= LALILTC HULL) De MIRIRaEn “e CE ñ dre LT Ÿ Ets LL LOL [sa à .* +40 atjrieie ele #< #4 œ de prb L2 és és Le LA Fier re ik er y this CRÉTÉAETEN RPM E ERNEST HR tir rere CRIE ÉTAT) a LEE sous. u ) : + Mist | CSN ARTS pee + * Ce “ Et + . .: 4 {4 : p 4: dE RENE SENTE DURS not tee Per HOCURPIUR vitre 14 SARNIA ra RE RNA RRE NE RENE nt if nes he *: 1 ! Ÿ ‘4: i PR ET rh) rt Cr 0 tel è-vé ts. à VE a ». a Le rs à ps REVUE SUISSE ZOOLOGIE REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE ANRT A RES DE LA SH OCÉLE ZOOLOGIQUE:SUILSSÉ ET DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE Maurice BEDOT DIRECTEUR DU MUSEUM D HISTOIRE NATURELLE AVEC LA COLLABORATION DE MM. les Professeurs E. Béranecx (Neuchâtel), H. BLanc (Lausanne), A. LanG (Zurich), TH. Sruper (Berne), E. Yuwc (Genève) et F. ZschokkE (Bâle) TOME 20 Avec 12 planches. GENEVE IMPRIMERIE ALBERT KÜNDIG, RUE DU VIEUX-COLLÈGE, 4. 1912 PABLEPDES MATIÈRES AxpRé, E. Les Chilodontes parasites des Cyprinides, 1 fig PUR AU ANDR£, E. Recherches parasitologiques sur les Amphibiens de la Suisse. 471 Bepor, M. Matériaux pour servir à l’histoire des Hydroïdes. 4€ période TRE ER TT SERRE EE RON RE PAR ee PE 7 ES BuGnioN, E. Eutermes lacustris n. sp. de Ceylan. PI. 7-8 . . . . 487 Car, J. Die Diplopoden-Fauna von Celebes. PI. 5-6. 37 fig. . . . 73 CaRL, J. Sur quelques Colobognathes du Muséum de Genève. PI. 9. LS PS EU A RER RE VU PR A À à ForeL, A. Descriptions provisoires de genres, sous-genres et espèces de Sormicides dessind£ésorientaless "Et UT 0,704 HE r Die dTardieradentdes Rhätikon tm te CS KES :17175 Horsren (von), N. Revision der schweïizerischen Rhabdocülen und Allonnes caresse PE PRE ER Tee pre DES HorsTEN (von), N. u. SrkINMANN, P. Die schweizerische Turbellarien- VAE SO TR A EP RSR IE CS EE EE ER En à 1 Le MENzez, R. Ueber freilebende Nematoden aus der Umgebung von DIRES STRESS CRETE MT ER SR PS Sr A de à De PEexaRD, E. Notes sur quelques Sarcodinés. 3° partie. PI, 1-2 . . . 1 Sacus, M. Die Weber’schen Knôüchelchen bei den Cyprinoiden der SChNErzenSehen Faund PPDA 2 0, LR QE 729 SANTSCHI, F. Quelques Fourmis de l'Amérique australe. 4 fig. . . . 519 SimRoTH, H. Ostafrikanische Nacktschnecken. PI. 3-4. . RE pa ere EE SrAGER, R. Einige Lumbricidenfunde mit besonderer Berücksichtigung HÉROS LMAORE EN LAPS LR RS TL Nr PR ER ERREURS Re Se 65 STEINMANN, P. Voir Horsrex (von) N. able desimatières dessvolümesdea9 0m AMAR Em 15 761 DIE a cr Cote REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 1. — Mars 1912. NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS PAR E. PENARD TROISIÈME PARTIE !. Avec les planches 1 et 2. \ Bullinula indica Penard 1907. Bulinella indica. PexarD. 1907. Journ. R. Micr. Soc. 1907, p. 274-78. Bullinula indica. PexarD. Brit. Antarct. Erped. 1907-9, Part. 6. p. 225. Découverte en 1906 par M. James MURRAY, dans les mousses provenant de l'Himalaya, et décrite, à la prière de M. MURRAY. par moi-même avec la dénomination générique de Bulinella — changée plus tard en celle de Bullinula par le fait que le nom de Bulinella venait tout juste d'être appliqué à un Mollusque — . cette espèce intéressante s’est retrouvée coup sur coup dans les stations les plus diverses : dans l’Ouganda (MURRAY), dans les Sphagnum d'Ecosse (MURRAY), dans la plupart des collections de Mousses récoltées par l'expédition SHAKLETON au voyage de retour du NIMROD (MURRAY). Plus tard (1911), le docteur FUHRMANN l’a rapportée des Andes de Colombie (Medellin, 1700, Camelia, 1800, Megalopolis, 1700", Parana Cruz Verde, 2300), et enfin WAILES l’a indiquée dans toute une série de ! Voir: Revue Suisse de Zool. Vol. 13 (1905), p. 586 et Vol. 14 (1906), p. 109. 2EV. SUISSE DE Zoo. T. 20. 1912. 1 » E. PENARD stations des Iles Britanniques (Cornouailles, Devonshire, York- shire, Pays de Galles, Irlande) ?. La Pullinula indica, qui jusqu'à une époque toute récente était restée inconnue, s'est donc révélée comme une espèce relativement commune, et que l’on pourra s'attendre à rencontrer partout, mais toujours, cependant, dans des circonstances un peu particulières. Elle habite, en effet, les Mousses, celles surtout des grandes forêts de Sapins, où bien aussi les Sphagnum des tourbières : mais alors, de préférence (ou peut-être même exclu- sivement ?) les Sphagnum non submergés, ceux qui garnissent d'un tapis serré le pied des buissons d’Aulnes, de Bouleaux nains. et qui abritent dans leurs touftes épaisses les Vaccinium oxycoccos. les Andromèdes, et le Raisin d'ours. A la première apparence, la Bullinula (fig. 1, 2), se présente comme une gramme minuscule, brunâtre, arrondie ou plutôt étirée suivant sa largeur de manière à rappeler une semence de Haricot. aplatie sur une face qu'on peut appeler ventrale et arrondie en dome à sa face dorsale, La membrane d’enveloppe à la consis- tance d’une peau ferme et tenace, susceptible de se déchirer plutôt que de se briser, cachée d’ailleurs sous un revêtement de particules siliceuses de nature variée, paillettes de limon, Diato- nées, etc. ou de grains de quartz, généralement plus gros et plus abondants au sommet du dôme dorsal ; et entre ces particules étrangères courent partout des veines de chitine brune. C’est sur la face ventrale aplatie que se trouve l’ouverture de la coquille, une fente parallèle au bord antérieur de l'enveloppe et qui s'ouvre non loin de ce bord lui-même (fig. 2). La lumière buccale, la fente proprement dite, reste d’ailleurs le plus souvent cachée, protégée qu’elle est par deux prolongements ou lèvres. l'un interne ou inférieur, arqué en avant, qui s'enfonce comme une sorte de plancher sous une lèvre supérieure, laquelle à son 1? Proceed. Royal Irish Acad., Vol. 51. Clare Island Survey, Part 65, p. 22. oi] NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS D tour déborde au dehors, en une languette sinueuse ou arrondie. et de direction contraire à la première. Les pseudopodes, pour arriver au jour, doivent donc tout d’abord passer entre ces deux lèvres, en une nappe qui glissera sur la face inférieure de la coquille. La lèvre externe, enfin, est munie tout le long de son bord d'une rangée de pores, de 2 à 3 z d'ouverture, arrondis, souvent bordés eux-mêmes d’un petit cadre jaunàtre. C’est là tout ce que nous savons à ce jour sur la Bullinula! : toutes les collections rapportées jusqu'ici des points du globe les plus divers, Mousses sèches où résidus dans la formaline, n’ont permis d'étudier que l'enveloppe. Le plasma, le noyau, les pseudo- podes, la nature même de cet organisme un peu énigmatique, tout restait à étudier, et les lignes suivantes sont destinées à combler cette lacune. | Au mois de décembre 1909, en effet, J'ai retrouvé cette espèce — qui n'avait pas encore été signalée sur le continent euro- péen — à la tourbière de la Pile dans le Jura vaudois, en exem- plaires nombreux et plems de vie. En janvier 1911, elle à refait son apparition dans les mousses provenant des grandes forêts des Voirons (Haute-Savoie) ; enfin quelques exemplaires se sont rencontrés par-c1 par-là dans les environs de (Grenève (bois de Vessv, puis au Chemin de la Montagne près de Chêne). L'étude de cet organisme n’est pas sans quelque difficulté ; l'enveloppe, en effet, est presque toujours très foncée, en tout cas très peu transparente =: tout au plus distingue-t-on, à son intérieur, une masse arrondie, lisse à sa surface, et sur la Compo- sition de laquelle on chercherait en vain à se renseigner. ? Dans le Journal of the Royal Micr. Soc., 1907, p. 274-78, on trouvera, avec la description originale, quelques renseignements de plus sur l’enveloppe. * Elle est moins transparente encore dans le baume du Canada que sur le vivant, grâce à un phénomène d'optique, qui fait ressortir et semble élargir les veines noirâtres qui courent entre les particules siliceuses. 4 E. PENARD Il faut donc débarrasser le plasma de son enveloppe, sans le blesser lui-même et en lui conservant toute son intégrité; opéra- tion toujours délicate, mais moins difficile potes qu'on ne serait porté « priori à le croire. Sous l’effet d’une compression lente et graduée, on voit cette enveloppe s’aplatir ; la boule (plasma) interne fait de méme. mais, très homogène, limitée elle-même, comme nous le verrons plus tard, par une pellicule résistante, elle ne crève pas de long- temps, et se trouve entière encore lorsque l'enveloppe générale s’est enfin ouverte d'une large déchirure. À ce moment, si l'on rajoute un peu d'eau sur le bord du couvre-objet, ce dernier se relève, la boule reprend sa forme naturelle, l'enveloppe déchirée reste béante ; et tantôt poussant, tantôt pressant, tantôt provo- quant des courants au sein du liquide, on finit par dégager cette boule, qui, isolée, se présente comme un petit œuf, et fait même penser à un œuf de Grenouille, avec sa couche externe hyaline qui tremblote au moindre choc. Mais on à beau tourner et retourner cette sphérule (fig. 4} dans tous les sens, on n’y découvre aucune solution de continuité. pas le plus petit indice d’une fente ou d’une ouverture, rien pour laisser passer des pseudopodes. Bien plus, on y reconnaît une membrane enveloppante, une pellicule à double contour, imcolore, opalescente, que lon peut méme isoler. Sous une forte compres- sion, en effet, elle crève en expulsant son contenu, et elle-même reste là inerte et plissée. Sous cette pellicule d’enveloppe. on trouve alors, d’abord une couche plus ou moins épaisse de plasma extrêmement clair, extrémement fluide, mais qui, expulsé par éclatement comme une onde liquide, se fige immédiatement. Vient ensuite, plus à l’intérieur, une zone de granulations très petites, véritables poussières qui remplissent le plasma ; puis la masse plasmatique elle-même, avec des grains pâles, peut- étre de nature amylacée, puis des particules de nourriture, presque toujours à l’état très divisé, et où l’on reconnait le NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS a) plus souvent des parcelles arrachées aux fibres des Mousses. Quelquefois aussi ce sont de véritables petites Algues rondes, telles qu'on en trouve également en liberté. Tous ces éléments nutritifs sont d'ailleurs en général assez peu nombreux, où bien dans un état d’émiettement qui les dé- nature, et ce fait contribue à confirmer l’observateur encore peu avancé dans son étude, dans cette opinion, d'ailleurs fausse mais dont il n'a pu se défendre jusque-là, que ce singulier organisme pourrait bien n'être pas un Rhizopode vrai. On trouve également parfois dans le plasma des corps très pales, globuleux, brillants sur leurs bords, incolorables, de nature problématique et qui m'ont semblé faire leur apparition surtout sur des individus isolés et privés de nourriture. La plupart du temps, on ne remarque rien qui rappelle une vésicule contractile. Cependant, à plusieurs reprises, j'ai constaté la présence soit de quelques petites vacuoles, soit d’une seule, grande et bien nette, qui pourrait bien avoir la valeur d’une vésicule contractile véritable, mais dont il n’a été impossible de constater le fonctionnement normal. Ce fait, d'ailleurs, n’a rien qui puisse beaucoup étonner, dans un organisme qu’on ne peut examiner qu'à l’état pour ainsi dire inerte, et comme en- kysté, avec des fonctions nécessairement très ralenties. Le noyau, toujours unique, sphérique, et de 45 » de diamètre, montre une membrane hyaline et mince, un suc nucléaire très päle mais pénétré de myriades de poussières extraordinairement fines, puis un gros nucléole arrondi central, très net, d’un bleu verdatre, un peu rugueux, et dans la masse duquel on voit se dessiner des grains, des sphérules distinctes, ou aussi de petites vacuoles rondes. Mentionnons encore la rencontre éventuelle de parasites. Dans un des individus examinés, le plasma expulsé par éclate- ment de la pellicule renfermait un petit organisme, vivant mais immobile, que représente la fig. 3 a, mais sur la nature duquel ( E. PENARD je n'ai pu avoir de renseignements. Dans un autre exemplaire, c'étaient de véritables Flagellates (fig. 3 b), de 18 de longueur, allongés, pourvus en avant d’une calotte de plasma Imcolore et délicat, puis d’une tache pigmentaire, d’un noyau central, et de grains (pyrénoïdes) noyés dans un chromatophore vert. Les flagelles n'étaient pas visibles, mais plusieurs de ces petits orga- nismes, à peine libérés, se mirent à se secouer violemment. comme pour détacher leur flagelle du substratum auquel 1} se trouvait collé. C’est ici qu'il faut mentionner un fait assez curieux en lui- même, et en rapport sans doute avec l’état d'inanition de l'animal. Au cours des expériences qui vont être rapportées, et qui ont été faites sur des exemplaires isolés dans de l’eau pure, il m'est arrivé de trouver des individus porteurs de filaments de nature végétale, qu'on voyait enfoncés sous les lèvres buccales pour pénétrer plus où moins profondément dans le plasma: ces fila- ments, eux-mêmes, ne représentaient autre chose que des fibres détachées du mouchoir avec lequel le verre avait été nettoyé. Les animaux saisissaient — sans doute au moyen de leurs pseudopodes — le filament par son extrémité, ou bien le prenaient sur un point quelconque, en son milieu par exemple, et peu à peu ce fil se ployait, faisait la boucle, et S’engouffrait dans l'ouver- ture de la coquille, L'animal pouvait garder plusieurs jours ce bout de fil, puis enfin il l’abandonnait, et alors on Île trouvait effilé et mâchillé à son extrémité, comme si le plasma du Rh1zo- pode l'avait désagrégé dans de vains efforts de le faire servir à sa nutrition. Parlons maintenant des pseudopodes. Il faut bien le dire, celui qui les cherchera n'aura guère chance de les trouver, sauf à recourir à des expédients. Pendant longtemps, et malgré des recherches patientes et des observations portant sur des individus très nombreux et en par- faite santé, il n’a été impossible de les voir ; et je n'étais pas NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS [l loin de conclure à une privation normale de pseudopodes. à l'existence d’un organisme opérant par succion et se mouvant par reptation sans laide de prolongements ambulacraires quel- conques, lorsque, dans un lot de Mousses passé en bloc au carmin. à l'alcool et à l'essence de girofle, je trouvai deux Bullinula qui montraient distinctement des lambeaux de plasma rosé, partant du péristome et se faisant jour au milieu des débris qui S'y trouvaient collés. C’étaient bien là, semblait-1l, des pseudopodes ; mais il fallait les retrouver sur le vivant. Beaucoup plus tard, dans une deuxième série d'expériences. jeus l’idée de recourir à un expédient qui m'avait réussi dans un autre cas, et je transportai une douzaine de Bullinula dans un verre de montre avec de l’eau bien claire. C'était le 29 janvier 1911. Or. le 2 février, après avoir glissé avec précaution le verre de montre sous la loupe montée, J y trouvai plusieurs individus munis de pseudopodes bien carac- térisés. Le 3, le 4 février, presque tous en étaient pourvus. Transportés à la pipette sous le microscope, les animaux conser- valent un instant encore leurs prolongements, ou bien ne les rentraient que pour les déployer un peu plus tard : bref, tous ces animaux vécurent en activité pendant dix et douze jours, pour ne cesser d'émettre leurs pseudopodes que lorsque les Crrpto- sames vinrent enfin envahir lenveloppe et la recouvrir d'un feutrage serré. Ces pseudopodes, alors, ont une apparence un peu spéciale : très clairs, très Nimpides, maïs brillants sur leur bord par suite d’une condensation superficielle du plasma, ils se déployent tantôt en longs prolongements très droits, tantôt en branches touffues, ou bien aussi en larges rubans, ou en lobes, soit anguleux, soit au contraire étalés en spatule à leur sommet. Leurs déforma- tions sont considérables, mais relativement lentes. Très souvent. on les voit se déployer dans une direction qui parait anormale, le) E. PENARD en arrière de la coquille et non pas en avant: et le fait provient de ce que, grâce à la forme toute particulière du péristome, la nappe de plasma, avant de se diviser en pseudopodes, passe sous la lèvre caractéristique, qui la force de prendre une direction antéro-postérieure !. Sur l'animal en activité, avec pseudopodes déployés, on ne trouve plus cette pellicule d’enveloppe que nous avons reconnue dans l'organisme au repos: le plasma, vu à travers la coquille. n'est plus une masse arrondie, mais varie dans son contour, qui devient parfois anguleux. La pellicule, en fait, malgré son double contour, n'est pas une membrane vraie, mais représente un durcissement superficiel du plasma, temporaire, qui se ramollit, se fond pour ainsi dire dans l’état de vie active, pour se reformer tout aussi vite au repos. Dans l’une de mes récoltes (29 janvier 1911), un assez grand nombre d'individus se rencontraient à l’état enkysté; ou plutôt, certains d’entre eux s’enkystaient, le plasma se contractant en une boule parfaite, dans laquelle apparaissaïent de petites masses olobuleuses pales, qui grandissaient peu à peu ; puis d’autres (fig. 3) renfermaient de véritables kystes, au nombre de cinq ou six, des corps sphériques de 30 ; de diamètre, pourvus d’une membrane souple, jaunâtre, et de même consistance que l’enve- loppe elle-même de la Bullinula. Sous la membrane, on y voyait tout d’abord une zone de plasma homogène, puis une masse centrale toute bourrée de petits grains clairs, de 2 ; de diamètre, entre lesquels des granulations infiniment petites (moins de 1 ) dansaient et s’agitaient d’un mouvement qui semblait n'avoir rien de brownien. La Pullinula indica est un grand KRhizopode, mais très variable de taille, non pas tant d’un individu à l’autre que suivant la localité. Tantôt la moyenne des exemplaires sera de ! Dans la fig. 1. on voit cependant les pseudopodes se déployer en avant. NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 9 190 à 200 (environs de (renève en général), ou bien attemdra 250 y (Himalaya), tantôt elle ne sera que de 140 à 160 » (Tes Britanniques, d’après WAILES). Il n'est pas impossible, du reste, que cette Bullinula ne re- présente plusieurs formes spécifiques différentes. On peut citer, dès aujourd’hui, une forme non plus ellipsoïdale dans son con- tour, mais parfaitement circulaire, de 150 à 170 4 de diamètre, et qui remplace dans certaines stations! la grande forme typique, ou bien S'y voit mélée sans qu'on trouve de transitions: une autre forme, nettement ellipsoïdale (allongée suivant l'axe latéral), très claire, très petite (120 à 1252), et d’une apparence toute spéciale, semble habiter les Mousses peu fournies de la plaine, ou même celles qui recouvrent les vieux murs. Elle s’est rencontrée, très rarement, au bois de Vessy, puis dans les envi- rons de Chêne. Trigonopyxis arcula (Leidy). Diffluqia arcula. Leroy, Freshw. Rhiz. N. A. 1879. En décrivant en 1879 sa Difflugia arcula, LEIDY commettait sans aucun doute une erreur quant aux affinités génériques de cet organisme : et 11 était moins bien inspiré encore quand, en se fondant sur une similitude, d’ailleurs assez éloignée, dans la forme du péristome, il donnait sa Difugie comme représentant peut-être une variété extrême de D. lobostoma. En réalité, il nous faut considérer la D. arcula de LEIDY comme une être tout à fait à part, un peu énigmatique même, et les lignes que j'écrivais en 1902? ont encore leur valeur aujourdhui : < Ce fait — l'absence de pseudopodes —, ajouté à ! Voir Brit. Antarct. Exped. 1907-1909. Vol. I. Part. VI, p. 226. ? Faune Rhizopodique du Bassin du Léman, p. 298. 10 E. PENARD la nature toute spéciale du plasma, m'engagerait à douter de la réalité de cette forme spécifique, en tant que Difflugie ou méme que Rhizopode. > Les observations auxquelles je me suis livré depuis cette époque, comme aussi les expériences auxquelles j'ai soumis un assez grand nombre d'individus, me permettent d'ajouter quelques renseignements nouveaux, et, avant tout. de donner sans hésitation cet organisme comme devant être rayé de la liste des Diflugies. Il me semble bien, pourtant, que ce soit un Rhizopode. allié à ces genres spéciaux aux mousses, Diplochlamys. Bullinula, que nous connaissons depuis si peu de temps: mais Fa Trigonopyxis arcula, comme nous Fappellerons aujourd'hui, différerait de tous par certains côtés sur lesquels nous reviendrons bientôt. L'enveloppe (fig. 6) n’est nullement celle d'une Diffugie : ce n'est pas une coquille rigide, mais bien une véritable peau, une sorte de parchemin jaunâtre, d'une ténacité extrême, de consis- tance analogue à ce que nous venons de voir chez la Pullinula. mais plus mince, plus souple et plus élastique: et, dans Pépaisseur de cette membrane parcheminée, sont empâtés des éléments étrangers, d'origine végétale, des parcelles brunes, jaunes, rougeàtres, arrachées aux fibres des Mousses, disposées un peu partout au hasard et formant par leur ensemble une mosaïque étrange, comme un habit d'Arlequin. On trouve aussi, par-C1 par- là, des petites pierres, accumulées de préférence sur le déme arrondi de lenveloppe. La forme de cette enveloppe est hémisphérique ; la face ven- trale est aplatie, ou bien légèrement invaginée, parfois au contraire quelque peu renflée, où même rendue fortement con- vexe par Ja poussée du contenu. Au centre de cette face ventrale se trouve le péristome, trlan- eulaire avec angles plus ou moins arrondis et côtés légerement arqués vers le centre, et encadré sur tout son pourtour d'une bordure étroite, Mais souvent cette forme normale du péristome NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 11 est en défaut; le triangle perd de sa régularité, devient un carré ou prend des contours irréguliers !. Le plus souvent, on remarque à la face ventrale, dans une région périphérique, une sorte de couronne noirâtre, que l’on croit tout d'abord due à une coloration particulière de l’enve- loppe, mais qui ne représente en réalité qu'un amas de débris. boulettes brunes et matières les plus diverses, accumulé dans l'espace laissé hbre entre la paroi interne de l’enveloppe et le plasma ; et quand on réussit à isoler ce plasma, il arrive même parfois que cette couronne de débris reste adhérente à la boule ainsi obtenue (fig. 7). Passons maintenant au plasma. Ici encore, pour une bonne étude, il faut se débarrasser de l'enveloppe. et en opérant comme _nous l'avons fait pour la Bullinula, 1 n’est pas très rare qu'on y réussisse. Nous avons alors devant nous une masse sphérique (fig. 7), ou plutôt ellipsoïdale par le fait d’un aplatissement dorso-ven- tral, à contour très net, limitée par une véritable membrane à double contour, légèrement opalescente, susceptible d’être isolée par pression, avec expulsion de son contenu. Sous cette membrane hyaline se voit une zone marginale étroite de plasma limpide, puis viennent des granulations très petites, en nombre immense, et des grains plus gros, incolores, arrondis ou piriformes, recourbés, etc. et qui paraissent être des grains d’amidon. Mais c’est tout ; on chercherait vainement, dans ce plasma, des parcelles de nourriture. De temps à autre, il est vrai, jai remarqué quelques petits éléments d'origine en ! Cette ouverture buccale peut, dans certains cas, être fermée d’un véritable opercule, une plaque très mince, transparente, de mucilage durci, et dont je n’ai d’ailleurs constaté qu’une seule fois la présence. Ayant soumis à Paction de la glycérine le plasma globuleux libéré de son enveloppe. je vis, au moment où toute la masse se rétractait vivement. se dessiner une figure triangulaire, qui reproduisait avec une exactitude parfaite la forme du péristome dans cet individu. Il y avait là une plaque, très mince, restée par hasard attachée au plasma libéré. 2 E. PENARD apparence étrangère, mais dont la signification m'est restée obs- GURE On voit quelquefois de petites vacuoles, qui sont probablement adventives, formées sous l'influence de la pression à laquelle le plasma vient d'être soumis, et qui disparaissent peu à peu ; mais la vésicule contractile semble décidément manquer. Jai cru ja voir, cependant, et même assez souvent! ; mais ce doit être autre chose, car on y reconnait, sur un plus ample examen, un corps sphérique très pâle, généralement rapproché du noyau, qui se colore par le carmin mais beaucoup plus lentement que le noyau lui-même, et dont la signification reste une énigme pour moi. Ce corps pale, d'autre part, semble être normal et appartenir régu- hèrement au plasma. Le noyau (fig. 8) est gros (35 » environ), sphérique, pourvu d’une membrane mince bien nette, et se montre rempli de myriades de granulations très petites (moins de 1 ), parmi lesquelles sont noyés des nucléoles en assez grand nombre. Ces nucléoles, à leur tour, sont de structure assez variable ; tantôt homogènes, tantôt creusés d’une lacune centrale ou de plusieurs (fig. Sa, 8 b), tantôt enfin granuleux, subdivisés en un grand nombre de grains accolés les uns aux autres, et qui donnent à ces nucléoles l’ap- parence d’une mûre (fig. 8 €). I semble y avoir là une gradation dans la différenciation du nucléole, mais en tout cas, tous les nucléoles d’un même noyau se trouvent à un moment donné, à peu près à la même phase de cette gradation. Il nous resterait à parler des pseudopodes ; mais 11, nous sommes dans la plus complète obscurité. Personne n’a Jamais vu des pseudopodes dans la Difflugia (soit Trigonopyxis) arcula. En 1890, il est vrai, je croyais les avoir observés, et je les indi- quais comme «normaux, larges » ; mais, Comme Jai pu m'en assurer plus tard (voir Rhizopodes du Bassin du Léman, 1902, 1 Faune Rhi:opodique du Léman. p.297. NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 13 p. 29S), cette affirmation provenait d’une confusion avec un autre Rhizopode, Centropyxis lævigata. En 1908, CASH, parlant de la Difflugia arcula, indique: + Pseudopodia normal (?)!>, et en reste là ; très probablement, ici comme dans certains autres cas où lui-même na eu sous les yeux que des coquilles vides ou des animaux morts, il s’en est rapporté pour le plasma à mes propres observations !. Dans ces dernières années, j'ai accumulé expériences sur ex- périences pour arriver à une solution. Mais ni les flots d'alcool absolu versés brusquement sur une récolte laissée depuis vimgt- quatre heures dans une immobilité complète, et qui auraient eu chance de surprendre les pseudopodes sans leur donner le temps de se rétracter, ni l'isolement des exemplaires dans des verres de montre, où pourtant ces organismes sont restés plus de huit Jours en bonne santé, n’ont fourni le moindre résultat. Dans l’état actuel de nos connaissances, nous pouvons donc considérer la Trigonopyxis arcula comme un organisme énig- matique encore, un Rhizopode probablement, mais qui se distin- ouerait de tous les autres par des caractères exceptionnels : absence de pseudopodes, alimentation tonte spéciale? : peut-être aussi pourrait-on relever l’absence de vésicule contractile, et l'existence de ce corps globuleux pale qu’on à d’abord pris pour cette dernière, et qui semble normal dans le plasma. 1 Brit. Freshw. Rhizop. and Helioz. Vol. IL, p. 54. — Le point d'interrogation est de Hopkixsox, qui après la mort de Casx à publié ia 2me partie de cet ouvrage. M. Hopxixsox avait bien voulu me faire tenir les premières épreuves, et sur ma prière il a recherché dans les papiers de Casx des détails sur ces « Pseudopodia normal » ; il n’en a pas trouvé, et a cru devoir introduire un point de doute. Peut- être Casx a-t-il été lui-même la victime d’une confusion, mais je croirais plutôt que c’est là la traduction pure et simple des mots « pseudopodes normaux » que j’em- ployais en 1890. ? Dans cette espèce, on voit très souvent l’ouverture de l’enveloppe complète- ment obstruée par une grosse touffe de débris, qui adhèrent fortement au péristome. Y aurait-il absorption de nourriture par une sorte de succion, sans introduction de proies à l’intérieur ? 14 © E PENARD Difflugia crassa Cash", Le naturaliste en quête de Rhizopodes, venant à rencontrer sur son chemin un petit étang bien tranquille, protégé par un rideau d'arbres, et dont l’eau stagnante recouvre un épais dépôt noiratre, pourra toujours espérer y récolter quelques espèces spéciales, Cucurbitella mespiliformis, Difflugia lobostoma, puis la grande Pelomyxa palustris, et, plus souvent encore, cette belle Difflugia pyriformis*. colorée en vert d'herbe par les Zoochlo- relles, qui peut être considérée comme la forme typique de cette espèce éminemment polymorphe. Mais là, presque toujours aussi, il rencontrera, mêlée à espèce type, la variété compressa de LEIDY (fig. 9), dont on peut se re- présenter l'apparence en imaginant un morceau de pâte molle, de la forme d'une poire, que lon aplatirait par une compression ! Brit. Freshw. Rhiz. and Helioz. Vol. If, 1908, p. 15. * Dans le 2me volume de l'ouvrage publié par la Ray Society sur les Rhizopodes des Iles Britanniques (voir ci-dessus, vol. II, p. 4), Hopkinsox traite de cette espèce avec la dénomination de Difflugia oblonga Ehrenberg. Pour l’auteur anglais, cest à cette D. oblonga qu’il aurait fallu rapporter ce que l’on s’est habitué un peu partout à considérer comme D. pyriformis Perty ; cela tant pour des raisons de priorité, que parce qu’on peut douter de ce que représente la D. pyriformis « sensu stricto », telle qu’elle a été décrite et figurée par Perry. Pour mon compte. cependant, je serais plutôt porté à renverser les rôles, et à dire : « La D. pyriformus, telle que nous la voyons en général envisagée un peu partout et depuis si long- temps, avec ses variétés nodosa, venusta, lacustris, etc, etc., est bien celle de PERTY. et son identité avec la D. oblonga, une espèce décrite en quelques mots peu clairs et figurée d’une manière défectueuse, n’est certainement que très hypothétique. Quoi qu’il en soit, je voudrais profiter de l’occasion qui s'offre ici d’elle-même, pour présenter de sincères excuses à M. Hopxinsox, dont j'ai tout dernièrement (Proceed. Royal Irish Acad., Clare Island Survey, Part. 65, p. 34) dénaturé le texte et la pensée. En copiant les lignes suivantes : « while there can be no question as to the species being EHRENBERG’S D. cblonga, its identity with the pyriformas of Perry admits of doubt », j'avais introduit un «no» tout à fait hors de cause, et le texte devenait « admits of no doubt », un lapsus calami, qui rend certainement très obscure la pensée de Pauteur anglais. NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 15 bilatérale de ses flancs. En outre, il trouvera là la variété nodosa LEIDY (fig. 10) (primitivement appelée par LEIDY D. entochloris). faiblement comprimée, mais wrrégulière de contour, et < pourvue en arrière de un à trois boutons ou éminences coniques, qui varient beaucoup dans leur degré de développement >. Dans les environs de Genève, à lAvenue d’Aïre, 1l est un petit étang où ces différentes formes peuvent se rencontrer en toute saison; mais les modifications du type y vont plus lom encore, et l’on y trouve des individus qui portent en arrière non plus des boutons ou de simples éminences, mais de véritables cornes; et en 1902 déjà, je disais au sujet de ces prolongements spéciaux : < Parfois, au lieu d'une corne ou de deux, on en voit trois, et j'ai trouvé quelques coquilles prolongées en arrière de quatre belles cornes dans lesquelles la matière verte pénétrait jusqu'à l'extrémité >. Or, cette Difilugia à trois et quatre cornes (fig. 11, 12), n’est sans aucun doute autre chose que la Difflugia crassa de CASH. décrite tout récemment; c’est-à-dire, en définitive, que la D. crassa n'est autre chose qu'une forme extrême de la D. pyriformis var. nodos«. Devons-nous alors renoncer à la D. crassa de CASH en tant qu'espèce, et parler, par exemple, d'une D. pyriformis var. crassa ? où bien faut-il garder purement et simplement la D. crassa, Comme ayant rang d'espèce bien que sa filiation se re- trouve facilement, d'étape en étape, jusqu'à ses origines ? Cette question mériterait d’être examinée, mais mon intention n’est nullement de le faire, et c’est à ces étapes, à ces phases elles-mêmes de l'adaptation, que je voudrais consacrer quelques lignes. Cette gradation du type à une variété extrême, ne se montre. en effet, pas partout égale à elle-même ; dans telle ou telle station l’espèce aura atteint telle ou telle de ces étapes, et pas encore les 16 E. PENARD autres ; dans telle autre localité, on verra les termes extrêmes. mais avec une tendance à l’oblitération des étapes mtermédiaires. On à peu de renseignements sur les conditions dans lesquelles vivait la D. crassa de CASH. Ce naturaliste tenait son matériel de M. A. EARLAND, qui avait effectué sa récolte dans un < pond at Chipperfield, Herts, 1904 >. CASH à publié son espèce sans commentaires spéciaux, et ne semble avoir rien vu qui lui eût permis de constater une filiation complète ; cependant, la D. pyri- formis typique, grande et belle, devait exister dans cet étang, car elle se trouve figurée à la planche XVIL fig. 5, du même ouvrage, comme provenant de la même localité; d'autre part, la var. nodosa s'y trouvait sans doute également, car la description mentionne, non pas seulement et nécessairement des « épines >. mais aussi de «courtes protubérances mammillaires > : et plus loin, l’auteur ajoute que les exemplaires < étaient remarquables par les variations qu'ils présentaient, non moins que par leur taille considérable >. Donc, CASH à trouvé à Chesterfield la forme type (pyriformis) et la forme extrême (crassa), mais sans doute aussi des Inter- médiaires. LEIDY, lui, à récolté tous ses exemplaires dans un «étang à briques >», < brick-pond >, à Swarthmore, en 1874, et cette année- là, dit-il, la var. #odosa S'y est montrée avec une profusion extra- ordinaire, pour disparaître dans les deux années suivantes et reparaître en 1877 en quantité modérée. LEIDY ne parle nulle- nent d’< épines >» ou de «cornes véritables >», et parmi tous les spécimens qu'il figure (PL XI, dont les 24 figures sont presque toutes consacrées à cette variété nodosa), il n’en est aucune qui puisse être assimilée à la D. crassa; quelques-unes, il est vrai, la font déja deviner (les fig. 11, 12, 18 de cette planche XI), mais ce n'est encore qu'une indication, et LEIDY, qui voit tout et s'intéresse à tout, se serait bien gardé d'oublier tout NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 17 juste les formes les plus intéressantes, s’il les avait rencon- trées !. Donc, LEIDY à trouvé à Swarthmore le type, la var. compressa. la var. 2odosa, mais n’a pas vu la var. crassa ; l’évolution, pour- rait-on dire, n'en était arrivée qu'à la phase rodosa. Dans l’automne de 1911, on trouvait, dans le petit étang du Bois Noir près de Crevin (environs de Genève), la grande 1), pyri- formis typique, et sa var. rodosa, cette dernière relativement abondante, mais de forme un peu spéciale, triangulaire, avec tendance bien nette à la formation de deux pointes postérieures. qui plus développées auraient donné la forme crassa. Cette der- nière forme, d'ailleurs, s’y rencontrait aussi, mais extrémement rare et peu typique, à prolongements relativement courts. Mais c’est le petit étang de l’Avenue d’Aïre, mentionné plus haut, qui se montre le plus intéressant. A la surface du limon noir et nauséabond, toujours mêlé de feuilles en décomposition. on trouve une faune curieuse, où les Rhizopodes sont bien re- présentés, et où la grande Difflugia pyriformis pullule en tout temps. k Dans cette mare, que depuis 1898 je visite chaque année. j'ai régulièrement trouvé, jusqu’en 1910, les trois variétés qui nous occupent, compressa toujours rare, #0dosa commune, crassa très rare d’abord, un peu plus fréquente ensuite ; en 1910, on trouvait environ 20 exemplaires de la forme crassa typique pour 200 de la forme #odosa. Or, pendant les grandes chaleurs de l'été de 1911, alors que, dans l’étang privé d’une bonne partie de son eau, on trouvait une vase tout particulièrement méphitique, la var. crassa S est rencontrée en une abondance remarquable, plus ! Lerpy parle incidemment d’une var. cornuta, qu’il représente à la PI. XIT. fig. 17 et 18, et qui rappellerait quelque peu la forme crassa. Mais cette variété cornuta, beaucoup plus petite, plus régulière de contour, plus délicate de struc- ture. n’a rien à faire avec cette forme crassa, et se rapprocherait plutôt de la var. venusta Penard. Les individus examinés, pour le dire en passant, ne prove- naient pas de Swarthmore, mais d’une tourbière près d’Atco N. Y. Rev. Suisse DE Zoor. T. 20. 1912. 2 15 E. PENARD commune même que la var. nodosa: elle était à trois ou bien aussi à 4 cornes (fig. 11, 12), et même parfois elle en avait 5 (fig. 13) (CASH cite le nombre 4 comme un maximum rarement atteint), disposées, non sans régularité, sur le pourtour et sur- tout en arrière de la coquille singulièrement élargie. Mais quelquefois aussi, on se trouvait en présence de coquilles décidément monstrueuses (fig. 14), boursouflées de la manière la plus étrange, comme en suite d’une sorte de déséquilibration du plasma, qui narrivait plus à construire normalement son enve- loppe et ne faisait qu'ébaucher de vagues prolongements. Ces considérations ne seront peut-être pas inutiles, en attirant l'attention sur les transformations successives que peut subir la coquille suivant les circonstances spéciales auxquelles l'animal est assujetti. Dans tous les cas, la var. crassa, considérée dans sa forme parfaite à 3. 4 et à cornes, est si bien distincte de la D). pyri- formis typique, que, supposée transportée dans une station où l'espece d'origine aurait seule existé jusque-là, on n'hésiterait nullement, en trouvant plus tard les deux formes l’une à côté de l’autre, à les regarder comme des espèces distinctes. Dans aucune station, ces deux types extrêmes ne se sont jusqu'ici rencontrés sans qu'il existàät des formes intermédiaires, mais peut-être le fait s’observera-t-il un jour. Pamphagus granulatus (K.E. Schulze). Gromia granulata F. E. Schulze. Il n'est pas très rare de rencontrer, dans les marécages, de petits amas de Diatomées, réduites en général à leur squelette siliceux, et empaquetées dans une sorte de sac, une pellicule mince et transparente qui les entoure de toutes parts. C’est ce qu'on a appelé des < kystes à Diatomées >, sur la sigmification desquels NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 19 on n à pu faire jusqu'ici que des hypothèses, dont la plus géné- ralement acceptée est celle de kystes d’Amibes, réduits à leur membrane enveloppante, à l’intérieur de laquelle sont restés les éléments étrangers (proies digérées) après départ du plasma !. Cette explication me semble peu valable. Dans les Amibes en général, c’est à peine si l’on connaît des kystes, et ce que l’on a décrit comme tels représente trop souvent autre chose ; et puis, ces kystes ne renferment pas de proies (sauf peut-être les - kystes de digestion » des Vampyrella, qui sont quelque chose de tout particulier) ; enfin, dans les récoltes où ces kystes à Dia- tomées se rencontrent nombreux, bien souvent on y cherche à erand peine quelques Amibes. Aujourd’hui, je crois être en mesure d'affirmer que bien sou- vent, et peut-être même dans la règle, ces paquets de Diatomées sont renfermés dans l'enveloppe d’un Rhizopode vivant ou mort. le Pamphagus granulatus. Au printemps de l’année 1908, dans une récolte effectuée au marais de Feuillasse, mon attention fut attirée sur de petits paquets de Diatomées, appartenant à plusieurs espèces pour la plupart allongées ou fusiformes, mélées dans un même paquet. et qui, dans un assemblage relativement régulier, formaient de petites masses coniques. Je crus reconnaître là quelque chose d'analogue aux « kystes à Diatomées », mais, très occupé de l'étude d’une ÆEuglypha, j'en serais resté là de mes observations, si, dans une portion de la récolte examinée dans l'essence de girore après coloration au carmin, je n'avais retrouvé ces paquets coniques, mais cette fois pourvus dans leur intérieur d’un noyau rouge, dont la structure était celle, très caractéristique, du Pamphagus granulatus. Feprenant mes recherches sur le vivant, je ne tardais pas à trouver le Pamphagus typique, globuleux, ou bien aussi plus ou ! Voir Bürscau, Protozoa, p. 149. 20 E. PENARD moins déformé par les Diatomées capturées, et assimilable alors au Pamphagus avidus de LEIDY, lequel ne serait en définitive que la forme replète du premier. Mais ces deux formes, granu- latus et avidus. restaient rares, surtout la première, tandis que les « kystes >» coniques étaient infiniment plus nombreux. Etudiant alors cette forme conique de plus près, je pus y voir une membrane, très fortement distendue, puis, à l’intérieur, un plasma très clair, avec les grains brillants caractéristiques des Pamphagus, des vacuoles, etc.; enfin je pus constater l'appa- rition des pseudopodes filiformes (fig. 16), étudier les phénomènes de locomotion, etc. Il n'y avait pas de doute, c'était le Pam- phaqus granulatus, bourré de Diatomées, déformé, distendu. et porté à la longueur de 130 , 140 », alors que sous la forme globuleuse il n’en à que rarement plus de 100. Plus tard, en 1908, 1909, 1910, j'ai retrouvé cette mème forme, soit à Feuillasse, soit dans deux autres marécages, et après une étude plus approfondie, j'en suis arrivé aux conclu- SIONS suivantes : Il y a là un Pamphagus, le P. granulatus de SCHULZE : mais dans cette espèce, l'animal à une tendance à se remplir de Dia- tomées!, qu'il dispose les unes à côté des autres dans un ordre relatif, pour prendre finalement la forme d’un cône, dont la pointe figure la partie postérieure du corps, et la base la partie anté- rieure, percée d’une ouverture pour la sortie des pseudopodes. Une fois introduites, ces Diatomées perdront peu à peu leur partie vivante, que le Pamphagus assimilera * : mais leur sque- lette restera là, sans que l’animal semble chercher à s’en dé- ! Souvent aussi d'algues d’une autre nature, surtout de fragments de Spiro- gyra, dont l’arrangement est plus difficile, et qui déforment considérablement le « SAC », * Peut-être même y a-t-il là des phénomènes de symbiose, ou plutôt, ici comme tant d’autres Rhizopodes verts, le plasma fonctionne-t-il comme un véritable garde- manger, l’animal digérant ou ne digérant pas les organismes capturés, suivant qu'il en à ou qu’il n’en a pas besoin. NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 21 barrasser. Ce dernier reste longtemps en parfaite santé, se divise par scission longitudinale, ou bien s’unit à d’autres individus dans une conjugaison véritable. Cette sorte de cuirasse interne, dont l'animal ne se débarrasse pas, quoique sans doute avant les moyens de le faire, cette pointe faite de Diatomées disposées en un faisceau serré, tout cela, on est tenté de le penser, n’est pas sans apporter quelque élément de protection, dont l'animal se garde de se libérer !. On trouve assez fréquemment, dans le feutre organique qui tapisse le fond du lac aux environs de (Genève, des kystes à Dia- tomées, tellement différents de ceux dont il vient d’être ques- tion, qu'il semble presque impossible de leur attribuer la même origine. iarement de forme irrégulière, plus souvent ovoïdes, ou bien rendus fusiformes par la présence d’une Diatomée allongée qui en distend les deux pôles, ils sont la plupart du temps d’une sphéricité presque parfaite (fig. 17), et dans cette bulle à paroi lisse, forte et en apparence rigide, on cherche en vain l’indice d'une solution quelconque de continuité ; mais en tournant cette sphérule dans tous les sens, on finit cependant par trouver quelque part une dépression, un léger plissement, indice sans doute d’une ouverture vraie, que je n'ai pourtant pas réussi à trouver. Ces kystes sont remplis de petites Diatomées, qui représentent ! Peut-être l'imagination joue-t-elle un rôle exagéré dans ces considérations de finalité, et faut-il ici tout attribuer au « hasard ». Je ne sais, mais en tout cas, rien n’est plus contraire aux faits, que la théorie, aujourd’hui si chère à certains philo- sophes, qui refuse aux Protozoaires toute capacité de faire un choix. J’espère re- venir un jour sur la question avec nombreuses pièces à l’appui, mais dès aujour- d’'hui je voudrais citer un fait, un seul, positif et que chacun pourra cortrôler : Un Héliozoaire, Æeterophrys myriopoda, pourvu par la nature de moyens de dé- fense relativement faibles, s'empare, toutes les fois qu’il le peut, des fortes aiguilles siliceuses d’un autre Héliozoaire, | Acanthocystis turfacea, et dispose ces aiguilles tout autour de son corps globuleux, comme une ceinture de piquants. Par quel « tropisme » expliquer la chose ? D E. PENARD des espèces variées, mais presque toujours de faible taille, rondes ou elliptiques pour la plupart. Il n’a fallu beaucoup de temps pour arriver à une conclusion sur la signification de ces kystes, dont la membrane forte, qui conserve son contour arrondi sans se mouler sur le contenu. ne semble guère pouvoir être attribuée à un Pamphagus. De plus, tout y est mort, on n'y voit pas de noyau, et les termes de passage semblent manquer. Cependant, quelques transitions ont fini par apparaitre, soit un Pamphagus vivant et à moitié rempli par les mêmes Diatomées, soit un < kyste >» dans lequel on reconnaissait par-ci par-là les grains d’excrétion brillants caractéristiques de l'espèce. J'en suis arrivé à conclure que, là aussi, c’est le Pam- phagus granulatus qui est en cause, mais celui du lac, plus vigoureux, à membrane plus forte que celui des marais ; et cette membrane même, il semble qu'après la désagrégation du plasma elle s’épaississe encore, peut-être aussi se distende, en même temps qu’elle perd de sa souplesse et de sa plasticité. Difflugia torquata n. sp. Dans un paragraphe que je consacrais en 1902 à la Difflugia lebes, j'écrivais les lignes suivantes : « La fig. 6 représente une Difugie tout à fait analogue à la D. lebes, mais de taille bien inférieure, sans collerette bien indiquée, et à bouche très grande. J'en ai trouvé quelques exemplaires au marais de Meyrin, et je ne sais s’il faut la considérer comme une variété de la D. lebes ou de la D). wrceolata. > Or, cette même Difflugie, dont ilne m'avait été possible d'exa- miner que deux ou trois coquilles, s’est retrouvée cette année, en novembre et décembre 1911, dans les marécages de Pmehat près de Genève, et une étude, cette fois poussée à fond, m'a con- vaincu qu'il y avait là une espèce nettement définie, apparentée sans doute à la D. lebes comme aussi à la D. wrceolata, mais que NOTES SUR QUELQUES SARCODINEÉS 23 des caractères spéciaux permettront toujours d'en distinguer facilement. La coquille, assez grande, de 250 en général, et formée de parcelles siliceuses très petites, liées par un ciment jaunatre, est à peu près sphérique, ou plutôt revêt la forme d'une sphère légèrement étirée et rétrécie en une région qui sera la partie antérieure, ouverte en un large péristome. Mais ici, ce péristome ne résultera pas d’une simple troncature de la coquille, comme dans D. lebes, et nous ne retrouverons pas non plus la colle- rette élégante de la D. wrceolata : nous y verrons en quelque sorte une forme intermédiaire entre ces deux extrêmes, une Cons- triction faible, mais brusque, une rainure qui rétrécit le péristome sur toute sa périphérie, souvent très peu apparente sur le vivant, mais qui se distingue plus nettement, soit sur des préparations au baume du Canada, soit sur des coquilles vides rencontrées incidemment (fig. 18). Si cette constriction passe si facilement inaperçue, €’est d'une part que la coquille est toujours un peu glutineuse, couverte de poussières qui nuisent à l'observation, d'autre part que la con- striction est normalement cachée sous un véritable collier (fig. 19). fait de particules siliceuses très petites, indépendantes de l’en- veloppe, et que l’animal accumule en un bourrelet épais. lequel remplit, et déborde même, la ramure creusée en apparence tout exprès pour lui. Ce bourrelet, dans lequel ne pénètre aucun ciment, reste tou- jours incolore et se détache en blanc sur le fond plus où moms Jaunàtre de la coquille. Après la mort de l’animal, les particules siliceuses qui composent le bourrelet se détachent, sont empor- tées au gré des éléments, et la coquille se montre sous sa véritable forme. Quelle signification faut-il attribuer à ce bourrelet si parti- culier ? J'ai pensé, dès l’abord, y voir des matériaux de réserve, une accumulation de particules destinées à la construction d'une 24 E. PENARD nouvelle coquille. Mais en constatant la présence constante, et pour ainsi dire nécessaire, de ce bourrelet, j'avais fini par re- jeter cette explication, par y voir un des éléments propres de l'enveloppe; cela tout en m'obstinant dans la recherche d’indi- vidus en cours de division, qui auraient pu donner la clef de l'énigme. Mais ces individus ne se montraiént pas, et j'avais abandonné tout espoir -— même terminé mon manuscrit, dont le texte actuel est une modification de la dernière heure —, lorsque Je me décidai à retourner une fois encore au marécage où vivaient ces animaux, Et cette fois, un cas de division se montra, un seul, mais très instructif : l'individu mère, en train de construire la nouvelle coquille qui n’était pas encore entièrement achevée. ne portait lui-même plus trace de collier. I faut donc en conclure que ce bourrelet caractéristique n’a en effet que la valeur d’une accumulation de matériaux, mais que l'animal s'occupe dès le premier jour à les rassembler, et les porte toute sa vie avec lui, comme S'il y avait là une partie constituante de la coquille !. Quant au plasma, il ne diffère que très peu de celui de la Difflugia urceolata : on y trouve les mêmes grains d’excrétion, les mêmes particules très fines d’amidon, les mêmes vésicules contractiles petites et disséminées dans le plasma. Les noyaux, : nombreux, sont de même type également, renfermant quelques nucléoles bien nets, brillants sur leur bord, presque toujours creusés dans leur intérieur d’une ou de plusieurs petites vacuoles. IIS sont plus petits, cependant, généralement de 12 à 14 ». et ! On connaît un assez grand nombre de Rhizopodes qui, ne disposant pas, à l’intérieur de leur coquille, d’une place suffisante pour y aménager leur matériel de réserve, accumulent ce matériel au dehors, autour du péristome ; mais, sans doute, ils ne commencent à le recueillir que peu avant le moment où ils l’utilise- ront. Quelques-uns pourtant (Difflugia elegans, Euglypha cristata) le portent assez longtemps avec eux; mais la Difflugia torquata, toujours munie de son bourrelet pour lequel une rainure d’attache semble avoir été créée tout exprès, constituerait une exception unique dans la série des Rhizopodes. NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 25 bien rarement de 15 », tandis que dans D. wrceolata ils me- surent 18 y, 20 4 et plus encore. Les pseudopodes, vigoureux, sont peut-être aussi dans la règle plus nombreux, et se développent en touffes plus fournies. La coquille, enfin, est plus foncée, jaunâtre, faite de particules siliceuses plus petites, et de plus, elle est toujours un peu gluti- neuse, moins lisse, moins < propre >» que celle de D. wrceolata. Coquilles doubles. En 1905, j'avais consacré, dans cette même Revue !, quelques lignes aux coquilles doubles, et je disais à ce propos: + D'une maniere générale, ces phénomènes sont rares et exceptionnels : mais quelquefois ils deviennent assez communs, comme par exemple dans la Centropyris aculeata Stein et dans la Cryto- difflugia turfacea Zacharias; RHUMBLER cite la Pontigulasia spiralis comme particulièrement remarquable sous ce rapport. car 1] à constaté dans cette espèce un chiffre de 5", de coquilles doubles ; mais je puis indiquer comme bien plus curieux encore le Diaphoropodon mobile de ARCHER, que j'ai trouvé aux marais de Lossy et de Bernex, puis aux Voirons et à la Pointe à la Bise sur les rivages du lac, et qui dans toutes ces stations montrait des enveloppes doubles, assez nombreuses à Bernex pour repré- senter non pas le trois, mais le trente pour cent des individus >. Dans une note, cependant, j’ajoutais : « On pourrait se demander si dans cette espèce, dont l'enveloppe est membraneuse et quelque peu déformable, il n’y à pas là, plutôt qu'une production de « Doppelschalen > au sens habituel, un phénomène de dédouble- ment, tendant à la formation d'un individu composé >. Après mes expériences de ces dernières années, je puis dire aujourd'hui d’une manière positive qu'il n’y avait pas là de ! Revue Suisse de Zoologie, t. 13, fasc. 3, p. 598. 26 E. PENARD coquilles doubles; le Diaphoropodon ne fait pas exception à la règle ; même, peut-on dire, on n’a probablement jamais rencontré de + Doppelschalen > dans cette espèce; il n’y avait pas non plus, dans ce que j'avais vu. production d’un individu composé : tout cela, c'était des cas de division pure et simple. Dans la plupart des Rhizopodes testacés, la production d'une nouvelle coquille se fait d’une manière toute spéciale : l’animal la construit au moyen de matériaux qu'il avait au préalable accumulés, soit en dedans, soit en dehors de sa coque. En effet l'enveloppe, dans ces espèces testacées, n’est modifiable en aucune facon; la coquille est inerte et rigide ; mais lorsqu'elle est molle, et jusqu’à un certain point vivante (Pamphagus, Cochliopodium. la membrane interne de Clypeolina, etc.)', elle se distend. s'étrangle, se dédouble en méme temps que le plasma: et dans le genre Diaphoropodon où l'enveloppe, malgré son épaisseur et sa rigidité apparente, est faite d'une pâte plastique dans laquelle sont noyées les particules siliceuses, la division du plasma va de pair avec la division de l'enveloppe elle-même, laquelle s’élargit d’abord en arrière, puis S'y creuse d’une échancrure toujours plus profonde et qui finit par gagner le bord antérieur opposé. c'est-à-dire par donner naissance à deux individus qui à ce moment se séparent. Quant aux vraies coquilles doubles, elles restent toujours ex- trêmement rares, et dans ces six dernières années, je n'en ai rencontré que dans Difflugia pyriformis, Difflugia crassa. Les- quereusia spiralis, Nebela dentistoma, Difflugia bidens. Phry- ganella nidulus, Heleopera picta, Difflugia scalpellum. ! La Gromia saxicola du lac de Genève, cylindrique et souvent très allongée, et munie à son intérieur de nombreux petits noyaux, se coupe simplement en deux par un étranglement sur le milieu de sa longueur; si du moins j’en puis juger d’après la rencontre d'un individu pour ainsi dire brisé en deux, en forme d’un V dont les deux branches n'étaient plus réunies que par un mince filament, et même se sont séparées pendant la manipulation destinée à en faire une préparation microscopique. NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS LT Les figures 15, 20 à 22, montrent quelques-unes de ces co- quilles. Dans D. crassa (fig. 15), .on remarquera l’extrême dé- formation acquise par le produit de deux individus qui sans doute étaient chacun déjà déformés (voir plus haut, p. 18). La fig, 20 est intéressante en ce qu’elle montre sans doute le résultat de la Jonction de deux individus marchant sur une méme ligne mais à la rencontre l’un de l’autre: le produit a été une coquille à deux ouvertures tout juste opposées, et la pointe postérieure caractéristique dans cette espèce (D. bidens) se montre ici sur chacun des côtés, et à mi-distance des ouver- tures, mais mal formée. Vu d'en haut, suivant l’axe longitudinal, cet exemplaire revétait l'apparence que représente la fig. 21. Enfin, les fig. 22 à et 22 b montrent une coquille double, vue d'en haut puis de côté, de Phryganella nidulus, formée par deux individus qui s'étaient rencontrés sous un angle de 90° environ. Les coquilles doubles, ajoutons-le, bien que résultant de la fusion de deux plasmas dont chacun à apporté son noyau, ne possèdent la plupart du temps qu'un nucléus unique : sans doute les deux noyaux se fondent-ils bien vite en un seul. Dans le mémoire cité précédemment, Je parlais de ces soi-disant + co- quilles doubles > du Diaphoropodon comme pourvues dans la règle de deux noyaux distincts; mais le fait S’explique aujour- d'hui très simplement, puisqu'il n’y à pas là des < Doppel- schalen >, mais des individus en cours de division. Ajoutons qu'il ne faut pas confondre ces enveloppes doubles, qui sont en somme des monstres, avec ces coquilles, normales de construction mais de volume double, que l’on trouve dans cer- taines Æuglypha, et qui ont une signification physiologique, en rapport avec un enkystement d’une nature particulière, et sur lequel j’aurai à revenir dans un mémoire spécial. ) [Rs] (ee Fc. FiG. FiG. Fig. FIG. FIG. FIG. FiG. FIG. FIG. FIG. F1G. FiG. F1G. FIG. E. PENARD EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE 1 1. — Bullinula indica. Vue d'en haut, avec pseudopodes déployés. 2. — Bullinula indica. Nue de côté, par l'axe buccal. 3. — Bullinula indica. Parasites trouvés dans le plasma. «) organisme incertain ; b) flagellate, avec calotte antérieure incolore, tache pigmentaire, noyau central, pyrénoïdes et granulations inco- lores noyés dans la matière verte. 4. — Bullinula indica. Masse plasmatique libérée de l'enveloppe. On y voit le novau, puis tout près une vésicule contractile (?) : par- tout des parcelles de nourriture, des grains clairs, et quelques gros globules pales. >. — Bullinula indica. Enveloppe renfermant des kystes, dont deux sont vides et plissés. La tache fusiforme antérieure indique la région où, grâce à la disposition des deux lèvres, on voit l’en- veloppe sur deux épaisseurs à la fois. 6. — Trigonopyxis arcula. Enveloppe vue par la face buccale, avec péristome central, et cercle de débris internes. 1 . — Trigonopyris arcula. Masse plasmatique détachée de enveloppe, et à laquelle adhère encore une partie de la couronne de débris internes. On voit le noyau, puis, tout près, une sphérule claire (pseudo-vacuole), et des grains amylacés et autres. 8. — Trigonopyris arcula. Noyau, montrant en 4, b, c. trois des phases successives de la différenciation des nucléoles. 9. — Diffluqia pyriformis var. compressa. 10, — Difflugia pyriformis var. nodosu. 11. — Difflugia pyriformis var. crassa (D. crassa Cash), à 3 cornes. 12. — Difflugia pyriformis var. crassa, à k cornes. 135. — Difflugia pyriformis var. crassu, à 5 cornes. La. — Difflugia pyriformis var. crassa, complètement déformée. 15. — Diffluqgia pyriformis var. crassa : coquille double, produit de deux individus probablement déjà eux-mêmes anormaux (dé- formés) : à droite, une grosse pierre. NOTES SUR QUELQUES SARCODINÉS 29 PLANCHE 2 HG. 16. — Pamphaqus granulatus. Forme conique (kyste à Diatomées), après réplétion par des Diatomées allongées. . — Pamphaqus granulatus. Forme ronde (kyste à Diatomées, variété 1 Fi6. 1 du Léman). FiG. 18. — Difflugia torquala. Coquille vide. FiG. 19. — Difflugia torquata. L'animal en activité. FiG. 20. — Difflugia bidens. Coquille double. Un lambeau pseudopodique se fait jour par Pune des ouvertures. FiG. 21. — La même coquille vue d'en haut. Par l'ouverture buccale on distingue le noyau (préparation microscopique). FiG. 22. — Phrygan:lla nidulus. Coquille double, vue: en a) par la face orale ; en b) de côté. uisse de Zool.T 20: oi » Mo7 L J'ERATE (LE Er 2 el Lith Beck «& Brun. Geneve E.Penard._Sarcodinés l è S "S RQ FS KR ae À - à | S NX 5 S . $S mi ù - à 2 LS ES jé ines E.Penard._Sarcod NAT | AL î REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 2. — Mars 1912. REISE VON Dr. J. CARL IM NOROLICHEN CENTRAL-AFRIKANISCHEN SEENGEBIET Ostafrikanische Nacktschnecken Dr. H. SIMROTH in Leipzig. Hiezu Tafel 3 und 1. Das Gebiet, in dem Herr Dr. CARL hauptsächlich sammelte, fällt fast mit dem zusammen, aus dem ich früher eine Anzahl von Herrn Dr. STUHLMANN erbeuteter Nacktschnecken beschrieb!. Ich habe daher eme gute Unterlage zum Vergleich, Das Stück, welches jetzt noch von Daressalam dazu kommit, ist eine vüllig unentwickelte jugendliche Vaginula, deren nähere Bestimmung ausgeschlossen erscheint. Wie damals, handelt es sich auch jetzt um die zwei Familien der rein afrikanischen Urocycliden und der cireumaequatorialen Vaginuliden oder Veronicelliden. Auch die Gattungen sind die- selben, nämlich drei Urocycliden, die ich früher aufstellte : Atoxon, Trichotoron und Bukobia, sowie Vaginula oder Veroni- cella. Der Hauptanteil der Novitäten entfällt, wie zu erwarten. auf Vaginula, das jedenfalls uralte Genus, vielleicht das älteste ! Srmrorx, Nacktschnecken. In : Sruxzmaxx, Die Tieriwelt Ost-Afrikas, 1595. REV. SUISSE DE ZO001. T.20. 1912. 5 32 H. SIMROTH und ursprünglichste unter den Pulmonaten schlechthin, dem Zeit genug zur Verfügung stand, um sich in eine grosse Zahl von Arten aufzulôsen, von denen wir bis jetzt sicherlich erst den klemeren Teil erkannt haben. A. Familie Urocyclidæ. Lunax-ähnlich. Aeusserlich durch die tiefe und grosse Schwanzdrüse, innerlich durch die erhebliche Trennung der beiden Lebergänge und durch die beiden Anhänge des Epi- phallus unterschieden, einen kleinen kugligen Kalksack am proximalen und ein langes Flagellum am distalen Ende. Auf weitere Unterschiede, die starke Faltenbildung im Ureter. de schärfere Umrandung des vaseularisierten Atemareals in der Lungenhôhle u. dergl. müchte ich mich hier nicht wieder eim- lassen, sondern mich mehr auf die systematisch-faunistische Seite beschränken. Gen. Atoron Srth. Grenitalorgane ohne Anhänge. 1. Atoxon Carli n. sp. (Taï. 3, Fig. 1, A—C;) Busu (Busoga), Uganda. 3 Stück. Die 3 Exemplare messen 4,5, 3,6 und 2,7. Die beiden kleineren sind schlank und unreif, das grüssere robust und voll entwickelt. Die Zeïchnung ist sehr gleichmässig graubraun, nach dem Rücken zu gedunkelt, mit zunehmendem Alter etwas kräftiger. Dazu kommt eine étwas dunklere, scharf und typisch ausgebildete Stammbinde auf Mantel und Rücken. Individuelle Unterschiede zeigen sich in verschiedener Pigmentkonzentration. die namentlich beim mittleren Stück zu braunen Spritzflecken auf den Seitenteilen des Mantels und zu feinen braunen Linien ent- NACKTSCHNECKEN 3 lang der Rückenfurchen führt. Der Mantel hat die beiden Ein- kerbungen neben seiner hinteren Spitze sehr deutlich ausge- prägt. Das Mantelloch, dem Gang der Schalentasche von Lima entsprechend, steht bei allen offen, längsoval von 12°" Länge. Dem Aeusseren nach würde ich die Art mit dem Afoxon tæniatum vereinigen, das ich aus dem Gebiete beschrieben habe (1 €, S. 8). Doch dagegen spricht die Anatomie. Zunächst ist es allerdings ein unbedeutendes Merkmal, das indes doch wohl spezifische Trennung nôtig macht. Bei À. tæniatum ist die Bursa copulatrix kurz gestielt, dagegen in emen Zipfel ausgezogen, wie beim Arion circumscriptus etwa. In der vorliegenden Form (Fig. 1) aber ist die Bursa lang gestielt, selber aber rundlich-oval. Nach anderen Gattungen zu urteilen. muss wohl die Differenz genügen, um die Begattung zwischen Tieren mit der verschiedenen Ausbildung der (Gemitalenden zu verhindern, und darin liegt doch noch immer, so lange micht vanz umfassende Beobachtungen vorliegen, das Hauptmoment. welches die Arten trennt. Ueber einige andere Punkte kann ich keine Vergleiche anstellen, weil ich früher 1hre Bedeu- tune noch nicht beachten gelernt hatte. Inzwischen haben namentlich die Studien an insularen Urocycliden gezeigt, wie scharf die feinere Ausprägung der Genitalenden schembar über- einstimmende Former zu scheiden vermag. Man wird kaum zweifeln dürfen, dass eine genauere Nachuntersuchung des À. tæniatum weitere Unterschiede aufdecken wird in den Einzel- heiten, die ich jetzt noch anführe. Der Oviduct ist zunächst nach semer Abspaltung vom Samenleiter eng, und so schlägt er sich auf eine kurze Strecke zurück, um nach abermaliger Umbiegung ein erweitertes Endstück zu bilden, dem vermutlich bei der Pildung der Eïhüllen eine besondere Aufgabe zufällt. Die Vagina hat dicke, drüsige Wände und ist durch eine Anzahl kurzer Muskeln beiderseits an die Leibeswand geheftet. Der 934 H. SIMROTH Penis bildet ein gewundenes, langes Rohr, das schon dem freien Auge eine dicke äussere Ringmuskelschicht verrät. Unten setzt sich das Rohr schräg gesen die Penisscheide ab, die viel dünnere, schlaffe Wände hat (1 B). In diese Scheide hinein ragt eme kuglige Glans mit seitlicher Oeffnung (1 C). Es ist wohl selbstverständlich, dass die Glans bei der Copula die Spitze des hervorgestülpten Penis bildet. 2, Atoxon lineatum Srth. (Taf. 3, Fig: 2° "Aund Bb Ich beschrieb früher (1. €. S. 10) eine Art von Aforon. die dem À. tæniatum sehr nahe steht, mit derselben braunen Stamm- bide, bei der indes die Farbe ausserdem entlang den Rücken- furchen in feimen, oft unterbrochenen Linien entlang zieht. Da schon bei dem À. fæniatum einzelne Exemplare mit solcher Zeichnung vorkommen, wie es ebenso vorhin vom mittleren Stück des À. Carli angegeben wurde, so lag es nahe, die Spezies zusammenzuziehen. Davon hielt mich em Doppeltes ab, emmal die hohe habituelle Ueberemstimmung aller Stücke vom gleichen Fundort, sodann der Umstand, dass die Exemplare von À. /inea- tum, Wiewohl reichlhich von dem Umfange erwachsener À.tænia- fum, noch ganz unreif waren und anatomisch nur eben die Zu- sehôrigkeit zur Gattung festzustellen erlaubten. Diese Lücke wird jetzt, wie mir schemt, glückhch ausgefüllt durch ein Paar Exemplare, die Herr Dr. CARL auf der Insel Bussiro bei Bukoba im August 1908 auf Sträuchern erbeutete. Die Zeichnung ist typisch. Das erûüssere, ziemlich robuste Stück von fast 5° Länge erwies sich als vüllig reif. Die orôssten Stücke, die STUHLMANN fand, waren etwas über 4° lang und keineswegs besonders schlank. Môüglicherweise hegt die Ursache der verschiedenen Reife in der Jahreszeit. STUHLMANN sammelte die Schnecken Mitte März, Dr. CARL im August. Frei- hich ist es nicht eben leicht, den schembar nahe liegenden NACKTSCHNECKEN 35 Grund anzuerkennen, da doch verwandte Arten zu beiden Jahreszeiten in reifen und unreifen Stücken vorkommen. Man kann wobhl hinzufügen, dass die Setzzeit für Grosswild in Afrika nach neueren Angaben sehr unregelmässig ist, so dass sich in den verschiedensten Monaten junge, neugeborene Tiere beo- bachten lassen. Anatomie. Das allgemeine Bild der Genitalorgane ist das für die Gattung typische (Fig. 2). Die einzelnen Verhältnisse bieten viele Be- sonderheiten. Die endständige Erweiterung des Oviducts, die vermutlich als Nidamentaldrüse dient, ist kurz birnformig. Viel auffälliger ist die Länge und Schlankheïit des Epiphallus und namenthich des Penis, der selbst im einzelnen wieder manichfach gestaut und geschlängelt ist, ähnlich einem Zwittergang. Der sursagang ist schlank uud geknickt, und führt in eine noch weit längere Bursa copulatrix, die voller Spermatophoren war, nicht weniger ais 7 oder S, wahrscheinlich aber mehr. Die Zahl liess sich nicht genau feststellen, weil die zuerst eingeführten bis auf den Endfaden aufgelüst waren. Die vollständige Spermatophore war mindestens 4% ang, korkzieherartig gewunden, schlank nach beiden Seiten verjüngt und zugespitzt, doch so ungleich, dass die eine Hälfte weit düûnner war als die andere, die das Sperma enthielt, während sie selbst den dickwandigen Endfaden darstellt. Die Patronen waren ganz in die Bursa hineimgeschoben. der Gang enthielt nichts mehr davon, Durch das Ineinander- schieben der Spermatophoren war ein dichtes Gewirr ent- standen, das die Trennung der eimzelnen erschwerte, Der Penis ist wesentlich anders gebildet als der der vorigen Art. Der untere Teil umschliesst ein enges Rohr, das im Inneren kräftige und ziemlich dichte Längsfalten trägt. Sie zieht bis ins äusserste Ende hinunter, wo das Innenrohr an der Grenze des kurzen Atrium genitale endigt. Bei der Enge des Innenrohrs wurde nicht festgestellt, ob etwa weiter oben im Inneren noch eine 30 H. SIMROTH Glans folgt. Jedenfalls genügt das Beobachtete vollständig. um die Eigenart der Species zu erweisen. Nicht unterdrücken môchte ich die Bemerkung, dass das kleinste Stück von 3°" für das geübte Auge einen etwas ab- weichenden Habitus hat; die Binde tritt sehr wenig hervor., die Grundfärbung ist dunkel und trüber. Das Stück ist etwa halb- reif; môglich, dass es der Vertreter einer besonderen Art ist. Doch schien mir das Material zur Entscheidung der Frage un- zureichend. Gen. Bukobia Srth. Genitalorgane mit einer rudimentären Pfeildrüse ausgestattet. die sich mit dem Oviduct verbindet. 3. Dukobia picta Srth. (Taf. 3, Fig. 3, A—C.) 1 Stück, mit den letzt beschriebenen erbeutet. Das Stück stimmt genau mit der Schilderung der Original- species (1. €. S. 11) überein. Dass die Grundfärbung dunkler und schmutziger ist, hat keine Bedeutung, denn das hängt oft ganz von der Nahrung ab, die das Tier gefressen hat. Sie wird. wie das Chlorophyll, häufig durch den Alkohol ausgezogen, und der Extrakt durchtränkt und färbt dann die ganze Haut. Aber die dunkelbraune Stammbinde, derb und unregelmässig ausge- bildet, ist scharf ausgeprägt, und grobe rundliche Flecken sind sowohl ober- als unterhalb der Binde uuregelmässig zerstreut. Anatomie. Ich gebe ein Paar Ergänzungen zur früheren Beschreibung (Fig. 3). Die kurze Pfeildrüse hat hinten einen Blindzipfel und wird noch durch einen Retraktor an dem Boden der Leibeshühle befestigt. Der verhältnismässig kurze Penis ist distal erweitert, der Oviduct hat die distale Anschwellung wie die Atoron-Arten, doch ohne den scharfen Absatz. Die Bursa ist lang und schlank f NACKTSCHNECKEN 3 und somit kaum vom Bursagange zu trennen. Sie enthält eine Patrone, deren schraubige Windungen die Form der Bursa be- stimmen, denn deren zarte Wand schmiegt sich ihr eng an. Die erweiterte Penisstelle hat imnen unregelmässige, ziemlich derbe Falten (B). Die Pfeildrüse enthält eine starke kummetartig zu- zammengekrümmte Falte, die sich bis in den Blindzipfel er- streckt, ohne dass er durch eine besondere Struktur gekenn- zeichnet wäre. Die eimander zugekehrten Flächen des Kummets tragen dichte und tiefe Furchen, besonders die äussere Falte hat die Furchen sehr dicht und fein. Sie ragt über das Kummet hinaus und reicht durch das Atrium bis nahe an den Porus geni- talis. Gen. Trichotoxon Srth. (renmitalorgane mit grossem Pfeilsack. 4, Trichotoxron maculatum Srth. (Taf. 3, Fig. 4, A—E.) 9 Stück von Busu (Busoga). Februar 1909. Die Tiere stimmen durchaus mit meiner Beschreibung (1. €. S. 7) überein. Hôchstens sind sie etwas besser konserviert und daher klarer in der Grundfarbe, an den Seiten blasser und die dunklen Flecken lebhafter braun. Doch sie künnen sehr wech- seln, so dass sie bald ganz verschwinden oder doch kaum sich herausheben, bald in ganz verschiedener Anzahl ohne alle Regelmässigkeit, namentlich über den Rücken und an den Seiten, weniger auf dem Mantel zerstreut sind. Der Mantel hat eme charakteristische Struktur, die allerdings wenig grell hervortritt. Während er bei anderen Arten in ge- kielte kurze Runzeln zerfällt, ist er hier in feine polygonale Runzeln gegliedert, deren jede durch sekundäre Furchen stern- fürmig gezeichnet ist (Fig. 4, B). Der Mantelporus ist im allge- meinen geschlossen, so dass er ohne Präparation überhaupt nicht 20 H. SIMROTH bervortritt. Bei emem Exemplar (Fig. 4, C) war er dagegen weit offen geblieben, so dass die Schale mit ihrem verdickten Apex frei zu Tage lag. Eigentümlich ist dabei die unregelmässige Umrandung des Porus, und sie wird um so auffälliger, als auch die Mantelfläche in seiner Umrandung blass war und der Skulp- tur enthehrte, mit allmählichem Uebergang in die eben be- schriebene feine Furchung. Dabei war dieses glatte Feld auf derselben rechten Seite, nach der sich der Porus erweiterte. beträchthch verbreitert. Ich bin ausser Stande, eine wahrschein- hiche Ursache für die Abnormität herauszufinden. Ein Paar Tiere waren in Copula gefangen, wie die noch etwas herausgepressten Begattungswerkzeuge beweisen. Diese Stücke zeigten einen starken Detekt vorn an der Mantelkappe, wo sich rechts vorn die Convexität ihres Umrisses nicht normal nach vorn, sondern nach hinten kehrte, also ein regelrechter Aus- schnitt (Fig. 4, A). Es unterliegt keinem Zweifel, dass der Ver- lust durch die Radula des Partners im Vorspiel bewirkt wurde, womit diese Merkwürdigkeit, die ich auch bei anderen Nackt- schnecken, und zwar grossen Formen mit besonders ausgeprägten Begattungswerkzeugen. wie Limax maximus und grossen Para- limax-Arten, feststellen konnte, nunmehr auch auf die Urocy- chden übergreift. Trichotoron ist ja in Bezug auf die Ausbildung der Begattungsorgane die hôüchste Steigerung innerhalb der Gastropoden schlechthin. Anatomie. Die Pfeildrüse, die hier zum Pfeilsack wurde, ist bei der Gattung bekanntlich zwischen das Atrium genitale, das den Penis aufnimmt, und die Vagina eingeschaltet, ähnlich wie die echte, noch sekretorisch wirkende Pfeildrüse etwa der atlanti- schen Vitrina. Nur hat die sekretorische Funktion hier zur Bildung von Pfeilen geführt, die als Reizorgane wirken, ohne aber ausgeworfen und erneuert zu werden, wie bei den Heli- ciden. Dazu ist schon ihre Struktur zu sehr gefestigt, die drei- NACKTSCHNECKEN 39 kantige Spitze und der borstige Conchinüberzug des Schaîtes. Unaufgeklärt bleibt auch jetzt noch die Bildung der Pfeile, die zwischen starken Muskeln liegen, aber nur an der Basis fest- sitzen. Es ist wohl anzunehmen, dass zwischen Pfeil und Conchin- lage eine Epithelschicht existiert, welche die Abscheidung be- soret. Doch ist ja auf diesem (rebiete noch so manches Rätsel ungelüst. Der Anzahl der Pfeile nach — es sind zwei Paare vor- handen — gehôürt 77. maculatum zur Untergattung Diplotoxon Srth. Ich gebe die Anatomie der Genitalien, da sie von der Art noch nicht abgebildet sind (Fig. 4) Weitere Erklärungen sind wohl überfüssig, sie ergeben sich aus den Bezeichnungen der Teile. Im Pfeilsack, in dem nur das eine Paar Pfeile freigelegt ist, fallen die starken Ringwulstbildungen der distalen Hälfte auf. Man künnte sie geradezu unter die Merkmale der Gattung aufnehmen. Zu beachten ist ferner etwa die Erweiterung an dem kurzen Oviduct, welche als Nidamentaldrüse dienen dürfte, die kuglige zursa, die durch ein Ligament am Spermoviduct befestigt ist, mit dem langen Bursagange u. dergl. m. B. Familie Vaginulidæ. Gen. Vaginula (Veronicella). So oleichmässie die Arten nach ihrem Aeusseren und nach der allgemeinen inneren Anlage, so schwierig ist ihre scharte Charakterisierung und noch mehr ihre Gruppierung. Ich habe noch immer, wie SEMPER, die Genitalorgane der Einteilung zu Grunde geleet, aber nicht nur die männlichen, sondern auch die hermaphroditischen in der Umgebung des weiblichen Porus. Ebenso wichtig scheint aber vielleicht die Ausbildung der Fuss- drüse, nur dass ihre Unterschiede oft noch schwieriger festzu- 40 H. SIMROTH legen und scharf zu umschreiben sind. Die Differenzen im der Gruppierung der Nervenstämme, auf die ich früher hinwies, in den Umrissen der Niere, wo sie SARASINS zeigten, die feinen Unterschiede in der Hautskulptur und den Hautdrüsen habe ich zumeist bei Seite gelassen oder nur oberfächlich berührt. teils aus Mangel an Zeit, teils an Material. Denn man kann dann mit den Sektionen eines eimzelnen Stücks unmôglich auskommen. Unumgänglhich für die allgemeime Bestimmung sind und bleiben die allgemeinen Kôrperproportionen, die man durch genaue Messungen festzustellen hat. Aber auch sie haben nur sehr beschränkten Wert, denn oft erweisen sich Formen. die man nach den Massverhältnissen, nach Skulptur, Färbung und Zeich- nune für nächstverwandt hält, so dass man sie in eine Art zu- sammenbringen môüchte, innerlich als ganz verschieden. Vor- läufig lässt sich weiter nichts tun, als die Arten so zu charakte- risieren, dass sie auch in Zukunft mit Bestimmtheit wieder erkannt werden künnen, was von den früher beschriebenen Arten, denen sich neuere anschliessen, bekannthch nicht gilt. Grieng doch SEMPER in seiner Monographie der Familie (im Philippmen- Werk) so weit, dass er die alten Namen gar nicht beachtete, sondern neue schuf, wenn nur eine Beschreibung nach dem Aeusseren vorlag. Vermuthch sind alle 4 Formen, wiewohl zum Teil unreif, neue Arten; Ja es ist müglich, dass sich unter der einen wieder ? ver- schiedene Species verbergen. D. Vaginula atrolimbata n. sp. (l'af. 4, Fig. 5, A—[.) 1 Stück. Maruceu bei Bukoba. März 1909. Die Schnecke hat viel Aehnlichkeit mit der Fag. æquatorialis, de ich aus demselben ‘Gebiete beschrieb (L €, S. 18). Der Habitus ist derselbe und nahezu die Färbung. Unter Habitus künnte man wohl verstehen den Umriss, d. h. die Form des NACKTSCHNECKEN 41 Perinotums, die Breite der Sohle und den Querschnitt des Kür- pers. Namentlich das letzte Element kann von Bedeutung sein da bald bei flacherem Rücken das Hyponotum steil abfällt, bald und zwar meistens die Unterseite abgetlacht und das Notum ge- wôlbt ist. Zwischen den Extremen schwanken die Gestalten him und her, Erwähnenswert wäre wohl noch die Form des Permo- tums, das bisweilen als flachere Leiste ringsum läuft, meist aller- dinges nur die trennende Kante ist zwischen Notum und Hypo- notum. Auch die geringsten Schwankungen in Form und Lage der Afterspalte künnen zu guten Merkmalen werden, und früher wies ich darauf hin, dass gewühnlich von emer Serie der gleichen Art alle Exemplare denselben Retraktionszustand des Kopfes zeigen, so dass man ihn in den äussersten Fällen entweder ganz ausgestreckt findet und den Kiefer sieht oder aber nur eine Spalte zeiot, wohin sich der Kopf geborgen hat, wieder natürlich mit allen müglichen Zwischenstufen. Im allgememen trifft auch Jetzt noch eine solche Uebereinstimmung zu, da sie vermutlich auf gleicher Empfindlichkeit des Nervensystems und gleicher Ent- wicklung der Retraktoren beruht. Doch brachte erweitertes Material mancherlei Ausnahmen, so dass dieser Punkt nicht zu sehr in den Vordergrund zu schieben sein dürfte. Färbung und Zeichnung sind ähnlich wie bei Vaginula æqua- torialis der STUHLMANN’schen Sammlung (1. c.. Fig. 16), oben erau-schwarz, unten heller, die Sohle hell, seithch schwarz ge- randet, was der Name ausdrücken soll. (Bei V. æquatorialis ist die Sohle gleichmässig gedunkelt). Das Notum ist fem granu- liert, graue Wärzchen auf hellerem Grunde; dazwischen etwas crüssere schwarze Flecken. Rings am Perinotum nadelstichartige Drüsenôffnungen, aber in wenig regelmässiger Folge. Das Peri- notum steht als eine Art Leiste ringsum ab und war in mittlerer Hühe, so dass Rücken und Sohle etwa gleich weit von semer Ebene entfernt sind. Der Kopf ist vüllig ausgestreckt, ebenso streckt sich die Schnecke gerade in die Länge, ohne Krümmung, 4 H. SIMROTH worin sie sich wieder an die früher beschriebene Art anschliesst. Der After liegt als weite, reichlich halbkreis- oder halbmond- fürmige Spalte nur wenig unsymmetrisch nach rechts verschoben über und hinter dem Sohlenende auf der Unterseite des Hypo- notumns. Die Maasse sind folgende : Länge:der'sanzen Sehnecke : LMP Eee AC Lange dés Notuns es TER RON ESP RReRRESnEeE BrÉTE ET SCENE NP ES ER NICnRDE Bréite der SOC RASE SERRE RERO SN Entfernung des weiblichen Porus von vorn . 41: » » > > Mintien im Der weibliche Porus ist von der Mantelrinne um den fünften Teil der Breite des Perimotums entfernt. Sucht man nach charak- teristischen Verhältnissen, so bietet sich entweder der Quotient L De zwischen Länge und Breite des Notums : or = ne r 1 oder das Verhältnis zwischen der Länge und der Sohlenbreite : L 3,8 Sel sammen eine gute Anschauung, wenn man hinzufügt, dass der — 12 !/,. Vielleicht geben beide Quotienten zu- Gresamtumriss weniger oval ist, dass vielmehr die Seitenränder emander parallel ziehen. Anatomie. Beachten wir müglichst viel Einzelheiten ! Am [Intestinalsack bildet ein Darmschenkel quer herüber die vordere Begrenzung. Die Leber hält sich scharf dahinter. Die Speicheldrüsen sind grob flockig, manche der flachen Follikelsäcke erscheinen ziemlich lang gestielt und werden durch Pfeildrüsenschläuche auseinandergedrängt. Der Oesophagus ist ziemlich lang und scharf gegen den Kropf abgesetzt, indem sich hier der Darm plôtzlich auf einer Seite erweltert. Der stark muskulôse Magen (Fig. 5, C) ist von links NACKTSCHNECKEN 45 her eingedrückt zu einer Spalte, zwischen den beiden ersten Darmschenkeln mündet die Vorderleber breit ein, die Hinter- leber dagegen mit engerem Gange in den Grund des Magen- stiefels. Die Fussdrüse (Fig. 5, B) ist em relativ langer, blasser, ge- krümmter Schlauch, dessen Blindende, wie innerhalb der Familie die Regel, unterhalb der Pedalganglien hegt, d. h.am vorderen Ende der Aorta oder Arteria cephalica, wo sie sich in die ein- zelnen Arterien aufteilt. Unter « blass >» ist bei dieser Drüse die Farbe gewühnlichen, unpigmentierten Gewebes zu verstehen. wie sie wohl gewühnlichen Schleimzellen zukommit, ohne Diffe- renzierung undurchsichtig weisser Partieen, die eme besondere Umbildung einzelner Drüsenteile verraten. Die Mündung der Fussdrüse ist ein einfacher Querspalt zwischen Kopf und Sohle. womit zugleich deren scharfer vorderer Abschluss bezeichnet wird. Ihr Vorderrand scheint sich nicht unter der Schnauze strecken und verlängern zu künnen. Das wichtigste sind wohl wieder die (remtalorgane, die hier bei dem erwachsenen Zustande ein befriedigendes Bild gewinnen liessen. Die weiblichen Drüsenanhänge, die im allgemeimen bei der Familie wenig zu differieren scheinen, habe 1ch nicht über ihre Umrisse hinaus verfolgt (Fig. 5, D). Die Zwitterdrüse 1st eut entwickelt, wenn auch wohl über den bei der vorange- henden männlichen Reife erreichten Umfang hinweg und wieder verkleinert. Der Zwittergane sehr stark geschlängelt, ohne dass ich darauf geachtet hätte, ob gegen das distale Ende eine beson- dere Vesicula seminalis als kleines Blindsäckchen, das am ehesten als Receptaculum seminis gilt, ausgebildet ist. Die Eiweissdrüse ist relativ klein. Die Windungen des für sich zusammengeknäuelten drüsigen Eileiterabschnittes, für den wohl der Name Uterus beï- behalten werden kann, habe ich nicht entwirrt. Die germgen Unterschiede, die hier vorkommen, haben bis jetzt noch keime taxonomische Beachtung gefunden. Endlich geht eim langer 44 H. SIMROTH schlanker Oviduct zum weiblichen Porus. Hier sitzt die Bursa copulatrix als eme längliche Tasche, die oben durch ein Binde- sewebsband an den Etleiter geheftet ist (Fig. 5, E li), an einem Stiele oder (Grange von etwa gleicher Länge, in den sie sich con- tinuierlich verschmälert. Die weiblichen Organe münden un- mittelbar da, wo der Enddarm in den Mantel übertritt (Fig. à, E). Das Vas deferens nimmt zunächst die sehr starke, derbe Prostata auf, eine Drüse, die hier dieselbe schlanke Zipfelform hat wie die Eiweissdrüse, aber diese beträchtlich an Grüsse übertrifft. Nachher teilt sich der Samenleiter. Die Aeste gehen unter sehr spitzem Winkel nebenemander hin bis zum weïblichen Porus, wo das normale Vas deferens in das Integument eintritt und nach dem Penis weiterzieht, während der andere Ast sich zurück- schlägt und am Blasenstiel hinaufläuft, in den er etwa am Be- oinn der Bursa unter allmählichem Verstreichen der Konrtouren eintritt. Irgend welche besondere Erweiterungen oder Drüsen- anhänge kommen dabei nicht vor. Der langatmige Name Canalis receptaculo-deferentinus, den PLATE dem Gange gegeben hat, wird hinfällig, wenn wir mit BRÜEL die Blase nicht mehr als Re- ceptaculum, sondern ihrer wahren Funktion nach als Bursa bezeichnen. Man kônnte ihn vielleicht kurz Canalis junctor nennen, oder den Bursa-Samenleitergang. Die männlichen Or- gane zeichnen sich durch den kleinen Penis aus, gegenüber der viel grôüsseren Pfeildrüse. Da muss allerdings wohl bemerkt werden, dass die Bezeichnung des Penis so unsicher ist, wie die der Pfeildrüse. Nimmt man die retrahierte Rute, dann erblickt man nach mancher Terminologie nur die Penisscheide, in der im Innern erst der Peuis liegt. Man kann aber wohl die Scheide ebenso gut als Præputium und den Penis als Glans, d.h. als vor- deres freies Ende des Samenleiters gelten lassen. Eine besondere Schwierigkeit besteht noch in der am vereinzelten Objekte oft unsicheren Feststellung, wo sich die Scheide basal an das Vas deferens heftet. Manchmal gelingt es, die Glans oder die innere NACKTSCHNECKEN 45 eigentliche Rute bis zur Basis der Scherde, also bis zum Insertions- punkt des Samenleiters, fret herauszuziehen oder doch durch Spaltung der Scheïide fret zu legen ; aber es bleibt meist ungewiss. ob dabei (rewebszerreissungen vorkommen oder nicht. Hier künnte bloss eme Schnittserie die wahre Umschlagstelle des inneren Epithels der Penisscheide und Glans feststellen, was natürlich bei der Art faumistischer, oft auf Einzeltiere ange- wiesener Arbeit vollkommen ausgeschlossen ist. Mir scheint daher, dass Exaktheit der tatsächlichen Angaben wichtiger ist. als die Diskussion über die Bezeichnungen, so wünschenswert es auch sein mag, sich durch eine genaue nomenklatorische Terminologie die Beschreibung zu erleichtern und abzukürzen. Man sieht zunächst folgendes : Eine grosse Pfeildrüse trägt 4 lange und 7 oder 8 kaum halb so lange Pfeildrüsenschläuche, von welchen letzteren emer am Ende dichotomischgeteiltist(Fig.5,F). Die langen Schläuche sind natürlich am meisten zusammenge- knäuelt. Sie schlagen sich in der Hauptsache über den Oesophagus und Schlundkopt hinüber und schieben sich zwischen die einzelnen Lappen der rechten Speicheldrüse, deren Aufteilung in geteilte Follikel (s. 0.) sie wohl zum guten Teil erst bedingen. Rechts vorn sitzt der Pfeildrüse ein minimaler Penis an, birnfôrmig und basal verengert, gleichsam gestielt (Fig. 5, G). Das Vas deferens. so weit es frer in der Leibeshôübhle liegt, ist dünn und relativ kurz und fem geschlängelt. Ein gemeinsamer Penisretraktor ent- springt mit zwei Wurzeln und teilt sich nachher wieder in die beiden Aeste für die Pfeildrüse und den Penis. Die Pfeildrüse. d. h. der vordere gemeinsame Schlauch, den man auch als Pfeil- drüsenscheide bezeichnen künnte, wird von der konischen Papille ausgefüllt, deren basis die einzelnen Pfeildrüsenschläuche auf- nimmt. Meiner Erfahrung nach durchziehn die Schläuche unter starker Verjüngung überall innerbalb der Gattung die ganze Papille bis zur Spitze, wo sie auf engstem Raum nebeneinander, aber vonemander unabhängig ausmünden. Der Penis endlich ist 46 H. SIMROTH so zu deuten, dass der Stiel an das Vas deferens festgeheftet ist und dass nur der vordere kurze, birnformig erweiterte Teil als Penisscheide zu gelten hat. Sie enthält den eigentlichen feinen. schlanken, in der distalen Hälfte schraubig gewundenen und zugespitzten Penis oder die Glans (Fig. 5, H und D. Zu betonen dürfte sein, dass der Samenleiter den Penis gerade durchzieht. ohne sich innerhalb desselben nochmals aufzuknäueln, wie es bei manchen, Arten vorkommt. Endlich noch die Angabe, dass das semeinsame Endrohr von Penisdrüse und Penis rechts vorn in den Spalt der Fussdrüse, also gewissermassen auch in die Fuss- drüse selbst mündet, man konnte von vorn und aussen die Penis- spitze im äussersten rechten Winkel des Spaltes erblicken. 6. Vaginula insularis n. sp. (Taf. 4, Fig. 6, A—F.) 5 Stück. Insel Bussiro bei Bukoba. Die drei ziemlich kleinen Tiere stimmen zwar im allgemeinen überein, bei allen sind die 4 Tentakel sichtbar : aber die Zeich- nunge und Färbung ist bei dem einen abweichend, wenn auch auf der gleichen Grundlage. Und da dieses Stück auch einen etwas anderen Habitus hat, insofern als es oben mehr abge- facht erscheint und das Perinotum etwa in halber Hôhe herum- läuft, gegenüber einer tieferen Lage bei den anderen, so 1st es nicht ausgeschlossen, dass sich hier zwei emander sehr ähnliche Arten unter dem gleichen Namen verbergen. Leider waren die Tiere noch mässig ausgebildet, nur bis zum Stadium der männ- lichen Reife hüchstens. Dadurch wurde es zur Unmôglichkeït. eventuell vorhandene feinere Unterschiede im Innern klarzu- legen, wie überhaupt die Beschreibung sich auf die notwendig- sten Unterscheidungsmerkmale beschränken muss. Die Schnecken sind im allgemeinen schlank oval, so dass die Seiten hüchstens in der Mitte auf eine kurze Strecke parallel ziehen, In Uebrigen ist es wohl angezeigt, die erstere Form mit NACKTSCHNECKEN A7 acherem Rücken von der gewülbteren zu trennen, sei es auch vorläufig nur als Varietäten « und D. Als Masse ergeben sich für «: für : (1 Stück) (das grüssere der beiden Stücke) Länge des Notums 2,5; LME Breite des Notums 0°,9 ; UERer Breite der Sohle hs OR E Der Längenquotient (Länge des Notums: Breite) ist bei & — 21), bei b — 3'/,; der Sohlenquotient (Länge zu Sohlen- breite) beträgt bei beiden 12 !/,. Es mag dahingestellt bleiben, inwieweit die Differenz des ersten Index zur Artenscheidung ver- wertet werden darf. Die Lage des weiblichen Porus war von aussen noch nicht zu erkennen, trotz der männlichen Reife. Die Bestimmung mittels einer von innen her durchgestochenen Nadel ergab bemahe die- selbe Lage wie bei Vag. atrolimbata. a ist vermutlich dunkler gefärbt und weniger gezeichnet als b. a ist auf dem Notum fast braunschwarz und lässt kaum noch etwas von hellerer Marbelung wahrnehmen, das Hyponotum (Fig. 6, A) ist einfarbig graubraun mit starker Dunkelung rings- um gegen das Perinotum. b hat einen heller ockerig braunen Rücken (Fig. 6, B), an dem eme dunklere Zeichnung etwas ver- schwommen den innerhalb der Familie so verbreiteten hellen Medianstreifen ausspart. Bei dem einen Stück konnte man wohl auch gegen die Seitenränder die dunkleren, unregelmässig be- grenzten Flecken in je einer Längslinie sich häufen sehen, so dass eine gewisse Neigung zur Vierbindigkeit durchklang. Doch sind derartige Anklänge innerhalb der Gattung meist hüchst unsicher und kommen eben über Andeutungen nicht hinaus. Das Hypo- notum entspricht etwa dem Notum, nur dass die Zeichnung viel weniger hervortritt, die Flecken sind nur wenig dunkler als der Grand und ziemlich gleichmässig dicht verteilt. Die Sohle ist ber allen einfarbig und lebhafter ockerig als der übrige Grund. Rev. Suisse DE Zoo. T. 20. 1912. 4 48 H. SIMROTH Der After hat die gleiche Form und Lage wie bei Vag. atro- limbata. Anatomie. Der Darm bildet auch hier die vordere Umrandung des Ein- geweideknäuels. Die Speicheldrüsen schienen nicht in der Form, wohl aber in der Farbe zu differieren. Bei D, die äusserlich viel dunkler ist, waren sie bräunlich, bei « dagegen blass, eine Be- ziehung zwischen Integument- und Drüsenfärbung, für die mir bisher keine Parallele bekannt geworden ist. Auch die Fussdrüse ist der von Vag. atrolimbata ähnlich (Fig. 6, C). Die (renitalien von & waren etwas mehr entwickelt, daher ich mich auf sie beschränke. An dem noch ganz unklaren (resamt- bilde (Fig. 6, D) fällt doch wenigstens die Grüsse der Zwitter- drüse auf. Die weiblichen Wege sind, soweit drüsig, eben erst angelegt. Die Bursa copulatrix ist kuglig und ziemlich lang ge- stielt. Es gelang wenigstens die Feststellung, dass das Vas deferens unverzweigt bis zum weiblichen Porus verläuft. Em Canalis junctor kônnte hüchstens von dieser Stelle aus seinen Ursprung nehmen. | Die männlichen Organe (Fe. 6, Eund 6, F)zeigen ein ähnliches Verhältnis zwischen der grossen Pfeildrüse und dem klemen Penis, wie bei Vag. atrolimbata. Hüchstens ist die Pfeildrüse relativ noch etwas grüsser und die Pfeilpapille etwas weniger schlank. Die Pfeildrüsenschläuche zerlegen sich noch viel schärfer in eine Gruppe von 4 langen und 3 oder 4 kurzen, mit viel stärkerer Differenz der Länge. Der eigentliche Penis oder die Glans ist schlank und von ganz ähnlicher Form, am Ende schraubig gedreht, Es blieb zweifelhaft, ob etwa die Scheide die äusserste Spitze abgetrennt hatte. Wie die Beschreibung ergibt, steht die Vag. insularis der Vag. atrolimbata sehr nahe, worauf wir zurückkommen. Die Arten unterscheiden sich wesentlich in der Grüsse und in der NACKTSCHNECKEN 49 Färbung und Zeichnung, Merkmale, die schlechterdings keine Verwechslung zulassen, Auch der Habitus der Vag. atrolimbata ist ein anderer, insofern als die parallelen Seitenränder das Bild eimer viel schlankeren Schnecke ergeben. Die Längen- und Sohlenquotienten ergeben nur ganz geringe Unterschiede. Die sedeutung der Zeichnung und Färbung, welche die sicher fest- gestellten Species so scharf trennen, erhüht wohl die Wahr- scheinlichkeit, dass auch die beiden Varietäten der Vag. insularis künftig sich als selbständige Arten erweisen werden. 7. Vaginula grisea n. sp. (Taf. 4,-Fig. 7, AG). 7 Stück. Busu (Busoga) Uganda. Die Schnecken haben etwa die Grüsse der Vag. atrolimbata und die Form der Vag.insularis, nur gestreckter, sie sind schlank oval. Das Notum ist entweder emfarbig bleigrau, oder es wird durch unregelmässig emgestreute, meist länglich schwarze oder dunkler graue Flecken unterbrochen. Das abgebildete Stück (Fig. 7, B) stellt das bunteste Exemplar dar. Wie meist, beruht die Fleckenbildung auch hier auf Pigmentkonzentration, wie sich aus 1hrer helleren Umrandung ergibt. Das Hyponotum hat ungefähr dieselbe Farbe und bleibt ungetleckt, wohl ein Beweis. dass die Zeichnung des Rückens in irgend einer noch nicht aut- geklärten Weise mit seiner frûüheren Exposition zusammenhängt. Von unten gesehen, hebt sich das Perinotum als etwas lichterer iand ab. Es ist, wie man auch ohne Querschnitt von aussen er- kennt, durch besondere Drüsen ausgezeichnet, deren Oeffnungen. Nadelstichen gleich, m sehr gleichmässigen Abständen von zirka Jun in emer Längslinie verteilt sind. Diese Drüsen haben offen- bar eine besondere Bedeutung, vermutlich als Giftdrüsen. Ihre Regelmässigkeit entspricht ganz dem Bild, welches die Herren SARASIN von einem Embryo im Celebes-Werk nach einem Längs- schnitt entworfen haben, nur dass ihre Zahl vermutlich mit der 50 H. SIMROTH postembryonalen Entwicklung beträchtlich steigt. Die breite Sohle hebt sich blass ab. Der Umstand, dass die Drüsen offen stehen trotz der Abtôtung in Alkohol und trotz einer fast knorpel- artigen Härte gerade dieser Art, welche auf eme hohe Ent- wicklung der Integumentmuskulatur hinweist, legt einen (e- danken nahe, nämlich den, dass die Poren zur Luftaufnahme und zur Atmung geôffnet sind, Wie ich früher von der australischen Vag. Hedleyi anzunehmen mich veranlasst sah. Ich mag an dieser Stelle die Frage nicht wieder aufrollen. Der Koptf ist durchweg so weit eingezogen, dass man hôch- stens noch die beiden unteren Tentakel von aussen wahrnimmt. Hier trifft die Regel (s. 0.) wieder zu, so gut wie bei Tag. insu- laris durchweg alle 4 Fühler zu sehen waren. Der weibliche Porus liegt hier vor der Mitte, etwa um den dritten Teil der Breite des Hyponotums von der Fussrinne entfernt, als feine, hell umrandete Querspalte (Fig. 7, A). Hôchst charakteristisch ist die Form des Afters; als ein breiter Spalt, knopflochartig, eng geschlossen, mit etwas verdickten, blassen Rändern, beginnt er über dem Fussrücken und zieht nach rechts herüber fast bis zum Perinotum. In Fig. 7, A ist das Sohlenende bereits ein wenig sewaltsam verschoben, in natürlicher Lage würde es den me- dianen Teil des Afters verdecken. Vielleicht ist hier die Bemer- kung am Platze, dass die Bezeichnung After besser durch Kloakenôüffnung zu ersetzen wäre:; denn es ist bekannt genug, dass die Niere in den Enddarm mündet, gleichgültig, ob man deren Endabschnitt nach älterer Auffassung als Lunge deutet oder mit PELSENEER den Tieren jede Lunge überhaupt abspricht nnd sie ledighich auf Hautatmung verweist (s. 0.) Ueber diese Dinge habe ich mich eben erst in der Pulmonatenbearbeitung für Bronns Klassen und Ordnungen des Tierreichs geäussert. Jedenfalls spricht die Form der Afterspalte von Vag. grisea nicht für eine Trennung der Wege der auszuführenden Faeces und der emzuatmenden Lauft. NACKTSCHNECKEN 51 Nun noch zu exakterer Festlegung die Maasse : Méreetdes NON PR M I PRINCE. Em G: nero dés NOR AE CS CSS Lors; Prette JC 0e eee En ET Tr CO G, Abstand des weiblichen Porus vom Vorderende 1°",8. » > “4 -Hinterende "2023; Die scheinbar zu geringen Abstände der weiblichen (Ge- schlechtsüffnung vom Vorder- und Hinterende erklären sich teils aus der Wülbung des Notums, teils aus der starken ventralen Krümmung der Schnecken, die sich schwer und nur unvoll- kommen strecken liessen. Der Längenquotient beträgt 2 !/,. der Sohlenquotient 9 !.. Anatomie. Leider waren auch diese Tiere über das Stadium der männ- hchen Reife nicht hinausgekommen. Ueberraschend wirkt ge- radezu die Kleinheit und Schlankheit des gesamten Emgeweide- knäuels gegenüber dem dicken Integument, und zwar um so mehr, als dessen erwähnte Festigkeit und Derbheit kemeswegs aut Gewebelockerung und Wasserreichtum beruht. Die Fussdrüse ist ähnlich wie bei den vorigen Arten. Am Darm schien die Leber den Vorderrand des Intestinal- sacks zu bilden, doch muss das Urteil selbst beï dieser einfachen Festsetzung vorsichtig sein. Es schiebt sich zwar em Lappen der Vorderleber auf der linken Seite am zweiten Darmschenkel nach vorn. so dass er über die Medianlinie hinweggreift, aber weiter rechts vorn ragt doch der Umschlag des zweiten Schen- kels in den dritten, unter dem die Aorta cephalica hmdurch- tritt, noch über die Leber hinaus nach vorn zu. An den Genitalien war die Zwitterdrüse, deren einzelne Acini, wie bei allen Arten der Familie, scharf von einander ge- trennt sind, sehr gross und entwickelt (Fig. 7, C). Die weib- lichen Wege, so weit drüsig, drängten sich hier viel stärker wegen die Geschlechtsôffnung heran, als bei Vag. insularis fa no H. SIMROTH (Fig. 6, D), so dass hier trotz etwas weiter vorgeschrittener Entwicklung die Entwirrung des Vas deferens und des Canalis junctor nicht gelang. Dieser Frage mochte ich bei der Unsicherheit der Entscheidung Kkein weiteres Material opfern. Die männlichen Begattungswerkzeuge smd eigenartig genug und werden vermutlhich gerade bei dieser Gruppe jederzeit zur Wiedererkennung der Species genügen. Die Pfeildrüse hat 10 bis 12 gleich lange Schläuche. Sie treten aber micht fre: bis zur Pfeildrüse heran, sondern werden bereits wie früher durch eine Hülse zusammengefasst, sodass sich zwischen die Papille, die hier etwas gekrümmt ist (Fig. 7, E), und die freien Schläuche ein schembar solider spindelfürmiger Kôrper, den wir als Pfeil- drüsenspindel bezeichnen môgen, eimschiebt. Ich mag mich hier auf die nähere Schilderung dieses bisher nicht beschriebenen Organes nicht weiter einlassen und bemerke nur, dass nach meimen Erfahrungen an anderem, reiferen Material die Spimdel nur aus den in eine Bindegewebskapsel emgeschlossenen, spirahig aufeewundenen Pfeildrüsenschläuchen zusammengesetzt wird". Das Vas deferens, so weit es frei m der Leibeshôhle legt, ist stark aufgeknäuelt. Doch liess sich das Knäuel entwirren und im drei auf- und drei absteigende Schenkel auseinanderlegen, jede wieder mit sekundären Schlängelungen (Fig. 7, D). Der Penis oder die Penisscheide ist im Verhältnis etwas massiver als bei den vorigen Arten. Ausgefüllt wird sie durch den Penis (s. 0.) oder die Glans von hôchst eigenartiger Form. Ein derber Sockel trägt oben ein feines umgebogenes Robr mit endständiger Oeff- nung. Der Sockel zerfällt durch ringsumlaufende Wülste im mehrere Etagen (Fig. 7, F und G); unten ein Ringwulst, der sich ! Nähere Untersuchung hat inzwischen für die afrikanischen Arten einen andern Bau ergeben als für die neotropischen, soweit sie eine äusseriich ähnliche Pfeildrüsenspindel haben. Bei den afrikanischen besteht sie lediglich aus einer dicken Muskulatur mit einfachem Canal, in dessen hinteres Ende die Pfeildrüsen- schläuche einmünden. NACKTSCHNECKEN 53 spiral nach der oberen Etage hinaufzieht und hier wieder einen ing bildet, der auf der Unterseite in mehrere Knoten zerfällt ; zuletzt oben ein erweiterter Randwulst, aus dem das Endrohr entspringt. Zu bemerken ist dabei, dass der Sockel ockerig rot erscheint, während das vorspringende Relief blass bleibt. Ich brauche wohl nicht wieder zu erürtern, dass aus allgemeinen Gründen das rote Pigment vermutlich als Hämoglobin zu deuten ist und füge nur die Angabe hinzu, dass die inneren Organe und das Integument oft einen Strich ins Orangerote zeigen. Vielleicht besteht ein Connex zwischen der straffen, sauerstoff bedürftigen Müskulatur und dem Reichtum an dem roten Farbstoff. 8. Vaginula leptopus n. sp. (Taf. 4, Fig. 8, A—C.) 1 Stück. Daressalam. Die offenbar junge Schnecke ist doch so gut durch das Aeussere sekennzeichnet, dass ich kaum zweïifle, man müchte die Zuge- hôrigkeit zu den künftig zu findenden erwachsenen ohne sonder- hiche Mühe feststellen künnen. Daher ich kein Bedenken trage, das Vorhandensein einer solchen Form bei Daressalam durch die Namengebang zu dokumentieren. Die Maasse sind folgende : Länge des Notums 1‘",2 : Breite des Notums OfmM,48: Breite der Sohle QE (5e Es ergibt sich also eine ganz ausserordentliche Schmalheit der Sohle, der Längenquotient beträgt knapp 2 '/,, der Sohlen- quotient 24. Die Breite der Sohle beträgt also nur den 24ten Teil der Länge des Tieres. Ich will auf dieses Verhältnis hier nicht weiter eingehen, aber doch hinzufügen, dass em solcher Index zwischen den angegebenen Grüssen mir bei keiner anderen Form vorgekommen ist. Freilich wissen wir von den etwaigen D4 H. SIMROTH Veränderungen der Kôürperproportionen während der postem- bryonalen Entwicklung bisher so gut wie nichts:; ich müsste denn darauf hmweisen, dass sie nach meinen, freilich nur spora- dsch und sprungweise gewonnenen Erfahrungen, sich nicht weiter zu ändern scheinen. Die Jugend der Schnecke folgt aus der Unmüglichkeit, den (renitalporus zu erkennen, sei es auch nur die Stelle des künftigen Durchbruchs, die sich bisweilen als durchscheinender heller Fleck offenbart. Weitere Secktion verbot demnach nicht nur der Zustand vülliger Unreife und die Kleinheit, sondern noch mehr der Umstand, dass ein Querbruch vom Rücken her durch die Emgeweide ging, welcher die Aussicht auf erfolg- reiche Zergliederung noch mehr herabdrückte. So bleiben denn noch einige Angaben über das Aeussere zu erledigen. Die Schnecke ist ziemlich stark gewülbt. Der Kopf ist soweit eingezogen, dass sich nicht einmal an der Oeffnung das Vorderende feststellen lässt, sondern der After allein die Orien- tierung erlaubte. Er liegt als weite, rundliche Spalte neben dem Sohlenende. Die Färbung ist ein gleichmässiges Graubraun, die Sohle, deren Relief sich gar nicht vom benachbarten Hyponotum abhebt, sondern dicht und gleichmässig anschliesst, ist etwas lebhafter ockerig. Erst bei näherer Besichtigung tritt eine feine Fleckenzeichnung auf dem Notum auf, die in Fig. 8, À im über- triebener Schärfe wiedergegeben ist. Hoffentlich gelingt es bald, die erwachsene Form autzufinden und nähere, auch anatomische Feststellungen daran zu machen. Uebersicht. Ein paar zusammenfassende und vergleichend-geographische 3emerkungen sind wohl noch am Platze. Die Feinheit lokaler Ausbildung innerhalb der Urocycliden wie der Vaginuliden auf afrikanischem Boden hat sich wieder bestätigt. Freilich muss der Blick genügend geübt sein, um schon NACKTSCHNECKEN 1) am Aeusseren das Wesentliche vom Unwesentlichen zu unter- scheiden. An allen den Arten, von denen diesmal mehrere Stücke vorlagen, hat sich eine gewisse, manchmal beträchtliche Varia- tionsbreite gezeigt, am stärksten wohl bei 7richotoxon macu- latum und Vaginula grisea. Gleichwohl würde es dem Kenner ein Leichtes sein, bei zufälliger Darchemanderwürfelung des sanzen diesmal vorliesenden Materiales die zusammengehürisen Stücke herauszufinden. Selbst bei so ungemein schwer zu charak- terisierenden Formen wie Atoxon lineatum oder À. tæniatum, die früher nur nach unreifen Exemplaren anfgestellt waren, haben jetzt die reifen Schnecken bewiesen, dass zwischen den Arten scharfe morphologische Unterschiede bestehen. Doch das ist bei den Gehäuseschnecken nicht anders. Wer wollte dic elixarten nur nach der Beschreibung ohne Abbildungen heraus- finden ? Und doch sollte die Conchyliologie bestrebt sein. exakte Formeln zu finden, noch dazu die normale Spira als mathematische Form mit besonderem Index erkannt ist. Bei den Nacktschnecken muss notgedrungen zunächst die reme Be- schreibung eintreten. Trotzdem glaube 1ch gezeigt zu haben. dass sich selbst unter äusserlich gleichen Umrissen der Kopula- tionsorgane bei weiterer Zergliederung, so oberflächlhich sie bei dem spärhchen Materiale bleiben musste, morphologische Diite- renzen offenbaren, welche eine Bastardierung viel unwahr- scheinlicher machen, als etwa bei zwei Helixarten aus derselben Sektion. Memes Wissens sind bisher bei Nacktschnecken auch noch niemals Kreuzungen beobachtet worden, trotzdem jeder. der sich mit ihnen, wenn auch nur systematisch, beschäftigt, weit mehr auf die Beobachtung des lebenden Tieres hinge- wiesen ist, als bei den Gehäuseschnecken, wo die Schale allein meist den Ansprüchen der Systematik, Zoogeographie und Palæontologie genügen kann. Das alles muss uns anspornen. bei der Zergliederung immer gewissenhafter vorzugehen und aut Feinheiten zu achten. Namentlich aber sollten Sammler im 30 H. SIMROTH fremden Weltteilen, falls sie genug geschult sind, môglichst ge- naue Notizen von den Tieren machen, ihrem Aufenthalt, ihrer Nahrung, ihrer Erablage, namentlich aber 1hrem Verhalten beim Vorspiel vor der Begattung und während der Copula selbst. Schon eine füchtige Umrisszeichnung von der Grüsse der ausge- stülpten Genitalien kann wertvolle Winke geben für die Blut- menge in den Organen, für die Bedeutung der Retraktoren etc. Noch erwünschter aber müsste es sein, Tiere, die in Copula überrascht wurden, auch in der Vereinigung zu erhalten, was bei Formen, die Spermatophoren fast von Kürperlänge sicherhich nur langsam austauschen, kaum auf Schwierigkeiten stossen kann. Soviel und so oft ich schon Exemplare afrikanischer Nacktschnecken unter Händen gehabt habe, deren halb ausge- stülpte Begattungswerkzeuge klar anzeigten, dass sie in Copula sefangen waren, so habe ich doch noch nie ein veremigtes Pär- chen gesehen, Sollte es so schwer sein, das zu erreichen ? Sollte nicht schon ein rasches und unmittelbares Abtüten das leisten künnen, etwa indem man die Schnecken mit dem Zweig, auf dem sie sitzen, zusammen in die Spiritusflasche wirft? Môchten künftige Reisende diesem V erlangen Rechnung tragen ! Urocycliden. Wie mir scheint, lässt sich allmählich die Schô- pfung der Urocycliden in genaueren Umrissen nachrechnen. Die Urformen waren Nacktschnecken mit den Genitalien der Vitrmen. Ihre Genitalenden hatten ausser Oviduct, Penis und Bursa noch die Pfeildrüse, wahrscheinlich die rechte Lippendrüse, wie ich sie zuerst bei Atopos fand, deren linkes Antimer in Verlust geriet und, ohne eine Spur zu hinterlassen, ausgeschaltet wurde. Die Pfeildrüse war eine echte, komplizierte Drüse mit der Müadung auf einer fleischigen Papille, die ein hohles Conchinrohr tragen konnte. Wie bei den Vitrinen, konnte die rechte Pfeildrüse, so eut wie die linke, spurlos verschwinden. Sie konnte andererseits eine neue Verbindung eingehen, indem sie sich gewissermassen immer enger an den anfangs einfachen Genitalschlauch heran- NACKTSCHNECKEN 57 drängte, bis sie zwischen Atrium und Oviduct eingeschaltet wurde. so dass die Eier ihren Weg durch sie hindurch nahmen. Dann verlor die Drüse ihren sekretorischen Charakter, aber das Conchinrohr blieb erhalten, umgab sich mit Kalk und wurde zum soliden Liebespfeil, der bald in der Eimzahl verblieb, bald durch Spaltung ein oder mehrere Pfeile ergab. Ein dritter Weg schloss, wie es scheint, einen anderen Funktionswechsel ein. Die Drüse, deren ursprüngliche Bedeutung für den Kopulationsvorgang wir nicht kennen, büsste gleichfalls ihre sekretorische Funktion und damit den eigentlichen Drüsenschlauch ein, dagegen blieb die endständige Mündungspapille in ihrer Scheide erhalten, die Scheide verlängerte sich. versah sich mit Retraktoren und wurde ausgestülpt, wahrscheinlich zu einem sekundären Hilfswerkzeug zur Vereinigung der Partner bei der Copula. Wenn ich auch be- tone, dass wir leider von keinem dieser Organe die Funktion aus unmittelbarer Beobachtung kennen, dass alles vielmehr aus dem anatomischen Verhalten nach Analogie erschlossen werden nusste, so scheint es mir doch, dass die Scllüsse allmählich eine sesicherte Basis gewonnen haben und dass die Beobachtung ihre Aufgabe mehr in der Klarstellung der einzelnen Modifikationen als der grundlegenden Deutung zu suchen habe, wobeï natürlich noch manche Ueberraschung zu erhoffen ist. Fraglich bleibt es bis jetzt, ob die Umwandlungen sich erst innerhalb der Urocycliden selbst oder schon bei den Urformen vollzogen haben. Wenigstens finde ich keinen Anhaltspunkt zur Entscheidung. Die verschiedenen skizzierten Stufen sind folgendermassen verwirklicht : Drüse erhalten _.: . - . . Comorinu. Drüse vüllig verschwunden . Atoxon, Dendrolimaxr, Phane- YOPOTUS. Drüse verschwunden. Scheide erhalten . . : . . . Urocyclus, Bukobta. 58 H. SIMROTH Drüsenscheide lang, gesondert Urocyclus. Drüsenscheide ganz kurz, hell, mit der Vagina verwachsen Pukobia. Drüsenscheide ganz kurz, mit dem Penis verwachsen . . Buetinerella. Drüse zum Pfeilsack geworden Trichotoxon, Spirotoxon, Atri- chotoxon. Ein Piel. 22222 sr ES prolotoh: Zwei Paar Pfeile . . . . Trichotoxon, subg. Diplotoxon. Mehr Paar Pfeile . . . Trichotoxon, subg. Polytoxon. Mit Pfeilsack ohne Pfeile . Atrichotoxon. Auf andere Unterschiede, verschiedene Länge der Epiphallus- anbhänge u. dergl., gehe ich nicht ein, sie bedingen die Tren- nungen zwischen den Formen ohne Pfeildrüse. Emige Zusammen- stellungen gab ich kürzlich!. Die geographische Verbreitung scheint schon einige weitere Schlüsse zu erlauben. Comorina, die kleine Schneeke, mit der ursprünglichen Pfeildrüse, hat sich nur auf den Inseln erhalten ; Urocyclus hat sein Zentrum ebenfalls auf den Comoren und Madagascar; die grüsste Ausdehnung erreicht das Genus auf dem Festland, aber nur auf dem üsthichen Rande von Usambara bis Natal, wo POLLONERA den südlichsten Vorposten, U. flarescens Keferstein, kürzlich als besondere Gattung, die mir allerdings wenig verschieden erscheint, abtrennen wollte. Bukobia bleibt auf dem üstlichen Festland im nôrdlichen Seengebiet ; die Gruppe mit Pfeilsäcken verhält sich ganz ähnlich, Spirotoxon erreicht Abessinien, Trichotoxron erhält seine hôchste Steigerung auf dem Kilimandjaro. Der grüsste Reichtum an Afoxron-Arten liegt ebenfalls im nôrdlichen Seengebiet, die übrigen Arten verteilen sich, wie der Rest, auf den Sudan schlechthin, Dendrolimax bleibt in seinen westlichen Teilen. " Simrorn : Lissopode Nacktschnecken von Madagascar, den Comoren und Mauritius. — Vürrzkow : Reise in Ostafrika, Band IT. 1910. NACKTSCHNECKEN 39 Wir erhalten wenigstens ein allgemeines Bild. Fraglich kann bleiben, wie die Gruppe nach Afrika gekommen ist. Man künnte daran denken, dass Comorina, eme der Urformen, vielleicht die die altertümlichste schlechthin, auf der alten Landverbindung durch den Indic gekommen sei, auf der Lemurenbrücke also. Vorläufig trifft die Annahme aber nicht zu, denn die Schnecke müsste dann etwa die Seychellen, aber nicht die Comoren be- wohnen. Das Zentrum der ganzen Familie liegt sicher im Sudan und zwar im Osten, auf der alten Verbindungslinie, der Ostlinie schlechthin, wie ich sie in der Pendulationstheorie genannt habe. Das macht es wahrschemlich, dass die Tiere aus dem Mediterran- gebiet stammen und der Hauptsache nach auf der Ostlinie über Abessinien, das während der Eiszeit ein Stück nôrdlicher lag. den Wüstengürtel kreuzten. Doch ist wohl sicher anzunehmen, dass die Durchkreuzung schon in viel früherer Zeit, aber mit ähnlicher Lagebeziehung, sich vollzog, im Perm nämhch; denn es zeigt sich immer schärfer, dass die nackten Lungenschnecken zu den ältesten (Gastropoden schlechtin gehüren, wenn nicht die ältesten sind, wofür ich auf der letzten Versammlung der Deut- schen Zoologischen Gesellschaft Beweise vorbrachte. Dann aber erweist sich auch die afrikanische Ostlinie als der wahre Schôüpfungsherd, auf dem die meisten Urocyclidenihren Gattungs- charakter erhalten haben. Comorina im ihrer Isolierung muss dann natürlich anders aufgefasst werden, als das älteste Relikt. was nach Südosten abgedrängt wurde und sich auf den abge- legenen Eïlanden nach ihrer Abtrennung erhalten hat, eine Parallele also zu der altertümlichen Tierwelt von Neuseeland und Australien, nur in etwas engerem Rahmen. Es bleibt abzu- warten, ob das Bild durch künftige Entdeckungen wesentlich verändert werden wird. Vaginuliden. Von ihnen gelingt es keinesfalls, jetzt schon eine ähnlhiche Uebersicht zu gewinnen, daher nur emige Bemerkungen semacht werden sollen, 60 H. SIMROTH Die verschiedene Lage des weiblichen Porus scheint ohne Be- lang. Die Fussdrüse erlaubt bei den vorliegenden Arten keine Tren- nung, da sie übereinstimmend gebaut ist. Die Darmleberverhältnisse sondern schon etwas weiter. Vag. grisea tritt den übrigen gegenüber. Diese Stellung wird verstärkt durch die auffallende Form der Afterspalte, ebenso durch die männlichen Genitalien. Die sekun- däre Zusammenfassung der distalen Abschnitte der Pfeildrüsen- schläuche zu einer Pfeildrüsenspindel gibt einen sehr bezeich- nenden Zug, ebenso ist die Gestalt des Penis durchaus ab- weichend. Ich will hier nur bemerken, dass in der Tat die V«g. grisea zu einer der bestcharakterisierten Gruppen gehürt und dass diese Gruppe meines Wissens bisher nur im Hochland von _Abessinien und von Kamerun beobachtet wurde, von wo mir eme Anzahl von Arten vorliegt, die ich indes erst noch zu be- schreiben habe. Sehr auffallend ist, dass diese Gruppe die ein- zige zu sein scheint, die Abessinien bewohnt. Ueber die nahe Verwandtschaft von Vag. atrolimbata und Vag. insularis ist oben bereits gesprochen. Wenn man daran denken kônnte, dass Vag. insularis durch die Isolierung im See ent- standen sein müchte, so wird man doch wieder zur Vorsicht er- mahnt durch die Wahrscheinlichkeit, dass die Art künftig in zwei zu zerlegen sem wird (s. 0.). Die beiden Arten haben wiederum ganz nahe Beziehungen zu den Spezies, die ich nach STUHLMANN S Sammlung (1. c.) aus demselben Gebiet beschrieb. Denn diese haben in erster Linie einen ähnlich feinen, schlanken Penis. Ein Unterschied fällt aber sofort auf, denn bei den hier beschrie- benen Arten ist sein distales Ende schraubig gebogen und endet zugespitzt, während die STUHLMANN’schen Arten an der Spitze eine kleine Scheibe tragen. Die Differenzen liegen also klar. 3etont mag immerhin werden, dass auch hier wieder 1m Seen- NACK'TSCHNECKEN 61 sebiet ganz verschiedene Elemente Zzusammenkommen aus nord- südlicher Richtung. Ueber die Stellung der jugendhichen Vag. leptopus lässt sich naturgemäss bis jetzt gar nichts aussagen. Bemerken môchte ich immerhin, dass mir eine ähnlich schmale Sohle bisher nur bei einer Form aus Uruguay vorgekommen ist. Es bleibt abzu- warten, ob sich daraus künftig eine nähere Zusammengehürig- keit ergibt. Das wäre ein Parallelfall zu Æyalimax von den Mas- carenen, von Mauritius und Südbrasilien, in absolutsymmetrischer Lage zum Schwingungskreis. Bei der grossen morphologischen und systematischen Unsicherheit innerhalb der Vagimuliden kann immerhin jeder Fingerzeig, in welcher Richtung künftig gearbeitet werden soll, wertvoll werden. 62 H. SIMROTH TAFEL-ERKLARUNG Bedeutung der Buchstaben. LE AER. op == Spermoviduet. he — Bursa copulatrix. p'—=Penis. ca — Kalksack. pf — Liebespfeil. c] — Canalis junetor, zwischen | pfd — Pfeildrüse. Samenleiter und Bursa. rfp — Pfeilpapille. d,-d, — Darmschenkel. pfs — Pfeildrüsenspindel. ei — Eiweissdrüse. pg — Weibliche Genitalüffnung. ep — Epiphallus. ps — Penisscheide. fl — Flagellum. rp — Penisretraktor. gl = Glans. rpf — Retraktor der Pfeildrüse. [k — Hinterleber. v — Vagina. li — Ligament der Bursa. vd — Vas deferens. lo — Norderleber. sd = ZWitterdrüse. od — Oviduct (distal Nidamental- ! 39 = Zwittergang. drüse). TAFEL 3. Fi6. 4. — Atoxon Carli n. sp. A. Genitalorgane. Die Bursa ist mit Spermatophoren angefüllt. — B. Unteres Ende des Penis. — C. Dasselbe mit geüffneter Penis- scheide. Fi, 2. -— Aloron linealum Srth. A. Genitalenden. — B. Unteres Ende des Penis. Der in ganzer Läünge sebffnete äussere Schlauch enthält einen inneren derberen Schlauch, der unten eine Strecke weit geôffnet wurde. Fi6. 3. — Bukobia picta Srth. A. Die Genitalenden. — B. Die Pfeildrüse und der Penis, ge- üffnet. — C. Die Pfeildrüse, weiter auseinander gefaltet. Fi. FiG. FIG. Fic. FIG. 4 NACKTSCHNECKEN 63 — Trichotoxon maculatum Srth. A. Normaler Mantel mit einem Defekt am vorderen Rande. Er ist durch die Radula des Partners beim Vorspiel bewirkt. — B. Mantel- ‘ skulptur. — C. Abnormer Mantel mit offenem Porus. der von dem Apex der Schale ausgefüllt wird. — D. Die Genitalien. — KE. Der ©: 6. Pfeilsack geôlfnet. Nur das linke Paar Pfeile, von dem der eine linke seine Spitze eingebüsst hat, ist freiselegt. TAFEzL 4. .—— Vaginula atrolimbata n. sp. A. Die Schnecke von unten. -— B. Die Fussdrüse. — C. Der Magen mit einmündenden Darmschenkeln und Lebern. — D. Die Genitalien (ohne die männlichen). — E. Ende der Genitalien. — F. Die männlichen Kopulationsorgane. — G. Der Penis. — H. Pfeil- drüse und Penis geüffnet. — 1. Penis ss. — Vaginula insularis n. sp. A. Var. a von unten. — B. Var. b von oben. — C. Die Fussdrüse. — D. Die unentwickelten Zwittergenitalien. — KE. Die männlichen Begattungswerkzeuge. — F. Pfeilpapille und Penis geüffnet. . — Vaginula grisea n. sp. A. Von unten. — B. Von oben. — C. Die unentwickelten Zwitter- organe. — D. Die männlichen Begattungswerkzeuge. — E. Pfeildrüse und Penis, geüffnet. — F. Penis von unten. — G. Penis von oben. . — Vaginula leptopus n. sp. A. Die Schnecke von links. — B. Dieselbe von unten. — C. Sche- matischer Querschnitt, stärker vergrôssert (*,.). Fw * Rev. Sursse de Zool. T'.20. 7972. PES H.Simroth, Nackischnecken FT ÆSimroth del. H.Simroth, Nacktschnecken LR Le ro \ UMR pis : Une La | EVA à PPT REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 3. — Mai 1912. Einige Lumbricidenfunde mit besonderer Berücksichtigung des Standortes VON D' Rob. STÂGER, Bern. In der Annahme, dass bei unserer noch germgen Kenntnis der schweizerischen Lumbriciden-Fauna jeder einzelne Fund besonders auch in tiergeographischer und biologischer Hinsicht ein gewisses Interesse beanspruchen mag, wage ich es, hier die folgenden Beobachtungen zur Kenntnis zu bringen, die ich in den letzten 2? Jahren an verschiedenen Stellen der Alpen ge- macht habe, Sämtliche Tiere wurden von Herrn D' K. BRET- SCHER in Zürich bestimmt, dem ich für seine Mühe auch hier den herzlichsten Dank ausspreche: I. Lumbriciden in den Moospolstern des Bergahorns (Acer pseudoplatanus). Bekanntlich werden der Stamm und die Aeste dieses maleri- schen, schattenspendenden Baumes in der Voralpenregion unserer Berge sehr häufig von dicken schwellenden Moospolstern in Be- sitz genommen, auf denen sich eine ganze Menge sogenannter Gelegenheits-Epiphyten, Farne und hühere phanerogamische Rev. Suisse DE ZooL. T. 20. 1912. D 66 R. STÂGER Gewächse, als Geranium Robertianum, Oxalis acetosella, Sedum album, Saxifraga Aizoon, Ja ganze Büsche von Sorbus aucu- paria, Lonicera cœrulea und meterhohe Rottännchen nebst einer Anzahl anderer Gewächse, oft im buntesten Durchein- ander ansiedeln. Ich habe bis jetzt über 50 Species Gelegenheits- Epiphyten auf dem Bergahorn gefunden, die in den erwähnten Moospolstern durchaus keim kümmerliches Dasein fristen!, son- dern die Bäume oft bis noch in die Kronen hinauf in üppig- blühenden epiphytischen Decor emhüllen, so dass man sich in den tropischen Bergwald versetzt glauben môchte. Dieses gute Gedeïhen im Moospolster verdanken die Gelegen- heitsepiphyten hauptsächlich den Anhäufungen von Regenwurm- exkrementen innerhalb des Polsters, die sich bis hoch in die Kronen hinauf nachweïsen lassen und einen Humusgehalt des Substrates von über 38!°/, Aber nicht nur die Exkremente, auch die Würmer selber und ihre Kokons treffen wir im Moospolster bis zuoberst in die Bäume hinauf an. Die ersten diesbezüglichen Funde machte ich im Juli 1910 auf der kleinen, ahornbestandenen Brunnenalp (ca. 1400) in der Curfirstenkette ob Wallenstadt. Es betrifft die folgenden Formen : bedingen *. 1. Helodrilus (Dendrobæna) rhenani Br. . Helodrilus (Dendrobæna) rubidus Say. 3. Helodrilus (Dendrobæna) rubidus var. subrubicundus Le) Eisen. 4. Lumbricus rubellus Hoffm. b. Eisenia alpina. ! Siehe meine beiden Arbeiten : a) Beitrag zur Schweizerischen Epiphytenflora. Mit einer Ansicht und drei Textfiguren. Mitteil. der Naturforsch. Ges., Bern, 1908. b) Zur Oekologie der Gelegenheitsepiphyten auf Acer pseudoplatanus. Mitteil. der Naturforsch. Ges., Bern, 1912. * Siehe meine Arbeit b). LUMBRICIDEN FUNDE 67 Letztere Art wurde nach BRETSCHER’S brieflicher Mittei- lung bisher einzig im Mürtschengebiet und auch dort sehr spär- lich gefunden. Eine Anzahl Lumbriciden, deren Gürtel noch nicht entwickelt war, konnten nicht genau. bestimmt werden. Nach der Ansicht BRETSCHER’S handelte es sich wahrscheinlich um Æelodrilus rubidus. Die Tiere fanden sich keineswesgs vereinzelt vor ; auch nehmen sie in den Moospolstern nicht nur vorübergehenden Aufenthalt ; das beweisen die zaklreichen Kokons und die verschiedenen Entwicklangsstadien der Tiere selbst. Die unter normalen Ver- hältnissen ewig feuchten Moospolster der schattigen Ahornbäume bieten den Würmern offenbar ganz ideale Existenzbedingungen. Nur, wenn nach wochenlanger exzessiver Trockenheit, wie das ausnahmsweise im Sommer 1911 vorkam, wo selbst die nächtliche Taubildung ausblieb, schliesslich auch die Moosum- hüllungen der Ahorne zu schrumpfen beginnen, verschwmden auch ihre steten Bewohner, die Regenwürmer und suchen wahr- scheinlich im Erdboden Schutz. Es ist mir letztes Jahr bei Fal- chern (ca. 950%) und Hohbalm (ca. 12-1300") an der Scheidegg- strasse ob Meiringen im Berner Oberland begegnet, dass ich halbvertrocknete Moospolster abhob, ohne eine Spur von Regen- würmern (ihre Exkremente ausgenommen) wahrzunehmen. Nur wo in dem vertrocknenden Polster vielleicht noch eine hand- srosse, feuchtere Stelle war, erbeutete ich oft den letzten Rest der zurückgebliebenen Lumbriciden. An den bezeichneten Oertlichkeiten bei Meiringen fanden sich, bevor die grosse Trockenheit einsetzte, in Menge vor: 1. Helodrilus (Dendrob.) rubidus Saw. 2, Helodrilus (Dendrob.) rubidus Sav. var. subrubicundus Eisen. Die nämlichen Formen bewohnten in Menge die dicken Moos- 68 R. STÂGER polster von Steinblücken im Walde bei Falchern und gegen Hohbalm. Eine grüssere Anzahl weiterer Funde konnte wegen ungenügender Entwicklung der Geschlechtsorgane nicht be- stimmt werden. In den Tropen scheint das Leben von Lumbriciden auf Bäu- men zu Anpassungen fortgeschritten zu sein. So berichtet Hugo MIENE ! von einem bis SO“ Jangen Regenwurm, der auf Java in dem Humusballen von Asplenum nidus, einem Detritus- sammelnden Epiphyt, lebt, grosse Gänge in dem Substrat bohrt und nur dort seinen Standort haben soll. IT. Lumbriciden in Polsterpflanzen und Spalier- sträuchern. K. BRETSCHER ? erwähnt einen Lumbricus-Fund im Polster einer Silene, den DE RIBAUCOURT in 3200 Hühe am Averser Weisshorn im Wallis machte und schreibt mir, dass er selbst Dendrobæna octaedra in Polsterpflanzen angetroffen habe. Im August 1910 beobachtete ich oberhalb des Hotels Belve- dère, an der Furka, bei ca. 2300" im Humus eines 30-400 erossen Spalierrasens von Loiseleuria procumbens, der sich schräg aufwärts an einen Granitblock angeschmiegt hatte, eine grosse Menge Regenwürmer, deren Bestimmung leider unter- blieb. Der Spalierrasen war 12-15 dick und strotzend voll von Wurmexkrementen. Desgleichen bemerkte ich beim Hotel Furka (2400) in den mit schwarzem Humus erfüllten Maschen eines Salix-Spaliers Lumbriciden. Ein echter typischer Spalierstrauch ist auch Dryas octopetala, die jungfräulichen Boden liebt und den Schutt der Felswände befestigt. Am 20. Juli vorigen Jahres (1911) sammelte ich in ! Hugo Mreue, Javanische Sltudien. Leipzig bei G. B. Teubner, 1911. ? K. BrerscHer. Ueber die Verbreitungsverhältnisse der Lumbriciden in der Schweiz. Biologisches Centralblatt, Bd. XX, No 21. 1. Nov. 1900. LUMBRICIDENFUNDE 69 einem solchen Spalierrasen von Dryas, der in der Nähe des unteren Endes des Rosenlauigletschers (1800) eine ältere Moräne bezogen hatte und weite Flächen überspann, Æelodrilus (Dendrob.) rubidus var. subrubicundus und Lumbricus rubellus nebst ÆHelodrilus (Dendrob.) rhenani Br. Der Rasen war ca. 7-8 dick. Direkt unter dem grünen Blattwerk war eme Schicht abgestorbener und abgeworfener brauner Blätter und darunter war eine rabenschwarze Schicht von Humus, in dem die Tiere sich fanden. Vermüge dieser fetten Humusschicht hatten sich in den Maschen des Spalierstrauches andere, anspruchsvollere Gewächse angesiedelt, so Astragalus alpinus, Phaca frigida. ÆEuphrasia usw. Auf den jüngst vom Gletscher verlassenen Gries- und Sand- stellen hatte auch schon Dryas festen Fuss gefasst und bildete in der sterilen Umgebung fussgrosse Inseln. Flachrasen von Salix-Arten spannen sich da und dort über einen Block ; Gyp- sophila repens und Anthyllis vulneraria folgten hart bis ans Eis des Gletschers. Aber alle diese Pioniere wurzelten direkt in dem hellen, gelblichen Grus und Sand. Von Humus war nichts zu entdecken und von Regenwürmern ebensowenig. Wie wir ge- sehen haben, folgen die Lumbriciden zwar hart dem zurück- weichenden Gletscher (denn der Spalierrasen von Dryas, m dem ich die Funde machte, war kaum 100 Schritte vom Eis ent- fernt), aber nur insoweit, als das Terrain bereits vom Pflanzen- wuchs genügend befestigt und ruhig ist. Ein häufiges Spaliersträuchlein auf felsigem Grunde ist Glo- bularia cordifolia. Ich sammelte letzten Sommer auf Hohbalm (1300) bei Meiringen in dessen Humus bergenden Maschen Lumbricus melibæus Rosa. In einem Polster von Silene acaulis auf der Reichenbach-Alp (1800) im Berner Oberland fand sich am 14. Juli 1911 em leider unbestimmbares Exemplar eines Regenwurms, der dort grosse Mengen Humus angelegt hatte. 70 R. STÂGER Schliesslich erwähne ich noch einige andere Oertlichkeiten. die ich nach Lumbriciden absuchte, ohne dass meine Bemü- hungen immer von Erfolg begleitet gewesen wären. Auf dem Widderfeld, rechts und links vom Weg, der von der erossen Scheidegg nach dem Faulhorn führt, findet sich bei ca. 2200" eine sehr interessante und ausgedehnte Hückerland- schaft. Auf flachem Terrain erheben sich mitten in der Alp- weide ca. 30° hohe und 150% im Durchmesser haltende Erd- hügel, die mit einer Trockenheit-hebenden Flora bewachsen sind. Teilweise zeigt ihr Scheitel Tundracharakter, der durch verschiedene Flechten, namentlich Cetraria islandica, hervor- serufen wird. Die oberste Schicht der Hügel ist vertorft: im Innern aber findet sich eine frische, braune Erde. Zwischen den unzäbhligen Hückern ziehen sich 26-35 breite Zwischentälchen dahin, die die Pflanzen der guten Milchkrautweide aufweisen. Sie sind frischgrün und gräbt man hier, so findet man einen fetten schwarzen Humus. In den Hückern fanden sich nun nie Regenwürmer, wohl, weil die oberste Schicht zu trocken war; in den feuchteren Zwischentälchen aber stiess ich auf eine grosse Form von Lumbriciden. Leider konnte das beschädigte Belegexemplar nicht bestimmt werden. In der Nähe des Hospizes auf der Grimsel (1876%) werden de dortigen Rundhôücker häufig von einem Bestand aus Nardus stricta und Polytrichum juniperinum überzogen. Unter einer solchen abhebbaren Filzdecke fanden sich am 4. August 1911 Exemplare von Octolasium cyaneum Sax. In der rabenschwarzen Erde mehrerer mit Carex-Arten be- standener kleiner Tümpel in der Nähe der Grimselseen konnte ich trotz angestrengtesten Grabens nie Lumbriciden wahr- nehmen, obwohl dieselben fast gänzlich ausgetrocknet waren und nur die tiefgründige Erde in denselben sich noch frisch hielt. Die gleiche Beobachtung machte ich am Fuss des KI. Furka- LUMBRICIDENFUNDE tal horns (bei ca. 2500") und am Totensee und dessen weiterer Umgebung (2150), wo weite Flächen und Mulden von der Schneetälchen-Formation in Besitz genommen sind. Nirgends habe ich unter diesem Pflanzenteppich, wo es nicht an Feuchtig- keit mangelt, je Regenwürmer nachweisen künnen, obwohl ich es mir nicht verdriessen liess, lange und energisch nach ihnen zu graben. Der Schneetälchenrasen ist zeitweise unter Wasser sesetzt, kann aber doch auch wochenlang ziemlich trocken wer- den, ohne eine gewisse Feuchtigkeit zu verlieren, so dass hierim für die Lumbriciden kein Hindernis liegen Kkünnte. Die Schneetälchenformation breitet sich immer auf Grus- und Sand- büden des Hochgebirges aus, aber hierin kann wieder nicht das eigentliche Hindernis liegen, denn wir haben gesehen, dass im Spalierrasen von Dryas octopetala, der als echter Pionier sogar rutschendes Terrain befestigt, die Regenwürmer dem Gletscher (Rosenlauigletscher) auf dem Fusse zu folgen vermügen. Nach K. BRETSCHER! enthalten saure Rieder und Moorbüden wegen den sie durchsetzenden Humussäuren nur ausnahms- weise Lumbriciden. Deswegen stellen sie sich wohl auch im Schneetälchen nicht ein, denn dieses Substrat erweist sich nach meiner Prüfung mit Lackmuspapier als sehr sauer. Während der milde Humus eines Silenen-Polsters blaues Lackmuspapier kaum verändert, rütet Humus aus Schneetälchen solches sehr intensiv. Soweit ich die Literatur eingesehen habe, ist die Schnee- tälchenformation, die im Hochgebirge eine grosse Rolle spielt, bis jetzt noch nie nach Regenwürmern durchforscht worden. Auch DIEM? in seiner schünen Arbeit über die Bodenfauna scheint diesen Boden nicht berücksichtigt zu haben. He, 5.70% Konrad Diem. Untersuchungen über die Bodenfauna in den Alpen. Jahrb: d. St. Gallischen Naturw. Ges., 1901-1902. 1 2 REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 4. — Mai 1912. Die Diplopoden-Fauna von Celebes VON Dr. J. CARL Assistent am Naturhist. Museum Genf. Hierzu Tafel 5 und 6 und 37 Figuren im Text. I. Einleitung. Das Hauptmaterial zu dieser Arbeit lieferte die Diplopoden- Ausbeute der Herren Dr. P. und Dr. F. SARASIN während ihrer zwei Forschungsreisen auf Celebes. Es liegen Arbeiten über die Ausbeuten von Max WEBER, A. B. MEYER und KÜKENTAL auf Celebes vor, die, eimzelne früher beschriebene Arten mitein- serechnet, für die Insel etwa 41 Diplopodenarten verzeichneten. Während aber diese Sammlungen fast ausschliesslich aus dem Norden der Insel, der Minahassa, und aus dem äussersten Süden, Makassar, stammten, erstreckte sich die Sammeltätig- keit der Herren SARASIN fast über die ganze Insel und ergab eine entsprechend umfangreichere Ausbeute, die neben den grossen, auffälligen Formen auch kleine und kleinste enthält und das Resultat methodischen Suchens, nicht nur gelegentlhichen Auflesens, darstellt. Eine willkommene Ergänzang dazu lieferte die mir vom Senckenberg-Museum in Frankfurt à. M. anvertraute Ausbeute von Dr. J. ELBERT (Sunda-Expedition des Frank- Rev. SuiISsE DE Zo00L. T. 20. 1912. 6 74 J. CARL furtervereins für Geographie), deren geringerer Umfang dadurch aufsewogen wird, dass sie aus dem sehr wenig bekannten äusser- sten Südosten von Celebes und den südlich davon liegenden In- seln stammt. Dank dem Entgegenkommen von Herrn Prof. Max WEBER in Amsterdam, Dr. L. NiCKk und der Direktion des Senckenberg- Museums in Frankfurt und vor allem von Herrn Prof. A. JACOBI. Direktor des Dresdener Museums, war es mir môglich, die Origi- nalexemplare einer grossen Anzahl aus Celebes beschriebener Arten zu untersuchen und damit meine Arbeit auf sicherere und breitere Basis zu stellen. Diese Bemühungen, das reichliche Material, das uns zur Ver- fügung stand, und der erzielte Fortschritt in unserer Kenntnis der celebensischen Diplopoden-Fauna mügen emerseits den all- semeineren Titel dieser Arbeit, andererseits den Versuch recht- fertigen, in einem besonderen Kapitel die Diplopoden-Fauna von Celebes zum Gegenstand zoogeographischer Betrachtungen zu machen. Wenn auch künftige Sammlungen in Celebes noch viel Neues liefern werden, so lässt sich schon jetzt mit emem grossen Grad von Wahrscheinlichkeit sagen, in welcher Richtung die neuen Entdeckungen zu erwarten sind und wie sie sich zu dem heutigen Gesamtbild der celebensischen Diplopoden-Fauna ver- halten werden (s. Allgemeine Betrachtungen $. 82). Der Umstand, dass die Ausbeute der Herren SARASIN mehr als 15 Jahre der Bearbeitung harrte, hat ihrem Interesse nicht den geringsten Eintrag getan, setzt uns vielmehr heute in den Stand, ihren reichen Inhalt mit bedeutend grüsserer Sicherheit in den Dienst zoogeographischer Fragen zu stellen. Besonders kommt uns in dieser Hinsicht zu statten, dass einerseits Bear- beitungen anderer Tiergruppen für Celebes vorliegen, die zu interessanten Diskussionen Anlass gegeben haben, und dass an- dererseits die Kenntnis der Diplopoden-Fauna wichtiger (rebiete des indo-australischen Archipels unterdessen bemerkenswerte DIPLOPODEN VON CELEBES ; 75 Fortschritte gemacht hat, so dass eine Basis für den Faunen- vergleich geschaffen ist. Freilich sind in dieser Hinsicht noch lange nicht alle Wünsche erfüllt, und so künnen auch die allge- meinen Resultate nur Fragmente darstellen und nur gewisse Fragen berühren, während sie andere dagegen, wie beispiels- weise das Verhältnis von Celebes zu den Philippinen, vorläufig sanz unberücksichtigt lassen müssen. Zu Celebes rechnen wir auch die Tributärinseln, von denen uns selbst oder früheren Bearbeitern Material vorgelegen hat. Es sind dies im Norden Sangi, im Süden Saleyer, Boëton, Moena und Kabaena. Zur bequemen Bezeichnung der verschiedenen Teile der Insel bedienen wir uns der von Dr. P. und F. SARASIN ‘ getroffenen künstlichen Einteilung in 5 Gebiete : die Halbinseln Nord-Celebes, Ost-Celebes, Süd-Ost-Celebes, Süd-Celebes und den an alle anstossenden centralen Teil, Central-Celebes. IT. Allgemeine Betrachtungen. Die von den Herren Dr. F. und P. SARASIN von ihren Celebes- reisen mitgebrachte Sammlung, vermehrt durch die kleimere Ausbeute des Herrn Dr. ELBERT, bereichert die Zahl der cele- bensischen Diplopodenarten um mehr als das Doppelte, indem sie zu den 41 bisher bekannten noch 49 benannte Arten hinzufügt, von denen nur 7 schon bekannt, 42 aber für die Wissenschaft neu sind. Die Diplopodenfauna von Celebes zählt also nach unserer derzeitigen Kenntnis etwa 90 sichere Arten. Die Insel ist demnach keineswegs arm an Diplopoden; denn Java, das schon viel früher und häufiger von Sammlern abgesucht wurde, hat ungefähr dieselbe Artenzahl ergeben. Es gereicht uns zur Freude, einen Teil der von den Herren 1 Vol. Ueber die geologische Geschichte der Insel Celebes auf Grund der Tier- verbreitung, 1901, S. 15, Karte. 76 J. CARL SARASIN aus dem Studium der Mollusken-Fauna von Celebes abgeleiteten Schlüsse auch durch die Diplopoden bestätigt zu sehen. Was die Verwandtschaft und Herkunft der celebensischen Diplopoden-Fauna anbetrifft, so kommen wir aber zu einem Re- sultat, das in keiner Weise dem aus der heutigen Mollusken- Bevülkerung von Celebes abgeleiteten entspricht. Es liegt uns fern, auf Grund der Untersuchung einer einzelnen Gruppe die auf so fester Basis aufgebaute geologische Geschichte der Insel anfechten zu wollen. Wir beschränken uns daher auf eine Dar- stellung des Tatsächlichen und der sich daraus ergebenden nächsten Fragen. a) Endemismus. Von den 90 Celebes bewohnenden Diplopodenarten sind nicht weniger als 70 nach unserer heutigen Kenntnis ihrer Verbreitung auf Celebes beschränkt. Wir treffen also fast genau dasselbe Verhältnis an, wie es für die Stylommatophoren und Deckel- schnecken nachgewiesen ist. Eine andere Parallele mit den Landmollusken ergibt sich aus der Verbreitung der Gattungen. Von den 18 Gattungen von Diplopoden ist keine als endemisch zu betrachten, die einzige hier neu aufgestellte Gattung, Neso- glomeris, umfasst zweifellos noch andere unter dem Namen Glomeris aus den verschiedenen Teilen des Malayischen Archi- pels und dem asiatischen Continent beschriebene Arten. Die Diplopoden sprechen somit auch für eine verhältnismässig wenig weit zurückliegende Besiedelung der Insel. Ebenso schôn be- stätigt sich die für die Mollusken aufgestellte Regel der Verterlung der endemischen Arten auf der Insel selbst. Eine einzige von den 70 endemischen Formen ist mir aus vier Gebieten der Insel vorgelegen, alle übrigen stammen aus einem emzigen derselben, so dass auch von grôüsserer oder kleinerer faunistischer Affinität zwischen den einzelnen Teilen der Insel vorläufig nicht ge- sprochen werden kann, umsomehr als die verschiedenen Terle der Insel sehr ungleich intensiv durchforscht sind. Diese ausser- DIPLOPODEN VON CELEBES 77 ordentliche Lokalisierung der Arten mag zum Teil allerdings auf den Lücken in unserer heutigen Kenntnis ihrer Verbreitung beruhen; dass sie aber keine absolute Täuschung ist, dürfte schon daraus hervorgehen, dass die von verschiedenen For- schern aufgefundenen Arten immer wieder aus derselben (re- send stammen, aus der sie ursprünglich beschrieben worden sind. Ob diese auffallende Lokalisierung als ein Hinweis zu deuten ist, dass für die Herkunft der celebensischen Fauna ver- schiedene Quellen zu suchen seien, oder ob sie sich aus der Topographie der Insel erklären lässt, müge dahingestellt bleiben ; jedenfalls verträgt sich erstere Ansicht nicht gut mit der er- staunlich grossen Anzahl endemischer Arten, die eine relativ junge Artbildung an Ort und Stelle voraussetzt. Sicher hat eine solche im Genus ÆRhinocricus stattgefunden, wie aus dem Zu- sammenhang vieler Arten zu Artgruppen hervorgeht (vel. (ren. Rhinocricus). Auch die nicht endemischen Arten sind übrigens zum grüssten Teil lokalisiert. Jhrer 13 sind bis jetzt aus einem einzigen Teil- stück der Insel bekannt, vier bewohnen zwei oder drei Teil- stücke resp. Inseln und eine Art endlich liegt aus allen Teilen der Hauptinsel mit Ausnahme der noch ganz unerforschten üst- lichen Halbinsel vor. Demnach ist die Lokalisierung bei den nicht endemischen Arten weniger deutlich ausgesprochen als bei den endemischen. b) Charakter und Herkunft der Celebensischen Diplopoden-Fauna. Angesichts der kleinen Zahl nichtendemischer Arten, die dazu noch nach verschiedenen Richtungen hinweisen, wäre es äusserst schwierig, auf Grund der Arten allein die Verwandt- schaft und Herkunft der Diplopoden zu ermitteln. Zu diesem Zwecke müssen auch die hüheren systematischen Emheiten herangezogen werden. Dies ist bei den Diplopoden um so eher 78 J. CARL môglich, als in dieser Gruppe der Familien- und Gattungs- Begriff weniger schwankend sind als etwa bei den Landmollus- ken. Beginnen wir also mit den Familien und Gattungen : Von besonderem Interesse ist die relativ reiche Vertretung der Glomeriden, welche Familie bisher von Celebes, aber nicht weiter üstlich davon nachgewiesen worden war. Hingegen war ihre Verbreitung im malayischen Archipel und in Südost-Asien schon bekannt. Bemerkenswert ist in zoogeographischer Hin- sicht die Tatsache, dass sämtliche celebensischen Arten der Sub-Familie der Glomerinæ angehôren, dass diese Sub-Familie, der auch unsere einheimischen Glomeris angehüren, sich somit weit über das palaearktische (rebiet hinaus erstreckt. Diese Tat- sache schien zwar schon einmal festgestellt, konnte aber ange- zweifelt werden, nachdem VERHŒFF den Nachweis geleistet, dass eine sogenannte <« Glomeris >» der orientalischen Region den Typus einer neuen Sub-Familie bildet. Die Sphærotheriden smd auf Celebes mit 12 Arten ebenfalls reichlich vertreten. Auffallenderweise gehüren sämtliche Arten der Gattung Castanotherium an, welche Gattung nach Osten bis nach Australien reicht, auf dem asiatischen Continent aber zu fehlen scheint. Auf Java ist sie bisher durch eine einzige Art vertreten ; auf Borneo und noch mehr auf Sumatra tritt Casta- notherium hinter Sphæropoeus zurück. Sie scheint demnach ihre Hauptentwicklung im papuasischen Gebiet zu haben, über orneo nach Sumatra eingewandert zu sein und von dort aus Java eben noch erreicht zu haben. Die Polydesmiden sind im Verhältnis bedeutend schwächer vertreten als beispielsweise auf Java, wo sie fast die Hälfte der gesamten Diplopodenfauna ausmachen. Das Zurücktreten dieser Famihe hinter den Spirostreptiden und Spiroboliden wird aber immer deutlicher, je weiter wir nach Osten vordringen und be- deutet somit einen papuasischen Zug in der Diplopodenfauna von Celebes. Sie erscheinen erst auf Neu-Guinea wieder zahl- DIPLOPODEN VON CELEBES 79 reicher. Dasselbe ergiebt sich mit Bezug auf die Celebes be- wohnenden Polydesmiden-Gattungen. Die meisten derselben haben zwar eine sehr weite Verbreitung und erstrecken sich zum Teil weit über den indo-australischen Archipel hinaus; zum Teil erstrecken sie sich sogar über mehrere Kontinente. Be- merkenswert ist jedoch die Gattung Polylepis (Pachyurus auct. pt.), die von Borneo über Celebes und die Molukken bis zu den Salomonen reicht, aber von Sumatra und Java noch nicht ver- zeichnet ist. Die Gattung Opisthoporodesmus hat je emen Ver- treter auf Celebes und Neu-Gruinea. Den auffälligsten Zug in der Diplopodenfauna von Celebes bildet das fast vollständige Zurücktreten der Spirostreptiden und die starke Entfaltung der Spiroboliden. Die Spirostreptiden mit den Gattungen Spirostreptus und Thyropygus bilden den auffallendsten Bestandteil in der Diplopoden-Fauna von Borneo, Sumatra und Java und repräsentieren auf letzterer Insel unge- fähr ein Viertel der gesamten Diplopoden-Fauna. Sie sind diesen Inseln offenbar von Hinterindien her, das sie ebenfalls bewohnen, zugewandert. Celebes besitzt keine einzige Thyropyqus-Art und die einzige von dieser Insel citierte Spirostreptus-Spezies ge- hôürt allem Anschein nach der Gattung Æhynchoproctus an. Rhynchoproctus aber ist in wenigen Arten nur von Celebes, Borneo, Sumatra und den Aru-Inseln bekannt, nicht aber von Java. Dieses deutet wiederum auf eine nähere Verwandtschaît von Celebes, Borneo und den Molukken hin, welche letztere eben- falls keine T'hyropyqus und nur vereinzelte Spirostreptus-Arten seliefert haben. Ihnen schliesst sich Neu-Guinea an, von welcher Iusel wir überhaupt noch keine Spirostreptiden kennen. Umgekebrt verhält es sich mit der Entwicklung der Spiro- boliden. Schon auf Grund der kleinen Ausbeute von À. B. MAYER konnte SILVESTRI sagen, dass die indomalaische Subregion durch das Vorwiegen von Thyropyqus — die papuanisch-australische durch das Vorwiegen von Æhinocricus-Arten ausgezeichnet ist. S0 J. CARL Seither hat sich dieser (Gregensatz nicht nur bestätigt, sondern noch bedeutend verschärft. Ein Drittel sämthcher celebensischer Diplopoden gehürt der Spiroboliden-(rattung ÆRhinocricus an. In äbhnlicher Weise tritt dieselbe auf Neu-Gruinea und den um- liegenden Inseln in den Vordergrund und ist, soweit bekannt, auch in den Molukken stark vertreten. Auf der andern Seite be- sitzt Borneo noch einige wenige Arten ; von Sumatra kenne ich eine einzige Rhinocricus-Art, aber von Java ist noch keine ein- zige bekannt geworden. In ihrer Entfaltung und Verbreitung westlhich von Neu-(ruinea zeigt somit diese Gattung eine gewisse Analogie mit dem Sphærotheriden-Genus Castanotherium. Die erosse Verbreitung der Gattung ÆRhinocricus ausserhalb des indo-australischen Archipels dürfte die Bedeutung dieser Tat- sachen keineswegs abschwächen, sondern muss im Gegenteil die gänzhiche Abwesenheit der Gattung auf Java und ihre schwache Vertretung auf Sumatra um so bedeutungsvoller er- scheinen lassen. Sie weist auf eine frühzeitige Abtrennung re- speetive einen kurzen Zusammenhang jener beiden Inseln mit dem übrigen indo-australischen Archipel hin. Aehnlich wie mit Rhinocricus verhält es sich mit einer zweiten Spiroboliden- Gattung, Trigoniulus, die ebenfalls auf Celebes, den Molukken und Neu-Gruinea reich und in einer morphologisch ziemlich ho- mogenen Weise vertreten ist, in Borneo und besonders in Su- matra stark zurücktritt und endlich in Java nur durch den tro- pischen Ubiquisten T°. lumbricinus Gerst, vertreten ist. Es ergiebt sich demnach aus der Verteilung der Familien und Gattungen im indo-australischen Archipel und dem Verhältnis ihrer Vertretung auf den einzelnen Inseln, dass die Diplopoden- Fauna von Celebes ganz und gar den Charakter der papuasischen zeigt. Derselbe tritt bedeutend abgeschwächt noch auf Borneo hervor, wo die papuasischen Spiroboliden mit den indo-malay- ischen Spirostreptiden wetteifern und erlischt schliesshich ganz auf Sumatra, so dass die Diplopoden-Fauna von Celebes und Java DIPLOPODEN VON CELEBES 81 ein grundverschiedenes Gepräge haben. Indem Borneo und Su- matra den Uebergang vermitteln, deuten sie an, dass der Faunen- Austausch auf einem nürdlichen Wege vor sich gegangen sei. Es bleibt uns noch übrig, die Verbreitung der nicht endemi- schen Celebes bewohnenden Diplopoden- Arten zu prüfen. Ihre Zahl ist gerimg und vermindert sich noch durch den Ausschluss von vier Arten, die innerhalb der Tropen zu weit verbreitet sind, um Zoogeographisch in Betracht zu kommen, und einer fünften Art, deren Bestimmung nicht zweifellos richtig ist. Von den übrig bleibenden Arten hat Celebes gemeinsam mit den nôrdlichen Molukken eine, mit Amboina vier, wovon die eine auch auf Neu-Guinea und eine andere auch auf den Aruinseln vorkommt. Die Aruinseln haben ausserdem noch eine Art mit Celebes gemeimsam. + Arten finden sich in Nord-Celebes (Minne- hassa) und im Nordwest-Borneo (Baramfluss). Eine vom botani- schen Garten in Singapur bekannte Art ist in Süd-Celebes wieder gefunden worden: in diesem Falle künnte es sich um Verschleppung handeln. Endlich hätte Celebes nach der Lite- ratur eine einzige Art ausschliesslich mit Java gemeinsam | Orthomorpha weberi (Poc.)