril. — Thorshavn auf Stromoe, Faroer Inseln. Bauer. Vielleicht gleich Ptilota plum. var. formosa. Kg. var.b. ramosa. (Exemplar B.) Kurztriebe schlank, an der Basis ganzrandig, oben höchstens opponirt säge- spaltig. Basilariuternodien 8 — 12gliedrig, höhere Internodien fast constant 3gliedrig. Knotenständige Secundanäste meist weiter entwickelt, sehr oft zu Langtrieben von beträchtlichen Dimensionen. Langtriebe deshalb nicht selten unter sich alternirend. mit einer Divergenz von bis 80°. Internodiale Secundanäste meist verkümmert. Von 200 weiter entwickelten Secundanästen war nur einer internodial. — Unächte Ad- venlivlangtriebe ‚viel seltener, meist an Langtrieben, einzeln, selien zu zweien, sehr selten zu dreien, fast constant innen. Sporeniragend. Fasi nur Secundanäste in Fruchtäste verwandelt. — Meer von Ochotzk. Wornessensky. — Synonym mil Puilota pectinala. Harvey. var. ec. vulgaris. (Dahin Exemplar C — G.) Kurztriebe etwas kräftiger, sonst wie bei ramosa. Basilarinternodien von Lang- trieben $— 12 gliedrig, höhere constant oder fast constant 2gliedrig. Knotensltändige Secundanäste meistens weiter entwickelt, aber lange nicht immer unbegrenzt. Lang- triebe daher unter sich wieder unregelmässiger angeordnet, mit einer Divergenz von bloss circa 45. Internodiale Secundanäste meistens gar nicht weiter entwickell. Unächte Adventiväste wie bei ramosa. Sporeniragend. Zu Fruchtästen werden bald bloss Secundanäste, bald auch (innere, seltener auch äussere) Aeste der Basilarin- ternodien von Secundanästen und innere Aeste von Primanzweigen. — Nahant im - 15 — Staate Massachusetts. Dr. Weinland. — Grönland. — Island. — Dahin Ptilota serrata J. Ag. und als Ptilota plumosa ausgegebene Pflanzen. Pterota densa. (Ag.) Cramer. Zweijährig, bis 70””" gross und wohl darüber. — Kurztriebe 1—5”" lang, an der Basis der Hauptaxe kürzer als weiter oben, anfangs sichelförmig, später gerader, opponirt und scharf sägezähnig, äussere Zähne stärker. Bis 3 Generationen von Kurztrieben. — Normallangtriebe bis 25”” lang, mit einer Divergenz von 45, bis selbst 90°. Bis 4 Generationen von Langtrieben unterscheidbar. Basilarinternodien eirca Sgliedrig, höhere 3— 4, fast constant 3gliedrig. Von den Secundanästen entwickeln sich anfangs fast bloss die knotenständigen unbegrenzt, später je der unterste, bisweilen auch zweitunterste internodiale der Contrapriman- seiten, indem die übrigen der Reproduction dienen (vergl. pag. 69 — 62). — Aechte begrenzte Adventivzweige wie bei Pterota plumosa. Unächte Adventivlangtriebe an Basilarinternodien von Langtrieben, meist einzeln innen, selten zu zweien, dann theils innen, theils aussen. Das Basilarinternodium sowie das nächstfolgende von unächten Adventivlangtrieben besteht aus einer relativ geringern Anzahl von Gliedern, jenes aus eirca 4, dieses aus 1— 3 Gliedern. Aechte rindenbürtige Adventiv- langtriebe, meist noch jung, finden sich zwischen den Secundanästen der Contra- primanseite höherer Internodien, einzeln oder zu mehreren beisammen. — Frucht- äste entstehen 1; aus secundären Kurztrieben (besonders den innern) an Primanästen. 2) aus primären Kurztrieben (den Aesten der Basilarinternodien von Langtrieben, besonders den innern). 3) aus Langtrieben späterer Generation und zwar aus kno- tenständigen und internodialen Secundanästen, sowohl der Priman- als Contra- primanseite, ausgenommen einzig der unterste, bisweilen auch zweitunterste internodiale Secundanast der Contraprimanseite. Zu Sporenmutterzellen können werden die Scheitelzellen aller Axen, welche sich an der Bildung eines Fruchtastes bethei- ligen, also auch die Scheitelzellen der begrenzten Adventivzweige. Pterota asplenioides. (Kg.) Cramer. Zweijährig, bis 170°” gross. — Kurztriebe am untern Ende der Hauptaxe 1"”, oben 4—5”" lang, anfangs sichelförmig, ganzrandig oder aussen gezähnt, später gerader, beiderseits sägezähnig (oft innen stärker, bisweilen nur innen [siehe Fig. 10 Taf. VIl]j, unter einem Winkel von 45° Grad abstehend. Bis 3 Generationen 15 — m — von Kurztrieben unterscheidbar. — Langtriebe bis 60”" lang, die einjährigen ruthen- förmig, mit unter sich alternirenden Kurztrieben und diesen opponirten, kurzen, meist reproductiven Langtrieben. Zweijährige Langtriebe fast nie mit knotenständigen unbegrenzten Aesten, dafür in der Axel der Primanäste oft Büschel von Langtrieben tragend, die ihre Entstehung theils je dem untersten , bisweilen auch zweituntersten Secundanast der Contraprimanseiten, theils der Bildung unächter Adventivlangtriebe an diesen, theils der Bildung ächter Adventivlangtriebe an der zweijährigen Haupt- axe verdanken. Basilarinternodien von Normallangtrieben eirca lOgliedrig, von Ad- ventivlangtrieben ebenso oder nur $, 4 oder 3gliedrig. Höhere: Internodien 1 — 5- gliedrig, an Normallangtrieben fast constant 3gliedrig. An Adventivlangtrieben ist das 2. Internodium meist Igliedrig, das 3. meist 2gliedrig, erst das folgende etc. 3gliedrig. — Aechte begrenzte Adventivzweige wie bei den vorigen Arten. Unächte Adventivlangtriebe an det Basis von Normallangtrieben innen und aussen, an der Basis von Kurztrieben innen. Aechte Adventivlangtriebe entstehen an den Contra- primanseiten der Internodien von Normallangtrieben. — Fruchtäste entstehen I) aus secundären Kurztrieben, besonders den innern, an Primanästen. 