F " ^ V* PETITE FLORE ELEMENTAIRE J DES CRYPTOGAMES LES PLUS COMMUNS en tableaux dichotomiques permettant d'arriver avec facilité à la détermination de 513 espèces appartenant à 243 genres (216 Champignons, 97 Lichens, 94 Mousses, 24 Hépatiques, 142 Algues) AVEC 342 FIGURES DONT 46 INÉDITES DES NOTIONS SUR LES CRYPTOGAMES ET UNE Préface par M. GASTON BONNIER MEMBRE DE L'iNSTITUT PROFESSEUR DE BOTANIQUE A LA FACULTÉ DES SCIENCES DE PARIS PAR RÉMI GEILLIER DOCTEUR èS SCIENCES NATURELLES Ouvrage à l'usage de tous les amateurs de Bota?iique, des candidats d la Licence es Sciences (Certificats de Botanique et de Botanique appliquée), des élèves des Ecoles de Pharmacie., de l'Institut Agronomique, des Ecoles Nationales d'Agriculture, des Ecoles Nationales Vétérinaires, des Ecoles Pratiques d'Agriculture, des Ecoles Nor- males et des Ecoles Primaires Supérieures. ^ PARIS LIBRAIRIE GÉNÉRALE DE L'ENSEIGNEMENT 4, RUE DANTE (5^ ARROND.) 4913 Tous droits réservés 7^50 ^^^^^ ^- dovanb. pas eti a •mr^S»? THE LuESTHER T. PERTZ LIBRARY THE ^4EW YORK bÔt!*J riCAL GARDEN ^^ PETITE FLORE ELEMENTAIRE DES CRYPTOGAMES The New York Botanical Garden The LuEsther T Mertz Library CENTENNIAL BOOK Catalpa bignonioides Gift of William R. Buck PETITE FLORE ELEMENTAIRE DES CRYPTOGAMES LES PLUS COMMUNS 671 tableaux dichotomiques permettant d'arriver avec facilité à la détermination de 513 espèces appartenant à 2A3 genres (216 Cliampignons, 97 Lichens, 9i Mousses, 24 Hépatiques, 142 Algues) AVEC 342 FIGURES DONT 46 INÉDITES DES NOTIONS SUR LES CRYPTOGAMES ET UNE Préface par M. GASTON BONNIER MEMBRE DE ly'iNSTITUT PROFESSEUR DE BOTANIQUE A LA FACULTÉ DES SCIEKCES DE PARIS PAR RÉMI CEILLIER DOCTEUR ES SCIENCES NATURELLES Ouvrage à l'usage de tous les amateurs de Botanique, des candidats à la Licence vs Sciences (Certificats de Botanique et de Botanique appliquée), des élèves des Ecoles de Pharmacie, de l'Institut Agro?iomique, des Ecoles Nationales d'Agriculture, des Ecoles Nationales Vétérinaires, des Ecoles Pratiques d'Agriculture, des Ecoles Nor- males et des Ecoles Primaires Supérieures. PARIS LIBRAIRIE GÉNÉRALE DE L'ENSEIGNEMENT 1, RUE DANTE (5® ARROND.) 4913 Tous droits réservés THE LuESTHER T. MERTZ LIBRARY THE NEW YORK 30TAN1CAL GARDEN PRÉFACE Lorsqu'on veut commencer à s'occuper de la détermination des Plantes sans fleurs, on se trouve fort embarrassé. En se promenant dans la Nature, on voit beaucoup de végétaux cryptogames, mais les descriptions de la plupart de ces plantes ne se trouvent pas dans les Flores ordinaires, lesquelles se limitent en général aux Plantes à fleurs ou Phanérogames, et aux Cryptogames vasculaires. Il faut donc se procurer des volumes qui traitent soit de la détermi- nation des Muscinées, soit de celle des Champignons, ou de la description des Algues, ou encore des Lichens. Cela fait déjà, pour débuter dans cette étude, quatre sortes d'ouvrages différents, et chacun d'eux ne traite exclusivement que d'un seul groupe de Cryptogames. Mais, souvent, lorsqu'on n'a encore étudié aucune plante sans fleurs, comment savoir si le végétal que l'on recueille est un Cham- pignon, un Lichen, une Algue, une Hépatique à thalle? Un lichen blanchâtre, comme certains Cladonia, pousse sur le sol ; de quelle manière le débutant saura-t-il que ce n'est pas un Champignon ? Un Pelligera non fructiflé, d'un beau vert, im prothalle de Fou- gère, un thalle de Marchantia se présentent: pourquoi le premier appartient-il aux Lichens, le second aux Cryptogames vasculaires et le troisième aux Muscinées? Dans un fossé, si l'on trouve une Characée, comment prévoir que cette plante est décrite avec les Phanérogames dans certaines Flores, avec les Muscinées dans d'autres et avec les Algues dans d'autres ouvrages encore ? On se perd au début dans ce dédale des formes multiples de Cryptogames, et aucun livre actuel ne donne de clés qui permettent de chercher un chemin au milieu de ce labyrinthe. D'anciennes Flores, comme celle de Lamarck et de De Candolle contenaient, il est vrai, des clés dichotomiques permettant de trou- ver les noms des Cryptogames aussi bien que des Phanérogames, mais ces ouvrages ne sont plus en usage ; et d'ailleurs les Crypto- games étaient encore mal connus à l'époque de ces publications. VJ PREFACE Leur classification a été depuis tout à fait modifiée, leurs noms même ont souvent changé, et les descriptions de ces anciennes flores renferment de nombreuses erreurs- L'étudiant qui débute, ou le Botaniste amateur, se heurtent devant toutes ces difficultés. Le petit ouvrage de M. Rémi Ceillier a pour but de leur aplanir les premiers obstacles qui se dressent devant eux, lorsqu'ils veulent aborder l'étude des Cryptogames au point de vue de leur détermination. L'auteur a cherché à s'exprimer de la façon la plus simple, et il y a réussi. Les tableaux synoptiques illustrés qu'il a rédigés con- duisent avec la plus grande facilité, sans microscope ni questions ardues, au nom des espèces les plus répandues de Fougères, Prêles, Mousses, Hépatiques, .Vlgues, Champignons et Lichens. Nul doute qu'avec ce petit volume de nombreux amateurs cessent de reculer devant l'étude si attrayante de ces végétaux si variés et se trouvent conduits ainsi, par la suite, à leur examen plus approfondi. Je souhaite à cet ouvrage si utile tout le succès qu'il mérite. Gaston Bonnier, Membre de VInstitut, Professeur de Botanique à ia Sorbonne. INTRODUCTION Malgré son titre, le petit ouvrage que M. Gaston Bonnier a bien voulu me faire l'honneur de présenter au public ne peut guère pré- tendre être une véritable Flore cryptogamique même élémentaire : il lui faudrait renfermer au moins dix fois plus de pages et d'espèces dé- crites. C'est simplement un tout petit mémento des caractères dis- tinclifs les plus saillants des cryptogames les plus communs, de ceux qu'il n'est pas permis d'ignorer à un botaniste même non adonné spécialement à la cryptogamie. Il s'adressera, par exemple, aux amateurs connaissant bien les phanérogames de leur région et désireux d'éten- dre davantage leurs recherches; en particulier, il est 'destiné aux herborisations des candidats au Certificat de Botanique de la licence es sciences, des étudiants de l'École de Pharmacie et des élèves du P. C. N. Dans ces herborisations, aussi bien qu'aux séances de travaux pratiques, les étudiants sont presque toujours embarrassés pour faire une détermination de Muscinée ou de Thallophyte, surtout sur le ter- rain où les conditions d'examen sont vraiment difficiles. Outre les grands ouvrages de bibliothèque (Schimper, Boulay, Husnot pourles Mousses ; IIuc, Harmand, Nylander pour les Lichens; Agardh, van Heurck, Hauck, De Toni pour les Algues; Saccardo, Fries, Bulliard, Cordier, Boudier, Quélet, etc. pour les Champignons), ils possèdent dans la Col- lection des Nouvelles Flores (1) trois livres portatifs et très clairs : la Nouvelle Flore des Champignons par MM. Costantin et Dufour, celle des Mousses parM.Douin, celle des Lichens par M. Boistcl. Bien loin d'être destiné à les remplacer, cet ouvrage élémentaire ne peut que leur ser- vir d'introduction, préparant le débutant à les consulter ensuite; il serait même inutile sans les raisons suivantes : D'abord, les Algues ne sont encore décrites jusqu'ici dans aucun volume de cette collection, et ce sont précisément les végétaux que les étudiants de Paris ont le moins d'occasions de voir et d'étudier. Les mousses stériles sont aussi le plus souvent indéterminables même par tâtonnements, au moins sans microscope. Ensuite les trois Flores citées plus haut, tout en étant très claires et de proportions des plus réduites, sont encore un peu décourageantes pour les débutants : la Flore des Champignons comprend plus de 2000 espèces et variétés,_ celle des Muscinées environ 4.50, celle des Lichens 730 : au total, 32(0 noms environ, — toujours sans compter-les Algues; et nous ne parlons pas (1) Librairie générale de l'Enseignement, 1, rue Dante, Paris, V'e, ' . VIII INTRODUCTION. des Cryptogames vasculaires et des Phanérogames ! Les candidats à la licence ou à des grades analogues savent bien que Ton ne peut vrai- ment leur demander de posséder autant de noms, et de se reconnaître d'un coup d'oeil, le jour de l'examen, parmi autant d'espèces. 11 n'est pas exagéré de dire que les neuf dixièmes des cryptogames décrits dans cette Collection ne seront jamais rencontrés en (juclques herborisations élémentaires, et qu'ils ne seront jamais donnés non plus à reconnaître à un examen où tout livre est interdit. Enfin ces trois volumes, compre- nant ensemble près de huit cents pages, sont un peu encombrants pour une herborisation, surtout joints à une Flore des Phanérogames. Il a bien existé quelques ouvrages de format et de prix réduits, compre- nant à la fois les Cryptogames et les Phanérogames ; mais celui de Boi- tard et Dubois (1), d'ailleurs peu pratique pour emporter en promenade, est aujourd'hui beaucoup trop ancien, et épuisé depuis longtemps. Plus récent et beaucoup plus portatif et plus clair est le petit Vade- mecum des herborisations parisiennes àe Lefébure de Fourcy (2) ; mais il ne contient ni les Lichens ni les Algues, les Mousses ne peuvent être déterminées à l'état stérile, et les Champignons y portent encore des dénominations désuèles; malgré un assez grand nombre de réédi- tions, cet ouvrage est d'ailleurs épuisé lui aussi, mais on le trouve facile- ment d'occasion. Une Flore élémentaire des Cryptogames (3), de dimen- sion et de prix modiques, a été publiée en Belgique par Aigret et Fran- çois : elle est pourvue de figures — d'ailleurs rares et médiocres — et elle est, avec celle de Mérat, une des premières qui aient réalisé la mise en tableaux dichotomiques des Lichens d'après des caractères extérieurs très simples; mais, là encore, les Champignons sont nommés d'après une nomenclature aujourd'hui périmée, l'on ne peut arriver à déter- miner les Mousses sans fructification, et les Algues, malgré la promesse du titre, manquent absolument. Comme les précédents, cet ouvrage est épuisé, et il m'a même été dilficile de réussir à me le procurer à Paris. La Flaire française de Gillet et Magne ne décrit ni les Mousses ni les Lichens. Enfin, je signalerai la Flore de Paris de J. de Lanessan (4), qui comprend toutes les plantes cryptogames de l'Ile-de-France; les figures y sont assez nombreuses, et les Algues vertes d'eau douce — pour s'en tenir à la Cryptogamie — y sont exposées d'une manière commode ; malheu- reusement les limites de l'ouvrage excluent toute plante marine; et surtout les tableaux dichotomiques reposent sur des caractères impos- sibles à reconnaître sur le terrain et décourageants pour les débutants : outre que les tableaux généraux d'entrée laissent dans l'incertitude l'herborisateur encore inexpérimenté, l'analyse des Champignons com- mence par la recherche de l'asque ou de la basidc, celle des Mousses (1) Méthode éprouvée pour reconnaître les plantes, etc., par Dubois, revu par Boi- lard. Paris, Cotelle, 38 édit. 1840; 4e édit. 1846. (2) Paris, Delahaye et Lecrosnier : 4"»'' édition, in-18, 1881. (^) Namur, Wesmael-f.harlier, 189.? — Je signalerai aussi l'e.xistence d'une Flore analytique des Cryptogames di s environs de Toulouse, par M. Pée-Laby ; mais je n'ai pu avoir l'occasion d'examiner cet ouvrage. (4) Paris, 0. Doin, 1884, in-18, 930 pp., 702 fig. INTRODUCTION. IX par la coiffe, celles des Lichens et des Algues se fait toute au micro- scope : je n'ai pas eu de peine à me convaincre par quelques essais que le débutant en cryptogamie n'arrive à tirer presque aucun parti de ce livre conçu d'une façon trop peu pratique. Je passe sous silence des ouvrages encore plus anciens ou incomplets, tous privés d'illustrations et épuisés, comme ceux de Chevalier, de Mérat, etc. Le petit nombre de Flores cryptogamiques publiées jusqu'ici, et leur rapide épuisement, témoignent assez que le besoin d'un ouvrage un peu plus complet et plus moderne, pourvu de figures et d'accolades synoptiques, « se faisait généralement sentir » — suivant la formule consacrée. Ce livre est donc fait pour les excursions botaniques, et conçu, avant tout, pour faire avec facilité des déterminations; hors du terrain, pour lequel il est créé comme la boîte verte et le piochon, il doit comme ces instruments être mis de côté, et céder la place, pouf l'étude théo- rique, aux ouvrages spéciaux qui abondent en Cryptogamie. Mais s'il est destiné à des débutants en herborisation ou à des amateurs, il sup- pose par contre que l'étudiant qui s'en sert a déjà des connaissances assez avancées en botanique théorique : aussi reste-t-il dans son rôle d'outil exclusivement pratique, et ne vise-t-il aucunement à être un traité théorique régulier : je n'ai pas cherché, quand ce n'était pas très facile, à vouloir reconstituer quand même par des diagnoses le groupe complet — famille ou genre — auquel appartient le végétal considéré : si par exemple le genre Peziza se trouve démembré en trois ou quatre endroits pour la facilité de l'analyse, c'est à l'étudiant d'utiliser les notions théoriques enseignées au cours, pour se rappeler que ces espèces ont un caractère générique commun, qui est d'être un Asco- mycète à périthèce charnu non clos et hyménium étalé. Les caractères employés dans ces tableaux sont en effet non les plus essentiels mais les plus visibles; comme ceux-ci, par contre, peuvent être plus ou moins variables, et que d'autre part leur observation peut parfois être douteuse, j'ai tâché de prévoir ces causes d'indécision ou d'erreur, et d'y remédier en plaçant le même nom à deux ou plusieurs endroits différents des tableaux, de sorte qu'on ne peut manquer d'arriver à nommer Téchantillon : c'est ainsi que le Psalliota campestris ou YAmanita phalloïdes, dont les caractères varient beaucoup suivant Vk^Q, figurent l'un en cinq et l'autre en quatre endroits ; A?nanita ci- trina, Cetraria aculeata, Funaria hygrometrica, etc, chacun en trois endroits. — Les termes techniques essentiels pour l'étude théorique, mais non indispensables pour la détermination {asques, hyphes, gonidies, hasides, tricliogyne, anthéridies, etc.) n'ont même pas été employés une seule fois, toujours dans le même esprit de