x ue ER mr es 53 unie PÉRTL OS SE Des Den x 3e Se DS satin ré ù + us | > : + Ha ds Hautes | : ve D iles des 0 Ô | LT 18147447 Tran Tr hit reidia tré , COTON) —s" CHÉRCTOICNC CIC ILE et Visit do) à OCTO CT a DE DE A TT D DONC PINS ID TASER DNS TU TND SRE EE TITI ETES EN RE TT SEE TE TETE EN ASE SO NÉ EVA BA ETS TA AT e DONNE o Cr > à Mitietieregeits ol ne HoRnan +5 : 4 + 7° : De Jr Bis: nt SE n AE ' RAR AU ne 2 + ot nids NY CO Er re pes donnait 1er dge TEA TS TT TT ÉTÉ A Ad , DOTE EMANMICTUICNer dire ROC SITE Maé " CRCICIC UE Wild ri À br w Pile = td ré à re < UE r era 4 STE sr 172 tre, + CPR « pa . + DÉETE 14 : LEE re PPPROE ET 4 LANCE i are Litres re LE * > _ - Craret CCE DONC CAT EC NE REVUE SUISSE ZOOLOGIE REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ZOOLOGIQUE SUISSE MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE GENÈVE Maurice BEDOT DIRECTEUR DU MUSÉUM D'HISTOIRE NATURELLE AVEC LA COLLABORATION DE MM. les Professeurs E. Béranecx (Neuchâtel), H. BLaxc (Lausanne), O. Fuurmaxx (Neuchâtel), T. Sruper (Berne), E. Yuxc (Genève) et F. Zscnokke (Bäle), TOME 21 Avec 5 planches GENÈVE IMPRIMERIE ALBERT KUNDIG 1916 TABLE DES MATIÈRES . Benor, M. Matériaux pour servir à l'Histoire des Hydroïdes. 5° période (1881-1890). . AxpRÉ, E. Anomalie de l’appareil buccal d’Ascaris megalo- cephala. Avec 2 figures dans le texte . Brux, R. Le problème de l'orientation lointaine chez les Fourmis . Fuxrmaxw, O. Notes helminthologiques suisses. Avec la planche 1. . Forez, À. Fourmis du Congo et d’autres provenances récol- tées par MM. Hermann Kohl, Luja, Mayné, etc. Avec 7 figures dans le texte . Carz, J. Acridiens nouveaux ou peu connus du Muséum de Genève. Avec la planche 2. 7. Conwerz, V. Sur l'orientation chez les Fourmis 10. #1: . Caappuis, P.-A. Viguierella cœca Maupas. Hiezu Tafel 3 und 4 . . DE Lesserr, R. Araignées du Kilimandjaro et du Mérou (suite). Avec 26 figures dans le texte. Axpré, E. Contribution à l’étude de la faune infusorienne du Léman. Avec la planche 5 . Benor, M. Sur le genre Xirchenpaueria . Pages TABLE DES AUTEURS. PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE Axpré, E. Anomalie de l'appareil buccal d’Ascaris megaloce- DL AN ee à VERS AR Ve AP DS AS DE AxoRÉé, E. Contribution à l’étude de la faune infusorienne du RémMafe:zs. STU PIE A Re EE Ne 2TEe CT CT Benoor, M. Matériaux pour servir à l'Histoire des Do Fa » Sürle-gente Kirchenpauerias."." 2". 02"100 Brun, R. Le problème de l'orientation lointaine chez les ouest ue 2e cr Ne ES NN) ner Re HN Care, J. Acridiens nouveaux ou peu connus; ,.: .:,:. . Cuarpuis, P.-A. Viouierella cœca Maupas ... . . . Corxerz, V. Sur l’orientation chez les Fourmis. . . . . . Forez, À. Fourmis du Congo et d’autres provenancés . .. Funrmaxx, O. Notes helminthologiques suisses. . . . Lessenr (pE), R. Araignées du Kilimandjaro et du Mérou Pages 301 RÉEMVIE"S UNSS EMDIE AO OLO'GTIE Vol. 2%, n° 1. — Février 1916. MATÉRIAUX pour servir à l'Histoire des Hydroïdes PAR M. BEDOT 5° PÉRIODE! (1881 à 1890) Les Millepores et, parmi les Méduses, les formes aberrantes et celles qui n’appartiennent pas notoirement aux groupes des Leptoméduses et des Anthoméduses, ne figurent pas dans nos Matériaux. Bien que les genres Wicrohydra, Limnocodium, Limnocnidia et Polypodium soient compris par Srecuow (1909) dans la famille des Æydridae, nous les laisserons également de côté pour le moment. Notre travail comprendra done, à l'excep- tion du genre parasite Mnestra, toutes les espèces rentrant dans 1 Voir : M. Benor. Matériaux pour servir à l'Histoire des Hydroïdes. 1re pé- riode. Rev. suisse de Zool. T. 9, pp. 379-515. Genève, 1901, 80. Idem. 2e période. Ibid. T. 13, pp. 1-183. 1905. Idem. 3e période. Ibid. T. 18, pp. 189-490. 1910. Idem. 4e période. Ibid. T. 20, pp. 213-469. 1912. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 1 2 M. BEDOT l’ordre des Hydridea que Pocne établit dans son Système des Coelentérés ! Les indications placées immédiatement au-dessous des noms des espèces renvoient aux pages des périodes précédentes des Matériaux où ces espèces. sont décrites sous le même nom. Pour avoir la synonymie complète d’une espèce, il faut donc ajouter à ces indications celles des synonymes qui peuvent figurer dans chaque période. Par exemple, au-dessous du nom d'Obelia dichotoma, on trouve : voir : Matériaux I, p. 429; Il, p.49; IT, p. 334 et IV, p. 327. Mais, pour compléter la syno- nymie de cette espèce, il faut ajouter les synonymes d’Eucope articulata et d'Obelia sphaerulina, mentionnés à la p. 327 des Matériaux IV, ceux de Laomedea dichotoma cités à la p. 334 des Matériaux III, etc. Les variétés qui n’ont pas reçu de nom spécial sont réunies à leur espèce. Dans l’Index bibliographique, les ouvrages écrits en russe, dont nous n'avons pas trouvé de traduction ou de résumé et que nous n'avons pas pu analyser, sont placés entre paren- thèses. Nous tenons à exprimer notre {très vive reconnaissance à MM. Baze, Rironie et Srecow, les savants zoologistes aux- quels on est redevable de travaux si intéressants sur les Hydroïdes, qui ont bien voulu nous aider de leurs précieux conseils. Nous devons encore rappeler aux zoologistes qui consulte- ront ces Matériaux, que nous n'avons pas la prétention de donner la synonymie définitive des espèces citées, mais que notre but a été de réunir et de grouper provisoirement toutes les données qui pourront permettre de faire plus tard une revi- sion critique de la systématique des Hydroïdes. Une liste des corrections à faire dans Les 4 premières périodes de ces Matériaux se trouve à la fin de ce travail. IF. Pocne. Das System der Coelenterata. Pet Naturg., PTE 80, Abt. A, Heft 5, pp. 47-128. Berlin, 1914, 8o, HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 3 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE ! 1837. Sars, M. Zur Entwickelungsgeschichte der Mollusken und Zoophyten. In : Arch. Naturg. Jahrg. 3, Bd. 1, pp. 402-407. 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Voir : Matériaux I, p. 463 ; II, p. 109; IL, p. 365 et IV, p. 360. D) LEUCKART 1847 (c) p. 87. BYERLEY 185% p. 104. DANIELSSEN 1861 p. 46. LEsLie a. HERDMAN 1881 p. 16. STORM 1882 p. 18, 21. ZELLER 1883 p. 106. CARUS 1884 p. 14. KIRCHENPAUER 188% p. 17. KIRCHENPAUER 1884 p. 29, 33, GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178. INWERSEN 1885 p. 4. M'IxrosH 1885 p. 434, pl PENNINGTON 1885 p. 115, pl HERDMAN 1886 (a) p. 10. HERDMAN KÜKENTHAL U. WEISSENBORN 1886 p. 778. 35-37. 46, fe.:5: 8, fig. 2. 1886 (b) p. 330. 30 M. BEDOT Sertularia abietina MeLcy, Hicks a. HerpMAN 1886 p. 110. » » BALE 1887 p. 107. » » BERGH 1887 p. 339. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » THOMPSON 1887 p. 387. » » ALLMAN 1888 p. LVI, LXII, LXIX, 62, pl. 27, fig. 2, 24. » » BÉTENCOURT 1888 p. 206, 208, 210, 211. » » DALLA TORRE 1889 p. 96. » » DRIESCH 1889 p. 200, 202, 203, 221, 225. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » HoyLe 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 17, 18, 27. » » BOURNE 1890 (b) p. 397. Abietinaria abietina MARKTANNER 1890 p. 245, pl. à, fig. 8. Abietinaria abietina var. abietiformis Kirchenpauer. Abietinaria abietina var. abieliformis KIRCHENPAUER 1884 p. 32. Abietinaria abietina var. minor Kirchenpauer. Abietinaria abietina var. minor KIRCHENPAUER 1884 p. 32. Abietinaria abietina var. purpurea Kirchenpauer. A bietinaria abietina var. purpurea KIRCHENPAUER 1884 p. 32. Abietinaria anguina (Trask). Syn. : Sertularia anguina Trask. Voir : Matériaux III, p. 366 et IV, p. 361. Abietinaria labiata KIRCHENPAUER 1884 p. 34, 37, pl. 14, fig. 5. Abietinaria cartilaginea Kirchenpauer. Abietinaria cartilaginea KiRCHENPAUER 1884 p. 36, pl. 14, fig. 6. POP OP PORC À 0. té tintin mn mi 2 eo. à a a dd Em de en tnt ln te à de éd) à on de ÉD RS CSSS, dd nd D HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 31 Abietinaria filicula (Ellis et Solander). Syn.: Sertularia filicula Ellis et Solander. Voir : Matériaux I, p. 471; IT, p. 113; IL, p. 369 et IV, p. 363. Sertularia filicula Abietinaria filicula Abietinaria filicula BYERLY LESLIE et HERDMAN LELLER KIRCHENPAUER var. clarki KiIRCHENPAUER Sertularia filicula » » » » » » » » » » Abietinaria filicula Abielinaria inconst THOMPSON PENNINGTON HERDMAN HERDMAN MELLY, HIcks a. HERDMAN BALE MARKTANNER 1854 p. 104. 1881 p. 16. 1883 p. 106. 1884 p. 29-36. 1884 p. 33. 1884 p. 4, 5. 1885 p. 114. 1886 (a) p. 3, 10. 1886 (b) p. 330. © 1886 p. 104, 110. 1887 p. 407. 1890 p. 245, 247, pl. 5, fig. 9. Abietinaria inconstans (Clark). Syn. : Sertularia inconstans Clark. Voir : Matériaux IV, p. 364. ans KIRCHENPAUER 1884 p. 36. Abietinaria juniperus Kirchenpauer. Abietinaria juniperus KiRCHENPAUER Abietinaria melo Abietinaria merki Abietinaria tilesii 1884 p. 33, 37, pl. 14, fig. 2. Abietinaria melo Kirchenpauer. KIRCHENPAUER 1884 p.33, 36, 37, pl. 14, fig. 4. Abietinaria merki Kirchenpauer. KIRCHENPAUER 188% p. 35-37, pl. 44, fig. 1. Abietinaria tilesii Kirchenpauer. KiRCHENPAUER 1884 p. 34-37, pl. 14, fig. 3. A2 M. BEDOT Abietinaria variabilis (Clark). Syn. : Sertularia variabilis Clark. Voir : Matériaux IV, p. 369. Abietinaria variabilis KTRCHENPAUER 1884 p. 35, 37. Sertularia variabilis MuRDoCH 1885 p. 165. » » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 395, pl. 14, - fig. 4, 5. Gen. Acanthella Allman 1888. Acanthella effusa (Busk). Syn. : ? Plumularia scabra Lamarck. Voir : Matériaux ILE, p. 353 et IV, p. 343. A canthella effusa ALLMAN 1883 p. 2, 27, pl. 6. Plumularia effusa BALE 1884 p. 31, 129, 132, 143, "pl. 18, fig. 5. Plumularia scabra BALE 1884 p. 145, 156. Plumularia effusa LENDENFELD 1885 (a) p. 473. Plumularia scabra LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626. Acanthella effusa LENDENFELD 1885 (a) p. 479, 626. » » LENDENFELD 1885 (b) p. 984. Plumularia scabra LENDENFELD 1885 (d) p. 642. Acanthella effusa LENDENFELD 1885 (d) p. 644. Plumularia effusa BALE 1887 p. 78, 80, 94. Plumularia scabra LENDENFELD 1887 (c) p. 26. Acanthella effusa LENDENFELD 1887 (c) p. 28. » » ALLMAN 1888 p. LX, LXV, LXVI, LXIX. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 610, pl. 14, fig. 4. » » MaRKTANNER 1890 p. 260. BILLARD (1907), en étudiant les Hydroïdes de la collection LamARCK, a constaté que la Plumularia scabra de cet auteur était synonyme de P. effusa Busk et par conséquent de l’Acanthella effusa d’ALLman. 11 conserve à cette espèce le nom de Plumularia scabra Lamarck. Malheureusement, les échantillons types HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 33 de Lamarck sont privés de la portion terminale des branches, dont les hydro- clades sont remplacés par des appendices épineux. Or, c’est là le caractère sur lequel est fondé le genre Acanthella. I nous semble donc que, dans ce cas, on ne doit pas changer le nom spécifique donné par ALLMAN et que l’on ne peut que mettre P. scabra avec un ? dans les synonymes d’Acanthella effusa. Gen. Acanthocladium Allman 18853. Acanthocladium angulosum (Liamouroux). Syn.: Aglaophenia angulosa Lamouroux. Voir : Matériaux III, p. 233 et IV, p. 241. Acanthocladium huxleyi ALLMAN 18893 -p.:2, 8,419) 3308 pl. 9 et 20, fig. 1-3. Aglaophenia huxleyr BALE. 1884 p. 14, 21, 102, 127, 150, 161,:hl2 1560007 17,-6ie.8: À glaophenia angulosa BALE 1884 p. 162. Aglaophenia huxleyi LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 646. » » BALE 1887 p. 79, 77, 98, 100. Acanthocladium huxleyi Barr 1887 p. 89. À glaophenia huxleyi LENDENFELD 1887 (c) p. 29. Acanthocladium huzxleyi ALLMAN 1888 p. LX, LXVI, LXIX. » » DRIESCH 1890 (b) p. 676. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. A glaophenia huxleyi KIRKPATRICK 1890 (a) p. 609. Acanthocladium huxleyi MarKTANNER 1890 p. 261. Gen. Acaulis Stimpson 1854. Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239. Acaulis primarius Stimpson. Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239. Acaulis primarius FEWKES __ 1890 p. 433, fig. 1-3. Rev. Suisse pe Zoou. T. 24. 1916. 3 34 M. BEDOT Gen. Acharadria Wright 1863. Voir : Matériaux III, p. 232 et IV, p. 239. Acharadria larynx Wright. Voir : Matériaux IIT, p. 232 et IV, p. 239. Acharadria larynx PENNINGTON 1885 p. 56. » ) Du PLessis 1888 p. d44. Gen. Acladia Marktanner 1890. Acladia africana Marktanner. Acladia africana MARKTANNER 1890 p. 261, pl. 5, fig. 11-11 a. Gen. Actinogonium Allman 1871. | Voir : Matériaux III, p. 233 et IV, p. 240. Actinogonium pusillum (van Beneden). Voir : Matériaux II, p. 65; III, p. 233 et IV, p. 240. Coryne van Benedeni REES 1884 p. 573. » » » PENNINGTON 1885 p. 48. » » » BÉTENCOURT 1888 p. 202. » » » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23. Gen. Aglaophenia Lamouroux 1812. Voir : Matériaux I, p. 422; IL, p. 40; III, p. 233 et IV, p. 240. Aglaophenia acacia Allman. Aglaophenia acacia ALLMAN 1883 p. 37, 38, 55, pl. 12, fig. 1-4. » » QUELCH 1885 (a) p. 10, » » ALLMAN “888 "p: LIX; RL EXDS » ph DRIESCH 1890 (b) p. 675. » » var. MARKTANNER 24890 p.270, pLiT AEUTE Aglaopheniamediterranea MaRKTANNER 1890 p. 286 (Expl. des pl.). sidi Ed dal HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 39 Aglaophenia acanthocarpa Allman. Voir : Aglaophenia divaricata. Aglaophenia acutidentata Allman. Aglaophenia acutidentata ALLMAN 1886 p. 151, pl. 22, fig. 1-4. BizLARD (1910) considère cette espèce comme synonyme d'A glaophenia pluma. Aglaophenia allmani Nutting. Voir : Matériaux IV, p. 240. A glaophenia ramosa FEWKES 1881 (a) p. 127, 131. » » ALLMAN 1883 p. 2. Aglaophenia alopecura Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 240. A glaophenia alopecura MARKTANNER 1890 p. 263, pl. 6, fig. 20 et pl: 7, 46.24 Aglaophenia angulosa Lamouroux. Voir : Acanthocladium angulosum. Aglaophenia apocarpa Allman. Voir : Matériaux IV, p. 241. Aglaophenia apocarpa FEWKES 1881 (a) p. 127, 128. Aglaophenia arcuata Lamouroux. Voir : Halicornaria arcuata. Aglaophenia ascidioides Bale. Aglaophenia ascidioides BALE 1882 p. 28, 32, 45, pl. 13, fig. 5. 36 M. BEDOT Aglaophenia attenuata Allman. A glaophenia attenuata ALLMAN 1883 _p. 12, 37, pl. 11, fig. 7-9. » » ALLMAN 1888 P. LXIIT, LXIX. Aglaophenia avicularis Kirchenpauer. Voir : Halicornopsis elegans. Aglaophenia balei Marktanner. A glaophenia balei MARKTANNER 1890 p. 272, pl. 7, fig. 19, 20. Aglaophenia bicuspis G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 241. Aglaophenia bicuspis STORM 1880 p. 122. » » STORM 1882 p. 3, 24, 27, 30. » » ALLMAN 1883 p. 90. » » MARKTANNER 1890 p. 277. Aglaophenia bispinosa Allman. Voir : Matériaux IV, p. 242. Aglaophenia bispinosa FEwKkes 1881 (a) p. 137. » » ALLMAN 1883 p. 7, 33. Lytocarpus bispinosa ALLMAN 1883 p. 12. Lytocarpus (Aglaophenia) bispinosa ALLMAN 1883 p. 11. Aglaophenia bispinosa Acassiz, A. 1888 p. 136, fig. 431-433. Aglaophenia brachiata (Lamarck). Voir : Matériaux II, p. 234 et IV, p. 242. Aglaophenia brevicaulis Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 242. Aglaophenia brevicaulis BALE 1882 p. 20. » » BALE 188% p. 171, pl. 18, fig. 6. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 645. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. HISTOIRE DES HYDROIDES. — V. 37 Aglaophenia brevirostris (Busk). Voir : Matériaux III, p. 234 et IV, p. 242. Aglaophenia brevirostris BaLe » LENDENFELD » LENDENFELD » LENDENFELD » KIRKPATRICK 1884 p. 169. 1885 (a) p. 484, 627. 1885 (d) p. 645. 1887 (c) p. 29. 1890 (a) p. 60%, 611. Aglaophenia calamus Allman. À glaophenia calamus ALLMAN » » QuELCH » » ALLMAN » » DRiEscH 1883 p. 39, pl. 12, fig. 5-8. 1885 (a) p. 11. 1888 p. LXIIT, LXIX. 1890 (b) p. 675. Aglaophenia chalarocarpa Allman. À glaophenia chalarocarpa ALLMAN ? » BizLARD (1910) considère cette espèce comme synonyme d’A glaophenia pluma. » DRIESCH 1886 p. 138, 150, pl. 21, fig. 1-4, 1890 (b) p. 660. Aglaophenia coarctata Allman. Aglaophenia coarctata ALLMAN » » » » ALLMAN DRIESCH 1883 p. 4, 39, pl. 19, fig. 7-9. 1888 p. LXVI, LXIX. 1890 (b) p. 674. Aglaophenia conferta Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 242. Aglaophenia constricta Allman. Voir : Matériaux IV, p. 242. Aglaophenia crucialis Lamouroux. Voir : Matériaux HE, p. 422; II, p. 41 ; UN, p. 234 et IV, p. 242. Aglaophenia crucialis BALE » D) LENDENFELD 1884, p. 150, 168, pl. 18, fig. 8. 1885 (a) p. 483, 627. 38 M. BEDOT Aglaophenia crucialis LENDENFELD 1885 (d) p. 645. » » BALE 1887 p. 87. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4 Aglaophenia macrocarpa BALE 1888 p. 791, pl. 21, fig. 3-4. | | Aglaophenia cupressina Lamouroux. Ne Voir : Matériaux I, p. 422; II, p. 41; III, p. 234 et IV, p. 243 À glaophenia cupressina ALLMAN 1883 p. 36. ' Aglaophenia macgillivrayi ALLMAN 1883 p. 2, 15, 34, 38 pl 20 et 20, fig. 4-6. » » BALE 1884 p. 20, 31, 150, 151, 170, pl. 18, fig. 19-24. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 645. » » BALE 1887 p. 87. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. » » ALLMAN 1888 p. XVI, LX, LXVI, LXIX. C4 » » DRiEsCH 1890 (b) p. 660, 666, 669, 675. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. » » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 12. » » MARKTANNER 1890 p. 268. Aglaophenia delicatula (Busk). Voir : Matériaux III, p. 235 et IV, p. 243. Aglaophenia delicatula Barr LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD KIRKPATRICK Aglaophenia dichotoma Kirchenpauer. Voir : Matériaux II, p. 41; Aglaophenia dichotoma Preper Il, p. 235 et IV, p. 243. 1884 p. 23, 150, 167, pl. 14, fig. 4, pl. 17, 1840 1885 (a) p. 483, 627. | 1883 (d) p. 646. 1887 (c) p. 29. 1890 (a) p. 604. 1884 p. 218. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 39 Aglaophenia distans Allman. Voir : Matériaux IV, p. 243. Aglaophenia distans ALLMAN 1883 p. 33. Lytocarpus (A glaophenia) l distans ALLMAN 1883 p. 11. Lytocarpus distans ALLMAN 1883 p. 12. Aglaophenia distans BALE 1887 p. 8ÿ. Aglaophenia divaricata (Busk). Voir : Matériaux III, p. 235 et IV, p. 243. A glaophenia acanthocarpa BALE 1882 p. 27. A glaophenia divaricata Bave 1882 p. 19, 28, 30. 45. Aglaophenia m'eoyi BALE 1882 p. 27, 28, 30, 36, 46, pl. 14, fig. 2. À glaophenia divaricata BALE 1884 p. 13, 150-152, 155, 162- 165, 182, pl. 45, fig. 7, 8, pl. 17, fig. 6-7. Aglaophenia ramosa BALE 1884 p. 150, 163, 164, pl. 18, fig. 15-16. À glaophenia m'coyi BALE 1884 p. 164%, pl. 15, fig. 7, pl. F7 her0: A glaophenia divaricata LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627. Aglaophenia ramosa LENDENFELD 1885 (a) p. 482, 627. A glaophenia divaricata LEeNDENFELD 1885 (d) p. 646. A glaophenia ramosa LENDENFELD 1885 (d) p. 646. » » MSLLER 1885 p. 934. Aglaophenia laxa Ripcey a. QueLcH 1885 p. 496. Lytocarpus ramosus ALLMAN 1886 p. 154, pl. 25, fig. 1-3. A glaophenia ramosa LENDENFELD 1886 (a) p. 479. Aglaophenia acanthocarpa BaLe 1887 p. 85, 86, 103, 110. Aglaophenia divaricata BALE 1887 p. 76, 78, 85-87, 89, 97, 99, 100, 110. Aglaophenia laxa BALE 1887 p. 103. Aglaophenia m'coyi BALE 1887 p. 76. Aglaophenia ramosa BALE 1887 p. 87, 106, 110. Lytocarpus ramosus BALE 1887 p. 110. A0 M. BEDOT | ; Plumularia divaricata BALE 1887 p. 106, 110. À glaophenia divaricata LENDENFELD 1887 (c) p. 29. À glaophenia ramosa LENDENFELD 1887 (c) p. 29. Aglaophenia divaricata MARKTANNER 1890 p. 267. » » var. Mn coyi MARKTANNER 1890 p. 267. Aglaophenia dolichocarpa Allman. Aglaophenia dolichocarpa ALLMAN 1886 p. 152, pl. 24, fig. 1-5. Aglaophenia dromaius Allman. Voir : Matériaux IV, p. 244. Aglaophenia elegans Lamouroux. Voir : Halicornopsis elegans. Aglaophenia elongata Meneghini. Voir : Matériaux II, p. 41; IL, p. 235 et IV, p. 244. A glaophenia elongata CARUS 1884 p. 16. » » GRÆFFE 1884 p. 359. » » PIEPER 1884 p. 217. » » DRIESCH 1890 (b) p. 660. » » MARKTANNER 1890 p. 262, 270, pl. 7, fig. 8 et 12. Aglaophenia filamentosa (Lamarck). Voir : Lytocarpus filamentosus. Aglaophenia filicula Allman. Aglaophenia filicula ALLMAN 1883 p. 12, 36, 38, 55, pl. 14, fig. 1-6. » » BALE 1887 p. 97. » RAS ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX. » » MARKTANNER 1890 p. 272. Pour BizLarD (1910) cette espèce est synonyme d”’A glaophenia tubulifera. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 41 Aglaophenia flexuosa Lamouroux. Voir : Matériaux I, p. 422; II, p. 42; IL, p. 236 et IV, p. 245. Aglaophenia flexuosa BALE 1884 p. 32, 172. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 485, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. Aglaophenia formosa (Busk). Voir : Matériaux III, p. 236 et IV, p. 245. À glaophenia formosa BALE 1884 p. 32, 168, pl. 18, fig. 7. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 645. » » BALE 1887 p. 87. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 29. » » MARKTANNER 1890 p. 264, pl. 6, fig. 11. Aglaophenia fusca Kirchenpauer. Voir : Matériaux [, p. 423; IL, p. 42; HI, p. 236 et IV, p. 245. A glaophenia fusca MARKTANNER 1890 p. 266, 268, 274, 275, pl." 6, fe z Aglaophenia gracilis Allman. Voir : Matériaux IV, p. 246. Aglaophenia gracilis FEWKES 1881 (a) p. 127, 131, 132. Aglaophenia gracillima Fewkes. Aglaophenia gracillima FEWKES 1881 (a) p., 129, 134, pl. 3, fig. 6, 8. Aglaophenia helleri Marktanner. Aglaophenia helleri MARKTANNER 1890 p. 271, pl. 7, fig. 3,14, 15. Aglaophenia helleri var. MARKTANNER 1890 p. 271, pl. 7, fig. 13, 16. Aglaophenia heterocarpa Bale. A glaophenia heterocarpa BALE 1882 p. 31, note. 42 M. BEDOT Aglaophenia hians (Busk). Voir : Halicornaria hians. Aglaophenia huttoni de COUGHTREY. Voir : Matériaux IV, p. 247. A glaophenia huttoni BALE 1887 p. 103. Aglaophenia huttoni de KIRCHENPAUER. Voir : Matériaux IV, p. 247. Aglaophenia huttoni BALE 1887 p. 103. Aglaophenia ilicistoma Bale. Aglaophenia ilicistoma BALE 1882 p. 33, 45, pl. 14, fig. 4. Aglaophenia incisa Coughtrey. Voir : Matériaux IV, p. 247. À glaophenia incisa BALE 1887 p. 103. Aglaophenia insignis Fewkes. A glaophenia insignis FEWKES 1881 (a):p:+129; 13400 fig. 4, 6. Aglaophenia integra G.-O. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 247. Aglaophenia integra STORM 1880 p. 122. » » STORM 1882 p. 10,15, 20, 23,27, 29,930. » » MABKTANNER 1890 p. 277. Aglaophenia kirchenpaueri (Heller). Voir : Matériaux IIF, p. 236 et IV, p. 248. A glaophenia kirchen- paueri CARUS 1884 p. 16. » » DRIESCH 1890 (b) p. 660. » » MARKTANNER 1890 p. 263, pl. 7, fig. 9 et 22. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 43 Aglaophenia latecarinata Allman. Aglaophenia minuta Voir : FEWKES Aglaophenia latecarinala ALLMAN Matériaux IV, p. 248. 1881 (a) p. 129, 132, pl. 3, fig. 7, 1886 p. 151, pl. 23, fig. 5-6. Aglaophenia lendenfeldi Bale. Aglaophenia kirchen- paueri LENDENFELD 1885 (a) p. 480, 626, pl. 15 fig. 20, 23. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. » » BALE 1887 p. 87, 100. Aglaophenia lendenfeldi Bare 1887 p. 87, 100. Aglaophenia kirchen- paueri LENDENFELD 1887 (c) p. 30. Aglaophenia lignosa Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 248. Aglaophenia ligulata Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 248. Aglaophenia longicornis Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 248. Aglaophenia longicornis BALE 1882 p. 20. 1884 p. 14, 149, 157, pl. 14, fig. 7-8, pl. 17, fig. 5. » » BALE » » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. » » BALE 1887 p. 76-78, 97. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. » » MARKTANNER 1890 p. 267. Aglaophenia longirostris Kirchenpauer. Voir : Halicornaria longirostris. AA M. BEDOT Aglaophenia lophocarpa Allman. Voir : Matériaux IV, p. 249. Aglaophenia lophocarpa FEWkEs 1881 (a) p. 131. Aglaophenia microdonta Pieper. Aglaophenia microdonta Carus 1884 p. 16. » » PIEPER 1884 p. 217. Aglaophenia mæbiusi Schulze. Voir : Matériaux IV, p. 249. Nous avons changé le nom spécifique de mœæbii en mæbiusi pour obéir aux règles de la nomenclature zoologique. Aglaophenia myriophyllum (Linné). Voir : Matériaux I, p. 493; IL, p. 42; IfI, p. 237 et IV, p. 249. Plumularia myrio- phyllum BYERLEY 1854 p. 105. A glaophenia myrio- phyllum BALE 1882 p. 29. » » STORM 1882 p. 23, 27, 30. Lytocarpus myriophyllum AvLMan 1883 p. 11, 12, 38. Lytocarpus (A glaophenia) myriophyllum ALLMAN 1883 p. 11. À glaophenia myrio- phyllum Marion 1883 (a) p. 108. » » MARION 1883 (b) p. 23. ss » BALE 1884 p. 21, 148, 162. » » CaRuS 1884 p. 16. » » PIEPER 1884 p. 217. Lytocarpus myriophyllum PENNINGTON 1885 p. 130. Lytocarpus (Aglaophenia) myriophyllum ALLMAN 1886 p. 155. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 4) Aglaophenia myrio- phyllum Mezry, Hicks a. » » Nicxocs a. HADDON » » BALE » » Lo Braxco » » DALLA TORRE » » SEGERSTEDT » » BOoURNE » » BOURNE » » DRIESCH Lytocarpus myriophyllum MarKTANNER 1886 p. 112. 1886 p. 615. 1887 p. 85. 1888 p. 3806. 1889 p. 95. 1889 p. 21, 22, 27. 1890 (a) p. 319. 1890 (b) p. 398. 1890 (b) p. 660, 666. 1890 p. 277, pl. 7, fig. 10-41. Aglaophenia octodonta (Heller). Voir : Matériaux IIL, p. 237 et IV, p. 250. Aglaophenia octodonta Carus » » GRÆFFE » » DRIESCH » » MARKTANNER 1884 p. 16. 1884 p. 346, 353. 1890 (b) p. 660. 1890 p. 271. Aglaophenia parva Pieper. Voir : Matériaux IV, p. 250. Aglaophenia parva CARUS » » PIEPER 1884 p. 16. 1884 p. 218. Aglaophenia parvula Bale. Aglaophenia parvula BALE » » LENDENFELD » » BALE » » LENDENFELD » » LENDENFELD » » BALE 1882 p. 27-29, 31, 35, 46, pl. 14, fig. 3. 1883 (d) p. 370, Expl. pl. 18, fig. 4. 1884 p. 21, 29, 148, 150, 152, 165, 167, pl. 14, fig. 3, pl. 17, fig. 10. 1885 (a) p. 483, 489, 490, 627. 1885 (d) p. 646. 1887 p. 78, 86, 87, 97. RE coratd 46 M. BEDOT Aglaophenia parvula LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4 » » BALE 1888 p. 790. » » MARKTANNER 1890 p. 269. Aglaophenia patagonica (4’Orbigny). Voir : Matériaux IL, p. 43; Il, p. 238 et IV, p. 250. Aglaophenia pennaria (Linné). Voir : Lytocarpus pennarius. Aglaophenia pennatula (Ellis et Solander). Voir : Halicornaria pennatula. Aglaophenia perforata Allman. Aglaophenia perforata ALLMAN 1886 p. 150, pl. 21, fig. 5-8. ? » > PE DRIESCH 1890 (b) p. 660. Aglaophenia perpusilla Allman. Voir : Matériaux IV, p. 251. Aglaophenia perpusilla ALLMAN 1886 p. 152. Aglaophenia philippina Kirchenpauer. Voir : Lytocarpus philippinus. Aglaophenia phæœnicea (Busk). Voir : Lytocarpus phæniceus. Aglaophenia phyllocarpa Bale. Aglaophenia phyllocarpa Bare 1888 p. 793, pl. 21, fig. 9-10. Aglaophenia pluma (Linné). Voir : Matériaux I, p. 425; Il, p. 44; IL, p. 240 et IV, p. 252. Plumularia cristata BYERLEY 1854 p. 104. Aglaophenia pluma BaLR 1882 p. 29, 31, 35, 36. » » MEREJKOWSKY 1882 (a) p. 280. À glaophenia pluma HISTOIRE MEREJKOWSKY MEREJKOWSKY WEISMANN DES HYDROÏDES. — V. 47 1882 (b) p. 583, 585 ss., pl. 29 À, fig. 1-6, 8, 11, 17. 1883 (b) p. 115. 1883 p. 191, 229, pl. 6, fig. 4, pl. 9, fig. 5, 6. » » BALE 1884 p. 21-23, 32, 148, 150, 151, 161, 166, 168, pl. 18, fie. 17. » » CaRUS 1884 p. 15. Aglaophenia uncinata CARUS 1884 p. 16, Ex. Syn. p. p. À glaophenia pluma GRÆFFE 1884 p. 346, 355. » » PIEPER 1884 p. 186, 2157. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 483, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 646. » » PENNINGTON 1885 p. 128, pl. 9, fig. 5, pl. 10, fig. 1-2. » » HERDMAN 1886 (a) p. 12. » » Meczy, Hicks a. HERDMAN 1886 p, 112. » » NicHoLs a. HappoN 1886 p. 615. » » THOMPSON 1886 p. 317. » » BALE LES He D"8), 87: » » BÊTENCOURT 1887 p. 67, » ) LENDENFELD 1887 (c) p. 29. » » BÉTENCOURT 1888 p. 213. » » Lo Branco 1838 p. 387. » » SEGERSTEDT 1889 p. 22, 27. » » BOURNE 1890 (b) p. 397. » » DRIESCH 1890 (b) p. 660. Aglaophenia pluma var. DriescH 1890 (b) p. 666-668, 675. Aglaophenia pluma MARKTANNER 1890 p. 262, pl. 7, fig. 1, 2, 18. Aglaophenia pluma (Linné) var. dichotoma Sars. Plumularia pluma var. dichotoma Sars 1857 (a) p. 164. A glaophenia pluma var. dichotoma Hixcks 1868 p. 287, pl. 63, fig. 1 a. » » » PIEPER 1884 p. 217. » » » MARKTANNER 1890 p. 270. 48 M. BEDOT Aglaophenia plumifera Kirchenpauer. Voir: Matériaux IV, p. 252. Aglaophenia plumosa Bale. Aglaophenia plumosa BALE 1882 p. 27, 29, 30, 37, pl. 14, fig. 6. » » BALE 1884 p. 18, 149, 153, pl. 14, fig. 5, pl. 17, fig. 12. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627. » » LENLENFELD 1885 (d) p. 647. » » PENNINGTON 1885 p. 129, pl. 10, fig. 1. » » BALE 1887 p. 87, 99, 110. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. Aglaophenia prolifera Bale. Aglaophenia prolifera BALE 1882 p. 28, 34, 46, pl. 14, fig. 5. Aglaophenia pusilla Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 252. Aglaophenia radicellata G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 253. Aglaophenia radicellata Storm 1882 p. 24, 27. » » MARKTANNER 1890 p. 277. Aglaophenia ramulosa Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 253. Aglaophenia ramulosa FEWKES 1881 (a) p. 127, 128. » » BALE 1882 p. 20. » » BALE 1884 p. 170, pl. 18, fig. 11. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 645. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 49 Aglaophenia rhynchocarpa Alman. Voir : Matériaux IV, p. 253. Aglaophenia rhynchocarpa Fewxes 1881 (a) p. 131. Aglaophenia rigida Allman. Voir : Matériaux IV, p. 253. Aglaophenia rigida FEWKES 1881 (a) p. 131. » » Quecca 1885 (a) p. 11. Aglaophenia robusta Fewkes. Aglaophenia robusta FEWKES 1881 (a) p. 129, 132. Aglaophenia roretzi Marktanner. À glaophenia rorelzi MARKTANNER _ 4890 p. 271, pl. 6, fig. 22-22 a. Aglaophenia rostrata Kirchenpauer. Voir : Lytocarpus phœniceus. Aglaophenia rubens Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 253. Aglaophenia rubens BALE 1882 p. 20. » » BALE 1884 p. 149, 157, pl. 18, fig. 9. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. » » MARKTANNER 1890 p. 275, 276. Aglaophenia savignyana Kirchenpauer. Voir : Matériaux I, p. 426 ; IL, p. 45; II, p. 241 et IV, p. 253. Aglaophenia savigniana Carus 1884 p. 17. Aglaophenia savignyana Piper 1884 p. 218. Aglaophenia savigniana DriescH 1890 (b) p. 660, 666. Aglaophenia savignyana MARKTANNER 1890 p. 267, pl. 6, fig. 13. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. A 50 M. BEDOT Aglaophenia sigma Allman. Voir : Matériaux IV, p. 254. Aglaophenia simplex (d'Orbigny). : Voir : Matériaux Il, p. 45; III, p. 241 et IV, p. 254. A glaophenia simplex PIEPER 1884 p. 186. Aglaophenia sinuosa Bale. Aglaophenia sinuosa BALE 1883 p. 790, pl. 21, fig. 1-2. Aglaophenia speciosa (Pallas). . Voir : Matériaux I, p. 426; !T, p. 46; II, p. 241-et IV, p. 254. Plumularia speciosa BALE 1884 p. 171. Aglaophenia squarrosa Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 254. A glaophenia squarrosa BALE 1882 p. 20. » » BALE 1884 p. 149, 156, pl. 18, fig. 10. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 481, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 647. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 30. » » MARKTANNER 1890 p. 268, pl. 6, fig. 19. Aglaophenia struthionides (Murray). Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 254. A glaophenia arborea CLARKE 1888 p. 86. A glaophenia struthionides CLARKE 1888 p. 86, fig. 80 et pl. s$ n°. p. 86, fig. 3. » » MARKTANNER 1890 p. 265, pl. 6, fig. 21. Aglaophenia superba Bale. A glaophenia superba BALE 1882 p. 28, 31, 33, 45, pl. 13, fig. 4. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 51 Aglaophenia tricuspis Mac Crady. Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 254. Aglaophenia trifida L. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 242 et IV, p. 255. Aglaophenia tubiformis Marktanner. À glaophenia tubiformis MARKTANNER 1890 p. 269, 270, pl. 7, fig. 4, 9, 47. » » var. MARKTANNER 1890 p. 270, pl. 7, fig. 6. Aglaophemia tubulifera Hincks. Voir : Matériaux IIL, p. 242 et IV, p. 255. A glaophenia tubulifera BALE 1882 p. 29, 36. » » PENNINGTON 1885 p. 129. » » QUELCH 1885 (a) p. 11. » » HOYLE 1889 p. 460. » » BOoURNE 1890 (b) p. 397. » » DRIESCH 1890 (b) p. 660. Aglaophenia urceolifera (Lamarck). Voir : Halicornaria urceolifera. Aglaophenia urens Kirchenpauer. Voir : Lytocarpus uwrens. Aglaophenia vitiana Kirchenpauer. Voir : Matériaux [V, p. 255. Aglaophenia vitiana BALE 1884 p. 152. » » BALE 1887 p. 85, 103. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 611. Aglaophenia. (2) whiteleggei Bale. Aglaophenia (?) white- leggei BALE 1888 p. 794, pl. 21, fig. 8. 52 M. BEDOT Gen. Aglaophenopsis Fewkes 1881. Aglaophenopsis hirsuta Fewkes. Aglaophenopsis hirsuta FEWKES 1881 (a) p. 129, 133, pl. 4, fig: 2, 10, pl. 2, fig. 3. Gen. Amalthæa O. Schmidt 1852. Voir : Matériaux IIE, p. 243 et IV, p. 256. Amalthæa islandica Allman. Voir : Matériaux IV, p. 256. Amalthæa januari (Steenstrup). Voir : Matériaux IIL, p. 243 et IV, p. 256. Amalthæa januari LOMAN 1889 p. 269, 270. Amalthæa sarsi (Steenstrup). Voir : Matériaux [IL, p. 243 et IV, p. 256. Corymorpha sarsi WEISSMANN 1883 p. 129. Amalthæa sarsi LOMAN 1889 p. 269, 270. Amalthæa uvifera Ô. Schmidt. Voir : Matériaux LIT, p. 244 et IV, p. 256. ? Corymorpha uvifera Storm 1882 p. 11, 28, 30. Amalthæa uvifera LOMAN 1889 p. 268, 270. Amalthæa vardüensis Loman. Amalthæa vardüensis LOMAN 1889 p. 271, fig. 5 et pl. 13. Gen. Amphibrachium Schulze 1880. Amphibrachium euplectellæ Schulze. Amphibrachium euplectellæ Scaurze 1880 p. 672, fig. 1. » » JicKELt 1883 p. 049. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 53 Gen. Anisocola Jickeli 1883. KIRCHENPAUER (1876) avait divisé le genre Plumularia en 3 sous-genres : /socola, Anisocola et Monopyxis. JICKELI (1883) a pris Zsocola et Anisocola comme noms de genres, mais cela n’a pas été adopté. Gen. Antennella Allman 1877. Voir : Matériaux IV, p. 257. Antennella allmani Armstrong. Voir : Matériaux IV, p. 257. Antennella gracilis Allman. es e- Voir : Matériaux IV, p. 257. | YA 2 ; 9 87 HA +7 À Antennella gracilis FEWKES 1881 (a) p. 127. Y_s D Antennella secundaria (Gmelin). Syn. : Plumularia secundaria (Gmelin). Voir : Matériaux I, p. 461; IE, p. 100 ; IL, p. 354 et IV, p. 344. Plumularia secundaria Carus 1884 p. 18. » » PIEPER 1884 p. 216, 220. » » DRIESCH 1890 (a) p. 661. » » DRIESCH 1890 (b) p. 659-662, 669, 673. » » MARKTANNER 1890 p. 251, 252, pl. 6, fig. 4. Antennella siliquosa Hincks. Syn. : Plumularia siliquosa Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 345. Plumularia siliquosa PENNINGTON 1885 p. 127. À 7 54 M. BEDOT Gen. Antennopsis Allman 1877. Voir : Matériaux IV, p. 257. Antennopsis hippuris Allman. Voir : Matériaux IV, p. 257. Antennopsis hippuris FEWKES 1881 (a) p. 128, 133. » » BALE 1887 p. 82. Antennopsis ramosa Fewkes. Antennopsis ramosa FEWKES 1881 (a) p.129, 133, pl. 3, fig. 3. Gen. Atractyloides Fewkes 1889. Atractyloides formosa Fewkes. Atractyloides formosa FEWKESs 1899 (b) p. 101, pl. &, fig. 2, 3, 5. Hydroid FEWKES 1889 (c) p. 599, fig. 10, 10 a. Gen. Azygoplon Allman 1883. Le genre Azygoplon d'ALLMAN étant synonyme d’AHalicor- nopsis Bale (1882) doit être supprimé. BALE (1888) à repris le nom d’Azygoplon pour un autre genre de Plumularides représenté par son À. productum. STECHOW (1909) fait rentrer cette espèce dans le genre Diplocheilus d'ALLMAN, et BALE (1914) la place actuellement dans le genre Kirchenpaueria de JICKELI; nous la mettons provisoirement dans le genre Diplocheilus. Voir la remarque au genre Xirchenpaueria. Gen. Azygoplon Bale 1888. Ce genre doit être supprimé. Voir ci-dessus. \ HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Gen. Bimeria Wright 1859. Voir : Matériaux III, p. 245 et IV, p. 257. Dimeria (2) gracilis Clark. Voir : Matériaux IV, p. 257. Bimeria humilis Allman. Voir : Matériaux IV, p. 257. Bimeria vestita Wright, Voir : Matériaux II], p. 245 et IV, p. 257. Bimeria vestita LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. » » PENNINGTON 1885 p. 68. » » MEcy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 100. » » ALUMAN 1888 p. k. » » Du Pcessis 1858 p. 541. Gen. Blastothela Verrill 1878. Voir : Matériaux IV, p. 258. Blastothela rosea Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 258. Gen. Bougainvillia Lesson 1836. Voir : Matériaux IF, p. 48; LIL, p. 245 et IV, p. 258. Bougainvillia carolinensis (Mac Crady). Voir : Matériaux IT, p. 246 et IV, p. 258. Margelis carolinensis BROOKS 1882 p. 136, 143. Bougainvillia fruticosa Allman. Voir : Matériaux II, p. 246 et IV, p. 258. Bougainvillia fruticosa Du PLessis 1881 (a) p. 146. » » LEsLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. 56 M. BEDOT Bougainvillia fructicosa HAMANN 1882 (a) p. 523. Bougainvillia fruticosa PiePER 1884 p. 150. » » PENNINGTON 1885 p. 70. » » Du PLessis 1888 p. 941. » » Lo Braxco 1888 p. 387. » » MARKTANNER 1890 p. 200. Bougainvillia muscus Allman. Voir : Matériaux IIT, p. 246 et LV, p. 258. Bougainvillia muscus: Carus 1884 p. 3. » » GRÆFFE 1884 p. 349. » » PIEPER 1884 p. 150. » » PENNINGTON 1885 D; #20 » » MELzzy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 100. » » BÉTENCOURT 1888 p. 203. » » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24. Bougainvillia ramosa (van Beneden). Voir : Matériaux II, p. 48; IL, p. 246 et IV, p. 258. Syn.: Margelis ramosa. Voir : Matériaux II, p. 138. Bougainvillia ramosa Du PLEssis 1881 (a) p: 146. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. Bougainvillia fruticosa WeiSmMANN 1883 Expl. pl. 12. Bougainvillia ramosa WEISMANN 1883 p. 113, 218, pl. 12, fig. 19, 13. = Lizusa octocilia WEISMANN 1883 p. 114. » » CARUS 1884 p. 24. ? Bougainvillia ramosa PiePEr 1884 p. 220. » » R&ES 1884 p. 79. » » PENNINGTON 1885 p. 70. » » CLuBB us 1886 p. 115. Bougainvillea brilannica HErDMAN 1386 (a) p. 12. Bougainvillia britannica HERDMAN 1886 (b) p. 325, 327, 330. Margelis britannica HADDON 1886 (a) p. 526. Bougainvillia britannica M'Ixrosh 1887 (b) p. 99. Qt 1 HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Bougainvillia ramosa Du PLEssIs 1888 p. 541. Lizzia octocilia Du PLEssis 1388 p. 541. Bougainvillia ramosa Lo Bianco 1888 p. 387. Lizusa octocilia DALLA TORRE 1889 p. 95. Margelis ramosa DALLA ToRRE 1889 p. 95. Bougainvillia britannica (Margelis ramosa) M'INrosx 1889 p. 264, 272, 278, 282, 288, 289, 293. Bougainvilla ramosa SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24. » » BouRNE 1890 (b) p. 393. » » DRIESCH 1890 (b) p. 678. Bougainvillia britannica M’Ixrosa 1890 (b) p. 297, 298. É — Dougainvillia rugosa Clarke. Bougainvillia rugosa CLARKE 1882 p. 135, 140, pl. 8, fig. 21-24. Dougainvilha superciliaris (L. Agassiz). Voir : Matériaux II, p. 248 et IV, p. 259. Syn. : Hippocrene superciliaris L. Agassiz. Voir : Matériaux Il, p. 135. Bougainvillia super- ciliaris WAGNER 1385 p. 60, 72, 73, pl. 2, fig. 5-9, pl. 3, fig. 1. Bougainvillia paradoxa M’Ixrosu 1890 (a) p. 42. Gen. Calamphora Allman 1888. Ce genre ne renferme qu'une espèce C. parvula qui, d’après HARTLAUB (1901) et BILLARD (1910), serait une Sertularella. STECHOW (1913) conserve ce genre en en modifiant la diagnose. Calamphora parvula Allman. Calamphora parvula ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIII, 29, pl. 10, fig. 3, 34. 58 M. BEDOT Gen. Callicarpa Fewkes 1881. Callicarpa gracilis Fewkes. Callicarpa gracilis FEWKES 1881 (a) p. 129, 134, pl. 2, fig. 12510,77: » » ALLMAN 1883 p. 3 (note), 13. » » AGASSIZ, À. 1888 p. 137, fig. 438, 439. Gen. Calycella Hincks 1859. Voir : Matériaux III, p. 248 et IV, p. 260. Calycella fastigiata (Alder). Voir : Matériaux IIT, p. 249 et IV, p. 260. Calycella fastigiata STORM 1882 p. 17, 27. » » PENNINGTON 1885 p. 98. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » HoyLe 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 25. Calycella obliqua Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 260. Calycella plicatilis (Sars). Voir : Matériaux IL, p. 249 et IV, p. 260. Calycella plicatilis STORM 1882 p. !8. » » THOMPSON 1884 p. 4, 8. Calicella plicatilis VERRILL 1885 (a) p. 517, 537, pl 9, fig. 30. Calycella plicatilis BERGH | 1887 p. 332, 334. » » MARKTANNER 1890 p. 213. Calycella producta G.-0. Sars. Voir : Lovenella producta. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Calycella pygmæa Hincks. Voir : Halisiphonia pygmaæa. Calycella quadridentata Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 261. Calycella quadridentata Taompsox 1884 p. 4, 7, pl. 1, fig. 20. Calycella syringa (Linné). Voir : Matériaux I, p. 432. IL, p. 34, IL, p. 249 et IV, p. 261. Campanularia syringa BYERLEY 1854 p. 105. Calycella syringa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. » » STORM 1882 p. 17. » » CARUS 1884 p. 10. Campanularia syringa KLaaTscH 188% p. 581. Calycella syringa PIEPER 1884 p. 152, 165. » » REES 1884 p. 579. » » THOMPSON 1884 p. 4, 7, 8, pl. À, fig. 21. Campanularia syringa Gapeau De KERVILLE 1885 p. 178. Calycella syringa PENNINGTON 1885 p. 98, pl. 5, fig. 4. » » HErDMAN 1886 (a) p. 3. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » Mezcy, Hicks à. HERDMAN 1836 p. 106. » » BERGH 1887 p. 334. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » THOMPSON 1887 p. 389, 392. » » BÉTENCOURT 1838 p. 208. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 25. » » BOURNE 1890 (b) p. 395. » » MARKTANNER 1890 p. 213. Gen. Calyptospadix Clarke 1882. Calyptospadix cerulea Clarke. Calyptospadix cerulea CLARKE 1882 p. 135, 136, pl. 7, fig. 1-9, 60 M. BEDOT Gen. Calyptothuiaria Marktanner 1890. Calyptothuiaria clarki Marktanner. Calyptothuiaria clarki MaRKTANNER 1890 p. 243, pl. 5, fig. 6-6 a. Calyptothuiaria magellanica Marktanner. Calyptothuiaria magellanica MARKTANNER 1890 p. 244, pl. 5, fig. 7. Gen. Campaniclava Allman 1864. Voir : Matériaux IT, p. 250 et IV, p. 261. Campaniclava cleodoræ (Gegenbaur). Voir : Matériaux III, p. 250 et IV, p. 262. Campaniclava cleodoræ WKISMANN 1883 p. 26. » » CARUS 1884 p. 2. » » Du PLessis 1888 p. 532. » » ALCOCK 1892 p. 208. Gen. Gampanopsis Claus 1881. Campanopsis Sp. ? Campanopsis CLaus 1881 (c) p. 90 ss., pl. 1-2. » Jicken 1883 p. 623, pl. 27, fig. 11-20. Cette espèce est très probablement la forme Polype de la Méduse Octorchis gegenbuuri. Gen. Campanularia Lamarck 1816. Voir : Matériaux I, p. 428; II, p. 48; II, p. 250 et IV, p. 262. Campanularia amphora A. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. 251 et IV, p. 262. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 61 Campanularia angulata Hincks. Voir : Matériaux IE, p. 251 et IV, p. 262. Campanularia angulata WEismMaNN 1881 (b) p. 12. » » HAMANN 1882 (a) p. 524. » » VARENNE 1882 (b) p. 627, 659, 667, 678, 680, 687, pl. 29, pl. 30, fig. 6-8. » » LENDENFELD 1883 (e) p. 549. » » GRÆFFE 1884 p. 357. » » METSCHNIKOFF 1884 p. 145. » » PENNINGTON 1885 p. 87, pl. 4, fig. 6. » » THALLWITZ 1885 p. 438 note. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » MELLY, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 103, 105. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 41, 69, 70. » » Nicnozs a. HappoN 1886 p. 615. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » BÉTENCOURT 1888 p. 206, 212. » » Driesca 1889 p. 194, 195, 222. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » HOYLE 1889 p. 460. » » BouRNE 1890 (b) p. 394. » » MARKTANNER 1890 p. 210. Campanularia antipathes (Lamarck). Voir : Laictorella antipathes. Campanularia bilabiata Coughtrey. Voir : Matériaux IV, p. 262. Campanularia borealis Marktanner. Campanularia borealis MARKTANNER 1890 p. 206. Campanularia brasiliensis Meyen. Voir : Matériaux If, p. 48; III, p. 251 et IV, p. 262. 62 M. BEDOT Campanularia calceolifera Hincks. Voir : Matériaux III, p. 251 et IV, p. 263. Campanularia caliculata Hincks. Voir : Matériaux III, p. 252 et IV, p. 263. Campanularia caliculata Srorm Campanuluria coliculata Jickeui Campanularia caliculata LENDENFELD Clythia poterium LENDENFELD Laomedea repens LENDENFELD Campanularia caliculata Carus » » GRÆFFE » » PIEPER » » LENDENFELD » » LENDENFELD » » PENNINGTON » » HERDMAN » » HERDMAN » » Meccy, Hicks a. HERDMAN » » METSCHNIKOFF » » LENDENFELD » » BALE » » SEGERSTEDT » » MARKTANNER Campanularia caliculata var. makrogona (Lendenfeld). Campanulina calyculata var. Mmakrogona LENDENFELD Campanularia caliculata var. makrogona BALE Campanularia carduella Allman. Campanularia carduella ALLMAN 1882 p. 14, 28. 1883 p. 631, pl. 27, fig. 26-32, pl. 28, fig. 1-3. 1883 (e) p. 499, 526. 1883 (e) p. 537. 1883 (e) p. 37. 1884 p. 9. 1884 p. 397. 1884 p. 152. 1885 (b) p. 910, 922. 1885 (d) p. 660. 1885 p. 86. 1886 (a) p. 12. 1886 ‘b) p. 329. 1886 p. 104. 1886 (b) p. 20, 41, 69, 70. 1887 (c) p. 40. 1888 p. 755, 775, 776, pl. 13, fig. 1-3. 1889 p. 13, 25. 1890 p. 204, 206. 1885 (b) p. 922. 1888 p. 755, pl. 13, fig. 4-8. - 1886 p. 139, pl. 7, fig. 1-2. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 63 Campanularia cheloniæ Alman. Campanularia cheloniæ ALLMAN 1888 p. LXVIIT, 22, pl. 11, fig. 2, 24. Car] Campanularia chinensis Marktanner. Campanularia chinensis MARKTANNER 1890 ‘p. 203, pl.-3, fig: 1. Campanularia circula Clark. Voir : Matériaux IV, p. 263. Campanularia circula Taompson 1887 p. 387, 391. » » MARKTANNER 1890 p. 203. Campanularia clytioides . (Lamouroux). Voir : Matériaux III, p. 252 et IV, p. 263. Campanularia compressa Clark. Voir : Matériaux IV, p. 263. Campanularia coronata Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 263. Campanularia crenata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 264. Campanularia cylindrica d’ALLMAN. Voir : Matériaux IV, p. 264. Campanularia cylindrica de CLARK. Voir : Matériaux IV, p. 264. Campanularia cylindrica Fewxes 1889 (b) p. 101. 64 M. BEDOT Campanularia decipiens (Wright). Voir : Matériaux IT, p. 253 et IV, p. 264. Campanularia decipiens LESLIE a. HekDMAN 1881 p. 13. » » PENNINGTON 1885 p. 88. Campanularia denticulata Clark. Voir : Matériaux IV. p. 264. Campanularia denticulata MaRKTANNER 1890 p. 205. Campanularia everta Clark. Voir : Matériaux IV, p. 264. Campanularia everta FEWKES 1889 (b) p. 104. Campanularia exigua (Sars). Voir : Matériaux III, p. 253 et IV, p. 265. Campanularia exiqua MARION 1883 (b) p. 23. » » CARUS SES pe QT en. » » PENNINGTON 1883 p. 88. PRO STANES » DRIESCH 1889 p. 194, 195. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » MARKTANNER 1890 p. 204. Campanularia flexuosa (Alder). Voir : Matériaux I, p. 430 ; II, p. 50; III, p. 253 et IV, p. 265. Campanularia flexæuosa Srorm 1880 p. 123. » » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 13. Laomedea flexæuosa SCHMIDTLEIN 1881 p. 171. Campanularia flexuosa VARENNE 1881 (a) p. 345. » » VARENNE 1881 (b) p. 1032. » » WEISMANN 1881 (a p. 64. » » LENZ 1882 p. 171, 177. » » STORM 1882 P. 13, 15, 28, 29. » » VARENNE 1882 (b) p. 620, 621... 666, 667, 672, 678... 698, pl. 30, fig. 1-5, pl. 31, fig. 1-2, pl. 33, fig. 1-2, pl. 36, fig. 1-4. HISTOIRE Campanularia flexuosa » » » » » ) » » » » Laomedea gelatinosa Campanularia flexuosa Laomedea flexmosa Campanularia flexuosa » » » » » » » ) » » Laomedea flexzuosa Campanularia flexuosa » » Laomedea flexuosa Campanularia flezuosa ? » » » » » » » » LENDENFELD MaARION WEISMANN BRAUN CARUS PIEPER PIEPER THOMPSON LENDENFELD PENNINGTON THALLWITZ HERDMAN KÜKENTHAL u. WEISSENBORN Meccy, Hicks a. HERDMAN NicHoLs a. HADDON METSCHNIKOFF BÉTENCOURT ALLMAN BÉTENCOURT Lo Bianco BRAUN DRIESCH SEGERSTEDT BOURNE MaARKTANNER DES HYDROÏDES. — V. 1883 (e) p. 549. 1883 (a) p. 29, 31. 1883 p. 4, 140, 144, 219, 2 226, 233, 241, 242, 26%, pl. 24, fig. 1-7. 1884 p. 90, 106, 114, 117, 120, 121. 1884 p. 9. 1884 p. 164. 1884 p. 149. 1884 p. 4, 8. 1885 (a) p. 352. 1885 p. 87, pl. 4, fig. 5. 1885 p.389, 390, pl. 12, fig. 1-9. 1886 (b) p. 329. 1886 p. 778. 1886 p. 104. 1886 p. 615. 1886 (b) p. 69. 1887 p. 67. 1888 p. XXXIV. 1888 p. 206. 1888 p. 388. 1889 p. 79. 1889 p. 194. 1889 p. 10, 14, 23. 1890 (b) p. 394. 1890 p. 20%, 205. Campanularia fragilis Hincks. Voir : Matériaux III, p. 254 et IV, p. 265. ? Campanularia fragilis PenniGron 1885 p. 88. Campanularia fusiformis Clark. Campanularia fusiformis FEewkes Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. Voir : Matériaux IV, p. 265. 1889 (b) p. 104. 66 M. BEDOT Campanularia gegenbauri Sars. Voir : Matériaux III, p. 254 et IV, p. 266. Campanularia gigantea Hincks. Voir : Matériaux IIL, p. 255 et IV, p. 266. Campanularia gigantea Carus 1884 p. 9. » » PIEPER 188% p. 164. ? » » PENNINGTON 1885 p. 88. Campanularia gracilis Allman. Voir : Matériaux IV, p. 266. Campanularia grandis Allman. Voir : Matériaux IV, p. 266. Campanularia hincksi Alder. Voir : Matériaux IIT, p. 255 et IV, p. 266. Campanularia hincksi Storm 1882 p. 3, 14. » » PENNINGTON 1885 p. 85. » » HERDMAN 1886 (a) p. 12. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » MELLY, HICKS a. | HERDMAN 1886 p. 104. » » _BERGH 1887 p. 333. » » _BÉTENCOURT 1888 p. 206. | » » KIRKPATRICK 1889 p. 446. » » SEGERSTEDT 1889 p. 13, 25. | » » MARKTANNER 1890 p. 204. 1 Campanularia integra Macgillivray. Voir : Matériaux IL, p. 53: LIL, p. 255 et IV, p. 266. , Campanularia integra LesLie a. HERDMAN 1881 p. 13. ÿ » » CARUS 1884 p. 8. ; » PIBPER : "1884 p. 152. 4 » » PENNINGTON 1885 p. 86. Le HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 67 Campanularia integra BERGH 1887 p. 333. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » MARKTANNER 1890 p. 206, 207. Campanularia integriformis Marktanner. Campanularia integri- formis MARKTANNER 1890 p. 204, 206, pl. 3, fig. 2. Campanularia juncea Allman. Voir : Matériaux IV, p. 267. Campanularia juncea MARKTANNER 1890 p. 205. Campanularia macrocyttara (Lamouroux). Voir : Matériaux II, p. 53; ILE, p. 256 et IV, p. 267. Campanularia macro- cyltara BALE 1884 p. 56, pl. 2, fig. 6. Campanularia macro- cyllaria LENDENFELD 1885 (a) p. 402, 621. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 660. Campanularia macro- Cytharia LENDENFELD 1887 (c) p. 40. Campanularia macroscypha Allman. Voir : Matériaux IV, p. 267. Campanularia macro- scypha FEWKES 1881 (a) p. 129. Campanularia maior Meyen. Voir : Matériaux [I, p. 53; HI, p. 256 et IV, p. 267. Campanularia marginata Bale. Campanularia marginata BALE 1884 p. 54, pl. 1, fig. 2. _ Laomedea marginata LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 630. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 18. Campanularia marginata BALE 1888 p. 757, 758. » » MARKTANNER 1890 p. 206. 68 M. BEDOT Campanularia neglecta (Alder). Voir : Matériaux IL, p. 256 et IV, p. 267. Campanularia neglecta PENNINGTON 1885 p. 87. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » MEccY, Hicks a. HerDMAN 1886 p. 105. » » BERGH 1887 p. 339. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » BÉTENCOURT 1888 p. 204, 206. » » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 25. Campanularia occidentalis Fewkes. Campanularia occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 101. Campanularia ptychocyathus Allman. Campanularia ptycho- cyathus ALLMAN 1888 p. LXIIT, LX VII, 20, pl. 10, fig. 2, 24. Campanularia pygmæa Clark. Voir : Matériaux IV, p. 267. Campanularia raridentata Alder. Voir : Matériaux III, p. 257 et IV, p. 267. Campanularia rari- dentata GRÆFFE 1884 p. 357. » » PENNINGTON 1885 p. 88. » » MEYSCHNIKOFF 1886 (b) p. 84. » 2 HINCKS 1887 p. 133, pl. 12, fig. 5. » » BÉTENCOURT 1888 p. 207. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » BouRNE 1890 (b) p. 394. » » MARKTANNER 1890 p. 205, pl. 3, fig. 3 a-b. HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 69 Campanularia reptans (Lamouroux). Voir : Matériaux I, p. 432, I, p. 54, IL, p. 257 et IV, p. 267. Campanularia reptans BALE 1884 p. d3, pl. 2, fig. 8. Laomedea reptans LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 629. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 17. Sertularia reptans DAI.LA TORRE 1889 p. 96. Campanularia retroflexa Allman. Campanularia retrofleæa Accman 1888 p. LXVII, LXVIIL, 21, pl. 11, fig. 1,10. Campanularia (2) serrulata Bale. Campanularia (?) serrulata BALE 1888 p. 757, pl. 12, fig. 4. Campanularia speciosa Clark. Voir : Matériaux IV, p. 267. Campanularia (?) spinulosa Bale. Campanularia (?) spinulosa BALE 1888 p. 756,757, pl. 19, fig. 5-7. Campanularia (?) bispinosa BALE 1888 p. 796 (Explic. des pl.). Campanularia thyroscyphiformis Marktanner. Campanularia thyroscyphiformis MARKTANNER 1890 p. 206, pl. 3, fig. 4. Campanularia tincta Hincks. Voir : Matériaux III, p. 257 et IV, p. 268. Campanularia tincta BALE 1882 p. 20. » à BALE 1884 p. 37, pl. 1, fig. 4-6, pl. 19, fig. 29. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 621. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 660. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 39. M. BEDOT Campanularia tulipifera Allman. Campanularia tulipifera ArvLMAN Campanularia tulpifera PFEFFER 1888 p. LXIV, LXVIITI, 20, pl. 10, fig. 1-1 b. 1890 p. 367. Campanularia turgida Clark. Voir : Matériaux IV, p. 268. Campanularia urceola Clark. Voir : Matériaux IV, p. 268. Campanularia vermicularis van Beneden. Voir : Matériaux IT, p. 258 et IV, p. 268. Campanularia verticillata (Linné). Voir : Matériaux [, p. 433; IT, p. 55 Campanularia verticillata BYeRLEY » LESLIE à. HERDMAN » THOMPSON » PENNINGTON » HERDMAN » HERDMAN » MELcLY, HIcks à. HERDMAN » BERGH » BÉTENCOURT » THOMPSON » BÉTENCOURT » DALLA TORRE » DRIESCH » SEGERSTEDT » DRIESCH » MARKTANNER : JL p. 258 et IV, p. 268. 1854 p. 105. 1881 p. 13. 1884 p. 4, 8. 1885 p. 86. 1886 (a) p. 6. 1886 (b) p. 329. 1886 p. 104. 1887 p. 333. 1887 p. 67. 1887 p. 387, 389. 391. 1888 p. 207. 1889 p. 96. 1889 p. 19%, 198, 217, 223, 295, fig. 11, 12. 1889 p. 14, 25. 1890 (b) p. 671, 679, 685. 1890 p. 203. ana riadé — "ri 7 S s S nt à AE HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. A Campanularia volubiliformis Sars. Voir : Matériaux IIT, p. 259 et IV, p. 269. Campanularia volubili- formis CaRUS 1884 p. 8. » » PIEPER 1884 p. 149. » » MARKTANNER 1890:p. 204. Campanularia volubilis (Linné). Voir : Matériaux I, p. 433; IT, p. 56; III, p. 259 et IV, p. 269. Campanularia volubilis Leuckarr 1847 (c) p. 87. » » BYERLEY 1854 p. 105. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12. » » STORM 1882 p. 14. » » CaRUs 1884 p. 8, Ex. Syn. pp. » » | GRÆFFE 1884 p. 397. » » THOMPSON 1884 p. L, 8. » » PENNINGTON 1885 p. 89. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » MELLY, Hicks a. : HerDMAN 1886 p. 103. » » HoyLE 1889 p. 460. » » BOURNE 1890 ‘b) p. 394. » » MARKTANNER 1890 p. 204, 205, 207, pl. 3, fig. 5. Gen. Campanulina van Beneden 1847. Voir : Matériaux II, p. 57; UT, p. 260 et IV, p. 261. Campanulina borealis Thompson. Campanulina borealis THOMPSON 1887 p. 388, 389, 391, pl. 14, fig. 1. Campanulina languida Hæckel. Voir : Matériaux IV, p. 269. HæckeL (1879) a donné le nom de Campanulina lanqguida au Polype qui FEAR M. BEDOT doit produire la Méduse Phialidium lanquidum ; mais il ne l’a pas décrit. Les citations relatives au Phialidium languidum se trouvent donc à leur place parmi les Méduses. Campanulina panicula G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 269. Campanulina panicula Srorm 1882 p. 16, 28, 30. Campanulina repens Allman. Voir : Matériaux IIT, p. 260 et IV, p. 269. Campanulina repens Lescie a. HERDMAN 1881 p. 13. » » STORM 1882 p. 16. » » PENNINGTON 1885 p. 93. » » THOMPSON 1887 p. 391. Campanulina tenuis van Beneden. Voir : Matériaux II, p. 57; IIT, p. 260 et IV, p. 270. Campanulina acuminata CLAUS 1881 (c) p. 94, 111. » » LesLie à. HERDMAN 1881 p. 13. » » STORM 1882 p. 16. » » CLAUS 1883 p. 87. Campanulina tenus CLAUS 1883 p. 87. » » WEISMANN 1883 p. 240. ? Campanulina acuminala GRÆFFE 188% p. 398. » » PENNINGTON 1885 p. 95. Campanulina tenuis METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 85. Campanulina acuminata BOURNE 1890 (b) p. 395. Campanulina turrita Hincks. Voir : Matériaux IT, p. 261 et IV, p. 270. Campanulina turrita PENNINGTON 1885 p. 93. » » DRIESCH 1889 p. 198. » » MARKTANNER 1890 p. 210. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. F3: Gen. Geratella Gray 1868. Voir : Matériaux III, p. 261 et IV, p. 270. STECHOW (1913), qui à pu faire une nouvelle étude du type de Solanderia gracilis, a montré que le genre Ceratella devait être supprimé, étant synonyme de Solanderia. Ceratella fusca Gray. Voir : Solanderia fusca. Ceratella procumbens Carter. Voir : Solanderia procumbens. Ceratella spinosa Carter. Voir : Solanderia spinosa. Gen. Chitina Carter 1873. Voir : Matériaux IV, p. 271. Chitina ericopsis Carter. Voir : Matériaux IV, p. 271. Gen. Gionistes Wright 1861. Voir : Matériaux III, p. 262 et IV, p. 271. Cionistes reticulata Wright. Voir : Matériaux III, p. 262 et IV, p. 271. Clionistes reticulata Lesuie a, Herpman 1881 p. 8. Cionistes reticuluta PENNINGTON 1885 p. 44. 74 M. BEDOT Gen. Gladocarpus Allman 1874. Voir : Matériaux IV, p. 271. Cladocarpus compressus Fewkes. Cladocarpus compressus FEWKES 1881 (a) p. 129, 135, pl. 1, fig. D, 9, pl. 3, ie Cladocarpus cornutus Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 271. Cladocarpus crenatus (Fewkes). A glaophenia crenata FEWKES 1881 (a) p. 129, 132. » » AGASSIZ, A. 1888 p. 135. Cladocarpus crenatus var. allmani Ritchie 1909. Cladocarpus formosus ALLMAN 1883 p. 2, 14, 50, 514, 55, pl. 16, fig. 4, 3. » » ALLMAN 1888 p. LIX, LXVI. LXIX. Voir la note à Cladocarpus formosus. Cladocarpus dolichotheca Allman. Voir : Matériaux IV, p. 271. Cladocarpus dolichotheca ALLMAN 1883 p. 14, 50, 51. Cladocarpus flexilis Verrill. Cladocarpus flexilis VERRILL 1885 (a) p.517, 537, pl. 9, fig. 29. » » VERRILL 1885 (b) p. 447. Cladocarpus formosus Allman. Voir : Matériaux IV, p. 271. Cette espèce a été établie en 1874 par ALLMAN, qui a cru la retrouver, plus tard, dans les récoltes du CHALLENGER. Mais Rircnie (1909), qui a examiné l'échantillon du CHALLENGER, a montré qu'il appartenait à une autre espèce, C. crenatus, dont il représente une variété : var. allmani. 1 OT HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Cladocarpus paradiseus Allman. Voir : Matériaux IV, p. 272. Cladocarpus paradisea FEWKES 1881 (a) p. 128. 1883 p. 14. Cladocarpus paradiseus ALLMAN 1888 p. 137, fig. 436. Cladocarpus paradisea AGassiz, À. Cladocarpus pectiniferus Alman. Cladocarpus pectiniferus ALLMAN 1883 p.14, 15, 50,52,55, pl. 17. » » ALEMAN 1888 p. LIX, LXIT, LXIX. Cladocarpus pourtalesi Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 272. Hadocarpus speciosus Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 272. Cladocarpus tenuis Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 272. Cladocarpus ventricosus Alman. Voir : Matériaux IV, p. 272. Cladocarpus ventricosus FEWKES 1881 (a) p. 136. » » ALLMAN 1883 p. 14, 50, 51. BALE 1887 p. 76. » » Gen. Cladocoryne Rotch 1871. Voir : Matériaux LIL, p. 262 et IV, p. 272. Cladocoryne floccosa Rotch. Voir : Matériaux IIT, p. 262 et IV, p. 272. Cladocoryne floccosa Du PLEssis 1881 (a) p. 145. » » Du PLessis 1881 (b) p. 176 ss., pl. 9. » » HAMANN 1882 (a) p. 522, pl. 20, fig. 2. » » GRÆFFE 1883 (b) p. 320. 76 M. BEDOT Polycoryne helleri GRÆFFE 1883 (b) p. 202ss., pl. 1, fig. 1-5. Cladocoryne floccosa WEISMANN 1883 p. 59, 97, 216, pl. 17, fig. 6-11. » » CARUS 1884 p. 2. » » GRÆFFE 1884 p. 353. » » PIEPER 1884 p. 149. ) » PENNINGTON 1885 p. 78. » » THALLWITZ 1885 p. 390, 430 ) » Du PLESsIs 1888 p. 534. » » Lo Branco : 1888 p. 387. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 606. » » MAaRKTANNER 1890 p. 202. Cladocoryne haddoni Kirkpatrick. Cladocoryne haddoni KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 605, pl. 44, fig. 2 me Cladocoryne pelagica Allman. Voir : Matériaux IV, p. 272. Cladocoryne pelagica Du PLEssis 1881 (b) p. 178, 190, 195. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 606. Gen. Cladonema Dujardin 1843. Voir : Matériaux Il, p. 58; IIT, p. 263 et IV, p. 273. Cladonema radiatum Dujardin. Voir : Matériaux II, p. 58 et 132; III, p. 263 et IV, p. 273. Cladonema radiatum Du PLEssis 1881 (a) p. 144. » » Du PLessis 1881 (b) p. 179. » » JICKELI 1883 p. 602, pl. 26, fig. 1-10. » » LENDENFELD 1883 (e) p. 502. » » WEISMANN 1883 p. 119, 130, 218, 258, l pl. 192, fig. 2-5. » » CARUS 1884 p. 26. » » GRÆFFE 1884 p. 353. » » PENNINGTON 1885 p. 53. SCT PEN OP RPE HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Cladonema dujardini HARTLAUB 1887 p. 655. Cladonema radiatum HARTLAUB 1887 p. 655. » » Du PLESSIS 1888 p. 5306. Stauridium cladonema Du PLessis 1888 p. 536. Cladonema radiatum Lo Bianco 1888 p. 387. » » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 22, 23. Gen. Clava Gmelin 1788. Voir : Matériaux I, p. 435; IT, p. 58; IIL, p. 263 et IV, p. 273. Clava diffusa Allman. Voir : Matériaux IIL, p. 263 et IV, p. 273. Clava diffusa PENNINGTON 1885 p. 37. Clava leptostyla XL. Agassiz. Voir : Matériaux IIL, p. 264 et IV, p. 273. Clava leptostyla PILLSBURY 1882 p. 181, pl. » » PENNINGTON 1885 p. 37. » » Mezzy, HIcks a. HERDMAN 1886 p. 97. » » CLARKE 1888 p. 79, fig. 70. Clava multicornis (Forskàl). Voir : Matériaux I, p. 435; IL, p. 58; III, p. 264 et IV, p. 274. Clava multicornis BYERLEY 1854 p. 103. » » DANIELSSEN 1861 p. 46. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 7. » » STORM 1882 p. 5, 28-30. » » CARUS 1884 p. 1, ex. syn. pp. » » PENNINGTON 1885 p. 36, pl. 2, fig. 1. » » HERDMAN 1886 (a) p. 8. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » KÜKENTHAL U. Werssexsorx 1886 p. 778. 1 = 78 Clava multicornis Clava nodosa » » Clava simplex » » » » M. BEDOT MELzzy, Hicxs a. HERDMAN BÉTENCOURT BÉTENCOURT Du PLessis SEGERSTEDT BOURNE 1886 p. 1887 p. 1888 p. 1888 p. 1889 p. STE 66. 204. 30. 22. 1890 (b) p. 391. Clava nodosa Wright. Voir : Matériaux IIL, p. 265 et IV, p. 274. LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 7. PENNINGTON LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD 1885 p. 37. Clava simplex Lendenfeld. 1885 (a) p. 349, 621. 1883 (d) p. 627. 1887 (c) p. 16. Clava squamata (Müller). Voir : Matériaux [, p. 435; IT, p. 59; III, p. 265 et IV, p. 274. Coryne squamata Clava squamata Clava cornea » ) Clava squamata LEUCKART LESLIE a. HERDMAN LENZ STORM WEISMANN BALE GRÆFFE PENNINGTON THALLWITZ _DALLA TORRE SEGERSTEDT - BOURNE MARKTANNER _ MARKTANNER 1847 (c) p. 87. 1881 p. 1882 p. 1882 p. 1883 1884 1885 1885 1889 p. 1889 p. P P 1884 D. P P 2e 177. >, 29. . 21, 215, pl. 5, fig. 4-12. UT 347. 37: Dl2,0S: 2: . 389, 412, pl. 13, fig. 21-99. 96. 6, 23. 1890 (b) p. 391. 1890 p. 1890 p. +99 199 | À 1 HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 79 Gen. Clavopsis Græffe 1883. Pour STECHOW (1913) ce genre est synonyme de Diplura. Clavopsis adriatica Græfte. Clavopsis adriatica GRÆFFE 1883 (a) p. 82ss., pl. (sans n°). Gen. Clavula Wright 1859. Voir : Matériaux III, p. 267. Ce genre, qui avait été supprimé, à été rétabli. Voir la note au genre Turris. Clavula neglecta (Lesson). Syn. : Turris neglecta Lesson. Voir : Matériaux I, p. 488; II, p. 152; IIL, p. 403 et IV, p. 387. Syn.: Turritopsis polynema Hæckel. Voir : Matériaux IT, p. 443 et IV, p. 435. Turris neglecta LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 7. » » WEISMANN 1883 p. 26. » » PENNINGTON 1885 p. 39, pl. 2, fig. 3. Oceania polycirrha BROOKS 1886 p. 387. Turris neglecta CLUBB 1886 p. 115. Oceania globulosa M’INTosH 1889 p. 289, 293. » » M’Ixrosx 1890 (b) p. 297. HarrLauB (1911) réunit cette espèce à Turritopsis nutricula et à Dendroclava dohrni, sous le nom de Turritopsis polycirrha. Gen. Clytia Lamouroux 1812. Voir : Matériaux I, p. 436 ; II, p. 60; IIL, p. 267 et IV, p. 275. 2 Clytia elongata Marktanner. ? Clytia elongata MARKTANNER 1890 p. 215, pl. 3, fig. 11. s0 M. BEDOT Clytia eucopophora Hæckel. Voir : Matériaux IV, p. 275. Méduse : Eucopium primordiale. Clytia eucopophora WEISMANN 1883 p. 158. HæckeL (1879) à donné le nom de Clylia eucopophora au Polype qui produit la Méduse Eucopium primordiale. Mais il ne l’a pas décrit et s’est borné à dire qu’il ressemblait beaucoup à Clytia johnstoni. Clytia flavidula Metschnikoff. Clytia flavidula METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241-243, 257, 260, pl. 22, fig. 9-10, 15. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20... 86; pl. 2, fig. 1-12, 21-23, 25-36, pl. 3, fig. 1-8. Clytia intermedia L. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 268 et IV, p. 275. Clytia johnstoni (Alder). Voir : Matériaux IT, p. 60; II, p. 268 et IV, p. 275. Epenthesis bicophora CLAUS 1881 (c) p. 117. Clytia johnstoni . Du PLESssis 1881 (a) p. 147. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12. » » SCHMIDTLEIN 1881 p. 171. Clytia bicophora BROOKS 1882 p. 139. Clytia johnstoni STORM 1882 p. 3, 12, 28, 29. » » VARENNE 1882 (b) p. 697. Clythia johnstoni CLAUS 1883 p. 87. Clytia johnstoni WEISMANN 1883 p. 158, 159, 220. Eucope affinis CARUS 1884 p. 28. Eucope campanulata CARUS 1884 p. 28. Clythia johnstoni GRÆFFE 1884 p. 356. Clytia johnstoni KLAATSCH 1884 p. 540, 565, 575. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. S1 ? Clytia pohnstoni var. KLAATSCH 1884 p. 540 ss., pl. 25-27. Clytia johnstont PIEPER 1884 p. 152. » » REES 1884 p. 577, >89. » » PENNINGTON 1885 p. 79, pl. 4, fig. 2. » » VERRILL 1885 (a) p. 537. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. Clytia volubilis LORENZ 1886 p. 28. Clytia johnstoni MELLY, HICKs a. HERDMAN 1886 p. 191. » » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 242. » » Nicaos a. Happon 1886 p. 615. » » BÉTENCOURT 1887 p. 66. » » BÉTENCOURT 1888 p. 204, 207. » » Lo BIANCO 1888 p. 387. » » M’INrosH 1889 p. 268. » » SEGERSTEDT 1889 p. 11, 25. » » BourNE 1890 (b) p. 394. » » M'Ixrosa 1890 (b) p. 303. » » MARKTANNER 1890 p. 205. Clytia volubilis MARKTANNER 1890 p. 215. Clytia volubilis var. MARKTANNER 1890 p. 216, pl. 3, fig. 42: Clytia lævis W eismann. Clytia lævis WEISMANN 1883 p. 158, 159, 220. Clytia noliformis (Mac Crady). Voir : Matériaux IIT, p. 270 et IV, p. 276. Campanularia noliformis Brooks 1882 p. 136, 138. Platypyæis cylindrica Brooks 1882 p. 138, 139. Clytia viridicans Metschnikoff. Clytia viridicans Merscanikorr 1886 (a) p. 241-243, 257, 260, pl. 29, fig. 11-13, 16. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20.....85, pl. 2, fig. k 43-20, 24, pL. 3, fig. 9. À Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. 6 82 M. BEDOT Gen. Cordylophora Allman 1844. Voir : Matériaux IL, p. 62; IIT, p. 271 et IV, p. 277. Cordylophora lacustris Allman. Voir: Matériaux IL, p. 62; III, p. 271 et IV, p. 277. Cordylophora lacustris WEISMANN 1881 (c) p. 26. » » LENZ 1882 p: 171 477: » » JICKELI 1883 p. 601. » » WEISMANN 1883 p. 2, 29, 215, fig. 5-6, pl. 15, fig. 6-7, pl. 16, fig. 3. » » MARTENS 1883 p. 198. » » BRAUN 1884 p. 90, 106, 114, 417, 119. » » KRÆPELIN 1884 p. 319. » » PENNINGTON 1885 p. 40, pl. 2, fig. 4. » » Porrs 1885 p. 218, 219. » » KRÆPELIN 1886 p. 6, 8. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 69. » » NusSBAUM 1887 (c) p. 282. » » ALLMAN 1888 p. L. » » CLARKE 1888 p. 78. fig. 69. » » ZACHARIAS 1888 p. 22z. » » DRIESCH 1890 (b) p. 678. » » MARKTANNER 1890 p. 199. » » WAGNER 1890 p. 281. Cordylophora whiteleggei Lendenfeld. Cordylophora whiteleggei LENDENFELD 1886 (b) p. 97, 98, pl. 6, fig. 11-12. Cordylophora whitelegqii MARKTANNER 1890 p. 199. Cette espèce est très probablement synonyme de C. lacustris, comme le pense SrecHow (1919). HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 99 Gen. Corydendrium van Beneden 1844. Voir : Matériaux I, p. 437 ; Il, p. 62; III, p. 272 et IV, p. 278. Corydendrium parasiticum (Linné). Voir : Matériaux I, p. #37; II, p. 62; III, p. 272 et IV, p. 278. Corydendrium parasi- ticum Du PLESSIS 1881 (a) p. 146. » » HAMANN 1882 (a) p. 524, pl. 20, fig. 8, pl. 21, fig. 18-19. ) ) MÉREJKOWSK Y 1883 (a) p. 82. » » WEISMANN 1883 p. 34, 215, 252, 261, 289, ps fig. 7, pl. 14, 15, fig. 1-5, pl. 16, fig. 1, 2, 4. » ) CARUS 1884 p. 1. » » THALLWITZ 1885 p. 434. » » Du PLESsIs 1888 p. 530. » » Lo BraNco 1888 p. 387. » » LOMAN 1889 p. 263, 264, fig. 2. » » DRIESCH 1890 (b) p. 678-680, fig. 6. » » ISCHIKA WA 1890 p. 456, pl. 20, fig. 71. » » MARKTANNER 1890 p. 200. Gen. Corymorpha Sars 1835. Voir : Matériaux IL, p. 63; II, p. 273 et IV, p. 278. Corymorpha antarctica Pfefter. Corymorpha antarctica PFRFFER 1889 p. 53. » » PFEFFER 1890 p. 518, 567. Corymorpha nutans Sars. Voir : Matériaux IL, p. 63; IL, p. 273 et IV, p. 278. Corymorpha nutans Du PLESsIs 1881 (a) p. 147. » » LESLIE a. HERDMANX 1881 p. 11. 84 M. BEDOU Corymorpha nutans WEISMANN 1881 (b) p. 10. » » WEISMANN 1883 p. 129. » » PENNINGTON 1885 p. 77, pl. 4, fig. 4. » » HADDON 1886 (a) p. 524, 525. » » MELcy, HIcks a. HERDMAN 1886 p. 101. Steenstrupia galanthus DaLLa TORRE 1889 p. 95. Steenstrupia flaveola FEWKES 1889 (b) p. 109. Steenstrupia rubra FEWKES 1889 (b) p. 109. Corymorpha nutans LOMAx 1889 p. 269, 270. » » BOURNE 1890 (b) p. 394. Gen. Coryne Gærtner 1774. Voir : Matériaux I, p. L37; Il, p. 63; III, p. 274 et IV, p. 278. Coryne cæspes Allman. Voir : Matériaux IIL, p. 274 et IV, p. 279. Coryne cæspes CARUS 1884 p. 2. Coryne cerberus Gosse. Voir : Matériaux IIL, p. 274 et IV, p. 279. Slauridia cerberus Du PLESsIs 1888 p. 537. Coryne conferta Allman. Voir : Matériaux IV, p. 279. Coryne conferta PFEFFER 1890 p. 567. Coryne vel Syncoryne cylindrica Kirkpatrick. Coryne vel Syncoryne cylindrica KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 605, pl. 14, | fig: 4. Coryne fruticosa Hincks. Voir : Matériaux IIT, p. 275 et IV, p. 279. Coryne fruticosa PENNINGTON 1885 p. 48. » » BERGH RA8S7 p:t338: HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 99 Coryne fruticosa BÉTENCOURT 1888 p. 202. ) » BOURNE 1890 (b) p. 392. » » MARKTANNER 1890 p. 200. Coryne fucicola (Filippi). Voir : Matériaux IIT, p. 275 et IV, p. 279. Halobothrys fucicola CARUS 1884 p. 2. Coryne vermicularis PENNINGTON 1885 p. 48. » » . BÉTENCOURT 1888 p. 202. Coryne fucicola Du PLEssIs 1888 p. 533. Coryne muscoides (Linné). Voir : Matériaux I, p. 438; Il, p. 63; IT, p. 275 et IV, p. 279. Coryne vaginata WEISMANN 1883 p. 49. » » PENNINGTON 1885 p. A7. oh » HADDON 1886 (a) p. 524. » » Du PLESSIS 1888 p. 533. » » BOURNE 1890 (b) p. 392. Coryne nutans Allman. g Voir : Matériaux III, p. 276 et IV, p. 279. ? Coryne nutans PENNINGTON 1885 p. 49. Coryne pusilla Gærtner. Voir : Matériaux I, p. 438; Il,/p. 64; II, p. 276 et IV, p. 279. Coryne pusilla BYERLEY 1854 p. 103. » » LEsLie a. HERDMAN 1881 p. 8. » » WEISMANN 1881 (a) p. 61. » » STORM 1882 p. 6, 7, 28-30. » » JICKELI 1883 p. 611. » » LENDENFELD 1883 (e) p. 540. Ds, » WEISMANN 1883 p. 49, 216, pl. 13, fig. 1, 9, 4, 9-11, 13-14, 16. € » » CARUS 1884 p. 2. ! » » PENNINGTON 1885 p. 46, pl. 3, fig. 2. » » HaDDoN 1886 (a) p. 24. 86 M. BEDOT Coryne pusilla HERDMAN 1886 (a) p. 8. » » Meccy, HIcks à. HERDMAN 1886 p. 98. » » THOMPSON 1886 p. 317. » » BÉTENCOURT 1887 p. 66. » » Du Pcessis 1888 p. 533. » » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23. » » BouRNE 1890 (b) p. 392. Coryne pusilla var. napolitana. Goryne pusilla var. napolitana WEISMANN 1883 p. 49, pl. 13, fig. 3, 5-8, 12:19, M7EUS Gen. Corynitis Mac Crady 1859. Voir : Matériaux III, p. 278 et IV, p. 280. Corynitis agassizi Mac Crady. Voir : Matériaux IIL, p. 278 et IV, p. 280. Corynitis agassizi BROOKS 1882 p. 136. Gen. Corynopsis Allman 1864. Voir : Matériaux III, p. 279 et IV, p. 280. Corynopsis alderi (Hodge). Voir : Matériaux III, p. 279 et IV, p. 280. Corynopsis alderi PENNINGTON 1885 p. 44. Gen. Cryptolaria Busk 1857. Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 280. Cryptolaria abies Allman. Voir : Matériaux IV, p. 281. Cryptlolaria abies FEWKES 1881 (a) p. 127, 128, 130, pl. 4, fig. 3, 8. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Cryptolaria abyssicola Allman. 1888 p. LVII,, LXIV, LX VIII, ALLMAN 31. 38, 40, 42, pl. 18, Cryptolaria abyssicola fig. 2,2 a. Cryptolaria conferta Allman. Voir : Matériaux IV, p. 281. 1881 (a) p. 128-130. Cryptolaria conferta FEWKES » » QUELCH 1885 (a) p. 1, 3, pl. 2, fig. 1. » » AGASSIZ, A. 1888 p. 136, fig. 434, 435. Cryptolaria crassicaulis Allman. 1888 p. LVII, LXVII, LXVI, L1, pl. 19, fig. 3, 3 a. 1889 p. 198. Cryptolaria crassicaulis ALLMAN » DRIESCH Cryptolaria diffusa Allman. 1888 p. LVIT, LXIIT, LX VII, 38, ALLMAN &S pl 21 62h re Cryptolaria diffusa Cryptolaria elegans Allman. Voir : Matériaux IV, p. 281. Cryptolaria exserta Johnston. Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281. Cryptoluria flabellum Allman. Cryptolaria flabellum ALLMAN 1888 p. LVIT, LXIT, LXVIEL. 40, pl. 19; fie. a. Cryptolaria geniculata Allman. 1888 p. LVII, LXV, LXVIIL, 38, 41, pl. 20, fig. 1,1 4, 1 6. 1889 p. 198. Cryptolaria geniculata ALLMAN » DRIEsCH 88 M. BEDOT Cryptolaria gracilis Allman. Cryptoluria gracilis ALLMAN 1888 p. LVII, LXV, LX VIII, 42, pl. 20, fig. 2, 2 a. Cryptolaria humilis Allman. Cryptolaria humilis ALLMAN 1888 p. LVII, LXII, LXVIIL, 39, pl. 18, fig. 1-1 b. Cryptolaria longitheca Allman. Voir : Matériaux IV, p. 281. Cryptolaria longitheca FEWKkEs 1881 (a) p. 128. Cryptolaria prima Busk. Voir : Matériaux II, p. 280 et IV, p. 281. Cryptolaria prima KIRCHENPAUER 1884 p. 16. » » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 13. Cryptolaria pulchella Allman. Cryptolaria pulchella ALLMAN 1888 p. LVII, LXVII, LXVII, 40, pl. 49,0. 22240 » » DRIESCH 1889 p. 198. Gen. Cuspidella Hincks 1866. Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281. Cuspidella costata Hincks. Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 281. Cuspidella costata PENNINGTON 1885 p. 99. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83. » » BOURNE 1890 (b) p. 395. Cuspidella grandis Hincks. Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 282. Cuspidella grandis PENNINGTON 1885 p. 99. » » VERRILL 1885 (a) p. 537. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 09 Cuspidella grandis METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83. » » HALLEZ 1889 p. 40. Cuspidella humilis Hincks. Voir : Matériaux III, p. 280 et IV, p. 282. Cuspidella humilis CARUS 1884 p. 10. » » PIEPER 1884 p. 165. » » PENNINGTON 1885 p. 99. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83. Calycella humilis HALLEZ 1889 p. 40. Cuspidella pedunculata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 282. Gen. Dehitella Gray 1868. Voir : Matériaux IIL, p. 280 et IV, p. 282. Dehitella atrorubens Gray. Voir : Matériaux IIE, p. 281 et IV, p. 282. Dehitella atrorubens BALE 1884 p. 48, 49. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 612, 631. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 667. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 45. Gen. Dendroclava Weismann 1883. Voir la note à : Clavula neglecta. Dendroclava dohrni Weismann. Dendroclava dohrni WEISMANN 1883 p. 26, 245, pl. 12, fig. 6-9. » » Brooks 1886 p. 389, 391. » » Du PLessis 1888 p. 531. 90 M. BEDOT Gen. Desmoscyphus Allman 1876. Voir : Matériaux IV, p. 282. Desmoscyphus acanthocarpus Alman. Desmoscyphus acantho- CATPUS ALLMAN 1888 p. LXIII, LXIX, 73, pl. 53, fig. 2-2c. Desmoscyphus buski Allman. Voir : Matériaux IV, p. 282. Desmoscyphus buskri BaLx 1887 p. 103. Desmoscyphus humilis Armstrong. Voir : Matériaux IV, p. 283. Desmoscyphus longitheca Allman. Voir : Matériaux IV, p. 283. Desmoscyphus longitheca Barr 1884 p. 101. Desmoscyphus pectinatus Allman. Desmoscyphus pectinatus ALLMAN 1888 p. LIX, LXIIT, LXV, LXIX, 70, 71, pl. 34, fig. 1-1 b. Gen. Dicoryne Allman 1859. Voir : Matériaux III, p. 281 et EV, p. 283. Dicoryne annulata Lendenfeld. Dicoryne annulata LENDENFELD 1885 (a) p. 491, 628, pl. 17, tig. 30. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 648. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 31. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 91 Dicoryne conferta Alder. Voir : Matériaux III, p. 281 et IV, p. 283. Dicoryne conferta LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. » » PENNINGTON 1885 p. 68. » » HOYLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24. Dicoryne flexuosa G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 283. Dicoryne flexuosa VERRILL 1885 (a) p. 536. Gen. Dictyocladium Allman 1888. Dictyocladium dichotomum Allman. Dictyocladium dicho- lomum ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 29, 76, 77, pl. 36, fig. 2-2 a. Biccaro (1910) fait rentrer cette espèce dans le genre Selaginopsis. Gen. Diphasia L. Agassiz 1862. Voir : Matériaux 1, p. 439; II, p. 66; II, p. 281 et IV, p. 283. Diphasia alata Hincks. Voir : Matériaux III, p. 282 et IV, p. 285. Diphasia alata PENNINGTON 1885 p. 112. Thuiaria pharmacopola ALTMAN 1888 p. LVIIL, LXIT, LXIX, 66, pl. 31, fig. 1-1 d. Phujaria pharmacopola Diasscu 1889 p. 213. Diphasia alata MARKTANNER 1890 p. 237. Diphasia attenuata Hincks. Voir : Matériaux 1, p. 439; IL, p. 66; IIT, p. 282 et IV, p. 284. Diphasia attenuata LESLIE a. HerpMAN 1881 p. 15. » » BALE 1882 p. 19. 92 M. BEDOT Diphasia altenuata BALE 1884 p. 31, 100, pl. 9, fig. 2. » » CaARUS 1884 p. 12. » » GRÆFFE 1884 p. 356. » » KIRCHENPAUER 1884 p. 17. ? Dynamena atlenuata PIEPER 1884 p. 186. Diphasia attenuata LENDENFELD 1885 (a) p. 415, 623. » » LENDENFELD 18835 (d) p. 633. » » PENNINGTON 1885 p. 109. » » HADDox 1886 (a) p. 525. » » MEezcy, HICks a. HERDMAN 1886 p. 109. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. » » BÉTENCOURT 1888 p. 210. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » HoyLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 18, 26. Diphasia bipinnatä Allman. Diphasia bipinnata ALLMAN 1886 p. 136, pl. 12, fig. 1-2. Diphasia corniculata (Murray). Voir : Matériaux III, p. 282 et IV, p. 284. Diphasia coronifera Allman. Voir ; Matériaux III, p. 282 et IV, p. 284. Diphasia coronifera Quer.cx 1885 (a) p. à. Diphasia digitalis (Busk). Syn.: Sertularia digitalis Busk. Voir : Matériaux IN, p. 368 et IV, p. 363. Diphasia digitalis BALE 1884 p. 98, 101, pl. 9, fig. 3-5. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 415, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 633. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 93 Diphasia elegans G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 284. Diphasia elegans QueLcH 1885 (a) p. à. » » MARKTANNER 1890 p. 251. Diphasia fallax (Johnston). Voir : Matériaux IT, p. 113; III, p. 282 et IV, p. 284. Sertularia fallax DANIELSSEN 1861 p. 47. Diphasia fallax LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15. » » STORM 1882 p. 10, 14, 20, 24. ? Dynamena pinnata BALE 188% p. 73. Diphasia fallax KIRCHENPAUER 1884 p. 17. » » PENNINGTON 1885 p. 110. » » MELLY, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 109. » » HoyLe 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 17, 26. » » MARKTANNER 1890 p. 237. Diphasia mutulata (Busk). Syn. : Sertularia mutulata Busk. Voir : Matériaux IIT, p. 372 et IV, p. 365. Diphasia mutulata BALE 1884 p. 98, 101, pl. 9, fig. 6-9. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 416, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 633. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. » » MARKTANNER 1890 p. 237. Diphasia pinaster (Ellis et Solander). Voir : Matériaux I, p. 442; II, p. 69; IT, p. 283 et IV, p. 285. Sertularia margarila BYERLEY 1854 p. 104. Diphasia pinaster CARUS 1884 p. 12. » » PENNINGTON 1885 p. 110. » » Quezca 1885 (a) p. 1, 5. » » Mezcy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 109. 94% Diphasia pinaster M. BEDOT ALLMAN DRIESCH HoYLE BOURNE BOURNE 1888 p. LVI, LVII, LXIL, LXIX, 63, pl. 30, fig. 2-2 c. 1889 p. 213. 1589 p. 460. 1890 (a) p. 319. 1890 (b) p. 396. Diphasia pinaster var. arcuata. Diphasia pinaster var. arcuata QUELCH 1885 (a) p. à. Diphasia pinnata (Pallas). Voir : Matériaux I, p. 472; IX, p. 115; IIL, p. 284 et IV. p. 285... Diphasia pinnata 31, 98, pl. 9, fig. 4. 81. 1885 (a) p. 415, 623. 1885 p. 111, pl. 6, fig. 3. BALE 1882 p. 19. BALE 1884 p. CARUS 1884 p. 13. REES 1884 p. LENDENFELD LENDENFELD 1885 (d) p. 632. PENNINGTON LENDENFELD 1887 (c) p. 20. HALLEZ 1889 p. 40. Diphasia rosacea (Linné). Voir : Matériaux I, p. 444 ; IT, p. 74; III, p. 285 et IV, p. 285. Sertularia rosacea Diphasia rosacea » » Dynamena rosacea Diphasia rosacea BYERLEY 1854 LESLIE a. HERDMANX 1881 BALE 1884 BALE 1884 PENNINGTON 1885 HERDMAN MELcy. Hicks a. HERDMAN 1886 BÉTENCOURT 1887 BÉTENCOURT 1888 DRIESCH 1889 SEGERSTEDT 1889 MARKTANNER 1890 Etes Or Er D © . 104. 15: 1400; 107: 73. . 109. 1886 (b) p. 330. . 108. 67. Ca10,) 2144; 213. 48:26: 238. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 95 Diphasia scalariformis Kirkpatrick. Diphasia scalariformis KiRKPATRICK 1890 (a) p. 60%, 605, 609, pl. 15, fig. 3. Diphasia subcarinata (Busk). Syn. : Sertularia subcarinata Busk. Voir : Matériaux III, p. 377 et IV, p. 368. Diphasia sub-carinata BALE 1882 p. 45. Sertularia sub-carinata BALE 1882 p. 18. Diphasia sub-carinata BALE 1884 p. 98, 102, pl. &, fig. 1, pl. 19, fig. 18. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 416, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 633. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. Diphasia tamarisca (Linné). Voir : Matériaux I, p. 476; IL, p. 116; II, p. 286 et IV, p. 285. Sertularia lamarisca BYERLEY 1854 p. 104. Diphasia tamarisca LesLie a. HERDMANX 1881 p. 15. » » STORM 1882 p:39;, 21, 27. » » CARUS 1884 p. 13. » » PENNINGTON 1885 p. 111, pl. 6, fig. 2. » » MELLY, Hicxs a. » » HerpMaAN 1886 p. 109. » » DRiIEsCH 1889 p. 213. » » HOyYLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 17, 26. Gen. Diplocheilus Allman 1855. Voir la note au genre Kirchenpaueria. Diplocheilus mirabilis Allman. 1883 p. 49, pl. 8, fig. 4-7. 1885 (a) p. 48, 627. ALLMAN LENDENFELD Diplocheilus mirabilis » » 96 M. BEDOT Diplocheilus mirabilis LENDENFELD 1885 (d) p. 644. » » BALE 1887 p. 91. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. » » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. » » BALE 1888 p. 775, 776. Diplocheilus productus (Bale). Plumularia producta BALE 1882 p. 39, 46, pl. 15, fig. 1. » ) BALE 1884 p. 133, pl. 10, fig. 4. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. » » BALE 1887 P. 76, 96. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. Azygoplon productum BALE 1888 p. 774, 783, pl. 19, fig. 1-5. Plumularia producta BALE 1888 p. 773. Gen. Diplocyathus Allman 1888. Diplocyathus dichotomus Allman. Diplocyathus dichotomus ALLMAN 1888 p. LXV, LX VIII, 17, pl. 8, fig. 1-3. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. Gen. Diplura Greene-Allman 1864. Voir : Matériaux II, p. 66; IIT, p. 287 et IV, p. 286. Diplura fritillaria (Steenstrup). Voir : Matériaux Il, p. 66; III, p. 288 et IV, p. 286. Amphicodon fritillaria DarLA Torre . 1889 p. 95. Gen. Dynamena Lamouroux 1812. Voir : Matériaux I, p. 439 ; IL, p. 66; IIL, p. 288 et IV, p. 286. Dynamena bilateralis Brooks. Dynamena bilatteralis Brooks 1882 p. 136, 142. Dinamena bilateralis BROOKS 1884 p. 711. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 97 Dynamena lucernaria Kirchenpauer. Voir: Matériaux II, p. 289 et IV, p. 286. Dynamena pluridentata Kirchenpauer. Voir : Matériaux III, p. 290 et IV, p. 286. Dynamena serra sec. Heller. Voir : Matériaux [IT, p. 290 et IV, p. 287. Dynamena serra PIEPER 188% p. 186, 187. Dynamena tubuliformis Marktanner. Dynamena tubiformis MARKTANNER 1890 p. 234. Dynamena tubuliformis MaAukTANNER 1890 p. 238, pl. 4, fig. 10. Gen. Ectopleura L. Agassiz 1862. Voir : Matériaux II, p. 292 et IV, p. 287. Ectopleura dumortieri (van Beneden). Voir : Matériaux IE, p. 126; III, p. 292 et IV, p. 287. Ectopleura dumortieri FEWKES 1882 (b) p. 296. » » GRÆFFE 1884 p. 394. » » PENNINGTON 1885 p. 76. » » MEeLzzy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 101. » » DaALLA TORRE 1889 p. 95. Gen. Eleutheria Quatrefages 1842. Voir : Matériaux IV, p. 287. Eleutheria dichotoma Quatrefages. Voir : Matériaux IL, p. 133; IL, p. 413 et IV, p. 287. Clavatella prolifera Du PLESSIS 1881 (a) p. 145. Eleutheria dichotoma Du P£Lessis 1881 (a) p. 146. » » Du PLESsIs 1881 (b) p. 179. Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 7 98 Clavatella prolifera Eleutheria dichotoma » » Clavatella prolifera Eleutheria Clavatella prolifera ) » Eleutheria dichotoma » ) M. BEDOT WEISMANN CARUS GRÆFFE PIEPER PENNINGTON HARTLAUB HARTLAUB HARTLAUB Du PLESSIs Du PLEssis HARTLAUB 1883 p. 298. 1884 p. 26. 1884 p. 353. 1884 p. 149. 1885 p. 57. 1886 p. 707. 1886 p. 706. 1887 p 1888 p 1888 p. 536, 537. 1889 p Gen. Eucopella Lendenfeld 1883. Eucopella campanularia Lendenfeld. Eucopella campanularia LENDENFELD » » » » » » » ) Eucopella campanula Eucopella campanularia LENDENFELD BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD BALE MARKTANNER WAGNER 1883 (c) p. 188. 1883 (e) p. 497 ss., pl. 27-32. 1884 p. 60. 1885 (a) p. 352, 608, 630. 1885 (d) p. 658. 1887 (a) p. 38. 1888 p. 748, 751, pl. 13, fig. 9-13. 1890 p. 211. 1890 p. 300. Gen. Eudendrium Ehrenberg 1834. Voir : Matériaux I, p. 445; IT, p. 74; III, p. 293 et IV, p. 288. Eudendrium annulatum Norman. Voir : Matériaux III, p. 293 et IV, p. 288. Eudendrium annulatum LENDENFELD » » » » » ) D) ) » )) PENNINGTON QueLca LORENZ SEGERSTEDT MARKTANNER 1885 (a) p. 351, 353. 1885 p. 61. 1885 (a) p. 2. 1886 p. 25. 1889 p. 8, 21. 1890 p. 200. HISTOIRE DES HYDROÏDES. = V. 99 Eudendrium arbuscula Wright. Voir : Matériaux LI, p. 293 et IV, p. 288. Eudendrium arbuscula Lestie a. HerpMAN 1881 p. 9. » » STORM 1882 p. 3, 9, 28, 29. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 391, 353. » » PENNINGTON 1585 p. 61. » » SEGERSTEDT 1889 p. 9, 24. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 608. Eudendrium armatum Tichomiroff. Eudendrium armatum TICHOMIROFF 1890 p. 276, 277, 298-300. » » WAGNER 1890 p. 276, 277, 298-300. Eudendrium attenuatum Allman. Voir : Matériaux [V, p. 288. Cette espèce doit être supprimée, sa description étant trop incomplète pour qu'il soit possible de la reconnaître. Eudendrium capillare Alder. Voir : Matériaux IIT, p. 293 et IV, p. 288. Syn.: Eudendrium tenue À. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 297 et IV, p. 291. Eudendrium capillare Lestie a. HERDMAN 1881 p. 9. » » WEISMANN 1881 (a) p. 114. » » WEISMANN 1881 (bp, 2207 AU Dit fer. » » STORM 1882 p. 8, 28. » ) WEISMANN 1883 p. 5, 6, 91, 109, 218, pl. 1-2. » » CARUS 1884 p. à. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. Eudendrium tenue LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. Eudendrium capillare PENNINGTON 1885 p. 62. » » THALLWITZ 1885 p. 390, 430. » » HaAppox 1886 (a) p. 224. 100 M. BEDOT Eudendrium capillare HEeRDMAN 1886 (b) p. 329. » » MeLcy, Hicks à. HERDMAN 1886 p. 98. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 68. » » BÉTENCOURT 1887 p. 66. » Ù BÉTENCOURT 1888 p. 203. » » Du PLESssIS 1888 p. 539. ) » Lo Biaxco 1888 p. 388. » » HALLEZ 1889 p. 40. ) » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 24. » » BocRNE 1890 (b) p. 393. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 608. » » WAGNER 1890 p. 286, 298. Eudendrium carneum Clarke. Eudendrium carneum CLARKE 1882p..195, 137 DL 10-17. Eudendrium cochleatum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 289. Cette espèce indéterminable doit être supprimée. Eudendrium dispar L. Agassiz. Voir : Matériaux II, p. 294 et IV, p. 289. Eudendrium dispar LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. » » CLARKE 1888 p. 79, fig. 71 et pl. sans n°, p. 86, fig. 4. Eudendrium distichum Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 289. Eudendrium exiguum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 289. Cette espèce indéterminable doit être supprimée. HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 101 Eudendrium eximium Allman. Voir : Matériaux IV, p. 289. Eudendrium fruticosum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 289. Eudendrium generale Lendenfeld. Eudendrium generale LENDENFELD 1885 (a) p. 621. Eudendrium generalis LENDENFELD 1885 (a) p. 351, pl. 6, fig. 1-2. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 628. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 16. » » K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604, 607, pl. 15, e fig. 1-2. Eudendrium gracile Allman. Voir : Matériaux IV, p. 289. Cette espèce indéterminable doit être supprimée. Eudendrium infundibuliforme Kirkpatrick. Eudendrium infundi- buliforme KirkpATRICK 1890 (a) p. 604-606, pl. 14, fig. 3. Eudendrium insigne Hincks. Voir : Matériaux IIL, p. 294 et IV, p. 289. Eudendrium simplex CaRUs 1884 D. 5. Eudendrium humile GRÆFFE 1884 p. 349. Eudendrium simplex PIEPER 1884 p. 150. Eudendrium insigne LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. » » PENNINGTON 1885 p. 62. » » LORENZ 1886 p. 25, 26. » » MARKTANNER 1890 p. 200. Eudendrium simplex MARKTANNER 1890 p. 200. Eudendrium laxum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 289. M. BEDOT Eudendrium minimum Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 290. Eudendrium novæ-zelandiæ Marktanner. Eudendrium novæ- celandiæ MARKTANNER 1890 p. 201, pl. 3, fig. 24. Eudendrium pusillum Lendenfeld. Eudendrium pusillum LENDENFELD 1885 (a) p. 352, 590, 621. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 628. » » LENDENFELD 1887 {c) p. 16. Voir la note à Halecium pusillum. Eudendrium pygmæum Clark. Voir : Matériaux IV, p. 290. Eudendrium racemosum (Cavolini). Voir : Matériaux I, p. 446; UT, p. 74; IIE, p. 295 et IV, p. 290. Eudendrium racemosum ScHMiDTLEIx fee MN 9 BE » » WEISMANN 1881 (a) p. 113, 114. » » WEISMANN 1881 (b) p. 1ss., pl. 1, fig. 1-6,8. » » WEISMANN 1881 (c) p. 35, pl. 10, fig. 20-25. » » HAMaANx 1882 (a) P. 522, pl. 20, fig. 6, pl. 21, fig. 6-10. » » WEISMANN 1883 p. 5-7, 19, 60, 92, 247, 225,247-249,272,273, 276, 282, fig. 4,9, pl.3, Let 5, fig. 1-2 » » CARUS 1884 P. ER » » GRÆFFE 1884 p. 349. » » METSCHNIKOFF 1884 p. 145. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. » » KLAATSCH 1886 p. 645. » » ISHIKAW A 1887 p. 669 ss., figg. » » ALLMAN 1888 p. XXXIV. Eudendrium racemosum Voir : Matériaux 1, p. 446; TE, p. 75 ; Eudendrium rameum Voir : Matériaux I, p. 446; IL, p. 76; II, p. 296 et IV, p. 290. Eudendrium ramosum » » » D) HISTOIRE Du PLEssis Lo Bianco DRiEscH WAGNER BYERLEY LESLIE a. HERDMAN WEISMANN WEISMANN STORM CaARUS Môgius LENDENFELD PENNINGTON MEczy, Hicks a. HERDMAN BERGH THOMPSON ALLMAN KIRKPATRICK BOURNE BOURNE DRIESCH MARKTANNER PPEFFER LEUCKART BYERLEY DANTELSSEN LESLIE a. HERDMAN WEISMANN WEISMANN DES HYDROÏDES. 1888 1888 1890 (b) p. 674, 677, 678. 1890 p. 276, 286, 298-300. II, p.29 et IV, p. 290. 1854 1881 1881 1881 1882 1881 1884 1885 1885 1886 1887 1887 1888 1889 1890 1890 1890 1890 1890 1847 1854 1861 1881 1881 (a) p. 111, 113, 114. 1881 avi p. )38. p. 388. Eudendrium rameum (Pallas). p. 103. De (a) p. 114. (b) p. 10. D: 8:°17::28009. p. 4. p. 64. (a) p. 351, 353. p. 99. p.98, p.332. p. 389, 391. 103 p. LVI, LXIV, LXVIIL &, pl. 2, fig. 1-2. p. 446. (a) p. 308, 319. {b) p. 393. (b) p. 681. p. 201. p. 483. 967. Eudendrium ramosum (Linné). (c) p. 87. p. 103. p. 46. par 9 (b) p. 3. 104 M. BEDOT Eudendrium ramosum WEISMANN 1881 (c) p. 21, 34, 36, pl. 7. » » BRooKks 1882 p. 136. » » HAMANN 1882 (a) p. 522, pl. 21, fig. 1-5. » ) STORM 1882 p. 3, 8. ) ) JICKELt 1883 p. 376, pl. 16.0pl47 fe: 4-14 » ) MERKEJIKOWSKY 1883 (a) p. 82. » » WEISMANN 1883 p. 92, 97, 104, 246, 276. » » CARUS 1884 p. à. » » GRÆFFE 1884 p. 346, 348. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 351, 353. » » PENNINGTON 1885 p. 60, pl. 3, fig. 5. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » LORENZ 1886 p. 25. » » MELcy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 98, 99. ) » BERGH 1887 p. 332. » » BÉTENCOURT 1887 p. 66. » » ALLMAN 1888 p. XVIII. » » BÉTENCOURT 1888 p. 203. » » Du PLEssIs 1888 p. 238. » » HALLEZ 1889 p. 40. ) » SEGERSTEDT 1889 p. 8, 24. » » BouRNE 1890 (b) p. 393. » » DRIESCH 1890 (b) p. 677-679. » » MARKTANNER 1890 p. 201. » » SCHNEIDER 1890 p. 321, 366, 368, pl. 19, fig. 47. » » WAGNER 1890 p. 286. Eudendrium rigidum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 291. Eudendrium tenellum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 291. Eudendrium tenue À. Agassiz. Voir : Eudendrium capillare. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 105 Eudendrium vaginatum Allman. Voir : Matériaux III, p. 297 et IV, p. 292. Eudendrium vaginalum LENDENFELD 1885 (a) p. 301, 353. » » PENNINGTON 1885 p. 62. Eudendrium vestitum Allman. Eudendrium vestitum ALLMAN 1888 p. L, LXIV, LXVIIL, 3, pl. 4 gi » » PFEFFER 1890 p. 567. Gen. Filellum Hincks 1868. Voir : Matériaux II, p. 77; III, p. 297 et IV, p. 292. Filellum bouvieri Jullien. Filellum bouvieri JULLIEN 1880 p. 291, fig. Filellum immersum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 292. Filellum serpens (Hassal). Voir : Matériaux IL, p. 77; III, p. 298 et IV, p. 292. Filellum serpens JULLIEN 1880 p. 292 » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. » » STORM 1882 p. 18. » » PENNINGTON 1885 p. 100. » » MezcY, Hicks a. À HerpMax 1886 p. 106. ; » » BERGH 1887 p. 334. 4 » » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392. L » » BéTEeNcouRT 1888 p. 208. » » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 25. 106 M. BEDOT Gen. Garveia Wright 1859. Voir : Matériaux III, p. 298 et IV, p. 292. Garveia nutans Wright. Voir : Matériaux IL, p. 298 et IV, p. 292. Garveia nutans LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. » » HaAManx 1882 (a) p. 499-501. » » PENNINGTON 1885 p. 67, pl. 3, fig. 6. » » HADDON 1886 (a) p. 924. » » HERDMAN 1886 (a) p. 3, 4, 6-8, 12. » » HERDMAN 1886 (b) p. 319, 329. » » MELLY, HIcks a. HErDMaAN 1886 p. 99. » » ALLMAN 1888 p. X. Gen. Gattya Allman 1886. Gattya humilis Allman. Gattya humilis ALLMAN 1886 p. 156, pl. 26, fig. 5-7. Gen. Gemmaria Mac Crady 1859. Voir : Matériaux III, p. 299 et IV, p. 293. Gemmaria implexa (Alder). Voir : Matériaux ILL, p. 299 et IV, p. 293. Zanclea implexa Du PLessis 1881 (a) p. 14%. Gemmaria impleæa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 9. » » JICKELI 1883 p. 611, 656, pl. 26, fig. 23-30. Zanclea implexa CARUS 1884 p. 26. Gemmaria implexa GRÆFFE 1884 p. 353. Zanclea implexa PENNINGTON 1883 p. d1. Gemmaria impleæa ALLMAN 1888 p. XVII. » » SCHNEIDER 1890 p. 367. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 107 Gen. Gonothyræa Allman 1864. Voir : Matériaux I, p. 448; II, p. 77; HI, p. 300 et IV, p. 293. Gonothyræa gracilis (Sars). Voir : Matériaux IT, p. 300 et IV, p. 293. Laomedea gracilis var. Sars 1857 (a) p. 160, pl. 2, fig. 5. Gonothyræa gracilis STORM 1882 p. 3, 6, 46. » » MaRION 1883 (b) p. 23. » » CARUS 1884 p. 9. Gonothyrea gracilis PIEPER 1884 p. 164. Gonothyræa gracilis PENNINGTON 1885 p. 91. » » BÉTENCOURT 1888 p. 207. » » SEGERSTEDT 1889 p.13, 25. Gonothyræa gracilis (Sars) var. Voir : Gonothyræa gracilis. Gonothyræa hyalina Hincks. Voir : Matériaux III, p. 301 et IV, p. 294. Obelia hyalina Du PLESSIS 1881 (a) p. 148. Gonothyræu hyalina STOoRM 1882 -p. 3, 15, 28, 29. 9 » » CARUS 1884 p. 10. ? » » PENNINGTON 1885 p. 91. » » HaADDon 1886 (a) p. 525. » » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392. » » BÉTENCOURT 1838 p. 207. » » CLARKE 1888 p. 84, 85. » » MARKTANNER 1890 p. 209, 210. Gonothyræa loveni Allman. Voir. : Matériaux I, p. 448: I, p. 77; III, p. 301 et IV, p. 294. Gonothyræa loveni LESLE a. HERDMAN 1881 p. 13. » » VARENNE 1881 (a) p. 346. » » VARENNE 1881 (b) p. 1032, 1033. 108 Gonothyræa loveni M. BEDOT WEISMANN HAMANN LENZ STORM VARENNE LENDENFELD MaARION WEISMANN CaRus PENNINGTON THALLWITZ HADDON HERDMAN MELLY, Hicks a. HERDMANN BÉTENCOURT BRAUN SEGERSTEDT 1881(c) p. 19, pl. 8 et pl. fig. 13. 1882 (a) p. 501. 1882 p. 177. 1882 p. 3, 15, 28-30. 1882 (b) p. 641, 672, 701, pl. 33, fig. 4-5, pl. 36, fig. 5-9. 1883 (e) p. 549. 1883 (a) p. 29. 1883 p. 134,219 pl AURA fig. 1-4, pl. 24, fig. 8-9. 1884 p. 9. 1885 p. 90. 1885 p. 390, 428. 1886 (a) p. 24. 1886 (b) p. 329. 1886 p. 105. 1888 p. 207. 1889 p. 70, 79. 1889 p. 13, 25. Gonothyræa tenuis Clark. Voir : Matériaux IV, p. 294. Gen. Grammaria Stimpson 1854. Voir : Matériaux III, p. 302 et IV, p. 295. Grammaria abietina (Sars). Voir : Matériaux III, p. 303 et IV, p. 295. Salacia abirtina Grammaria abietina STORM WEISMANN PENNINGTON STUXBERG BERGH THOMPSON MARKTANNER 1882 p. 18. 1883 p. 160. 1885 p. 100. 1886 p. 164, 186. 1887 p.334. | à 1887 p. 389, 393. 1890 p. 212, 247. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 109 Grammaria gracihs Stimpson. Voir : Matériaux II, p. 303 et IV, p. 295. Grammaria insignis Allman. Grammaria insignis ALLMAN 1888 p. LVII, LXIHET. LXVIT. 47,49, pl. 23, fig. 3-3 D. » » PFEFFER 1889 p. 93. » » PFEFFER 1890 p. 567. Grammaria intermedia Pfefter. Grammaria intermedia PFEFFER 1889 p. 53. » » PFEFFER 1890 p. 518, 567. Grammaria magellanica Allman. Grammaria magellanica ALLMAN 1888 p. LVIIT, LXVII, LXVIIT, 47, 48, pl. 23, fig. 2-20. » » PFEFFER 1889 p. 53. » » PFEFFER 1890 p. 567. Grammaria stentor Allman. Grammaria stentor ALLMAN 1888 p. LVIIL, LXIV, LXVIIT, L8, pl. 23, fig. 1-1 «a. » » PFEFFER 1889 p. 53, 04. » » PFEFFER 1890 p. 567. Gen. Gymnangium Hincks 1874. HixCks (1874 a) proposait que, si l’on démembre le genre Aglaopheniu, on donne le nom de Gonangium aux espèces dont les gonothèques ne sont pas protégées. Ce genre n’a pas été adopté. Gen. Gymnocoryne Hincks 1871. Voir : Matériaux II, p. 303 et IV, p. 295. Gymnocoryne coronata Hincks. Voir : Matériaux IL, p. 303 et IV, p. 295. 110 M. BEDOT Gen. Halatractus Allman 1871. Voir : Matériaux ILE, p. 304 et IV, p. 295. Halatractus nanus Alder. Voir : Matériaux II, p. 63; II, p..304 et IV, p. 295. Corymorpha nana PENNINGTON 1885 p. 78. Halatractus nanus LOMAN 1889 p. 268, 270. Corymorpha nana MARKTANNER 1890 p. 203. Gen. Halecium Oken 1815. Voir : Matériaux [, p. 448 ; II, p. 78; III, p. 304 et IV, p. 296. Halecium arboreum Allman. Halecium robustum ALLMAN 1888 p. 10, pl. 4, fig. 1-3. Halecium arboreum (robustum) ALLMAN 1888 p. LXIV, LXVII. Halecium robustum PFEFFER 1890 p. 567. Halecium articulosum Clark. Voir : Matériaux IV, p. 296. Halecium beani Johnston. Voir : Matériaux II, p. 78; LIL, p. 304 et IV, p. 296. Halecium beani LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15. » » SToRM 1882 p. 3, 19, 27. » » WEISMANN 1883 p. 161. » » CARUS 1884 p. 11. » » PIEPER 1884 p. 166. » » THOMPSON 1884 p. 4, 6. » » PENNINGTON 1885 p. 103. ES » VERRILL 1885 (a) p. 537. » ) HERDMAN 1886 (b) p. 330. » » LoRENz 1886 P. 27 » » Meczy, Hicks à. HERDMAN 1886 p. 106. EE ER pe HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 1 Pi a Halecium beani Nicuocs a. Happox 1886 p. 615. » » BERGH 1887 p. 334. ) » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » ALLMAN 1888 p. LVI, LXIT, LXV, LXVHIT, 12, pl. 12, fig. 3, 3 a. » » BÉTENCOURT 1888 p. 209. » » DRIESCH 1589/D: 1997 » » HoYLeE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26. ) » BOURNE 1890 (b) p. 396. » » HALLEZ 1890 p. 96. » » MARKTANNER 1890 p. 218. Halecium boreale Lorenz. Halecium boreale LORENZ 1886 p. 25, 26, pl. 2, fig. 1-2. » » MARKTANNER 1890 p. 217. Halecium capillare (Pourtalès). Voir : Matériaux III, p. 305 et IV, p. 296. Halecium crenulatum Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 296. Halecium curvicaule Lorenz. Halecium curvicaule LORENZ 1886 p. 25, 27, pl. 2, fig. 3-4. » » MARKTANNER 1890 p. 218. Halecium cymiforme Allman. Halecium cymiforme ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVIIL, 9, 14, 15, pl 7, fig. 1-5. Halecium delicatulum Coughtrey. Voir : Matériaux IV, p. 297. Halecium delicatulum RIDLEY 1881 (a) p. 103. » » BALE 1887 p. 103. » » PFEFFER 1890 p. 483, 567. ; L2 112 M. BEDOT Halecium dichotomum Allman. Halecium dichotomum ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVIII, 13, 19, 16, pl. 6, fig. 1-4. Halecium edwardsianum (d'Orbigny). Voir : Matériaux II, p. 78: II, p. 305 et IV, p. 297. Halecium fastigiatum Allman. Halecium fastigiatum ALLMAN 1888 p. LXIIE, LXVIIT, 43, pl. 15, fig. 2, 2 a. » » DriescH 1889 p. 198. Halecium filicula Alman. Voir : Matériaux IV, p. 297. Halecium filicula VERRILL 1885 (a) p. 537. Halecium filiforme Alder. Voir : Matériaux III, p. 305 et IV, p. 297. Halecium flexile Allman. Halecium flexile ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVII, LX VII, 11, pl:.5, fig.252% » » DRiEsCH 1889 P. 198. » » PFEFFER 1890 p. 567. Halecium geniculatum Norman. Voir : Matériaux NT, p. 305 et IV, p. 297. Halecium geniculatum PENNINGTON 1885 p. 105. Halecium gracile. Les 2 espèces décrites sous le nom d’Halecium gracile par VErRiLz (1873 e) et BaLe (1888) doivent être distinguées et le nom de cette dernière devra être changé. HarrcauB (1905) croit que l’A. gracile de Bave est synonyme d’A. flexile HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 11115 Allman, BizzarD (1910), qui a examiné le tvpe d’ALLMAN, partage cetle opinion. Mais JineraoLu (1904), étudiant des Hydroïdes de Patagonie, a trouvé FH. flexile Allman et H. gracile Bale et donne une description de ces 2 espèces. D'autre part, Morz-Kossoswka (1911), qui a trouvé en abondance l’H. gracile Bale à Port-Vendres, n’admet pas que cette espèce soit synonyme d'A. flexile ANman. En attendant de nouvelles recherches sur ce sujet, nous laisserons figurer provisoirement les 2 espèces de VErriL et BALE sous le même nom. Halecium gracile de VERRILL. Voir : Matériaux IV, p. 297. Halecium gracile de BALE. Halecium gracile / BALE 1888 p. 759,760, pl. 14, fig. 1-3. Halecium halecinum (Linné). Voir : Matériaux I, p. 448; IT, p. 78; [IL, p. 305 et IV, p. 297. Sertularia halecina LEUCKART 1847 (c) p. 87. Halecium halecinum BYERLEY 1854 p. 103. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. » » STORM 1882 p. 19. » » VARENNE 1882 (b) p. 697. » » MaRION 1883 (b) p. 23. » » WEISMANN 1883 p. 160,161, 163, 221.271, 285, 286, pl. 24, fig. 10. » » CaRus 1884 p. 11. » » GRÆFFE 1884 p. 396. » » PIEPER 1884 p. 166. » » REES 188: p. 981. » » PENNINGTON 1885 p. 102, pl. 5, fig. 2. » » HERDMAN 1886 (a) p. 10. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » LORENZ 1886 p. 26. » » MEczy, Hicxks a. HERDMANX 1886 p. 106. ; » » Nicnozs a. Happon 1886 p. 615. ; » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. | » » BéTEeNcourRT 1888 p. 209. Rev. Suisse DE Zooz. T. 24. 1916. 114 M. BEDOT Halecium halecinum DALLA TORRE 1889 p. 96. ) ) DriescH 1889 p. 198, 199, 225. » ) HALLEZ 1889 p. 40. » ) HOoYLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 15, 26. ) » BOURNE 1890 (b) p. 396. ) » MARKTANNER 1890 p. 217. Halecium labrosum Alder. Voir : Matériaux LIT, p. 306 et IV, p. 298. Halecium labrosum CARUS 1884 p. 11. » » PiEPER 1884 p. 166, 168. ) » PENNINGTON 1885 p. 104. ) ) LORENZ 1886 p. 27. Halecium lamourouxianum (d’'Orbigny). Voir : Matériaux Il, p. 79; II, p. 306 et IV, p. 298. Halecium macrocephalum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 298. Halrcinm macrocephalum Fewxes 1881 (a) p. 128. Halecium marsupiale Bergh. Halecium marsupiale BERGH 1887 p. 334, pl. 28, fig. 2 a-b. Halecium muricatum (Ellis et Solander). Voir : Matériaux I, p. 449; IL, p. 80: II, p. 307 et IV, p. 298. Halecium muricatum LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. » » STORM 1882 p. 19, 27. » » THOMPSON 1884 p. 4, 6. » » PENNINGTON 1885 p. 103. » » HoyYLe 1889 p. 460. Halecium mutilum Allman. Voir : Matériaux IV, p. 299. Halecium mutilum PFEFFER 1890 p. 567. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 115 Halecium nanum Alder. Voir : Matériaux IT, p. 307 et IV, p. 299. Halecium parvulum Bale. Halecium parvulum BALE 1888 p. 760, pl. 14, fig, 4-5. » ) MARKTANNER 1890 p. 215, 218, pl. 3, fig. 22. Halecium patagonicum (d'Orbigny). Voir : Matériaux II, p. 80; INT, p. 307 et IV, p. 299. Halecium plumosum Hincks. Voir : Matériaux III, p. 307 et IV, p. 299. Halecium plumosum LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 15. » » STORM 1882 p. 19. » » PENNINGTON 1885 p. 104. » » DRIEsCH 1889 p. 198, 199. Halecium (2) plumularioides Clark. Voir : Matériaux IV, p. 299. Halecium pulchellum (Pourtalès). Voir : Matériaux III, p. 307 et IV, p. 299. Halecium pusillum (Sars). Eudendrium pusillum Sars 1857 (a) p. 154, pl. 1, fig. 14-16. » » ALLMAN 1864 (c) p. 362. » » ALLMAN 1871 p. 319. » » CARUS 1884 p. 4. Halecium ophiodes CARUS 188% p. 11. » » Preper 1884 p. 167. Nous avions considéré l’Eudendrium pusillum de Sars (1857) comme étant une espèce indéterminable (Mat. II, p. 458). Mais BrocH (1912), qui a pu examiner les types de Sars, a constaté que celte espèce était un Halecium. Il le nomme Halecium pusillum (M. Sars) et lui donne comme synonyme l'A. ophiodes de Pieper (1884). Il convient de remarquer que l'on a décrit 3 espèces sous le même nom : Eudendrium pusillum Wright — Perigonimus repens ; 116 M. BEDOT E. pusillum Sars — Halecium pusillum : et E. pusillum Lendenfeld, qui con- serve seul son nom primitif. Halecium robustum. On a décrit, jusqu’à présent, 4 espèces différentes d’Halecium sous le nom spécifique de robustum. Ce sont : 19 . robustum de Verrizz (1873 b); 20 H. robustum de Piper (1884) ; 30 J. robusitum d'ALLMAX (1688). Ce dernier auteur ayant constaté, pendant la publication des Hydroïdes du CHALLENGER, que Ce nom avait déjà été employé, l’a changé contre celui d'H. arboreum. 40 I. robustum de Nurrin@ (1901). En attendant que l’on ait fait une revision de ce genre, nous laisserons figurer les 2 premières espèces sous leur nom de robustum accompagné de celui de l’auteur. Halecium robustum de VERRILL. Voir : Matériaux IV, p. 299. Halecium robustum de PIEPER. Halecium robustum Preper 1884 p. 166. » » CARUS 1884 p. 11. Haloikema lankesteri BOURNE 1890 (b) p. 395, pl. 26, fig. 1-2. Halecium scutum Clark. Voir : Matériaux IV, p. 300. Halecium sessile Norman. Voir : Matériaux II, p. 307 et IV, p. 300. Halecium sessile STORM 1882 p. 3, 19, 27, 29. » » PENNINGTON 1885 p. 105. » » VERRILL 1885 (a) p. 537. » » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26. Halecium siphonatum (Pourtalès). Voir : Matériaux II, p. 308 et IV, p. 300. als nd dar 0 à. Halecium telescopicum Halecium tenellum HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 117 Halecium tehuelchum (4'Orbigny). Voir : Matériaux IF, p. 80 ; HIT, p. 308 et IV, p. 300. Halecium telescopicum Allman. ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIIT, 10, pl. 5, fig. 1-1 «. Halecium tenellum Hincks. Voir : Matériaux III, p. 308 et JV, p. 300. HAMANN » WEISMANN » . BALE » LENDENFELD » LENDENFELD » PENNINGTON » LORENZ » METSCHNIKOFF ‘ » LENDENFELD » DRIESCH » HALLEZ » SEGERSTEDT » BOURNE » DRIESCH » MARKTANNER 1882 (a) p. d28. 1883 p. 160, 161, 163, 164, 220, 271, 286, pl. 11; fig. 5-6. 1884 p. 65. 1885 (a) p. 405, 622. 1885 (d) p. 661. 1885 p. 104. 1886 p. 25, 27. 1886 (b) p. 69, 70. 1887 (c) p. 40. 1889 p. 198, 199, 225. 1889 p. 40. 1889 p. 16, 26. 1890 (b) p. 396. 1890 (c) p. 150. 1890 p. 218. Halecium tenellum Hincks var. mediterranea Weïismann. Halecium tenellum var. meditteranea WEISMANN 1883 p. 160. Gen. Halicornaria Allman 1874. Halicornaria allmani Marktanner. Halicornaria plumosa ALLMAN » » BALE » » ALLMAN 1883 p. 92, pl. 18. 1887 p. 90. 1888 p. LXIII, LXIX. 118 M. BEDOT Halicornaria allmanti MARKTANNER 1890 p. 277. Halicornaria allmant var. MARKTANNER 1890 p. 277, pl. 6, fig. 23. Halicornaria plumosa MARKTANNER 1890 p. 277, 278. BALE (1886) ayant montré qu’il y avait déjà une A. plumosa d'ARMSTRONG, MarkTANNER (1890, p. 277, note) a changé le nom donné par ALLMAN contre celui d’Halicornaria allmani. Halicornaria arcuata (Lamouroux). Syn.: Aglaophenia arcuata Lamouroux. Voir : Matériaux I, p. 422; IL, p. 40; IT, p. 234 et IV, p. 241. Aglaophenia arcuata CARUS 1884 p. 16. Halicornaria cornuta ALLMAN 1886 p. 153, pl. 23, fig. 1-4. Bizcarp (1907) a montré que cette espèce devait rentrer dans le genre Halicornaria. Halicornaria ascidioides Bale. Halicornaria ascidioides BALE 1884 p. 148, 175, 176, 183, pl. 413, tig.:2 pl 16460 » » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. » » BALE 1887 p. 100. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. Halicornaria baileyi Bale. Halicornaria baileyi BALE 1884 p. 175, 177, 179, 183, pl. 413, fig. 4, pl. 16, fig. 2. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 486. 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. Halicornaria bipinnata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 301. Halicornaria flabellata Marktanner. Halicornaria flabellata MaRKTANNER 1890 p. 278, pl. 6, fig. 14. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 119 Halicornaria furcata Bale. Halicornaria furcata BALE 1884 p. 175, 178, pl. 13, fig. 3, pl. 16, fig. 5. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. » » BALE 1887 p. 101. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. Halicornaria haswelli Bale. 1884 p. 175, 180, pl. 13, fig. 5, pl. 16, fig. 8. Halicornaria haswelli BALE » » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. » » MARKTANNER 1890 p. 278. Peut-être synonyme de A. allmani sec. BiicarD (1910, p. 45). Halicornaria Mans (Busk). Syn.: Aglaophenia hians (Busk). Voir : Matériaux IV, p. 246. Halicornaria hians BALE 1884 p. 175, 179-181, pl. 13, LENDENFELD fig. 6, pl. 46, fig. 7. 1885 (a) p. 487, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. » » KIRKPATRIOK 1890 (a) p. 604. » » MARKTANNER 1890 p. 278. Halicornaria humilis Bale. Halicornaria humilis BALE 1884 p. 121, 174, 182, pl. 43, lg. 8, pl. 16, fig. 6. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. » » BALE 1887 p. 80. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. 120 M. BEDOT Halicornaria \dicistoma Bale. Halicornaria ilicistoma BALE 1884 p. 174, 183, 184, pl. 14, fier, 2, pl:46: 66209; » » LENDENFELD 1885 (a) p. 488, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. ) » LENDENFELD 1887 (C) p. 27. Halicornaria insignis Allman. Voir : Matériaux IV, p. 301. Halicornaria longirostris (Kirchenpauer). Syn. : Aglaophenia longirostris Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 249. Aglaophenia longirostris BALE 1882 p. 20. A glaophenia thompsoni BALE 1882 p. 28, 29, 31, 33, 46, pl. 14, fig. 1. Halicornaria longürostris BALE 1884 p. 148, 174, 181, 183, 185, pl: 413,:18.7, plu fig. 3, pl. 19, fig. 30. Halicornaria thompsoni BALE 1884 p. 182. Halicornaria longirostris LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. » » MARKTANNER 1890 p. 278. 279. Halicornaria longirostris x var. thompsoni MARKTANNER 1890 p'279. Halicornaria pennatula (Ellis et Solander). Syn. : Aglaophenia pennatula (Ellis et Solander). Voir : Matériaux I, p. 424; Il. p. 44; III, p. 239 et IV, p. 251. A glaophenia pennatula BALE 1882 p. 34. Halicornaria pennatula PENNINGTON 1885 p. 132, pl. 9, fig. 6. A glaophenia pennatula HALLEz 1890 p. 96. Halicornaria plumosa Armstrong. Voir : Matériaux IV, p. 301. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 121 Halicornaria prolifera Bale. Halicornaria prolifera Bare 1884 p. 148, 17%, 183, pl. 14, fig. 4, .pl446,-fg: 10: » » LENDENFELD 1885 (a) p. 487, 627. ) » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. Halicornaria ramulifera Allman. Voir : Matériaux LV, p. 301. Halicornaria ramulifera BALE 1887 p. 90. Halicornaria saccaria Allman. Voir : Lytocarpus saccartus. Halicornaria setosa Armstrong. Voir : Matériaux IV, p. 301. Halicornaria setosa BALE 1884 p. 153. Halicornaria speciosa Allman. Voir : Matériaux IV, p. 302. Halicornaria speciosa ALLMAN 1883 p. 53. » » BALE 188% p. 174. » » BALE 1887 p. 75, note. Halicornaria superba Bale. Halicornaria superba BALE 1884 p. 148, 175, 177, pl. 13, | fig. 1, pl. 16, fig. 4. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 486, 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 643. » » BALE 1887 p. 75, 90. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 27. » » MARKTANNER 1890 p. 279., M. BEDOT Halicornaria urceolifera (Lamarck). Syn. : Aglaophenia urceolhifera (Lamarck). Voir : Matériaux I, p. 427; II, p. 46; IT, p. 243 et IV, p. 255. Gen. Halicornopsis Bale 1882. Halicornopsis elegans (Lamouroux). Syn. : Aglaophenia avicularis Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 241. Syn.: Aglaophenia elegans Lamouroux. Voir : Aglaophenia aviculuris Halicornopsis avicularis A glaophenia avicularis À zygoplon rostratum Halicornopsis avicularis A zygoplon rostratum Halicornopsis avicularis Halicornopsis rostratum Halicornopsis avicularis Halicornopsis rostrata A glaophenia avicularis A zygoplon rostratum Halicornopsis avicularis Halicornopsis rostratum Halicornopsis avicularis Halicornopsis rostrata A zygoplon rostratum ) ) Halicornopsis avicularis Matériaux III, p. 235 et IV, p. 244. BALE BALE ALLMAN ALLMAN BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD BALE BALE BALE BALE LENDENFELD LENDENFELD ALLMAN MARKTANNER MARKTANNER 1882 p. 20. 1882 p. 26, pl. 13, fig. 3. 1883 p. 54. 1883 p. 54, pl. 19, fig. 1-3. 1884 p. 185, pl. 10, fig. 1-2, pl. 19, fig. 32. 1885 (a) p. 488, 628. 1885 (a) p. 488, 628. 1885 (b) p. 984. 1885 (d) p. 643. 1885 (d) p. 643. 1887 p. 101. 1887%p113, JL A0 1887. p. 73, 77, 91, 101, 405: 1887 p. 105. 1887 (c) p. 27. 1887 (c) p. 27: 1888 p. LXIV, LXIX. 1890 p. 279. 1890 p. 279. O9 HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 12 Gen. Halisiphonia Allman 1888. Halisiphonia megalotheca Allman. Halisiphonia megalotheca ArLMax 1888 p. LXIV, LXVIIL, 31, 40, pl. 16, fig. 1-1 a. » » HÆCKkEL 1889"p. 77,76. Halisiphonia pygmæa Hincks. Syn. : Calycella pygmæa Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 260. Lafea pygmæa PENNINGTON 1885 p. 97. » » | HADDON 1886 (a) p. 225. Halisiphonia pygmæa MARKTANNER 1890 p. 212, pl. 3, fig. 13. Halisiphonia spongicola Hæckel. Halisiphonia spongicola Hxckez 1889 p. 77, pl. 4, fig. 9. Gen. Halocordyle Allman 1871. Voir : Matériaux II, p. 309 et IV, p. 302. Le genre Halocordyle n'a pas été admis, la seule espèce qu'il renfermait, Æ1. tiarella, pouvant rentrer dans le genre Pennaria. Halocordyle trarella (Ayres). Voir : Pennaria tiarella. Gen. Holoikema Bourne 1890. Ce genre, synonyme d’Æalecium, doit être supprimé. 1294 M. BEDOT Gen. Halopteris Allman 1877. Voir : Matériaux IV, p. 302. Halopteris carinata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 302. Halopteris carinata BALE 1887 p. 80. Gen. Hebella Allman 1888. Hebella contorta Marktanner. Hebella contorta MARKTANNER 1890 p. 215, pl. 3, fig. 17 a-17 b. Hebella cylindrata Marktanner. Hebella cylindrata MARKTANNER 1890 p. 214, pl. 3, fig. 15. Hebella cylindrica (Lendenfeld). Lafwa cylindrica LENDENFELD 1885 (b) p. 908, 912, pl. 40, fig. 4-5. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 630. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 18. » » MARKTANNER 1890 p. 214. Hebella parasitica (Ciamician). Syn.: Lafœa parasitica Ciamician. Voir : Matériaux IV, p. 314. Lafwa parasitica Jickeui 1883 p. 629, pl. 27, fig. 21-25. » » CARUS 1884 p. 10. » » GRÆFFE 1884 p. 355, 397. » » LENDENFELD 1885 (b) p. 912. Hebella parasitica MARKTANNER 1890 p. 213. Hebella scandens (Bale). Lafæa scandens BALE 1888 p. 758, pl. 13, fig. 16-19. Hebella scandens MARKTANNER 1890 p. 214, pl. 3, fig. 16. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 12! Q1 Hebella striata Allman. Hebella striata ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVII, 29, 30, pl. 415, fig. 3-3 «. ps » » PFEFFER 1890 p. 567. Gen. Heterocordyle Allman 1864. Voir : Matériaux III, p. 310 et IV, p. 302. Heterocordyle conybearei Allman. Voir : Matériaux IIT, p. 310 et IV, p. 302. Heterocordyle conybeari WEISMANN 1883 p. 84, 217, pl. 11, fig. 7-9. » » PENNINGTON . 1885 p. 69. » » Lo Branco 1888 p. 388. Heterocordyle conybearei MaRkTANNER 1890 p. 200. Gen. Heteroplon Allman 1883. Heteroplon pluma Allman. Heteroplon pluma * ALLMAN 1883 p. 32, pl. 8, fig. 1-3. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 480, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 644. » » BALE 1887 p. 78. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 28. » » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. D’après BirzarD (1910, p. 36), cette espèce est synonyme de Plumularia glutinosa. Gen. Heteropyxis Heller 1868. Voir : Matériaux II, p. 310 et IV, p. 302. Ce genre, qui renfermait des Nemertesia et des Plumularia, doit être supprimé. Gen. Heterostephanus Allman 1864. Voir : Matériaux III, p. 311 et IV, p. 303. Heterostephanus annulicornis (Sars). d Voir : Matériaux If, p. 311 et IV, p. 303. 126 M. BEDOT Gen. Hippurella Allman 1877. Voir : Matériaux IV, p. 303. Hippurella annulata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 303. Hippurella annulata FEWKES 1881 (a), p. 128, 134, pl. 1, fig. À, pl. 2, fig. 4, 5, 8: » » ALLMAN 1883 p. 3 (note), 13. » » QuELCH 1885 (a) p. 6. » » AGASSIZ, A. 1888 p. 137, fig. 437. Gen. Hybocodon L. Agassiz 1860. Voir : Matériaux IIT, p. 311 et IV, p. 303. Hybocodon prolifer L. Agassiz. Voir : Matériaux IIT, p. 311 et IV, p. 303. Gen. Hydra Linné 1746. Voir : Matériaux I, p. 450; IT, p. 81; I, p. 312 et IV, p. 304. Hydra carnea L. Agassiz. Voir : Hydra oligactis. Hydra gracilis L. Agassiz. Voir : Hydra viridis. Hydra hexactinella Lendenfeld. Hydra hexactinella LENDENFELD 1886 (a) p. 679, pl. 48, fig. 1-4. » » LENDENFELD 1886 (b) p. 96, 98, pl. 6, fig. 13-14. HE ro, Lo di à 0) é stef HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 127 Hydra oligactis Pallas. Voir : Matériaux I, p. 450 ; Il, p. 81; ILE, p. 313 et IV, p. 304. Hydra fusca Hydra vulgaris Hydra fusca ) » » D] » » Hydra rhætica Hydra vulgaris Hydra oligactis Hydra fusca Hydra oligactis Hydra fusca ) » D) » Hydra oligactis Hydra fusca Hydra oligactis Hydra fusca » » » » Hydra oligactis ) » Hydra fusca H ydra oligactis Hydra rœseli LEYDiG HAMANN HAMANN JiCKELI * LANKESTER BRANDT HAMANN KOROTNEFF JICKELI JICKELI JUNG WEISMANN BALE KRÆPELIN GIBSON LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD PENNINGTON BRECKENFELD KRÆPELIN LENDENFELD LENDENFELD NUSSBAUM LENDENFELD NUSsSBAUM Syn: Aydra carnea L. Agassiz. Voir : Matériaux LL, p. 312 et IV, p. 304. 1881 p. 150. 1882 (b) p. 545, pl. 26, fig. 16. 1882 (c) p. 462. 1882 (b) p. 493. 1882 (a) p. 248-251, pl. 20, fig. 16, 18, 22, 24. 1883 (b) p. 439. 1883 (b) p. 368 ss. 1883 p. 315 ss., pl. 14, fig. 3, 12-14. 1883 p. 667. 1883 p. 391, 392, 394, 405, 664, 670, pl. 17, fig. 16-21, pl. 18, fig. 3, ph D Le 1883 p. 339, 342, 346, 349 1883 p. 17. 1884 p. 38, 187. 1884 p. 319. 1885 p. 29 ss., pl. 1. 1885 (a) p. 348, 621. 1885 (a) p. 348, 621. 1885 (b) p. 908. 1885 (d) p. 627. 1885 p. 139. 1886 p. 2225. 1886 p. 6, 8. 1886 (a) p. 679. 1886 (b) p. 95, 98. 1886 p. 132. 1887 (c) p. 15. 1887 (c) p. 268, 269. 128 Hydra fusca Hydra oligactis Hydra fusca Hydre brune Hydra fusca Hydra carnea Hydra fusca M. NUSSBAUM NUSSBAUM CLARKE GIROD GRFENWOOD LEIDY LEipy ZACHARIAS CHATIN GREENWOOD NUSSBAUM SCHNEIDER BEDOT 2 1887 (c) p. 267 ss., pl. 14, fig. 34-36, 38-46, pl. 15, fig. 48-51, pl. 20, Hé AE: 1887 (c) p. 268. 1888 p. 73, 77, fig. 63. 1888 p. 10 ss. 1888 p. 317 ss., pl. 6, fig. 9 et pl. 7e 1838 p. 311. 1888 p. 311. 1888 p. 224. 1890 p. 415. 1890 p. 582. 1890 p. 113 ss. 1890 p. 321 ss, pl 17000048 et pl. 19, fig. 7, 32-35, 37-43. Hydra rubra Lewes. Voir : Matériaux IIL, p. 313 et IV, p. 305. Hydra tenuis Ayres. Voir : Matériaux II, p. 314 et IV, p. 305. Hydra viridis Linné. Voir : Matériaux I, p. 452; II, p. 82; IIL, p. 314 et IV, p. 305. Hydra viridis Hydra Hydra viridis Syn. : Hydra gracilis L. Agassiz. Voir : Matériaux IIT, p. 312 et IV, p. 304. BYERLEY BRANDT LEYDIG BLOMFIELD BraAxpr HAMANN HAMANN JICKEL 1854 p. 105. 1881 p. 140 ss. 1881 p. 150. 1882 p. 238. 1882 p. 1265s., pl. 1, fig. 16-18. 1882 (b) p. 545, pl. 26, fig. 15. 1882 (c) p. 457 ss., 462, pl. 26. 1882 (b) p. 492. HISTOIRE Hydra viridis » » » ) » D) » ») » » » » » » » ) » » » » » ) » » » » » D] » » » » » » » D] » » ) ») » » » ) » » » » Hydre verte Hydra viridis Hydra gracilis Hydra viridis D) » LANKESTER LANKESTER MARSHALL BRANDT BRANDT HAMANN JICKELI JUNG KOROTNEFF BALE BRAUN GRAFF KRÆPELIN LENDENFELD LENDENFELD PENNINGTON BuRECKENFELD KRÆPELIN LENDENFELD LENDENFELD NussSBAUM LENDENFELD NUSSBAUM ALLMAN CLARKE G1ROD GREENWOOD Leiny LEIDY CHATIN SCHNEIDER DES HYDROÏDES. — V. 129 1882 (a) p. 229 ss., pl. 20, fig. 15, 17, 19-21, 23. 1882 (b) p. 87. 1882 p. 665 ss. 1883 (a) p. 244, 255 (note), 265, 267. 1883 (b) p. 439, 440. 1883 (b) p. 368. 1883 p. 374, 391, 393, 394,405, 664, pl. 18, fig. 1, 12, 14. 1883 p. 339, 343, 347, 319. 1883 p. 315, 318. 1884 p. 187. 1884 p. 90, 11%, 117, 119. 1884 p. 520 ss. 1884 p. 319. 1885 (a) p. 348, 621. 1885 (d) p. 627. 1885 p. 139, pl. 9, fig. 7. 1886 p. 222 ss., fig. 17-23. 1886 p. 6. 1886 (a) p. 679. 1886 (b) p. 96, 98. 1886 p. 132. 1887 (c) p. 15. 1887 (c) p. 267 ss., pl. 15, fig. 52-55, pl. 16, 17 et pl. 18, fig. 80-88. 1388 p. XLV. 1888 p. 73, 77, fig. 64. 1888 p. 2ss. à 1888 p. 321, pl. 6, fig. 10. 1888 p. 311. 1888 p. 311. 1890 p. 415. 1890 p. 354. Les observations de Lerny (1888) montrent que Hydra gracilis est synonyme d'Hydra viridis. Rev. Suisse bE Zoo. À. 24.4916; 130 M. BEDOT Hydra viridis Linné var. bakeri Marshall. Hydra viridis var. bakeri MARSHALL ZLACHARIAS 1882 p. 666 ss., pl. 37, fig. 1-10, 12. 1888 p. 225. Hydra vulgaris Pallas. Voir : Matériaux [, p. 453; IL, p. 83; IT, p. 315 et IV, p. 306. Hydra vulgaris » » Hydra grisea Hydra aurantiaca Hydra grisea Dex » Hydra vulgaris Hydra grisea Hydra aurantiaca » » Hydra attenuala Hydra vulgaris » » Hydra attenuata Hydra aurantiaca Hydra grisea BYERLEY LeYpiG BRANDT LANKESTER LANKESTER JICKELI MARSHALL BRANDT BRANDT HAMANN JICKELI JUNG KOROTNEFF NUSSBAUM PENNINGTON PENNINGTON BRECKENFELD NUSSBAUM NussBaUM NussBaum 1854 p. 105. 1881 p. 150. 1882 p. 137 ss. 1882 (a) p. 248, 251. 1882 (a) p. 248, 251. 1882 (b) p. 492. 1882 p. 665, 670, 671,676, 682, 686, 688, 693, 698, poux 1883 (a) p. 255 (note). 1883 (b) p. #39, 440. 1883 (b) p. 368. 1883 p. 391, 392 ss., pl. 17, fig. 12-15, 22-23, pl. 18, fig. 2, 4-7, 9, 10, 13, 15-24. 1883 p. 339, 340, 345, 348. 1883 p. 315 ss., pl, 14, fig. 1, 2, 4-11. 1885 p. 387. 1885 p. 135. 1885 p. 135. 1886 p. 222 ss. 1887 (c) p. 273. 1887 (c) p. 270, 273. 1887 (c) p. 267 ss., pl. 13, 14, fig. 33,37, 47, pl. 15, fig. 56-59, pl. 18, fig. 89,. pl. 19,20, fig 108-116, 120, 122. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 131 Hydra trembleyi NUSSBAUM 1887 (c) p. 268, 269, 271. Hydra vulgaris NUSSBAUM 1887 (c) p. 268, 272. » » CLARKE 1888 p. 76. Hydra grisea GREENWOOD 1888 p. 317 ss. Hydra aurantiaca KOROTNEFF 1888 p. 29. » » BRAUER 1890 p. 457. Hydra grisea CHATIN 1890 p. 415. » » ISCHIKA WA 1890 p. 436 ss., pl. 18, fig. 4-40. » » NUSSBAUM 1890 p. 113 ss. » ) SCHNEIDER 1890 p. 354. Hydra vulgaris SCHNEIDER 1890 p. 324. Gen. Hydractinia van Beneden 1841. Voir : Matériaux I, p. 453. Il, p. 85; IE, p. 316 et IV, p. 306. Hydractinia antarctica Studer. Voir : Matériaux IV, p. 306. Hydractinia arborescens Carter. Voir : Matériaux IV, p. 307. Hydractinia calcarea Carter. Voir : Matériaux IV, p. 307. Hydractinia carica Bergh. Hydractinia carica BERGH 1887 p. 331, pl. 28, fig. 1. Hydractinia echinata (Fleming). Voir : Matériaux IL, p. 85; II, p. 316 et IV, p. 307. Hydractinia grisea - Leuckarr 1847 (c) p. 87. Hydractinia echinata BYERLEY 1854 p. 103. » » : KLEINENBERG 1881 p. 332. » » LESLIE 4. HERDMAN 1881 p. 8. » » CLARKE 1882 p. 135, 141, pl. 9, fig. 40. 132 M. BEDOT Hydractinia echinata HAMANN 1882 (a) p. 501. » » STOoRM 1882:p; 7; 1028 90: » » VARENNE 1882 (b) p. 697. » ) WEISMANN 1883 p. 3,4, 66, 70, 73, 216, pl. 23. » » CARUS 1884 p. d. » » MôBius 1884 p. 65. » » REES 1884 p. 979. » » GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178. » » PENNINGTON 1885 p. 41. » » THALLWITZ 1885 p. 390, 432. » » VERRILL 1885 (a) p. 537. » » WAGNER 1885 p. 49, 60, 69, 71, 72, pl. 1, fig. 1-14, 16, 17. » » HADDON 1886 (a) p. 524. » » HERDMAN 1886 (a) p. 3, 10. » » LORENZ 1886 p. 27. » » MELLY, HIcks a. HERDMAN 1886 p. 97. » » Nicuozs a. Happon 1886 p. 615. » » BERGH 1887 p. 331. » » BÉTENCOURT 1887 p. 66. » » BÉTENCOURT 1888 p. 202. » » CLARKE 1888 p. 82, fig. 74. » » Du PLEssis 1888 p. 541. » » DALLA TORRE 1889 p. 96. Hydraclina grisea DALLA TORRE 1889 p. 96. Hydractinia echinata HoYLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p.07, 23. » » BOURNE 1890 (b) p. 392. » » MARKTANNER 1890 p. 202. » » WAGNER 1890 p. 276. Hydractinia levispina Carter. Voir : Matériaux IV, p. 308. Hydractinia monocarpa Allman. Voir : Matériaux IV, p. 308. HISTOIRE DES HYDROÏDES. -- V. LS: Hydractinia polyclina Li. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. 318 et IV, p. 308, Hydractinia polyclina BROOKS 1882 p. 136, 146. » » CLARKE 1882 p. 141. » » WAGNER 1885 p. 70. Hydractinia sodalis Stimpson. Voir : Matériaux IIL, p. 318 et IV, p. 308. Gen. Hydrallmania Hincks 1868. Voir : Matériaux I, p. 454; IL, p. 86; II, p. 319 et 1V, p. 309. Hydrallmania bicalycula Coughtrey. Voir : Matériaux IV, p. 309. Hydrallmania bicalycula Bare 1887 p. 103. Hydrallmania falcata (Linné). Voir : Matériaux I, p. 454 et 470; IH, p. 86; I, p. 319 et IV, p. 309. 1847 (c) p. 87. 1854 p. 104. 1880 p. 122. 1881 p. 9, 14, 16. Plumularia falcata LEUCKART BYERLEY STORM ) » Hydrallmania falcata » » … LESLIE à. HERDMAN » » STORM 1882 p. 18, 21, 27, 29. Aglaophenia falcata ZELLER 1883 p. 106. Hydrallmania falcata Rees 1884 p. 583. » » THOMPSON 1884 p. 4, à. » » M’INrosH 1885 p. 434. » » PENNINGTON 1885 p. 118, pl. 8, tig. 3. » » HERDMAN 1886 (b) p. 330. » » MELLY, Hicks a. HerpmMaN 1886 p. 114. » » BERGH 1887 p. 537. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. à » » THOMPSON 1887 p. 389, 395. ; » » BÉTENCOURT 1888 p . 206, 208, 210, 212. 134 M. BEDOT Hydrallmania falcata DALLA TORRE 1889 p. 96. » » DRIESCH 1889 p. 200, 209, fig. 7, 8. » » HA LLEZ 1889 p. 40. » » HOYLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 18, 19, 22, 27. » » BOURNE 1890 (b) p. 397. » » MARKTANNER 1890 p. 222, 2395, 238. Hydrallmania falcata (L.) var. bidens Mereschkowsky. Voir : Matériaux [V, p. 309. Hydrallmania franciscana (Trask). Voir : Matériaux III, p. 320 et IV, p. 310. Hydrallmania francisana Taomrson 1887 p. 395. Gen. Hydranthea Hincks 1868. Voir : Matériaux IT, p. 320 et IV, p. 310. Hydranthea margarica Hincks. Voir : Matériaux II, p. 320 et IV, p. 310. Hydranthea margarica GRÆFFrE 1884 p. 359. » » PENNINGTON 1885 p. 67. » » HÆCKEL 1889 p. 79. Gen. Hydrella Gœtte 1880. Voir : Matériaux IV, p. 310. Hydrella ovipara Goœtte. Voir : Matériaux IV, p. 310. Hydrella ovipara CARUS 1884 p. 12. » » ALLMAN 1888 p. XXXV, note. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 135 Gen. Hydrichthys Fewkes 1887. Hydrichthys mirus Fewkes. Hydrichthys mirus FEWKES 1887 p. 604. » ) FEWKES 1888 (a) p. 224, pl. k. 5. » » FEWKES 1888 (b) p. 392. Gen. Hydrodendron Hincks 1874. Voir : Matériaux IV, p. 310. Hydrodendron gorgonoide (G.-0. Sars). Voir : Matériaux IV, p. 310. Halecium gorgonoide STORM 1882 p. 3, 20, 27, 29. » » ALLMAN 1883 p. 7 (note). Gen. Hypanthea Allman 1876. Voir : Matériaux IV, p. 310. Hypanthea aggregata Allman. Hypanthea aggrequta ALLMAN 1888 p. LVIE, LXIV, LX VII, 26, 28, pl. 14, fig. 1,4 a. » » MARKTANNER 1890 p. 211. » » PFEFFER 1890 p. 567. Hypanñthea atlantica Marktanner. Hypanthea allantica MARKTANNER 1890 p. 211, pl. 3, fig. 14. Hypanthea georgiana Pfeffer. Hypanthea georgiana PFEFFER 1889 p. 54. » » PFEFFER 1890 p. 518, 567. Hypanthea hemisphærica Allman. Hypanthea hemisphærica ArrLMax 1888 p. LVII, LXVII, LXVII, 27, plié, Me. 2,2 a: » » PFEFFER 1889 p. 54. mt » PFEFFER 1890 p. 567. M. BEDOT Hypanthea repens Allman. Hypanthea repens Voir : ALLMAN MARKTANNER PFEFFER Matériaux IV, p. 310. 1888 p. 26, 28. 1890 p. 211. 1890 p. 567. Gen. Hypopyxis Allman 1888. Hypopyxis labrosa Allman. Hypopyxis labrosa ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 74, pl. 35, fig. 1-1 «a. Gen. Idia Lamouroux 1816. Voir : Matériaux [, p. 454; 11, p. 87; HI, p. 321 et IV, p. 311. Idia pristis Lamouroux. Voir : Matériaux I, p. 454; I, p. 87; IE, p. 321 et IV, p. 3114. Idia pristis Diphasia rectangularis » D) Idia pristis » » Diphasia reclangularis Idia pristis D] ) Diphasia rectangularis Idia pristis BALE BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD HiINCKS LENDENFELD LENDENFELD ALLMAN BALE BALE KIRKPATRICK MARKTANNER 1882 p. 44. 1884 p. 30-33, 56, 113, pl. 7, fig. 1-2, pl. 19, fig. 33. 1885 (a) p. 419, 624. 1885 (b) p. 909, 914. pl. A, fig. 6-8. 1885 (d) p. 633. 1885 (d) p. 634. 1887 p. 134. 1887 (c) p. 20. 1887 (c) p. 21. 1888 p. IV, LIX, LXIIT, LXVI, LXIX, 83, pl. 39, fig. 1-10. 1888 p. 748. 1888 p. 748. 1890 (a) p. 604, 606. 1890 p. 215, 213, 280. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 15% Gen. Isocola Jickeli 1883. Ce genre n’a pas été adopté. Voir la remarque au genre Awnisocola. Gen. Kirchenpaueria Jickeli 1883. Le genre Airchenpaueria de JiCKELI (1883) devrait comprendre les Plumularides dont les nématophores sont nus et non pas ren- fermés dans une enveloppe de périsarque. Malheureusement, ce genre à été établi d’après l'étude de fragments de colonies qui, de l’avis de KIRCHENPAUER (in : JICKELI), n'étaient pas suffisants pour permettre de déterminer exactement l'espèce. JICKELI ne leur à donc pas donné de nom spécifique. ALLMAN à établi, également en 1883, le genre Diplocheilus, dont 1l décrit une espèce, D. mirabilis, et qui a les mêmes carac- tères que Kirchenpaueria. Le nom de Diplocheilus avait été choisi par ALLMAN pour rappeler que l’hydrothèque présentait une dupli- cature de sa paroi interne; or, on sait que ce caractère (dia- phragme) se rencontre chez beaucoup d’autres Plumularides. Les genres Xirchenpaueria et Diplocheilus sont donc synonymes et ont été établis à la même époque. BILLARD n’admet ni le genre Xérchenpaneria (1904), ni le genre Diplocheilus (1910), les espèces qu'ils renferment ne devant pas, d’après cet auteur, être séparées des Plumularia. TORREY (1904) et STECHOW (1909) adoptent le genre Diplo- cheilus, tandis que BALE (1894 et 1914) et WARREN (1908) se prononcent en faveur du genre Xirchenpaueria. Il nous semble préférable d'admettre, au moins provisoirement, le genre Diplocheilus. On ne peut pas, en effet, le supprimer sim- plement par le fait que son nom est mal choisi. D'autre part, il a l'avantage d’avoir été établi d’après l'étude d’une colonie en bon état et à laquelle l’auteur à donné un nom spécifique. Mais de nou- 138 M. BEDOT velles recherches devront montrer si l’on doit conserver ce genre en y faisant rentrer d’autres espèces de Plumularia, ou s’il convient de le supprimer définitivement comme le voudrait BILLARD. Gen. Lafæa Lamouroux 1821. Voir : Matériaux Il, p. 88; I, p. 321 et IV, p. 311. Lafœa calcarata A. Agassiz. Voir : Matériaux IT, p. 321 et IV, p. 311. Lafaæa capillaris G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 311. Lafæwa capillaris STORM 1882 p. 17, 27, 30. » » THoMPsoN 1884 p. 3, 4, 7, pl 1. fig. 19. » » LORENZ 1886 p. 25, 28. » » THOMPSON 1887 p. 393. » » MARKTANNER 1890 p. 216. Brocx (1909) considère cette espèce comme synonyme de L. qgracillima. Lafæa coalescens Allman. Voir : Matériaux IV, p. 314. Lafoœa convallaria Allman. Voir : Matériaux IV, p. 311. Lafæa convallaria FEWKES 1881 (a) p. 128, 129. Lafæa costata (Bale). Campanularia costata BALE 1884 p. 96, pl. 1, fig. 3. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 621. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 660. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 39. » » BALE 1888 p. 797, 766. Lafæa costata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608. HISTOIRE Voir : Campanularia dumosa » » ? Coppinia arcta Lafæa dumosa » » ? Coppinia arcta Lafæa dumosa ? Coppinia arcta Lafæa dumosa » ) ? Coppinia arcla Lafæa dumosa D » ? Coppinia arcta 9 » » Lafwa dumosa ? Coppinia arcta Lafœa dumosa Campanularia dumosa Lafwa dumosa » » » » » D] Halisiphonia dumosa Lafwa dumosa » » LEUCKART BYERLEY LESLIE a. HERDMAN LESLIE à, HERDMAN RiDLEY STORM STORM CaRus R&EES PENNINGTON PENNINGTON VERRIL HERDMAN HERDMAN HERDMAN HERDMAN Meccy, Hicxs a. HERDMAN MELLY, Hicks a. HERDMAN STUXBERG ALLMAN BÉTENCOURT BÉTENCOURT DALLA TOoRRE Hoy£ce KIRKPATIRICK SEGERSTEDT BOURNE MARKTANNER MARKTANNER PFEFFER DES HYDROÏDES. — V. Lafæa dumosa (Fleming). Matériaux If, p. 88; IT, p. 321 et IV, p. 312. 1847 (c) p. 87. 1854 p. 105. 1881 p. 14. 1881 p. 13. 1881 (a) p. 103. 1882 p. 18, 27, 30. 1882 p. 17. 1884 p. 10. 1884 p. 581. 1885 p. 101. 1885 p. 96, pl. 4, fig. 7. 1885 (a) p. 537. 1886 (a) p. 5. 1886 (a) p. 10. 1886 (b) p. 329. 1886 (b) p. 329. 1886 p. 106. 1886 p. 106. 1886 p. 164, 186. 1888 p. LVI, LXII, LX VII, 33, 34, pl. 15, fig, 1,1 a. 1888 p. 208, 210. 1888 p. 208. 1889 p. 96. 1889 p. 460. 1889 p. 446. 1889 p. 15, 26. 1890 (b) p. 395. 1890 p. 212. 1890 p. 212, 213. 1890 p. 483, 567. Lafæa dumosa (Fleming) var. robusta G.-0. Sars. Voir : Matériaux II, p. 323 et IV, p. 313. 140 Lafæa eleguns Lafæa fruticosa » » »} » » » Lafœa gracillima Lafæa fruticosa Lafæa gracillima Lafœwa fruticosa » » » » » »» » )) ») )) Lafœa gracillima Lafæa fruticosa » ) D] ») » )) ) » » ») D) » D] ) Lafwa gracillima Lafwa fruticosa Lafæa gigas » D) M. BEDOT Lafœa elegans Fewkes. FEWKES 1881 (a) p. 129. Lafæa elongata Armstrong. Voir : Matériaux [V, p. 313. Lafœa fruticosa Sars. Voir : Matériaux Ill, p. 323 et IV, p. 313. FEWKES 1881 (a) p. 129. LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 14. BALE 1882 p. 19. STORM 1882 p. 17. STORM 1882: p.17, 22: BALE 1884 p. 31, 64, pl. 2, fig. 4. BALE 1884 p. 04. THOMPSON 1884 p. 3, 4,7, pl. 1, fig. 17, 18. LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622. LENDENFELD 1885 (d) p. 630. PENNINGTON 1885 p. 97. STUXBERG 1886 p. 164, 186. BErGH 1887 p. 334. BERGH 1887 p. 334. BÉTENCOURT 1887 p. 67, note. LENDENFELD 1887 (c) p. 18. THOMPSON 1887 p. 387, 389, 392. ALLMAN 1888 p. LVI, LX VIE, LX VII, 30, 34, pl. 16, fig. 2, 2 a. HOYLE 1889 p. 460. SEGERSTEDT 1889 p. 15, 26. BouRNE 1890 (b) p. 395. MARKTANNER 1890 p. 217, pl. 3, fig. 20. MARKTANNER 1890 p. 217, pl. 3; fg-1822400 PFEFFER 1890 p. #83, 567. l Lafæa gigas Pieper. PiEPER 1884 p. 165. CARUS 1884 p. 10. héite hdi EE D MT 5 RS érai C'OER HISTOIRE DES HYDROIDES. — V. Lafæu grandis Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 314. ? Lafæwa grandis THOMPSON 1884 p. 3, 4, 7, pl. on » THOMPSON 1887 p. 393. Lafæa halecioides Allman. Voir : Lafoœa pinnata. Lafæa parasitica Ciamician. Voir : Hebella parasitica. Lafæœa parvula Hincks. Voir : Matériaux I, p. 323 et IV, p. 314. Lafæa parvula PENNINGTON 1885 p. 97. Lafœa pinnata G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 315. Syn.: Lafœa halecioides Alman. Voir : Matériaux IT, p. 323 et IV, p. 314. Lafœa helicioides FEWKES 1881 (a) p. 129. Lafæwa pianata STORM 1882 p. 17, 27. Lafæa halecioides BALE 1887 p. 91. Cette espèce devra peut-être passer dans le genre Zygophylax. Voir : Browne (1907, p. 27) et Bizcaro (1910, p. 7). Lafæa pocillum Hincks. Voir : Matériaux LL, p. 324 et IV, p. 315. Lafæa pocillum Carus 1884 p. 10. » » PIEPER 1884 p. 165. » » PEXNINGTON 1885 p. 97. » » HaDDoN 1886 (a) p. 525. » » BERGH 1887 p. 333. » » THOMPSON 1887 p. 393. AA 142 M. BEDOT Lafœa robusta Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 315. Lafœa serrata Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 315. Lafœa sibirica Thompson. Lafæwa sibirica THOMPSON 1887 p. 388, 389, 393, pl. 14, fig.2: Lafœa tenellula Allman. Voir : Matériaux IV, p. 315. Lafæa tenellula QuELcH 1885 (a) p. 2. Lafæa venusta Allman. Voir : Matériaux IV, p. 316. Lafæa (Hebella) venusta ALLMAN 1888 p. 29. Gen. Lafæœina Sars 1869. Voir : Matériaux II, p. 324 et IV, p. 316. Lafæœina tenuis Sars. Voir : Matériaux Il, p. 324 et IV, p. 316. Lafæina tenuis ALLMAN 1883 p. 6 (note). » » BALE 1884 p. 24. » » THOMPSON 1884 p. 3, A, 8. . » » MARKTANNER 1890 p. 213. Gen. Laomedea Lamouroux 1912. Voir : Matériaux I, p. 498, 45%; IT, p. 89; IL, p. 324 et IV, p. 316. Ce genre doit être supprimé pour les raisons que nous avons déjà données. (Voir : Matériaux III, p. 324.) Laomedea diaphana A. Agassiz. Voir : Obelia geniculata. HISTOIRE DES HYDROÏDES., — V. 143 Laomedea gigantea À. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 325 et IV, p. 316. Les descriptions de Laomedea gigantea, L. pacifica et L. rigida, données par A. AGassiz (1865 (c), p. 93, 94), sont trop incomplètes pour permettre de reconnaitre l’espèce et même le genre auquel elles appartiennent. Nous les placerons done parmi les espèces indéterminables. Laomedea pacifica A. Agassiz. Voir : Matériaux IIE, p. 325 et IV, p. 316. Voir la note à Laomedea gigantea. Laomedea rigida A. Agassiz. : Voir : Matériaux ILE, p. 325 et IV, p. 317. Voir la note à Laomedea qigantea. Laomedea torresi Busk. Voir : T'hyroscyphus torresi. Gen. Lar Gosse 1857. Voir : Matériaux HI, p. 325 et IV, p. 317. Lar sabellarum Gosse. Voir : Matériaux IIL, p. 325 et IV, p. 317. Syn.: Wüllsia stellata. Voir : Matériaux If, p. 152 et IT, p. 444. Lar sabellarum JICKELI 1883 p. 649. » » BALE 1884 p. 15. » » LENDENFELD 1884 (C) p. 284. » » PENNINGTON 1885 p. 4d, pl. 3, fig. 1. » » M’INrosH 1887 (b) p. 104. Wüillia stellata FEWKES 1889 (b) p. 110. » » M’INrosH 1890 (b) p. 304. 144 M. BEDOT Gen. Leptoscyphus Allman 1864. Voir : Matériaux III, p. 326 et IV, p. 317. Leptoscyphus grigoriewi Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 317. Leptoscyphus tenuis Allman. Voir : Matériaux IT, p. 326 et IV,:p.-317. Leptoscyphus tenuis Môgius 1884 p. 65. » » PEN NINGTON 1885 p. 95. » » ALLMAN 1888 p. XXIX. Gen. Lictorella Allman 1888. Laictorella antipathes (Lamarck). Syn.: Campanularia antipathes (Lamarck). Voir : Matériaux I, p. 429: Il, p. 48; IL, p. 251 et IV, p. 262. Campanularia antipathes BALE 1884 p. 92, 53, pl. 2, fig. à. Campanularia rufa BALE 1884 p. 54, pl. 1, fig. 41. Laomedea antipathes LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622. Laomedea rufa LENDENFELD 1885 (a) p. 404, 622. Laomedea antipathes LENDENFELD 18835 (d) p. 629. Laomedea rufa LENDENFELD 1885 (d) p. 630. Campanularia rufa BALE 1887 p. 91. Laomedea antipathies : LENDENFELD 1887 (c) p. 17. Laomedea rufa LENDENFELD 1887 (c) p. 18. Lictorella halecivides ALLMAN 1888 p. LXV, LXVII, 35, 37, pl. 17, fig. 1, 2°9Exce syn. » » DRikscH 1889 p. 202. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608. Campanularia rufu MARKTANNER 1890 p. 206. BRowxe (1907) a montré que Lictorella halecioides Alman (1888) était diffé- rente de Lafæa halecioides Alman 187%, laquelle est synonyme de Lafæa - HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V, 145 pinnata G.-0. Sars. D'autre part, Bizcarp (1910) a reconnu que Laclorella halecioides Allman (1888) était synonyme de Serlularia antipathes Lamarck et doit par conséquent porter le nom de Lictorella antinathes. Lictorella cyathifera Allman. Lictorella cyathifera ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIIL, 36, pl. 11, fig. 3, 3 4. » » DRIESCH 1889 p. 202. Gen. Lineolaria Hincks 1861. Voir : Matériaux II, p. 326 et IV, p. 318. Lineolaria flexuosa Bale. Lineolaria fleruosa BALE 188% p. 61, 62, pl. 1, fig. 7-9. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 405, 622. » RP LENDENFELD 1885 (d) 631. » » BALE 1887 P. 91. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 18. Lineolaria spinulosa Hincks. Voir : Matériaux I, p. 326 et LV, p. 318. ! Lineolaria spinulosa BALE 1882 p. 20. » » BALE 188% p. 24, 61, pl. 1, fig. 10-11, pl. 19, fig. 38. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 405, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 630. » » LENDENFELD . 1887 (c) p. 18. ; Gen. Lovenella Hincks 1568. Voir : Matériaux IL, p. 90; ILE, p. 326 et IV, p. 318. Lovenella clausa (Lovén). Voir : Matériaux Il, p. 90; LIT, p. 326 et IV, p. 318. Lovenella clausa CLARKE 1882 p. 139. » » FEWKES 1882 (b) p. 297. Rev. Suisse pe Zoo. ‘L. 24. 1916. 10 146 M. BEDOT Lovenella clausa PENNINGTON 1885 p. 89. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 89. ) ) SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25. Lovenella gracilis Clarke. Lovenella gracilis CLARKE 1882 p: 135, 139, :pl-19/0h1P° 25-39. ) » FEWKES 1882 (b, p. 297-298. Lovenella producta (G.-0. Sars). Syn. : Calycella producta G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 260. Calycella producta STORM 1882 p. 18, 28, 30. Lovenella producta SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25. Gen. Lytocarpus Allman 1883. Genre formé par ALLMAN aux dépens du sous-genre Lytocarpia de KIRCHENPAUER. Voir la note au genre Nematophorus. Lytocarpus filamentosus (Lamarck). Syn.: Aglaophenia filamentosa (Lamarck). Voir : Matériaux I, p. 422; Il, p. 41; II, p. 235 et IV, p. 245. Aglaophenia patula BALE 1884 p. 152. Plumularia filamentosa BALE 1884 p. 144. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. Halicornaria mitrata ALLMAN 1886 p. 153, pl. 22, fig. 5-6. À glaophenia patula BALE 1887 p. 87. Plumularia filamentosa LENDENFELD 1887 (c) p. 26. Lytlocarpus patulus MARKTANNER 1890 p. 274, pl. 6, fig. 12. Lytocarpus grandis (Clarke). Syn. : Nematophorus grandis Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 322. Nematophorus grandis Brooks 1882 p. 142. nd = :: :- HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 147 Lytocarpus longicornis (Busk). Syn. : Plumularia longicornis Busk. Voir : Matériaux III, p. 351 et IV, p. 342. Lylocarpus longicornis Plumularia longicornis Lylocarpus longicornis ») » ALLMAN ALLMAN ALLMAN MARKTANNER 1883 p. 1883 p. 1888 p. 1890 p. 2,45, pl. 19, fig. 4-6. 47. LXVI, LXIX. 266. Lytocarpus pennarius (Linné). Syn.: Aglaophenia pennaria (Linné). : Matériaux IIT, p. 238 et IV, p. 250. Voir Lytocarpus secundus Aglaoyhenia spicata A glaophenia banksi Lytocarpus secundus Aglaophenia crispula Lylocurpus secundus A glaophenia crispata Aglaophenia secunda ALLMAN BALE BALE BALE HINCKS ALLMAN MARKTANNER MARKTANNER 1883 p. 1884 1887 1887 1887 1888 1890 p. 1890 p. a eee 2, 13, 36, 42, pl. 14. Aie 107 89. 134. . LX, LXVI, LXIX: 273. 273. Lytocarpus philippinus (Kirchenpauer). Syn.: Aglaophenia philippina Kirchenpauer. Aglaophenia philippina » » » » A glaophenia urens A glaophenia philippina À glaophenia urens » » À glaophenia phillipina » » Voir : Matériaux IV, p. 251. ALLMAN JiCKELI WEISMANN BALE LENDENFELD LENDENFELD RiDLEY a. QUELCH BALE LENDENFELD ALLMAN BALE 1883 p. 1883 p. 1883 p. 1884 p. 1885 (a) h7. 647, 655, 667. 476: 31, 149, 153, 155, 173, pl. 14, fig. 6, pl. 17, fig. 9. p. 481, 627. 1885 (d) p. 647. 1885 p. 1887 p. 496. 87. 1887 (c) p. 30. 1888 p. 1888 p. a 2 788. 148 M. BEDOT A glaophenia (Lytocarpus) 1888 p. 789. 1888 p. 787, 789. 1888 p.786, 789, pl. 21, fig. 3-7. 1890 (b) p. 660, 666. 1890 (a) p. 604. 1890 p. 274, pl. 6, fig. 46. phillipina BALE A glaophenia wrens BALE Lylocarpus phillipinus BALE Aglaophenia philippina Driescu Lytocarpus philippinus KiRKPATRICK ) » MARKTANNER Lylocarpus philip- pinus Var. MARKTANNER 1890 p. 276, pl. 6, fig. 15. _ Lytocarpus phæniceus (Busk). Syn.: Aglaophenia phœnicea (Busk). Voir : Matériaux IIL, p. 240 et IV, p. 251. Syn.: Aglaophenia rostrata Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 253. A glaophenia rostrata ALLMAN 1883 p. 43. Lytocarpus spectabilis ALLMAN 1883 p. 8, 12, 15, 43, pl. 15. À glaophenia aurita BALE 1884 p. 169, pl. 18, fig. 18, 19. À glaophenia phænicea BALE 1884 p. 18, 23, 149, 152, 159, 173, pl: 45; fig.M465e pl. 17, fig. 1-4, pl. 19, fig. 31. Aglaophenia aurita LENDENFELD 1885 (a) p. 484, 627. Aglaophenia phœnicea LENDENFELD 1885 (a) p. 482. À gluophenia phœnicæ LENDENFELD 1885 (a) p. 627. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 646. Aglaophenia aurita LENDENFELD 1885 (d) p. 645. Aglaophenia phœnicea BALE 1887 p. 75, 77, 87, 99. À glaophenia (Lytocarpus) phœnicea BALE 1887 p. 99. A glaophenia rostrata BALE 1887 p. 100. Lylocarpus phœniceus BALE 1887 p. 87. Lylocarpus spectabilis BALE 1887 p. 99. A glaophenia aurita LENDENFELD 1887 (c) p. 29. 4 A glaophenia phœnicæ LENDENFELD 1887 (c) p. 30. Lylocarpus spectabilis ALLMAN 1888 p. LXV, LXVI, LXIX.: | » » DRIESCH 1890 (b) p. 675. | D CO RE LÉ HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 149 Lytocarpus phœniceus K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604. » » MARKTANNER 1890 p. 271, 272, 276, pl. 6, fig. 18-18 4. Lytocarpus racemiferus Allman. Lytocarpus racemifera ALLMAN 1883 p. 8. Lytocarpus racemiferus ALLMAN 1883 p. 12, 38, 41, pl. 13. » » BALE 1887 p. 84, 87, 89. » » ALLMAN 1888 p. LX, LXII, LXIX. » » DRIESCH 1890 (b) p. 675. Lytocarpus saccarius Allman. Syn.: Halicornaria saccaria Alman. Voir: Matériaux IV, p. 301. Lytocarpus saccarrius ALLMAN 1883 p. 13. Halicornaria saccaria BALE 1884 p. 156. » » BALE 1887 p. 83. Halicornaria (Lyto- carpus) saccarit BALE 1888 p. 788. Halicornaria saccaria MARKTANNER 1890 p. 268. Lytocarpus urens (Kirchenpauer). Syn.: Aglaophenia urens Kirchenpauer. Voir : Matériaux [, p. 427 : IL, p. 46; III, p. 243 et IV, p. 255. Aglaophenia urens ALLMAN 1883 p. 47. » » HixcxsS 1887 p. 134. Lylocarpus urens BALE LR88 p. 789. Gen. Lytoscyphus Pictet 1893. Voir : Matériaux If, p. 90 ; ILE, p. 326 et IV, p. 318. Lytoscyphus fruticosus (Esper). Voir : Matériaux I, p. 471 ; IL, p. 91; II, p. 327 et IV, p. 318. Sertularella fruticosa KiRCHENPAUER 1884 p. 52, 54. » » BALE 1887 p. 103. Campanularia fruticosa MARKTANNER 1890 p. 205. 150 M. BEDOT Lytoscyphus marginatus (Allman). Syn.: Obelia marginata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 331. Campanularit insignis FEWKES 1881 (a) p. 129. Obelia marginata FEWKES 1881 (a) p. 128. Campanularia insignis ALLMAN 1888 p. LXII, LXVIIL, 19, 25, pl: 9 He APE Obelia marginata ALLMAN 1888 p. 19. Campanularia insignis Driescx 1889 p. 202. Gen. Melicertum Eschscholtz 1829 sensu L. Agassiz 1862. Voir : Matériaux IV, p. 319. Nous avons attribué par erreur (Matériaux IV, p. 319) le genre Melicertum à OKEN. PERON et LESUEUR, en 1809, ont créé le genre Melicerta. Mais ce nom avait déjà été donné, en 1803, par SCHRANK, à un genre de Rotateurs. En 1815, OKEN, après avoir cité le genre Meli- certa dans les Rotateurs (p. 49), emploie de nouveau le nom de Melicerta avec un ? à propos du groupe de Carybdea. dans lequel il place C. perla (p. 125). Dans le System der Akalephen, d'ESCHSCHOLTZ (1829, p. 105), on trouve l'indication suivante: Melicertum Oken (Melicerta Peron). Il y à évidemment une erreur, et si l’on abandonne: Meli- certa Peron et Lesueur, on doit admettre: Melicertum Eschscholtz. Melicertum campanula L. Agassiz. Voir.: Matériaux IE, p. 423 et IV, p. 319 et 412. Melicertum campanula CLaus 1881 (c) p. 89. Melicertium campanula MeTsCHNiKOFF 1886 (b) p. 84. Melicertum campanula FEWKEs 1888 (a) p. 233. der ss HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Gen. Merona Norman 1865. Voir : Matériaux III, p. 327 et IV, p. 319. Merona cornucopiæ Norman. Voir : Matériaux [I, p. 327 et IV, p. 319. Tubiclava cornucopiæ GRÆFFE » » PENNINGTON 1884 p. 347. 1885 p. 38. Gen. Monobrachium Mereschkowsky 1877. Voir : Matériaux IV, p. 320. Monobrachium parasitum Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 320. Monobrachium parasi- licum LECHE » » WAGNER Monobrachium parasitum Bencn Monobrachium parasi- ticum WAGNER » » WAGNER 1878 p. l4. 1885 p. 8. 1887 p. 332. 1889 p. 11688. 1890 p. 273 ss.. pl. 8 et 9. Gen. Monocaulus Allman 1864-1871. Voir : Matériaux Ill, p. 328 et IV, p. 320. Monocaulus glacialis (Sars). Voir : Matériaux III, p. 328 et IV, p. 320. Corymorpha glacialis STORM ? Corymorpha arctica WEISMANN Monocaulus glacialis VERRILL Corymorpha glacialis STUXBERG » » ALLMAN Monocaulus glacialis LOMAN Corymorpha glacialis MARKTANNER 1882 p. 11. 1883 p. 129. 1885 (a) p. 336. 1886 p. 164, 186 1888 p. à. 1889 p. 269, 270. 1890 p. 203. 152 M. BEDOT Monocaulus grænlandica Allman. Voir : Matériaux IV, p. 320. Monocaulus imperator Allman. Voir : Matériaux IV, p. 320. Monocaulus imperator ALLMAN 1885 p. 752, fig. 265. » » ALLMAN 1888 p.IX,XXIIE, LXVI-LXVIIL, 5, pl. 3, fig. 1-7. » » LOMAN 1889 p. 270. Monocaulus pendulus (L. Agassiz). Voir : Matériaux ILf, p. 328 et IV, p. 320. Corymorpha pendula Brooks 1882 p. 145. » » WEISSMANN 1883 p. 429, pl:112, fig 4 » » CLARKE 1888 p. 81. Monocaulis pendula CLARKE 1888 p. 81, fig. 73. Monocaulus pendula LOManN 1889 p. 269, 270. Gen. Monopoma Marktanner 1890. Monopoma variabilis Marktanner. Monopoma variabilis MARKTANNER 1890 p. 246, pl. 5, fig. 10 «, b,c. Monopoma variabilis var. MarKTANNER 1890 p. 247. Gen. Monosklera Lendenfeld 1885. LENDENFELD (1885 (b) p. 908, 910) a créé ce genre pour une espèce qui est synonyme d’Obelia geniculata; il doit donc dispa- raitre. Gen. Monostæchas Allman 1877. Voir : Matériaux IV, p. 321. Monostæchas dichotoma Allman. Voir : Matériaux IV, p. 321. Monoslæchas dichotoma Fewkes 1881 (a) p. 128. » » ALLMAN 1833 p. 15. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 153 Monostæwchas dichotoma Driesca 1890 (b) p. 676. Monostæchas dichotoma KinkPATRICK 1890 (a) p. 604. Monostæchas quadridens (Mac Crady). Voir : Matériaux IIf, p. 328 et IV, p. 321. Gen. Myriothela Sars 1851. Voir : Matériaux IF, p. 91; IE, p. 328 et IV, p. 321. Myriothela cocksi (Vigurs). Voir : Matériaux LE, p. 92 ; ILE, p. 329 et IV, p. 321. Myriothela cocksi ._ STORM 1882 p. 7, 28, 30. » » PENNINGTON 1885 p. 8, pl. 9, fig. 4. Myriothèle KOROTNEFF 1888 p. 21 ss., pl. 1 et 2. Myriothela phryqra Bourxe 1890 (b) p. 392. Myriothela phrygia (Fabricius). Voir : Matériaux Il, p. 92; ILE, p. 329 et IV, p. 322. Myriothela phryqia STORM 1880 p. 122. » » : STOKM 1882 p. 8, 28, 30. » » ALLMAN 1888 p. XXI, XLIV. » » DriescH 1890 (c) p. 154. Gen. Nematophorus Clarke 1879. Voir : Matériaux IV, p. 322. Ce genre n’a pas été admis. NUTTING (1900, p. 121) à montré que la seule espèce qu’il renfermait devait rentrer dans le genre Lytocarpus. Nematophorus grandis Clarke. Voir : Lytocarpus grandis. M. BEDOT Gen. Nemertesia Lamouroux 1812. Voir : Matériaux, I, p. 455, II, p. 92, ILE, p. 330 et IV, p. 332. Nemertesia antennina (Linné). Voir : Matériaux I, p. 455; II, p. 92; III, p. 330 et IV, p. 322. Syn. : Nemertesia pentasticha (Pieper). Voir : Antennularia antennina » » Antennularia cruciata Antennularia antennina » » )) » » » » )) » » » D) » » » » Nemertesia antennina Nemertesia cruciata Nemertesia pentasticha Antennularia janini Antennularia antennina Antennularia cruciata Antennularia pentasticha Antennularia antennina )) D] » D] Nemertlesia antennina Antennularia antennina BYERLEY LESLIE a. HERDMAN Pieper HAMANN MEREJKOWSKY MEREJKOWSKY STORM VARENNE ALLMAN MARION MARION WEISMANN CaRus CaRuS CARUS GRÆFFE PIEPER PIePER PIEPER REES PENNINGTON Queccx VERRILL WAGNER HERDMAN HERDMAN Matériaux IV, p. 324. 1854 p. 104. 1881 p. 17. 1881 p. 41 ss., pl. 2, fig. 1-4. 1882 (a) p. 529. 1882 (a) p. 280. | 1882 (b) p. 583, 595 ss., pl. 29 B; h9.41:1%2.0 1882 p. 3. 21. 1882 (b) p. 678, 679, 680, pl. 31, fig. 3-5. 1883 p. 15, 24-26. 1883 (a) p. 94, 108. 1883 (b) p. 23. 1883 p. 188, 222, pl. 5, fig. 3, pl. 9, fig.:9; 188% p. 19. 188% p. 19. 1884 p. 19. 1884 p. 399. 1884 p. 187. 1884 p. 218. 1884 p. 218. 1884 p. 585. 1885 p. 123, pl. 9, fig. 2. 1885 (a) p. 6, 9. 1885 (a) p. 537. 1885 p. 8. 1886 (a) p. 10. 1886 (b) p. 330. HISTOIRE Antennularia antennina » 2] » » » D] » ? » » » » » » » » » » » » » » » MELLY, Hicks a. HERDMAN NicHocs a. HADDON BÉTENCOURT BÉTENCOURT Lo Braxco HALLEZ LoMAN SEGERSTEDT BOURNE BoURNE HALLEZ MARKTANNER DES HYDROÏDES. — V. 1886 p. 112. 1886 p. 615. 1887 p. 67. 1888 p. 1888 p. 387. 1889 p. 40. 1889 p. 263. 1889 p. 14, 49, 27. 1890 (a) p. 319. 1890 (b) p. 393, 397. 1890 p. 95. 1890 p. 260, 261, 279. 210, 212, 214. ot L'étude des Hydroïdes de la collection Lamouroux a conduit BizLarn (1909) à rapporter la Cymodocea ramosa Lmx. à Nemertesia antennina (L.) et nous avions adopté cette manière de voir dans la 3° période de nos Matériaur. Mais nous nous demandons, maintenant, s’il n°v a pas eu, peut-être, une con- fusion parmi les spécimens de cette collection, car en examinant les figures données par Lamouroux (1816, pl. 7, fig. 1) on voit que la colonie de Cymo- docea ramosa qu’il représente a absolument l'aspect caractéristique de N. ra- mos«. Nemertesia cymodocea (Busk). Voir : Matériaux II, p. 331 et IV. p. 323. Syn. : Nemertesia decussata Kirchenpauer. Antennularia decussata Antennularia cymodocea » » Antennularia decussata Antennularia cymodocea Antennularia cymodoca Antennularia cymodocea Anteunularia decussata » » Nemertesia decussata Antennularia cymodocea » » PrEPER BALE BALE BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD QueLcH BALE BALE LENDENFELD KIRKPATRICK Voir : Matériaux IV, p. 323. 41-43. 20. 32, 146. 1881 p. 1882 p. 1884 p. 1884 p. 147. 1885 (a) p. 626. 1885 (a) p. 478. 1885 (d) p. 642. 1885 (a) p. 9. 1887 p. 82. 1887 p. 82. 1887 (c) p. 26. 1890 (a) p. 610. 156 M. BEDOT Nemertesia decussata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 610. Antennularia decussata MARKTANNER 1890 p. 258, pl. 0, fig. 7. Nemertesia decussata Kirchenpauer. Voir : Nemertesia cymodocea. Nemertesia fascicularis (Allman). Antennularia fascicularis ALLMAN 1883 p. 22-24, pl. 4, fig. 5, 6. » » ALLMAN 1888 p. LXIII, LXIX. Nemertesia hexasticha Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 323. Antennularia hexasticha Piper 1881 p. 42. Nemertesia hexasticha JICKELI 1883 p. 646. Antennularia hexasticha Quel.cH 1885 (a) p. 9. Nemertesia intermedia Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 324. Nemertesia irreqularis (Quelch). Antennularia irregularis QUELcH 1885 (a) p. 8, pl. 2, fig. 4. Nemertesia johnstoni Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 324. Antennularia johnsloni PIEPER 1881 p. 42, 43. » » QuELcH 1885 (a) P. 9. Nemertesia norvegica (G.-0. Sars). Voir : Matériaux IV, p. 324. Heleropyxis norvegica SToRM 1882 p. 3, 22, 27. Antennularia norvegica QueLcu 1885 (a) p. 10. Heleropyxis norvegica BALE 1887 p. 81-82. En | HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 415 Nemertesia paradoxa Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 324. Antennularia paradoæa PIEPER 1881 p. 22. Nemertesia pentasticha (Pieper). Voir : Nemertesia antennin«. Nemertesia perrieri Billard var. antennoides Billard. Antennularia janini MARKTANNER 1890 p. 259, pl. 6, fig. 9-9 a. Nemertesia ramosa Lamouroux. Voir : Matériaux I, p. 457; Il, p. 93; IL, p. 331 et IV, p. 324. Syn. : Nemertesia simplex (Allman). Voir : Matériaux IV, p. 325. Anteñnularia ramosa BYERLEY 1854 p. 104. » » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 17. » » HAMANN 1882 (a) p. 529, 530, pl. 25, fig. 12-14. Antennularia ramulosa MEREIKOWSKY 1882 (a) p. 280. Antennularia ramosa MEREJKOWSKY L882 (b) p. 585, 595 ss., pl. 29 B, fig. 7-8, 10. Nemertesia janinia JICKEU 1883 p. 646. Anlennularia ramulosa MEREIKOWSKY 1883 (a) p. 82. Antennularia ramosa MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 115. Nemertesia janini CARUS 1884 p.19; Nemertesia ramosa CaARUS 1884 p. 19. Antennularia ramosa PENNINGTON 1885 p. 123. Antennularia janini QuELCH 1885 (a) p. 9. Antennularia profunda Querca 1885 (a) p. 10, pl. 2, fig. >. Antennularia ramosa QUELCH 1885 (a) p. 10. » » HERDMAN 1886 (b) p. 323, 330. » » MELLY, Hicks a. HexpmMaAn 1886 p. 112. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » BÉTENCOURT 1888 p. 212, 214. 158 M. BEDOT Antennularia ramosa Lo Bianco 1888 p. 387. » » DALLA TORRE 1889 p. 95. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » HoyLe 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 20, 22, 27, pl. 1, tig. 1. » » BOURNE 1890 (b) p. 397. » » MARKTANNER 1890 p. 259, pl. 6, fig. 8. Voir Ja note à Nemertesia anlennina. Nemertesia simplex (Allman). Voir : Nemertesia ramosa. Nemertesia tetrasticha (Meneghini). Voir : Matériaux ILE, p. 332 et IV, p. 325. Heteropyxis tetrasticha Pieper 1881 p. 4, 42. Nemertesia tetrasticha CARUS 1884 p. 19. Heteropyæis tetrasticha PIeper 1884 p. 166, 186, 187, 188. Antennularia tetrasticha Quricn 1885 (a) p. 10. » » MARKTANNER 1890 p. 259, 260, pl. 6, fig. 40. Nemertesia triseriata (Pourtalès). Voir : Matériaux IL, p. 333 et IV, p. 325. La description de cette espèce, donnée par PourraLËs, est trop incomplète pour permettre de la reconnaître. Nous la placerons donc dans les espèces indéterminables. Gen. Nemopsis J. Agassiz 1850. Voir : Matériaux IIL, p. 333 et IV, p. 326. Nemopsis bachei L. Agassiz. Voir : Matériaux Il, p. 140; IE, p. 333 et IV, p. 326. Nemopsis bachei Brooks 1882 p. 136, 143. » » Brooks 1883 (a) p. 468. » » FEWKES 1888 (a) p. 233. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 159 Gen. Nuditheca Nutting 1900. Voir : Matériaux IV, p. 326. Nuditheca dalli (Clark). Voir : Matériaux IV, p. 326. Gen. Obelia Peron et Lesueur 1809-Hincks 1868. Voir : Matériaux I, p. 457 ; II, p. 95 ; LI, p. 333 et IV, p. 326. Obelia adelungi Hartlaub. Obelia adelungi HARTLAUB 1884 p. 164,166,171, 172, 182, fig. 1, pl PRE 5, 6, pl. 12, fig. 20, 23, 91. » » DALLA TORRE 1889 p. 95. » » WAGNER 1890 p. 297. Obelia andersoni Hincks. Obelia andersoni Hixcks 1887 p. 132, pl. 12, fig. 2-4. Obelia angulosa Bale. Obelia angulosa BALE 1888 p. 752, 754, pl. 12, fig. 3. Obelia arruensis Marktanner. Obelia arruensis MARKTANNER 1890 p. 210, pl. 3, fig. 8. Obelia australis Lendenfeld. Obelia australis LENDENFELD 1885 (a) p. 604, 630. » » LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 920, pl. 43, fig. 19-22, » » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 37. » » BALE 1888 p. 748, 753, pl. 12, fig. 1-2. » » MARKTANNER 1890 p. 209. 160 M. BEDOT Obelia bicuspidata Clark. Voir : Matériaux IV, p. 326. Obelia bicuspiutlala Hixcks 1887 p. 133. Obelia bidentata Clark. Voir : Matériaux IV, p. 326. Obelia bidentata BALE 1888 p. 756. Obelia (2) bifurca Hincks. ? Obelia bifurca Hixcks 1887 p. 133, pl. 12, fig. 4. Obelia chinensis Marktanner. Obelia chinensis MARKTANNER 1890 p. 209, pl. 3, fig. 6-7. Obelia commissuralis Mac Crady. Voir : Matériaux I, p. 334 et IV, p. 326. Obelia commissuralis Brooks 1882 p. 136. Obeliu dichotoma (Linné). Voir : Matériaux I, p. 429; If,-p. 49; INT, p. 334 et IV, p. 327. Campanularia dichotoma Lreuekarr 1847 (c) p. 87. Laomedea dichotomu BYERLEY 1854 p. 105. Obelia dichotoma Du PLESssis 1881 (a) p. 148. » » LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 12. » » STORM 1882 p. 3, 13, 28-30. » » MARION 1883 (b) p. 23. » » WEISMANN 1883 p. 157, 220. Laomedea dichotoma LELLER 1883 p. 106. | Obelia sphærulina Carus 1884 p. 29. Obelia dichotoma R&ES 1884 p. 579, 587. Obelia sphærulina REES 1884 p. 587. Obelia dichotoma THOMPSON 1884 p. 4, 8. » » PENNINGTON 1885 p. 83. ms » VERRILL 1885 (a) p. 537. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 161 Obelia dichotoma HERDMAN 1886 (a) p. 8. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » MELLY, HIcks a. HERDMAN 1886 p. 103. » » NicHozs a. HappoN 1886 p. 615. » » BÉTENCOURT 1887 p. 66. » » THOMPSON 1887 p. 389, 391, 392. » » BÉTENCOURT 1888 p. 205. Obelia sphærulina DALLA TORRE 1889 p. 94. Obelaria dichotoma DRIESCH 1889 p. 195. Obelia dichotoma DRIESCH 1889 p. 194. » » HALLEZ 1889 p. 40. Obelia dichotoma var. SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25. Obelia dichotoma BouRNE 1890 (b) p. 394. » » MARKTANNER 1890 p. 208, 209. Obelia dichotoma var. MARKTANNER 1890 p. 209. Obeliu divaricata Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 327. Obelia flabellata Hincks. Voir : Matériaux If, p. 95 et 140; IN, p. 336 et IV, p. 328. Obelia flabellata SToRM 1882 p, 3, 13, 28-30. » » PENNINGTON 1885 p. 84. » » WAGNER 1885 p. 60, 69, pl. 1, fig. 15. » » HADDoN 1886 (a) p. 524. » » HERDMAN 1886 (b) p. 329. » » Meccy, HIcks a. HErDMAN 1886 p. 102. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » BÉTENCOURT 1888 p. 205, 206, 210. Obelaria flabellata DRIESCH 1889 p. 195. Obelia flabellata DriEscH 1889 p. 194. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » SEGERSTEDT 1889 p. 12, 25. » » MARKTANNER 1890 p. 209, 210. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 11 162 M. BEDOT Obelia fusiformis (A. Agassiz). Voir : Matériaux IT, p. 336 et IV, p. 328. Obelia gelatinosa (Pallas). Voir : Campanularia gelatinosa Laomedea gelatinosa Obelia gelatinosa » )) Campanularia gelatinosa Obelia gelatinosa ? Obelia leucostyla ? Obelia gelatinosa Laomedea gelatinosa Matériaux I, p. 430; II, p. 50; IN, p. 336 et IV, p. 328. LEUCKART 1847 (c) p. 87. BYERLEY 1854 p. 105. Du PLessis 1881 (a) p. 148. LENZ 1882 p. 177. LENZ 1882 p. 171, S'TORM 1882 p. 12, 13. WEISMANN 1883 p. 157. CARUS 1884 p. 30. CaRUS 1884 p. 29. GRÆFFE 1884 p. 356. HARTLAUB 1884 p. 164. REES 1884 p. 577. GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178. PENNINGTON 1885 p. 82, pl. 4, fig. L. HERDMAN 1886 (b) p. 329. MELcy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 102. BERGH 1887 p. 333. BÉTENCOURT 1887 p. 67. BÉTENCOURT 1883 p. 205. Lo BrANco 1888 p. 388. DRIESCH 1889 p. 194, 195, 197, 198, 204, 218. DRIESCH 1890 (b) p. 670, 671, 681. MARKTANNER 1890 p. 210. Obelia geniculata (Linné). Obelia gelatinosa 9 D] )) » D) ) » » » )) » D] » ) » » » » » Voir : Matériaux [, p. 430, 431; IT, p. 51; IL, p. 338 et IV, p. 329. Syn.: Laomedea diaphana À. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 324 et IV, p. 316. Campanularia geniculata Levckarr Laomedea geniculata BYERLEY 1847 (c) p. 87. 1854 p. 105. HISTOIRE Obelia geniculata » D) » » » » ) » » » » » Campanularia lairi Obelia geniculata » ) » » Obelia lucifera Campanularia geniculata Obelia geniculata » ) Laomedea lairii Obelia geniculata Monosklera pusilla » pas Laomedea lairii Obelia geniculata » » Schizocladium ramosum Obelia geniculata Laomedea geniculata Obelia geniculata Thaumantias lucida » » Obelia geniculata » » Laomedea lairii Monosklera pusilla Obelia geniculata Du P£LEssis LESLIE à, HERDMAN SCHMIDTLEIN VARENNE BALE HAMANN STORM VARENNE WEISMANN BALE BALE CARUS HARTLAUB HARTLAUB KLAATSCH RATHBUN a. TARR THOMPSON LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD PENNINGTON PENNINGTON VERRILL WAGNER WAGNER CLUBB HERDMAN MEzzy, Hicks a. HERDMAN Nicozs a. HADDON BÉTENCOURT LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD DES HYDROÏDES. RAY: 163 1881 1881 1881 1881 (a) p. 148, ex. syn. p. p. Dr 42. nazis (a) p. 346. 1882 p. 19. 1882 (a) p. 526. 1882 p. 42. 1882 (b) p. 659, 696, pl. 35. 1883 p. 157, 220, 240, 263. 1884 p. 53, pl. 2, fig. 7. 1884 p. 31, 59, pl. 2, fig. 2. 1884 p. 29. 1884 p. 1884 p. 1884 p. 54? 1884 p. 215. 1884 p. L, 8. 1885 (a) p. 403, 622. 1885 (a) p. 590, 603, 630. 1885 (b) p. 908, 911, pl. fig. 1-3. 1885 (d) p. 629. 1885 (d) p. 629. 1885 (d) p. 657. 1885 p. 81, pl. 4, fig. 3. 1885 p. 92. 1885 (a) p. 594. 1885 p. 46, 48, 49, 53, 69. 1885 (pas de pages), pl. 4, fig. 15 A. 1886 p. 116. 1886 (b) p. 325, 330. 40, 1886 p. 102. 1886 p. 615. 1887 p. 67. 1887 (c) p. 17. 1887 (c) p. 17. 1887 (c) p. 37. 164 Obelia geniculata Obelia lucifera Obelaria geniculata Obelia geniculata » » Thaumantias lucifera Obelia geniculata Obelia geniculata var. 1 ») » VAT Ne » » var. 3 M. BEDOT ALLMAN BALE BÉTENCOURT Lo Bianco DALLA TORRE DRIESCH DRIESCH GRABER M'Inrosx SEGERSTEDT BOoURNE DRIESCH M'Ixrosx MARKTANNER MARKTANNER MARKTANNER MARKTANNER 1888 p. LVI, LXIV, LXVIT, LXVIIL, 23, 28, pl. 12, hole 4rar 1888 p. 752, 754, 775. 1888 p. 206. 1888 p. 388. 1889 p. 94. 1889 p. 195. 1889 p. 194-196, 216. 1889 p. 745. 1889 p. 264, 272, 278. 1889 p. 12, 25. 1890 (b) p. 394. 1890 (b) p. 660. 1890 (b) p. 302. 1890 p. 1890 p. 1890 p. 1890 p. 207, 208. 207. 208, pl. 3, fig. 9. 208. Obelia helgolandica Hartlaub. Obelia helgolandica ? Obelia longicyatha HARTLAUB DaALLA TORRE WAGNER VERRILL 1884 p. 1889 p. 1890 p. Obelia hyalina Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 330. Voir : Matériaux IV, p. 330. 1885 (a) p. 537. Obelia longissima (Pallas). 165. 166, 172, 178, 182, fig. LL, pl. 11, fig. 3, 4, 13. 95. 297. Obelia longicyatha Allman. Voir: Matériaux I, p. 457; IL, p. 95; IL, p. 341 et IV, p. 330. Obelia longissima Eucope polystyla LesLie a. HeRDMAN 1881 p. 12. CLAUS 1882 p. 287. Eucope polystyla Obelia polystyla Obelia longissima Obelia polystyla Obelia longissima Eucope polystyla Obelia longissima Obelia polystyla Obelarie longissima Obelia longissima » D) HISTOIRE CLAUS MEREIKOWSKY CARUS RKES PENNINGTON Meczy, Hicxs a. HERDMAN METSCHNIKOFF THOMPSON ALLMAN CLARKE DALLA TORRE DrrescH DRIESCH BOURNE Obelia marginata Voir : Lytoscyphus marginatus. DES HYDROÏDES. — V. 165 1883 p. 86. 1853 (b) p. 99. 1884 p. 30. 1884 p. 579. 1885 p. 83. 1886 p. 102. 1886 (b) p. 20, 26, 54. 1887 p. 387, 389, 391. 1888 p. XXXVII. 1888 p. 83, 84. 1889 p. 95. 1889 p. 195. 1889 p. 194, 195, 197. 1890 (b) p. 39%, Allman. Obelia piriformis (A. Agassiz). Voir : Matériaux III, p. 342 et IV, p. 331. Obelia plicata 2) » ) ) ty » nu » » » » » Obelia plicata var. Obelia plicata Hincks. Voir : Matériaux IT, p. 342 et IV, p. 331. JICKELI CaRus HARTLAUB PIEPER PENNINGTON DriescH MARKTANNER MARKTANNER 1883 p. 634, pl. 28, fig. 5-8. 1884 p. 30. 1884 p. 164. 1884 p. 164. 1885 p. 84. 1889 p. 198. 1890 p. 208, 210. 1890 p. 208. Obelia polygena Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 332. Obelia pygmæa Coughtrey. Voir : Matériaux IV, p. 332. ? 166 M. BEDOY Gen. Oorhiza Mereschkowsky 1877. Voir : Matériaux IV, p. 332. Oorhiza borealis Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 332. Oorhiza borealis WAGNER 1885 p. 60, 69,.71, pl. 1, fig. 18-20, pl. 2, fig. 1-4. Hydractinia borealis BERGH 1887 p. 331. Hydractinia (oorhiza) borealis BerGu 1887 p. 332. Oorhiza borealis BERGH 1887 p. 331. Gen. Opercularella Hincks 1868. Voir : Matériaux IL, p. 95; LILI, p. 342 et IV, p. 332. Opercularella lacerata (Johnston). Voir : Matériaux Il, p. 95; ILE, p. 342 et IV, p. 332. Opercularella lacerata Lestie a. HErDMAN 1881 p. 13. » » WEISMANN 1883 p. 150, 190, 220, 226, pl. 24, fig. 2-6. » » PENNINGTON 1885 p. 94. » » THALLWITZ 1885 p. 389, 403, pl. 12, fig. 10-12. » » MELLy, Hicxs a. Herman 1886 p. 105. » » BÊTENCOURT 1888 p. 208. » » SEGERSTEDT 1889 p. 14, 95. » » MARKTANNER 1890 p. 215. Opercularella pumila Clark. Voir : Matériaux IV, p. 332. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 167 Gen. Ophiodes Hincks 1866. Voir : Matériaux IIL, p. 343 et IV, p. 332. Ophiodes mirabilis Hincks. Voir : Matériaux III, p. 343 et IV, p. 333. Ophiodes mirabilis WEISMANN 1883 p. 95. » » PENNINGTON 1883 p. 105. Gen. Ophionema Hincks 1874. Voir : Matériaux IV, p. 353. Ophionema parasiticum G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 333. Ophiodes parasitica ALLMAN 1883 p. 6 (note). Gen. Oplorhiza Allman 1877. Voir : Matériaux IV, p. 333. VERRILL (1885 (a)) écrivait par erreur Opalorhza. Oplorhiza parvula Allman. Voir : Matériaux IV, p. 333. Oplorhiza parvula ALLMAN 1883 p. 6 (note). Opalorhiza parvula VERRILL 1885 (a) p. 537. Gen. Pachycordyle Weismann 1883. Pachycordyle napolitana Weismann. Pachycordyle napolitana Wrismanx 1883 p. 87, 217, pl. 6, fig. 6. 168 M. BEDOT (en. Pasythea Lamouroux 1812. Voir : Matériaux 1, p. 458; IT, p. 96; IE, p. 344 et IV, p. 334. Pasythea gracilis Dana. Voir : Matériaux II, p. 96; LIT, p. 344 et IV, p. 334. Pasythea hexodon Busk. Voir : Matériaux IIT, p. 344 et IV, p. 334. Pasythea hexodon BALE 1884 p. 113, pl. 9, fig. 43. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 419, 624. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 634. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. » » BALE 1888 p. 757,771, pl. 14. fig. 8-9. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. Pasythea philippina Marktanner. Pasythea philippina MARKTANNER 1890 p. 234, 239, pl. 4, fig. 8-8 a. Pasythea quadridentata (Ellis et Solander). Voir : Matériaux I, p. 458; Il, p. 96; IL, p. 34% et IV, p. 334. Pasythea quadridentata BALE 1884 p. 31, 112, pl. 7, fig. 3. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 419, 624. » » LENDENFELD - 1885 (d) p. 633. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 20. » » BALE 1888 p. 770, 771, 784, pl. 14, fig. 6-7. » » MARKTANNER 1890 p. 234. Pasythea quadridentata (EN. et Sol.) var. balei Billard. Voir : Matériaux I, p. 440; IT, p. 68; I, p. 344 et IV, p. 334. Dynamena obliqua BALE 1884 p. 94. Sertularia obliqua BALE 1884 p. 96. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. » » LENDENFELD 1887 (e) p. 43. HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V, 169 Gen. Pennaria Oken 1815. Voir : Matériaux I, p. 458; IT, p. 96; II, p. 344 et IV, p. 334. Pennaria adamsia )» » » )) ) » Pennaria australis } ) Pennaria rosea Pennaria australis Pennaria rosea Pennaria australis Pennaria rosea Pennariu australis Pennaria rosea Pennaria adamsia Lendenfeld. LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD MARKTANNER 1885 (a) p.595, 629, pl. 25, fig. 43-48, pl. 26, fig. 49. 1885 (4) p. 653. 1887 (c) p. 34. 1890 p. 201. Pennaria australis Bale. BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD BALE BALE 1884 p. 45. 1885 (a) p. 593, 629. 1885 (a) p. 594, 629, pl. 24, fig. 40-42. 1885 (d) p. 653. 1885 (d) p. 653. 1887 (c) p. 34. 1887 (c) p. 34. 1888 p. 747. 1888 p. 747. Pennaria disticha Goldfuss. Voir : Matériaux I, p. 459; [T, p. 96; III, p. 344 et IV, p. 334. Pennaria cavolinii » » ) » » » » » » » » » ) » Du PLESssIs HAMANN HAMANN MEREJKOWSK Y WEISMANN BALE CARUS LENDENFELD 1881 (a) p. 147. 1882 (a) p. 481, 520, pl. 21, fe AAA ZDIS29 fig. 12. 1882 (b) p.546, pl. 26, fig. 17-18. 1883 (a) p. 82. 1883 p. 121, 218, pl. 17, fig. 1-5, pl. 18. 1884 p. 45. 1884 p. 6. 1885 (a) p. 995. 170 M. BEDOT Pennaria cavolinii THALLWITZ 1885 p. 389, 408, pl. 12, fig. 13-14, pl. 13, fig. 15-20. » » Lo Branco 1888 p. 389. » » DRIESCH 1890 (b) p. 678. Pennaria pennaria MARKTANNER 1890 p. 201. Pennaria gibbosa Li. Agassiz. Voir : Matériaux IIL, p. 345 et IV, p. 335. Pennaria gibbosa Du PLessis 1881 (a) p. 147. » » HAMANN 1882 (a) p. 520. » » WEISMANN 1883 p. 121. » » BALE 1882 p. 45. » » CARUS 1884 p. 6. Pennaria inornata Brooks. Pennaria inornata BROOKS 1882 p. 136, 144. Pennaria symmetrica Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 339. Pennaria symmetrica BALE 1888 p. 747. Pennaria tiarella (Ayres). Syn. : Halocordyle tiarella (Ayres). Voir : Matériaux II, p. 309 et IV, p. 302. Pennaria tiarella Brooks 1882 p. 136. » » CLARKE 1888 p. 80, pl. sans n°, p. 86, fig. 1, 2. Globiceps tiarella RATHBUN a. TaRR 1884 p. 216. Gen. Pentandra Lendenfeld 1884 (b). Pentandra balei Lendenfeld. Pentandra balei LENDENFELD 1885 (a) p. 490, 628, pl. 14, fig. 18, pl. 16, fig. 20127 HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 171 Pentandra balei LENDENFELD 1885 (d) p. 648. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 31. Pentandra parvula Lendenfeld. Pentandra parvula LENDENFELD 1885 (a) p. 489, 628, pl. 14, fig. 19, pl. 16, fig. 24, 25. » » LENDENFELD 1885 (d, p. 648. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 31. Gen. Perigonimus Sars 1846. Voir : Matériaux II, p. 97; III, p. 345 et IV, p. 335. Perigonimus abyssi G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 335. Perigonimus abyssi STORM 1880 p. 122. » » STORM 1882 p. 10. » » SEGERSTEDT 1889 p. 10, 24. Perigonimus apicatus Brooks. Perigonimus ( Stomatoca) apicata Brooks 1884 p. 711. Perigonimus (©) bitentaculatus (Wright). Voir : Matériaux IT, p. 345 et IV, p. 335. Perigonimus bitenta- culatus LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. ? » » PENNINGTON 1885 p. 66. Perigonimus cidaritis Weismann. Perigonimus cidaritis WEISMNAN 1883 p. 117, 118, pl. 12, fig. 10-11. Perigonimus (2) coccineus (Wright). Voir : Matériaux IT, p. 345 et IV, p. 335. Perigonimus coccineus LesLie a. HerDMAN 1881 p. 10. ? » » PENNINGTON 1885 p. 66. 172 M. BEDOT Perigonimus formosus Fewkes. Perigonimus formosus FEWKES 1889 (b) p. 102. Perigonimus linearis (Alder). Voir : Matériaux III, p. 346 et IV, p. 336. Perigonimus linearis Du PLEssis 1881 (a) p. 146. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. » » WEISMANN 1883 p. 116, 117. » » CaRUus 1884 p. 4. ? » » PENNINGTON 1885 p. 65. » » BÉTENCOURT 1888 p. 203. ? » » Du PLessis 1888 p. 540. » » Lo Bianco 1888 p. 389. » » SEGERSTEDT 1889 p. 22. » » MARKTANNER 1890 p. 206. Perigonimus (?) miniatus (Wright). Voir : Matériaux II, p. 346 et IV, p. 336. Perigonimus miniatus LesLiE a. HERDMAN 1881 p. 10. ? » PENNINGTON 1885 p. 66. Perigonimus minutus Alman. Voir : Matériaux II, p. 346 et IV, p. 336. Perigonimus minutus PENNINGTON 1885 p. 64. Perigonimus multicornis Allman. Voir : Matériaux IV, p. 336. Perigonimus muscoides Sars. Voir : Matériaux Il, p. 97; ILE, p. 346 et IV, p. 336. Perigonimus muscoides Srorm 1882 p. 3, 6, 10, 2%, 28, 29. » » WEISMANN 1883 p. 115, 116. » » SEGERSTEDT 1889,p. 9, 22, 24. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Perigonimus nutans Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 336. ? Perigonimus nutans PENNINGTON 1885 p. 66. Perigonimus palliatus (Wright). Voir : Matériaux II, p. 347 et IV, p. 336. Perigonimus palliatus LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. » » PENNINGTON 1885 p. 69. Perigonimus (?) quadritentaculatus (Wright). Voir : Matériaux IIL, p. 347 et IV, p. 336. Perigonimus quadri- tentaculatus LesLie a. HERDMAN 1881 p. 10. ? » » PENNINGTON 1885 p. 66. Perigonimus repens (Wright). Voir : Matériaux IE, p. 347 et IV, p. 337. Perigonimus repens LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. » » STORM 1882 p. 10, 28-30. » » WEISMANN 1883 p. 116. » » Carus 1884 p. 4. » » PIEPER 1884 p. 149. » » PENNINGTON 1885 p. 64. » » Du PLESsIs 1888 p. 539. » » HoYLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 9, 24. » » BOouURNE 1890 (b) p. 393. » » MARKTANNER 1890 p. 200. Perigonimus serpens Allman. Voir : Matériaux II, p. 348 et IV, p. 337. Perigonimus serpens WEÆISMANN 1883 p. 116. » » CARUS 1884 p. 4. » » PENNINGTON 1885 p. 69. » » CHUN 1889 p. d24. » » FEWKES 1889 (b) p. 102. 173 174 M. BEDOT Perigonimus sessilis (Wright). Voir : Matériaux IIT, p. 348 et IV, p. 337. Perigonimus sessilis LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. » » WEISMANN 1853 p. 116. ) ) PENNINGTON 1885 p. 64. Perigonimus steinachi Jickeli. Perigonimus steinachi JIcKEn 1883 p. 617, 658, pl. 27, fig. 1-9. » » GRÆFFE 1884 p. 350. Perigonimus sulfureus Chun. Perigonimus sulfureus CHuN 1889 p. 524. Perigonimus vestitus Allman. Voir : Matériaux IIL, p. 348 et IV, p. 337. Perigonimus vestitus LESLIE à. HERDMAN 1881 p. 10. | » » JICKELI 1883 p. 621, 667. » » WEISMANN 1883 p. 116, 117. » » PENNINGTON 1885 p. 65. » » SEGERSTED l 1889 p. 22. » » BOURNE 1890 (b) p. 393. Gen. Perisiphonia Allman 1888. Perisiphonia filicula Allman. Perisiphonia filicula ALLMAN 1888 p. LVII, LXII, LXV, LXVIIT, 43-46, pl. 22, fig. 1-4. » » DRIESCH 1889 p. 202. Perisiphonia pectinata Allman. Perisiphonia pectinata ALLMAN 1888 p. LVII, LXV, LXVIIT, 43-45, pl. 21, fig. 2-20. QT HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Î 1 Gen. Pleurocarpa Fewkes 1881. Pleurocarpa ramosa Fewkes. Pleurocarpa ramosa FEWKES 1881 (a) p. 129, 136, pl. 3, fig. XD: » » ALLMAN 1883 p. 14. » » BALE 1887 p. 89. » » AGASSIZ, A. 1888 p. 137, fig. 440. Gen. Plumularia Lamarck 1816. Voir : Matériaux [,.p. 459; If, p: 97; IIT, p. 348 et IV, p. 337. Plumularia abietina Allman. Plumularia abietina ALLMAN 1883 p.21, pl..3: » » ALLMAN 1888 p. LIX, LXIV, LXIX. » » DRIESCH 1890 (b) p. 676. » » PFEFFER 1890 p. 568. BiccarD (1910, p. 35) considère cette espèce comme une simple variété de Plumularia insignis. Plumularia aglaophenoides Bale. Plumularia aglaophe- noides BALE 1884 p. 20, 122, 124, 126, pl. 10, fig. 6. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 625. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. » » BALE 1887 p. 79, 94. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 26. BicLarD (1907) croit que cette espèce est synonyme de Plumularia sulcata Lamarck ou n’en est qu’une variété. Plumularia alata Bale. Plumularia alata BALE 1888 p. 782, pl. 19, fig. 6-10. 176 M. BEDOT Plumularia annuligera Quelch. Plumularia delicatula QuELcH 1885 (a) p. 8, pl. 2, fig. 3. » » QueLca 1885 (b) P. 156. Plumularia annuligera QueLcx 1885 (b)-p. 156. Plumularia armata Allman. Plumularia armata ALLMAN 1883 p. 9, 22, pl. 4, fig. 3, 4. » » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. » » Driesca 1890 (b) p. 676. Plumularia attenuata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 337. Plumularia attenuata FEWKES 1881 (a) p. 128, 130. Plumularia aurita Bale. Plumularia aurita BALE 1888 p. 784,pl. 19, fig. 15-19. Plumularia australis Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 337. Plumularia obliqua var. australis BALE 1882 p. 20. Plumularia australis BALE 1884 p. 13, 142, 143, pl. 12, fig. 7-8, pl. 19, fig. L3-4l. Plumularia obliqua var. australis PIEPER 1884 p. 216. Plumularia australis LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 639. » » BALE 1882p. 16:79: » » LENDENFELD 1887 (c) p. 24. Plumularia badia Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 338. Plumularia badia BALE 1882 p. 20. » » BALE 1884 p. 31, 128, pl. 18, fig. 1-2. Li HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 17 Plumularia radia LENDENFELD 1883 (a) p. 473, 626. Plumularia badia LENDENFELD 1885 (d) p. 640. » » BALE 1887 p. 78. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. Plumularia bifrons (Heller). Voir : Matériaux ILE, p. 349 et IV, p. 338. Anisocola bifrons JickeLt 1883 p. 646. Plumularia bifrons CARUS 1884 p. 18. Plumularia buski Bale. Plumularia buski BaLk 1884 p. 40, 195, pl. 10, fig. 3, pl. 19, fig. 34-35. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 625. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. » » BALE 1887 p. 79, 94, 108. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. Plumularia caliculata Bale. Plumularia caliculata BALE 1838 p. 780, pl. 20, fig. 9-14. Plumularia californica Marktanner. Plumularia californica MaRKTANNER 1890 p. 255, pl. 6, fig. 4-4 a. Plumularia campanula Busk. Voir : Matériaux IIL, p. 349 et IV, p. 338. Plumularia campanula Bars 1882 p. 19, 45, 46. Plumularia indivisa BALE 1882 p. 39, 46, pl. 15, fig. 1. Plumularia laxa ALLMAN 1883 p. 19, pl. 1, fig. 5, 6. Plumularia campanula BALE 1884 p. 31, 32, 121, 124%, 126, 197, pl. 10, fig. 3. Plumularia campanula var. B. BALE 1884 p. 195. Plumularia indivisa BALE 1884 p. 121, 125. Plumularia campanula LeNDenreLD 1885 (a) p. 473, 625. Plumularia laxa LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 12 178 M. BEDOT Plumularia rubra LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626, pl. 13, fig. 11, 12, pl. 14, fig. 16. Plumularia torresia LENDENFELD 1885 (a) p. 477, 626, pl. 13, fig. 13, 14, pl. 14, fig. 16. Plumularia campanula LENDENFELD 1885 (d) p. 641. Plumularia laxa LENDENFELD 1885 (d) p. 641. Plumularia rubra LENDENFELD 1885 (d) p. 640. Plumularia torresia LENDENFELD 1885 (d) p. 641. Plumularia campanula BALE 1887 p. 79, 80, 94. Plumularia laxa BALE 1887 p. 79, 94. Plumularia campanula LENDENFELD 1887 (c) p. 26. Plumularia laxa LENDENFELD 1887 (c) p. 25. Plumularia rubra LENDENFELD 1887 (c) p. 25. Plumularia torresia LENLENFELD 1887 (c) p. 25. Plumularia laxa ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. Plumularia campanula BaLe 1888 p. 747, 776, 778, pl. 20, fig. 1-6. Plumularia laxa BALE 1888 p. 776. Plumularia rubra BALE 1888 p. 746, 777, 778, pl. 20, fig. 1-6. Plumularia torresia BALE 1888 p. 747, 776, 777. Plumularia laxa DRIESCH 1890 (b) p. 676. Plumularia campanula MaRKTANNER 1890 p. 255. Plumularia laxa MARKTANNER 1890 p. 261. Plumularia rubra MARKTANNER 1890 p. 256. Plumularia catharina Johnston. Voir : Matériaux II, p. 97; IIL, p. 349 et IV, p. 338. Syn.: Plumularia geminata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 341. Plumularia catharina Plumularia geminata Plumularia catharina LEUCKART FEWKES LESLIE à. HERDMAN 1847 (c) p. 87. 1881 (a) p. 128. 1881 p. 17. » » STORM 1882 P. 29 21: » » ALLMAN 1883 p. 15, 22, 23. » » BALE 1884 P. 1921. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 179 Plumularia catharina PENNINGTOoN 1885 p. 125. » » MELLY, Hicks a. HerDMAN 1886 p. 113. » » BALE 1887 p. 81. » ) DALLA TORRE 1889 p. 95. » » HoYLE 1889 p. 460. Plumularia catharinæ SEGERSTEDT 1889 p. 214, 27, pl. 1,.fig. 2. Plumularia catharina BOURNE 1890 (b) p. 398. » » Dniescu 1890 (a) p. 661. » » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 669, 670, 672. » DNA MARKTANNER 1890 p. 252, 253. Plumularia catharina Johnston var. alternans Driesch. Plumularia catharina var. allernans DRIESCH 1890 (a) p. 661. » » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 662, 664- 666, 672, 673, 676. Plumularia caulitheca Fewkes. Plumularia caulitheca FEWKES 1881 (a) p.129, 130, pl. 3, fig. 4. Plumularia clarkei Nutting. Voir : Matériaux IV, p. 338. Plumularia compressa Bale. Plumularia compressa BALE 1882 p. 21, 43, 44, 47, pl. 15, fig. à. » » BALE 1884 p. 13, 142, 14h, pl. 12, fig. 9-10, pl. 19, fig. 39-40. » LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 639. » » BALE 1887 p. 79. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 24. » » BALE 1888 p. 784, 785, pl. 19, fig. 14. 180 M. BEDOT Plumularia cornucopiæ Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 339. Plumularia cornucopiæ PENNINGTON 1885 p. 128. » » MARKTANNER 1890 p. 257. Probablement synonyme de Plumularia diaphana Heller. Plumularia cornuta Bale. Plumularia cornuta BALE 1884 p. 132, pl. 11, fig. 1-2. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 6926. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. » » BALE 1887 p. 78, 81, 95. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. Plumularia cylindrica Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 339. Plumularia cylindrica ALLMAN 1883 p. 20. » » BALE 1884 p. 146. » » KIRKP ATRICK 1890 (a) p. 609. Plumularia delicatula Bale. Plumularia delicatula Bare 1882 p. 40, pl. 15, fig. 2. » » BALE 1884 p. 137, pl. 11, fig. 5. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. » » BALE 1887 p. 79. Plumularia delicata LENDENFELD 1887 (c) p. 26. Plumularia delicatula Base 1888 p. 776. Plumularia diaphana Heller. Voir : Matériaux IIT, p. 349 et IV, p. 339. Plumularia diaphana CaRus 1884 p. 18. » » Pieper 1884 p. 220. » » MARKTANNER 1890 p. 252. | pue HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 181 Plumularia disticha Heller. Voir : Matériaux II, p. 350 et IV, p. 339. Plumularia disticha PIRPER 1881 p. 41. Isocola disticha JiCKELI 1883 p. 646, 647. Heteropyæis disticha BALE 1884 p. 124. Plumularia disticha CaRUs 1884 p. 17. » » PIEPER 1884 p. 187, 188. D’après Broca (1911) cette espèce serait une jeune colonie de Nemertesia tetrasticha. Plumularia dolichotheca Allman. Plumularia dolichotheca ALLMAN 1883 p. 20, pl. 1, fig. 7, 8. » » ALLMAN 1888 p. LXVI, LXIX. Plumularia echinulata Lamarck. Voir : Matériaux I, p. 459; Il, p. 98; IE, p. 350 et IV, p. 340. Plumularia echinulata VARENNE 1881 (a) p. 346. » » WEISMANN 1881 (c) p. 7, 16, 18. pl. 9, fig. 14-19. » » VARENNE 1882 (b) p. 620, 629, ... 697, pl. | 31, fig. 6-9, pl. 32. ? Plumularia echinata MamonN 1883 (a) p. 24. Plumularia echinulata Marion 1883 (a) p. 24. » » WEISMANN 1883 p. 151, 172, 184-187, 221, pl. 6, fig. 1-3, pl. 7, fig. 1-7, pl. 8, 9, fig. 1-4. » » CARUS 1884 p. 18. » » PENNINGTON 1885 p. 126. » » THALLWITZ 1885 p. 390, 427. » » BÊTENCOURT 1887 p. 67. » » BÉTENCOURT 1888 p. 213. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » BouRNE 1890 (b) p. 398. » » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 669, 670, 672, 673, 675, 683, 686, 687. » » MARKTANNER 1890 p. 254. 182 M. BEDOT Plumularia elegantula G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 340. Plumularia elegantula Srorm 1882 p. 23, 27. Plumularia filicaulis Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 340. Plumularia fiicaulis BALE 1884 p. 24. 32, 121, 134, pl. 11, fie... 6-7, cpl. ARE h1-42. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. » » BALE 1887 p. 76, 79, 80. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 26. » » BALE 1888 p. 774, 783. Plumularia filicaulis Kirchenpauer var. indivisa Bale. Plumularia filicaulis var. indivisa BALE 1884 p. 134. Plumularia filicula Allman. Voir : Matériaux IV, p. 340. Plumularia flabellum Allman. Plumularia flabellum ALLMAN 1883 p. 19, pl. 1, fig. 1-4. » » ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX. BizcarD (1910, p. 34) considère cette espèce comme une simple variété de Plumularia insignis. Plumularia fragilis Hamann. Plumularia fragilis HAMANN 1882 (a) p. 501, 502, 529, pl. 24, fig. 18-20, pl. 25, fig. 1-7. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 183 Plumularia frutescens (Ellis et Solander). Voir : Matériaux I, p. 460 ; IL, p. 98; IN, p. 350 et IV, p. 340. Plumularia frutescens MereIkowskY 1882 (b) p. 584. » » STORM 1882 p. 22, 27. » » ALLMAN 1883 p. 20. Isocola frutescens JiCKELI 1883 p. 643, 667, pl. 28, fig. 24. Plumularia frutescens Barr 1884 p. 22. » » CARUS 188% p. 17. » » GRÆFFE 1884 p. 399. » » PENNINGTON 1885 p. 127. 1socola frutescens LOMAN 1889 p. 264. Plumularia frutescens Secersrenr 1889 p. 21, 27. » » BOURNE 1890 (b) p. 398. Plumularia frutescens DRIESCH 1890 (b) p. 659, 663-666, 669- 674, 676, 683. 684, fig. 3. Plumularia geminata Allman. Voir: Plumularia catharina. Plumularia glutinosa (Lamouroux). Voir : Matériaux IT, p. 351 et IV, p. 341. Plumularia goldsteini Bale. Plumularia goldsteini BaLe 1882 p. 41, pl. 15, fig. 7. » » Bar 1884 p. 137, pl. 11, fig. 9. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. » » BALE 1887 p. 79. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 26. Plumularia gracilis Lendenteld. Plumularia gracilis LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626, pl. 14, fig. 17, pl. 17, fig. 28, 29. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. 184 M. BEDOT Plumularia gracilis LENDENFELD 1887 (c) p. 25. » » BALE 1888 p. 746. Plumularia gracillima G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 341. Plumularia gracillima Sroru 1882 p. 3, 15, 22, 24, 27, 29. » » VERRILL 1885 |a) p. 537. ) ) BALE 1887 p. 81. » » SEGERSTEDT 1889 p :21, 27. Plumaularia halecioides Alder. Voir : Matériaux IIL, p. 351 et IV, p. 341. Plumularia halecioides Baie 1882 p. 40. » » MEREJKOWSK Y 1882 (a) p. 280. » » MEREJKOWSKY 1882 (b) p. 585, 592, ss., pl. 29 A, fig. 19-23, pl. 29 B, fig. 3-6, 11-13. Anisocola halecioides var. Jickeut 1883 p. 636.642,647,667,668, 670, pl. 28, fig. 10-23. Plumularia halecioides WEISMANN 1883 p. 184, 188, 190, 222, 243, 244, pl. 24, fig. 11-12. Plumularia halecioides var. adriatica WEISMANN 1883 p. 184. Plumularia halecioides BALE 1884 p. 137. Plumularia halecioides var. adriatica CARUS 1884 p. 18. Plumularia halecioides GRÆFFE 1884 p. 346, 355. » » METSCHNIKOFF 1884 p. 144. » » PI&PER 1884 p. 188. » » PENNINGTON 1885. p. 127, pl. 9, fig. 3. » » THALLWITZ 1885 p. 390, 428. » » BÉrENCOURT 1887 p. 67. » » BÉTENCOURT 1888 p. 213. » » DRIESCH 1889 p. 224. » » LOoMaN 1889 p. 263, fig. 1. » » DRIESCH 1890 (b) p. 659, 660, 663, 671- 675, 683. | » » MARKTANNER 1890 p. 254. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 185 Plumularia helleri Hincks. Voir : Matériaux Il, p. 99; IF, p. 351 et IV, p. 341. Plumularia helleri CARS 1884 p. 18. ) » PIEPER 1884 p. 187, 219. » » MARKTANNER 1890 p. 251, pl. 6, fig. 3. Plumularia hians Marktanner. Plumularia hians MARKTANNER 1890 p. 253, pl. 6 fig. 6. Cette espèce ne doit pas être confondue avec la Plumularia hians de Busk — Aylaophenia hians). Plumularia hyalina Bale. Plumularia hyalina BALE 1882 p. 41, pl. 15, fig. 9. » » BALE 1884 p. 141, pl. 12, fig. 4-5. » » LENDENFELD 1885 (a) p. #75, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 639. » » BALE 18871p. 78; » » LENDENFELD 1887 (C) p. 24. Plumularia insignis Allman. Plumularia insignis ALLMAN 1883 p. 21, pl. 2. » » ALLMAN 1888 p. LIX, LXIV, LXIX. » » DRIESCH 1890 (b) p. 676. » » PFEFFER 1890 p. 568. Plumularia lagenifera Allman. Plumularia lagenifera ALLMAN 1886 p. 157, 158, pl. 26, fig. 1-3. Probablement synonyme de Plumularia selacea. Plumularia liechtensterni Marktanner. Plumularia liechtensterni MARKTANNER 1890 p. 252,257, pl. 6, fig. 2-2 a. Plumularia longicornis Busk. Voir: Lytocarpus longicornis. 186 M. BEDOT Plumularia macrotheca Allman. Voir : Matériaux IV, p. 342. Plumularia megalocephala Allman. Voir : Matériaux IV, p. 342. Plumuluria megalo- cephala Quecca 1885 (a) p. 8. Plumularia multinoda Allman. Plumularia multinoda ALLMAN 1886 p. 157, pl. 26, fig. 4-6. Plumularia obconica Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 342. Plumularia obconica BALE 1882 p. 20. » » ALELMAN 1883 p. 24. » » BALE 1884 p. 127, pl. 18, fig. 3-4. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 473, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. » » BALE 1887 p. 79. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. Plumularia obliqua Johnston. Voir : Matériaux IE, p. 99; HI, p. 352 et IV, p. 342. Plumularia obliqua BALE 1882 p. 19, 39. » » BALE 1884 p. 123, 138, 140, 142-144, pl. 12, fig. 1-3. » » Carus 1884 p. 18. ) » PIEPER 1884 p. 216. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 474, 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 640. » » PENNINGTON 1885 p. 126. » » BALE 1887 p. 76, 78, 79, 96. » » BÊTENCOURT 1887 p. 67. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. » » BALE 1888 P. 783. » » BÉTENCOURT 1888 p. 213. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 187 Plumularia obliqua DRiESCH 1890 (b) p. 659-661, 673-675, 683, 686. 1890 p. 254. » » MARKTANNER Plumularia obliqua Johnston var. robusta Bale. Plumularia obliqua var. robusta BALE 1884 p. 139. Plumularia oligopyxis Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 342. Plumularia oligopyxis BALE 1887 p. 103. » » MARKTANNER 1890 p. 254. Plumularia pinnata (Linné). Voir: Matériaux I, p. #60 ; IL, p. 100; TEE, p. 352 et IV, p. 343. 1881 p. 17. Plumularia pinnata LESLIE a. HERDMAN » » STORM 1882 p. 4, 22. » » VARENNE 1882 (b) p. 629, 630. Isocola pinnata JICKErI 1883 p. 646, 647. Plumularia pinnata WEISMANN 1833 p. 172. » » CaRUs 1884 p. 17. » » GRÆFFE 188% p. 399. » » PikPER 1881 p. 187, 188. » » PENNINGTON 1885 p. 124. » » HERDMAN 1886 (a) p. 12. » » HERDMAN 1886 (b) p. 323, 330. HERDMAN 1886 p. 115. » » BéTencourT 1887 p. 67. » » BéTENCOURT 1888 p. 214. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » HoÿLe 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 20, 21, 27. » » BOURNE 1890 (b) p. 398. » » DrikscH 1890 (b) p. 659, 660, 670, 672, 673, 675, 683, 686, 687. » » MARKTANNER 1890 p. 253. MEccy, Hicxs a. 185 M. BEDOT Plumularia pulchella Bale. Plumularia pulchella BALE 1882 p. 42, pl. 15, fig. 6. » » BALE 1884 p. 140, pl. 12, fig. 6, pl: 1006787: ) » LENDENFELD 1885 (a) p. 475, 626. D ) LENDENFELD 1885 (d) p. 639. » » BALE 1887 p. 78. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 24. » ) BALE 1888 p. 784. Plumularia ramsayi Bale. Plumularia ramsayi BALE 1884 p. 131,133, pl. 11, fig. 3-4. ) » LENDENFELD 1885 (a) p. 473. 626. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 641. » » BALE 1887 p. 78. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 25. » » BALE 1888 p. 746. » » K1RKPATRICK 1890 (a) p. 604. Plumularia ramulifera Allman. Voir : Matériaux LIT, p. 353 et IV, p. 343. Plumularia rugosa Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 343. Plumularia scabra Lamarck. Voir: Acanthella effusa. Plumularia secundaria (Gmelin) Voir: Antennella secundaria. Plumularia setacea Linné. Voir : Matériaux I, p. 461 ; IT, p. 101; IL, p. 354 et IV, p. 344. Plumularia setacea BYERLEY 185% p. 104. » » LESLIE 4. HERDMAN 1881 p. 17. » » WEISMANN 1881 (c) p. 16. Plumularia setacea Anisocola setacea Plumularia setacea » » D] » » » » » Plumularia tripartita » » Plumularia setacea » D) » » » ) » D) Plumularia tripartita Plumularia setacea Plumularia tripartita Plumularia setacea » » » » » » » » HISTOIRE BALE MEREJKOWSK Y STORM JICKELI BALE CARUS GRÆFFE METSCHNIKOFF PIEPER LENDENFELD LENDENFELD PENNINGTON QUELCH MEeLLy. HICKs à. HERDMAN METSCHNIKOFF BÉTENCOURT LENDENFELD BALE BALE BÉTENCOURT SEGERSTEDT BOURNE DRiesc4 MARKTANNER DES HYDROÏDES. — V. 139 1882 p. 40. 1882 (b) p. 58%. 1882 p. 22, 27. 1883 p. 641, pl. 28, fig. 9. 1884 p. 137. 1884 p. 17. 1884 p. 359. 1884 p. 144, pl. 13, fig. 4. 1884 p. 187, 188. 1885 (a) p. #77, 626, pl. 12, fig. 8-10. 1885 (d) p. 640. 1885 p. 124, pl. 9, fig. 4. 1885 (a) p. 8. 1886 p. 113. 1886 (b) p. 20, 41, 69. 1887 p. 67. 1887 (c) p. 25. 1888 p. 747, 778, 780-782, 785, pl. 20, fig. 14-18. 1838 p. 747, 779. 1888 p. 212, 214. 1889 p. 20, 27. 1890 (b) p. 398. 1890 (b) p. 659, 660, 665, 669, 670, 672-676, 683, 685. 1890 p. 255. Plumularia setacea (1) var. gaimardi Billard. Voir : Matériaux If, p. 99, HT, p. 355 et IV, p. 344. Isocola qaymardi Plumularia setaceoides » » JICKELI BALE BALE 1883 p. 646. Plumularia setacenides Bale. 1882 p. 40, 47, pl. 15, fig. 4. 1884 p. 136, pl. 11, fig. 8, pl. 19, fig. 36. 190 Plumularia setaceoides M. LENDENFELD LENDENFELD BALE LENDENFELD BALE BEDOT 1885 (a) p. 474, 626. 1885 (d) p. 641. 1887 p. 78, 96. 1887 (c) p. 26. 1888 p. 776, 781, pl. 20, fig. 7-8. Plumularia siliquosa Hincks. Voir: Antennella siliquosa. Plumularia similis Hincks. Voir : Matériaux HE, p. 355 et IV, p. 345. Plumularia similis VARENNE » » MARION » » PENNINGTON » » MEccy, Hicks a. HERDMAN » » BOURNE » » DR1ESCH » » MARKTANNER 1882 (b) p. 629, 630. 1883 (a) p. 29. 1885 p. 126. 1886, p. 113. 1890 (b) p. 398. i890 (b) p. 672, 673, 675, 683, 687. 1890 p. 252. Plumularia spinulosa Bale. Plumularia spinulosa BALE » » BALE » » LENDENFELD » » LENDENFELD » » BALE » » LENDENFELD » » BALE Plumularia stylifera 1882 p. 49, pl. 15, fig. 8. 1884 p. 139, 141, 142, pl. 49, _ fig. 11-12. 1885 (a) p. 475, 626. 1885 (d) p. 639. 1887 p. 76, 78. 1887 (c) p. 25. 1888 p. 783, pl. 19, fig. 14-13. Plumularia stylifera Alman. ALLMAN » » ALLMAN 1883 p. 22, pl. 4, fig. 1-2. 1888 p. LXIII, LXIX. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 191 Plumularia sulcata Lamarck. Voir : Matériaux IIT, p. 355 et IV, p. 345. Plumularia sulcata BALE 1#84 p. 145. ) » LENDENFELD 1885 (a) p. 476, 626. ) » LENDENFELD 1885 (d) p. 642. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 26. Plumularia tenella Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 345. Plumularia tenella CLARKE 1888 p. 86. Plumularia tuba Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 345. Plumularia turgida Bale. Plumularia turgida BALE 1888 p. 779, 786, pl, 20, fig. 12-13. Plumularia variabilis Quelch. Plumularia variabilis QueLca 1885 (a) p. 6, pl. 2, fig. 2. Plumularia ventriculiformis Marktanner. Plumularia ventriculi- formis MARKTANNER 1890 p. 256, pl. 6, fig. 5-5 a. Plumularia verrilli Clark. Voir : Matériaux IV, p. 345. Plumularia verrilli CLARKE 1888 p. 86. Plumularia wattsi Bale. Plumularia wattsi BALE 1887 p. 95. » » BALE 1888 p. 779. 12 | 192 M. BEDOT Gen. Pluriserialia Kirchenpauer 1876. KIRCHENPAUER (1876, p. 43, note) avait rangé sous ce nom, au Musée de Leipzig, les espèces de Sertularides qui ont plus de deux rangées d’hydrothèques. Plus tard (1884, p. 7), il a fait rentrer ces espèces dans le genre Selaginopsis d'ALLMAN. Le genre Pluriserialia doit donc dispa- raitre. Gen. Podocoryne Sars 1846. Voir : Matériaux IE, p. 102; III, p. 255 et IV, p. 345. Podocoryne aculeata (Wagner). Voir : Matériaux II, p. 103 : IT, p. 355 et IV, p. 345. Podocoryne aculeata CARUS 1884 p. 6. » » BERGH 1887 p. 331, Podocoryne areolata Alder. Voir : Matériaux II, p. 356 et IV, p. 346. Podocoryne areolata PENNINGTON 1885 p. 43. ) » BERGH 1887 p. 331. » » KIRKPATRICK 1889 p. 416. Podocoryne carnea Sars. Voir : Matériaux IL, p. 103; ILE, p. 356 et IV, p. 346. Hydractinia carnea DANIELSSEN 1861 p. 46. Podocoryne carnea STORM 1880 p. 123. Podocoryne tubulariae Srorm 1880 p. 123. Podocoryne carnea Du PLESSIS 1881 (a) p. 144. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8. » » .. VARENNE 1881 (a) p. 346. » » VARENNE 1881 (b) p. 1032, 1033. » » FEWKES 1882 (b) p. 295. » » HaMANX 1882 (a) p. 483, 498, 517, 520, pl. 20, fig. 1, 3, 4. » » STORM 1882 p. 6, 29. Podocoryne tubulariue Podocoryne carnea » » Dysmorphosa carnea Cylaeis exiqua Podocorygne carnea Dysmorphosa carnea Podocoryne carnea Dysmorphosa carnea Podocoryne carnea » » » » » » » » » » » » » » » » » » # STOoRM VARENNE VARENNE JICKELI WEISMANN CARUS GRÆFFE GRÆFFE PIEPER PENNINGTON THALLWITZ ALLMAN Du PLessis Du P£Lessis ISHIKAWA Lo BiANco DALLA TORRE . BRAUN M'Ixrosx SEGERSTEDT BOURNE MARKTANNER M'Inrosx WAGNER HAMANN LENDENFELD Brooks WAGNER Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 193 1882 p. 6, 28, 30. 1882 (a) p. 892 ss. 1882 (b) p. 645, 659-664, 674, 678, 683, 683, 697, 704, pl. 33, fig. 6- 15, pls. 34,37 et 38. 1883 p. 621, 653, pl. 27, fig. 10. 1883 p. 63, 216, pl. 19. 1884 p. 24. 1884 p. 347. 1884 p. 347. 1884 p. 149. 1835 p. 42, pl. 2, fig. 5. 1885 p. 389, 422, pl. 14, fig. 1888 p. XVIL. 1888 p. 542. 1888 p. 942. 1888 p. 621 ss., fig. 1-6. 1888 p. 389. 1889 p. 95. 1889 p. 70, 79. 1889 p. 282. 1889 p. 6, 23. 1890 (b) p. 392. 1890 p. 202. 1890 (b) p. 299. 1890 p. 276. Podocoryne haeckel Hamann. 1882 (a) p. 479, 481, 498, 519, pl. 24, fig, 15-16. 1883 (e) p. 502. 1884 p. 710, 711. 1890 p. 276, 277. Podocoryne inermis Allman. Voir : Matériaux IV, p. 347. 194 M. BEDOT Podocoryne proboscidea Hincks. Voir : Matériaux IIL, p. 358 et IV, p. 347. Podocoryne proboscidea PENNINGTON 1885 p. 43. Gen. Polycoryne Graeffe 1883. GRÆFFE (1883 (b) p. 202), après avoir décrit la Pofycoryne helleri a reconnu (1883 (b) p. 320) que cette espèce était synonyme de Cladocoryne floccosa. Ce genre doit donc être supprimé. Gen. Polyplumaria G.-0. Sars 1874. Voir : Matériaux IV, p. 347. Polyplumaria flabellata G.-0. Sars. Voir : Matériaux IV, p. 347. Diplopteron insigne ALLMAN 1883 p. 30. Polyplumaria insignis ALLMAN 1883 p. 31. Polyplumaria (Diplop- leron) insignis ALLMAN 1883 p. 31. Polyplumaria pumila ALLMAN 1883 p. 31, 55, pl. 4, fig. 7, 8. » » ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX. Polyplumaria flabellata MARKTANNER 1890 p. 278. Gen. Protohydra Greef 1869. Voir : Matériaux IIT, p. 358 et IV, p. 348. Protohydra leuckarti Greef. Voir : Matériaux IT, p. 358 et IV, p. 348. Gen. Rhizogeton L. Agassiz 1862. Voir : Matériaux III, p. 358 et IV, p. 348. Rizogeton fusiformis L. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 358 et IV, p. 348. Rhizogelon fusiformis WEISMANN 1883 p. 251. HISTOIRE DES HYDROÏDES., — V. 195 Gen. Rhizohydra Cope 1883. Genre douteux ! Rhizohydra flavitincta Cope. Rhizohydra flavitincta Core 1883 p. 140. Espèce douteuse ! Gen. Rhizonema Clark 1876. Voir : Matériaux IV, p. 348. Rhizonema carnea Clark. Voir : Matériaux IV, p. 348. Gen. Rhizorhagium Sars 1874. Voir : Matériaux IV, p. 348. Rhizorhagium roseum Sars. Voir : Matériaux IV, p. 348. Rhizorhagium roseum STORM 1882 p. 9, 28, 29. Gen. Schizotricha Allman 1883. BILLARD (1910, p. 44), discutant la valeur des caractères sur lesquels est fondé ce genre, arrive à la conclusion qu’il devrait disparaître, étant synonyme de Polyplumaria. NUTTING (1900) conserve les deux genres. Schizotricha multifurcata Allman. Schizotricha multifurcata ALLMAN 1883 p. 9, 29, pl. 7, fig. 4, 5. » » ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX. » » PFEFFER 1890 p. 568. 196 M. BEDOT Schizotricha unifurcata Allman. Schizotricha unifurcata ALLMAN 1883 p. 28-30, pl. 7, fig. 1-3. » » ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX. » » PFEFFER 1890 p. 568. Gen. Sciurella Allman 1885. Sciurella indivisa Allman. Sciurella indivisa ALLMAN 1883 p. 9, 15, 23, 26, pl. 5: Antennularia cylindrica BALE 1884 p. 146, pl. 10, fig. 7. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 478, 626. Sciurella indivisa LENDENFELD 1885 (a) p. 479, 626. Antennularia cylindrica LENDENFELD 1885 (d) p. 642. Sciurella indivisa LENDENFELD 1885 (d) p. 644. Antennularia cylindrica LENDENFELD 1887 (c) p. 26. Sciurella indivisa LENDENFELD 1887 (c) p. 28. » » ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX. Antennularia cylindrica KiRKPATRICK 1890 (a) p. 609. Sciurella indivisa KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604, 608, 609. Gen. Selaginopsis Allman 1876. Voir : Matériaux I, p. 462 et IV, p. 349. Selaginopsis allmani Norman. Voir : Matériaux IV, p. 349. Selaginopsis allmani KIRCHENPAUER 1884 p. 12, 15. Selaginopsis bidentata (Allman). Voir : Matériaux IV, p. 349. Selaginopsis bidentata KIRCHENPAUER 1884 p 11, 16. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 197 Selaginopsis cedrina (Linné). Voir : Matériaux I, p. 467; Il, p. 111; III, p. 367 et IV, p. 349. Syn.: Selaginopsis pacifica Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 351. Selaginopsis cedrina KIRCHENPAUER 1884 p. 8, 45, 16, pl. 114, fig. 1-1 b. Selaginopsis pacifica KIRCHENPAUER 1884 p. 9. Selaginopsis cylindrica (Clark). Voir : Matériaux IV, p. 349. Selaginopsis cylindrica KiRCRENPAUER 1884 p. 12, 15, 16. Thuiaria cylindrica MURDoCH 1885 p. 166. Selaginopsis cylindrica MARKTANNER 1890 p. 243. Selaginopsis decemserialis Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 349. Selaginopsis decemserialis KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16. Selaginopsis fusca (Johnston). Voir : Matériaux IV, p. 350. Selaginopsis fusca KIRCHENPAUER 1884 p. 13, 15, 16. » » PENNINGTON 1885 p. 117. Sertularia fusca DRIESCH 1889 p. 213. » » SEGERSTEDT 1889 p. 19, 27. Selaginopsis fusca MARKTANNER 1890 p. 219, 243. _ Selaginopsis mirabilis (Verrill). Voir : Matériaux IV, p. 350. Selaginopsis mirabilis KIRCHENPAUER 1884 p. 10, 12, 16. Polyserias mirabilis LENDENFELD 1886 (a) p. 480. Selaginopsis mirabilis BaLe 1887 p. 105. » » BERGH 1887 p. 337. 198 M. BEDOT Selaginopsis novae-zelandiae (Thompson). Voir : Matériaux IV, p. 350. Selaginopsis novae- zelandiae KiRCHENPAUER 1884 p. 14, 16. » » BALE 1887 p. 103. Selaginopsis obsoleta (Lepechin). Voir : Matériaux I, p. 472; Il, p. 114; III, p. 372 et IV, p. 350. Selaginopsis obsoleta KIRCHENPAUER 1884 p. 10, 15, 16, pl. 11, fig. 2. Selaginopsis ochotensis Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 351. Selaginopsis ochotensis KIRGHENPAUER 1884 p. 14, 16. Selaginopsis pacifica Mereschkowsky. Voir: Selaginopsis cedrina. Selaginopsis pinaster (Lepechin). Voir : Matériaux IV, p. 351. Selaginopsis pinus KIRCHENPAUER 1884 p. 11, 15, 16, pl. 11, fig. 4. Selaginopsis pinnata Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 351. Selaginopsis pinnata KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16. Selaginopsis purpurea (Linné). Voir : Matériaux I, p. 474; IL, p. 116; II, p. 376 et IV, p. 351. Selaginopsis purpurea KIRCHENPAUER 1884 p. 9, 15, 16, pl. 11, fig. 3. Selaginopsis salicornia (Allman). Syn.: Thuiaria salicornia Allman. Voir : Matériaux IIL, p. 392 et IV, p. 380. Selaginopsis salicornia KiRcHENPAL ER 1884 p. 13, 15, 16. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 199 Selaginopsis thuja Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 351. Selaginopsis thuja KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 16. Selaginopsis triserialis Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 352. Selaginopsis triserialis KiRCHENPAUER 1884 p. 14-16. Selaginopsis urceolifera Kirchenpauer. Selaginopsis urceolifera KIRCHENPAUER 1884 p. 14, 15, pl. 11, fig. 5. Gen. Sertularella Gray 1848. Voir : Matériaux IL, p. 104; II, p. 359 et IV, p. 352. Sertularella albida Kirchenpauer. Voir : Matériaux IV, p. 352. Sertularella albida KIRCHENPAUER 1884 p. 42, 53. Sertularella allmani Hartlaub. Sertularia secunda Lunilateralis| ALLMAN 1888 p. LXIV, LXVII. Sertularia unilateralis AtLMAN 1888 p. 53, pl. 25, fig. 2-2 4. » » DRIESCH 1889 p. 201. Sertularia secunda (unilalteralis) MARKTANNER 1890 p. 227 Sertularia unilateralis PFEFFER 1890 p. 567. Il règne une grande confusion dans la svnonvmie de cette espèce el les indications que nous avons données dans les Matériaux IV p. 360 devront être modifiées. L'espèce qui doit porter ce nom a été découverte en 1824 par Lamouroux qui l’appelait Sertularia unilateralis. En 1876, ALLMan décrivit sous le nom de Sertularella unilateralis une autre espèce à laquelle HarrLauB (1901) a donné le nom de Sertularella antarctica n. nom. 200 M. BEDOT En 1886, ALLMAN donne le nom de Sertularia unilateralis à une espèce qui n'est autre que la Sertularia bispinosa (Gray) ainsi que l’a reconnu BiLLARD (1910). Enfin, dans la monographie des Hydroïdes du Challenger (1888 p. 53), ALLMAN décrivit de nouveau une Sertularia unilaleralis n. sp. Mais, en cours de publication, il reconnut que ce nom avait été déjà employé et dans lexpli- cation de la pl. 25 le changea contre celui de Sertularia secunda. Malheureu- sement, l'introduction de ce nouveau nom eut pour résultat d’embrouiller encore plus la question, car il existait déjà une Serlularia secunda Carus (1884), une Sertularella secunda Kirchenpauer (1884), et l'espèce d’ALLMAN devait passer du genre Sertularia dans le genre Sertularella ! En effet, Carus (1884 p. 14) fait figurer dans son Prodromus Faunæ Medi- terraneæ une Sertularia secunda N. Crs à laquelle il donne comme synonyme : Lynamena secunda Menegh. et: ? D. reptans Costa. Il est peu probable que la D. reptans Costa soit synonyme de l'espèce de MeNeGini et nous l’avons fait figurer (Matériaux If p. 114) dans la synonymie de Sertularia gracilis Hassal. Quant à la D. secunda Meneghini, elle est synonyme de Sertularia lamourou:xi M. Edw. ; c’est donc sous ce nom que nous placerons la $S. secunda de CARüs. La Sertularella secunda Kirchenpauer (1884) est une bonne espèce à laquelle on peut donner comme synonyme la S. limbata Allman ainsi que HArTLAUB (1901) Va montré. Quant à la Sertularia unilateralis-secunda d'ALLMAN (1888) nous la ferons figurer sous le nouveau nom de Sertularella allmani que Harrzaus (1901) lui a donné. Sertularella amphorina Allman. Voir : Matériaux IV, p. 352. Sertularella annulata Marktanner. Sertularella annulata MARKTANNER 1890 p. 227, pl. 4, fig. 4-4 b. Sertularella antarctica Hartlaub. Sertularella unilateralis ArLMaN 1876 (c) p. 114. » » ALLMAN 1879 p. 282, pl. 18, fig. 10-11. » » STUDER 1879 P. 120, 132. » » KIRCHENPAUER 1881 p. 39, 40, 50, 53. Voir les notes à Sertularella allmani et S. unilateralis. { HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Sertularella arboriformis Marktanner. Sertularella arboriformis MarkTANNER 1890 p. 228, pl. 4, fig. 5. Sertularella arbuscula (Lamouroux). Voir : Matériaux [, p. 465; Il, p. 110; IL, p. 359 et IV, p. 352. Syn. : Sertularella ramosa Thompson. Voir : Matériaux IV, p. 357. Sertularella ramosa BALE 1882 p. 19. Sertularia arbuscula ZELLER 1883 p. 106. » » BALE 1884 p. 95, pl. 8, fig. 11. Sertularella ramosa BALE 1884 p. 111, pl. 8, fig. 4. Sertularella arborea KIRCHENPAUER 1884 p. 41, 53, pl. 15, fig. 1-1 b. Sertularella ramosa KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 53. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624. Sertularia arbuscula LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. Sertularella ramosa Sertularia arbuscula LENDENFELD LENDENFELD 1885 (d) p. 632. 1885 (d) p. 662. Sertularella crassipes ALLMAN 1886 p. 133, pl. 8, fig. 4-5. Sertularella cuneata ALLMAN 1886 p 134. pl. 9, fig. 1-2. Sertularella ramosa LENDENFELD 1887 (c) p. 19. Sertularia arbuscula LENDENFELD 1887 (c) p. 40. Sertularella arborea MARKTANNER 1890 p. 221, 222, 228. Sertularella arbuscula (Liamouroux) var. pinnata (Kirchenpauer). Sertulurella arborea var. pinnala KIRCHENPAUER 1884 p. 42. Sertularella arborea var. pinnala MARKTANNER 1890 p. 222. BizLarD (1910) a montré que la S. arborea de KiRCHENPAUER était synonyme de S. arbuscula (Lamouroux). La var. pinnata se rapporte donc à cette espèce. Sertularella articulata (Allman). Sertularia articulata ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 614, pl. 29, fig. 3, 34. » » PFEFFER 1890 p. 568. 2 © 2 M. BEDOT Sertularella clarki Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 352. Sertularella clarki KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 54. Sertularella conica Allman. Voir : Matériaux IV, p. 352. Sertularella contorta Kirchenpauer. Serlularella contorta KIRCHENPAUER 1884 p. 39, 53, pl. 15, fig. 2-2 a. Sertularella crassicaulis (Heller). Voir : Matériaux ILE, p. 359 et IV, p. 353. Serlularia crassicaulis Carus 1884 p. 15. Sertularella crassicaulis Pigper 1884 p. 186. » » MARKTANNER 1890 p. 225. Sertularella difjusa Allman. Sertularella diffusa ALLMAN 1886 p. 136, pl. 11, fig. 1-2. Sertularia diffusa var. MARKTANNER 1890 p. 229, pl. 4, fig. 6 a-6 6. Sertularella distans (Lamouroux). Voir : Matériaux I, p. 469 ; IT, p. 111; Il, p. 359 et IV, p. 353. Sertularia distans BaLe 1884 p. 97. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 414, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. » » KIRKPATRICK 1890 (b) p. 42. Sertularella divaricata (Busk). Voir: Sertularella johnstoni. Sertularella episcopus Allman. Voir : Matériaux IV, p. 353. Sertularella episcopus RIDLEY 1881 (a) p. 105. ? Sertularia fusiformis Rice 1881 (a) p. 105. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 203 Sertularella episcopus KIRCHENPAUER 1884 p. d1, 54. » » BALE 1887 P. 103. Sertularia fusiformis PFEFFER 1890 p. 483, 568. Sertularella exigua Thompson. Voir : Matériaux IV, p. 353. Sertularella exiqua KIRCHENPAUER 1882 p. 41, 53. » » BALE 1887 p. 103. Voir la note à Sertularella qaudichaudi. Sertularella formosa Fewkes. Sertularella formosa FEWKES 1881 (a) p. 129, 130. Sertularella fruticulosa Püppig. Sertularella fruticulosa » » PüepiG _ 1884 p. 50. Sertularella fusiformis Hincks. Voir : Matériaux III, p. 360 et IV, p. 353. ? Sertularella simplex BALE 1882 p. 19, 2%, 45. Sertularella fusiformis Carus 188% p. 12. » » GRÆFFE 1884 p. 356. » » KIRCHENPAUER 1884 p. 4d, 30, 53. ? Sertularella simplexz KIRCHENPAUER 1884 p. 43, 53. Sertularella fusiformis Piper 1884 p. 185. ? Sertularia simplex LENDENFELD 1885 (b) p. 984. ? Sertularella simplex MULLER 1885 p. 534. Sertularella fusiformis PENNINGTON 1885 p. 108. ? Sertularella simplex LEÉNDENFELD 1886 (a) p. 478. » » BALE 1887 p. 106. Sertularella fusiformis DRiEscH 1889 p. 200. » » HoYyLE 1889 p. 460. ? Sertularia simplex MARKTANNER 1890 p. 226. KIRCHENPAUER 1884 p. 50, 53, pl. 16, fig. 8,80. D’après Harrzaus (1901) la Sertularia simplex de Hurron (1872) est syno- nyme de Sertularella fusiformis, tandis que, d’après BaLe (1887), elle est synonyme de S. polyzonias. 204 M. BEDOT Sertularella gaudichaudi (Lamouroux). Voir : Matériaux IE, p. 485; IIL, p. 360 et IV, p. 354. Sertularella qaudichaudr KiRCHENPAUER 1884 p. 38, 93. Sertularia exiqua ALLMAN 1888 p. 55, pl. 26, fig. 2, 2a. Sertularia laxa [exiqua] ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX. Sertularia exiqua DRIESCH 1889 p. 202. Sertularia laxa MARKTANNER 1890 p. 226. En 1888, ALLMAN a donné (p. 55) le nom de /axa à une Serlularia, mais, reconnaissant que ce nom avait déjà été employé (par Lamarcx en 1816 pour l'espèce nommée aujourd’hui Lytoscyphus fruticosus), il le changea (1888, Expl. pl. 26) contre celui de Sertularia exigqua. Ce nom a malheureusement amené une nouvelle confusion, car il existait déjà une Sertularia exiqua décrite en 4877 (b) par ALLMAN lui-même. En outre, THomPsoN avait donné le nom de Sertularella exiqua à une autre espèce (1879). BILLARD, après avoir examiné les Lypes des espèces récoltées par le CHALLENGER, a montré que la Sertularia laxa-exiqua décrite par ALLMAN en 1888 était syno- nyme de Sertularella gaudichaudi. Sertularella gayi (Lamouroux). Voir : Matériaux I, p. 472; IL, p. 105; IE, p. 360 et IV, p. 354. Sertularella gayi WEISMANN 1881 (c) p. 17. » » STORM 1882 p. 20, 27, 29, 30. » » WEISMANN 1883 p. 165. » » GRÆFFE 1884 p. 396. » » KIRCHENPAUER 1884 p. 17, 41, 42, 53. » » PENNINGTON 1885 p. 107, pl. 5, fig. 4. » » BéTENCOURT 1888 p. 209, 210. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » Hoy£e 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 16, 26. » » BOURNE 1890 (a) p. 319. » » BOURNE 1890 (b) p. 396. Sertularella gayi (Lamouroux) var. robusta Allman. Voir : Matériaux IV, p. 354. Sertularella gayi var. robusta FEWKES 1881 (a) p. 128, 130. » » » KiRCHENPAUER 1884 p. 41, 42, 53. [Se © [SL HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Sertularella gigantea Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 354. Sertularella gigantea THOMPSON 1884 p. 3-5, pl. 1, fig. 4-6, 8. Sertularia gigantea THOMPSON 1884 p. 3. Sertularella gigantea BERGH 1887 p. 339. » » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 393. Sertularella greenei (Murray). Voir : Matériaux ILE, p. 360 et IV, p. 355. Sertularella greenei KIRCHENPAUER 1884 p. 47, 53. Sertularella longicollis KIRCHENPAUER 1884 p. 47. Sertularella indivisa Bale. Sertularella indivisa BALE 1882 p. 24, pl. 12, fig. 7. » » BALE 1884 p. 105, 108, pl. 3, fig. 5, pl. 19; 822% » » LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 631. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. » » BALE 1888 p. 763-765, pl. 45, fig. 1-2. » » -_ MARKTANNER 1890 p. 224. Sertularella infracta Kirchenpauer. Serlularella infracta KIRCHENPAUER 1884 p. 46, 54. » » LENDENFELD 1886 (a) p. 478. » » BALE 1887 p. 107. Sertularella integra Allman. Voir : Matériaux IV, p. 355. Sertularella integra KIRCHENPAUER 1884 p. 52, 54. » » BALE 1887 p. 103. A g) 2Ÿ} 206 M. BEDOT Sertularella johnstoni (Gray). Voir : Matériaux II, p. 105; IIL, p. 361 et IV, p. 355. Syn.: Sertularella divaricata (Busk). Voir : Matériaux IL, p. 359 et IV, p. 353. 1881 (a) p. 104. 1882 p. 19, 24, 25. 1882 p. 45. 1882 p. 25, pl. 12, fig. 9. Sertularella johnstoni RIDLEY » » BALE Sertularella divaricata BALE Sertularella pygmaea BALE Serlularia (Sertularella ?) divaricata BALE 1882 p. 18. 1884 p. 32, 110, pl. 3, fig. 9, pl. 19, fig. 20. Sertularella divaricata BALE Sertularella johnstoni BaLe 1884 p. 32, 104, 108-110, pl. 3, fig. 7, pl. 19, fig. 24. Sertularella pygmaea BALE 1884 p. 108, pl. 3, fig. 8, pl. 19, fg::49 Sertularella johnstoni KIRCHENPAUER 1884 p. 4, 46, 49, 53. Sertulareila purpurea KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 54, pl. 16, fig. 3-30, Sertularella divaricata LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624. Sertularella johnstoni LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624. Sertularella pygmaea LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624. Sertularella divaricata LENDENFELD 1885 (d) p. 632. Sertularella johnstoni LENDENFELD 1885 (d) p. 632. Sertularella pygmaea LENDENFELD 1885 (d) p. 632. Sertularella johnstoni MULLER 1885 p. 534. Sertularella capillaris ALLMAN 1886 p. 133, pl. 8, fig. 1-3. Sertularella johnsoni ALLMAN 1886 p. 133. Sertularella johnstoni LENDENFELD 1886 (a) p. 478. Serlularella purpurea LENDENFELD 1886 (a) p. 478. Sertularella divaricata BaLe 1887 p. 94, 107. Sertulurella johnstoni BALE 1887 p. 93, 106-109. Sertularella purpurea BALE 1887 p. 93, 108. Serlularella divaricata LENDENFELD 1887 (c) p. 19. Sertularella johnstoni LENDENFELD 1887 (c) p. 19. Sertularella pygmaea LENDENFELD 1887 (c) p. 19. Sertulariu johnstoni ALLMAN 1888 p. 61. Serlularella divaricata Baue 18838 p. 758, 762. HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 207 Sertularella divaricata var. dubia BALE 1888 p. 761, pl. 16, fig. 1-2. Sertularella divaricata var. sub-dichotoma BALE 1888 p. 758, 761, 762, 766, pl, 16, fig. 3-4. Sertularella johnstoni BALE 1888 p. 761, 762. Symplectoscyphus australis MARKTANNER 1890 p. 235, pl. 4, fig. 9-9 a. Sertularella divaricata MARKTANNER 1890 p. 235. Sertularella johnstoni MARKTANNER 1890 p. 228, 235. Sertularella pygmaea MARKTANNER 1890 p. 226. Sertularia johnstonr PFEFFER 1890 p. 483, 568. Sertularella laevis Bale. Sertularella laevis BALE 1882 p. 24, pl. 12, fig. 6. » » BALE 1884 p. 107. pl. 3, fig. 2, pl. 49, fig. 26. » » LEXDENFELD 1885 (a) p. 417, 624. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 632. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. Sertularella lagena Allman. Voir : Matériaux IV, p. 355. Sertularella lagena KIRCHENPAUER 1884 p. 40, 53. Sertularia lagena PFEFFER 1890 p. 568. Sertularella longitheca Bale. Sertularella longitheca BALE 1888 p. 762, pl. 16, fig. 5-6. Sertularella macrotheca Bale. Sertularella macrotheca BALE 1882 p. 25, pl. 13, fig. 1. » + BALE 1884 p. 107, pl. 3, fig. 4, pl. 19, fig. 24. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 417, 624. » » LENDENFELD 1883 (d) p. 632. ÿ-* | » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. 208 M. BEDOT Sertularella margaritacea Allman. Sertularella margaritacea ALLMAN 1886 p. 133, pl. 7, fig. 3-4. Sertularella microgona Lendenfeld. Sertularella microgona LENLENFELD 1885 (a) p. 416, 623, pl. 7, fig. 1-3. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 631. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 18. î à BALE 1888 p. 745, 763, pl. 16. fig. 8. Sertularella milneana (d’Orbigny). Voir : Matériaux I, p. 105; II, p. 361 et IV, p. 355. Sertularia milneana KIRCHENPAUER 1884 p. 52, 94. Sertularella mulleri Kirchenpauer. Sertularella mulleri KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 50, 54, pl. 16, fig. 7-7 b. » » LENDENFELD 1886 (a) p. 478. Sertularella neglecta Thompson. Voir : Matériaux IV, p. 356. Sertularella neglecta. BALE 1882 p. 19, 24. | » » BALE 1884 p. 110, pl. 3, fig. 3, pl. 19, fig. 22-23. » » KIRCHENPAUER 1884 p. 48, 54. Sertularella sonderi KIRCHENPAUER 1884 p. 50,54, pl. 16, fig. 4-4 b. Sertularella neglecta LENDENFELD 1885 (a) p. 418, 624. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 632. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. » » BALE 1888 p. 765. » » MARKTANNER 1890 p. 224. Sertularella novarae Marktanner. Sertularella novarae MARKTANNER 1890 p. 226, pl. 4, fig. 3-3 b. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Sertularella pallida Püppig. Sertularella pallida » » Sertularella pinnala KIRCHENPAUER PôrpiG Sertularella pinnata Clark. Voir : Matériaux IV, p. 396. KIRCHENPAUER LORENZ MARKTANNER 1884 p. 47, 93. 1886 p. 25, 26. 1890 p. 223, pl. 4, fig. 2. Sertularella polyzonias (Linné). Voir : Matériaux I, p. 473; Il, p. 106; LIT, p. 361 et IV, p. 356. Sertularia polyzontias Serlularia ellisir Sertularella polyzonias D) » Sertularia ellisii Sertularella polyzonius » » » » ) ))) » ) » » Serlularia polyzonias » » Sertularella polyzonias » » Sertularella ellisii Sertularella kerquelensis Serlularella polyzonias BYERLEY HiNcKks LESLIE a. HERDMAN RIDLEY SCHMIDTLEIN \VEISMANN BALE HAMANN SrorRM MaRioN WEISMANN ZELLER BALE BALE CaRus GRÆFFE KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER Rev. Suisse DE Zooc. TL. 24. 1916. 185% p. 104. 1872 (a) p. 118. 1881 p. 13. 1881 (a) p. 104. 1881 p. 172. 1881 (c) p. 17. 1882 p. 15. 1882 (a) pl. 25, fig. 10-11. 1882 p. 20. 1883 (a) p. 108. 1883 p. 165, 221, 252, pl. fig. », pl. 7, fig. 8, 1883 p. 106. 1884 p. 93. 1884 p. 1884 p. 12. 1884 p. 390. 1884 p. 52, 4. 1884 p. 40, 53. 1884 p. 37-40, 42, 49-53. 32, 104, pl. 3, fig. pl. 19, fig. 25. 209 1884 p. 48, 53, pl. 16, fig. 6-6 a. 1884 p. 48. 210 M. BEDOT Sertularella polyzonias forma gracilis KIRCHENPAUER 1884 p. 38. Sertularella polyzontas forma gr'acillima KIRCHENPAUER 1884 p. 38. Sertularella polyzonias PIEPER 1884 p. 185. 188% p. 216. 1884 p. à, pl. 1, fig. 7. 1885 (a) p. 417, 623. RATHBUN a. TARR THoMPsON LENDENFELD » » LENDENFELD 1885 (b) p. 984. ) » LENDENFELD 1885 (d) p. 631. » » PENNINGTON 1885 p. 106, pl. 5. fig. 3. » » THALLWITZ 1885 p. 390, 426. » » HERDMAN 1886 (a) p. 6. » » HERDMAN 1886 (b) p. 330. ») D LENDENFELD 1886 (a) p. 478. » » MEczy, Hicks a. HErDMAN 1886 p. 108. ) » Nicaocs a. HapnoN 1886 p. 615. » » BALE 1887 p. 106. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 19. » » THOMPSON 1887 p. 393, 394. Sertularia polyzonias ALLMAN 1888 p. LVL, LVIII, LXVIT, LXIX, 55, pl. 26, fig. 3, 34. Sertularella polyzonias Bave 1888 p. 763. » » BÉTENCOURT 1888 p. 209. Sertularia ellisii Lo Branco 1888 p. 389. Sertularella polizonias Diuescn 1889 p. 200. Sertulurella polyzonius HaLLEz 1889 p. 40. Sertularia (Sertularella) polyzomas PFEFFER 1889 p. 54. Sertularella polyzonias Secersrent 1889 p. 16, 26. » » BOURNE 1890 (b) p. 396. » » DRIESCH 1890 (c) p. 149 ss. » » MARKTANNER 1890 p. 214, 215, 224, 225. Sertularia polyzonias PFEFFER 1890 p. 483, 567. Sertularia (Sertulurella) polyzonias PFEFFER 1890 p. 519. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 241 Sertularella polyzonias (L.) var. gigantea Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 357. Sertularella polyzonias forma giqantea KIRCHENPAUER 1884 p. 38. Sertularella polyzonias var. gigantea THoMPsoN 1884 p. 6. Cette variété est probablement synonyme de Sertularella qigantea Meresch- kowsky. Sertularella polyzonias (L.) var. robusta Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 357. ? Sertularella polyzonias forma robusta KIRCHENPAUER 1884 p. 38. Sertularella quadricornuta Hincks. Voir : Matériaux IV, p. 357. Sertularella quadricornis THompson 1884 p. 6, pl. 1, fig. 9. Sertularella quadrifida Hartlaub. Thuiaria quadridens ALLMAN 1888 p. LXVIL, LXIX, 66, pl. 31, fig. 2, 2a. Cette espèce n’est pas la même que celle qui a été décrite par Bace (1884) sous le nom de T'huiaria quadridens. HarrLAuB (1901), en a changé le nom pour éviter toute confusion. Sertularella ramosa Thompson. Voir : Sertularella arbuscula. Sertularella reticulata Kirchenpauer. Sertularella reticulata KiIRCHENPAUER 1884 p. 40, 53, pl. 15, fig. 4-4 b. » » LENDENFELD 1886 (a) p. 478. » » BALE 1887 p. 107. 24 M. BEDOT Sertularella rubella Tilesius. Sertularella rubella KIRCHENPAUER 1884 p. 48, 53, pl. 16, fig. 2-2 0. ) ) TILESIUS 1884 p. 48. Sertularella rugosa (Linné). Voir : Matériaux 1, p. 475; Il, p. 107; IL, p. 362 et IV, p. 358. Sertularia rugosa BYERLEY 1854 p. 104. Sertularella rugosa LesLie a. HERDMAN 1881 p. 15. » » STORM 1882 p. 20. Sertularia rugosa BALE 1884 p. 93. ? Sertularella patagonica KIRCHENPAUER 1884 p. 42, 44, 53. Sertularella rugosa KIRCHENPAUER 1884 p. 37, 41-44, 53. » » THOMPSON 1884 p. 6, pl. 1, fig. 12. Sertularella rugosa var. THOMPSON 1884 p. 4,6, pl.1,fig. 10,11, 18. Sertularella rugosa PENNINGTON 1885 p. 107, pl. 6, fig. 1. ) » HERDMAN 1886 (a) p. 8. » » THOMPSON 1887 p. 389, 394. » » BÉTENCOURT 1888 p. 210. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » HoYLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 17, 26. » » MARKTANNER 1890 p. 222. Sertularella secunda Kirchenpauer. Sertularella secunda KIRCHENPAUER 1884 p. 40, 50, 54, pl. 15, fig. 7-7 a. Sertularella limbata ALLMAN 1886 p. 134, pl. 9, fig. 3-4. Sertularella sieboldi Kirchenpauer. Serlularella sieboldi KIRCHENPAUER 1884 p. 49, 50, 54, pl. 16, fig. DENT: Sertularella solidula Bale. Sertularella solidula BALE 1882 p, 24, pl. 12, fig. 8. » » BALE 1884 p. 106, pl. 3, fig. 6, pl. 19, fig. 28. HISTOIRE Sertularella solidula » » » D] )} » LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD BALE DES HYDROÏDES. — V. ie © 1885 (a) p. 417, 624. 1885 (d) p. 631. 1887 (c) p. 19. 1888 p. 764, 765, pl. 15, fig. 3-4. Sertularella spinosa Kirchenpauer. Sertularella spinosa KIRCHENPAUER 1884 p.43, 53, pl. 15, fig. 5,5 a. Sertularella squamata Kirchenpauer. Sertularella squamata KIRCHENPAUER 1884 p. 44, 53, pl. 15, fig. 6-60. Sertularella subdichotoma Kirchenpauer. Sertularella johnstoni var. subdichotoma Sertularella subdichotoma KiRCHENPAUER » » » » KIRCHENPAUER LENDENFELD BALE 1884 p. 46. 1884 p. 46, 54, pl. 16, fig. 1-1 b. 1886 (a) p. 478. 1887 p. 107. Sertularella tenella (Alder). Voir : Matériaux IE, p. 108; LIL, p. 363 et IV, p. 358. Sertularia tenella Sertularella geniculala Sertularella robusta Sertularella tenella » }» Sertularella geniculata Sertularella robusta Sertularella tenella » » » » » » » » » » Sertularella geniculata BALE KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER PENNINGTON LORENZ BALE BÉTENCOURT BALE BÉTENCOURT HALLEZ KIRKPATRICK SEGERSTEDT MARKTANNER 1884 p. 93. 1884 p. 43, 44, 53. 1884 p. 42, 43, 53. 1884 p. 43-45, 53. 1885 p. 108. 1886 p. 25, 26. 1887 p. 102, 106. 1887 p. 67. 1888 p. 703. 1888 p. 210. 1889 p. #0. 1889 p. 446. 1889 p. 17, 26. 1890 p. 222, pl. k, fig. 1. Sertularella tilesii Kirchenpauer. Sertularella tilesii KIRCHENPAUER 1884 p. 39, 33, pl. 15, fig. 3-36. M. BEDOT Sertularella tricuspidata (Alder). Voir : Matériaux I, p. 477; IT, p. 108; III, p. 364 Sertularella tricuspidata Ridcey Sertularia tricuspidata Sertularella tricuspidata Sertularella tricuspidata (Alder) var. Sertularella tricuspidata var. acuminata D ) ) BALE KIRCHENPAUER RATHBUN a. TARR THOMPSON Murpoca PENNINGTON LORENZ BERGH THOMPSON DRIEsCH MARKTANNER KIRCHENPAUER THoMPsoN et IV, p. 359. 1881 p. 455. 1884 p. 94, 1884 p. 45, 104. 46, 47, 53. 1884 p. 216. 1884 p. 4, 6. 1885 p. 166. 1885 p. 107. 1886 p. 26. 1887 p. 335. 1887 p. 387, 389, 394, pl. 14, 1889 p. 200. 1890 p. 222, acuminata Kirchenpauer. 1884 p. 45. 1887 p. 394. Sertularella tridentata (Lamouroux). Voir : Matériaux I, p. 477; Il, p. 117; Lhuiaria lata Sertularia tridentata Thuiaria lata Sertularia tridentata Thuiaria lata Sertularia tridens Sertularia tridentata Sertularia tridens Thuiaria lata lhuiaria diaphana Thuiaria lata Sertularia tridens Thuiaria lata BALE BALE BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD ALLMAN BALE LENDENFELD LENDENFELD IT, p. 364 1882 p. 26, 1884 p. 94, 1884 p. 14, 1885 (a) p. 1885 (a) p. 1885 (b) p. 1885 (b) p. 1885 (d) p. 1885 (d) p. 1886 p. 145 1887 p. 107 et IV,p. 3959, 45, pl. 13, fig. 2. 97. 116, 120, pl. 7, fig. 4. 414, 623. 420, 62%. 985. 985. 666. 634. DUR CIRE ES 1887 (c) p. 44. 1887 (c) p. 21. EL HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Ph Thuiaria hyalina ALLMAN 1888 p. LVII, LXIIT, LXIX, 56, 69, pl. 33, fig. 2, 24. Thuiaria lata KIRKPATRICK 1890 (a) p. 60%. Sertularella trimucronata Allman. Sertularella trimucronataæ ALLMAN 1886 p. 135, pl. 10, fig. 1-2. Sertularella trochocarpa Allman. Sertularella trochocarpa ALLMAN 1886 p. 135, pl. 10, fig. 3-4. » » BALE 1887 p. 109. Sertularella turgida (Trask). Voir : Matériaux IIE, p. 364 et IV, p. 359. Sertularia turgida KIRCHENPAUER 1884 p. 51, 53. Sertularella unilateralis (Lamouroux). Voir : Matériaux Il, p. 108; IT, p. 364 et IV, p. 360. Sertularia unilateralis CouGnTkEY 1876 (a) p. 29. La synonymie de cette espèce qui figure dans les Matériaux IV, p. 360 est inexacte et doit être remplacée par celle que nous donnons ci-dessus. Les 3 cita- tions que nous avions indiquées, soit ALrMAn 1876 (ce) et 1879, et Sruper 1879 ‘se rapportent à Sertularella antarctica. Voir la note à Sertularella allmani. Sertularella variabilis Bale. Sertularella variabilis BALE 1888 p. 764, pl. 15, fig. 5-9. Gen. Sertularia Linné 1748. Voir : Matériaux 1, p. 463; 1, p. 109; I, p. 365 et IV, p. 360. Sertularia abietina Linné. Voir: Abietinaria abietina. 216 M. BEDOT Sertularia acanthostoma Bale. Sertularia acanthostoma BALr 1882 p. 21, 23, pl. 12, fig. 4. » ) BALE 1884 p. 66,85, 86, pl. 4, fig. 7,8. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. ) » LENDENFELD 1887 (c) p. 44. Sertularia actoni Philhppi. Voir : Matériaux ITT, p. 366 et IV, p. 361. La description de cetté espèce est trop incomplète pour qu’on puisse la recon- naître. Nous la mettons dans les espèces indéterminables. Sertularia albimaris Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 364. Sertularia albimaris THOMPSON 1884 p. 3-6, pl. 1, fig. 1-3. » » THoMPsON 1887 p. 388, 394, 395. Sertularia anguina Trask. Voir: Abietinaria anguina. Sertularia annulata Allman. Sertularia annulata ALLMAN 1838 p. LXV, LXVIIT, 52, pl. 24, fig. 2, 24. » » DRiESCH 1889 p. 202. D'après BrzzarD (1910) cette espèce ne serait qu’une variété de la Serlula- rella gayi (Lamouroux) ; il lui donne le nom de var. allmani. Sertularia aperta Allman. Sertularia aperta ALLMAN 1886 p. 138, 150, pl. 13, fig. 1-2. Sertularia arctica Allman. Voir : Matériaux IV, p. 361. Sertularia arctica THOMPSON 1884 p. d. » ) THOMPSON 1887 p. 388, 389, 394, 395, pl. 15, fig. 6-8, pl. 16, fig. 12, 13. | HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Sertularia argentella Pennimgton. Sertularia argentella PENNINGTON 1885 p. 117, pl, 8, fig. 1. Sertularia australis (Kirchenpauer). Voir : Matériaux III, p. 366 et IV, p. 361. Sertularia australis Dynamena australis Sertularia australis » » » » » )) » » )) » BALE BALE BALE LENDENFFLD LENDENFELD BALE LENDENFELD BALE 1882 p. 18. 1884 p. 74. 92. 1884 p. 72, pl. 8, fig. 7-8. 1885 (a) p. 408, 622. 1885 (d) p. 662. 1887 p. 93. 1887 (c) p. 41. 1888 p. 770. Sertularia bicuspidata Lamarck. Voir : Matériaux I, p. 467; LU, p. 410; IL, p. 366 et IV, p. 361. Sertulauria bicornis Serlularia divergens Dynamena divergens Sertularia bicornis Sertuluria bicuspidata Sertularia divergens Sertularia bicuspidata Sertularia divergens Dynamena divergens Sertularia bicornis Sertularia bicuspidata Sertularia divergens Sertularia bicornis Sertularia divergens » » Sertularia bicornis Sertularia divergens BALE BALE BALE BALE BALE BALE CaARUS CARUS P1EPER LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD BALE LENDENFELD LENDENFELD 1882 p. 22, pl. 19, fig. 3 1882 p. 44. 1884 p. 34, 82. 1882 p. 83, 92, pl. 5, fig. 9. 1884 p. 71, 72. 1884 p. 81, 83, 84, 92, pl. 12 1 ig. 3, pl. 19, tig. 16. 1884 p. 14. 1884 p. 14. 1884 p. 186. 1885 (a) p. 410, 623. 1885 (a) p. 408. 1885 (a) p. 410, 623. 1885 (d) p. 663. 1885 (d) p. 664. 1887 p 93. 1887 (c) p. 41. 1887 (c) p. 42. Dans les Matériaux IV, p. 3614, il faut enlever de la synonymie de S. bicus- pidala Y'indication : Sertularia flosculus Thompson 1879, qui doit rentrer dans la synonymie de Sertularia turbinata. 218 M. BEDOT Sertularia bidens Bale. Sertularia bidens BALE 1884 p. 70, 72, 115, pl. 6. fig. (QN à) EL 1e RE le » LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. » » LENDENFELN 1887 (c) p. 43. » » MARKTANNER 1890 p. 228. Sertularia bispinosa (Gray). Voir : Matériaux II, p. 110 ; IT, p. 367 et IV, p. 362. Sertularia bispinosa BALE 1882 p. 17. ? Sertularia pulchella BALE 1882 p. 18, 4>. Sertularia bispinosa BALE 1884 p. 31. 