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BAILLIÈRE ET FILS 1908 NADENS SUR HAMÉQUES UNIONIDES (MOLLUSQUES PÉLÉCYPODES) DE LA NORMANDIE (Avec 4 planches en photocollographie et 17 figures dans le texte) Par Louis GERMAIN INTRODUCTION Les trop nombreuses espèces établies par BourauIGNar et les auteurs de son école ont rendu extrèmement pénible l'étude des Unionidés de la Faune francaise. Le moment n'est pas encore venu de présenter une révision complète de cette importante famille de Pélécypodes, mais les matériaux que j'accumule depuis quelques années, et l'étude de la collection A. Locard, que je poursuis méthodiquement, me permettront sans doute de l’entreprendre d'ici quelques années. Cependant, les documents amassés par M. Henri GADEAU DE KERVILLE, en vue de la rédaction de son impor- tante Faune de la Normandie, m'ont mis à même de fixer la valeur d'un certain nombre de types d'Unios, d'Ano- dontes et de Pseudanodontes. Grâce à l'amabilité et à la 9* — 138 — générosité bien connues du savant naturaliste rouennais, j'ai pu figurer les plus intéressants de ces types et les ratta- cher, pour la plupart, à des espèces déjà décrites. J'espère que cette première contribution à la révision des Pélécypodes d'eau douce de notre Faune française apportera — pour les groupes étudiés ici — un peu de clarté dans le chaos des quelques 530 espèces de Naïades jusqu'ici signalées dans nos rivières. 10 septembre 1908. 1! Sur quelques formes normandes de Ll'UNIO TUMIDUS Philippsson L'Unio tumidus Philippsson (p!. V, fig. 2) est une coquille de grande taille, — elle atteint jusqu'à 80 millimètres de lon- gueur —ovalaire-allongée, médiocrement renflée, caractérisée par une région antérieure courte, subarrondie, et une région postérieure deux fois et aemie plus longue, se terminant par un rostre infra-médian un peu obtus. Cette espèce, communément répandue dans les fleuves et les rivières de notre pays, surtout dans le Nord et l'Est, est, comme tous les Unios, extrêmement polymorphe. Ce poly- morphisme porte principalement sur l'allongement plus ou moins grand de la coquille qui, très-raccourcie, prend une forme subtriangulaire | Unio catinulus Locard (fig. 4), Unio Heckingi Colbeau (fig. 5)], ou, très-allongée, un =. + Fig. 1. Unio aldemaricus Locard. La Rille, à Pont-Audemer ( Eure ); grandeur naturelle. Collection A. LocarD, au Muséum de Paris. galbe cunéiforme parfaitement net | Unio lacrymiformis Locard ( pl. VI, fig. 2)]. — 140 — Lorsqu'on étudie les échantillons de la collection A. Lo- cARD recueillis en Normandie, on constate facilement que Fig. 2. Unio alpecanus Bourguignat. Rivière de Montagu { Vendée); grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. tous les modes de l'Unio lumidus ont reçu un nom spéci- fique particulier. Ce sont pourtant les formes elala qui ont fourni le plus d'espèces soit-disant nouvelles. Je vais passer en revue celles que je puis, en toute certitude, rapporter à l'Unio lumidus. L'Unio bardus Bourguignat (pl. VI, fig. 1) et l'Unio al- demaricus Locard (fig. 1) sont deux coquilles absolument synonymes et entre lesquelles on ne saurait trouver la plus petite différence ; dans la collection A. Locarp, on peut inter- changer les exemplaires, c'est-à-dire que les valves d'Unio bardus se superposent exactement aux valves correspon- dantes de l'Unio aldemaricus. Ces deux Mollusques sont des formes allongées du type fumidus. L'Unio rothomagensis Locard (pl. VI, fig. 3) est égale- ment la même espèce; mais l'allongement est, ici, plus variable suivant les exemplaires considérés !. La diffé- 1. Locarp dit, à propos de l’U, rothomagensis : « Coquille .. assez allongée... », el, en ce qui concerne l’U. aldemaricus : « Goquille...très-allongée... ». [ Locarp (A ). — Conchyliologie française; les Coquilles des eaux douces et saumâtres ; 1893, p. 213]. Les exemplaires {ypes de sa collection ne permeltent pas de saisir ces différences. — 141 — rence avec les formes précédentes réside dans le bord infé- rieur plus arqué et le rostre sensiblement plus relevé ; donc mêmes rapports qu'entre l’Unio rostralus de Lamarck et l’'Unio proechistus Bourguignat1 (pl. VI, fig. 4). L'Unio alpecanus Bourguignat (fig. 2) est si voisin de l’'Unio tumidus typique, que je n'ai pu discerner en quoi il en diffère. Il y a certainement plus d'écart de formes entre les échantillons appelés {umidus qu'entre ces derniers et les spécimens nommés alpecanus. L'Unio pictus Beck (pl. V, fig. 5) est absolument la forme précédente, mais un tiers plus petite. Le maximum d’allongement est fourni par l'Unio lacry- miformis Locard (pl. VI, fig. 2), coquille dont le rostre est souvent anomal. Le type, qui provient de la Seine, aux en- virons d'Elbeuf, présente un bord inférieur assez souvent sinueux. Ce caractère n'est d’ailleurs pas constant. Tel est le cas de cet Unio du canal de l'Ourcq, près de Paris, nommé Unio lacrymiformis (variété) par Locarp lui-même, et qui est un Unio tumidus absolument typique. Quant à l'allonge- ment de la coquille, il n'y a pas lieu de s'y attacher davan- tage ; la collection du Muséum renferme un grand Unio de la Loire? que Locarp a étiqueté fumidus, et qui est plus allongé que n'importe quei échantillon d'U. lacrymiformis de sa collection. Les formes raccourcies sont tout d'abord représentées par l'Unio Giberti Locard ( pl. V, fig. 4), qui est, de plus, une mutation minor. 