simplification. Cette manière d'agir n'a riend'anti-scienlifique, elle répond simplement à un but déterminé : il ne faut pas confondre la classification, qui est synthétique, avec la détermination, qui est analytique : l'une consi- dère les points communs, l'autre au contraire les points de dissem- blance. C'est pour cela qu'ici tout a été sacrifié à la clarté et à la sûreté de l'analyse, la construction de l'ouvrage dût-elle en paraître incor- recte ou vicieuse ; mais si l'amateur ou l'étudiant qui herborise peut INTRODUCTION. grâce à lui nommer les cryptogames qu'il ramasse, il me semble que la réponse sera faite. S'il n'y parvient pas toujours, il aura, selon le mot de Lefébure de Fourcy, la consolation de s'en prendre à l'ouvrage comme incomplet. Les noms d'auteurs n'ont pas été indiqués à la suite des noms d'es- pèces : aucun débutant ne les retiendrait, et on pourra les trouver aisément si on le désire, ainsi que toute la synonymie-, dans les grands ouvrages classiques; je n'ai fait exception que pour quelques crypto- games se disputant un môme nom donné à deux ou plusieurs espèces très différentes. Beaucoup de plantes ont eu cinq ou six parrains et plus, qui tous ont eu de bonnes raisons pour les nommer, et pour voir leurs dénominations adoptées ou rejetées. C'est là une des plaies de la Botanique systémalique, et il ne faut pas compter y remédier par la règle de priorité, que tout le monde fait semblant d'approuver mais à laquelle nul ne veut se rallier ei pratique; nous n'avons point com- pétence pour dire notre mot, après tant d'autres, dans les cas douteux, et aucune envie, d'ailleurs, d'aller mettre lé doigt entre l'arbre et l'é- corce; au surplus, ces questions byzantines de nomenclature critique ne peuvent avoir d'intérêt pour un petit ouvrage élémentaire tel que celui-ci : sans prendre parti dans ces discussions souvent brûlantes, je me suis donc contenté presque toujours de mettre les noms (qui sont d'ailleurs les plus généralement employés) qu'avaient admis dans leurs Nouvelles F/or es MM. Gostantin, Dufour, Douin et Boistel : de la sorte, l'étudiant, une fois habitué à la détermination des cryptogames com- muns, n'aura pas à se charger d'une nouvelle nomenclature en se mettant à se servir de ces ouvrages plus complets. Les genres difficiles n'ont pas été scindés en sous-genres, autant que possible : sans doute on ne peut plus aujourd'hui conserver le genre unique Agaricus, mais dans un ouvrage aussi élémentaireque celui-ci, l'on peut sans inconvénient laisser sous la dénomination Uypnum les sections Ambli/stegium, Camptothecium, Clunacium, Euivjnchium, Isothecimn, Thyidium, etc. On trouvera d'ailleurs l'indication de ces sous-genres devant chaque espèce correspondante, dans la table alphabétique des noms, à la fin de l'ouvrage. De ménie, s'il a fallu adopter le nom de Phyyïiaiolïllion pour le JMIiothamtiion pohjmor- plium, désignation employée par six auteurs différents pour six algues différentes, j'ai maintenu en revanche dans le genre Melobesia des sous-genres créés par De ïoni. Une partie des espèces sont décrites en quelques mots, sous forme d'une simple note mise en renvoi au bas des pages. Il ne faut pas voir là une intention ou un mode méthodiques de désignation systématique de sous-espèces ou de variétés, par exemple : ce renvoi et cette des- cription sonmiaire et accessoire ont lieu tout simplement quand l'occa- sion a paru se présenter commodément, soit que l'espèce signalée en note soit moins commune que l'espèce principale voisine, soit qu'elle n'en diffère que peu, soit qu'il y ait intérêt à attirer en ce .point l'atten- tion au sujet d'une erreur qui pourrait facilement se produire : le rejet en note au bas de la page de -ces observations d'importance secondaire- INTRODUCTION. XI présente l'avantage de. ne pas charger les tableaux d'une quantité trop grande d'accolades et de questions dichotomiques : l'encombrement même justifié des tableaux analytiques est une occasion de découra- gement aussi bien que d-'égarement plus facile pour le lecteur. Les époques où Ton trouve les cryptogames n'ont pas été indiquées (à moins qu'elles ne fournissent une caractéristique remarquable et constante), étant peu utiles à connaître, surtout pour les Lichens et les Algues, que l'on trouve à peu près toute l'année; on tiendra seule- ment, compte de ce que les beaux échantillons se développent surtout dans les saisons tièdes et humides (printemps et automne). Naturelle- ment, il faut disposer d'exemplaires aussi complets et bien développés que possible, si l'on veut les déterminer sûrement d'après des carac- tères aussi simples que ceux qui sont donnés ici ; sans cela, seule la comparaison avec les diagnoses détaillées et les planches des grands ouvrages pourrait donner des indications ~ le plus souvent avec l'aide du microscope. Toutefois, aux tableaux des Museinées fructifiées font suite d'autres tableaux qui pourront permettre de reconnaître un certain nombre des Mousses stériles que l'on rencontre le plus fré- quemment. Il est à noter que même pour la détermination de ces Mousses sté- riles, on n'aura aucun besoin du microscope; par contre, une bonne loupe est indispensable pour l'étude de beaucoup de Lichens et de presque toutes les Mousses. J'ai souvent remarqué qu'un très grand nombre de personnes ne savent ni choisir cet instrument, ni s'en ser- vir. On ne doit pas chercher à avoir une loupe de grand diamètre, car sa longueur focale est d'autant plus grande et, par suite, sa puis- sance d'autant plus réduite ;lalentille doit avoir au plus 2centim. de dia- mètre, et sa distance focale ne doit pas excéder 30 à 35 millimètres; le champ n'a pas besoin d'être étendu, les organes qu'examine le crypto- gamiste étant toujours très petits. Parmi les loupes de grandes marques (Steinheil, Zeiss, Leitz, etc.) vendues sous les désignations d'apo- chromatiqucs et d'aplanétiques et à des prix assez élevés (dix à quinze francs environ), on choisira donc les modèles ayant seulement dix à quinze millimètres de diamètre, autant de champ et 15 à 25 millimètres de foyer, ce qui assure un grossissement de dix à quinze fois, chiffre nécessaire et suffisant. Un modèle vingt fois moins cher, et parfaitement suffisant aussi, est le vulgaire compte- fils çn lai- ton, vendu une quinzaine de sous dans tous les bazars : la lentille a un centimètre de diamètre et un pouce français (25 millimètres envi- ron) de foyer, ce qui permet un grossissement de dix à douze fois à peu près; le champ est d'un centimètre carré, et le volet de cuivre dans lequel il se découpe assure une facile mise au point, puisqu'il suffit de le poser sur la surface à examiner. L'usage de la loupe nécessite aussi un petit apprentissage : au lieu de la tenir à trente centimètres de l'œil comme le font tant de per- sonnes, on doit appliquer le verre aussi près de l'œil que possible (au- tant qu'un binocle au moins) et le maintenir ainsi sans l'en éloigner pour chercher à mieux voir ; c'est l'autre main qui doit déplacer l'ob- XII INTRODUCTION. jet en le rapprochant ou en l'éloignant de la lentille immobile pour bien mettre au point ; cette distance n'est d'ailleurs que de deux ou trois centimètres environ, c'est-à-dire un peu moins que la distance focale. Les myopes auront avantage à retirer leurs verres pour observer, et les presbytes devront les garder au contraire, s'ils veulent obtenir le grossissement maximum. MANIÈRE DE RECHERCHER LE NOM D'UN CRYPTOGAME. L'usage de la Nouvelle Flore de MM. G. Bonnier et de Layens doit avoir habitué l'étudiant au maniement des clefs dichotomiques en tableaux synoptiques, qui ont l'avantage de réunir en un seul coup d'œil les points de comparaison des végétaux étudiés, et permettent de résumer immédiatement tous les caractères d'une espèce en rétrogradant depuis le nom de celle-ci jusqu'à la première alternative exposée (en relisant le tableau de droite à gauche). il est très vivement recommandé : 1° De lire chaque description jusqu'au bout, et en vérifiant un à un au fur et à mesure sur l'échantillon qu'on tient l'existence des carac- tères décrits ; 2° De lire tous les paragraphes précédés d'un même signe (1) avant de se décider à adopter l'un d'eux : faute de quoi Ton ne regarde jamais ceux du bas, préférant se laisser aller, par une sorte de complaisance, à choisir le premier qui s'adapte tant soit peu à la plante examinée, alors qu'il y en aurait peut-être un peu plus loin un autre renfermant une description beaucoup plus exacte, et qu'on néglige. C'est pour éviter que l'on n'oublie une des questions proposées, que chacune des questions de même ordre (c'est-à-dire qui sont présentées simultanément précédées du même signe (1) et entre lesquelles on doit choisir) est précédée d'un chiffre romain dont le I est réservé à la flfe/7i/ère question, ce qui force à aller jusqu'à celle-ci pour être sûr qu'on ne l'a pas oubliée : si la première proposée est marquée IV, par exemple, on sait aussitôt qu'on a encore trois ({uestions (IIl, II, I) à examiner après celle-là, et ce n'est qu'après avoir pris connaissance de toutes les quatre jusques et y compris le n° I, que l'on devra se décider à adopter l'une d'elles : celle-ci conduira aune nouvelle série de ques- tions toutes précédées d'un même signe et chacune numérotée de bas en haut, comme précédemment : et ainsi de suite jusqu'à ce que la des- cription amène non plus à une nouvelle série de questions entre les- quelles choisir, mais au nom cherché. Soit à déterminer ces larges plaques vert-clair froncées et raboteuses, qui couvrent beaucoup de troncs d'arbres et de murs. En consul- tant (2) le Tableau général préliminaire àc la page 1 nous adoptons évi- (1) Ces signes, qui se succèdent dans l'ordre suivant ; -(- X -X- § = • — '• servent siniplenienl à éviter les erreurs en montrant bien quelles sont les questions de même ordre, qui toutes sont précédées du même signe. {2.) Nous recommandons au débutant de suivre lui-même sur les tableaux de l'ou- MANIÈRE DE RECHERCHER LE NOM d'uN CRYPTOGAME. XIII demment raccolade marquée I +, puisque la plante n'est pas dans la mer; des deux questions contenues dans cette accolade nous choi- sissons la première (marquée II X ) puisque la plante est verte, et cette accolade nous met en présence de deux nouvelles questions pré- cédées de ^ : nous optons pour la seconde (chiffrée I) puisque nous avons une plaque lobée dans le genre de la figure GP et non pas une tige portant insérées sur elle de petites feuilles : ce qui nous amène à l'indication : Groupe B. Nous cherchons donc le tableau portant ce titre, page 4, et après avoir lu les quatre descriptions précédées de -|-, nous éliminons les trois premières : notre plaque verte n'est pas en effet une simple pous- sière impossible à enlever autrement que par grattage, ni un chapeau à pied comme un parapluie, ni une longue tige à rameaux : nous prenons donc l'accolade marquée I -|-, et dans celle-ci nous adoptons encore la dernière question I X ; des deux questions^, la première convient évidemment beaucoup mieux que la seconde, et des trois descriptions auxquelles elle mène c'est la troisième I | que nous choisissons, non sans remarquer ici encore la figure CP. Notre plante est donc un Lichen, ce qui nous renvoie à la page 59. Des quatre descriptions précédées de -\- qui se présentent d'abord à nous, c'est la dernière I -|- qui répond le mieux au cas envisagé ; la figure G P nous fournit ici encore un objet de comparaison. Nous allons donc p, 68 au tableau du groupe D, où nous choisissons la seconde accolade I -f-, en raison de la dimension de notre thalle qui est sans gaufrures. Dans cette accolade, la quatrième description I x s'adapte bien à notre végétal, et la largeur de ses lobes nous fait suivre la pre- mière des trois questions marquées | : nous avons donc affaire au genre P a?' me lia, dont plusieurs espèces sont décrites à la p. 70; d'après la couleur de notre échantillon, nous optons pour la quatrième II x et nous apprenons que la plante recueillie est le Parmelia caperata, de la famille des Parméliacées, comme nous pouvons le voir à la table des noms, p. 96. Gomme second exemple, cherchons le nom de ces petites plantes longues d'un doigt, qui forment au printemps dans tous les bois des tapis très veloutés et verdoyants : au tableau général de la p. 1, nous prenons la question 1+ puisque la plante n'est pas dans la mer; dans cette accolade la première question II x (plante verte), et la première des deux descriptions suivantes ■)f, la plante ayant des feuilles le long d'une tige. Nous sommes donc renvoyés au tableau du groupe A, où nous choisissons la dernière question I 4- puisqu'il y a de nombreuses feuilles; celles-ci n'étant pas pétiolées, et la plante vivant hors de l'eau, nous rejetons les deux premières questions marquées x, et dans la dernière accolade I x nous prenons la dernière alternative I-X-, la plante étant petite, non dichotome, à feuilles sans nervures ramifiées : vrage toute la marche qui lui est indiquée ici comme exemple, à mesure qu'il lit ces lignes. XIV INTRODUCTION. nous nous trouvons donc amenés au tableau des Muscinées, p. 30. Notre plante ayant tige et feuilles, nous rejetons la première question et adoptons l'accolade I + ; dans cette accolade nous suivons égale- ment la dernière question I-X-, la plante n'étant point blanchâtre, im- mergée et sans nervures sur les feuilles. Ici, deux questions mar- quées I : si notre échantillon présente une capsule (et supposons pour le moment qu'il en soit ainsi), nous optons pour II |, dans le cas con- traire pour 1 1 (Mousses stériles) : la première hypothèse nous met en présence de trois questions dont nous prenons la première III =^ puis- que la capsule possède un opercule analogue à quelqu'un de ceux qui sont figurés en G C, CR, etc. Nous nous adressons donc au tableau des Mousses fertiles, p. 35. Là, après lecture des deux descriptions mar- quées -\-, nous optons pour la première II +, et passons au tableau des Acrocarpes, un peu plus loin. La capsule n'est ni sphéroïdale, ni dif- forme, ni pendante la pointe vers le sol : la dernière question I -\- est donc celle qui convient, et elle nous mène à la Section