2) aus primären Kurztrieben, nämlich den Aesten der Basilarinternodien von Langtrieben, besonders den innern. 3) aus Langtrieben, nie der Priman-, sondern bloss der Contra- primanseite, und zwar vorzugsweise aus knotenständigen Secundanästen, doch auch aus internodialen, den untersten der Contraprimanseite gewöhnlich ausgenommen. Sporenmulterzellen wie bei Pterota densa. — Insel Kadiak, nördliches stilles Welt- meer. — Synon. Rhodocallis asplen. Kg. Pterota Californica. (Rupr.) Cramer. Einjährig, bis 80"" gross, mittelst einer Haftscheibe auf der Unterlage befe- stigt. — Kurztriebe nicht über 4"" lang, anfangs etwas sichellörmig, später weniger, dabei sehr fein gesägt (aussen deutlicher als innen), unter einem Winkel von 45 — 70° abstehend. Primäre bis tertiäre Kurztriebe unterscheidbar. — Normallang- triebe bis 80”" lang. Primäre bis quartäre Langtriebe unterscheidbar. — Basilarin- ternodien 6 — Sgliedrig, höhere 1— 4, weitaus am häufigsten 3gliedrig. Ob die untersten Internodien von Adventivlangtrieben aus einer geringern Zahl von Gliedern be- stehen, ist noch zu untersuchen. Primanäste begrenzt, äusserst selten später unbegrenzt. Secundanäste unbegrenzt, und zwar constant die knotenständigen, meist aber auch alle internodialen. Die internodialen Secundanäste bleiben hinter den knotenständigen bedeutend zurück. Die Kurztriebe und bevorzugten knotenständigen Langtriebe einer Axe nehmen von unten nach oben an Grösse zu, ebenso gewöhnlich auch die Normaläste des einzelnen Internodiums. Aeusserst selten wird ein Langtrieb später zum Kurztrieb (nur an Knoten). — Aechte begrenzte Adventivzweige an reproductiven Axen und selber reproductiv, wie bei den vorigen Arten. Unächte Adventivlangtriebe bis 2°" Jang, nicht selten an Basilarinternodien der secundären, knotenständigen Normallangtriebe innen und aussen, einzeln oder bis zu 3 in einer Reihe, selten an der Basis von Kurztrieben einzeln und nur innen. Aechte Adven- tivlangtriebe häufig am primären Normallangtrieb auf den Priman- und Secun- danseiten, rindenbürtig. — Fruchtäste und Sporenmutterzellen ohne Zweifel wie bei den vorigen Arten. Antheridien traubenförmig aus Secundanästen ,„ sehr selten aus einem Zahn der Innenseite eines Kurztriebes entstanden. An der Bildung der Samen- zellen betheiligen sich zahlreiche begrenzte Adventivzweige. Keimfrüchte am Ende kurzer keulenförmiger: Aeste, von Hüllstrahllen umgeben, der Stellung nach aus Secundanästen der Contraprimanseiten der bevorzugten secundären Normallangtriebe entstanden. Keine Trichophore. — Fort Ross in Californien leg. Wornessensky. — Synonym Plumaria Californica Ruprecht, Ptilota hypnoides Harvey. 4. Fam. Bonnemaisonieen. mihi. Bloss normale Axen. Lang- und Kurztriebe. Beide flachgedrückt, berindet. Rinde thallomatisch, bei zwei Gattungen sicher stamm- und astb ürtig, die dünnen Axenzellen ganz bedeckend. Kurztriebe mittelst nach innen etwas convergirender, Langtriebe später mittelst abwechselnd nach rechts und links con- vergirender Wände in die Länge wachsend. Verzweigung in einer Ebene, bei Kurztrieben continuirlich, bei Langtrieben später interponirend fortschreitend. Erster Primanast aussen. Zweige bei Lang- und Kurztrieben der Anlage nach meist zu zweien auf einem Glied, opponirt. Die Kurztriebe erzeugen bloss Kurztriebe, mit concreten Aesten, die Langtriebe hingegen sowohl Lang- als Kurztriebe. Nie gehen Kurztriebe in Langtriebe, nur sehr selten Langtriebe in Kurztriebe über. — Trichome in Gestalt rindenbürtiger Wurzelfäden und von Paraphysen bei Euctenodus. Fortpflanzungszellen im Innern besonderer Behälter. - 116 — Chondrodon. Kg.) Cramer. Jedes Langtriebglied, vom mehrgliedrigen Basilarknoten an, erzeugt einen Priman- und einen Secundanast. Die successiven Primanäste alterniren unter sich. Dem entsprechend sind auch die successiven Querwände der Langtriebe anfangs ab- wechselnd und stark nach rechts und links geneigt. Die Primanäste werden theils zu Kurztrieben, theils zu Langtrieben. Die Secundanäste verkümmern oder werden reproductiv. Rinde vorwiegend astbürtig, zum Theil auch stammbürtig. Keine rindenbürtige Wurzelfäden. Sporenmulterzellen und Samenzellchen unbekannt. Keimzellen im Innern von Höhlungen, welche sich einzeln in kugeligen, sitzenden oder kurzgestielten Aesten, metamorphosirten Secundanästen finden und oben eine Oellnung besizten. Rigide Pflanzen. Chondrodon Suhrii. (Kg.) Cramer. Bis 300”” gross. — Kurztriebe anfangs stark sichellörmig, später gerade oder fast gerade, bis 3"" lang, an der Basis 1"” breit, flachgedrückt mit zarten Mittel- nerven, durchaus ganzrandig, obwohl aus primären bis terliären Axen zusammen- gesetzt, dicht gedrängt alternirend zweizeilig an Langtrieben, 45° abstehend, in obern Regionen der Pflanze nicht selten einem Keimbehälter opponirt, nie in Lang- mm triebe übergehend. — Langtriebe bis 200”"” lang, 3"" breit, stark