|: allein die spezifische Zusammen- gehôrigkeit der Exemplare aus Süd-Celebes und derjenigen aus Java ist sehr fraglich (vgl. S. 88). Von einigen endemischen Arten lässt sich noch die nächste Verwandtschaft feststellen : Opisthoporodesmus bacillifer hat seinen einzig bisher bekannten Gattungsgenossen in Neu-(Gruinea. Strongylosoma moniliforme n. sp. ist einer aus Neu-(Gruinea mangelhaft beschriebenen Art so ähnlich, dass sie müglicherweise mit derselben zusammenfällt, Trigoniulus tachypus Poc. ist nächstverwandt mit 77. karycinus Att. von den Nord-Molukken, wie denn überhaupt diese schlan- ken, mittelgrossen Trigoniulus-Arten von Celebes, den Mo- lukken, Aruimseln und z. T. selbst Neu-Guinea sich morpho- logisch eng aneinanderschliessen. Wie in ihren grossen, so erweist sich die Diplopoden-Fauna 82 J. CARL von Celebes auch in ihren kleinen Zügen als mit derjenigen ostlich davon gelegener Crebiete äusserst nahe verwandt, während gegen Westen hin auch hinsichthch der Arten viel nähere Be- ziehungen zu Borneo als zu Sumatra oder Java bestehen. Die sehr ungleich vorgeschrittene Kenntnis der Diplopoden- Fauna der einzelnen Inseln erlaubt uns schliesslich, künftigen Untersuchungen etwas vorzugreifen. Wie schon bemerkt, ge- hôrt Java mit zu den besterforschten Inseln des indo-australi- schen Archipels, und das ibm zugekehrte Süd-Celebes ist eben- falls bedeutend besser bekannt als andere Teile der Insei, mit Ausnahme des Nordens, sodass ein relativ geringer Zuwachs an diesen beiden (Grebieten gemeinsamen Arten zu erwarten ist. Hingegen dürfte Ost-Celebes, von wo noch keine einzige Diplo- podenart verzeichnet ist, noch manche mit den ebenfalls mangel- haft bekannten Molukken gemeinsamen liefern. Von einer bessern Durchforschung der südlichen Philippinen dürfte viel- leicht eine Erklärung der Uebereinstimmungen zwischen der Diplopoden-Fauna von Celebes, besonders Nord-Celebes. und jener von Borneo zu hoffen sein. Vergleichen wir die aus den Diplopoden sich ergebenden Schlüsse über die Beziehungen zu den Nachbargebieten mit den- jenigen, die auf das Studium der Landmollusken gegründet sind, so ergeben sich überraschende Verschiedenheiten. Zwar nehmen auch die Herren SARASIN einen Faunenaustausch zwischen Ce- lebes und den Molukken an. Während aber ihre hypothetische Molukkenbrücke für die Besiedelung von Celebes mit Land- mollusken eine sekundäre Rolle spielte, müssen wir für die Di- plopoden gerade dieser Verbindung den intensivsten Austausch zuschreiben. Noch auffälliger ist der Gregensatz zwischen beiden Gruppen in Bezug auf das Verhältnis zwischen Java und Ce- lebes, die ja hüchstens eine Diplopodenart gemeinsam haben und im allgemeinen Charakter ihrer Diplopoden-Fauna so gründ- hch verschieden sind. Für die sehr geringe Bedeutung der Java- DIPLOPODEN VON CELEBES 8 brücke dürfte ausser der Ergebnisse des direkten Vergleichs zwischen beiden Inseln auch die Zusammensetzung der von Dr. EL.- BERT auf Lombock gemachten Diplopoden-Sammlung sprechen : Ausser einer neuen, einem weit verbreiteten Genus angehôürigen Polydesmidenart, enthält diese Sammlung nur Arten von Æhi- nocricus und Trigoniulus, von denen ersteres Genus auf Java vollständig fehlt und letzteres nur durch eine Art vertreten ist, die sich fast die gesamten Tropen erobert hat. Wir wollen nicht die alte Frage der Lombockstrasse als Faunenscheide wieder aufwerfen und begnügen uns darauf hinzuweisen, dass auch die Diplopoden-Fauna von Lombock einen durchaus papuasischen Charakter haben dürfte. Dieser Annahme widersprechen auch unsere allerdings sehr geringen Kenntnisse der Diplopoden- Fauna von Flores und anderer kleiner Sundainseln nicht. Es er- hebt sich demnach die wichtige Frage, warum auf jener hypo- thetischen Javabrücke der Austausch von Landmollusken so leb- haft und derjenige von Diplopoden so geringfügig gewesen ist. Das Alter der beiden Gruppen kann desshalb nicht zur Er- klärung herangezogen werden, weil Celebes überhaupt erst m verhältnismässig junger Zeit emporgetaucht sein soll und es sich bei diesem Gegensatz auch um junge Evolutionsstufen, um Arten handelt. Auch besteht kein Grund, für die Diplopoden-Ver- breitung etwa andere als historische Erklärungen zu suchen, nachdem sowohl die Herren SARASIN als Max \WVEBER gegen die Theorie der einseitigen Verschleppung aufgetreten sind und erstere auch die MÜLLER sche Theorie der physiologischen Faktoren, oder der Facies, als irrtümlich hinstellen. Ein weiterer Widerspruch mit den Ergebnissen der Herren SARASIN ist viel- leicht nur scheinbar. Die ziemlich weitgehende Uebereim- stimmung der Diplopoden-Fauna von Celebes mit der von Borneo spricht nicht ohne weiteres gegen die angenommene hohe Bedeutung der Makassarstrasse als Faunengrenze, für die bekanntlich auch A. R. WALLACE und $. MÜLLER eingetreten S4 J. CARL sind. Jene gemeinsamen Züge künnten auch in einer gemeinsamen, auf den Philippinen zu suchenden Quelle ihren Grund haben. Ueber die Bedeutang der Philippimenbrücke kônnen wir uns aber bei unserer äusserst geringen heutigen Kenntnis der philip- pimischen Diplopoden-Fauna kein Urteil erlauben. Jedenfalls hat sie keinen, den papuasisch-australischen Charakter der ce- lebensischen Diplopoden stürenden Elementen Eingang ge- stattet. Klarer als bei irgend einer Tiergruppe kommt bei der in Frage stehenden der Zusammenhang Celebes’ mit den Mo- lukken und Papuasien zum Ausdruck. Wenn von Regionen über- haupt die Rede sein soll, so gehürt die Insel, soweit es die Di- plopoden anbetrifit, voll und ganz zur papuasischen Region und kann vorderhand weder als ein Mischgebiet und noch viel weniger als ein (Grebiet < mit verarmter indischer Fauna > be- zeichnet werden. Damit stellen wir uns in Widerspruch mit den meisten bisherigen Bearbeitern einzelner Tiergruppen und anderen Autoren, welche die Frage nach der Grenze zwischen üstlicher und westlicher Fauna im indo-australischen Archipel zu beantworten versucht haben; aber die ganze Geschichte dieser Frage scheint darzutun, dass jede Tiergruppe mehr oder weniger abweichende Resultate ergibt und wieder neue Probleme auftauchen lässt. Immer klarer wird es jedoch, dass das Suchen nach bestimmten Grenzlinien allgemeiner Gültigkeit müssig wäre und dass es vielmehr gilt, Uebergangsgebiete festzustellen, welche sich hinwiederum bei den verschiedenen Tiergruppen nicht decken werden, In unserem besondern Fall liegt dieses Uebergangsgebiet mit Faunen gemischten Charakters bedeutend westlicher als das entsprechende Gebiet anderer Tiergruppen. Wir sehen ein solches Uebergangsgebiet in Borneo, das gleich- zeitig die Charakter-Grenera Sphaeropoeus, Spirostreptus und Thyropygus der westlichen und die Genera Castanotherium, Elynchoproctus, Rhinocricus und Polylepis der üstlichen Fauna aufweist. (@e) ot DIPLOPODEN VON CELEBES III. Verzeichnis der Diplopoden von Celebes. Fam. GLOMERIDÆ. 1. Nesoglomeris kirropeza (Att.). Syn. Glomeris kirropeza. ATTEMS, 1897, S. 480. Nord-Celebes (ATTEMS und Coll. SARASIN). 2. Nesoglomeris sarasinorum n. Sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 3. Nesoglomeris eremita n. Sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 4, Nesoglomeris alticola n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Fam. SPHÆROTHERIDÆ. D. Castanotherium distinctum n. sp. Südost-Celebes (Coll. SARASIN). 6. Castanotherium suspectum n. sp. Central-Celebes (Coll. SARASIN). 7. Castanotherium læve n. sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). S6 J. CARL 8. Castanotherium celebense Silv. SILVESTRI, 1897, S. 15, Fig. XX-XXIT. Nord-Celebes (SILVESTRI). 9. Castanotherium criniceps (Att.). Syn. Zephronia criniceps. ATTEMS, 1897, S. 482, Taf. XXI, Fig. 8. Nord-Celebes (ATTEMS und Coll. SARASIN). 10. Castanotherium pilosum n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 11. Castanotherium ornatum n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 12. Castanotherium decoratum n. Sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 13. Castanotherium boëtonense n. sp. Hisel Boëton (Coll. ELBERT). 14. Castanotherium sparsepunctatum n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 15. Castanotherium stellatum n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 16. Castanotherium spec. Süd-Celebes (Coll, SARASIN). ee) —] DIPLOPODEN VON CELEBES Fam. SIPHONOPHORIDÆ. 17. Siphonophora spec. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). Fam. POLYZONIDÆ. 18. Rhinotus celebensis n. sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 19. Rhinotus trichocephalus n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 20. Rhinotus (2) hicksoni (Poc.) Syn. Sipionotus hicksoni. POCOCK, 1894, $. 339. Celebes (POCOCK). Fam. POLYDESMIDÆ. 21. Strongylosoma Kükenthali Att. ATTEMS, 1897, S. 484, Taf. XXI, Fig. 9. — 1898,.$. 301, Taf. III, Fig. 48. Nord-Celebes und Borneo (ATTEMS). 22, Strongylosoma hetairon Att. ATTEMS, 1897, S. 485. — 1898, S. 302. Nord-Celebes (ATTEMS). 88 J..CARL 23. Strongylosoma pictum n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 24. Strongylosoma hirtipes n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 25. Shrongylosoma montivagum n. Sp. Central-Celebes (Coll. SARASIN). 26. Strongylosoma constrictum n. sp. Central-Celebes (Coll. SARASIN). 27. Strongylosoma moniliforme n. sp. Süd-, Südost-, Central- und Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 28. Orthomorpha weberi (Poc.)". Syn. Strongylosoma weberi, Pocock, 1894, NS. 321, 367, PI. XXI, Fig. 4-4 a. Ortomorpha weberi, ATTEMS, 1898, S. 339. Süd-Celebes (2); Java (POCOCK). 29. Orthomorpha coarctata (Sauss.). Syn. Strongylosoma coarctatum, POCOCK, 1894, 5. 321, 566. Süd-Celebes und Insel Saleyer (POCOCK); Süd-Celebes, Ma- kassar (Coll. SARASIN). Weit verbreitet in den Tropen: Molukken, Malayischer Ar- chipel, Hinterindien, Madagascar, Antillen, Cayenne etc. " Nach Pococr's eigener Angabe ist es fraglich, ob das Exemplar (Q) von Makassar mit dem ° von Java zur gleichen Art gehürt, so dass O. weberi wahr- scheinlich aus der Liste der celebensischen Diplopoden zu streichen sein wird. DIPLOPODEN VON CELEBES 89 30. Orthomorpha Sp. ? Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 31. Cylindrodesmus hirsutus Poc. Pocock, 1888, S. 558, Fig. 2. —— ATTEMS, 1899, S. 424; ROM Se 112-Taf L'Fis24;1910;$.-80;: Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Weit verbreitet: Java, Amboina, Luzon, Christmas Island, Seychellen (ATTEMS, 1907), Comoren (ATTEMS, 1910). 32. Prionopeltis socialis n. sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 33. Polylepis elberti n. sp. ! Südost-Celebes (Coll. ELBERT). 34. Polylepis xestoloma (Att.). Syn. Pachyurus xestoloma. ATTEMS, 1897, S. 488. Pachyurus (Angustinus) xestoloma. ATTEMS, 1899, S. 287. | Nord-Celebes, Borneo (ATTEMS). 35. Polylepis erythrokrepis (Att.) Syn. Pachyurus erythrokrepis. ATTEMS, 1897, S. 489, Taf. XXII, Fig. 12. Pachyurus (Angustinus) erythrokrepis. ATTEMS, 1899, 5.287, Taf. XII, Fig. 293. Nord-Celebes, Borneo (ATTEMS). ! Für die Synonymie der Gattung vgl. Pococx, Biologia centrali-americana, Diplopoda, $. 118, 1909. Rev. Suisse DE ZooL. T. 20. 1912. 7 J. CARL 36. Platyrrhacus tetanotropis Att. ATTEMS, 1899, S. 331, Taf. XIV, Fig. 323. Insel Sangir (Sangi?, ATTEMS). 37. Platyrrhacus sarasinorum n. sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 38. Platyrrhacus sanguineus (Poc.). Syn. Taphodesmus sanguineus. POCOCK, 1897 a, p. 440. Platyrrhacus sanguineus. ATTEMS, 1899, p. 327. Nord-Celebes (POCOCK). 39. Platyrrhacus pergranulatus (Siv.). Syn. Acisternum pergranulatum. SILVESTRI, 1897, p. 13. Platyrrhacus pergranulatum. ATTEMS, 1899, p. 345. Süd-Celebes (SILVESTRI). 40. Platyrrhacus alatus n. sp. Südost-Celebes (Coll. ELBERT). A1. Platyrrhacus zonatus n. sp. Insel Kabaena (Coll. ÉLBERT). 42. Platyrrhacus arietis n. sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 43. Platyrrhacus Sp. ? Südost-Celebes (Coll. ELBERT). DIPLOPODEN VON CELEBES 91 44. Opisthoporodesmus bacillifer n. sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 45. Cryptodesmus triseriatus n. Sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). Fam. CAMBALIDÆ. 46. Agastrophus orientalis n. sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 47. Hypocambala helleri Sir. SILVESTRI, 1897, p. 11, Taf. If, Fig. 59-62. Süd-Celebes und Aru-Inseln (SILVESTRI). Fam. TRACHYIULIDÆ. 48. Cambalopsis nordquisti Att. ATTEMS, 1909, p. 71-74, Textfig. XXV, Taf. 2, Fig. 28-32. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Singapore, botanischer Garten (ATTEMS). Fam. SPIROSTREPTID Æ. 49. Rhynchoproctus proboscideus Poc. Pococx, 1894, p. 321, 386, PL XXI, Fig. 7-7 c. Syn. Rhyncoproctus minor. SILVESTRI, 1897, p. 2, À LES A Fig. 1-5. 92 JACARL ERhyncoproctus longipes. SILVESTRI, 1897, p. 2. Text- hole Süd-, Südost-, Central- und Nord-Celebes (Coll. SARASIN). Central-Celebes (POCOCK), Nord-Celebes (SILVESTRI). Aru (SILVESTRI). Sumatra (Mus. Dresden). 50. Rhynchoproctus (2) crassanus (Karsch). Syn. Spirostreptus crassanus. KARSCH, 1881, p. 24. Süd-Celebes (KARSCH). Fam. SPIROBOLID Æ. 51. Trigoniulus lumbricinus (Gerst.). Syn. Spirobolus lumbricinus. GERSTÂCKER, 1873, p. 516. Spirobolus (oësi. PORAT, 1876, p. 36. — 1888, p. 244. Trigoniulus Groësi auct. (sec. ATTEMS, 1907, p. 131). Süd-Celebes und Insel Saleyer (POCOCK, 1894). Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Insel Boëton (Coll. ELBERT). Weit verbreitet : Vorder- und Hinterindien, Grosse und Kleine Sunda-[nseln, Amboima, Seychellen, Zanzibar, Nossi-Bé, An- tillen und Südamerika. , D2. Trigoniulus ambonensis Att. ATTEMS, 1898 a, p: 512, 513, Taf. XLI, Fig.3, 4. Central-Celebes (Coll. SARASIN). Amboima (ATTEMS). b3. Trigoniulus flavipes Att. ATTEMS, 1897, p. 508, 509, Taf. XXIV, Fig. 47, 48. Nord-Celebes (ATTEMS und Coll. SARASIN). DIPLOPODEN VON CELEBES 93 b4. Trigoniulus uncinatus Att. ATTEMS, 1898 a, p.513, 514, Taf. XLI Fig. 6-9. Nord-, Südost- und Central-Celebes (Coll. SARASIN). Amboina (ATTEMS). ?Syn. Trigoniulus heteropus Silv. et var. fasciolatus Silv. SILVESTRI, 1898, p. 445, 446, Fig. 6-10. Neu-(Guinea. 55. Trigoniulus squamosus n. sp. Central-Celebes (Coll. SARASIN). 56. Trigoniulus tachypus Poc. POCOGR O4 D0.- 3072 PE XXI Mis 29; Insel Saleyer (POCOCK). 57. Spirobolellus chrysoproctus Poc. PococK, 1894, p. 321, 400. Central-Celebes (POCOCK). 58. Spirobolellus chrysogrammus Poc. Pocock, 1894, p. 321, 340. - - ATTEMS, 1898 a, p. 515. Süd-Celebes (PococK und Coll. SARASIN). Amboina (ATTEMS). Aru-Inseln (Coll. MERTON). 59. Spirobolellus solitarius n. Sp. Celebes (Coll. SARASIN). 60. Pseudospirobolellus bulbiferus (Att.) Syn. Spirobolus bulbiferus. ATTEMS, 1903, p. 71. 94 J. CARL Spirobolellus bulbiferus. ATTEMS, 1907, p. 134-138, Textfg. XL-XLIL Taf. IL Fig. 66-71. Spirobolellus comoronis. ATTEMS, 1910, p. 92, Textfig. 8, Taf. 10, Fig. 11. Spirobolellus globiclunis. ATTEMS, 1910, p. 93, 94, Textfig. 9, 10; Taf. 10, Fig. 12, 13. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Insel Boëton (Coll. ELBERT). Java (ATTEMS 1903, 1907). — Comoren (ATTEMS, 1910). 61. Spirobolus (£?) celebensis (Gerv). Syn. Julus celebensis. GERVAIS, 1847, p. 173. Celebes (GERVAIS). 62. Spirobolus (2) dissentaneus Karsch. Syn. Spirobolus dissentaneus. KARSCH, 1881, p. 56. Trigoniulus dissentaneus. ATTEMS, 1897, p. 517. — 1898 à), p. 511. Spirobolus (?) dissentaneus. ATTEMS, 1907, p. 87. Nord-Celebes (KARSCH). Nord-Borneo und Java (ATTEMS). 63. Rhinocricus meyeri Si. SILVESTRI, 1897, p. 8, Taf. I, Fig. 40, 41, Taf. Il, Fig. 42-46. Nord-Celebes (SILVESTRI, Coll. SARASIN). 64. Rhinocricus heteropus Silv. SILVESTRI, 1897, p. 9; Taf. Il, Fig. 47-51. Nord-Celebes (SILVESTRI). 1 Von dieser Art ist weder das c' beschrieben noch Karscæs Diagnose ver- vollständigt worden, so dass sowohl ihre generische Zugehôürigkeit wie ihre Ver- breitung fraglich bleiben. Dasselbe gilt von Sp. celebensis (Gerv.). DIPLOPODEN VON CELEBES 65. Rhinocricus virgatus Att. ATTEMS 1897, p. 527, Taf. XXII, Fig. 27 und 28. Nord-Celebes (ATTEMS und Coll, SARASIN). Nord-Borneo (ATTEMS). 66. Rhinocricus montivaqus n. sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 67. Rhinocricus weberi Poc. Pocock 1894, p. 321, 391, Taf. XXII, Fig. 22-22 c. Central-Celebes (POCOCK). 68. Rhinocricus centralis n. sp. Central-Celebes (Coll. SARASIN). Var. spectabilis n. var. Südost-Celebes (Coll. ELBERT). Var. minor n. var. Südost-Celebes (Coll. ELBERT). 69. Rhinocricus peninsularis n. sp. Südost-Celebes (Coll. ELBERT). Var. expulsus n. var. Insel Kabæna (Coll. ELBERT). 70. Rhinocricus fulvotæniatus n. sp. Südost-Celebes (Coll. SARASIN). 95 J. CARL 71. Rhinocricus lateralis n. sp. Südost-Celebes und Insel Boëton (Coll. ELBERT). Var. atratus n. var. Südost-Celebes. 72. Rhinocricus manensis n. Sp. Insel Mœna (Coll. ELBERT). 73. Rhinocricus ripariensis n. sp. Central-Celebes (Coll. SARASIN). 74. Rhinocricus gerontalensis n. sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 75. Rhinocricus annulipes n. Sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 76. Rhinocricus multistriatus n. Sp. Nord-Celebes (Coll. SARASIN). 77. Rhinocricus transversezonatus n. Sp. Central-Celebes (Coll. SARASIN). 78. Rhinocricus phthisicus n. sp. Central-Celebes (Coll. SARASIN). 79. Rhinocricus macassarensis n. Sp. Süd-Celebes (Coll. SARASIN). DIPLOPODEN VON CELEBES 97 80. Rhinocricus eumelanus Poc. Pocock 1894, p. 321, 394, PL XXII, Fig. 26. Celebes : Bira (POCOCK). 81. Rhinocricus brachyproctus Poc. Pococrk1594"p.321;393: Insel Saleyer (POCOCK). 82. Rhinocricus hicksoni Poc. Pocock 1894, p. 321, 394 — ATTEMS 189 8 a, p. 515. Celebes (POCOCK). Amboima (ATTEMS). 83. Rhinocricus pyrrholoma Att. ATTEMS 1897, p. 527, Taf. XXII, Fig. 24, 25. Syn. Rhinocricus Haasei. SILVESTRI, 1897, p. 10, Textfig. XIT, IT, Nord-Celebes (ATTEMS, SILVESTRI und Coll. SARASIN). 84. Rhinocricus jucundus Att. ATTEMS 1897, p. 550. Nordwestl. Central-Celebes — Ternate (Molukken) (ATTEMS). 85. Rhinocricus analaucus Suiv. SILVESTRI 1897, p. 4, Taf. [, Fig. 10. Süd-Celebes (SILVESTRI). 86. Rhinocricus filosus Si. SILVESTRI 1897, p. 9, Taf. IL Fig, 52, 53. Süd-Celebes (SILVESTRI). J. CARL 87. Rhinocricus anomalus Silv. SILVESTRI 1897, p. 7, Taf. I, Fig. 27—30. Nord-Celebes (SILVESTRI). 88. Rhinocricus neglectus Suiv. SILVESTRI 1897, p. 6, Taf. I, Fig. 25, 26. Nord-Celebes (SILVESTRI). . 89. Rhinocricus elongatus Sy. SILVESTRI, 1897, p. 10, Textfig. XIV. Nord-Celebes, (SILVESTRI). 90. Rhinocricus cognatus Si. SIVESTRI 1897, p. 6, Taf. I, Fig. 23, 24. Nord-Celebes (SILVESTRI). 91. Rhinocricus xanthopygus Silv. SILVESTRI 1897, p. 7, Taf. L, Fig. 31, 32. Nord-Celebes (SILVESTRI und Museum Basel). 92. Rhinocricus styliferus Siv. SILVESTRI 1897, p. 5, Taf. I, Fig. 11—15. Nord-Celebes (SILVESTRI). 93. Rhinocricus mediostriatus SU. SILVESTRI 1897, p. 9, Textfig. X, XI. Insel Sangi (SILVESTRI und Coll. SARASIN). DIPLOPODEN VON CELEBES 99 IV. Beschreibung neuer und Bemerkungen zu bekannten Arten. Fam. GLOMERIDÆ. Subfam. Glomerinæ Verh. Im Lauf der letzten 25 Jahre sind durch POCOCK !, SILVESTRI? und ATTEMS* unter dem (Gattungsnamen Glomeris mehrere Arten beschrieben worden, die meisten von Sumatra, 1 vom Mergui-Archipel und 1 von Celebes, alle mit einer grossen Zahl von Brustschildfurchen. Später hat VERHOEFF (Arch. f. Naturg., 1906, p. 188-194) für ein mit » Wood, 1865, identifiziertes Exemplar von der Insel Salanga die Gattung Rhopalomeris und die Subfam. Rhopalomerinæ aufgestellt, bei der die Antennen durch die Form des 6. und 7. Gliedes und den Besitz von vielen Sinnesstiften charakterisiert sind; in diesem Punkte steht die Untertamilie näher den Sphærotheriden als den Glomeriden, mit denen sie die übrigen Familienmerkmale teilt. VERHŒFFS Entdeckung liess es nun zweifelhaft erscheinen, ob die übrigen < Glomeris » der orientalischen Region dieser Gattung nnd überhaupt der Subfam. Glomerinæ angehôüren. Letzteres wird nun wahrscheinlich, indem die uns vorliegenden 4 Arten der SaRASIN’schen Ausbeute echte Glomerinæ sind. ? Journ. Linn. Soc., Zool., vol. XXI, 1889, p. 290 und Webers Reise, III, 1894, p. 322-325. ? I Chilop. ed à Diplop. di Sumatra, 1895, p. 16, 17. * Abh. Senckenb. Naturf. Ges., Bd. XXIII, 1897, p. 480. 100 J. CARL Hingegen weichen sie von Glomeris in Merkmalen ab. denen ein so guter (Glomeridenkenner wie VERHŒFF generischen Unter- scheidungswert beïlegt. Wir gründen auf sie die neue Gattung : Nesoglomeris gen. nov. Kôürper aus 3 + 9 Tergiten zusammengesetzt, mit 17 Lauf- beimpaaren. Antennen wie bei Glomeris. Brustschild mit bis zum Hintereck rückwärts verlän- gertem Hyposchismalfeld (wie bei Glomeridella, Typhlo- glomeris, ervaisia und Rhopalomeris, nach VERHŒFF), mit zahlreichen (6-16) Furchen, von denen mindestens 4 durch- laufen. Tergite ganz glatt und glänzend, unbehaart. Gonopoden mit langem Borstenträger am Präfemur und Fe- mur und starken Femoral- und Tibiallappen!. Kleime Arten, in Celebes anscheinend Gebirgstiere. Dieser Gattung dürfte wohl auch die Mehrzahl der sumatra- nischen Glomerinæ angehôren. Uebersicht der Arten. 1. — Färbung ähnlich der von Glomeris marginata, nur mit aufsehellten Tergiträndern, ohne ausgedehnte helle Flecke : N. kirropeza (Att.). Crewisse Téroite aussedehnt he ER ne 2, — Pygidium nur mit hellem Hinterrand. Halsschild ganz schmutzigweiss : N.eremita n. Sp. ! Die Spärlichkeit des Materials (nur je ein stark eingekugeltes ' von zwei Arten) erlaubt uns nicht, die Verhältnisse des Syncoxits klarzulegen. DIPLOPODEN VON CELEBES 101 Pygidium ganz hell oder mit grossem gelbem Fleck, Hals- somideanz oder zum grosstenu.Teil-dunkels: "1"... 3 3. — Seitenlappen des Brustschildes und ein dreieckiger Fleck auf dem Pygidium gelblich. Brustschild seitlich mit 8 Furchen : N. sarasinorum n. Sp. 4, — Brustschild bis auf einen schmalen Hinterrandstreifen gelblich-weiss. Pygidium ganz gelblich-weiss. Brustschild seit- ich mit ca. 16 Furchen : N. alticola n. sp. Nesoglomeris sarasinorum n. Sp. (Taf. 6, Fig. 36) Grundfarbe grauschwarz mit einem Stich ins Blaue ; der vor- dere Teil des Kopfschildes gelblich; die Seitenlappen des Brust- schildes, mit Ausnahme eines kommaartigen, grauen Streifens, paralell zum Vorderrand, das hintere Drittel des Halsschildes, das Ende der Seitentlügel und ein dreieckiger, grosser Fleck auf dem Pygidialschild gelblich. Hinterrand der Tergite grünhich- weiss. Unterseite und Beine gelblich. Auf dem Seitenabfall der Tergite 3—7 ein undeutlicher, schräg nach hinten her- untersteigender hellerer Strichfleck. Ocellen: 7+1. Halsschild mit den 2 gewühnlichen gebogenen Querfurchen. Brustschild auf den Seiten mit 8 Furchen, wovon 4 über den sanzen Rücken laufen, die folgenden Tergite mit 2 Seiten- furchen, Hinterrand der Tergite wie bei eremita in der Mitte äusserst schwach vorspringend, Hinterrand des Pygidialsehil- des beim © regelmässig gebogen, beim cjf im mittleren, die Basis des gelben Flecks bildenden Teil, gerade bis äusserst seicht emgebuchtet. Alle Tergite sehr glatt und glänzend. Gonopoden mit lingerem præfemoralen und kürzerem femo- ralen Borstenträger, grossem Femoral- und Tibiallappen (Fig. 56) 102 J. CARL Vordere und hintere Nebengonopoden (17. u. 18. Beinpaar) 5 gliedrig. Eänge 80m,5, Breite 425, 1, 1 © Loka 1000-1300 m. üb. M., Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Nesoglomeris kirropeza (Att.). 3 Exemplare, die aus derselben (Gegend stammen wie die Originalexemplare von ATTEMS, stimmen mit der Beschreibung (@) hinsichtlich der Färbung, Grüsse und Brustschildseiten- furchen sehr gut überein. Die dunkle Grundfärbung hat einen schwachen, blauen, metallischen Ton. Von den 6—8 Furchen der Seitenlappen des Brustschildes laufen 4 über den Rücken. In einem offenbar variablen Merkmal weichen meine Exem- plare von ATTEMS Angaben ab: ich konnte nur 1 Ocelle ausserhalb der 7—8 zähligen Längsreihe entdecken. Beim fist der Hinterrand des Pygidialtergits in der Mitte schwächer gebogen als beim ©, aber nicht deutlich einge- buchtet. Die Gonopoden sind genau so gebildet wie bei N. sa- rasinorum; die beiden Borstenträger sind noch ein wenig länger. Das j zeigt auch die von ATTEMS erwähnte undeutliche selbweisse Marmorierung auf den Seiten des Rückens. 2 ©, Gipfel des Lokon; 1 j° Soputan-Sattel 1200 m. üb.M .; Nord-Celebes. (Coll. SARASIN). Der Vergleich mit ATTEMS Cotypus (©) ergab keine andern Unterschiede als die dunklere Grundfärbung bei den Exem- plaren der KÜKENTHAL’schen Ausbeute. Nesoglomeris eremita n. sp. Kopfschild und Antennen grau-schwarz, der Vorderrand nur sehr schmal aufgehellt, auf dem Scheitel ein verwaschenes gelbliches Fleckchen. Halsschild ganz schmutzigweiss. Brust- DIPLOPODEN VON CELEBES 103 schild und die folgenden Tergite samt dem Pygidialschild grau- braun, mit weisslich aufgehelltem Hinterrand, dieser helle Saum seitlich und meist auch in der Mitte etwas breiter. Vor- derrand der Brustschildseitenlappen und die Spitzen der folgen- den Seitenfiügel etwas aufeehellt. Seitenabfall der Tergite mit Andeutung einer hell marmorierten Zone. Unterseite weiss, die Pleuren hellgrau. Ocellen 7+1. Tergite ganz glatt und glänzend. Der Halsschild mit den ge- wühnlichen zwei gebogenen Querfurchen. Brustschild auf den Seiten mit 9 Furchen, auf dem Rücken ausser der Vorderrand- furche mit 4 durchgehenden Furchen und einer in der Mitte breit unterbrochenen 5ten Furche. Die Seitentflügel der folgen- den Segmente mit 2—3 schrägen Furchen. Der Hinterrand der Tergite 5—12 in der Rückenmitte mit sehr schwachem wink- ligem Vorsprung. Hinterrand des Pygidiums in der Mitte äusserst seicht, kaum merklich eimgebuchtet. Lange 13e bBrèéite 65: 1 ©, Bowanglangi, 1200-1500 m. üb. M., Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Nesoglomeris alticola n. sp. Kopf- und Halsschild schwärzlich, glänzend, letzterer mit schmal aufgehelltem Hinterrand. Brustschild, die Spitzen der Seitenkiele aller Tergite und der Pygidialschild gelblichweiss; vor dem Hinterrand des Brustschildes ein spindelférmiger, hellgrauer Querstreifen, der nicht bis zum Hintereck herunterreicht. Die übrigen Tergite grau mit gelblichweissem Hinterrande; der Vorderrand der Seitenflügel trägt eine meist unter dem voran- gehenden Tergit verborgene grauschwarze Makel. Unterseite sammt den Beinen dunkelgrau, die Innenseite der Brustschild- seitenlappen, des Pygidiumsund der Seitenflügel jedoch gelbweiss. Ocellen: 6 + 1. 104 J. CARL Halsschild mit den gewühnlichen 2 gebogenen Querfurchen. Brustsehild mit auffallend vielen, feinen und dichtgestellten Furchen; es sind etwa 16 auf den Seitenlappen, wovon 4 durch- laufen. Die Seitenkiele der Tergite mit 2 Furchen. Die Tergite ganz glatt und glänzend. Hinterrand des Pygidialschildes regelmässig gebogen (©). Länge 6,5, Breite am 3. Tergite 3,5. Der Kürper nach hinten hin sehr deutlich gradweis verschmälert. 1 © Gipfel des Bowonglangei; Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Ausser der Farbe kennzeichnet die Art die ausserordentlich hohe Zahl von Brustschildfurchen. Fam. SPHAEROTHERIDAE. In einer früheren Arbeit (Zool. Jahrb. Abt. f. Syst. ect., Bd. XXIV, p. 228, 1906) haben wir hervorgehoben, wie sehr die Systematik dieser Gruppe noch in den Anfängen liegt und wie schwierig es ist, die Mehrzahl der beschriebenen Arten wie- derzuerkennen. Wir sehen uns daher genütigt, die meisten Sphaerotheridæ aus Celebes als neu zu beschreiben, trotzdem vielleicht die eine oder andere von 1hnen schon aus andern malayischen oder papuasischen Inseln oder von Hinterindien, wo die Familie stark entfaltet scheint, schon beschrieben sein mag. Unter diesen Umständen kônnen die Arten bei unseren faunistischen Betrachtungen nicht in Betracht kommen. Emme Re- vision der ganzen Familie wird wahrscheinlich auch zu einer andern Auffassung der Genera führen, von denen eimige, z. B. Castanotherium, nur auf das cj° gegründet sind. Wenn wir im folgenden die nur als © © vorliegenden Arten dem (Genus Castanotherinm und nicht Zephronia zuweisen, so geschieht es deshalb, weil alle bisher auf cj° gegründeten celebensischen Arten dem ersteren (Genus angehôren. Soweit es die Sphæro- DIPLOPODEN VON CELEBES 105 theriden anbetrifft, wäre mithin die celebensische Fauna durch starke Entfaltung der Gattung Castanotherium ausgezeichnet, wäbrend dieselbe auf Borneo und Sumatra hinter Sphæropoeus, richtige Anwendung der Gattungsnamen durch die Autoren vorausgesetzt, zurücksteht. Von Birma und Nord-[ndien sind nur zahlreiche Arten von Zephronia bekannt. Gen. Castanotherium Silv. Uebersicht der celebensischen Arten: 1. — Der grüssere Teil des Brustschildes dorsal schräg nach vorn abfallend und im eingerollten Zustand vom Pygidialschild bedeckt; die viel schmälere hintere Zone (Fig. 37) seitlich in den erhabenen Teil der Seitenlappen übergehend : C. distinctum n. sp. C. suspectum n. Sp. Nur eme schmale Zone längs des dorsalen Vorderrandes des Brustschildes (die verschmälerte Fortsetzung der Krämpe und « Stufe >» der Seitenlappen) abschüssig, zum Verschluss dienend; die ganze übrige Fläche des Brustschildes beim eingerollten Tier unbedeckt, auf den Seitenlappen verschmälert zugerundet. PR URDIGRET EP MOUSE ET Re a 0 cut. de 2. — Tergite 3-12 in der hinteren Hälfteganzglatt: C. læven. sp. C. celebense Silv. Tergite 3-12 in der hinteren Hälfte mehr oder weniger punk- EURE TERRE SPORT PAR SR DR PS SR RE SRE à 3. — Tergite ohne Kiel oder Kôrnerstreifen in der dorsalen Medanlinie:::.2:220aurs Le HR ENC crimcens(AT.) Tergite mit mehr oder weniger kielartig erhabenem Kôrner- streifen in der Medianlinie, der meist gegen die Mitte des Ter- RE RTE PE ete is) 4 4, — Halsschild mit ziemlich scharfem Querkiel nahe am Vor- Rev. Suisse DE Zoor. T. 20. 1912. () 106 J. CARL derrande, dahinter emgesenkt. Hintere Tergithälfte nur mit sehr kleinen Punkten, in denen je ein kurzes Härchen sitzt C. pilosum n. sp. Halsschild regelmässig schwach gewôülbt, nur mit feiner Quer- leiste am Vorderrande. Hintere Tergithälfte mit von der Be- haarung unabhängiger, meist groberer Punktierung . . . . 5. 5. — Kôürper mit Längsreihen verwaschener gelblicher Flec- KT RE RARE PR CPR DE RMS C. ornatum n. sp. C. decoratum n. sp. Kôrper-ohne-soiche Fléckenreens tement ec) 6. — Vordere Hälfte der Tergite ohne jegliche Kürnelung : C. büetonense n. sp. Vordere Hälfte der Tergite mehr oder weniger ausgedehnt gekôrnelt PRE TRS D ee EUR de RC D 7. — Die Punkte der hinteren Tergithälfte stehen nicht dichter als die Kôürner der vorderen Tergithälfte : €. sparsepunctatum n. Sp. Die Punkte stehen viel dichter äls die Kôrner : C. stellatum n. sp. 8. — Tergite mit sehr schmaler gekürnelter Zone, dahinter so dicht punktiert, dass die Punkte sich fast berühren : C. sp. © Castanotherium distinctum n. sp. (Taf. 6, Fig. 37 —40). cc Kôürper kaffeebraun, die Kiele etwas dunkler, das Pygidium endwärts leicht aufgehellt, die Krämpe des Brustschildes gelb- braun. Kopfschild dicht und ziemlich grob eingestochen punktiert, in der vorderen Hälfte dicht fein behaart. 6. Antennenglied comprimiert, Stark quergezogen und schräg gestutzt, wie bei C=Volai Carl (loc. cit. Taf-17% Fig: 11): Halsschild seitlich zugespitzt, in sagittaler Richtung ziemlich stark gewülbt, in der gewôlbten Mitte spärlich, seitlich, vorn DIPLOPODEN VON CELEBES 107% und hinten dicht eingestochen punktiert; eine einzige ziemlich scharfe Querleiste längs des Vorderrandes. Brustschild (Fig. 37) sehr charakteristisch gestaltet. Seine Fläche ist nämlich durch einen seitlich schärferen, dorsal ver- wischten Querkiel in eine breite vordere abschüssige Zone, und eine viel schmälere in derselben Fläche wie die folgenden Segmente liegende hintere Zone geteilt, die sich allein in den erhabenen centralen Teil der Seitenlappen fortsetzt, während die vordere Zone seitlich in einer schrägen Grube endet die vorn durch einen Wulst der Krämpe, hinten durch den etwas nach vorn gezogenen erhabenen Teil der Seitenlappen begrenzt wird (Gr) Die beiden Zonen des Brustschildes sind auch verschieden skulptiert : die vordere ist dicht, nicht sehr regelmässig eingestochen punktiert, die Punkte oft zu einer schwer definierbaren Skulptur zusammen- fliessend ; die hintere Zone ist etwas grüber, sparsamer und regelmässiger eingestochen punktiert. In der dorsalen Mittellmie der abschüssigen Zone findet sich ein feiner, glatter nach hinten verwischter Längskiel. Krämpe der Seitenlappen fein und ziemlich dicht eingestochen punktiert und sehr fein, ziemlich lang behaart. Die folgenden Segmente vorn und hinten gleich hoch, die sanze Fläche äusserst kurz behaart, längs des Hinterrandes sehr kurz und dicht, doch deutlicher als auf der Fläche, auf den Rändern der Seitenflügel und auf der vordern im eingerollten Zustand bedeckten Fläche jedes Seitenflügels etwas länger, aber sehr fein, weisslich behaart. Skulptur: Jedes Segment vorn dicht mit ganz kleinen und etwas grüsseren Kôrnern bedeckt, dann gegen die Mitte hin dicht grob eingestochen punktiert bis fast lederartig, am Hinterrand wieder deutlicher eimgestochen punktiert; die drei Skulpturen ganz allmäblich ineinander über- gehend. Längs der Rückenmitte jedes Segments Andeutungen eines wenig über die Mitte des Segments nach hinten reichen- den feinen Kiels. 108 J. CARL Pygidium regelmässig abschüssig, nicht glockenfürmig, in transversaler Richtung schwach gewülbt, sein Hinterrand hori- zontal, Jederseits vorn kaum merklich nach unten vorgebogen ; die basalen Ecken zugerundet, in ihrer Nähe auf der Innenfläche keine Leisten oder Beulen. Oberfläche des Pygidialschildes wie der mittlere und himtere Teil der übrigen Segmente skulptiert, am feinsten gegen den Hinterrand hin. Innenfläche mit dem ge- wôhnlichen Bogenwulst. der auf den Seiten ziemlich hoch und scharf, in der Mitte aber ganz verwischt ist und aussen rings- um von » unregelmässigen Furchen begleitet ist. Beine mit einem starken Dorn oberhalb der Kralle und 6-8 Dornen auf der Unterseite des Endgliedes. Das 3. Glied unter- seits mit kurzen spitzen Hückerchen, auf der vordern und hintern Fläche mit einer spitze Zähnchen tragenden Längsleiste !. Das letzte Laufbeinmpaar des ° ohne Besonderheiten. Copulationsfüsse sehr einfach. Am vordern Paar (Fig. 39, 40) ist das 3. Glied (beweglicher Scheerenfinger) auffallend lang und schmal, am Ende gestuzt gerundet auf der dem un- beweglichen Scheerenfinger zagekehrten Fläche schwach aus- gehôhlt, ohne Reibplatten, Hôcker oder Stacheln, nur mit schwachen Kerben am lateralen Rand. Die Scheerenfinger des hinteren Paares (Fig. 38, 39) tragen keine Zähne, Hücker oder Lappen auf der emander zugewandten Fläche, der bewegliche (3. Glied) trägt am lateralen Rand der seichten hintern Aus- hôühlung nur wenige kleine, schwarze Zirptuberkel. Länge 24m: Breite am Brustschild 12 5. ! Vielleicht ist dieses Gebilde von einigem systematischen Wert. Es erinnert an die von VerHœre als Zirporgan gedeuteten Schuppenreihen an den Beinen der Trichonisciden, ist diesen jedoch nicht homolog. Auch spricht seine gleichmässige Ausbildung an der Vorder- und Hinterfläche des 3. Gliedes aller Beine, bei c' und © (s. ©. suspectum) gegen eine Funktion als Stridulationsorgan. Es scheint nicht bei allen Sphærotheriden aufzutreten. Sizvesrrr (Classis Diplopoda, vol. I, p. 128, Fig. 219) bildet es für Sphærotherium nicht ab ; bei andern von mir unter- suchten Arten findet sich eine stumpfe Leiste ohne Zähne. DIPLOPODEN VON CELEBES 109 Ussu (Südost-Celebes), 1 jf (Coll. SARASIN). Die Artist leicht kenntlich am Relief des Brustschildes, der Skulptur der Segmente und den einfachen Copulationsfüssen mit ganz reduzierter Zirpvorrichtung. Castanotherium suspectum n. sp. Dem C. distinctum sehr nahestehend und mit ihm im charak- teristischen Relief des Brustschildes übereinstimmend. aber in folgenden Punkten verschieden : Färbung gelb-braun, die Seitenflügel gegen die Spitze hin sradweise geschwärzt, mit Ausnahme des gelb-braunen Hinter- randes, am aufgerollten Tier das bekannte Bild eines Rades hervorbringend. Kopfsechild in der Mitte flacher. Skulptur im Prinzip wie bei C: distinctum, aber die vordere Zone jedes Segments grôber granulert, die mittlere und hintere Zone gleichmässiger und femer eingestochen punktiert. Die ganze Fläche des Pygidialschildes gleichmässig und feiner dicht eingestochen punktiert. Die Andeutung eines verkürzten dor- salen Mittellängskiels auf den Segmenten viel weniger deutlich als bei C. distinctum. Behaarung wie bei dieser Art. Beine mit nur 5 (oder 6) Dornen auf der Unterseite des End- gliedes (sekundäres Geschlechtsmerkmal ?):; aber das 3. Glied wie bei C. distinctum mit je einer spitze Zähnchen tragenden Längsleiste auf der Vorder- und Hinterfläche. In allen übrigen Merkmalen mit C. distinctum übereinstim- mend und môüglicherweise das © zu dieser Art. 1Q1), Mapane am Golf von Tomini, Central-Celebes. (Coll. SARASIN). ! Das Exemplar ist stark beschädigt und das 2. Beinpaar ausgerissen, so dass ich die Vulven nicht beschreiben kann. 110 J. CARL Castanotherium læve n. sp. Farbe schwarz-braun, der Vorderrand des Kopfschildes, die Krämpen des Brustschildes, die vordere Zone der Segmente und der Pygidialschild unbestimmt rot-braun aufgehellt. Kopfschild ziemlich grob eingestochen punktiert, vorn sehr dicht, am Scheitel sparsamer ; überall dicht weisslich behaart, in vordern Teil sind die Haare steif, im hintern mehr wollig- biegsam. Das 6. Antennenglied nicht komprimiert oder ver- breitert, etwas tonnenfürmig. Halsschild längs des Vorderrandes grob eimgestochen punk- tiert und wie der Scheitel des Kopfes weisslich wollhaarig, die ganze übrige Fläche sehr glatt und glänzend, unbehaart, ohne Querkiele. Brustsehild sehr glatt und glänzend, nur die ganz schmale ungeteilte abschüssige Zone des dorsalen Vorderrandes und ihre seitliche Fortsetzung, die Krämpe, fein eimgestochen punktiert, die Krämpe auch kurz und fein behaart. Hinter den Augen ist die Krämpe oberseits nicht deutlich erubig vertieft, unterseits sehr schwach beulig verdickt; der Uebergang ihres Vorderrandes in den dorsalen Vorderrand ist ziemlich plützlich. Die Tergite 35-12 in der vordern Hälfte dicht und gleich- mässig granuliert, die Kôrnchen sind weniger spitz als bei andern Arten; ein dichter gekürnelter kielartiger Streifen in der dorsalen Mittellinie ist nirgends angedeudet. Die hintere Hälfte dieser Tergite ist vollkommen glatt und glänzend ohne eme Spur von Punktierung, ebenso der ganze Pygidialsehild. Pygidium mit regelmässigem, gegen den Hinterrand hin jedoch etwas eingezogenem Absturz, horizontalem Hinterrand und von innen gesehen stumpfwinkligen und zugestumpften Basalecken ; über den letzteren immer eine etwas gekmickte schwarze Leiste. Der Bogenwulst der Innenseite auf den Seiten DIPLOPODEN VON CELEBES 111 hoch, in der Mitte fast ganz erloschen und meist vom Hinter- rande entfernt. Peine der vorderen Kürperhälfte mit 6, die der hinteren mit 8 Dornen auf der Unterseite des Endgliedes und einem starken Dorn oberhalb der auffallend stark sichelf‘rmig gekrümmten Kralle (Textfig. 1). Der Unterrand des 3. Beingliedes trägt im unregelmässigen Abständen kleine stumpfe Chitinhôcker (Text- fig. 2); die beiden Leisten dieses Gliedes distalwärts stark ver- kürzt, ohne Spitzen. Fig. 1. Fig. 2. Fig. 5. Castanotherium laeve n. sp. Q. Fig. 1. Teil des Endgliedes eines Beines der hintern Kôrperhälfte. — Fig. 2. Partie des Unterrandes eines 3 Beingliedes (stark vergr.); H — Chitinhôcker, BB — Basis einer Borste. — Fig. 3. Vulva. Vulva des © mit regelmässig gerundeter, breit dreieckig ein- geschnittener basaler Platte und auffallend langer, schmaler, am Ende zugerundeter distaler Platte (Textfig. 3). Länge 20%, Breite 10", Ein zweites im übrigen mit dem ersten vollkommen übereinstimmendes © ist viel kleiner, 13 lang und 6m breit. 2 ©, Matinangkette, Nord-Seite 250-1000" über M., Nord- Celebes (Coll. SARASIN). Durch das Fehlen jeglicher Skulptur in der hintern Hälfte 112 J. CARL der Tergite erinnert die Art an C. celebense Silv. ebenfalls aus Nord-Celebes, unterscheidet sich aber von ihr dadurch, dass auch der Hals- und Brustschild, mit Ausnahme ihres Vorder- randes, sowie der grosse Pygidialschild vollkommen glatt sind. Auch ist die Form der distalen Vulvenplatte in den beiden Arten wesentlich verschieden. Castanotherium criniceps (Att.). Zephronia criniceps. ATTEMS, Abh. Senckenb. Naturf. (re- sellsch., Bd. XXIIL p. 482, Fig. 8, 1897. ATTEMS Beschreibung und Abbildung passen gut auf unser Exemplar, ein sehr gut konserviertes °. Mit Rücksicht auf den Vergleich mit andern Arten geben Wir emige Zusätze. Färbung: Das Gelb des erhabenen Teils des Brustschildes sticht ziemlich stark gegen das Schwarzbraun des Vorderrandes ab. Der Kopfschild ist vorn gelb, zwischen den Augen bräunlich mit gelblichem mittlerem Streifen. Im Alkohol treten Spuren Je einer lateralen Reihe kleiner, gelb-brauner Flecke oberhalb der Kiele hervor. Am Halsschild liegt der vordere vollständige Querkiel ziem- lich weit vom Vorderrande, die vor ihm liegende schmale Zone ist fast so abschüssig wie der Kopfschild, die etwa 3 mal breitere hintere Zone des Schildes ist flach und trâgt vorne 2 kurze, feine, in der Mitte unterbrochene Querkiele. Die Krämpe der Brustschildseitenlappen hat hinter den Augen einen langgestreckten grubenartigen Eindruck. Die hintere Hälfte der Segmente ist allerdings deutlich ein- gestochen punktiert; doch sind die Punkte etwas kleiner und bedeutend weniger tief als etwa bei C. ornatum. Pygidialschild wie bei letzterer Art. seine mit 5-6 Dornen auf der Unterseite des Endgliedes ; das DIPLOPODEN VON CELEBES 11E 3. Glied am Unterrand unregelmässis fein sägezähnig, die Leiste seiner beiden Flächen nur fem gekerbt. Am vordern Copulationsfusspaar ist das 3. Glied relativ noch länger als bei C. ornatum, am Ende schmäler zugerundet und ent- bebrt der schwarzen Hücker und Dornen auf der Hinterfäche. 1 ', Vulkan Soputan, bei 1200, Nord-Celebes (Coll. Sa- RASIN). c', Minahassa, Nord-Celebes (ATTEMS, Coll. KÜKENTHAL). Der Vergleich unseres c mit einem ATTEMS’ schen Cotypus ergab nur folgenden Unterschied: der Vorderrand des Brust- schildes ist bei unserm Exemplar dorsal stärker geschwärzt und etwas deutlicher vom nicht abschüssigen Teil des Schildes abge- setzt. Wir weisen dieser Art eine Anzahl © © zu, die in Formen und Skulptur gut mit dem çj übereimstimmen. In der Färbung tritt der Contrast zwischen dem Gelb und dem Kastanienbraun nicht so scharf hervor wie bei unserm männlhichen Exemplar. - Die Punktierung der hinteren Segmenthälfte ist etwas grôber, Der Halsschild ist zwischen dem vollständigen vorderen Querkiele und einem dem Hinterrand parallelen Bogen mehr oder weniger stark quer eingesenkt und trägt manchmal einen kurzen, in der Mitte nicht unter- brochenen, feineren Querkiel oder Frag- mente mehrerer (2-3) solcher Querkiele au hinter dem vollständigen Querkiel; manch- mal sind auch keine solchen vorhanden. Die Vulven bestehen aus emer rund- lichen, in der Mitte des ziemlich stark gebogenen distalen Randes breit einge- Fig. 4. schnittenen proximalen und einer grôs- Castanotherium criniceps É | F4 (Att.) Q. seren, am Ende stumpf zugerundeten hi des 2 Jinken Beines distalen Platte, deren Innenrand gerade mit Vulva. und deren Aussenrand mit dem distalen zu einem flachen Bogen 114 J: CARL verschmilzt, der nahe der Basis eine kleine Vorwülbung bildet (Textfig. 4). © © Tomohon, Nord-Celebes (Coll. SARASIN). Castanotherium pilosum n. sp. Braungelb, die Seitenflügel mit Ausnahme des Hinterrandes etwas dunkler:; Kopfschild schwarzbraun, mit bogenférmiger selblicher Binde am Vorderrand:; Halsschild und Vorderrand des Brustschildes schwarzbraun. Die ganze Oberfläche des Kôrpers ist dicht mit sebr kurzen weisslichen Härchen besetzt und daher leicht gräulich schim- mernd, nur auf dem Halsschild, am Hinterrand der Segmente und an der Spitze der Seitenflügel sind die einzelnen Härchen etwas deutlicher und länger. Kopfschild ziemlich grob und dicht emgestochen punktiert, vorn dicht, nach oben hin immer spärlicher mit steifen weissen Bürstchen besetzt. Antennen dunkelbraun, an der Spitze hell: das 6. Glied deutlich komprimiert und innen endwärts ziemlich stark (wie selten bei ©) gerundet vorgezogen. Halsschild in derselben Weise wie der Kopfschild punktiert, vorn mit Ziemlich scharfem, in der Mitte ganz geradem, seitlich in den Vorderrand laufendem Querkiel. Der mittlere Teil des Schildes zwischen dem Querkiel und einem dem Hinterrande paralellen sehr stumpfen Wulste deutlich eingesenkt (wie bei criniceps (Att.) aber ohne sekundäre Querkiele). Brustschild im Relief wie bei C. criniceps (Att.), die schmale abschüssige Vorderrandzone feiner, ihre seitliche Fortsetzung, die Krämpe, etwas grüber punktiert, die eigenthiche Fläche des Brustschildes nur mit den feinen Punkten in denen die Här- chen sitzen, ebenso die ganze unbedeckte Obertfläche der folgen- den Segmente und des Pygidialschildes ohne grübere, von der Behaarung unabhängige Punktierung. Eine ganz schmale für DIPLOPODEN VON CELEBES 115 sgewôühnlich bedeckte Zone am Vorderrand der Tergite 3-—12 ist unbehaart und gekôrnelt, die vordere Hälfte dieser Tergite trägt in der dorsalen Mittellinie einen stumpfen granulierten Kiel. Pygidium regelmässig abfallend, gegen den Hinterrand hin kaum merklich eimgezogen; Hinterrand horizontal. Basale Ecken stumpf, einen Winkel von ca. 130° bildend. Der innere Bogen- wulst auf den Seiten auffallend hoch und scharf, ganz in der Mitte sehr niedrig, dem Hinterrand bis auf ca. 1,5 genähert. Beine mit 5—7 Dornen auf der Unterseite des Endgliedes ; das 3. Glied trägt am Unterrand wie bei C. læve (s. Textfig. 2) eine Anzah]l stumpferer oder spitzerer Chitinhôcker; die Leisten seiner beiden Flächen sind unregelmässig fein gefranzt. Vulvades © ähnlich derjenigen von C. criniceps, aber mit etwas stärker und breiter zugerundeter distaler Platte (Textfig. 5). Länge 22m Breite 12": ein kleimes scheinbar erwachsenes © misst nur 16,5+19mm, 2 © Bontorio und Umgebung, Süd-Celebes (Coll. SARASIN). 1 © Bowanglangi, 1200 —1500%, Süd-Celebes Fig. 5. (Coll. SARASIN). ur Letzteres Exemplar stellt vielleicht eine lokale © Vulva des ©. Rasse dar ; es ist grüsser als das grôssere von Bontorio, wie dieses behaart und skulptiert, aber von pechbrauner Grundfarbe; der mittlere Teil des Halsschildes ist flach, nicht eingesenkt, der innere Bogenwulst des Pygidiums ist seitlich viel niedriger und stumpfer als bei den Q © von Bontorio und die distale Platte der Vulva ist vorn weniger regelmässiger zugerundet, fast schräg gestutz-gerundet. C. pilosum steht, im © wenigstens, dem C. criniceps am nächsten, unterscheidet sich aber schon leicht durch das Fehlen stärkerer Punkte auf den Tergiten und den Besitz eines mittleren 116 JACARL dorsalen kielartigen Kôrnerstreifens auf der vorderen Hälfte der Tergite 3—12. Castanotherium ornatum n. sp. (al: 6 Bis 732299 20h) Kleine Form mit Fleckenzeichnung in Längsreihen. Färbung dunkel olivenbraun. Vom Brustschild bis zum 12. Segment jederseits vom Rücken eme Längsreihe von unbestimmten gelb- lichen Flecken ; eme zweite Längsbimde wird jederseits durch das Gelb der Seitenlappen des Halsschildes und der Seiten- flügel der folgenden Segmente gebildet:; der Hinterrand aller Segmente braun. Manchmal ist ein heller Sreifen längs der Rückenmitte angedeutet. Pygidialschild mit je emem verwischten orôsseren gelben Fleck nahe den Basalecken und mehr oder weniger deutlicher, schmaler, gelblicher mittlerer Längsbinde. Kopf mit den Antennen und Halssehild schmutzig-2elb. Kopfschild vorn dichter und feiner, zwischen den Antennen und Augen sparsam eingestochen punktiert. 6. Antennenglied beim j° innen stark, beim © schwach gerundet vorgezogen. Halsschild nur mit schwacher feiner Querleiste lings des Vorderrandes, schwach gewülbt, unregelmässig eingestochen punktiert. Brustschild nur mit sehr schmaler, glatter, abschüssiger rinnenartiger Zone längs des Vorderrandes, der ganze übrige Teil in derselben Fläche wie die übrigen Segmente und seitlich den erhabenen Teil der Seitenlappen bildend. Seitenlappen klein, mit schmaler Krämpe, die nur undeutlich punktiert ist und vorn allmählich in die Verschlussrinne des dorsalen Vorder- randes übergeht. Im übrigen ist der Brustschild ziemlich dicht eingestochen punktiert und hat in der dorsalen Mittellinie An- deutungen eines schwachen ganz kurzen Längskieles. Die fol- senden Segmente eben, in der vordersten Zone eher sparsam zerstreut 2ekürnelt, im übrigen dichter, regelmässig und mässig DIPLOPODEN VON CELEBES 7 erob eingestochen punktiert, zwischen den Punkten glatt bis fein lederartig. Auf der Rückenlinie jedes Segments ein kurzer, hauptsächhich durch Verdichtung der Kürnelung gebildeter schwacher Längskiel, der weit vor dem Hinterrande verschwin- det, auf dem 11. und 12. Segment jedoch etwas schärfer uud länger ist. Pygidialschild regelmässig abfallend, nicht glockenformig, mit horizontalem Hinterrand und deutlichen, etwas stumpfwink- ligen basalen Ecken. Obertfläche wie der Hauptteil der übrigen Segmente gleichmässie emgestochen punktiert, aber ohne Spur eines Kieles. Innenseite mit seithich ziemlich hohem und schartem, in der Mitte stark gestumpftem und nahe an den Hinterrand her- antretendem Bogenwulst. Unterhalb jedes Basalecks innen eine kurze, gerade, schwarze Leiste. Beine mit 4-6 Dornen auf der Unterseite des Endgliedes; das 3. Glied ohne Chitinspitzen auf dem Unterrande, die Leiste auf seiner Vorder- und Hinterfläche ohne spitze Zähne, glatt bis fein gekerbt. __ Copulationsfüsse: Am vorderen Paar ist das 3. Glied länger als breit, am Ende gerundet-gestutzt und trägt auf der Hinter- fläche vor dem Endrand 2 zusammenhängende Reibhôcker und zwei kurze, starke, schwarze Dornen (Fig. 33); der Fortsatz des 2. Gliedes ist eher kurz, flach, im Profil gegen das 3. Glied hin gekrümmt. Am hinteren Paar trägt der bewegliche Scheeren- finger in der distalen Hälfte am vorderen Innenrand einen flachen dreieckigen Zahn (Fig. 32) und amhintern Innenrand eine kurze teihe schwarzer Reibtuberkel (Fig. 41); der spatelfürmige unbewegliche Scheerenfinger trägt innen weder Zähne noch Lappen. Die Vulven des © springen auf der Unterseite des betreffenden Gliedes stark vor und bestehen aus einer gerundet-dreieckigen distalen und einer gerundet-trapezoidalen, am Endrand kurz eingeschnittenen, viel grüsseren proximalen Platte. (Textfig. 6) 118 TNCART Länge l4mm Breite Fun, go, © © Bontoriound Umgebung, Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Die Art stimmt in gewissem Grade mit C. criniceps (Att.) überein, be- sonders in der Skulptur und der Form der hinteren Copulationsfüsse. Doch schemt die Scheere der vorderen Co- Fig. 6. pulationsfüsse etwas anders geformt zu sein. Fernerist criniceps grüsser, anders vefärbt und entbehrt des schwachen Basis des 2. rechten Beines EE L d tbehrt de L nes mit Vulva. Dorsalkiels. Castanotherium ornatum ©. Castanotherium decoratum n. sp. Nächstverwandt mit C. ornatum und ïhm äusserlich sehr ähnhch. Färbung kastanienbraun, mit 3 Längsreihen verwaschener gelblicher Flecken ; vom 3.—12. trägt nämlich jedes Segment dorsal 3 grôssere, nicht scharf umgrenzte Flecken von variabler Form, die nicht bis zum Hinterrand des Segmentes reichen und von denen der mittlere durch den dunklen Kôrnerstreifen längs der Rückenmitte geteilt wird. Spuren vom mittleren Fleck finden sich manchmal auch auf dem Brustschild. Die Seitenflügel der Segmente sind dunkel. Hals- und Brustschild wie bei C. ornatum. Die Skulptur der übrigen Segmente ist auch, was Dichte und Stärke anbetrifft, wie bei dieser Art; doch sind bei decoratum die Punkte weniger regelmässig, meist seitlich zugespitzt und hinten ebenfalls im eine kurze Spitze ausgezogen, also dreistrahlig. Die vordere Hälfte jedes Segments ist ziemlich dicht gekôrnelt, im der Rücken- mitte mit einem dichter gekürnelten Längsstreifen, der auf den DIPLOPODEN VON CELEBES 119 hintersten Segmenten eher schwächer wird (statt schärfer und kielfürmig, bei ornatum). Beine mit 5 oder 6 Dornen auf der Unterseite des Endgliedes; das 3. Glied ohne Zähne oder spitze Hücker am Unterrande, die Leiste auf seiner Vorder- und Hinterfläche ebenfalls unge- zähnelt. Copulationsfüsse denen von ©. crnatum sehr ähnlich, aber mit bestimmten kleinen Unterschieden : Das 3. Glied des vorderen Paares (bewegl. Scheerenfinger) wie bei ornatum am Ende breit und gestutzt, aber mit 4 isolierten gerieften Zirptuberkeln nahe am Rand und einem Dorn versehen; der unbewegliche Scheerenfinger stärker gekrümmt als ber ornatum. Dem beweglichen Zangenfinger des hinteren Paares fehlt der dreieckige Zahn auf der Innen- seite. Vulva des © ausgezeichnet durch die grosse, am Ende fast regelmässig zugerundete, distale Platte (Textfig. 7). Der Länee 13-140. Breite 7mm Castanotherium 2 : 1 : decoratum cc. © Loka und Umgebung, bis 1300" üb. M. n. sp. Q. am Pik von Bonthain, Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Vulva. Castanotherium boëtonense n. sp. Fast einfarbig kastanienbraun mit etwas helleren Krämpen des Brustschildes. Halsschild regelmässig schwach gewülbt, grob emgestochen punktiert, ohne Querkiele, nur mit der gewôhnlichen feinen Leiste paralell zum Vorderrand. Brustschild vom häufigeren Typus; der schmale glatte Streifen längs des dorsalen Vorderrandes nur schwach abschüssig ; die Krämpe der Seitenlappen schmal, ihr Vorderrand daher sehr allmählich in den dorsalen Vorderrand übergehend, ihre 120 J. CARL Fläche dicht und ziemlich grob punktiert, hinter den Augen et- was rinnenformig, aber nicht grubig vertieft; die ganze ebene Fläche des Halsschildes dicht, mässig fein punktiert, zwischen den Punkten elatt. Die folgenden Segmente im vorderen Teil glatt, ohne die gewohnliche Kürnelung, nur mit einem sehr schmalen, et- was kielartig erhabenen Kôrnerstreifen in der Rückenmittel- linie, der in der Mitte des Segmentes erlischt. Die hinteren */, des Segmentes sind dorsal fein und ziemlich weitläufig, aber doch deutlich und gegen die Kielspitzen bedeutend dichter ein- gestochen punktiert. Pygidialschild ebenso skulptiert, am dichtesten gegen den Hinterrand hin. Das Pygidium regelmässig absehüssig, mit horizontalem Hinterrand und stumpfwinkligen Basalecken. Der innere Bogenwulst in der Mitte schwach entwickelt, aber sehr nahe an den Hinterrand herantretend. Beine nur mit 4 Dornen an der Unterseite des letzten Gliedes und ohne Zähne oder Spitzen auf dem Unterrand und den Leisten des 3. Gliedes. Vulva des © mit breiter, schaufelfürmiger distaler Platte (Textfig. 8). Lange l4mnBreiteum 5, 1 © Insel Boëton, südüstl. von Celebes (Coll. ELBERT). pie Von den übrigen kleinen Arten unterschieden Castanotherum urch das Fehlen der Kôürnelung im vorderen Teil boëtonense n. Sp. Q. der Kürpersegmente und die Form der distalen Vulva. Platte der Vulven. Castanotherium sparsepunctatun n. Sp. 3raun, auf den Seiten dunkler, init hellem Hinterrand der Seitenflügel. Kopfschild rotbraun, dicht und ziemlich grob emgestochen DIPLOPODEN VON CELEBES 121 punktiert, fein weiss beborstet. 6. Antennenglied leicht kom- primiert, innen deutlhich gerundet schräg vorgezogen. Halssehild schwach gewôlbt, ziemlich gleichmässig, grüber und etwas weitläufiger als der Kopfschild eingestochen punk- tiert, nur mit feiner Leiste längs des Vorderrandes. Brustschild mit dem gewôhnlichen Relief; der Vorderrand ist im dorsalen Teil etwas wulstig aufgeworfen und von vorn sesehen sehr dicht fem punktiert, die dahinterhiegende schmale abschüssige Zone ebenfalls fein, aber viel weniger dicht punk- tiert; die Krämpe deutlich punktiert, am grôbsten und dichte- sten hinter den Augen, wo sie keine deutliche Grube bildet. Die Fläche des Schildes selbst auf fein lederartigem Grunde ziem- lich grob punktiert, besonders dicht in der vorderen Hälfte und auf den Seiten. Die folgenden Tergite in der vorderen Hälfte sehr fein punk- tiert und dazu mit spitzen Kôrnern in regelmässigen Abständen besetzt, längs der Rückenmitte mit wenig erhobenem schmalem Kürnerstreifen. Die hintere Hälfte der Tergite trägt auf leder- artie skulptiertem Grunde ziemlich grosse, aber wenig tiefe, unregelmässige oder sternformige Punkte, die nicht dichter stehen als die Kôürner der vorderen Segmenthälfte, so dass die Skulpturen der beiden Tergithälften unmerklich ineimander über- gehen. Auf den Seitenflügeln ist die lederartige Skulptur viel grüber, die Punkte sind grüsser, 2- oder 3-strahlig wie bei C. stellatum. Pygidialschild auf der Hühe schwach gekôrnelt, gegen die Basalecken hin deutlich lederartig mit schwachen Stern- punkten wie bei stellatum, auf der übrigen Flâche aber sehr weit- läufig punktiert. Der Absturz des Pygidiums regelmässig, gegen den Hinterrand hin eimgezogen, Hinterrand horizontal ; die Basalecken von imnen gesehen stumpfwinklig und zugestumpft. Der innere Bogen- wulst niedrig, in der Mitte stark abgeschwächt und ziemlich weit (ca. 2m) vom Hinterrande entfernt. Rev. Suisse DE Zooz. T. 20. 1912. 9 122 J. CARL Beine mit ca. 7 Dornen auf der Unterseite des Endgliedes; das 3. Glied am Unterrand mit einigen sehr unregelmässig ver- teilten hellen Chitinknôpfchen oder kurzen Zäpfchen, die Leiste seiner Flächen ohne Zähne oder Franzen. Vulva des © mit eher kurzer, am Ende zu- sgerundeter, aussen flachgebogener distaler Platte (Textfig. 9). Pinge 29m reite MA 1 © Bolowonglangi, 1200-1500% üb. M Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Die Art dürfte einigermassen gut charak- +) Fig. 9. ee Es terisiert sein durch die Skulptur, die an manchen Castanotherium sparsepunctatum Stellen an C: stellatum erinnert, bei dem jedoch n. Sp. Q. die hintere Hälfte der Tergite viel dichter punk- Vulva. tiert ist. Castanotherium stellatum n. sp. Färbung meist kastanienbraun mit helleren Krämpen des Brustschildes und schmal gelb-braunem Hinterrand der Seg- mente, oder mehr gelb-braun oder fast eimfarbig schwarz-braun. Kopfschild überall gleichmässig dicht und ziemlich grob punktiert, vorn beborstet. 6. Antennenglied komprimiert, aber sehr schwach rundlich verbreitert. | Halsschild gleichmässig schwach gewülbt mit feinem Leist- chen längs des Vorderrandes, in der Mitte spärlicher, seitwärts dichter, sehr grob punktiert, zwischen den Punkten glatt. Brustschild vom gewühnlichen Typus, d. h. mit ganz schmaler, abschüssiger Zone längs des dorsalen Vorderrandes, diese Zone sehr spärlich fein eingestochen punktiert. Die Krämpe der Seitenlappen eher schmal, zerstreut grob punktiert, hinter den Augen oberseits schwach und unbestimmt grubig vertieft, unter- seits mit schwacher Beule. Die Stufe zwischen Krämpe und er- DIPLOPODEN VON CELEBES 123 habenem Teil der Seitenlappen mit 6-7 schrägen Leistchen. Die übrige Fläche des Schildes dicht eingestochen punktiert, besonders dicht längs des Vorderrandes, auf den Seiten etwas grober als in der Mitte, aber im ganzen feiner als die folgenden Segmente. Das 4.-13. Segment vorn auf äusserst fein punktiertem, mattem Grunde mit sehr zerstreuten Kürnchen besetzt, die sich auf der Rückenseite zur Bildung eines kurzen 2-3 reihigen Längs- streifens verdichten. Diese Andeutung eines Dorsalkieles er- lischt gegen die Mitte jedes Segmentes. Die hintere Zone der genannten Segmente ist regelmässig dicht eingestochen punk- tiert, ziemlich grob auf dem Rücken und noch grüber auf den Seitenflügeln ; die Punkte sind durch feine Striche miteinander verbunden, dazu kommt eine feine lederartige Skulptur, wo- durch der Grund matt erscheint ; auf den Seitenflügeln werden die Striche stärker, so dass die Punkte 2-5-strahlig sternfürmig erscheinen und eine Art grober Netzskulptur zustande kommt, die gegen die Spitzen hin in Runzelung übergeht. Pygidialsehild wie die übrigen Segmente skulptiert, auf der Hôhe schwach gekürnelt, gegen die basalen Ecken hin mit grôberen unregelmässig sternformigen Punk- ten, die übrige Fläche ähnlich punktiert wie die hintere Hälfte der Segmente im dor- salen Teil. Der Absturz des Pygidiums im Profil regelmässig, gegen den Hinterrand hin leicht emgezogen. Hinterrand horizontal, in der Mitte manchmal äusserst seicht ein- gebuchtet. Die basalen Ecken von innen gesehen stumpfwinklig und zugestumpft, dar- Fig. 10. unter em ziemlich langes, schwarzes, hinten nach oben geknicktes Leistchen. Innerer Bogenwulst in der Mitte fast vollständig ver- Castanotherium stellatum n. sp. Q@. : Basis eines Beines des wischt. 2. Paares mit der Vulva. 124 J. CARL Beme mit 6-8 Dornen auf der Unterseite des Endgliedes ; das 3. Glied ohne Zähne auf dem Unterrand und auf der Leiste semer beiden Flächen. Vulva (Textfig. 10) mit kurzer, breiter, schräggestutzter dstaler Platte und etwas längerer, distal gerundet geschweifter und in der Mitte eingeschnittener basaler Platte. Länge 16-20, Breite 9-12mm, © ©, Loka und Umgebung bis 1300" üb. M., Süd-Celebes (Coll. SARASIN). Diese Art ist gut charakterisiert durch ihre Skulptur und die Form der beiden Platten der Vulva. Castanotherium Sp. ? Ein zerfallenes Exemplar, ©, dem das 2. Beinpaar mit den Vulven ausgerissen ist, eignet sich nicht zu einer vollständigen Beschreibung und bleibt daher unbenannt, obwohles sehr wahr- schemlich eine selbständige Art repräsentiert. Im Relief des Hals- und Brustschildes repräsentiert sie den einfachsten und sewühnhichsten Typus, ebenso in der Form des Pygidiums. Ein positives Merkmal mag die Spulptur liefern. Der ganze erhabene Teil des Brustschildes ist so dicht punktiert, dass die Punkte sich fast berühren, ebenso der grüssere hintere Teil der Tergite, wo die Punktierung auch deutlich grôber ist. Das vordere Drittel jedes Tergits ist zuvorderst glatt, dann auf einer ganz schmalen Zone spitz kôrnelig, die Kürner stehen auch dichter als bei andern Arten. Ein schmaler kielartiger Kôrnerstreifen in der Medianlinie reicht bis über die Mitte jedes Tergits. Länge ca. 20m" Breite 10mn, 1 ©, Barabatuwa, Süd-Celebes (Coll. SARASIN). DIPLOPODEN VON CELEBES 125 Fam. SIPHONOPHORIDÆ. Gen. Siphonophora Brdt. In dieser Gattung bietet das Aeussere so wenig scharfe spe- zifische Merkmale, dass eine sichere Bestimmung bei den sehr mangelhaften Beschreibungen der orientalischen Arten unmüg- lich ist ; von keïner ist das «j eingehend untersucht. Die Samm- lung von Dr. F. und P. SARASIN enthält nur O © und junge Tiere. Wir müssen daher, um die Zahl der nicht sicher wieder erkennbaren Arten nicht noch zu vermehren, von einer Neu- beschreibung absehen und nur das Vorkommen von Siphono- phora sp. konstatieren. 4 juv. im Mulm der Arenga-Palme, bei Tomohon, Nord- Celebes. — 1 ©. Masarang-Vulkanreihe (Coll. SARASIN). Letzteres Exemplar gehôrt müglicherweise zu einer Art, die wir nächstens aus Java als neu beschreiben. Fam. POLYZONIDÆ. Gen. Rhinotus Cook. Svn. Orsilochus Arrems, 1900, p. 151. In « The Fauna and Geography of the Maldive and Laccadive Archipelagoes >, vol. IT, Suppl. IT, 1906, p. 1045, stellt POCOCK die Gattung Orsilochus Att. in die Synonymie von Siphonotus Brdt. und lässt diese Gattung fast über die gesamten Tropen und (Syn. Bdellotus Cook., Pococx in WiLLEY Zool. Results, p. 73) in Polynesien verbreitet sein. Dabei ist BRANDT'S Sipho- notus so beschrieben, dass nur eine gründliche Untersuchung der Originalexemplare lehren kann, welche Polyzomium-ähn- lichen tropischen Colobognatha dahin gehüren. Die von POCOCK (1894, p. 338, 339) als Siphonotus beschriebenen Arten aus Java und Celebes scheinen generisch mit Orsilochus Att. über- einzustimmen, was eine auch auf die Copulationsorgane der 126 J. CARL c sich erstreckende Untersuchung der Typen allein einwands- frei dartun künnte.Immerhin ist ihre Vereinigung mit Orsilochus viel berechtigter als mit Siphonotus Brdt. oder Bdellotus Cook., und um so mehr als wir im folgenden aus Celebes und in einer anderen Schrift aus Java unzweifelhafte Gattungsgenossen von Orsilochus crassiceps Att. (von den Seychellen) und O. acuti- conus Att. (von Madagascar) beschreiben kôünnen. Indem wir den Namen dieser mit wünschenswerter Vollständigkeit be- schriebenen tropischen Polyzonidengattung anwenden würden, hielten wir uns in systematischer und zoogeographischer Hin- sicht an das Sichere. Allem Cook hatte 4 Jahre früher unter dem Namen Siphono- tus africanus eme Art aus Sierra Leone beschrieben (Amer. Naturalist, vol. XXX, 1896, S. 839-844, PI XVIID und dafür 1897 den Gattungsnamen Æhinotus vorgeschlagen. CooKk’s Be- schreibung und Abbildungen, namentlich auch der Copula- tionsorgane, lassen keinen Zweifel bestehen, dass die westafri- kanische Form mit Orsilochus crassiceps und O. acuticonus Att. in dieselbe Gattung gehürt, die mithin den älteren Namen Æ- notus Cook tragen muss. Sie bewohnt nach unserer heutigen Kenntnis Westafrika, die Seychellen, Madagascar und den ma- layischen Archipel (Java und Celebes). Ihre Beziehungen zu Siphonotus Brdt. und Bdellotus Cook bleiben noch festzustellen. Von Siphonotus elegans Poc. sind ATTEMS wohl nur © © vor- gelegen, da er die Art unter diesem Namen und ohne sich weiter darüber auszusprechen in einer neueren Arbeit (Javanische Myriopoden, p. 138) anführt. Rhinotus celebensis n. sp. (Taf. à, Fig. 22 und Taf. 6, Fig. 23, 24.) Länge 14m Breite 12275; Segmentzahl: 62. DIPLOPODEN VON CELEBES 127 Kôürper einfärbig bräunlich-gelb, Unterseite und Beine heller. Antennen vom 3. Glied an blauschwarz, das 1. bis 5. Glied nur am Ende längs des Randes verdunkelt. Kopf (Fig. 24) spärlicher und etwas länger behaart als der Kôrper, vor dem die grosse Ocelle einschliessenden dunkleren Pigmentfleck jederseits eine senkrecht abstehende, viel längere Borste und vor diesen Borsten ein querer Absatz. Antennen kaum länger als die Medianlinie des Kopfes, dick, von der Basis nach aussen hin regelmässig verdickt, aber so. dass der Innenrand fast eine gerade Linie und der Aussenrand eine im Gelenk des 5. bis 6. Gliedes leicht geknickte Linie bilden ; dabeï ist das 6. Glied fast cylindrisch und imfolge tiefer Einsenkung des 7. und 8. Gliedes erscheint die Antenne daher breit gestutzt und nicht eigentlich keulenfürmig. Seiten des Kürpers eine an den Segmentgrenzen schwach ge- stufte Linie bildend. Tergite gleichmässig gewolbt. ohne deut- liche Querfurche, glatt und gleichmässig, aber nicht sehr dicht, kurz und fein beborstet. Der Porus des 5. Segments grüsser und kreisrund, der der folgenden Segmente etwas hüher ge- legen und nach hinten hin immer spitzer, tütenfürmig. Beine auch unterseits eher spärlich beborstet; neben der Kralle entspringt eine weiche, flache Borste!, die nach den hinteren Beinpaaren hin immer länger und spitzer wird, auf den vordersten Beinpaaren aber kurz, breit, am Ende zugerundet ist, die Kralle nur wenig überragt, und an der Basis mit 1hr ver- schmilzt. Durch eine vollständige Verschmelzung dieses (rebildes mit der Kralle lässt sich die blattfürmige Kralle an den vorder- sten Beinpaaren von ÆHeterozonium erklären. Copulationsorgane (Fig. 22, 23): Das vordere Paar emfacher gebaut als bei O. crassiceps Att., die Ventralplatte (V) breit, 1 Sizvesrei bildet dieselbe auch für Siphonotus brasiliensis ab (Classis Diplo- poda, vol. I, Anatome, Fig. 215 B); vielleicht ist ihre starke Entwicklung ein Charakter aller Polyzoniden. 128 TACART die beiden Füsse weit ausemander drängend, vorspringend, mit dreilappigem Endrand. Jeder Fuss besteht aus 2 grüsseren und einem mittleren, viel kleineren auf der Innenseite eingeschlosse- nen 3. Gliede ; das gerundet rhombische Endglied ist Hach, seine beiden Ränder hinten weit übergeschlagen zur Bildung einer breiten Rinne, in welcher das lange Endglied des hinteren Fusses gleitet. Hinteres Fusspaar mit stärker median vorsprin- sender, nach vorn übergewôlbter, am KEnde gestutzter und an den Ecken in zwei stumpfe, hornfôrmige, beborstete Fortsätze (Vf) ausgezogener Ventralplatte. Jeder Fuss besteht aus 5 deut- lichen Gliedern, wovon das letzte, wie bei den Polyzoniden überhaupt, sehr lang und griffelfürmig ist, aber steif und gerade, nicht biegsam wie bei O. crassiceps (nach ATTEMS Abbildung). Durch die stärkere Entwicklung und das weitere Vordringen der Ventralplatten zwischen die Füsse nähern sich die Copu- lationsfüsse der Art mehr denjenigen von O. acuticonus Att. als von Ô. crassiceps ; aber das vordere Paar ist einfacher gestaltet als bei beiden Arten. Bei einer demnächst zu beschreibenden javanischen Art ist die Entwicklune der Ventralplatten im die Breite und die Auseinanderdrängung der Copulationsfüsse Jedes Paares noch viel weiter gediehen. Am meisten Aehnlichkeïit endlich zeigen die (ronopoden von Æ. celebensis mit denjenigen von À. africanus Cook, bei dem jedoch das Endeglied des vor- deren Paares durch die starke Entwicklung des 2. Gliedes ganz auf die Hinterfläche gedrängt ist und die Ventralplatte des hinteren Paares der hornformigen Fortsätze entbehrt. 1. Masarang, Vulkan-Reiïhe, Nord-Celebes (Coll. SARASIN). Rhinotus trichocephalus n. sp. ue Lanre/ca- 151%9Breite 01%: Segmentzahl : 55. Kôürper gegen das Vorderende hin stark verschmälert, schlank und dünn. DIPLOPODEN VON CELEBES 129 - Farbe oberseits grauviolett, das Pigment diffus verteilt; Me- tazoniten jederseits mit einem grossen, gelblich marmorierten Fleck, der sich in der hintern Kôürperhälfte in einen vordern, kleinern und in einen hintern grüsseren Fleck teilt. Auf dem Porus ein heller Punktfleck, der sich, etwa vom 9. Segment an, nach vorn in einen kleinen Bogenstrich fortsetzt, somit komma- fürmig ist. Unterseite und Beine sowie das vorletzte und letzte Seement weisslich, die Pleuren leicht gräulich bestäubt. An- tennen grau-violett mit hellerer Basis aller Glieder. Ocellenfieck schwarz. Kopf ziemlich spärlich, kurz und steif beborstet; Scheitel nackt, nur mit der gewühnlichen langen Borste vor jeder Ocelle. Kein deutlicher Querabsatz vor den Ocellen. Antennen dünner als bei À. celebensis, vorgestreckt die Schnautze wemg über- ragent. Tergite schwach gewülbt, seitich wenig weit herunterragend, so dass die Pleurenplatten vom 9. Segment an von der Seite sehr out sichtbar sind und die Tergit-Pleuren-Nat fast in halber Sei- tenhühe des Kürpers verläuft. Porus auf dem 5. Segment nahe dem vordern Seiteneck des Metazoniten, auf den folgenden ungefähr gleichweit vom vordern wie vom hintern und seitlichen Rand des Metazoniten, auf den hintern etwas näher dem Hinterrand, immer im Kopf des er- wähnten hellen Kommafiecks. Pro- und Metazoniten glatt, erstere nackt, letztere nur mit einer Querreihe von wenigen kurzen, steifen Bürstchen längs des Hinterrandes: diese Borsten bedeutend länger am Hinterrand des Præanalsegments. Quernat zwischen Pro- und Metazoniten seicht und breit, längsgestrichelt. Die zwei vordersten Beinpaare des © etwas verdickt, die Vulven am zweiten Paar ziemlich dick, das 2. und 3. Bempaar auseinanderdrängend. 130 J. CARL 1 © ad. Manipi, Süd-Celebes, bei ca. 800". (Coll. SARASIN). So lange keime çj' untersucht sind, bleibt die Zugehôrigkeit dieser Art und des nahverwandten À. hicksoni (Poc.) zu Rhinotus immer noch etwas zweifelhaft. Die beiden Arten gleichen sich äusserhch offenbar sehr:; doch ist hicksoni bedeutend grüsser, hat viel mehr Segmente (90) und scheint eimfärbig braunrot ober- seits, während die helle Fleckung bei Æ. trichocephalus sehr deutlich ist. Auch die starke Verschmälerung des Kürpers nach dem Vorderende hin, der schwach gewülbte Rücken und die hohe Lage der Tergit-Pleuren-Nat dürften unsere Art von der Pocock’schen unterscheiden. Fam. POLYDESMIDÆ. ue pictum n. Sp. (Taf. 5, Fig. 1—3.) Länse 1618 Breite cr Inrs @ 00) Färbung : Kopf, A und die 3 folgenden Metazoniten, sowie das ganze Analsegment oder wenigstens dessen apicaler Teil braun. Metazoniten vom 5. an dorsal hinter der Querfurche braun, vor der Querfurche weiss, mit einem medianen dreiecki- gen braunen Fleck, unterhalb der Kiele ganz braun und gegen die Ventralplatte hin aufgehellt. Prozoniten ringsum grauweiss. Ventralplatten und Beine gelbhich. Antennen lichthbraun. Kürper mässig emgeschnürt. Kopf vorn fein beborstet. Scheitelfurche tief und scharf, be- sonders in der Mitte. Antennen mässig lang, ganz schwach keulig. Halsschild querellyptisch. Metazoniten mit kurzen, feinen Bôrstchen zerstreut besetzt. Metazoniten 5 —18 mit sehr deutlicher, von emem Kiel zum an- dern reichender Querfurche. DIPLOPODEN VON CELEBES RS À Kiele schwach entwickelt, nur oberseits durch eme Längs- furche abgesetzte Wülstchen; die porenlosen etwas deutlicher, die porentragenden erst hinter der Querfurche deutlich und stark flachgedrückt; alle Kiele vor dem Hinterrand der Meta- zoniten mit einem kleinen Eck abbrechend. Quernaht glatt. Pleuralkiele fehlen gänzlich. Ventralplatten glatt, unbedornt, die vorderen beim G°kurz und dicht beborstet. Diejenige des 5. Segments beim ç3° vorn et- was verschmälert vorgezogen und dann zu einem griffelfürmigen Fortsatz aufgebogen. Schwänzchen kurz aber ziemnlich spitz. Analschuppe dreieckig, mit 2 sehr klemen Borstenwärzchen. Beine beim © mässig lang, beim çj hinter dem Copulations- segment immer länger und schlanker werdend, das 3. und 6. Glied besonders schlank; die Unterseite schwach und fein be- borstet. Die vorderen Beine des G°kurz und dick, stark hakig, das 2. Paar (Fig. 2) mit dichtem Haarbesatz auf der Unterseite der drei proximalen Glieder. das 3. Glied stark verdickt, fast retortenfürmig, das 2. Glied am Ende viel breiter als die Basis des 3. und daher unterseits vorspringend, das 3. Paar (Fig. 3) mit unterseits in eine stumpfe Apophyse verlängertem 2. und stark verdicktem 3. Gliede. Vom 4. Paar an gleichen sich die Form- und Längenverhältnisse der Beimglieder allmählch aus. Copulationsfüsse des ° (Fig. 1) : Hüfte dünn, cylindrisch. Tibialteil schlank, mit verschmälerter Basis, gegen den Tarsal- teil sehr deutlich abgegrenzt. Tarsus lamellär, hinten in 2 Buckeln vorspringend, vorne in eine kleinere, zweispitzige und eine grüssere vogelkopfähnliche Lamelle, die die Samenrimne fübrt, gespalten. Bowonglangi 1200—1500", Süd-Celebes. (Coll. SARASIN) Die Art ist an den Copulationsfüssen von allen gut beschrie- benen Strongylosoma-Arten leicht zu unterscheiden. In ATTEMS 132 J. CARL Bestimmungstabelle käme sie neben $. transversetæniatum zu stehen. Strongylosoma hirtipes n. sp. (Daft. 5; Fig.,6 u.17.) Länge 20, Breite 2—2mm,5, Färbung : Kôürper samt dem Kopf und den Antennen rot- braun. Bauch und Beine hell. Kürper ziemlich tief engeschnürt. Kopf vorn dicht und sehr fein, auf dem Scheitel spärlich be- borstet. Scheitelfurche scharf. Antennen von mittlerer Länge, endwärts deutlich keulig, das 6. Glied etwas kürzer als das 2. und auf schmaler Basis stark verdickt. Halsschild seitlich kurz zugerundet, ohne deutlhichen Hinter- eck. Metazoniten 5 18 mit deutlicher, von einem zum andern Kiel reichender Querfurche. Kiel des 2. Segmentes eine niedrige, vorn leicht vorspringende, hinten abgestumptte Leiste. Kiele des 3. und 4. Segmentes sehr niedrige, schwach gebogene, stumpfe Leisten. Die porenlosen Kiele der folgenden Segmente stumpfe Wülstchen, auf dem 14. Segment mit kurzem Hintereck; die porentragenden Kiele, von der Seite gesehen, kurze, etwas schräg nach oben gerichtete, flachgedrückte Kegel, die in der hintern Kôrperhälfte einen kurzen spitzen Hintereck bilden:; Umgebung des Porus trichter- fürmig eingesenkt, die die Kiele oberseits begleitende Längs- furche nicht bis zum Vorderrand reichend. Quernaht schmal, glatt oder sehr undeutlich längs gestrichelt. Pleuralkiel hüchstens auf den 3 vordersten Segmenten schwach angedeutet. Ventralplatten ungefähr so breit wie lang, dicht, aber sehr fein und kurz behaart, unbedornt. 5. Ventralplatte des vorne mit geradem, an der Basis eingeschnürtem, spatelformigem Fortsatz. DIPLOPODEN VON CELEBES 135 Schwänzchen kurz, kegelig. Analschuppe stumpf dreieckig, mit zwei deutlichen Borsten- wärzchen. Beine mässig lang, nach hinten zu wenig verlängert. Vordere Beine des Cÿ° autfallend dick, besonders das 3., 4. und 5. Glied stark verdickt, aber ohne Fortsätze. Distale Beinglieder rings- um gleichmässig dicht beborstet, daher ohne eigentliche Bürste auf der Unterseite. Die basalen Glieder unterseits dicht, ober- seits spärlicher fem beborstet. Copulationsfüsse (Fig. 6) schlank. Hüfte cylindrisch, end- wärts oberseits verschmälert. Schenkel kurz und rundlich. Ti- bialtei]l fast gerade, von der schmalen Basis an schwach ver- breitert. Tarsalteil sichelfürmig, am Ende gegabelt, der äussere, schlankere (rabelast ist nach innen übergeschlagen; Hauptast geisselfürmig, vom Nebenast eimgewickelt und dessen äusserer Spitze folgend. Loka, Süd-Celebes. (Coll. SARASIN). Die Färbung scheint auch bei dieser Art recht variabel. Ein ist einfarbig gelblich, ein © hat 2 breite, helle Längsbinden und eine schmale mittlere braune Binde auf dem Rücken, stimmt aber in den Formen mit den çj° überein. Strongylosoma montivagum n. sp. Eänge 27% /Breite.3mm! Färbung schwarzbraun. Kiele leuchtend dunkelrot. Quernaht und Ventralplatten rot; Beine und Antennen braunrot. Kôrper ziemlich tief eingeschnürt mit stark gebogenem Rücken. Kopf vorn sehr sparsam beborstet. Scheitel nackt, mit scharfer Scheï- telfurche. Antennen ziemlich schlank, endwärts ganz schwach keulig verdickt. Halsschild auf den Seiten von vorne her ziemlich stark ver- schmälert, dann kurz zugerundet, ohne Hintereck. 134 J. CARL Metazoniten 5—18 ohne Querfurche, hüchstens mit einer schwachen kurzen Einsenkung über die Mitte. Kiel des 2. Segmentes breit, vorn stärker, hinten schwächer breitzackig vorspringend. Kiele des 2. und 3. Segmentes stark entwickelt, ihr Vorder- und Seitenrand zu einem flachen Bogen verschmolzen ; der Hintereck schwach vorspringend. Die fol- genden Kiele für ein Strongylosoma stark entwickelt:; von der Seite gesehen erscheinen die porenlosen als spitzere, die poren- tragenden Kiele als stumpfere, vom ersten Metazonitendrittel aufsteigende, etwas schiefe Kegel. Alle Kiele mit deutlichem Hintereck, der auf den hinteren Segmenten den Metazoniten- Hinterrand überragt. Saftloch nahe dem Hintereck, etwas mehr auf der Unterseite des Kieles, nach hinten gerichtet. Quernaht schmal. Pleuralkiel nur auf den vorderen Segmenten vorhanden, auf dem 2. und 3. Segment als spitzer, rückwärts gebogener Zahn, auf dem 4. als gebogene Leiste, von da an vollkommen fehlend. Ventralplatten etwas länger als breit, glatt und unbeborstet, ohne Dornen. Schwänzchen flachgedrückt, endwärts wenig verschmälert, am Ende deutlich abgestutzt. Analschuppe trapezoidisch, mit schwach gebogenem Hinter- rand, ohne Borstenhückerchen. Beine schlank, von vorn nach hinten kaum merklich an Länge zunehmend, unterseits spärlhich beborstet, oberseits spärlich und sehr kurz beborstet. 2 ©. Südliche Vorberge des Tokalekadjo ca. 1000", Central- Celebes. (Coll. SARASIN). Die vorliegende Art dürfte leicht zu erkennen sein an den für ein Strongylosoma Stark entwickelten Kielen, der sehr schwachen Andeutung der Querfurche, der Form des Schwänz- chens und der zahnartigen Beschaffenheit des Pleuralkiels auf dem 2. und 3. Segment. Ein Exemplar zeigt Spuren eines roten DIPLOPODEN VON CELEBES 155 Quertlecks auf dem Hinterteil der Metazoniten und einen hellen Punktfleck in der Rückenmitte auf der Quernaht. Strongylosoma constrictum n. sp. (Taf. 5, Fig. 8. basses =3610%)/Brèrte,6 30:35 Färbung braunschwarz mit rôtlichem Hinterrand der Meta- zoniten. Antennen und Beine ebenfalls braunschwarz. Kôürper stark eingeschnürt, sehr deutlich perlschnurartig. Kopf nur ganz vorn dicht kurz beborstet. Antennen eher kurz, end- wärts kaum merklich verdickt ; die Glieder 2 —6 unter sich an- nähernd gleich lang. Halsschild seithich stark zugerundet, ohne deutlichen Hintereck. Segmente glatt und glänzend. Querfurche auf den Metazoniten sehr undeutlich, kaum angedeutet; hingegen zeigen die Metazo- niten eine feine dorsale Längsfurche. Kiel des 2. Segmentes eine niedrige, scharfe Leiste, die vorne zackig vorspringt aber hinten keinen Eck bildet. Kiele des 3. und 4. Segmentes fast nur durch eine gebogene Furche ange- deutet. Vom 5. Segment an fehlen eigentliche Kiele, die Meta- zoniten sind auf Kielhühe schwach beulenartig aufgetrieben, aber keine Furche begrenzt die rundliche Auftreibung. Quernaht sehr fein und undeutlich längs gestrichelt. Pleuralkiel nur bis zum 3. Segment erkennbar. Ventralplatten länger als breit, glatt, unbeborstet und un- bedornt:; diejenige des 5. Segmentes beim jf vorne mit einem am Ende abgestutzten geraden Fortsatz. Schwänzchen ziemlich lang, breit und abgeflacht, am Ende zWelspitzig. Analschuppe gerundet-dreieckig. Beime ziemlich lang, unterseits kurz beborstet ; diejenigen des c'. besonders die vorderen, mit einer Bürste kurzer, starker, 136 J. CARL sebogener Borsten versehen. Vordere Beinpaare des ° kürzer und dicker als die übrigen, aber ohne Besonderheiten der Form. Copulationsfüsse des (Fig. 8): Hüfte distalwärts unter- seits stark vorspringend und mit einem Lappen über die Aussen- fiche des Schenkels übergreifend. Tibialabschnitt schlank, von der Basis an graduell schwach verbreitert, gerade, am Ende oberseits mit einem kleinen kegelformigen Dorn (K) versehen. Tarsalabschnitt einfach, aus einer sichelfürmig gekrümmten La- melle gebildet, die den gleich langen ebenso gekrümmten geissel- formigen Hauptast umfasst. Südliche Vorberge des Tokalekadjo ca. 1000, Central- Celebes. (Coll. SARASIN). Die Art schliesst sich durch das Fehlen eigentlicher Kiele und die sehr schwache Entwicklung der Querfurche auf den Metazoniten mehr an die südamerikanischen als an die indo- australischen Strongylosoma-Arten an. Strongylosoma moniliforme n. sp. (Taf. 5, Fig. 4. 5.) Länge;ca 2520 -Breite com 0 Sn AE Färbung: Kürper braunschwarz, unterseits meist etwas heller, Prozoniten etwas heller als die Metazoniten. Vorderrand des Halsschildes, Kiel des 2., 3. und 4. Segmentes, sowie alle porentragende Kiele weisslich; die porenlosen Kiele nur am Hinterrande leicht aufgehellt. Metazoniten vor der Querfurche mit einem länglichen Fleck in der Rückenmitte; diese Flecken durch eme undeutliche rôtliche Mittellinie miteimander verbun- den. Kopf und Antennen schwarzbraun. Ventralplatten und Beime rotbraun, die Basis des 3. Beingliedes meist hell. Kürper tief emgeschnürt und stark knotig, besonders beim Cf. Kopf vorn spärlich und fein beborstet. Scheitel mit kurzer, DIPLOPODEN VON CELEBES 157 scharfer Scheitelfurche. Antennen lang, gegen das Ende him kaum merklich verdickt, das 6. Glied nicht länger als das 2. Halsschild auf den Seiten vorn gebogen, hinten gerade, mit stumpfem Hintereck. Metazoniten glatt, unbehaart, vom 5.—18. mit kurzer, die Kiele lange nicht erreichender Querturche. Kiel des 2. Segmentes als scharfe Leiste entwickelt, mit stärker vorspringendem Vorder- und schwächer vorspringendem, stumpfem Hintereck. Die folgenden Kiele viel schwächer, die porenlosen sind schmale niedrige Leisten, die nur oben durch eine Furche abgegrenzt sind, weder den Vorder- noch den Hinter- rand des Metazoniten erreichen und auch hinten keimen Eck bilden; die porentragenden Kiele stumpf spindelformige, flache Beulen, ohne Hintereck, kürzer als der Metazonit, um das Saît- loch nicht emgedrückt. Quernaht breit, seitlich in Kielhôhe deutlich verbreitert, dor- sal von emer Kielhühe bis zur andern sehr deutlich grob längs- gestrichelt. Pleuralkiel nur auf dem 2. Segment vorhanden. Ventralplatten schmal, länger als breit, spärlich und kurz behaart, ohne Dornen oder Hücker; diejenige des 5. Segmentes vorn zu einem kegelfürmigen, am Ende undeutlich gespaltenen Hôücker ausgezogen. Schwänzchen kurz und stumpf. Analschuppe stumpf-dreieckig. Beine lang, besonders beim Ç;', aber ziemlich stark; die vor- dern Beinpaare des G° ohne besondere Formmerkmale, etwas kürzer und dicker als die übrigen, mit dichter kurzer Haar- bürste auf der Unterseite des letzten Gliedes. Das letzte Glied aller Beine unterseits distalwärts dichter beborstet als beim ©. Copulationsfüsse (Fig. 4, 5) schlank. Hüfte cylindrisch; Schen- kel kurz: Tibialteil kurz, gegen den Tarsalteil schräg abgegrenzt; Tarsalteil gerade, kurz über der Basis gespalten in einen langen 2EV. SUISSE DE ZOOL. T. 20. 1912. 10 138 J. CARL peitschenfürmigen Hauptast und einen lamellären korkzieher- artig gewundenen Nebenast ; letzterer teilt sich am Ende in eine breitere einfache und eine etwas schmälere am Ende selbst wieder in zwei Lappen gespaltene Lamelle. Einer dieser Lappen umwickelt das Ende des Hauptastes. Gegend von Duri 400—600", Süd-Central-Celebes, °° ©. Sadaonta, Central-Celebes ©. Makassar, Süd-Celebes © Jjuv. Süd-Ost-Celebes, Lokalität? © juv. Kema, Nord-Celebes (Coll. SARASIN) 3 ©. Anmerkung 1. Die Färbung dieser Art ist sehr variabel, beim @ aus Sadaonta ist der Fleck auf der Rückenmitte der Meta- zoniten kaum angedeutet. Die Prozoniten sind ringsum hellbraun, mit einem noch helleren dorsalen Mittelfleck; die Unterseite und das Analsegment sind ganz hell, ebenso Beine und Antennen mit Ausnahme der bräunlichen Gliedenden. Beim © aus Makassar ist die ganze Rückenmitte der Metazoniten von emem verwisch- ten rôtlichen Fleck eingenommen. Beïm © aus Süd-Ost-Celebes und bei emem °° von Duriist die Fleckenzeichnung kaum an- sedeutet. Anmerkung 2. Die Art erinnert sowohl durch die Zeichnung als durch gewisse Formmerkmale an Sr. Holstii Poc. von den Liu-Kiu-[nseln (Chinesische See) und an Str. ocellatum Poc. aus Birma. Auch in den Copulationsfüssen herrscht, soweit nach den mangelhaften Abbildungen und kurzen Beschreibungen bei diesen zwei Arten geurteilt werden kann, eine gewisse Ueberein- stimmung. Doch hat Holsstii verdickte Antennen, beim Saftloch emgedrückte Kiele und bis zum 4. Segment reichenden Pleural- kiel, sowie tiefer gespaltenen Nebenast der Copulationsfüsse Bei ocellatum trägt die Ventralplatte des 5. Segments des G' keinen Fortsatz, und die Tarsaläste der Copulationsfüsse er- scheinen nach der Abbildung anders geformt. — Bei beiden Arten von POCOCK ist die Quernaht geperlt. — Auch Str. hetairon DIPLOPODEN VON CELEBES 139 Att. scheint mit unserer Art verwandt; doch sind die Bezieh- ungen nicht genauer festzustellen, da von dieser Art nur das © bekannt ist. Am nächsten aber steht die celebensische Art dem Str. (Eu- strongylosoma) orthogona Silv. von Neu-Guinea (Ann. Mus. civ. Genova (2) vol. XIX, p. 442, Fig. 1, 2. 1898). Die Copulations- füsse beider Arten sind sehr ähnlich gestaltet; die kurze Be- schreibung lässt keine streng unterscheidenden Merkmale er- kennen, gestattet aber anderseits auch nicht eme sichere Iden- tifizierung. SILVESTRIS Exemplare sind bedeutend kleiner COST); Orthomorpha sp. ? Von einer grôsseren Art liegen nur unreife und © von 18 und 19 Segmenten vor. Die Exemplare mit 18 Segmenten sind weiss, die andern hingegen haben braunen Vorder- und gelben Hinterteil der Metazoniten. Sie erinnern durch die Zweifarbig- keit der Metazoniten an ©. fusco-collaris und ouatesi Poc. aus Birma, mit deren Beschreibung sie auch sonst in den meisten Punkten übereinstimmen. Die ziemlich starke Wôlbung des Rüc- kens dürfte ein Jugendmerkmal sein. Länge des © mit 19 Seg- menten: 25m, Breite 4m, Breite G° 32,5. Bowonglangi 1200-1500, Bontorio, Loka 1300%, Süd-Ce- lebes. (Coll. SARASIN) « Prionopeltis socialis n. sp. (Taf. 5, Fig. 13—15.) Länge 38 —42mn, Breite : Kürpermitte çj' 50m, O 6m, Färbung: Kopf schwarzbraun, vorne gelblich, Metazoniten schwarzbraun mit Andeutung eines rôtlichen Fleckes auf der Mitte der hinteren Hälfte. Seiten der Metazoniten schwarzbraun oder rotbraun; äusserer hinterer Teil der Kiele gelblich. Prozo- 140 J. CARL niten rotbraun mit einem breiten, hellen Fleck auf dem Rücken. Bauch, Beine und Schwänzchen gelbbraun. Kopf vorn sehr fein und kurz beborstet. Scheitel fem leder- artig gerunzelt mit scharfer Scheitelfurche. Antennen ziemlich schlank, nicht keulig, zurückgelegt bis zam Vorderrand des 2. Metazoniten reichend. Halsschild ziemlich grob und dicht lederartig gerunzelt ; die Seitenlappen zugerundet, fein gerandet, mit einem Emdruck vor dem Hinterrande. Kiel des 2. Segmentes vorn zugerundet und schwach vor- springend, mit einem winzigen Zäckchen auf dem Vorderrande, hinten als stumpfe Zacke schwach vorspringend. Die folgenden Kiele mit stark abgerundetem Vordereck und nach hinten zu immer deutlicher zackig vorspringendem, vom 15. Segment an den Hinterrand überragendem Hintereck. Der Hintereck der letzten Kiele eine etwas spitzere Zacke bildend, aber kemeswegs dorn- fürmig. Seitenrand glatt, eher schmal wulstig, auf den poren- tragenden Kielen wenig dicker als auf den porenlosen und seit- lich kauin eingedrückt. Saftlôcher nahe dem Hintereck der Kiele, von oben nicht sichtbar, nach aussen und etwas nach unten gerichtet:; Rücken schwach gewülbt. Metazoniten dicht leder- artig skulptiert, die vorderen grôber, die hinteren immer femer, vom .—18. Segment mit ziemlich scharfer. Querfurche und einer Reihe von sehr schwachen, durch undeutliche kurze Längs- furchen getrennten Tuberkelchen längs des Hinterrandes. Quernaht sehr schmal und fein geperlt. Pleuralkiel gut entwickelt, auf den 4 vorderen Segmenten leistenfürmig, mit zackig vorspringendem Hintereck, von da an geteilt in eine vordere Beule, die bald verschwindet, und eine hintere Zacke, die bis zum 16. oder 17. Segment sichthar bleibt. Ventralplatten fein und kurz beborstet, beim çj° mit einem spitzen Hückerchen neben jedem Beine. 5. Ventralplatte des G° DIPLOPODEN VON CELEBES 141 vorn mit einer kurzen, aber dicken und breiten rechteckigen Platte. Schwänzchen genau wie bei ?. fasciatus Att. (Syst. der Polyd., EPA; Fig. 190: Analschuppe gerundet, mit zwei sehr kleinen Borstenwärz- chen. Beine lang, beim © dünn und gleichmässig, ziemlich schwach beborstet (Fig. 14); beim <ÿ° bedeutend dicker, mit ziemlich stark gekrümmtem drittem Gliede, auf der Unterseite des 2., 3. und 4. Gliedes mit emer Bürste kurzer, gekrümmter Borsten, auf dem 5.und 6. Gliede mit einer Bürste etwas längerer Borsten (Fig. 13), diese Bürsten werden vom 10. Segment an bedeutend schwächer, sind aber bis zum 17. Segment als solche zu erkennen. Copulationsfüsse, besonders im Endteil, mit denjenigen von P. fasciatus Att. fast vollkommen übereinstimmend, die Tibia jedoch schlanker (Fig. 15). cf, ©. Bontorio, Süd-Celebes. (D' J. ELBERT) Die Art zeigt unleugbare Beziehungen zu ?. fasciatus, Att. aus Borneo, einer- und zu P. tenuipes Att., aus Java, andererseits. Von beiden ist sie specifisch verschieden und nach D' ATTEMS freundlicher Mitteilung leicht zu unterscheiden : 1. Von tenuipes durch die Kiele, die bei letzterem viel dick- wulstiger und merklich aufgebogen sind; durch den Halsschild, dessen Seitenlappen bei fenuipes deutlich aufgebogen sind: durch die Oberflächenskulptur der Metazoniten, die bei tenui- pes lederig und dabei glänzend ist, und endlich durch Unter- schiede in den Copulationsfüssen. 2. Von fasciatus durch die Färbung und Grüsse; durch den Halsschild, der bei fasciatus merklich breiter ist und im Hinter- eck deutlichere Zacken trägt und dessen Seiten aufgebogen sind; durch weniger deutlichere Tuberkelreihe längs des Hinterrandes der Segmente, weniger stark aufgebogene Kiele, von denen die letzteren hinten wohlzackig aber nicht dornfürmig sind ; endlich 142 J. CARL durch kürzere dickere Beine des ;', deren Tarsalbürste bis hinter der Kürpermitte deutlich, bei fasciatus aber auf die 8 vordersten Beinpaare beschränkt ist. Die Sammlung von D' F. und P. SARASIN enthält noch © © von J'rionopeltis von zwei weiteren Lokalitäten, die in emigen Punkten von der eben beschriebenen Art abweichen: 1. Tiere von hellerer Farbe, korngelb, mit etwas heileren, fast durchscheinenden Kielen, rothbraunem Scheitel und Halsschild, sehr hell gefärbten Beinen und Antennen; die vordern 6 oder 7 Metazoniten sind rotbraun; der Wulst auf dem Seitenrand aller Kiele ist noch etwas schwächer als bei P. socialis, in den übrigen Merkmalen mit dieser Art übereinstimmend und wohl nur als Varietät zu betrachten. Lappakauou (Süd-Celebes) 2 ©. 2, Färbung wie bei den vorhergehenden, aber die Seiten- lappen des Halsschildes nur vorn zugerundet, mit geradem Hinterrand, der mit dem Vorderrand emen zugestumpften, fast rechtwinkligen Eck bildet. Die Kiele nicht annähernd horizontal wie bei ?. socialis, sondern im hinteren Teil ziemlich stark auf- steigend, ihre Hinterecken eine spitzere Zacke bildend, im üb- rigen wie P?. socialis. Das eine Exemplar scheint eine Art Ueber- gang zu dieser Art zu bilden ; ob das andere eine eigene Art dar- stellt, kann, da kein jf vorliegt, nicht entschieden werden. 2 © Gegend von Duri, Süd-Central-Celebes, 400 —600. (Coll. SARASIN) Polylepis elberti n. sp. (Taf. 5, Fig. 12.) Nahe verwandt mit dem nur im weiblichen (reschlecht be- schriebenen P. xestoloma (Att). Der Vergleich mit eimem der Cotypen dieser Art (© aus Borneo) und mit der Origimalbe- schreibung ergiebt folgendes Verhältnis der beiden Arten: DIPLOPODEN VON CELEBES 143 Die Färbung und die Skulptur der Metazoniten ist in beiden Arten dieselbe. Das © von elberti ist bedeutend grüsser als das von xesto- loma, nämlich ca. 68m" Jang und 9,5 breit, das bedeutend kleinere ‘hat die Grüsse von xestoloma ©. Der Kopf ist bei elberti auch vorne dicht granuliert und matt, ohne dreieckiges glattes Feld; der Vorderrand des Hals- schildes ist von einem niedrigen Wulste begleitet, dessen Ent- stehung aus verschmolzenen flachen Tuberkeln kaum ange- deutet ist; die Mitte des Halsschildes ist glatt und glänzend. Die Kiele des 2. und 3. Segments sind bei e/berti nach aussen hin verschmälert, besonders von hinten her, und schmal zuge- rundet, bei æestoloma dagegen schon deutlich eckig, mit zuge- stumpftem Vorder- und Hintereck. Der Hinterrand der Kiele ist bei elberti fast gerade, der Hintereck (die hintersten Kiele ausgenommen) nur als stumpfes Spitzchen schwach vorspringend:; bei xestoloma ist der Hinterrand deutlich concay und der Hinter- eck entsprechend stärker zackig vorspringend. Der Seitenrand der Kiele bleibt bei elberti ziemlich scharf, die Porenbeule ist eine schwache Auftreibung der Kieloberseite, flach, nach mnen weniger scharf abgesetzt und vorn nicht allmählich in den wul- stigen Seitenrand übergehend; bei xestoloma ist der Seiten- rand der Kiele dick wulstig und zu einer dicken, innen scharf begrenzten Beule verbreitert ; dieser Unterschied ist besonders auf den porenlosen Kielen sehr deutlich. Die Seiten der Metazoniten sind bei elberti stärker granu- Bert und zwar auch in der vorderen Hälfte, nur etwas spär- licher als in der hintern; die Prozoniten sind mehr fein chagri- niert als spitz granuliert. Die Ventralplatten sind bei elberti feiner gekôrnelt und un- beborstet !. * ArreMs beschreibt sie für xestoloma als unbeborstet; aber bei dem uns vor- liegenden Cotypus sind sie wie die Unterseite der Beine kurz steif beborstet. 144 J. CARL Schwänzchen fast genau halbkreisfürmig, regelmässig ge- bogen, an der Basis zweimal breiter als lang; der Rand nur mit 3 in feinen Kerben liegenden Bôrstchen; oberseits 2 winzige Borstenwärzchen nahe dem Endrand. — Bei xestoloma ist das Schwänzchen ?/, so lang als an der Basis breit, die Seiten- ränder sind zunächst parallel, dann folgt ein borstentragender Absatz und dann erst die kurze, flache, jederseits zwei Borsten- hôkerchen tragende Rundung; oberseits em Paar entfernt stehender Borstenwärzchen auf der Hôhe der Seitenabsätze. Copulationsfüsse (Fig. 12) mit ihren Endteilen sich kreuzend, schlank, einästig, am Knde sichelférmig gekrümmt und davor mit einem von der Aussenfläche abgehenden und nach der Con- cavität gerichteten, geraden, spitzen Dom. cg‘, ©. Roembi-Mengkoka, SO.-Celebes. (D' J. ELBERT) Platyrrhacus sarasinorum n. sp. (Taf. 5, Fig. 17.) Länge 44-50" Breite «'° Kôrpermitte 8m, © 9—]100m. Dunkel-erdbraun, Kiele gegen den Seitenrand hin leicht aufge- hellt. Unterseite braun. Ventralplatten und Antennen rothraun. Antennen kurz, aber ziemlich schlank. Kopf dicht granuliert, nur vorn beborstet. Scheitelfurche vorhanden. Halsschild so breit wie der Kopf; die Fläche mit grüsseren, flachen und ganz kleinen Tuberkeln besetzt. Längs des Vorder- randes eine sehr dichte Reihe mittelgrosser Tuberkel, längs des geraden kürzeren Hinterrandes eine weniger dichte Retïhe be- deutend grüsserer Tuberkel, die zwei äussersten jederseits am grôüssten. Seitenlappen klein und stark zugestumpft, vorn nicht deutlhich vom Rückenteil des Halsschildes abgegrenzt, hinten stärker abfallend und mit dem Rücken einen stumpfen Winkel bildend, der durch die starke Entwicklung der seitlichen Hin- terrandhôcker noch stärker hervortritt. DIPLOPODEN VON CELEBES 145 Die nächstfolgenden Metazoniten wie der Halsschild stark eranuliert, besonders längs des Hinterrandes und auf den Kielen. Nach hinten zu wird die Tuberkelreihe des Hinterrandes etwas schwächer, tritt aber immer sehr deutlich aus der übrigen Gra- nulierung hervor und weist meist zwei stärkere äusserste Tu- berkeln auf. Vordere und mittlere Tuberkelreihe schwach ent- wickelt. Kiele grôber granuliert als der Rückenteil der Meta- zoniten. Rücken beim © schwach gewülbt, beim Gfnoch flacher. Kiele etwas schwächer abfallend als der Rücken, die 3 vordersten et- was nach vorn gezogen, die übrigen fast gerade auswärts gerich- tet. Alle Kiele sehr wenig länger als der Rückenteil des Metazoni- ten, daher nicht zusammenschliessend ; 1hr Vorderrand gerade, an der Basis leicht geschultert, vom 7. Segment an zuerst ganz schwach, dann immer deutlicher nach aussen und schräg nach hin- ten gerichtet. Seitenrand sehr schwach convex, scharf und leicht gewellt, Hinterrand nicht gezähnelt. Vorderecken stumpf oder kurz zugerundet, Hintereck bemahe rechtwinklig, erst vom 16. Segment an dreieckig nach hinten ausgezogen, nirgends dorn- artig. Saftlücher ziemlich gross, um das 11/,—2 fache ihres Durchmessers vom Rande entfernt. Prozoniten sehr fein chagriniert. Seiten der Metazoniten zer- streut fein gekôürnelt. Ventralplatten glatt oder in der Mitte sehr fein granuliert, kurz beborstet, mit kleinen spitzen Hôükerchen neben jedem Bein. Beine ziemlich dicht allseitig abstehend be- borstet. Analschuppe gestutzt mit zwei Borstenwarzen. Schwänz- chen so lang wie an der Basis breit, stark zugerundet, annähernd halb-ellvptisch, mit sehr kleimen Borstenhükern. Copulationsfüsse (Fig. 17) ziemlich schlank, am Ende gabel- ästig, auf der Aussenseite vor der Umbiegung mit einem etwas rückwärts umgebogenen Aste. Schenkel an der Basis nur schwach verdickt. Uangkahulu-Tal Nord-Celebes. (Coll. SARASIN) 146 J. CARL Die Art erinnert an P/. tetanotropis Att. von der Insel Sangi in der Form der Copulationsfüsse, des Schwänzchens, der star- ken Entwicklung der Kürner auf dem seithichen Hinterrand der vorderen Metazoniten, der Wülbung des Rückens etc. Dem stehen folgende unterscheidende Merkmale gegenüber: Die Scheitelfurche ist deutlich. Auch die mittleren Kôrner der hinteren Reihe sind grüsser als die übrige Granulierung. Kiele nur am Vorderrand an der Basis geschultert, wemig länger als der übrige Teil des Metazoniten, daher nicht zusammen- schliessend, Seitenrand, wenigstens der vordern Kiele, deutlich gewülbt. Porus nur etwa um 1!'/, mal sein Durchmesser vom Hinterrande entfernt. Platyrrhacus alatus n. sp. (Taf. 5, Fig. 16.) Länge © ea. 55", (? (Fragmente). Breite © Halsschild 5mm, Kôrpermitte 11%, 18. Segment 82,5 ; G' Halsschild 42, Kôrpermitte 82, 17. Segment 7nm,5,. Färbung: Die meisten Exemplare fast einfarbig gelbbraun mit gelblichen Kielen. Zwei Exemplare haben einen schwarz- braunen Rücken und hellgelbe Kiele. Die schwarzbraune Fär- bung greift in der Mitte auf die Basis der Kiele über. Dies dürfte die ursprüngliche Färbung darstellen. Kopf dicht und gleichmässig granuliert. Scheitelfurche scharf. Antennen ziemlich lang. zurückgelegt über den Hinterrand des 2. Metazoniten hinausragend. Halsschild kaum so breit wie der Kopf, oben flach, seitlich heruntergebogen, mit zugestumpften Seitenlappen, Oberseite dicht und bedeutend grüber granuliert als der Kopf, in der Mitte etwas flacher granuliert. Längs des Vorderrandes ein Rand- wulst, der selber sebr dicht granuliert ist und dahinter eine DIPLOPODEN VON CELEBES 147 Querfurche. Die gewôhnliche Tuberkelreihe längs des Vorder- und Hinterrandes nicht ausgebildet. Rücken vorne ziemlich stark gewülbt, nach hinten zu aber rasch flacher werdend, in der hintern Kôürperhälfte, namentlich beim Ç;', recht flach, Habitus daher an Leptodesmus erinnernd. Rücken der Metazoniten dicht gekürnelt, die vorderen grob wie der Halsschild, die folgenden immer feiner, die drei Tuberkel- querreihen nicht ausgebildet oder hüchstens auf den letzten Me- tazoniten noch nachweisbar, indem hier die übrige Kôrnelung sehr schwach wird. Oberseite der Kiele ebenso granuliert wie der Rücken. Kiele hoch angesetzt, vom 4. an ganz schwach abfallend und fast gerade nach aussen abstehend, vom 14. an ist der Hinter- eck von der Basis an immer deutlicher als breite, dreieckige Zacke nach hinten gezogen. Kiele gross und dünn, vorn an der Basis schwach geschultert. Vorderrand convex, in starkem Bogen in den Seitenrand übergehend. Seitenränder deutlich nach hinten convergierend, Hintereck bis zum 15. Segment an- nähernd rechtwinklig, von da an spitzer werdend, aber zuge- stumpft und nicht in einen Dorn ausgezogen. Vorderrand aller Kiele glatt, Seitenrand der vordersten durch kleine Verdickungen deutlicher, der folgenden kaum sichtbar gewellt. Fig il. Fig. 12. Platyrrhacus alatus n. sp. Fig. 11. 9. Segment des G (4 mal vergr.). — Fig. 12. 15. Segment des Q (4 mal vergr.). Hinterrand vom 4.-15. Segment leicht $ f‘rmig geschwungen, fast senkrecht zur Längsachse des Kôürpers, vom 15. Segment an 148 J. CARL serade und schräg nach hinten gerichtet, überall stumpf ge- zähnelt, an der Basis von eimigen stärkeren Kôrnern überragt. Saftloch klein, sehr weit vom Seitenrande, kurz hinter und wenig ausserhalb der Mitte des Kieles gelegen. Ventralplatten ziemlich dicht und fein gekürnelt, unbeborstet, ohne Dornen aber mit einem kleinen glänzenden Hücker neben jedem Bein. Beime ziemlich schlank, die basalen Glieder unterseits mit wenigen feinen, steifen Borsten versehen, die distalen Glieder ringsum dichter beborstet. Schwänzchen stark gerundet, an der Basis mit kurzen para- lellen Seitenrändern. Längs des Endrandes mit ca. acht, in win- zigen Kerben stehenden Bôrstchen. Oberseite spärlich feim gra- nuliert, mit zwei klemen Borstenhôckern in der Nähe des End- randes und zwei andern in grüsserer Entfernung von demselben. Analschuppe trapezférmig, mit zwei ziemhich grossen Borsten- warzen. Copulationsfüsse (Fig. 16) übereinander greifend. Hüfte ober- seits Stark aufgetrieben, Endteil an der Basis schwach verdickt, schlank bandartig und vielfach nach verschiedenen Ebenen sgekrümmnt, spitz auslaufend. Roembi-Mengkoka, S.-0.-Celebes, ein ©, Fragmente von (D' J. ELBERT) S.-0.-Celebes, ein ©. (Coll. SARASIN) P. alatus schliesst sich am nächsten der 4. Gruppe von ATTEMS an. Doch dürften die Antennen etwas länger und schlanker sein als bei diesen Formen. Die Arten dieser Gruppe haben zwei- ästige Copulationsfüsse, mit Ausnahme von P. Schetelyi Karsch, von dem sich ?. alatus durch die Skulptur des Halsschildes und der Metazoniten, die stärkere Rundung des Vorderrands der Kiele und grüssere Entfernung des Saftloches der hintern Kiele vom Seitenrande leicht unterscheidet. Seine Copulationsfüsse sind mannigfaltiger gekrümmt als diejenigen von P. Schetelyi. DIPLOPODEN VON CELEBES 149 Platyrrhacus zonatus n. sp. (Taf. 5, Fig. 9.) Länge 33 —39%%, Breite Kôrpermitte © 7m, œ 6m Farbe : Kopf schwarzbraun, ganz vorn und seitlich rotbraun ; Halssehild schwarzbraun, ringsum ziemlich breit lederbraun gerandet. Prozoniten schwarz, Metazoniten braunschwarz, mit ziemlich breitem lederbraunem Querband längs des Hinterrandes. Analseoment an der Basis schwarzbraun, das Schwänzchen gelblich. Kiele gelblich. Unterseite, Beine und Antennen gelb- ich, die zwei basalen Beinglieder manchmal dunkler. Kopf dicht granuliert, vorn auf dem Schilde schwächer und spärlicher als auf dem Scheitel, mit scharfem Querwulst längs des Vorderrandes und darüber eine Querreihe von Borsten- bündeln ; auf dem Schilde noch eimige zerstreute Borstenbündel. Scheitelfurche seicht, aber ziemlich breit. Antennen mässig dick, kurz, zurückgelegt wenig über den Hinterrand des Halsschildes reichend. Halsschild kaum so breit wie der Kopf, mit etwas herunter- gebogenen, zugestumpften Seitenlappen. Fläche dicht und ziemlich grob granuliert, Die Tuberkelreihe längs des Vorder- und Hinterrandes nur schwach hervortretend, ebenso der Wulst hinter dem Vorderrande. Rücken vorn ziemlich stark, nach hinten zu immer schwächer sewôülbt. Die Kiele etwas schwächer abfallend als der Rücken, die hintersten fast horizontal. Metazoniten dicht granuliert, die vorderen grüber, die folgen- den immer feiner, der letzte oder die zwei letzten fast glatt. Die drei Tuberkelquerreihen nur auf den hintersten Metazoniten deutlich, ihre Tuberkel klein und spitz. Die zwei vorderen Kiele etwas schräg nach vorn gezogen, aussen zugerundet, die folgenden an der Basis nach vorn ge- 150 J. CARL zogen, dann gerade abstehend oder etwas schräg nach hinten gerichtet, bedeutend länger als breit. Ihr Vorderrand an der Basis hoch geschultert, dann etwas schräg nach hinten ge- richtet und sehr schwach convex, undeutlich stumpf gezähnelt ; Hinterrand annähernd parallel zum Vorderrand, leicht einge- buchtet, deutlich stumpf gezähnelt, besonders an der Basis; Vordereck zugerundet:; Hintereck etwas zackig vorspringend, aber stumpf; Seitenrand convex, ziemlich scharf, auf den mittleren Kielen infolge vieler schwacher Verdickungen gewellt, auf den vorderen und hinteren Kielen deutlicher stumpf gezähnelt. Ober- seite der Kiele wie die Metazoniten gekôrnelt, gegen die Basis hin mit einem schwachen Längsemdruck. Saftloch klein, um 2—2!/, mal sein Durchmesser vom Seiten- rand entfernt. Seiten der Metazoniten sparsam gekôrnelt. Ventralplatten fem kôürnelig, ohne Dornen, mit vier ganz kleinen, glänzenden Hückerchen. Analschuppe am Ende gestutzt, mit zwei kurzen kegelfôrmi- gen Borstenwarzen. Schwänzchen mit kurzen, geraden Seitenrändern, dann abge- rundet. Der gerundete Endrand mit 6—8 Kerben, in denen Borsten oder Borstenbündel sitzen. Oberseite nahe dem End- rand mit zwei ganz kleimen Borstenhückern. Copulationsfüsse emfache Haken; der Schenkelteil schwach verdickt, der Endteil dorso-ventral abgetlacht, bandfôrmig stark nach oben (kürperwärts) und gegen das Ende hin nach hinten gekrümmt (Fig. 9). Insel Kabzena, südlich von Celebes, 2 ç;', 3 ©. (D' ELBERT.) Von den übrigen Arten mit einfachen Copulationsorganen unterscheidet sich ?. zonatus leicht durch die Färbung, Skulp- tur oder die Form der Kiele; von ?. haplopus Att.! insbesondere, * Nach einem Exemplar im Genfer Museum und der Originalbeschreibung. DIPLOPODEN VON CELEBES Rail der ebenfalls klein ist und ähnliche Kiele hat, unterscheidet ihn die geringere Wôlbung des Rückens, die grüssere Entfernung des Saftloches vom Seitenrand der Kiele, die Abwesenheit der hin- tern Tuberkelquerreihe auf den Metazoniten und die Färbung. P. zonatus lässt sich noch am ehesten in ATTEMS’ 5. Gruppe einreihen. Platyrrhacus arietis n. sp. *(Taf, 5, Fig:10, 44.) cg. Länge 45% Breite Kpmte. 8m, 2. Metazonit 7m. Kôürper am Vorder- und Hinterrande ziemlich stark ver- schmälert. Braungelb, die Kiele und die Prozoniten etwas heller, Unterseite und Beine strohgelb; Kopf und Antennen braun. Kopfschild glatt, spärlich beborstet. Scheitel und Kopfseiten dicht granuliert. Scheitelfurche seicht und schmal. Antennen mässig lang, zurückgelegt bis zur Mitte des 1. Metazoniten reichend. Halsschild kaum breiter als der Kopf, regelmässig gewülbt, dicht und etwas grüber als der Kopf granuliert, in der vorderen Tuberkelreihe viele, aber kleine Tuberkeln; die Tuberkelreihe längs des Hinterrandes noch schwächer hervortretend. Seiten- lappen stumpf, leicht angedrückt. Rücken im Bereich der vordersten Segmente stark gewülbt und die betrefftenden Kiele, besonders der erste, stark herunter- steigend; nach hinten zu wird der Rücken immer flacher, und die Kiele stehen fast horizontal ab. Rücken der Metazoniten unregelmässig ziemlich fem granuliert, die drei Tuberkelreihen nur schwach hervortretend, die Oberseite und die Basis der Kiele dagegen dichter und merklich grüber granuliert, auf dem Kiel eine unregelmässige seichte Längseinsenkung. Kiele sehr wenig länger als der Rückenteil, fast quadratisch, an der Basis vorn und hinten leicht abgesetzt. Seitenrand 152 J. CARL schwach gewellt, ohne Tuberkelzähne. Hinterrand äusserst schwach concav und sehr fein gezähnelt. Hintereck leicht spitz- winklig, nicht dornartig ausgezogen. Saftloch klein, mit dickem Ringwall, um das 1!/,fache des letzteren vom Seitenrand ent- fernt, etwas hinter der Mitte der Kiellänge gelegen. Unterseite der Kiele glatt, Seiten der Metazoniten ziemlich dicht fein granu- liert, hinten dichter als vorne. Beine ziemlich schlank, ringsum Kkurz beborstet. Ventral- platten glatt, fein beborstet, ohne Dornen ôder Hüker. Schwänz- chen stark zugerundet, an der Basis leicht eimgeschnürt, nur mit ? sehr schwachen Borstenwärzchen auf der Oberseite. Anal- schuppe mit zwei grossen Borstenwarzen (Fig. 11). Copulationsfüsse (Fig. 10) bis zur Teilung fast gerade, am Ende in zwei schlanke divergierende Aeste geteilt; der äussere einfach nach aussen umgebogen, der innere (Hauptast) emmal spiralig gedreht. An der Basis des Hauptastes steht ein starker Dorn, der die Copulationsfüsse von PP. arietis von den sehr ähn- lichen mehrerer anderer Arten unterscheiden lässt. Matinang-Kette (Nordseite) Nord Celebes 300 —1000", (Coll. SARASIN). Den äusseren Formen nach steht die Art P. tetanotropis Att. und ?. xanthopus Poc. nahe, hat aber wesentlich andere Co- pulationsfüsse. Platyrrhacus Sp. ? In eine andere Gruppe dürfte eine dem ?. alatus im Habitus ähnliche, grôüssere, wahrscheinlich unbeschriebene Art von dem- selben Fundort gehüren, von der jedoch nur die hintere Kürper- hälfte emes Exemplares vorliegt, sodass weder eine sichere Be- sthnmunge noch eine Neubeschreibung môglich ist. Der Voll- ständigkeit halber füge ich noch folgende Angaben hinzu, die moglicherweise die Art wiederzuerkennen erlauben : Bree none DIPLOPODEN VON CELEBES 153 Pro- und Metazoniten oberseits schwarzbraun, Kiele hellgelb, die dunkle Farbe des Metazoniten-Rückens in Form einer hal- ben Ellypse auf die Kiele übergreifend. Die Färbung des Rü- ckens kontrastiert stark mit derjenigen der Kiele. Seiten des Kür- pers und Bauch braunschwarz, Ventralplatten und Beine rot- braun. Metazoniten fein und flach granuliert; von den drei Tuberkel- reihen tritt nur die hinterste sehr schwach hervor. Die Ober- seite der Kiele im schwarzen Basalteil etwas deutlicher, im weissen Teil undeutlich und sehr flach granuliert, fast leder- artig. tücken flach, Kiele hoch angesetzt, fast horizontal, bis zum 16. seitlich gerade abstehend. Die Kiele sind gross, bedeutend breiter als lang; Vorderrand glatt, an der Basis geschultert, dann ein Stück weit fast gerade, vom ersten Drittel an deutlich convex und in flachem Bogen in den leicht gewellten, scharfen Seitenrand übergehend. Seitenränder bis zum 16. Segment leicht divergierend. Hinterrand leicht geschwungen, an der Basis stumpf gezähnelt, Hintereck fast rechtwimklig zugestumpft. Saftloch sehr weit vom Seitenrande, etwas hinter und ausserhalb der Kielmitte gelegen. Seiten der Metazoniten vorne sehr spär- lich, hinter der Mitte ziemlich dicht granuhert. Ventralplatten ziemlich dicht spitz granuliert, mit vier starken, schräg nach vorn gerichteten Dornen. Analschuppe trapezfürmig, mit zwei kurzen Borstenwarzen. Schwänzchen fast halbkreisfrmig, mit schwach gekerbtem Endrand. oembi-Mengkoka, S.-0.-Celebes. (D'J. ELBERT.) Opisthoporodesmus bacillifer n. sp. Zwei junge © mit 19 Segmenten stimmen in der charakte- ristischen Form und Zähnelung der Kiele, der Tage des Porus, dem Besitz von 3 Querreihen borstentragender Hücker und der Form Rev. Suisse DE Zooz. T. 20. 1912. 11 154 J. CARL des Schwänzchens mit SILVESTRIS (Grattungsdiagnose überein. (Die Antennen sind bei beiden Exemplaren abgebrochen). Es lassen sich folgende Unterschiede mit der einzigen bis- her beschriebenen Art, O. obtectus Silv., (1899, p. 286, Taf. IX, Fig. 5-8) aus Neu-Guinea feststellen. Der Seitenrand aller Kiele besitzt nur 2 statt 3 borstentragende Zähnchen. Die vor- dere Tuberkelreihe der Metazoniten liegt etwas welter Vorn, die mittlere liegt wohl etwas näher der hinteren als der vor- deren Reïhe, aber nicht so nahe wie auf SILVESTRIS Abbildung (Fig. 6); zwischen vorderer und mittlerer Querreihe liegt ein seichter, breiter Quereindruck. Die Borsten der Metazoniten sind etwas länger und dabei stabfürmig, micht keulig verdickt wie bei O. obtectum. Ein von SILVESTRI vielleicht übersehenes Merkmal ist die deutlich zellige Skulptur der Prozoniten, sowohl in ihrem hühe- ren vorderen, als in ihrem eingeschnürten hinteren Teil. Die Metazoniten schliessen enger aneinander, als esnach SILVESTRIS’ Abbildung bei ©. obtectus der Fall ist. Die Analschuppe ist tra- pezformig, mit spitzen, eine ganz fee, lange Borste tragenden Ecken. Masarang, 2? © (juv.?). in Baummoos. (Coll. SARASIN). Cryptodesmus triseriatus n. Sp. (Taf. 5, Fig. 18.) Länge 14m Breite 30,5. Farbe oben bräunlich-gelb, unten beinahe weiss. Kopf matt und glatt, nur ganz vorn spärlich beborstet. Scheitelfurche kurz, nur ganz oben ausgebildet. Antennen kurz. das 5.-7. Glied stark verdickt, aber ohne seitliche Lappen. Halsschild den Kopf vollständig bedeckend. Sein Vorderrand im der Mitte schwach, auf den Seiten stärker gebogen. Der Hinter- randseitlhich gerade, nicht ausgeschnitten, Ecken beinahe recht- _ DIPLOPODEN VON CELEBES 155 winklig. Oberseite des Halsschildes dicht mit kegelformigen, stumpfen Hückern besetzt, die in einer Zone längs des Vorder- randes radiär angeordnet, in der Mitte unregelmässig verteilt sind und nur längs des dorsalen Hinterrandes eine regelmässige Querreihe bilden. Radialfurchen oberseits schwach ausgebildet, unterseits deutlicher. Prozoniten matt und glatt. Metazoniten (Fig. 18) mit 3 Quer- reihen stumpf kegelfürmiger, etwas nach hinten gerichteter, je ein Bürstchen tragender Hôücker, von denen diejenigen der hinteren Reïhe die stärksten sind. Die zwei vorderen Reïhen erstrecken sich auch auf die Kiele, wo die Tuberkel kleiner sind und we- niger dicht stehen; der dritten Reïhe entsprechen auf den Kielen die Zähne des Hinterrandes, die auch ein Knôtchen und em Bôürstchen tragen. Kiele zweimal so breit wie lang, nur sehr schwach herunter- sebogen, vom 2.—18. Segment seitlich gerade abstehend, die vordersten und hintersten von der Basis nach aussen etwas verbreitert, die mittleren etwa vom 4.—14 deutlich ver- schmälert. Ihr Vorderrand an der Basis geschultert, fast gerade oder sehr leicht convex, aufgeworfen gerandet. Seitenrand leicht convex, mit vier stumpfen, Borsten tragenden Läppchen, von denen das erste den Vordereck, das letzte den Hintereck bildet. Hinterrand mäandrisch gezackt, mit ca. 5 oder 6 fast quadra- tischen, durch schmälere Zwischenräume getrennte Zacken. Saftl‘cher auf den Kielen des 5., 7., 9., 10., 12., 153., 15.—19. Segments, ausserhalb der Kielmitte, zwischen den beiden Tuber- kelreihen gelegen, schwer sichtbar. Die Oberseite des Halsschildes und aller Metazoniten samt Kielen mit niederliegenden Bürstchen besetzt, die wie ein sehr lockerer Filz den Grund und die Hücker überziehen. Schwänzchen stumpf kegelformig, oberseits mit vielen kleinen Tuberkeln besetzt. Analschuppe kurz, dreispitzig. 156 J. CARL Ventralplatten schwach und fein beborstet, mit schärferer Längs- und seichterer Querfurche, ohne Hôcker oder Fortsätze. 1 © Soputan 1200", Nord-Celebes. (Coll. SARASIN) Bei der noch herrschenden Unordnung in der Gruppe der Cryptodesminæ ist es schwierig, diese Art einer andern Gattung als Cryptodesmus zuzuweisen. Geographische Gründe würden für Aporodesmus Poe. sprechen; doch soll diese Gattung keine Poren besitzen. Bei Trichopeltis Poc., an die die Form der Kiele einigermassen erinnert, sind Halsschild und Antennen versthie- den gestaltet, und das Vorkommen von Saftlôchern ist zweitel- haft. Am nächsten steht wohl Cryptodesmus ceylonicus Poc. (Journ. Bombay Nat. Hist. Soc. 1892, p. 23, pl. IT, Fig. 2, 2c) mit ebenfalls 3 Tuberkelquerreihen, aber mit stark convexem Vorderrand und stumpferem Vordereck der Kiele und 3 Tu- berkelreihen auf den Kielen. Fam. CAMBALIDÆ. Agastrophus orientalis n. sp. (Taf. 6, Fig. 35.) Länge ca. 15%; Breite Om 8—1mm, Segmentzahl © 49. (relbbraun. Scheitel zwischen den Augen und Antennen, die Antennen und die Beine schwarzbraun. Kopf gleichmässig beborstet; Oberlippe mit drei Zähnen im Einschnitt. Ocellen in 4 Querreihen zu 2, 3, 5, 4. Fühler keulig verdickt, das 5. Glied am Ende am dicksten, sein Endrand aus- sen mit 4—5 Sinneszapfen, das 6. Glied annähernd cylindrisch, das 7. Glied mit 4 Sinneszapfen. Gnathochilarium wie bei À. anquinus Att.; das Mentum ohne die scharf begrenzte Einsen- kung des À. væltzkowi Att. Kôürper glatt, dicht mit kurzen, steifen Härchen bedeckt. Quernaht deutlich. Saftl‘cher hinter der Quernaht. Analseg- DIPLOPODEN VON CELEBES | To ment hinten bogig zugerundet, gar nicht ausgezogen, samt den Analklappen dicht behaart. Analklappen stark gewülbt, ihr End- rand nicht wulstig. Die vorderen Segmente auf der Ventralseite wie bei À. angui- nus gestaltet. Das erste Beinpaar fünfgliedrig; seine Ventral- platte wie bei À. anguinus mit je eimem Fortsatz neben jedem ersten Beinglied: aber dieser Fortsatz ist nicht zugerundet, son- dern hakig nach aussen gebogen. Zweites Beimpaar wie bei À. anquinus. Die folgenden Beine 7-gliedrig, das 2. Glied! sehr kurz, eine kragenformige Membran, die unterseits gerundet vor- springt, und eine Art Sohle unter der Basis des 3. Gliedes bildet. Das 3., 4. und 7. Glied unterseits mit je 2, das 5. und 6. mit je einer Borste. Fig. 18. Fig. 14. Agastrophus orientalis n. sp. c'. Fig. 13. Bein des 1. Paares mit Ventralplatte. Fig. 14. Bein des 8. Segmentes. Gonopoden des 1. Paares (Fig. 35) denjenigen von À. angui- nus äusserst ähnlich, nur dadurch verschieden, dass die mediane ! Das zweite Glied entspricht wohl dem Trochanter und ist als solcher im Vergleich zu andern Diplopoden, wo er meist sehr reduziert und verborgen ist, als sehr deutlich zu bezeichnen. 155 J. CARL Ecke des ersten Gliedes viel stärker vorspringt, schlanker ist und das Ende des fingerformigen zweiten Gliedes bedeutend überragt. (Es gelang uns nicht, aus den Fragmenten des einzi- gen çj° das zweite Gonopodenpaar herauszupräparieren). Masarang (Nord-Celebes). 1 ©, Fragmente eines cf (Coll. SARASIN). Vorliegende Art unterscheidet sich demnach von À. anguinus Att. (ATTEMS, 1900, p. 152, Taf. 16, Fig. 25—30) durch die Färbung, dichtere Behaarung der Metazoniten. Gestalt der Fortsätze der ersten Ventralplatte und Einzelheiten in der Form der vorderen (ronopoden. À. anguinus ist nur von den Sey- chellen, À. veltzkowi Att. (1910) nur von den Comoren bekannt. Die Gattung Agastrophus hat also nach unserer RU Kenntnis ein diskontmuierliches Verbreitungsgebiet. Fam. TRACHYIULIDÆ. Cambalopsis nordquisti Att. (Taf. 5, Fig. 19—21.) ATTEMS (Die Myriopoden der Vega-Expedition, S. T1—T4, Fig. XXV, Taf. 2, Fig. 28—32. 1909) konnte nur em G' unter- suchen. Unsere zwei Exemplare von Celebes stimmen im wesent- lichen in der Gestalt aller Teile mit seiner Beschreibung über- ein. Wir stellen folgende kleine Abweichungen fest: Segmentzahl grüsser, © (juv.?) 54, c' 68 Segmente. Die Segmentzahl scheint in der Gattung Cambalopsis sehr stark zu schwanken. Halssehild mit zwei schwachen Kielen auf den Seitenlappen. die den Vorderrand nicht erreichen und einer Furche längs des schräg aufsteigenden konkaven Seitenrandes. Vier Ocellen (nach ATTEMS 5). Beine des auf der Unterseite der distalen Glieder dichter beborstet als beim ©. Die Borsten mehrreihig gefiedert oder DIPLOPODEN VON CELEBES 159 mit mehreren Reïihen kurzer Spitzchen versehen. Das erste Beinpaar des G° wie in ATTEMS Beschreibung. Copulationsfüsse: Am ersten Paar (Fig. 19, 20) hat der late- rale Coxalfortsatz (B) am Ende keine auffallende Verdickung und ist auf der dem Femoroid (F) zugekehrten Seite dicht mit Hôückerchen besetzt. Am zweiten Paar (Fig. 21) ist der schild- fürmige, mit spitzen Stacheln besetzte Abschnitt (L) nicht ein- sesenkt und scheint eher als Haftorgan denn als Grube zur Aufnahme des Spermas zu dienen. Die beiden Lamellen, die jeden hinteren Copulationsfuss bilden, werden durch gebogene Chitinspangen (Ch und Ch 1) ausemandergehalten. Das Borsten- feld (Bf), von dem ATTEMS spricht, liegt weiter distalwärts, hinter der Mitte des Fusses !. Pare-Pare, Süd-Celebes. (Coll. SARASIN.) Fam. SPIROSTREPTIDÆ. ERhynchoproctus proboscideus Poc. Syn. Rhyncoproctus minor. SILVESTRI, Abh. Mus. Dresden, MEN 90 DTA tol Fig: 13: 1897. Rhyncoproctus longipes SILVESTRI, ibid., p. 2, Textfig. [, IT 1897. Ein umfangreiches Material aus verschiedenen Teilen von Celebes hat dargetan, dass À. proboscideus Poc. eine sehr ver- breitete and sehr variable Art ist. POCOCKS Beschreibung, auf ein einziges Exemplar gegründet, musste natürlich zu eng aus- fallen. À. minor Silv. soll sich von À. proboscideus Poc. durch geringe Grüsse und Segmentzahl unterscheiden, zwei Merk- ! Die Zeichnungen der Copulationsorgane waren schon hergestellt, als uns Arrems’ Arbeit bekannt wurde. Wir verôffentlichen sie einerseits als Belege für die Artzugehôrigkeit, andrerseits um die bezeichneten kleinen Abweichungen zu veranschaulichen. 160 J. CARL male, die gerade bei grossen Formen stark schwanken, so dass unsere kleinsten Exemplare zu minor und die grüssten zu pro- boscideus zu ziehen wären, während die mittelgrossen nach Länge und Segmentzahl zu longipes Silv. (von den Aru-Inseln) ge- hôrten. Bei allen aber sind die Copulationsorgane vollkommen identisch gebaut und Kkünnen ebensowohl mit denen von pro- boscideus, von dem nur das vordere Paar bekannt ist, als von minor und longipes übereinstimmen, da nach Text und Abbil- dungen der Autoren ihre drei Arten in dieser Beziehung keine spezifischen Unterschiede aufweisen. Das hintere Paar unserer Exemplare stimmt sehr gut mit SILVESTRIS Abbildung dieses Organes von /?. longipes überem. Bei proboscideus und longipes wäre der Vordereck der Hals- schildseitenlappen fast rechtwinklig, schwach zugerundet, bei minor (cg) dagegen etwas vorgezogen und stärker zugerundet. Unsere grossen Exemplare, Gj', zeigen meist ersteres, die kleï- neren meist letzteres Verhalten; doch sind auch Uebergänge vorhanden. — Die Antennen überragen nie das zweite Segment wie für proboscideus und longipes angegeben, meist aber den Hinterrand des Halsschildes. Diese Abweichung kann auch daher rühren, dass sie von den verschiedenen Autoren in ver- schiedener Hühe nach hinten zurückgelegt werden oder dass das Tier am Vorderende in verschiedenem Grade eimgerollt ist. Die Zahl der Ocellen schwankt zwischen 60 und 70, steht also der Angabe für proboscideus näher, während der Abstand der Ocellenhaufen grüsser als die Hälfte des Durchmessers eines derselben ist, also für minor oder longipes sprechen würde. R. proboscideus varïüiert also in allen diesen Merkmalen — von subjektiven Schätzungsdifferenzen abgesehen — ziemlich beträchthich. Als Segmentzahl muss 61—70 gelten. Länge 90 bis 1S0mm, Grüsserer Segmentzahl entspricht nicht immer grüssere Länge. Verbreitung: Celebes und Aru. DIPLOPODEN VON CELEBES 161 Fundorte auf Celebes: 1. Süd-Celebes : Barabatuwa und Kau: Maros bei Makasaï : Hügelland bei Duri, 600% üb. M. (Coll. SARASIN). 2. Süd-Ost-Celebes: Ussu; (Cregend des Towuti-Sees (Coll. SARASIN). Rœmbi-Mengkoka (Coll. ELBERT). 3. Central-Celebes: Flachland und Hügel nôrdlich vom Golf von Boni; Takala-Gebirge 800—1200" üb. M.: Posso und Um- gebung:; Mapane am (Golf von Tomini (Coll. SARASIN); Luwu (Pococx, Coll. M. WEBER). +. Nord-Celebes: Buol (Coll. SARASIN). Minahassa (SILVESTRI, Coll. MEYER). Fam. SPIROBOLIDÆ. Trigoniulus flavipes Att. Die j° stimmen in den wesentlichen Merkmalen gut mit ATTEMS Beschreibung überein. Die Ventralplatte der vordern Copulationsfüsse ist etwas länger und erreicht das Ende des medianen Randes der Coxoide, ihre Seitenränder sind unter- halb der Mitte etwas weniger stark ausgebuchtet als in ATTEMS Abbildung. Die Färbung scheint variabel. Ueber jedes Segment läuft eine dunklere Querzone, die fast den ganzen freien Prozo- nitenteil und die vordere Hälfte des Metazoniten einnimmt und hinten allmählich im Rot übergeht. Das © zeigt auf den Prozoniten dieselbe durch feine Kritzeln verursachte netzig-schuppige Skulptur wie das (f". Minahassa, Nord-Celebes : Vulkan Lokon, bei ca. 1000”, 1 ©,1'; Gipfel des Suvara, 1 j'; Vulkan Soputan, 16". 1 ©. (Coll. SARASIN.) Trigoniulus squamosus n. Sp. (Taf. 6, Fig. 30, 31, 34.) Länge 450, Breite Kürpermitte 3,5. Segmentzahl 5: » ). 162 J. CARL Farbe schwarzbraun, ein feiner Randsaum um den Halsschild rothich, Kopfschild, Antennen und Beine gelblich. Kopfschild glatt mit femer Medianfurche, Scheitelfurche fehlend. Fühler kurz und dick, zurückgelegt kaum bis zum Hinterrand des Halsschildes reichend. Augenhaufen fast um das Doppelte ihres Durchmessers von einander entfernt, unregel- mässig hexagonal, mit stumpfem Innenwinkel. Halsschild seitlich so weit ventral hinabreichend wie das zweite Segment; Seitenlappen Ziemlich stark zugestumpft, mit seradem Hinterrand und leicht konkavem, von emer Furche be- eleitetem Vorderrand. Der ganze Halsschild glatt. Prozoniten im eingeschachtelten Teil dorsal glatt, auf den Seiten wie der freie Teil fein schräg gestreift. Die vordern Pro- zoniten im freien Teil mit 5 —6 feinen, aber scharfen Querfurchen. die auf dem Rüken ziemlich regelmässig und paralell verlaufen. auf den Seiten in stark schräge Furchen übergehen. Hinter dem Genitalsegment anastomosieren die dorsalen Furchen des freien Prozonitenteils immer stärker, sodass eine feimzellige, fast schup- penartige Skulptur entsteht, die gegen den Porus hin in eine sehr dichte, feine schräge Streifung übergeht. Metazoniten dorsal glatt oder mit einigen unregelmässigen schwachen Längskritzeln, seitlich unterhalb der Saftlücher fein und nicht sehr dicht gestreift. Querfurche nur auf den Seiten scharf, dorsal als schwache lineare Einschnürung der Segmente erscheinend. Saftlôcher knapp vor der Querfurche gelegen. Ventralplatten scharf quergestreift. Analschuppe breit, mit fast geradem Hinterrand. Analsegment dorsal sehr schwach vorgezogen und stumpf zugerundet. Anal- klappen regelmässig gewülbt, ihr Endrand von der Fläche kaum merklich abgesetzt, schwach verdickt ; jeder Endrand von einer schmalen median verlaufenden Rinne geteilt. Beine kurz und schwach, unterseits nur mit je einer subapi- DIPLOPODEN VON CELEBES 163 kalen Borste auf jedem Gliede, ohne Sohlenpolster. Die vorderen Paare ohne auffallende Fortsätze; am 3., 4. und 5. Paare ragt das erste Glied unterseits etwas stärker kegelfürmig vor als an den folgenden Paaren. Copulationsfüsse: Ventralplatte gross, fast so lang wie das vordere Copulationsfusspaar, endwärts regelmässig verschmä- lert, am Ende gestutzt-gerundet. Coxoide des vorderen Paares (Textfig. 15) einfache, zugerundete, hohle Platten, die die Fe- moroide von vorne ganz verdecken. Femo- roide (Fig. 30, F) einfache trapezfôrmige Platten mit schwach nach aussen um- geschlagenem medianem Rand. Hinteres Fig. 15. Paar (Fig. 31, 34) schlank und schwach Zrigoniutus squamosus sebogen, erst am Ende geteilt uud zwar ÉD in eine trichterfürmige, mit vielen feinen Vordere Gouopoden, von : ; vorn. V — Ventral- Spitzchen besetzte Lamelle, die den Innen- Soie. arm darstellt, ein stärker chitimisiertes, keulenfürmiges Gebilde (K) und das die Form eines Enten- schnabels zeigende Ende des Fusses selbst. Landschaft zwischen Posso-See und Tomini-Golf (Central- Celebes). Posso-See, 1 €, 1 juv. (Coll. SARASIN). Diese Art unterscheidet sich von den nächst verwandten leicht durch die Skulptur der Prozoniten, das Fehlen eines Sohlen- polsters, die starke Entwicklung der Ventralplatte der Copula- tionsfüsse und die Gestalt des hintern Copulationsfusspaares. Trigoniulus ambonensis Att. Ein çj* mit 46 Segmenten stimmt in den Copulationstüssen und den meisten übrigen Merkmalen vollkommen mit ATTEMS Abbildungen und Beschreibung überein (ATTEMS, Myriopoden 164 JNCARTE in: SEMON, Zool. Forschungsreisen in Australien etc., V. Bd. IV. Tieferung, Sate-5125518 Ta X EL ie und Pl ber Hinterrand der meisten Metazoniten, und besonders der vor- D deren, ist rot gesäumt. Am 3., 4. und 5. Beinpaar des Gjf ragt das erste Glied unterseits ziemlich stark vor und zwar am 3. und +. Paar spatelformig, am 5. Paar mehr knopffürmig. 1 CG Mapane am Golf von Tomini, Central-Celebes. (Coll. Sa- RASIN). ATTEMS Exemplare stammen von Amboïna. Trigoniulus uncinatus Att. (Taf. 6, Fig. 29.) Unsere Exemplare stimmen in der für die Art so charakteris- tischen Gestalt der vorderen Beinpaare des «;', besonders des 5., sowie des vorderen Copulationsfusspaares genau mit ATTEMS Angaben und Figuren überein. Der Endteil der hinteren Co- pulationsfüsse (Fig. 29) weist einige unwesentliche Abweïich- ungen auf; er ist etwas gedrungener als in ATTEMS Abbildung und am Ende viel stumpfer. Der Innenarm ist im einzelnen et- was anders geformt und hängt mit dem von ATTEMS mit | be- zeichneten Gebilde zusammen. Entweder ist also die Original- abbildung verbesserungsbedürftig, oder es handelt sich um eine ceographische Variation. Die Färbung ist sehr variabel. Der Kopf ist meist ganz hell selbbraun, sodass die schwarzen Ocellenfiecken stark hervor- treten, Halsschild und Analsegment häufig ebenso. Manche Ex- emplare (meist ©) sind oberseits überhaupt gelbbraun, mit einer deutlichen Längsreihe von dunklen Flecken auf der Rücken- mitte, einer ebensolchen jederseits längs der Porenlinie und emer schmalen bräunlichen Querbinde über der Mitte jedes Metazoniten. Indem letztere breiter und zugleich dunkler wird, (meist Cÿ\) treten die genannten Fleckenreihen immer stärker zurück, und die ganze Obertläche erscheint dunkel. Das © ist DIPLOPODEN VON CELEBES 165 etwas dicker als das jf, in der Kürpermitte 4%: das Hinter- ende des Kürpers ist meht so deutlich komprimiert-verschmälert wie beim Çy', das Schwänzchen etwas stumpfer. Kema (Nord-Celebes) 2 Cÿ° mit 47 Segmenten, 1 ©, unter faulen Stämmen. Ussu (Süd-Celebes) 1 © mit 46 Segmenten. Flachland nôürdl. vom Golf von Boni (Central-Celebes) 2 OMIS UN: Buol 1 jf (Coll. SARASIN). Anmerkung: Mit 7. uncinatus sehr nahe verwandt, wenn nicht indentisch, ist der im gleichen Jahr beschriebene T. hete- ropus Silv. und dessen var. fasciolatus (SILVESTRI, Alcuni nuovi Diplopodi della N. Guinea, Ann. Mus. civ. Storia nat. Genova. (2) vol. XIX, p. 445, 440, Fig. 6—10. 1898). Die eigentüm- liche Form der Beine des 5. Paares und der vorderen Copulations- füsse ist dieselbe wie bei T°. uncinatus. Die hinteren Copulations- füsse scheinen etwas anders geformt, in Fig. S fehlt der kegel- fürmige Fortsatz (Z) auf der Concavseite des Fusses ; doch ist er in Fig. 9 für die Varietät wenigstens angedeutet. Die übri- gen eventuellen Unterschiede im Endteil des hinteren Copula- tionsfusses sind bei der schlechten Reproduktion dieser Abbil- dungen sehr schwer zu beurteilen. Wir sind geneigt, T!. uncinatus Att. (Amboina), T. heteropus Silv. (Neu-Guinea) und unsere celebensische Form als geogra- phische Rassen einer weitverbreiteten papuasischen Art auf- zufassen. Trigoniulus tachypus Poc. (Taf. 6, Fig. 28.) Die Untersuchung des Originalexemplars von POCOCK ergibt folgende Ergänzung der Originalbeschreibung: Die vorderen Beinpaare des ohne auffallende Fortsätze ; am 3., 4. und 5. springt das 1. Glied deutlich vor, ist aber gerundet 166 J: (CARD und leicht knopfformig verdickt, besonders am 3. Beinpaar (Textfig. 16). Hintere Copulationsfüsse (Fig. 28) geknickt- gekrümmt, auf der Concavseite vor der Mitte mit einem kleinen Kegel (k), hinter der Mitte mit einem breiten, weder beschuppten noch bewimperten, etwas pantoftelf‘rmigen Innenarm (J), der sich in eine Spitze auszieht, auf welche die Samenrinne übertritt. Das Ende besteht REA aus zwei aufemmanderliegenden Lamellen, emer a schmäleren, stärker chitinisierten und einer zärteren, auf der Concavseite des Fusses weiter vorragenden und dem Endteil des Innenarms Trigoniulus tachypus Poc. G'. Basis eines Beines : SL - des 3. Paares Segenüber einen unregelmässigen Lappen bil- denden Lamelle. Die Copulationsfüsse gleichen am meisten denen des auch sonst nah verwandten 77. karykinus Att. (von Halmaheiïra und Batjan); aber am ersten Paar ist die Ventralplatte spitzer und der mediale Fortsatz des Femoroids weniger stark hakig nach aussen gebogen ; am hintern Paar ist der Innenarm stärker ab- gehoben, weniger weit endwärts gedrängt und der Endteil etwas anders gestaltet als bei karykinus: bei letzterem fehlt der Kegel k. Spirobolellus chrysogrammus Poc. (Taf. 6. Fig. 25, 26.) PococKk hat 3 jedenfalls sehr nahe verwandte Arten, nämlich Sp. chrysoproctus von Sumatra, Sp. chrysodirus von Ce- lebes und Sp. chrysogrammus ebenfalls von Celebes (Makassar), ohne Rücksicht auf die Copulationsorgane und hauptsächlich auf Grund der Färbung beschrieben. Unsere Exemplare gehüren der Färbung nach zu Sp. chrysogrammus und stammen zum Teil auch von Makassar. DIPLOPODEN VON CELEBES 167 Die Segmentzahl vartert zwischen 36 und 42. Copulationsfüsse : Ventralplatte (Fig. 26 V) sehr stark ent- wickelt, fast so lang wie das vordere Fusspaar und dabeï breit : ihre beiden Hälften am Ende jede für sich zugerundet, sodass in der Mitte ein ziemlich tiefer Einschnitt entsteht. Die Basis der Ventralplatte ist von einer sehr deutlichen Chitinspange ge- bildet. Coxoide des vorderen Paares in der Mitte nicht zusammen- stossend, schmal, am Ende mit ihren stumpfen Spitzen über- einander greifend; der mediale Rand mit einem vorspringenden Lappen. Femoroide in der Mitte noch weiter auseinander legend, etwas kürzer als die Coxoide und am Ende schräg abgestutzt. Die beiderseitigen Füsse des vorderen Paares werden durch eine schildfürmige Verdickung in der Mitte auf der Hinterfläche der Ventralplatte auseinandergehalten. Hinteres Fusspaar viel mehr nach dem Typus desjenigen von Sp. teledapus Att. als von Sp. bulbiferus Att. gebaut, sehrzartesichelférmig gebogene Lamellen, init fast paralellen Rändern (Fig. 25), einer Einbuchtung auf der Mitte des konkaven Randes und einigen schrägen Querfalten im distalen Teil. Erstes Glied des 3. und 4. Beinpaares des G'unterseits mit ziemlich starkem, gerundetem Fortsatz vorspringend. g', © Loka und Makassar (Süd-Celebes) in dürrem Laub (Coll. SARASIN). Anmerkung: ATTEMS (1907, p. 132, 133) hat die Gattungs- diagnose von Spirobolellus vervollständigt, indem er die Charak- tere der Copulationsfüsse seines bulbiferus auf die ganze Gat- tung übertrug. Nachdem nun nachgewiesen ist, dass eme der Arten, auf die POCOCK das Genus Spirobolellus gründete, wesent- lich andere Copulationsfüsse besitzt als bulbiferus, muss der Name Spirobolellus für Sp. chrysogrammus und Verwandte re- serviert bleiben und seine Diagnose folgenderweise ergänzt werden : Vordere Copulationsfüsse mit sehr grosser, am Ende breiter 168 J. CARE und in der Mitte eingeschnittener Ventralplatte ; Coxoide schmal: in der Mitte nicht zusammenstossend, mit gelenkig angesetzten Tracheentaschen. Hintere Copulationsfüsse zarte sichelfürmig sekrümmte, am Grunde durch keine Ventralplatte verbundene Lamellen, ohne Prostatablase, Samenrinne und Innenarm. Den Umfang des (renus Spirobolellus festzustellen, ist heute noch nicht müglich. Demnach muss bulbiferus Att. aus der Gattung Spirobolellus ausgeschieden werden und einer neuen Gattung angehôüren, für de wir den Namen Pseudospirobolellus eimführen, und auf welche die von ATTEMS (1907 und 1910 p. 92) für Spirobolellus sesgebene Diagnose zu übertragen ist. Spirobolellus solitarius n. sp. (Taf. 6, Fig. 27.) A | Bänge 272%, Breite 22! Grundfarbe gelblich ; je ein quer-rechteckiger blauschwarzer Fleck auf der Rückenmitte jedes Segments, der die hintere Hälfte des Prozoniten und das vordere Drittel des Metazoniten einnimmt und ein unbestimmt geformter, blauschwarzer Fleck vor Jedem Porus: diese Flecke nicht zu Längsbinden verbunden. Kopf hinter den Augen, Halsschild mit Ausnahme der Ränder und das ganze Analsegment blauschwarz. Antennen an der Basis hell, gegen die Spitze hin dunkel werdend. Beine gelblich. Koptfschid glatt, mit 4 + 4 sehr schwachen Labralporen. Scheitelfurche sehr undeutlich. Augen um etwas mehr ais ihr Querdurchmesser von einander entfernt. Antennen schwach und kurz, zurückgelegt kaum bis zum Hinterrand des Halsschildes reichend; 1hr erstes und 4. Glied etwa gieich lang, kürzer als das 3. und 5. und diese kürzer als das 2. und 6. Glied. Halsschild seitlich verschmälert, zugerundet. Die nächstfolgenden Segmente unterseits micht ausgehôhit. DIPLOPODEN VON CELEBES 169 üngefurche ringsum seicht und breit; die Metazoniten etwas hôher als die Prozoniten, seitlich nur ganz unten gestreift, sonst glatt. An dem Prozonit geht die Streifung etwas hüher hinauf, die Streifen verkürzen sich nach oben zu kleinen Bügen und setzen sich als sehr kurze Striche oder deutliche punkt- fürmige Eindrücke vor der Ringfurche über den Rücken fort. Bedeckter Prozonitenteil glatt. Porus klein, über der Mitte der Kürperseiten, etwa in der Mitte der Metazonitenlänge gelegen. Analseogment stumpf-dreieckig vorgezogen, die Spitze ganz wenig über die Analklappen hinausragend. Analklappen stark sgewülbt, ohne vorsprmgende Ränder, glatt und glänzend. Anal- schuppe stumpf-dreieckig. Beine dünn, ohne Sohlenpolster am letzten Gliede. Hüftglied des 3. Beinpaares kegelformig vorspringend, des 4. und 5. Bein- paares nur ganz schwach gerundet vorsprmgend. Vordere Copulationsfüsse (Fig. 27) denjenigen von Sp. chryso- grammus sehr ähnlich, die Ventralplatte am Ende in der Mitte breiter und tiefer eingeschnitten und die beiden Lappen breiter abgerundet. Hintere Copulationsfüsse ! sichelformig gekrümmt. in der basalen Hälfte bandfôrmig, dann auf der Concavseite plützlich verschmälert und in eine feine Spitze ausgezogen. 