II, p. 39. Entre les trois alternatives qui s'y proposent, nous nous décidons pour la troisième après qu'un minutieux examen nous a montré la structure (assez difficile à voir) du péristome, qui a ici 64 dents : nous sommes donc renvoyés aux trois questions X de la page 40. La coiffe étant sans plis et aussi longue que la capsule qu'elle enveloppe complètement, c'est la première accolade III x qui convient, et dans celle-ci c'est encore la première III ■)f à cause des caractères de la coifTe, de la lon- gueur de la plante, etc. : nous avons donc affaire au genre Polytrir cJium, représenté par plusieurs espèces, dont nous étudions les signa- lements pour adopter, par exemple, le premier : Polytrichuin junipe- rinum. Si à la page 39 Section II, nous n'avions pu voir les détails du péri- stome sur la capsule insuffisamment mûre, nous aurions procédé par tâtonnements en suivant successivement les diverses hypothèses jus- qu'à ce que nous aboutissions soit à une description jo/ez;*ew^M? satis- faisante, soit au contraire à une antinomie évidente qui nous montre- rait ah absurdo notre erreur : ainsi, en prenant la première ques- tion III -f de la Section II, nous prendrions ensuite I x (plus de 8 mil- limètres), et là nous ne pouvons admettre ni II-)f puisque la plante ne vit pas sur les arbres et que sa capsule et son opercule ne répondent pas au signalement donné, ni I-)f puisqu'elle a plus d'un centimètre. Si nous nous rabattons sur II -f- (péristome à 4 dents), nous voyons que la plante devrait avoir une coiffe courte, une capsule cylindrique et 2 centimètres au plus : ce n'est donc pas non plus le Tetraphïs que nous avons entre les mains, et c'est bien l + qu'il faut choisir. Si notre mousse est ce qu'on appelle assez improprement « stérile » • — c'est-à-dire sans capsule, car elle peut avoir des organes sexués à ce moment — nous nous adresserions au tableau des Mousses stériles, p. 49. Les feuilles ne sont ni comprimées-aplaties dans un plan, ni à cor- puscules rougeâtres, ni sur 3 rangs le long d'une plante aquatique de 30 centimètres de long : la dernière question I -f- est donc la seule à suivre, et elle nous renvoie page 50 à deux autres exigeant l'examen MANIÈRE DE RECHERCttER LE NOM D UN CRYPTOGAME. XV attentif de la nervure de la feuille vue à la loupe : elle se trouve ici par- courue dans toute sa longueur par une nervure sombre, de sorte que nous adoptons I + ; à la page s-uivante, nous choisirons I + si la feuille vu,e à la loupe se termine bien nettement par un prolongement brus- que, blanc et bien distinct du limbe, ce qui, nous mènerait à la Sec- tion III. p. 57. Ces caractères sont délicats à observer sans doute, mais ,il ne faut point espérer reconnaître sans quelque peine des brins de Mousse stérile et sans avoir de microscope. A la Section III, nous sui- vons II +, notre Mousse étant dressée, point ramifiée, et longue de 5-6 centimètres : rejetant III x et II x, nous sommes donc mis -p. 58 en prénce de trois questions X ; nous voyons aisément qu'il faut prendre I X , puis I -)f, ensuite I |, enfm I = : nous arrivons à Poly- tricfium juniperinum, retrouvant ainsi la détermination précédente. Prenons enfm comme dernier exemple le Champignon de couche : au tableaur i liminaire de la p. 1 nous suivons évidemment I -f et I X , lé végétal étant terrestre et sans couleur verte; une fois rendus au ta- bleau du groupe G pp. 6-7, nous rejetons IV et III -}- et adoptons le signalement 11+ corroboré par les figures adjointes : nous avons donc affaire au tableau des Champignons, qui fait suite. Le chapeau ayant à sa face inférieure des feuillets en éventail, et non des pores ou des pointes, c'est IV + que nous choisissons, puis II x (pied central) et II -X- puisque le pied porte un anneau. Le tableau A, p. 15, nous présente trois questions relatives à la couleur du chapeau : or celui-ci est d'un" blanc presque pur sur certains échantillons, alors qu'il est assez forte- ment teinté de gris ou de brun chez d'autres; faut-il donc choisir II -f ou I -f ? Prenons d'abord cette dernière voie (chapeau brun, gris...) et examinons l'accolade I -f de la p. 17. Le signalement marqué II x ne convient pas et nous adoptons l'accolade I X ; mais ici, nouvelle hésitation : le chapeau, lisse le plus souvent, peut aussi être parfois plus ou moins crevassé, semblant couvert d'écaillés au débutant. Sup- posons-le lisse et sans écailles II -X- : les feuillets étant libres et roses, puis brun-vineux, etc., c'est II | qu'il faut suivre, ce qui nous donne Psalliota carîipestris ; si nous le" considérons comme écailleux et que nous prenions I-X-, nous rejetons III §" et II § puisque le champignon est sur terre et a des feuillets persistants : 1 1 nous met en présence de deux questions = dont la seconde convient, puisque le champignon n'a pas de volve (1), mais des feuillets libres. Ceux-ci n'étant ni blancs ni ocre, le pied étant court et sans écailles, nous adoptons I » et nous retrouvons Psalliota campestris . Si page 15, tableau A, nous avions suivi II -f « Chapeau blanc », nous retrouverions les deux questions X ft Chapeau écailleux » ou « sans écailles ». Le premier cas nous mènerait à I-)f, I|, I =, I «^ : Psalliota . (1) Profitons de cette occasion pour recommander de^ déterrer les végétaux que l'on examine — notamment les Agaricinées — jusqu'à la base, en grattant le sol autour; et pour rappeler que l'oubli de cette précaution ne contribue pas peu à augmenter le nombre des méprises commises à propos de champignons dont la volve n'a pas été mise au jour, et qui se trouvent être vénéneux. XVI INTRODUCTION. campestris. En admettant le chapeau lisse, nous continuerions page 16 en bas par I x, I-)f, I |, II = : Psalliota campestris. Supposé que le champignon mal arraché ne nous laisse pas voir s'il avait une volve : la couleur des feuillets, le fait qu'ils ne sont pas soudés au pied suffisent à repousser la dénomination Amanita. On trouvera à la p. 88 (à la suite des Tableaux sypnoptiques), l'expli- cation détaillée, avec renvois aux figures les plus caractéristiques, des quelques expressions très simples qu'il a paru bon d'employer pour décrire les organes des végétaux plutôt que de recourir à des péri- phrases ou à des descriptions tenant dans le corps de l'ouvrage une place inutile. NOTIONS SUR LES CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES. Végétaux (1) ne se reproduisant pas par fleurs, et ne possédant pas de vaisseaux où se fasse la circulation des liquides nutritifs : Les fleurs étant définies comme suit : élément sexué formé dans une assise d'un organe protégé par une ou plusieurs feuilles ou bractées vascularisées, généralement différenciées — l'élément femelle étant pourvu d'un sac embryonnaire à plusieurs énergides, et restant quel- ■que temps, une fois fécondé, sur la plante qui continue à le nourrir en embryon, lequel se libère ensuite sous forme de graine avant de germer. Les vaisseaux étant définis comme suit : files de cellules contiguës et vides, dont les parois transversales se sont amincies ou résorbées au moins partiellement, et dont les parois latérales se sont amincies en figurant des dessins déterminés, au moins pour certains de ces vais- seaux. Toutes les plantes à fleurs ont des vaisseaux, sans que la réciproque soit vraie : un végétal qui est dépourvu de ces derniers organes est donc classé d'emblée parmi les Cryptogames, sans qu'on ait à recher- cher ses organes reproducteurs. Ces plantes sans vaisseaux conducteurs n'ont par suite ni racines ni pétioles véritables : ceux-là sont de simples poils rhizoïdes absorbants ; quant aux feuilles — toujours sessiles — on reconnaît même sans mi- croscope leur non-vascularisation à ce qu'elles sont dépourvues de ner- vures véritables : elle n'ont, au plus, que de simples replis ou épaissis- sements épidermiques (ou bien des files plus denses de cellules), exclu- sivement longitudinaux, presque toujours en très petit nombre, et jamais reliés les uns aux autres par des ramifications formant une innervation réticulée, comme c'est le cas dans toutes les plantes vas- (1) Nous ne chercherons pas à définir ici les limites exactes du terme « Végétal n, pour lequel n'existe encore aucun critérium sûr ou absolument général. Pour les espèces ici étudiées, la fixation et l'immobilité (absence de réaction brusque et renouvelable en présence d'un agent externe produisant une courte excitation) seront un caractère passable et à peu près suffisant. NOTIONS SUR* LES CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES. XVII culaires. Quant au curieux aspect que présente le thalle du Delesseria sanguinea, qu'on prendrait pour une véritable feuille de Cupulifère, il n'y faut voir qu'un simple iusus naturse, qui n'a aucune ressemblance réelle avec une vraie feuille d'arbre. Sauf pour les Algues, la taille maxiraa atteint au plus quelques décimètres dans sa plus grande dimension. Les Mousses et certaines Hépatiques ont des feuilles : tous les autres cryptogames non vasculaires en sont dépourvus. Ces organes peuvent être définis : membre de la plante plus ou moins aplati et étalé en général, ayant un seul plan de symétrie, pourvu ou non de stomates, pigmenté au moins dans son tissu supérieur, dont une ou plusieurs assises sont généralement différenciées et orientées (1). Nous avons vu que chez les Muscinées elles n'ont pas de vraies nervures : elles n'ont pas non plus de sclérenchyme, la lignine n'y existant jamais. Les plantes non vasculaires ainsi définies se divisent en quatre embran- chements : = A. A tissus pigmentés, au moins partiellement : 1) Thalle formé de deux êtres distincts associés, dont l'un non pigmenté ; jamais dans l'eau : Lichens. 2) Toutes les cellules appartenant à un même type de ])lante (verte) : a) Exclusivement aquatiques; sans feuilles, tiges, pétioles ni racines distincts : Algues. b) Souventterrestres ; jamais dans l'eau de mer; petite taille.- Géné- ralement à feuilles insérées sur une tige distincte et non verte. Germent en un protonéma filamenteux : Muscinées. = B. A tissus non pigmentés. Végétaux aquatiques ou non, à repro- duction sexuée ou non. Taille des plus variable; jamais sur les pierres (ou très rarement) : Champignons. On voit que les Champignons, en particulier, sont en somme définis par des caractères purement négatifs, car ils présentent des types extrêmement différents, et qui n'ont guère de commun que ce fait d'être l'ensemble — le résidu — de ce qui n'a pu trouver place dans les autres subdivisions (toutefois, dans la plupart des ordres, les Champignons ont leurs membranes constituées par une cellulose spéciale du groupe dit Callose).. Il est donc nécessaire de serrer d'un peu plus près la définition des caractères différentiels de (1) La présence des stomates n'est pas caractéristique de la feuille : celles des Mousses en sont dépourvues, alors que des tiges de Phanérogames ou bien des thalles d'Hépa- tiques en possèdent. Le mot feuille est d'ailleurs tout à fait impropre pour désigner les lamelles vertes monostromaliqiies, sans nervure ni épidémie, des Hépatiques : de plus, la plante-muscinée qni porte ces « feuilles » est issue d'une spore, et non d'un œuf comme l'est une plante feuillée du groupe des Phanérogames, dont le véritable équivalent chez la Mousse serait la capsule (aussi porte-t-elle des stomates). L'assimila- tion à une vraie feuille n'est donc que physiologique, et encore fort sommaire. 2 XVIII INTRODUCTION. chaque groupe; en revanche, nous ne nous occuperons pas des détails particuhers de leur anatomie ou de leurs modes de reproduction, étu- diés en détail dans les Cours et Traités classiques. La pigmentation fait défaut chez les Champignons, et existe en prin- cipe dans tous les autres embranchements végétaux; mais il ne faut pas la confondre avec la couleur : divers champignons sont en effet colorés, mais • ces teintes sont purement superficielles et résultent d'une simple oxydation de substances solubles contenues à l'état diffus dans les cellules épidermiques (l)ou leurs membranes; certaines granulations colorées pigmentoïdes qu'on y trouve (Vuillemin) ne sont dues qu'à une récupération de ces sucs colorés que le proto- plasma absorbe et qui le colorent (Matruchot). Tous les champignons d'ailleurs ont une chair qui se teinte de façon plus ou moins rapide lorsqu'on l'expose à l'air en les déchirant. Mais le pigment, lui, est tout autrement constitué; on peut le définir : une substance généra- lement colorée, soluble dans l'alcool fort, insoluble dans les éléments du plasma, localisée dans des corpuscules albuminoïdes (leuciles), et ayant des propriétés à la fois physico-chimiques et physiologiques qui lui donnent un rôle essentiel dans l'assimilation du carbone gazeux. Ces grains pigmentés, ou chromatophores, ch'omoleucifes, sont aisé- ment reconnaissables au microscope. Ajoutons que tous les champi- gnons décrits ici (2) ne vivent ni dans l'eau, ni sur' les pierres. Quant aux cryptogames non vasculaires mais pigmentés, ils com- prennent d'abord les Licheyis, essentiellement caractérisés par ce fait qu'ils sont constitués par l'association d'un végétal pigmenté (algue) et d'un impigmenté (champignon), l'enchevêtrement intime de ces deux sortes d'éléments (gonidi.es vertes et hyphes incolores) étant d'ailleurs aisément visible au microscope; à l'œil nu ou à la loupe, on reconnaît souvent et assez facilement cette disposition à la couleur verte de la couche moyenne du tissu — couche presque exclusivement formée par l'élément algue — et aussi à la teinte d'un vert très pâle et terne de l'ensemble du thalle : celui-ci est parfois revêtu de diverses autres teintes foncées ou vives, mais purement superficielles et d'origine non pigmentaire, tout comme dans les champignons. On distinguera donc ceux-ci des Lichens à l'existence chez ces derniers d'un vrai pigment au moins dans certaines cellules du tissu; on en distinguera les Muscinées (que nous étudierons après les Algues) par ce fait que ces végétaux ont ou des feuilles bien distinctes et à insertion phyllotaxique, ou qu'ils n'ont pas (Hépatiques) de couche moyenne verte dans un tissu incolore; ces Hépatiques sont, en outre, beaucoup plus vertes, plus tendres