1. L'Unio proechistus Bourguignat ( Aperçu sur la faune mala- cologique du bas Danube; Annales de Malacologie; 1, 1870, p. 69) ne difière, en effet, de l’Unio rostratus que par son bord inférieur plus convexe et son rostre plus ou moins retroussé. Ces carac- tères, d’ailleurs purement individuels, varient dans de grandes proportions suivant les individus considérés. 2. La localité précise n'est pas indiquée. — 142 — L'Unio tumidulus Locard (pl. V, fig. 1), plus nettement abbreviata, est, en outre, fort souvent globuleux-ventru f. Fig. 3. Unio conus Spengler. L'Eure, à Evreux (Eure); grandeur naturelle. Collection A. Locarb, au Muséum de Paris. Enfin, €ée caractère atteint son maximum avec l'Unio co- nus Spengler (fig. 3), que l'on peut considérer comme un Unio lumidus très-raccourci. Je ne parlerai pas plus longuement des Unio catinulus Fig. 4. Unio catinulus Locard. ; La Seine, à Elbeuf (Seine-Inférieure) ; grandeur naturelle. Collection À. Locarp, au Muséum de Paris. Locard (fig. 4) et Unio Heckingi Colbeau (fig. 5) de la Seine, aux environs d'Elbeuf, Ce sont des exemplaires pathologi- 1. Celle forme est plus particulièrement répandue dans les canaux el les rivières du nord de la France. Elle présente, du reste, tous les intermédiaires avec le type tumidus. — 143 — ques d’une espèce très-difficile à déterminer exactement, mais se rattachant fort étroitement à l'Unio tumidus. Il en L Fig. 5. Unio Heckingi Colbeau. La Seine, à Elbeuf (Seine-Inférieure) : grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. est de même des Unio Levoilurieri Locard et Unio elbo- viensis Locard', qui sont des Unio tumidus monstrueux ayant pris un galbe subpentagonal plus ou moins net; mais, tandis que le premier correspond à un mode elongatus, le second se rattache au mode abbrevialtus. On voit, par ce qui précède, combien de fausses espèces, décrites sur des caractères absolument insuffisants, ou même sur des échantillons anomaux, doivent être rapportées à l'Unio tumidus dont la synonymie s'établit comme suit : Unio tumidus Philippsson. 1788. Unio tumidus PniLippssoN, Dissertatio hist.-natur. nova Tes- tac. genera ; p. 17. 1802. Mya ovata Donovan, History of Brit. Shells: pl. CXXIT, fis71 1823. Unio lumidus RossMAssLER, Iconogr. der Land-und Süssuw. g Mollusk.; XII, p. 27, taf. XVI, fig. 204. 1. De la Seine, aux environs d’Elbeuf, 1827. 1833. 1836. 1838. 1840. 1852. 1859. 1864. 1868. 1881. 1882. 1882. 1882. 1882. 1889. 1889. 1889. 1889. _ 1889. 1889. 1889. 1889. 1893. 1893. res Unio rostrata WAARDENDURG, Mollusques Belgique ; p. 36. Unio inflata HÉcarT, Mém. Soc. Agric. Valenciennes ; 1, p. 245. Unio tumidus RossMASSLER, loc. cit. ; laf. XIV, fig. 203. Unio tumidus RossMassLEr, loc. cit.; laf. XL, fig. 541. Unio tumidus RossmasSLER, loc. cit. ; taf. LX, fig. 773. Unio tumidus Dupuy, Hist. Mollusques terr. et fluv. de France; p. 655, pl. XX VIII, fig. 20. Unio tumidus Forges et HANLEY, History of British Mollusea ; Pl XL; fes d: Unio tumidus var. picta Mürch, Synops. Molluscorum terr. fluv. Daniæ ; p. TT. Unio tumidus var. Heckingi Colbeau, Mém. Soc. malacol. Belgique ; II, pl. IV, fig. 1. Unio bardus BouRGUIGNAT, in : SERVAIN, Hist. malacol. lac Balaton ; p. 98. Unio bardus LocarD, Prodrome Malacol. franç.; p. 299. Unio tumidus Locarp, loc. cit.; p. 299. Unio alpecanus Locarp, loc. cit.; p. 285 et 355. Unio Heckingi Locarp, loc. cit.; p. 299. Unio bardus Locarp, Contributions à la faune malacologique française; XIII, Révision des espèces françaises apparte- nant aux genres Margaritana et Unio; p. 69. Unio tumidus LocarD, loc. cit.; XIIT, p. 69 et 154. Unio tumidulus Locarp, loc. cit.; XIII, p. 10 et 155. Unio aldemaricus Locarp, loc. cit.; XIII, p. 70 et 156. Unio alpecanus Locarp, loc. cit.; XIII, p. 71. Unio pictus Locarp, loc. cit.; XIII, p. 71. Unio Giberti Locarp, loc. cit.; XIII, p. 25 et 85. Unio Heckingi Locarp, loc. cit.; XIII, p. 72. Unio elboviensis LocarD, Bulletin Soc. Étude Sc. natur. d’El- beuf; XII, p. 52. Unio Levoiturieri Locarp, loc. cit.; p. 55. — 145 — 1893. Unio catinulus Locanrp, loc. cit.; p. 58. 1893. Unio lacrymiformis Locarp, loc. cit.; p. 60. 1893. Unio tumidus LocarD, Conchyliologie française ; Coquilles des eaux douces et saumätres ; p. 212, fig. 225. 1893. Unio bardus LocarpD, loc. cit.; p. 2153. 1893. Unio tumidulus Locarp, loc. cit.; p. 213. 1893. Unio aldemaricus Locarp, loc. cit.; p. 213. 1893. Unio rothomagensis Locarp, loc. cit.; p. 213. 1893. Unio pictus Locanrp, loc. cit.; p. 214. 1893. Unio Giberti Locarp, loc. cit.; p. 215, fig. 227. 1893. Unio alpecanus Locarp, loc. cit.; p. 215. 1893. Unio elboviensis Locarp, loc. cit. ; p. 215. 1893. Unio Levoiturieri Locarp, loc. cit.; p. 216. 1893. Unio lacrymiformis Locarp, loc. cit. ; p. 216, fig. 298. 1893. Unio catinulus LocarpD, loc. cit. ; p. 217. 1893. Unio Heckingi Locarp, loc. cit. ; p. 217. Ainsi défini, l'Unio fuinidus présente d'étroits rapports, d'une part avec l'Unio rostralus de Lamarck, d'autre part avec l’'Unio maximus Môrch *. L'Unio rostratus, et toutes les formes qui en dérivent et qu'on doit lui rapporter comme synonymes *, se distingue 1. LAMARCK (DE). — Histoire natur. des animaur sans vertè- bres: NE /parte1 1819; p: 11. 2. Môürcu. — Moll. Suec. ; 1864, p. T8. 