zusammengedrückt mit zarten Mittelnerven, in der Reihe der Kurztriebe an andern Langtrieben stehend. mit den Kurztrieben alternirend (was man am besten an den Nerven er- kennt), nie einem Kurztrieb opponirt, dagegen hie und da einem Keimbehälter, nie in Kurzlriebe übergehend. Basilarinternodien 4 — 6gliedrig, höhere Agliedrig. — Erster Primanast aussen, zum Kurztrieb werdend. Erster Langtrieb meist innen. Je der 3. bis 10.. meist 5. Primanast wird zum Langtrieb, die übrigen zu Kurztrieben. Aus diesem Grund alterniren die Langtriebe auch unter sich gewöhnlich. — Keim- behälter mit einer einzigen Höhlung. — Südalfrica. Bonnemaisonia. (Ag.) Cramer. Jedes Langtriebglied, vom Basilarknoten an, erzeugt einen Priman- und einen Secundanast. Erstere alterniren. Dem entsprechend alterniren auch die letztern und sind die successiven Querwände in Langtriebspitzen anfangs abwechselnd und stark nach rechts und links geneigt. Primanäste constant zu Kurztrieben, Securdanäste zu Langtrieben werdend oder verkümmernd oder reproduetiv, äusserst selten in Kurztriebe verwandelt. Rinde keine Wurzelfäden erzeugend, an Langtrieben astbürtig, an Kurztrieben stamm- und ast- bürtig. Sporenmutterzellen unbekannt. Samenzellchen ähnlich vorkommend wie die Keimzellen. Keimzellen im Grunde kugeliger oder birnförmiger Becher, die eine ein- zige Höhlung einschliessen, oben eine kreisrunde Oeffnung besitzen und aus Secun- danästen entstehen. Vor Bildung des Keimbehälters wird ein Triehophor sichtbar. Zarte Pflanzen. Bonnemaisonia asparagoides. (Ag.) Cramer. Wohl über 150"" gross, mittelst einer Haftscheibe an der Unterlage befestigt. — Kurztriebe anfangs sichelförmig, später gerade, bis 3”" lang, haarfein, flach- gedrückt, ganzrandig, scheinbar einfach, genau betrachtet einseitig verzweigt, fast constant alternirend zweizeilig an Langtrieben, in untern Regionen der Pflanze oft einem Langtrieb gegenüber, in obern oft einem Keimbehälter opponirt, sehr selten zu zweien opponirt (wenn ein Secundanast zum Kurztrieb geworden), über 45° ab- stehend, nie in Langtriebe übergehend, noch zu Keimbehältern werdend. — Langtriebe bis 130”” lang, 1”” breit, ebenfalls flachgedrückt, constant einem Kurztrieb gegen- über, sonst unregelmässig angeordnet, weil die Secundanäste oft abortiren oder zu Keimbehältern werden, nur äusserst selten zu Kurztrieben. Basilarinternodien 3—5- sliedrig, höhere Agliedrig. In Betreff der Rinde siehe pag. 74 — 83. — Keimzellen stärkemehlhaltig. — Französische, englische und irländische Küste. Eucetenodus. (Kg.) Cramer. Jedes Langtriebglied vom Basilarknoten an gerechnet erzeugt einen Priman- und Secundanast etc. wie bei den vorigen Gattungen. Primanäste constant zu Kurztrieben, Secundanäste zu Langtrieben werdend, verkümmernd oder reproductiv. Lang- und Kurztriebe frühzeitig dicht berindet. Rinde astbürtig (ob auch stammbürtig ?), sehr kleinzellig. Die Reihe der Axenzellen der Lang- triebe wird später von rindenbürtigen Wurzelfäden bekleidet. — Sporen- mutterzellen, Samenzellchen und Keimzellen auf verschiedene Pflanzen vertheilt, im Innern kurz gestielter oder fast sitzender, keulenförmiger Aeste, metamorphosirter Secundanäste, und zwar die zonenartig getheilten Sporenmutterzellen nebst ein- zelligen Paraphysen die ganze Innenfläche zahlreicher nach aussen sich öffnender Höhlungen der Fruchtäste überziehend, die zu baumartigen Gruppen vereinigten — 185 — Samenzellcehen ähnlich sich verhaltend, die Keimzellen dagegen bloss am Grunde weniger Höhlungen des Keimbehälters sitzend. — Rigide Pflanzen. Euctenodus Labillardieri. (Kg.) Cramer. mm Kurztriebe anfangs sichelförmig, später gerader, bis 3"" lang, an der Basis 1, breit, stets flachgedrückt und ganzrandig, dicht alternirend zweizeilig an Langtrieben, oft einem Langtrieb, oft einem reproductiven Ast oder einer Lücke gegenüber, 45° abstehend, nie in Langtriebe übergehend, nie reproduetiv. — Langtriebe 1 bis mehrere Zoll lang, ebenfalls llachgedrückt, an der Basis auf die Länge von 2— 4"”" ganzrandig, von da an durch die Kurztriebe etwas kammförmig, eonstant einem Kurztrieb gegen- über, sonst unregelmässig angeordnet, oft verkümmernd, oft reproductiv. Basilar- internodien mehrgliedrig, höhere eingliedrig. Reproductive Aeste hauptsächlich in obern Regionen der Pflanze, stets einem Kurztrieb opponirt. — Neu-Süd-Wales. — 19 — Erklärung der Tafeln. Taf. 1. Fig. 1—3 Euptilota Harveyi. (Kg.) Cramer. — Fig. 4, 5 Ptilota plumosa. (Ag.) Cramer. Fig. 1. (Vergr. 