et plus délicates que les Lichens relativement épais, opaques et coriaces-résistants, et elles ont une reproduction très caractéristique (voir les Traités). Cette absence de couche moyenne verte au milieu des (1) Le mot épiderme signifiant simplement ici : couche externe, sans supposer de différenciation organisée. (2) II y a des Saprolégnées, Laboulbéniacées, Chytridinées, Urédinées, Sphaeriacées, Pezizacées, etc., qui vivent dans l'eau. NOTIONS SUR LES CRYPTOGAMES NON VASCUL AIRES. XIX hyphes blanches permettra aussi d'isoler des Lichens les Algues, dont nous allons parler, en ajoutant que les Lichens ne vivent jamais dans l'eau, qui étouffe l'élément mycélien tout en exagérant le développe- ment de l'élément algue, — ceci sauf très rares exceptions, non si- gnalées dans ce livre. Les Algues sont, comme les Muscinées, des êtres complets auto- nomes, c'est-à-dire vivant sans l'intrusion d'un élément mycélien asso- cié comme dans le cas des Lichens. Au point de vue biologique, elles sont caractérisées par leur habitat presque exclusivement aquatique (1) ; au point de vue histologique, elles sont pigmentées (2) et sans coexis- tence nécessaire et normale d'un élément mycélien ; enfin au point de vue morphologique, elles diffèrent des Mousses en ce qu'elles n'ont pas la différenciation en tiges, feuilles (pétiolées ou non) et pseudo-racines. Toutefois, certaines Algues (la plupart d'ailleurs non décrites ici) sont découpées de manière à ressembler un peu à une Fougère, par exemple: mais elles n'ont ni vaisseaux ni racines absorbantes, — elles n'ont que des crampons les fixant sur des pierres, — et d'autre part leur habitat marin et leur grande taille ne permettent pas de les con- fondre avec les Mousses, dont elles diffèrent d'ailleurs par divers détails histologiques, notamment leurs organes reproducteurs qui dans tout le groupe des Muscinées sont caractérisés par un type très particulier et très fixe. Les Muscinées enfin sont des plantes pigmentées (3) dont certaines sont à tige feuillée, d'autres sans feuilles ; les unes terrestres, les autres d"eau douce (4) ; elles sont de petite taille, les trois quarts n'atteignant pas 10 centimètres et un fort petit nombre dépassant 20 centimètres. Elles ie distinguent des autres Cryptogames, et notamment des Algues, par leur mode de reproduction très perfectionné et même compliqué : sous ce rapport, elles se montrent nettement supérieures aux autres cryptogames ; ceux qui s'en rapprocheraient le plus à ce point de vue sont les Floridées, qui s'en distinguent aisément par leur taille, leur pigment rouge, leur habitat exclusivement marin et les caractères histologiques de leur anatomie. (1) Certaines Protococcacées nous semblent tout d'abord vivre à l'air (sur les murs et les écorces d'arbres, par exemple); mais, étant donnée l'extrême petitesse de leurs éléments, on peut admettre que ceux-ci se trouvent en contact très suffisamment com- plet avec l'eau retenue par capillarité dans la colonie formée par ces éléments. (i) Ce pigment n'est pas toujours vert. Il manque dans certains types, que tous leurs autres caractères rattachent néanmoins indiscutablement aux Algues pigmen- tées. (3) La décoloration du Buxbaumia aphylla est une exception physiologique pure- ment accidentelle, analogue d'ailleurs à celles qui se présentent chez certains Phanéro- games. (4) Quelques rares espèces littorales (Grimmia maritima) vivent arrosées par les embruns; mais aucune Muscinée n'est réellement marine. XX INTRODUCTION. Malgré le soin que j'ai apporté à assurer, par de nombreuses revisions et une documentation aussi minutieuse que possible, l'exactitude des analyses, et à prévoir les cas douteux ou difficiles en faisant procéder sur le manuscrit à de nombreux essais de détermination par diverses personnes, il est infiniment probable que l'on pourra relever dans cet ouvrage soit des erreurs de description, soit des omissions laissant des chanoes d'erreur dans la détermination : cela spécialement pour les tableaux généraux d'entrée (pp. 1-7), les Mousses stériles et les Algues (pour lesquelles j'ai essayé de n'avoir recours qu'à la silhouette, ne tenant pas compte des organes reproducteurs qui sont la base de leur classification en Cryptogamie théorique). Je serai très heureux de recevoir à ce sujet les critiques et les observations que voudront bien me faire parvenir les personnes auxquelles l'usage de ce petit livre aura pu les suggérer, et, les en remerciant d'avance, j'en tiendrai compte pour corriger les points incriminés lors des éditions suivantes. Je ne saurais trop remercier ici M. Gaston Bonnier pour la préface dont il a bien voulu honorer ce petit livre ; et MM. Costantin et Dufour, qui ont eu la grande complaisance de me donner l'autorisa- tion d'utiliser de nombreux clichés de leur Petite Flore des Champi- gnons. J'adresse également mes remerciements à M. Crété pour le soin qu'il a fait apporter au travail exceptionnellement difficile de la composition typographique en tableaux, que ses ateliers réputés ont parfaitement réussi. R. C. TABLEAU GENERAL PRELIMINAIRE. < < H c en a a et — ^ Oh + 4) h: •< , *- ï .^ ~ o.- = O C en' en eu c « •91iiB[d Bj ap s9iî.iBd sanbjanb ans sutoui ne '(aj^çAiio no OjBS '8UJ81 9UI91U) 99n}Ua00B :?: dJUdd .in9|no3 X II •jaXU BJ SUBp SIBlUBf + \ c .2 "3 ■a o 3 o X en a o ? « a Si? o " w ai .2 = — t> eu -a A g o< ■9 îio 3 O « S "T3 — "o .£9 "S s s^â a , -a a ^ fi. 2 GROUPE A. PLANTES VERTES POURVUES DE FEUILLES. m ■H as M ;3 o 73 %j t. m > «5 M k ;3 a o 1^ P4 «) R «j M te o c > o o "O é CO ;> p^ H O P< > 2 <» u «> cd rs u en •- o o • - c «^ o ^ o •« •« ■~-' en « '5 «3 « 4) = S /^ 0 O ^-> 0) a >;^ en cd •*^ ho C ajcs m "■ — ^ _. » ^ OJ C/l «S c o ce <. O <5 <0 t, O s (^ o> 2 ^ "^ «5 c S w « ■ï^s lî ^ ^ çj •*« s 3 si< 4) u « X O 08 a •^ ■*<> «J -0) a Oh *l 8? O C « * Rj 05 C o ■?; 03 PI S a- 2 ai S O ^ ce ~ ^ a ■:: "S. 33 ~ — en ? o ■ — ■ n 3 3 O -Q O 0) « te 03 S' "O tD 3 '^ ai'» 3 O n! 3 O 03 te 03 en rt ^ Cl, ."73 en 3 03 03 J- . S 03 — en en to 3 rt C ^ 03 „ E « S Oh te aj 03 u - — ' ■ (S *^:s:!^ a es a a »> ■saqoj lu s}uap suvs f sanSuoj 9nb saôuv} issiib anb -S9.id 'jnaâjBi ap •luiu sjn9isn|d ap 'sdjDjd saïuvaScu samnaj X I ■9XB ui\p Suo[ 31 ]no} uow 19 'sfsnbnoq U9 (^ ^ z) ^-tQ -luou 2tj3(I sau) ua sagdnojâ sanmaj -nBa^i ans )u«)]oy no nvaj suvp sjnofnox + H GROUPE A. — PLANTES VERTES POURVUES DE FEUILLES. 09 es o 0^ I > 5 ® >3 o co . ^ r*^ -^ X *- '■ s K « ^ W3 -H o v (U « = 3 Il S O " 'A ^ "■ £ ?, ■^ " ce — (C U .— • — U — T3 3 _ C3 ^ ^ C — 3 C . .. 33 5 «p X o — te •3 O ; "C en 3 S C i^ X.2 o 13 s « 3 ■^ -C -C — C eu o o 03 U C 03 =. 03 «; _ »- 3 «J en -03 ^ 3 «Co 'Se?' t. . .Îi5 = o . — . ce 03 cn'ï 03 = 93 C !X 3 VS «1 en 03 03 0; .ce «"3 O -_ -a 3 i*' ce «o te • ?■ O 93 «5 ce • — ce 'S en g :^ o 53 -H .2 ce te ^J, "= c S •i.2 S ce "3 ce 93 43 •O 03 « h •a> a t> te O « co t> , rt o. u .a SO -] H ^ -as Ul a: s 93 (^ >ï on cS ta ^ 3 93 "-^ ^ — * _, '" 3 93 nj 3 a.® Jjï ■^ - - en --3 f o c en "3 J- ce •- (^ 3 o ce O - -G Cl. c T3 u •nH3,I SUBp 1U81U3JBVJ •Jaiiau V3 s3jn.vJ8u siivs '. assojo u» saa[no.iua lu ssajoijàd sïduivÇ 'âuoi 8p -rain ei--j ans sSjbi ap •ranif-g snjdnB^noîiuB.CB sanina j X I •(Y"] SUBp 9UILU0D ^jnoo S^J} SIOJ -jBd) i\[f| '[)y 'yj aâii no axB iin^p ^uoj aj aw« J»(f au/J sajsodsip '(^ ap sn]d dnoanBaq) sasnauqtuou sajimaj -j- j a s o sa 6 c t. o S o u I. 'S s c a 33 s M <- ■r. a .^ »*■ S (T, O) 3 j: 3 <« ^ 03 03 ^■^ ■- ^ 3 K «o ■5-H o tD -q, -^ C O 4, 0) .~ •* t— en PS t H •~ 3 03 o *** C — 03 t3 ^ 03 C C o ^ ^ -c c ^ ^ t. .- 1} ic - Si, x 03 en C h"^ r "î; .^ xi 'o s. « b O nF^ 9 t» A Bd O >M SZ f «t •H (h en (« 1— 1 es v^ O r!3 -M o. o e 03 .^03' '03 XE 03 i^ ^ o . ^ TS 5^ 03 <= o 0. r "*-■ S fi S •_ ^^-^ ■^ 03 M '*- :i_ es <: ju a V. - N^-O 0) 03 -- I 03 ^ 5^ •j: ^ -a c ~ S tS îï 0^ s- gj tc"S^ -^ ^ S- C ~ t c o ~ c i -k^ 03 ?^ ~ ti « .+ ■■- = . -, ^ s X tn tAj o, )ÏÏ — 3 ■ — fco "+12 *^ 3-^ E« 1^ ^ — ^ -J3 -y; 3 CS 03 > c» 03 ce " C 3 tS < ^ >J «S! aa o A, d. O) t-. • -< o " bcS a f^ c 5? -J i) x"s s •S3iuap?03ad suopduDsap sicj^ sap aunj sffj + -=*■ oo ^aa^ 0 co îO 3 t^ -os a 5 H »; Cr Bi3 ^'è 1 ■< S S e3 a * .S C ;5»?/? ^'^ ^ Pi * ^ «: 'Si S S r ■^ "'^g- 3 •- ■^ o - s "S^ en 2^ V) £ «s i II ! «- 0 i> -T a-. ._ Cz. ai en o « u ;« P ss ^ '-0 3 ; c« a. ÎJ 3 3 ^ •■'- > C 5: C 5 <1 ! ?r t. ÇJ > S S h ^ =^ rv «* ^— ' ^ ^ - 2 >-c; 'Z, ^ : 1 \ •«^ 3 S 2 •lï « 3 g •3 ^' «et c o !0 ,5 s o- •2: -5 Si 3 «J c 5: c : ai nj ■^2| -"=-? y : '^ c ^«S ~ -bs . _2; «-^ ;î 3. -ri ^ ' -. a r § = •c r = a,x ?5 i: e .s ^ ■£ ?- -5 bec ■fci, — c c a- 2^ 0) > r de M -^ eu - "e 2 '« ç ■»^ 3 0) è ♦J c? 0-5 -^ "S "" 5 = a. C 0 0 «î * ^ ^~" "^ ^ ^— ^ c.__ '• IS" (dO) s; )aqoi T II _ -0 a . : 0 o. sa/ipi ay 110 S3 nbvjdw^ -)f ^« -___ ""~^^^- — ^^^^^ .__ -- 0 «J I X •siuau loieuSis e S90 ap uno nyX ~ GROUPE C. PLANTES SANS COULEUR VERTE. CO a. en ?.. o ■Si !5i H E- ce M CD G» fO ^ Oi «5 », s c« o bâ tn t- <» ^ ES eu O 4d GROUPE C. — PLANTES SANS COrLEL'R VERTE. a ta '3 S)u9uid]«uâ|s sioj} S33 8p utiany + f CHAMPIGNONS. (/2 O O o ci S 0) 0 S-« ^«^ C "^ ^ W ^ C0 . ® 4-> u '^ a 4> --^ m -0) bo O. -^ S fo *" t. 1,2 ^ o 2 C ce •siiod suvs a.mai.isdns 9DBj.ins ^ I 1 d) <* JT^ C O f •- p . 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(S O a, o u O a p. t» 3 1» • O en (S 13 s O tr 3 m f-H S (h O O O (h CQ a a , o co S 3 ■<-» ro o CD 3 S (-1 2 •^ t» a 05 "5 3 "3. e "3 u tu a^ cù cù CÙ s 3 3 tn ^ b > 3 — «3 es fl. t- _ 'S S S s •aojBiu B tu 'nijod lu 'a^nopA lu nsadBqQ X I paui suBg + GROUPE A. — AGARICINEES A ANNEAU SUR LE PIED. 15 V] U7if^ ■souv^q si9nin9j •xnajjjvoa iiBad^q^ X II ■sa|]iB09 sw»s nBsdçqQ X l •saunBf no souBjq S]9iiui8,j -jia dônou no }uaa 'and dôuvuo '9U7ivfnv9({ :afuvjv]03 fa aam sauf unajnoo 9un,p n^advqo + m 46 GROUPE A. AGAftICINÉES A ANNÊAU SUR LE PlED. \ a "S .S 'S Ou 3 o a, «3 ai CL, es a H + -J ï:- ^ w D •y] . _a; «3 '5 4:: •4J 0 rrt -si ^ C3 a 'S 0) Sh _oJ 0 B ^■A ^ nJ C "^^ JH c ^3 OJ 3 ai a. C/j es ai ja t.. a 3 ■—< •fs» a, cr . ;2 c ^ « S;^ to ■v- ^ K t to fc> ^ «X vTSfc : 0^ "5 .h s , 0) C^ 0 0 S'- ? ^ •cS <- e u: ^ S aj r^ S-- •— "Cî ►0 en 3-2 4) ooï-O U* 0 i"-i 'T^ Qj ^ ^™« •S&J910BJ ^~* ^ . 0 0-53 0 03 B (» ■5 «> CO ■•-> > — «s tH 3 u CO 0 CÛ a, m ta O. PL, M C m ce CL, •a U 3 s t-, < •B^^oiiiBStl : aqmoq ^ nB9dBq3 •(}) sàuqii •s&japBJBO S90 SBd îubXbj^-X- I •S3.i0[03 spiiinaj UQiq no '}jnoo p9icIu8iqP0 — ■àa2oa siivif § j •3 ç 9p snjff •s8jqjB ans i!/ 'xnanbsiA voj^ -X- 1 te c '^« '^ 3 3 =S C a ce es en X bc S -(ôi?;^ 'Jlf -Sij -a) xnaniBO? needeqo X II suvs ouBiq riBadBqg X I GROUPE A. AGARICINEES A ANNEAU SUR LE PIED. o o 'S » ■3 S 00 o ^ o.a S 2 «s^ O <-» 2 .— I O cS Ci ^ =3^ O. m eu <1? 1.1 t- en 2ë T nj gs t- en 3=3 a) -^ -C . "^ ed en .ce «s c rt .ai ? ~ •a 5 'C S. 2 O U ; u .^ en ni i} .a o) u £.1 es ^-' *et> O) -^ 3 e<5 ra3 s B «»5 I 'ÎO S -^ 3 C -«> 3 O a< »<^ .^-^ 0 0 3 .- «2 ^ J3 ^ « 0*0 «- eu ^ 3'« 4J es ~ *. eu O ^ 3 » '^ - es O -03 e — '^ en -es = S -- 3 3 es ~ O ^ <5 O 3 Sfl 3 s. 2 eu "? -■« '3 ■Sj P es d 3 .. • (9A10.V gp 9DU9S -qB,| \î J9IJ OS SBd 9<»j) •suijapidg 1 .iBd S99ui -joj S9I1IB03 -(g) ss.iq •11 S)9[lin9j (5) 3Ci]0Cl àp èdVdl suvg = •Sfuvfsisuad s\3\\]na^ •duj.dj. uns % I GROUPE B. — AGARICINEES A PIED CENTRAL SANS ANNEAU, 19 3 Ci l o o nj ri eu 3 --2 F= ci e CLO ^J c >■ t£Œ> a t- O ta , o Jf .^ c O o O 'S £ _2 -J «c ;3;:§> sa!* a. 2i • f «"^ •■mS V! 4> t" ^ - •ë 3 S ■5=27 V. .^ 3 «o 94 20 GENRE CLITOCYBE. «0 Si. se Ho C «H c 05 S a o J^- a h O H e )0 «o ^-- ■" G «-^ ■« t. C'a 3 « 0 ^ 0 •w C es (S J3 a> ro CL (Tl 11 ,c 0 'S «•rr" (U bb, o o ■3 * ad O & c ; o t3) 3 a p >, bo U ta ■Xi o 3 , ■ to "5" •^H 13 es U », b 0 0 © fi â u >* 0 0 s F- • 0 to 0 3 '-3 g 0 ■^:S C .fl :^ 4) 0 <-> 0)W ^ " — ' >^~- ». Oi EC H^ iko cy> 0 0 ■i ô ! \ko m a a T3 *. 0 . ïfj S 0 c ^K i ^ 0) f^ 3 ■ WJ 50 •0 0 S 3 • 0 ■ f ûr ;:. ^ ce y ^ rw 0 ÎJ «i ^^ lO ^9 ■•.» 10 ^ ■e 00 s -3 ^ 'Al M c RVf •*a en ffSi C 3 r. 3 o «o 17} m bc 3 2. «5 aJ a. 0 1» Sj •*.» 4^ 1^ S Ce çS -S . bcto ? !^ i: u 8 » ««>ii o c 3 o c 3 u O •S9J3PBJB0 xnap saj sy^/ § [ •(sa.niemnîl' 'aui9JD 'ji^qo 'S9S0J 'sDUB]q) s.ifvp sianina^ -X- i\ 3 Ci- « K 0 0 1- H 0 U Id U C/J :/j Sj 35 0 0 p^ tx S ai u 3 O aj 3 O o c a O) c •eu bc 3 O a- es •a' 43 3 -a «> 2 Cï, ••«• •^Ni c s a «^ e td 03 V >" ja 0 -a> 0 u H bo eu i-J C-i U 3 ai •3 s: 0 ùi . n « 3 cr 3 es hc ^•^ t-> (U > 3 «u O, c 3 3 es M) C ■ — ■ 0 fc " "«j u ;. ■"■ 0 en e ai (h o "3 C O s * i 3 O) X 3 o o *•* t. + GENRE RUSSULA. 21 (0 o u o O) u •o cr u 3 O a. .a 3 O 4> c c s o 'C3 a. TS S eo o S 3 c t. C , ■ -_ o te o ;I5 Xg m a u o a 'S a s a o c c o c ■1) '/J !^ O ai •a g en 'ZZ C C 1=5 «1 x: Sj i ^ 3 . — .-!> • -^ e ^ ** as t 3 -c .^ t , « « ^ 3v® 3 -« ô 3 a: u 'A XJ •suwp Xi •(2t 'te ""g -a), (paid 9j ans }UBpu93S9p) •(86 ■■StJ "a) s]U9j -jnoap svd no nacT spinngj + i l> 8 " ■ 3 3 *! £ ï? . s e; « u 5 ii i.-- ^ " -^ ■3- 3 ~ - 3 u o^; '|-£ — a 3 o ~ • ^'3 s» M 3 , 'S ~ 3'j^ . I 's'Z !=:.; g H. . . -' fi 3 nS 3 «<5 In y> 03 c «■- > M 3 O .2 a 08 (l 3 Ci 01 .a I— « ■ O o es >> o jg o ca 03 (< 3 JS ^ o o O ja c8 a o 3 tH M & «3 >^ 3 a tf 4> ^ o c: ■" o: ■■S 5- S «j , — c^ Oh jj. « S' Ci -^ t- f^ -' -a s 5c a o —^ c -S "^ 3 3 3^S o — ^-3 . S» " tu ■li > 'o o rt S « :S bD o 03 - - C ~-3 o; B 3 v: *«^ C,; ce -«s -a Q) _2 .si c C «1 t<3 v-. to Ij C I I "-S ^c f^ 2 Ci 'OJ ^ (U — ^ 0.5 3 o S Oh JJ tD t- 3 r_3 (1) S î 2 5 S s ^ c -3 e — --v S < .s .„ il ,- « "5^ ^ ; C 2 ?~ O o >~ i2 c o te =: -a ■3 c ■ aj -3 ■ ai 5 "S a) 3 o '^ co c '^ ',5 "^ 33 13 ii c = o ~ 03 nJ 03 -^ ^ 43 Fj ^ ^ ~ t c -r, .i - ç ''. 2 ci ^ X> 3 (U «3 *" C- 'Si •~: «3 <13 — ' a.o 03 — 03 3 o- CO — ^ U 3 a, ^ •xnauiiunj uou s^aninaj -iBaiijaA '(■B.nu9D 'iiojp pgij^ 'auudi uîig -^ j "0 S' 9P SinOlU 9p '919J -|iB'I î/ou 'unjq no a.nieunvf 'aunef nsad -vqQ -nuuvyo paij •sd»/ni!>/'si3(iin3j X III 03 ?:> 3: o ■3 -03 3 ■«-> 3 •-H O >• O 03 3 »— I "S Oi 3 -^ 1.^ 03 ^ "3 ^ -03 hJ ^Ë - O 03 U -03 t3 "5 .2 '^ a 03 O 3 ?v 03 a ce o c» 3 03 O} 3 ce 13 'S 2 o ce o -3, ^'3 .- 3 O •- C « Vi ^ 03 ce t. ■53 --J o -ci ?i.2 ^ 03 ce 0 -03 w c/; y: t. i) to ca ca u % >% o O CJ '■<3 ■il) t3 -H i:s ci 3-* C3 -«-J 03 :; C ce M C 93 03 ^ a, 7; /'? ce o 0 a, J2 ■,-> ». c <*•.