1 çj° Celebes. (Coll. SARASIN.) Die Artist nach Gestalt und Skulptur dem Sp. chrysogrammus Poc. sehr ähnlich, hat aber Flecken- statt Bindenzeichnung und etwas anders gestaltete Copulationsorgane. Pseudospirobolellus bulbiferus (Att.) Für die Synonymie und die allgemeine Verbreitung verweisen wir auf S. 93 und 94. 1 Das betreffende Präparat ist beim Erwärmen zerstürt worden, so dass die hin- teren Copulationsfüsse nicht abgebildet werden konnten. REV. SUISSE DE ZOOL. T. 20. 1912 12 170 J. CARL Die zwei von ATTEMS als selbständige Arten von den Co- moren beschriebenen und bis auf « Kleinigkeiten » mit P. bulbi- ferus übereinstimmenden ?. comoronus (Att.) und globiclunis (Att.) künnen nicht als eigene Formen betrachtet werden; die Untersuchung zahlreicher Exemplare von bulbiferus aus Java und Celebes hat ergeben, dass jene klemen Abweichungen und andere als individuelle Variationen auch dort auftreten. Auch die Grüsse und Segmentzahl sind individuell recht variabel. Ein çj° von nur 28" Länge (Makassar) zählt 48 Segmente. cf © Boëton. (Coll. ELBERT.) cg © Makassar, 4 çjf Pare-Pare, Süd-Celebes. (Coll. Sa- RASIN.) Gen. Rhinocricus Karsch. Diese Gattung stellt mit ca. 30 Arten allein etwa !/, der ge- sammten celebensischen Diplopodenfauna dar. Bezüglich 1hres morphologischen Zusammenhangs bieten diese Arten ein eigen- tümliches Bild : Die grosse Mehrzahl derselben hängen nicht enger untereinander zusammen und unterscheiden sich meistens durch mehr oder weniger scharfe Merkmale: eimige (z. B. pyr- rholoma Att.) erscheinen stärker differenziert. Keine dieser Arten scheint auf der Insel selbst entstanden oder dort zur Art- bildung geschritten zu sein ; es sind wabhrscheinlich Emwan- derer aus verschiedenen Nachbargebieten her, die sich wenig modifiziert haben. Daneben aber finden wir offenbar jüngere Arten die sich zwanglos in zwei gut charakterisierte Gruppen emordnen lassen, Es sind dies: 1. Die meyeri-Gruppe (meyeri und heteropus Silv., virgatus Att. und montivaqus n. sp.): Meist grosse Arten mit Tarsalpol- ster beim Çÿ, sehr einheitlich gebauten vorderen Gonopoden., deren Coxoide aussen nicht geschultert sind und wie die Femo- roide stumpf enden, deren Ventralplatte brüsk verschmälert in einen fast paralellseitigen stumpfen Fortsatz ausläuft ; hintere DIPLOPODEN VON CELEBES 171 Gronopoden ein- oder zweïlästig; vordere Beine des Cÿ stark und (ausgenommen montivagus) mit grossen lappigen Aus- wüchsen an mehreren Gliedern. Die Arten dieser Gruppe unter- scheiden sich hauptsächlich durch die Skulptur und die Färbung, im cj ausserdem durch stärkere oder schwächere Ausbildung des Tarsalpolsters, Vorhandensem oder Fehlen von lappigen Auswüchsen an den vorderen Beinen und Einzelheiten in den Copulationsfüssen. Die Gruppe ist auch geographisch abgegrenzt, indem sie nur den Norden der Insel bewohnt. 2, Die weberi-Gruppe umfasst eine grüssere Zahl von Arten: weberi Poc., centralis n. sp., peninsularis n. sp., fulvotæniatus n. Sp., lateralis n. Sp., mænensis n. Sp., ripariensis n. Sp. und gorontalensis n. sp. Diese Arten haben folgendes gemeinsam: An den Gonopoden des vorderen Paares ragen Ventralplatte, Co- xoid und Femoroid annähernd gleichweit vor, die Coxoide sind stets geschultert, an der Ventralplatte ist der mediane Fort- satz immer mehr oder weniger deutlich vom basalen Teil abge- setzt und endwärts verschmälert ; hintere Gonopoden zwelästig. Schwänzchen spitzwinklig und (ausser bei gorontalensis) die Analklappen überragend. Keine Tarsalpolstern beim ç'; die vorderen Beinpaare des c° wenig oder gar nicht modifiziert, stets ohne lappige Auswüchse. So scharf die Gruppe charakterisiert ist, So schwierig ge- staltet sich die Abgrenzung der Arten innerhalb derselben. Sie stützt sich auf folgende Merkmale: 1. Form der Coxoidschulter und der Ventralplatte der vordern Gonopoden; 2. Längenver- hältnis der beiden Aeste der hinteren Gonopoden; 3. Skulptur der Segmente und Ausbildung der Scobina ; 4. Farbe; 5. Grôüsse. Dieser Rangordnung entspricht die Bedeutung und Konstanz der Merkmale. Manche Arten haben zwar auffallende Flecken-, Längs- oder Querzeichnung ; aber dieselbe scheint wenig kon- stant und fehlt manchmal bei Tieren, die im übrigen kaum von den typisch gezeichneten abweichen. Ebenso verhält es sich mit 172 J. CARL der Grüsse. Auf Grüssen- und Farbendifferenzen haben wir da- her nur Varietäten gegründet. Bedeutend zuverlässiger ist die Skulptur und besonders da wertvoll, wo es sich um die Zuteilung von Q handelt; die Zahl der Scobima tragenden Segmente ist nur mit Annahme eines ziemlich breiten Variationsraums als Speciesmerkmal zu verwerten. Em ganz unsicheres Merkmal ist die Form der Halsschildseitenlappen, weil dieselbe individuell variiert und manchmal sogar auf den beiden Seiten desselben In- dividuums veschieden sein kann. Dies gilt übrigens für die ganze Gattung. Entsprechend der grüsseren Artenzahl ist auch das Verbrei- tungsgebiet der weberi-Gruppe grôsser als das der meyeri-Gruppe. Ihre Hauptentwicklung hat sie in Südost-Celebes, von wo aus sie nach Central-Celebes und mit je einem Vertreter nach Süd- und Nord-Celebes vorgedrungen ist. Sowohl die meyeri- als die weberi-Gruppe erscheinen als das Resultat einer jüingeren und wenig fortgeschrittenen Differen- zierung auf der Insel selbst. Die grosse Anzahl von ÆRhinocricus-Arten der Insel mügen die Aufstellung einer synoptischen Tabelle für dieselben wünschens- wert erscheinen lassen: doch muss davon Abstand genommen werden, weil viele Arten nur in einem Geschlecht bekannt oder zu kurz beschrieben sind oder von den nächstverwandten in einer Weise sich unterscheiden, die sich nicht in knapper Form ausdrücken lässt. Khinocricus meyeri Silv. Der Vergleich von SILVESTRIS Originalexemplaren von À. meyeri und À. heteropus lässt zwar die Trennung beider Arten als gerechtfertigt erscheinen. Allein die Untersuchung einesreich- hchen Materials ergiebt wiederum für einzelne Merkmale Zwi- schenstufen, die vermuten lassen, dass die beiden nur extreme Variationen einer und derselben Art sein kônnten. DIPLOPODEN VON CELEBES 173 Zunächst ergab die Nachprüfung von Originalstücken von R. meyeri, dass dieselben, im Gegensatz zu SILVESTRIS Angabe, ebenfalls Scobina besitzen ; allerdings sind die Scobina hier sehr klein und nur bis etwa zum 25. oder 27. Segment nach- weisbar, dargestellt durch einen punktformigen Eindruck in einem glatten Feld, hinter welchem, wie gewühnlich, die Quer- streifen des Prozoniten nach hinten ausbiegen und sich ver- dichten. Die Exemplare der Sammlung SARASIN sind durchschnittlich kleiner als die Originalstücke (160—170><16—18"m), aber be- deutend grôsser als À. heteropus: sie besitzen die etwas variable Skulptur von À. meyeri, in der bald die Punkte, bald die kurzen Furchen und Kritzeln vorwiegen. 54—55 Segmente. Die Ent- wicklung und Verteilung der Auswüchse an den vorderen Bein- paaren genau wie bei keteropusund etwas verschieden von meyeri; die monstruüse Natur dieser Gebilde lässt aber von vornherein eine ziemlich grosse Variabilität voraussetzen. Das Schwänzchen überragt mehr oder weniger deutlich die Analklappen und die Analschuppe, erweist sich als sehr variabel in der Form, bald mit geraden Seiten, bald mehr gestutzt oder serundet. Die Copulationsfüsse stimmen genau mit SILVESTRIS Abbildung derjenigen von À. meyeri überein, die übrigens derjenigen von ÆR. heteropus äusserst nahe kommt. Es bleibt somit als wesentlicher Unterschied zwischen den beiden Arten nur noch die Skulptur übrig. gg", ® © Buol, N.-Celebes. (Coll. SARASIN.) 1 «j! Nord-Celebes (Coll. A. B. MEYER) Basler Museum. Rhinocricus virgatus Att. Die vorderen Copulationsfüsse entsprechen in der Vorderan- sicht genau denjenigen von À. meyeri Silv.; besonders ist der 174 J. CARL Ventralplattenfortsatz bis zum Ende gleich breit und stumpf, nicht spitz, wie ihn ATTEMS beschreibt und in der Hinteransicht abbildet. Ueberhaupt ist die Art sehr nah verwandt mit A. meyeri und À. heteropus. Von beiden unterscheidet sie sich durch die auffällige Färbung und das schlankere Endglied der Beine mit äusserst schwach ausgebildetem Sohlenpolster beim cÿ, von À. meyeri ausserdem durch viel germgere Grôüsse und dorsal fast glatten oder nur im vorderen Teil ganz seicht ein- sedrückt punktierten Segmenten. Besondere Erwähnung verdient eme natürliche Färbungs- anomalie bei einem <1 1m, Segmentzahl 45. 1. Rœmbi-Mengkoka, S.0.-Celebes (D' J. ELBERT). Diese Varietät leitet zu À. lateralis über. DIPLOPODEN VON CELEBES 179 Rhinocricus centralis var. minor n. var. Die Skuiptur weniger deutlich als bei der Hauptform, beson- ders die Streifung im dorsalen Segmentteil. Gestalt kleiner : 72><9mn,5. Segmentzahl 43 —44. Scobina nur bis zum 33. Segment nachweïisbar. Medianer Fortsatz der Ventralplatte der vordern Copulations- füsse mit deutlich geschwungenen Rändern. 2 G*. Ussu, im N. von S.0.-Celebes (Coll. SARASIN). Rhinocricus peninsularis n. sp. Bläuhch-schwarz. Vom 5. bis ca. zum 20. oder 24. Segment auf der Rückenmitte jedes Segments ein heller Fleck, der meist eme braunrote hintere Zone auf dem Metazoniten und eine srôssere trübgelbe Kappe auf dem Prozoniten unterscheiden lässt: diese beiden Teile manchmal durch einen gebogenen braunen Querstrich abgegrenzt. Von der Kürpermitte an wird der Rückenfleck immer kleiner und trüber und fehlt im hintern Kürperdrittel ganz. Analsegment braungelb. Antennen und Beime gelb. Vorderrand des Kopfschildes braungelb. Länge ca. 704, Breite 9(G9—10n,5 (©). Segmentzahl 42—44. Kôürper plump und dick, erst ganz am Hinterrande stark und zemlich plôtzlich verschmälert. Kopf ganz glatt, mit feiner Mittelfurche vom Einschnitt bis zum Hinterhaupt. Antennen kurz, zurückgelegt kaum bis zum Hinterrand des Halsschildes reichend. Augenhaufen innen stark zugerundet, fast um das Dreifache ihres Querdurchmessers aus- emanderliegend. Ocellen, besonders gegen den medialen Rand des Haufens, sehr flach. 150 J. CARL Halsschild seitlich stark zugerundet, oder vom Vorderrand her schräg gestutzt-gerundet, hinter den Augen äusserst seicht eingebuchtet. Prozoniten im vorderen, bedeckten Teil mit scharfen, aber sehr unregelmässigen, gebrochenen oder inemanderlaufenden oder verzweigten oder in Striche aufgelüsten Ringfurchen. Die letzte, von den übrigen etwas entfernte Ringfurche jedoch kontinuierlhich und regelmässig. Prozoniten im freien Teil und Metazoniten bis weit unter- halb des Porus sehr glatt und glänzend; die beiden Zonen gleich hoch und dorsal weder durch eine Einschnürung noch durch eine deutliche Quernaht getrennt. Nur ganz unten sind die Me- tazoniten längs- und die Prozoniten leicht schräggestreift ; auf letzteren geht die Streifung etwas weiter nach oben, aber lange nicht bis zum Porus. Porus oberhalb der Mitte der Kürperseiten, der erste etwas tiefer als die folgenden. Die Längsfurche auf dem Metazoniten hinter jedem Porus sehr seicht und undeutlich. Scobma gut ausgebildete, halbmondfürmige Gruben, die etwa bis zum 35. Segment reichen. Analsegment olatt, dorsal in ein ziemlich spitzes, die Analklappen deutlich überragendes Schwänzchen ausgezogen, dessen äus- serste Spitze leicht heruntergebogen ist. Analklappen gewülbt, mit etwas kom- primierten und leicht vorspringenden Rändern. Analschuppe dreieckig. Ventralplatten unregelmässig schart quergestreift. Beine des «jf ohne Tarsalpolster. Das Hüftelied des 3.-—5. Paares unter- Fig. 18. Khinocricus peninsularis Par Sir a és n. Sp. C. seits nur schwach gerundet vorsprin- Gonopoden von vorn. gend. DIPLOPODEN VON CELEBES 181 Copulationsfüsse : Die Ventralplatte des vorderen Paares (Textfig. 18) mit zungenfürmigem medianem Fortsatz, der das Ende des Coxoids und Femoroïds nur wenig überragt. Coxoïd aussen rechteckig geschultert, die Schulter zugerundet, aber nicht vorspringend. Hintere Copulationsfüsse am Ende in zwei feine, ungleich lange Spitzen auslaufend. 3,10 Rœmbi-Mengkoka, S.0.-Celebes (Coll. ELBERT.) Von À. weberi, dem Typus der Gruppe, wohl unterschieden durch den Besitz von Rückenflecken, geringere Grüsse und Seg- mentzah]l und glattere Segmente. Rhvinocricus peninsularis Var. expulsus n. var. Zwei cj von der Insel Kabæna, im S.O. der Heimat der Hauptform, stimmen mit dieser in allen Merkmalen, ausge- nommen Grôüsse und Färbung, und besonders auch in den Co- pulationsfüssen und Beinen des Çÿ° so genau überein, dass sie als eine verkleinerte und verdüsterte Inselform der letzteren ange- sehen werden müssen. Sie sind fast einfärbig schwarzbraun mit mehr oder weniger rotbraun aufgehellten Metazoniten, ohne Spur von hellen Dor- salflecken. Länge 50—55"1, Breite 7m ,5—8nm, Segmentzahl 40 —41. 2 j° Insel Kabæna (Coll. ELBERT). An À. peninsularis schliessen sich ferner an zwei Exemplare (1 c', 1 ©) aus S.0.-Celebes, von normaler Grôsse (G' 71<9um 5) aber ohne Dorsalflecke, von der Färbung von var. expulsus, nur etwas stärker roten Metazoniten und Beinen. Rhinocricus fulrotæniatus n. Sp. Prozoniten graugün, Metazoniten grünlich-schwarz:; vom 6. bis zum vorletzten Segment auf der Rückenmitte eine schmale, 182 J. CARL selbbraune Längsbinde, gebildet von je einem länglichen, m der Mitte meist leicht eingeschnürten Fleck im freien Teil jedes Se- mentes. Dorsaler Teil des Analsegmentes und Analklappen, Beine und Antennen bräunlich gelb. Länge c°-60—65n, © 70—75%% Breite. Gi 1827, 0 9= 90m; Segmentzahl 41—43. Kopf, Halsschild und Analsegment wie bei Æ. peninsularis, von welchem sich À. fulvotæniatus hauptsächlich durch die Skulptur der Prozoniten unterscheidet. Vorderer Prozonitenteil wie gewühnlich querskulptiert und zwar unregelmässig gestri- cheltund gekritzelt. Der freie Porzonitenteil ist ganz unten bauch- wärts der ganzen Länge nach fein und etwas schräg gestreift: etwas weiter oben verkürzen sich die meisten Furchen und nur einzelne erreichen noch den Metazoniten: auch letztere ver- schwinden schliesslich ganz, während die kürzere scharfe und dichte Streifung in eimer schmalen Zone, immer schräger wer- dend, nach oben bis zum Rücken hinauf sich fortsetzt, wo sie sich mit derjenigen der andern Seite begegnet, etwa wie bei mecdiostriatus, bei viel dichterer Lage der Streifen. Diese schräg- cestreifte Zone ist beim gestreckten Tier dorsal nur zum Teil sichtbar ;: zwischen ihr und dem querskulptierten vordersten Prozonitenteil liegt eine ganz schmale glatte Zone. Der freie Prozonitenteil und der Metazonit im übrigen glatt und glänzend, letzterer nur ganz weit unten, oberhalb der Beine, längsgestreift. Scobina bis etwa zum 35. Segment entwickelt, auf den mitt- leren Segmenten sehr breit und infolgedessen eimander sehr ge- nähert, Quernaht auf dem Rücken ganz verloschen. Porus des 6. Seoments auf derselben Hühe wie die übrigen. Beme des ‘ohne Tarsalpolster, diejenigen des 3.—5. Bem- paares (Textfig. 19, 20), im Gegensatz zu À. peninsularis, mit unterseits weit vorspringendem Hüftglied. DIPLOPODEN VON CELEBES 133 Copulationsfüsse : Ventralplatte des vorderen Paares (Text- fig. 21) weniger plützlich verschmälert als bei den übrigen Fig. 19. Fig. 20. Rhinocricus fulvotaeniatus n. Sp. '. Fig. 19. Basalglieder eines Beines des 3. Paares. — Fig. 20. Basalglieder eines Beines des 5. Paares. — Fig. 21. Vordere Copulationsfüsse von vorn. Arten der weberi- Gruppe, ihr medianer Fortsatz daher we- niger deutlich abgesetzt, in der Mitte breiter, am Ende stärker zugespitzt als z. B. bei À. peninsularis. Hintere Copulalionsfüsse segabelt, mit sehr kurzer äusserer und längerer innerer Spitze. 2 œ, 2 ©. Manipi, S.-Celebes, bei 800" üb. M. (Coll. SARASIN). Die Art ähnelt oberflächlich À. peninsularis, unterscheidet sich aber leicht durch die Skulptur des vorderen Teils der freien Prozonitenhälfte, durch schmälere längere Dorsalflecke, die sich beim gestreckten Tier zu einer Binde zusammenschliessen, und durch stärker vorspringendes Hüftglied des 3.—5. Bein- paares des Cÿ°. Rhinocricus lateralis n. sp. Schwarzbraun; in der vorderen Kürperhälfte trägt jeder Me- tazonit eine seitliche Querbinde, die etwas oberhalb der Beme beginnt, sich oberhalb des Porus etwas nach vorn verbreitert 184 J. CARL und dann rasch längs des Hinterrandes in einen feinen Saum ausläuft. Diese Binde ist am deutlichsten etwa vom Segment 4—15 und verschwindet gänzlich in der hintern Kôrperhälfte. Kopf vorn breit gerandet. Antennen und Beine gelb. Analseg- ment oder wenigstens die Analklappen braun. bänge/ca 9001 =Bretenmu Segmentzahl 39—42, Kôürper dick und plump, aber das Analsegment stark zu- sammengeschnürt-verjüngt. Kopt glatt; Scheitelfurche scharf. Augenhaufen um ca. das Dreifache ihres Querdurchmessers von einander entfernt. An- tennen kurz, den Hinterrand des Halsschildes nicht errei- chend. Halssehildseithieh ziemlich stark zugerundet, hinter den Augen sanz seicht eimgebuchtet. Bedeckter Prozonitenteil wie gewôhnlich quergestreift, der freie Segmentteil sehr glatt und glänzend, die seitlichen Längs- streifen der Metazoniten und die dichtere leicht schräge Strei- fung der Prozoniten weit unterhalb des Porus zurückbleibend. Quernaht dorsal ganz verwischt und seitlich sehr undeutlich. Porus sehr klein, der vorderste auf derselben Hühe mit den übrigen. Scobina gutentwickelt, etwa bis zum 36. Segmentnachweisbar. Analsegment stark zusammen- seschnürt-verschmälert, mitspitz- winkligem, die Analklappen überragendem Schwänzchen, das vorn meist durch eine Querfurche abgegrenzt ist. Analklappen pro- ximalgewülbt, distalwärts flacher: ihr Rand ziemlich stark vorsprin- Fig. 22. Rhinocrieus lateralis n. sp. a. Send, aber weder aussen schart Vordere Copulationsfüsse, von vorn. abgesetzt, noch stark wulstig ver- DIPLOPODEN VON CELEBES 185 dickt. Analschuppe stumpf dreieckig. Ventralplatten quer- vestreift. Beine des jf ohne Tarsalpolster, diejenigen des 3.—6. Paares in der basalen Hälfte stark komprimiert, das Hüftglied am 3. Paar ziemlich stark spitz dreieckig, am 4.6. Paar weniger weit und gerundet vorspringend. Copulationsfüsse des vorderen Paares (Textfig. 22) mit breit- schultrigem Coxoid; die Ventralplatte fast winklig in den me- dianen Fortsatz verschmälert, letzterer stumpf. Hinteres Paar in zwei feine Spitzen geteilt, von denen die äussere nur etwa halb so lang ist wie die imnere. 1 c', 2 ©. $.-0.-Celebes und Bœton. (D' J. ELBERT.) Rhinocricus lateralis var. atratus n. var. Vom Typus nur durch die einfärbig dunkelschwarzbraune Färbung unterschieden. Bei emem Exemplar sind die Metazo- niten rotbraun aufgehellt und jedes Segment trâägt Andeutungen eines roten dorsalen Mittelflecks. Beine und Antennen rothbraun bis schwarzbraun. Halsschild rothbraun umsäumit. Bei gewissen Exemplaren, und auf manchen Segmenten nur, finden sich sehr vereinzelte kurze Schrägfurchen im vordern Teil des Prozoniten auch noch oberhalb des Porus und selbst auf dem Rücken. c', © Rœmbi-Mengkoka, S.-0.-Celebes. (D'J. ELBERT.) Rhinocricus mænensis n. sp. Sehr nah verwandt und in den meisten Formmerkmalen mit R. fulvotæniatus überemstimmend. Die Form der Copulations- füsse, die sehr breiten bis ca. zum 35. Segment nachweïsbaren Scobina, das Analsegment und die Beine wie bei letzterer Art, aber die Färbung und Skulptur wesentlich verschieden. 2EV. SUISSE DE ZooL. T. 20. 1912. 15 186 J. CARL Die Segmente tragen keinen Dorsalfleck, sind vielmehr un- scharf quergebändert. Der vordere, fast den ganzen Prozoniten einnehmende Teil ist schwarzbraun, der hintere Teil gelblich braun, hinten in dunkel rotbraun übergehend und häufig durch eine schmale rotbraune Querzone über die Mitte des Metazo- niten geteilt. Diese Querbänder sind aber keineswegs scharf segeneimander abgegrenzt. Halsschild schwarzbraun, breit gelb- oder rotbraun umsäumt. Antennen und Beine strohgelb. Anal- segment gelbbraun. Die Skulptur des unbedeckten Segmentteils ist auf die Seiten beschränkt; es fehlt die kurze schräge Streifung von À. fulvo- tæniatus 1m oberen lateralen und dorsalen Teil der Prozoniten. Mit Ausnahune der feinen scharfen Streifen unten an den Seiten ist der ganze freie Segmentteil sehr glatt und glänzend oder hüchstens ganz vorn sehr seicht eingedrückt punktiert. Die Me- tazoniten sind hinten oberhalb der Scobina auf denjenigen Seg- menten, Wo diese am stärksten entwickelt sind, seicht ausge- randet. Länge 60—65mm, Breite 7,5 © Sgmm 5, Segmentzahl 45. 1 œ,1 Q. Insel Mœna, im S. von S.-0.-Celebes. (Coll J. ELBERT.) Rhinocricus ripariensis n. sp. Graubraun bis schwarzbraun. Vorderrand des Kopfschildes, Antennen, Beine und Analsegment heller oder dunkler gelb. Länge 40—45mn Breite 5 —(6mm, Segmentazhl 45—47. Halssehild seitlich schmal zugerundet. Skulptur : Die Streifung des freien Prozonitenteils erstreckt sich auch auf den Rücken, die ziemlich dichten, feinen, schrägen Furchen der einen Seite begegnen sich mit denen der andern Seite unter Bildung kleiner Bogen. Metazoniten ganz unten DIPLOPODEN VON CELEBES 187 längsgestreift, dann bis zum Porus mit sehr kurzen Furchen am Vorderrande. Quernaht auch auf dem Rücken deutlich, wenn auch weniger scharf als auf den Seiten. Metazoniten ganz glatt und glänzend, etwas hôüher als die Prozoniten. Scobina bis ca. zum 30. Segment reichend; die Metazoniten 6—16 am Hinter- rand oberhalb der Scobina ganz seicht ausgebuchtet. Schwänzchen spitzwinklig, die Analklappen deutlich über- ragend. Analklappen ziemlich stark und regelmässig gewülbt, mit wenig vorspringenden Rändern. Vordere Beme des G° mit kaum merklich vorspringendem Hüftglied. Tarsalpolster fehlt. Vordere Copulationsfüsse (Textfig. 23) mit stumpfwinklig seschultertem Coxoïd ; Ventralplatte mit schmalem, ziemlich spitzem me- x<7"m,5. Segmentzah] 42—46. 3,3 © Kema (Minahassa) N.-Celebes. 1, 1 © Menado (Minahassa) N.-Celebes. (Coll. SARASIN.) Æ. haasei Silv., in gleichen Jahr und ebenfalls aus der Mina- 1assa nach ei beschrieben, ist di me JSTR hassa nach emem © beschrieben, ist dieselbe Art'. SILVESTRI lag ein ungewühnlich grosses Exemplar vor (90><8mm), Sehr wahrscheinlich gehôrt hierher auch À. hicksoni Poc. (WEBERS Reise IT, p. 394). ATTENS, in seiner Tabelle der ost- * Duich Typenvergleich festgestellt. Da die Priorität nicht feststellbar ist, be- halten wir den Namen bei, unter welchem das besser charakterisierte G° beschrie- ben wurde. DIPLOPODEN VON CELEBES 201 indischen ÆRhinocricus-Arten, 1897, versteht zwar POCOCKS Be- schreibung so, dass die Metazoniten gekielt wären. POCoCK spricht allerdings von «striæ behind the pore >, aber in der Anmerkung hinter der Beschreibung von der < remarkable sculpturing of the middle part of the body segments >. Noch auffälliger wird die Uebereinstimmung von ZX. hicksoni und pyrrholoma nach ATTEMS Bemerkungen über 2. hicksomi von Ambon (1898 &, S. 515), die alle auch auf pyrrholoma passen; besonders wird hier auch hervorgehoben, dass es der hintere Prozonitenteil ist, der die charakteristische Skulptur trägt. Leider ist trotz Vorhandensein von jf gar nichts über die Copulationsfüsse ausgesagt. Rhinocricus mediostriatus Siv. Der Vergleich unsrer Exemplare mit SILVESTRIS Original- exemplar ergibt einen unwesentlichen Unterschied: Beim Ori- ginal ist der Vorderrand des Halsschildes bis zum Seiteneck ge- rade und die Seitenlappen sind nur durch schräge Abstutzung von hinten her verschmälert, während bei den Exemplaren der Sammlung SARASIN der Vorder- und der Hinterrand schräg verlaufen, der erstere noch deutlicher als der letztere. Bei der grossen Variabilität dieses Merkmals handelt es sich hier entschieden nur um individuelle Variationen. Skulptur : Die Prozoniten sind in ihrem hinteren Teil auf emer schmalen Zone fast ringsum gefurcht, aber nicht längsgefurcht, wie es SILVESTRI angibt, sondern so, dass die Furchen schräg nach vorn aufsteigen, besonders deutlich gegen die Rückenmitte hin, wo die Furchen von rechts und links sich fast begegnen. In der vorderen Kürperhälfte sind es kurze, scharfe und zum Teil unregelmässige, fast hyroglyphartige Furchen; in der hintern Kürperhälfte werden sie immer feiner und die Skulptur daher immer undeutlhicher. Rev. Suissk DE ZooL. T. 20. 1912. 14 202 J. CARL Die Copulationsfüsse entsprechen genau der Abbildung bei SILVESTRI. Die Scobina reichen beiunseren Exemplaren bis zum 32. oder 39. Segment. Auffallend ist der Unterschied in der Kôrperform; das Ori- oinalexemplar ist viel schlanker (120><7",) Die unsrigen sind plumper (105—110><11%%, 5—12"n) und haben 48 und 50 Seg- mente. Insel Sangi. (SILVESTRI.) 2 cj' Gross-Sangi. (Coll. SARASIN.) DIPLOPODEN VON CELEBES 203 LITTERATUR-VERZEICHNIS. ATTEMS, 1897. Myriopoden. In : Abh. d. Senckenb. naturf. Ges., Bd. XXII, — 1898. S. 473-536, Taf. XXI—XXIV. System der Polydesmiden. T. Teil. In: Denkschr. d. math. natw. Classe d. k. Akad. d. Wiss. Wien. Bd. LXVII S. 221—482, Taf. I —XI. -— 1898a) Myriopoden. In: SEMoN, Zoolog. Forschungsreisen in Aus- — 1899. — 1900. — 1907. — 1909. — 1910. GARE 4942; tralien und dem malayischen Archipel. Fünfter Bd.: Syste- matik, Tiergeographie und Anatomie d. wirbell. Tiere.S. 505 bis 516, Taf. XLI. System der Polydesmiden W. Teil. In : Denkschr. d. math.- natw. Classe d. k. Akad. Wiss. Wien. Bd. LXVIII, S. 251 — L36, Taf. XII—X VIT. Dr. Brauers Myriopoden-Ausbeute auf den Seychellen im Jahre 1895. In: Zoolog. Jahrb. Abt. für Svst., Geographie und Biologie der Tiere. Bd. 13, S. 133-171, Taf. 15—17. Javanische Myriopoden ges. von Dir. K. Kræpelin im Jahre 1903. In: Mitteil. aus dem Naturhistor. Museum in Ham- burg, XXIV. Jahrg., S. 77—142, 42 Textlis. und 3 Taf. Die Myriopoden der Veqa-Expedition. In : Arkiv fôr Zoolo- gi, Bd. 5, S. 1—84, 5 Taf. und 27 Textfig. Myriopoden von Madagaskar, den Comoren und den Inseln Ostafrikas. In: Vorcrzkow, Reise in Ostafrika in den Jahren 1903--1905, Bd. INT, S. 73—115, Taf. 10—12; 40 Textfiguren. Die Diplopoden-Ausbeute d. Sunda-Exrp. des Frankfurter Ver. f. Geographie auf Lombok. In: Zool. Jahrb. Abt. f. Svst., etc. Bd. 32, S. 163-172, Taf. 1 und 5 Textfig. GERSTÆCKER, 1873. Giliedertiere (Inseklen, Arachniden, Myriopoden und Lso- poden). An : Vox Der Deckex’s Reisen in Ostafrika, Bd. IT. 204 Je CARTE GERVAIS, 1847. Hastoire naturelle des insectes aptères. T. IV. Pocock, 1904. Chilopoda, Symphyla and Liplopoda from the Malay Archi- pelago. In: Max Weger, Zoolog. Ergebn. einer Reise in Niederl. Ostindien. Bd. IT, p. 307-404, Taf. XIX—XXIT. Porar, 1876. Om nagra exotiska Myriopoder. In: Bihang till K. Svenska Vet. Akad. Handlingar. Bd. 4, No. 7, p. 1 —48. — 1888. Ueber einige exotische J'uliden des Brüsseler Museums. In : Ann. Soc. ent. de Belgique. T. XXXII, p. 205 SARASIN, P. u. F. 1901. Materialien zur Naturgeschichte der Insel Celebes, 256. Bd. IL: Ueber die geologische Geschichte der Insel Celebes auf Grund der Tierverbreitung. 169 p. 15 Taf. SILVESTRI, 1897. Neue Diplopoden. In : Abh. u. Ber. d. Kk. z0ol. u. anthrop.- ethnogr. Museums zu Dresden. Bd. VI, 1896-—1897, No. 9, 23 p., 3 Taf. u. 19 Textfig. — 1898. Afcuni nuovi Diplopodi della N. Guinea. In: Ann. Mus. civ. Genova, ser. 2, vol. XIX (XXXIX), p. 441—450, 20 Textfig. WEBER, M., 1902. Der indo-australische Archipel und die Geschichte seiner Tierwelt. lena. 46 S. und 1 Karte. DIPLOPODEN VON CELEBES 205 FIGUREN-ERKLAERUNG. TAFEL D. Fig. 1. Strongylosomu pictum n. sp. of Copulationsfuss. Fig. 2. » » » _<' Bein des 2. Paares. Fig. 3. » » DGSE AN DNS Mb 0) Fig. 4. » moniliforme n. sp. c Copulationsfuss, von aussen. Fig. à. ) » SEC » » , Endteil, in an- derer Ansicht. Fig. 6. » hirtipes n. sp. c° Copulationsfuss, von innen. Fig. 7. » » » _g* Bein des 3. Paares. Fig. 8. » constrictum n. sp. c' Copulationsfuss, von aussen. Fig. 9. Platyrrhacus zonatus n. sp. » » . Von innen. Fig. 10. » urietis AS 1e » » AE Fig. 11. ) » » » » 19. Segment und |Schwänzchen. Fig. 12. Polylepis elberti n. sp. c' Copulationsfuss, von aussen. Fig. 13. Prionopeltis socialis n. sp c‘ Bein des 9. Paares. Fig. 14. ) » nn. sp. © Bein des 9. Paares. Fig. 15. » » _n. sp. © Copulationsfuss, von aussen. Fig. 16. Platyrrhacus alatus n. sp. Œ » » , von innen. AT RENE D sarasinorum n. sp. c'Copulationsfuss, von aussen. Fig. 18. Cryptodesmus triseriatus n. sp. 9. Segment. Fig. 19. Cambalopsis Nordquisti At. G Vorderes Copulationsfusspaar. Fig. 20. » » » c Zange eines vorderen Copulations- |fusses. Fig. 21. » ) » c Hinteres Copulationsfusspaar. Fig. 22. Rhinotus celebensis n.sp. œ Copulationsfiüsse, von hinten. ce sx 206 J. CARL TAFEL 6. Fig. 23. Rhinotus celebensis n. sp. ', Copulationsapparat, von vorn. Fig. 24. » « > KO: Fig. 25. Spirobolellus chrysogrammus Poe. G° Hinterer Copulationsfuss. Fig. 26. » » » x Vordere Copulationsfüsse von [vorn. Fig. 27. » solilarius n. sp. o' » » von [vorn. Fig. 28. Trigoniulus tachypus Poe. G' Hinterer Copulationsfuss. Fig. 29: » uncinalus Att. € » » Fig. 30. » squamosus n. Sp. œ Vordere Copulationsfüsse von [hinten. Fig. 31. » » » og‘ Hinterer Copulationsfuss. Fig. 32. Castanothertum ornalumn.sp. g' Copulationsapparat, rechte Hälfte, [Von vorn. Fig. 33. » » » Lange des vorderen Copulations- [fusses, von hinten. Fig. 34. Trigoniulus squumosus n. sp. G° Ende eines hinteren Copulations- fusses. Fig. 35. À gastrophus orientalis n. sp. cg‘ Vorderer Copulationsfuss, v. vorn. Fig. 36. Nesoglomeris sarasinorum n. sp. c° Gonopode. Fig. 37. Castanotherium dislinctum n. sp. œ Vorderer Kürperteil. Fig. 38. » » » ct Copulationsapparat, linke (Hälfte von hinten. Fig. 39. ) ) » «id. rechte Hälfte, von vorn. Fig. 40. » » » cd Zange eines vordern Copu- (lationsfusses, im Protil. Fig. 41. » ornatum n. sp. g' Zange eines hinteren Copula- [tionsfusses, von hinten. à sal Rev. Suisse de Zool. T 20. 1912. Pr 0 FEPTENTITP ET e Le AURA MIIIARITS. THAARRARARAESS 7. Cort de el Ë en Lith. Beck &. Brur.Gerève Jr'GCanle Diplopoden LL A ï 2! sur. dE ee. sp EN + CPC Lithk Beck & Brur.Genève REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 5. — Mai 1912. Les Chilodontes parasites des Cyprinides PAR Emile ANDRÉ (Genève). Avec 1 figure dans le texte. En 1902, Mororr ! a décrit, sous le nom de Chilodon cyprini un Infusoire qu’il a rencontré sur la peau et les branchies de la Carpe; sept ans plus tard, KIERNIK ? à trouvé, vivant dans Îles mêmes conditions, chez la Tanche, un Chilodon auquel il a attri- bué le nom spécifique de « hexastichus > et sur lequel il à fait des observations biologiques d’une haute valeur. KIERNIK à établi cette nouvelle espèce principalement sur la forme du corps qui est ovalaire, tandis qu’il est cordiforme chez le C. cyprini Moroff, et sur la disposition des cils en douze rangées longitudinales marginales, 6 de chaque côté, tandis que chez 1 Tu. Mororr. Chilodon cyprini nov. sp., Zoolog. Anz., vol. 26, p.5-8, 1902. 2? E. Krernix. Chilodon hexastichus nov. sp. ein auf Süsswasserfischen parasitierendes Infusorium, nebst Bemerkungen über Vacuolenhautbildungen und Zellteilung. Bull. Acad. Sc. Cracovie. Année 1909, p. 76-119. Rev. Suisse DE Z001. T. 20. 1912. 15 208 E. ANDRÉ l'espèce de MororF les lignes ciliaires occupent toute la face ventrale. La peau et surtout les branchies des Poissons rouges (Caras- sius auratus) élevés dans les aquarium de l'établissement < Pêche et Sport» à Genève, et provenant d'Italie, ont été envahies, au mois d'avril 1912, par des légions de Chilodon. Les Poissons attaqués présentaient les symptômes décrits! et ils sont tous morts plus ou moins rapidement. Le but de ces lignes n’est donc pas d'apporter quelques données nouvelles sur la chilodoniase, maladie causée ou aggravée par ces Infusoires. Mais en exami- nant les nombreux individus que nous avons eus à notre disposi- tion, nous avons constaté leur métabolisme très accentué et leur orande variabilité, laquelle nous porte à admettre que les C. cyprini et C. hexastichus ne représentent qu’une seule et même espèce. Cette idée avait du reste déjà été émise par ROTH ? qui écrit à propos du C. hexastichus : Obgleich sich diese neuent- dekte Art in mehrfacher Beziehung vom Chilodon cyprini unter- scheidet, hiegt in Anbetracht der für die Famihie der Chilodon- tüden charakteristischen Formveränderlichkeit (Polymorphis- mus) der (redanke nahe, dass es sich beim ersteren doch viel- leicht um den Chiodon cyprini Moroff oder hüchstens eine Varietät desselben handelt… Comme nous lP’avons vu plus haut, les caractères différentiels entre C. cyprimi et C. hexastichus reposent surtout sur la forme du corps et sur sa ciliation, Ces deux caractères, ainsi que nous l'avons constaté, varient dans une large mesure d’un indi- vidu à l’autre. En effet, on trouve, vivant côte à côte, des Chi- don dont le corps est cordiforme, ainsi que le représente MOROFF, d’autres dont l’échancrure postérieure est à peine indiquée, d’au- ® B. Horer. Handbuch der Fischkrankheiten, p. 128, Munich, 1904. ? W. Rorx. Die parasitischen Chilodontiden. Chilodon cyprini Moroff und Chilodon hexastichus Kiernik. Wochenschrift für Aquarien und Terrarienkunde- Jhrg. 6, p. 73-75, 89-90. 1910. CHILODONTES PARASITES DES CYPRINIDES 209 tres enfin dont le contour est assez régulièrement ovalaire (voir fig.) ou dont le bord gauche est faiblement concave, comme le montre l’exemplaire figuré par K1ERNIK. De plus, le même indi- vidu peut se présenter successivement sous ces diverses formes, Spontanément ou lorsqu'il est un peu comprimé par le couvre- objet. Nous avons aussi rencontré des individus dont la face ventrale portait quatre ou cinq côtes longitudinales, saillantes, disposées parallèlement aux lignes ciliaires : ces côtes disparais- saient par la pression du couvre-objet. Chilodon cyprini Moroff. Gross. 950 fois. Vu par la face dorsale; la ciliation de la face ventrale est donc vue par transparence. b. bouche; n. p. nasse pharyngienne; c. a. cils adoraux: Z. ç. lignes ciliaires ; v. «. vacuoles contractiles; AN. noyau. (Les cils n’ont été représentés que sur le bord de l’animal; la structure du cytoplasme n’est pas indiquée). La ciliation présente aussi de grandes divergences indivi- duelles; cependant nous avons toujours vu une aire longitudinale médiane non ciliée, tandis que, selon MOROFF, la face ventrale serait partout ciliée. Cette aire glabre varie du reste beaucoup de largeur suivant les individus et surtout suivant l’état d’aplatis- 210 E. ANDRÉ sement de l’animal; chez les individus se mouvant librement dans le mucus de leur hôte, elle est à peime perceptible. De cha- que côté de cette zone nue, courent les rangées ciliaires longitu- dinales ; celles-ci seraient toujours, d’après KIERNIK, au nombre de 6 de chaque côté, tandis que MOROFF en figure un trentaine en tout et que ROTH les évalue à peu près à ce chiffre. Chez les Chilodon que nous avons examinés, ce chiffre est loin d’être cons- tant et il varie, pour chaque côté, de 8 à une quinzaine; sur le côté gauche, les lignes ciliaires sont en général moins nom- breuses que sur le côté opposé. Quant aux dimensions, elles varient aussi; chez les individus que nous avons mesurés, la longueur était de 40 y à 60 y. Les chiffres donnés par MOROFF sont 39 y à 40 4; ceux de KIERNIK, 42 y à 54 y. Ces différences de taille sont peu importantes, sur- tout si on les compare à celles que l’on constate chez le C. cucullulus. La nasse pharyngienne montre aussi des variations de lon- gueur assez importante. Elle est toujours plus ou moins Imcur- vée; nous ne l'avons cependant jamais rencontrée formant à sa partie postérieure une véritable boucle ainsi qu'elle est figurée par KTERNIK. Nous avons représenté (voir fig.) un exemplaire moyen, lége- rement comprimé par le couvre-objet, de sorte que la largeur est augmentée ; nous l'avons figuré vu par la face dorsale, parce que c’est toujours ainsi que se présentent les Chilodon, en sorte que la ciliation se voit par transparence. Le cytoplasme est incolore, hyalin et contient des granules réfringents, jaune pâle, peu abondants ; on n’y distingue guère de vacuoles alimentaires. Nous avons rencontré un individu dont le corps était bourré de sphérules très réfringentes et qui, de ce fait, paraissait coloré en gris foncé. Le contour général du corps, la longueur et la courbure de la nasse, le nombre des lignes ciliaires sont donc sujets à varier CHILODONTES PARASITES DES CYPRINIDES 211 beaucoup d’un individu à l’autre; en revanche, on peut consi- dérer comme caractères constants la ligne ciliaire adorale, les lignes ciliaires ventrales, la plus grande longueur des cils de la partie antérieure du corps, la présence de deux vacuoles pulsa- tiles. Nous avons cependant constaté chez un individu le dédou- blement des deux vacuoles contractiles. Relativement à l’action pathogène de ces Infusoires, nous n'avons que peu à ajouter à ce qu'ont dit nos devanciers !. Nous estimons du moins que cette action est indirecte et que les Chi- lodon n’attaquent pas les tissus de leur hôte, mais se nourris- sent simplement de mucosités de la peau et des branchies. En effet, en examinant des coupes de branchies infectées de Chilo- don, nous avons constaté que ceux-ci ne sont pas attachés immé- diatement aux branchies, mais sont contenus dans le mucus qui revêt ces organes. On peut donc admettre que, lorsqu'ils se développent en grande quantité sur les branchies, les Chulodon entravent la fonction respiratoire et causent la mort de leur hôte par asphyxie. On pourrait aussi supposer que les produits de désassimilation excrétés par les Infusoires, absorbés par le Poisson, amènent l’intoxication de ce dernier. Ces deux actions ne s’excluent pas; il paraît néanmoins plus plausible de consi- dérer la première comme la cause principale de la mort. D’après KIERNIK, le développement des Chilodon serait la conséquence d’une infection bactérienne de la peau et des branchies et, ces Infusoires se nourrissant de microorganismes, leur multiplication serait proportionnelle à l’abondance de la nourriture ou, autre- ment dit, à l'intensité de l’infection bactérienne. Chez les Pois- sons que nous avons étudiés, les Bactéries étaient en quantité beaucoup trop faible pour justifier cette manière de voir. Nos observations ne nous permettent pas de trancher la question de savoir si les Chilodon sont la cause première de la maladie ou ! Voir aussi B. Horer. Ein neuer Krankheïtserreger bei Fischen. Allg. Fisch.- zeitung, N° 2, Jhrg. 1905. 212 E. ANDRÉ s'ils en sont une conséquence, par le fait qu’ils ne se développe- raient que chez des animaux déjà affaiblis par une autre cause. Cette dernière hypothèse semble confirmée par le fait que des Perches-soleil (Eupomotis) et des Carpes, vivant dans le même aquarium que les Carassins attaqués par les Chilodon, sont res- tées indemnes de toute infection infusorienne. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 6. — Juin 1912. MAPEÉRIETUX POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES HYDROIDES PAR M. BEDOT jme PÉRIODE ! (1872 à 1880) Nous avons, jusqu'à présent, cité toutes les Méduses dont on ne connait pas la forme Polype sous les noms qu'elles portent dans le System der Medusen de HÆCKEL. A. G. MAYER vient de publier une importante monographie des Medusæ of the World (1910) qui résume toutes les connaissances acquises pen- dant ces dernières années sur ces animaux. Il ne nous à pas été possible de modifier le plan de notre travail, mais, comme il est certain que l'ouvrage d'A. G. MAYER sera dorénavant entre les mains de tous les zoologistes qui étudieront les Méduses, nous avons pensé leur rendre service en indiquant, pour la plupart des espèces que nous citons, les noms adoptés par cet auteur. ! Voir: M. Benor. Matériaux pour servir à l'Histoire des Hydroïdes. 1"e pé- riode. Rev. Suisse de Zool. T. 9, pp. 379-515. Genève, 1901, 89, Idem. 2e période. Ibid. T. 15, pp. 1-153. 1905. Idem. Ze période. Ibid. T. 18, pp. 189-490. 1910. Rev. Suisse DE Z001. T. 20. 1912. 16 214 M. BEDOT Les formes aberrantes de Méduses (telles que la Mnestra) ne sont pas mentionnées dans ces Matériaux, non plus que celles qui ne font pas notoirement partie des groupes des Antho- méduses et des Leptoméduses. Comme règle générale pour la transcription des noms d'es- pèces, nous avons adopté le système admis actuellement dans la plupart des ouvrages systématiques modernes, et qui consiste à écrire toujours les noms spécifiques avec une petite lettre in1- tiale. Pour la terminaison des noms spécifiques formés d’un nom de personne, nous avons adopté les Règles internationales de la nomenclature zoologique. HISTOIRE DES HYDROÏDES DES INDEX BIBLIOGRAPHIQUE ! 1502 [STEWART, C.[. Elements of Natural history; being an introduction to the Systema Naturæ of Linnaeus. Vol. 2 (1802). London, 1801-1802. 80. Nous avons cité, dans la première période de nos Matériaux, la 2 édi- tion de cet ouvrage. Mais il importe de mentionner la 1'° édition, parue en 1801-1802, car c'est à l’auteur, Srewarr (dont le nom ne figure pas sur ie titre de la 1" édition), que revient le mérite d’avoir été le premier à attirer l'attention sur la phosphorescence des Sertulaires (Vol. 2, p. 425). Nous avons fait figurer, dans les Synonymes de la 1'° période des Maté- riaux, les espèces citées dans la 2° édition de l'ouvrage de Srewarr. Ce sont les mêmes qui sont mentionnées dans la 1'* édition et, par con- séquent, nous ne les répélerons pas. 1800. LANDT, J. Forsüg til en Beskrivelse over Faerüerne. Kjübenhavn, 1880, &°. 1818. TILESIUS. De nova Medusarum specie. In : Mem. Acad. Se. St-Pétersbourg. Vol. 6, pp. 520-564. pl. 18. St-Péters- bourg, 1818, 4°. “1835. OKEN. Allgemeine Naturgeschichte für alle Stände. Bd. 5, 1835. Stuttgart, 1833-42, &°. OKEx crée le genre Welicertum, dans lequel il place la Medusa cam- panula de FABRICIUS. 1844. ORSTED, A. S. De regionibus marinis. Elementa topogra- phiæ historiconaturalis freti Oresund. Dissert. inaug. Haunicæe, 1844, 80. 1869. SCHMIDT, O. Leben der Krebse. Würmer und unge- gliederte wirbellosen Thiere. Ex: BREHM, À. E. Illustrirtes Thierleben. Bd. 6 (P. 2). Hildburghausen, 1869, S°. 1870. SCHULZE, F.-E. [Ueber die Cœlenteraten Meklenburgs|. ! Les 8 premières indications bibliographiques de cet index se rapportent à des ouvrages qui auraient dû figurer dans les périodes précédentes. 216 M. BEDOT In: Arch. d. Vereins d. Freunde d. Naturg. Meklenburg. Jahrg. 23, pp. 205-208. Güstrow, 1870, 8°. 1871. VERRILL, A.-E. Brief contributions to Zoülogy from the Museum of Yale College. N° 16. On the distribution of marine animals of the southern coast of New England. In : American Journ. of Sc. and Arts (3), vol. 2, pp. 357-362. New-Haven, 1871, 8. — Reproduit dans : Ann. and Mag. of nat. Hist. (4), vol. 9, pp. 92-97. London, 1872, 5°. 1872 (a). ALLMAN. The genetic succession of zooïds in the Hydroida. In : Trans. R. Soc. Edmburgh, vol. 26, pp. 97-106, fie. Edinburgh, 1872, 4°. 1872 (b). ALLMAN. On the homological relations of the Cœlen- terata. In: Trans. R. Soc. Edinburgh, vol. 26, pp. 459-466. Edinburgh, 1872, +. 1872 (ec). ALLMAN. Remarks on Prof. Schulze’s memoir on Cor- dylophora lacustris. In : Quart. Journ. microse. Sc. (new series), Vol. 12, pp. 35-40. London, 1872, 8°. #1872 (d). ALLMAN. On the morphology and affinities of Grap- tolites. In : Ann. and Mag. of nat. Hist. (4), vol. 9, pp. 364- 380, fig. London, 1872, 8°. 1872. FORBES, H.-0. 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Q0 )} D] MERESCHKOWSKY 1878 ) )} 240 M. BEDOT Gen. Acryptolaria Norman 1875. Les caractères sur lesquels NORMANX établit le genre Acryp- tolaria (renfermant Ja Cryptolaria exserta) Se retrouvent égale- ment chez la plupart des autres Cryptolaria. I n'y à donc pas lieu de conserver ce nouveau genre. : Gen. Actinogonium Allman 1871. Voir : Matériaux IE, p. 233. Actinogonium pusillum (van Beneden). Voir : Matériaux LE. p. 65 et IE, p. 233. 2 Syncoryna pusilla SCHMIDT 1869 p. 993, 994, fie. 3. Gen. Aglaophenia Lamouroux 1812. Voir : Matériaux I, p. 422, Il, p. A0‘etIIT, p.233 Aglaophenia acanthocarpa Alman. A glaophenia acanthocarpa AtrMaAx 1876 (b) p. 274, 277, pl: 241, fig. 1-2. Aglaophenia allmani Nattine. À gluophenia ramosu ALLMAN 1877 (b) p.39, pl: 23; fig A. NUTTING (1900, p. 100) à donné à l'Aglaophenia ramosa d'ALEMAX le nom d'A. allmani pour éviter toute confusion avec l'A glaophenia ramosa (= À. divaricata) de KircHeNPAUER, et avec la Plumularia ramosa de Busk qui est synonyme d’Aglaophenia divaricata. Aglaophenia alopecura Kirchenpauer. Aglaophenia alopecura KIRCHENPAUER 1872 p. 26, 33, pl. 3, fig. 40. ‘»°) » » KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. HISTOIRE DES HYDROÏDES 241 Aglaophenia angulosa Lamouroux Voir : Matériaux IL, p. 233. Aglaophenia huxleyi KIRCHENPAUER 1872 p. 28. Aglaophenia anqulosa KiRCHENPAUER 1872 p. 29. Plumularia huxley KIRCHENPAUER 1872 p. 46. Aglaophenia hurleyi KIRCHENPAUER 1876 p. 25. A ylaophenia anqulosa KIRCHENPAUER 1876 p. 30. Plumularia anqulosa KIRCHENPAUER 1876 p. 32. Plumularia angulosa var. longissima KiRCHENPAUER 1876 p. 32. Aglaophenia apocarpa Allman. A glaophenia apocarpa ALLMAN 1877 (b) p. 41, pl. 2%, fig. 5-9. » » CLARKE 1879"p.#2#0; 247. Aglaophenia arcuata Lamouroux. Voir : Matériaux I, p. 422, IT, p. 40 et II, p. 234. Aglaophenia arcuata KiIRCHENPAUER 1872 p. 27,39, pl. 1, fie. 10. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia avicularis Kirchenpauer. A glaophenia aricularis KIRCHENPAUER 1872 p. 27,33, pl. 1, 3, lig. 3. ) ) KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia bicuspis G. O. Sars. Aglaophenia bicuspis SARS: G. O. 1874 -p. 93, 98,432, 199, -pl. 2, fig. 7-10. » HIXCKS 1874 (a)p41971428; ) » KIRCHENPAUER 1876 p. 29, 35, 38. » ALLMAN 1877 (b) p. 50. » STORM 1879 p-24. 249 M. BEDOT Aglaophenia bispinosa Allman. A glaophenia bispinosa ALLMAN 1877 (b) p. 44, 46, pl. 27, 1-3 et pl. 98, fig. 1-5. Aglaophenia brachiata (Liamarck). Voir : Matériaux LE, p. 234. Aglaophenia brevicaulis Kirchenpauer. Aglaophenia brevicaulis KiRcHENPAUER 1872 p. 28, 4l, 43, pl. 1, fie graof : ; ë 20 et pl. 5, fig. 19. ) » KIRCHENPAUER 1876 p. 23. 34. Aglaophenia brevirostris (Busk). Voir : Matériaux IE. p. 234. Aglaophenia brevirostris KiIRCHENPAUER 1872 p. 27. » » KiRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia conferta Kirechenpauer. A glaophenia conferta KiRCHENPAUER 1872 p. 26, 32, pl. 1, 2, 3, fig. 4. » » KiIRCHENPAUER 1876 p. 24. 53. Aglaophenia constricta Allman. Aglaophenia constricta ALLMAN 1877 (b) p. 47, pl. 29, fig. 1-4. Aglaophenia crucialis Lamouroux. Voir : Matériaux IE, p. 422, IE, p. 41 et [IE, p. 234. À gluophemia crucialis KIRCHENPAUER 1872 p. 26, pl. 2. fig. 6. » KIRCHENPAUER 1876 p. 24. 53. HISTOIRE DES HYDROÏDES 243 Aglaophenia cupressina Lamouroux. Voir Matériaux [, p. 422, 1, p. 4 et I, p.234. A glaophenia cupressinu KIRCHENPAUER 1872 p. 13, 16, 27, 35, pl. 1. lig. 14 Aglaophenia spicata KiRCHENPAUER 1872 p. 13. 27,35, pl. 1, fig. 12-02 etA fer. Aglaophenia mac gillivrayt KiRcuENPAUER 1872 p. 27. 33. Aglaopheniu cupressina KIRCHENPAUER 1876 p. 24. 33. À glaophenia spicata KiRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia mac qgilicrapt KixcueNrater 1876 p. 24, 33. Aglaophenia delicatula (Busk). Voir : Matériaux HE, p. 235. Aglaophenie delicatula KiIRCHENPAUER 1872 p. 27. » » KiRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia dichotoma Kirchenpauer. EU Voir : Matériaux If, p. 41 et II, p. 235. Aglaophenia dichotoma KIRCHENPAUER 1872 p. 13, 25. 30, pl. 1,2, 3, lg. 7. » ) KIRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. Aglaophenia distans Allman. À glaophenia distans ALLMAN 1877 (b) p. 44, ‘47, pl. 26. fie. 1-8. » » CLARKE 1879 p. 240, 247- Aglaophenia divaricata (Busk). Voir : Matériaux HE, p. 255. Lylocarpia ramosa KIBCHENPAUER 1872 p. 19. À glaophenia divaricata KIRCHENPAUER 1872 p. 26, 353. 244 M. BEDOT Aglaophenia ramosa KIRCHENPAUER 1872 p. 28, 38, 42, pl. 1, lis. ÿ7: Aglaophenia lara ALLMAN 1876 (b) p.275,pl.21,tig.5-7. A glaophenia diraricata KiIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia ramosa KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 34. Lylocarpia ramosa KIRCHENPAUER 1876 p. 12. Aglaophenia dromaius Allman. Aglaophenia dromaius ALLMAN 1874 (b) p. 471,475, 476, pl. » » KiIRCHENPAUER 1876 p. 26. Aglaophenia elegans Lamouroux. Voir : Matériaux IE, p. 235. A glaophenia elegans KIRCHENPAUER 1872 p. 29. Plumularia elequns KIRCHENPAUER 1876 p. 30. Aglaophenia elongatu Meneghini. Voir : Matériaux IE, p. #1 et III, p. 235. A glaophenia elongata KIRCHENPAUER 1872 p. 25. ? ) » ALLMAN 1874 (b)p. 471 476-.2ple07 fig. 2-2 b. ) ) KiRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. Plumularia elonqata RicHrARDi 1880 p. 155. ALLMAN (1874, b) à décrit sous le nom d’A glaophenia elongata une espèce qu'il dit (p.471) être nouvelle. Or, il existait déjà une Aglaophenie du même nom, découverte par MENXEGHINI et étudiée également par HeLzLER. On devrait donc distinguer ces deux espèces. Mais leurs hydrothèques, telles qu’elles ont été figurées par HELLER et ALLMAN, présentent une grande ressemblance due à leur profondeur et les corbules n’ont pas été décrites par MENEGHINI et Hezzer. Il est donc possible qu'il ne s’agisse que d’une seule et même espèce. C’est une question à étudier, et nous admettrons provisoirement celte synonvmie pour éviter d'introduire un nom nouveau. HISTOIRE DES HYDROÏDES 245 Aglaophenia filamentosa (Liamarck). Voir : Matériaux 1, p. 422, IL, p. &1 et lil, p. 235. A glaophenia patula KIRCHENPAUER 1872 p. 17, 29, 41, 44, pl. 1, 2, 6, fig. 23 Macrorhynchia patula KiIRCHENPAUER 1872 p. 19. Aglaophenia filamentosa KIRCHENPAUER 1872 p. 26. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia patula KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 34. Aglaophenia flexuosa Lamouroux. Voir : Matériaux 1, p. 422, IT, p. 42 et IE, p. 236. Aglaophenia fleruosa KIRCHENPAUER 1872 p. 25. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. Aglaophenia formosa (Busk). Voir : Matériaux II, p. 236. Aglaophenia formosa KiRCHENPAUER 1872 p. 13, 26, pl. 1, 2 et 3, fig. D. ) » KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 35. Aglaophenia fusca Kirchenpauer. Voir : Matériaux I, p. #23, IT, p. 42 et III, p. 236. A glaophenia fusea KiRCHENPAUER 1872 p. 17, 29, 43, pl. 1, fig. 21" 228pl%e2) et:0: fig. 22. Macrorhynchia fusca KIRCHENPAUER 1872 p. 19. À glaophenia hypnoides KIRCHENPAUER 1872 p. 29, 43. Aglaophenia fusca KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 34, 42. Sertularia hypnoides KIRCHENPAUER 1876 p. 30. Rev. Suisse DE ZooL. T. 20. 1912. 18 246 M. BEDOT Aglaophenia gracilis Allman. Auylaophenia gracilis ALLMAN 1877 (b) p. 42, pl. 25, fig. 1-4. » » CLARKE 1879 p. 240, 248. Cette espèce ne doit pas être confondue avec l'Aglaophenia gracilis de LAvouroux qui est synonyme de Nemertesia ramosu. , Aglaophenia hians (Kirchenpauer). Syn. : Plumularia hians Busk. Voir : Matériaux HE, p. 351. A qglaophenia hians KIRCHENPAUER 1872 p. 30. Plumularia hiauns KIRCHENPAUER 1876 p. 30. La Plumularia hians de Busk doit bien rentrer dans le genre À glaophenia. comme le pensait KIRCHENPAUER. Mais c’est une espèce très douteuse, dont le gonosome n’est pas connu. Aglaophenia huttontr. Hurron (1873) dans son étude sur les Hydroïdes de la Nouvelle Zélande décrit, entre autres : Plumularia pennatula (EU. et Sol.) et Plumularia banksi Gray. KiIRCHENPAUER (1876, p. 24, note) fait remarquer avec raison que la Plu- mularia pennatula d'Hurrox est une espèce différente de l'A. pennatula d’'ELuts et SoLaxper, et il lui donne le nom d’Aglaophenia huttonr. D'autre part, CoucnrreY (1875) à publié des notes sur les Hvdroïdes de la Nouvelle Zélande et, à cette occasion, il à pu examiner les spécimens tvpes d’'Hurrox. Il décrit de nouveau la Plumularia pennatula d'Hurrox et en donne une figure, assez inexacte ainsi qu’il le reconnait plus tard (1876 (a), p. 31) dans un travail où il cite cette espèce sous le nom d’Aglaophenia pennatulu. COUGHTREY (1875, p. 289) fait en outre remarquer que l'espèce décrite par Hurron sous le nom de Plumularia banksi diffère de la P. banksi de GRaY (que nous avons mise en synonyme d'A glaophenia pennaria, voir : Matériaux HT, p. 238). I lui donne le nom de Plumularia huttoni et la rc- HISTOIRE DES HYDROÏDES 247 présente par une figure très mauvaise mais permettant cependant de recon- naître qu’il s’agit d'une A glaophenia. On aurait donc deux À glaophenia huttont : l'une de KiIRCHENPAUER Corres- pondant à la Plumularia pennatula d'Hvrrox, et l'autre de COUGHTREY syno- uvme de la P. banksi d'Hurrox. Il faudrait changer l’un de ces noms: mais, comme ces deux espèces sont très mal décrites, nous préférons les laisser provisoirement sous le même nom. Aglaophenia huttoni de COUGHTREY. Plumularia bantsi HUTroN 1873 p. 259. Excl. syn. » » COUGHTREY 1875 p. 289. Plumularia huttoni COUGHTREY 1875 p. 290, pl. 20, fig. 38. A glaophenia huttoni COUGHTREY 1876 (a) p. 31. Aglaophenia huttoni de KIRCHENPAUER. Plumularia pennatula HüTrox 1873 p. 258. Excel. svn. ) ) COUGHTREY 1875 p.289, pl. 20, fig. 37. À glaophenia pennatula COUGHTREY 1876 (a) p. 31. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 24, note. A glaophenia huttoni KIRCHENPAUER 1876 p. 2%, 33. Aglaophenia incisa Coughtrex. Plumularia incisa COUGHTREY 1875 p. 290, pl. 20. fig. 40-41. Agliophenia incisa COUGHTREY 1876 (a) p. 31. Aglaophenia integra à. 0. Sars. Aglaophenia inteyra SaRs, G. 0. 1874 p. 93, 100, 132, 139, pl. 2, fig. 11-15. » » Hixcxs 1874 (a) p. 128. » » KiRCHENPAUER 1876 p. 4, 25, 38. » » STORM 1879 p. 24. 248 M. BEDOT Aglaophenia kirchenpaueri (Keller). Voir : Matériaux III, p. 236. A glaophenia kirchenpauert KiRCHENPAUER » » KIRCHENPAUER Plumularia kirchenpaueri PichraRbi 1872 p. 26, pl. 2, fig. 6. 1876 p. 2%, 53. 1880 p. 155. Aglaophenia latecarinata Allman. Syn. : Aglaophenia minuta Fewkes. Voir : Matériaux If. ? A glaophenia pelagica KIRCHENPAUER ) » KIRCHENPAUER Aglaophenia latecarinata ALLMAN p. 236. 1872 p. 29. 1876 p. 23, 34. 1877 (b) p. 56. Aglaophenia lignosa Kirchenpauer. A glaophenia lignosua KIRCHENPAUER » » KIRCHENPAUER 1872, p.28, 97 2ple lime fig. 13. 1870 p. 25, 32, 34. Aglaophenia ligulata Kirechenpauer. Macrorkynchia ligulatu KIRCHENPAUER A glaophenia ligulata KIRCHENPAUER » ) KIRCHENPAUER 1972 np A0 1872 p.129, #2; pl. 1,/ig24; 22-plr2ret D gere. 1876 p. 25, 34. Aglaophenia longicornis Kirchenpauer. A glaophenia longicornis KIRCHENPAUER » » KIRCHENPAUER 1872400; 4 7, Sp SRSeDwe tig. 28. 1876 p. 25, 34. HISTOIRE DES HYDROÏDES 249 Aglaophenia longirostris Kirchenpauer. Aglaophenia longirostris Kircaexpauer 1872 p. 28. 42, pl. 1, fig. 19 et pl. >, fig. 20. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 34. Aglaophenia lophocarpa Allman. À glaophenia lophocarpa ALLMAN 1877 (b) p. 41,42, pl. 24, fig, 1-4. Aglaophenia minuta Fewkes. NurriNG (1901) a reconnu la synonymie d’Aglaophenin minuta Fewkes et d'A. latecarinata Allman, mais il a conservé à tort, à cette espèce, le nom donné par FEwKkESs (1831). Or, le nom d'A. latecarinata a la priorité (4877) et doit par conséquent être rétabli. Voir : Aglaophenia latecarinata. Aglaophenia moebiusi Schulze. Aglaophenia moebii SCHULZE 1875.p: 123, 194, pl2, fie. 3-D. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 29, 33, 38. Aglaophenia myriophyllum (Linné). Voir : Matériaux 1, p. 493, II, p. 42 et ILE, p. 237. Aglaophenia myriophyllum ForBes 1872 p. 191. » » HINCKS 1872 (a) p. 121. » » KiIRCHENPAUER 1872 p. 4,7 (fig.), 14, 15,28, 39-37,pl. 1-2.fig. 14. Aglaophenia (Lylocarpia) myriophyllum KiIRCHENPAUER 1872 p. 14, 18. Lytocarpia myriophyllum KiRGHENPATER 1872 p. 19. 250 M. BEDOT À glaophenia myriophyllum Verne 1873 (b) p. 11. » » ALLMAN 187% (b) p. 471. ) ) HINCKS 1874 (a) p. 126, 127, 128. » ) SARs, G. O. 1874 p. 98. ) ) SuirH a. HARGER 1874 p. 15. ) ) NoORMAN 1875 p. 174. ) » SCHULZE 1875 p. 122, 134, 135. ) ) KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 32, 33, 36-38. Lylocarpia myriophyllun KincuENPAUER 1876 p. 42. | Aglaophenia myriophylle ALEMaN 1877 (b) p. 47. A glaophenia myriophyllun Ricniarpi 1880 p. 155. Aglaophenia octodonta (Heller). Voir : Matériaux IL, p. 237. A glaophenia octodonta KiRCHENPAUER 1872 p. 25. ) » KiRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. Aglaophenia parva Pieper. A glaophenia parva PIEPER 1880 p. 143. Aglaôphenia patagonica (4'Orbigny). Voir : Matériaux Il, p. 43 et IIT, p. 238. Aglaophenia palagonica KiRCHENPAUER 1872 p. 13, 26. ) ) KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia pennaria (Linné). Voir : Matériaux IE, p. 238. Lytocarpia secunda KiIRCHENPAUER 1872 p. 15, 19, 38. Lytocarpria crispala KiRCHENPAUER 1872 p. 15, 19, 38. A glaophenia secunda KiRCHENPAUER 1872 p. 16, 28, 35, 36, pl. 1,2et4, fic. 15. À glaophenia crispata KiRCHENPAUER 1872 p. 28, 36, pl. 1, 2 et 4, tig. 16. A glaophenia banksi À glaophenia pennaria Plumularia banksi Aglaophenia secundu Aglaophenia crispala Lytocarpia secunda Lytocarpia crispata Plumularia banksi HISTOIRE DES HYDROÏDES KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER COUGHTREY KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER 1872 p. 30, 37. 1872, p. 99, 40, exc]. svn. 1875 p. 289. 1876 p. 25, 32, 34. 1876 p. 25, 32, 3%. 1876 p. 42. 1876 p. 22. 1876 p. 30. Aglaophenia pennatula (Ellis et Solander). Voir : Matériaux I, p. 424, IT, p. &4 et III, p. 239. À qlaophenia pennatula )) » Plumularia pennatula A glaophenia pennatula ») )) )) )) FoRBEs KIRCHENPAUER ALLMAN M° Ixrosa COUGHTREY KIRCHENPAUER 1872 p. 191. 1872 p. 28. 1874 (b) p. 477. 1874 p. 204. 1876 (a) p. 31. 1876 p. 24 (note), 25, 34, : Aglaophenia perpusilla Alman. A qlaophenia perpusilla ALLMAN 18774(b}° p.48; 150, pl. fig. 9-7. Aglaophenia phidippina Kirchenpauer. A glaophenia philippina Macrorhynchia philippina Aglaophenia philippina Aglaophenia aurita A glaophenia phoenicea KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER 1872-p:416,-47 (fie) 29; DIR el fre 1872 p. 19. 1876 p. 10, 12, 25, 34. Aglaophenia phoenicea (Busk). Voir : Matériaux IE, p. 240. 1879 p. 26. 1872 p. 29, 45. KA, LA, 15, 26. 252 M. BEDOT A glaophenia aurita KIRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. A glaophenia phoeniceu KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 34. Aglaophenia pluma (Linné). Voir : Matériaux [, p. 425, IL, p. #% et LL, p. 240. ? Sertularia pluma FoRBEs 1872-p.191. A glaophenia plumu HINERS 1872-(a) p: 124. » Hixcks 1872 (©) p. 386-388, pl. 20, lig. 1. D » KIRCHENPAUER 1872 p. 6, 8-15, 18, 95, 30- 32, 40. A gluophenia uncinata KiRCHENPAUER 1872 p. 26, 49,41, ex sn. A glaophenia pluma M° Ixrosx 1874 p. 204. » » ALLMAN 1876 (b) p. 274. ] » CLARK 1876 (b) p. 263. ) » KIRCHENPAUER. 1876 p. 10, 11, 23,33, 36- 38. Aglaophenia uncinate KIRCHENPAUER 1876 p. 23. 33. Sertularie pluma KIRCHENPAUER 1876 p. 33. A qlaophenia pluma CLAUS ESS DS UE D » CIAMICIAN 1880 p. 676. » 2 PIEPER 1880 p. 143. » » RicuiaRni 1880 p. 155. » » \VEISMANN 1880 (a) p. 231. Aglaophenia plumifera Kirchenpauer. À glaophenia plumifera KiIRCHENPAUER 1872 p. 29, 31, pl. 1,3, fig. 6. Aglaophenia plumulifera KircueNPAUER 1872 p. 49, 52. Aglaophenia plumifera KIRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. Aglaophenia pusilla Kirchenpauer. Aglaophenia pusillu KrrcHEëNPAUER 1872 p. 26, 32, pl. 1,3, fig. 2. » ) KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. ) » PIEPER 1880 p. 143. JU HISTOIRE DES HYDROÏDES D Aglaophenia radicellata G. O. Sars. Aglaophenia radicellata SARS AGO: 1874 p.93, 97,182,,438,139, pl. 2, fig. 1-6. » » Hixcks 1874 (a) p. 126, 127, 128. » » KiIRCHENPAUER 1876 p. 25, 33. 38. Cette espèce est probablement synonyme d'A glaophenia myriophyllunn. Aglaophenia ramulosa Kirchenpauer. Aglaophenia ramulosa KiRCHENPAUER 1872 p. 28, 41. pl. 1 et 5, fig. 18. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 34. Aglaophenia rhynchocarpa Alman. À alaophenia rhynchocarpa ALLMAN 1877 (b) p. 40, pl. 23, fig. 5-8. gtaoÿ Y Î P I g Aglaophenit rigida Allman. Aglaophenia rigida ALLMAN 1877 (b) p. 43, pl. 25, fig. 3-9. » » CLARKE 1879 p. 240, 248. Aglaophenia rostrata Kirchenpauer. À glaophenia rostrata KircHENPAUER 1872 p. 29, 45, pl. 1 et 6, fig. 25. » » KiIRCHENPATER 1876 p. 25. 34. Aglaophenia rubens Kirchenpauer. A glaophenia rubens KiIRCHENPAUER 1872 p. 48, pl. 8, lig. 30. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 34. Aglaophenia savignyana Kirchenpauer. Voir : Matériaux I, p. 426, IL, p. 45 et III, p. 241. Aglaophenia sarignyana KiIRCHENPAUER 1872 p. 29, 41. 44, pl. 1, fig. 24. ) ) KiRCHENPAUER 1876 p. 23. 34. 254 M. BEDOT Aglaophenia sigma Allman. Aglaophenia sigma ALLMAN 1877 (b) p.45, pl. 26, 1ig. 9-10. Aglaophenia simplex (4'Orbignvy). Voir : Matériaux I, p. 45 et III, p. 241. A glaophenia sumplex KiRCHENPAUER 1872 p. 25, pl. 1, fig. 1. ) » KIRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. Aglaophenia speciosa (Pallas). Voir : Matériaux 1, p. 426, IT, p. 46 et IT, p. 241. A glaophenia speciosa KIRCHENPAUER 1872 p. 28, 32, 42. ) ) KIRCHENPAUER 1876 p. 23, 34. Aglaophenia squarrosa Kirchenpauer. Aglaophenia squarrosa KiRCHENPAUER 1872 p. 47, pl. 8, fig. 29. . ) » KIRCHENPAUER 1876 p. 25, 3%. Agläophenia struthionides (Murray). Voir : Matériaux IIL, p. 242. Aglaophenia franciscana KircHENPAtTER 1872 p. 26. A glaophenia arborea VERRILL 1873 (a) p. 730. Aglaophenia struthionides Crank 1876 (h) p. 250, 251, 262, pl. 41, fig. 3-3 d. À glaophenia arborea KIRCHENPAUER 1876 p. 2%, 33. Aglaophenia franciscanx KiRcHENPAUER 1876 p. 24, 33. Aglaophenia tricuspis Mac Crady. Voir : Matériaux IL, p. 242. À glaophenia tricuspis KiIRCHENPAUER 1872 p. 27. ) ) KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. HISTOIRE DES HYDROÏDES 25 Aglaophenia trifida 1. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 242. Aglaophenia trifida KIRCHENPAUER 1872 p. 26. » » VERRILL 1872 (b) p. 437. ) ) KIRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. Aglaophenia tubulifera Hinks. Voir : Matériaux III, p. 242. Aglaophenia tubulifera KiRCHENPAUER 1872 p. 25. » » ALLMAN 1874 (b) p. 476. » » NORMAN 1875; p: 174. ) » KIRCHENPAUER 1876 p. 23, 33. Aglaophenia urceolifera (Lamarck). Voir : Matériaux I, p. 427, II, p. 46 et II, p. 243. A glaophenia urceolifera KiRCHENPAUER 1872 p. 29. ) ) KIRCHENPAUER 1876 p. 29, 3%. Aglaophenia urens Kirchenpauer. Voir : Matériaux E, p. 427, II, p. 46 et III, p. 243. À glaophenia urens KiRCHENPAUER 1872 p. 16, 19, 29, 46, pl. Pete ie 27: Ex. svn. » » KiRCHENPAUER 1876 p. 11, 25, 34. Aglaophenia vitiana Kirchenpauer. À glaophenia viliana KiRCHENPAUER 14872 p. 27, 34, 39, pl. 1, 3, fio’. 9. » Ù KIRCHENPAUER 1876 p. 24, 33. 256 M. BEDOT (Gen. Amalthæa O. Schmidt 1852. Voir : Matériaux IIL, p. 243. Amalthæa islandica Allman. Amalthæa islandica ALLMAN 1874 (c) p. 179. » » ALLMAN 1876 (b) p. 256. pl. 9.fig. 5.6. ) » WINTHER 1880 (a) p. 262. Amalthæa januari (Steenstrup). Voir : Matériaux IE, p. 243. Corymorpha januari Sars, M. 18170p- 4e Analthæn januari HÆCKEL 1879 p. 39. Amalthæa sarsi (Steenstrup). Voir : Matériaux IT, p. 243. Corymorpha sursi SARS, G. O. 1874 p. 134, 137. Amalthæa sarst ALLMAN 1876 (b) p. 256. Corymorpha sarsi SaRs, M. 1877 vp. 4, 40, 4%. 16, pl. 2, lig. 18-24 et pl. 6, lis. 9-23. ” » HÆECKEL 1879 p. 38, 39. Amalthæa uvifera O. Schmidt. Voir : Matériaux LIT, p. 244. LI Corymorpha uvifera Sas, G. O. 1874 p. 13%, 137, 140. Amalthæu uvifera Sars, M. 1877p Ale Sous-genre Anisocola Kirchenpauer 1576. KIRCHENPAUER (1876, p. 15. … 49) divisait le genre Plumu- > laria en 3 sous-genres : /socola, Anisocola et Monopyris. Lo Qt = HISTOIRE DES HYDROÏDES (ren. Antennella Allman 1877. ALLMAN, qui à créé ce genre, écrivait soit Antenella, soit An- tennella. Cette dernière orthographe à prévalu. Antennella allmani Armstrong. Antennella allmanni ARMSTRONG 1879 p. 102, pl. 12. Antennella gracilis Allman. Antennella gracilis ALLMAN 1877 (b) p.38,pl. 22, fig. 5, 6. Gen. Antennopsis Allman 1877. Antennopsis hippuris Alman. Antennopsis hippuris ALLMAN 1872 (D D2 194 VOS 0pDir 2 fig. 3-6 Gen. Bimeria Wright 1859. Voir : Matériaux IE, p. 245. Bimeria (f) gracilis Clark. Bimeria (?) gracudis CLARK 18761b)en.22518952%nl.88 9 \ Dimeria humilis Allman. Bimeria huiles ALLMAN lS7 7h) p; Spla 5, fins, He Dimeria vestita Wright. Voir : Matériaux [I, p. 245. Bimeria vestita SCHULZE J87%p.2425; 126: » » CLARK 1876 (b) p. 252. ) ) ALLMAN 1877:(b)>7p.29; 258 M. BEDOT Gen. Blastothela Verrill 187S. Dlastothela rosea Verrill. Blastothela rosea VERRILL 1878 p. 374. Gen. Bougainvillia Lesson 1836. Voir : Matériaux If, p. 48 et II, p. 245. Dougainvillia carolinensis (Mac Crady). Voir : Matériaux II, p. 246. Margelis carolinensis VERRILL 1873 (a) p.33%,450, 454, » » HÆCKEL 1879 p. 87. 89. Bougainvillin carolinensis HæckeL 1879 p. 89. Dougainvillia fructicosa ANman. Voir : Matériaux II, p. 246. Bougainvillin fructicosa SpAGNorInt 1876 p. 308. » » Du PLESSIS 1880 (a) p. 11. Bougainvillia muscus Alman. Voir : Matériaux ILE, p. 246. Bougainvillia muscus HÆCKEL 1879 p. 81. » Ù WINTHER 1880 (a) p. 232, 2à5, 260. Bougainvillia ramosa (van Beneden). Voir : Matériaux IE, p. #8 et HI, p. 246. Méduse : Margelis ramosa. Bouqgaincillia ramosa FORBES 1872 p. 190. » » SCHULZE 1875 p. 125-127. ? Bougainvillia gigantea ROMANES 1876 (a) p. 274 ss. ) ) ROMANES 1876 (b) p. 326. 33- Bougainvillia ramosa » » Atractylis ramosu Margelis ramosa Lizusa octocilia Bouqainvillia ramosu HISTOIRE DES HYDROÏDES SPAGNIOLINI Bon Bou HACKkEL HÆCKEL HÆCKEL Du PLessis WINTHER 1876 p. 1878 p. 1878 p. 1879 p. 1879 p. 1879 p. 308. 116, 128, 6, fig. 6. 166, 167. 70, 87-89. 12, 80. 81, 89. 189, pl. 1880 (a) p. 113. 1880 (a) p. 231,255, 257, 260. Dougainvillia superciliaris (Li. Agassiz). Voir : Matériaux LIT, p. 248. Syn. : Æyppocrene superciliaris L. Agassiz. Voir : Matériaux Il, p. 135 et ILE, p. 418. Bougainvillia superciliuris NerRiLL » » LÜTKEN Bougainrillia (Hyppocrene) superciliaris ROMANES Bougainvillia superciliaris ROMANE Bougainvillia paradozæa Bougainvillia superciliaris HÆcKkEL Hyppocrene superciliaris Bougaincvillia paradozæa HACKkEL 1873 (a) p. 398,334, 411,454, 1879 p. 1876 (a) p. 1876 (b) p. MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 1879 p. 1879 p. MERESCHKOWSKY 1879 p. 1775. 733. pl. 37, fig. 276. 188. 274 ss. 526. 223 92. 69, 92. pl. 20. Bougainvillia superciliaris WNiNruer 1880 (a) p. 271. Sous-genre Calatophora Kirchenpauer 1872. KIRCHENPAUER (1872. p. 25 … 39) avait divisé le genre Aglaophenia en 4 sous-genres : Calatophora, Pachyrhynchia, Lytocarpia et Macrorhynchia et il lui arrivait fréquemment, en parlant d'une espèce, de la mentionner indifféremment sous son nom de genre ou de sous-genre. Les noms de Lytocarpia et de Macrorhynchia ont été donnés plus tard à des genres. 260 M. BEDOT Gen. Calycella Hincks 1859. Voir : Matériaux III, p. 248. Calycella fastigiata (Alder). Voir : Matériaux ILE, p. 249. Calycella fastiqiata VERRILL 1873 (b) p. 9. » ) ALLMAN 1874 (b) p. 471. » Hixcks 1874 (a) p. 137. D SARS; G. O: 1874 p. 95, 117, 133. ) » SCHULZE 1875%p.. 122,490 ) » D'UrBAN 1880 p. 255, 258, 268. ) Hixcks 1880 (a) p. 258, 268. Calycella obliqua Calycella plicatilis Calycella producta Calycella pygmaæu Lafoea pygmaæa Calycella obliqua Hineks. HIxCkS 187% (b) p. 149, pl. 6, fig. 4,5. Calycella plicatilis (Sars). Voir : Matériaux III, p. 249. SARS, G. O. 1875p. 190 AT ASS SE 139. VERRILL 1874 (b) p. #13. WiNTHER 1880 (a) p. 275. Calycella producta &. O. Sars. SaRs G. 0. 1874 p. 95, 118, 134, 158, 140, pl. à, tig. 6-8. HiNCKS 1874 (a) p. 134. SMITH a.HARGER 187% p. 11. VERRILL 187% (b) p. 413. STORM 1879 p. 26. Calycella pygmæa Hincks. HINCKS 187% (b) p. 147. HixcCKs 1874 (b) p. 147 (note). LD ©> Ed HISTOIRE DES HYDROÏDES ? Calycella syringa var. pygmæa Hincks VERRILL 1875 p. 43. Lafoea pygmæa CIAMICIAN 1880 p. 67h. » ) WINTHER 1880 (a) p. 274. Calycella quadridentata Hineks. Calycella quadridentata HixXCkS 187% (b) p. 149, pl. 8, fig. 17- 20. Lafoea quadridentata HixCKs 1877 (b) p. 67. Calycella syringa (Linné). Voir : Matériaux 1, p. 432, [L, p. 54 et IIL, p. 249. Calycella syringa VERRILL 1873 (b) p. 10. » » Hixcks 1874 (a) p. 137. ) ) HINXCKS 1874 (b) p. 147-149, pl. 8, fig. 24. » » M° Ixrosn 1874 p. 210. » D) SARS te 0 1874 p.95, 118,134, 141. ) » Surrn a. HarGEer 1874 p. 7, 13, 21. ] » VERRILL 1874 (b) p. 44. » » CLARK 1875 p. 63, pl. 10, fig. 1-3. » SCHULZE 1875 p. 123-125, 130. » » VERRILL 1875 p. 43, pl. k, fig. 3-5. D CLARK 1876 (a) p. 210; 217, pl. 12; fig. 25. » » NonMAN 1876 p. 198. Campanularia syringa ALLMAN 1877 (b) p. 13. Calycella syringa HINCKS 1877 (b)-p. 67. » » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323, 329. » » NORMAN 1878 p. 190. » ) \WWINTHER 1880 (a) p.241, 254-257, 259, 264, 279. Gen. Campaniclava Allman 1864. Voir : Matériaux IE, p. 250. Rev. Suisse DE Zoo1. T. 20. 1912. 19 262 ; M. BEDOT Campaniclara cleodoræ ((egenbauer). Voir : Matériaux IE, p. 250. Syncoryne cleodoræ Bon 1878 p. 79. Gen. Campanularia Lamarck 1816. Voir : Matériaux [, p. 428, IL, p. 48 et LIT, p. 250. Campanularia amphora A. Agassiz. Voir : Matériaux I, p. 254. Campanularia angulata Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 254. Campanularia angulata VERRILL 1874 (b) p. 44. » » CLAUS 1877 p. 11. ) » FRAIPONT 1880 (a) p. 43. D » FRAIPONT 1880 (b) p. 136. » h FRAIPONT 1880 (c) p. 435 ss, pl. 32, fig. 1-9, 11-14, pl. 33. fig. 1-15, pl. 34, fig. 1-6, 9-16. » ) \VINTHER 1880 (a) p. 239, 257, 259. Campanularia antipathes (Lamarck). Voir : Matériaux JF, p. 429. LL p. 48 et LE, p. 251. Campanularia bilabiata Coughtrer. Campanularia bilabiata COUGHTREY 1875 p.291, pl. 20, fig. 46-49. » » COUGHTREY 1876 (a) p. 25. » D COUGHTREY 1876 (b) p. 299. Campanularia brasiliensis Meven. Voir : Matériaux Il, p. 48 et II, p. 251. HISTOIRE DES HYDROÏDES 263 Campanularia calccolifera Hincks. = Voir : Matériaux IE, p. 251. Campanularra culceolifera CLARK 1875 p. 60, pl. 9, lig. 7-8. ) » VERRILL 1875 p. 42. pl. 4, fig. 6. Campanularia caliculata Hincks. Voir : Matériaux HE, p. 252. Laomedea caliculata ALLMAN 1872 (c) p. 39 (Rem.). Campanularia calhiculata Forges 1872494" Orthopyris caliculata VERRILL 1873 (a) p.33%,408,411, 4224, 900, 726. Campanularia caliculata Sans, G. 0. 1874 p. 134, 140-142. Campanularia integra COUGHTREY 1875 p. 291, pl. 20, fig. 45. Campanulariu ralyeulata CLark 1876 (a) p. 214. Campanularia caliculata CouGATREY 1876 (a) p. 25. pl. 3, fig. 1-2. » » COUGHTREY 1876 (b) p. 299. Clytia poteriun MerEscHKkOWSkY 1878 (a) p. 241. 2242, fig. 2. Campanularia caliculata RicaiaRni 1880 p. 155. D » WINTHER 1880 (a) p. 273. Campanularia cireula Clark. Campanularie circula CLARK 1876-(a):p.-210;:2213; pl. 7, lie. à. Campanularia clytioides (Lamouroux). Voir : Matériaux IE, p. 252. Campanularia compressa Clark. Campanularia compressa CLaRk 1876 (a) p. 210, 214, pl. 8, Ho 6 Campanularia coronata Clarke. Lampanularia coronata CLARKE 1879 p. 239, 242, pl. 4, fig. 2 264 M. BEDOT Campanularia crenata Allman. Campanularia crenata ALLMAN 1876 (b) p.258, pl. 11, fig. 1-2, Campanularia cylindrica. ALLMAN (186% (c), p. 372) a donné ce nom à l'espèce que L. Acassiz nommait Platypyris cylindrica qui n’est autre que la Clytia noliformis (Mc Cradv). Plus tard, ALLMAN (1876 (c) et 1879) décrivit sous le nom de Campanu- laria cylindrica une autre espèce provenant de l'Ile Kerguelen. Il l'indique comme espèce nouvelle, mais il est fort probable qu'il s’agit également de la Clylia noliformis. Néamoins. comme on n’a pas encore observé son mode de reproduction, nous la laisserons figurer, provisoirement, sous le nom de Campanularia cylindrica d’'Arcmax pour la distinguer d’une autre espèce de Santa Cruz, décrite sous le même nom par CLARK (1876 b). Campanularia cylindrica d'ALLMAN. Campanularia eylindriea AvLMaAx 1876 (c) p. 114. ) » ALLMAN 1879 p. 284, pl. 18, fig. &, >. » ) STUDER 1879 p. 120, 133. Campanularia cylindrica de CLARK. Campanularia cylindrica Crank 1876 (b) p. 251, 254, pl. 39, fig. 1-1 d. Campanularia decipiens (Wright). Voir : Matériaux HE, p. 253. Campanularia denticulata Clark. Campanularia denticulata CLARK l87/61{a) p0210:2249 pln7e 1 I ; » | Campanularia everta Clark. Campanularia everta CLARK 1876 (b) p. 251, 253, pl. 39, HISTOIRE DES HYDROÏDES Campanularia exiqua Voir : Matériaux IE, p. Campanularia flexuosa 265 (Sars). 29. (Alder). Voir : Matériaux 1, p. 430, [, p. 50 et ILE, p. 255. Campanularia fleruosa » h ») ) ) ) ÿ » » } ) » » » Laomedea fleruosu Campanularia fleruosa ? Monopyxis geniculata Ehrbg. Campanularia flexuosa 1] )) » » » 1] ») ») ») » » )) Obelia flexuosa FORBES HELLER MôBius Môgrus VERRILL M Ixtoscn SARS, GO: VERRILL ALLMAN SCHULZE KIRCHENPAUER PANCERI LENZ PANCERI FRaïPoNT ERAfPONT FeatPonr \VINTHER WiNTHER 1872 0DA M0 LE 1872 (a) p. 121. 1873 (a) p.98, 102. 1873 (b) p. 149. 1873 (a) p.327, 334, 393,411, 189, 500, 726. 1874 p. 208. 1874 p. 134, 137. 1874 (b) p. 44, 133. 1875 (ce) p. 69. 1875 p. 123-196, 129. 1876 p. 17. 1876 p. 194. 1878 p. 8. 1878 p.4ss, pl. 1, fig. 1-6. 1880 (a) p. 43. 1880 (b) p. 136. 1880 (c) p. 440 ss, pl. 32, fig. 10. pl. 34. fig. 238. 242, 259-298, 263. DU 1-8. 1380 (a) p. 1880 (a) p. Campanularia fragilis Hincks. y Voir : Matériaux IE, p. 254. Campanularia fusifornis Clark. Campanularia fusiformis CLARK 1876 (b) p. 201, 254, pl. 39, fig. 2-2 ©. 266 M. BEDOT Campanularia gegenbauri Sars. Voir : Matériaux IE, p. 254. Campanularia gigantea Hincks. Voir : Matériaux IF, p. 255. Campanularia gracilis Alman. Campanularia gracilis ALLMAN 1876 (b) p: 260,2275,-pl. 12 , fig. 2 et 4: Campanularia grandis Alman. Campanularia qrandis ALLMAN 1874 (e) p. 179. » » ALLMAN 1876 (b) p.259, 260; 273, pl: 12, fig. 2-3. Campanularia hincksi Alder. Voir : Matériaux HE, p. 259. Campanularia hinchsi VERRILL 1873%(b)"p:29;-10° Campanularia (Orthopyris) laincksi VERRILL 1873 (b) p. 104%. Campanularia hincksi HiXCKS 1874 (a) p. 137. » Dar M° Ixrosu 1874 p. 208. » ) Sars, G. O. 1874 p. 95, 122, 134: » ) SMITH 4. HARGER 1874 p. 7, 9, 13, 21. » » NORMAN 1876 p. 198. » ) STORM 1879%p.20: » » \WWINTHER 1880 (a) p. 263, 264. Campanularia integra Macgillivray. Voir : Matériaux IT, p. 53 et IIL, p. 255. Campanularit integra FORBES 1872/p.19% ) » CLARK 1876 (a)xp. 210,245 7 pl#9 fig. 9, 19: ) 2 MernescHkoWskY 1878 (a) p. 323, 324. ) ) NORMAN 1878 p. 190. ] RICHIARDI 1880 p. 159. HISTOIRE DES HYDROÏDES 267 Campanularia juncea Allman. ALLMAN 1876 (b) p. 269, pl. 11, tig.3-4. Campanularia juncea THOMPSON 1879 p. 100. )} )) Campanularia macrocyttara (Lamouroux). Voir : Matériaux IL, p. 53 et II, p. 256. Campanularia macroscypha Allman. Campanularia macroscypha ALUMAN Campanularia maior Meyen. Voir : Matériaux Il, p. 53 et IIE, p. 256. Campanularia neglecta (Alder). Voir : Matériaux II, p. 256. Campanularia neglecta HiNcks » SCHULZE MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. ) WINTHER 1880 (a) p. 239, 258, 260. 1875 p. 126, 130. Campanularia pygmæa Clark. Campanularia pyqgmæa CLARK 1870 2p. 59%pl0;/e9: Campanularia raridentata Alder. Voir : Matériaux II, p. 257. 1874 p. 208. Campanularia raridentata M° Ixrosa 1879 p. 128. » HECKEL »)) Campanularia reptans (Lamouroux). Voir : Matériaux I, p. 432, IT, p. 54 et IIl, p. 257. Campanularia speciosa Clark. Campanularia speciosa CLARK fie. 41. 1877 (b) p. 11, pl. 8, fig. 1, 2. 1872 (ce) p. 390. pl. 20, fig. 4 1876 (a) p. 210, 214, pl. VE 268 Campanularia turçgida Campanular ia urceola Campanularia verticitlata M. BEDOT Campanularia tincta Hincks. Voir : Matériaux IL, p. 257. Campanularia turgida Clark. CLARK 1876 (a) p. 210. 2143, pl. 6, lig. 8. Campanularia urceola Clark. CLARK 1876-(a) p. 210% 215,2pl28 FETES Campanularia vermicularis Yan Beneden. Voir : Matériaux I, p. 258. Campanularia verticillata (Linné). Voir : Matériaux I, p. 433, IL, p. 5 et IL p. 258. FORBES WAITEAVES MeTzGEr Môgits VERRILL Hixcks M Ixrosu SaRS, G: 0: SMITH à. HARGER VERRILL LÜTKEN SCHULZE VERRILL CLARK NORMAN MERESCHKOWSKY \VINTHER 1872%p. 1194: 1872 p. 349. 1873 p.176: 1873 (b) p. 149. 1873 (b) p. 9, 10. 1874 (a) p. 125. 187% p. 208. 1874 p. 95, 122, 134. 138, 159 AE: 1874 p:4,7, 9M0:11: 1921 1874 (b) p. 4%, 413, 504. 1875 p. 189. 1875 p. 124-126, 129. 1875 p. 42. 1876 (a) p. 213. 1876 p. 198. 1878 (a) p. 323, 333. 1880 (a) p.238. 255-257, 260. 273 HISTOIRE DES HYDROÏDES 269 Campanularia volubiliformis Sars. Voir : Matériaux HE, p. 259. Campanularia volubilis (Linné). Voir : Matériaux [, p. 433, IE, p. 56 et IIT, 259. Campanularia rolubilis FORBES 1872%p. 101: » » VERRILL 1873 (a) p.334, 408.411, 42%, 500, 726. » » VERRILL 1873 (b) p. 10. » » HiINcCKs 1874 (b) p. 147. » » M INrosx 1874 p. 208. » » Sas, G. 0. 1874 p.13k,140,141, 142. » » SMITH à. HARGER 1874 p. 7, 9. » » VERRILL 1874 (b) p. 44. » » Hixcks 1877 (b) p. 67. » » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. » » WINTHER 1880 (a) p. 263. (en. Campanulina van Beneden 1847. Voir : Matériaux Il, p. 57 et IL, p. 260. Campanulina languida Hæckel. Méduse : Phialidium languidum. Campanulina lunquida HÆCKEL 1879 p. 188. Campanulina panicula G. O. KSars. Campanulina panicula Sars, G: 0. 1874 p. 95,121, 134, 140, pl. >, fig. 9-13. Campanulina repens Alman. Voir : Matériaux HT, p. 260. Campanuline repens M Ixrosn 1874 p. 210. » ) MERESCHKOWSKY I87S (a) p. 330. 270 M. BEDOT Camparulina tenuis van Beneden. Voir : Matériaux Il, p. 57 et HIT, p. 260. Campanulina acuminata SCHULZE 1875 p. 125, 130. » » MERESCHKOWSKY 1877 p. 224. » » Bou 1878 p. 74,97, 104, 109,142; 171, pl. 2, fig. 10-1%. Campanularia acuminala HÆCKEL 1879 p. 187. Campanulina tenuis HÆCKEL 1879 p. 165, 187. Campanulina acuminata HÆCKEL 1879 p. 187,211, 231. vampanulina turrita Hincks. Voir : Matériaux IIT, p. 261. Campanulina borrita M° INroscn 1874 p.210. Gen. Ceratella Gray 186$. Voir : Matériaux IE, p. 261. Ceratella fusca Gray. Voir : Matériaux II, p. 262. Ceratella fusca KOLLIKER IS728D 19) ) » CARTER 1873 p. 10. » ) STEINMANN 1878 p. 106. ) » CARTER 1880 (b) p. 30%. Ceratella procumbens Carter. Ceratella procumbens CARTER 1879 prive ) ) HiGGIX 1878 p. XOV. ) » CARTER 1880 (b) p. 30%. Ceratella spinosa Carter. Ceratella spinosa CARTER IS732p: 112; HISTOIRE DES HYDROÏDES Tel Gen. Chitina Carter 1873. Chitina ericopsis Carter. Chilina ericopsis CARTER 1873 p. 13. » » CARTER 1877 p. 46, 56, 60, 73. » » CARTER 1878 p. 308. Chilina ecopsis HiGGIN 1878 p. xCv. Chitina ericopsis STEINMANN 1878 p. 106. Gen. Gionistes Wright 1861. Voir : Matériaux IE, p. 262. Cionistes reticulata Wright. Voir : Matériaux II, p. 262. Gen. Cladocarpus Allman 1874. Cladocarpus cornutus Verrill. Cladocarpus cornutus VERRILL 1879 (a) p. 310. Cladocarpus dolichotheca Allman. Cladocarpus dolichotheca ALLMAX 1877 (b) p. 50, 52, 53, pl. 30, fig. 1-5. Cladocarpus dolicotheca CLARKE 1879 p. 220, 247. Cladocarpus formosus Allman. ? Gonocladium plumosum ALLMAX 1871 p. 170. Cladocarpus formosus ALLMAN 1874 (b) p. 471, 478, pl. 68, lis. 1-1 D » » KIRCHENPAUER 1876 p. 26, 37. ? Gonocladium plumosum KiRCHENPAUER 1876 p. 37. Cladocarpus formosa ALLMAN 1877 (b) p. 50. 272 M. BEDOT Cladocarpus paradisea Allman. Cladocarpus paradisea ALLMAN 1877(b) p.:50,53, ph 32%et pl. 33, fig. 4-6. Cladocarpus pourtalesi Verrill. Cladocarpus pourtalesi VERRILL 1879 (a) p. 309. Cladocarpus speciosus Verrill. Cladocarpus speciosus VERRILL 1879 (a) p. 314. Cladocarpus tenuis Clarke. Cladocarpus lenuis CLARKE 1879 p. 240, 247, pl. 5, fig. 34 31D: Cladocarpus gracilis CLARKE 1879 p. 252 (Explic. des pl.), pl. 5, fig. 31,31 b. Cladocarpus ventricosus Allman. Cladocarpus ventricosus ALLMAN 1877:(b)1p. 90-52; 2pl 9 -7. fig. 1 (Gen. Cladocoryne Rotch 1871. Voir : Matériaux II, p. 262. Cladocoryne floccosa Rotch. Voir : Matériaux ILE, p. 262. Cladocoryne floccosa ALLMAN 1876 (b) p. 256. » ») Du PLEssis 1880 (b) p. 119 ss., pl. 10. Cladocoryne pelagica Allman. Cladocoryne pelagica ALLMAN 1874 (e) p. 179. ) ») ALLMAN 1876 (b) p.255.pl.10.fig 6-7. » » DU PLESSIS 1880 (b) p. 144. HISTOIRE DES HYDROÏDES 213 (ren. Cladonema Dujardin 1843. Voir : Matériaux IF, p. 58 et I, p. 263. Cladonema radiatum Dujardin. Voir : Matériaux IL, p. 58 et 132, LI, p. 263. Cladonema radiatum HINCKS 1872 (c) p. 391, pl. 21, fig: 6. ) ) SPAGNOLINI 1876 p. 312. ) » MERESCHKOWSKY 1877 p. 224, 227. » » HARTMANN 1878%p. 27: ) » MerEscHKoWSsKY 1878 (a) p. 241, 245, 9247, fig. 6. ) » HÆCKEL 1879:5p:°98:-99109: Stauridium cladonema HECKEL 1879 p. 109. Cladonema allmani HÆCKEL 1879 p. 109. Cladonema dujurdini HÆCKEL 1879 p. 109. Cladonema gegenbauri HÆCKEL 1879 p. 109. Cladonema krohni HÆCKEL 1879 p. 109. Cladonema radiatum SCHMIDTLEIN 1879 {b) p: 125. » » Du PLESssIS 1880 (a) p. 111. (Gen. Clava (Gmelin 1788. Voir : Matériaux I, p. 435, El, p. 58 et III, p. 263. Clava diffusa Allman. Voir : Matériaux II, p. 263. Clava leptostyla L. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. 26%. Clava leptostyla VERRILL 1873 (a) p.328, 334, 489, 73%. ) » VERRILL 1874 (b) p. 133, 136. » » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 248. 274 Voir Clara mullhicornts 1] Voir Coryne squamala )) ») Clava squamuta Corynu squamulte Clara squamata Coryne Squamata Clara squamata M. BEDOT Clava multicornis (Forskal). ALLMAN METZGER M° Ixrosx SCHULZE \WINTHER : Matériaux I, p. 435, IL, p. 58 et IL, p. 264. 1872 (a) p. 105. 1873 p. 170, 176. 1874 p. 204, 205. 1875 p. 122, 126. 1880 (a) p. 225, 255. Clava nodosa Wright. Voir : Matériaux III, p. 265. Clava squamata (Müller). : Matériaux [, p. 435. Il, p. 59 et IE, p. 265. OrsrED SCHULZE ALLMAN MôBius BENEDEN (van) M° Ixroscu SARS, G. O. GERBE SCHULZE BERGH LENZ BERGH STORM WINTHER 1844 p. 71. 1870 p. 205. 1872 (a) p. 105. 1873 (a) p. 100. 1874 p. 94258. 1874 p. 204. 1874 p.136, 137: 1875 p. 44lss., pl. 11-13. 1875 p. 122, 126. 1878:p.4189,5195;ss57Dl00) lig. 10-16. 1878 p. 8. 1879 p. 37. 1879 p. 27. 1880 (a) p. 226. 254-261. (ren. Clavatella Hincks 1S61. Voir : Matériaux III, p. 266. On admet généralement aujourd'hui que la Clavatella proli- fera de HINCKS est la forme polype de lÆleutheria dichotoma de QUATREFAGES, HISTOIRE DES HYDROÏDES 275 Le genre Claratella doit donc disparaître, étant le synonyme d'Æleutheria. Clavatella prolifera Hincks. Voir : Matériaux LEE, p. 266. Voir : leutheria dichotomu. Gen. Clytia Lamouroux 1812. Voir : Matériaux I, p. 436, IT, p. 60 et LE, p. 267. Clytia eucopophora Hiæckel. Méduse : £ucopium primordiale. Clytia eucopophora HÆCKEL 1879 p. 168. Clytia intermedia Li. Agassiz. Voir : Matériaux [IE p. 268. Clytia intermediu VERRILL 1873 (a) p. 408,411, 500, 726. Clytia johnstoni (Alder). Voir : Matériaux [, p. 436 : Clytia volubilis. . p. 60 et HE. p. 268. Syn. : Æucope afjinis Gegenbaur.. Voir : Matériaux LE, p. 41%. Syn. : Lucope campanulata Gegenbaur. Voir : Matériaux HE, p. 414. Clytia johnstoni FORBES 1972 p 194% ) » HINCKS 1872 (a) p. 121. Campanularia (Clytin) johnstont HiNGks 1872 (a) p. 121. Clytia johnstont MôBius 1873 (a) p. 102. » D SARS, G. 0. LTD ESC EL: » ) VERRILL 1873 p. 3934, 408, 411, 424, 900, 506, 513. 723. Clyüa uniflora VERRILL 1873 (a) p. 726. 276 Clytia volubilis Clytia johnstonr )) )) )) )} » ) ) )) ) )) )) )) Campanularia johnstoni Clytia johnstonr )) )) Eucope «ffin is Eucope campanulatu Clylia johnstont ) ) Eucope uffinis Clylia bicophora Epenthesis bicophora Clytia johnstont Eucope campanulata 1 Î ») ») Eucope uffinis Clytia johnstonr ») ») M. BEDOT Du PLEssis M° IxroscH SARS, G. 0. SMITH 4. HARGER VERRILL CLARK SCHULZE VERRILL ALLMAN CLARK NORMAN Büanu BüHM Bünu NoORMAN HÆCKEL HECKEL HAÆCkEL HÆCkKEL H ÆCKEL Du PLESSIS METSCHNIKOFF RICHIARDI - WINTHER 1874 p. 429 ss. 1874 p. 206, 209. 1874 p. 95,193, 194, 141. 187% p: 13, 2% 187% (b) p. #4. 1875 pl. 10, fig. 4. 1875 p. 123-196. 198. 1875 pl. 4, fig. 1. 1876 (b) p. 260. 1876 (a) p. 210, 212, pl. 9, lig. 12. 1876 p. 198. 1878 p. 140, 141. 1878 p. 140, 141. 1878 p. 74, 90, 992, 93, 95, 102, 105, 108, 140, 144:-167, pl. 2 fe. 1-9. 1878 p. 190. [#79 p.127,162,170,171. 1879 p. 182, 184. 1879 p. 182, 184. 1879 p. 168, 187. 1879 #p:162; 170; ME lig. #. IS80 (a) p. 116. 1880 p. 261. 1880 p. 155. 1880 (a) p. 234, 254-259, 272. VERRILL (1873 (a) p. 726) a l'ait remarquer que cette espèce devrait réel- lement porter le nom spécifique d’uniflora, PazLas l'ayant décrite pour la première fois sous le nom de Sertularia uniflora. Clytia noliformis (Mac Crady). Plulypyris cylindrica VERRILL Voir : Matériaux [II, p. 270. 1873 (a) p. 334,408 ,411,42k, 300, 306, 726. HISTOIRE DES HYDROÏDFS STI Campanularia noliformis Crank 1875 p. 60, pl. 10, tig. 5. Clytia noliformis VERRILL 18795 p.42; pl..4 fie. 2. Gen. Goppinia Hassal 1848. Voir : Matériaux Il, p. 61 et HI, p. 270. Ainsi que nous l'avons déjà dit, ce genre doit disparaitre. Les citations et synonymes que nous avons fait figurer sous le nom de C. arcta doivent être rapportés, pour la plupart, à Lafæa dumosa où on les fera figurer avec un ? Coppinia arcta (Dalyell. Voir : Matériaux Il, p. 61 et TEE, p. 270. Voir : Lafæwa dumos«. Gen. Cordylophora Allman. Voir : Matériaux Il, p. 62 et III, p. 2714. Cordylophora lacustris ATman. Voir : Matériaux IL, p. 62 et EIT, p. 271. Cordylophora lacustris SCHULZE 1870 p. 206. » ) ALLMAN 1872 (c) p. 35 ss. » ) MôBrus 1873 (a) p. 100, 139. ) » Môgius 1873 (d) p. 35. » » PERRIER 1873 p. XVI. » » SCHULZE 1873 (b) p. 12: » ) KOROTNEFF 1870. p.372. » ) LANKESTER 1876 p. 26, note. ) » PRICE 1876 p. 23 ss., tig. 1-4. ) » BERGH 1878 p. 186. » » CLARKE 1878 p. 232. ) » LENZ 1878 p. 8. » ) MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 248, tig. 7. ) » SEMPER 1880 1, p. 183, fig. 40, p. 187, 281. » WINTHER 1880 (a) p. 226, 258. REV. Suisse DE Zoor. T. 20. 1912. 20 218 M. BELOT Gen. Corymorpha Sars 1855. Voir : Matériaux I, p. 63 et IE, p. 273. Corymorpha nutans Sars. Voir : Matériaux II, p. 63 et IN, p. 273. Syn. : Steenstrupia galantus Hæckel. Voir : Matériaux Il, p. 148 et III, p. #35. Corymorpha nutans ALLMAN 1872 (a) p. 104. ) » METZGER 187190p:-A70: » » M Ixrosn 1874 p. 204. » » SaRS, G. 0. 1874 p. 134, 137. » » SCHULZE 1875 p. 121, 136. » » Sas. M. 1877 p.41; 2,4,5. 10-12, 1% 16, pl. 2, fig. 25-28. Steenstrupia rubru Sas, M. 4874 p. 20,22. Steenstrupia flareola SARS, M. 1877 p. 20,22. Corymorpha nutans MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 253, 256. Steenstrupia galanthus HÆCKEL 1879 p3930/151-90: Corymorpha galanthus Hæ&CKkEL 1879 p. 31. Hybocodon nutans HÆCKEL 1879 p. 34. - Corymorpha nulans HÆCKEL 1819%p:91/#9- BARS ES » ; Du PLESSIS 1880 (a) p. 115. » » WIiNTHER 1886 (a) p.234,255.257,259. Gen. Corydendrium van Beneden 1844. Voir : Matériaux I. p. 437, IE, p. 62 et III, p. 272. Corydendriun parasiticum (Linné). Voir : Matériaux E, p. 437, IT, p. 62 et II: p. 272. Pennaria parasitica KiIRCHENPAUER 1872 p. 40. Corydendiinm parasilicum DE PLEssIS 1880 (a) p. 114. Gen. Coryne Giertner 1774. Voir. : Matériaux 1, p. 437, I, p. 65 et I, p. 274. HISTOIRE DES HYDROÏDES DATE. Coryne cæspés Allan. Voir : Matériaux Hi, p. 274. Coryne cerberus Gosse. Voir : Matériaux LIL, p. 274. Coryne conferta Allman. Coryne conferta ALLMAN 1876 (c) p. 115. ) ) ALLMAN 1879 p.285, pl. 18, fig.1-3. ) » STUDER 18790-14121 4132: Coryne fruticosa Hincks. Voir : Matériaux I. p. 275. {orne frulicosa Kocu 1873 p.467, pl. 23, tig.6-7. » » Kocu 1876 p. 84. pl. 4, fig. 6-7. Coryne fucicola (Fihppi). Voir : Matériaux I, p. 275. Syn. : Coryne vermicularis Hincks. Voir : Matériaux ILE, p. 278. Coryne muscoides (Linné). Voir : Matériaux [, p. 438, Il, p. 63 et LIL. p. 279. Corne Sp.? LUTKEN 1875 p. 188, n° 11. Coryne nutans Allman. Voir : Matériaux LE, p. 276. Coryne pusilla Gærtner. Voir : Matériaux !. p. 438, IE p. 64 et IE, p. 276. Coryne pusilla FORBES 1872 p.190: D » HiNCKS 18 72 (A) D AE NAT ) ) Kocu 18750 D 407. » » SARS, G. O. 187% p:195,137, 144,442. 280 M. BEDOT Coryne sp. ? LÜTKEN 1875 p. 188, n° 12. Coryne pusilla SCHULZE 1875 p. 122, 126. » » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 241, 244, 245. ) » STUDER 1878 p-.40,-pl: 2; ga 19: » ) RUICHIARDI 1880 p. 154. » » \VINTHER 1880 (a) p. 229, 255, 260, Coryne rosaria Li. Agassiz. Voir : Matériaux IIF, p. 278. Voir : Syncoryne rosaria. Coryne vermicularis Hincks. Cette espèce, ainsi que Du PLessis (1888) l'a montré, est synonyme de Coryne fucicola (Filippi) dont le nom a droit de priorité. Voir : Coryne fucicola. Gen. Corynitis Mac Crady 1859. Voir : Matériaux II, p. 278. Corynitis agassizi Mac Crady. Voir : Matériaux HI, p. 278. Corynilis aqassizi VERRILL 1875 p. 43. Halochuris spiralis H_ECKEL 1879 p. 45, 48, 49. Corynetes agassizi HÆCKEL 1879 p. 45, 49. Gen. Corynopsis Allman 1864. Voir : Matériaux III, p. 279. Corynopsis alderi (Hodge). Voir : Matériaux III, p. 279. Gen. Gryptolaria Busk 1857. Voir : Matériaux ILE, p. 280. HISTOIRE DES HYDROÏDES 281 Cryptolaria abies Allman. Cryptolaria abies ALLMAN LORD) 0 El st: fig. 1-2. Cryptolaria conferta Allman. Cryptoluria conferta ALLMAN 187140)0p. 474195201442; fig. 6-10. » » CLARKE 1879 -p. 239, 244, pl. 3,-fig. 14-20. Cryptolaria elegans Allman. Cryptolaria elegans ALLMAN 1877 (b) p.20, pl. 14, fig. 1, 2. Cryptolaria exserta Johnston. Voir : Matériaux I, p. 280. Acryptolaria exserta NORMAN 1875 p.172; pl 42; fig1-2: Scapus tubulifer NORMAN 18750p 24173, pl 12 he et 3. Cryptolaria longitheca Allman. Cryptolaria longitheca ALLMAN 1877 (bep 4619%20pl43 fig. 4, D. » » CLARKE 1879 p. 240, 244, pl. 2, fig. 7-13. Cryptolaria prima Busk. Voir : Matériaux III, p. 280. Gen. Guspidella Hincks 1866. Voir : Matériaux IL, p. 280. Cuspidella costata Hincks. Voir : Matériaux I, p. 250. Cuspidella costata HINXCKS 1874 (a) p. 134. » » VERRILL 1875 p. 43. 282 M. BEDOT Cuspidella grandis Hincks 1866. Voir : Matériaux IE, p. 280. Cuspidella grandis ALLMAN 1874 (b) p. 471. D » HiNcks 1874 (a) p. 134. » SCHULZE 1875 -p. 123, 131: ) » \WINTHER 1880 (a) p. 275. Cuspidella humilis Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 280. Cuspidella humilis VERRILL 1873(b)Mp:"10- ) Û HINCKS 1874 (a) p. 134, 137. » » HINCKS 1874 (b) p. 150. » » M° INrosH 1874 p. 204, 210. ) » SaRs, G. 0. FSTAop 95 MAN EE ) ] SMITH à. HarGEr 1874 p. 7. ) ) HINCKS 1877:(a) p-452: Cuspidella pedunculata Alman. Cuspidella peduneulata ALLMAN 18,27 (h) p.413, pl8ie-267 Gen. Dehitella Gray 1868. Voir : Matériaux I, p. 280. Dehitella atrorubens Gray. Voir : Matériaux HIT, p. 281. Dehitella alrorubens CARTER 1879 2Deu0 » ) CARTER 1878 p. 298, 300. Gen. Desmoscyphus Allman 1576. Desmoscyphus buski Allman. Desmoscyphus buski ALLMAN 1876 (b) p. 265, pl. 14, fig.3-7. » » ALLMAN 1877 (h) p. 26. HISTOIRE DES HYDROÏDES 283 Desmoscyphus humilis Armstrong. Desmoscyphus humilis ARMSTRONG 1879 p. 404;pL. 9. Desmoscyphus longitheca Alman. Desmoscyphus longitheca ALEMAX 1877 (b) p. 26, pl. 14, lig. 3-6. (ren. Dicoryne Allman 1859. Voir : Matériaux IE, p. 281. Dicoryne conferta Alder. Voir : Matériaux IE, p. 281. Dicoryne conferta ALLMAN 1872 (a) p. 103, 105, fig. 2. » » HixckS 1874 (a) p. 137. » ) SARS: GO: LS 7k0p 206-127-1428, 04195, 138, 139. ) » SCHULZE 1875 p. 123, 126. ) » WINTHER 1880 (a) p.231, 253, 256, 260. Dicoryne flexuosa G&. O. Sars. Dicoryne fleruosa SARS 6 10 18740p::96; 128; 499," 140; pl. 5, üg. 21-26. » » VERRILL 1878 p. 379. . Gen. Diphasia L. Agassiz 1862. Voir : Matériaux 1, p. 439, Il; p. 66 et IIT, p. 281. Diphasia alata Hincks. Voir : Matériaux IL, p. 282. Diphasia alata HIXCKS 1874 (a) p. 137. » ) SaRs, G. O. 1874 p. 94, 106, 133. ) ) NoRMAXN STD 7. 284 M. BEDOT Diphasia attenuata Hincks. Voir : Matériaux [, p. 439, IE, p. 66 et III, p. 282. Diphasia attenuata ForBes 1872 p. 191. » » Hixcks 1872 (a). p. 149, 121. ) » HiNGks 1874 (a) p. 129. » » SCHULZE 18700p. 423,429 /0132; » » NORMAN 1876 p. 198. Diphasia corniculata (Murray). Voir : Matériaux LIL. p. 282. Serlularia corniculata CLARK 1876 (b) p. 251. Diphasia coronifera Allman. Voir : Matériaux III, p. 282. Diphasia coronifera ALCMAN 1874 (b) p. 471, 474, pl. 66, Diphasia elegans G. O. KSars. Diphasia elequns EMÉSARS A0) 1674%p 04 107 41830488; 4139, pl. 3, fig. 23-26. » » HixcRks 187% (a) p. 129. Diphasia fallax (Johnston). Voir : Matériaux IL, p. 143 et IL, p. 282. Diphasia fallux FORBES 1872 p. 191. » » VERRILL 1873 (b) p. 10. » » SARS, G. 0. 1874 p. 133, 141. ) » SMITH a. HARGER 1874 p. 7, 9. )) ») VERRILL 1874 (b) p. 44, 504. ) » VERRILL 1875 p.43. ) » NORMAN 18708 D: 1198; » » STORM 1879®%p;:29. HISTOIRE DES HYDROÏDES Diphasia pinaster (Ellis et Solander). Voir : Matériaux I, p. 442, IT, p. 69 et III, p. 283. Diphasia pinaster FORBES 19720 101 » ) ALLMAN 1874 (b) p. 470, 471. » » NORMAN 1875 p. 173. Diphasia pinnata (Pallas). Voir : Matériaux I, p. 472, IT, p. 115 et IL, p. 284. Diphasia pinnata M° Ixrosx 1874 p. 204. Diphasia rosacea (Linné). Voir : Matériaux I, p. 444, IL, p. 71 et IL. p. 285. Diphasia rosacex FORBES 1872 p. 194. » » M I\rosn 1874 p. 209, 212. ) » : SCHULZE 1875 p. 123, 192. » » VERRILL 1875 p. 43. ) » NORMAN 1876 p. 198. ) » WINTHER 1880 (a) p. 265. Diphasia tamarisca (Linné). Voir : Matériaux I, p. 476, I, p. 116 et LIT, p. 286. Diphasia tamarisea FORBES 1872 p. 191. » » HINxCKS 1872 (a) p. 121. » » HiNcKsS 1874 (a) p. 137. » » M° IxrosH 1874 p. 212. » » Sas, G. 0. 1874 p. 94, 107, 133. 1hl, 149. » D SCHULZE 1875 p. 123, 132. » ) NORMAN 1876 p. 198. » ) STORM 1879 p. 26. Gen. Diplopteron Allman 1874. ALLMAN avait établi ce genre en 1874 (b) pour 285 140, une espèce récoltée au NW de l'Espagne par le PORCUPINE. Mais, 286 M. BEDOT peu de temps auparavant, G. O. SARS (1874) avait trouvé la méme espèce sur les côtes de Norvège et l’avait décrite sous le non de Polyplumaria flabellata. En 1885, ALLMAN, dans sa Monographie des Hydroïdes du CHALLENGER à reconnu que le genre Diplopteron tombait en synonymie de Polyplumaria. NUTTING (1900) à voulu conserver les deux genres Diplop- teron et Polyplumaria, mais la distinction qu'il établit entre eux est basée sur des caractères très variables, tels que la pré- sence où l’absence d’'hydroclades secondaires et le nombre des nématophores latéraux. Nous croyons qu'il est préférable de suivre l'exemple d'ALL- MAN, et d’autres auteurs, en abandonnant définitivement le genre Diplopteron comme synonyme de Polyplumaria. Gen. Diplura Greene-Allman 1864. Voir : Matériaux IT, p. 66 et III, p. 287. Diplura fritillaria (Steenstrup). Voir : Matériaux If, p. 66 et IE, p. 288. Coryne fritillaria Sans, M. 1877 p. 20, 22. Sleenstrupia fritillaria Sars M. l877-p: 22: Coryne fritillaria >0HM 1878 p. 137. Corymorpha fritillaria HÆCKEL 1879 p. 36. Amphicodon fritillaria ILECKEL 1879 pe 30: Diplura fritillaria WINTHER 1880 (a) p. 262. Gen. Dynamena Lamouroux 1812. Voir : Matériaux 1, p. 439, IE, p. 66 et II, p. 288. Dynamena lucernaria Kirchenpauer. Voir : Matériaux IF, p. 289. Dynamena pluridentata Kirchenpauer. Voir : Matériaux IE, p. 290. HISTOIRE DES HYDROÏDES 287 Dynamena serra sec. Heller. Voir : Matériaux IT, p. 290. (ren. Ectopleura I. Agassiz 1862. Voir : Matériaux II. p. 292. Ectopleura dumortieri (van Beneden). Voir : Matériaux II, p. 126 et III, p. 292. Ectopleura dumortiert Bon 1878 p. 198, pl. 7, tig. 10-13. » » HECKEL 1879 p. 22. Gen. Eleutheria de Quatrefages 1842. Ce genre avait été établi en 1842 par de QUATREFAGES pour une Méduse dont HINCKS à décrit plus tard (1861 à) le polype sous le nom de Clavatella. Eleutherin dichotoma Quatrefages. Voir : Matériaux Il, p. 133 et IF, p. 413. Syn. : Clavatella prohifera Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 266. Herpusa ulræ SCHMIDT 1869: p. 992, 993, fig. Clavatella prolifera SPAGNOLINI 1876 p. 313. » » MERESCHKOWSKY 1877 p. 22%, 227. » ) Bou 1878 p. 156. Eleutheria dichotoma Ba 18784p:437;/ 156: Clavatella prolifera MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 247. D » HECKEL 1879 p. 107. Eleutheria dichotoma HECkEL 1879 p. 98, 99, 101, 106. Elentheria anisonema HECKkEL 1879 p. 106. Eleutheria diplonema HECKkEL 1879 p. 106. Eleutheria heteronema HECKREL 1879 p. 106. Eleutheria heranema H&CkEL 1879 p. 106. 288 M. BEDOT Eleutheria pentanema HÆCkEL 1879 p. 106. Eleutheria tetranemua HÆCKEL 1879 p. 106. Eleutheria cnidobdella HÆECKEL 1879 p. 107. Eleutheria dichobdella HÆCKEL 1879 p. 107. Eleutheria dichocnida HÆCKEL 1979%p- 4107: Eleutheria heplanema HÆCKEL 1879 p. 107. Eleutheria heteroclada HÆCKEL 18792: 107. Eleutheria octonema HÆCKEL 1879 p. 107. Clavatella prolifera Du PLESssIs 1880 (a) p. 113. Eleutheria dichotoma Du PLESSIS 1880 (b) p. 143. Gen. Eudendrium Ehrenberg 1834. Voir : Matériaux I, p. 445, II, p. 74 et III, p. 293. Eudendrium annulatum Norman. Voir : Matériaux III, p. 293. Eudendrium arbuscula Wright. Voir : Matériaux IT, p. 293. Eudendreum arbuscula MérEscHkKOWSkKY 1878 (a) p. 323. » » WINTHER 1880 (a) p. 230, 254. Eudendrium attenuatum Allman. Eudendrium attenuatum ALLMAN 1877-(b) p.16.,:pl 2/09; Eudendrium capillare Alder. Voir : Matériaux II, p. 293. Eudendrium capillare FORBEs 1872 p. 190. » » VERRILL 1873 (a) p. 794. » » HINCK< 1874 (b) p. 145. » » M Ixrosu 1874 p. 206. 2 » Sas G. 0. 1874 p. 135. » » SMITH à. HARGER 1874 p. 7, 9, 13, 21, 24. » ) SCHULZE 18792p.121:127: » ALEMAN 1870 (DD: 1259: » ) WINTHER 1880 (a) p. 230, 257; 259. Æ HISTOIRE DES HYDROÏDES 289 Eudendrium cochleatum Allman. Eudendrium cochleatum ALLMAN 1677 b}ap 8; pl one v"2: Eudendrium dispar L. Agassiz. Voir : Matériaux II, p. 29%. Eudendrium dispar VERRILL 1873 (a) p.208,411,425, 500, + 73h. É E Te » » WINTHER 1880 (a) p. 271. Pa a AN "Le Eudendrium distichum Clarke. ke ter Eudendrium distichum CLARKE 1879 p.239, 241, pl. 1, fig. 1-6. Eudendrium exiguum Allnan. Eudendrium exiquum ALLMAN 1877 (b) p. 6, pl. 1, fig. 3-#. Eudendrium eximium Aïlman. Eudendrium erimium ALLMAN 1877 (b) p.:5> pl. 1; fig. 1-2. Eudendrium fruticosum Allman. Eudendrium fruticosum ALLMAN 1827 (b)p. 6, pl. 2; fig. 4,2. Eudendrium gracile Alman. pl. 4, fig. 1, 2. 1 Eudendrium gracile ALLMAN 1877 (b) p. Eudendrium insigne Hincks. Voir : Matériaux LE, p. 294. Eudendrium laxum Allman. f, Eudendrium laxum ALLMAN 1877 (b) p..7, pl. 5, fig. 1-4. 290 M. BEDOT Eudendrium minimum Mereschkowsky. Eudendrium minimum MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. Eudendrium pymaæum Clark. Eudendrium pygmaæum CLARK 1876 (a) p. 211, 232. Eudendriun racemosum (Cavolini). Voir : Matériaux I, p. 446, IL, p. 74 et ILE, p. 295. Eudendrium rameum (Pallas). Voir : Matériaux LI, p. 446, IL, p. 75 et III, p. 295. Eudendrinmn rameum FORBES 1872 p. 190. » ) MôBics 1873 (a) p. 101. ) ) MôBius 1873 (b) p. 149. » ) M° INrosn 1874 p. 206. » » SARS, G. 0. 1874 p.96, 117,129, 135.141. ) » NORMAN 18790D. 172: » » SCHULZE 1879: p:429427: » » CLARK 1876 (a) p. 218. » Dar Boum 1878 p. 148. » ) VERRILL 1878 :p. 379- 2 » STORM 1879 p. 27. » ) RicHranpi 1880 p. 154. » D WINTHER 1880 (a) p. 229, 258. 259. Eudendrium ramosum (Linné). Voir : Matériaux E, p. 446, IL, p. 76 et IL, p. 296. Eudendrcum ramosum ALLMAN 1872 (a) p. 105. » » FORBES 1872 p. 190. » » HINXCRS 1872 (a) p. 121. ] VERRILL 1873 (a) p.408, 411,425, 500, 506, 513, 734. » VERRILL 1873 (b) p. 9, 10. HISTOIRE DES HYDROÏDES 291 Eudendrium ramosum » » » h » » h ») » ») D] ») » ») « >») » h ») ) ») » ») » ») ) » ) ») )) )) » » » » » 2] ») » ») D] ALLMAN ALLMAN SaRs. G. 0. SMITH à. HARGER VERRILL GRÆFFE SCHULZE Kocx NorMaAN ALLMAN CLAUS CIAMICIAN ARMSTRONG CLARKE SCHMIDTLEIN STORM GOERTTE RICHIARDI WEISMANN WEISMANN WINTHER 1874 (a) p. 18. 1874 (b) p. 470, 471 1874 p. 135, 137, 138. STADE 7,0 02 1874 (b) p. 40, 44, 413. 1875 p. 304, 305. 1879: p-:122,-123, 425, 127- 1876 p. 85, pl. 4, fig. 16-18. 1876 p. 198. 1877 (b) p. à. 1877 p. 11. 1878 (a) p. 505, pl. 31, fig. 10 et 32, fig. 11-24. 1879 p. 103, pl. 12 1879 p. 241. 1879 (b) p. 195. 1879 p. 27. 1880 p. 353, 354. 1880 p. 154. 1880 (a) p. 227. 1880 (b) p. 368. 1880 (a) p. 255, 270. Eudendrium rigidum Alman. Eudendrium rigidum » )) Eudendrium tenellum Eudendrium tenellum Eudendrium tenue A. Voir Eudendrium tenue h h ALLMAN WINTHER ALLMAN : Matériaux D. VERRILL VERRILL 1876 (b) p. 253, pl. 9, fig. 3-4. 1880 (a) p. 230, 257, 260, Allman. 18272 (D} Ep. 8 DE oo Agassiz. p. 297. 1873 (a) p. 734. 1874 (b) p. 39, 4%. 292 M. BEDOT Eudendrium vaginatum Allman. Voir : Matériaux I, p. 297. Gen. Filellum Hincks 1868. Voir : Matériaux Il, p. 77 et III, p. 297. Filellun immersum Allman. Filellum tmmersum ALLMAN 1873 (a) p. 185. » » ALLMAN 1877 (h)>p02 Filellun serpens (Hassal). Voir : Matériaux Il, p. 77 et LT, p. 298. Filellum serpens ALLMAN 1874 (b) p. #70. D » HINCKS 1874 (a) p. 125. ) » HixckS 1874 (b) p. 146, 150. ) » M° IxrosH 1874 p:.211. » » SARS,-G. 0. 1874: p.94,117,133,138;139: » » SCHULZE 1875 p. 123-126, 131. » » NORMAN 1876 p. 198. » » HiNCKS 1877 (b) p. 67. ) ) MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. ) » D'URBAN 1880 p. 258, 268. » D Hixcks 1880 (a) p. 258, 268. » » WiNTHER 1880 (a) p.242, 255, 257, 259 26. Gen. Garveia Wright 1859. Voir : Matériaux II, p. 298. Garveia nutans Wright. Voir : Matériaux III, p. 298. Garveia nulauns HerrwiG, O.u.R. 1878 (a) p. 69. HISTOIRE DES HYDROÏDES 293 (Gen. Gemellaria Hz:ckel 1879. Le genre Gemellaria établi par HÆCKEL (1879, p. 103) n’a pas été adopté, étant synonyme de Gemmaria. Gen. Gemmaria Mac Crady 1859. Voir : Matériaux III, p. 299. Gemmaria implexa (Alder). Voir : Matériaux IIF, p. 299. Gemmaria implera Hixcks 872 (C)-pD- 998: Zanclea implexa Hixcks 1872 (C)-p: 393. ) » SPAGNOLINI 1876 p. 307. » ) MERESCHKOWSKY 1877 p. 224. Gemmaria implera MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 241, 244, 245. ) HÆCKEL 1879 p. 100, 103, 105. Gemellaria implera HÆCKEL 1879 p. 105. Zancleu implexa Duo PLESSsIS 1880 (a) p. 111. (ren. Gemminella Allman 1874. ALLMAN à abandonné lui-même le-nom générique de (em- minella, qu'il avait adopté en 1874 (e), pour celui de Desmos- cyphus (1876 b). I n’a pas indiqué les motifs de ce change- ment. Gen. Gonothyræa Allman 1864. Voir : Matériaux 1, p. 448, Il, p. 77 et IE, p. 300. Gonothyræa gracilis (Sars). Voir : Matériaux II, p. 300. Gonothyræa gracilis M° Ixrosn 1874 p. 209. » ) SARS, G. O. 1874 p.95,121,134,137,140. D VERRILL 1875 p-. 22. » ) WINTHER 1880 (a) p.240, 254, 257,259. Rev. Suisse DE Zo0o1. T. 20. 1912. 21 294 M. BEDOT Gonothyræa gracilis (Sars) var. Voir : Matériaux IT, p. 301. Gonothyræa hyalina Hincks. Voir : Matériaux If. p. 307. Gonothyrea hyalina VERRILL 1873 (b) p. 9. Gonothyræa hyalina HiNcxs 1874 (a) p. 135, 137. D » SARS, G. O. 1874 p. 95, 122, 134. » » Sutra à. HARGER 1874 p. 9. » D VERRILL 1875 p. 42. ) » CLARK 1876 (a) p. 210, 214, 215. pl. 13 MS: A2 D ) NORMAN 1878 p. 190. Obelia hyalina Du PLessis 1880 (a) p. 118. Gonothyræa hyalina WiNTHER 1880 (a) p. 273. Gonothyræa loveri Alman. Voir : Matériaux L p. 448, IN, p. 77 et IL, p. 304. Gonothyræa loveni MôBius 1873 (a) p. 102. EPS » M° Ixrosu 1874 p. 209. » » SMITH à. HARGER 1874 p. 7. » » SCHULZE 1875 p. 122, 125, 130. » ) VERRILL 1875 p. 42. » » LENZ 1878: p.9. » » BEerGH 1879:p.:22SS5 plk-et a: » » WEISMANN 1880 (a) p. 229. D 2 WINTHER 1880 (a) p. 240. 255-260, 263. AIO Gonothyræa tennis Clark. Gonolhyræa tenuis CLARK 1875 p. 61, pl. 10, fig. 8. » » VERRILL 1875 p. 42. HISTOIRE DES HYDROÏDES 295 Gen. Grammaria Stimpson 1854. Voir : Matériaux LEE. p. 302. Grammaria abietina (Sars). Voir : Matériaux I, p. 303. Grammaria abietina VERRILL 1873 (b) p. 10%. » » ALLMAN 1874 (b) p. 470. Sulacia abietina KiIRCHENPAUER 1874 (b) p. 259. Salacia abietina Sars, G. O. 1874 p.94, 114, 133, 141. Grammarie abietina SuirH à. HARGER 1874 p. 9, 15, 21. Grammaria robusta VERRILL 1874 (b) p. 39. Grammaria abietina VERRILL 1874 (b) p. 50%. Salacia abietina LÜTKEN 1875 p. 189. Grammaria abietina KIRCHENPAUER 1876 p. 42. Salacia abietina MARENZELLER 1878 p. 338, 360, 361, 379. » » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323, 333. » » STORM 1879 p. 26. » » WINTHER 1880 (a) p. 264, 275. Grammaria gracilis Stimpson. Voir : Matériaux IL, p. 503. Grammaria graëtles VERRILL 1871 p. 362. Gen. Gymnocoryne Hincks 1871. Voir : Matériaux I, p. 303. Gymnocoryne coronata Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 50%. Gen. Halatractus Allman 1571. Voir : Matériaux IL, p. 304. Halatractus nanus Alder. Voir : Matériaux Il, p. 6% et I, p. 304. Corymorpha nana Sars, G. 0. 1877 p. 10, uote. » » Sas, M. LS TTEDESEE 296 M. BEDOT Halatractus nanus HÆCKEL RTS TEE La Méduse de cette espèce est probablement £uphysa aurata. Gen. Halecium Oken 1815. Voir : Matériaux Ï, p. 448, LE, p. 78 et HI, p. 304. Halecium articulosum Clark. Halecium articulosum CLARK 1875 p. 63, pl. 10, fig. 6. ) ) VERRILL 1875 p. 42. Halecium beani Johnston. Voir : Matériaux Il, p. 78 et IF, p. 30%. Halecium beani FORBES 1872 ip: 194: » ) ALLMAN 1873 (b) p. 59 ss. fig. 2 MôBits 1873 (b) p. 149. » » VERRILL 1873 (a) p. 730. ) ) VERRILL 1873 (b) p. 10. ) » HiINCkS 1874 (a) p. 137. ) » M° Ixrosu 187% p. 211. » SARS, G. O0. 1874 p:-94,; 142, 493: » Ù SMITH a. HARGER 187% p. 7. ) » CLARK 1875 p. 64. ) » SCHULZE lS875 prb 4234 E » VERRILL 1875 p. 43. COUGHTREY 1876 (a) p. 26. ] » NORMAN 1876 p. 198. ) » ALLMAN 1877%(b)ED A7 ) ) MEnNESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. ) » WINTHER 1880 (a) p. 242,243, 255-257, 259, 264-266. Haleciun capillare (Pourtalès). Voir : Matériaux HE, p. 305. Halecium capillare ALLMAN 1877 (b) p. 2,16, pl.11, Mig. à, 6. Halecium érenulatuin Hincks. Halecium crenulatum HINCKS 187%(b) p.150, pl.8, fig.21-23. HISTOIRE DES HYDROÏDES 297 Halecium delicatulum Coughtrer. Halecium delicatulum COUGHTREY 1876 (a) p. 26. pl. 3, fig. 4-5. Halecium delicatula COUGHTREY 1876 (b) p. 299. Halecium edicardsianum (d'Orbigny). Voir : Matériaux LL. p. 78 et LIL, p. 305. Halecium filicula Alman. Halecium filicula ALLMAN 1877 (b) p. 15, pl. 4114, fig. 1-4. Halecium filiforme Alder. Voir : Matériaux HE, p. 305. Halecium geniculatun Norman. Voir : Matériaux LE p. 505. Halecium gracile Verrill. Halecium gracile VERRILL 1873 (a) p. 328,334, 376,378, 391.393, 411, 425,476 L78,L84,729, 733. Halecium halecinunr (Linné). Voir : Matériaux [. p. 448, Il, p. 78 et LL, p. 305. Halecium halecinum FORBES 1872 p. 191. » » HINCKS 1872 (a) p.121. » ) ALLMAN 1873 (b) p. 96. » » Mô8ius 1873 (a) p. 102. » » SARS G. O. 1873 p. 86, 119. 2 » VERRILL 1873 (a) p. 730. » » M° Ixrosu 1874 p. 211. » » SARS,-G: O0: 1874 p. 94, 111, 113.133, 140-149. Sertularia halecina LÜTKEN 1875 p. 189. 298 M. BEDOT Halecium halecinum SCHULZE 1875 p. 121, 124-197; 131. » » VERRILL 1873 p. 43. ) » NORMAN 1876 p. 198. » » STORM 1879 p. 26. ) » RICHEARDI 1880 p. 155. » » WINTHER 1880 (a) p. 239, 242, 955, 257-260. Halecium labrosum Alder. Voir : Matériaux HE p. 306. Halecium labrosum FORBES 1872 p. 191. ) ) VERRILL 1873 (b) p. 104. » » HINCkS 1874 (b) p. 1K1. » ) M° Ixrosx 1874 p. 204, 211. ) ) SMITH 4. HARGER 187% p. 21. Halecium lamourouxianum (d'Orbigny). Voir : Matériaux Il, p. 79 et II, p. 306. Halecium macrocephalum Alman. Halecium macrocephalus ALLMAX 1876 (c) p. 11%. Halecium macrocephalum ALLMAN [877(b) p.740, A6:©pl42; lig. 1-5. ) » ALLMAN 1879 p. 283: Halecium muricatum (Ellis et Solander). Voir : Matériaux 1, p. #49, IL, p. 80 et IE, p. 307. Halecium muricatum FORBES 1872 p.194. ALLMAN 1873 (a) p. 185. » » HINCKs 187% (b) p. 150. ) » M° Ixrosn 1874 p. 20%, 211. » » Sars, G. 0. 1874 p.199, 141. ) VERRILL 1874 (b) p. 41, 44, 504. LÜTKEN 1875 p. 189. CLARK 1876. (a) p.210, 247,232. 10, fig. 15. HISTOIRE DES HYDROÏDES 299 Haleciuu muricatum ALLMAN 1877 (b) p. 2. » » NORMAN 1878 p. 190. » ) D'URBAN 1880 p. 258, 268. » » HiNCKS 1880 (a) p. 258, 268. ) » WINTHER 1880 (a) p. 265, 275. Halecium mutilum Allman. Halecium mutilum ALLMAN 1876 (C) p. 114. » » ALLMAN 1879 p-283;, pl.18,g78;19: » » STUDER 1879 p. 120, 132. Halecium nanum Alder. Voir : Matériaux I, p. 307. Halecium patagonicum (d'Orbigny). Voir : Matériaux Il, p. 80 et II, p. 307. Haleciun plumosum Hincks. Voir : Matériaux II, p. 307. Haleciun plumosum FORBES 1872 p. 191. » ) CLARK 1875 p. 6%. ») » SCHULZE 18752p: 422,101: Halecium (?) plumularioides Clark. Halecium(?) plumularioides CLARK 1876 (a) p. 210, 217, pl. 10, fig. 16-17. Halecium pulchellum (Pourtalès). Voir : Matériaux IE, p. 307. Halecium robustum Verrill. Halecium robustum VERRILL 1873 (b) p. 9. » » SMITH 4. HARGER 1874 p. 11, 53. ) » VERRILL 1874 (b) p. #13. 300 M. BEDOT Halecium scutum Clark. Halecium sculum CLARK 1876:(a) p. 210, 218, pl 40, fig. 143, 14. Halecium sessile Norman. Voir : Matériaux II, p. 307. Halecium sessile Hixtks 187% (a) p. 137. D ) M’ INrosH 1874 p. 211. » » SARS) G. O. 1874 p.94, 412,433. Halecium sessilis ALLMAN 1876 (ec) p. 114. Halecium sessile ALLMAN 1877 (b) p. 17. » » ALLMAN 1879 p. 28. Halecium siphonatum (Pourtalès). Voir : Matériaux LE, p. 308. Halecium tehuelchum (4Orbigny). Voir : Matériaux IE, p. 80 et IE, p. 308. Halecium tenellum Hincks. Voir : Matériaux LH, p. 308. Halecium tenellum M° Ixrosx 1S74Sp 21 ) » SMiru à. HARGER 1874 p. 7. ) » CLARK 1876:(b}2p.°250;, 254, -255,\pl: 9119-09: » » CLARKE 1879 p.239, 244. Gen. Halicornaria Allman 1876. Voir : Matériaux IE, p. 508. La diagnose de ce genre à été donné par ALLMAN non pas en 1883 comme nous l'avons dit par erreur, mais en 1876 (1876 (b) p. 276). HISTOIRE DES HYDROÏDES 501 Halicornaria bipinnata Alman. ? T'axella eximia ALLMAN 187416) p70 Halicornaria bipinnata ALLMAN 1870: (b) p.279, pl: 22, fig. 5 etpl: 23, fig. 2. ? Taxella ecimis KIRCHENPAUER 1876 p. 26. Halicornaria bipinnata ARMSTRONG 1879 p. 100. Halicornaria insignis Allman. Makrorynchia insiquis ALLMAN 1874 (e) p. 179. Halicornaria msiqnis ALLMAN 1876 (b) Es 278, ne 22, fig. 3, L et pl. 23, fig. 1. Macrorynchia instqnis KIRCHENPAUER 1876 p. 26 Halicornaria plumosa Armstrong. Halicornarie plumosa ARMSTRONG 1879 p. 100, pl. 41. Halicornaria ramulifera Alman. Halicornaria ramulifera AtEMax 1874 (b) : . K77.,"pl..-67; 3-3 (À. 2 » KIRCHENPAUER 1876 p. 26 7. Halicornaria saccaria Ailman. Halicornaria saccaria ALLMAN 1876 (b) p. 277, pl. 15, fig. 4 Cp 22 1047 » »» ARMSTRONG 1879 p. 100. Halicornaria setosa Armstrong. Halicornaria setosa ARMSTRONG (879 p. 99, pl. 10. 302 M. BEDOT Halicornaria speciosa Allman. Halicornaria speciosa ALLMAN 1877 (b) p.54, pl. 3%, lig. 1-5. Gen. Halocordyle Allman 1871. Voir : Matériaux HI, p. 309. Halocordyle tiarella (Ayres). Voir : Matériaux IIE, p. 309. Pennartia tiarella VERRILL 1873 (a) p. 327,334, 393. 408, L11, 425, 455,489, 500, 520, 735, pl. 37, fig. 277, 278. ) » SCHULZE 1876 p. L14%. note. Globiceps tiarella HÆCKEL 1879 p. 39. Gen. Halopteris Allman 1877. Halopteris carinata Alman. Halopteris carinata ALLMAN L837 (b})tn: 337pl 49 her 27e Gen. Heterocordyle Allman 1S64. Voir : Matériaux HE, p. 310. Heterocordyle conybearei Allman. © Voir : Matériaux HE, p. 340. Gen. Heteropyxis Heller 1868. Voir : Matériaux II, p. 310. KIRCHENPAUER (1876 p. 22 … 51) divisait le genre Nemer- tesia en 2 sous-genres : Aeteropyxis et Antennularia et, en citant les espèces, il se servait indifféremment du nom de genre ou de sous-genre, HISTOIRE DES HYDROÏDES 303 (ren. Heterostephanus Allman 1864. Voir : Matériaux IE, p. 311. Heterostephanus annulicornis (Sars). Voir : Matériaux IE, p. 311. Corymorpha annulicornis Sars, G. 0, 1874 p.95, 123, 135,137, 140. » » SaRs, G. 0. 1877 p. 11, note. » ) Sars, M. LS pr8 LG 2e pl A te 7-13. ) ) HÆCKEL 1879:p..35. Hybocodon annulicornis HÆCKEL 1879 p. 35. Gen. Hippurella Allman 1877. ALLMAN à établi ce genre pour y placer l'A. annulata que NUTTING (1900) fait rentrer dans le genre Anftennopsis. Mais NUTTING conserve cependant le genre Hippurella en en modi- fiant la diagnose. Hippurella annulata Allman. Hippurella annulata ALLMAN 1877 (b) p. 36, pl. 21, fig. 7-8. (ren. Hybocodon IL. Agassiz 1860. Voir : Matériaux IE, p. 311. Hybocodon prolifer L. Agassiz. Voir : Matériaux IF, p. 311. Hybocodon prolifer VERRILL 1873 (a) p. 328, 33%, 736, pl. 38, lig. 282. ] » BünM F8789p-74, 752497; 195; pl. 2 eee 0: Corymorpha prolifera HÆCKEL 1879 p. 34. Hybocodon prolifer HÆCKEL 1879 p. 33, 39, 36. 304 M. BELOT Gen. Hydra Linné 1746. Voir : Matériaux I, p. 450, If, p. 81 et IIT, p. 312. Hydra attenuata Pallas. Voir : Matériaux !, p. 450, IT, p. 81 et IT, 342. Cette espèce, ainsi que BrauErR (1909) l'a montré, doit être considérée comme synonyme d'Hydra vulgaris. Voir : AHydra vulgaris. Hydra carnea Li. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. 312. Hydra carneu Du P£Essis 1877 p. 417, 120. Hydra gracilis Li. Agassiz. Voir : Matériaux [If, p. 312. Probablement svnonvme d’'Hydra vrridis. Hydra oligactis Pallas. Voir : Matériaux [, p. 450,-If, p. 81 et LIL, p. 313. Hydra fusca SCHMIDT 1869 p. 995. » D SCHULZE 1870 p. 205. ) Du PLESSIS 1876 p. 205. 2 D KOROTNEFF 1876 p. 371ss., pl. 15,tig. 6,7. » » BENSON 1877 p. 185. » » Du P£Essis FS770De AA: » KOROTNEFF 1878 (a) p. 413. Hydra oliguctis MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 324. » » MERESCHKOWSKY 1878 (C) p.232ss., pl.12, tig.A, Hydru fusca ASPER 1879 p. 118-120. Hydra sp. ? ASPER 1879 p. 115. Hydra ræseli HAAGKE 1879 p. 622. Hydra rhæticu ASPER 1880 (a) p. 205, 206, tig. 1-3. Hydra rhistica ASPER 1880 (b) p. 139. Hydra rhætica ASPER 1880 (c) p. Æ07. Hydra ræselt HAACKkE 1880 p. 135 çs., pl. 6. Hydra fusca HarroG LSSO p. 244. » » PARKER 18802p. G4rss::0pl."1> HISTOIRE DES HYDROÏDES 305 Hydra rubra Lewes. Voir : Matériaux I, p. 313. Hydra rubra FOREL 1874 p. 151. ) » Forez et Du P£essis 1874 p. 52. » ) Du PLESsIS 1876 p. 205. » » FOREL 1876 p. 102. » » Du PLEssis OL RAT AL20 » » FOREL 1879 p. 324. Hydra tenuis Ayres. Voir : Matériaux HE, p. 31%. Hydra viridis Linné. Voir : Matériaux I, p. 452, IL, p. 82 et Il, p. 31% Hydra viridis SCHMIDT 1869 p. 995. » » SCHULZE 1870 p. 205. » » FORBES 1872 p.191: » » KLEINENBERG 1872 p.35 ss., pl. 1: fig.43- 14:2,fig. 1-19; 3, fig. 5-8, 11, 13-18: 4, fig. 1-11. FULLAGAR 1873 (a) p. 105, 324. ) ) ALLMAN 1874 (a) p. 1 ss. » » FULLAGAR 1874 (a) p. 263 ss. » » FULLAGAR 1874 (b) p. 12, 174, fig. » » JENTINK 1874 p. 45. Hydra vulgaris GERBE 1875 p. ##7. Hydra viridis COUGHTREY 1876 (a) p. 24. ) » COUGHTREY 1876 (b) p. 299, note. » Du PLESsIs 1876 p. 205. ) BENSON 1S77 p. 185. » » Du PLESSIS 1877 :p.4117.5s: ) à H1ICKSON 1878 p. 80. Ù HAACKE 1879 p. 622. BRASS 1880 p. 911. ) » HAACKE 1880 p. 135. ) SEMPER 1880 I, p. 90, 257. WINTHER 1880 (a) p. 254, 278. 306 M. BEDLOT Hydra vulgaris Pallas. Voir : Matériaux L, p. 453, LL, p. 83 et IL, p. 315, Syn. : Aydra attenuata Pallas. Voir : Matériaux [, p. 450, H, p. 81 et LIL, p. 312. Hydra vulgaris FORBES 1872 p. 191. 1872 p. 38. 1872 p. 3 Ss., Hydra grisea KLEINENBERG Hydra aurantiaca KLEINENBERG pl. 4, fig. 1-12; 2, fig. 15 B; 3, fig. 4, 9,407 12: Hydra vulgaris FULLAGAR 1873 (a) p. 105, 324. ) » FULLAGAR 1873 (b) p. 132 ss., lig. ) » ALLMAN 1874 (a) p. 1 ss. » FULLAGAR 1874 (a) p.263ss.,pl. 12et13. » ] FULLAGAR 1874.(b)° p.12, 174; fi9. Hydra griseu DE PLESSIS 1876 p. 203. 1876 p. 205. 1877 p. 18à. LS7 PDT: K877 :p: 147; ES 717 =D HAT: 1878 p. 183 ss.. pl. 3.tig. 1-9. MERESCHKOWSKY 1878 (C) p. Hydra aurantiuca Di PLESSIS Hydra vulquris BENSON Hydra grisea Du PLessis Hydra aurantiaca Du PLESSIS Hydra pallens Du PLESSIS Hydra vulgaris BERG ÿ » 292: s8.,: pl. 142; fig. 1-3. 1879 p. 119-190. 1879 p. 622. 1880 p. 135 ss. 1880 (a) p. 254. Hidra aurantiuca ASPER ? Hydra trembleyi HAACKE )) ») HAACKE Hydra vulgaris WINTHER Gen. Hydractinia van Beneden 1841. Voir : Matériaux I. p. 43, LE, p. 85 et IE, p. 316. Hydractinia antarctica Studer. Hydractinia antarctica STUDER 1879 p. 124, 132. HISTOIRE DES HYDROÏDES 307 2 Hydractinia arborescens Carter. Hydractinia arborescens CaRTER » » STEINMANN 1878 p.298 ss., pl.1 7, fig. 1 1878 p: 109,-pl. 12, fig. 1- 16e Hydractinio calcarea Carter. Hydractinia calcarea CARTER CARTER STEINMANN Hydractinia echinata 1877 p. 90, pl. 8, fig. 4-6. 1878 p. 300. 1878 p. 107, 109, 121, pl. 12, fig. 4-7. (Fleming). Voir : Matériaux IE, p. 85 et IE, p. 316. Hydractinie echinata SCHMIDT ALLMAN Forgts CARTER DES MouLixs MôBits ALLMAN BENEDEN (Van) Hixcks M° Ixrosu SARS, G. O. LÜTKEN SCHULZE ALLMAN Koca KOROTNEFF NoORMAN CARTER HiNcKk< BERGH Boam CARTER HErTWIG, Ou. R,. HiGGix 1869 p. 994, fig. 4. 1872 (a) p. 103, 105, tig. 8. 1872 p. 190. 1873 p. 2 ss., pl. 1, fig. 4-9. 1873 p. 329 ss. 1873 (c)" pr: 1874 (e) p. 179. 1874 p. 542 ss. pl. 1-2. 1874 (a) p. 126, 137. 1874 p. 205. 1874 p.96,131, 136, 141,142. 1875 p. 188. 1875 p. 122, 123-125, 127. 1876 (b) p. 254. 1876 p. 84, pl. %, lig. 8-10. 1876 p. 378, 396. 1876 p. 198. 1877 p. 46 ss., pl. 8, fig. 1-4. 1877 (a) p. 150. 1878 p. 185, 200. 1878: p. 409; 116, 139. 1878 p. 306, 308. 1878 (a) p. 35. ISZS p. XCIV SS. 308 M. BEDOT Hydractinia echinata MErEsCHkOWSKY 1878 (a) p. 326. » ) STEINMANN 1878:D:105;--:24109; » ) CARTER 1880 (b) p. 303. » ) WINTHER 1880 (a) p.227, 254-256, 259- 261, 269. Hydractinia levispina Carter. Hydractinia levispina CARTER 1873%p.09 pl ice: » ) CARTER 1877 p. 60. ) STEINMANN 1878 p. 108, 109. » ) CARTER 1880 (b) p. 302. Hydractinia monocarpa Alman. Hydraclinia monocarpa ALLMAN 1874 (e) p. 179. » » ALLMAN 1876 (b) p.254, pl. 10, fig. 1-3. Hydractinia polyclina L. Agassiz. Voir : Matériaux HE, p. 318. Hydractinia polyclina VERRILL 1872 (b)-p. 237. » » VERRILL 1873 (a) p.328,334, 3063, 370, 378,407,411, 495, 427,429, 81,489, 500, 506, 736. » ] SMITH 4. HARGER 14874 p. 3, 7, 9, 10, 13, 22: » ) VERRILL 1874 (b) p. 4k, 46, 504. ) ) MerescHkowskY 1878 (a) p. 326. ) » STEINMANN 1878 p. 106, 109. Hydractinia sodalis Stümpson. Voir : Matériaux I, p. 318. Gen. Hydradendrium Carter 1880. CARTER (1880 a) avait fondé ce genre pour y placer son 71. spinosum qu'il regardait comme étant un Hydroïde appartenant à la famille des Hydractinides. I] à reconnu plus tard que c'était un Antipathaire, Ce genre doit donc disparaitre. HISTOIRE DES HYDROÏDES 309 Gen. Hydrallmania Hincks 1868. Voir : Matériaux I, p. 45%, Il, p. 86 et III, p. 319. Hydrallmania bicalycula Coughtrey. Hydrallmania bicalycula Coucarrey Hydrallmania bi-calyculata Couaarrey 1876 (a) p. 29, pl. 3, fig. 8, 9. 1876 (b) p. 301. ; Hydrallmania faleata (Linné). Voir : Matériaux EL, p. 45% et 470, IE, Sertularia falcata LANDT Plumularia falcata ORSTED Hydrallmania falcata FORBES Sertularia (Plumularix, Aglaophenia) faleata KincheNPaAUER Plumularia falcata KIRCHENPAUER ) » METzGER Hydrallmania faleata VERRILL ) » VERRILL ) ) ALLMAN » » M Ixrosx 5 ) Sas, G. O0. SMITH à. HARGER 5 ) VERRILL » SCHULZE ) CLARK » KIRCHENPAUER ) NORMAN » ALLMAN ) ) MERESCHKOWSK Y » ) \VINTHER p. 86 et 112, IL, p. 319. 1800 p. 292. 1844 p. 74. 1872 p. 191. 1872Pp 9; 1872 p: 18. 1873 p. 170. 1873 (a) p. 408, 411, #25, 900, 733. 1873 (b) p. 10. 1874 (b) p. 469, #70. 1874 p. 210-212, 214. 1874 p. 94, 106, 132, 141. STADE. 5217 1874 p. 44. 1875 p.193-195, 127,130-132. 1876 (b) p. 249, 260. 1876 p. 23. 1876 p. 198. 1877 (b} p.28. 1878 (d) p. 449. 1880 (a) p. 201, 255-257, 259, 260, 263-265, 267. Hydrallmania falcata var. bidens Mereschkowsky. Hydralbmania fulcala var. bidens MERESCHKOWSKY Rev. Suisse DE Zooz. T. 20. 1912. 1878 (a) p. 324. [Re] [Re 310 M. BEDOT Hydrallmana franciscana (Trask). Voir : Matériaux IE, p. 520. Hydrallmania franciscana CLARK 1876 (b) p.249, 250,260, 263. Plumularia(Hydrallmania) : gracilis KiRCHENPAUER 1876 p. 43. Gen. Hydranthea Hincks 1868. Voir : Matériaux II, p. 320. Hydranthea margarica Hincks. Voir : Matériaux [IE, p. 320. Gen. Hydrella Goette 1880. Hydrella ovipara (Goette. Hydrella ovipara GOETTE 1880 p. 352 ss. fig. 4-2. Gen. Hydrodendron Hincks 1874. Ce genre à été créé par HINCKS pour y placer lHalecium gorgonoide de (. O0. SARS. Hydrodendron gorgonoide (G. O. Sars). Halecium gorgonoide SARS, G. O. 1874: D: 96442 14932499 pl. 4. fig. 9-15. Hydrodendron gorgonoide Hixcxs 1874 (a) p. 131, 132. Gen. Hypanthea Allman 1876. Hypanñthea repens Alman. Hypantheu repens ALLMAN 1876 (Ce) p. 115. » » ALLMAN 1879 p. 284, pl. 48, fig: 6, 7. » STUDER 15192D2420); 182 HISTOIRE DES HYDROÏDES 3511 Gen. Idia Lamouroux 1816. Voir : Matériaux E, p. 454%. Il, p. 87 et III, p. 321. Idia pristis Lamouroux. Voir : Matériaux [. p. 454, IL, p. 87 et ILE, p. 321. Sous-genre Isocola Kirchenpauer 1876. Voir la note au sous-genre Anisocol«. Gen. Lafoea Lamouroux 1821. Voir : Matériaux IL, p. 88 et [LE p. 321. Lafoea calcarata À. Agassiz. Voir : Matériaux LE, p. 321. Lafoea calcarata VERRILL 1873 (a) p. 334,408, 411,425, A54, 729, 733. » ) MERESCHKOWSKY 1877 p. 224. » » CLARKE 18792p9218 » » HÆCKEL 1879 p: 134. ) » GOETTE 1880 p. 399. Lafoea capillaris G@. O. Sars. Lafoeu capillaris SARS, GO! STATE MAN A3 189: » » STORM 180 0p. #20: Lafoea coalescens Allman. Lafoea coulescens ALLMAN 187% (b)p: 13/10, 9.4, 2: Lafoea concallaria Alliman, Lafoeu convallari ALLMAN 1877:(b) p:. 12,-pl:9;-fis:1.,2, ) ) CLARKE 1879 p. 239, 243, pl. 4, fig. 23. » » GOETTE ISSO p. 399. 312 Lafoea dumosa ? Coppinia arcla Lafoea dumosa )) » ? Coppinia arcla Lafoea dumosa ? Coppinia arcla Lafoea dumosa ) ) ? Coppinia arcta Lafoea dumosa )) )) ? Coppinia arcla Lafoea cornuta Lafoea dumosu ? Copponia arcla Lafoea dumosa ? Coppinia arcla )) )) Lafoea dumosa M. BEDOT FORBES FORBES Hixcks MôBius VERRILL VERRILL ALLMAN HINCKS HINCKS M° Ixrosu M° IxrosH SARS, G. O0 SMITH a. HARGER SMITH a. HARGER VERRILL SCHULZE SCHULZE VERRILL CLARK CLARK COUGHTREY NORMAN NORMAN ALLMAN MARENZELLER MERESCHKOWSKY MERESCHKOWSKY NORMAN NoORMAN CLARKE \VINTHER Lafoea dumosa (Fleming). : Matériaux Il, p. 88 et IT, p. 321. : ? Coppinia arcta (Dalyell). : Matériaux IE, p. 614 et IIT, p. 270. 1872 p. 191. IS72 p. 191. 1872 (a).p.424: 1873 (b) p. 149. 1873 (b) p. 9, 104. 1873 (b) p. 10. 187% (b) p. 470, 274. 1874 (a) p. 133. 1874 (b)p. 146-148, pl.6, fig. 3. 1874 p. 210. 1874 p. 211. 1874 p. 94,114,133, 140-122. 1874 p. 7, 9, 21. ASTAAD IT 1874 (b) p. 39, 44. 1875 p. 1293,424,190: 1875 p. 123, 131. 1879 p. 43. 1876 (a) p. 210, 212, 216. pl. 12; fig. 23. 1876 (b) p. 250, 251. 1876 (b) p. 299. 1876 p. 198. 1876 p. 198. 511. (D) Sp 12 1878 p. 398, 362, 380. 1878 (a) p. 323, 324. 1878 (a) p. 323, 324. 1878 p. 190. 1878 p. 190. 1879 p. 243. 1880 (a) p. 263, 264, 274. HISTOIRE DES HYDROÏDES 313 Lafoea dumosa (Fleming) var. robusta G. O. Sars. Voir : Matériaux III, p. 323. Lafoea dumosa var. robusta Sars, G. 0. ASTA pe AA. Lafoea elongata Armstrong. Lafoeu elongata ARMSTRONG 1879 p. 98, pl. 9. Lafoea fruticosa Nars. Voir : Matériaux II, p. 323. ? Lafoea fruticosa ForBes 1872: p. 194. » » VERBILL 1873 (b) p. 9-11. » » ALLMAN 1874 (b) p. 470, 472. » ») ATOS 187% (a) p. 192. Lafoea gracillimu HINCKS 1874 (a) p. 132. ) » HixcKs 187% (b) p. 146. Lafoea frulicosa var. gru- cullima HIxXCKS 1874 (b) p. 453 (Expl. pl), = HÉaG: AE 07 Lafoea fruticosu HiNckS 1874 (bi p. 148, pl. 6, fig. 8- 10 ple700 240: » » KiRCHENPAUER 1874 (a) p. 411, 415, 416. » » KiIRCHENPAUER 1874 (b) p. 259. » M° Inrosn 187% p. 210. » » SaRs, G. O. 187% p. 94,144, 133, 139, pl. 4, lig. 16-48. Lafoeau gracillimu Sas, G. O. LOTS DUO RS AUS AL CTEL33 138, pl. 4, fig. 19-21. » » SuiTH à. HARGER 1874 p. 7, 9, 14, 13, 14, 53. Lafoea fruticosa VERRILL 1874 (b) p. 39, 44. Lafoea gracillima VERRILL 1874 (b) p. 413. Lafoea fruticosa LÜTKEN 1875 p. 189. » » SCHULZE 1875 p. 122, 425, 150. D CLARK 1876 (a) p. 210, 216, pl. 12 fig. 22. 314 Lafoea gracillima ? Coppinia arcla Lafoea fruticosa » » Lafoea gracillèma )) )) Lafoea fruticosa Lafoea gracillima Lafoea fruticosa BONNEVIE M. BEDOT CLARK CLARK MARENZELLER 1876 (a) p. 210, 216, 217, pl. 12, fig. 22. 1876 (a) p. 210, 217. 1878 p. 358, 380. 1879 p. 239, 243. 1879 p. 243. NORMAN 1878 p. 190. NORMAN 1878 p. 190. CLARKE CLARKE STORM \WVINTHER deux espèces distinctes. Lafoea grandis Lafoea halecioutes Lafoea parasitica Lafoea parvula ) )) 1879 p. 26. 1880 (a) p.26%,265, 272, 274. 1899 p. 65) croit que Lafoea fruticosa et L. gracillima sont Lafoea grandis Hincks. HINCKS HINCKS HINCKS D'URBAN HINCKS 1874 (a) p. 132. 1874 (b) p. 147, 148, pl. 6, tig. 1-2. 1877 (b) p.67; 1880 p. 255, 258, 268. 1880 (a) p. 258, 268. Lafoea halecioides Alman. Voir : Matériaux II, p. 323. ALLMAN CIAMICIAN 1874 (b) p. 471, 472, A77, pl. 66, tig. 1-1 a. Lafoea parasitica Ciamician. 1880 p. 673 ss., pl. 39. Lafoea parvula Hincks. Voir : Matériaux HE, p. 323. CLARK CIAMICIAN 1876 (a) p. 216. 1880 p. 67%. O2 ri Qt HISTOIRE DES HYDROÏDES Lafoea pinnata G. O. Sars. Lafora pinnata Sars, G. O0. 1874 p. 9%, 116, 133, 139, pl. %, fig. 25-28. ) » SroRM 1879 p. 26. Lafoea pocillum Hincks. “ . Voir : Matériaux III, p. 32%. Lafoea pocillum HixckS 1874 (b) p. 147. Eee) ) CLARK 1876 (a) p. 210, 215, pl. 11, tio. 24. ) ) NoRMAN 1876 p. 198. » ) MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323, 324. ) » NoRMAN 1878: p. 190: » ) RICHIARDI 1880 p. 155. ) ) WINTHER 1880 (a) p. 27%. Lafoea pygmæu Hincks. Voir : Matériaux III, p. 324. Hixcks (187% (b) p. 147 note) reconnait qu’il a eu tort de mettre cette espèce (décrite par ALDER dans un ouvrage manuscrit) dans le genre Lafoea, car elle a un opercule. On doit done la faire passer dans le genre Calycellu. Voir : Calycella pygmæu. Lafoea robusta Clarke. Lafoea robusta CLARKE 1879 p. 239, 243, pl. 4, fig. 24. Lafoea serrata Clarke. 10 (b à Lafoea serrata CLARKE 1879 p. 239, 242, pl. , fig. Lafoea tenellula Alman. Lafoea tenellula ALLMAN 1877 (b) p. 12, pl. 8, fig. 3,4. 316 M. BEDOT Lafoea venusta Allman. Lafoea venusta ALLMAN 1877 (D) pe 10 A1 pl 6he de » » CLARKE 1879 p. 239, 221, 243. Gen. Lafoeina Sars 1869. Voir : Matériaux [IE, p. 324. Lafoeina tenuis Sars. Voir : Matériaux LIL, p. 32%. Laforina lenuis HixcKs 1874 (a) p. 125, 134. » » HIxcKs 1874 (b) p. 150. ) » SaRs, G. 0. 1874 p.95,119,134,138, 139, 140, pl. 5, fig. 1-5. » » ALLMAN 1877 (b) p. 14. » » HINCKS 1877 (a) p. 152. » » CLARKE 1879 p. 250. » » D’UrBaAn 1880 p. 258, 268. » » HAS 1880 (a) p. 258, 268. Gen. Laomedea Lamouroux 1812. Voir : Matériaux [, p. 428, IE, p. 89 et III, p. 324. Laomedea diaphana À. Agassiz. Voir : Matériaux ILT, p. 324. Laomedea gigantea À. Agassiz. Voir : Matériaux [IE p. 329. Laomedea giçantea AGAssIZ. À. 1880 (a p. 48%. Laomedea pacifica À. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. 329. Laomedea pacifica CLARK 1876 (b) p. 254. HISTOIRE DES HYDROÏDES Laomedea rigida À. Agassiz. Voir : Matériaux LIL, p. 325. Laomedex rigida CLARK 1876 (b) p. 254. Laomedea torresi Busk. Voir : Matériaux HE, p. 325. Gen. Lar Gosse 1857. Voir : Matériaux III, p. 329. Lar sabellarum Gosse. Voir : Matériaux IE, p. 325. Méduse : Waillsia stellatu. Voir : Matériaux 11, p. 152 et IIL, p. 444. Lar sabellarum HENCKS 1872 (b) p. 313 ss.. pl. 19. » » MERESCHKOWSKY 1877 p. 225. Wollia stellata HÆCKEL 1879 p. 140, 157-159. Gen. Leptoscyphus Allman 1864. Voir : Matériaux IL, p. 326. Leptoscyphus grigoriewi Mereschkowsky. Leptoscyphus grigortert MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. 329, pl. 10: ®] Hot, Leptoscyphus tenuis Allman. Voir : Matériaux [IL, p. 326. Leptoscyphus tenurs MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 329, 530. » » HÆCKEL 18798 0-e1410t62; l 4. SE bd vo) M. BEDO'F (ren. Lineolaria Hincks 1861. Voir : Matériaux II, p. 326. Lineoluria Spinulosa Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 326. Gen. Lovenella Hincks 1868. Voir : Matériaux LI, p. 90 et LIL, p. 326. Lovenella clausa (Loven). Voir : Matériaux Il, p. 90 et [TE, p. 326. Lovenella clausa Hixcks 187% (a) p. 13%. Sous-genre Lytocarpia Kirchenpauer 1872. Voir la note au sous-genre Calatophora. ALLMAN 1883) a modifié ce sous-genre de KIRCHENPAUER et en à fait le genre Lytocarpus. Gen. Lytoscyphus Pictet 1893. Voir : Matériaux IL, p. 90 et LIL, p. 326. Lytoscyphus fruticosus (Esper). Voir "Matériaux L'0p. 474,411 "p: 91%et Il pr 327 Sertularella fruticosa THoMPsON 1879 p. 100, pl. 16, fig. 2, 2a. Gen. Makrorynchia Allman 1874. Voir la note au sous-genre Calatuphora. En 1874 (e), ALLMAN donna le nom de Wakrorynchia insi- gnis à une nouvelle espece de Ceylan. Il employait le nom de sous-genre adopté par KIRCHENPAUER en en modifiant un peu l'orthographe. Mais, dans la description complète de cette espèce, qui ne parut qu'en 1876 (b), il lui donna le nom d’Halicornaria insiqnis. HISTOIRE DES HYDROÏDES 319 D'autre part, CLARK (1876 (a)) à nommé MWacrorkynchia dalli une espèce très particulière, pour laquelle NUTTING (1900) a créé le genre Nuditheca. Le genre Makrorynchia doit donc disparaitre. Gen. Melicertum Oken 1835 sensu L. Agassiz 1862. Le genre HMelicertum avait été établi en 1835 par OKEN, pour la Medusa campanula de FABRICIUS que nous avons pla- cée, d'après HÆCKEL, dans le genre Catablema. L'espèce décrite par L. et A. AGASSIZ (1862 et 1865 (c)) sous le nom de Weli- certum campanula, est différente de celle de FABRICIUS et est devenue le type du genre Melicertum tel que L. et A. Agassiz l'ont défini. A. AGASsIZ (1865 (c) p. 130) à observé le développement de Melicertum campanula et en à figuré la forme polype. Melicertum campanula Li. Agassiz. Voir : Matériaux [!I, p. 423. Melicerbun cumpanula Nerriee 1872 (a) p. 6. ) » LÜTKEN 1875 p. 188. ) » MERESCHKOWSKY 1877 p. 224. ) » : HÆCKkEL 1879 p: 124,136, 137, 149. Melicertaria campanula HÆCKEL 1879 "p.157; Melicertum campanul WINTHER 1880 (a) p. 274. Gen. Merona Norman 1865. Voir : Matériaux IE, p. 327. Merona cornucopiæ Norman. Voir : Matériaux III, p. 327. T'ubiclava cornucopiæ SCHULZE So p: 194 41926 320 M. BEDOT Gen. Monobrachium Mereschkowsky 1877. Monobrachium parasitum Mereschkowsky. Monobrachium parasitum MerEscakowskY 1877 p. 295, 298, pl. 5, fig. 4- 6 et pl. 6, fig. 7-4. » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 247, 323 » » MERESCHKOWSKY 1878 (€) p. 252. (ren. Monocaulus Allman 1864-1871. Voir : Matériaux IE. p. 328. LÜTKREN (1875) écrivait par erreur Monocaulis au lieu de Monocaulus. Monocaulus glacialis (Sars). Voir : Matériaux ITF, p. 328. Corymorpha glacialis SARS, G. À. 1874 p.95,123,135,138, 140. » » SARS, M. LTD AAC, pl MSA 22etDI- 2, 119. 1-17- » » MARENZELLER 1878 p. 398, 300, 379. Monocaulus groenlandica Allman. Monocaulis groenlundica LÜTKEN 1875 p. 188. Monocaulus groenlandice ALLMAN 1876 (b) p. 257, pl.9, fig. 7-8. Monocaulis groentandica WNinrner 1880 (a) p. 270. Monocaulus imperator Allman. Monocaulus sp. ALLMAN 1875 (d) p. 552. » » THouPsox, W. 1875 p. 599. Monocaulus pendulus (Li. Agassiz). Voir : Matériaux HE, p. 328. Corymorpha pendula VERRILL 1873 (a) p. 510, 513. 736. pl. 36, 1g: 273: Corymorpha pendula Hybocodon pendulus VERRILL SARs, M. MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 2#2. HÆCKEL HÆCKEL HISTOIRE DES HYDROÏDES 321 1874 (b) p. 46, 413, 504. 1877 p. 2. 1879 D. 34. 1879 p. 34. Sous-genre Monopyxis Ehrenberg 1834. Voir : Matériaux Il, p. 91. Voir la note au sous-eenre Anisocola. Gen. Monostæchas Allman 1877. Monostæchas dichotoma Allman. Monostæchas dichotoma ALLMAN 1871 (Dep 7893966 pDE22 fig. 1-5. Monostæchas quadridens (Mac Crady). Voir : Matériaux ILE, p. 328. Gen. Myriothela Sars 1851. Voir : Matériaux Il, p. 91 et IIT, p. 328. Myriothela cocksi (Vigurs). Voir : Matériaux Il, p. 92 et III, p. 329. Myriothela phryqua Myriothela cocksi Myriothela phrygia Myriothela Myriolhela phryqia Spadix cocksi Myriothela ALLMAN HINCKS Sars, G. O. ALLMAN ALLMAN ALLMAN SARS, G. O0. KOROTNEFF KOROTNEFF 187% (d) p. 317 ss. 1874 (a) p. 136, 137. 1874 p. 96, 130, 135. 1875 (a) p. 135. 1875 (b) p. 250 ss. 1876 (a) p. 549 ss., pl. 55-58. 1877 p. 28, note. 1878 (b) p. 363 ss. 1879 p. 187 ss. M. BEDOT Myriothela phrygia (Fabricius). Voir : Myriothela phryqra Myriothela arctica Myriothela phryqia Matériaux Il, p. 92 et IL p. Sars, G. O0. HINCKS SARS, G. O. LÜTKEN SARS, G. O. SARS, G. O. SaRs, M. STORM D'URBAN HINCKS HiINCKS WINTHER 329. 1873 p. 86, 119. 187% (a) p. 136. 1874 p. 130, 140-142. 1875 p. 188. 18770 p;. 1877, p.26, note. 1877%p. 29, pl 2, 1879 -p. 27. 1880 p. 259, 257, 1880 (a) p. 25 1880 (b) p. 279. 7 26, note. 298. 1880 (a) p. 2 Gen. Nematophorus Clarke 1879. Nematophorus grandis Clarke. Nematophorus grandis CLARKE 1879 p. 240, 248, pl. 5, 32-39. Gen. Nemertesia Lamouroux 1812. Voir : Matériaux 1, p. 455, I, p. 92 et IE, p. 330. Nemertesia antennina Lamouroux. Voir : Matériaux I, p. 455, IE, p. 92 et Il, p. 330. Antennularia antennina 1] 2] Forges HIENCKS HiNCKksS KIRCHENPAUER HUTroN VERRILL ALLMAN HINCKS 1872 p. 191. 1872 (a) p. 119, 121. 1872 (c) p. 386. 1872 p. 6, 18. 1873 p. 258. 1873 (a p. 497, 1874 (b) p. 471. 1874 (a) p. 137. 200, 73 Û. fig. 29-36. fig. HISLOIRE DES HYDROÏDES 929 Antennularia antennina M INrosn 1874 p. 208, 214. » » SARS, G. 0. 1874 p.93,106,132,138, 140. » » VERRILL 1874 (b) p. 41. » COUGHTREY 1875 p. 288, pl. 20, fig. 35-50. » D SCHULZE STD A2 ADR UMTS ) ) COUGHTREY 1876 (a) p. 31. ) » KIRCHENPAUERR 1876 p. 5, 8-11, 20, 38. Nemertesia antenninu KiRCHENPAUER 1876 p. 7, 13, 19, 29, se »1, 53, 59, fig. 26 et 26 a, des pl. 2 et 3. Sertularia antennina KiIRCHENPAUER 1876 p. 18. 19. Nemertesia antennina var. minor KIRCHENPAUER HS76 p. 29, 51. Antennularia antennina MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 324. » 2 STORM 1379%p129: » » PIEPER 1880 p. 144. » » RICHIARDI 1880 p. 155. » ù WIiNTHER 1880 (a) p. 268. Nemertesiæ cymodocea (Busk). Voir : Matériaux I, p. 531. Antennularia cymodocea KinCHENPAUER 1876 p. 30. Nemertesia decussata Kirchenpauer. Nemertesin decussata KIRCHENPAUER 1876 p. 8. 19, 30, 34, 54, lig. 21 des a CIN: Antennularia decussata KircHENPAUER 1876 p. 20, 2. fig. 24 à 24 c des pl. 2, 3 et 7. ] D PIEPER 1880 p. 144. Nemertesia hexasticha Kirchenpauer. Nemertesia heæasticha KiRCHENPAUER 1876 p. 8, 30, 34, 53, 54, fig. 29.des pl. 2, 3 et 8. Antennularia hexasticha Kimenexrater 1876 p. 52, fig. 25, 25a el 25 bdes pli 2,3 et:8: QS [Re] rs M. BEDOT Nemertesia intermedia Kirchenpauer. Nemertesia intermedia KIRCHENPAUER 1876 p. 6, 19, pl. 7, fig. 23. Heteropyris intermedia KIRCUENPAUER 1876 p. 29, 50, pl. 7, tig. 23. Antennularia intermedia KiRCHENPAUER 1876 p. 51. Nemertesia johnstoni Kirchenpauer. Plumularia] johnstoni KIRCHENPAUER 1876 p. 8. Nemertesia johnstoni KirCHENPAUER 1876 p. 30, 34, 53, 54, pl. 8, fig. 26. Antennularia Johnston KIRCHENPAUER pp. 52, pl. 8, fig. 26. Nemertesia norvegicu (@. O. Sars. Heteropyris norveqgica SARS, G. O. 1874 p.93,104,116,421, 132; 1382139 pla ie 15-22. » HINCKS 1874 (a) p. 129. ) ) KircaeNpaAuer 1876 p. 7, 16. 19, 20, 29,34, 28: plie 21524748 ) ) STORM 1579%p.229:- Nemertesia paradoxa Kirchenpauer. Nemertesia paradora KIRCHENPAUER 1876 p. 30, 34, 53, fig. 27 des pl. 2, 3 et 8. Antennularia paradoxa KincHeNPAUER 1876 p. 8, 20, 52, fig. 27 des DL 25 0%et6: Nemertesia pentasticha (Pieper). Antennularia pentasticha Pierer 1880 p. 144. Nemertesia ramosa Lamouroux. Voir : Matériaux E, p. 456, 457, IL, p. 93 et III, p. 331. Antennularia ramosa FORBES 1872 p. 194. ) » Hixcks 1872 (a) p. 119. HISTOIRE DES HYDROÏDES 325 Antennularia janini HixcKS 1872 (a) p. 121. Antennularia ramosa ALLMAN 1873 (a) p. 186. » » M° INrosn 1874 p. 206, 214. ) » SCHULZE 1575-07 423-125, 193 » » KIRCHENPAUER 1876 p. 8, 20, 36, 38. Nemertesit ramosu KiRCHENPAUER 1876 p. 7, 19, 20, 34, 50. Nemertesia janini KIRCHENPAUER 1876 p. 19, 30, 34%, 51, pl. 2, fig. 23, 23 a et pl. 3, fig. 23. Heteropyxis ramosu KIRCHENPAUER 1876 p. 29, 38, pl. 2, fig. 22, 22 a et pl. 3, fig. 22. Plumularia gracilis KIRCHENPAUER 1876 p. 30. Antennularia janini KIRCHENPAUER 1876 p. 36. Antennularia ramosua ALLMAN 1877 (Drp:2938 » » RICHIARDI 1880 p. 155. Nemertesia simplex (Alman). Antennularia simplex ALLMAN 18772(b) ps4 pl 21e. 12 Nemertesia tetrasticha (Meneghini). Voir : Matériaux HE, p 332. Heleropyris tetrasticha SaRs, G. 0. 187% p. 105. P lumaria| tetrasticha KIRCHENPAUER 1876 p. 16. Heteropyxis tetrasticha KIRCHENPAUER 1876 p. 19, 20, 29, 34, 36, 55, pl. 2, fig. 20 et 20 a et pl. 6, fig. 20. Nemertesia triseriata (Pourtalès). Voir : Matériaux HE, p. 333. Nemerlesia triseriala KiIRCHENPAUER 1876 p. 30. A ntennularia triseriata KIRCHENPAUER 1876 p. 30. Rev. Suisse DE 2001. T. 20. 1912. 23 326 M. BEDLOT Gen. Nemopsis L. Agassiz 1850. Voir : Matériaux LEE, p. 333. Nemopsis bachei L. Agassiz. Voir : Matériaux Il, p. 140 et HE, p. 554. Nemopsis bacher VERRILL 1873 (a) p. 454. 733. D » HÆCKEL 1879:p. 95,9%: Gen. Nuditheca Nutting 1900. Ce genre a été établi par NUTTING (1900 p. 128) pour y pla- cer l'espèce décrite par CLARK (1876 à) sous le nom de Macro- rhynchia dalli. Nuditheca dalli (Clark). Macrorkynchia dalli CLARK 1876 (a) 1p 2214-2230 pl tue lig. 18-20. Gen. Obelaria Hzæckel 1879. Ce genre est synonyme d’'Obelia ; il doit donc disparaitre. Gen. Obelia Péron et Lesueur 1810 —— Hincks 1868. Voir : Matériaux [. p. 457, LL p. 95 et IE, p. 333. Obelia bicuspidata Clark. Obelia bicuspidata CLARK 1875 p. 58, pl. 9, fig. 1. » » VERRILL 1875 p. 42; pl:-4;ñe 41: Obelia bidentata Clark. Obelia bidentata CLARK 1875 p. 58, pl. 9, fig. 2. » » VERRILL 1875 p. 42, pl. 4, fig. 10. Obelia commissuralis Mac Cradv. Voir : Matériaux HE p. 534. Obelia commissuralis VERRILL 1873 (a) p. 327, 9934, 393. :07,411, 425,728, pl. 27. fig. 281. HISTOIRE DES HYDROÏDES 32 | 9 Obelia commissuralis Büau 1878 p. 102. » » HÆCKEL 1879 p. 174. Obelarix commissuralis HÆCKEL 1879 p. 174. Obelia commissuralis AGASSIZ, À. 1880 (a) p. 487. Obelia dichotoma (Linné). Voir : Matériaux 1, p. 429, IT, p. 49 et IIT, p. 33%. Syn. : Eucope articulata À. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. 414. Svn. : Obelia sphéerulina Péron et Lesueur. Voir : Matériaux I, p. 485. Il, p. 141 et LIL, p. 426. Obeliu dichotoma FORBES 1872 p. 191. Laomedea dichotoma HINCKS 1872 (a) p. 121. Obelia dichotoma VERRILL 4873 (a) p.407, 441, 495, »00, 728. » » M° IxrosH 1874 p. 204, 207. » » (Eucope) GR&FFs 1875 p. 304. » » SCHULZE 1875 p. 123-126, 129, 137. » ) CLARK - 14876 (b) p. 258. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 17. » » Bou 1878" p.102; 1%1,: 149, 474, 175, pl. à, fig. 33-31. Campanularia dichotoma LEnz 1878 p. 9. Obelia dichotomn MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 253. Campanularia dichotoma Paxcert 1878 p. 2. ) » HÆCKEL 1879%p. 172 4174 Obelaria dichotoma HÆCKEL 1879 p. 174. Obelia sphærulina HÆCKEL 1879 p. 162, 172-174. Eucope articulata HÆCKEL 1879 p. 176. Obelia dichotoma Du PLEssiIs 1880 (a) p. 117. » D WINTHER 1880 (a) p. 237. 255, 260. Obelia divaricata Vernill. Obelia divaricata VERRILL 1873 (a) p.727. … M. BEDOT CS PE Obelia flabellata Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 95, 140 et IH, p. 336. Obelia flabellala FORBES 18726p401e ) ) VERRILL 1873 (a) p.390,393, 489, 497, 500, 728. » BoHM 1878 p. 175. » MERESCHROWSKY 1878 (a) p. 251, 323, 339, pl. 13, fig. 1-17. Obelia plana HxCkEL 1879 p. 177. Obelaria flabellata HÆCKEL LOTO ND Te Obelia flabellata WIiNTHER 1880:(a)*p. 237., 954,956; 2572 200,72 Obelia fusiformis (A. Agassiz). Voir : Matériaux IT, p. 336. Obelia fusiformis VERRILL 1873 (a) p. 407,411,42%, 727 Eucope fusiformis BoHM 1878 p. 140, 178 Obelia fusiformis HECKEL 1879 p. 177. Obelaria fusiformis HECKEL 1879 p. 178. Obelia gelatinosa (Pallas). Voir : Matériaux 1, p. 430, IL, p. 50 et II, p. 336. Syn. : Obelia leucostyla (Will). Voir : Matériaux IT, p. 140 et IT, p. 425. Obelix gelatinosa FORBEs 18727p-101; Campanularia gelatinosa MerzGEr 18730470 Obelia gelatinosa VERRILL 1873 (a) p. 391,393, 178, 482, 18h, 728. Sars, G. 0. 1874 p.134, 137. » » CLARK 1879 p.09: Campanularia gelatinosa HARTING l879#p 0; -pl. 1. fig759; Obelia gelatinosa SCHULZE 875 0p 12%, 429. Ù » CLARK 1876 (b) p. 258. Laomedea gelatinosa PANCERI 1876 p. 194. HISTOIRE DES HYDROÏDES 329 SPAGNOLINI 1876 p. 319. MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. 1878 p. 2. Thaumantias leucostyla Obelia gelatinosa Campanularia gelatinosa PAxceR Obelia leucostyla Obelaria leucostyla Obelia gelatinosa Obelaria gelatinosa Obelia gelatinosa » h HÆCKEL HÆCKEL HAÆCKEL H4CkEL Du PLESSIS WINTHER 1879 p: 174: 1879 p. 174. LORD ET LIAT0, pl AL fe. 6-7. 1379 p. 176. 1880 (a) p. 117. 1880 (a) p.236, 259,256, 260. Obelia geniculata (Linné\. Voir : Matériaux I, p. 430, 431, LL, p. 51. 53, 89 et 140, ILE, p. 338. Campanularia geniculata L » » Obelia geniculata Obelia diaphana Laomedea geniculuta Obelia geniculata » h Laomedea geniculata Eucope (Thaumantias) diaphand Eucope lucifera Obelia geniculata T'haumantias lucida ORSTED SCHULZE FORBES HixcKkS< VERRILL VERRILL Du PLESSIS M° Ixrosn SARS, G. O. VERRILL COUGHTREY LÜTKEN SCHULZE SCHULZE CLARK COUGHTREY COUGHTREY Norman ROMANES 1844 p. 65, 71. 1870 p. 206. 1872=p-"19/- 1872-(a)2p 424 1873 (a) p. 334, 393, 407, LA1, 424,487, 489, 494-496, 500, 727. 1873 (a) p. 327, 334, 429, L78,181,484,289, 900, 727 1874 p. 4929, 4392. 1874 p. 207. 1874 p.134, 137, 140-142. 1874 (b) p. 41, 44, 133,136. 1875 p. 290, pl. 20. fig. 42-44. 18754 p. 180 1875 pr 122424425197: 1875 p. 129, 199. 1876 (b) p. 258. 1876 (a) p. 2%. 1876 (b) p. 299. 1876 p. 198. 1876 (b) p. 525. 330 “ Laomedeu geniculata Obelia gymnophtalma Thaumantias lucifera Eucope diaphana Obelia geniculata ) ) Sclazocladium ramosum Obelia geniculata Campanularia geniculata : » Obelia diaphana Obelaria diaphana Obelia lucifera Obelaria lucifera Eucope alternata Obelia geniculata Eucope diaphana Schizocladium ramosum Obelia geniculata M. BEDOT SPAGNOLINI SPAGNOLINI BüaM Bôüau BônM LENZ MERESCHKOWSK Y MERESCHKOWSKY PANCERI HÆCKEL HÆCKkEL HÆCKEL HÆ&CKkEL HÆCKEL HCKkEL STORM AGASSIZ, A. CTAMICIAN Du PLESSIS RICHIARDI \VINTHER 1876 p. 319. 1876 p. 319, pl. 6, fig. 1878 p. 99. 1878 p. 140, 141, 178. 1878 p. 91,124, 139-141, 174, pl. 3, fig. 1-32. 1878 p. 8, 9. 