118.) a « ein Langtrieb von Eupt. Harv. mit interponirender Astbildung, daher oben alternirend zweizeilig, weiter unten opponirt zweizeilig verzweigt. Nur das zweitunterste Glied hat abnormaler Weise bloss einen einzigen Ast (einen Primanast) erzeugt, links. Sämmtliche Primanäste sind stärker als die ihnen opponirten Secundanäste, die Primanäste des 5. bis und mit Suntersten Gliedes verhältnissmässig weniger als die übrigen, ohne Zweifel in Folge äusserer Störungen. Der Primanast des untersten Gliedes, kräftiger als alle andern, wird zum secundären Langtrieb, zeigt aber noch keine interponirende Verzweigung (ß). Alle Aeste sind in Folge stärkerer Entwickelung der Aussenseite sichelförmig nach oben gekrümmt, die Aeste der Aussenseite von ß grösser als die der ent- gegengesetzten Seite. — « und ß zeigen bereits astbürtige Rinde: das 11.unterste Glied der unbegrenzten Hauptaxe wird rechts erst von einer Berindungszelle berührt, das 10.unterste bereits rechts und links von je einem zweizelligen Be- rindungsfaden, ebenso das 9. und die rechte Hälfte des 8.; links aber grenzen an das 8. Langtriebglied bereits 2 Berindungsfäden, ein zweizelliger von vorn sichtbar und ein einzelliger auf der Rückseite. Vergleiche jetzt und in der Folge Fig. 1 b, wo die Berindung der abgekehrten Seite des 2. — 8.untersten Gliedes von Fig. 1 a «« dargestellt ist und zwar in einer Weise als ob sie bloss durch tiefere Einstellung des Mikroskopes (ohne Umwendung des Präparates) hätte deutlich gemacht werden können. Das 7. Glied wird links von 2, rechts von 3 Berindungsfäden überwachsen; das 6. rechts und links von 3; das 5. links von 3, rechts vielleicht auch; das 4. links sicher von 3, rechts wahrscheinlich auch; das 3. rechts und links' von 3, die sich aber bereits verzweigt haben; das 2. Glied wird links von bloss 2 Berindungsfäden bedeckt, ist dagegen rechterhand =“ Fig. Fig ar u ohne astbürtige Rinde, weil der Ast fehlt. Da und dort entspringt auch vom 2.untersten Astglied ein Berindungsfaden. 2. (Vergr. 50.) Ein Kurztrieb von Euptilota Harv. mit tetraödrisch getheilten Sporenmutterzellen. Der Pfeil gibt die Längsrichtung des Langtriebes an, woran dieser Kurztrieb sass. .3. Basilarglied eines Astes von Eupt. Harv., perspectivisch dargestellt, um die Entstehung der Rinde zu erläutern. Fig. 4. (Vergr. eirca 300.) Ein Bruchstück von Ptil. plum. mit Anfängen stamm- und astbürtiger Rinde. Fig. 5. (Vergr. 500.) Rindencomplex von Ptil. plum. a (schraffirt) stammbürtige Rinde. ««' (weiss gelassen) aus Zelle a«' Fig. 4 hervorgegangen astbürtige Rinde. Taf. 1. Ptilota plumosa. (Ag.) Cramer. Fig. I a, b, e. (Vergr. 330.) Drei Bruchstücke eines 29gliedrigen, noch continuirlich FE g- fortschreitende Astbildung zeigenden Langtriebes von Ptil. plum. Exemplar B. Verg!. pag. 14, Zeile 11 von unten. Die stammbürtige Rinde wurde schraffirt. 2. Schematische Darstellung eines üppigen Sprosses derselben Pllanze mit 22 Primanästen ‚p—22p- Siehe pag. 14, Zeile 3 von oben. — Fig. la, b, c stellt den 5. Primanast von P. (Fig. 2) in 3 Bruchstücken dar. Fig. 3. (Vergr. 10.) Schematische Darstellung eines kümmerlichen Sprosses von Ptil. = Fig Fig Fig Fig Fig. plum. Exemplar N. Vergl. pag. 13. Zeile 13 von oben. .4 a—e. (Vergr. 330.) Stammbürtige Rinde von 5 successiven Langtriebgliedern von Exemplar G. . 5. (Vergr. 330.) Spitze eines Langtriebes von Exemplar E, mit 2 Primanästen 2p- ee Taf. II. .1—3 Ptilota plumosa. (Ag.) Cramer. — Fig. 4,5 Pterota plumosa. mihi. .6 Pterota densa. (Ag.) Cramer. — Fig. 7 Pterota Californica. (Rupr.) Cramer. 1. (Vergr. 330.) Spitze eines üppigen Langtriebes von Ptil. plum. Exemplar B, mit 6 Primanästen ;p— sp. Die stammbürtige Rinde wurde schraffirt. — « ein Basilarast, der einen Berindungsfaden erzeugt. Vergl. pag. 17, Zeile 16 v. oben. Fig. 2 und 3. (Vergr. 330.) Spitzen von Langtrieben von Ptil. plum. Exemplar E. Die stammbürtige Rinde ist ebenfalls schrafüirt. — ‚p ap - - - - Primanäste. Fig. - DM — ig. 4. Schematische Darstellung der Anordnung unächter Adventivlangtriebe bei Pterota plum. .5. Schematische Darstellung der Anordnung der Fruchtäste bei Pterota plum. — p pp Primanäste (begrenzt). . 6. (Vergr. 50.) Ein noch nicht ausgewachsener, aussen scharf gezähnter, innen mit einer Reihe keuliger Fruchtäste besetzter Kurztrieb von Pterota densa. . 7. Schematische Darstellung der Anordnung der unbegrenzten Adventiväste bei Pter. Californica. — p p Primanäste, begrenzt, mit einzelnen unächten Adventiv- ästen innen an der Basis; k s knotenständige Secundanäste, unbegrenzt, mit bis 3 unächten Adventivästen innen und aussen an der Basis; is internodiale Se- cundanäste, unbegrenzt, mit ächten Adventivästen zwischen sich. r Taf. IV. .1—3 Pterota plumosa var. superba. mihi.— Fig. 4—6 Pterota plumosa. mihi. — Fig. 7 Pterota plumosa var. vulgaris. mihi. . 1. (Vergr. 460.) Spitze eines üppigen Langtriebes von Pterota plumosa var. su- perba mit 4 Primanästen. .2a. (Vergr. 460.) Spitze des 18. Primanastes jenes Langtriebes, von oben ge- zählt. Siehe pag. 33, Zeile 5 von unten. .2b. (Vergr. 460.) Der 24. Ast der Aussenseite des Kurztriebes, dessen Spitze 2 a zeigte, sammt dem Stück der‘Hauptaxe, woran dieser secundäre Kurztrieb sitzt. Der aus dem Basilarglied des in dieser Figur vollständig dargestellten, oben deutlich gefiederten secundären Kurztriebes hervorgegangene Rindencomplex ist mit punktirten Linien eingefasst und hat bei Entwerfung von Fig. 6 als Vor- lage gedient. Siehe pag. 34, Zeile 5 von oben bis 2 von unten. } 2 ce. (Vergr. 460.) Berindung der hintern Seite dieses Basilargliedes, sowie des Basilargliedes des nächst untern secundären Kurztriebes. Siehe pag. 34, Zeile 1 von unten bis pag. 35 Zeile 16 von oben. . 3. (Vergr. 