3. Comme, par exemple, l’Unio proechistus (BouRGUIGNAT, Annales de Malacologie ; T, 1870, p. 69) qui ne diffère que par son rostre plus ou moins relevé; l’Unio Perroudi (LocarD, Contribu- tions, etc.; XIII, 1889, p. 58 et 136) qui est un Unio rostratus absolument typique ; les Unio rostratellus (BouRGuIGNAT, in Locarp : Prodrome Malacolog. franç.; 1882, p. 297 et 365), Unio macropisthus (BouRGUIGNAT, in LocarDp : Contributions, etc. ; XIII, 1889, p. 66 et 152); elc. — 146 — surtout par sa forme beaucoup plus étroitement allongée et son rostre plus effilé. L'Unio maximus (pl. V, fig. 3), plus court que l'espèce précédente, constitue, à ce point de vue, un intermédiaire entre elle et l'Unio fumidus, mais il est de taille beaucoup plus grande. Cependant ces trois espèces, que jJ'admets actuellement faute de matériaux suffisants pour trancher la question, présentent de remarquables analogies de forme et de colo- ration. Toutes trois possèdent une région antérieure extré- mement courte et des valves pesantes, ventrues-globuleuses. La forme normale serait alors représentée par l'Unio tumi- dus type; la forme abbreviata par les Unio fumidulus et Unio brevis, enfin, les formes elongata par l'Unio bardus (— Unio aldemaricus) passant directement — la taille mise à part — à l'Unio maximus qui, tout naturellement, nous conduit à l'Unio rostratus !. Le tableau suivant résume ces affinités. 4. Les Unio maximus Môrch et Unio Giberti Locard seraient respectivement les variétés major et minor de cette espèce. Aie Unio rostratus | forma elongata | Lt CR : Unio maximus | forma | subelongala | | À U. aldemaricus Unio bardus | — : U. rothomagensis ass Dors cute D Unio tumidus | forma normalis | iQ Unio tumidulus forma abbreviala | 1 Unio conus | forma perbrevis | Je pense que l'étude attentive de nombreuses colonies vivantes de ces différents Unios viendra confirmer les vues que je viens d'exposer. Dans ce cas, le nom d'Unio fumi- dus étant le plus ancien, est celui qu'il conviendra d'adop- ter pour désigner cette espèce si polymorphe et à distribu- tion géographique étendue. IT Sur un groupe d'ANODONTES de la Basse-Seine Vers 1890, A. Locarp recevait de TH. LANCELEVÉE, alors président de la Société d'Étude des Sciences naturelles d'Elbeuf, un lot considérable d'Unionidæ pêchés dans la Basse-Seine, aux environs mêmes d'Elbeuf. Après avoir étudié ces maté- riaux, LocARD décrivit comme espèces nouvelles les Anodonta Perrieri, Anodonta labelliformis, Anodonta orivalensis, Anodonta rothomagensis et Anodonta pentagonaf. J'ai Fig. 6. Anodonta elachista Bourguignat. Montagu (Vendée); grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. étudié consciencieusement tous ces types dans la collection A. Locarp, aujourd'hui au Muséum d'Histoire naturelle de Paris, et j'ai pu me rendre compte qu'ils appartiennent 4. Locarp (A.). — Contributions à la faune malacologique française ; XIV, Révision des espèces françaises appartenant aux genres Pseudanodonta et Anodonta ; 1890, p. 71, 78, 19, 85, 210, 215, 220 et 226. — 149 — incontestablement à une seule et même espèce. Beaucoup de ces coquilles ont une forme subpentagonale plus ou moins nette, mais il est très-facile d'observer tous les passages entre cette forme si spéciale et l'aspect ordinairement ova- laire-allongé des Anodontes. C'est ainsi que l'Anodonfa pentagona (pl. IL, fig. 4) présente, au maximum et à un degré anomal, le « galbe subpentagonal » dont parle Locarp. L'Anodonta mea Bourguignat (pl. IT, fig. 1) est déjà plus régulier ; les Anodonta rothomagensis et Anodonta labelli- Fig. T. Anodonta sedentaria J. Mabille. La Seine, à Rouen (Seine-Inférieure); grandeur naturelle. Collection A. Locaro, au Muséum de Paris. formis le sont encore davantage; l'Anodonta circulus (pl. TT, fig. 5) est fort régulièrement ovalaire et passe directement, par l'intermédiaire de l'Anodon!la elachista (fig. 6), à l'Anodonta sedentaria de Mabille (fig. 7). Si bien, qu'à ce point de vue particulier, nous pourrions classer les Anodontes de la Basse-Seine de la manière suivante : — 150 — Anodonta pentagona ni Anodonta mea nie Anodonta orivalensis Anodonta rothomagensis Anodonta labelliformis Anodonta circulus | forma normalis | re Anodonta elachista Anodonta sedentaria Quant à l'Anodonta Perrieri Locard (pl. IT, fig. 3), c'est Fig. 8. Anodonta maculata Sheppart. Passavant (Haute-Saône); grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. une variété major de cette même espèce à laquelle il convient encore de rapporter : — 151 — L'Anodonta maculata Sheppart (fig. 8) qui présente également une forme très-légèrement subpentagonale. L'Anodonta nilefacta Locard. L'exemplaire de la collec- tion Locarp, provenant de Saint-Jean-de-Losne (Côte-d'Or), Fig. 9. Anodonta Nicolloni Locard. La Loire, à Nantes (Loire-Inférieure) ; grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. est absolument identique à l'échantillon de la Loire, à Érigné (Maine-et-Loire), étiqueté Anodonta circulus Bourguignat. Fig. 10. Anodonta Arnouldi Bourguignat. La Wezer, à Vegesack, près de Brême (Allemagne); grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. L'Anodonta anatinella Bourguignat, que je ne puis dis- tinguer des spécimens étiquetés nt/efacla. L'Anodonta Nicolloni Locard (fig. 9), forme extrème- ment voisine de l’Anodonta elachista (fig. 6). L'Anodonta Arnouldi Bourguignat (fig. 10), coquille absolument identique à l’Anodonta tricassina Pilot (fig. 11), tous deux sans différences appréciables avec l'Anodonta circulus Bourguignat (pl. I, fig. 5). Enfin, l'Anodonta rotula Servain (pl. HI, fig. 2), variété minor de cette même espèce. J'aurais encore pu ajouter quelques autres Anodontes comme Anodonta miranella Bourguignat, Anodonta peleca Ser- vain, etc., qui me paraissent appartenir à la même espèce ; mais n'ayant pas actuellement de