1878 (a) p. 256, 339. 1878 (a) p. 323. 1878 bp. 2. 1879 7p. 472: 1879 p. 175. 1879°p 170: 1879 p-497; 17201075: 1879 :p: 175: 18709%p:176: 1879 p. 26. 1880 (a) p. 484. ISS0 p. 675. 1880 (a) p. 116. 1880 p. 155. 1880 (a) p. 235, 254-257, 259, 260, 263, 272. = Obelia hyalina Clarke. Obelia hyalina CLARKE 1879 p. 239, 241, pl. 4. lig. 21. Obelia longicyatha Allman. Obelia long icyathe ALLMAN 1877 (b) p. 10, pl. 7, fig. #, 5. Obelia longissima (Pallas). Voir : Matériaux I, p. 457, Il, p. 95 et II, p. 341. Syn. : Obelia polystyla (Gegenbaur). Voir : Matériaux IE, p. 426. Obelia long issuna )) FORBES VERRILL 1872 p. 191. 1873 (a) p. 728. HISTOIRE DES HYDROÏDES 331 Obelia longissima M° INrosH 187% p. 205, 207, 209. » » VERRILL 1874 (b) p. 44. » » SCHULZE 1879" p. 125, 129: ) » CLARK 1876 (a) p. 210, 212. ) ) NoORMAN 1876 p. 198. Eucope polystyla SPAGNOLINI 1876 p. 319. Obelia longissima CLAUS LS 77 Ep) Eucope polystyla HerTwiG, Ou. R. 1877 p. 356 ss. Obelia longissima Bürm 1878 p. 148. Eucope polystyla EIMER 1878 p. 240. » » HERTWIG, O. 1878 p. 179 note. Obelia polystyla HerrwiG, O.u.R.1878 (b) p. 3, 70ss., pl. 7, fig. 1529 “pla. fe: 7. Obelia longissima NORMAN 1878 p. 190. » » HÆCKEL 18792 pD 4107 477 Obelia polystyla HÆCKEL 1879 p. 462, 170, 172, 176. Campanularia longissima HÆCKEL 1879 p. 172: Obelaria polystyla HÆCKEL 1879 p.177. Obelia longissima \VINTHER 1880 (a) p.237,256, 260, 272. Obelia marginata Allman. Obelia marginata ALLMAN 1877 (b) p.9, 12, pl. 6, fig. 1, 2. ) » CLARKE 1879 p. 239, 241, 243. Obelia piriformis (A. Agassiz). Voir : Matériaux HI, p. 32. Obelia pyriformis VERRILL 1873 (a) p.334, 390,393, 478 L84, 189, 727. Obelaria pyriformis HÆCKEL 1879 p. 176. Obelia pyriformis HÆCKEL 18192 "1706: Eucope pyriformis AGASSIZ, A. 1880 (a) p. 48%. Obelia plicata Hincks. Voir : Matériaux III. p 342. Obelia plicata FORBES 1872 prA9T: » Bôam LS 1014 070: 332 M. BEDOT Obelia polygena Verrill. Obelia polygenx VERRILL 1873 (a) p. 72 Obelia pygmæa Coughtrey. Obelia pygmæn COUGHTREY 1876 (a) p. 25, pl: 3, fig. à. » » COUGHTREY 1876 (b) p. 299. Gen. Oorhiza Mereschkowsky 1877. MERESCHKOWSKY a établi ce genre en 1877 (p. 228) et en a donné plus tard (1878 (a) p. 325) une diagnose complète. Oorhiza borealis Mereschkowsky. OUorhiza borealis MERESCHKOWSKY 1878 (a) p.323.326,327, 339, pl. 45, fig. 7-11. Gen. Opercularella Hincks 1868. Voir : Matériaux If, p. 95 et LIL, p. 342. Opercularella lacerata (Johnston). Voir : Matériaux IL, p. 95 et IIT, p. 342. Opercularella lacerata M’ Ixrosa 1874 p. 209. » » CLARK 1875 p.62, pl. 9, fig. 6. D » VERRILL 1875 p. 42. » » WINTHER 1880 (a) p. 241. 255, 256. Opercularella pumila Clark. Opercularella pumila CLARK 1875 p. 61, pl. 9. fig. 3-5. » » VERRILL 1875 p. 42, pl. 4, fig. 7-9. Gen. Ophiodes Hincks 1866. Voir : Matériaux JL. p. 343. Voir la note au genre Ophionema. 1” en HISTOIRE DES HYDROÏDES Ophiodes mirabilis Hincks. Voir : Matériaux, IL, p. 343. Oplriodes mirabilis FORBES 1872)p: 191: » » HINXCKS 1874 (a) p. 130. » » M° Ixrosu 1874 p. 204. » » SARS, G. 0. 187% p. 110. » » KIRCHENPAUER 1876 p.12, 21. » » MEREscHKOWSKY 1878 (a) p. 251. » » GORTTE 1880 p. 353. Cren. Ophionema Hincks 1874. HINCKS (1874 (a) p. 131) a créé ce genre pour y placer l’'Ophiodes parasitica de G. O. Sars. Le genre Oplionema se rapprocherait des Plumularides, tandis que les Ophiodes pré- sentent d'étroites relations avec les Æalecium. Ophionema parasiticum G. O. KSars. Ophiodes parasitica SaRs, G. O0. 1874%p; 9%" 109-433: 439, pl. 4, fig. 5-8. Ophionema parasiticum HixcksS 1874 (a) p. 130, 131. Ophiodes parasitica KIRCHENPAUER 1876 p. 12, 21. Ophionema parasiticum KIRCHENPAUER 1876 p. 30, 34, lig. 28 des pl: 2-et 3. Ophiodes parasiticus MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 251. (ren. Oplorhiza Allman 1877. Oplorhiza parvula Allman. Oplorhiza parcula ALLMAN 1877 (b) p. 15, pl. 7. fig. 1-3. Sous-genre Pachyrhynchia Kirchenpauer 1872. Voir la note au genre Calatophor«. Le dE) FN M. BEDOT Gen. Pasythea Lamouroux 1812. Voir : Matériaux I, p. 458, IL, p. 96 et IE, p. 34%. Pasythea gracilis Dana. Voir : Matériaux Il, p. 96 et IT, p. 3%. Pasythea hexodon Busk. Voir : Matériaux I, p. 34%. Pasythea quadridentata (Ellis et Solander). Voir : Matériaux 1, p. 458, IE, p. 96 et IE, p. 34%. Pasythea quadridentata (EN. et Sol.) var. balei Billard. Voir : Matériaux 1. p. 440, IE, p. 68 et IIL, p. 34%. Gen. Pennaria Oken 1815. Voir : Matériaux 1, p. 458, LE, p. 96 et IIE, p. 34%. Pennaria disticha Goldfuss. Voir : Matériaux L, p. 459, IF, p. 96 et LIL, p. 34%. Pennaria cavolinit KIRCHENPAUER 1872 p. 18, note. Pennaria disticha KIRCHENPAUER 1872 p. #0. ) » SCHULZE 1876 p.413,note, pl. 30, 1ig. #. » » HxCkEL 1879 p. 40. Pennaria cavolinti Du PLESSIS 1880 (a) p. 115. » » RICHIARDI 1880 p. 15%. Bien que cette espèce ligure dans le Systema Naturæ de LiNNÉ et GMELIN sous le nom de Sertularia pennariu, elle ne doit pas (comme l'ont pensé quelques auteurs) porter le nom de Pennaria pennaria. En effet, CAVOLINI, en décrivant la Sertolara pennara, V'identifiait à tort avec la S. pennaria de LiNNÉ, qui est une autre espèce (Aglaophenia pennaria). C’est done avec raison que GOLDFUSS a abandonné ce nom et adopté celui de Pennaria disticha. La Méduse de cette espèce est probablement (rlobiceps globator. a) QÙ Qt HISTOIRE DES HYDROÏDES Pennaria gibhosa Li. Agassiz. Voir : Matériaux HE, p. 345. Pennaria qibbosa CLARKE 1879 p. 240. » ) Du PLEssIs 1880 (a) p. 115. Pennaria symmetrica Clarke. Pennaria symmetrica CLARKE 1879 p.239, 240, pl. 1, fig. 2, 3° Gen. Pericladium Allman 1876. 0 / MERESCHKOWSKY (1878 (d) p. 434) à montré que les deux senres Selaginopsis et Pericladium établis par ALLMAN (1866 b) ne pouvaient pas être séparés. Il les à réunis sous le nom de Selaginopsis. Cette opinion à été généralement admise. Gen. Perigonimus Sars 1846. Voir : Matériaux Il, p. 97 et HI, p. 345. Perigonimus abyssi G. O. Sars. Perigonimus abyssi SARS, G. 0. 187% p.96, 126, 135, 138-140, pl. à, fig. 27-30. ) ) HINCKS 1874:(a) Dr125:126: | Perigonimus (?) bitentaculatus (Wright). Voir : Matériaux IE, p. 345. Perigonimus bilentaculatus MerEescakowskY 1877 p. 22h. Atractylis bitentaculata MeREscHKowskY 1877 p. 225, 227. ) ) MERESCHKOWSKY 1878 (C) p. 253. Perigonimus (?) coccineus (Wright). Voir : Matériaux IE, p. 545. 336 M. BEDOT Perigonimus (2) linearis (Alder). Voir : Matériaux IE, p. 546. Perigonimus linearis Du PLESssIS 1880 (a) p. 113. » » WINTHER 1880 (a) p. 231, 256. Perigonimus (?) miniatus (Wright). Voir : Matériaux IE, p. 346. Perigonimus minutus Alman. Voir : Matériaux IE, p. 346. Perigonimus multicornis Allman. Perigonimus multicornis ALLMAN 1876 (b) p. 252, pl. 9. fig. 1-2. » » WINTHER 1880 (a) p. 231, 255. Perigonimus muscoides Sars. Voir : Matériaux I, p. 97 et IL p. 346. Perigonimus nuscoides SARs, G. 0. 1874 p. 96,126, 129, 135, 140. Perigonimus nutans Hincks. Perigonimus nutans HINCRS 87744) np 49 pl A2 nome Perigonimus palliatus (Wright). Voir : Matériaux HE, p. 547. Perigonimus (2) quadritentaculatus (Wright). Voir : Matériaux IT, p. 347. Perigonimus quadritentacu- latus MERESCHKOWSKY 1877 p. 224. Atractylis quadritentaculata Merescakowsky 1878 (0) p. 253. HISTOIRE DES HYDROÏDES Perigonimus repens (Wright). Voir : Matériaux I, p. 347. Perigonimus repens SCHULZE 1879-p: 129, 125:1927. » » BüHM 1878 p. 88. Eudendrium pusillum BüHM 1878 p. 167. Perigonimus repens WINTHER 1880 (a) p. 230,2355-25 Perigonimus serpens Allman. Voir : Matériaux IIE, p. 348. Perigonimus serpens RICHEARDI 1880 p. 15%. » » \VINTHER 1880 (a) p. 231, 296. Perigonimus sessilis (Wright). Voir : Matériaux I, p. 348. Perigonimus vestitus Allman. Voir : Matériaux IE, p. 548. Perigonimus vestitus HÆCKEL 1879 p. 28. » » WINTHER 1880 (a) p. 230, 256. Gen. Plumularia Lamarck 1816. Voir : Matériaux [., p. 459, I, p. 97 et IE, p. 348. Plumularia attenuata Allman. Plumularia attenuata ALLMAN 1877 (b) p.30, pl. 18, fig. Plumularia australis Kirchenpauer. Plumularia obliqua var. australes KiRCHENPAUER 1876 p. 18, 49, pl. Monopyxris obliqua var. australis KIRCHENPAUER 1876 p. 29. Monopyris australis KIRCHENPAUER 1876 p. 50 394 1,259. 3,6. 6, fig. 10. 320 M. BEDOT Plumularia badia Kirchenpauer. Plumularia badia KiRCHENPAUER 1876 p. 26, 34, 45, pl. À, fig. 3et pl. 4. fig. 3. Plumularia bifrons (Heller). Voir : Matériaux IL, p. 349. Anisocalyx bifrons HINCKS 1872 (a) p. 120. Plumularia bifrons KIRCHENPAUER 1876 p. 28, pl. 1. fig. 16. Plumularia campanula Busk. Voir : Matériaux [IE p. 349. Plumularia catharina Johnston. Voir : Matériaux IE, p. 97 et LE, p. 349. Plumularie catharina FORBES 1872 p. 191. » » Hixcks 1872 (a) p. 120. » » HINCKS 1872-(c) p. 389. 390, pl. 24, tig. 4-5. » » ALLMAN 1873 (a) p. 186. Plumularia catharinæ VERRILL 1873 (a) p. 732. Plumularia catharina ALLMAN 1874 (b) p. 479. ) » M° Ixrosu 1874 p. 215. » SARS, G. O. 1874 p. 93, 102, 152: ) » SCHULZE 1875 p. 123. 134. ») » KIRCHENPAUER 1876 p.4,6-9,27,36-38, pl. 1, fig. 12 et pl.3, fig. 12,13. D » NORMAN 1876 p. 198. » » ALLMAN 1877 (b) p. 2, 37-39, 56. ] » Hixcks 1877 (a) p. 148. » » STORM 1879 p. 25. Plumularia clarkei Natting. Plumularia gracilis CLARKE 1879 p. 240, 246, pl. 9. fig. 29-50 €. HISTOIRE DES HYDROÏDES 594 LamouRoUx (1816 p. 171) a décrit, sous le nom d'A glaophenia gracilis. une espèce dont BizLarD (1909 p. 327) a retrouvé le type et qui n’est autre qu'un fragment de Nemertesia ramosa. BLAINVILLE (1830 p. 443 et 1834 p. 479) a cité cette espèce sous le nom de Plumularia gracilis, nom adopté également par M. Edwards (1836 p. 167). En 1860 (a), Murray donna le nom de Plumularia gracilis à une espèce qu'il crovait être nouvelle, mais qui est synonyme de l'Hydrallmania fran- ciscana ainsi que CLARK (1876 b) et NurtixG (1904) l'ont montré. D'autre part, CLARKE, en 1879 à décrit une nouvelle espèce de Plumu- laria sous le nom de P. grucilis. Pour éviter les confusions, NurriNG a pro- posé de changer le nom de cette espèce et de la nommer Plumularia clarkes. Nous adopterons la proposition de NurriNG d'autant plus volontiers que la confusion à été encore augmentée par LENDENFELD qui à décrit en 1884. sous le nom de Plumularia gracilis une nouvelle espèce (probablement synonvme de P. ramsayi Bâle). Plumularia cornucopiæ Hincks. Plumularia cornu-copiæ Hixcks 1872 (c) p.389, pl. 21, lig. 1-3. Plumularia cornucopiæ VERRILL 1873 (a) p. 732. Plumularia cornu-copiæ Hincks 1874 (a) p. 129. » KiIRCHENPAUER 1876 p. 7, 27. fig. 17 des pl. let s. Plumularia cylindrica Kirchenpauer. Plumularia eylindrica KiRCHENPAUER 1876 p. 26, 34. 35. ti. 1 des pl: Let 4. Plumularia diaphana Heller. Voir : Matériaux HE, p. 349. Aunisocalyx diaphanus Hixcks 1872 (a) p. 120. Plumularia diaphana KIRCHENPAUER 1876 p. 27, pl. 1, fig. 13. Piumularia disticha Heller. Voir : Matériaux LEE, p. 590. Heteropyxis disticha SaBs, G. 0. 187% p. 105. D 2 KIRCHENPAUER 1876 p. 16, 20. 36. Plumularia disticha KiRcHENPAUER 1876 p. 27, 34. pl. 1, fig. 8. 340 M. BELOT Plumularia echinulata Lamarck. Voir : Matériaux E. p. 459, IE, p. 98 et IT, p. 350. Plumularia echinulata Hixeks 1872 (a) p. 119. » » SCHULZE 18795: p.1293- 19%. D KiRCHENPAUER 1876 p. 4-6, 17, 28, 38, lis. 10 des pl. 1 et 3. » \WEISMANN 1880 (b) p. 367. » WINTHER 1880 (a) p. 268. Plumularia elegantula G&. O. Sars. Plumularia elegantula SaRs, G. 0. 1874 p.93,103,132,138;1439; pl. 3, fig. 9-14 » » KIRCHENPAUER 1876 p. 38. » h STORM 1879602259: Plumularia filicaulis Kirchenpauer. Plumularia filicaulis KiIRCHENPAUER 1876 p. 28,3%, 47, pl. 9, fig. 6. Plumularia filicula Alman. Plumularia filicula ALLMAN 1877.(b) p. 29,31,:39,; pl:18; fo: 1, 2. Plumularia frutescens (Ellis et Solander). Voir : Matériaux I, p. 460, IT, p. 98 et ILE, p. 350. Plumularia frutescens FORBES 1872 p. 191. » ) HINCKS 1872 (a)"pr120;421. ) » Hixcxs 1872 (c) p. 388. » ) KIRCHENPAUER 1872 p. 38. » » M° INrosH 1874 p. 215. ) ) SARs, G. O. 1874 p.93, 103.132.138,140. » » SCHULZE 1875 p. 123, 124, 134. » » KiIRCHENPAUER 1876 p. 6, 11, 26, 34, 36-38, Be. 9\des pl 1et"3: » ) NORMAN 1876 p. 198. ) » STORM 1879%p: 22. HISTOIRE DES HYDROÏDES Plumularia geminata Allman. Plumularia geminata ALLMAN 1877 (b) p. 32, 39, 56, pl. 20, lig. 1-4. » » CLARKE 1879 p. 247. Plumularia glutinosa (Lamouroux). Voir : Matériaux IE, p. 551. A ylaophenia glutinosa KIRCHENPAUER 1872 p. 29. ) ) KIRCHENPAUER 1876 p. 30. Plumularia gracillima Sars. Plumularia gracillima SARS 1873 p. 86, 118. ) ) HixcKksS 1874 (a) p. 125. SARS, G. O: 1874 p.93,103, 132, 138,139, pl. 3, fig. 1-6. KIRCHENPAUER 1876 p. 27, 38, pl. 3, fig. 16. Plumularia halecioides Alder. Voir : Matériaux II, p. 351. Syn.: Plumularia pinnatifrons (Heller). Voir : Matériaux LE, p. 353. A nisocalyx pinnatifrons Hixcks 1872 (a) p. 120. ) KIRCHENPAUER 1876 p. 6. Plumularia halecioides * KircHENPAUER 1876 p. 28, 38, lig. 1% des pl. 1 et 3. 12 Plumularia halecioides var. adriatica KiRCHENPAUER 1876 p. 28. Plumularia helleri Hincks. Voir : Matériaux Il, p. 99 et HE, p. 351. Plumularia helleri Hixcks 1872 (a) p. 120. » KIRCHENPAUER 1876 p. 28. Anisocalipr selaceus RICHIARDI IS80 p. 155. REV. SUISSE DE Zoo. T. 20. 1912. 24 5342 M. BEDOT Plumularia hians Busk. Voir : Aglaophenia hians. Plumularia longicornis Busk. =. Voir : Matériaux HE, p. 354. Plumularia macrotheca Alman. Plumularia macrotheca ALLMAN 1877 (b) p.30, pl. A8, fig. 3, /#. Plumularia megalocephala Alman. Plumularie megalocephala ALtMaAN 1877 (D). p.31, pl.19;fig1,2 Plumularia obconica Kirchenpauer. Plumularia obconica KiRCHENPAUER 1876 p. 4, 6. 8. 26, 34, 46, fig. 5 des pl. 1, 3 et à. Plumularia oblique (Johnston). Voir : Matériaux I, p. 99 et II, p. 352. Plumularia obliqua FORBES 18 72%pe 194 Monopyris dichotoma KiRCHENPAUER 1876 p. 17, 48. 50. Plumularia oblique KiRCHENPAUER 1876 p. 18, 56, pl. 1, fig. 19. Monopyxis oblique KiRcHENPAUER 1876 p. 18, 29, 34. 38, A9, 50 (pl. 1. fig. 49). Plumularia oligopyxis Kirchenpauer. Plumularia oligopyris KiRcHENPAUER 1876 p.28, 3%, 48, pl.6, fig, 9. Plumularia (Anisocola) oli- gopyxis Var. hipyris KIRCHENPAUER 1876 p. 49. Plumularia (Anisocola) oli- gopyris Var. monopyais KircHENPAUER 1876 p. 49. Plumularia (Anisocola) oli- gopysis var. tripyris KiIRCHENPAUER 1876 p. 49. Monopyxis tenella KiIRCHENPAUER 1876 p. A9. HISTOIRE DES HYDROÏDES 343 Plumularia pinnata (Linmé). Voir : Matériaux 1. p. 460, LE, p. 100 et LIL, p. 352 Plumularin pinnata ORSTED 1844 p. 74. ) » HiNcks 1872 (C) p. 387. » » KIRCHENPAUER 1872 p. 18. » M° Ixrosu 1874 p. 209, 215. » » SaRS, G. 0. 1874 p. 104, 132. » » SCHULZE 1875 p. 123-126, 133. » D KIRCHENPAUER 1876 p. 5, 6, 8, 10. 16, 26, 34, 37, 38, pl. 1, fig. 7, pl. 3, fig. 7 ets. » ) NoRMaAN 1876 p. 198. » » WINTHER 1880 (a) p.252,255-257, 259, 260. Plumularia pinnatifrons (Heller. Voir : Matériaux I, p. 353. Voir : Plumularia halecioides. Plumularia ramosa Busk. Voir : Matériaux IE, p. 353. Voir : Aglaophenia divaricata. Plumularia ramulifera Alman. Voir : Matériaux IE, p. 353. Plumunlaria ramulifera KIRCHENPAUER 1876 p. 37. Plumularia rugosa Kirchenpauer. Plumularia rugosu KiRCHENPAUER 1876 p. 28. 47, pl. 6, fig. 8. Plumularia seabra Lamarck. Voir : Matériaux IE, p. 353. A glaophenia scabra KIRCHENPAUER 1872 p. 30. 544 Plumularia scabra Plumularia effusa Plumularia seabra M. BEDOT 1872 p. 46,48, ex. sun. 1876 p. 26, 3%, 46, pl. 1, fig. KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KiIRCHENPAUER 1876 p. 30. Plumaularia secundaria (Gmelin). Voir : Matériaux LE p. 461, If, p. 100 et HE, p. 35%. Sertularia secundaria Anisocalyx secundarius Plumularia secundaria Serlularia secundaria HiNCKS 1872 (a) p. 119. 1872 (a) p. 120. 1826:p::9: "216228; Dpl-AFne 18 et pl. 6, lig. 7. HixcCx=S KIRCHENPAUER ALLMAN 1877 (b) p. 3%. Plumularia setacea (Linné). Voir : Matériaux [, p. 461, IE, p. 101 et IIE, p. 354. Plumularia setacea D] )) D] ) )} ») » ) ) )) )) ) D] ) 2] ) D] » » )) FORBES 18722p:249%: HiNckS 1872 (a) p. 120. Hixcks 1872 (e) p.386, pl. 20, lig. 2-3. KIRCHENPAUER 1872 p. 18 SARS 1873 p. 118. ALLMAN 1874 (b) p. 476. Hixcks 1874 (a) p. 126, 137. Sars, G. O0. 187%. p. 93, 102, 132, 140. 1879 p. 422, 4244195134: 1876 (b) p.249, 250, 251,261, pl. 41, fig. 1-2. 1876 p. 8, 10, 27, 28, 36-38, lie. 11 des pl. 1 et 3. 1876 p. 198. 1877 (b) p. 38, 39. 1880 (a) p. 230, 231. SCHULZE CLARK KIRCHENPAUER NORMAN ALLMAN \VEISMANN Plhumularia setacea (L.) var. gaimardi Billard. Voir : Matériaux IL p. 99 et IE, p. 355. Plumularia qaimardi KIRCHENPAUER 1876 p. 8, 9, 27, des pl. 1 et 3. 4, fig. 6 HISTOIRE DES HYDROÏDES 345 Plumaularie siliquosa Hincks. Plumularia siliquosa HixeksS 1877 (a) p.148. pl. 12, tig. 2-6. Plumularia similis Hincks. Voir : Matériaux HI, p. 355. Plumularia similis HixCkS 1872 (a) p. 119. » » KIRCHENPAUER 1876 p. 6, 17, 28, 38, lig. 15 des pl. 1 et 3. Plumularia sulcata Lamarck. Voir : Matériaux IE, p. 355. Aglaophenia sulcata KIRCHENPAUER 1872 p. 29. Plumularia sulcata KIRCHENPAUER 1876 p. 341. Plumularia tenella Verrill. Plumularie tenellu VERRILL 1873 (a) p. 731. » D CLARK 4875: p. 69. » » KiIRCHENPAUER 1876 p. 31. Plumularia tuba Kirchenpauer. Plumularia tuba KiRCHENPAUER 1876 p. 26, 34, 4h, lis. 2 des pl. 1etA. Plumularia verritli Clark. Plumularia verrilli CLARK 1875 p.64, pl. 10, fig. 9. (ren. Podocoryne Sars 1846. Voir : Matériaux If, p. 102 et LIL, p. 3955. Podocoryne aculeata (Wagner). Voir : Matériaux Il, p. 103 et LE, p. 355. Podocoryne aculeata MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 326. 340 M. BEDOT Podocoryne areolata Alder. Voir : Matériaux Il, p. 356. Podocoryne areolata Rhizoclina areolala Culæandra areolata MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 326. HÆCKEL HxCKEL 1879 p. 79. LOTO 19 lodocoryne carnea Sars. Voir : Matériaux IL, p. Podocorpne carnea ») ») )) ) )) )) Podocoryne tubulariæe Oceania Podocoryne carnea Podocoryne carnea Dysmorphosa conchicola Podocoryne carnea Dysmorphosa conchicola Podocoryne carnea Padocoryne cornea Podocoryne carnea Dysmorphosa carnea Dysmorphosa conchycola Podocoryne carnea ) » Cuytæts exiqua Dysmorphosa carnea Podocoryne carned D'après C. W. Harerrr (490%) on aurait, jusqu’à présent, confondu sous MôBius MôBrus HINCKS SARS G20: Sars, G. O. GRAEFFE GROBBEN GROBBEN SCHULTZE ALLMAN GROBBEN GROBBEN SPAGNOLINI CLAUS Hixcks MERESCHKOWSKY Boum MERESCHKOWSKY HÆCKkEL HÆCKEL HÆCKEL Du PLESsIS HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL WINTHER 103 et I, p. 356. 1873 (a) p. 101. 1873 (b) p. 149. 187% (a) p. 126. 1874 p.96,U31, 136-139, 141. 1874 p. 136, 140. 1875 p. 304. 1875 p. 215. 1875 p. 215. 1875 p. 122, 128. 1876 (b) p. 255. 1876 1876 p. 1876 p. 308. 15774p. 11; 1877 (a) 1877 p. 1878 p. 136. 1878 (a) p. 326. 1879 p. 77. 1879p: 77,78: 18 797parre 1880 (a) p. 110. 1889 p. 63%. 1880 p. 634. 1880 p. 634. p- 455 ss., pl. 1-2. 159. 224. 1880 (a) p. 227,255, 258, 259. p.150, pl. 12, lig. 7-8. HISTOIRE DES HYDROÏDES 347 le nom de Podocoryne carnea deux espèces distinctes : la véritable P. carnea de Sars, dont la Méduse a 8 tentacules, et la Podocoryne commune à Na- pies, à laquelle il donne le nom de P. conchicola et dont la Méduse n’a que L tentacules. Cependant, plusieurs auteurs admettent que lon ne peut pas distinguer ces deux espèces en se basant sur ce seul caractère, d'autant plus que, chez les Podocorvnes, les # tentacules interradiaux peuvent être in- complètement développés, ou même manquer, au moment où la Méduse se détache. (Voir : A. G. Mayer 1910 et HarrLAUB 1911). Podocoyne inermis Allman. Podocoryne inermis ALLMAN 1876 (b) p.255, pl. 10, fig.4-5. ) » WIiNTHER 1880 (a) p. 228, 255-257, 259, 260. Podocoryne proboscidea Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 358. Prodocoryne proboscidea Bünu 1878 p. 160. Gen. Polyplumaria G. 0. Sars 1874. Voir la remarque au genre Diplopteron. Polyplumaria flabellata G. O. Sars. Polyplumaria flabellata SaRs, G. O. 1874 p.93, 101, 110,132, 139, pl. 2, fig. 16-22. Diplopteron insigne ALLMAN 187% (b) p. 471, 479, pl. 68, fg2=2 "0; Polyplumaria flabellata KIRCHENPAUER 1876 p. 21. Polyplumaria flabellum KIRCHENPAUER 1876 p. 21. Diplopteron (Plumularia) insiqne KIRCHENPAUER 1876 p. 26. Plumularia (Polyplumaria) flabellata KIRCHENPAUER 1876 p. 26. Plumularia flabellata KiRCHENPAUER 1876 p. 34, 38. (ren. Polyserias Mereschkowsky 1877. MERESCHKOWSKY qui avait créé ce genre (1877 p. 228 et 348 M. BEDOT 1878 (a) p. 333) à reconnu plus tard (1878 (d) p. 434) qu'il devait être supprimé étant synonyme de Selaginopsis. Gen. Protohydra Greef 1869. Voir : Matériaux IE, p. 558. Protohydra leuckarti Greef. Voir : Matériaux I, p. 358. Protohydra leuckarti KOROTNEFF 1876 p. 372. » » MERESCHKOWSKY 1877 p. 225, 227. » » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 292. Gen. Rhizogeton L. Agassiz 1862. Voir : Matériaux LI. p. 598. Bhizogeton fusiformis 1. Agassiz. Voir : Matériaux [IE p. 358. Gen. Rhizonema Clark 1876. Rhizonema carnea Clark. Rhizonema carnea CLARK 876) D 219288: Gen. Rhizorhagium M. Sars 1874. Rhizorhagium roseum Sars. Rhizorhagium roseum SaRs, M. 1874 p. 129. » » SARS, G. O0. 1874 p. 96,117, 129,135,141. ) » Sars, M. 1877 p. 28, pl. 2, üg. 37-43. Gen. Scapus Norman 1875. LEVINSEN (1892) à montré que ce genre devait être sup- primé, le Scapus tubulifer de NORMAN n'étant qu'un gonosome de Cryptolaria exserta. HISTOIRE DES HYDROÏDES 349 (en. Selaginopsis Allman 1876. Voir : Matériaux |, p. 462. Selaginopsis allmani Norman. Selaginopsis fusca ALLMAN 18706: (b) p: 299272 Dl:-12, fig. 4 et pl. 19, fig. 1-2. » » NORMAN 1878 p. 190. Selaginopsis allmanti NoRMAN 1878 p. 192. » » MERESCHKOWSKY 1878 (d) p.436,437, 445, 446. Selaginopsis bidentata (Aman). Pericladium bidentatum ALLMAN 1876 (b) p.273, pl. 20, fig. 1-. » » MERESCHKOWSKY 1878 (d) p. 43%. Selaginopsis bidentatu MERESCHKOWSKY 1878 (d) p.441,442,445, 446. Selaginopsis cedrina (Linné). Syn. : Sertularia cedrina Kirchenpauer. Voir : Matériaux, I, p. 467, II, p. 111 et Ill, p. 367. Sertularia cedrina KIRCHENPAUER 1876 p. 43. Selaginopsis cylindrica (Clark). Thuvaria cylendrica CLARK 1876: (a) p.:214-226 pl=16, tie. 97. Selayinopsis cylindrica MERESCHKOWSKY 1878 (d) p. 445, 446. Thuiuria cylindrica NORMAN 1878 p. 190. Selaginopsis decemserialis Mereschkowsky. Selaginopsis decemserialis MEerEscHKowWskY 1878 (d) p. 459, 442, 446, pl. 17, fig. 13-16. » » THOMPSON 1879 p. 114. » » D'URBAN 1880 p. 259, 259, 269. » ) Hixcks 1880 (a) p. 259, 269. 350 ‘ M. BENOT Selaginopsis fusca (Johnston). Syn. : Sertularia fusca Johnston. Voir : Matériaux IL, p. 114 et IIE, p. 370. Sertularia fusca FoRBES 18722 p-419%% ) M° IxrosH 1874 p. 204, 213. » » SCHULZE L875%p: 122, 432: ) » NoRMAN 1876 p. 198. Selaginopsts fusca MerescuxowskY 1878 (d) p.436,4#37, #45, 416. Sertularia fusca NORMAN 1878 p. 190. Selaginopsis fusca NORMAN 1878 p. 191. Sertularia fusca THomPsON 1879 p. 103. Selaginopsis mirabilis (Verril). Diphasia mirabilis VERRILL 1873 (b) p. 9. » » Suir a. HARGER 1874 D. 9, 53. ) » CLARK 1876 (a)>p. 210, 219,°pl:149, lis. 36. Polysertas hinchsi MerescakoWskY 1877 p. 228, pl. 6, lig. 15-16. Polyserias mirabilis MERESCHKOWSKY 1878 (a) p.324.333, 339, 337, 338, pl. 15, fig. 5,6. Polyserias hinchksi MERESCHKOWSKY 1878 (b) p. 421. Selaginopsis mirabilis : MERESCUKOWSKY 1878 (b) p. 421. » » MERESCHKOWSKY 1878 (d) p. 434, 435, 437, LA, 44%-4L4G. ) ) NORMAN 1878%p-4190:-192- ) » THOMPSON L879 p: 11%: Selaginopsis novæ-zelandiæ (Thompson). Pericladium novæ-zelandiæ Taompsox 18797p 442-143, pl ete SL le Selaginopsis obsoleta (Lepechin). Syn. : Sertularia obsoletu Lepechin. Voir : Matériaux I, p. 472, II, p. M4 et IIT, p. 372. Polyserias glacialis MERESCHKOWSKY 1877 p. 228. HISTOIRE DES HYDROÏDES 501 Polyserias hinclsi MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 32%, 337, pl. 15, tig. 1-4. Selaginopsis hinchsi MERESCHKOWSKY 1878 (b) p. 421. ) » MERESCHKOWSKY 1878 (d) p.435,437, 44,446. Selaginopsis ochotensis Mereschkowsky. Selaginopsis ochotensis MErescHkowskY 1878 (d) p.440, 442,4%%4,%46, DA he EE Selaginopsis pacifica Mereschkowsky. Selaginopsis pacifica MErREscHkOWsKY 1878 (d) p. #38, 44, 146, pl. 16, fig. 5- KIRCHENPAUER (1884) croit que celte espèce est synonvme de S. cedrina. Selaginopsis pinaster (Lepechin). Syn. : Sertularia pinus (rmelin. Voir : Matériaux 1, p. 473, IL p. 115 et IL, p. 374. NurminxG (190% p. 128) fait remarquer que la loi de priorité exige que lon reprenne pour cette espèce le nom spécifique de pinaster. Selaginopsis pinnata Mereschkowsky. Selaginopsis pinnala MERESCHROWSKY 1878 (d) p. 436,439, 444,446, 47, pl. 16, fig. 3, 4. Selaginopsis purpurea (Linné). Syn. : Sertularia purpurea Linné. Voir : Matériaux F, p. 474, Il, p. 116 et LIL, p. 376. Sertularia pur purea KIRCHENPAUER 1876 p. 43. Selaginopsis thuja Mereschkowsky. Selaginopsis thuja MerEscakowskY 1878 (d) p. #39, 442, #46, pl. 16, lig. 8-10. 352 M. BEDOT Selaginopsis triserialis Mereschkowsky. Seluginopsis triserialis MERESCHKOWSKY 1878 (d) p.455,437,438,447, L4G, pl. 16, fig.4,2. Gen. Sertularella Gray 184$. Voir : Matériaux Il, p. 104 et IE, p. 359. Sertularella albida Kirchenpauer. Sertularella robusta CLARK 1876 a)"p 21172925 ne Me; lig. 32, 33. En 1884, KiRCHENPAUER (Nordische Gattungen und Arten von Sertulari- den), fait remarquer qu'il existe deux espèces de Sertularella robusta dé- crites toutes les deux en 1876, l’une par CLark, l’autre par CouGHTRey. Ces deux espèces étant bien différentes, KircHEeNPAUER les distingue en donnant le nom de Sertularella albida à la première. Ce nom a été généralement adopté et doit être conservé, quand bien même la Sertularella robusta de CouGurrey tombe en synonymie de Sertularella tenella. Sertularella amphorina Allman. Sertulurella amphorina ALLMAN 18774(b) "p.822 pl 45 to 8-10. ) » CLARKE 1879 p 240, 246 Sertularella arbuscula (Lamouroux). Voir : Matériaux !, p. 465, FE, p. 4140 et LIT. p. 359. Sertularella clarki Mereschkowsky. Sertularella elarki MERESCHKOWSKY 1878 (d) p. 447, pl. 17, tig. 20-22. Sertularella conica Alman. Sertularella conica ALLMAN 1877 (b) p. 21, pl. 15, fig.6-7. ) » CLARKE 1879 p. 240, 246. Qt HISTOIRE DES HYDROÏDES 3): Sertularella crassicaulis (Heller!). Voir : Matériaux IE, p. 5959. Sertularella distans (Lamouroux). Voir : Matériaux I, p. 469, IF, p. 111 et IIE, p. 359. Sertularella divaricata (Busk). Voir : Matériaux HE, p. 359. Sertularella episcopus Allman. Sertularia fusiformis HuTrToN 1873 p.257; Sertularella episcopus ALLMAN 1874 (e) p. 179. Sertularia fusiformis COUGHTREY 1875 p. 285, pl. 20, lig. 21-23. Sertularella eprscopus ALLMAN 1876 (b) p.263, pl. 13, fig. 5-7. Sertularia longicosta COUGHTREY 1876 (a) p. 28. Sertularia fusiformis COUGHTREY 1876 (a) p. 28. » » COUGHTREY 1876 (b) p. 300. Serlularia longicosta COUGHTREY 1876 (b) p. 300. ALLMAN à donné à la Sertularia fusiformis le nom de Sertularella epis- copus parce qu'il v avait déjà une Sertularella fusiformis de Hixcks. CouGn- TREY, pour la même raison, avait nommé cette espèce S. longicosta, mais le nom proposé par ALLMAN a la priorité. Sertularella exiqua Thompson. Sertularella exiqua THoMpson FST Sn MO LEGER Sertularella fusiformis Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 360. Serlularia sumplex HUTToN 1873 p.297: » » pp. COUGHTREY 1875 p.283,pl.20,tig.8et11. Sertularella stmpler COUGHTREY 1876 (a) p. 27, pl. à, fig. 6 c. Sertularella fusiformis COUGHTREY 1876 (a) p. 27. » » COUGHTREY 1876 (b) p. 300. 394 M. BEDOT Sertularella simple COUGHTREY 1876 (b) p. 300. » » THOMPSON 1879 p- 10172402: Sertularella fusiformas RicHiARDI 1880 p. 155. BALE (1884) considère la S. simpler de Hurrox et de CoucHtREY comme synonyme de $S. polyzontas. Sertularella gaudichaudi (Lamouroux). Voir : Matériaux IE, p. 185 et HE. p. 360. Sertularella gayi (Lamouroux). Voir : Matériaux I. p. 472, Il, p. 105 et IE. p. 360. Sertularella gay FORBES 1872 p. 191. » » ALLMAN 1873 (a) p. 186. » D VERRILL 1873 (b) p. 9, 14. ) » ALLMAN 1874 (b) p. 469-471, 474. Sertularia gayr HixcKs 1874 (a) p. 137. Sertularella qayi SABS, G. 0. 1874 p. 94, 109. 132. » » SMITH à. HARGER 1874 p. 11, 24. » » Norman 1879:p. 173 » ) ALLMAN 1876 (b) p. 265. » » ALLMAN 1877 (b) p. 2, 3, 22. ) » STORM 1879 p. 25. D 2) THOMPSON 1879 p. 99. D » \VINTHER 1880 (a) p. 276. Sertularella gayt var. robusta Allman. Sertularella gayr var. ro- busta ALLMAN 1873 (a) p. 186. » »» ALLMAN 1874 (b) p. 471, 474, pl. 66. fig: 3, 3 a. =. » » ALLMAN 1877 (b) p. 22, pl. 15, fig. 3-5. Sertularella qgigantea Meretchkowsky. Sertularella qiqunten MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323, 330, 339, pl. A4, fie. 6. 7. ) » Hixcks LSSO (b) p. 278. e HISTOIRE DES HYDROÏDES 595 Cette espèce n’est probablement qu’une variété de Sertularella polyzonias comme l’admet H. Brocn (1909). Sertularella greenei (Murray). Voir : Matériaux IE, p. 360. Sertularia greener CLARK 1876 (b) p. 250. 251, 257, pl. 38. fig. 6. Sertularella integra ANman. Sertularella integra ALLMAN 1876 (b) p.262, pl. 13, fig. 3-4. Sertularella johnstont (Gray). Voir : Matériaux IL, p. 105 et IE p. 364. Serlularia johnstont HUrToN 1873 p. 296. Sertularia sub-pinnata HUTrOoN 1873 p. 256. Sertularia delicatula HUTrTron 1873 p. 256. Sertularella johnstont KIRCHENPAUER 1874 (a) p. 417. Sertularia johnstont COUGHTREY 1875 p.281.282.pl. 20. fig. 1-5. Sertularia sub-pinnata COUGHTREY 1875 p. 282. Sertularia delicatula COUGHTREY 1875 n. 282. Sertularella johnstoni ALLMAN 1876 (b) p.261, pl. 13. fig. 1-2. » » COUGHTREY 1876 (a) p. 26. Sertularella delicatula COUGHTREY 1876 (a) p. 27 Sertularella subpinnata COUGHTREY 1876 (a) p. 27 Sertularella johnstont COUGHTREY 1876 (b) p. 299. » » THOMPSON 4879 p. 99, 101. Sertularella lagena Allman. Sertularella Lagena ALLMAN 1876 (€) p. 114. Ù Ù ALLMAN 1879 p. 283. » » STUDER 1879 p. 120, 132. Sertularella milneana (4d'Orbigny). Voir : Matériaux IE, p. 105 et HI. p. 361. 356 M. BEDOT Sertularella neglecta Thompson. Sertularella neglecta THOMPSON 1879 p. 100, pl. F0, 1h01 Sertularella pinnata Clark. Sertularella pinnala CLARK 1876 (a) p.°244;2 fig: 28, MERESCHKOWSKY 1878 (d) p. #49, 450, pl. 17, tig. 23. Sertularella polyzonias (Linné). Voir : Sertularella polyzonias » ) 1) Sertularia polyzontias Sertularella polyzonias » ») ) 1) D] )} Sertularia polyzonias Sertularella polyzonius } 1} h) 1) Sertularella kerquelenensis Sertularella polyzonins )) 1) Mätériaux EL, p. FORBES Hixcks ALLMAN ALLMAN HINCKS KiIRCHENPAUER M° INrosH SARS ACTUS SMITH à. HARGER VERRILL COUGHTREY LÜTKEN NORMAN SCHULZE ALLMAN ALLMAN CLARK CLARK COUGHTREY COUGHTREY KIRCHENPAUER 1873 187% 1S74 187% 187% 1874 1875 1875 1875 1875 1576 1876 1876 1870 1876 1876 1876 273, LH, p. 406 et IL, p. 261. D-cL10 1. (a) *p. ALSS AE (a) p. 186. (b) p.469,470,471,474. (b)= pe 127 ASE pet fig. 42. (a) p. #16. p. 212. p.109,132,137, 140-142 p- 21. (b) p. 39, 41, 4%, 504. p. 283. p-189: p. 173. p. 122-195, (CE) EN 10 à LE à (c) p. 113, (a) p: 210, 22%, pl fig. 34-35. (b) p. (a) p:227- (b) p. 300. DAT: 151. HISTOIRE DES HYDROÏDES 397 Sertularella polyzonias NORMAN 1876 p. 198. » » ALLMAN 1877 (b) p. 2, 21. ) » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 330, 331. ) ERA NoRMAN 1878 p. 190. Sertularia polyzonias PANCERI 1878 p. 2. Sertularella polyzonias ALLMAN 1879 p. 282. Sertularella kerquelensis Sruner RUE TE GISSREE Sertularella polyzontias THomPsoN 1879 p. 102. » ) RICHIARDI 1880 p. 155. » » \VEISMANN 1880 (a) p. 230. Ù » \WVINTHER 1880 (a) p.230,241,243,255, 236, 260, 273-276. Sertularella polyzonias (1) var. gigantea Hincks. Sertularella polyzonias var. gigantea HixXCKS 1874 (b) p. 1514, pl. 7, fig. 11. » » SMITH A. HARGER 1874 p. 7, 13, 15, 21, 22, 53. » » » VERRILL 1875 p. 43. ) » » Hixcks 1877 (b) p. 67. » » » Hixcks 1880 (b) p. 278. Sertularella polyzonias (L.) var. robusta Verrill. Sertularella polyzontas var. 873 (b) p. 10. 87% (b) p. 13. robusta VERRILL I ÿ » » + NERRILL l Sertularella quadricornuta Hincks. Sertularella quadricornuta D'UrBAx 1880 p. 259, 269. ) » Hixcks 1880 (a) p. 259, 269. ) ) HINCKS 1880 (b) p. 277, pl. 15, tig. 1,1a- Cette espèce n’est probablement qu’une variété de Sertularella polyzonias comme l’admet H. Brocn (1909). Sertularella ramosa Thompson. Sertularella ramosa THoMPsox 1879 p. 102, pl. 16, fig. 5,5 a. Rev. Suisse pe Zoor. T. 20. 1912. 25 38 M. BEDOT Sertularella rugosa (Linné). Voir : Matériaux [, p. 479, IL p. 107 Serlularella rugosa Serlularia rugosa Sertularella rugosa 1] » Sertularia rugosa Serltularia patagonica Sertularella rugosa ») » » » ) ») ) ») » ») » ) » ») FORBES MôBius Môgius M° Ixrosn SARS, G. O. VERRILL COUGHTREY COUGHTREY LUTKEN VERRILL CLARK COUGHTREY COUGHTREY 1872 1873 1873 1874 1874 1874 1875 1875 1875 1875 1876 1876 1876 et LIL -p. 362. pro (a) p. 101. (b) p. 149. p. 20%: 212. p. 139, 137. 141, 182. (b) p. 133. p. 281. p. 281. p. 189. p. 43. (a) p. fie3 1: (a) p.27. (b) p. 300. MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323, 325. 1878 p. 490. NoRMAN \VINTHER 1880 Sertularella tenella (Alder). Voir : Matériaux IT, p. 108 et IL, p. 363. Sertularella tenella »» » Sertularella geniculata Sertularella tenella Sertularella geniculata Sertularie simplex pp. Sertularella tenella Sertularella geniculata Sertularella robusta 2 » FORBES HIxCKS HINcKs M° Ixrosu VERRILL COUGHTREY SCHULZE COUGHTREY COUGHTREY COUGHTREY COUGHEREY 1872 1877 187% 1874 187% 1875 1879 1876 1876 1876 1876 (Den 242 An 258, 277 p.491 (DD Se; (BIRD MODESTE 13; 14. p. 212. (D) DEL: p.283, pl. 20: fig. 4% D'421;: 4201914 (a) p. 27. (a). p: 27. (a) p.27, pl. 3, fig:6, (b) p. 400. 210, 22%, pl. 259- lie. 10. a:0). Serlularella tenella » » Sertularella rigosa Sertularella sp.? Sertularella tenella » » HISTOIRE DES HYDROÏDES 529 COUGHTREY NORMAN ARMSTRONG THoMPsOoN THoMPsOoN WINTHER 1876 (b) p. 300. 1876 p. 198. 1879; p-401>pl-10; 18292%p. 1011-16 "0194. 1879 p. 102. 1880 (a) p. 245. 257-260. Sertularella tricuspidata (Alder). Voir : Matériaux 1, p. 477, IE, p. 108 et EL. p. 364. Serlularella tricuspidata Sertularia tricuspidatu Sertularella Dicuspidata » » ) ) ») LU] » ») » ) n ) » » » » D] ) » » ) ) ») » ) » ) » » ) 1] ALLMAN Môgrus VERRILL HixXCKS KIRCHENPAUER SMITH à. HARGER VERRILL LÜTKEN CLARK COUGHTREY COUGHTREY ALLMAN HiNCKS MERESCHKOWSKY NoRMAN D'UnBanx HiNCkS HiNcks \WINTHER 1873 (a) p. 186. 1873 (b) p. 149. 1873 (b) p. 9, 10, 14. 1874 (b) p. 147, 151. 1874 (a) p. 415. 187% p.7,9-11.13,4h; 21, 24. 1874 (b) p. 44, 46, 413, 504. 1875 p. 190. 1876 (a) p: 210, 215, 224. pl. 12, fig. 26-27. 1876 (a) p. 26. 1876 (b) p. 300. 1877 (b) p. 22. 1877 (b) p. 67. 1878 (a) p. 323, 325. 1878 p. 190. 1880 p. 259, 268. 1880 (a) p. 259, 268. 1880 (b) p. 278. 1880 (a) p.263, 265,276, 277. Sertularella tridentata (Lamouroux). Voir : Matériaux !, p. 4 = FFM D . 417 et II, p. 364. Sertularella turgida (Erask). Voir : Sertularella turqgida CLARK THoMPesoN Matériaux HE. p. 304. 1876 (b}) p. 249, 251, 259, pl. 38. fig. 4. à. 1879 p. 102. 360 M. BEDOT Sertularella unilateralis (Lamouroux). Voir : Matériaux IE, p. 108 et III, p. 364, Sertularella unilateralis ALLMAN 1876 (c) p 114. Sertularia unilateralis COUGHTREY 1876 (a) p. 29. Sertularella unilateralis ALLMAN 1879 p. 282, pl. 18, tig. 10, 11, ) ) STUDER 1879 p. 120, 132. Gen. Sertularia Linné 1748. Voir : Matériaux 1, p. 463, Il, p. 109 et HT, p. 365. Sertularia abietina Linmé. Voir : Matériaux 1, p. 465, IE, p. 109 et LITE, p. 369. Sertularia abietina LaxDr 1800 p. 292. ) » ORSTED 1844 p. 74. ) » SCHULZE 1870 p. 206. ) ) FORBES 1872 p. 491: ) » HixXCKS 1872 (a) p. 121. » MÔBIUS 1873 (b) p. 149. » » ALLMAN 1874 (b) p. 470. ) KIRCHENPAUER 1874 (b) p. 260. ) M’ INrosH 1874 p. 209, 211-213. » SARS- 6: OU; 1874 p. 133, 140-149. ) SMITH 4. HARGER 1874 p. 7, 21. ) ) LÜTKEN 1875 p. 189. » ) SCHULZE 1875 p. 122-126, 132. CLARK 1876:(a) p. 222,293, 2925: , CLARK 1876 (b) p. 256. ) ) COUGHTREY 1876 (a) p. 28. » NORMAN 1876 p. 198. » PANCERI 1876 p. 194. ) ) Sars, M. 1877 p. 29. ) MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 32%, ) PANCERI 1878 p. 2. STORM 1879 p. 26. THoMPsoN 1879 p. 103. HISTOIRE DES HYDROÏDES Sertularia abietina 361 RICHIARDI 1880 p. 155. » WINTHER 1880 (a) p.250, 255-257, 299, » » WINTHER 264, 267, 278 1880 (b) p. 314. Sertularia actoni Philippi. na Voir : Matériaux Il, p. 366 Sertularia albimaris Mereschkowsky. Sertularia albimaris MeREscHKoWskY 1877 p. 228. MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 324 “991: 9399, 0ple 14, fig. MERESCHKOWSKY 1878 (d) p. 436 3-0. Sertularia anquina Trask. Voir : Matériaux IE, p. 366. Sertularia anqguina CLARK 1876 (b) p. 249-251, 255, pl. 40, fig. 4, 4 a, 2 Sertularia anguina var. ro- busta CLARK 1876 (b) p. 251, 256, pl. 40, fig. 3-5. Sertularia arctica Alman. Serbularia arctica ALLMAN 1874 (e) p. 179. ») ») ALLMAN 1876 (b) p.264, pl. 14, fig. 4-2. Sertulariu australis (Kirchenpauer). Voir : Matériaux IE, p. 366. Sertularia australis THOMPSON 1879 p. 105, pl. 17, fig. 4,4a. Sertularia bicuspidata Lamarck. Voir: Matériaux [. p . k67, Dynaumena divergens Sertularia flosculus [U, p. 110 et IT, p. 366. Sertularia bicuspidata THOMPSON 1879 p. 104. THOMPSON 1879 p. 164, pl. 17, fig. 2, 2 a. THOMPSON 1879 p. 109. 362 M. BEDOT Sertularia bispinosa (Gray). Voir : Matériaux I, p. 110 et IE, p. 36 Te Sertularia bispinosa Hurrox 1873 -p: 297. Die ) COUGHTREY 1875 p. 28%, pl. 20, tig. 16. CNE UE ) ) COUGHTREY 1876 (a) p. 27, 28. » » CouGuTREY 1876 (b) p. 300. » » THOMPSON 1879 p. 106. ? Sertularic pulchella THOMPSON 1879 p. 103, 108, pl. 18, lig. FOIRE Cette espèce n’est probablement qu'une variété de S. opereulala. (Noir : HarrzAUB 1905). Sertularia carolinensis Verrill. Sertularia carolinensis VERRILL 1872 (b) p. 437. Sertularia cedrina Linné. Voir : Matériaux I, p. 467, LE, p. 114 et II, p. 367- Voir : Selaginopsis cedrina. Sertularia complexa Clarke. Sertularia complera CLARKE 1879 p: 240; 245 pl.1; 0e: 26-28 D. Sertularia compressa Mereschkowsky. Sertularia compressa MERESCHKOWSKY 1878 (D) p. 446, pl. 17. 17-19. Sertularia conferta (Kirchenpauer). Voir : Matériaux IE, p. 307. Sertularia conferta THOMPSON 1879 p. 103. HISTOIRE DES HYDROÏDES 363 Sertulariu confervæformis Esper. Voir : Matériaux 1, p. 468, LE, p. 111 et IE, p. 567. Sertularia cornicina (Mac Crady). Voir : Matériaux DE, p. 3067. Dynamena cornicina VERRILL 1872 (D) p. 437. Serlularia cornicina VERRILL 1873 p. 408, 411, 729, 733. Sertularia digitalis Busk. Voir : Matériaux ILE, p. 368. Sertularia disticha Bosc. Voir : Matériaux 1, p. #40, IE, p. 67 et TE, p. 368. Sertularia elongata Lamouroux. Voir : Matériaux 1, p. 469, IE, p. 112 et IE, p. 5069. Serlularia abietinoultes HuTron 1873 p. 257. ) COUGHTREY : 1875 p. 285, pl. 20, fig. 16, 18-20. » COUGHTREY 1876 (a) p. 28. 2 » COUGHTREY 1876 (b) p. 300. Serlularia elonqguta THOMPSON 1879 p.98,99,103,107,pl.18, fig. 2,2c. Sertularia evansi Ellis et Solander. Voir : Matériaux 1. p. 440, IF, p. 68 et II, p. 369. Sertularia exiqua Alman. Sertularia rique ALLMAN 1877 (b) p-:2%,.225,:=pl: 46; fs. 7, 8: Sertularia filicula EWis et Solander. Voir : Matériaux E, p. 471, IE, p. 113 et LIL, p. 369. Sertularia filicula FORBES J8720p. 194% 564 M. BEDOT Sertularta filicula M Ixrosa 1874 p. 204, 213. » D SaRs, G. O. 1874 p. 109, 133, 141. » » CLARK 1876 (a) p. 210, 219, 224, pl. 12. fig. 30. » » CLARK 1876 (b) p. 256. » » COUGHTREY 1876 (a) p. 28. ) D COUGHTREY 1876 (b) p. 300. » ) NORMAN 1876 p. 198. » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. ) » NoRMaN 1878 p. 190. ) » THOMPSON 1879 p. 10%. » » WINTHER 1880 (a) p. 277. ») ) WINTHER 18S0 (b) p. 31%. Sertularia flexilis Thompson. Sertularia flexilis THoMPsOoN 1879 p. 103, pl. 17. fig. 41,1 a. Sertularia fusca Johnston. Voir : Matériaux Il, p. 144 et IIL p. 370. Voir : Selaginopsis fusca. Sertularia grosse-dentata (Kirchenpauer). Voir : Matériaux IE, p. 371. Sertularia imbricata Busk. Voir : Matériaux IE p. 371. Sertularia inconstans Clark. ))9 pl. 15. mm: 1876 (a) p. 210. ie. 51, 52. Serlularia inconstans CLARK Sertularia insignis Thompson. Sertularia insiqnis THomPsox 1879 p. 109, pl. 49, fig. 4,1 à. HISTOIRE DES HYDROÏDES Sertularid lamonrouri M. Edwards. Voir : Matériaux I, p. 440, If, p. 67, 114 et LIL, p. 47 ? Sertularia gracilis » » Le » » Dynamenx distans ? Sertularia qgraciles Le 9 0] FORBES VERRILL ALLMAN THOMPSON THOMPSON RiCHIARDI WINTHER WINTHER _— = . 1879 p. 191. 1875 p. 43. 1877 (b) p. 25. 1879 p. 104. 1879 p. 105. 1880 p. 155. 1880 (a) p. 246, 255-259. 1880 (b) p. 305 ss. pl. fig. 5. 6. Sertularia marginata Allman. Sertularia marginata ALLMAN 1877 (b) p. 23, pl. 16, fig. ! 865 Cette espèce, dont on ne connaît pas le gonosome, devra peut-être passer dans le genre Synthecium. Sertularia minima Thompson. Synthecium gracilis Sertularic pumila ») » Synthecium gracilis Sertularia minima COUGHTREY COUGHTREY COUGHTREY COUGHTREY THoMPsoN 1876 (a) p. 29. 1876 (b) p. 301. 1876 (b) p. 301. 1879 fig. 99, 104. pl. lie. 32 b. Sertularia mutulata Busk. Voir : Matériaux IE, p. 372. Sertularia obsoleta Lepechin. Voir : Matériaux EF, p. 472. IT, p. 114 et LIT, p. 372. Voir : Selaginopsis obsolcta. 187% p. 286, pl. 20. fig. 26-31. 17 306 M. BEDOT Sertularia operculata Linné. Voir : Matériaux I, p. 441, 475, LU, p. 68, 116 et LI, p. 375. Sertularia operculata LANDT 1800 p. 292. ) ) FORBES 1872 :p: 191: » » Hixcks 1872 (a) p. 121. ) » M° Ixrosu 1874 p. 213. » » COUGHTREY 18706 (a) p. 28. » » COUGHTREY 1876 (b) p. 300. ) » THoMPsON 1879 p. 98, 99, 106. » ) WINTHER 1880 (a) p. 266. Sertularia orthogonia busk. Voir : Matériaux IE, p. 374. Sertularia patula Busk. Voir : Matériaux I, p. 37%. Sertularia penna (Kirchenpauer). Voir : Matériaux HE, p. 374. Sertularia pinus Gmelin. Voir : Matériaux I, p. 473, IE, p. 115 et III, 374. Voir : Selaginopsis pinaster. Sertularia pourtalesi Nuttmg. Serlularia dislans ALLMAN 1877 (b) p.25, pl. 16, tig. 9,10. » » ULARKE 1879 p. 240, 246. NurTING (190%) à donné à cette espèce d’ALLMAN le nom de S. pourtalesi pour la distinguer de la.S. distans de Lamouroux qui est une autre espèce. Sertularia pulchella (d'Orbieny). Noir : Matériaux Il, p. 70 et HE, p. 374. Sertularia furcala CLARK 1876 (b) p. 219, 251, 258, pl. DOI ES ) ) THOMPSON 1879 p. 107. HISTOIRE DES HYDROÏDES 3567 Sertularia pumila Linné. Voir : Matériaux [, p. 442, Il, p. 70 et TEE, p. 375. Serlularia pumila FORBES 18722pD 4101: ) » ALLMAN 1873 (b) p. 58, note. Dynamena pumila MET2GER 1873 p. 170. Sertularia pumila MôBius 1873 (a) p. 101. » » Môgits 1873 (b) p. 149. » » VERRILL 1873 (a) p. 327, 334, 391, 393, 408, 487, 489» 92 pl 31e: 7197 » » ALLMAN 1874 (a) p. 8. » » M° Ixrosn 1874 p. 212. » ) SARS, G. O. 1874 p.133, 136,137,140-142 » » VERRILL 1874 (b) p. #1, 133, 136. » » LÜTKEN 1875 p. 189. ) DE SCHULZE 1875 p. 122, 132. » » CLARK 1876 (a) p. 220. ) CLARK 1876 (b) p. 250, 251,259, 262. » » ALLMAN 1877 (b) p. 24, 25. » Ù LENZ 1878 p. 8. » » MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. Ù » PANCERI 1878 p. 2. » CLARKE 1879 p. 246. » » STORM 1879 p. 26. » » THOMPSON 1879:p.: 199105: » » RICHIARDI 1880 p. 155. ) » WINTHER 1880 (a) p. 245, 246, 255- 259, 266, 277. ) » WINTHER 1880 (b) p. 303 ss., pl. 6, lig. 1-4, 21, 22. Sertularia purpurea Linmé. Voir : Matériaux J. p. 474, Il, p. 116 et IIL, p. 376. I | s] Voir : Selaginopsis purpure«. 368 M. BEDOT Sertularia sertularioides (Lamouroux). Voir : Matériaux 1, p. 445, U, p. 72, 73 et III, p. 377 Voir : Syntheciun sertularioides. Sertularia ramulosa Coughtrey. Sertularia ramulosa COUGHTREY 1875 p. 283, 284, pl. 12-019 Sertularia fasciculata COUGHTREY 1875 p. 283. Sertularie ramulosa COUGHTREY 1876 (a) p. 28. » » COUGHTREY 1876 (b) p. 300. Sertularia subcarinata Busk. Voir : Matériaux HE, p. 377. Sertularia tridentata Busk. Voir : Matériaux IE. p. 378. Sertularia trigonostoma Busk. Voir : Matériaux II, p. 578. Sertularia trispinosa Coughtrer. Sertularia trispinosa COUGHTREY 1875 p. 284, pl. 20, 16, 19. » » COUGHTREY 1376 (a) p. 28. » D COUGHTREY 1876 (b) p. 300. ) » Thompson 1879 p. 106. Sertularia tumida Allan. fig. 1%- Sertularia tumida ALUMAN LSTTAUD) p23-pE des Sertularia turbinata (Lamouroux). Voir : Matériaux I, p. 445, IE, p. 73 et IL, p. 378. HISTOIRE DES HYDROÏDES 369 Sertularia unguiculata Busk. Voir : Matériaux III, p. 375. ? Sertularia sp. ? COUGHTREY 1876 (a) p.29, note, pl. 3,tig.7. Thuiarie ambiqua THOMPSON 1879%p. 1114, pl. 19, fie. 2,924. Sertularia variabilis Clark. Sertularta vartabilis CLARK 18706 (a)5p-240%221 pli; fig. 40-48, pl. 15, fig. 19-50. Gen. Silicularia Meyen 1854. Voir : Matériaux Il, p. 117 et I, p. 379. Silicularia rosea Meyen. Voir : Matériaux Il, p. 118 et II, p. 579. Gen. Solanderia Duchassaing et Michelin 1846. Voir : Matériaux IL, p. 379. Solanderia gracilis Duchassaing et Michelin. Voir : Matériaux III, p. 380. Solanderia gracilis KOLLIKER 1872 p. 11. (en. Spongicola Schulze 1877. Lo BIraANCO et MAYER (1890) ont montré que ce genre n'ap- partenait pas aux Hydroïdes. Gen. Stauridium Dujardin 1843. Voir : Matériaux If, p. 119 et IE, p. 380. Stauridium productum Wright. Voir : Matériaux IE, p. 380. Slauridium productum SPAGNOLINI 1876 p. 307. 310 M. BEDOT Stauridium productum MERESCHKOWSKY 1878 (a) p.241, 245, 247,323. ) » HÆCKEL 1879 p. 80. » » Du PLEssIS 1880 (a) p. 112. Gen. Staurocoryne Rotch 1872. Staurocoryne rwortleyi KRotch. Slaurocorpne wortleyi Rorcu 1872 p.126. (ren. Stephanoscyphus Allman 1S74. Ce genre n'appartient pas aux Hydroïdes. ainsi que l'ont montré LO BIANCO et MAYER (1890). (ren. Stylactis Allman 1864. Stylactis fucicola (Sars). Voir : Matériaux IE, p. 381. Podocoryne fucicola SPAGNOLINI 1876 p. 308. Stylactis inermis Allman. Voir : Matériaux IE, p. 384. Stylactis sarsi (Sars). Voir : Matériaux IE, p. 581. Podocoryne sarsi SARS, G. O. 1874 p. 136, 138, 140. Gen. Syncoryne Ehrenberg 1834 — Alhman 1864. Voir : Matériaux Il, p. 119 et ILE, p. 381. Syncoryne decipiens Dujardin. Voir : Matériaux El, p. 149 et LIT, p. 381. Syncoryne decipiens SCHULZE 1873 (b) p. 14. h HÆCKEL 1879 p. 19. HISTOIRE DES HYDROÏDES At le | Syncoryne eximia Allman. Voir : Matériaux LE, p. 382. Méduse : Sarsia eximia. Syncorpue eximin » ») »» ) } 1] ? Sarsia erylhrops ? » h Syncorpne eximia Syncoryne (Sarsia) eximiu Sarsia erimid Syncoryne extmin Sarsia eximiu Syncoryne erumit FORBES Hixcks HINCKS SARS. G. O. ROMANES ROMANES Bôünm BonM Bon HACKkEL. HAÆCKEL Du PLESSIS 1872 p. 190. 1872 (c) p. 392. 1874 (a) p. 136. 1874%p. 96,449, 460155: 1876 (a) p. 274 ss. 1876 (b) p. 526. 1878 p. 72, 184. 1878 p. 72. 111, 191, pl. 6. fig: 7-26,pl.:7, fig. 1-6: 1878 p.73, 75,-78, 83, 108, OGM A6; M8; 196; 107 1879%p: 47; 18 p Lr pro" D: 1880 (a) p. 110. Syncoryne ferox (Wright). Voir : Matériaux [IE, p. 383. Syncoryne frutescens Alman. Voir : Matériaux HE p. 383. Syncoryne frulescens HÆCKEL 1829=p249; Syncoryne glandulosa Dujardin. Voir : Matériaux Il. p. 119 et IE. p. 583. Syncoryne gravata (Wright). Voir : Matériaux IE. p. 383. Syncoryne loveni Sars. Voir : Matériaux IE, p. 120 et IF, p.384. SH M. BEDOT Syncoryne mirabilis (Li. Agassiz). Voir : Matériaux IL, p: 120, 146 et III, p. 385. Méduse : Sarsia mirabilis. Voir : Matériaux LU, p. 146 et IE, p. 433. Corynè mirabilis SCHULZE 1873. (D) p.12; 104%. Sarsia mirabilis SCHULZE 1873 (b) p. 14, 27. Coryne mirabilis VERRILL 1873 (a) p. 735. Syncoryne(Sarsia)mirabilis LÜTKEN 1875 p. 188. Coryne mirabilis BünM 1878 p. 72, 160. Syncoryne mirabilis HECKEL 1879 p. 18. Sarsia mirabilis HÆCKEL 1879 p' 10,47 0Me È Syncoryne mirabilis WINTHER 1880 (a) p. 270. Syncoryne pulchella Allman. Voir : Matériaux IL, p. 132 et I, p. 386. Syncorpne pusilla SCHULZE 1873 (b) p. 1. Syncoryne pulchella SCHULZE ESS: (bp 22 LOUE Sarsia pulchella ROMANES 1876 (a) p. 274 ss. ) » SPAGNOLINI 1876: p.306 ph 2 Me. 1: Syncorpne pulchella Büau 1878 p. 82. » » HECkEL 1879%p15: Codomium pulchellum HÆCKEL ÉS708 pr 10 AS 522 Syncoryne reticulata (A. Agassiz). Voir : Matériaux IE, p. 586. Méduse : Syndictyon reticulatium. Sursia Lurricola SPAGNOLINI 1876 p. 307. Syndiclyon reticulatum H £CKEL 1879 p. 21. Syncoryne reliculata HÆCKEL 1879 p: 21° Eclopleura turricula H ECKEL 1879 p. 22. Syncoryne rosaria (Li. Agassiz). Syn.: Coryne rosaria, Li. Agassiz. Voir : Matériaux IT, p. 278. Méduse : Sarsia rosarit. Coryne rosaria CLARK 1876 (b) p. 250. HISTOIRE DES HYDROÏDES © — OÙ Syncoryne rosaria HÆCKEL 1879 p. 18. Sarsia rosaria HÆCKEL 1879 p. 18. Syncoryne sarsi Lovén. Voir : Matériaux Il, p. 120 et IL, p. 586. Syncoryna listert SCHMIDT 1869 p. 994, fig. 2. Syncoryne sarst MôBius 1873 (a) p. 101. » SCHULZE 18731b)5p-1isS pie rMeNDEss lie. 24-27, » Sas, G. O. 1874 p.139; 137. » » KOROTNEFF 1876 p. 372. SCHULZE 1876 p. 408, 409. ) ) BüaM Lo7esp02%, ALT 1245225; » ù MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323, 528, 339. » HÆCKEL 879 D AT ) WINTHER 1880 (a) p. 229,255,258,259. (ren. Synthecium Allman 1876. Synthecium elegans Allman. Voir : Matériaux IIF, p. 387. Synthectum eleqans COUGHTREY 1875 p. 285, 287, pl. 20, fig. 24-25. » ALLMAN 1876 (b) p. 266, pl. 15, fig. 1-5. Sertularia elegans COt GHTREY 1876 (a) p. 29. ) ) COUGHTREY 1876 (b) p. 301. Syntheciunr sertularioides (Lamouroux). Syn. : Sertularia sertularioides (Lamouroux). = Voir : Matériaux I, p. 445, IX, p. 72, 73 et II, p. 377. Diynamena sertularioidtes LaAMouRoUx 1816 p. 178. Dynamena tubiformis LAMOUROUX 1821 p. 12, pl. 66, lig. 6 et 7. ) » LAMOUROUX 1824.(c) p. 289. Dynamena serlularioudes LAMOUROUX 1824 (c) p. 289. » » BLAINVILLE 1830 p. 249. 2EV. SUISSE DE ZOOL. T. 20. 1912. 26 374 M. BEDOT Dynamena tubiformis BLAIN VILLE 1830 p. 449. » » BLAIN VILLE 1834 p. 483. Dynamena sertularioides BLAINVILLE 1834 p. 485. Sertularia tubiformis Ebwarps 1836 p. 153. Dynamena tubiformis KiIRCHENPAUER 186% p. 7 Dynumenaæ sertulurioides KiRCHENPAUER 1864 p. 8. 10. Dynamene sertularioides THompsonx 1879 p. 110. BiLcarD (1909) dans son étude des Hydroïdes de la collection LaAMouRoUx, a montré que les deux espèces décrites par cet auteur sous le nom de Dyna- mena sertularioides et de D. tubiformis étaient synonymes et il les place dans le genre Synthecium (malgré l’absence de gonosome) sous le nom de Synthecium sertularioides. MARKTANNER-TURNERETSCHER (1890, p. 248) avait déjà supposé que la D. tubiformis de Lamouroux devait être synonvme du Synthecium campylocarpum d’ALLMAN. En 1877 (b), ALLMAN a décrit un Hydroïde nouveau qu'il nomme Thurarta sertularioides. NürrixG (14904, p.57) fait passer cette espèce d'ALLMAX dans le genre Sertularia, mais, admettant avec BALE (1884. p. 96) que l'espèce de Lamouroux doit porter le nom de Sertularia sertularioides. il donne à l'espèce d’ALLMAX le nom de Sertularia rathbuni. Ce dernier nom devient inutile si l’on admet (comme nous le ferons) la manière de voir de BiLLaArD en plaçant l'espèce de Lamouroux dans le genre Synthecium. La s\nonymie de cette espèce doit donc être rétablie comme nous l'avons fait ci-dessus. Synthecium tubithecum Allman. Sertularia tubitheca ALLMAN 1877.(b) p.24, pl. 16. fig. 5, 6. Gen. Taxella Allman 1874. Ce nom de genre à été employé une seule fois par ALLMAN (1874 e) dans un article publié dans le journal < Nature >». Il y cite, sous le nom de Taxella eximia une nouvelle espèce qui paraît être celle qu'il a décrite plus tard (1876 (b) p. 279) sous le nom d’AHalicornaria bipinnata. Le genre Taxella doit donc disparaitre. HISTOIRE DES HYDROÏDES 919 Gen. Thimaria Armstrong 1879. Thimaria compressa Armstrong. Thimaria compressa ARMSTRONG 1879 p: 102; pl:.#2. Gen. Thuiaria Fleming 182$. Voir : Matériaux I, p. 478, IE, p. 121 et LE, p. 388. ALLMAN (1876 (b) p. 267) critique la valeur des caractères admis jusqu'à ce jour pour la définition du genre Thuiaria. Thuiaria argentea (Linné). Voir : Matériaux [, p. 465, IE, p. 121 et IIL, p. 388. Serlularia argentea FORBES 1872 p. 191. » » MôBIUs 1873 (a) p. 101. D D VERRILL 1873 (b) p. 334,408, 411,495, 178, 489, 500, 732, pl. 37, fig. 280. » M° I\rosH 1874 p. 204, 207, 213. Ù » SARS, G. O. 1874. p.133, 141, 142. » SMITH à. HARGER 1874 p. 11, 24, pl. 2, fig. 1. VERRILL 187% (a) p. 60, » VERRILL 1874 (b) p. 39. 4h, 46, 133. D » CLARK 1875 p. 64. Serlularia argentea var. di- varicala CLARK 1875-p: 64, pl. 10, fig. 7: Sertulari argenten SCHULZE 1875 p. 122-125, 130-132. » ALLMAN 1876 (b) p. 267, note. CLARK 1876 (a) p. 220. CLARK 1876 (b) p. 250, 251, 257. ) ) MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 324. » 2 THoMPsox 1879 p. 103. 310 M. BEDOT Thuiaria articulata (Pallas). Voir : Matériaux [, p. #67, IL, p. 122 et IIT, p..389. Thuiaria articulata FORBES 1872 p. 191. » Ù Hixcks 1872 (a), p M9, 194. ) ) WHITEAVES 1872 p. 343. » VERRILL 1873 {b) p. 11. ) » ALLMAN 1874 (b) p. 469, 470. Thusarie arliculata KiRCHENPAUER 1874 (b) p. 260. Thuiaria articulata SaRs, G.° 0: 1874 -p. 94, 106, 132. » » SMITH à. HARGER 1874 p. 13. » » COUGHTREY 1875 p. 288. » » NORMAN 1875 p. 17%. » » SCHULZE 18702p612971095: » COUGHTREY 1876 (a) p. 30. ) » COUGHTREY 1876 (b) p. 301. ) » NORMAN 1876 p. 198. ) MARENZELLER 1878 p. 398, 360-362, 380. » » MeREsCHKOWSKY 1878 (a) p. 324. ) STORM IS 708p 25 ) » D'UrBAx 1880 p. 255, 259, 269. ) ) | HINCKS 1880 (a) p. 259, 269. D ) WINTHER 1880 (a) p. 252,255; 260: Thuiaria coronata Allman. © Thuaria coronata ALLMAN 1874 (e) p. 179. Thuiaria coronifera Alman. Thuiarie coronifera ALLMAN 1876 (b) p. 268, pl. 47, fig. 1-3. Thuiaria crassicaulis Alman. Phuiaria crassicaulis ALLMAN 1876 (b) p. 259, 267, pl. 16; « tic io, 1-5. HISTOIRE DES HYDROÏDES SH Thuiaria crisioides (Lamouroux). Voir : Matériaux LE, p. 123 et IL, p. 390. Thuiaria cupressina (Linné). Voir : Matériaux [, p. 468, 469, 476, IE, p. 123 et IT. p. 390. Sertularia cupressina Lanbr 1800 p. 292. » » FORBES L812%p- 4191 » » METZGER 1873 p. 170. >) D VERRILL 1873 (a) p.408.4141.495. 500, 732. D » VERRILL 1873 (b) p. 10, 44 » » M Ixrosx 1874 p. 204, 213. h » SMITH à. HARGER 1874 p. 4, 7, 9, 10, 21. 24. » » VERRILL 1874 (b) p. 44, 413, 504. » » ALUMAN 1876 (b) p. 267. note. » » CLARK 1876 (a) p. 220, 221. » » THOMSON 1879 p. 103. » » D'UrBaAN 1880 p. 255, 259, 269. » » Hixcks 1880 (a) p. 259. 269. » » WINTHER 1880 (a) p.241.248,250,255- 260, 266. » D WINTHER 1880 (b) p. 308 ss., pl. 6. fig. 17-20. Thuiaria cupressoides (Lepechin). Voir : Matériaux [, p. 469. I, p. 124 et HE, p. 391. Thuiaria dalli Nutting. Sertularia cupressoides CLARK 18761(a)-p: 240-220, %pl 153, fig. 37. NUrTING (1904) à donné à cette espèce le nom de Thuiaria dalli. parce qu'elle doit rentrer dans le genre Thuiaria. qui contient déjà une T. cupres- soides (Lepechin). 318 M. BEDOT Thuiaria distans Alman. T'huiaria distans ALLMAN 1872-(b) p27/plA7 062162 Si l'on veut suivre l'exemple d'HarrzauB (1901, p. 61) et de NUTrING (190%, p. 88) et placer cette espèce (dont le gonosome est inconnu) dans le genre Sertularella, on doit, dans tous les cas, changer son nom spécitfique, car il existe déjà une Sertularella distans. Elle à été décrite, il est vrai, par LAmouroux sous le nom de Sertularia distans, mais BizzaRp (1909, p. 316), qui à retrouvé le tvpe de Lamouroux, en à donné une description et une fi- cure et a montré que cette espèce appartenait au genre Sertularella. Nous laisserons provisoirement l'espèce d’ALLMAx dans le genre Thuiaria. Thuiaria dolichocarpa Allman. Fhusaria dolichocarpa ALLMAN 1876 (b) p. 270, pl. 19, tig. 3, L, ka. » D THOMPSON 1879 p.410: Thuiaria fabricii Levinsen. Voir : Matériaux I, p. 12% et III, p. 391. Sertularie fastiqiata LÜTKEN 1875 p. 189. Sertularia argentea WiNTHER 1880 (a) p. 249, 250, 255, 256, 258, 259, 278. Thuiarix flexilis Allman. Voir : Matériaux II, p. 392. Thuiaria gigantea Clark. Thuiaria gigantea CLARK 1876. (a) p. 211, 230,-pl. 16, lie. 63, 64 Thuiaria hippuris Allman. Thuiaria hippures ALLMAN 187% (bi p.471, 473, 477, pl. D eo 09, fig. 2, 24. HISTOIRE DES HYDROÏDES 319 Thuiaria latiuscula (Stimpson). Sertularia latiuseula )) )) )) » Thuiaria laxa Voir : Matériaux IIE, p. 392. SMITH a. HARGER 187% p. 4, 7, 9, 21. VERRILL CLARK ALLMAN 1874 (b) p. 39, 48. 1875 p. 59. Thuiaria laxa Allman. Voir : Matériaux HE, p. 392. Thuiaria lichenastrum (Pallas). Voir : Matériaux 1, p. 472, ÎL, p. 125 et IIL, p. 392. Thuiaria lichenastrum Hixcks 1872 (a), p. 119. Thuiaria monilifera (Hutton). Sertularia monilifera Thuiaria cerastium Sertularia monilifera Thuiaria cerastium Sertularia monilifera Fhuiaria monilifera HüTroN ALLMAN COUGHTREY ALLMAN COUGHTREY COUGHTREY THOMPSON 1574 (Cp 2797 1875 p. 282, pl. 20, fig. 6, 7. 1876 (b) p. 271, pl. 18, fig. 3-4. 1876 (a) p. 30. 1876 (b) p. 301. 1879 ,-p. 114. Thuiaria persocialis Allman. Thuiaria persocialis ALLMAN 1876 (b) p.271, pl. 17, fig. 4-6. Thuiarit pinnata Allman. T'huiaria pinnala ALLMAN 1877 (b) p. 28, pl. 15, fig. 1-2. 380 M. BEDOT Thuiaria plumosa Clark. Thuriaria plumosa CLARK 1876 (a). p. 2445 228, pl. 16, fig. 62. Thuiaria plumulifera Alman. Thuraria plumulifera ALLMAN 1877 (b) p.27, pl. 47, fig. 3-6. Thuiaria robuste Clark. Thuiaria robusta CLARK 1876 (a), p: 214:"297; plu; fig. 53-55. Thuiaria salicornia Alman. Voir : Matériaux I, p. 392. Thuiaria salicornia ALLMAN 1874 (b) p. 471, 473, pl. 65, ST Thuiaria sertularioides Allman. Thuiaria sertularioides ALLMAN 1877 (b) p. 28, pl. 16, fig. 11, 12: Thuiaria similis Clark. Sertularia similis CLARK 1876 a)2p 210219 plus; fig. 56. Thuiaria subarticulata Coughtrey. Thuiaria articulata HUTTON 1873 p. 258. Thuiaria subarticulata COUGRTREY 1875 p. 287, pl. 20, fig. 32-34. T'huiaria bidens ALLMAN 1876 (b) p. 269. pl. 18. fig. 1-2. Thuiaria suburticulata COUGHTREY 1876 (a) p. 30. » » COUGHTREY 1876 (b) p. 301. » » THOMPSON 1879%p. 110: HISTOIRE DES HYDROÏDES 581 Tniaria tenera (G. O. Sars). Sertularia tenera SARS. G. O0. 1874 p.94, 108, 133,138, 139, pl. 4, fie. 1-4. » » HINCKS 1874/(a)0p. 129: » ) Hixcks 1874 (b) p. 151. » » WINTHER 1880 (a) p.246, 219, 256-260. 266, 277. » WINTHER 1880 (b) p. 309 ss., pl. 6. fig. 7-16. Thuiaria tetracythara (Liamouroux). Voir : Matériaux [, p. 478, Il, p. 124 et IT. p. 392. Thuiaria thuiarioides Clark. Sertularia thuiarioides CLARK 1876 (a) p. 210; 223, pl: 43, lis. 38-39. Thuiaria thuja (Limné). Voir : Matériaux [, p. 476, IF. p. 425 et IE, p. 393. Thuiaria ruja FORBES 1872 p. 191. D ) WHITEAVES 1872 p. 345. » » ALLMAN 1874 (b) p. 473. » ) M° Ixrosn l8720p. 204%; 212; 214. » 2 SARS, G. 0. 1874 p.94, 106, 132, 140-142. » » SCHULZE 1875 p. 123, 124, 126, 133. » »» CLARK 1876 (a) p. 211. » NoRMAX 1876 p. 198. MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 324. D » MERESCHKOWSKY 1878 (d) p.434. 439,440, 142, LAS. Thuiaria thuia STORM 1879 p:22. Thuiaria thuja WINTHER 1880 (a) p. 251,255. 260, 267. Thuiaria turgida Clark. Tlucaria turqgida CLARK 1876 (a) p. 211, 229, pl. 46, ie. 58-61. 382 M. BEDOT Thuiaria zelandica Gray. Voir : Matériaux Il, p. 126 et Il, p. 393. Thuiaria zealandica HüTToN 1873 p. 258. » » COUGHTREY 1875 p. 288. Gen. Thyroscyphus Allman 1877. Voir : Matériaux IT, p. 393. Thyroscyplus ramosus Allman. Thyroscyphus ramosus ALLMAN 1877 (b) p. 11, pl. 6, fig. 5, 6. Thyroscyphus simplex (Lamouroux). Voir : Matériaux IE, p. 393. Gen. Tiarella Schulze 1876. Tiarella singqularis Schulze. Tiarella sinqularts SCHULZE 1876 p.403ss., pl. 29 et pl. 30, fig. 1-3. Gen. Tima Eschscholtz 1829. ESCHSCHOLTZ (1829 p. 103) à établi ce genre pour des Mé- duses dont A. AGAssIZ (1865 (a) p. 113, fig. 172) à décrit la forme polype. Tima formosa A. Agassiz. Voir : Matériaux I, p. 442. Tima formosa VERRILL 1873 (a) p.449,154,455,729. ) » BünM 1878 p. 143. ) » HÆCKEL 1879 p. 204-206. Lrenaria formosa HÆCKEL 1879 p. 205. HISTOIRE DES HYDROÏDES 383 Gen. Trichydra Wright 1857. Voir : Matériaux IE, p. 39%. Trichydra pudica Wright. Voir : Matériaux HI, p. 59%. Gen. Tubiclava Allman 1863. T'ubiclava fruticosa Allman. Voir : Matériaux IE, p. 39%. Tubiclava lucerna Allman. Voir : Matériaux IE, p. 39%. Gen. Tubularia Linné 1758. Voir : Matériaux 1}, p. 478, H, p. 126 et III, p. 395. Tubularia attennoides Cougltrey. Tubularia attennoides COUGHTREY 1376 (b) p. 302. Tubularia attenuata Alman. Voir : Matériaux IL, p. 395. Tubularie altenuata GRAEFFE 1875 p. 30%, 303. » » COUGHTREY 1876 (b) p. 302. Tubularia bellis Allman. Voir : Matériaux I, p. 395. Fubularia bellis FORBES 18728p:#191 Tubularia borealis Clark. T'ubularia borealis CLARK 1876 (a) p. 211, 231. 384 M. BELOT Tubularia couthouyi L. Agassiz. Voir : Matériaux HE, p. 395. Tubularia couthbuyi Kocn 1876 p. 85, pl. 4, fig. 45. Tubularia cristata Mac Crady. Voir : Matériaux LE, p. 396. Parypha cristata VERRILL 1872 (b) p. 437. » ) VERRILL 1873 (a) p. 736. Tubularia crocea (1. Agassiz). Voir : Matériaux [IE p. 396. Parypha croceu VERRILL 1873 (a) p.390,393,482, 484, 736, pl. 36, fig. 274. » » KocH 1876 p. 85, pl. 4, fig. 12-14. Tubularia elegans Clark. T'ubularia elegans CLARK 1876 (b) p. 250, 253, pl. 38, fig; 2: Tubularia humailis Allman. Voir : Matériaux IL, p. 396. T'ubularia indivisa Lainné. Voir : Matériaux [, p. 479, IT, p. 127 et IIT, p. 397. T'ubularia indivisa ALLMAN 18722) p 03 210200 "5 » D FORBES 1872 p. 191. » D HINCKS 18728) p-M215 » ) ALELMAN 1873 (a) p. 185. D » METZGER 187680 170: » » SaRs, G. 0. 1873 p. 86. » » VERRILL 1873 (b) p. 9, 10. ) » HINCKS 1874 (a) p. 126. (1 | HISTOIRE DES HYDROÏDES 38: T'ubularia indivisa M° Ixrosu 1874 p. 206, 209. ) » SaRs, G. 0. 1874. p.95,119,121,125, 129, 135, 137-142. ) » _ SmrrH a. HARGER 1874 p. 7, 9-11, 13. ] » VERRILL 187% (b) p. 41, 413, 504. ] » LÜTKEN 1873 p. 188. » ) SCHULZE 1875 p. 122-194, 126, 128. » ) VERRILL 1875 p. L3. ) ) ALLMAN 1876 (b) p. 261. ) Ù CLARK 1876 (a) p- 211,:232: ) ) NORMAN 1876 p. 198. ALLMAN 1877 (b) p. 2. » » HerrwiG, O.u.R.1878 (a) p. 65. ) D MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. » NoRMAN 1878 p. 190. » » STORM 1879.p: 25, 26. » RICHIARDI 1880 p. 194. » WINTHER 1880 (a) p. 232, 256,257, 259, 260, 262, 271. Tubularia insignis Allman. Voir : Matériaux IE, p. 399. Tubularia (2) kerguelensis Studer. Fubularie (?) kerquelensis Sruper 1879 p. 120, 132. Tubularia larynx KWis et Solander. Voir : Matériaux I, p. 479, 480, II, p. 126, 128 et III, p. 399. L'abularia larynx ALLMAN 1872 (a) p. 105, 10%, fig. 105. » » FORBES 1872 p. 191. | L'ubularia coronata FORBES 1872 p. 191. Tubularia larynx Hixeks 1872 (a) p. 121. » Kocu 1873-p.:512; pl.:26-. Fubularia coronalta MôBrus 1873 (a) p. 101. M° Ixrosn 1874 p. 20%, 206. T'ubularia coronata Tubularia larynx L'ubularia coronata T'ubularia larynx » + » L'ubularia coronalta M. BEDOT SARS, G. O0. SCHULZE KocH NORMAN CLAUS STUDER RICHIARDI WINTHER WINTHER 1874 p. 135, 137. 138, hi, 142. 1875, p. 122-126, 198. 1876 p. 84, pl. L. fig. 3-5. 14. 1876 p. 198. 1877-41: 1878 p. 11, pl. 2, tig.. 20-22. 1880 p. 15%. 1880 (a) p. 223, 239, 242, 254, 259, 207, 200) 1880 (a) p.233. 256,237. 239. Tubularia mesembryanthemum Allman. Voir : Matériaux IE, p. 401. L'ubularia mesembryanthe- munt Tubularia BALrour CIAMICIAN CIAMICIAN WEISMANN 1878 p. 439. 1878 (a) p.502, pl. 31, fig. 1-9. 1879 p. 323 ss. pl. 18-19. 1880 (a) p. 227. microcephala (A. Agassiz). - Voir : Matériaux LE, p. 401. Parypha microceplla CLARK 1876 (b) p. 251. Tubularia pacifica Alman. Voir : Matériaux HE, p. 402. T'hamnocnidia tubularoides CLARK 1876 (b) p. 250, 253. Tubularia polycarpa Alma. Voir. : Matériaux HE. p. 402. Tubularia regalis Boeck. Voir : Matériaux HT, p. 402. HISTOIRE DES HYDROÏDES Tubularia Ssimplex Alder. Voir : Matériaux IE p. 402. Tubularia simplex FoRBEs 1872 p.191. » » Hixeks 1874 (a) p. 137. » » Sas, G. 0. 1874 p.95,126,135. 138,139. » » SCHULZE 1875 p. 125. 198. » » : MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. Tubularia spectabilis (L. Agassiz). Voir : Matériaux IE, p. 402. Thamnocnidia spectabilis Nerrue 1875 p. 43. » ] CLARK 1876 (b) p. 253. Tubularia tenella (1. Agassiz). Voir : Matériaux IE. p. 403. Thamnocnidia tenella VERRILL 1873 (a) p.407, 411,495. 500, 756. » ) VERRILL 1874 (b) p. 44. Gen. Turris Lesson 1843. Voir : Matériaux IF, p. 403. Turris neglecta Lesson. Voir : Matériaux I. p. 488, II, p. 152 et III, p. 403 et 442, Turris neglecta Boru 1878 p. 76. ? Oceania globosa HARTMANX 1878 p. IS. Turris neglecta FÆCKEL 1879 p. 45, 56, 62. (larula gosset HÆCKEL 1879 p. 45, 56. 385 M. BEDOT Gen. Turritopsis Mac Crady 1859. Ce genre à été établi par Mac CRADY (18359 a) pour des Méduses. Le Polype trouvé par BROOKS en 1883 parait appar- tenir au genre Dendroclava Weismann (1883). L'urritopsis nutricula Mac Crady. Voir : Matériaux HE, p. 443. Turrilopsis nutricula VERRILL 1873 (a) p. L54, 734. l'urritopsis nutricola HECKEL 1879 p. 6, 66. Gen. Vorticlava Alder 1856. Voir : Matériaux HE, p. 40%. Vorticlara humulis Alder. Voir : Matériaux HE, p. 40%. Vorticlava humiles Boum 1878 p. 116. Vorticlava proteus Wright. Voir : Matériaux I, p. 40%. Vorticlaca proteus FORBES 1872 p. 191. ) » MEREsCHKOWSKY 1878 (a) p. 242, fig. 3. Gen. Wrightia Allman 1571. Voir : Matériaux IE, p. 405. Wrightia arenosa (Alïder). Voir : Matériaux I, p. #05. Atractylis arenosu HARTMANN IS TS "pets à ) XICHIARDI IS80 p. 157. HISTOIRE DES HYDROÏDES 359 Gen. Zygodactyla Brandt 183 Zygodactyla vitrina (Gosse). Voir : Matériaux 1, p. 486, LE, p. 443 et IT, p. 406 et #29. Zygodactyla rosea MEerscHxiKOrF, E.u.L.1872 p. 231. Campanulina vitrina HÆCKEL 1879 p. 231. Polycanna vitrina HxckEL F8790p: 209 "2142209291 Zuygodactyla rosea SCHMIDTLEIN 1879 (b) p. 126. MÉDUSES (Anthoméduses-Leptoméduses.) Aequorea albida A. Agassiz. Voir : Matériaux IF, p. 407. Aequorect albida VERRILL 1873 (a) p. 454, 729 » » HÆCKEL [879 p. 210248; 291: Aequorea cihata Eschscholtz. Voir : Matériaux Il, p. 130 et HIT, p. 407. Aequorea ciliata SPAGNOLINI 1876 p. 317. » » HÆCKEL 1879%p..209;-220: Aeqguorea discus Hæckel. Aequorea discus HxckEL 1879 p.209, 210, 219, pl. 15, lis. 1-2. — À. forskalen see. À. G. MAYER.) REV. SUISSE DE Zoo. T. 20. 1712. [Re “| 390 M. BEDOT Aequorea eurodina Péron et Lesueur. Voir : Matériaux [, p. 484, Il, p. 130 et INT, p. 407. Aequorea eurodina HÆckEL 4879 p. 209,210, 218, 220. (— À. forskalea sec. A. G. MAYER.) Aequorea forskalea Péron et Lesueur. Voir : Matériaux [, p. 482: IT, p. 130 et III, p. 407. Zyyod actyla (Aequorea) forskalina GRAEFFE 1875 p. 304-306. Aequorea forskalea SPAGNOLINI 1876 p. 347. ? Schizodactyla forskalina CLAUS 1877 p. 10. Aequorea forskalea Herrwie, O.u.R. 1877 p. 356 ss. » » HerrwiG, O.u.R.1878 (a) p. 22,39, pl. 1. lig.13, 45,18, pl. 2;fig. 49- 29, pl. 3, fig. À, 3. » ) HerrwiG, O.u.R.1878 (b) p.3, 70ss., pl. 6, pl. 71084222 plL40 ho=0 » » HÆCKkEL 1879 p.207, 209. 211, 218-220. » » KRUKENBERG 1880 (b) p. 124ss. Aequorea violacea M. Edwards. Voir : Matériaux LE. p. 131 et IT, p. 408. Aequorea violaceu SPAGNOLINI 1876 p. 317. » » BTIN 1878 p. 100. ) » HÆCKEL 1879 p. 207, 210, 218, 220. (— À. forskalea sec. À. G. MAYER.) Amalthæa amoebigera Hæckel. Amalthæa amoebigera HÆCKEL 1879-p. 38, pl. 1. fis.40=44% — À. sarais sec. À. G. MAYER.) HISTOIRE DES HYDROÏDES Amalthæa januari Alman. Voir aux Hydroïdes. Amalthæa sarsi Allman. Voir aux Hydroïdes. Amplhicodon amphipleurus Hiæckel. 591 A mphicodon amphipleurus HÆCKEL 1879 p. 37, pl. 1, fig. 7-9. Î à «— Hybocodon prolifer sec. À. G. MAYER.) Amplhicodon fritillaria Hieckel. Voir aux Hydroïdes : Diplura fritillaria. («— Hybocodon prolifer sec. A. G. MAYER.) Amphicodon globosus (Sars). Voir : Matériaux HE, p. 408. Steenstrupia globosa SaRs, M. 1877>p:-20.pl 4e. 16 Amphicodon qglobosus HÆCKEL 1879 p. 36. (— Hybocodon prolifer see. À. G. Mayer.) Amphinema apicatum (Mac Crady). Voir : Matériaux I, p. 408. Slomoloca apicatu VERRILL 1873 (a) p. 455, 73%. Amphinema apicatum HÆCKEL 1879 p. 50. 52. (— Stomotoca dinema see. À. G. MAYER.) Ampluinema bitania (Gosse). Voir : Matériaux L, p. 482, IL p. 431 et LL, p. 408, Oceania diademu MERESCHKOWSKY 1877 p. 224. 392 ‘ M. BEDOT Amphinema litanta HÆCKEL 1879 p.41, 50,52, pl. 4/ig, 8-9. — Slomotoca dinema see. À. G. MAYER.) Pathycodon pyramis Hæckel. Bathycodon pyramis HÆCKEL 1879 p. 26. (= Slabberia pyramis sec. A. G. MAYER.) Derenice capillata Hæckel. Berenice capillata HÆCKEL 1879 tp: 494, pl'9%fio:"5 (— ? Cuvieria carisochroma sec. À. G. MAYER.) Berenice huxleyi Hæckel. Berenice huxleyi HÆCKEL 1879 p. 154, pl. 9, fig. 4. (— Cuvieria huxleyi see. À. G. MAYER.) Berenice rosea (Lamarck). Voir : Matériaux LE, p. 482, Il, p. 131 et LIT, p. 408. Berenice rosea HÆCKEL 1879 p. 143, 152-154, 161. (— Cuvieria carisochroma sec. A. G. MAYER.) Callitiara polyophthalma Hæckel. . Callitiara polyophthalma HxcKeL 1879 p. 67, pl. 3, fig. 1-5. (— Oceania urmata sec. À. G. MAYER.) Cannota dodecantha Hiæckel. Cannota dodecantha HÆCKEL ESPN. Fo AE HISTOIRE DES HYDROÏDES 593 Catablema campanula (Fabricius). Voir : Matériaux [, p. 482, IT, p. 132 et INT, p. 409. Calablema campanula HÆCKEL 1879 p. 63. pl. L. fig. 4-5. (— Turris campanula sec. A. G. MAYER.) Catablema eurystoma Hæckel. Catablema eurystoma H&CKkEL 1878. p. 63. 64, pl. 4, fig. 6-7. (— Turris eurystoma sec. À. G. MAYER.) Catablema vesicaria (A. Agassiz). Voir : Matériaux IE, p. 409. Catablema vesicarium HXCKEL 1879 p. 42,63, 64. (— Turris vesicuria sec. A. G. MAYER.) Cladocanna polyclada Hiæckel. Cladocanna polyclada HACKEL 1879 p- 104 (= Toxorchis thalassina sec. A. G. MAYER.) Cladocanna thalassina (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux [, p. 482, I, p. 132 et LITE, p. 409. Cladocanna thalassina HÆCKEL 1879 p. 143, 160. Dicranocanna thalassine HÆCKkEL 1879 p. 153. (— Toxorchis thalassina see, À. G. MAYER.) Cladonema radiatum Dujardin. Voir : Matériaux IL p. 132 et II. p. 409. Voir aux Hydroïdes. 394 M. BEDOT Codonium conmicun. Hæckel. Codonium conicum HÆCKEL 1880 p. 634. (— Sarsia conica sec. A. G. MAYER.) Codonium gemmiferum (Forbes). Voir : Matériaux Il, p. 132 et IL, p. 409. Sarsia ALLMAN 1874 fig. 37 p.83): Sarsia gemmifera BôHM 1878 p. 11%, 136. Codonium gemmiferum HÆCKEL 1879 p. 13, 15. (= Sarsia gemmifera sec. A. G. MAYER.) Codonium princeps Hieckel. Codontum princeps HxXCkEL É879 p.10; AE ASS DENT AIES 1-2. ) » H&CKEL 1880 p. 634. (— Sarsia princeps sec. A. G. MAYER.) Codonium pulchellum (Forbes). Voir : Matériaux I, p. 132 et HI, p. 410. Voir aux Hydroïdes : Syncoryne pulchella. Codonorchis octædrus Hicckel. Codonorchis octædrus HæckEL 1879 p. 51. (— Stomotoca octædra see. A. G. MAYER.) Conis cyclophthalma Hxckel. Cons cyclophthalma HÆCKEL 1879 p. 55, 56, pl. 4, fig. 1. ? Conis polyophthalma HÆCKEL 1879, p. 60. HISTOIRE DES HYDROÏDES Cons mitrata Brandt. Voir : Matériaux I, p. 133 et HE, p. #10, Conis mitrata HÆCKEL 1879 p. 55. Corynitis agassizi Mac Crady. Voir aux Hydroïdes, Corynitis arcuata Hæckel. Coryneles arcuala HÆECKEL 1879 p. 49. Ctenaria ctenophora Hæckel. Clenaria clenophora HECKEL 1879 p. 108, pl. 7, tig. 5-7. Cubogaster dissonema Hæckel. Cubogaster dissonema HECKEL 1879%p:79,-70: (= ? Cylæis pusilla sec. À. G. MAver.) Cubogaster gemmascens Hæckel. Voir : Matériaux IE, p. 410. 1876 p. 308. Cyboguster gemmuascens SPAGNOLINI Cyclogaster gemimascens BünM 1878 p. 137. Cubogaster gemmascens HÆCKEL 1879 p. 75, 76, 86, pl. 6, fig. s-11. — Rathhea octopunctata sec. À. G. Maven.) (ee Cytæandra areolata Hæckel. Voir aux Hydroïdes : Podocoryne areolata. Cytæandra polystyla Hæckel. 1879 p. 71. Cylæandra polynema HÆCKEL 1879 p. 79, 83. Cylæandra polystyla HECKEL (— Podocoryne polystyla see. A. G. MAYER.) 396 M. BEDOT Cytæis eriqua Hæckel. Voir aux Hydroïdes : Podocoryne carnea. Cytæis macrogaster Hæckel. Voir : Matériaux IE, p. 410. Cylæis macrogaster HÆCKEL 1879-p. 73,°74,-pl. 6: (— Cylæis atlantica sec. À. G. MAYER.) Cytæis nigritina Hæckel. Cylærs nigritina HÆCkKEL 1879 p. 74, pl. 6, fig. 2-5 Cytæis atlantica HÆCkEL 1879 p. 73. Nigritina atlantica STEENSTRUP K819,p.073, 74. (— Cylæis atlantica sec. À. G. MAYER.) Cytæis polystyla Will. Voir : Matériaux IE, p. 410. Cytæis polystyla | SPAGNOLINI 1876 p. 307. (= ? Turritopsis nulricula sec. A. G. MAYER). Cytæis pusilla Gegenbaur. Voir : Matériaux IE, p. 410. Cylæis pusilla SPAGNOLINI 1876 p. 307. » » Bünm 1878 p. 130, 136. » » HÆCKEL 1879%p-M19;770. Cytæis tetrastyla Eschscholtz. Voir : Matériaux LL. p. 133 et IT, p. #11. Bougainvillia mediterranea SPAGNOUINI 1876 p. 308. 2 » Bon 1878 p. 136. HISTOIRE DES HYDROÏDES 307 Cylæis telrastyla MIN 1878 p. 136. » » HÆCKEL 1879%p: 69; 73: » HÆ&CKEL 1880 p. 634. Dendronema stylodendron Hæckel. Dendr'onema stylodendron Hæcker 1879 p. 110. pl. 7, lig. 8. Dicodonium cornutum Hieckel. Dicodontum cornutum H&CkKEL 1879p. 27, pl 1h06: Dicodonium dissonema Hixeckel. Dicodonium dissonemu HÆCKEL 18292p-27: (— Dicodonium cornutum sec. A. G. MAYER.) Dicranocanna furcillata Hæckel. Dicranocanna furcillata HxckeL 1879 p. 156. (— ? Proboscidactyla ornata see. À. G. MAYER.) Dinema ocellata (Busch). Voir : Matériaux II, p. 411. Dinema ocellatum HÆCKEL 1879 p. 29. (— Dicodonium ocellatum sec. À. G. MAYER.) Dinema slabberi van Beneden. Voir : Matériaux 1, p. 483, Il, p. 133 et IL, p. #11. Dinema slabberi HÆCKEL 1879 p. 28. Dipleurosoma amphithectun Hæckel. Dipleurosoma amphithectum HxcKec 1879 p. 155, 156, pl. 9. fig. 9. » ) FHAÆCKEL 1880 p. 657. — Dipleurosom typieum see. À. G. MAYER.) 398 M. BEDOT Dipleurosoma irregulare Hckel. Ametrangia hemisphærica ALLMAN l 874 (f) p. 108. Dipleurosoma irrequlare MEcker 1880 p. 636. (— Dipleurosoma typieum sec. A. G. MAYER.) Dipleurosoma typica Boeck. Voir : Matériaux I, p. 411. Dipleurosoma typica HÆCkEL 1879 p. 155. Dipurena catenata (Forbes). ] Voir : Matériaux I, p. 411. Dipurena catenala HÆCKEL 1880 p. 653. (— Slabberix calenala sec. À. G. MAYER.) Dipurena cervicata Mac Crady. Voir : Matériaux LIT, Dipurena concu VERRILL Slabberia conica ROMANES Dipurena conica HÆCKEL Dipurena cervicala HÆCKEL p. 411. 1873 (a) p. 15, 735. 1876 (a) p. 306, note. 1879 p. 24. 1879 p. 24. (— Slabberia shrangulata sec. A. G. Mayer. Dipurena dolichogaster Hæckel. Voir : Matériaux IE, Dipurena ferlilis METSCHNIKOFF, E. u. L. Sarsia dolichogaster SPAGNOLINI Dipurena fertilis SCHMIDTLEIN HMipurena dolichogaster HÆCKkEL (— Slabberia catenata see. A. G. MAYER.) p.412. 1872 p. 231. 1876 p. 306. 1879 (b) p. 125. 1879%p- 29, pl. 2, 1ig. HISTOIRE DES HYDROÏDES 399 Dipurena halterata (Forbes). Voir : Matériaux I, p. 133 et I, p. #12. Dipurena halterata ILECKEL 1879 p. 23-29, 39. (— Slabberia halteratu sec. À. G. MAYER.) Dipurena ophiogaster Hæckel. Voir : Matériaux III, p. 412. Dipurena ophioqaster HÆCKEL 1879 p. 25. (= Mabberia ophiogaster sec. À. G. MAYER.) Dipurena strangulata Mac Crady. Voir : Matériaux IE, p. 412. Dipurena stranqgulala HECKEL 1879 p. 23-25. = Slabheria stranqulata sec. A. G. MAYER.) Dissonema saphenella Hæckel. : Dissonema saphenella HECKEL 1879: p: 126; pl..8, fig. 3: Dyscannota dysdipleura Hæckel. Voir : Matériaux LIT, p. 412. Dyscannola dysdipleura HECKEL 1879 p. 143. 152, 158. — Proboscidactyla ornata sec. A. G. MAYER.) Dysmorphosa carnea (Sars). Voir aux Hydroïdes : Podocoryne carnea. Dysmorphosa conchicola Hæckel. Voir aux Hydroïdes : Podocoryne carnea. 400 M. BEDOT Dysmorphose fulgurans À. Agassiz. Voir : Matériaux ILE, p. 412. Dysmorphosa fulqurans VERRILL 1873 (a) p. 448, 454, 734. ) » Bôünm 1878 p. 136. » ) HÆCKEL LS NDTe (— Podocoryne fulqurans see. A. G. Mayer.) Dysmorphosa minima Hæckel. _ Dysmorphosa minema HÆCKkEL 1879 p. 78, pl. 6, fig. (— Rathkea blondina sec. À. G. MAYER.) Dysmorphosa octostyla Hæckel. Dysmorphose octostyla HÆCKEL 1879 p. 78, pl. 6. fig. 6. Ectopleura dumortieri (Van Beneden). Voir aux Hydroïdes. Ectopleura ochracea À. Agassiz. . Voir : Matériaux IL, p. 415. Ectopleura ochraceu VERRILL 1873 (a) p. 455. 739. 4 HÆCKEL 1879 p. 22. 1] » — Ectopleura dumortieri sec. A. G. Mayer. (= Eirene! cœrulea L. Agassiz. Voir : Matériaux HE, p. 419 (frene cœruleu). lrene cœærulea HECKEL 1879 p. 166, 200, 203. (— Eutimu cœrulea sec. A. G. MAYER.) ! HæckeL avait changé le nom générique d’Æÿrene en Irene. Nous suivrons exemple donné par A. G. Mayer en reprenant l’orthographe adoptée par Escx- sCHOLTZ le créateur du genre. HISTOIRE DES HYDROÏDES 401. Eïirene gibhosa (Mac Crady). Voir : Matériaux IE, p. 419 (/rene gibhosu). rene gibbosa HECkEL 1879 p. 200, 203. (— Phortis gibhosu sec. A. G. MAYER.) Eïirene pellucida (Busk). Voir : Matériaux 1, p. 483, H, p. 135 et IU, p. 419 (lrene pellucidu,. Pme pellucida METSCHNIKOFF, E. u.L. 1872 p. 231. » » GRÆFFE 1875 p. 309. Lima cart SPAGNOLINI 1876 p. 315. ? Eirene qibbosa SPAGNOLINI 1876 p. 323. Tima pellucida CLAUS 187% p.10. Tima cari BôrM 1878 p. 10%. lrene pellucida HÆCKEL 1879 p. 200-202, pl. 12, fig. 1-2. = Lima lucullana sec. À. G. MAYER.) Eirene viridula (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux [, p. 483, I, p. 136 et Il, p. #19 (/rene viridulu). Pona pellucida SCHULZE 1875 p. 138, pl. 2, fig. 6. » » BünM 1878%p--16 7104 100181: lrene viridula HÆCKEL 1879 p. 166, 200-202. Eleutheria claparedei Hartlaub 1SS9. Voir : Matériaux I, p. 415. Eleutheria dicotoma SPAGNOLINI 1876 0pr312»ptra tou: Eleutheria dichotoma Quatrefages. Voir : Matériaux IL, p.133 et IT, p. 413. Voir aux Hydroïdes. 402 M. BEDOT Spenthesis bicophora Hiæckel. Voir aux Hydroïdes : Clytia johnstonr. Epenthesis cymbaloidea (Slabber). Voir : Matériaux 1, p. 483, LE, p. 134 et LI, p. 413. Eucope gemmiger« BoHM 1878 p. 137. Epenthesis cymbaloidea HÆCKEL 1879/p 120 127; 1433 (= Phialidium hemisphæricum sec. À. G. MAYER.) Epenthesis folleata Mac Cradr. Voir : Matériaux IE, p. 413. Epenthesis folleata HAckez 1879 p. 182; 181. (— Clytia folleulu see. À. G. MAYER.) EÉpenthesis maculata (Forbes). Voir : Matériaux Il, p. 134 et HE, p. #14. Thaumantias maculata Boum 1878 p. 99. Epenthesis maculata HÆCkEL 1879 p. 183. : Eucheilota ventricularis Mac Cradv. Voir : Matériaux IE, p. 414. Eucheilola ventricularis VERRILL 1873 (a) p. 454, 7295. » ) BônM 1878, pr88:-1410. Euchilota ventricularis HXCKEL 1879 p. 179,480: Eucope affinis Gegenbaur. Voir : Matériaux II, p. 414. Voir aux Hydroïdes : Clytia Johnston. , 184. HISTOIRE DES HYDROÏDES 403 Eucope articulato À. Agassiz. Voir : Matériaux El, p. 414. Voir aux Hydroïdes : Obelia dichotoma. Eucope campanulata Gegenbaur. Voir : Matériaux HE, p. 41%. Voir aux Hydroïdes : Clytia johnstont. Eucope minuta Metschnikofr. Voir : Matériaux IT. p. 415. Eucope octona (Forbes). Voir : Matériaux Il, p. 134 et IE, p. 415. Thaumantias octonu Bôum 1878 p. 99. Eucope octon« HÆCKEL 1879 p. 170, 174. Eucope parasitica À. Agassiz. Voir : Matériaux HE, p. 415, Eucope parasitica HÆCKEL 1879 p. 176. Eucope polygena A. Agassiz. Voir : Matériaux HE, p. 415. Eucope polyqgena HÆCKEL 1879 p. 176. Eucope pontica Metschmkoft. Voir : Matériaux HE, p. 415. Eucope thaumantoides Gegenbaur. Voir : Matériaux IE, p. 415. Eucope thaumantoides GEGENBAUR 1856 (hp: 92243-29208 pl: 197 1 CD )E0T | fo" 9,10: Eucope thanmantioides HerrwiG, Ou. R. 1877 p. 396 ss. 404: M. BEDOT Europe thaumantoides Bôuu 1878 p. 140, 141. La citation du mémoire de GEGENBAUR, que nous avions indiquée dans les matériaux IF, contenait une erreur que nous rectifions ci-dessus. ÆEucopüum pictun (Keferstein et Ehlers). Voir : Matériaux IE, p. #16. Eucope picla SPAGNOLINI 1876 p. 319. Eucopium pictum HECKEL 1879 p. 168. — Eucope picla sec. A. G. MAYER.) Eucopium primordiale Hæckel. Eucoprum primordiale HÆCKkEL 1879 p. 168, pl. 11; fig:-1-3. (— EÉucope picla sec. A. G. MAYER.) Eucopium quadratum (Forbes). Voir : Matériaux Il, p. 13% et IE, p. 416. Thanmantias quadralta Bou 1878 p. 99. Eucopium quadratum HÆCKEL 1879 p. 169. (— Eucope globosa see. À. G. MAYER.) Euphysa aurata Forbes. Voir : Matériaux IL, p. 134 et ILE, p. 416. Syn.: Æuphysa mediterranea. Voir : Matériaux IE, p. 416. Euphysa medilerranea SPAGNOLINI 1876 p. 306. ) » HÆCKEL 1610 D 02 DL 2 IL AS NO Euphyse aurata HÆCKEL 1879 p. 32. (— Sleenstrupria auralu see. À. G. MAYER.) Cette espèce est probablement Ja Méduse d'Halatractus nanus. HISTOIRE DES HYDROÏDES Euphysa mediterranea Hæckel. Voir : Matériaux ILE, p. #16. Voir : Æuphysa aurata. Euphysa virqulata A. Agassiz. Voir : Matériaux HIT, p. 417. Euplysa virqulata HECKEL 1879 39; = ? Steenstrupia aurata sec. À. G. MAYER.) Eutima insignis (Keterstein). Voir : Matériaux IE, p. 417. Eutima ensiquis FLECKEL 1879=p.102: Eutima limpida A. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. #17. Eutima limpida VERRILL 1873 (a) p. 15% ) » Bônm 1878 p. 102. ) HÆCKEL LS20p-R0 17 —> Eutima mir sec. A. G. MAYER.) Eutima mire Mac Crady. Voir : Matériaux IE, p. 417. Eutima mira 6 HÆCkEL LS TOMDE AUS Eutima pyramidalis L. Agassiz. Voir : Matériaux HE, p. #17. 1879 p. 191. Eutima pyramidalis HECKEL (—= Phorlis pyramidalis sec. A. G. MAYER.) Rev. Suisse pe ZooL. T. 2). 1912. 1420 405 406 M. BEDOT Entimalphes indicans (Romanes). T'iaropsis indicans ROMANES 1876 (a) p. 274 ss. L'iarops indicans ROMANES 1876 (b) p. 525, 926. Tiaropsis indicuns ROMANES 1877 (a) p. 162. » » ROMANES 18%7/(b) p.194 pl A5 fe 4 » » ROMANES 1878 p.699ss., 714,726, 738. 740, 742, 7A8. pl. 30. Eutimalphes indicans HæCKEc 1879 p. 195. T'iaropsis indicans ROMANES 1880 (b) p. 179. 180. (— Eutimium socialis sec. À, G. Mayer.) Eutimalphes pretiosa Hæckel. Eutimalphes preciosa HAÆCKkEL 1879 p. 195. pl. 11. fig. 8. (— Eutima pretiosa see. A. G. MAYER.) Eutimeta gentiana Hæckel. Eutimeta gentiana HÆCKEL 1879 p. 194, pl. 42. fig. 6-9. (— Eulima gentiana sec. À. G. MAYER.) Eutimiun elephas Hæckel. Eutimium elephas HÆCKEL 1879 p. 190, 199, pl. 12. fig. 10-12. = Eutona elephas see. À. G. MAYER.) Gremmaria cladophora À. Agassiz. Voir : Matériaux LE, p. 417. Gemmaria cladophora HECkEL 1879-p. 103, 104: = Zancleu cladophora see. À. G. Mayer.) HISTOIRE DES HYDROÏDES 407 Gemmaria gemmosa Mac Crady. Voir : Matériaux LEE, p. 417. Gemmaria gemimosu VERRILL 1873 (a) p. 499. 739. » » HxÆCkEL 1879 p. 102-104. (= Zanclea gemmosa sec. À. G. MAYER.) Gemmaria sagittaria HieckelL. Gemmaria sagitlaria HÆCKEL 1879 p.103.104, pl. 7, fig. 3, 4. (— Zanclea gemmosa Sec. A. G. MAYER.) Globiceps globator (Leuckart). Voir : Matériaux IE. p. 417. Euphysa globator SPAGNOLINI 1876 p. 306. Globiceps globator HÆGKkEL 1879 p. 40. (— Pennaria disticha see. À. G. MAYER.) Cette espèce est probablement la Méduse de Pennaria distiche. Gonionemus vertens À. Agassiz. Voir : Matériaux ILE, p. 418. Gonionemus rertens Boum 1878 p. 143. Gonynemu vrertens HECKEL 1879 p. 140, 147. Halopsis ocellata A. Agassiz. Voir : Matériaux II, p. 418. Halopsis ocellata HÆCKEL 1879"p-1481,20921412417: Hippocrene macloriana (Lesson). Voir : Matériaux I, p. 135 et I, p, 418. Bouqgainvillia macloriana Bôun 1878. p. 190, 194. Hippocrene macloriana HÆCKEL 1879 p. 90, pl.'5, fig. 1-2. (— Bougainrillia macloriana sec. À. G. MAYER.) 408 M. BEDOT Hippocrene mertensi À. Agassiz. Voir : Matériaux Il, p. 135 et IL, p. 418. Bougainvillia mertensi CLARK 1876 (b) p. 250, 251. Hippocrene mertenst HÆCKkEL 1879 p. 90, 92. (= ? Bougainrillia supercilaris sec. À. G. Maven.) Hippocrene platygaster Hæckel. Hippocrene platygaster HÆCKEL 1879, p. 91. (— Bougainvillia platigaster see. A. G. Mayer. Hippocrene pyramidata Forbes. Voir : Matériaux IE, p. #18. Hippocrene pyramidata HECKEL 1880 p. 633. «— Bouguinvillia pyramidata see. A. G. MAYER). Hippocrene superciliaris L. Agassiz. Voir : Matériaux II, p. 135 et III, 418. Voir aux Hvdroïdes : bougainvillia superciliaris. Hybocodon annulicornis Hæckel. Voir aux Hydroïdes : Æeterostephanus annulicornis. Hybocodon nutans Hiæckel. Voir aux Hydroïdes : Corymorpha nutans. Hybocodon pendulus Hæckel. Voir aux Hydroïdes : Monocaulus pendulus. Hybocodon prolifer Hæckel. Voir aux Hydroïdes. HISTOIRE DES HYDROÏDES 409 lrene Voir Eïrene. Lrenüum quadrigatum Hzæckel. Lrencum quadrigatum HÆckEL 1879. p.199, pl. 114, fig. 19-43. (== Eirene quadrigatum sec. A. G. MAYER.) Laodicea calcarata A. Agassiz. Voir : Matériaux IE. p. 419. Syn. : Laodicea ulothryx. Voir : Matériaux IE, p. 421. Laodice calcarata HÆCKEL FO M A2 06H15. 13% 134. Laodice ulothryx HxCKEL 1879 p.131.133, pl.8. fig. 3-7. (— Laodicea cruciata sec. À. G. Mayer.) Laodicea cruciata (Forskal). Voir : Matériaux 1, p. 483, If, p. 136 et IL, p. 420. Thaumantias pulosella M° IxrosH 1874 p. 204. Ocsania lineolatu SPAGNOLINT 1876 p. 314. Oceania cacuminalu SPAGNOLINI 1876 p- 314. Thaumantias corollata SPAGNOLINI 1876 p. 314. Thaumantias mediterranea SPAGNOLINI 1876 p. 314. Cosmetira punctata Bôxm 1878 p. 143. » » DU PLESSIs 1879 p. 42, 4h. Laodice cruciata HÆCKEL 1STIED RL A121,2299 127, 131, 132, 134, 295. Cosmetira punctata SCHMIDTLEIN 1879 (a) p. 122. Laodice cruciata HÆCKEL 1880 p. 636. Laodicea salinarum (Du Plessis). Cosmetira salinarum DE PLESSIS 1879%p.=39"ss., pli 2. Cosmetira punctata var. su- linarum dE GUERXE 1880 p. 423. Laodice salinarrwm HÆCKEL 1880 p. 036. 410 M. BEDOT Linmnorea proboscidea Hæckel. Voir : Matériaux [, p. 48, Il, p. 137 et IL, p. 421. Limnorea proboscidea HECKEL 1879 p. 74, 85-87. (= ? Lipmnorea ocellata see. A. G. MAYER.) Lizusa multicilix Hæckel. Lizusia multicilia HÆCKEL 1879%p. 81 pl20 ie 18" (— Bougainvillin multicilia sec. A. G. MAYER.) Lizusa octocilia Hæckel. Voir aux Hydroïdes : Bougainvillia ramosa. Lizzella hyalina (van Beneden). Voir : Matériaux IE, p. 421. Bougainvilliu sp. ? MERESCHKOWSKY 1879 p. 179. Lizzella hyalina HÆCKEL 1880 p. 634. Lizzella octella Hiæckel. Lizella octella HÆECKEL 1879 p. 84. » » HÆCKEL 1880 p. 63%. (— ?? Rathkea octonemalis see. A. G. MAYER.) Lizzia blondina Forbes. Voir : Matériaux Il, p. 137 et LIL, p. #21. Syn. : Lizzia claparedei. Voir : Matériaux IE, p. 421. Lizzia blondina BünM 1878 p. 136, 188, 191, pl. 6, fig. D. » ) HECKEL AS79-p.-71, 82: Lizzia clapareder H &CKkEzL 1879 p. 71, 82, 83. (—= Rathkea blondina see. A. G. MAYER.) HISTOIRE DES HYDROÏDES 411 Lizziu clapareder Hæckel. Voir : Matériaux HE, p. #21. Voir : Lizzia bondina. Liens duvet Heckel Lizsia elisabethæ H_ECkEL 1879, p. 83, pl. 6, lig. 12. (— Rathkea blondina sec. A, G. MAYER.) Margelis maniculata Hæckel. Voir : Matériaux IE, p. #22 Bougaincillia maniculalt SrAGNounI 1876 p. 308. Margelis maniculata HÆCKEL 1879 p. 69, 89, pl. 5, tie. 4-5. (— Bouqainvillia maniculala see. A. G. MAYER.) Margelis principis Steenstrup. Voir : Matériaux IL, p. 137 et ILE, p. 422. Bouqguinvillia fruticosa ROMANES 1876 (a) p. 27458. » » ROMANES 1876 (b) p. 526. Bougainvillie allmani ROMANES 1877 (b) p. 190, note. Margelis principis HECKEL 1879 p. 87-89, pl. 6, fig. 14-16. (— Bougainvillia principis sec. A. G. MAYER.) Margelis zygonema Hæckel. Voir : Matériaux III, p. 422. Murgelis zygonema HxCKEL 1880 p. 635. (— Bougainvillia dinema (= ? B. superciliaris) sec. A, G. MAYER.) Margellium gratum (A. Agassiz). Voir : Matériaux III, p. 222. Lizzia grata VERRILL 1873 (a) p. 148. ) BonM 1878 p. 112, 132. 412 M. BEDOT Margellium gratum HxCkEL 1879 p. 95: (= Rathhen oclopunctata Var. grata see. À. G. MAYER.) Melicertella panocto Hiæckel. Melicertella panocto HÆCREL 1879 p. 135. (— Melicertum panocto sec. A. G. MAYER.) Melicertidium octocostatum (Sars). Voir : Matériaux IT. p. 138 et ILE. p. 422. Slomobrachium octocostatum Môits 1873 (a) p. 101. » » MôBrus 187 20p 4201 Stomabrachiuin octocostatum ROMANES 1876 (a) p. 274, ss. Stomobrachium octocostatum RoMAXES 1876 (b) p. 526. Melicertidium octocostatum HxcKei. 1879 p. 138. (— Melicertum octocostaltum sec. À. G. MAYER.) Melicertissa clavigera Hæckel. Melicertissa clavigera HÆCKEL 1879 p. 435. pl. 8, fie Melicertella clavigera HÆCKEL 1879 Explic. pl. 8. f Melicertum campanula Li: Agassiz. Voir : Matériaux I, p. 425. Voir aux Hydroïdes. Melicertum georgicum A. Agassiz. Voir : Matériaux IE. p. 423. Melicertum georgicum HxCkEL. 1879 p. 136, 137. Mesonema abbretviata Eschscholtz. Voir : Matériaux Il. p. 138 et IE. p. 423. Mesonema abbreriatum HÆCKEL 1879 p. 209, 228. en De ie. 8-12. HISTOIRE DES HYDROÏDES Mesonema cœwrulescens Brandt. Voir : Matériaux IF, p. 1439 et LIT, p. 423. Mesonema cwrulescens SPAGNOLINI 1876 p. 317. » » HÆCKEL 1879 p. 298, 229. (— ?? Aequorea forskalea see. À. G. MAYER.) Mesonema cyaneum (Li. Agassiz). Voir : Matériaux IT, p. 424. Mesonema cyaneum HÆCkEL 1879 p: 225, 227. («— Aequorea forskalea see. À. G. MAYER.) Mesonema dubium Brandt. Voir : Matériaux Il, p. 139 et LIT. p. 424. Mesonema dubium HAÆCKEL 1879 p. 228. Mesonema eurystoma Hæckel. Mesonema eurystoma HxckeL 1879 p. 225, 227. (— Aequorea forskalea see. A. G. MAYER.) Mesonema macrodactylum Brandt. Voir : Matériaux Il, p. 139 et ILE, p. 424. Mesonema macrodactylum HæckeL 1879 p: 210, 241. 226. * (— Aequorea macrodactyla see. A. G. MAYER.) Mesonema pensile Hæckel. Voir : Matériaux I. p. 48%, IT: p. 139 et VIE, p. 422. Slomobrachium mirabilis SpAGNorINt 1876 p. 316. Mesonema cœlum-pensile SPAGNorNI 1876 p. 317. Mesonema pensile HÆCKEL 1879 p. 240:.226- 931. (==; equorea pensilis see. À. G. MAYER.) A1 414 M. BEDOT Mitrocoma annæ Hæckel. Voir : Matériaux HE. p. 424. Mitrocoma annæ SPAGNOLINI 1876 p. 328. » ) HerrwiG, O.u.R. 1877 p. 356, ss. ) » Bon 1878 p. 104. ) » HerrwiG, O. 1878 p. 179%ss., pl9 72210 HOUR RE » » HerrwiG, O.u.R. 1878 (a) p. 10, 2%, ss., pl. 1, Do 30e » ) HErTwIG, O.u.R. 1878 (b) p. 3, 70, ss, pl. 7, Ho AO MEANS" E9:tpl 110 Pets: » > FLECKEL 1879 p. 166, 188, 189 pl. 10. Mitrocoma minervæ Hiæckel. Hilrocoma minerræ HÆECKEL 1879 p. 189. Mitrocomella polydiademata (Romanes). Diaropsis polydiademala RouAxEs 1876 (a) p. 274, ss. T'iarops polydiademata ROMANES 1876 (b) p. 526. Piaropsis polydiademala RoMAxES 1877 (b) p, 194, pl. 15, fig. 3. » » ROMANES 1878 :p. 683, 710, 747. Mitrocomella polydiadema HxcxeL 1879 p. 185. — Witrocoma polydiademata sec. A. G. MAYER.) Mitrocomium cirratunr Hæckel. Mitrocomium cirratum HECkKEL 1879:p..182; 187, pl; fig: 9-11. (— Milrocoma cirrata sec. À. G. MAYER.) Modeeria formosa Forbes. Voir : Matériaux Il, p. 140 et III, p. 425. Modeeria formosa H&cKkEL LS 79: 47. (— ? (ceania armala see. A. C. MAYER.) HISTOIRE DES HYDROÏDES 415 Mooderia irenium Hæckel. Mooderia crentum HECKEzL 1879 p. #8. Nemopsis bachei L. Agassiz. Voir : Matériaux Il, p. 140 et LIL, p. #25. Voir aux Hydroïdes. Nemopsis crucifera (Forbes). Voir : Matériaux LIT, p. #25. Nemopsis crucifer«. HxCKkEL 1880 p. 659. Nemopsis favonia Hæckel. Voir : Matériaux I, p. 485, Il, p. 440 et ILE, p. 425. Nemopsis favonia HECKEL 18192p. 71-860} 07: 0%. Nemopsis heteronema Hiæckel. Nemopsis heteronema H£&ckEL 1879 p. 93, pl. 5, fig. 6-9. —= Nemopsis bachei sec. À. G. Mayer.) Obelia leucostyla (Win). Voir : Matériaux IL, p. 140 et IEF, p. 425. Voir aux Hydroïdes : Obelia gelatinosa. Obelia polystyla (Gegenbaur). Voir : Matériaux II, p. 426. Voir aux Hydroïdes : Obelia longissima. Obelia sphærulina Péron et Lesueur. Voir : Matériaux 1, p. #85, LI, p. 141 et LEE, p. 426. Voir aux Hvdroïdes : Obelia dichotoma. 416 M. BEDOT Octocanna octonema Hæckel. Octocanna octonemua HÆCKEL 1879 p. 209-214, 213. (— Aequorea forskalea sec. À. G. MAYER.) Octocanna polynema Hæckel. Octocanna polynema HÆCKEL 1879p: 210; 21%; Octonema eucope Hæckel. Oclonema eucope HÆCKEL 1879%p.122127- (—= Laodice (?) encope sec. A. G. MAYER). Octorchandra canariensis Hæeckel. Octorchandra cunariensis HÆCKkEL 1879 p. 198, pl. 13, fig. 4. = Eutima campanulata sec. A. G. MAYER.) Octorchandra germanica Hæckel. T'ima sp. ? SCHULZE 1879%p: 138: pl 2-18 7e Octorchandra germanica HÆCKEL. 1879 p. 198. pl. 13. fig. 3-8. = Eutima campanulata À. G. MAYER.) Octorchandra variabilis (Mac Crady). Voir : Matériaux IT. p. 426. Oclorchandra variabilis HÆCKEL 1879 p. 196. 198, 199. (— Eîrene variabilis sec. À. G. MAYER.) Octorchidium tetranema Hæckel. Octorchidium tetranema HÆCkEL 4879 p.196. 197, pl. 13, fig. 9: (= Eutima campanulata sec. À. G. MAYER.) HISTOIRE DES HYDROÏDES 417 Octorchis campanulatus (Claus). Loriopsis campanulala ULAUS 1877 p. 11. Oclorchis campanulatus HECKEL 1879 p. 196-198, pl. 13, fig. 2. (— Eutima companulata sec. A. G. MAYER.) Octorchis gegenbauri Hxæckel. Voir : Matériaux HE, p. #26. Oetorchis gegenbaurt SPAGNOLINI 1876 p. 323. ) ) HerrwIG. O.u.R. 1877 p. 3906 ss. ) BünM 1878 p. 10%. | HertWwiIG, O.u.R. 1878 (a) p. 24 ss., #0, pl. 2, (ER He M HERTWIG, O.u.R. 1878 (b) p. 3, 70ss., pl. 7, tig. DHL A ADEe6: He oplel0 tel. HxCKkEL 1879 p. 196-198, pl. 13, fig. 10-16. — Eutima campanulata see. À. G. MAYER.) Orchistoma pileus (Lesson). Voir : Matériaux IT, p. 141 et IL, p. 427. Orchistoma pileus HECKEL 1879::p. 139: Orclistoma steenstrupi Hæckel. Orchistoma steenstrupr HÆCKEL 1879 p. 139, pl. 15, tig. 3-5. — (Jrchistoma pileus see. A. G. MAYER.) Pandeau conica (Quoy et Gaimard). Voir : Matériaux IL, p. 141-et IT, p. 427. Oceania sedecemcostala SPAGNOLINI 1876 p. 310. 415 M. BEDOT Oceania conica ) , Boum » ) HerrwiG, O.u.R. ) h Pandeu conica HÆCKEL Oceania conica SCHMIDTLEIN HerrwiG, O.u.R. 1877 p. 356 ss. 1878 p. 75, 195. 1878 (a) p. 27. 30. pl. 4, fi 4,8, pl. 3. fig. 4,5. pl. . 9: = 1 HérrwiG, O.u.R. 1878 (b) p.3,95ss., pl.8. fig. 7,8. pl. 10. fig. 12. 1879 p.53, 54, 56. 1879 (a)_p. 122: Pandea saltatoria (Sars). Voir : Matériaux [, p. 485. IL p. Pandeu saltatoria HÆCKEL 141 et III, p. 427. 1879 p. 54. Phalidiun gregarium (A. Agassiz). Voir : Matériaux I, p. Plualidium gr'egarium HÆCKEL h27. 1879 p. 188. Phialidium languidun (A. Agassiz). Voir : Oceania lanquida VERRILL » D VERRILL ) ) MERESCHKOWSKY ÿ ) Boum Phialidium lanquidium HxCkEL Matériaux IE. 1877 1818 SpA pure 1872 (a) p. 6 1873 (a) p. 4d4. 725. p. 224. Or 1879 p. 186-188. Plhialidium variabile (Claus). Voir : ? Eucope polygastrica Merscaxikorr, E.u. L. 2 Phialidium viridicans SCHULZE ? Thaumantias dubia SPAGNOLINI Plualidium ferrugineum SrAGxount Phialidium viridicans. SPAGNOLINI Thaumantias achroa SARS. M. Thaumantias globosa Bon Matériaux [, p. 485, IL, p. EE 10 QC 142 et IL. p. / 1872 p. 1875 p. 1876 p. 1876 p. 1876 p. Sven: 1878 p. 231. 158. 319. 516, 316. 21 99. HISTOIRE DES HYDROÏDES A19 Phialidium viridicans Bon 1S7S ap 10 Phialidium ferrugineum Boum 1878 p. 104. Phialidium voridicans HertwiG. Ouh 1878 {b) p. 3: 70, ss:, pl. 7, fig. 5-8, 15. pl. 10. lig. 10. Phialidium variabile HECKEL 1879-p. 41, 56.-65,-121-128. 170, 182, 185-188. (= pp.Æucope globosa. pp. Phialidium hemisphærieum sec. À. G. MAYER.) Phialis cruciata (A. Agassiz). Voir : Matériaux IE, p. 428. Phialis cruciala HECKEL 1879 pD-A181%217: («— Mitrocoma cruciala sec. À. MAïER.) Phialium duodecimale (A. Agassiz) Voir : Matériaux HI. p. 429. Syn. : Phualium dodecasema Hæckel. Voir : Matériaux II, p. 428. Eucheilota duodecimalis AGAssiz. L. 1860-62 vol. 4, p. 353. » AGASSIZ, À. 1862 (a) p. 393. » AGASSIZ, A. 1865 (c) p.75, 224, fig. 106- 107. ÿ VERRILL 1873 (a) p. 494, 725. Phialium duodecimate HxCkEL 1879 p. 180, 181. Phialium dodecasema H&CKkEL. 1879 p. 180. 181. Eucheilola duodecimalis sec. À. G. MAYER.) Polycanna crassa (A. Avassiz). Voir : Matériaux IT, p. 429. Polycanne crassa Hacker 1879 p.209 244 292. (= Zygodactyla (?; crassa sec. À. G. MAYER.) 420 M. BEDOT Polycanna flava (A. Agassiz). Voir : Matériaux I, p. 429. Polycanna flara HxckEzL l'8791:p2 2112507233; (= ? Aequorea forskalea sec. A. G. MAYER.) Polycanna fungina Hæckel. Polycanna fungina HÆCKEL 1879: p::2092210:0229; 230: 232, pl. 14, lig. 4-7. (—= Aequorea forskalea sec. A. G. MAYER.) Polycanna germanica Hæckel. Polycanna germanica HECKkEL 1879 p. 209, 230-232, pl. 1#, lie. 1-3. — Aequorea forskalea see. A. G. MAYER.) Polycanna groenlandica (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux I, p. 485, IL, p. 143 et IL, p. 429. ZLygodactyla groentandica NerRie 1871 p. 360. » » VERRILL 1873 (a) p. 449, 454,729, pl. 37, lig. 275 » » LÜTKEN 1875 p. 189. Polycanna groenlandica HECKEL 1879 "p. 209,.211::23251233: Zygodactyla groentandica Ninraer 1880 (a) p. 27%. = Zygodactyla groentandica sec. À. G. MAYER.) Polycanna italica Hæckel. Voir : Matériaux 1, p. 486, 1, p. 143 et IL, p. 429. Aequorea rissoanut SPAGNOLINI lS768p..317. Polycanna italica HÆECKEL 1879 p.209, 230: (— Aequorea forskaleu see. À. G. MAYER.) HISTOIRE DES HYDROÏDES 421 Polycanna vitrina Hæckel. Voir : Matériaux 1, p. 486, IE, p. 143 et TE, p. 429. Voir aux Hydroïdes : Zygodactyla vitrina. Polyorchis campanulatus (Chamisso et Eysenhardt). Voir : Matériaux Il, p. 143 et II, p. 430. Polyorchis campanulatus Hæcker 1879 p. 136, 149, 150. (— Polyorchis penicillata sec. À. G. MAYER.) Polyorchis penicillata (Eschscholtz). Voir : Matériaux If, p. 14% et HT, p. 430. Polyorchis penicillatus HÆCKEL 1879 p. 136, 140, 149-154, Polyorchis eschscholtzi HÆCKEL 1879 p. 1K0. Polyorchis pinnatus Hæckel. Polyorchis pinnatus FECKEL 1879%p. 149 /pleS 0137 (— Polyorchis penicillata see. A. G. MAYER.) Polyorchis saltatrix (Tilesius). Medusa saltatrix TiILESIUS IS18 p. 554 ss., pl. 18. Spirodon saltatrir HÆCKEL 1880 p. 636. Polyorchis saltatrir HÆCKEL 1880 p. 636. (— Spirodon saltatrir see. A. G. MAYER.) Proboscidactyla brevicirrata Hæckel. Proboscidactyla brericirrata HæcKkeL 1879 p. 158-160. (— Proboscidactyla flavicirrala sec. A. G. MAYER.) Rev. Suisse DE Zoor. ‘T. 20. 1912. 29 499 M. BEDOT Proboscidactyla flavicirrata Brandt. Voir : Matériaux I, p. 1%4 Probosciductyla flavicirrata À xcker et IIT, p. 430. 1879 p. 158. 159. Protiara tetranema (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux {, p. 486, LE, p. Protiara tetranema HECKEL (— Protiara beroe sec. À. G. MAYER.) 14 et UE, p. 430. 1879 p. A7. Pleronema ambiquum (Lesson). Voir : Matériaux I. p. 14% et IE, p. 450. Pieronema ambiquum HÆCKEL 1879 p. 102. (— ? Pleronema darwini sec. À. G. MAvER.) Pteronema darivini Pteronema darwini HÆCKEL Pteronema pinnatum H&CkEL Hi:eckel. 1879 p.104, 108. pl. 7, fig. 1-2. 18792p: 401,102: Ptychogastria polaris ANman. Ptychogastria polaris ALLMAN 1878 p.290: Ptychogena lactea À. Agassiz. Voir : Matériaux IT. Ptychogena lactea FLECKEL p. 430. 1879 p. 143, 147, 148. Ptychogena pinnulata Hxæckel. Ptychogena pinnulata IÆCKEL (— Ptychogena lactea see. À. G. MAYER.) 1879 p. 147-149. HISTOIRE DES HYDROÏDES 493 Rathkia blumenbachi (Rathke). Voir : Matériaux Il, p. 14% et I, p. 430. Rathkea bliumenbachi HÆCKEL 1879 p. 71, 95-97. Rathkia fasciculata (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux 1, p. 486, I, p. 145 et LE, p. 431. Lizsia kollikert SPAGNOLINI 1876 p. 308. » D HERTWIG, O. u.R. 1877 p. 356 ss. » » Büam 1878 p. 113. Lizziu (Bougainvillea) kôl- likeri Ermer 1878 p. 2#0. Lizzia kôllikeri HerrwiG, O.u.R. 1878 (a) p. 27, 28, pl. 1, lig. 2, 7,19. pl. 3. fig. 2,6. ») » HerrwiG. O.u.R. 1878 (b) p. 3, 95 ss. pl. 8, tig. 9-17. Rathkea fasciculata HxCkEL LOZ0 DITES SR-506, 07. Lizzin kollikeri SCHMIDTLEIN 1879 (a) p. 122. Rathhia octopunctata (Sars). Voir : Matériaux Il. p. 438, 145 et IL. p. 431. Lizzia octopunctata SCHULZE 1875 p.124; 197, » » Bon LOTS TE TA M ETS TS 78; 84: 442, 143,428; 132: 135. 135. 136, 186, 188, pl. 4, fig. 1-9, pl. 5. fig. 1-26, pl. 6. fig. 1-4. Margellium oclopunctatum HxckeLr 1979-p182: 095207 Rathkea oclopunctata HÆCKEL LSR0 ip: 96707; Bhegmatodes floridanus 1. Agassiz. Voir : Matériaux IIf. p. 432. Rhegmalodes floridianus VERRILL 1875 p. 43 Lihegmatodes floridana HÆCKEL 1879 p.223 — Aequorea floridana sec. À, G. MAYER.) 424 M. BEDOT Lhegmatodes globosa (Eschscholtz). Voir : Matériaux IL, p. 145 et III, p. 432. Rhegmatodes globosa HECKEL 1879 p. 222. — Aequorea globosa sec. A. G. MAYER.) Rhegmatodes tenuis A. Agassiz. Voir : Matériaux HE, p. 432. 1873 (a) p. 454, 729. Rheymatodes tenuis VERRILL ) ) HECkEL 1879 p: 214,223. (— Aequorea tenuis sec. À, G. MAYER). Fhegmatodes thalassina (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux !, p. 486, IE, p. 145 et IT, p. 432. 222. Rhegmatodes thalassina HÆCKREL 1879 p. — ? Aequorea forskalea see. À. G. MAYER.) Saphenella dissonema Hæckel. Saphenella dissonema HECKEL (— Eucope dissonena see. A. G. MAYER.) Saphenia bitentaculata (Quoy et Gaimard). Voir : Matériaux IF. p. 146 et IF, p. A ? Syphonorhynchus bitentu- culatus Merscanikorr, E.u.L. 1872 p. 2: Saphenia hitentaculata MERESCHKOWSKY 1877 HECKEL 1879:%p. Saphenia dinema (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux !, p. 486, IE, p. 146 et III, p. 433. Suphenia dinenra HECKEL 1879°p..192,; 193: + Saphenta gracilis sec. A. G. MAYER.) 18329 -p.-16092n1 441 #0 HISTOIRE DES HYDROÏDES Saphenia mirahilis (Wright). Voir : Matériaux LE. p. 433. Saphenia mirabilis HECKEL 1879 p- 192. (= Saphenia gracilis see. A. G. MAYER.) Sarsia clavata Keferstein. Voir : Matériaux IE, p. 146, et IT. p. 433. Sarsia clavata Büam 1878 p. 136. » ») HÆCKEL 1879 p. 19. Sthenyo decipiens HÆCKEL 1879 p. 19. (—= ? Slabberia catenata sec. À. G. MAYER.) Sarsia eximia (Allman). Voir aux Hydroïdes : Syncoryne erimi. Sarsia macrorhyncha Busch. Voir : Matériaux IE, p. 493. Sarsia macrorhynche HÆCKEL 1879 p. 19. (= Sarsia tubulosu sec. À, G. MAYER.) Sarsia mirabilis L. Agassiz. Voir : Matériaux U, p. 146 et IL, p. 433. Voir aux Hydroïdes : Syncoryne mirabilis. Sarsia prolifera Forbes. Voir : Matériaux Il, p. 147 et IL, p. 433. Medusa ALLMAN 1871 fig. 38 (p. 83). Sarsia prolifera M° Ixrosu 1874 p. 201. » » SARS, M. 1877 p. 22. Dt 426 M. BEDOT Sarsia prolifera BoHM 1878 p. 137. » » HerrwiG, O.u.R.1878 (a) p. 30. » ) HÆCKkeL 1879 p.1%°18: Codontum codonophorum HÆECKeL 1879 p.13, 1418275209 Lors » » HÆCKEL 1880 p. 634. Sarsia rosaria Hiæckel. Voir aux Hydroïdes : Syncoryne rosaria. Sarsia Siphonophora Hæckel. Sarsia siphonophora HÆCKkEL 1879 p.45, 20,.pl. 1, fig. 4. (—=Sarsia gemmifera sec. A. G. MAYER.) Sarsia tubulosa (Sars). Voir : Matériaux Il, p. 147 et IE, p. 45%. Sarsia tubulosa SCHULZE 1873.(b)-p: 4:ss.,:pl 2 pl, fig. 21-23. ) » KOROTNEFF 1876 p. 372, 373. » » ROMANES 1876 (a) p. 274 ss. » » ROMANES 1876 (b) p. 526. ) » SCHULZE 1876 p. 409. » » BüHM 1878 p.79, 76,78, 90,91, 11%, 117. » EIMER 1878 p. 241, 244. Sarsia tubulifera MERESCHKOWSKY 1878 (a) p. 323. Sarsia tubulosa HÆCKEL 1879 ps 0 M0 AG AZ Cette espèce est probablement la Méduse de Syncoryne sarsi. Staurobrachium stauroglyphum (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux LE, p. 486, IE, p. 147 et III, p. 434. Slaurobrachium staurogly- phum HÆCKEL 1879 p: 225. (= Stomobrachium (?) stauroglyphum sec. A. G. MAYER.) HISTOIRE DES HYDROÏDES 42 —] Staurodiscus heterosceles Hæckel. Slaurodiscus heterosceles HæckEL 1879 p. 146. Staurodiscus tetrastaurus Hæckel. Staurodiscus telrastaurus HÆCKkEL 1879 p. 143, 145, 146, 151, pl. 9, fig. 1-3. Staurophora keithi Peach. Voir : Matériaux II, p. 43%. Voir : Séaurophora mertensi. Staurophora mertensi Brandt. Voir : Matériaux If, p. 1%7 et I, p. 43%. Syn. : Staurophora keithi Peach. Voir : Matériaux HE, p. 43%. Staurophora merlenst H ÆCKEL 1879 p. 143, 148, 149. Staurophora vitrea Sars. Voir : Matériaux HE, p. #35. Staurostoma arctica Hæckel. Slaurostoma arctica HÆCKEL LS Z0ps 150437 (—= Staurophora mertensi sec. A. G. MAYER.) Staurostoma laciniata (L. Agassiz). Voir : Matériaux IE, p. 148 et IE, p. 435. Slaurophora laciniata VERRILL 1872 (a) p. 6. ) VERRILL 1875 p. 43. » » ROMANES 1876 (a) p. 2748. » » MERESCHKOWSKY 1877 p. 224. BôüHM 1878 p. 137. 428 M. BEDOT Staurophora lacinialu ROMANES 1878 p. 683, 701, 709, 748. Staurostoma laciniata HÆECKEL 1879-p19% 4307131: — Staurophora mertensi sec. A. G. MAYER.) Steenstrupia cranoides Hæckel. Voir : Matériaux IE, p. 435. Sleenstrupia cranotdes SPAGNOLINI 1876 p. 305. » ) HÆCKEL 1839 -p. 30, pl. 2, fig. 10-14. (= Steenstrupia rubra see. A. G. MAYER.) Steenstrupia galanthus Hæeckel. Voir : Matériaux Il, p. 148 et LL, p. 435. Voir aux Hydroïdes : Corymorpha nutans. Steenstrupia lineata Leuckart. Voir : Matériaux IIf, p. 436. Sleenstrupia lineata SPAGNOLINI 1876 p. 305, pl. 4, fig. 1-%. » » Sars. M. 1877/1p;. 22: » » HÆCKkEL 1879 p. 30. (— Sleenstrupia rubra see. A. G. MAYER.) Stomobrachium lenticulare Brandt. Voir : Matériaux Il, p. 148 et LE, p. 456. Stomobrachium lenticulare Hxcker 1879 p. 224. Stomobrachium tentaculatum L. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. 456. Stomobrachium tentaculatum LÜTKEN 1875 p. 189. » » HÆCKEL 1879 p. 224. » » WINTHER 1880 (a) p. 269. HISTOIRE DES HYDROÏDES 429 Stomotoca atra À. Aoassiz. Voir : Matériaux HE, p. 456. Stomoloca atra MERESCHKOWSKY 1877 p. 224. » ) HÆCKEL 1879 p. 52, 53. Stomotoca pterophylla Hiæckel. 10. Stomotoca pterophylla HÆCKEL 1879 p.44, 52, pl. 4, fig: Syndictyon nodosum (Busch). OYQ Voir : Matériaux LE, p. 436. Oceania thelostyla SPAGNOLINI 1876 1p2322: Syndictyon nodosum HECKEL 1879p- 29 à 22. Syndictyon reticulatum Hæckel. Voir aux Hydroïdes : Syncoryne reticulata. Tetranema aeronauticum (Forbes). Voir : Matériaux If, p. 148 et IN, p. 436. Tetranema aeronauticum HÆCKEL 1879 p. 195. (—= Eucope globosu sec. À. G. MAYER.) Tetranema eucopium Hæckel. Tebranema eucopium HÆCKEL 1879 -p. 195, pl. 8; fig: 1-2. (— ? Thaumantias forbesi sec. A. G. MAYER.) Thammitis nigritella (Forbes). Voir : Matériaux Il, p. 148 et LL, 437. Thamnitis nigritella FECKEL 1879 p. 84. (— ? Bougainvillia sp.? juv. sec. A. G. Mayer.) [/] | 430 M. BEDOT Thammnitis tetrella Hzæckel. Thamnitis tetrella HÆCKEL 1879 p. 8%. Thamnostoma dibalia (Busch). Voir : Matériaux Il, p. #37. Thamnostoma dibolia HÆCKEL 1879 p. 86. Thamnostoma macrostoma Hæckel. Thamnostoma macrosloma HÆCKEL 1879 p. 86, 87, pl. à, lig. 3. (== Liymnorea macrosloma sec. A. G. MAYER.) Thamnostylus dinema Hiæckel. Thamnostylus dinema HECKEL 1879 p. 85. Thamnostylus dissonema HÆCKEL 1879 p. 87. Thaumantias cellularia (A. Agassiz). Voir : Matériaux HE, p. #37. Fhaumantias cellularia HECKEL 1879 p. 128, 129. Thaumantias crucifera Romanes. Thaumantias crucifera RÉMLNES 1877 (b) p. 190, pl. 15, lg. » » ROMANES 1878 p. 639. Thaumantias eschscholtzi Hsæckel. T'haumantias eschschollzt HÆCKEL 1879 p. 129, 130, pl. 8, lig. 4. Thaumantias forbesi Hæckel. Thaumantias forbesi HæCKkEL 1879 p. 129. Thaumantias helhicobostrica Komanes. Thaumantias helicobostrica ROMAXES 1877 (b) p. 190, pl. 15, fig. 5. » D ROMANES 1878 p. 659. HISTOIRE DES HYDROÏDES Thaumantias hemisphærica (Gronovius). Voir : Matériaux 1, p. 486, Il, p. 148 et I, p. 437. ? Thaumantias inconspicua ROMANES 1876 (a) p. 274 ss. BôHM 1878 p. 99. » » Thaumantias hemisphærica HæckeL 128, 187. = ? Phialidium hemisphæricum sec. À. G. MAYER.) Thaumantias purpureus Romanes. Thaumantias purpureus ROMANES 1878 p. 659. Thaumantias versicolor Mettenheimer. Voir : Matériaux LIL, p. 458. T'iara conifera Hxæckel. Piara conifera HECKEL 1879 p. 56, 39. (— Turris conifera sec. A. G. MAYER.) T'iara ducalis (Forbes). Voir : Matériaux IE, p. 438. T'iara octona (Forbes). Voir : Matériaux !, p. 487, IE, p. 149 et III, p. 438. T'iara octonu H£CKEL 1879 p. 56, 97. (— Turris pileala see. A. G. MAYER.) Tiara papua (Lesson). Voir : Matériaux IT, p. 150 et IE, p. 439. Tiara papua HÆCKEL 1879 p. 58, 60. (— T'urris papua sec. A. G. MAYER.) 1879 p. 121, 129, 124. 19 1 452 M. BEDOT Tiara pileata (Forskal). Voir : Matériaux I, p. 487, IL. p. 150 et LT, p. 439. Oceania wmpullacea EHLERS 1873 p. 10. » » MôBIus 1873 (a) p. 101. ) » EHLERS 1874 p. 260. Oceania pileata SCHULZE 1875: D 4231954867 » » SPAGNOLINI 1876 p. 309, pl. 3, fig. 1-3. Oceania smaragdina SPAGNOLINI 1876 p. 310. Oceania coccinea SPAGNOLINI 1876 p. 310. Oceania lesueur SPAGNOLINI 1876 p.311 Tiara pileata Boum 1878 p. 72, 78, 107, 145. 166, 194. Oceania (Turris) pileata CLAUS 1878 p.[52|.64, pl. 11, fig. 46. Oceania pileata HARTMANN 1878 p. LS. Tiara pileata HÆCKEL ASTIMp AAA 2572908185 DI 3, fig. 6-8. » » HÆCKEL 1880 p. 63%. (= Turris pileata sec. A. G. Mayer.) Cette espèce est probablement la Méduse de Perigonimus repens. Tiara reticulata Hæckel. Tiara reticulata HÆCKEL 1879 p. 60, pl. 3, fie. A1. (= Turris reticulata sec. À. G. MAYER.) Tiara rotunda (Quoy et Gaimard). Voir : Matériaux Il, p. 454 et IF, p. 440. Oceania rotundu SPAGNOLINI 1876 p. 311. Tara rotunda HÆCKEL 1876 p.57, pl. 3, fig. 9-10. Tiaropsis diademata 1. Agassiz. Voir : Matériaux Il, p. 154 et IE, p. 440. T'iaropsis diademata VERRILL 1873 (a) p. 454, 725. 2 » LÜTKEN 1875 p. 189. » » ROMANES 1876 (a) p. 274 ss. HISTOIRE DES HYDROÏDES 453 T'iurops diademalta ROMAXNES 1876 (b) p. 525. Picropsis diudemata Büau 1878 p. 100, 112. ) ) ROMANES lSTSPpA 070 MSIE T3 7e 739. » » HECKEL 1879%p. 178179; 489. » » KRUKENBERG 1880 (b) p. 140. » » WINTHER 1880 (a) p. 273. Tiuropsis multicirrata (Sars). Voir : Matériaux I, p. 154 et IE, p. 440. ? T'iaropsis oligoplocama ROMANES 1876 (a) p. 274ss. ? T'iarops oligoplocama ROMANES 1876 (b) p. 525. ? T'iaropsis oligoplocuma RoMANES 1877 (b) p. 194, pl. 15, fig. 4. T'iaropsis scotica Bon 1878-p: 72, 96, 106, 183::pl: 2, fig. 15-30. Thaumantias mullicirrata Boum 1878 p. 100, 137. ? Tiaropsts oligoplocama ROMANES 1878 p. 710. Piaropsis mullicirrata HÆCKEL 1879p: 127, 178-2179 Tima bairdi (Johnston). Voir : Matériaux IE, p. 191 et [IE, p. 4%1. Tina bairdi Büau 1878 p.143, 145. » » HÆCKEL 1879 p. 203-206. Tima flavilabris Eschscholtz. Voir : Matériaux Il, p. 152 et I, p. 421. Dim flavilabres SPAGNOLINI 1876 p. 315. » » HÆCKEL 1879 -p. 195, 203; 204. » SCHMIDTLEIN 1879:(a) p.122: » » SCHMIDTLEIN 1879 (b) p. 126. Tima forbesi Peach. Voir : Matériaux, IE, p. 4#1. Tima formosa Li. Agassiz. Voir : Matériaux ILE, p. 442. Voir aux Hydroïdes. 4534 M. BELOT T'ima teutscheri Hæckel. Time teutscheri Hxckez 1879 p. 204, 206, pl. 12, fig. 3). Toxorchis arcuatus Haæckel. Toxorchis arcualus HXCKkEL lS79%%pn: 44954157; pl 9%he 6-8. Turris constricta Patterson. Voir : Matériaux II, p. 442. Turris digitalis Forbes. Voir : Matériaux I, p. 152 et VE, p. 442. =: Turris digitalis GRAËFFE 1875 p. 304-306. » » CLAUS 8772); 10; » ] HECKEL 1879 p. 60, 61, pl. 4. lig. 2-3. 2 ) KRURENBERG 1880 (a) p. 130 ss., pl. 2, fig 1-8. 2 ] KRUKENBERG 1880 (b) p. 12% ss. Turris neglecta Lesson. Voir : Matériaux |, p. 488. If, p. 152 et LIL, p. 442. Voir aux Hydroïdes. Turritopsis armata (Külhker). Voir : Matériaux II, p. 442. Oceania armala SPAGNOLINI 1876 p. 310. Oceania flavidula SPAGNOLINI 1876 p. 310. Turritopsis armata HÆCKEL RMS IST PE: (=— (Oceania armata sec. À. G. MAYER.) HISTOIRE DES HYDROÏDES 45 QU Turritopsis rutricula Mac Crady. Voir : Matériaux I, p. 443. Voir aux Hydroïdes. T'urritopsis pleurostoma (Véron et Lesueur). Voir : Matériaux [, p. 488, I. p. 152 et III, p. 443. T'urritopsis pleurostomu HÆCKEL 18792p: 67- (= ? Turritopsis (?) lata sec. A. G. MAYER.) Turritopsis polynema Hæckel. Voir : Matériaux IE. p. 443. Oceania polycirrha BônM 1878 p. 120. Turritopsis polynema HÆCKEL 1879 p. 66. (= Turriopsis nutricula sec. A. G. MaYEr.) Wlletta ornata (Mac Crady). Voir : Matériaux LE, p. 443. Willia ornala VERRILL 1873 (a) p. 455. 735. » » Bo 1878 p. 79. Willetla ornata HÆCKEL 1879 p. 152;.157, 158. Willia ornata Brooks 1880 p. 671. (— Proboscidactyla ornata sec. À. G. MAYER.) Wllsia® cornubica Peach. Voir : Matériaux II, p. 443. Wllsia furcata Hæckel. Wallia furcata HÆECKEL 1879 p. 158. 159. (= ? Willsia stellata see. À. G. MAYER.) 1 Dans les matériaux LI (p. 444) nous avions adopté la manière de voir de L. AGassiz qui nommait ce genre Wällia et non Wällsiu. Mais A. G. Mayer a repris l’ancienne orthographe de Forpzs et il convient de suivre son exemple en se conformant aux règles de la uomenclature. 456 M. BEDOT Willsia stellata (Forbes). Voir : Matériaux IT, p. 152 et [EL p. 444. Voir aux Hydroïdes : Lar sabellarum. Zanclea costata Gegenbaur. Voir : Matériaux IIE., p. 444. Zanclea costala HINCKS 1872 (c) p.395. ) ) SPAGNOLINI 1876 p. 307. » » HÆCKEL 1879 p. 101; 103: Zygocanna costata Hæckel. Zygocanna costata HECkKEL 1879=p221410"24/%pl° 7-8. (= Zygocanna pleuronota see. A. G. MAYER.) Zygocanna pleuronota (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux [, p. 488, IT, p. 153 et ILL, p. 4424. Zygocanna pleuronota HLECKEL 1879: p: 215. Zygocannota purpurea (Péron et Lesueur). k. Voir : Matériaux LE, p. 488, IE, p. 153 et ILE, p. ## Zygocannota purpureu HECKEL 1879 p.1209;.215. (— Zygocanna purpurea see. A. G. MAYER.) Zygocannula diploconus Hæckel. Z'ygocannula diploconus HLECKEL LTD DEC DINLSS Zygocannula undulosa (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux EL. p. #88, I, p. 153 et I, p. #44. Zygocannula undulosa FLECKEL 1879 p. 217. (== Zygocannula diploconus see. A. G. MAYER.) LEO [19. 0. Gen. Acrvptolaria A. A glaophenia Gen. exserta . Acunihocarpa . albinani . «lopecura - (tpocarpu arborea . aurita . avicularis . banksi . bicuspis . bispinosu . brericaulis bullata . conferta . constricta crispata . dislans . dr'omaius filicina . fimbriata . fruticans A. REV. SUISSE DE Zoor. T. 20. gracilis HISTOIRE DES HYDROÏDES INDEX HYDROTDES NORMAN NORMAN LAMOUROUX ALLMAN NUTTING KIRCHENPAUER ALLMAN VERRILL KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER Sas, G. 0. ALLMAN KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER ALLMAN KIRCHENPAUER ALLMAN ALLMAN KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER ALLMAN 1912. 1875 1875 1812 1876 (h) 1900 1872 1877 1873 (b) (a) 7 (b) (b) 1877 (b) Supp. — Cryplolarix. —= Cryplolaria exserta. A glaophenia lhionides. stru- A glaophenia phœni- Cell: = Aglaophenia penna- Inc Inc Inc rit. Aglaophenia penna- rit. 1 |. nd. A. grafli À. hiuns A. hutlont A. hullont A. huxlevi A. hypnoides A. incisa A. integra A. latecarinata A. laxa A. lignosa A. ligulata . longicornrs A A. longirostris A. lophocarpa A . minuta A. mœbii h Le . Mmæbiusi A. multiplicato-pin- nata A. myriophyila M, BEDOT KIRCHENPAUER 1876 (KIRCHENPAUER)1872 COUGHTREY KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER COUGHTREY SARS. G. O. ALLMAN ALLMAN KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER ALLMAN FEWKES SCHULZE SCHULZE KIRCHENPAUER ALLMAN A. (Lytocarpia) myrio- phyllum À. obscura A. pansa A. parva A. pelagica A. pennatula A. perforata À. perpusilla KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER PIEPER KIRCHENPAUER COUGATREY KIRCHENPAUER ALLMAN 1876 (a) 1876 1872 1872 1876 (a) 1874 1877 (b) 1876 (b) 1872 1872 1872 1872 1877 (b) 1881 1876 1877 (b) 1872 1872 1876 1880 1872 1876 (a) 1876 1877 (b) Ind. — Aglaophenix anqu- losu. — À glaophenra fusca. — À glaophenia divari- cale. — Aglaopheni late- carinale. — Aglaophenit me- biusr. Ind. — Aglaophenia myrio- phyllun. — Aglaophenia myrio- phylluin. Ind. Ind. —? Aglaopheniu late- car enale. — A glaophenia hutloni de Kirchenpauer. Ind. Gen, (ren. Gen Gen À. philippina A. phvteuma A. plumatella A. plumifera A. plumulifera A. pusilla À. radicellata A. ramosa A. ramosa À. ramulosa À. rhynchocarpa A. rigida À. rostrata À. rubens A. scabra A. secunda A. sigmu A. spicata À. squarrosa A. sulcata À. tenerrima A. tongensis A . UTeNnsS A. viliana A malthæu A. islandica Anisocalvx A. pinnatifrons . Antennella À. allmanni A. gracilis . Antennopsts À, hippuris KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER SARS, G. O. KIRCHENPAUER ALLMAN KIRCHENPAUER ALLMAN ALLMAN KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER ALLMAN KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KiRCHENPAUER SCHMIDT, 0. ALLMAN DONATI HELLER ALLMAN ARMSTRONG ALLMAN ALLMAN ALLMAN 1872 1876 1872 1872 1872 1872 1874 1872 1877 1872 1877 1877 1872 1872 1872 1872 1377 1872 1872 1872 1876 1876 1872 1872 1852 1871 1750 1868 1877 1879 1877 1877 1877 HISTOIRE DES HYDROÏDES (b) (b) (b) (b) (6) (b) (b) (b) (b) Ind. Ind. — Aqglaophenia pluni- fera. -= Agluophenia divari- cata. — À glaopheniaallmanr. Plumularia seabra. A glaophenia penna- ri4. — Aglaophenia cupres- sin. = Plumularia sulcata. Ind. Ind. Supp. hale- — Plhumularia cioides. 440 Gen. Gen. Gen. Sous-gen. Calatophora Gen. Gen. Antennularia A. decussata A. hexasticha A. intermedia A. johnstoni A. paradoxa A. pentasticha A. simplex Bimeria B. gracilis B. humilrs Blastothela B. roseu Calycella C. obliqua C. producta C. pygmaea C. quadridentata C. Syringa var. DV£- maea Campanularia C. acuminata C. bilabiata C. circula C. compressa C. coronata C. crenata C. cylindrica C. cylindrica C. denticulatu :. dichotoma M. BEDOT LAMARCK KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER PIEPER ALLMAN WeRicur CLARK ALLMAN VERRILL VERRILL KIRCHENPAUER Hixcks Hixcks Hixcks LAMARCK HÆCKkEL COUGHTREY CLARK CLARK CLARKE ALLMAN ALLMAN CLARK CLARK LAMARCK 1876 1876 1880 1877 (b) 1859 1876 (b) 1877 (b) 1878 1878 1572 1859 187% (b) 187% 1874 (b) 187 (b) 1875 1816 1879 1875 1876 (a) 1876 (a) 1879 1876 (b) 1876 (c) 1876 (b) 1876 (a) 1816 — Nemertesia. — Nemertesia salu. — Nemnertesia ticha. — Nemertesia media. — Nemertesia stonr. — Nemertesia dora. — Nemertesia ticha. decus- heras- inter- John- paru pentas- — Nomertesia simpler. Supp. = ? Calycella pygmaen. — Campanulinatenuis. — belia dichotoma. HISTOIRE DES HYDROÏDES A4] C. everta CLARK 1876 (b) C. fusiformis CLARK 1876 (b) C. gracilis ALLMAN 1876 (h) C. grandis ALLMAN 1874 (e) C. (Orthopyxis) | hincksi VERRILL 1873 (b) — Campanularia hinckst. C. integra seC. COUGHTREY 1875 — Campanularix culi- culata. C. (Clvtia) johnstoni Hixcxs 1872 (a) — Clylia johnstonr. C. juncea ALLMAN 1876 (b) C. macrocvthara BLAINVILLE 1830 — Campanularia ma- crocyttara. C. macrocyttara (LamMouRoUx) 1824 (b) C. macroscyphu ALLMAN 1877 (b) GC. pygmuen CLARK 1875 C. speciosa CLARK 1876 (a) C. turqgida CLARK 1876 (a) C. urceola CLARK 1876 (a) Gen. Campanulin BENEDEN (van) 1847 C. lanquida HÆCKEL 1879 C. panicula Sas, G. O. 1874 C. vitrina HACKEL 1879 — Zygodactyla vitrine. Gen. Ceratella GRAY 1868 C. procumbens CARTER 1873 C. spinosu CARTER 1873 Gen. Chitina CARTER 1873 C. erecopsis HiGGIx 1878 — Chitina ericopsts. C. ericopsis CARTER 1873 Gen. Cladocarpus ALUMAN 1874 (b) C. cornutus VERRILL 1879 (a) C. dolichotheca ALLMAN 1877 (b) C. formosa ALLMAN 1877 (b) —= Cladocarpus formo- sus. C. formosus ALLMAN 1874 (b) C. gracilis CLARKE 1879 — (ladocarpus tennis. C. paradisea ALLMAN 1877 (b) C. pourtalesi VERRILL 1879 (a) 442 Gen. (en. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. C. speciosus C. tenuis C. ventricosus Cladocoryne C. pelagica Clavatella C. prolifera Clytia — à . eucopophorda ;. uniflora _ L Coppinia C. arcta Corymorpha C. fritillaria C. galanthus C. prolifera Coryne La . conferta j. r'osaria C. vermicularis Cryplolaria C. abies C. conferla C. eleqans C. longitheca Cuspidella C. pedunculata Desmoscyphus D. buski D. humalis D. longitheca Dicoryne D). flexuosa Diphasia D. eleqans M. BEDOT VERRILL CLARKE ALLMAN Rorc ALLMAN HINCKS HINCK< LAMOUROUX HÆCKEL VERRILL HassAL (DALYELL) SARS HÆCKEL H£&CKkEL HECKEL GAERTNER ALLMAN AGASSIZ. A. HiNCKS LÜTKEN LÜTKEN BUSK ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN HINCKS ALLMAN ALLMAN ALLMAN ARMSTRONG ALLMAN ALLMAN SAS, G. 0. AGAssiZ, L. Sas. G. 0. 1879 (a) 1879 1877 (h) 1871 1874 (e) 1861 1861 1812 1879 1873 (a) 1848 1847-48 1835 1879 1879 1879 177% 1876 (c) 1862 1866 (a) 1875 1875 1857 1877 (b) 1877 (b) 1877 (b) 1877 (b) 1866 (a) 1877 (b) 1876 (b) 1876 (b) 1879 1877 (b) 1659 1874 1862 137 =—Eleutheria. — Eleutheria dichotomua — Clytia johnstonr. Supp. — pp. Lafocu. — pp. Lafoca dumos«, pp. L. frulicosu. = Diplura fritillaria. — Corymorpha nutans. — Hybocodon prolifer. == Syncoryne rosaria. — Coryne fucicola. — Coryne muscoides. = Coryne pusilla. à Nb EE D. mirabilis Gen. Diplopteron D. insigne D. (Plumularia) insi- one Gen. Dynamena D. Cornicina D. sertularioides Gen. Eleutheria E. dichotomu Gen. Eudendrium E. attenuatuim E. cochleatum E. distichum E. exiquuim E, eximium E. fruticosum E. gracile E. laxum E. minimum E. pygmæum E. rigidum E. tenellum Gen. Filellum F. immersum Gen. Gemellaria G. implexa Gen. Gemminella Gen. Gonothyræu G. tenuis Gen. Halecium H. articulosum H. crenulatum H. delicatuluim HISTOIRE VERRILL ALLMAN ALELMAN KIRCHENPAUER LAMOUROUX VEBRILL THokPsoN QUATREFAGES QUATREFAGES EHRENBERG ALLMAN ALLMAN CLARKE ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN MERESCHKOWSKY CLARK ALLMAN ALLMAN HINCKS ALLMAN HÆCKEL H&CkEL ALLMAN ALLMAN CLARK OKEN CLARK HINCKS COUGHTREY DES HYDROÏDES 1873 (b) 1874 (b) 187% (b) 1876 1812 1872 (b) 1879 1842 1842 183% 1877 (b) 1877 (b) 1879 1877 (b) 1877 ( 1877 (b) 1877 ( 1877 ( 1878 ( 1876 (a) 1876 (b 1877 (b) 1868 1873 (a) 1879 1879 187% (e) 1864 1875 1815 1875 187% (b) 1876 (a) 445 —Selaginopsis mira- bilis. Supp.— Polyplumaria. — Polyplumaria flabel- lat. — Polyplumaria flabel- late. — Sertulariacornicina. —Synthecium sertulu- rioides. Supp.—= Gemmari. — Gemmaria implexa. Supp.— Desmoscyphus. 444 Gen. Gen. Gen H. filicula H. gorgonoide . gracile H. inornatum . macrocephalus . mutiluin . plumularioides . robustuin H. Halicornariu H. H. Pre H. Fe Ta 1e H. Halopteris scutumn bipinnata insiqnis pluimosu ramulifera SACCATIA selosa Speciost H. carinata Heterop\xis H. intermedia H. norvegica H. ramosa H. tetrasticha Hippurella H. annulata . Hydra H. attenuata H. rh#ætica H. rhistica H. rœseli H. tremblevi H. vulgaris ) HS SD sec. M. BEDOT ALLMAN 1877 SARS;-G. 0: 1871 VERRILL 1873 RiCHIARDI 1880 ALLMAN 1876 ALLMAN 1876 CLARK 1876 VERRILL 1873 CLARK 1876 ALLMAN 187% ALLMAN 1876 ALEMAN 1876 ARMSTRONG 1879 ALLMAN 1874 ALLMAN 1876 ARMSTRONG 1879 ALLMAN 1877 ALLMAN 1877 ALLMAN 1877 HELLER 1868 KIRCHENPAUER 1876 SARs, G. O. 1877 KIRCHENPAUER 1876 HELLER 1868 ALLMAN 1877 ALLMAN 1877 LINNE 1746 PALLAS . 1766 ASPER 1880 ASPER 1880 HAACKE 1870 HAACGKE 1879 GERBE 1875 ASPER 1879 (a) (b) (a) (b) (b) (b) (b) (b) (b) (b) (b) (b) (b) (a) (b) —= Hydrodendron gonoide. Ind. Supp. — Nemertesia 1 mediu. Nemeïtesia veqieu. = Nemertesia ram let Nemertesia ticha. 40r- idter- nor- OS. V'US- — Hydra vulgaris. —= Hydra oligactis. — Hydra oligactis. — Hydra oligactes. — Hydra vulgaris. — Hydra vèridis. Hydra oligactis. HISTOIRE DES HYDROÏDES 445 Gen. Hydractinin BENEDEN (VAN) 1841 H. antarclica STUDER 1879 H. arborescens CARTER 1878 H. calcarea CARTER 1877 H. lerispina CARTER 1873 H. monocarpa ALLMAN 1874 (e) Gen. Hydradendrium CARTER 1880 (a) Supp. non Hvdr. Gen. Hydrallmania Hixcrs 1868 H. bicalycula CoUGaTREY 1876 (a) H. bi-calveulata COUGHTREY 1876 (b) — Hydrallmania bica- lycula. H. falcatu var. bi- dens MERESCHKOWSKY 1878 (a) Gen. Hydrella GOETTE 1880 H. ovipara GOETTE 1880 Gen. Hydrodendron HiNCkS 1874 (a) H. gorgonoïde (SARSAG ONE TZ Gen. Hypantheu ALLMAN 1876 (C) H. repens ALLMAN 1876 (C) Gen. frenaria HÆCKEL 1879 Supp. — Tin. [. formosa HÆCKEL 1879 = Tina formosa. Gen. Lafoen Lamouroux 1821 L. capillaris Sars, G. O0. 1874 L. coalescens ALLMAN 1877 (b) L. convallaria ALLMAN 1877 (b) L. elonqutu ARMSTRONG 1879 L. fruticosa var. gra- cillima HiINGKS 1874 (D) — Lafora fruticosa. L. gracillima Alder sec. SaRs, G. O0. 1874 — Lafoea fruticose. L. grandis HiNCKS 1874 (a) L. parasitica CIAMICIAN 1880 L. pinnata SARS GT O7 187 L. pygmaea Hixcks 1868 — Calycella pyqgmaen. L. quadridentata HiINCKS 1877 (b) — Calycella quadri- dentala. L. robustu CLARKE 1870 L. serrala CLARKE 1879 L. tenellula ALLMAN 1877 (h) 446 Gen. Sous-Gen. Lvtocarpia Sous-Gen. Macrorhvnchia Gen. L. venusta Leploscyphus L. qr'igoriewt L. crispata L. myriophyilum L. ramosa L. secunda M. dalli M. fusca M. insienis M. ligulata M. patula M. philippina Makrorynchia M. insignis . Melicertaria M. campanula . Melicertum M. campanula . Monobrachium M. parasitum . Monocaulis M. grœnlandica . Monocaulus M. grœntandica M. mperator M. BEDOT ALLMAN 1877 (b) ALLMAN 186% MEREscHKOWSKY 1878 (a) KiRCHENPAUER 1872 KIRCHENPAUER 1872 KIRCHENPAUER 1872 KiIRCHENPAUER 1872 KiIRCHENPAUER 1872 KIRCHENPAUER 1872 CLARK 1876 (a) KIRCHENPAUER 1872 KIRCHENPAUER 1876 KiRCHENPAUER 1872 KIRCHENPAUER 1872 KIRCHENPAUER 1872 ALLMAN 1874 (e) ALLMAN IS74 (e) HÆCKEL 1879 HÆCKEL 1879 OKEN 1839 AGAssiz, L. 1862 MERESCHKOWSKY 1877 MERESCHKOWSKY 1877 LÜTKEN [875 LÜTKEN 1875 ALLMAN 1801-71 ALLMAN 1876 (b) ALLMAN 1885 supp. — À glaophenia penna- Via. == Aglaophenia myrio- phyllum. — Aglaophenia divari- cale. — Aglaophenia penna- NTI supp. — Nuditheca dalli. — À glaophenia fusca. = Halicornaria insi- ques. — Aglaophenia liqulatu. == A glaophenia filaumen- Los«. = À glaophenia philip- pina. supp. — Halicornaria insi- qnis. Supp. — Melicertum. — Melicertum campa- nul. Supp. — Monocaulus. — Monocaulus grœæn- landica. M . Sp? ALLMAN Gen. Monopyxis Ehrbg se. MENEGHINI Gen. Gen. Gen. M M. M. M. M . australis seniculata obliqua obliqua var. tralis . tenella Monostæchas M. dichotoma Nemalophorus N grandis Nemertesia KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER aus- KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER ALLMAN ALLMAN CLARKE CLARKE LAMOUROUX . N. antennina var. mi- Gen. Gen. N. N JT. sumpler nor . decussala . hexasticha . tntermedia . Johnston . Norvégien . paradoza . pentasticha plumosa Nuditheca N. dalli Obelaria . Commissuralis . diaphana . dichotoma . flabellata . fusiformis KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER (SaRs, G. 0.) KIRCHENPAUER (PIEPER) KIRCHENPAUER (ALLMAN) NUTTING (CLARK) H ÆCKEL HÆCkKEL HxCkEL HÆCKEL H'ECKEL HÆCKEL HISTOIRE DES HYDROÏDES 1875 (d) 1S45 1876 1876 1876 1877 1877 1879 1879 1812 1876 1876 1876 1876 1876 187% 1876 1880 1876 1877 1900 1876 1879 1879 1879 1879 1879 1879 447 —= Monocaulus imperu- 1Qr. Supp. — Plumularia aus- tralis. — ? Campanularia [lexæuos«. = Plumularia oblique. — Plumularia aus- tralis. —= Plumularia oligo- pyris. — Nemerlesia anten- nin«. Ind. Supp. — Obeliu. — Obeliacommissuralis — Obelia geniculata. —tJbelia dichotomu. — Obelia flabellatu. — Obelia fusiformis. A4 Gen. 0. gelatinosa 0. leucostvla 0. lucifera O. polvstvla 0. pyriformis Obelia 0. bicuspidala O. bidentata O. divaricata O0. flexuosa 0. hyalina O. hyalina 0. longicyatha O. marqginala O. polygena O. pygmivu Gen. OUorhiza M. BEDOT HACKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL 1879 1879 1879 1879 1879 PÉRox et LEsUEUR 1810 CLARK 1875 CLARK 1875 VERRILL 1873 WINTHER 1880 (a) CLARKE 1879 De PLEssIs 1880 (a) ALLMAN 1877 (b) ALLMAN 1877 (b) VERRILL COUGHTREY 1873 (a) 1876 (a) MERESCHKOWSKY 1877 Gen Gen Gen Gen. Gen Sous-gen. Pachvrhvnchia Gen. (en. Ü. borealis . Upercularella O. pumila Ophiodes 0. parasitica Ophionema O. parasiticuin Oplorhiza O. parvula Orthopyxis O. caliculata Pennaria P. symmetricu Pericladium P. bidentatum HiINcKs (Sars, G. 0.) ALLMAN ALLMAN AGAssiz, L. VERRILL MerescakowskY 1878 (a) HINCKS 1868 CLARK 1875 HINCKS 1866 Sas, G. 0. 187% 1874 (a) 1874 1873 (a) KIRCHENPAUER 1872 OKEN 1815 CLARKE 1879 ALLMAN 1876 (b) ALLMAN 1876 (b) —Obelia gelatinosa. — Obelia gelatinosa. — Obelia geniculata. === Obelix longissimu. — Obelin piriformis. — Campanularia fle- TUOS. —Gonothyræa hyalina. — Ophionema parasiti- CON. Supp.—Campanularie. —= Campanularie cali- culala. Supp. Supp.— Selaginopsis. == Selaginopsis biden- tal. Gen. Gen. P. novæ-zelandiæ Perigonimus P. abyssi P. mullicornis P, nutans Plumularia THOMPSON SARS SARS, 6. 0. ALLMAN HINCKS LAMARCK P. angulosa var. lon- 21ssima P. atlenuala P. australis P. badia P. banksi P. clarkei P. cornucopiue P. cylindrica P. elegantula P. filicaulis P. filieina P. filicula P. flabellata sec. KIRCHENPAUER ALLMAN 1879 1846 1874 1876 1877 1816 1876 1877 (KIRCHENPAUER) 1876 KIRCHENPAUER COUGHTREY NUTTING Hixcks KIRCHENPAUER SARS, G. O. KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER ALLMAN KIRCHENPAUER P. (Polvplumaria) fla- bellata P. geminata KIRCHENPAUER ALLMAN P. gracilis Lmk sec. KiIRCHENPAUER P. gracilis P. (Hydrallmania) oracilis P. gracillima P. halecioides var. adriatica. P. hians CLARKE KIRCHENPAUER SARS, G. O. KIRCHENPAUER BUSK 1576 1875 1900 1872 1876 187% 1876 1872 1877 1876 1576 1877 1876 1879 1876 1873 HISTOIRE DES HYDROÏDES (b) (a) (b) (b) 449 = Selaginopsis noræ- zelandiæ. — A glaopheni anqu- los«. — Aglaophenia huttoni de Coughtrev. Ind. an Aglaophenia ? — Polyplumaria fla- bellata. — Polyplumaria fla- bellata. — Nemertesit ramosa. — Plumularia clarkei. — Hydrallmania fran- CISCO. — Plumularia hale- cioides. — Aglaophenia hians. 450 Gen. P. P. p: : P 122 . pennatula . huttoni . huxlevi . InCisa . Jobhnstoni . macrotheca . meqgalocephala . obconica . obliqua var. aus- tralis oligopy.ris (Anisocola) oligo- pyxis var. bipvxis (Anisocola) oligo- pYxIS var. mono- pyxis (Anisocola) oligo- pYxIS Var. (rYpvxis pinnatifrons . F'UYOSA . siliquosa . Simplex . tenella . tetrasticha tuba verrilli Podocoryne pe P. P; inermis sarsl tubulariae sec. M. BEDOT COUGHTREY Busk CoUGHTREY KIRCHENPAUER ALLMAN ALLMAN KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER HuTrrox (HELLER) KIRCHENPAUER FINCKS COUGHTREY VERRILL KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER CLARK SARS ALLMAN SARS, G. 0. SARS, G. O. 1875 1852 1875 1876 1877 1877 1876 1876 1876 1876 1876 1868 1876 1877 1875 1873 1876 1876 1875 1846 1876 1874 1874 (a) (4) (b) — A glaophenia huttonr. = A glaophenia losa. anqu- Aglaophenia vncisa. == Nemerlesia johnstoni — Plumularia austra- lis. Plumularia pyris. Plumularia pyris. — Plumularia pycis. oligo- oligo- oligo- — Aglaophenia button: de Kirchenpauer. — Plumaularia cioides. hale- Ind. an Sertularia ? — Neemrtesia telrasti- cha. — Stylactis sarse. — Podocoryne carnea. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Polyplumariu P. flabellata P. flabellum Polvserias P. glacialis P. hincksi P. hincksi P. mirabilis Rhizonema R. carnen Rhizorhageum R. roseum Scapus S. tubulifer Selaginopsis S. allmani S. bidentata cedrinda A A cylindrica Ge decemserialis J . [use > un fusca (9 p] hincksi ge mirabilis A novae-zelandiue ri obsolelu g ochotenstis A . pacifica CA 5 pinaster A pinnala (ae pu rp ureu ve tuya ce . Lriserialis Sertularella S. ulbida HISTOIRE SaRS. (G. O. SaRs, G. 0. KIRCHENPAUER MERESCHKOWSKY MERESCHKOWSK Y MERESCHKO WSKY MEURESCHKOWSKY MERESCHKOWSKY CLARK CLARK Sas, M. SaRS, M. NORMAN NoRMAN ALLMAN NORMAN MERESCHKOWSKY (LiNNÉ) (CLARK) MERESCHKOWSKY (JOHNSTON) ALLMAN MERESCHKOWSKY NORMAN (THOMPSON) (LEPECHIN) MERESCHKOWSKY MERESCHKOWSKY (LEPECHIN) MERESCHKOWSKY (LINNÉ) MERESCHKOWSKY MERESCHKOWSKY GRAY KIRCHENPAUER 1878 DES HYDROÏDES 1874 1874 1876 = = 2 Jo 1 1 ST | 1 SL 1878 (a) (a) 1876 1876 1874 1874 1875 (a) 1875 1876 1878 1878 1758 1876 (a) 1878 (d) 1847 1876 (b) 1878 (b) 1878 1879 1781 1878 (d) 1878 (d) 178: 1878 1758 1878 1878 1848 18814 (d) (d) (d) 451 — Polyplumaria flabel- late. Supp. — Seluginopsis. — Selaginopsis obsoletu — Selaginopsis miru- bilis. — Selaginopsis obsoletu — Selaginopsis mira- bilis. Supp. — Cryplolaria exsertu. = Selaginops is allimani — Selaginopsis obsoleta Gen. S. gai var. robusla M. BEDOT S. amphorina ALLMAN S. clarkei Ç S. conica ALLMAN S. delicatula COUGHTREY S. episcopus ALLMAN S. exiqua THOMPSON S. fruticosa THOMPSON ALLMAN S. g'eniculata Hixcks S. giqunteu S. kerguelenensis ALLMAN S. kerguelensis STUDER S. tntegru ALLMAN S. lagena ALLMAN S. neglecta THOMPSON S. pinnala CLARK S. polyzonias Var. qt- ganted HixCkS S. polyzontas var. ro- busta VERRILL S. quadricornuta Hixcks S. r'amosa THOMPSON S. rigosa ARMSTRONG S. robusta COUGHTREY S. robusta C£aRk S. simplex COUGHTREY S. subspinnata COUGHTREY DS THOMPSON Sertularia LINNÉ S. abietinoides HUTTON S. albimaris MERESCHKO WSKY MERESCHKOWSKY 1877 (b) 1878 (d) 1877 (b) 1876 (a) — Sertularella john- stonr. 187% (e) 1879 1879 — Lyloscyphus frutico- sus. 1873 (a) 1874 (b) —Sertularella tenellu. 1878 (a) 1876 (c) —Sertularella polyzo- nant. 1879 — Sertularella polyz0- nus. 1873 (b) 1880 (a) 1879 1879 1576 (a) 1876 (a) — Sertlularella tenellu. — Sertularella tenella. — Sertularella albida. 1876 (a) —pp. Serlularella fu- siformis. 1876 (a) —Sertularella johns- tons. 1879 —= Sertularella tenellx. 1748 1873 == Sertularia elonqala. MERESCHKOWSKY 1N77 S. anguina var. ro- busta . arctica argentea . argentea var. di- varicata . carolinensis . cedrina . complera . COMPTESSA . cupressoides . delicatula . distans . elegans . CLIQUE phenia) falcata . fasciculata . flexilis . flosculus fusca . fusiformis . Inconstans . INSiqnis . longicosta . marginal . Minima . monilifera . obsoleta . pinus . pourtalesi . pulchella . pumila 7. SUISSE DE ZOOL. 20! COUGHTREY ALLMAN . (Plumularia, Aglao- KIRCHENPAUER COUGHTREY THOMPSON ‘THOMPSON JOHNSTON HuTToN CLARK THoMPsON COUGHTREY ALLMAN THoMPsON HUTTON LEPRCHIN GMELIN NUTTING THoMPsON COUGHTREY 1912. HISTOIRE DES HYDROÏDES CLARK 1876 (b) ALLMAN 187% (e) \VINTHER 1880 (a) CLARK 1875 VERRILL 1872 (b) LINNE 1758 CLARKE 1879 MERESCHKOWSKY 1878 (b) CLARK IN76 (a) HuTrroN 187: ALLMAN 1877 (b) 1876 (a) 1877 (b) 1876 (a) 1879 1876 (a) 1877 (b) 1879 1873 1781 1788-93 190% 1879 1876 (a) = ET —Serlularia anquine. = Thuiaria fabrici. = Thuiaria argentea. —=Selaginopsis cedrina. — Thuiarta dalli. — Sertularella johns- lon. — Sertularia pourtalest —Synthecium elegans. — Hydrallmania fal- cale. — Sertulariaramulosa. — Sertularia Licuspi- data. — Selaginopsis fusca. — Sertularella episco- pus. —Thuirriamonilifera. — Selaginopsis obsoletu. —=Selaginopsis pinaster. —? Sertularia bispinosa — Sertularia minimu. 51 454 Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. ya . purpurea S. ramulosa S. sertularioides S. similis S. simplex S. simplex ts: . Sub-pinnata S. lenera S. thuiarioides S. lrispinosa. S. tubitheca S. lumida S. variabilis Sp ? ya Spongicola S. fistularis Stauridium S. cladonema Slaurocoryne S. wortleyi Stephanosevphus S. mirabilis Sulacia S. abielina Syncoryne S. cleodortie S. (Sarsia) eximia S. (Sarsia) mirabilis M. BEDOT LiNNE COUGHTRENY (LAMOUROUX) CLABK HuTrrox COUGHTREY HUTToN SARS, G. O. CLARK COUGHTREY ALLMAN ALLMAN CLABK COUGHTREY SCHULZE . SCHULZE DUJARDIN H4CKEL 10TCH i0TCH ALLMAN ALLMAN KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER EHRENBERG Bonm Boum LÜTKEN 1758 1875 1816 1876 1873 1875 (a) 1876 1877 1877 1843 1879 1872 1872 1874 (C) 187% (Ce) 1874 1874 1834 1S7S IS7S 1875 = Selagemopsis purpu- NATR — Synthecium sertula- rioides. — Thuiaria similis. —Sertularella fusifor- mis. — pp. Serlularella le- nella. —= Sertularella johns- lont. == Thuiaria tenera. == Thuiaria thuiari- oides. —= Synthecum tubithe- Cum. =? Sertularia unqui- culala. Non Hvdr. Non Hvdr. > Cladonema radia- tu. Non Hvdr. Non H\dr. Erreur pour : Salacia. Grammaria abielinu. : = Campaniclava cleo- doræ. È Re — SYNCOrIpRe ext. =—=Syncorpnemarabiles. Gen. Gen. Gen. Gen. T. articulata S. pusilla S. r'osarid Synthecium S. gracilis S. sertularioides S. tubithecum Taxella F. eximia T. eximis Thimaria F. compressa Thuiaria T. ambigua . bidens , Cerastium . Coronata x coronifera . crassicaulis T. cylindrice . dalli . distans + . dolichocarpa . gigantea ES nm . hippuris . monilifera . persocialis . pinnata . plumosa . plumulifera F;, robusta HISTOIRE DES SCHULZE HÆECKEL ALLMAN COUGHTREY (LAMOUROUX) ALLMAN ALLMAN ALLMAN KIRCHENPAUER ARMSTRONG ARMSTRONG FLEMING THOMPSON HuTrrox ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN CLARK NUTTING ALLMAN ALLMAN CLARK ALLMAN THOMPSON ALLMAN ALLMAN CLARK ALLMAN CLARK HYDROÏDES 1873 (b) 1879 1871 1875 1816 1877 187% (e) 1874 (e) (b) 1876 1879 1879 1828 1879 187: 1876 (b) 1874 187% 1876 1876 ( 1876 190% 1877 1876 (a) 1877 (b) 1876 (a) — ? Syncoryne chella 155 pul- — Sertularia minima, Supp. — ? Halicornaria pinnat«. — ? Halicornaria pinnuta. ba- bi- == Sertularia unguicu- lala. — Thuiaria culata. — Thuiaria culata. subarti- subarti- —Thuiaria monidifera — Selaginopsis drice. cylin- 456 M. BEDOT T. serlularioides ALLMAN 1877 (b) T'. similis (CLARK) 1876 (a) É l'. subarticulata COUGHTREY 1875 T. lenera (Sars, G.10.) 1874 T'. thuiarioides (CLARK) 1876 (a) iE lurgida CLARK 1876 (a) Gen. Thusaria KIRCHENPAUER 1874 (b) Thuiaria. 1874 (b) Erreur pf: T. articulata KIRCHENPAUER —Thuiaria articulata. Gen. Thyroscyphus ALLMAN 1877 (b) T. ramosus ALLMAN (b) 1877 (b) Gen. Tiarella SCHULZE 1876 lsingularis SCHULZE 1876 Gen. l'uma Escascnozrz 1829 T. formosa AGassiz, L. 1862 Gen. T'ubularia LINNÉ 1738 T'. altennoides T'. borealis T. eleqans Tkerquelensis COUGHTREY CLARK CLARK STUDER 1876 (b) 1876 (a) 1876 (b) 1879 INDEX DES MÉDUSES ! ANTHOMÉDUSES 6t LEPTOMÉDUSES. Gen. 4 equorea PÉRON et LESUEUR 1810 A. discus HÆCKEL 1879 Gen. Amallhaea Schmipr, O. 1852 A. amoebigera HæckeL 1879 1864 (c) 1864 (c) 1874 (f) A. januari ALLMAN Voir aux Hvdroïdes. À. sarst ALLMAN Voir aux Hvdroïdes. Gen. Ametrancia ALLMAN ! Les noms imprimés en caractères gras sont ceux des Hydroïdes dont provien- nent les Méduses,. A. hemisphaerica Gen. Amphicodon A. amplipleurus A. frilillaria Gen. Bathycodon B, pyramis Berenice B. capillatu B. hurle Gen. Gen. Bougainvillia B. allmani B. fruticosa B. gigantea B. paradoxa B. Sp. ? Callitiara C. polyophthalma Gen. Gen. Cannolu C. dodecantha Gen. Calablema C. euryslomn Gen. Cladocanna C. polyclada Gen. Cladonemu C. allmani C. dujardini C. gegenbauri C. krohni C. radialum Gen. Codonium C. codonophorum ALLMAN HÆCKkEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL ESCHSCHOLTZ HÆCKEL HÆCKEL LESSON ROMANES ROMANES ROMANES MERESCHKOWSKY MERESCHKOWSKY HÆCKEL HÆCKEL HxÆCKkEL HÆCKEL HECKEL HÆCKEL FLECKEL HÆCKkEL DUJARDIN HECKEL HÆCKEL HEckEz HECKEL DUJARDIN ILECKEL HECKEL 1874 1879 1879 1879 1879 1879 1829 1879 1879 1836 1877 1876 1876 1878 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1843 1879 1879 1879 1879 1843 1879 1829 HISTOIRE DES HYDROÏDES (E) 457 — Dipleurosoma irre- qulare. == Diplura fritillaria — Margelis principis. — Margelis principis. — ? Bougainvillia ra- mosa. — Bougainvillia su- perciliaris. — Lizzella hyaline. — Cladonema radia- tum. — Cladonema radia- tum. — Cladonema radia- tum. — Cladonema radia- tum. Voir aux Hydroïdes. — Sarsia prolifera. 458 Gen. Gen, Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. M. BEDOT C. conicum HECKEL 1880 C. princeps HÆCKEL 1879 C. pulchellum HECKEL 1879 Codonorchis HECKEL 1879 C. octaedrus HECKEL 1879 Cons BRANDT 183% C. cyclophthalma HECKEL 1879 C. polvophthalma HÆCKkEL 1879 Corvnetes ILECKEL 1879 C. agassizi HECKEL 1879 C. arcuata HÆCKEL 1879 . Corynilis Me CRany 1859 C. agassizt Me CRADY 1859 ( C. arcuata (HÆCKEL) 1879 Cosmetira H ECKEL 186% C. punctata var. sali- narum GUERNE (de) 1880 C. salinarum Du PLEssis 1879 Ctenaria HxCKkEL 1879 C. clenophora HECKEL 1879 Cubogaster ILECKEL 1879 C. dissonema HÆECKkB8L 1879 Cyclogaster BoHM 1878 C. g'emmascens Bou 1878 Cylaeandra HECKEL 1879 C. areolata HÆCKkEL 1879 C. polynema HECKEL 1879 C. polystyla H£CKEL 1879 Cylaeis Escuscnocrz 1829 C. atlantica HÆCKEL 1879 C. exigua HECKEL [880 C. higrilina HECkEzL 1879 — Syncoryne pul- chella. — ? Conis cycloph- thalma. — Corynitis. — Corynitis agassizi. — Corynitis arcualta. Voir aux Hvdroïdes. — Laodice salinarum. Laodice salinarum. == Cubogaster. —= Cubogaster gemmas- CENS. Podocoryne areo- lata. — Cylacandra polys- lLyla. = Cylaeis nigrilina. — Podocoryne car- nea. Gen. (en. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. (ren. Gen. Dendronemu D. stylodendron Dicodontum D. cornutum D. dissonema Dicranocannu D. furcillata D. thalassina Dipleurosomu D. amphithectun D. irregulare Dipurena D. fertilis Dissonema D. saphenella Dysmorphosa D. carnea D. conchicola D. minima D. octostylu Ectopleura E. dumortiert E. turricula Eirene E. cœrulea E. gihbosa E. gibbosa E. pellucidu E. véridula Eleutheria E. anisonema SOLE HISTOIRE HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆECKEL HECKEL HÆCKEL HÆCKkEL HÆCKkEL BOECKk HÆCKkEL HÆCKEL Me Crany METSCHNIKOFF, E. u. L. H ÆCKEL HÆCKEL AGASSIZ, A. HÆCKEL HÆCKEL HzxckeL HÆCKEL AGassiz, L. AGaAssiz. L. HÆCKEL ESCHSCHOLTZ AGassiz, L. AGassiz. L. SPAGNOLINI (BUSKk) (PEÉRON et LE- SUEUR) QUATREFAGES HaCkEz 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1861 1879 1880 1859 1872 1879 1899 186 1879 1879 1879 1879 1862 1862 1879 1829 1862 1862 1876 1852 1810 1842 1879 DES HYDROÏDES (D) (b) — (ladocanna thalas- sin. Dipurena dolicho- gaster. — Podocoryne car- nea. Podocoryne car- nea. Voir aux Hydroïdes. — Syndictyon reticulu- lun. —? Eirene pellucidu. — Eleutheria dicho- toma. 460 Gen. E. E. E. E. duodecimalis cenidobdella . dichobdella dichocnida . dichotoma . dicotoma diplonema . heptanema . heteroclada. . heteronema . hexanema . octonema :. pentanema . tetranema . Epeñthesis E. . Eucheilota bicophora Eucope >. affinis . alternata . articulata ©. Campanulata . diaphana diaphana SÉC. . (Thaumantias) M. BEDOT HECKEL HECKEL HECKEL QUATREFAGES SPAGNOLINI HECKEL HECkEL HÆCKEL H xckELzL HECKkEL HECKEL HECKEL HECKEL MC CRrADY H_ECKEL MC CRaADY AGASSIZ, A. GEGENBAUR GEGENBAUR HÆCKkEL AGASSIZ, À. GEGENBAUR AGASSIZ. IL. LÜTKEXN 1879 — Eleutheria dicho- toma. [879 — Eleutheria dicho- toma. 1879 — Eleutheria dicho- toma. Voir aux Hydroides. 1876 — EÉleutheria clapa- reclei. 1879 _—— Eleutheria dicho- toma. 1879 —- Eleutheria dicho- toma. 1879 — Eleutheria dicho- toma. 1879 — Eleutheria dicho- toma. 1879 — Eleutheria dicho- toma. 1879 — Eleutheria dicho- toma. 1879 — Eleutheria dicho- toma. 1879 — FEleutheria dicho- toma. 1859 1879 — Clytia johnstoni. 1859 1862 == Phialium duodect- male. 1856 (b) 1856 (b) —Clytia johnstoni. 1879 —— Obelia geniculata. 1865 = Obelia dichotoma. 1856 (b) — Clytia johnstoni. 1862 — Obelia geniculata. 1875 —_ Obelia geniculata. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. (en. Gen. :. fusiformis T £. lucifera es i. polvgastrica [e>) . polvstyla E. pvriformis Eucopium E. primordiale Euphysa E. mediterranea Eutumalphes E. indicans E. preliosa Eutimeta E. gentianu Eutimium E. elephas Gremmaria Gi. implera G. sagittaria Globiceps G. tiarella . GOnvnema G. vertens . Herpusa H. ulvæ Hippocrene H. platygaster H. superciliaris Hiybocodon H. annulicornis H. nutans HISTOIRE DES HYDROÏDES Bou SCHULZE METSCHNIKOFF, Buse GEGENBAUR AGASSIZ, A. HECKEL HECKEL FORBES HECKEL HECKkEL (ROMAXNES) HECKkEL FLECKEL HECkEL HECKEL H_E£CKEL Me CRADY (ALDER) HECKEL AYRES H ECKEL H ÆCKEL HECKEL SCHMIDT SCHMIDT MERTENS HECKEL AGassiz, L. AGassiZz, L. H_ECKEL FLECKEL 1856 (b) 1880 (a) 1879 187 ISA4S 186% 1879 IS76 (a) 1879 1879 1879 1879 IS79 1859 (b) 1856 (b) 1879 185% 1879 1879 1879 1869 1869 183% 1879 1850 (a) 1860 1879 1879 461 — Obelia fusiformis. — Obelia geniculata. —? Phialidium varia- bile. — Obelialongissima. —— Obelia piriformis. == Euphysa aurate. Voir aux Hydroïdes. — Halocordyle tia- rella. — Gonionemus. — (Gonionemus verlens. — EÉleutheria. -— Eleutheria dicho- toma. — Bougainvillia su- perciliaris. — Heterostephanus annulicornis. — Corymorpha nu- tans. 462 Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. H. pendulus H. prolifer Irene . Cœrulea . gibbosa pellucida . viridula lrenium. L. quadriqutuin Laodice L. calcarata L. cruciata L. salinarum L. ulothrvx Laodicea L. salinarum Liriopsis L. Campanulata Lizusa L. multicilia L. oc'ocilia Lizzella L. octellu Lizzia L. claparedei L. elisabethæ M. BEDOT HECKEL AGaASssIz. L. HxcKEeL HÆCKEL HÆCkKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKkEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL HEÆCKEL HÆCKEL LESSON Du P£Essis CLAUS CLAUS HÆCKkEL H&CKEL HÆCKEL HxCKkELz HÆCKEL FoRBEs HÆCKEL HÆCKEL L.