> ffi ce •« C/3 ^ •rt i'' =^ 03 S _03 5d 03 O 03 -3 — 03 W3 3 ^t^^S %o stoj Bi ç sajapisaBO sajin^ %9\ sooi m 'aujijoo ap S0(/ + [ SECTION II. — AGARICINÉES SANS ANNEAU, A FEUILLETS NON DÉCURRENTS. 23 I» u :i o a o a in *^ 0 a sa en «ai P4 I O H O ara (M (0 •a a ■«A o o CD !3 u «n • n "^ O P tu m ^ S ni O s h u 30 « ''-^' a o ■—I o ,d •g H ~ (M u o o a> o o w ^ ^ 3 a> o ^ 2 .2 S Q. î, o i; j-a < = ii S t. — -/! C j- T3 T3 + 2 -■« 5 3 a 7^_< '9) fi en C> es o 3 îS 3 O S-l ô. o. eê I— t o o !^ s fer- (M •Si s CCI ;S 73 o > a _o o c o "— > L. 3 4> b O S ci s; o s: m 3 + o Q u '3 24 FEUILLETS NON ECHANCRES. GENRE TRICHOLOMA. a c ^ /» ^ = ï wo^ii ap si9nbnoq JBd 9j.i91 JUS }U91U9JB.I S9JJ^ -S^yO -nos uns s9j/no) ug 4f H à, cô a •<^ (h o O 4> C5> ^ !i. c O ■a C B •3 tD C sa n3 o CD O tn O O cc,i? "S. - aj o P o a» o I-] o a: o ce H c: •da2oa eun X III •ssunaf snjii S9| zaqo suioiu iiB '(X A '£6 'cl ''^l diniuoo dun siBiu '■dapa dp svj X II ». o u '«a e ;;> o X u o _c "3 S o bo C o T3 00 K S e u c o 3 ►o <» u s £ e 3 3 c/3 B u ^^ «u -Q '«J en »— * .(U 3 b T! bc O (3 ■a> ^j -o Oi •s b ra CJ -a o "o 3 O 3 c ce »— I ^^ I s c 3 O .■>.?.*»<;. Ji'&âijj^Jfi GENRE CORTINARIUS 2o lC/2 3 O S ■ai ;^ ==5 * o ^ 01 0 O O o C/2 5 o z: 3 O O a, ;-. 3 O to ai 3 «J ?^ «^ O ::: c C 3 O u O 2 3 2 «^ x1 c '5 c A O — 3 c» in es -Q s: e •0) s ce î3 « S" X 3 3 3 P. 3 S O 3 8 o o 8 A CJ u -3 •xnanbsiA 4^ o) C8 - .S O ■3 3 O o o c o c te ■&( s 5 -3 ■3 3 C8 C d 3 en B ca 0} u u SI o ;» s S c o c ^ s t, 3 3 E «5 (U — :i e* U g tn ^ •- "S tT =S «S t>5 (S u s^ C u o I 0) c» 3' ^ 55 C o; ^ 5 ^ - g s J"' c p 3 ^ ,. c u 3 ^ £ t: c y) ci M ri ^-H c S.-" a . ^ o ::: 3j • ^ a £ ;. 3 « :2 -T '^ o '^ fl ■g — I-T3-S! S 60 O =^i . - = -, § X S ■= ci "ï o ' Oj ^ <* c.) -o ':: ^ • .. ^ „.t;-^ aj^T=.3 t. ,„ ê^ es X -^ -a, ■a 52 — 3 3 .2 t- 3 . ^ g ^^ C-^ 3 ^ 3 e t '^- -o >> -• «^ c 3 — C i, a, ■-* ^ fîi îà ^ 3 rt 7» — I \ •a vi o • •« - ^ _ £ IS .3 -3 8 oj t, ' ,, - 3 u. 3 ïï -C ~ -tlj — I O « U a C I I 3 2 «-.s ^-2 ".^ a,, • "73 ^ OJ 4J — £• = - »^' o ' te ci 2« ;« 3.S 3 « « ■^ 3--_»ja M o 26 SECTION III. AGARICINEES SANS ANNEAU, VOLVE NI CORTINE. co U > o o o P P. ci , CB G (» ■4 *; ce S ce f— * 2 r-t 0 • pH O) •l-< t< >» ^ -H 0 «B Ci p. •0 D> es 1 O M H K C S o •es D o «) X 3 ai I c es C 3 es Oh • * aj • -■ '~ •HJ • ^ te S • S ,-« y- 'I 3 3 > - I ? P «Sa a ?; ■ ^' = S^ • •2 .5 3 -Si'' î> ^ — ô j2 a. - _ a, ils « cn.2 a. I 3 1^1 .i<^- en t. .2" ^ a "1 ^ s 28 SECTION IV GROUPE C : AGARICINÉES A PIED LATÉRAL OU NUL. 7i C (0 o ta g. •iH fi ta ■*» 4> 3 .2 ■♦* Pi O O > 1—1 O > 3 d d a a Cfl »4 es < O M O t» D U 3 a O u c co 43 co C 'S <» •a a. «yi «a a, es C « «c co o a o o. ca a, ta 9 a « o c s a, « •"(5 c <^ ce «o c co e'« S o u (» "^ 3 ai (U CL, •05 C 3 cd ■ •« 5 -H 3 O t. 3 ce a> es O <û -*-a C es en en es O) en 3 C es u S i» 'C en 'O en ■x> (U «0 b '^ -« ^-» ■^ t. u ^ '5 d1 co aj flT3 « ^ o aJ ^ i 3 ^ en co — 3 " ce X a o (h cfl o cfl 3 a a cfl 3 s es 60 '3 o c es en en es es a, ■45 a> S ^^ C s e '5 o 6 m 5x en o u 2 X o. o O) (fl m o B (h CO Os o s es en 3 (M "3 ce C<5 3 es a. u •cS C bo o es er .ai S H * •■ en *a> ■'^ CJ -Cl (U en es 3 Cl O) e« .^ ^ • o 4 aj -o; ■aj -C en aj C ■a) S o en a^ -s; •aj o CJ 3 es aj -U ^a CS 3 * +1 -OBJBD S30 SO^/ X I cS JZ CJ 9 T3 ■^ n> cfl « ^ u 4> •<-> U to o O ca «• 9 a> ■fj O 3 11 O 32: eu ^ — - •-H Ph CA O a <î o + > + + •S31U3pa09jd suonduDsap S9p dunony + j c 3 e e» en ^ *> ^ E oo £.« aD . •" bo ^sŒ aj ^-' en en 2 2 « t. -« «ë o . ^F4 ^ a -arc« Cj • ^2 o ~ •« ÇS »-i. • .© s .u CO S! "S •os §1 J^ a> . »..a) -bS ». i: •« o f^ «^ ■.- E b ^1 3 ta 3 0:1 -0 O C5 s» * 10 S. S C/3 73 ai Ce x 2 3 = c-c^ o (n à o 5- "^ o S o 0 «go 03 _ « !JH 3 o «i C . a> «i « . S*» ^ *> -S î» c> O XcS aouBjsjsuoQ + III 01 3 a s u c — ^n ^ n >fl ai K ^ C/J f ) ri en -r) CD ti> S»^ ^ • rn 0 <-l rii bc-^ •V 3 t» f> c ^ C8 m -Q Oi r/î s. ai ^ TS 3 0 0> X * ^ ai œ — a, «> _!= « rji Xt es > 3 o O 3 >) 0 0 • t ) M •1) ce — ' .*H TS m ^^ 0 ^-^ 0 • ^i ! c^ 3 -. ■-11 crt -.-> u 3 0 t- OJ c3 >• U -H ^ 0 ai rn 0 trt m S ;j r/1 ■Vrf 0 ^ C ^> tS S ^ 4> ^ *. O 3 S = O ^ C * = 0) 3 O es C -H 3 Cl ^1 ;|2 o ^ ce S^ -^ o Q^ Cl 00 ^ «3 o « 3 5!:; Q , U 0 >— 1 7t 03 a "Z a < 0 0 03 a 3 ca 0 >% a« . A *" S-l 0, J^ 0 0 ta r> ^■^ (^ Si 0 K co 4j c! * oo o ce ift 9 «S eu, eu o H T3 >J .4.« »J a ^ B sa u ^ bc ftj CA td U> ej O» M as -S! •- a< a •(d a B3 o Q ai • a 3 • L. ci ■ «3 • e t« • ,a. 0- : 03 ^ Cî M « 69 ;z; ■B HH l« O (/2 >£. P -- « S a Cl 9i •OJ ^^ a a b 0. S «^ o » «"S O ** O S S S 03 Oi «S bb; ?==» «S -3 ï^ — t» V. W ■^ fi? 9-5 ^^ H Q O O) 3 O fco c o te C « O C .2 -H es <<, B ■G> t<5 •* "^ ^— ^ a,^ J"bD a -5 HJ5 bD— C6 d P4 CQ ni L. • p— , es a. C/5 t. 5^ •aj OJ es 3 Oh bf -a> C W) > O _^ •"" ta a OJ ce CL. GO C nS X 3 CD — 2-0 ^ïï bp 's "S _ a. t" 3 " E^ o u bc 3-5:2 H.^ * o . E " o ■OJ 'S i2 i;. a- g 5-3 •-=1' 3-^ S . 3 t- o iU s — • ^ .. ^ C/3 '^ »* en en — o ^ — w y; :2 ""■ 33 p-'o i= ri o - :=i" O •'- S ~ ^ X * C o <» 2; ^ c — « ce '- », eu V3 oj ce ^S "S 0 t» ^ --^ âa a 0 S 2-J 0 •2 ££ Hh| 0 1 ^^ t S 13 ' 1 3 ~ . 0 ac aire 53), A J3 = ® S 0. OT M c " .2* V5 ^ e Ci e (secti lûusse microsi .te s t,-= — cS 0 C : i^'s, •■^ _-^ 'ouve de ce i'emel ! C ; •=6 tn O" Ë tn 3 S en . . 5 C «^ 0 •*• 0 13 0 .eS-ë 3 co ^^ ~s a> _2 ■5 ta := 0 ist dé iiatre se p 03 câ 3 0 «5.:= S Même si l'opercule quatre valves les ( sez Impropre, car § A -.uS a *s- CB S.S 32 HEPATIQUES A FEUILLES. M «3 P a M H V 2 « 60 ■S89inoiiu9p 9in9d V no S9u^}}U9 saiijngj + jjj •(a'I 'jj Sy a) X7iv6din S9q -01 ^ lia s99sia;p iu9ui9puojojd HEPATIQUES A FEUILLES. 33 es •— • i— • et O. (S o .£3 ■tJ O •a (d S "s •m* es o G — c» tn >. c 4) J3 S *i a (d o <0 a a ca B u & a 3 ~ C 4j c o If 1 ÎJ •'^ • -« ^ • •^^ c C h !» D fin c Tl « Si. a> 0) ji o -^ 4; ^ o ili .^ c '■O ^f » «O H- 1 0) M L, e bc <3 C '.w ra t» ^^ ILl o s 1 £;-"S M^ o-c ai Wl s '^ r/) 1*^ a; > ca L^ o c > «o o «o c- to ro v ^ m O en hJ â: * :j Cn (0 •»> ■•-• ta CL, 3 O a, ce -S _çS c« i: ■5 "^ , — - oT -^ ai ■ — - s-. rn ':C C ;^ -c^ -< S * a « 1-^ a. S o o Ci 4 3 TD cO ce TS 3 C O ?^-« te- .- o •!)«« ^ £. t* * ^ -1^ a> -a -• o s " S •^ o (B »* Û.:i •^n ce ^ ' Çj 0? t^ C • • »^ 0) 'D 3 O 03 ^ r/l O U Sic 3 p a. bc -t-3 E r-i cS O! -T- ai c3 ? 1.- Oh a C .a z; >k' o :^ s'>? •(•Sij .iioa) ùlUdOj "(Vf 'aa '3J ""y) aiin^j ans un,i sGiidaj &. •'-' > O) ^ 5 T3 tn «.) '/) -*-3 O. 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MOUSSES FERTILES. 38 i 9 Xi P m A eu = s — c u a, o «3 — ■ a; o w se 3 ï .-3 O _ s -a n> 9 O PU O CL, — ; 'J3 2= -S ;i o s. «.) _ e -^ Il S i^ -- X 3 .- Cu "IZ s ^_- + 5,^2.5 05 ►H o 09 •es C ^ +1 ^ > 3 4j S O '^ •« ■Si ^ ÎJ 'y. ■^ %j -^ es %. , L^ t 3 te .^ _^^ c 3 !0 u cr ■^^ to ^ 4j 5^ lij ;» "«j 5^ ;2 .*^ p i ^ ^ c ** ^ •s.» C ^ es G a. •f« N s 5 'Jt «j >« =3 < Crf 0 ^^ -J 3 0) 'Xi « -L. 0 ns 3; r; _i- -U T- î> ;- CJ ■a + — » 50 3 ■a ^ V ;_ en -S! 3 O S. -s; © ^ fi- -^ 3 3 .00 3''? o O ■"H '"^ 3 « F -«) A «L> 3 ■« c o en _2 -^ "ïs 3 "v »^ C 05; ■"" i2 3 t, c cr 3 jJ-z: en te !d "îs «> S. ^^ 9 « s 4> ^ *- 1 1 s. 2 -OJ ■3J -^ + "C 3 •ci (/J tn ^ C a en .0 'o C 2 ■r. S to 4> 3 5 •—• te :^ u 'j. 0 •Jï ■a ■3 £ 3 X u >- g -J 3 u 0 ^ î> C. X i 3 3 — X ^ D ,^ T3 C m en 3; u 1 !> « c -< >- u ^ &« tn 1 ^ -ri 11 C X >• ^ :S c b 3 a; 1) m en en 03 '5 J3 S" 0 -^ 0 0 a %-f T3 3 0 'Jl -u 0 s ■Xi 3 X a ■^ 3^ 3 — .. 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X o _ -7 --" i: "S. r= "-. «!=- 53-^53 = •kss: r I X = o = ■- ^ + ^-|S2i:.t 40 SECTION II. — BRYACÉES A CAPSULE DRESSÉE. 50 a, «s s? •(■ni H ce s 9 d "S a, a a §^^ §§"§ „ . a> ■a) 5a I '^S ce ^^ ^ «o a ■"^ a -S o a t/5 CJ 4) ^ > «J « 3 J= a O a S 3 !» — • CS •CS «D , bCîO 00 o M O a u o c 4 o .es , «^ r «o ^ rCC Q^ "a V5 c» >> S a .g o. «Me o S" S ° ^t 'a « ^ £ « S '3 3^ P (O •^ a> OJ — ' tn «•a S^ •S' S *. ^ fcccn:: '^ t! 0 •" 0) t. QJ tu, i-2 — ' 0 ?^2 bru cou lus. — i -^ ^ •cd -- to tu a c a^ "a .- §^ r^ -S^f^o t- tn K •* -^ â^a m — ^ (V) ,r >j *= g fc. KO . ^ "^ ^ ^ 1i Si. blj"^ '^ S ^ S S- « s o o ai i; -a &04 0<£t.a aj c" *: es « B o >^ A a _« 4) "a* •? o a^ e a CO C8 •*'a 3 a; •-^ j, sS a3 o c_)_a3 aj"a S ai ci . 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U G — S CM ■3 5 aj ^ '3 aj O) y. X-c 3 3 m «J OJ a-aj -«J o O) ai "5 *< c • o -aj C -^ 2 aj X- in O) ■ I > c; ; t- T C c i a^ ' ^ fo . c 'Il 's te 5 3 B £ O « ^ " S g 3 (O ^ bec + + «Ta N -a/iojau a;Mio(/i? saninsj + Il — SECTION V (hYPNUM). 47 H o M H o co a> o «3 a Q^ S ce O ■- 0) — c =" _« cr E c 5J •- 'i« ^ QJ OJ S °'> :;^ c -^ „ 3 _^ tn O S ai -^ t< 3 5 ^ •^^ C ^ es — TCO ** o ^s s 8 î» T «5 o •-^^ ^ S C CL, ~ «= ?-~ _ ^ D 03 S 3 «'F ■^ E ^ 5, ^ S P_o bC_3 O ^ î- » - ai ^ -^ co :' 5~ 3 ■« „ XI ?-| Ci G s- ai -O C O o ~" c ^ <» 00 ^ S ^-^ es s ~ X S O ^^ ce ^^ m a a> o m 0) a a S 3 5." « ^ » S s 5 hi (0 0 •a "a ■■H 0 et co DO a S (h 0 a 01 a> ro _3 ■^ A' C E.§ i^-> - - "Is cS -^ ^ r'S ^ ■ '^'^ u^'S „ ïi 'a> (« o — o s: %, •~ ai o « a. o ~ "S X cS 3 3 «5 = ë 3 V ^^ te <»t,r O te tu 0) "«5 "H ^ ^ ^'^P ^ ^ H 3 es "^ « en ES ^^ Z^ ^" es s a, C 3 CJ C 0) en O) îl !l) t) 0 > ■4) -« 0 0^ t/> iO ai ^-t C «1 es ffl en 3 -to 0, « • ^* 33 ai *^ * o _." en 3 . « ai s* OJ .2* crt ,^ . S^ ,~ L. 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S a ai G ^^ ca i' ;ï -:is £ _0 3 tti o; - ^ i; ^.£,2 O '■o qj ■ a Sih^a et roi inchà endan :Sp rn ^ — a: a 3 = ÏÏ *," ai ~^ .=«^30 13 03 a "eu fcc c ri 03 S o c ct3 -a m -03 S o -S S2 Si.-::i tn ci a o o 3 B 3 JS o, o _a 03 cS Oh 3 o; ;-i XI B o c te 03 C es tn o bc •e ~ ro &> ?» C %3 U ai .- — Jî '5 " aj --^ l^ 5J » C.-0 a-'S 1 1 (S u s S - CJ ?^ ;. m — _93-C w _ 'C 4i çS '5 t. -O) 5: «^^^ O to O J3 '-0 c a 03 a3_b 4) en K H > 13 03 '13 bc ^ t^^ ^f^ .^ 0.*t a C:^: '^ 43 . ^ (1^ i S Ç c« ' - £ s ï «^^ ® M VI en tn *»« - e S'" •S g 2 ' '-S "S 03 3 .<^ .^ n3 Crt -fc. 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O XI ^■ c ' en *! •(s ••8g 'aijnoo aiuiod o°,iiî|) atiôio nad no ssnpfo 9|][np.j X I[ •(HS ^J ••SlJ {•Sij S9I apBjoooB 8}î90 suBp .110^) '(g) aqiuij np anan°uo[ v\ ap aiuaixtp np MOUSSES STÉRILES A FEUILLES SANS NERVLKE. 51 «ç ïS ;. i> ^ -i rf a: •o ■ . en C 05 D te "~* -^ S o ■■ •O */] '^ ' (ara ^ -i .-o -H^~ O '% •a ■*** t-l ~ 3 Si, O r/- ^ 2 <" ^~' O) Il bc B 3 O) (h o o p • ■^ 3 ■. S g § ~ '^ ^ 0-3 "^ se ^^ «o ■*' es r" " = i r^ 3 ^ a '- <^ 3 ji .y ._T3 ïi O .. .!£ a-5^ -:; =s — . s.- j2 ,_, S _, 3 ta O t< t> rt O D* (» - — . . o o 4j t« •^ £. ci Cj 3 -^ '*** 3 ^^ ï ~ "3 as ^ « 6 ,- -^-^ M -J i; M O fcc O co • 3 r- i3 il w 3 C.aS 3 £?^ o2 MOUSSES A FEUILLES NERVIEES. xn O •© > u a o o en o 00 S a> O M p o. O ->. S u a. > c c 9 'S £L Q. OC 17 = ~ f 05 bo •- — "S. S "* s o 3, * bD s 3 o "S) a o o 3 « c 3 O CJ ai Cm > !^ O U o 3 o > S ^ ÏJ 3 »c> ^ !» -tr s-.s 3 o jtf Cu bC3 Sa ^ 1) *" S >}<2 a 3 3 O •S 3 a; S b£) îj< . e c "^ ■il -''Si. 05 C *• re, 3 Sj 05 'as > •Ho «,3 O en O 15 -O t3 C 05 o ' o c o 05 C-3 <-: i^ «5 ." to o =^ 1 -a o 05 -h" en *o% -~! ■*<> *J — oc 3 JJ «3 3 u ta 3 3 "H- 3 o o -OJ 05 . .-15 t. ^ •— t- "o O O - o o 3 oT-^ » 95 .■5 S s a •—5 t<5 ^ K S 15 03 S *■ 3 a) 05 Ci a. c es 05 S S • eo «5 ^ "e à. •«>» 0 k— 1 (» 3 Z z 0 0 0 •0 (—1 3 H H 0 a a 1— 1 0. u u co co » en 05 C '^ 05 3 18 05 V5 en .— en -a 05 c: < — ' 4) 3 to o c ««5 *^-ft5 ,'-0 3 ^.? ■* ^ s ■'^ ^ s ' r- a ■ «j 05 a. * i 2 — !j s aJ 05 rt— — ce t,.Ç 3 o Il ■'- o. ■{\) sannnod S •oj ; Sx Ç5< 0 c 45 3 5» S 0 en ^ _^ 0 -^ '^ ■n S •■p **^ a. 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OJ 3 a 3 d a a 3 O V3 60 C ^ to 3 «o O, s 3 as 3 "El 3 -Si 4J «s 3 O -o o 3 s. ai o I V) ta 3 3 O. u 3 a 3 O o fS (h V U s, 3' . B a o 3 m (4 •C 3 ^ •^4 S 3 > 3 as > ai o o o a3 aj -C co ^;S C -. -S S Ci tfî hl t. — ; §3 g®? C .^ a ^ 3" C 4) « :_. 'S = SQ M «5 ssdtauau sayimaj -X- T -3 o M •3 '3 3 O a 3 •»' co ce « ■4J 3 :2 ^ o 3 -a aj 5 « c -3 O « a« ^ • - -« 5 » «^ -'« aJ C5j co ^ co <*' cd o CL, ?. 'aj „ "3 «j £^ > *■ c " o iJ ©•_! -3 S-'l :3 ..H O ^-^ ^ -^ ^ tS co s X 3 «S "3 (O aj C S o u !.. O », «o s: e C 'C .4-9 co )0 ' es C a; C Oi "es C bo o s 3 3 + o o i-9 a t-2 OJ .35 tio u a;> 3 r>3 aj 4-> a 3j CtJ i. 3 c ai D iCX 1) B 3 a> cS C aj ■C ■c-a -S 3 a m hr 0) ai C 2 7^ 0 CJ ^^ .— 1 3.03 ° .2 coi J O T3-2 '8 «a h ^ , SÛTS o O) a> C3 en t. ,, D -=■2 -S p C-. a, c D «3 Ç 3 N t, «s çn 3 0.3 aj=^S I4 ,M -^ -3 -OJ ûi^ - o— -o >:««. S => s ai --* rt 3. Q 'J3 o Ss =* §=£ b 2'-- «3 5> - Oi -n ' — ^icu 56 SECTION II : HYPNUM. u o s— O m 3 u ta a a> o co a> S 0 • OT a> 3 a ■)-> a> a a o o Xi o> a Q. ai S o d s X5 es O M O B 3 a > » a B a s o C<3 S o s ai "o C B 0) s O) ho !-, «S ni >■ O <û ■ ta ■ '"^ O) ai S ta V s 0 rn t. tw 4> ce bn 3 es H es 0 ^n> r; .^ u C cr tS 3 C/5 C os -CD 13 . •> C C C ri ^ 3 ta C ce O 3 „, bc O) C •■" 'ti v: S S c5 o •^ *-» -^ X 3 3 o (U " S °?-3 00 tr' "i-'-3. (D - > bO . C fi ° ^ c --» to «a, -«3 Xi3 bD C O 3 S Cm 03 3 <ù ta a^ te Qi ■3 .ni 03 X ^3 6^ ■3.3, IK -13 •13 •:; o 03 1 -o ;^ s 1.^ 03 5 'S es ^ 3 s. 03 u 3 cS 03 ~-i «3 5| X o a, > S y. 3 03 -3 03 '03 03 3 m m T7i 03 3 -3 03 r7 en 03 .. 03 . ja «? o »» 'è 3 — ' O 03 O -2 ,. C •Oj Ph Cm s '03 c 3 OJ 0) ■43 .« fc. 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(A 0) :3 0) PC4 O H O « S > a S a C9 te > •«5 O -« ■5 O 5. •ai "o O c a! ,nS 'c - C 5o _ S'' •a; o t, xi .S O > o ri 0 o cS 3 O cfl O '^ ï.ï ta 3 3 (-< OQ co '3 ô 6c y; ^s e.2 ~ es i: 3 ■ï' bc.~ i S O * 3 c o s o xs = o a, a; «j aj cr a «8 Ci, '«^ »» *^ bCc/: a 3 3 rt o, co 3 i2 S 3 O ca (B Xi 5 c c o -a c a; fcc *l * c 3 O -3 > 3 ir o c 3 - te '•'' c Ph o J x:>.5 o a 3 o s -o s: o = X c;---, &< *} !<5 Uj;iygtMaa»g^ •uim Qp 8p suiom no Suoi 9p -luiu çt ap a]UBij + m 'T^ " :^ î* X ^ ' S u S» et j 3 c OJ ^ bt ^ «1 O o "^ "^ P ^^ o O C »»s ^ } 3 •ï S U 3 .-S CB ■m zj H c es -S - ? -S «^ ■«; 4) «j »> <^ S - ?» . <) « -. ^ ■^ 2 - «^ « s •^i c ^ a 05,3 — >< -* --, :2 X ^ T ■^ ^ 3 c: > .^ 0 T — O. «J ^- c cS 7^ '^ t^ C s C *o 5 , =r, ^ :i 0 ^z- CJ .^ 3 C rzn c — 3 C/"J VI !ï S XI O î^-c .-s • S- j2 i u -S? -3 -», o lié": — ..- 10 -j» ~ 5 .a. .•s 9 s^a; 0 2 g 1 .-s :- .2 ~ p ■■ c _ ic « ~ ê* — .S 58 HÉPATIQUES A THALLE (STÉRILES). «8 D O ai a a 3 •a a y a 3 a a 3 a 3 Cl, "^ D . '3 ! cr . !T . »^ • , O • . C . "O . cO . C o m ■ 'r- -v-. 