460.) Spitze eines andern Langtriebes von Pter. plum. var. superba, mit 5 Primanästen. F ig. 4, 5, 6. Schematische Darstellung der Entwickelung der astbürtigen Rinde von Pter. plum. Vergl. pag. 30, Zeile 12 von unten bis pag. 33 Zeile 10 von unten. . T. (Vergr. 330.) Drei Zähne eines Kurztriebes von Pter. plum. var. vulgaris. Der mittlere ist im Begriff sich zum Fruchtast auszubilden. 16 = = Taf. V. Fig. 1— 3 Pterota plumosa var. ramosa. mihi. — Fig. 4. 5 Pter. plum. var. vulgaris. mihi. Fig. 1. (Vergr. 460.) Spitze eines Langtriebes von Pter. plum. var. ramosa. Fig. 2. (Vergr. 460.) Knotenständiger Secundanast derselben Pflanze, bereits interpo- nirende Astbildung und den ersten Primanast aussen zeigend. ie. 3. (Vergr. 460.) Spitze eines sehr üppig vegetirenden Langtriebes der gleichen Pflanze, mit 12 Primanästen ;, p — ı2 p- Vergl.pag. 35. Zeile 16 von oben bis pag. 38, Zeile 7 von unten. ig. 4 — 5. (Vergr. 460.) Spitzen zweier Langtriebe von Pterota plum. var. vulgaris und zwar Fig. 4 von Exemplar E, Fig. 5 von Exemplar C. ds = iD) e-] 19 Taf. VI. Fig. 1— 3 Pterota plumosa var. superba. mihi. — Fig. 4 Pterota plumosa var. ramosa. mihi. — Fig.5 Pterota plumosa var. vulgaris. mihi. — Fig. 6 Pterota Californica. (Rupr.) Cramer. Fig. 1. (Vergr. 100.) p doppelt gefiederter Primanast. ks erst einfach gefiederter Secundanast des nächst obern Knotens eines jungen Langtriebes von Pterota plum. var. superba. Fig. 2. (Vergr. %.) Zwei’ ganz ausgewachsene, kammförmig verzweigte Kurztriebe derselben Pflanze. Der obere vollständig gezeichnete hat auf der Innenseite einen. der untere, abgebrochen dargestellte. 3 unächte Adventivlangtriebe (adv. erzeugt; der oberste der letztern ist am kräftigsten. Fig. 3. (Vergr. 50.) Ein opponirt sägespaltiger Kurztrieb von Pterota plum. var. su- perba. — Fig. 1 — 3, Primanäste desselben Exemplares darstellend. zeigen. wie sehr deren Gestalt wechselt. t Fig. 4. (Vergr. 20.) Stück eines Langtriebes von Pter. plum. var. ramosa, mit 2 nur angedeuteten knotenständigen Secundanästen k s und 2 zu Kurztrieben gewordenen Primanästen, von denen ‚p vollständig gezeichnet wurde und innen einen un- ächten Adventivast trägt. Fig. 5. (Vergr. 25.) Kurztrieb von Pter. plum. var. vulgaris, opponirt sägespaltg. mit einem unächten Adventivlangtrieb innen, adv. Ein Zahn des Kurztriebes ist gesägt. " Fig. Fig. 0 6. (Vergr. 25.) Stück eines Langtriebes von Pter. Calif., mit einem fein gesägten Kurztrieb p, der an der Basis einen noch sehr kleinen unächten Adventivlangtrieb trägt (adv.), ferner mit einem p opponirten zum kräftigen Langtrieb gewordenen knotenständigen Secundanast ks, 4 noch kleinen internodialen Seeundanästen is und einem noch sehr kleinen ächten Adventivast zwischen ks und dem obern internodialen Secundanast der Contraprimanseite (adv.) Taf. Vl. g.1—5 Pterota densa. (Ag.) Cramer. — Fig. 6— 10 Pterota asplenioides. (Ag.) Cramer. ig. 1. (Vergr. 460.) Adventivlangtrieb von Pterota densa mit 4 Primanästen. .2 und 3. (Vergr. 460.) Spitzen von Langtrieben derselben Pflanze. .4. (Vergr. circa 2/2.) Etwas schematisirte Darstellung der Sprossfolge von Pter. densa. Siehe pag. 43, Zeile 17 von oben bis pag. 45, Zeile 9 von oben. Was schraffirt wurde, ist zweijährig, das Uebrige einjährig. — 11 zweijähriger pri- märer Langtrieb, mit 5 zweijährigen Kurztrieben (‚p —;p) und ebenso vielen zweijährigen knotenständigen Langtrieben (‚1 —;Il), von denen aber nur einer ausgeführt wurde. a schwächerer zweijähriger secundärer Langtrieb, entstanden aus dem obern internodialen Secundanast der Contraprimanseite des zugehörigen Internodiums. b ein einjähriger seeundärer Langtrieb, hervorgegangen aus dem untersten internodialen Secundanast der Contraprimanseite des betreffenden In- ternodiums. Der geringen Dimensionen der Figur halber wurden bei b, ebenso bei den tertiären Langtrieben (ausgenommen ;Ill). endlich bei den Adventiväsien (adv.) nur die Primanäste angedeutet. g. 5. (Vergr. 85.) Pterota densa. — p aus einem Primanast hervorgegangener Kurz- trieb mit einem Fruchtast und zwei kleinen unächten Adventivlangtrieben. — k knotenständiger Secundanast, zum Langtrieb geworden, mit 4 Primanästen, deren erster nach aussen schaut, und eine Reihe von Fruchtästen auf der Innen- seite des Basilarinternodiums. — ii internodiale Secundanäste, von welchen der obere zum Fruchtast geworden, während der untere deutlich ‚interponirende Verzweigung und bereits 3 Primanäste zeigt. — adv. ächte Adventivlangtriebe der Contraprimanseite, zum Theil bereits mit interponirender Astbildung. 6. (nat. Grösse.) Stück eines primären zweijährigen und daher schraffirten Lang- triebes von Pterota asplenioides, mit alternirenden Kurztrieben und meist büschel- Fig. Fig. Fig. Fig. = föormig am untern Ende der Contraprimanseiten inserirten, einjährigen, secundären Langtrieben, von denen bloss 4 genauer ausgeführt, die übrigen durch einfache Linien von verschiedener Länge, je nach der Grösse der secundären Langtriebe dargestellt sind. Vergl. pag. 47, Zeile 15 von oben. . 7, 8, 9. (Vergr. 460.) Adventivlangtriebe von Pterota asplenioides. . 