68, 69, pl. 6, fig. 2, pl. 19, fig. 4-5. ? Sertularia pulchella BALE 1884 p. 71, pl. 6, fig. 5, pl. 19, Diphasia symmetrica ? Sertularia pulchella Sertularia bispinosa Diphasia symmetrica Serlularia bispinosa ? Sertularia pulchella Sertularia bispinosa Sertularia unilateralis Serlularia bispinosa » ) Diphasia symmetrica ? Sertularia pulchella Sertularia bispinosa Diphasia symmetrica Sertularia bispinosa ? Sertularia pulchella Serlularia bispinosa LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD ALLMAN ALLMAN BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD BALE BALE MARKTANNER MARKTANNER PFEFFER fig. 10. 1885 (a) p.414, 693, pl. 8, ig. 7. 1885 (a) p. 408, 622. 1885 (a) p. 407, 622, 1885 (d) p. 633. 1885 (d) p. 633. 1885 (d) p. 665. 1886 p. 140. 1886 p. 139, pl. 13, fig. 5-7. 1887 p. 92. 1887 (c) p. 42. 1887 (c) p. 20. 1887 (c) p. 43. 1888 p. 745. 1888 p. 745. 1890 p. 229, 231. 1890 p. 230. 1890 p. 568. Sertularia carolinensis Verrill. Voir : Matériaux IV, p. 362. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 219 Sertularia catena Allman. Sertularia catena ALLMAN 1888 p. LXITI, LXIX, 58, pl. 28, fig. 2, 24. » » DRIESCH 1889 p. 202. Sertularia clausa Allman. Sertularia clausa ALLMAN 1888 p. LXVIL, LXVII, 54, pl. 25, fig. 3, 34. Sertularia complexa Clarke. Voir : Matériaux IV, p. 362. Sertularia compleæa BALE 1888 p. 769, pl. 18, fig. 1-4. Sertularia compressa Mereschkowsky. Voir : Matériaux IV, p. 362. Sertularia conferta (Kirchenpauer). Voir : Matériaux I, p. 367 et IV, p. 362. Sertularia conferta BALE 1884 p. 93, pl. 8, fig. 9 » » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 661. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 40. Dynamena conferta BALE 1888 p. 769. :Sertularia confervaeformis Esper. Voir : Matériaux [, p. 468; IT, p. 111 ; III, p. 367 et IV, p. 363. Sertularia cornicina (Mac Crady). Voir : Matériaux III, p. 367 et IV, p. 363. Dynamena cornicina BROOKS 1882 p. 143. Sertularia crenata Bale. Serlularia crenata BALE 1884 p. 18, 66, 86, pl. 4 fig. 2. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. » » LENDENFELD 1887 (C) p. 44. 220 M. BEDOT Sertularia crinoidea Allman. Sertularia crinoidea ALLMAN 1886 p. 141, pl. 16, fig. 1-2. BizLarD (1910) considère cette espèce comme synonyme de Sertularia mi- nima Thompson. Sertularia cylindritheca Allman. Sertularia cylindritheca ALLMAN 1888 p. LXILL, LXIX, 59/60 pl. 29, fig. 1-1 «. Sertularia digitalis Busk. Voir: Diphasia digitalis. Sertularia dijÿmphnae Bergh. Sertularia dijmphnae BERGH 1887 p. 335, pl. 28, fig. 3 a-c. Sertularia disticha Bosc. Voir : Matériaux I, p. 440 ; IT, p. 67; IL, p. 368 et IV, p. 363. Sertularia disticha CARUS 1884 p. 14. Dynamena disticha PrkPER 1884 p. 186. Sertularia echinocarpa Allman. Sertularia echinocarpa ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 57, 60, pl. 28, fig. 1-1 a. » » DRiEscH 1889 p. 199. ) » PFEFFER 1890 p. 568. Sertularia elongata Lamouroux. Voir : Matériaux I, p. 469; II, p. 112; ILL p. 369 et IV, p. 363. Sertularia elongata BALE 1882 p. 18. ÿ j BALE 1884 p. 31, 33, 72, 73, 97, 115, 116, pl. 6, fig. 7-8, pl. 19, fig. 7. ? Sertularia scandens BALE 1884 p. 97. Sertularia elongata LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622. ? Sertularia scandens LENDENFELD 1885 (a) p. 414, 623. HISTOIRE Sertularia elongata ? Serlularia scandens Sertularia lycopodium Sertularea mille[olium Sertularia elonyata » » Sertularia millefolium LENDENFELD LENDENFELD MÜLLER MÜLLER ALLMAN LENDENFELD LENDENFELD DES HYDROÏDES. — V. 1885 (d) p. 666. 1885 (d) p. 666. 1885 p. 934. 1885 p. 934. 1886 p. 140, pl. 15, fig. 1-6. 1886 (a) p. 480. 1886 (a) p. 480. [Es [De one Sertularia elongata BALE . 1887 p. 106. » » LENDENFELD 1887 (ec) p. 44. ? Sertularia scandens LENDENFELD 1887 (c) p. 44. Sertularia elongata BALE 1888 p. 770. » » MARKTANNER 1890 p. 228, 220, 233. Sertularia abielinoides PrEFFER 1890 p. 568. : ; : : re Sertularia evansi Ellis et Solander. f Voir : Synthecium evansi. Î Sertularia exigua Allman (1877 non 1888). Voir : Matériaux IV, p. 363. 1890 p. 239. Sertularia exiqua MARKTANNER Voir la note à Sertularella gaudichaudi. Sertularia exserta Allman. Sertularia exserta ALLMAN 1888 p. XVII, LXIV, LXIX, 56, ] 70, pl. 27, fig. 1-1c. » » PFEFFER 1890 p. 568. Sertularia filicula Ellis et Solander. Voir: Abietinaria filicula. Sertularia filiformis Allman. Sertularia filiformis (gracilis) ALLMAN Sertularia gracilis Sertularia filiformis ALLMAN DRiescH 1889 p. 199. 1888 p. LVIIT, LXVIT, LXVII. 1888 p. 51, pl. 24, fig. 1, 1a. * vu 1/ [Es] [ee D M. BEDOT Sertularia flexilis Thompson. Voir : Matériaux IV, p. 364. Sertularia fleæilis BALE 1882 p. 18. » » BALE 1884 p. 78, pl. 8, fig. 1. ) ) LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. Sertularia geminata Bale. Sertularia geminata BALE 1884 p. 78, 92, pl. 5, fig. 6-7, pl. 19, fig. 15. ) » LENDENFELD 1885 (a) p. 409. Sertularia germinata LENDENFELD 1885 (a) p. 622. Sertularia geminata LENDENFELD 1885 (d) p. 664. Desmoscyphus orifissus ALLMAN 1886 p. 143, pl. 17, fig. 1-4. Sertularia geminata LENDENFELD 1887 (c) p. 43. Sertularia geniculata Bale. Sertularia geniculata BALE 1888 p. 768, pl. 17, fig. 6-11. Cette espèce ne doit pas être confondue avec la Sertularia geniculata d’ALCMAR, qui est synonyme de Sertularia producta. Sertularia grosse-dentata (Kirchenpauer). Voir : Matériaux IIT, p. 371 et [V, p. 364. Sertularia (Dynamena) grosse-dentata BALE 1882 p. 20. Sertularia grosse-dentata BALE 188% p. 94, pl. 8, fig. 10. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. Sertularia huttoni Marktanner. Sertularia huttoni MARKTANNER 1890 p. 233, pl. 4, fig. 7. [Es] [Er oc HISTOIRE DES HYDROIDES, — V. Sertularia imbricata Busk. Voir: ZThuiaria imbricatu. Sertularia implexa Allman. Sertularia implexa ALLMAN 1888 p. LXVII, LXVIIL 54, pl. 26, fig. 1-1 a. » » PFEFFER 1890 p. 567. Sertularia inconstans Clark. Voir: Abietinaria inconstans. Sertularia insignis Thompson. Voir : Matériaux IV, p. 364. Serlularia insignis | BALE 1882 p. 18. » » BALE 1884 p. 66, 86, pl. 8, fig. 2-3. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. » » LENDENFELD 1887 (C) p. 44. Sertularia integritheca Allman. Sertularia integritheca ALLMAN 1888 p. LXII, LXIX, 60, pl. 29, fig. 2-2 a. Sertularia interrupta Pfeftter. Sertularia interrupla PFEFFER 1889 p. 55. » » PFEFFER 1890 p. 519, 568. Sertularia irregularis Lendenfeld. Sertularia irreqularis LENDENFELD 1885 (a) p.406, 622, pl. 8, fig. 6. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. » » LENDENFELD 1887 (c) p. #2. 224 M. BEDOT Sertularia lamourouxi M. Edwards. Voir : Matériaux I, p. 440 ; Il, p. 67 ; IE, p. 371 et IV, p. 369. Syn.: Sertularia pourtalesi Nutting. Voir : Matériaux IV, p. 366. Sertularia distans FEWKES 1881 (a) p. 128. Diynamena distans BALE 1884 p. 79, 82, 83. Sertularia tenuis BaLe 1884 p. 82, pl. 5, fig. 4, 5; pl pl. 19. fig. 16. Sertularia gracilis CARUS 1884 p. 13. Sertularia secunda CARUS 1884 p. 14. Dynamena distans PIEPER 1884 p. 186, 187. Dynamena secunda PIEPER 1884 p. 186, 187. Sertularia tenuis LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 66%. Sertularia gracilis P&NNINGTON 1885 p. 113. » » MELcy, Hicks a. HEnDMAN 1886 p. 110. Serlularia tenuis BALE 1887 p. 93. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 42. Sertularia distans ALLMAN 1888 p. 50, 51. Serlularia secunda DriescH 1889 p. 213-216, 221, fig. 9 a. Serlularia gracilis HALLEZ 1890 p. 96 Dynamena distans MARKTANNER 1890 p. 239-242, pl. 5, fig. 2-24. Dynamena gracilis MARKTANNER 1890 p. 232, 239, 240, 242, pl. à, fig. 3. » » var. MARKTANNER 1890 p. 241, pl. 5, fig. 4. Dynamena mediterranea MARKTANNER 1890 p. 242, pl. à, fig. 5-d a. Sertularia distans MARKTANNER 1890 p. 239. Sertularia tenuis MARKTANNER 1890 p. 241. Nous admettons pour celte espèce la synonvmie donnée par BizLarp (1906 p. 187) tout en maintenant le nom de S. lamourouxi au lieu de S. distans (voir Matériaux II, p. 371). Les différences que l'on peut constater dans les descriptions des espèces que nous comprenons dans cette synonymie sont dues surtout à l’écartement des hydrothèques et à la longueur des articles dont BicLaRD à montré la grande variabilité. Nous n'avons pas de données précises sur la longueur des hydrothèques, mais, dans tous les cas, ce caractère seul serait à peine suffisant pour permettre d'établir une variété. [Re IN Qt HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. : Sertularia leiocarpa Allman. Sertularia leiocarpa ALLMAN 1888 p. LXIII, LXVII, 52, pl. 25, fig. 1-1 4. Sertularia macrocarpa Bale. Sertularia macrocarpa BALE 1884 p. 80, pl. à, fig. 2, pl. 19, fig. 11. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 664. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 42. » 8 4 MARKTANNER 1890 p. 232. Sertularia maplestonei Bale. Sertularia maplestonei BALE 1884 p. 70, 115, pl. 6, fig. 4, pl.:.19;f028 » » LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. Sertularia mapleslonii LENDENFELD 1887 (c) p. 43. Sertularia maplestonei MARKTANNER 1890 p. 231. Sertularia marginata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 365. Sertularia marginata MARKTANNER 1890 p. 238. Sertularia megalocarpa Allman. Sertularia megalocarpa ALLMAN 1886 p.139, 142, pl. 16, fig. 5-7. Sertularia minima Thompson. Voir : Matériaux IV, p. 365. Sertularia minima BALE 1882 p. 17, 22, 45. Sertularia pumiloides … BALE 1882 p. 21, 45, pl. 12, fig. 2. Sertularia minima BALE 1884 p. 31, 89, 92, pl. 4, fig. 9-10, pl. 19, fig. 19-13. Sertularia pumiloides BALE 1884 p. 90. Sertularia minima LENDENFELD. 1885 (a) p. 411, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 15 226 M. BEDOT ? Sertularia humilis ALLMAN 1886 p. 143. Sertularia minima ALLMAN 1886 p. 138, pl. 13, fig. 3-4. » » BALE 1887 p. 109. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 42. MARKTANNER 1890 p. 226, 231. Sertularia minuta Bale. Sertularia minuta BALE 1882 p. 21, pl. 12, fig. 1. » » BALE 1884 p. 90, pl. 4, fig. 3-4, pl. 19, fig. 14. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 665. » » BALE 1887 p. 110. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. Sertularia mutulata Busk. Voir: Diphasia mutulata. Sertularia operculata Linné. Voir : Matériaux I, p. 441; UT, p. 68; IIL, p. 373 et IV, p. 366. BYERLEY 1854 p. 104. LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16. Sertularia operculata » » BALE 1882 p. 15, 17, 44. Dynamena operculata BALE 1884 p. 73, 94. Sertularia operculata BALE 1884 p. 13, 31, 67, 69, 70, pl. 6,-fig. 4, pl. 19,45 » » CARUS 1884 p. 14. Sertularia serra CaRus 1884 p. 14. Sertularia operculata LENDENFELD 1885 (a) p. 407, 408, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. » » PENNINGTON 1885 p. 113, pl. 7, fig. 3 Sertularia crinis ALLMAN 1886 p. 139, pl. 14. fig 1-2. Sertularia operculata ALLMAN 1886 p. 138, 148. » » HERDMAN 1886 (a) p. 6, 10. » » HERDMAN 1886 (b) p. 330. Meccy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 110. Er Sertularia operculata Dynamena fasciculata Sertularia operculata Voir: Synthecium orthogonium. Sertularia patula » » Sertularia penna » » » NicHozs a. Happon 1886 p. 615. BALE ALLMAN BALE BÉTENCOURT LENDENFELD BÉTENCOURT DRIESCH MARKTANNER PFEFFER HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 1887 p. 92. 1888 p. LVI, LVIIL, LXVII, LXIX, 61, pl. 30, fig. À, 144. 1887 p. 92. 1887 p. 67. 1887 (c) p. 42. 1888 p. 210, 211. 1889 p. 213. 1890 p. 229, 231. 1890 p. 483, 368. Sertularia orthogonia Busk. Sertularia patula Busk. BALE BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD BALE BALE BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD Voir: Sertularia lamourouxi. Voir : Matériaux III, p. 374 et IV, p. 366. 1882 p. 18. 1884 p. 88, 89, pl. 5, fig. 10. 1885 (a) p. 411, 693. 1885 (d) p. 662. 1887 (c) p. #1. 1888 p. 766, 767. Sertularia penna (Kirchenpauer). Voir : Matériaux LIL, p. 374 et IV, p. 366. 1882 p. 18. 1884 p. 74, pl. 8, fig. 5-6. 1885 (a) p. 409, 622. 1885 (d) p. 663. 1887 (c) p. 41. Sertularia pourtalesi Nutting. 228 M. BEDOT Sertularia producta Allman. Sertularia producta [geniculata] ALLMAN 1888 p. LXVI, LXIX, expl. pl. 28, fig. 3. Sertularia geniculata ALLMAN 1888 p. 59, 60, pl. 28, fig. 3-3 b. » » DRIESCH 1889 p. 202. Sertularia pulchella (d’Orbigny). Voir : Matériaux Il, p. 70; III, p. 374 et IV, p. 366. Sertularia pumila Linné. Voir : Matériaux I, p. 442; IT, p. 70; IIE, p. 375 et IV, p. 367. Sertularia pumila LEUCKART 1847 (c) p. 90. » » BYERLEY 1854 p. 104. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16. » » VARENNE 1881 (a) p. 346. VAE » LENZ 1882 p. 177. » » STORM 1882 p. 12, 21, 29. » » VARENNE 1882 (b) p. 637, pl. 33, fig. 3. » » WEISMANN 1883 p. 169, 221, pl. 9, fig. 7-8. » » CARUS 1884 p. 13. Sertularia (Dynamena) pumila KIRCHENPAUER 1884 p. 16. Sertularia pumila PENNINGTON 1885 p. 112, pl. 7, fig. 1. » » HERDMAN 1886 (b) p. 330. » » KÜKENTHAL U. WEISSENBORN 1886 p. 778. » » Mezcy, Hicks a. HErDMAN 1886 p. 109. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 23, 69. » > ta Nicuozs a. HapnoN 1886 p. 615. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » ALLMAN 1888 p. XXXIII, 50, 63, note. » » BÉTENCOURT 1888 p. 212. » » CLARKE 1888 p. 86. » » DRIESCH 1889 p. 213-216, 222, fig. 9 bd. HISTOIRE Sertularia pumila » » Dynamena pumila SEGERSTEDT BOURNE MARKTANNER DES HYDROÏDES. — V. 229 1889 p, 18, 27. 1890 (b) p. 396. 1890 p. 239, pl. 4, fig. 11. Sertularia ramulosa Coughtrey. Sertularia recta » » » ) » » » » Voir : Matériaux IV, p. 368. Sertularia recta Bale. BALE BALE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD 1882 p. 21, 23, pl. 12, fig. 5. 1884 p. 79; 81 (pl eee 1885 (a) p. 410, 622. 1885 (d) p. 66%. 1887 (c) p. 43. Sertularia simplex Lendenfeld. LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 913, 984. 1885 (d) p. 662. 1887 (c) p. 41. Sertularia subcarinata Busk. Voir : Diphasia subcarinata. Sertularia tridentata Busk. Voir : Matériaux II. p. 378 et IV, p. 368. Sertularia tridentata BALE 1882 p. 18. » » BALE 1884 p. 79, pl. 9, fig. 10. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622. » » LENDENFELD 1885 (b) p. 985. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 44. Sertularia trigonostoma Busk. Voir : Matériaux III, p. 378 et IV, p. 368. Sertularia trigonostoma BALE 1884 p. 84, pl. 5, fig. 8. per. » LENDENFELD 1885 (a) p. 410, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 41. 230 M. BEDOT Desmoscyphus obliquus ALLMAN 1888 p. LIX, LXIIT, LXV, LXIX, 72, pl. 34, fig. 3-3 a. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. Sertularia trigonostoma KiRKPATRICK 1890 (a) p. 604. Sertularia trispinosa Coughtrey. Voir : Matériaux IV, p. 368. Sertularia trispinosa RIDLEY 1881 (a) p. 104. » » BALE 1882 p. 17. » » BALE 1884 p. 31, 69, pl. 6, fig. 3, pl. 1908.40: » » LENDENFELD 1885 (a) p. 408, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. » » BALE 1887 p. 92. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 43. » » PFEFFER 1890 p. 483, 568. Sertularia tuba Bale. Sertularia tuba BALE 1884 p. 87, 116, pl. 4, fig. 11, pl 19 he 7: » » LENDENFELD 1885 (a) p. 411, 623. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 663. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 41. » » MARKTANNER 1890 p. 238. Sertularia tumida Allman. Voir : Matériaux IV, p. 368. Sertularia tumida MARKTANNER 1890 p. 239. Sertularia turbinata (L:amouroux). Voir : Matériaux I, p. 445; II, p. 73; I, p. 378 et IV, p. 368. Sertularia flosculus THOMPSON 1879 p. 164%, pl. 17, fig. 2, 2 a. » » BALE 1882 P. 18, Al, Sertularia loculosa BALE 1882 p. 18. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 231 Dynamena marginata BALE 1884 p. 73. Sertularia loculosa BALE 1884 p. 91, 104, pl. 4, fig. 5-6. ne 9 6e. ,42,- pl. 19, fig. 9. Sertularia turbinata BALE 1884 p. 96. Sertularia loculosa LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. Sertularia turbinata LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623. Sertularia loculosa LENDENFEILD 1885 (d) p. 664. Sertularia turbinata LENDENFELD 1885 (d) p. 661. Serlularia amplectens ALLMAN 1886 p. 141, pl. 16, fig. 3-4. Sertularia loculosa BALE 1887 p. 93. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 42. Sertularia turbinata LENDENFELD 1887 (c) p. 40. Desmoscyphus gracilis ALLMAN 1888 p. LIX, LXII, LXIX, 71, pl. 34, fig. 2-2 c. Sertularia loculosa BALE 1888 p. 770. Dynamena marginata DRIESCH 1889 p. 215. Nous avons admis, pour cette espèce, la synonymie donnée par BILLARD (1910 p. 19). Sertularia unguiculata Busk. Voir : Matériaux II, p. 379 et IV, p. 369. Sertularia unquiculata BALE 1882 p. 45. Thuiaria ambiqua BALE 1882 p. 19, 45. Sertularia unguiculata BarE 1884 p. 31, 76, 92, pl. 6, fig. 9-12, pl. 19, fig. 8. Thuiaria ambiqua KINCHENPAUER 1884 p. 25, 28. Sertularia unguiculata LENDENFELD 1885 (a) p. 409, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 664. Desmoscyphusunquiculata ALLMAN 1886 p. 144. pl. 17, fig. 5-7. l'huiaria ambiqua LENDENFELD 1886 (a) p. 479. Sertularia unguiculata LENDENFELD 1887 (c) p. 43. » » MARKTANNER 1890 p. 231. Sertularia variabilis Clark. Voir: Abietinaria variabilis. [E) Qc [Re M. BEDOT Gen. Silicularia Meyen 1834. Voir : Matériaux IL, p. 117; ILE, p. 379 et IV, p. 369. On devra mettre dans ce genre les espèces que nous avons main- tenues provisoirement dans le genre Æypanthea. Silicularia rosea Meyen. Voir : Matériaux Il, p. 118; III, p. 379 et IV, p. 369. Gen. Solanderia Duchassaing et Michelin 1846. Voir : Matériaux IE, p. 379 et IV, p. 369. Voir la remarque au genre Ceratella. Solanderia fusca (Gray). Syn. : Ceratella fusca Gray. Voir : Matériaux II, p. 262 et IV, p. 270. Ceratella fusca BALE 1884 p. 48, 49, 50. 5 » LENDENFELD 1885 (a) p. 612, 631. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 667. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 45. » » BALE 1888 P. 745, 748. Solanderia gracilis Duchassaing et Michelin. Voir : Matériaux IIT, p. 380 et IV, p. 369. Solanderia labyrinthica (Hyath). Ceratella labyrinthica HyaTH 1877 p. 551. Solanderia procumbens (Carter). Syn. : Ceratella procumbens Carter. Voir : Matériaux IV, p. 270. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Solanderia spinosa (Carter). Syn. : Ceratella spinosa Carter. Voir : Matériaux IV, p. 270. Gen. Statocodium Allman 1871. ALLMAN (1871, p. 279, note) indiquait ce nom comme pouvant, au besoin, être donné aux Syncorynes qui se reproduisent soit par gonophores fixés, soit par méduses. Ce nom n’a pas été adopté. Gen. Stauridium Dujardin 1843. Voir : Matériaux II, p. 119; II, p. 380 et IV, p. 369. Stauridium productum Wright. Voir : Matériaux III, p. 380 et IV, p. 369. Stauridium productum » » Stauridia producta Stauridium productum » » Stauridia producta Stauridium productum » » » » Gen Du PLessis LESLIE u. HERDMAN 1881 p. CARUS 1884 p. PENNINGTON 1885 p. KËKENTHAL U. WEISSENBORN 1886 p. Du PLEssIs 1888 p. Lo Bianco 1888 p. M'Inrosx 1889 p. M'INTosH 55. pl. 3, fig. 3. 778. D37. 389. 273. 1890 (b) p. 299. . Staurocoryne Rotch 1872. Voir : Matériaux IV, p. 370. Staurocoryne wortleyi Rotch. Voir : Matériaux IV, p. 370. 1881 (a) p. 145, ex. syn. pp. ? 234 M. BEDOT Gen. Staurotheca Allman 1888. SCHNEIDER (1897, p. 527), considère ce genre comme synonyme de Selaginopsis, mais BILLARD (1910, p. 29) a montré qu’il devait être maintenu. Staurotheca dichotoma Allman. Staurotheca dichotoma ALLMAN 1888 p. LXIV, LXIX, 76, pl. 36, fig. 1-1 a. » » PFEFFER 1890 p. 568. Gen. Streptocaulus Allman 1883. Streptocaulus pulcherrimus Allman. Streptocaulus pulcher- TiMUS ALLMAN 1883 p. 15, 48, pl. 16, fig. 1-3. » » ALLMAN 1885 p. 751, fig. 264. » » QuELCH 1885 (a) p. 11, pl. 1, fig. 5. » » ALLMAN 1888 p. LXHH, LXIX. » » DRIESCH 1890 (b) p. 676. Gen. Stylactella Hæckel 1889. Stylactella abyssicola Hæckel. Stylactella abyssicola HÆCKEL 1889 p. 79, 81, pl. 2, fig. 7. Stylactis abyssicola HÆCKEL 1889 p. 76. Stylactella spongicola Hæckel. Stytactella spongicola HÆCKEL 1889 p. 79, 80, pl. 2, fig. 5, 6. Stylactis spongicola HÆCKEL 1889 p. 76. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 235 Stylactella vermicola (Allman). Stylactis vermicola ALLMAN 1888 p. LXVI, LXVIIL, 2, pl. 1, fig. 2,24. Stylactella vermicola HÆCKEL 1889 p. 79. Stylactis vermicola HÆCKEL 1889 p. 78, 79, 80. Gen. Stylactis Allman 1864. Voir : Matériaux LIT, p. 381 et IV, p. 370. Stylactis arge Clarke. Stylactis arge CLARKE 1882 p. 135, 138, pl. 8, fig. 18-20. Stylactis fucicola (Sars). Voir : Matériaux III, p. 381 et IV, p. 370. Stylaclis fucicola CARUS 1884 p. 3. Stylactis inermis Allman. Voir : Matériaux LL, p. 381 et IV, p. 370. Stylactis inermis Du PLEssis 1888 p. 541. » » CARUS 1884 p. 3. Stylactis sarsi (Sars). Voir : Matériaux IE, p. 381 et IV, p. 370. Gen. Symplectoscyphus Marktanner 1890. SCHNEIDER (1897, p. 525) a montré que ce genre ne pouvait pas être maintenu et tombait en synonymie de Sertularella. HARTLAUB (1901) et BILLARD (1910) ont adopté cette opinion. 236 M. BEDOT Gen. Syncoryne Ehrenberg 1834-Allman 1864. Voir : Matériaux IL, p. 119 ; IL, p. 381 et IV, p. 370. Syncoryne clavata Grætte. Syncoryne clavata GRÆFFE 1884 p. 351. GRærFE admettait que la méduse de cette Syncoryne était la Sarsia clavata de KEFERSTEIN, mais HarrLAuB (1907) croit qu’il s’agit plutôt de la Dipurena dolichogaster Hæckel. Nous la laisserons figurer dans les méduses. Syncoryne decipiens Dujardin. Voir : Matériaux If, p. 119; IE, p. 381 et IV, p. 370. Syncoryne decipiens Leslie a. HERDMAN 1881 p. 9. » » PENNINGTON 1885 p. 90. » » M’Ixrosa 1887 (b) p. 99, 100. » » M'INTrosH 1890 (b) p. 299. Syncoryne eximia Allman. Voir : Matériaux IIT, p. 382 et IV, p. 371. ? Syncoryne eximia Du PLessis 1881 (a) p. 144. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8. » » STORM 1882 p. 7. » » PENNINGTON 1885 p. 49. » » HADDON 1886 (a) p. 524. » » BéTENCOURT 1887 p. 66. » » BÉTENCOURT 1888 p. 203. Sarsia eximia DacLa Torre 1889 p. 95. Syncoryne eximia M'Inrosx 1889 p. 273. » » BOoURNE 1890 (b) p. 392. » » M’INrosH 1890 (b) p. 299. Syncoryne ferox (Wright). Voir : Matériaux Il, p. 383 et IV, p. 374. Syncoryne ferox LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 9. » » PENNINGTON 1885 p. 91. HISTOIRE DES HYDROÏDES, Le 257 Syncoryne frutescens Allman. Voir : Matériaux III, p. 383 et IV, p. 371. Syncoryne frutescens PENNINGTON 1885 p. 51. Syncoryne glandulosa Dujardin. Voir : Matériaux II, p. 119; III, p. 383 et IV, p. 371. Syncoryne græfjei (Jickeli). Coryne graeffei JICKELI 1883 p. 607, 668, 670, pl. 26, fig. 11-22, pl. 28, fig. 4. » » GRÆFFE 1884 p. 352. Syncoryne (Coryne) graeffei GRÆFFE 1884 p. 392. Syncoryne gravata (Wright). Voir : Matériaux LIL, p. 383 et IV, p. 371. Syncoryne gravata LEsLiE a. HERDMAN 1881 p. 9. » » PENNINGTON 1883 p. 50. Syncoryne loveni Sars. Voir : Matériaux II, p. 120 ; I, p. 384 et IV, p. 371. Syncoryne loveni WEISMANN 1883 p. 56. Syncoryne minima (Lendenfeld). Sarsia minima LENDENFELD 1885 (a) p. 584, 628, pl. 21, fig. 34, 35. » » LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 945. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 649. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. Syncoryne mirabilis (L. Agassiz). Voir : Matériaux II, p. 120; III, p. 385 et IV, p. 372. Sarsia mirabilis FEWKES 1881 (b) p. 141, 148, 155, pl. 3, fig. 11, 12. Syncoryne mirabilis CLARKE 1882 p. 138. » » WEISMANN 1883 p. 96. 238 M. BEDOT Sarsia mirabilis FEWKES 1888 (a) p. 224, 225. » » FEWKES 1889 {c) p. 598. Syncoryne occidentalis Fewkes. Syncoryne occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 99, pl. 3, fig. 2, 3. Syncoryne pulchella Allman. Voir : Matériaux IL, p. 132; IIL, p. 386 et IV, p. 372. ? Syncoryne pulchella Du Pcessis 1881 (a) p. 144. Codonium pulchellum CARUS 1884 p. 20. Syncoryne pulchella LENDENFELD 1884 (c) p. 585. » » PENNINGTON 1885 p. d0. » » Du PLESsIs 1888 p. 535. Sarsia (Codonium) pulchella MIxrosa 1889 p. 272. » » M’INTosH 1890 (b) p. 299. Syncoryne radiata (Lendenfeld). Sarsia radiata LENDENFELD 1884 (c) p. 584 ss. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 583, 628, pl. 20, fig. 31, 32. » » LENDENFELD 1885 (c) p. 637, pl. 30. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 649. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. Syncoryne reticulata (A. Agassiz). Voir : Matériaux III, p. 386 et IV, p. 372. ? Ectopleura turricula FEWKES 1882 (b) p. 296. ? Sarsia turricula FEWKES 1882 (b) p. 296. Syndictyon reticulatum WAGNER 1885 p. 75. Syncoryne rosaria (L. Agassiz). Voir : Matériaux IV, p. 372. Sarsia rosaria FEWKES 1885 (b) p. 164, 165. Syncoryne rosaria FEWKES 1889 (b) p. 100, pl. 4, fig. 1-4. HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 239 Sarsia rosaria FEWKES 1889 (c) p. 597. (Sarsia)Syncorynerosaria FEWKES 1889 (c) pl. 25, fig. 7. Syncoryne FEWKES 1889 (c) p. 598, fig. 8, 9. Syncoryne sarsi Lovén. Voir : Matériaux IT, p. 120; LIL, p. 386 et IV, p. 373. Syncoryne sarsi LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 8. » » HaAMaNN 1882 (a) p. 524, pl. 20, fig. 11. » » HAMANN 1882 (b) (pas de page), pl. 26, fig. 21. » » LENZ 1882 p.171, 177. » » STORM 1882 p. 29. » » WEISMANN 1883 p. 55 ss., 216, 245. » » THOMPSON 1884 p. 4, 8. » » PENNINGTON 1885 p. 49. » » BÉTENCOURT 1888 p. 203. » » SEGERSTEDT 1889 p. 7, 23. Gen. Synthecium Allman 1871. Voir : Matériaux IIL, p. 387 et IV, p. 373. Synthecium alternans Allman. Synthecium alternans ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 79, 80, pl. 37, fig. 2-2 4. Sertularella cylindrica BALE 1888 p. 765, pl. 16, fig. 7. Synthecium campylocarpum Allman. Synthecium campylo- carpum ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 78, 80, pl. 37, fig. 1-10. » » MARKTANNER 1890 p. 214, 248. Synthecium elegans Allman. Voir : Matériaux III, p. 387 et IV, p. 373. Synthecium elegans LENDENFELD 1885 (a) p. 909, 943. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 631. » » ALLMAN 1886 p. 137, 138. 240 M. BEDOT Synthecium ramosum ALLMAN 1886 p. 137, pl. 12, fig. 3-4. Synthecium elegans LENDENFELD 1887 (c) p. 18. » » ALLMAN 1888 p. 78, 79. Synthecium ramosum ALLMAN 1888 p. 78. Synthecium elegans MARKTANNER 1890 p. 224, 248. Synthecium evansi (Ellis et Solander). Syn. Sertularia evansi Ellis et Solander. Voir : Matériaux I, p. 440; IT, p. 68; II, p. 369 et IV, p. 363. Sertularia tubulosa CaRus 1884 p. 13. Dynamena tubulosa ALLMAN 1886 p. 137. » » BALE 1888 p. 766. Sertularia tubulosa DRIESCH 1889 p. 213, 215. Synthecium evansi MARKTANNER 1890 p. 248. Synthecium orthogonium (Busk). Syn. : Sertularia orthogonia Busk. Voir : Matériaux IIL, p. 374 et IV, p. 366. Sertularia orthogonia BALE 1884 p. 88, pl. 9, fig. 11. » » LENDENFELD 1885 (a) p. #11, 623. : » » LENDENFELD 1885 (d) p. 662. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 41. » » BALE 1888 p. 766. » » BALE 1888 p. 767, pl. 17, fig. 1-5. Synthecium orthogonium KiRKPATRICK 1890 (a) p. 604. Sertularia orthogonia MARKTANNER 1890 p. 248. Synthecium sertularioides (Lamouroux). Voir : Matériaux IV, p. 373. Sertularia sertularioides BALE 1884 p. 96. Sertularia tubiformis BALE 1884 p. 95, pl. 8, fig. 12. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 412, 623. Sertularia typica LENDENFELD 1885 (a) p. 413, 623. Sertularia tubiformis LENDENFELD 1885 (d) p. 662. Sertularia typica LENDENFELD 1885 (d) p. 662. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 241 Sertularia tubiformis LENDENFELD 1887 (c) p. #1. Sertularia typica LENDENFELD 1887 (c) p. 41. Dynamena tubiformis MARKTANNER 1890 p. 248. Synthecium tubithecum (Allman). Voir : Matériaux IV, p. 374. Sertularia tubitheca FEWKES 1881 (a) p. 128. » » MARKTANNER 1890 p. 214, 248. Gen. Thecocladium Allman 1886. BILLARD (1910, p. 12) fait rentrer la seule espèce connue de ce genre, T°. flabellum, dans le genre Sertularella. Thecocladium flabellum Alman. Thecocladium flabellum ALLMAN 1886 p. 149, pl. 19, fig. 4-5. » » ALLMAN 1888 p. LXIIL, LXIX, 81, pl. 38, fig. 1-4. » » MARKTANNER 1890 p. 244. Gen. Thimaria Armstrong 1879. Voir : Matériaux IV, p. 375. STECHOW (1913) croit que ce genre est synonyme d’Zdia. Il suppose que le nom de Thimaria est dù à une faute d'impression pour Thuiaria. Thimaria compressa Armstrong. Voir : Matériaux IV, p. 375. Thimaria compressa BALE 1884 p. 31, 113. Gen. Thuiaria Fleming 1828. Voir : Matériaux I, p. 478; II, p. 121; Il, p. 388 et IV, p. 375. Thuiaria acutiloba Püppig. Thuiaria acutiloba KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28, pl. 12, fig. 2. » » PôPpr& 1884 p. 19. Rev. Suisse DE Zooz. TL. 24. 1916. 16 242 M. BEDOT Thuiaria annulata Kirchenpauer. Thuiaria annulata KIRCHENPAUER 1884 p. 26, pl. 13, fig. 5. Thuiaria argentea (Linné). Voir : Matériaux IL, p. 121 ; II, p. 388 et IV, p. 379. Sertularia argentea BYERLEY 1854 p. 104. » » LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 16. » » LELLER 1883 p. 106. » » CaARuUS 1884 p. 14. » » KIRCHENPAUER 1884 p. 17. » » PIEPER 1884 p. 185. » » REES 1884 p. 583. Thuiaria (Sertularia) argentea YHOMPSON 1884 p. 4, 5. Sertularia argentea GADEAU DE KERVILLE 1885 p. 178. » » PENNINGTON 1885 p. 115, pl. 7, fig. 2. » » HERDMAN 1886 (b) p. 330. » » Meczy, Hicks a. HerDMAN 1886 p. 110. » » BERG 1887 p. 339. » p. BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » THOMPSON 1887 p. 387, 396, 398. Thuiaria argentea THOMPSON 1887 p. 397. Thuiaria argentea var. THOMPSON 1887 p. 398, pl. 21, fig. 23, 24. Thuiaria (Sertularia) argentea THOMPSON 1887 p. 396, 398. Sertularia argentea ALLMAN 1888 p. 65, 67. » » BÉTENCOURT 1888 p. 211. » » CLARKE 1888 p. 85, 86, fig. 78. » » DRIESCH 1889 p. 200, 204, 206, 221. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » HOYLE 1889 p. 460. » » SEGERSTEDT 1889 p. 22. » » BouRNE 1890 (b) p. 396. » » MARKTANNER 1890 p. 223, 229, 230, 232, 233. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — v. 243 Thuiaria articulata (Pallas). Voir : Matériaux I, p. 467; II, p. 122; IN, p. 389 et IV, p. 376. Syn.: Thuiaria persocialis Allman. Thuiaria articulata Thuiaria lonchitis Thuiaria neglecta Thuiaria personalis Thuiaria neglecta Thuiaria articulata » » Thuiaria persocialis Thuiaria articulata » » » » » » » » » » Thuiaria pectinata Thuiaria persocialis Thuiaria articulata Thuiaria lonchitis Thuiaria articulata » )» Thuiaria lonchitis var. Voir : Matériaux IV, p. 379. BYERLEY LESLIE à. HERDMAN STORM QUELCH Carus KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER PôppiG THOMPSON THOMPSON THOMPSON R&ES PENNINGTON MEeccy, Hicks a. HERDMAN STUXBERG BERGH THOMPSON ALLMAN ALLMAN DRIESCH SEGERSTEDT BOURNE MARKTANNER MARKTANNER 1854 p. 1881 p. 1882 p. 1883 p. 1884 p. 188% p. 1884 p. 1884 p. 1884 p. 1884 p. 1884 p. 1884 p. 1884 p. 1884 p. 1885 p. 1886 p. 1886 p. 1887 p. 1887 p. 1888 p. 1888 p. 1889 p. 1889 p. 104. ET: 21. 248. 15. 17, 22, 26, 28, pl. 14, fig. 8. 22, 24, 28, pl. 14, fig. 7. 27. 28. 27. h. &, pl. 1, fig. 14, 15. >. D82. 119. 111. 165, 186. 337. 387, 396. LXIIT, LXIX, 69. pl. 33, fig. 1-1 a. 76. 209. 19, 27. 1890 (b) p. 397. 1890:p. 1890 p. 233, 236. pl. 5, fig. 1. 236. Thuiaria cartilaginea Kirchenpauer. Thuiaria cartilaginea » » KIRCHENPAUER MÜLLER 1884 p. 1885 p. 25, pl. 13, fig. 2. 534. 244 M. BEDOT Thuiaria cartilaginea LENDENFELD 1886 (a) p. 479. » » BALE 1887 p. 106, 107. Thuriaria coronata Allman. Voir: Thuiaria coronifera. Thuiaria coronifera Allman. Voir : Matériaux IV, p. 376. Syn. : Thuiaria coronata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 376. Thuiaria coronata KIRCHENPAUER 1884 p. 28. Thuiaria coronifera KIRCHENPAUER 1884 p. 19. Thuiaria crassicaulis Allman. Voir : Matériaux 1V, p. 376. Thuiaria crassicaulis KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28. Thuiaria crisioides (Lamouroux). Voir : Matériaux II, p. 123; LI, p. 390 et IV, p. 377. Dynamena crisioides BALE 1884 p. 117. Thuiaria crisioides BALE 1884 p. 117. » » KIRCHENPAUER 1884 p. 24, 28. Dynamena crisioides BALE 1887 p. 107. Sertularia crisioides BALE 1887 p. 107. » » BALE 1888 p. 773. Thuiaria cupressina (Linné). Voir : Matériaux IT, p. 193 ; IIL, p. 390 et IV, p. 377. Sertularia cupressina BYERLEY 1854 p. 104. » » LesLie a. HERDMAN 1881 p. 16. » » REES 1884 p. 583. Thuiaria (Sertularia) cupressina THUMPSON 1884 p. 5. Sertularia cupressina PENNINGTON 1885 p. 116. » » VERRILL 1885 (a) p. 537. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 245 Sertularia cupressina Meccy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 114. » » BÉTENCOURT 1887 p. 67. » » THOMPSON 1887 p. 387, 396, 398. Thuiaria (Sertularia) cupressina - THOMPSON 1887 p. 396-398, pl. 20, fig. 19. Sertularia cupressina ALLMAN 1888 p. 65. Thuiaria cupressina ALLMAN 1888 p. LVI, LXII, LXIX, 67, pl. 32, fig. 1-1 c. Sertularia cupressina BÊTENCOURT 1888 p. 210, 211. » » DRIESCH 1889 p. 200, 202,205, 224, fig. 4, 5. » » HALLEZ 1889 p. 40. » » BOURNE 1890 (b) 396. » » MARKTANNER 1890 p. 230, 232, 233. Thuiaria cupressoides (Lepechin). Voir: Matériaux I, p. 469: II, p. 1424; III, p. 391 et IV, p. 377. Thuiaria cupressoides KIRCHENPAUER 1884 p. 18, 28, pl. 12, fig. 1. » De THOMPSON 1887 p. 387. Thuiaria (Sertularia) cupressoides THOMPSON 1887 p. 396. Thuiaria dalli Nutting. Voir : Matériaux IV, p. 377. Thuiaria distans Allman. Voir : Matériaux IV, p. 378. Thuiaria distans KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28. Thuiaria dolichocarpa Allman. Voir: Thuiaria zelandica. Thuiaria doliolum Püppig. Thuiaria doliolum KIRCHENPAUER 1884 p. 27, 28, pl. 13, fig. 4. » » PôPpiG 1884 p. 27. 246 M. BEDOT Thuiaria elegans Kirchenpauer. Thuiaria elegans KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 28, pl. 12, fig. 5. Thuiaria fabricii Levinsen. Voir : Matériaux II, p. 124; IT, p. 391 et IV, p. 378. Thuiaria flexilis Allman. Voir : Matériaux IIf, p. 392 et IV, p. 378. Thuiaria gigantea Clark. Voir : Matériaux IV, p. 378. Thuiaria gigantea KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 28. Thuiaria heteromorpha Allman. Thuiaria heteromorpha ALLMax 1886 p. 147, pl. 20, fig. 1-5. Thuiaria polymorpha ALLMAN 1886 p. 149. Thuiaria hippuris Allman. Voir : Matériaux IV, p. 378. Thuiaria hippuris KIRCHENPAUER 1884 p. 19, 28. Thuiaria imbricata (Busk). Syn. : Sertularia imbricata Busk. Voir : Matériaux III, p. 371 et IV, p. 364. Thuiaria imbricata KIRCHENPAUER 1884 p. 18, 28, pl. 12, fig. 3. Thuiaria interrupta Allman. Thuiaria interrupta ALLMAN 1886 p. 145, pl. 16, fig. 8-10. Thuiaria latiuscula (Stimpson). Voir : Matériaux IIL, p. 392 et IV, p. 379. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 2417 Thuiaria laxa Allman. Voir : Matériaux II, p. 392 et IV, p. 379. Thuiaria laxa KiRCHENPAUER 1884 p. 20, 28. » » THOMPSON 1884 p. 4. Thuiaria lichenastrum (Pallas). Voir : Matériaux I, p. 472; II, p. 125; III, p. 392 et IV, p. 379. Thuiaria lichenastrum KiRCHENPAUER 1884 p. 23, 26, 28, pl. 13, fig. 1. » » LENDENFELD 1886 (a) p. 479. » » BALE 1887 p. 107. Thuiaria monilifera (Hutton). Voir : Matériaux [V, p. 379. Thuiaria cerastium KIRCHENPAUER 1884 p. 20, 28. » » LENDENFELD 1886 (a) p. 479. Thuiaria monilifera BALE 1887 p. 102, 103. Thuiaria cerastium BALE 1887 p. 103. Thuiaria persocialis Allman. Voir: Thuiaria articulata. Thuiaria pinnata Allman. Voir : Matériaux IV, p. 379. Thuiaria pinnata FEWKES 1881 (a) p. 128. » » KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28. Thuiaria plumosa Clark. Voir : Matériaux IV, p. 380. Thuiaria plumosa KIRCHENPAUER 1884 p. 21. » » THOMPSON 1887 p. 387, 389, 396-398, pl. : 18, fig. 16, pl. 21, fig. 26-27. 248 M. BEDOT Thuiaria plumulifera Allman. . Noir : Matériaux IV, p. 380. Thuiaria plumulifera KIRCHENPAUER 1884 p. 25, 28. » » BERGH 1887 p. 336. Thuiaria polycarpa Püppig. Thuiaria polycarpa KIRCHENPAUER 1884 p. 27, 28, pl. #3, fig. 3. » » PôPpiG 1884 p. 27. Thuiaria quadridens Bale. Thuiaria quadridens BALE 1884 p. 119, pl. 7, fig. 5-6. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 420, 624. » » LENDENFELD 1885 (b) p.909, 915, pl. 40, fig.9. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 634. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 21. Thuiaria vincta ALLMAN 1888 p. LXV, LXIX, 68, pl. 32, fig. 2, 24. Thuiaria quadridens BALE 1888 p. 772. Thuiaria vincta KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. Thuiaria ramosissima Allman. Thuiaria ramosissima ALLMAN 1886 p. 146, pl. 18, fig. 4-5. » » THOMPSON 1887 p. 396. Thuiaria robusta Clark. Voir : Matériaux IV, p. 380. Thuiaria robusta KIRCHENPAUER 1884 p. 21, 22, 28. » » … Taompsox 1887 p. 387, 389, 396-398, pl. 19, fig. 17, pl. 21 fig. 25. Thuiaria salicornia Allman. Voir : Selaginopsis salicornia. Thui » HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Thuiaria sertularioides Allman. Voir : Matériaux LV, p. 380. aria sertularioides ALLMAN 1888 p. 65, note. » MARKTANNER 1890 p. 242. Thuiaria similis Clark. Voir : Matériaux IV, p. 380. Thuiaria (Sertularia) Thui Thuiaria stelleri » similis THOMPSON Thuiaria sinuosa Bale. aria Sinuosa BALE T'huiaria stelleri Tilesius. KIRCHENPAUER » TILESIUS 1884 p. 20. Thuiaria subarticulata Coughtrey. Voir : Matériaux IV, p. 380. 1887 p. 387, 396. 1888 p. 772, pl. 18, fig. 9-10. 1884 p. 20, 28, pl. 12, fig. 4. Thuiaria bidens Thuiaria bipinnata Thuiaria subarticulata KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KiRCHENPAUER 1884 p. 24, 26, 28. 1884 p. 95. 1884 p. 24, 28. 1885 (a) p. 406, 622, pl. 7, fig. Sertularia fertilis LENDENFELD k, 5. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 666. Thuiaria bidens LENDENFELD 1886 (a) p. 479. Thuiaria subarticulata LENDENFELD 1886 (a) p. 479. Thuiaria bidens BALE 1887 p. 103. Thuiaria subarticulata BALE 1887 p. 102, 103. Sertularia fertilis LENDENFELD 1887 (c) p. #4. » » BALE 1888 p. 746. Thuiaria subarticulata Barr 1888 p. 746, pl. 18, fig. 5-8. 250 Sertularia tenera M. BEDOT Thuiaria tenera (G.-0. Sars). Voir : Matériaux IV, p. 381. THOMPSON THOMPSON SEGERSTEUT MARKTANNER 1884 p. à. 1887 p. 388, 389, 395, pl. 15, fig. 9-11. 1889 p. 18, 27. 1890 p. 230, 246. Thuiaria tetracythara (Lamouroux). Voir : Matériaux III, p. 392 et IV, p. 381. Salacia tetracyttara Thuiaria fenestrata ; Salacia tetracyttara Thuiaria fenestrata » » BALE BALE LENDENFELD LENDENFELD BALE LENDENFELD BALE BALE KIRKPATRICK 1884 p. 118, 119. 1884 p. 116, 118, pl. 7, fig. 7, pl. 9, fig. 14. 1885 (a) p. 420, 624. 1885 (d) p. 634. 1887 p. 107. 1887 (c) p. 21. 1888 p. 773. 1888 p. 772, 773. 1890 (a) p. 604. Thuiaria thuiarioides Clark. Voir : Matériaux IV, p. 381. Sertularia thuiaroides THOMPSON Thuiaria thuja Thujaria thuja 1887 p. 387, note. Thuiaria thuja (Linné). Voir : Matériaux I, p. 476; II, p. 125; II, p. 393 et IV, p. 381. DANIELSSEN FEWKES LESLIE a. HERDMAN STORM QuEeLcH CaARUS KIRCHENPAUER PENNINGTON THoMPsON DRiEscH 1861 p. 47. 1881 (a) p. 135. 1881 p. 17. 1882 p. 21, 27, 29. 1883 p. 248. 1884 p. 15. 1884 p. 18, 22. 1885 p. 119, pl. 9, fig. 1. 1887 p. 396. 1889 p. 200, 206, 209, 210, 221, 295, fig. 6. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — Thuiaria thuja SRGERSTEDT 1889 p. » » MARKTANNER 1890 p. Thuiaria turgida Clark. Voir : Matériaux IV, p. 381. Thuiaria turgida KIRCHENPAUER 1884 p. » » TuompsoN 1887 p. [Se Qt ES Mo 19/27, 237. 19, 24, 28. 387, 389, 396, 398, pl. 17, fig. 14-15. Thuiaria vegæ Thompson. Thuiaria vegae THOMPSON 1887 p. Thuiaria zelandica Gray 387, 389, 397, 398, pl. 20, fig. 18, 20-22. Voir : Matériaux [f, p. 126; III, p. 393 et IV, p. 382. Syn.: Thuiaria dolichocarpa Allman. Voir : Matériaux III, p. 378. Thuiaria dolichocarpa Quercx 1883 p. Thuiaria zelandica QueLca 1883 p. » » KIRCHENPAUER 1884 p. Thuiaria hippisleyana ALLMAN 1886 p. Thuiaria dolichocarpa BALE 1887 p. Thuiaria zelandica BALE 1887 p. 248. 247, 88. 28. 146, pl. 19, fig. 1-3. 102, 108. 108. Thuiaria zelandica Gray var. valida Quelch. Thuiaria zelandica var. valida QueLcH 1883 p. 249. Gen. Thyroscyphus Allman 197%: Voir : Matériaux III, p. 393 et IV, p. 382. Thyroscyphus ramosus Allman. Voir : Matériaux IV, p. 382. Thyroscyphus ramosus ALLMAN 1888 p. » » DRIESCH 1889 p. » » MARKTANNER 1890 p. LXIIT, LXVIII, 24, pl. 12, fig. 2, 2a. 198. 210. 252 M. BEDOT Thyroscyphus simplex (Lamouroux). Voir : Matériaux II, p. 393 et IV, p. 382. Thyroscyphus torresi (Busk). Syn.: Laomedra torresi Busk. Voir : Matériaux IIL, p. 325 et IV, p. 317. Campanularia torresi BALE 1884 p. 52, pl. 2, fig. 3. Laomedea torresi LENDENFELD 1885 (a) p. 403, 622. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 629. » » LENDENFELD 18872/0)1p 47e Thyroscyphus simplexæ ALLMAN 1888 p. LXV, LXVIIT, 25, pl. 43, fig. 1-2. » » DRIESCH 1889 p. 198. » » KIRKPATRICK 1890 (a) p. 60%. Campanularia toresi KIRKPATRICK 1890 (a) p. 604. Thyroscyphus vitiensis Marktanner. Thyroscyphus vitiensis MARKTANNER 1890 p. 210, pl. 3, fig. 10. Gen. Tiarella Schulze 1876. Voir : Matériaux IV, p. 362. Tiarella singularis Schulze. * Voir : Matériaux IV, p. 382. Tiarella singularis HAMANN 1882 (a) p. 497. Thiarella singularis JICKELI 1883 p. 667. Tiarella singularis CARUS 1884 p. 6. » » GRÆFFE 1884 p. 353. » » Du PLessis 1888 p. 538. Tharella singularis LOMAN 1889 p. 271 note. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 293 Gen. Tima Eschscholtz 1829. Voir : Matériaux IV, p. 382. Tima formosa À. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 442 et IV, p. 382. Tima formosa FEWKES 1881 (b) p. 157, pl. 6, fig. 1, 4-6. » » CLAUS 1881 (c) p. 96. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 80. Gen. Trichydra Wright 1857. G\CAL ? Voir : Matériaux IL, p. 394 et IV, p. 383. Lo?" lo; > ss 20% SM ; : e © COR RYi- Trichydra pudica Wright. MitiB k Voir : Matériaux II, p. 394 et IV, p. 383. RTE mn a Trichydra pudica LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 14. Ep rs 7 Sue » » PENNINGTON 1885 p. 101. Gen. Tubiclava Allman 1863. Voir : Matériaux IT, p. 394 et IV, p. 383. Tubiclava fruticosa Allman. Voir : Matériaux IIL, p. 394 et IV, p. 383. Tubiclava fruticosa PENNINGTON 1885 p. 38. Tubiclava lucerna Allman. Voir : Matériaux HI, p. 394 et IV, p. 383. Tubiclava lucerna PENNINGTON 1885 p. 38. Gen. Tubularia Linné 1758. Voir : Matériaux I, p. 478; IL, p. 126; IL, p. 395 et IV, p. 383. Tubularia attennoides Coughtrey. Voir : Matériaux IV, p. 383. 254 M. BEDOT Tubularia attenuata Allman. Voir : Matériaux II, p. 395 et IV, p. 383. T'ubularia attenuata LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 11. » » PENNINGTON 1885 p. 79. Tubularia bellis Allman. Voir : Matériaux III, p. 395 et IV, p. 383. Tubularia bellis PENNINGTON 1885 p. 75. » » BouRNE 1890 (b) p. 394. Tubularia borealis Clark. Voir : Matériaux IV, p. 383. l'ubularia borealis THOMPSON 1887 p. 391. Tubularia britannica Pennington. Tubularia britannica PENNINGTON 1885 p. 75, pl. 3, fig. 8. » » MELLY, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 101. Tubularia couthouyi L. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 395 et IV, p. 384. Tubularia cristata Mac Crady. Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384. Parypha cristata BROOKS 1882 p. 136. Tubularia cristata Con 1882 (a) p. 247. » » Conx 1882 (b) p. 483. » » BRo0KS 1884 p. 711. Tubularia crocea (L. Agassiz). Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384. Pharypha crocea CLARKE 1888 p. 80, fig. 72. Tubularia elegans Clark. Voir : Matériaux IV, p. 384. Tubularia gracilis » D) » » HISTOIRE LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD DES HYDROÏDES. — V. Tubularia gracilis Lendenfeld. 1885 (a) p. 1885 (d) p. 654. 1887 (c) p. 35. Tubularia humilis Allman. Voir : Matériaux II, p. 396 et IV, p. 384. Tubularia humilis » » Voir : Matériaux I, p. 479; II, p. 127; III, p. 397 et IV, p. 384. Tubularia indivisa » » » » » » » » » » » » » » ) » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » PENNINGTON Happon BYERLEY DANIELSSEN FEWKES LESLIE a, HERDMAN HAMANN STORM JICKEL CaRuS LENDENFELD MuRDOCH PENNINGTON RiDLEY a. QUELCH VERRILL HADDON HERDMAN HERDMAN KÜKENTHAL u. WEISSENBORN Mercy, Hicks a. HERDMAN NicHocs a. HADDON BÉTENCOURT THOMPSON 1885 p. 75. 1886 (a) p. 524. Tubularia indivisa Linné. 1854 p. 103. 1861 p. 46. 1881 (a) p. 127, 128. 1881 p. 11. 1882 (a) p. 499-501, pl. 24, fig. 5. 1882 p. 3, 9, 10, 15. 1883 p. 597, 598. 188% p. 7. 1885 (a) p. 598. 1885 p. 166. 1885 p. 71. 1885 p. 496. 1885 (a) p. 517, 536. 1886 (a) p. 524. 1886 (a) p. 3, à, 8. 1886 (b) p. 329. 1886 p. 778. 1886 p. 100. 1886 p. 615. 1887 p. 66. 1887 p. 389, 391. LD Qt 597, 629, pl. 27, fig. 54-52. 256 T'ubularia indivisa M. BEDOT ALLMAN BÉTENCOURT CLARKE HOoyYLE KIRKPATRICK Mac MUNN Mac MuNN SEGERSTEDT BOURNE BouRNE MARKTANNER 1888 p. IX, XII, XXX VIIE, ss. 1888 p. 204, 207, 210. 1888 pl. sans n°, p. 80. 1889 p. 460. 1889 p 446. 1889 (a) p. 87. 1889 (b) p. 55, 58. 1889 p. 9-11, 13, 17,18, 21, 24. 1890 (a) p. 319. 1890 (b) p. 393. 1890 p. 202. Tubularia insignis Allman. Voir : Matériaux IT, p. 399 et IV, p. 385. Tubularia (2) kerguelensis Studer. Voir : Matériaux IV, p. 385. Tubularia larynx Ellis et Solander. Voir : Matériaux I, p. 480; II, p. 128; III, p. 399 et IV, p. 385. Tubularia coronata T'ubularia larynx Tubularia coronata Tubularia larynx T'ubularia coronata ))] » Tubularia larynx » » Tubularia coronata » » Tubularia larynx T'ubularia coronàta Tubularia larynx » » LEUCKART BYERLEY LESLIE a. HERDMAN LESLIE à. HERDMAN HAMANN HAMANN HAMANN HaAMANN KRUKENBERG STORM STORM JICKELI JiCKELI = MEREJIKOWSKY 1847 (c) p. 87. 1854 p. 103. 1881 p. 11. 1881 p. 11. 1882 (a) p. 473, 485, 499-501, d10-514,517, pl. 22. fig. 1-7, pl. 23, fig. 2-10, 43. 1882 (b) p. 546. 1882 (a) p. 499-501, 510, 514. 1882 (b) p.546, pl. 26, fig. 10-14. 1882 p. 3759. 1882 p. à, 11, 30. 1882 p. 3, 11, 28. 1883 p. 598, 600. 1883 p. 598, 600, 655. 1883 (a) p. 82. T'ubularia larynx » ) Tubularia coronata Tubularia larynx » » » » » » Tubularia coronata Tubularia larynx Tubularia coronata Tubularia larynx Tubularia coronata L'ubularia larynx Tubularia coronata Tubularia larynx ? Tubularia muscoides Tubularia larynx Tubularia coronata Tubularia larynx Tubularia coronata Tubularia larynx HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 257 CaRUs 1884 p. 7 REES 1884 p. 979. THOMPSON 1884 p. 8, THoMPsoON 1884 p. 4, 8 PENNINGTON HERDMAN KÜKENTHAL U. WEISSENBORN Mezzy, Hicks a. H£&RDMAN MELLY, Hicks a. HERDMAN BÉTENCcOURT ALLMAN BÉTENCOURT CLARKE Du PLessis Lo Bianco DALLA TORRE DALLA TORRE DaLLA TORRE SEGERSTEDT BOURNE BouURNE MARKTANNER SCHNEIDER 1885 p. 73, pl. 3, fg. 7. 