3 • C •,- •- fîl O . QJ ■>' P- • ta o 9 et o o «S ji o, u o a o Cfl r— I •i-l H c» a M H H s en - O) •cl 0> 3 a < es o a o o C4 c» CD JS o. u o a o ::: o. >. •2 S" o .2 S p ». S c 3 en S 'o c •sjuap^oajd s)U9iuaiBu3!s sap unj sbj X «a sr « Cl *^ -3 3 > ^0 (S o, o o «o 03 43 C w o _ "rt en t. -a> . c « o: o r- 3 • u 43 as O u CL, .«3 43 o O en 3 c/3 ce o •^^ » .3 (13 Xi 3 O ,3 (D 3 43 3 se C O _93 '3 4> •4> eo bc ci 43 U 3 43 z; 43 O " S tn £ 3 ^ CA! ^' -3 — ' 43 > 3 O U a H ■au7iau3u 911(1 ■)<- II •? 3p snjd 9IIBm np SUOIIBOIJ lUBJ 19 -SuOIlBTSUyÇrJ^ U9 LICHENS. 59 rt o u a . Si m a 3 8 .*j • • J . J - S tfiC t. -a. _cS _ < ! « •S ?*• ^ 3^ V cS i > H H : ■« S"^ V) II lis •i s . (« •v^ ^^ ■^ 8 ; 4> --,^~_ - ; J . ^ « . -4J O œ •< id , 5% es u J . •Ij i. 3 -. îfi m > -: c C C 2 S zjm "O 0 2 _^ am — ^B ^^ ^-^ ■^^ "^^^^ ■^ " ' 3 ce . J "= K O 3 «O C 3 ''■5^ Crj » S 5; * :; FI J 55, -_„ - — ^ 2 « ap s8Sjc[ _£ 3"^ 2 O -luiBy X IÈ= _ j h^ ^ ail^qi + I - I - 03 60 GROUPE A. — LiCfHENS CRUSTACÉS. m 3 <]) n O kl 3 P n rt a> u (0 9 «.^ u 3 H-l o 2 d o u o 1—1 as O <;5 unp inoq riB suoijBoijipnjj x \\ 3 3 lU, "a ~- -^ ffl c> 03 c « c <» CQ -3-3 *■ :2 « •• -^•^ ^ ^ c Ji a, CA3 g ^ 5 o o; Il -a «j "ïà s c '3J}pyjuviq a[|Bm 8 II 3 S" « • S Î5 ?5 ^ 33 tn s o t"^ T*^ "^ D ^ 3 «o 1 -^ . 5« ^ K C 6(3 O) .^S .o 4j 5; 3 en S4, 4) O <» — lu es • S r- CD ci «i ■ 03 .• M 05 00 03 C « 3 es 5s ^ ^ ^ ^ •3 '^ £2 S c_( 5:^ tcca C — ' = 3 4^ 93 rT 3 3"J O O es . C bo ce l« TS oo (Jh (S _ synouopad un p jnoq nv nou 'oneq suot}vn)ouod no sajnudyds 'sanju^a ua 'snjd nç -uiui g 9p (sapaq^odB) suoijvo}^ GROUPE A. — LICHENS CRUSTACES. 61 (apBioooH 91190 ap s9jnSg S9[ jioa) sovjuns VI uvd sdsjdod suoi]Boijipnjj[ X I •(gpBIODDIÎ 91]90 9p 'Sv^ S3[ JIOAJ xionuj 9pi99iuasj«c[ au^qt np 9}çoa3 + n ts aj .2 r-" o o 11 s. tï -3 ai c/l r 1 0) a:i 3 3 ■1) tri -yj :>5 -sJ 1 o rr, n ca U a. c^ !» S "S ■>. -/; ^ O 23 ^ ••^ ■« iJ <0 — ■ J. m o u «. -1) n. 1^ Il •u T3 ^ i> £3 .. =6 • es <{i t. "- rt Oj'S t. = - bC •D— ' 35 -O '-' ^ = = s .2 ? X ^ S e tn a) "S •XI ^ -S ^ £ c S o •• 3 3 ai C 3 Sus o 3.2 CA «1 O ai ■(O UT-, »1 u g 62 GROUPE A. LICHENS CRUSTACES : LECANORACÉES. m c C3 c O 1-3 1 i-, C SI. S o c o V Tlî u 5 t. C35 = !^ s» ~ 'S, C= 03 D ^ u M U< fc 'j, vn om^ > o t-i cd 43 S ta a -43 >? 03 fi S 0.^ Se 3 50 -43 k, ^ 43 03 03 « tfl r^' 43 VI tn ce ^^ ■;. Cl. C<5 *.* ■yj 4j !i '*^ ■O - O Cf> s *^ r en n c e o o Ol C) ■*J as fr: 4 O ■«^ -1 s U L. 43 3 tb s U •|c;-2 no saimuq 'ssujva — -;/o suojiBoyipnjj -X- 1 "(TV 'dS ■■^U) ^?"" 83ejjns !iJoddns 9i 08AB pivpuoj as 'spiiwij voit spuoq iç au^m X i '5a?oauoUDOp7 sgp adnojQ + jn GROUPE A. LICHENS CRUSTACES : LECIDEACEES. 63 05 â > o J3 $, O 1^ c o es o te ce s o 3 U co 3 oa ■Ml , A S -a c U2 ni 3 Si. .2 S- « «^ 3 o» 3 O) *ê5 « ce J3 "3 o !0 C 3 a. «3 O S O CJ S s « m C _o '•4-3 ai O «S I— I o 3 ^ pa es o > es O O >■ as O C o « O o ta O 5 CJ 3 O) C 3 V5 o c * 3 O O S 3 go .-H 'BJO^Eia : uwp-unuq no sdunvÇ suoiiBoijipn.ij X ii !0 •O ■i-H K 3 rt u o < — r^ , '=' > £■« •Cl a ■^ o~ O ---. - bo ^ is o O o 3 T3 en -c-) M C3 r ^ o en ■^ 3 .ta _ ts ^ a 5 tA 5Î M ' ta -c .2 o "S o — 3 3 C O o ta o o _o 3 ta o -" o ta ^ E t 4J s s» ta <= ta o "Ht, g.- .2 S ;. o o ec C o p4 C3 S, ta a. •~ as 3 <1> O -" is ta taTS o a> ce 3^ s s ^ s — o t3 -5 'Sddddid %^\ jng I j ■\;apioaT[ : sninjuoo dovjuns 9un p aiuaoj an^m •)(■ I 'sauîou no uiou-unuq suoiiBDfjipnjj x i a V 2 = s» ta ;- S •»4 O S- &, ' o ■sapoD?p}0?7 sap ajiiTjiBj + u i ta S 3 ^ «5 ■r.-a -u o ,. o î2 il :-. ■ =— t. ^6C 3 •' g bc 2 3 ?: ta 64 GRAPHIDACÉES. — GROUPE B : LICHENS EN TIGES OU FILAMENTS CYLINDRIQUES. rt oc «3 > O G, ■S- 4j G, o et! -D •- ni :s u- C! xs en O» d i-H O a i-H O co ^^ o > es o 2 o c o o «c c 'S e ■'-5 ■ -■ a; ."S s ^■'53 -H. te si «aï ?» c ■ - -S" ^ y. O , -, C ■S8}U0p -duosap g co T3 c S sspoDpji/dDjg sap 9i|ituBj 4- I + "<:.=c c •- C a;> g. en 2 eu -Q C en OJ O ■>- '~ c: GROUPE B. LICHENS EN TIGES OU FILAMENTS CYLINDRIQUES. 65 -839J(I SUOI} S9p 9Un [ SBf{ X I ~H tin a 3 > et o IS u o O u c s c S D bc u > u S «5> c. es «5 •- o 2§ o D 1^'^ tcËP en O = S, u •a X A Ci 'JQ i ^-5 te t. 'S •jiouno]U9 ^//ay i/n ~ offs^ sua S8I puoq dj uns — lUBSSieu sjiouuojug § i ■(K\4 '^H) 'i}OUUO} -lo un .iTîd ;uBuiiuj3| as 'saaç^ 0> «o 5:^ 5n K o o c; -m S CI *i S]} _ BTUopBio : (KJ •aoa) saioifoj ap lauissnoo un uns X s.inofno; anbsajd }uessiBU îasnaiib — -njja.v uou aDBj.ins b xneauiB^i X I 3 en r^ 2- < 3 ■ 4> en 9 S O ft t. m x-a 1 t-. (Tl O OJ .^ c -sS es bi o ï. a c — o i: i. « B 5. O « «i c> ^, •« ;^ £: o s. o .• '■ 03 .'^ > «■< a> bc I—. u en en s o ^ en ■a O . - 53 "^ 2 î5 O --3S a. m "en" 3 C Q^i M 1; .'s "3 3 ? en t, ej îj ■^ en S> en C V S — ■aj s! 6=-.S£e2i 66 CLADONlA. — GROUPE C : THALLE EN LANIÈRES PLATES, ÉTROITES. eu a o ce u ci 1— ( O tS a 13 C Cl ci -3j 4j C(3 C (S c O CL, !0 s: ff ^ » C>5 <-l. X s D •TS .-s ^ H •*^ tn s a: co air. u et 3 u > '3 Ci CD o s 9 O* 09 a o II s « a • a a . * ♦2 es OS es a j, 9 et 'H C ra <^ es fl-c rt 'i es «--J 4-9 01 u u o; ^ *- C* ^ S: 1 r- *^ ^ G S o O a > G t: Oj «c a.> ,* ^ -E "^ ^ .&1 'a, 1) > S en •iH O ■M CD ca I— I Pi H co u d o es M-i o o > 3 es es es l-H ti 0) """ GROUPE C. — THALLE EN LANIERES PLATES, ETROITES. 67 0/ -a c as -\\ te s ça 3 CC/i «3 w t« . — s ts • bO_U) «s ^ O 3 S O î^ a! Si ce en -a a, o 2^ 'C ■ a o o o S 3 u s « S c/} es o s» >5 C 3 O ce o o '■«0 "- .^ o ::; 3 c Ô X ^ J Jx ^ Xi ^-^ ^'^ *- *-i3 ce *^ — t- î3 V5 2 V5 a; -V Ci. co *** s* ''^ s o ai fl C u i) O o « o 2 c 11 a o a «3 s co cO a o. a u M X 3 ce Cj X. o — . O C 3; 2 c = s =" B s ti o 9 O. O o co a o o ci ce c 4j 15 ' "c 3 <- G." «- t. S c 3 » ■^ ? ,'- te::; o — a> c te "=;î; — c^ ^ — ■»i C5 -H 5 s ¥ X ?- fi ^ t» y c -^ !i "" c? i - -i "^3 co vî .-^ ? i fi J< 'h j = S « saaonvijvwvy : a.i.13} JUS stBiuBf 'sip suei; -aujoo SBd siBiu X^ ■ (saass^jjp s9J9iae| ua jna.vnos — 'siojajnoi) suoijduDsop xnap sao ap ann i sb^j x \ •sjuaui-aiEuSis sioj] sao ap unanv + i 68 GROUPE r>. — THALLE EN FEUILLES LARGES. O 1— ( CA © Si a o l-H I— I O «s a o 3 (S «> O (d c] o S 9 p. ^ O CJ — ^-^ 3 o: C • (A- m â* o !^ S. - en ' — ' O) en %J H t<5 • • ■5j ^ V, S. %-.. ^ C 5. ce 5 Oj ?^ c C^ Ci, 4< '^ S C s C6 O Jj "~ ç^ + c 7J ^5 «s rt 3 O A O O es ■i 3 O tn en o O 1-1 X a o 9 es ce S Ci -H d te o a. c c X s rt D en 3 O. ■2 n o a £3 Qi S en =^ -Si- O * ^ S en ûj a> t. -o t. -a c s u -H o en Si a> -a «j o ~~" t. S •^» en S -S S- 1) en aj o e<5 O -s - c .- -tj 3 2 '^ "^ i « i te ri II. ^ = •'=' "ëï ■!> ^ >|c^5 (h o o. a a 3 a ■3 O 'm _ "«^ 3 o ce ey 0 >> V es ^û Uh «2 ■• 5 ^_ >) ^n ï3 et ^ 5 -ï ^ ^ y; C i -<- es œ o « Cl « .a te ^^ O CO o c o ce es tD o o rt m n a o O u en V as a — ? S "o '— ."3 a; • - es i. (U en C 3 3 c, cS & .^-î 0 en -Hë ^L §?i ^ 0 •«^ '■" en 'ï; ^0 2 ^ C> M 3-3 ^ "m 2:5 0 ^ 3 0 0 0^ Si: "^ -J •.- «eS 42-^ "1.3 ^ 0 3 ^ K S îS ■ 1 ■ c -3 5^.22 0 ? 05T3 et »^ u, c ec C ~ zen 0 en îfC 0 " ^i^ ^^ ^ jns ~ •0 J SUIUIU IIB ap siunui (,1) [BjauaS ua -o ël-QI '^'^'^ «^-^uJap au GROUPE D. — THALLE EN FEUILLES LARGES. 69 « >% eo .»^ Ci o o rt n •a m >, < ci 3 "* O S- 3 -^ •- o r; Cin «^ - 2 tn • 2 ci a a es o N O .a .4,^ ■;— V_/ ÛC &I &! •JIBJ U9 S9UUn0f9U 1U9A -nos Z9SSB spjoq b ('o \ •AU8) saôuvi saqoq = [ 9} .,. «j S ■ iZ li 4i Bj » ^—1 co tl • C • t- rt CM 4^ 5i ^ ? 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C 3 a Si H S en O X 09 » ce u u 03 O Xi c C c« B C O >-. ^* ^^ o •o c c o s: 0) u t. o (h « r— 4 O) 1/1 xi S a £ a. c6 13 > o -H e as * S o .«s s "es m o Si f-, es -cd o «o bc **>i. •K» «<3 C ■«J "^^ «6: ,^ s e ^ «c !^ 4) ce C Si. js (C a) "3 ^;s -D 4> C ». 4) S- o CD <0 . :n8J9issnod uoii sainqo'] X l '<0 3 eu te B nJ O £ 3 (h o ^ o 3 03 O 3 ci ■•-» (S « B O 3 u O 0) 13 S a> -Ij m > ,*^ OJ tu eu a. " s 3 ai 0) c« en re C en 3 0) tn •ta > B .^^ s ^ — 3 « ta o > •.-1 rt O 5J 3 O ■a aj aj (3 > kl O ./3 &. ^ ^ (U C 3 O C o O) C «2 o en S fcc3 ^"3 zn *£. •s3 X o O O os aJU80 + i °- s: ». o ^^ o >■ s E >- -3 ja Si sa -aâ Pm O s: 5J »5 OJ o o ^3 ^ •c: es !% 0 S 0 a> f ^ -H ;_ 3 3 aJ 0 !» H - li ÎJ s •«« ») S -^ i. C) c c 3 0 C/J yj 0 s. ;7H «5 0 «1 ^ ^ ^ 0 0 «1 5^ Û5 _o 0 S ** 3 4> 0 cS H -~ s 0 g t^ 0 •*^ 1— < d 0 a « 1 0 "«.j 0 ' •*• ^ <«j ^ ^ l::2 0 'S * — — > •~ rt 17» 0 u (ï» '^ M X 09 C u O) 3 8 CQ 00 4< X i > ? g 3' > <^ » - o V5 ~ 4) ^ GJ "^.j s ai > t, g SS ^ + •= -^3 S g 3 *^-| = "^ .*! -i ■" ï5 jj o «i --IJ = > &2- îi; E «j 3 S P -» o t- C3 'a 3 u « a O 3 c« - . tÛ ^ 3 .^ o -j o, 3 - îj ai = s ■ 5 3 .3 _2 — aj M > 7.^ 1=5 t. . — . - ai — X a) 72 CHLOROPHYCEES. 09 O o » .Cl, G^ 4) ^^ to c/i .^ ■ Sa- es «5 ;« S o S %:> }. •»« «5 S o a, s c a a «<5 a a S o > Oh V "G ai H "S 0) c 3 S s o u o o t-» »} o c 3 «y 3 03 Td ^ ;:^ s; «et. -«s C r03 Xi e ai u 3 Xi ■3 O U o «o S O Cl •3 n •3 •3 'S3 "^ 22 S o "3 O 3 QJ 3 s» X co -Cd B4 '3 ce S 'S ». <35 S en E s s -» e t; X 3 O -3 «5 K a ^ *« H '^ s s xs - > o es ii cd u o o. o •a «3 -H c« !« 3 -V O ce», ce •" •** "r = S -§ s s B c >^ "*- •- 3 V « 5> ^ s> ce M j; ce 9} ;3 S > ^ c t» o "3 ai O S 3 3 ■" O ^^ Ht V lu .(U HN ►in 01 •s 01 o, »4 ce (h o fi eu o •a co m 08 01 4> ■3 O O S 3 S O. >-> O. Xi U3 co (/] ai O. a. O o t>^ >^ u u m CQ O 61 ■e ». 3 câ 4> »H ai CS -M 3 ». O C «j • ce J5 cS , X) te 5 3 ce S a, -3 C s: ». '4J «a ». -t> 3 ce . Il 03 Ci ce ce S ce n •xnB9uiB.i S9p ;uB}Jod pidii^ -u%j,d iUduivjtf un oaAB -aàssaup gqonog § n •s)UBniSMOw 'nu iia)_| b sajqmuBDSipin snb ap ajjno} 9un_p 9iujoj rwajujd uà i)}/iiuvu +13 •uou no saijiuiBy -siutniS von : si]F|dB (ajiBjjuoo uoiiBOipui JOBS suiuviu) sanhjiBiibB luaiuaj CHLOROPHYCEES. 73 s U ta « s ,«3 J2 3 (U â o o o 4> ™ aj ^ o S -a 4) o e -C i» a> c o bo o C «3 a. s^ o t> S o •e as d, o H C» 4> t. s 5S •a. es ;« o > ^^ •o O .i^ * " c «3 ^ a %j JS V "*- ai ti. 1? -ï^ e/K Si, ■C O "-" -saud s}U9iuBiij S9Jf ^n^Mj .^m SS 3 O m •S *> ^ ,-ti «5 «O •e •c "<> ••* C> a o c s o en '<0 ce m o a o o o «o « •ÏS S '4> •S o CD U «a » «sŒ _2 s 2 >i * s c 4J d c «s a) ._— ^ en =* ;;: *' no sanbupui^Xo suopuoo no 'suij ^ sfvdiuvjij ug X n O ^^ H a C/3 -a a o s s 03 3 U 3 O t<5 ««5 «o c X -Baauar) siux^ap uatq sano^uDa \ axj/ auiuoj aun iubXb ail^qi + I «j fl e « S S g a S = -2 ai""-» »Q en ^ . * 'S .S S. a> t. 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C o cS rr. ■- ^ 55 "Kl — ' in "-' .2 S CI S ï C ni O c ^." i (M u «3 cr' w X§ (0 a o r-i tn C- ._ 4J "S ^ es »• s S « s:» S • :« r o - a- ^ ^ o s o "S «o s:» ca I— I a « o M O O M H o «3 es U U S », «0 O u es C3 o o -ai -o S 'm 3 ■ — - 73 aJ 3 v: M tic.- 2. «s 3 *? c» tn M •5:2 °~ a, X o tn (m O. S O u u u s S C o c es C O ai 3 a « 43 tj •4) -3 *3 *< J -3 : en 3 -aj er> O, o 3 O O aj -3 -4» r/l -3 «3 e o en s es on <5-« -S ^ es X S -y. 2 £•5-1 *l * J2 o '5 4.'^ a '^ = E^l3 43 <^^ 4) -Si- J; 43 tn 3 f^ C 3 ta " c^ -2 5 3 «^§ X'=»"-d 3 C8 si 43 O «S m .. es J3 to 4> es 3 — < fco ^-e "3 4) tnO ^ =,^ Œ en ts 3 3^ -4> t. H SI '3 s -ii i "1 &^ M 3 tn 4> 'rr S 3 es a. 30 O 43 -43 — ' C es Sif JS c ■** -1 ^> a « es M X3 t 1 4> tn r> <3 o ss â O ..-». •3 •« 9 43 tn '^ 3 i> ~ i. 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O. 1^ CÙ ai 3 « O o m 3 3 'a O + s c 3 .~ < — - ^ • >; 3 O o ■a o ■a bc t. o =â S ■= 2 ■/a • -- _ o Soi 3 J2 O 3 -2 o , ■so ^ _ ~ ^ s 3 ;i co s '= — -lAip 9s 9[nonop3(j %\ Z î^ ~ o 3,5 • — « --^ ^ g ?^ K '72 = =: !c 3 . S ^^ e ^ O p ^ „^ s s « :^ =5^ ï. 2 r 0< ^oî-cj c 3 .2 ;i < ••Ni o ajnauopaj -)f jj -ainouopad ap sycf no 'juyioo saut ainouopaj -)f [ g 33}jod '(g) 9jnAJ9u suBS (apuojj) diiin^J 9un u9 iiB(dB ^ ^ll^qx X i ^ iil^d un ua 'p-B-'o 'sioj djnas aun saastaip no : saayuuBJ aon sanS[Y + jjj "^ o ? X s » =C3 5.2 'i s> ^ 3 .^ o =•-. 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Ci a a o o u es a a iX) w o c a ce O H O co 3 O •^^ d n) u CB > Oh CO a ni ^4 > ta 3 .d •1-4 o m S o 4J s 3 en O) a 3 3 Xi 3 4-3 •S <-> rf S O) o a 3 •3 o o O u o o, O t-< 3 •i-t S U M w OQ uovj X I •sjn9};oo 9p SBj •sauiOîoqoiQ + ^i X -a "o 'a 3 ai 0) c C3 O — &i U O 3 O O S S ^ bc C o •y. a; C O c ce c8 3 «Ci. te -a u ce co ■a en S C c .3 O cS 13 «s rt 2 ai 3 en . » 'i ^ 3 2 x| «J -y. . t __ "^ c o '=■3 ■=■ »i o x rt ^ ^3 « c« C ?» (D ^'^i w. 4i e o :5; -"^ ^ «J o ■^ s ■« ai S -^ ~. O) es rP 3~ 3 H — S • — ft) 2. s •-3 ?» 5j en ai -li 3 ^X •j-. ' ^ c 3 S ■*^ « g- -0) a, > c *' •8Si;q B| K assBui soBg X I ï -J-C •joqDtp uou 83:)^Blc[ s3j,}iubi sap ajjod siq3«j no2vdiound9xv\x^+ RHODOfHYCEËS CALCAÎRES. y— c i; «^ «fi o /N •— — ^ .^ «^ •• -S3AJ3JJ3 JIBJ 'jnp 'xndJJdjâi ■sdpfouo no S.J90HIJOJ sé}vi(I S31UD2 ug X I (sappB S9[ OdW 90U80 S + - « S h -- ïj c :tf - = 2 S a. 82 RHODOPHYCEES. rt 2 •^ a rt 2 n ë -S a « o g (h 'S c o ei ••M a o a s Q ■H* O O a cd a> o . H u ce O) p— • > ei Ui tN o. u o 01 es o a u (4 a> d d 09 I» <» a •SJIO SMWS 13 ?/oî< s|uog • auna ~ ce o 9|nBS ap 8iiîn9j ua ajjo^oiivj no 'uvqhu i/a aaô •(HH 'VO '^y: S3?s sdiu^m-sdjp }uv}sau suo]%x>oi]nuvd ii9 9Jip-Tî-iS9 p) sioj apias omi adnoogp • jaitf 07 S!/»p JUBAIA 'sajiBDpD uou RHODOPHYCEES, 83 a "3 a o a ■o o 03 o ce -H i^ m a) ^^ V3 !k «1 S Sj ;j ■4 s» «j -XI 1 û ■S 5 ^ji S S -3 n 5.^ un *.» s 3 en c 4> D er 'sadnoDsp Css k: o S a. t. * -lAip uou 'ssjsyua no 'uaijua aiPMl X n 00 55 o H C/3 D O U 3 (U s E S î<3 S o •-Ha C «et. > X sa n a 3 ■?> Si o, o s feo a> o CD a 4) 3 -H s "3 » • $- 3 "B co S 2 O ra <^ o m o u 9 O. U a o. o U «s ta u >^ JA O. O a. fcfl 3 g' O » en "3 o o o (U M en t-" • — ' U «J 3 .a V3 S, g t- "O 3 • > o t- _ ^ o 3 • en O a o "S (1 ta u s ta o es a> o 00 3 &I 3 O C en tS 3 3 «3 -O) "« .:tJ Ci „ 3 f^ bo « 3 13 Ci 3 O C £3 o '- 11 « s 5- s: ^2 ^ 3 Il S â u o o o u a> 3 E c 3 en 3 Rj -a 3 en M *^ en |^:& "S s îj 3 S^ (S '< a en O O S '•^ 3 Il 3 3 es 3 eu 3 ■(St»]n{[90 9p s^t[j -noD s.inaisnjd) sivda sujj •S8anA49u lu xiiBasaj sub§ § \ o ai o •4) c o •4> o C .0 X s C a. a Î5. e << a e .^■^ ej «S Oj ■3 s^ es 3 1h A 3 en 1 tm ^ t^ .-5 «i •T) R ^s n en a: s 3 0 SKI .•/ as 84 SECTION I. RHODOPHYCEES A DIVISIONS RAMIFIEES. 75 ce es u O •i-t (/} ;> Cfl p< o o o H « a o a 3 a o O o u ■)-> 03 m et a et (h o 0 HH O •-J *J ni (4 ,t4 es es cg •i-H -O (« m ea <-» o â o « a J3 o O ij 03 O 3 a .2 d) 03 03 1 *î> o u îj r* ~ h ■5 ^r a> o •^ ci c; '»»* C •ô W] b C5 — ^ 3 c/] O c 1: ■ — • O ce s ■ W) .:3 cj • C *"^ • o O -^ r" C o • te o "O ; u 'Si s C • * 5 ^ ~i *> . 