(Bougainvillea) Kôl- hikeri L. octopunctata Marqgelis M. carolinensis M. ramosa Ermer FORBES STÉENSTRUP AGAssiz, L. AGASSIZ, EE 1879 1560 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 [SS0 1879 1845 1879 1877 1877 1579 1879 1879 1879 1879 1846 1879 1879 1878 1848 1850 1S62 1862 — Monocaulus pen- dulus. Voir aux Hydroiïdes. — Eirene. — Eirene cærulea À —= Éirene gibhosu. — Eirene pellucida. — Kirene viridula. — Laodicea. — Laodiceu calcarata. — Laodicea cruciale. — Laodicea TUE. salinu- — Laodicea calcarata. — (Jelorchis latus. Comp nu- -— Bougainvillia ra- mosa. — Lizsia bondina. = Rathkia fasciculate. == Rathkia octopunctata — Bougainvillia ca- rolinensis. — Bougainvillia ra- mosa. HISTOIRE DES HYDROÏDES 463 Gen. Medusa LiNNÉ 1735 M. saltatrix TiLEsIUS 1818 == Polyorchis saltatrix. Gen. Melicertella HÆCKEL 1879 M. clavigera HÆCKEL 1879 — Melicertissa clari- ger«. M. panocto HÆCKEL 1879 Gen. Melicertissa HÆCKEL 1879 M. clarigera HÆCKEL 1879 Gen. Melicertum OKEN 1835 M. campanula AGassiz, L. 1862, Voir aux Hydroiïdes. Gen. Mesonemu ESCHSCHOLTZ 1829 M. eurystoma HÆCKEL 1879 Gen. Mitrocoma HÆCKEL 1864 M. minerræ HÆCKEL 1879 Gen. Mitrocomella HÆCKEL 1879 M. polydiademata (ROMANES) 1876 (a) Gen. Milrocomium HÆCKEL 1879 M. corratron HÆCKEL 1879 Gen. Mooderia FORBES 1846 M. irenium H ÆCKEL 1879 Gen. Vemopsis AGAssiz, L. 1850 (a) N. bachei AGASsIZ, L. 1850 (a) Voir aux Hvdroïdes. N. heteronemu HÆCKEL 1879 Gen. Nigritina STEENSTRUP 1879 N. atlantica STEENSTRUP 1879 — Cytæis nigriline. Gen. Obelia PÉROX et LESUEUR 1810 (. commissuralis MC CRADY 1859 (b). Voir aux Hydroïdes. O. diaphana ALLMAN 1864 — Obelia geniculata. (). dichotoma ALLMAN 1864 (c) Voir aux Hydroïdes. 0. flabellata HINCKS 1868 Voir aux Hydroïdes. 0. fusiformis HÆCKEL 1879 Voir aux Hydroiïdes. 0. gelatinosa Hixcks 1868 Voir aux Hydroiïdes. O. geniculata ALLMAN 1864 (6) Voir aux Hydroïdes. O. gymnophtalma SPAGNOLINI 1876 ——? Obelia geniculata 0. leucostyla (WiLL) 184 —Obelia gelatinosa. O. lucifera HÆCkEL 1879 — Obelia geniculata. 0. plana HECKEL 1879 —Obelia flabellata. 0. piriformas FECKEL 1879 _ Voir aux Hvdroïdes. 464 Gen Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. (en. Gen. O. polvstvla 0. sphærulina Oceania 0. globosa 0. (Turris) pileata M. (GEGENBAUR) PÉRON et LESUEUR BEDOT IS56 (b) 1810 PERON et LESUEUR 1810 HA\RTMANN CLAUS 0. Podocorvne carnea GRÆFFE OUctocanna (). oclonema 0. polynema Oclonema OU. eucope Octorchandra (). canarienses (. germanicu Oclorchidium O. lelranema Oclorchis 0. campanulatus Orchistoma (). steenstrupi Phialium P. dodecasema P. duodecimule Polycanna P. funqina P. germanica P. vitrina Polyorchis P. eschscholtzi P. pinnatus P. saltatrir Probosc idactyla P. brevicirrata Pleronema P., darivini HECKEL HÆCkKEL FLECKEL H_ECKEL HÆCKkEL HECkEL FLECKEL HÆCKEL HÆCKEL HECKEL HÆCKEL (CLAUS) H_ECKEL HÆCKEL HÆECKEL HÆECKEL (AGASSIZ, À.) HæÆCKkEL HÆCKEL HECkEL HECKEL AGASSIZ, A. HECKEL HECKEL (TILESIUS) BRANDT HÆCKEL HECkEL HÆECKEL 1878 1878 1875 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 1879 186% 1877 1879 1879 1879 1579 1862 1879 1879 1879 1879 1862 1871) 1879 1818 1834 1879 1879 1879 -— Obelia longissima. — Obelia dichotoma. — ?Turris neglecta. —Tiara pileata. —Podocoryne carnea — Phialiumn male. (4) trina. duodeci- — Zygodactyla vi- — Polyorchis penicil- late. (ren. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen P. pinnatum Ptychogastria P. polaris Plychogen« P. pinnulata Rathkia R. fasciculala R. octopunclata Saphenella S. dissonema Sars a y2 . ervthrops A . eximia Ce macrorhkynehia 2 mirabilis S. rosaria de 1 s'phonophora S. tubulifera S. turricola Schizodactvla S. forskalina Spirodon S. saltatrix Slaurodiscus S. heterosceles S. lelrastaurus Slaurophora S. keithi Slaurosloma S. arclicu . Steenstrupia S. flaveola S. salanthus HISTOIRE DES HYDROÏDES FLECKEL ALLMAN ALLMAN AGASSIZ, A. HECKEL BRANDT (P£rox et LESUEUR) (SAR) HECKEL HxCKEL LESSON ROMANES Boum BuscH ATASSIZ NES HECKEL HLECKEL MERESCHKOWSK Y SPAGNOLINI CLAUS ULAUS HECKEL FHLECKEL HÆCKEL HECKkEL HÆECKEL BRANDT PEACH FECKEL HÆCKEL FORBES FORBES HÆCKEL 1879 1878 1878 1863 1879 1837 IS10 1835 1879 1879 1843 1876 1878 1851 [850 1879 1879 1878 1876 1877 1877 ISSU ISS0 1879 1879 1879 183% 1867 1879 1879 1846 1848 1879 469 Pteronema darwini. (a) —? Sarsia eximia. — Syncoryneeximia. Syncoryne mira- bilis. — Syncoryne rosaria — Sarsia tubulos«. Syndictyon reticula- Lun. ? Aequoredt forskalea — Polyorchis saltalrix. Staurophora mer- lensi. Corymorpha nu- tans. Corymorpha nu- tans. 466 Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. S. rubra Sthenvo S. decipiens Stomobrachium S. mirabilis Stomotoca S. pterophylla Syndictyon S. reticulatum Svphonorhvn- chus S. bitentacu- latus T'etranemu TL. eucopium T'hamnitis T. tetrella Thamnostoma T'. macrostomn Thamnostylus T. dinemu T. dissonema Thaunanties T. crucifera T'. eschscholtzt 144 forbesi T. helicobostrica T. leucostvla T. purpureus r E. quadrata Ticara l, conifera T. reticulata sec. M. BEDOT £ FORBES DCJARDIN HÆCKEL BRANDT SPAGNOLINT AGAssIz, L. HÆCKEL AGAssIz, L. HÆCKkEL MerscaniKorr. E. u. L. MerscaNiIKOrr, E. u. L. HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL HÆCKkEL HÆCKkEL HÆCKEL HÆCKEL ESCHSCHOLTZ ROMANES HÆCKkEL HÆCKEL ROMAXNES WILL ROMANES Bon LESSON HÆCKEL HEÆCKEL ISAS 1845 1879 1858 1876 1862 1879 1862 1879 1878 1878 1837 1879 1879 7 (b) Corymorpha nu- tans. — ? Sursia clavata. Mesonemu pensile. lata. — 9 Saphenra bilenta- culata. — Thamnostylus disso- nent. — Obelia gelatinosa. == Eucopium quadra- tum. Gen. Tiarops T. diademata T. indicans T. oligoplocama T. polydiademata Gen. L'iuropsis T. indiceans T. oligoplocama T. polvdiademata T. scotica Gen. Thnu T. formosa T. pellucida T. pellucida T. teutscheri ENT Es Gen. Tororchis T. arcuatus Gen. Turris F. neglecta Gen. Turritopsis T. nutricula Willia W. cornubica W. furcata Gen. W. ornata W. stellata Wi/llsia WW, cornubica W. furcata Gen. ROMANES ROMANES ROMANES ROMANES ROMANES AGassiz, L. ROMANES ROMANES ROMANES Bonn ESCHSCHOLTZ AGassiz, L. METSCHNIKOFF, E. u. L. SCHULZE FLECKEL SCHULZE HÆCKEL HÆCKEL LESSON LESSON Mc CRrapy Mc CRADY AGaAssiz, L. (PEACH) HÆCKEL VERRILL AGASsIZz, L. FORBES PEACH (HÆCKEL) HISTOIRE DES HYDROÏDES 1876 (b) 1876 (b) 1876 (b) 1876 (b) 1876 (h) 1850 1876 (a) 1876 (a) IS78 1829 1862 1872 1875 1879 1875 1879 1879 1837 18:37 1859 1859 1862 1867 1879 1873 1862 1846 1807 1879 ee Le 467 — iaropsis. —= T'iaropsis diademata — Eutimalphes indi- CUns. Ï ? Tiaropsis multi- cirral«. — Mitrocomella poly- diadema. — Eultimalphes indi- cCans. — ? Tiaropsis mulli- cirrata. — Mitrocomella poly- diademu. — l'iaropsis multicir- rate. Voir aux Hydroïdes. — Evene pellucidu. — ÆÉirene viridula. —= Octorchandra ger- manie. Voir aux Hvdroïdes. Voir aux Hvdroïdes. —NVulsia. — Willsia cornubicu. — Willsia furcata. — Willelta ornata. — Willsia stellata. AG6S Gen. Gen. Gen. Gen. \V. stellata Zanclea Z. implexa Zygocanna 7. costala Zygocannula Z. diploconus Z'ygodactyla Z. (Aequorea) forska- lina Z. rvosea Merscuxikorer. E.u.1L. M. BEDOT FoRBES GEGENBAUR ALUMAN HÆCKEL HÆCKEL HÆCKEL H&CKEL BRANDT GRAFEFE 1846 1856 1864 1879 1879 1879 1879 1851 1879 1872 — Lar sabellarum. — Gemmaria “im- plexa. — Aequorea forshkalex. == Polycanna vilrina. 230 241 242 218 HISTOIRE DES HYDROÏDES 469 À CORRIGER DANS LES : 2e Matériaux 3° période. . 222 ligne 24 au lieu de : Hixks, lire : HixcKs. 30 ajouter : Trad. in: Ann. Se. nat (5) Zool. Vol. 16 N°8. Paris, 1872, 8°. 13 (HELLER) ajouter : pl. 2, fig. 4. 24 (HIxXCKS) » et pl. 64 fig. 3. 11 10 21 dernière 15 13 17 et 18 8, 9 et 10 = 7 2 24, 25 et 26 10 au lieu de : ALLMAN 1883 lire : ALLMAN 1874 (b). 12 au lieu de : Farbes, lire : Forbes. dernière au lieu de: pl. 8 fig. 48, lire: pl. 9 fig. 9 et 40. 29 au lieu de : E. turricola, lire : E. turricula. 22 au lieu de: ? Nemertesia ramosu. lire : Nemertesia tetras- ticha. \ au lieu de Leuckart 1856 (a). lire: LEUCKART 1856. 34 au lieu de: Plumularia angulosa, lire : Aglaophenit un- qulosu. 31 au lieu de : Epeuthesis, lire : Epenthesis. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 7. — Juin 1912. Recherches parasitologiques sur les Amphibiens de la Suisse. PAR Emile ANDRÉ (Genève.) Ce travail, qui est surtout statistique et faunistique, à pour principal objectif de rechercher S'il existe chez les Amphibiens ce qu'on pourrait appeler des < incompatibilités parasitaires > ou, autrement dit, si la présence de certains parasites dans un organe peut en exclure d’autres, de rechercher également si la faune parasitaire varie suivant les localités, suivant le sexe, ou enfin si elle peut subir des variations saisonnières. Disons tout de suite que, à ce dernier point de vue, les résultats de nos observations ont été complètement négatifs. Les espèces que nous avons examinées, sont les suivantes : Rana esculenta, À. temporaria, Hyla viridis, Bufo vulgaris, B. calamita, Pelobates fuscus, Bombinator pachypus, Triton alpestris, T. cristatus, T. palmatus, Salamandra maculosa. Mais pour que ces re- cherches présentent un certain intérêt, il est nécessaire qu’elles portent sur un grand nombre d'individus; faute de quoi, les dé- ductions que l’on pourrait en tirer, seraient un peu fragiles. Aussi nous limiterons-nous, pour le moment, à Pufo vulgaris et Rev. SuissE DE Zoo. ‘T. 20. 1912. J2 472 É. ANDRE à Salamandra maculosa, nous réservant @e publier plus tard, au fur et à mesure que nous les compléterons. les résultats obtenus avec les autres espèces. Buîo vulgaris Laur. Sur les 316 individus examinés, 175 provenaient des envi- rois de Crenève! et 141 du canton du Tessin. Les sexes se répartissent comme suit : Genève : €! 128, soit le 7 Q 47, soit le 27 !/, Tessin Ab son sle 20 GED soitile lens On voit donc que dans les deux localités les males sont beau- coup plus nombreux que les femelles. A cause de l'abondance du matériel et du peu de temps dont nous disposions pour l’étudier, nous avons dû nous borner à la recherche des parasites macroscopiques ou facilement recon- naissables et laisser de côté les Flagellés et les Entamæbiens dont la recherche et la détermination exigent beaucoup de temps. Une première constatation que nous avons faite, est qu'il existe de grandes différences entre les deux localités au point de vue du nombre des individus parasités. Tandis que parmi les Crapauds du Tessin un seul individu était indemne de tout para- site, soit le 0,2 !/,, pour les Pufo provenant des environs de (renève, cette proportion s'élève à 28 ?/,, en voici le détail : c 34 sur 128, soit le 27 ?/, CO AHbisue 247% Soitrle 0 Comme on le voit, la différence entre les deux sexes est peu !" Nous devons la plus grande partie de ceux-ei à l’obligeance de M. le Dr Victor DeMorE, auquel nous exprimons ici toute notre reconnaissance. RECHERCHES PARASITOLOGIQUES 473 importante et il semblerait qu’elle pût être passée sous silence, Cependant si l’on rapproche ces chiffres de ceux que nous men- tionnons plus bas à propos des diverses espèces parasitaires. cette différence prend un certain intérêt et l’on est forcé d'arriver à la conclusion que les femelles sont plus parasitées que les mâles, ce qui, à première vue, peut paraître invraisem- blable, puisque les deux sexes vivent dans les mêmes conditions et se nourrissent de la même facon. Pour expliquer cette diffé- rence, on peut invoquer le fait que la femelle, dans les fonctions de reproduction, doit fournir une quantité de substance beau- coup plus considérable que le mâle, qu'elle doit donc manger davantage que celui-ci et qu’elle à par conséquent beaucoup plus de chances d'avaler avec sa nourriture les formes propagatives des parasites. Nyctotherus cordiformis (Ehrbg.). Cet Infusoire, si commun dans le rectum des Grenouilles, se rencontre aussi chez le Bufc vulgaris, moins souvent cependant. Les chiffres suivants mon- trent qu'il est beaucoup plus fréquent, chez les Crapauds, dans le Tessin, que dans les environs de (renève et que les deux sexes hébergent ce parasite dans la même proportion : a] (D LE | 3.1 Genève: : 2,90, he 910 . Nes preur ES 60x17 Pessin.:z 60, SUR, \œ Re “as / @ 61.5 [0 Nous avons constaté que les Nyctotherus peuvent vivre en compagnie de tous les autres parasites qui élisent domicile dans le rectum du Crapaud. Ces Infusoires peuvent aussi, moins communément cependant que les Opalines, remonter dans la seconde moitié de l’intestin grèle. En pratiquant des coupes au travers dun rectum habité par ces Infusoires, presque toujours mélangés à des Opalines, on remarque que ceux-ci se tiennent 474 Ë. ANDRE dans la portion initiale du rectum, mdifféremment au milieu du lumen de cet organe où dans le voisinage plus où moms nnmédiat de la muqueuse, Les Nyctotherus possèdent néanmoins, ainsi que nous l'avons observé, un moyen de fixation assez puissant et 1l parait étonnant qu'ils ne l'utilisent pas pour s'attacher presque constamment à la paroi du rectum et pour n'être pas entraînés au dehors avec les excréments. Chez ces Infusoires, la face eauche du corps est, comme on le sait, assez fortement concave et c’est cette concavité qui, fonctionnant comme une ventouse. peut leur servir d'organe adhésif. En effet, si l’on étend sur un porte-objet, le contenu du rectum d’un Amphibien hébergeant ces Infusoires et que lon fasse ensuite passer un courant d’eau sur ce porte-objet, les excréments et tous les autres parasites sont entraînés, tandis que les Nyctotherus restent fixés à la lame de verre. On peut de cette facon-là obtenir très facilement des préparations et des cultures pures de cet Infusoire !. Les kystes de Nyctotherus ont été décrits par DOBELE ?; nous les avons rencontrés très rarement aussi; mais leurs dimensions restaient toujours au-dessous de celles que DOBELL leur attribue : 60-70 au lieu de 80-90 y. Chez un Crapaud, tous les Nyctotherus et toutes les Opalines du tube digestif étaient colorés en vert vif par les pigments biliaires. Opalines. La plupart des Opalines rencontrées chez B. vulgaris appartenaient à l'espèce O. ranarum Ehr.;: mais, comme le temps nous manquait souvent pour déterminer exacte- ment ces Infusoires, il est possible que nous n’ayons pas reconnu d’autres espèces, l'O. dimidiata St. en particulier, qui à déjà 1 Nous espérons publier prochainement un travail sur la biologie des Nycto- therus, dans lequel nous consacrerons un paragraphe aux milieux de culture per- mettant de conserver pendant quelque temps ces Infusoires. ? Dogerx, C.C. Researches on the intestinal Protozoa of Frogs and Toads.Quait. Jourvu. Microse. Sc. (2) vol. 35, p. 183-199, pl. 1, 1909. RECHERCHES PARASITOLOGIQUES AT5 été signalée chez le Crapaud commun. D'autre part, les diverses espèces d'Opalines sont si étroitement apparentées qu'il n'y à pas d'inconvénient à les réunir sous la mêine rubrique. Comme pour les Nyctotherus, il Y à, relativement aux Opalines. diffé- rence fondamentale entre les Crapauds de Genève et ceux du Tessin. Les premiers n'hébergent jamais ces Protistes, tandis 0 / / 0° que les autres sont parasités dans la proportion de 46.1 Pour les mâles cette proportion est de 48,7 ?/,; pour les fe- melles, de 34,6 °/,. Nous avons rencontré les Opalines avec tous les autres para- sites qui peuvent peupler le rectum des Crapauds, notamment à plusieurs reprises avec les Nematoxys, tandis que NERESHEIMER ! a observé que chez les Rana esculenta et À. temporaria la pré- sence de ces Nématodes dans le rectum exclut celle des Opalines. Comme les Nyctotherus, les Opalines se tiennent plus volontiers dans la partie initiale du gros intestin et, de là, remontent par- fois assez haut dans l'intestin gréle. Elles peuvent aussi fixer dans leur cytoplasme les pigments biliaires. Palantidium entozoon (Ehrbg.) et Balandidiopsis duodeni (Stein). Ces Hétérotriches, qui sont communs, les premiers surtout, dans le tube digestif de diverses espèces de Gre- nouilles et de Tritons, n’ont pas encore été signalés chez Bufo vulgaris. Hs y sont du reste fort rares puisque nous ne les avons rencontrés, les deux espèces ensemble, qu'une seule fois, ce qui représente une proportion de 3,2 pour mille, chez un PB. vul- garis du Tessin : le Balantidiopsis duodeni, dans l'intestin en compagnie du Sérongylus auricularis et du Nematoxys commu- tatus et dans le rectum, et le Balantidium entozoon, dans cette dernière région de l'intestin, avec Nematoxys, Nyctotherus cor- diformis et Opalina. ! E. Neresuermer. Die Fortpflanzung der Opalinen. Archiv für Protistenkde, Supplément I, p. 1-42, 1907. 476 É. ANDRE Nematotænia dispar (Gze.). On sait que ce Cestode, assez commun dans les régions méditerranéennes où il habite l’in- testin de nombreuses espèces d’Amphibiens, est très rare au nord des Alpes. Cette règle s’est aussi vérifiée pour la Suisse. En eftet, nous n’avons trouvé ce parasite qu'une seule fois dans les environs de (renève, soit dans la proportion de 5,7 pour mille, chez un _B. vulgaris où ces Vers formaient un paquet de 46 in- dividus obstruant l'intestin. En revanche, dans le canton du Tes- sin, les Crapauds parasités par le N. dispar sont beaucoup plus nombreux et, d’après nos observations, représenteraient le 36,2 °/,. À ce point de vue, il Y à une différence notable entre les deux sexes, ainsi qu’en font foi les chiffres suivants : DC SUIS Ie 20 1840 sur -226, soit 10 092207 Cette différence nous semble trop importante pour qu'on puisse l'expliquer seulement par la raison que nous mvoquions plus haut. Les Bufo vulgaris sont, comme on le sait, des Amphibiens plutôt terrestres, n'allant guère à l’eau qu’au moment de la reproduc- tion, Pendant l’accouplement qui dure de 8 à 12 jours, le mâle est porté par la femelle et il ne quitte pas cette dernière pendant ce laps de temps. La femelle vagabonde dans l’eau et peut aller à la recherche de sa nourriture, tandis qu'il n’en est pas de méme du mâle qui, devenu complètement passif, doit se contenter des rares proies qui passent à sa portée. Ce dernier semble même tellement absorbé par ses fonctions reproductrices, qu'il en oublie le manger. Nous avons disséqué à plusieurs reprises des couples de Crapauds communs, capturés pendant la reproduction, et nous avons constaté que l'estomac des mâles est vide où presque vide, tandis que celui de la femelle contient des aliments. D'au- tre part, la forme larvaire et, par conséquent, l’hôte intermé- diaire du Nematotænia dispar sont inconnus. De ce qui précède, on pourrait cependant retirer une indication utile à ce pot de RECHERCHES PARASITOLOGIQUES 477 vue : c'est que l'hôte intermédiaire de ce Cestode est un inver- tébré aquatique. Ce serait pour cette raison que la femelle qui, seule pendant l’accouplement continue à se nourrir, est beau- coup plus souvent infestée de ce parasite que les mâles. Ces der- niers cependant, étant plus nombreux que les femelles, ainsi qu'on vient de le voir, ne s’accoupleraient pas tous, mais ils iraient néanmoins à l’eau à l’époque de la reproduction et ava- leraient à ce moment-là l’organisme logeant la larve du N. dispar. Le nombre de ces Cestodes chez le Crapaud varie beaucoup : parfois l'intestin n’héberge que quelques rares individus, d’au- tres fois les vers forment un véritable paquet semblant obstruer complètement l’intestin. Cette masse de vers est parfois si con- sidérable que le diamètre de l'intestin est énormément augmenté et que, en revanche, sa longueur est diminuée d'autant. On peut faire sur cette espèce la constatation que les dimensions des in- dividus sont en général en raisons inverses de leur nombre. Lorsque ces Cestodes sont réduits à quelques individus, ceux-ci sont de grande taille, jusqu'à une vingtaine de centimètres; tan- dis que les paquets mentionnés ci-dessus sont formés surtout de petits exemplaires. En examinant des coupes transversales d’un intestin habité par des N. dispar, on remarque que ceux-e1 peu- vent obstruer complètement le lumen de l’intestin et que la mu- queuse mtestinale ne subit du fait des N. dispar aucune altéra- tion, pas même lorsque celle-ci est distendue par la présence de ces vers. Lorsque l'intestin gréle est habité par ces Helminthes, on ren- contre presque toujours, à toutes les époques de l’année, sem- ble-t-1l, des cucurbitains dans le rectum, mélangés aux excré- ments. Au point de vue de l'incompatibilité parasitaire, il n’y à rien à mentionner pour les N. dispar. Ceux-ci peuvent se ren- contrer avec les autres parasites intestinaux, notamment avec les Strongylus auricularis, lesquels entrent parfois dans la forma- 4TS8 É. ANDRÉ tion de ces pelotes de Vers que nous décrivions plus haut. Nous n'avons cependant pas trouvé le N, dispar en compagnie de Brachycælium salamandreæ ni d Echinorhynchus hæruca. mais ces deux parasites sont trop rares chez le Crapaud pour qu'on puisse tirer quelque déduction de cela. Les pigments biliaires qui, ainsi que nous venons de le voir, colorent parfois les Infu- soires du rectum, peuvent aussi être fixés par les N°, dispar et les colorer en vert vif. Opistoglyphe rastellus (OIss.) (— Distomum rastellus Oss.). Nous rapportons à cette espèce deux Distomes que nous avons trouvés dans l'intestin de deux PBufo vulgaris. mâle et fe- melle, des environs de Genève, bien que ni lun ni l'autre ne présente tous les caractères définissant cette espèce. Le pre- mier, de forme et de dimension (3% de long, sur OS de large) normales, diffère du type en ce que l'æsophage est très court. presque nul. et que la ventouse ventrale n'est pas immédiatement en arrière de la bifurcation intestinale. L'autre est de petite taille (2mm,1 sur Omm,S) et il n'est pas acuminé en arrière : de pius, les testicules ne sont pas exactement lun derrière l’autre, mais ne sont cependant pas au même niveau. Pleurogenes claviger (Rud.) (— Distomum clarigerum Rud.). Cette espèce ne s’est rencontrée que chez les Bufo vulgaris des environs de (renève, chez un mâle et chez trois femel- les. L’une de ces dernières contenait 25 exemplaires de ce Distome: chez les deux autres femelles, le P. clariger se trouvait en compagnie de nombreux Strongylus auricularis. Les Cra- pauds parasités représentent le 2,3 ?/,, proportion plus faible que celle (8,8 ?/,) que l’on trouve dans le Catalogue du Musée de Vienne, cité par DUJARDIN !. La cercaire de ce Platode s'en- 1 Duyarnix. Histoire naturelle des Helininthes. p. 404, Paris, 1845. RECHERCHES PARASITOLOGIQUES 479 kyste dans un Coléoptère aquatique non déterminé, On peut remarquer, sans y attacher trop d'importance à cause du petit nombre des cas observés, que les Crapauds femelles sont plus fréquemment parasités que les males, et cela peut-être pour les mêmes raisons que nous avons données à propos du Nemato- tænia dispar. Brachycolium salamandræ (Krül) (— Distomum crassi- colle Kud.). Ce Distome, commun chez la Salamandre. est rare chez le Bufo vulgaris; effectivement, nous ne l'avons trouvé qu'une fois, au nombre de 2 individus, chez un Crapaud mâle des environs de (Genève, ce qui représente une proportion de 0,6 ?/,. Ces 2 individus étaient de petite taille : Omu94 et Omm,27, Dans le Tessin, cette espèce est plus fréquente chez les Crapauds, dont 6 individus, soit le 4,5 °/,, hébergeaient dans leur intestin de 1 à S de ces Vers. Ces 6 B. vulgaris étaient tous des mâles. Les intestins abritant cette espèce, contenaient aussi des Strongylus auricularis, des Nematorys. des Opalina et des Nyctotherus. Diplodiscus subclavatus (Gze.). Cette espèce ne s’est pas rencontrée dans les Crapauds des environs de (renève, mais chez ceux du Tessin nous l’avons trouvée 3 fois, soit dans la proportion de 2,1 !/,. Les 3 mdividus infectés étaient des mâles : 2 d'entre eux hébergeaient chacun 1 Diplodiscus, le 3° en con- tenait 13. Cet Amphistome peut vivre en compagnie des Opa- lines et des Nematoxys: nous ne l’avons pas trouvé avec des Nyctotherus, mais. comme ces 2 parasites peuvent, ainsi que nous l’avons observé, cohabiter chez les Grenouilles, nous ne soulignerons pas ce fait. Gorgodera cygnoides (Zed.) (— Distomum cygnoides Zed.). Jusqu'à présent cette espèce n'a été signalée que chez les 480 É. ANDRÉ Lana esculenta, R. temporaria, Hyla arborea et Bombinator igneus; nous en avons trouvé 1 individu unique dans la vessie urinaire d’un Pufo vulgaris des environs de Genève. Rappe- lons que la cercaire de ce Distome s’enkyste dans la larve d’une espèce de Libellule. Strongylus auriculuris Zed. Les chiffres qui suivent mon- trent que ce Nématode est très commun chez le Crapaud, qu'il est plus répandu au sud des Alpes et que les deux sexes sont infectés à peu près dans la même proportion : Genève : individus infectés 60 sur 175, soit le 34,3 "/, e! 46 sur 128, soit le 36 ?/, @ 14Sur br soit le 29/80), Tessin : individus infectés 121 sur 141, soit le 85,1 ?/, ci 38 sur 115, soit le 85,2 0}, @ 23 sur 26, soit le 89.2 ?/, Ces chiffres sont tous supérieurs à ceux que donne le Cata- logue du Musée de Vienne, cité par DUJARDIN ! : 33 Crapauds sur 125, soit le 26,4 °/,. MÜHLING ? l’a trouvé 3 fois sur 6 Crapauds communs. Le nombre de ces Vers varie beaucoup d’un hôte à l’autre; parfois très peu nombreux, ou même réduits à l’unité, ils peuvent d’au- tres fois former de véritables pelotes. Nous avons compté une de celles-ci qui était formée de 61 individus. Les S. auricularis peuvent passer dans le rectum ou, plus rarement, remonter jusque dans l'estomac. Angiostomum nigrovenosum Rud. et À. rubrovenosum Schneider. MEHLING * ne mentionne, pour le B. vulgaris. 1 Loc. cit., p. 53, 132. * MüaunG, P. Die Helminthen-Fauna der Wirbelthiere Ostpreussens. Arch. f. Naturgesch., Jhg. 64, Bd. I, p. 16, 1898. SYL0c.it;, pro. RECHERCHES PARASITOLOGIQUES 4SI que la seconde de ces espèces, qui serait très abondante chez cet Amphibien et dont il à trouvé une fois 53 individus chez le même hôte. Nous avons rencontré ces deux espèces et, bien que faute de temps nous ne les ayons que rarement différenciées, il nous semble que la première est la plus commune. Ces deux tvpes sont très proches parents et ils vivent dans les mêmes conditions, il n’y à donc pas d’inconvénient à les étudier en- semble. Par les chiffres suivants, on verra que ces Helminthes sont aussi plus fréquents au sud des Alpes qu’au nord et que les Bufo vulgaris femelles sont plus souvent parasitées que les mâles : (renève : individus parasités 36 sur 175, soit le 32 ! ) où 38 sur 128, soit le 29,7 °/, ®) 18 sur 47, soit le 38,3 ?/, Tessin : individus parasités 99 sur 141, soit le 70,20, cé 76 sur 115, soit le 66,1 ?/, @ 23 sur 26, soit le 88,6 ?/, Le plus grand nombre d'individus trouvés chez le même hôte est de 32, 25 vers dans un poumon et 27 dans l’autre. Dans le rectum, et quelquefois aussi dans l’intestin grèle, des Crapauds hébergeaient ce parasite: on trouve presque toujours, et à toutes les époques de l’année, semble-t-il, des œufs et des larves des Angiostomunr. Nematoxys commutatus (Rud.), Nematoxys ornatus (Duj.) et Orysoma brevicaudatum (Zed.). Pour les raisons indiquées plus haut, nous traiterons ensemble ces trois espèces. En consultant le tableau qui suit, on pourra faire, relativement a la fréquence de ces parasites, suivant la localité et suivant le sexe de lhôte, les mémes constatations que pour les 4#- qgrostomum : 489 É. ANDRÉ (renève : individus parasités 65 sur 175, soit le 37.1 !/, Œ 47 sur 128, soit le 36,7 !/, e 18 sur 47, soit le 38,3 !/, Tessin : individus parasités 95 sur 141, soit le 67,4 ?/, . T9:Sur P15;soit le 63:90 ® 22 sur 26, soit le 84,6 ?/, De ces 3 espèces, c’est le N. commutatus qui s'est montré le plus abondant chez le même hôte, soit 73 individus dans le rec- tum d'un P. vulgaris du Tessin. Echinorynchus hæruca Rud. Cet Acanthocéphale, abondant chez les Grenouilles, s’est rarement présenté chez les Cra- pauds, seulement chez 5 mâles provenant du Tessin : 2 fois un individu et 2 fois 2 individus. Chez un de ces Bufo, un petit Echinorhynque avait pénétré dans la vessie urinaire où il avait été enfermé dans un kyste, probablement par réaction défensive de l'organisme de l'hôte. Divers. Larve d'(ÆEstride dans la vessie urinaire d’un Cra- paud mâle des environs de Genève". Chez deux Pufo mâles provenant de la même localité, la paroi de la vessie urinaire portait un kyste contenant, dans les deux cas, deux petits Nématodes que nous n’avons pas pu identifier. Sur les reins et la rate d’un Crapaud mâle du Tessin, se trou- vaient quelques kystes incolores, de 1 à 2" de diamètre, à contenu liquide, qui ne paraïissaient pas de nature parasitarre. Salamandra maculosa Laur. Bien que nous n'avons examiné qu'un nombre relativement petit de ces Amphibiens, la rareté de ceux-ci. surtout dans la 1 Voir: AxpRé, Myiase de la vessie urinaire du Crapaud. Zool. Anz. vol. 52, p. 98-99, 190%. RECHERCHES PARASITOLOGIQUES 433 Suisse occidentale, nous engage à publier maintenant les résul- tats obtenus. Individus examinés : 93, dont 2 proviennent des environs de Genève, les autres du canton du Tessin. Il n’y aura done pas lieu d'établir, comme nous l’avons fait pour les Crapaads, une com- paraison géographique de la faune parasitaire. Répartition des sexes : mâles : 60, soit le 64,5 ?/, femelles : 53, soit le 35,5 !/, Sur ces 95 individus, 6 seulement, soit le 6,4 °/,, étaient in- demnes de tout parasite animal, et ces 6 Salamandres étaient toutes du sexe mâle !. Flagellés. Dans le rectum, on rencontre fréquemment, en petit nombre ou formant un véritable nuage, des Flagellés, parmi lesquels 1] nous à semblé reconnaître au moins deux espèces que nous n'avons pas déterminées faute de temps. La proportion des Salamandres Imfectées de ces Protistes est de 30,1 !/, : pour les mâles, 26,6 ‘/, et pour les femelles 36,4"/;. Nous avons étudié sur des coupes la muqueuse rectale des individus les plus copieu- sement infectés et cet examen n’a révélé aucune altération que l’on puisse attribuer à ces Flagellés. Opisthoglyphe ranæ Krôl. (— Distomum endolobum Duj.). Ce Distome, fréquent chez les Grenouilles, est rare chez la Salamandre; nous n’en avons constaté que deux fois la présence : 1 individu chez une femelle; 4 chez un mâle. Le développement de cette espèce est mal connu; on sait cependant que la cercaire habite la Limnæa stagnalis. Ce fait expliquerait la rareté de ce parasite chez les Batraciens, tels que les Crapauds et les Sala- mandres, dont la vie se passe presque complètement sur terre. Drachycalium salamandræ Frôl. (— Distomum crassi- ? Nous n'avons pas recherché les Protistes parasites du sang. 484 É. ANDRÉ colle Rud.). C’est le Trématode que l’on rencontre le plus fré- quemment chez les Salamandres: en effet, le 70,9 °/, des indi- vidus que nous avons examinés, hébergeait ce parasite dans l'intestin grêle. Ces Distomes étaient parfois extrêmement nom- breux: chez deux mâles ils formaient de véritables bouchons. obstruant et distendant l'intestin, composés, l'un de 57 vers, l’autre de 61. Pour cette espèce. nous constatons une fois de plus que les femelles sont plus fréquemment parasitées (78,8 ?/,) que les mâles (66,6 °/;,), probablement pour la raison énoncée ci- dessus à propos des Crapauds. Strongylus auricularis Zed. D'après le catalogue du Musée de Vienne, cité par DUJARDIN!, cette espèce à été trouvée 20 fois sur 40 Salamandres. soit le 50 °/,. Pour les Salamandres du Tessin, cette proportion est beaucoup plus faible, environ le 2 0/, puisque nous n'avons rencontré ce Nématode que 2 fois sur les 93 S. maculos«. Nematoxys commutatus Rud. et Oxysoma brevicaudatum Zed. Nous avons trouvé fréquemment ces deux Nématodes. mais comme le temps nous à souvent manqué pour les différen- cier l’un de l'autre, nous les réunirons dans le même para- oraphe. Le second de ces Vers, qui habite normalement l'intestin grêle, peut, comme nous l'avons constaté, passer dans le rectum: au contraire, le N. commutatus dont l'habitat normal est le rectum. peut remonter dans lintestin, ou même s’introduire dans la vessie urinaire, ainsi que le cas s’est présenté à nous chez une femelle. Cette dernière espèce était accompagnée parfois d'œufs et de larves. Les Salamandres parasitées par ces Helminthes Moc cit. p.192 RECHERCHES PARASITOLOGIQUES AS5 sont dans la proportion de 62,4 !°/;,: les males, 65,5 °/, et les fe- melles, 60,6 °/, !. Echinorhynchus hæruca Rud. Cet Acanthocéphale ne s'est rencontré que 3 fois (soit à peu près le 3 ‘/,): chez deux males et chez une femelle, représenté par des individus de petite taille, ne dépassant pas 7" de long.Chez un des mâles. ces Vers étaient au nombre de 1S, dont 12 s’étaient détachés de la paroi de l'intestin grêle et avaient passé dans le rectum. Dans la Sa- lamandre femelle. un Echinorhynque était entré, mort ou vif. dans la vessie urinaire; et là, par réaction défensive de lorga- nisme, avait été entouré d’un kyste. Celui-ci était attaché à la la paroi de la vessie urinaire: il était en partie calcifié et conte- nait le cadavre, à moitié résorbé, de l'Echinorhynque *. ! En outre, chez une Salamandre mâle et chez une femelle nous avons trouvé. dans l'intestin, plusieurs petits Nématodes, longs de 1 à 1mm,3, que nous n’avons pu déterminer, mais qui seraient peut-être des formes jeunes des Helminthes dont il vient d’être question. = Dans un prochain article, nous étudierons, à propos de la parasitologie de la Grenouille, le mode de fixation de lÆ. hæruca et son action sur la mugueuse in- testinale. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 8. — Juin 1912. Eutermes lacustris nov. sp. de Ceylan PAR E. BUGNION Avec les planches 7 et S. Cette espèce remarquable à été observée le 22 novembre 1910, au bord du lac d'Ambalangoda, dans un tronc de Palétuvier à demi pourri. Sur lécorce se voyait un cordon brun (tunnel) de la grosseur d'un crayon, fait de débris agglutinés, servant au va et vient des Termites. Le tronc ayant été fendu à coups de hache, je recueillis une centaine de soldats et d'ouvriers, ainsi que plusieurs nymphes blanches avec des rudiments d'ailes à peu près noirs. Ces nym- phes, molles et dodues, longues de 7", se tenaient serrées les unes contre les autres dans une anfractuosité du bois. Espérant obtenir des imagos, je fis faire une caissette de bois dur cou- verte de verre et y plaçai les morceaux de bois occupés par les Termites. Mes installations étaient encore incomplètes. Revenu le len- demain, je trouvai la table envahie par les Fourmis (Pheido- logeton diversus). Le verre ne joignant pas bien, je crus tout d'abord à un désastre. Il n’en fut rien. Avertis du danger, les petits soldats s'étaient rangés sur la table autour de la cassette et sur les bords de celle-ci, le long des rainures. Rev. Suisse DE Zoor. T. 20. 1912. 33 488 E. BUGNION Faisant face à l'ennemi avec leur corne frontale!. îls n'avaient laissé aucune Fourmi pénétrer à l’intérieur. Les terribles Phei- dologeton S’étaient rabattus sur une autre boîte renfermant des larves de Coléoptères et avaient dévoré son contenu. La eais- sette aux Termites fut dès cet instant placée sur une table pro- tégée (avec les pieds plongeant dans l’eau). Une deuxième colonie fut, sans qu'il en résulte de bataille, ajoutée à la première. Je ne pus toutefois obtenir des imagos. Mécontents de leur sort, les Termites cherchaïent constamment à s'échapper. Deux fois je trouvai les nymphes (une cinquan- taine environ) en dehors de la caissette. Guidées par les soldats. elles avaient, malgré leur taille plus forte, passé par les jomts de la rainure et s'étaient installées dans une boîte remplie de terreau laissée par hasard sur la même table. Les fugitives. oroupées sous une lame d'écorce, purent, sans trop de pee, être réintégrées dans leur demeure. Mais tout fat mutile. Ayant. le 29 décembre, ouvert la caissette pour voir si peut-être une imago était éclose, j’eus le désappomtement de ne plus trouver un seul Termite. Soldats, ouvriers et nymphes, tout avait dis- paru. Seuls quelques cadavres gisaient aux pieds de la table dans l’eau des godets. Un second essai eut lieu le 30 décembre. Avant trouvé une branche de Palétuvier habitée par ledit £utermes et renfermant de nombreuses nymphes, je la découpe à la scie, mets les tron- cons dans la caissette et ai soin cette fois de boucher les issues avec du papier collé et du carton. Le lendemain les Termites se sont déjà frayé un chemin de sortie et errent sur la table en longues files. Instruit par l'expérience, je ne cherche plus à les ! Les soldats, longs de 4mm, complétement aveugles, sont caractérisés par leur tête brun foncé, portée par un corps beaucoup plus clair. Is font, lorsqu'ils sont inquiétés, des signaux d'alarme (tremblements convulsifs) semblables à ceux de UE. monoceros. Le liquide défensif, sécrété par l’ampoule céphalique, perle au bout de la corne frontale sous forme d’une goutte transparente et très visqueuse. Ce liquide, très redouté des Fourmis, les fait reculer aussitôt. EUTERMES LACUSTRIS 459 faire rentrer et me borne à placer à leur portée une boite entr ouverte remplie de sciure. Ayant bientôt trouvé la deuxième boite, les Æutermes construisent au moyen de débris de bois agglutinés un tunnel qui va de la caissette à la provi- sion de sciure. Le 1° février, la caissette ayant été ouverte, je trouve la colonie en très bon ordre. Un troncon de Palétuvier abrite encore les précieuses nymphes. Mais les Termites n'aiment pas à être dérangés ; le même soir une partie de la troupe à émigré de nouveau dans la boîte à terreau. Le 13 février, je trouve, agglomérés sous les débris, un grand nombre de soldats et d'ouvriers, mais ne peux plus décou- vrir une seule nymphe. Ecloses à mon insu, les imagos se sont vraisemblablement envolées. Le seul résultat de lPexpérience est qu'une colonie d’Æ. lacustris (privée de reine) à pu être maintenue en captivité pendant 1 mois et 13 Jours. revenu à Ambalangoda le 28 novembre 1911, je fais, le lendemain une excursion sur le lac et trouve une colonie com- plète d'Æ, lacustris avec la reine et le roi. Le nid, installé au bout d’une branche de Palétuvier à demi pourrie, est en partie taillé dans le bois, en partie complété et fermé par du carton de couleur foncée! (fig. ci-contre). L'ensemble à la forme d’une massue de la grosseur de la jambe, limitée au gros bout par une lame de carton. Une ouverture pratiquée à la surface laisse voir de petites loges semblables aux cavités d’une éponge. Ces loges à parois lisses, de couleur brune, ne renferment ni moisissures, ni autres Champignons. Les Termites, très nombreux, ont acces à l’intérieur soit par des chemins ménagés sous l’écorce, soit par des tunnels extérieurs appliqués contre le bois, semblables à ! Le carton de bois, dur et résistant, fabriqué par les Æutermes et les Copto- termes, à pour usage essentiel de compléter le nid (installé d'ordinaire dans un arbre creux) et de le fermer exactement, de facon que les Fourmis, Scolopen- dres, etc. ne puissent y pénétrer de l’extérieur. Les issues, étroites et sinueuses, sont toujours surveillées par un poste de soldats. 490 E. BUGNION ceux de l'ÆEutermes des Cocotiers, mais plus larges que ces der- niers et de couleur plus foncée !. La reine et le roi furent trouvés à une faible profondeur dans une anfractuosité du bois. Dans les loges voisines se voyaient des paquets d'œufs et un erand nombre de larves blanches de grosseurs diverses. Outre les ouvriers et soldats qui se comptaient par milliers, 1l y avait de nombreuses nymphes reconnaissables à leur abdomen renfié. de forme ovalaire, et à leurs rudiments d'ailes à peu près noirs. Seules les imagos manquaient encore. Un nouveau nid fut trouvé au bord du lac le 12 décembre. Caché dans un arbre creux, à une faible hauteur au dessus de l’eau, il était en majeure partie formé de carton de bois et offrait une masse spongieuse assez résistante, brune, de forme oblongue. plus épaisse que la cuisse. Cette masse ayant été fendue au moyen d'un kati, je trouvai, outre les ouvriers et soldats, une quantité de nymphes relativement peu avancées (5) mélées à des larves de toute taille. Les débris furent placés cette fois, non plus dans une caissette, mais dans un bocal recouvert d’un treillis à mailles fines ficelé de facon à empécher toute évasion. Le reste du tronc fut simplement déposé sur la caissette où se trouvaient déjà les débris du premier md. Le lendemain. les Æutermes erraient sur la table en longues files. Le 15 je pus assister à la construction d’un tunnel qui. partant du deuxième nid et longeant la paroi de la caissette. allait se terminer au bord de la table. Son trajet, long d'environ 1 mètre, fut marqué tout d'abord par deux rangées de soldats distantes de 7 à Smm, Ces soldats, parfaitement 1mmobiles, se tenaient la plupart dans le sens de la longueur, quelques-uns avec la tête en dehors. Les ouvriers marchaïent entre les deux ! Voy. Buaxiox, L'industrie des Termites. Ann. Soc. entom. de France, 1910. L'Eutermes des Cocotiers (ceylonicus Holm) est. dans ce dernier article, désigné sous le nom d’Æ, inanis Hav., var. Horni Wasm. FE EUTERMES LACUSTRIS 491 Carton de bois fabriqué par l’Eutermes lacustris, d'après une photographie 2 de C. Ferrière. Réduction aux ?/: de la grandeur naturelle. 4992 E. BUGNION lignes charriant de petits débris. Déposant ceux-ci de part et d'autre, ils firent d’abord deux murs parallèles hauts de 3 à 4 millimètres et c’est plus tard seulement (après 2 ou 3 heures) que des traverses jetées d'un mur à l’autre commencerent à dessiner la voûte. La construction, qui progressait d'un pas égal sur toute sa longueur, avait à ce moment l’aspect d’une dentelle ou d’un treillis. Les ouvriers marchaient à l'intérieur, apportant des moëllons. Fermant successivement les interstices, ils avaient, à la fin de la matinée, achevé leur tunnel. Celui-ci, entièrement terminé, avait l'aspect d’un cordon brun foncé de l’épaisseur d'un crayon. Il était essentiellement formé de débris de bois et ce fut seulement les jours suivants que des crottes de couleur plus claire (reconnaissables à leur forme oblongue et à leur erosseur uniforme) furent peu à peu accolées à la surface. Quant à sa manière de travailler, J'ai pu me convaincre que l'E, lacustris emploie, en guise de ciment, tantôt la salive, tan- tôt le contenu du rectum. Ainsi le 19 décembre, Jour de la construction du grand tunnel, les Termites se servaient surtout de leur salive. Métant à plusieurs reprises approché avec la loupe, je ne vis pas une seule fois un ouvrier se retourner et déposer sur le mur le contenu du rectum. Le 20 décembre, au contraire, ayant détruit le tunnel sur une longueur de 1 !/, cm., afin de suivre plus exactement le travail de réparation, je vis au moins dix fois de suite un ouvrier venant de l’intérieur tater avec ses antennes, puis se retournant, déposer sur la bre- che le liquide jaune contenu dans le rectum. L°Æ, lacustris tra- vaillait exactement à la manière de lÆutermes des Cocotiers. Il faut dire que le 19 la table était sèche, tandis que le 20, avant de pratiquer une brèche, j'avais eu soin d'humecter les alentours du tunnel. On sait, que pour travailler d’une manière normale, les Termites ont besoin d'une certaine quantité d'eau. Les jours suivants l'aspect de Ia colonie se modifia peu à peu en ce sens que les Termites, ne trouvant pas d'issue, cessèrent EUTERMES LACUSTRIS 493 de former des files et de construire des tunnels. Trouvant dans les morceaux de bois la nourriture nécessaire, 1ls restèrent simplement retirés à l’intérieur. Le 25, ayant fendu à la hache le nid IT (tronc posé sur la caissette), je trouvai une colonie beaucoup plus nombreuse que ce que j'avais supposé d'abord. Les Termites couraient par milliers parmi les débris. Il y avait, entre autres, des centaines de nymphes blanches, dodues, avec des rudiments d’ailes à peu près noirs. Je recueillis des œufs renfermant des embryons, mais ne pus réussir cette fois à trouver la reine. Rassemblés tant bien que mal au moyen d'une brosse, les Termites furent remis dans la caissette avec une partie des dé- bris. Un certain nombre émigra les jours suivants dans une bran- che de bois dur (jacktree) où se trouvaient déjà des Calotermes Greeni. De petites crottes grises très caractéristiques (toutes de même grosseur), accumulées sur la table en dessous de la branche, désignaient clairement les endroits attaqués. Cette observation montre que lÆ. lacustris peut, à l’occasion, tailler aussi le bois dur. Mes colonies seraient vraisemblablement demeurées plus prospères si, au lieu de carton de bois et de débris à demi pourris, javais, dès le début, mis à proximité du bois plus riche en matières nutritives. Le bocal de verre et la caissette ayant été examinés de nou- veau le 8 Janvier, je trouvai les deux colonies très diminuées. Les nymphes, peu nombreuses, n'avaient fait aucun progres. Je dus quitter Ambalangoda sans avoir réussi à obtenir l’imago. Soldat (fig. 1-3). Une seule forme. Longueur 3 !/,-4mm: tête avec la corne 1,6 : corne 0,6 : antenne 1,3. Tête très grande. presque ronde (largeur 1"%) sans étranglement en arrière des antennes, glabre, assez brillante, d’un brun foncé uniforme. la corne presque noire. Tergites abdominaux d’un gris brunâtre. thorax, dessous du corps, pattes et antennes un peu plus clairs. 494 E. BUGNION Anses intestinales brunes, visibles par transparence à travers l'abdomen. La corne frontale, en forme de cône allongé, se continue avec la tête sans démarcation distincte : au sommet se voient quelques poils rigides dirigés en avant. Profil fronto-nasal à peine creusé, presque droit!. Antennes de 13 articles: 3 un peu plus long que + et presque aussi long que 2; 3 +4 ensemble aussi longs que 1: les suivants ovoïdes. un peu plus longs que larges. Les mandibules, très dif- férentes de celles de l’ouvrier, relativement faibles, ont la forme d'une lame surmontée d’une pointe conique ; la partie tran- chante, plane et translucide, offre un bord arrondi et non denté. La lèvre inférieure et les maxilles sont semblables à celles de l’ouvrier, mais beaucoup plus petites, manifestement atrophiées (comparez fig. 3 et S). Les palpes, en revanche, sont aussi longs que ceux de l’ouvrier et seulement un peu plus grêles. Menton court, presque aussi large que long, un peu dilaté en avant du milieu. Le trou occipital n'est pas, comme chez les soldats de Termes, Calotermes, ete, placé en arrière, mais à mi-longueur de la tête: le menton, articulé sur son bord antérieur, paraît aussi mobile que celui de l’ouvrier. 1/échanerure maxillaire est grande. Le tentorium à deux piliers postérieurs courts, fixés au bord antérieur du trou occipital et deux piliers antérieurs longs, prolongés à droite et à gauche jusqu'aux condyles articulaires dorsaux des mandibules (destinés à soutenir ces condyles). L'ampoule céphalique, visible par transparence, située dans la moitié postérieure de la tête, est petite, arrondie, entourée de muscles. Le canal excréteur, 2 !/, fois plus long que lam- poule, régulièrement rétréci d'arrière en avant, chemine en * Dans la figure 1, la tête n’étant pas piacée exactement de profil. la ligne fronto-nasale parait un peu trop creusée. Le mieux, pour observer la tête de profil, est de mettre plusieurs sujets sous l’eau dans une cuvette à fond plat et de regarder au microscope sans couvrir d’une lamelle. La plupart des soldats se placent d'eux-mêmes sur le côté. EUTERMES LACUSTRIS 495 droite ligne jusqu'à l'extrémité de la corne. Les deux canaux des réservoirs salivaires se voient par transparence à travers la membrane de la gula!. Pronotum court, transverse, deux fois plus étroit que la tête, rétréci d'avant en arrière, jaunâtre, avec le bord antérieur relevé et rembruni. Mésonotum un peu plus étroit que le pro- notum. Métanotum de nouveau un peu plus large, rétréci d’ar- rière en avant. Les trois segments bordés d’un liseré brunâtre. Abdomen ovoïde : sa partie moyenne presque deux fois aussi large que le thorax. Quelques poils droits clairsemés, plus nom- breux au bout du corps ; en outre de petits poils couchés. Papil- les piifères petites. Pas de cerques distincts. Pattes courtes, assez velues. Les cuisses postérieures attei- onent le bord antérieur du 7% tergite abdominal. Tibia anté- rieur de même longueur que la cuisse correspondante, sa partie moyenne un peu renflée ; tibia moyen à peine plus long: tibia pos- térieur notablement plus long et plus étroit. Tous les tibias ont au quart Supérieur une saillie transverse suivie d’une coche et à l'extrémité une épine faible. Articles tarsiens 1-3 courts, avec un prolongement conique au côté ventral. Plus long que les autres, le prolongement du 5° article atteint presque le milieu du 4e, Pas de pulvimule entre les ongles. Ouvrier (fig. 5-8). Longueur 4 à 4,5"; tête seule 1,1". Caractérisé par sa tête arrondie, portée par un thorax étroit. Tête brune, lisse, assez brillante, avec une ligne en T plus claire. Thorax et abdomen d’un gris jaunàtre, ce dernier garni de petits poils obliques, avec quelques soies plus longues, plus nom- breuses au bout du corps. Pattes et antennes presque blanches. ! Les canaux des ampoules salivaires débouchent, chez tous les Termites, à la base de Ia langue, au fond du sinus labio-lingual. Le canal de la glande salivaire s’ouvre, un peu en arrière de la langue, dans le canal de l’ampoule correspon- dante, 496 E. BUGNION Epistome blanchâtre, sa partie postérieure convexe, Front creusé d'une fossette en arrière de l’épistome. Antennes de 14 ar- ticles, plus courtes que celles du soldat. Articles 3 + 4 ensem- ble un peu plus longs que 2: les suivants globuleux ; les derniers plus allongés. Labre large, son bord antérieur arrondi, garni de quelques poils. Mandibules rembrunies : la droite avec 3 dents (4 compris l'apicale): 1 et 2 grandes, triangulaires; la 3" petite, pro- longée jusqu'à l’apophyse basale par un tranchant oblique finement crénelé; la gauche avec 3 dents (y compris l’api- cale): 1 et 2 un peu plus petites que celles de droite: la 3° très petite, placée plus en arrière, séparée de la 2% par un tranchant un peu convexe. Apophyse basale plus courte que celle de droite. Baguettes des muscles adducteurs courtes. bien distinctes. Echancrures maxillaires relativement petites. Menton court. un peu rétréci d'arrière en avant, articulé par deux petits crochets sur les bords du trou occipital et du tentorium. Appa- reil maxillo-labial bien développé. Lacimia avec une douzaine de cils. Glosses triangulaires, leur extrémité membraneuse. Para- glosses plus étroits, moulés sur le bord des glosses, le bout anté- rieur garni de petits poils. Thorax et abdomen d'un blanc sale. Anses intestinales visibles à travers les téguments. On remarque entre autres deux anses brunes étroites, placées obliquement, et en avant de celles-ci une tache rougeñtre un peu diffuse. Pronotum petit, transverse, de moitié plus étroit que la tête. rétréci en avant et en arrière ; son bord antérieur rembruni, un peu relevé, arrondi, avec une petite échancrure. Mésonotum un peu plus étroit que le pronotum : métanotum de nouveau un peu plus large. Thorax semblable en somme à celui du soldat : de même l'abdomen et les pattes. (Les pattes sont cependant plus courtes chez l’ouvrier). EUTERMES LACUSTRIS 497 Le tube digestif (fig. 15) comprend : 1° l’œsophage long de 2", renflé postérieurement pour for- mer le jabot : 29 le gésier, très court, garni de douze lames chitineuses : 3° l'estomac, long de 2m, fusiforme. avec un contenu noirà- tre formant un étroit boudin ; 4° l'intestin grêle, long de 3.5"%, avec une première partie fusiforme de même largeur que l'estomac et une deuxième par- tie plus étroite, renfermant toutes deux un boudin noiratre : 5° le cæcum volumineux, long de 2,5", rempli d'une bouillie brun roue : 6° un segment étroit, long de 1,5mn : 7° une vésicule rectale arrondie, remplie d’une matière brune. Il y à quatre tubes malpighiens très longs, offrant une série de petites flexuosités, insérés au bout postérieur de l'estomac. Examiné à un fort grossissement, le contenu du cæcum mon- tre des débris végétaux de formes irrégulières, sans trace de Trichonymphides. Le tractus entier, long de 12%, mesure trois fois la longueur du corps. Le schéma ci-joint (fig. 14), emprunté à un sujet éclairei dans le formol, montre le trajet de l'intestin chez les Termites en général. L'estomac et l’intestin grêle forment, comme on voit, une circonvolution et demie autour du cæcum. Celui-ci, placé au milieu de Pabdomen, émet à son côté ventral un segment très court qui l'unit à-la vésicule rectale. Les anses a et c, placées superficiellement, sont celles que l’on voit sur le vivant comme deux cordons un peu obliques: l’anse b, située plus profondément, est partiellement cachée en dessous du cæcum. Nymphe (fig. 4) Longueur: 7,2", Blanchâtre, grassouil- lette, caractérisée par des moignons d'ailes (étuis) à peu près noirs formant au niveau du bord postérieur du méso et du méta- notum deux bandes transverses foncées, interrompues au milieu. 498 E. BUGNION Le dessus du thorax montre, grâce à cette disposition, deux disques clairs entourés de noir, l’un plus large, appartenant au méso, l’autre plus étroit, répondant au métathorax!, Tête un peu plus allongée que celle de l’ouvrier, ovalaire, avec deux veux noiratres. Pas d'ocelles visibles. Les mandibules et la région articulaire distinctement rembrunies. Epistome blanchàtre, sa partie postérieure convexe. Une fossette bien marquée an niveau du front. La moitié postérieure de la tête avec une tache médiane opa- que, puis, à droite et à gauche de celle-ci, une vague pigmen- tation brunâtre. Antennes blanchâtres formées de 135 articles : 5 et + ensemble un peu plus longs que 2, les suivants globuleux. les derniers plus allongés. Labre, mandibules et pièces maxillo- labiales conformées comme chez l’onvrier. Pronotum court, transverse, d’un tiers environ plus étroit que la tête, de moitié plus large que long: son bord antérieur à peine relevé, son bord postérieur arrondi, bordé d’un liseré brunätre, rétréci d'avant en arrière. Méso et métanotum plus larges que le pronotum, recouverts par les ailes. Ailes antérieures atteignant, suivant les individus, le bord du premier ou du deuxième segment abdomi- nal, les ailes postérieures, le bord du deuxième ou du troisième. Quelques poils clairsemés le long des bords et des nervures. Abdomen en ovoïde allongé, gonflé, chargé de graisse. Ter- oites abdominaux à peine plus larges que les thoraciques. for- mant une série de plaques brunâtres débordées à droite et à gauche par les parties latérales de couleur blanche. Poils clairsemés sur les tergites. Pattes et papilles sétifères comme chez l’ouvrier. ! On voit nettement, en soulevant les deux bandes transverses avec la pointe de Paiguille, qu’elles sont formées par le bord postérieur du méso et le bord pos- térieur du métathorax. Ces bords sont probablement, chez toutes les nymphes, continus avec la partie interne du moignon alaire correspondant, mais cette conti- nuité est, à cause de la couleur noire de ces parties, beaucoup plus frappante chez notre espèce que chez les Termites en général. EUTERMES LACUSTRIS 499 Roi (fig. 9). Un seul en compagnie de la Reime. Longueur Tu, D'un brun uniforme, avec la tête plus foncée et les yeux noirs. Les 9 tergites abdominaux rapprochés les uns des autres, séparés par des traits blancs. Largeur des plus grands, 1,5"m, Tête et thorax comme ceux de la Reine. Antennes (amputées), offrant 11 articles jaunatres. Pattes jaunâtres. Les tarses pos- térieurs ne dépassent pas le 6% tergite abdominal. Reine (fig: 10). Eôngueur 19,5". Tête et thorax 3,5mm, Abdomen 16%, Abdomen un peu renflé en avant, rétréci en arrière, avec des bosselures dues aux contractions musculaires, changeant chez l’Insecte vivant leur position et leur forme. Vaisseau dorsal visible comme une ligne claire comprise entre deux liserés de couleur brune. Les liserés un peu élargis au milieu des intervalles. Largeur des tergites moyens, 2", Tête et tergites abdominaux d'un brun foncé. Thorax d’un brun plus clair. /abdomen offre, au devant de chaque tergite (de même à la face ventrale au devant de chaque sternite), une plaque lisse, jaunâtre, de forme semi-cireulaire (plaques de chitinisa- tion secondaire de HAVILAND). Les parties latérales de lab- domen, couvertes de petites rugosités, sont d’un blanc plus opaque que lesdites plaques. Tête ovalaire, fortement rétrécie en arrière des yeux. Yeux noirs, arrondis. Deux ocelles clairs, oblongs, placés près des veux. Une tache médiane claire (fontanelle) entre les yeux. Antennes (amputées), montrant 11 articles jaunâtres : 3 de méme longueur et un peu plus étroit que 2; les suivants un peu plus gros, globuleux, presque aussi larges que longs. Pronotum un peu plus étroit que la tête avec les yeux, 1 !/, fois plus large que long, rétréei en arrière, avec les angles arrondis, sans lobe proéminent au-dessus de la tête. Méso et métathorax élargis en arrière. Ecailles alaires antérieures et postérieures de même grandeur, brunes. Corps hérissé de petits poils. Pattes jaunâtres, courtes, plutôt 300 E. BUGNION grèles, velues. sans épines plus fortes au bout des tibias. Papilles abdominales petites. Oeufs. Les œufs blanchàätres, de forme oblongue, mesurent 0,65 sur 0,32Mm, Arrondis aux deux bouts, ils offrent une légère concavité qui répond d'ordinaire au côté dorsal de Fem- bryon. La plupart montraient un embryon déjà formé. Jeunes larves (ouvriers et sexués!). Les larves venant d'éclore, longues de 1,25"%%, ont une tête relativement tres grosse formant à elle seule presque la moitié du corps. Les antennes. courtes et épaisses, n’ont encore que 11 arti- cles ; les articles 3 et 4, très courts, sont incomplètement divisés. L'allongement des antennes chez les Termites en général se fait par divisions successives du 31% article. Les larves longues de 1,75" (fig. 11) ont déjà des antennes de 12 articles. Larve de soldat, longue de 1,32"%, venant déclore (fig. 12). Cette forme est particulièrement intéressante parce qu'elle montre une petite corne implantée au dessus du front. Elle donne ainsi la preuve que la caste < soldat >» se différencie déjà dans l’œuf. La corne, très courte, ne dépasse pas le niveau des pièces buccales. On voit aussi, par transparence, l’ampoule céphalique entourée de muscles et, à la base de la corne, le canal excréteur. Une telle observation n'ayant, à ma connaissance, pas encore été faite, j'indique ci-après le moyen qui m'a réussi. Il faut trouver un nid renfermant de jeunes larves. Ces larves recueillies au moyen d’un pinceau, sont placées dans l’eau où dans une solution de formol à 3 ?/,. On les arrange sur un porte-objet, de façon que les têtes se présentent de profil: on pose la lamelle et ajoute le liquide au moyen d’un pinceau appliqué sur le bord. Une préparation comprenant 40 larves 1 Les mandibules étant semblables, la distinction entre la larve du futur ouvrier et la larve du futur sexué n’est, à ce moment, pas encore possible. EUTERMES LACUSTRIS 301 alignées sur + rangs m'a montré 1 soldat (le sujet dessiné) et 39 ouvriers ou imagos. On peut, en cas d’insuccès, s’aider d'une loupe en faisant le premier triage. Larves plus àgées. Les soldats de 2 à 3" offrent encore une corne courte semblable à celle du soldat nouveau-né. Soldat blanc, long de 3,75 (fig. 15). Cette larve se prépare à la mue, La corne, beaucoup plus longue, montre enfermée dans l’ancienne cuticule, une 2%° corne déjà formée.On voit l’intima du canal excréteur en train de se détacher. L’an- cienne cuticule se soulève également le long des antennes et, plus distinctement encore, au niveau des palpes et des pièces buccales en général. Les soldats de cette phase, facilement reconnaissables, caractérisés par leur tête étroite et allongée, se rencontrent ordinairement en assez grand nombre. La mue s'accompagne d'une immobilité partielle, mais la tête ne se fléchit pas en dessous du thorax et lon n'observe pas une hyp- nose (phase de repos) aussi accusée que celle des Termes vrais. La mue terminée, la tête prend une teinte jaunatre et l’Insecte passe peu à peu à l’age adulte !. La faune indo-malaise compte plusieurs ÆZutermes caracté- risés par leurs soldats à tête foncée portée par un corps plus clair. C’est le cas notamment pour quatre espèces de Bornéo (bor- neensis, matangensis, latifrons, sarawakensis) et deux espèces de Malacca (singaporiensis et germanus) décrites par HAVvI- LAND dans Journ. Linn. Soc. 1898. Ces espèces, qui forment un groupe à part, ont pour trait distinctif des antennes de 13 (parfois de 12) articles chez le sol- dat et de 14 chez l’ouvrier. ? J'ai eu également l’occasion d'observer des soldats blancs se préparant à la mue (avec deux cornes emboitées l’une dans l’autre) chez l’Æutermes rubidus Hag. (long. 8,5mm) et chez lÆutermes des Cocotiers dans la phase de 2 */smm, Des sol- dats blancs à tête jaune se rencontrent aussi chez Æ. monoceros. 502 E, BUGNION L'E. lacustris, qui à des antennes formées de même, se rat- tache manifestement au dit groupe. Voici, résumés en quelques lignes, les caractères différentiels de ces Termites : E. borneensis (soldat). Longueur 3": largeur de la tête 0,51, Un renflement assez marqué à la jonction de la tête et de Ia corne. Antennes de 13 articles : 3 plus long que 2: 2 plus long que 4. Longueur de l’ouvrier 3m, E. matangensis (soldat). Longueur 4,5: Jargeur de la tête 1.5, Corne forte, conique. Antennes de 13 articles : 5 plus long que 2: 2 plus long que 4 Longueur de Pouvrier 5,5, ÆE. latifrons (soldat). Longueur 3%: largeur de la tête 1m, Ligne fronto-nasale droite. Antennes de 15, parfois de 12 arti- cles. Longueur de louvrier 4m * E. saraiwakensis (soldat). Longueur 3%": largeur de la tête O,8um, Ligne fronto-nasale pas tout à fait droite. Antennes de 13 articles : 3 beaucoup plus long que 2 ou 4. Longueur de l’ou- VPIÉ CEE . * E, singaporiensis (soldat). Longueur 3": largeur de la tête claire (fauve). Corne frontale plus courte, un peu renflée à la base, rembrunie vers le bout. Antennes de 12 (parfois de 15) articles : 3 plus long que 2, plus court que 4 Longueur de Pou- 0,73mn, Ligne fronto-nasale à peu près droite. Tête un peu plus vrier 4, Très voisin du précédent d’après Haviland, distinct par son soldat plus petit avec des antennes ordinairement de 12 articles. — Aussi à Ceylan (Wasmann). * E. germanus (soldat). Longueur 3": largeur de la tête 0,81. Ligne fronto-nasale creusée. Bout de la corne rougeûtre. Anten- nes de 13 articles : 3 plus long que 2 ou 4. Longueur de lou- vrier 40e, FE. lacustris (soldat) d’après mes observations. Longueur 3 /,- gum: Jargeur de la tête 1", Ligne fronto-nasale à peu pres droite. Corne conique, plus foncée vers le bout. Antennes de 13° EUTERMES LACUSTRIS 505 articles : 3 un peu plus court que 2, un peu plus long que 4. Longueur de louvrier 4 à 4,5"m, Les formes marquées d’une astérisque sont, d'après Haviland. extrémement rapprochées. L°Æ. lacustris, qui appartient au méme groupe, est peut-être une variété singhalaise d’une des espèces de Bornéo. L°Æ, ceylonicus décrit par HOLMGREN (ESCHERICH, T'ermiten- leben auf Ceylon. 1911, p. 197), d'après des exemplaires cap- turés par ESCHERICH et par moi-même sur les Cocotiers de Seenigoda (à l’intérieur des tunnels qui montent le long des troncs), est bien distinct du lacustris. Tous deux ont la corne courte, la ligne fronto-nasale non creusée, mais l Æutermes des Cocotiers (soldat) à la tête rousse hérissée de petits poils, avec des antennes de 12 articles, tandis que le lacustris (soldat) à la tête foncée glabre, presque noire, avec des antennes de 13 ar- ticles. Au surplus le lacustris se trouve exclusivement au bord du lac (à Ambalangoda) et fait son nid dans les arbres morts à une certaine hauteur au-dessus de Peau, tandis que l Eutermes des Cocotiers à son nid dans la terre en dessous des racines. L'ÆEutermes à tête rousse (soldat) capturé par ESCHERICH et par moi-même dans la jungle de Peradeniya (nid complet avec la reine, sous un arbre renversé) est une sous-espèce du cey- lonicus (Horni Wasm.) propre à Up country, caractérisée sur- tout par la taille plus petite de Pouvrier. Dimensions d’après mes mesures : Soldat Ouvrier Reine Eutermes ceylonicus Holhm. 3,5% 4- 5m E. Horni Wasmn. gr 3-4rm 1 Sun J'ai remarqué au surplus que l'Æutermes des cocotiers fait des tunnels étroits, à voûte cylindrique, tandis que lÆ. Horn fait (le long des rochers, contre les murs, etc.) des cordons plus larges et légèrement aplatis. 504 E. BUGNION L'E. rubidus Hag. qui habite aussi sous la terre (au nulieu des Cocotiers à Seenigoda) est caractérisé par deux espèces de soldats. Le grand soldat à des antennes de 13 articles, le petit soldat des antennes de 12. L’ouvrier et l’imago ont des antennes de 15. La tête est d’un rouge ferrugineux; la corne, presque noire, est aussi longue que celle-ci. L’imago à l'abdomen rou- seatre, Le petit soldat se distingue de celui de lÆutermes des Cocotiers par sa tête plus étroite et sa corne plus longue. Le rubidus ne fait pas de tunnels le long des arbres. L'Æ. biformis Wasm., très voisin du précédent, aussi avec deux espèces de soldats, se distingue par ses soldats à tête Jaune et son imago plus grande avec l’abdomen un peu plus clair. L'Æ. Hantanae Holm. (soldat), long de 4, a des antennes de 12 articles, la tête jaune clair avec la corne rembrunie et la ligne fronto-nasale visiblement creusée. L’E. Escherichi Holm. (soldat), long de 2,5—3"", trouvé à Peradeniya dans une termitière de 7° obscuriceps, à la tête jaune mat avec la corne rembrunie, de longues antennes (12 articles) et la tête resserrée en arrière de celles-ci !. 1 Ce dernier paragraphe (revision de quelques espèces indo-malaises) est par- tiellement emprunté aux ouvrages de HaviLanD, HOLMGREN et Wasmanx. _. 15: EUTERMES LACUSTRIS 505 EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE 7. Sulermes lacustris nov. sp. Le soldat vu de coté, >< 13. Tête du soldat : coté dorsal. >< 34. On voit par transparence l'ampoule glandulaire, léchancrure maxillaire, le tentorium et le contour du labre. Les maxilles et la lèvre inférieure ont été enlevés. Tête du soldat el prothorax vus de dessous. >< 34. On voit par transparence les canaux des ampoules salivaires et le contour de la langue. La nyvmphe, côté dorsal. >< 13. L’ouvrier, côté dorsal. >< 13. Tête de l’ouvrier, côté ventral. >< 34. Les maxilles et la lèvre inférieure ont été enlevées. Patte antérieure de l’ouvrier. >< 35. Maxilles et lèvre inférieure de Pouvrier, côté ventral. >< 3%. PLANCHE 8. = Le roi, côté dorsal. >< 5 !/,. La reine, côté dorsal. >< 5 *,. Larve d'ouvrier, longue de 1,75mm, € 28. Larve de soldat venant d’éclore, longue de 1,32"m, montrant déjà sa corne frontale et son ampoule céphalique. >< 55. Tube digestif de ouvrier. >< 140. Tube digestif de ouvrier, dessiné par transparence sur un sujet éclairei dans le formol 3 °/,: >< 1%. “ anse stomacale, h partie profonde, € partie superlicielle de l’anse intestinale, / ciweum, f vésicule rectale, 4 insertion des tubes Malpighi. Soldat blanc, long de 3,75mm, se préparant à faire sa mue. >X<38. Lai 2 . L HÉRUE à 1% : FBugnion, del. E. Bugnion._ Eutermes _ Lith Beck 4 Brun..Genève. Æ' Bugnion, del Eutermes L'OITLC— E. Bugn REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 9. — Septembre 1912. Sur quelques Colobognathes du Muséum de Genève E.. PAR J. GARL, D'Sc. Avec la planche 9 et 2 figures dans le texte. L'état actuel de nos connaissances sur la tribu des Colobo- enathes nous semble justifier la publication des notes suivantes. Dans cette tribu, plus encore que dans d’autres groupes de l’ordre des Diplopodes, l'insuffisance de nombreuses descriptions empêche de voir clair dans les rapports entre les genres et espèces décrites. La faute n’en est pas seulement aux anciens auteurs, mais très souvent aussi aux spécialistes contemporains qui ont suivi leur exemple et négligé de compléter les an- ciennes descriptions lorsque l’occasion s’en présentait. La con- séquence en est que plusieurs genres de Colobognathes depuis longtemps décrits ne sont encore définis que par leurs formes extérieures, tandis qu'aucun renseignement n'existe sur la con- formation de leurs organes copulateurs, qui fournit pourtant des caractères génériques et spécifiques d’une très grande valeur. Il en est ainsi pour les genres Siphonorhinus Poc. (1894), Sipho- niulus Poc. (1894), Pseudodesmus Poc. (1887), etc. Le genre Siphonophora, créé par BRANDT en 1836, contient aujourd’hui un assez grand nombre d'espèces, dont trois seulement sont décrites avec toute l'exactitude désirable et ont été étudiées au point de vue des organes copulateurs du çj'. Dans ces conditions, Rev. Suisse DE ZooL. T. 20. 1912. 34 508 J. CARL nous croyons faire œuvre utile en donnant des descriptions détaillées de deux espèces nouvelles, dont la plupart des congé- nères sont très mal définis, et en complétant les descriptions de deux autres espèces appartenant à des genres décrits d’une façon superficielle. Ce travail pourra fournir une base de compa- raison qui engagera peut-être les auteurs des espèces encore mal définies à en reprendre l’étude. Fam. SIPHONOPHORIDÆ Siphonorhinus pallipes Poc. (PI. 9 fig. 1-3) La figure que POCOCK a donné de cette espèce! rend bien l'habitus du genre, qui se distingue de Siphonophora par le fait que la tête n’est pas prolongée en une trompe et que les tergites dépassent les pleures sous forme de carènes épaisses, qui portent les pores sur la face supérieure près du bord postérieur. Dans la partie postérieure du corps le bord postérieur de chaque carène forme un lobe arrondi, couvert par le bord antérieur de la carène suivante, de sorte que les tergites y sont plus resserrés que dans la partie antérieure et moyenne du corps. Un autre caractère générique semble étre fourni par la forme des antennes, qui sont plus nettement en massue que chez les Siphonophora, minces dans la partie basale et moyenne, avec le 2% article presque aussi long que les 3 suivants pris ensemble, le 7me et 8 articles très petits et placés d’une façon excentrique sur l'extrémité du 6" article, qui est très grand et gonflé (fig. 1). Les pattes copulatrices, jusqu'ici inconnues, sont assez diffé- rentes dans les deux paires. Celles de la paire antérieure (fig. 3) sont plutôt trapues et composées de 6 articles; leur lame ven- trale s’avance sur la face antérieure en forme d’un petit lobe 1 Wepers Reise, Bd. III, Tab. XX. Fig. 8-3a. COLOBOGNATHES 509 médian arrondi, muni de soies; les articles 1-3 sont courts et larges et portent sur le côté médian une petite expansion lamel- laire; les articles suivants sont plus longs, le 4e et 5e se pro- longent chacun sur le côté interne en un lobe lamellaire long et muni de soies longues à son extrémité; ces lobes forment ensemble une gouttière large, dans laquelle glisse la patte copu- latrice postérieure; le dernier article est pourvu de longues soies raides et surmonté d’une longue lame chitineuse jaunûtre, implantée au milieu de sa face antérieure et servant probable- ment, comme les expansions médianes des articles précédents, à guider les mouvements des gonopodes de la 2% paire, Ces der- niers (fig. 2) ressemblent davantage à ceux de Siphonophora (p. ex. S. braueri Att. et S. bilineata Pet. emmend. Broel.); elles sont longues et gréles, composées de 7 articles, dont le 7° est très long et mince, à extrémité faiblement recourbée et précédée d'un petit crochet. Nous possédons de cette espèce 3 exemplaires, dont deux, 1 cf et 1 ©, sont d’un blane sale avec une bande foncée le long de la ligne dorsale et une autre, moins nette, de chaque côté à la base des carènes; ils comptent 75 segments. Le troi- sième exemplaire, par contre, est entièrement blanc, plus petit et ne compte que 59 segments, tout en possédant des gonopodes absolument identiques à ceux du jf pourvu de bandes, ce qui montre combien variable est la couleur et le nombre des seg- ments chez cette espèce. Les deux exemplaires plus grands cor- respondent probablement à ceux que Pocock décrit comme « often with a dark median dorsale line and slightly paler late- ral and anterior portions ». Ajoutons encore que toute la surface des tergites est couverte de granulations rondes, claires et que les métazonites sont revé- tues d’un duvet de soies fines et courtes comme chez les Sipho- nophora. 10,20. Dempuran, Java. Dr L. ZEHNTNER. 510 J. CARL Siphonophora zehntneri n. sp. (PI. 9, fig. 4-7, 9.) Unicolore, jaune sale. Longueur 8,50; largeur Om 75, Nombre des segments : 53-57. Antennes longues, un peu épaissies vers l’extrémité: le 1° et le 3% article sont les plus courts, le 6 est le plus long, presque aussi long que le 4% et 5% pris ensemble; le 5 et 6" articles portent chacun en dessus, vers l'extrémité, près du bord externe, une fossette circulaire (f. s.) pigmentée de brun foncé, dans laquelle sont implantés les bâtonnets sensitifs. Tous les articles portent des soies plus fortes, mais moins nombreuses que celles des tergites. iostre glabre, assez long, atteignant la base du 6 article des antennes. La surface de la tête et de tous les métazonites régulièrement couverte de nombreuses soies fines et courtes et de granulations claires, rondes et aplaties (fig. 7). Le 1% segment enviren deux fois aussi long que le 2", en- tourant la base de la tête sur les côtés, avec le bord dorsal anté- rieur profondément échancré. Prozonites glabres, mais présen- tant les mêmes granulations plates que les métazonites, ces granulations un peu plus grandes sur la zone postérieure légèrement enfoncée du prozonite. Métazonites distinctement limités vers les prozonites par leur pubescence et par le fait qu'ils sont beaucoup plus élevés que ceux-ci, correspondant à un anneau de diamètre plus grand. Ils sont arrondis sur les côtés, sans traces de carènes. Le pore se trouve à une petite distance du bord postérieur sur un tout petit tubercule, comme chez Siphonophora braueri Att. Les plaques pleurales (fig. 6) ont des contours plus réguliers que chez S. tropiphora Att. et S. bilineata Pet. emmend. Broel., sans lobe ou crochet sur un des angles médians, avec leurs bords RTS COLOBOGNATHES DA externe et postérieur presque droits, le bord antérieur arrondi, le bord interne légèrement échancré au milieu; la surface porte les mêmes granulations plates et petites soies, qui couvrent les métazonites; ces granulations deviennent plus aiguës vers le bord antérieur et y forment parfois de petites dents. Les plaques se superposent de façon à ce que l’extrémité postérieure de l’une est couverte par le bord antérieur de la suivante. Pattes ambulatoires courtes et épaisses, munies en dessous de soies peu nombreuses. Le dernier article large à la base, ensuite, vers le milieu, brusquement aminci et grêle, portant en dessous 2 soies très longues et en dessus une soie également longue. La griffe accessoire (fig. 9, ga) insérée à côté de la griffe est forte et atteint presque ?/. de la longueur de la griffe. Les pattes copulatrices de la 1° paire (fig. 5) sont courtes, composées de 6 articles; le 1%, 2% et 3% articles courts et larges, le 4e plus long, formant avec le 5°, dans la partie mé- diane de la face postérieure, une gouttière large, dans laquelle glisse le gonopode correspondant de la 2° paire; le 5" article affecte la forme d’une griffe large, obtuse et recourbée en dehors; les articles basaux des deux gonopodes de la 1r° paire se rapprochent à la base sans se souder. La paire postérieure (fig. 4) est, comme d'ordinaire, longue et grêle ; le dernier article est très mince, muni à la base d’un petit crochet, légèrement dilaté vers l'extrémité et terminé en forme de gouge. gg, ® © Dempuran, Java. D' L. ZEHNTNER. La comparaison de cette espèce avec les trois espèces de Siphonophora suffisamment décrites montre que dans ce genre la forme des plaques pleurales peut offrir des caractères spéci- fiques et que la 1'° paire de gonopodes est plus fortement modi- fiée suivant les espèces et en conséquence de plus grande valeur diagnostique que la 2% paire. S. zehntneri a les gonopodes an- térieurs moins ramassés que $. bilineata Pet. emm. Broel., mais. p12 J. CARL aussi moins allongés que $S. tropiphora Att. et braueri Att., le 4gme article surtout étant moins grêle que chez ces dernières. D'une façon générale notre espèce se rapproche davantage des deux espèces des Seychelles décrites par ATTEMS que de l’es- pèce américaine, S. bilineata. Cette dernière, ainsi que les espèces de l'Amérique centrale, décrites par POCOCK!, semblent avoir des antennes plus épaisses, à 6% article cylindrique et à extrémité tronquée. Aucun auteur n’a encore parlé des fossettes sensitives des articles 5 et 6 des antennes: peut-être ne sont-elles présentes que chez certaines espèces. Fam. POLYZONIDÆ Rhinotus dempuranus n. sp. (PI. 9 fig. 8, 10 et 11) Corps beaucoup plus trapu que chez À. celebensis Carl?. Longueur 14: largeur 1 */,"m. Nombre des segments env. 54. Couleur comme chez À. celebensis. La tête est conformée comme dans cette espèce; mais les antennes sont un peu plus gréles. Tergites pourvus de soies courtes et fines, peu nombreuses en dessus, un peu plus serrées vers les bords. Les pattes copulatrices sont caractérisées par le grand déve- loppement de la plaque ventraie (V) des deux paires, à la suite duquel les deux pattes de la même paire sont très écartées. La plaque ventrale de la paire postérieure (fig. S) a le bord apical assez fortement émarginé et les angles prolongés en un lobe arrondi, sétiger; les pattes de cette paire ne comptent que 1 Biologia Centrali-Americana. Chilopoda and Diplopoda, p. 50, 51, Tab. 5, Fig. 4-6. 2 Cars. Die Diplopodenfauna von Celebes; in : Rev. Suisse de Zool. T. 20 1912, p. 126-198, Taf. 5 Fig. 22, Taf. 6 Fig 23 und 24. cit tte inst stubt Eat COLOBOGNATHES D 3 articles distincts par suite d'une fusion des articles 2, 3 et 4 (cf. R. celebensis), l'article terminal (article 5) est en forme de stylet et droit. Dans la paire antérieure (fig. 10, 11) la plaque ventrale a le bord apical très faiblement concave et les angles émoussés ; les pattes se composent de 4 articles, dont le 2% est très réduit et manifeste seulement sur le côté externe; le 3m article se présente sur la face antérieure comme une plaque en triangle arrondi, munie de soies vers l'extrémité et près du bord interne, tandis qu'il est complètement soudé au 4" article sur la face postérieure et forme avec lui une crête obtuse (L) entre laquelle et la face de l'article glisse l’article terminal de la 2me patte comme dans une gaine; le 4 article est obliquement tronqué. go, © ©. Dempuran, Java. D'° L. ZEHNTNER. Pour ce qui concerne le genre Rhinotus Cook et sa distribu- tion géographique nous renvoyons à notre mémoire sur les Diplopodes de Célèbes. Les deux espèces décrites par PococKk! sous le nom de Siphonotus formosus et S. elegans et provenant également de Java, appartiennent probablement au même genre; mais pour pouvoir l’affirmer d’une façon définitive il faudrait pouvoir en examiner les organes copulateurs. Ce sont là certainement des espèces différentes de celle que nous venons de décrire. Elles sont plus ou moins fortement pigmentées, tandis que chez dem- puranus le corps est jaune, unicolore et le pigment violet foncé est confiné à l’ocelle et à la partie distale des antennes. En outre chez formosus les métazonites sont plus hauts que les prozonites et épaissis sur les côtés, ce qu’on ne constate pas chez dempu- ranus. Le sillon annulaire est strié chez elegans, mais lisse chez dempuranus. ' Wegers. Reise, Bd. III. 514 J. CARL Fam. PLATYDESMIDÆ Pseudodesmus tuberculatus Suiv. Etant donné la grande ressemblance dans l’habitus entre les Platydesmus et les Brachycybe américains d'un côté et Pseudo- desmus de la Malaisie de l’autre côté, il est intéressant de pou- voir comparer les gonopodes de ce dernier genre, inconnus jusqu'à ce jour, avec ceux des premiers tels que les décrit et figure BROELEMANN ! et que nous les avons pu étudier pour Platycdesmus polydesmoides Luc. Comme chez Platydesmus les gonopodes de Pseudodesmus tuberculatus représentent la 9% et 10 paires de pattes. Ils se composent dans les deux paires de 6 articles apparents: le tro- chanter, très nettement visible chez Platydesmus et Brachycybe, est ici très réduit et caché; en revanche la hanche, surtout celle de la paire postérieure, est beaucoup plus élargie que chez PI. quatemalæ Broel. et Pl. polydesmoides Luc. et les 2 hanches entrent en contact sur la ligne médiane, n'étant séparées par aucune saillie médiane de la plaque ventrale. Sous ce rapport Brachycybe Lecontii se rapproche déjà un peu plus de Pseudo- desmus. Les 5 articles suivants des 2 paires de gonopodes de Pseudodesmus ne diffèrent quant à leurs formes et leurs propor- tions que d’une façon très insignifiante de ceux des deux espèces citées figurés par BROELEMANN; l’article terminal des gono- podes postérieurs en particulier porte les mêmes soies modi- fiées caractéristiques indiquées pour les Platydesmus améri- cains, avec de très petites différences de structure. En résumé, les gonopodes de Pseudodesmus tuberculatus différent fort peu de ceux des espèces de Platydesmus et Bra- chycybe étudiées à cet égard; on ne peut guère attribuer à ces ! Mem. Soc. Zool. de France. T. XIII, 1900, p. 109-118; pl. VIL, fig. 75-77, 80-82. COLOBOGNATHES 515 différences la valeur de caractères génériques, d'autant moins qu’elles sont encore moins distinctes chez Pseudodesmus quadri- tuberculatus (Fümüsv). Sù Ce. È; CR. Fig. 1. Fig. 2. Pseudodesmus tuberculatus Silv. G' Fig. 1. Gonopode antérieur. — Fig. 2. Gonopodes postérieurs. A en juger par les figures qu’en donne ATTEMS !, les gono- podes antérieurs de Platydesmus mediterraneus se distinguent bien plus nettement de ceux des Platydesmus américains, que ce n’est le cas pour ceux de Pseudodesmus. Si l’on tient encore compte de la réduction des plaques ventrales chez les espèces méditerranéennes, leur séparation générique des Platydesmus de l'Amérique centrale semble s'imposer. Mais nous devons lais- ser aux spécialistes qui les connaissent de vue le soin de définir et nommer le nouveau genre. SILVESTRI avait indiqué comme patrie de Ps. tuberculatus l'Archipel Malais. Cette indication peut être précisée. Les exem- plaires que nous avons eu sous les yeux, identiques au type de SILVESTRI, faisaient partie de trois collections rapportées par des voyageurs différents et provenant toutes de Sumatra. ! Zool. Jahrb. Abt. f. Syst. etc, Bd. 18, Taf. 9, Fig. 41, 44. 516 J: CARE Mr le prof. BEDOT est presque certain d’avoir récolté le type de SILVESTRI également à Sumatra. : D'après M. W. MORTON l'espèce est fréquente à Sumatra et vit en grandes colonies sous les pierres plates aux endroits très humides. Remarques sur le genre Pseudodesmus Poc. Dans l’état actuel de nos connaissances le genre Pseudodes- mus contiendrait + espèces décrites sous les noms suivants : 1. Pseudodesmus verrucosus Poc. Presqu'ile Malaise !. 2. Pseudodesmus tuberculatus Silv. Sumatra *. 3. Platydesmus kelantanicus Sinclaire. Presqu'île Malaise *. 4. Siphonophora quadrituberculata Tümüsv. Bornéo. N'ayant eu sous les yeux que la 1° espèce et un exemplaire mutilé de la 4%, nous devons renoncer à vouloir établir une comparaison détaillée entre ces quatre espèces. Il semble cepen- dant que les trois premières soient très proches entre elles, tandis que la 4% s’écarterait davantage par le nombre et la disposition des tubercules de la surface des tergites. Quant aux trois premières espèces, il n'est pas impossible qu'un examen plus approfondi de P. verrucosus Poc., basé sur un matériel plus considérable, ne démontre son identité avec P. tu- berculatus Six. À cet égard le fait suivant est suggestif : Platy- desmus kelantanicus Sinclaire, qui est sans aucun doute un Pseudodesmus, provient comme P. verrucosus Poc. de la Pres- qu'ile Malaise: or la description qu'en donne SINCLAIRE S’ap- plique si bien à P. tuberculatus Six, de Sumatra, qu'on peut le considérer comme synonyme de celui-ci et supposer qu'une seule et même espèce de Pseudodesmus habite Sumatra et la Pres- 1 Ann. Mag. Nat. Hist. (5), vol. XX. pag. 222-226, PI. XIV. 1887. * Rev. Suisse de Zool , T. VII, p. 334, PL. 15, fig. 5 et 6. 1900. e * Proc. Zool. Soc. London, v. IL. p. 508, PL XXX, fig. 4, 6-9. 1901. “ Termes-Fuzetek, IX, p. 70, Tab. V, Fig. 6-11. 1855. COLOBOGNATHES 947 qu'ile Malaise. Aucune considération zoogéographique ne s’op- poserait à cette manière de voir. Dès lors le nombre des espèces de Pseudodesmus se trouverait réduit à deux. Il nous reste à examiner les rapports de Pseudodesmus avec Platydesmus s. str. (type P. polydesmoides Luc)'. Pocock, dans sa description originale, indique comme caractères distinctifs du genre Pseudodesmus l'absence des yeux et le nombre des segments, qui est supérieur à celui des Platydesmus. Or BROELE- MANN met en doute la présence d’yeux chez les Platydesmus et démontre qu’ils font certainement défaut chez P. quatemalæ Broel. et Lankesteri Broel*. Quant au nombre des segments, il ne peut pas être considéré comme un caractère générique dans une tribu, où 1l est si variable. Nous pouvons établir la distinction suivante : 1. Collum distinctement plus large que la tête, en forme de trapèze, avec le bord antérieur émarginé ou entaillé au milieu. Dos régulièrement voûté, sans rangées longitudinales de tuber- cules agrandis. Plaques ventrales larges, les hanches des pattes par conséquent très écartées. Dernier tergite muni de pointes sur le bord apical : Platydesmus Luc. 2. Collum pas ou à peine plus large que la tête, en forme de croissant ou de demi-cercle. Dos plus ou moins distinctement aplati au milieu et présentant sur les côtés une ou plusieurs rangées longitudinales de tubercules agrandis. Les plaques ven- trales très étroites entre l’insertion des pattes, les hanches par conséquent très rapprochées et presque contiguës sur la ligne médiane du corps. Dernier tergite à bord apical lisse, dépourvu de pointes : Pseudodesmus Poc. Le genre Brachycybe Wood (type Br. Lecontii) semble occu- per une place intermédiaire entre les deux genres précédents, © Nous excluons de ce genre les 2 espèces méditerranéennes ainsi que Brachy- cybe Lecontii Wood, dont la séparation générique nous semble justifiée. ? Ann. Soc. Ent. France, vol. LXXI, p. 353. 1905. 518 J. CARL quoique BROELEMANN réunit le type avec le genre Platydesmus. Comme l’a démontré BROELEMANN lui-même, chez Br. Lecontii les plaques ventrales sont très étroites et réduites à un tout petit tubercule chitineux séparant les hanches des pattes de droite et de gauche, exactement comme chez Pseudodesmus. D’après la figure de Wood! le collum correspondrait à celui des Platydes- mus, le tergite anal par contre à celui des Pseudodesmus. 1 Trans. Amer. Phil. Soc., vol. XIII, PI. IL, fig. 6. 1865. EXPLICATION DE LA PLANCHE Fic. 1. Siphonorhinus pallipes Poc. Antenne. 2: » » g‘ Gonopodes postérieurs. » » e! « antérieurs, face posté- rieure. L. Siphonophora zehntneri n. sp. G° Gonopode postérieur. >. » » G' « antérieur. 6. » » g Plaques pleurales du 10e et 11e segments. a — bord antérieur; p — bord pos- térieur. i — bord interne ; e — bord externe. Te » » Tête et les deux premiers segments vus d’en haut. f.s. — fossette sensitive. 8. Rhinotus dempuranus n. sp. G° Gonopodes postérieurs. 9. Siphonophora zehntneri n. sp. Article terminal d’une patte de la 11me paire. ga — griffe accessoire. 10. Rhinotus dempuranus n. sp. c‘° Gonopodes antérieurs, face posté- rieure. 12 » » c Gonopodes antérieurs, face anté- rieure. À A ” gi : Die de Pool T 00 79/79 YA) DS 1600 JU Fo7 9e) FE ss ) le) ù TE Y DS eee ES AIT Fu SERGE RTE ai À Cart, del Tith Feck & Prun,-Geneve. J. Carl._ Colobognathes FT REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 10. — Septembre 1912. Quelques Fourmis de l'Amérique australe.' PAR LE Dr F. SANTSCHI Kairouan (Tunisie). Avec 4 figures dans le texte. I. —— PONERINES. Stigmatonma elongata n. Sp. ©. Long. 2,8%, Noire. Devant de la tête, mandibules, an- tennes, pattes, bord postérieur du pronotum et du pédicule, d’un roux testacé. Gastre d’un roux plus brunâtre. Très luisante. Lisse avec une ponctuation piligère assez abondante sur la tête. plus diserète sur le reste de l’Insecte. Mandibules et angle san- térieurs de la tête finement striolés. Une fine pubescence dressée. ? La plupart des Fourmis qui font l’objet de cette note ont été récoltées à mon intention par mon amie Mme Æ, vox STEIGER, à Buenos-Ayres, Santa-Fé, Cordoba et différentes autres localités de la République Argentine, à Nueva Helvecia dans PUruguay et à Blumeneau au sud du Brésil. Quant aux Fourmis provenant d’autres localités elles m'ont été communiquées par mon excellent collègue M. Le Mouzr, à Paris. Qu'il me soit permis de leur exprimer ici mes plus vifs remercie- ments. Rev. Suisse DE Zooz. T. 20. 1912. C9 ot 520 F. SANTSCHI courte et blanchâtre abonde partout. Quelques longs poils vers l'extrémité de l’abdomen et autour de la bouche. Tête rectangulaire, un quart plus longue que large, avec des bords presque droits, seulement un peu rentrés vers les angles postérieurs. L’œil formé d’une grande facette jaune allongée se place au tiers postérieur des côtés de la tête. Epistome très court, à bord antérieur un peu arqué et armé de 7 à 9 dents espacées, la médiane bifide. Lobes frontaux très rapprochés, contigus et surplombant l’épistome. Bord externe des mandibules droit sauf une courbure vers leur extrémité ; elles sont relativement NZ Fi. 1. — Stigmatomma elongata n. sp. Tête de face. droites, peu élargies au milieu, et armées de 7 dents dont les 3 médianes bidenticulées. Le scape atteint le milieu de la tête. Pro- notum un peu convexe, distinctement plus long que large, à côtés presque droits, un peu plus large en avant, avec les angles anté- rieurs marqués; le bord postérieur recouvrant en partie un méso- notum très étroit, en bandelette transversale et un peu enfoncée. Métanotum plus long que le tiers de la face basale de l’épinotum avec laquelle il se confond presque (une légère trace de suture sert de limite). Ils forment ensemble une surface un peu con- vexe de droite à gauche et à peu près rectiligne d’avant en arrière, un tiers plus longue que large en arrière où elle est FOURMIS DE L'AMÉRIQUE AUSTRALE Dal aussi d’un tiers plus large qu’en avant. La face déclive abrupte, un peu convexe, est plus distinctement bordée que la face basale. Pétiole aussi long que la face basale du metaépinotum mais bien plus large qu’elle, les bords latéraux parallèles et le bord anté- rieur arrondi sur les côtés, un quart plus longue que large. Post pétiole et gastre à peine plus large que le pédicule. Uruguay. Nueva Helvecia (M° VON STEIGER). Une seule ou- vrière. Cette curieuse espèce se rapproche de chilensis Mayr : elle est surtout remarquable par la longueur de sa tête et de son pédicule. Typhlomyrmex pusillus Em. Buenos-Ayres (M"° v. STEIGER), plusieurs ©. Ectatoma edentatum Reg. Rep. Argentine. Cordoba (M° v. STEIGER), plusieurs ©, © et œ'. Grand Chaco (LE MouLr), ©. Ectatoma edentatum Reg. st. inversa n. st. ©. Long. 6,5" Noire. Funicule et tarses rougeûtres ; mandibules, base du scape et reste des pattes d’un rouge plus sombre. Mate. Occiput et côtés du gastre luisants. La sculpture est un peu moins grossière que chez le type; elle est surtout beau- coup plus effacée vers le bord occipital qui devient en partie lisse. Sur le pronotum les stries sont transversales (concentri- ques chez edentatum) et concentriques sur le mésonotum (trans- verses chez edentatum). Le scape un peu plus court. La suture promésonotale moins fortement accusée. Le bord postérieur de l’écaille un peu convexe, pour le reste comme chez edentatun. Uruguay. Nueva Helvecia (M"° VON STEIGER), une ouvrière. Dinoponera grandis Guer. st. australis Em. Rep. Argentine. Missiones (M v. STEIGER), plusieurs ou- vrières. 522 F. SANTSCHI Ponera stoica n. Sp. ©. Long. 2,8-9 mm, Roux testacé, mandibules, antennes et pattes d’un testacé plus jaunètre, le gastre rembruni. Une pu- bescence fine, courte et abondante (comme chez trigona Mayr) avec quelques poils autour de la bouche et vers l’extrémité du gastre. Luisante. Lisse avec une ponctuation très fine et très su- perficielle, un peu plus dense sur le devant de la tête et l’ab- domen. Côtés du thorax faiblement réticulés. Tête rectangulaire. environ un quart plus longue que large (plus longue que chez trigona Mayr, plus courte que chez coarctata Latr.), aussi large en avant qu'en arrière. Les cotés légèrement convexes, le bord postérieur droit. L’œil, formé d’une facette, est placé au cin- quième antérieur. Epistome caréné en arrière, à bord antérieur faiblement arqué au tiers médian, légèrement échancré aux tiers latéraux. Le scape atteint le bord postérieur de la tête. Articles 2 à 6 du funicule plus épais que longs, 7 à 9 aussi longs qu'épais. Le 11% et dernier plus long que les deux précédents réunis. Mandibules lisses, triangulaires, de 6 dents. Les deux premières étroites et fortes, les autres plus longues, plus courtes avec un in- termédiaire plus ou moins marqué. Thorax long, à profil dorsal à peu près droit et sutures très imprimées. Pronotum un peu plus long que large, à côtés très convexes, plus large que chez coarc- tata, mésonotum un peu plus long que chez cette dernière espèce. Face basale de l’épinotum aussi large en avant qu’en arrière. presque deux fois aussi large que longue et aussi longue que la face déclive. Celle-ci plane subordée, forme avec la précédente un angle plus ouvert que chez coarctata, mais moins que chez trigona. La suture mésoépinotale oblique fortement en arrière sur les côtés du thorax. KEcaille haute comme le double de l'épaisseur de sa base, un peu plus élevée que l’épinotum et moitié moins épaisse vers son sommet. La face postérieure plane. discoïdale, aussi large que haute; l’antérieure convexe et se con- fondant avec la face supérieure très oblique en avant. Post-pé- FOURMIS DE L’AMÉRIQUE AUSTRALE 523 tiole plus large que long, plus étroit en avant, article suivant bien plus long que large. Uruguay. Colonie Nueva Helvecia (M° VON STEIGER), une seule 6. Cette forme est assez voisine de érigona par sa sculpture, bien que plus luisante, plus grande et plus élancée. Ponera clavatula Em. st. Fibrigi For. Uruguay. Colonia Nueva Helvecia, 2 © (M° VON STEIGER). II —— DORYLINES. Eciton hirsutum n. sp. cg. Voisin de quadriglume Hal. dont il diffère comme suit : Long. 17 mn, Largeur du thorax et du gastre 4,5 "", largeur de a. b. €, Fi. 2. — ÆEciton hirsutum n. sp. S'. a. mandibule. — b. pédicule. — c. E. quadriglume Hal. C, pédicule. la tête 4,2mm D'un rouge un peu brunâtre, gastre roussatre. Pattes et funicule testacés. Pilosité roussâtre bien plus abon- dante que chez quadriglume, surtout sur le devant de la tête et sur le scutellum. Funicule sans poils, dressé, gastre couvert d'une pubescence soyeuse et dense, cachant la sculpture sur le dos, plus espacée sur les côtes qui sont assez lisses. Le reste de l’Insecte est mat, très densément et finement ponctué, avec une ponctuation pilifère beaucoup plus fine et moins apparente que chez quadriglume. Tête distinctement plus large que longue (haute) entre les yeux. Ceux-e1 sont plus petits, le scape plus long, les crêtes frontales plus espacées et plus convergentes en 524 F. SANTSCHI avant et délimitant une facette triangulaire plus large que chez quadriglume sans saillie prononcée sur la ligne frontale. Epis- tome court et large à bords antérieurs droits sans denticules vers l'articulation des mandibules. Celles-ci sont opaques, plus longues que chez quadriglume avec une expansion arrondie moins saillante (mais plus large que chez Burchelli Mayr); elles sont en outre plus brusquement coudées vers le sixième basal et au contraire beaucoup moins vers leur extrémité. Thorax ro- buste, plus court, surtout le mésonotum. Scutellum entier, sans sillon médian, avec un bord postérieur convexe : (chez quadri- glume le scutellum est très nettement bituberculé). Aïles jaunes à tache et nervures roussâtres, l’antérieure est longue de 18m, Métanotum bituberculé. Bords de la face basale de l’épinotum peu oblique, la face déclive concave de haut en bas, bordée dans les deux tiers supérieurs et mousse en bas (chez quadriglume la bordure est très saillante en forme de crête). Pédicule plus de deux fois aussi large en arrière que long (plus étroit chez quadriglume), les angles antérieurs arrondis, peu saillants, les bords latéraux et les angles postérieurs très diver- gents. Rép. Argentine. Missiones (A. BREYER) 1 Gf. Eciton (Acamatus) Le Moulti n. sp. cf Long. 14%, Fauve jaunâtre, deux tiers postérieurs de la tête noirs, dos du thorax parfois obseursi. Luisant. Tête et côté du torax lisses, reste du thorax et de l'abdomen très finement et plus ou moins densément ponctué (surtout le mesonotum). La pilosité jaune fine, assez longue, oblique (mais non couchée) abonde partout sauf sur la tête et Les côtés du thorax. Tête plus large que haute (2,5 >< 1mm7), Les yeux occupent tout le côté de la tête. Occiput fortement concave pour recevoir le pronotum. Ocelles volumineux. les latéraux presque contigus aux yeux et plus éloignés de l’ocelle médian. Les arêtes frontales FOURMIS DE L'AMÉRIQUE AUSTRALE h25 s’atténuent en contournant la fossette antennaire et restent dis- tantes de l’ocelle médian de la longueur du diamètre de celui-ci. Bord antérieur du clypéus droit et inerme. Mandibules étroites, régulièrement arquées et atténuées de la base à l'extrémité, lé- serement aplaties, un peu moins longues que l’épistone. Scape large comme le quart de sa longueur. Thorax long de 5" large de 3,40, Un sillon médian parcourt la moitié antérieure du meso- notum. Scutellum sans sillon. Epinotum subbordé. Face déclive un peu concave, Pédicule aussi long que le gastre à bords laté- raux amincis et arrondis. Angles postérieurs arrondis et peu pro- éminents terminés par une touffe de poils. Les angles antérieurs effacés et largement arrondis. Face supérieure le double plus large que longue au milieu. La surface est déclive dans ses deux tiers antérieurs et plane en arrière. Ces deux plans pas- sant de l’un à l’autre par une courbe régulière et formant dans le milieu du nœud une éminence transversale sensible. Le fémur postérieur atteint le milieu du deuxième segment du gastre. Tibias légèrement prismatiques, aussi larges à l'extrémité qu’à la base. Metatarses bien plus longs que la moitié du tibia. Abdo- men cylindrique. Pygydium comprimé, carèné en arrière. Aïles légèrement enfumées de brunûtre, plus claires que chez Spinolæ West. Nervures jaune-brunâtre. Tache discoidale brune. Voi- sin de Gravenhorsti West. dont il diffère surtout par la forme du pédicule mais que je ne connais pas en nature. Guyane française. La Forestière. St-Laurent de Maroni (LE MouLT). Eciton (Acamathus) nitens Mayr. ©. Argentine : Buenos-Ayres (M'° VON STEIGER). E. (À.) Strobeli Mayr. cf. Argentine : Tucuman, Chaco de Santiago (Mn VON STEI- GER et LE MOULT). 526 F. SANTSCHI E. (A.) Shuckardi Em. g. Argentine : Cordoba (M° vON STEIGER). E. (A.) sulcatum Mayr. cf. Argentine : Chaco de Santiago (WAGNER). E. (A.) Spegazzinii Em. ©. Argentine : Buenos-Ayres, Delta Parana. Uruguay : Nueva Helvecia (Mn° VON STEIGER). E. (A.) punctaticeps Em. ©. Brésil : Blumenau (M VON STEIGER). E. (A.) lligeri Shuck. cÿ. Argentine : Chaco dé Santiago (WAGNER). E. (A.) hopei Shuck. c. Argentine : Chaco de Santiago (WAGNER). III. — MYRMICINES. Pseudomyrma Schuppi For. ©. Argentine : Delta Parana (M"° VON STEIGER). Solenopsis decipiens Em. var. abjecta Em. © cf $. Argentine : Buenos-Ayres (M"° VON STEIGER). S. angustata Em. Argentine : Buenos-Ayres (MM VON STEIGER). S. basalis Forel. Argentine : Buenos-Ayres (Mn® vON STEIGER). S. Pylades For. var. Richteri For. Argentine : Buenos-Ayres, Tigre, Delta Parana. Uruguay : Nueva Helvecia (M° vON STEIGER). Solenopsis metanotalis Em. var. Emiliæ n. var. ©. Diffère du type par la couleur d’un rouge plus vif et plus uniforme du thorax et des pattes. Occiput et massue des antennes FOURMIS DE L'AMÉRIQUE AUSTRALE D21, souvent rembrunis. La tête est un peu plus longue et les côtés plus rectilignes, l’épistome un peu plus avancé avec des dents plus longues et légèrement recourbées en dedans vers leurs extrémités. Le profil du thorax moins rectiligne que chez le type; le promésonotum forme une courbe très distincte. L’épi- notum densément réticulé, ponctué, opaque, a une face basale moins droite et est moins anguleux que chez le type. Uruguay : Colonia Helvetica (M° voN STEIGER), plu- sieurs ©. Comparés avec des exemplaires de Buenos-Ayres, reçu de M. SILVESTRI et déterminés par M. C. EMERY. Cremastogaster quadriformis Roger. © Argentine : Buenos- Ayres (Mme vON STEIGER). C. curvispinosa Mayr. © Brésil : Blumenau (M”° von STEIGER). Cremastogaster atra Mayr. st. uruguayensis n. St. ©. Long. 3 mm. Noire. Mandibules, milieu du funicule, devant du pronotum, épinotum, pédicule et pattes d’un noir plus ou moins brunâtre. Mate. Gastre peu luisant. Tête densément et finement striée en long sans espaces lisses au milieu, mais par- semée de nombreux points pilifères. Devant du pronotum, côtés du thorax, épinotum et dessous du pédicule densément réticulé, ponctué, dos du promésonotum ridé, strié en long, mais bien moins finement que la tête. Quelques rides se continuent sur la face basale de l’épinotum et la base des épines. Reste du pédi- cule et gastre finement réticulé, pattes lisses. Partout une ponc- tuation piligère assez distincte. Quelques soies blanchâtres sur le gastre et autour de la bouche, plus rare sur le thorax faisant défaut sur les pattes. Partout une pubescence un peu relevée blanchâtre fine, assez longue et assez espacée. Tête rectangulaire, un peu plus large que longue surtout en 528 F. SANTSCHI arrière. Bord postérieur droit et latéraux peu convexes. Les yeux occupent un peu plus du cinquième médian des côtes. Epistome plat à bord antérieur transversal. Aire frontale large. pas très distincte: l'extrémité du scape est distante du bord posté- rieur de la longueur du premier article du funicule. Massue de deux articles, bien distincte. Mandibules striées de quatre dents. Le promésonotum forme une masse convexe un peu déprimée au-dessus, sans bordure ni carène, distinctement plus longue que large. Sillon mésoépinotal en gouttière transversale aussi large que profonde. Face basale de lépinotum convexe en avant, deux fois plus large que longue. KEpines assez fortes un peu recourbées en haut, faiblement divergentes et longues comme environ le tiers de l’intervalle de leur base. Premier nœud du pédicule carré avec les angles antérieurs arrondis et les posté- rieurs dentiformes. Deuxième nœud un quart plus large que long à peine plus large que le précédent, entier, sans impression médiane. Gastre court avec le bord antérieur droit et les angles distincts. Uruguay : Colonia Nueva Helvecia (M vON. STEIGER). Voisine de Güldi cette forme diffère d'opaca par la sculpture plus striée. Pheidole triconstricta For. ©. Buenos-Ayres. Ph. triconstricta For. var. ambulans Em. . Uruguay : Nueva Helvecia (Mm® VOX STEIGER). Ph. aberrans Mayr. & 2} ©. Buenos-Ayres. Ph. cordiceps Mayr. Q 2 ©. Buenos-Ayres et variété un peu plus grande. Ph. cordiceps Mavyr. st. Strobeli Em. 2. Buenos-Ayres. FOURMIS DE L'AMÉRIQUE AUSTRALE 529 Ph. Bergi Mayr. Q © 24. Argentine : Buenos-Ayres, Santa-Fé. Uruguay : Nueva Helvecia (M VON STEIGER). Ph. Silvestrii Em. ©. Buenos-Ayres. Ph Silvestrii Em. var. pullula Sants. ©. Buenos-Ayres. Ph. Spininodis Mayr. } ©. Argentine : Cordoba (M"° vON STEIGER). Ph. Risi For. st. pachyderma En. ©. Buenos-Ayres. Pogonomyrme.x coarctatus Mayr. © & c'. Uruguay : Nueva Helvecia. P. (Ephebomyrmex) Nægeli For. ©. Argentine : Santa-Fé (M"° VON STEIGER). Cryptocerus angustus Mayr. © ©. Argentine : Chaco de Santiago, Rio dulce (WAGNER). Variété faisant passage à pilosus Em. Cr. Iheringi Em. ©. Argentine : Tucuman (J. DE GAULLE). Apterostigma Steigeri Santschi. Q (non décrite). Long. 4,5 mm. Tête et thorax brun noiratre. Abdomen brun rougeâtre plus ou moins noirâtre au-dessus. Mandibules, pattes et antennes brun jaunâtre ou roussatre. comme chez l’ouvrière, ainsi que pour la pilosité et la sculpture. Tête aussi large que le thorax, un peu moins étroite, avec une bandelette occipitale un peu plus large que chez la © , mais sans cou. Le diamètre des yeux égale le quart des côtés de la tête dont ils occupent le milieu. Bord antérieur du pronotum arrondi. sans échancrure ni rétrécissement cervical distinct. Bordure du 530 F. SANTSCHI mésonotum arquée et assez tranchante dans son tiers postérieur. Seutellum armé de deux dents lamellaires dirigées en arrière, épinotum convexe bordé et submutique. Aïles antérieures longues de 4 mm. d’un brun jaunâtre avec tache noir brunâtre nette- ment délimitée en avant et sur les côtés, un peu floue en ar- rière. 1% nœud du pédicule plus long que chez l’ouvrière, moins long que chez À. pilosum ©. Buenos-Ayres. 1 © et © (M"° von STEIGER). Un Gj'de l’Uru- guay très foncé me paraît être celui d'A. Steigeri mais dans le doute je m’abstiens de le décrire. Atta Wollenwiederi For. © Argentine : Santa-Fé. © (Mme von STEIGER). Chaco de Santiago ç;° O (WAGNER). À (Acromyrmex) lobicornis Em. ©. Argentine : Cordoba (M von STEIGER). À (A.) Lundi Guer. var. pubescens Em. cg © ÿ. Argentine : Buenos-Ayres. À (À.) nigra Sn. ©. Brésil : Blumenau (M"° von STEIGER). A (Malerius) Heyeri For. ©. Uruguay : Nueva Helvecia (M"° VON STEIGER). Atta (Malerius) Suvestri Em. ©. (Non décrite). Long. 8,5 à 9 mm. Couleur rouge comme chez l’ouvrière, mais le premier segment du gastre présente laté- ralement deux taches jaunâtres entourées d’une bordure noire. Les intervalles des rides de la tête sont réticulés et mats comme chez l’ouvrière. Les aïles jaune brunâtre à nervures brunes, l’an- térieure longue de 8 mm. Mate. Dessus du gastre régulière- ment strié à reflets soyeux, les côtés lisses et luisants. Une petite dent en dessous de la tête au niveau de l'œil, du reste comme chez striata Rog. FOURMIS DE L'AMÉRIQUE AUSTRALE 531 cj. Long. 7,8 mm. Noir mat. Dessus du premier segment du gastre un peu luisant. Mandibules étroites. Diffère très peu de celui de striata. Rép. Argentine : Santa-Fé, Cordoba (M vON STEIGER). plusieurs © © et un ÿ. Chez les © les stries du gastre sont parfois aussi courtes que chez striata, mais la sculpture de la tête reste mate bien que montrant nettement chez quelques exem- plaires une tendance vers striata. Ce sont deux formes très voi- sines. | IV. -— DOLICHODERINES. Dorymyrmex pyramicus Rog. st. bruneus For. var. thoracica n. var. Long. 3,2-3,5 mm. Devant de la tête, thorax, écaille et tarse d’un rouge jaunâtre, reste de la tête et gastre noirâtres, antennes et reste des pattes brunâtres. Devant et côtés de la tête et gastre luisants, le reste plus mat. Le profil du promésonotum à peine RAR N FiG. 3. — Dorymyrex pyramicus Reg. st. bruneus For. var. thoracia n. v. Thorax vu de profil. convexe, parfois rectiligne, sauf au-devant du sillon mésoépmotal où il s’abaisse brusquement en pente subverticale, bien plus abrupte chez bruneus. Le sillon mésoépinotal forme une gout- tière profonde à section arrondie, La face basale de l’épinotum un peu convexe dans sa moitié antérieure, le reste formant un cône aussi large à la base que haut et tronqué en pyramide en arrière, Pour le reste comme chez bruneus For. Argentine : Santa-Fé. 10 & (M'° vON STEIGER). M. FOREL décrit sous le nom de bruneus des Fourmis de deux 532 F. SANTSCHI provenances. Jai sous les yeux un de ses exemplaires de Sao Paolo (v. IHERING), il est d’un brun foncé sauf les mandibules, le scape et les tarses, et me parait devoir se rapprocher de la var. spuria For. du Paraguay, tandis que les exemplaires à thorax clair à < mésonotum gleichmässig Kkonvex, ohne den Quereindruck von pyramicus >» de l'Argentine (LARGIER) doivent constituer le type de la sous-espèce. Dorymyrmex steigeri n. sp. Long. 2,8-5 mm. Roux testacé. Mandibules et abdomen jau- natres. Moitié distale du pédicule et dernier segment du gastre noir brunâtre, submat. Devant de la tête et gastre luisants. Quel- ques longues soies clairsemées sur le devant et le dessous de la tête, les hanches antérieures et le dessous du gastre. Les longs V A B. Fi. 4. — Dorymyrmex steigeri n. Sp. a. tête — b. profil du thorax. psammochètes de la gorge manquent. Pubescence plus courte, mais aussi abondante que chez tener Mayr, donnant par place. surtout sur les côtés du thorax, un reflet soyeux, plus rare sur le gastre et ne cachant nulle part la sculpture. Celle-ci est densé- ment et finement réticulée, ponctuée, plus ponctuée sur la tête que sur le gastre. Tête presque un cinquième plus longue que large, rectangulaire, plus étroite en avant surtout à partir du cinquième antérieur. Bord occipital pas ou faiblement arrondi, les angles postérieurs assez marqués. Les yeux, grands, sont placés un peu en avant du milieu des côtés de la tête. La dis- FOURMIS DE L'AMÉRIQUE AUSTRALE 533 tance qui les sépare du bord antérieur de la tête est un peu plus courte que leur diamètre. Epistome subcaréné. Mandibules striées de 6 dents, les 3m, 5me et 6m plus petites. Dos du pro- mésonotum régulièrement et faiblement convexe d’avant en ar- rière, le mésonotum très peu convexe sans chute brusque. Face basale de l’épinotum presque de moitié plus courte que la dé- clive, assez peu convexe, avec une dent relevée aussi longue que la moitié ou les deux tiers de la face basale, à base large com- primée d'avant en arrière et à sommet aigu. La face déclive droite subordée porte son stomate à la naissance supérieure de son bord latéral tout près de la base de la dent. Ecaille étroite, cunéiforme à bords tranchants. Gastre comprimé. Argentine : Buenos-Ayres et Uruguay : Nueva Helvecia (Me VON STEIGER). Fait transition entre tener Mayr et G«ældi For. faisant pas- sage à cette dernière par la race fumigatus For. dont elle a à peu près la coloration; elle en diffère par le scape entièrement roux, la tête rectangulaire, non arrondie en arrière, la dent épi- notale bien plus aiguë et la moitié postérieure de la tête sub- mate. Lridomyrmex humilis. Buenos-Ayres. Uruguay : Nueva Helvecia (M° VON STEIGER). V. — CAMPONOTINES. Brachymyrmex longicornis For. var. immunis For. Uruguay : Nueva Helvecia (Mr VON STEIGER). Drachymyrmex patagonicus Mayr. st. Cordemoyi For. var. nigricans n. Var. ©. Noir ou noir brunâtre. Mandibules, antennes, articula- tions des pattes testacés. Reste des pattes et ordinairement le tiers distal du funicule brunâtre. Le scape dépasse le bord occi- 534 F. SANTSCHI pital presque autant que chez patagonicus, la sous-sculpture est aussi forte que chez Cordemoyi. Buenos-Ayres : (MM° VON STEIGER). Prenolepis fulva Mayr. var. pumata For. ©. Brésil : Blumenau (M"° VON STEIGER). Camponotus maculatus Fab. st. bonariensis Mayr. © © c'. Buenos-Ayres (M"° VON STEIGER). C. melanoticus Em. © c. Brésil : Blumenau (M VON STEIGER). Argentine : Chaco de Santiago (WAGNER). V. vittata Em. © R. Argentine : Chaco de Santiago. C. abdominalis Fab. st. atriceps Sm. © Brésil : Blumenau. C. sexguttatus Fab. © Brésil : Blumenau. C. blandus Sm. © Argentine : Grano Chaco (WAGNER). C. punctulatus Mayr. var. imberbis Em. © Argentine: Buenos-Ayres. Uruguay: Nueva Helvecia 3 € (Me von STEIGER). C. punctulatus var. cruentata Em. ©. Uruguay : Nueva Helvecia. C. minutior For. Q ©. Argentine : Santa-Fé. Uruguay : Nueva Helvecia (Me von STEIGER). C. sericeiventris Guer. ©. Brésil : Blumenau. C. mus Rog. ©. Argentine : Santa-Fé, Buenos-Ayres. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 11. — Décembre 1912. Ueber freilebende Nematoden aus der Umgebung von Îriest VON Rich. MENZEL cand. phil. Zool. Anstalt der Universität Basel. Mit 2 Textfiguren. Als Teilnehmer an der Zoologischen Studienreise nach Triest, welche im Frühjahr 1912 unter Leitung von Herrn Prof. Dr. F. ZSCHOKKE (Basel), meines verehrten Lehrers, stattfand, ver- schaffte 1ch mir das im Folgenden zu besprechende Material an freilebenden Nematoden. Alle drei von mir gefundenen Arten, Mononchus muscorum (Duj.) Dorylaimus macrolaimus de Man Dorylaimus Bastiani Bütschli, stammen aus emem kaum handgrossen Stück Moosrasen, das sich auf einem Hausdach in Brisciki, bei Opcina, auf dem Karst befand. In seiner letzten Arbeit! widmet der holländische Nema- todenkenner J. G. DE MAN dem von ihm neulich gefundenen Mononchus muscorum (Duj.) als einer Art, », eme mebhrseitige genaue Bespre- chung. Ebenso beschreibt derselbe Forscher in einer früheren Publikation *? das Weïbchen des Dorylaimus macrolaimus de ! Helminthologische Beiträge. Zool. Jahrb., Suppl. XV, 1. Band. Festschrift zum 60. Geburtstag des Herrn Geh. Hofrats Prof. Dr. Jo. Wizx. SPENGEL in Giessen. 1912, ? Contribution à la connaissance des Nématodes libres de la Seine et des en- virons de Paris. Annal. Biol. Lacustre, t. 2, 1907-1908. REV. SUISSE DE ZOO. T. 20. 1912. 36 530 R. MENZEL Man, « d’une espèce très rare >». Da ich ferner annehmen dar, an derselben Fundstelle das bisher unbekannte Männchen von Dorylaimus Bastiani Bts gefunden zu haben, mag die folgende Mitteilung gerechtfertigt erscheinen, zumal ja auch die geogra- phische Verbreitung der freilebenden Nematoden immer noch ungenügend bekannt ist und 1hre Kenntnis einer fortwährenden Erweiterung bedarf. Zur Erklärung des nachfolgenden beschreibenden Teils sei erwähnt, dass in Uebereimstimmung mit J. G. DE MAN durch > das Verhältnis der Gesamtlänge zur mittleren Dicke des Kür- pers, durch 8 das Verhältnis der Gesamtlänge zur Länge des Oesophagus und durch ; das Verhältnis der Gesamtlänge zur Länge des Schwanzes ausgedrückt wird. BESCHREIBENDER TEIL A. Genus Mononchus Pastian. Mononchus muscorum (Duj.). 1845. Oncholaimus muscorum Dusarnix. Histoire naturelle des Helminthes ou Vers intestinaux, p. 237. 1888. Mononchus muscorum (Duj.). N. A. CoB8, in: Jen. Zeitschr. Naturw., Vol 23 N ET Vol Die 1912. Mononchus muscorum (Duj.). J. G. De MAN, in: Zool. Jahrb., Suppl. XV, 1. Band, p. 448—452. En Jahre 1839 entdeckte DOYÈRE den Mononchus muscorum (Duj.) in Moosrasen des Jardin des Plantes zu Paris: von Du- JARDIN besitzen wir eine erste kurze Beschreibung ohne Abbil- dungen. N. A. CoBB begnügt sich mit der Erwähnung der Art aus der Umgebung von Jena, wo er < nicht selten grosse Weïb- chen, stets in Moosen >» fand. Erst J.G. DE MAN, der im schwar- zen Pilz-Algenfluss von Fagus silvatica Li. drei Weïbchen beob- achtete, verdanken wir eine genaue Beschreibung und endgültige systematische Fixierung dieser bis dahin immer noch etwas zweifelhaften Art. NEMATODEN Ho Das längste der 26 mir zu Gesicht gekommenen Weibchen (das Männchen scheint unaufhindbar zu sein) mass 2m 4, Die meisten Exemplare waren ca. 2" lang, wenige erreichten eine Länge von nur 1"%,5 ; in diesem letzten Falle konnten weder Genitalien noch eine (reschlechtsôffnung Kkonstatiert werden, Bei einem einzigen 2%" 1 langen Exemplar fand ich im Uterus ein Ei von 0,16 Länge. Es scheint mir fraglich, 0b DUJARDIN richtig gesehen hat, wenn er von 0,035 langen Eiern spricht. Bei dem 2"",4 Jlangen Weibchen ist a — 30, 6f—4 und y—=16. Die Kôürperbreite an der Geschlechtsüfinung verhält sich zu derjenigen an der Basis der Mundhôühle wie 24: 15. Der Schwanz ist kegelf‘rmig verlängert mit ziemlich stumpfer Spitze !. Auch der Kopf und die Mundhühle stimmen mit der DE MaN’schen Beschreibung überein, sehr deutlich wahrnehm- bar sind < die beiden durch einen engen Zwischenraum getrenn- ten, gezähnten Längskanten », die das wichtigste systematische Merkmal von Mononchus muscorum (Duj.) darstellen. Die Länge der eigentlichen Mundhôhle beträgt 49 ». Etwas ab- weichend von den Weibchen, welche DE MAN beschrieb, ist die Länge des Oesophagus (incl. Mundhôühle), die genau ‘/, der Kôrperlänge einnimmt; ferner übertrifft die Entfernung der Geschlechtsüffinung vom After den Oesophagus nur um !/, ihrer Länge : verglichen mit den DE MaN’schen Maassen künnte man daraus schliessen, dass der Oesophagus bereits seine definitive Länge erreicht hat, während die hintere Kôrperhälfte und mit ihr die Geschlechtsorgane noch nicht ausgewachsen sind. Die auch bei den von mir beobachteten Weibchen ziemlich stark hervortretende Vulva liegt stets ein wenig vor dem hinteren Kürperdrittel. 3ei einem 2,1 Jangen Weibchen verhalten sich +, 5 und > ! Für die ganze Beschreibung verweise ich auf ne Max, /.c., 1912. 538 R. MENZEL entsprechend kleimer als bei dem oben beschriebenen, indem a 928, 5—4 und y—15!}, ist. Die Entfernung der Genital- ôffnung vom After ist in diesem Falle erst um !/, ihrer Länge orosser als der Oesophagus. Es ist anzunehmen, dass bei weiterem Suchen diese leicht zu erkennende Art noch an anderen Orten gefunden wird ; nach den bisherigen Fundorten (Paris, Jena, Triest) zu schliessen, scheint sie über einen weiteren Teil Europas verbreitet zu sein. Dass sie auch in grüssere Hühen steigt, beweist mir ein Exem- plar, das ich letzten Sommer im Rhätikon bei 2450" erbeutete : darüber werde ich an anderer Stelle noch eingehend berichten. B. Genus Dorylaimus Dui. Dorylaimus macrolaimus de Man. 1884. Dorylaimus macrolaimus. be Max, Die frei in der reinen Erde und im süssen Wasser lebenden Nematoden der Niederländischen Faunu . je DE PE 1898. Dorylaimus macrolaimus. \V. Dapay, in: Zool. Jahrb., Bd. 10, p. 125. 1907. Dorylaimus macrolaimus. be MAX, in : Annal. Biol. lacustre, t, 2, n=28 Diese seltene Art wurde bis jetzt, so viel mir bekannt ist, in feuchter oder von süssem Wasser durchtränkter Erde (Holland) und in reinem Süsswasser (Ungarn und Frankreich) gefunden. Ihr Vorkommen in einem Moospolster auf einem Hausdach steht somit vereimzelt da, dürfte aber nicht überraschend sein be: der weiten Verbreitung der Nematoden und ihrer Resistenz gegen längere Trockenzeiten. Ich beobachtete 3 Männchen und 3 Weibchen; das grüsste cf war 2mn4, das grüsste © 3mm,26 lang. Bei jenem betrug a—= 40, B—4,3 und ;— 80, bei diesem war & = 44, 6 — 4,5 und; — 12. Die Kopfregion beim Weibchen ist typisch; ebenso liegt die Geschlechtsüffnung ziemlich genau in der Kürpermitte, und der postvaginale Teil der (reschlechtsorgane nimmt etwas NEMATODEN 539 mehr als ein !/, der Strecke zwischen Geschlechtsüffnung und After ein. Eier fanden sich keine. Auch das Männchen zeigt die charakteristischen Merkmale, nur ist die Zahl der medianen Papillen, die übrigens innerhalb ein und derselben Art vartieren kann, geringer als sie DE MAN (1. €, 1884) angibt, indem ich bei 2 Cgf 16 und bei 1 15 Papillen ausser der Analpapille zählte. Auch diese bis jetzt recht seltene Art wird sich im Laufe der Zeit wohl noch hier und dort finden lassen. Sie scheint mir in einem mir zur Verfügung stehenden, aus Sumatra stammenden Materiale vorzukommen, doch kann ich gegenwärtig (Genaueres darüber nicht mitteilen. Dorylaimus Bastiani Bütschli. 1906. Dorylaimus Bastiani Btsli. JG. pe MAN, in : Annal. Soc. Roy. Zool. et Malacol. Belgique, Vol. 41, p. 173. 1907. Dorylaimus Bastianr Btsli. J. G. De Man, in : Annal. Biol. lacustre, tEA D. 24 Die übrige in Betracht kommende Literatur findet sich in der ersten hier angegebenen Publikation von DE MAN. Dorylaimus Bastiani Bütschli, leicht kenntlich an dem charakteristischen Schwanz, lebt meistens in feuchter Erde und im Süsswasser. Doch erwähnt ihn DE MAN (1 €., 1906) aus einer sandigen Wiese bei den Dünen von Vlissingen und « dans de la terre assez sèche, près de l’étang des Fonceaux >» (1 €., 1907). Von den 4 Weibchen, die ich untersuchte, war das grôsste PE one und 29. bel einem 165 langen Exemplar betrugen a — 35, 6—4,4 und 7 = 18!/,. Beim kleinsten Weibchen, dessen Länge ca. 1,5 war, konnte ich weder (Greschlechtsorgane noch eine Geschlechts- üffnung entdecken. Die allgemeinen Merkmale stimmen mit der DE MaN’schen Beschreibung überein; nur liegt bei dem dum,65 langen Weibchen die Geschlechtsüffnung etwas vor der 540 R. MENZEL Kürpermitte, und der postvaginale Teil der Geschlechtsorgane erstreckt sich beinahe über die Hälfte der Strecke zwischen Vulva und After. Hier konnte auch em 0%®09 langes Ei beobachtet werden. Ueber das Männchen war bis jetzt nichts Sicheres bekannt. DE MAN spricht die Vermutung aus (1. c., 1907), das von ihm in der Umgebung von Paris gefundene Männchen, welches er unter Vorbehalt als Dorylaimus intermedius bestimmte, gehüre wahr-- scheinlich zum Dorylaimus Bastiani Btsh. Er sagt zum Schluss : « Ce ver se trouvait dans le même gazon que la femelle du Dor. Bastiani, longue de 2,3. La taille et les dimensions, indiquées par les nombres 2, 6 et y, concordent parfaitement, de même que la tête et l’œsophage. De nouvelles recherches sont nécessaires pour élucider cette question. » Da ich nun ausser den bis jetzt hier von mir beschriebenen Formen noch 4 Männ- chen fand, die zwar, wie mir scheint, von dem fraglichen Dor. intermedius-Männchen DE MANS (1. €. 1907, p. 21) etwas ab- weichen, wohl aber, was Kürperverhältnisse und Kopfregion betrifft, sehr gut mit meinen 4 Dor. Bastiani-Weibchen über- einstimmen, glaube ich, sie bis auf Weiteres als das zu Dor. Bastiani gehürende Männchen betrachten zu müssen. ; Der Uebersicht halber stelle ich die verschiedenen Masse der 4 Männchen hier zusammen : | KÜRPERLÂNGE 2 | B | Y | | 1. Männchen ss 40,7 41}, S0 2 > jun 76 39 41/, | 80 3. > Jun 66 37 4,3 74 4. > Lun 60 DD1S NRA 71 Wenn man ; und 8 des 2. und 3. Männchens mit den ent- sprechenden Zahlen der beiden oben beschriebenen Weibchen NEMATODEN D41 vergleicht, wird die Uebereinstimmung deutlich; die Männchen sind eher ein wenig schlanker, wie dies üfters der Fall ist (z. B. bei dem neulich von bE MAX beschriebenen Männchen von Dor. macrodorus, 1. €. 1912). Die Kôrperbreite ist wie beim Weibchen am hinteren Ende des Oesophagus viermal so gross als an der Basis der Kopfregion. Der Oesophagus geht et- 2 was hinter der Mitte (vergl. DE MAN, I. c., 1906, pag. 173) in den erwei- terten Teil über. Der Schwanz (s. Fig. 1 È À Fig. 1. und 2) ist kurz, mit ab- Dorylaimus Bastiani Bütschli. Hinterende gerundeter Spitze : seine des Männchens ventrale Seite erscheint entweder konkav oder leicht konvex. Die Spicula (s. Fig. 2) simd 0m 046- 0,049 lang, d. h. die ge- rade Entfernung ibrer Enden; sie sind doppelt so lang wie der Schwanz und etwa 5 mal so lang wie in der Mitte breit. Akzessorische Stücke blieben mir verborgen. Mit ihrem stumpf abgerundeten distalen Ende gleichen sie ein wenig den Spicula des Dor. macrodorus (DE MAN, L. €., 1912). Ausser der Analpapille sah ich eine mediane Reïhe von 15 bis 17 unmittelbar aneinander grenzenden, niedrigen Papillen (2 g'c* besassen 15, je eines 16 und 17), von welchen die hin- Fig. 2. Dorylaimus Bastiani Bütschli. Schwanz und Analregion des Männchens. 542 R. MENZEL 5; terste um die Hälfte der Spicula vor deren imnerem Ende liegt. Die Haut zu beiden Seiten der Papillenreihe ist schräg gestreift. Auch Dorylaimus Bastiani Bütsli. steigt in der Schweiz wie Mononchus muscorum (Duj.) in grosse Hühen; so lagen mir bis jetzt einige Weibchen vor, die vom Lütschenpass (Kt. Wallis) aus 2700 Hühe stammen. BIOLOGISCHES Eine bemerkenswerte Kigenschaft vieler freilebender Nema- toden ist thre Fähigkeit, längere Trockenperioden in einem Starrezustand zu überdauern. Ich kann hier nicht auf die Ver- suche, die darüber schon angestellt wurden, näher eingehen: ich môüchte nur kurz folzendes bemerken: Am 10. April 1912 verpackte ich das Stück Moosrasen, welches schon damals seit einigen Tagen vôllig trocken war, in ein Couvert. Am 27. Au- oust 1912, also beinahe 5 Monate später, legte ich ein kleines Stück davon im Wasser; nach 15 Minuten bemerkte ich ein ein- gerolltes Dor. macrolaimus-Weïbchen, das aber bei Berührung noch keine Bewegung zeigte. Nach 30 Minuten jedoch voll- fübrte es bereits mit der Kopf- und Schwanzregion schwache Eigenbewegungen, und im Verlaufe einer weiteren halben Stunde war das Tier so « wach », dass es sich mit elegantem Schlängeln dem (Gesichtskreis entzog. Ein anderes Stück weichte ich am 29. August morgens 10 Uhr in Wasser auf, konnte es aber erst nach 7 Stunden durchsuchen; da vollführ- ten die meisten Nematoden heftige Schlangenbewegungen, und oft war es nicht einmal leicht, sie mit der Nadel herauszu- fischen, so rasch glitten sie zwischen dem Wurzelwerk und den Erdpartikelchen dahin. Indem ich jeden Tag das Wasser er- neuerte, konnte ich die Tiere bis zum 15. September, an wel- chem Tage ich meine Beobachtungen vorläufig abschloss, am Leben erhalten. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 12. — Décembre 1912. Revision der Schweizerischen Rhabdocôlen und Alloocôlen: Nils von HOFSTEN (Uppsala). Mit 7 Figuren und 5 Karten im Text. HISTORISCHE EINLEITUNG. Die Rhabdocülidenforschung : in der Schweiz. Das Verdienst, die schweizerische Turbellarienforschung ein- geleitet zu haben, gebührt F.-A. FOREL. Im Jahre 1869 fand dieser Altmeister der Süsswasserkunde in der Tiefe des Genfer Sees eine reich entwickelte Fauna und darunter auch vier Turbellarien, die sogleich näher besprochen werden sollen. 1 Zweiter Teil der von der Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft im Dezember 1910 preisgekrünten Schrift: Revision der Schweizerischen Turbel- larien von N. vox Horstex und P. STEINMANN. + Der Kürze wegen fasse ich die Rhabdocülen und Allôocôlen unter der alten bequemen Bezeichnung Rhabdocäüliden zusammen ; vergl. die Fussnote $S. 550. Rev. Suisse DE Z001. T. 20. 1912. 37 544 N. VON HOFSTEN Vier Dezennien sind seit dieser ersten Entdeckung einer schweizerischen Turbellarie verflossen, und unsere Kenntnisse dieser Tiere hat währenddem nach jeder Richtung hin gewaltige Fortschritte gemacht. Die folgende Uebersicht hat nun bloss den Zweck, die Entwicklung der Rhabdocôlidenforschung in der Schweiz zu schildern. Die Tricladenforschung lasse ich ganz bei- seite : ihre Fortschritte hat vor kurzem P. STEINMANN in seiner Revision der schweizerischen Tricladen geschildert, welche mit der hier vorliegenden Arbeit ein emheitliches Ganzes bilden sol]. STEINMANN hat in seiner Kinleitung auch die Rhabdocüliden be- rücksichtigt:; aber auch hier darf eine Darstellung der histo- rischen Voraussetzungen, auf denen sich diese Arbeit aufbaut, nicht fehlen. Die Geschichte der Rhabdocülidenkunde fordert auch deshalb eine eigene Behandlung, weil in der Schweiz, wie überall, die Tricladen- und Rhabdocôlidenforschung zum grossen Teil verschiedene Forscher angezogen haben; in der schweize- rischen Literatur existiert wWenigstens keine Arbeit, in der nicht, wenn Rhabdocüliden und Tricladen zugleich besprochen werden, die eine Gruppe mehr oder weniger stiefmütterlich behandelt wird. Für die Bearbeitung der Turbellarien erwarb sich FOREL einen unermüdlichen Mitarbeiter in G. DU PLESSIS, der während 12 Jahren (von 1874 an) eme Reïhe von Arbeiten über die Tur- bellarien des Genter Sees und seiner Umgebungen herausgab ; auch FOREL selbst gibt in seimen zahlreichen Publikationen viele Mitteilungen über diese Gruppe, er stützt sich aber fast stets auf die Publikationen oder Beobachtungen DU PLESSIS’. Der oben erwähnte erste Fund von schweizerischen Turbel- larien wurde im Jahre 1874 verôffentlicht!, im einer von FOREL und DU PLESSIS gemeinsam verfassten ersten Uebersicht der ! Schon in zwei 1869 und 1873 verôftentlichten vorläufigen Mitteilungen werden drei nicht näher bestimmte Turbellarien erwähnt. - RHABDOCÔLEN UND ALLOOCÛÜLEN 545 Tiefenfauna des Genfer Sees (4) !. Ausser einer Triclade werden hier drei Rhabdocôliden als Bewohner der Tiefe angeführt: die häufige Litoralart Microstomum lineare und die beiden neuen Formen Mesostomum auditivum und Vortex lemani. Die beiden letztgenannten Arten haben sich später als Allüocülen heraus- sestellt und wegen der vermeintlichen engen Verwandschaft mit marinen Arten viele Aufmerksamkeit erregt; sie sind jetzt als Otomesostoma auditivum und Plagiostomum lemani bekannt. In den folgenden Publikationen DU PLESSIS’ (und FOREL’S) wird eine grosse Anzahl von Arten aus dem Genfer See, vor- wiesgend aus dessen Grundschlamm, bekannt gemacht; andere Fundorte werden nur nebenbei erwähnt. Im Jahre 1885 ver- ôffentlichten FOREL und DU PLESSIS gleichzeitig je eine ab- schliessende und zusammenfassende Uebersicht der Tiefenfauna ; (29, 30); sie konnten darin 15 oder 16 Tiefenrhabdocüliden auf- zählen (mehrere dieser Arten müssen freilich gestrichen werden, wie in dieser Arbeit gezeigt werden sol). Zwülf Jahre später œab DU PLESSIS eine neue zusammenfassende Uebersicht heraus, diesmal über die ganze Turbellarienfauna der westlichen Kan- tone (70); diese Arbeit fällt zwar in eine neue Periode der schweizerischen Turbellarienforschung, sie schliesst sich aber an die früheren Publikationen dieses Forschers eng an und dürite besser zu dieser älteren Epoche gerechnet werden. Es fällt heute schwer, über die wissenschaftliche Tätigkeit DU PLESSIS’ ein gerechtes Urteil zu fällen. Man vergisst leicht, dass er seine Studien in einer Zeit begann, in welcher die Grund- lage der neueren Rhabdocülidenforschungen, die Monographie GRAFFS, noch nicht existierte ; man kann sich wohl kaum die Schwierigkeiten vergegenwärtigen, welche die zersplitterte Li- ‘ Alle Arbeiten über schweizerische Turbellarien werden in einer dieser Arbeit angegliederten Publikation aufgezählt (Die schweizerische Turbellarienliteratur von N.v. Horsrex und P. SreINMaNN). Die Ziffern beziehen sich auf die Nummern in diesem Verzeichnis. 546 N. VON HOFSTEN teratur, der Mangel eimer kritischen Sichtung der Speciesbe- stimmung entgegenstellte. Trotz dieser Schwierigkeiten widmete sich DU PLESSIS, wie STEINMANN in ähnlichen Worten hervor- hebt, mit Fleiss und Begeisterung dem Studium der schweize- rischen Turbellarien und erwarb sich allmäblich Kenntnisse über die Verbreitung dieser Tiere in seiner Heimat, die gewiss nicht leicht einzuholen sind. Als das wichtigste Ergebnis seiner Unter- suchungen ist ohne Zweifel die Entdeckung und erste Beschrei- bung der Tiefenallüocülen Plagiostomum lemaniundOtomesostoma auditivum hervorzuheben. Der kritische Zweck dieser Revision bringt es mit sich, dass in der folgenden Darstellung weniger diese Verdienste DU PLESSIS’ als die Schattenseiten seiner Wirksamkeit hervortreten ; auch an dieser Stelle dürfen diese nicht stillschwei- send übergangen werden. Selbst im Vergleich mit der älteren Li- teratur kann man den Arbeiten DU PLESSIS den Vorwurf einer sgewissen Oberflächlichkeit nicht ersparen. Er hat fast stets nur die äusseren Merkmale berücksichtigt, auch bei Arten, die nur durch anatomische Untersuchungen unterschieden werden künnen, und seine Bestimmungen sind daher oft nicht zuver- lässig; der Zweifel an ihrer Richtigkeit wird übrigens durch Widersprüche erhôht, auf die man beim Zusammenstellen seiner Angaben unablässig stôsst. In der ganzen Zeit von 1874—1893 war DU PLESSIS der ein- zige schweizerische Forscher, der sich eingehender mit den Rhabdocüliden beschäftigte. Die übrigen Autoren, ASPER, HEU- SCHER, IMHOF, STECK, ZSCHOKKE, haben nur Beobachtungen über das Vorkommen einzelner, leicht erkennbarer Arten ver- ôffentlicht. Zu erwähnen ist noch aus jener Zeit die anatomische Untersuchung GRAFFS (10, 27) über Plagiostomum lemani, da durch ihn diese wichtige Form ihren richtigen Platz im System erhielt ; die zweite (renferseeallüocüle, Ofomesostoma auditivum. wurde zwei Jahre später, durch DU PLESSIS und ZACHARIAS, als eine Allüocüle erkannt (33, 39). RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 547 Die 1894 erschienene Arbeit O. FUHRMANN'S über die Turbel- larien der Umgebung von Basel (64) leitet eine neue Periode in der schweizerischen Rhabdocülidenforschung ein. Diese Arbeit ist reich an wertvollen, unter Beherrschung der damaligen Tech- nik gemachten Beobachtungen über die Anatomie und Histologie vieler der gefundenen Arten (zu allgemeinen Schlüssen sind die Befunde jedoch nicht verwertet), die Bestimmungen sind zuver- lässig, die neuen Arten meist genügend gestützt, und die ganze Arbeit gehürt zu den besten, welche bis 1903 über Rhabdocülen erschienen sind. FUHRMANN kennt aus der untersuchten Gegend 34 Rhabdocülen und Allüocülen; nur 3 derselben haben der kritischen Revision nicht Stand gehalten. Derselbe Autor hat später drei kürzere Aufsätze publiziert, die ebenfalls wichtige Beobachtungen enthalten. Die erste dieser Publikationen (71, im Jahre 1897 erschienen) enthält faunistische Nachweïise (6 näher bestimmte Arten) im Gotthardgebiet, die zweite (82, 1900) Be- obachtungen über Arten aus der Gegend von Genève (23 be- stimmte Arten): in der letzten Mitteilung dieses Forschers (92, 1904) wird ein interessanter Vertreter einer marinen Rhabdo- colenfamilie ( Trigonostomum neocomense) aus der Tiete des Neuchâteler Sees beschrieben. Gleichzeitig mit der Basler Arbeit FUHRMANNS erschien eine Untersuchung von J. KELLER über die ungeschlechtliche Fort- pfanzunge einiger Süsswasserturbellarien (65). Im folgenden Jahre verôffentlichte derselbe Autor eine kurzgefasste Liste der von ihm in der Nähe von Zürich beobachteten Arten (66): die Bestimmungen sind jedoch nicht alle zuverlässig, die zwei neuen Arten ungenügend charakterisiert, und nur 11 sichere Arten bleiben nach Ausschluss der zweïifelhaften Formen zurück. Etwa um die Wende des Jahrhunderts bearbeitete FUHR- MANN’S Schüler W. Vorz die Turbellarienfauna der Umgebung von Neuchàtel, wo er jedoch nur 13 Arten (von welchen 3 zu streichen sind) nachwies. In seiner ausführlichen, 1901 er- D48 N. VON HOFSTEN schienenen Arbeit (85) beschreibt er auch vier (nach seiner eigenen Aufassung fünf) neue Arten und stellt ferner alle frühe- ren schweizerischen Turbellarienfunde zusammen: die ganze Arbeit trägt leider den Stempel der Oberflächlichkeit. Später hat ein anderer Schüler FUHRMANN'S, M. THIÉBAUD, (teilweise im Verein mit J. FAVRE) hydrofaunistische Studien in einem kleinen See bei Neuchâtel und im Jura betrieben; er sammelte 21 sichere, von FUHRMANX bestimmte Rhabdocülen (97, 105). Gleichzeitig hiermit beschäftigte sich der Autor dieser Re- vision mit Untersuchungen über die Turbellarien, vorwiegend die Rhabdocülen und Allüocôlen, des Berner Oberlandes. In der 1907 erschienenen Arbeit über die Ergebnisse dieser Studien (99) wird vor allem eine den heutigen Anforderungen genügende Behandlung der anatomisch-histologischen Probleme angestrebt. Die Anzahl der gefundenen Rhabdocülen beträgt 35 (davon 11 n. Sp.). Gewissermassen eine Fortsetzung dieser Arbeit ist eine im selben Jahre erschienene Untersuchung über Plagiostomum lemani (100). — Mehrere der Berneroberland-Arten stamm- ten aus der Tiefe des Brienzer und Thuner Sees. Eme ausführ- lichere Behandlung fand dieser Teil der Rhabdocülidenfauna in einer besonderen, erst vor kurzem (1911) erschienenen Arbeit über die Tiefenfauna der genannten Seen (138), die auf die Lü- sung ükologischer und tiergeographischer Probleme hinzielt. Für solche Forschungen hatte schon früher ZSCHOKKE durch seine erundlegenden Arbeiten den Weg gebahnt ; besonders her- vorzuheben sind das grosse Werk über die Tierwelt der Hoch- sebirgsseen (80, 1900) und die 1911 erschienene definitive Arbeit über die Tiefseefauna (130). In einer wichtigen Frage, Herkuntft und tiergeographische Stellung der beiden Tiefenallüocôlen, sehen freilich ZSCHOKKE’S und meine eigenen Ansichten, die ich in der letzterwähnten Arbeit niedergelegt habe, weit aus- einander. RHABDOCÔLEN UND ALLÜOCOLEN 549 Ausser diesen anatomisch-systematischen und tiergeogra- phischen Arbeiten sind aus den letzten Jahren faunistische Mitteilungen zu erwähnen über einzelne Rhabdocülen von STEIN- MANN, KLAUSENER, BAUMANN, HEINIS, STEINER und FEHLMANN. Bei dem Versuche, diese reichhaltige Literatur kritisch durch- zuarbeiten, stiess ich natürlich nicht selten auf zweifelhafte An- gaben und auf Lücken in der Beobachtung, die zur Nachunter- suchung herausforderten. Um meiner Revisionsarbeit eine brei- tere Grundlage zu geben, besuchte ich im Sommer 1910 ver- schiedene (regenden in der Schweiz; die Ergebnisse dieser neuen Beobachtungen über schweïizerische Rhabdocüliden sind in einer soeben (1911) erschienenen Arbeit (139) verôffentlicht, die als eine Vorarbeit zu dieser Revision zu betrachten ist. Die Anzahl o der gefundenen Arten beträgt 44 (davon 3 n. sp.). Indem ich diese historische Uebersicht abschliesse, müchte ich allen schweizerischen Kollegen meinen aufrichtigen Dank aussprechen, die meine Revisionsarbeit unterstützt oder durch freundliches Interesse erleichtert haben. Ich nenne nur Prof. F.-A. FOREL in Morges, der meine Revision der (renferseerhab- docôüliden f‘rderte!, Prof. A. LANG in Zürich, der mir die KELLER- schen Präparate übersandte, und Prof. O. FUHRMANN in Neu- châtel. Dieser mein bewährter Vorgänger hat mir seine ganze Präparatensammlung zur beliebigen Verfügung gestellt und mir mehrmals Originalzeichnungen und wertvolle schriftliche Aus- künfte gesaudt. Für diese uneigennützige Unterstützung kann ich micht warm genug danken. 1 Wäbrend der Drucklegung dieser Arbeit ist Prof. FoREL gestorben. Obgleich selbst nicht Turbellarienspezialist, nimmt er einen wichtigen Platz in der schwei- zerischen Turbellarienforschung ein. Ich werde die freundliche Hilfe, die er mir bei meinen Genferseeforschungen leistete, in dankbarer Erinnerung bewahren. ot Qt © N. VON HOFSTEN Il ALLGEMEINE UEBERSICHT der schweizerischen Rhabdocôlen und Allôocôlen. Artanzahl. Verbreitung. In keinem andern Land sind die Rhabdocülen und Allüocülen so oft und so eingehend studiert worden, wie in der Schweiz, und aus keinem andern Land ist eine so grosse Anzahl von Süss- wasserarten bekannt:; auch im Vergleich mit der ganzen übrigen Weltist die Anzahl der schweizerischen Arten eine überraschend erosse. Wenn man alle in der Literatur erwähnten Arten (mit Ausschluss der allgemein anerkannten Synonyma) berücksich- tigt, so beträgt die Anzahl schweizerischer Rhabdo- und Allüo- côlen 91. So gross ist jedoch die Anzabhl der in der Schweiz be- obachteten Arten sicher nicht, sondern es muss eine Reïhe von synonymen oder zweifelhaften Arten ausgeschieden werden, und zwar teils solche, welche überhaupt als unsichere Species zu be- zeichnen sind, teils solche, deren Zugehôrigkeit zur schweize- rischen Fauna nicht sicher erwiesen ist; solche aus den ange- deuteten, unten (S. 660 ff.)näherausgeführten Gründen, unsichere Arten findet man in der schweizerischen Literatur 15. Dazu kommen 10, die sich als Synonyma herausgestellt haben. Die Zahl der sicheren schweïzerischen Arten beträgt also 66, 63 Rhabdocülen und 3 Allüocülen"!. Die Rhabdocôliden sind bekanntlich, soweit die bisherigen Untersuchungen Schlüsse erlauben, als Kosmopoliten zu be- trachten. Wenn auch vielleicht nur ein Teil der Arten wirklich diese Benennung verdient, so ist jedenfalls sicher, dass die 1 Die Rhabdocülen und die Allüocülen sind in systematischer Hinsicht weit ge- trennt; siehe Horsrex 1907, 1907b, 1910, Literaturverzeichnis $S. 593. — Die Lebensweise ist jedoch dieselbe, und bei einer Besprechung der Verbreitung und der Oekologie der Süsswasserarten empfielt es sich daher, sie unter der alten bequemen Bezeichnung Rhabdocüliden zusammenzufassen. NU RHABDOCOLEN UND ALLÜOCÜLEN 551 Verbreitung innerhalb nicht allzu ausgedehnter Grebiete 1m gros- sen und ganzen gleichmässig ist. Wo geeignete Aufenthaltsorte in grôsserer Zahl vorhanden sind, dort werden wohl auch die Rhabdocülidenarten zahlreicher sein, vieles ist auch ohne Zweifel von den Verbreitungsmôüglichkeiten oder vom Zufall abhängig — vorderhand wird jedoch (wenigsters für Europa) die Regel bestehen, dass, je genauer eine Gegend untersucht wurde, desto erôsser die Anzahl der aus derselben bekannten Rhabdocüliden ist. Hierin haben wir natürlich die Erklärung für den oben her- vorgehobenen Reichtum der schweizerischen Rhabdocüliden- fauna zu suchen. Auch bei näherer Betrachtung dieser Fauna muss man stets die erwähnte Regel im Gedächtnis behalten, und vor allem bei der Deutung der Tatsache, dass eine verhältnis- mässie beträchtliche Anzahl (13) dieser Arten bisher nur aus der Schweiz bekannt ist. Wenn also wahrscheinlich keine eim- zige derselben endemisch ist, sondern in Zukunft alle aus andern Ländern bekannt gemacht werden, so künnen natürlich dennoch diese Formen in einer Arbeit über die schweizerische Fauna em besonderes Interesse beanspruchen; sie seien daher an dieser Stelle in systematischer Reihenfolge aufgezählt: Dalyellia fo- reli Hofsten, D. ornata Hofsten, D. diadema Hofsten, D. brevispina Hofsten, Phænocora clavigera Hofsten (sicher be- kannt nur aus der Schweiz), Dochmiotrema limicola Hofsten, Castrada inermis Hofsten, ©. segnis (Fuhrmann), C. spinu- losa Hofsten, C. affinis Hofsten, C. fuhrmanni (Volz), Lut- heria minuta Hofsten, Trigonostomum neocomense (Fuhr- mann)!. Auch innerhalb der Schweiz liegen die Verhältnisse ganz ähnlich ; nur die Gebirgsgegenden bilden — und diese Beschrän- ! Hierzu kommen 3 zweifelhafte Arten: Stenostomum langi (Keller), Micro- stomum canum (Fubrmann), Phonorhynchus lemanus (Du Plessis). [Zwei weitere, Stenostomum hystrix (Keller) und Dalyellia intermedia (Du Plessis), sind ganz zu streichen|. 