1886 (a) p. 8. 1886 p. 778. 1886 p. 100, 104. 101. 66, XVII, XXX VIIL, ss. 204. 74, fig. 64. 542. 390. 96. 96. 1886 p. 1887 p. 1888 p. 1888 p. 1888.p. 1888 p. 1888 p. 1889 p. 1889 p. 1889 p. 96. 1889 p. 11, 24. 1890 (a) p. 309, 319. 1890 (b) p. 393. 1890 p. 202. 1890 p. 321,323, 364,367,368, pl. 19, fig. 44-46. Tubularia mesembryanthemum Allman. Voir : Matériaux IT, p. 401 et IV, p. 386. Tubularia Tubularia mesem- BALFOUR bryanthemum KLEINENBERG » » » » METSCHNIKOFF HAMANN Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 1879 p. 140 (de la trad. franc.). 1881 p. 332. 1881 p. 437. 1882 (a) p. 499-501, 510, 512, >14, pl. 22, fig. 8-14, 17,pl. 23, fig. 11,13, pl. 24, fig. 1-4, 10-14. 17 258 Tubularia mesem- Tubularia parasitica brya nihemum M. HAMANN JICKELI MaRIoN WEISMANN CARUS GRÆFFE PrePpErR THALLWITZ KLAATSCH BEDOT METSCHNIKOFF ALLMAN Du PLEssis SCHIMKEWITSCH SCHNEIDER WAGNER 1882 (b) p. 546, 547. 1883 p. 580 ss., 597-600, 651, 655, 663, pl. 25. 1883 (a) p. 29. 1883 p. 127, 219. 1884 p. 7. 1884 p. 346, 354. 1884 p. 150. 1885 p. 389, 416, pl. 13, fig. 30-33, pl. 14, fig. 34-42. 1886 p. 632 ss., pl. 33. 1886 (b) p. 20, 41, 69. 1888 p. XXXIX ss. 1888 p. 943. 1890 (b) p. 148. 1890 p. 367. 1890 p. 298, 299. Tubularia microcephala (A. Agassiz). Voir : Matériaux III, p. 401 et IV, p. 386. Tubularia pacifica Allman. Voir : Matériaux III, p. 402 et IV, p. 386. KOROTNEFF Tubularia parasitica Korotneff. 1887 p. 486ss., pl. 23, fig. 18-22. Tubularia polycarpa Allman. Voir : Matériaux IIL, p. 402 et IV, p. 386. Tubularia ralphi BALE HALLEY LENDENFELD LENDENFEILD LENDENFELD Tubularia ralphi Halley. 1884 p. 42. 1884 p. 42. 1885 (a) p. 597, 629. 1883 (d) p. 654. 1887 (c) p. 35. [e Qt Ve) HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Tubularia regalis Bœck. Voir : Matériaux II, p. 402 et IV, p. 386. Tubularia regalis BERGH 1887 p. 333. Tubularia simplex Alder. Voir : Matériaux IIF, p. 402 et IV, p. 387. Tubularia simplex PENNINGTON 1885 p. 74. » » HERDMAN 1886 (a) p. 12. » » HERDMAN 1886 (b) p. 319, 329. » » Mecy, Hicks a. HERDMAN 1886 p. 100. » » BÉTENCOURT 1887 p. 66. » » BÉTENCOURT 1888 p. 204. » » DALLA TORRE 1889 p. 96, Tubularia spectabilis (L. Agassiz). Voir : Matériaux III, p. 402 et IV, p. 387. Tubularia spongicola Lendenfeld. Tubularia spongicola LENDENFELD 1885 (a) p. 597, 629, pl. 26, fig. 50. » Tao LENDENFELD 1885 (d) p. 654. Tubularia spongicula LENDENFELD 1887 (c) p. 35. Tubularia tenella (L. Agassiz). Voir : Matériaux III, p. 403 et IV, p. 387. Gen. Turris Lesson 1843. Voir : Matériaux II, p. 403 et IV, p. 387. Le nom de Turris étant, depuis 1797, attribué à un genre de Mollusques, HARTLAUB (1911) lui a substitué celui de Neoturris. D’autre part, Turris neglecta, dont WRIGHT (1859 a) a décrit le Polype sous le nom de Clavula, est placée par A.-G. MAYER (1910) 260 M. BEDOT et STECHOW (1913), dont nous adopterons l'opinion, dans le genre Clavula. Turris neglecta Lesson. Voir : Clavula neglecta. Gen. Turritopsis Mac Crady 1859. Voir : Matériaux IV, p. 388. Turritopsis nutricula Mac Crady. Voir : Matériaux III, p. 443 et IV, p. 388. Modeeria multitentacula FEwKkeEs 1881 (b) p. 149, pl. 3, fig. 7-10. Modeeria multitenticulata Brooks 1882 p. 144. Turritopsis nutricula Brooks 1882 p. 136, 143. Modeeria multitentacula FEWKES 1882 (b) p. 294, 295. Modeeria nutricula FEWKES 1882 (b) p. 294. Turritopsis nutricula BROOKS 1883 (a) p. 465. Modeeria multitentacula FEWKES 1883 p. 79. Modeeria multitentaculata Brooks 1886 p. 389. Modeeria nutricula Brooks 1886 p. 389. Turritopsis nutricula Brooks 1880 p. 360, 388 ss., pl. 37. Dans les Matériaux IT, p. 443, il faut enlever de la synonymie de T'urri- topsis nutricula les citations d’Acassiz, L. 1860-62, et d’Acassiz, A. 1865 (a) et 1865 (c) qui se rapportent à Calycidion formosum. Voir en outre la note à Clavula neglecta. Gen. Vorticlava Alder 1856. Voir :- Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388. Vorticlava humilis Alder. Voir : Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388. Vorticlava humilis . PENNINGTON 41885 p. 96. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 261 Vorticlava proteus Wright. Voir : Matériaux III, p. 404 et IV, p. 388. Vorticlava proteus LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 12. » » PENNINGTON 1885 p, 96. Gen. Wrightia Allman 1871. Voir : Matériaux II, p. 405 et IV, p. 388. Wrightia arenosa (Alder). Voir : Matériaux fIl, p. 405 et IV, p. 388. Wrightia arenosa LESLIE a. HERDMAN 1881 p. 10. Atractylis arenosa SCHMIDTLEIN 1881 p. 171. Wrighlia arenosa WEISMANN 1883 p. 87. » » CARUS 1884 p. 3. » » PENNINGTON 1885 p. 63. Atractylis arenosa Lo BIANCO 1888 p. 387. ? Perigonimus arenaceus BOURNE 1890 (a) p. 319. Gen. Zygodactyla Brandt 1834. Voir : Matériaux IT, p. 406 et IV, p. 389. Zygodactyla vitrina (Gosse). Voir : Matériaux I, p. 486; II, p. 143; INT, p. 406, 429 et IV, p. 389. Aequorea vitrina CLAUS 1881 (b) p. 298, 312. Polycanna vitrina CLAUS 1881 (b) p. 300, 310. Aequorea vitrina CLAUs 1881 (c) p. 96. Aequorea (Zyqodactyla) vitrina CLAUS 1881 (c) p. 90, Aequorea vitrina CLAUS 1883 p. 77, 84. Polycanna vitrina CLAUS 1883 p. 78. Zygodactyla vitrina LENDENFELD 1885 (a) p. 608. à pu » PENNINGTON 1885 p. 94. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 79. Polycanna vitrina FEWKES 1889 (a) p. 521. 262 Zygophylax profunda » Z'ygophylax tizardensis Aequorea albida ) » Voir A equorea ciliata » » Aequorea discus » » » Gen. Zygophylax Quelch 1885. Zygophylax profunda Quelch. QUELCH KIRKPATRICK 1885 (a) p. 4, pl. 1, fig. 4. 1890 (b) p. 13. Zygophylax tizardensis Kirkpatrick. KIRKPATRICK 1890 (b) p. 19, pl. 3, fig. 3. MÉDUSES (Anthoméduses-Leptoméduses). Aequorea albida A. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 407 et IV, p. 389. CLAUS CLAUS 1881 (b) p. 301, 308, 341. 1883 p. 78, 89, 84. Aequorea cihiata Eschscholtz. : Matériaux IL, p. 130 ; IL, p. 407 et IV, p. 389. CLAUS CLAUS 1881 (b) p. 292, 295. 1883 p. 65, 67. Aequorea discus Hæckel. Voir : Matériaux IV, p. 389. CLAUS CLAUS CARUS 1881 (b) p. 290, 304, 305, 306, 311. | 1883 p. 76, 79, 84, 86. 1884 p. 33. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 263 Aequorea eurodina Péron et Lesueur. Voir : Matériaux I, p. 481 ; II, p. 1430 ; UN, p. 407 et IV, p. 390. Aequorea eurodina CLAUS 1881 (b) p. 295. » » CLAUS 1883 p. 66, 67. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631, » » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 39. Aequorea forskalea Péron et Lesueur. Voir : Matériaux I, p. 482; Il, p. 130 ; III, p. 407 et IV, p. 390. Aequorea forskalea CLAUS 1881 (b) p. 283 ss. » » CLAUS 1881 (c) p. 90, 95. » » CLAUS 1882 p. 284 ss., fig. 1-4. » » CLaus 1883 p. 61 ss., pl. 16-20. » » MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 122. » » CARUS 1884 p. 33. » » GRÆFFE 1884 p. 399. Aequorea forskalii MEYSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261. Z'ygodactyla rosea METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 257, 261, 262. Aequorea forskalii METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20 .… 54. Zygodactyla rosea Lo Branco 1888 p. 390. Aequorea aequorea MARKTANNER 1890 p. 280. Aequorea violacea M. Edwards. Voir : Matériaux IL, p. 131; IE, p. 408 et IV, p. 390. Aequorea violacea CLaus 1881 (b) p. 292, 295, 306, 311. » » CLAUS 1883 p. 65-67, 81, 84. » » CARUS 1884 p. 33. » » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262. Amalthaea amoebigera Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 390. Amphicodon amphipleurus Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 391. Amphicodon amyphi- . pleurus KELLER 1883 (b) p. 628. 264 M. BEDOT Amphicodon globosus (Sars). Voir : Matériaux IIT, p. 408 et IV, p. 391. Amphinema apicatum (Mac Crady). Voir : Matériaux III, p. 408 et IV, p. 391. Amphinema titania (Grosse). Voir : Matériaux [, p. 482; I, p. 131 ; IE, p. 408 et IV, p. 391. Amphinema titania DaLLa TORRE 1889 p. 95. Bathycodon pyramis Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 392. Bathycodon pyramis CaRUs 1884 p. 21. Derenice capillata Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 392. Derenice huxleyi Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 392. Berenice rosea (Lamarck). Voir : Matériaux I, p. 482; Il, p. 131; IL, p. 408 et IV, p. 392. Callitiara polyophthalma Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 392. Calycidion formosum Fewkes. T'urrilopsis nutricula AGassiz, L. 1860-62 vol. 4, p. 347. » » AGASssIZ, À. 1865 (a) p. 97, fig. 22-23. » » AGASSIZ, A. 1865 (c) p. 164, 167, 224, fig. 269-270. Turritopsis nutricola FEWKES 1881 (b) p. 153, pl. 4, fig. 4, 7-10. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 265 Calycidion formosum FEWKES 1882 (b) p. 294. Turritopsis nutricula FEWKES 1882 (b) p. 294, 295. A.-G. Mayer (1910) considère cette espèce comme synonyme de Podocoryne carnea. HARTLAUB (1911) hésite à admettre cette synonymie. Voir, dans les Polypes, la note à T'urrilopsis nutricula. Calycopsis typa Fewkes. Calycopsis typa FEWKES 1882 (b) p. 301, 304, pl. 1, tig. 34. » » FEWKES 1885 (a) p. 601. » » VERRILL 1885 (a) p. 594. » » FEWKES 1886 p. 958. Cannota dodecantha Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 392. Cannota dodecantha LENDENFELD 1885 (a) p. 600, 630. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 655. » » LENDENFELD 1887 (C) p. 36. Catablema campanula (Fabricius). Voir : Matériaux I, p. 482; II, p. 132; ILL, p. 409 et IV, p. 393. Catablema eurystoma Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 393. Catablema vesicaria (A. Agassiz). Voir : Matériaux IT, p. 409 et IV, p. 393. ? Turris episcopalis FEWKES 1881 (b) p. 147, pl. 3, fig. 1-6. » » FEWKES 1885 (a) p. 598, 600. » » FEWKES 1886 p. 957, 958. » » FEWKES 1888 (a) p. 232. Chromatonema rubrum Fewkes. Chromatonena rubrum FEWKES 1882 (b) p. 304, :305, pl. 14, fig. 40. » » FEWKES 1885 (a) p. 601. — Thaumantias rubrum sec. A.-G. Mayer). 266 M. BEDOT Cladocanna polyclada Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 393. Cladocanna polyclada LENDENFELD 1885 (a) p. 601, 630. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 36. Cladocanna thalassina (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux I, p. 482; I, p. 132; INT, p. 409 et IV, p. 393. Cladocanna thalassina LENDENFELD 1885 (a) p. 600, 630. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 36. Codonium conicum Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 394. Codonium gemmiferum (Forbes). Voir : Matériaux II, p. 132 ; II, p. 409 et IV, p. 394. ? Sarsia gemmipara WAGNER 1885 p. 78. Codonium princeps Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 394. Codonorchis octaedrus Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 394. Conis cyclophthalma Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 394. Conis cyclophthalma CaRUs 1884 p. 23. Conis mitrata Brandt. Voir : Matériaux Il, p. 433; IL, p. 410 et IV, p. 395. Corynitis arcuata Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 395. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 267 Ctenaria ctenophora Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 395. Cubogaster dissonema Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 395. Cubogaster gemmascens Haeckel. Voir : Matériaux I, p. 410 et IV, p. 395. Cybogaster gemmascens Carus 1884 p. 24. Cubogaster gemmascens GrarD 1888 p. 317. Cytaeandra polystyla Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 395. Cytaeis macrogaster Haeckel. Voir : Matériaux II, p. 410 et IV, p. 396. Cytaeis nigritina Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 396. Cytaeis polystyla Will. Voir : Matériaux III, p. 410 et IV, p. 396. Cytaeis pusilla Gegenbaur. Voir : Matériaux II, p. 410 et IV, p. 396. Cytaeis pusilla CARES 1884 p. 24. » » CHUN 1888 p. 12. Cytaeis tetrastyla Eschscholtz. ‘Voir : Matériaux IL, p. 133; II, p. 4114 et IV, p. 396. Cytaeis tetrastyla CaRus 1884 p. 24. Bougainvillea coeca METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260. Cytaeis tetrastyla METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260. [el 68 M. BEDOT Dendronema stylodendron Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 397. Dicodonium adriaticum Grætffe. Dicodonium adriaticum GRÆFFE 1884 p. 391. Dicodonium cornutum Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 397. Dicodonium dissonema Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 397. Dicodonium dissonema LENDENFELD 1885 (a) p. 85, 628. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 649. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. Dicranocanna furcillata Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 397. Dinema ocellata (Busch). Voir : Matériaux II, p. 411 et IV, p. 397. Dinema ocellatum CARUS 1884 p. 21. » » Du PLEssIs 1888 p. 532. Dinema slabberi van Beneden. Voir : Matériaux I, p. 483; IN, p. 133; LE, p. #11 et IV, p. 397. Dinematella cavosa Fewkes. Dinematella cavosa FEWKES 1881 (b) p. 151, pl. 2, fig. 2,3, pl. 4, fig. 3. » » FEWKES 1884 p. 195, fig. 1. (= Stomotoca dinema sec. A.-G. MAYER). Dipleuron parvum Brooks. Dipleuron parvum BROOKS 1882 p. 135, 139. (— Eucheilota duodecimalis var. parvum, sec. A.-G. MAYER). HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 269 Dipleurosoma amphithectum Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 397. Dipleurosoma hemisphaericum (Allman). Syn. : Dipleurosoma irrequlare Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 398. Dipleurosoma hemis- phaerica HADDON 1886 (a) p. 326. Dipleurosoma 1rrequlare Hapnox 1886 (a) p. 526. Dipleurosoma (A me- trangia) hemisphaerica METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 89. Dipleurosoma irregulare Haeckel. Voir: Dipleurosoma hemisphaericum. Dipleurosoma typica (Boeck). Voir : Matériaux IIT, p. 411 et IV, p. 398. Dipurena catenata (Forbes). Voir : Matériaux III, p. 411 et IV, p. 398. Dipurena catenata CaRUS 1884 p. 21. Slabberia catenata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 259. Dipurena cervicata Mac Crady. Voir : Matériaux III, p. 4114 et IV, p. 398. Dipurena cervicata FEWKES 1881 (b) p. 155. Dipurena conica FEWKES 1881 (b) p. 155. Dipurena dolichogaster Haeckel. Voir : Matériaux IE, p. 412 et IV, p. 398. Dipurena dolichogaster METrscHNIKOFF 1886 (a) p. 258. Dipurena fertilis METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 258 ss. » » Lo BraNco 1888 p. 388. M. BEDOT 270 Dipurena halterata (Forbes). Voir : Matériaux Il, p. 133; ILE, p. 412 et IV, p. 399. Dipurena ophiogaster Haeckel. Voir : Matériaux ILE, p. 412 et IV, p. 399. Dipurena strangulata Mac Crady. Voir : Matériaux IIL, p. 412 et IV, p. 399. 1881 (b) p. 155, pl. 4, fig. 5. Dipurena stranqulata FEWKES 1882 p. 136. Dipurina stranqulata BROOKS Dissonema saphenella Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 399. Dissonema saphenella LENDENFELD 1885 (a) p. 599, 630. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 655. LENDENFELD 1887 (c) p. 35. » » Dyscannota dysdipleura Haeckel. Voir : Matériaux IL, p. 412 et IV, p. 399. Dysmorphosa fulqurans À. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 412 et IV, p. 400. Dysmorphosa fulqurans FEWKkEs 1881 (b) p. 145, 147. FEWKES 1883 p. 79. Brooks 1884 p. 711. » » » » Dysmorphosa minima Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 400. Dysmorphosa minima GIARD 1888 p. 317. DaALLA TORRE 1889 p. 95. » » Dysmorphosa octostyla Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 400. 1884 p. 24. Dysmorphosa octostyla Carus 1888 p. 317. » » GIARD HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 271 Ectopleura ochracea A. Agassiz. Voir : Matériaux IIT, p. 413 et IV, p. 400. Ectopleura ochracea FEWKES 1881 (b) p. 155. » » BROOKS 1882 p. 136. » » FEWKES 1882 (b) p. 295, pl. 1, fig. 15, 16, 35, 36. » » FEWKES 1883 p. 85. » » FEWKES 1888 (a) p. 225 note. Eirene coerulea L. Agassiz. Voir : Matériaux ILE, p. 419 et IV, p. 400. Irene coerulea CLaus 1881 (c) p. 97. Eïirene gibbosa (Mac Crady). Voir : Matériaux IT, p. 419 et IV, p. 401. Irene gibbosa CLAUS 1881 (ec) p. 97. Eïrene gibbosa BRooks 1882 p. 136. Phortis gibbosa BROOKS 1883 (a) p. 470. Eïrene pellucida (Busk). Voir : Matériaux [, p. 483; IL, p. 135; IL, p. 419 et IV, p. 401. Dionaea lucullana CLaus 1881 (c) p. 102. Geryonia pellucida CLaus 1881 (c) p. 102, 108. Irene pellucida CLAUS 1881 (c) p. 90, 96, 97, 102 ss., pl. 3. Lrene (Tima) pellucida CLaus 1881 (c) p. 102, 107-108. ? Irene pellucida MEREJKOWSKY 1883 (b) p. 123, fig. 7. 8. » » CARUS 1884 p. 32. Eïrene pellucida GRÆFFE 1884 p. 358. Tima cari METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262. Tima pellucida METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 262. _» » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 54, 73, 80. 272 M. BEDOT Eïirene viridula (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux [, p. 483; IF, p. 136; II, p. 419 et IV, p. 404. Irene viridula CLAUS 1881 (c) p. 97, 102. » » DALLA TORRE 1889 p. 95. Eleutheria claparedei Hartlaub. Voir : Matériaux II, p. 413 et IV, p. 401. Eleutheria claparedei HARTLAUB 1889 p. 668. Epenthesis cymbaloidea (Slabber). Voir : Matériaux I, p. 483; Il, p. 134; LL, p. #13 et. IV, p. 402. Epenthesis cymbuloidea CLaus 1881 (c) p. 117. ? Thaumantias thompsoni CruBs 1886 p. 116. ? » » HERDMAN 1886 (a) p. 12. ? » » HERDMAN 1886 (b) p. 325-327, 330. Epenthesis cymbaloidea Brooks 1888 (b) p. 160. Epenthesis folleata Mac Crady. Voir : Matériaux II, p. 413 et IV, p. 402. Epenthesis folliata BROOKS 1882 p. 139. Oceania folliata BROOKS 1882 p. 135. Epenthesis folleata FEWKES 1882 (b) p. 298, pl, 1, fig. 10-14. Epenthesis folliata Brooks 1888 (b) p. 148-150, 160-162. Epenthesis maccradyi Brooks. Epenthesis McCradyi BROOKS 1888 (b) p. 148 ss., pl. 13-15. » » SCHIMKEWITSCH 1890 (a) p. 55. — Phalidium maccradyi sec. A.-G. MAYER.) Epenthesis maculata (Forbes). Voir ; Matériaux IL, p. 434; HE, p. 414 et IV, p. 402. Thaumantias maculata M’INrosH 1889 p. 278, 282. KE » M'INrosH 1890 (b) p. 301. 9 ut C0 HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Eucheilota quadralis Fewkes. Eucheilota quadralis FEWKES 1883 p. 87, pl. 1, fig. 13. Eucheilota ventricularis Mac Crady. Voir : Matériaux III, p. 414 et IV, p. 402. Eucheilota ventricularis FEWKES 1881 (b) p. 159, pl. 5, fig. 7-10, » » Brooks 1882 p. 135, 139. » » FEWKES 1882 (b) p. 297. Eucope annulata Lendenfeld. Eucope annulata LENDENFELD 1885 (a) p. 602, 630, pl. 28, fig. »3-57. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 37. Eucope hyalina Lendenfeld. Eucope hyalina LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 920, pl. 42, fig. 16-18. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 656. » » LENDENFELD 1887 (C) p. 37. Eucope minuta Metschnikoff. Voir : Matériaux IL, p. 415 et IV, p. 403. Eucope obliqua Brooks. Eucope obliqua BROOKS 1882 p. 136, 140. (=? Obelia geniculata sec. A.-G. MAYER.) Eucope octona (Forbes). Voir : Matériaux IL, p. 134 : LIL, p. 415 et IV, p. 403. Thaumantias octona CLUBB 1886 p. 115. » » HERDMAN 1886 (a) p. 12. » » HERDMAN 1886 (b) p. 326, 327, 330. » » M'Ixrosx 1889 p. 278, 289. » 0 M'INrosH 1890 (b) p. 300. Rev. Suisse DE Zooz. ‘l. 24. 1916. 18 [Re 1 Æ> M. BEDOT Eucope parasitica A. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 415 et IV, p. 403. Eucope polygastrica Metschnikoff. Eucope polygastrica MErscHniKOrr, Eu.L. 1872 p. 231. ») » LANG 1886 p. 761. » » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260. Cette espèce figure à tort dans les Matériaux IV, p. 418, parmi les syno- nymes de Phialidium variabile où la plaçait HarckeL (1880 p. 651). Elle est peut-être synonyme de Gastroblasta raffaeli, sec. A.-G. Mayer. Eucope polygena À. Agassiz. Voir : Matériaux II, p. 415 et IV, p. 403. Eucope pontica Metschnikoff. Voir : Matériaux Ill, p. 415 et IV, p. 403. Eucope thaumantoides Gegenbaur. Voir : Matériaux LIL, p. 415 et IV, p. 403. Eucope thaumantoides MerscHNIKOorF 1886 (b) p. 85. Eucopium pictum (Keferstein et Ehlers). Voir : Matériaux IT, p. 416 et IV, p. 402. Eucopium pictum CLaus 1881 (c) p. 117. » » CARUS 1884 p. 28. Eucopium primordiale Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 404. Eucopium primordiale Craus 1881 (ce) p. 147. » » CLAUS 1883 P. 87. » » WEISMANN 1883 p. 158. » » CARUS 1884 p. 28. [Se] =] Qt HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Eucopium quadratum (Forbes). Voir : Matériaux If, p. 134; IT, p. 416 et IV, p. 404. Eucopium quadratum CLAUS 1581 (ce) p. 117. » » MôBius 1884 p. 69. Thaumantias quadrata MIxrosa 1889 p. 289. » » M'INrosa 1890 (b) p. 300. Euphysa aurata Forbes. Voir : Matériaux IL, p. 134; III, p. 416 et IV, p. 404. Euphysa mediterranea WEISMANN 1883 p. 129. » » CaRus 1884 p. 22. » » GRÆFFE 1884 p. 354. Euphysa aurata MôBius 1884 p. 65. Euphysa mediterranea Du PLessis 1888 p. 543. Euphysa australis Lendenfeld. Euphysa australis LENDENFELD 1885 (a) p. 586, 628, pl. 21, fig. 33. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 650. Euphysa virgulata À. Agassiz. Voir : Matériaux I, p. #17 et IV, p. 405. Eutima cuculata Brooks. Eutima cuculata Brooks 1882 p. 136, 140. Eutima emarginata Brooks. Eutima emarginata Brooks 1882 p. 136, 141. (= Eutima mira sec. A.-G. MAYER.) Eutima gracilis Fewkes. Eutima gracilis FEWKES 1881 (b) p. 158 pl. 5, fig. 1-4. » » Brooks 1886 p. 397. (—= Eutima mira sec. A.-G. MAYER). LD 1 [ep] M. BEDOT Eutima insignis (Keferstein). Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405. Eutima limpida A. Agassiz. Voir : Matériaux LIT, p. 417 et IV, p. 405. Eutima limpida FEWKES 1881 (b) p. 158. » » Brooks 1886 p. 397. Eutima mira Mac Crady. Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405. Eutima mira FEWKES 1881 (b) p. 158. » » BROOKS 1882 p. 136, 141. » » BROOKS 1884 p. 709, 711. » » Brooks 1886 p. 360, 394, ss., pl. 38-39, fig. 2-7. Eutima pyramidalis L. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 405. Eutima pyramidalis BROOKS 1886 p. 397. Eutimalphes indicans (Romanes). Voir : Matériaux IV, p. 406. Eutimalphes pretiosa Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 406. Eutimalphes pretiosa LENDENFELD 1885 (a) p. 607, 630. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 657. Eutimolphes pretiosa LENDENFELD 1887 (c) p. 37. Eutimeta gentiana Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 406. Eutimium elephas Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 406. Eutimium elephas DALLA TORRE 1889 p. 95. [Os] 1 Fe | HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. Gastroblasta raffaelei Lang. Gastroblasta raffaelei LANG 1886 p. 735, pl. 20-21. » » BROOKS 1888 (b) p. 161, 162. » » M'Ixrosu 1890 (a) p. 43. Gastroblasta timida )) )] Gastroblasta timida Keller. KELLER 1883 (b) p. 622 ss., pl. 35. LANG 1886 p. 736, 759-761. Brooks 1888 (b) p. 161. Gemmaria cladophora À. Agassiz. Voir : Matériaux ILE, p. 417 et IV, p. 406. Gemmaria gemmosa Mac Crady. Voir : Matériaux III, p. 417 et IV, p. 407. Gemmaria gemmosa » » FEWKES 1881 (b) p. 150, pl. 1, fig. 8-12. FEWKES 1884 p. 196, fig. 2. Gemmaria sagittaria Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 407. Globiceps globator (Leuckart). Voir : Matériaux HE, p. 4i7 et IV, p. 407. Globiceps globator CARUS 1884 p. 22. Gonionemus verltens À. Agassiz. Voir : Matériaux IE, p. 418 et IV, p. 407. Halitiara formosa » » Halitiara formosa Fewkes. FEWKES 1882 (a) p. 276, pl. 4, fig. 2. FEWKES 1883 p. 79. (= Protiara formosu sec. A.-G. MAYER.) 278 M. BEDOT Halopsis ocellata À. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 418 et IV, p. 407. Halopsis ocellata CLAUS 1881 (b) p. 307. » » CLAUS 1883 p. 68, 82. » » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 81, 84. » » FEWKES 1888 (a) p. 233, pl. 3 fig. 1. Hippocrene macloviana (Lesson). Voir : Matériaux Il, p. 135; IIL, p. 418 et IV, p. 407. Hippocrene mertensi À. Agassiz. Voir : Matériaux IL, p. 135; IIT, p. 418 et IV, p. 408. Hippocrene platygaster Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 408. Hippocrene pyramidata Forbes. Voir : Matériaux IT, p. 418 et IV, p. 408. Trenium quadrigatum Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 409. Laodicea calcarata A. Agassiz. Voir : Matériaux LIT, p. 419 et IV. p. 409. Laodicea calcarata CLAUS 1881 (c) p. 89. Laodice (Lafoea) calcarata METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 83. Laodicea cruciata (Forskäl). Voir : Matériaux [, p. 483; IT, p. 136; IIT, p. 420 et IV, p. 409. Cosmetira punctata SCHMIDTLEIN 1881 D. 164. Laodice cruciata CARUS 1884 p. 27. Laodicea cruciata GRÆFFE 1884 p. 357. Thaumantias pilosella CLups 1886 p. 115. 7 HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 279 Laodice cruciata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20 .…. 149, pl. 4, fig. 17-31, pl. 5, fig. 1. Laodicea cruciata Nicuocs a. Happon 1886 p. 615. Laodice cruciata Dal.LA TORRE 1889 p. 95. Thaumantias pilosella M'IxrosH 1889 p. 272, 277, 282, 289, 293. Laodice cruciata MARKTANNER 1890 p. 280. Thaumantias pilosella MInrosa 1890 (a) p. 40. » » M'Ixrosx 1890 (b) p. 299, 300. Le Polype de cette Méduse, observé par METscHNIKOFF, appartient probable- ment au genre Cuspidella. Laodicea salinarum (Du Plessis). Voir : Matériaux IV, p. 409. Limnorea proboscidea Haeckel. Voir: Limnorea triedra. Limnorea triedra Péron et Lesueur. Syn. : Limnorea proboscidea Haeckel. Voir : Matériaux I, p. 484; [E, p. 137; IN, p. 421 et IV, p. 410. Limnorea triedra HAECKEL 1882 p. 2. » » LENDENFELD 1885 (a) p. 591, 629. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 651. » » LENDENFELD 1887 (C) p. 33. Lizusa multiciia Haeckel. . Voir : Matériaux IV, p. 410. Lizusa multicilia CaRus 1884 p. 25. Lizusa prolifera Lendenfeld. Lizusa prolifera LENDENFELD 1885 (a) p. 589, 629, pl. 23, fig. 38-39. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 651. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 33. (— Bougainvillia prolifera sec. A.-G. MAYER.) 280 M. BEDOT Lizzella hyalina (van Beneden). Voir : Matériaux IL, p. 421 et IV, p. 410. Lizzella octella Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 410. Lazzia blondina Forbes. Voir: Matériaux II, p. 137 ; III, p 421 et IV, p. 410. Lizzia blondina MôBius 1884 p. 65. » » WAGNER 1885 p. 60, 72, 73, pl. 3, fig. 2-5. » » Du PLESssIs 1888 p. 542. » » M’IxrosH 1889 p. 288. » » M'INrosH 1890 (b) p. 297, 298. Lizzia elisabethae Haeckel. Voir : Matériaux [V, p. 411. Mabella gracilis Fewkes. Mabella gracilis FEWKES 1881 (b) p. 146, pl. 6, fig. 2, 3. (= ? Podocoryne fulqurans sec A.-G. MAYER.) Margelis maniculata Haeckel. Voir : Matériaux III, p. 422 et IV, p. 411. Margelis maniculata CARUS 1884 p. 25. Margelis principis Steenstrup. Voir: Matériaux II, p. 437 ; III, p. 422 et IV, p. 411. Margelis trinema Lendenfeld. Margelis trinema LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 918, pl. 41, TE BA » » LENDENFKLD 1885 (d) p. 652. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 33. (— Bougainvillia trinema sec. A.-G. Mayer.) HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 281 Margelis zygonema Haeckel. Voir : Matériaux II, p. 422 et IV, p. 411. Margellium gratum (A. Agassiz). Voir : Matériaux III, p: 422 et IV, p. 414. Lizzia grata FEWKES 1881 (b) p. 14%, pl. 1, fig. 1-7. » » MOEBIUS 1884 p. 69. Melicertella panocto Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 412. Melicertidium octocostatum (Sars). Voir : Matériaux Il, p. 138; III, p. 422 et IV, p. 412. Stomobrachium octo- costatum M’INTosH 1889 p. 261, 288, 289, 294, 298, 300. Melicertum (Stomobra- chium) octocostatum M’Ixros 1890 (b) p. 304. Melicertissa clavigera Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 412. Melicertum georgicum A. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 423 et LV, p. 412. Mesonema abbreviata Eschscholtz. Voir : Matériaux Il, p. 138; II, p. 423 et 1V, p. 412. Mesonema abbreviatum CLaus 1881 (b) p. 309. » » CLAUS 1883 p. 83. Mesonema bairdi Fewkes. Mesonema bairdi FEWKES 1886 p. 959, 960, 962. (—Aequorea forskalea, sec. A.-G. MAYER.) 282 M. BEDOT Mesonema cœrulescens Brandt. Voir : Matériaux II, p. 139 ; II, p. 423 et IV, p. 413. Mesonema coerulescens CLAUS 1881 (b) p. 301. » » CLAUS 1883 p. 78. Mesonema cyaneum (L. Agassiz). Voir : Matériaux III, p. 424 et IV, p. 413. Mesonema cyaneum FEWKES 1886 p. 959, 960. Zygodactyla cyanea FEWKES 1886 p. 960. Mesonema cyaneum FEWKES 1889 (a) p. 521. Zygodactyla cyanea FEWKES 1889 (a) p. 521. Mesonema dubium Brandt. Voir : Matériaux IT, p. 139, IIT, p. 424 et IV, p. 413. Mesonema eurystoma Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 413. Mesonema eurystoma CLAUS 1881 (b) p. 287, 295, 300, 305, 306, 311. Aequorea eurystoma CLAUS 1883 p. 81. Mesonema eurystoma CLAUS 1883 p. 63, 67, 78, 81, 84. » » CARUS 1884 p. 33. Mesonema macrodactylum Brandt. Voir : Matériaux If, p. 139; IN, p. 424 et IV, p. 413. Mesonema pensile Haeckel. Voir : Matériaux I, p. 484; IT, p. 139 ; HE, p. 424 et IV, p. 413. Aequorea pensile CLAUS 1881 (b) p. 297. Mesonema pensile DAVIDOFF 1881 p. 622. Aequorea pensile CLAUS 1883 p. 68. Mesonema pensile CaRus “ 1884 p. 33. » » LANG 1886 p. 799. Stomobrachium mirabile Lanc 1886 p. 753-756. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 283 Microcampana conica Fewkes. Microcampana conica FEWKES 1889 (b) p. 1114, pl. 4, fig. 8. Microcampana FEWKES 1889 (c) p. 595, 596, fig. 5. Mitrocoma annæ Haeckel. Voir : Matériaux IIL, p. 424 et IV, p. 414. Mitrocoma annae Carus 1884 p. 31. Halopsis annae METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 260. Mitrocoma annae METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240, 260. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 23... 82, pl. 3, fig. 20-33, pl.4,fig.1-16. » » Lo Branco 1888 p. 388. Le Polype de cette Méduse, observé par MerscaniKorr, rentre probablement dans le genre Cuspidella. Mitrocoma minervæ Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 414. Mitrocomella polydiademata (Romanes). Voir : Matériaux IV, p. 414. Mitrocomium annæ Lendenfeld. Mitrocomium annae LENDENFELD 1885 (a) p. 606, 630, pl. 29, fig. 58-60. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 657. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 37. (= Mitrocoma lendenfeldi, sec A.-G. MAYER.) Mitrocomium cirratum Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 414. Mitrocomium cirratum Carus 1884 p. 30. Modeeria formosa Forbes. Voir : Matériaux II, p. 140 ; UI, p. 425 et IV, p. 414. Modeeria formosa FEWKES 1881 (b) p. 149. 284 M. BEDOT Modeeria irenium Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 415. Nemopsis crucifera (Forbes). Voir : Matériaux II, p. 425 et IV, p. 415. Nemopsis favonia Haeckel. Voir : Matériaux I, p. 485; Il, p. 140 ; IL, p. 425 et IV, p. 415. Favonia octonema HAECKEL 1882 p. 2. Nemopsis favonia LENDENFELD 1885 (a) p. 591, 629. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 62. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 34. Nemopsis heteronema Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 415 Nemopsis heteronema HAECKEL 1882 p. 2. Oceaniopsis bermudensis Fewkes. Oceaniopsis bermudensis FEWkEs 1883 p. 86, pl. 1, fig. 8-10. (— Eucheilota bermudensis, sec. A.-G. MaYer.) Octocanna octonema Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 416. Octocanna octonema CLAUS 1881 (b) p. 298, 307, 308. » » CLAUS 1883 p. 69, 77, 82. Octocanna polynema Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 416. Octocanna polynema CLAUS 1881 (b) p. 307. » » CLaus 1883 p. 82. Octonema eucope Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 416. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 285 Octorchandra canariensis Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 416. Octorchandra germanica Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 416. Octorchandra germanica CLAUS 1881 (c) p. 104. » » DALLA TORRE 1889 p. 95. Octorchandra variabilis (Mac Crady). Voir : Matériaux IT, p. 426 et IV, p. 416. Eutima variabilis FEWKES 1881 (b) p. 158. » » BROOKS 1886 p. 394, 396, pl. 39, fig. 1 pl. 40. Octorchidium tetranema Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. #16. Octorchidium tetranema CLAUS 1881 (c) p. 100. » » CARUS 1884 p. 32. Octorchis campanulatus (Claus). Voir : Matériaux IV, p. 417. Liriopsis campanulatus CLaus 1881 (c) p. 104. Octorchis campanulatus CLaus 1881 (c) p. 100, 1014. » » CARUS 1884 p. 32. Octorchis gegenbauri Haeckel. Voir : Matériaux III, p. 426 et IV, p. 417, Octorchis gegenbauri CLAUS 1881 (c) p. 90, 96, 101. » » CARUS 1884 p. 32. » » GRÆFFE 1884 p. 398. Octorchis (Eutima) gegenbauri BROOKS 1886 p. 396, 398, 404. Octorchis gegenbauri METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20... 79, pl. 3, fig, 10-19. 286 M. BEDOT Octorhopalon fertilis Lendenfeld. Octorhopalon fertilis LENDENFELD 1885 (b) p. 910, 919, pl. 42, fig. 14-15. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 655. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 36. (= ? Laodicea fertilis sec. A.-G. MAYER). Orchistoma agariciforme Keller. Orchistoma agariciforme Carus 1884 p. 28. » » KELLER 1884 p. 418, pl. 21. Orchistoma pileus (Lesson). Voir : Matériaux IL, p. 141; IE, p. 427 et IV, p. 417. Orchistoma pileus KELLER 1884 p. 417. Orchistoma steenstrupi Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 417. Orchistoma steenstrupi KELLER 1884 p. 417, 420. Pandea conica (Quoy et Gaimard). Voir : Matériaux IL, p. 141; III, p. 427 et IV, p. 417. Oceania conica SCHMIDT LEIN 1881 p. 164. Pandea conica CARUS 1884 p. 22. » » METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 24. Oceania conica Lo Bianco 1888 p. 389. Pandaea conica MARKTANNER 1890 p. 202. Oceania conica M’INTrosH 1890 (b) p. 297. Pandea minima Lendenfeld. Pandaea minima LENDENFELD 1885 (b) p. 909, 916, pl. 42, fig. 10-12. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 650. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. ns, HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Voir : Matériaux I, p. 485; II, p. 141; ILE, p. 427 et IV, p. 418. Pandea saltatoria (Sars). Phialidium gregarium (A. Agassiz). Voir : Matériaux III, p.427 et IV, p. 416. Phialidium languidum (A. Agassiz). Voir : Matériaux LIL, p. 427 et IV, p. #18. Phialidium languidum Oceania languida » » » D) » » » D) CLAUS BROOKS FEWKES FEWKES FEWKES FEWKES 1881 (c) p. 1114. 1882 p. 139. 1882 (b) p. 298. 1883 p. 86. 188% p. 196, fig. 3. 1888 (a) p. 234. Phialidium variabile (Claus). Voir : Matériaux I, p. 485; IL, p. 142; Phialidium variabile Eucope (Phialidium) variabilis Phialidium variabile Eucope (Phialidium) variabilis Phialidium variabile » » » » » » Phialidium variabilis Thaumantias convexa Phialidium variabile » » Eucope variabilis Geryonia planata ? Oceania flavidula Phialidium ferrugineum Phialidium variabile DaviDOFF CLaAUs CLAUS CLAUS CLAUS \VEISMANN CaRus GRÆFFE REES CLUBB HADDON LANG METSCHNIKOFF METSCHNIKOFF METSCHNIKOFF METSCHNIKOFF METSCHNIKOFF II, p. 428 et IV, p. 418. 1881 p. 620, fig. 1881 (b) p. 310. 1881 (c) p. 94, 110, 411. 1883 p. 83. 1883 p. 87. 1883 p. 240. 1884 p. 31. 1884 p. 356. 1884 p. 589. 1886 p. 114, 116. 1886 (a) p. 525. 1886 p. 753, 755, 798. 1886 (a) p. 242. 1886 (a) p. 241. 1886 (a) p. 239, 241. 1886 (a) p. 241, 243. 287 1886 (a) p. 243, 244,257, 260. 288 M. BEDOT Phialidium viridicans METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 243. T'haumantias convexa THOMPSON 1886 p. 317. Phialidium variabile DALLA TORRE 1889 p. 95. » » M'INrosx 1889 p. 278, 289. ? Phialidium variabile var. convexra M'IxTosx 1889 p. 289. ? Phialidium variabile var. globosa M’INrosH 1889 p. 289. ? Phialidium variabile var. sarnica M'INTosH 1889 p. 289. ? Thaumantias gibbosa M’INrosa 1889 p. 278. Thaumantias globosa (Phialidium variabile) MIxrosa 1889 p. 272. ? Thaumantias globularis M'Inrosx 1889 p. 288. ? Thaumantias (Phia- lidium) variabile var. globosa MIxtTosx 1889 p. 289. ? Thaumantias (Phia- lidium) variabile var. #nconspicua M'INrosH 1889 p. 289. Phialidium variabile M'Ixrosx 1890 (b) p. 302. ? Phialidium variabile var. convexa M’INTOosH 1890 (b) p. 302. ? Phialidium variabile var. globosa M'IxTosx 1890 (b) p. 302. ? Phialidium variabile var. inconspicua M’INrosH 1890 (b)\ p. 302. ? Phialidium variabile var. sarnica M’'INTosH 1890 (b) p. 302. ? Thaumantias gibbosa M’Ixros 1890 (b) p. 304. Nous réunissons provisoirement sous le nom de Phialidium variabile toutes les espèces qui ont été décrites sous ce nom ou qui figurent dans la synonymie établie par HagckeL. Mais plusieurs auteurs, et entre autres BRoWNE (1896), ont montré que de nombreuses espèces avaient été à tort réunies sous ce nom. Nous espérons pouvoir en faire une révision dans un prochain fascicule de nos «Matériaux ». Dans les Matériaux IV, p. 419, il faut enlever de la synonymie de Phialidium variabile la citation : Eucope polygastrica, Merscanixorr E. u. L. 1872, qui appartient à une espèce distincte. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 289 Phialis cruciata (A. Agassiz). Voir : Matériaux III, p. 428 et IV, p. 419. Halopsis cruciata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241, 260. Phialis cruciata ME&TSCHNIKOFF 1886 (a) p. 241, 261. Halopsis cruciata METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 81, 84. Phialium duodecimale (A. Agassiz). Voir : Matériaux ILE, p. 429 et IV, p. 419. Eucheilota duodecimalis FEWKES 1881 (b) p. 159. » ‘» Brooks 1882 p. 140. » » FEWKES 1882 (b) p. 297. Phialium duodecimale FEWKES 1882 (b) p. 297, pl. 1, fig. 17-21. Plotocnide borealis Wagner. Plotocnide borealis WAGNER 1885 p. 60,72, 74, pl. 4, fig. 1-2. (= Protiara borealis sec. A.-G. MAYER.) Polycanna americana Fewkes. Polycanna americana FEWKES 1886 p. 959. » » FEWKES 1889 (a) p. 522, 523. (= Aequorea forskalea sec. A.-G. MAYER.) Polycanna crassa (A. Agassiz). Voir : Matériaux IIL, p. 429 et IV, p. 419. Aequorea crassa CLAUS 1881 (b) p. 297. Aequorea (Zygodactyla) crassa CLAUS 1881 (b) p. 301. Aequorea crassa CLAUS 1883 p. 68. Aequorea (Polycanna) crassa CLAUS 1883 p. 82. Aequorea (Zygodactyla) crassa CLAUS 1883 p. 78. Polycanna (Z'ygodactyla) crassa FEWKES 1886 p. 959, 960. Polycanna crassa FEWKES 1889 (a) p. 523. Zygodactyla crassa FEWKES 1889 (a) p. 521. * Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 19 290 M. BEDOT Polycanna flava A. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 429 et IV, p. 420. Aequorea (Cremalostoma) flava CLaAUs 1881 (b) p. 301. Crematostoma flava CLAUS 1881 (b) p. 302. ) » CLAUS 1883 p. 79. Cremastoma flava FEWKES 1889 (a) p. 521. Polycanna flava FEWKES 1889 (a) p. 523. Polycanna fungina Hæckel. Voir : Matériaux IV, p. 420. Aequorea (Polycanna) fungina CLAUS 1881 (b) p. 297. Polycanna fungina CLAUS 1881 (b) p. 301, 307, 308. Aequorea (Polycanna) fungina CLAUS 1883 p. 76. Polycanna fungina CLAUS 1883 p. 77, 78, 82, 83. » » FEWKES 1889 (a) p. 521, 523. Polycanna germanica Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 420. Aequorea (Polycanna) germanica CLAUS 1881 (b) p. 297. Polycanna germanica CLAUS 1881 (b) p. 298, 300, 308, 311. Aequorea (Polycanna) germanica CLAUS 1883 p. 76. Polycanna germanica CLaus 1883 p. 77, 78, 82, 84. » » FEWKES 1886 p. 959. » » DALLA TORRE 1889 p. 94. » » FEWKES 1889 (a) p. 521. Polycanna groenlandica (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux I, p. 485; II, p. 143; III, p. 429 et IV, p. 420. Aequorea groenlandica CLAUS 1881 (b) p. 297, 301. Zygodactyla groenlandica FrwKkes 1881 (b) p. 156, pl. 5, fig. 5, 6, 11, 12. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 291 Aequorea groenlandica CLAUS 1883 p. 68, 78. Aequorea (Zygodactyla) groenlandica CLAUS 1883 p. 69. Zygodactyla groenlandica FewKkes 1885 (a) p. 597. Polycanna (Zygodactyla) groenlandica FEWKES 1886 p. 959, 962. Zygodactyla groenlandica Crarke 1888 p. 87, fig. 81. Polycanna groenlandica Fewkes 1889 (a) p. 522, 523. Zygodactyla groenlandica FEWKEs 1889 (a) p. 521-523. Polycanna italica Haeckel. Voir : Matériaux I, p. 486; IT, p. 143 ; IT, p. 429 et IV, p. 420. Polycanna italica CLAUS 1881 (b) p. 284, 298, 300, 311. Polycanna rissoana CLAUS 1881 (b) p. 311. Aequorea rissoana CLAUS 1883 p. 62. Polycanna italica CLAUS 1883 p. 62, 77, 78, 84. Polycanna rissoana CLAUS 1883 p. 84. » » CARUS 1884 p. 34. Polycanna italica FEWKES 1886 p. 959. » » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261. » » FEWKES 1889 (a) p. 521. Polyorchis campanulatus (Chamisso et Eysenhardt). Voir : Matériaux IL, p. 143; IL, p. 430 et IV, p. 421. Polyorchis penicillata (Eschscholtz). Voir : Matériaux II, p. 144; III, p. 430 et IV, p. 421. Polyorchis penicillata FEWKES 1889 (b) p. 103, pl. &, fig. 6, 7. » » FEWKES 1889 (c) p. 593, fig. &, pl. 23. Polyorchis pinnatus Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 421. Polyorchis saltatrix (Tilesius). Voir : Matériaux IV, p. 421. 292 M. BEDOT Proboscidactyla brevicirrata Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 421. Proboscidactyla flavicirrata Brandt. Voir : Matériaux If, p. 144; IIF, p. 430 et IV, p. 422. Protiara tetranema (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux 1, p. 486: IL, p. 144; ILE, p. 430 et IV, p. 422. Pteronema ambiguum (Lesson). Voir : Matériaux IT, p. 144, IT, p. 430 et IV, p. 422. Pieronema ambiquum LENDENFELD 1885 (a) p. 592, 629. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 652. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 34. Pteronema darwini Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 422. Pteronema darwini LENDENFELD 1885 (a) p. 592, 629. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 652. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 34. Ptychogastria polaris Allman. Voir : Matériaux IV, p. 422. Ptychogena lactea A. Agassiz. Voir : Matériaux IL, p. 430 et IV, p. 422. Ptychogena lactea HARCKEL 1882 p. 6, 7. » » AGASSIZ, À. 1888 p. 128, fig. 422. Ptychogena pinnulata Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 422. Plychogena pinnulata HAECKEL 1882 p. 6, pl. 2. RÉuil ; n°, =. Voir : HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 293 Ratkia blumenbachi (Rathke). Oceania blumenbachi Rathkea blumenbachi Voir : Matériaux [, p. 486; IL, p. FEWKES FEWKES Matériaux If, p. 144; ILE, p. 430 et IV, p. 425. 1881 (b) p. 142, 146. 1881 (b) p. 147. Rathkia fasciculata (Péron et Lesueur!). Lizzia kôllikeri Rathkea fasciculata SCHMIDTLEIN CARUS METSCHNIKOFF METSCHNIKOFF Lizzia (Rathkea) kôllikeri Caux Lizzia koellikeri Rathkea fasciculata Lizzia kôllikeri Voir : Lo BIANCO MARKTANNER M'INrosH 145 ; LT, p. 1881 p. 1884 p. 1886 (a) 131 et LV, p. 493. 164. 25, ) p. 239. 1886 (b) p. 20. 72, pl. 1, fig. 1888 p. 1888 p. 1890 p. 18-31. 12. 388. 202. 1890 (b) p. 298. Rathkia octopunctata (Sars). Matériaux II, p. 138, 145 ; IT, p. 431 et IV, p. 423. Cytaeis octopunctata Lizzia octopunctata » ) Cytaeis octopunctata Rathkea octopunctata Lizzia oclopunctata » » Rathkea octopunctata » » ) SARS, M. FEWKES FEWKES MôBius MôBits CLuBB CLARKE GIARD var. rubropunctala Gran Rathkea octopunctata Lizzia octopunctata DaLLA TORRE M'IxrosH M'Ixrosx M'INTrosH 1837 p. 406. 1881 (b) p. 142, 143. 1883 p. 1884 p. 1884 p. 1886 p. 1888 p. 1888 p. 1888 p. 1889 p. 1889 p. 79. 65. 65. 117. 83, fig. 75. 317, pl. 21. 319, expl. pl. 21. 95. 264,272, 273, 278, 288, 289. 1890 (a) p. 43. 1890 (b) p. 297, 298. Rhegmatodes floridanus L. Agassiz. Voir : Matériaux IIT, p. 432 et IV, p. 423. M. BEDOT Rhegmatodes globosa (Eschscholtz). Voir : Matériaux IL, p. 145; TIL, p. 432 et IV, p. 424. Rhegmatodes tenuis À. Agassiz. Voir : Matériaux IIT, p. 432 et IV, p. 424. Rhegmatodes thalassina (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux [, p. 486; IL, p. 145 ; IL, p. 432 et IV, p. 424. Rhegmatodes thalassina LENDENFELD 1885 (a) p. 611, 631. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 39. Saphenella dissonema Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 424. Saphenia bitentaculata (Quoy et Gaimard). Voir : Matériaux Il, p. 146; ILE, p. 432 et IV, p. 424. Saphenia bitentaculata Carus 1884 p. 31. ? Siphonorhynchus bitentaculatus MerTscHNIKorF 1886 (a) p. 261. Saphenia dinema (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux I, p. 486; Il, p. 146; I, p. 433 et IV, p. 424. Saphenia dinema FEWKES 1881 (b) p. 152. ARS » GRÆFFE 1884 p. 34. » » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 261. Saphenia mirabilis (Wright). Voir : Matériaux III, p. 433 et IV, p. 495. Sarsia clavata Keferstein. Voir : Matériaux II, p. 146; III, p. 433 et IV, p. 425. Sarsia clavata GRÆFFE 1884 p. 351. Voir dans les Polypes la note à Syncoryne clavata. NN Le] Qt HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. Sarsia macrorhyncha Busch. Voir : Matériaux II, p. 433 et IV, p. 425. Sarsia pattersoni Haddon. Sarsia pattersont HADDON 1886 |a) p. 525. Sarsia prolifera Forbes. Voir : Matériaux II, p. 147; III, p. 433 et IV, p. 425. Codonium codonophorum K£ELLER 1883 (b) p. 628. Sarsia prolifera WAGNER 1885 p. 78. » » FEWKES 1889 (c) p. 298. Sarsia radiata Lendenfeld. Voir aux Hydroïdes : Syncoryne radiata. Sarsia siphonophora Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 426. Sarsia siphonophora KELLER 1883 (b) p. 628. » » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 259. » » Lo Bianco 1888 p. 389. Sarsia tubulosa (Sars). Voir : Matériaux II, p. 147; IL, p. 434 et IV, p. 426. Sarsia tubulosa WEISMANN 1883 p. 2, 58. Sarsia syncoryne LENDENFELD 1884 (c) p. 985. Sarsia tubulosa LENDENFELD 1884 (c) p. 586, 588. » » WAGNER 1885 p. 51, 52, 54, 60, 72, 76, ñg., pl. 3, fig. 6, 15-16, 18, pL. 4, fig. 3-12. » » CLUBB 1886 p. 115. » » HaDDoN 1886 (a) p. 525. » » M'IxrosH 1889 p. 268, 272, 278, 282. » » M’INTrosH . 4890 (b) p. 299. 