matériaux suffisants pour trancher cette question, je la reprendrai plus tard. Fig. 11. Anodonta tricassina Pillot, La Loire, à Ingrandes (Maine-et-Loire); grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Le nom d'Anodonta maculala étant de beaucoup le plus ancien, puisqu'il à été créé par SHepparT dès 1820, est celui qui doit être accepté. L'espèce ainsi nommée doit prendre place à côté de l’Anodonta anatina Linné, dont elle se dis- tingue facilement : par sa forme plus régulièrement ovalaire- arrondie à peine deux fois aussi longue que haute; par son bord inférieur toujours largement convexe; par ses sommets proéminents, « en forme de crochets très-déliés » ! et recour- 1. CouTAGNE (G.). — Aecherches sur le polymorphisme des Mollusques de France ; 1895, p. 137. bés ; enfin, par son test assez épais, solide, ordinairement d'un vert plus ou moins foncé, parfois jaunâtre et orné de rayons verts. Cette espèce est surtout répandue dans la Basse-Seine et dans la Basse-Loire. Sa synonymie, très-complexe, peut s'établir de la manière suivante : 1820. 1846. 1859. 1860. 1881. 1881. 1881. 1881. 1882. 1882. 1882. 1882. 1883. Anodonta maculata Sheppart. Mytilus maculu Suepparr, On two new British sp. of Hyti- lus ; Trans. Linn. Society ; XI, p. 83, pl. V, fig. 6. Anodonta anatina STABILE, Fauna elvet.; p. 57, fig. 67- 68.1 Anodonta piscinalis var. anatinella SraBice, Molluse. Lug. ; p. #7 et 61. Anodonta elachista BocrGuiGNarT, Mollusques nourv. litig. peu connus ; p. 197, pl. XXXI, fig. 12-14. Anodonta maculata BourGUIGNAT, Matériaux Mollusques Acéphales syst. européen ; p. 285. Anodonta sedentaria MaABIiLLE, in : BOURGUIGNAT, loc. cit. ; p. 316. Anodonta tricassina PizLoT, in : BOURGUIGNAT, loc, cit. ; p- 323. Anodonta elachista BourGuiGNaT, loc. cit. ; p. 363. Anodonta maculata LocarD, Prodrome Malacologie fran- çaise ; p. 271. Anodonta sedentaria LocarD, loc. cit. ; p. 279. Anodonta tricassina Locarp, loc. cit. ; p. 280. Anodonta elachista Locarp, loc. cit. ; p. 282. Anodonta anatinella BouRGUIGNAT, Unionidæ péninsule ita- lique ; p. 113. Anodonta Arnouldi BourGuIGNaT, loc. cit. ; p. 11%. Anodonta maculata Locarp, Contributions, ete. ; VII, p. 36. 1. Non Anodonta anatina Lixé, Systema Naturæ; cd. X, 1758, p. 706. 10+* 1884. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1893. 1893. 1593. Anodonta Arnouldi Locar», loc. cit. ; VIII, p. 40. Anodonta elachista WESTERLUND, Fauna palæart. reg. ; VII, p. 242. Anodonta maculata WESTERLUND, loc. cit. ; p. 264. Anodonta sedentaria WESTERLUND, loc. cit. ; p. 275. Anodonta tricassina WESTERLUND, loc. cit. ; p. 278. Anodonta anatinella WEsTERLUND, loc. cit. ; p. 293. Anodonta Arnouldi WESTERLUND, loc. cit. ; p. 293. Anodonta Perrieri Locarp, Contributions, etc.; XIV, Révision des esp. franc. genres Pseudanodonta et Anodonta ; p. 71 et 210, Anodonta elachista Locanp, loc. cit. ; p. T1. Anodonta circulus BouRGUIGNAT, in : Locarp, loc. cit. ; p.11 et 213. Anodonta mea BouURGUIGNAT, in : Locar»b, loc. cit. ; p.18 et 214. Anodonta pentagona Locarp, loc. cit. ; p. 18 et 215. Anodonta rotula SERVAIN, in : Locarp, loc. cit. ; p.18 et 216. Anodonta labelliformis Locarp, loc. cit. ; p. 19 et 217. Anodonta rothomagensis Locarp, loc. cit. ; p. 79 et 220. Anodonta gabatiformis Locarp, loc. cit. ; p. 19 et 221. Anodonta sedentaria Locarp, loc. cit. ; p. 79. Anodonta anatinella Locarp, loc. cit. ; p. 80. Anodonta maculata Locar», loc. cit. ; p. 80. Anodonta Nicolloni Locarp, loc. cit. ; p. 81 et 222. Anodonta nitefacta Locarp, loc. cit. ; p. 81 et 223. Anodonta tricassina Locarp, loc. cit. ; p. 81. Anodonta Arnouldi Locarp, loc. cit. ; p. 85. Anodonta orivalensis Locarp, loc. cit. ; p. 85 et 226. Anodonta Perrieri LocarD, Coquilles fluviatiles ; p. 299. Anodonta sedentaria LocarD, loc. cit. ; p. 301. Ano lonta pentagona Locarp, loc. cit. ; p. 302, fig. 290. 1893. 1893. 1893. 1893. 1893. 1893. 1893 1893. 1893. 1893. 1893. 1893. 1893. 1893. — 155 — Anodonta mea Locarp, loc. cit. ; p. 302. Anodonta rothomagensis LocarD, loc. cit. ; p. 303, Anodonta labelliformis Locarp, loc. cit. ; p. 303, fig. 291. Anodonta gabatiformis Locaro, loc. cit. ; p. 303. Anodonta maculata Locarp, loc. cit. ; p. 304, fig. 292. Anodonta anatinella LocarD, loc. cit. ; p. 305. Anodonta nitefacta LocarD, loc. cit.; p. 305. Anodonta Arnouldi Locarp, loc. cit. ; p. 306, fig. 293. Anodonta orivalensis LocarpD, loc. cit. ; p. 306. Anodonta Nicolloni Locarp, loc. cit. ; p. 307. Anodonta elachista LocarD, loc. cit. ; p. 308, fig. 295. Anodonta tricassina Locarp, loc, cit. ; p. 308, fig. 296. Anodonta cireulus Locarp, loc. cit. ; p. 309, fig. 297. Anodonta rotula Locarp, loc, cit. ; p. 310. II Sur les espèces du genre PSEUDANODONTA habitant la Normandie Le genre Pseudanodonta à été créé par BourGuIGNaT ! qui avait primitivement proposé cette coupe générique comme section du genre Pseudodon *. Les Pseudanodontes sont des Mollusques intermédiaires entre les Unios et les Anodontes, mais se rapprochant davan- tage de ces dernières. Elles possèdent des valves comprimées, relativement épaisses et solides *, finement striées, toujours bâillantes à la partie inféro-antérieure et en arrière de l'angle postéro-dorsal. Elles sont, le plus souvent, recouvertes d'un épiderme brillamment coloré. La charnière se compose de 1. BouRGUIGNAT (J. R.). — Descriptions de deux nouveaux genres algériens, suivies d'une classification des familles et des genres de Mollusques terrestres el fluviatiles du système européen; Bullet. Soc. Sc. physiques et naturelles de Bordeaux ; 1876, p. 99; tirés à part, p. 55. 