552 N. VON HOFSTEN kung gilt natürlich nicht nur für die Schweiz — in gewissem Masse eine Ausnahme (siehe unten S. 568). In Bezug auf die Art- anzahl steht in erster Linie die Südwest-Schweiz (Cantons de Vaud, de (renève, de Neuchâtel), wo vier verschiedene Unter- sucher, DU PLESSIS, VOLZ, FUHRMANN und ich selbst, gearbeitet haben ; aus diesem Teil des Landes kennt man 49 sichere Spe- cies. Darauf folgt das von mir untersuchte Berner Oberland mit 35 Arten, dann die Umgebung Basels, wo FUHRMANN 32 sichere Arten gefunden hat. Im Ober-Engadin habe ich 16, in Obwal- den 12 Arten nachgewiesen ; aus der Gegend vom St. Gotthard und dem Oberalppass (FUHRMANN, HOFSTEN), aus der Um- gebung von Zürich (KELLER) und aus dem Lago Maggiore (HOFSTEN) kennt man je 11 Arten. Aus anderen Teilen der Schweiz liegen nur ganz vereinzelte Beobachtungen vor. — Die sgenauere Verteilung der auf ihre Rhabdocülenfauna hin unter- suchten Gegenden sieht man aus der dem faunistischen Teil beigefügten Karte (S. 596). Oekologie. Die Lebensweise der Rhabdocôliden ist natürhich in allen Ländern Europas dieselbe; in der folgenden Uebersicht, in welcher nur die schweizerischen Arten besprochen werden, habe ich daher auch die in anderen Gegenden gemachten Beobach- tungen berücksichtigt. Von einer kritischen Verwendung der spärhchen Literatur über dieses Thema !habe ich hier ganz Ab- stand genommen; die folgenden Seiten bringen nur meine per- ! Der einzige neuere Autor, der sich direkt über die Oekologie der Rhabdocü- liden äussert, ist BRINKMANN (Studier over Danmarks rhabdocüle og acôle Turbel- larier. Vid. medd. Naturh. For. Kübenh. 1906). Seine Ansichten stimmen in einem sehr wichtigen Punkt mit den unten entwickelten überein, indem er auf das Vor- handensein zweier verschiedener Faunen, der im Frühling auftretenden « Pfützen- fauna » und der später entwickelten « Seefauna » aufmerksam macht. Diese zwei Faunen decken sich mit den zwei ersten von mir unterschiedenen Hauptgruppen ; doch hat der dänische Autor vielleicht die Eigentümlichkeiten der beiden Faunen nicht ganz klar gefasst. Erstens werden die Grenzen der « Pfützenfauna » zu weit gezogen, indem mehrere in der Regel in konstanten Gewässern lebende Arten da- zu gerechnet werden. Ferner wird zwar ganz richtig die temporäre bezw. kon- RHABDOCÔLEN UND ALLÜOCÔLEN 553 sonliche Meimung zum Ausdruck, die ich durch eigene Beobach- tungen und Vergleiche mit den wenigen in der Literatur mitge- teilten Tatsachen gewonnen habe. Die Rhabdocüliden leben bekanntlich, mit Ausnahme ganz vereinzelter, in feuchter Krde gefundenen Formen, im Wasser: von den zwei bekannten wenigstens in der Regel in der Erde oder unter Laub lebenden Rhabdocülen ist eine, Prorhynchus sphyrocephalus (De Man). in der Schweiz beobachtet worden. Die Süsswasserformen leben keineswegs unter denselben Ver- hältnissen, sondern zerfallen in mehrere, teils scharf getrennte, teils durch Uebergänge verbundene ükologische Gruppen. Bei einer Uebersicht derselben kann man von verschiedenen Gesichts- punkten ausgehen: meiner Ansicht nach kommt man durch die unten versuchte Eimteilung den natürlichen Verhältnissen am nächsten. Ihrer Lebensweise nach künnen alle Süsswasserrhabdocü- liden in drei Hauptgruppen emgeteilt werden. Die erste Haupt- gruppe umfasst Rhabdocülen, welche ausschliesslich (auf ganz vereinzelte Ausnahmsfunde ist natürlich keime Rücksicht zu nehmen) in temporären, im Sommer austrocknenden Gewässern (Tünpeln, Gräben usw.) leben und nur im Frühling (nach Be- obachtungen in andern Ländern bis Anfang Juni) zu finden sind. Die meisten dieser Arten leben zwischen Pflanzen, einige jedoch lieber in Schlamm oder unter Laub. Unter den in der Schweiz be- obachteten Rhabdocôlen gehüren zu dieser ükologischen Gruppe wahrscheinlch nur 3 Arten, Dalyellia viridis (zwischen Pflanzen lebend), Phænocora unipunctata (vorwiegend in Schlamm, bis- weilen auch in konstanten Gewässern gefunden), und Opistomum stante Beschaffenheit der beiden Arten von Gewässern hervorgehoben ; fast noch mebr Gewicht scheint der Autor jedoch auf die Grôsse der Gewässer zu legen (da- her die, wie aus meiner Darstellung hervorgehen dürfte, unpassenden Bezeichnungen « Pfützen »- und « Seefauna »); diese hat jedoch meiner Ansicht nach nichts zu be- deuten, ebensowenig, wie die Ursache dafür, dass die « Pfützenfauna » früher auf- tritt, darauf beruhen kann. « dass das seichtere Wasser der Pfützen schneller als das Wasser der Seen erwärmt wird ». - 554 N. VON HOFSTEN pallidum (in Schlamm und besonders unter faulendem Laublebend und sehr früh, gegen Ende des Winters, auftretend), in gewisser Beziehung auch Catenula lemnæ (welche jedoch während aller Jahreszeiten zu finden ist). Aus andern Gegenden sind ver- hältnismässig zahlreiche solche Frühlingsformen bekannt (z. B. mehrere Mesostoma-Arten). Die Erklärung der schembaren Armut der schweïzerischen Fauna an Arten dieser Kategorie ist sehr eimfach: die schweizerischen Turbellarienforscher haben fast ausschliesslich während der Sommermonate gearbeitet und fast nur konstante Grewässer durchsucht. Von DU PLESSIS allein wird von Gewässern gesprochen, die im Sommer austrocknen (Kantone Vaud und Genève); in solchen fand er Dalyellia viridis sehr häufig; auch FUHRMANX begegnete 1hr im Winter dreimal in derselben Gegend, während in der ganzen übrigen Schweiz diese häufige Art nur an zwei Stellen gefunden worden ist. Die beiden übrigen Hauptgruppen, zu welchen alle andern Rhabdocülen und die wenigen Allüocülen des Süsswassers ge- hôren, leben beide in konstanten Gewässern und zwar sowoh]l im konstanten Kilemgewässern verschiedener Art (auch in ganz kleinen Tümpeln, sobald sie nur nicht zu leicht austrocknen), wie in Seen und in schwach fliessendem Wasser. Sie kônnen daher natürlich zu einer gemeinsamen, den Frühlingsarten gegenüber- zustellenden Kategorie zusammengefasst werden, da sie aber in ibrer Oekologie scharf getrennt sind, ziehe ich es vor, drei gleichgestellte Hauptgruppen zu unterscheiden. Die Arten der zweiten Hauptgruppe leben vorwiegend im konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen. Zahlreiche dieser Tiere sind ebenso sehr an solche gebunden, wie die Früh- Hingsarten an austrocknende Gewässer, andere sind mehr oder weniger ausgeprägte Ubiquisten und ihre in vielen Hinsichten zu Tage tretende grosse Widerstandskraft erlaubt ihnen bis- weilen, den extremen Verhältnissen der temporären Tümpel zu RHABDOCÜLEN UND ALLOÜOOCOLEN 959 trotzen; fast stets trägt jedoch das Auftreten in solchen deutlich den Stempel des Zufalls, nur zwei Arten (Rhynchomesostoma rostratum und besonders Gyratrix hermaphroditus) sind ver- hältnismässig häufig in Gesellschaft von typischen Frühlings- formen beobachtet worden. Auch in einer andern, noch wich- tigeren Hinsicht kommt der oft vorhandene ubiquistische Cha- rakter zum Ausdruck: zahlreiche Arten steigen in den Seen vom eigentlichen Ufer bis mehr oder weniger tief in die Litoral- region hinab, wo sie einen wichtigen Teil der Turbellarienfauna ausmachen ; viele dringen sogar bis in die Tiefenregion hmunter, wo sie jedoch selten oder wenigstens ganz sporadisch zu finden sind. Die Hauptentwicklungszeit aller Arten dieser Haupt- gruppe fällt in die Sommermonate (Juli bis September), wenn die Frühlingsarten schon verschwunden sind, und zwar spielt für die Zeit ihres Auftretens die Wärme des Wassers die ent- scheidende Rolle; in kleinen, schnell erhitzten Tümpeln findet man sie daher früher als in grüsseren Gewässern; im Hochge- birge treten sie sehr spät auf: in kalten und regnerischen Som- mern findet man sie später als sonst. Kinige Arten sind vielleicht auch in dieser Hinsicht unabhängiger und künnen sich auch im kälterem Wasser entwickeln (Gyratrix hermaphroditus). Der ubiquistische Charakter ist, wie oben angedeutet wurde, in sehr verschiedenem Grade oder auch gar nicht vorhanden. Dieses Verhalten kommt auch, wenn wir die Lebensweise der zugehôrigen Formen mehr im einzelnen untersuchen, sehr deut- lich zum Vorschein. Ein sehr grosser, sicher der grüsste Teil derselben lebt hauptsächlich zwischen Pflanzen: Algen. Moos, Characéen, Phanerogamen. Verschiedene Pflanzenforma- tionen gesgenüber scheinen sich die meisten Arten wenig wähle- risch zu verhalten : einzelne Arten geben jedoch, wie ich glaube. den Phanerogamen, andere dem Moos, andere wiederum den Algen den Vorzug, doch kann ohne spezielle Untersuchung wenig bestimmtes darüber gesagt werden. Ausschliesshich in 5306 N. VON HOFSTEN der Vegetation lebende Arten dürfte es nur wenige geben; die meisten werden auch in Schlamm angetroffen und zwar sowohl in dem zwischen Phanerogamen und Characéen vorhandenen Schlamm. wie auch auf reinem Schlammboden. Sehr oft wird es Jedoch dabei deutlich, dass das Schlammleben eigentlich zu- fällig ist. Die Tiere sind andern Verhältnissen angepasst, kônnen aber auch im Schlamme die nôtigen Lebensbedingungen finden. Die Beispiele solcher nur gelegentlich oder gar nicht in dem Bodenschlamm vorkommender Arten sind zahlreich; von den schweïzerischen Arten nenne ich Macrostomum viride, M. ap- pendiculatum, Dalyellia expedita, D.triquetra,Castrellatruncata, alle grünen Typhloplana- und Castrada-Arten, ausser C. in- structa, dazu die nicht grünen C. segnis, armata und luteola, Mesostoma ehrenbergi, Bothromesostoma personatum. Fast eben- so zahlreich sind jedoch die Arten, welche sich sowohl zwi- schen Pflanzen wie im Schlamme zu Hause fühlen: Dalyellia armigera, Gyratrix hermaphroditus, Mesostoma lingua. Ehynchomesostoma rostratum, Stenostomum leucops (und andere seltene Arten); die drei letzteren scheinen fast ebenso häufig (Stenostomum vielleicht sogar ôfter) im Schlamm zu leben. Bei - diesen Arten finden wir naturgemäss den ubiquistischen Cha- rakter am meisten ausgeprägt:; es kann daher nicht zu sehr überraschen, dass von den aufgezählten Arten nicht weniger als drei (Mesostoma linqua, und besonders Gyratrix uud Rhyncho- mesostoma) verhältnismässig oft in temporären Tümpeln ge- funden werden; dieselben Arten steigen auch in den Schlamm des Seebodens und sogar in die Tiefenregion hinab. Eine gemeine Art, Microstomum lineare, scheimt häufiger 1m Schlamm (und zWischen modernden Pfanzenteilen) als zwischen Pflanzen vor- zukommen. Diese letztere Art bildet den Uebergang zu den reinen Schlammarten, welche an den Grundschlamm gebunden simd- Zu diesen gehüren in der Schweiz die folgenden: Prorhynchus RHABDOCÜLEN UND ALLOOCÛLEN D stagnalis, Phænocora clavigera, Ph. rufodorsata, Olisthanella truncula, Dochmiotrema limicola, Castrada lanceola, Bothrio- plana semperi. Man künnte erwarten, dass diese Arten noch häufiger als die zwischen Pflanzen und im Schlamme lebenden mehr oder weniger tief auf den Grund grüsserer Gewässer hinab- steigen. Dies ist jedoch nicht der Fall. Drei Arten (Phænocora clavigera, Ph. rufodorsata, Castrada lanceola) leben zwar im Li- toral der Seen (wo wenigstens die erstgenannte häufig zu sein scheint), in die Tiefe steigen sie aber nicht hinab. Zwei andere Arten, Prorhynchus stagnalis und Olisthanella truncula, schemen nur selten im Bodenschlamm der Seen aufzutreten, und wenn von einem Vorkommen in der Tiefenfauna berichtet wird, dürfte es sich um Ausnahmen handeln. Dochmiotrema limicola und Bothrioplana semperi endlich scheinen fast ausschliesslich in Kleingewässern zu leben. Diese Verhältnisse hängen offenbar damit zusammen, dass die reinen Schlammarten viel weniger ubiquistisch sind als die vor ihnen besprochenen (oder gar nicht: wie die beiden zuletzt aufgeführten). Eine streng begrenzte Gruppe bilden sie natürlich nicht: denn einmal sind ja Ueber- gänge vorhanden zu den zwischen Pflanzen ebenso häufig vor- kommenden Formen, während andererseits die Phænocora-Arten und Castrada lanceola sich der folgenden Hauptgruppe nähern. Die dritte Hauptgruppe umfasst Arten, welche, wie die zuletzt behandelten, nur in konstanten Gewässern leben; im Gregensatz zu diesen finden sie sich aber nicht Im Klemge- wässern oder zwischen den Pflanzen der eigentlichen Uferzone der Seen, sondern sie sind an den Boden grüsserer Grewässer sebunden (in erster Linie Seen, dann Flüsse und wohl auch grosse Teiche, die ähnliche Verhältnisse wie die Seen darbieten). Sie sind also Schlammbewohner, wie die Arten der vorhergehenden Unterabteilung der zweiten Hauptgruppe: bisweilen findet man sie auch in Charawiesen (wahrscheinlich leben sie auch dort in oder auf dem Schlamm). Da diese Arten an Ortenleben, an denen ci CE 558 N. VON HOFSTEN sich der Wechsel der Jahreszeiten nicht oder verhältnismässig wenig bemerkbar macht, liegt die Vermutung nahe, dass ihr Vor- kommen nicht an den Sommer gebunden ist. Für die beiden häufigsten Arten, Plagiostomum lemani und Olomesostoma au- ditivum lässt sich in der Tat keine Abhängigkeit von den Jahres- zeiten konstatieren ; wenigstens nach den Angaben DU PLESSIS’ findet man zu jeder Jahreszeit geschlechtsreife Exemplare. Die übrigen Arten sind nur im Sommer beobachtet worden, aber man hat auch nur in dieser Zeit nach ihnen gesucht. Diese wichtige ôkologische Gruppe ist bisher zum grossen Teil nur in der Schweiz beobachtet worden. Die hierhergehôri- gen Arten sind vor allem die auch aus vielen anderen Gegenden bekannten Süsswasserallüocülen Plagiostomum lemani und Oto- mesostoma auditivum, ferner die von mir beschriebenen Typhlo- planiden Castrada spinulosa, C. quadridentata und Lutheria minuta, zuletzt die von FUHRMANXN beschriebene Trigonostomide Trigonostonruwm neocomense. Drei dieser Arten, die beiden Allüocülen und die letztge- nannte Rhabdocüle, nehmen in systematischer Hinsicht eine sehr isolierte Stellung ein und haben 1hre nächsten Verwandten im Meer, Von verschiedenen Forschern, vor allem von ZSCHOKKE werden sie als marin-glaciale Relikte betrachtet, welche am Ende der Eiszeit in das Süsswasser emgewandert seien und die der stenothermen Kaltwasserfauna angehôüren. Wie ich neuer- dings gezeigt habe, haben sie ein viel hôheres Alter im Süss- wasser, und da die Vorliebe für kaltes Wasser nur schwach ausgeprägt ist, künnen sie auch nicht als glaciale Relikte auf- gefassst werden. Dass sie auch in tiergeographischer Hinsicht em erosses Interesse darbieten, ist hierdurch keineswegs verneint worden; vieles spricht dafür, dass sie einer Gruppe mit nôrdlich- temperierter Verbreitung angehôren, obgleich noch viele Tat- - sachen gesammelt werden müssen, ehe etwas sicheres hierüber ge- äussert werden kann. Sehr auffallend und interessant ist, dass RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 539 Plagiostomum lemani in den insubrischen Seen zu fehlen scheint: ich selbst suchte vergebens im Lago Maggiore, FEHLMANN im Lu- ganer See nach dieser in den grossen Seen nürdlich der Alpen so häufigen Art. Die oben versuchte Uebersicht kann folgendermassen zu- sammengefasst werden. I. In temporären Kleingewässern (Frühlingsarten). Beispiele : Dalyellia viridis, Phænocora unipunctat«. II. In konstanten Kleingewässern und am Ufer, bisweilen im Litoral oder in der Tiefe grüsserer Gewässer (Sommerarten). 1. Zwischen Pflanzen (wenigstens in der Regel). Bei- spiele : Castrella truncata, fast alle grünen Typhlopla- niden, Bothromesostoma personatum. Zwischen Pflanzen und im Schlamm; Ubiquisten : oft auch im Bodenschlamm erüsserer (rewässer, einige 1) sogar in temporären Tümpeln. Beispiele: Æhyncho- mesostoma rostratum, Mesostoma lingua. 3. Nur im Schlamme (mehrere nur in Klemgewässern oder am Ufer). Beispiele: Prorhynchus stagnalis, Dochmiotrema limicola, Bothrioplana sempert. III. Andem Bodenschlamm grüsserer Gewässer gebunden. Beispiele : Plagiostomum lemani, Otomesostoma audi- tivum, Castrada spinulos«. Ich wende mich nun zur Erürterung von zwei speziellen Faunengruppen, welche in ükologischer und tiergeographischer Hinsicht ein besonderes Interesse darbieten. Die Tiefenfauna. Tiefenbewohnende Rhabdocüliden sind bisher mit wenigen Aus- nahmen nur aus der Schweiz bekannt; dort sind sie aber um so häufiger studiert worden. Schon vor 40 Jahren fanden FOREL, und DU PLESSIS (4) Rhabdocüliden in der Tiefe des Crenfer Sees, REv. Suisse DE Z001. T. 20. 1912. 38 560 N. VON HOFSTEN und der letztgenannte Forscher hat seither eine Reïhe von Ar- beiten darüber verôffentlicht (siehe alle im Literaturverzeichnis! erwähnten Arbeiten dieses Autors, welche mit Ausnahme der letzten Publikation fast ausschliesslich den Tiefenturbellarien sewidmet sind). In neuerer Zeit sind einzelne Tiefenarten auch von FUHRMANN (92) im Neuchâteler See, von HEUSCHER (86) im Thuner und Brienzer See und von ZSCHOKKE (93, 94, 130) im Vierwaldstädtersee beobachtet worden, und endlich habe ich _selbst in den von mir untersuchten Seen (Thuner und Brienzer See [99, 138|, Genfer See, Lago Maggiore [139]) den tiefenbe- wobhnenden Arten eine besondere Aufmerksamkeit gewidmet. Das wichtigste über die Tiefenrhabdocüliden ist schon in der obigen Uebersicht über die Oekologie genannt worden ; die Wich- tigkeit des (Gregenstandes erfordert aber eine Behandlung im Zusammenhang. Die folgenden Erôrterungen geben in erster Linie meinen persünlichen Ansichten Ausdruck, die ich durch Untersuchungen in verschiedenen Seen gewonnen habe. Die Rhabdocülidenfauna der Tiefenregion, deren obere Gren- ze bei 20 bis 25 m anzusetzen ist, rekrutiert sich aus zwei ver- schiedenen Faunenelementen : 1. widerstandskräftige Ubiquisten und Kosmopoliten, deren eigentliche Heimat am Ufer oder wemgstens in der Litoralregion liegt (zu meiner Hauptgruppe Igehôrig); 2. Schlammbewohner, ausschliesslich auf dem Grund grôsserer Grewässer lebend (meine Hauptgruppe TT. In Bezug auf die letzteren kann hier auf das oben Gesagte hingewiesen werden. Von den 5 dort genannten Arten sind die beiden Allüo- côlen llagiostomuim lemani und Otomesostoma auditivum be- sonders häufig : beide werden in der ganzen horizontalen Aus- dehnung fast aller grüsseren Seen der Schweiz, oft in Jedem Dredeezug, gefunden. Besonders zu bemerken ist, dass alle ! Siehe die dieser Arbeit angegliederte Publikation: Die schwerizerische Turbel- larienliteratur von N. v. HorsreN und P. STEINMANN. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 561 diese Arten in der lLitoralregion ebenso häufig oder häufiger sind; im unteren Teil der Tiefenregion werden sie immer spär- licher. Da natürlich die Ubiquisten umso seltener werden, je tiefer man herabsteigt, ist die Unterscheïidung einer besonderen Tiefenfauna, was die Rhabdocüliden betrifft, eigentlich kaum berechtigt; natürlicher wäre, nur von der Grundfauna zu sprechen. Die in die Tiefe hinabsteigenden Uferarten bilden im Gegen- satze zu der vorigen Gruppe keinen mehr oder weniger typi- schen Bestandteil der Tiefenfauna. Fast stets handelt es sich nur um zZufällige Funde häufiger Seichtwasserarten, welche, von der eigentlhichen Uferzone abgesehen, auch im Litoral selten vor- kommen und nur in vereimzelten Fällen eine Kolonie bis in die Tiefe hinabsenden. Meist findet man daher überhaupt keine Re- präsentanten dieser Gruppe; und wenn sich einmal unter den fast stets vorhandenen typischen Tiefenarten auch eine Litoral- form befindet, so wird es an den verschiedenen Standorten wieder eine andere sein. Nur eine einzigé, besonders gemeine Art, Mesostoma linqua, ist verhältnismässig häufig und in ver- schiedenen Tiefen gefunden worden. Nicht ganz sporadisch scheint ferner die in drei Seen (Genfer See, Vierwaldstädter See und Lago Maggiore, im letzteren jedoch nicht tiefer als 17m) gefundene Art Microstomum lineare in der Tiefenfauna aufzutreten; eimige andere Arten (Sfenostomum leucops, Pro- rhynchus stagnalis, Gyratrix hermaphroditus und Macrostomum appendiculatum) sollten nach DU PLESSIS verhältnismässig häu- fig in der Tiefe des (enfer Sees vorkommen, sie sind aber mit Ausnahme von Prorhynchus stagnalis zwar später in der Tiefe wiedergefunden worden, aber jede Art nur einmal (HOFSTEN, FEHLMANN):; im Vergleich mit Plagiostomum, Otomesostoma und den anderen regelmässig vorkommenden Grundbewohnern müssen sie daher als äusserst selten bezeichnet werden. Die übrigen Arten dieser Kategorie wurden nur gelegentlich in der 562 N. VON HOFSTEN Tiefe des einen oder anderen Sees beobachtet, die meisten so- gar nur ein eimziges Mal. ‘ Zum Schlusse seien die bisher mit Sicherheit in der Tiefe gefundenen Arten aufgezählt?. Die nur ein einziges Mal in der Tiefe beobachten Arten sind mit einem * bezeichnet. Typische Grundbewohner : Castrada spinulosa ((Grenfer See, Lac de Joux, Thuner See, Brienzer See, Lago Magoiore ; bis 70 m). Castrada quadridentata (Thuner See, Brienzer See ; bis 70 m) (im Genfer See nur litoral). ! Gegen die oben geäusserte Ansicht über die Seltenheit litoraler Rhabdocülen in der Tiefenfauna wird man vielleicht einwenden, dass sie durch die Beobach- tungen pu PLessis widerlegt werde; wenn man die Arbeiten dieses Autors liest, bekommt man den Eindruck, dass er mehrere solche Arten sehr häufig in der Tiefe des Genfer Sees beobachtet hat. Darauf ist zu erwidern : ich habe selbst in diesem See und an genau denselben Lokalitäten, wo von Forez und pu PLessis gedregt würde, während drei Wochen mit ähnlichen Geräten gearbeitet und dabei auch hier nur ausnahmsweise litorale Rhabdocëlen gefunden (Otomesostoma und Pla- giostomum wurden dagegen regelmässig beobachtet). Wenn manu ferner die An- gaben Du PLessis sorgfälltig durchgeht, so findet man, dass sie in vielen Fällen ziemlich widersprechend sind (siehe den faunistischen Teil dieser Arbeit); auch fehlen meist bestimmte Angaben über die Anzahl der Funde. Ich glaube daher, dass Ausdrücke wie « fréquent », «abondant » usw. hier nicht ganz wôrtlich zu nehmen sind ; der Autor dürfte — hierfürsprechen direkt die angedeuteten Wider- sprüche — bei seinen Zusammenstellungen sich mehr auf seine subjektiven, während mehrerer Jahre gewonnenen Eindrücke, als auf einen objektiven Vergleich der Befunde verlassen haben. Dass die Rhabdocôlen früher nicht ganz so spärlich in der Tiefe des Genfer Sees vertreten waren, wie während meiner Untersuchungen, will ich jedoch nicht in Abrede stellen. * Grarr (in BRON) zählt in seiner Liste der abyssalen Arten folgende 4 von mir nicht mitgerechneten Arten auf: Dalyellia intermedia, Typhloplana viridata, Mesostoma productum, M. ehrenbergi. Von diesen ist die erstgenannte eine ganz zweifelhafte Art (siehe unten S. 667), während bei den drei übrigen das Vorkom- men in der Tiefe nicht sichergestellt ist (S. 643, 644, 648).— Die Zusammenstellung ZscHokKkes (Die Tiefseefauna der Seen Mitteleuropas) umfasst nicht weniger als 31 Arten, Folgende 7 Species müssen jedoch als zweifelhaft ausgeschlossenwerden : Olis. thanella splendida (ganz unsichere Bestimmung, siehe unten S. 669), Typhloplana viridata (kann jede grüne Typhloplanide sein, siehe unten S. 643), Mesostoma pro- ductum (unsichere Bestimmung, siehe unten S. 644), M. ehrenbergi (nach den letzten Angaben pu PLessis nie im Genfer See lebend, siehe unten $S. 648), M. pusillum, M. sulphureum (ganz zweifelhafte Arten, die ganz zu streichen sind, siehe unten $S. 672), Phonorhynchus lemanus (unsichere Art, siehe unten S. 673). RHABDOCOÔLEN UND ALLOÜOCÔLEN 563 Lutheria minuta (Thuner See, Brienzer See ; bis 60 m). Trigonostomum neocomense (Neuchâteler See, Lago Maggi- ore; bis 120 m). Plagiostomum lemani (allie untersuchten grôsseren a Seen am Nordfuss der Alpen, siehe unten $. 6541. ; bis 300 m; nicht in den insubrischen Seen). Otomesostoma auditivum (alle untersuchten grôsseren Schwei- zer Seen, siehe unten S. 656 ff.; bis 300 m). Hinabgewanderte Litoralarten: Stenostomun leucops (Genfer See, Neuchâteler See, Thuner See ; bis 150 m). Stenostomum unicolor (enfer See, E euchâteler See ?|). Stenostomum agile* (Brienzer See, 32 m). Microstomam lineare (Genfer See, 0 See, Vierwald- städter See, Lago Maggiore; bis 83 [150 ?] m). Macrostomuim appendiculatum (enfer See [?], [Neuchâteler See, ??], Brienzer See ; bis 100 m). Macrostomum orthostylum * (Lago Maggiore, 78 m). Prorhynchus stagnalis (enfer See: bis 60 m). Dalyellia cuspidata * (Thuner See ; 35 m). Castrella truncata* (Thuner See, Tac d'Annecy ; bis 30 m). Strongylostoma radiatum (Genfer See, Lac de Joux ; bis 70 m). Strongylostoma elongatum * (Brienzer See: 35 m). Rhynchomesostoma rostratum ? (enfer See; 45 m). ! In der Schweiz nur in einem Exemplar an der Grenze der Tiefenregion ge- funden (Thuner See, 20m). Nach ZscHokkx tritt C. truncata «nicht selten im Genfer See bis 45 mtief auf. Zscaorke identifiziert hier offenbar C: runcata mit der zweifel- haften Art Vortex intermedius du Plessis; von dieser ist jedoch nicht mehr bekannt, als dass sie nicht mit ©. truncata identisch ist (siehe unten $S. 667). ? In der Schweiz ist Rhynchomesostoma rostratum mit Sicherheit nur an einer Stelle in der Tiefe gefunden worden (pu PLessis; vor Ouchy, 45 m).— Die zahlreichen von Imxor angegebenen Tiefenfundorte sind zweifelhaft, da dieser Autor auch in ganz seichten Seen von einer « Tiefenfauna » spricht. Doch ist es wohl wahrschein- lich, dass er wenigstens in einigen Seen das Tier in der Tiefenregion gefunden hat. 564 N. VON HOFSTEN Olisthanella truncula *\(Genfer See ; 45 m). Castrada viridis * (Genfer See; 25 m). Mesostoma lingua (enfer See, Thuner See, Brienzer See, Joux See; bis 70 m). Gyratrix hermaphroditus (Genfer See, [Neuchâteler See ?], Lu- ganer See; bis 70 m). Zu diesen in der Tiefe gefundenen Arten kommen zwei, die nur in der litoralregion, obgleich unweit der Tiefengrenze gefunden worden sind : Phaænocora clavigera (Thuner See : 10—15 m). Castracda lanceola (Thuner See; 15 m). Die in der Tiefe lebenden Rhabdocülen zeigen nach DU PLESSIS oft mehrere Verschiedenheiten gegenüber den litoralen Reprä- sentanten derselben Arten. Die meisten werden in der Tiefe kleiner und durchsichtiger, bisweilen mit einem durch die Nahrung rot gefärbtem Darme: die Augen werden bei We- sostoma lingua oft rot, statt braun, bei Rhynchomesostoma ros- tratum sind sie viel kleiner als sonst, während sie bei Microsto- mum lineare und Gyratrix hermaphroditus oft ganz fehlen. Wenigstens mit Ausnahme der beiden letzten Arten sind die durch das Tiefenleben hervorgerufenen Veränderungen, wie man sieht, sehr geringfügig. Zu bemerken ist ferner, dass diese Erscheinungen und besonders die Kôrpergrüsse auch in den Flachwässern starken Schwankungen unterworfen sind: 1ch selbst habe bei der einzigen von mir etwas häufiger in der Tiefe ge- fundenen Litoralart, Mesostoma lingua, keine merklichen Unter- schiede gegenüber den am Ufer lebenden Tieren konstatieren künnen. Ich halte es daher nicht für unmôglich, dass DU PLESSIS in diesem Faille, wie bei den Angaben über die Häufigkeit der 1 Von pu Pzessis nur an einer Stelle, dort aber häufig gefunden. Bei der von ZscHokkE aufo#enommenen Fundangabe aus dem Bodensee (Horer) ist die Be- stimmung zZweifelhaft ; siehe unten $S. 650. RHABDOCÔLEN UND ALLOOCÛLEN 565 Uferformen in der Tiefe, bei den bisweilen sich zeigenden Unter- schieden etwas übertrieben hat. Die Hochgebirgsfauna. Dass auch in das wirkliche Hochgebirge Rhabdocüliden hin- aufsteigen, zeigte uns zuerst der Fund ZSCHOKKES ! (50) von Macrostonrum lineare im Garschina See: schon früher hatte IMHOF (32) an der unteren Grenze der Hochgebirgsregion. die meiner Ansicht nach mit der Waldgrenze zusammenfällt, eine Rhabdocülenart (Rhynchomesostoma rostratum) gefunden. In den folgenden Jahren fand der erstgenannte Forscher in den von 1hm untersuchten Seen vier weitere Arten, und FUHRMANN konnte 1897 1m St. Gotthardgebiet 10 Arten (4 jedoch nur bis zur Gattung bestimmt) sammeln (71). In der grossen Arbeit ZSCHOKKE'S (1900, 80) umfasst die Liste der Hochgebirgsarten 15 Species (eine 14. Art muss, da der Fundort im Jura, nur 1500 m ü. M. hegt, ausgeschlossen werden). Sicher bestimmt waren Jedoch damals nur 8 Arten; vier Formen waren nämlich nicht bis zur Species bestimmt und bei einer fünften (Mesostoma viridatum) ist die Bestimmung ebenso unsicher (siehe unten S. 643). Neuere Forschungen (HOFSTEN, 99, 139) zeigen, dass die Rhabdocülidenfauna des Hochgebirges reich entwickelt ist. Aus schweizerischen Gebirgen sind jetzt 24 sichere Arten be- kannt; ichstellesie unten insystematischer Reihenfolgezusammen (die ausschliesslich oder vorwiegend im Hochgebirge beobachte- ten Arten sind mit einem * bezeichnet): Maicrostomum lineare (Rhätikon ; 2189 m). Dalyellia cuspidata (St. Gotthard ; bis 2312 m), « expedita (Berner Oberland, St. Gotthard, Obwalden : bis 2312 m). ! Siehe das Literaturverzeichnis am Ende dieser Arbeit (Die schweizerische Turbellarientiteratur von N. v. Horsrex und P. STEINMANN), 566 N. VON HOFSTEN Dalyellia ornata * (Berner Oberland, Obwalden; bis 1950 m). « diadema (Berner Oberland: bis 2264 m). « infundibuliformis (Ober Engadin ; bis 2220 m). < brevispina* (Berner Oberland, Obwalden; bis 1950 m). « armigera (Berner Oberland, Oberalp ; bis 2040 m). Castrella truncata (Berner Oberland, St. Gotthard, Oberalp. Obwalden, Ober-Engadin ; bis 2456 m). Strongylostoma radiatum (Obwalden, Ober-Engadin ; bis 1980 m). « elongatum (Obwalden ; bis 1980 m). Rhynchomesostoma rostratum (Berner Oberland, Obwalden, Ober-Engadin; bis 2450 m). Tetracelis marmorosa (Ober-Engadin, 2220 m). Castrada stagnorum * (Berner Oberland, Oberalp, Obwalden, Ober-Engadin ; bis 2450 m). inermis * (Oberalp, Obwalden, Ober-Engadin; bis 2450 m). « rhætica * (Ober-Engadin ; 1760 m!). « affinis (Berner Oberland, Oberalp, Ober-Engadin : bis 2450 m). « hofmanni (Ober-Engadin: bis 2156 m). : sphagnetorum * (Ober-Engadin ; 1815 m!). « neocomensis (Obwalden; 2000 m). « luteola * (Berner Oberland, Obwalden, Ober-Engadin: bis 2450 m). Mesostoma lingua (Berner Oberland, St. Gotthard, Oberalp, Obwalden, Rhätikon, Ober-Engadin ; bis 2450 m). Gyratrix hermaphroditus (Berner Oberland, St. Gotthard, Oberalp, Rhätikon, Ober-Engadin; bis 2513 m). Otomesostoma auditivum (St. Gotthard, Rhätikon, Ober-Engadin : bis 2456 m). ! Diese beiden in der Schweiz nur unterhalb der Waldgrenze gefundenen Arten werden hier mitgenommen, da sieoffenbar in hüherem Grade als die meisten übrigen der Hochgebirgsfauna angehôren ; siehe unten S. 568. RHABDOCÔLEN UND ALLÜOCÔÜLEN 567 Mit Ausnahme der letztgenannten Allüocüle gehôren alle diese Arten zu der in konstanten Kleingewässern und am See- ufer lebenden Fauna. Die für die temporären Tümpel charak- teristischen Formen fehlen im Hochgebirge ganz ; müglicherweise kann jedoch dieses Fehlen darauf beruhen, dass geeignete Ge- wässer nicht untersucht worden sind. Der grüsste Reichtum an Individuen und Arten findet man in Tümpeln und Teichen mit reicher Vegetation, wo das Wasser an sonnigen Tagen stark er- wärmt wird. In Gewässern, die von Gletscher- oder Schmelz- wasser gespeist werden und in solchen, die tief und deshalb konstant kalt sind, findet man — ausgenommen an Uferstellen, welche den Charakter von warmen Tümpeln zeigen — keine Rhabdocôlen. Unter den für den Grund der Seen charakteristischen Arten ist nur Ofomesostoma auditivum auch in Hochgebirgsseen beob- achtet. Hervorzuheben ist, dass diese Art an ihren alpinen Standorten unter ganz ähnlichen Verhältnissen wie in den Gewässern der Ebene lebt und ebensowenig wie dort in der eigentlichen Uferzone anzutreffen ist. Besonders bemerkens- wert ist, dass die in den subalpinen Seen häufige Art Plagio- stomum lemani im Hochgebirge vollkommen fehlt; und dabei kann es nicht môglich sein, dass sie zufällig übersehen worden wäre, da die Art sehr gross und sonst leicht zu finden ist. Tiergeographische Stellung der Hochgebirgsrhab- docüliden. Die einzige echte Bodenform der alpinen Gewässer, Otomesostoma auditivum, nimmt in Lebensweise und Verbrei- tung eme Sonderstellung ein: dass sie jedoch nicht, wie früher allgemein angenommen wurde, den arktisch-alpinen Elementen der Fauna angehôrt und ganz bestimmt kein marin-glaciales Relikt ist, wurde schon oben bemerkt. Von den 23 Rhabdo- colen sind die meisten — wie man bis vor kurzem glauben musste, alle — überall verbreitete Kosmopoliten. Bei genauerer 568 N. VON HOFSTEN Durchmusterung fällt es sogleich auf, dass die im Hochgebirge häufigsten Arten zu denen gehüren, von denen wir schon früher gefunden haben, dass sie sich verschiedenen äusseren Bedin- gungen besonders leicht anpassen; dies gilt in gewisser Bezie- hung von Castrella truncata, voll und ganz von tyratrix herma- phroditus, Rhynchomesostoma rostratum und Mesostoma lingua. Andere, etwas weniger ausgeprägte Ubiquisten und Kosmo- politen sind im Hochgebirge seltener ; viele davon treten Jedoch auch in der Ebene ziemlich sporadisch auf (z. B. Tetracelis marmorosa), es gibt aber emige sonst sehr häufige Arten, welche im (rebirge auffallend selten (Microstomum lineare) oder gar nicht (z. B. Séenostomum leucops, Macrostomum viride, Typhlo- plana viridata) beobachtet worden sind. Allgemeime Schlüsse kônnen jJedoch aus den zuletzt angeführten Tatsachen gegen- wärtig nicht gezogen werden. Neuere Forschungen (HOFSTEN) haben eme Gruppe von Arten bekannt gemacht, welche nicht, wie diese Kosmopoliten: in der Ebene viel häufiger sind als im Gebirge, sondern im Gegenteil ausschliesshich oder jedoch vorwiegend in hochalpmen Gewässern gefunden worden sind; einige derselben sind zu- gleich aus dem nordschwedischen Gebirge bekannt. Von den 7 Arten dieser Kategorie gehôren 2 der Gattung Dalyellia, die übrigen der Gattung Castruda an. 3 Arten (Dalyellia ornata, D). brevispina, Castrada inermis) sind ausschlesslich 1m schwei- zerischen Hochgebirge gefunden worden; die letztgenannte Art ist dort in drei, die beiden übrigen sind in zwei verschiedenen Gegenden beobachtet worden. Dass die beiden Dalyellia-Arten hauptsächlich dem Gebirge angehôren, kann erst bei genauerer Kenntnis ihrer Verbreitung sicher behauptet werden; die Müg- lichkeit, dass sie zufälligerweise bisher nur dort beobachtet wurden, ist nicht ausgeschlossen (besonders gilt dies von der in nur zwei Exemplaren gefundenen D. brevispina). Castrada inermis dagesen fand ich so gemein, dass man sie schon Jetzt RHABDOCOÔLEN UND ALLÜOCÜLEN 569 mit einiger Wahrscheinlichkeit als eine echte Gebirgsart bezeichnen kann. Zwei andere Arten, Castrada rhaetica und -C. luteola, sind ebenfalls ausschliesslich in alpinen Gewäs- sern gefunden worden, sie sind aber ausser im schweizerischen auch im nordschwedischen Hochgebirge verbreitet. Die erstere Art ist in jeder dieser Gegenden nur einmal und in der Schweiz nur an der unteren Grenze der Hochgebirgsregion getunden worden. C. luteola dagegen ist in beiden Verbreitungsbezirken häufig ; von keiner andern Art kann man mit solcher Sicherheit behaupten, dass sie eine hochalpine Form sei. Die zwei übrigen Arten, Castrada sphagnetorum und C. stagnorum, Wurden zuerst aus nicht alpinen Gewässern beschrieben (LUTHER), sie sind aber später sowohl im lappländischen wie im schweizerischen Hochgebirge wiedergefunden worden. Die erstere Art, die auch aus Bühmen erwähnt wird (SEKERA), ist hier wie dort selten und nur ganz provisorisch zu den alpinen Arten zu zählen. C. stagnorum dagegen ist in den Hochgebirgsæegenden der beiden Länder eme überaus häufige Art (in der Schweiz habe ich sie in vier weit voneimander entfernten Gregenden gefunden) : allem Anscheine nach ist diese Art daher im erster Linie für alpine Gewässer charakteristisch. Wenn die oben besprochenen Arten also wenigstens teilweise echte Gebirgsarten sind, so ist daber nachdrückhich hervor- zuheben, dass sie 1m (rebirge an dieselben Lebensbedingungen wie die Kosmopoliten gebunden sind: sie finden sich nur in periodisch stark erwärmtem Wasser und treten er:t spät 1m Sommer auf. Die Temperatur solcher wenig umfangreichen Wasseransammlungen, wie sie die Rhabdocôülen bevorzugen, ist bekanntlich sehr starken Schwankungen unterworfen; in der Nacht und bei kalter Witterung ist sie sehr medrig (10—13 ° C. oder weniger)undsteigt beistarker Besonnung rasch zu 17—21 © (nicht selten habe ich sogar zwischen den Pfanzen hochgele- sener Tümpel Temperaturen von 25° gemessen). Es ist offen- 570 N. VON HOFSTEN bar, dass auch die Rhabdocülen dieser Kategorie nicht nur solche hohe Wärmegrade ertragen, sondern dass sie für ihre Entwicklung einer, wenngleich oft unterbrochenen, starken Erwärmung des Wassers bedürfen. Stenotherme Kaltwasser- tiere sind sie also nicht; wenn man nur an die Entwicklung denkt, müsste man sie ja eher als Warmwassertiere bezeichnen. Wie diese Tatsachen mit der beschränkten Verbreitung der Tiere in Emklang zu bringen sind, muss ich, solange die Oeko- logie und Verbreitung nicht im Detail untersucht sind, dahin- sestellt lassen. IT SYSTEMATISCHE UEBERSICHT der schweizerischen Rhabdocôlen und Allôocôlen. (Bestimmungstabellen). Untersuchungsmethoden. Zur Bestimmung der Species ist 1m allgemeinen eine sorgfältige Untersuchung des anatomi- schen Baues, vor allem der Geschlechtsorgane, notwendig. In den meisten Fällen genügt eme genaue Untersuchung der leben- den, gequetschten Tiere:; sehr viele Arten, bei welchen z. B. der nach der Konservierung deformierte Chitinapparat des Co- pulationsorgans das wichtigste Erkennungsmerkmal darbietet, kônnen nur in diesem Zustand sicher bestimmt werden. Oft ist natürlich auch die Untersuchung von Schnittserien zu empfehlen : wenn es sich nur um eine sichere Bestimmung der Arten han- delt, dürfte jedoch diese bei Verfolgung anderer Zwecke unent- behrliche Methode fast stets überflüssig sein. Organisation der Rhabdocôlen und Allocôlen. Die in schweïzerischen Binnengewässern lebenden Rhabdocülen RHABDOCOÜLEN UND ALLOOCÔLEN 571 und Allüocôlen gehôüren 11, durch tiefgreifende anatomische Un- terschiede vonemander getrennten Familien an. Eine allgemeine Schilderung der Organisation der beiden Hauptgruppen (Rhab- docœla und Allæocæla) oder der einzelnen Familien müsste, um wirklichen Nutzen bringen zu kôünnen, sehr umfassend und von zahlreichen Figuren begleitet sein. Eine solche Darstellung würde aus dem Rahmen dieser Arbeit fallen; ich ziehe es vor, auf jeden Versuch in dieser Richtung zu verzichten, und ver- weise auf die erschüpfende Behandlung, welche GRAFF in « BRONN >! der Organisation der < Rhabdocælida >» gewidmet hat; eine kurzgefasste Darstellung hat derselbe Autor neuer- dings in Die Süsswasserfauna Deutschlands gelhefert. * Bestimmung der Arten. Ebenso wie ich keine allgemeine Schilderung der Morpholo- gie geben wollte, habe ich auch von Speciesdiagnosen Abstand genommen. Auch sie müssten verhältnismässig ausführlich und besonders von zahlreichen Figuren begleitet sein; sie würden daher den Zweck dieser Arbeit verschieben. Auch die nach- stehenden Bestimmungstabellen habe ich nur mit einigem Be- denken aufgenommen. Eine sichere Bestimmung der Arten ist nämlich im allgemeinen durch die besten Tabellen nicht müg- ich. Meine Tabellen enthalten nun erstens nur diesicherenschweï- zerischen Arten ; dass aber alle in der Schweiz lebenden Arten gewiss noch nicht gefunden sind, geht aus den obigen Bemer- kungen (S. 551) über die Verbreitung der Rhabdocüliden her- vor. Zweitens künnen ja in solchen Tabellen nur einige wenige, ausserdem nicht durch Figuren erläuterte Merkmale berück- sichtigt werden. Wer nicht selbst mit dieser Gruppe vertraut ist, sei daher ausdrücklich davor gewarnt, sich allzu sehr auf ? Turbellaria in : Bronxs Klassen und Ordnungen des Tierreichs. Bd. IV, Abt. I, c. I. Abt. Acæla und Rhabdocælida. Leipzig 1904-1908. © Turbellaria. I. Teil : Allgemeines und Rhabdocælida. In : Die Süsswasser- fauna Deutschlands, herausgeg. von Prof. Dr BrauEer. IV. Leipzig 1909. D12 N. VON HOFSTEN die Bestimmungstabellen zu verlassen. Die Ergebnisse der Ta- bellenbestimmung müssen stets durch Studien der emschlägigen Literatur ! nachgeprüft werden; besonders wichtig ist ein ge- nauer Vergleich mit den vorhandenen Figuren. Die jeder Art beigefügten Literaturnachweise haben den Zweck, das Auffinden solcher zur Vervollständigung der Tabel- len nütigen Beschreibungen und Figuren zu erleichtern. Dass besonders die kleinen Rhabdocülen auch bei aller Sorgfalt und bei vollständiger Ausnützung der Literatur für den Anfänger und den Nichtspezialisten sehr grosse Schwierigkeiten bieten, dürfte allgemein bekannt sein. Wenn die nachstehenden Bestimmungstabellen also eme sehr beschränkte Aufgabe haben, so glaube ich doch, dass sie mcht nutzlos sind; bei richtiger Anwendung dürfte die Bestimmung erleichtert werden. Dass sie nicht vollständig sind, istauch micht notwendig als Nachteil zu betrachten:; die meisten fehlenden Arten sind überall äusserst selten, und die Tabellen geben also eine Uebersicht über die in ganz Europa häufigeren Arten (rich- tiger Sommerarten, vel. oben S. 554) Auch môchte ich darauf aufmerksam machen, dass meine Tabellen, soweit es jetzt müglich ist, nur sichere Arten und nur sicher bestätigte Angaben der Literatur enthalten; sie bilden daher eine vielleicht willkommene Ergänzung zu den neuen Bestim- mungstabellen GRAFF’S (1909), welche in mehreren Fällen irre- führen müssen. Die wenigen Figuren, die ich den Tabellen beïfüge, haben nur eine ganz beschränkte Aufgabe; sie sollen teils das Aus- sehen einiger Repräsentanten der wichtigsten Gruppen veran- ! Die zu diesem Zweck nôtigen Arbeiten sind in einem besonderen, dieser Sys- tematischen Uebersicht beigefügten Literaturverzeichnis zusammengestellt (S. 593). 3esonders wichtig für die Speciesbestimmung sind folgende Arbeiten : GRAFF 1882, 1909 ; Lurner 1904. 1905; Horsren 1907, 1907 a, 1911; BrauN 1885; BRrixk- MANN 1905; Dorner 1902 ; FuHRrMANN 1894. de elle RHABDOCÔLEN UND ALLOÜOCÔLEN DT schaulichen, teils die Bedeutung der in den Tabellen gebrauch- ten anatomischen Fachausdrücke erklären. Nur sichereschweizerische Arten smd, wie ich noch einmal hervorheben muss, in folgende systematische Uebersicht aufgenommen. Aus eigener Anschauung kenne ich von diesen 66 Arten 58 (alle ausser Catenula lemnae, Stenostomum uni- color, Rhynchoscolexæ simplex, Microstomum giganteum, Da- lyellia rubra, Opistomum pallidum, Olisthanella truncula, ALe- sostoma productum). RHABDOC(ELA. Bestimmungstabelle für die Familien der Süsswasserrhabdocülen ‘. L Mit Ovarien. Weibliche Hilfsorgane fehlen. (Sectio Hys- terophora). 1. Mit einem Pharynx simplex. A. Mit einem mediodorsalen Hauptstamm des Excre- tionssystems. (Entweder pigmentlose, lichthrechende Organe, Statocyste oder präorale Ringfurche vor- handen. Mit ungeschlechtlicher Fortpflanzung.) L Fam. CATENULIDÆ. B. Mit paarigen Hauptstimmen des Excretionssystems. (Weder lichthbrechende Organe, noch Statocyste, noch Ringfurche vorhanden.) IT. Fam. Microsrominx. 2. Mit einem Pharynx compositus. IL. Fam. PRoRHYNCHIDÆ. I. Weibliche Gonaden in Keimstôcke (Germarien) und Dotter- stôcke (Vitellarien) getrennt. Weiïbliche Hilfsorgane fast stets vorhanden (Bursa copulatrix, Receptaculum seminis und Uterus, oft alle drei} (Sectio Lecithophora). 1. Rüssel fehlt ganz oder entbehrt, wenn vorhanden (1 Art), einer präformierten Scheide (Subsectio Ziporhynchia). ! Grôsstenteils nach GRAFF zusammengestellt. [ui —] Tr N. VON HOFSTEN A. Mit einem zur Bauchfläche parallelen oder wenig geneigten, mehr oder weniger langgestreckten Pha- ryux doliiformis, mit einer Ausnahme (Gen. Oprsto- mum) nahe dem Vorderende gelegen. IV. Fam.DALYELLHDx. B. Mit einem senkrecht zur Bauchfläche gestellten, kugeligen Ph. rosulatus, meist in oder nicht sehr weit vor oder hinter der Kürpermitte gelegen. V. Fam. TyPHLOPLANIDÆ. 2. Mit einem im Ruhezustande von einer Scheide umschlos- senen Rüssel (Subsectio Xalyptorhynchia). A. Rüssel klein, mit schwachem Muskelzapfen. Eine Geschlechtsôffnung. VI. Fam. TriGoNosromIDx. B. Rüssel wohlentwickelt. Zwei Geschlechtsôffnungen, die männliche hinter der weiblichen (1 häufige Art). VII. Fam. GYRATRICIDÆ. [C. Rüssel wohlentwickelt. Eine Geschlechtsôffnung (in der Schweiz nur die zweifelhafte Art Phonorhyn- chus lemanus). VIIL. Fam. Pozycysriprpx.| I. Fam. CATENULIDÆ. Mit vier Gattungen, davon drei in der Schweiz. Bestimmungstabelle für die schweizerischen Gattungen. L Mit Statocyste und präoraler Ringfurche. CATENULA. IT. Ohne Statocyste und Ringfurche. 1. Ohne Rüssel. STENOSTOMUM. 2. Mit keulenfôürmigem Rüssel. RHYNCHOSCOLEX. Gen. Catenula Ant. Dug. Mit 1 Art: C. lemnæ Ant. Dug. Wicht. Literatur : MRAZEK 1906 !. ! Die Jahreszahlen in den Bestimmungstabellen weisen auf das Literatur- verzeichnis am Ende der systematischen Uebersicht (S. 593), nicht auf das Verzeichnis der schweizerischen Turbellarienliteratur, das nur schweizerische Arbeiten enthält. RHABDOCÔLEN UND ALLÜOCÔÜLEN Qt | U Gen. Stenostomum (. Schm. Mit 6 bis 8 sicheren Arten, davon 3 in der Schweiz. Bestimmungstabelle für die schweizerischen Arten: L Mit einem durch eine sehr leichte Einschnürung abgesetz- ten, vorn Zzapfenartig verschmälerten Kopflappen (licht- brechende Organe kugelig, nicht aus mehreren Kügelchen zusammengesetzt). S. unicolor O. Schm. Wicht. Literatur: Vespovsky 1882. IL. Kein vom übrigen Kôrper abgesetzter Kopflappen, Vorder- ende spitzbogenfürmig verschmälert. 1. Lichthrechende Organe schüsselfrmig, aus mehreren kleinen Kügelchen zusammengesetzt. $. leucops (Ant. Dug.) Wicht. Lit.: ScHmipr 1848, GRAFF 1875, Orr 1892. 2. Die lichtbrechenden Organe bilden kugelige Bläschen, deren hintere Wandung verdickt und mit einer kleinen inneren Erhebung versehen ist. S. agile (Silliman). Wicht. Lit. : SILLIMAN 1885, FUHRMANN 1894. Gen. Rhynchoscolex Leidy. Mit 1 Art: R. simplexz Leidy (Syn.: À. Veydovskyi Sekera). Wicht. Lit. : SEKERA 1888. IT. Fam. MICROSTOMIDÆ. Mit zwei Unterfamilien. Bestimmungstabelle für die Unterfamilien : [L Mit präoralem Darmblindsack und verjüngtem Hinterende : ungeschlechtliche Fortptlanzung neben der geschlecht- lichen. MicROSTOMINÆ. IL. Ohne präoralen Darmblindsack. Hinterende zu einer Haft- scheibe verbreitert ; Fortpflanzung nur geschlechthch. MACROSTOMINÆ. Rev. Suisse. DE Zoo. T. 20 1912. 39 576 N. VON HOFSTEN Subfam. Microstominæ. Im Süsswasser 1 Gattung : Gen. Microstomum 0. Schm. Mit 2 sicheren Süsswasserarten. Bestimmungstabelle für die Arten: I. Am Hinterende ein mit Haftpapillen besetzter Schwanz- anhang, der präorale Darmschenkel kurz. M. lineare (Müll.) Wicht. Lit.: GRAFF 1875, WAGNER 1890. Fig. 1. — Beispiel einer Micro- stomide: Microstomum lineare O. Schm. Nach Grarr. Das Tier befindet sich in ungeschlecht- licher Fortpflanzung (Quertei- lung). Mansieht vorn die Augen, dahinter die Wimpergrübchen und (rechts) die Mundôffnung. Die häufigsten Catenuliden (Gen. Stenostomum.)sind habituell nicht unähnlich, besitzen aber pigmentlose, lichthbrechende Or- gane statt Pigmentaugen. IL. Schwanzanhang und Haftpapillen fehlen, der präorale Darmschenkel erstreckt sich bis nahe zur vorderen Kürper- spitze. M. giganteum (Hallez). Wicht. Lit.: WAGNER 1890. RHABDOCÔLEN UND ALLÜOCÛLEN 571 Subfam. Macrostominæ. Mit einer Gattung : Gen. Macrostomum 0. Schm. Mit 5 sicheren Arten, davon 3 in der Schweiz. Bestimmungstabelle für die schweizerischen Arten: I. Chitinapparat des Copulationsorgans gebogen, mit scharfer Spitze und seitenständiger Oeffnung. 1. Vesicula seminalis und Ves. granulorum durch einen engen Kanal miteinander verbunden. Copulationsorgan nicht spiralig gewunden. M. appendiculatum (O. Fabr.). (Syn. M. hystrix Oerst.) Wicht. Lit.: GRArFF 1882, LurHer 1905. >, Vesicula seminalis und Ves. granulorum in ganzer Breite verwachsen. Copulationsorgan schwach spiralig ge- krümmt. M. viride E. Bened. Wicht. Lit.: LuTHER 1905. IT. Chitinôses Copulationsorgan ein gerades, zugespitztes Rohr mit schräg endständiger Oeffnung, M. orthostylum M. Braun. Lit.: BRAUN 1885, HorsTEx 1911. IT. Fam. PRORHYNCHIDÆ. Einzige Gattung : Gen. Prorhynchus M. Schultze. Mit 5 bis 7 sicheren Arten, davon 2 in der Schweiz. Bestimmungstabelle für dieschweizerischen Arten: I. Augen fehlen, Vorderende nicht verbreitert. P. stagnalis M. Schultze. Wicht. Lit.: Scauzrze 1851, GrArr 1909. II. Zwei Augen, Vorderende zu zwei breiten, abgerundeten seitlichen Ochrchen verbreitert. P. sphyrocephalus (De Man). Wicht. Lit.: pe Man 1876. nat 578 N. VON HOFSTEN IV. Fam. DALYELLIIDÆ. Im Süsswasser 4 Gattungen. Bestimmungstabelle für die Gattungen: I. Pharynx tonnenfürmig und mit der Spitze nach vorn gerichtet. 1. Geschlechtsôffnung im letzten Kürperdrittel, Dotterstücke unverästelt (eingeschnitten oder papillôs, selten papillôs- gelappt). A. Männliches Copulationsorgan ein grosser, etwa birn- formiger Blindsack, ohne deutlich gesonderte Tasche für den Chitinapparat : der letztere nie mit einfachem Stiel. (2 Augen). DazyeLLrA Flem. B. Männliches Copulationsorgan in zwei kleine, deut- lich getrennte Taschen gespalten, von welchen die eine das Sperma und das Kornsecret, die andere den Chitinapparat enthält; der letztere mit einfachem Stiel und zwei stacheltragenden Endästen. (2 dop- pelte Augen.) CasTRELLA Fuhrm. 2. Geschlechtsüffnung vor der Kôrpermitte, Dotterstôcke verästelt, meist miteinander zu einem Netz verschmolzen. : Paæxocor4a Ehrbg. IL Pharynx ein langer, mit der Spitze nach hinten gerichteter Schlauch (Geschlechtsôffnung im letzten Kürperdrittel, Augen fehlen). OPisromux O0. Schm. Gen. Dalyellia Flem. (Syn. Vortex Ehrbg.) Mit 18 sicheren europäischen Arten, davon 13 in der Schweiz. Bestimmungstabelle für die schweizerischen Arten: IL Hoden (bei allen anatomisch untersuchten Arten) ventral von den Dotterstücken. 1 Ei (in einem Uterus). Kleine (meist hôüchstens 1,5, selten bis 2 mm lange), nicht durch Z00- chlorellen grün gefärbte Arten. RHABDOCÜLEN UND ALLOÜOCÔLEN 579 1. Der Chitinapparat des Copulationsorgans besteht aus 4 bis zahlreichen, im Kreis oder Halbkreis gestellten, iso- lierten oder durch einen Ring oder Halbring zusammen- gehaltenen, grüsstenteils gleich grossen Stacheln. Hoden (bei allen näher bekannten Arten) in der zweiten Kôrper- hälfte. A. 4—6 Stacheln, nicht durch einen Chitinband ver- bunden. D. cuspidata (O0. Schm.) (Syn. D. sexdentata Graff) Wicht. Lit.: Scamipr 1861 GeAFF 1882, HorsTEN 1907 Fig. 2. — Beispiel einer Da- lyellia-Art: D. armigera O. Schm. Nach GRArFr. (Zu demselben Verwandt- schaftskreis gehôrt auch das Genus Castrella).. CE CM B. Mehr als 6 Stacheln, an einem halbkreisférmigen oder kreisfürmigen (im letzteren Falle offenen oder geschlossenen) Chitinband befestigt. a) 9 Stacheln, an einem Halbring befestigt. D. diadema Hofst. Lit. : Horsren 1907. b) 10 Stacheln, an einem ringfôrmig geschlossenen Chitinband befestigt. D. rubra (Fuhrm.) Wicht. Lit.: FuHRMANN 1894. €) 20—30 Stacheln, an einem vollständig oder un- vollständig geschlossenen Chitinring befestigt. a. Ein selbständiges, kugeliges und sehr grosses teceptaculum seminis. Copulationsorgan gross, mit 20—22 Stacheln. D. ornata Hofst. Lit.: Horsren 1907, 1911. 580 N. VON HOFSTEN 6. Kein konstantes Receptaculum seminis. Copu- lationsorgan sehr klein, mit 25—30 Stacheln. * Sehr hell pigmentiert. Der Chitinring be- steht aus einem unregelmässigen Faserwerk. Bursa copulatrix mit schmalem Stiel und schwach erweiterter Endblase. D. expedita Hofst. Wicht. Lit.: Horsrex 1907. 1911. #* Dunkelbraun. Der Chitinring schwach chiti- nisiert, mit etwa 20 in der Stachelrichtung verlaufenden, ziemlich parallelen Verbin- dungsbrücken. Bursa copulatrix ohne schmäleren Stiel, aber in der Mitte ein- geschnürt. D. foreli Hofst. Lit.: HorstEN 1911. 2. Der Chitinapparat besteht aus einer nur schwach gebogenen, am distalen Rande verschiedene Anhängsel (nie nur Stacheln) tragenden Platte. Hoden in der zwei- ten Kôrperhälfte. A. Die Platte läuft median in eine zungenfürmige, ver- schmälerte Rinne aus und trägt an Jeder Seite der- selben 7—10 nach aussen kürzere Stacheln. D, triquetra Fuhrm. Wicht. Lit.: FuHrManx 1894. 1900 ; Horsrex 1911. Die Platte läuft median in eine sehr lange, gleich breite Rinne aus und trägt an jeder Seite derselben ‘einen inneren einfachen und einen äusseren besta- chelten Endast. D. infundibuliformis Fuhrm. Wicht. Lit.: Horsrex 1907 a (D. succincta), 1911. Die Platte trägt 4 verschiedenartige Anhängsel, da- von nur 1 mit Seitenstacheln, keine mediane Rinne. D. virgulijera Plotnikow. Wicht. Lit.: Horsrex 1907 a (D. pallida). 3. Der Chitinapparat hat 2 seitliche Stiele und 2 stachel- tragende oder einfache Endäste, zwischen den letzteren eine mediane Rinne, Hoden (bei der näher untersuchten D. armigera) in der ersten Kôrperhälfte. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔÜLEN 581 A. Die Endäste tragen beide an ihrer inneren Seite 10—12 lange Stacheln. D. hallezi Graf. Wicht. Lit.: GrArr 1882. B. Der eine Endast trägt etwa 10, der andere etwa 20 kurze Stacheln. D. brevispina Hofst. Lit.: HorsTEN 1907, 1911. \ üug vs ks ch pg Fig. 2. — Schema des Geschlechtsapparats einer Dalyellia-Art: D. ornata Hofsten (Hinterende des Tieres, von der Seite gesehen). Nach Horsrex 1907, verändert. be — Bursa copulatrix. — ch — Chitinapparat des männlichen Copulationsorgans. — d— Darm. — de— Ductus communis. — gd = Germiduct. — ge = Germarium. — #s = Korn- secretteil des männl. Copulationsorgans. — pg = Geschlechtsüffinung. — rs — Receptaculum semims. — # = Uterus. — wg = Uterusgang (bei dieser Art kaum angedeutet). — vid = Dotter- gang. — vs = Vesicula seminalis des männl. Copulationsorgans. — wdr = weibliche accesso- rische Drüsen (fälschlich « Schalendrüsen » genannt). C. Der eine Endast trägt eine wechselnde Anzah] von Stacheln (meist 5 bis 8), der andere ist unbestachelt. D. armigera (O. Schm.) Wicht. Lit. : Grarr 1882, VeJpovsky 1895 (Vort. nicrophthalnus). Il. Hoden dorsal von den Dotterstôcken. Mehrere Eier. frei im Parenchym liegend. Grosse (bis 5 mm), durch Z00- 582 N. VON HOFSTEN chlorellen grün gefärbte Art. (Chitinapparat mit 2 Stielen und 2? bestachelten Endästen). D. viridis G. Shaw. Wicht. Lit.: Scaurrze 1851. GRAFF 1882. Gen. Castrella Fuhrmann. Mit einer europäischen Art: C. truncata (Abildg.). Wicht. Lit.: Horsrex 1907, 1910. Gen. Phænocora Ehrbg. (Syn. Derostoma Oerst.) Mit 7 bis 8 sicheren Arten, davon 4 in der Schweiz. Bestimmungstabelle für die schweizerischen Arten: I. Mit Augen. Hinterende zugespitzt. 1. Penis ohne Stacheln. P. unipunctata (Oerst.). Wicht. Lit : Scaurrze 1851, Verpovsky 1895, BRINK- MANN 1905. 2. Penis dicht mit Stacheln besetzt. P. rufodorsata (Sekera). Wicht. Lit.: Horsren 1911. II. Ohne Augen, Vorderende diffus rôtlich gefärbt. Hinterende verbreitert. 1. Penis langgestreckt. ohne Stacheln. P, gracilis Vejdovsky. Wicht. Lit.: VEJDOVSKY 1895, HorsrTex 1911. 2, Penis keulenfürmig, mit etwa 15 grüsseren und einigen kleineren Stacheln. in 5 undeutlichen Querreihen geord- net, besetzt. P, clavigera Hoïsten. Wicht. Lit.: Horsrex 1911. Gen. Opistomum 0. Schm. Mit 1 sicheren Art : O. pallidum O. Schm. Wicht. Lit.: ScHuLzTzE 1851, VEJDovsKY 1895. V. Fam. TYPHLOPLANIDÆ. Umfasst 3 Tribus mit zusammen 10 Gattungen *. 1 Dazu kommen 4 neuerdings von SEKERA (1912) aufgestellte Gattungen der Tribus Olisthanellini. RHABDOCÜLEN UND ALLOOCÜLEN 583 Bestimmungstabelle für die Gattungen : I. Die Excretionsstimme münden direkt an der Kôrperober- fläche, Geschlechtsôffnung im hintersten Kôrperdrittel (Tri- bus Olisthanellini). 1. Mit einem Paar Excretionsôffnungen zwischen Mund und Geschlechtsüffnuneg. OLISTHANELLA. 2. Mit einer unpaaren, rechts von der Geschlechtsüffnung liegenden Excretionsôffnung. DOCHMIOTREMA. IL Die Excretionsstämme münden in einen dem Mund aufge- setzten Excretionsbecher oder in das Atrium genitale, Ge- schlechtsôffnung vor dem hintersten Kôrperdrittel. 1. Hoden ventral von den Dotterstôcken, adenale Rhabdoide nur in den Stäbchenstrassen (Tribus T'yphloplanini). A. Vorderende ein fernrohrartig einziehbarerTastrüssel, Excretionsstämme in das Atrium genitale mündend. (2 Augen.) RHYNCHOMESOSTOMA. B. Ohne Tastrüssel, mit Excretionsbecher:. a) 4 Augen. TETRACErIS. b) Augen 2 oder 0. aa) Hoden vor der Kürpermitte gelegen. aaa) Mit Bursa copulatrix, ohne Atrium co- pulatorium. (2 Augen.) STRONGYLOSTOMA. bbb) Mit Bursa copulatrix und Atrium copu- latorium. (Mit 1 Ausnahme ohne Augen.) CaSTRADA. cce) Ohne Bursa copulatrix und ohne Atrium copulatorium. (Ohne Augen.) TypHLOPLANA. bb) Hoden im hintersten Kürperteil gelegen, (Mit Bursa copulatrix, ohne Atrium copulatorium, 2 graue Augen.) LUTHERTA. 2, Hoden dorsal von den Dotterstücken. adenale Rhabdoïde auch ausserhalb der Stäbchenstrassen. (Grosse Arten. mit 2? Augen.) (Tribus Mesostomatini.) 584. N. VON HOFSTEN A. Miteinem ventralen Hautblindsack vor dem Pharynx und einem Ductus spermaticus. BOTHROMESOSTOMA. B. Ohne ventralen Hautblindsack und Ductus sperma- ticus. MEsosroma. ESS Fig. 4. — Beispiel einer T y- phloplanide: Mesosto- ma lingua Abildg. Nach Horsrex 1907. nan % ÿ 4 “0 *0 © “À Gen. Olisthanella W. Voigt. Mit 4 bis 6 sicheren Süsswasserarten, davon in der Schweiz mit Sicherheit nur die mit zwei Augen versehene O. truncula O. Schm. Wicht. Lit : Scaminr 1858, Grarr 1875 (Mesostoma banaticum), Voicr 1892, SEKERA 1912. Gen. Dochmiotrema Hofsten. Mit einer (blinden) Art: D, limicola Hofsten. Lit.: Horsren 1907. Gen. Rhynchomesostoma Luther. Mit einer Art : k. rostratum (Müll.) Wicht. Lit.: GRArr 1882, LuTHER 1904. Gen. Tetracelis Ehrbg. Mit einer Art: T. marmorosa (Müll.). Wicht. Lit.: GRAFrF 1882 (Mesostoma robertsoni), Lure 1904. RHABDOCÜLEN UND ALLOOCÛLEN 585 Gen. Strongylostoma Oerst. Mit 2 Arten. Bestimmungstabelle für die Arten: I. Ductus ejaculatorius sehr gross, zweigespalten, überall mit kräftigen Stacheln besetzt. Bursa copulatrix mit Stiel. S. radiatum (Müll.). Wicht. Lit.: Lurner 1904. IT. Ductus ejaculatorius klein, einfach, im distalen Teil mit schlanken Stacheln besetzt. Bursa copulatrix ohne Stiel. S. elongatum Hofsten. Wicht. Lit.: Horsrex 1907, 1911. (Gen. Castrada O. Schm. Mit 19 bis 21 sicheren Arten, davon 18 in der Schweiz. Bestimmungstabelle für die schweizerischen Arten: 1 Mitzwei Augen. C. fuhrmanni Volz. Lit.: Vozz 1901; Horsrex 1911. IL Ohne Augen. 1. Atrium copulatorium unbestachelt oder mit ziem- lich gleichgrossen Zähnchen besetzt, ohne einzelne grobe Haken. A. Das Atrium copulatorium besitzt ausser der Bursa copulatrix keine blindsackähnlichen Ausstülpungen. a) Ohne Zoochlorellen. æ. Bursa copulatrix ohne erweiterte, dünnwandige Endblase und ohne Stacheln. C. perspicua (Fuhrm.). Wicht. Lit.: Lurner 1904 (C. segne) ; Horsrex 1911. 8. Bursa copulatrix mit erweiterter Endblase. der Stiel von stäkeren Muskeln umgeben und innen mit Stacheln besetzt. 586 N. VON HOFSTEN au. Der ganze Stiel bestachelt. Kleine Art (1,5 mm lang). C, segnis (Fuhrm.). Wicht. Lit.: Horsrex 1911. Fig. 5. — Organisation einer Castrada-Art: C. hofmanni M. Braun. Nach einem Quetschpräparat (Darm und Uteri weggelassen). Original. be = Bursa copulatrix. — cde — cuticularer Ductus ejaculatorius. — de = Ductus communis. — exb = Excretionsbecher, — g=— Gehirn. — gd = Germiduct. — ge = Keimstock. -— kd — accessorische Drüsen (Kürnerdrüsen) des männlichen Copulationsorgans. — k£s — accesorisches Secret (Kornsecret). — mco — märnliches Copulationsorgan. — pg = Geschlechtsôffnung. — ph= Pharynx. — rh — Rhabditen (Stäbchenstrassen). — sph— Sphincter. — spph = Sperma- tophore. — #— Hode. — vd = Vas deferens. — vi = Dotterstock. R Qt @'e) 1 RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN p6. Stacheln in einer ringformigen Ansammlung im proximalen Teil des Bursastiels. Grosse Art (1,5—4,5 mm lang). C. lanceola (M. Braun). (Syn. C. cuenoti Dürler). Wicht. Lit.: LuTHEer 1904. b) Durch Zoochlorellen grün gefärbt. (Kleine Aïten, 0,75—1,5 mm lang). a, Bursa copulatrix schlauchfôrmig, ohne erwei- terteEndblase und ohne Spermatophoren. œx, Bursa copulatrix überall fein bestachelt. C. stagnorum Luther. Wicht. Lit.: Lurxer 1904 ; Horsrex 1911. 86. Bursa copulatrix unbestachelt. * Cuticula des Ductus ejaculatorius schwach chitinisiert, eine kurze Blase darstellend. Bursa copulatrix auffallend schmal. Männ- liches Copulationsorgan klein (kürzer als der halbe Pharynxdurchmesser), zart ge- baut. C. inermis Hofsten. Lit.: Horsren 1911. ‘# Cuticularer Ductus ejaculatorius dickwan- dig, einen langen Schlauch darstellend. Bursa copulatrix breiter. Männliches Co- pulationsorgan kräftig (Länge etwa */, des Pharynxdurchmessers). C. rhætica Hofsten. Lit.: Horsren 1911. B. Bursa copulatrix mit erweiterter Endblase und einem von stärkeren Ringmuskeln umgebenen. innen mit Stacheln besetzten Stiel: die End- blase enthält stets (gefüllte oder leere) Sperma- tophoren. * Ductus ejaculatorius ein einfacher, blind endigender Schlauch, Spermatophoren mit Oeffnung an der Mitte. C. instructa Hofsten. Lit.: Horsrex 1907a. Qt (o_e) N. VON HOFSTEN #* Ductus ejaculatorius innen in zwei Aeste ge- spalten, unterhalb derselben mit einer Oeff- nung versehen. Spermatophoren mit Oeff- nung an der Mitte. C. hofmanni M. Braun. Wicht. Lit. : LUTHER 1904 (siehe auch Horsrex 1907, und Fig. 5 dieser Arbeit). #*# Ductus ejaculatorius ein geschlossener Schlauch, das innere Ende blasenfôrmig er- weitert und durch eine Einschnürung abge- teilt. Spermatophoren mit seitenständiger Oeffnung. C. afjinis Host. Lit.: Horsrex 1907. B. Das Atrium copulatorium trägt ausser der Bursa co- pulatrix 1 oder 2 dorsale bestachelte Blindsäcke. a) Der dorsale Blindsack einfach. a, Bursa copulatrix und der dorsale Blindsack beide überall bestachelt und von derselben Form. Kleine (bis 1,5 mm lange) von Zoochlo- rellen grün gefärbte Art. C. viridis Volz. Wicht. Lit.: LurHer 1904; Horsrex 1907. 5. Bursa copulatrix unbestachelt, der dorsale Blindsack im Leben sehr weit und mit emer sattelformigen Zone langer Stacheln. Grosse (bis 3 mm lange) Art ohne Zoochlorellen. C. spinulosa Hofst. Lit.: Horsrenx 1907. b) 2 dorsale Blindsäcke (mit einem gemeinsamen Endstück). «. Stacheln nur in den beiden Blindsäcken und an der Mündung der Bursa copulatrix. Zoochlo- rellen fehlen. C. luteola Hofst. Lit. : Horsren 1907, 1911. 3. Ausser den beiden Blindsäcken sind der un- paare. distal von ihnen folgende Teildes Atrium RHABDOCÔLEN UND ALLÜOCÜLEN 589 copulatorium und die Bursa copulatrix be- stachelt. Von Zoochlorellen grün gefärbt. C. intermedia (Volz). Wicht. Lit.: Lurxer 1904, HorsTex 1911. 2, Das Atrium copulatorium enthält 1 bis wenige sehr grobe Zähnchen oder Haken, mehrmal grôüsser als die meist vorhandenen kleinen Stacheln. A. 2 grosse Haken. a) Haken kurz schnabelähnlich. Die (sehr weite und seichte) Bursa copulatrix trägt eine bandfôrmige Zone kleiner Stacheln. Ductus ejaculatorius in zwei Schläuche gespalten. Zoochlorellen fehlen. C. armata Fuhrm. Wicht. Lit.: Lurner 1904. b) Haken langgestreckt, mit mehreren Nebenzähn- chen. Bursa copulatrix und ein Teil des Atrium co- pulatorium überall mit kleinen Zähnchen besetzt. Ductus ejaculatorius ein einfacher Blindsack. Von Zoochlorellen grün gefärbt. C. neocomensis Volz. Wicht. Lit.: LuTHER 1904. HorsTEN 1907. B. 4 grosse Haken. Zoochlorellen fehlen. C. quadridentata Hofsten. Lit.: Horsren 1907. C. Mehrere grobe Zähnchen, ohne Grenze in die kleinen Stacheln des Atrium copulatorium übergehend. Von Zoochlorellen grün gefärbt. C. sphagnetorum Luther. Wicht. Lit. : Lunrer 1904. Gen. Typhloplana Ehrbe. Mit 1 sicheren Art. T. viridata. (Abildg.). Wicht. Lit.: GRArFF 1882, LurHer 1904 (T'. minima). Gen. Lutheria Hofsten. 1 Art (sehr klein. farblos). L. ninuta Hofsten. Lit : Horsrex 1907. 590 N. VON HOFSTEN Gen. Mesostoma. Mit 7 bis 9 sicheren europäischen Arten, von welchen nur 3 mit Sicherheit in der Schweiz nachgewiesen worden sind. Bestimmungstabelle für die schweizerischen Arten: L Kürper stark abgeplattet, blattartig. M. ehrenbergi (Focke). Wicht. Lit.: LeucKkART 1852. Grarr 1874, Lurner 1904, IL. Kôrper nichtoder sehr schwach abgeplattet, mit drehrundem bis vierseitigem Querschnitt. 1. Dotterstücke papillôs, Hoden schmal bandfôrmig (in der +egel unpaar), männliches Copulationsorgan mit chitinô- sem Ductus ejaculatorius und am proximalen Ende ein- mündendem Kornsecret. M. productum (O. Schm.). Wicht Lit.: Lurxer 1904. 2, Dotterstôcke folliculär, Hoden gross und gelappt, Copu- lationsorgan mit nicht chitinôsem Ductus ejaculatorius und seitlich, etwa in halber Länge, einmündendem Korn- secret. M. lingua (Abilde.). Wicht. Lit.: Lurner 1904. Gen. Bothromesostoma M. Braun. Mit 2 bis 4 Arten. davon 1 in der Schweiz: B. personatum (O. Schm.) Wicht. Lit. : Grarr 1882, Lurxer 1904. VI Fam. TRIGONOSTOMIDÆ. Gen. Trigonostomum ©. Schm. Im Süsswasser 1 Art: T', neocomense (Fuhrm.). Lit.: KFunRrMANN 1904, Horsren 1911. VIT. Fam. GYRATRICIDÆ. Gen. Gyratrix Ehrbg. Mit 1 Art: G. hermaphroditus Ehrbg. Wicht. Lit.: HazLez 1875, (Prostomum lineare) (Habitusfigur), Grarr 1882, 1905, 1909. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 591 ALLŒOCŒELA Bestimmungstabelle für die (Familien und) Gattungen der Süsswasserallüocülen. I. Pharynx ein Pharynx variabilis im Vorderende des Kôrpers. Darm sackfôrmig (Sectio Æolocæwla, Kam. Plagiostomidæ),. Pr.AGIOSTOMUM. Fig. 6. — Plagiostomum le- Fig. 7. — Otomesostoma au- mani (Forel et Du Plessis), ditivum (Forel et Du Ples- schwimmend. Original, die sis), schwimmend. Nach Pigmentierung teilweise pu PLEssis, verändert. nach pu PLessis. IL. Pharynx ein Ph. plicatus, in der Kürpermitte gelegen. 1. Darm sackfôrmig. Mit Statocyste (Sectio Crossocæla). OTOMESOSTOMA. 2. Darm ringfôrmig. Ohne Statocyste (Sectio Cyclocæla, Fam. Bothrioplanidæ), BOTHRIOPLANA. Rev. Suisse DE Z001. T. 2U. 1912. 40 592 N. VON HOFSTEN Gen. Plagiostomum 0. Schm. Im Süsswasser 1 Art: P, lemani (Forel et Du Plessis). Wicht. Lit.: pu PLessis 1874, 1884, (Habitusfiguren); Horsren 1907 b. Gen. Otomesostoma Forel et Du Plessis. 1 Art: O. auditivum (Forel et Du Plessis). Wicht. Lit.; pu PLessis 1876, ZacHarIAS 1885 (Mesostomum mor- giense), (Habitusfiguren); Horsren 1907. Gen. Bothrioplana M. Braun. 1 sichere Art: B. semperi M. Braun. Wicht. Lit.: Vespovsxy 18935 (B. bohemica), HorsreN 1907 RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 593 LITERATUR ZU DEN BESTIMMUNGSTABELLEN. Braux, M. 1885. Die rhabdocæliden Turbellarien Livlands. Arch. Naturk. Liv-, Esth-u. Kurlands. S. II. Bd. 10. BRINKMANN, A. 1905. Studier over Danmarks rhabdocôle oq acôle Turbel- larier.… Vidensk. meddel. Naturh. Foren, Kôbenhavn 1906. Dorxer, G. 1902. Darstellung der Turbellarienfaunx der Binnengewässer Ostpreussens. Schr. phvys. ük. Ges. Kônigsberg ji. Pr. Je. 44. FuHRMANN, O. 1894. Die Turbellarien der Umgebung von Basel. Rev. suisse Zool. T. 2. — 1900. Note sur les Turbellariés des environs de Genève. Ibid. T. 7. — 1904. Ein neuer Vertreter eines marinen Turbellariengenus tm Süss- wasser. Zool. Anz. Bd. 27. v. GRAFF, L. 1874. Zur Kenntnis der T'urbellariex. Zeitschr. wiss. Zool. Bd. 24. — 1875. Neue Milteilungen über Turbellarien. Ybid. Bd. 25. — 1882. Monographie der Turbellarien. 1. Rhabdocælida. Leipzig. — 1905. Marine Turbellarien Orotavas und der Küsten Europas. Zeïtschr. wiss. Zool. Bd. 83. — 1909. Turbellariu. TL. Allgemeines und Rhabdocwlida. Xn : Die Süss- wasserfauna Deulschlands. Herausgeg. von Prof. Dr. Brauer. Hazzez, P. 1873. Observations sur le Prostomum lineare Oe. Arch. Zool. exp. T. 2. v. Horsren, N. 1907. Studien über Turbellarien aus dem Berner Oberland. Zeitschr. wiss. Zool. Bd. 85. — 1907 a. Drei neue Rhabdocôlen aus schwedischen Binnengewässern. Arch. Zool. Stockh. Bd. 3. — 1907b. Zur Kenntnis des Plagiostomum lemant (Forel und Du Plessis). Zool. stud. tillägnade T. Tullberg. Uppsala. — 1910. Zur Synonymik und systematischen Stellung von Castrella trun- cata (Abildy.) Zool. Anz. Bd. 35. — 1911. Neue Beobachtungen über die Rhabdocôlen und Allôocôlen der Schweiz. Zoo. Bidr. Uppsala. Bd. 1. LeuckarT, R. 1852. Mesosloma EÉhrenberqii, anatomisch dargestellt. Arch. Naturg. Je. 18. Lurner, A. 1904. Die Eumesostominen. Zeiïtschr. wiss. Zool. Bd. 77. — 1905. Zur Kenntnis der Gattung Macrostoma. Fesischr. f. Palmén. Helsingfors. 594 N. VON HOFSTEN De Max, J. G. 1876. Geocentrophora sphyrocephala n. gen. n. sp., eene landbewohnende Rhabdocæle. Tijdschr. Nederl, Dierk. Vereen. Bd. 2. Mrazek, Al. 1906. Ueber die Organisationsverhältnisse der Catenuta lemnæ Dug. Sitz.-Ber. bühm, Ges. Wiss. Prag. 1906. Orr, HN. 1892. À study of Stenostoma leucops O. Schm. Journ. Morphol. 1 PAST pu Pzessis, G. 1874. Turbellariés limicoles. Bull. Soc. vaud. Se. nat. Vol. 13. — 1876. Notice sur un nouveau Mésostome, Mesostoma Morgiense. Ibid. Vol. 14. — 1884. Rhabdocèles de la faune profonde du lac Léman. Arch. Zool. exp. et génér. T. 2. Scamipr, O. 1848. Die rhabdocolen Strudelwürmer des süssen Wassers. Jena 1848. — 1858. Die rhabdocolen Strudehoürmer aus den Umgebungen ron Kra- kau. Denkschr. k. Akad. Wiss. Wien. mathem, naturw. CI. Bd. 15. — 1861. Untersuchungen über Turbellarien von Corfu und Cephalonia, nebst Nachträgen zu früheren Arbeiten. Zeitschr. wiss. Zool. Bd. 41. ScauLrze, M. 1851. Beiträge zur Naturgeschichte der Turbellarien. Greits- wald 1851. SekerA, E. 1888. Prispeoky ku znamostem o turbellariich slodnovodnich Sitz.-Ber.bühm, Ges.Wiss. Prag.1888 (Bohmisch,mitdeutschem Résumé). — 4912. Monographie der Gruppe Olisthanellinr. Ibid. 41914. SILLIMAN, W. 1885. Beobachtungen über die Süsswasserturbellarien Nord- ameridras. Zeitschr. wiss. Zool. Bd. 41. Veinovsky, F. 1882. Tierische Organismen der Brunnengewässer von Praq. Prag. — 1895. Zur vergleichenden Anatomie der Turbellarien. Zeïtschr. wiss. Zool. Bd. 40. Voigr, W. 1892. Das Wassergefüsssystem von Mesostomum trunculum 0. Sch. Zool.-Anz. Bd. 15. Vorz, W. 1901. Contribution à l'étude de lu faune turbellarienne de la Suisse, Rev. suisse Zool. T. 9. v. WaGner, F. 1890. Zur Kenntnis der ungeschlechtlichen Fortpflanzung von Microstoma, nebst allgemeinen Bemerkungen über Teilung und Knospung im Tierreich." Zool. Jahrb. Anat. Bd. 4. Zacnarias, O0. 1885. Studien über die Kauna des Grossen und Kleinen Teiches im Riesengebirge. Zeitschr. wiss. Zool. Bd. #1. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÛÜLEN 595 IV FAUNISTISCHER TEIL. 4. Die sicheren schweizerischen Rhabdocôlen und Allôocôlen. Der folgende Abschnitt enthält die schweizerischen Rhabdo- côlen und Allüocülen in systematischer Reïhenfolge aufgezähblt, mit Ausschluss -aller zweifelhaften und für die Schweiz nicht sicher nachgewiesenen Arten. Für jede Art sind alle schweï- zerischen Fundorte nach der Literatur zusammengestellt. Um die Verbreitung innerhalb der Schweiz oder richtiger unsere jetzigen Kenntnisse derselben zu veranschaulichen, habe ich die Fundangaben der Autoren nach der geographischen Lage der Fundorte geordnet. Wenn ein Autor im derselben Arbeïit eine Art aus verschiedenen Gegenden verzeichnet, wird die Ar- beit daher für jede neue (Gregend noch einmal zitiert. Diese An- ordnung hat den Vorteil, dass Fundorte in derselben (Gregend nicht durch andere getrennt werden, und schon ein Blick auf die Fundortsliste gibt eme gute Vorstellung von der uns be- kannten Verbreitung jeder Art. Bei der Aufzählung der Fundorte beginne ich stets mit der westlichen Schweiz (Cantons de Vaud, de Genève, de Neu- châtel), darauf folgt der Lago Maggiore (und seme Um, gebung), die Umgebung von Basel, die Umgebung von Zürich- das übrige Mittelland (woraus nur einzelne Arten bekannt sind), das Berner Oberland. In diesem Gebiet beginnen die hochalpmen Fundorte; ausschliesslich solche folgen nun im nachstehender Anordnung: St. Bernhard, St. Gotthard und Oberalp, Obwalden, Rhätikon, Ober-Engadin. Um die Lage der Fundorte und also gewissermassen die be- kannte Verbreitung jeder Art zu veranschaulichen, füge ich 596 N. VON HOFSTEN eine Karte bei, auf der alle Gregenden, worin Rhabdocülen ge- funden wurden (über die Verbreitung der Allocülen siehe unter diesen), angegeben sind. Karte der Schweiz, die Lage der bis jetzt nach Rhabdocülen durchforschten Gegenden zeigend. Aus den gestrichelten, mit Ziffern versehenen Gebieten sind mehrere bis zahlreïche Arten bekannt. Orte, wo nur 1 oder 2 Species (in einem Falle 3 [Garschinasee und Part- nunersee|) gefunden wurden, sind durch Punkte bezeichnet. . Umgebung von Morges und Lausanne (besonders Grund des Léman): Du PrLEssis; HOrsrEn (139). . Umgebung von Genève: Du PLESSIS ; FUHRMANN (82); HorsTEN (139). . Lac de Joux: pu PLESSIs; HOrsTEN (139). . Umgebung von Yverdon: pu PLEssis !; Horsren (139). . Umgebung von Neuchâtel : Vozz (85); TaiéBaup (95, 105); Horsren (139). . Pouillerel (Neuchâteler Jura) : THrÉBAUD et FAVRE (96, 97). . Lago Maggiore, nôürdlicher Teil (und einige Tümpel am Ufer): Horsren (139). . Umgebung von Basel : FUHRMANN (63, 64). . Umgebung von Zürich: KELLER (66). 10. Berner Oberland : Thuner und Brienzer See und andere subalpine Gewässer: Horsren (99). 11. Berner Oberland : Gemmipass : HOFSrEN (99). 12. Berner Oberland : Hochgebirgsgewässer (Faulhorn, Gr. Scheidegg u.a.) : HOFsTEN (99). 13. Obwalden, Hochgebirgsgewässer (Melchsee-Frutt u.a.): HOrstEn (139). 14. Oberalp-Pass : Horsrex (139). 15. St. Gotthard, Hochgebirgssewässer : FUHRMANX (71). 16. Umgebung von St. Moritz: HOrsrEN (139). 17. Bernina-Pass : HorSTEN (139). © © =1 O O1 B © D H 1 pu Pcessis hat vielleicht auch andere Gegenden in den Cantons de Vaud und de Genève untersucht (durch die punktierten Linien angedeutet). RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 597 In einigen Gegenden haben die schweïizerischen Turbellarien- forscher Orte jenseits der Schweizergrenze in ihre faunistischen Untersuchungen mit eimbezogen : FUHRMANN verzeichnet Arten aus dem Elsass, Baden und Frankreich (Haute-Savoie), ZSCHOKKE aus Vorarlberg. Ich trage kein Bedenken, diese Fundorte hier mitzunehmen, weilsiein geringer Entfernung von der Grenze liegen und zur Ver- vollständigung des faunistischenBildes der Lokalfauna wesentlich beitragen ; doch habe ich bei solchen Fundorten stets die Lage auf fremdem Grebiet angegeben. Keine Art ist übrigens ausschliess- lich an solchen Orten gefunden worden; alle hier aufgenomme- nen Arten gehôren also auch bei der strengsten Begrenzung des Begriffes zur schweïizerischen Fauna. Es kann nicht kräftig genug betont werden, dass unsere heutigen Kenntnisse in den meisten Fällen durchaus keine Schlüsse über die Verbreitung, sondern nur über die Häufig- keit der Arten erlauben (vgl. oben S. 551). Trotzdem habe ich mich bemüht, bei der Zusammenstellung der uns bekannten Verbreitung einer jeden Art die môglichste Vollständigkeit und Genauigkeit zu erzielen, Eigenschaften, die emer wirkhichen Revison, die kritische Zwecke verfolot, nicht fehlen dürfen. Durch die vollständige Berücksichtigang aller Literaturangaben hoffe ich ferner, dieser Arbeit ein ab- schliessendes (Grepräge zu geben; jede Angabe über schweize- rische Rhabdocüliden wird hier zitiert, und künftige Forscher dürften somit, was die Faunistik betrifft, nicht zu der reichhal- tigen Originalliteratur zurückgehen müssen. Der kritische Charakter dieser Arbeit kommt auch in emer besonderen Anordnung zum Ausdruck. Einige Autoren (DU PLESSIS und FOREL, der letztere beruft sich jedoch fast stets auf DU PLESSIS) haben dieselben Funde in mehreren Arbeiten ver- ôffentlicht ; die Angaben über das Vorkommen der Arten lauten in den verschiedenen Arbeiten oft etwas verschieden, bisweilen 598 N. VON HOEFSTEN stüsst man auf offenbare Widersprüche. Diese werden nie er- klärt, die älteren Angaben werden nie zurückgenommen ; was besonders die Angaben über die Tiefenverbreitung in den Seen betrifft, so erhält man den bestimmten Eindruck, dass die neueren Angaben nicht richtiger als die älteren zu sem brau- chen, sondern dass der Verfasser es mit den Ziffern nicht so genau nimmt. In allen diesen Fällen habe ich sowohl die älteren wie die neueren Angaben würtlich angeführt; in wichtigeren Fällen wird in besonderen Bemerkungen vor dem Fundortsver- zeichnis auf die Widersprüche aufmerksam gemacht. Diese Aufstellung habe ich auch dann betbehalten, wenn die richtigen Verhältnisse durch spätere, kontrollierende Unter- suchungen sichergestellt wurden und die älteren Angaben also kein weiteres Interesse bieten. Die Nachteile einer in emzelnen Fällen unnôütig weitläufigen Darstellung werden, meiner An- sicht nach, durch die Vorteile einer konsequenten Anordnung überwogen. Die Fundorte der schweïizerischen Turbellarienforscher wer- den ausser in den Originalmitteilungen auch in eimigen zusam- menfassenden Arbeiten erwähnt. VOLZ hat 1901 alle 1hm be- kannten Funde aufsezählt (85) ; ZSCHOKKE hat im seinem grossen Werk über die Hochgebirgsfauna (1900, 80) die damals bekannten alpinen und in seiner letzten Arbeit (1911, 130) die profunden Rhabdocüliden zusammengestellt; FOREL hat in mehreren Ar- beiten die Genferseerhabdocüliden behandelt und stützt sich dabet teils auf Bestimmungen, teils auf Publikationen von DU PLESSIS (1902 auch FUHRMANN). Von diesen in zweiter Hand erwähnten Funden berücksichtigte ich unten die von VOLZ angeführten über- haupt nicht, die von ZSCHOKKE genannten nur dann, wenn er sich auf seine eigenen älteren Publikationen beruft. Die An- gaben FOREL’s sind dagegen alle mitgenommen worden, und Zwar deshalb, weil seine Zitate und Berufungen mit micht ver- ôffentlichten Notizen DU PLESSIS (in eimigen Fällen auch mit RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 599 eigenen Beobachtungen) derart verflochten sind, dass eine Tren- nung unnatürlich und schwer durchführbar wäre. Diejenigen Angaben, in welchen schon verôffentlichte Beobachtangen von DU PLESSIS (oder FUHRMANN) zitiert werden, habe ich in eckige Klammern gesetzt. RHABDOCŒLA FAM. CATENULIDÆ Gen. Catenula Ant. Dug. 1. Catenula lemnae Ant. Dug. Schweizerische Fundorte : Léman, Ueberschwemmungsufer bei Bellerive (la Gabiule). Sümpfe bei Vichy w. von Lausanne (am Einfluss des Flon in den Léman). DU PLESSIS 1897 (70)f. [Léman, Ueberschwemmungsufer. FOREL 1902 (89) (nach DU PLESSIS). | Bel-Air (nahe bei Chêne), 6. von Genève. FUHRMANN 1900 (82) (Stenostoma lemnae). Zwei Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1220 bis 1240 m ü. M.) THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Diese nirgends häufig beobachtete Art lebt in stehenden Kleingewässern, nach einem Beobachter (SEKERA) besonders in Moortümpeln und austrocknenden Wiesengräben. Allgemeine Verbreitung : Ausser in der Schweiz in verein- zelten Gegenden in Deutschland, Oesterreich, Ungarn, Frank- reich, Dänemark, Russland und Sibirien gefunden. Gen. Stenostomum 0. Schm. 2. Stenostomum leucops (Ant. Dug.) Die in den älteren Arbeiten DU PLESSIS und FOREL'S als Stenostomum (Anotocelis) unicolor O. Schm. bezeichnete Art 1 Die Ziffern verweisen auf die dieser Arbeit angegliederte Publikation Dre schweizerische Turbellarienliteratur von N. v. Horsrex und P. STeIrNManx. Die Jahreszahlen bedeuten stets das Druckjahr der betreffenden Schrift. 600 N. VON HOFSTEN muss unbedingt zu S. leucops gerechnet werden. DU PLESSIS betrachtete nämlich damals diese beiden Arten als synonym : 1884 (28) gebraucht er nur den Namen leucops, offenbar für die früher als #. wricolor bezeichnete Art, und 1883 (30) schreibt er ausdrücklich « $. wnicolor — $. leucops ». Schweizerische Fundorte : Westschweiz (Cant. de Vaud, de Neuchâtel, de Genève) : Léman, Litoral. FOREL 1877 (17), 1885 (29), 1886 (36) (Stenostomum [Anotocelis] unicolor, bestimmt von DU PLESSIS.) — Léman, Litoral (ausnahmsweise Ufertümpel). Du PLESSIS 1884 (28). — Léman, Tiefe (45 150 m). Ufertümpel des Sees und andere Kleingewässer des Canton de Vaud. Du PLESSIS 1885 (30) (S. uwnicolor. — S. leucops.) — Lac Léman und Lac de Neuchâtel, Litoral und Tiefe. Stehende Kleingewässer der Cantons de Vaud und de Genève (überall). DU PLESSIS 1897 (70). — [Léman, Litoral und Tiefe, FOREL 1902 (89) (nach DU PLESSIS)|. — Umgebung von Genève (mehrere Orte). FUHRMANN 1900 (82). — Teich bei Corsier n.-6. von Genève. HOFSTEN 1911 (139). Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. Bassin im Bota- nischen Garten dieser Stadt, Sümpfe in der Umgebung der- selben. VOLZ 1901:(85). — Loclat (Lac de St-Blaise). THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105). Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1220 m ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Umgebung von Basel («in fast allen stehenden und flies- senden Gewässern >»). FUHRMANN 1894 (64). Bergbäche bei Bottmingen und Flühen. STEINMANN 1907 (102) (bestimmt von FUHRMANN). Zürcher See, Limmat, Tümpelin der Umgebung von Zürich. KELLER 1894 (65), 1895 (66). Berner Oberland : Brienzer und Thuner See, Ufer; Sümpfe und Teiche in der Umgebung der beiden Seen. Faulensee, Geist- RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 601 see. Tümpel zwischen Grindelwald und der Grossen Scheidegg. HOFSTEN 1907 (99). Thuner See, Tiefe (100 m). HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). Bergbach auf dem Hasliberg. STEINMANN 1907 (102). Im Litoral der Seen und in konstanten Klemgewässern ist S. leucops in der Schweiz wie überall eine sehr häufige Art. Sie lebt sowohl zwischen Pflanzen wie im Schlamm. Die Angabe DU PLESSIS, der sie häufig in der Tiefe fand, hat sich nicht bestätigt ; bei der Revision der Tiefenfauna (HOFSTEN, 99, 138, 139) wurde nur einmal ein einziges Exemplar beobachtet. Im Hochgebirge ist diese Art auffallenderweise nicht gefunden worden. Allgemeine Verbreitung : Ueberall im Mittel- und Nordeuropa häufig, ferner aus Sibirien, Kaukasien, Nordamerika und Ost- afrika bekannt. 3. Stenostomum unicolor ©. Schm. Da diese Art ungenügend bekannt ist und da der einzige Autor, der sie aus der Schweiz erwähnt, in seinen Bestimmungen von allen kritischen Arten nicht gerade zuverlässig ist, habe ich sie nur nach einigem Bedenken unter die sicheren schwei- zerischen Arten aufgenommen. Hierzu kommt, dass sie nur in der letzten Arbeit DU PLESSIS’ erwähnt wird; früher werden S. leucops und wnicolor als identisch betrachtet (siehe oben). Wenn ich trotzdem auch die letztere Art als für die Schweiz sicher festgestellt betrachte, so veranlasst mich dazu die bestimmte Angabe des erwähnten Autors, dass sie sich von S. leucops besonders durch eine Einschnürung am vorderen Kürperende unterscheidet. Jedoch bedürfen vor allem die An- gaben über die grosse Häufigkeit der Art («dans toutes nos eaux stagnantes » usw.) einer Bestätigung. 602 N. VON HOFSTEN Schweizerische Fundorte : Léman (und lac de Neuchâtel?) Litoral und Tiefe. Kleingewässer der Cantons de Vaud et de Genève. DU PLESSIS 1897 (70). | [ Léman, Litoral und Tiefe. FOoREL 1902 (89) (nach pu PLESSIS).] Diese Art ist wahrscheinlich an ähnlichen Stellen wie die vorherige anzutreffen. Sie scheint überall selten zu sein, ist aber môglicherweise bisweilen mit #$. leucops verwechselt worden. Allgemeine Verbreitung : Ausser aus der Schweiz aus weni- gen Fundorten in Deutschland, Oesterreich, Frankreich, Däne- mark, Livland und Russland erwähnt. 4. Stenostomum agile (Silliman). Schweizerische Fundorte : W'estschweiz: Umgebung von Genève (Vernier, Pinchat). FUHRMANN 1900 (82). Sümpfe am Lac de Neuchâtel zwischen Colombier und Au- vernier. VOLZ 1901 (85). Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) (bestimmt von FUHRMANN). Umgebung von Basel: Graben bei Michelfelden (schweize- risch-elsässische Grenze). FÜUHRMANN 1894 (63, 64). Berner Oberland: Geistsee, Amsoldingensee. Teich zwi- schen Grindelwald und der Gr. Scheidegg. HOFSTEN 1907 (99). Brienzer See, Tiefe (35 m). HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). Diese nicht häufige, aber bei ihrer Klemheit leicht zu über- sehende Art lebt am Ufer von Seen (der Fund in der Tiefe des Brienzersees steht noch ganz vereinzelt da) und in konstanten Kleingewässern (vielleicht mit Vorliebe in moorigem Boden- schlamm). RHABDOCÜLEN UND ALLOOCÜLEN 603 Allgemeine Verbreitung : Zuerst aus Nordamerika beschrie- ben, in Europa nur in der Schweiz, in Bühmen und in Schweden beobachtet. Unsichere schweizerische Art der Gattung Sfenos- Lomum : Stenostomum langi Keller. Siehe unten $S. 661. (Ferner S$. hystrix Keller, das keine Turbellarie ist. Siehe unten S. 664.) Gen. Rhynchoscolex Leidy. 5. Rhynchoscolex simplex Leidy. (Syn. À. Vejidovskyi Sekera.) Schweizerische Fundorte : Léman, Ufer (bei Corsier, Schlamm auf den Steinen). Bassin des Botanischen Gartens in Genève. DU PLESSIS 1897 (70) (T'yphloscolex Veydowskyi). [Léman, Ufer. FoREL 1902 (89) (nach DU PLESSIS).] Die Lebensweise dieser in ganz Europa ausserordentlich sel- tenen Art ist nur wenig bekannt. Sie ist in Tümpeln, in der Schweiz auch am Seeufer, gefunden worden und lebt wahr- scheinlich, wenigstens zeitweise, als Blutsauger auf Lumbri- culus (SEKERA). Allgemeine Verbreitung : Sonst nur im Nordamerika und in Bühmen gefunden. FAM. MICROSTOMIDÆ Gen. Microstomum 0. Schm. 6. Microstomum lineare (Müll.). Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Léman, Tiefe. FOREL 1874 (3) (Microstomum) ; FOREL et DU PLESSIS 1874 (4). — Léman, Tiefe (30—60 m). FOREL 1876 (13) (bestimmt 604 N. VON HOFSTEN von DU PLESSIS). — Léman, Litoral und Tiefe. « Partout sur nos rivages ». DU PLESSIS 1877 (18), 1878 (19). — [Léman, Tiefe. FOREL 1877 (17), 1878 (21), 1886 (36) (nach Du PLESSIS).| — [Léman, Litoral und Tiefe. FOREL 1879 (23), 1885 (29), 1902 (89) (nach DU PLESSIS).| — Léman, Litoral und Tiefe (bis 150 m), Ufertümpel des Sees. DU PLESSIS 1884 (28). — Léman und Lac de Neuchâtel, Litoral und Tiefe (bis 150 m). Ufertümpel des Léman. DU PLESSIS 1885 (30). — Léman und Lac de Neuchâtel, Litoral und Tiefe. Fast alle stehenden Kleingewässer der Cantons de Vaud und de Genève. DU PLESSIS 1897 (70). — Léman, Litoral. HOFSTEN 1911 (139). — Umgebung von Genève (Botanischer Garten, Vernier, La Be- lotte). FUHRMANN 1900 (82). Lac de Neuchâtel, Sümpfe am Ufer dieses Sees, Bassin im Botanischen Garten von Neuchâtel. VOLZ 1901 (85). Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) (bestimmt von FUHRMANN). Lago Maggiore (8,17 m Tiefe). HOFSTEN 1911 (139). Umgebung von Basel: Augustinerholzbach, Klemhünin- gen, Neudorf (Elsass), Istein (Baden). FUHRMANN 1894 (63, 64). Zürcher See. KELLER 1894 (65), 1895 (66). Vierwaldstätter See, Tiefe (83 m). ZSCHOKKE 1906 (93, 94), 1911 (130). Berner Oberland: Thuner See, Litoral. HEUSCHER 1901 (86). — Thuner See, Litoral (1 m). Geistsee. HOFSTEN 1907 (99). Garschinasee (Rhätikon. 2189 m ü. M.). ZSCHOKKE 1890 (50, 51), 1900 (80). Microstomum lineare ist eine überall verbreitete Art, welche in vielen Gegenden in zahlreichen Gewässern zu finden ist, wäh- rend sie in andern mehr sporadisch vorzukommen scheint. Sie lebt sowohl in konstanten Kleingewässern wie in Seen, und hier RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 605 in verschiedenen Tiefen der Litoralregion, ausnahmsweise in der Tiefe. Man findet die Tiere zwischen Pflanzen, häufiger zwischen modernden Pflanzenteilen oder (in grüsseren Gewäs- sern) im Bodenschlamm. Im Hochgebirge ist die Art nur eimmal sefunden worden. : Allgemeine Verbreitung : Ueberall in Mittel- und Nord- europa, ferner in Sibirien und in Nordamerika vorkommend. 7. Microstomum giganteum (Hallez). Dass KELLER diese, wie es scheint, seltene Art beobachtet hat, ist aus seiner Figur (65, Taf. XXIX, Fig. 34), welche den grossen, präoralen Darmblindsack zeigt, ersichtlich. Ob auch Vozz das echte Microstomum giganteum gefunden hat, scheint mir etwas fraglich, da die Art sehr leicht mit grossen, der Nesselkapseln enthbehrenden Exemplaren von M. lineare ver- wechselt werden kann. Wie schon GRAFF (27) hervorhebt, und wie ich aus eigener Erfahrung bestätigen kann, findet man nämlich nicht selten Exemplare der letzteren Art, welche lange Zeit keine Spur des Schwanzanhanges und der Haftpapillen zeigen. Schweizerische Fundorte : ? Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. VOLz 1901 (85). Zürcher See bei der Bauschanze (Zürich), Schanzengraben in Zürich. KELLER 1894 (65), 1895 (66). In ihrer Lebensweise dürfte diese Art mit der vorigen über- einstimmen. Allgemeine Verbreitung : Ausser aus der Schweiz wird diese Art aus wenigen Fundorten in Frankreich, Deutschland, Russ- land und Dänemark erwähnt. Unsichere schweizerische Art der Gattung Maicro- stomum : Microstomum canum Fuhrm. Siehe unten S. 664. 606 N. VON HOFSTEN Gen. Macrostomum E. Bened. 8. Macrostomum appendiculatum O0. Fabr. (Syn. M. hystrix Oerst.) Mit dieser Art dürfte bis in die neueste Zeit Yon allen Autoren oft M. viride E. Bened. verwechselt worden sein, welche Art nur bei Ziemlich minutiôser Untersuchung von der bekannteren Species A. appendiculatum zu unterscheiden ist, Ich selbst habe in verschiedenen Gegenden 32. viride viel häufiger als die erwähnte Art gefunden, und von LUTHER (Festschr. f. Pal- mén. Helsingfors 1905) wurde in einigen Binnengewässern Fiunlands allem die erstere Art angetroffen, M. appendicu- latum nur im Brackwasser des Finnischen Meerbusens. Alle schweizerischen Fundorte, mit Ausnahme derjenigen HOFSTEN’S und wohl auch FUHRMANNSS, der die beiden Arten auseinander- gehalten hat (auch in der Arbeit von 1900?), sind daher mit einem Fragezeichen anzuführen. Schweizerische Fundorte : Westschweiz: ? Léman, Tiefe (45 m), Sümpfe am Ufer des Sees und Teiche in der Umgebung von Orbe. DU PLESSIS 1879 (22) (M. hystrix). — ? Léman, Tiefe (45 m). DU PLESSIS 1884 (28) (MW. hystrix).. — ? Léman, Tiefe (30—60, 150 m). pu PLESsSIS 1885 (30) (ML. hystrix). — [? Léman, Tiefe. FOREL 1879 (23), 1885 (29), 1886 (36) (M. hystrix) (nach DU PLESSIS).| — ? Léman, Litoral und Tiefe. Lac de Neuchâtel, Litoral (und Tiefe ?). Stehende Kleingewäs- ser der Cantons de Vaud und de Genève. DU PLESSIS 1897 (70) (M. hystrix).— |? Léman, Litoral und Tiefe. FOREL 1902 (89) (A. hystrix) (nach Du PLESSIS 1897). | Botanischer Garten in (renève. Veyrier und Vieusseux (auf franzôsischem Gebiet) in der Umgebung dieser Stadt. FUHR- MANN 1900 (82) (M. hystrix). RHABDOCÜLEN UND ALLOÜOCÛLEN 607 Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) (AZ. hystrix) (bestimmt von FUHRMANN). Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1240 m ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97) (AZ. hystrix) (bestimmt von FUHRMANN). Umgebung von Basel (Sumpf bei Neudorf | Elsass|, Teiche bei Allschwil und Kleinhüningen). - FUHRMANN 1894 (63, 64) (M. hystrix). ? Umgebung von Zürich (Sümpfe bei Altstätten). KELLER 1895 (66) (AZ. hystrix). Teich bei Locarno am Lago Maggiore. HOFSTEN 1911 (139). Berner Oberland: Sümpfe bei Bünigen unweit des Brien- zer Sees. HOFSTEN 1907 (99). — Brienzer See, Tiefe (100 m). HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). Zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer (ausnahmsweise in der Tiefe) von Seen. Allgemeine Verbreitung : Ueberall in Mittel- und Nord- europa, auch in Sibirien, Kaukasien und Nordamerika verbreitet (oft jedoch mit 22. viride verwechselt; siehe oben). 9. Macrostomum viride E. Bened. Wie aus der Bemerkung zu der eben besprochenen Art her- vorgeht, dürften die Literaturangaben darüber sich nicht selten auf M. viride beziehen. Schweizerische Fundorte : Sümpfe am Ufer des Lac Léman (am Eïinfluss der Venoge bei Morges). HOFSTEN 1911 (139). Bach des Augustinerholzes bei Basel. FUHRMANN 1894 (63, 64). Rev. Suisse DE Z00L. T. 20. 1912. 41 6085 N. VON HOFSTEN 3erner Oberland: Brienzer und Thuner See, Ufer. Sümpfe bei Weissenau nahe beim letztgenannten See. Amsol- dingensee. HOFSTEN 1907 (99). Zwischen Pflanzen in konstanten Klemgewässern und am Ufer von Seen. Im Hochgebirge ist auffallenderweise bisher keine Macrostomum-Art beobachtet worden. Allgemeine Verbreitung : Wahrscheinlich überall in Nord- und Mitteleuropa verbreitet (Schweiz, Deutschland, Livland, Belgien, Frankreich, Dänemark, Schweden, Finnland) ; 2 auch in Sibirien und Kaukasien beobachtet. 10. Macrostomum orthostylum (M. Braun). Schweizerischer Fundort : Lago Maggiore, Tiefe (78 m) HOFSTEN 1911 (139). Allgemeine Verbreitung : Krüher nur einmal, in Livland, sefundene Art. FAM. PRORHYNCHIDÆ Gen. Prorhynchus M. Schultze. 11. Prorhynchus stagnalis M. Schultze. Schiveizerische Fundorte : Westschweiz: Léman, Tiefe (30—60 m). FOREL 1876 (13) (bestimmt von DU PLESSIS), 11877 (17), 1878 (21), 1879 (23) (nach DU PLESSIS).| — Léman, Tiefe (30 m). Sümpfe am Ufer des Sees. In Bächen (unter Steinen) und in Springbrunnen (im Canton de Vaud). DU PLESSIS 1877 (18), 1878 (19). — Léman, Ufer bis 50 m; Sümpfe am Ufer. DU PLESSIS 1884 (28). — Léman, Tiefe (bis 60 m). Sümpfe am Ufer. Bäche und Sümpfe im Canton de Vaud. DU PLESSIS 1885 (30). — [Léman, Litoral und Tiefe (30 —60 m). FOREL 1885 (29), 1886 (36) (nach DU PLESSIS).| — Léman, RHABDOCOÜLEN UND ALLOOCOÔLEN 609 Litoral und Tiefe (besonders unter Steinen des Ufers, bei Ouchy, Anières, Corsier, Bellerive). Bassin des Botanischen Gartens in Genève, Springhbrunnen in Orbe. DU PLESSIS 1897 (70). — [Léman, Litoral und Tiefe. FOREL 1902 (89) (nach DU PLESSIS 1897).] Bassin des Botanischen (Grartens in (Genève. FUHRMANN 1900 (82). Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) (bestimmt von FUHRMANN). Umgebung von Basel (Bach des Augustinerholzes). FUHR- MANN 1894 (64). In konstanten Kleingewässern und im Litoral (ausnahmsweise in der Tiefe) von Seen, wahrscheinlich stets im Schlamm oder zwischen modernden Pflanzenresten lebend. In der Schweiz ist die Art, wie man sieht, fast nur in der Grenferseegegend gefun- den worden; wahrscheinlich ist sie überall verbreitet, aber vereinzelt und sporadisch auftretend und daher leicht zu über- sehen. Allgemeine Verbreitung : In verschiedenen Teilen Mittel- und Nordeuropas (ausserdem in Taschkent und in Nordamerika), überall ziemlich sporadisch beobachtet. 12. Prorhynchus sphyrocephalus (De Man). Weder HEINIS noch DU PLESSIS sagen etwas über den Bau der von ihnen beobachteten Tiere aus. Dass DU PLESSIS dieselbe Art gefunden hat, wie ich selbst, ist jedenfalls so gut wie sicher. da sein Fundort wenige km von dem meinigen entfernt liegt. Die Bestimmung HEINIS dagegen müsste streng genommen als nicht ganz zuverlässig bezeichnet werden, da wir nicht wissen, ob es nur eine erdbewohnende Frorhynchus-Art oder deren mehrere gibt. Da es jedoch äusserst wahrscheinlich ist, dass er dieselbe Species beobachtet hat, lasse ich auch seine Angabe als sicher gelten. 610 N. VON HOESTEN Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Gräben bei Orbe (route de Valleyres, Canton deVaud). DU PLESSIS 1897 (70). Ueberschwemmte Wiesen bei Yverdon, nahe am Ufer des Lac de Neuchâtel. HOFSTEN 1911 (139). Umgebung von Basel: Feuchte Waldmoose im Schwarz- wald (bei Jungholz, in Baden) und Jura (bei Liestal). HEINIS LOTO 20) In feuchter Erde lebend und daher bei Untersuchungen über Süsswasserturbellarien nur zufälligerweise gefunden. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur aus Holland, Frankreich, Bühmen und Dänemark bekannt. -FAM. DALYELLIDÆ Gen. Dalyellia Flem. (Syn. Vortex Ehrbg.) 13. Dalyellia cuspidata (0. Schm.). (Syn. Vortex sexdentatus Graf) Schweizerische Fundorte : Lac du Salève bei Genève. FUHR- MANN 1900 (82) (V. sexdentatus). Teich bei Locarno am Lago Maggiore. HOFSTEN 1911 (139). Tümpel bei Brislach in der Nähe von Basel (Kant. Bern). FUHRMANN 1894 (63, 64) (V. sexdentatus). Berner Oberland: Brienzer und Thuner See, Ufer. Sümpfe bei Bünigen unweit vom Ufer des Brienzer Sees. HOrSTEN 1907 (99). Thuner See, Tiefe (35 m). HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). St. Gotthard : Lago Ritom (1829 m ü. M.), Lago Passo del Uomo (2312 m). FUHRMANN 1897 (71) (V. sexdentatus). RHABDOCÜLEN UND ALLOÜOCÔLEN 611 Zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer (ganz ausnahmsweise in der Tiefe) von Seen nicht selten. Auch im Hochgebirge. Allgemeine Verbreitung : Ausser in der Schweiz ist diese Art an wenigen Stellen in Deutschland, Oesterreich, Dänemark. Schweden, Russland, Sibirien und Innerasien gefunden worden. 14. Dalyellia rubra (Fuhrmann). Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. THIÉBAUD 1908 (105) (bestimmt von FUHRMANN). Tümpel bei Reinach in der Umgebung von Basel. FUHR- MANN 1894 (64). Selten in (wohl in der Regel konstanten) Kleingewässern. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur in Dänemark und Büh- men beobachtet. 15. Dalyellia foreli Hofsten. Schiweizerische Fundorte : Léman, Ufer (unter Steinen im der Bucht von Morges und bei Corsier). HOFSTEN 1911 (159) [> pu PLESSIS 1897 (70) (Vortex coronarius : s. unten $. 663).] Diese Art ist bisher nur unter Steinen in verschiedenen Teilen des Genfer Sees, wo sie aber sehr häufig ist, beobachtet worden. 16. Dalyellia expedita Hofsten. Schweizerische Fundorte: Westschweiz: Sümpfe bei St-Cergues in der Nähe von Genève. FUHRMANN 1900 (82) (Vortex Graffii Hallez). Bassin im Botanischen Garten von Neuchâtel. VOLZ 1901 (85) (F. Graffii). 612 N. VON HOFSTEN T'ümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1240 m ü.M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97) (V. Graffii) (bestimmt von FUHRMANN). Umgebung von Basel: Tümpel bei Brislach (Kt. Bern), Sumpf bei Neudorf (Elsass). FUHRMANN 1894 (63, 64) (V. Graffii). Berner Oberland: Thuner See, Ufer ; Sümpfe und Teiche bei Interlaken, Bünigen, Weissenau und Kienholz. Geistsee, Uebeschisee. Teich bei Grindelwald (1200 m ü. M.). — Tümpel bei der Gr. Scheidegg (1950 m ü. M.). HOFSTEN 1907 (99). Obwalden: Kleiner See zwischen Melchsee-Frutt und Engstlen-Alp (1980 m). HOFSTEN 1911 (139). St. Gotthard: Sümpfe bei Piora (2106 m ü. M.), Lago Passo del uomo (2312 m). FUHRMANN 1897 (71) (V. Graffii). Zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen lebend. In der Schweiz ist diese Art, wenigstens in gewissen (regenden, häufig. Allgemeine Verbreitung : Bisher nur aus der Schweiz, aus Ostpreussen, (Russland ?) und aus Schweden bekannt. 17. Dalyellia ornata Hofsten. Schweizerische Fundorte : Tümpel bei der Gr. Scheidege (Berner Oberland, 1950 m ü. M.). HOFSTEN 1907 (99). Tümpel beim Trübsee (0Obwalden, 1780 m ü. M.). HOFSTEN 1911 (139). Diese Art ist nur aus den erwähnten hochalpinen Fundstellen bekannt, wo sie zwischen Pflanzen beobachtet wurde. 18. Dalyellia diadema Hofsten. Schveizerische Fundorte : Berner Oberland: Thuner See, Litoral (Charawiese, 3 bis 6 m). Teich bei Kandersteg. HOFSTEN 1907 (99). RHABDOCOÜLEN UND ALLOOCÜLEN 613 Teichartige Erweiterung des Mühlebaches nahe beim Bach- alpsee (2264 m ü. M.). Sägistalsee (1938 m). HOFSTEN 1907 (99), STEINER 1911 (131). Auch diese Art kennt man nur aus den oben aufgezählten schweizerischen Fundorten, von welchen zwei im Hochgebirge selegen sind. Sie lebt wahrscheinlich sowohl zwischen Pflanzen wie im Schlamm. 19. Dalyellia triquetra (Fuhrmann). Schiweizerische Fundorte : Westschweiz: Léman bei La Belotte, Teich an demselben Ort. FUÜHRMANM 1900 (82) [FOREL 1902 (82) (nach FUHRMANN)|. Sümpfe am Ufer des Lac Léman (am Eintfluss der Venoge ü. von Morges). HOFSTEN 1911 (139). Sumpf bei Neudorf (Elsass) in der Nähe von Basel. FUHR- MANN 1894 (64). Berner Oberland: Brienzer See, Ufer (bei Kienholz). Teich am Einfluss der Kander in den Thuner See. HOFSTEN 1907219097. Vereinzelt zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur in Ostpreussen beob- achtet. 20. Dalyellia infundibuliformis (Fuhrmann). (Syn. D. succincta Hofsten.) Dass meine 1). succincta ! und der Vortex infundibuliformis FUHRMANN'S (64) eine und dieselbe Species sind, war nicht ! v. Horsrex, N. Drei neue Rhabdocülen aus schwedischen Binnengewässern Ark. Zool. Stockh. Bd. IIT. 1907. 614 N. VON HOFSTEN leicht zu erraten, da der Chitinapparat von dem letztgenannten Autor so unvollständig beschrieben wird, dass man die beiden Formen zu ganz verschiedenen Gruppen der Gattung stellen müsste. Erst durch Untersuchung der Originalskizzen zu der FuHRMANN’schen Art konnte ich den richtigen Sachverhalt fest- stellen (139). Schweizerische Fundorte : Sumpf bei Neudorf im der Nähe von Basel (Elsass). FÜUHRMANX 1894 (64). Ober-Engadin: Hahnensee (2156 m ü. M.) und Le] da Staz (1808 m) nahe bei St. Moritz. Lej Pitschen am Bernina- Pass (2220 m). HOFSTEN 1911 (139). Vereinzelt in konstanten Klemgewässern. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur in Schweden gefunden. 21. Dalyellia virgulifera (Plotnikov). (Syn. D. pallida Hofsten.) Die von PLOTNIKOY ! aus Russland beschriebene Art D. vir- qulifera zeigt, wie ich an anderer Stelle auseimandersetzen werde, so grosse und charakteristische Aehnlichkeiten mit der von mir * beschriebenen D. pallida, dass man kaum an der Identität der beiden Formen zweifeln kann; der Chitinapparat des Copula- tionsorgans zeigt zwar auf der Figur PLOTNIKOV'S einen ziem- lich verschiedenen Bau, die Beobachtungen des russischen Au- tors sind aber fast stets so oberflächlich, dass man ruhig einige Irrtümer semerseits voraussetzen kann. Die von FUHRMANN untersuchte, im Lac de St-Blaise gefun- dene Art ist jedenfalls dieselbe, die ich aus Schweden kenne : ! Prornikov, W. Zur Kenntnis der Süsswasser- Würmer-Fauna der Umgebung von Bologoje. Arb. Süsswasserbiol. Stat. K. Petersb. Ges. d. Naturf. T. IL. 1905. ? v. Horsrex, N. Drei neue Rhabdocülen aus schwedischen Binnengewüssern, Ark. Zool. Stockh. Bd. IIL. 1907. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 615 ich habe selbst die Prof, FUHRMANN gehürigen Präparate unter- sucht, und der Chitinapparat des männlichen Copulationsorgans hatanihnen in allen Einzelheiten genau denselben Bau wie an der von mir beschriebenen Form. Schiweizerischer Fundort : Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) (bestimmt von FUHRMANN). Selten in Seen und konstanten Kleingewässern. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur aus Schweden und Russ- land bekannt. 29, Dalyellia hallezi (Graff). Die von FUHRMANXN nur angekündigte, bisher noch nicht be- schriebene Art D. spinosa muss, wie das mir zur Verfügunge gestellte Originalmaterial zeigt, mit D. hallezi vereinigt werden. Prof. FUHRMANN hat selbst die nahen Beziehungen zu dieser Art erkannt: schon bevor ich das Material gesehen hatte. schrieb er mir, dass seine Form « mit D. hallezi sei. Nach meinen Beobachtungen ist der Chitinapparat des Copulationsorgans dem von GRAFF in seiner Rhabdocôlidenmonographie beschriebenen so ähnlich. dass die Unterschiede unmôüglich zur Aufstellang eimer neuen Species verwertet werden künnen. Die einzige Verschiedenheit besteht darin, dass die FUHRMANN'sche Form zwischen den beiden bestachelten Endästen eine breite Chitinrinne besitzt. Da der Chitinapparat sonst demjenigen von D. hallezi ganz ähnlch ist und da die näher untersuchten verwandten Arten (1. bre- vispina, D. armigera) eine solche Rinne aufweisen, hat GRAFF wahrscheinlich dieses Gebilde übersehen, — Die FUHRMANN sche Art ist mir schon früher aus Schweden bekannt. Schweizerischer Fundort : Tümpel auf dem Pouillerel (Neu- châteler Jura, 1220 m ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96. 97) (Vortex spinosa n. sp., nach FUHRMANN). G16 N. VON HOFSTEN Selten in konstanten Kleingewässern, zwischen Pflanzen. Allgemeine Verbreitung : Aus vereinzelten Gewässern in Deutschland, Livland, Bôühmen, (Russland?), Frankreich und Schweden bekannt. 23. Dalyellia brevispina Hofsten. Nachdem ich die früher von mir provisorisch zu D, hallezi sestellte Art in einer andern Gegend der Schweiz wiederge- tunden habe, muss ich sie als eine selbständige Species betrach- ten (HOFSTEN, 139). Schveizerische Fundorte : Tümpel bei der Grossen Scheidegg (Berner Oberland, 1950 m ü. M.). HOrSTEN 1907 (99) (D. sp. an hallezi Gratf). Tümpel nahe beim Trübsee (Obwalden, 1760 m ü. M.). HOFSTEN 1911 (139). Bisher nur in den zwei oben genannten alpinen Gewässern beobachtet und dort zwischen Pflanzen gefunden. 24. Dalyellia armigera (0. Schm.). Zu D. armigera stelle ich drei von FUHRMANN unter anderen Namen »beschriebene oder erwähnte Formen, Vortex fuscus Fuhrmann 1894, V. schmidti Graff, V. microphthalmus Vej- dovsky. D. fusca unterscheidet sich nach FUHRMANN von 1). armigera im Baue des Chitinapparats und in der Form der Spermatozoen. Der letztere Unterschied ist natürlich nur scheimbar ; die Sper- matozoen von 1. fusca zeigen auf der Figur FUHRMANNS den für de ganze Gattung (und zahlreiche andere Rhabdocülen) typi- schen Bau ; bei D. armigera sind sie nicht näher untersucht. Der Unterschied im Bau des Chitinapparats ist ganz gerimgfügig: von den Stacheln des bestachelten Seitenastes endigen «der RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÛÜLEN 617 dritte bis achte nicht mit einer Spitze sondern mit einer gesäg- ten Kante >». (FÜUHRMANN I. c., Taf. XI, Fig. 36).! Da der Chi- tinapparat von D. armigera sehr variabel ist (siehe HOFSTEN, 99, und unten), kann ich bei den jetzigen Kenntnissen der zuge- hürigen Formen dieser einzigen Differenz nicht den Wert eines Speciesmerkmals zuerkennen. An einer Schnittserie, die mir Prof. FUHRMANN zusandte, kann der Chitinapparat nicht deutlhich analysiert werden; es scheint mir aber, dass das abweichende Aussehen der Stacheln dadurch entsteht. dass einige benachbarte Stacheln in ihren ba- salen Teilen dicht aneinander geklebt oder mitemander ver- wachsen sind. Alle anderen Organe (7. B. die Bursa copulatrix, welche Spermatophoren enthält) stimmen vollständig mit D. ar- migera überein. Hierzu kommt, dass D). fusca in zwei Tümpeln bei Basel gefunden wurde, in denen D. armigera, Wie es scheimt häufig, lebte: der Gedanke an eine zufällige Aberration lässt sich daher nicht zurückweisen. Solange die Konstanz des besproche- nen Merkmals nicht nachgewiesen ist und die verschiedenen Formen von D). armigera nicht näher untersucht smd, kann D. fusca daher hüchstens als eine Varietät der genannten Art betrachtet werden: ob das Unterscheidungsmerkmal nur zu- fällig ist oder hüheren Wert besitzt, muss dabei unentschieden bleiben. D. schmidti Graft ist ebenfalls eine Art, die — wenigstens sesgenwärtig — unmôüglich von D. armigera getrennt werden kann. Der einzige bekannte Unterschied dieser gegenüber liegt ! Ein anderes Unterscheidungsmerkmal wird neuerdings von GRArr (Die Süss- wasserfauna Deutschlands) aus der Figur Fuarmanxs herausgelesen : die Stiele des Chitinapparates sollen bei D. fusca « kürzer als die Endäste und flächenhaft ver- breitert » sein. Auch bei D. armigera sind indessen die Stiele nicht selten sehr kurz — oder der proximale Teil ist schwach chitinisiert und daher schwierig sicht- bar — und die breite Form der Stiele hat, besonders da sie nicht von FUHRMANN erwäbhnt wird, nicht viel zu bedeuten (ich besitze Skizzen von D. armigera, an denen die Stiele fast ebenso breit erscheinen). 618 N. VON HOFSTEN in dem Fehlen von Stacheln am rechten KSeitenast des Chitin- apparats. Die Anzahl dieser Stacheln ist aber bei D. armigera stark wechselnd (3—9, siehe HOFSTEN, 99), und ich selbst habe einmal (1. €.) ein Exemplar mit einem eimzigen solchen Stachel beobachtet; wenn man die GRAFFSsche Art aufrecht hält, künnte man ja diese Form mit ebenso gutem Recht zur emen wie zur andern Species stellen. Die von FUHRMANN beobachtete Art ist jedenfalls unbedingt zu D. armigera zu ziehen ; an einem Total- präparat, das mir Prof. FUHRMANX zur Verfügung gestellt hat, ist nämlich der rechte Seitenast mit 4 deutlichen Stacheln ver- sehen, [ch habe auch einige Schnittserien untersucht: hier ist der Bau des Chitinapparats nicht erkennbar, die übrige Orga- nisation stimmt aber vôllig mit D. armigera überein. Dass auch D. microphthalma zu D. armigera gehôrt und wenigstens gesgenwärtig auch meht als eine Varretät derselben aufrecht erhalten werden kann, habe ich früher (99) aus- emandergesetzt. Schweizerische Fundorte: Westschweiz: Umgebung von (enève (Salève [in Frankreich] und Vernier). FUHRMANN 1900 (82). | Léman, Litoral (1 und 2 mn, bei Morges). HOFSTEN 1911 (139). Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler, Jura, 1220 m. ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97), { Vortex microphthalmus) (bestimmt von FUHRMANN). Umgebung von Basel: Tümpel und Teiche bei Brislach (Kant. Bern), Münchenstein, Reinach und Inzlingen (Baden). FUHRMANN 1894 (63, 64) ( Vortex armiger [Brislach, Reinach. Inzlingen|, V. fuscus n. sp. [Reinach, Inzlingen|, V. schmidti Graff | Münchenstein |). Bergbach bei Bottmingen. STEINMANN 1907 (102) (Vortex sp. armiger-Typus: bestimmt von FUHRMANN). RHABDOCÜLEN UND ALLOOCÜLEN 619 Berner Oberland: Tümpel zwischen Grindelwald und der Gr. Scheidegg (1300 m. ü. M.), Teich bei Grindelwald ! (1200 m), Tümpel ‘beim Oeschinensee (1600 m). — Tümpel bei der Gr. Scheidegge (1950 m). HOFSTEN 1907 (99). Tümpel auf dem Oberalppass (2030 m). HOFSTEN 1911 (139). Wahrschemheh eigenthich häufige, aber vereimzelt autretende und daher nicht überall leicht zu findende Art. Sie lebt in kon- stanten Kleingewässern und am Ufer und in der Litoralregion von Seen, sowohl zwischen Pflanzen wie (wohl weniger häufig) im Schlamm. Auch in Hochgebirge ist D. armigeru gefunden worden. Allgemeine Verbreitung : Aus verschiedenen Gegenden in Nordeuropa bekannt. 25. Dalyellia viridis (G. Shaw). Einige neuere Autoren (BRINKMANN u. a.) ersetzen den be- kannteren Speciesnamen véridis G. Shaw durch den älteren helluo Müll. Nach den Nomenklaturregeln erschien diese Ver- änderung berechtigt, denn von zwei unsicheren Namen (ur- sprünglich an diese Art oder an D). penicilla M. Braun oder scoparia O. Schm. gegeben ?) muss man natürlich den älteren wäblen. Indessen hat ganz neuerdimgs SEKERA *? gezeigt, dass D. viridis auch ohne anatomische Untersuchung von D. penicilla unterschieden werden kann, da die erstere Art ovale, die letztere kugelige Kier besitzt : MÜLLER’S Vortex helluo hatte « tria ovaria seu ova sphærica > und gehôrte also jedenfalls nicht zur véridis. Die Namensänderung kann — und muss — also unterbleiben. Es fragt sich nun, ob die schweizerischen Autoren D). viridis oder D. penicilla (oder scoparia) beobachtet haben. In Bezug auf die von FUHRMANN gefundenen Tiere kann ich hierauf eine ent- ! Copulationsorgan abweichend. = Ueber die grünen Dalyelliiden. Zool. Anz. Bd. XL, 1912. 620 N. VON HOFSTEN scheidende Antwort geben : ich habe Gelegenheit gehabt, die von Prof. FUHRMANN angefertigten Präparate des Chitinapparats (2 Tiere aus der Umgebung von Genf, 1 aus Märkt bei Basel) zu untersuchen:; der Apparat stimmt mit dem vom D. viridis, wie ihn GRAFF (27) beschreibt, vollkommen überein (bestachelte Neben- äste und mediane Chitinrinne fehlen also). Dass auch den üb- rigen Autoren die echte D. viridis vorgelegen hat, kann nicht mit derselben Sicherheit behauptet werden. Du PLESSIS fand jedoch seine Art so häufig («se trouve partout >»), dass er ge- wiss wenigstens teilweise diese Species beobachtet haben muss. Unsicherer ist die Bestimmung KELLERS. Die Bestimmung PENARD’S dürfte hüchst zweifelhaft sein. Er oibt als Fundort den Genfer See an, während DU PLESSIS ver- sichert, dass die Art nie in diesem See lebt. Die Angabe über den Sitz der Zoochlorellen ( picta (O. Schm.). ar oter.0000: > intermedia (du Plessis) > on LR scoparia (O. Schm.) > » _» 668. Gen. Castrella KFuhrmann. 26. Castrella truncata (Abilde.). Der charakteristische Habitus und die grosse Häufigkeit dieser Art machen es, wie ich neuerdings (121) auseinander- gesetzt habe, hôchst wahrscheinlich, dass der Vortex truncu- tus der Autoren wenigstens in der Regel als zu dieser Species gehôrig betrachtet werden kann. Von den Angaben über schweizerische Fundorte muss ich jedoch diejenigen DU PLESSIS mit einem Fragezeichen versehen. Dieser Autor erwähnt in seinen älteren Arbeiten (22, 28, 30; FOoREL 23, 29, 36) Vor- texæ truncatus überhaupt nicht, dagegen eine neue Art, Vor- tex intermedius, welche nach einer Angabe (28) vom Ufer bis in die Tiefe des (enfer Sees hinab häufig vorkommt : diese Form soll der erstgenannten Art sehr nahe stehen (< peut-être V. truncatus variet. >): einmal wird sie sogar «» genannt. In der letzten Arbeit (70) wird diese Art nicht mehr erwähnt — DU PLESSIS schreibt mir 6529 N. VON HOFSTEN jetzt, dass sie zu streichen ist — dagegen wird die früher nicht aufgeführte Art Vortex truncatus als eine auch am Ufer des Genfer Sees häufige Art bezeichnet. DU PLESSIS scheint also jetzt seimen früheren Vortex intermedius als zu Vortex trun- catus gehôrig zu betrachten und ein Teil der Fundorte für die letztere Art sind daher wahrscheinlich auf die erstere zu beziehen. Vortex intermedius ist aber, wie ich unten ($.667) zelgen werde, eine ganz unsichere Art, von der nichts weiteres festgestellt ist, als dass sie nicht zu Castrella truncata gehürt. — Wenn ich trotzdem, obgleich mit emem Fragezeichen, die letzte Angabe DU PLESSIS in mein Fundortsverzeichnis auf- uehme, so geschieht es, weil sein Vortex truncatus wahr- schemlch auch die echte Art umfasst; hierfür spricht sowohl de Häufigkeit der Art, die auch ich am Ufer des (enfer Sees sefunden habe, wie die Angabe über die unter Umständen pela- oischen (rewohnheiten der Tiere. Dass KELLER die echte C. truncata gefunden hat, sehe ich aus einem Totalpräparat, das mir von Prof. LANG in Zürich zur Verfügung gestellt wurde. Die von Vorz für die Umgebung von Neuchâtel angegebene Art ©. quadrioculata (Vejdovsky) gehôrt sicher hierher. Die von VEJDOVSKY beschriebene Art ist, wie sich jetzt heraus- gestellt hat (siehe unten S. 678 und HOFSTEN 139), mit ©. frun- cata identisch. Aber auch wenn man die erwähnte Species auf- recht erhalten wollte, kann man nicht daran zweifeln, dass die von VOLZ gefundene Form zu C. éruncata gehôrt. Die Bestim- inung ist offenbar nach rein äusserlichen Merkmalen erfolgt : sonst hätte der Autor die Zugehôrigkeit zu der von ihm selbst aufsenommenen (Gattung Castrella erkennen müssen. Dazu kommt, dass THIÉBAUD bei seinen sorgfältigen Untersuchungen des Fandorts (Lac de St-Blaise) nur (die von VOLZ nicht von dort semeldete) ©. éruncata fand; diese Art war äusserst häufig. Ueber C. agilis Fuhrmann siehe unten $. 678. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔÜLEN 623 Schweizerische Fundorte : Westschweiz : ? Léman, Lito- ral. Verschiedene, stehende Gewässer der Cantons de Vaud und deGenève. DU PLESSIS 1897 (70)( Vortextruncatus). —[? Léman, Litoral. FOREL 1902 (89) (nach DU PLESSIS) (Vortex truncatus)|. — Léman, Ufer. Teich bei Yverdon. Bassin im Botanischen Gar- ten von Neuchâtel. HOFSTEN 1911 (159). — Botanischer Garten in Genève !. FUHRMANN 1900 (82) (C. agilis n. sp.). Sümpfe am Ufer des Lac de Neuchâtel, Teiche bei Chanélaz und bei Hauterive nahe bei Neuchâtel, Bassin im Botanischen Garten dieser Stadt. VOLZ 1901 (85) (Vortex truncatus, C.agilis Fuhrm.). Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. Sümpfe w. davon. Vozz 1901 (85) (Vortex quadrioculatus). — Loclat (Lac de St- Blaise) bei Neuchâtel. THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) (C. agilis Fuhrm.) (bestimmt von FUHRMANN). Drei Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1220 bis 1240 m ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). (C. agilis Fuhrm.) (bestinmt von FUHRMANNX). Lac des Brenets. ZSCHOKKE 1894 (60) (Vortex truncatus). Lago Maggiore, Ufer. HOFSTEN 1911 (139). Umgebung von Basel (Tümpel bei Brislach und Reinach. Teiche bei Allschwyl, Kleimhünigen und Inzlingen [in Baden]. Sumpf bei Neudorf [Elsass], Bach in den Langen Erlen). FUHR- MANN 1894 (63, 64) (Vortex truncatus). Weiher bei Hottingen in der Nähe von Zürich. KELLER 1895 (66) ( Vortex truncatus). Berner Oberland: Ufer des Brienzer und des Thuner Sees, Sümpfe und Teiche bei Kienholz nahe beim Brienzer See, Teiche nahe Interlaken, Faulensee, Amsoldingensee, Geistsee, Uebe- schisee. Teiche bei Kandersteg (1175 m ü. M.). HOFSTEN 1907 (99). Thuner See, 20 m Tiefe. HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). ? Nach Vozz (85); Fuxrmanx selbst gibt keinen bestimmten Fundort an.* Rev. Suissk DE Zoo1. T. 20. 1912. 42 624 N. VON HOFSTEN Teichartige Erweiterung des Mühlebaches nahe beim Bach- see (2264 m ü. M.). STEINER 1911 (131). Obwalden: Drei kleine Seen zwischen Melchsee-Frutt uñd Engstlen-Alp (1980 m). HOFSTEN 1911 (139). St. Gotthard undOberalp: Lago Ritom (1829m), Lago Cadagno (1921 m), Sümpfe bei Piano dei Porcei (2200 m), Lago Punta nera (2456 m). FUHRMANN 1897 (71) (Vortex truncatus). Tümpel auf dem Oberalppass (2030 m). HOFSTEN 1911 (139). Ober-Engadin: Lej da Staz bei St. Moritz (1808 m). Tümpel beim Silvaplaner See (1760 m). Tümpel am Bernina- Pass (2230 und 2400 —2450 m). HOFSTEN 1911 (139). Zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen (ganz ausnahmsweise an der Grenze der Tiefen- region) äusserst gemein. Auch im Hochgebirge gehürt Cas- trella truncata zu den häufigsten Rhabdocülen. Allgemeine Verbreitung : Ueberall in Mittel- und Nordeuropa sehr häufig, ferner aus Südeuropa, aus Sibirien und aus Grün- land bekannt. Gen. Phænocora Ehrbg. (Syn. Derostoma Oerst.). 27. Phænocora unipunctata (Oerst.). Die Beziehungen der als Derostoma unipunctatum, galizianum, megalops und balticun bezeichneten Formen sind heute noch vüllig unaufgeklärt ; es ist ebensowohl müglich, dass die genann- ten Formen eme einzige, besonders äusserlich etwas variable Species, wie, dass sie zwei bis vier selbständige Arten darstellen. Die drei letztgenannten Formen werden nur von wenigen Au- toren erwähnt, P. unipunctata dagegen wurde von den meisten Rhabdocülenforschern seit der Zeit O. SCHMIDT'S mehr oder RHABDOCOÔLEN UND ALLÜOCÜLEN 625 weniger häufig angetroffen. Wenn nun zwei oder mehrere Arten dieser Gruppe existieren, so kann freilich diese Bestimmung nur in den wenigsten Fällen als zuverlässig betrachtet werden; dies oilt auch von den in der Schweiz gefundenen Tieren, welche von allen Autoren mit dem Artnamen wripunctata bezeich- net werden. So wie die Verhältnisse jetzt liegen, würde es aber keinen Sinn haben, die schweizerische P. unipunctata für eme zweifelhafte Art zu erklären, da das Vorhandensein mehrerer Arten noch nicht sichergestellt ist. Auch ?. baltica — die beï- den übrigen ganz oberflächlich beschriebenen und selten erwähn- ten Arten muss man ganz ausser Betracht lassen — ist nämlich eine ganz ungenügend charakterisierte Art. BRINKMANN ! hat zwar vor einigen Jahren den Versuch gemacht, diese Art gegen- über P. unipunctata zu umgrenzen; seine Angaben sind jedoch nicht überzeugend. Auch wenn die von dem dänischen Forscher hervorgehobenen Merkmale konstant sind, bleibt die Berech- tigung seiner Identifizierungen äusserst zweifelhaft. Die Form mit diffusen Augen wird zu P. unipunctata, die mit kompakten Augen zu ?. baltica gestellt ; die der Beschreïbung OERSTEDSS ? von ?. unipunctata zu Grunde ïiegende Art hatte jedoch, wie die Figur dieses Autors zeigt, ganz kompakte Augen. Unter solchen Umständen hege ich keine Bedenken, die aus der Schweiz erwähnten P. unipunctata unter diesem Species- namen aufzuführen. Wenn die von BRINKMANN angeführten Merkmale sich als zuverlässig erweisen sollen, so hat man für die Identifizierung der schweïizerischen Tiere folgende Anhaltspunk- te. FUHRMANN fand die Augen < bald scharf begrenzt, bald ganz diffus ausgebildet > : dieser Umstand spricht ja übrigens direkt segen die Auffassung BRINKMANNSS. Die Farbe seiner Tiere war 1 BRINKMANN, A. Studier over Danmarks rhabdocôle og acüle Turbellarier. Vidensk. Medd. Naturbh. Foren. Kübenhavn 1906. ? OErsreD, À. 5. Entwurf einer systematischen Eïinteilung und speziellen Be- schreibung der Plattwürmer. Copenhagen 1844. 626 N. VON HOFSTEN < schmutzig weisslich >»; Zoochlorellen werden nicht erwähnt. Was die Lage der Geschlechtsorgane betrifft, so liegt bei FUHR- MANNS, mir zur Verfügung gestelltem Material das männliche Copulationsorgan bei gefülltem Atrium nahe an der Bauchseite, wie bei der ?. baltica des dänischen Autors. — Das von mir im Lago Maggiore gefundene Exemplar hatte ganz diffuse Augen (HOFSTEN, 139). Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Tümpel und Gräben in der Umgebung von Orbe und Yverdon. DU PLESSIS 1897 (70). — Tümpel auf dem Reculet nahe bei Genève (Jura, auf franzôsischem (Gebiet, ca. 1500 m ü. M.) DU PLESSIS 1897 (70), FUHRMANN 1900 (82). — Salève nahe bei Genève (auf franzüsischem Gebiet). FUHRMANN 1900 (82). Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1220 m ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97) (bestimmt von FUHRMANN). Lago Maggiore, in 78 m Tiefe. HOFSTEN 1911 (139). Umgebung von Basel (Weiïher bei Münchenstein, Tümpel bei Reinach). FUHRMANN 1894 (63, 64). Diese Art lebt wenigstens in der Regel in Frühlingstümpeln, die im Sommer austrocknen. In der Schweiz ist sie (wie Dalyellia viridis und aus den gleichen Gründen wie diese) selten gefunden worden, Sie dürfte aber hier wie in andern Teilen Europas ver- hältnismässig häufig sein. Allgemeine Verbreitung : Ueberall in Mittel- und Nordeuropa verbreitet, ferner in Innerasien beobachtet. 28. Phænocora rufodorsata (Sekera). Ich habe in meiner letzten Arbeit(139)eine von mir im Genfer Seegefundene Phænocora-Art mit der von SEKERA! beschriebenen P. rufodorsata identifiziert, trotz mehrerer Unterschiede gegen- *E. Serer4, Neue Mitteilungen über Rhabdocôliden. Zool. Anz. Bd. XXVII. 1904. — Studien über Turbellarien. Sitzungsber. k. Bühm. Ges. Wissensch. 1911. RHABDOCOÜLEN UND ALLOÜOCÜLEN 627 über der Beschreibung des erwähnten Autors. Nach Verüffent- lichung meiner Arbeit schreibt mir Prof. SEKERA, dass meine Art vielleicht nicht mit der von ihm beschriebenen identisch ser. Da der bühmische Forscher, wie ich in meiner oben zitierten Ar- beit mitteilen konnte, in Bezug auf den wichtigsten Unterschied, die Form und Anordnung der Penisstacheln, nicht an den Ein- zelheiten seiner Figur festhält, finde ich auch jetzt keinen Unter- schied, der die Aufstellung einer neuen Species rechtfertigen kônnte. Alle bei beiden Formen gut bekannten Merkmale stim- men vüllig überein: das zugespitzte Hinterende, die Augen, die Pigmentierung des Rückens, der schlanke bestachelte Penis. Eine sichere Entscheidung wird nur durch die Untersuchung von neuem Material der bühmischen Form môglich sein ; bis auf weiteres kann ich nur für die schweizerische Form den von SEKERA gegebenen Speciesnamen gebrauchen. Schweizerischer Fundort: Léman, Litoral (bei Morges, im 2 m Tiefe). HOFSTEN 1911 (139). Typische Schlammart. Allgemeine Verbreitung : Krüher nur aus Bühmen bekannt. 29. Phænocora gracilis (Vejdovsky). Bei der Untersuchung des Originalmaterials der von FUHR- MANN beschriebenen Art ?. stagnalis {cæca) fand ich neuer- dings (139), dass FUHRMANN in seiner Speciesbeschreibung zwei ganz verschiedene Arten vermengt hat. Die einzige Figur, die zu einer sicheren Identifizierung genügt, gehôrt zu einer Art (mit glattem Penis), die nicht von P. gracilis Vejdovsky getrennt werden kann; die andere Art (mit hakenbesätem Penis), ist mit meiner 2. clavigera identisch. VEJDOVSKY’S Speciesname hat die Priorität vor stagnalis (der Name cæca War schon von OERSTED einer nicht identifizierten Form gegeben). — Ueber das Derostoma cæcum KELLERS (66) siehe unten. 628 N. VON HOFSTEN Schweizerischer Fundort : Weïher bei Münchenstein in der Nähe von Basel. FUHRMANN 1894 (64) (Derostoma cæcum e. p.: der Speciesname 1900 in stagnale gändert). Schlammart, bisher nur selten gefunden. Allgemeine Verbreitung: Sonst nur aus Bühmen, Ostpreussen und Kaukasien bekannt. 30. Phænocora clavigera Hofsten. Ueber P. cœca (stagnalis) Fuhrmann, die auch diese Art umfasst, siehe oben unter P. gracilis. Die von THIÉBAUD und FAVRE gefundene Form hatte nach brieflicher Mitteilung von Prof. FUHRMANN einen mit Dornen besetzten Penis und gehürt also zu P. clavigera. Ueber die von KELLER (66) im Zürcher See gefundene Species lässt sich dagegen nichts Bestimmtes sagen; da P. clavigera nach meinen Befunden im Bodenschlamm der Schweizer Seen nicht selten zu sein schemt, ist es wohl am wahrscheinlichsten, dass auch die Zürcherseeform hierher ge- hôürt. Schveizerische Fundorte: Westschweiz: Léman, Litoral (1,3—3 mm). HOFSTEN 1911 (139). Drei Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1200— 1238 m. ü. M.) THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97) (Dero- stoma stagnale) (bestimmt von FUHRMANN). Brienzer See, 15 m. HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). Weiher bei Münchenstein in der Nähe von Basel. FUHR- MANN 1894 (64) (Derostoma cœcum e. p.: der Speciesname 1900 in stagnale geändert). Schlammart, wie es scheint besonders im Litoral von Seen vorkommend. Allgemeine Verbreitung : Mit Sicherheit nur aus der Schweiz bekannt, wahrscheinlich jedoch auch in Ostpreussen gefunden. RHABDOCOLEN UND ALLÜOCÛÜLEN 629 Gen. Opistomum 0. Schm. 31. Opistomum pallidum 0. Schm. Schweizerische Fundorte : Tümpel im Canton de Vaud. DU PLESSIS 1878 (19) (TZyphoplana pallida). Tümpel und Gräben in der Umgebung von Orbe (Canton de Vaud). DU PLESSIS 1897 (70). Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1220 m ü. M.). TaréBauDp et FAVRE 1906 (96, 97) (Opistoma Schultzianum) (bestimmt von FUHRMANN). Seltene Art, schon am Ende des Winters auftretend und in später austrocknenden, mit faulendem Laub gefüllten Tümpeln lebend. Allgemeine Verbreitung : Aus zerstreuten (Gegenden in Deutschland, Oesterreich, Schottland und Dänemark bekannt. FAM. TYPHLOPLANIDÆ Gen. Olisthanella W. Voiet. 32. Olisthanella truncula (0. Schm... Olisthanella truncula ist eme etwas oberflächlich bekannte Art, die jedoch keineswegs als unsicher betrachtet werden darf. Dass DU PLESSIS diese seltene Art (die ich selbst in der Tiefe des Grenfer Sees nicht finden konnte) beobachtet hat, dürfte bei seiner Versicherung, dass die Tiere vollständig mit der Beschrei- bung und den Figuren GRAFFS (von der synonymen Art Meso- stomum banaticum) übereimstimmten. nicht bezweifelt werden. 090 N. VON HOFSTEN Ueber die von FUHRMANN gefundene Form kann ich mich selbst äussern, nachdem ich durch die Freundlichkeit Prof. F°s einige Skizzen der Tiere gesehen habe; die Zeichnungen zeigen so charakteristische Aehnlichkeiten mit den Figuren SCHMIDTS !, dass die Identität nicht bezweifelt werden kann. Die Bestimmung HOFERS kann ich dagegen nicht als zuverlässig betrachten. Dieser Autor sagt nichts über den Bau der von ihm beobachte- ten Form; als Nicht-Spezialist künnte er z. B. junge Exemplare von Mes. lingua, bei denen der Pharynx noch weit hinten liegt (vel. LUTHER, Die Eumesostominen), für O. truncula gehalten haben. Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Léman, Tiefe (vor Ouchy, 45 m). Du PLESsIS 1879 (22), [FOREL 1879 (23) (nach DU PLESSIS 1879)] (Mesostomum banaticum Graff), DU PLESSIS 1884 (28), 1885 (30), [FOREL 1885 (29), 1886 (36) (nach DU PLESSIS) (Mesostoma trunculum).| — Léman, Tiefe (30-40 m). Lac de Neuchètel, Litoral (bei Yverdon). DU PLESSIS 1897 (70) (Mesostoma trunculum). — [Léman, Tiefe (30-40 m). FOREL 1902 (89) (nach Du PLESSIS 1897) (Mesostoma trunculum.| Weïher bei Münchenstem in der Nähe von Basel. FUHR- MANN 1894 (63, 64) (Mesostoma trunculum). 2 Bodensee, Tiefe (160 m, wie es scheint auch 80 bis 200 m; wenigstens grôsstenteils auf deutschem (Gebiet). HOFER 1899 (77) (Mesostoma trunculum). Wahrschemlch, wenigstens in der Regel, in Schlamm (oder zwischen faulenden Pflanzenteilen) lebend und zwar sowoh]l in konstanten Kleingewässern wie im Litoral (selten in der Tiefe) von Seen; nicht häufig. Allgemeine Verbreitung : Hier und da in Mittel- und Nord- europa gefunden. ! Somipr, O. Die rhabdocülen Strudelwürmer aus den Umgebungen von Kra- kau. Denkschr. K. Akad. Wiss. Wien. Mat. Naturw. KI. Bd. XV. 1858. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 631 Unsichere oder für die Schweiz zweifelhafte Arten der Gattung Olisthanella : Olisthanella splendida (Graff). Siehe unten $. 669. » obtusa (M. Sch.). > LOTO: > halleziana (Vejdovsky). ee AU TAUE Gen. Dochmiotrema Hofsten. 33. Dochmiotrema limicola Hofsten. Schweizerischer Fundort : Bach (mit fast stehendem Wasser) am Ufer des Thuner Sees bei Därligen. HOFSTEN 1907 (99). Typische Schlammart, bisher nur an dem angeführten schweï- zerischen Fundort angetroften (im Sommer 1910 nicht mehr dort vorhanden). Gen. Rhynchomesostoma Luther. 34. Rhynchomesostoma rostratum (Müll.). Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Léman, Tiete (bei Ouchy, 45 m). Teiche bei Orbe. Du PLESSIS 1879 (22) (Mesostomum montanum Graf). — [Léman, Grund des Sees. FOREL 1879 (23) (nach pu PLESSIS 1879) (Mesostomum mon- tanum).| — Léman, Tiefe (45 m). DU PLESSIS 1884 (28) (Me- sostoma rostratum).— Léman, Tiefe (45 m). Tümpel am Ufer des Sees. Moore und « prés inondés >» (wohl im Canton de Vaud). DU PLESSIS 1885 (29) (Mesostoma rostratum). — | Léman, Litoral und Tiefe (45 m). FOREL 1885 (29), 1886 (36) (nach DU PLESsIS) (Mesostoma rostratum).|— Léman, Litoral und Tiete. Ueberall in Mooren, Teichen, Gräben und Sümpfen der Cantons de Vaud und de Genève. DU PLESSIS 1897 (70) (Mesostoma rostratum).—[ Léman, Litoral und Tiefe. FOREL 1902 (89) (nach DU PLESSIS 1897) (Mesostoma rostratum.] Sümpfe am Ufer des Léman. HOFSTEN 1911 (139). 632 N. VON HOFSTEN Umgebung von Genève (Veyrier, Meyrin, St-Georges, Chêne- Bougeries, Morillon). FUHRMANN 1900 (82) (Mesostoma ros- tratum). Murtensee. IMHOr 1885 (32) (Mesostoma rostratum). Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1220 m ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97) (Mesostoma rostratum) (bestimmt von FUHRMANN). Umgebung von Basel (Sumpf bei Neudorf [ Elsass |, Tümpel bei Brislach). FUHRMANN 1894 (63, 64) (Mesostoma rostratum). Mittelland: Zürcher See, Aegeri See, Hallwiler See, Baldegger See, Sempacher See, Sarner See, Seelisbergersee (überall aus der < Tiefe > ; siehe jedoch die Bemerkung im Lite- raturverzeichnis, sub 32). IMHOF 1885 (32) (die Angaben teil- weise 1887 (41) rekapituliert) (Mesostoma rostratum). Grosser Moosseedorfsee bei Bern (litoral). STECK 1894 (61) (Mesostoma rostratum). Berner Oberland: Ufer des Thuner Sees, Teiche am Aus- fluss der Kander in diesen See, Teich bei Bünigen, Moorgraben bei Kienholz (beide nahe dem Brienzer See). — Tümpel bei der Grossen Scheidegg (1950 m ü. M.) Teichartige Erweiterung des Mühlbaches nahe beim Bachsee (2264 m). Sägistalsee (1938 m). HOFSTEN 1907 (99). — Sägistalsee. VOLZ 1901 (85) (nach eimer Angabe des Herrn TH. DELACHAUX) (Mesostomu rostratum). —"Teichartige Erweiterung des Mühlbaches. Sägis- talsee. Tümpel auf dem Sulzibühl. STEINER 1911 (131). St. Gotthard: Lago di Punta nera (2456 m ü. M). ZSCHOKKE 1911 (130) (nach Mitteilung von BRESSLAU). Obwalden: Kleiner See zwischen Melchsee-Frutt und Engstlen-Alp (1980 m). HOFSTEN 1911 (139). Ober-Engadin: St. Moritzer See (1771 m), Silser See (1800 m). IMHOF 1885 (32), 1887 (41) (Mesostoma rostratum). RHABDOCÔÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 633 Lej Cavloccio (1910 m). IMHOF 1885 (32), 1886 (38), 1887 (41) CMesostoma rostratum). St. Moritzer See, Ufer. Teiche am Bernina-Pass (2400 bis 2450 m). HOFSTEN 1911 (139). R. rostratum ist in konstanten Kleingewässern, am Ufer und in der Litoralregion der Seen häufig, in der Regel Jedoch nicht in grosser Individuenzahl vorhanden. Auffallend oft wird die Art in moorigen Gewässeru mit humusreichem Wasser an- getroffen, ohne jedoch solchen Standorten vor andern den Vor- zug zu geben. Sie lebt zwischen Pflanzen und (wie es scheint seltener) im Schlamm; in die Tiefenregion der Seen steigt sie nur selten herunter. Im Hochgebirge ist sie überall gefunden worden, wo man die Turbellarienfauna näher durchforscht hat. Allgemeine Verbreitung : In Mittel- und Nordeuropa häufig. ferner aus Sibirien, Kaukasien, Grünland und Nordamerika bekannt. (ren. Strongylostoma Oerst. 35. Strongylostoma radiatum (Müll.). Schiweizerische Fundorte : Westschweiz : Bassin des Bota- nischen Gartens in (Genève, Saconnex und Lignon nahe bei dieser Stadt. FUHRMANN 1900 (82) (Castrada radiata). Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. THIEBAUD 1906 (95). 1908 (105) (Castrada radiata) (bestimmt von FUHRMANN). Zwei Tümpel auf dem Pouillerel {(Neuchateler Jura, 1220 m ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97) (Castrada radiata) (bestimmt von FUHRMANN). Teich bei Yverdon. Grund des Lac de Joux (15 —20 m). HOFSTEN 1911 (139). Lago Maggiore (8—10 m). HOFSTEN 1911 (139). Umgebung von Basel: Sümpfe bei Neudorf (Elsass) und 634 N. VON HOFSTEN Michelfelden (schweizerisch-elsässische Grenze). FUHRMANN 1894 (64) (Castrada radiata). Obwalden: Kleiner See zwischen Melchsee-Frutt und Engstlen-Alp (1980 m ü. M.). HOFSTEN 1911 (139). Ober-Engadin: Lej Falcum in der Nähe von St. Moritz (1810 m). HOFSTEN 1911 (139). In konstanten Kleingewässern und am Ufer, sehr oft auch im 3odenschlamm (bis an die Grenze der Tiefenregion) von Seen. Wahrscheimlich überall mehr oder weniger häufig, aber meist vereinzelt vorkommend. (relegentlich auch im Plankton auf- tretend. Allgemeine Verbreitung : Ueberall in Mittel- und Nord- europa verbreitet: auch in Sibirien gefunden. 36. Strongylostoma elongatum Hofsten. Die Selbständigkeit dieser Art gegenüber Str. radiatum ist nicht über allen Zweifel erhaben: siehe HOFSTEN 139. Schweizerische Fundorte : Léman (18 m). HOFSTEN 1911 (139). Berner Oberland : Thuner See, Ufer und Litoral., Faulen- see, Geistsee. HOFSTEN 1907 (99). Brienzer See, Tiefe (35 m). HOESTEN 1907 (99), 1911 (138). Obwalden : Kleimer See zwischen Melchsee-Frutt und Engstlen-Alp (1980 m ü. M.). HOFSTEN 1911 (139). In konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen, auch im Grundschlamm der Litoral- und der Tiefenregion. Allgemeine Verbreitung : Ausser in der Schweiz bisher nur in Schweden und Bühmen gefunden. Gen. Tetracelis Ehrbg. 31. Tetracelis marmorosa (Müll.). Schweizerische Fundorte : Umgebung von Genève(St-(reorges und Pinchat). FUHRMANN 1900 (82) (Mesostoma Yungi n. Sp.) RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 635 Lago nero am Bernina-Pass (0Ober-Engadin, 2220 m ü. M.). HOFSTEN 1911 (139). Diese Art gehôürt in der Schweiz, wie überall, zu den seltene- ren Rhabdocülen. Sie lebt zwischen Pflanzen in konstanten Klemgewässern. Allgemeine Verbreitung : Ausser in der Schweiz ist diese Art bisher nur in wenigen Gewässern in England, Dänemark,. Schweden, Finnland und Innerasien beobachtet worden. Gen. Castrada O. Schm. 38. Castrada stagnorum Luther. Schveizerische Fundorte : Tümpel bei der Grossen Scheidegg (Berner Oberland, 1950 m ü. M.). HOFrSTEN 1907 (99). Obwalden: Tümpel und Teiche bei Melchsee-Frutt (1900 m ü. M.): drei kleine Seen zwischen Melchsee-Frutt und Engstlen-Alp (1980 m); Tümpel nahe beim Trübsee (1780 m). HOFSTEN 1911 (139). Tümpel auf dem Oberalp-Pass (2040 m ü. M.). HOFSTEN 1911 (139). Lago nero (2220 m ü. M.) und Tümpel (2400—2450 m) am Bernina-Pass (Ober-Engadin). HOFSTEN 1911 (139). In der Schweiz ist diese Art nur im Hochgebirge gefunden worden; dort gehürt sie aber, wie man sieht, zu den häufigsten Rhabdocülen. Die Frage, ob diese Erschemung zu allgemeinen Schlüssen berechtigt, ist oben (S. 568 ff.) erôrtert worden. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur aus Finnland, Béhmen und dem schwedischen Hochgebirge bekannt. 39. Castrada inermis Hofsten. Schveizerische Fundorte : Tümpel auf dem Oberalp-Pass (2030 m ü M.) HOrSTEN 1911 (139). 636 N. VON HOFSTEN Tümpel nahe beim Trübsee (Obwalden, 1780 und etwa 2000 m). HOFSTEN 1911 (139). Ober-Engadin: Hahnensee bei St. Moritz (2156 m). Tümpel und Teiche auf dem Bernina-Pass (2230 und 2400 bis 2450 m). HOFSTEN 1911 (139). Diese Art ist bisher nur aus dem schweizerischen Hochgebirge bekannt ; hier wurde sie aber in drei weit auseinanderliegenden Gregenden gefunden. Die Bedeutung dieser wenigstens schein- bar beschränkten Verbreitung ist oben (S. 568 ff.) besprochen worden. 40. Castrada rhætica Hofsten. Schweizerischer Fundort : Tümpel nahe beim Silvaplaner See (Ober-Engadin, 1760 m ü. M.). HOFSTEN 1911 (139). Auch diese Art ist bisher nur aus dem schweïizerischen Hoch- gebirge (richtiger etwas unterhalb der Hochgebirgsregion) be- kannt, sie kommt aber auch im nordschwedischen Gebirge vor : siehe ferner oben (S. 568 ff.). 41. Castrada perspicua (Fuhrmann). Schwveizerische Fundorte : Drei Teiche in der Umgebung von Basel (bei Münchenstein, Inzlingen [in Baden] und Reinach). FUHRMANN 1894 (64) (Mesostoma perpicuum). In konstanten Kleingewässern zwischen Pflanzen. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur aus Finnland und Däne- mark bekannt (die Castrada segne von LUTHER und BRINK- MANN). 42. Gastrada segnis (Fuhrmann). Schaveizerischer Fundort : Bach in den Langen Erlen bei Basel. FUHRMANN 1894 (64) (Mesostomum segne). 20 RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 637 Bisher nur aus dem angeführten schweizerischen Fundort be- kannt (die ©. segnis LUTHER’S und BRINKMANNSS ist eine andere Art, C. perspicua : Siehe HOFSTEN, 139). 43. Castrada lanceola (M. Braun). (Syn. C. cuenoti (Dôürler) ; siehe unten $. 680). Schweizerische Fundorte : Teich bei Yverdon (Cant. de Vaud). HOFSTEN 1911 (139). Berner Oberland: Thuner See (3 bis 4 m, 15 m), Faulensee, Geistsee. HOFSTEN 1907 (99) (C. cuenoti Dôrler). 1911 (138). C. lanceola ist eine echte Schlammart, welche ebenso häufig (meist vereinzelt) in klemeren wie in grüsseren Gewässern lebt ; in die eigentliche Tiefenregion schemt sie jedoch nicht hinab- zusteigen. Allgemeine Verbreitung : Aus wenigen Fundorten in Mittel- und Nordeuropa (Livland, Ostpreussen, Steiermark, Bühmen, Schweden, Finnland, Russland) bekannt. 44. Castrada instructa Hofsten. Schweizerischer Fundort : Lac de Joux, Litoral (1—2 m). HOFSTEN 1911 (139). Bisher nur in Kalkschlamm (Schweden) oder in Schlamm- überzügen auf Steinen gefunden. Allgemeine Verbreitung : Früher nur aus Schweden bekannt. 45. Castrada affinis Hofsten. Schiweizerische Fundorte : Westschweiz: Léman, Litoral, (1—1,3 und 7 m, bei Morges und Corsier). Ufer des Lac de Joux und des damit zusammenhängenden Lac Brenet. Hor- STEN 1911 (139). Berner Oberland: Thuner See, Ufer und Litoral, Sümpfe bei Weissenau nahe bei diesem See, Blauer See im Kandertal, 638 N. VON HOFSTEN zwei Teiche nahe Kandersteg. — Teich bei Fämmernboden (Gemmipass, 2300 m ü. M.). HOFSTEN 1907 (99). Tümpel auf dem Oberalp-Pass (2040 m). HOFSTEN 1911 (SO Ober-Engadin: Lej Nair nahe bei St. Moritz (1870 m). Le] Pitschen (2220 m) und mehrere Teiche (2230—2300 und 2400 bis 2450 m) am Bernina-Pass. HOFSTEN 1911 (139). In konstanten Klemgewässern und am Ufer und im litoral von Seen ; zwischen Pflanzen, bisweilen auch im Schlamm lebend. Im Hochgebirge ist diese Art in drei weit ausemanderliegenden Gregenden beobachtet worden. Diese Art ist bisher nur aus der Schweiz bekannt; hier ist sie aber, wie man sieht, nicht selten. 46. Castrada hoîfmanni M. Braun. Schiweizerische Fundorte: Ober-Engadin : Hahnensee (2156 m. ü. M.), Lej Naïir (1870 m), Lej Marsch (1815 m), Le] Fal- cum (1810 m), Lej da Staz 1808 m), alle in der Umgebung von St. Moritz. HOFSTEN 1911 (139). Zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern, ferner am Ufer oder im Litoral von Seen lebend. In der Schweiz nur im Hochgebirge £efunden. Allgemeine Verbreitung : Früher aus Livland, Ostpreussen, Finnland, Dänemark und Schweden, ferner aus Sibirien, Inner- asien und Nordamerika bekannt. 47. Castrada sphagnetorum Luther. Schweizerische Fundorte : Lej Marsch und Lej Faleum (1810 —1815 m ü. M.) in der Nähe von St. Moritz (Ober-Engadin). HOFSTEN 1911 (139). Zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern und kleinen Seen gefunden. In der Schweiz nur im Hochgebirge beobachtet 1 2 indlicatctatéiai à à did RHABDOCÜLEN UND ALLOÜOCÜLEN 639 und vielleicht zu derselben Gruppe wie C. stagnorum u. a. (S. 568 ff.) gehôrend. Allgemeine Verbreitung : Früher nur in Fimnland, in Bühmen und im nordschwedischen Hochgebirge gefunden. 48. Castrada spinulosa Hofsten. Schaceizerische Fundorte: Léman, Litoral (5—6 m) und Tiefe (47, 56 m). Lac de Joux (15—20 m). HOFSTEN 1911 Han Lago Mageiore, Litoral und Tiefe (8-—40 m). HOFSTEN 1911 (139). Brienzer-See, Litoral und Tiefe (1035 m); Thuner See, Tiefe (60—70 m). HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). Typisch für den Schlammboden (und zwar sowohl der L1- toral- wie der Tiefenregion) der subalpinen Schweizerseen ; sonst nirgends beobachtet. 49. Castrada quadridentata Hofsten. Schiweizerische Fundorte : Léman, Litoral (1—2 m). HOFSTEN PUS): Brienzer See, Tiefe (20 bis 30 m). Thuner See, Tiefe (60 bis AO) HOESTENATI0 (OMS LEE (LES): Ebenfalls typische Schlammart, bisher nur im Litoral und im der Tiefe grüsserer Gewässer gefunden. Allgemeine Verbreitung: Sonst nur in Schweden beobachtet. 50. Castrada viridis Volz. Schweizerische Fundorte: Westschweïiz: Léman, Ufer («< grève ») bei Anières'. FUHRMANN 1900 (82) [Voz 1898 1 Vorz (85) schreibt unrichtig « étang à Anières ». Rev. Suisse DE Zoo. T. 20. 1912 43 640 N. VON HOFSTEN (74), 1901 (85)]. [FOREL 1902 (89) (nach FUHRMANN und VoLz)|. (C. horrida var. viridis Volz). Léman, Litoral (bei Morges und Corsier, 1—2 m). Ufer des Lac de Joux und des mit diesem zusammenhängenden Lac Brenet. HOFSTEN 1911 (139). Seelisbergersee (Ufer). HOFSTEN 1911 (139). Berner Oberland: Ufer des Brienzer und des Thuner Sees, Teich bei Interlaken, Sümpfe bei Weissenau nahe dem Thuner See, Faulen See, Blauer See im Kandertal. HOFSTEN 1907190) In konstanten Klemgewässern und, wie es scheint, häufiger am Ufer von Seen; lebt zwischen Pflanzen, in Seen nicht selten auch im Schlamm oder auf den Ueberzügen der Steine. Allgemeine Verbreitung: Sonst nur in Ostpreussen, Finn- land, Dänemark und Sibirien gefunden. 