*; CCC : DOUX Ru «e Re Re one aus RNNIVENNN + € “ K « PT NNnEs We de + ? ERSEeS RAR RENE LC K ner 7 à DR «s M KK ; ue ve D He } sus ss RADAR à Ce CE ONE RME UQUTE (RE ue SPP EU #. « $ Ut ie at at » D ee » » de à ie AA RS te On deu eue de QU qu au ? HU ns dau » RATER aus DR } AREU DENON ATEN } DUHHAXAAXAUE AR ONUUEUNU qui Pau # QU ONE FATAI ii M a. RE = Se" me CA Ce pr PR > ÊL Te £ PE > gp a PR a 2 RE Le 2 es +. 0 9 KA 2 2 2 ee 7. D SRE c'e. MU ÿ } Ets ui DR ER A PANNE ns Des « } a ni p QU uux eux, x HO D AA de QU ul qe y AAA XX LU Que CHA MAD IDR Ds #” ce ide LÀ ?: a » mn } tt au (4 ; Ut Ce dk dis « RM) AA sn } NE 4 X ( Re ut Poe PE RS TT RE Le RTE Re er 2 és Pr Pre PRES LÉ SR RTE Re SE Re. ÿ on } ANR MERS nn « { } et D K 2 RTE 2 LS Ke s exe 2 RSS ete : RER ee es Æ = 2 2 l'es Digitized by the Internet Archive in 2010 with funding from University of Illinois Urbana-Champaign http://www.archive.org/details/revuecritiquedes00schl KRITISCHE UBERSICHT EUROPAISCHEN VOGEL. REVUE CRITIQUE OISEAUX D'EUROPE. KRITISCHE UBERSICHT DER EUROPAISCHEN VOGEL VON D'. H. SCHLEGEL. CONSERVATOR DES NIEDERLANDISCHEN REICIISMUSEUMS, MITGLIED DER AKADEMIEN UND GELEHRTEN GESELLSCHAFTEN ZU TURIN, MOSKAU, HAARLEM, HALLE, FRANKFURT, BASEL, BATAVIA. U.S. W. LEIDEN bei A. ARNZ u. COMP. LEIPZIG = PARIS bei FR, FLEICHER. 1844. bei RORET, REVUE CRITIQUE BES OISEAUX D'EUROPE PAR N°. H. SCHLEGEL. DOCTEUR EN PHILOSOPHIE, CONSERVATEUR DU MUSÉE DES PAYS-BAS, MEMBRE DES ACADÉMIES ET SOCIÉTÉS SAVANTES DE TURIN, DE MOSCOU, DE HARLEM, DE HALLE, DE FRANC- FORT, DE BALE, DE BATAVIA. ETC. ETC. RPG TEE dt d-4 ——— LEIDE, chez A. ARNZ et COMP, LEIPSICK = PARIS chez FR. FLEISCHER. 1844. chez RORET. HERRN C. J. TEMMINCK, DEM VERFASSER DES MANUEL D'ORNITHOLOGIE Gewidnret, ; Le VAR, €EA À M. C. 3. TEMMINCK, L'AUTEUR DU MANUEL D'ORNITHOLOGIE H. SCHLEGEL, IMPRIMERIE DE H. R. DE BREUK. VORWORT. Da mir Herr Temminck de Bearbeitung des Textes zu Su- semihls Abbildungen der Vügel Europa's überlassen hat, so glauble ich, um eine Ubersicht des jetzsigen Zustandes der Wès- senschaft müglich zu machen, jenem Werke ein kritisches Ver- seichniss aller derjenigen Vôgel, welche unsern Welttheil bewoh- nen, periodisch besuchen, oder sich bis jelzt in denselben ver- Jlogen haben, vorausschichen zu müssen. Auf diese Weise ent- stand vorliegendes Werkchen, welches ich dem Publikum, als (rrundlage meiner fernern Ar- beiten über dis europäischen Vô- gel, zur Beurtheilung vorlege. Die Naturforscher werden mich mit einer wohlwollenden Kritik desselben, so wie durch die Mit- AVANT-PROPOS. Mr. Temminck ayant bien vou- lu me céder la rédaction du texte destiné à accompagner les plan- ches d'oiseaux d'Europe pu- bliées par M. M. Susemihl, à Darmstadt, j'ai jugé convena- ble, pour donner une idée de l’état actuel de la science, de faire précéder cet ouvrage d'un catalogue raisonné de loutes les espèces d'oiseaux dont l'exis- tence et l'apparition périodique ou accidentelle en Europe ont éle constalées d'une mantère ex- acte. Voilà l'origine de l’opus- cule que je soumets au juge- ment du publie, el qui est des- liné à servir de base à mes re- cherches ullérieures sur les oï- seaux d'Europe. Il offrira aux naluralistes l'occasion de me faire part des observations qui lheilung solcher Beobachtungen, die mir enlgangen seyn mügen, verpflichten. Ich habe in dieser Übersicht weder die in Europa eingeführ- ten Arlen, noch die in unserem IWelltheile lebenden Hausvügel Aus leicht zu erralhenden Ursachen habe ich «au gen ommen. auch Herrn Brehms Subspecies nicht aufgeführt. Endlich habe ich bei Feststellung der Grenzen unseres Welltheiles nur auf die nalüurlichen, nicht auf die poli- dischen Grenzsen Rücksicht ge- nommen ; es gtlt dies besonders von Russland, dessen Grrenzen im Osten am natürlichsten durch den Caucasus, den Ural und das Uralgebirge bestimmt werden. Môchte das Publikium diese, in mehr als einer Hinsicht un- dankbare Arbeit, mit Nachsicht aufnehmen. auraient pu méchapper el de m honorer de leur critique bien- véeillante. Je n'ai pas compris dans cette énuméralion les espèces intro- duiles en Europe ou vivant chez nous à l’élat de domesticité. J'ai également passé sous si- lence, par des raisons faciles à deviner, le plus grand nom- bre des subspecies é/ablies par le pasteur Brehm. J'ai enfin préféré, en fixant le cadre géo- graphique de l'Europe, les Li- mites naturelles aux limites po- litiques ; celte distinction a par- ticulièrement rapport à la Rus- sie dont les limites naturelles s’élendent du côté de l'Asie jus- qu'à la chaine du Caucase, aux bords de l'Oural et aux monts Oural. Que le public veuille accueël- lir avec indulgence ce travail ingral sous plus d'un rapport. ERSTE ABTIHEILUNG. PREMIÈRE PARTIE. [a] Ai LL nn ad À Lcd ut ï mi | +408 à æ a ÿ' u , 1 A .. 'ÉCAr Done PÉREERE S “ai 1e fpe dut DRE LE D: a 4 À ù FN mn" | 6 CNE L 2. : Ü » n h Ca re 0 me ph SEL 2 (4 4 RE) ana bd Mu t na x RAUBVOGEL, OISEAUX DE PROIE, TAGRAUBVÜGEL, OISEAUX DE PROIE DIURNES, FALKENARTIGE RAUBVOGEL. OISEAUX DE PROIE FALCONOÏDES. FALCO. FALKE. FAUCOX. a. Edelfalken., Faucons nobles. Falco candicuns. Weisser Falke. Faucon blanc. Gmel. L.S., p.275 n°. 101. — Hierofalco groenlandicus, Brehm, Handbuch, p. 57. — Falco groenlandicus, Brehm, Isis, 1826, p. 999; Hancock, Anu. of Nat. Hist., 1838, p. 241 sqq., PL. X, fig. E,F,G. — Le Gerfaut, Brisson, I, pl. 30, fig. 2, p. 370, (ad.). — Le Gerfaut blanc des pays du Nord, Buffon, PI. Enl. 446, (ad.). — Gould, Tab. 19. — Le faucon blanc, Schlegel et Verster, Traite de fauconnerie, (Mscpt.) , fig. fem. adult. Grünland , Sibirien, nôrdlichstes Ame- Le Groenland, la Sibérie, l'Amérique rika. Im Winter bis Island, Schweden boréale, visite en hiver lislande, la und England. Suède septentrionale et l'Angleterre, Falco candicans islundicus (1). ZJsländischer Falke. Fau- con d'Islande. Falco islandicus, Brehm, Lehrbuch, [, p. 44 — Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 241 sqq., PL 10, fig. À, B, D. — Falco gyrfalco, Keyserl. u. Blas., die Wirbelth. Europas, p. 28. — Schlegel u. Susemihl, die Vôgel Europa’s, Tab. 7, fig. 1, (fem. ad.). — Le Faucon d'Islande, Schlegel et Verster , Traité de faucon- nerie, (Mscpt.), fig. mar, adult. Island, | L'Islande, il Falco gyrfalco (2). Grerfalke. Gerfaut. Giervalk, Gierfalke, Gerfaut, Ierfalcon, Falconariorum. — Falco lanarius, Linné, Fauna suecica, p. 22, n°. 62. — Le Faucon d’Is- lande, Brisson, I, PI. 31, p. 573. — Le Gerfaut de Norvège, Buffon, PI enl. 462. (jun.) ; Hist. Nat. des oiseaux, I, p. 241, PI. 13, (ad.). — Le Gerfaut, Schlegel et Verster, Traité de fau- connerie, (Mscr.), fig, fem. jun. et mar. adult. Norwegen; die Jungen zuvweilen im Habite la Norwège; les jeunes visitent Winter an den Küsten Norddeutschlands quelquefois, en hiver, l'Allemagne sep- und Hollands. tentrionale et la Hollande. Falco sucer (3). Sukerfalke. Faucon sacre. Saker Falconariorum. — Le sacre, Buffon, Hist. Nat. des oiseaux, p. 24, PL 14. — Falco lanarius, Temm. Man., I, p. 20, (excel. syn.). — Pallas Zoogr., I, p. 330, n°. 14, (exc. syn.). — Naumann, Tab. 23, fig. 1, (fem. ad.), fig. 2, (mas. jun.). — Gould, PI. 20, (ad. et jun.). — Schlegel u. Susemihl, Tab. 7, (ad. et jun.). — Le sacre, Schlegel et Verster, Traité de Fauconnerie, (Mscpt.) fig. ad. Tatarci, gemässigtes and warmes ôst- La Tatarie, les régions tempérées et liches Europa. chaudes de lPEurope orientale. Falco lanarius (4). Lannerfalke. Faucon lanier. Klein , Ordo avium, p. 48, n°. 5. — Le Lanier, Belon, p. 123. — Le Lanier, Buffon, Hist. Nat. d. ois., I, p. 243. — Falco Fel- deggü, Schlegel, Abh.aus dem Gebiete der Zoologie etc., Tab. 10 et 11, (mas ad. et jun.) ; Schlegelu. Susemihl, Tab. (fem. ad.). — Le Lanier, Schlegel et Verster, Traité de fauconnerie, (Mscpt.), fig. fem. ad. Dalmatien, Griechenland. I La Dalmatie, la Grèce. t Falco communis (5). Schlechtfalke. Faucon commun. Gmel. Linn., 1, p. 170, n°. 14. — Falco peregrinus, auctor. recent. — Falco gyrfalco, Linné, Fauna suecica, p. 23, n°. XIT 64. — Falco lanarius, Pennant, Brit. Zool., 1, p. 221, (jun.). — Buffon, PI. enl. 430, (ad.), 421, (ad.), 469, (jun.). — Nau- mann, Tab. 24 et 25. — Gould, PI. 21. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 8. — Le Faucon, Schlegel et Verster, 1. c. fig. fem. ad. et mar. jun. Europa. | L’ Europe. Falco subbuteo. Baumfalke. Faucon hobereau. Linn., p. 127, n°. 14. — Hypotriorchis subbuteo, Boie, Isis, 1828, p. 314 — Naumann, Tab. 26. — Gould, PI. 22. — Schl. u. Susem., Tab. 10, fig. 1. Europa, Afrika, gemässigtes Asien. Î L'Europe , l'Afrique , l'Asie tempérée, Falco Eleonorae (6). Leonorens Falke. Faucon Eléonore. Géné, l’Institut, 1839, 7 Nov. — Memorie Academ. Torino . 1840, Tom. II, p. 41, Tab. 1 et 2. — Ch. Bonaparte, Iconogr. della Fauna italica, I, Tav. 24, (jun.). Sardinien , Griechenland, Syrien. | La Sardaigne, la Grèce, la Syrie, Falco aesalon. Merlinfalke. Émérillon. Falco aesalon, auct. recent. — Gmel. Linn. Syst., I, p. 284, n°, 218. (ex parte). — Falco lithofalco ibid., p. 278, n°. 105, (ex parte). — Falco lanarius, Brünn., Orn. bor., p. 1, n°. 1 et 2; Mohr, Fors., p. 19, n°. 35. — Falco smirillus, Savigny, Égypte, Ilédit., vol. 23, p. 279. — Naumann, Taf. 27. — Gould, PI. 24. — Schleg. u. Susem., Tab. 10, fig. 2 et 3. — l’'Émérillon, Schleg. et Verster L. c., fig. mar. ad. et fem. jun. Nôrdliches Europa und nürdlichstes L'Europe septentrionale et PAmérique Amerika ; im Winter über ganz Europa boréale; visite en hiver l'Europe tempé- bis Nord-Afrika, rée et méridionale ainsi que PAfrique sep- fentrionale, b. Rüttelfalken. Cresserelles. Falco tinnunculus (7). Thurmfalke. Faucon cresserelle. Linné, Syst. nat., XIT, p.127, n°. 16. — Cerchneis tinnunculus, Boie, Isis, 1828, p. 314 — Naumann, Taf. 30. — Gould, PI. 26. — Schleg. u. Susem., Tab. 11. Europa. | L'Europe. Falco cenchris (8). Rüthelfalke. Faucon cresserellette. Naumann, I, p. 318, n2. 19, Tab. 29. — Tinnunculus faemina altera, Aldrovandi Orn., !, 6, p. 360 et 361, c. fig. — Cenchris, Frisch, Tab. 89. — Falco tinnunculus ruderum, Storia degli uecel- li, Tab. 52, fig. 67. — Falco xanthonyx, Natterer in lhtteris. — Falco tinnunculoides, Schinz in Temm., Man. d'Ornith. , IL éd., TI, p.31. — Falco tinnuncularius, Savi, Orn.Tosc., [, p. 49. — Gould, PI. 27. — Schleg. u. Susem., Tab. 12. Südôstliches Europa, westliches Asien ; Les contrées orientales du midi de in Egypten und Nubien auf dem Zuge. l'Europe , l'Asie occidentale ; visite PÉgyp- te et la Nubie. —— Falco rufipes. Rothfuss-Falke. Faucon Kobez. Besecke, Vôgel Kurlands, p. 13. — Falquet, d’Arcussia, Con- férence des Fauconniers, Paris, 1617, onzième journée, p. 41 et 42, — Falco vespertinus, Linn. , p. 129, no.23. — Naumann, Tab. 28. — Gould, Tab. 23. — Schleg. u. Susem., Tab. 13. Ostliches und südliches Europa, Si- L'Europe méridionale et orientale, la birien. | Sibérie. ASTUR. HABICHT, AUTOUR ()). a. Eigentliche Habichte. Autours proprement dits. Astur palumbarius (10). Taubenhabicht. Autour commun. Cuvier , Règne an., ILed.,1, p.33. — Falco palumbarius, Linn. , p. 133, n°. 30, (ad.).— Falco gentilis, Linn. , Fauna suec., p. 20, \1 n°. 58, (jun.). — Daedalion palumbarius, Savigny, Égypte, vol. 23, p- 267. — Naumann, Tab. 17 et 18. — Gould, PI. 17. — Schleg. u. Susem., Tab. 28. —-l'Autour, Schlegel et Verster I. c., fig. fem. ad. et mar. jun. . Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, PAsie tempérée. b. Sperber. Éperviers. Astur nisus (11). Finkenhabicht. Épervier commun. Astur (Nisus) nisus,Cuv., Règne an., IT ed. , I, p. 333. — Falco nisus, Linn. , p. 130, n°. 31. — Accipiter nisus, Pallas, Zoogr. 1, p. 370, n°. 37. — Daedalion fringiilarius, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 270. — Naumann, Taf. 19 et 20. — Gould, PI. 18. — Schleg. u. Susem., Tab. 29. — L'Épervier, Schlegel et Verster, L. c., fig. mar. ad. et fem. jun. Europa, Nordafrika , gemässigtes Asien, L'Europe, l'Afrique septentrionale et l'Asie tempérée. Astur gabar (12). Gabar-Sperber. Épervier gabar. Astur (Nisus) gabar, Cuv., Règn. an., [, p. 333. — Falco gabar, Lath, Ind. orn., Suppl., p. X. — Épervier gabar, Daudin, I, p. 87. — Le gabar, Le Vaillant, Ois. d’'Afr., [, p. 136, PL 33. — PI. col. 122 et 140. — Accipiter erythrorhyncus, Swains. , Birds NNest-CAïtr. 1, p. 121. Griechenland , Afrika. | La Grèce, l'Afrique. CIRÇUS. WEIHFE. BUSARD. Circus rufus. Rohrweihe. Busard harpaye. Brisson, I, p. 404, no. 30. — Cireus palustris, 1bid., p. 401, n°. 29. — Falco aeruginosus, Linn., p. 130, n°. 29. — Falco rufus, Gmel. Linn., p. 266, n°. 77. — Circus aeruginosus et rufus, Sa- vigny, Égypte, vol. 23, p. 263 et 264. — Gould, PI, 32. — Schleg. u. Susem., Tab. 36. Europa. L'Europe. VI Circus cyaneus (13). ÆKornwerihe. Busard St. Martin. Bechstein, Orn. Taschenb., p. 25, n°. 20. — Falco cyaneus, Linn. , p. 126, n°. 10. — Circus gallinarius, Savigny, L c., p.264. — Nau- mann , Taf. 38 et 39. — Gould, PI. 33. — Schleg. u. Susem., Tab. 37. Europa, Sibirien, Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, lPAfrique septen- trionale. Circus cineraceus. Wiesenweihe. Busard Montagu. Falco cineraceus, Montagu, Trans. Linn. Soc., IX, p. 188. — Falco pygargus, Linn., p. 126, n°. 11, (diagn.). — Naumann, Taf. 40. — Gould, PI. 35. — Schleg. u. Susem., Tab. 38. Gemässigtes Europa. | L'Europe tempérée. Circus cineraceus pallidus (14). Blasse Weihe. Busard blafard. Circus pallidus, Sykes, Proceed. , 1832, April 10. — Falco dal- matinus, Rüppell, Mus. Senkenb., IE, p. 177. — Circus Swainsonn, Smith, Illustr, Zool. South-Africa, Birds PL 43, fig. 1, (mas ad.), fig. 2. (fem.), PI. 44, (fem. jun.). — Gould, PI. 34. — Schlegel u. Susem., Tab. 39. É Dalmatien, Griechenland, Cap, Dekan. ! La Dalmatie, la Grèce, le Cap de Bon- ne Espérance, le Deccan. ADLER. AIGLES. a. Aquila. Rauchfussadler. Aigles proprement dits. Aquila fulra (15). Steinadler. Aigle commun. Meyer u. Wolf, Taschenbuch, I, p. 14. — Falco fulvus et chry- saëtos, Linné, XII, p. 125, n°. 5 et 6. — Naumann, Tab.8, (mas ad.), Tab. 9, (mas jun.). — Gould, PI,6. — Schleg. u. Susem., Tab. 16, (jun.), Tab. 17, (ad.). Europa , nôrdliches Asien, Nord-Ame- L'Europe, l’Asie septentrionale et lAmé- sika. rique du Nord. Aquila imperialis (16). Künigsadler. Aigle impérial. Cuv., Règne an., [, p. 325. — Falco imperialis, Bechstein, Orn. Tasch. , III, p. 55, n°. 3.— Aquila heliaca, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 249, PI. 12. — Aquila chrysaëtos, Leisler, Wetterau. Annal. , LL, 1, p.170. — Naumann, Tab. 6, (fem. ad.), Tab. 7, (mas jun.). — Gould, PL 5. — Schleg. u. Susem., PL 14, (ad.), Tab. 15, (jun.). Südôstliches Europa, Nordafrika Nit- Les parties orientales du midi de PEu- - telasien. rope, PAsie centrale, PAfrique septen- trionale. AÆquila Bonellii (17). Bonellis Adler, Aigle Bonelli. Ch. Bonap., List., p. 2. — Falco Bonelliüi, Temm., PI. col. 288. — Marmora, Memor. Acad. Torin, Tom. XXXVIL p. 110, PI. 1 et 2. — Aquila minima, Cetti, Uccelli di Sard., p. 28. — Gould, PI. 7. — Schlegel u. Susem., Tab. 18, (ad.), Tab. 19, (jun.). Südliches Europa, Nordafrika, Ne- Le midi de lPEurope, l’Afrique sep- paul. ; tentrionale, le Népaul. Aquila naevia (18). Schreiadler. Aigle criard. Schwenckfeld, Av. Siles., p. 219. — Falco maculaius, Gmet. Lion. , 1, p. 258, (jun.). — Aquila clanga, Pallas, Zoogr. , E, p. 351, n°. 25. — Naumann, Tab. 10, (mas), Tab. 11, fig. 1, (fem. ad.), fig. 2, (fem. jun.). — Gould, PI. 8. — Schleg. u. Susem., Tab. 20, (ad.), Tab. 21, (jun.). Ostliches Europa, nürdliches und mitt- L'Europe orientale, le centre et Île leres Asien, Nordafrika. Nord de l'Asie, l'Afrique septentrionale. Aquila pennata (19). Zwergadler. Aigle botte. Brehm, Lehrbuch, LI, p. 20. — Falco pennatus, Gmel, Syst., VIII p. 272, no. 90, — Temm., PI col. 33 — Gould, PI. 9. — Schleg. u. Susem., Tab. 22, (ad ), Tab. 23, (jun.). Europa, Afrika, überall einzeln. L'Europe , Afrique, partout en très petit nombre. b. Maliaëtos (20). Seeadler. Aigle-pêcheur. Haliuëtos albicilla (21). (emeiner Seeadler. Aigle-pécheur pygargue. Aquila albicilla, Brisson, I, p. 427, n°. 5. — Falco ossifragus, Linn., p. 124, ne. 4. — Haliaëtus nisus, Savigny, Egypte, vol. 23, p. 255. — Naumann, Tab. 12, 13, 14 — Gould, PI. 10. — Schleg. u. Susem., Tab. 25 et 26. Europa, Grünland, Nordafrika , Nôrd- L'Europe, le Groenland, le nord de liches Asien. PAfrique et lAsie septentrionale. nee Haliaëtos leucoryphus (22). Pallusischer Seeadler. Aigle-pé- cheur Pallas. Keyserl. u. Blasius, Wirbelth. Europa's, p. XXX, n°. 81. — Aquila leucorypha , Pallas, Reise, 1, Append. n°. 5; Zoogr., I, p. 352, n°. 26. Caspischer See. | La mer Caspienne. Haliaëtos vocifer (23). Schrei-Seeadler. Aigle-pécheur vocti- fère: Cuv., Règne an., I, p. 326. — Falco vocifer, Lath. Ind. on. , Suppl. , p. VI. — Le vocifer, Le Vaillant, Afrique, I, plz Afrika, Griechenland. | L'Afrique, la Grèce, Pandion. Flussadler. Balbusard. Fandion haliaëtos (24). (Gemeiner Flussadler. Balbusard commun. Falco haliaëtos, Linn., p. 129. n°. 26 — Pandion fluvialis, Sa- IX vigny , Égypte, vol. 23, p. 272. — Naumann, Taf. 16, (mas.). — Gould, PI, 12. — Schleg. u. Susem., Tab. 24. + Europa. | L'Europe. BUSSARDE. BUSES. a. Buteo. Kigentiliche Bussarde. Buses proprement dites. Buteo vulgaris (25). Müuse-Bussard, Buse commune. Willughby , Orn. , p. 38. — Falco buteo, Linn. p. 127, n°. 15. — Naumann , Taf. 32 et 33. — Gould, PI. 14. — Schleg. u. Susem., Tab. 33. Europa , Klein-Asien, Nordafrika. L'Europe, lAsie mineure, lPAfrique septentrionale. —— Buteo lagopus (26). Rauchfuss-Bussard. Buse patue. Cuv., Règne an., IL, p. 336. — Falco lagopus, Brünnich, Orn. bor., p. 4, n°. 15. — Naumann, Taf. 34. — Gould, PI. 15. — Schleg. u. Susem., Tab. 34. Europa , Sibirien, Cap. L'Europe, la Sibérie, le Cap de B. Espérance. b. Pernis. Wespenbussard. Bondrée. Pernis apivorus. Gemeiner Wespenbussard. Bondrée commune. Cuv., Régn. an., 1, p. 335. — Falco apivorus, Linn., p. 130, n°.28. — Naumann, Taf. 35 et 36. — Gould, PI. 16. — Schleg. u. Susem., Tab. 35. _ Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe , Asie tempérée. c. Circaëtos. Schlangenbussard. Circaëte. Circaëtos galticus (27). (remeiner Schlangenbussard. Circaëte Jean-le-blanc. Cuv., Règne an., 1, p. 328. — Falco gallicus, Gmel. Linn., f, p+ 259, n°. 52. — Aquila brachydactyla, Meyer et Wolf, Ta- schenb. , [, p. 21. — Falco brachydactylus, Temm. M., I, p. 46. — Naumann , Taf. 15. — Gould, PI. 13.— Schleg. u. Susem., Tab. 35. Südliches Europa. | L'Europe méridionale, MILANE. MEELANS. a. Milvus. Eisentliche Milane. Milans proprem. dits. Milvus regalis, Rother Milan. Milan commun. Brisson, Orn., I, p.414, n°. 35.— Falco milvus, Linn., p. 126, n°. 12. — Milvus ictmus, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 259. — Accipiter regalis, Pallas, Zoogr. ross. as., I, p. 258, n°. 20. — Naumann, Taf. 31, fig. 1.— Gould, PI. 28. Tab. 30, fig. 1. Europa. I L'Europe. Schleg. u. Susem., Miluus aetolius. Schwarzer Milan. Milan notr. Belon, p. 131. — Milvus niger, Brisson, LI, p. 413, n°. 34. — Accipiter milvus, Pallas, Zoogr., I, p. 356, n°. 29.— Falco ater, Gmel. Linn., p.262, n°. 62. — Naumann, Taf. 31, fig. 2. — Gould, PI. 29. — Schleg. u. Susem., Tab. 30, fig. 1. Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, PAsie tempérée, Milvus parasiticus (28). Schmarotzer-Milan. Milan parasiles Falco parasiticus, Lath., Ind., Suppl., p. V.— Le parasite, Le- vaill., Ois. d’Afr., 1, p. 88, PI. 22. — Falco Forskahli, Gmel. Linn. , p. 263, n°. 121.— Falco, Forskal, Descript., p. 1, n°. 1. — Falco aegyptius, Gmel. Linn. , p- 261, n°. 61. — Milvus aetohus, Savigny, Ég., vol. 23, p. 260, PL. 3, fig. 1. — Schleg u. Susem. Tab. 31. Dalmatien, Afrika. { £a Dalmatie, l'Afrique. XI b. Nauclerus. Schwalben-Milane. Milans-hirondelles. Nauclerus furcatus. (Gemeiner Schwalben-Milan. Milan-hi- rondelle commun. Vigors, Zool. Journ., IT, p. 386. — Falco furcatus, Linn., pe 129, n°. 25. — Wilson, PI. 51, fig. 3. — Gould, PI. 30. — Schleg. u. Susem., Tab. 32, fig. 1. Amerika, zufällig in England. | L'Amérique , accidentellement en An- gleterre. ce. Klanus. Falken-milane. Élanions. Elanus melanopterus (29). (remeiner Falken-Milan. Élanion Blac. Leach, Zool. Misc., IT, Tab. 122. — Elanus caesius, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 276, Tab. 2, fig. 2. — Falco melanopterus, Daudin, Orn., Il, p. 152. — Le Blac, Le Vaill., Ois. d’Afr., I, PI. 36 et 37. — Gould, PI. 51. — Breéhm, Vôgei Deutschl., Taf. 46, fig. 3. — Schleg. u. Susem., Tab. 32, fig. 2. Afrika, zufällig in Europa. | L’Afrique , accidentellement en Europe. GEIERARTIGE RAUBVOGEL. OISEAUX DE PROIE VAUTOURINS. (VULTUR Linré.) CATHARTES. AASGEIER. CATHARTE. Cathartes percnopierus. (remeiner Aasgeter. Catharte ale- moche. Temm., Man., 1, p.8. — Vultur percnopterus, Linn., Syst. , XII ed. , p. 123, no. 7. — Neophron percnopterus, Savigny, Descr. de l'Égypte, ILed., vol. 23, p. 239. — Naumann, Tab. 3, fig. 1, (ad), fig. 2, (jun.).— Gould, Tab. 3. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 4. Südliches Europa, Africa, Dekan, L'Europe méridionale, PAfrique, le Deccan, XII VULTUR. GEIER. VAUTOUR. a. Kigentliche Geiïer. Vautours proprement dits. Vultur fultus. W'eissküphiger Geier. Vaulour griffon. Brisson , [, p. 462, n°. 7. — Vultur leucocephalus, Meyer u. Wolf, Taschenbuch, L, p. 7. — Gyps vulgaris, Savigny, Ég. , vol. 23, p. 232. — Naumann, Tab.2. — Schlegel u. Susem., p. 12, Tab. 3, (jun.); Tab. 8a, (hornot.). — Gould, Tab. 1, (ad.). Dalmatien, Griechenland. I La Dalmatie, la Grèce. Vultur fulxus occidentalis (30). Westlicher weissküpfiger Grerer. Vautour grifflon occidental. Schlegel u. Susemihl, p. 12, Tab. 2, (ad.). Sardinien, Pyrenäen. | La Sardaione, les Pyrénées. B. Adlerartige Geier. Aigles-Vautours. Vultur cinereus. Grauer Geier. Vaulour arrian. Gmel. Linn., 1, p. 247, n°. 6, (partim). — Vultur monachus, Gmel. Linn., p. 246, n°. 4. — Aegypius niger, Savigny, Ég. + vol. 23, p.237, PI 11. — Enl. 425. — Naumann, Tab. 1. — Gould, Tab. 2. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 1, (mas ad.). Südliches Europa, Egypten, Hindustan. L'Europe méridionale, PÉgypte, lIn- dostan. Vuliur auricularis (31). Okrgerer. Vautour oricou. Daudin Orn., vol, If, p. 10. — Vultur Aegypius, Temm. , PI. col. 407, (Nubia). — V. nubicus, Griflith, Anim. Kingd., vol. V, PL 1, (Nubia). — Schlegel u. Susemihl, Tab. la, (Nubia). Griechenland, Nubien. | La Grèce, la Nubie. XITE GYPAEXOS. BARTGEIER. GYPAËÈTE. Gypaëtos barbatus. (remeiner Bartlgeier. (Grypaète ordinaire. Cuvier, Règne an., [, p. 318. — Vultur barbatus, Linn. S., XII, p. 123, no. 6. — Phene ossifraga et gigantea, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 243 et 245, Tab. 4 (ad), Tab. 5 (jun.). — Schlegel u. Susemihl, p. 19, Tab. 5 et 6. — PI. col. 431. — Gould., PI. 4. Schweizer Alpen. I Les Alpes Suisses. Gypaetos barbatus occidentalis (32). Westlicher Bartgeter. (rypaele occidental. Schlegel u. Susemihl, p. 19. — Küster, Isis, 1835, p. 209. Sardinien , Pyrenäen. | La Sardaigne, les Pyrénées. L'une Eee NACHTRAUBYOGEL, OISEAUX DE PROIE NOCTURNES, (STRIX, Liné). A, OTUS. OHREULEN, HIBOUS. «. Grosse Ohreulen oder Uhus, Hibous grands Ducs. Otus bubo (33). Gemeiner Uhu. Hibou grand-Duc commun. Bubo maximus, Sibbald, Scot. illustr., IT, lib. 3, p. 15. — Strix bubo, Linn., p. 131, n°. 1.— Naumann, Taf. 44. — Gould, PS7. Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Otus Ascalaphus. Kurzühriger Uhu. Hibou grand Due à huppes courtes. Cuv. Régn. an. ; L. p. 341, — Bubo ascalaphus, Savigny, Égvp- XIV te, vol. 23, p. 295, Tab. HIT, fig. 2. — Strix ascalaphus, Temm. , PI. col. 57. — Gould, PI. 38. Südliches Europa , Egypten , Nordafri- Le Sud de l’Europe, l'Égypte , PAfri- ka, Persien. que septentrionale, la Perse. b. Mittiere Ohreulen., Hibous moyens Ducs. Otus otus (34). (remeine milllere Ohreule. Hibou moyen Duc commun. Cuv., Règne an., L., p. 341. — Strix Otus, Linn., p.132, n°. 4 — Otus vulgaris, Fleming, Phil. of Zool., IT, p. 236. — Bubo otus, Savigny , Égypte, vol. 23, p. 293. — Naumann, Taf. 45, fig. 1. — Gould, PI. 39. Europa , Sibirien, Egypten. | L'Europe, la Sibérie, PÉgypte. €. Kurzôührige Ohreulen. Hibous à huppes courtes. Otus brachyotus. (memeine kurzdhr. Ohreule. Hibou à hup- pes courtes commun. Cuv., Règne an., 1, p. 341. — Strix brachyotos, Forster, Phil. Frans. LXITI, p. 284, no. 2. — Brachyotus palustris, Gould, PI. 40. — Naumann, Taf. 45, fig. 2. Europa, gemässigtes Asien, Nordafri- L'Europe, l'Asie tempérée, lPAfrique ka, Amerika. septentrionale, l'Amérique. d. Zwerg-Ohreulen. Hibous petits ducs. Otus Scops (35). (remeine Zwerg-Ohreule. Hibou petit Duc commun. Scops Aldrovandii, Ray, Av., p. 25, n°. 3. — Strix Scops, Linn. p- 152, n°. 5. — Scops ephialtes, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 291. — Naumann, Taf. 43, fig. 8. — Gould, pl. AI. Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale, Afrika, l'Afrique, XV: B. STRIX. HAUZE. CHOUETTES,. a. Schleierkäuze. Effrayes. Strix flammea (36). Gemeiner Schleierkauz. Effraye commune. Linn. Syst., p. 133, n°. 8. — Naum., T. 47, f. 2. — Gould, T. 36. Europa. | L'Europe. b. Steinkäuze, Chevèches. Strix noctua. Gemeiner Stleinkauz. Chevèche commune. Retzius, Fauna suec., p. 84, n°.35, (partim). — Strix passerina, Becht., Nat. Deutsch., IT, p. 963. — Strix nudipes, Nilsson, Orn. suec., I, p. 68. — Athene passerina, Boie, Isis, 1822, p. 549. — Naumann, Taf. 48, fig. 1. — Gould, PI. 48. Gemässigtes Europa, vwestliches Asien. | L'Europe tempérée, PAsie occidentale. Strix noctua meridionalis (37). Südlicher Steinkauz. Che- vèche méridionale. Strix noctua, Forskal, Descr., pag. 8, n°. 2. — Noctua glaux, Savigny, Descr. de l'Égypte, vol. 23, p. 287. — Strix (Noctua) passerina, Rüppell, Neue Wirbelthiere, Vôgel, p. 45. Spanien, Egypten. Î L'Espagne , P'Égypte. c. Rauchfüssige Häuze. Chevèches à pieds emplumés. Strix Tengmalmi. Gemerner Rauchfusshkauz. Chevèche à pieds emplumés commune. Gmel. Linn. , p. 291, n°. 44. — Strix funerea, Linn., Fauna suec., n°* 75. — Strix noctua, Tengmalm, Vet. Acad. Handl., 1793, p. 289. — Strix dasypus, Bechst., Naturg. Deutschl., IT, p- 972, no. 13. — Naumann, Taf. 48, fig. 2 et 3. — Gould, PI. 49. Nôrdliches Europa, Sibirien, | L'Europe septentrionale , la Sibérie. XVI d. Sperlingsküuze. Chevéchettes. Strix passerina. (remeiner Sperlingshkauz. Chevèchelte com- mune. Linn., Fauna suecica , p.26, n°. 79. — Strix pygmaea, Bechst. Nat. Deutsch., IL, p.978. — Strix acadica , Temm. , Man. d'Ornith., I, p. 96. — Naumann, Taf. 43. — Gould, PI. 50. Schweden, Schweiz, Russland. | La Suède, la Suisse, la Russie. e. Waldkäuze. Hulottes. Strix aîuco (38). (emeiner Waldkauz. Hulotte commune. Linn., p.132, n°. 7. — Strix stridula, ibid., p.133, n°. 9. — Syrnium ululans, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 299.— Naumann, Taf. 46 et 47, fig. 1. — Gould, PI. 47. Europa. | L'Europe. f. Hleinaug-Hiäüuze. Chouettes micropes. Strix lapponica. Lapplündischer Kleinaug-Kauz. Chouette micrope de Laponte. Sparrman, Mus. Carlson., fase. V, Tab. — Strix barbata, Pallas, Loogr., I, p. 318, n°. 7. — Lapp-Ugla, Nilsson, Il. Fig., Häft 10, PI. 71. — Syrnium cinereum, Ch. Bonap. List, p. 6. — Gould, PI. 42. Skandinavien, Sibirien, nôrdlichstes La Scandinavie, la Sibérie, PAméri- Amerika. que boréale, g. Grossschwanz-Käuze. Chouettes macroures. Strix uralensis. Uralischer Langschwanz-Kauz. Chouette - macroure de l’oural. Pallas, Ît.T, app. n°. 25. — Strix litturata, Retz., Fauna suec, p. 79, n°. 29, — Strix macroura, Natterer in Meyer und Woff, XVII Taschenbuch , LE, p.84. — Naumann , Tab. 42, fig. 1, (fem. jun.). — Gould, PI. 44. Nôrdliches und nordôstliches Europa, L'Est et le Nord-Est de l'Europe, la Sibirien. Sibérie, h. Schneckäuze. Chouettes-harfang. Strix nytcea. Gemeiner Schneekauz. Chouette-harfang commune. Linné, Faun. Suec., p. 25, n°. 76. — Strix nivea, Thunberg, Vet. Acad. Handl. , 1798, p. 184. — Strix candida, Lath., Index, IT, p. 14, sp. 3. — Naumann, Taf. 41. — Gould, PI. 43. Norden Europæs und Amerika’s. [| Le Nord de l'Europe et de l'Amérique. i. Sperberkäuze. Chouettes-éperviers. Strix funerea. (remeiner Sperberkauz. Chouette - épervier commune. Lath., Ind.orn., 1, p. 62. n°.35.— Strix ulula, Linné, Fauna suec. ; p. 26 , n°. 78. — Strix misoria, Meyer, Vôügel Liv- u. Esthl. , p- 31. — Naumann , Taf. 42, fig. 2. — Gould, PI. 45. Nôrdliches und ôstliches Europa, Si- L'Europe septentrionale et orientale, la birien, nôrdliches Amerika. Sibérie, l'Amérique boréale, EE ko XVIII HOCKVOGEL, PERCHEURS, | SCHWALBENARTIGE VOGEL. CHÉLIDONS. HIRUNDO. SCHWALBE. HIRONDELLE. a. Rauchschwalben. Hirondelles de cheminée. Hirundo rustica. Gemeine Rauchschiwalbe. Hirondelle de cheminée commune. Linn., p. 343, no. 1. — Hirundo domestica, Plinius, X, cap. 33. — Pallas, Zoogr., I, p. 528. — Cecropis rustica, Boie, Isis, 1826, p. 971. — Naumann, Taf. 145. — Gould, PI. 54. Europa, westliches Sibirien, Nord- L'Europe, la Sibérie occidentale, l'Afri- afrika. que septentrionale. Hirundo rustica orientalis (39). Ostliche Rauchschwalbe. Hirondelle de cheminée orcentale. Hirundo cahirica, Licht., Catal., 1823, p. 58. — Hirundo Savig- nyi, Steph., Cont. Shaw, Zool., X, I, p. 90. — Cecropis Savignyi, Boie, Isis, 1828, p. 316. — Hirundo Riocourn, Audoum, Descr. de l'Égypte, vol. XXII, p. 339, PL. 4, fig. 4 — Hirundo Bois- sonneauti, Temm., Man., IT, p.652. — (Hirundo domestica var. Sibiriae orientalis, Pallas, Zoogr., 1, p. 529 et 531, Nota 2?) Macedonien, Egypten, (ôstliches Si- La Macedoine , PÉgypte, (la Sibérie birien ?). orientale ?). Hirundo rufula (40). Rüthliche Schwalbe. Hirondelle rousse. Temm., Man., IIT, p. 298, (excel. syn.). Sicilieu, | La Sicile, XIX b. MHausschwalben. Hirondelles de fenêtre. Hirundo urbica. (Memeine Hausschwalbe. Hirondelle de fe- nétre commune. Linn., p. 344, n°. 3. — Hirundo lagopoda, Pall., Zoogr., I, p. 532, n°. 156. — Chelidon urbica, Boie, Isis, 1822, p. 550. — Naumann, Taf. 145. — Gould, PI. 57. Europa, Sibirien, Nordafrika. L'Europe , la Sibérie, l'Afrique septen- trionale, €. Uferschwalben. HMHirondelles de rivage. Hirundo riparia. (Memeine Uferschwalbe. Hirondelle de rr- vage commune. Linn., p. 344, n°. 4. — Cotyle riparia, Boie, Isis, 1822, p. 550. — Naumann, Taf. 146. — Gould , ‘PI. 58. Europa, Sibirien (Nordamerika?). L'Europe, la Sibérie , (l'Amérique du Nord ?). Hirundo rupestris. Felsenschwalbe. Hirondelle de rocher. Scopoli, Aun., I, p. 167, n°. 253. — Naumann, Taf. 146. — Gould, PI. 56. Süd-Europa, Nordafrika, vwestliches L'Europe méridionale, l'Afrique sep- Asien. tentrionale, PAsie occidentale. CYPSELUS, SEGLER. MARTINET. Cypselus apus. Mauersegler. Martinet de muraille. Illiger, Prodromus, p. 230. — Hirundo apus, Linn., p. 344; n°. 6. — Micropus murarius, Meyer u. Wolf, Taschenb. , I, p. 281. — Naumann, Taf. 147, — Gould, PI. 53, fig. 1. Europa, westliches Sibirien, | L'Europe, la Sibérie occidentale. xx Cypselus melba. Felsensesler. Martinet à ventre blanc. liger, Prodromus, p. 320. — Hirundo melba, Linn., p- 345, n°. 11. — Naumann, Taf. 147. — Gould, PL 53, fig. 2. Südliches Europa, Nordafrika, Klein- L'Europe méridionale lAfrique septen- asien. trionale , PAsie mineure. CAPRIMULGUS (41). ZTEGENMELKER. ENGOULEVENT. Caprimulqus europaeus. (remeiner Ziegenmelker. Engou- levent ordinaire. Linn., p. 346, n°. 1. — Naumann, Taf. 148. — Gould, PI.51. Europa, Sibirien. Î L'Europe, la Sibérie. Caprimulgus ruficollis. Halsbandziegenmelker. Engoulevent à collier roux. Temm., Man. d'Orn., 1, p. 438. — Gould, PI. 52. Spanien , Nordafrika. | L'Espagne, l'Afrique septentrionale. WURGERARTIGE VOGEL. PIE-GRIÈCHES. LANIUS. WURGER. PIE-GRIÈCHE. Lanius excubitor (42). Grosser Würger. Pre-Grrièche com- mune. Linn., p. 135, n°. 11. — Naumann, Taf. 49. — Gould, PI. 66. Europa. | L'Europe. Lanius meridionalis. Südlicher Würger. Pie-grièche méri- dionale. Temm., Man. d'Ornith., [, p. 143. — Gould, PI. 67. Südliches Europa, Nordafrika. Le Midi de lPEurope, l'Afrique sep- tentrionale. xxI Lanius minor. Grauer Würger. Pie-grièche à poitrine rose. Gmel. Linn., p. 308, n°. 49. — Naumann, Taf. 50. — Gould, PI. 68. Mittleres und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale. Lanius rufus (43). Rothkôpfiger Würger. Pie-grièche rousse. Brisson, IL, p. 147, n°. 3. — Lanius rutilus, Lath., Ind., 1, p- 0, sp. 12. — Lanius ruficeps, Bechst., Nat. Deutschl., II, p. 1327. — Naumann, Taf. 51. — Gould, PI. 70. Mittleres und südliches Europa. | L'Europe temperée et méridionale. Lanius collurio. Rothrüchkiger Würger. Pie-grièche écorcheur. Linn., p. 136, n°. 12. — Lanius spinitorquus, Bechst. Nat. Deutschl, IL, p. 1335. — Enneoctonus collurio, Boie, Isis, 1826, p. 973. — Naumann, Taf. 52. — Gould, PI. 69. Europa, gemässigtes Sibirien, Klein- L'Europe, la Sibérie tempérée, lPAsie Asien, Egypten. mineur, PEgypte. Lanius personatus (44). Maskenwürger. Pie-grièche masquée. Temm., PI. col. 256, fig. 2. — Lanius nubicus, Licht., Catalog, 1823, p. 47, no. 510. Griechenland, Egypten, Nubien, Kor- L'Égypte , la Nubie, le Kordofan, dofan , Abyssinien , steiniges Arabien. PAbyssinie, PArabie pétrée. Lanius tchagra (45). Tschagra-Würger. Pie-crièche 1chagra. Telophonus erythropterus, Swainson, in Natural. Library, Nat. Hist. of Birds., vol, IE, p. 219, — Le Tchagra, Le Vaillant, Ois, XXII d'Afr., 11, PI 70. — Lanius erythropterus, Shaw, Gen. Zool., VIII, 2, p. 301, (ex parte). — Pomatorhynchus Tchagra, Boie, Isis, 1826, p. 973. — Lanius cucullatus, Temm. Man. , [IT, p. 600. Spanien, Cap. | L'Espagne, le Cap de B. Espérance. FLIEGENFANGER. GOBE-MOUCHES. MUSCICAPA. FLIEGENFANGER. GOBE-MOUCHE. Muscicapa grisola. (refleckier Fliegenfänger. Gobe-mouche gris. Linn. , p. 328, no. 20. — Butalis grisola, Boie, Isis, 1826, p. 973. — .Naumann, Taf. 64. — Gould, PI. 65. Europa , Nordafrica. | L'Europe, PAfrique septentrionale, Muscicapa atricapillu. Schwarzgrauer Fliegenfänger. Gobe- mouche bec-figue. Linn., p. 326, no. 9. — Emberiza luctuosa, Scopoli, Ann., I, p+ 146, no. 215. — Muscicapa luctuosa, Temm., Man., I, p. 155. — Naumann, Taf. 64. — Gould, PI. 63, fig. 1. Europa. | L'Europe, Muscicapa albicollis. Weisshalsiger Fliegenfünger. Gobe- mouche à collier. Temm., Man., [, p. 153. — Muscicapa collaris, Bechst. Nat. Deutschl., III, p. 427. — Naumann, Taf. 65. — Gould, PI. 63. fig. 2. Süd- und Mittel-Europa , Arabien, L'Europe tempérée et méridionale ; l'Arabie, XXFYIT Muscicapa parta (46). Bothkehliser Fliegenfänger. Gobe- mouche rouche-gorge. Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 442. — Erythrosterna parva, Ch. L. Bonap., List, p. 25. — Muscicapa erythaca et rubicola, Swainson, Natur. Library, Ornithol., vol. X, 1838, p.220 et 221 , PI. XXVII. — Naumann, Taf. 65. — Gould, PI. 64. Südôstliches Deutschland, Vorder-In- Le Sud-Est de l’Europe, lPinde en dien. deca du Gange. SANGERARTIGE VOGEL. SYLYAINS. SYLVIA (47. GRASNMUCHE. FAUVETTE. Sylvia nisoria. Sperber-Grasmücke. Fauvette rayée. Bechst., Nat. Deutschl. , IIT, p. 547. — Nisoria undata, Ch. Bo- nap., List, p. 15. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 128. Ostliches Europa. | L'Europe orientale, Sylvia cinereu. Fahle Grasmücke. Fauvette grise. Latham, Ind., I, p. 514. — Motacilla sylvia, Linn., p.330, n° 9. — Naumann, Taf. 78. — Gould, PI. 125, fig. 1. Europa, Kleinasien, Nordafrika , Ara- L'Europe, l'Asie mineure, l'Afrique bien. septentrionale , PArabie, Sylvia conspicillata. Brillengrasmücke. Fauvette à lunettes. Marmora in Temm., Man., 1, p. 210. — PI. col. 6, fig. 1. — Gould, PI. 126. Spanien, Sardinien , Italien, [ L'Espagne, la Sardaigne, l'Italie, XXIV Sylvia curruca. Miüller-Grasmücke. Fauvette babillarde. Latham, Ind. orn., II, p. 509, sp. 9. — Naumann, Taf. 77. Gould, PI. 125, fig. 2. Europa, gemässigtes Sibirien, Klein- L'Europe, la Sibérie tempérée, l'Asie asien, Nordafrika. mineure, l'Afrique septentrionale. Sylzia subalpina. Südliche Grasmücke. Fauvetlte subalpine. Bonelli in Temm., Man., I, p. 214. — Sylvia leucopogon, Meyer, Orn. Tasch., IT, p.91. — Sylvia passerina, Temm., Man. , IIL, p. 138; PI. col. 251, fig. 2 et 3 et PI. 6, fig. 2. — Sylvia mystacea, Ménétr., Catal., p. 34, n°. 69 et Rectifications. — Gould , PI. 124. Süd-Etropa , Nord-afrika. | L'Europe méridionale , l Afrique sep- | tentrionale. Sylvia provincialis. Provencer Grasmücke. Fauvette pitte-chou. Temm., Man., 1, p.211. — Motacilla provincialis, Gmel. Linn. , p- 958, n°. 67. — Sylvia dartfordiensis, Lath., Ind. orn., II, p. 517, n°. 31. — Melizophilus provincialis, Leach., Mus. Brit; Selby, Brit. Orn., I, p. 219. — Gould, PI. 129. England , südliches Europa. I L’Angleterre, l’Europe méridionale. Sylvia sarda, Sardische Grasmücke. Fauvette sarde. Marmora , in Temm. Man. d'Orn., [, p. 204; PI. col. 24, fig. 2. — Gould, PI. 127. Sardinien. | La Sardaigne. Sylvia melanocephala, Schwarzküphige Grasmücke. Fauvette mélanocéphale. Lath., Ind. orn., Il, p.509, sp. 7. — Motacilla melanocephala, Gmel. Linn., p. 970, n°, 104. — Gould, PI. 129. Südliches Europa, Egypten, | L'Europe méridionale, PEgypte. XXV Sylvia Rüppellii (48). Rüppells Grasmücke. Fauvelte de Rüppell. Temm., PI. col. 245, fig. 1. — Rüppell, Atlas, Tab. 19. — Sylvia capistrata, Rüppell, Mus. Senk., IT, p. 181. — Gould, PI--122. Griechenland. | La Grèce. Sylæia orphea. Orpheus-Grasmücke. Fauvetle-Orphée. Temm., Man., I, p. 198. — Curruca orphaea, Brehm, Hand- buch, 423. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 119. Südliches Europa, Egypten, Arabien. L'Europe méridionale , l'Égypte, l'Ara- bie, Sylvia atricapilla. Münchs-Grasmücke. Fauvette à tète notre. Lath., Ind. orn., IT, p. 508, sp. 6. — Motacilla atricapilla Gmel. Linn., 1, p. 970, sp. 18. — Curruca atricapilla, Brisson, IT, p. 880, n°. 6. — Naumann, Taf. 77. — Gould, PI. 120. Europa, Kleinasien , Arabien , Egypten, L'Europe, lPAsie mineure, l'Arabie, Nubien. PÉgypte, la Nubie, Sylvia hortensis. (rartengrasmücke. Fauvette des jardins. Bechst., Nat. Deutsch., III, p. 524. — Naumann, Taf. 78. — Gould, PI. 121. Europa. | L'Europe, FICEDULA, LAUBSANGER, BEC-FIKN. Ficedula trochilus (49). Fitis-Laubsänger. Bec-fin pourllot. Keiserl. u. Blas., p. LVI. — Motacilla trochilus, Linn., p. 338, n°. 49. — Ficedula fitis, Koch, Baier. Zool., I, p.159, n°.82. — Phyllopneuste trochilus, Ch. Bonap., List, p. 13. — Naumamn, Taf. 80. — Gould, PI. 131, fig. 1. Europa, Fgypten, Nubicn, | L'Europe , Égypte, la Nubie, XXVI Ficedula rufa. Weiden-Laubsänger. Bec-fin roux. Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia rufa , Lath., Ind. Orn., IL, p.516, n°.27. — Sylvia hippolais, Penn., Brit. Zool., I, p. 508. — Gould, PL 131, fig. 2. — Naumann, Taf. 80. Europa. Ï L'Europe. Ficedula Bonellii. Bonell”s Laubsänger. Bec-fin Bonelli. Keys. u. Blas., p. LVL. — Sylvia Bonelli, Vieillot, Encycl. Méth. Orn., II, p. 468. — Sylvia Nattereri, Temm., Man. d'Orn., I, p- 227. — Gould, PI. 134. Südliches Europa. l L'Europe méridionale. Ficedula sibilatrix. Grüner Laubsänger. Bec-fin siflleur. Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia sibilatrix, Bechst. Nat. Deutschl. , IT, p.561. — Sylvia sylvicola, Lath., Ind. Orn., Suppl., IL, p. 53. — Naumann, Taf. 80. — Gould, PI. 131, fig. 8. Europa. L'Europe, Ficedula ambigua (50). Zwerideutiger Laubsänger. Bec-fin ambigu. Griechenland. | La Grèce. Ficedula hypoluis. Grarten-Laubsänger. Bec-fin grand-pouillet. Keys. u. Blas., p. LVI. — Motacilla hippolais, Linn., p. 330. n°. 7. — Hippolais salicaria, Brehm, Handbuch, p. 434 — Naumann, Taf. 80, — Gould, PI. 133. Europa, | L'Europe, XXVIL SALICARIA, HOHRSANGER, RIVERAIN. Salicaria turdina. Drossel-Rohrsänger. Riverain rousserolle. Sylvia turdoides, Meyer, Vôgel Liv u. Esthl., p.116. — Sylvia turdina, Gloger, Handb., p. 227, n°. 14. — Calamoherpe turdoi- des, Boie, Isis, 1822, p. 552. — Turdus arundinaceus, Brisson, Htp-219 n°6017022; "hp1.—;Junco, Gessner Av. 573. Turdus junco, Pall. Zoogr., I, p.458, n°. 99. — Naumann, Taf. 81. — Gould, PI. 106. Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale, Arabien. l'Arabie. —_—_——— Salicaria arundinaceu. Teich-Rohrsänger. Riverain des ro- seaux. Selby, Brit. Orn., I, p. 203. — Curruca arundinacea, Brisson, IT, p.378, n°. 5. — Sylvia arundinacea, Lath., Ind., II, p. 510, n°. 12. — Calamoherpe arundinacea, Boie, Isis, 1826, p. 972. — Naumann, Taf. 81. — Gould, PI. 109. Gémässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale, Egypten, Nubien. PEgypte, la Nubie. Salicaria palustris (50 bis). Sumpf-Rohrsänger. Riverain verderolle. Gould, PI. 109, — Sylvia palustris, Bechst., Nat. Deutschl., IF, p. 639. — Naumann, Taf. 81, Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale, Salicaria olivetorum (51). Oliven-Rohrsänger. Riverain des oliviers. Gould, Birds of Europe, PI. 109. Griechenland, [ La Gréce, a XX VEIT Salicaria phragmitis. Schilf-Rohrsänger. Riverain phrag- mile. Selby, Brit. Orn., I, p. 201. — Sylvia phragmitis, Bechst., Nat. Deutschl. , IT, p. 635. — Naumann, Taf. 82. — Gould, PI. 110. Europa, gemässigtes Sibirien, Syrien, L'Europe, la Sibérie tempérée, la Syrie, Egypten, Nubien. PEgypte, la Nubie. Salicaria aquatica (52). Seggen-Rohrsänger. Riverain aqua- tique. Gould, PI. 111, fig. 2. — Sylvia aquatica, Lath., Ind., II, p. 510, n°. 11. — Naumann, Tab. 82, fig. 4et 5, (hib.). — Sylvia cariceti, Naumann, IIT, p. 668, Taf. 82, fig. 2 et 3, (aest.). Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale. Salicaria locustella. Heuschrecken - Rohrsänger. Riverain locustelle. Selby, Brit. Orn., I, p. 199. — Sylvia locustella, Penn., Brit. Zool., I, p. 518. — Naumann, Taf. 83. — Locustella Rayi, Gould , PI. 103. Europa. | L'Europe, Salicaria fluviatilis. Fluss-Rohrsänger. Riverain fluviatile. Sylvia fluviatialis, Meyer u. Wolf, Taschenbuch, [, p. 229. — Naumann , Taf. 13. — Gould, PI. 102. Ufer der Donau. | Les bords du Danube. Salicaria luscinoides. MNachtigallen - Rohrsänger. Riverain luscinoïde. Sylvia luscinoides, Savi, Orn. Tosc., I, p. 270. — Pseudo- Luscinia Savii, Ch. Bonap., List, p. 12. — Gould, PI. 104. Italien, Provence. | L'Italie, la Provence, mn XXIX Salicaria galactodes. Rostfarbiger Rohrsanger. Riverain rubigineux. Sylvia galactodes, Temm., Man., I, p. 182. — Turdus rubigi- nosus, Meyer, Orn. Tasch., IIT, p. 66. — Sylvia rubiginosa, Temm., Man., Il, p. 129; PI. col. 251, fig. 1. — Gould, PI. 112. — Aëdon galactodes, Boie, Isis, 1826, p. 972. Spanien. | L'Espagne. Salicaria familiaris (53). Ménétriés Rohrsänger. Riverain Ménétriés. Sylvia familiaris, Ménétr. Cat., p. 32, n°, 60. Griechenland, Ufer des Kur. | La Grèce, les bords du Kour, Salicaria melanopogon. Schwarzbart-Rohrsänger. Riverain à moustaches noires. Sylvia melanopogon, Temm., PI. col. 245, fig. 2. — Gould, PI 111, fig. 2. — Calamodyta melanopogon, Ch. Bonap., List, p- 12. — Gould, PI. 111, fig. 1. Südliches Europa. | L'Europe méridionale. Salicaria Cettii (54). Cetti's Rohrsänger. Riverain Cette. Sylvia Cettiüi, Marmora, Mem. Acad. Tor., Vol. XXV , p. 254. — Sylvia sericea, Natterer in Temm., Man., I, p. 197. — Cettia al- üsonans et sericea, Ch. Bonap., List, p. 11 et 12. — Gould, PI. 114 et 115. Südliches Europa, | L'Europe méridionale, XXX Salicaria lanceolata (55). (restrichelter Rohrsänger. Rive- rain lancéolé. Sylvia lanceolata, Temm., Man., III, p. 614. Südliches Russland. ]J La Russie méridionale. Salicaria cisticola. Cislen-Rohrsänger. Riverain cisticole. Sylvia cisticola, Temm., Man., I, p. 228. — Sylvia (Cisticola) typus, Rüppell, Neue Wirb., Vôgel, p. 113. — Cisticola schoeni- cola, Ch. Bonap., List, p. 12. — Gould, PI. 113. Südliches Europa, Egypten, Nubien. | L'Europe méridionale, l'Égypte, la Nubie. Salicaria caligata (56). (Gestiefeller Rohrsänger. Riverain botté. Sylvia caligata, Licht. in Eversman, Reise, p. 128. — Lusciola (Iduna) caligata, Keys. u. Blas,, p. LVIIT, n°. 235. — Motacilla salicaria, Pallas, Zoogr., I, p. 492, n°. 127. Russland, Sibirien. | La Russie, la Sibérie. LUSCIOLA. ERDSANGER. HUMICOLE. a. Nachtigallen. Rossignols. Lusciola philomela. Sprosser-Nachtigall. Rossignol philomèle. Keys. u. Blas., p. LVIIL, n°.233. — Sylvia philomela, Bechst., Nat. Deutschl., IL, p. 507. — Luscinia major, Brisson, Orn., IT, p- 400. a. — Naumann, Taf. 74. — Gould, PI. 117. Ostliches Europa, vwestliches Asien, L'Europe orientale, l'Asie occidenta- Egypten. le, PEgypte, XXXI Lusciola luscinia (57). Gemeine Nachtigall. Rossignol com- mun. Keys. u. Blas., p. LVIIT, no. 234. — Motacilla luscinia, Linn., p. 328, n°. 1.— Sylvia luscinia, Lath. Ind., IT, p. 506, sp. L. — Naumann, Taf. 74 -—— Gould, PI. 116. Europa, Klein-Asien , Arabien , Egypten. L'Europe, lPAsie mineure, lArabie, l'Egypte. b. Rothschwänzchen. Rouge-queues, ZLusciola phoenicurus. Garten - Rothschwänzchen. Rouge- queue des murailles. Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°. 239. — Motac. phoenicurus, Linn., p. 335, n°. 34. — Sylvia phoenicura, Lath., Ind., IL", p- SIL, sp. 15. — Ruticilla phoenicura, Ch. Bon., List, p.15. — Naumann, Taf. 79. — Gould, PI. 95. Europa, Sibirien, Egypten , Nubien. | L'Europe, la Sibérie, PÉgypte, la Nubie. Lusciola erythrogastra (58). Giüldenstädts Rothschwänzchen. Rouge-queue de Güldenstädt. Motacilla erythrogastra, Güldenstädt, Nov. Comment. Petr., XIX, 1775, p. 469, Tab. 16 et 17. — Motacilla aurorea, var. Cerau- nia, Pallas, Zoogr., I, n°. 116, p. 478. Kaukasus. | Le Caucase. Lusciola thitys. Haus-Rothschwänzchen. Rouge-queue norr. Keys, u. Blas., p. LIX , n°. 240. — Sylvia tithys, Scopoli, Ann., I, p. 157, n°. 233. — Motacilla Erythacus, Linn., p. 335, n°. 35. — Naumann, Taf. 79. — Gould, PI. 96. Europa , Klein-Asien, Nordafrika, L'Europe, l'Asie mineure, PAfrique septentrionale, XXXIT €. Rothkehlchen. Rouge-gorges. Lusciola rubecula. (memeines Rothkehlchen. Rouge - gorge commun. Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°.238. — Motacilla rubecula, Linn., p- 337, n°. 45. — Sylvia rubecula, Lath., Ind., Il, p. 520, sp. 42. — Dandalus rubecula, Boie, Isis, 1826, p.972. — Naumann, Ta 075 Gould PS; Europa , Klein-Asien, Nordafrika. L'Europe, lAsie mineure, l'Afrique septentrionale. d. Blaukehlchen. Gorge-bleues. Lusciola cyanecula. (memeines Blaukehlchen. Gorge - bleue commune. Sylvia cyanecula, Meyer u. Wolf, Taschenb., T, p. 240. — Lusciola suecica, Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°. 237. — Mota- cilla suecica, Linn., p. 336, n°. 37. — Sylvia suecica, Lath., Ind., Il, p. 521, sp. 43. — Cyanecula suecica, Brehm, Handb., p. 350. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 97. Europa. | L'Europe. Lusciola cyanecula orientalis (59). Ostliches Blaukehlchen. Crorge-bleue orientale. Motacilla coerulecula, Pallas, Zoogr., LI, p.480, n°.118, (ex- cl. synon.). Rusland, Sibirien. | La Russie, la Sibérie. e. Feuerkehlchen. Gorges en feu. Lusciola calliope. (Gemeines Feuerkehlchen. Gorge en feu calliope. Lusciola (Melodes) calliope, Keys. u. Blas., p. LVIILI, n°. 236. —— Motacilla calliope, Pallas, Reise, HIT, app. n°. 17 — XXXIII Actentor calliope, Temm., Man., LL, p.173. — Calliope Latha- mi, Gould, Birds of Europe, PI. 114. Ostliches Sibirien, Japan, zufällig in La Sibérie orientale, le Japon, actl- Russland. dentellement en Russie. STEINSCHMATZER. SAXICOLES. SAXICOLA. STEINSCHMATZER. SAXICOLE,. à. Eigentliche Steinschmätzér. Saxicoles proprement dits. Saxicola oenanthe. Grauer Steinschmaäatzer. Saxicole moteux. Bechstein, Orn. Tasch., 1, p- 217 — Naumann, Taf. 89. — Gould, PI. 90. Europa, Sibirien, Kleinasien , Nord- L'Europe, la Sibérie, l'Asie mineure ; afrika. ; l'Afrique septentrionale. Saæicola saltatrix (60). Ostlicher Steinschmützer. Saxicole oriental. Keys. u. Blas., p. LIX, n°. 245. — Saxicola saltator, Méné- iries, Catal., p. 80, n°. 56. Ural, Ufer des Kaspischen Meeres, L’Oural , les bords de la Mer Caspien: Griechenland. ne, la Grèce. Saæxicola stapazina. Schwarzkehliger Steinschmützer. Saxtr- cole stapazin: Temm., Man., IL, p. 241. — Motacilla stapazima, Linn:, p: 331, n°. 14. — Muscicapa melanoleuca, Güldenst., Nov. Comm. Petr., XIX, p.468, Tab, XV.— Naumann, Taf. 90, fig. 1 et 2. — Gould, PI. 91. Südliches Europa, steiniges Arabien, L'Europe méridionale, l’Arabie pé- Egvpten Nubien, trée, l'Egypte, la Nubie. D] D] XXXIV Saæicola aurita (61). Schwarzohriger Steënschmälzer. Sa- æicole oreillard. Temm., Man., I, p. 241. — Gould, PI. 92. Südliches Europa, Arabien, Egypten. L'Europe méridionale, lArabie, V'É- gypte. Saæxicola leucomela (62). Elster - Steinschmätzer. Saxicole leucomèle. Temm., Man., 1, p. 243. — Motacilla leucomela, Pall., Nov. Comm. Petrop., XIV, p. 584, n°. VI, Tab. 22, fig. 8. Südliches Russland, Altai, Daourien. La Russie méridionale, PAltaï, la Daourie. Saxicola cachinnans. Weissschwänziger Steinschmälzer. Saxicole rieur. Temm., Man., Ï, p. 256. — Turdus leucurus, Gmel. Linn., p. 820, n°. 66. — Saxicola leucura, Licht., Catal., p. 32 — Gould, PI, 88. Südliches Europa, Arabien, Egypten, L'Europe méridionale , l'Arabie , PÉgyp- Nubien. te, la Nubie. b, Wiesenschmätzer. raquets. Saxicota rubetra. Braunhehliger Wiesenschmätzer. Traquet larter. Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 684 — Pratincola rubetra, Koch, Baier. Zool., 1, p. 191, n°. 112. — Motacilla rubetra, Linn., p. 332, n°. 16. — Naumann, Taf, 89. — Gould, PI, 93, Europa, Arabien, Egypten. | L'Europe, l'Arabie, l'Égypte, | XXXV Saxicola rubicola. Schwarzkehliger Wiesenschmätzer. Tra- quet pâtre. Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 694 — Moiacilla rubicola, Linn., p. 332, n°. 17. — Naumann, Taf. 90, fig. 3. — Gould, PI. 94. Europa, Sibirien, Kleinasien, Egypten, L'Europe, la Sibérie, PAsie mineure, Nubien, Abyssinien, Kap. PÉgypte, la Nubie, l'Abyssinie, le Cap de Bonne Espérance. PIEPER. PIPITS. ANVHUS. PYIEPER. PIPIT. Anthus aquaticus. Wasserpieper. Pipit spioncelle. Bechstein, Nat. Deutschl., IE, p. 745. — Alauda spmoletta, Linn., p. 288, n°. 7. — PI. enl. 661, fig. 2. Mittleres und südliches Europa. | L'Europe tempérée ct méridionale, Anthus rupestris. Uferpieper. Pipit rupestre. Nilsson, Orn. suec., 1, p. 245, Tab. 9. — Anthus hitoralis, Brehm, Lehrbuch, 1, p. 239. — Alauda obscura, Pennant, Brit, Zool., I, p. 482. — Gould, PI. 138. Nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale, Anthus pratensis. Wriesenpieper. Pipit farlouse. Bechst., Nat. Deutschl., IT, p.732. — Alauda pratensis, Linn., p. 782, n°. 2. — Naumann, Taf. 84 et 85. — Gould, PI. 136, Europa, Egypten, | L'Europe, l'Egypte, XXXVI Ænthus pratensis rufigularis. Braunhehliger Wiesenpieper. Pipit farlouse à gorge rousse. Anthus rufogularis, Brehm, Vôügel Deutschl., p. 320, n°. 12. — Motacilla cervina, Pallas, Zoogr., Ï, p. 511, n°. 142. — Gould, PI. 140. Südliches Europa, Sibirien, Norc- L'Europe méridionale , la Sibérie, l’Afri- afrika. que septentrionale. Anthus Richardii. Richard's Pieper. Pipit Richard. Vieillot, Nouv. Dict. Déterville, vol. XXVI, p. 491. — Temm.; PI. col. 101. — Anthus rupestris, Ménétr., Cat., p.37, n°. 80. — Gould, PI. 135. Europa , westliches Asien. | L'Europe, l’Asie occidentale. Anthus campestris. Brachpieper. Pipit rousseline. Bechst., Nat. Deutsebl., ITE, p, 722. — Anthus rufescens, Temm., Man., I, p. 267. — Naumann, Taf. 84. — Gould, PI. 137. Gemässigtes und südliches Europa , nord- L'Europe tempérée et méridionale, les westliches Afrika. contrées occidentales de l'Afrique sep- tentrionale. Anthus arboreus. Baumpieper. Pipit des bussons. Bechst., Nat. Deutschl., IT, p. 706. — Naumann, Taf. 84. — Gould, PI. 139. Europa, Sibirien, Nordafrika. | L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep {entrionale, XXXVIT BACHSTELZEN. HOCHEQUEUES. MOTACILLA. BACHSTELZE. HOCHEQUEUE, Eigentliche Bachstelzen. Hochequeues proprement dits. Motacilla alba. Weisse Bachstelze. Hochequeue gris. Linn., p. 331, n°. 11. — Motacilla albeola, Pallas, Zoogr., F, p. 506, n°. 139. — Naumann, Taf. 86. — Gould, PI. 143. Europa ausser England, Sibirien , Nord- | L'Europe à l'exception de l’Angleter- afrika. re, la Sibérie , l'Afrique septentrionale. Motacilla alba lugubris (63). Trauer- Bachstelze. Hocke- queue lugubre. Motacilla lugubris, Temm., Man., E, p. 253. — Mot. Yarrellni, Gould, Birds of Europe, PI. 141. England, auf dem Zuge im westlichen L’Angleterre, visite périodiquement Europa, einzeln im übrigen Europa. l'Europe occidentale, s’égare quelquefois dans les autres parties de l’Europe. Motacilla boarula. Schwefelgelbe Bachstelze. Hochequeue jaune. Penn., Brit. Zool., 1, p. 492. — Motacilla sulphurea, Bechst., Nat. Deutschl., IIT, p. 459. — Naumann, Taf. 87. — Gould, PL 147: Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale , Mittel- und Süd-Asien, Nordafrika. PAsie centrale et méridionale, lPAfrique septentrionale. XXXVIII b. Schafstelzen, Bergeronnettes. Motucilla flava. (Gelbe Schafstelze. Bergeronnette de prin- AZI Linn., p. 331, n°. 12. — Budytes flava, Cuv., Règne an., I, p- 391. — Motacilla flaveola, Pallas, Zoogr., [, p. 501, n°. 136. — Motacilla neglecta, Gould, PI. 146. Europa ausser England. Brütet im ge- L'Europe à l'exception de l'Angleterre, mässigten Europa. niche dans l’Europe tempérée, Motacilla flaca Rayi (64). Gelbiüphige gelbe Schafstelze. Bergeronnette de printems à lèle jaune. Motacilla flava, Ray, Syn., p.75. — Gould, PI. 145. — Motac. flaveola, Temm., Man., Il, p. 183. — Budytes Rayi, Ch. Bon., List, p. 18;1n°.156. England, auf dem Zuge im westlichen L’Angleterre, passe, lors de l’époque Europa. de la migration , par l'Europe occidentale, Motacilla flava cinereocapillu. Grauküpfige gelbe Schaf- stelze. Bergeronnette de printems a tete grise. Motac. cinereocapilla, Savi, Orn. Tosc., IIT, p. 216. — Ch. Bonap., Icon. d. Fauna Ital., I, Tav. 31, fig. 2. Brütet in Italien, Ï En été en Italie. Motacilla flava melanocephala. Schwarzküpfige gelbe Schaf- stelzse. Bergeronnette de printems à lele notre. Licht., in Eversman, Reise, app. , pe 129. — Ch. Bonap., Ie. d. Fauna Ital., [, Tav.81, fig. 3. Dalmatien, die Bucharei, Arabien, E- La Dalmatie, la Bocharie, PArabie, gypten, Abyssinien, PEgvpte, l'Abyssinie, XXXIX Motacilla citreola. Cifronengelbe Schafstelze. Bergeronnette citrine. Pallas, Iier, ILE, app. n°. 14 — Motacilla citrinella, Pall., Zoogr., I, p. 503, n°. 137. — Gould, PI, 144. Südôstliches Russland, Sibirien, die Les parties méridionales de la Russie Bucharei, orientale, la Sibérie, la Bocharie. DROSSELN. MERLES. TURDUS (65). DROSSEZ. MERLE. a. Walddrosseln. Sylvains. Turdus viscivorus. Misteldrossel. Merle draine. Linn. , p. 291, n°. 1. — Naumann, Taf, 66. — Gould, PI. 77. Europa. ] L'Europe. Turdus pilaris- Wachholderdrossel. Merle litorne. Linné, p. 291, n°. 2. — Naumann, Taf. 67. —— Gould, PI. 76. Europa, Kleinasien. | L'Europe, l'Asie mineure. Turdus Naumannii ÜNaumanns Drossel. Merle Naumann. Temm., Man., L, p. 170. — Turdus fuscatus, Pall., Zoogr., I, p. #51,n°. 92, c. fig. — Turdus eunomus, Temm., PL col. 514, (Japonia). — Naumann, Taf. 68, fig. 1, 2. — Gould, PI. 79, (Japon.). Japan, Sibirien , zufällig in Europa. Le Japon , la Sibérie, accidentellement en Europe. Turdus migratorius. Wanderdrossel. Merle voyageur. Linn., p. 292, n°. 6. — Wilson, PI. 2, fig. 2. — Brehm, Vôg. Deutsch., p. 388. — Merula migratoria, Gould, PI. 74. Nordamerika , zufallig in Europa. L'Amérique du Nord, accidentellement en Europe. XL Turdus pallens. Blassdrossel. Merle blafard. Pallas, Zoogr., I, p. 457, n°. 98. — Turdus pallidus, Gmel. Linn., p. 815, n°. 45? — Turdus ihacus pallidus, Naum., II, p. 279. — Turdus Seyffertitzi , Brehm, Vôüg. Deutschl., p. 387. — Turdus Werneri, Géné, Mem. Acad. Tor., XXXVII, p. 291, e. fig. — Turdus pallidus, Werner, Atlas du Manuel, fig. s. num. Japan, Daourien, einzeln in Europa. Le Japon , la Daourie , accidentellement en Europe. Turdus iliacus. Rothdrossel. Merle maurts. Linné, p. 292, n°. 8. — Turdus Illas, Gessner, Av., p. 760. — Naumann, Taf. 67. — Gould, PI. 7%, fig. 2. Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Turdus musieus. Singdrossel. Merle grive. Linné, p.292, n0. 4 — Naumann, Taf. 66. — Gould, PI. 78, fig. 1. Europa, Sibirien , Klein-Asien , Egypten. L'Europe, la Sibérie, PAsie mineure, l'Egypte. Turdus soliturius (66). Ernsiedlerdrossel. Merle solitaire. Wilson, vol. V, PI. 43, fig. 2. — Merula solitaria, Swainson, Fauna bor. am., Birds, p. 184, PI. 35. — Turdus minor, (Lath.), Naumann, Isis, 1826, p. 520. Nordamerika , zufällig in Europa. L'Amérique septentrionale, accidentel- lement en Europe. Turdus auroreus (67). Mondfleckige Drossel. Merle aurore. Pallas, Zoogr., 1, p. 448, n°. 87. — Rotermund, Isis, 1828 XLI p. 1036; Gloger, ibid. , p. 1041. — Gloger, Vügel Eur., p. 178. — Turdus Bechstemn jun., Naumann , II, p. 314, Taf. 69, fig. 2. Zwei Exemplare in Deutschland beo- | Observé plusieurs fois en Allemagne; bachtet ; bewohnt, nach Pallas, die In- habite, suivant Pallas, Pile de Kadiak, si- sel Kadiak an der Nordwestküste tuée sur la côte occidentale de PAméri- Amerikas. que du Nord. ———— Turdus atrigularis. Schwarzkehlige Drossel. Merle à gorge notre. Gloger, Vôg. Europ., p. 182. — Turdus atrogularis, Temm., Man., 1, p. 169. — Turdus Bechsteinü, Naumann, Il, p. 310, n°. 69, Taf. 69, fig. 1. — Merula atrogularis, Ch. Bon., List, p: 17. — Turdus ruficollis Pallas, Zoogr., 1, p. 452, n°. 93, c. fig. ? — Gould, PI. 75. Sibirien, Nepaul, einzeln in Europa. La Sibérie, le Népaul, accidentelle- ment en Europe. Turdus torquatus. Bingdrossel. Merle à plastron. Linné, p. 296, n°. 23. — Merula torquata, Gessner, Av., p. 607. — Naumann, Taf. 70. — Gould, PI. 73. Europa, Egypten. | L'Europe , Égypte. Turdus merulu. Schwarzdrossel. Merle nor. Linné, p. 295, n°. 22. — Merula merula, Boie, Isis, 1826, p. 972. — Naumann, Taf. 71. — Gould, PI. 72. Europa. | L'Europe. Turdus Whitii. Whies Drossel. Merle de White. Eyton, Rarer Brit. Birds, p. 92. — Turdus varius, Pall, Loogr., p. 449, n°. 