10. (Vergr. 25.) Kurztrieb von derselben Pflanze, ausgezeichnet durch die stär- kern Zähne des Innenrandes. Taf. VII. g.1—3 Pterota Californica. (Rupr.) Cramer. — Fig. 4— Il Bonnemaisonia asparag oides. (Ag.) Cramer. ig. 1. (Vergr. 460.) Spitze eines Langtriebes von Pter. Calif. . 2. (nat. Grösse.) Bildliche Darstellung der Sprossfolge dieser Pflanze. Die inter- nodialen und Adventiväste der Hanptaxe wurden weggelassen, von den secun- dären Langtrieben nur einer ausgeführt, aber auch an diesem bloss die knoten- ständigen Aeste gezeichnet. h Haftscheibe. 3. (Vergr. 460.) Spitze eines andern Langtriebes von Pter. Calif. 4. (Vergr. 460.) Scheitel eines Langtriebes von Bonnemaisonia asparagoides mit Primanästen vom 2.obersten, mit Secundanästen vom 4.obersten Glied an. Die successiven Üentralzellen der Hauptaxe wurden schraffirt. Die Centralzellen der Kurztriebe sind mit Ausnahme der Glieder x x x nicht zu sehen.. weil die Wände, wodurch die rudimentären secundären Kurztriebe aussen, und die pri- mären Rindenzellen der innern Seite abgegrenzt wurden, sich in der Mediane des Gliedes berührten. Das Basilarglied der 3 untersten Secundanäste ist bereits so stark entwickelt, als das Basilarglied der opponirten Primanäste. 5. (Vergr. 460.) Spitze eines andern Langtriebes mit Primanästen vom 2.-, mit Secundanästen vom 6.obersten Gliede an. Vergl. die Erläuterung von Fig. 4. 6. (Vergr. 460.) Drei successive Langtriebglieder mit alternirenden Secundan- ästen sss. Ihre Basilarglieder sind so stark entwickelt wie die Basilarglieder der opponirten Kurztriebe. Die Scheitelzelle des untersten Langtriebes ist im Begriff, sich in einen Keimbehälter zu verwandeln. Vom untersten Kurztrieb sind bloss 5, vom zweiten 2, vom dritten 3 Glieder dargestellt. Die Centralzellen der 3 Glieder der Hauptaxe, sowie der Kurztriebglieder waren in der Rinde verborgen und konnten daher nicht gezeichnet werden. = =) - m = ig. 7. (Vergr. 460.) Ein Langtriebglied mit einem Secundanast rechts, der offenbar auf dem 4. Glied den ersten Primanast trägt und einem Primanast links, von dem jedoch bloss die 3 untersten Glieder dargestellt wurden. Auch hier waren die Centralzellen von der Rinde verhüllt. ig. 8. (Vergr. 460.) Ein ähnliches Präparat. Vom Primanast links wurden 5 Glieder abgebildet, die äussere Berindungshälfte der obern 2 war undeutlich, daher die beiden Fragezeichen. Die Centralzelle des Gliedes der Hauptaxe war sichtbar und wurde wieder durch eine leichte Schraffirung ausgezeichnet. Der Secundanast rechts ist entschieden zum Langtrieb mit interponirender Astbildung geworden. In Betreff seines Basilargliedes siehe pag. 60 Anm. Das 2. und 3. Glied verhielt sich ganz wie eines der untersten Glieder von Kurztrieben, das 4. und 5. trägt auf der äussern Seite einen Kurztrieb. Derjenige des 5. ist als erster Primanast aufzufassen. Von da an haben sich bereits 3 alternirende Primanäste und dem- jenigen des 6. Gliedes gegenüber ein Secundanast gebildet. Fig. 9 a, b; 10 a, b. Schematische Darstellung der Rindenbildung an Kurztrieben. Siehe pag. 54 — 59. Fig. 11 a, b. (Vergr. ?) Centralzelle eines Langtriebgliedes mit den Basilargliedern ihrer 2 opponirten Aeste, und den Zellen, die auf diesen Basilargliedern sitzen, zur Erläuterung der Anordnung der Poren. Vergl. pag. 61 — 62. Taf. IX. Fig. 1— 12 Bonnemaisonia asparagoides. (Ag.) Cramer. — Fig. 13, 14 Chondrodon Suhrii. (Kg.) Cramer. Fig. 1— 9. Zur Entwickelungsgeschichte der Rinde der Kurztriebe von Bonne- maisonia asparagoides. Siehe pag. 57, Zeile 10 von unten bis 59, Zeile $ von oben. — Fig. laa’, 2a,3 a, 4a,5a, 6a, 7, S, 9 sind 460 Mal vergrössert. — Fig. 1 bb‘, 2b, 3b, 4 b, 6 b schematisch. Fig. 10. (Vergr. 50.) Ausgewachsener Keimbehälter derselben Pflanze. Fig. 11. (Vergr. 230.) Eine Keimzelle von Bonnemaisonia im Begriff zu keimen. Fig. 12. (Vergr. 460.) Junger Keimbehälter vor dem Hohlwerden. Fig. 13. (Vergr. 5.) Chondrodon Suhrii mit Lang- und Kurztrieben, die von zarten Nerven durchzogen werden. Da und dort sind kugelige Keimbehälter sichtbar. Fig. 14. (Vergr. 460.) Stammspitze derselben Pflanze, mit Primanästen vom 2.-, Se- cundanästen vom 4.obersten Gliede an abwärts. Von den erstern ist der 2.unterste a == (sp) zum Langtrieb geworden, während die übrigen sich ohne Ausnahme in Kurztriebe zu verwandeln scheinen. Von den Secundanästen sind bloss die 5 obersten, auf dem 4. bis 8. Gliede von oben noch zu sehen. sie alterniren. Die übrigen sind mit der Basis je des nächst obern und nächst untern Primanastes verschmolzen und nicht mehr zu erkennen. Tai. Fig. 1—7 Euctenodus Labillardieri. (Kg.) Cramer. — Fig. 8 — % Spyridia filamentosa. /Harv.) Cramer. Fig. 1. 'Vergr. 150. Stück eines Durchschnittes durch einen Fruchtast von Euctenodus Lab. mit einer mit Sporen und Paraphysen erfüllten Höhlung. Fig. 2, 3. 5 — 7. |Vergr. 1000.) Verschiedene Stadien von Sporenmulterzellen dieser Pflanze. Fig. 4. (Vergr. 