51. Castrada armata (Fuhrmann). Schweizerische Fundorte: Lac de Neuchâtel, Titoral (bei Yverdon, 1,5 m). Ufer des (mit dem Lac de Joux zusammen- hängenden) Lac Brenet. HOFSTEN 1911 (139). Sumpf bei Neudorf (Elsass) in der Nähe von Basel. FUHR- MANN 1894 (64). (Mesostoma armatum.) Zwischen Pfanzen (ausnahmsweise im Schlamm) in konstan- ten Kleingewässern and am Ufer von Seen; nicht häufig (wenig- stens in der Schweiz). Allgemeine Verbreitung : Sonst nur aus Ostpreussen, Elsass, Finnland, Dänemark und Schweden bekannt. 52. Castrada neocomensis Volz. Schweizerische Fundorte: Westschweiz: Loclat (Lac de St. Blaise) bei Neuchâtel. VOLZ 1898 (74), 1901 (85); THié- RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÛÜLEN 641 BAUD 1906 (95), 1908 (105) (bestimmt von FUHRMANN) ; HoOr- STEN 1911 (139). Ufer des (mit dem Lac de Joux zusammenhängenden) Lac Brenet. HOFSTEN 1911 (139). Sumpf bei Neudorf (Oberelsass) in der Nähe von Basel. FUHRMANN nach VOLZ 1901 (85). Berner Oberland: Thuner See, Ufer. Teiche am Eim- fluss der Kander in diesen See; Amsoldingensee, Geistsee, Uebeschisee. HOFSTEN 1907 (99). Obwalden: Tümpel bei Melchsee-Frutt, zwei kleine Seen zwischen Melchsee-Frutt und Engstlen-Alp (1980 m), Tümpel nahe beim Trübsee (1780 m). HOFSTEN 1911 (139). Zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen. In der Schweiz nicht selten und auch im Hoch- gebirge beobachtet. Allgemeine Verbreitung: Sonst nur in Finnland, Dänemark und Schweden gefunden. 53. Castrada intermedia (Volz). (Syn. C. tripeti (Volz); siehe unten S. 680). Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Umgebung von Genève (Botanischer Garten der Stadt, Veyrier, Pinchat, St. Cergues). FUHRMANN 1900 (82) [VoLz 1898 (74), 1901 (85)] (Diplopenis Tripeti). Neuchâtel (Bassin des Botanischen Grartens und Bassin vor dem Universitätsgebäude, Teich bei Hauterive nahe bei dieser Stadt. VOLZ 1898 (74), 1901 (85) (Diplopenis Tripeti). — Teich bei Hauterive, Bassin vor dem Museum in Neuchâtel. HOr- STEN 1911 (139). Umgebung von Basel: Sümpfe bei Neudorf (Elsass) und Michelfelden (schweizerisch-elsässische Grenze). VoLz 642 N. VON HOFSTEN 1898 (74), 1901 (85) (zuerst von FUHRMANN gefunden). (Diplo- penis Tripeti und D. intermedius). Berner Oberland: Brienzer See, Ufer. Teich bei Kien- holz nahe bei diesem See. Faulensee. HOFSTEN 1907 (99). Zwischen Pflanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur aus Oesterreich, Finn- land, Dänemark, Schweden und Kaukasien bekannt. 54. Castrada luteola Hofsten. Schweizerische Fundorte: Berner Oberland: Teich bei der Gr. Scheidegg (1950 m ü. M.) HOrSrEN 1907 (99). Teichartige Erweiterung des Mühlbaches nahe beim Bach- alpsee (2264 m). HOFSTEN 1907 (99), STEINER 1911 (131). Obwalden: Teich bei Melchsee-Frutt (1900 m), zwei kleine Seen zwischen Melchsee-Frutt und Engstlen-Alp (1980 m). HOFSTEN 1911 (139). Ober-Engadin: Lej Pitschen (2220 m) und Teiche (2400—2450 m) am Bernina-Pass. HOFSTEN 1911 (139). Zwischen Pflanzen in Kkonstanten Kleingewässern lebend. Bisher nur im (schweizerischen und schwedischen) Hochgebirge, dort aber häufig und in verschiedenen Gegenden gefunden : die Art ist daher zu derselben Gruppe wie Castrada stagnorum nn u. à. zu rechnen (siehe S. 568 ff.). Allgemeine Verbreitung: Sonst nur im nordschwedischen Hochgebirge beobachtet. 55. Castrada fuhrmanni (Volz). Schweizerischer Fundort:Teiche bei Vevyrier in der Nähe von Genève. FUHRMANN 1900 (82), VOLZz 1898 (74), 1901 (85). (Mesocastrada fuhrmanni.) RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 643 Bisher nur an dem einzigen, oben angeführten Fundort in der Schweiz beobachtet (die von SEKERA als C. fuhrmanni be- stimmte Art gehôürt der Gattung Sérongylostoma ; siehe HOFSTEN, 139 (Nachtrag). Gen. Typhloplana Ehrbg. 56. Typhloplana viridata (Abilde.). Ausser von den unten aufgezählten Autoren wird Typhloplana (Mesostoma) viridata von mehreren andern schweizerischen Forschern erwähnt: DU PLESSIS (18, 19, 28, 30, 70) (er schreibt abwechselnd véiridis und viridata), FOREL (23, 29, 36, 89), STECK (61), KELLER (66), ZSCHOKKE (80). Diese Angaben künnen nicht berücksichtigt werden, da bekanntlich alle grünen und blinden Castrada-Arten bis VOLZ den Namen Mesostoma virida- tum trugen. Besonders wichtig ist, daran zu erinnern, dass auch die von ZSCHOKKE in mehreren Rhätikonseen (« überall häufig ») gefundene Art nicht näher bestimmbar ist, und dass T° véridata also nicht aus dem Hochgebirge bekannt ist ; dass die von ZSCHOK- KE gefundene Form dieser Art angehüren sollte, ist sogar ziemlich unwahrscheinlich, da später (HOFSTEN) in andern alpinen Ge- wässern emige grüne Castrada-Arten (besonders ©. stagnorum) häufig beobachtet worden sind, während 7° viridata nie dort ge- funden wurde. Mit 7. voridata vereinige ich 7. minima Fuhrmann; siehe unten S. 680. Schweizerische Fundorte: Westschweiz: Léman, Litoral (2 m). HOFSTEN 1911 (139). — Bassin des Botanischen Gartens in (Crenève. FUHRMANN 1900 (82) (Mesostoma viridatum). Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel. VOLZ 1901 (85) (Mesostoma viridatum) THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) (Weso- stoma viridatum) (bestimmt von FUHRMANN). — Bassin des Botanischen Grartens in Neuchâtel, Loclat (Lac de St-Blaise), Teich bei Yverdon. HOFSTEN 1911 (139). 644 N. VON HOFSTEN Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1220 m. ü. M.) THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97), (bestimmt von FUHRMANN). Umgebung von Basel (Neudorf [Elsass|, Kleinhünigen, Allschwil, Istein [Baden]. FÜUHRMANN 1894 (63, 64), (Meso- stoma viridatum und M. minimum). Berner Oberland: Ufer des Thuner Sees, Teiche am Ein- fluss der Kander und der Aare in diesen See, Teich bei Inter- laken, Sümpfe bei Kienholz nahe am Brienzer See, Faulensee, Amsoldingensee, Geistsee, Uebeschisee. HOFSTEN 1907 (99). Zwischen Pfanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen. 7°. viridata dürfte überall zu den häufigeren Ar- ten gehôren; dass die Fundorte in der Schweiz (mit Ausnahme des Berner Oberlandes) wenig zahlreich sind, beruht auf der Unsicherheit der älteren Bestimmungen. Allgemeine Verbreitung : Ausser aus der SchWeïz mit Sicher- heit nur aus Bayern, Steiermark, Ostpreussen, Livland, Däne- mark und Schweden, ferner aus Nordamerika bekannt. Gen. Lutheria Hofsten. 57. Lutheria minuta Hofsten. Schweizerische Fundorte : Brienzer See, Tiefe (30, 60 m), Thuner See, Tiefe (35 m). HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). Lutheria minuta ist, nach den vereinzelten bisherigen Funden zu urteilen, eine in grôsseren Gewässern lebende Schlammart. Nur aus der Schweiz bekannt. Gen. Mesostoma Oerst. 58. Mesostoma productum (0. Schm.). Wie in andern Fällen, wo es sich um Arten handelt, die schwieriger und nicht an äusseren Merkmalen erkennbar sind, RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÛLEN 645 muss ich die Richtigkeit der Speciesbestimmung DU PLESSIS’ stark in Frage ziehen. In diesem Falle habe ich für diese Zwei- fel folgende spezielle Gründe : 1. In der Arbeit von 1884 (28), in Welcher DU PLESSIS einige Angaben über den Bau der ge- fundenen Rhabdocülen macht, werden von M. productum nur die Form, die Farbe und einige histologische Einzelheiten er- wähnt. Alle diese Angaben passen sehr gut auf M. linqua. Da die Organe, welche deutliche Unterschiede gegenüber dieser Art aufweisen, nicht erwähnt werden, hat DU PLESSIS wahr- scheinlich seine Bestimmung hauptsächlich auf den für 47. productum charakteristischen, helleren Streifen (pli allongé ou sillon) im Vorderende gestützt, aber auch bei AZ. linqua hat, wie LUTHER bemerkt, das Vorderende oft vanz dasselbe Aus- sehen, und es ist daher nicht unmôüglich, dass die von DU PLES- Sis als A. productum bestimmten Tiere nur solche Exemplare der erwähnten Art darstellten. 2. [ch selbst habe im Genfer See trotz sehr zahlreicher Fänge AJ. productum weder litoral noch in der Tiefe gefunden, während A7. lingua überall (be- sonders litoral) häufig war. 3. Die Angaben DU PLESSIS sind, wie man sieht, ziemlich widersprechend. Schweizerische Fundorte : Westschweiz: ? Léman, Tiefe (30—60 m), FOREL 1876 (13), 1877 (17), 1878 (21), 1879 (23). (Scizostomum productum) (bestimmt von DU PLESSIS). — ? Léman, Litoral (von 2 m ab) und Tiefe, Lac de Joux (dès le rivage). DU PLESSIS 1884 (28). — ? Léman, Ufer bis 60 m, Lac de Joux (1 Exemplar ; vergl. oben!). DU PLESSIS 1885 (30). — [? Léman, Tiefe 30—60 m). FOREL 1885 (29), 1886 (36) (nach Du PLESSIS)|. — ? Léman, Litoral (bei Lausanne !). Lac de Joux. DU PLESSIS 1897 (70), [FOREL 1902 (89), (nach Du PLESSIS)|. — St. Georges in der Nähe von Genève. FUHRMANN 1900 (82). ! Es heisst in dieser Arbeit: « Nous ne l’avons vu que deux fois dans la faune littorale du Lac Léman, près de Lausanne.» Also nicht in der Tiefe; vergl. die älteren Angaben ! 646 N. VON HOFSTEN Umgebung von Basel: Sumpf bei Neudorf (Elsass). FUHR- MANN 1894 (63, 64). In konstanten Klemgewässern und am Ufer (und in der Tiefe ?) von Seen, wahrscheinlich sowohl zwischen Pflanzen wie im Schlamm lebend; nicht häufig. Allgemeine Verbreitung : Aus zerstreuten Fundorten in Mittel- und Nordeuropa bekannt. 59. Mesostoma lingua (Abildg.). Schweizerische Fundorte: Westschweiz: Léman, Tiefe (30—60 m) FOREL 1876 (13) (bestimmt von DU PLESSIS) — Léman, Litoral und Tiefe. DU PLESSIS 1877 (18), 1878 (19). — [ Léman, Tiefe. FOREL 1877 (17), 1878 (21), 1879 (23) (nach DU PLESSIS)|. — Léman, Litoral und Tiefe (2—60 m). « Eaux sta- gnantes du littoral >». DU PLESSIS 1884 (28). — Léman und Lac de Joux, Tiefe. Tümpel und Teiche der Cantons de Vaud und de Genève. DU PLESSIS 1885 (30). — Léman, Ueberschwemmungs- ufer und Litoralregion. Ueberall in Tümpeln und Teichen der Cant. de Vaud und de Genève. DU PLESSIS 1897 (70). — [Léman, Litoral und Tiefe. FOREL 1885 (29), 1886 (36), 1902 (89) (nach DU PLESSIS)]. — Umgebung von Genève (Lacs du Salève jauf franzüsischem (Gebiet|, Bel-Air, la Bellotte, Vernier, Lignon). FUHRMANN 1900 (82). — Léman, Litoral (2—6 m) und Tiefe (30—70 m) bei Morges. Sümpfe am Ufer des Sees bei Villeneuve. Ufer des (mit dem Lac de Joux zusammenhän- genden) Lac Brenet. HOFSTEN 1911 (139). Umgebung von Basel (Teich bei Kleinhüningen, Sümpfe bei Neudorf|{Elsass] und Michelfelden{schweiz.-elsäss. Grenze |). FUHRMANN 1894 (63, 64). Zürcher See. KELLER 1895 (66). Oberer Stockhornsee (1658 m. ü. M.). BAUMANN 1910 (27: RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 647 Berner Oberland: Teich bei Kandersteg. VOLZ 1901 (85). — Thuner See, Tiefe (35 m). HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138)- — Thuner See, Ufer und Litoral (1m), Teiche am Einfluss der Kander in diesen See und bei Interlaken; Sümpfe bei Bünigen. Blauer See im Kandertal ; Teich bei Kandersteg. — Tümpel bei der Spitalmatte (Gemmipass, 1900 m ü. M.). Teichartige Er- weiterung des Mühlbaches nahe beim Bachalpsee (2264 m). Teiche bei der Gr. Scheidegg (1950 m). HOFSTEN 1907 (99). Hinterburgsee (1533 m), Sägistalsee (1938 m), teichartige Erweiterung des Mühlbaches nahe beim Bachalpsee (2264 m). Tümpel auf dem Sulzibühl (2280 m), Hagelsee (2325 m). STEINER LD): Obwalden: Teich bei Meichsee-Frutt (1900 m); zwei kleine Seen zwischen Melchsee-Frutt und Engstlen-Alp (1980 m). HOrSTEN 1911 (139). St. Gotthard und Oberalp: Lago Ritom (1829 m). Sümpfe bei Piano dei Porci (2220 m). FUHRMANN 1897 (71). Tümpel auf dem Oberalppass (2040 m). HOFSTEN 1911 (139). Liedernenkette : Blutsee (Tümpel) (1815 m). Mader- anertal: Blutsee (Tümpel). KLAUSENER 1908 (106) (bestimmt von FUHRMANN). Graubünden: Blutsee (Tümpel) am Stätzerhorn (2220 m). Blutsee (Tümpel) bei Tenna-Ausserberg. KLAUSENER 1908, (106) (bestimmt von FUHRMANN). Rhätikon: Partnunsee (1874 m); Lünersee (Vorarlberg, un- weit der Schweizergrenze) (1943 m). ZSCHOKKE 1900 (80). Ober-Engadin : Lej Falcum nahe bei St. Moritz (1810 m), Tümpel beim Silvaplaner See (1760 m), Teiche am Bernina-Pass (2400— 2450 m). HOFSTEN 1911 (139). Diese Art gehôrt in der Schweiz, wie überall, zu den häufig- sten Rhabdocülen ; wenn man auch auf die Individuenzahl Rück- 648 N. VON HOFSTEN sicht nimmt (mehrere vereinzelt auftretende Arten künnen na- türlich in Wirklichkeit ebenso häufig sein), so kann vielleicht in dieser Beziehung nur Castrella truncata mit ihr wetteifern. Sie ist ebenso häufig in konstanten Kleingewässern wie am Ufer und im Litoral der Seen und lebt mit Vorliebe in reicher Vege- tation, wird aber sehr oft auch im Schlamme gefunden. In den Seen steigt sie nicht selten in die Tiefe hinab. Im Hochgebirge ist sie vielleicht die häufigste Art. Allgemeine Verbreitung : Ueberall in Mittel- und Nordeuropa häufig, ferner aus Innerasien bekannt. 60. Mesostoma ehrenbergi (Focke). M. ehrenbergi ist ein eklatantes Beispiel dafür, wie die Angaben DU PLESSIS stets mit gewisser Vorsicht aufzunehmen sind. Es heisst zuerst (18, 19 und die Arbeiten FOREL'S), die Art steige bis in die Tiefe des Genfer Sees hinab, wo die Exem- plare kleimer und die Augen rot statt schwarz werden. In der Arbeit von 1884 (28) wird die Art nurin einem «complément» zu- sammen mit einigen andern für die Tiefenfauna etwas unsicheren, in der Latoralfauna regelmässig anzutreffenden Rhabdocülen er- wähnt; über das Vorkommen von M. ehrenbergi sagt der Autor jetzt nur, er habe oft Exemplare vom Grund einiger tie- fer, mit dem See kommunizierender Teiche heraufgeholt, aus den Gebären der Tiere hält er aber für wahrscheimlich, dass sie eher ein pelagisches Leben führen. Sind diese Angaben wirklich so zu verstehen, dass auch aus solchen « Tiefen » stammende Tiere zur «faune profonde du Léman >» gerechnet werden ? Im folgenden Jahre (30) wird die Art nicht mehr erwähnt, und im der Arbeit von 1897 (70) lesen wir ausdrücklich, dass sie nie in Genfer See anzutreffen ist, «ni dans la faune profonde, ni dans la littorale »! A. ehrenbergi ist ja eine auf den ersten Blick sicher erkennbare Art, welche nie mit einer andern ver- RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 649 wechselt werden kann; bedeutet die letztere Angabe etwa, dass die älteren aus der Luft gegriffen sind ? Schweizerische Fundorte : Westschweiz: ? Leman, Tiefe (30—60 m). FOREL 1876 (13) (bestimmt von DU PLESSIS). — ? Léman, Tiefe (bis 30 m). Sümpfe am Ufer des Sees. DU PLESsIS 1877 (18), 1878 (19). — [? Léman, Tiefe. FOREL 1877 (17), 1878 (21), 1879 (23) (nach Du PLESSIS).| — ? Mit dem Léman kommunizierende Teiche. DU PLESSIS 1884 (28). — [? Léman, Litoral und Tiefe. FOREL 1885 (29), 1886 (36) (nach DU PLESSIS). | — Sumpf bei Lausanne, an der Mündung des Flon. VoGr und YUNG 1885 (34). — Tümpel und Teiche am Ufer des Léman (nie im See selbst!) und des Lac de Neuchâtel. Teich bei Anières; Teich bei Orbe. DU PLESSIS 1897 (70). Umgebung von Basel: Sumpf bei Neudorf (Elsass). FUHRMANN 1894 (63, 64). Zürcher See. KELLER 1895 (66). Tümpel am Ufer des Brienzer Sees bei Kienholz. HOFSTEN 1907 (99) Diese schüne Art, wegen ihrer Grüsse und Durchsichtigkeit seit langem die am meisten bekannte aller Rhabdocôlen, ist im der Schweiz selten. Sie lebt zwischen Pfanzen in konstanten Kleingewässern und am Ufer von Seen. Allgemeine Verbreitung : Ueberall in Mittel- und Nordeuropa, aber nie häufig; ferner in Sibirien, Kaukasien, Innerasien, Nord- amerika und auf Trinidad gefunden. Für die Schweiz unsichere Art der Gattung Mesostoma : Mesostoma tetragonum (Müll.) Siehe unten $. 671. 650 N. VON HOFSTEN Gen. Bothromesostoma M. Braun. 61. Bothromesostoma personatum (0. Schm.). Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Sümpie am Ufer des Lac de Neuchâtel bei Yverdon. Ufer des Lac de Joux. DU PLESSIS 1897 (70) (Mesostoma personatum). — Loclat (Lac de St-Blaise bei Neuchâtel. VOLZ 1901 (85). THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) bestimmt von FUHRMANN. Umgebung von Basel (Sümpfe bei Neudorf|Elsass| und Michelfelden [schweiz.-elsäss. Grenze|, Teich bei Kilemhünin- gen). FUHRMANN 1894 (64). Berner Oberland: Thuner See, Ufer. Teiche am Em- fluss der Kander in diesen See und bei Kienholz am Brienzer See. Geistsee, Uebeschisee. HOFSTEN 1907 (99). Lej Falcum in der Nähe von St. Moritz (Ober-Engadin, 1810 m ü. M.) HOFSTEN 1911 (159). In der Schweiz ist B. personatum verhältnismässig selten an- getroffen worden. Die Art lebt in konstanten stehenden Klein- gewässern und (weniger häufig) am Ufer grüsserer Seen, stets zwischen Pflanzen und oft in grosser Individuenzahl. Im Hoch- gebirge ist sie nur einmal und dann an der unteren Grenze der Hochgebirgsregion gefunden worden. Allgemeine Verbreitung: Ueberall in Mittel- und Nordeuropa mehr oder weniger häufig, ferner aus Grôünland, Sibirien und Innerasien bekannt. FAM. TRIGONOSTOMID Æ. Gen. Trigonostomum 0. Schm. 62. Trigonostomum neocomense (Fuhrmann). Schweizerische Fundorte : Lac de Neuchâtel, Tiefe (55, 120 m). FUHRMANN 1904 (92) (Hyporhynchus neocomensis). RHABDOCOÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 651 Lago Maggiore, Tiefe (vor Locarno, 30 bis 40 m). HOFSTEN LT i(89); Diese Art ist bisher nur in der Tiefe der beiden erwähnten Seen gefunden worden ; sie gehôrt allem Anscheine nach zu den für den Grundschlamm grüsserer Gewässer charakteristischen Arten. FAM. GYRATRICIDÆ. Gen. Gyratrix Ehrbg. (Syn. Gyrator Ehrbg.). 63. Gyratrix hermaphroditus Ehrbg. GRAFF unterscheidet neuerdings (Die Süsswasserfauna Deutschlands) zwei Unterarten, G. hermaphroditus hermaphro- ditus Ehrbg., mit zwei schwarzen, bei Exemplaren aus Brunnen oder aus der Seetiefe rôtlichen Augen, und G. hermaphroditus cæca (Vejd.), ohne Augen (ursprünglich als selbständige Species aufgestellt). Da das Fehlen der Augen, wenigstens in der See- tiefe, ein nur gewissen Individuen zukommendes Merkmal ist (xgl. besonders DU PLESSIS, 28, 30, 70), ist eme Trennung in zwei Subspecies nicht durchführbar. Man kann natürhich trotz- dem die blinden Exemplare mit dem Namen cæca bezeichnen, dagegen ist es eine ganz unnôtige Belastung der Nomenklatur, die typische Form stets unter dem doppelten Namen G&. herma- phroditus hermaphroditus anzuführen. Schweizerische Fundorte : Westschweiz: Léman, Tiefe (bis 30 m). Sümpfe am Ufer des Sees und andere stehende Gewässer des Canton de Vaud. DU PLESSIS 1877 (18), 1878 (19) (Pro- stomum lineare). — | Léman, Tiefe. FOREL 1879 (23) (nach DU PLESSIS) (Prostomum lineare)|. — Léman, Litoral und Tiefe (2 bis 50 m). DU PLESSIS 1884 (28).— Léman, Tiefe (bis 60 m). Sümpfe am Ufer des Sees, Teiche im Canton de Vaud. DU PLESSIS 1885 652 N. VON HOFSTEN (30). — [ Léman, Litoral und Tiefe (bis 60 m). FOREL 1885 (29), 1886 (36), 1902 (89) (G. hermaphroditus und G. cæcus) (nach DU PLESSIS)]. — Léman, Litoral und Tiefe. DU PLESSIS 1895 (67). — Léman und Lac de Neuchâtel, Litoral und (auch im letzteenannten See?) Tiefe. Sehr häufig im Teichen, Tümpeln usw. der Cantons de Vaud und de Genève. DU PLESSIS 1897 (70). — Teich bei Vernier w. von Genève. FUHRMANN 1900 (82) (G. notops). — Sümpfe am Ufer des Léman. Bassin im Botanischen zarten von Neuchâtel. Ufer des Lac de Joux. HOFSTEN 1911 (139). Loclat (Lac de St-Blaise) bei Neuchâtel, Bassins im Bota- nischen Garten und vor dem Universitätsgebäude m Neuchâtel. VOLZ 1901 (85). — Loclat (Lac de St-Blaise). THIÉBAUD 1906 (95). 1908 (105) (bestimmt von FUHRMANN). — $Sechs Tümpel auf dem Pouillerel (Neuchâteler Jura, 1200 bis 1240 m ü. M.). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97) (bestimmt von FUHR- MANN). Insubrische Seen : Lago Maggiore, Litoral (4 m). Hor- STEN 1911 (139). — Luganer See, Tiefe (70 m). FEHLMANN 1911" (36); Umgebung von Basel: Mehrere Gewässer in der Umge-: bung (Reinach, Kleimhünimgen, Neudorf [Elsass|, Michelfelden (schweiz.-ellsäss. Grenze), Bottmingen). FUHRMANN 1894 (64). — Bergbach bei Bärschwyl. STEINMANN 1907 (102) (bestimmt von FUHRMANN). Zürcher See. Botanischer Garten in Zürich. KELLER 1895 (66) (die Seeform als < @. cœcus Ehrbg. >» bezeichnet). Hinterer Stockhornsee (1595 m ü. M.) BAUMANN 1970! (127). 1 Baumanx schreibt: «ein Vertreter der Gattung Gyratrix, wahrscheinlich G. hermaphroditus ». Bei der weiten Verbreitung dieser einzigen Süsswasserart in alpinen Gawässern kann die Richtigkeit der Bestimmung als sichergestellt be- trachtet werden. D 7 RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔÜLEN 653 Berner Oberland: Ufer des Thuner Sees, Amsoldingen- see, Geistsee, Teich bei Kandersteg. — Teich bei Lämmern- boden (Gemmipass, 2300 m ü. M.), Teich bei der Gr. Scheidegg (1950 m ü. M.). HOFSTEN 1907 (99). St. Bernhard: Unterer See von Grand Lay (2560 m). ZSCHOKKE 1895 (68), 1900 (80). St. Gotthard und Oberalp: Lago Ritom (1829 m), Lago Cadogno (1921 m), Lago Torre (2023 m), Sümpfe bei Piano dei Porei (2200 m), Lago di Cadlimo (2513 m). FUHR- MANN 1897 (71). — Tümpel auf dem Oberalppass (2040 m). HOFSTEN 1911 (139). Rhätikon: Lünersee (Vorarlberg, unweit der Schweizer- grenze) (1943 m), Partnunsee (1874 m). ZSCHOKKE 1900 (80). Ober-Engadin: Hahnensee (2156 m) und Teich bei Al- pina (1950 m), in der Umgebung von St. Moritz. HOFSTEN PIECE) G. hermaphroditus ist eine in konstanten Kleingewässern und an Seeufern sehr häufige Art; sie tritt jedoch in der Regel vereinzelt auf und ist daher leicht zu übersehen. Sie lebt besonders zwischen Pflanzen, aber auch im Schlamm. In der Seetiefe, in der sie DU PLESSIS angetroffen hat, ist sie später nur einmal wiedergefanden worden (FEHLMANN) ! und muss jedenfalls dort selten sein. Im Hochgebirge ist diese Art ziemlich bäufig. | Allgemeine Verbreitung: Ueberall in Mittel- und Nord- europa häufig, ferner aus Sibirien, Turkestan, Madeira, Ost- Afrika und Nordamerika bekannt. ! Vielleicht auch im Zürcher See; für die Funde aus demselben (KELLER) fehlt jedoch, wie gewühnlich, jede Tiefenangabe. 654 N. VON HOFSTEN ALLŒOCŒELA Gen. Plagiostomum 0. Schm. 64. Plagiostomum lemani (Forel et Du Plessis). Schweizerische Fundorte : Léman: Tiefe. FOREL 1873 (2), 1874 (3) (Vortex) !. — Litoral und Tiefe. (15—300 m) FOREL et DU PLESSIS 1874 (4) (Vortex Lemani). — Titoral und Tiefe (im Grundsechlamm in allen Tiefen, « depuis la ligne où 11 com- mence à se déposer jusqu'au fond du bassin où il est le plus abondant >). DU PLESSIS 1874(5) (Vortex Lemani). — Litoral und Tiefe. FOREL 1876 (11) / Vortex (Planaria) Lemani]. — Litoral (2 und 4 m). FOREL 1876 (12) (Vortex Lemani). — Litoral (2 m) und Tiefe. FOREL 1876 (13) (Vortex Lemani). — [Grund des Sees. GRAFF 1875 (9), 1876 (10, 14) 1882 (27) (Planaria Lemani), Du PLESSIS 1876 (15), 1878 (20) (Vortex Lemani).]— Tiefe. FOREL 1877 (17), 1878 (21), 1879 (23) (Pla- naria [ Vortex] Lemani) — Tiefe. pu PLESSIS 1877 (18), 1878 (19) (Vortex Lemani). — Litoral und Tiefe (überall in Tieten von ? m bis in die grüssten Tiefen). DU PLESSIS 1884 (28). — Litoral und Tiefe (1—300 m). DU PLESSIS 1885 (30).— Litoral und Tiefe. FOREL 1885 (29), 1886 (36).— Tiefe?. DU PLESSIS 1897 (70). — Litoral (bei la Belotte). FUHRMANN 1900 (82). — 20—100 m («nous ne l'avons jamais vu dans la région lit- torale »). FOREL 1902 (89). — Litoral (1 !/,, 2, 4, 4—8, 5—6, 9 m) und Tiefe (25—125 m). HOFSTEN 1911 (139). 1 Der 1873 gehaltene Vortrag Forec’s ist eine vorläufige Mitteilung zu 4; der Vortex kann daher nichts anderes als der spätere Vortex lemani sein. ? Hier heisst es: « nous avons une seule fois rencontré cet animal dans la faune littorale » (bei Yverdon im Lac de Neuchâtel) ; seine älteren Angaben hat der Autor also vergessen. RHABDOCÜLEN UND ALLOÜOCÛLEN 655 Lac de Neuchâtel: Tiefe. ForEL 1874 (6) (Vor- tex )', 1885 (29). Grund des Sees. DU PLESSIS 1884 (28). — Litoral und Tiefe. Du PLESSIS 1885 (30). — Litoral (eimmal angetroffen) und Tiefe. DU PLESSIS 1897 (70). Bieler See, Tiefe. FOREL 1885 (29). Umgebung von Basel : Tümpel am Rhein bei Isteim (Baden) FUHRMANN 1894 (63, 64). Verbreitung von Plagiostomum lemani in der Schweiz. Zürcher See: ASPER 1880 (24, 25) (Planaria Leman). KELLER 1895 (66) (Plagiostoma lemani und Plagiostoma qua- drioculatum). Zuger See: 200 m. ASPER 1880 (24, 25) (Planaria Lemani). Vierwaldstätter See: Tiefe. FOREL 1885 (29). — Tiefe (30— 214 m). ZSCHOKKE 1906 (93, 94), 1911 (130). — Tiefe. FEHLMANN 1911 (136). ! Dass dieser « Vortex» PI. lemani vorstellt, ist aus der späteren Arbeit (29) einleuchtend. Rev. Suisse DE Zooz. T. 20. 1912. 44 656 N. VON HOFSTEN Bodensee: Tiefe (160, wie es scheint auch S0 bis 200 m: woh]l wenigstens teilweise auf schweizerischem Crebiet). HOFER 1899 (77). — Tiefe. FEHLMANN 1911 (139). Untersee, Grundschlamm (12 —45 m). LAUTERBORN und WoLr 1909 (114). Brienzer See: lLitoral und Tiefe. HEUSCHER 1901 (S6). 10—60 m. HOFSTEN 1907 (99), 1911 (138). Thuner See: Litoral und Tiefe. HEUSCHER 1901 (86). — Litoral (1, 3—4, 10 m) und Tiefe (bis 100 m). HOFSTEN 1907 (09) 19H (PS8): Plagiostomum lemani ist eme, mit vereinzelten Ausnahmen, ausschliesslich auf dem Schlammboden grüsserer Gewässer lebende Art : sie ist dort ebenso häufig in der Tiefe wie in der Jaitoralregion, wo sie nicht nur im Schlamm, sonudern ebenso oft in den Charawiesen anzutreffen ist. In der Schweiz ist die Art in fast allen subalpinen Seen sehr gemein: bemerkenswert ist, dass sie am Südfuss der Alpen (Lago Maggiore, Luganer See) zu fehlen scheint: auch im Lac de Joux wurde sie nicht gefunden. Allgemeine Verbreitung : Aus zahlreichen Seen (und einigen andern Gewässern) in Mittel- und Nordeuropa bekannt (Deutsch- land, Oesterreich, Frankreich, Schottland, Russland, Finnland Dänemark, Schweden). Gen. Otomesostoma (raff. 65. Otomesostoma auditivum (Forel et Du Plessis). [Syn. Monotus (Automolus) morgiensis Du Plessis]. chiveizerische Fundorte : Léman: Tiefe. FOREL 1873 (2), 1874 (3), (Mesostomum) '. — Tiefe (20—100 m). FOREL et 1 Aus demselben Grund, weil der « Vortex » des Vortrags das spätere V. lemani, muss das « Mesostomum » das spätere M. auditivum vorstellen; siehe oben $. 654. Fussnote. RHABDOCÜLEN UND ALLOÜOCÜLEN 627 DU PLESSIS 1874 (4) (Mesostomum auditivum). — Grund des Sees. DU PLESSIS 1876 (16), 1877 (18), 1878 (19). (Meso- stomum Morgiense). — Tiefe. FOREL 1877 (17), 1878 (21) (Mesostoma Morgiense). — Tiefe, wahrscheinlich eimmal ein Exemplar im Litoral. FOREL 1879 (23). (Mesostomum Mor- giense). — Tiefe (30 —300 m) ; ausschliesslich in der « Tiefe > (« faune lacustre profonde >). DU PLESSIS 1884 (28) (Ofomeso- stoma Morgiense). — Tiefe und Litoral. FOREL 1885 (29), 1886 (36) (Otomesostoma Morgiense). — Tiefe und Litoral (einige m bis 150 m). DU PLESSIS 1885 (30) (Monotus Morgiense). — Tiefe und Litoral (10—300 m), auch « parmi les Charas du rebord du mont >. DU PLESSIS 1886 (39) (Monotus Morgiense). — Tiefe und Litoral (von einigen m hinab). DU PLESSIS 1897 (70) (Monotus Morgiense). — Litoral (bei la Belotte auf sehr seichtem Wasser). FUHRMANN 1900 (82). (Automolus morginiense). — Grund des Sees, bis 60 m. FOREL 1902 (89) (Monotus mor- giensis). — Litoral (1,3 bis 1,4, 1,5, 2, 4, 5, 5 bis 6, 18 m) und Tiefe (bis 125 m). HOFSTEN 1911 (139). Lac de Joux: Grund des Sees. DU PLESSIS 1876 (16) (Mesostomum Morgiense), 1885 (30), 1886 (39), (Monotus Morgiense). — 50m Tiefe (!). Du PLESSIS 1884 (28) (Oto- mesostoma Morgiense.) — Grund des Sees (wohl bis 25 m). FOREL 1885 (29) (Ofomesostoma Morgiense). — Grund des Sees (15—20 m). HOFSTEN 1911 (139). Lac de Neuchâtel: Tiefe. FOREL 1874 (6) (WMeso- stome)", 1885 (29),[ Mesostome (p.115), Otomesostoma morgiense (p. 205)]. — Grund des Sees. DU PLESSIS 1885 (30). (Monotus morgiense). — 40 m. DU PLESSIS 1886 (39) (Monotus morgien- ! Dass diese « Mesostome » Otom. auditivum vorstellt, geht aus einer Stelle der späteren Arbeit hervor (29, p. 205). Forez hält zwar die mit blossem Auge vor- genommene Bestimmung hier wie bei den Exemplaren aus dem Bieler- und dem Zürcher See für nicht ganz sicher, heute wissen wir aber, dass es keine andere Turbellarie gibt, welche auch nur bei flüchtiger Betrachtung mit dieser Art ver- wechselt werden kann. 628 N. VON HOFSTEN sis). — In « DU PLESSIS 1897 (70) (Monotus mor- giensis). Bieler See, Tiefe. FOREL 1885 (29) | Wesostome! (p. 135), Otomesostoma morgiense (p. 205)|. Zürcher See: 28, 50 m. FOREL 1874 (6) (Mesostome) ?, 1885 (29) (p. 205) (Otomesostoma morgiense). — « Im See ». KELLER 1895 (66) (Monotus morgiensis). Vierwaldstätter See, Tiefe (37—100 m). ZSCHOKKE 1906 (93) (Monotus morgiensis), (94) (Otomesostoma morgiense), 1911 (130) (Otomesostoma auditivum). Untersee, Grundschlamm (12-45 m). LAUTERBORN und WOLr 1909 (114) (Otomesostoma morgiense). Brienzer See, Litoral und Tiefe (10—60 m). HOFSTEN l9072(99) O0TE158) Thuner See, Litoral (3—4,10 m) und Tiefe (bis 60 m). HoOr- STEN 1907 (99), 1911 (1338). Lago Maggiore:?(Grund des Sees. ASPER nach ZSCHOKKE 1911 (130)*%. — Latoral und Tiefe (8—78 m). HOFSTEN OMS ON Rhätikon: Partnunsee (1874 m ü. M.), Litoral. ZSCHOKKE 1891 (53, 54, 55) (Monotus lacustris Zach.), 1900 (80) (Auto- molus morgiensis). Lünersce (Vorarlberg, unweit der Schweizer- grenze) (1943 m ü. M.), Litoral bis 100 m. ZSCHOKKE 1900 (80) (Autom. morgiensis). ! Siehe die Fussnote S. 657. * Dass diese Art Ofomesostoma auditivum vorstellt, geht aus einer Bemerkung in der späteren Arbeit (29, p. 138) hervor. * Die von ZscHokKke zitierte Angabe über das Vorkommen von Otomesostoma im Lago Maggiore und Lago di Como findet sich, wie mir Prof. ZscHoKkE mit- geteilt hat, in einer schriftlichen Mitteilung Aspers. Die Bestimmung ist recht fraglich ; da aber Ofomesostoma später von mir im Lago Maggiore gefunden wurde, ist es natürlich äusserst wahrscheinlich, dass Asrer wenigstens in diesem See die- selbe Art bevbachtet hat. Die Angaben ZscHokke’s (130), dass HeusoHer Oto- mesostoma im Klôüntaler See gefunden hätte, ist dagegen unrichtig; vgl. das Literaturverzeichnis, sub 91. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 659 Ober-Engadin: St. Moritzer See (1771 m ü. M.) Tiefe (42 m). Silser See (1800 m ü. M.), Tiefe (25, 35 m). HOFSTEN 1911 (139). Lago Punta nera (St. Gotthard, 2456 m ü. M.; Maximal- tiefe 2 bis3 m). FUHRMANN 1897 (71) (Automolus morgiensis). Auch diese Allüocüle ist eine typische Schlammart, welche unter ganz ähnlichen Verhältnissen wie die vorhergehende, also Verbreitung von Otomesostoma auditivum in der Schweiz. sowobl im Litoral wie in der Tiefe grüsserer Gewässer, lebt. In der Schweiz ist Ofomesostoma auditivum noch häufiger wie Plagiostomum lemani und, im Gegensatz zu diesem, auch im (re- birge gefunden worden; dort tritt die Art jedoch nur unter ganz ähnlichen Bedingungen wie in den subalpinen Seen auf. Allgemeine Verbreitung : Ungefähr wie Plagiostomum lemani (Deutschland, Oesterreich, Russland, Finnland, Schottland. Dänemark, Schweden). Auch am Südfuss der Alpen. 660 N. VON HOFSTEN Gen. Bothrioplana M. Braun. 66. Bothrioplana semperi M. Braun. Schweizerische Fundorte : Léman, Ufer (unter Steinen) bei Corsier n.-6. von Genève !. DU PLESSIS 1897 (71) (B. Dorpu- tensis M. Braun). [FOREL 1902 (89) (nach DU PLESSIS)|. Tümpel am Ufer des Brienzer Sees bei Bônigen. HOFSTEN 1907 (99). Auch diese dritte Süsswasserallüocüle ist eme echte Schlamm- art, welche aber unter ganz verschiedenen Verhältnissen lebt, wie die beiden vorher besprochenen : sie findet sich ausschliess- lich in konstanten Kleingewäassern oder (selten) am Ufer von Seen (Genfer See). In der Schweiz ist Bothrioplana wie in den meisten Gregenden sehr selten gefunden worden. Allgemeine Verbreitung : Sonst nur in Bühmen, Livland, Schottland und im Riesengebirge gefunden. "2. Zweifelhafte und für die Schweiz unsichere Arten. Unten werden in einer eigenen Zusammenstellung Arten besprochen, welche teils an sich zweifelhaft, teils nicht mit Sicherheit für die Schweiz nachgewiesen sind. Die Arten der ersten Kategorie sind entweder in einer Weise beschrieben wor- den, die ein Wiedererkennen unmôüglich macht, oder sie sind ziemlich wahrscheinlich mit früher beschriebenen Formen iden- ! Ich selbst habe (Ende Juli 1910) bei Corsier vergebens nach Bothrioplana gesucht. Wahrscheinlich ist sie hier ausgestorben; fast das ganze Ufer ist jetzt angebaut und aufgemauert, und Stellen, wie pu PLessis angibt («sur le terrain humecté par des ruisselets venant des collines ») sind nirgends mebr zu finden. RHABDOCÜLEN UND ALLOOCÛLEN 661 tisch. Hierher gehôüren 10 Arten. Von ihnen sind 5 aus der Schweiz und von schweizerischen Autoren beschrieben worden (Séenostomuim langi, $S. hystrix, Microstomum canum, Dalyellia intermedia, Phonorhynchus lemanus): die 5 übrigen (Dalyellia coronaria, Olisthanella halleziana, Typhloplana sul- phurea. Typhloplana pellucida, Mesostoma pusillum) waren früher aus andern Teilen Europas beschrieben worden ; ob die schweizerischen Forscher dieselben Arten wie die ursprüng- lichen Autoren beobachtet haben, ist ganz ungewiss oder eher (vielleicht mit Ausnahme von ©. halleziana) sogar ganz unwahr- schemlich. Die zweite Kategorie umfasst, wie schon erwähnt, Arten, deren Selbständigkeit nicht zu bezweifeln ist; hier ist es aber aus verschiedenen Gründen unsicher, ob die schweizerischen Autoren wirklich die betreffenden Arten und nicht andere beob- achtet haben: in einigen Fällen lässt sich ein solcher Irrtum sogar nachweisen. 5 Arten gehüren in diese Kategorie (Dalyel- lia picta, D. scoparia, Olisthanella splendida, O. obtusa, Meso- stoma tetragonum). — Zu den zweifelhaften Arten sind natür- lich auch alle nur bis zur Gattung bestimmten Formen zu zählen. Stenostonum langi (J. Keller). KeLLer 1894 (65), 1895 (66) (Sfenostoma langi). Die Selbständigkeit dieser Art scheint mir hüchst zweifelhaft. KELLER, der aus eigener Anschauung (ausser der folgenden Form, die keine Turbellarie darstellt) bloss das überall häufige S. leucops kannte, hebt nur die Unterschiede dieser Art gegen- über hervor. Die Identität mit dieser letzteren dürfte auch aus- geschlossen sein, wenn man die verschiedene Lage der Wimper- 662 N. VON HOFSTEN grübchen und das abweiïichende Aussehen der lichtbrechenden Organe in Betracht zieht. Dagegen zeigt S. langi eine autfal- lende Aehnlichkeit mit einer andern, damals nur aus Nord- amerika bekannten Art, die der schweizerische Autor offenbar übersehen hatte, nämlich $. agile Silliman ! : diese Art ist spä- ter in verschiedenen Gegenden der Schweiz gefunden worden (FUHRMANN, 64, HOFSTEN, 99). Bei beiden Arten (siehe die Figuren SILLIMAN’S) hat das Vorderende genau dieselbe abge- stutzte Form, die Lage der Wimpergrübchen ist ganz gleich, die lichtbrechenden Organe sind kugelig mit dickerer hinterer Wandung (KELLER 69, Taf. XX VI, Fig. 6). Sie unterscheiden sich in folsendem : 1. Die Ketten von 5. langi sind länger (bis zu 4 mm)und bestehen aus einer grüsseren Anzahl(2—5) von Zooiden : bei $S. agile bestehen die Ketten in der Regel nur aus 2 (nach meinen Beobachtungen bisweïlen aus 3) Zooiden und haben eine Länge von hüchstens 2 mm (FUHRMANN): der Unterschied 1st also eigentlich der, dass bei der KELLER’schen Form die Ab- lüsung später erfolgen sollte. 2. Die lichtbrechenden Organe von $. langi haben nach KELLER (Taf. XXVIIL, Fig. 23) emen ganz eigenartigen Bau; diese Organe geben auch GRAFF das in seiner Bestimmungstabelle (die Süsswasserfauna Deutsch- lands) gebrauchte Unterscheidungsmerkmal. Man muss jedoch bemerken, dass die zitierte Figur einen Schnitt durch das Organ darstellt ; #$. agile ist nicht histologisch untersucht worden und da an der nach dem Leben gezeichneten Figur KELLERSS, wie oben bemerkt wurde, die lichthrechenden Organe denjenigen der letzteren Art sehr ähnlich sehen, künnen die Unterschiede auf den verschiedenen Untersuchungsmethoden beruhen. 3. Die Hoden bestehen bei S. langi aus mehreren getrennten Follikeln und sollen, wie diemännliche Geschlechtsüffnung, unter dem Pha- 1 SrLLimAN, W. Beobachtungen über die Süsswasserturbellarien Nordamerikas. Zeitschr. wiss. Zool. Bd. XLI. 1885. RHABDOCÜLEN UND ALLOOCÛLEN 663 rynx liegen; bei S. agile befinden sich beide, wie bei dem näher untersuchten #. leucops, dorsal vom Pharynx, und der Hoden bildet einen kompakten Kürper (SILLIMAN, L €. Taf. IT, Fig. 16). Die Angabe über die abweichende Lage des Hodens bei $. langi ist nun zweifellos falsch: die beiden Figuren KEL- LER'S (Taf. XX VII, Fig. 15, 16) sind nach dem Leben gezeich- net, und man konnte bei dieser Zeit nur eine ventrale Lage er- warten (dass das von SILLIMAN beobachtete Gebilde den Hoden darstellt, wurde erst später klar, nach der überraschenden Ent- deckung der männlichen Organe bei S. leucops). Die folli- culäre Beschaffenheit des Hodens bei S. langi beweist eben- sowenig, denn das Organ ist auch hier anfänglich ganz kompakt und lüst sich erst später in getrennte Zellhaufen auf (siehe KELLER’S Fig. 15, an welcher der Hoden genau dieselbe Form hat, wie auf derjenigen des amerikanischen Autors). Auch durch Untersuchung des Originalmaterials von #./angi, das Prof. LANG in Zürich mir zur Verfügung gestellt hat, habe ich mir keine vüllig sichere Auffassung von dieser Art bilden kôünnen. An den Präparaten ist jedoch nichts zu sehen, was eine Vereinigung mit S. agile verbietet; besonders die Totalpräpa- rate, an denen die Form des Vorderendes deutlich an die ame- rikanische Art erinnert, sprechen vielmehr bestimmt für die Annahme einer Identität. Da die lichthrechenden Organe an den Präparaten nicht näher untersucht werden künnen !, dürfte S. langi jedoch besser als eine zweifelhafte Species betrachtet werden. * Es scheint mir hôchst zweifelhaft, ob diese Organe den von KELLER angenom- menen Bau haben. Ich weiss nicht, ob ich die von ibm in Fig. 23 abgebildete Stelle gefunden habe ; die Schnitte sind aber alle derart, dass diese Figur durch Starkes Schematisieren zustande gekommen sein muss. Ueberhaupt kann ich die Bermerkung nicht unterdrücken, dass Kezzer’s Material keine Beobachtungen über feinere histologische Verhältnisse erlaubt; seine Krgebnisse sind daher nicht ohne Nachprüfung zu allgemeinen Schlüssen über die ungeschlechtliche Kort- pflanzung der Rhabdocülen verwendbar. VA 664 N. VON HOFSTEN Der Fundort KELLER'S sind einige Sümpfe im der Nähe von Zürich (6. von Altstätten) !. Stenostomum hystrix (JS. Keller). KELLER 1895 (66). Ueber den Bau dieser Art wird (ausser emigen Angaben über die Grüsse usw.) nichts weiteres mitgeteilt als das Vorkommen randständiger Borsten, die am Kopfteil spärlich, am Hinter- ende reichlhich vorhanden sind. > Durch freundliches Entgegenkommen des Herrn Dr. KELLER kann ich jetzt mitteilen, dass diese in so ungenügender Weise beschriebene Art definitiv zu streichen ist, da sie überhaupt keine Turbellarie darstellt ; bald nach der Aufstellung der Spe- cies erkannte nämlich der Autor selbst, wie er mir schreibt. dass er sich . Microstomum canum (Fuhrmann,. FuHRMANN 1894 (64). Diese Art ist von FUHRMANN verhältnismässig ausführlich beschrieben worden, die Selbständigkeit gegenüber A. lineare scheint mir jedoch nicht hinreichend verbürgt. Die Unterschiede diesem gegenüber sind geringere Grüsse (Ketten bis zu 2 mm lang) und das Fehlen von Nesselkapseln und Augen. Die Grüsse von AT. lineare ist nun ausserordentlich verschieden, und Ketten von nur 2 mm Länge sind nicht selten. Die Nesselkapseln wer- den, wie wir jetzt wissen ?, von aussen her aufsenommen ; das ! Eine unklare Aeusserung in der Arbeit von 1894 (p. 371) kôünnte man. wie es GRarr (Die Süssiwasserfauna Deutschlands) getan hat, in der Weise deuten, dass die Art im Zürcher See beobachtet wurde ; im späteren Aufsatz werden jedoch die oben genannten Sümpfe als einziger Fundort bezeichnet. ? Marin, C. H. The Nematocysts of Turbellaria. Quart. Journ. micr. Se. Vol. D2,21908: RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 662 Fehlen dieser Gebilde hat daher nichts zu bedeuten. Die Augen wiederum haben nach mehreren Autoren einen sehr verschie- denen Ausbildungserad. In der Tiefenfauna hat man sogar ganz blinde Tiere gefunden, die gleichzeitig der Nesselkapseln enthehr- ten (DU PLESSIS, 70 ; MARTIN, IL. €.) ; auch am Ufer und in Klein- cewässern trifft man bisweilen, wie übrigens FUHRMANN (82) selbst berichtet, ganz augenlose Exemplare; ich selbst fand sogar einmal im Litoral des (enfer Sees ein blindes Exemplar ohne Nesselkapseln (139). Im übrigen passt die Beschreibung FUHRMANNS gut auf A7. lineare. Auf der Figur (Taf. X, Fig. 7) erscheint das erste Zooïd in der Pharynxgegend auffallend breit (dieses Merkmal wird von GRAFF in Die Süsswasserfauna Deutschlands hervorge- hoben), im Text steht aber nur, dass das erste Individuum « wie bei M. lineare keulenfürmig angeschwollen ist >. Auf Schnitt- serien, die Prof. FUHRMANN mir zur Verfügung gestellt hat, kann ich keinen Unterschied gegenüber 47. lineare finden: der präôsophageale Darmblindsack, der nach FUHRMANN + weit nach vorn > reicht. ist nicht länger als bei der genannten Art. Die gegenwärtige Charakterisierung der FUHRMANN’schen Art ist daher ganz ungenügend ; es ist nicht unmôglich, dass sie eine selbständige Species darstellt ; ehe ich sie als eine solche anerkennen kann, muss man jedoch die Konstanz der angeführ- ten Merkmale nachweisen und neue Unterschiede gegenüber A. lineare hinzufügen. Der Fundort für M. canum ist der Augustinerholzbach bei Basel: M. lineare wird auch von dort gemeldet. Dalyellia coronaria (0. Schm.) pu PLessis 1897 (70) (Vortex coronarius). Diese meiner Ansicht nach unsichere, wenigstens gegenwärtig nicht indentifizierbare Art, wird von DU PLESSIS für die Can- tons de Vaud und de Genève angegeben. Ueber die von ihm 666 N. VON HOFSTEN cefundene Form äussert er sich folgendermassen : «Cette petite espèce si reconnaissable à l’armature en couronne d’épines du pénis est aussi commune que la précédente (Vortex trunca- tus) dans le feutre organique des galets du rivage devant Anières et Corsier, près de Genève, au Léman. On la trouve aussi dans les mares, fossés et étangs de la région >. Dass die von DU PLESSIS beobachteten Tiere teilweise emer damals unbeschrie- benen Species, D. foreli Hofsten angehürten, erweist sich aus meinen Untersuchungen im Genfer See: unter den Steinen des Ufers fand ich auf mehreren Stellen, u. a. bei Corsier, diese neue Art (139). Ob die in den Kleingewässern gefundene Form derselben Art angehürt, ist dagegen ganz zweifelhaft. Es 1st ebenso wahrscheinlich, dass Du PLESSIS hier nicht 1). forel, sondern eine andere, weit häufigere Art derselben Gruppe (mit im Kranz gestellten Stacheln des Copulationsorgans) gesehen hat, nämlich D. expedita Hofsten. In den wenigen von mir be- suchten Kleingewässcrn der Genferseegegend fand ich über- haupt keine Art dieser Gruppe. Dalyellia picta (0. Schni.) FonrManx 1894 (63, 64) ({ Vortex pictus. Als eine sichere schweizerische Turbellarienspecies kann ich diese Art nicht betrachten, indem die Zusammengehôrigkeit der von FUHRMANN beobachteten Form mit der Art SCHMIDT'S mir nicht sichergestellt erscheint. Es existieren offenbar meh- rere, soweit bekannt, nur durch schwer erkennbare Differenzen im chitinüsen Copulationsorgan verschiedene Dalyellia-Formen (D. hallezi, D. brevispina, D. picta), und da keine Figur ge- geben und im Text nichts über das genannte Organ gesagt wird, künnte die FUHRMANN’sche Art ebensogut z, B. diezweimal in der Schweiz gefundene D. brevispina darstellen ; das Copulations- organ dieser Art hat (sieche HOFSTEN, 159) eme sehr grosse habituelle Aehnlichkeit mit demjenigen von D. picta. RHABDOCÜLEN UND ALLOÜOCÜLEN 667 Die Fundorte für diese Art sind der Schlossweiher bei Inzlingen (Baden) und ein Tümpel bei Remach in der Näühe von Basel. Dalyellia intermedia (du Plessis). pu PLessis 1879 (22), 1884 (28), 1885 (30). Forez 1879 (23\, 1885 (29), 1886 (36) ( Vortex intermedius). DU PLESSIS beschreibt in den drei oben erwähnten Arbeiten eine Vortex-Art, welche dem alten Vortex truncatus sehr ähn- lich sein soll: er hält es sogar für müglich, dass sie nur eine Varietät desselben darstellt. In den späteren Arbeiten wird die Art mcht mehr erwähnt: es hat, wie oben (S. 622) bemerkt wurde, den Anschein, dass sie mit dem jetzt angeführten Vor- tex truncatus indentifiziert wird". Die wenigen über den Bau der Tiere mitgeteilten Beobach- tungen geben jedoch den sicheren Nachweis, dass die Art DU PLESSIS’ mit (Vortex —) Castrella truncata michts zu tun hat, sondern der Gattung Dalyellia gehürt. Den Beweis dafür liefert schon die mehr abgerundete Form des Vorderendes (), ferner die nierenfôr- migen, nicht zweigeteilten Augen und die Grüsse der Vesicula seminalis”. Zu welcher Art der Gattung Dalyellia die von DU PLESSIS gefundene Form gehürt, kann jedoch, da das Copulations- organ nicht einmal erwähnt wird, jetzt und zukünftig unmüg- lich entschieden werden; wir wissen nicht einmal, ob sie der D. hallezi- oder der D. expedita-Gruppe angehürt. Ich selbst habe in der Tiefenregion des Genfer Sees keme Dalyelliide ge- funden ; in seichtem Wasser fand ich nicht selten 1). armigera ! Neuerdings schreibt mir pu PLessis, dass Vortex intermedius zu streichen ist. ? Die Angabe über die Form derselben (bifurquée par un profond sillon) bedeutet natürlich nur, dass der Spermaballen, wie man bisweilen bei den Dalyel- lia-Arten beobachten kann, oben etwas eingeschnürt ist. 668 N. VON HOFSTEN (0. Schm.); da diese Art wie diejenige DU PLESSIS’ hell pigmen- tiert und oft verhältnismässig gross ist, lâsst sich denken, dass die letztere mit ihr identisch ist. Die Angaben über die Fundorte für diese Art sind etwas widersprechend. In der Arbeit DU PLESSIS von 1879 wird sie schlechthin als zur Tiefenfauna gehürig bezeichnet. Nach den Angaben von 1884 (28) istsie sehr häufig < dès le rivage aux pro- fondeurs » z. B. bei Ouchy 45 m, bei Morges 30 m ; in den Süûm- pfen und Teichen wäre sie nie gefunden worden. In der unge- fähr gleichzeitigen (September 1884 preiseekrünten) Arbeit von 1885 (29) wird nur ein einziger Fundort aus dem Genfer See (bei Ouchy) genannt, ausserdem aber Tümpel bei Vidy und Ouchy. Dalyellia scoparia (O. Schm.). pu PLESssIS 1897 (70) ( Vortex scoparius). Ich habe etwas gezügert, ob ich D. scoparia zu den für die Schweiz nachgewiesenen Arten zählen sollte oder nicht. Trotz- dem die Art sehr gross ist und leicht bestimmbar sein muss, dürfte die Bestimmung wenig zuverlässig sein. Wie fast aus jeder Seite seiner Arbeiten hervorgeht, hat DU PLESSIS so gut wie nie die Geschlechtsorgane der Rhabdocülen-Arten unter- sucht, und auch in diesem Falle wird kein Wort über den wenig bekannten Bau des Tieres oder über die allfällige Ueber- einstimmung mit den Figuren SCHMIDT’S geäussert. Alles, was wir zu. wissen bekommen, ist, dass die Tiere fast ebenso gross wie D). viridis waren und in der Regel keine Zoochlorellen, da- gegen ein braunes Pigment hatten; nach SCHMIDT ! ist seme Art orosser als D. viridis und durch Zoochlorellen grün gefärbt, und die von BRAUN * gesehenen Exemplare waren sehr durch- O. Scamipr, Die rhabdocülen Strudelwürmer aus den Umgebungen von Krakau. Denkschr. Akad. wiss. Wien. math.-naturw. Klasse. Bd. XV. 1858. * M. Braun, Die rhabdocüliden Turbellarien Livlands. Arch. Naturk. Liv-, Esth- und Kurlands. Ser. 2. Bd. X. 1885. RHABDOCÔLEN UND ALLÜOCÔLEN 669 sichtig, pigmentlos, in der Regel mit Zoochlorellen versehen. Da ferner D. scoparia nur in Frühlingstümpeln lebt (SEKERA und die älteren Autoren) und bisher äusserst selten gefunden worden ist, wird man es wohl mit mir hôchst fraglich finden. ob pu PLESSIS wirklich diese Art beobachtet hat. — Nach- dem das Obige geschrieben ist, finde ich die Berechtigung mei- ner Zweifel durch eine briefliche Mitteilung DU PLESSIS bestä- ist, der selbst die Richtigkeit seiner Bestimmung anzweifelt (< Vortex scoparius reste pour moi douteux >»). Die Fundorte für diese zweifelhafte Art sind das Ufer des Lac de Neuchâtel (bei Yverdon) und des Lac Léman (bei Cor- sier); am zweitgenannten Ort, wo sie DU PLESSIS häufig (+abon- dante >) fand, habe ich selbst weder diese noch eme andere der erossen Dalyelha-Arten finden kônnen. Olisthanella splendida (Gratf). pu PLessis 1885 (30). 1897 (70) (Mesostoma splendidium ). Nach DU PLESSIS wäre diese Art von ihm in einigen Sümpfen und Kanälen nahe beim Ufer des Neuchâteler Sees, be1 Yver- don, gefunden worden. Augenscheinlich hat er die Art, wie es fast stets seine Gewohnheit war, nur nach rein äusserlichen Merkmalen bestimmt (< Cette espèce rare. .... se reconnait 1m- médiatement à la couleur rose ou orangée, souvent très belle, detout le-Corps.-’..: De plus, les points oculaires sont aussi d’un rouge foncé >). Der Spermabehälter, dessen Bau allein zu einer Trennung von ©. fruncula berechtigt, ist gewiss micht untersucht worden. Es ist daher môüglich oder sogar wahr- scheinlich, dass DU PLESSIS nur einige rütlich gefärbte Exem- plare der letzteren Art, welche aus derselben Gegend (Ufer des Neuchâteler Sees bei Yverdon) erwähnt wird, beobachtet hat! O. truncula wird als farblos bezeichnet: doch ist bekanntlhich ! Ich selbst habe in den von pu PLrssis angegebenen Sümpfen weder die eine noch die andere Art angetroffen. 670 N. VON HOFSTEN auch hier die Farbe sehr oft, ja sogar in der Regel, gelblhichrot. = Dass auf jeden Fall O. splendida nicht unter die schweïzeri- schen Arten aufeenommen werden kann, zeigt eine briefliche Mitteilung pu PLESSIS, der mir auf meine Anfrage hin ant- wortet, dass diese Art zu streichen ist. Olisthanella obtusa (M. Sch.). pu PLEssis 1897 (70) (Tricelis obtusa). Auch diese, ebenfalls von DU PLESSIS angegebene Art kann ich nicht als für die Schweiz sicher nachgewiesen ansehen. Der erwähnte Forscher fand seine zu ©. obtusa gestellte Art ein ein- ziges Mal (in wie vielen Exemplaren wird nicht gesagt) und konnte sie später nicht wiederfinden. Auch hier ist die Bestim- mung augenscheinlich nach rein äusserlichen Merkmalen erfolgt. («cette espèce, reconnaissable de suite à ses trois points ocu- laires >). Dass wirklich ©. obtusa vorgelegen hat, kann daher hochstens als wahrscheinlich bezeichnet werden. Erstens passt die von den Augen gebrauchte Bezeichnung (points oculaires) nicht ganz gut auf den sehr diffusen Augenflecken der genann- ten Art. Ferner existiert eine andere, wie es scheint viel häufi- gere Olisthanella-Art, O. truncula (nasonofji), bei welcher bis- weilen drei scharf umschriebene Pigmentflecken vorkommen. Der Fundort DU PLESSIS ist ein Teich in Anières in der Nähe von (Genève. Olisthanella halleziana (Vejd.). pu PLessis 1897 (70) (T'yphloplana halleziana,. Die bhinden Olisthanellinen waren bis vor kurzem alle äusserst ungenügend bekannt. SEKERA ! hat neuerdings eine Revision A dieser Gruppe vorgenommen und dabei nicht weniger als 7 D] europäische Süsswasserarten unterschieden, die zu 3 neuen 1 SerkrA, E. Monographie der Gruppe Olisthanellini. (Studien über Turbel- darien Il.). Sitzungsber. k. bühm. Ges. Wiss. Prag. f. 1911. (Prag 1912). RHABDOCOLEN UND ALLÜOCÜLEN 671 Gattungen gestellt werden (mehrere dieser Arten werden frei- lich sehr mangelhaft charakterisiert). Da DU PLESSIS nichts über den Bau der von ihm gefundenen Tiere sagt, ist es ganz unmüglich zu wissen, welche Species ihm vorgelegen hat. Olis- thanella (— Typhloplanella Sekera) halleziana ist nur aus Brun- nen bekannt: SEKERA glaubt daher, dass die schweïizerische Form zu 0. vejdouskyi (Jaworowski) gehôürt, welche in der Re- gel in oberirdischen Gewässern leben soll. Es ist aber ganz ebenso wahrscheinlich, dass die von DU PLESSIS beobachtete Form zu irgend einer der übrigen blinden Arten gehürt. Die Fundorte DU PLESSIS sind Hochwassertümpel am Ufer des Léman (bei Corsier und Bellerive) und des Lac de Neuchâtel (bei Yverdon). Mesostoma tetragonum (Müll.). KeLLEeR 1895 (66). Zu welcher Species die von KELLER im Zürcher See gefundene, als AL. tetragonum O. Schm. bestimmte Art zu stellen ist, kann ohne Nachuntersuchung an Ort und Stelle unmôüglich ent- schieden werden. Mit dem echten A7. tetragonum ist nämlich sicher, wie zuerst BRAUN! bemerkt hat, sehr oft eine andere, zuerst von dem genannten Autor näher beschriebene Art, A. craci (Schm.), verwechselt worden ; so stellt, wie LUTHER ? ge- zeigt hat, die in der Monographie GRAFFS als M. fetra- gonum beschriebene Art nicht diese, sondern 47. craci dar. Als Autor seines AZ. tetragonum gibt nun KELLER O0. SCHMIDT an, und dieser Forscher hat, wie seine Figuren zeigen*, die echte MÜLLER sche Art untersucht ; anderseits wurde aber die- selbe Autorbezeichnung von GRAFF gebraucht, und da KELLER 1 M. Braux. Die rhabdocüliden Turbellarien Livlands. Arch. Naturk. Liv- Esth- und Kurlands. Ser. 2. Bd. X. 1885. ? A. Lurxer. Die Eumesostominen. Zeitschr. Wiss. Zool. Bd. LXX VII. 1904. 3 0. Scamior. Die rhabdocülen Strudelhwürmer des süssen Wassers. 1848. (Taf. III, Fig. 8, 8a). Rev. Suisse DE Zoo. T. 20. 1912. 45 672 N. VON HOFSTEN wohl am ehesten seine Bestimmung nach der genannten Mono- graphie ausgeführt hat, kônnte man seine Art mit wenigstens ebenso grosser Berechtigung zu A. craci rechnen. Auch diese Annahme stüsst jedoch auf Schwierigkeiten, indem die letztere Art in der Regel nur im kleineren, wahrscheinlich im Sommer austrocknenden Tümpeln aufzutreten scheint,. Der Fundort KELLER'S ist der Zürcher See. Mesostoma pusillum O. Schm. pu PLEssis 1877 (18), 1878 (19). Forez 1885 (29), 1886 (36). Mesostoma pusillum ist eine ganz ungenügend beschrie- bene Art; die Beschreibung und die Figur des Autors lassen nicht einmal die Tribuszugehôürigkeit sicher erkennen. In seinen ältesten Publikationen nimmt DU PLESSIS (18, 19) — und nach ihm FOREL — M. pusillum für den Genfer See auf; in den späteren, nach dem Erscheinen der GRAFF’schen Monographie verfassten Arbeiten wird die Art nicht mehr erwähnt. Welche Art dem schweizerischen Autor vorgelegen hat, kann natürlich nie entschieden werden. Ich selbst habe in der litoralen sowie in der profunden Region des Genfer Sees nur eine augentragende Typhloplanide, Mesostoma lingua (Abildg.), angetroffen; es ist wohl môüglich, dass pu PLESSIS Jungen dieser Art, welche den erwachsenen Exemplaren sehr unähnlich sehen, beobachtet hat. Grenaue Fundorte werden nicht genannt: es heisst nur, dass die Art sowohl « au bord >» wie «< au fond >» des Genfer $Sees lebt. Typhloplana sulphurea O. Schm. pu PLessis 1877 (18) (7. subfusca [offenbar Gedächtnisfehler für sulphurea|), 1878 (19) (T. sulfureum), 1885 (30) (T. sulfurea). ForeL 1885 (29), 1886 (36) (Mesostoma sulfureum). « Typhloplana > sulphurea ist eine nie identifizierbare Art, die ganz gestrichen werden muss. Ueber die von DU PLESSIS RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 673 beobachtete Form lässt sich nichts mehr sagen, als dass 1hm wahrscheinlich eine Castrada-Art vorgelegen hat. — In der letzten Arbeit DU PLESSIS (70) wird diese Art nicht mehr mit- genommen, auch nicht in der Arbeit von 1884 (28) (dagegen im einer andern, gleichzeitig verfassten Publikation [30 |). Der Fundort ist die Tiefe des (enfer Sees ; auch Exemplare < du litoral » werden erwähnt. Typhloplana. pellucida (M. Schultze). pu PLessis 1878 (18), 1878 (19). Mit dem von SCHULTZE beschriebenen Vortex pellucidus hat die von DU PLESSIS unter diesem Namen erwähnte Art na- türlich nichts zu tun, da die erstere marin ist. Da DU PLESSIS seine Art zur Gattung T'yphloplana stellt, wissen wir nicht eim- mal, ob er eme Dalyelliide oder eme Typhloplanide beobachtet hat. Die Fundorte für diese nur nebenbei erwähnte Form sind Kleingewässer, wohl in der Nähe des (enfer Sees. Phonorhynchus (2) lemanus (Du Plessis). pu PLessis 1895 (67), 1897 (70) (Macrorhynchus lemanus). Die von keiner Figur begleitete Beschreibung DU PLESSIS’ semes Macrorhynchus lemanus ist so ungenau und in allen Einzelheiten so unklar gehalten, die Angaben sind so wider- sprechend, dass nicht eimmal die Familienzugehôrigkeit fest- gestellt erscheint. Unter solchen Umständen hätte es natürlich keinen Sinn, diese Art unter die sicheren Species aufzunehmen. so interessant sie auch durch ihre Beziehungen zu marinen Ver- wandten sein mag. Die Art soll dem marinen P. helgolandicus zum Verwechseln ähnlich sein (+ jusque dans les moindres dé- tails >): die Unterschiede bestehen nur in einer Oeffnung an der Spitze des Rüssels und der Ausmündung der Excretionsstämme in eine gemeinsame Endblase. Dass eine solche Uebereinstim- Rev. SuisE DE Zoo. T. 20. 1912. 45% 674 N. VON HOFSTEN mung mit der marinen Art nicht existiert, geht aus den folgen- den Angaben, so unklar sie auch sind, hervor. In der ersten Mitteilung wird von einer vom Penis getrennten Gifttasche ge- sprochen; diese enthält «au lieu de dard un long fouet chitineux replié sur lui-même > (bei der marinen Art hat micht der Gift- stachel, sondern der Chitinapparat des Copulationsorgans eine solche Form). Später (70) heisst es, dass die « vésicule à venin > eines Giftstachels entbehrt und dass der Penis » angeführte Art ist, wie aus den späteren Ar- beiten hervorgeht, mit dieser Artidentisch. Die Fundorten sind der Genfer und der Neuenburger See, bei Corsier und Yverdon (Litoral; die « Prostomum Sp. > jedoch im 30-60 m Tiefe). Die Gewohnheit zahlreicher Autoren, ihre Verzeichnisse der Arten durch nur bis zur Gattung bestimmte Formen zu ver- ! GRaArF (BRONN, p. 2282) glaubt, dass mit dem « Giftapparat » in den beiden Mitteilungen vielleicht ganz verschiedene Organe gemein sind ; er findet aber alle Angaben so ungenau, dass sie nicht verwertet werden kônnen und betrachtet (p. 2545) die Art als unsicher. ? Dass diese Vermutung richtig ist, geht aus einer brieflichen Aeusserung pu PLessis’ hervor. Auf meine Bemerkung hin, dass die Art ungenügend beschrieben sei, antwortet er, dass man sie wegen des Fehlens des Giftstachels usw. unmüglich mit G. hermaphroditus verwechseln kôünne. 3 Mir selbst ist es trotz eifrigem Suchen nicht gelungen, sie zu finden. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 675 mehren, hat auch der schweïzerischen Literatur einen unnützen Ballast gebracht!. Der Vollständigkeit wegen seien auch diese Formen hier aufgezählt; für die von THIÉBAUD und THIÉBAUD und FAVRE erwähnten hat FUHRMANN eine genauere Bearbei- tung in Aussicht gestellt. Microstoma sp. STEINER 1911 (131) (wahrschemlich 47. lineare). Macrostoma Sp. FUHRMANN 1900 (82). Prorhynchus sp. GRÂTER 1910 (126). Vortex sp. FUHRMANN 1897 (71). Vortex sp. THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Castrada Sp. FUHRMANN 1900 (82). Castrada n. sp. THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105). Castradan. sp. THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) (andere Art). Mesostoma sp. ZSCHOKKE 1891 (54). Später (80) AZ. virida- tum genannt; siehe oben S. 643. Mesostoma sp. (vert) FUHRMANN 1897 (71). Offenbar eine grüne Castrada-Art. Mesostoma sp. FUHRMANN 1897 (71). Wohl eher eine Cus- trada- als eme Mesostoma-Art. Mesostoma Sp. THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Mesostoma sp. KLEIBER 1911 (137). Bothromesostoma sp. FUHRMANN 1897 (71). Prostomum sp. nov. FOREL 1876 (13) (siehe oben $. 674). 3. Sichere und tür die Schweiz sicher nachgewiesene, aber bei einzelnen Autoren zweifelhaîte Arten. Microstomum giganteum (Hallez) in: VOLz 1901 (85). Siehe oben $S. 605. ‘ Wenn ein Forscher nur nebenbei erwähnt, dass er in einem gewissen Ge- biet so und so viele, nicht näher untersuchte Arten dieser oder jener Gattung be- obachtet hat, so ist allerdings nichts einzuwenden. In vielen Källen muss man übrigns dankbar sein, dass die «sp.» nicht durch eine ungenügend beschrie- bene neue oder durch eine unrichtig bestimmte Art ersetzt wird. 676 N. VON HOFSTEN Macrostomum hystrix (—= appendiculatum) (O0. Fabr.) in: Du PLESSIS 19379 (22), 1884 (28), 1885 (30), 1897 (70); FOREL 1879 (23), 1885 (29), 1886 (36), 1902 (89); KELLER 1895 (66). Siehe oben $. 606. Vortex (—= Dalyellia) viridis G. Shaw in: PENARD 1890 (49). Siehe oben S. 620. Derostoma (— Phænocora) cœcum (stagnale) Fubhrmann in: KELLER 1895 (66). —— Phæenocora gracilis oder clavigera? Siehe oben S. 628. Mesostoma (Typhloplana) viridatum (Abildg.) (véridis Du Plessis) in: DU PLESSIS 1877 (18), 1878 (19), 1884(28), 1885 (30), 1897. (10): FOREL 18851129) 1886466) 1902! (89): STECK 1894 (61) ; KELLER 1895 (66); ZSCHOKKE [1894 (60)], 1900 (80). Bei allen oben aufgezählten Autoren kann Mesostoma vi- ridatum jede grüne Typhloplanide sein ; siehe oben S. 643. Mesostoma productum (O0. Schm.) in: FOREL 1876 (13), 1877 (17), 1878 (21), 1879 (23), 1885 (29), 1886 (36) ; DU PLESSIS 1884 (28), 1885 (30), 1897 (70) [ZSCHOKKE 1894 (60)]. Siehe oben S. 644. Synonyma. Das folgende Verzeichnis umfasst Arten, welche in der schweizerischen Literatur unter unrichtigen oder ungültigen Spe- ciesnamen erwähnt werden. Arten, bei welchen nur der Gat- tungsname unrichtig ist oder welche nach den betreffenden Arbeiten in eine neue Gattung versetzt worden sind, werden hier nicht aufgenommen; für sie sei auf die alphabetische Liste am Ende der Arbeit verwiesen. RHABDOCÜ LEN UND ALLOÜOCÜLEN 677 Rhynchoscoler vejdovskyi Sekera — À. simplex Leidy. DU PLESSIS 1897 (70) (der Verf. schreibt Typhloscolex, was wohl nur Schreib- oder Druckfehler ist); [VOLZ 1901 (85)]. SEKERA betrachtet nunmehr selbst ! die von ihm beschriebene Art als mit derjenigen LEIDYS indentisch. Stenostomun unicolor O. Schm. in: FOREL 1877 (17), 1885 (29), 1886 (36) ; Du PLESSIS 1885 (30) — S. leucops O. Schm. Siehe oben S. 599. Macrostomum is (Oerst.). — M. appendiculatum (0. Fabr.). Du PLESSIS 1879 (22), 1884 (28), 1885 (30), 1897 (70); FOREL 1879 & 3), 1885 (29); FUHRMANN 1894 (63, 64), . 1900 (82); KELLER 1895 (66) ; [Vozz 1901 (85)]; THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105); THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Mit GRAFF (die Süsswasserfauna Deutschlands) ersetze ich den Speciesnamen hystrix durch den älteren appendiculatum. Vortex sexdentatus GRAFF — Dalyellia cuspidata (0. Schm). FUHRMANN 1894 (63, 64), 1897 (71), 1900 (82); [VOzz 1901 (85)[. Siehe HOFSTEN, 99. Vortex Graffii Hallez in: FUHRMANN 1894 (63, 64), 1897 (71), 1900 (82); Vozz 1901 (85); THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97) — Dalyellia expedita Hotsten. Die von HALLEZ beschriebene Dalyellia graffi ist, wie ich sezeigt habe (99), eine bisher nur von ihrem Entdecker beob- achtete Art, und die von FUHRMANXN unter diesem Namen be- zeichnete, von mir näher beschriebene Form stellt eine sebst- ständige Species dar, D. expedita Hofsten. ! SekeRA, E. Ærneute Untersuchungen über die Geschlechtsverhälinisse der Stenostomiden. Zool. Anuz. Bd. XXVI. 1903. 678 N. VON HOFSTEN | Vortex coronarius O. Schm. in: pu PLESSIS 1897 (70) wahr- schemlich — Dalyellia foreli Hofsten. Siehe oben $S. 665. Vortex spinosa FÜUHRMANN — D. hallezi (Graff). THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Siehe oben S. 615. Dalyellia Sp. an hallezi (Graff) in : HOFSTEN 1907 (99) = D. brevispina HOFSTEN 1911. Siehe oben $S. 615 und HOFSTEN (139). Vortex fuscus Fuhrmann — Dalyellia armigera (0. Schm). FUHRMANN 1894 (64); [VOzz 1901 (85)]. Siehe oben $S. 616. Vortex Schmidtii Graff — Dalyellia armigera (O0. Schm.). FUHRMANN 1894 (64) ; [Vozz 1901 (85)]. Siehe oben $. 617. Vortex microphthalmus Vejdovsky — Dalyellia armigera (0. Schm.) THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Siehe oben $. 618 Vortex helluo (Müll.) — Dalyellia viridis (G. Shaw). FUHR- MANN 1900 (82). Siehe oben S. 619. Castrella agilis Fuhrmann — ©. truncata (Abildg). FUHR- MANN 1900 (82); VOzz 1901 (85); THIÉBAUD 1906 (95), 1908 (105) ; THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Castrella agilis Fuhrmann ist, wie ich gezeigt habe (99, 121) ohne den geringsten Zweifel mit dem alten Vortex truncatus identisch. Vortex quadrioculatus Vejdovsky — Castrella truncata (Abilde.). VOLz 1901 (85). Auch Castrella quadrioculata (Vejdovsky), die ich früher (99, 121) als eme selbstständige Species betrachten zu müssen glaubte, kann nach einer neuerdings verüffentlichen Erklärung SEKERA’S nicht aufrecht erhalten werden: siehe HOFSTEN. 139, Nachtrag. Derostoma cæcum (stagnale) Fuhrmann — Phanocora gracilis (Vejdoysky) + Ph. clavigera Hofsten. FUHRMANN 1894 (64). RHABDOCOÜLEN UND ALLOÜOCÔLEN 679 1900 (82); [Vozz 1901 (85)]; THIÉBAUD et FAVRE 1906 C6 SR Ueber die verwickelten Beziehungen der beiden Arten, die in FUHRMANN’S Derostoma cæcum (dessen Name später in staq- nale geändert wurde) inbegriffen sind, siehe oben $S. 627 und HOFSTEN (139). Opistoma Schultzeanum (Dies.) — Opistomum pallidum 0. Schm. THIÉBAUD et FAVRE 1906 (96, 97). Dass die beiden Arten O. schultzeanum und ©. pallidum identisch sind, wird heute von den meisten Autoren anerkannt (vgl. BRINKMANN ! und SEKERA ?). Es ist daher Kkein Grund vor- handen, den eingebürgerten Specieshamen pallidum durch den jJüngeren schultzeanum zu ersetzen. Mesostomum banaticum Graf — Olisthanella truncula (0. Schm.). DU PLESSIS 1879 (22); FOREL 1879 (23). Dass M. banaticum mit Olisthanella truncula (0. Schm.) identisch ist, hat GRAFF selbst schon 1882 erkannt. DU PLESSIS der in allen seinen späteren Arbeiten diesen letzteren Species- namen braucht, weist schon 1879 auf die grosse Aehnlichkeit mit dieser Art hin. Mesostomum montanum Graf — Rhynchomesostoma rostra- tum (Müll.). Du PLESSIS 1879 (22); FOREL 1879 (23). Dass AZ. montanum mit Rhynchomesostoma rostratum iden- tisch ist, erkannte GRAFF selbst schon 1882. DU PLESSIS war schon früher, in der oben erwähnten Arbeit, geneigt, die bei- den Formen zu vereinigen. ! BrINKMANN, À. Studier over Danmarks rhabdocôle og acôle Turbellarier. Vid. Medd. Naturh. Foren. Kübenh. 1906 (1905). ? SekERA, E. Studien über Turbellarien. Sitz.-Ber. k. bôhm. Ges. Wiss. Prag. 1911. 680 N. VON HOFSTEN Mesostoma Yungi Fuhrmann — Tetracelis marmorosa (Müll.). FUHRMANN 1900 (82); [ Vozz 1901 (85)|]. Dass M. yungi ein Synonym von Tetracelis marmorosa ist, hat LUTHER! gezeigt. Castrada cuénoti (Dôrler) — C. lanceola (M. Braun). Hor- STEN 1907 (99). Wie ich neuerdings gezeigt habe (139), muss ©. cuenoti unbedingt mit ©. lanceola vereinigt werden. Diplopenis Tripeti Volz — Castrada intermedia (Volz). Vorz 1898 (74), 1901 (85); FUHRMANN 1900 (82). Ich habe neuerdings gezeigt, dass die beiden von Vorz eleichzeitig beschriebenen Arten Diplopenis intermedius und tripeti ohne den geringsten Zweifel identisch sind (HOFSTEN, 39). Die Unterschiede künnen leicht auf Irrtümern zurückge- führt werden ; dazu kommt., dass ich an einem Ort, wo nach Vorz C. tripeli massenhaft lebt, nur die früher von allen Au- toren mit C. tntermedia identifizierte Art fand. Mesostoma minimum Fuhrmann — Typhloplana viridata (Abildg.). FUHRMANN 1894 (64). Typhloplana minima und viridata künnen wenigstens gegen- wärtig unmôglich auseimandergehalten werden. Wenn sie zwei verschiedenen Species angehüren, so sind die Unterschiede jedenfalls so unbedeutend, dass man im fast keinem Falle wissen kônnte, ob ein Autor die eine oder andere Art beobachtet hat. Siehe ferner HOFSTEN, 139. Typhloplana viridis du Plessis — T. viridata (Abildg.). DU PLESSIS 1877 (18), 1878 (19), 1897 (70). In den drei oben zitierten Arbeiten nennt DU PLESSIS die sonst von ihm 7. véridata genannte Art 7. viridis. Die Bestim- mung ist übrigens ganz unsicher; siehe oben $. 643. 1 Luraer, A. Die Eumesostominen. Zeitschr. wiss. Zool. Bd. LXX VII. 1904. RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 681 Prostomum lineare Oerst. — Gyratrix hermaphroditus Ehrbg. DU PLESSIS 1877 (18), 1878 (19); FOREL 1879 (23). Nach GRAFF (27) wird bekanntlich der ältere Speciesname hermaphroditus von allen Autoren angewendet. Gyrator notops Dugès — Gyratrix hermaphroditus Ehrbg. FUHRMANN 1900 (82). Etwas unsichere Identifizierung. Nach dem Erschemen von GRAFE’S Monographie wird der jängere Namen EHRENBERG'S fast von allen Autoren gebraucht. Gyrator cœcus Vejdovsky — Gyratrix hermaphroditus Ehrbe. FOREL 1885 (29), 1886 (36); KELLER 1895 (66). Wie ich oben (S. 651) bemerkt habe, kônnen die blinden Exemplare von G. hermaphroditus nicht als eine selbständige Subspecies, geschweige denn als eine besondere Art betrachtet werden. Plagiostoma quadrioculatum ! Zacharias — P. lemani (Forel et du Plessis). KELLER 1895 (66). Wie besonders meine Beobachtungen zeigen (99, 100, 1539), kann die von ZACHARIAS beschriebene vieräugige Form von P. lemani auch nicht als eine besondere Varietät, geschweige denn als eine selbständige Art aufrecht erhalten werden. Mesostomum (Monotus, Automolus) morgiense du Plessis — Otomesostoma auditivum (Forel et du Plessis). ! SrxINManx bezeichnet in seiner Revision der schweizerischen Tricladen auch Planaria quadrioculata Graff als wahrscheinlich mit Plagiostormum lemani Syno- nym, « vielleicht auch syn. ex p. Dendrocælum lacteum ». Die von GRArF (Neue Mitteilungen über Turbellarien, Zeitschr. wiss. Zool. Bd. XXV. 1875) beschrie- bene Art ist ohne den geringsten Zweifel eine Triclade, wohl eine Standortsvarietät von Dendrocoelum lacteum. Auch in der schweizerischen Literatur kann sich nur eine äbnliche Form. and jedenfalls nicht Plagiostomum lemani, unter dem Namen Dendrocoelum quadrioculatum verbergen. pu PLessis bezeichnet ausdrücklich das vieräugige Dendrocælum als eine Standortsmodifikation von D. lacteum; dass er vieraugige Exemplare von Plagiostomum lemani mit einer Triclade verwechselt ha- ben sollte, ist nicht denkbar. 682 N. VON HOFSTEN DU PLESSIS 1876 (16), 1877 (18), 1878 (19), 1884 (28), 1885 (30), 1886 (39), 1897 (70); FOREL 1877 (17), 1878 (21), 1879 (23), 1885 (29), 1886 (36), 1902 (89); [GRAFF 1882 (27)]; ZSCHOKKE 1900 (80), 1906 (93, 94); KELLER 1895 (66); FUHRMANN 1897 (71), 1900 (82); [ Vozz 1901 (85)]. Ich habe schon 1907 (99) darauf aufmerksam gemacht, dass Monotus morgiense schon 1874 von FOREL und DU PLESSIS (4) unter dem Namen Mesostomum auditivum beschrieben wurde. Monotus lacustris Zacharias — Otomesostoma auditivum Forel et Du Plessis. ZSCHOKKE 1891 (93, 94, 95). ZACHARIAS ersetzt in einigen Arbeiten den damals gebrauch- ten Speciesnamen morgiensis durch lacustris ; vgl. Hor- STEN, 99. Bothrioplana Dorpatensis M. Braun — PB. semperi M. Braun. DU PLESSIs 1897 (70); [ Vozz 1901 (85)|. Ich habe früher (99) nachgewiesen, dass die Unterschiede zZWischen den beiden von BRAUN (in demselben Brunnen!) ge- fundenen Pothrioplana-Formen mnerhalb der Grenzen der indi- viduellen Variation liegen: von den beiden gleichzeitig verüt- fentlichten Speciesnamen wählte ich semperi, weil die so bezeich- neten Tiere allem Anscheine nach älter waren und weil sie der anatomischen Beschreibung BRAUN’S zu Grunde liegen. — Wie GRAFF (in Die Süsswasserfauna Deutschlands und in BRONN) beide Arten nicht nur aufrecht erhalten, sondern so- gar verschiedenen Gattungen (!) zuteilen kann, ist mir unver- ständhich. RHABDOCOÔLEN UND ALLÜOCÜLEN 683 ALPHABETISCHES VERZEICHNIS der schweizerischen Rhabdocülen und Allôocôlen einschliesslich der unsicheren Arten und aller in der schweizerischen Literatur vorkommenden Synonvma. Die in dieser Arbeit gebrauchten Namen sind fett, die Namen der un- sicheren und für die Schweiz zweifelhaften Arten kursiv, die SYnonvma mit gewôhnlicher Schrift gedruckt. Die kursiven Ziffern beziehen sich auf die Bestimmungstabellen, die fettgedruckten auf den faunistischen Teil (sichere und zweifelhafte Arten). Lo RICE SEUNCOIDE (D SCHL) ere es NN ae ne ne GOALT. Automolus morgiensis (Du Plessis) . . . . . . . . 656 ff., 681 Bothmoplana bohemicaVedoysky 22.20% ne Ro .092 AURAI DS INR AU A rene er nr rourtit ee 000,082 SPRNE EL MPa Ne rm 000007; 000, 902-1660, 682 Bothromesostoma personatum (0. Schm.). . . 556, 559, 590, 650 Gasbrada difinis Horsienim 2452.20 7..201561,560. 598,097 ADM A (RER) 0e Te til 550, 5007 640 CHOCO DOTIET) EURE PR AT EU ER ni So Das 080 anna nnniVo)z) Pr er EP ee OO 00 042 ROMANE EN Cr Ne R560,0200:.500: 038 Dora SCD var-viridis Volze :} Free ra ec" -640 DEMI MISE Leu ro en enr 551500, 508. 001, 095.1: DAC SERA cn CDR RE Tin ee 587. 697 EME NGIZ) M TL nm un. m0 009. 041%, 680 Pince (Me Braun) er EE Li 557.504; 007, 091 Intel Hoisien Ne 0 6 656. .506, 569,:088, 642: 680 RPDÉDHERSLS VOIS. ANR ET Ne Sp 000640 perspicua (Fuhrm.) ONE 0100 0;030 quadridentata Hofstén 2-27. 21. 4 658,:062,1589; 639 FRA RTS EE CV ie LU EE GS rhæbiea Hosni ane ru nr. 7 660600 587-696 seg0iS (RUDTM NS EN ER Re TN N re 60918 590 000 -09b sphaguetorum Luther." . +: .-., ...566, 569,589, 638 684 N. VON HOFSTEN spinulosa Hofsten. stagnorum Luther. tripeti (Volz) viridis Volz. Castrella agilis Fuhrm. quadrioculata (Ve]dovsky) truncata (Abildg.) Catenula lemnæ Ant. Dug. Dalyellia armigera (0. Schm.) brevispina Hofsten coronari« (0. Schm.) . cuspidata (0. Schm.) diadema Hofsten . expedita Hofsten . foreli Hofsten . fusca (Fuhrm.). oraffi (Graffii) (Hallez). hallezi (Hallezii) (Graf) . sp. an hallezi Graff helluo (Müll.) . infundibuliformis (Fuhrm.) . intermedia (Du Plessis) . microphthalma (Vejdovskv). ornata Hofsten . pallida Hofsten | picla (0. Schm.) . quadrioculata (Vejd.) rubra (Fuhrm.). schmidti (Schmidtii) (Graff). scoparia (0. Schm.). sexdentata (Graff) spinosa (Fubhrm.) succincta Hofsten. triquetra (Fuhrm.). truncata (Abildg.) virgulifera (Plotnikow) viridis (G. Shaw) . Derostoma — Phænocora. Diplopenis intermedius Volz. . 551, 358, 539, 362, 588, 639 566, 569, 587, 635 641 f: 564, 588, 639f. 622 f.. 678 622 f., 678 596, 559, 563, 566, 568, 582, 621 f., 678 PSE 55%, 573, 974, 599 556, 566, 279, 581, 616 ff., 678 551, 566, 568, 581, 616, 678 611, 621, 661, 665 f., 678 563, 565, 579, 640 f., 677 . 551, 566, 579, 612 f. 556, 565, 580, 614 fF-677 .331, 580, 611, 678 616 ff., 678 611 f.. 677 581. 615 f.. 678 616, 678 619 f., 678 CRE : 566, 580, 643 f. 551, 562, 563, 621 f., 661, 667 f. NE 281, 616 ff., 678 551, 566, 568, 579, 581, 612 580, 614 621, 661, 666 f. Fr 4 2023 . 513, 579, 614 616 ff. 678 619, 621, 661, 668 f. 579, 640 f., 677 . 615, 678 280, 6143 f. . 96, 580, 613 621 ff. 3580, 614 . 553,1554, 559, 582, 649 T., 676, 678 642 RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÔLEN 685 Tripeti Volz. en A eg AT TANT Een ae 1041 er 000 Dochmiotrema limicola Hofsten RON DOM ON DO). 20 4 D9L Gyrator — Gyratrix. Gyratrix cœca (Vejdovsky) . . . . RME AT 7652081 hermaphroditus Ehrbg. 555, 556, 561, S64, 566,568, 290, 651 ff.,681 HOtDps Durs "27 en: En 2 PA er LEA UDOZ2N 081 Hyporhynchus — nono man Lutheria minuta Hofsten . . . . . . 551, 558, 563, 589, 644 Macrostoma — Macrostomum. Macrorhynchus — Phonorhynchus . Macrostomum appendiculatum (0. Fabr.). 556, 561, 563, 577, 606 f. 676, 677 RYSITIX O6rSIRN EE: nt into te ODONC 610 077 orthostylum (M. Braun). EM 563) 0772008" vite Bi Benede E enee e SG 568 013-007: Mésucestrèda Euhrmanni Volz: 22 5e D er an e-642 Mess tomarrmaiuin (FU TM.)EE 2587 Re TE OT 226040 auditivum Forel et Du Plessis. :. .: . . . . . . 545, 657; 682 banatieum Graff. . . . MR, SN An RDS Le 02.679 ehrenbergi [Ehrenbergii| Focke . . . . . 536,562, 590, 648 f. lingua (Abildg.) . 556, 559, 561, 564, 566, 568, 584, 590, 646 f. minimum Fuhrm. . 644, 680 montanum Graff. Morgiense Du Plessis . personatum O. Schm. perspieuum Fuhrm. productum (0. Schm.) . pusillum O. Schm. 631 f., 679 592, 657, 681 . 650 . 636 562, 573, 590, 644 f., 676 562, 661, 672 rostratum (Müll.) 631 f. segne (Fuhrm.) . 636 splendidum Graff . 669 sulphureum (0. Schm.) tetragonum (Müll.) trunculum 0. Schm. viridatum (Abildg.) Yungi Fuhrm 562, 672 649, 661, 671 f. ; . 630 1900, 643 t. , 076 634, 680 Mesostomum — Mesostoma. Microstoma — Microstomum. MACTOSÉOUMECMANTE NL D 2 551;.606..664/664 F. 686 N. VON HOFSTEN giganteumes rer een REPOS ASS AO COURTE lineare (Müll.) . . 545, 536, 361, 363, 564, 365, 568, 576, 603 f. Monotus morgiensis (Du ee RNCS Or er G DO ADS RE lacustnisZacharias., LS SAR EE RME ET AGO Olisthanellaz halleziana (Vejdovsky) . . . . . . 31, 661, 670 f. CDIUS GA (MESCR SE LES A RE RE 77e M SO GS SG GOT splendide (Grait) 5.3.2) MO RENE ee RONA CIE GRONE trunGcula(0:"SChmi) 1 2e et 0507, DC 1020202670 Opistoma — Opistomum. Opistomum pallidum. 73, 582, 629, 679 schultzeanum . . . ÊTRE STE PÉOC ON 23R 670 Otomesostoma dite ot (Forel et Du Plessis). 545, 546, 558, 359, 560, 563, 566, 567, 592, 656 IT. 681, 682 © © EE morgieuse du Plessis . Phænocora clavigera Hofsten cœca (Fuhrm.) gracilis (Vejdovsky). rufodorsata (Sekera) slagnalis (Fuhrm.) unipunctata (Oerst.) RRQ ST 657 f. . 551, 557, 564, 582, 628, 678 627 f., 676, 678 f. Ho 02152678 557, 582,620": 627 f., 676, 678 f. 553, 559, 582, 624. Phonorhynchus lemanus (Du Plessis)... . . . 551, 562, 661, 673 f. Plagiostoma — Plagiostomum. Plagiostomum lemani (Forel et Du Plessis). 545, 546, 348, 558, 559, 560, 563. 592, 654 fT., 681 quadrioculatum (Zacharias). Han NE Re CNRS SE CS RO D RUE Planaria lémani-Forel et Du/Pléssis 152" 0 RS RE ONE Prorhynchus sphyrocephalus (de Man). . . . . 553, 577, 609 f stagualis M. Sch. 2 274: a 557 559561 569.15 47-0008er Prostomum lineare Oerst. ARS 290, 651, 681 Rhynchomesostoma rostratum (Müll.). 555, 556,550, 563, 564, 565, 566, 568, 584, 631 ff, 679 Rhynchoscolex simplex Leidy . . . . . . . 573, 575, 6038, 677 ve,dovskvi Sekera RQ 10. 603, 677 Scizoestomum:productum-0SChm LL OR RMS 0 Stenostoma — Stenostomum. Stenostomum agile Silliman. .-. . . . . . . 563, 575,602 kystrix (Kellér) =: 2 SL EN bn 608 00664 langi-(Kellér) 2 2220608 LRU MUR SR PR D ID PB OA lénnæ (Ant. Dug Da 2e 0 RAR NT ee AE RHABDOCÜLEN UND ALLÜOCÜLEN 687 leucops (Ant: Dug ee. ci SG E unicolor O. Schm à Strongylostoma elongatum Hofsten radiatum (Müll.). Tetracelis marmorosa (Müll.) Tricelis obtusa (M. Sch.) 5, 599 ff., 677 D, 601 ff.. 677 56: , 366, 285, 634 563, 566, 2835, 633 f. 566, 568, 5841, 634 f. . 670 Trigonostomum neocomense (Fuhrm.). 547, 551, 558, 563, 590, 650 f. Tvphloplana halleziana . minima (Fuhrm.) . pallida O0. Schm. pellucida M. Schultze . subfusca Du Plessis sulphurea O. Schm. viridata viridis Du Plessis . É Typhloscolex vejdovskyi Sekera Vortex — Dalyellia. Vortex lemani Forel et Du Plessis 670 f. 589, 643 f. 0 0029 661, 673 672 Ti 661, 672"f: 62, 568, 589. 643 f., 676, 680 643, 676, 680 603, 677 545, 654 F. TE "He Inhaltsübersicht. . HISTORISCHE EINLEITUNG LP: ALLGEMEINE UEBERSICHT der schweizerischen Rhabdocülen und A Uôüocôlen : Artanzahl. Verbreitung Oekologie SYSTEMATISCHE UEBERSICHT der schweizerischen Rhabdocülen und À UHüocülen Literatur zu den Bestimmungstabellen . FAUNISTISCHER TEIL : 1. Diesicheren schweizerischen Rhabdocôlen und Allüocôülen 2. Zweifelhafte und für die Schweiz unsichere Arten 3. Sichere und für die Schweiz sicher nachgewiesene, aber bei einzelnen Autoren zweifelhafte Arten . Synonyma Alphabetisches Verzeichnis 1 Seite 43 REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 13. — Décembre 1912. Die Schweizerische Turbellarienliteratur VON Nils von HOFSTEN (Uppsala) UND Paul STEINMANN (Aarau) Die folgende Uebersicht der schweizerischen Turbellarien- literatur bildet den dritten und letzten Teil der von den Autoren gemeinsam durchgeführten Revision der schweizerischen Turbel- larien, deren erster Teil (STEINMANN, Revision der schwei- zerischen Tricladen) schon im Juni 1911 erschienen ist, wäh- rend der zweite Teil (V. HOFSTEN, Revision der schweizerischen Khabdocülen und Allüocülen) erst gleichzeitig mit der vor- hegenden Arbeit herausgegeben wird. Eine geschichthche Darstellung der schweizerischen Turbel- larienforschung hat jeder der Autoren in seiner Revision gege- ben. Dieser letzte Teil der Turbellarienrevision soll daher nur 1 Dritter Teil der von der Schweizerischen Zoologischen Gesellschaft im De- zember 1910 preisgekrôünten Schrift: Revision der Schiweizerischen Turbellarien von N. vox Horsrex und P. STEINMANN. Rev. Suisse DE ZooZ. T. 20. 1912. 46 690 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN die Form emes chronologisch geordneten Literaturverzeichnisses haben, worin die einzelnen Publikationen kurz referiert werden. Die Arbeit ist also eine selbständige Publikation, aber gleich- zeitig ein Literaturverzeichnis zu den beiden speziellen Revi- sionen. In der Tricladenrevision wird zwar nicht direkt auf die Nummer des Literaturverzeichnisses verwiesen, sondern der Literaturhinweis geschieht nur durch Angabe des Erschemungs- jabres der betreffenden Publhkation, doch wird es nie Schwierig- keiten bereiten, die betreffende Arbeit aufzufinden !; in der Rhab- docülidenrevision werden die Arbeiten über die schweïzerischen Turbellarien stets unter Beifügang der Nummer im Literatur- verzeichnis, meist auch mit der Jahreszahl zitiert. Das Literaturverzeichnis strebt môglichste Vollständigkeit an; es soil alle Publikationen enthalten, im welchen schweize- rische Turbellarien behandelt werden ?. In Verfolgung des Prinzipes, alle Angaben, auch die kürzesten vorläufigen Mit- teilungen und reine Wiederholangen, mitzunehmen, ist das Verzeichnis zu einer Liste von 140 Nummern angeschwollen *. ! Eine Auzahl Tricladenfunde, die in der Revision übersehen worden sind, werden im Literaturverzeichnis aufgeführt (Arbeiten No 59, 69, 77. 86, 87). Die seit 1910 erschienenen Arbeiten (127 - 140) sind in der Tricladenrevision noch nicht aufgenommen, die Tricladenfunde dagegen im Literaturverzeichnis referiert. ? Unter « Schweizerische Turbellarienliteratur » verstehen wir hier nur die Literatur über schweizerische Tuarbellarien; das Verzeichnis enthält also nicht Arbeiten von schweizerischen Forschern über marine Turbellarien. — Nicht-schwei- zerische Arbeiten, in welchen die Ergebnisse der schweizerischen Turbellarien- forschung nur in zweiter Hand besprochen werden, sind natürlich nicht auf- genommen worden, auch nicht reine Referate über schweizerische Arbeiten. * Durch dieses Streben nach absoluter Vollständigkeit erhält unser Literatur- verzeichnis teilweise ein anderes Gepräge, als die in der früheren Turbellarien- literatur existierenden. So fehlen von den hier bis 1905 aufgezählten Arbeiten nicht weniger als 40 in dem grossen Literaturverzeichnis GRAFFS in BRONN, (Nr. 1, 2, 3, 6, 7, 8, 11, 14, 16, 21, 25, 26, 34, 35, 36, 37, 40, 42, 43, 44, 45, 49, 56, 57, 59, 60, 62, 69, 72, 73, 77, 79, 81, 83, 84, 86, 87, 88, 89, 90). Die meisten dieser Schriften sind jedoch so unbedeutend, dass ihr Fehlen in der genannten Publikation nicht zu bedauern ist (wohl mit Ausnahme von Nr. 21, 23, 57, 60 77, 84, 86, 89, 90). TURBELLARIENLITERATUR 691 Wenn auch viele der im Folgenden aufoeezählten Schriften nur der Vollständigkeit wegen mitgenommen wurden, so darf immerhin gesagt werden, dass die schweizerische Turbellarien- literatur sowoh] quantitativ reich, wie qualitativ bedeutend ist. Diese Behauptung kann dureh nichts besser gerechtfertigt wer- den, als durch die vorliegende Zusammenstellung der gesamten Literatur. In den Referaten stammt alles, was die Tricladen betrifft, von STEINMANN, alles, was die Rhabdocülen und Allüocülen angeht, von VON HOFSTEN. In der Regel wird bei jeder Arbeit zuerst über diese, dann über jene berichtet. Die Besprechungen ent- halten Angaben über wichtige Ergebnisse der betreffenden Ar- beiten, ferner werden stets alle vom Verfasser gefundenen Artenaufgezählt; den in der referierten Arbeit gebrauchten Speciesnamen werden die von uns angewandten Namen bei- gegeben, bei allen zweifelhaften Arten und bei den Synonyma wird auf die Rhabdocüliden-, bezw. Tricladenrevision hingewie- sen. Uebrigens besteht eine gewisse Ungleichmässigkeit inso- fern, als die Rhabdocülidenreferate durchwegs etwas einläss- licher gehalten sind. Eine grüssere Ansführlichkeit schien hier deshalb geboten, weil die in der Schweiz gefundenen Arten sehr Zahlreich und weil die Angaben der Literatur oft recht widerspre- chend sind. In der Rhabdocülidenrevision werden zwar für Jede Species alle Literaturangaben erwähnt und, wenn nôütig, kritisch behandelt ; memer (v. HOFSTEN’S) Ansicht nach ist es jedoch bei der Fülle des Materials von Vorteil, dass diese Angaben auch hier wiederzufinden sind; der Leser wird sich dann leichter em Urteil über den Wert der Arbeiten bilden künnen — und zu den Aufgaben emer Revisionsarbeit gehürt wohl auch die, für eme solche Schätzung des Wertes eine Anleitung zu geben. Berücksichtigt wurde die bis und mit 1911 gedruckte Lite- ratur. Als letzte Nummer kommt noch HOrSTEN’S Rhabdocü- lidenrevision hinzu. 692 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN 1. Forez, F.-A. 1869. Zatroduction à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 10, p. 216- 223. Erwäbnt zum ersten Mal das Vorkommen von Turbellarien in der schwei- zerischen Fauna. In der Tiefe des Genfer Sees fand Forez (1. J. 1869) bei 75 m «trois Turbellariés », bei 300 m «un Turbellarié ». 2. Forez, F.-A. 1873. (Faune des profondeurs du Léman.) Arch. Sc. phys. nat. (Genève), (Nouv. Pér.), T. 48, p. 67-72. Referat eines Vortrags in d. schweiz. naturf. Ges. 56. Jahresvers. in Schaffhausen, 1873. Vorläutige Mitteilung zu 4. In der Liste der Tiefenbewohner des Genfer Sees findet man drei nicht näher besprochene Turbeilarien : ein Mesosto- mum, einen Vortex, eine Planaria. 3. Forez, F.-A. 1874. Faune profonde du Lac Léman. Verh.schweiz. naturf. Ges., 56 Jahresvers. in Schaffhausen, 1873 (Schaffhausen), p. 136-152. Der in 2 referierte Vortrag in extenso. Vier Tiefenturbellarien des Genfer Sees werden unter Gattungsnamen erwähnt : Microstomum, Vortex, Meso- stomum, Planaria. Ym Neuenburger-See bei 30 und 65 m: Vortex, « Meso- stome ». [m Zürcher See bei 28 und 50 m : Mesostomum. 4. Forez, F.-A.et pu PLessis, G. 1874. Æsquisse générale de la Faune profonde du Lac Léman. (Matériaux pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. 1° série, S X.). Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 13, p. 46-57. Die beiden Genferseealloocôlen Olomesostoma auditioum und Plagiosto- mum lemant Werden zum ersten Mal erwähnt! und kurz beschrieben, die erstere als Mesostomum audilioum (Tiefenverbreitung 20—100 m), die letztere als Vortex lemani (15—300 m). Von Rhabdocülen der Tiefe wird nur Microstomum lineare genannt. Auch eine Triclade, Planaria lacustris n. sp., wird aus der Tiefe be- schrieben (unsichere Art, siehe SreINManN, 134). 5. pu PLessis, G. 1874. Turbellariés limicoles. (Matériaux pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. Série 1, S XVI [durch Druckfehler als S XXI bezeichnet}). Bull. Soc. vaud. Se. nat. (Lausanne), Vol. 13, p. 114-124, Taf. 3, Fig. 1—8. Ausführlichere Beschreibung (vgl. Forez et pu PLEssis, 4) von Vortex (= Plagiostomum) lemant. Erste Abbildung dieser Form. 6. Forrxz. F.-A. 1874. Dragages zoologiques dans les lacs de Neu- chätel, de Zurich et de Constance. (Matériaux pour servir à l'étude * Die in dem 1873 gehaltenen Vortrag (2, 3) erwähnten Vortex und Meso- stomum dürften jedoch auf diese Arten zurüûckzufübren sein. TURBELLARIEN LITERATUR 693 de la faune profonde du Lac Léman. 1" série, $ XXIL.). Bull. Soc. vaud. Se. nat. (Lausanne), Vol. 13, p. 152—159. Aus dem Neuenburger See werden eine « Mésostome » und ein Vortex, aus dem Zürcher See eine « Mésostome » erwähnt. Von diesen zwei Arten ist die «Mésostome » — Olomesostoma audilivoum, der Vortex — Plagio- slomum lemant (siehe Horsrex, 140, p. 655, 657). 7. Forez, F.-A. 1874. (Faunes des lacs de la Suisse.) Arch. Sc. phys. nat. (Genève). (Nouv. Pér.), T. 51, p. 161-162. Referat eines Vortrags in d. schweiz. naturf. Ges., 57. Jahresvers. in Chur, 1874. Erwähnt das Vorkommen von Turbellarien in der Tiefenfauna. 8. Forez, F.-A. 1875. Faune profonde du Lac Léman. Verxh.schweiz. naturf. Ges., 57. Jahresvers. in Chur, 1874. (Chur), p. 129—142. Fortsetzung des 1873 gehaltenen Vortrags (3). Die Turbellarien werden nur ganz im allgemeinen besprochen (Lebensweise in der Tiefe usw.). 9. v. GRaArF, L. 1875. Ueber einige Punkte aus der Anatomie der Turbellarien. TYagebl. d. Vers. deutsch. Naturf. u. Aerzte in Graz, 1875, (Graz). p. 217. Vorläufige Mitteilung zum Folgenden. 40. v. GRArF. L. 1875. Ueber die systematische Stellung des Vortex Lemani Duplessis. Zeitschr. wiss. Zool. (Leipzig), Bd. 25, Suppl. p. 335—342. Taï. 28. Eine anatomisch-histologische Untersuchung (teilweise nach schweïizeri- schem Material) über pu Pcessis Vortex lemant, welcher für eine Planaria erklärt wird. 41. Forez, K.-A. 1876. Matériaux pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. 2° série. Avant-Propos. Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 14, p. 97—108 (Sep. 165—176). Enthält eine kurze Bemerkung über Vortex (— Plagiostomum) lemani, welcher als eine für die Liloralregion und die Tiefe gemeinsame Art be- zeichnet wird (p. 102, Sep. 170). 12. Forez, F.-A. 1876. Esquisse de la faune littorale. (Matériaux pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. 2 série (suite) (später 3° série genannt), S XXXI.) Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 14, p. 201—210 (Sep. 235—244). Von Turbellarien werden (nach Notizen von G. pu PLessis) nur Vortex (= Plagiostomum) lemani (2 und 4 m Tiefe) und Dendrocoelum lacteum (am Ufer unter fast allen Steinen) erwähnt (p. 203, Sep. 237). 43. Forer, F.-A. 1876. Esquisse générale de la faune profonde du Lac Léman. (Matériaux pour servir à l'étude de la faune pro- 694 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN fonde du Lac Léman. 2° série (suite) (später 3° série genannt), $ XXXIV). Bull. Soc. vaud. Se. nat. (Lausanne), Vol. 14, p. 229— 234 (Sep. 263— 268). Von Rhabdocüliden werden folgende von pu PLessis bestimmte Arten auf- gezählt: Microstomum lineare, Prorhynchus stagnalis, Scizostomum — Mesostoma) productum (sichere Bestimmung ?; siehe Horsrex, 440, p. 644), Mesostoma linqua, M. ehrenbergi (siehe jedoch Horsrex, 140, p. 648), « Prostomum sp. nov. ne présentant ni veux ni vésicule à vénin » (über diese Art siehe Horsrex, 440, p. 674) — alle diese Arten aus Tiefen zwischen 30 und 60 m stammend — Vortex (— Plagiostomum) lemani (ausser in der Tiefe auch litoral, 2 m). Von Tricladen werden nach vorläufigen Bestimmungen pu PLessis er- wähnt: Dendrocoelum lacteum, 2. T. blind (es handelt sich wahrscheinlich um Planaria alpina var. bathycola, Dendrocoelum lacteum var. bathycola} und D. fuscum (unsichere Art, vielleicht Planaria lugubris) ; vergl. Sren- MANN, 134, p. 225 414. v. GRAFF, L. 1876. Note sur la position systématique du Vortex ï Lemani du Plessis. (Matériaux pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. 2° série (suite) (später 3° série genannt), $S XXXVI). Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 14, p. 243—953 (Sep. 277—9287). Taf. 4. Uebersetzung (durch pu PLEssis) von 40. 45. pu PLessis, G. 1876. Seconde note sur le Vortex Lemani. (Maté- riaux pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. 2° série (suite) (später 3° série genannt), $ XXX VIT). Bull. Soc. vaud. Se. nat. (Lausanne), Vol. 14, p. 254-259 (Sep. 288—293). Nach erneuter Untersuchung des soeben von GRarr (siehe sub 40) für eine Planaria erklärten Vortex lemani kommt pu Pcessis zu dem Ergeb- nis, dass das Tier keine Planaria ist, sondern den Typus einer besonderen Galtung, «intermédiaire entre les Rhabdocèles et les Dendrocèles », bildet. 16. pu Pressis, G. 1876. Notice sur un nouveau Mésostome, Mesostoma morgiense.( Matériaux pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. 2° série (suite) (später 3°sér. genannt),S XX X VIIT). Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 14, p. 259—278 (Sep. 293—312), Taf. 5. Ausführlichere Beschreibung (vergl. Forez et pu PLESsIs, #4) von Mesosto- mum (= Ülomesostoma) auditivum, dessen Speciesname jetzt in morgiense umgewandelt wird. Als Fundorte werden genannt : Bodenschlamm des Genfer Sees (keine Tiefenangaben) und des Lac de Joux (ferner die von Forez, 6, erwähnten Seen). 47. Forez. K.-A. 1877. Notice sur l'histoire naturelle du Lac Léman. In: Montreux, par L. Ramserr, H. Legert, Ch. Durour, K.-A. Forez et S. CHavaxxes. (Neuchâtel). TURBELLARIENLITERATUR 695 Erste Auflage von 86. Aufzählung der in 43 erwähnten Tiefenturbel- larien (dazu die dort nicht erwähnte Art Mesostoma morqiense |— Ulome- sostoma aulitivum|). Aus dem Litoral werden, nach Bestimmungen von pu PLESSIsS, eine Rhabdocüle, Anotocelis ) unicolor (— leu- cops, siehe HorstEN, 440, p. 599) und eine Triclade. PMendrocoelum lacteum, erwähnt. 48. vu PLessis, G. 1877. (Origine et répartition des Turbellariés de la faune profonde du Léman.) Arch. Sc. phys. nat.(Genève). (Nouv. Pér.) T. 60, p. 326—328. Referat eines Vortrags in d. schweiz. naturf. Ges. 60. Jahresvers. in Bex, 1877. Deckt sich dem Inhalt nach mit 19. (Typhloplana subfusca dürfte Ge- dächtnisfehler für su/phurea sein) 19. ou PLessis G. 1878. Sur l'origine et la répartition des Turbel- lariés de la faune profonde du Léman. Verh. schweiz. naturf. Ges. 60, Jahresvers. in Bex, 1877 (Lausanne), p. 233— 259. Aus der Tiefe des Genfer Sees werden folgende Rhabdo- und Allüocülen aufgezähit: Microstomum lineare (bis 30 m), Prorhynchus stagnalis (bis 30 m), Typhloplana viridis, T. sulfureum, re a (die drei letzteren ganz unsichere Arten, siehe Horsrex, 140, p. 643,672), Mesostoma limgua, M. ehrenter qi (his 30 m; vgl. jedoch one 140, p. 6%8), Pro- stomum lineare (= Gyratrix her maphroditus) (bis 30 m), Vortex (—= Pla- giostomum) lemani, Mesostomum morgiense (= Olomesostoma auditivum. Alle diese Arten, mit Ausnahme der heiden letzieren, werden als hinab- gewanderte Litoralarten bezeichnet. Plagiostomum und Olomesostoma dage- gen, welche schon jetzt als echte Bodenformen erklärt werden Konnten, nehmen eine bemerkenswerte Sonderstellung ein: von den (jetzt nur ein historisches Interesse darbietenden) Erklärungsversuchen zu ihrer be- schränkten Verbreitung will sich der Autor für keinen besonderen bestim- men. — Von den Litoralarten soll nur eine (Mesostoma pusillum) unver- ändert in die Tiefe hinabsteigen, an den übrigen will pu PLessis einige jedoch nie durchgreifende Veränderungen konstatiert haben : die Exemplare aus der Tiefe sind oft durchsichtiger und bei gewissen Arten grüsser, bei andern kleiner als die aus dem L itoral stammenden, das Augenpigment wird rot statt schwarz usw. Ausser den Tiefenarten werden einige nur in Flach- wässern beobachtete Rhabdocülen erwähnt : Typhloplana p'llucida (ganz unsichere Art ; siehe HorsreN, 140, p. 673)und T°. (— ÜUpistomum) pallida. Bothromrsostomu personatu. Von Tricladen werden Hendrocoelum lacteum, D. fuscum (unsichere Art, siehe SreiNMaANN, 434), Planarix gonocephala und Polycelis sp. (in Bäüchen) besprochen. Erürterungen über den Unterschied der Tiefenform von PDendro- coelum lacteum im Vergleich zur Uferform. Planaria quadrioculata Wird als Abnormität von D. lacteum erklärt. 20. pu PLessis, G. 1878. Notice anatomique sur les Platyhelminthes. Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 15, p. 233—256. Notizen über den Bau der Epidermis bei den Turbellarien. über die Jun- gen («larves») von Plagiostomum lemant und über die Geschlechtezellen bei Microstomum lineare. 696 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN 21. Forez, F.-A. 1878. Faunistische Studien in den Siüsswasserseen der Schweiz. Zeitschr. wiss. Zool. (Leipzig), Bd. 30. Supple- ment, p. 383—591. Zählt aus der Tiefe des Genfer Sees dieselben Arten auf wie 43 und 17. 22. pu PLessis, G. 1879. Sur quelques nouveaux Turbellariés de la faune profonde. Mae pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. V° série, S XLV). Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 16, p. 157—160 (Sep. 447—450). Zu den früher bekannten Tiefenarten des Genfer Sees werden jetzt fol- gende, in 45 m gefunden, hinzugefügt : Wacrostomum hystrix (— appen- diculatum). Vortex intermedius (ganz unsichere Art, siehe HorstEN, 140, p. 667), Mesostomum banaticum (— Olisthanella truncula), Mesostomum montanum (—= Bhynchomesostoma rostratum). 23. Forez, K.-A. 1879. Matériaux pour servir à l'étude de la faune profonde du Lac Léman. VI série, Avant-Propos. Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 16, p. 313—327 (Sep. p. 461 475). Stellt die bisher bekannten Tiefenturbellarien des Genfer Sees zusammen: Die Liste der Rhabdocüliden sieht folgendermassen aus : Microstomum li neare, Macrostomum hystrix.(— appendiculatum), Prorhynchus stagnalis: Vortex intermedius (ganz unsichere Art, siehe HorsrEeN, 140, p. 667), Me” sostoma banaticum (—= Olisthanella truncula), M. montanum (—= Rhyncho mesostoma rostratum), M. linqua, M. ehrenbergi, Scizostomum (—= Me- sostoma) productum (unsichere Bestimmung, siehe Horsrex, 140, p. 644): Mesostoma pusillum, Typhloplana sulfurea, T. viridis (die drei letzige- nannten ganz unsichere Arten, siehe Horsren, 440, p.643, 672), Vortex Pla- naria) (—= Plagiostomum) mans Mesostomum Mor giense (= Olomesostoma auditivum). — Plagiostomum lemant ist mehrfach auch in der Litoralfauna konstatiert worden. Von Tricladen werden drei Arten erwähnt: Dendrocoelum n: quadrioculutum (über diese Art vel. sub 49, ferner STEINMANN, 134, p. 232 und Horsrex, 440, p. 681), D). fuscum (unsichere Art, siehe sub 13. 24. Asper, G. 1880. Beiträge zur Kenntnis der He ee der Schweizerseen. Zool. Anzeig. (Leipzig), Bd. 3, p. 133, 200, 202, 204, 206. Erwäbhnt Planaria (— Plagiostomum) lemant aus dem Zürcher und dem Zuger See. Ferner undeterminierte Tricladen. 25. Asrer, G. 1880. Die pelagische Fauna und Tiefseefauna der Schweiz. Intern. Fischerei- Ausstellung in Berlin 1880. Schweiz. Katalog p. 127—129 (Offiz. Katalog p. 203—206) (Berlin). Wie 24. Zwei blinde Planarien aus dem Lago Maggiore. « Wenige Mesostomeen » im Klôüntalersee. TURBELLARIENLITERATUR 697 26. Asper, G. 1880. Wexig bekannte (esellschaften kleiner Tiere un- serer Schweizerseen. Neujahrsblatt, herausg. v. d. naturf. Ges. Zürich auf das Jahr 1881 (N° 83). (Zürich), 32 p. 1 Taf. Enthält (p. 30) eine Liste der in der Tiefe des Genfer Sees gefundenen Turbellarien, nach Forez und pu PLESSIS zusammengestellt. Von eigenen Funden erwähnt Asper (p. 31) «zahlreiche noch nicht spezitisch bestimmte Formen von Mesostomum, Vortex und Dendrocoelum » im Zürcher, Zuger und Vierwaldstätter See. «Ebenso ist der Langensee reich an Tiefsee-Tur- bellarien ». 27. v. GRAFF, L. 1882. Monographie der Turbellarien. I. Rhabdo- coehda. (Leipzig). Fol. XII + 442 p. 12 Textf. Mit Atlas von 20 Tafeln. Stellt sowohl im systematischen als im geographischen Teil die schwei- zerischen Fundorte mit den übrigen gemeinsam zusammen. Ergänzende Beobachtungen über den Bau von Plagiostomum lemanti. dessen systema- tische Stellung jetzt erkannt wird. (Otomesostoma auditivum wird dagegen noch als eine « Mesostomide » betrachtet.) Das Material war von FOREL und pu PLessis im Genfer See gesammelt. Bespricht die Herkunft von P. lemani, das als eines Ueberbleibsels einer marinen Fauna, « welche ehedem unsere grossen Alpenseen erfüllte », bezeichnet wird, 28. Durressis-GoureT, G. (pu PLessis, G.) 1884. ÆRhabdocèles de la faune profonde du Lac Léman. Arch. Zool. expér. et génér. (Paris). (2), T. 2, p. 37—67. PI, 2 Erneute Aufzählung der schon früher bekannt gemachten Rhabdocülen und Allüocülen aus der Tiefe des Genfer Sees, mit Beschreibungen aller Arten. Die Beschreibungen beschränken sich auf die äussere Form und die einfacheren anatomischen, sowic einige histologische Verhältnisse und sind im allgemeinen sehr schw ‘ebend gehalten. Von den in den früheren Arbeiten mitgenommenen Arten sind jetzt Me- sostoma pusillum., Typhloplana sulphureum und Prostomum sp. nov. ausgeschlossen : Stenostomum leucops, Mesostoma (— Olisthanella) splen- didum und M. ehrenbergi Werden als für die Tiefenfauna zweifelhafte Arten bezeichnet. Die von pu P£essis als sichere Tiefenformen betrachteten Species sind also in dieser Arbeit nur 12, nämlich Microstomum lineare, Macrostomum hystrix (= anpendiculatum), Prorkynchus stagnalis, Vortex intermedins, Mesostoma (— Wlisthanella) trunculum, Mes. (— Rhynchome- sostoma) rostratum, Typhloplana viridata, Mesostoma productum, M. lin- qua, Gyralrix hermaphroditus, Plagiostomum lemani, Olomesostoma Mor- giense (—= auditivum). Von diesen Arten sind drei als zweifelhaft zu strei- chen : tor Lex intermedius (siehe Horsrex, 140, p. 667), T'yphloplana viri- data (1. e., p. 643), Mesostoma productum (I. c., p. 644). — Die Angaben über das es (besonders die Tiefenverbreitung) der Arten stimmen bisweilen nicht mit den früher verôffentlichten überein. 29. Forez, F.-A. 1885. La faune profonde des lacs suisses. Neue Denkschr. ee schweiz. Gesellsch. ges. Naturwiss. (Basel). Bd. 29. Abt. 2. VIII + 234 p. 698 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN Der Abschnitt über Turbellarien (p. 124—1928) bildet eine Zusammenfaxs- sung der früher verôlfentlichten Ergebnisse von pu Pressis und dem Autor selbst. Die Liste der aus der Tiele des Genfer Sees stammenden Rhabdo- und Allüocôlen sieht demnach folgendermassen aus : Microslo- mum lineare, Macrostomum hystrix (— appendiculatum), Prorhynchus stagnalis, Vortex intermedius, Mesostomum (— Olisthanvlla) trunculum. M. (== Rhynchomesostoma) rostratum, M. productum, M. lingua, M. ehrenberqi, M. pusillum, M. viridatum., M. sulfureum., Gyratrix her- maphroditus, G. coca, Plagiostomum lemani, Otomesostoma Morgiense (—= auditioum). Von diesen 16 Arten müssen wir Jetzt 7 als mehr oder weniger Zweifelhaft ausschliessen, zuerst die von pv Pressis selbst (28) weggelassenen Arten M. pusillum und sulfureum (siehe Horsrex, 140, p. 643), ferner M. ciridalum l. c., p. 672), M. produclum (|. c.. p. 667), M. ehrenbergi (1. €., p. 648), Vortex intermedius (1. €., p. 644) und Gyratrix coeca (1. €., p. 681). — Aus der Litoralregion werden (p. 81) dieselben Arten mit Ausnahme von Macroslomum appendiculatum. Mesostomum productum, Gyratrix coeca und « Vortex intermedius » ver- zeichnet, ausserdem Sienostomum unicolor (—S. leucops. siehe Horsrex, 440, p. 99). Besonders zu bemerken ist, dass sowohl Plagiostomum lemani wie Olomesostoma auditicum auch für die Litoralregion angegeben werden.— Die beiden letztgenannten Arten werden aus andern schweïizerischen Seen ver- zeichnet und zwar aus dem Neuenburger See, Joux See, Bieler See, Vier- w aldstätter See, Zuger See (in diesen beiden nur Plagiostomum), Züreher See (p. 135—138, 204, 205). Die tiergeographische Stellung dieser beiden Arten wird in einem besonderen Kapitel errtert (p. 203— 205): zu einem positiven Ergebnis in dieser Frage Kkommt der Verfasser nicht, er betont nur, dass die Tiere jedenfalls keine Relikte im ursprünglichen Sinne des Wortes sind (wie pu PLessis gleichzeitig für môglich hält; siehe 30). Die von pu P£essis beobachteten Veränderungen an den in die Tiefe hinab- gewanderten Arten werden ausführlich besprochen (p. 167) Andere Bemerkungen über Rhabdocüliden findet man p. 146. 155, 225 und 227. Ausser den Tricladen Dendrocoelum lacteum und D. fuscum. deren Be- stimmung unsicher ist (vergl. 48); wird (aus dem Litoral) auch D. quadrio- culatum Graff erwähnt (über diese letztere Form siehe oben sub 19: vergl. auch STEINMANN, 434, p. 232 und Horsrex, 140, p. 681). 30. pu PLessis, G. 1885. Essai sur la faune profonde des lacs de la Suisse. Neue Denkschr. allg. schweiz. Gesellsch. ges. Naturwiss. (Basel). Bd. 29, 63 p. Der Abschnitt über Turbellarien (p. 24—37, Textlig. 1 und 2) stimmt im allgemeinen mit der, wie es scheint, etwa gleichzeitig seschriebenen Darstellung von 1884 (28) überein. Wie in allen Arbeiten dieses Autors, springen Jedoch auch hier zahlreiche Inkonsequenzen in die Augen. Was die Rhabdocülen und Allüocôülen betrifft, so werden jetzt von den 1884 weg- gelassenen oder als zweifelhaft bezeichneten Arten Typhloplana sulfurea (ganz unsichere Art, siehe Horsrex, 140, p. 672) und S'enostomum lrucops (dagegen nicht Mesostoma ehrenbergi) mitgenommen. Als neu kommt (mit einem?) Wesostoma splendidum hinzu: diese ganz unsichere Art (siehe Horsrex, 140, p. 66%) wird sonst nur in der letzten Arbeit des Autors (70) erwännt. — Das Fehlen der beiden Allôocülen Plagiostomum lemant TURBELLARIENLITERATUR 699 und Otomesostoma auditivum (Monotus morgiense) in den Kleingewäs- sern wird kräftig betont und ibre Herkunft ausfübrlich diskutiert (p.32, 36, 62--63); drei Môglichkeiten werden hierbei offen gelassen : sie Künnten aus unterirdischen Gewässern stammen, die Eier wären direkt aus dem Meer ins Süsswasser versetzt oder endlich wäre es denkbar, dass sie wie Mysis relicta direkte Ueberreste einer früheren marinen Fauna darstellten. Nur eine Triclade wird aus der Tiefe gemeldet, die häufige Litoralart Dendrocoelum lacteum. Die Exemplare der Tiefe sollen bisweilen blind sein. Hier wie früher muss die Bestimmung als unsicher gelten (vgl. oben sub 43). 34. pu PLessis, G. 1885. Notice sur les Monotides d'eau douce. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 8, p. 291 —2983. Bemerkungen über das Genus Ofomesostoma, Welches in Monotus aufgehen muss. Als Süsswasserarten desselben werden Monotus Morgiensis (—= Olomesostoma auditivum) und M. relictus Zacharias anerkannt; beide seien, wie Plagiostomum lemani, «les survivants d’une ancienne popula- tion maritime ». 32. Imnor, O. 1885. Notiz bezüglich der Verbreitung der Turbella- rien in der Tiefseefauna der Siüsswasserbecken. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 8, p. 434—455. Mesostoma (— Rhynchomesostoma) rostratum Wird aus der « Tiefe » — nähere Angaben fehlen, ob die wirkliche Tiefenregion beabsichtigt wird, ist daher ganz unsicher, wenigstens oft nicht wabrscheinlich — folgender Seen erwähnt: Zürcher, Murtener, Hallwiler, Baldegger, Sarner, Sem- pacher, Aegeri See, Seelisbergersee, St. Moritzer, Silser See, Le] Cavloccio. — Die gefundene Art soll einige äussere Unterschiede gegenüber À. ro- stratum zeigen; wie man aus der kurzen Beschreibung sieht, handelt es sich jedoch um ganz typische Exemplare. Der nämnliche Fundort weist auch eine Tricladenspecies auf. Bestimmung nicht ausgeführt. 33. Zacnarras, O. 1885. Sfudien über die Fauna des grossen und kleinen T'eiches im Riesengebirge. Zeitschr. wiss. Zool. (Leipzig). Bd. 41, p. 483—516. In einem Nachtrag berichtet ZacHarras über die Ergebnisse seiner Unter- suchung von Mesostomum morgiense, von Welcher Art ïihm pu PL£essis Material aus dem Genfer See gesandt hatte. In Uebereinstimmung mit dem schweizerischen Forscher — von dem eine briefliche Aussage angeführt wird — konstatiert er, dass das Tier zu den Allüocülen gehôürt. 34. Vocr, G. und YuxG, E. 1885 (—1888). Lehrbuch der praktischen vergleichenden Anatomie. Bd. 1. (Braunschweig). Enthält (p. 257 —9286) eine von Vor verfasste Darstellung der Anatomie und Histologie von Wesostoma ehrenberyi. Das der Untersuchung zu Grunde liegende Material wurde in einem Sumpf bei Lausanne gesammelt, Wo Du PLessis die Art entdeckt hatte. 700 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN 35. Imuor, O. 1885. (Sur les faunes de nos eaux.) Arch.Sc. phys. nat. (Genève). (3). T. 14, p. 267—269. Referat eines Vortrags in d. schweiz. na/urf. Ges., 68. Jahresvers. in Le Locle, 1885. Unbestimmte Turbellarien in der Tiefe des Seealpsees (Säntis). 36. Forez, F.-A. 1886. Le Lac Léman. Précis scientifique. (Basel), 76 p. Zweite Auflage von 17. Die Liste der Genferseeturbellarien (p. 56 : faune littorale ; p. 59 : faune profonde) stimmt vollständig mit der in 29 veroftent- lichten überein (nur wird Microstomum lineare nicht unter die Litoralarten aufsenommen). 37. Imnor, O. 1886. (Ueber die pelagische und Tiefseefauna des Seealpsees am Säntis.) Verh. schweiz. naturf. Ges., 68. Jahres- vers. in Locle, 1885. (Neuchâtel), p. 53. Referat eines Vortrags in d. schweiz. naturf. Ges., 68. Jahresvers. in Le Locle, 1885. Siehe sub 35. 38. Imnor, O. 1886. Neue Resultate über die pelagische und Tiefsee- fauna einiger tm Flussgebiet des Po gelegenen Süsswasserbecken. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 9, p. 41—47. Der schon früher (32) verôffentlichte Fund von Rhynchomesostoma rostra- tum in der Tiefe des Lej Cavloccio im Ober-Engadin wird auch hier erwähnt. 39. pu PLessis, G. 1886. Etude sur les Monotides d'eau douce consi- dérés comme les survivants d'une ancienne faune marine. Bull. Soc. vaud. Sc. nat. (Lausanne), Vol. 21, p. 265—273. Taf. 7. pu PLessis zeigt hier zunächst, dass die von ZacHarras (siehe sub 33) be- schriebene Monotus-Art mit der Genferseeform identisch ist. Diese stelle unzweifelhaft cun reliquat d’une ancienne faune maritime » dar. Die An- gaben über die bathymetrische Verbreitung im Genfer See lauten nicht ganz wie früher (10—300 m, bisweilen auch «parmi les Charas du rebord du Mont»). Die anatomische Beschreibung enthält neben zahlreichen, in jener Zeit schwierig zu vermeidenden Irrtümern einzelne wichtige Beobachtun- gen (unabhängig von den fest gleichzeitig verôffentlichten Untersuchungen BrAUNS gemacht). 40. Asper, G. und Heuscner, J. 1887. Zur Naturgeschichte der Alpenseen. Ber. Tätigk. St. Gall. naturf. Gres. 1885-86. (St. Gallen), p. 145—187. Zwei undeterminierte Turbellarien im Seewenalpsee ; im Murgsee «eine braunviolette Turbellarie » (p. 169, 170). 41. Imuor, O. 1887. Studien über die Fauna hochalpiner Seen, ins- besondere des Kantons Graubünden. Jahresber. naturf. Ges. Graubünden. N. F. 30.Jg. für 1885 —86. (Chur), p.45 —164. LURBELLARIENLITERATUR TOI Mesostoma (— Rhynchomesostoma) rostratum Wird aus der «Tiefe » (siehe sub 32) folgender Seen erwähnt : St. Moritzer See (p. 86), Silser See (p. 89), Cavlocciosee (p..92), Aegerisee (p. 104), Seelisbergersee (p. 105); alle diese Funde waren schon früher (32) verüffentlicht. Im Diavolezzasee fand der Autor «eine Turbellarienart » (p. 98). Fundorte für Planaria abscissa (— alpina). In der Tiefe des Silser Sees wurde cumsonst nach Planarien gesucht » (p. 54). Siehe jedoch STEIN- MANX (134), p. 228. 42. Imuor, O. 1887. Ueber die microskopische Thierwelt hochalpiner Seen (600—2780 m ü. M.). Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 10, p. (13-—17,):33—42. Auszug aus einem in der Naturf. Gesellschaft in Zürih gehaltenen Vor- trag. Nach einer Bemerkung p. 42 wurde im Anschluss an denselben «eine lebende am 22. Juli d. J. (1886) im Lej Sgrischus (2640 m ü. M.) gefischte, schon früher erwähnte Turbellarie vorgewiesen ». 43. Imnor, O. 1887. Notizen über die pelagische Fauna der Süss- wasserbecken. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 10, p. 604—606. Fundort für Planaria abscissa (— alpina). 44. Imnor, O. 1887. (Sur les animaux microscopiques des eaux douces.) Arch. Sc. phys. nat. ((renève). (3) T. 18, p. 429— 431. Referat eines Vortrags in der Schweiz. Naturf. Ges., 70. Jahresvers. in Frauenfeld, 1887. Unbestimmte Turbellarien im Lago Lucendro, St. Gotthard. 45. Junor, O. 1887. (Mitteilungen über die mikroskopischen Tiere des Süsswassers.) Verh.schweiz. naturf. Ges., 70. Jahresvers. in Frauenfeld, 1887 (Genève), p. 53—55. Referat eines Vortrags in d. schweiz. naturf. Ges. Wie 44. 46. v. Grarr, L. 1887. Die Fauna der Alpenseen. Mitteil. naturw. Ver. f. Steiermark (Graz). Je. 1886, p. 47—68. Bespricht die Herkunft von Plagiostomum lemanti und Monotus morgiensis (= Olomrsosloma audilirum). Die frühere Annahme des Verfassers (vgl. sub 27) wird als unhaltbar bezeichnet : die beiden Arten seien aus € wirk- lichen Reliktenseen » in die Alpenseen übertragen. 47. Kexnez, J. 1888. Untersuchungen an neuen Turbellarien. Zoo. Jahrb. Abt. f. Anat. (Jena). Bd. 3 (1889), p. 447—486. Taf. 18-19. Verschiedene Fundorte von Planaria alpina im Kanton Graubünden. 702 N. V. HOFSIEN UND P. STEINMANN 48. Heuscuer, J. 1890. Zur Naturgeschichte der Alpenseen. Ber. Tätigk. St. Gall. naturf. Ges. 1888—89. (St. Gallen), p. 371—392. Undeterminierte Planarien (p. 387, 388). 49. PexarD, E. 1890. La chlorophylle dans le règne animal. Arch. Sc. phys. et nat. (Genève). (3) T. 24, p. 638—648. Erwähnt Vorter (— Dalyellia) viridis aus dem Genfer See («Genève, dans le lac»). Die Richtigkeit der Speciesbestimmung Kann aus guten Gründen bezweifelt werden ; siehe Horsrex, 440, p. 620). 50. ZscHokke, F. 1890. Beitrag zur Kenntnis der Fauna von Gebirgs- seen. 2001. Anzeig. (Leipzig). Bd. 13, 1890, p. 1. Im Garschinasee (Rhätikon, 2189 m ü. M., Temperatur 15—16° C.) wurde im August Microstomum lineare gefunden. Hochalpine Fundorte für Planaria abscissa (— alpina). P. subtentaculata (unsichere Art, hier — P. alpina, siehe Sreixmanx, 1384), P. polychroa (unrichtige Bestimmung ; — P. alpina, Von Zscnoxke selbst korrigiert [434], und Polycelis nigra. Auch die letztere Bestimmung ist gewiss un- richtig : es dürfte sich auch in diesem Falle um dunkle Exemplare von P. alpina handeln (Srernmaxx, 134, p. 234). 51. Zscuokke, F. 1890. Faunistische Studien an Gebirgsseen. Verh. naturf. Ges. Basel, (Basel). Bd. 9. Heft 1, p. 1—62. Der etwa gleichzeitig an anderer Stelle (Zschokke, 50) verôffentlichte Fund von Microstomum lineare im Garschinasee wird auch in dieser aus- fübrlicheren Arbeit erwäbhnt (p. 26, 52) und etwas näher erûrtert (p. 35, . 91). Auslührlichere Besprechung des Vorkommens und der Verbreitung der in 50 genannten Tricladen. 52. ZsCHORkE, K. 1890. Faunistisch-biologische Beobachtungen in Gebirgsseen. Biolog. Centralbl. (Leipzig). Bd. 10. Plainaria sublentacaulata (hier = ulpina ; siehe SreiNmanx, 484, p. 231) in ungeschlechtlicher Vermehrung in Partnun. 93. ZSCHOKKE, F. 1S91. Weiterer Beitrag zur Kenntnis der Fauna von Gebirgsseen. 2001. Anzeig. (Leipzig). Bd. 14, p. 119 —123. Vorläulfige Mitteilung zum Folgenden. : 54. ZsCHoRKE, F. 1891. Die zweite zoologische Exkursion an die Seen des Rhätikon. Verh. naturf. Ges. Basel. (Basel). Bd. 9. Heft 2, p. 425 —500. Olomesostoma audilienm (als Monotus lacustris Zacharias bezeichnet) wurde im Partnunersee (1874m ü. M.) gefunden, desgleichen verschiedene nicht bestimmte Rhabdocülen, besonders häufig «ein grünlich gefärbtes Mesostoma » (p. 439) [später (80) HW. véridaltum genannt, aber wabr- scheinlich eine Castrada-Art: vel. Horsren, 440, p. 643). Im Tilisanasee TURBELLARIENLITERATUR 703 wurde nur eine nicht bestimmte Typhloplanide (Mesostoma sp.) gefun- den (p.439). Auch aus dem Lünersee (1343 m ü. M.) und zwar aus der Tiefe desselben werden « verschiedene rhahdocôüle Turbellarien », besonders eine häufige Typhloplanide (Mesostoma) verzeichnet (p. 461). — Die Ver- breitung von Olomesostoma Wird Kurz erürtert und die Relictenhypothese Zacuarras referiert (p. 469). Fundorte für Planaria alpina und P. sub- tentaculala (hier alpina : siehe Sreixuaxx, 434, p. 231). Am Ende der Arbeit finden sich tabellarische Zusammenstellungen der gelfundenen Tiere. 55. ZscuorkE, K. 1891. Die Tierwelt der Hochgebirgsseen. Verh. deutsch. zool. Ges. 1. Jahresvers. zu Leipzig, 1891 (Leipzig), p. 48 —49. Monotus lacustris (= Ütomesostoma auditioum) und Planaria alpina im Rhätikon. 56. Hueuscaer, J. 1891. Schweizerische Bergseen II. Schweiz. pädag. Zeitschr. (Zürich), 1891, p. 155. Undeterminierte Planarien. 57. Heuscuer. J. 1892. Hydrobiologische Exkursionen 1m Kanton St. Gallen. Ber. Tätigk. St. Gallen naturwiss. Ges. 1890—91. (St. Gallen), p 356— 332. Dendrocoelum lacteum und Polyrelis nigra im Werdenbergersee. D. lac- teum im oberen Zürichsee und in Weihern (p. 344, 347, 351). 58. Caicurorr, G. 1892. Recherches sur les Dendrocoeles d'eau douce (Triclades). Arch. de Biologie (Gand). T. 12, p. 485 —568. PI. 15—20. Planaria (= Dendrocorlum) lactea, Planaria polychroa in der Rhone, letztere auch im Bassin des botanischen Gartens in Genf. Planaria montana (= alpma) («très commune dans les Alpes Suisses et les Alpes Savoisien- nes ») : Quelle nahe dem Salève-Gipfel. bei Montreux in einem Gebirgsbach, in allen Bächen des Dent de Jaman Gcbietes bis zum See hinunter, Salaison, Senise Cressier, Riffelsee bei Zermatt (2569 m ü. M.). Planarta gonoce;ha'a und Polycelis nigra in der Rhone. 59. Heuscuer, J. 1893. Vorläufiger Bericht über die Resultate einer Untersuchung des Walensees. Schweizer. Fischereizeitung. (Pfff- kon). Beilage zu Nr. 6. Aus 90 m Tiefe «einzelne Strudelwürmer (Dendrocoelum lacteum *), sowie Eicocons der letztern ». 60. Zscnokke. F. 1894. Die Tierwelt der Juraseen. Rev. suisse Zool. (Genève), T. 2, p. 349-776. 1 In der Aevision der schweizerischen Tricladen wird dieser Fund nicht erwähnt. 704 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN Vortex (= Castrella) truncatus und Planaria ulpina im Lae des Brenets. Aus dem Lac de Joux werden nach pu PrEssis und FoREL vier grundbewoh- nende Rhabdocôliden aufgezählt: Mesostoma linqua, M. productum (un- sichere Bestimmung, siehe Horsrex, 140, p. 644), Typhloplana viriduta (kann jede grüne Typhloplanide sein ; siehe Horsren, 140, p. 643), Mono- tus lacustris (— Olomesostoma auditivum ). 61. Sreck, Th. 1894. Beiträge zur Biologie des grossen Moosseedorf- sees. Mitteil. naturf. (res. Bern. (Bern), Jg. 1893, p. 20 —73. In der Litoralzone des Moosseedorfsees Kkommen «verschiedene Rhabdo- coeliden » vor, unter welchen nur Mesostomum viridatum und Mesostomum (= Rhynchomesostoma) rostratum bestimmt werden Konnten (p. 43). Die erstgenannte Art kann jede grüne Typhloplanide sein (siehe Horsrex, 440, p. 643). Dendrocoelum lacteum im See, Polycelis nigra in den zufliessenden Bächen. 62. Forez, F.-A. 1894. Zoologie lacustre. Arch. Sc. phys. et nat. (Ge- nève) (3). T. 32, p. 588—605. Enthält eine Bemerkung über Plagiostomum und Monotus (— Otomesoslo- ma). (Dass diese Turbellarien in der Schweiz vorkommen, wird nicht direkt erwäbnt, da aber die über ihre Herkunft geäusserten Ansichten deut- lich auf schweïizerische Verhältnisse anspielen, wird diese Arbeit in das. Verzeichnis der schweizerischen Turbellarienliteratur aufgenommen.) 63. Funrmanx, O. 1894. Ueber die T'urbellarienfauna der Umgebung von Basel. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 18, p. 133—135. Vorläufige Mitteilung zum Folgenden. Von den 34 Rhabdocülen und Allüocülen werden nur die früher bekannten Arten aufgezählt, und auch hier wird in einigen Fällen nur der Gattungsname erwähnt (Bothromeso- stoma, Castrada, Prorhynchus, Gyrator « je eine Art»). 64. Funrmanx, O. 1894. Die Turbellarien der Umgebung von Basel. Rev. suisse Zool. (Genève). Vol. 2, p. 216—290. Taf. 10—11. In dieser Arbeit, welche eine neue Epoche in der schweïzerischen Tur- bellarienforschung einleitet, werden aus der Umgebung Basels 39 Turbel- larienarten aufgezählt. Auf die Rhabdo- und Allüocülen kommen folgende 34 Arten: Slenoslomum leucops, S. agile, Microstomum lineare, M. canum n. sp. (unsichere Art, siehe Horsrex, 440, p. 664), Macrostomum hystrix (= appendicutatum), M. viride, Prorhynchus stagnalis, Dalyellia (Vortex) sexdentala (= cuspidata), D. Graffiti (= expedita), D. rubra n. sp., D. wri- quelra n. sp, D. infundibuliformis n. sp, D. armigera, D. schmidti — D. armigera : siehe HorsrTeN, 140, p. 617), D. fusca n. sp., (=D. ar- migera : Siehe Horsrex, 440, p. 616), D. picta. (Bestimmung unsicher, siehe HorsTEN, 140, p. 666), D. viridis, Vortex (— Castrella) truncatus, Derostoma (— Phaenocora) unipunctata, D. coecum n. sp. (= P. sta- gnale Fuhrmann 1900 — P. gracilis Vejd. + P. clavigera Hofsten ; siehe HorsreN, 440, p. 627), Mesostoma (—Olisthanella) trunculum, Castrada (= Strongylostoma) radiata, Mesostoma (— Rhynchomesostoma) rostratum, TURBELLARIENLITERATUR 705 M. (— Castrada, segne n. sp. M. (—Castrada) perspicuum n. sp., M. (= Castrada)armatumn. sp., M. (= Typhloplana) viridata, M. minimum n. sp. (— Typhloplana viridata ; siehe Horsren, 1440, p. 680), Mesoctoma productum, M. linqua, M. ehrenbergi, Bothromesostoma personatum, Gyra- trix hermaphroditus, Plagiostomum lemani. Mehrere dieser Arten werden an der Hand guter Figuren kürzer oder ausfübrlicher beschrieben. Die Be- obachtungen über die Anatomie und Histologie sind oft wertvoll, obgleich nicht zu allgemeinen Schlüssen verwertet. Die Tricladen teilt FunrMANx nach Harcez'schen Prinzipien in Plana- ridae und Dendrocoelidae. Die Liste weist 5 Arten auf. An Planaria gonocephala Wurden Regenerationsversuche angestellt. Die Angabe, dass diese Art das ganze Jahr hindurch Cocons ablegt, verdient herv orgehoben zu werden, da sie den Beobachtungen anderer widerspricht Planari ia al- pina soll sich bei Temperaturerhühung im Unterlauf aktiv wandernd in die ee Quellen und Nebenbäche zurückziehen. Siehe darüber auch Voiz (76) . STEINMANN (98). Ausserdem werden erwähnt Pol/ycelis nigra, P. cornuta nb Dendrocoelum lacteum. 65. KeLzzer, J. 1894. Die ungeschlechthche Fortpflanzung der Süss- wasserturbellarien. Jenaische Zeitschr. Naturwiss. (Jena). Bd. 28 (N. F., Bd. 21), p. 370—407. Taf. 26—29. Eine Untersuchung über die Teilungsvorgänge bei eimigen Rhabdocülen. Als Untersuchungsobjekte dienten Sfenostomum leucops, S. langi n. sp. (unsichere Art, siehe HorsTEN, 440, p. 661), WMicrostomum lineare und M. giganteum (ausser der neuen ‘Art im Zürcher See gefunden). Die Tricladen werden nur theoretisch besprochen. 66. KezLer, J. 1895. T'urbellarien der von Zürich. Rev. suisse Zool. (Genève). Vol. 3, p. 295 —297 In dem Zürcher See und in der Umgebung von Zürich wurden 24 Tur- bellarienarten beobachtet, davon die folgenden 18 Rhabdo- und Allüocülen : Stenostomum leucops, S. langi, S. hystrix n. sp., Microstomum lineare, M. giganteum. Macrostomum hystrix (— appendiculatum), Vortex (— Da- lyellia) viridis, Vortex (= Castrella) truncatus, Derostoma (= Phaeno- cora) coecum. Mesostoma viridatum, M. tetragonum, M. linguu. M. ehren- bergi, Gyratrix hermaphroditus, G. coeca, Plagiostomum lemanr, P.qua- drioculatum., Monotus morgiensis (— Otomesostoma auditivum). Nicht weniger wie 7 dieser Arten sind jedoch zu streichen oder als unsicher zu bezeichnen : S /angi (Kecrer 1894) ist ungenügend beschrieben (siehe HorstEex, 140, p. 661), S. hystrix ist keine Turbellarie (1. e., p. 664), bei Macrostomum appendiculatum und Mesostoma tetragonum ist die Rich- tigkeit der Bestimmung zweifelhaft (1. e., p.606 un. 671), Derostoma corcum istunsicher(Phaenocora gracilis oder clavigera : ? Siehe Horsren, 140, p. 628), M. viridatum kann jede grüne Typhloplanide sein (1. e., p. 643), Gyr atrix coeca und Plagiostomum “quadr ioculatum Künnen nicht dure cht erhalten werden (1.C., p. 681).— Bei den Arten aus dem Zürcher See fehlen alle Angaben über die Tiefe usw. Von Tricladen werden 6 Arten erwäbhnt: Planaria gonocephala, P. po- lychroa, Polycelis nigra, P. cornuta. Dendrocoelum lacteum. Rhynchodemus terrestris REv. SUISSE DE Z00L. T. 20. 1912. 47 706 N. V. HOESTEN UND P. STEINMANN 67. pu PLessis, G. 1895. Notice sur un représentant lacustre du genre Macrorhynchus Graff. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 18, p. 25-—27. Ungenügende, ganz allgemein gehaltene und von keiner Figur begleitete Beschreibung des im Genfer See (litoral und profund) gefundenen Macro- rhynchus lemanus n. sp. (siehe Horsten, 140, p. 673). Nebenbei enthält der Aufsatz eine Bemerkung über das häufige Vorkommen der in der Tiefe bisweilen blinden Art Gyratrix hermaphroditus. 68. Zscnokke, F. 1895. Die Fauna hochgelegener Gebirgsseen. Ein Beitrag zur Kenntnmis der verticalen Verbreitung niederer Tiere. Verh. naturf. Ges. Basel. (Basel). Bd. 11, Heft 1, p. 36—133. Verzeichnet Gyratrix hermaphroditus aus dem unteren See von Grand Lay n. von St. Bernhard (2560 m ü. M.) (p. 72, 78, 91); die genannte Art wird zu den « weitverbreiteten, die Gewässer der Ebene fast überall bevülkernden Tieren » gerechnet (p. 93). Allgemeine Verbreitung und neue Fundorte von Planaria alpina. An- gebliches Vorkommen von Polycelis nigra im Hochgebirge (Schwarzsee, Graue Hürner) (= Planaria alpina : siehe SrernmManx, 134). 69. Heuscuer, J. 1895. Der Sempachersee und seine Fischereiverhält- nisse. Beïlage z. Bd. 3 d. schweizer. Fischerei-Zeit. (Pfäffikon). 51 p. Dendrocoelum lacteum und Planarix polychroa" unter den Ufersteinen (p. 12). 70. ou PLessis, G. 1897. Turbellaires des cantons de Vaud et de (renève. Rev.suisse Zool. (Genève). T. 5, p. 119—140. Aufzäblung aller von dem Autor in den genannten Kantonen beobachteten Turbellarien. Die Liste der Rhabdo- und Allôocülen umfasst 29 Arten. Von diesen müssen jedoch 9 als zweifelhaft ausgeschlossen werden : Macrostomum hystrix (siehe Horstex, 140, p.606), Vortex coronarius (1. c., p. 665), V. scoparius (1. e., p. 668), Mesostoma splendidum (1 e., p. 669), Tricelis oblusa (1. €., p. 670), Typhloplana halleziana (L. e.. p. 670), Typhloplana viridis (1. c., p.643), Mesostoma productum (1. c., p. 644), Macrorkynchus lemanus (1. e., p. 679). Die zurückbleibenden Species sind die folgenden : Catenula lemnae, Rhynchoscolexz (Typhloscolex) vejdovskyt (= simplez), Slenostomum leucops, S. unicolor, Microstomum lineare, Prorkynchus sta- gnalis, P. sphyrocephalus, Vortex (—= Dalyellia viridis). Vortex (— Castrella) truncatus, Derostoma (— Phaenocora) unipunctatum, Opistomum pallidum . Mesostoma (— Olisthanella) trunculum. M. (= Rhynchomesostoma) rostru- tum. M. lingua, M. ehrenberqi. M. (— Bothromesostoma) personatum, 1 [n der Revision der schweizerischen Tricladen werden diese Funde nicht erwähnt. TURBELLARIENLITERATUR , 707 Gyratrix hermaphroditus. Plagiostomum lemani, Monotus morgiense (— Üto- mesostoma auditivoum). Bothrioplana dorpalensis (= semperi). — Die be- deutende Reduktion. die in der Liste pu PLessis" vorgenommen werden musste, ist in meiner (v. H.) Revision (140) für jede Art im einzelnen gerechtfertigt worden. Im allgemeinen muss über diese, wie über die älteren Arbeiten pu PLressis das Urteil ausgesprochen werden, dass man sich nur bei nach äusseren Merkmalen leicht zu bestimmenden Arten auf die Richtigkeit der Bestimmung verlassen kann: alle anderen Arten sind mebr oder weniger zweifelhaft, da die für eine sichere Bestim- mung der Species unerlässlichen Organe nie untersucht worden sind. Dass diese Kritik berechtigt ist, zeigt u. a. der Ümstand, dass der Autor nach brieflicher Mitteilung jetzt selbst an der Richtigkeit seiner Bestim- mungen zweilelt: Mesostoma splendidum und Vortex intermedius (die letztere Art nur in den älteren Arbeiten erwähnt) sind zu streichen, wäbrend Vortex scoparinus und coronarius ihm zweifelhaft erscheinen. — Auch die Angaben über das Vorkommen usw. der Arlen sind in den verschiedenen Arbeiten vielfach Widersprechend ; besonders über- raschend wirken die direkten Widersprüche, welche in mehreren Fällen zwischen den Angaben dieser letztern Arbeit und denen der älteren Publi- kationen bestehen (vel 7. B. das in der Rhabdocülidenrevision über Mes. ehrenberqi gesagte |140, p. 648)). Es ist dieser Mangel an Genauigkeit der Untersuchung und Präzision der Angaben um so mehr zu bedauern, als der Autor offenbar mit einer ganz seltenen Kenntnis der Verbreitung und Lebensweise der Turbellarien in den von ihm untersuchten Kantonen aus- gerüstet ist. Von Tricladen kennt pu P£essis nicht weniger als 8 Arten Planaria gonocephala, P. lugubris, P. polychroa, P. albissima (— P. villa: siene STEINMANN, 434), P'olycelis nigra, P. cornuta, Dendrocoelurn lacteum, Rhynchodemus terrestris. 71. Fuurmaxx, O. 1897. Recherches sur la faune des lacs alpins du Tessin. Rev. suisse Zool. (Genève). T. 4, p. 489—543. In hochalpinen Gewässern des Kantons Tessin (St. Gotthard) wurden 6 bis zur Species bestimmte Rhabdocüliden gefunden : Vortex sexdentatus (= Dalyellia cuspidata), V. Graffit (=D. erpedita,, Vortex (== Custrella) truncatus, Mesostoma lingua. Giyralrix hermaphroditus, Automolus mor- gensis (—= lo nesostoma audilivum), ausserdem 4 nur bis zur Gattung, bezw. kamilie bestimmte Formen | Vortex sp., Mesostoma sp., Mesostoma sp. (vert) (über die beiden letztern siehe Horsren, 440, p. 675), Bothromeso- sloma sp. |. Fundorte für Planaria alpina. 72. Funrmanx, O. 1898. (Sur les phénomènes de la régénération chez les invertébrés.) Arch. Se. phys. nat. (Genève). (4). T. 5, p. AT8—479. Reférat eines Vortrags in der Soc. neuchâtel. d. Se. nat. Bemerkung über die Regeneration bei Planarien. Rev. Suisse DE Z001. T. 20. 1912. 47% 708 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN 73. Funrmanx, O. 1898. { Les phénomènes de la régénération chez les invertébrés.) Bull. Soc. neuchât. Science. nat. (Neuchâtel). T. 26, p. 398—399. Referat eines Vortrags in der Soc. neuchât. des Sc. nat. Siehe sub 72. 74. Vozz. W. 1898. Ueber neue Turbellarien der Schiveiz. Zool. An- zeig. (Leipzig). Bd. 21, p. 605—612. 8 Textfig. Kurze Beschreibungen der in 85 ausführlicher geschilderten neuen Arten Y Mesocastrada fuhrmanni, Castrada viridis (jetzt als C. horrida var viridis bezeichnet), C. neocomiensis, Diplopenis intermedinus, D. tripeti und Charak- terisierung der neuen Gattungen Mesocastrada und Diplopenis. 75. Vorz, W. 1899. {L'extension de quelques espèces de T'urbellaria dans nos ruisseaux.) Arch. Sc. phys. nat. (Genève). (4). T. 8, p. 487488. Referat eines Vortrags in d. schweiz. naturf. Ges. 82. Jahresvers. in Neuchâtel, 1899. Vorläufige Mitteilung zu 76. 76. Vorz, W. 1899. Die Verbreitung einiger Turbellarien in den Büächen der Umgebung von Aarberg. Mitt. naturf. Ges. Bern. (Bern). Jg. 1899. p. 66—82. 3 Fig. Verbreitung der drei tvpschen Bachtriciladen mit Rücksicht auf die Ein- wanderungsfragen, vergl. FUHRMANN, 64. 77. Horer, B. 1899 Die Verbreitung der Tierwelt im Bodensee. (Bodensee- Forschungen, 10. Abschnitt.) Schr. d. Ver. f. Gesch. d. Bodensees u. s. Umgebung (Lindau). Heft 28. Verf. fand in der Tiefe des Bodensees (wobhl grüsstenteils auf deutschem Gebiet) Mesostoma (—Olisthanella) trunculum (unsichere Bestimmung, siehe Horsrex, 140, p. 630), Plagiostomum lemani und Dendrocoelum lacteum ”. 78. v. Grarr, L. 1899, Monographie der Turbellarien. IT. Tricladida terricola (Landplanarien). (Leipzig). Fol. XIV + 574 p.90 Textf. mit Atlas von 58 Taf. Fundort für Rhynchodemus terrestris (Brünigpass ; gesammelt von R. F. SCHARFF). 79. Vozz, W. 1900. (Planarien in unseren Bächen.) Verh. schweiz. naturf. Gres.82.Jahresvers. zu Neuchâtel. (Neuchâtel), 1899, p. 75. Referat eines Vortrags in d. schweiz. naturf. Ges. 82. Jahresver. zu Neuchätel 1899. Wie 75. l In der Revision der schweizerischen Tricladen ist dieser Fundort für D. lacteum übersehen worden. TURBELLARIENLITERATUR 709 80. ZscHokke. F. 1900. Die Tierwelt der Hochgebirgsseen. Neue Denk- schr. alle. schweiz. Ges. ges. Naturwiss. (Basel). Bd. 37. Zusammenstellung aller bisher bekannten Tatsachen über die Turbellarien der Hachalpen (p. 77—87). Die Liste der Rhabdo- und Allüocülen umfasst teils die von Imnor (32, 38, 41) und Funrmaxx (71) gefundenen Arten, teils die teilweise schon früher (50, 51, 54, 68) verüffentlichten Funde des Au- tors : Wicrostomum lineare (Garschinasee), Mesostoma linqua (Partnuner- see, Lünersee), M. veridatum (— grüne Typhloplanide ; siehe HorsreN, 140, p.643) (Partnunersee, Lünersee, im letzteren bis 100 m tief, Tilisunasee, Garschinasee), Gyratrix hermaphroditus (Unterer See von Grand Lay bei St. Bernhard, Lünersee, Partnunersee), A utomolus morqiensis (= Oltomeso- stoma auditroum) (Partnunersee, Lünersee) ; Gyratrix hermaphroditus Wurde in Lünersee auch im Winter gelfunden (p. 43, 49). — Der kosmopolitische Charakter der Hochgebirgsarten wird hervorgehoben (p. 80), gleichzeitig werden aber die über die Verbreitung derselben bekannten Daten dahin sedeutet, dass «der Hauptverbreitungsbezirk der meisten uns beschäfti- cenden Formen im Norden zu liegen » scheint. Otomesostoma «trägt offenbar stenothermglazialen Charakter » (p. 81); die Hypothese ZAcharraS,. nach welcher diese Art sich am Ende der Eiszeit dem Sûsswasserleben angepasst habe. wird zitiert und gebilligt (p. 84, 293, 329). In der Liste der glazialen Relikte (p. 36%) findet man natürlich diese Art wieder, ausserdem aber alle «rhabdocôle Turbellarien des Hochgebirgs» Die allgemeinen Kapitel ent- halten ausser diesen tiergeographischen Erôrterungen Bemerkungen über das Vorkommen von Rhabdocüliden in der Tiefenfauna der Hochgebirgsseen (Otomesostoma, Mes:stoma viridatum : p. 289—290), über litorales Vorkom men der ersteren Art (p. 291— 92992), über die Verbreitung der Rhabdocü- liden in andern Gebirgsgegenden (p. 345, 347, 349), und über die hüchste erreichte Hôhe in verschiedenen Abschnitten der Alpen. Uebersicht über die Verbreitung von Planaria alpina, die schon hier als in den Alpen gemein und im Jura häufig erscheint. Polycelis corne und Planaria gonocephal als dem eigentliche n Alpengebiet fehlend bezeichnet. Planaria subtentaculata Wird aus kalten Quellen von Partnun und Tilisuna gemeldet, doch scheint Verwechslung mit Planaria alpina ae (vgl. die früheren Arbeiten Zscnokke's (50 etc.). (STEINMANN 4134, p. 231. 81. Zscuorke, F. 1900. (Faune des cours d'eau de montagne.) Arch. SC. phys. nat. (Genève). (4). T. 10, p. 557—560 Referat eines Vortrags in d. schweiz. naturf. Ges. 83. Jahresver. in Thusis 1900. Bemerkungen über die Lebensweise von Planaria alpina (Auszug aus 80). 82. Funrmaxx. O. 1900. Note sur les T'urbellariés des environs de Genève. Rev. suisse Zool. (Genève).T. 7, p.717—731. Tab. 23. Aus der Umgebung von Genf werden folgende 27 Rhabdo- und Allüocülen verzeichnet : Stenostoma (= Catenula) lemnae, Stenostomum leucops, S. agile, Microstomum lineare, Macrostomum hystrix (= appendiculatum), Macrosto- mum Sp, Prorhynchus stagnalis, Vortex sexdentatus (— Dalyellia cuspi- data). Vortex Graffi (—Dalyellia expedita), Vortex (= Dalyellia) triquetrus, Vortex (= Dalyellia, armiger, Vortex helluo (= Dalyellia viridis), Gastrella 710 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN agilis n. sp. (= truncata), Derostoma (= Phaenocora) unipunctatum, Meso- stoma (—= Rhynchomesostoma) rostraluin, Castrada (— Slrongylostoma ) radiata, Mesostoma Yungi n. sp. (= ne marmorosa), Castrada horrida var. viridis (— G. viridis). Castrada sp. Diplopenis Tripeti (= C. intermedia), Mesocastrada (— Gastrada) fuhrmanni, Mesostoma == Typhloplana) viridatum. Mesostoma productum., M. linqua, Gyrator nolops (= Gyratrix hermaphroditus), Plagiostomum lemanr, Automolus morginiense (— Otomesostoma audilivum). Mit Ausnahme von Macrostoma sp. und Caslrada sp. sind alle diese Formen sichere Spezies. Das wich- tisgste Ergebnis dieser Arbeit ist die Aufstellung der neuen Gattung Castrella. Fundorte für Planaria alpina und Polycelis nigra. 83. Zscuokke, K.1901. Die Tierwelt der Gebirgsbäche. Verh. schweiz. naturf. Ges. 83. Jahresvers. in Thusis, 1900. (Chur). p. 64 —68 Wie 81. 84. Zscuorke, K. 1901. Die Tierweli der Schweiz in ihren Bezichun- gen zur Eiszeit. (Basel), 71 p. Verbreitung und Biologie von Planaria alpina (Rekapitulierung der in 80 verôffentlichten Untersuchungen). 85. Vorz, W. 1901. Contribution à l'étude de la faune turbellarienne de la Suisse. Rev. suisse Zool. (Genève). T. 9, p. 137—188. Tab. 10—13. 5 Textfig. Diese Arbeit zertällt m zwei Abschnitte : 1. eine Zusammenstellung aller 1901 bekannten schweizerischen Turbellarien, mit Berücksichtigung eigener Befunde. 2. Beschreibung der neuen Arten. Der erste Teil bildet eine wi-h- tige, auch unsere Arbeit erleichternde literarische Hilfsquelle, doch ist leider die ganze Publikation ziemlich oberflächlich : die Angaben sind nicht immer zuverlässig, die Literaturhinweise sind bisweilen nicht richtig usw. Eine Kritik der Bestimmungen der älteren Autoren wird nicht versucht, sondern alle Angaben werden unkritisch zitiert. In der Umgebung von Neuenburg fand Verfasser folgende 13 Rhabdo- côlen : Stenostomum leucops. S. agile, Microstomum lineare: M. giganteum, (unsichere Bestimmung, siehe Horsrex, 440, p.605) Vortex Graffi (— Da- lyellia expedita), Vortex (= Castrella) truncatus, Vortex quadriocilatus — Castrella truncata), Castrella agilis (—tr uncata), Mesostoma (= l'y- phloplana) viridatum, Castrada neocomensis, Diplopenis Tripeti (= Castrada intermedia). Bathromesostoma personatum, Gyralrix hermaphroditus. Zwei weitere Arten, Mesostoma (— Rhynchomesostoma) rostratum und Mesostoma lingua, Wurden aus dem Berner Oberland gemeldet. In der Tricladenliste vereinigte Vorz bisherige Beobachtungen mit neuen eigenen Funden : Rhynchodemis lerrestris, Planaria alpina, P. ganoce- phala, P. luqubris, P. polychroa, P. albissimu (= P. villa, vgl. STEINMANN, 434). P. subtentaculata (— P.alpina, vgl. SreiNMaNN, 134), Dune Dcoeline lacteum, Polycelis nigra, P. cornuta. TURBELLARIENLITERATUR tal Der zweite Teil der Arbeit enhält ausführliche Beschreibungen 5 neuer Tvphloplaniden : Mesocastrada (n. g.) fuhrmanni, Castrada viridis, Cas- trada neocomensis, Diplopenis (n. g.) tripeli, D. intermedius, alle schon früher (74) kurz charakterisiert. Die neuen Arten, von welchen 1). tripeti und éntermedia identisch sind (siehe Horsrex, 440, p. 680), werden an der Hand zahlreicher Figuren in kenntlicher Weise beschrieben, im allgemeinen sind jedoch die Beobachtungen wenig genau, oft unrichtig. Vollständig verfehlt sind die theoretischen Spekulationen, indem der morphologische Wert der in erster Linie erürterten männlichen Organe ganz missverstanden wird ; in der Nomenklatur herrscht daher ein sonderbarer Wirwar, die Bezeichnungen Penis, «organe copulateur », Ductus ejaculatorius und Bursa copulatrix sind durcheinander geworfen, derselbe Name bei nahe verwand- ten Formen für ganz verschiedene Dinge gebraucht. Die beiden neuen Galtungen müssen zum Genus Cashrada gezogen werden (siehe LuTHEr, Zeitschr. wiss. Zool. Bd. 77). 86. Heuscuer, J. 1901. T'huner- und Brienzer-See, ihre biologischen und Fischerei- Verhältnisse. Bcilage 7. Bd. 7 d. schweizer. Fi- scherei-Zeit. (Pfäfikon). 104 p. In der Litoralregion des Thuner Sees fand Verfasser Microstomum lineare und Plagiostomum lemani (p. 30), in der Tiefe nur die letzte Art (p. 35). Im Brienzer See wurde sowohl litoral wie in der Tiefe nur Plagiostomum beobachtet (p. 94, 96). | Litorale Tricladen der beiden Seen sind Dendrocoelum lacteum und Poly- celis nigra : die erstgenannte Art auch in der Tiefe". 87. Heuscner, J.1901. Untersuchungen über die Fischereiverhältnisse des Sarnersees. Beilage zu Bd. 9 d. schweizer. Fischereizeitung. (Pfäfikon). In den Grundproben keine Turbellarien, « wohl aber Eicocons derselben ». 88. Forez, F.-A. 1901. Handbuch der Seekunde. Allgemeine Limno- logie. Bibl. geograph. Handbüch., herausg. v. F. Ratzel. (Stutt- gart). 249 p. Erürtert die Herkunft von Plagiostomum und Monotus (— Olomesostoma,. (Diese Arbeit wird aus denselben Gründen wie 62 hier aufgenommen). 89. Forez, F.-A. 1902. Le Léman, Monographie limnologique. T. 3. Lausanne 1902—1904 (1° livr.: Biologie, 1902 gedruckt). 715 p. Die Turbellarien werden in dieser Monographie in engem Anschluss an die letzte Arbeit pu PLessis (70) aufcezählt. Von Rhabdo- und Allüocülen (p. 124—127, 241—242, 244) findet man also alle in derselben erwähnten Arten wieder ausser Prorhynchus sphyrocephalus, Phaenocora unipunctata, Opistomum pallidum. Olisthanella splendida, 0. obtusa, Mesostoma ehren- bergi (nicht im Genfer See). Hinzugefgt werden nach FüHRMANN und Vozz ! In der Tricladenrevision Srernmanw’s sind diese Tricladenfunde Heuscrer’s nicht aufsenommen. 742 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN Vortex (— Dalyellia) triquetrus und Castrada viridis. Non Plagiostomum lemant heisst es, im Gegensatz zu den älteren Angaben, jetzt: «nous ne l’avons jamais vu dans la région littorale » (p.126, 299). Von der letzteren Art und von Olomesostoma auditioum (Monotus morgiensrs) finden sich je eine nach pu PLessis Kopierte Figur. Bei der Besprechung der Tiefen- fauna werden die Beobachtungen pu P£Lessis über die Veränderungen an den Augen usw. einiger Arten referiert (p. 263). In dem Kapitel über die Herkunft der Tiefenfauna werden Macrorhynchus lemanus, Plagiostomum lemanr und Otomesostoma auditivum besonders besprochen ; auch sie müs- sen, da keine andere lüsung denkbar ist, der Litorelfauna entstammen (p. 299—300). Die Angaben über Tricladen sind der letzten Arbeit pu PLEssis (70) ent- nommen (Planaria albissima, Dendrocoelum lacteum. Polycelis nigra). 90. ZscHokke, F. 1902. Die Tierwelt eines Bergbaches bei Säckingen im südlichen Schvarzwald. Mitteil. bad. Zool. Ver. (Karlsruhe). Nr. 11—12. 1902. p. 27—41. Planaria gonocephala, Polycelis cornuta, Planaria alpina in einem Bers- bach bei Säckingen (Baden, unweit der Schweizergrenze): die drei Arten folgen sich in gewôüEnlicher Weise. 91. Heuscuer, J. 1903. Untersuchungen über die biologischen und Fischereiverhäülinisse des Klüntaler $Sees. Beilage 7. Bd. 11 d. schweiz. Fischerei-Zeit. (Pfäffikon). Verzeichnet nach ZscHokke (130) Olomesostoma audilioum aus dem Klôüntaler See f. 92. FunrManx, O. 1904. Ein neuer Vertreter eines marinen Turbel- lariengenus im Süsswasser. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 27, p. 381—384. 3 Fig. Gute Beschreibung des in der Tiefe (120 und 53 m) des Neuenburger Sees gefundenen, einer sonst rein marinen Gattung zugehôrigen Hyporhyn- chus (— Trigonostomum) neocomensis n. sp. 93. Zscnokke, F. 1906. Die Tiefenfauna des Vierwaldstälter Sees. Verh. schweiz. naturf. Ges. 88. Jahresvers. in Luzern, 1905, (Luzern), p. 122—145. In der Tiefe des Vierwaldstätter Sees wurden eine rhabdocüle und zwei allüocôle Turbellarien gefunden : Microstomum lineare, Plagiostomum lemu- ni und Monotus morgiensis (— Utomesostoma audilivum). Die beïden letz- tern werden als echte, stenotherm-glaciale Tiefentiere bezeichnet, welche am Ende der Eiszeit aus den nordischen Meeren in das Süsswasser einge- wandert seien ; zu derselben Gruppe rechnet der Verfasser Phonorhynchus 1 Diese Angabe hat sich während des Druckes als irrig erwiesen. Prof, Heu- sCHER versichert mich (v. Horsrex), dass seine Schrift über den Klôntaler See; die mir nicht zugänglich ist, keine Angabe über Otomesostoma enthält, und Prof. ZscHoKkke schreibt mir nachher, dass ihm ein frrtum unterlaufen ist. TURBELLARIENLITERATUR TA LE: (Macrorhynchus) lemanus aus dem Genfer See und Tr igonostomum (Hypo- rhynchus) neocomense aus dem Neuenburger See. Von Tricladen wird Dendrocoelum lacieum als tiefenbewohnend ange- geben (—= var. bathycola, vgl. SreiNManN, 434, p. 209). 