88. — Yarrell, Brit. Birds, 1, p. 184, e. XLIL fig. — Orcocmela Whitei, Gould, Proceed. Zool. Soc., 1837, p- 45. — Gould, PI. 81. Japan, Sibirien, zufällig in Europa. Le Japon, la Sibérie, accidentellement en Europe, Turdus varius (65). Bunte Drossel. Merle varié. Horsf., Linn. Trans., XIIT, p. 149; Zool. Res., Tab. s. num. — Yarrell, Brit. Birds, I, p. 186. ' Java, Australien, zufällig in Europa. Java, l'Australie, accidentellement en Europe. b. Steindrosseln. Merles de roche. Turdus saxatilis. (mremeine Sleindrossel. Merle de roche COMMUN. Linné, p. 294, n°. 14. — Petrocossyphus saxatilis, Boie, Isis, 1826, p. 972. — Naumann, Tab. 73. — Gould, PI. 86. Südliches Europa, Westasien , Nord- L'Europe méridionale, PAsie occiden- afrika. tale, l'Afrique septentrionale. Turdus cyaneus. Plaue Steindrossel. Merle de roche bleu. Linné, p. 296, n°. 24. — Naumann, Tab. 72. — Gould, PI. 87. Südliches Europa, Egypten. | L'Europe méridionale , PÉgypte. HALBDROSSELN. TURDOIDES. IXOS, HALBDROSSEL. TURDOIDE. XZxos obscurus. Dunlle Halbdrossel. Turdoide obscur. Temm., Man., III, p. 608. Andalusien , nordvwestliches Afrika, L’Andalusie, les parties occidentales du Nord de l'Afrique. XLIITI PIROLE. LORIOTS. ORIOLUS. PIROI. LORIOT, Oriolus galbula. (remeiner Pirol. Loriot ordinatre. Linné, Syst., XII, p. 160, n°. 1. — Naumann, Tab. 61. —- Gould, PI. 71. Europa, | L'Europe. WASSERSCHWATZER. CINCLES. CINCLUS (69). I1W7ASSERSCHIWATZER, CINCLE. Cinclus aquaticus (70). (memeiner Wasserschwätzer. Cincle plongeur. Bechst., Nat. Deutschl., LIT, p. 103. — Sturnus cinclus, Linné, Syst., XII, p. 290, n°. 5. — Merula aquatica, Brisson, V, p. 252, n°. 19. — Naumann, Tab. 91. — Gould, PI 83 et 84. Europa , westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. FLUHVOGEL. ACCENTEURS. ACCENTOKR. FLUHVOGEI. ACCENTEUR. Accentor alpinus. Alpen-Fluhvogel. Accenteur des Alpes. Bechst., Nat. Deutschl., III, p.700. — Motacilla alpina, Gmel. Linné , p.957, n°. 65. — Naumann, Tab. 92. — Gould, PI. 99. Schweïzer Alpen, Gebirge Italiens, Les Alpes suisses, les montagnes de England. PItalie, PAngleterre, AÆccentor montanellus. Bers-F luhvogel. Accenteur montagnard. Temm., Man, 1, p. 251. — Motacilla montanella, Pall., It, IT, app., n°. 12. — Naumann, Tab. 92. — Gould, PI. 101. Sibirien, nach Ostereich verirrt, | La Sibérie, observé en Autriche, XLIV Accentor modularis. Braunellen-Fluhvogel. Accenteur mouchet. Cuv., Règne an., I, p. 388. — Motacilla modularis, Linné, Syst., XII, p. 329, n°. 3. — Naumann, Tab. 92. — Gould, PI, 100. Europa. | L'Europe. ZAUNKONIGE. TROGLODYTES. TROGLODYTES. ZAUNHKONIG. TROGLODYTE. Troglodytes troglodytes (71). Gemeiner Zaunkünig. Trog- lodyte ordinaïre. Cuvier, Règne an., L, p.390. — Motacilla troglodytes, Linné, p. 337, n°. 46. — Naumann, Tab. 83. — Gould, PI. 130. Europe. | L'Europe. GOLDHAHNCHEN. ROITELETS. REGULUS. GOLDHANCHEN. ROITELET. Regulus cristatus. remeines Goldhühnchen. Rotteletl ordinaire. Willughby, Orn., p. 163. — Motacilla regulus, Linné, p. 338, n°. 48. — Naumann, Tab. 93. — Gould, PI. 148, fig. 1. Europa , Kleïnasien, Î L'Europe, l'Asie mineure. Regulus ignicapillus. Feuerküpfiges Goldhähnchen. Roitelet triple bandeau. Naumann, LI, p. 983, Tab. 93, fig. 4, 5, 6. — Sylvia igni- capilla, Brehm in Temm., Man, I, p. 231. — Regulus pyroce- phalus, Brehm, Beitr., Il, p. 130. — Naumann, Tab. 93. — Gould, PI. 148, fig. 2. Europa, | L'Europe. ne XEV Æiegutus modestus. Bastard Goldhähnchen. Roitelet bâtard. Gould, Birds of Europe, PI. 149. — Motacilla proregulus ; Pal- las, Zoogr., 1, p. 499, n°. 133. — Regulus proregulus, Keys. u. Blas., p. LV. Dalmatien, Daourien. | La Dalmatie, la Daourie. MEISEN. MÉSANGES. PARUS (72). MEISE. MÉSANGE. a, Eïigentliche Meisen. Mésanges proprement dites: Parus major, Kohlmeise. Mésange charbonnière. Linné, p. 341, n°.8. — Naumann, Tab. 94 — Gould , PI. 150, Europa, Sibirien. | L'Europe , la Sibérie. Parus lugubris (73). Trauermeise. Mésange lugubre. Natterer in Temm., Man., I, p. 293. — Michahelles in Sturm, Deutschland’s Fauna , 2 Heft, Tab. 1. — Gould, PI. 151, hool. Dalmatien, Umgegend von Triest, La Dalmat'e, les environs de Trieste, Ungarn. la Hongrie. Parus palustris. Sumpfmeise. Mésange nonnette. Linn., p. 341, n°. 8 — Naumann, Tab. 94. — Gould, PI, 155, fig. 2. Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie, Parus sibiricus. Sibirische Meise. Mésange de Stbérie. Gmel. Linn., p. 1013, n°. 24 — PI. enl 708, fig. & — Wright, Svensk. Fogl., Häft 26. — Nilsson Skandinav. Fauna, XLVI Fogl., 1, p.337. — Parus lugubris, Zetterst., Resa i Lappn. , 1, p. 249, Tab. 3. — Gould, PI. 151, fig. 2. Sibirien, Skandinavien., | La Sibérie, la Scandinavie, Parus ater. Tannenmeise. Mésange petite charbonnière. Linn., p. 341, n°. 7. — Naumann, Tab. 94. — Gould, PI. 155, fig. 1. Europa , Sibirien. Î L'Europe, la Sibérie, Parus cristatus. Haubenmeise. Mésange huppée. Lion. , p. 340, n°. 2. — Naumann, Tab. 34. — Gould, PI. 156. Gemässigtes Europa. | L'Europe tempérée, Parus coeruleus. blaumeise. Mésange bleue. Linn. , p. 341, n°. 5. — Naumann, Tab. 95, — Gould, PI. 154. Europa. | L'Europe, Parus cyaneus. Lasurmeise. Mésange azurée. Pallas, Nov. Come Petrop., XIV, p. 588. — Naumann, Tab. 95, fig. 3. — Gould, PI. 153. Sibirien, zufällig in Europa. | La Sibérie, accidentellement en Europe. b, Schwanzmeisen. Mésanges à longue queue. Parus caudatus. (remeine Schwanzmeise. Mésange à longue queue ordinaire. Linn., p. 842, n°. 11. — Mecistura caudata, Leach, Mus. Brit, et auct, angl. — Naumann, Tab. 95. — Gould, PI. 157, Europa, Sibirien, | L'Europe , la Sibérie, XLVIT €. Bartmeisen. Mésanges barbues, Parus biarmicus. Gemeine Barlmeise. Mésange barbue com- mune. Linn., p. 342, n°. 12. — Parus barbatus, Brisson, Orn. , II, p. 567, no. 12. — Calamophilus biarmicus, Leach, Mus. Brit. et auct. anglic. — Calamophilus barbatus, Keys. u. Blas., p. XLIIT. — Naumann, Taf. 96. — Gould , PI. 158. Europa. Ï L'Europe. d. Beutelmeisen. Mésanges-remiz. Parus pendulinus. (emeine Beutelmeise. Mésange - rémiz ordinaire. Linn., p. 342, n°. 13. — Aegithalus pendulmus, Boie, Isis, 1822, p. 556. — Naumann, Tab. 97. — PI. 159. Ostliches Europa, Sibirien, | L'Europe orientale, la Sibérie. BAUMLAUFER. GRIMPEREAUX. CERTHIA (74. BAUMLAUFER. GRIMPEREAU, Certhia fumiliaris. Gemeiner Baumlüufer. Grimpereau com- mur. Linn., Syst., XII, p. 184, n°. 1. — Naumann, Tab. 140. — Gould , PI. 237. Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. TICHODROMA, MAUERLAUFER. TICHODROME. Tichodroma muraria. (remeiner Mauerläufer. Tichodrome échelette. Iliger, Prodr., p. 211, — Certhia muraria, Linn., Syst,, XIT, XLVIII p. 184, n°. 2. — Tichodroma phoenicoptera, Temm., Man. , Î, p. 412 — Naumann, Tab. 141. — Gould, PI. 239. Gebirge dés südlichen Europa’s bis Les montagnes de l'Eürëpe méridio- Persien. nale jusqu’en Perse. SPECHTMEISEN. SITELLES. SITTA, SPECHTMEISE. SITELLE. Sitta europaea. (Wemeine Spechtmeise. Sitelle torchepot. Linn., Syst., XII, p. 177, n°. 1. — Naumann, Tab. 139. — Gould, PI. 234. Europa. | L'Europe. Sitta uralensis. Üralische Spechtmeise. Sitelle de l'Oural. Lichtenst. in Gloger, Handb., I, p. 377 et 378, (nota). — Sitta europaea var. Sibir., Pallas, Zoogr., 1, p. 546 et 547. — Sitta asiatica, Temm. in Gould, PI. 236. — Sitta sericea, Temm., Man. , III, p. 645. Sibirien bis zum Ural. | La Sibérie jusqu'a l'Oural. Sitta syriaca. Syrische Spechimeise. Sitelle de Syrie. Ehrenberg, Symb. phys., pag. 0. — Sitia Neumayeri, Mi: chahelles, Isis, 1830, p. 814. — Sitta rufescens, Temm. in Gould, PI, 235. — Sitta rupestris, Cantr. in Temm., Man., IIT, p. 287. — Ch. Bonap., Icon. d. Faun. ital., I, Tav. 26, fig. 2. Dalmatien , Syrien | La Dalmatie, la Syrie. XLIX SPECHTE. PICS. PICUS. SPECHT. PIC. a. Schwarzspechte. Pics noirs. Picus martius. Gemeiner Schwarzspecht. Pic noir ordinaire. Linn., p. 173, n°. 1. — Dryocopus Martius, Boie, Isis, 1826. p. 977. — Naumann, Taf. 131. — Gould, PI. 225. Gemässigtes und nürdliches Europa , L'Europe septentrionale et temperée, la Sibirien. Sibérie. b. Griünspechte. Pics verts. Picus ciridis. (memeiner Grünspecht. Pic vert ordinaire. Linn., p. 175, n°. 12. — Gecinus viridis, Boie, Isis, 1828, p- 316. — Naumann, Taf. 132. — Gould, PI. 226. Europa , westliches Sibirien. | L'Europe , la Sibérie occidentale. Picus canus. (Grauer Grünspecht. Pic vert cendré. Gmelin Linn., p. 434, n°. 45. — Naumann, Taf. 133. — Gould, PI. 227. Mittleres und ôstliches gemässigtes Eu- Les parties temperées de l'Europe orien- ropa , Sibirien. tale et centrale, la Sibérie. €. Buntspechte. Pics variés. Picus leuconotos. Weissrüchiger Buntspecht. Pic varié à dos blanc. Wolf u. Meyer, Naturgesch., Heft II, (mas. et fem.) — Picus leucotus, Bechst., Orn. Tasch., I, p.66, n°. 6, cum fig. — Gould, PI. 228. Ostliches Europa, Sibirien, l L'Europe orientale, la Sibérie. 4 Picus major. CGrosser Buntspecht. Pic varié épeiche. Linn., p.176, n°. 17. — Naumann, Taf. 134. — Gould, PI. 229. Europa, Sibirien. Î L'Europe, la Sibérie. Picus medius. Âililerer Buntspecht. Pic varié à tête rouge. Linn., p. 176, n°. 18. — Naumann, Taf. 136. — Gould, PI. 230. Europa. l L'Europe. Picus minor. Kleiner Buntspecht. Pic varié épeichette. Linn., p.176, n°. 19. — Naumann, Taf, 136. — Gould, PI, 231. Europa , Sibirien. | L'Europe , la Sibérie, d. Breizehige Spechte. Pics tridactyles, Picus tridactylus. (Gemeiner dreixehiger Specht. Pic tri- dactyle ordinaire. Linn., p. 177, n°. 21. — Apternus tridactylus, Swainson, in Rich. , Fauna Bor. Amer., Birds, p. 301. — Naumann, Taf. 137. — Gould, PI. 232. Gebirgswälder Mitteleuropa’s, nôrdli- Les forêts en montagne de l’Europe ches Europa, Sibirien. centrale, le nord de l’Europe, la Sibérie. WENDEHALSE. TORCOLS. WUNX. IWENDEHALS, TORCOL. Funx torquilla., (Gemeiner Wendehals. Torcol ordinaire. Linn., Syst., XII, p. 172, + 1. — Naumann, Taf. 138. — Gould, PI. 233. Europa, nôrdliches Asien. | L'Europe, l'Asie septentrionale, KUCKUCKE. COUCOUS. ŒUCULUS. HUCHUCH. COUCOU. a, Eigentliche Kuckucke. Coucoùs proprement dits. Cuculus canorus. (Gremeiner Kuckuck. Coucou gris. Linn., Syst., XII, p. 168, n°. 1. — Naumann, Taf. 127, 128, 129. — Gould, PI. 240. Europa, Afrika, nôrdliches Asien. [ L'Europe, Afrique, PAsie septentrionale, b, Strausskuckucke. Coucous à huppe. Cuculus glandarius. (Gemerner Slrausskuchkuck. Coucou à huppe ordinaire. Linn., Syst., XII, p.169, n°. 5. — Oxylophus glandarius, Ch. Bon., List, p. 40. — Naumann, Taf. 130. — Gould, PI. 241. Nordafrika, Syrien, zuweiïlen im süd- L'Afrique septentrionale, la Syrie, ac- lichen Europa. cidentellement en Europe. €. Brillenkuckucke. Coucous à lunettes. Cuculus americanus. Amerikanischer Brillenkuckuck. Cou- cou à lunettes d'Amérique. Linn., Syst., XII, p. 170, n°. 10. — Cuculus carolinianus, Catesby, I, p. 9, F. 9. — Wilson, PI. 28, fig. 1. — Cuculus cinerosus, Temm. Man., III, p. 277. — Erythrophrys americanus, Ch. Bon. List, p. 40. — Gould, PI. 242. Nordafrika, zufällig in Europa. L'Amérique du Nord, accidentellement en Europe, Tele UNIVERSITY Of LIT WIEDEHOPFE. HUPPES. UPUPA, WIEDEMOPF, HUPPE. Upupa epops. Europüischer Wiedehopf. Huppe d'Europe. Linn., Syst., XII, p. 183, n°. 1. — Naumann, Taf. 142. — Gould, PI. 238. Europa, nordwestliches Asien, Nord- | l’Europe, le nord de PAsie occiden- afrika. tale, l'Afrique septentrionale, EISVOGEL. MARTIN-PÉCHEURS. ALCEDO. ÆLISVOGEL. MARTIN-PÉCHEUR. Alcedo ispida. (memeiner Eïisvogel. Martin-pêcheur commun. Linn., p. 179, n°. 3. — Naumann, Taf. 144. — Gould, PI. 61. Europa, Asien, nôrdliches Afrika. | L'Europe, l'Asie,’ Afrique septentrionale. Ælcedo rudis. (reschäckter Eïisvogel. Martin-pécheur pre. Hasselquist, It., p. 248, n°. 22. — Linn., p. 18l, n°.12. — Ceryle rudis, Boie, Isis, 1828, p. 316. — Gould, PI. 62. Südôstliches Europa, Afrika. { Les parties chaudes de l'Europe orien- Ù tale, l'Afrique. BIENENFRESSER. GUÉPIERS. MEROPS. BIENENFRESSER. GUÉPIER. Merops apiaster. (emeiner Bienenfresser. Guépier vulgaire. Linn., p. 182, n°. 1. — Naumann, Taf. 143. — Gould, PI. 59. Südliches Europa, Egvpten. L'Europe méridionale , PÉgypte. LILI Merops persica, Südlicher Bienenfresser. (ruépier méridional. Pallas, It., IT, app. n°. 16. — Merops aegyptius, Forskal, Descr. an., Aves, p. 1, sp. 2. — Guépier Savigny, Levaill., Hist. Nat. Promerops etc., PI. 6 et PI. 6 bis. — Merops Savignyi, Swainson, Birds of West. Afr., II, p. 77, PI. 7 — Merops aegyptius, Ch. Bonap., Fauna Ital., Tav. 25, fig. 1. Nordafrika , kaspisches Meer, zuweilen L'Afrique septentrionale ; les bords de im südlichen Europa. la Mer Caspienne, accidentellement dans le midi de l'Europe. KRAHENARTIGE VOGEL. CORACES. CORVUS. HRANHE. CORBEAU. a. Eigentliche Krähen. Corbeaux proprement dits. Cortus corax. Rabe. Corbeau. Linn., p. 155, n°. 2, — Naumann, Taf. 53. — Gould, PI. 220. Europa , Sibirien, auf den Fär-Inseln l’Europe , la Sibérie; on observe sou- häufig eine weissgefleckte Abart: Corvus vent aux îles Fär une variété tapirée de varius, Brünnich , Orn. bor. , p. 8 , n°. 28; blanc du corbeau; c’est le Corvus varius, Corvus leucophaeus, Vieill., Galérie, 1, Brünnich, Orn. bor., p. 8, n°. 28, PI. 100. et Corvus leucophaeus, Vieillot., Gal., I, PI. 100. Cortus corone (74bis). Rabenkrähe. Corneille notre. Gmel., Latham, Index, I, p. 151, n°. 4. — Naumann, Tab. 53. — Gould, PI. 221. Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Cortus cornix. Mebelkrähe. Corneille mantelee. Linné, p. 156, n°. 5. — Naumann, Tab. 54. — Gould, PI. 222. Europa, Sibirien. fl L'Europe, la Sibérie. Cortus frugilegus, Saatkrühe. Freux. Linné, p. 156, n°. 4 — Corvus corone, Linné, Fauna suec., p. 29, n°. 86. — Naumann, Tab. 55. — Gould, PI. 224. Europa, westliches Sibirien, | L'Europe, la Sibérie occidentale. b, Dohlen. Choucas. Corrus monedula. (memeine Dohle. Choucas commun. Linné, p. 156, n°. 60. —- Monedula turrium, Brehm, Handb. , p. 172. — Naumann, Tab. 56. — Gould, PI. 223. Europa, Sibirien. - | L'Europe, la Sibérie. Cortus monedula nigra (75). Schwarze Dohle. Choucas noir. Gmel. Linn., p. 368, no. 6, à. — Monedula nigra; Sperma- legus s. frugilega, Frisch, Tab. 68. — Corvus spermologus, Vieillot, Nouv. Dict. Déterv., T. 8, p. 40. Südliches Frankreich, soll in Spanien | La France méridionale ; commun, à ce gemein seyn. | que lon dit, en Espagne. PICA. ELSTER, PIE. Pica taria. (Gemeine Elster. Pie commune. Gessner, Aves, fol. 965. — Corvus pica, Linné, p. 157, n°. 13. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 216. Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. LV Pica cyanea. Blaue Elster. Pie bleue. Wagler, Syst. Avium, sp. 6.— Corvus cyaneus, Pallas, It., IT, app-, p.694, n°. 7. — Gould, PI. 217. Spanien , Mongolei, Japan. | L'Espagne, la Mongolie, le Japon. CARYOCATACTES. NUSSHNACHER. CASSENOIX. Caryocatactes caryocatactes. Gemeiner Nussknacker. Casse- noix ordinaire. Cuv., Règne an., [, p. 423. — Corvus caryocatactes, Linné, p. 157, n°. 10. — Naumann, Tab. 58. — Gould, PI. 213. Gebirgsgesenden des gemässigten und Contrées montagneuses de la Sibérie et nôrdlichen Europas und Sibiriens. de l'Europe tempérée et septentrionale. GARRULUS. HMEHER. GEALT. a. KEigentliche Heher. Geais proprement dits. Garrulus glandarius. Mussheher. Gear glandivore. Cuv., Règne an., 1, p. 422. — Corvus glandarius, Linné, p- 156, n°. 7. — Naumann, Tab. 58. — Gould, PI. 215. Gemässigtes Europa. | L'Europe tempérée. Garrulus glandarius melanocephalus (76). Schwarzküpfizer Nussheher. Geai glandivore à calotte notre. Garrulus melanocephalus, Gené, Mém. Ac. Turin, XXXVIT, p. 298 LE Kaucasus, Syrien. | Le Caucase, la Syrie. L\VT b. Meisenheher. Geais imitateurs. Garrulus infaustus. (remeiner Meisenheher. Geai imilateur ordinaire. Boie, Reisein Norwegen, Append. — Corvus infaustus, Linné, Fauna suec., p. 32, n°. 93. — Dysornithia infausta, Swainson, Fauna Bor. Am., Birds, p. 495. — Gould, PI. 215. Nôrdliches Europa und Asien. | Le nord de l'Europe et de PAsie. PYRRHOCORAX. ALPENKRAHME. CHOCARD. Pyrrhocorax pyrrhocoraæxæ. (Gemeine Alpenkrähe. Chocard des Alpes. Cuvier, Règne an., I ,p. 379. — Corvus pyrrhocorax, Linné, p. 158, n°. 17. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI 218. Gebirge Südeuropa’s, | Les montagnes de l’Europe méridionale, FREGILUS. STEINHRAHE. CRAVE. Fregilus graculus. (remeine Sleinkrühe. Crave d'Europe. Cuv., Règne an., I, p. 458. — Corvus graculus, Linné, p. 158, n°. 18. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 219. Einige Felsenküsten Grossbritanniens, Les Alpes de la Suisse, du Caucase et Alpen, Kaukasus, sibirische Alpen. de la Sibérie; se trouve aussi sur plu- sieurs points des côtes rocailleuses de la Grande Bretagne. RACKEN. ROLLIERS. CORACIAS. RACHE. ROLLTER. Coracias garrula. Blaue Racke. Rollier vulgaire. Linné, Syst., XII, p. 159, n°. 1. — Naumann, Tab. 60. — Gould, PI. 60. Gemässigtes und südliches Europa, | L'Europe tempérée et méridionale , l’A- Nordafrika, westliches Sibirien. frique septentrionale, la Sibérie occiden- tale. LVII SEIDENSCHWANZE. JASEURS. BOMBYCILLA. SEIDENSCHWANZ. JASEUR. Bombycilla garrula. Gemeiner Seidenschwanz. Grand Jaseur. Vieill., Nouv. Dict., vol. 16, p. 523. — Bombycilla bohemica , Brisson, Orn., Il, p. 333, n°. 63. — Lanius garruius, Linné, Fauna suec., n°. 82. — Ampelis garrulus, Linné, Syst., XII, p- 297, no. 1. — Garrulus bohemicus, Gessner, Av., p. 703. — Bombycivora garrula, Temm.,Man., I, p. 124. — Bombyciphora poliocoelia, Meyer, Vôgel Liv. u. Esthl., p. 104. — Naumann, Tab. 59. — Gould, PI. 160. Nôrdliches Asien, in gewissen Jahren L’Asie septentrionale, de temps à auf dem Zuge in Europa. temps de passage en Europe. STAARE. ÉTOURNEAUX. STURNUS. STAAR, ÉTOURNEAU. Sturnus tulgaris. Bunler Staar. Etourneau vulgaire. 2 Linné , Syst., XII, p. 290, n°. 1. — Naumann, Tab.'62. — Gould, PI. 210. Europa, südwestliches Sibirien, Nord- L'Europe . les parties méridionales de la afrika. | Sibérie occidentale , le nord de PAfrique. Sturnus vulgaris unicolor. Eïinfarbiger Slaar. Etourneau unicolore. Sturnus unicolor, Marmora in Temm., Man., I, p. 133 et PI. col. 111. — Ch. Bon., Icon. d. Faun. ital., I, Tab. 33, fig. 1. — Gould, PI. 211. Sardinien, Algerien. | La Sardaigne, l'Algérie. LVIII PASTOR. VIEHVOGEL. MARTIN. Pastor roseus. Rosenfarbiger Viehvogel. Martin roselin. Temm., Man., I, p. 136. — Merula rosea, Aldrov., Orn., IT, p- 626. — Turdus roseus, Linné, Syst., XII, p. 294, n°. 15. — Pastor roseus, Temm., Man., I, p. 136. — Acridotheres roseus, Ranzani, Elem. Zool., IT, p. 177. — Ch. Bonap., Icon. Faun. ital., I, Tab. 32. —— Naumann, Tab. 63. — Gould, PI. 212. Südôstliches Europa, Afrika, westli- Les contrées chaudes de l’Europe orien- ches Asien. tale, l'Afrique, l'Asie occidentale. LERCHEN. ALOUETTES. ALAUDA. LERCHE. ALOUETTE. a. Bogenschnäblige Lerchen. Alouettes à bec en faux. Alauda bifasciata (77). Zwetbindige Lerche. Alouette double- bande. Gould, Birds of Europe, PI. 168. --- Certhilauda bifasciata , Ch. Bon., List, p. 37. Andalusien. | L'Andalousie, Alauda Dupontii (78). Duponts Lerche. Alouette Dupont. Vieill., Faune franc., p. 173, PL 76, fig. 2. — Roux, Orn. prov., I, p. 285, PL 186. — Werner, Atlas du Manuel, PI. Nordafrika ? zufällig im südlichen Eu- L'Afrique septentrionale ? accidentelle- LOpAe ment dans le midi de l’Europe. LixX Bb. Eigentliche Lerchen, Alouettes proprement dites. Alauda arvensis (79). Feldlerche. Alouettes des champs. Linné, p.287, n°. 1.— Naumann, Taf. 100.— Gould, PI. 166. Europa, Sibirien, Kleinasien, Ara- L'Europe , la Sibérie, l'Asie mineure, bien, Unteregypten. PArabie, la basse Égypte. Alauda cristata., Haubenlerche. Alouette cochevis. Linné, p. 288, n°. 6. — Naumann, Tab. 99. — Gould, PI. 165. Gemässigtes und südliches Europa, Si- L'Europe tempérée et méridionale, la birien, nordôstliches Afrika, Sibérie, les parties septentrionales de l'Afrique orientale. Alauda arboreau. Baumlerche. Alouette lulu. Linné, p. 287, n°. 3. — Naumann, Tab. 100. — Gould, PI. 167. Europa , Sibirien, Kleinasien, | L'Europe, la Sibérie, l'Asie mineure. Alauda brachydactyla (80). Kurzsehige Lerche. Alouette calandrelle. Leisler, Wetter. Ann., II, p. 357. — Melanocorypha arenaria, Ch. Bon., List., p. 38, n°. 256. — Naumann, Tab. 98. — Gould, PI. 163. , Südliches Europa, Egypten, Nubien, L'Europe méridionale, VÉgypte, la Abyssinien, Nubie, lP'Abyssinie, Lx {lauda isabellina. Isabellfarbige Lerche. Alouette isabelle. Temm., PI. col. 244, fig. 2. — Alauda deserti, Lichtenst., Ca- talog., 1823, p. 28, n°. 286. — Temm., Manuel, II, p- 637. Ober-Egypten, Griechenland. | La haute Égypte, la Grèce. Alauda alpestris (81). Berglerche. Alouette à hausse-col noër. Linné , p.289 , n°. 10. — Phileremos alpestris, Brehm, Handb., p- 313. — Naumann, Tab. 99. —— Gould, PI. 164. Nordôstliches Europa , nôrdliches Asien, Les parties orientales du nord de PEu- einzeln in Mittel-Europa. rope, l'Asie septentrionale, accidentel- lement dans lEurope centrale. c. Dickschnäblige Lerchen. Alouettes à bec gros. Alauda tatarica. Sleppenlerche. Alouelte nègre. Pallas, It., IT, app. n°. 15. — Alauda mutabilis, S. G. Gmel., Nov. Comm. .Petrop., XV, p. 479, Tab. 23, fig. 2 — Melano- corypha tatarica, Ch. Bon., List, p.38. — Gould, PI. 161. Südliches Russland, Tatarei. | La Russie méridionale, la Tatarie. Alauda calandra. Kalanderlerche. Alouette calandre. Linné, p. 288, n°. 9. — Melanocorypha calandra, Boie, Isis, 1828, p. 322. — Naumann, Tab. 98, — Gould, PI. 162. Südliches Europa, Kleinasien, Nord- Le midi de l'Europe, l’Asie mineure, afrika. l'Afrique septentrionale. Alauda sibirica. Sibirische Lerche. Alouette de Sibérte. Gmel. Linné, p. 799, n°. 31. — Alauda calandrae affinis, Pallas, It. app., n°. 15. — Alauda leucoptera, Pallas, Zoogr., 1, p.518, n°. 147, Tab. XXXIIL, fig. 2. Südliches Russland, Tatarei. | La Russie méridionale, la Tatarie. LXI FINKENARTIGE VÔOGEL. FRINGILLOÏDES. FRINGILLA, FINK. PINSOX. a. Eigentliche Finken. Pinsons proprement dits. Fringilla coelebs. Buchfink. Pinson ordinaire. Linné , p. 318, n°. 3. — Naumann, Tab. 118. — Gould , PI. 187. Europa, Sibirien, Nordafrika. | L'Europe, la Sibérie, l'Afrique septen- trionale, Fringilla montifringilla. Bergfink. Pinson de montagne. Linné, p. 318, n°. 4 — Naumann, Tab. 119. — Gould, PI. 188. Europa, Kleinasien , Sibirien. | L’Europe, l'Asie mineure, la Sibérie. b. Schneeñfinken. Pinsons de neige. Fringilla nivalis. Alpen-Schneefink. Pinson de neige des Alpes. Brisson, Orn., III, p. 162, Tab. 15, fig. 1. — Montifringilla mivalis, Brehm, Handb, p. 269. — Naumann, Tab. 117. — Gould, PI. 189. Schweïzer Alpen, Kaukasus. | Les Alpes Suisses, le Caucase. c. Grünlinge. Verdiers. Fringilla chloris. (emeiner Grünling. Verdier ordinaire. Illiger ,[Prodr., p. 222. — Loxia chloris, Linné, p. 304, n°. 27. — Chlorospiza chloris, Ch. Bon., List, p. 30. — Naumann, Tab. 120. — Gould , PI. 200. r Europa. Î L'Europe. LxXIS Fringilla incerta, Bastard-Grünline, Verdier batard. Risso, Hist. nat. de l'Eur. mér., III, p. 52, n°. 135. — Roux, Orn. prov., 1, Suppl. p. 378, PI. 78 bis (fem.). — Chlorospiza incerta, Ch. Bonap., List, p. 30, n°. 206; Fauna italica, I Tab. 38 (mas. et fem.). Südliches Frankreich. | La France méridionale. 2 d. Citronenfinken. Venturons. Fringilla citrinella. (emeiner Citronenfink. Venturon ordi- naire. Linné, p. 320, n°. 16. — Citrinella serinus, Ch. Bonap., List, p. 34 — Citrinella alpina, Ch. Bon. Cat., p. 48. — Naumann, Tab. 124. — Gould, PI. 198. Südliches Europa, Ï Le midi de l’Europe. e. Hänflinge. Linottes. Fringilla cannabina. Bluthünfling. Linotte vulgaire, Linné, p. 322, n°. 28. — Cannabina arbustorum, Brehm, Handb. , p. 277. — Naumann, Tab. 121. — Gould, PI. 191. Europa, Kleinasien, Abyssinien. | L’Europa , l'Asie mineure, lP'Abyssinie. Fringilla flavirostris (82). Berghünfling. Linotte de montagne. Linné ,; p. 322, n°. 371— Fringilla montium; Gmel. Linné, p« 917, n°. 68. — Naumann, Taf. 122. — Gould, PI. 192. Nürdliches Europa, im Winter im Le nord de PEurope, visite en hiver gemässigten u. südlichen Europa, PEurope tempérée et méridionale. LXIIT f. Leïinfinken, Siserins,. Fringilla linaria. Uremeiner Leinfink. Siserin ordinaire. Linné, p. 322, n°. 29. — Linaria rubra, Gessner, Aves, p. 591. — Naumann, Tab. 126. — Gould, PI. 194. Nôürdliches Europa und Asien, im Win- | Le nord de l'Europe et de l'Asie, vi- ter im gemässigten Europa. site en hiver l'Europe tempérée. Fringilla canescens (3). Grauer Leinfink. Siserin grisätre. De Selys Longchamps, Faune belge, I, p. 73. — Linaria ca- nescens, Gould, PI. 193. Nôrdlichstes Amerika, Japan, im Win- L'Amérique du nord, le Japon, en hi- ter zufällig in Europa. ver accidentellement en Europe. g. Distelfinken. Chardonnerets. Fringilla carduelis. Gemeiner Distelfink. Chardonneret ordi- naire. Linné, p. 318, n°. 7. Carduelis nôbilis, Albert., Magn., De anim., Lib. XXIIT, fol. 187. — Naumann, Tab. 124. — Gould, PI. 196. Europa, westliches Sibirien , Kleinasien. L'Europe , la Sibérie occidentale, l'Asie mineure. h. Zeisige. Tarins. Fringilla spinus. Erlenseisig. Tarin commun. Linné, p.322, n°. 25. — Chrysomitris spinus, Boie, Isis, 1828, p. 322. — Naumann, Tab. 125. — Gould, PI. 197. Europa. | L'Europe, LXIV PASSER. SPERLING. MOFINEAU. Passer domesticus. Haussperling. Moineau domestique. Gessner, Av., p. 643. — Fringilla domestica, Linné, p. 323, n°. 36. — Naumann, Tab. 115. — Gould, PI. 184, fig. 1. Gemässigtes und nôrdliches Europa. | L'Europe tempérée et septentrionale. Passer domesticus cisalpinus. Ilaliänischer Haussperling. Moineau cisalpin. Fringilla cisalpina , Temm., Man., I, p. 351. — Fringilla Ita- liae, Vieill., Nouv. Dict. Deterv., XII, p. 199; Galer., I, PL 63, p. 76. — Gould, PI. 184, fig. 2. Italien, Kärnthen. | L'Italie, la Carinthie, Passer salicarius. Schwarzsbrüstiger Sperling. Moineau à poitrine notre. Passer domesticus salicarius, Keys. u. Blas., p. XL. — Fringilla hispaniolensis, Temm., Man., I, p. 353. — Gould , PI. 185, fig. 1. Inseln und Küsten des Mittelmeeres, Les iles et les côtes de la Méditerranée, Nordafrika, Buchareiï. l'Afrique septentrionale, la Boukharie. Passer montanus (63 bis). Feldsperling. Moineau friquet. Aldrov. Orn., p. 560. — Fringilla montana, Linné, p. 324, n°. 37. — Naumann, Tab. 116. — Gould, PI 184, fig. 2. Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, l'Asie tempérée. LXV Passer petronia, Slernsperling. Moineau soulcie. Fringilla petronia, Linné, p. 322, n°. 30. — Petronia marina, Willughby, Orn., p. 195. — Naumann, Tab. 116. — Gould, PI. 186. Südliches Europa. | L'Europe méridionale. Passer pusillus (54). Alpensperling. Moineau des Alpes. Pallas, Zoogr., IT, p. 28, n°. 196, c. fig. Kaukasus. | Le Caucase. COCCOTHRAUSTES., HERNBEISSER. GROS-BEC. a. Eigentliche Kernbeiïisser. Gros-becs proprement dits. Coccothraustes vulgaris. (memeiner Kernbeisser. (ros-bec COMMUN« Pallas, Zoogr., II, p. 12, n°. 182. — Loxia coccothraustes, Linné, p. 299, n°. 2. — Naumann, Tab. 114. — Gould, PI. 199. Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. b. Finken-Kernbeiïisser. Gros-becs pinsons. Coccothraustes caucasicus (85). Alpenkernbeisser. Gros- bec des Alpes. Pallas, Zoogr., IL, p. 13, n°. 183. — Loxia rubicilla, Gül- denst., Nov. Comm. Petr., XIX, p. 464, n°. 1, Tab. 12. Kaukasus. | Le Caucase, EXVI PYRRHULA. SIMPEEI BOUVREUTLT. a. Eigentliche Gimpel. Bouvreuils proprement dits. Pyrrhula vulguris (86). Gemeiner (rimpel. Bouvreuil commun. Temm., Man., I, p. 338. — Loxia pyrrhula, Linné, p. 300, no. 4. — Naumann, Tab. 111. — Gould, PI. 209. Europa, Sibirien. | L'Europe , la Sibérie. Bb. Grüngimpel. Serins. Pyrrhula serinus. (Gemeiner Grüngimpel. Serin ciné. Keys. u. Blas., p. XLI. — Fringilla serinus, Linné, p. 320, n°. 17. — Serinus meridionalis, Brehm, Handb., p. 255. — Nau- mann, Taf. 123. — Gould, Pi. 195. Südliches Europa, Nordafrika. Le midi de l'Europe, l’Afrique sep- tentrionale, Pyrrhula serinus islandica (87). Islündischer Grüngimpel. Serin d'Islande. Fringilla islandica, Faber, Isis, 1826, p. 1053. — Loxia seri- nus, Faber, Prodromus d.isl. Orn, p. 14; Isis 1824, p. 792, n°. 1. Island. | L'Islande. €. KRosengimpel. Bouvreuils-rose. Pyrrhula githaginea (88). Egyptischer Rosengimpel. Bou- vreuil-rose githagine. Temm. , PI. col. 400, fig. Let 2. — Fringilla githaginea, Licht., Catal., p. 24, n°. 242. 2 Erythrospiza githaginea, Ch. Bonap., Osserv. Règne an., p. 80, sp. 3; Fauna italica, EF, Tav. 35, fig. 3. — Gould, PI. 208. Egypten, Nubien, einzeln im südlichen L'Égvpte, la Nubie, en petit nombre Europa. dans l’Europe méridionale. EXVIE Pyrrhula erythrina. Brand-Rosengimpel. Bouvreuil -rose cramotste Temm., Man., 1, p. 336. — Loxia erythrina, Pallas, Nov. Comment. Petrop., XIV, p. 587. — Erythrothorax rubrifrons, Brehm, Handb., p. 249. — Naumann, Tab. 113. — Gould, PI. 206. Ostliches Europa, Sibirien. | L'Europe orientale, la Sibérie. Pyrrhula rosea. Sibirischer Rosengémpel. Bouvreuil-rose Pallas. Temm., Man., Ï, p. 335. — Fringilla rosea, Pallas, It., TT, app, n°. 26. — Naumann, Tab. 113. — Gould, PI. 207. Ostliches Sibirien, einzeln in Ungarn Les parties orientales de la Sibérie, und Ostreich beobachtet. observé en Hongrie et en Autriche. d, Hackengimpel. Dur-becs. Pyrrhula enucleator. (Gemeiner Hackengimpel. Dur - bec vulgaire. Temm., Man., I, p. 333. — Loxia enucleator, Linn., p. 299, n°. 3. — Corythus enucleator, Cuv., Règne an., I, p. 415. — Naumann, Tab. 112. — Gould, PI. 204. Norden beider Welten. | Les régions septentrionales des deux mondes. LOXIA. HREUZSCHNABELI. BEC-CROISÉ. Loxia pytiopsittacus. Kiefernkreuzschnabel. Bec - croisé perroquet. Bechst., Orn. Taschenb., I, p. 106. — Naumann, Tab. 109. — Gould , PI. 201. Nôrdliches und gemässigtes Europa. | L'Europe septentrionale et tempérée. LXVIIT Loxia curvirostra. Fichtenkreuzschnabel. Bec- croisé des pins. Linné, p. 299, n°. 1. — Naumann, Tab. 110. — Gould, PI. 202. Gemässigtes und nôrdliches Europa. L'Europe seplentrionale et tempérée, le nord de l'Asie. Loxia bifascata (89). Zwerïbindiger Kreuzschnabel. Bec-croisé double bande. De Selys Longchamps, Faune belge, p. 76, n°. 68, PI. IV, fig. 2. — Crucirostra bifasciata, Brehm, Isis, 1827, p. 820; Or- mis, [IT, p. 85. — Loxia taenioptera, Gloger, Isis, 1828, p. 441; Handbuch, p. 354, n°. 1, (ex parte). — Loxia leucoptera, Nils- son, Skand. Fauna, Fogl., I, p. 440, n°. 3, (part.); Illum., Fig. PI. 20. Im Winter, auf dem Zuge, in vielen Observé en hiver, lors de l’époque de la Gegenden Europa’s beobachtet; bewobnt migration, dans plusieurs parties de l'Euro- wahrscheinlich das nôrdlichste Asien. pe; habite probablement l'Asie arctique, AMMER. BRUANTS. EMBERIZA (90). AMMER. BRUANT. Emberiza citrinella. (Goldammer. Bruant jaune. Linné, p. 309, no. 5. — Naumann, Tab. 102. — Gould, PI. 173. Europa. | L'Europe. Emberiza cirlus. Zaunammer. Bruant de hate. Linné, p.311, n°. 12. — Naumann, Tab. 102. — Gould, PI. 175. Südliches und gemässigtes Europa, L'Europe méridionale et tempérée, Kleinasien. l'Asie mineure, LXEX Emberisa chrysophrys (91). Gelbbrauiger Ammer. Bruant à sourcils jaunes. Pallas, It, I app., n°. 25; Zoopr., IT, p. 46, n°.:210$ c. fig. — De Selys Longchamps, Faune belge, I, p.81, n°. 77, EL 4, fig. T. Daourien, zufällig in Europa. | La Daourie , accidentellement en Europe. Emberiza hortuluna. Orlolan-Ammer. Bruant ortolan. Linné, p. 309, n°. 4. — Naumann, Tab. 103. — Gould, PI. 176. Gemässigtes und südliches Europa , west- L'Europe tempérée et méridionale, la liches Sibirien, Kleinasien. Sibérie occidentale, PAsie mineure. Emberisa caesia. Grauhôpfiger Ammer. Bruant cendrillard. Emberiza caesia , Mus. Francof., Cretzschmar in Rüppell, Atlas, Meet pol Tab. "10" B: — Roux, Orn., PI. 112 :bis. — Gould, PI. 181. Südliches Europa, Egypten. | Le midi de l'Europe, l'Égypte. Emberisa cia. Zippammer. Bruant fou. Linné , p. 301 , n°. 11. — Naumann., Tab. 104. — Gould, PI. 179. Südliches Europa. | Le midi de l'Europe. Emberiza striolata. (Gestreifter Ammer. Bruant striolé. Emberiza striolata, Mus. Francof. , Cretzschm. in Rüppell, Reise, Atlas, p. 15, Tab. 10 A. Nordafrika, Andalusien, zufällig in Mitteleuropa. L'Afrique septentrionale, PAndalousie, accidentellement dans PEurope centrale. LXX ÆEmberiza pithyornus. Fichlenammer. Bruant à couronne lactée. Pallas, It., IL, app., n°. 22. — Naumann, Tab. 104. — Gould, PI. 180. Sibirien , zufällig im ôstlichen Europa. La Sibérie, accidentellement dans l’Eue rope occidentale, ÆEmberisa aureola (92). Kragenammer. Bruant auréole. Pallas, It., Il, app., no. 23. Kaltes Sibirien vom Ural bis Kamt- | Les régions froides de la Sibérie de- schatka. puis POural jusqu’au Camtchatka. ÆEmberiza schoeniclus. Rohrammer. Bruant des roseaux. Linné, p. 311, no. 17. — Naumann, Tab. 105. — Gould , PI. 183. Europa, warmes Sibirien. L'Europe, les régions chaudes de la Sibérie, Emberisa palustris. Sumpfammer. Bruant des maraïs. Savi, Orn. Tosc., II, p. 91, et IIT p. 225. — Emberiza pyrrhu- loides , Pallas, Zoogr., II , p. 49, n°. 212. — Emb. caspia, Mén., Catal., p. 41, n°. 101. — Ch. Bonap., Fauna ital., [, Tab. 34. — Gould, PI. 184. Südliches Europa. | Le midi de l’Europe. Emberiza fucata (93). Grossfleckiger Ammer. Bruant peint. Pallas, It., app. n°. 22; Zoogr., Il, p. 41, n°. 205, c. fig. — Le Gavoué de Provence, Buffon, PI enl., 656, 1; LXXI Hist. nat. d. Ois., IV, p. 321. — Emberiza provincialis, Gmel., Linné, I, p. 881, n°. 59. — Emberiza lesbia, Temm., Man., IL, p.235. — Emberiza lesbia, Gould, PI. 178. — Emberiza Du- razzi, Ch. Bonap., Fauna Iital., 1, Tav. 35, fig. 2. Daourien, Japan, einzeln im südli- | La Daourie, le Japon, en petit nom- chen Frankreich. bre dans le midi de la France. Emberiza rustica. Feldammer. Bruant rustique. Pallas, It., EL, app., n°. 2h; Zoogr., II, p. 43, n°. 207, c. Tab. — Le Mitilène de Provence, Buffon, PI. enl. 656, 2; Hist. nat.d. Ois., IV, p. 322. — Emberiza lesbia , Gmel. Linné, I, p.882, n°. 60. — Emberiza borealis, Zetterst., Resa i Lappm., I, p. 107. — Emperiza lesbia, Temm., Man., I, p. 317; Calvi, Catal. d. Ornit. di Genova, p. 46; Savi, Orn. Tosc, INT, p.223. — Emberiza rustica, Temm.,Man., IIT, p. 229. — Emberiza Durazzi, Ch. Bonap., Fauna Ital., I, Tab. 35, fig. L (?). — Gould, PE 47: Ostliches Sibirien, Kamtschatka, Ja- | La Sibérie orientale, le Camtchatka, pan, zufällig in Europa. le Japon, accidentellement en Europe. Emberisa pusilla (94). Zwergammer. Bruant nain. Pallas, It., IIT, app. , n°. 20; Zoogr., II, p. 42, n°. 206. Daourien , zufällig in Europa. | La Daourie , accidentellement en Europe, Emberiza miliaria. (Grauammer. Bruant proyer. Linné , p. 308, n°. 3. — Naumann, T. 101. — Gould, PI. 171. — Cynchramus miliaria, Ch. Bon., List, p. 35. Europa , Kleinasien, Arabien. | L'Europe, lAsie mineure, l'Arabie. LXXII Emberiza melanocephala. Schwarzküpfiger Ammer. Bruant crocole. Scopoli, Ann.,T,p. 142, n°. 208.— Tanagra melanictera , Gül- denst., Nov. Comm. Petr., XIX , p. 466. — Xanthornus caucasicus, Pallas, Zoogr., I, p. 428, n°. 74. — Euspiza melanocephala, Ch. Bonap., List, p. 32. — Emberiza granativora, Mén., Catal., I, p. 40, n°. 99. — Naumann, Tab. 101. — Gould, PI. 172. Südôstliches Europa, Kleinasien. Les parties chaudes de l’Europe orien- tale, lPAsie mineure, PLECTROPHANES. SPORNAMMER, PLECTROPIHANE. Plectrophanes nivalis. Schnee-Spornammer. Plectrophane de neige. Meyer, Taschenb., I, p. 187. — Emberiza nivalis, Linné, p. 308, n°. 1. — Naumann, Tab. 106 et 107. Gould, PI. 170. Arküscher Kreis, besucht im Winter Le cercle arctique, visite en hiver l'Eu- das gemässigte Europa. rope tempérée. Plectrophanes calcaratus. Lerchen-Spornammer. Plectro- phane montain. Meyer, Taschenb., TT, p. 57. — Fringilla lapponica, Linné, p- 517, n°. 1. — Fringilla calcarata, Pallas, It., Il, app., n°. 20. — Emberiza calcarata, Temm., Man., I, p. 322. — Nau- mann, Tab. 108. — Gould, PI. 169. Arktischer Kreis, im Winter in gemäs- Le cercle arctique, visite en hiver les sigteren Strichen. -| régions tempérées de l'Europe. LXXIIT HUANERARTIGE VÜGEL, GALLINACÉS, TAUBENARTIGE VOGEL. COLOMBES. COLUMBA., TAUBE. PIGEONX. a. Eigentliche Tauben. Colombes. Columba palumbus, Ringeltaube. Colombe ramier. Linné, p. 282, n°. 19. — Naumann, Tab. 149. — Gould, PI. 243. Europa, einzeln in Sibirien, im Win- L'Europe, rare en Sibérie, visite en ter in Nordafrika. hiver l'Afrique septentrionale, Columba oenas. Holztaube. Colombe colombin. Gmel. Linné, p.769, no.2. — Naumann, Tab.151. — Gould, PI. 244. Europa, westliches Sibirien, im Win- L'Europe, la Sibérie occidentale, visite ter in Nordafrika. en hiver le nord de PAfrique. Columba livia. Feldtaube. Colombe biset. Brisson, Orn., 1, p. 82, n°. 3. — Naumann, Tab. 150. — Gould, PI. 245. Felsige Küsten Südeuropa’s, Eng- Les côtes rocailleuses de l'Angleterre, lands und des südlichen Norwegens ; Ufer de la Norwége méridionale et du midi de des Kaspischen Meeres, Daourien , Nord- PEurope ; les bords de la mer caspienne , afrika, la Daourie, lPAfrique septentrionale, LXXIV b, Turteltauben. Tourterelles, Columba turtur. (emeine Turlellaube. Tourterelle ordinarre. Linné, p. 284, n°. 32. — Turtur auritus, Ray, Av., p- 61, n°. 2. — Naumann, Taf. 152. — Gould, PI. 246. Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. Columba aegyptiaca (95). Aegyptische Turteltaube. Tourte- , relle d'Egypte. Latham, nd. Orn., Il, p. 607, n°. 49. — Temm., Pig. et Gall., in 8°, 1, p. 370 et 461. — Columba cambayensis, Temm., Pig. in fol., p. 100, PL 45.; Descr. de l'Égypte, Vol. XXIII, PL 5, fig. 9. — Columba maculicollis, Wagler, Syst. Avium, Co- lumba n°. 97. Griechenland, Türkei, Kleinasien, La Grèce, la Turquie, PAsie mineu- Aegypten. re l'Égypte. c. Wandertauben. Pigeons voyageurs. Columba migratoria. (emeine Wandertaube. Pigeon voya- geur commun. Linné, p. 285, n°. 36. — Ectopistes migratoria, Swainson, Fauna bor.-am., Birds, p. 363. — Wilson, PI. 44, fig. 1. — Audubon, PI. 62. Nordamerika, zufällig in Europa, L'Amérique du nord, accidentellement en Europe. EIGENTLICHE HUUNERVOGEL. GALLINACÉS PROPREMENT DITS. PHASIANUS. FASAN. FAISAKN:. Phasianus colchicus (96). Gemeriner Fasan. Faisan commun. Linné, p. 271, n°. 3 — Naumann, Tab. 162. — Gould, PL1247 Ufer des Kaspischen Meeres. | Bords de la mer caspienne. LXXV TETRAO. WALDHUNN. TÉTRAS. a. Eigentliche Waldhühner, Tetrao urogallus. Auer-Waldhuhn. Tétras auerhan. Linné, p. 273,n°.1. — Naumann, Tab. 154 et 155. — Gould, PI. 248. Gemässigtes und nôrdliches Europa, L'Europe septentrionale et tempérée, Sibirien. la Sibérie. Tetrao tetrix. Biri-Waldhuhn. Tétras birkhan. Linné, p. 274, n°. 2. — Lyrurus tetrix, Swains., in Fauna bor. amer., p. 497. — Naumann, Tab. 157. — Gould, PI 250. Gemässigtes und nürdliches Europa, L’Europa septentrionale et tempérée, Sibirien. la Sibérie, b. Maselhühner. Gélinottes. Tetrao bonasia. (Gemeines Haselhuhn. Gélinotte commune. Linné, p. 275, no. 9. — Bonasia sylvestris, Brehm, Vôgel Deutschl., p. 513. — Naumann, Tab. 158. — Gould, PI. 251. Gemässigtes und nürdliches Europa, L'Europe tempérée et septentrionale , Sibirien. la Sibérie, c. Schnechühner, Lagopèédes. Tetrao saliceti (97). Morast-Schneehuhn. Lagopède des saules. Temm., Man., IT, p. 471. — Tetrao albus, Gmel. Linné, p. 750, n°. 23. — Lagopus albus, Ch. Bonap., List, p. 44. — Naumann, Tab. 159. — Gould, PI. 255. Nordôstliches Europa, nôrdliches Asien, Les régions froides de l’Europe orien- nôrdliches Amerika. tale, le nord de l'Asie, l'Amérique sep- tentrionale. LXXVI Tetruo saliceti scoticus (98). Schottisches Morast-Schneehuhn. Lagopède des saules d'Ecosse. Tetrao scoticus, Latham , Ind. Orn., p. 641, n°.15. — Gould, p.252. Schottland, England. | L'Écosse, PAngleterre. Tetrao lagopus (99). Felsen-Schneehuhn. Lagopède ptar-, mIgz an. Temm, Man., II, p. 468. — Naumann, Tab. 161 et 162. — Gould, PI. 253 et 254. Alpen, Gebirge Skandinaviens und | Les Alpes, les montagnes de la Scandina- Schottlands, Nordamerika. vie et de l'Écosse; l'Amérique du nord. Tetrao lagopus islandicus (100). Zs/ändisches Felsen-Schnee- huhn. Lagopède ptarmigan d'Islande. Tetrao islandorum, Faber, Prodr., p. 6, n°. 1. — Tetrao 1is- landicus, Brehm, Lehrb., p. 440. Island. | l'Islande. TETRAOGALLUS. ALPENHUMN. TETRAOGALLE. Tetraogallus caucasicus (101). Kaukasisches Alpenhuhn. Tetraogalle du Caucase. Tetrao caucasicus, Pallas, Zoogr., IT, p. 76, n°. 225, c. Tab. Kaukasus. | Le Caucase. LXXVII PERDIX. FELDHUMN. PERDRIX, a. Spornfeldhuhner. Francolins. Perdix francolinus. (remeines Spornfeldhuhn. Francolin à collier roux. Latham, Ind., II, p. 644, n°. 6. — Tetrao francolinus, Linné, p. 275, n°. 10. — Francolinus, Gessner, 228; Brisson, I, p. 245, n°. 13. — Francolinus francolhinus, Cuv., Règne an., TI, p. 484 — Gould, PI. 259. Sicilien, Malta, Griechischer Archi- La Sicile, l'ile de Malthe, l’Archipel pel, Nordafrika , warmes westliches Asien. de la Grèce, le nord de l'Afrique, les régions chaudes de l'Asie occidentale. b, KRothhuhner. Bartavelles. Perdix rubra. (Gemeines Rothhuhn. Bartavelle rouge. Brisson, Orn., I, p. 236, n°. 10. — Tetrao rufus, Linné, p. 276, n°. 12. — Naumann, Tab. 165. — Gould, PI. 260. Spanien, Frankreich, Italien. | L'Espagne, la France, l'Italie. Perdix graeca. Slein-Rothhuhn. Bartavelle grecque. Brisson, Orn., I, p. 241, no. 12. — Perdix saxatilis, Meyer u. Wolf, Taschenb., I, p. 305. — Naumann, Tab. 164 — Gould, PI. 261, fig. 2. Südliches Europa, warmes westliches Le midi de PEurope, les parties chau- Asien. des de PAsie occidentale. Perdix petrosa. Klippen-Rothhuhn. Bartavelle gambra. Lath., Ind., IT, p. 468, no. 14. — Gould, PI. 261, fig. 1. Spanien, Sardinien, Sicilien, Cala- L'Espagne, la Sardaigne, la Sicile, la brien, Nordrand Afrikas. Calabre, l'Afrique septentrionale, EXXX Otis HMouabara. Kragentrappe. Outarde houabara. Gmel. Linné , p. 725, n°. 6. — Naumann, Tab. 170. — Gould, PI. 268. Nordafrika, Arabien, zufällig in Europa. L'Afrique septentrionale, l’Arabie, ac- cidentellement en Europe. RENNVOGEL. COURES-VITE. CURSORIUS. LAUFER. COURE-VITE. Cursorius europaeus. Isabellfarbiger Läufer. Coure-vite isabelle. Latham, Ind., II, p. 751, n°. 1. — Cursorius isabellinus, Meyer und Wolf, Taschenbuch, IT, p. 328. — Naumann, Tab. 171. — Gould: PI 266. Nordafrika, Arabien; zufällig im süd- L'Afrique septentrionale, l'Arabie; ac- lichen und gemässigten Europa. cidentellement dans l'Europe méridionale et centrale. BRACHSCHWALPBEN. GLARÉOLES. GLAREOLA. BRACHSCHIWALBE. GLARÉOLE. Glareola pratincola. (memeine Brachschwalbe. Glaréole pratincole. Leach, Linn. Trans., vol. XIII, 1822, p. 131, PL 13. — Hirundo pratincola, Linné, Syst., XII, p. 345, n°. 12. — Pra- tincola, Kramer, Elench., p. 381, Tab. 1. — Glareola, Brisson, Orn., V, p. 141. — Glareola austlriaca , Gmelin Linné, p. 695, n°. 1. — Naumann, Tab. 234 — Gould, PI. 265. Südôstliches Europa, Nordafrika bis Les parties chaudes de lPEurope occi- zum Senegal. dentale, l'Afrique septentrionale jusqu’au Sénégal. LXXXI Glareola Pallasii (105). Pallasische Brachschwalbe. Glaréole de Pallas. Bruch in Mus. Mogunt. — Glareola pratincola, Pallas, Zoogr., Il, p. 150, n°. 269 (exl. syn.). Wüsten der Tatarei von der Wolga bis Déserts de la Tatarie, depuis le Wol- zum frtisch; auch in Griechenland er- ga jusqu’à Prtisch ; observé en Grèce. legt. REGENPFEIFER. PLUVIERS. OEDICNEMUS. TRIEI. OEDICNÈME Oedicnemus crepitans. (remeiner Triel. Oedicnème criard. Temm., Man., II, p. 521. — Charadrius oedicnemus, Linné, Syst., XII, p. 255, no. 10. — Naumann, 172. — Gould, PI. 288. Südliches und gemässigtes Europa, Les parties tempérées et chaudes de Nordafrika, westliches Asien. PEurope, PAsie occidentale, le nord de | PAfrique. CHARADRIUS. REGENPFEIFER. PLUVIER. a. Gold-Regenpfeifer. Pluviers dorés. Charadrius pluvialis. (emeiner (Goldrezenpfeifer. Pluvier doré commun. Linné, p. 254, n°. 7. — Charadrius apricarius, ibid., p. 254, n°. 6. — Charadrius auratus, Suckow, Naturg., IL, p. 1592. — Pluvialis viridis, Willughb., Orn., p. 229. — Naumann, Tab. 173. — Gould, PI. 294. Europa, Asien, Nordafrika. L'Europe, PAsie, l'Afrique septentrio- nale. 6 LXXXII b. Morinell-Regenpfeifer. Guignards. Charadrius morinellus, (remeiner Morinell - Regenpfeifer. Gruignard ordinaire. Linné, S., XII, p. 254, n°. 5. — Morinellus, Gessner, Aves, p+ 615. — Eudromias morinellus, auct. recent. — Naumann, Tab. 174. — Gould, PI. 295. Nôrdliches Europa und Asien. Im Win- Le nord de l'Europe et de l’Asie. En ter, im gemässigten und südlichen Europa. hiver, dans l’Europe centrale et tempérée. Charadrius asiaticus. Asiatischer Morinell- Regenpfeifer. Gruignard asiatique. Pallas, It., 11, app., n°. 32. — Charadrius caspius, Pallas, Loogr., IT, p.136, no. 258, c. fig. — Ch. jugularis, Wagler, Syst., Char. no. 39. Kaspisches Meer, Tatarei, Vorgebirge La mer caspienne, la Tatarie, le Cap der guten Hoffnung. : de Bonne Espérance. c. Eïigentliche Regenpfeifer. Pluviers proprement dits. Charadrius pyrrhothoraæx (106). Kragen-Resenpfeifer. Plu- vier à collier roux. Temm., Man., IV, p. 355. — Gould, PI. 299. Warmes Asien bis auf die Inseln Hin- | Les parties chaudes de l'Asie jusque terindiens ; in Russland beobachtet. dans PArchipel des Indes; tué en Rus- sie, Charadrius cantianus, Weissslirniger Resenpfeifer. Pluvier a collier interrompu. Latham, Ind., Suppl, II, p.66. — Charadrius albifrons, Meyer und Wolf, Taschenbuch, II, p. 323, n°. 5. — Aegialites can- LXXXIIE tianus, Boie, Isis, 1822, p. 774 — Naumann, Tab. 176. — Gould, PI. 298. Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Charadrius hiaticula. Buntschnäübliger Regenpfeifer. Grand pluvier à collier. Linné, S., XII, p. 253, n°. 1. — Naumann, Tab. 175. — Gould, PI. 296. Europa, Nordafrika. ] L'Europe, l'Afrique septentrionale. Charadrius minor. Kleiner Regenpfeifer. Petit pluvier à collier. Meyer und Wolf, Taschenb., IT, p. 324 — Charadrius curo- nicus, Besecke, Vôügel Curlands, p. 66, n°. 134. — Charadrius fluviatilis, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 422. Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. VANELLUS., HIEBIETZ, VANNEAU. a. KEigentliche Kiebietze. Vanneaux proprement dits. Vanellus cristatus. (memeiner Kiebietz. Vanneau huppé. Meyer und Wolf, Vügel Deutschl., Band I, Heft 10, c. Tab. — Tringa vanellus, Linné, Syst., XII, p. 248, n°. 2. — Naumann, Tab. 179. — Gould, PI. 291. Europa , Sibirien, Nordafrika. | L'Europe, la Sibérie, PAfrique septen- trionale. b. Regenpfeiferkiebietze. Vanneaux-pluviers. Vanellus gregarius. (reselliger Resgenpfeiferkiebietz. Vanneau- pluvier social. Vieillot, Tabl. enc., Orn., III, p. 1078, no. 11. — Charadrius LXXXIV gregarius, Pallas, It., [, app., n°. 9. — Tringa Keptuschka, Lepechin, Tageb., I, p. 229. — Vanellus Keptuschka » Temm., Man., III, p. 360; Ch. Bonap., Icon. Faun. Ital., Tav. 41. — Gould, PI. 292. Südliches Sibirien, südliches Russland, Les parties chaudes de la Russie et de zufällig im übrigen südlichen Europa. la Sibérie, accidentellement dans le midi de l'Europe. c. Spornkiebietze. Pluviers armés. Charadrius spinosus. Gemeiner Spornkiebietz. Pluvier armé commun. Hasselquist, It., p. 260. — Linné, Syst, XII, p.256, no. 12. — Hoplopterus spinosus, Ch. Bon., List, p. 46. — Gould, PI. 298. Südôstliches Europa; warmes, westli- | Les parties chaudes de l'Europe orien- ches Asien; Nordafrika. tale et de PAsie occidentale, le nord de l'Afrique. d. Goldkiebietze. Vanneaux dorés. Vanellus squatarola, (GMemeriner Goldkiebietz. Vanneau doré ordinaire. Tringa squatarola, Gmel. Linn., p. 682, n°. 23. — Vanellus griseus et helveticus, Brisson, Orn., V, p. 100 et 106, n°. 2 et 4. — Vanellus melanogaster, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 356. — Squatarola squatarola, G. Cuv., Règne an., I, p. 502. — Nau- mann, Tab. 178. — Gould, PI. 290. Nôrdliche Striche beider Welten, im Régions septentrionales des deux mon- Winter im gemässigten und südlichen des, visite en hiver l'Europe tempérée Europa. _[ et méridionale. LXXXV STEINWALZER. TOURNE-PIERRES. STREPSILAS. STEINWALZER. TOURNE-PIERRE. Strepsilas interpres. (remeiner Sleiënwälzer. Tourne-pierre à collier. Illiger, Prodr., p. 263. — Tringa interpres, Linn. , Syst., XII, p. 248, n°. 4 — Tringa morinella, ibid., p. 249, n°. 6. — Strepsilas collaris, Temm., Man., Il, p. 553. — Naumann, Tab. 180. — Gould, PI. 318. Nôrdliche Länder beider Welten, im Régions septentrionales des deux mon- Winter im gemässigten und südlichen Eu- des, visite en hiver PEurope tempérée ropa, et méridionale, AUSTERNFISCHER. HUITERIERS. HAEMATOPUS. AUSTERNFISCHER. HUITERIER. Haematopus ostralegus. (remeiner Austernfischer. Huiterier pre. Linné , Syst, XII, p. 257, n°. 1. — Naumann, Tab. 181. — Gould, PI. 300. Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. SCHNEPFENARTIGE VOGEL. BÉCASSES. SCOLOPAX. SCHNEPFE. BÉCASSE. a. Waldschnepfen. Bécasses proprement dites. Scolopax rusticola. memeine Waldschnepfe. Bécasse ordinaire. Linné , Syst., XII, p. 243, n° 6. — Naumann, Tab. 211. — Gould, PI. 319. Nôrdliches Europa und Asien, im Win- Le nord de l'Europe et de l'Asie; fre- ter im übrigen Europa und Nordafrika. quente en hiver les autres parties de l'Europe et l'Afrique septentrionale, LXXXVI Bb. Sumpfschnepfen. Bécassines. Scolopax major (107). Grosse Sumpfschnepfe. Bécassine double. Gmel. Linné, p. 661, n°. 36. — Gallinago major, Ch. Bon., List, p. 52. — Naumann, Tab. 208. — Gould, PI. 320. Nôrdliches Europa, Sibirien ; im Win- Le nord de l'Europe, la Sibérie; vi- ter im gemässigten und südlichen Europa. site en hiver PEurope tempérée et mé- ridionale. Scolopax gallinago (108). Heers-Sumpfschnepfe. Bécassine ordinaire. Linné, Syst., XII, p. 244, n°. 7. — Naumann, Tab. 290. — Gould, PI. 321, fig. 2. Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Scolopax gallinula. Moor-Sumpfschnepfe. Bécassine sourde. Linné, Syst., XII, p. 244, no. 8. — Naumann, Tab. 210. — Gould, PI. 322, Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Scolopax Sabinii (109). Sabine’s Sumpfschnepfe. Bécassine Sabine. Vigors, Trans. Linn. Societ., XIV, p.556, Tab. 21. — Jard. and Selby, Zool. Illustr., PI. 27. -—- Gould, PI. 321, fig. 1. Vaterland unbekannt; zufällig in Gross- Patrie inconnue ; observée plusieurs fois brittanien. en Angleterre. €. Strandläuferschnepfen. Bécassines chevaliers. Scolopax grisea, (Graue Strandläuferschnepfe. Bécassine chevalier ponctuée. Gmelin Linn., p. 658, no. 27; Scol. novaeboracensis, ibid. , p. LXXXVIT 658, no. 28. — Macrorhamphus griseus, Steph., in Shaw, Zool., vol. XII, p. 61. — Wilson, PI. 58, fig. 1. — Gould, PI. 323. Nordamerika, zufällig in Grossbritta- L'Amérique du nord, accidentellement nien. en Angleterre, LIMOSA. PFUHISCHNEPFE. BARGE. Limosa melanura. Schwarz:chwänzige Pfuhlschnepfe. Barge & queue notre. Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., Il, p. 153. — Scolopax hi- mosa, Linné, Syst., XII , p. 245, n°. 13; Scolopax aegocephala, ibid., p. 246, n°. 16. — Limosa aegocephala, Ch. Bonap., List, pe 52. — Naumann, Tab. 212 et 213. — Gould, PI. 305. Kalte und gemässigte Gegenden Euro- Les parties froides et tempérées de pas und Sibiriens; im Winter im südli- l'Europe et de la Sibérie; visite en hiver chen Europa und Nordafrika. PEurope méridionale et le nord de Afrique. Limosa rufa (110). Rostrothe Pfuhlschnepfe. Barge rousse. Brisson, Orn., V, p. 281, n°. 5. — Scolopax lapponica, Linné, Syst., XII, p. 246, no. 15. — Naumann, Tab. 215. — Gould, PI. 306. Gemässigtes und nôrdliches Europa , Les parties froides et tempérées de Sibirien; im Winter bis ins südliche PEurope et de la Sibérie, fréquente en Europa. | hiver le midi de l'Europe. Limosa recurvirostra. Sübelschnäblige Pfuhlschnepfe. Barge lerek. Pallas, Zoogr., Il, p. 181, no. 293. — Limosa terek, Temm. Man. , III, p. 426. — Scolopax cinerea , Güldenstädt, Nov. Comm. Petr. XIX , p. 473, Tab. 19. — Scolopax terek, Lath. Ind. orn., LXXXVIIL IT, p. 724, n°. 36. — Terekia javanica, Ch. Bonap., List, p. 52. — Gould, PI. 307. Kaspisches Meer, zufällig im übrigen Les bords de la mer caspienne, acci- Europa, Asien. dentellement dans les autres parties de PEurope, l’Asie. ŒRINGA (111). STRANDLAUFER. BÉCASSEAU. a. KEigentiliche Strandläufer. Bécasseaux ordinaires. Tringa canutus. Canut-Strandläufer. Bécasseau canut. Linn., Syst., XII, p. 251, n°. 15. — Tringa cinerea, Brün- nich, Orn. bor., n°. 179. — Tringa islandica, Gmel. Linn., p. 682, no. 24. — Tringa ferruginea, Meyer und Wolf, Taschenb., 11, p. 395. — Naumann, Taf. 183. — Gould, PI. 324. Nôrdliche Gegenden beider Welten; | Les régions septentrionales des deux im Winter im gemässisten und südlichen mondes; fréquente en hiver l'Europe tem- Europa. pérée et méridionale. Tringa maritima. Meerstrandläufer. Bécasseau violet. Brünnich, Orn. bor., n°. 182. — Naumann, Taf. 188. — Gould, PI. 344. Nôrdliche Länder beider Welten, im Les contrées septentrionales des deux Winter bis ins sudliche Europa. mondes; passe en hiver jusque dans le midi de PEurope. Tringa subarquata (112). Bogenschnübliger Strandläufer. Bécasseau cocorle. Temm., Man., Il, p. 609. — Scolopax subarquata, Güldenst, Nov. Comm. Petrop., XIX, p. 471, n°. 5. — Naumann, Taf. 185. — Gould, PI. 328. Nôrdliche Gegenden beider Welten; les régions septentrionales des deux in Winter über oganz Europa Lis Nord- mondes; fréquente en hiver les autres afrika, parties de l'Europe et de PAfrique sep- tentrionale. —_— LXXXIX Tringa cinclus. Verunderlicher Slrandlüufer. Bécasseau va- riable. Tringa cinclus et alpma, Linné, Syst., XII, p. 251, n°. 18 et p- 249, n°. 11. — Numenius variabilis, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 141. — Tringa varabilis, Meyer u. Wolf, Taschenb., IT, p- 397. — Naumann, Taf. 186. — Gould, PI. 329. Nürdliche und gemässigte Gegenden Les régions septentrionales et tempé- beider Welten; im Winter im südlichen rées de lhémisphère boreal; visite en Europa bis Nordafrika. hiver le midi de PEurope et lAfrique septentrionale. Tringa cinclus minor (113). Kleiner veründerlicher Strand- läufer. Petit Bécasseau variable. Tringa Schinzu, Brehm, Beiträge, IT, p. 355. — Tringa pyg- maea Schinz, Cuvier, Regn. an., deutsche Ubersetz., I, p.782. — Naumann, III, p. 221, Taf. 187, fig. 1, 2, 3. Europa. | L’ Europe, Æringa Bonapartei. Bonaparte's Slrandläüufer. Bécasseau Bonaparte. Tringa Schinzü, Ch. Bonap., Synops., n°. 249; Temm., Man., IIT, p. 41; Gould, PI. 330. Nordamerika ; zufällig in England. L'Amérique du nord; accidentellement en Angleterre. Tringa pectoralis. Brustfleckiger Slrandläufer. Bécasseau pectoral. Ch. Bonap., Syn., n°. 250. — Gould, PI. 327. Nordamerika, zufällig in England. | L'Amérique du nord, accidentellement en Angleterre. XC Tringa minuta. Zwergstrandlaufer. Bécasseau échasse. Leisler, Nachir.\zu Bechst. Nat., I, p. 74, m0. 10. — Tringa pusilla, Meyer u. Wolf, Taschenb., Il, p. 391, n°. 7. — Nau- mann, Taf. 184. — Gould, PI. 332. Nôrdliches Europa und Asien, im Win- Le nord de l'Europe et de l'Asie, en ter im übrigen Europa bis Nordafrika. hiver dans les régions tempérées et mé- ridionales de l'Europe et dans l'Afrique septentrionale. Tringa Temminckii. Temmainck's Strandläufer. Bécasseau Temmia. Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., I, p. 64, n°. 9. — Tringa pusilla, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 308, — Naumann, Taf. 189. — Gould, PI. 333. Gemässiotes und südliches Europa, im Les parties tempérées et chaudes de Winter bis Afrika ; überall selten. l'Europe, visite en hiver l'Afrique, par- tout rare. b. Sumpfläufer. Bécasseaux limicoles, Tringa platyrhyncha. Plattschnübliger Sumpfläufer. Limx- cole plalyrhynque. Temm., Man., IL, p. 616. — Numenius pygmaeus, Lath. Ind., p. 713, n°. 11. — Limicola pygmaea, Koch, Baier. Zool., I, pe 316, n°. 197. — Tringa pygmaea, Savi, Orn. Tosc., IT, p. 291. — Naumann, Taf. 207. — Gould, PI. 331. cinzeln im mittleren Europa beobachtet, Observé en petit nombre dans l’Euro- Bengalen, Java. pe centrale ; le Bengale, Java. €. Dreizehige Strandläufer. Bécasseaux tridactyles. Tringa arenaria. (Gemeiner dreizehiger Strandläufer. Bécas- casseau tridaclyle ordinaire. Linné, Syst., XIE, p. 251, n°. 16. — Charadrius calidris, 1bid., XCI p. 255, n°. 9. — Arenaria grisea, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p: 368. — Calidris calidris, Illiger, Prodr., p.249. — Calidris are- naria, Temm., Man., II, p. 524 -- Naumann, Taf. 182. — Gould, PI. 335. Nôrdliches Europa, im Winter im ge- 1 L'Europe septentrionale ; fréquente en mässioten bis ins südliche Europa, Nord- hiver l'Europe tempérée et méridionale, amerika, Asien, L’Amérique du Nord, PAsie. d. Kampfstrandlaufer. Combattans. Tringa pugnax (114). Gemeiner Kampfstrandläufer. Com- battant variable. Linné, Syst., XII, p. 247, n°. 1. Machetes pugnax, Cuv., Règn. an., I, p. 527. — Naumann, Taf. 190, 191, 192, 193. — Gould, PI, 328. Nôrdliche und gemässigte Gegenden Parties septentrionales et tempérées de Le, ü Ï P Europas und Asiens, Vorgebirge der ou- l'Europe et de l'Asie, le Cap de Bonne ten Hoffnung. Espérance. ACTITIS. VFERLAUFER. ACTITIS, Actitis hypoleucos. Trillernder Uferläufer. Actitis guignette. Boie, Isis, 1822, p. 560. — Tringa hypoleucos, Linn., Syst., XIT, p. 250, n°. 14. — Totanus hypoleucos, Temm., Man., II p- 657. — Naumann, Taf. 194. — Gould, PI. 318. Europa, Asien, Nordafrika. | L'Europe, PAsie, l'Afrique septentrionale, ? Actitis macularia. (Gefleckter Uferläufer. Actitis perlé. Boie, Isis, 1826, p. 979. — Tringa macularia, Linné, Syst., XIT, p. 249, no. 7. — Totanus macularia, Temm., Man., II, p. 656. — Naumann, Tab. 195. — Gould, PI. 317. Amerika, zufällig in Europa. | L'Amérique, accidentellement en Europe. XCII Actitis rufescens. Vieillols Uferlüufer. Actitis Vierillot. Tringa rufescens, Vieillot, Galerie, Il, p. 105, PI. 238. — Gould, PI. 326. Nordamerika, zufällig in Europa. | L'Amérique septentrionale, accidentel- lement en Europe. Actitis Bartrami. Bartrams Uferlüufer. Actitis à longue queue. Naumann, VIII, p. 43, Tab. 196. — Tringa Bartramia, Wil- son, VIT, p. 63, PL 59, fig. 2. — Tringa longicauda, Bechst., in Lath.Ind., deutsche Übersetzung, p. 453, n°. 46. — Totanus Bartramia, Temm., Man., II, p. 650. — Actiturus Bartramius, Ch. Bonap., List, p.51, — Naumann, Tab. 196. — Gould, PI. 318. Nordamerika, zufällig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement en Europe. TOTANUS (115). IWASSERLAUFER. CHEVALIER. Totanus fuscus. Schwarzbrauner Wasserlüufer. Chevalier arlequin. Leisler, Nachtr. zu Bechst., Nat., p. 47. — Limosa fusca, Brisson, Orn., V, p. 276, n°. 