2. BouRGUIGNAT (J. R.). — Matériaux pour servir à l'histoire des Mollusques acéphales du système européen ; 1880, p. 12 et suiv. 3. Ce caractère se retrouve très-marqué chez quelques Anodon- les, notamment Anodonta spondea Bourguignat [in : LocaRp, Contributions faune malacol. franc. ; XIV, 1890, p. 48 et 149. — GERMaIN (Louis). — Étude Mollusques terr. fluviat. Maine-et- Loire; part. II, 190%, p. 299, pl. I, fig. 19]; Anodonta Thibauti Servain (in : Locarp, loc. cit. ; 1890, p. 48 et 152); elc., qui ont un profil subtrigone présentant quelque ressemblance avec celui de l’Unio tumidus Phil., et des valves pesantes, fortement épais- sies. — 157 — deux parties : « 1° la partie cardinale qui comprend toute la région qui s'étend d'une extrémité à l’autre du ligament antéro-interne. Cette cardinale, pourvue tantôt d'une lame filiforme saillante plus ou moins longue, tantôt d’une ou deux lames tuberculiformes, allongées, triangulaires ou subtétragones, suit le contour du ligament antéro-interne ; 2° la partie latérale, dont la portion antérieure est toujours envahie par le ligament antéro-interne, s'étend de la pointe des sommets, sous la forme d'un renflement lamelliforme plan !, Jusqu'à la lunule du ligament postéro-interne. Cette partie est toujours unie, plane et horizontale » *. Enfin, ainsi que l'a fait remarquer CouTaGxE *, les Pseudanodontes ont leur sommet orné de trois à cinq rides tuberculeuses tout à fait caractéristiques qui manquent chez les véritables Ano- dontes *. Ces caractères rapprochent les Pseudanodonta du genre Pseudodon Gould *, mais ce dernier présente toujours, à la région Cardinale, un tubercule saillant sur chaque valve, celui de la valve droite s’emboitant à côté de celui de la valve gauche *. En réalité, les Pseudanodonta sont encore plus voisins des Anodontes auxquelles Simpson ? les réunit. 1. Ce mot est souligné dans le texte de Bourguignat. 2. BourGUIGNAT (J. R.). — Loc. supra cit. ; 1880, p. 12. 3. CouTAGNE (G.). — Recherches sur le polymorphisme des Mol- lusques de France ; 1895, p. 12%. 4. Chez les Anodontes, les sommets sont parfois ornés de rides flexueuses, mais jamais de rides luberculeuses. 9. GouLp. — Proceed. Boston Society ; 1, 18%#4, p. 161. 6. Le tubercule de la valve droite étant toujours en avant de celui de la valve gauche. 7. Simpson (Cu. T.). — Synopsis of the Naiades, or pearly fresh-waler Mussels; Proceed. of the Unit. States nation. Museum (published under the direct. of Smithsonian Institution) ; XXIT, 1900, p. 621-627. — 158 — Cet auteur a d'ailleurs le tort de confondre toutes les espèces européennes sous le vocable d'Anodonta cygnæa Linné *. De nombreuses Pseudanodontes ont été signalées en Nor- mandie. Ce sont : Pseudanodonta nantelica Bourguignat. Pseudanodonta rothomagensis Locard. Pseudanodonta imperialis Servain. Pseudanodonta elongala Holandre. Pseudanodonta Rayi Mabille. Pseudanodonta Normandi Dupuy ?. Pseudanodonta septentrionalis Locard. Pseudanodonta Servaini Bourguignat. Pseudanodonta Klettii Rossmässler. Pseudanodonta aploa Bourguignat *. Pseudanodonta Brebissoni Locard. Malheureusement, beaucoup de ces espèces sont purement nominales. La collection A. Locarp renfermant un grand nombre d'échantillons de Pseudanodontes recueillis en Nor- inandie, 11 m'a paru intéressant de les comparer entre eux et d'essayer de discerner les véritables espèces des simples variations individuelles. C’est le résultat de cette étude, délicate et laborieuse, que j'apporte ici. Je suivrai, pour la 1. Ce fait lient, sans aucun doute, au peu de matériaux authen- tiques dont disposait l’auteur américain. Il est évident que, sans cela, il n'aurait jamais confondu les Pseudanodonta elongata, Ps. complanuta, etc., avec l’Anodonta cygnæa. 2. Il n’y a pas de représentants normands de ces deux espèces dans la collection A. Locarp; mais Coutagne signale leur présence aux environs d'Elbeuf [ CouTaGnE (G.). — Recherches sur le poly- morphisme des Mollusques de France ; 1895, p. 123], commodité de l'exposition, l'ordre adopté par A. LocarDp en 1893 :. Pseudanodonta nantelica Bourguignat (fig. 12). — Deux échantillons recueillis à Vire (Calvados). C'est une Fig. 12. Pseudanodonta nantelica Bourguignat. La Seine, à Elbeuf (Seine-Inférieure) ; grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. coquille aplatie, de forme oblongue-allongée, se terminant par un rostre assez acuminé; le bord inférieur est large- ment convexe. Les deux exemplaires diffèrent notablement l’un de l'autre. Pseudanodonta rothomagensis Locard (pl. IV, fig. 9). — Cinq échantillons de la Normandie. Ils proviennent de la Seine, en aval de Rouen et à Elbeuf, et de la Noë à Caen (Cal- vados). C'est la forme abbreviata de l'espèce précédente. Un des exemplaires, — celui de la Seine en aval de Rouen (pl. IV, fig. 5) — qui peut être considéré comme très-typi- que, est une coquille écourtée, de forme générale rappelant l'Anodonta pentagona Locard ?, avec des valves très-apla- 1. Locarp (A.). — Conchyliologie française; Les Coquilles des eaux douces et saumäâtres de France; description des familles, genres et espèces ; 1893, p. 217-226. 2. LocarD (A.).