1 *^ "~ c Si ■- S a,- — . o O "g §2^ ^ o oo -BUUlUa} SIIOIIBOIJIIUBJ SECTION I. RHODOPHYCEES A DIVISIONS RAMIFIEES. 85 s ni C la: S ai s-'t: 3 2"" !J -Cl a) .î£ "^ <^ S ï =; c *o S -^ §^'=. s Si"' ^ ci t3î ei z -♦^ .2 a 3 o o u o a 3 ifi o ca Ci , C8 <» S o ;2; 3 Cm s. M. 3C C3 — ' i-i en tu OS 0) CJ 3 ca a O 3 Si ^3J c: c a -4) G O -H «3 Si 9> 5 ^ a P 3 S •CD (4 — -siUBnjS sBj • I .Q 'saïuojoqoiQ •3 s •Suo[ ap -0 oj-t ^ II S o (0 • i-l a o a 3 -y, ;;; ô 5 -o o ^ u -a ^ n -« o J^ C r! c 0) •-«i i 41 S .^^ r< 3 ed .. 3 '^ hf) V 51 S 4J ^ ^ 5> . ^ s t> i>»i ^ bn hn -u o .^ OT «11 3 0) r/> T3 Ol 3 3 a> U« 3 cr •^ I «0 s ^ o «s, "r* « «O a, C-i -c 25 ^>» o ^ 3 rt ^ -. tT> tS ^H S -4) ^4 -— ' S 41 L, s T3 ):. 'S. _® nS ■rt as ■Jy .3 C *5 •lUBipap '11110 i siiioiu ne int'.\Y-)f jj _ •(^) [)(j ' Suo[ jn9[ 9ino} suBp luvisuoo jiotu -diqisuds aujsmvtp gp sjugiueiy no saqnj 03 X J •spaïuaiBuJBis sioj} sao ap unony + I 86 SECTION I. RHODOPHYCEES FILIFORMES A DIVISIONS RAMIFIEES. 1/1 u ta a u o 1— 1 4) o. 03 03 (Q ïi XI ai »*-• â M-H X) ■u -a! u •(?;) sasiAip :)uoiuaj3i|nSr)j 'sa.q^uiiiuao sjn9isn[d ap sSuo] 'n^s j su^p }uos sp nb îUBi siuaosduoquv p s^ssaup îiivjadu s\usaxv\\j, ap sajgnoj, + I SECTION II. — RHODOPUYCEES A THALLE ELARGI DANS LES FOLIOLES. 87 en l-H o ■— t O en a •a bû t-> c4 1—1 O i-i I— ( (fl O o o O M H O X2 •SajspBJTJO S9D S roi SBJ -X- 1 ■3Uuo}oy.np bo^ I4 "5 y c ■a a, SU"?* VOCABULAIRE Alterne: — Des feuilles ou rameaux sont alternes quand il n'y en a pas deux d'insérés «au môme niveau sur l'axe (fig. A A, p. 35). C'est le contraire d'opposé. Arqué : — Non en ligne droite, mais plus ou moins fortement courbé en arc de cercle (capsules des fig. T, p. 44; GH, p. 42; FA, p. 30). Bifide : — Fendu ou divisé en deux (feuillets de la fig. 70, p. 29.) Canaliculé: — Creusé en longueur d'un canal ou gouttière (fig. PC A, p. 78). Caréné : — Renflé en forme de cuiller. Cartilagineux: — Assez dur ou rigide, opposé à charnu. Coiffe: — l'etit sac de quelques millimètres/ recouvrant au moins une partie de la capsule des mousses (fig. B, p. 41 ; EV et PP, p. 39; CL. pp. 30,40; GA, p. 41.) Coriace: — Résistant et difficilement déchirable, comme du cuir. Corné: — Encore plus ferme que cartilagineux et coriace: consis- tance de la corne. Cortine : — Membranetrès délicate, réduite àunecouchede filaments fins très rapprochés, presque feutrés, reliant le pied de certains cham- pignons aux bords de leur chapeau (peu visible chez l'adulte, où il ne persiste qu'un léger anneau analogue à une toile d'araignée) : fig. 36, p. 8 : fig. 85, p. 15. Décurrent : — Une feuille ou une nervure décurrente se prolongea sa base jusqu'à descendre le long du pied ou du rachis (fig. 42, 94, p. 21: 73, p. 22; 119, p. 29. Dichotome : — Se divisant en deux branches également impoi'- tantes, comme un Y (fig. HI, p. 80; FF, p. 85; AHN, p. 86 ; etc.). C'est l'opposé de penné. Êlatères: — Filaments qui existent dans la plupart des capsules d'Hépati(jues une fois mûres. Epiphragme: — Membrane fermant la capsule, sous l'opercule, et sur laquelle s'appliquent les dents du péristome. Filiforme: — Aussi mince et fin qu'un fil (moins de 1/2 ™m de diamètre). Flexueux: — Non rectiligne, mais en ligne ondulée (fig. SB, p. 79; HI, p. 80 : AHN, p. 86; pédicelles des capsules dans les fig. HM, p. 35; CH, p. 42). Foliacé: — .Mince et plat, assez large, comme une feuille d'arbre et non comme une tige, un fil ou un ruban étroit. Fusiforme: — Renflé au milieu et progressivement effilé aux deux bouts, comme un fuseau. Imbriquées {feuilles): — Se recouvrant plus ou moins les unes les autres, comme les tuiles d'un toit (fig. R A, p. 38). VOCABULAIRE. 89 Indivis : — Entier, non divisé en rameaux, lobes ou feuilles. Iso diamétral : — A peu près aussi largo que long, presque cir- culaire ou globuleux (c'est le contraire d'allongé). Lancéolé : — En ellipse étroite, graduellement effilée en pointe (fig. F H, p. 38; BF, p. 41). Vovale est plus large. Nerviée {feuille): — Pourvue d'une nervure, ligne médiane plus sombre et plus épaisse que le reste du limbe (portion plane consti- tuant ce qu'on appelle communément la feuille). Fig, F H, FU, FR, p. 42; RS, p. 44. Obtus : — Terminé par une extrémité non pointue (fig. S, p. 44). C'est le contraire d'aigu. Opercule : — Petit couvercle conique ou pourvu d'un bec pointu, recouvrant l'orifice de la capsule et recouvert par la coiffe (fig. CC, GR, PA, CL, C, p. 30). Opposé: — Deux feuilles ou deux rameaux opposes sont insérés sur la tige au même niveau, l'un en face de l'autre. Papilleux: — Non lisse et uni, mais couvert de papilles, petites saillies en verrues, bosses ou tubercules. Pédicelle, Pédoncule, Pétiole : — Queue ou tige soutenant à son extrémité une capsule, feuille, etc., qui est dite alors pédicellée, pédonculée, pétiolée. Péristome : — Série de dents très fines fermant l'orifice d'une cap- sule de mousse, et recouvertes par l'opercule. Penné : — Ayant un axe principal sur lequel s'insèrent, à droite et à gauche, des rameaux dans un seul plan, comme une plume d'oiseau (V. fig. G 0, p. 81 ; T, p. 44; H G, p. 50). Propagule : — Petit corpuscule pouvant se séparer de la plante, germer en terre et reproduire cette plante. Rachis : — Tige ou axe principal, sur lequel s'insèrent les rameaux ou les feuilles (fig. AR, p. 1 ; GH, p. 4 ; GO, p. 81; DL, p. 78; FR,p. 46.) Radialement : — Dans le sens des rayons d'une roue ou d'un éven- tail (dû centre vers les bords, eij rayonnant). Stolon : — Prolongement horizontal et généralement rampant ou souterrain, des tiges dressées. Sub : — Signifie presque ou pas tout à fait : suh-obtus veut dire qu'il y a une pointe à peine sensible. Terminal: — Formant l'extrémité d'une tige, rachis, feuille. Un pédicelle terminal (fig. W, p. 35) est le contraire d'un pédicelle latéral (fig. H M, p. 35). Thalle: — Surface totale d'une plante qui est en forme de feuille ou de ruban. Verticille : — Bouquet de 3 rameaux ou davantage, insérés à la même hauteur sur une tige (AR, G H, p. 4.) "Volve: — Sac plus ou moins développé, entourant la base du pied de certains champignons (fig. 13, p. 6 ; 4, 5, p. 15.) TABLE DES NOMS D'ESPECES Nota. — Les n°^ de pages suivis d'un astérisque * indiquent que l'espèce en question est décrite à cette page en note. Genre Espèce Famille Ordre Pages. Ahnfeltia plicata Gigartinées E-hodophycées 86 Alaria esculenta Laminariées Phéophycées 77* Alectoria jubata Usnéacées Phyllodées 65 Amanita eœsarea Agaricinées Basidiomycètes 15 — citrina — — 15, 18 — mappa — — 16 — muscaria — — 15, 15*, 25* — ovoidœa — — 16, 25* — pantherina — — 18, 25* . phailoides — — 15, 17, 18 porphyria — — 17 — rubescens — — 18, 19* — vaginata — — 24 — verna — — 17*, 25* Anaptychia ciliaris Physciacées Pliyllodées 67 Aneura multifida Pelliées Jungermanniacées 35* — pinguis • — ■ — 34, 58, 59 Anthoceros lœvis Antliocérotées Hépat. à thalle 34,59 Archidium phascoides Phascacées Mousses 35 Armillaria mellea Agaricinées Basidiomycètes 17 — mucida — — 16 Arthonia astroidea Graphidéacées Placodées 65* — galactiles — — 64 Ascophyllum nodosum Fucacées Phéophycées 80 Asperococcus buttosus Encéliacées — 77 — compressus — — 77 - — • echinatus — — 77 Aspicilla calcarea Lécanoracées Placodées 62 Atrichum angustatum Polytrichées Bryacées 58* — undulatum — — 43, 53 Aulacomnium androgynum Aulacomniées — 37, 42, 53 — palustre — — 41, 44 Auricularia Auricula-Judœ Auriculariées Basidiomj^cètes 11* — tremelloides — — 10 Bœomyces roseus Lécidéacées Placodées. 60 — ru/us — — 60 Bangia ciliaris Porphyrées Rhodophycées 83* Barbula muralis Tricliostomées Bryacées 42, 57 — ruralis — — 42, 58 — unguicuktta — — 42, 58 Bartramia pomiformis Bartraniiées — 36, 45, 55* Batrachospermum cœrulescens Batrachospermées Rhodophycées (?) 71 — moniliforme — — 71 — pygmœus — — 71* — viride — — 71* Biatora lutea Lécidéacées Placodées 63 — luteola — — 63 — rupestris — — 63 — sphceroides — — 63 — vernalis — — 63 Biftircaria tubercularia Fucacées Phéophycées 80 Boletus œreus Polyporées Basidiomycètes 13* — badins — — 13 — bovinus — — 13 — chrysenteron — — 12 — • cyanescens — — 13 — edulis — — 12 TABLK DES NOMS D ESPECES. 91 GENEE Espèce Pamiile Ordre Pages. Boletus feîleus Polyporées Basidiomycètes. . , .. 12 — granulatiis — — 13 luridus — — 13 luteus ~ « — 13 — parasiticus — — 13* — piperatus — — 13 — - Satanas — — 13 scaber — — • 12, 13 subtomentosus 13 "RnviYtpniniRnYiifl asparagoides fuvicans Bonnemaisoniées Bhodophycées .. 86 Borrera Physciacées Phyllodées 65*,66 Bovista gigantea Lycoperdées Basidiomycètes . . . . . 11* Bryopsis hypnoides Siphonées Chloropliycées .. 72 — plumosa ■ — ■ — 72 Bryum argenteum Mniées Bryacées 38 , 54, 57 — cœspititium — — 38 — capillare — - 38,57 Bulgaria Buxbaumia inquinans aphylla Ascobolées Ascomycètes .. 10 Bnxbaumiées Bryacées .. 36 CaUiblephans ciliata Sphérococcacées Rhodopliycées 82, 87 Calicium (genre) Caliciacées Epiconiodées .. 60 Callymenia reniformis Gigartinées Bhodophycées .. 83 Caloplaca aurantiaca Lécanoracées Placodées .. 62 — ferruginea — — 62 — phlogina — — 62 — vitellina — — 62 Calypogeia Trichomanis Jungermanniées Jungermanniacées . . .. 32 Campylopus flexuosus Dicranées Bryacées 42,52 Cantharellus aurantiacuf Agaricinées Basidiomycètes .. 22 . — cibarius — — 22 Ceramium diaphanun. Céramiées Bhodophycées .. 86 — rubriim — — 86 Ceratodon purpureus Trichostomées Bryacées 42,55 Cetraria aculeata Cétrariacées Bamalodées ... 64 , 66, 67 _ islandica . — . . — . 67 Chantransia corymbifera Helniinthocladiées Bhodophycées ,.. 84 — mirabilis — 85* — secundata — — 85* Chara alopecuroides Characées Chlorophycées? .. 74 — crinita — — 74 — fœtida — 75* — fragilis — — 74 — hispida — — 74 Chlorœa vulpina Usnéacées Phyllodées 64,65 Chœtomorpha œrea Confervacées Chlorophycées ,.. 74 Chondrus crispus Gigartinées Laminariées Bhodophycées , .. 87 Chorda filum Phéophycées . . 76 — tomentosa — — 76 Chylocladia haliformis • — ■ Bhodophycées . . 84 Cladonia alcicornis Cladoniacées Cladoniées ... 67 — coccifera — — 65* — digitata — — 65*, 67 — endivœfolia — — 67 — finibriata — — 65 — furcata — — 66 — gracilis — — 65 — pyxidata — — 65 — rangiferina — — 66 — squamosa — — 66 — uncialis — — 66 — vermicularis — 65, 66 — vertieillata — — 65 Cladophora fracta Confervacées Chlorophycées ... 72 02 TABLE DES NOMS D ESPECES, Genre Espèce Famille Ordre Pages. Cladophora réfracta Confervacées Clilorophycées . 73* — rupestris — — 72 Cladostephus spongiosus Sphacélariées Phiéophycées . 81* — verticillatus — — . 80 Clavaria aurea Clavariées Basidiomycètes ... 9 — cinerea — — 9 — corniculata — — 9* — flava : — 9* — fusiformis — 9 — pistillaris — 9 — rugosa ■ — 9 ClUocybe geotropa Agaricinées — 21 — infundib uUformis — • — ■ 21 — laccata — — 21* , 22, 23 — nebularis — — 21 — suaveolens — . — 21* — viridis — - — 20,26 Clitopilus prunulus — — . 29 Codium Bursa Siphonées Chlorophycées .. 72 — tomentosum — — 74, 80 Collema nigrescens Collémacées Licliens gélatineux. .. 69 — pulposum — — 69 Collybia atrata Agaricinées Basidiomycètes .. 27 — butyracea — — 27 — conigena — - — 27* — dryophila — — 27 — fusipes — • — 26 — longipes — . — 27* — • radicata — — 26 — velutipes — • 27* Coniocybe furfuracea Caliciacées Epiconiodées .. 60 Coprinus atramentarius Agaricinées Basidiomycètes .. 24 — comatus — — 16, 17 — micaceus — ■ — • 28 Corallina corniculata Corallinées Biiodophycées .. 80 — mediterranea — — 81* — officinaîis — — 80 — rubens — — 80 — squamata — — 81* Corticimn quercinum Tliéléphorées Basidiomycètes . . . 16,69 Cortinarius anomalus Agaricinées — 25 — cinnabarius — — 25* — collinitus — — 25 — . elatior — — 25 — hœmatochœlis — — 25 — multiformis — . — 25* — purpurascens — — 25 — sanguineus . — — 25 CratereUus cornucopioides Thélépiiorées — 11 Crepidotus mollis Agaricinées — 29 Cryphœa Cutleria arhoren Keckérées Hypnacées . . 43 multifida Cutlériacées Phéophycées . . 79 Cyathus striatus Nidulariées Basidiomycètes . . 11 Cystoseira ericoides Fucacées Phéophycées . 81* — fibrosa — — 80 — granulata — — 81* T)rp,dfi,Jp.n. hififiv)is Polyporées Basidiomycètes .. 12 J-f lA^lA/fA/lviAf WVZ'IvIt/l'O quercina ij ' *^fc^* *-*■* ^^ * * * J *^ ^^ ^ -^^f^ 9 m t ■ • 12 Deîesseria sanguinea Delessériées Rhodophycées .. 82 — sinuosa — — 84 Dasya coccinea — — 85 De,ft7n arp,ftt.i/i ligulata viridis Ponctariées Plaéophvcées . . 78 Dichloria Jk V.^ LA^^ V \A/Am A V^^kJ *^ * * ^^ ^-^ ^^-^ *-^ I ^^^^^^^j •••••*• 79* TABLE DES NOMS D ESPECES. 93 Genre ESPÈCE Famille Dicranella heteromàlla Dicranées Dicranum seoparium — — undulatum — Dictyota dichotoma Dictyotées Dilsea edulis Dumontiées Dumontia filiformis — Ectocarpus siliculosus Ectocarpées Encalypta vulgaris Encalyptées Enteromorpha clathrata Confervacées — compressa — — intestinalis — — percursa — Entoloma lividum Agaricinées Ephemerum serratum Phascacées Erythrotrichia ceramicola Porphyrées E ver nia prunastri Ramalinacées Exidia glandulosa Trémellinées Fegatella conica Marchantiacées Fissidens adiantoides Fissidentées — bryoides — — taxifolius — Fistulina hepatica Polyporéeg Flammula carbanaria Agaricinées Fontinalis antipyretica Fontinalées Foesombronia pusilla Pelliées Frullania dilatata Jungermanniées — Tamarisci — Fucus ceranoides Fucacées — platycarpus — — serratus — — vesiculosus — Funaria hygrometrica Funariées FurceUaria fastigiata Xémastomacées Oastroclonium kaliforme Rhodyméniées — ovale — Geaster hygrometricus Lycoperdées Oigartina mamillosa Gigartinées Gomphidius viscidus Agaricinées Graciiaria multipartita Sphérococcacéea Graphis dendritica Graphidacées — scripta — Griffithia barbata Céramiées — furcelîata — — setacea — Grimmia apocarpa Grimmiées — pulvinata — Gymnogongrus Griffithice Gigartinées — norvégiens — Gymnostomum microtsomum Weisiées Gyrophora anthracina Umbilicariées — murina — — polyrhiza — Halarachnion ligulatum Grateloupiacées Halidrys siliquosa Fucacées Haliseris polypodioides Dictyotées Hebeîoma crustuliniformis Agaricinées Hedicigia ciliata Grimmiées Helvella crispa Pezizacées — elastica ^ — HimantJialia lorea Fucacées Homalia trichonmnoides Hypnées Hydnum acre Hydnées — auriscalpium — Ordre. Page*. Bryacées 38,42,54 — 43, 54 — 36, 53 Phéophycées 78 Rhodophycées 83 — 82, 85 Phéophycées _ 78 Bryacées 39, 55 Chiorophycées 74 — 76 — 75 — 74 Basidiomycètes. . . 