4 — Naumann, Tab. 200. — Gould, PI. 309. Europa. | L'Europe. Totanus glottis. (rünfussiger Wasserlüufer. Chevalier aboyeur. Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 249, n°. 10. — Scolopax glot- us, Linné, Syst., XIT, p.245, n°. 10. — Naumann, Tab. 201. — Gould, PI. 312. Europa, nôrdliches Asien, Nordafrika. L'Europe, les régions froides de PAsie, PAfrique septentrionale. XCIII Totanus stagnatilis. Teich-Wasserläufer. Chevalier stagnatile. Bechst., Orn. Taschenb., II, p. 292. — Scolopax totanus, Linné, Syst., XII, p. 245, n°. 12. — Naumann, Tab. 202. — Gould, PI. 314. Europa, westliches Sibirien, Afrika. | L'Europe, la Sibérie occidentale, PAfri- que. Totanis calidris. Rothfüssiger Wasserläufer. Chevalier gambette. Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 216. — Scolopax calidris, Linné, Syst., XII, p. 245, n°. 11. — Tringa gambetta, Gmel. Linné, p- 671, n°. 3. — Naumann, Tab. 199. — Gould, PI. 310. Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. Totanus glareola. Wald-Wasserläufer. Chevalier sylvain. Temm., Man., IT, p. 654 — Tringa glareola, Linné, Fauna suecica, p. 66, n°. 185; Tringa littoria, Linné, Syst. nat., XII, p. 251, n°. 17. — Naumann, Tab. 198. — Gould, PI. 315, fig. 2. Europa, Sibirien, Nordafrika. | L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep- tentrionale. Totanus ochropus. Getüpfelter Wasserlüufer. Chevalier cul- blanc. Temm., Man., II, p. 651. — Tringa ochropus, Linné, Syst., XII, p.250, n°. 13. — Naumann, Tab. 197. — Gould, PI. 315, fig. 1. Europa, Sibirien, Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep- tentrionale. XCIV Totanus semipalmatus. Schwimmfüssiser Wasserläufer. Che- valier semi-palmé. Temm., Man., Il, p. 637. — Scolopax semipalmata, Gmel. Linné, p. 659, n°. 33. — Catoptrophorus semipalmatus, Ch. Bo- nap., Syn., n°. 259. — Wilson, PI. 56, fig. 3. — Fauna bor. amer. , p. 388, PL. 67. — Gould, PI. 311. Nordamerika, zufällig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement en Europe. PHALAROPUS. WASSERTRETER. Phalaropus cinereus. Schmalschnäbliger Wassertreter. Pha- larope hyperboré. Brisson, Orn., VI, p. 15, n°. 2. — Tringa lobata, Linné, XIT, p. 249, n°. 8. — Tringa hyperborea, ibid, p. 249, n°. 9. — Phalaropus hyperboreus et fuscus Latham, Ind., Il, p. 775, n°. 1 et 776, n°. 4 — Phalaropus ruficollis et cineras- cens, Pall., Zoogr., IT, p. 203, n°. 212 et n°. 213. — Phalaro- pus angustirostris, Naumann, VIIT, p.240, n°. 236, Tab. 205. — Gould, 336. — Lobipes hyperboreus, Cuv., Règne an., I, p. 532. Nôrdliche Eänder beider Welten, auf Les régions septentrionales des deux dem Zuge bis ins südliche Europa. mondes; visite, lors de l’époque de la migration , l’Europe tempérée et méridio- nale. Phalaropus rufescens. Breilschnäbliger Wassertreter. Pha- larope platyrhynque. Brisson, Orn., VI, p. 20, n°. 4 — Tringa fulicaria, Linné, Syst., XII, p. 249, n°. 10. — Phalaropus rufus, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 381. — Phalaropus platyrhynchus, Temm., XCV Man. , II, p. 712. — Phalaropus fulicarius, Ch. Bonap., Lyc. New York, II, p. 159. — Naumann, Tab. 206. — Gould, PI. 337. Norden beider Welten, auf dem Zuse Les régions septentrionales des deux | É | L bis in das südliche Europa. mondes, visite en hiver l'Europe tempé- | rée et méridionale. NUMENIUS. BRACHVOGET, COURLIS. Numenius arquata. Grosser Brachvogel. Courlis cendré. Latham, Ind., II, p. 710, n°. 1: — Scolopax arquata, Linné, Syst., XII, p. 242, n°. 3 — Naumann, Tab. 216. — Gould, PI. 302. Europa , Sibirien, auf dem Zuge bis L'Europe, la Sibérie, fréquente en hi- Nordafrika. ver l’Afrique septentrionale. Numenius phaeopus. Regenbrachvogel. Courlis corlieu. Latham, Ind., IT, p. 711, n°. 6. — Scolopax phaeopus, Linné, Syst., XII, p. 243, n°. 3. — Numenius minor, Brisson, Orn., V, p. 317, n°. 2. — Naumann, Taf. 217. — Gould, PI. 303. Europa, Sibirien , im Winter bis Nord- L'Europe, la Sibérie; visite en hiver afrika. l'Afrique septentrionale. Numenius tenuirostris. Dünnschnübliger Brachvogel. Courtlis à bec grêle. Vieill., Nouv. Dict. Déterv., VIIT, p. 302. — Ch. Bonap., Icon. Fauna Ital., Tav. 42. — Naumann, Taf. 218. ltalien, Egypten. | L'Italie, PÉgypte. XCGVI SAPBELSCHNABLER. AVOCETTES. RECURVIROSTRA. SABELSCHNABLER, AVOCETTE. Recurtvirostra avocetta. (memeiner Sübelschnäbler. Avocette ordinaire. Linné, Syst., XII, p. 256, no. 1. — Naumann, Taf. 204. — Gould, PI. 368. Europa, Nordafrika, Sibirien, Tatarei. L'Europe, lAfrique septentrionale, la Sibérie, la Tatarie. STRANDREUTER. ÉCHASSES. HIMANTOPUS. STRANDREUTER. ÉCHASSE. Himantopus melanopterus. Europüischer Strandreuter. Echasse àa manteau noir. Ann. d. Wetter Gesellsch., IT, 1, p. 177. — Himantopus rufi- pes, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 446. — Charadrius himan- topus, Linné, Syst., XIT, p. 255, n°. 11. — Hypsibates himan- iopus, Nitzsch in Ersch und Gruber, Encycl., vol. XVI, 1827, p- 150. — Naumann, Taf. 203. — Gould, PI. 289. Gemässigtes und südliches Europa, ! L'Europe tempérée et méridionale, Nordafrika , Sibirien, Tatarei. PAfrique septentrionale, la Sibérie, la Tatarie. REIHERVOGEL. HÉRONS. ARDEA (116. REIHER. HÉRON. a. Eigentliche Reïher. Hérons proprement dits. Ardea cinerea. Fischreiher. Héron cendrée. Linn., Syst., XII, p. 236, n°. 11. — Ardea cristata, Brisson, XCVII Orn., V, p. 396, n°. 2. — Ardea major, Gmel. Linn., p. 627, n°. 12. — Naumann, Tab. 220. — Gould, PI. 273. Europa, Afrika, Asien. [l L'Europe, l'Afrique , l'Asie. Ardea purpureau. Purpurreiher. Héron pourpre. Linn., Syst., XII, p. 236, n°. 10. — Naumann, Tab. 221. — Gould , PI. 274. Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe fempérée et méridionale, Asien, Afrika. PAsie, l'Afrique. b. Silberreïher. Aigrettes. Ardea alba (117). Grosser Silberrether. (Grande Aigrette. Linné, Syst., XII, p. 239, no. 24. — Ardea candida, Brisson, Orn., V, p. 428. — Ardea egretta, Temm., Man., p.572. — He- rodias egretta, Boie, Isis, 1822, p. 559. — Egretta alba, Ch. Bo- nap., Osserv., p. 98.— Naumann, Taf. 222. — Gould, PI. 276. Südôstliches Europa , Nordafrika, Les parties chaudes de l'est de l’Eurc- pe, l'Afrique septentrionale. Ardea garsetta. Kleiner Silberreiher. Petite Aigrette. Linné , Syst., XII, p. 237, no. 13. — Naumann, Taf. 223. — Gould, PI. 277. Südliches Europa, westliches Asien. Le midi de l’Europe, l'Asie occiden- tale, €. Rallenreiïher. Hérons-crabiers. Ardea comata. (Memeiner Rallenreiher. Héron-crabier ordi- naire. Pallas, It., IT, app., n°.12.— Ardea ralloides, Scopoli, Ann., I, p. 88, n°. 121. — Ardeola ralloides, Boie, Isis, 1822, p. F. XCVIIT 559. — Buphus ralloides, Ch. Bonap., List, p. 48. — Naumann, Tab. 224. — Gould, PI. 275. Südôstliches Europa; westliches, war- Les parties chaudes de Pest de l’Euro- mes Asien; Nordafrika. pe et de PAsie occidentale, PAfrique septentrionale. Ardea bubulcus (118). Afrékanischer Rallenreiher. Héron- crabier garde-boeuf. Cuv., Mus. Par.; Audouin in Descr. de l'Égypte, Ois., PL 8, fig. 1, vol. XXIIT, p. 391. — Ardea Verany, Roux, Orn. prov., IPS; Nordafrika, Senegal, südôstliches Eu- ! L'Afrique septentrionale, le Sénégal, ropa, zufällig im übrigen Europa. les contrées chaudes de Pest de l'Europe; accidentellement dans les autres parties de PEurope. d. Nachtreïher. Bihoreaux. Ardea nycticorax. Gemeiner Nachtreiher. Bihoreau d Europe. Linné, Syst., XII, p. 235, n°. 9. — Ardea Gardeni, Gmel. Linné, p. 645, n°. 81. — Nycticorax Gardenü, Jardine in Wilson, S, 1832, vol. III, p. 5. — Nycticorax nycticorax, Boie, Isis, 1822, p. 560. — Naumann, Tab. 225. — Gould, PI. 279. Europa, Asien, Afrika. | L'Europe, l'Asie, l’Afrique. e. KRohrdommelin. Butors. Ardea stellaris. (remeine Rohrdommel. Butor d'Europe. Linné, Syst., XIT, p. 239, n°. 21. — Botaurus stellaris, Steph. in Shaw, Zool., XI, IT, p. 593. — Naumann, Tab. 226. — Gould , PI. 280. Europa, westliches Sibirien. Î L'Europe, la Sibérie occidentale. XCIX Ardea lentiginosa. MNordamerikanische Rohrdommel. Butor d'Amérique. Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Heron frekled. — Ardea minor, Wilson, VIIL, p. 35, PI. 65, fig. 3. — Ardea mocoho, Vieillot, N. Dict., vol. XIV, p. 440. — Gould, PI. 281. Nordamerika, zufällig in England. L'Amérique du nord, accidentellement en Angleterre. f. Zwergrohrdommeiln. Butors naïns. Ardea minuta. emeine Zwergrohrdommel. Butor nain plon- St os. Linné, Syst., XII, p. 240, n° 26. — Ardeola naevia, Brisson, Orn., V, p. 500, no. 47. — Naumann, Tab. 227. — Gould, PI. 282. Europa, Asien, Afrika. | L'Europe, l'Asie, PAfrique. CICONIA (119). STORCH. CICOGNE:. Ciconia alba. Weisser Slorch. Cicogne blanche. Brisson, Orn., V, p. 365, no. 2. — Ardea ciconia, Linné, Syst., XII, p. 235, no. 7. — Naumann, Tab. 228. — Gould, 283. Europa , westliches warmes Asien, l’Europe, les parties chaudes de PAsie Afrika. occidentale, l'Afrique. Ciconia nigra. Schwarzer Slorch. Cicogne notre. Gessner, Av., p. 273. — Ardea nigra, Linn., Syst., XII, p. 235, no. 8 — Ciconia fusca, Brisson , Orn., V , p.362, n°. 1. — Naumann, Tab. 229. — Gould, PI. 284. Ostliches Europa, westliches warmes L'Europe orientale, les parties chau- Sibirien Afrika, des de la Sibérie occidentale, PAfrique. TANTALUS. NIMMERSAT. TANTALE. Tantalus ibis, Afrihanischer Nimmersatt. Tantale d Afrique. Linn., Syst., XII, p. 241, n°. 4 — PI. enl. 389. — Nume- nius ibis, Pallas, Zoogr., II, p. 165, no. 280. Senegal, Nordafrika ; nach Pallas im Le Sénégal, l'Afrique septentrionale ; ädlichen Russland. se trouve, suivant Pallas, dans lemidi de la Russie. IBIS. ZBIS. IBIS. Tbis falcinellus. Europäischer Ibis. Ibis falcinelle. Temm., Man., II, p.598. — Tantalus falcinellus, Linn., Syst., XII, p. 241, no. 2. — Naumann, Tab. 219. — Gould, PI. 311. Südliches Europa, warmes westliches Le midi de l'Europe, les parties chau- Asien, Nordafrika ; zufällig im gemässig- des de l'Asie occidentale, le nord de PAfri- ten und nôrdlichen Europa. que; accidentellement dans l'Europe tem- pérée et septentrionale. Ibis religiosa. Heiliger Ibis. Ibis sacré. G. Cuvier, Règne an., 1 édit., I, p. 483. — Numenius ibis, G. Cuv., Ann. d. Mus., 1804, IV, p. 134, PL. 53; Savigny, Hist. nat. et mythologique de l’Ibis, 1805. — Descr. de l'Égypte, Ois., PI. 7. — Abouhannes, Bruce, Voy., V, p. 172, PI. 36. — Tan- talus aethiopicus, Lath., Ind., p. 305, no. 12. Afrika; nach Temminck, Manuel, IV, | L'Afrique ; observé, d’après Temminck, p. 392, in Griechenland beobachtet. Manuel, IV, p. 392, en Grèce. GRUS (120) HRANICH. GRUE' Grus cinerea, (Grauer Kranich. Grue commune. Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 103. — Ardea grus, Linné, Syst., XII, p. 234, n°. 4. — Grus vulgaris, Pallas, Zoogr., IT, p. 106, n°. 240. — Naumann, Tab. 231. — Gould, PI. 270. Europa, gemässigtes Asien, Nordafrika. | L'Europe, PAsie tempérée, l'Afrique | septentrionale. GI Grus leucogeranos. Weisser Kranich. Grue leucogérane. Pallas, It., Il, app., n°. 30. — Gould, PI. 271. Kaspisches Meer, Sibirien, Japan, La mer Caspienne, la Sibérie, le Ja- Bengalen. pen, le Bengale.” ——— Grus virgo. Jung ern-Kranich. (Grue demoiselle. Pallas, Zoogr. , IT, p. 108, n°. 241. — Ardea virgo, Linn., Syst., XIT, p. 234, n°. 2. — PI. enl. 241. — Anthropoides virgo, Vieill. , Nouv. Dict. Déter., IT, p. 163. — Naumann, Tab. 232. Nordafrika, warmes westliches Asien, L'Afrique septentrionale, les parties säüdliches Russland; zufällig im übrigen chaudes de PAsie occidentale, le midi Europa. de la Russie; accidentellement dans les autres parties de l'Europe. PLATALEA., LOFFELREINMER, SPATULE, Platalea leucorodia. Gemeiner Lüffelrether. Spatule blanche. Linné, Syst., XII, p. 231. — Naumann, Tab. 230. — Gould, PI. 286. Gemässigtes und südliches Europa , war- L’Europe tempérée et méridionale, les mes westliches Asien, Nordafrika. parties chaudes de l'Asie occidentale, le nord de PAfrique. FLAMINGOS. FLAMANTS. PHOENICOPTERUS. FLAMINGO, FLAMANT. Phoenicopterus antiquorum. Europüischer Flamingo. Flam- mant rose. Temm., Man. d'Orn., p. 587, remarque. — Phoenicopterus ruber, Linné, Syst., XIT, p. 230, no. 1 (ex parte). — Phoenicopterus CII roseus, Pallas, Zoogr., Îl, p. 207, n°. 315. — Naumann, Tab. 233. — Gould, PI. 287. Südliches Europa, warmes westliches Le midi de Europe, les parties chau- Asien, Nordafrika. des de l’Asie occidentale, le nord de PAfrique. WASSERHURNER. POULES D'EAU. FULICA. BLESSHUHN. FOULQUE, Fulica atra. (Gemeines Blesshuhn. Foulque morelle. Linné, Syst., XIT, p. 257, n°. 2. — Fulica aterrima, ibid. , p. 257, no. 3. — Naumann, Tab. 241. — Gould, PI. 338. Europa, Asien, Afrika. | L'Europe, l'Asie, l'Afrique, Fulica cristata. Kamm-Blesshuhn. Foulque à créte. Gmel. Linné, p. 704, n°. 25. — Foulque de Madagascar, PI. enl. 797. — Foulque caronculée, Barthélemy in Guérin, Revue Zool., 1841, p. 37. — Fulica cristata, Ch. Bonap., Icon. d. Faun. Ital., Ucelli, Introduzione, p. 1. Afrika, gemein in Aloier und Marocco; L'Afrique, commune dans l’Alsérie et in Spanien und bei Marseille beobachtet , au Marocco ; observée en Espagne et dans Earthélemy). les environs de Marseille., (Barthélemy). y ; A) PORPHYRIO. PURPURHUMN. TALÈVE. Porphyrio hyacinthinus. Europüisches Purpurhuhn. Talève porphyrion. Temm., Man., Il, p.698. — Porphyrio antiquorum, Ch. Bonap. Icon. d. Faun. Ital., I, Tav. 44. — Gould, PI. 340. Sardinien, Sicilien, Nordafrika, südli- La Sardaigne, la Sicile, l’Afrique sep- che Ufer des kaspischen Meeres. tentrionale, les bords méridionaux de la mer caspienne, CIIL GALLINULA. IWASSERHUMN. POULE D'EAU: a. Eigentliche Wasserhühner. Poules d’eau proprement dites. Gallinula chloropus. (emeines Wasserhuhn. Poule d'eau ordinaire. Aldrov., Orn., IE, p. 449. — Fulica chloropus, Linné, Syst. , XII, p. 258, n°. 4 — Naumann, Tab. 240. — Gould, PI. 342. Europa, westliches Sibirien, Nord- | L'Europe, la Sibérie occidentale, PAfri- afrika, que septentrionale. b. Sumpf-Wasserhühner. Poules d’eau marouettes. Gallinula porsana. Grefleckles Sumpf-Wasserhuhn. Marouetlte ordinaire. Latham, Ind., Il, p. 772, no. 19. — Rallus porzana, Linné, Syst. XIL, p. 262, n°. 2. — Ortygometra porzana, Steph., im Shaw , Foot Nanmann,, Tab. 237. — Gould ,LPI. 343: Europa, Sibirien, Nordafrika. | L'Europe, la Sibérie, l'Afrique septen- trionale, Gallinula pusillu. Kleines Sumpf-Wasserhkuhn. Petile ma- rouelle. Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 484. — Rallus pusillus, Gmel. Linné, p. 719, n°. 30. — Rallus minutus, Pallas, It., IIT, app., n°. 30. — Naumann, Tab. 238. — Gould, PI 345. Gemässigtes und südliches Europa, Mit- L'Europe tempérée et méridionale, l'Asie {elasien. centrale, Gallinula Baillonit. Zwerg-Wasserhuhn. Marouette naine. Temm., Man., II, p. 692. — Rallus Bailloni, Vieillot, Nouv. Dict. Déterv., vol. XXVIIT, p. 548. — Crex pygmaea, Naumann, IX, p. 567, Tab. 239. — Gould, PI. 344. Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale. CIV CREX. IWACHTELHONIG. ROI DES CATILLES-. Crex pratensis. (remeiner Wachtelkünig. Roi des cailles commun. Bechst., Nat. Deuischl., IV, p. 470. — Rallus crex, Linné, Syst., XII, p. 261, n°. 1. — Gallinula crex, Lath., Ind., IL, p. 766. — Naumann, Tab. 236. — Gould, PI. 341. Europa, westliches gemässigtes Sibi- L'Europe, les parties tempérées de la rien. Sibérie occidentale. RALLUS. RMALLE. RALE. Rallus aquaticus. Wasserralle. Rale d'eau. Linné, Syst, XII, p. 262, no. 2 -— Naumann, Tab. 235. — Gould, PI 339. Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. WASSERVOGEL, OISEAUX AQUATIQUES, TAUCHVOGEL. PLONGEURS. PODICEPS (121) LAPPENTAUCHER. GRÈBE. Podiceps cristatus. (mehäubler Sleissfuss. Grèbe huppé. Latham , Ind., IT, p. 780, n°, 1. — Cobymbus cristatus, Linné, Syst., XIT, p. 222, no. 7. — Colymbus coronatus, Brisson, Orn., VI, pe 45, n°. 4— Naumann, Tab. 242. Gould, PLSS; Europa, kaltes und gemässistes Asien, L'Europe, lPAsie boréale et tempérée, Nordamerika,. PAmérique du nord. CV Podiceps rubricollis. Rothkehliger Steissfuss. Grèbe à joues grises. Latham, Ind., Il, p. 783, n°. 6. — Colymbus suberistatus, Jacquin, Beitr., Vôgel, p. 37. — Naumann, Tab. 243. — Gould, PI. 389. Europa, Sibirien, Nordamerika. L'Europe, la Sibérie, l'Amérique du | nord. Podiceps cornutus. (Gehürnter Sleissfuss. Grèbe cornu. Latham, Ind., Il, p. 782, n°. 5. — Naumann, Tab. 244. — Gould, PI. 390. Gemässigtes Europa. | L'Europe tempérée. Podiceps cornutus arcticus. Arktischer gehürnter Steissfuss. Grèbe cornu arctique. Podiceps arcticus, Boie, Tagebuch, p. 308. — Colymbus auri- tus, Linné, Fauna suec., p. 54, n°. 152. — Naumann, Tab. 245. Nôrdliches Europa, im Winter im ge- | L'Europe boréale, fréquente en hiver mässigten Europa. PEurope tempérée. Podiceps auritus. Ohren-Sleissfuss. Grèbe orerillard. Latham, Ind., IT, p.781, n°. 3. — Colymbus auritus, Brisson, Orn., VI, p. 50, n°. 6. — Naumann, Tab. 246. — Gould, PI. 391. Europa, Sibirien, nôrdliches Amerika. | L'Europe, la Sibérie , P Amérique boréale. Podiceps minor. Kleiner Steissfuss. Grèbe castagneux. Latham, Ind., Il, p. 784. — Sylbeocyclus minor, Ch. Bonap., List, p. 64. — Naumann, Tab. 247. — Gould, PI. 392. Europa. | L'Europe. COLYMBUS. MEERTAUCHER. PLONGEON- Colymbus glacialis. Polar-Meertaucher. Plongeon imbrin. Linné, Syst., XII, p. 221, no. 5. — Colymbus torquatus et immer, Brünnich, Orn. bor., n°. 134 et 129. — Gould, PI. 393. Küsten der kalten und gemässigten | Côtes des pays froids et tempérés de Länder des nôrdlichen Halbrundes. Phemisphère boréal. Colymbus arcticus (122). Arklischer Meertaucher. Plongeon _lumme. Linné, Syst., XII, p. 221, n°0. 4 — Gould, PI. 394. Nôrdliches Europa und Amerika, im | Le nord de PEurope et de PAmérique, Winter im gemässisten und südlichen visite en hiver les autres parties de Europa. l'Europe. Colymbus septentrionalis. Nürdlicher Meertaucher. Plongeon seplentrional. Linné, Syst., XIT, p. 220, no. 3. —— Colymbus lumme, Brün- nich, Orn. bor. , n°. 132. — Gould, PI. 395. Kalte Gegenden der nôrdlichen Erd- Regions froides de l'hémisphère bo- bälfte, im Winter im gemässioten bis réal, fréquente en hiver PEurope tem- in’s südliche Europa. pérée et méridionale, URIA. LUMME GULILLEMOT. Uria Briinnichii Brünnicks Lumme. (Guillemot Brünnich. Sabine, Trans. Linn. Society, XII, p. 538. — Uria troile, Brünnich, Orn. bor., n°. 109. — Gould, PI. 398. Nôrdliche Gegenden beider Erdhälften. Régions septentrionales des deux mon- des. GVII Uria troile. Troil's Lumme. Guillemot Troil. Temm., Man., Il, p. 921. — Uria lomvia, Brünnich, Orn. bor. , p. 27, n°. 108. — Gould, PI. 396. Norden beider Welten. | Régions septentrionales des deux mondes. Uria troile leucophthalmos. Weissgeringelle Lumme. Guil- lemot bridé. Uria leucophthalmos, Faber, Prodr., p. 42. — Uria hringvia, Brünnich, Orn. bor., p. 27, n°. 111. — Uria lacrymans, Valenc. in Choris, Voyage, PI. XXIIT. — Gould, PI. 397. Norden beider Welten. | Régions septentrionales des deux mondes. Uria grylle (123). Grylllumme. Guillemot à miroir blanc. Latham, Ind., IT, p. 797, no. 2. — Colymbus grylle, Linné, Syst., XII, p. 220, n°. 1. — Cephus columba, Pall., Zoogr., Il, p. 348, n°. 404, (part. — Grylle columba, Ch. Bon., Catal., p. 82, n°. 531. Norden beïider Welten. | Pays froids des deux mondes. Uria grylle Mandtii. Spiltzbergische Grylllumme. Guillemot à miroir blanc du Spitsberg. Uria Mandtn, Lichtenst., Catal., 1823, p. 88, no. 926. Spitzhergen. | Le Spitzberg. ALCA, ALH., PINGOUIN. Alca impennis. (rosser Alk. Grand Pingouin. Linné, Syst., XII, p. 210, no. 3. — Gould, PI. 400. Hoher Norden Europa’s und Amerika’s, Régions arctiques de lEurope et de PAmérique. GVIIT Alca torda. Nordischer Alk. Pingouin commun. Linné, Syst., XII, p. 210, n°. 1. — Utamania torda, Leach, Mus. Britt. — Gould, PI. 401. Norden beider Welten; im Winter im Régions septentrionales des deux mon- gemässigten bis ins südliche Europa. des, visite en hiver lPEurope tempérée et méridionale, MERGULUS. HRABBENTAUCHER. MERGÇULE. Mergulus alle. (Gemeiner Krabbentaucher. Mergule nain. Boie, Isis, 1826, p. 980. — Mergulus melanoleucos, Ray, Av., p: 135, n°.5. — Alca alle, Linn., Syst., XII, p. 211, n°. 5. — Alca alce, Gmel. Linn., p. 554, n°. 5. — Uria minor, Brisson, Orn., VI, p.#73;tn0.12 Gould, Pl: 402; Norden beider Welten. Les régions septentrionales des deux mondes. MORMON. LARVENTAUCHER. MACAREUX. Mormon urcticus. Nordischer Larventaucher. Macareux moine. Illiger, Prodr., p. 283. — Alca arctica, Linn., Syst. XII, p. 211, n°. 4 — Mormon fratercula, Temm., Man., Il, p. 933. — Gould, PI. 403. Norden beider Welten. Les régions septentrionales des deux mondes. Mormon glacialis. Arktischer Larventaucher. Macareux glacial. Leach, Mus. Britt. et auct. rec. — Gould, PI. 404. Norden beider Welten. Les régions septentrionales des deux mondes. CIX ENTENARTIGE VOGEL. LAMELLIROSTRES. ANSER (124. GANS. OTE. a. Schneegänse. Oies de neige, Anser hyperboreus. (remeine Schneegans. Oie de neige ordinaire. Pallas, Spic. Zool., fasc. VI, p.20. — Chen hyperborea, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 284. — Gould, PI. 346. Hoher Norden beider Welten. [ Le cercle arctique. b. Eigentliche Gänse. Oies proprement dites. «Anser cinereus. (rraugans. Oie cendrée. Meyer und Wolf, Taschenb., IT, p. 562. — Anser ferus, Gess- ner, Av., p. 152, (part.). — Anas anser, Linné, Syst. XII, p. 197, n°. 9. — Naumann, Tab. 285. — Gould, PI. 347. Norden der alten Welt, im Winter im Les régions septentrionales de Pancien gemässigien bis ins südliche Europa, monde, visite en hiver PEurope tempé- rée et méridionale. Anser segetum. Sualgans. Oie vulgaire. Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 883. — Anas segetum, Gmel., Linné, Syst., p. 512, n°. 68. — Temm., Man., Il, p. 820. — Anser arvensis, Brehm, Nat. all. Vôüg. Deutschl., p. 839. — Nau- mann , XI, p. 278, n°. 315, Tab. 286. — PI. enl. 985. Nôrdliches Europa, auf dem Zuge im L'Europe septentrionale, fréquente en übrigen Europa. hiver les autres parties de l’Europe. CX Anser brachyrhynchus. Kurzschnäblige Gans. Oie à bec court. Baillon, Catal., p. 26, no. 248; Temm., Man., IV, p. 520 (jun.). — Anser phoenicopus, Bartlett, Proceed. Zool. Soc. , 1839, p. 3. — Anser segetum, Naumann, XÏ, p. 303, no. 316, Tab: "287: Nordôstliches Europa, im Winter im Les régions froides de l’Europe orien- gemässigten Europa. tale, visite en hiver l'Europe tempérée. Anser albifrons (125). Blessgans. Oie rieuse. Bechst., IV, p.898 n°. 272. — Anas albifrons, Gmel. Linné, p. 509, n°. 64. — Anas erythropus, Linné, Syst., XII, p. 197, n°. 11. — Naumann, Taf. 289. — Gould, PI. 289. Norden beider Welten. Les régions séptentrionales des deux mondes. Anser Temminchkit. Zwerggans. Oie naine. Boie, Isis, 1822, p. 882. — Anser minutus, Naumann, XI, p. 364, n°. 319, Taf. 291. — Anser medius, Temm. in Meyer, Taschenb., IIL, p. 231; Man. d'Orn., IV, p. 519. — Anser ci- neraceus, Brehm, Beitr., HIT, p. 875. Auf dem Zuge im ôstlichen und mit- Observé, lors du tems de la migration, teln Europa. dans l’Europe centrale et orientale. €. Seegänse. Bernaches. Anser bernicla. Ringelgans. Bernache cravant. Illiger, Prodr., p. 277. — Anas bernicla, Linn., Syst., XIT, p.198, n°. 13. — Anser torquatus, Frisch, IL, Taf. 156. — An- ser brenta, Pallas, Zoogr., IT, p.229, no. 323. — Bernicla bren- GXI ta, Steph., Cont. Sh. Zool., XII, p. 46. — Bernicla torquata, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 292. — Gould, PI. 351. Norden beider Welten. Les régions septentrionales des deux mondes. Anser leucopsis. Weisswangige Seegans. Bernache à joues blanches. Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 921. — Anser bernicla, Pallas, ZLoogr., IT, p. 230, n°. 324. — Naumann, Tab. 291. — Gould, PI. 350. Norden beider Welten. Les régions septentrionales des deux mondes. Anser ruficollis. Rothhalsige Seegans. Bernache à cou roux. Pallas, Spic. Zool., VI, p. 21, Tab. 4. — Naumann, Tab. 293. — Gould, PI. 351. Nôrdliches Asien, auf dem Zuge ein- L’Asie septentrionale, accidentellement zeln in Europa. en Europe. d. Fuchsgänse. Oies-renards. Anser aegyptiacus. Wemeine Fuchsgans. Oie-renard d Égypte. Brisson, Orn., V1, p. 284, n°. 9. — Auas aegyptiaca, Linné, Syst., XII, p. 197, no. 10. — Anas varia, Bechst., Orn. Tasch., IT, p. 454, n°. 39. — Chelanopex aegyptiaca, Steph., Cont. of Shaw Zool., XIT, p. 43. — Naumann, Tab. 294. — Gould, PI. 353. Afrika , zufällig im Süden Europa's. l'Afrique, accidentellement dans le midi de l'Europe. CYGNUS. SCHIVAN, CYGNE. Cygnus olor. Hückerschwan. Cygne tuberculé. Vieillot, Nouv. Dict. Dét., vol. IX, p. 37. — Anas olor, Gmel. CXII Linn., 1, p.501, n°. 47 — Cygnus mansuetus, Ray, Av., p. 136. — Cygnus gibbus, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 815. — Naumann, Tab. 295. — Gould, PI. 354. Norden Europa’s, Sibirien. | Les régions froides de L'Europe, la Si. bérie, Cygnus olor immutabilis. Blassfüssiger Hückerschwan. Cygne luberculé à pieds livides. Cygnus immutabilis, Yarrell, Proceed. Zool. Soc., 1838, p. 19; British Birds, III, p. 131, c. fig. Auf dem Zuge in Grossbrittanien und De passage en Angleterre et en Hol- Holland beobachtet. lande. Cygnus musicus. Singschwan. Cygne à bec jaune. Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 830. — Cygnus ferus, Brisson, Orn., VI, p. 292, n°. 12. — Anas cygnus, Gmel. Linn., p. 501, no. 1. — Cygnus olor, Pallas, Zoogr., IT, p. 211, n°. 316: — Cygnus melanorhynchus, Wolf u. Meyer, Taschenb., Il, p. 498. — Cygnus xanthorhinus, Naumann, XI, p. 478, Tab. 296. — Gould, PI. 355. Nôrdliches Europa, Sibirien ; im Win- L'Europe septentrionale, la Sibérie ; ter im gemässigten und südlichen Eu- visite en hiver l’Europe tempérée et mé- ropa. ridionale. Cygnus musicus minor. Kleiner Singschwan. Petit Cygne à bec jaune. Cygnus minor, Keyserl. u. Blasius, p. LXXXIT. — Cygnus olor var. B minor, Pallas, Zoogr., II, p. 214, n°. 316. — Cygnus Bewickü, Yarrell, Trans. Linn. Soc., XVI, p. 445; Jard. u. Selby, Zool. Hlustr., PI. 95. — Cygnus islandicus, Brehm, Na- turg., p. 832. — Cygnus melanorhinus, Naumann, XI, p. 497, Tab. 297. — Gould, PI. 356. Island , Sibirien ; auf dem Zuge in Gross- L'Islande, la Sibérie; observé, lors de brittanien, Frankreich und Deutschland. l’époque de la migration, en Angleter- | re, en France et en Allemagne. CXIIT ANAS (126). ENTE. CANARD, A. SCHWIMMENTEN. CANARDS NAGEURS. a. Stockenten. €Canards ordinaires. Anas boschas. (Gemeine Stockente. Canard ordinarre. Linné, Syst., XII, p.205, n°. 40. — Naumann, Tab. 300. — Gould, PI. 361. Kalte und gemässigte Zone des nürd- Les regions froides et tempérées de lichen Halbrundes. l'hémisphère boréal. b. Krikenten. Sarcelles d'hiver. Anas crecca. Gemeine Krikente. Sarcelle d'hiver ordinaire. Linné, Syst., XII, p. 204, n°. 33. — Querquedula crecca, Steph. in Shaw, XII, p. 146. — Naumann, Tab. 304. — Gould, PI. 362. Europa, Nordafrika, kaltes und ge- | L'Europe, lPAfrique septentrionale , mässigtes Asien. l'Asie boréale et tempérée. Anas bimaculata. Zweifleckige Krikente. Sarcelle d'hiver double tache. Pennant, Brit. Zool., IL, p. 602, n°. 287. — Anas glocitans, Gmel. Linn., p. 96. — Gould, PI. 363. Nôrdliches Asien; einige Exemplare in Le nord de l'Asie; observé en Angle- England beobachtet. | terre. Anas angustirostris. Schmalschnäblige Krikente. Sarcelle d'hiver à bec étroit. Ménétries, Catal., p. 58, n°0. 205. — Anas marmorata, Temm., Man. , IV, p. 544. — Anas (Fuligula) marmorata, Gould , PI. 373 — 8 CXIV Dafila marmorata, Eyton, Anat., p. 114, n°. 4 — Querquedula angustirostris, Ch. Bonap., List, p. 57; Icon. Faun. Ital., Tav. 47, fig. 1 et 2. Südliches Europa, Ufer des kaspischen Le midi de PEurope, les bords de la Mecres, Nordafrika. mer caspienne, l'Afrique septentrionale. c. Hnäkenten. Sarcelles d’été. Ænas querquedula. (remeine Knäckente. Sarcelle d'été ordinaire. Linné , Syst., XIT, p. 203, n°. 32. — Naumann, Tab. 303. — Cyanopterus circia, Eyton, Monogr. Anatid., p. 130, no. 1. — Pierocyanea circia, Ch. Bonap., Catal., p. 71, n°. 438. — Gould, PI. 364. Europa, Sibirien , Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep- tentrionale. d. Pfeifenten. Canards siffleurs. Anas penelope. (remeine Pfeifente. Canard siflleur ordinaire. Linné , Syst., XII, p. 202, no. 27. — Anas fistularis, Gessner, Av., p. 117.— Mareca penelope, Ch. Bon., List, p.65. — Mareca fistularis, Steph., Cont. of Shaw, XII, p. 131. — Naumann, Tab. 305. — Gould, PI. 359. Europa, Sibirien. I L'Europe, la Sibérie. Anas americana. Amertkanische Pfeifente. Canard siffleur d'Amérique. Gmel. Linn., Syst., p. 526, n°. 97. — Wilson, PI. 69, fig. 4. — Mareca americana, Steph., Cont. of Shaw, Zool., XII, p. 135. Nordamerika, in England beobachtet. L'Amérique du nord, observé en An- gleterre. EXV €. Schnatterenten. Canards ridennes. Anas strepera. (Gemeine Schnatterente. Canard ridenne ordinaire. Gessner, Aves, p. 117. — Linné, Syst., XII, p. 200, no. 20. — Chauliodus strepera, Swainson, Journ. Royal Instit., n°. IV, p. 19. — Chaulelasmus strepera , J. R. Gray, List, II ed., p. 94. — Naumann, Tab. 392. — Ktinorhynchus strepera, Eyton, Monogr. Anat., p. 137, n°. 1. — Gould, PI. 366. Kalte und gemässigte Gegenden der Les régions froides et tempérées de nôrdlichen Erdhälfte. l'hémisphère boréal. f. Spiessenten. €Canards pilets. nas acuta. (Gemeine Spressente. Canard pilet ordinaire. Linné, Syst., XII, p. 202, n°. 28. — Anas caudacuta, Gess- ner, Av. p. 117. — Anas longicauda, Brisson, Orn. VI, p. 369, n°. 16. — Dafila acuta, Ch. Bonap., List, p. 56. — Dafila cau- dacuta, Eyton, Mon. Anat., p. 114, n°0. 3. —— Naumann, Tab. 301. — Gould, PI. 365. Europa, kaltes und gemässigtes Asien. | L'Europe, l'Asie tempérée et boréale, g. Lôffelenten. Souchets. nas clypeata. (remeine Lüffelente. Souchet ordinaire. Linné, Syst., XII, p. 200, n°.19. — Spathula clypeata, Boie, Isis, 1822, p. 564. — Rhynchaspis clypeata, Steph., Cont. of Shaw, XII, 115. — Naumann, Tab. 306. — Gould, PI. 360. Kalte und gemässigte Striche des nôrd- Les régions froides et tempérées de lichen Halbrundes. l'hémisphère boréal. R. Hôhlenenten. Tadornes. Anas tadorna. (Gemeine Hühlenente. Tadorne commun. Linné , Syst., XII, p. 195, no. 4 — Tadorna tadorna, Flem- CXVI ming, Phil. of Zool. IT, p. 260. — Tadorna familiaris, Boie, Isis, 1822, p. 804. — Naumann, Tab. 298. — Vulpanser tadorna, Keys. u. Blas., p. LXXXIV. — Gould, PI. 357. Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie, nas rutila. Rothe Hühlenente. Tadorne Æasarka. Pallas, Nov. Comm., Petr., XIV, I, p.579, Tab. 22, fig. 1. — Anas casarca , Linné, Syst., XIT, IIT, p. 224. — Casarca rutila, Ch. Bonap., List, p. 56. — Naumann, Tab. 299. — Gould, PI. 358. Tatarie, südôstliches Europa, zufällig La Tatarie, les contrées chaudes de im übrigen Europa. PEurope orientale, accidentellement dans les autres parties de l’Europe. B. TAUCHENTEN. CANARDS PLONGEURS. a. KEiderenten. Eiders. fnas molissima. (remeine Eiderente. Eider commun. Linné, Syst., XII, p. 198, no. 15. — Anas Cutberti, Pallas, Zoogr., Il, p. 235, n°. 328. — Somateria molissima, Steph. im Shaw., Zool., XIT, p. 224 — Gould, PI. 374. Arktische Gegenden beider Welten; Le cercle aretique, visite en hiver les im Winter bis in das gemässigte Europa, régions tempérées de l'Europe. Anas spectabilis. Prächtige Eiderente. Erder à têle grise. Linné, Syst., XII, p. 195, n°. 5. — Gould, PI. 375. Arktüischer Kreis. 4 Le cercle arctique. Anas Stelleri. Abweichende Eiderente. Canard faux-eider. Pallas, Spic. Zool. fasc., VI, p. 35, Tab. 5. — Anas dispar, CXVII Sparrm., Mus. Carls., Tab. 7 et 8. — Polysticta Stelleri, Eyton, Mon. Anat., p. 150. — Stelleria dispar, Ch. Bon., List, p. 57, no. 418. — Eniconetta Stelleri, J. R. Gray, List, p. 95. — Gould, PI. 372. Kamtschatka, Kurillen, zufällig im nôrd- Le Camtschatka, les iles Kourilles, ac- lichen Europa. cidenteliement dans lPEurope septentrio- nale. ». "TÆrauerenten. Macreuses. Anas nigra. (remeine Trauerente. Macreuse commune. Linné, Syst., XII, p. 196, no. 7. — Oidemia nigra, Flem., Phil. of Zool., IT, p. 260. — Melanitta nigra, Boie, Isis, 1822, p- 564. — Gould, PI. 378. Arküsche Gegenden Europa’s, im Win- Les régions arctiques de-lPEurope, la ter bis ins südliche Europa; Sibirien. Sibérie; visite en hiver les autres parties de l'Europe. Anas fusca. Sammet-Trauerente. Double macreuse. Linné, Syst., XIT, p. 196, n°. 6. — Gould, PI. 377. Nôrdliche Gegenden beider Welten, | Les régions septentrionales des deux im Winter bis ins südliche Europa. mondes ; fréquente en hiver lEurope tempérée el méridionale. Anas perspicilluta. Brillen-Trauerente. Macreuse à large bec. Linné, Syst., XII, p. 195, n°. 5. — Gould, PI. 376. Nôrdliches Amerika, zufällig in Eu- L'Amérique boréale, accidentellement ropa. en Europe. Eisenten. Canards macroures. Anas glacialis. (remeine Eisente. Canard macroure commun. Linné, Syst., p. 203, n°. 30. — Anas hyemalis, ibid., p. 202, CXVIIE n°0, 9. — Harelda glacialis, Steph. in Shaw, XII, p. 175. — Gould, PI. 382. Nôrdliche Länder beider Welten; im Régions septentrionales des deux mon- Winter einzeln bis ins südliche Europa. des; ségare en hiver jusque dans le midi de l'Europe. Nymphenenten. €Canards nymphes. Anas mersa. Europäische Nymphenente. Canard nymphe d'Europe. Pallas, It., IT, app., no. 29. — Anas leucocephala, Scopoli, Ann.,[,p.65, n°. 79. — Undina leucocephala , Gould, PI. 383, — Erismatura leucocephala, Eyton, Mon., p. 170. — Erismatura mersa, Ch. Bon., List, p. 59. — Undina mersa, Keys. u. Blas., p. LXXXVI — Gould, PI. 383. Südôstliches Europa. Les régions chaudes de l’Europe orien- tale. Schellenten. Garrots. {nas clangula. Gemerine Schellente. Garrot ordinaire. Linné, Syst., XII, p. 201, n°. 23. — Anas glaucion, ibid., n0. 26. — Anas hyemalis, Pallas, Zoogr., II, p.270, no. 350. — Clangula clangula, Flemming, Phil. of Zool., p. 260. — Gould, PL. 379. Norden der alten Welt; im Winter Les régions septentrionales des deux bis in’s südliche Furopa. mondes ; en hiver, jusque dans le midi de l'Europe. nas Barrowii. Arklische Schellente. Garrot arctique. Temm., Man., IT, p. 551. — Clangula Barrovü, Richardson, Fauna bor. amer., Birds, p. 456, PI. 70. — Glaucion islandicum, Keys. u. Blas., p. LXXXVI. — Gould, PI. 380. Nôrdliches Amerika, Island, | L'Amérique boréale, l'Islande. CXIX Anas albeola. Zwerg-Schellente. Garrot nain. Forster, Phil. Trans. , I, XII, p. 416 , no. 47. — Wilson, VIII, p. 51, PI. 67, fig. 2 et 8. — Anas bucephala, Penn. Arct. Zool., p- 559, n°. 489. Nordamerika, in England erleot. L’Amérique du nord, tué en Angle- terre. Kragenenten. Canards histrions. Anas histrionica. (memeine Kragenente. Canard histrion Commun. Linné, Syst., XII, p. 204, n°. 835. — Gould, PI. 381. Norden beider Welten. | Le cercle arctique. Reïherenten. Morillons. Anas fuligula. (remeine Reiherente. Morillon commun. Linn., Syst. XII, p 207, no. 45. — Fuligula cristata, Steph. , in Shaw, Zool., XIT, p. 190. — Gould, PI. 370. Norden der alten Welt, im Winter Les régions septentrionales de Pancien bis in’s südliche Europa. monde; fréquente en hiver lPEurope tempérée et méridionale, Anas rufitorques. Halsband-Retherente. Morillon à collier. Anas fuligula, Wilson, VIIT, p. 60, PI. 67, fig. 5. — Fuli- gula rufitorques, Ch. Bonap., Syn., p. 393, no. 341. Nordamerika, zufällig in England. L'Amérique du nord, accidentellement en Angleterre. CXX Bergenten. Millouinans, Anas marila. (Gemeine PBergente. Millouinan ordinaire. Linné, Syst., XII, p. 196, no. 8 — Gould, PI. 371. Norden der alten Welt, im Winter bis Les contrées septentrionales de l’an- in das südliche Europa. cien monde; visite en hiver PEurope | tempérée et méridionale. Anas marila americana. Amerikanische Bergente. Millour- nan d'Amérique. Anas marila, Wilson, PI. 69, fig. 3. — Anas mariloides, Yar- rell, Brit. Birds, IIT, p. 247, c. fig. — Fuligula affinis, Eyton, Monogr., p. 157. Nordamerika. | L'Amérique du nord. Tafelenten. Millouins. Anas ferina. (Gremeine Tafelente. Millouin commun. Linné, Syst., XII, p. 203, no. 31. — Nyroca ferina, Flem. , Phil. of Zool., IT, p. 260. — Aythya ferina, Boie, Isis, 1822, p. 564. — Gould, PI. 367. Nôürdliche und gemässiste Gegenden ! Les contrées septentrionales et tempé- der alten Welt, im Winter bis in’s süd- rées de lPancien monde, passe en hiver liche Europa. jusque dans le midi de l’Europe. Anas nyroca. Werssäugige Enle. Millouin nyroca. Güldenst., Nov. Comm. Petr. XIV, 1, p. 403. — Anas leu- cophthalmos, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 1009. — Gould, PI. 368. Europa. | L'Europe, CXXI Kolbenenten. Canards huppés. Anas rufina. (remeine Kolbenente. Canard huppé ordinaire. Palläs Jill app:..n°.. 25. pes Branta rufina, Boie, Isis, 1822, p. 564 — Callichen rufinus, Brehm, Vôgel Deutschl., p+ 922. — Gould, PI. 369. Südôstliches Europa. Les régions chaudes de l'Europe orien- {ale. MERGUS. SAGER. HARLE. Mergus merganser. Günsesäger. (OGrrand Harle. Linné, Syst., XII, p. 208, n°. 2. — Mergus castor, ibid., p. 109, n°. 4. — Merganser Raï, Steph., in Shaw, Zool., XII, p- 161. — Gould, PI. 384. Norden der alten Welt, im Winter Les parties sceptentrionales de l’ancien bis in das südliche Europa. monde; de passage dans les autres par- ties de l’Europe. Mergus serrator. Langschnäbliger Sager. Harle huppé. Linné, Syst., XII, p. 208, n°. 3. — Gould, PI. 385. Norden beider Welten, im Winter bis Les régions septentrionales des deux in’s südliche Europa. mondes ; de passage, en hiver, dans les autres parties de l’Europe. Mergus cucullatus. Helmsäüger. Harle couronné. Linné, Syst., XII, p. 207, no. 1. — Gould, PI. 386. Nordamerika, zufallig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement en Europe. EXXII Mergus albellus (127). Weisser Sager. Merle prette. Linné, Syst., XIT, p. 209, no. 5. — Gould, PI. 387. Norden beider Welten, im Winter Les régions septentrionales des deux bis in das südliche Europa. mondes ; fréquente en hiver PEurope tempérée et méridionale. PELIKANARTIGE VOGEL (128). STÉGANOPODES. PELICANUS. PELIKHAN. PÉLÉCAN. Pelecanus crispus. Riesen-Pelikan. Pélécan frisé. Bruch, Isis, 1832, p. 1109. — Naumann, Tab. 283. — Gould, PI. 406. Suüdôstiiches Europa. | Les parties chaudes de l’Europe orien- tale. Pelecanus onocrotalus (129). Gemeiner Pelikan. Pélécan blanc. Pelecanus onocrotalus orientalis (part.), Linné, Syst., XIT, p. 215, no. 1. — Naumann, Tab. 282. —_ Gould, PI. 405. Südôstliches Europa, südliches und ge- Les parties chaudes de l’Europe orien- mässigtes Asien, Nordafrika, tale, PAsie tempérée et méridionale, l'Afrique septentrionale. CARBO. SCHARBE. CORMORAN. Carbo cormoranus (129 bis). Kormoranscharbe. Grand cormoran. Meyer u. Wolf, Taschenb., IT, p. 576. — Pelecanus carbo, Linn. Syst., XII, p. 216, n°. 3. — Phalacrocorax carbo, Cuv. , Règne an.,[, p. 562. — Halieus carbo, Illiger , Prodr. , p. 279. — Naumann , Tab. 279. — Gould, PI. 407. Europa, Asien, Nordamerika. | L'Europe, l'Asie, PAmérique du nord. EXXIII Carbo graculus (130). Krühenscharbe. Comoran nigaud. Pelecanus graculus, Linné , Syst., XIT, p.217, n°. 4. — Pelecanus cristatus, Fabr., Fauna groenl. , n°. 58. — Carbo cristatus, Temm., Man., II, p. 900. Naumann, Tab. 280. — Gould, PI. 410. Nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale. Carbo graculus mediterraneus. Südliche Krühenscharbe. Cormoran nigaud méridional. Carbo Desmarestii, Payraudeau, Ann. d. sc. nat., 1826, p. 460. — Naumann, Tab. 280 fig. 3. — Gould, PI. 411. Mitteliändisches Meer. | La Méditerranée. Carbo pygmaeus. Zwergscharbe. Cormoran pygmée. Temm., Man., II, p. 901. — Pelecanus pygmaeus, Pallas, Ît., IT, app., n°. 26. — Naumann, Tab. 281. — Gould, PI. 409. Südôstliches Europa. | Les parties chaudes de PEurope orientale. SULA (131). TOLPEL. FOU. Sula bassana. (Gemeiner Tülpel. Fou ordinaire. Brisson, Orn., VI, p. 503, n°. 5. — Pelecanus Bassanus, Linn., Syst., XII, p. 217, no. 5, — Sula alba, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, 582. — Naumann, Tab. 278. — Gould, PI. 412. Norden der alten Welt. Les régions septentrionales de l’ancien monde. CXXIV MOVENARTIGE VOGEL (132). LONGIPENNES. LARUS. MOVE. MOUETTE. a. Seemüven. Mouettes marines ou Goëlands. Larus marinus. Mantelmüve. (Goëland à manteau noir. Linné, Syst., XII, p. 225, n°. 6. — Naumann, Tab. 268. — Gould, PI. 430. Norden beider Welten, Les régions septentrionales des deux mondes. Larus fuscus. Kleine Mantelmôte. Petit Goëland à manteau noir. Linné, Syst., XII, p. 225, n°. 6. — Larus flavipes, Meyer u. Wolf, Taschenb., If, p. 469. — Naumann, Taf. 267. — Gould, PL GE Nôürdliches Europa, im Winter bis in’s L'Europe septentrionale; visite en hiver südliche Europa. l'Europe tempérée et méridionale. Larus argentatus (133). Silbermüve. Goëland à manteau gris. Brünnich, Orn. bor., p. 44, n°. 149. — Naumann, Tab. 266. — Gould, PI. 434. Norden der alten Welt. Li Les parties septentrionales de lPancien monde. Larus cachinnans. Gelbfüssige Silbermüve. Goëland de Pallas. Pallas, Zoogr., II, p. 318, n°. 177. — Larus Michahellesn , - Bruch, Isis, 1832, p. 1107. Südôstliches Europa, Sibirien. | Les régions chaudes de l’Europe orien- tale, la Sibérie. CXXV Larus glaucus. Grosse weissschwingige Müve. Goëland bour- gemestre. - Brünnich, Orn. bor., p. 44, n°. 148. — Naumann, Taf, 264. — Gould, PI. 432. Norden beider Welten, im Winter im Le nord des deux mondes; visite en gemässigten Europa. hiver l'Europe tempérée. Larus leucopterus. Kleiïne weissschwingige Müve. Goëland leucoptere. Faber, Prodr., p. 91, n°. 2. — Larus glaucoides, Temm. in Meyer u. Wolf, Taschenb., Zusätze TIT, p. 197. — Larus islan- dicus, Edmonston, Mem. Wern. Soc., IV, p. 506. — Larus arcti- cus, Mac Gillivray, ibid., V, p. 268. — Naumann, Taf. 265. — Gould, PI. 433. Nordamerika, Island. | L'Amérique du Nord, Pislande. Lurus canus. Slurmmüve. (woëland à pieds bleus. Linné, Syst., XIT, p. 224, n°. 8 — Larus cyanorhynchus, Meyer u. Wolf, Taschenb., IL, p. 480. — Naumann, Taf. 261.— Gould, PI. 437. Europa, ausser Island. | L'Europe, a l'exception de PIslande. Larus Audouiniti. Buntschnüblige Müve. (Goëland Audouin. Payraudeau, Ann. des Sc. Nat., 1826, p. 460. — PI. col. 480. — Gould, PI. 438. Mittelländisches Meer. | Les côtes de la Méditerranée. CXXVI Larus eburneus. Rathsherr-Môve. (Goëland sénateur. Gmel. Linn., p. 596, n°. 14 — Gavia eburnea, Boie, Isis, 1822, p. 876. — Naumann, Taf. 263. — Gould, PI. 436. Arktische Meere beider Welten. Les mers arctiques des deux mondes. Larus tridactylus. Slummeldaum-Môve. Goëland à pouce imparfait. Linné Syst., XIT, p.224, n0.2. — Larus rissa, Brünnich, Orn. bor., n°. 140. — Rissa tridactyla, Leach, Mus. Britt. et auct. angl. — Naumann, Taf. 262. — Gould, PI. 435. Arktische Meere beider Welten, im Parages arctiques des deux mondes; Winter bis in das Mittelmeer. fréquente en hiver l'Europe tempérée et méridionale, Larus leucopthalmos. Weissüugise Müve. Goëland à tris blanc. Licht. in Temm., PI. col. 366. — Temm. Man., III, p. 486. Griechenland , rothes Meer. AU] La Grèce, la mer rouge. b. Moormüven. Mouettes. Larus ridibundus. Lachmüve. Mouette rieuse. Linné Syst., XII, p. 225, ONCE Xema ridibundus, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Taf. 260. — Gould, PI. 425. Europa, ausser dem hohen Norden; L'Europe, à lexception des régions Sibirien. arctiques; la Sibérie. CXXVITI Larus ridibundus minor (134). Kleine Lachmüve. Petite mouelle rieuse. Larus capistratus, Temm., Man., IT, p. 785. — Xema capis- tratum, Ch. Bonap., Icon. d. Fauna ital., 1, Tav. 46, fig. 1. Europa, Africa. | L'Europe, l'Afrique. Larus atricilla (135). Bleigrauküpfige Môve. Mouette à ca- puchon plombé. Linné, Syst., XIT, p. 225, n°0. 8. — Larus plumbiceps, Brehm, Lehrb., p. 722. — Gould, PI. 426. Nordamerika, zufällig in Grossbritan- L'Amérique du nord, accidentellement nien. en Angleterre. Larus gelustes. Diünnschnäblige Müve. Mouette à bec grêéle. Lichtenst., Mus. Berol.; Thienemann, Fortpfl., V, p. 22, no. 351. — Larus Genei, De Breme , in Guérin, Revue Zool., 1839, p- 321. — Larus tenuirostris, Temm. , Man., [V, p.478. — Xema Lambruschini, Ch. Bonap., Ic. d. Fauna ital. , I, Tav. 45, fig. 1. Mittelländisches Meer. | Les côtes de la Méditerranée. Larus melanocephalus (135 bts). Schwarzkôpfige Müôve. Mou- elle à capuchon noir. Natterer in Temm. Man., I, p.777. — Naumann, Tab. 259. — Gould , PI. 427. Mittelländisches Mecr. | Les côtes de la Mediterranée. Larus minutus. Zwergmüve. Mouette pygmée. Pallas, It., IT, app., n°. 35. — Naumann, Tab. 258. — Gould, PI. 428. Sibirien, ôstliches Europa, selten im La Sibérie, l'Europe orientale, rare- übrigen Europa. ment dans les autres parties de l’Europe, GXXVIII Larus ichthyaëtos. Fischmüve. Mouette ichthyaëte. Pallas, It., IT, app. , n°. 27. — Gould, PI. 485. Südôstliches Europa. Les parties chaudes de l’Europe orien- tale. Larus Sabinii. Schwalbenschiwanz-Müve. Mouette de Sabine. I. Sabine, in Trans., Linn. Soc., XIT, p. 520, PI. 29. —-Xema Sabinü, Leach in Ross, [ voy., app., p. 57. — Gould, PI. 429. Arktisches Amerika, zufällig in Gross- Les régions arctiques de l'Amérique , britannien. accidentellement en Angleterre. Larus Hossii. Kerilschwanz-Môve. Mouette de Ross. Richardson, in Parry, IT voy., app., 359. — Larus roseus, Jard. et Selby, Zool. Illustr., PI. 14. — Rossia rosea, Ch. Bonap., List, p. 62. Arktisches Amerika , zufällig in Europa. Les régions arctiques de l’Amérique, accidentellement en Europe. STERNA (136. SEESCHWALBE. HIRONDELLE DE MER. a. Echte Seeschwalben. Hirondelles de mer pro- prement dites. Sterna caspia. Riesenseeschwalbe. Hirondelle de mer tsche- 5 TAUe Pallas, Nov. Comm. Petrop., XIV ,1, p.583. — Sterna megar- hynchos, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 457. — Stylochelhidon CXXIX caspia, Brehm, Handb., p. 770. — Naumann, Tab. 248. — Gould, PI. 414. Gemässigtes und warmes Europa, sel- L'Europe tempérée et chaude, rare- ten im wesilichen Europa; Asien, Afrika. ment dans l’Europe occidentale; PAsie, PAfrique. Sterna cantiaca. Weissgraue Seeschwalbe. Hirondelle de mer caugek. Gmel. Linné, p. 606, n°. 15. — Sterna striata, ibid. , p. 609, no. 24 — Sterna canescens, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 458. — Thalasseus cantiacus, F. Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 250. — Gould, PI. 415. Europa, Afrika, Nordamerika. L'Europe, l'Afrique, l'Amérique du nord. Sterna affinis. Rüppells Seeschwalbe. Hirondelle de mer voyageuse. Rüppell, Atlas, p. 23, Taf. 14. — Sterna media, Horsf. Linn., Trans., XIII, p. 199, no. 3. Griechenland, Afrika, indischer Ar- 1 La Grèce, PAfrique, PArchipel indien. chipel. Sterna hirundo. (GMemeine Seeschiwalbe. Hirondelle de mer Pierre Garin. Linné, Syst., XII, p. 227, no. 2. — Naumann, Tab. 252. — Gould, PI. 417. Europa, Afrika, Sibirien, Nordameri- | L'Europe, PAfrique, la Sibérie, PAmé- ka. rique du nord. Sterna macrura. Langschwänzige Seeschwalbe. Hirondelle de mer macroure. Naumann, Isis, 1819, p. 1847. — Sterna arctica , Temm. Man., 9 CXXX IT, p. 742. — Sterna argentata, Brehm, Beitr., III, p. 692. — Naumann, Tab. 253. — Gould, PI. 419. Norden beider Welten, im Winter Les contrées septentrionales des deux ceinzeln im mittelländischen Meere; Vorge- mondes, visite en hiver en petit nombre birge der guten Hoffnung. les côtes de la Méditerranée; le Cap de Bonne Espérance. Sterna minuta. Zwergseeschwalbe. Pelile hirondelle de mer. Linné, Syst., XII, p. 228, n°. 4. — Sternula minuta, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann , Tab. 254. — Gould, PI. 420. Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale, Asien. l'Asie. Sterna paradisea. Brünnick's Seeschwalbe. Hirondelle de mer Brunnich. Brünnich, Orn. bor., p. 46. — Sterna Dougalli, Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Tern roseate. — Naumann, Tab. 251. — Gould , PI. 418. Europa , Nordamerika. | J'Europe, l'Amérique du nord. Sterna anglica. Lachseeschwalbe. Hirondelle de mer hansel. Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Tern gull-billed. — Gelo- chelidon anglica, Ch. Bonap., List, p. 61. — Naumann, Tab. 249. — Gould, PI. 416. Europa, Arabien, Afrika. | L'Europe, l'Arabie, l'Afrique. b. Bastard-Sceschwalben. Hirondelles de mer bâtardes. Sterna nigra. Schwarze Seeschwalbe. Hirondelle de mer épouvantail. -Brisson, Orn., VI, p. 211, n°. 11. — Sterna naevia, ibid., p. CXXXI 216,. n°. 6. — Sterna fissipes, Linné, Syst., XII, p. 228, no. 7. — Hydrochelidon nigrum, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Nau- mann, Tab. 256. — Gould, PI. 422. Europa , gemässigtes Asien, Nordame- L'Europe, l'Asie tempérée, lAméri- ka... ‘ que du nord. Sterna leucoptera. Weissschwingise Seeschwalbe. Hirondelle de mer leucoptere. Meissner u. Schinz, Vôgel der Schweiz, p. 264, no. 238. — Sterna nigra, Linn., Syst., XII, p. 227, n°. 3. — Naumann, Tab. 297. EE Gould , PI. ADS Südliches Europa, Asien. | L'Europe méridionale , l'Asie. Sterna leucopareia. Schnurrbürtige Seeschwalbe. Hirondelle de mer mouslac. Natterer in Temm., Man., Il, p. 746. — Sterna hybrida, Pal- las, Zoogr., II, p. 338, n°. 395. 2. Naumann, Tab. 255. — Gould, PI. 424. Südliches Europa, Nordafrika, Asien. Le midi de l'Europe, l'Afrique sep- tentrionale , PAsie. c. Noddis. Noddis. Sterna stolidu. (remeiner Noddi. Noddi commun. Linné, Syst., XII, p. 227, no. 1. — Megalopterus stolidus, Boie, Isis, 1826, p. 980. — Gould, PI. 421. Südliches Halbrund ; einzeln im mittel- | L’hémisphère boréal; observé sur les ländischen Meere und an den Küsten côtes de la Méditerranée et de PAngle- Englands beobachtet. terre. CXXXII PROCELLARIA. STURMVOGEL. PÉTREL. €. Procellaria. Eigentliche Sturmvôgel. Pétrels. Procellaria glacialis. Eïssturmvogel. Pétrel fulmar. Linné, Syst., XIL, p. 213, n°. 3. — Gould, PI. 446. Nürdliches Europa. | L'Europe boréale. Bb. Puffine. Puffins. Puffinus. Puffinus cinereus. (Grauer Puffin. Puffhin cendré. Temm., Man., III, p. 806 et IV, p. 506. — Gould, PI. 45, fig. 1. Mittelmeer, bis an die Küsten Eng- | La méditerranée, jusqu’ aux côtes de lands. l'Angleterre. Puffinus major. Grosser grauer Puffin. Pufjin cendré arctique. Faber, Prodr., p. 56, n°. 2. Arktische Gegenden Europæs, Neu- Les régions arctiques de l’Europe ; la fundland. Terre-neuve. Puffinus fuliginosus (137). Rauchgrauer Puffin. Pufjin Juligineux. Strickland, Proceed. Zool. Soc., 1832, p. 129. — Puffinus cinereus, fem., Gould, PI. 445, fig. 2 — Puflinus major, fem. Temm., Man., IV, p. 508. Neufundland, zufäilig in Grossbritan- La Terre-neuve, accidentellement en nien. Angleterre. Puffinus arcticus (138). Arktischer Puffin. Puffin manks. Faber, Prodr., p. 56, n°. 1. — Procellaria pufinus, Brünnich, CXXXIII Orn. bor., p. 29. — Procellaria anglorum, Temm., Man., IT, p. 806. — Naumann, Tab. 277. — Gould, PI. 443. Nôrdliches Europa, Nordamerika. | L'Europe boréale, l'Amérique du nord. Pauffinus obscurus. Dunhler Puffin. Pufjin obscur. Boie, Isis, 1826, p. 980. — Procellaria obscura, Gmel. Linné, p- 559, no. 7. — Gould, PI. 444. Nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale. THALASSIDROMA. SCHWALBRENSTURMVOGEL. THALASSIDROME. Thalassidroma pelagica. (remeiner Schwalbensturmvogel. Thalassidrome tempête. Vigors, et auct. recent. — Procellaria pelagica, Linné , Syst., XII, p. 212, no. 1. — Hydrobates pelagica, Boie, Isis, 1822, p. 562. — Naumann, Tab. 275. — Gould, PI. 477, fig. 2. Europa. | L'Europe. Thalassidroma Leachii. Leach's Schwalbensturmvogel. Tha- lassidrorie de Leach. Ch. Bon., List, p. 64. — Procellaria Leachü, Temm, Man., IT, p. 812. — Naumann, Tab. 275. — Gould, PI. 447, fig. 1. Atlantischer Ocean, Küsten Frank- | L'Océan atlantique. les côtes de la reichs und Englands. France et de PAngleterre. Thalassidroma Wilsonii (139). Wilsons Sck walbensturmvogel. Thalassidrome de Wilson. Ch. Bonap., Syn., p. 367. — Procellaria pelagica, Wilson, Tab. LX, fig. 6. — Proc. oceanica, Forst., Licht., Catal., p. CXXXIV 83, n°. 764, nota. — Oceanites Wilsoni, Keyserl. u. Blas., p. XCIII. Mexicanischer Meerbusen, zufällig an Le Golfe de Mexique, accidentelle den englischen Küsten. ment en Angleterre. Thalassidroma Buliweri. PBulwers Schwalbensturmvogel. Thalassidrome de Buliwer. Gould » PI. 448. — Procellaria Bulweri, Jard. and Selby, Zool. Illust., PI. 65. Azoren, Madeira, an den Küsten Eng- | Les Azores et Madère ; observé sur les lands beobachtet. côtes de l’Angleterre. LESTRIS. RHRAUBMOVE. STERCORATRE. Lestris catarractes. Grosse Raubmüve. Stercoraire ca- tarracte, Illiger, Prodr., p. 273. — Larus catarrhactes, Linn., Syst. nat., XII, p. 226, no. 11. — Catharacta Skua, Brünn., Orn. bor., p-.33, n°. 125. — Naumann, Tab. 270. — Gould, PI. 439. Nôrdliches Europa. Î L'Europe septentrionale. Lestris pomarina. Milllere Raubmôve. Stercoraire pomarin. Temm., Man., II, p. 793. — Naumann, Tab. 271. — Gould, PI. 440. Norden beider Welten, im Winter bis Les régions septentrionales des deux in das südliche Europa. mondes ; visite en hiver les autres par- ties de l’Europe. CXXXV Lestris parasita. Schmarotzer-Raubmüve. Stercoraire parasite. Boie, Reise, p. 129. — Catharacta parasita et coprotheres, Brünn., Orn. bor., p. 87, n°. 127 et p. 38, n°. 128. — Lestris Richardsonni, Swainson , Fauna bor. amer., IT, p. 433, PI. 73. — Naumann, Tab. 272, 273. — Gould, PI. 441. Nôrdliches Europa, auf dem Zuge bis L'Europe septentrionale, de passage in das südliche Europa. en hiver dans les autres parties de l’'Eu- rope. Lestris Buffonii (140). Bufflon's Raubmüve. Stercoratire de Buffon Lestris Buffonni, Boie, in Meyer, Taschenb., TITI, p. 212, n°. 3; Isis, 1822, p. 562 et 874 — Lestris crepidata, Brehm, Beitr., III, p. 861. — Catharacta cephus, Brünnich, Orn. bor., p. 36, n°. 126, c. fig. — Lestris parasiticus, Swains., Faun. bor. amer. Birds, p. 430. — Naumann, Tab. 274. — Gould, PI. 442. Nôrdliches Europa, auf dem Zuge im L'Europe septentrionale, visite en hi- gemässigten Europa. ver l'Europe tempérée. DEAN TONTALE, ATIA YU liir PME ‘4 “ RAA EL 01 EE |: k " RU Sa La .. l : V0 MU un Le : FT OU ou teen Mt en À LOL : MT WIN an s DLL LENS OP CE" 214 44 PR ETF 4 LL n à Er ue L i . nétas à 4 0 : | 1 Eee + 4 11 WEST n 1 Ê | ñ AO {1 o 1 { { L VE Le : ; [re nl 1 17. 7 n1 1 LAC à ts « déve " Meier HA TRE M RUE MN LUE À FE n PAU sent | . "'h à " + \ | LAITHAS NA 0942 7 4% D Le : ’ 70e: | ‘ GET nm D. 4 [l U 2 ft M Es l L ï - =: à fr L) : 1. : ï x 1 ï ù MO nl | OR : TR fi PE ZWEITE ABTHEILUNG. SECONDE PARTIE. Je Or] TE ? Û Fe Le 1 " ' fa Pan M d ou ' < » | ti nn. 2 L ; 20 ; rt ke A ps _ | pl : ; | VE > pui T \ nt i td À Fa rt LL 1 f À | à | : R à | r + 7 4 ‘ tan l + : R , t ) h À : ñ ARE LE à * L | la. 70 NT R NX * té ne r ve Le CT Fi “AO XLe. de 1 el, an } 2 j var 44 : | | Aus | + A 6 48 : ' , { LL. à D Be 46 pi Mel dal 4 TP ET E TR TE | it pres tas, MR 2 Û s . 