— Contributions à la faune malacologique fran- çaise; XIV, Révision des espèces françaises appartenant aux genres — 160 — ties et un test d’un marron clair, rougeàtre au voisinage des sommets, passant au brun sombre vers les bords. Les autres échantillons ont le test vert émeraude et sont beaucoup plus régulièrement ovalaires. Ils ne diffèrent du Pseudanodonta nantelica que par leur forme plus écourtée par suite du peu de développement de leur région antérieure. L'exemplaire de la Noë, à Caen, forme d'ailleurs un excellent terme de passage. Fig. 13. Pseudanodonta berryacensis Dumas. Canal du Berry (Allier); grandeur natureile. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Il convient de rapporter également à cette même forme les Pseudanodonta Dumasi Locard ‘ et Pseudanodonta berryacensis (fig. 13) *, provenant tous les deux du canal du Berry, dans le département de l'Allier. Les exemplaires Pseudanodonta et Anodonta; 1890, p. 78 et 215. L'Anodonta penta- gona est un cas pathologique de l’Anodonta maculata Sheppart, 1. Locarp (A.), in : Dumas. — Revue scientif. du Bourbonnais et du centre de la France; VII, 1894, p. 64, fig. 1; — Dumas. — Conchyliologie bourbonnaise ; 1" partie, Mollusques aquatiques ; 1895, p. 76, pl. XIX, fig. 1. 2, Dumas. — Loc. cit. ; 1894, p. 66, fig. 2; — et : loc. cit. ; 1895, p. 76, pl. XIX, fig. 2. Dans ce dernier travail, Dumas décrit (p. 76), mais sans figuration, un nouveau Pseudanodonta ( Pseu- danodonta limosina) qui appartient peut-être encore à la même espèce. — 161 — de la collection Locarp sont des coquilles très-aplaties, de forme ovalaire un peu courte, avec un bord inférieur très- convexe et un test brun-rougeàtre. Elles sont identiques à l’'exemplaire recueilli dans la Seine en aval de Rouen, dont j'ai parlé précédemment. Pseudanodonta imperialis Servain (fig. 1#etpl.IV, fig.2). — Un exemplaire provenant de la Vire, près de Crèvecœur Fig 14. Pseudanodonta imperialis Servain. La Vire, près de Crèvecœur (Calvados) ; grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. (Calvados). Il ne diffère que par son test un peu plus épais des coquilles étiquetées Pseudanodonta rothomagensis (pl. IV, fie. 517. Fig. 15. Pseudanodonta elongata Holandre. Torteron (Cher); grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Pseudanodonta elongata Holandre (fig. 15). — Coquille 11 24162 = bien ovalaire-allongée, peu renflée, possédant une région postérieure plus de trois fois aussi longue que l’antérieure ; le bord inférieur est convexe, subconvexe ou très-légère- ment subsinueux en son milieu. Pseudanodonta RayiT. Mabille (pl. IV, fig. 1). — Quatre exemplaires de la Normandie. Ils proviennent de la Seine en aval de Rouen, de la Seine à Elbeuf (Seine-Inférieure) et de la Seine à Vernon (Eure). Mênie forme ellipsoïdale un peu plus allongée que chez les échantillons nommés Pseuda- nodonta nantelica où Pseud. Servaini. La forme du bord inférieur n'est nullement constante : elle est tantôt large- ment et régulièrement convexe, tantôt subrectiligne. Pseudanodonta Normandi Dupuy. — La Seine à Elbeuf. Cette coquille ne diffère pas sensiblement des deux précé- dentes et possède, comme elles, une forme générale ova- laire-allongée. Pseudanodonta septentrionalis Locard (pl. IV, fig. 3). — Trois exemplaires provenant de la Seine : deux à Elbeuf, Fig. 16. Pseudanodonta Servaini Bourguignat. La Seine, à Elbeuf (Seine-Inférieure) ; 4/5 de la grandeur naturelle, Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. et le troisième à La Bouille (Seine-Inférieure). Il est impossible de séparer cette coquille du Pseudanodonta Servaini (fig. 16) dont elle possède si bien la forme ellip- soïdale, que tels échantillons de Rouen, étiquetés septentrio- nalis, ont leurs valves se superposant exactement sur celles d'exemplaires de la même localité catalogués Servaini. — 163 — Pseudanodonta Servaini Bourguignat (fig. 16). — La collection A. Locarp renferme sept exemplaires de cette forme recueillis en Normandie. Ils proviennent de la Seine, aux environs de Rouen, sauf un échantillon qui a été récolté dans la Vire, près de Caen (Calvados ). Cette coquille ne peut être distinguée du Pseudanodonta nantelica (fig. 12) dont elle possède la même forme elliptico-ovalaire peu ventrue et le même test vert émeraude brillant. Le spécimen de Caen a le test brun-noirätre avec des reflets bleuâtres au voisi- Fig 17. Pseudanodonta Cazioti Locard. La Seine, à Elbeuf (Seine-Inlérieure); grandeur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris, nage des sommets. Enfin, deux autres exemplaires de Ia Seine à Rouen, remarquables par leur forme allongée, constituent deux excellents termes de passage au Pseuda- nodonla elongala. Pseudanodonta aploa Bourguignat. — Coquille allongée, peu renflée, à peine discernable du Pseudanodonta Ser- vaint. Ainsi donc, toutes ces Pseudanodontes se rapportent à une seule espèce dont le polymorphisme porte principalement sur le plus ou moins d'allongement de la coquille et le plus ou moins d'épaisseur des valves. Il est d'ailleurs bien dif- ficile de distinguer des variétés, les formes de passage étant nombreuses. Le tableau suivant résume les affinités de ces différentes formes : — 164 — Pseudanodonta elongata | forma elongata | de Pseudanodonta Rayi | | Pseudanodonta Normandi | forma subelongata | pi Pseudanodonta septentrionalis | Pseudanodonta Servaini | | - Pseudanodonta nantelica \ | forma normalis | Lt Pseudanodonta aploa D Pseudanodonta imperialis ! Pseudanodonta rothomagensis | Pseudanodonta berryacensis } Pseudanodonta Dumasi | forma abbreviata | Quel nom convient-il d'accepter pour cette espèce ? Pour être logique, il faudrait adopter celui de Pseudano- donta seplentrionalis qui représente la forme normale de l'espèce. Malheureusement, les lois de la nomenclature s'y — 165 — opposent absolument, puisque ce vocable n'est pas le plus ancien. La même raison force à rejeter celui de Pseudano- donta occidentalis proposé par CouTAGNE, et il nous faut revenir à celui d'elongata imposé par Hozanpre en 1836. La synonymie de ceite espèce, déjà fort complexe, s'établira de la manière suivante : 1836. 