300.) Stammspitze von Euct. Lab. mit einer deutlichen Scheitelzelle, 2 noch ungetheilten. aber abwechselnd nach rechts und links vorgezogenen Gliederzellen, 2 erst gegliederten Primanästen, deren jedem ein noch einzelliger Secundanast gegenübersteht, und 3 weitern Primanästen, von welchen nur die Umrisse gezeichnet werden konnten. Die einzelnen Zellen der Basis des 4.un- tersten Primanastes konnten ebenfalls nicht gezeichnet werden. Die den untern 3 Primanästen opponirten Secundanäste waren in der Masse der Zellen ver- borgen. Fig. 5. (Vergr. 200.) Stück der Rinde eines Langtriebes von Spyrid. filam. — b Ba- silarglied eines Kurztriebes, zugleich erste primäre Rindenzelle 4. Grades des Langtriebgliedes, woran der Kurztrieb sass, mit 3 secundären Rindenzellen U, II, U. Fig. 9. (Vergr. 500.) Spitze eines Langtriebes derselben Pflanze mit einer Reihe von Aesten, deren 3.unterster wahrscheinlich zum secundären Langtrieb, die übrigen zu Kurztirieben werden. Die wahre Divergenz der Aeste kann hier nicht erkannt werden, da das Präparat, um gezeichnet werden zu können, etwas gepresst werden musste. c | Fig. 10. Ein Langtriebglied, durch Zerdrücken einer Stammspitze in chlorsaures Kali haltiger Salpetersäure isolirt und umgelegt, zeigt wie die primären Rindenzellen auf einander folgen und dass die erste derselben zunächst rechts und links je eine secundäre erzeugt (11). Fig. Fig. Fig. Fig. 11 und 12. (Vergr. 1000.) Eine der zweiten bis nten primären Rindenzellen eines Langtriebes von Spyr. fil., secundäre Rindenzellen erzeugend. 13 und 14. (Vergr. 400.) Je 2 successive Langtriebglieder mit ihren primären und secundären Rindenzellen. Das obere Glied von Fig. 13 trägt links einen Kurztrieb. Der Ast des untern Gliedes war abgekehrt. In Fig. 14 sind an beiden Gliedern Aeste sichtbar. Sie liegen nicht genau am Rande, sondern schauen etwas nach vorne. — bb Basilarglieder der Kurztriebe, ohne Berindung am obern Ende. 15. (Vergr. 200.) Zweigliedriges Stück eines Langtriebes von Spyr. filam., mit den 3 untersten Gliedern eines unbegrenzten Astes. — I [I primäre, ITITII se- cundäre Rindenzellen.-- Das Basilarglied des secundären Langtriebes (B) hat keinen Kranz von Rindenzellen hervorgebracht, sondern wird von den Verlängerungen der secundären Rindenzellen des nächst obern Gliedes überwachsen. Die Hauptaxe trägt 2, der Asteinen Kurztrieb. Die Basilarglieder dieser (b b) haben ebenfalls keinen Berindungskranz hervorgebracht. . 16. (Vergr. 400.) Drei successive Langtriebglieder mit ihren primären und secun- dären Rindenzellen, das unterste trug rechts, das oberste links, das mittlere auf der abgekehrten Seite einen Kurztrieb. — I1 primäre Rindenzellen. Einzelne secundäre haben bereits kleine tertiäre erzeugt. g. 17. (Vergr. 200.) Stück der Berindung der untersten 3 Glieder eines ältern Langtriebes. — I primäre, II secundäre, Ill tertiäre Rindenzellen. Die primären und ersten secundären Rindenzellen des 2.untersten Gliedes sind schraffirt. Das Basilarglied hat auch hier keinen Berindungskranz erzeugt. Vergl. übrigens pag. 73, Zeile 13 von unten bis pag. 74, Zeile 2 von oben. g. 18. (Vergr. 200.) Stück eines Querschnittes durch einen Langtrieb. — CZ Cen- tralzelle des Gliedes, II secundäre, II tertiäre Rindenzellen. — Vergl. pag. 74, Zeile 4 — 7 von oben. g. 19. (Vergr. 40.) Längsschnitt durch einen Langtrieb, an der Abgangsstelle eines secundären Langtriebes. C Z Centralzelle, I primäre Rindenzellen. Die Rinde ist im Vergleich mit der Centralzelle sehr dünn. 20. Schematische Darstellung der Divergenz des ersten Astzweiges. Siehe pag. Tl, Zeile 15 — 22. Fig. Fig. Fig. 18 — Taf. XI. .1— 12 Spyridia filamentosa, (Harv.) Cramer. — Fig. 13 Spyrid. aculeata. (Ag.) Cramer. — Fig. 14 Herpoceras australe. mihi. „1. Vergr. 200.) Ein Kurztrieb. von Spyr. filam., der einen Adventivkurztrieb erzeugt hat. .2. (Vergr. 330.) Basis eines Kurztriebes. Das Basilarglied trägt keinen Berin- dungskranz, dagegen die beiden folgenden. . 3. (Vergr. 500.) Ende eines abgebrochenen Kurztriebes, mit einem in der Mitte der ‚Endfläche inserirten Adventiv-Kurztrieb. .4— 3. (Vergr. 500.) Verschiedene Entwickelungsstadien von aus je einer pri- mären Rindenzelle von Kurztriebgliedern hervorgegangenen Zellcomplexen. . 9. (Vergr. 330.) Basis eines Kurztriebes mit wirtelig gestellten, zum Theil bereits tedraedrisch getheilten Sporenmutterzellen. Die vertieal schraffirten Zellen sind dem Beschauer zu-. die horizontal schraffirten abgekehrt, die schief schraffirten liegen am Innenrand oder schon etwas nach hinten. . 10. (Vergr. 330.) Eine getheilte Sporenmutterzelle, etwas gedrückt. Von den keimenden Sporen lässt eine bereits einen Scheitel erkennen. ' ig. 11. (Vergr. 500.) Eine primäre Rindenzelle eines Langtriebes mit 3 secundären am untern und einem Adventivlangtrieb am obern Ende. . 12. (Vergr. 500.) Weiter vorgerücktes Stadium eines Adventivlangtriebes. . 13. (Vergr. 330.) Ende eines Kurztriebes von Spyridia aculeata. . 14. (Vergr. 150.) Herpoceras australe. — adv. Adventiväste. — h'h Haftorgane. Taf. XIL Herpoceras australe. mihi. 1. (Vergr. 50.) Ende eines noch sterilen Exemplares. — s Scheitelzelle der Hauptaxe. 2. (Vergr. 