40h) Os qe er pv e artiste à ( Tv . et tés ANT TER ï TES | ax Tr pe SL | 5 n | ci : à æ!, n | ——— #52 GIE -4-4—— (1) FALCO CANDICANS IS- LANDICUS. Schon Âorrebow, Descr. de l'Islande, I, p.210, und nach ihm Faber, Prodr. p. 3, haben darauf aufmerksam ge- macht, dass die weissen Falken, wie sie in Grünland vorkommen, auf Island nicht brüten, sondern diese Insel nur im Winter besu- chen. Brehm, L. c., trennte im Jahre 1823 den isländischen Fal- ken vom grünländischen; später thaten dies auch Hancock, [. c., und Æeyserl. u. Blasius, . e. — Wir haben eine Menge, im Som- mer in Grünland und Island erleg- te Individuen dieser beiden Fal- ken untersucht und gefunden, dass die von den erwähnten Na- turforschern angeführten Kenn- zeichen, wodurch sich der grün- ländische vomisländischen Falken unterscheiden soll, grôüsstentheils unstatthaft sind. Nach Brehm soll der Schnabel des grônländi- schen Falken mit einem doppel- ten Zahne, der des isländischen mit einem einfachen Zahne ver- sehen seyn; Âancock dagegen schreibt dem isländischen Falken einen Doppelzahn, dem grünlän- dischen einen einfachen Zahn zu : ein Widerspruch, der um so 9 (1) FALCO CANDICANS 1S- LANDICUS. orrebow, Descr. de l'Islande, T, p. 210, et après lui Faber, Prodr. p. 3, ont été les premiers à constater que les faucons blancs tels qu'ils se trou- vent ordinairement au Groenland, ne nichent pas en Islande, et qu'ils ne visitent cette île qu’en hiver. Ce ne füt cependant qu’en 1823 que Brehm distinguàt com- me espèce le faucon du Groenland de celui d'Islande, et il fut plus tard imité à cet égard par Han- cock, Keyserling et Blasrus. Nousavons examiné un assez grand nombre de faucons de ces deux races, tués en été au Groenland et en Islande, et nous avons trou- vé que la plupart des caractères établis par ces savans pour dis- tinguer les deux races de faucon que nous venons de citer, sont loin d’être constants. Brehm veut que le bec du faucon du Groen- land soit pourvu d’un double fes- ton, tandis que le bec du faucon d'Islande n'offre qu'un seul fes- ton; Hancock dit au contraire que le bec du faucon d'Islande résente deux festons et celui du faucon d'Islande un simple feston: assertions contradictoires qu'il est 1 unerklärlicher ist, da beide Na- turforscher ganze Reihen Indivi- duen dieser Falken von Grünland und Island untersucht haben. — Hancock giebt ferner an, dass beim grünländischen Falken die Querflecke der beiden mitteln Steuerfedern emander ger ade ge- genüberstehen, oder mit ce Worten, dass diese Flecke unab- gebrochene Querbinden bilden, während sie beim isländischen Falken abwechselnd stehen , und daher keine durchgehenden , son- dern abgebrochene Querbinden bilden. Auch diese Erscheinung ist nach meinen Beobachtungen zufällig; denn ich fand diese Querstreife beim weissen und is- läindischen Falken, wie bei den übrigen Arten, bald unabgebro- chen bald abwechselnd stehend, zuweilen bei einem und demsel- ben Individuum, auf einer Feder abwechselnd, auf der andern durchgehend, oder sogar auf ei- ner und derselben Feder theil- weise abgebrochen, theilweise unabgebrochen. — Nach Han- cock soll ferner der Schwanz beim grünländischen Falken 2 Zoll, beim isländischen 115 Zoll über die Fiügel hinausragen. Wä- re ein solcher Unterschied vor- handen, so müsste er doch wohl seine Ursache in verschiedenen gegenseitigen Längeverhältnissen der Flügel und des ERA ha- ben: von diesen Verhältnissen schweigt aber Hancock und seme Nachfolger, und nach unsern Untersuchungen bestehen sie auch wirklich nicht. Æeyserling und Blasrus,:rl 0; 135, geben endlich als Hauptkennzeichen LS d'autant plus difficile de concilier que ces savans prétendent avoir examiné un grand nombre d'in- dividus de chacune de ces deux races de faucon. Hancock cons- tate encore que les taches claires des deux pennes mitoyennes de la queue forment , dans le faucon du Groenland, des bandes conti- nues, tandis qu'étant opposées dans le faucon d'Islande, elles se présentent, dans cette race, sous la forme de bandes transversales interrompues. Mes propres re- cherches m'ont appris que ce ca- ractére ainsi que celui tiré de la présence d’un double feston au bec est absolument dû à des va- riétés individuelles, les taches dont nous venons de parler étant dans les faucons du Groenland et d'Islande, comme dans plusieurs autres espèces, tantôt opposées, tantôt continues, quelquefois dans un seul individu sur l’une des pennes opposées, sur l’autre continues, ou même sur une seule penne en partie opposées, en partie continues. Hancock pré- tend encore que la queue dépasse les ailes de deux pouces dans le faucon du Groenland et d’un pou- ce et demi seulement dans celui d'Islande; mais il est évident que ce caractère, s’il existait, devrait naturellement dépendre de la di- versité des dimensions relatives de la queue et des ailes de ces deux races; mais Hancock ne fait nullement mention de ces diffé- rences qui, en effet, n’existent pas. Les traits distinctifs assignés au faucon du Groenland par MM. Keyserlins et Blasius, p. 155, sont les suivans: » L’extrémité des grônländischen Falken an: »Die dritte Schwinge steht der »zweiten näher als der ersten, so » dass der Unterschied der zwei- »ten und dritten kleiner ist als » der ersten und dritten.” Beim isländischen Falken sollen da- gegen folgende Verhältnisse Statt den »Die dritte Schwinge »steht der ersten näher als der » zweiten, so dass der Unterschied » der zweiten und dritten,grôsser »ist als der ersten und dritten.” Wir kônnen versichern, dass auch diese Kennzeichen nicht Stand halten, weil sie lediglich von der mehr oder weniger volkomme- nen Entwickelung der Schwung- federn abhängen. — Nach unsern Untersuchungenist der isländische Falke vom grônländischen oder dem weissen Falken nur durch die Färbung, und zwar nur im Alter, zu unterscheiden; junge Vô- gel sind sich so older ähn- bi dass auch nicht der ge- ringste Unterschied Statt findet. ee ausgetärbten grünländi- schen Falken sind Kopf, Hals, alle Untertheile, und oft auch die Steuerfedern , mit Ausnahme des mittelsten Paares , rein weiss; auf den Obertheilen herrscht eben- falls die weisse Farbe vor, und die dunkle Farbe erscheint nur auf den Federn des Riückens und der Flügel, in der Gestalt von herz- fôrmigenu Flecken oder unvoll- kommenen Querbimden. Der Schnabel ist oft ganz gelblich ; die Füsse dagegen sind gewühn- lich blassgelb, oder behalten so- gar ihre blauliche Färbung , nach- dem der Vogel schon das weisse Kleid angelegt hat. Beim ausge- »de la troisième rémige plus rap- » prochée de l'extrémité de la » deuxième, d’où il résulte que la » distance comprise entre les ex- »trémités de la deuxième et de » la troisième rémige est moins » considérable que la distance » comprise entre les extrémités de » la première et de la troisième ré- » mige.” Le faucon d'Islande offre au Été , selon cessavans , les traits distinctifs suivans: » L’ex- »trémité de la troisième rémige »est plus rapprochée de l’extré- » mité de la deuxième; la distance » comprise entre les extrémités de »la deuxième et de la troisième »rémige est, par conséquent, » plus considérable que la distan- »ce comprise entre la première »et la troisième rémige.” Quant à ces caractères, nous avons 0b- servé qu'ils dépendent du déve- loppement plus ou moins parfait des rémiges, et qu'ils sont loin d'offrir des traits distinctifs sûrs et constans. Nous ne sommes par- venus à distinguer le faucon d’Is- lande de celui du Groenland qu’au moyen des caractères empruntés aux couleurs, Les jeunes de l’année de ces races se ressemblent telle- ment qu'il est impossible de les distinguer, si leur origine n’a pas été préalablement constatée. Le faucon du Groenland est, lors- u'il est revêtu de sa livrée par- faite, d’un blanc pur sur la tête, le cou, les parties inférieures et souvent aussi sur les pennes de la queue , à l'exception des deux mitoyennes; et les taches foncées, dont les parties supérieures de- puis le dos se trouvent couvertes, sont assez petites etse présentent färbten isländischen Falken ist der Schwanz mit abwechselnden hel- len und dunkeln Querflecken ver- sehen. Die Brust und die un- tern Schwanzdeckfedern sind mit kleinen dunkeln Strichen, der Bauch mit thränen- und herzfôr- migen Flecken versehen, die auf den Seiten als Querflecke erschei- nen. Die hellen Flecke der Ober- theile haben immer die Gestalt mehr oder weniger vollkommener Querbänder. Die hellen Quer- bänder der obern Schwanzdeck- federn sind bläuhchweiss, und die der Seiten des Bürzels asch- grau. Kopf, Nacken, Hinterhals und Ohrgegend sind ebenfalls mit Strichflecken versehen, und die Zügelgegend, so wieder sehr klei- ne Backenbartzieheninsschwärz- hche. Der Schnabelist nur an der Wurzel gelblich, und die Füsse sind ganz gelb, wenigstens an ge- trockneten Exemplaren. Die Falkeniere, welche die Falkenarten oft besser kennen als die Naturforscher, unterscheiden den grônländischen Falken nicht vom isländischen. Sie begreifen beide unter dem gemeinschaft- hchen Namen Zsländer, und sous la forme de taches en coeur ou de bandes transversales impar- faites. Le bec est souvent d’un jaunâtre uniforme; les pieds sont ordinairement d’un jaune pâle ou offrent même encore la teinte bleuñtre, telle qu’elle se voit dans les jeunes de l’année. La queue du faucon d'Islande est pourvue , à l’âge adulte, c’est-à- dire, depuis la deuxième année, de bandes alternes claires et fon- cées. La poitrine et lescouvertures inférieures de la queue sont ornées de fines raies longitudinales, le ventre de petites taches en coeur ou en larmes, qui prennent sur les grandes plumes des flancs une foule transversale. Les taches claires des parties supérieures offrent toujours la forme de ban- des transversales plus ou moins parfaites. Les bandes des couver- tures supérieures de la queue sont d’un blanc bleuâtre, et-cel- les des côtés du croupion tirent sur le gris cendré. La téte, la nuque, les parties postérieures du cou et la région des oreilles sont pourvues de taches foncées étroi- tes; on voit du noirûtre sur la région du freim et la tache en moustache est également noiratre, mais très-petite. Le bec n'offre du jaune qu'à sa base ; les serres sont toujours d’un jaune unifor- du moins dans les individus empaillés. Les fauconniers qui connais- sent les diverses espèces de fau- con souvent mieux que les natu- ralistes, ne distinguent pas le faucon d'Islande du von blanc; ils les comprennent tous les deux sous le nom de l'Islandais. Ces. alle behaupten einstiimmig, dass beide einerlei Naturell haben, sehr leicht zu zähmen und hierin allen übrigen Falken vorzuziehen seyen. Zu den Synonymen des islän- dischen Falken gehôren noch: Buffon , PL. ent. 210, le Grerfaut d'Islande, (ad.); ferner Vau- mann, Naturgeschichte, Neue Ausgabe, Tab.21, Fig. 2, (ad.), und Falco islandicus , Wolf u. Meyer, Nat. Deutschl, (fig. mar. - ad.). — Fig. Taf. 21, des Naumann’schen Werkes stellt den alten weissen Faiken vor. (2) FALcO GYRFALCoO. Es ist fast räthselhaft, dass diese Art, die in Norwegen die Stelle des weissen und isländischen Falken vertritt, dieseit den ältesten Zeiten in bedeutender Anzahl von den Falkenieren geholt wird, und im Winter die Küsten Norddeutsch- lands und Hollands besucht, wo sie die Falkeniere fangen, bis; jetzt von den Naturforschern miecht als selbstständig unterschieden wur- de, und dass sie selbst den skandi- navischen Naturforschern unbe- kannt bheb, oder von ihnen ver- kannt wurde. Buffon hat den jun- gen Vogel abgebildet, und auch Brisson's Faucon d'Islande ge- hôrt hierher. Zinné's Beschrei- bung seines Falco lanarius scheint nach einem jungen Vogel dieser Art gemacht zu seyu. S von V/sson, Fauna suec.. p.22, und Skandinav. Fauna , Foglar- oiseaux ont, à leur avis , le même naturel doux; ils sont plus faciles à dompter que les autres fau- cons, et par conséquent préfé- rables à toutes les autres espèces pour être dressés pour la chasse au vol. | Il convient de ranger parmi les synonymes du faucon d'Islande, outre ceux déjà indiqués, les suivans: Buffon, Pl ent. 210, le Gerfaut d'Islande, (ad.); puis Vaumann, Histoire na- turelle des Ois. d Allem. : sea: édition, PL 21, fig.2, (ad.),e Falco anlieus, W oEFde Men Nat. Deutschl., (fig. du male ad.). L'oiseau figuré dans Naumann, PI 21, fig. 1 ,est le faucon blanc adulte. (2) FALCO GYRFALCO. On peut s'étonner à juste titre que celte espèce qui remplace en Norwége le faucon blanc et ce- lui d'Islande , que les fauconniers ont été chercher en Norwége depuis des siècles, qui visite en hiver les parties septentrionales de l'Allemagne et la Hollande où les fauconniers la prennent de tems à tems, n'ait pas encore été distinguée par les ornithologistes, et qu elle ait été complètement ignorée des naturalistes de la Scandinavie. Buffon a figuré un jeune individu de cette espèce , et je suis porté à regarder comme le vieux du gerfaut l'in- dividu figuré par Brisson sous le nom de faucon d'Islande. Je suppose également que la descrip- tion que £énnaeus a donnée de son Falco lanarius a éié faite sur un jeune mâle du gerfaut. na, 1, p. 15, als Falco lanari- us, jun., beschriebene Exemplar scheint ebenfalls als junges Männ- chen zu unserm Gierfalken , und nicht zum Saker (F. lanarius auct.), zu gehôren, der im Norden noch nie beobachtet wurde. Es ist dies auch darum wabhrscheinlich, weil Nilsson den Nacken als weiss- ich, und die rostfarbenen R änder der Federn der Obertheile als un- deutlich beschreibt, da doch die- se Ränder beim Sakerfalken sehr breit sind und der Kopf immer in das rostfarbene zieht. Vielleicht hatteauch Naumann, bei Beschrei- bung seines , in der alten Ausgabe seines Werkes, Vachträge, p. 409 s9q., Tab.58, Fis. 110, auf- geführten Geierfalken, ein junges Weibchen des Gierfalken vor sich. Da aber der junge weibli- che Gierfalke von den jungen männlichen weissen und isländi- schen Falken nur dureh Unter- suchung des Geschlechtes zu un- terscheiden ist, und Naumann den zufälligen Mangel des zwei- ten Zahnes im Schnabel für das Hauptkennzeichen des Gierfalken der Falkeniere hielt, und seine Art im ausgefärbten Kleide nicht kannte, so zog er seinen Geierfal- ken später, (siche Veue Ausgabe, 1822, 1, p.278, Tab.22, Fes, 2), als Art wieder ein. Bis jezt ist der Gierfalke im Som- mer nur in Skandinavien gefun- L'oiseau décrit par ÂVisson, Fauna suecica, p. 22, et Skan- din. Fauna, Oiseaux, I, p. 15, sous le nom Falco lanarius, me parait n'être qu’un jeune mâle du gerfaut, et ne pas appartenir au faucon sacre (Falco lanarius auct.) qui n’a pas encore été ob- servé dans le Nord. Ce savant con- state aussi que la nuque de son individu est blanchätre et qu’il of- fre des bords des plumes des par- ties supérieures assez étroites; on sait cependant que ces bords sont larges dans le sacre et que les parties postérieures de la tête ti- rent, dans cette espèce, tou- jours au brun ferrugineux. Il se peut enfin que Vaumann, en établissant son gerfaut dans la première édition de son ouvra- ge, Suppl, p. 409 ef surv., PI. 58, a en effet eu devant les yeux une jeune femelle du ger- faut. Cependant, comme il est impossible de distinguer la jeune femelle du gerfaut des jeunes mâles des faucons d'Islande et de ceux du faucon blanc, sans en avoir constaté le sexe par la dissection, Vaumann ne connais- sant pas la livrée parfaite du gerfaut de Norwége et prenant pour trait essentiel de son ger- faut le défaut accidentel du fes- ton postérieur du bec, s’avisa, en publiant la nouvelle édition de son ouvrage, de rayer cette espèce du catalogue méthodique, ou plutôt il la confondit avec les faucons blanes et d'Islande: voir le vol. I, p.278, PI:22, fig. 2, de son ouvrage publié en 1822. On n'a rencontré jusqu'à pré- sent le gerfaut en été qu’en Nor- | den worden. Es fragt sich aber, | wége; mais 1l se pourrait bien ob die von Pallas auf dem Ural | que les faucons observés par Pal- und den Sibirischen Alpen beo- | /«s sur l’oural et sur les alpes de bachteten grossen Falken, die | la Sibérie appartinssent à notre sich durchihre dunklere Färbung | espèce. Ce voyageur, quoique vom weissen Falken unterschei- | constatant que les faucons de ces den, und von Pallas als Varietät | contrées se distinguent du faucon zu dieser Art, welche er Falco | blanc par leurs teintes foncées, gyrfalco nennt, gezogen werden, | ne les regarde cependant que nicht auch zu unserm Gierfalken | comme variété de cette espèce gehüren, und vom weissen Fal- | qu'ilnomme Falco gyrfalco. Voi- ken verschieden sind. Damit jeder | ci ce qu'il en dit dans sa Fauna selbst urtheilen künne , setzen wir | rosso-astalica, Z, p. 325 et 326. Pallas eigene Worte her. Er sagt in der Zoogr. ross. as., |, p. 325 el 326. » Gyrfalco sat magna copia in excelsis rupibus Uralensis jugi, » tractuumque Sibiriae alpestrium nidulatur, neque hyeme tempe- »ratiores situs omnino relinquit. Gyrfalcones Uralenses et Altaici » praesertim foeminae et juniores colore et variegatione simillimi » Iconi in collectione Daubentoni tab. 462, accedunt ad F. lana- »rium vel F. peregrinum juniorem, supra fusci, subtus albido et » nigricante densius variegali, cera livida, pedibus coerulescenti- » bus. Seniores magis Dec , et notas nigricantes contrahunt, » rarissime inveniuntur albi, eorum instar qui in Islandia et maxi- » me orientali Sibiria atque Camschatka generantur.” Wie dem auch sey, so kann ! Quoiqu'il en soit il est impos- nur eme genaue, wiederholte Un- | sible de déterminer au juste à tersuchung von Individuen, über | quelle espèce appartiennent ces deren Ursprung man volle Gewiss- | faucons décrits par Pallas, sans heit hat, Licht auf die genaue | avoir soigneusement comparé des Kenntniss der grossen Falkenar- | séries complètes d’invidus origi- ten und ihre Verbreitung wer- | naires des régions d’où ce savant fen. Um diese Untersuchungen | tirait les siens. Nous donnerons, zu erleichiern, wollen wir hier | dans les lignes suivantes, afin die Kennzeichen des norwegi- | de faciliter ces recherches, les schen Gierfalken angeben, von | notes caractéristiques du gerfaut dem wir, wie von allen übrigen de Norwége, dont nous nous pro- europäischen Jagdfalken , in un- | posons de publier, ainsi que des serm grossen Falkenwerke, genaue | autres espèces de faucon d’Eu- Abbildungen in Lebensgrüsse ge- | rope dont on se sert pour la ben werden. chasse, dans notre Trarlé de fau- connerie, des figures faites sur le vivant et représentant les oiseaux de grandeur naturelle. Um sich einen Begriff von die- ser Art zu machen, muss man sich den weissen oder isländischen Falken in etwas verjüngtemMaass- stabe vorstellen, und sich diesen Vogel in der Jugend ganz wie die Jungen dieser beiden Racen, im Alter aber ungefähr wie den Schlechtfalken gefärbt denken, nur mit dem Unterschiede, dass der Backenstreif beim Gierfalken kleiner und nicht so dunkel ist, dass die Füsse, statt gelb, grün- lichgelb erscheinen, und dass die Flecke der Untertheile nur auf den Seiten des Kôrpers die Gestalt von Querbinden annehmen. Es folgt aus diesen Angaben, dass ES junge RSS Gier- faike vom jungen weissen und is- ländischen Falken leicht durch seine geringere Grôsse zu unter- scheiden ist, dass dagegen der junge canine Gierfalke den jungen männlichen weissen und isländischen Falken in allen Stüc- ken vollkommen ähnlich ist. Im Âller kann der Gierfalke nicht mit den alten weissen und islän- dischen Falken verwechselt wer- den, da er in der Färbung durch- aus abweicht, und in dieser Hinsicht dem alten Schlecht- falken ähnelt. Von letzterem aber unterscheidet er sich leicht durch seine bedeutendere Grôs- längeren Schwanz, verhält- nissmässig kürzere Zehen, wei- ter hinab befiederte Läufe, grôs- sere weichere Federn der Unter- theile , und die oben angedeuteten Ünterschiede in der Farbenver- theilung. Il sufit, pour se faire une idée précise du gerfaut de Norwége, de le comparer au faucon blanc ou à celui d'Islande et de s’ima- giner qu'il est d’une taille un peu moins forte, qu’au jeune âge il ressemble parfaitement, par ses teintes, aux Jeunes de ces deux races, mais qu'il offre au con- traire, à l’âge adulte, de l’analogie avec le faucon commun dans sa livrée parfaite, à cette exception près que les pieds sont d’un jau- ne verdätre au lieu de jaune, qu'il offre une tache en moustache moins apparente et que ce sont uniquement les plumes des flancs dont les taches se présentent sous la forme de raies transversales. Il résulte de ces données que le jeune male du gerfaut se dis- tingue au premier abord des jeu- nes des faucons blanes et d'Islande par sa taille moins forte ; mais que la jeune femelle du gerfaut res- semble sous tous les rapports aux jeunes males des faucons blancs et d'Islande. Une fois revêtu de sa livrée parfaite, le gerfaut se distin- gue trop visiblement des vieux des faucons blanes et d'Islande pour qu'il soit possible de le confondre avec ces deux races. Ilest inutile de constater qu'il se distingue du faucon commun par sa taille plus forte, par sa queue plus longue, par des doigts proportionnelle- ment plus courts, par des tarses un peu plus emplumés vers le bas, par des plumes plus grandes et moins raides des parties inféri- eures , ainsi que par la différence dans la distribution des teintes dont nous avons parlé plus haut. Folgendes sind die Maasse des Gierfalken : Mas. | Fem. Ganze Länge . . . . |181°”/21” Länge der Flügel . . [135,115 » des Schwanzes | 77,1 9 » “derLäufe «1 2,,) 24 » des vordern nackten Theiïles derselben. . . | 1-2,| 1, » der Mittelzehe ohne Nagel. . | 119] 154 Die Falkeniere behaupten ein- stimmig, dass der Gierfalke em ganz anderes Naturell habe als der isländische nd weisse Falke, da jener stôrrisch und tückisch ist, diese folgsam und sanft sind , wes- halb der Gierfalke auch schwerer zu Zähmen und abzurichten sey, als der grünländische und isländi- sche Falke. Ich selbst bin wäh- rend der Reïherbeize Zeuge von vielen Fällen gewesen, welche die Richtigkeit dieser Aussage bestätigen. (3) FALCO SACER. Da diese Art in allen Wezrken über die Falkenbeize, ferner von Gess- ner, Belon und selbst von Buf- fon, unter obigem Namen aufge- führt wurde, und der Lanner- falke der Falkeniere und der Fal- kenbücher ein ganz anderer Vo- gel ist, so haben wir obiger Art ihren ursprünglichen Namen wieder gegeben. Diese Art fehlt noch in vielen Museen. In Eng- land soll sie sich in keiner Samm- lung finden. Die beiden Exem- plare des Berliner Museums wur- den von Hemprich und Ehrenberg Voici les dimensions d'individus des deux sexes du gerfaut : Longueur totale . . 1817 |21” »rdésailes/t :e. 1: » delaqueue. . » destarses. . . | 22, |[2ñ, » dela partie an- térieurenue des UADSESMIPN. PO » du doigt de mi- lieu sans ongle 120 [111 Les fauconniers s'accordent à dire que le gerfaut diffère beau- coup des faucons blancs et d’Is- lande par son caractère obstiné et quinteux, et que ces deux ra- ces se prêtent, par leur naturel doux et docile, plus facilement à l’affaitage que le gerfaut. J'ai été à portée de constater moi-même ces assertions en assistant au vol du gerfaut sur le héron. (3) FALCO SACER. Cette es- pèce ayant été décrite sous le nom de sacce dans la plupart des ouvrages de fauconnerie ainsi que par (ressner, Belon et même par Buffon, et s’éloignant assez du lanier des fauconniers, et des traités de fauconnerie , nous avons rétabli les noms ancien 1ement reçus pour ces deux espèces. Le sacre, une des espèces de fau- con les plus rares, manque à la plupart des collections d'histoire naturelle. Il n'existe dans aucun des Musées de l'Angleterre. Les deux exemplaires qu'ea possède in der Gegend von Tor in Ara- bien gesammelt. Die in den übri- gen Sammlungen des Festlandes Y voile: Exemplare scheinen alle aus dem Wiener Museum herzustammen ; so wenigstens die, welche Naumann, das Mainzer und unser Museum besitzen. Pal- las erwähnt zweier Varietäten des Sakerfalken, den er Falco lanarius nennt: eine grüssere, welche das Uralgebirge bewoh- nen soll, und eine kleinere, die sehr häufig in der grossen Ta- tarei und im südlichen Russland gefunden wird. Nach Pallas ziehen beide Va- rietäten im Winter südlich. Es smd daher wahrscheimlch die Sakerfalken, welche früher in Griechenland für die Falknereien gefangen wurden, so wie die, welche Ehrenberg aus Arabien mitbrachte, solche auf dem Zu- ge begriflene Vôügel. Diese An- aben über die Verbreitung des Sakerfalken machen es unwakhr- scheinlich, dass sich derselbe bis in das nôrdhche oder westli- che Europa verfliegt, und wir sind auch aus diesen Gründen geneigt, das Vorkommen die- ser Art in Schweden zu bezwei- feln. Die Beschreibung welche Pallas von seinem F. lanarius giebt, ist nach der von ihm an- geführten kleineren Varietät ge- macht, die, allem Anscheime nach, mit unserm Falco sacer übereimstimmt. In Nubien und Abyssinien lebt eine dem Sakerfalken verwandte Art. Sie wurde von Ehrenberg, le Muséum de Berlin ont été re- cueillis , par MM. Hemprich et Ehrenberg , près de Tor en Arabie, Il parait “que les individus con- servés dans les autres cabinets du continent de l'Europe, provien- nent tous du Musée de Vienne ; du moins ceux des Musées des Pays-Bas, de Mayence et de M. Naumann sont de ce nombre. Pallas fait mention de deux va- riélés du sacre qu'il appelle Falco lanarius; l'une à taille plus forte qui habite la chaîne de l’oural, l'autre plus petite qui se trouve en grand nombre dans les déserts de la grande Tatarie et de la Russie méridionale. L'une et l’autre de ces variétés émigrent, en hiver, dans des contrées méridionales. Les sacres que les fauconniers allaient autre- fois chercher en Grèce, ainsi que ceux rapportés de l'Arabie par les voyageurs berlinois, étaient probablement des individus pris lors du passage. Ces données re- latives à la distribution géogra- phique du sacre ne s’accordant guére avec la supposition que cette espèce s'égare Jusque dans l'Europe boséale et occidentale, nous supposons que les prétendus laniers pris en Suède n’appar- tiennent pas à cette espèce. La description que Pallas a donnée du soi-disant faucon lamier , est faite d’après la petite variété dont il fait mention et qui parait se rapporter au véritable sacre. Il existe, en Nubie et en Abys- sinie, une espèce voisine du sa- cre. Elle a été recueillie en assez Rüppell und dem Prinzen Paul von Würtemberg , in bedeutender Anzahl eingesammelt. ÆRäppell, Neue Wirbelthiere, Vügel, p. 44, hält sie mit Unrecht für ei- nerlei mit F. b'armicus, Temm., Falco cervicalis, Licht. Mus. Be- rol. Es ist dies aber eine neue Art, die im Berliner Museum den Namen Falco tan, yplerus trägt. Eine Beschreibung und Abbil- dungen deiben sollen ehes- nt in unsern Abhandlungen aus dem (Crebiete der Zoologte etc. erscheimen. Sie ähnelt dem Sakerfalken in der Jugend aus- serordentlich, ist aber etwas kleiner , hat hôhere, mit grôsse- ren, rauheren Schildern bedeck- te Läufe, die schon beim jun- gen Vogel eine rein gelbe Farbe baben, und bietet auch, beson- ders im Alter, bedeutende Ab- weichungen in der Färbung des Gefieders. (4) FALco LANaRItS. Es ist dies, wie wir in unserm grossen Werke über die Falkenbeize aus- fübrlicher darthun werden, der wahre Lannerfalke der Falken- bücher. Hier nur so viel, dass der Name lanarius von jeher auf sehr verschiedene Vôügel angewendet wurde. So ist z. B. bei Æ/bert dem Grossen und nach ihm bei den meisten Naturforschern bis Frisch , /anarius ein Gattungsna- me, und die Arten, die man un- ter dieser Gattung begriff, sind 11 grand nombre, en Nubie et en Abyssinie, par Ehrenberg, Rüp- pell et le prince ps de Würtem- berg. Ruppell, Neue Wirbel- thiere, Oiseaux ; p. 44, rapporte à tort cette espèce à une autre qui habite le Cap de B. Espé- rance, savoir Falco biarmicus, Temm. ou Falco ceruticalis, Lichtenstein, Musée de Berlin. Elle porte au Musée de Ber- lin le nom de Falco lanypterus. Nous nous proposons d’en pu- blier des figures et une descrip- tion dans la troisième livraison de notre ouvrage allemand intitulé : Mémoires pour servir à l'his- toire naturelle et à l'anatomie des animaux. Cette espèce res- semble , notamment au jeune âge, beaucoup ausacre, mais elle est d'une taille moins forte; ses tar- ses sont plus longs, couverts d’écailles plus grandes et plus ru- des au toucher, et de couleur jaune, même au jeune âge; la distribution des teintes enfin présente, particulièrement dans les adultes, des disparités assez marquantes. (4) FALcO Lawarius. C’est le véritable lanier des fauconniers et des traités de fauconnerie, dont nous nous proposons de traiter amplement dans notre grand ou- vrage sur la fauconnerie. Il sufli- ra de constater ici que le nom de Lanter a été successivement donné à plusieurs oiseaux de proie assez divers les uns des autres. Æ/bert le Grand par exemple, et après lui presque tous les naturalistes jusqu’à Frisch ont pris cette dé- nomination dans un sens généri- _ die Bussarde, der Thurmfalke und die Weihen. Der Falco lanarius Linné's und Vélssons ist hôchst- wahrschemlich unser Gierfalke. Brünnich und Mohr haben den Merlin als Falco lanarius aufge- führt. Pennants Falco lanarius ist ein junger Schlechtfalke. VNau- mann .und Pallas, und nach ihnen alle spätere Naturforscher, haben endhch sehr unrichtig dem Sakerfalken den Namen Falco lanarius gegeben. Da der Lan- nerfalke seit dem Verfall der Fal- knerei nicht mehr gefangen wur- de, so blieb diese Art den neuern Naturforschern unbekannt, bis sie Herr von Feldegg im Jahre 1829 gleichsam auf’s Neue, und zWar in Dalmatien, entdeckte. Dieser Vogel wurde von Natterer für Falco peregrinoides, Tem- minck, gehalten, und durch diese Nachrichten irre geleitet, führte ich letztere Art in Susemrihls Werke als europäisch auf. Als ich mir später die Original- exemplare zur Ansicht einschic- ken liess, fand es sich, dass es eme den Naturforschern unbe- kannte Art sei, dieich unter dem Namen Falco Feldeggii be- schrieb, ohne zu et dass diese Art den alten Falkenieren bekannt war , und schon von Be- lon sehr gut beschrieben wurde. Wir führen sie nun wieder un- ter dem Namen auf, der 1hr mit Recht zukommt. Ein junges Exemplar des Lan- nerfalken scheint auch bei Buf- que, et les espèces qu'ils ont ran- gées dans ce groupe sont les buses, la cresserelle et les busards. 4/- drovand décrit sous le nom de Lanarius albus la soubuse. Quant au lanier de Linné et de Nilsson, cette espèce est, selon toutes les apparences, identique avec le gerfaut de Norwége. Brünnich et Mohr ont décrit l’émérillon sous le nom de Falco lanarius. Le lanarius de Pen- nant est un jeune faucon com- mun. VNaumann et Pallasenfin ont assez mal à propos conféré le nom de lanier au sacre. Le lanier n’ay- ant plus été apporté au centre de l’Europe depuis le déclin de la fauconnerie, cette espèce demeu- rait ignorée des naturalistes et ce ne füt qu'en 1829 que Mr. de Feldegg en fit, pour ainsi dire de nouveau la découverte lors de son séjour en Dalmatie. Prise par feu Natterer pour le faucon pélérinoide, J'introduisis erro- nément cette espèce parmi les oiseaux d'Europe. Je reconnus ensuite, après avoir examiné les échantillons r rapportés par Mr. de Feldegg qu'ils appartiennent à une espece inconnue des natu- ralistes, que je publiais sous le nom de Falco Feldeggi, s sans me douter que cette espèce fût assez bien connue des fauconniers et que Belon l'avait déja dé- crite d’une manière assez recon- naissable. Ayant reconnu notre erreur, nous nous hatons d’in- troduire cette espèce sous le seul nom qui lui convient à juste ütre. Je remarque encore que l’oi- seau représenté par Buffon, PI. fon, PI. ent. 470, unter dem Namen faucon sors, und ein Individuum in der Mauser im zweiten Herbste bei Vaumann, alle Ausgabe, IV, Tafeln in Folio, Taf. V4, fig. 22, als jun- ger Vogel des sogenannten Tan- nenfalken , (Falco abretinus , Bechst.) abgebildet zu seyn. Wir haben kürzlich mehrere Exemplare dieser Art aus Grie- chenland erhalten. Ein jüngerer, bei Hanau geschossener Vogel siteht im Mainzer Museum. Sie stimmt in Grüsse und Bau, so wie in den gegenseitigen Ver- hältnissen der Theile, durchaus mit Falco biarmicus Temm., (Falco cervicalis, Licht. Mus. Berol.) vom Cap, überein, un- terscheidet sich aber standhaft, von dieser Art durch ihre Farbe. Auch scheint die erste Schwung- feder beim Lannerfalken ver- hältnissmässig etwas länger zu seyn. TER den europäischen Falken hat sie hôchstens , Wegen gleicher Grôsse, einige Abeliehe keit mit Féico communts ; 1St aber leicht von dieser Art durch ihren verhältnissmässig länge- ren Schwanz, kürzere Zehen, schmalen Backenstreif, grôssere, weichere Federn der Untertheile , und durch die rostrôthliche Färbung des Nackens zu unter- scheiden. Sie gehôürt daher zu der Gruppe der grüsseren, lang- schwänzigen Edelfalken, Falèv candicans, islandicus , gyrfalco sacer, lanyplerus, cervicalis, etc., welche sich von den grôs- seren kurzschwänzigen rio: Falco peregrinus id dessen enl. 470, sous le nom de Faucon sors, paraît être un jeune lanier ; tandis que celui figuré par Vau- Mann , lre édit., Planches en in Jolio, PI, 14 » AZ. 22, com- me le jeune du soi-disant faucon des sapins, (Falco abrietinus Bechst.), est probablement un jeune individu du lanier en mue. Nous venons d’en recevoir plu- sieurs individus recueillis en Grè- ce. J’en ai vu au Musée de May- ence un jeune individu tué près de Hanau. Cette espèce est tout- à-fait semblable, en ce qui con- cerne sa taille et les proportions relatives de ses parties, au Falco biarmicus, Temm., (ou F. cer- vicalis, Licht. Mus. de Berlin) du Cap de B. Espér., mais elle s’en distingue constamment par les teintes. Il paraît aussi que la premiére rémige est, proportions gardées, un peu plus longue dans le lanier que dans l'espèce du Cap. Quant aux diverses espèces des faucons d'Europe, le lanier n'offre entre elles aucune ana- logie, si ce n'est qu’il ressem- ble par sa taille au faucon commun, dont ilse distingue ce- pendant facilement par sa queue plus longue, par des doigts plus courts, par la tache en moustache assez étroite, par les plumes des parties inférieures qui sont plus larges et plus molles, et par la couleur de la nuque qui tire sur le rougeàtre. On voit par ces détails que cette espèce appartient au groupe des faucons nobles à longue queue : Falco candicans islandicus , gyrfalco, sacer , ta- nyplerus, cervicalis, ete., qui Racen, und F. peregrinoides, durch einen längeren Schwanz, kürzere Zehen, schmäleren Bac- kenstreif, und grôüssere weiche- re Federn der Untertheile, un- terscheiden, (5). FrALco communis. Der Schlechtfalke scheint fast über alle Länder des Erdbodens ver- breitet zu seyn, aber je nach der Localität mehr oder vweniger abweichende Racen zu bilden. So sind z. B. die am Vorgebir- ge der guten Hoffnung lebenden Schlechtallen den unsrigen in Bau und Färbung re ähn- ich, aber standhaft so viel klei- ner, dass das Weibchen des Cap’- schen Schlechtfalken die mittel- mässig grossen Männchen deseuro- päischen Schlechtfalken an Grôs- se nicht übertrifft. Der Schlecht- falke von Nordamerika, (siehe Wilson PL 76 und Audubon P[.16), wird von Ch. Bonapar- te, List, p. 4, für eme eigene Art gehalten, welche er Falco anatum mnennt, ohne die Art- kennzeichen derselben anzuge- ben. Es scheint in der That, als ob der nordamerikanische Schlecht- falke gewühnlich in der Färbung etwas co indem auf den Obertheilen das Ban , auf den Untertheilen ein blasses Rostroth vorherrscht, und das Schwarz des Backenstreifes sich gewühn- lich über die ganze Ohrgegend verbreitet. Indessen kommen im Nordamerika auch Schlechtfal- ken vor, welke in der Färbung den unsrigen durchaus ähnlich sind: ein solches Individuum steht &,. se distinguent du faucon com- mun et des espèces ou races voi- sines par une queue plus longue, des doigts plus courts, une tache en moustache plus petite, et par les plumes plus larges et plus molles des parties inférieures. (5) FaALCO coumunis. Il pa- rait que cette espèce est répartie dans presque toutes les parties du globe, mais qu’elle forme, suivant les contrées qu’elle ha- bite, des races plus ou moins disparates. Les faucons com- muns, par exemple, que produit l'Afrique méridionale, quoique tout-à-fait semblables au nôtre par leur organisation et leurs teintes, sont constamment d’une taille moins forte, la femelle du faucon commun du Cap ne sur- passant pas en grosseur le mäle de notre faucon d'Europe. Quant au faucon commun de l’Amérique du Nord, (voir Wilson, PI. 76et Audubon, PL 16), Ch. Bonapar- te, List, p. 4, le sépare du nôtre sous le nom de Falco anatum, tou- tefois sans motiver son opinion. Il parait en effet que ce faucon d'Amérique s'éloigne du nôtre par de légères différences dans la dis- tribution des teintes, en ce que ces teintes sont dans le premier, sur les parties supérieures, d’un brun foncé, sur le dessous d’un brun ferrugineux pale, et que le noir de la tache en mousta- che s'étend ordinairement sur toute la région des oreilles. Mais il existe également dans l’Amé- rique du Nord des faucons qui ressemblent parfaitement au nôtre par leurs teintes ; j'ai vu un pa- im Berliner Museum. Die in Hinter- indien und in Neuholland leben- den Schlechtfalken scheinen nicht selten den nordamerikanischen in der Färbung zu ähneln, nur mit dem Unterschiede, dass bei denselben die Farbe der Ober- theile, statt ins Braune, in das Schwarze zieht: Falco melano- genys, Gould, Birds of Austra- lia, Tafel ohne Nummer. Von den sechs Individuen unsrer Sammlung sind jedoch nur zwei Weibchen so gefärbt; die übri- gen, beiderlei Geschlechtes, äh- neln unserm Schlechtfalken voll- kommen. Es scheint daher, dass man den nordamerikanischen und indischen oder neuholländischen Schlechtfalken mit eben so weni- gem Rechte als eigne Art anneh- men kann, als die schwarze Va- rietät des europäischen Schlecht- falken. In Nubien kommt eine klei- mere, dem Schlechtfalken im Bau verwandte Art, mit braun- rothem Genicke und gelb-rüth- lichem Anfluge auf den Unter- theilen vor: Es ist dies Falco pere- grénoides, Temm., PI. col. 479, die wir, durch falsche Mittheilun- gen irre geleitet, als europäisch aufgeführt haben: siehe ScAleg. u. Susem., Nat. d. Le Eur. p. 39, PL. 9, Fig. L. (6) FALCO ELEONORAE. Die- se ausgezeichnete Art, welche zu reil individu dans les galeries du Musée de Berlin. Les faucons communs qui viennent du grand Archipel des Indes et de la Nou- velle Hollande paraissent se rap- porter à ceux de l'Amérique du Nord, et n’en différer que par la teinte noirâtre, souvent uni- forme des parties supérieures ; cette variété a été décrite et fi- gurée par Gould sous le nom de Falco melanogenys, dans son ouvrage sur les oiseaux de l’Au- stralie. Nous en possédons six individus dont deux femelles seu- lement offrent une distribution semblable à celle que nous ve- nons d'indiquer; les quatre au- tres, tant males que femelles, ressemblent parfaitement au fau- con commun d'Europe. Il me semble, d après ce que je viens de dire qu en érigeant au rang d'espèces les variétés dont nous venons de parler, il convient également de séparer de notre faucon la variété à joues noires, qui se trouve en Europe. La Nubie nourrit une espece voisine du faucon commun mais d'une taille beaucoup moins for- te, à nuque d'un brun rougeà- tre et à parties inférieures Dot sur le jaune rougeàtre. C’est le Falco peress HA Temm. PT. co A7 espèce que nous avons introduite à tort, induits en erreur par des communications erronnées, parmi les oiseaux d'Europe: voir notre travail dans Susemihl, Hist. Nat. des ois. d'Europe, p. 39, PI. 9, fig. 1 (6) FALCO ELEONORAE. On ne peut nier que celte espèce der Gruppe der langflügligen Edelfalken (Falco subbuteo, con- color, Aldrovandii u. s. w.) gehôrt, hat zwar mit Falco con- color in der Färbung grosse Abnlichkeit, ist aber viel grüs- ser, und hat verhältnissmässig einen viel längeren Schwanz. Folgendes sind die Maasse ei- nes alten weiblichen Vogels aus Griechenland. Ganze Längel.:.... Länge der Flügel . . . des Schwanzes . . der Mittelzehe . . des Nagels dersel- béniie its 2 MENT. des Schnabels vom Mundwinkel . . . des Laufes . . . . Abstand von der Spitze der ersten zur Spit- ze der zweiten Schwinge . . . . von der Spitze der dritten zur Spit- ze der zweiten Schwinge . . .. 121167 6’ 10// 1 3 » » » 1/1 6; 1’ 1’ 514 » 14/4 6; Das Weibchen von Falco con- color hat dagegen folgende Maasse : Ganze Länge . . . . . 13” Länge der Flügel . . . 10” 6/’’ » des Schwanzes. . 5 9// su, des L'aufesi.u.0, .. 011420 » der Mittelzehe . . 1” 21 » des Nagels dersel- bent... #8. : 5? » des Schnabels . . 107 Der Schwanz von Falco Eleo- 16 remarquable qui appartient au groupe des faucons nobles à lon- gues ailes (Falco subbuteo, con- color, Aldrovandiï ete.) n'offre assez d’analogie, par rapport à ses teintes, avec le faucon concolore ; mais elle est d’une taille plus considérable, et sa queue est beaucoup plus longue. Voici les mesures prises sur une vieille femelle de cette es- pèce, tuée en Grèce. Longueur totale . . . 15/’ des’ailesiys.! Lu Mio de la queue . 6’ 10/” du doigt demilieu. 1” 83/ de son ongle . .. 61 du bec depuis l’an- gle de la bouche . »hidutarseur fn. 0 Distance de l’extrémité de la première jus- qu'à l'extrémité de la deuxième ré- TS RES entre les extrémi- tés de la troisième et de la deuxième rémigeu MMS HE » » 2 » » » 1’ 14 5/1 1/44 22 1/40 6; La femelle du faucon conco- lore offre au contraire les dimen- sions suivantes : Longueur totale . . . 13” »-desailesie. . el0"/4672 »* delaiqueuette4. Iupamonr » duftarse gr. . uit » dudoigt demilieu. 1” 2, » de son ongle . . . 5 Aube EL. 1047 La queue du faucon Eléonore norae ist mit 14 bis 15, der von F. concolor nur mit 10 bis 11 Querbinden versehen. Der Schna- bel ist, bei ersterer Art, stärker seitlich zusammengedrückt. Die Füsse ziehen bei F,. Eleonorae in das Grünlichgelbe, bei Falco concolor sind sie rein gelb. End- ich spielt die Färbung des Ge- fieders, bei F. Eleonorae, weni- ger in’s Aschgraue als bei F. con- color. Wir wollen nun noch die Un- terscheidungskennzeichen dieser beiden Arten angeben. Farco EcronoRAE. Männchen: Flügel 11#, Schwanz 67. Weib- chen: Flügel 121/, Schwanz 65. Gestalt äusserst schlank. Füs- se verhältnissmässig zart. Steuer- federn auf der imnern Fahne mit 14 bis 15 Querbinden. Jung : dunkelbraun, die Brust- und Bauchfedern rôthlichbraun ge- säumt. Stirn, Kehle, Vorderhals und Hosen, hell rôthlichbraun; erstere mit dunkeln Längsflec- ken, letztere mit dunkeln Quer- flecken. Backenstreif undeutlich. Alt: bis auf die hellen Querbin- den des Schwanzes, einfärbig schwärzlichbraun, mit grauem Anfluge. In Sardimien, Griechenland und Syrien beobachtet. Fazco concoror, Temm., PI. col. 330; Gould, Birds of Eu- rope, PI.25; Swainson, Birds of Western Afrika I, PI. 3. Männchen: Flügel 104, Schwanz 2. 17 est orné de 14 à 15, celui du Faucon concolore seulement de 10 à 11 bandes transversales. Le bec est plus fortement dé- primé dans la première espèce. Les serres tirent au jaune ver- dâtre dans cette espèce, elles sont d’un jaune pur dans le fau- con concolore. Les teintes du plumage de cette dernière espèce enfin tirent plus fortement sur le gris-cendré que dans le faucon Eléonore. On peut en conséquence de ce que nous venons de dire, éta- bhr les traits distinctifs de ces deux espèces, comme suit: Fazco ELceonorar. Mâle: ailes 11”; queue 6”; Femelle: ailes 12;/; queue 657. Formes élan- cées. Serres, par rapport à la taille de l’espèce, peu robustes. Pen- nes de la queue portant 14 à 15 bandes transversales sur la barbe interne. Jeune: d’un brun fon- cé, plumes de la poitrine et du ventre liserées de brun rougeà- tre. Front, gorge, devant du cou et plumes des jambes, d'un brun-rougeatre clair, couvertes de taches longitudinales foncées, qui prennent la forme de. taches transversales sur les plumes des jambes, Tache en moustache peu distincte. Adulte: à l'exception des bandes claires de la queue, d’un brun-noiratre uniforme ti- rant sur le gris. Observé en Sardaigne, en Gré- ce et en Syrie. Fazco cowcocor, Temm., PI. col. 330; Gould, Birds of Eu- rope, PL.25; Swainson, Birds of Western Afrika, X, PL 3. Mâle, ailes 10}, queue 5”. Fe- 9 5. Weibchen: Flügel 101, Schwanz 5}/. Gestalt des Baum- falken. Steuerfedern mit 10 bis 11 Querbinden auf der imneren Fahne. Ubrigens fast einfärbig schwärzlhich , in’s bräunliche zie- hend und mit starkem asch- grauem Anfluge, besonders auf dem Rücken und auf den Schul- tern. Auf der Insel Barakan im ro- then Meere, und im westlichen Afrika beobachtet. Die Angaben, dass Falco con- color in Europa gefunden wird, beruhen, allem Anscheine nach, auf einer Verwechslung dieser Ârt mit Falco Eleonorae. Es muss daher Falco concolor wie- derum aus dem Verzeichnisse der europäischen Vôügel gestrichen werden. Falco Eleonorae ist übrigens eme schon seit Jahrhuuderten bekannte Art. Arlalouche de Alagona , sicilischer Schriftstel- ler des funfzehnten Jahrhun- derts, erwähnt derselben, p. 89, unter dem Namen Saphir- falke. D’ Arcussia, p. 52 et 53, beschreibt sie unter dem Namen faucon tagarot. Huber, Obser- valions, p. 15, fig. 16, bildet sie sclbst ab, ie er dem falschen Namen Æ/èfhe, den d'Arcussia eingeführt hat, um ei- nen Raubvogel von den Azoren zu bezeichnen. Wir erhalten so eben, nach- dem unser Werk bis hierher ab- gedruckt war, die vortrefflichen Beiträge zur Ornithologie Grie- chenlands von Heinrich Graf von der Mühle, Leipzig, Ernst 18 melle, ailes 101/, queue 51”. Port du hobeéreau: (Pénes de la queue pourvues, à la bande in- terne, de dix à onze bandes trans- versales. Plumage d’un brun-noi- râtre foncé, tirant fortement au gris, notamment sur le dos et sur les épaules. Observé dans l'Afrique occi- dentale et à l'ile Baracan si- tuée dans la mer rouge. En constatant que cette espè- ce se trouve en Europe, on l’a, se- lon toutes les apparences, confon- due avec le Faucon Éléonore. Il s'ensuit qu’il convient de rayer de la liste des oiseaux d'Europe le Faucon concolore. Nous ajoutons ici que le Fau- con Eléonore est une espèce con- nue depuis des siècles. Artalou- che de Alagona, auteur Sicilien du quinzième siècle, en parle, p.89, sous le nom de Rucibr Sa- phir ; d'Arcussia, p.52 et 53, la décrit sous le nom de Faucon ta- garot; Huber, Observations, p. 15, fig. 16, en donne même une do. , mais sous le faux nom d’Alèthe, que d’'Arcussia avait employé antérieurement pour dé- signer un autour originaire, à Ce $ O qu'il paraît, des iles Acores. L’excellent ouvrage de Mr. von der Müuhle, intitulé, Beriträ- ge zur Ornithologie Cocéchiene FR Leiïpsick, E. Fleicher, 1844, 8°., nous étant parvenu avant de mettre sous presse les Fleischer, 1814, 8°, und beei- len uns, in unsern Noten das Nô- thige aus diesem Werke nach- zutragen. Nach diesem Schrift- steller kommt der Schlechtfalke, (Falco peregrinus, p. 13), das ganze Jahr hindurch, emzeln in Griechenland vor. Der, als Falco peregrinoides aufgeführte Voge!, dürfte wohl als ein altes Männ- chen unseres Falco lanarius zu betrachten seyn. Ob der Falco dantiarius des Herrn von der Mühle, p.14, wirklich zu die- ser Art oder zu Falco sacer ge- hôrt, kann erst durch nähere Untersuchungen bestimmt wer- den. Falco concolor, rbéd., ist ohne Zweifel zu F. Eleonorae zu ziehen, da auch wir diese Art, und nicht die erstere, aus Griechenland erhielten. (7) FALCO TINNUNCULUS. Sic- he über die ausländischen Ra- cen oder verwandten Arten des Thurmfalken, was wir in Suse- mihls, Vüg. Eur., p. 45, Note, gesagt haben. (8) FALco cENCHRIS. Wir erhielten, aus Steiermark, junge Vôgel dieser Art imNestkleide Sie scheint daher im südôstlichen Europa zu brüten. Sr/ckland, Proceed. Zool. Soc., 1836, p. 97, sagt, dass sie in Klein-Asien ihr Nest auf den Dächern der Häu- ser anlege. Nach von der Mühle, p: 16, brütet sie in Griechenland ebenfalls unter Hausdächern. 19 dernières feuilles de notre revue, nous sommes à même d'en pro- fiter pour nos notes critiques. Quant au faucon commun, l’au- teur que nous venons de citer, affirme que cette espèce (Falco peregrinus, p. 13), se trouve, quoique en petit nombre, pen- dant toute l’année, en Grèce, L'oi- seau, pris par Mr, von der Mühle pour le Falco peregrinoides , ne parait être qu'un vieux mâle de notre lamier; et les individus dont il fait mention en parlant du Falco laniarius, p. 14, pour- raient bien encore se rappor- ter au lamier et au sacre. L’oi- seau enfin, que Mr. von der Müh- le a indiqué sous le nom de F, concolor, est probablement iden- tique avec le F. Eleonorae, que nous avons également recu de la Grèce sous le nom de Faucon concolore. (7) FALCO TINNuUNoULUS. On peut consulter, par rapport aux races exotiques où aux espèces voisines de la cresserelle, les in- dications que nous en avons four- nies dans l'ouvrage de Susemihl, p. 45, note. (8) FALCcO cENCHRIS. Nous en venons de recevoir,de la Styrie, plusieurs jeunes individus, encore en partie couverts de duvet, On doit conclure par cela, que cette espèce niche dans les parties chaudes de l’Europe orientale. Suivant S/rickland, Proceed. Zool. Soc., 1836, p. 97, elle éta- blit son aire, dans l'Asie mineu- re, sur les toits des habitations. Elle niche, suivant von der MüA- (9) Jardine und Selby, Zool. Illustr., PI 66, haben unter dem Namen SPIZAËTOS CRIS- TATELLUS, Zemm., einen Ad- lerhabicht, oder wenn man will, einen Rauchfusshabicht abgebil- det, der aber von Falco cris- tatellus, Temm., PL col. 282, verschieden ist, und wahrschein- lich als älterer Vogel zu einer ler noch wenig bekannten, das stland Indiens bewohnenden À. “rhabichte, gehôrt. Das von Jare und Selby abgebildete Indivi :um wurde an den Küsten England’s erlegt. Das entfernte Vaterland dieser Art macht es wahrschemlich, dass das fraghiche Exemplar ein Entkommenes war. Wir führen daher diesen Vogel vor der Hand noch nicht als eu- ropäsch auf, um so mehr, da diese Gruppe erst gründlich stu- dirt zu werden verdient, ehe man sich schmeicheln darf, die Arten gehôrig zu unterscheiden. Siehe, was wir über diese Gruppe in Susemihls Vügeln Europ. gesagt haben. Wir erwähnen hier nur noch, dass schon Ray, in Wit- lughby s Ornith., Cap. IX, Art. XIT, p.48, eine Art dieser Gat- tung unter. dem Namen Falco indicus cirratus beschrieben hat, welche Art aber von den neuern Naturforschern ganz übersehen wurde. (10) Der nordamerikanische Taubenhabicht, Falco atricapril- lus, Wilson, PI 52, fig. 3; Falco regalis, Temm., PL. col. le, p.16, en Grèce, de la même manière. (9) L’aigle-autour figuré par Sardine et Selby, sous le nom de SPIZAËTOS CRISTATELLUS, dif- fère, par l'espèce, de l'oiseau donné sous ce même nom par Mr. Temminck, voir PI. col. 282. Cet individu tué sur les côtes de l'Angleterre appartient probable- ment à quelqu'une des espèces encore mal déterminées d’aigles: autours du continent de l'Inde, ce qui me fait penser qu’il s'était échappé d’une ménagerie. Les diverses espèces du genre des ai- gles-autours étant encore peu étu- diées, nous n'avons pas introduit parmi les oiseaux d'Europe celle dont MM. Jardine et Selby font mention. Nous avons donné quel- ques indications sur ce groupe dans l'ouvrage de Susemihl, et nous ajoutons ici que l'espèce la plus anciennement connue de ce genre est celle que Ray a décrite dans Wellougshby, Ornith., chap. IX, art. XIT, p. 48, sous le nom de Falco indicus cirratus , espèce totalement omise par les naturalis- tes modernes. (10) L'autour commun de l’A- mérique du nord, Falco atrica- pillus, Wilson, PI 52, fig. 3; Falco regalis, Temm. PI. col, 495 ; F. palumbarius Audubon , PI. 141 ; Fauna bor. am. P{ 26 ; Jard. u. Selby, Zool. I., PL. 121, bildet eine, unserm Tauben- habicht ZWar termandité , aber durch zahlreiche, feinere Wellen- linien der Untertheile abwei- chende Art. In Japan kommt ein Taubenhabicht vor, der uns aber bloss aus Abbildungen bekannt ist. (11) Der amerikanische gemei- ne Sperber, Falco velox et penn- sylvanicus , Wilson, PI 45, fig. 1 (Jun) und P1. ‘46, fig. 1 (ad.) *); Audubon, PI. 374 ; PI. col. 74 (jun.), scheint sich von dem Unsrigen nur dadurch zu unterscheiden, dasser ein we- nig kleiner ist, und dass im Ju- gendkleide die Zeichnung et- was abweicht , indem die Flecke der Üntertheile eine thränenfôr- mige Gestalt haben. Der südafrikanische, gemeine Sperber, Falco exilis, Temm., PI. col. 496, scheint sich eben- falls von dem Unsrigen nur da- durch zu unterscheiden, dass die Untertheile im Alter eine rost- rôthliche Grundfarbe haben, auf der die etwas dunkleren Flecke wie verwischt erscheinen. (12) asTUR GaBar. Exem- plare dieser Art aus Griechenland im Niederländischen und Mainzer Museum. *) Aber nicht F.pennsylvanicus ,ihid, PI. 54 > Îg. 4. Was nach Bonap., List, p.3, ein Buteo ist. 495; Falco palumbarius, Au- dubon, PLAA4I; Fauna bor.amer., P1.26; Jard. et Selby, Zoo. I., PI. 121, diffère de celui d'Europe par ses parties inférieures couver- tes de raies transversales plus dé- licates et plus nombreuses. Le Japon produit une troisième es- pèce ou race semblable à celle d'Europe, mais qui ne nous est connue que par des figures. (11) L'Épervier commun de l'Amérique du nord, Falco velox et pennsylvanicus, Wilson, PL 45, fig. L (jeune individu) et P£. 46, /:3. 1 (adulte) *); Audubon, PI. 374; PL. col. 74 (jeune indiv.), ne me parait différer de celui d'Europe que parce qu’ilest d’une taille un peu moins forte, et par- ce que les taches des parties infé- rieures sont, dans les jeunes de l’année, en forme de larmes. L'Épervier commun du Cap de Bonne Espérance, Falco exilis , Temm., PI col. 496, ne semble s'éloigner de celui d'Europe que par les temtes un peu diverses qu'offrent les parties inférieures à l’âge adulte; ces parties étant d’un rougeatre ferrugineux , rele- vé par des taches un peu plus foncées et assez indistinctes. (12) asrur Gamar. Le mu- sée des Pays-Bas et celui de Ma- yence possèdent des individus de cette espèce; 1ls ont été tués en Grèce. *) Mais non pas le Falco pennsylra- nicus, ibid, PL. 54, fig. 1, qui appar- tient, selon Ch. Bonaparte, List, p.53, au genre Buteo. (13) Die amerikanische Korn- weihe: Falco uliginosus, Wil- son, PU 51, fig. 1 (jun.); CA. Bonap.,tbid. P{. 12 (altes Männ- chen; Varietät mit wellenfôrmi- gen, verwaschenen Flecken auf den Untertheilen); Falco cyaneus, Fauna borealé amer., PI, 29, (altes Männchen mit punktarti- gen ee Audubon, PI. 356, Ag: A, (altes Männchen, mit ungeileckten Untertheilen) ; Falco Hornet Urante, Zool., PL. 16, (Jun), PI, 15 (altes Männ- chen; mit Querbändern auf den Untertheilen), weicht von unse- rer Kornweiïhe durch etwas hü- here Läufe ab. Beim alten Männ- chen sind gewühnlich alle Un- tertheile, von der Brust abwärts, mit zahlreichen rosthraunen Flec- ken oder Querbinden versehen. Richardson fand diese Weihe bis hinauf zum grossen Bärensee, Wilson und Audubon in vielen Theilen der vereinigten Staaten Nordamerika’s, die franzôsischen Reisenden brachten sie von den Falklaudsinseln mit, und wir er- hielten sie von St. Domingo. (14) ciRcUS CINERACEUS PAL- uipus. Dieser Vogel stimmt hin- sichtlich seines Baues, der Ver- hältnisse der Schwungfedern , und überhaupt in jeder Hinsicht, bis auf die etwas blässere Fär- bung, durchaus mit Cércus cène- raceus überein, und bildet, wenn man will, eigentlich nur eine (13) Le Busard St. Martin de l'Amérique a été décrit sous les noms suivans : Falco Wa: Wilson, PI 51, fig. M ind.) , CA. Bonap., de "PI. 12 (mâle adulte, variété à behes 2: 4 duleuses et aol sur les par- ties inférieures; Falco cyaneus, Fauna bor.amer., PI, 29, (mà- le ad. à petites taches rhin res); Audubon, PI. 356, fig. 1 (male adulte, à parties ae res dépourvues de taches); Fal- co histrionicus, Uranie, Zool., P{.16, (jeuneind.), 24. 