1849. 1849. 1852. 1852. 1859. 1858. 1858. 1877. 1880. 1880. 1880. 1882. 1882. 1882. Pseudanodonta elongata Holandre,. Anodonta elongata HoLaNDRE, Faune Mollusques ; Mollus- ques terr. fluv. ; p. 04. Anodonta Jobæ Duruy, Catalog. extram. Gall. Test. ; n° 18. Anodonta Normandi Dupuy, loc. cit. ; n° 21, Anodonta elongata Durux, Hist. Mollusques terr. fluv. France ; p. 620, pl. XVI, fig. 16. Anodonta elongata Dupuy, loc. cit. ; p.620, pl. XVI, fig. 15. Anodonta complanata var. elongata et var. Normandi Mo- QUIN-TANDON, Hist. Moll. terr. fluv. France; H, p. 560. Anodonta complanata var. Normandi DE Joannis, Nayades Maine-et-Loire ; Annales Soc. linnéenne Maine-et-Loire ; IE,p.219, pl. VI, fig. 1; Uirés à part, p. 15. Anodonta complanata var. elongata DE Joannis, loc. cit, ; II, p. 2176; tirés à part, p. 16. Pseudanodonta elongata BourGuIGNAT, Classificat. Mollusques Syst. européen ; p. DD. Pseudanodonta elongata BouRGUIGNAT, Matériaux Mollusques Acéphales syst. européen ; p. 48. Pseudanodonta Normandi BourGuIGNaT, loc, cit. ; p. 31. Pseudanodonta Rayi MABIiLLE, in : BouRGUIGNAT, loc, cit. ; p. 43. Pseudanodonta Normandi LocarD, Prodrome Malacol. fran- çaise ; p. 269. Pseudanodonta clongata LocarD, loc. cit. ; p. 266. Pseudanodonta Rayi LocarD, loc. cit. ; p. 266. 1885. 1888. 1890. 1890. 1890, 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1890. 1893. 66 — Pseudanodonta Servaini BourGuIGNAT, in : LocARD, Descript. Nayades nouv.; Bull. Soc. Amis Sc. natur. Rouen ; 1° sem. 1885, p. 14. Anodonta elongata BorcuERDiING, Moll. Nordw.; p. 15, pl. IV, fig. 5. Anodonta elongata WESTERLUND, Fauna palæart. region. ; VIT, p. 300, Anodonta Normantdi WESTERLUND, loc. cit. ; p. 303. Anodonta Servaini WESTERLUND, loc. cit. ; p.307. Anodonta Rayi WESTERLUND, loc. cit. ; p. 307. Pseudanodonta mantelica Locarp, Contributions, elc.; XIV, Révis. esp. franc. genres Pseudanodonta et Anodonta ; p.12#eL87; Pseudanodonta rothomagensis Locarp, loc. cit. ; p.12 et 90. Pseudanodonta imperialis SERvAIN, in : Locarp, loc. cit. ; p. 13 et 92. Pseudanodonta Rayi Locarp, loc. cit. ; p. 14. Pseudanodonta Servaini Locarp, loc. cit.; p. 15. Pseudanodonta Normandi LocarpD, loc. cit. ; p. 15. Pseudanodonta septentrionalis LocarD, loc. cit.; p.15 et 97. Pseudanodonta elongata Locarp, loc. cit. ; p. 16. Pseudanodonta aploa Locarp, loc. cit. ; p.16 et 100. Pseudanodonta nantelica Locarp, Coquilles fluviatiles ; p. 218. . Pseudanodonta rothomagensis Locarp, loc. cit.; p. 219, fig. 230. . Pseudanodonta imperialis Locarp, loc. cit.; p. 219, fig. 231. . Pseudanodonta Rayi Locarp, loc. cit. ; p. 221. . Pseudanodonta Servaini Locarp, loc. cit. ; p. 222. . Pseudanodonta elongata LocarpD, loc. cit. ; p. 221, fig. 232. . Pseudanodonta Normandi Locarp, loc. cit.; p.229, fig. 233. . Pseudanodonta septentrionalis Locarp, loc. cit. ; p. 222. . Pseudanodonta aploa Locarp, loc. cit. ; p. 223. — 167 — Pseudanodonta Brebissoni Locard (pl. IV, fig. 7). 1890. Pseudanodonta Brebissoni LocarD, Contributions à la faune malacologique française ; XIV, Révision esp. franç. genres Pseudanodonta et Anodonta ; p. 18 et 104. 1893: Pseudanodonta Brebissoni LocarD, Conchyliologie française ; Coguilles euux douces et saumâtres ; p. 226. La collection A. LocarD renferme un unique exemplaire du Pseudanodonta Brebissoni (pl. IV, fig. 7) recueilli dans l'Orne, aux environs de Caen. C'est une coquille d'assez petite taille, puisqu'elle n’a que 55 millimètres de longueur maximum, d'une forme générale subovalaire, médiocrement allongée. Sa hauteur maximum atteignant 35 millimètres, le rapport entre les deux dimensions principales est sensible- ment le même que dans le Pseudanodonta elonygala. Mais le test est très-différent : il cest mince, très-fortement corrodé (les sommets sont presque complètement rongés), recouvert d'un épiderme noir, que l'on retrouve d’ailleurs chez un spécimen étiqueté Pseudanodonta Servaini et provenant également des environs de Caen. Locarp rapproche son espèce du Pseudanodonta trivurtina Bourguignat 1, c'est- à-dire du Pseudanodonta ararisana Coutagne*, qui vit dans le bassin de la Saône. Je crois plutôt qu'il convient de rap- procher la coquille des environs de Caen du Pseudanodonta elongata, mais l'unique exemplaire que j'ai pu étudier est trop manifestement et trop profondément modifié pour que je puisse formuler une opinion ferme. En attendant de nou- veaux documents, que les naturalistes normands pourraient facilement se procurer, je crois prudent de considérer le Pseudanodonta Brebissoni comme une espèce douteuse, insuffisamment caractérisée, 1. BourGulGnaT, in : Locarp. — Loc. supra cit.; XIV, 1890, p. 18 et 103, 2. CouTaGnE, in : LocarD. — Prodrome Malacologie française ; 1882, p. 266 et 349, 1835. 1838. 1843. 1844. 1864. 18717. 1880. 1882. 1890. 