94. Zscnokke, K. 1906. Uebersicht über die Tiefenfauna des Vier- waldstätter Sees. Arch. Hydrobiol. Planktonk. (Stuttgart). Bd. 2 pl In dem Verzeichnis der Tiefenfauna finden sich, mit Angaben ihrer Tie- fenverbreitung und Zahl der Fänge, die in der vorigen Arbeit genannten Arten. Auch hier wird von echten Tiefentieren glacialen Ursprungs gespro- chen, zu welchen u. a. Turbellarien, offenbar die beiden All‘ocülen, zu zählen seien. Von Tricladen werden erwähnt Dendrocoelum lacteum und Planaria ca- vatica, welch letztere jedoch mit 1. lacteum var. bathycola identisch ist (vgl. darüber SreINManN, 416, und ZscHokke, 130). 95. Tarésaup, M. 1906. Sur la faune invertébrée du lac de St-Blanse. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 29, p. 795—&01. Vorläufige Mitteilung zu 105 ; die dort etwas näher besprochenen Arten werden (mit Ausnahme von Dalyellix rubra) schon hier aufgezähilt. 96. TuréBaun, M. et Favre, J. 1906. Sur la faune invertébrée des mares de Pouillerel. Zoo. Anzeig. (Leipzig). Bd. 30, p. 155—163. Vorläufige Mitteilung zu (oder Auszug aus) der folgenden Arbeit: alle dort erwähnten Arten werden auch hier aufgezählt. 97. TaiéBaub, M. et Favre, J. 1906. Contribution à l'étude de la faune des eaux du Jura. Annales Biologie lacustre (Bruxelles). T. 1, pret T15. In Tümpeln auf dem Pouillerel (Neuenburger Jura, 1200 —1240 m ü.M ) sammelten die Verfasser 16 von FuHrManx bestimmte Rhabdocülen (im systematischen Teil, p. 83—8%, und in der Tabelle p. 78 aufgezählt). Zwei Arten sind nur bis zur Gattung bestimmt, die übrigen 14 sind: Catenula lemnae, Slenostomum leucops, Macrostomum hystrix (—=appendiculatum), Vortex Graffi (= Dalyellia expedita). V. microphthalmus (= D. armigera), V. spinosus n. sp. (keine Speciesbeschreibung ; — D. hallezi : siehe Hor- STEN, 440, p. 615), Castrella agilis (—truncata), Derostoma (— Phaeno- cora) unipunctatum, D. stagnale (= P. clavigera ; siehe Horsren, 140, p. 628), Opistomum Schultzianum (—=pallidum). Mesostoma (— Rhyncho- mesostoma) rostratum, Castrada (— Strongylostoma) radiata, Mesostoma (= Typhloplana) viridatum, Gyratrix hermaphroditus. — Im faunistischen und im biologischen Teil wird die Verteilung der Arten in den ver- schiedenen Tümpeln besprochen (p. 62, 64, 67, 68, 69, 70, 72, 75, 109, 110). Wichtig sind die Beobachtungen über die Zeit des He der Rhabdocülen (p. 97, 98, 100, 401, 104, 105. 107—108). 98. SreiNMaNx, P. 1906. Geographisches und Biologisches von Gebirgs- bachplanarien. Arch. Hydrobiol. Planktonk. (Stuttgart). Bd. 2, p. 186—217. 2 Fig. 1 Karte. 714 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN Verbreitung und Biologie der Bachtricladen in der Schweiz. l'lanaria alpina in den Alpen allgemein, im Jura weit verbreitet. Hüch- ster Fundort 2850 m ü. M. am Untergabelhorn. Diskussion der Verbreitung'; Experimente über das stenotherme Verhalten und das Hungervermügen der Bachplanarien. Wanderung s. FüHRManx (64) u. Vozz (76). 99. v. Horsten, N. 1907. Séudien über Turbellarien aus dem Berner Oberland. Zeitschr. wiss. Zool. ( (Leipzig). Bd. 85, p.391—654. Tab. 22—27. 8 Textfig. Umfassende Bearbeitung der im Berner Oberland gefundenen Rhabdo- colen und Allüocülen. Folgende 35 Arten wurden beobachtet (davon 11 n. sp., 2? andere für die Schweiz neue Arten) : Stenostomum leucops, St. agile, Microslomum lineare, Macrostomun appendiculatum., M. viride, Du- lyellia cuspidata, D. expedita n. sp., D. ornata n. sp, D. diadema n. sp., D. triquetra, D. armigera, D. sp. an hallezi (= D. brevispina, siehe Hor- STEN, 140, p. 616), GER truncata, Phaenocorx clavigera n. sp., Doch- maiotrema limicolu n.gen.n. sp., Rhynchomesostoma rostratum, Strongylo- stoma elongatum n. Sp., true stagnorum, GC. affinis nu. sp., C. cuenoli (—= lanceola), C. neoc OmensIs C. spinulosa n. sp. C. quadridentala n. sp., C. viridis, C. ratermedia, G. luteola n.sp., Pyphloplana viridata, Lutheria minult n. gen. n. Sp., Mein lingua, M. ehrenberqgi, Bothromesostoma personatum, Gyratrix hermaphroditus, P'lagiostomum lemanr, Otomesostoma auditicum, Bothrio, luna semperi. — 1% Arten wurden in de Tiefe des Brienzer- und Thuner-Sees gefunden : Stenostomum leucops, S. agile, Ma- croslomum appendiculatum, Dalyellia cuspidata, Castrella truncata, Phæ- nocora clavigera, Strongylostoma elongalum, Castrada lanceola. Mesosloma linqua, Castrada sprnulosa, (. quadridentata, Lutheria minuta, Plagiosto- mun lemani. Olomesostoma auditivum. Die à letzteren Arten wurden aus- schliesslich im Bodenschlamm der beiden Seen gefunden, die übrigen sind Litoralarten, nur ganz ausnahmsweise in der Tiele lebend. — [Im Hoch- cebirge wurden 13 Rhabdocôlen gesammelt. Von diesen waren 5 (Dalyelliu eæpedita, Gastrella truncata, Rhynchomesostoma : rosiratum., Mesostoma linqua, Gyratrix hermaphroditus) früher in alpinen Gewässern beobachtet : die übrigen 8 sind : Palyellix ornata, D. diadema, D. armigera, D. brevi- spina, Castrada stagnorum. C. affinis. GC. neocomensis, C. luteola. Der Schwerpunkt dieser Arbeit sind die anatomisch-histologischen Unter- suchungen, auf deren Ergebnisse hier nicht eingegangen werden kann. Unter den Rhabdocülen werden die T'yphloplanidae und die Dalyelliidae eingehend behandelt. Ausführliche Darstellung der Anatomie und Histolo- cie der Süsswasserallüocüle Olomesostoma auditivum (Monotus morqiensts aut.). Verfasser Zzeigt, dass diese Süsswasserart eine in systematischer Hinsicht sebr isolierte Stellung einnimmt : ferner werfen die Untersuchun- gen über dieselbe und über Bothrioplana semperr neues Licht über die Verwandischaftsheziehungen der Allüocülen, welche sich in wichtigen Hin- sichten den Tricladen nähern. Die gefundenen Tricladen werden nur kurz aufgezählt : Planaria alpina, Dendrocoelum lacteum, Polycelis nigra, P. cornut«. 100. v. Horsrex, N. 1907. Z7 Kenntnis des Plagiostomum lemani (Forel et du Plessis). Zool. Stud. tillägnade prof. T. Tullberg TURBELLARIENLITERATUR TI (Zoo!. Stud. T. Tullberg gewidmet). (Uppsala), p. 93—132. 1 Taf- 8 Textfig. Anatomie und Histologie des in der vorigen Arbeit nur kurz erwäbnten Plagiostomum. lemani. Auch die Plagiostomiden nähern sich in wichtigen Punkten den Tricladen. 101. v. Horsrex, N. 1907. Planaria alpina im nordschuedischen Hoch- gebirge. Arkiv fôr Zoologi (Stockholm). Bd. 4. 11 p. Enthält (p. 11) eine Bemerkung über die Lebensweise von Planaria alpina in den Schweizer Alpen und über die Verbreitungsweise dieser Art. 102. SreiNMaANN, P. 1907. Die Tierwelt der Gebirgsbäche. Eine fau- ristisch-biologische Studie. Annal. Biolog. lacustre (Bruxelles). HD D. 20189 Ta 2: Im Moos einiger Bergbäche wurden 3 von FuaRManNx bestimmte Rhabdo- côlen beobachtet (p. 40—%1): Slenostomum leucops (Bottmingen, Flühen, Hasliberg im Berner Oberland), Gyratrix hermaphroditus (Bärschwil), Vortex (= Dalyellia) spec. «armiger-Typus» (Bottmingen). Die Funde Fuur- MANN’S im Bache des Augustinerholzes Werden referiert. Die zwei erstge- nann'en Arten und der von dem erwähnten Forscher gefundene Prorhyn- chus stagnalis Werden in gewisser Beziehung als glaziale Elemente gedeutet. Eine Bemerkung über die Lebensweise der Bachrhabdocülen findet sich p. 129. Die Tricladen werden eingehender behandelt ; die Darstellung ist eine Zusammenfassung der in 98 verôffentlichten Beobachtungen mit Er- weilerungen. Ausser den 3 in 98 angeführten Berghachplanarien werden aus den ver- schiedenen Gebieten der Schwez gemeldet : Dendrocoelum lacteum (als Planaria lactea), Polycelis nigra, Planaria cavatica (— Dendrocoelum in- fernale n. sp., siehe 403 und 416). 103. SreinManx. P. (und GräreRr, E.)1907. Beiträge zur Kenntnis der schweizerischen Hühlenfauna. I. P. Sreinmanx, Ueber eine neue blinde Planarie. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 31, p. 841—847. Fundorte und vorläufige Beschreibung von Planaria infernalis n. sp. (= Dendrocoelum infernale). 104. Micocerzky, H. 1907. Zur Kenntnis des Nerven-und Excretions- systems einiger Süsswassertricladen nebst andern Beiträgen zur Anatomie von Planaria alpina. Zeitschr. wiss. Zool. (Leipzig). Bd. 87, p. 382—454. Taf. 21—28. Enthält schweizerische Fundorte für Planaria alpina (in Graubünden). 105. TriéBaup, M. 1908. Contribution à la biologie du lac de Saint- Blaise. Annal. Biolog. lacustre (Bruxelles). T. 3, p. 54—140. Die Liste der im Loclat (Lac de St-Blaise) gefundenen Rhabdocülen (p. 68—72) umfasst 16 Arten, welche ausser dem nach Vorz zitierten 716 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN Vortex quadrioculatus (= Castrella truncata) alle vom Verfasser gesam- melt und von FunrManN bestimmt sind. 2 Arten sind nur bis zur Gattung bestimmt. Die übrigen 13 sind : Stenoslomum leucops, S. agile, Microsto- mum lineare, Macrosto um hystrix (— appendiculatum), Prorhynchus sta- gnalis, Vortex (= Dalyellia) ruber, V. virqulifer. Castrella agilis (= trun- cata), Castrada(—=Strongylostoma)radiata, Castrada neocomensis, Mesostoma (= Typhloplana) viridatum, Bothromesostoma personatum, Gyratrix herma- phroditus. — Schliesslich wird die Verteilung der Funde auf die verschie- denen Monate des Jahres besprochen (siehe hierüber auch p. 113, 145, 116, 117, 118, 120, 122, 124). In dem Abschnitt « Localisations littorales » (p. 125—128) werden auch einige Rhabdocülen erwähnt. Von Tricladen leben im Loelat # Arten: Planaria polychroa, Dendrocoe- lum lacteum, Polycelis nigra, P.cornuta (ausserdem eine Planaria sp. ). 106. Kiausener, C. 1908. Die Blutseen der Hochalpen. Eine biolo- gische Studie auf hydrographischer Grundlage. Xntern. Rev. d. ges. Hydrobiol. u. Hydrographie. (Leipzig.) Bd. 1, p, 359—424. Verzeichnet Mesosloma linqua aus 4 Blutseen (Tümpeln) 1m schweize- rischen Hochgebirge (am Stätzerhorn, bei Tenna-Ausserberg, an der Lie- dernenkette, im Maderanertal). Die erwähnte Art gehôrt zu den Arten, «die den Blutseen einen gleichartigen Anstrich geben». Die dort lebenden Exemplare sind (nach FuHRrManN, der sie bestimmt hat) auffallend dunkel pigmentiert. 107. SreINMANN, P. 1908. Die Tierwelt der Gebirgsbäche. Arch. f. Hydrobiol. u. Planktonk. (Stuttgart). Bd. 3, p. 266—273. Auszug aus 402 (Planarien nur kurz erwäbnt). 108. SreiNMann, P. 1908. Die polypharyngealen Planarienformen - und ihre Bedeutung für die Deszendenztheorie, Zoogeographie und Biologie. Intern. Rev. d. ges. Hydrobiol. u. Hydrographie (Leipzig). Bd. 1, p. 679—690. Erürterungen über Biologie, geographische Stellung usw. von Planaria alpina. 409. ZscHokke, K. 1908. Die postglaziale Einmwanderung der Tierwelt in die Schweiz. Verh. schweiz. naturf. Ges. 90. Jahresvers. in Freiburg, 1907. (Aarau [Freiburg]). Bd. 1, p. 134—150. Bemerkungen über die Verbreitung von Planaria alpina und über «Tur- bellarien von marin-nordischem Anstrich » (siehe 410. 110. Zscnokke, F. 1908. Die Bezichungen der mitteleuropäischen Tierwelt zur Eiszeit. Verh. deutsch. zool. Ges. 18. Vers. zu Stutt- gart, 1908. (Leipzig), p. 21—77, Taf. 1 und 2. Ueber die Herkunft von Plagiostomum lemani und Olomesostoma auwdi- tivum werden dieselben Ansichten ausgesprochen wie in 93 und 94. Die Verbreitung und Herkunft von Planaria alpina Wird zusammenfassend erôrlert, TURBELLARIEN LITERATUR TA 414. Zscuokke, K. 1908. Bezieungen zwischen der Tiefenfauna sub- alpiner Seen und der Tierweltvon Kleingewässern des Hochgebirgs. Int. Rev. ges. Hydrobiol. Hydrogr. (Leipzig). Bd. 1, p.783—791. Bemerkungen über die Verbreitung von Olomesostoma auditivum (A u- tomolus). Plagiostomum lemant und Planaria alpin«. 412. Sreinmanw, P. 1908. (La régénération chez les Planaires). Arch. Sc. phys. et nat. (Genève). (4) T. 26, p. 552-558. Referat eines Vortrags in der scweiz. naturf. Ges. 91. Jahresvers in Gla- rus, 1908. Siehe sub 413. 4143. SrEeInmaANN, P. 1909. Anatomische Untersuchungen an kiünstlich erzeugten Doppelplanarien. Verh. schweiz. naturf. Ges. 91. Jahresvers. in Glarus, 1908. (Aarau [Basel}). Bd. I, p. 265 —267. Referat eines Vortrags in der schweiz. naturf. Ges. Entwicklungs-mechanische Untersuchungen an Planarien sc weizerischer Provenienz. Planaria gonocephalx. 414. LaurerBorx, R. und Wozr, E. 1909. Cystenbildung bei Cantho- camptus microstaphylinus. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 34, p. 130—136. Im Grundschlamm des Untersees (12—245 m Tiefe) Plagiostomum lemanr, Olomesosloma morgiense (— auditivum), eine gelbe Polycelis. 415. v. Horsrex. N. 1909. Ueber die frühzeitige Besamung der Erzellen bei Olomesostoma auditivum (Forel et du Plessis). Zugleich ein Beitrag zur Kenntnis der Turbellarienspermien. Z00!. Anzeïg. (Leipzig). Bd. 34. p. 431—443. 13 Fig. Ergänzende Darstellung der früher (99) verôffentlichten Beobachtungen über frühzeitige Besamung bei Olomesostoma auditivum. Bau und Ent- wicklung der Spermien bei derselben Art. (Die meisten Beobachtungen an in der Schweiz gesammelten Tieren gemacht.) 416. SreinmanN, P. 1909. Untersuchungen an neuen Tricladen. Zeit- schr. wiss. Zool. (Leipzig). Bd. 93, p. 157—184. 13 Fig. Anatomie und Systematik von Planaria (— Dendrocoelum) laclea var. bathycola n. var. und der früher (403) kurz beschriebenen Planaria infer- nalis. Erstere kommt im Vierwaldstättersee in Tiefen von über 200 m vor, letztere wird auch aus dem Bach der Beatenhôühle im Kanton Bern gemeldet. 417. SrEINMANN, P. 1909. Organisatorische Resultanten. Studien an Doppelplanarien 1. Arch. f. Entwicklungsmech. d. Org. (Leip- zig). Bd. 27, p. 21—28. 2 Fig. Entwicklungs-mechanische Untersuchung an Planarien schweizerischer Provenienz. 718 N. V. HOFSTEN UND P. SIEINMANN 118. SreiNMaANN, P. 1909. Doppelbiüdungen bei Planarien.Verh. deutsch. z0ol. Ges. 19. Vers. zu Frankfurt 1909. (Leipzig), p. 312—318. Wie 4143. 419. SreinmanN, P. 1909. Zur Polypharyngie der Planarien. Zool. Anzeie. (Leipzig). Bd. 35, p. 161—165. Enthält eine Bemerkung über die Querteilung bei Planaria alyina in der Schweiz. 120. Hernis, F. 1910. Systematik und Biologie der moosbewohnenden Æhizopoden, Rotatorien und Tardigraden der Umgebnng von Basel mit Berüchksichtiqung der übrigen Schweiz. Arch. Hydro- biol. Planktonk. (Stuttgart). Bd. 5, p. 89—166, 217—256. 6 Textfig. In feuchtem Waldmoos im Schwarzwald und Jura fand Verfasser Pro- rhynchus sphyrocephalus (De Man) (p. 123, 24%). 421. v. Horsren, N. 1910. Zur Synonymik und systematischen Stellung von Castrella truncata (Abildg.). Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 35, p. 692—669. 12 Fig. Beweise für die Identität von Castrella aqgilis Fubhrm. mit Vortex trun- catus. Zusammenstellung derschweizerischen Fundorte. Das Genus Castrella wird (gegen GRArF) aufrechterhalten. 122. ZscHokKke, K. 1910. Die Tiefenfauna hochalpiner Wasserbecken. Verh. naturf. ges. Basel. (Basel), Bd. 21, p. 145—152. Zusammenstellung der aus der Literatur bekannten Tatsachen. ÆRhyn- chomesostoma rostratum in den Seen von St. Mo:itz, Sils und Caoloccio ; Olomesostoma auditioum und Typhloplana viridalu (ganz unsichere Be- stimmung ; siehe Horsrex, 140, p. 643) im Lünersee: Planaria alpina (Tiefenvarietät) im Silsersee. 123. STEINMANN, P. 1910. Organisatorische Resultanten. Studien an Doppelplanarien. IT. Arch. f. Entwicklungsmech. d. Organ. (Leipzig). Bd. 29, p. 169—174. Fortsetzung von 417. 124. SreINMANN, P. 1910. Der Einfluss des hunzen auf die Regenera- tion der Teile. Studien an Doppelplanarien. Festschr. z. 60. Ge- burtstage Richard Hertwigs (Jena). Bd. 3, p. 31—54. Regenerationsversuche an Planaria gonocephala, P. luqubris, Polycelis nigra und an der in der folgenden Arbeit beschriebenen Polycladodes alba aus der Umgebung von Basel. Planaria alpina aus dem Jura. 125. SreINMANN, P. 1910. Eine neue Gattung der paludicolen Tricladen aus der Umgebung von Basel (Polycladodes alba n. q.n. sp.) Verh. naturf. ges. Basel. (Basel). Bd. 21, p. 186—196. 2 Textfg. TURBELLARIENLITERATUR 719 Beschreibung einer neuen Triclade aus dem Oberelsass nächst Basel. Biologie und Fundorte. 426. Grärer. E. 1910. Die Copepoden der unterirdischen Gewässer. Arch. Hydrobiol. Planktonk. (Stuttgart). Bd. 6, p. 1—87. 21 Textfig. Taf. 1—3. In einer Hühle (Grotte de Vert, Cant. de Neuchâtel) fand Verfasser « eine blinde Prorhkinchus-Art, die nach Versicherung des Herrn Privatdozent Dr. BressLau neu ist, von der ich aber leider zu wenig Exemplare fand, um eine Beschreibung geben zu kôünnen» (p. 19). Fundorte für Planaria vitta, P. infernalis und Polycladodes alba. 427. Baumann, F. 1910. Beiträge zur Biologie der Stockhornseen. Rex. suisse Zool. (Genève). T. 18, p. 647—728. (Dissertation, Bern.) Rhabdocülen wurden in den beiden Stockhornseen (1595 und 1658 m ü. M.) bisweilen beobachtet, mit Sicherheit wurden jedoch nur zwei Arten nachgewiesen, Mesostoma linqgua und «ein Vertreter der Gattung Gyratrixr, wahrscheinlich G. hermaphroditus » (der Speciesname durch einen Druck- fehler entstellt). Fundorte für Planaria alpina in Zuflüssen der Stockhornseen ". 128. Bigrer. E. 1910. Die wirbellose terrestrische Fauna der nivalen Region. Ein Beitrag zur Zoogeographie der Wirbellosen. Rev. suisse 2001. (Genève). T. 18, p. 761—916. Planaria alprna in feuchten Moosrasen der nivalen Region. 129. Zscuokke, F.1910. Die Tiefenfauna der mitteleuropäischen Seen. Verh. naturf, Ges. Basel. (Basel). Bd. 22. (Separatdruck 1910.) Vorläufige Mitteilung zu 430. 130. ZscuokkE, F. 1911. Die Tiefseefauna der Seen Mitteleuropas. Eine geographisch faunistische Studie. Monograph. u. Abhandl. z. Intern. Rev. ges. Hydrobiol. Hydrogr. (Leipzig). Nr. 4. 246 p. Zusammenstellung aller bekannten Tatsachen, mit Berücksichtigung der noch nicht verôffentlichten Funde Horsrew’s (vgl. 139) im Genfer See, Lac de Joux und Lago Maggiore. Die Liste der Tiefenrhabdocôüliden (p. 71—78) umfasst 31 Arten ; davon müssen jedoch 7 ausgeschlossen werden : (lis- thanella splendida (ganz unsichere Bestimmung, siehe HorsreN, 440, p.669), T'yphloplana vrridata (kann jede grüne Tvphloplanide sein, 1. e.. p. 643), Mesostoma productum lunsichere Bestimmung, 1. €., p. 644), Mesostoma ehrenbrrgi (À. €., p. 648), Mesostoma pusillum (ganz unsichere Art, 1. €., p. 672), M. sulphureum (ganz unsichere Art, L. €., p. 672), Phonorhynchus lemanus (unsichere Art, |. €.. p. 673). 1 Die in dieser und allen folgenden Arbeiten verôffentlichten Tricladenfunde konnten nicht in der Revision der schweizerischen Tricladen berücksichtigt werden. 720 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN In den tiergeographischen Krôrterungen werden die aus früberen Arbeiten des Verfassers (93, 94, 110) bekannten Ansichten über die Herkunft von Plagiostomum lemanri. Olomesostoma audilivum und Trigonostomum neo- comense ausfübrlich entwickelt (p. 79—82, 233 u. a.). Erôrterungen über Verbreitung und Biologie der Tiefenformen Denuro- coelum lacteum var. bathycola und Planaria alpina var. bathycola. Polycelis nigra als profund angefübhrt (nicht verüffentlichter Fund von HorsTEN). 131. Sreixer, G. 1911. Biologische Studien an Seen der Faulhorn- kette vm Berner Oberland. Int. Rev. ges Hydrobiol. Hydrogr. (Leipzig). Biol. Suppl.-Heft 2. Ser. (zu Bd. 4). (Dissertation, Bern.) 72 p. 1 Taf. 5 Textfig. Verfasser fand in > Seen der Faulhornkette folgende Turbeliarien (p. 15, 25, 35, 38, 40), alle (ausser Microstoma sp.) schon von Horsren (99) in denselben Gewässern gefunden: Microstoma sp., Dalyellia diadema, Castrella truncata, Rhynchomesostomu rostratum. Castrada luteola. Meso- stoma linqua. Planaria alpina. Der allgemeine Teil enthält nur eine kurze Be- merkung über Turbellarien ; mit Ausnahme von Planaria alpina gilt für sie « Weite vertikale und horizontale Verbreitung » (p. 53). 432. v. Horsren, N. 1911. Noch ein Wort über die frühzeitige Besa- mung der Eizellen bei Olomesostoma auditivum. Zool. Anzeig. (Leipzig). Bd. 37, p. 490— 494. Ergänzunge zu 4145. 133. STEINMANN, P. 1911. /nteressante Glieder der Basler Fauna. Rev. suisse 2001. (Genève). T. 19. Bulletin-Annexe n° 1, p. 17. Bericht über eine in der schweiz. Zool. Ges. gemachte Demonstration von 8 Triclaädenarten der Umgebung von Basel. Darunter : Polycladodes alba und Bdellocephala punctata. 134. SreiNMANN, P. 1911. Aevision der schweizerischen Tricladen. Rev. suisse Zool. (Genève). T. 19, p. 175—234. 3 Textfig. Zusammenfassung des über schweizerische Tricladen Bekannten, Er- gänzungen, Speciesdiagnosen und Bestimmungstabellen, Literaturkritik. Erster Teil der Revision der schweizerischen Turbellarien. von N. v. HOFSTEN u. P. STeiNManNx (2. Teil siehe sub 440, 3. Teil diese Arbeit). 435. ZscHokKkE. F. und STEINMANN, P. 1911. Die Tierwelt der Um- gebung von Basel. (Basel). Zusammenfassung der für Basels Umgebung bekannten Tatsachen betref- fend die Biologie und Verbreitung der Turbellarien. 136. Fenrmanx, W. 1911. Die Tiefenfauna des Luganer Sees. Intern. “Rev. ges. Hydrobiol. Hydrogr. (Leipzig). Biol. Suppl.-Heft. 4. Ser. (Dissertation, Basel.) 52 p. 1 Karte. TURBELLARIENLITERATUR PA Im Luganer See bei 70 m Tiefe Gyratrix hermaphroditus (hermaphro- ditus), bei 50 m Tiefe Tyvphloplanid gen. ? sp.?: Plagiostomum lemant (aus der profunden Zone von Vierwaldstätter- und Bodensee dem Verfasser « sehr wohl bekannt») fehlt. Von Tricladen leben in der Tiefe des Luganer Sees Dendrocoelum lacteum var. bathycola, Planaria alpina var. bathycoln, Polycelis nigru und eine Planaria sp. 137. KzeiBer, O.11911. Die Tierwelt des Moorgebietes von Jungholz im südlichen Schwarzwald. Ein Beitrag zur Kenntnis der Hoch- moorfauna.Arch.f. Naturgesch.(Berlin). Jg.1911.1 Bd. 3. Suppl. (Dissertation, Basel.) 115 p. Verfasser fand im Jungholzer Hochmoor (Baden, etwa 6 km von der Schweizergrenze) 3 VOn STEINMANN de rem Turbellarien : Mesosloma sp., (p. 24 heisstes : Mesostomu-Arten), Dendrocoelum lacteum, Polycelis nigra (p. 10, 24, 86). Im Wagenmoos Fe Vierwaldstätter See Mesostoma sp., Dendrocoelum lacteum, Polycelis nigra (p. 99). 138. v. Horsrex, N. 1911. Zur Kenntnis der Tiefenfauna des Brien- zer und des Thuner Sees. Arch. Hydrobiol. Planktonk. (Stutt- gart). Bd. 7. 1911-1912. (Separatabdruck 1911, 128 p.) Faunistisch-tiergeographische Untersuchung über die Tiefenfauna des Brieuzer und des Thuner Sees. Die in der Tiefe (oder nahe an der oberen Grenze der Tiefenregion) der erwähnten Seen gefundenen Turbellarien sind die folgenden 15, alle schon in einer früheren “Arbeit (99) erwähnt: Steno- slomum leucops, ds agile, Macrostomum appendiculatum, Dalyellia cuspi- data, Castrella truncata, Phaenocora clavigera, Strongylostoma elongatum, Castrada lanceola, C. spinulosa, C. quadridentata, Lutheria minuta, Meso- soma linquu, Plagiostomum lemani, Olomesostoma auditivum, Dendrocoelum lacteum. Die tiergeographische Stellung der beiden Allocôlen Plagiostomum lemant und Otomrsostomn auditivumn wird aus führlich erûürtert; Verfasser komimt zu dem Ergebnis, dass die beiden Arten nicht, wie ZacHaRraS, ZscHokkE u. à. glauben, marin-glaciale Relikte sind; sie sind überhaupt keine streng stenothermen Kaltwassertiere und künnen daher auch nicht als glaciale Relikte bezeichnet Werden. 439. v. Horsrex, N. 1911. Neue Beobachtungen über die Rhabdocülen und Allüocülen der Schweiz. Zoolog. Bidr. fr. Uppsala (Zool. Bei- träge aus Uppsala). (Uppsala), Bd. 1, 1911-1912, p. 1-84. Taf. 1-2. 30 Textfig. (Separatabdruck 1911.) Vorarbeit zu der Bevision der schweizerischen Rhabdocülen und A UHüo- côlen (140). In verschiedenen Gegenden der Schweiz wurden 42 Rhab- docülen und 2 Alléocülenspecies gefunden : Slenostomum leucops, Microsto- mum lineare, Macrostomum appendiculatum, M. viride, M. orthostylum, Prorhynchus sphyrocephalus. Dalyellix cuspidata, D. eæpedita, D. foreli n. sp, D.ornata, D.triquetra, D. infundibuliformis, D. brevispina n. sp., D. armigera, Castrellx truncata, Phaenocora unipunctala, P. rufodorsata, P. clavigera, Rhynchomesostoma rostralum, Strongylostoma radiatu, 722 N. V. HOFSTEN UND P. STEINMANN S.elongatum, Tetracelis marmorosa. Castrada stagnorum, C.inermis n. sp., C. rhaetica n. sp., C. lanceola, C. instructa, C. affinis, C. hofmanni, C. neocomensis. C. sphagnelorum. C. spinulosa, C. quadridentata, C. viridis, C. armata. GC. intermedia, C. luteola, Typhloplana viridata, Mesostoma linqua, Bothromesostoma personatum, Trigonostonmum neocomense, Gyratrix hermaphroditus. Plagiostomum lemani, Otomesostoma auditivum. Mehrere dieser Arten sind zum Gegenstand analomischer Untersuchungen gemacht worden (dazu 4 Arten, von denen FuHRMANN sein Originalmaterial gesandt batte: Phaenocora gracilis, Castrada perspicua, C. seqnis, C. fuhrmanni,. Die Arbeit enthält ferner Kapitel über «die Rhabdocôlidenfauna des Genfer Sees » und über « die Rhabdocülidenfauna der schweïzerischen Hochgebirge», Auseinandersetzungen über Synonymikfragen usw. 140 v. Horsren, N. 1912. Revision der schweizerischen Rhabdocülen und Allüocülen. Rev. suisse Zool. (Genève) T. 20, p. 543-688. Zweiter Teil der Revision der schweizerischen Turbellarien von N. v. Hor- STEN und P. STeINMANN (1. Teil: siehe sub 134, 3. Teil: diese Arbeit). =] [È) OS TURBELLARIENLITERATUR ALPHABETISCHES VERZEICHNIS DER SCHWEIZERISCHEN TURBELLARIENAUTOREN, Die faunistisch und systematisch wichtigsten Arbeiten sind durch fette Ziffern bezeichnet. ASPER, G. (24, 25, 26, 40). BÂgLer, E. (128). BaumaNN, F. (127). Caicaxorr, G. (58). DUPLESSIS, G. siehe pu PLESsis. FAvRE, J. (96, 97). FEHLMANN, W. (436). Forez. F.-A. Be, D nn TS MT 17.01729,:29" 930762 . 89. FUHRMANN, 0. . nu 14:79 . — 92). v. GRAFF, L. (9. 40, 14. 27, GRÂTER. E. (126). Henis, F. (420). HeuscHER, J. (40, 48, 56, 57, 59, 69, 86, 87). Horer, B. (77). v. Horsrex. N. (99, 400. 101, 115, 424, 132, 138, 139, 140). Imnor, O.-E. (32.35, 37, 38, 41, 49, 43, Eh, 45). KELLER, J. (65. 66). KENNEL. J. (47). KLAUSENER. C. (106). KLeiBer, O. (137). LAUTERBO!NN. R. (114). MicozerzkY. H. (10%). PexarDp. E. (49). pu PLessis, G. (4, 5. 45. 16, 18. 49, 20, 29, 28, 30. 31, 39, 67, 70). Sreck, Tir. (61). STrEINER., G. (434: STEINMANX, P. (98. 402. 103, ne 108: 4421191446. 187, 418,119, 123, 124 495. 33. 434. 135 Taiégaup. M. (95. 96. 07 105). : VoGt, C.'et Yüne, E. (34). VoLz, W- (74,75: 76. 79, 85). Wocr, E. (114). YUNG. E. siehe Vocr et YUNG. ZACHARrAS. O. (33). ZscHokkE. F. (50, 514. 52: 53, 54, 55, 60, 68, 80, 81, 83. 84, 90, 93, 94 109, 110, 144, 122. 199, 130, 135). REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 14. — Décembre 1912. Die Weber'schen Knôchelchen bei den Cyprinoiden der schweizerischen Fauna VON Marie Magdalena SACHS seb. GROSGLIK. Hierzu Tafel 10-12 und 6 Figuren im Text. EINLEITUNG Im Jahre 1885 sonderte SAGEMEHL (16) zuerst die mit einem Weber schen Apparat versehenen Physostomen aus und bildete daraus die Unterordnung der Ostariophysi, welche danach die Familien der Characinidae, Siluroidei, Cyprinoidei und Gymno- tidae umfassen. So berechtigt es ist. diese Familien den Physostomen ohne Weber schen Apparat in einer besonderen Unterordnung ge- sgenüberzustellen, dürfen wir doch nicht vergessen, dass WEBER in seiner klassischen Arbeit vomJahre 1820 « Deaure animalium aquatilum > nicht nur die Verbindung der Schwimmblase mit dem Gehôrorgan durch die nach ïhm genannten Knochen bei Cyprinus carpio, Silurus glanis und Cobitis fossilis beschrieben Rev. Suisse EE Zo001. T. 20. 1912. 48 726 M. SACHS hat, sondern auch bei Clupeiden den anatomischen Zusammen- hang zwischen Labyrinth und Schwimmblase nachwies und so auf die Anbahnung der späteren Verhältnisse der Ostariophysi bei Clupeiden aufmerksam machte. In den einfachsten Fällen ist diese Verbindung eine häutige ; bei den Percidae handelt es sich nur um eine Formveränderung des vorderen Endes der Schwimmblase, welche sich in längliche Hürner auszieht, die sich jederseits an eine durch eine Membran (Fontanelle) verschlossene Oeffnung im Schädel anlegt ; an die innere Fläche der Membran schliesst sich das häutige Laby- rinth an. Komplizierter gestalten sich diese Beziehungen bei den Clu- peiden. In dieser Familie entsendet die Schwimmblase zwei Ausläufer nach vorne, von denen jeder nach einer Spaltung in zwei engeKanälchen, die mitemem membranüsen Bläschen enden, (Bullae membranacesæ) ausläuft. Diese sind wieder von einer vorderen und einer hinteren Bulla ossea umschlossen. Die Bulla ossea anterior ist an ihrer oberen, dem Cavum eranii zugekehrten Wand mit einer Querspalte versehen, durch welche ein peri- lymphatischer Sack eindringt, der also mit der Bulla membra- naceæ anterior zusammenstôsst. Die Verbindung beider Organe ist hier (sowie auch bei den Percidae) eme mittelbare, da die Luft in der Schwimmblase nicht mit den Labyrinthwänden zusammenstüsst, sondern durch eine elastische Scheidewand getrennt ist (21). ; In ihrer vollkommensten Form ist die Verbindung des Laby- rinthes mit der Schwimmblase durch eine Reihe Knôchelchen vorgestellt, den sogenannten Weber schen Apparat, welchen wir bei den Siluroïiden, Gymnotiden, Characiniden und Cypri- noiden finden. Noch vor der Arbeit WEBER'S bildeté ROSENTHAL (15) im Jahre 1812 zwei dieser Knôchelchen bei Abramis brama ab. Eine genaue Beschreibung dieses Apparates gab aber erst WEBER. CYPRINOIDEN 727 Bei den Cyprinoiden, sowie bei Siurus und Cobitis fand er das membranüse Labyrinth durch Vermittlung eines Sinus impar und vier paariger mit den ersten Wirbeln vereinigten Knôchel- chen (Claustrum, Stapes, Incus, Malleus) mit der Schwimmblase verbunden. Die Namen, welche WEBER den Knôchelchen gab, wurden von ihm der anatomischen Nomenklatur der Säugetiere ent- nommen, wobei er dieseiben mit den Gehôürknôchelchen der Mammalia homologisieren zu künnen glaubte. Der Ursprung der Glieder des Weber’schen Apparates beweist aber, dass hier von Homologie keine Rede sein kann. Dieser Umstand veran- lasste BRIDGE und HADDON (3) die Namen der Knüchelchen zu ändern : Malleus nennen sie «< Tripus >», den Incus « Inter- calare > ; Stapes nennen sie « Scaphium > ; für das vierte Knü- chelchen, Claustrum, behalten sie den Namen von WEBER bei. Die Gliedstücke des Weber’schen Apparates stellen modifi- zierte Rippen und obere Bogen der vorderen Wirbel dar, deren äussere Form sich schon auf den ersten Blick von normalen Wirbeln unterscheiden lässt. Die äussere Form des Apparates ist keine konstante und wechselt bei den verschiedenen Osta- riophysenfamilien. ALLGEMEINER TEIL Im Vergleich mit anderen Teleostiern zeigt uns das Labyrinth der Cyprinoiden mannigfaltige Eigentümlichkeiten (13). Seine hüchst charakteristische Gestalt verdankt es einigermassen dem Einfluss der ersten modifizierten Wirbel mit ihren Anhängen, und dem Weber’schen Apparat, welcher die Kommunikation der Schwimmblase mit dem Labyrinth vermittelt. Die Unterschiede sind schon im knüchernen Labyrinth auf- fallend, obgleich er aus denselben Knochen wie bei den übrigen 728 M. SACHS Teleostiern besteht (nämlich : Occipitale basilare, Occipitalia lateralia, Prooticum, Epioticum, Squamosum, Frontale posticum. Das Supraoccipitale gehürt hier wegen seiner Lage nicht zu dem knüchernen Labyrinth). Diese Kigentümlichkeiten lassen sich in folgender Weise gruppieren : a) Die Fovea sacculi et lagenae liegt grüsstenteils im Kno- chen eimgeschlossen und besitzt nur eine kleine Oeffnung im vorderen Teil ihrer oberen Wand, während sie bei den anderen Teleostiern eine tiefe, ovale, nach vorn zugespitzte Grube bildet. b) Eine zweite Eigentümlichkeit ist die paarige Oeffnung (Foramen occipitale laterale), welche, wie bekannt, an der hin- teren Schädelwand im Occipitale laterale vorhanden ist und durch welche das perilymphatische Gewebe, welches das häu- tige Labyrinth im Schädel umgibt, sich nach hinten in einen membranôsen blinden Sack verlängert. Im Schädel der anderen Teleostiern finden wir das Occipitale laterale nur mit einer gros- sen Oeffnung versehen, hier ist ausser jener noch eine zweite — Foramen occipitale laterale vorhanden. c) Es wäre noch zu erwähnen der von WEBER beschriebene eigentümliche Knochenkanal (Cavum sinus impari), der von dem Occipitale basilare und den Occipitalia lateralia gebildet wird und in welchem sich der Sinus impar befindet. Das knôücherne Labyrinth ist mit perilymphatischem Gewebe ausgefüllt, in welchem sich das häutige Gehôrorgan eingebettet befindet. Das membranôse Labyrinth besteht aus einem, zu breitem und kurzern Rohr ausgebildeten Utriculus (Fig. 1 #) mit einem Sinus superior (sus), an dessen oberem Ende zwei Bogengänge, der frontale (cf) und sagittale (cs) einmünden, der dritte aber, der horizontale Bogengang (ch) endet an seiner Basis. Der Utriculus geht nach vorn in den Recessus utriculi (rec) über. Derselbe stellt eine rundliche Blase vor; es entspringen von CYPRINOIDEN 729 ihm die Ampullen des sagittalen und horizontalen Bogenganges (as, ah). Die Ampulle des frontalen Bogens entspringt direkt vom Utriculus (af). Nach hinten und unten steht mit dem Utriculus der Sacculus (s) durch einen langen, dünnen Kanal in Verbindung (Canalis utriculo-saccularis). Der vordere Teil des Sacculus schliesst sich an den eigentümlichen, von WEBER beschriebenen Knochen- kanal. Der hintere Teil des Sacculus bildet sich bei den Cypri- noiden ganz deutlich in die Lagena aus (/). In dem Sacculus und Utriculus befinden sich bei allen Teleostiern die sogenann- ten Maculae acusticae, welche die Endorgane des Acusticus darstellen. Die Cyprinoiden besitzen ausser den Maculae acus- ticae utriculi et saceuh auch Nervenendungen in der Lagena ÿ / eee SUuS == ch ----af- | da RUE rec A" - S S ‘ 5 do rl & FiG. 1. — Labyrinth von Abramis brama von links und rechts gesehen. af, as, ah — Ampulla frontalis, sagittalis und horizontalis. — cf, es, ch — Ca- nalis front. sagitt. u. horiz. — w — Utriculus. — 7? — Lagena. — s$ — Sacculus. — Lp, S, À — Otolithe. — rec — recessus utriculi. — sus — sinus utriculi su- perior. — mu—Macuia utriculi. — asu — apex sinus superioris. — lo — Loch zum Sinus impar. — Pb — pars basilaris v. Nerv. acusticus ist wegge- rissen. Vergr. 3 Mal. (Nach Rerzius.) (Macula acustica lagenae), welche hier beträchtliche Dimen- sionen erreicht und sogar den Sacculus an Grüsse übertrifft. Im Utriculus, Sacculus und in der Lagena befindet sich in der Endo- 730 M. SACHS lymphe in nächster Nachbarschaft mit den Maculae je ein Oto- lith (Hôrstein) (Fig. 1, S, À, Lp). Charakteristische Umgestaltung hat der Ductus endolympha- ticus der Cyprinoiden erlitten (8). Er stellt einen queren Kanal dar, der von jedem Sacculus ausgehend die beiden häutigen Labyrinthe verbindet. Diese beiden Kanäle fallen in der Mittel- linie zusammen und bilden einen grossen, langgestreckten Sack (Saccus endolymphaticus), welcher im vorderen Teile des Cavum sinus imparis sich erstreckt. Das unpaare Cavum kommuniziert nach hinten durch zwei Oeffnungen mit zwei kleineren, ebenfalls mit Endolymphe ausgefüllten Hôhlen, den sogenannten Vor- hôfen oder Atria sinus imparis, welche von aussen und unten durch den cochleafürmigen Stapes, von oben durch das kelch- fürmige Claustrum begrenzt werden. Die Aussenfläche des Stapes ist mit dem halbmondfürmigen, mit drei Fortsätzen ver- sehenen, grossen Malleus durch ein Ligament (<'Tendo > WEBER’S) verbunden. In der Mitte dieser Sehne befindet sich das kleine Knüchelchen Incus, dessen Form ein dünnes, am Ende dichotomisch gegabeltes Stäbchen bildet. Die hintere, hacken- fürmig gebogene Partie des Malleus ist in die Tunica externa der Schwimmblase eingebettet, der mittlere Fortsatz dagegen senkt sich in den Kürper des dritten Wirbels in eine Grube, in welcher er. wie in einer Gelenkgrube, beweglich ist. Wir kün- nen also sagen, dass er nach dem Prinzip eines zweiarmigen Hebels gebaut ist, wobeï es von Wichtigkeit ist, dass der vordere Arm grüsser als der hintere ist. Dies bewirkt eine grüssere Beweglichkeit des ganzen Apparates. In den anderen drei Osta- riophysenfamilien sind im allgemeinen beide Teile des Malleus gleich, oder es kommt sogar vor, dass der hintere Teil grüsser ist, Bei ganz jungen Cyprinoiden, wo sich der Malleus als Rippe entwickelt, fehlt noch überhaupt das vordere Stück ; dasselbe entwickelt sich erst bei hôherer Differenzierung des ganzen Apparates (17). CYPRINOIDEN Ho Der Weber’sche Apparat ist mit einem membranüsen Sack umhüllt, welcher sich vorn an den Schädel anlegt und hinten bis zu der Schwimmblase sich erstreckt. In dieser allgemeinen Form sehen wir den Weber’schen Ap- parat bei allen Vertretern der Familie der Cyprinoiden; diese Gestalt stimmt bei den verschiedenen Arten in den grüberen Zügen überein. Die feineren Unterschiede sollen später, in dem speziellen Teil dieser Abhandlung, eingehend erürtert werden. Modifikation der ersten Wirbel des Cyprinoiden im Zusam- menhang mit der Ausbildung des Weber schen Apparates. Bei Betrachtung der vorderen Wirbel eines Cyprinoiden fal- len schon auf den ersten Blick grosse Unterschiede in der Aus- bildung der Wirbelkôürper, sowie der oberen Bogen und Rippen auf, Gehen wir weiter caudalwärts, so werden wir sehen, dass nur die ersten vier Wirbel von den übrigen in Gestalt abwei- chen, dass dagegen die folgenden Wirbel, von dem fünften ab. sich im allgemeinen normal ausgebildet haben. Diese vier ersten Wirbel sind diejenigen, die sich an der Bil- dung des Weber’schen Apparates beteiligt und deren Anhänge seine (liedstücke geliefert haben. Es wird uns hier in erster Linie interessieren : 1. welche Modifikationen haben die Ele- mente dieser Wirbel erlitten, und 2. welchen Wirbelteilen ent- sprechen die Gliedstücke des Weber’schen Apparates ? Der erste Wirbel der Cyprinoiden (Tafel 10, Fig. 10, 11) ist im allgemeinen viel kürzer als ein normaler Wirbel; im (e- gensatz zu den anderen amphicoelen Wirbeln ist er opisto- coel; seine vordere, konvexe Fläche ist in den hinteren Teil des Occipitale basilare eingesenkt, dessen Form an einen Wirbel erinnert : es besitzt eine concave Vertiefung, in welche die Fläche des ersten Wirbels genau passt und nur durch Spuren von Chorda abgegrenzt ist. Die neuen Untersuchungen der Occipitalregion der Teleos- Ta M. SACHS tier durch NUSBAUM haben gezeigt, dass dem Palaeocranium der Teleostier diverse Teile der ersten drei Wirbel eimverleibt sind (10). Nach seinen Bezeichnungen entspräche unser erster Wirbel eigentlich dem dritten. Auch dieser kann mehr oder weniger mit dem Occipitale basilare verwachsen sein; bei man- chen Gattungen, wie z. B. bei allen von mir untersuchten Ver- tretern der Gruppe Leuciscina, gelingt die Trennung des Basi- occipitalwirbels bei etwas Vorsicht ziemlich leicht, da seine Trennungslinie nicht verwachsen ist. Bei Cyprinus carpio (Gruppe Cyprinina) gelingt es nicht mebr; die Verwachsung mit dem eigentlichen Occipitale basilare hat schon stattgefun- den, obgleich noch die Verwachsungsgrenze von aussen und an Sagittalschnitten ersichtlich ist. Bei der Unterfamilie der Cobi- tiden endlich soll, nach den Angaben von BLOCH (2), das Occi- pitale basilare mit dem ersten Wirbel vollständig verwachsen sein, indem sie « ein Stück bilden >. Der erste freie Wirbel (3. Wirbel NUSBAUMS) besitzt trans- versale Fortsätze, welche früher von manchen Forschern als echte Querfortsätze (GROBBEN ; JAQUETS « première côte cer- vicale) oder Rippen definiert waren. Bei allen Ostariophysen- familien sind diese (rebilde homolog und stellen ein mehr oder weniger vollständig verknüchertes Ligament dar, das sich von dem Schulterbogen bis zu den Seiten des Occipitale basilare zieht; bei den Cyprinoiden und Gadoïden aber verbindet sich dieses Ligament nicht mit dem Occipitale basilare, sondern mit dem Zentrum des ersten freien Wirbels <« Bei den Cyprinoiden ist das Ligament zum Teil verknüchert, imdem dessen innerstes Ende als Querfortsatz des ersten Wirbels auftritt > (SOERENSEN, zitiert nach BLOCH). Es war mir leicht, dieses Ligament sowohl an frischen, wie auch an in Alkohol konservierten Cyprinoiden von seinem Anfang bis zum Schultergürtel zu verfolgen. Ich habe auch beobachten künnen, dass bei verschiedenen Cyprinoidengruppen die Ossifi- CYPRINOIDEN 733 cation sich auf kürzeren oder längeren Teil des Ligaments er- strecken kann. Eine weniger vollkommene Ossifikation betrachte ich als primitiver, gegenüber einer Verknôcherung, die sich auf einen grossen Teil des Ligaments erstreckt. So zeigen in dieser Beziehung die Leuciscina primitivere Verhältnisse gegenüber den Abramidina und Cyprinina, bei welchen der Querfortsatz stark ossifiziert ist und beträchtliche Dicke erreicht. Etwas über der Stelle, wo das Ligament sich zu einem falschen Querfortsatz ausgebildet hat, finden wir seitlich am Kôrper des Wirbels zwei kleine, übereinander gelegene Knôchelchen. Das untere von ihnen stellt den Stapes dar, das obere — das Claus- trum. Beide gehôüren, wie wir sehen werden, zum oberen Bogen- system des ersten Wirbels; über diesem Wirbel aber befindet sich noch ein paariger Knochen, welcher sich dachfôrmig über dem Markrohr wôlbt. Dieses Gebilde ist auch infolge der Um- gestaltung der Wirbelanhänge zu Gliedstücken des Weber’schen Apparates entstanden, deshalb wird sein Ursprung gemeinsam mit demjenigen der vier obengenannten Knüchelchen erürtert werden. Es bleibt noch die Frage, ob das untere Bogensystem, d. h. die Rippen sich entwickelt haben, da die unechten Querfort- sätze keine solchen sind. Es existieren aber solche, nur sind sie von dem Wirbel vollständig getrennt, als Bestandteile des Pha- ryngealfortsatzes des Occipitale basilare. Es ist natürlich etwas schwierig, sich die Sache bei einem erwachsenen Tier vorzu- stellen. Bei Betrachtung aber von Fischembryonen in verschie- denen Entwicklungsstadien lässt sich diese Umbildung der Rip- pen, wie NUSBAUM gezeigt hat, nachweïisen (8, 10). Wenden wir uns nun zur Betrachtung des zweiten freien Wir- bels (Tafel 10, Fig. 11, 12). August MÜLLER (7) war der erste, welcher gezeigt hatte, dass der Kürper dieses Wirbels bei den Cyprinoiden mit dem Kôrper des nächsten Wirbels zusammen- wächst. Von allen Ostariophysen scheinen nur die Characiniden 734 M. SACHS (16)in dieser Beziehung abzuweichen, da die beiden Wirbelkür- per stets getrennt bleiben, es verschmelzen nur ihre oberen Bo- gen. Auch bei den Cyprinoiden kann die Verwachsung der bei- den Wirbelkürper mehr oder weniger vollkommen sein. Bei man- chen kann man ganz deutlich, von aussen, und besonders schün auf Sagittalschnitten durch diese Wirbel sehen, dass der sogenannte < zweite >» falsche Wirbel aus zwei zusammen- gesetzt ist. So z. B. bei den Leuciscina (Squalius cephalus. Leuciscus, Tinca vulgaris u. a.) treffen wir Arten, die vollstän- dg an die bei den Characini- den erwähnten Verhältnisse erimnern. Es tritt hier die Ver- schmelzung der oberen Bogen auf, die Sagittalschnitte aber zeigen uns die ganz regelmäs- F1G. 2. — Sagittalschnitt durch die ersten Wirbel von Tinca vulgaris. sig und ungestürt entwickelte Jerlschnurartig angeordnete 1 — erster Wirbel. — 2-5 — zweiter à ; FA E bis fünfter Wirbel. — 6 — unechter Chordareste zwischen den ers- Querfortsatz des ersten Wirbels. — ten vier Wirbeln (Fig. 9). Bei 7 = Pleurapophyse. — 8 — Rippe des ; vierten Wirbels. — 9 — Rippe des anderen Vertretern derselben fünften Wirbels. —-10 — Oberes Bogen- system des zweiten und dritten Wirbels. — m— Malleus. Gruppe finden wir den zweiten Wirbel noch ganz deutlhich vom dritten abgegrenzt, er scheint aber, zwischen den verschmälerten und deformierten Chorda- resten, stark zusammengedrückt zu sein (Squalius cephalus. Fig. 3). Von dieser primitivsten (Gestalt der Verschmelzung bis zu einer ganz vollkommenen finden wir eine Reïihe von Uebergangsstadien (Barbus vulgaris, Fig. 5, Abramis brama. Tafel 10, Fig. 14). Betrachten wir endlich den vorderen Abschnitt CYPRINOIDEN 735 der Karpfenwirbel (Gruppe Cyprinina), so finden wir hier weder von aussen noch von innen eine sichtbare Grenze zwischen den beiden Elementen des zweiten falschen Wirbels; ferner nehmen hier die Chordar- este selbst sekundär eine regelmässigere Grestalt und nähern sich einander in der Art, dass es leicht begreiflich ist, wa- rum WEBER, wel- cher ja eben Cypri- nus carpio unter- sucht hatte,die Mei- nung ausspricht, dass die drei (statt Fig. 3. FiG. 3. — Sagittalschnitt durch dieersten Wirbel von Squalius cephalus. vier) ersten Wirbel sich modifiziert haben (Fig. 6). Fig. 4. Der zweite falsche Wirbel besitzt FiG. 4 — Sagittalschnitt durch die ersten Wirbel von ; Squalius leuciseus. Erkiärun g pen. Er besitzt aber einen Processus & Fig. 2. auch keine normal ausgebildeten Rip- 736 M. SACHS transversus, welcher ziemlich gross und deutlich ist und als echte Pleura pophyse zu bezeichnen ist (Fig. 2-4, 7). Dieses Paar unterer Bogen gehürt dem zweiten (wahren) Wirbel: der zusammengesetzte, falsche Wir- Fig. 9. F1G6. 5. — Sagittalschnitt durch die ersten Wirbel von Barbus vul- garis. 1 — erster Wirbel. — 2 — zweiter falscher Wirbel. — 3 — vierter Wirbel. — 4 — Querfortsatz des ” ersten Wirbels. — 5 — Pleurapo- physe.—6 — Malleus. — 7 — Rippe des vierten Wirbels. — 8 — Versch- windender Chordarest zwischen dem zweiten und dritten Wirbel. ten (wahren) Wirbels eine (Gelenk- orube, in welcher der mittlere Fort- satz dieses halbmondfürmigen Knüchel- chens artikuliert. Der morphologische Ursprung des Malleus ist ohne weiteres aus der Fig. 4 ersichtlich, imdem wir an allen vier Wirbeln die ihnen entsprechenden unteren Bogen sehen: den ersten Wirbel (1) mit dem unech- bel sollte aber 2 Paar untere Bogen tragen. Wo befindet sich das zweite Paar? Dieses ist in den Malleus umgewandelt. Er besitzt in dem Kürper des drit- Fig. 6. FiG. 6. — Sagittalschnitt durch die ersten Wirbel von Cyprinus carpio. 2 — zweiter (falscher) Wirbel. — 3 — vierter Wir- bel. Uebr. Erkl. s. Fig. 2. CYPRINOIDEN Flat ten Processus transversus (6), den zweiten wahren Wirbel (2) mit der Pleurapophyse (7), den dritten wahren Wirbel (3) mit dem Malleus (#) usw. Die oberen Bogen des zweiten falschen Wirbels smd nicht normal ausgebildet. Oben, an seinem vorderen Teil, befindet sich der Incus, welcher an der Mitte der Sehne angeheftet ist. Er entspricht dem oberen Bogen des zweiten wahren Wirbels (S. « Morphologische Deutung des Weber’schen Apparates »). Das obere Bogensystem des eigentlichen dritten Wirbels ver- breitet sich flach und bildet einen platten, senkrecht auf dem Wirbelkürper stehenden Knochen, dessen Form übrigens bei verschiedenen Arten varieren kann. Der vierte Wirbel (Tafel 10, Fig. 11, 13) besitzt emen normal ausgebildeten Kürper. Das untere Bogensystem aber ist in cha- rakteristischer Weise umgestaltet. Es ist vorhanden in der Form von zwei nach unten verlaufenden Bogen, welche hüchstens !l/, der Länge einer normalen Rippe erreichen (manchmal nur ‘/,. oder sogar !/.). Diese Gebilde sind dick, stark gebogen und en- den nicht spitz, wie die Rippen, sondern bekommen gewübnlich an ihren Enden plättchenfürmige Verbreiterungen. Nach innen seben diese Bogen platte Auswüchse, welche in der Medianlinie des Kürpers mit ihren unteren Teilen verwachsen, während sie nach oben einen Kanal bilden, durch welchen die Aorta und ein Teil der Kopfniere durchgehen (Tafel I, Fig. 13). Die platten Auswüchse legen sich an das vordere Ende der Schwimmblase in dieser Gegend, wo der hinterste, hackenfürmig 2ebogene Fortsatz des Malleus in ihre Tunica externa eingesenkt ist. Dieser Bogen samt seinem Anhang («Os suspensorium » von SÜRENSEN) ist eine umgestaltete Rippe des vierten Wirbels. Die beiden Teile bilden ein Stück und haben gemeinsamen Ursprung. Bei der Unterfamilie der Cobitiden (20) verbreiten sich diese Gebilde flügelartig; die bei Cyprinus carpio noch kleinen Auswüchse strecken sich hier weit aus und bilden Teile der Knochenkapsel, 738 M. SACHS welche, wie bekannt, die Schwimmblase der Cobitiden umgibt. «< In dieser Weise — schreibt SIDORIAK (S. 407) ist die ganze Knochenkapsel ein Gebilde der Rippen und teilweise der Basis pes vierten Wirbels ». Was das obere Bogensystem des vierten Wirbels anbetrifft, so sehen wir hier bei den verschiedenen Gattungen keine Ueber- einstimmung in seiner Ausbildung. Bei der Gruppe der Leu- ciscina ist es sehr kurz und mit dem oberen Bogen des dritten Wirbels zusammengewachsen —— manchmal vollständig ver- schmolzen; bei den Abramidina und Cyprinina dagegen ist es oft getrennt, erreicht aber gewôhnlich nicht die Länge eines normalen oberen Bogens. Der fünfte Wirbel endlich hat bei allen Cyprinoiden der Subfamilie Barbidae! normal ausgebil- deten Kürper, normale obere Bogen und Rippen. Morphologische Deutung der Gliedstücke des Weber'schen Apparates. | Deutung des Claustrum. Obgleich diese Frage seit der Arbeit WEBERS von vielen Forschern erürtert wurde, ist es noch heute zu keiner Uebereinstimmung zwischen den verschie- denen Verfassern gekommen. SOÜRENSEN leitet diese Knüchelchen aus « unpaaren Schluss- stücken < des ersten Wirbels ab. Er nimmt an, dass das paarige Auftreten des Claustrum bei erwachsenen Tieren ein sekundäres Verhältnis ist, und dass es auf der ersten Entwicklungsstufe unpaar sei. Aehnlich war die Auffassung von BEAUDELOT (1), welcher wahrscheinlich den Namen « Os intercrurale > den oben erwähnten . (S.17). Die Knorpelstücke entwickeln sich aber über dem Rückenmark nur bei den Fischen, welche emen doppelten Kanal besitzen (Hecht, Lachs, Wels, etc.). Die Interpretation von NUSBAUM ist heute zwar nicht durch alle, aber durch den meisten Teil der Forscher angenommen. ës wären hier die Namen von BRIDGE-HADDON, WRIGHT, SI- DORIAK u. à. zu erwähnen. Die Deutung des Stapes bietet heute keine Schwierig- 740 M. SACHS keiten mehr, indem NUSBAUM entwicklungsgeschichtlich nach- gewiesen hat, dass die Stapedes modifizierte obere Bogen des ersten Wirbels darstellen. Deutung des Incus. Auch in dieser Hinsicht stimmen die Meinungen überein, mdem der Incus aus dem oberen Bogen des zwWeilen Wirbels sich entwickelt hat. GRASSI (14) sagt : «< Der grüsste und präcis der distale Teil des oberen Bogens I bildet den Stapes ; ein gleicher Teil des zweiten — den Incus..… > (S. 461). Auch NUSBAUM (10) schreibt : « Der obere Bogen ist nämlich in das dritte Weber’sche Knüchelchen, den Incus, umgebildet, welcher den Rückenmarkskanal seitwärts begrenzt und in dem betreffenden Entwicklungsstadium (17-tägiges Embryo) ein U-fôormiges Gebilde darstellt, dessen vorderer... Schenkel... von der Stapesanlage beginnt. Der [ncus… stellt nur einen modifi- zierten, weit grüsseren, vorderen Teil der Anlage des oberen Bogens dar ». (S. 521). Die einzige abweichende Interpretation ist die von SAGEMEHL,, welcher, ganz unbegründet, die Incus als Rippen des zweiten Wirbels betrachtet (16). Wir wissen aber erstens, dass der zweite wahre Wirbel eine echte Pleurapophyse besitzt (NUSBAUM nennt dieses Gebilde « Rippe >). Zweitens hat NUSBAUM nachgewiesen, dass bem Embryo die Anlage des Incus den Rückenmarkskanal begrenzt, es kann also nichts anderes, als ein oberer Bogen sein. Deutung des Malleus. Wie schon oben erwähnt, stellt der Malleus eine modifizierte Rippe des dritten wahren Wirbels dar (Fig. 4). Es bleiben uns noch einige Bemerkungen über die über dem ersten Wirbel dachfürmig gelegenen paarigen Gebilde, welche WEBER irrtümlich als Processus spinosi des ersten Wirbels be- trachtet, welche aber eine andere morphologische Deutung haben müssen, indem wir annehmen, dass die modifizierten Pro- CYPRINOIDEN 741 cessus spinosi die Claustra darstellen. Meiner Meinung nach handelt es sich um modifieirte Processus spinosi des oberen Bogens des zweiten Wirbels in Verbindung mit demjenigen Teil des Bogens, welcher sich an der Bildung des Incus nicht betei- ligt hatte. Diese Teile wurden nach vorn verschoben und kamen fast unmittelbar hinter dem Occipitale superius zu liegen. Für diese Interpretation sprechen auch die Untersuchungen von August MÜLLER, welcher erwiesen hat, dass das obere Bogen- system der fünf ersten Wirbel der Cyprimoiden eine Ausnahme macht und sich anfangs knorplig entwickelt (7), sowie diejenigen von GRASSI (4), welcher beobachtet hat, dass die betreftenden Knüchelchen bei den Cyprinoiden knorplig entstehen. Die Ver- schiebung nach vorn ist leicht anzunehmen, indem auch die Weber’schen Knüchelchen, welche denselben Ursprung haben (die Incus), nach vorn verschoben sind und somit den Rücken- markskanal nicht mehr begrenzen ; an deren Stelle treten beim erwachsenen Fier die obengenannten Knüchelchen. SPEZIELLER TEIL Die Familie der Cyprinoiden wurde im Jahre 1891 durch SAGEMEHL in vier Subfamilien geteilt, nämlich : Barhidae, C'ato- stomidae, Cobitididae und Homalopterididue. In der ersten dieser Subfamilien treffen wir viele emhermische Gattungen:; die zweite und vierte bestehen aus Wenigen exoti- schen Fischen: die dritte endlich besitzt zwer Mitteleuropa bewohnende Arten, nämlich Cobitis (Misqurnus) fossilis und Nemachilus barbatalus Günther. Der Weber’ sche Apparat des ersten dieser Fische wurde eingehend durch SIDORIAK (19,20), derjenige des zweiten durch BLOCH (2) studiert und beschrieben. Von der Subfamilie der Barbidae aber, die die zahlreichste an Rev. Suisse DE Z0o1. T. 20. 1912. 19 142 M. SACHS Arten ist, wurde von einheimischen Fischen hauptsächlich Cyprinus carpio untersucht. (WEBER, August MÜLLER, NUS- BAUM. SIDORIAK u. àa.). Diese Auswahl kann ich nicht beson- ders glücklich nennen, da Cyprinus carpio eben zu denjenigen Barbidae gehürt, deren Verhältnisse nicht mehr so einfach sind, wie bei vielen anderen, 1hm nahe stehenden Fischen. In dem speziellen Teil dieser Arbeit sollen die Vertreter der Gruppe Barbidae miteimander verglichen werden mit Rücksicht auf feine Unterschiede in den an der Bildung des Weber’schen Apparates beteiligten Skeletteilen. Die mir zur Verfügung ste- henden Fische stellen, mit wenigen Ausnahmen, alle Barbidae der Schweiz dar. Erste (Gruppe : [EUCISCINA. (Tinca vulgaris, Phorinus laevis, Leuciscus rutilus, Squalius cephalus, Squalins leuciscus, Scardinius erythrophtalmus, Teles- tes Agassizi). Tinca vulgaris. Der erste freie Wirbel dieses Fisches ist, wie bei allen Cyprinoiden opistocoel, seine vordere convexe Fläche ist in den Hohlkegel des Occipitale basilare eingesenkt, aber mit 1hm nicht verwachsen. Der Pharyngealfortsatz des Occipi- tale basilare ist ziemlich schwach ausgebildet. Das Ligament. welches von dem Schultergürtel bis zum ersten freien Wirbel: sich erstreckt und den falschen Querfortsatz bildet, ist nicht be- deutend verknôüchert und legt sich an den Wirbel in Form eines kurzen und dünnen Anhanges an. Die Kôürper des zweiten und des dritten Wirbels sind miteinander verwachsen, die äussere Grenze zwischen ihnen bleibt aber erhalten: auch im Innern sind die Wirbel deutlich durch Chordareste getrennt, was auf Sagittalschnitten zum Vorschein kommt (Fig. 2). Die Pleurapo- CYPRINOIDEN 743 physe des zweiten Wirbels ist ziemlich kräftig ausgebildet, ist aber kurz, da sie nur halb so lang wie die Rippe des vierten Wirbels ist. Wie wir weiter sehen werden, gibt es Formen, bei welchen die Pleurapophyse diese Rippe an Länge übertrifft, Das Verhältnis dieser beiden Teile ist massgebend, da die Rippe bei alien von mir untersuchten Fischen dieselben Proportionen zeigt (Ausnahme : Barbus vulgaris). Die Pleurapophyse ist schwach nach unten gebogen, bei anderen Arten der Leuciscina dagegen lhegt sie horizontal. Das obere Bogensystem des zweiten, dritten und vierten Wirbels ist hier zu einem platten, vertikal gestellten Knochen verschmolzen. Der vierte obere Bogen ist aber noch nicht so innig verwachsen; er wird oben durch einen flachen Einschnitt in der Knochenplatte angedeutet,. Die beiden, die Atria des Sinus impar begrenzenden Weber’- schen Knôchelchen : Stapes und Claustrum, sind hier verhält- nismässig gross und deutlich ausgebildet. Das ist ein charak- teristisches Merkmal für die ganze Gruppe. Ein anderes Merk- mal ist das Verhältnis zwischen den beiden Hebelarmen des Malleus : 1hre Länge ist fast gleich. Phoxinus laevis. Auch dieser Fisch besitzt keinen gut ent- wickelten Pharyngealfortsatz. Der unechte Querfortsatz des Wirbels ist klein und schwach verknüchert. Die Pleurapophyse ?/, der Rippe des vierten Wirbels dar und ist im allgemeinen ziemlich dick und des zweiten Wirbels stellt, ihrer Länge nach, gut ausgebildet. Sie nimmt hier schon eine ganz ausgesprochen horizontale Lage an. Die plattenfürmigen Auswüchse der vierten Rippe (Os suspensorium), welche in der Medianlinie des Kürpers verwachsen, sind hier dünn und schmal, was darauf deutet, dass die betreffende Gattung von den Cobitidae sehr weit entfernt ist. In dieser Subfamilie bilden die Rippen und teilweise die Basis des vierten Wirbels rings um die Schwimmblase eine Knochen- kapsel, indem sie sich flügelartig verbreiten und ihre Fläche Rav. Suisse DE Z001. T. 20, 1912. 49% 744 M. SACHS wôülben. Eine erste Anlage solcher Verhältnisse ist bei den Barbidae das Os suspensorium, welches bei manchen Arten (Abramis brama) sich flach und breit an das Vorderende der Schwimmblase anlegt. Bei dem grôüssten Teil der Leuciscina ist das Os suspensorium in solchem primitiven Entwicklungssta- dium, wie wir es bei Phoxinus laevis sehen. Der obere Bogen des vierten Wirbels ist nur bis zur Hälfte seiner Länge mit dem oberen Bogensystem des zweiten und dritten Wirbels ver- schmolzen. Was die Ausbildung des Claustrum und Stapes anbetrifft, so sind sie hier gross und gut ausgebildet, wie bei Tinca vulgaris. Auch in den Grüssenverhältnissen der beiden Malleuspartien fallen keine bedeutenden Unterschiede auf. Leuciscus rutilus. Der Pharyngealfortsatz des Occipitale basilare ist schwach entwickelt. Das zum unechten Querfortsatz sich ausbildende Ligament bildet an dem ersten freien Wirbel einen kurzen und dünnen Anhang. Bei der Betrachtung des zweiten und dritten Wirbels von aussen, scheinen sie vollstän- dig getrennt. Anders stellt sich die Sache auf Sagittalschnitten dar (Fig. 4) : im Vergleich mit Tinca vulgaris kKünnen wir hier beobachten, dass die Verschmelzung schon um eimen Schritt weiter vorgerücktist : die zwischen den Wirbeln eingeschlossenen Chordareste sind bei Tinca vulgaris als vollständig regelmässige Rhomben ausgebildet; bei Leuciscus rutilus dagegen sehen wir das zwischen dem zweiten und dritten Wirbel liegende Chor- dastück stark seitlich comprimiert. Die vom zweiten Wirbel ent- springende Pleurapophyse ist gut ausgebtldet. Ihre Länge beträgt ?/, der vierten Rippe; sie breitet sich vollständig horizontal aus. Bei diesem Vertreter der Leuciscina sehen wir zum ersten Mal ein gut ausgebildetes Os suspensorium. Es breitet sich hier flacher aus, ist aber immer noch nicht so stark entwickelt, wie bei manchen Abramidina. Das obere Bogensystem des vierten CYPRINOIDEN 745 Wirbels ist mit dem oberen Bogensystem des zweiten und dritten Wirbels vollständig zu einer homogenen Knochenplatte ver- schmolzen. Die Ausbildung des Stapes und Claustrum ist auch hier eine beträchtliche. Die beiden Arme des Malleus unterscheiden sich wenig voneinander durch ihre Dimensionen. Squalius cephalus. In Beziehung auf die Ausbildung des Pharyngealfortsatzes weicht Squalius cephalus von den obener- wähnten Fischen ziemlich stark ab : Tinca vulgaris und Phoxi- nus laevis, sowie Leuciscus rutilus besitzen diesen Anhang des Occipitale basilare schwach entwickelt in Form einer dünnen und kurzen Platte. Bedeutend grüsser, länger und stärker sehen wir ihn bei Squalius cephalus, bei welchem er vom Occipitale basilare bis zum Os suspensorium verläuft. Der unechte Quer- fortsatz des ersten freien Wirbels ist hier auch kräftiger ausge- bildet als bei den übrigen Formen. Der zweite und dritte Wirbel scheimen äusserlich getrennt ; im Inneren dagegen zeigen sie eine Tendenz, mitemander zu verschmelzen, (Fig. 3)und erinnern voll- ständig an die Verhältnisse bei Leuciscus rutilus. Die Pleurapo- physe des zweiten Wirbels ist hier sehr kräftig und lang, da sie fast die Grrüsse der vierten Rippe erreicht. Auch besitzt Squalius cephalus ein gut ausgebildetes Os suspensorium, obgleich es schwächer ist, als dasjenige der Abramidina und Cyprinina. Der obere Bogen des vierten Wirbels ist nur an der Basis mit dem Bogensystem des zweiten und dritten Wirbels verwachsen. Er ist aber sehr kurz, von beiden Seiten abgeplattet und oben zugespitzt. Im Vergleich mit den vier ersten Arten besitzen bei Squalius cephalus der Stapes und das Claustrum kleinere Di- mensionen. Squalius leuciscus. Auch der Pharyngealfortsatz dieses Fisches ist gut ausgebildet — es ist ein Verhältnis, welches 746 M. SACHS nur für die beiden erwähnten Arten von der ganzen Gruppe der Leuciscina (Squalius cephalus und Squalius leuciscus) charak- teristisch ist. Der unechte Querfortsatz des ersten Wirbels ver- knôchert ziemlich stark, obgleich nicht so kräftig, wie es bei Squalius cephalus der Fall ist. Sehr auffallend ist hier die Ent- wicklung der Pleurapophyse, welche beim erwachsenen Tier grüsser und dicker ist als die Rippe des vierten Wirbels. Be: einem jungen Exemplar vom 55" [änge, war die Pleurapo- physe verhältnismässig noch länger und stärker. Sie besitzt noch die Richtung, welche normale Rippen charakterisiert, d. h. ist nach unten gebogen. Bei einem Squalius leuciscus von 130" Länge stellt sie sich schon horizontal und wächst langsamer als die Rippe des vierten Wirbels. Sie ist aber beim erwach- senen Tier noch immer länger als die vierte Rippe. Diese Ent- wicklung der Pleurapophyse weist darauf, dass sie eim Skelett- teil ist, welcher allmälig reduziert wird. Deshalb wird eme län- gere Pleurapophyse nur als eme weniger reduzierte Rippe zu deuten, stellt also ein primitiveres Verhältnis dar. Der zweite Wirbel ist auch hier sebr unvollständig mit dem dritten ver- wachsen. Die Verschmelzung ist hier nicht weiter vorge- schritten, wie bei Leuciscus rutilus und Squalius cephalus. Im Allgemeinen muss ich hier bemerken, dass keimer der von mir untersuchten Leuciscina eine grüssere Verschmelzung zeigt als die drei erwähnten Arten. Um die Fortsetzung dieser Umbil- dung zu verfolgen, müssen wir uns erst zu den Cyprinina und den Abramidina wenden. Das Os suspensorium ist ziemlich gut ausgebildet; das obere Bogensystem des vierten Wirbels verschmilzt mit demjenigen des zweiten und dritten Wirbels, wobei nur die Spitze des vierten Bogens über die Knochenplatte herausragt. Charakteristisch für Squalius leuciscus ist die Grüsse von Stapes und Claustrum. Bei diesem Fisch sind nämlich Stapes und Claustrum stärker als bei irgend einem anderen Fisch der CYPRINOIDEN 747 ganzen Subfamilie der Barbidae. Ich hatte Gelegenheit, die Ent- wicklung dieser beiden Knüchelchen bei jängeren und älteren Exemplaren von Squalius leuciscus zu beobachten. So bemerkte ich, dass die beiden Knüchelchen, hauptsächlich aber der Stapes, beim jungen 55" orossen Fisch die sehr beträchtliche Grüsse von 1% besitzt. Ginge die Entwicklung gleichmässig weiter, so hätten wir bei Fischen von 275 einen Stapes von 0,5 zu erwarten; ein solches Verhältnis ist aber auch bei den grüssten, 40% und mehr messenden Exemplaren nie zu beobachten. Da, wo bei den erwachsenen Fischen der Stapes gross und gut aus- gebildet ist, hat er niemals einen grüsseren Durchmesser als 0m 25. Diese Erscheinung ist so zu erklären, dass der ganze Kürper viel schneller wächst als dieses Knôchelchen. Weiter sehen wir bei einem Squalius leuciscus von 13°" Länge einen Stapes, dessen Durchmesser hôchstens 15 misst; d. h. die Kürperlänge hat sich um mehr als das Doppelte vergrüssert, während der Stapes sich kaum um die Hälfte der früheren Länge vergrüssert hat. Bei einem Squalius leuciscus von 18m Länge ist der Durchmesser des Stapes kaum 2", Beim Vergleich mit dem ersten Stadium ergibt sich, dass der Kôrper mehr als drei mal, der Stapes nur zwei mal vergrüssert wurde. Scardinius erythrophtalmus. Der Pharyngealfortsatz dieses Fisches ist nicht bedeutend entwickelt. Er ist zwar ziemlich breit, aber kurz und reicht nicht, wie bei Squalius cephalus bis zum Os suspensorium. Auch der falsche Querfortsatz des ersten Wirbels ist schwach verknüchert. Die Pleurapophyse des zweiten Wirbels ist bedeutend reduziert, sie erreicht nur die Hälfte der Länge der vierten Rippe, welche ïhre inneren Anhänge (Os suspensorium) sehr schwach ausbildet. Das obere Bogensystem des vierten Wirbels ist frei, aber kürzer, als die folgenden 30gen. 748 M. SACHS Telestes Agassizi. Dieser Fisch zeichnet sich durch ein sehr zartes Skelett und schwache Ausbildung seiner Teile aus. Dem- nach ist der Pharyngealfortsatz sehr schwach; das Ligament des Schultergürtels bildet einen zarten schwachen Querfortsatz. Die Pleurapophyse des zweiten Wirbels ist kurz und schmal. Sehr unbedeutend ist das Os suspensorium im Gegensatz zu einer wohl entwickelten Schwimmblase. Der obere Bogen des vierten Wirbelsist frei, wie bei Scardinius, und ist auch kürzer als die Bogen des fünften Wirbels. Das Claustrum und der Stapes sind gross und gut ausgebildet ; auch zum ersten Mal in der Gruppe sehen wir den Vorderarm des Malleus stärker ent- wickelt. Seine Länge verhält sich zur Länge des Hinterarms, wie 6 zu 2. Rückblick auf die Leuciscina. Die Gruppe der Leuciscina lässt sich durch folgende, teilweise negative Merkmale charakterisieren : 1. Schwache Ausbildung des Pharyngealfortsatzes (Ausnah- men : Squalius cephalus und Squalius leuciscus). 2, Schwache Verknücherung des unechten Querfortsatzes des ersten Wirbels (Ausnahme : Squalius cephalus). 3. Kräftig ausgebildete Pleurapophyse des zweiten Wirbels (Ausnahmen: Scardinius erythrophtalmus und Telestes Agassizi). Ihre horizontale Richtung (Ausnahme : Tinca vulgaris). 4, Keine vollkommene äussere und innere Verschmelzung des zweiten Wirbels mit dem dritten. 5. Grosse Dimensionen des Stapes und Claustrum. 6. Der Vorderarm des Malleus ist bei allen Leuciscina, aus- ser Telestes Agassizi, annähernd gleich dem Hinterarm. CYPRINOIDEN 749 Zweite Gruppe : ABRAMIDINA. (Alburnus lucidus, Alburnus alborella, Spirlinus bipunc- tatus, Abramis brama). Alburnus lucidus. Der Pharyngealfortsatz dieses Fisches 1st gut ausgebildet. Der unechte Querfortsatz des ersten Wirbels ist besser ausgebildet als bei den meisten ZLeuciscina, aber nicht so stark wie bei den Cyprinina. Die Pleurapophyse des zweiten Wirbels ist sehr stark und gross. Sie ist grüsser, als die Rippe des vierten Wirbels und noch etwas nach unten gebogen. Das Os suspensorium ist gut entwickelt. Der obere Bogen des vierten Wirbels ist in seinem unteren Teil mit dem Bogensystem des zweiten und dritten Wirbels verschmolzen, oben ist er frei und zugespitzt. Die Gliedstücke des Weber’schen Apparates sind ziemlich gross, aber hauptsächlich charakteristisech ist der Malleus, welcher viel stärker als bei anderen Arten gekrümmt ist. Seine Arme unterscheiden sich, ihrer Grüsse nach, sehr wenig. Alburnus alborella Buonap. Auch hier sehen wir einen gut ausgebildeten Pharyngealfortsatz; auch in anderen Beziehun- gen, wie in der Ausbildung des unechten Querfortsatzes, der Pleu- rapophyse und des Os suspensorium, stimmt diese Species mit der vorigen überein. Die hauptsächlichsten Unterschiede betref- fen die Ausbildung der Weber’schen Knôchelchen, welche hier sehr gross sind. Am stärksten ist der Stapes entwickelt, aber auch der Ineus ist viel grüsser als bei anderen Vertretern dieser Gruppe. Der Malleus entwickelt seinen vorderen Arm stärker als den hinteren, was folgendes Verhältnis ergibt: Vorder- 750 M. SACHS arm : Hinterarm — 23 : 18, und so auf eine vollkommenere Grestalt im Gegensatz zu den Leuciscina hinweist. Spirlinus bipunctatus. Der Pharyngealfortsatz dieses Fisches ist gut entwickelt. Ziemlich stark ausgebildet ist der unechte Querfortsatz des ersten Wirbels. Auch die Pleurapophyse des zweiten Wirbels ist beträchtlich und der Länge nach der vierten Rippe gleich. Ihre Richtung ist schon ausgesprochen horizon- tal. Das Os suspensorium ist plattenfürmig ausgebildet. Der untere Teil des oberen Bogens des vierten Wirbels ist mit dem oberen Bogensystem des zweiten und dritten verschmolzen, der obere Teil dagegen ist frei. Von den Weber’schen Knôchelchen ist hauptsächlich der Stapes und das Claustrum bedeutend. Kleiner ist der Incus. Charakteristisch 1st auch die starke Aus- bildung des Vorderarms des Malleus, welcher sich zum Hinter- arm wie 16:13 verhält. Abramis brama. Auch hier finden wir einen sehr starken Pharyngealfortsatz, welcher sich bis zum Os suspensorium er- streckt. Das verknücherte Ligament bildet einen kräftigen unechten Querfortsatz am Kôürper des ersten Wirbels. Was die Frage der Wirbelverschmelzung anbetrifft, so künnen wir sagen, dass Abramis brama die Lücke zwischen Barbus und Cyprinus ausfüllt. Sie stellt uns den Uebergang von der einen Form zur andern dar,indem hier die Wirbel schon vollständig verschmel- zen, aber an der Grenze eine kleine, durch die Lupe sichtbar werdende Spalte zurücklassen. (Tafei 10, Fig. 14) Die Pleura- pophyse des zweiten Wirbels ist nicht so lang wie bei anderen Vertretern dieser Gruppe; sie misst zirka ?/, der Länge der vierten Rippe und ist nach oben gekrümmt. Sehr gut ausgebil- det ist hier das Os suspensorium, auf dem vorderen Ende der Schwimmblase zu einer flachen Platte erweitert. Die oberen CYPRINOIDEN oil Bogen des zweiten, dritten und vierten Wirbels verschmelzen zu einem flachen, in der Medianlinie in zwei Hälften gespalte- nen Knochen, welcher vertikal über den Wirbeln steht. Was für Abramis brama eigentümlich ist, sind die Weber’- schen Knôchelchen; sie sind, ähnlich wie bei Cyprinina, sehr klein. Der Vorderarm des Malleus ist beträchtlich ausgewach- sen und zwar in folgendem Verhältnis : Vorderarm : Hinter- DER —— ol 7e Rückblick auf die Abramidina. Die Gruppe der Abramidina zeichnet sich durch folgende Merkmale aus : 1. Gute Ausbildung des Pharyngealfortsatzes. . Grosse und starke Pleurapophyse des zweiten Wirbels. 3. Gute Ausbildung des Os suspensorium. 4. Beträchtliche Grüsse des Stapes und Claustrum (Aus- nahme : Abramis brama). 5. Starke Entwicklung des Vorderarmes des Malleus. [Re Dritte Gruppe : CYPRININA. (Barbus vulgaris, Cyprinus carpio.) Darbus vulgaris. Der erste Wirbel ist bei gut ausgewachse- nen Exemplaren dieses Fisches nicht mehr vom Occipitale basilare zu trennen; er ist vollständig verwachsen. Der Pharyn- gealfortsatz ist sehr stark ausgebildet und stützt sich mit seinem freien Ende auf das Os suspensorium. Der unechte Querfortsatz des ersten Wirbels ist deutlich verknôüchert und bekommt beträchtlhiche Dicke. Der zweite Wirbel verschmilzt mit dem dritten teilweise; das Bild, welches uns ein Sagittalschnitt durch die ersten Wirbel der Barbe gibt, lässt sich direkt von den Ver- 752 M. SACHS hältnissen bei den Leuciscina ableiten : das Chordastückchen zwischen dem zweiten und dritten Wirbel (Fig. 5) wird allmälig reduziert, es ist sehr verkleinert und zeigt die Tendenz, voll- ständig zu verschwinden. Die Pleurapophyse, welche sich an den zweiten Wirbel an- legt, ist gross, stark in die Dicke entwickelt und nach oben gekrümmt, wie die ersten Pleurapophysen von Cobitis (Misqur- nus) fossilis. Aus dem Vergleich mit der Rippe des vierten Wir- bels ergibt sich, dass die Pleurapophyse nicht nur dicker, sondern auch länger als dieselbe ist. Die vierte Rippe ist hier aber etwas kürzer als gewôhnlich bei den Barbidae. Das Os suspensorium ist kräftiger entwickelt als bei den Leuciscina, ist aber weniger bedeutend als dasjenige von Cyprinus und Abramis. Der obere Bogen des vierten Wirbels ist frei, aber kürzer als ein normaler Bogen. Die Gliedstücke des Weber’schen Apparates erlangen keine bedeutende Grüsse : Claustrum, Stapes und Incus sind verhält- nismässig kleiner als die entsprechenden Knôüchelchen der Leuciscina. Auch in der Gestalt des Malleus ist em typischer Unterschied von der ersten Gruppe zu beobachten : der vordere Arm entwickelt sich, wie bei den Abramidina, stärker im Ver- hältnis zum hinteren, was folgende Proportion ergibt: Vorder- arm : Hinterarm — 11:9, und was die Beweglichkeit des ganzen Apparates vergrüssert. Cyprinus carpio. Der erste Wirbel des Karpfen ist mit dem Occipitale basilare verwachsen. Der Pharyngealfortsatz ist sehr kräftig, dick und lang, da er sich bis zum Os suspensorium erstreckt. Der sich an den ersten Wirbel anlegende unechte Querfortsatz ist stark verknüchert und nach unten gerichtet. Was die Verschmelzung des zweiten Wirbels mit dem dritten anbetrifft, so finden wir hier weder von aussen, noch von innen eine sichtbare Grenze zwischen den beiden Wirbelkôürpern ; auch CYPRINOIDEN 753 die Chordareste nehmen hier sekundär eine regelmässige Stel- lung gegenemander in der Art, wie es uns die Fig. 6 zeigt. Hier finden wir also die vollkommenste Verschmelzung. Die Pleura- pophyse des zweiten Wirbels ist ziemlich gross; sie ist horizon- tal gerichtet und etwas von oben abgeplattet. Threr Länge nach stellt sie ungefähr */, der vierten Rippe dar. Das Os suspen- sorium ist hier stark entwickelt und plattenfürmig verbreitet an dem vorderen Ende der Schwimmblase, Der vierte obere Bogen ist frei, aber an seiner Basis breiter, oben stark verkürzt und zugespitzt. Die Gliedstücke des Weber’schen Apparates sind kleiner als in den beiden vorigen Gruppen. Der vordere Arm des Malleus ist auch hier bedeutend entwickelt, was ein charakteristisches Merkmal für die ganze Gruppe ist. Rückblick auf die Cyprinina. Die Gruppe der Cyprinina zeichnet sich durch folgende Merkmale aus : 1. Gute Entwicklung des Pharyngealfortsatzes. 2, Starke Verknücherung des unechten Querfortsatzes des ersten Wirbels. 3. Gute Ausbildung des Os suspensorium. 4, Kleine Dimensionen von Claustrum und Stapes. 5. Starke Entwicklung des Vorderarms des Malleus. Zusammenfassung. Die drei von uns untersuchten Parbidae-Gruppen zeigen Eigenschaften und Merkmale, von welchen eine als primitivere, die anderen als vollkommnere aufgefasst werden künnen. Die Leuciscina zeigen im Allgemeinen eme schwache Ver- knücherung des Ligamentes, welches den unechten Quertort- satz des ersten Wirbels bildet. Dies ist ein primitives Verhalten, 754 M. SACHS da wir bei sehr jungen Tieren überhaupt noch keine Ver- knücherung finden. Bei den Abramidina, und hauptsächlich den Cyprinina, bildet sich der Querfortsatz stark und mächtig aus. Im Gegensatz zu den Leuciscina zeigen also die beiden anderen Gruppen hôhere und vollkommenere Ausbildung. Was die Verschmelzung des zweiten Wirbels mit dem dritten anbetrifft, so haben wir ebenfalls gesehen, dass die beiden Wir- belkôürper bei den Leuciscina nie vollkommen verwachsen; die Gruppen der Cyprinina und der Abramidina geben uns dage- gen eine Reihe von Uebergangsstadien (Barbus vulgaris, Abra- mis brama) bis wir endlich bei der Art Cyprinus carpio eine vollkommene Verschmelzung finden. Das Os suspensorium ist bei den meisten Leuciscina schwach ausgebildet, bei den Abramidina und Cyprinina dagegen ist es bedeutend stärker. Die Pleurapophyse des zweiten Wirbels ist nur bei Tinca vulgaris und Alburnus (lucidus und alborella) nach unten ge- krümmt, was noch auf ihren Ursprung von der Rippe hinweist. Bei allen anderen Arten ist sie horizontal, endlich bei Barbus und Abramis — nach oben gekrümmt ; dadurch schliessen sich diese Gattungen an die Cobitidue. Was die Ausbildung der Weber’schen Knôchelchen anbetrifft, so haben wir gesehen, dass ein grüsserer Stapes und Claustrum als primitivere Gebilde betrachtet werden müssen, im Gegen- satz zu den kleineren, da sie bei jangen Fischen sich viel stärker entwickeln und erst später reduziert werden. Bei den Leuciscina und Abramidina finden wir grosse, manchmal sehr grosse Sta- pedes und Claustra, bei den Cyprinina dagegen sind sie kleim. Endlich finden wir bei den Leuciscina fast gleiche Arme des Malleus. Bei den Abramidina und Cyprinina dagegen entwi- ckelt sich der Vorderarm schon viel stärker, was auf eine grüs- sere Differenzierung des Apparates hinweist. Die in dieser Weise gruppierten Merkmale erlauben uns den CYPRINOIDEN | 755 Schluss zu ziehen, dass die Leuciscina in vielen Hinsichten pri- mitivere Verhältnisse zeigen als die Cyprinina und dass die Abramidina, welche mit primitiven Merkmalen auch kompli- ziertere und hühere Merkmale vereinigen, einigermassen als Uebergangsgruppe zwischen ihnen betrachtet werden künnen. Vorliegende Arbeit wurde im Zoologischen Laboratorium der Hochschule Bern ausgeführt. Es sei mir an dieser Stelle gestattet, meinem hochverehrten Lehrer, Herrn Prof. Dr. Theo- phil STUDER, meinen tiefgefühlten Dank für seine Unterstützung und werten Ratschläge auszusprechen. 756 LC) SL M. SACHS LITERATUR VERZEICHNIS . BeaupeLor, E. De la détermination des pièces osseuses qui se trouvent en rapport avec les premières Vertébres chez les Cyprins, les Loches el les Silures. C. R. Acad. Sc. Paris T. 66. Bcocx, L. Schwoimmblase, Knochenkapsel und Weber'scher Apparat von Nemachilus barbatulus. Günth. Tena, 1900. . 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Sagittalschnitt durch die ersten Wirbel : 41 — erster Wirbel.2—zweiter falscher Wirbel, auf welchem die Spalte (ursprüng- liche Grenze des zweiten und dritten Wirbels) sichtbar ist. 3 — vierter Wirbel. — Fünfter Wirbel von Aramis brama (normaler Wirbel). — Fünfter und sechster Wirbel von Aramis brama, von der linken Seite gesehen. — Kopf und die ersten Wirbel von À bramis brama : H—Hirn ; L = La- byrinth ; So —Occipitale superius ; Obs—oberes Bogensystem des drit- ten und vierten Wirbels ; q —unechter Quertfortsatz des ersten Wir- bels ; pl— Pleurapophyse des zweiten Wirbels ; ph — Pharyngealfort- satz des Occipitale basilare ; e— Claustrum ; st = Stapes ; 1 Incus: m == Malleus : r—Rippe des vierten Wirbels ; a —hinterer Abschnitt der Schwimmblase ; b— vorderer Abschnitt derselben; 1= Luftgang. — Kopf und die ersten Wirbel von Barbus fluviatilis; L— Labyrinth ; 19: 20. 23. CYPRINOIDEN 759 1 — Occipitale superius : 2— Pharyngealfortsatz; 3 —unechter Quer- fortsatz des ersten Wirbels ; 4 — Pleurapophyse des zweiten Wirbels : —Malleus : 6—Rippe des vierten Wirbels : e—Claustrum ; st=stapes : = Infus: TAFEL 41. — Kopf und die ersten Wirbel von Spirlinus bipunctatus:; Erklärung, wie zur Fig, 17: b—oberer Bogen des vierten Wirbels, nicht voll- ständig mit dem oberen Bogensystem des zweiten falschen Wirbels verwachsen. (Ungefähr 2 mal vergrüssert.) — Kopf und die ‘ersten Wirbel von A/burnus alborellu: Erklärung, wie bei Fig. 17 und 19, (Ungefähr 3 mal vergrüssert). — Kopf und die ersten Wirbel von Scardinus erythrophtalmus. Er- klärung, wie bei Fig. 17 und 19. (3 mal vergrüssert.) — Kopf und die ersten Wirbel von Phoxinus laevis. Erklärung, wie bei Fig. 17 und 19. (4 mal vergrüssert.) TArFEL 12. — Kopf und die ersten Wirbel von Tinca vulguris : sac—Sacculus : u—Utriculus: sb—Sagittalbogen ; hb —Horizontalbogen ; fb—Fron- talbogen: übrige Erklärungen, wie bei Fig. 47 und 19. (1 ‘/, mal vergrossert.) — Kopf und die ersten Wirbel von Leuciscus rutilus. Erklärung s. Fig. 17. (Etwas vergrüssert.) — Kopf und die ersten Wirbel von Squalius leuciscus. Erklärung s. Fig. 17 und 19 (1,5 mal vergrüssert). — Kopf und die ersten Wirbel eines sehr jungen Squalius leuciseus. Stapes (st) noch sehr gros, Pleurapophvse (pl) grüsser als die Rippe des vierten Wirbels (r). Erklärung s. Fig. 17 und 19 (4 mal ver- orossert). — Die ersten Wirbel von Squalius cephalus. Erklärung s. Fig. 17 und 19 (1,5 mal vergrôssert). L, + E p Let à! À CRUE 24 pr RS Le. LU 3 » [ei . 1 k DA 7 Eu * Cu He à 1 F . 1 + 4e Dane Zo0l. Ti80 1912. PL.10. DÉS x jy Lith. Beck & Brun.-Geneve M Sachs del, M. Sachs.—Cyprinoiden. nf _ ee LS — + L: pe CESSER SO ES RE. te MS 7 : Ce : h ne 2 FR SR sem, (PE PR Rent RS le bé ue Je mme 1 s< re de ENT Lo Lt pre (à CR. DE ‘ : : … Es D CN RE RE SP L LE 2 p'cee D en ne = 4 . 3 7 _ - He “à DS 5 L , "7 = : à = É : = Co L 4 s A re Œ à en * : » eu D | 4 L . ur. . a : sa : : _ ne ere : L É : ne tnt = AA - : | . ai - Lee - = u En PE PR « à : _ E Or ee” - .: : | ee . Rerr Suisse de Zool. T! 20 7912. PL 11. ——_—_— M. S'achs del, 4 1 Lila. Beck & Brun. Geneve M. Sachs.-Cyprinoiden. 4 : e : +: 2 : RI {! ; ” Re. Suisse de Zool. T. 20 19/2 à h PL 12. M. Sachs del, Lith.Peck & Brun,-Geneve M. Sachs.-(Yprinoiden. Le # d. ME & £E ES > Ê MT REVUE re DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 16. — Décembre 1912. Descriptions provisoires de genres, sous-genres et espèces de Formicides des Indes orientales. PAR AUGUSTE FOREL Je place ici quelques diagnoses provisoires de formes impor- tantes récoltées principalement par M. le Prof. von BUTTEL- REEPEN à Sumatra, à Malacca et à Ceylan. Genre Emeryopone n. g. Ce genre appartient à la section des Euponerinæ A'ÉMERY. à la tribu des Ponerini et à la sous-tribu des Ponerini (sens. str.) qui n’ont qu'un seul éperon pectiné aux deux paires de pattes postérieures. Il se distingue des Belonopelta par son épis- tome sans pointe et des Ponera et des Cryptopone par ses man- dibules démesurément allongées. Il n’a pas le lobe des Trape- ziopelta, ni les dents des HMyopias, ni les mandibules allongées et sans dents des Plectroctena. I rappelle un peu les Psalidomyr- mex, mais s’en distingue par ses longues dents pointues rap- pelant celles des Belonopelta. Rev. Suisse DE Z00. T. 20. 1912. 50 « 762 A. FOREL Mandibules triangulaires très allongées, longues comme plus de la moitié de la tête, terminées par une longue dent courbée en épée et pourvues en outre, à leur bord terminal, de quatre dents très longues et aiguës se croisant d’un côté à l’autre. Suture mésoépinotale obsolète comme chez les Pachycondyla. Ecaille très épaisse, presque une fois et demie plus large que longue, tronquée devant et derrière. Du reste comme le genre Ponera. Emeryopone Buttel-Reepeni n. sp. Longueur : 3,7, Caractères du genre. Yeux nuls. Arêtes frontales en lobes rapprochés. Tête rectangulaire, un peu allon- gée, rétrécie devant. Scapes atteignant presque le bord posté- rieur de la tête. Articles du funicule plutôt un peu plus longs que larges. Thorax distinctement convexe, sans étranglement. Abdomen presque pas étranglé. Tête à peu près mate, pas très finement (même plutôt grossièrement), mais très densément ponc- tuée. Thorax et écaille densément ponctués et peu luisants. Ab- domen plus fortement ponctué vers la base, plus finement vers l’extrémité. Pilosité dressée médiocre sur le corps, oblique sur les tibias et les scapes; pubescence presque nulle. D'un brun foncé pres- que noir; pattes, antennes et mandibules rougeûtres. Soengei, Bamban. Sumatra (von BUTTEL-REEPEN). Genre Metapone Forel. J'ai institué dernièrement (Revue zoologique suisse, décembre 1911) le nouveau genre Metapone et je l'ai rattaché, avec toutes mes réserves, aux Ponerines, en appuyant sur le fait qu’on peut tout aussi bien rattacher ce genre aux Myrmicines, car la tran- sition entre les deux sous-familles est complète. M. EMERY, tout FORMICIDES 763 en reconnaissant l'établissement d’une section spéciale (Pro- myrmicinæ) comme justifiée, préfère rattacher les Metapone aux Myrmicines. Pour les raisons indiquées, je n’ai rien à y opposer et on verra même plus loin un point qui milite en cette faveur. En attendant, M. SAUTER a déjà découvert une nouvelle es- pèce de Metapone ; cette fois c’est une femelle qui a les ailes bien développées, de sorte que la nervulation peut être bien fixée. Metapone Sauteri n. sp. © Longueur : 10,2 à 10,8, Mandibules armées de cinq dents dont les dernières peu distinctes. Le grand lobe allongé de la base bien moins proéminent que chez M. Greeni. Par contre, le lobe avancé de l’épistome est encore plus avancé, bien plus large et rectangulaire devant, mais un peu moins arqué et moins con- vexe derrière. Le scrobe est à peu près identique, mais le scape et le funicule sont bien moins épais et plus longs. Les articles dernier et avant-dernier du funicule sont à peu près aussi longs que larges. Les dimensions du pédicule sont à peu près les mêmes, mais l’article premier est presque aussi large devant que derrière et a, derrière, de fortes expansions latérales en aï- lerons. Le post-pétiole est au moins d’un bon tiers plus large que long. Les cuisses sont bien moins épaisses que chez M. Greenti et les pointes des tibias et des métatarses moins aiguës, du reste toutes semblables, avec la même striation. Brune avec l’abdo- men roussâtre. Une seule nervure cubitale et une nervure dis- coïdale, La nervure transverse s’unit avec le rameau cubital externe au point de partage. Nervure radiale à peu près com- plètement ouverte. Les ailes sontirisantes, brunâtres, brillantes, à nervures tres foncées. Sokutsu, Banshoryo Distr. (H. SAUTER). 764 A. FOREL . Genre Promyrma n. g. Ce genre se rapporte à la section des Promyrmicinæ. Comme eux, ils ont une seule cellule cubitale; la nervure transverse s’unit au rameau cubital externe très près du pomt de partage. Les segments du pédicule sont analogues: les téguments chi- tineux aussi. Les articles des antennes sont aussi au nombre de 11. Crochets des tarses simples, mais l’aiguillon n’est pas spé- cialement fort. Les éperons des pattes postérieures sont simples ou tout au plus très indistinctement pectinés; les tibias n’offrent qu’une dent distincte et les métatarses trois. Les mandibules sont triangulaires et armées de quatre dents: elles ont un lobe médian beaucoup moins marqué que chez les Metapone. I n’y a pas de scrobe et l’épistome n’est pas sensible- ment avancé. Par contre, les arêtes frontales sont très fortement écartées l’une de l’autre. Les pattes sont cylindriques et nulle- ment renflées comme chez les Metapone. Promyrma Butteli n. sp. Longueur: 10%%,9, Caractères du genre. Tête rectangulaire, un peu plus longue que large, à côtés un peu convexes. Le scape, replié, atteint la moitié de la longueur de la tête. L’épistome lé- gèrement échancré au milieu et très légèrement avancé, presque plan, un peu prolongé d’une façon arquée entre les arêtes fron- tales. Celles-ci à peu près parallèles. Les scapes un peu dilatés vers leur seconde moitié. Le funicule cylindrique avec une mas- sue de trois à quatre articles; les articles deux à six plutôt plus courts qu'épais. Les yeux sont un peu en avant du milieu. Tho- rax un peu plus étroit que la tête. Le pédicule rappelle un peu la forme du genre Phyracaces Em., avec ses nœuds en ailerons. Le premier nœud à un pédicule très court. Il est en rectangle trans- FORMICIDES 765 versal, deux fois plus large que long, un peu plus large derrière que devant, presque aussi large que l’épinotum, faiblement échancré derrière, avec un aileron peu apparent, mais distinct. Le second nœud fortement échancré devant et convexe derrière, environ deux fois et demi plus large que long (donc plus large que le premier nœud), à côtés faiblement convexes. Uu lobe obtus sous le premier nœud et une dent sous le second. Abdo- men allongé. Cuisses antérieures médiocrement dilatées, cuisses postérieures et moyennes à peine. Laisse et luisante avec des points enfoncés épars. Abdomen faiblement chagrimé. Presque entièrement glabre. Les tibias et les métatarses pubescents, sans poils dressés. Noire. Bord des segments abdominaux, pattes et mandibules brunâtres. Antennes, tarses et articulations rous- sâtres. Ailes plus ou moins brunâtres avec la tache et les ner- vures foncées. Selangor. Malacca. 823 (von BUTTEL). Genre Pheidole Westw. Sous-genre /sopheidole n. sube. Le Prof. von BUTTEL-REEPEN à fait une singulière décou- verte. Ce que nous avons tous considéré jusqu'ici comme Aphae- nogaster (Ischnomyrmex) longipes Sm., est une Pheidole aber- rante! M. von BUTTEL a découvert le 2} et la © qui sont abso- lument typiques. Mais ici, il n'existe pas de massue distincte chez aucun des sexes; les articles vont en diminuant peu à peu d'épaisseur vers la base. C’est pourquoi je propose un nouveau sous-genre (/sopheidole n. subg.) pour ces formes. Non seule- ment |A. longipes, mais probablement | À. Feæ Em., | A. dro- medarius Em., l'A. Loriui Em. peut-être même d’autres es- pèces rentrent-elles dans la même catégorie; mais il est impos- sible de rien affirmer à l'avance. Ces faits viennent changer nos 766 A. FOREL vues sur les rapports des Aphaenogaster avec les Pheidole. Le seul caractère distinctif devient la présence du %. Or, chez les Allopheidole, le 9} cesse d’être constant et chez certaines espèces de Pheidole la différence entre % et © devient assez faible. L'avenir nous réserve encore des surprises à cet égard. Le 2} del’A. longipesrécolté par von BUTTEL se rapporte à la var. conicollis Em. Il à une large tête de 2,5 de large et de 3m de long. La longueur de tout l’Insecte est de 9m, La sta- ture est élancée. Le scape atteint le quart postérieur de la tête. Les épines sont médiocres. Le second article du pédicule est assez large et rhombiforme, aussi large que long. Tout l’Insecte est mat, réticulé-ponctué, en outre strié, sauf l’abdomen qui est luisant et seulement réticulé. Tout le corps est pourvu de poils dressés raides, comme chez | ©. La tête est d’un brun-roussâtre : le reste plus foncé, brunâtre. La © a deux cellules cubitales. Elle à 11,5 de long, et la tête un peu plus large que le thorax : du reste brune, mate, avec les ailes plus ou moins brunâtres et semblable au °. Birch’s Hill près Taiping. Malacca, à 1342" (von BUTTEL- REEPEN), dans un tronc. Genre Dilobocondyla Santschi. Sous-genre Tetramyrma n. subg. Mandibules triangulaires armées d'environ €inq dents ob- tuses. Epistome à bord postérieur moins relevé que chez Tetra- morium; Sa portion médiane, en trapèze élargi devant, est lé- serement, mais distinctement et largement imprimée longitu- dinalement, bordée d’une petite arête latérale et prolongée en avant en lobe rectangulaire, entier devant à peu près comme par exemple chez la Podomyrma gratiosa Sm. Arêtes frontales diver- gentes, ne formant pas de scrobe. Aire frontale grande, sémi- FORMICIDES 767 circulaire. Antennes de douze articles; scapes longs; massue de trois ou quatre articles, le neuvième faisant passage de la mas- sue au reste du funicule, Thorax échancré au milieu, formant deux bosses très arrondies, sans trace de dents ni d'épaules. Les deux sutures visibles, mais faibles. Base de l’épinotum sans trace des expansions qu'on voit chez Düilobocondyla et Atopula. Premier nœud grand, assez étroitement et très nettement pétiolé devant, large, épais et très arrondi. Second nœud aussi arrondi et encore plus large. Les deux nœuds rappellent ceux du 7ri- glyphotrix obesus André, mais ils sont encore plus grands. Pre- mier segment recouvrant presque tout l’abdomen. Cuisses minces aux deux extrémités, un peu renflées au milieu. Aspect d’un Tetramorium aberrant, même un peu d'une Sima. Les affinités réelles rattachent néanmoins ce sous-genre aux Dilobocondyla Santschi et aux Vollenhoria (Atopula Em.). Le Tetramorium Simoni Emery paraît lui ressembler un peu. Dilobocondyla (Tetramyrma) Braunsi n. sp. ©. Longueur : 5%, Mandibules striées et ponctuées, à bord externe peu convexe. Tête rectangulaire un peu plus longue que large et un peu plus large derrière que devant, à bord pos- térieur légèrement convexe et à côtés presque droits. Il s’en faut de son épaisseur que le scape atteigne le bord postérieur de la tête. Articles 4 à 7 du funicule aussi épais que longs : tous les autres plus longs qu’épais. Situés à peine en avant du milieu. les grands yeux convexes occupent le quart des côtés. Le pro- notum, assez dilaté, est rétréci en col devant. Les deux bosses du thorax sont séparées par une large échancrure en selle. Epino- tum absolument arrondi. Pétiole du premier nœud avec une dent en dessous : il est plus court que le nœud. Celui-ci plus étroit que l’épinotum, aussi large que long ; second nœud plus large que 768 A. FOREL long et aussi large que l'épinotum. Abdomen ovale, tronqué de- vant. Subopaque. Tête assez grossièrement ridée en long, réticulée entre deux et plus finement réticulée au fond; environ 25 rides sur la face. Thorax et pédicules très grossièrement réticulés, fine- ment rugueux au fond des mailles. Abdomen avec un éclat soyeux, extrèémement finement ridé (et un peu réticulé) en long. Pattes et scapes avec des points épars. Glabre: seulement les pattes et les antennes avec une pubescence adjacente espacée. Tête, abdomen et scapes noirs; thorax et pédicule d’un rouge sombre; funicules et pattesbruns; mandibules, tarses et articula- tions roussâtres. Willowmore, Colonie du Cap (D'BRAUNS). Une seule © . Court sur la terre. Paraît très rare. (Grenre Proatta n. g. ©. Aspect tout semblable à une Aa, spécialement au sous- genre Mycocepurus For., avec cette différence fondamentale, que les antennes ont 12 articles au lieu de 11. Les antennes forment la même massue: les mandibules, en triangle allongé, ont deux dents devant et des denticules derrière. L’épistome à une carène latérale à l’œil, et, comme chez certains Cyphomyr- mezx, un lobe médian élevé et déprimé au milieu. Les arêtes frontales sont prolongées à peu près parallèlement jusqu’à l’oc- ciput. De même, une carène postérieure se prolonge aussi Jus- qu'à l’occiput qui est ensuite tronqué et terminé par deux dents: une troisième dent médiane terminant les arêtes frontales. Toutes ces dents un peu courbées en avant. La tête est mate, réticulée-ridée en long. Elle est plus longue que large, à côtés peu convexes, échancrée derrière; les arêtes frontales sont rétrécies et comme un peu liées entre elles au milieu. Les yeux sont situés presqu’au milieu et globuleux. Le pronotum et le FORMICIDES 769 mésonotum portent d'abord trois paires d’épines, la première est la plus écartée, la troisième la moins écartée, toutes un peu courbées en avant. Puis une quatrième paire, plus rapprochée, entre les épines pronotales. En arrière du mésonotum, il y a en- core une épine médiane impaire, mais plate et bifurquée. L’épi- notum porte d’abord, en avant, une épine impaire unique au milieu, puis, en arrière, la paire d’épines ordinaires recourbées en arrière et assez longues. Le pédicule à un pétiole médian et un nœud postérieur surmonté de quatre dents, impressionné au milieu, un peu plus long que large. Le second nœud est trans- versal-arrondi, plus de deux fois plus large que le premier, no- tablement plus large que long. Mate, irrégulièrement recticulée sur un fond plus ou moins granulé. L’abdomen seul est luisant. Toutes les épines sont à peu près de même grandeur et rap- pellent beaucoup celle du sous-genre Mycocepurus. cf. Mêmes différences pour le nombre des articles des an- tennes. Mais toutes les épines sont transformées en dents plus ou moins mousses. Epistome, arêtes frontales, carènes latérales comme chez l’ouvrière. Des stilons convergents au pronotum. Scutellum tronqué derrière, presque bidenté. La même dent an- térieure, médiane et unique que chez l’ouvrière. De fortes dents paires en arrière de l’épinotum. Les ailes chiffonnées paraissent semblables à celles des Affa. Premier nœud du pédicule très faiblement impressionné au milieu. Proatta PButteli n. sp. Environ 22m,5, Caractères du genre. Glabre. Pattes un peu pubescentes, sans poils dressés. Les épines épinotales (derrière) un peu courbées et un peu plus courtes que l’épmotum. Mate, abdomen lisse. Les pattes, comme les antennes, ont tout à fait l'aspect de celles des Afta. D’un roussàtre clair. Milieu de l’ab- domen un peu brunâtre. 770 A. FOREL cj. Longueur, environ de 2"",5. Scape bien plus long que la tête. Abdomen aussi large que la tête. Entièrement brunâtre avec les pattes et les antennes plus claires. Les dents de l’occiput sont un peu plus longues que les autres. Du reste comme l’ou- vrière. Soengei. Bamban. Sumatra (von BUTTEL-REEPEN). M. von BUTTEL-REEPEN m'écrit qu’il a tamisé cette espèce avec d'autres d’un nid de Termites en carton terreux. Ces nids là ne contiennent pas de jardin de champignons. M. von BUTTEL n’a pas vu, non plus, que la Proatta fasse elle-même un jardin de champignons. Malgré tout, 1l semble y avoir là quelques con- vergences adaptées à des mœurs cryptogamivores. Ce qu'il y à de tout à fait étonnant, c’est la découverte d’une bête si voisine des Afta dans l’ancien continent. On ne peut encore que faire des conjectures sur cette singulière découverte. Je préfère pour ma part m'abstenir d’'hypothèses. Genre Aneuretus Em. M. von BUTTEL-REEPEN a découvert à Ceylanla © d'un Aneu- retus. Cet Insecte se trouvait chez Leucotermes ceylonicus; 1 à été trouvé seul (© isolée). Cela semble parler pour des mœurs termiticoles. L’Insecte en question diffère de PA. Simoni par l'absence complète d’épines épinotales et par sa couleur foncée. L’aiguillon est rétracté de sorte que je n’en puis juger. C’est peut-être la © de |A. Simoni, mais plus probablement une autre espèce. Pour éviter des confusions je lui donne provisoi- rement un autre nom : Aneuretus Butteli n. sp. ©. Longueur : 4, Antennes comme chez T4. Simon : articles des funicules un peu plus longs que larges. Le scape dépasse lé- FORMICIDES Gel sèrement l’occiput. Arêtes frontales assez longues, faiblement divergentes ; l’épistome se prolonge entre elles en arrière. Man- dibules assez épaisses, aussi épaisses que longues. Tête assez cordiforme, à bord postérieur large, à peine échancré. Ocelles bien développés; yeux médiocres, situé aux ?/, antérieurs. Tho- rax un peu déprimé, un peu plus large que la tête. L'épmotum a à peine une faible impression longitudinale médiane, pas même des tubercules. Pédicules conformés comme chez l'A. Simon, mais le nœud est deux fois plus large que long. Mat, densément réticulé-ponctué (y compris les mandibules et les scapes). Pédi- cule et pattes subopaques. Abdomen assez luisant, plus ou moins réticulé-chagriné. Une pubescence forte, accentuée surtout sur la tête et sur les scapes. Pilosité dressée brunâtre, éparse sur le corps, nulle sur les tibias et les scapes. D'un brun un peu roussâtre. Antennes, tarses et articulations d'un rouge Jaunà- tre. Abdomen brun. Ailes manquent. Ceylan. chez Leucotermes ceylonicus (von BUTTEL-REEPEN). Genre Acropyga Rog. Sous-genre Atopodon n. subg. Ce nouveau sous-genre se distingue des Acropyga typiques par sa tête rectangulaire et surtout par une grosse dent basale, écartée des autres, épaisse et un peu courbée en avant. Les autres dents sont en général au nombre de quatre. Ce sous-genre se rapproche évidemment beaucoup du sous-genre Æhizomyrma For., et spécialement des Rhizomyrma à onze articles (A. ocea- nica Em. et Sauteri For.). Il s’en distingue avant tout par la grosse dent écartée et par ses mandibules qui continuent direc- tement les angles de la tête, au lieu d'être articulées plus en de- dans. 12 A. FOREL Acropyga (Atopodon) Inezæ n. sp. ©. Longueur: 1,5 à 1,7. Mandibules armées en avant de deux dents assez distinctes, en arrière de deux autres dents peu distinctes et, plus en arrière encore, d’une grosse dent très épaisse, pas très écartées des autres, situées à peu près sur la même ligne et ayant plutôt l’air d’un lobe que d’une dent. Tête d’un bon quart plus longue que large, rectangulaire à côtés presque droits, à bords postérieurs faiblement échancrés. Les scapes n'atteignent pas l’angle occipital, il s’en manque d’en- viron !/.. L’épistome est court, bien plus large que long. Arètes frontales courtes. Scapes épais. Tous les articles du funicule plus épais que long, sauf le dernier et l’avant-dernier. Les yeux sont représentés par une seule facette à peine visible, située au quart antérieur de latête. Thorax sans échancrure, à sutures bien dis- tinctes. Le thorax est court. Face basale de l’épinotum plus courte que la face déclive. Ecaille basse, plutôt épaisse. Assez luisante, ponctuée et pubescente. Pilosité dressée à peu près nulle. Entièrement d’un jaune pâle; dents des mandi- bules à peine plus foncées. Tanjong. Slamat; sur la côte orientale de Sumatra dans la plaine. Dans le nid abandonné, en carton, d’un Capritermes. Acropyga (Atopodon) PButteli n. sp. - ©. Longueur : 4%,5. Mandibules lisses, luisantes, ponctuées, armées au bord terminal d'environ quatre dents peu distinctes. Ce bord terminal est assez étroit. La dent basale est obtuse et située fort en arrière du bord terminal, plus près de la base du bord interne. Epistome à bord intérieur droit; sa partie médiane est bien plus large que longue. Aïre frontale triangulaire, aussi bien plus large que longue. Tête rectangulaire à bord posté- FORMICIDES (Ne rieur et à côtés presque droits, distinctement plus longue que large. Les yeux sont grands et situés très près du bord anté- rieur. Leur bord postérieur est situé encore en avant du milieu de la tête, tandis que leur bord autérieur atteint environ le dou- zième antérieur de la tête. Les scapes dépassent le bord posté- rieur de deux fois leur épaisseur, à peine. Arêtes frontales très courtes. Tous les articles du funicule plus longs que larges, les moyens, d’un peu seulement. Thorax un peu plus étroit que la tête. Epinotum inerme. Ecaille basse, assez épaisse, un peu in- clinée en avant et avec une convexité en dessous. Luisante: ponctuée. Dessus de la tête un peu plus densément ponctué et moins luisant. Pubescence très distincte, assez abondante et as- sez longue partout. Pilosité dressée, un peu roussâtre, dispersée sur le corps, nulle sur les tibias et les scapes. D'un roux Jjau- nâtre, pale. Abdomen brunâtre. Tête d’un roux brunâtre, ainsi que quelques taches sur le dos du thorax. Sélangor, Malacca (von BUTTEL-REEPEN), dans un nid de Termites (?) avec la Leptanilla Butteli. Acropyga (Atopodon) termitobia n. sp. Longueur: 4%, Mandibules armées devant de quatre dents assez distinctes et derrière d’une dent large et obtuse un peu écartée, mais située sur le même plan que les autres, comme chez l'A. Inezæ et non en arrière (vers le bord interne). Du reste les mandibules sont luisantes, ponctuées et poilues comme chez l’A. Butteli. La tête est plus courte; aussi large que longue ou peut s’en faut, légèrement échancrée derrière, à côtés dis- tinctement convexes. Les yeux atteignent le milieu de la tête : ils sont un peu plus petits et plus distants du devant de la tête. L’épistome est un peu avancé devant (en forme arquée), un peu plus convexe et un peu moins large, de même que l'aire frontale. Les articles médians du funicule sont à peine, ou ne sont pas 774 A. FOREL plus longs que larges. Le scape dépasse le bord postérieur d’en- viron son épaisseur. Ecaille un peu plus mince que chez l°A. But- teli. Entièrement luisante, plus faiblement ponctuée, aussi le dessus de la tête. Du reste absolument identique de pubescence, de couleur et de pilosité à |A. Butteli. Sélangor. Récolté dans une cavité en dedans d’un nid de Termites, à 915" de hauteur (von BUTTEL-REEPEN). N’étaient les mandibules entièrement différentes et la tête assez diffé- rente aussi, je serais tenté de faire de cette forme une simple race de l’A. Butteli. EPA À REX 5 fe | EG RE Ce es A AN + + re ES 4 0 CSS a pd as REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 16.— Décembre 1912. Die lardigraden des Rhätikon VON Dr. Fr. HEINIS (Basel.) Herr cand. phil. W. SCHMASSMANN, in Sissach, hatte die Güte, mir die aus Anlass seiner Studien über die Tiefen- fauna einiger Hochgebirgsseen, speziell des grossen Lünersees im Rhätikon gesammelten Tardigraden zur Untersuchung und Bestimmung zu übergeben. Aus der gleichen (regend stammen mehrere unten ange- fübhrte Landtardigraden, die mir Herr cand. phil. R. MENZEL, Basel, in freundlicher Weise überliess. Die Süsswassertardigraden der Schweiz und der angrenzen- den Gebiete sind nur unvollständig bekannt. PENARD fand im (renfersee in jeder Probe aus 25, 30, 40 und mehr Meter Tiefe Tardigraden; ebenso konstatierte er, einer früheren brietflichen Mitteilung zufolge, Bärtierchen im Neuenburgersee, Murtensee, Lac d'Annecy und Lac de Bourget. Nach FOREL (2) hat SELENKA im Genfersee Müilnesium tardigradum Doy. in einer Tiefe von 40 Fuss nachgewiesen, während MURRAY (6) gleichen Ortes unter T'hammium lemani aus 200 Fuss den Macrobiotus Rev. Suisse pe Zooz. T. 20. 1912. b1 776 F. HEINIS ambiguus Murray beobachtete. ZSCHOKKE (9) konstatierte fast in allen von ïihm untersuchten hochalpinen Gewässern der Schweiz das Vorkommen von Macrobioten, speziell des Hacro- biotus macronyx Duj. An hüchsteelegenen Fundorten verzeichnet er: Grosser St. Bernhard. mittlerer See am Col de Fenêtre 2500 %, südlicher und mittlerer See im Jardin du Valais 2610», Lago Scuro 2453", Punta nera 2456", unterer Sewenalpsee 2610, Lej Sgrischus (Bernina) 2640". Sehr wahrscheinlich sind aber nicht alle von ZSCHOKKE an- geführten Funde zu M. macronyx zu zählen, da zur Zeit semer Untersuchungen unsere Kenntnisse über das Vorkommen und die Verbreitung der Tardigraden noch gering waren und das genannte Bärtierchen infolge der Behauptung PLATES (8) als emzige Süsswasserform angesehen werden musste. Auch aus andern Teilen der Schweiz sind Süsswassertardi- graden bekannt. PERTY (7) und AMMANN (1) melden das Vor- kommen von M. macronyx Doy. aus der Umgebung von Bern und KAUFMANN (4) aus dem Zürichsee. Aus dem Naretsee (Kt. Tessin), 2240, besitze ich Präparate von M. macronyx Duj. und aus dem Oberalpsee (St. Gotthard), 2028", solche von M. lacustris Du. Der Tomasee, der Quellsee des Rheins, beherbergt eine bis jetzt noch unbeschriebene, Macrobiotus lacustris nahestehende Form. Die Gewässer der Umgebung von Basel (Jura, Schwarzwald, Vogesen) werden nach meinen bisherigen Untersuchungen (3), sowie nach neueren Beobachtungen von vier Arten bewohnt, nämlich Macrobiotus macronyx, AL. lacustris, M. hufelandi C. Schultze und Æchiniscus cornutus Richters. In den Ufermoosen des Hallwilersees, im Aargau, entdeckte ich ferner drei Formen, Macrobiotus macronyx Duj., 21. hufelandi C. Schultze und M. harmsworthi Murray, welche voraussichtlich auch den See bewohnen werden. DIE TARDIGRADEN DES RHÂTIKON 777 I. — TARDIGRADEN AUS DEM LÜNERSEE. Im Rhätikon geniessen, wie ZSCHOKKE (9) schon hervorhebt, die Tardigraden weiteste Verbreitung. Sie fehlen keinem der grüsseren Seen und bevorzugen die algenreichen Stellen. Das Material des Herrn SCHMASSMANN stammt aus den verschiedensten Tiefen (von 0—80") des grossen Lünersees, der am üstlichen Fusse der Scesaplana in einer Hühe von rund 1950 liegt. Es wurden folgende Arten aufsgefunden : 1. Macrobiotus macronyx Dujardin. JE » lacustris Dujardin. D » tetradactylus Greetf. 4. » hufelandi Schultze. D. » harmsworthi Murray. 6. > echinogenitus Richters. T » ambiquus Murray. 8. > dispar Murray. 3e » spec. 10. Milnesium tardigradum Doyère. 11. Diphascon angustatum Murray. Bemerkungen zu einzelnen Arten. Macrobiotus macronyx ist im Lünersee nicht gerade häufig. Exemplare aus einer Tiefe von 25" massen 450 bis 620 y. Macrobiotus lacustris. Ein beobachtetes Gelege enthielt 4 Eier. Von den Formen Macrobiotus hufelandi, M. harmacorthi und 778 F. HEINIS M. echinogenitus gelang es, auch die Eier aufzufinden und die Zugehôürigkeit dieser Arten sicher festzustellen. Macrobiotus hufelandi, M. tetradactylus, M. echinogenitus, M. harmsworthi und Milnesium tardigradum beleben auch die Moose in der Umgebung des Sees. Es ist anzunehmen, dass diese in der Regel in Landmoosen lebenden Arten durch Regen oder Schneewasser in den See gespühlt und sich dem Wasser- leben angepasst haben. Macrobiotus dispar war der häufigste Tardigrade des Sees,. Länge der Tiere 540—580 ». Längere Kralle 45 »; 2 Kier von 86 y Durchmesser. Macrobiotus ambiguus. Ein Exemplar von 400 %, sowie 2 Eier von 120 » Durchmesser scheimen dieser Art anzugehôüren. Macrobiotus spec. Ein Tier von 250 Länge. Der Schlund- kopf enthält 3 kleine kôrnchenartige Stäbchen. Krallen lang, V-fürmig verwachsen. Augenlos. Da kein Eï beobachtet wurde, lässt sich die Art nicht mit Sicherheit bestimmen. Im übrigen erinnert das Tier an MURRAY’S Figur 7 a, Tafel IT, in Tardi- grada of the South Orkneys (5). II. —. LANDTARDIGRADEN DES RHÂTIKON. Die von Herrn cand. R. MENZEL in verschiedenen Teilen des Rhätikon gesammelten Moose enthielten folgende Arten: 1. Echiniscus suillus Ehrenbereg. de » blumi Richters. 3. Macrobiotus hufelandi Schultze, auch KEier. » intermedius Plate. De » echinogenitus Richters, auch Eier. 6. » harmsiworthi Murray, auch Eier. je » oberhäuseri Doyère. 8. coronifer Richters, auch Eïer. de) Milnesium tardigradum Doyère. DIE TARDIGRADEN DES RHÂTIKON 779 Nach den vorstehenden Untersuchungen sind neu für das Hochgebirge resp. für das Grenzgebiet der Schweiz : Macrobiotus harmsworthi. « coronifer. » ambigquus. » dispar, Diphascon angustatum. LITERATUR. 1. AMManN, J. Beitrag zur Kenntnis schweizerischer Tardigraden. Diss. Bern, 1908. 2. Forez. F. A. Le Léman. Monographie limnologique. IT. Band, 1904. (Tardigrades, p. 190). 3. HEINIS, F. Systematik und Biologie der moosbewohnenden Rhizopoden, Rotatorien und Tardigraden der Umgebung von Basel mit Berücksich- tigung der übrigen Schweiz. Arch. f. Hydrobiologie und Planktonkunde. Bd. 5, 1910. k. KAUFMANN, J. Ueber die Entwicklung und 20ologische Stellung der Tar- digraden. Mitteil. naturf. Ges. Zürich, Bd. 2, 1851. 5. Murray, J. Tardigrada of the South Orkneys. Transact. Roy. Soc. Edinburgh, Bd. 45, 1906. 6. Murray, J. Scottisch Tardigrada. Transact. Roy. Soc. Edinburgh, Bd. 45, 1906. 7. Perry, M. Zur Kenntnis kleinster Lebensformen in der Schweiz. Bern, 1852. 8. Pare, L. Beiträge zur Naturgeschichte der T'ardigraden. Zool. Jahrb., Bd. 3. Anatomie, 1889. 9. ZscHokkE, F. Die Tierwelt der Hochgebirgsseen. Denkschr. schweiz. Naturf. Ges., Bd. 37, 1900. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 20, n° 17. — Décembre 1912. TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LES 20 PREMIERS VOLUMES DE LA REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE ANDRÉ, E. Contribution à l'anatomie et à la physiologie des Ancylus lacustris et fluviatilis. Vol. 1, fasc. 3 (1893), pp. 427-462, pl. 16. ANDRÉ, E. Recherches sur la glande pédieuse des Pulmonés. Vol. 2, fase. 2 (1894), pp. 291-348, pl. 12-15. ANDRÉ, E. Le pigment mélanique des Limnées. Vol. 3, fasc. 3. (1896), pp. 429- 432. ANDRÉ, E. Moillusques d’Amboine (Voyage de M. Bspor et C. Picrer dans lAr- chipel Malais). Vol. 4. fase. 2 (1896), pp. 395-406, pl. 17. ANDRÉ, E. La fossette triangulaire caudale des Arion. Vol. 5, fasc. 3(1898) pp. 179- 182. ANDRÉ, E. Anomalie de l'appareil génital mâle chez la Sangsue. Vol. 6, fase. 2 (1899), pp. 427-428. ANDRE, E. Organes de défense tégumentaires des Hyalinia. Vol. 8, fase. 3 (1900), pp. 425-434, pl. 32. ANDRÉ, E. Supplément aux Mollusques d’Amboine et description d’un nouveau genre de la famille des Phyllirhoïdes. (Voyage de M. Bepor et C. PICTET dans l’Archipel Malais) Vol. 14, fase. 1 (1906), pp. 71-80, pl. 1. ANDRÉ, E. Sur un nouvel Infusoire parasite des Dendrocæles. Vol. 17. fasc. 1, (1209), pp. 273-280. ANDRE, E. Sur quelques Infusoires marins parasites et commensaux. Vol. 18, fase. 1 (1910), pp. 173-187, pl. 3. ANDRE, E. Mesnilella Cepedei n. sp. Infusoire parasite des Oligochètes. Vol. 19, n° 10 (1911). pp. 267-270. ANDRÉ, E. Les Chilodontes parasites des Cyprinides. Vol. 20, n° 5 (1912), pp. 207- 212. ANDRE, E. Recherches parasitologiques sur les Amphibiens de la Suisse. Vol. 20, n° 7 (1912), pp. 471-455. ANNANDALE, N. Description d’une nouvelle Eponge d’eau douce du lac de Ge- nève. Vol. 17, fase. 2 (1909), pp. 367-369, pl. 9. ApPsreiN, C. Salpes d’Amboine (Voyage de M. Bepor et C. Prcrer dans l’Archipel Malais). Vol. 12, fase. 3 (1904). pp. 649-656, pl. 12. Rev. Suisse DE Zo01. T. 20. 1912. 52 782 REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE ATrems, C. Chilopoden. Vol. 19, n° 11 (1911). pp. 271-273. AuerBACH, M. Die Unterkieferdrüsen von Myoxus muscardius Schreber. Vol. 8, fasc. 1 (1900), pp. 45-54, pl. 4-5. Biecer, E. Die wirbellose terrestrische Fauna der nivalen Region. Ein Beitrag zur zoogeographie der Wirbellosen. Vol. 18, fase. 4(1910), pp. 761- 915, pl. 6. | Barrois, J. Mémoire sur le développement des Chelifer. Vol. 3, fase. 4 (1896), pp. 461-498, pl. 15-17. BauMax, F. 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Anatomie et malformations du grand tentacule de l’Escargot. Vol. 19, n° 14 (1911), pp. 339-382, pl. 6-9. Zænnrxer, L. Crustacés de l’Archipel Malais (Voyage de M. Bepor et C. Picrer dans l’Archipel Malais). Vol. 2, fase. 1 (1894), pp. 135-214, pl. 7-9. ZeanTrner, L. Voir: SaussuRe (de), H. Zscaokke, F. Die Tierwelt der Juraseen. Vol. 2, fase. 3 (1894), pp. 349-376, pl. 14. ea tt à ARS TIME - > BU LLETIN-ANNEXE REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Mars 1912 NS Procès-verbal de l'Assemblée générale de la Société Zoologique Suisse Tenue à l’Université de Neuchâtel les Mercredi, 27 et Jeudi, 28 Décembre 1911 sous la présidence de M. le Prof. 0. Fuhrmann. DÉANCE ADMINISTRATIVE. Mercredi 27 décembre. La séance est ouverte à 5 heures. 23 membres présents. 1. Le Président donne lecture du RAPPORT ANNUEL SUR L'ACTIVITÉ DE LA SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE pendant l’année 1911. Messieurs et chers Collègues, Il nous incombe, tout d'abord, le douloureux devoir de rappeler ici la mort de notre vénéré président annuel, M. le prof. D' Paul GODET, décédé le 7 mai, après une longue maladie. Ce savant modeste fut pendant 33 années professeur de sciences naturelles A) ne dans les écoles de Neuchâtel et ne cessa de travailler au déve- loppement de notre important Musée, dont il fut pendant 17 ans le directeur. Comme vous le savez, il s’occupa plus spécialement des Mollusques et fut certainement le premier conchiologiste suisse de notre époque. A la séance de la Société zoologique de Soleure, nous avons donné de plus amples détails sur la carrière scientifique de notre regretté président; cette notice biogra- phique à paru dans les Nécrologies des Actes de la Société helvétique des Sciences naturelles. Nous avons également perdu M. le D' $S. BIELER, directeur de l'Ecole d'agriculture de Lausanne, décédé le 6 octobre 1911. Du fait de ces deux décès et d’une démission, le nombre des membres de notre Société est actuellement de 99: 6 candidats se sont annoncés. Le Comité s’est complété de son propre chef: le vice-prési- dent s'étant chargé de la présidence, c’est M. le prof. BÉRANECK qui à bien voulu prendre la vice-présidence. Le rapport sur les questions dont le Comité annuel à dû s’oc- cuper se résume en peu de mots. Selon la décision de la dernière assemblée, nous avons fait venir deux statifs de microscope de LEITZ; l’un à été transporté au laboratoire de Roscoff par les soins de M. le prof. YUNG. tandis que M. le D' F. BALTZER s’est chargé de porter le se- cond à la station zoologique de Naples. Nous espérons que ces deux microscopes, qui sont mickelés et portent, gravé, le nom de la Société, rendront de bons services aux zoologistes suisses fréquentant ces deux stations. L'assemblée devra s'occuper, dans cette séance, de la rédaction d’un règlement sur l’usage de ces statifs, qui sera à ajouter au règlement de la table suisse de travail à Naples et Roscoff. La question de la publication du Bulletin de la Sosiété zoolo- gique a fait le sujet de deux séances du Comité annuel. Cette ques- tion sera étudiée à nouveau dans notre séance administrative. Q D — L'activité scientifique des membres de notre Société s’est ma- nifestée tout d’abord dans la réunion de la Société helvétique des sciences naturelles, qui à eu lieu à Soleure, et où les com- munications suivantes ont été présentées : M. le D' H. STAUFFACHER (Frauenfeld) parla, dans la séance générale, de ses importantes recherches sur : Die Rolle des Nu- cleins bei der Fortpflanzung. Dans la séance de section, nous avons entendu : M. le D' O. FUHRMANN (Neuchâtel) : Nécrologie de feu M. le Prof. D' Paul Godet. M. le prof. D' BUGNION (Villard) : Les yeux des Insectes noc- turnes. M. le D' L. GREPPIN (Soleure) : Ueber die für das Museum in Solothurn gesammelten Bastarde der Raben- und der Nebel- krähe. M. le Dr A. PICTET (Genève) : Recherches sur la couleur des Papillons. M. le prof. D' Henri BLANC (Lausanne) : Une anomalie de l'appareil génital hermaphrodite de | Escargot. M. le D' M. vox ARX (Olten): Die Kausalität der Kürper- form. M. le D' INHELDER : Ueber Bestandteile eines Wirbels in der Hinterhauptschuppe des Menschen. La Revue suisse de Zoologie, organe de notre Société, a pu- blié les travaux suivants : A. KŒHLER : Description de quelques Astéries nouvelles. A. FOREL : Fourmis de Bornéo, Singapore, Ceylan. W. LEHMANN : Untersuchungen über die Fauna des Sigris- wylgrates. F. SANTSCHI : Nouvelles Fourmis de Madagascar. E. BUGNION : Les pièces buccales et le pharynx d’un Sta- phylin. V. CoRNETZ : La conservation de l'orientation chez la Fourmi. = P. STEINMANN : Revision der schweizerischen Tricladen. E.-T. GôLp1: Das die Staatenbildung bei Insekten regulie- rende Naturgesetz. F. HEINIS : Beitrag zur Kenntnis der Zentralamerikanischen Moosfaun«. E. ANDRÉ : Mesnilella cepedei n. sp. Infusoire parasite des Oligochètes. C. ATTEMS : Chilopoden (Reise von DJ. Carl). J. SPIRO : Recherches sur la structure histologique du tube digestif de l’Helix pomatia. à F. SANTSCHI : Observations et remarques critiques sur le mé- canisme de l'orientation chez les Fourmis. E. YUNG : Anatomie et malformations du grand tentacule de l’Escargot. E. BUGNION : Le Termes ceylonicus. J. CARL : Drei neue Diplopoden des Genfer Museums. Th. DELACHAUX : Notes faunistiques sur l'Oberland bernois et le Pays d'En-Haut vaudois. R. MENZEL : Æxotische Crustaceen im botanischen Grarten zu Basel. E. v. DADAY : frei lebende Süssiwasser-Nemathelminthen aus der Schweiz. Notre collègue, M. le professeur F. ZSCHOKKE (Bâle), à pré- sidé, du 6 au 10 juin, la 21° réunion annuelle de la Société zoologique allemande qui est venue pour la première fois en Suisse. Cette réunion, à laquelle nous avons convié nos membres par une circulaire, à eu un plein succès grâce au talent d’organi- sateur de son Président. De nombreux membres de notre Société ont assisté aux séances fort intéressantes et deux d’entre eux. M. le prof. Th. STUDER et M. le D' P. SARASIN y ont présenté des communications importantes, le premier sur: Æine neue Equidenform aus dem Obermiocän von Samos, le second sur : Die zoologische Schätzung der sogenannten Haarmenschen. 2 r re ) — M. le prof. ZSCHOKKE ainsi que ses élèves, M. le D' G. BURK- HARDT, M. le D' P. STEINMANN et M. le D' G. SURBECK ont pris une part active au cours d'Hydrobiologie qui à eu lieu à Lucerne sous la direction du botaniste, M. le D' H. BACHMANN et qui à eu un succès vraiment remarquable. Puisque nous parlons d’hydrobiologie, je tiens à mentionner que votre président à été invité à assister à l’inauguration du bateau Edouard Claparède, attaché à la Station de zoologie lacustre annexée à l’Institut de Zoologie de l'Université de (re- nève et qui fut créée par M. le prof. E. YUNG. Nous souhaitons pleine prospérité à cette première Station suisse de zoologie la- eustre et nous espérons que, sur les bases solides établies par le maître vénéré de la Limnologie, M. F. A. FOREL, de nombreux travaux viendront faire toujours mieux connaître les secrets du bleu Léman. Comme travaux scientifiques dans le même domaine, nous avons à signaler, tout d’abord, le bel ouvrage de M. le prof. ZSCHOKKE sur: Die Tiefenfauna der Seen Mitteleuropas, qui résume parfaitement toutes nos connaissances sur la faune pro- fonde de nos lacs. M. W. FEHLMANN a publié son Etude sur la faune profonde du lac de Lugano, qui comble une lacune importante, étant donné que nos connaissances de la faune profonde des lacs transalpins étaient à peu près nulles. M. le D' NILS VON HOFSTEN nous communique, dans un tra- vail important, ses recherches : Zur Kenntnis der Tiefenfauna des Brienzer und des Thuner Sees. Cette étude renferme une critique très habile et bien documentée de la question de l’ori- oine de la faune profonde. La question des migrations du Plankton à été traitée par M. le D'J. BURKHARDT. M. F. ZSCHOKKE et P. STEINMANN ont publié un intéressant petit volume intitulé: Die Tierwelt der Umgebung von Basel. CNT US Parmi les travaux faunistiques étudiant des groupes spéciaux de la faune suisse, nous avons à signaler l'étude sur Die Insek- tenfauna des Rheins und seiner Zuflüsse bei Basel, de F. NE- RACHER, les Neue Beobachtungen über die Rhabdocælen und Allüocülen der Schweiz de NILS VON HOFSTEN (in Zoologische Beiträge aus Uppsala Jahrg. 1911), la Revision des Triclades suisses de M. STEINMANN, ainsi que le 5° fascicule du Catalogue des Invertébrés de la Suisse, comprenant les Pseudoscorpions, par M. R. DE LESSERT. MM. E. EMETER, F. HEINIS, O0. KLEIBER, R. MENZEL, C. WALTER ont publié des études faunistiques concernant les eaux douces de régions limitrophes de la Suisse ou de régions lointaines. M. G. voN BURG nous a donné cette année les VITe et VITE li- vraisons de l'important Catalogue des Oiseaux de la Suisse qui contient les observations sur les Fauvettes, Turdiens et Monti- coles. M. le prof. STUDER a publié deux notices intéressantes sur les Säugetierfunde aus glacialen Ablagerungen der Schweiz et Ueberreste des Rhinoceros tichorhinus Fisch. im Diluvium der Schweiz. Parmi les travaux zoologiques non cités dans les lignes qui précèdent et publiés par nos membres, nous signalons les études sur l’insensibilité à la lumière et la cécité de l’Escargot des vignes, de M. le prof. E. YUNG. M. le D’ PICTET nous fait connaître ses intéressantes recherches expérimentales sur les Lépidoptères et à publié cette année des recherches sur l’origine de la couleur bleue et blanche des Papillons, ainsi que des obser- vations sur les mues subies par les chenilles de ZLasiocampa quercus. Il signale en outre un nouvel exemple de l’hérédité des caractères acquis. M. le prof. Arnold LANG continue ses im- portantes études sur l’hérédité (Zeitsch. f. inductive Abstam- mungslehre, Bd. 5). Deux de nos membres, M. le D" Fritz SARASIN et M. le 7 D: Jean ROUX ont entrepris cette année un voyage d'exploration scientifique dans la Nouvelle-Calédonie. Pour terminer je tiens encore à vous faire connaître une lettre du Conseil d'Etat de Lucerne répondant à une demande que la Société zoologique a adressée, avec d’autres sociétés, le 2 avril 1911, au gouvernement du canton de Lucerne. Il s'agissait de prier l'Etat de Lucerne d'interdire pendant 25 années toute chasse ainsi que tout drainage dans le Wauwilermoss, afin de protéger surtout la riche avifaune de cette région. Cette de- mande à été rejetée par le Conseil d'Etat de Lucerne dans sa séance du 6 novembre 1911. Voilà, sommairement résumées, les manifestations les plus im- portantes de l’activité de notre Société et de ses membres; il ne me reste qu’à vous souhaiter une cordiale bienvenue et à expri- mer des vœux de bonne réussite pour notre session d'hiver. 2. Le rapport du Trésorier, M. A. PICTET, montre que la fortune de la Société est de 4,757 fr. 60. Il conclut à disposer du solde disponible de 298 fr. 35 comme suit : 100 fr. seront portés au capital, le reste, soit la somme de 198 fr. 35, sera consacrée aux dépenses courantes de 1912. Les comptes ayant été trouvés parfaitement en règle, il en est donné décharge au Trésorier, sur la proposition des vérifica- teurs, MM. H. BLANC et R. de LESSERT. 3. Les candidats suivants sont reçus membres de la Société : MM. D'J. Ulr. DUERST, Berne. Dr RUPPRECHT, Berne. D' BOLLINGER, Bâle. MATTHEY-DUPRAZ, Colombier. Th. DELACHAUX, Neuchâtel. Maurice WEBER, Neuchâtel. PRE Le 4. Travaux de concours. Le sujet proposé depuis 1907 : Etude comparative des faunes des différents bassins de la Suisse, n'ayant pas trouvé d’amateur, le Comité propose de le remplacer par le suivant : Etude des Nématodes libres de la Suisse. Cette proposition est adoptée après un échange de vues. Le prix sera de 500 fr. et le concours sera ouvert pendant une année: si à la fin de ce délai aucun travail n'a été présenté, le concours restera ouvert pendant une seconde année, c'est-à-dire jusqu’au 15 décembre 1913. D. Bulletin de la Revue suisse de Zoologie. Le Président fait l'historique de la question. Il rappelle qu’à la session de Berne (1910), l'assemblée, revenant sur une décision antérieure, à dé- cidé en principe de publier à l’avenir, dans le Bulletin, un résumé des communications scientifiques faites en séance. M. M. BE- DOT, directeur de la Revue, ayant fait à ce sujet plusieurs ob- jections importantes consignées dans une lettre adressée au Pré- sident et dont il est donné lecture, le Comité à examiné à nou- veau toute cette question. Afin d'éviter à l’avenir de nouvelles discussions et des décisions contradictoires, il propose une ad- jonction aux statuts dont l’article 2 recevrait un troisième para - graphe ainsi Conçu : « Le Bulletiu-annexe dela Revue suisse de zoologie publie cha- que année le procès-verbal, le rapport du Président et la liste des travaux scientifiques présentés à l’assemblée. » Dans la discussion, M. BEDOT fait remarquer que chaque auteur reste libre de demander la publication de ses travaux dans la Revue. Cette publication peut se faire très rapidement. La proposition du Comité est adoptée à une grande majorité. 6. Divers. Le Président rappelle l'achat d’un statif de mi- croscope destiné à la station de Naples et d’un autre pour Ros- coff. Il est décidé que ces instruments seront à la disposition de EU EEs tous les naturalistes suisses, avec droit de priorité, toutefois, pour les membres de la Société zoologique suisse. Le prochain Comité est chargé de faire l’adjonction nécessaire au règlement établi pour l'usage de la table suisse dans les deux stations. 7. La prochaine assemblée aura lieu à Fribourg en 1912. Sur la proposition du Comité, M. le Prof. M. MusY est nommé président annuel, M. DE GANDOLFI-HORNYOLD, secrétaire. M. L. KATHARINER n'ayant pu accepter de faire partie du Co- mité, vu son état de santé, il reste à trouver un troisième membre; MM. MusY et DE GANDOLFI en sont chargés. MM. R. DE LESSERT (Genève) et JAQUET (Neuchâtel) sont nommés vérificateurs des comptes. La séance est levée à 6 h. trois quarts. Le souper offert par le Comité annuel au Cercle du Musée réunit 22 membres. SÉANCE SCIENTIFIQUE. Jeudi 28 décembre 1911. 35 membres et invités présents. La séance est ouverte à 8 h. !/,. Les communications scientifiques se font dans l’ordre sui- vant : 1. M. A. FOREL : Le nouveau genre Metapone et la phylo- génie des Fourmis. 2. M. G. SCHNEIDER : Mütteilungen über eine in der Schweiz und dem übrigen Europa ausgestorbene Vogelart, den Gessner- schen Waldrapp (Comatibis eremita L.), mit Demonstration von Vogel und Gelege. An ae 3. M. M. THIÉBAUD : Sur la Bosmina obtusirostris du lac de Neuchâtel. 4. M. L. Piquet : Recherches sur les Tubificidées. 5. La séance est interrompue un moment, puis l’assemblée se rend au laboratoire de zoologie, où M. M. WEBER présente un exemplaire vivant d'Anabas scandens. 6. M. O. FUHRMANN montre les collections qu’il a rappor- tées de son voyage en Colombie et qui sont exposées dans l’au- ditoire de zoologie. 7. M. J. CaRL: Diplopodes de Célébès. 8. M. P. STEINMANN : Versuche über die Sinnesleistungen rheophiler Tiere. La séance est levée à 12 h. ‘/,. Après une visite rapide au Musée d'histoire naturelle, où l’on admire plus spécialement la nouvelle vitrine des Oiseaux de Paradis, la Société se rend en tramway à Auvernier, où le dé- jeuner est servi à l'Hôtel du Poisson (32 participants). Dans l'après-midi, visite à l'Etablissement de pisciculture du Peyrou, près Boudry, et retour à Neuchâtel vers 5 heures. Le secrétaire : Félix BÉGUIN. APCE e Liste des membres de la Société Zoologique suisse 28. Décembre 1911. A. Membres à vie : GogLpi, E. A., Prof., D', Zieglerstrasse 36, Bern. * Janicktr, C.. D', Zoologische Anstalt, Universität, Basel. B. Membres ordinaires : ANDRE, E., Dr, Priv.-Doc., Délices 10, Genève. BALTZER, F., D', Priv.-Doc., Zoolog. Institut, Würzburg. * BarBey, Aug., Expert-Forestier, Montcherand s/Orbe (Vaud). BAUMANN, F., D', Institut zoologique, Berne. BAUMEISTER, L., D', Strassburgerallee 15, Basel. BEepoT, M., Prof., Museum d'Histoire naturelle, Genève. BéGuix, F., D", rue Pourtalès, 10, Neuchâtel. BÉRANECK, Ed., Prof., Université, Neuchâtel. BLaxc, H., Prof., Avenue des Alpes, 6, Lausanne. BLocu, J., Prof., Solothurn. BLcoc, L., D', Bahnhofstrasse 15, Grenchen. Bcunrscazi, D', Priv.-Doc., Vogelsangstr. 5, Zürich. * BozixGer, D', Hebelstrass, 109. Basel. * BorxaausER, Conrad, Marschalkenstrasse 31, Basel. BossHARD, H., Prof., zur Erica, Hüngg bei Zürich. BRETSCHER, K., D', Priv.-Doc., Weinbergstrasse 146, Zürich. BuGxiox, Ed., Prof., Ecole de Médecine, Lausanne. BurCKHARDT, Gott., D', Hirzbodenweg 88, Basel. vox BuRG, G., Olten. Buri, R., D', Schlachthoftierarzt, Bern. * Bürrikorer, John, D’, Directeur du Jardin zoologique, Rotterdam, Hollande. CaRL, J., Dr, Priv.-Doc. Museum d'Histoire naturelle, Genève. Darser, Marie, D', Gloriastrasse 72, Zürich. *Daur, C. Apotheker, Bern. * DELACHAUx, Th., Neuchâtel. DecesserT, Lutry, près Lausanne. * Dorou, F., D', villa la Fauvette, Petit-Saconnex, Genève. TI AE * DRAGULINESCO, C., Laboratoire de zoologie, Lausanne. Duersr, J., Ulr., Universität, Bern. ENGEL, A., Avenue d'Ouchy 147, Lausanne. Escaer-KüNpiG, J., Gotthardstrasse 35, Zürich. FAËS. H., D', Petit Montriond, Lausanne. Feux, W., Prof., Kôllikerstrasse 7, Zürich. Fiezo, H. Haviland, D', Direktor des Concil. bibliogr., Kôllikerstr. 9, Zürich. FISCHER-SIGWART, H., D", Zofingen. Forez, Aug., Prof., Yvorne (Vaud). Forez, F. A., Prof., Morges (Vaud). FUHRMANN, O., Prof., Université, Neuchâtel. * GANDOLFI-HoRNYoLD, D', Priv.-Doc., Freiburg. Gist, Julie, D', Thiersteinerallee 38, Basel. GREPPIN, L., D', Solothurn. * GünTHeRT, Alfred, Lenzbure:. HescuELER, K., Prof., Mainaustrasse 15, Zürich. HeuscHeR, J., Prof., Hegibachstrasse 16, Zürich. HorFMANNX, K., D' med., Albananlage 27, Basel. JaQueT, Maurice, D', Cité de l'Ouest, Neuchàtel. Imnor, G., D', Rômergasse, Basel. KATHARINER, L., Prof., Université, Fribourg. KELLER, C., Prof., Zeltweg 2, Zürich. KRONECKER, H., Prof., Hallerianum, Bern. LaxG, Arnold, Prof., Rigistrasse 50, Zürich. LA Rocne, R., D', Hagenthal (Elsass). LEHMANN, Walter, Brandschenkenstrasse 2, Zürich. DE LESSERT, R., D', Route de Florissant, 3, Genève. LeuTtaaRpT, F., D',-Liestal. LiNDER, C., Prof., Montagibert, Lausanne. MARCELIN, R. H., D', Chemin de la Montagne 43, Chêne-Bougeries, Genève. Maruey-Durraz, Prof. Colombier. MorTox, W., Vieux-Collonge, Lausanne. MuRIsiER, P., Assistant, Lab. de Zoologie de l’Université, Lausanne. Musy, M., Prof., Rue de Morat 245, Fribourg. NARBEL, P., D', Terraux, Lausanne. NEERACHER, F., D', Unterer Rheinweg 144, Basel. PExARD, Eug., D', Rue Toepffer 9, Genève. PEYER, B., Schaffhausen. Picrer, Arnold, D', Priv.-Doc., Promenade du Pin 5, Genève. Picuer, E., Prof., Cernier (Neuchâtel). * Prossr, R., Beaumont, Bern. REVILLIOD, Pierre, D', Naturhist. Museum, Basel. Ris, F., D', Direktor, Rheinau (Zürich). * RosexsrapT, B., D', Länggassstrasse 8, Bern. UT ROTHENBÜHLER, H., D', Thunstrasse 53, Bern. Roux, Jean, D', Naturhist. Museum, Basel. *RuBeLi, O., Prof., D', Bern. Rupprecut, D', Universität, Bern. SARASIN, Fritz, D', Spitalstrasse 22, Basel. SARASIN, Paul, D', Spitalstrasse 22, Basel. *ScHAeri, Th., D', Josephstrasse 67, Zürich. SCHNEIDER, Gust., Præparator, Grenzacherstrasse 67, Basel. SPiEss, Camille, D', Rue de la Cloche. 7, Genève. *Srimerui, Ruth, D', Falkenplatz, Bern. STANDEUSS, M., Prof., Kreuzplatz 2, Zürich. STAUFFACHER, H., Prof., Frauenfeld. STECK, Theodor, D', Naturhist. Museum. Bern. STEBLIN, H. G., D', Naturhist. Museum, Basel. *STEINER, G., D’, Thalwyl. STEINMANN, P., D', Priv.-Doc., Claragraben 19, Basel. STINGELIN, Theodor, D', Olten. SroLL, O., Prof., Klosbachstrasse 75, Zürich. STRASSER, H., Prof., Anat. Institut, Bern. STROHL, J., Priv.-Doc., Universität, Zürich. STUDER, Th., Prof., Gutenbergstrasse 18, Bern. SURBECK, G., D', Schweiz. Fischereiinspektor, Bern. THeiLEer, G., D', Luzern. TaréBauUD, M., Prof., rue Dufour, Bienne. Water, Ch., D', Tanzgasse 2, Basel. WEger, Edmond, D', Museum d'Histoire naturelle, Genève. Weger, Maurice, Laboratoire de Zoologie, Université, Neuchâtel. WETTSTEIN, E., Prof., Zürichbergstrasse 58, Zürich. WiLHeLMi, Julius, D', Priv.-Doc., Sachsenwaldstrasse 4, Berlin-Steglitz. YoG, Emile, Prof., Rue St-Léger, 2, Genève. ZENNTNER, L., D', Instituto agronomico, Bahia, Brésil. ZSCHOKKE, F., Prof., Universität, Basel. Les membres dont le nom est précédé d’au * ne font pas parlie de la Société helvétique des Sciences naturelles. STATUTS DE LA SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE JANVIER 1912 ARTICLE PREMIER. — La Société zoologique suisse forme une section permanente de la Société helvétique des sciences naturelles et se fait représenter par deux de ses membres à l’Assemblée des délégués de cette dernière Société. Elle à pour but: 1°) de développer l'étude de la zoologie dans toute son étendue et spécialement de favoriser les recher- ches concernant la faune suisse ; 2°) d'établir des rapports ami- caux entre les zoologistes suisses. ART. 2. — Les séances ordinaires de la : Société zoologique suisse ont lieu, chaque année, en même temps que celles de la Section de zoologie de la Société helvétique des sciences natu- relles. Les comptes rendus des travaux présentés, dans ces séances, par les membres de la Société zoologique, sont publiés dans les Actes officiels de la Société helvétique. La Société zoologique se réunit, en outre, en Assemblée géné- rale, une fois par an, dans une ville et à une époque choisies par la Société. Les questions administratives sont discutées dans cette Assemblée générale dont le programme scientifique est établi par le Comité. Le Bulletin-annexe de la Revue suisse de Zoologie publie le procès-verbal, le rapport du Président et la liste des travaux scientifiques présentés à cette Assemblée. ART. 3. — Pour être admis dans la Société, il faut : 1°) être présenté par le Comité sur la demande de deux membres ; >. és lits tin LITRES 2°) payer une cotisation annuelle fixée à 5 fr. pour les mem- bres de la Société helvétique et à 10 fr. pour les personnes qui n’en font pas partie. ART. 4. — Les membres qui refusent de payer leur cotisation sont considérés comme démissionnaires. ART. 5. — Les membres de la Société zoologique peuvent devenir membres à vie en remplaçant leurs cotisations annuelles par un versement unique de 100 fr. Ces versements uniques forment un fonds inaliénable. ART. 6. — La Société nomme, dans son Assemblée générale, un Comité qui est élu, pour une année, au scrutin secret et à la majorité absolue des membres présents. Ce comité est composé d’un président, un vice-président, un secrétaire, un trésorier et deux vérificateurs des comptes. Le trésorier seul est rééligible. Le Comité s'occupe de toutes les questions intéressant la Société et prépare l’ordre du jour des séances. ART. 7. — L'assemblée générale décide de l'emploi des fonds disponibles de la Société, sur la proposition du Comité. ART. 8. — La Revue suisse de Zoologie est l'organe officiel de la Société. ART. 9. — Toute demande de revision des statuts devra être adressée au Comité et annoncée à l’ordre du jour de l’assemblée générale. La revision devra être acceptée par les */, des mem- bres présents. STATUTEN DER SCHWEIZERISCHEN ZOOLOGISCHEN GESELELSCHAFT JANUAR 1912 ART. 1. — Die schweizerische zoologische Gesellschaft bildet eine permanente Sektion der schweizerischen naturforschenden Gesellschaft und lässt sich an deren Delegiertenversammlung durch zwei Mitglieder vertreten. Die (resellschaft bezweckt: 1) Fürderung von Forschungen auf dem gesamten Gebiete der Zoologie und besonders dem der schweizerischen Fauna ; 2) Pflege freundschaftlicher Be- Ziehungen zwischen den schweizerischen Zoologen. ART, 2. — Die ordentlichen Sitzungen der schweizerischen zoologischen Gesellschaft finden alljährlich gleichzeitig und ge- meinsam mit denjenigen der zoologischen Sektion der schwei- zerischen naturforschenden (Gesellschaft statt. Die in diesen Sitzungen von Mitgliedern der schweizerischen zoologischen Gesellschaft gehaltenen Vorträge werden in den Verhandlungen der schweïzerischen naturforschenden Gesellschaft verôffent- hcht. Ausserdem hält die zoologische Gesellschaft alljährlich eme Jahresversammlung (Generalversammlung) ab. Ort und Zeit- punkt dieser Versammlung, an welcher auch die geschäftlichen Angelegenheiten behandelt werden, bestimmt die (Gesellschaft. Das wissenschaftliche Programm für die Jahresversammlung wird vom jeweiligen Komitee aufgestellt. Das Bulletin-annexe der Revue suisse de Zoologie verôftent- licht die Sitzungsberichte, den Jahresbericht des Präsidenten SR PME sowie ein Verzeichnis der an der Jahresversammlung gemachten wissenschaftlichen Mitteilungen. ART. 3. — Wer als Mitglied der Gesellschaft beitreten will, muss : 1. Der Gesellschaft auf Antrag zweier Mitglieder durch das Komitee vorgeschlagen sein. 2, Einen jährlichen Beitrag entrichten, der für die Mitglieder der schweizerischen naturforschenden (Gesellschaft auf Fr. 5, für Nichtmitglieder auf Fr. 10 festgesetzt ist. ART. 4. — Verweigerung des Jahresbeitrages wird als Aus- trittserklärung betrachtet. ART. 5. — Jedes Mitglied der zoologischen Gesellschaft kann durch einmalige Einzahlung von 100 Fr. an Stelle der Jahres- beiträge lebenslängliches Mitglied werden. Diese Emzahlungen der lebenslänglichen Mitglieder werden als unveräusserlicher Fonds angelegt. ART. 6. — Das Komitee wird von der Gesellschaft an ihrer Jahresversammlung in geheimer Abstimmung und durch die absolute Mehrheit der anwesenden Mitglieder auf ein Jahr ge- wählt. Es besteht aus dem Präsidenten, dem Vicepräsidenten, dem Sekretär, dem Quästor und zwei Rechnungsrevisoren. Der Quästor allein ist wieder wählbar. Das Komitee behandelt alle die Gesellschaft interessierenden Fragen und bestimmt die Ta- gesordnung für die Sitzungen. ART. 7. — Die Gesellschaft entscheidet auf Vorschlag des Komitees über die Verwendung der disponiblen (Gelder. ART. 8. — Die Revue suisse de Zoologie ist das amtliche Organ der Gesellschaft. ART. 9. — Alle Vorschläge betreffend Revision der Statuten müssen dem Komitee eimgereicht und von diesem in die Tages- ordnung für die nächste Jahresversammlung aufgenommen wer- den. Die Revision wird durch die */, Mehrheit der anwesenden Mitglieder beschlossen. SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE La Société zoologique suisse a décidé de délivrer en 1912 : Un prix de 500 francs à l’auteur de la meilleure Etude sur les Nématodes libres de la Suisse. Extrait du règlement de ces prix : a) Tous les zoologistes suisses ou étrangers pourront concourir. b) Les mémoires devront être envoyés avant le 15 décem- bre 1912, à M. le prof. Musy, Musée d'Histoire natu- relle de Fribourg. Ils devront porter en tête du manus- crit une devise reproduite sur une enveloppe cachetée renfermant le nom et l’adresse de l’auteur, et pourront être écrits en allemand, français ou italien. LE COMITÉ DE LA SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE. ge SCHWEIZERISCUE ZOOLOGISCHE GESELLSCHAFT Die Schweizerische Zoologische Gesellschaft schreibt für 1912 folgenden Preis aus : Preis von 500 Fr. für die beste Arbeit über < Die freilebenden Nematoden der Schweiz ». Auszug aus dem Reglement für die Preisaufgaben : o Le Le a) Alle Zoologen der Schweiz und des Auslandes künnen sich um den Preis bewerben. b) Die Arbeiten sind vor dem 15. Dezember 1912 Herrn Prof. Musy, Naturhist. Museum Freiburg, einzusenden. Das Manuskript ist mit einem Motto zu versehen. Ein dasselbe Motto als Aufschrift tragender, versiegelter Umschlag soil Name und Adresse des Autors enthalten. Die Arbeiten künnen in deutscher, franzüsischer oder italienischer Sprache abgefasst sein. DER JAHRESVORSTAND DER SCHWEIZ. ZOOL. GESELLSCHAFT, Œ Wa foopi REVUE SUISSE DE ZO0LOGIE NN HUB ENE 7 00 LOGIQUE SUISSE MUSEUX D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE Maurice BEDOT DIRECTEUR DU MUSEUM D HISTOIRE NATURELLE AVEC LA COLLABORATION DE MM. les Professeurs E. BÉraxecx (Neuchâtel), H. BLanc (Lausanne), A. LanG (Zurich), TH. Sruper (Berne), E. Yuxc (Genève) et F. ZschokkE (Bâle) TOME 20 Avec 12 planches. GENEVE IMPRIMERIE ALBERT KÜNDIG, RUE DU VIEUX-COLLÈGE, 4. 1912 af a à Frs, : FD CONDITIONS DE PUBLICATION ET DE SOUSCRIPTION La Revue Suisse de Zoologie parait par fascicules sans nombre déterminé et sans date fixe, mais formant autant que possible un volume par année. Les auteurs reçoivent gratuitement 50 tirages à part de leurs travaux. Lorsqu'ils en demandent un plus grand nombre, ils leur sont livrés au prix fixé par un tarif spécial et à la condition de ne pas être mis en vente. Prix de l'abonnement : > Suisse Fr. 40. Union postale Fr. 43. La Revue n’ayant plus de dépôt à l’étranger, toutes les demandes d'abonnement doivent être adressées à la rédaction de la Revue Suisse de Zoologie, Muséum d'Histoire naturelle, Genève. : EN VENTE CHEZ GEORG & Cie. LIBRAIRES À GENÈVE. MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE Fasc. Fasc. Fasc. Fasc. Fasc. Fasc. CATALOGUE - DES INVERTÉBRI :S DE LA SUISSE 1. SARCODINÉS par E. -PENARD D Sc. Avec 6 figures dans le texte. © Fr. 8 — _ 2. PHYLLOPODES par Th. STINGELIN D: Sc. Avec 10 figures dans le texte. | Fr. 8 — 3. ARAIGNÉES par R. de LESserr D' Sc, Avec 250 figures dans le texte. Fr. 32 50 4. ISOPODES par J. CaRL Dr Sc. Avec 64 figures dans le texte. Fr: 50 ©Q9 D: PSEUDOSCORPIONS par R. de Pass D' . Avec 32 ficures dans le texte. Er 2590 6. INFUSOIRES par E. ANDRÉ Dr Sc. Avec 11 figures dans le texte. Fr. D — PES a ES MBL WHOI Library - Seriais profs fr Lx Pr KE U Dets 424 He ; GE tot F% HA ie Au re Re , _ net RE ee _. | fret ua Rs es . = Dee | _. ee je a “ ï sus Fes ne 2 vi L Ho He qu De ve tr me fe ee ni ol l Rs 4 tr u ess se EN _ LE note : î À. el He . nee e istel _ nr . Hi 24, x ? mon ti A re He _ sn se ee es ee Te se Fe 2 re ne ne % ne ro ds _ He A _ _ _ non es _ es ee rs ie Fi _ He ie _ He es - _ es Le: We _ =. 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