15, (mâle adulte, aux parties inférieures transversalement rayées). Cette espèce se distingue , dans tous les ages, du busard St. Martin d’Eu- rope, par des tarses plus élevés, Le vieux mâle a ordinairement toutes les parties inférieures, à partir de la poitrine, ornées de ta- ches nombreuses, soit orbiculai- res, soit transversales, d’un brun ferrugineux. Richardson a ren- contré celte espèce jusque sur les bords du grand lac aux ours; elle se trouve, suivant ÆWzr/son et Au- dubon, dans une grande partie des états-unis de l'Amérique du nord: les voyageurs francais l’ont rapportée des iles Falkland, et notre musée en a reçu des indivi- dus tués à St. Domingue. (14) CIRCUS CINERACEUS PAL- Lipus. Ce busard ne diffère du busard Montagu que par ses tein- tes plus pâles, et n’en forme, à proprement parler, qu’une variété locale de cette dernière espèce. C'est donc à tort qu’on l’a com- paré au Busard St. Martin, dont il s'éloigne par ses ailes plus klimatische Varietät dieser Art. Man hat sie daher mit Unrecht bis jetzt immer mit der Kornweï- he verglichen, von der sie eben so sehr abweicht als die Wie- senweihe. Man vergleiche, was wir früher über diese Art im Susemihl's Werk gesagt haben. (15) aquiLa FuLva. Mi/sson ist der Meinung, dass es im Nor- den eine zweite Art Stemadler gebe, die sich vorzüglich dureh einen etwas kürzeren Schwanz vom gemeinen Stemadler unter- scheiden soil. Wir haben uns bis jetzt noch nicht von dem Be- stehen dieser Art oder Nebenart überzeugen kônnen. Es ist diess : Falco chrysaëtos, Nilsson, Il- lum., Figur., Häft 5, pl. 16; ina Fauna, F oglarna, I, p. 44. (16) Die von Gloger, Handb. p. 68, erwähnte vermeintliche Mr tit der Aquila imperialis vom Vorgebirge der guten Hoff- nung (? Falco obsoletus, Licht.) gehôrt , wie wir uns une eigene Ansicht überzeugten, nicht bière her, soudern zu Falco (Aquila) rapax, Temm., Pl. col. 455. — Nach von der Mühle, p. 21, Anmerkung, soll in Griechen- land nur ÆAquila fulva, nicht aber À. imperialis vorkommen. (17) aquILA BONELLI. Wir machen hier noch einmal darauf aufmerksam, dass das Haupt- kennzeichen dieser Art in der bedeutenden Länge ihrer Zehen legt. Sieche hierüber unsere An- pointues, ainsi que par la longueur respective des grandes rémiges. On peut consulter ce que nous avons dit de cette espèce dans notre travail sur les oiseaux d’Eu- rope, accompagnant l'ouvra- ge iconographique publié par Mr. Susemihl. (15) aquiLa FuLvAa. ÂMsson suppose qu'il existe deux espèces d’aigles communs habitant le nord de l’Europe; il appelle l’une Fal- co chrysaëlos , l’autre Falco ful- vus, et prétend que la première se distingue de celle-ci par une queue moins longue. Nous n’a- vons pas été à même de vérifier les observations de Mr. Nilsson, qui a publié des descriptions et des figures de son Falco chry- saëtos dans ses Z{lum. Fig., 5me cahier, PI.16, et dans le Skan- dinavisk Fauna , oiseaux, p.44. (16) La prétendue variété de l'Aigle impérial, originaire du Cap. de Bonne Espérance, et in- troduite par Gloger, Handb., p. 68, sous le nom de Falco obso- letus Lichtenstein, appartient, comme je l’aipu constater par lau- topsie, au Falco rapax, Temm., PI. col. 455. — Mr. von der Müh- le, p. 21, remarque que c’est l’a igle nues et non pas l'aigle impérial qui se trouve en Grèce. (17) aquILA BONELLH. Cette espèce se reconnait facilement à la longueur de ses doigts; nous ren- voyons, pour de plus amples dé- tails sur cet oiseau, à la descrip- tion que nous en avons donnée gaben in Suseméhl, die Vügel Europa's, p. 54 Nach von der Müuhle, p. 19, ist diese Art, nach dem Steinadler , die gemein- ste in Griechenland. (18) aquiLa NaEvia. Man hält jetzt beinahe allzgemein die, auf den Fiügeln und Unterthei- len weiss oder bräunlhichweiss geflieckten, Schreiadler (F. ma- culatus, Gmel.), für die jünge- ren, die einfärbig braunen, (F. naevius , (mmel.), für die alten Vügel; allein Brehm, Vügel Deutschlands, 1831, p. 27, führt letztere als eigne Art, 4quila pomarina, auf, welche auch Fr. Boie, Isis, 1835, p. 259, für selbständig hält. Ohne selbst standhafte Kennzeichen zur Un- terscheidung zweier Arten Schrei- adler angeben zu künnen , und ohneuns für die Memung Brehm's und Bote’s zu erklären, glau- ben wir doch darauf aufmerk- sam machen zu müssen, 1) dass es noch micht durch direkte Beo- bachtungen bewiesen ist, dass die gefleckten Schreiadler mit dem Alter einfärbig braun wer- den; 2) dass einige gefleckte Schreiadler vom Harz, welche bei uns in der Gefangenschaft leben, ihr sogenanntes Iugend- kleid im vierten Jahre noch nicht abgelegt haben, und 3) dass in gewissen Gegenden, wie 7. B. in der Provence und in lialien, nach Temminck, Roux und CA. £. Bonaparte, nur gefleckte Schreiadler vorkommen, wäh- rend wir aus'andern Gegenden, z. B. aus Ungarn, Abyssinien und [ndien nur ungefleckte er- dans Susemihl, p.54. Le comte von der Mühle, p. 19, rapporte que cette aigle est, en Grèce, après l'aigle commun, l'espèce la plus abondante. (18) aquILA NAEvIA. On sait que le plumage de l'aigle criard est tantôt tacheté de blane ou de blanc brunätre, et tantôt d’un brun uniforme, et que l’on re- garde les mdividus tachetés, Fal- co maculatus, Gmelin, comme les jeunes de ceux à plumage uni- forme, Falco naevius, Gme- lên. Brehm cependant, Vôget Deutschlands, p. 27 et Bote, Isis, 1835, p. 259, séparent de- rechef les individus à teintes uni- formes sous le nom de Aquila pomarina. N'ayant pu réussir à découvrir des caractères con- stants servant à distinguer ces deux prétendues espèces, nous ne saurions entrer pour le moment dans les vues des savans que nous venons de citer; il faut cepen- dant convenir que l’on n’a pas encore prouvé par des observa- tions directes, que les individus tachetés deviennentavecl’äge d’un brun uniforme. Nous avons mé- me vu plusieurs individus enle- vés du nid sur les monts d’Hercy- nie, qui à l’âge de quatre ans, conservaient encore les taches claires que l’on croît être le trait distinctif des jeunes. D'ailleurs plusieurs naturalistes, tels que Temminck, Roux et Ch. Bona- parte s'accordent à dire que l’on n’observe en Italie et en Proven- ce, que des aigles criards tache- tés, tandis qu'il ne nous est venu d’autres contrées, comme par hielten, und Pallas der gefleck- ten auch nur beiläufig und als blosse Varietät erwähnt. — Es ergiebt sich ausdiesen Thatsachen, dass die vorliegende Frage nur durch neue , an den Brüteplätzen dieser Vôgel, angestellte Beo- bachtungen erürtert werden kann. Wir erwarten daher die baldige Entscheidung dieser Fra- ge durch wahrheitsliebende Na- turforscher. Die neuerlich durch von der Muhle, p. 19, Anmerkung , mit- getheilten Andeutungen über zwei Arten Schreiadler in Europa, sind unzureichend, Licht auf diese schwierige Frage zu werfen. (19) aquiza PENNATA. Es bleibt dieser Adler, ungeachtet al- ler Forschungen , immer noch ei- ner der seltensten Vôügel, dessen Brüteplatz noch nicht mit Gewiss- heit ermittelt ist, und der über- all, wo man ihn beobachtete, sowohl in Europa als in Afrika, nur zufällig angetroffen wurde. Dass dieser Vogel zuweilen mit dem Rauchfussbussard, Buteo la- gopus, verwechselt wurde, davon haben mich neuere Erfahrungen überzeugt. Wir empfehlen daher weniger Geübten, bei vorkom- menden Fällen, die bis jetzt über- sehenen Kennzeichen, welche wir für diese Art in Susemehl, Vôgel Europa’s, p. 57 aufgestellt haben, zu berücksichtigen, und in’s Besondere darauf acht zu geben, dassdie Läufe des Zwerg- adlers, wie die aller andren Ad- ler, rings herum dicht befiedert 25 exemple de la Hongrie, de l’A- byssinie et des Indes, que des in- dividus à teintes uniformes; aussi Pallas ne parle-t-1l qu'en pas- sant des individus tachetés qu'il regarde comme formant une sim- ple variété accidentelle. Il ré- sulte de l'exposé de ces faits, que l'histoire naturelle de l’espèce dont nous parlons , ne peut guëre être éclaircie que par des obser- vations faites sur les lieux que fréquente cet aigle pendant l’épo- que de la propagation. Les indications contenues dans l'ouvrage de Mr. von der Mühle, p-+ 19, sur l'existence de deux espèces voisines d’aigles criards sont insuflisantes pour éclaircir cette question difficile. (19) aquiza PENNATA. Cette espèce, dont on ignore jusqu’à présent la véritable patrie, ap- partient au nombre des plus rares et n’a été observée qu’ ac- cidentellement, soit en Europe, soit en Afrique. Ayant été quel- quefois confondue avec la buse patue, il est bon de remarquer qu'il existe un caractère assez facile à saisir et au moyen du- quel on peut distinguer ces deux oiseaux dans tous les âges. Il suf- fit, pour éviter des erreurs , d’exa- miner les tarses de ces oiseaux ; ceux de l’aigle botté étant, com- me dans tous les aigles, revêtus de plumes de tous côtés, tandis que ceux de la buse patue sont pour- vus, tout le long de leur face pos- térieure, de plaques assez lar- ges. Nous renvoyons pour les autres traits distincüfs de cette espèce à la description que nous sind, während, bei sorgfältiger Untersuchung, die Läufe des Rauchfussbussardes, auf der gan- zen hintern Seite, mit grossen Schildern bedeckt erscheinen. Graf von der Mühle erhielt einige Exemplare dieses Adlers während seines Aufenthaltes in Griechenland ; zwei andre Exem- plare wurden in der Umgegend Münchens geschossen ; Beitr äge, p. 19. (20) Den weisskôpfigen See- adler, FILCO LEUCOCEPHALUS, Linné, haben wir aus der Reihe der europäischen Vôgel entfernt, weil es uns erwiesen scheint, dass diese Art ein ausschliessli- cher Bewohner Nordamerika’s ist, und kein sicherer Beweis vorhanden ist, dass sich je Exem- plare derselben nach Europa ver- flogen haben. Die Beweggründe, diesen Vogel als europäisch auf- zuführen, waren, ausser der An- gabe Linné’s, dass er auch im Norden Europa’s vorkomme, fol- gende : 1.) dass die beiden, in der vormaligen Bullockischen Samm- lung aufbewahrien weisskôpfi- gen Seeadler, die in die Samm- lunger der Herren Temminck und Laugier übergingen, auf den He- briden geschossen worden seyn sollen; 2.) dass ein Exemplar dieser Art früher bei Zürich, ein anderes bei Stutigart geschossen seyn sollte; 3.) dass Boie, Rei- se, p. 189, während seines Be- suches auf den Loffoden, Seead- ler mit weissem Kopfe fliegen sah, und sie für Falco leucoce- phalus hielt. — Was die erste Angabe betrifft, so wird diesel- 26 en avons donnée dans Susemihl, Le. pn57 Mr. le Comte von der Mühle a recueilli plusieurs individus de cet aigle en Grèce, et ce savant fait en outre mention de deux individus tués dans les environs de Munich; voyez p. 19 de son ouvrage. (20) FALCO LEUCOCEPHALUS, Linné. Comme il n’a jamais été constaté d’une manière évidente, que cette espèce eût été obser- vée dans la partie du monde que nous habitons, nous avons rayé de la liste des oiseaux d’Eu- rope cet aigle-pêcheur, qui paraît habiter exclusivement l'Amérique du nord. Les naturalistes mo- dernes, en introduisant cette espèce comme habitant de l'Eu- rope, se sont d’une part appuyés sur le témoignage de Linné qui veut en effet que cette espèce habite le nord de l’Europe; d’au- tre part ils se laissaient guider par les motifs suivans 1.) qu’il existe deux individus de cette espèce, conservés autrefois dans la collection de Bullock, achetés depuis par MM. Temminck et Lau- gier et que l’on dit avoir été tués sur les îles Hébrides; 2.) qu'on prétend qu'autrefois on aurait tué un individu de cette espèce près de Stuttgart et un autre près de Zurich; 8.) que Mr. Fr. Boie fait mention dans la rela- tion de son voyage, p.189, d’ai- gles-pécheurs qu'il a observés sur les iles Loffodes et qui, vus à di- be durch die vielfachen Unter- suchungen der brittischen Natur- forscher, nach welchen dieser Vogel mie auf den Hebriden vor- kommt, hinlänglich widerlegt. Die, angeblich bei Zürich und Stutigart geschossenen Exempla- re sind nie von irgend einem Na- turforscher beschrieben worden, und es ist noch gar nicht ausge- macht, ob es nicht vielleicht ganz alte weissschwänzige See- adler waren, die man bekannt- lich in früheren Zeiten, als die Unterschiede beider Arten noch nicht auseinandergesetzt waren , oft für weisskôpfige Seeadler hielt. Die Seeadler endlich, wel- che Herr Boie auf den Loffloden sah, waren offenbar alte weiss- schwänzige Seeadler, deren Kopf und Hals im Sommer, durch das Ausbleichen und Abreiben der Federn, eine fast weisse Farbe erhalten ; denn Nils- son sagt ausdrücklhich, dass sich der weisskôpfige ra nie in D cn findet, und zu- folge der Privatmittheilungen des Herrn Dr. Rasch in Christiania, der wiederholt und auf länge- re Zeit die Loffoden besuchte, kommt auf diesen Inseln nur der gemeine Seeadler vor. Übrigens ist es schon deshalb ungereïmt, den weissküpfigen Seeadler zu einem Bewohner des Nordens Europa’s machen zu wollen, weil er, als Zugvogel, im Winter, Wie de weissschvwänzige Seeadler, das feste Land Europa’s besu- chen würde, was aber nicht der Fall ist; dre die vermeintlichen jungen Vügel dieser Art, welche man in Mio lite und Frank- slance, paraissaient avoir la tête blanche. — Quant à la première assertion, 1l a été constaté par tous les naturalistes anglais, que l’aigle-pécheur à tête blanche n'habite pas les iles Hébrides. Pour ce qui regarde les indivi- dus tués, à ce qu'on prétend, près de Stuttgart et de Zurich, ces Re. n'ont jamais été dé- crits par aucun naturaliste, ce qui me fait penser que ce n'étaient tout simplement que de très-vieux individus de l’aigle-pèêcheur com- mun, espèce que l’on a, com- me le sait tout le monde, long- temps confondue avec celle de l’A- mérique du nord. Je crois enfin que Mr. Boie s’est trompé en prenant pour des aigles à tête blanche, ceux qu’il a observés sur les îles Loflodes; car Mr. Nils- son dit expressément que cette espèce ne se trouve jamais en Scandinavie et le docteur Rasch de Christiania, qui a visité à plu- sieurs reprises ces Îles et y a fait un séjour assez considérable, me mande que les aigles-pécheurs qui y habitent appartiennent à l'espèce commune. Mr. Boie au- ra probablement vu de très-vieux er ue de cette dernière espè- e, dont la tête et le cou avaient Ne une teinte très-claire par l'action du jour , phénomène très- apparent, avant la mue, dans la plupart des oiseaux. Quoiqu'il en soit, 1l y a encore d’autres motifs qui militent en faveur de notre opinion que l’aigle-pécheur à tête blanche n habite pas l’Eu- rope septentrionale. S'il en était ainsi, cette espèce, qui appartient au nombre de celles qui émi- reich angetroffen haben will, sind nie genau untersucht wor- den, und diese Angaben sind da- her nur als Vermuthungen zu betrachten. (21) ÂWeilsson nimmt zwei Ar- ten grosser Seeadler aus dem Nor- den Europa’s an. Sein Falco osst- fragus soll grüsser seyn, und ei- nen längeren Schwanz haben, als F, albicilla. Vie bis jetzt von Nilsson untersuchten Exemplare seines F. ossifragus hatten noch keinen weissen Schwanz; nichts- destoweniger vermuthet aber Herr Nilsson, dass auch F. osst- fragus, wie F. albicilla, im ho- hemAlter emen weissen Schwanz bekomme. Wir haben bis jetzt keine hinlänglichen Gründe ge- funden, diesen F. ossifragus als Art oder als Nebenart aufzuneh- men. Siehe über dieselbe: Æels- son, Ornit. suecica, 1, p. 14 ; Skandin. Fauna, Fogl., L, p.45. (22) Es folgt hier die Beschrei- bung, welche Pallas von dieser Art in der Zoogr. rosso astat., I, p. 352, n°. 26, gegeben hat. grent en hiver, visiterait pério- diquement le continent de l’Eu- rope; on ne l’y voit cependant ja- mais. Îlest vrai que l’on prétend avoir tué, en Franceet en Alle- magne, de jeunes individus de cette espèce; mais ces individus n'ayant pas été soigneusement examinés, on ne peut attacher aucune valeur à ces assertions. (21) Vésson veut qu'il existe, dans le nord de l’Europe, deux espèces d’aigles-pécheurs de gran- de taille. Il distingue de l'espèce ordinaire, Falco albicilla, une espèce d’une taille plus forte et à queue plus longue, et qu'il appelle Falco ossifragus. Ce sa- vant croit que cette dernière espèce acquiert également avec l’âge une queue blanche, bien que pas un seul des individus qu'il a examinés ne présentàt ce caractère. Nous n'avons pas cru devoir adopter pour le mo- ment cet oiseau, ni comme espè- ce, ni comme variété, et nous renvoyons pour de plus amples détails aux travaux de Wésson : Ornith. Suecica, T, p. 14, et Skandin. Fauna, Oiseaux, 1, p. 45. (22) Pallas, Zoogr. ross. asiat., 1, p. 352, n°.26, a dé- crit cette espèce dans les termes SuIvans : AQUILA LEUCORYPHA. À. tibüs nudis pallidis, cera livida, corpore fusco, macula ver- ücis alba. Nusquam nisi in australiore Rossia, circa Volgam et Rhymnum inferius, in vicinia maris Caspü, et ibi quoque rarius observatur, 29 ubi cum praecedente , Ossifraga et Haliaëto circa lacus regnat et in arboribus nidulatur. Distinctissima species et licet parva, omni- bus tamen notis ad Aquilas referenda, quas et habitu refert, im hoc genere cum praecedente minima. Descr. Magnitudo paulo supra Clangam; pondus sex librarum. Habitus inter Chrysaëtum et Ossifragam medius. Rostrum basi rec- tiusculum, nigrum, margine maxillae superioris medio convexo. Ce- ra livido-cinerea, glabra, naribus amplis, ovatis, obliquis, concha delitescente. Rictus oris albidus; lingua integra, rotundata. Palpe- brae concolores, versus marginem plumoso-ciliatae; suggrundium supraciliare prominens, nudatum. rides fusco-gryseae, circulo ni- gricante inclusae. Caput supra gryseo-fuseum, macula triangulari medi verticis, gulaque nivea; area per latera capitis sub oculis lon- gitudinalis subatra. Collum undique plumis acuminatis fuscis, apice gryseo-obsoletis jubatum. Dorsum et alae nigricant, plumis margi- ne exsoletis. Subtus color exsoletior quam in collo. Remiges 27. sex primores extremo angustatae, reliquae exteriore margine gryseae, interius versus basin albae. Subtus ala nigrescit, tectricibus basi al- bis. Ala secundaria quadripennis. Cauda longiuscula, alis compo- sitis 2/. 6, longior, aequalis, rigida, nigra, extima utrinque rec- trice lituris aliquot pallidis adspersa. Pedes pallido-albicantes, un- guibus nigris; tibiae vix ad tertiam partem plumosae; digiti parum divaricandi, plicis intercalaribus nullis. — Mensura ad uropygium 1/.5/.8/. caudae 11/8”. ulnae alarum 1’. 8.9. expansarum 5.116”. Rostrum ad oris angulos 2. 3. tibiarum 3/2”. digi- torum anticorum medius sine ungue 2”. 5”. unguis 1/.11/”. exte- rior 1”.72/”. unguis 1”. interior 1.6/7. unguis 1”.31//. posticus 1”. 4. unguis 1”. 3. Ein vonEversmann in derBucharei eschossener, im Berliner Museum aufbewahrter Seeadler, stimmt mit der Pallasischen Beschreibung durchaus überem, und weicht bloss durch den Mangel des weis- sen Nackenfleckes, dessen Pallas erwähnt, ab. ÆKeyserling und Blasius, p.139, geben nach die- sem Exemplare, folgende Züge als Artkennzeichen für 47. leuco- ryphus an: » Die Läufe vorn kaum »? der Länge befiedert; die In- »nenfahne der grossen Schwin- » gen nur bis zur 8ten ausgeschnit- , ten; die 2te bis 4te auf der Aus- Mr. Eversmann a rapporté au Musée de Berlin, de son voyage à Boukhara, un aigle-pécheur qui se rapporte parfaitement à l’espe- ce de Pallas, quoiqu'il n'offre pas le caractère tiré de la tache blan- che de la nuque. MM. Keyser- ling et Blasius, L. c., p. 139, ont emprunté à cet individu les traits distinctifs suivans: » Tarses »emplumés par devant à peine » d’un tiers de leur longueur. Les » trois premières rémiges rétré- »cies à leur barbe interne; la » deuxième jusqu’à la sixième ré- » mige rétrécies à la barbe exter- » senfahne deutlich, die 5te schw ä- » cher, die 6te nur sehr schwach » verengt ; der Schwanz schwarz, » gerade, mit dem Ende 2! Zoll » über die Flügel hinausragend, » der Schnabel schwarz.”’— Nach demselben Exemplare habe ich folgende kurze Beschreibung ent- worfen : Ganze Länge 2 6”; Flü- gel 1’ 10”; Schwanz 11’; Läufe 31”. Mittelzehe ohne Nagel 2”. Habitus, Bau, Schnabel, Füsse und alle sonstige Verhältnisse wie bei H. Macei. Schnabelschwärz- ich. Hauptfarbe des Gefieders erdbraun, unten blässer. Die Fe- dern gegen 1hre Ränder hin hel- ler, besonders die Flügeldeckfe- dern ; die des Kopfes und Halses mit gelblichbraunen Rändern. Ohrgegend, und ein von da sich verlängernder und auf den Seiten des Halses sich verlierender Streif, schwärzlichbraun. Grosse Schwungfedern und Schwanz schwarz; letzterer auf der ersten Hälfte schwach weisslich gewäs- sert. Obere und untere Schwanz- deckfedern blasshraun, ein we- nig mit weisslich gemischt. Füsse gelblich. Nägel schwärzlich. Schwanz kaum merklich abge- rundet,. Es fragt sich, ob Æaliaë- tos lineatus, Gray, Ind. Zool., nicht als junger Vogel zu vorge- hender Art zu ziehen ist. Wenn man die Gewissheit hätte, dass sowobhl das Exemplar von Pallas als das des Berliner Museums, als männliche und jüngere Indivi- duen zu betrachten sind, so würde ich kein Bedenken tragen, A. leucoryphus als identisch mit H.Macer, Temm., PL, col. 8, von 30 »ne, mais de sorte que ce ca- »ractére est moins apparent sur » la cinquième rémige, et peu » sensible sur la sixième. Queue » noire, coupée carrément à l’ex- » trémité , dépassant les ailes de » deux pouces et demi. Bec » noir.” — J’ai pris sur ce même individu la note succincte suivan- te: Longueur totale 27 6; ailes 1° 10”; queue 11”; ‘tarses 314 doigt de milieu, sans ongle 2. Port, bec, pieds et organisation comme dans l’Aaliaëtos Macer. Bec noirtre. Teinte générale du plumage d’un brun de terre, plus pâle sur les parties inférieures. Plumes, particuliérement les couvertures des ailes, à bords clairs; celles de la tête et du cou liserées de brun jaunûtre. Région des oreilles et une lar- ge raie qui se prolonge depuis cette région jusque sur les côtés du cou, d’un brun noirâtre. Gran- des couvertures des ailes et queue noires; queue variée de blanc à la premiére moitié de sa longueur. Couvertures de la queue d’un brun pâle, relevé par quelques ta- ches blanchätres. Pieds jaunâtres. Ongles noirâtres. Queue insen- siblement arrondie à l’extrémité. Il convient peut-être de re- garder comme le jeune de cette espèce l'oiseau figuré par Gray, dans l’Zndian Zoology, sous le nom de Haliaëtos lineatus. Le sexe des individus observés par Pallas et Eversmann n'ayant pas été constatés par la dissection, c'est en hésitant que nous émet- tons l'opinion qu'ils pourraient bien n’être que des mâles jeunes ou à l’âge moyen du grand aigle Bengalen, ersteren als jungen, letzteren als alien Vogel, zu be- trachten. (23) marnËros vocirEr. Exemplare dieser Art aus Grie- chenland im Mainzer Museum. Graf von der Mühle erwähnt der- selben nicht als griechischen Vo- gel. (24) PANDION HALIHAÉTUS. Der gemeine Flussadler scheint über die ganze Erde verbreitet zu seyn, und nach den verschie- denen Gegenden, in welchen er vorkommt, hôchstens einige uner- hebliche Unterschiede in Grôsse und Färbung darzubieten. In wie fern der amerikanische Flussadler, Pandion carolinen- sis, Ch. Bonap., von dem uns- rigen abweicht, kônnen wir, da wir nur wenige Individuen aus je- ner Gegend sahen, nicht angeben. Die Flussadler von Japan, Hinter- indien und Neuholland , Pandion leucocephalus, Gould;,sind durch- gehends ein wenig kleiner, und haben etwas mehr weiss auf dem Kopfe. Siehe über die Varietäten dieser Art: Verhandel. Nedert. Oyerz. bezitt., Aves, Artikel : Falco (Pandion) humilis. (25) BuTEo vurcaris. Im nôrdlichen Amerika findet sich ein Mäusebussard, den Richard- son und Swainson, Fauna bor. 31 pêcheur du Bengale, connu sous lenom de /aliaëtos Macei, Temm., PI. col. 8. (23) HALHnÈTOS vocIFER. J'ai vu au Musée de Mayence des individus de cette espèce, tués en Grèce. Mr. le Comte von der Mühle n’en fait pas mention dans son ouvrage sur les oiseaux de la Grèce. LL (24) PANDION HALIËTUS. Il paraît que le balbusard com- mun est répandu sur toutes les parties du globe, et qu'il ne for- me tout au plus, suivant les lo- calités, que de légères variétés dans la taille et les couleurs. N'ayant vu qu'un petit nombre d'individus du balbuzard d’'Ame- rique, Pandion carolinensis, Ch. Bonap., nous ne nous croyons pas autorisés à émettre aucune opinion sur cette prétendue espè- ce. Mr. œould a séparé le balbu- zard de la Nouvelle Hollande, sous le nom de Pandion leucocepha- lus : il s’en trouve de semblables au Japon et dans l’Archipel des Indes; ils sont constamment un peu plus petits que ceux d’Euro- pe, et la couleur blanche domi- ne sur le dessus de leur tête. Consultez par rapport aux varié- tés du bulbuzard notre mémoire sur le Falco (Pandion) humilis, inséré dans l’ouvrage hollandais intitulé : Verhandelingen over de Med. Overzeesche bezittingen. (25) BurEo vuLGaRis. L’a- mérique du nord produit une buse, que M. M. Richardson, Swainson et Audubon regardent am., Birds, PL.27, und Audu- bon, Pl 372, für mcht ver- schieden von unserm Mäusebus- sard halten, und ihm auch dem Namen Butleo vulgaris geben. Ch. Bonap. List, p. 3, führt ihn aber als eigene Art, unter dem Namen Buteo Swainsonit auf. Wir haben diesen Vogel in der Natur nicht gesehen. (26) BUTEO Lacopus. So- wohl ZLevaillant als neuerdings Smith, haben diese Art vom Vor- gebirge der guten Hoffnung mit- gebracht. Diese Erschemung ist um s0 auffallender, da dieser Vogel selbst das südliche Europa nur in kalten Wintern besucht. — Der nordamerikanische Rauchfuss- bussard , Falco Sancti Johannis, Latham, unterscheidet sich von dem UÜnsrigen durch einen stär- kern, breiteren Schnabel, grüs- sere, kräftigere Nägel, und et- was hôhere Läufe, die weder so weit abwärts, noch so weit nach hinten befiedert, und auf der hintern Hälfte des Lau- fes, nach unten, mit grôsseren Schildern bekleidet sind. Diese Art weicht individuell, in der Färbung, noch bedeutender ab als unser Rauchfussbussard. Es ist dies Falco spadiceus (Choco- late Falcon), Forst., Phil. Trans., LXII, p.281; Pennant, Arct. Zool., II, p.201, Tab.9 B; Falco Sancti Johannis, Gmelin, p.273, n°.92; 54. John's Falcon, Arct. Zool. T.Ja; Wilson, Taf. 33, Fig. 1; Falco lagopus et niger , Audubon, PI. 422 und PL. 166 ; Falco lagopus , Richards., Fau- na bor. amer., Birds, PI 28, 3 comme identique avec la buse commune d'Europe; c’est le Buteo vulgaris, Fauna bor.amer., PL. 97, Audubon', PIM872;= CR: Bonaparte, List, p. 3, au con- traire veut que ce soit une espèce distincte qu'il appelle Buteo Swainsonii. Je n'ai pas vu cet Oiseau. (26) BuTrEo Lacopus. Le- vaillant et Smith ont observé la buse patue dans la partie méri- dionale de l'Afrique, fait d’au- tant plus remarquable que cette espèce qui habite les régions froi- des de l'Europe et de lAsie, n’étend guère ses migrations jus- qu'au delà des Alpes que pen- dant les hivers très-rigoureux. — La buse patue de l'Amérique sep- tentrionale, Falco Sancti Johan- nis, s'éloigne de l’espèce com- mune par son bec plus vigou- reux et plus large, par des on- gles plus forts et plus longs, ainsi que par des tarses un peu plus élevés,et dont les plumes ne s’avan- cent pas aussi loin vers le bas et vers le derrière que dans l’espè- ce commune; aussi les plaques dont la partie postérieure des tarses est revêtue vers le bas sont- elles d’une étendue plus considé- rable. Cette espèce américaine varie selon les mdividus, par rap- port aux teintes, d’une manière plus frappante encore que l’espé- ce d'Europe, ce qui a donné lieu à l'établissement de plusieurs espèces nominales. C’est Falco spadiceus où Chocolate Falcon, Forst. Phil. Trans., LXIT, p. 281 ; Pennant Arct. Zoo!, I, p. und F. ferrugineus, Lichtenst., Verh. d. Berlin. Acad., 1838, p. 428. (27) Pallas, Zoogr. ross. asiat. T, p. 354, n°. 27, be- schreibt unter dem Namen ac- CIPITER HYPOLEUCOS einen Schlangenbussard aus dem süd- lichen Russland, den Æeys. u. Blasius, die Wirbelth. Euro- pas, p. AXXIX, n°. 20, Cir- caëlos hypoleucos, als eigene Art aufnehmen. Nach der von Pallas mitgetheilten Beschrei- bung, weicht aber dieser Vogel vom gemeinen Schlangenbussard nur durch die gelbe Farbe der Füsse, und durch pinselfürmige Büschelchen, welche sich an den Spiizen der Nackenfedern befin- den, ab. Letztere sind offenbar Uberbleibsel des Dunenkleides, und die gelbe Farbe der Füsse ist wahrscheinlich durch das Trocknen entstanden, wie dies häufig Statt findet. Auch muss man berücksichtigen, dass Pal- las unsern gewôühnlichen Schlan- geubussard gar nicht aufführt, sondern die hierher gehôrigen Citate, selbst Buffon's Jean le Blanc, Pl. ent. 413, zu seinem Acc. hypoleucos zieht. Wir kün- nen, aus den angeführten Grün- den, diesen Vogel als Art nicht eher aufnehmen, bis er auf’s Neue untersucht und mit (Circaëtus 2. 33 201, PI. 9, fig. B ; Falco Sancti Johannis, Gmelin, p.273,n".92; SE. John's Falcon, Arct. Zool., T9 ilson, PL'SS TEE; Falco lagopus et niger, Audubon, PI. 422 et PI. 166; Falco lago- pus, Richardson, Fauna bor. amer., Birds, PI 28; et Falco ferrugineus, Lichtenstein, Verh. d. Berlin. Acad., 1838, p. 428. (27) Pallas, Zoogr. ross.as., I, p. 354, n°. 27, a décrit, sous le nom d’ACCIPITER HYPOLEU- ces, un Circaëte de la Russie mé- ridionale, que M. M. Æeyserling et Blasius ont adopté comme espèce bien établie; c’est leur Cércaëlos hypoleucos, p. XXI, n°. 20. — À juger de la descrip- tion donnée par Pallas, cet oi- seau ne s'éloigne du Circaëte commun que par la teinte jau- nâtre des serres, ainsi que par la présence de petits appendices pénicilliformes, dont les plumes de la nuque sont pourvues. Ces appendices sont évidemment les restes du duvet qui ne s’est usé qu'imparfaitement; quant à la couleur jaune des pieds, elle est probablement due au dessèche- ment de ces parties. D'ailleurs Pal- las ne fait pas du tout mention du Circaète commun, et il rapporte plusieurs synonymes de cette espé- ce àson Accipiler hypoleucos, en- tre autres même le Jean le Blanc de Buffon, Pl.enl.413. Avant d’é- tablir l'espèce décrite par Pallas, il sera nécessaire de l’examiner de nouveau, et de la comparer à l'espèce commune et au Circaëte pectoral, qui offre des pieds Jau- nes dans tous les äges. 3 34 galhicus und pectoralis, welcher letzterer in jJedem Alter gelbe Füsse hat, verglichen wurde. Quoi qu'il en soit, nous avons cru devoir reproduire ici la de- scription de Pallas, afin de met- Damit Jeder selbst urtheilen | tre nos lecteurs à portée de ju- kann, in wie fern die von Pal- | ger eux-mêmes, s’il Convient d'a- las aufgefübrte Art Berücksich- | dopter pour le moment cette es- tigung verdient, lassen wir seine | pèce douteuse. Beschreibung hier folgen. » Cera pedibusque flavis, corpore fusco subtus albo, plumis cir- » vicalibus penicilliferis. »in Rossia australi, circa Tanaim et Volgam inferiorem, per »regiones campestres non infrequens, frequentissimus (Gmelinis »testi) circa Astrachaniam hyeme, ubi Gallinis, aeque ac in Gal- » lia infestus. Ad orientem Üralensis jugi nunquam observatus fuit ; » attamen in australibus Tatariae magnae forte non deest. » Descr. Maximus accipitrum, Aquilae Clangae fere aequalis, sed » habitus ab Aquilis alienus et plumae cervicis multo minus acutae. » Rostrum breviter aduneum. Caput et cervix grysea, rhachibus » fuscis, subtus albidiora: plumae cervicis mediae fuscidiores, rha- » chi apice terminata plumula distincta singulari, pemcilliformi, » quod in nulla ave observavi, et priores autores non adnotarunt. » Dorsum fuscum, plumis margine gryseo-exsolelis. Subtus avis al- »ba, jugulo, maculis pectoris et lunulis femoralium gryseo-lutes- » centibus. Remiges interius albae. Cauda longior, aequalis, fusea, » rectrices laterales interius albae, omnes nigro trifasciatae. Pedes » longiuseuli, nudi, flavi.” Ich kenne, ausser unserer euro- Je ne connais que deux espé- päüschen, nur noch zwei Arten | ces exotiques de ce genre, savoir dieser Gattung, nämlich: 1) Cére. | 1) Cire. pectoralis, Smith ou pectoralis Smith, s. C. thora- Cérc.thoracicus Cuv., Mus.Par., cicus, Cuv., Mus. Par., von Afri- | de l'Afrique, assez voisin du Cir- ka, derin der Jugend zwar dem | caète commun, mais à poitrine C. gallicus täuschend ähnlich | noirâtre, à l’âge adulte, et à pieds ist, aber im Alter eine schwärz- | jaunes. Mr. Müller à tué un oi- liche Brust und gelbliche Füsse | seau tout à fait semblable, à l’île hat. Herr Müller hat einen ganz | de Timor. 2) Cércaelus cinereus, ähnlichen Vogel auf Timor er- Vieillot, Gal., PI. XIT, ou Ctre. legt.2) Cércaëtos cinereus Vreill., | funereus, Rüppell, Neue Wir- Gal., PI XII, seu Cire. fune- | bellhiere, Vogel, Tab. 14, du reus, Rüppell, Neue Wirb., | Sénégal et de l’'Abyssinie. Vügel, T. 14, vom Senegal und Abyssinien. (28) MILVUS PARASITICUS. (28) MILVUS PARASITICUS. Von Herrn von Feldegg in Dal- matien, und vom Grafen von der Mühle, p. 22, in Griechenland gesammelt. Vom schwarzen Hi- lan durch einen stärker gegabel- ten Schwanz und gelben Schna- bel abweichend. Unserem schwar- zen Milan ganz ähnliche Vügel kommen vom Senegal, vom Fest- lande von Indien, (MHilvus g0- ET Sykes, Proceed. 1832, ». 81), vom indischen Archipel Sud Neuholland , (Milvus affinis, Gould, Syn. Bérds Ausir., Ta- fel ohne Nummer). Ehe diese Vü- gel aber als eigene Arten aufge- ane W Hi kônnen, müs- sen ibre Kennzeichen, gründli- cher alses bis jetzt geschah, aus- einandergesetzt werden. Ausser den angeführten drei europäi- schen Arten sind mir nur noch zwei bekannt, nämlich: 1) der schône Miluus isurus, Gould, Birds of Australia, Tafel ohne Nummer, von Neu-Hoiland und 2) eine neue Art von Japan, Tobé der Japaner , an Grüsse dem Kô- nigsmilan gleichkommend, aber dunkel von Farbe, und mit äus- serstseicht gegabeltem Schwvanze. (29) Ezanus. Die Kennzei- chen der Arten dieser Gruppe wurden bis jetzt sehr unvollstän- dig angegeben. £lanus melanop- terus, der eigenthich in Afrika zu Hause ist, sich aber zuweilen nach Europa verfliegt, unter- scheidet sich von dem ihm in der Färbung sehr verwandten El, axillaris, siandhaft durch 7 LA e Celte espèce a été recueillie par Mr. de Feldegg en Dalmatie et par le comie von der Mühle, p. 22, en Grèce. Elle ne se distin- gue du Milan noir que par sa queue plus fortement fourchue, et par la couleur jaune de son bec. Le continent de l'Inde pro- duit un Milan en tout point sem- blable au Milan noir: c'est le Hit- vus govinda,Sykes, Proceedings, 1832, p.8l; il en existe également un à la Nouvelle Hollande : c’est le Hélvus affinis, Gould, Syn. Birds Austr., (p'auche sans nu- méro). Les caractères de ces oi- seaux n'ayant pas encore été ex- posés d’une manière satisfaisante, il ne convient pas de les admet- tre pour le moment comme espè- ces parfaitement établies. Outre les trois espèces de Milans qui se trouvent en Europe, je n’en con- nais que deux autres de ce gen- re, savoir 1) le Méluus isurus, Gould, Birds of Australia, (planche sans numéro), belle es- pèce dela Nouvelle Hollande, et 2) une nouvelle espèce du Ja- pou, appelée Tobr dans ce pays; elle est de la taille du Milan com- mun, mais elle offre des teintes assez foncées, et sa queue est très-peu échancrée. (29) ELanus, Les traits dis- tinctifs des diverses espèces de ce genre n'ont été indiqués j jusqu'à présent que d'une manière assez superficielle. L’Élanion blac, qui visite accidentellement l'Europe, quoique sa véritable patrie soit l'Afrique, se distingue constam- ment de l’Elanion axillaire , par sa queue beaucoup plus cour- einen weit kürzeren Schwanz. Die Unterseite der Flügel ist nmer rein Weiss. Elanus axillaris, Gould, Birds of Austral., Tafel ohne Nummer; Falco axillaris, La- tham, Ind. orn. ; Circus axilla- TES, Vieillot, Encycl. meth., III, p. 1212; Elanus notalus, Gould, Proceed., Fa, ©2199: und p. 141, kommt vom indiscken Archipel und Neuholland, hat einen län- geren Schwanz, und oft, aber nicht immer , he gros- se untere Flügeldeckfedern. Es ist mir nicht gelungen, standhafte Kennzeichen aufzufinden, um von dieser Art den Falco dispar, Temm., PI col. 319, (junger Vo- gel) ; Wilson, PT. 11, fig. l; Audu- bon, PL. 352; Plans re Ch. Bon., List, p. 4, zu unter- scheiden. — Eine schône, dritte Art mit winkeligem schwarzem Flecke auf der Unterseite der Flü- gel bildet der grüssere Elanus Scriplus, Pr Proceed. 1842; Birds of PONS EN (Taf. ohne Nummer). Endlich ist ais vierte Art zu dieser Gruppe zu zählen, Gampsonyx Swainsonit, Vi- gors, Zool. Journ., IT, p. 69, seu £lanus torquatus Lasve Traité. d'Orn., sp: 721 (jun) vom warmen Amerika; ausge- zeichnet durch seine geringe Grôsse, und von den drei Vorher- gehenden durch seine schône Färbung abweichend. Ch. Bonap., CRE of te, et par la teinte blanche de la partie interne des ailes; du reste ces deux espèces se ressemblent assez, par rapport au système de coloration. L'Elanus axillaris, Gould, B. of Austr.; Falco axillaris, Latk.; Circus axillaris, Vieillot, Ency- cl. meth., IIT, p. 1212; Elanus notatus, mould, Proceed.,V ,p.99 et p.141, qui habite l’Archipel des Indes et la Nouvelle Hollande, s'éloigne du précédent parsaqueue plus longue ainsi que par les gran- des couvertures internes des “ailes qui sont le plus souvent d’une teinte noire. Je ne vois pas en quoi se distingue de cette espèce des Indes, celle qui habite l’Amé- rique, et qui a élé indiquée sous les noms suivans: Falco dispar, Temm., PT. col. 319 (jeune de l’année); Ch. Bonap. ce of Wilson, PI. 11, #9. l; Audu- bonr, © PI.V252; Hess leucu- rus, Bonap., Dei p. 4. — Une troisième espèce de ce groupe vient de la Nouvelle Hollande ; elle est d’une taille plus forte que les deux précédentes et ses ailes sont ornées, à leur face in- terne, d’une large tache noire anguleuse; c’est l'£lanus scrip- lus, Gould, Proceed., 1842; Birds of Australia, planche sans nu- méro. Il convient de placer à la suite de ce groupe une belle espèce d'assez petite taille et à plumage orné de teintes très-vi- ves; elle se trouve dans l’Améri- que intertropicale; c’est le Gamp- sonyx Swainsontii, Vigors, Zool. Journ., IT, p. 69, dont T Ela- nus lorquatus de Lesson ne pa- rait pas différer; voir Zesson, (30) vurrur Fruzvus. Siehe über diese und die übrigen, dem V. fulvus verwanäten Arten oder Nebenarten, so wie über- haupt über die Synonymie und Charakteristik der Geierarten un- sere Arbeit über diese Gattung in Susemihl, Nat. Vüg. Eur., p- 10 bis 12. (31) VULTUR AURICULARIS. Die Mitiheilungen Levaillants, dass dieser Geier gesellschaftlich lebt, sind nach Srzth, Proceed. Zool. Soc., 1833, p. 45, falsch. Es gehôrt daher diese Art, auch hin- sichtlhich 1hrer Lebensart, zu der Gruppe der adlerartigen Geier : siehe hierüber unsere Arbeit in Susemihl, Nat. Vôg. Eur., p. G sgg. — Graf von der Müñle, p. 11, hat diesen Vogel nie in Griechenland gesehen; er wirft daher die Frage auf, ob die, an mehrere Sammlungen aus Grie- chenland geschickten Bälge die- ser Art, micht vielleicht aus Ae- gypten stammen. (32) GYPAËTOS BARBATUES. Siehe über die Verbreitung und die Nebenarten des Bartgeiers : Schleg. u. Susem., Nat. Vüg. Eur., p. 18 u. 19. (33) orus BuBo. Der gemei- ne Uhu artet in kalten Gegenden zuweilen in’s Weisse aus. Ein sol- ches Exemplar aus Sibirien be- findet sich im Berliner Museum. Strix scandiaca, Linné, Fauna 37 Traité d'Ornith, p.72 (descrip- ion d’un jeune individu). (30) vucrur Fruzvus. Nous renvoyons pour les détails relatifs aux diverses espèces du genre Vautour et à leurs variétés, au travail que nous avons inséré dans l'ouvrage intitulé: Susemihl, Na- turgeschichte der Vügel Euro- pas, p. 10 et suiv. (31) VULTUR AURICULARIS. Smilh, Proceed Zool. Soc., 1833, p. 45, a réfuté les assertions er- ronnées de Levaillant, qu dit que cette espèce vit en société comme les Vautours proprement dits. Elle appartient en consé- quence, sous tous les rapports, au groupe des aigles-vautours: voir notretravail inséré dans Susemthl, l. ce. p. 6 et suiv.— Mr. von der Mühle, p. 11, n'ayant pas ren- contré ce vautour en Grèce, il suppose que les échantillons, a- dressés de ce pays à diverses col- lections, sont originaires de l'Egypte. (32) GYPAËTOS BARBATIS, Consultez, quant aux diverses ra- ces du Gypaëète et leur distribu- tion géographique, ce que nous en avons dit dans Susemthl, Le., p. 18 et 19. (33) orus BuBo. Les régions froides produisent quelquefois des variétés individuelles blanchâtres de cette espèce. Nous avons vu, au Musée de Berlin, une variété semblable provenant de la Sibé- sueciea, n°, 70, aus Lappland, neuerdings von Temmuinck, Ma- nuel, TIIT, p. 53, aufgeführt, scheint ebenfalls auf emem weiss- lichen Individuum des gemeinen Uhus zu beruhen. — Eme ähn- liche Erscheinung scheint beim nordamerikanischen Uhu , (Æ£d- wards, IT, Tab. 60; Bubo vir- ginianus, Brisson, Orn., I, p. LA, n0.2; Sfrix virginiana, GmelMLinns, p1287, "n0113; Wilson, PI 50, fig. l; Strix macrorhynchus, Temm., Pl, col. 62), Statt zu finden, der im ho- ben Norden ebenfalls zuweilen in’s weissliche ausartet. Wir hal- ten daher, mit CA. Bonaparte, List, p. 6, den Sfrix (Bubo) arctica, Swainson in Fauna bor. amer, Birdss, RE 230 00-480; Heliaplex arcticus, Swaïinson, Nat. Hist. of Birds,. IT, p. 217, für eine solche weissliche Varietät der S/rix virginiana. (34) orus orus. Nach CA. Bonap. List, p.77, ist die nord- amerikanische mittie Ohreule, Olus americanus, Ch. Bon. ; Strix otus, Wilson, PI. 51, fig. L; Audubon, PI. 2S3, verschie- den von der unserigen. (35) orus scops. Die in Afri- ka beobachteten, der gemeinen ZwWergohreule ganz ähnlichen Vôgel trennt Swaënson, Birds A PPeSL.. AfreTL, Tp 2 AS eigene Art, unter dem Namen rie, et nous croyons qu'il faut également regarder comme telle le Strix scandiaca de Linné, tué en Lapponie; voir Fauna suecica, n°. 70 et Temm., Man., TITI, p.53. — Le plumage du grand duc de P Amérique du nord, (Edwards, IT, Tob. 60; Bubo vérginianus, Brisson, Orn., E, p. IA, n°0. 2; Sirix virginia- na, Gmel. Linn., p. 287, n°. 13; Wilson, PI. 50, fig. 1; Sérix macrorhynchus, Temm., PL. col. 62) , est également susceptible de subir, dans les régions boréales, El un changement de couleur ana- logue à celui dont nous venons de parler. Nous sommes, par celle raison, portés à croire, avec Mr. CA. Bonaparte, List, p.6, que la prétendue espèce décrite par Swainson, sous les noms de Strix (Bubo) arctica et d He- liaplex arcticus, (voir Fauna bor. am., Birds, Pl. 30, p. 86, et Nat. Hist. of Birds, II, p. 217) n’est tout bonnement qu'une variété blanchäire du grand due de l'Amérique du nord. (34) orus orus. CA. Bona- parte, List, p. 7, veut que le hi- bou moyen-duc de l'Amérique du nord diffère par l’espèce du nôtre; c’est l'Olus americanus , Ch. Bon.; Strix otus, Wilson, PI. 51, fig. l; Audubon, PL. 383. ? (35) orus scops. Swainson, Birds of West. Afr., I, p. 127, regarde le petit duc commun de l'Afrique comme formant une espèce diverse de celui d'Europe, il l'appelle Scops senegalensis. Scops senegalensis. Wir haben die von Swainson angegebenen Kennzeichen nicht standhaft ge- funden. (36) STRIX FLAMMEA. Dem gemeinen Schleierkautze mehr oder weniger ähnliche, oft nur durch eme etwas En hodece Färbung des Gefieders abwei- chende Vügel, kommen fast in al- len Welttheilen vor; aber ihre Unterschiede sind bis jetzt noch nicht gehôrig ausemandergesetzt worden. (37) STRIX NOCTUA MERI- DIONALIS, Diese Abart unseres gemeinen Stemkautzes vertritt die Stelle desselben in Spanien und Aegypten. Exemplare, welche in diesen beiden Gegenden erlegt wurden, weichen von unserem Stemkautze nur durch ihre viel blässere Grundfarbe, so wie durch den bräunhichweissen Anflug, wel- chen die hellen Flecke annehmen, und der besonders auf den grossen Schwungfedern in das Auge fällt, ab. Ferner scheinen die hellen Flecke auf der Brust eine mehr längliche Gestalt zu haben. Die verwaschenen Querbinden auf der inneren Fahne der gros- sen Schwungfedern sind etwas deutlicher, und die hellen Fiecke der Steuerfedern, besonders der mitteln, sind schmäler , und bil- den daher weniger vollkommene Querbinden. Endlich scheint auch diese Abart durchgängig ein we- nig kleiner zu seyn ‘als unser Steinkautz, was wir aber nicht 39 Nous n'avons pu retrouver, dans nos individus de l’Afrique, les ca- ractères qu'il assigne à ceite pré- tendue espèce nouvelle. (36) STRIX FLAMMEA. Il exis- te, dans presque toutes les par- ües du monde, des effraies plus où moins voisines de notre ef- fraie d'Europe, dont elles ne se distinguent souvent que par des nuances un peu modifiées des teintes; mais les traits distinctifs de ces espèces ou variétés n’ont pas encore été établis jusqu’à présent d’une manière précise. (37) STRIX NOCTUA MERI- DIONALIS. Nous faisons connaï- tre, sous Ce nom , une variété de climat de la chevéche, observée en Espagne et en Égypte. Elle ne se distingue de la chevêche que par des tes plus pâles et en ce que les taches claires tirent sur le brunätre, principalement celles des pennes des ailes et de la queue, Les taches claires de la poitrine offrent en outre une for- me plus allongée que d'ordinaire; les bandes transversales de la bar- be interne des grandes rémiges sont plus prononcées et les ta- ches claires des pennes de la queue, notamment celles des pen- nes mitoyennes, sont plus étroi- tes et forment par conséquent des bandes transversales assez in- terrompues. Îl parait aussi que cette variété est constamment un peu plus petite que la chevé- che ordinaire; n'ayant cepen- dant examiné que deux indivi- dus de cette variété, nous ne mit Gewissheit bestimmen kün- | sommes pas à même de garan- nen, da wir nur zwei Exempla- re unbestimmten Geschlechtes dieser südlhichen Abart vor uns haben. Maasse eines Exemplares aus Spanien : Ganze Länge,-5,.2.,-4-19/M67 Länge des Flügels . . 5" 9 » des Schwanzes. . 3” » tdesilaufesit: 240, dre » der Mittelzehe . . 911 des Nagels dersel- Henri r.l 4200 » desSchnabels, vom Mundwinkel . . . 917. Rüppell, 1. e. sagt, dass diese Abart in Aegypten sehr häufig ist, und auf Datteilbäumen lebt. Vielleicht gehôrt auch hierher die vom Grafen von der Miühle unter dem Namen Surnia noc- tua, var., L. ©. p.24 bis26 be- schriebene Abart des Steinkautzes. STRIX MERIDIONALIS, 1550, Hist. nat. de l'Eur. mér. vol. III, p. 32, n°. 32, aus der Ge- gend von Nizza, ist eine andere Art, von der man aber, der un- vollständigen Beschreibung we- gen, gar nicht emmal sagen kann, ob sie wirklich neu ist, oder mit irgend einer der schon bekannten Arten zusammenfällt. (38) STRIX NEBULOSA. For- ster', Phil. Trans EXT pe 386 und 424; Wilson, PI. AXXXIIT, Fig. 2, ist mit Ge- wissheit bis jetzt nur in Nord- 40 tir l'exactitude de cette derniére observation. Voici les mesures d’un indivi- du tué en Espagne: Longueur totale … » .1:4 960 de l’aile. + .…..5/091e de la queue . 3’ du: ;tarse 4. MOMIE du doigt de nüleurs 44710808 de l’ongle de ce 9//’ doigt . . L ®. AE » du-bec:.121#:4 119588 Rüppell, L. c., dit que cette chevèche est très-commune en Egypte où elle fréquente les dat- tiers. Nous présumons qu'il con- vient de ranger ici la variété indi- quée par Mr. von der Mühle, comme habitant la Grèce; Surnia noclua,var., voir pag. 24 à 26 de son ouvrage. La chouette intro- duite par Aésso, Hist. de l'Eu- rope mér., vol. TITI, p. 32, no. 32, sous le nom de STRIX ME- RIDIONZ2LIS, est une espèce dif- férente de notre chevêche méri- dionale; mais la description don- née par Risso étant assez super- ficielle et incomplète, il est im- possible de fixer avec certitude à laquelle des chouettes connues il convient de rapporter cette prétendue espèce nouvelle. (38) STrRIx NEBULOSA. For- ster, Phil. Trans., LXII, p: 386 e{ 424; Wilson, PI.XXXTIIT, 19.2, espèce qui habite l'Amé- rique du nord, a été indiquée amerika gefunden worden. Die Angaben, dass sie auch in Skan- dinavien vorkommt, beruhen auf älteren , unsicheren Nacbhrichten. Auch hat sie nie em Naturfor- scher im Norden Europa’s beo- bachtet. (39) HIRUNDO RUSTICA ORI- ENTaALIS. Diese Schwalbe scheint sich von unserer gemeinen Rauch- schwalbe nur dadurch zu un- terscheiden, dass ihre Untertheile von der Brust abwärts, mit Ein- schluss der untern Schwanzdeck- federn , statt weisslich mit bräun- lichem Anfluge, einfärbig matt kastanienbraun sind. Die im #a- nuel d'Ornithologie beschriebe- nen Exemplare, stammen, nach Boissonneau’s eigenen spätleren Berichten aus Macedonien, und nicht aus Spanien, wo diese Schwalbe bis jetzt noch nicht beobachtet wurde. Hirundo ja- vanica, Sparm., Pl col. 83,2, (Hirondelle orientale) ist eine unserer Hausschwalbe in der Fàr- bung ähnliche, aber verschie- dene, viel kleimere Art. Graf von der Mühle, p. 80, hat die üs/liche Rauchschwalbe nie in Griechenland beobachtet. (40) HiRuNDo RurFUuLzAa. Man hat mit Unrecht diese Art für einerlei mit Hérundo capensis, Linn. Gmel., p. 1019, »°. 19; Pl. enl. 723, 2; Levaill. Afr., 245, 1, gehalten, von der sie sich durch einen schwächeren Schnabel, schwächere Füsse, den A comme se trouvant également en Scandinavie; mais comme elle n'y a pas été observée par au- cun des naturalistes du nord, nous n’hésitons pas de la rayer du catalogue des oiseaux d’Eu- rope. (39) HIRUNDO RUSTICA ORI- ENTALIS. Îl parait que cette hi- rondelle ne se distingue de lhi- rondelle de cheminée ordinaire que par la couleur châtaine-pà- le dont le dessous du corps, de- puis la poitrine jusqu'aux cou- vertures inférieures de la queue, est orné. Les individus décrits dans le Manuel d'Ornithologie sont, suivant les indications ré- centes de Mr. Boissonneau mé- me, originaires de la Macédoine et non pas de l'Espagne, où cet- te hirondelle n’a pas encore été observée jusqu’à présent. Hirundo Javanica, PI col. 83, 2, (Hi- rondelle orientale) est une espè- ce des Indes, qui ressemble à celle d'Europe par la distribu- tion générale des teintes, mais qui s’en éloigne par sa petite tail- le, ainsi que par d’autres carac- tères. Le comte von der Mühle, p.80, dit n'avoir jamais rencontré en Grèce l’Airondelle de cheminée orientale. (40) HIRUNDO RUFULA. C’est à tort que l’on a identifié cette espèce avec celle du Cap, He- rundo capensis, Linn. Gmel., pe 1019, n°. 19; P[. ent. 723, 2; L'eVVaill}}" Afr:,245% 10e s'en distingue par un bec moins robuste, par des pieds plus fai- Mangel einer weissen Schwanz- binde, durch zärtere Schaft- striche auf den Federn der Un- tertheile und den blass rôthhich- braunen Anflug dieser Theile un- terscheidet. irundo alpestres, Pallas \T?, "FI dpp-noMOE Zoogr. IT, p. 534, Tab. XXX, fig. Hir. dauurica, Linn. Gmel., p. 1024, n°. 12, vom ÂAltaï und Dauurien, würden wir ebenfalls hierher gezogen haben, wenn nicht Pallas in semer Be- schreibung gesagt hätte, dass die äusserste Schwanzfeder gewühn- lich mit emem weissen länglichen Fleck versehen ist. Was Gould, Birds of Europe, PL 55, als Hi- rundorufula abbildet,ist emesehr verschiedene, jedermann bekann- te Ari von Westafrika nämlich : Hir.senegalensis, Brisson, Orn. TI, p. 496 , n°0 5, Tab. 45, fig. 1 >» 5 Pl. ent. 310; Swainson, Birds of West. Afr., IT, PL 6, p.72. Sie ist viel grüsser als Æér. capensis und Aér. rufula, hat zwar einen schwarzen Schwanz wie letz- tere Art, weicht aber von beiden durch ihre einfärbigen, unge- fleckten Untertheile ab. In Java lebt eme, der {ér.capensis und rufula verwandie Art, Hirundo striolata, Temm. Mus. Leid., deren Füsse und Schnabel noch kräftiger, die Schafiflecke der Un- tertheile noch grôsser sind, als bei Hir. capensis, deren Schwanz aber einfärbig schwärzlich ist, wie bei Air. rufula. bles, par l'absence de la ban- de blanche sur la queue, par des raies longitudinales plus étroi- tes sur les plumes des parties in- férieures, et par la temte d’un brun-rougeàûtre pâle qui orne ces parties. Nous n’aurions pas hé- sité de rapporter à notre Hiron- : delle rousse le Hirundo alpes- tris de Pallas, voy., IT, app., n°. 9 Zoogr., I, p. 534, PL. 30, fig. 2; ou Hirundo daaurica, Linn. Gmel., p. 1024, n°. 12, originaire de lAltai et de # Daourie, si Pallas n'avait fait mention, dans sa description, que la penne externe de la queue est ordinairement pourvue d’une tache allongée blanchatre. L’hirondelle figurée par Gould, Birds of Europe, PI. 55, sous le nom de Hirundo rufula, ap- partient à une espèce toute diffé- rente et connue de tout le monde : c’est Hir. senegalensis, Brisson, Orn., II, p. 496, no.5, PI. 45, HS PI. ent. 310; Suaneehe Birds of West Africa, II, PL. 6, p. 72. Elle habite le Sénégal ce elle est d’une taille beaucoup plus forte que les Hir. capensis et rufula, dont elle se distingue par la couleur uniforme de ses parties inférieures. Sa queue est d’un noir uniforme, sans ta- ches blanches. L'ile de Java produit une espèce voisine des Hir. capensis et rufula, mais à pieds et à bec plus robustes et à taches longitudinales plus lar- ges que dans l’hirondelle du Cap; du reste sa queue est d’un noir- atre uniforme comme dans l’Hr- rundo rufula; c'est V Hirundo striolata, Temm., Mus. de Leide. (41) CAPRIMULGUS CLIMA- euRusS, Preillot, ist bloss nach folgender Angabe von ÆAoux, Orn. prov. I, p. 239 unter die europäischen V ügelaufgenommen worden : 43 (41) CAPRIMULGUS CLIMACU- RusS. J’ieillot. L'introduction de cette espèce africaine parmi les oiseaux d'Europe repose sur un passage de Roux, Orn. prov., I, p. 239, note. Get auteur en parle dans les termes suivans: » Elle paraît avoir été accidentellement vue en Provence; je tiens » ce témoignage d’une personne digne de foi; mais n'ayant pomt eu » moi-même sous les yeux cette espèce, je n’ai point osé me per- » mettre de la décrire parmi les oiseaux dont je fais l’histoire.” Eine solche Angabe ist doch wohl unzureichend, dieser Art das Bürgerrecht als europäischen Vogel zu verschaffen. (42) Pallas, Zoogr., I, p. 401, n°. 55, beschreibt unter dem Namen LANIUS MAJOR, ei- nen Würger aus dem nôrdli- chen Russland und Sibirien, den er für standhaft verschieden von L. excubitor und munor (L. vigil., Pallas, L. ©. p. 403, no, 57) hält, und den auch Keyser- ling und Blasius, Wirbelthiere, p. LX, n°.249, ohne den Vogel selbst gesehen zu haben, als eigene Art annehmen. Wir ahmen dieses Beispiel aus folgenden Gründen nicht nach: 1) weil die Maasse, welche Pallas angiebt, durchaus mit denen des Lanius excubitor übereinstimmen, 2) weil Pallas zu seinem Lantus major die Pée- grièche, Bufjon, Pl. ent. 445 aitrt, welche Abbildung unseren ZL. excubitor vorstellt, 3) weil die Beschreibung des Lantius major durchaus auf das Weib- chen oder den jüngern Vogel des L. excubitor passt, 4) weil Pal- las das Weibchen und die jungen Vôgel des Lan. excubitor wicht Cette indication nous a paru insuflisante pour admettre cette espèce dans le catalogue des oi- seaux d'Europe. (42) Pallas, Zoogr., T, p, 401, n°. 55 a décrit sous le nom de LANIUS MAJOR une pie-grié- che de la Sibérie et de la Russie septentrionale, qu'il dit diflérer des Zanius excubilor et minor, (L. vigil, Pallas, l c., p. 408, n°. 57). Keyserlins et Blasius, Wirbellhiere, p. LX, no. 249, adoptent cette espèce sans l’avoir vue. Nous nous abstenons de suivre cet exemple par les raisons suivantes: 1) parce que les di- mensions assignées par Pallas à son Lanius major sont absolu- ment les mêmes que celles du Lanius excubilor, 2) parce que Pallas cite, comme appartenant à sa nouvelle espèce, la PT. en. 445 de Buffon, figure qui re- présente notre pie-grièche com- mune, 3) parce que la description du Lanius major se rapporte en tout point à la femelle ou au jeu- nes de la pie-grièche commune, 4) parce que Pallas, ne donnant de description ni de la femelle ni des jeunes de l’espèce commune , 44 gekannt zu haben scheint und daher nicht beschreibt, 5) weil kein späterer Reisender dieser Art wieder erwähnt. — Sollte aber Z. major wirklich eine eigene Art bilden, so müsste er aufs Neue mit Lanius excubitor, meridionalis und den nordame- rikanischen Arten, besonders mit Lanius borealis verglichen , und die Unterscheidungsmerkmaledes- selben gründlich ausemnanderge- setzt de (43) Laxius RurFus. Diese Art scheint sich , ausser Europa, auch im grôssten Theile von Afrika zu finden , oder auf ihrem Zuge über diesen Welttheil zu verbreiten. Rüuppell, Neue Wirbelthiere, Vügel, p. 33, fand sie häufig in dem steimigen Arabien, in ganz Egypten, in Nubien, Kordofan und Abyssinien. Buffon, PI. ent. 477 , 2, bildete unter dem Namen Pie-gr A rousse du Sénégal en ganz ähnlichen Würger von Senegambien ab. Die pes grièche rousse des Levaillant, Oiseaux d'Afrique, II, PI. 63, vom Cap, scheint ebenfalls unse- rem rothkôpfigen Würger durch- aus ähulich zu seyn. Swainson, Birds of Western Africa, IT, p. 231, untersuchte zwei Individuen dieser Art vom Senegal, und fand sie den europäischen durchaus ähnlich; er zieht auch Zevail- lants Pie-srièeche roussehierher. Wir erhielten vier Individuen der- selben in verschiedenen Kleidern vom Senegal. Alle plastischen Verhältnisse sind ganz wie bei den europäischen. “Die am rein- parait avoir ignoré les différences des teintes qu'ils présentent com- parés avec les adultes; 5) parce que tous les voyageurs postérieurs à Pallas se taisent sur cette espè- ce. — Dans le cas que son exis- tence serait prouvée d’une maniè- re indubitable , il serait, en l’éta- blissant , nécessaire de la com- parer derechef aux Lanius ex- cubitor et meridionalis, ainsi qu'aux espèces voisines de l’Amé- rique du nord, notamment au Lanius borealis. (43) Laxius RUFUS. Il pa- rait que cetle espèce européenne habite également une grande par- tie de l'Afrique, ou qu’elle visite cette partie du monde lors de ses migrations. Räppell, Neue Wir- Bel Rie ren Oiseaux, p. 33, l'a rencontrée en grand nombre dans l'Arabie Pétrée, par toute l'Egyp- te, en Nubie, au Kordofan et en Abyssinie. Buffon, Pl. ent. 477,2, a figuré sous le nom de Pie-grièche rousse du Sénégal, une pie-grièche tout-à-fait sem- blable provenant de la Sénégam- bie. La pr'e-srièche rousse du Cap de Levaillant Ois. d'Afr., Il, P/, 63, ne parait pas diffé- rer non plus de celle d'Europe. Swainson, Birds of Western Africa, Y, p. 231, en décrit deux individus originaires du Sé- négal, qu'il croit identiques avec ceux d'Europe, ainsi qu'avec la pie-grièche rousse du Cap, figu- rée par Zevaillant. Notre Mu- sée posséde quatre individus de différens àâges de cette pie-griè- che, tous originaires de Le Sé- négambie. Ils offrent absolument sten Ausgefärbten unterscheiden sich nur durch etwas blässere Farben, und durch die hellen Ränder, mit welchen die Filü- geldeckfedern und Schwung'e- dern zweiter Ordnung einge- säumt sind; weshalb sie “den aus- gefärbten Weibchen unseres rothküpfigen Würgers sehr ähn- hch sind. Die Éxemplare im Übergange vom lugendkleide zum ausgefärbten Kleïde sind noch blässer von Farbe, die Ränder der Fiügelfedern sd sehr breit, und der Kopf ist ganz roth; je- doch fängt die weisse Farbe der Vorderstirne und die schwarze Stirnbinde an, sich hie und da zu zeigen. — (melin zieht den rothküpfigen Würger vom Sene- gal, den er auf Poor Abbil- dung gründet, als Varielät zu Lantius collurio, den er nicht von Lanius rufus unterscheidet: siehe Gmel. Linn., I, p. 301, n°. 12; Lantius collurio var. à, senegalensis. Latham führt ihn als Varietät seines Lanius ruli- lus auf, der unser Lanius rufus IMpuchelrd on... 1, p…1L; sp. 12. Herr Temminck, Man., IT, p, 601, trennt ihn vom euro- päischen unter dem Namen La- nius rulilans. Lichtenstein, Ca- talog, 1823, p. 47, n°. 509, beschreibt ein Exemplar im Uber- gangskleide unter dem Namen Lanius superciliosus. Lanius superciliosus Lath., [Ind. orn., Suppl , p. ÀX, ist jedoch auf Levaillant's AN PME Ois. d'Arles: 2 ue gründet, der étre bewohnt, und eine eigene Art bildet. Obschen dies Herr Lichtenstein wusste, 45 la même organisation et les mé- mes dimensions que ceux d’Euro- pe. Les individus en livrée par- faite se distinguent cependant de ceux-Ci par des teintes un peu plus pales et par les bordures claires dont les couvertures des ailes et les rémiges secondaires sont pour- vues; ce qui fait qu'ils se rap- prochent des femelles en livrée parfaite de notre pie-grièche rousse d'Europe. Les individus portant la livrée de passage of- frent des teintes beaucoup plus pales, les bords des plumes des ailes sont beaucoup plus larges, et la tête est partout d’un roux uniforme, quoiqu'on apercoive les traces des teintes blanches et noires qui ornent le front des adul- tes. Gmelin regarde la pre-grié- che rousse du Sénégal figurée par Buffon, comme variété de son Lanius collurio, qu'il ne sépare pas du Lanius rufus ; nus Syst. nat., I, p. 801, n°. : Lanius collurio var. d se- A Latham en fait me variété de son Lanius rulilus, qui est notre Zanius rufus: voir Index ornith., 1, p.71, esp. 12 Mr. Temminck, Manuel, UT, p. 601, sépare cette pie-grièche du Sénégal de celle d'Europe, et lui donne le nom de ZLanius ru- tilans.Lichlenstein, Catal.. 1893, p. 47, n°. 509, décrit un indi- vidu de la race du Sénégal sous le nom de Lanius superciliosus, Latham. Ge Lanius supercilio- sus, Latham, Ind. Orn. Suppl., p. XX, repose cependant sur le Rousszau de Levarillant, Ois. d'AfrSEPl.\ 66e. 28 espèce toute différente, de l'ile de Java. citirt er dennoch Buffon's Pie- grièche de du Sénégal, PL. ent. 477, 2, zu Lan. superci- liosus. Um fernere Missbräuche zu vermeiden, wollen wir noch darauf aufmerksam machen, dass Swainson, Nat. Hist. of Birds, IT, p. 219, als Lanius super- ciliosus , wieder eine andere Art, welche Gould, Cent. Him.Birds,, PI. 12, fig. 2, unter dem Na- men Lanius erythronotus abge- bildet hatte, aufflührt; dass Siwainson, ibid. p. 221, einen Tephrodornis superciliosus, und Birds of Western Afrika, I, p. 239, einen Malaconolus super- ciliosus beschreibt, und dass Vieillot , Dict. Deterv., vol. 26, p. 153, aus ZLevaillanfs Pie- gr échos oneinee MAIOS: Pi Afr., Pl 76, seinen Lanius superciliaris macht : obgleich diese Arten alle, streng genom- men, in die Familie der Würger, oder in die Gattung Lanius im weiterem $Sinne gehôren. — Man übersehe auch nicht , dass Lanius rufus, Gmelin, auf Lan. mada- gascariensis Tufus, Re 3 ÎT, p. 178, T. 18, fig. 4, und Buffon’ s Pie-grièche rousse de Madagascar, PL ent. 298, eg. 2; gegründet, wiederum ein ganz anderer Vogel ist, welchen ‘Herr Temminck, ? PI. Co , Tab. méth., p. 19, Lanius madagascariensis nenni. (44) LANIUS PERSONATUS. Exemplare aus Griechenland im Mainzer und Niederländischen Mu- 46 Tout en s’apercevant de cette dif- férence, Mr. Lichtenstein ajoute cependant aux synonymes de ce Lanius superciliosus la figure PI, 477,2, de Buffon, laquelle re- présente la pie-grièche rousse du Sénégal. À cette liste d'erreurs se joignent celles que l’on a com- mises en appliquant cette épithè- te de sourcilleux à plusieurs espèces de pie-grièches très-diffé- rentes les unes des autres. Swain- son, Nat. Hist. of Birds, IE, p. 219, nomme Lanius super- ciliosus une espèce figurée par re Ce Himal. Birds, PL. , fig . 2, sous le nom del La- nius erythronolus ; ce même au- teur, thid., p. 221 , décrit une au- tre pie-griéche sous le nom de Te- phrodornis superciliosus, et ee ses Birds of Western Afrika, X, p.239, encore une autre espèce de ce genre sous le nom de #a- laconotus superciliosus ; Vieillot enfin, Dict. Délerv., vol. 26, p.153, forme de la Pie-grièche sourcil-roux de Levaillant , Ois. d'Afr.s PL 76, son Lanius su- perciliaris — Notez encore que. le Lanius rufus, Gmelin, basé sur le Zanius madagascariensis rufus de a to IL, p. 178, PI. 18, fig. 4,etsur la pie-grièe- che rousse de Madagascar de Buffon, PL ent. 298, 2, est une espèce toute différente de notre pie-grièche rousse d’ Europe; Mr. Temménel l’a nommée Lanius madasascariensis ; voir PL col., Tabl. méth., p. 19. (44) LANIUS PEPSONATUS. Le Musée de Mayence et celui des Pays-Bas possèdent des indi- seum. Es ist dies Lan. leucome- topon, von der Mühle, p.78. (45) LaniusS rcmaGRa. Die Exemplare von Spanien ähneln denen vom Vorgebirge der guten Hoffnung in allen Stücken. Da- gegen sind die vom Senegal durchgehends lichter gefärbt, und, wie es scheint, auch ein wenig kleiner: diese Lokalrasse ist abgebildet bei Buffon, PL ent. 479, fig. 1, unter dem Na- men Pie-grièche rousse du Sé- négal. Es findet hier also die nämiliche Erscheinung wie bei Viverra ge- nella statt, die am Cap und im südwestlichen Europa durchaus dieselbe ist, während eme Varie- tät oder Localrasse, Viverra se- negalensis, ihre Stelle in Sene- gambien vertritt. Shaw, L. c., hat beide Localrassen obigen Vo- gels unter dem Namen Lanius erythropterus vereinigt. Swain- son, Birds of Western Africa, 1, p.235, trennt, nach dem Bei- spiele Shaw’s, diese beiden Rassen micht. Vieëllof, Dictionnaire Dé- terville, vol. IIT, p. 317, ver- einigt sie ebenfalls, unter dem Namen Tamnophilus 1chagra. Boie , L. c., bringt den Tchagra in eine eigne Gattung, die er Po- matorhynchus nennt, aber fälsch- Lich Herrn Zorsfield zuschreibt, der die Gattung Ponant nach einem drosselartigen Vogel von Java aufstellte, und densek ben Pomat. dires nannte. Lichtenstein, Catalog, p. 49, n°. 