1893. — 168 — Pseudanodonta Klettii Rossmiässler. Anodonta Klettii RossmassLer, Iconographie der Land-und Süssw. Mollusk.; 1, p. 112 [sans descript. ]. Anodonta rhomboidea ScurüTEer, Kurzg. syst. verz. Conch. Halle ; p. 32. Anodonta Klettii Scnozrz, Schlesien’s Land-und Wasser- Mollusken system. geordnet und beschr. ; p. 122. Anodonta minima JoBa, Catalogue Mollusques terr. fluv. départ. Moselle; p.14, pl. 1.1 Anodonta Klettii Mürcu, Syn. Molluscor. terr. fluv. Danic ; p. 90. Pseudanodonta Klettii BourGuIGNAT, Classificat. Mollusques terr. fluv. système européen ; p. 55. Pseudanodonta Klettii BourGuiGNAT, Matériaux Mollusques Acéphales syst. européen ; p. 45. Pseudanodonta Klettii Locarp, Prodrome Malacologie franc. ; p. 266. Pseudanodonta Klettii LocarDp, Contributions, ete.; XIV, p. 15. Pseudanodonta Klettii Locarv, Coquilles fluviatiles ; p. 223, fig. 234. Cette espèce, qui vit dans une grande partie du nord de l'Europe, mais surtout dans les rivières du Danemark et de la Russie, est très-douteuse en France. La collection A. Lo- CARD renferme, sous le nom de Pseudanodonta Klettii, une valve unique recueillie dans la Seine, aux environs d'Elbeuf. Cette coquille n’est qu'une forme du Pseudanodonta elon- gata, très-voisine de l'imperialis Servain. 1. Non Anodonta minima Millet (Description de deux nouv. esp. genre Anodonte; Mémoires Soc. Agricult. Sc. Arts Angers; I, 1841, p.241, pl. XII, fig. 2). Fig. Fig. Fig. LISTE DES FIGURES DANS LE TEXTE . Unio aldemaricus Locard Unio alpecanus Bourguignat . Unio conus Spengler . Unio catinulus Locard. 5. Unio Heckingi Colbeau. Anodonta elachista Bourguignat . . Anodonta sedentaria J. Mabille Anodonta maculata Sheppart . Anodonta Nicolloni Locard Anodonta Arnouldi Bourguignat . . Anodonta tricassina Pillot. 2. Pseudanodonta nantelica Bourguignal . Pseudanodonta berryacensis Dumas . . Pseudanodonta imperialis Servain . Pseudanodonta elongata Holandre . Pseudanodonta Servaini Bourguignat . Pseudanodonta Cazioti Locard Fig. Fig. Fig. Fig. OT EXPLICATION DES PLANCHES Planche II. . Anodonta mea Bourguignat. La Seine, à Elbeuf; 3/# de la grandeur naturelle, Collection A. LocarD, au Muséum de Paris. . Anodonta rotula Servain. La Seine, en aval de Rouen : grandeur naturelle, Col- lection A. Locarp, au Muséum de Paris. . Anodonta Perrieri Locard. La Seine, en aval de Rouen; grandeur naturelle, Col- lection À, LocArD, au Muséum de Paris. Anodonta pentagona Locard. La Rille, à Pont-Audemer (Eure); grandeur natu- relle. Collection A, Locarp, au Muséum de Paris. Anodonta circulus Bourguignat. La Seine, à Orival (Seine-Inférieure) ; grandeur nalu- relle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Planche IV. . Pseudanodonta Rayi J. Mabille. La Seine, en aval de Rouen; grandeur nalurelle. Col- lection A. Locarp, au Muséum de Paris. . Pseudanodonta imperialis Servain. La Vire, près de Crèvecœur (Calvados), 3/4 de la gran- deur naturelle, Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. . Pseudanodonta septentrionalis Locard. La Seine, à Elbeuf (Seine-Inférieure); 3/4 de la gran- deur naturelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris, Fig. Fig. Fig. Fig. FS a #14 © —1 = or — 172 — Unio Fourneli Bourguignat. La Seine, près de Rouen (Seine-Inférieure) ; grandeur naturelle, Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Pseudanodonta rothomagensis Locard. La Seine, à Elbeuf (Seine-Inférieure); grandeur nalu- relle. Collection A. LocarD, au Muséum de Paris. Anodonta orivalensis LocarD. La Seine, à Orival (Seine-Inférieure) ; 3/4 de la gran- deur naturelle. Collection À. Locarp, au Muséum de Paris. Pseudanodonta Brebissoni Locard. L'Orne, à Crèvecœur (Calvados); grandeur naturelle, Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Planche V. Unio tumidulus Locard. La Seine, à Elbeuf (Seine-Inférieure); grandeur na- turelle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Unio tumidus Philippsson. La Seine, à Elbeuf (Seine-Inférieure) ; grandeur natu- relle. Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Unio maximus Môrch. Environs de Vire (Calvados); grandeur naturelle, Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Unio Giberti Locard. La Seine, à Rouen (Seine-Inférieure) ; 4/5 de la gran- deur naturelle, Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Unio pictus Beck. La Seine, à Rouen (Seine-Inférieure \; 4/5 de la gran- deur naturelle, Collection A. Locarp, au Muséum de Paris. Planche VI. Unio bardus Bourguignat. — 173 — La Seine, à son embouchure | Seine-Inférieure ; gran- deur naturelle, Collection A. Locanp, au Muséum de Paris. Fig. 2. Unio lacrymiformis Locard. La Seine, en aval de Rouen (Seine-Inféricure ); grandeur naturelle, Collection A. Locarp, au Mu- séum de Paris. Fig. 3. Unio rothomagensis Locard. | La Seine, près de Rouen (Seine-Inférieure}; grandeur naturelle, Collection A. Locarp, au Muséum de Paris, Fig. #. Unio procchistus Bourguignat. | La Seine, sans indication précise; grandeur naturelle, Collection A, Locaro, au Muséum de Paris, TABLE DES MATIÈRES Introduction. TI. — Sur quelques formes normandes de l’Unio tumidus Philippsson I. — Sur un groupe d’Anodontes de la Basse-Seine. IT. — Sur les espèces du genre Pseudanodonta habitant la Normandie. Liste des figures dans le texte Explicalion des planches. IAE UIE 4 5 Clichés et phot G. Pissarro. UNIONIDES DE LA NORMANDIE. PIFSIVE =] 6 Clichés et phot G. Pissarro. UNIONIDÉS DE LA NORMANDIE. w h 214 on L LE LE ° À Eu à 227 ! À L 1 | L Lo €lichés et phot. G. Pissarro UNIONIDÉS DE LA 5 NORMANDIE. PIN Clichés et phot. G. Pissarro UNIONIDÉS DE LA NORMANDIE. IMPRIMERIE LECERF FILS. ROUEN. =] PAT T n + ir ER *, “ Es ‘Y: d { & 2 ? ; ’ à. LS "2 L * NRAGE . « $ - + Sd L L se à : , + HET PUR A: 4 Fe 8 +2 * ; >. 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