25*, 27 Mousses 34, 50 Rhodophycées 82 Ramalodées 67 Basidiomycètes 10 Hépat. à thalle. .. . 34,58 Bryacées 45*, 49* — 41, 49 — 45, 49 Basidiomycètes 12 — 28 Hypnacées 43, 49 Jungermanniacées . . . , 32 — 33 — 33* Phéophycées 79 — 79 — 78, 79 — 79 Bryacées, 37,38,40,42,55 Rhodophycées .... 85, 86 — 84 — 87 Basidiomycètes 10 Rhodophycées 87 Basidiomycètes 22 Rhodophycées 8 4 Placodées 64 — 64 Rhodophycées 86 — 87* _ 86 Bryacées 41 — 38, 42, 67 Rhodophycées 86 — 87 Bryacées 36 Phvllodées 69* '_ 68 — 68 Rhodophycées 84 Phéophvcées 86 — 79 Basidiomycètes... 25*, 27 Bryacées 36, 51 Ascomvcètes 9 — " 9 Phéophycées 80 Hypnacées 49 Basidiomycètes 9* _ 8 8 9.4 TABLE DES NOMS D ESPECES. Genre Espèce Famille Ordre Pages. Hydnum repandum Hydnées Basidiomycètes 8 — zonatum — — 8 Hygrophorus eburneus — — 20 — hypothejus — — 22 — virgineus — — 21* Hypholoma /asciculare — — 15, 24 — hydrophilum — — 24 — lacrymabundulum — • — 24 — sublateritium — 524 Hypnum (1) aduncum Hypnéeg Hypnacées . . 46, 56 TH — abietinum ■ — . — 57* BR — albicans — — 48, 52j 56 TMN — alopecurum — — 47*,, 3* — Crista-castrensis — — 47*, 1* — cupressiforme — — 46, 51 — cuspidatum ■ — • — 47 , 48, 50 51 CLI — dendroides — — 46, 53 PL — denticulatum — — 45 , 46, 45552 AMB — filicinum — — 46, 97* — giganteum — — 44,56 HYL — loreuni — — 49*, 51 CPT — lutescens — — 44, 47, 56 — molluscum — — 46, 50 BU — myosuroides — — 46,53 IS — myurum — — 46,53 — purum — — 48, 57 AMB — riparium — — 44, 45*, 48,53*, 57* HU — rusciforme — — 47,56 BU — rutabulum — — 47 — Schreberi — — 44, 48, 50 EOM — serieeum — — 47, 56 AMB — serpens — — 48, 52, 56 HYL — splendens — — 48,52 HYL — squarrosum — — 48,51 EU — Stokesii - — — 47,56 EU — striatùm — - 44, 47*. 48, 55 TH — Tamariscimim — — 44, 55 HYL — triquetrum — — 48,55 BR — velutinum — — 47*, 56 Inocybe geophila Agaricinées Basidiomycètes . 28 — hystrix — — 28 . — ■ rimosa — — 28 Jungermannia albicans Jungerraanniées Jungermanniacées , 33, 49 — biscupidata — — 32 — crenulata — — 32 divaricata — — 33* Tja.c,t(triiis blennius Agaricinées Basidiomycètes. . 19 .*VM/l/H*f. l/M-O controversus 19 deliciosus — — 19 ■ — lactifluus — — 19 — piperatus — — 19 — plumbeus — — 19 — pyrogalus — — 19* — rufus — — 19 (1) On divise aujourd'hui l'ancien groupe Hypnum en plusieurs sous-genres, que nous indiquons devant chaque espèce par une abréviation correspondante : AMB : Am- blystegium; BR : Brachythecium ; CLI: Climaciam; GPL: Campylothecium ; CPT: Camptothecium ; EU ; Eurynchium ; HOM : Homalothecium ; HYL : Hylocomium ; IS : Isothecium ; PL : Plagiothecium ; TH : Thyidium ou Thaidium ; TMiS" : Thamnium. — Quand aucune de ces indications ne précède un nom d'espèce, celle-ci appartient au genre Hypnum proprement dit. TABLE DES NOMS D ESPECES. 95 Genre ESPÈCE Famille Ordre Pages. Lactarium scrobiculatus Agaricinées Basidiomycètes. . . . . 19* — serifluus — — 19* — subdulcis . — — 19 — thiogalus — — 19 — torminosus ■ — — 19 — uvidus — • — 19 — vellereus — — 19 — volemus — — 19 — zonariiis — 19 Laminaria Cloustoni Laminariées Phéophycées ... 77 — digitata • — - — 76,77 — fiexicauKs — — 76 — PhylUtis — — 77* — saccharina — — 76 Leathesia difformis Chordariées — 76 Lecanora albella atra Lécanoracées Placodées . .. 62 — 63 — subfusca — — 62 — varia — — 62 Lecidea albo-atra Lécidéacées — 63 — contigua — — 63 — clœochroma — — 63 — fusco-atra •^ — — 63* — geographica — ' — . 63 — petrœa — ■ — • 63 Lenzites Haccida Polyporées Basidiomycètes ... 12 Lepiota aspera Agaricinées — 19* — clypeolaria — — 18 — excoriata — — 19* — granulosa — - 15, 17, 17* — procera — 18 — pudica — ■ — • 16 Leptotrichum flexicaule Trichostomées Brj^acées . .. 54 Leskea polycarpa Leskées Hypnacées :.. 45 Leucohryum glaucum Dicranées Bryacées 41 , 50, 52 Leucodon sciuroides Xeckérées Hypnacées 45, 51 Lithoderma adriaticum Lithodermatacées Phéophycées , . . 77 — fontanum — — 77* — fiuviatile — — 77* Lithothamnion calcareum Lenormandii Corallinées Rhodophycées .. 81 81 ■ — - lichenoides — — 81 — membranaceum — — 81* Lomentaria articulata Rhodyniéniées — 84 Lophocolœa bidentata Jungermanniées Jungermanniacées . . .. 32 Lycoperdon gemmatum Lycoperdées Basidiomycètes .. 10 Madotheca platyphyUa Jungermanniées Jungermanniacées. . .. 33 Marasmius alliatus Agaricinées Basidiomycètes . 27* — epiphyllus — — 27 — oreades — — 27 — porreus — — 27* — prasiosmus — — 27 — rotula — : — 27 — urens — — 27 Marchantia polymorpha Marchantiées Marchantiacées ... 34,58 Marsilia quadrifolia Marsiliacées Crypt. vase, hétérosp. , 2 Melobesia membranacea Corallinées Rhodophycées . . 81 — pustuMa — — 81 — Le Jolisii — 81* Merulius lacrymans Polyporées Basidiomycètes . 15* —— tremellans — — 14 Mesogloia vermicularis Chordariées Phéophycées .. 80 Metzgeria furcata Pelliées Jungermanniacées . 34,58 96 TABLE DES NOMS D ESPECES. Genre Espèce Famille Ordre Pages. Metzgeria pubescens Pelliées Jungermanniacées. . . 35* Mnium a/fine Mniées Bryacées 38, 54 — hornum — — 38,54 — undulatum — — 38, . 53, 58 Monostroma obscur um Confervacées Chlorophycées .. 75 — orbiculatum — — 75 Morchella conica esculenta Pezizacées Ascomycètes .. 9* — 8 — semi-libera . — — 9* Mycena denticulata Agaricinées Basidiomycètes .. 26 — galericulata — — 26 — polygramma, — — 26 — pura — — 26 Neckera complanata Neckérées Hypnacées. 44, 45 , 49, .50 — crispa — — 45*, 4f )*, 51* Nemalion multifidum hyalina translucens Némaliées Characées Rhodopliycées .. 85 Nitella Chlorophycées? .. 74 74 Nitophyllum Hillice punctatum Delessériées Ilhodophycées .. 83 87 Nostoc commune Nostoccacées Cyanophycées .. 72 Nyctalia asterophora Agaricinées Basidiomycètes .. 19 Octojuga variabilis — — 29 Omphalia fibula — 20 Opegraphia atra Graphidéacées Placodées .. 64 — " herpetica — — 64 — varia — — 64 Orthotrichum affine diaphanum Orthotrichées Bryacées .. 40 40 — leiocarpum — — 40,54 — Lyellii — — 40,49 Padina pavonia Dictyotées Phéophycées .. 77 Panœolus papilionaceus Agaricinées Basidiomycètes . . . . .. 28 Pannaria nigra stipticus Lécanoracéef? Agaricinées Placodées . . 61 Panua Basidiomycètes .. 29 Parmelia acetabulum caperata Parméliacées Phyllodées .. 71 70 olivacea — — 71 — perlata — — 70 — physodes — — 70 — prolixa — — 71* — tiliacea — — 70 Paxillus involutus Agaricinées Pelliées Basidiomycètes . . 22 Pellia 'epiphylla Jungennanniacées . 34,58 Peltigera canina Peltigéracées Phyllodées .. 69 horizontaux 69 — polydactyla — — 69 — rufescens — — 69 Pelvetia canaliculata Fucacées Phéophycées 78, 80 PertusariM amara Lécanoracées Placodées .. 60 — communis — — 60 Petroceliê cruenta Squamariées Ilhodophycées .. 83 Peziza acetabulum Pezizacées Ascomycètes .. 11 — aurantia — — 11 — coccinea — — 11 — hemisphœrica — — 11 — tuberosa — 11 — . veeiculosa — — 11 Phallus impudieu» cuspidalum Phalloïdées Basidiomycètes ... 9 Phascutn Phascacées Mousses 35,57 — subulatum — — 35 Pholiota caperata Agaricinées Basidiomycètes .. 17 — « mutabilis — — 17 TABLE ; DES NOMS D ESPECES, 9/ Genre Espèce Famille Ordre. Pages . Pholiota prœcox Agaricinées Basidiomj'cètes . . . ... 16 — radicosa — — 17; , 17*, 18 — squarrosa — 17 PhyllopJiora rubens Gigartinées Ehodophycées ... 87 Phymatolithon oplymorphum Corallinées — 81 Physcia cœsia Physciacées Phyllodées ... 70 — obscur a — — 70 — pulverulenta — — 70 — stellaris • — — 70 Physcomitrium piriforme Funariées Brj-acées 36,39,55 Pilularia globulifera Marsigliacées Crypt. vase, hétérosp. 2, 4 Placodium canescens Lécanoracées Placodées ... 62 — murorum — — 62 PJagiochila asplenioides Jungermanniées Jungermanniacées . ... 32 Platysma glaucum Cétrariacées Ramalodées 67, 68 Pleurotus cornupioides Agaricinées Basidiomycètes ... 29 Eryngii 20 ■ — ■ olearius — — 22 — ostreatus — — . 28 — ulmarius — — 20,23 Plocamium coccineum Xéramiées Ehodophycées. ... 86 Phimaria elegans — — 86 Pluteus cfrvinus Agaricinées Basidiomycètes ... 27 Poqonutum aloides Polytrichées Bryacées .. 55* *■ ^3 nanum 40, 55 Polyporus aplanatus Polyporées Basidiomycètes ... 14 — betulinus — — 14 — brumalis — — 14 — ■ fomentarius — — 14 — hispidus — — 14 — igniarins — — 14 — lucidus — — 14 marginatus — — 14 — perennis — \ — 14 — squamosus — — 14 — versicolor • — — 14 Polytrichum commune Polytrichées Bryacées 41*, 53* — formosum — — 40,54 — gracile — — 41* — juniperum —^ — 40, 58 — piliferum — — 40, 58 Porphyra atropurpurea coccinea Porpliyrées Rhodophycées ... 83 83* — linearis — — 83* — laciniata — — . 83* — purpurea — — 83* — vulgaris — — 82 Pottia cavifolia Trichostomées Bryacées 39, 57 — lanceolata — — 43,57 — truncata ' • — 39, 57 PsaUiota arvensis Agaricinées - Basidiomycètes — . .. 16 — campestris — - — 16. 17, , 18, 27* — fiavescens — — . 17*, 18 — pratensis — — 16 Piora lurida Lécidéacées Placodées ... 63 Pterigophyllum lucens Hookériées Hypnacées ... 50 Pterosiphonia Ptilota complanata elegans Rhodomélées Ehodophycées . .. 86 ^LV* X *^J Vi* *^^ A^iAA Np* ^ ^^ ^^ fcj Céramiées 86 Punctaria plantaginea Encéliacées Phéophycées ... 77 — tenuissima — — 77 Radula complanata Jungermanniées Jungermanniacées. . ... 33 Ramalina calicaris Eamalinacées Eamalodées ... 67 — scopulorum — — 67 98 TABLE DES NOMS D ESPECES. Genre Espèce Famille Reboulia hemisphœrica Marchantiées Rhacomitrium canescens Grimmiées Rhizodonium riparium Confervacées Rhodomela îycopodioides Rhodomélées Rhodymenia palmata Rhodyméniées — palmetta — Ricasolia herbacea Stictacées Riccia fluitans Ricciées — glauca — Roccella fuciformis Cladoniacées — tinctoria — Russula adusta cyanoxantha Agaricinées — deliea — — emetica — — /œtens — — furcata — — lepida — z nigricans ochracea ■ — ^ — rubra — - — sanguinea virescens — Sacorhiza bulbosa Laminariées Salvinia natans Marsiliacées Sargassum bacciferum Fucacées Scapania nemorosa Jungermanniées Schizophyllum commune Agaricinées Schizymena Dubyi Némastomacées Scinaia /urcellaia Chétangiées Scleroderma verrucosum Lycoperdées Scytosiphon lomentaria Encéliacées Solorina crocea Peltigéracées — saccata — Sphagnum acutifolium Sphagnacées — cymbifolium — Sporochnus peduncuîatus Sporochnées Squamaria crassa Lécanorées — saxicola — Stereocaulon coralloides Cladoniacées Stereum ferrugineum Théléphorées — hirsutum — — purpureum — — sanguinolentum — Sticta scrobiculata Stictacées — pulmonacea — Stropharia œruginosa Agaricinées Tetraphis pellucida Tétraphidées Tkelephora terrestris Théléphorées Tremella mesenterica Trémellinées — viscosa — Tremellodon elatignosum Trémellodontées Trentepohlia aurea Trentepohliées — odorata — — umbrina — Tricholoma album Agaricinées — chrysenteron — — columbetta ■ — — équestre — — Oeorgii — — nudum — • — pessundaium — — saponaceum — Orpre Pages. Marchantiacées 34, 58 Bryacées 43,54 Chlorophycées 75 Rhodophycées 86 — 83, 87* — 87 Phyllodées 68 Marchantiacées 85* — 34, 58 Cladoniées 66 — 65 Basidiomycètes 21* — 21 — 21 — 21 — 21* — 21*, 29* — 21 — 21, 22 — 22 — 21 — 21* — 21, 28 Phéophycées 76, 79 Grypt. vase, hétérosp. . . 2 Phéophycées 79, 80 Jungermanniacées 33 Basidiomycètes 29 Ehodophycées 83 — 85 Basidiomycètes 10 Phéophycées 76 Phyllodées 69* — 68 Mousses 31, 50 — 31, 50 Phéophycées 80 Placodées 62 — 62 Cladoniées 65 Basidiomycètes 11* — 11 — 11 — 11* Phyllodées 68 — 68 Basidiomycètes 16 Bryacées 39, 53 Basidiomycètes 11 — 10 — 11* — 8 Ehodophycées 82 — 82 — 82 Basidiomycètes 25* — 25* — 25* — 25* — 25 — 24 — 25* — 25 TABLE DES NOMS D ESPECES. 99 Genre ESPÈCE Famille Ordre Pages. Tricholoma striatum Agariciûées Basidiomycètes, . 25 — sul/ureum — — 24 — terreum — — 25 Tubaria /urfuracea — — 22 Tuher melanosporum Tubéracées Ascomycètes . . . . 10 — mesentericum — — 10 Tulostoma mammosum Lycoperdées Basidiomycètes. . . . . 9, 10 JJlva lactuca Confervacées Chlorophycées . . . . 75 — latissima — — 75 TJmhilicaria piistulata Umbilicariacées Phyllodées . . . . 68 Urceolaria scruposa Lécanoracées Placodées . . . . 63 TJsncea barbata dichotoma Usnéacées Siphonées Phyllodées 64 Vaucheria Chlorophycées . . . . . . 73* — sessili^ — 73 — terrestris — — 73 — Thuretii — — 73 Verrucaria maura Endocarpacées Pyrénocarpées — . . . . 60 — nigrescens ■ — • — 60 — nitida - — ■ — - 61* — rupestris — — ■ 60 Volvaria gloiocepkala Agaricinées Basidiomycètes.. . . . . . 24 Weisia viridula Weisiées Bryacées 41 Xantfioria parietina Physciacées Phyllodées 70 Xylaria hypoxylon viridissimus Sphériacées Zygodontées Ascomycètes 9 Zygodon Brvacées . . . . 39 962-12. — CoRBEiL. laip. Ckktr. New York Botanical Garden Librar 3 5 85 00227 6515 l LIBRAIRIE GÉNÉRALE DE L'ENSEIGNEMENT ^ 4, RUE DANTE, PARIS (v®j NOUVELLE FLORE, avec SI73 figures dans le texte, par Gaston BoNNiER, membre de l'Institut, proi'esseuv à la Sorbonne, et G. DE Layens, lauréat de l'Académie des Sciences. Ouvrage cou- ■ ronné par l'Académie des Sciences et par la Société Nationale d'Agriculture de France. Nouvelle édition, avec de nouveaux tableaux pour trouver le nom des arbres parles feuilles. Broché {franco 4 fr . 90) 4 fr. 60 Avec reliure anglaise [franco 5 l'r. 50) 5 fr. » ALBUM DE LA NOUVELLE FLORE, par M. Gaston Bonnier, membre de l'Institut, professeur à la Sorbonne, 2028 photogra- phies, représentant toutes les espèces de la Nouvelle Flore au cinquième de leur grandeur naturelle, ouvrage couronné par la Société Nalio7iale d'Horticulture de France. Broché (/"mnco 5 fr. 20) 4 fr. 75 Relié {franco 5 fr. 75) 5 fr. 25 FLORE COMPLÈTE DE LA FRANCE ET DE LA SUISSE, avec 5 338 figures dans le texte, ouvrage publié sous les auspices du Ministre de l'Instruction publique, comprenant la description des plantes vasculaires et leur détermination facile sans mots techniques, par MM. Gaston Bonnier et G. de Layens. 4 vol. in-8. Nouvelle édition. Broché (/'ranco 11 fr.) 10 fr. Relié [franco 12 fr.) 11 fr. NOUVELLE FLORE DE LA BELGIQUE ET DU NORD DE LA FRANGE, avec 2282 figures, par MM. Gaston Bonnier et G. de Layens. Ouvrage couronné par l'Académie des Sciences. Nouvelle édition. Broché [franco 4 fr. 90) 4 fr. 50 Avec reliure anglaise [franco 5 fr. 50) 5 fr. » PETITE FLORE, par MM. G. Bonnier et de Layens, avec 892 figures dans le texte. Abrégé de la Nouvelle Flore. Nouvelle édition. 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