519, zieht zum Tchagra dés Levaillant, Lanius seneralus, 47 vidus de cette espèce, tués en Grèce. C’est le Lanius leucome- lopon, von der Mükhle, p. 78. (45) LaNIUS TcnaAGRA. Les individus de cette espèce, tués en Espagne, sont en tout point sem- blables à ceux du Cap de B. Espérance. Ceux du Sénégal au contraire offrent des teintes plus pâles, et il parait également qu'ils sont d’une taille un peu moins forte: cette race locale est figurée par ne M dans les P£. ent. 479, fig. 1, sous le nom de Pie- -grièche rousse du Sénégal. La Genetle, Viverra genella, offre un phénomène analogue : les individus de l'Espagne et de la France méridionale présentent absolument les mêmes teintes que ceux du Cap de B. Espérance, tandis que ceux du Sénégal, Viverra senegalensis, Fr. Cuv., ne s’en distinguent que par des teintes plus pales. Shaw, L. c. a réuni les deux races de la pie- grièche dont nous traitons, sous le nom de Lantus erythropte- rus; et Birds_ of West WAfr, #4 ;0p: 1285; imite Shaw en ce point. Wieëllot, Dict. Délerv., vol. UT, p. 317, les réunit également, mais en leur conférant le nom de Tamnophi- lus tchagra. Boie, l.c., forme du Tchagra un genre particulier qu'il nomme Pons hynchus ; : mais 1l commet une erreur insi- gne, en attribuant l'invention de ce nom à Mr. ÆMorsfield, le genre Pomalorhinus de ce sa- vant étant établi en faveur d’un oiseau tout différent de la famille des Turdoïdes, savoir le Po- Linne. Diese klemere und ver- schiedene Art aberist, Sys£. nat. XII, p. 137, no: 21, auf Pris- sons Lanius seneralensis ci- nereus , pee Il, p.167, Tab. fs De gegründet, zu wel- cher Gmelin Linné, XII, HI, p. 304, n°. 21, Buffon's Pie- grièche grise du Sénégal, PI. enls,297%;mfsevilwzient "Herr Gould hat den Namen Lanius erythroplerus auf eine von allen den erwähnten sehr verschiedene Art vom Himalajagebirge ange- wendet: siehe Century Himal. Birds, Tab. 11. Rüppel, N. Wir- belthiere, Vügel, p.32, hält die von Buffon, 479, 1, abgebilde- te Pie-grièche rousse du Séné- gal für ’den wahren Lanius er Y- ne oplerus, zieht aber als Sy- nonym eh iel L. senegalen- sis, Lin. Gmel., dazu, weil er glaubt, dass die Pie-grieche gri- se du Sénégal, Pl ent. 297, LE LS Het 4 eine ele Mbbidune des Z. erylhroplerus zu betrachten sey. Endlich führt Herr Rüppell den Tchagra des Levaillant als eine sehr verschie- dene Art an; was daher kommt, weil er unter dem Namen Tcha- gra eine ganz andre Art, aliem Anscheine nach, den 7 elopho- nus longirostris, Swainson, Nat. Fr ee Brrds, Al;vp. 2198 tx. 200, g, beschreïibt. — Übre ‘gens sagt Rüppell von L. ery- Fr opter. us. »lch beobachtete »zwei durch climatischen Ein- » fluss veranlasste Varietäten; bei » dem in Kordofan und im Sen- »naar lebenden Vogel ist Nac- » ken und Rückenmitte isabell- » farbig, und die ganze untere 48 fig. 200 , mathorinus montanus qui habite l'ile de Java. Lichtenstein, Ca- tal., p. 49, n°. 519, réunit au Tchagra de Levaillant, le Zanius senegalus de Linné, Syst. nal., XIL édif., p. 137, no. 21; mais cette espèce, différente et de taille moindre, repose sur le Lanius senegalensis de . isson, Ois , IE, p. 167, PL 17, fig. 1, que Gme- lin, Syst. nal., XL, Ï, p. 304, n°. 21, réunit à la Pjez _yrièche rousse de Buffon, Pl. ent. 297, 1. Gould,Cent. Himal., Birds, Pl 11, a conféré l'épithète d’ery- throplerus à une pie-grièche des Indes, trés-différente de toutes celles dont nous venons de par- ler. Rüppell, Neue Wirbeltluere, Ois., p. 32, prend la pie-griè- che rousse du Sénégal, figurée Pl. enl. 479, 1, pour le vérita- ble Lanius erythr oplerus ; mais dans la supposition erronnée que la pie-grièche grise du Sénegal de Buffon, PI. ent. 297, fig. 1, appartient également au Lanius erylhropterus, 1 y réunit mal à propos le Zanius senegalensis de Gmelin, qui repose sur cette figure de Buffon. Mr. Räppell enfin parle du Tchagra de Levaillant comme d’une espèce trèés-différente du Zanius ery- thropterus, parce qu'il prend pour le Tchagra, à ce qu'il pa- rait, une toute autre espèce, savoir le Telophophonus lon- girostris de Swainson , Nat. Hist. of ds IF, °p2 219 Mr. ARüppel dit du Lanius e: “ylhropterus : » J'en »ai observé deux variétés , » produites par l'influence du » climat; dans celle qui habite » Kürperseite beinahe milchweïss, » auch sind die Füsse hellbraun; » diejenigen, welche an der abys- »sinischen Küste vorkommen, »haben den Nacken, die Seiten » des Halses und die Rücken- »mitte grünbraun, Brust und » Bauch blaugrau, und die Füsse » dunkelbraun ; sonst sind beide » Spielarten durch Statur, Schna- »belform und übrige Färbung »identisch. Zu bemerken ist, dass »zuweilen bei beiden der Unter- » schnabel gelblich ist.” Nach die- sen Beschreibungen zu urtheilen , scheint die Varietät vom Sen- naar und Kordofan mit der vom Senegal, (Lan. erythropterus), die von der abyssinischen Küste mit der von Europa und dem Cap, Lan. {chagra, übereinzu- stimme. Risso, Hist. nat. de l'Eur. mér., III, p.33, n°.38, führt unter dem Namen LANIUS CAS- TANEUS, Gmel., Chesnut-backed Shrike, Lath., Syn., 1, I, p. 159, 0, 3, einen Würger an, der sich das ganze Jahr hin- durch in der Gegend von Nizza aufhalten, und dort ziemlich ge- mein seyn soll. Es scheint fast, als ob bhiermit unser ZLantus tchagra gemeint sey. Risso’s Be- schreibungen sind aber zu un- vollständig, um sich mit Gewiss- heit aussprechen zu kônnen. 2, 49 »le Sennaar et le Kordofan, la » nuque et le milieu du dos sont » couleur isabelle, les parties in- » férieures du Corps sont à peu » près blanc de lait, et les pieds »sont d’un brun clair; dans la » variété qui habite les côtes de » l'Abyssinie, la nuque, les cô- » tés du cou et le milieu du dos » sont d’un brun verdätre; la poi- » trine et le ventre sont d’un gris » bleuàtre et les pieds d’un brun » foncé; du reste, ces deux va- »riétés sont absolument sembla- »bles par rapport à leur tail- »le, la forme du bec et la dis- »tribution générale des teintes. » Il est bon d'observer que la » mandibule inférieure de ces » deux variétés est quelquefois » temte de jaunâtre.” À juger de ces descriptions, il parait que la variété du Sennaar et du Kor- dofan est identique avec celle du Sénégal, (Zantus erythropterus), et que celle de la côte de l'Abys- sue ne diffère pas du Zanius tchagra , tel qu'il a été observé en Espagne et au Cap de Bonne Espérance. Risso, Hist. nat. de l'Eur. mér., LIT, p. 33, n°0. 38, dé- crit, sous le nom LANIUS CASTA- NEUS, Gœmel., Chesnut-backed Shrike, Lath., Syn., I, I, p.159, n°. 3, une pie-grièche, qui se trouve, pendant toute l’année et en abondance dans les environs de Nice. Il se peut que Risso ait eu sous les yeux le Zanius tcha- gra, mais ses descriptions étant assez superficielles, il est impos- sible d'émettre une opinion quel- conque sur cet oiseau de la Fran- ce méridionale. 4 (46) muscicapa PaRvaA. Exem- plare dieser Art, aus Vorder In- dien, im Pariser und Niederlän- dischen Museum. Wie wenig die- se Art noch in Frankreich und England bekannt zu seyn schent, beweisst dass sie Swainson, lc. im Jahre 1838, nach emem Exem- plare im Pariser Museum, als ei- nen hôüchst merkwürdigen ,neuen, eine eigene Gattung bildenden Vo- gel beschrieb. Schinz, Europäische Fauna, I, p. 156, fübrt die nordameri- kanische MUSCICAPA (SETOPH£- GA) RUTICILLA, nach einer An- gabe in den Proceed. Zool. Soc., 1834, p. 30, als europäisch auf. In dieser Schrift wird aber nicht die Musc. rulicilla, sondern die Phoenicura ruticilla, die nichts als unser Gartenrothschwänzchen ist, genannt, und von Thompson zuerst als irländischer Vogel auf- geführt. (47) Risso, Hist.nat.del Eur. mér., LIT, p. 42, n°. 85 führt unter dem Namen CURRUCA TORQUATA, fauvelle à collier , eine bei Nizza beobachtete Grass- mücke auf, die aber nach der sehr unvollständigen Beschrei- bung gar nicht zu bestimmen ist. Derselbe Schriftsteller /. c., p. 43, n°. 43, erwähnt auch emer Fauvette à cils rouges, SXLVIA RUBRICILLA, Risso, die eben so wenig als die Vorhergehende zu 50 (46) muscicapa paRva. Les Musées de Paris et des Pays-Bas possèdent des individus de cette espèce, recueillis au Decan. Il parait qu’elle est encore peu con- nue en France et en Angleterre, Mr. Swarinson, l. c., l'ayant in- troduite dans le système, en 1838, d’après un individu conservé au Musée de Paris, comme espèce absolument inconnue et assez re- marquable pour servir de type à un genre nouveau. Schinz, Europ. Fauna, TI, p. 156, introduit, comme espèce eu- ropéenne, la MUSCICAPA (SETO- PHAGA) RUTICILLA de l’Améri- que du nord, d’après une indi- cation contenue dans les Pro- ceedings, 1834, p. 30. Cette in- dication cependant a été mal in- terprétée par Mr. Schinz; car Mr. Thompson, qui en est l’au- teur, y constate simplement que la Phoenicura ruticilla, qui est tout bonnement le rouge-queue des murailles, Zusciola phoent- curus, a été observé par lui pour la premiere fois en Irlande. (47) Risso, Hist. nat. de l'Eur. mér., IIT, p. 42, no. 85, décrit sous le nom de fauvette a collier, CURRUCA TORQUATA, une fauvette observée par lui dans les environs de Nice; mais il est impossible de se former une idée précise de cette espèce, vu la description incomplète que Mr. Risso en a donnée. Il en est de même dela Fau- vette à cils rouges, (SYLVIA RU- BRICILLA , Risso), décrite par le même écrivain, /. c., p. 43, n°. 43. Schinz, l. e., p. 187, en bestimmenist. Schënz, /. c., p.187, der diese Art aufnimmt, nennt sie fälschlich Sylvia rulicilla, Brisson; denn Brisson, Orn. TITI, p. 403, hat den Namen Sy/- via ruticilla, Klein, zu seinem Rossignol de muraille gezogen, der unser Hausrothschwänzchen, Sylvia thytis, ist. SYLVIA ICTEROPS, /JMénétr. Catal., p. 34, n°. 68, von CA. Bonap., List, p. 14, no. 105, als europäisch aufgeführt, wurde von Ménétries nur auf den Bergen von Zaliche, südlich vom Æwr, beobachtet, und scheint, nach der Vermuthung von Æeyserl. u. Blasius, p. LVT, zu Sylvia conspicillata zu gehôren. Schinz, Europ. Fauna, I, p. 188, führt SYLVIA ANTHOIDES, Vieillot ; Motacilla novaebora- censis, Linn. Crmel.; Seriurus aqualicus, Swains., als euro- püsch, zufolge der Angabe auf, dass ein Exemplar dieser Art in Schweden geschossen wurde und in die Sammlung des Herrn Du- fresne in Paris kam. So lange wir nicht zuverlässigere Mittheilun- gen über dieses Exemplar erhal- ten, kônnen wir diese Art nicht unter die europäischen Vôgel aufnehmen. Endlich führt auch Schinz, L.c., p. 194, eme SYLVIA BRUN- NEA, Forster, aus England auf, die wahrschemlich als Synonym zum Weidensänger, Ficedula rufa, gezogen werden muss. (48) sYLvIA RÜPPELLH wWur- de uns neuerlich, in mehreren adoptant cette espèce, lui don- ne mal à propos le nom de Syl- via rulicilla Brisson, car ce nom emprunté à Ælein a été employé par Brisson, Orn., III, p. 403, pour désigner son Æos- signol de muraille, qui n’est autre chose que le rouge-queue noir, Sylvia lhytis. C'est à tort que CA. Bonaparte, List, p. 14, n°. 105, a rangé parmi des oiseaux d'Europe la SYLVIA ICTEROPS, Peénétr.Cat., p.34, n°.68, cette espèce n'ayant été observée que sur les mon- tagnes de Talyche, au sud du fleuve Kour. D'ailleurs il parait, comme le présument M. M. Key- serling et Blasius, p. LVT, que cette fauvette ne diffère pas de la Sylvia conspicillata. Schinz, Europ. Fauna, I, p. 188, a énuméré parmi les oiseaux d'Europe la SYLVIA ANTHOIDES, Vieillot, Molacilla novaebora- censis, Linn. (mel., Seiurus aqualicus, Sivainson ; il prétend qu'un individu de cette espèce a été tué en Suède, et que cet individu se trouve dans la collec- tion de Mr. Dufresne à Paris. Ce témoignage indirect sur l’origine de cet individu nous parait in- suffisant pour admettre, pour le moment, cette espèce comme fai- sant partie de la Faune d'Europe. Mr. Schinz enfin, £. c., p. 194, fait mention d’un bec-fin d’An- gleterre, appelé par Forster SYLVIA BRUNNEA, mais il paraît que cette prétendue espèce ne diffère pas de la Ficedula rufa. (48) sxzvia RÜPPELLI. Nous venons d'en recevoir plusieurs 5: Exemplaren, von Griechenland geschickt. (49) SYLVIA ICTERINA ; Vrerl- lot, Nouv. Dict., XI, p. 194; Ch. Bon., Icon. Faun. Ilal., I, Tav. 28, fig. 2; Gould, PI. 132, unterscheidet sich, nach unseren Untersuchungen, in michts von Ficed. trochilus. Das einzige in den Sammlungen bekannte Exem- plar dieser vermeintlichen Ab, wurde von Herrn Cantraine in den Pontinischen Sümpfen erlegt, und an das Leidner Museum ge- schickt. Es hat die vordersten Stirnfedern verloren, was dem Vogel das Ansehen giebt, als habe er einen Schnabel wie Féc. trochilus. Die Abbildungen von Ch. Bonaparte und Gould wur- den nach diesem Exemplare ge- macht. Es fragt sich übrigens, ob Véeillot bei Beschreibung sei- ner Sylvia iclerina Wirklich denselben Vogel vor sich gehabt hat; denn er führt dieselbe gar nicht unter der Familie der Laub- sänger (Pouillots), sondern unter der der Grassmücken, (Fauvet- tes), auf, in welche er freilich auch die Schilfsänger und viele ausländische Arten begreift. Ubri- gens ist seine Arbeit äusserst oberflächlich, und so verwirrt, dass es unmôglich ist, über seine Arten in das Reine zu kommen. So führt er z. B. die Sylvia fitis und rochilus als zwei verschie- dene Arten an: /. c., p.237 und p. 241. vergleicht er mit Fic. kypolais, und einer für ihn neuen in Frank- reich lebenden Art, die er %#. flaveola nennt, die aber nichts Seine Sylvia icterina . individus tués en Grèce. (49) Quant à la SYLVIA ICTE- RINA, Véeillot, Nouv. Dict., XT, p.194; Ch.Bon., Icon.Faun.ltal., TZ, PI.28, fig. 2; Gould, PI. 132, je ne vois pas en quoi diffère celte prétendue espèce du Pouil- lot, Ficedula trochilus. I] n’en existe dans les collections qu’un seul individu tué par Mr. Can- traine dans les marais pontins. Cet individu fait partie du Musée des Pays-Bas. Les plumes du front ayant été en partie enle- vées, cet individu a l’apparence d'offrir un bec beaucoup plus large à sa base que celui du Pouillot. [Il a servi de modéle aux figures publiées par Gould et Ch. Bonaparte. Quant à lin- dividu décrit par Vreëllof sous le nom de Sylvia iclterina, ïl est difficile, sinon impossible, de con- stater à quelle espèce il convient de le rapporter; car, selon ce savant, la Sylvia iclerina n’ap- partient pas au groupe des Pouil- lots, mais à celui des Fauvettes, dans lequel il range également plusieurs riverains et un grand nombre d'espèces exotiques de la grande famille des becs-fins. Du reste, le travail que Vieillot a publié sur ces oiseaux, est assez superficiel et ïl y règne tant de confusion que je n'ai pu parve- nir à le débrouiller. En le con- sultant, on verra du premier abord qu’il a mal à propos sé- paré comme espèces diverses les Sylvia filis et trochilus (p. 237 el p. 241), qu'il compare sa Syl- via iclerina à une prétendue als Sal. arundinacea zu seyn scheint. Dabei hat er noch die traurige Sucht der Namenverän- derungen , wodurch die Verwir- rung noch grôsser wird. So nennt erz. B. die F. hypolais: Sylvia polyglotta , p.200, weil er Mo. hypolais, Linn., für eme Varie- tät des is hält: p. 193; die F. rufa nennt er S. collybita, p.235; S. trochilus : Sylv. fla- viventris, p. 241 , u.s. W. Zu welcher Art der vom Gra- fen von der Mühle, p. 69, ais Sylvia icterina aus Griechenland aufgeführte Vogel gehôrt, ist mir unbekannt. (50) FICEDULA AMBIGUA. Eine neue Art, von welcher wir 2 Exemplare aus Griechenland er- hielten. Grôsse und Aussehen der Fi- cedula hypolais, aber Flügel viel kürzer, Schnabel an der Wurzel schmäler, und Färbung bkisser: oben graulich , unten schmutzig gelblichweiss. Ganze Eänge.. ,. ... 5% 14 Länge der Flügel . . .. 2 6 » des Schwanzes +2 sudeskautes: 41 00 10 » der Mittelzehe . . . . 41 » des Nagels derselben . 21 » der Hinterzehe ALP 3 93 nouvelle espèce, originaire de la France, qu’il nomme Sylvta fla- veola, quoiqu’à la vérité elle ne paraît guère différer de la Syl- via arundinacea, etc. D'autre part, les innovations qu'il s’est permises en changeant arbitrai- rement les noms une fois recus des espèces connues, ne laissent de contribuer à rendre son tra- vail obscur. Il change par exem- ple le nom de Sylvia hypolais en celui de Sylvia polyglotta, parce qu'il prend la of. hypo- lais pour une variété de la Syl- via fitis, (p. 200 et 193); il ap- pelle la Fèc. rufa: Sylvia col- lybita (p.235), la Fic. trochilus: Sylvia flaviventris (p.241) etc. J'ignore quelle peut être l’espe- ce recueillie en Grèce et indiquée par Mr. von der Mühle, p. 69, sous le nom de Sylvia icterina. (50) FICEDULA aAMBIGUA. Espé- ce nouvelle qui habite la Grèce, d’où nous venons d’en recevoir deux individus. Elle à la taille et le port de la Ficedula hypolais; mais ses ailes sont plus courtes, le bec est moins large à la base, et ses teintes sont plus pales, savoir grisatre en dessus, et d’un blanc- jaunâtre sale sur les parties in- férieures. Longueur totale . . . . . 5 4 5 “des'ailes.. "2 M9%06 MideMatqueuc Pr s oguitarse) FER 10 » du doigt de milieu 44 » del’ongledecedoigt + Le Le, J D'NAUPPOUCER. NUM 3 Länge des Nag. derselben 22? » des Schnabels . . 8 Breite desselben beim Mundwinkel . . . .. 3. Ersie Schwinge um 1° bis 21 Li- nien länger als de längste des gros- sen äusseren Flügeldeckfedern. LZweite Schwinge eben so lang als die sechste, und um ? Linien kürzer als die dritte. Vierte kaum merklich, fünfte ein wenig kür- zer als die dritte. Dritte bis fünfte Schwinge auf der Aussenfahne ein wenig verengt. Schwanz in der Mitte kaum LCR ausge- schnitten, nach den Seiten kaum merklich abgerundet. Läufe vorn mit vier grossen Schildern, von welchen das dritte, grôsste, 21 Linien lang ist, nu auf relche oben em, ou drei kleine Schil- der folgen. Nägel spitzig und ziemlich gekrümmt. Füsse und Nägel blass hornfarben. Schna- bel ziemlich breit an der Wurzel, nach der Spitze hin gleichmässig verjüngt zulaufend. Oberschna- bel an der Spitze em wenig ab- wärts gekrümmt, blassbräunlich hor nfarben, mit hellen Ründern ; Unterschnabel gelblich hornfar- ben. Am Mundwinkel und am Kinn einige schwarze Borsten- haare. Obertheile und Seiten des Halses blassbräunlich grau, mit olivenfarbigem Anfluge, beson- ders auf dem Hinterrücken. Flü- gel graulichbraun, alle Federn hell gesäumt. Flügel auf der Un- terseite viel blässer ; die Schwung- federn auf der Innenfahne mit breitem, weisslichem Saume. In- nere Flügeldeckfedern weisslich. Steuerfedern graulichbraun , am Longueur de l’ongle du pouce 22 » du bec vo tele 8° Largeur du bec près de l'angle de la bouche . 3. Première rémige plus courte de" 15. à 21 lignes que la plus longue des grandes couvertures crieure es des ailes; deuxième rémige de même longueur que la sixième, et plus courte de deux lignes que la troisième ; quatrième rémige presque aussi longue que la roses cin- quième rémige un peu plus courte que la troisième. Troi- sième, quatrième et cinquième rémiges un peu rétrécies à la barbe extérieure. Queue tant soit peu échancrée au millieu, légèrement arrondie vers les côtés. Tarses garnis par-de- vant de quatre grandes plaques, dont la troisième, longue de lignes et demie, surpasse les au- tres en étendue; elle est suivie en haut d’une seule, en bas de trois petites plaques. Ongles poin- tus, passablement courbés et, ainsi que les pieds, couleur de corne pâle. Bec assez large à la base, diminuant Sicceiveniene en largeur vers sa pointe; man- dibule supérieure un peu cour- bée en bas, d’un brun pâle couleur de corne, et à bords as- sez clairs; mandibule imférieure jaunâtre couleur de corne. On voit des soies noires clair-semées près de l’angle de la bouche et sur le menton. Parties supérieu- res de l'oiseau ainsi que les côtés du cou d’un gris brunâtre pâle, ürant sur l’olivatre , particulière- ment vers le bas du dos. Ailes Innenrande weisslich gesäumt. Alle Untertheile weisslich mit blass lehmgelblichem Anfluge, besonders auf der Vorderbrust; an den Seiten des Rumpfes und auf der Ohrgegend in’s blass braun- gelblichgraue übergehend. Ein weisslicher Streif von den Na- senlüchern zum obern Rande der Augen. Schenkelfedern weiss, an der Wurzel graubräunlich. Ob der von von der Mühle, p. 65, unter dem Namen Sa/i- caria olivelorum (2?) beschriebene Vogel aus Griechenland hierher, oder wirklich zu letztgenannter Art gehôürt, lässt sich vor der Hand nicht ausmachen. (50 bis) SYLVIA NIGRIFRONS , Bechstein, LIT, p. 575, Tab. 27, von der bis jetzt nur zwei Paare, eins in Thüringen, (siehe Bechstein), und eins in Schiesien, (siche Gloger, Handb., p. 560) beobachtet wurden , und den die meisten Naturforscher für eine Varietät des Sumpfsängers hal- ten, wurde neuerlich von CA. Bo- naparte, Catal., p.35, n°. 141, als selbständige Art, unter dem Namen Calamoherpe nigrifrons, angefübrt. d'un brun grisätre, à plumes li- sérées d’une teinte claire; face interne des ailes beaucoup plus päle que la face externe; bar- bes internes des pennes pourvues d’un liséré blanchatre assez lar- ge. Couvertures intérieures des ailes blanchâtres. Pennes de la queue d’un brun grisätre , à bar- bes internes bordées de blanc. Toutes les parties inférieures de l’oiseau sont d’un blanchâtre nuancé , notamment sur le haut de la poitrine, de jaune de terre pà- le, et passant, sur les flancs et sur la région des oreilles, au gris jaunàtre pâle tirant sur le brun. Il existe, entre les narines et le bord supérieur des yeux, une raie blanchâtre. Plumes des jam- bes blanchâtres, mais d’un gris brunâtre à la base. Il est, pour le moment, im- possible de constater si l’oiseau, décrit par le comte von der Müh- le, p. 65, sous le nom de Su- licaria olivetorum(?), appartient en effet à cette espèce ou à no- tre licedula ambigua. (50 bés) On est assez générale- ment d'opinion que la SyLvia NIGRIFRONS, Bechstein ; LIT, p. 575, PI 27, dont on n’a ob- servé jusqu'à présent que deux couples, l’un en Thuringue, l’au- tre en Silésie, (voir Bechstein 1 c., et (loger, Handb., p. 560), ne forme qu’une variété de la Sal. palustris; Ch. Bonaparte cependant a introduit récemment cet oiseau comme espèce distincte sous le nom de Calamoherpe ni- grifrons : voir Catal.,, p.35, n°. (51) SALICARIA OLIVETORUM. Eine genaue Beschreibung dieser seltenen Art wird den Naturfor- schern hoffentlhich willkommen seyn. Im Bau und Aussehen am meis- ten mit Ficedula hypolais über- einstimmend; aber der ganze Vo- gel ad grôsser, obgleich de Flügel Es linger sind als bei Ficedula hypolais, der Schwanz abgerundet, und die Färbung graulich, unten gelblich- WW EISS. Ganze/Länregk.st tu 00/2001 Länge der Flügel hi: AUS LOU » ie SR MCE sudesilLauiess. dun 10277 » der Mittelzehe . . . iv » des Nagels derselben DAME » der Hinterzehe . . . Siut » des Nagels derselben 7: » des Schnabels vom Mundwinkel . . .. 95" Breite des Schnabels beim Mundwinkel . . AT. Schnabel in der Hauptsache mit dem der Fic. hypolais tber- einstimmend ; aber bedeutend grôsser, und an der vordern Hälfte verhältnissmässig stärker seitlich zusammengedrückt. Oberschna- bel gegen die Spitze hin etwas abwärts gekrümmt, hinter der Spitze an den Seitenrändern zahn- formig ausgeschnitten, blasshbraun hornfarben, mit hellen Rändern. Unterschnabel gelblich. Am Kinn, an der Wurzel des Unterschna- bels, und besonders am Ober- schnabel zwischen den Nasen- 56 (51) SALICARIA OLIVETORUM. Nous espérons que la description détaillée que nous donnerons de celte espèce rare, sera accueillie avec intérêt des naturalistes. Elle se rapproche, par son or- ganisation et son port, de la Fi- cedula hypolais; mais ses ailes ne sont guère plus longues que dans cette espèce, quoiqu’ elle soit d’une taille considérablement plus forte; aussi sa queue est- elle arrondie à l'extrémité, et la couleur des parties supérieures grisatre, celle des parties infé- rieures d’un blanc-jaunàtre. Longueur totale . . . . 6 5 ssdesrailes..sn 1 NS sde. lauqueue: «1.112860 », duitarse Lx TRUE » du doigt de milieu. 5! » de l’ongle de cedoigt au x duwpoucerthi ut 311 » de l’ongle du pouce 3"! » du bec depuis l’an- gle de la bouche . ESS Largeur du bec près de cetsanslenstfs 4 Bec en général comme dans la Fic. hypolais, mais plus grand ets proportions gardées, plus comprimé à sa partie antérieure. Mandibule supérieure un peu in- clinée vers la pointe, légèrement échancrée derrière la pointe, d'un brun pâle couleur de corne, à bords très-clairs. Mandibule in- férieure jaunâtre. On voit des soies noires sur le menton à la base du bec, particulièrement entre les narines et l'angle de la bouche. Tour des yeux garni de petites plumes blanches clair- lôchern und dem Mundwinkel, schwarze Borstenhaare. Augen- kreis mit weissen Federchen ziemlich sparsam besetzt. Läufe vorn mit 9 sehr deutlichen Schil- dern, von welchen das dritte, vierte und fünfte die grôssten sind, obschon die Länge eines jeden etwa nur 2 Linien beträgt. Nägel sehr blass, gelblich horn- farben, spitzig, ziemlich ge- krümmt , besonders der der Hin- terzehe, der auch kräftiger ist als die übrigen. Füsse braun- schwärzlich hornfarben. Erste Schwungfeder um 21 Linien kür- zer als die dritte, längste, der grossen äussern Flügeldeckfedern. Die dritte, längste, Schwungfe- der um 1+ bis 11 Linie länger als die zweite und vierte, die gleich lang sind. Die dritte Schwungfeder deutlich, die vier- te kaum merkbar auf der Aus- senfahne verengt. Schwanz nach beiden Seiten gleichmässig abge- rundet, so dass die äussersten Schwungfedern 3 Linien kür- zer sind als die mittleren. Ober- theile des Vogels, Seiten des Kop- fes und Halses, bräunlichgrau in’s olivengrüne. Flügel braun mit graulichem Schimmer; die klei- nen Deckfedern mit breitem, grau- lichem Saume ; die Schwungfe- dern und die hintern grossen Flügeldeckfedern mit breitem, die übrigen Federn mit schmalem, weissemSaume. Flügel von innen blässer: die grossen innern Flü- geldeckfedern blass graulich, ge- gen die Spitze in’s weisse; die kleinen an der Wurzel dunkel- braun, an der Spitze Weiss. Sieuerfedern braun mit grauli- 57 semées. Tarses munis par devant de neuf plaques assez distinctes, dont la troisième, la quatrième et la cinquième sont plus gran- des que les autres, quoique la longueur de chacune d’elles n’ex- cède pas deux lignes. Ongles d’un jaunâtre couleur de corne très-pale, passablement courbés, notamment celui du pouce, qui surpasse du reste les autres en force. Pieds d’un brun-noiratre couleur de corne. Première ré- mige plus courte de 2 lignes et demie que la troisième ou la plus longue des grandes couvertures extérieures des ailes. La troisiè- me rémige est la plus grande de toutes; elle dépasse d’un quart ou d’une demie ligne la deuxié- me et la quatrième rémiges qui sont d’égale longueur. Troisième rémige biere quatrième tant soit peu rÉépIe à la barbe extérieure. Queue assez arrondie à l’extrémité, les pennes exté- rieures étant de trois lignes plus courtes que les mitoyennes. Par- ties supérieures de l'oiseau, cô- tés de la tête et du cou, d’un gris-brunatre tirant sur l’olivätre. Ailes brunes à reflets grisätres ; petites couvertures largement bor- dées de grisätre; les autres plu- mes des ailes, lisérées de blanc qui forme de larges bords sur les rémiges et sur les grandes cou- vertures postérieures. Parties in- férieures des ailes plus pales; les grandes couvertures intérieures d’un grisätre pale, passant au blanc vers la pointe; les petites couvertures d’un brun foncé à la base, et blanc vers la pointe. Pennes de la queue brun à re- chem Scheine, unten blässer ; die drei oder vier äusseren Paare mit weissem Saume am Innenrand und an der Spitze; die äusserste am Aussenrande mit breitem, weissem Saume. Untere Schwanz- deckfedern weisslich, mit gros- sen, länglichspitzigen, bräunlich- grauen Schaftflecken. Federn der Füsse weiss, an der Wurzel graubraun. Alle übrige Unter- theile des Vogels weisslich mit blass lehmgelblichem Anfluge, besonders auf Brust und Bauch. Seiten des Rumpfes gelblichgrau. Ein sehr schmaler, weisshicher Streif von den Nasenlüchern zum oberen Augenrande. (52) SYLVIA CARICETI, Vau- mann, lc; Sylvia striata, Brehm, Beitr., IT, p. 26, scheint mir nichts als Salicaria aqua- fica im Sommerkleide zu seyn. Es erklärt sich daher auch, war- um Sylvia aqualica, Naumann , bis jetzt noch nirgends brütend angetrofflen wurde. (53) SALICARIA FAMILIARIS ist zwar der Sal. galactodes aus- serordentlich verwandt, aber nach Untersuchung mehrerer Exem- plare aus Griechenland und von den Uferu des Kur, standhaft verschieden. Sie unterscheidet sich von S. galactodes durch folgende Merkmale. Fhr Schnabel ist auf der vordern Hälfte stär- 58 flets grisâtres, plus pâles sur le dessous; les trois ou quatre pai- res extérieures à barbes internes et à pointes lisérées de blanc; l’ex- térieure ornée à sa barbe exté- rieure d’un bord blanc très-lar- ge. Couvertures inférieures de la queue pourvues, le long du tuy- au, de larges taches allongées en pointe, d’un gris-brunâtre. Plu- mes des pieds, blanc, qui passe au gris-brun à la base. Toutes les autres parties inférieures de l'oiseau, blanchätre , tirant au jaune dargile pâle, notamment sur la poitrine et sur le ventre, Flancs d'un gris-jaunâtre. On voit une raie assez étroite et pâle en- tre les narines et le bord supé- rieur des yeux. (52) J'ai lieu de croire que la SYLVIA CARICETI de Vaumann, l. c., ou Sylvia striata, Brehm, Bertr., IT, p. 26, n’est établie que sur des individus en habit d'été de la Salicaria aquatica. Ce n’est qu'en admettant cette conjecture que l’on parvient à expliquer pourquoi la Sylvia aqualica de Naumann n'a pas encore été observée jusqu’à pré- sent lors de l’époque de la pro- pagation. (53) SALICARIA FAMILIARIS. Ceite espèce, quoique assez voi- sine de la Sal. galactodes, s'en éloigne cependant constamment. J'en ai examiné plusieurs individus tués en Grèce et sur les bords du Kour. Elle se distingue de la Sal. galactodes par les caracté- res suivans. Le bec est plus for- tement comprimé à la moitié an- ker seitlich zusammengedrückt. Die Farbe der Obertheile ist ein schmutziges Graubraun, ohne Spuren vom rosthräunlichen An- fluge, der erst auf den obern Schwanzdeckfedern auftritt. Die schwarzen Flecke des Schwan- zes sind grôsser, nicht rund und isohrt, sondern sie bilden ein durchgehendes, breites schwar- zes Band. Die erste Schwin- ge, die bei Salic. galactodes um 5 Linien über die grossen äus- sern Flügeldeckfedern hinaus- reicht, überragt letztere Federn, bei Sal. familiaris, nur um eine Linie. Endlich ist bei Sal. ga- lactodes dié zweite Schwinge kürzer als die fünfte, während diese beide Schwingen bei Sal. familiaris von gleicher Länge sind. Es ist dies ohne Zweifel die Art, welche von der Mühle, p. 66, als Salicaria galactodes aufgefübrt hat. (54) Nach Herrn J. Watterer's mündlichen Mittheilungen ist SAL. SERICEA nicht von Sal. C'ettii verschieden. Ich finde die- se Beobachtung an den, von Nat- terer in Spanien gesammelten Exemplaren, bestätigt. SYLVIA CERTHIOLA, Zemm. Man., ZT, p. 187, Motacilla certhiola, Pallas, Zoogr., T, p. 509, no. 141; Gould, PI. 105, bewohnt nach Pallas nur das ôstliche Sibirien. Das von Pallas aus der Krimm an Herrn Temminck geschickte Exemplar, welches jetzt noch im Leidner Museum vorhanden ist, gab An- lass, diese Art irriger Weise als 59 térieure. Le plumage des par- ties supérieures est d’un brun grisätre sale, seulement nuancé de brun ferrugineux sur les cou- vertures supérieures de la queue. Les taches noires de la queue sont plus grandes et elles forment une large bande noire, au leu d’être orbiculaires et isolées com- me dans la Sal. galactodes. La première rémige dépasse, dans cette espèce, les grandes couver- tures des ailes de cinq lignes; dans la Sal. familiaris au con- traire cette rémige ne dépasse les couvertures des ailes que d’une ligne. Enfin, la deuxième rémi- ge est, dans la Salie. galactodes , plus courte que la cinquième, tandis que ces deux rémiges sont d’égale longueur dans la Sadic. Jamiliaris. C’est sans doute l’espèce indi- quée par Mr. von der Mühle, p. 66, sous le nom de Salicaria galactodes. (54) Je dois à feu Watterer l'ob- servation que la SAL. SERICEA est identique avec la Sa. Cettit, assertion dont j'ai vérifié l’exac- titude par l'examen des individus recueillis en Espagne par Mr. Natterer même, SYLVIA CERTHIOLA, Zemm., Man., TZ, p. 187; Motacilla certhiola, Pallus, Zoogr., T, p. 509, n°. 141; Gould, PI. 105, n’a été observé par Pallas que dans la Sibérie orientale. L'individu envoyé par Pallas, lors de son séjour en Crimée, à Mr. Temminck, fait actu- ellement partie du Musée des Pays-Bas; il a donné lieu à la europäisch aufzuführen. (55) SALICARIA LANCEOLATA. Nach Mittheilungen des Herrn Bruch sind die beiden einzigen bekanuten Exemplare dieser Art im südlichen Russland , und nicht in Deutschland erlegt worden. Durrazzi, Degli Uccelli Liguri, Genova, 1840, p. 35, sagt, dass ein Exemplar dieser Art bei Ge- nua gefangen worden sey. (56) SALIACRIA CALIGATA. Im Berliner Museum befindet sich ein Exemplar dieser seltenen Art. Ich habe nach demselben eine Beschreibung entworfen, die aber durch einen Zufall theilweise vernichtet wurde. Ich kann da- her nur folgendes über diese Art mittheilen. Grôsse der F,. frochilus. Fär- bung der der S. arundinacea sehr ähnhch. Flügel 2 4”; Schwanz 2’; Läufe 917. Mit- telzehe 5°”. Nägel gross, der hin- tere stärker gekrümmt als die vordern. Schnabel mittelmässig , sehr stark seitlich zusammenge- drückt; daher fast hôüher als breit. Schwanz etwas abgerundet. Läufe vorn mit 4 Schildern, von denen das zweite zwei Drittel der ganzen Länge des Laufes emnimmt ; das oberste und unter- ste klein; das dritte, doppelt so gross als letztere. Schmutzig blass olivenfarbig, unten in’s weissli- che. Schwung- und Steuerfedern graubräunlich ; letztere mit hel- 60 supposition erronnée que cette espèce habite la Russie méri- dionale. (55) SALICARIA LANCEOLATA. Mr. Bruch me mande que c’est par erreur que l’on a assigné l'Allemagne comme patrie de cet- te espèce, les deux individus sur lesquels elle à été établie ayant été tués dans la Russie méridio- nale. Mr. Durazzt, Deglé Uc- cellé Liguri, Genova, 1840, p. 35, dit cependant qu'il en a re- cu un individu pris dans les en- virons de Gènes. (56) SALICARIA CALIGATA. Je n’ai examiné qu'un seul indi- vidu de cette espèce bien rare ; 1l existe au Muséum de Berlin. La description que j'en ai faite, ayant été en partie détruite, je regrette de ne pouvoir donner sur cette espèce d’autres détails que les suivans. Taille de la F. frochilus. Tein- tes analogues à celles de la S. arundinacea. Ailes 2" 4/!; queue 2; tarse 91; doigt de milieu 5". Ongles grands, celui du pou- ce plus fortement courbé que les autres. Bec médiocre, très-com- primé, par conséquent presque plus haut que large. Queue un peu arrondie à l'extrémité. Tar- ses munis par-devant de 4 pla- ques, dont la deuxième occupe deux tiers de la longueur totale du tarse; la supérieure et linfé- rieure sont petites; la troisième est du double plus longue que cel- les-là. Teinte générale d'un oli- vätre pale et sale, passant, sur les parties inférieures, au blan- lerem Aussenrande und Spitze. Dritte bis sechste Schwungfeder 61 châtre. Pennes des ailes et de la queue d’un gris brunâtre ; celles- c1 lisérées de blanc à la barbe extérieure et à la pointe. Troi- sième, quatrième, cinquième et sixième rémiges à barbes exté- rieures rétrécies. M. M. Æeyserling et Blasius, p. 190, assignent à cette espèce les caractères suivans: » Tou- »tes les pennes de la queue » arrondies : les mitoyennes un » peu plus courtes , d'un brun » grisatre, à liséré clair; la pen- » ne extérieure bordée des deux » côtés de blanchäâtre sale, la » suivante seulement bordée de » cette temte à la barbe interne »et à l'extrémité. Barbes exter- auf der Aussenfahne verengt. Keyserling und Blasius, p. 190, geben folgende Kennzeichen für diese Art an: »Schwanzfedern » alle abgerundet, die mittlern et- » was verkürzt, graubraun, blass »gesäumt ; die äusserste ringsum , » die folgende innen und am Ende »trübweisslich gerandet; die Aus- » senfahne der 3° bis Gter Schwin- »ge deutlich verengt; Oberseite » fahl olivenbräunlichgrau; Un- »terseite weisslich; Gurgel reiner »weiss; Zügel blassbräunlich- | »nes des 3°, 4m, 5me et Gme »weiss, über denselben keine | » rémiges rétrécies. Parties supé- » ausgezeichneten Augenbrau- | »rieures d’un gris-brunätre ti- » nen.” » rant sur l’olivätre; parties infé- » rieures blanchätres ; gorge d’un »blanc pur; région des freins » d’un blanc brunâtre pale, sans » raies surcilières apparentes.” Pallas enfin s'exprime sur cet- te espèce dans les termes suivans: Pallas endlich sagt folgendes über dieselbe : » M. cinerea subtus alba, supercilüs albis, cauda rotundata. » Rossis Talofha (salicaria), versus Jacutiam Pjewunetz (cantator). »In Rossia et Sibiria passim in salicetis circa fluvios occurrit , »suaviter cantillans, unde in borealibus ad Lenam, ubi aliae de- »sunt melodicae, rossicum nomen meruit. Observatur etiam in » Dauuria et studiosus versus mare glaciale, quousque arbusta suppe- »tunt, eandem videt. Evolat in cacumen arboris, indeque ex ramo »in ramum desultans, productis et continuatis sonis amoenissime » cantillat, voce majore quam tantillae aviculae convenire diceres. — » Nidus in ramulo bifurcato, e graminibus implexis. Ovula 4 ad 5. » Deser. Sylvia multo minor. Rostrum nigrum, basi maxillae »inferioris lutescente. Os, anguli oris et lingua bifida flavidissima. » Corpus supra gryseo-cinereum. Striga superciliaris a rostro ad »OCCiput, una cum palpebris, albo-pallida. Fasciola fusco obsoleta »a rostro per oculos. Subtus avicula cinerascente-alba, jugulo la- 62 »teribusque magis cinerascentibus. Alae subtus et subcaudales pal- »lidae. Alae fuscescentes, remigibus 19. quarum prima ? brevior, » 3—5 exterius angustatae. Cauda obiter rotundata, tota fuscescens ; »rectricibus subacutis limbo cinerascentibus. Femora inferius cine- »rascunt. Pedes longiusculi, corneolo-fuscescentes, digitis subtus » flavis; tibialia integra. Pondus drachmarum plus minus 21. Longi- »tudo vix 3”. caudae 17. 11/7. alarum expansarum 6, 6/”. ulnae » 2, 2. rostri ad oris angulos 52/, ad frontales plumas 31/1, ti- » biarum 91/7, digitus anticus medius (cum ungue 2%.) 7. postici »(cum ungue 15.) 53117, (57) Schinz, Europ. Fauna, (57) Schinz, Europ. Fauna, I, p. 181, erwähnt emen neuen, der Nachtigall verwandten Sän- ger aus Griechenland, den er vor- schlägt SYLVIA SCHUCHHZU nen- nen. Da aber dieser Vogel nicht genau beschrieben ist, so kôn- nen wir ihn vorläufig als Art noch nicht aufnehmen. Herr Schinz sagt bloss, dass er der Nachtigall sebhr ähnlich ist, sich aber durch den stärkern Schna- bel, welcher schwarzist, durch etwas bedeutendere Grôsse, auch durch eine etwas verschiedene Färbung unterscheidet. (58) LUSCIOLA ERYTHRO- GasTRA. Alles was man bis jeizt von diesemVogelweiss, beschränkt sich auf die von Güldenstädt ge- gebenen Abbildungen und Be- schreibung, welche letztere wir daher vollständig mittheilen : I, p. 181, fait mention d’un bec- fin inédit, voisin du rossignol et originaire de la Grèce. Il pro- pose de nommer cet oiseau SYL- via scHuCHu. M. Schinz ayant négligé d’en donner une descrip- tion détaillée, nous ne le sau- rions pour le moment admettre comme espèce. Cet auteur se bor- ne à constater que le bec-fin dont nous venons de parler, res- semble beaucoup au rossignol, mais qu'il s’en éloigne par un bec plus robuste et de couleur noire, par une taille plus forte, et une nuance des teintes un peu diverse. (58) LUSCIOLA ERYTHRO- Gasrra. Cet oiseau n'est con- nu, que nous sachions, que par la description et les figures qu’en a publiées Güldenstädt. Cet au- teur en parle dans les termes suivans: »2MOTACGILLA ERYTHROGASTRA. » Quanta de Muscicapa melanoleuca (Saxicola stapazina) et Mo- »tacilla leucomela affinitas depraedicata , tanta etiam depraedicanda » de Motacilla erythrogastra nostra et Motacilla phoenicuro Linnaeï. » Mares sat facile; sed feminas utriusque speciei, a suis maribus »toto coelo coloribus diversas et non nisi abdomine et cauda suba- 63 »nalogas, difiicillime ex descriptione distingues. Femina Motacillae »erythrogastrae coloribus etiam multum aemulatur Motacillam »oenanthem et cum eadem magnitudine convenit, qua Phoenicurum »nonmihil superat. Moribus et vitae genere Motacilla erythrogastra »aves congeneres imitatur: Cursitat ad fluviorum ripas; arbusculis »insidens caudam motitat inquietissima, attamen non timida; volans »pipit more Motacillae albae; mas feminae streuuus custos et comes » fidelis; insectis victitat, pullosque, in nidis herbaceis inter Hippo- » phaës ramos, cujus baccas etiam appetit, tuto occultatos enutriunt. » Migratoria avis nostra per aestatem habitat cum Loxia rubicilla »ad alveos glareosos torrentium Caucasicorum, quos, hyeme insec- »tis infesto superveniente, fine Octobris deserit, clima mitius, »insectis pro Cibo abundans, austrum versus quaesitura. Figura »tabulae XVI. sistit marem et figura tabulae XVII, feminam Mota- »cillae erythrogastra magnitudine, figura et colore naturali. Ad » maris descriptionem accedam. » Rostrum triquetro-subulatum; apice subincurvo, integerrimo ; » colore atro; a fronte quinque, a rictu octo linearum longitudine. » Vibrissae ad rictum detritae. In cavitate oris lutea lingua bifida. » Nares basilares, rotundae, perviae. Oculi fusci. » Vertex usque in nucham et alarum speculum alba, fuliginoso- »sordida; Capistrum, gula, genae et tempora, collum et inter- »scapulium aterrima; pectus et totum corpus subtus atque crissum »utrinque intense castanea. » Alae complicatae ultra medietatem caudae vix procedentes, »aterrimae, speculo albo quadratico, quod remiges 3—10, quae » medio albae sunt, efficiunt. » Cauda tres pollices et duas lineas ionga, integra, rectricibus » duodecim uropygio concoloribus. » Femora usque ad genu plumosa, abdominis colore tincta, sed »ipso genu atro; tibiae et digiti, quorum tres antici et inter se »lhiberi, quartus posticus nigri coloris ; ungues incurvi, acuti, sub- » aequales , digitis concolores. » Longitudo totius aviculae extensae a rostri apice ad caudae »extremum septem pollicum. » De femina dicenda habeo sequentia ; rostrum et pedes atra, ut »in mare; Crissum et cauda castanea ut in mare, sed dilutiora, »apicibus rectricum et intermediüs duobus rectricibus totis fusces- » centibus ; reliqua tota quanta avis cinerea, supra intensior, infra » dilutior et in abdomine cum aliqua ruflfescentis mixtura; magnitudo »cum mare eadem.”? Wir entnehmen aus der Abbil- Nous avons emprunté de la f- dung noch folgende Ausmessun- | gure de cette espèce, les mesures gen, die wir, wie Güldenstädt, | suivantes, exprimées, comme l’a nach englischem Maasse angeben. Zoll. Lin. Länge des Flügels . ... 4 1! » » » L'aufésaen fast » der Mittelzehe . . . O0 8 » » Hinterzehe . . O0 5 Es erhellt aus obigen Angaben, dass dieser Vogel in mehr als einer Hinsicht von MOTACILLA AUREORA, Pallas, abweicht, welche bis jetzt bloss im ôstlichen Sibirien und Japan gefunden , und daher mit Unrecht unter die europäischen Vôügel aufgenom- men wurde. Letztere Art unter- scheidet sich von Mofacilla ery- throgastra, Güldenstädt, durch folgende drei Hauptpunkte: 1) die beiden mittelsten Steuerfe- dern sind schwarz und nicht braunrôthlich ; 2) der weisse Spiegel der Flügel ist auf die Schwungfedern zweiterOrdnung, also auf die zehnte bis achtzehnte beschränkt, während er bei 47. erythrogastra die dritte bis zehnte Schwungfeder erster Ord- nung einnimmt ; 3) ist J. aurorea bedeutend kleiner, wie folgende Ausmessungen, eines von Pallas aus dem ôstlichen Sibirien mit- gebrachten, in unserer Sammlung sich befindlichen Exemplares, zeigen. Engl. Maass. Ganze Länge . . . 6 Zoll. O0 Lin. Länge des Flügels. 3 » 1» » des Schwanzes 2 » 8 ». » des Laufes . . . 0 » 11 » » der Mittelzehe . O » 6 » » der Hinterzehe. O » 3» 64 fait Güldenstädt, en pouces an- glais. k Pouces, Lion, Longueur des ailes . . . . 4 11 du tarse 000 du doigt de miliet du pouce. LORIE [I » ji » 0 8 » 0 5 On voit par les détails que nous venons de donner sur cet oiseau, qu'il s'éloigne sous plusieurs rap- ports de la MOTACILLA AUREORA de Pallas, espèce seulement ob- servée jusqu’ à présent, dans la Sibérie orientale et au Japon, et que l’on à introduite à tort parmi les oiseaux d'Europe. Cette es- pèce se distingue facilement de la Motacilla erythrogastra par les caractères suivans ; 1) les deux pennes mitoyennes de la queue sont noires et non pas d’un brun- rougeûtre; 2) le miroir blanc des ailes occupe les rémiges secon- daires, c’est-à-dire la dixième et les suivantes jusqu’ à la dix- huitième, tandis qu’il occupe dans la Mot. erythrogastra, la 3° et les suivantes jusqu’ à la 10we des rémiges primaires; 3) M. au- rorea est d’une taille beaucoup moins forte, comme on peut le voir par les mesures suivantes prises sur un individu cédé à Mr. Temminck par Pallas lui-même, qui l’a recueilli dans la Sibérie orientale. Mes. angl. Longueur totale . ... 6” (0! » 'fd'es als TMS NE » dela queue. . "N20NS » tdutarse 2000. MPNOPTEE du doigt de ie 06 du pouce 5. CORRE: (59) LUSCIOLA COERULECULA, scheint sich zwar von Z. cyane- cula nur durch den rothbraunen Mittelfleck der blauen Gurgel zu unterscheiden; da aber diese Fär- bung bei allen in Russland und Sibirien beobachteten Exempla- ren standhaft vorkommen soll, so müssen diese als eine Lokal- varietät bildend, betrachtet wer- den. (60) SAxXICOLA SALTATRIX. Siehe die Kennzeichen dieser Art bei Ménétries, und Æeyserling und Blasius. Sie schemt, wie Sax.oenanthe, individuell in der Grôüsse bedeutend abzuweichen. Folgende Beschreibung ist nach Hi solchen Hi. Indivi- duum aus Griechenland gemacht. Form des Schnabels und des Schwanzes, Füsse, gegenseitiges Verhältniss derSchyvingen, wie be Sax. Oenanthe; aber die Färbung verschieden, und die unteren Deckfedern der Flügel weiss, ohne schwarze Schuppenflecke. . 6" 6" 3 6 Ganze Lünge . .. Länge der Flügel . » . Te des Laufes. . . der Mittelzehe . . des Nagels derselben der Hinterzehe ... des Nagels derselben des Schnabels . . . . YO OS Y % Ÿ Erste Schwinge so lang als die vierte der grossen äusseren Flügel- deckfedern; zweite ein wenig län- ger als die fünfte Schwinge; dritte 2. 65 (59) LUSCIOLA COERULECULA , On dit que cette race qui rem- place le gorge-bleu ordinaire en Russie et en Sibérie, s’en dis- tingue constamment par sa gorge ornée au centre d’une tache d’un brun rougeàätre. C’est en faveur de cette différence que nous l’a- vons introduite, dans notre ou- vrage, Comme race locale. (60) SAXICOLA SALTATRIX. Voyez pour les caractères de cet- te espèce, les ouvrages de Hé- nétries, et de Keyserling et Bla- stus. Sa taille parait varier in- dividuellement, comme cela a aussi lieu dans la Sax. oenanthe. Nous avons emprunté la descrip- tion suivante à un individu de petite taille, originaire de la Grèce. Formes du bec, pieds, pro- portions respectives des rémiges comme dans Île traquet moteux : mais teintes du plumage différen- tes et couvertures inférieures des ailes, blanc sans bordures noires. Longueur totale. » des ailes. .. de la queue . . . . 6/6Gre .3 6 2 »odutarses ue vioit I » du doigt de milieu G » del’ongledecedoigt 3 > ONCE 5est.. 3 » de l’ongle du pouce 3? » HMObe can LA Hand 10 Première rémige d’égale lon- gueur que la quatrième ‘des gran- des couvertures externes des ai- les; deuxième rémige un peu 5 am längsten, vierte kaum merk- lich kürzer als diese, beide auf der Aussenfahne deutlich verengt. Füsse kräftig. Nägel der Vorderzehen wenig gekrümmt, der der Hinterzehe gross und stärker gebogen. Füsse braun- schwarz. Schnabel schwärzlich hornfarben. Obertheile bis zum Bürzel graubräunlich mit isabell- farbenem Anfluge. Schwingen dunkler: die zweiter Ordnung und die beiden letzten erster Ord- nung mit weissgelblichem Aus- senrande und Spitzensaume ; die Schwingen erster Ordnung, von der sechsten an, am Aussenrande weisslich gesäumt. Alle Schwin- gen am Innenrande mit breitem weissem Saume, der sich aber ge- gen die Spitzen der grossen Schwingen verliert. Schwingen auf der Unterseite viel blässer. Un- iere Fiügeldeckfedern weiss; die grossen mit einem blassgrauen Fleck in der Mitte. Steuerfedern an der Wurzelhälfte weiss, an der Endhälfte schwärzlich braun ; die beiden mittelsten bis zwei Drittel ihrer Länge schwärzlich braun. Alle Untertheile des Kôrpers aus- ser der Bauchmitte, die rein weissist, weiss, mit isabellfarbi- sgemAnfluge; leztere Farbe nimmt, auf den Seiten des Rumpfes und zumal auf der Vorderbrust, den Seiten des Halses und auf der Ohbrgegend, die Oberhand. Au- genkreis weiss. Ein weisslicher Streif zieht sich auf jeder Seite des Kopfes, von denNasenlôchern über das Auge, bis an das Ende der Ohrgegend hin. 66 plus longue que la cinquième ; quatrième rémige, un peu plus courte que la troisième qui est la plus longue de toutes; toutes les deux rétrécies à la barbe externe. Pieds robustes; ongles des doigts antérieurs, faiblement courbés; celui du pouce, assez grand et plus fortement arqué. Pieds d’un brun noirâtre. Bec noirâtre couleur de corne. Par- ties supérieures jusque vers le croupion, d'un gris brunâtre nuancé de couleur isabelle. Ré- miges plus foncées; les rémiges secondaires ainsi que les deux der- nières des primaires, bordées de blanc jaunâtre à la barbe exté- rieure et à l'extrémité; rémiges primaires. depuis la sixième, à barbe extérieure blanchatre. Les barbes internes de toutes les ré- miges, à bord blanc large qui se perd vers l'extrémité des pen- nes. Face inférieure des rémiges , beaucoup plus pâle que la su- périeure. Couveriures internes des ailes blanches; celles du pre- mier ordre, ornées au centre d’une tache d’un gris pàle. Moitié ba- sale de la queue, noire; l’au- tre moitié, brun noirâtre; cette teinte foncée occupe deux tiers de la longueur des deux pen- nes mitoyennes. Parties inféri- eures du corps, blanc nuancé de couleur isabelle, particulière- ment sur les flancs, sur les par- ties supérieures de la poitrme, sur les côtés du cou, ainsi que sur la région des oreilles. Milieu de l’abdomen, d’un blanc pur. Tour des yeux blanc. Une raie blanchätre s'étend de chaque côté de la tête, depuis les nari- (61) SaxicOLA auRITA, von Keyserl. u. Blas., p. LIX , nach dem Beispiele Bonelli's, Marmo- ras, Calvi’s und Savr’s, mit Sax. stapazina vereinigt, weicht von dieser Art nicht allein durch eine verschiedene Färbung, son- dern auch durch kürzere Fuss- wurzeln ab. Selbst Gloger, Handb., p. 194 häit diese beiden ÂArten für verschieden, und Du- razzt, Ucelli liguri, p. A, hat sich neuerlich bestimmt für diese Meinung erklärt, (62) saxICOLA LUGENS, Lich- tenst., Catal., p. 33, n°. 364, aus Nubien, im Wanuel, IIT, p. 166, als Sax. leucomela beschrie- ben, weicht von Sax. leucomela, Pallas, aus Russland durch nichts als den kaum merklich stärke- ren rostfarbenen Anflug der un- tern Schwanzdeckfedern ab. Ein von Pallas selbst emgeschicktes Exemplar der Sax. leucomela wird Jetzt noch im Leidner Mu- seum aufbewahrt. Nach von der Mühle, p.76 u. 77, stimmen die in Griechenland geschossenen Elsternstemschmätzer mit Sax. lugens überein, die daher ohne Lweifel als identisch mit Sax. leucomela zu betrachten ist, 67 nes, au-dessus des yeux, jusqu'à l'extrémité de la région des oreii- les. (61) saxicoLA aurrTAa. MM. Keyserling et Blasius, p. LIX, en imitant l'exemple de Calvr et de Savi, ont réuni cette espèce à la Saxicola stapazina; elle s’en distingue cependant non-seu- lement par des modifications dans la distribution des teintes, mais aussi par des tarses moins élevés. Grloger lui-même, Fandb., p.194, sépare ces deux espèces, et Du- razzi s'est également prononcé en faveur de cette opinion dans son opuscule publié récemment, sous le titre de Cafalogo degli Uc- celli liguri, p. 41. (62) saxicoLA LuUGENS , Lich- ftenst., Catal., p. 33, n°. 364, de la Nubie, décrite dans le Ha- nuel, IIT, p.166, sous le nom de Saxicola leucomela, Pallas, ne se distingue de ceite dermière espèce, qui habite la Russie, que per des couvertures inférieures de la queue un peu plus forte- ment nuancées de brun ferrugi- neux. Un individu du véritable Traquet leucomèle a été cédé autrefois à Mr. Temminck par le professeur Pallas; il fait actuel- lement partie du Musée des Pays- Bas. Les individus du Traquet leucomèle, tués en Grèce par Mr. von der Mühle, (voyez p.76 et 77 de son ouvage), ne se distinguant en rien de la Saxr- cola lugens, il est évident que cette soi-disant espèce est iden- tique avec le Traquet leucomèle. (63) MOTACILLA LUGUBRIS, Temm., Man., III, p. 15; Gould, Birds of Europe, Pl. 142; Motacilla albeola, var. Camtschatcae, Pallas, Zoogr. I, p. 507 (Wofa), ist eine durch ihre fast ganz weissen Schwin- gen ausgezeichnete Nebenart der weissen Bachstelze, die bis jetzt nur in Kamtschatka , auf den Ku- rilen und in Japan beobachtet, und also irriger Weise als euro- päüscher Vogel aufgeführt wurde. Man kann dieser Nebenart den im Manuel, III, p. 620, vorge- schlagenen Namen, Mofacilla lugens, lassen. (64) Keyserl. u. Blasius, p. AXLIX, n°9. 176, 'halten die MOTACILLA CAMPESTRIS , Pal- das, Zoogr., TI, p.504, n°. 1388, für identisch mit der englischen gelben Bachstelze. Pallas be- schreibt aber offenbar unter die- sem Namen einen jungen Vogel mit dem Halskragen, weshalb seine Mof.campestris eben so gut zur gemeinen als zur englischen gelben Bachstelze gezogen wer- den kann. Sundevall, K. Ver. Acad. Hand., Stockh. 1842, p. 47, fügt zu den bekannten Va- rietäten der gelben Bachstelze, noch eine Mot. flava suecana und Mot. flava borealis e Lappo- nia. Nach Graf von der Muhle, p. 60, ist die graukôpfige gelbe Bachstelze, welche in Rumelien brütet und die Morea im Winter besucht, ausser einer etwas leb- hafteren Färbung, ganz den im 68 (63) moTAacILLA LUuGTBRIS, Temm. Man. , III, p.175; Gould, Birds of Europe, PI. 142; Mo- tacilla albeola var. Camtschat- cae, Pallas, Zoogr., I, p.507 (note), forme une espèce ou ra- ce voisine de la Bergeronnette gri- se, mais qui s’en éloigne con- stamment par ses rémiges pres- que entiérement d’un blanc pur, et qui n’a été observée jusqu’à présent qu'au Camtschatka, aux îles Kouriles et au Japon. Il résulte de ces données, que c'est à tort que l’on a énuméré cette race comme faisant partie de la faune d'Europe. M. Tem- minchk, Manuel, IIT, p. 620, l'a désignée sous le nom de Mo- tacilla lugens. (64) M.M. Æeyserling et Bla- sius, p. ÂLIX, n°. 176, sont d'opinion que le MoTaciILLA CAMPESTRIS, Pallas, Zoogr., I, p. 504, n°. 138, est identi- que avec la Bergeronnette jaune d'Angleterre. Cependant, en con- sultant la description de Pallas, on voit à l'évidence qu'il a dé- crit, sous le nom de of. cam- pestris, un jeune individu à col- lier foncé, que l’on ne peut rap- porter avec certitude à aucune des deux races de Bergeronnettes, dites à tête jaune et à tête grise. Sundeval ajoute aux variétés dé- jà connues de la Bergeronnette jaune, deux autres variétés, l’une de la Suède, l’autre de la Laponie ; voir lesMém. del Ac.deStockholm, 1842, p. 47: Mot. flava suecana et Mot. flava borealis e Lappo- nia. Mr. von der Mühle, p.60, constate que la Bergeronnette de Deutschland lebenden Individuen ähnlich. Ausser dieser Abart kommt noch in Griechenland die schwarzkôüpfige gelbe Bachstelze vor, die sich nach von der Mübhle, standhaft, micht nur durch die Färbung ihres Kopfes, sondern auch durch einen etwas gestreck- teren Kürper, so wie einen länge- ren, Sstärkeren und ganz schwar- zen Schnabel, unterscheidet. (65) Ress, Z. c., p.36, n°. 50, sagt, dass TURDUS BARBARICUS, Gmel., bei Nizza auf dem Zuge vorkomme. Da ich nicht entzif- fern kann, welcher Vogel damit gemeint ist, so sehe ich mich genôthigt, diese Angabe unbe- rücksichtigt zu lassen. Schinzs, Europ. Fauna, I, p. 163, sagt, dass TUÜURDUS RU- FUS, Prisson, aus Nordamerika, in England geschossen vrorden seyn soll, ohne die Quelle anzu- geben, woher er diese Nachricht hat. Da auch uns diese Quelle unbekannt ist, so kônnen wir auch diese Angabe nicht berück- sichtigen. TURDUS SIBIRICUS, Pallas, Ii., II, app., n°. 10; Turdus leucocillus, Pallas, Zoogr., T, p. 450 , im Manuel, III, p. 398, nach einem, von Pallas aus der Krimm eimgeschickten Exemplare, irrig als in Russland vorkommend, aufgeführt, findet sich, nach Pal- las eigenen Angaben, nur im üst- lichen Sibirien, und muss daher aus der Reïhe der europäischen Vôgel gestrichen werden. Diese 69 printems à tête grise, niche en Ru- mélie, qu’elle visite en hiver la Mo- rée, et qu’elle ne se distingue des individus du centre de l’Europe que par des teintes plus vives. La Bergeronnette de printems à tête noire, qui habite également la Grèce, se distingue suivant Mr. von der Mühle, des races voisi- nes, non-seulement par les tein- tes de sa tête, mais aussi par des formes plus élancées amsi que par un bec plus long, plus fort et teint d’un noir uniforme. (65) TURDUS RARBARICUS, Gmel., fréquente, suivant Réisso, l c., p.36, n°. 50, les environs de Nice lors de l’époque de la migration. Je passe sous silence cette espèce douteuse, dont je n'ai pu me former une idée pré- cise. Schinz, L. c., p. 163, prétend que l’on a observé en Angleterre le rurpus RurUuS de Brisson, originaire de l'Amérique du nord. Comme il a négligé d'indiquer la source où il a puisé cette notice, je n'ai pas cru devoir adopter cet- te espèce parmi celles obser- vées en Europe. TURDUS SIBIRICUS, Pallas, Voyage, IT, app. n°. 