50.) Stück eines Keimfruchtexemplares. Glied x trägt 5 Hüllstrahlen. Das nächst obere mit dem Keimhäufchen ist wie die folgenden viel kleiner als die vorhergegangenen. — s Scheitel der Axe, welcher die Keimfrucht angehört. rr Normaläste derselben. 3. (Vergr. 80.) Stück eines Keimfruchtexemplares mit 2 alternirenden Keimhäuf- 129 chen. Das untere derselben ist von den Hüllstrahlen bedeckt, das obere dagegen deutlich, — x ‘x Glieder, welche die Hüllstrahlen tragen. . 4. (Vergr. 84.) Stück eines Antheridiumexemplares. Das Ende des untersten Astes erscheint in Folge der dicht gedrängten Samenbläschen fein punktirt; die Enden der übrigen Aeste waren, so weit ihr Rand punktirt ist, ebenfalls von Samenbläschen bedeckt. — adv. Adventiväste. .5, 6. (Vergr. 460.) Entwickelung der Antheridien. — I primäre Rindenzelle. .T— 12, 14. (Vergr. 460.) Verschiedene Stadien von Rindencomplexen, wie sie entstehen können aus der 2. bis nten primären Rindenzelle internodialer, sowie der 3. bis nten primären Rindenzelle von Knotengliedern. 11 primäre, II II se- eundäre Rindenzellen. .13 und 15. (Vergr. 460.) Verschiedene Stadien von Rindencomplexen, wie sie entstehen können aus der ersten primären Rindenzelle internodialer Glieder. selten auch aus den übrigen primären Rindenzellen internodialer, sowie der 3. bis nten primären Rindenzelle von Knotengliedern. Die römischen Ziffern haben dieselbe Bedeutung wie oben. Taf. XI. Fig. 1—7 Herpoceras australe. mihi. — Fig. 5 Spyridia filamentosa. (Harv.) Cramer. Fig. 1, 2. (Vergr. 460.) Zwei Rindencomplexe, hervorgegangen aus der 1. oder 2. primären Rindenzelle eines Knotens. Fie. 3. (Verer. 460.) A Rindencomplex, hervorgegangen aus der ersten primären > \ > ’ Stesdus Rindenzelle eines internodialen Gliedes. — B zwei Rindencomplexe, von welchen derjenige rechts, senkrecht über A stehend, ebenfalls aus der ersten primären Rindenzelle des Gliedes, derjenige links dagegen aus der 2. oder 3. entstanden ist. — C drei Rindeneomplexe, von welchen der mittlere, senkrecht über A und der rechten Hälfte von B, aus der ersten primären Rindenzelle des Gliedes, die andern aus der 2. und 3. entstanden sind. — D wahrscheinlich ebenfalls aus der ersten primären Rindenzelle des Gliedes entstandener Rindencomplex und nur 4 secundäre Rindenzellen tragend, weil mit einem Hüllstrahl für das Keimbäufchen des nächst obern nicht dargestellten Gliedes versehen. Der Hüllstrahl sitzt deut- lich auf der primären Rindenzelle fünften Grades und tritt nicht zwischen den secun- 17 Fig. ZH dären Rindenzellen, sondern hinter den beiden obern derselben heraus. Die ganze Figur stellt das Präparat von innen gesehen dar. .4. 5. (Vergr. 460.) Zwei primäre Rindenzellen mit je einem jungen Hüllstrahl und 2 bis 3 secundären Rindenzellen, welche tertiäre tragen ete. Auf die Glieder, welchen diese primären Rindenzellen angehörten, folgten andere mit je einer Keimfrucht. ig. 6. (Vergr. 80?) Stück einer alten Partie der Pflanze, um das Verhältniss zu zeigen. in welchem später der Berindungskranz zur Centralzelle steht. . 7. (Vergr. 460.) a Rindencomplex, hervorgegangen aus der 1. oder 2. primären Rindenzelle eines Knotens. — b vollständiger, ce nur zum vierten Theil sicht- barer Rindencomplex, aus benachbarten primären Rindenzellen desselben Gliedes entstanden. 8. Schematische Darstellung eines grössern Stückes von Spyridia filamentosa. — 11 bedeutet. dass der betreffende Langtrieb linksdrehend war, rr umgekehrt, dass er rechtsdrehend war. — Er Er INHALT. Euptilota Harveyi. (Kg.) Cramer Ptilota plumosa. Cramer Pterota plumosa. Cramer » densa. (Ag.) Cramer » asplenioides. ( (Ag.) Cramer » Californica. (Rupr.) Cramer Bonnemaisonia asparagoides. (Ag.) Gamer Euctenodus Labillardieri. (Kg.) Cramer Chondrodon Suhrii. (Kg.) Cramer Spyridia filamentosa. (Harv.) Cramer » aculeata (J. Ag. Spec.) Cramer Herpoceras australe. Cramer Zur Lehre von der Verzweigung, insbesondere der Florideen Entstehung der Normaläste > Priman- und Secundanastbildung 2 Entstehung der Abnormal- oder Adventiväste Die unächte Rinde bei Florideen Zur Systematik der Ceramiaceen mit thallomatischer Rinde a. Geramiaceen ohne interponirende Verzweigung 1. Fam. Ceramieen . Fam. Spyridieen ee b. ee mit Interpöntrender Verzyeisune 3. Fam. Ptiloteen (Euptilota, Ptilota, Pterota) 4. Fam. Bonnemaisonieen (Chondrodon, Bonnemaisonia, Enotehodus) Erklärung der Tafeln Pag- 1-5 6—24 25—12 32 —16 16—48 1952 52—64 6166 66-69 69—75 75—76 76—84 s1—95 s1—90 87—90 90—95 95—103 103—118 103—106 103—105 105-106 106—118 106—115 115—118 119—130 Z* : ra Aa ie ae ui A ber. | ED were a F} k An TIRURE: © ce is u, ufr Der T f sl nee „run vo” mine u ee -2 z T- WB) Ss ur An ee a ZUR w—. . : . N en r N re I. u raum ni | 2au28- , / pe Ps “mac es lit Hm Enz ES IR „r Sein) + a Are Den PTBRE VE pe Glbihly ww. er ar ehe } 7 7 Zn 0 i + Ps u FT Ta TR r .. "ve h A) Kan in 3 “ag . A k ; r un) (if RL an li 2-13 R : 2, - n . . end) 1 eier ern m... w. VE! PEOAg TH ZEr,E bat nabenpond> Rn aut area ser En 27002 { We or reden en | . may) kg aA LU anlume Fu £ 43-9 . r d } ; : + 2 : 5 R u limtine —.H | ’ N + + = aaa ah ohren uw ah wor vr iR ai u Fa SE! 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