10; Tur- dus leucocillus, Pallas, Zoogr., I, p. 450, introduit dans le Wa- nuel, IIT, p. 398, parmi les oiseaux d'Europe, d’après un in- dividu envoyé par le professeur Pallas lors de son séjour en CGri- mée, n'habite, selon les indica- tions de ce savant même, que la Sibérie orientale. Il convient, d'après ce que nous venons de Art scheint übrigens im grôssten Theile des südlichen und ôstli- chen Asiens häufig vorzukommen. (66) TURDUS SOLITARIUS. Naumann, . c., führt diesen Vogel unter dem Namen Turdus minor, ÆLath., nach einem am 22 Dec. 1825 im Herzogthume Anbalt-Kôihen gefangenen Ex- emplare auf. Seiner Beschreibung zufolge gehôürt aber dieser Vogel nicht zu Turdus minor, sondern zu Turdus solitarius, Wilson. Naumann erwäbnt diesen Vogel auch in Wrieomann, Archv., 1838, Z, p. 272. (67) rurpus auroRE US. G/0- ger führt als zu dieser Art gehô- rig, eine in Schlesien erlegte Dros- sel auf, und zieht als jungen Vogel, Naumann's Turdus Bech- steinié jun. dazu. Ob diese bei- den Vôgel wirklich zu T. auro- reus, Pallas, gehôren, den wir nicht in der Natur gesehen ha- ben, müssen fernere Untersu- chungen lehren. Jedenfalls wäre es wünschenswerth, dass eine gute Abbildung des in Schlesien gefangenen alien Individuums be- kannt gemacht würde. (68) rurDus war und 7. vamius. Zwei in Färbung sich volkommen ähnliche, aber in den Schnabel- und Fiügel-Verhältnis- sen standhaft abweichende Arten. 0 dire, de rayer du catalogue des oiseaux d'Europe cette espèce, qui parait se trouver dans la plus grande partie de l’Asie mé- ridionale et orientale. (66) TURDUS SOLITARIUS. L'individu de cette espèce, tué le 22 Décembre 1825 dans le du- ché d’'Anhalt-Kôthen, a été décrit par Mr. VNaumann, L.c., sous le nom de Turdus minor, Latham. Mais en comparant cette dernière espèce à la description de Mr. Naumann, on voit à l'évidence que cet mdividu est identique avec le Turdus solitarius de Wilson. Naumann fait aussi mention de cet individu dans le journal pu- blié par Wiegmann, année 1838, I, p. 872. (67) ruRDUuS AUROREUS. G/o- ger rapporte comme appartenant à celte espèce un individu d’une grive tuée en Silésie; la grive décrite par VNaumann comme le jeune du Turdus Bechsteinir, est selon loger, le jeune du Turdus auroreus. N'ayant pas vu en nature cette espèce, nous doptons les vues de Mr. Gloger, jusqu’à ce que de nouvelles re- cherches viennent prouver le con- traire. En tout cas, il serait à désirer que quelque naturaliste voulüt se charger de publier une figure exacte de l'individu tué en Silésie. (68) TURDUS WHITI et T. varius. Ces deux espèces, quoi- que tout à fait sembiables entre elles par leurs couleurs, se dis- üinguent cependant par les pro- Turdus aureus, Holandre, von Schinz, L. c., p. 161, nach emem im Sept. 1788 bei Metz erlegten, und in der Sammlung dieser Stadt aufbewabrten Individuum aufge- führt, gehôrt offenbar zu einer der beiden erwähnten Arten; zu welcher jedoch , lässt sich nach der Beschreibung nicht ermitteln. (69) cinxcLUS PALLASI, Temm., I, p. 177 und III, p. 107; Gould, PI 85; Sturnus cénclus , var., Pallas, Zoogr., I, p. 426, L. 10, kommt nach Pal- las nur am Baikal See , in Kamt- schatka und auf den benachbar- ten Inseln vor. Unsere Reisenden brachten diese einfärbig braun- schwarze Art von Japan mit. Sie muss daher aus dem Verzeich- nisse der europäischen Vôgel ge- strichen werden. (70) cinozus aquaricus. Es ist bis jetzt noch nicht erwiesen , ob der schwarzhäuchige Was- serschwätzer, Cènclus melano- aster, Brehm, Lehrbuch, p. 289; Gould, PI. 84, als zufal- lige, oder als standhaft nach der Localität verschiedene Varietät vom gemeinen Wasserschwätzer betrachtet werden muss. Wir kônnen ihn daher vorläufig noch nicht als selbstständig aufführen. (71) Ein von Herrn Cantraine in den pontinischen Sümpfen ge- sehener, etwas grôsserer und lcbhafter gefärbter Launkônig 71 portions diverses du bec et des ailes. Il est évident que le Tur- dus auroreus, Holandre, intro- duit par Schins, L c., p. 16, d’après un individu tué en 1788 près de Metz et conservé au Mu- seum de ceite ville, appartient à l’une des deux espèces dont nous venons de parler; mais il est impossible de constater à la- quelle de ces deux espèces 1l se rapporte, vu la description incomplète que l’on en a donnée. (69) ciNCLUS PALLASH, Temm., Man.,I,p.177 et ZIT, p.107; Gould, PI.85; Sturnus cinclus, var. Pallas, Zoogr., F, p.426, L.10, ne se trouve, sui- vant les indications de Pallas, que sur les bords du lac Baikal, au Kamtschatka et sur les iles voi- sines. Nos voyageurs ont rencon- tré cette espèce au Japon. C’est donc à tort qu'on l’a indiquée comme faisant partie de la faune d'Europe. (70) cnczus aquarTicus, On sait qu'il existe, en Europe, une variété de cette espèce, recon- naissable à son ventre noir; mais on ignore si celte variété ne se trouve qu’accidentellement ou si elle forme une race constante, propre à certaines localités. L’'in- certitude qui règne à cet égard ne nous permet pas d'introduire cet oiseau sous une épithète par- ticulière. (71) Mr. Cantraine, ayant vu lors de ses excursions dans les marais Pontins un Troglodyte, qui lui à paru être de plus for- "76 als die gemeine Art, hat An- leitung zu der Frage gegeben, ob sich im südlichen Europa, eme zweéite, dem ‘TROGLOD. FUMIGATUS aus Japan ähnli- che Art Zaunkôünig finde. Siehe Manuel, IT, p. 160. — Küs- éenk, @lses: 1885, p. 225, be- schreibt dagegen den sardinischen Zaunkôünig als dunkler von Farbe, als die Zaunkônige des übrigen Europa's. (71bis) REGULUS MODESTUS. Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p.310, erwähnt eines, am 26 Sept. 1838, an den Küsten Nord- humberlands geschossenen Gold- hähnchens, und betrachtet es, als zu dieser Art gehôrig, die übri- gens in mebreren Hinsichten von den übrigen Arten abzuweichen scheint. Ich habe diesen Vogel nie gesehen. (72) Die Angabe, dass PARUS BICGLOR, Linn., aus Nordame- rika, im Norden Europa’s vorkom- e, beruht auf älteren, unzuläs- sigen Mittheilungen. Gould sagt War von dieser Art in den Bérds of Europe : »we have seen »specimens, which were un- » doubtetly killed in Russia” ; da aber weder Nilsson, noch Pal- las, noch irgend ein anderer nor- discher Naturforscher von dieser Art spricht, so glauben wir uns gerechtfertigt , wenn wir sie erst dann als europäisch auffüh- ren, wenn genügendere Nach- vichten über 1hr Vorkommen in unserem Welttheile vorliegen. te taille et peint de teintes plus vives que le Troglodyte ordinai- re, On à supposé qu'il pourrait se trouver dans l’Europe méridio- nale, une seconde espèce de Troglodyte, voisine du TROGLO- DYTES FUMIGATUS du Japon, décrit dans le Manuel, TITI, p. 160. — Küster, Isis, "1835 ! pe 225, prétend au contraire que les Troglodytes de la Sardaigne offrent des teintes plus fonëces que ceux qui habitent les autres parties de l’Europe. (71bis) REGULUS MODESYTUS. Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 310, fait mention d’un roitelet tué le 26 Sept. 1838 sur la côte du Nordhumberland; il le regarde comme appartenant au Roitelet bâtard, qui paraît s’é- loigner sous plusieurs rapports, des autres espèces du genre. Nous n'avons pas vu cet oiseau ennature, (72) PARUS BICOLOR, Zinné. Il n'existe pas d'indication authen- tique que cette espèce américai- ne ait été observée dans le nord de l'Europe. IL est vrai que Mr. {rould, en parlant de cette mé- sange dans son grand ouvrage sur les oiseaux d'Europe, prétend en avoir vu des individus tués en Russie; mais comme elle n’a été observée ni par Nilsson, ni par Pallas ou par les autres na- turalistes du nord, nous nous croyons autorisés d’omettre cet oiseau dans notre énumération, et d'attendre, avant de l’adopter comme espèce européenne, des indications plus directes. (73) PARUS LUGUBRIS. Æey- serlèng u. Blasius, p. XLIIT, n°. 139 , Anmerk. , scheinen diese Art weder in der Natur noch nach den Abbildungen gekannt zu ha- ben; denn sonst würden diese genauen Untersucher sie gewiss nicht zu Parus sibiricus gezo- gen haben. Durch dieses Beispiel ire gemacht, hat auch C2. Bo- naparte den Par. lugubris, der doch in mehreren Werken sehr gut abgebildet ist, in seinem Ca- talogo nicht aufgeführt. (73bis) De Selys Longchamps beschreibt im Bulletin de l Acad. de Bruxelles, Tome X, n°. 7, unter dem Namen PARUS Bo- REALIS, eine Meise, welche sich von Par. sibiricus nur durch einen schwarzen Kopf und die weisse Farbe der Seiten des Kôr- pers unterscheiden, ibre Stelle in Island vertreten, aber auch in Norwegen vorkommen soll. (74) Ch. Bonaparte, List, p. 11, 0. 73, führt unter dem Na- men CERTHIA NATTERERI, einen neuen Baumläufer aus Dalmatien auf, den er aber in seinem später erschienenen C'atalogo seibstnicht wieder aufnimmt. (74bis) coRvusS coRoNE. Die- se Art nistet bekanntlich auf Bäu- men. Es ist dies auch der Fall in Holland, mit Ausnahme der- jenigen Individuen, welche die Seedünen bewohnen, und die, aller Regel zuwider , ihr Nest auf dem Boden anlegen. 73 (73) parus LuGuBRis. M. M. Keyserling et Blasius, p.X LIIT, n°. 139, ont mal à propos réuni cette espèce au Parus sibiricus. Cette méprise de la part de ces naturalistes provient probable- ment de ce qu'ils n’ont pas vu l'espèce en nature, et qu'ils ont négligé de consulter les figures qu'on en trouve dans plusieurs ouvrages. Ch. Bonaparte, mduit en erreur par cet exemple, n’a pas non plus adopté cette espèce dans son Catalogue. (73 bis) De Selys Longchamps vient de décrire dans le Bulle- tin de l'Académie de Bruxelles, vol. X, n°. 7, sous le nom de PARUS BOREALIS, une mésan- ge de l'Islande, qui ne se distin- gue du Parus sibiricus que par sa calotte noire et la couleur clai- re des flancs. Elle doit se trou- ver également en Norwége. (74) Ch. Bonaparte, List, p. 11, »0. 73, fait mention d’une nouvelle espèce de grimpereau, originaire de la Dalmatie, et qu'il désigne sous le nom de CERTHIA NATTERERI; mais il omet cet oiseau dans son Cafalogue pu- blié récemment. (74 bis) cORVUS CORONE. On sait que cette espèce niche sur des arbres. Il en est de même en Hollande ; mais les individus qui fréquentent nos dunes, font con- stamment leur nid à terre, 74 (75) CORVUS MONEDULA N1- GRa. Wir haben diesen Vogel nicht in der Natur gesehen, und kônnen daher michts Näheres über denselben mittheilen. (76) GARRULUS GLANDARIUS MELANOCEPHALUS scheint vom gemeinen Heher nur durch die grôsseren schwarzen Flecke der Kopfiedern abzuweichen. Wir erhielten ein Exemplar von Pe- tersburg unter dem Namen G&ar- rulus iliceti vom Kaukasus. Graf von der Mühle, p. 52, traf im Griechenland nur den gemeinen Heher an. (77) ALAUDA BIFASCIATA. Das von Gould abgebildete Exem- plar aus Spanien ist dunkler ge- färbt und in allen Theilen etwas grôsser als ein anderes Exemplar unserer Sammlung aus Nubien, welches in den Planches colo- riées 393 abgebildet wurde. Die Abbildung eines von Räppell, Atlas, Tab. 5, p. 8, aus dem nordôüstlichen Afrika eimgeschick- ten Exemplares, stimmt in der Grôsse mit dem Exemplare aus Spanien, in der Färbung mit dem aus Nubien überein. Die Exem- plare, welche Lichtenstein, Ver- zeichniss , 1823, p.27, no.285, beschreibt, wurden in Nubien erlegt, und scheinen die von Gould und Rüppell abgebildeten Exemplare an Grüsse noch zu übertreffen. Es scheint daher die- se Art entweder in der Grôsse individuell abzuändern, oder kli- matische Varietäten zu bilden. (75) coRvus MONEDULA NI- GRAa. N'ayant pas vu cet oiseau en nature, nous ne sommes pas à même d’en fournir des parti- cularités. (76) GARRULUS GLANDARIUS MELANOCEPHALUS. [l paraît que cet oiseau ne se distingue du geai ordinaire que par les taches noi- res plus grandes des plumes de la tête. Nous venons d’en rece- voir de la part du Musée de St. Pétersbourg, sous le nom de Garrulus éilicett, un individu tué au Caucase. Mr. von der Muhle, p. 52, dit n'avoir ren- contré en Grèce que le geai or- dinaire. (77) ALAUDA BIFASCIATA. L’in- dividu de cette espèce, figuré par Gould est originaire de l’Es- pagne; il offre des teintes plus foncées et une taille plus forte qu’un autre individu tué en Nu- bie et représenté dans les P/an- ches color., 395. L'individu figuré dans l'Atlas de Rüpell, PL. 5, p. 8, est également originaire des parties orientales de l'Afrique sen- tentrionale; 1l est semblable par ses teintes à celui représenté dans les Planches color., mais sa taille est aussi forte que celle de l’in- dividu de l'Espagne. Mr. Zichten- lenstein a décrit, dans son C'a- talogue, 1823, p.27, n°. 285, des individus tués en Nubie, et qui paraissent même surpasser en grandeur ceux figurés par Gould et Rüppell. Il paraît résulter de ces données, ou que cette espèce est sujette à varier individuelle- ment, ou qu'elle présente, sui- Im ersten Falle wäre auch Alau- da desertorum, Stanly in Salr, voy., app, p. LÀ, hierherzu- ziehen, und der Art letzterer Name beizulegen. (78) ALAUDA DUPONT. Wir haben diesen Vogel zwar nicht in der Natur gesehen; indessen scheint derselbe doch eine eigene Art zu bilden, und nicht, wie Blas. u. Keyserling, p. XXXVI vermuthen, als monstrôse Ausar- tung zur gemeinen Feldlerche zu gehôren. Man vergleiche mit die- ser Art Alauda ferruginea, von der Mühle, p.35, Anmerkung , aus Griechenland. (79) Ch. Bonaparte, List, p. 37, n°. 249, und Jcon. d. Fauna ital., Introd. all. Class. d. Ucellé, glaubt unter dem Namen ALAUDA CANTARELLA, eine kleinere Ne- benart der Feldierche aus Italien unterscheiden zu müssen. Von der Mikle, p.36, erwähnt ausser der gemeinen Feldlerche noch zweier Abarten dieser Art, welche er aus Griechenland mit- brachte. Ohne genaue Untersu- chung und Vergleichung der Ori- gmalexemplare lässt sich nicht bestimmen, in wiefern alle diese verschiedenen Arten und Abarten der europäischen Lerchen, als selbstständig zu betrachten sind. (80) acaupa KoLLy1, Tem- minck , PL col. 305, fig. 1 ; Man. III, p.202, ist nur nach 75 vant les localités, des variétés de climat. Dans le premier cas, il conviendrait de rétablir, pour désigner cette espèce, le nom d'Alauda desertorum , Stanley dans Salt, voyage, app. p. LX. (78) aLauDA Dupont. Nous n'avons pas vu cet oiseau, qui parait former une espèce bien établie et ne pas appartenir, comme le prétendent Keyserling et Blasius, p. XXXVI, comme variété monstrueuse à l’alouette ordinaire. Comparez à cette espé- ce l’alouette de la Grèce, indi- quée par Mr. von der Mühle, p. 35, remarque, sousle nom d’Alau- da ferruginea. (79) Ch. Bonaparte, List, p.37, n°. 249, et Zcon. d. Faun. ilal. Introd. à la classe des oiseaux, prétend qu'il existe en Italie une espèce voisine de l’alouette ordi- naire, mais qui s’en distingue par une taille moins forte; il la dé- signe sous le nom d’ALAUDA GANTARELL2. Mr. le comte von der Mükle, p.36, fait mention, outre l’alou- ette ordinaire, de deux variétés de cette espèce recueillies par lui en Grèce. On voit par ces don- nées, que, sans avoir Vu et SOI- gneusement comparé les individus qui ont servi de type aux indi- cations sur les diverses espèces et races d’alouettes d'Europe, 1l est impossible de les admettre comme parfaitement établies. (80) ALAUDA KOLLYE, Temm., PI col. 305, fig. 1; Man. IIT, p. 202, espèce douteuse, établie emem verstümmelten, bei Dyon gefangenen Exemplare, aufge- fübrt, und scheint als Varietät zu Al, brachydactyla zu gehôren. ALAUDA PISPOLETTA, Pal- las, Zoogr., I, p. 526, no. 154, aus dem südlichen Russland, von Ch. Bonap., List, p. 37, als ei- gene Art aufgeführt, gehürt nach den Untersuchungen von Keyserl. u. Blas., p. XXXVII, zu Al. brachydactyla. ALAUDA BIMACULATA, ÂMé- nétr., Cat., p.37, n°. 82, von Ch. Bonap., List, p. 37, no. 255: Melanocorypha bimacula- ta, unter die europäischen Vü- gel aufgenommen, wurde von Ménétries nur im Süden des Kau- kasus, an der persischen Grenze beobachtet. Es scheint in Griechenland eine, der Alauda brachydactyla ver- wandte, neue Lerche vorzukom- men, die aber bis jetzt sehr un- vollkommen bekannt ist. Sie wur- de zuerst in der Expédition de Morée, III, p.52, als Abart der Alauda brachydactyla aufge- führt. Æeyserling u. Blasrus , p- AXX VII, vermutheten schon, dass sie eine neue Art bilde. Graf von der Mühle, p. 37, erwähnt derselben auf’s Neue, und schlägt, wenn sie sich als Art bestätigen sollte, vor, sie PHILEREMGS MOREATICA Zu nennen. (81) CA. Bonap., List, p.37, n°, 254, führt unter dem Namen PHILEREMOS SCRIBA, Gould, d'aprés un individu mutilé, pris dans les environs de Dyon, paraît appartenir à l’espèce connue sous le nom d’ÆA/auda brachydactyla. Il en est de même, suivant les observations de Keyserling et Bla- stus, p. XXXVIT, de l’'ALAuUDA PISPOLETTA, Pallas, Zoogr., T, p. 526, n°. 154, qui habite la Russie méridionale et qui a été indiquée comme espèce particu- lière par CA. Bonaparte, Last, p. 87. ALAUDA BIMACULATA, /eé- nélr., Cat., p. 37, n°. 82, in- scrite par Ch. Bonaparte, Lisé, p. 37, n°. 255, dans le Catalo- gue des oiseaux d'Europe, sous le nom de Welanocorypha bima- culata, n’a été observée par Mé- nétries qu'au Sud du Caucase, près des frontières perses. Il parait qu'il existe en Grèce, une alouette voisine mais différen- te de l’Alouette à doigts courts ; on n’en possède malheureusement jusqu’à présent, que des notions très-imparfaites. Elle a été indi- quée, dans l'£xpédition de Mo- rée, IIT, p.52, comme variété de l'alouette à doigts courts. Key- serling et Blasius, p. XXXVIT, ont été les premiers à supposer qu'elle pourrait bien former une espèce nouvelle. Le Comte von der Mühle, p. 37, en fait de nouveau mention, et propose de la désigner sous le nom de PHILEREMOS MOREATICA, Si son existence comme espèce a été constatée d’une manière décisive. (81) CA. Bonaparte, List, p. 37, n°0.254, introduit parmi les oiseaux d'Europe, sous le nom eine neue Lerche auf. Man wird uns entschuldigen, wenn wir ei- nen Vogel, von dem nichts als der Name bekannt ist, nicht auf- nehmen. (82) Schinz, L c., p. 247, führt CANNABINA PALUSTRIS, Landbeck, als eigene Art auf, obgleich er sie selbst nicht für ver- schieden von Fréng. flavirostris hält. (83) FRINGILLA BOREALIS, Roux, Orn. prov., I, p. 165, PI. 101 ef 102; Véeillot, Faune francaise, p. 84, soll nach de Selys-Longchamps, Faune Bel- ge, p. 72, n°. 55, von Fringtlla canescens, mit welcher sie bis jetzt für einerlei gehalten wurde, verschieden sein. De Selys-Long- champs sagt von Fr. borealis : 77 de PHILEREMOS SCRIBA, Gould, une espèce d’alouette, que nous n'avons pas jugé convenable d’a- dopter, vu que l’on en ignore toutes les particularités, hormis le nom. (82) CANNABINA PALUSTRIS, Landbeck, figure dans l’ouvrage de Schins, l.c. p. 247, sous un nom particulier, quoique Schinz lui-même la croit mdentique avec la Fring. flavirostris. (83) De Selys-Longchamps , Faune Belge, p.72,n0.58, prétend que la FRINGILLA BOREALIS, Roux, Orn. prov., I, p. 165, PI. 101 ef 102; Vreëllot, Faune francaise, p.84 diffère par l’es- pèce de la Fréngilla canescens, avec laquelle on l’a cru identique jusqu’à présent. Mr. de Selys- Longchamps s'exprime dans les termes suivans sur la Fr. borealis. »Ce n’est probablement qu’ une race un peu plus forte du 4- »naria. 1 ne faut pas confondre cette race ou espèce avec la F. »canescens qui en diffère constamment en ce qu’elle a tout le crou- »pion d’un blanc pur en-dessus, une taille encore plus forte, la » queue très-longue et le fond du plumage blanc flammé de brun.” Ch. L. Bonaparte, List, p. 34,n0.226, erwähnt einer LINOTA BREVIROSTRIS, Gould, ohne etwas Näheres über dieselbe anzu- geben. (83 bis) PASSER MONTANUS. Die auf Java und mehreren Inseln des indischen Archipels vorkom- menden Sperlinge gehôren nicht zu Passer salicarius , sondern zu P. montanus, von welcher Art Ch. L. Bonaparte, List, p. 34, n°. 226, fait mention d’une espèce appelée par Gould, xx- NOTA BREVIROSTRIS, Sans y ajouter la moindre indication sur les caractères de cet oiseau. (83 bis) PASSER MONTANUS. Les moineaux observés à Java et sur plusieurs autres îles de l’Ar- chipel des Indes forment une es- pèce très-distincte du Moineau a poitrine notre, mais que je ne ich sie wenigsiens nicht zu un- terscheiden vermag. Nach Herrn S. MHüller's Mittheilungen kommt aber dieser Vogel ursprünglich nicht wild in Indien vor, sondern es wurde derselbe, im vorigen Jahrhundert, auf Java, wahr- schemlich von Japan aus, emge- führt. (84) PASSER PUSILLUS. Die- ser merkwürdige Vogel ist uns nur nach der Abbildung und kur- zen Beschreibung, welche Pallas von demselben gegeben hat, be- kannt. Pallas macht darauf auf- merksam, dass derselbe mit Z1- naria montana, Brisson , Orn., III, p. 145, n°. 88; Bufjon, Orn., IV, p.74; Mountain Lin- net, Will. Orn., p. 261. Zool. Brit., Tab. 59; Lath. Syn. TIT, p. 1307, n°. 76, zu vergleichen sey; allein em Blick auf die Ab- bildung des Passer pusillus reicht hin, um sich zu überzeu- gen, dass dieser Vogel von allen europäischen und auch von den ausländischen bekannten finken- artigen Vôügeln abweicht. Seine hohen, dünnen Läufe machen es wahrscheinlich, dass er sich mehr auf der Erde als auf Bäumen auf- hält. Welchen Gruppen der fin- kenartigen Vôgel er sich am na- türhichsten anreiht, lässt sich, bei der unvollständigen Kennt- niss, die wir von dieser Art haben, nicht bestimmen. Wir ha- ben ihr daher den von Pallas vorgeschlagenen Gattungsnamen einstweilen gelassen. | Was Pallas, L. c. von dersel- ben sagt, beschränkt sich auf folgende Zeilen. 78 sais distinguer du friquet. Sui- vant les communications de Mr. S. Müller, cette espèce ne se trouve pas originairement sur les iles que nous venons de citer, ayant été introduite, probable- ment du Japon, dans le siècle passé à l’île de Java. (84) PASSER PUSILLUS. Cet oiseau curieux ne nous est connu que par la figure et la descrip- tion qu’en a données Pallas. Se- lon ce voyageur, l'espèce doit être comparée au Linaria montana Brisson, Orn., III, p. 145, no. 33; Buffon, IV, p. 74; Moun- lain Linnet, Wall. Orn., p. 261; Zool. Brit., Tab. 59; Lath. Syn: TIT,) Vp. 1307, 006; mais il suflit de jeter un coup d'œil sur la figure du Passer pusillus, pour se convaincre, que cet oiseau s'éloigne égale- ment de toutes les espèces euro- péennes et exotiques de la famille des Fringilloïdes. À en juger de ses tarses grêles et élevés, il paraît que cet oiseau se tient plutôt à terre que sur les arbres. Nos con- naissances de celte espèce étant assez incomplètes, 1l est impos- sible de constater les relations qui existent entre cet oiseau et les nombreuses espèces qui font par- tie de la famille des Fréngilloïdes. C'est en raison de l'incertitude qui règne à cet égard que nous n’avons pas changé le nom con- féré par Pallas à cette espèce. Pallas, lc. la décrit dans les termes suivans. »P. gryseo nigroque vario, ventre albo, fronte testaceo rubra. » Circa Caucasum et mare caspium frequens avis, aestate circa »nivalia juga cum P. alpicola (Fring. nivalis) et Mot. ceraunia (Lus- » ciola erythrogastra) versatur, hyeme in subalpinis Persiae. » Descr. Linaria fere minor. Frons testaceo rubra, vertex nigriCat. » Collum dorsumque plumis gryseis medio fuscis. Venter et subcau- » dales alba. Pedes nigri. Rostrum fuscum.”? Die Maasse dieser Art, so gui sich dieselben nach der, aller- dings sehr mittelmässigen Abbil- dung, angeben lassen, sind fol- gende : Ganze Länge . . . .. . . 3 9"! Länge der Flügel . . . . . 1 10 » des Schwanzes . .. 1 3 » Mes LAS gere see: O 61 » der Mitielzehe ohne Nagel: Gusosre . su 0, 94 » der Hinterzehe . . . O 2. (85) cOCCOTHRAUSTES CAU- casicus. Güldenstädt scheint bis jetzt der einzige Naturforscher zu seyn, der diesen schünen Vo- gel untersucht hat. Wir theilen deswegen seine Beschreibung voll- ständig mit : Nous avons emprunté à la fi- gure publiée de cet oiseau par Pallas, les mesures suivantes: Longueur totale . . . . . 8 9 »2 CES ANGES. 2-0 col 10 » Hdelaquenel- 11203 DCR AESE Et meicens Une (0 61 » du doigt de milieu (sans son ongle) . . O 81 du POUCES ON CR 2 S (85) COCCOTHRAUSTES Cau- casicus. Il parait que Gülden- städt est le seul naturaliste qui ait examiné cette belle espèce. On lira par conséquent, avec in- térêt, la description que ce savant en a donnée. La voici: »LOXIA RUBICILLA. » Avis, quam sub hoc nomine propono, magnitudine, habitu et » Colore proxime ad Enucleatorem, rostro ad Coccothraustem acce- » dit, et inter hasce duas species congeneres quasi media. Colore »Suavissimo coccineo, albido et cinerascente lepide variegato. Ru- » bicilla antecellit Enucleatorem, colore miniato fusco undulato ocu- »los minus afhicientem. Rostri crassitie Coccothrausti cedit Rubicilla. » Avis nostra indigena alpinum caucasicarum aëre frigidiusculo pa- »riter ac Enucleator delectatur; praesertim ad alveos glareosos tor- »rentium in Caucaso occurrentium degit et baccas Hippophaës » Rhamnoïdis, ad illos copiosissime crescentis, gulae indulgens avi- » dissime legit, eandemque disseminat, Familiae numerosissimae » Rubicillarum gregatim volitare et vocem Pyrrhulae imitare solent. »Sexus differentia vix ulla , nisi quod rubedo feminae minus speciosa 80 »sit. Icon staturam et habitum magnitudine naturali exprimit , reli- » qua ex descriptione patent, quae nunc dabo.” » Rostrum incrassato-conicum; capite dimidio brevius, a fronte »sex, a rictu octo lineas longum; basi latissimum, diametro per- » perpendiculari sex, et transversali quinque linearum; apice acu- » minatum ; mandibula superior fusca, apice recto vix ultra inferiorem »promineus; inferior albida, lateribus tantisper introrsum flexa. » Lingua integra, truncata. Nares basilares, capistro fusco tectae. » Oculi fusci. » Caput supra, gula, collum subtus et pectus intense coccinea, »leucosticta, maculis acutis triquetris; abdomen et ani regio dilute »rosea, albido undulata; caudae tectrices inferiores roseo-fuscae. » Collum supra et dorsum canescens cum rosei tinctura; tectrices » caudae superiores fusco-rosea. Basis plumarum omnium, quae in »situ naturali obtecta et partem maximam totius plumae constituit, »intense Cinerea. » Alae complicatae quoad pollicem unum cauda breviores; remi- »gibus et tectricibus primariis fuscis, marginibus obsolete roseis, » tectricibus axillae dorso concoloribus. | »Cauda tres pollices et sex lineas longa, integra; rectricibus »duodecim, aenco-nigris, extima utrinque exteriore margine albido, » reliquis margine roseo adumbratis. » Femora ad genua usque plumosa, cana; tibiae et digiti, quo- »rum tres antici et unus posticus, nigri coloris; ungues digitorum »incurvi, aCuminati, nigri, anteriorum subaequales, postiei maximus. » Longitudo aviculae extensae ab apice rostri ad caudae extremum »octo pollicum pedis londinensis duodecimalis.” Folgende Maasse haben wir der, Voici les mesures prises sur le Güldenstädts Beschreibung beglei- | dessin publié par Güldenstädt : tendten Zeichnune ommen : k ; F9 EE Longueur de l’aile 4pouc. 9 lign. Länge des Flügels . 4 Zoll. 9 Lin. »1 dufarse Poste. » des Laufes 2.11 TL » du doigt de » der Mittelzehe . O0 » 9 » mileu 10/4198 » der Hinterzehe. O0 » 5 » » dupouce ..0 » 5 » (86) De Selys-Longchamps, (86) Mr. de Selys - Long- Faune Belge, p. 79, n°0. 71, | champs fait mention, dans sa führt eme zweite Art des gemer- | Faune Belge, p. 79, n°. 71, nen (rimpels auf. Wir kennen | d’une espèce nouvelle mais très- diesen Vogel nicht, und künnen | voisine du Bouvreuil commun. daher den folgenden Angaben des | N'ayant pas vu cet oiseau en na- Herrn de Selys nichts hinzufügen: | ture, nous renvoyons aux obser- vations de Mr. de Selys, qui en parle dans les termes suivans : 81 » PYRRHULA COCCINEA, de Selys-Longch. BOUVREUIL PONCEAU. » Vulgairement grand bouvreuil. » Cet oiseau n’est assez probablement qu'une race locale plus »grande du Bouvreuil commun. Il est de passage accidentel en » Belgique et par troupes à la fin de l'automne. Il y a été très- »commun en décembre et en janvier 1831. Il m'a paru qu'il a » l'espace blanc du croupion plus étendu que chez le bouvreuil » commun. Il semble que son chant est plus varié et qu’il ne se »mêle pas avec le petit Bouvreuil commun.” Cuvier, Règne animal, I, p. 414, hat schon dieser grüsseren Race des Gimpels erwähnt. Die vomGrafen von der Mükhle, p. 45, unter dem Namen Pyrr- hula sinaica? Temminck, auf- geführte Art aus Griechenland scheint zu P. erythrina zu ge- hôren. PYRRHULA LONGICAUDA,. Tem- minchk, Man., I, p. 340; Loxia sibirica, Pallas, It. IT, app., n°. 24; Pyrrhula caudata, Pal- las, Zoogr., IT, p.10, n°. 181, nach einem von Pallas aus der Krimm geschickten Exemplare als europäisch aufgefiührt, kommt nach Pallas, nur auf dem Altai und im ôsthichen Sibirien vor, und ist dort überall Standvogel. Es ist mir auch kein Beispiel bekannt, dass dieser Vogel in Europa beo- bachtet worden wäre. (87) PYRRHULA SERINUS IS- LANDICA. Ich habe zwar diesen Vogel nicht in der Natur gese- hen, jedoch auf Faber’s Leug- miss darf man ihn wohl, wenn auch nur als Nebenart, aufneh- men. (88) Ch. Bonaparte, List, p. 34, n°. 227, führt ERYTHROSPI- ZA PHOENICOPTERA, Zéinaria 9 _. Cuvier, Règne animal, I, p. 414, a déja mdiqué cette race plus forte du Bouvreuil. Le Bouvreuil de la Grèce indi- qué par Mr. von der Mühle, p. 45, sous le nom de Pyrrhula sinaica® Temminck, ne paraît pas différer de la P. erythrina. PYRRHULA LONGICAUDA, Zem- minck, Man., I, p.340; Loxia sibirica Pallas, Voy., IT, app., n°, 24; Pyrrhula caudata, Pal- las, Zoogr., IT, p.10, no 181, indiqué comme espèce européen- ne, d’après un individu envoyé par le professeur Pallas de Cri- mée , n’habite , selon ce voyageur, que l’Altai et la Sibérie orien- tale, où elle est sédentaire. À ce que je sache , il n’existe aucune donnée certaine que cet oiseau ait été tué en Europe. (87) PYRRHULA SERINUS IS- LANDICA. Je n'ai pas vu cet oiseau en nature; mais 1l me sem- ble que le témoignage d’un na- turaliste, tel que feu Faber, suf- fit pour l’adopter au moins com- me race distincte. (88) On ne peut guère se for- mer une idée définitive sur l’espè- ce, introduite parmi les oiseaux 6 phoenticoptera, Gould, als neue europäische Art auf. Welche Art damit gemeint ist, lässt sich, da sie nur dem Namen nach bekannt ist, nicht bestimmen. (89) LOXIA LEUCOPTERA : Gmel. Linn, p. 844, n°. 12; Wilson, PI 31, fig.3; de Se- lys-Longchamps , Faune belge, PI IV, fig. 3, aus Nordamerika , ist bedeutend kleiner und hat ei- nen viel schwächeren, stärker zu- sammengedrückien und mit län- geren Spitzen versehenen Schna- bel als L. bifasciata. Sie ist bis jetzt noch nicht in Europa beo- bachtet worden. (90) EMBERIZA HYEMALIS, Linn., Syst., XII, p.308, n°. 2: Fréngilla hyemalis, Linn., Syst., À, p. 183; Wilson, PI. 16, fig. 6; Slruthus hyemalis, Ch. Bonap., List, p. 31, n°. 215; Gould, PI. 190, aus Nordame- rika, wird im Manuel, III, p.234, als europäüisch aufgeführt, weil sie aufihren Wanderungen zuwei- len in Island erscheinen soll. Die Nachrichten aber,auf welchediese Behauptung gestützt ist, sind von der nämlichen Person , welche sie mittheilte, widerrufen worden. Ch. Bonaparte, Catalogo, p. 45, n°. 235, erwähnt unter dem Namen EMBERIZA BONAPARTE, Barthelemy de la Pomm. einen mir ganz unbekannten Ammer, der im südlichen Frankreich als Verirrter beobachtet wurde. Fer- ner wird im Catalogo, p. 45, n°. 236, eine EMB. CINEREA, 82 d'Europe par CA Bonaparte, List, p.34, n°. 227, sous le nom d'ERYTHROSPIZA PHOENICOP- TERA, Linaria phoenicoptera, Gould, cette indication n'étant accompagnée d'aucune phrase descriptive. (89) LOXIA LEUCOPTERA, Gmel. Linn., p. 844, no. 12; Wilson, PI. 31, fig. 3; de Se- lys-Eongchamps, Faune belge, PI. IV, 4.3, espèce qui habite l'Amérique du nord, difiére de la Loxia bifasciata par une taille moins forte et par un bec plus faible, plus comprimé et à poin- te assez déliée. Cette espèce n’a pas encore élé observée en Eu- rope. (90) EMBERIZA HYEMALIS, Linn. Syst., XII, p. 308, n°.2; Fringilla hyemalis, Linn. Syst., X , p.183; Wilson, PI. 16, f5.6; Struthus hyematis, Ch. Bonap., List, p. 31, n°.215; Gould, PL 190, espèce de l'Amérique du nord, a été introduite dans le Manuel, IIT, p.234, parmi les oiseaux d'Europe, par suite de l'indication donnée par une per- sonne mal informée, que cette espèce visite, lors de ses migra- tions, de tempsen temps l'Islande, Ch. Bonaparte, Catalogo, p, 45, n°. 235, fait mention, sous le nom d'EMBERIZA BONAPAR- Tu, Barthélemy de la Pomm., d’un bruant, observé dans laFran- ce méridionale, qu'il visite ac- cidentellement. Il est fait men- tion dans le même opuscule, L c., n°. 236, d'un bruant-de Strickland, aus dem ôstlichen Europa angeführt, von der ich ebenfalls nichts Näheres zu sagen weiss, da mir keine Beschreibung derselben bekannt ist. (91) EMBERIZA CHRYSO- purys. Das einzige, bis jetzt in Europa beobachtete Exemplar dieser Art wurde bei Lille gefan- gen : sieche de Selys-Longchamps, d c. (92) euRERIZA RUTILA . P al- las, nach zwei aus der Krimm von Pallas geschickten Exempla- ren, im Manuel, IIT, p. 232, als Bewohner des südlichen Russ- lands aufgeführt, wurde von Pallas, Zoo2r. ross. as., IT, p. 53, n°.217, nur in Dauurien beobachtet. (93) EuBERrIza FucaTa. Die- se Art unterscheidet sich leicht von Æ£mb. rustica durch ihren gekrümmten Schnabel und grôs- sere Füsse. Bei £mb. rustica ist der Schnabel, wie bei Emb. pu- silla, gerade und daher pfrie- menfürmig. Im Iugend- und Win- terkleide sind sich Æ£mb. fucata und rustica in der Färbung aus- serordentlich ähnhich. Da ich meine Untersuchungen über diese beiden Arten aufzwei schlecht erhaltene Exemplare be- schränken muss, so bin ich nicht im Stande, ihre Kennzeichen 85 l'Europe orientale, appelé Ew. BERIZA CINEREA, S/ricl land. Je ne connais mi l’une ni l’autre de ces deux espèces, dont on n’a pas même donné des descrip- tions, à ce que je sache. (91) EMBERIZA CRRYSo. purys. Cette espèce n’a été ob- servée, Jusqu'à présent, qu'une seule fois en Europe, savoir dans les environs de Lille, où un individu fut pris au filet: voir de Selys-Longchamps, L ce. (92) EMBERIZA RUTILA , Pal- las, n'habite, selon les données de ce voyageur, que la Daourie : voir Zoogr.ross.as., IT, p.53, n°. 217. C'est donc à’ tort que les deux individus de cette espè- ce, envoyés de la Crimée par le professeur Pallas, ont été regar- dés comme ayant été tués dans la Russie méridionale; voir le Manuel, d'Ornit., IIT, p.232. (93) EMBERIZA FucAaTA. Cette jolie espèce diffère de l £mberiza rustica par un bec arqué et par des pieds plus robustes; le bec de la dernière espèce étant droit et par conséquent en alêne, ab- solument comme celui de l'£m- beriza pusilla. En hiver et au jeune âge, les deux espèces dont nous venons de parler, savoir Emb. fucata et rustica, se res- semblent beaucoup sous le rap- port de leurs teintes, N'ayant eu à ma disposition que quelques individus mal con- servés de ces deux espèces, je ne suis pas à même d’en étabhr, pour le moment, d’une manière 84 gründlich auseinanderzusetzen. Der vom Grafen von der Mühle, 2 42, unter dem Namen Embe- réza cia aufgeführte Ammer scheint in der That Zu dieser Art und nicht, wie es jener Orni- tholog vermuthet, zu £Emberiza fucala zu gehôren. (94) EuBERIZA PUSILLA. Das am 18 November 1842, in der Umgegend von Leiden Que einem Finkenheerde gefangene Weib- chen,scheint das erste Beispiel des Vorkommens dieser Art in Europa zu seyn. Es stimmt vollkommen mit der Beschreibung, welche Pallas von dieser Art gegeben hat, übéreim. Wir haben nach unserem Exemplare folgende Be- schreibuag entworfen. Gestalt des Schnabels, Füsse, und überhaupt alle gegenseitigen Formenverhältnisse, so wie die Färbung, ganz wie bei Emberiza rustica im Winterkleide; der ganze Vogel aber durchgehends Héns wie folgende Maasse zeigen : Ganze Länge . . . . Länge der Flügel des Schwanzes des Laufes. . der Mittelzehe . des Nagels derselben. der Hinterzehe des Nagels derselben. des Schnabels vom Mundwinkel Breite des Schnabels beim Mundwinkel » 0 L2 L2 L] L2 » Or © CCSN CE] précise, les autres traits distinc- üfs qu’elles offrent. Le bruant indiqué par Mr. von der Mühle, p. 42, sous le nom d'Emberiza cia, paraît en effet se rapporter à celte espèce et non pas à l’'Emberiza fucalta, comme le suppose ornithlogiste que nous venons de citer. (94) EuBERIZA PuSILLA. Il parait que cette espèce n’a élé observée en Europe par au- cun autre naturaliste. Nous en possédons un individu femelle, pris le 18 Novembre 1842 dans les environs de Leide. Cet indi- vidu, dont nous donnerons une description détaillée, se rapporte parfaitement à celle que Pallas a publiée de cette espèce. Les formes du bec de cet oi- seau, les pieds et en général tou- tes les proportions relatives des parties du corps, ainsi que la distribution des teintes, sont com- me dans l’£mberiza rustica en habit d'hiver; mais il est d’une taille beaucoup moins forte, com- me il résulte par les mesures sui- vantes : Longueur totale . . . . . 5#0/ ». des-ailesuiheu 027 » widevlaiqueuc sr. 0r2il » +du‘tarsenth,.# IH MNONS » du doigt de milieu . 0 5 » de son ongle + RO » dUMpOUCEREE LT NC AUS » de son ongle . . . : 0 21 » du bec, depuis l’an- gle de la bouchet: 10 4} Largeur du bec, près l’an- gle de la bouche : . . 0 25 Schnabel gerade, stark ver- jüngt zulaufend, daher pfrie- menfôrmig, mit scharfer, kaum merkbar abwärts gebogener Spit- ze; schwärzlich hornfarben, an den Ladenrändern, und an der untern Wurzel der Unterkinnlade in’s gelbliche. Kopf oben, in der Mitie , mit emem breiten rôüthhich rostfarbenen Längestreifen , der auf jeder Seite von einem et- was schmäleren, schwärzlichen Streifen eingefasst wird. Zügel- gegend blass rostfarben; von da zieht sich ein lichter, wecisslich rostfarbener Streif über dem Auge und über der Ohrgegend hin. Ohrgegend rôthlich rostfarben, von unten und hinten schwarz gesäumt. Kehle und Vorderhals gelblichweiss, von einem Kranze schwarzer Flecken eingefasst, der seinen Anfang an jeder Sei- te der Wurzel des Unterkiefers nimmt. Zwischen diesem schwar- zen Streif und der Ohrgegend ein weisslicher Streif, der schon an den Seiten der Wurzel des Unterkiefers entspringt, und, sich hinter der Ohrgegend umbiegend, bis an die Seiten des Genickes läuft, wo er allmählich ver- schwindet. Vorderbrust und Sei- ten des Kôrpers weisslich, mit bräunlichgelbem Anfluge; alle Federn dieser Theile mit ziemlich grossen , schwarzen, braunrüth- ich gesäumten Schaftflecken. Alle übrigen Untertheile des Kürpers, mit Inbegriff der untern Schwanz- deckfedern veiss. Federn der Seiten des Halses, des Hinterhal- ses und des Bürzels bräunlich- grau mit olivenfarbenem Anfluge, und undeutlichen schwärzlich- 85 Bec droit, assez conique, par conséquent en alêne, à pointe aiguë insensiblement courbée en bas; d’un noirâtre couleur de corne, tirant au jaunatre sur les bords des mandibules et sur le dessous de la base de la mandi- bule inférieure. Sommet de la tête orné au centre d’une raie longitudinale d’un brun couteur de rouille rougeûtre; cette raie est bordée de chaque côté d’une raie noiratre un peu plus étroite. Frems couleur de rouille pale; une raie plus claire et tirant au blanchätre s'étend depuis cette région, au dessus des yeux et de la région des oreilles, qui est couleur de rouille rougeàtre , bor- dée en bas et par derrière de noir. Gorge et parties antérieures du cou d’un blanc jaunatre et entourées d'une rangée de ta- ches noires distribuées sur une bande en cercle qui s'étend de chaque eôté jusqu'à la base de la mandibule inférieure. On voit, entre celte bande noire et entre la région des oreilles, une raie blanchätre qui naît, de chaque côté, à la base de la mandibule inférieure, pour se prolonger derrière la région des oreilles, en se recourbant en haut sur les côtés de la nuque, où elle disparait. Parties supérieures de la poitrine et flancs blanchâtres, nuancées de brunâtre; toutes les plumes de ces parties sont pour- vues de taches noires longitudi- nales, assez grandes et bordées de brun rougeàtre. Toutes les autres parties inférieures de l’oi- seau, y compris les couvertures inférieures de la queue, sont d’un braunen Schaftflecken. Obere Schwanzdeckfedern etwas dunk- ler und schmutziger, mit grôs- seren aber undeutlhicher begrenz- ten Mittelflecken. Federn des Rüc- kens, in der Mitte, mit einem gros- sen braunschwarzen Längsflec- ke, der nach den Seiten hin ins rôüthlich rostfarbene, und gegen den Rand der Federn, in’s grün- lichgraue übergeht. Alle äussere Federn des Flügels braunschwarz: die Schwungfedern mit weissli- chem innerem Rande und rostfar- benen äusserem Rande, der auf den Schwungfedern erster Ord- nung schmäler und blässer als auf denen zweiter Ordnung ist ; Schulterdeckfedern und grosse Flügeldeckfedern zweiter Ord- nung mit breitem rôthlich rost- farbenem Saume. Mittle Flügel- deckfedern an der Spitze mit breitem weissem Saume.Schwanz stark gegabelt: das dritte Paar Steuerfedern am längsten, und um 3 Linien länger als das mit- telste Paar, deren mnerer Rand bis über ein Drittel ihrer Länge schräge abgeschnitten ist. sine federn En rärzlich , mit äusserst schmalem,blass rostfarbenemSau- me; das itôlste Paar in’s bräun- lol mit breiterem Saume. Âus- serstes Paar Steuerfedern mit einem breiten , weissen , schrägen Streifen , der auf der Aussenfahne, nahe an der Wurzel der Feder, semen Ursprung nimmt, und die ganze Aussenfahne bis auf ibr USERS Viertel emnimmt, auf der Innenfahne dagegen, ao der Spitze der Féder Mini immer breiter wird. Auf dem zweiten PaarSteuerfedern findet sich eben- 86 blanc pur. Les plumes des par- ties latérales et postérieures du cou ainsi que celles du croupion sont d'un gris brunâtre nuancé d’olivâtre, et elles offrent au cen- tre des taches peu sensibles d’un brun noirätre. Les couvertures supérieures de la queue présen- tent une teinte plus foncée et plus sale que les plumes du crou- pion , et leurs taches sont plus grandes,mais mal déterminées. Les plumes du dos sont pourvues au centre d'une grande tache lon- gitudinale d’un brun noir, pas- sant au brun couleur de rouille rougeàtire, vers les côtés des plu- mes , et au gris verdätre sur les bords. Toutes les plumes des parties extérieures des ailes sont d’un brun noir: les rémiges sont bordées à la barbe interne de blanchätre; les barbes externes offrent des bords couleur de rouille, plus pâles et plus étroits sur les rémiges primaires que sur les Mn Lie les couvertures des épaules et les grandes cou- vertures de la deuxième rangée présentent de larges bords couleur de rouille rougeatre; les couver- tures moyennes enfin sont ornées à l'extrémité d’un large bord blanc. La queue est fortement échancrée à l'extrémité: la troi- sième paire des’ pennes, sur- passant les autres en longueur , est plus longue de 3 lignes que la paire mitoyenne, dont la bar- be interne est découpée jusqu’au de là du deuxième tiers de leur longueur. Ces pennes de la queue sono aires. etornées d’un liséré étroit couleur de rouille pâle; la ieinte du fond tire au brunâtre sur 87 falls ein weisser aber schmälerer | les pennes mitoyennes, dont le Streif, der erst auf der zweiten | bord est plus large que celui des Hälfte ihrer Länge auflritt , und | autres pennes. Paire externe des auf der Innenfahne längs dem | pennes de la queue ornée d’une Schafte der Feder hinläuft. Füs- | raie blanche assez large et oblique, se und Zehen zart, blass gelblich | qui naît près de la base de la hornfarben. Nägel spitzig, ziem- | penne sur la barbe externe, dont lich gekrümmt, blass schwärz- elle occupe les trois premiers lich hornfarben. Erste Schwung- | quarts de sa longueur, et qui va feder von gleicher Länge als die | en s’élargissant sur la barbe in- vierte, und kaum um eine Li- | terne à mesure qu'elle se rap- nie kürzer als die zweite und | proche de l'extrémité de la penne. dritte. On voit une raie semblable mais plus étroite sur la seconde pai- re des pennes de la queue, mais elle ne se montre que sur la deuxième moitié de la longueur de la penne, et elle s’étend sur la barbe interne le long du tu- yau de la penne. Pieds et doigts grèles , d'un jaunâtre pale cou- leur de corne. Ongles pointus, assez courbés, d’un noiratre pale couleur de corne. Première ré- mige d’égale longueur avec la uatrième, et plus courte seule- ment d’une ligne que la deuxie- me et la troisième. Die Beschreibung , welche Pal- Pallas à décrit cette espèce las von dieser Art gegeben hat, | dans les termes suivans: lautet wie folgt : » Emberiza gryseo fuscoque liturata, capite nigro, fasciis quinis »testaceis, rectricibus 2 extimis fascia obliqua alba. » In sylvis et salicetis regionum transbaicalensium et Sibiriae ori- »entalis frequens, migratoria; saepe a tardiva frigore adventans »enecatur. Victitat vere Tenebrionibus. » Vix spino aequalis. Similitudo saumma cum E. rustica, sed multo » minor. Rostrum fusco-corneolum. Caput supra lateribusque varie- » gatum fascis longitudinalibus quinis testaceis, interjectisque nigris » quatuor. Supercihia albidiora. Macula pone aures ferugineas nigra. » Gula pallida, tractu duplici fusco punctata. Lunula utrinque alba, »a gula versus Cervicem. Jugulum pallidum, punctis crebris, sagit- »talibus. Dorsum passerini coloris; subtus albida, lateribus longi- »tudinaliter lituratis. Rectrices utrinque extimae 2. fascia oblique » longitudinali alba. Remiges 19. primariae margine exteriore palli- » dae, secundariae ferruginae, at interiore omnes albae, 2 ad 4. »extremo angustatae. Cervix et uropygium gryseo-cinerascunt, lhtu- » ris fuscis. Cauda magis bifurea ,; quam praecedentis (Emb. fucatae); » rectrices acutiores pallido marginatae, extimae 2. fascia oblique » longitudinal alba. Pondus drachmae sesquitertiae. Mensura corpo- »ris 3” 21/7, caudae 2/ 1”. alarum expans. 8”. compositarum 2” 7”. » Remiges intermediae aliquot obsoletissime emarginatae. Pedes car- » neo-pallidi.” (95) coLUuMBA AEGYPTIACA. Schinz, erhielt diese Art aus Griechenland; von der Mükhle, p. 83, traf sie ebenfalls daselbst an. Srichland, Proceedings Zool. Soc., 1836, p. 109, beo- bachtete sie häufig auf den Cy- pressenbäumen der Todenäcker von Smyrna und Constantinopel, vermuthet aber, dass sie daselbst emgeführt wurde. Naumann, in Wiegman, Ar- chivs,wlITslep 4106 ;vführt eine Taube vom Balkan auf, die er, mit Lichtenstein, für eine Vä- rietät der Lachtaube hält, ob- gleich sie grôüsser und dunkler gefärbt ist. Herr von der Mühle macht darauf aufmerksam, dass diese Taube zu Col. aeg ypliaca gehôren künne. (96) Die Angabe im Wanuel, IV, p.316, dass der GOLDFASAN in Griechenland und am Kauka- sus wild vorkomme , bedarf wohl der näheren Bestäligung. (97) TETRAO BRACHYDACTY- Lus, Temm. Man., IV, p.328, (95) coLuMBA AEGYPTIACA. Schinz possède des individus de cette espèce tués en Grèce; vor der Müuhle Va également obser- vée dans ce pays. S/rickland, Proceedings Zool. Soc., 1836, p. 100, dit qu’elle fréquente en grand nombre les cyprès dont les cimétières de Smyrne et de Constantinople sont plantés, mais il suppose que l'espèce a été in- troduite d’ailleurs dans ces con- trées. Naumann, voir Wiegman, Archiv., IT, T, p. 106, fait men- tion d’une tourterelle recueillie au Balcan et qu’il prend, avec le professeur Lichtenstein, pour une variélé de la tourterelle rieuse, quoiqu'elle soit d’une tail- le plus forte et ornée de teintes plus foncées que cette espèce. Mr. von der Mühle observe qu’il se pourrait bien que cette tour- terelle appartint à la /ourterel- le d'Egypte. (96) Nous n'avons trouvé nulle- part des renseignemens positifs tendant à prouver l'existence sup- posée du FAISAN DORÉ au Cau- case; voyez le anuel, IV, p. 316. (97) TETRAOC BRACHYDACTY- Lus» Temm, Man., IV, p.328; Lagopus brachydactylus, Gould, PI. 256, weicht von Tefrao sa- déceti nur durch die remer weis- sen Schwingenschäfte, durch die stärker entwickelten Federn an den Seiten der Schnabelwurzel, und durch die kürzeren Zehen ab. Ich habe indessen Individuen von Ze/rao saliceti aus Norwe- gen gesehen, deren Zehen die des T. brachydactylus an Länge nicht übertrafen. Auch ist es schwer, wegen der Befiederung der Zehen, die Maasse, zumal an Bäigen, ge- nau zu ermitteln. Nach Pallas, Zoogr., IT, p. 67, werden die Schwingenschäfie der alten Männchen von Tetr. saliceti zu- weilen weiss. Sollte die mit dem Namen Tetr. brachydactylus be- zeichnete Form in so bedeutender Anzahl beobachtet, und iïhre Kennzeichen bei beiden (Ge- schlechtern und in jedem Alter standhaft befunden werden, so werden wir keinen Anstand neh- men, sie in der Folge als Neben- art des Tefrao saliceli aufzu- führen. (98) TETRAO SALICETI SCO- œicus. Weicht von Tefrao sali- celé nur dadurch ab, dass sie im Winter nicht weiss wird. (99) TETRAO RUPESTRIS, Leach; Lagopus rupestris, Gould, PI 254, nur nach einem in England erlegten Exemplare be- kannt, unterscheidet sich nach der Abbildung und Beschreibung, 89 Lagopus brachydactylus, Gould, PI. 256, ne se distingue du Ze- trao saliceli que par les tuyaux des rémiges teintes d’un blanc plus pur, par les plumes plus fortement développées à la base du bec, et par des doigts plus courts. J’ai cependant vu des in- dividus du Te/rao saliceti, ori- ginaires de la Norwége, et dont les doigts étaient aussi courts que dans le Tetr. brachydacty- le; aussi est-il souvent difhicile de juger, chez ces oiseaux, de la longueur de leurs doigts, vu qu'ils sont presque entiérement cachés sous le plumage serré dont les pieds sont revêtus. Pal- las, Zoogr., IT, p. 67, parle de ce caractère tiré de la cou- leur blanche des tuyaux des ré- miges, comme étant exclusive- ment propre à de certains mà- les très-vieux du Zagopède des saules. Je n’hésiterai pas d’adop- ter comme race particulière le Lagopède brachydactyle, dès que lon en aura observé une série complète d'individus des deux sexes et de tous les âges, offrant tous les traits distinctifs assignés à cette prétendue espèce. (98) TETRAO SALICETI SCoO- ricus. Cette race ne s'éloigne du Lagopède des saules que parce qu'elle ne prend pas de livrée blanche en hiver. (99) TETRAO RUPESTRIS, Lagopus rupestris, Gould, PI. 254, connu seulement d’après un individu unique tué en Angleter- re, ne se distingue, à juger des figures et des descriptions que im nichts vom Weibchen des 7. lagopus im Sommerkleide. Ri- chardson, Fauna Bor. amer. , Birds , p.354, PI.64, sagt ge- radezu , dass der von ihm, unter dem Namen ZLagopus rupestris abgebildete Vogel aus dem ark- tischen Amerika, durchaus dersel- ben Art angehôüre, wie das Al- pen-Schneehuhn, Tetrao lago- pus, Europa’s. (100) Das ISLANDISCHE AL- PENSCHNEEHUHN unterscheidet sich in jedem Alter vom Alpen- schneehuhn durch einen etwas kräftigeren Schnabel. (101) Eine zweite, dem Te- traogallus caucasicus verwand- te Art, Tetraogallus Nigelli, Gray, Ind. Zool., Taf. ohne Nummer, bewohnt die Gebirge Nepauls, und unterscheidet sich durch hôhere Läufe, einen stär- keren Schnabel und eme etwas verschiedene Färbung. (102) FEMIPODIUS LUNATUS, Temm., Man., 11, p. 495, muss als Art gestrichen werden: siehe über dieselbe das Han. IV, p. 339, remarque. (103) SYRRHAPTES PARA- Doxus, //lis., wird von CA. Bo- naparte, List, p. 42, n°. 281, als europäisch aufgeführt, ohne An- gabe der Quellen, auf weiche sich diese Annahme stützt. (104) CA. Bonap., List, p. 42, n°. 284, führt PTEROCLES l’on en a données, nullement de la femelle en habit d'été du Te- (rao lagopus. Richardson, Fau- na bor. amer., p. 354, PI 64, dit expressément, que l'espèce de l'Amérique boréale, figurée dans son ouvrage sous le nom de Lagopus rupestris , est abso- lument identique avec celle des Alpes d'Europe. (100) Le LAGOPÈDE PTARMI- GAN D'ISLANDE se distingue dans tous les âges de l’espèce ordi- naire par son bec plus robuste. (101) Il existe sur les mon- tagnes du Nepaul une deuxième espèce du genre Té/raogalle ; quoique voisine du Té/raogalle du Caucase, elle s’en distingue par des tarses plus élevés, par un bec plus vigoureux et par des teintes diversement modifiées ; c’est Te/raogallus Nigelli, Gray, Ind. Zool., planche sans nu- méro. (102) Il convient de rayer de la liste des espèces l’'RHEMIPO- DIUS LUNATUS, Zemm.,Man.,Il, p. 495; voir ébid., IV, p. 339, remarque. (103) SYRRHAPTES PARA- poxus. Nous ignorons les motifs qui ont pu guider Mr. CA. Bona- parte, List, p. 42, n°. 281, à classer cet oiseau curieux par- mi les espèces européennes. (104) CA. Bonaparte, List, p. 42, n°. 284, ayant introduit caspius, Meénétr. Catal., p. 47, n°. 144, unter den europäüi- schen Vôügeln auf. Æeyserl. u. Blasius, p. LXIIT, n°. 270, -Anmerkung) sagen darüber : Sollte auch Péerocles caspius specifisch von Per. alchata sein, was nach der Beschreibung nicht scheint : so darf dieser Vogel doch micht zu den europäischen ge- zählt werden, indem er nur bei Baku beobachtet ist. (105) GLAREOLA PALLASHI. Diese Art unterscheidet sich sehr leicht von Glareola pratincola durch folgende Kennzeichen. Ihr Schnabel ist schwächer, nie- driger und weniger gewôlbt ; ihre ue sind hôher, de Lehen kür- r; der Schywanz ist kürzer und 4x Schwarz auf die Endspiizen der langen Federn beschränkt ; die Kehle ist weiss, und die Filü- gel sind auf der Unterseite eim- färbig rauchschwarz, während bei Glareola pratincola die grossen untern Flügeldeckfedern schôn rothbraun er Sheet Übri- ge Färbung und allesonstigen Ver- hältnisse, wie bei Glar. pratin- cola. Sie weicht dalier von die- ser Art weit stärker ab, als Gla- reola orientalis, Leach, Linn. Trans., vol. XTIT, p. 132, PI. X1V, die auf Java gefunden wird, und, ausser den etwas kürzeren Schwanz, so vollkommen mit Glar. pratincola übereinstimmit, dass sie kaum als eigene Art be- trachtet zu werden verdient. 91 parmi les oiseaux d'Europe le PTEROCLES CASPIus de é- nétriés, Catal., p. 47, M. M. Keyserling et Blastus,p. LXTIT, n°. 270, remarque, observent qu à juger de la description four- nie par Ménétries de son P£e- roeles caspius, cette espèce pa- rait identique avec le P/erocles alchata. Pourvu même qu’elle en diffère spécifiquement , elle ne peut être classée parmi les oi- seaux d'Europe, parcequ’ elle n’a été observée que dans les environs de Bakou. (105) GLAREOLA PALLASII. Cette espèce est facile à distin- guer de la Glareola pratincola par les caractères suivans. Son bec est plus faible, moins élevé et moins courbé. Les tarses sont plus élevés et les doigts plus courts ; la queue est plus courte et ce ne sont que les extrémités des pennes alongées de la queue qui sont teintes de noir; la gorge est blanche et les ailes sont à leur face interne d’un noir enfumé unifor- me, tandis que les grandes cou- vertures inférieures des ailes sont, dans la Glareola pratincola, d'un brun rougeâtre vif. Les autres parties offrent les mêmes teintes et les mêmes proportions que dans la Glareola pratincola. Elle s'éloig- ne par conséquent d’une maniè- re beaucoup plus marquante de cette dernière espèce que la Gla- reola “ann Linn. Trans., vol. XIIT, 192 PH espèce de l’ de de Java, et, à l’ex- ceplion de sa queue qui est un peu plus courte, en tout point semblable à la Glareola pralin- Ausser Glareola pratincola und G&/ar. Pallassii sind bis jetzt nur noch zwei Arten mit Gewiss- heit bekannt, nämlich: GLAREOLA GRALLARIA , Zem- minck, Man., II, p. 503; Gla- reola australis, Leach, Linn., Trans., XIII, PI 1822, p. 131, PI XV, von Neuholland und GLAREOLA LACTEA, Temm. , Man., I1, p. 593; PL col. 399, von Bengalen. Das im Mainzer Museum auf- bewahrte Exemplar der Glareola Pallasié wurde in Griechenland erlegt, und ohne Bestimmung des Geschlechtes eingeschickt. Es ist ein Vogel im Winterkleide , der aussiehi wie folet : Färbung und Farbenverthei- lung überhaupt, ganz wie bei (rlareola pratincola. Die Federn des Genickes und Hinterhalses mit sehr deutlichen rostfarbenen Rändern. Kehlfleck schmutzig weiss, hie und da lehmfarbig angeflogen. Der Kranz, welcher den Kehlfleck umgiebt, sebr schmal, aus blass braunschwar- zen Flecken bestehend, hier und da unterbrochen. Vorderbrust et- was blässer als bei Glar. pratin- cola. Flügel auf der inneren Seite durchaus rauchschwarz. Gegen- seitiges Verhältniss der Schwung- federn wie bei Glar. pratincola. Schwanz wie gewôhnlich stark gegabelt; an der Spitze mit einem bräunlich schwarzen Bande, welches auf dem Schafte des äus- sersten Paares Steuerfedern 8 Li- nien, auf dem mittelsten Paare cola, de sorte qu'elle ne mérite guère d’être considérée comme espèce particulière. Je ne connais que deux espé- ces exotiques de ce genre, sa- VOIr : GLAREOLA GRALLARIA, Tem- minck, Man., Il, p.503; Gla- reola australis, Leach., Linn., Trans., XII, 1822, p 41818 PI, 15; de la Nouvelle Hollan- de, et GLAREOLA LACTEA, Zem- minck, Man., IT, p. 503; PL col. 399, du Bengale. L'individu dela Glareola Pal- lasit, conservé au Musée de Ma- yence, a été tué en Grèce. On ignore à quel sexe il appartient. Il porte la livrée d'hiver. Voici la description que j'en ai faite. Couleurs et leur distributior:en général comme dans la Glareo- la pratincola. Plumes de la nu- que et des parties postérieures du cou à bordures distinctes d’un brun ferrugineux. Gorge d’un blanc sale, irrégulièrement nuan- cé de jaune de terre. Le cercle qui entoure la gorge est très-étroit, interrompu sur plusieurs points et composé de taches d’un brun noir pale. Les parties supérieu- res de la poitrine sont un peu plus pâles que dans la Glar. pra- lincola. Parties inférieures des ailes d’un noir enfumé. Propor- tions relatives des rémiges comme dans l'espèce commune. Queue assez fortement fourchue, pour- vue à l'extrémité d’une bande d'un noir brunatre, dont la lar- geur occupe huit lignes sur les tuyaux des pennes externes, et 93 Steuerfedern 15 Linien breit ist. | 15 lignes sur les pennes mito- yennes. Schnabel schwarz, gegen den Bec noir, passant au jaunâtre Mundwinkel, uud an den Seiten | vers l’angle de la bouche et sur der Wurzel des Unterkiefers gelb- | les côtés de la base de la man- hch; schwächer, weniger ge- | dibule inférieure; plus faible, bogen , und niedriger als bei G/ar. | moins courbé et moins élevé que pralincola. Füsse schwärzlich | dans la &/. pralincola. Pieds noi- hornfarben. Läufe hôher, vorn | râtre couleur de corne. Tarses mit 19 (bei Glar. pratincola | plus élevés que dans cette espé- mit 15) Schildern bekleidet. Ze- : ce, garnis PE devant de 19 pla- hen und Nägel kürzer als bei G£. ques (dans la &{. pratincola on pratincola; leiztere aber viel | n’en compte que 15); doigts et breiter und kräftiger. ongles plus courts, ces derniers beaucoup plus larges et plus vi- goureux. Ganze Länge . . . 09/6740); Longueuritotaler.l4:s. 29/4614 Länge der Flügel . #70 sAidesratles: Ar a7a0 » des äussersten Paares » des pennes externes Sieuerfedern.". .-. ..8 8 detlalqueuer: rWWS8LS » des mittelsten Paares . 2 3 » des pennes mitoyen- Hôhe des Laufes . . . .. 1 5 nes de la queue . . 2 3 Länge der Mittelzehe . . . 0 8 > Mdudtarse Me RURUleS » des Nagels derselben . 0 3 » du doigt de milieu 0 8 » des Schnabels, vom » de son ‘ongle Ha OLS Mundwinkel . . . 0 10 » du bec, à partir de Hôhe des Schnabels (bei- l’angle de la bouche 0 10 der Kiefer) am vor- Hauteur des deux mandi- dern Ende der Na- bules près de l’angle an- senlüchertwvevet. 10121. térieur des narines. . . O 21 Die Beschreibung, welche Pal- Voici la description donnée las von dieser Art gegeben hat, | par Pallas de cette espéce: lautet wie folgt : » In omni deserto Tatarico a Volga usque fere ad Irtin, quousque » campestris et inhabitata regio paet , frequentissima , a fine Aprilis » ad autumnum, avis; ultra frtin et in reliqua Sibiria nusquam appa- »ruit. Omnium copiosissime desertum Taïcense ad Samarum usque » frequentat, nec multo ulterius ad septentrionem evagatur. Dicitur, »instar Meropis, in cuniculis praeruptorum nidulari; saltem nidum, » in tanta illarum multitudine obtinere nunquam potui. Semper subgre- » garia in desertis vagatur, post educatam prolem congregatur copio- »sius. Aquas nunquam frequentat, sed in aridissimis, praesertim sal- 94 »suginosis, venatur Gryllos aliaque Insecta, maxime sub vesperam; » ici ad Samaram cum Turture congregatas Insecta legentes, et » Gryllorum praesertim copiam egregie minuunt. Currit instar Chara- » dr; hominem parum timet,. Subvolat cum clamore (Tirék-tirik !) »fere Sternae, vel Vanelli, etiam volants si terreatur. Volatus fere » Sternae. Tempestive ad austrum migrat. » Magniludo Turturis. Capitis forma, rostrum et rictus omnino » Cuculi. Ros{rum convexo- compress'm , subincurvum , nigrum , mar- »ginibus versus angulos oris fulvis; os tamen intus bee Lingua » cartilaginea ; triquetro- plana, acuta, integra. ÂVares ad basin »rostri imperviae, depressae, semiovales, membrana ultra dimidium » clausae, apertura lineari. /rides oculorum luteo-fuscae, palpebra »inferior alba, utriusque margines nudi, nigri. Ver/ex gryseo-fus- »cescens. Lora nigra, sub oculis continuata in annulum ovalem »nigrum, gulam sordide albam usque ad medium collum includen- » tem. Reliqua sublus cineraseunt; venter albidior. Supra avis tota » gryseo-fuscescens , Lusciniae Fe colore. Alae longissimae, an- » gustae, caudam exsuperantes, subtus nigrae , praeter aches re- »migum albas; remiges 25: quarum extima longissima. Uropigit »latera alba. Cauda longiuscula, (proportione Sternae) , forcipata »rectricibus mediis latiusculis, dimidiato-albis, tribus utrinque exti- »mis gradatim longioribus, albis, apice angustissimo nigris. Pedes, »ut in Charadriis, longi, (non rubri, ut Gessnerus et Brissonius), » sed fusei, supra genua nudi, tetradactyli; digeili breves, plica » tantum exterioris insigniore, pos/icus minutus, CUM ungue incur- » vus; anteriorum vero «ngues longiusculi, bon re me- » dius et interiore acie eine: _— Pbeninae exsoletiores, circulo » gulae minus expresso, submaculosae. Pulli primo anno rostro paulo » bre eviore, Corpore supra scolopaceo (plumis fuscis, margime gry- »seis); pectore fusco liturato, uropygio albo, tectricibus caudie »apice gryseis, litura fusca notatis; cauda Previbre , subforcipata , » omnibusque rectricibus rotundatis, pedibus livescentibus differunt. — » Adultorum pondus unciarum 21 ad 3 et ultra. Longitudo ad uro- »pygium 6”.2/”. rectricum extimarum 311, 9/2, Anar DR AU, » alarum compositarum ‘7/.3/”. expansarum 1”. 10‘. ©. rostri ad » frontem 72/”. ad rictum 111/”. femorum ad 51/7, nudatorum 1#. » 10/7. tibiarum 1. 6G/”. digiti medi (c. u. gai.) 17. postici (1/.) » gr, 9 Ich finde so eben, dass Vord- | Je vois par un mémoire de Mr. mann diese Art unter dem Na- | Wordmann, inséré dan le Bulle- men GLAREOLA MELanoPrERA | {4x de Moscou, 1842, p. 314, unterschieden hat. Siehe Bullet. | PI. 2, que ce savant vient de de Moscou, 1842, p. 314, PI. 2. | décrire cette espèce sous le nom Fischer, thid., hat ihr darauf den | de GLAREOLA MELANOPTERA ; Namen GLAREOLA NORDMANNII beigelegt. (106) CHARADRIUS PYRRHO- THORAX. Eine in ganuz Indien bis auf die Inseln Hinter-Indiens ungemein häufige Art, welche in mehreren Sammlungen unter dem Namen Charadrius rufr- eollis, Cuv., Mus. Par., auf- gestellt ist. Sie ist ohne Zwei- fel den Naturforschern schon längst bekannt gewesen, aber nie ausführlich beschrieben worden. Horsfield scheint sie inseiner Auf- zählung der javanischen Vôügel, Linn. Trans., XIII, p. 187, für CA. astaticus gehalten zu haben, und Wagler hat sie wahr- scheimlch mit einer ähnlichen, aber etwas grôüsseren Art ver- wechselt, welche er unter dem Namen CA. Geoffroyi, (Syst. Av. Char., n°. 19), beschreibt. (107) CA. Bonap., List, p. 52, n°. 376, führt Scolopax ma- or, Montagu , unter dem Namen SCOL. MONTAGUI, als verschie- den von Scolop. major, Gmelin auf; warum?, wird nicht gesagi. (108) scoLoPax BREHMH, Kaup, Isis, 1823, p. 1147, s. Gallinago Brehmt, Ch. Bonap. Icon. d. Fauna ilal. I, Tav. 43; TELMATIAS PEREGRINA.Zrehm, Handb., p. 621; scoLOPAX DE- LAMOTTE und PYGMAEA , Batl- lon, Catal., p. 23, n°0. 200 . 201, und andere von Brehm, Isis, 1835, p.116, sgg. aufgestell- te, der Scol. gallinago verwand- te Subspecies, scheinen uns noch 95 c'est aussi GLAR. NORDMANNII, Fischer, ibid. (106) CHARADRIUS PYRRHO- rHoRaAx. Cette espèce, très com- mune aux Indes orientales et dans les iles de la Sonde, porte dans plusieurs collections le nom de Charadrius ruficollis, Cuv.Mus. Par. Nous ne doutons nullement qu'elle n’ait été depuis longtemps connue des naturalistes; mais elle n’a jamais été décrite d’une manière reconnaissable. Il pa- rait que Âors/feld l'a pris pour le Char. asialicus ; (voyez son énumération des oiseaux de Java dans les Linn., Trans., Vol. ÂTIT, p.187); Wagler la con- fond probablement avec l'espèce voisine qu'il décrit sous le nom de Ch. Geoffroyi, mais qui s’en distingue par une taille plus for- te: voir Wagler, Syst. av. Char. , n°. 19. (107) C2. Bonaparte, List, p.52, n°876, fait, sans alléguer des raisons pour justifier cette distinction, du Scol. major de Montagu, une espèce nouvelle qu'il nomme SCOL. MONTAGUI. (108) scoLoPax BREHMIT, Kaup, Isis, 1823, p. 1147, Gallinago Brehmit, Ch. Bonap., Icon. d. Fauna ital., I, PI 43; "TELMATIAS PEREGRINA, Brehm., Handb., p. 621; sco- LOPAX DELAMOTTII et PxG- MAEA, Barllon, Catal., p. 23, n°. 200 e/ 201, ainsi que d’autres soi-disant espèces voisines de la bécassine ordinaire, établies par Brehm, Isis, 1835, p. 116 et so wenig begründet, dass wir uns selbst nicht einmal getrauen, sie als Nebenarten oder locale Racen von Scol. gallinago auf- zuführen. Die Grôsse dieser Schnepfen , die Zahl, Gestalt und Färbung ihrer Schwanzfedern , kurz alle von den erwähnten Na- turforschern angeführte Kennze1- chen haben wir so vielen indivi- duellen Abweichungen unterwor- fen gefunden, dass wir, trotz vielfältiger Untersuchungen und Vergleichungen, mit dem besten Willen , keine beständigen Kenn- zeichen für irgend eine der er- wähnten Formen herausfinden konnten. Naumann, VIIT, p.311, An- merkung , p. 316, beschreibt eme Sumpschnepfe aus Ostindien mit 26 Steuerfedern, und bildet den Schwanz derselben auf pag. 343 ab. Esist dies aber keine Varietät der gemeinen Sumpfschnepfe, sondern eine eigene, in Ostindien sehr häufige Art: Scolopax ste- noplera, Mus. Leid. (109) Schinz, Le ,p.342, führt SCOLOPAX SATURATA, ange- blich nach einem in England ge- tüdeten und in den Lénn. Trans., Vo. XV, beschriebenen Exem- plare, als europäisch auf. Dieser Irrthum beruht offenbar auf einer Verwechselung mit Sco/. Sabi- ni. Scol. saturata, Horsfield von Java, eine wahre Wald- schnepfe , ist übrigens in Band ÂATIT, p. 191 der Linn. Trans. beschrieben, und in den Zoo!. 96 LA suiv., reposent sur des caractè- res tellement futiles que je n’ai pas même osé les admettre com- me races particulières. La taille de ces oiseaux, la forme , le nom- bre et la distribution des teintes des pennes de la queue, bref tous les caractères indiqués par les naturalistes que nous venons de citer, sont sujets à varier selon les individus, de sorte qu'il m'a été impossible de découvrir des caractères constans servant à reconnaitre les prétendues espè- ces dont nous venons de faire mention. Naumann, vol. VIII, p.311, remarque, p. 316, décrit une bécassine des Indes dont la queue est pourvue de 26 pennes, et il donne une figure de la queue de cette espèce à la page 343; mais c’est à tort qu'il prend cette bé- cassine pour une simple variété de notre bécassine ordinaire; c’est une espèce parfaitement distinc- te, très-commune aux Indes, et qui porte au Musée de Leide le nom de Scolopax stenoptera. (109) Schins, L.c., p.342, à énuméré parmi les oiseaux d’Eu- rope la Bécasse de Java, Sco- LOPAX SATURATA, qu'il dit avoir été tuée en Angleterre et décrite dans le /ome XV des Trans., Linn. Il est évident que Mr. Schinz a confondu cette espèce avec la Scolopax Sabinii. Du reste, la Bécasse de Java est dé- crite dans le vol. XJIT, p. 191 des Trans. Linn., et on en voit la figure dans les Zoo/. Resear- 97 Researches, Tafel ohne Num- mer, abgebildet. (110) Es ist uns eben so wenig als Keys. u. Blas., p. LXXIV, n°.339, Anmerk., gelungen, Li- MOSA MEYERI, Lerisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., p.172, durch sichere Kennzeichen von Limosa rufa zu unterscheiden. Man sehe über Limosa Meyeri: Naumann, VIII, p. 428 bis 445, und Horn- schuch, in Wiegman, Archiv, 1838, 7, p. 167 bis 190. (111) EURYNORHYNCHUS PY6G- MAEUS , Vilsson; Platalea pyg- maea, Linn., wird von CA. Bo- nap., List, p. 49, n°. 344, als europäischer Vogel aufgeführt. So viel ich weiss, bestehen von diesem Strandläufer nur zwei Exemplare in den Sammlungen : nämlich eins in Schweden, (das Originalexemplar, nach welchem die Art aufgestellt wurde), und eins in der Sammlung des Lord Derby. Letzteres wurde erst vor einigen Jahren an den Küsten Bengalen’s geschossen. Man hat daher wohl mit Unrecht früher, Surinam als Vaterland dieses sel- tenen Vogels angegeben. TRINGA INCERTA, Aesso, L. c., p. 52, n°, 135, ist nicht zu bestimmen. (112) Die, unter dem Namen FALCINELLUS aufgeführte Gat- tung, ist nach zwei Exemplaren eines Strandläufers aufgestellt, 2. ches de Horsfield, Planche sans numéro. (110) De même que M. M. Æey- serling et Blastius, (p. LXXIV, n°. 339, remarque), je n'ai pu réussir à découvrir des caractè- res constans pour distinguer la barge de Meyer (LAMOSA MEYE- mi, Leisler, N.zu Bechst., II, p. 172) de la barge rousse. On peut consulter sur cette barge de Meyer, l'ouvrage de Nau- mann, vol. VIIT, p. 428 à 445, et une dissertation de Âorn- schuch, insérée dans Wriegman, Archiv., 1838, TZ, p. 167 à 190. (111) C’est à tort que M. CA. Bonap., List, p. 49, no. 344, a énuméré parmi les espèces eu- ropéennes l’'EURYNORHYNCRUS PYGMAEUS, Vilsson ; Platalea pygmaea, Linn. Il n'existe, que je sache, dans les col- lections que deux individus de ce bécasseau, savoir: l’un en Suède , le même d’après lequel l'espèce a été établie; l’autre dans la belle collection de Lord Derby, tué il y a quelques an- nées, sur les côtes du Bengale. Il parait donc que c’est à tort que l’on a indiqué autrefois cette espèce rare comme se trouvant à Surinam. TRINGA INCERTA , 22550, l.c.s p. 52, n°. 135, appartient au nombre des espèces qui ne peu- vent être déterminées. (112) Le genre établi sous le nom de FALCINELLE repose sur deux individus d’un bécasseau, provenant tous les deux de la 7 beide aus der Sammlung Levail- lants stammend: das eine, im Pariser Museum, angeblich bei Neuilly in Frankreich, das an- dere im Leidner Museum, ange- blich in Südafrika erlegt. Wir haben diese beiden Exemplare wiederholt und genau untersucht, und gefunden, dass es grosse Exemplare der Tringa subar- quata im Winterkleide sind , de- nen die Hinterzehe abgeschnitten, und der Schnabel, durch Ol er- weicht, über der Lampe krumm gebogen wurde. Schon Baëllon, Catal., p.21, note, und Boëe, hatten eme ähnliche Bemerkung gemacht. Cuvier, Règne an., Î'éd., T;\p. 486, IT éd.) T} p. 527, hat diesen Vogel zuerst auf- geführt, und danach die Gattung Falcinellus aufgestellt. Tem- minck, PL col. 510: Falcinellus cursorius, und Vreëllot, Galerte, II, PI.232: Erolia varia, ha- ben ihn abgebildet. Ch. Bonap., List, p.59, nennt ihn Falcinel- lus Cuvieri. Dass Cuvier fälsch- lich die Scolopax pygmaea, Gmel. Linn., p. 655, n°. 20, hierherzog, hat schon T'emminck, Man., II, p. 617, remarque, gerügt. Die Gattung Falcinellus muss daher wie die Gattung Spa- ractes , Wie der Sicrin, (Levail- lant, Ois.d'Afr., PI. 82; Pyrr- hocorax hexanemus, Cuv. Règ- ne an. , TL, p. 380 ,) aus dem Sys- tem gestrichen werden. Letzterer ist nach dem Originalexemplare des Leidner Museums, ein gemei- ner Pyrrhocorax, dem auf jeder Seite des Kopfes drei Palmenfä- den eimgesteckt wurden. 98 collection de Levaillant : l’un de ces individus se trouve au Mu- séum de Paris, l’autre fait par- tie du Musée de Pays-Bas; sui- vant les indications. de -Levail- lant, celui-là a été tué prés de Neuilly en France, celui-ci dans l'Afrique méridionale. Après avoir plusieurs fois et soigneusement examiné ces deux échantillons, nous avons acquis la certitude que ce sont tout bonnement des individus du bécasseau cocorl, (Tringa subarquata), dont on a enlevé le pouce, et dont le bec a été courbé artificiellement, en l’exposant à une faible chaleur aprés lavoir humecté d’huile. M.M. Paillon, Catalogue, p. 21 note, et Bore ont été les pre- miers à douter de l’existence de ce genre d'oiseau. Il a été in- troduit d’abord par Cuvier,Règne an. , éd. Z, p. 486; M. Temminck, PL. col. 510, en a publié une fi- gure sous le nom de Fa/cinellus cursorius, Vreillot, Galerre, IT, P1. 232, sous celui d'Erokia va- ria. Ch. Bonaparte, List, p.50, a changé ces noms en celui de Falcinellus Cuvierii. Mr. Tem- minch, Man, IT, p.617, remar- que, a déjà relevé la méprise que @. Cuvier a commise, en citant comme synonyme de cet- te espèce imaginaire, la Scolo- pax pygmaea, Gmel. Linn., p.655, n°. 20. Ces données suf- firont pour prouver qu’il con- vient de rayer du catalogue mé- thodique le Falcinelle qui ap- partient, comme le Sparacte et le Sècrin au nombre des oiseaux fa- briqués. Quant au Sécrin de Le- vaillant, Ois. d'Afrique, PI.82; NUMENIUS PHAEOPUS. Mehr oder weniger zahlreiche Flüge dieser Art bringen die wärmere Jahreszeit in Holland zu, ohne zu brüten. Es scheint daher, als ob diese Art erst im zweiten Jahre fortpflanzungsfähig ist. Graf von der Mühle, p. 11, hat unter dem Namen NUMENIUS SYNGENICOS, einen neuen Brach- vogel nach einem, in Griechen- land getôdeten Exemplare auf- gestellt. Da die Kennzeichen die- ses Vogels nicht mit der nôthigen Schärfe angegeben werden konn- ten, so beschränken wir uns, die Ornithologen auf denselben aufmerksam zu machen, und fü- gen nur noch die Frage hinzu, ob es nicht vielleicht ein Bastard zweier verwandter Arten , etwa des Numenius phaeopus und £e- nuirostris seyn künnte. (113) TRINGA CINCEUS Mi- nor. Wir haben diesen Vogel als Nebenace der Tringa cinclus angenommen , weil er zur Brü- iezeit an gewissen Localitäten selbstständig auftritt. In Holland z. B., habe ich immer nur diese kleinere Race brütend, die grôs- sere nur auf dem Durchzuge an- getroffen. Pyrrhocorax hexanemus, Cuv., Règne an., I, p.389, leMusée des Pays-Bas en possède l'individu même qui a servi à l'établissement du genre; ce n'est autre chose qu'un chocard des alpes, à la tête duquel on a attaché, de cha- que côté, trois brins de palmier. NUMENIUS PHAEOPUS. Des bandes plus au moins considéra- bles de cette espèce passent la belle saison en Hollande, sans y faire des nids. Il paraît résulter de cette observation que cette espèce n'est propre à la propa- gation qu'après avoir atteint l’âge de deux ans. Mr. le Comte von der Mühle, p. III, a indiqué, sous le nom de NUMENIUS SYNGENICOS, une nouvelle espèce de Courlis, éta- blie d’après un seul individu tué en Grèce. Les caractéres de cet individu n'ayant pas été consta- tés d'une manière rigoureuse, nous nous bornons à fixer l’at- tention des ornithologistes sur cet oiseau douteux, qui pourrait bien n'être qu’un métis produit par l’accouplement de deux espé- ces voisines, comme par exem- ple des Numenius phaeopus et tenuirostris. (113) TRINGA CINCEUS Mr. nor. Nous avons adopté cette race du Bécasseau variable, par- cequ’elle habite exclusivement certaines localités lors de l'épo- que de la propagation. En Hol- lande, par exemple, ce n’est que cette petite race qui y niche, tandis que la grande ne fréquen- te ce pays que durant l’époque de la migration. 100 (114) MACHETES TORQUA- TUS, Risso , Press p: 71, n°. 238 , ist als eine zufallige Farben- varielät des gemeinen Kampf- strandläufers zu betrachten. (115) roTanus puma, Aés- so, d c., p. 73, n°. 250, lässt sich nach der unvollkommenen Beschreibung gar nicht bestim- men. (116) Zufolge einer Mitthei- lung des Herrn John Fouell, welche in den Trans. of the Linn. soc., vol. XIV, p. 588, enthaltenist, soll am 24 Mai 1824, ein Exemplar der ARDEA CAYEN- NENSIS, Gmel., bei Yarmouth gefangen worden sem. Wenn die- ses Exemplar nicht elwa aus einer Menagerie entxkommen ist, s0 wä- re jene schône Art unter die eu- ropäischen Vôügel aufzunehmen. Schinz, L. ce, p. 308, fübrt A. HERODIAS, Zinn., als euro- päisch auf, weil sie irgendwo in England gefangen worden seyn soil. Die Quelle, aus welcher jene Nachricht geschôpft wurde, ist nicht angegeben; es kann diesel- be daher nicht berücksichtigt werden. (117) Die GRÔSSEREN SIL- BERREIHER mit schwarzem Schnabel, hat man bis jetzt immer für alte Vôgel, die klemeren mit gelbem Schnabel für die jüngeren Vôgel gehalten. Räppell, Mus. Senck., II, p.182, führt erstere unter dem Namen Ardea alba, letztere unter dem Namen 4rdea ecretta auf. Letzteren Namen verwerfen Keyserl.u. Blas., p. (114) MACHETES TORQUA- TUS, Résso, l.c., p.71, n°. 238, ne forme qu’une variété acciden- telle du combattant ordinaire. (115) Il est impossible de dé- terminer au juste le ‘roranus puBia de Résso, d. €., p. 73, n°. 250. (116) John Fouell fait mention dans les Trans. Linn.,tomeXIV, p. 588, d'un individu d’'ARDEA CAYENNENSIS, œmel., pris, le 24 Mai 1824, près de Yarmouth en Angleterre. Dans le cas qu'il serait prouvé que cet individu ne s'était échappé d’une ména- gérie, il conviendrait d'admettre celte belle espèce dans le cata- logue des oiseaux d'Europe. Schinz, dc, p. 308, cite l'ARDEA HERODIAS, Zéinné, comme ayant été observé en An- gleterre, sans faire mention de la source d’où 1l a tiré cette in- dication , ce qui nous empéche d’énumérer cette espèce dans no- tre catalogue. (117) La plupart des natura- listes sont d'avis que les GRAN- DES AIGRETTES de forte taille et à bec noir, ne sont que les adultes des individus de moindre taille et dont le bec est teint de jaune. M. Rüppell cependant, Mus. Senk., IT, p.182, appli- que aux premiers le nom d’Ar- dea alba, et aux derniers celui d’Ardea egretta. M. M. Keyser- J01 LXXXIX, mit Recht, weil der- selbe, (siche Gmelin, Linn., p. 629, n°. 34) auf die amerikani- sche Art zu beziehen ist. Keys. u. Blasius dagegen nennen den kleineren gelbschnäbligen Vogel, Ardea alba, den grôsseren schwarzschnäbligen bhalten sie für identisch mit Ardea orten- talis, Gray, Ind. Zool., I, Tab. 65, welche Abbildung aber eine kleine der Ardea garzelta sehr verwandte Art, und zwar Ar- dea nigripes, Temm. Man., IV, p.316, Ardea melanopus , Wazg- ler, Isis, 1829, p. 659, vorzu- stellen scheint. Ch. Bonap., List, p. 47, n°. 329 und 330, führt, ausser Egret- ta alba und garzetta, noch zWei europäische weisse Reiher, EGRETTA NIGRIROSTRIS und EGR. ORIENTALIS, ({rdea xan- thodactyla, Gmel.), auf, ohne die Kennzeichen oder Verwandt- schaften derselben anzugeben. ARDEA EGRETTOIDES, Gmnel.; Temm., Man., 11, p. 374; Ar- dea flavirostris, Wagl., Syst. av.; Ard.intermedia, (v. Has- sell, Mscpt.) Wazgler, Isis, 1829, p. 659, ist eine von Ardea alba verschiedene , viel kleinere Art, die aber mit Gewissheit jetzt nur in Hinter-Indien gefunden wurde. Die beiden im Manuel, IV, p. 376, erwähnten, angeblich auf Sicilien getôdeten Exemplare sind zu unsicherer Abkunft, als dass diese Angabe Glauben verdiene, ling et Blasius, p. LXXXIX, observent judicieusement, qu'il convient de conférer l’épithète d’egrella à l'espèce de l’Améri- que, voir Gmelin, Linn.,p.629, n°. 34) ; ils désignent les indivi- dus de laigrette commune de taille moindre et à bec jaune sous le nom d’Ardea alba ; et ils pren- nent , comme appartenant aux individus de forte tulle et à bec noir, l’Ardea orientalis de Gray, Ind. Zool., T1, PL 65, quoique cette dernière figure représente une espèce plus petite, voisine de la petite argrelle, et qui est pro- bablement identique avec l’Ar- dea nigripes, Temm., Man. , I, p.376, Ardea melanopus , Wa- gler , Isis, 1829, p. 659. Ch. Bonaparte, List, p. 47, n°. 329 ef 330, énumére, outre la grande et la petile aïgrette, deux autres aigrettes d'Europe, SAVOIT: EGRETTA NIGRIROSTRIS et EGR. ORIENTALIS (Ardea æanthodactyla, (mel.), sans cependant indiquer leurs traits distinctifs. ARDEA EGRETTOIDES, Gmel.; Temm., Man., II, p. 374; Ardea ftavirostris Wagler, Syst. av.; Ard. intermedia, (v. Hasselt., Mscpt.), Wagler, Isis, 1829, p.659, forme une espèce très-dif- férente de la grande Aigrette; elle est d’une taille beaucoup plus petite, et n’a été observée jus- qu’à présent que dans l'archipel des Indes. L’indication contenue dans le Manuel, IV, p. 376, re- lative à deux individus de cette espèce, tués à ce que l’on pré- tend en Sicile, a besoin d’être confirmée par des observations 102 In einer späteren Arbeit des Ch. Bonaparte, Catalogo met., p.66, n°. 395 et 396, wird Ard. xanthodactyla für einerlei mit Ardea egreltoides gehalten , und Ard. nigrirostris unter dem Na- men Ægrella nivea, Bonap. , zu Rüppell s Ardea egretta gezogen. (118) aRDEA BuRuL CUS. Die- ser Vogel vertritt im nürdlichen ÂAfrika die Stelle der, in ganz In- dien bis Hinterindien, gemeinen Ardea russata, Temm., Man. , 11, p. 566. Beide sind einander ausserordentlich verwandt, un- terscheiden sich aber durch die Maasse und etwas verschiedene Färbung, wie man aus folgenden Angaben ersehen kann : ARDEA BUBULCUS. Ganze Fanse ML .L 4. 184 Banse der Flüpele 9 » des Laufes . » des nackten Theiles des SCHIENDEINES 7. - ul » des Schwanzes . . .,. 3! » der Mittelzehe. . . . . 21 » des Schnabels bis zur SEUL de dk. ee. 21 Füsse gelb. Gefieder weiss; beim alten Vogel, der Kopfoben und die Nackenfedern , die langen un- ieren Halsfedern, und langen R üc- basées sur des données plus cer- taines. M. Ch. Bonaparte vient d’'ap- porter dans un de ses travaux ré- cents, Calalogo met., p.66, n°. 395 ef 396, les modifications sui- vantes à la synonymie des diver- ses espèces d’aigrettes d’Europe. Ardea xanthodactyla, Gmel., est, selon ce savant, identique avec Ard. egrettoides , Temm. ; et il adopte l’espèce appellée par Aüp- pell Ardea egrelta, sous le nom d'Egretta alba, à laquelle il ré- unit aussi l’Ardea nigrirostris. (118) ARDEA RUBULOUS. Cet- te race remplace, dans l’Afrique septentrionale, l’espèce connue sous le nom d’Ardea russata, Temm., Man., IT, p.566, et qui se trouve en abondance aux In- des orientales. Ces deux hérons sont assez semblables; mais ilsse distinguent entre eux par des dif- férences dans la taille, et des modifications dans les teintes. Les indications suivantes sont desti- nées à prouver cette assertion. ARDEA BUBULCUS. Longueur totale . . . . . . 18 Da ES AIIES,. 2: AR » du tarse . . 3 » de la partie nue de lajambes #22 »,,.de [à queue +, » du doigt de milieu . » du bec depuis le front Pieds jaunes. Plumage blanc, nuancé, dans les adultes, sur le dessus de la tête, sur les plumes de la nuque, sur les longues plu- 103 kenfedern äusserst blass braun- rôthlhch, auf dem Kopfe ein we- nig in das Rostfarbene spielend. ARDEA RUSSATA. Ze LAMPE. ee + 19e Länge der Flügel ..... 9: D COS MALE de te ete à » des nackten Theïlen des Schienbemes . . ... 2 » des Schwanzes . . .. 81 » der Mittelzehe . . . . . 21 » des Schnabels. . ... 21 Füsse braun , auf den Zehen in’s Schwarze, auf dem Schienbeine in’s gelbliche. Gefieder weiss; bei alten Vügeln, Kopf und Hals, so wie die langen Rückenfedern schôn feurig rostfarben ; letztere aber etwas blässer und in das Braunrôthliche spielend. Diese beiden Vôgel sind fast immer mit einander verwechselt worden. Buffon s Crabier de la côte de Coromandel, PL. enl. 910, wird von Herrn Temminck, und wie es scheint, mit Recht, zu semer Ardea russala gezogen. Nach dieser Abbildung stellt S/e- phens in Shaw Zool. XI, IT, p.577, seine Ardea coromande- lica auf. Lichtenstein s Ardea coromandelica , Verzeichniss , 1823, p. 78, n°. 796, ist dagegen, wie ich mich durch Ansicht der Originalexemplare im Berliner Museum überzeugt habe, nach mehreren in Cypern, Aegypten und Nubien erlegten Exemplaren der Ardea bubulcus aufgestellt. Lichtenstein citirt als zu seiner Ardea coromandelica gehôrend, mes du cou et sur celles du dos, d’un rougeûtre très-pale, qui of- fre sur la tête une legère nuan- ce couleur de rouille. ARDEA RUSSATA. Longueur totale . . . . .. 19" DAUES HIlES eee MIITE PMU TATSE NS" MEME 3} » de la partie nue de Pam DE Er EN 2 » de la queue . . .. 37 » du doigt de milieu . 24 SR UMPDECe ee lme se de . 2} Pieds brun, tirant au noir sur les doigts, au jaunâtre sur les jambes. Plumage blanc, passant dans les adultes, au brun cou- leur de rouille vive sur la tête, sur le cou et sur les plumes al- longées du dos, qui sont cepen- dant un peu plus paies et tirant au brun rougeûtre. Ces deux races de hérons ont été souvent confondues entre el- les. Il paraît que c’est à juste titre que Mr. Temminck a réuni à l’Ardea russata le Crabrier de la côte de Coromandel, PL. ent. 910. C'est d’après cette même figure que Sfephens, Cont. of Shaw Zool, XT, IT, p. 577 a établi son Ardea coromandeli- ca; mais l’Ardea coromandelica de Zichtenstein, Verzeichniss, 1823, p. 73, n°. 796, repose sur des individus de l’Ardea bubul- cus, tués en Chypre, en Égyp- te et en Nubie, et qui font par- tie du Musée de Berlin, où je les ai examinés. Lechtenslein cite comme synonyme de son Ardea coromandelica , la figure du Cra- bier de la cote de C'oromandel, 10 Buffons Crabier de la côte de Co- romandel, Pl ent. 910, und die Descr. de l'Egypte, Ois., PLS, fig. 1. — Wagler, Syst. av., Ar- dea russala, n°. 12, nota, macht schon die Bemerkung, dass die Exemplare aus Aegypten und Nu- bien kürzere Läufe als die aus Java haben. Der von Montagu ; Lénn., Trans., IX, p. 197, und Orn. Dict., Suppl. advoc. Heron little, white, aufgeführte, in England erlegte Reiher, zu dem er Ardea aequinoclialis, Gmel. Linn., p. 641, 0.25, zieht, gehôrt, wie aus der Beschreibung und den Maassen, (ganze Länge 20 engl. ZLoll; Schnabel von der Stirne 2"; Läufe 3}; nackter Theil der Schienbeine 11”) hervorgeht, zu Ardea bubulcus, und nicht zu Ardea russala. Diesen Untersuchungen zufolge muss Ardea russala wieder aus der Reihe der europäischen Vü- gel entfernt werden. Die beste Abbildung dieses Vogels findet sich übrigens in Gould, Birds of Europe, PI 278. (119) cICONIA AMERICANA, Brisson, Orn., V, 369, n°.3; Vieillot, Galérie, PI.254, Ar- dea maguart, Gmel. Linn., p. 623 ,'n0. 22; Ciconia maguart, Temm. Man., IT, p.563; Cico- nia jubura, Spix, Av. Bras., PI. 89, ist bis jetzt boss in Süd- amerika gefunden worden. Ael- tern Nachrichten zufolge sollen früher in Frankreich eimige Exem- 4 Pl. ent. 910, et celle qui se trou- ve, dans le grand ouvrage sur l'Egypte, Ois., PLIS, fig. 1. — Wagler, Syst. av., Ardea rus- sala, n°, 12, a déjà observé que les individus, tués en Egypte et en Nubie, ont des tarses moins élevés que ceux de Java. Le héron tué en Angleterre, et décrit par Montagu, (Trans. Linn., IX, p.197 et Orn. Dict. Suppl. ad voc. Heron, little while), appartient, comme il ré- sulte de la description des tein- tes et de la taille de cet indivi- du, (longueur totale 20 pouces anglais, bec depuis le front 2 p., tarses 3 pouces et demie, partie nue de la jambe ! p. et demi), à l’'Ardea bubulcus et non pas à l’Ardea russata. Montagu lui- même cite comme synonyme de son petit héron blanc l’A4rdea aequinoctialis de Gmelin Linn., p. 641, n°. 25. Ces observations suffiront pour prouver que c’est à tort que l’on a admis, parmi les espèces d'Eu- rope , l’Ardea russata, dont Mr. Gould, Birds of Europe, PI. 278, a donné une figure excel- lente. (119) cICONIA AMERICANA, Brisson, Orn., p. 369, n°.3; Vieillot, Galerie, P[.254; Ar- dea Maguari, Gmel. Linn., p. 623, n0.22; Ciconia Maguart, Temm., Man., II, p.563; Ci- conta jubura, Spix, Av. Bras., PI. 89, n’a été observée jusqu’à présent que dans l'Amérique mé- ridionale. On prétend que cette espèce avait été autrefois tuée en 105 plare erlegt worden seyn. Diese Nachrichten sind aber keineswegs verbürgt und verdienen um so we- niger Berüksichtigung , da meh- rere franzôsische Naturforscher diese Art nicht gehürig zu unter- scheiden wussten. Schon Vzreëllof, NN. Dict. d'h. nat., VIT, p. 112, sagt: »On assure que cette ci- » gogne se montre quelquefois en » Europe et même en France. Mais »ne l’aurait-on pas confondue »avec la nôtre?” Und G. Cuvier kannte im Jahr 1829 diese Art noch so wenig, dass er von ihr sagen konnte: » elle diffère peu de »notre Cic. blanche, si ce n’est »par son bec cendré.” (Reègn. an., I, p. 514, note). (120) &RUuS ANTIGONE, Pal- las ; Ardea antigone, Linné, Syst. nat., XIT, p.235, n°.6, der das wärmere Asien bewohnt, wird von ÆKeyserling und Bla- stus, p. LAXIX, nach Pallas Angaben, als europäisch aufge- führt. Pallas, Zoogr., IT, p. 102, sagt aber bloss: France, mais cette indication n’a jamais été constatée d’une ma- nière authentique. Vreëllot, Nouv. Dict., VII, p. 112, s'exprime à ce sujet de la manière suivante: » On assure que cette cicogne se » montre quelquefois en Europe »et même en France. Mais ne » l’aurait-on pas confondue avec » la nôtre?” Il parait en effet que certains naturalistes français ont trés peu connu cette espèce; Gr. Cuvier lui-même en parle en 1829, dans les termes suivans: »elle diffère peu de notre Ci- » cogne blanche, si ce n’est par » son bec cendré.”! Règne an., I, p. 514, note. (120) M. M. Keyserling et Bla- stus , p.LXIX, ont introduit par- mi les oiseaux d'Europe, d’après une indication contenue dans Pallas, Zoogr., IT, p.102; le GRUS ANTIGONE, Pallas, Ar- dea antigone, Linn., Syst. nat., XII, p. 235, n°. 6, espèce qui habite les parties chaudes de l’A- sie. Pallas cependant se borne à dire de cette grue: » Dicitur etiam interdum in deserto Astrachanensi apparere.” Ch. Bonaparte, Catal., p.65, n°. 391 , führt auch GRUuS PAYO- VINA als europäisch auf. (121) CA. Bonap., Icon. della Fauna ital., Uccelli, Introduz., p. 1, führt einen neuen Lappen- taucher aus Sardinien auf; er nennt ihn PODICEPS LONGIROS- TRisS. Er soll von der Grôsse des Pod. cristatus seyn, in der Fär- Ch. Bonaparte, Catal., p.65, n°. 391, fait mention du éRuS PAVONINA, comme se montrant quelquefois en Europe. (121) CA. Bonaparte, Icon. della Faunaitalica, Uccelli, In- troduz., p.1, dit qu’il existe en Sardaigne une espèce nouvelle du genre grébe; il la désigne sous le nom de PODICEPS LON- GIROSTRIS. Elle est de la taille 106 bung dem Pod. rubricollis ähn- eln, aber einen längeren, an der Spitze aufwärts gebogenenSchna- bel haben. (122) Nach Æornschuch und Schilling soll es in Europa eine zweite, kleinere Race des COLxM- Bus arcTiCuS geben, welche von jenen Naturforschern coLxM- BUS BALTICUS genannt wird. Siche über dieselbe, Æeys. u. Blas., p. ACI. (123) uRIA uNICOLOR, Faber, Isis , 1824, p. 981, von Island, scheint eine zufällige Varietät der Uria grylle zu seyn. Wir erhiel- ten ein ähnliches Exemplar aus Grônland. Grylle carbo, Brand, die CA. Bonap. Catal., p.82, n°. 532 als europäisch auflührt, ge- hôrt wahrschemlich hierher. (124) Von ANSER GAMBEN- sis, Brisson, Orn. VIT, p. 283, n°. 8, vom Senegal, Abyssinien und Egypten wurde bis jetzt nur ein Exemplar in Europa und zwar in England erlegt; es ist wahr- scheinlich, dass jenes Exemplar ein entkommenes war. Dasselbe gilt vielleicht auch von ANSER CANADENSIS, neuerlich cbenfalls als europaisch aufge- führt,. (125) Naumann , AT, p.340, n°. 317, Tab. 288, führt unter dem Namen ANSER INTERME- pius eine Gans auf, welche et- was grüsser als Anser albifrons du grèbe huppé, mais son bec est légèrement retroussé à la poin- te, et les tentes du plumage of- frent de l’analogie avec celles du grèbe à joues grises. (122). Hornschuch et Schilling prétendent qu’il existe en Europe une race du COLYMBUS ARCTI- eus, distinguée par sa petitetaille: ils la nomment COLYMRUS BAL- ricus. Conférez Keyserling et Blasius, p. XCT. (123) urIA uNICOLOR , Faber, Isis, 1824, p. 981, ne paraît former qu’une variété acciden- telle de l’Uria grylle. Nous ve- nons d’en recevoir un individu du Groenland. C’est probable- ment le Grylle carbo, Brandf, introduit parmi les oiseaux d’Eu- rope par CA. Bonaparte, Catal., p. 82, n°. 532. (124) ANSER GAMBENSIS, Brisson, Orn., VI, p.283, n°. 8, qui habite le Sénégal, l'Abys- sinie et l'Égypte, n’a été obser- vé en Europe qu’une seule fois; mais On suppose que l'individu tué en Angleterre s'était échap- pé d’une ménagérie. La même incertitude règne à l'égard de lANSER CANADENSIS, espéce que l’on a également énu- mérée récemment comme faisant partie de la Faune d'Europe. (125) Waumann, XT, p.340, n°. 317, PI. 288, établit, sous le nom d’ANSER INTERMEDIUS , une nouvelle espèce d’oie, qu'il dit différer de l’Anser albifrons 107 seyn, und sich von ihr besonders durch einen bei der Stirne und an den Ladenrändern schwarz gefärbten Schnabel unterscheiden soll. Naumann hat nur zwei In- dividuen dieser Gans gesehen, und glaubt, dass sie die Stelle der weiss- stirnigen Gans in Island vertritt. Pallas, Zoogr., IT, p.226, dagegen beschreibt eme klemere Varietät des Anser albifrons, mit emem an der Kuppe und auf der Firste schwarzen Schnabel, mit folgenden Worten: par une taille un peu plus forte, ainsi que par un bec tent de noir à la base près du front, et sur les bords de la mandibule supérieure. ÂVaumann n'a exa- miné que deux individus de cet- te oie; il suppose qu’elle rem- place, en Islande, l’oie rieuse. Pallas, Zoogr., IT, p. 226, décrit au contraire une variété de de l’oie rieuse, à taille moins for- te et à mandibule supérieure tein- te de noir sur le dessus et à la pointe. Voici ce qu'il en dit: »B. Varietas vel junior, ni fallor, proles autumno simul adven- »tat: simillima rostri ungue et carima nigra; capite colloque magis »fuscis; ventre immaculato, tantum cinereo-nebuloso; fronte con- » colore vel exiguo tantum margine albido rostrum cingente; pedi- » bus obsoletissime sordideque e fusco-rubris diversa. Alae huic »tantillo longiores , licet ipsa fere minor.” (126) Keyserling und Blasti- us, p. LXX XIV, führen, nach Pallas , Zoogr., IT, p.258, no. 342, die Bisamente, ANAS Mo- SCHATA , Zinn., Syst., XIT, T, . 199, n°. 116; Cairina mo- schata, Fleming, Phil. of Zool., IT, p. 260, als europäisch auf. (126) Le canard musqué, ANAS MOSCHATA, Zinn., Syst., XII, T, p.199, no. 116; Cairina moscha- ta, Fleming, Phil. of Zool, IT, p.260, vient d’être admis, d’après les données du professeur Pallas, Zoogr., IT, p.258, n°. 342, par Keyserl. et Blastus,,p.LXXXIV, comme espèce européenne. Pal- las en parle dans les termes sui- vans: Pallas sagt von dieser Art fol- gendes : » Spontanea circa mare Caspium, rariusque in australibus Volgae »regionibus et lacubus deserti caspici, praesertim Sarpae observa- »tur. Domestica praesertim Astrachaniae et in taurica Chersoneso, »e Persia et Turcia illata, Petropoli et Moscuae ex Europa, unde »in varias urbes interiores, maxime secundum Volgae tractum, »sparsa est. À Sinis quoque adfertur. Producit apud nos crebro »cum foemina Bochadis, sibi pennis et gressu, fereque magnitu- » dine , rostro et reliquo habitu, defectuque papillarum circa ros- »trum matri similiores. Sed haec hybrida non propagantur, obser- » vante jam Frischio. In Ornithothrophio quondam Procopit «a De- » midof etiam cum À. aegypliaca Bréssonii hybrida produxit; mas »enim, incubante foemina ita libidinosus est, ut Gallopavonis fe- 108 »mellas et Gallinas vi subigat, et posteriores plerumque pondere »su0 enecet. Odor moschi praesertim masculis, et mirum haec »eflectum habere, qui de moscho notus est, easque reddere ma- »xime libidinosas, ita ut etiam Anatis moschatae marem, suae spe- »Ciei, tunc praeferant, semel passae. » Nat. Spontanea mole fere Anseris, maximam partem nigro-aenea, > subtus et capite colloque albo maculata, speculo alari albo. Do- »meslica rarius tota alba, plerumque maculoso-varia. Es ist aber eine Thatsache, dass die Bisamente vor der Entdec- kung Amerika’s in Europa un- bekannt war, und dass sie Co- lumbus schon gezähmt in West- indien antraf. Fast alle spätere südamerikanische Reisende bis auf die neueste Zeit sprechen von ihr als von einer , in diesem Welt- theile häufigen, wild vorkom- menden Ente. Es sind daher of- fenbar die am kaspischen Meere lebenden Bisamenten, als verwil- dert zu betrachten. ANAS PURPUREOVIRIDIS, Schinz, Neue Schweïz. Denk- schr., I, p. 126, no. 1: Eur. Fauna, I, p. 421; de Selys Longchamps, Faune belge, p. 140, n°. 242, von der mehrere Exemplare in verschiedenen Ge- genden der Schweiz und in der Picardie beobachtet wurden, ist, wie Schinz selbst vermuthet und wie es Pallas Beobachtungen über die Bastarde der Stockente wahr- scheinlich machen, nichts als ein Bastard der Bisam- und gemeinen Ente. ANAS SPONSA, Wwird von neueren Schriftstellern als euro- C'est cependant un fait avéré, que le canard musqué fut incon- nu en Europe avant la décou- verte de l'Amérique, et que cette espèce existait, aux Indes occi- dentales, à l’état de domesticité lorsque Colomb aborda dans cette parte de monde. La plupart des voyageurs qui depuis ont par- couru l'Amérique méridionale, y ont rencontré ce canard à l’état sauvage. Il est clair d’après ce que nous venons de dire que les canards musqués qui habitent les bords de la mer caspienne, ap- partiennent à une race domesti- que retournée à l’état sauvage. ANAS PURPUREOVIRIDIS , Schinz, Neue Schweiz. Denk- schronl ,epxl26.0n0 21587. Fauna, I, p. 421; de Selys Longchamps, Faune Belge, p. 140, n°0. 242, dont on a obser- vé plusieurs individus en Suisse et dans la Picardie, ne parait pas former une espèce particu- lière. IL est évident, comme il résulte des observations que Pal- las a communiquées sur les mé- üs du canard commun et comme le suppose lui-même Mr. Schins , que cette prétendue espèce n’est qu'un métis produit du mélange des canards musqué et commun. Plusieurs ornithologistes récents ont introduit parmi les espèces 109 päisch aufgeführt, obschon es wahrscheinlichist, dass die Exem- plare, auf welche sich diese Angabe gründet, aus Hühnerhô- fen oder Menagerien entkommen waren. ANAS FORMOSA, aus dem nôrdlichen Asien, eine der Anas bimaculala verwandte, aber von ihr verschiedene Art, wird von Ch. Bonaparte, Catal., p. 71, n°.436, als europäisch aufgeführt. Die Quelle, woraus diese Angabe entlehnt ist, ist uns unbekannt. (127) MERGUS ANATARIUS , Eimbeck, Isis, 1831, p. 299, c. fig., von vwelchen jetzt nur das eme, im Frühjahr 1825 bei Braunschweig erlegte Exemplar, bekannt ist, halten wir, nach ge- nauer Untersuchung dieses Exem- plares, mit Herrn Temméinck, für einen Bastard von A4nas clangula und Hergus albellus. (128) TACHYPETES AQUILA , wird von Meyer und Wolf, Ta- schenbuch, IT, p. 580 und von Schinz, Eur. Fauna, p. 370, als europäisch aufgeführt. Es soll nach Bechslein, Naturg., 1 Ausg., IT, p.756, ein Exem- plar dieser Art im Januar 1792 auf der Weser erlegt worden seyn. (129) Rüppell, Mus. Senk., IT, p. 185—187, trennt die klei- neren Exemplare des Pelec. ono- crolalus als eigene Art, welche er PEL. MINOR nennt. Die übri- gen Kennzeichen, welche Herr européennes l’ANAS SPONSA de l'Amérique du nord; mais il pa- rait que les individus qui ont donné lieu à cette assertion , pro- viennent des basse-cours ou d’une ménagérie. ANAS FORMOSA , espèce parti- culière, quoique voisine de l’Anas bimaculata, et qui habite les parties septentrionales de l'Asie, a élé introduite récemment, dans le catalogue méthodique des oi- seaux d'Europe, par CA. Bona- parte, Calal., p.71, n0. 436. Nous ignorons de quelle source est tirée cette assertion. (127) MERGUS ANATARIUS , Eimbeck, Isis, 1831, p. 299, avec figure, n’est connu que d'après l'individu, tué au prin- temps de l’année 1825 près de Brunsvic; cet individu nous ayant été communiqué, nous le regar- dons, avec Mr. Temminck, com- me un métis provenant de l’Anas clangula et du Mergus albellus. (128) Meyer et Wolf, Ta- schenbuch, p. 580 et Schins, Eur. Fauna , p. 370, ont intro- duit parmi les oiseaux d'Europe, la frégatte, TACHYPETES AQUI- LA, un individu de cette espèce ayant été tué, à ce que rapporte Bechstein, Naturgeschichte, Le édition, IIT, p. 756, en Jan- vier 1792, sur les bords du Weser. (129) Rüppell, Mus. Senk., IT, p. 185 4 187, sépare sous le nom de PELECANUS MINOR, comme espèce distincte, les in- dividus de petite taille du Pelec. onocrolalus. Les autres caracté- 110 Rüppell anführt, haben wir nicht standhaft gefunden. Da fast alle Pelekanarten in der Grôsse aus- serordenthich abändern, so haben wir die erwähnte kleine Abän- derung des Pelec. onocrolalus vorläufignoch nicht als selbststän- dige Raçe angenommen. (129 bis) Wélsson Skandina- visk Fauna, Fogl., IT, p.478, führt eine, in Schweden vorkom- mende, kleinere Race der Cormo- ranscharbe auf, welche er P#a- LACROCORAX MEDIUS nennt. (130) caro GRACULUS, Temm. Man., II, p. 897, IV, p. 565, nach zwei, wahrschein- lich aus einer Menagerie her- stammenden Exemplaren aufge- stellt, ist eine, bis jetzt nur im indischen Archipel beobachtete Art: Carbo sulcirostris, Brandt, Bullet. del Acad. de St. Petersb., IIT , p. 56. — Carbo graculus, Gould, Birds of Europe, PI. 408 , ist eine amerikanische Art: Phal. brasiliensis, Ch. Bona- parte, List, p.60, n°. 403. Im nôrdlichen Europa werden daher nur zwei Arten Scharben ge- funden, die sich in jedem Al- ter leicht durch die Zahl der Schwanzfedern unterscheiden. Da schon Linné diese Kennzei- chen für seinen Pelecanus carbo und graculus angegeben hat, so kann über die Synonymik dieser Ârten kem Zweifel entstehen. res indiqués par Mr. Rüppell, m'ont paru trop variables, pour pouvoir servir comme traits di- stincufs. Cette circonstance et le fait que presque toutes les espè- ces de pélécans sont assez sujet- tes à varier par rapport à leur taille, me font hésiter d'adopter pour le moment, comme race particulière, cette petite variété du pélécan commun, introduite par Rüppell. (129 rs) Il existe, selon Vels- son, en Scandinavie, une race de moindre taille du grand Cormo- ran; C’est Son PHALACROCORAX MEDIUS, Séandinav. Fauna, Ois., p. 478. (130) caRBo GRACULUS, Temm., Man., II, p.897 et IV, p.565, établi d'après deux indi- vidus provenant probablement d’une ménagerie, appartient à l'espèce décrite par Brandt, Bul- let. de l' Acad. de St. Petersb., LIT, p.56, sous le nom de Car- bo sulcirostris. Cette espèce n’a été observée, à l’état sauvage, que dans l’Archipel des Indes. —— Gould, Birds of Europe, PL. 408, a répresenté sous le nom de Carbo graculus une espèce américaine: Phal. brasiliensis, Ch. Bonap., List, p. 60, no. 403. Il n'existe, dans l’Europe septentrionale, que deux espè- ces de cormorans, qu'il est aisé de distinguer, l’une de l’autre, dans tous les âges, par le nom- bre des pennes de la queue. Lin- naeus ayant admis ce caractère dans ses diagnoses des Pelecanus carbo et graculus, il est facile (131) sULA MELANURA, Tem- minck, Man., IV, p. 569; Gould, P1.413, unterscheidet sich von Sw- la bassana, wie wir schon frü- her an einem andern Orte bemerk- ten, durch ihren viel längeren, nackten Kehlstreif, und im Alter durch ihren schwarzen Schwanz. Sie vertritt die Stelle unseres Tôlpels in Südafrika. Man will ein Exemplar dieser Art in Island erlegt haben. (132) Ein Exemplar der pro- MEDEA EXULANS wurde, nach den Mittheilungen des Herrn Dra- iez in Brüssel, im September 1833, beiAntwerpen, von Fischern mit Rudern erschlagen: siehe Borie, Isis, 1835, p. 259. Im April 1837 wurden bei Kongsberg in Norwegen zwei Exemplare der DIOMEDEA CHLORORHYNCHUS gefangen : siehe £smark in Wyt Magasin for Naturwidenska- berne , Christiania, vol. I, p. 256. Wahrscheinlich waren dies Vôgel, die, wie es oft geschieht, von den Matrosen gefangen und nachher wieder frei gelassen wur- den. Indessen scheinen auch schon früher Vôgel dieser Gattung in Europa beobachtet worden zu seyn. So sagt Brännich, Orn. bor., p. 31 nola, »Diomedeae »exulantis ad Norvegiam, ut fer- »tur, occisi, caput et pedes mon- »strantur Hafniae in musaeo R. » Dni. Volquartz.” Drei ähnliche Vügel, 18 bis 22 Pfund schwer, mit 4} Zoll langem Schnabel wur- 111 d'établir avec justesse la synony- mie de ces deux espèces. (131) suLA MELANURA, Tem- minck, Man., IV, p.569; Gould, PI. 413, se distingue, comme nous l'avons remarqué ailleurs, de la Sula bassana, par l'étendue considérable de la membrane qui se prolonge sur la gorge, et par- ce que la queue des adultes est constamment d’un noir pur. El- le remplace l’espèce commune dans l'Afrique méridionale. On prétend avoir tué un individu de cette espèce en fslande. (132) A. Boie, Isis, 1835, p. 259, rapporte, d’après une com- munication faite par M. Drapiez de Bruxelles, que l’on a tué à coups de rames, au mois de Sep- tembre 1833, près d'Anvers, un individu de la DIOMEDEA EXU- LANS. On voit par une notice de Mr. £smark, insérée dans le Nyt Magazin for Naturwidens- kaberne, Christianta, vol. I ,p. 256, qu'on a tué près de Kongs- berg en Norwège, au mois d’A- vril 1837, deux individus de la DIOMEDEA CHLORORHYNCHUS. Les mâtelots des bâtimens venant des contrées tropiques et s'amu- sant quelquefois à prendre ces oi- seaux et à leur rendre la liberté après les avoir gardés sur le pont pendant un espace de temps plus ou moins considérable, il se peut que les individus dont nous ve- nous de parler, aient été appor- tés de cette sorte dans des para- ges que ces oiseaux ne fréquen- tent jamais spontanément. Il pa- rait d’ailleurs que les exemples, 112 den im November 1758 bei Chau- mont erlegt: Siehe /a Chasse au fusil, Paris 1788, p.545; ferner v. Wildungen, Weidmanns Feier- abende, [, p. 15—19, und Meyer, ibid., IT, p.125. (133) Schinz, Eur. Fauna, 1, p. 380, führt LARUS ARGEN- TATOIDES, Fauna bor. am., Birds, p. A7, als europäisch auf, und sagt, dass sechs alte Exem- plare dieser Môüve in Irland ge- schossen wurden. Diese Nach- richt, offenbar den Proceed. Zool. Soc., 1835, p.83, entlehnt, ist aber missverstanden, denn Thomp- son, der Verfasser des erwähn- ten Artikels, sagt bloss, dass er sechs in Irland erlegte Individuen des Larus argentatus, mit La- rus argentaloides, Rich. aus Nordamerika verglichen, und ge- funden habe, dass letztere Art auf zu unsicheren Kennzeichen beruhe, um als selbstständig be- trachtet zu werden. que des espèces de ce genre se sont égarées en Europe d’une manière ou d'autre, ont eu lieu plus fréquemment qu’on ne le croit ordinairement. Brännich par exemple rapporte dans son Ornith. borealis, p.31, note, la notice suivante: » Diomedeae exu- » lantis ad Norwegiam, ut fertur, » OCCISI , Caput et pedes monstran- »tur Hafniae in museo R. Dni. » Volquartz.” Je trouve dans d’au- tres ouvrages, que trois indivi- dus d’une espèce analogue ont été tués en Novembre 1758 près de Chaumont; le poids de ces oiseaux était de 18 à 22 livres, et leur bec portait quatre pou- ces et demi en longueur; consul- tez l'ouvrage intitulé /a C'hasse au fusil, Paris, 1788, p.545; puis Wildungen, Weidmanns- Fererabende, I, p. 15 à 19; et Meyer, ibid., IT, p. 123. (133) Schinz, Eur. Faun., I, p. 380 , a introduit parmi les oiseaux d'Europe le LARUS ARGENTA- TOIDES, Aichardson, Fauna bor. amer. Birds, p. 417, con- statant que l’on a tué en Irlan- de six individus adultes de cette mouelte d'Amérique. Il est évi- dent que cette indication est em- pruntée d’une notice insérée dans les Proceedings, 1835, p. 83, et que cette notice a été mal interprètée par Mr. Schinz, Mr. Thompson qui en est l’auteur, constatant simplement qu'il à comparé six individus de ZLarus argentatus, tués en Angleterre, avec le Zarus argentatoides de Richardson, et que cet examen lui a appris, que les caractères Li: Die Môve, welche Graf von Mähle, p. 142, unter dem Namen Larus argentatus be- schrieben hat, gehôrt offenbar zu Larus cachinnans. Was dagegen derselbe Verfasser, p. 143, als Larus cachinnans beschreibt, ist eme andere Art, dieich nicht mit Gewissheit bestimmen konnte. Graf von der Mühle vermuthet, dass sein Larus cachinnans iden- tisch seyn künne mit einer neuen Môüve vom rothen Meere, we!che Naumann erwähnt: Larus leu- cophaeus, À, p. 382. Da die An- gaben über diese Müve unzurei- chend sind um sich einen deuth- chen Begriff von derselben zu bilden, so haben wir vorläufig diesen zweifelhaften Vogel nicht als Art aufgenommen. (134) LARUS RIDIBUNDUS MINOR, unterscheidet sich von La- Tus ridibundus nur durch einen kleineren, schwächeren Schna- bel, etwas kürzere Läufe und Zehen, und kleinere Schwimm- häute. Herr Temminck erhielt sie zuerst vor vielen Jahren von ei- nem Wallfischfinger. Sie AUS von Zord, DRE 1830 , 149, in Schottland Te A Herr Bruch beobachtete sie meh- rere Jahre hinter eimander auf ihrem Zuge auf dem Rheine, und meldet mir, dass sie früher an- 9 de cette dernière espèce sont de sorte à ne pouvoir servir Comme traits distinctifs constans. La Mouette indiquée par Mr. von der Mühle, p. 142, sous le nom de Zarus ar centatus , est évidemment identique avec le Larus cachinnans, et celle que cet ornithologiste, p. 143, a dé- crite sous ce dernier nom, est une espèce très-diverse que je L’ai pu rapporter avec certitude à aucune de cellesindiquées jusqu’à présent comme se trouvant en Europe. Mr. von der Muhle sup- pose qu ‘elle pourrait appartenir à une espèce inédite de la mer rouge et dont on voit les dé- pouilles au Musée de Berlin; cette espèce a été indiquée par Vau- mann, À, p. 382, sous le nom de Zarus leucophaeus. Les ren- seignemens que l’on a donnés sur cet oiseau étant insuflisans pour s'en former une idée précise, nous n'avons pas cru devoir aug- menter le catalogue des oiseaux d'Europe d'une espèce douteuse de plus. (134) LARUS RIDIBUNDUS MINOR, ne se distingue de la mouelle rieuse que par un bec plus petit et plus faible, par des tarses et des doigts plus courts, ainsi que par des membranes na- tatoires moins étendues. M. Tem- minck en possède depuis long- temps un individu rapporté par un baleimer. Zord, Proceed., 1850, p. 149, l'a rencontrée en Ecosse. M. Bruch l’a observée plusieurs années de suite, lors de l’époque de la migration, sur les bords du Rhin; il me mande 8 pond kommt als die gemeine Lachmôü- ve. und eine etwas verschiedene Stümme hat. Der Marquis von Du- razzo erhielt ein Exemplar aus der Gegend von Genua, und Herr von Feldegg brachte sie aus Dal- matien mit. Herr Verreaux schick- te uns ein Exemplar vom Vor- gebirge der guten Hoffuung, und sie wurde auf dem £uge bei Dün- kirchen, (de Selys, p.152), und an den Küsten Hollands erlegt. Diese Beobachtungen bestimmen uns diese Müve als eigene Race der Lachmôye aufzuführen. Zuwei- len scheinen sich aber beide Ra- cen zu vermenugen oder wenig- stens gesellschaftlich zu brüten ; denn ich erlegte im Sommer 1843, auf einem Moraste, wo nur 2 Paar Lachmôven brüteten, zwei davon, von welchen das Männchen zur grôsseren, das Weibchen zur klei- veren Race gehôürte. Die vom Grafen von der Mükle, p.141, unter dem Namen Larus atricilla aufgeführte Môve aus Griechenland kann, wegen ihrer geringen Grôsse, nicht zu dieser Ârt gezähit werden. Sie schemt sich nicht von der erwähnten kleinen Race des Larus ridi- bundus zu unterscheiden. (135) Im Manuel, IT, p.719, Remarque, wird gesagt, dass Herr Natterer den Larus atri- ciila an den Süd-Küsten Spa- miens beobachtet habe. Nach Herrn Natterers Mittheilungen ge- ut qu'elle y arrive avant la mouette rieuse , dont elle se distingue par sa voix un peu différente. Le marquis de Durazzo en a reçu un individu tué dans les envi- rons de Gènes, et Mr. de Feldegg la rapporté de la Dalmatie. Mr. Verreaux nous en a envoyé un imdividu du Cap de B. Esp., et elle a été tuée près de Dunker- que, (de Selys, p. 152) , et sur les côtes de Hollande. Ces faits sem- bient militer en faveur de l’opi- nion que cette mouette forme une race particulière, différente de la mouette rieuse. Il paraît cependant que ces deux races s’accouplent quelquefois l’une avec l’autre, ou qu'elles nichent en compagnie, vu que j'ai tué, en été 1843, sur un lac dans les environs de Leide, de deux pai- res de moueltes rieuses qui y avaient leurs nids, deux indivi- dus dont le mäle offrait tous les caractères du véritable ridibun- dus, tandis que la femelle ap- partenait à la petite race de cette espèce. La mouette rapportée de la Grèce et introduite par Mr. le comte von der Mühle, sous le nom de Zarus atricilla, voir p. 141 de son ouvrage, me pa- rait, à cause de sa petite taille, plutôt appartenir à cette petite race du Larus ridibundus. (135) La mouette, observée par Mr. Natterer sur les côtes méridionales de: l'Espagne, et dont il est fait mention dans le Manuel, IT, p.779, sous le nom de Larus atricilla, n'appartient hôrt die von ihm an jenen Küs- ten beobachtete Môve nicht zu Larus atricilla, sondern zu La- gus Audournit. (135 bis) Die Môve, welche von der Mühle, p.138, als La- rus melanocephalus beschreibt, ist nicht neu, sondern gehôürt wirklich zu dieser Art. Ch. Bonap., List, p.62, no. 461 , führt einen LARUS PLUMI- cEps, dem Namen nach, aus dem sädlichen Europa auf. Wir wis- sen nicht, welche Art damit ge- meint ist. 136) Neueren Nachrichten zu- folge, soll die im grüssten Theile Afrikas und Indiens gemeine STERNA VELOX, Aäppell, im südôstlichen Europa vorkommen; siehe CA. Bonap., Catal., p.77, n°. 485. Derselbe Schriftsteller, ébid., p. 484 führt auch die längst vergessene STERNA NITZ- scan, Xaup, wieder als selbst- ständig auf. (137) PUFFINUS FULIGINOSUS , ist eine durch Färbung und Ge- stait des Schnabels von Puff. cinereus und major standhaft abweïichende Art. (138) Boie, Isis, 1835, p. 257, stellt unter dem Namen PUFFINUS KUHLIHI, eine dem ?. arclicus sehr verwandite, aber durch einen etwas anders ge- stalteten Schnabel, und die gelbe 115 pas à cette derniére espèce, mais au Larus Audouinii. (Ob- servation communiquée par feu Natterer.) (135 bis) La mouette décrite par M. von der Mühle, p. 138, sous le nom de Zarus melano- cephalus, ne forme pas une espèce nouvelle; c’est la vérita- ble mouette à tête noire. Ch. Bonaparte, List, p. 62, n°. 461, fait mention, sous le nom de LARUS PLUMICEPS, d’une mouette de l’Europe méridiona- le. Nous ignorons si cette espèce est nouvelle ou si eile appartient à une de celles connues anté- rieurement. (136) On dit que l’hirondelle de mer véloce, STERNA VELOX, Rüppell, espèce commune aux Indes et dans une grande partie de l'Afrique , fréquente également les parties chaudes de l’Europe méridionale; voir C4. Bonap., Catal., p. 77, n°. 485. Ce sa- vant rétablit aussi, 2bëd., p.484, l'espèce douteuse, décrite par Kaup, sous le nom de STERNA NITZS CHI. (137) PUFFINUS FULIGINOSUS. Cette espèce est assez différente des Puf]. major et cinereus, tant par ses teintes que par la forme de son bec. (138) Bote, Isis, 1835, p.257, établit sous le nom de PUFFINUS KUHLII, une espece assez vOIsi- ne du P. arclicus, et qui le rem- place dans la Méditerranée. Elle doit s’en distinguer par un bec 116 Farbe der Füsse und des Schra- bels, abweichende Art auf, wel- che die Stelle des ?, arcticus im Mittelmeere ersetzt. Es fehlt uns an hinlänglichen Beobachtungen, diesen Vogel, der hôüchstens eine Race des P. arcticus bilden kann, als selbstständig aufzufüh- ren. Ein gleiches gilt vom PUFFINUS YELKOUAN, Pullet.des sc. nat., XVI, p. 463, der kaum von P. obscurus zu unterscheiden ist, und dessen Stelle im Mittelmeere vertreten soll: Siehe, Temm., Man., IV, p. 510. (139) Thalassidroma oceant- ca, Schinz, Eur. Fauna, p. 397, gehôrt als Synonym zu Thal. Wilsoni; eben so Procell. oceanica, Forster, Licht., Ca- tal., 1823, p.83, n°0. 764 no/a. Dagegen ist Thal. oceanica, Ch. Bonap., Synops., n°. 309 nota, identisch mit Procellaria gral- laria, Licht., L e. Siehe hier- über, CA. Bonap., Osservaziont, 1830, p. 135, no/a. (140) LESTRIS LESSONIT,. Dégsland, von Schinz, p. 391, aufgeführt, ist offenbar nach ei- nem jungen Exemplare der Les- tris crepidala aufgestellt. d’une conformation un peu di- verse ainsi que par la couleur jaunâtre des pieds et du bec. Nous nous abstenons pour le mo- ment, au défaut d'observations suffisantes, d'admettre, comme espèce, ce puflin qui doit, à ce qu'il paraît, tout au plus former une race ou une variété de cli- mat du Puffinus arcticus. Nous ne pouvons non plus émettre aucune opinion sur le PUFFINUS YELKOUAK, Bullet. des sc. nat., AVI, p. 463, qui se distingue à peine du Puf. obscurus, qu'il remplace dans la Méditerranée; consult. Temm. , Man., IV, p. 510. (139) II faut énumérer parmi les synonymes de la Thalassidro- ma Wilsonit, les Procellaria oceanica, (Forst.) Liché, Catal., 1823, p.83, n°. 764, nofe et la Thal. oceanica de Schinz, Eur. Fauna, p. 397. Thal. oceant- ca, Ch. Bonap., Synops, n°. 309, role, est, au contraire iden- tique avec la Proceliaria sral- laria, Licht., L. c. Consultez sur la synonymie de ces espèces CA. Bonap., Osservaziont, 1830, p. 135, note. (140) LESTRIS LESSONIT, Dégland, dont on trouve une description dans Sehinz, /. c., p. 391, me paraît établi d’après un jeune individu du ZLestris Buffonii. V2 rt vr A! > n = D” à ï : ue ’ * 1 ', \ : 1 - LA J : LE (e-< . CAL] # { PE | ] Lu a” i ni AT he rax,. (Où): 2 ANNE Cp # J 1% u | É tr cé , sa ELU \ ñ Le ES PE at: | COUR UANUUNUETOQUCANC UM U A RE NARNIA RER di PDO tt du st se a DH DO A EE ES DD DONNE «ts k D Se fus x) à de see Aus a A Li } RER REIN RS ss RH ; ne ue N dé Mn DMX nent ei Tee ER RNENEN) ss qu Se si a DR) ie a RAD faigttatetete ut sus Don ‘x 4 D % see K DRE Re ea RATE ee ts suis À D at RO PR a dette tete d ju Me ste D Lt Pt NI se RRN D at tas ii ii PA is » 4 sut «$ etes NN des } A dau sut du su ut dus ANR NAN ii te Net tte Eat ne vus ni D 4 4 . ste fs e n ns Le pe $Q n) 5h )h? NN {x \ 4 ete nus AR diese ns sie à ju tan ju st dass nn dues se NAN NN ne Eee . . Ron AS de RAD NENE a “ . 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