296 M. BEDOT Staurobrachium stauroglyphum (Péron et Lesueur). Voir: Matériaux I, p. #86; II, p. 147; III, p. 434 et IV, p. 426. Staurodiscus heterosceles Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 427. Staurodiscus tetrastaurus Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 427. Staurophora mertensi Brandt. Voir : Matériaux IT, p. 147 ; HE, p. 434 et IV, p. 427. ? Staurophora mertensi FEWKES 1885 (b) p. 164, 165. Staurophora vitrea Sars. Voir : Matériaux III, p. 435 et IV, p. 427. Staurostoma arctica Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 427. Staurostoma laciniata (1. Agassiz). Voir : Matériaux II, p. 148 ; Ill, p. 435 et IV, p. 427. Staurophora laciniata FEWKES 1882 (a) p.289,exp.pl.7.fig.16, 17: » » FEWKES 1885 (a) p. 598, 600. » » WAGNER 1885 p. 54, 60, 72, 80, pl. 4, fig. 14-20, pl. 5, fig. 9. » » FEWKES 1886 p. 958. » » FEWKES 1888 (a) p. 233. Steenstrupia cranoides Haeckel. Voir : Matériaux III, p. 435 et IV, p. 428. Steenstrupia cranoides CARuS 1884 p. 22. » » GRÆFFE 1884 P. 324. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 297 Steenstrupia gracilis Brooks. Steenstrupia gracilis Brooks 1882 p. 136, 144. (= Steenstrupia rubra sec. A.-G. MAYER.) Steenstrupia lineata Leuckart. Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 428. Steenstrupia lineata CARUS 1884 p. 21. » » GRÆFFE 1884 p. 394. » » Du PLEssis 1888 p. d43. Steenstrupia occidentalis Fewkes. Steenstrupia occidentalis FEWKkES 1889 (b) p. 107, pl. 3, fig. 1. Steenstrupia californica Fewkes 1889 (c) pl. 24, fig. 6. (— Hybocodon chilensis Hartlaub sec. A.-G. MAYER.) Stomobrachium lenticulare Brandt. Voir : Matériaux IL, p. 148; III, p. 436 et IV, p. 498. Stomobrachium tentaculatum 1. Agassiz. Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 428. Stomotoca atra A. Agassiz. Voir : Matériaux IT, p. 436 et IV, p. 429. Stomotoca pterophylla Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 429. Stomatoca periphylla FEWKES 1889 (a) p. 513, 593. Stomotoca rugosa A.-G. Mayer 1900. Stomatoca apicata FEWKES 1881 (b) p. 151, 152, pl. 2, fig. 0: ? Stomatoca apacala Brooks 1882 p. 136. ? Stomatoca apacta Brooks 1882 p. 144. Amphinema apicatum BROOKS 1883 (a) p. 473. 298 M. BEDOT Stomatoca apicata BROOKS 1884 p. 711. » » CLARKE 1888 p. 83 pl. sans n° p. 82. » » FEWKES 1889 (a) p. 524. Syndictyon nodosum (Busch). Voir : Matériaux III, p. 436 et IV, p. 429. Syndictyon nodosum CARUS 1884 p. 20. Tetranema aeronuuticum (Forbes). Voir : Matériaux IL, p. 148 : IE, p. 436 et IV, p. 429. Tetranema eucopium Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 429. T'etranema eucopium CARUS 1884 p. 27." Thamnitis nigritella (Forbes). Voir : Matériaux IL, p. 148 ; LIL, p. 437 et IV, p. 429. Bougainvillia nigritella M’Ixrosa 1889 p. 294. » » M'INrosH 1890 (b) p. 298. Thammnitis tetrella Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 430. Thamnostoma dibalia (Busch). Voir : Matériaux III, p. 437 et IV, p. 430. Thamnostoma dibalia CARUS 1884 p. 25. Thamnostoma dibolia GRÆFFE 1884 p. 348. Thamnostoma macrostoma Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 430. Thamnostylus dinema Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 430. T'hamnostylus dinema HABCKEL 1882 p. 2, pl. 1. HISTOIRE DES HYDROIDES. — V. 299 Thaumantias cellularia (A. Agassiz). Voir : Matériaux IT, p. 437 et IV, p. 430. Thaumantias crucifera Romanes. Voir : Matériaux IV, p. 430. Thaumantias eschscholtzi Haeckel. EC y Voir : Matériaux IV, p. 430. & Thaumantias forbesi Haeckel. DE Voir : Matériaux IV, p. 430. \G Thaumantias helicobostrica Romanes. Voir : Matériaux IV, p. #30. Thaumantias hemisphaerica (Gronovius). Voir : Matériaux I, p. 486; IT, p. 148; IIL p. 437 et IV, p. 431. Thaumantias inconspicua Lestie a. HeRDMAN 1881 p. 13. » » STORM 1882 p. 14. Thaumantias hemis- phaerica Môgius 1884 p. 65. Thaumantias inconspicua PENNINGTON 1885 p. 89. Thaumantias hemis- phaerica Crus 1886 p. 116. Thaumantias punctata CLups 1886 p. 116. Thaumantias hemis- phaerica HapDox 1886 (a) p. 525. » » HERDMAN 1886 (b) p. 327, 330. Thaumantias inconspicua METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 84. Thaumantias hemis- phaerica DALLA TORRE 1889 p. 95. ; ; M'Ixrosn 1889 p. 277,278. 289, 288, 289, 293, 204, 297. 300. 8, 288, 289. 7 19 © I 1 Thaumantias inconspicua M'Ixros 1889 p. Thaumantias pileata M'Ixrosu 1889 p. 300 M. BEDOT Thaumantias hemis- phaerica MINrosH 1890 (b) p. 297, 301. Thaumantias inconspicua M’INrosx 1890 (b) p. 297. Thaumantias pileata M°INTOSH 1890 (b) p. 301. Thaumantias purpureus Romanes. Voir : Matériaux IV, p. 431. Thaumantias versicolor Mettenheimer. Voir: Matériaux IIL, p. 438 et IV, p. 431. Tiara conifera Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 431. Tiara ducalis (Forbes). Voir : Matériaux IIL, p. 438 et IV, p. 431. Tiara octona (Forbes). Voir : Matériaux I, p. 487; Il, p. 149; INT, p. 438 et 1V, p. 431. Tiara octona HADDON 1886 (a) p. 525. Oceania (Tiara) octona M’Ixrosx 1889 p. 264. Oceania turrita M'INrosx 1889 p. 288, 289. Tiara (Oceania) octona M’IxrosH 1889 p. 289, 293. Oceania octona M'INTosH 1890 (b) p. 297. Oceania (Tiara) octona M'INrosx 1890 (b) p. 297. Tiara papua (Lesson). Voir : Matériaux II, p. 150; ITT; p. 439 et IV, p. 431. Tiara papua LENDENFELD 1885 (a) p. 587, 628. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 650. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 32. Tiara pileata (Forskäl). Voir : Matériaux I, p. 487; Il, p. 150 ; HI, p. 439 et IV, p. 432. Oceania pileata FEWKES 1881 (b) p. 149. » » SCHMIDTLEIN 1881 p. 163, 164. HISTOIRE DES HYDROÏDES. _ V. 301 Tiara pileata HAMANN 1882 (b) p. 548, pl. 26, fig. 6. » » HAMANN 1883 (a) p. 426. » » CaRus 1884 p. 23. » » GRÆFFE 1884 p. 395. » » R&Es 1884 p. 589. » » WAGNER 1885 p. 70, 78, pl. 4. fig. 13. » » var. coccinea WAGNER 1885 p. 79. D) » var. smaragdina WAGNER 1885 p. 79. Tiara pileata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239. » dre METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 20, 24, 29, 37, pl. 1, fig. 1-17. ? Tiara leucostyla METSCHNIKOFF 1886 (b) p. 23, 40, 46,48, 75, 77. Oceania pileata Lo Branco 1888 p. 389. Tiara pileata DaLLA TORRE 1889 p. 95. Oceania episcopalis M'IxrosH 1889 p. 278. Tiara pileata MARKTANNER 1890 p. 202. Oceania episcopalis M'IxrosH 1890 (b) p. 297. Oceania pileata M'Ixrosa 1890 (b) p. 297. Tiara reticulata Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 432. Tiara rotunda (Quoy et Gaimard). Voir : Matériaux II, p. 151 ; III, p. 440 et IV, p. 432. Tiara rotunda CaARüS 1884 p. 23. Tiaropsis diademata L. Agassiz. Voir : Matériaux Il, p. 151; I, p. 440 et IV, p. 432. Tiaropsis diademata FEWKES 1882 (a)p. 277, pl. 7, fig. 13, 14. » » METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240. T'iuropsis macleayi Lendenfeld. T'iaropsis macleayi LENDENFELD 1885 (a) p. 605, 630, pl. 93, fig. 37. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 657. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 37. 302 M. BEDOT Tiaropsis mediterranea Metschnikoff. Tiaropsis mediterranea METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239, pl. 22, fig. 6-8. Tiaropsis multicirrata (Sars). Voir : Matériaux II, p. 151; IE, p. 440 et IV, p. 433. Tiaropsis mulhicirrala METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 240. Thaumantias melanops … Me Ixrosx 1887 (a) p. 711. Tiaropsis multicirrhata DacLa TORRE 1889 p. 95. Thaumantias melanops M’Ixrosx 1889 p. 272, 277, 282, 288, 289, pl. 5, fig. 5. » » M'IxrosH 1890 (a) p. 40, pl. 8, fig. 1. » » M’INrosH 1890 (b) p. 297, 300, 301. Tima bairdi (Johnston). Voir : Matériaux IT, p. 151; IIE, p. 441 et IV, p. 433. Tima bairdi FEWKES 1881 (b) p. 157. » » CLARKE 1888 pl. sans n°, p. 82. » » M'Inrosx 1889 p. 261, 263, 289, 298, 300. » » M'INrosH 1890 (a) p. 41, pl. 8, fig. 2. » » M’INrosH 1890 (b) p. 303. Tima flavilabris Eschscholtz. Voir : Matériaux Il, p. 152; IT, p. 4k1 et IV, p. 433. Tima flavilabris SCHMIDTLEIN 1881 p. 164. » » Lo Bianco 1888 p. 390. » » MARKTANNER 1890 p. 280. ? Tima flabellaris M’INTosH 1890 (b) p. 304. Tima forbesi Peach. Voir : Matériaux ILE, p. 441 et IV, p. 433. Tima teutscheri Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 454. Toxorchis arcuatus Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 434. - ,séséhih 2 à « HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 303 Turris constricta Patterson. Voir : Matériaux Ill, p. 442 et IV, p. 434. Turris digitalis Forbes. Voir : Matériaux II, p. 192; III, p. 442 et IV, p. 434. Turritopsis armata (Kôülliker). Voir : Matériaux IIF, p. 442 et IV, p. 434. Turritopsis armata CARUS 1884 p. 23. Oceania armata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239, 241. T'urrilopsis armata METSCHNIKOFF 1886 (a) p. 239. Oceania armata METSCHNIKOFF 1886 (b) p:20,::78..pl4, fig. 32-39. Turritopsis lata Lendenfeld. Turrilopsis lata LENDENFELD 1885 (a) p. 588, 628, pl. 29, fig. 36. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 651. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 33. Turritopsis pleurostoma (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux I, p. 488 ; II, p. 152; IIL, p. 443 et IV, p. 435. Turritopsis pleurostoma LENDENFELD 1885 (a) p. 588, 628. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 651. » » LENDENFELD 1887 (C) p. 33. Turritopsis polynema Haeckel. Y Voir aux Hydroïdes : Clavula neglecta. Wailletta ornata (Mac Crady). Voir : Matériaux ill, p. 443 et IV, p. 435. Wallia ornata BROOKS 1882 p. 136, 144. » » FEWKES 1882 (b) p. 299, pl. 1, tig. 22-24. » » FEWKES 1889 (b) p. 110. 304 M. BEDOT Wallsia cornubica Peach. Voir : Matériaux ILE, p. 443 et IV, p. 435. Willsia furcata Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 435. Wallsia occidentalis Fewkes. Willia occidentalis FEWKES 1889 (b) p. 109, pl. 5, fig. 3. (—= Proboscidactyla occidentalis, see. A.-G. MAYER.) Zanclea costata Gegenbaur. Voir : Matériaux III, p. 444 et IV, p. 436. Zanclea costata CARUS 1884 p. 25. Zygocanna costata Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 436. Z'ygocanna costata LENDENFELD 1885 (a) p. 608, 630. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 658. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 38. Zygocanna pleuronota (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux I, p. 488; IL, p. 193; IL, p. 444 et IV, p. 436. Zygocanna pleuronota LENDENFELD 1885 (a) p. 609. Zygocanna pleuranata LENDENFELD 1885 (a) p. 630. Zygocanna pleuronota LENDENFELD 1885 (d) p. 658. » » LENDENFELD 1887 (C) p. 38. Zygocannota purpurea (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux I, p. 488 ; 11, p. 153; III, p. 444 et IV, p. 436. Aequorea (Zygocannota) purpurea CLAUS 1883 p. 82. Zygocannola purpurea LENDENFELD _ 1885 (a) p. 609, 631. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 38. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 305 Zygocannula diploconus Haeckel. Voir : Matériaux IV, p. 436. Zygocannula diploconus LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 38. Zygocannula undulosu (Péron et Lesueur). Voir : Matériaux I, p. 488 ; II, p. 153; IIL, p. 444 et IV, p. 436. Zygocannula undulosa LENDENFELD 1885 (a) p. 610, 631. » » LENDENFELD 1885 (d) p. 659. » » LENDENFELD 1887 (c) p. 38. Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 20 306 Gen. Ahelinaria Gen. À. À. > L à à > à à > > à à abietina abietina var. abietiformis . abietina var. minor . abielina var. purpurea . anquina . cartilaginea . filicula . filicula var. Clarki . inconstans . Juniperus . labiata . melo . merki . tulesii . variabilis Acanthella A. . Acanthocladium A. A. effusa angulosum huxleyi . Acladia À. africana M. BEDOT INDEX HYDROIDES KIRCHENPAUER 1884 (LINNÉ) 1758 KIRCHENPAUER 1884 KIRCHENPAUER 1884 KIRCHENPAUER 1884 (TRASK) 1857 KIRCHENPAUER 1884 (Ezuis et SOLANDER) 1786 KIRCHENPAUER 1884 (CLARK) 1876 KIRCHENPAUER 1884 KIRCHENPAUER 1884 KIRCHENPAUER 1884 KIRCHENPAUER 1884 KIRCHENPAUER 1884 (CLARK) 1876 ALLMAN 1883 (Busk) 1852 ALLMAN 1883 (LAMOUROUX) 1816 ALLMAN 1883 MARKTANNER 1890 MARKTANNER 1890 — Abielinaria fili- cula. — Abielinaria an- quina. — A canthocladium anqulosum. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 307 Gen. Aequorea PÉRON et LESUEUR 1809 —= p. p. Zygodactyla. A. (Zygodactyla) vitrina, sec. CLAUS 1881 (c) — Zygodactyla vitrina. Gen. Aglaophenia LAMOUROUX 1812 A. acacia ALLMAN 1883 A. acanthoCarpa ALLMAN 1876 (b) — Aglaophenia diva- ricata. A. aculidentata ALLMAN 1886 A. angulosa LAMOUROUX 1816 — Acanthocladium angulosum. A. arcuata LAMOUROUX 1816 — Halicornaria arcuata. A. ascidioides BALE 1882 A. attenuala ALLMAN 1883 A. aurita KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus phoe- niceus. A. avicularis KIRCHENPAUER 1872 — Halicornopsis elegans. A. balei MARKTANNER 1890 A. banksi KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus penna- rius. A. calamus ALLMAN 1883 A. chalarocarpa ALLMAN 1886 A. coarctata ALLMAN 1883 A. crenata FEWKES 1881 (a) — Cladocarpus cre- nalus. A. crispata KIRCHENPAUER 1872 — Lytocarpus penna- rius. A. divaricata var. m’Coyi MARKTANNER 1890 — À glaophenia diva- ricata. A. dolichocarpa ALLMAN 1886 A. elegans LAMOUROUX 1816 — Halicornopsis elegans. A. filamentosa (LAMARCK) 1816 — Lylocarpus fila- mentosus. A. filicula ALLMAN 1883 A. gracillima FEWKES 1881 (a) 308 À. À. A. A. A. À. . Kirchenpaueri helleri heterocarpa hians buxleyi ilicistomu insignis . lendenfeldi . longirostris . m’CoYiI . macgillivrayi . Macrocarpa . mediterranea . microdonta . parvula . pennaria . pennatula . perforata . philippina . (Lytocarpus) phillipina . phoenicea . (Lytocarpus) phoenicea . phyllocarpa M. BEDOT MARKTANNER BALE Busk KIRCHENPAUER BALE FEWKES LENDENFELD BALE KIRCHENPAUER BALE ALLMAN BALE MARKTANNER PIEPER BALE (LINNÉ) 1890 1882 1852 1872 1882 1881 (a) 1885 (a) 1887 1872 1882 1883 1888 1890 1884 1882 1758 (ELis et SOLANDER) 1786 ALLMAN KIRCHENPAUER BALE (Bus) BALE BALE 1886 1872 1887 1888 — Halicornaria hians. — Acanthocladium anqulosum. — Aglaophenia len- denfeldi. — Halicornaria lon- girostris. — Aglaophenia diva- ricata. — Aglaophenia cupressina. — Aglaophenia cru- cialis. — Aglaophenia acacia. — Lytocarpus penna- rius. — Halicornaria pen- natula. — Lytocarpus philip- pinus. — Lytocarpus philip- pinus. — Lylocarpus phoe- niceus. —: Lylocarpus phoe- niceus. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 309 A. pluma var. dichotoma (Sars) 1857 (a) A. plumosa BALE 1882 A. proifera BALE 1882 A.ramosa Busk sec. BALE 188% — Aglaophenia diva- ricata. A. robusta FEWKES 1881 (a) A. roretzi MARKTANNER 1890 A. rostrata KIRCHENPAUER 1872 — Lytlocarpus phoe- niceus. A. secunda KIRCHENPAUER 1872 — Lylocarpus pen- narrus. A. sinuosa BALE 1888 A. spicata LAMOUROUX 1816 — Lylocarpus pen- naTius. A. spinosa AI]. sec. FEWKES 1881 (c) Ind. A. superba BALE 1882 A. thompsoni BALE 1882 — Halicornaria lon- girostris. A. tubiformis MARKTANNER 1890 A. urceolifera LAMARCK 1816 — Halicornaria ur- ceolifera. A. urens BaLe 1884 — Lytocarpus philip - pinus. A. urens KIRCHENPAUER 1872 — Lylocarpus urens. A. whiteleggei BALE 1888 Gen. À glaophenopsis FEWKES 1881 (a) A. hirsuta FEWKES 1881 (a) Gen. Amalthaea Scumipr, 0. 1852 À. vardüensis LoMAN 1889 Gen. Amphibrachium ScHuLze 1880 A. euplectellae SCHULZE 1880 Gen. Anisocola JICKELI 1883 — Plumularia. A. bifrons Heller sec. JIcKErx 1883 — Plumularia bi- frons. A. halecioides Alder sec. JIcKELI 1883 —= Plumularia hale- cioides. A.setacea Ellis sec. JIcKkELt 1883 — Plumularia seta- ce«. 310 Gen. Gen. Gen. Antennella À. secundaria A. siliquosa . Anlennopsis À. ramosa . Antennularia A. cruciata A. cylindrica A. decussata > . dichotoma A. fascicularis A. hexasticha A. irregularis A. janini A. janini A. norwegica A. pentasticha A. profunda A. ramulosa A. tetrasticha Atractyloides A. formosa Azygoplon Gen. Azygoplon A. productum A. rostratum M. BEDOT ALLMAN (GMELIN) (HINCKS) ALLMAN FEWKES LAMARCK PIEPER BALE KIRCHENPAUER HALLEZ ALLMAN KIRCHENPAUER QuELcH GRÆFFE MARKTANNER QueLcu PIEPER QuEeLcH MEREJKOWSKY Queccx FEWKES FEWKES ALLMAN BALE BALE ALLMAN 1877 (b) 1788-93 1877 (a) 1877 (b) 1881 (a) 1816 — Nemertesia. 1881 — Nemertesia anten- nina. 1884 — Sciurella indivisa. 1876 — Nemertesia cymo- docea. 1890 md. 1883 — Nemertesia fasci- cularis. 1876 — Nemertesia hexas- ticha. 1885 (a) == Nemertesia irrequ- laris. 1884 — ? Nemeriesia anten- nina. 1890 — Nemertesia perrieri | var. antennoides. 1885 (a) — Nemertesia norve- gica. 1880 — Nemertesia anten- nina. 1885 (a) — Nemertesia ramosa. 1882 (a) — Nemertesia ramosa. 1885 (a) — Nemerltesia tetras- ticha. 1889 (b) 1889 (b) 1883 — Halicornopsis. 1888 — Diplocheilus. 1888 — Diplocheilus pro- ductus. 1883 — Halicornopsis ele- gans. D ET PT Lt Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Bougainvillia B. fruticosa B. paradoxa B. rugosa . Calamphora C. parvula . Callicarpa C. gracilis . Calycella C. producta C. pygmaea Calyptospadix C. cerulea Calyptothuiaria C. clarki C. magellanica Campanopsis C. sp? Campanularia C. antipathes C. bispinosa C. borealis C. caliculata var. makrogona . Ccalycella . carduella . cheloniae . Chinensis . Costata PAPAS RME Ep . fruticosa C. insignis C. integriformis sec. HISTOIRE DES LESSON WEISMANN M'Ixrosx CLARKE ALLMAN ALLMAN FEWKES FEWKES Hixcks SARS, G.-0. HINCKS CLARKE CLARKE MARKTANNER MARKTANNER MARKTANNER CLAUS CLAUS LAMARCK (LAMARCK) BALE MARKTANNER (LENDENFELD) LENDENFELD ALLMAN ALLMAN MARKTANNER BALE MARKTANNER FEWKES MARKTANNER HYDROÏDES. — 1836 1883 1890 (a) 1882 1888 1888 1881 (a) 1881 (a) 1859 1874 1874 (b) 1882 1882 1890 1890 1890 1881 (c) 1881 (c) 1816 1816 1888 1890 1885 (b) 1883 (c) 1886 1888 1890 1884 1890 1881 (a) 1890 V. Shl4l — Bougainvillia ra- mos«. — Bougainvillia su- perciliaris. — Lovenella producta. — Halisiphonia pyq- maeux, —= Lictorella anii- pathes. — Campanularia (?) spinulosa. Ind. — Lafoea costata. — Lytoscyphus fruti- COSUS. — Lyloscyphus mar- ginatus. 312 Gen. Gen. Gen. C. marginata C. occidentalis C. ptychocyathus C. retroflexa C. rufa .(?) serrulata . (2) spinulosa . thyroscyphi- formis C. torresi C. tulipifera C. undulata Lmx. çec. . urnigera Lx. sec. (>: Campanulina C. borealis C. calyeulata var. makrogona Ceratella C. fusca C. labyrinthica C. procumbens C. spinosa Cladocarpus C. compressus C. crenatus C. crenatus var. allmani C. flexilis C. formosus C. formosus C. pectiniferus . simplex Lmx. sec. M. BEDOT BALE FEWKES ALLMAN ALLMAN BALE BALE BALE BALE MARKTANNER BALE ALLMAN BALE BALE BENEDEN THOMPSON LENDENFELD GRAY GRAY HYATT CARTER CARTER ALLMAN FEWKES (FEWKES) RITCHIE VERRILL ALLMAN ALLMAN ALLMAN 1884 1889 (b) 1888 1888 1884 1888 1884 1888 1890 1884 1888 1884 1884 1847 1887 1885 (b) 1873 1874 (b) 1881 (a) 1881 (a) 1909 1885 (a) 1874 (b) 1883 1883 — Lictorella anti- pathes. Ind. — Thyroscyphus tor- resi. Ind. Ind. — Campanularia ca- lyculata var. ma- krogona. — Solanderia. — Solanderia fusca. — Solanderia laby- rinthica. — Solanderia pro- cumbens. — Solanderiaspinosa. — Cladocarpus cre- natus var. allmani dt. “ini Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — Cladocoryne RorcH 1871 C. haddoni KIRKPATRICK 1890 (a) Cladonema DUJARDIN 1843 C. dujardini HARTLAUB 1887 . Clava GMELIN 1788-93 C. simplex LENDENFELD 1885 (a) Clavopsis GRÆFFE 1883 C. adriatica GRÆFFE 1883 (a) Clavula WRIGHT 1859 C. neglecta (LESsON) 1843 . Clytia LAMOUROUX 1812 C. (?) elongata MARKTANNER 1890 C. flavidula METSCHNIKOFF 1886 (a) C. laevis WEISMANN 1883 C. viridicans METSCHNIKOFF 1886 (a) Cordylophora ALLMAN 1844 C. whiteleggei LENDENFELD 1886 (b) Corymorpha SARS 1835 C. antarctica PREFFER 1889 C. arctica . WEISMANN 1883 Coryne GAERTNER 177% C. vel. Syncoryne cylindrica KIRKPATRICK 1890 (a) C. graeffei JICKELI 1883 C. pusilla var. napolitana WEISMANN 1883 Cryptolaria Busk 1857 C. abyssicola ALLMAN 1888 C. crassicaulis ALLMAN 1888 C. diffusa ALLMAN 1888 C. flabellum ALLMAN 1888 C. geniculata ALLMAN 1888 C. gracilis ALLMAN 1888 C. humilis ALLMAN 1888 C. pulchella ALLMAN 1888 Dendroclava WEISMANN 1883 D. dohrni WEISMANN 1883 V. — Cladonema radia- tum. — ? Monocaulus gla- cialis. 314 Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Desmoscyphus D. acanthocarpus D. gracilis D. obliquus D. orifissus D. pectinatus D. unguiculata Dicoryne D. annulata Dictyocladium D. dichotomum Diphasia . bipinnata . digitalis . mutulata SOS . pinaster var. arcuala . rectangularis . scalariformis . subcarinata CNHSRSRS . Symmetrica Diplocheilus D. mirabilis D. productus Diplocyathus D. dichotomus Dynamena D. attenuata sec. D. bilateralis D. gracilis sec. D. mediterranea M. BEDOT ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN LENDENFELD ALLMAN ALLMAN AGASssiz, L. ALLMAN (Busk) (Busk) QUELCH LENDENFELD KIRKPATRICK (Busk) LENDENFELD ALLMAN ALLMAN (BALE) ALLMAN ALLMAN LAMOUROUX PIEPER Brooks MARKTANNER MARKTANNER 1876 (b) 1888 1888 1888 1886 1888 1886 1859 1885 (a) 1888 1888 1862 1886 1852 1852 1885 (a) 1885 (b) 1890 (a) 1852 1885 (a) 1883 1883 1882 1888 1888 1812 1884 1882 1890 1890 — Sertularia nata. —= Sertularia nostoma. — Serlularia nala. turbi- trigo- gemi- — Sertularia unqui- culata. — Îdia pristis. — Sertularia nos«a. — ? Diphasia nuala. bispi- atte- — Sertularia lamou- Touxt. roux. — Sertularia lamou- Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 315 D. tubiformis MARKTANNER D. tubiformis Lmx. sec. MARKTANNER D. tubuliformis MARKTANNER Eucopella LENDENFELD E. campanula LENDENFELD E. campanularia LENDENFELD Eudendrium EHRENBERG E. arbuseulum d'Orb. sec. RipLeY E. armatum TICHOMIROFF E. attenuatum ALLMAN E. carneum CLARKE E. cochleatum ALLMAN E. exiguum ALLMAN E. generale LENDENFELD E. gracile ALLMAN E. infundibuliforme KinkpaATRICK E. novae-zelandiae MARKTANNER E. pusillum SARS E. pusillum LENDENFELD E. simplex PIRPER E. tenue AGASSIZ, À. E. vestitum ALLMAN Filellum Hixcks F. bouvieri JULLIEN Gattya ALLMAN G. humilis ALLMAN Grammaria STIMPSON G. insignis ALLMAN G. intermedia PFEFFER G. magellanica ALLMAN G. stentor ALLMAN Gymnangium Hixcks 1890 p. 234 — Dynamena tubuli- formis. 1890 p. 248 — Synthecium sertu- larioides. 1890 1883 (c) 1887 (c) — Eucopella campa- nularia. 1883 (c) 1834 1881 (a) Ind. 1890 1877 (b) Ind. 1882 1877 (b) Ind. 1877 (b) Ind. 18835 (a) 1877 (b) Ind. 1890 (a) 1890 1857 (a) 1885 (a) 1884 — Eudendrium in- signe. 1865 — Eudendrium capil- lare. — Halecium pusillum. 1888 1868 1880 1886 1886 1854 1888 1889 1888 1888 1874 (a) Supp. 316 Gen. Halecium ES PAS En ERRIRRRDERRSZ . arboreum . boreale . curvicaule . Cymiforme . dichotomum . fastigiatum flexile . gracile . marsupiale . ophiodes . parvulum . pusillum . robustum . robustum . telescopicum . tenellum var. medilerranea . Halicornaria . allmani . arcuala . ascidioides . baileyi . Cornuta . flabellata . furcata . haswelli . hians . humilis . ilicistoma . longirostris . longirostris var. thompsoni . mitrata . pennatula M. BEDOT OKEN ALLMAN LORENZ LORENZ ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN BALE BERGH PIEPER BALE (SaRS) ALLMAN PIEPER ALLMAN WEISMANN ALLMAN MARKTANNER (LAMOUROUX) BALE BALE ALLMAN MARKTANNER BALE BALE (Busk) BALE BALE (KIRCHENPAUER) MARKTANNER ALLMAN 1815 1888 1886 1886 1888 1888 1888 1888 1888 1887 1884 1888 1857 (a) 1888 1884 1888 1883 1874 (b) 1890 1816 1884 1884 1886 1890 1884 1884 1852 1884 1884 1872 1890 1886 (Ezzis et SoLANDER) 1786 — Haleciumpusillum. — Halecium arbo- reum. — Halicornaria ar- cuata. — Halicornaria lon- grostris. — Lytocarpus fila- mentosus. Le Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. H. plumosa ALLMAN 1883 H. prolifera BALE 1884 H. saccaria ALUMAN 1876 (b) H. (Lytocarpus) saccaria BALE 1888 H. superba BALE 1884 H. thompsoni BALE 1884 H. urceolifera (LAMARCK) 1816 Halicornopsis BALE 1882 H. avicularis BALE 1882 H. elegans (LaMourRoUx) 1816 H. rostratum LENDENFELD 1885 (b) Halisiphonia ALLMAN 1888 H. dumosa MARKTANNER 1890 H. megalotheca ALLMAN 1888 H. pygmaea (Hixcks) 1874 (b) H. spongicola HAECKEL 1889 Halobothrys sec. CARUS 1884 H. fucicola sec. CARUS 1884 Halocordyle ALLMAN 1871 H. tiarella (AYRES) 1854 Haloikema BouRNE 1890 (b) H. lankesteri BouRNE 1890 (b) Hebella ALLMAN 1888 H. contorta MARKTANNER 1890 H. cylindrata MARKTANNER 1890 H. cylindrica (LENDENFELD) 1885 (b) H. parasitica (CIAMICIAN) 1880 H. scandens (BALE) 1888 H. striata ALLMAN 1888 Heteroplon ALLMAN 1883 H. pluma ALLMAN 1883 317 — Halicornaria all- mant. — Lylocarpus sac- carius. — Lytocarpus sacca- raus. — Halicornaria lon- girostris. — Halicornopsis elegans. — Halicornopsis elegans. — Lafoea dumosa. — Coryne — Coryne fucicola. Supp. —= Pennaria. — Pennaria tiarella. Supp. — Halecium. — Halecium robustum Pieper. 318 Gen. Hydra H. carnea H. gracilis H. hexactinella H. viridis var. bakeri sec. H. viridis Gen. Hydractinia H. borealis H. (Oorhiza) borealis H. carica . Hydrichthys H. mirus Gen. Hypanthea H. aggreqata H. atlantica H. georgiana H. hemisphaerica Gen. Hypopyxis H. labrosa Isocola I. disticha Gen. I. frutescens [. gaymardi I. pinnata Gen. Kirchenpaueria Gen. Lafoea L. costata . Cylindrica . elangans . giqgas . gracillima . halecioides . parasitica L. pygmaea RARES LE sec. sec. sec. sec. M. BEDOT LINNÉ AGASssIZz, L. AGASsiZz, L. LENDENFELD MARSHALL JICKELT BENEDEN BERGH BERGH BERGH FEWKES FEWKES ALLMAN ALLMAN MARKTANNER PFEFFER ALLMAN ALELMAN ALLMAN JICKELI JICKELI JICKEL JICKELI JICKELI JICKELI LAMOUROUX (BALE) LENDENFELD FEWKES PrkPER HINCKS ALLMAN CIAMICIAN HINCKS 1746 1851 (a) 1851 (a) 1886 (a) 1882 1883 1841 1887 1887 1887. 1887 1887 1876 (c) 1888 1890 1889 1888 1888 1888 1883 1883 1883 1883 1883 18383 1821 1884 1885 (b) 1881 (a) 1884 1874 (a) 1871 1880 1868 — Hydra oligactis. — Hydra viridis. — ? Hydra oligactis. — Oorhiza borealis. — Oorhiza borealis. Supp. = Plumularia. — Plumularia dis- ticha. — Plumularia fru- tescens. — Plumularia setacea var. gaimardi. — Plumularia nala. Supp. — Diplocheilus. pin- — Hebella cylindrica.. — Lafoea fruticosa. — Lafoea pinnata. — Hebella parasitica. — Halisiphonia pyg- mae«. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. L. scandens BALE 1888 L. sibirica THOMPSON 1887 L. (Hebella) venusta ALLMAN 1888 Eaomedea LAMOUROUx 1812 L. antipathes LAMOUROUX 1816 L. diaphana AGASSIZ, A. 1862 L. gigantea AGASSIZ, À. 1865 L. marginata LENDENFELD 1885 (a) L. pacifica AGASSIZ, À. 1865 L. rigida AGASSIZ, À. 1865 L. rufa LENDENFELD 1885 (a) L. torresi Busk 1852 L. undulata sec. LENDENFELD 1885 (a) Lictorella ALLMAN 1888 L. antipathes (LAMARCK) 1816 L. cyathifera ALLMAN 1888 L. halecioides ALLMAN 1888 Lineolaria Hixcks 1861 L. flexuosa BALE 1884 Lizzia FORBES 1846 L. octocilia Du PLEssIs 1888 Lovenella Hixcks 1868 L. gracilis CLARKE 1882 L. producta (Sars G.-0.) 1874 Lytlocarpus ALLMAN 1883 L. bispinosa ALLMAN 1883 L. (Aglaophenia) bispinosa ALLMAN 1883 L. distans ALLMAN 1883 L. (Aglaophenia) distans ALLMAN 1883 319 — Hebella scandens. — Lafoea venusta. Su pp. == Lictorella anti- pathes. — Obelia geniculata. Inmd. — Campanularia marginal. md. Ind. — Lictorella anti- pathes. — Thyroscyphus tor- rest. md. — Lictorella anti- pathes. — pp. Bougainvillia. — Bougainvillia ra- mosa. — Aglaophenia bis- pinosa. — Aglaophenia bis- pinosa. — Aglaophenia dis- ans. — Aglaophenia dis- tans. 320 Gen. Gen. Gen. Gen. L filamentosus . grandis . longicornis . myriophyllum sec. . (Aglaophenia) myriophyllum sec. L. L. . Lytoscyphus L. . Margelis M. . patulus . pOnnarius . philippinus . phoeniceus . racemiferus . ramosus . SACCATIUS . secundus spectabilis urens marginatus britannica Melicertum Modeeria M. M. multitentacula nutricula . Monopoma M. variabilis Monosklera M. pusilla Nematophorus N; grandis sec. M. BEDOT (LAMARCK) (CARKE) (Busk) ALLMAN ALLMAN MARKTANNER (LINNÉ) (KIRCHENPAUER) (Busk) ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN (KIRCHENPAUER) PicTET (ALLMAN) STEENSTRUP HADDON ESCHSCHOLTZ FORBES FEWKES FEWKESs MARKTANNER MARKTANNER LENDENFELD LENDENFELD CLARKE CLARKE 1816 1879 1852 1883 — Aglaophenia, my- riophyllum. 1883 — Aglaophenia my- riophyllum. 1890 — Lylocarpus fila- mentosus. 1758 1872 1852 1883 1886 — Aglaophenia diva- rical. 1876 (b) 1883 — Lylocurpus penna- Tius. 1883 — Lylocarpus phoe- niceus. 1872 1893 1877 (b) 1850 — pp. Bougainvillia. 1886 (a) — Bougainvillia ra- mosa. 1829 1846 — pp. Turritopsis. 1881 (b) — Turrilopsis nutri- cula. 1882 (b) — Turritopsis nutri- cula. 1890 1890 1885 (b) Supp. — Obelia. 1885 (b) — Obelia geniculata. 1879 Supp. — Lytocarpus. 1879 — Lylocarpus gran- dis. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Nemertesia N. cruciata N. cymodocea N. fascicularis N. irregularis N. janinia N. pentasticha N. perrieri var. antennoides N. simplex N. triseriata Obelaria 0. geniculata O. longissima Obelia . adelungi . andersonti . angulosa . ATTUENSIS . australis . (2) bifurca . chinensis . helgolandica SD OS S ES. S © . Mmarginata Oceania O. polycirrha Opalorhiza O. parvula Pachycordyle P. napolitana Pasythea P. philippina Pennaria P. adamsia _ P. australis P. inornata LAMOUROUX . CARUS (Busk) (ALLMAN) (QUELCH) JICKELI (PIEPER) BILLARD (ALLMAN) (POURTALES) HAECKEL DRIEscH Driescx PÉRON et LESUEUR HARTLAUB HiNCKs BALE MARKTANNER LENDENFELD Hixcxs MARKTANNER HARTLAUB ALLMAN PÉRON et LESUEUR KEFERSTEIN VERRILL VERRILL WEISMANN WEISMANN LAMOUROUX MARKTANNER OKEN LENDENFELD BALE BROOKS Rev Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — 1812 1884 1851 1883 1885 (a) 1883 1880 1904 1877 (b) 1869 1879 1889 1889 1809 1884 1887 1888 1890 1885 (a) 1887 1890 1884 1877 (b) 1809 1862 1885 (a) 1885 (a) 1883 1883 1812 1890 1815 1885 (a) 1884 1889 321 — Nemertesia anten- nina. — Nemertesiaramosa. — Nemertesia anten- nin«. — Nemertesiaramosa. Id. Supp. — Obelia. — Obelia geniculata. — Obelia longissima. — Leploscyphus mar- ginatus. —= pp. Clavula. — Clavula neglecta. Erreur pour Oplorhiza. — Oplorhiza parvula. 21 Gen P. pennaria P. rosea P. tiarella . Pentandra P. balei P. parvula . Perigonimus P. apicatus P. (Stomatoca) P. arenaceus P. cidaritis P. formosus P. steinachi P . sulfureus Gen. Perisiphonia lé P . filicula . pectinata Gen. Pleurocarpa P. ramosa Gen. Plumularia P . abielina . aglaophenoïides . alata . annuligera . antennata . armala . aurita . buski . caliculata . californica . catharina var. allernans . caulitheca .compressa . Cornula . delicata M. BEDOT MARKTANNER LENDENFELD (AYRES) LENDENFELD LENDENFELD LENDENFELD SARS (BROOKS) Brooks BOoURNE WEISMANN FEWKES JICKELI CHUN ALLMAN ALLMAN ALLMAN FEWKES FEWKES LAMARCK ALLMAN BALE BALE QuELcH QuELcH ALLMAN BALE BALE BALE MARKTANNER DRIESCH FEWKES BALE BALE LENDENFELD 1890 1885 (a) 1854 1884 (b) 1885 (a) 1885 (a) 1846 1884 188% 1890 (a) 1883 1889 (b) 1883 1889 1888 1888 1888 1881 (a) 1881 (a) 1816 1883 1884 1888 1885 (b) 1885 (a) 1883 1888 1884 1888 1890 1890 (a) 1881 (a) 1882 1884 1887 (c) — Pennaria disticha. — Pennaria australis. — Perigonimus api- catus. —? Wrightia arenosa. Ind. — Plumularia delica- tula. HISTOIRE DES HYDROÏDES, — V. 9129 P. delicatula BALE 1882 P. delicatula QueLcx 1885 (a) — Plumularia annu- ligera. P. dolichotheca ALLMAN 1883 P. echinata MARION 1883 (a) — ? Plumularia echi- nulala . P. effusa Busk 1852 — Acanthella effusa. P. filamentosa LAMARCK 1816 — Lytlocarpus fila- mentosus. P. filicaulis var. 2ndivisa BALE 1884 P. flabellum ALLMAN 1883 P. fragilis HAMANN 1882 (a) P. geminata ALLMAN 1877 (b) — l'lumularia catha- rin«. P. goldsteini BALE 1882 P. gracilis LENDENFELD 1885 (a) P. halecioides var. adriatica WEISMANN 1883 — Plumularia hale- cioides. P. hians MARKTANNER 1890 P. hyalina BALE 1882 P. indivisa BALE 1882 — Plumularia cam- panula. P. insignis ALLMAN 1883 P. lagenifera ALLMAN 1886 P. laxa ALLMAN 1883 — Plumularia cam- panula. P. lichtensterni MARKTANNER 1890 P. longicornis Busk 1852 — Lylocarpus longi- COTnAs. P. multinoda ALLMAN 1386 P. obliqua var. robusta BALE 188% P. pluma x var. dichotoma Sars 1857 (a) — Aglaopheniapluma var. dichotoma. P. producta BALE 1882 — Diplocheilus pro- ductus. Gen. Gen. Gen. . pulchella . radia . ramsayi D TT © . rubra P. scabra P. secundaria P. setaceoides P. siliquosa P. spinulosa P. stylifera P. torresia P. tripartita . turgida . variabilis acer inc ae) . wattst . Pluriserialia . Podocoryne P. haeckeli . Polycoryne P. helleri Polyplumaria P. insignis P. (Diplopteron) insignis P. pumila Rhizohydra R. flavitincta Sarsia S. minima . ventriculiformis M. BEDOT BALE LENDENFELD BALE LENDENFELD LAMARCK (GMELIN) BALE HINCKS BALE ALLMAN LENDENFELD LENDENFELD BALE QuELcH MARKTANNER BALE KIRCHENPAUER SARS HAMANN GRÆFFE GRÆFFE SARS, G.-0. ALLMAN ALLMAN ALLMAN CopE CopE LESSON LENDENFELD 1882 1885 (a) 1884 1885 (a) 1816 1788-93 1882 1877 (a) 1882 1883 1885 (a) 1885 (a) 1888 1885 (a) 1890 1887 1876 1846 1882 (a) 1883 (b) 1883 (b) 1874 1883 1883 1883 1883 1883 1843 1885 (a) — Plumularia badia. — Plumularia cam- panula. —? Acanthellaeffusa. — Antennella secun- daria. — Antennella sili- quosa. — Plumularia cam- panula. — Plumularia seta- cea. Supp. — Selaginopsis. Supp. — Cladocoryne. floc- — Cladocoryne COs«. = Polyplumaria fla- bellala. — Polyplumaria fla- bellata. = Polyplumaria fla- bellata. == p. p. Syncoryne. — Syncoryne minima. ra ch Li Ééédlg ni Gen. Gen: Gen. Gen. S. (Codonium) HISTOIRE pulchella M’Ixrosa S. radiata Schizotricha S. multifurcata S. unifurcata Sciurella S. indivisa Selaginopsis S. bidentata S. mirabilis S. pacifica S. pinus S. salicornia S. urceolifera Sertularella S. allmani annulata S. © $. antarctica S. arborea S. arborea var pinnata S. arboriformis S. arbuscula var. pinnata S. articulata S. Capillaris S. clarki S. contorta S. crassipes S. cuneata LENDENFELD ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN ALLMAN (ALLMAN) (VERRILL) MERESCHKO WSKY KIRCHENPAUER (ALLMAN) KIRCHENPAUER GRAY HARTLAUB MARKTANNER HARTLAUB KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER MARKTANNER (KIRCHENPAUER) (ALLMAN) ALLMAN MERESCHKOWSK Y KIRCHENPAUER ALLMAN ALLMAN DES HYDROÏDES. — 1889 1885 (a) 1883 1883 1883 1883 1883 1876 (b) 1876 (b) 1873 (b) 1878 (d) 1884 1871 1884 1848 1901 1890 1901 1884 1884 1890 1884 1888 1886 1878 (d) 1884 1886 1886 V. — Syncoryne pul- chella. * — Selaginopsis Qt — Syncoryne radiata. cedrina. — Selaginopsis pinaster. — Serlularella arbus- cula. — Sertularella arbus- cula var. pinnata. — Serlularella john- sloni. | — Sertularella arbus- cula. — Sertularella arbus- cul«. M. BEDOT S. cylindrica BALE 1888 — Synthecium alter- nans. S. diffusa ALUMAN 1886 S. divaricata (Busk) 1852 — Sertularella john- sloni. S. divaricata var. sub-dichotoma BALE 1888 — Sertularella john- stoni. S. divaricata var. dubia BALE 1888 — Sertularella john- stont. S. ellisi HINCKS 1879 (a) — Sertularella poly- zonias. S. formosa FEWKES 1881 (a) S. fruticulosa PoEPPiG 1884 S. indivisa BALE 1882 S. infracta KIRCHENPAUER 1884 S. johnstoni var. subdichotoma KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella subdi- chotoma. S. laevis BALE 1882 S. limbata ALLMAN 1886 — Sertularella secunda. S. longicollis KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella greenei. S. longitheca BALE 1888 S. macrotheca BALE 1882 S. margaritacea ALLMAN 1886 S. microgona LENDENFELD 1885 (a) S. mulleri KIRCHENPAUER 1884 S. novarae MARKTANNER 1890 S. pallida PogpprG 1884 S. patagonica sec. KIRCHENPAUER 1884 — ? Sertularella ru- gosa. S. polyzonias forma gigantea KiRCHENPAUER 1884 — Sertularella polyzo- nias var. giyantea. S. polvzonias forma gracillima KIRCHENPAUER 1884 — Sertularella poly- zonias. Gen. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — S. polyzonias forma gracilis KIRCHENPAUER S. polyzonias forma robusta KiIRCHENPAUER S. purpurea S. pygmaea S. quadricornis S. quadrifida S. ramosa . reticulata . rubella S S S. secunda S. sieboldi S. solidula S. sonderi S. spinosa S. squamala S. subdichotoma S. tilesii S. tricuspidata var. acuminata S. trimucronata S. trochocarpa S. unilateralis S. variabilis Sertularia S. abietina S. acanthostoma S. actoni S. amplectens KIRCHENPAUER BALE THOMPSON HARTLAUB THoMmPpsoN KIRCHENPAUER TILESIUS KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER BALE KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER KIRCHENPAUER ALLMAN ALLMAN ALLMAN BALE LiNNÉ LINNÉ BALE PHicipPr ALLMAN 1884 188% 1884 1882 1884 1901 1879 1884 1884 188% 1884 1882 1884 1884 1884 1884 1884 1884 1886 1886 1876 (c) 1888 1748 1758 1882 1866 1886 V. 327 — Serlularella poly- zonias. — Sertularella polyzo- nias var, robusta. — Serlularella john- stoni. — Sertularella john- stoni. — Sertularella qua- dricornuta. —= Sertularella arbus- cula. — Sertularella ne- glecta. — Sertularella an- larctica. — Abielinaria abie- tina. Ind. —= Sertularia turbi- nala. un un CG ua . anguina . annulata . aperta . argentella . articulata . bicornis . bidens . catena . clausa . crenata . Crinis . crinoidea . cylindritheca . diffusa var. . digitalis . diÿmphnae . distans . echinocarpa . evansi . eœiqua . Exigua . exserta . fertilis . filicula . filiformis . filiformis (gracilis) . flosculus sec. M. BEDOT TRASK ALLMAN ALLMAN PENNINGTON ALLMAN BALE BALE ALLMAN ALLMAN BALE ALLMAN ALLMAN ALLMAN MARKTANNER Busk BERGH ALLMAN ALLMAN ELLIS et SOLANDER ALLMAN ALLMAN ALLMAN LENDENFELD ELLIs et SOLANDER ALLMAN ALLMAN THoMmPsoN 1857 — Abietinaria an- quina. 1888 1886 1885 1888 — Sertularella arti- culata. 1882 — Serlularia bicuspi- data. 1884 1888 1888 1884 1886 —= Sertularia opercu- lata. 1886 1888 1890 — Sertularella dif- fusa. 1852 — Diphasia digitalis. 1887 1877 (b) — Sertularia lamou- rouxi. 1888 1786 — Synthecium evansi. 1877 (b) (Non 1888) 1888 —= Sertularella qau- dichaudi. 1888 1885 (a) — Thuiaria subarti- culata. 1786 — Abietinaria fii- cula. 1888 1888 — Sertularia fihfor-. mis. 1879 — Sertularia turbi- nata. CG Ga nm CA Un tn (a) un n CG & un . Johnstoni . geminala . geniculata . geniculata . germinata . gigantea . gracilis . huttoni . imbricata : implexa . inconstans . Integritheca . interrupta . irreqularis . lagena . laxa (exigua) . leiocarpa + MACrOCArpA . Mmaplestonei . Mmegalocarpa . Minula - Mutulata . ortogonia (Sertularella) HISTOIRE DES HYDROÏDES. sec. . grandis Allm, sec, . bumilis sec. sec. BALE BALE ALLMAN LENDENFELD THOMPSON ALLMAN PFEFFER ALLMAN MARKTANNER Busk ALLMAN CLARK ALLMAN PFEFFER LENDENFELD ALLMAN PFEFFER ALLMAN ALLMAN BALE BALE AT.LMAN BALE Busk Busk polyzonias sec. PFr£FFER 1884 1888 1888 1885 (a) 1884 1888 1890 1886 1890 1855 1888 1876 (a) 1888 1889 1885 (a) 1888 1890 1888 1888 1884 1884 1886 1882 1852 1852 1889 V. — Sertularia ducta. —= Sertularia nala. —= Sertularella ganteua. 329 pro- gemi- gt- — Sertularia filifor- mis. Ind. Ind. —= Thuiaria cala. imbri- — À bietinaria incons- tans. — Sertularella Johns- lon. — Sertularella gena. — Sertularella dichaudi. — Diphasia lata. la- qau- mutu- = Synthecium ortho- gonium — Sertularella poly- zonias. 330 Gen. Fr 2 un . producta . producta (geniculata) S. pumiloides un un un S. S. S. S. . recta . secunda . secunda (unilateralis) . Simplex . Subcarinata . tenuis . thuiaroides . tridens . tuba . tubiformis . tubulosa . typica . unilateralis . unilateralis . variabilis . Solanderia fusca labyrinthica procumbens spinosa Statocodium sec. sec. M. ALLMAN ALLMAN BALE BALE CARUS ALLMAN LENDENFELD Busk BALE THoMPsoN LENDENFELD BALE EDWARDS CARUS LENDENFELD ALLMAN ALLMAN CLARK BEDOT DUCHASSAING et MICHELIN (GRAY) (Hyarr) (CARTER) (CARTER) ALLMAN 1888 1888 1882 1882 1884 1888 1885 (b) 1859 1884 1887 1885 (b) 1884 1836 1884 1885 (a) 1886 1888 1876 (a) 1846 1868 1877 1873 1873 1871 — Sertularia pro- ducta. — Sertulariaminima. — Sertularia lamou- TOUR. — Sertularella all- mani. — Diphasia subcari- nala. — Sertularia lamou- TOUxA. — Thuiaria thuia- rioides. — Sertularella tri- dentata. — Synthecium sertu- larioides. — Synthecium evansi. — Synthecium sertu- larioides. — Sertularia bispi- nos«. — Sertularella all- mant. — Abielinaria varia- bilis. Supp. Gen Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Stauridia S. cerberus Staurotheca S. dichotoma Steenstrupia S. flaveola S. rubra Streptocaulus S. pulcherrimus Stylactella S. abyssicola S. spongicola S. vermicola Stylactis S. abyssicola S. arge S. spongicola S. vermicola Symplectoscyphus S. australis Syncoryne S. clavata S. graeffei S. (Coryne) graeffei sec. S. minima S. occidentalis S. radiata S. rosaria Synthecium S. alternans S. campylocarpum S. evansi HISTOIRE WRIGHT Du PLESssIs ALLMAN ALLMAN FORBES FEWKES FEWKES ALLMAN ALLMAN HAECKEL HAECKEL HAECKEL (ALLMAN) ALLMAN HAECKEL CLARKE HAEFCKEL ALLMAN MARKTANNER MARKTANNER EHRENBERG GRÆFFE (JICKELI) GRÆFFE (LENDENFELD) FEWKES (LENDENFELD) (AGassiz, A.) ALLMAN ALLMAN ALLMAN DES HYDROÏDES. — 1858 1888 1888 1888 1846 1889 (b) 1889 (b) 1883 1883 1889 1889 1889 1888 1864 1889 1882 1889 1888 1890 1890 1834 1884 1883 188% 1885 (a) 1889 (b) 1885 (a) 1860-62 1871 1888 1888 (ELris et SOLANDER) 1786 V. — Slauridium. 331 — Coryne cerberus. — pp. Corymorpha. — Coryÿmorpha tans. — Corymorpha tans. — Stylactella sicola. nu- nu- abys- == Stylactella spongi- cola. — Stylactella vermi- cola. — Sertularella. — Sertularella johns- ton. — Syncoryne graeffei. 332 M. BEDOT S. orthogonium (Busk) 1852 S. ramosum ALLMAN 1886 — Synthecium elegans. Gen. T'hecocladium ALLMAN 1886 T. flabellum ALLMAN 1886 Gen. Thiarella sec. JICKELI 1883 — Tiarella. T. singularis sec. JickEeLI 1883 = Tiarella singula- ras. Gen. Thuiaria FLEMING 1828 T. acutiloba PogpriG 1884 T. annulata KIRCHENPAUER 1884 T. (Sertularia) argentea sec. THOMPSON 1884 — Thuiaria argentea. T. bipinnata KIRCHENPAUER 1884 — Thuiaria subarti- culata. T'. cartilaginea KIRCHENPAUER 1884 T. coronata ALLMAN 1874 (e) — Thuiaria coroni- fera. T. (Sertularia) cupressina sec. THOMPSON 1884 — Thuiaria cupres- sina. T. (Sertularia) cupressoides sec. THOMPSON 1887 — Thuiaria cupres- soides. T. diaphana ALLMAN 1886 — Sertularella tri- dentata. T. dolichocarpa ALLMAN 1876 (b) —Thuiaria zelandica. T. doliolum PogppiG 1884 T. elegans KIRCHENPAUER 1884 T. heteromorpha ALLMAN 1886 T. hippisleyana ALLMAN 1886 —= T'huiaria zelandica. T. hyalina ALLMAN 1888 — Sertularella tri- dentata. T. imbricata (Busk) 1855 T. interrupta ALLMAN 1886 T. lata BALE 1882 — Sertularella tri- dentata. T. lonchitis sec. KIRCHENPAUER 1884 = Thuiaria articu- lata. T. monilifera (HuTToN) 1873 «I 071 LL: Gen. Gen. Gen. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 333 T. neglecta T. pectinata T. persocialis T. personalis T. pharmacopola T. polycarpa T. polymorpha T. quadridens T. quadridens T'. ramosissima T. salicornia T. (Sertularia) similis sec. . SinuOsa . veqae à T. stelleri ‘ T. vincta T. zelandica var. valida Thyroscyphus T. simplex T'. torresi T. vitiensis Tibiana T. fasciculata sec. T. ramosa sec. Tubularia T. britannica T. gracilis T. parasitica PoeppiG ALLMAN ALLMAN KIRCHENPAUER ALLMAN PorppiG ALLMAN ALLMAN BALE ALLMAN ALLMAN THOMPSON BALE TILESIUS THOMPSON ALLMAN QuEercx ALLMAN ALLMAN (Busx) MARKTANNER LAMARCK BALE BALE LINNÉ PENNINGTON LENDENFELD KOROTNEFF 188% — Thuiaria articu- lata. 1888 — Thuiaria articu- lala. 1876 (b) — Thuiaria articu- lala. 1884 — Thuiaria articu- lata. 1888 — Diphasia alata. 1884 1886 — Thuiaria hetero- morpha. 1888 — Sertularella qua- drifida. 1884 1886 1871 — Selaginopsis sali- corni«. 1887 —= Thuiaria similis. 1888 1884 1887 1888 — Thuiaria quadri- dens. 1883 1877 (b) 1888 — Thyroscyphus tor- r'esi. 1852 1890 1816 Supp. 1884 Ind. 1884 Ind. 1758 1885 1885 (a) 1887 * 334 M. BEDOT T. ralphi HALLEY 1884 T. spongicola LENDENFELD 1885 (a) Gen. Turris LESSON 1843 Supp.=— p.p. Clavula. T. neglecta LESSON 1843 — Clavula neglecta. Gen. Turritopsis Mac CRADY 1859 (a) T. nutricula Mac CRADY 1859 (a) T. polynema HAECKEL 1879 — Clavula neglecta. Gen. Zygophylax Quecca 1885 (a) Z. profunda QueLca 1885 (a) Z. tizardensis KIRKPATRICK 1890 (b) MÉDUSES : ANTHOMÉDUSES et LEPTOMÉDUSES. Gen. Aequorea PéRoN et LESUEUR 1809 (a) A. aequorea MARKTANNER 1890 — Aequorea forska- lea. A. Crassa CLAUS 1881 (b) — Polycanna crassa. A. (Polycanna) crassa CLAUS 1883 — Polycanna crassa. A. (Zygodactyla) crassa CLAUS 1881 (b) — Polycanna crassa. A. eurodina Péron et Lesueur 1809 (b) A. eurystoma CLAUS 1883 — Mesonema eurys- é toma. A. (Crematostoma) flava CLaus 1881 (b) — Polycanna flava. A. forskalea PÉRON et LESUEUR 1809 (a) A. (Polycanna) fungina CLaus 1881 (b) — Polycanna fungina.. ? Les Méduses, dont on a constaté le développement aux dépens d’une espèce con-. nue de Polype, figurent dans l’fndex des Polypes. On a mentionné, dans cet Index, plusieurs Méduses qui ont déjà été citées dans les « Périodes » précédentes, mais dont les. noms d'auteurs ont dû être corrigés conformément aux règles de la nomenclature. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. HISTOIRE DES HYDROÏDES. — A. (Polycanna) germanica CLAUS 1881 (b) A. (Zygodactyla) groenlandica CLAUS 1883 A. pensile Esch. sec. CLAUS 1881 (b) A. (Zygocannota) purpurea CLAUS 1883 A. (Zygodactyla) vitrina CLAUS 1881 (c) Amphinema HABCKEL 1879 À. apicatum sec. Brooks 1883 (a) À. titania (Gosse) 1853 (a) Berenice ESCHSCHOLTZ 1829 B. rosea (LAMARCK) 1816 Bougainvillia LESSON 1836 B. coeca METSCHNIKOFF 1886 (a) Calycidion FEWKES 1882 (b) C. formosum FEWKES 1882 (b) Calycopsis FEWKES 1882 (b) C. typa FEWKES | 1882 (b) Catablema HAECKEL 1879 C. campanula (FABRICIUS) 1780 Chromatonema FEWKES 1882 (b) C. rubrum FE&WkEs 1882 (b) Cladocanna HAECKEL 1879 C. thalassina (Péron et LesuEur) 1809 (b) Codonium HABCKEL 1879 C. gemmiferum (FORBES) 1848 Cremastoma FEWKES 1889 (a) C. flava FEWKES 1889 Dicodonium HAECKEL 1879 D. adriaticum GRÆFFE 1884 V. 339 —= Polycanna germa- nica. — Polycanna groen- landica. — ? Mesonema pen- sile. — Zygocannota pur- purea. — Zygodactyla vi- trina. — Slomoloca rugosa. — Cylaeis tetrastyla. Erreur pour : Crema- lostoma. — Polycanna flava. 336 M. BEDOT Gen. Dinematella FEWKES 1881 (b) D. cavosa FEWKES 1881 (b) Gen. Dipleuron BROOKS 1882 D. parvum Brooks 1882 Gen. Dipleurosoma Boeck 1861 D. hemisphaericum (ALLMAN) 1874 (F) D. irregulare HAECKEL 1880 =— Dipleurosoma he- misphaericum. D. (Ametrangia) hemisphaerica METSCHNIKOFF 1886 (b) — Dipleurosoma he- misphaericum. Gen. Dipurena Mc CrADY 1859 D. halterata (FoRBEs) 1846 Gen. Eirene ESCHSCHOLTZ 1829 E. gibbosa (Mc CRADY) 1859 (b) Gen. Epenthesis Mc CRaDy 1859 (b) E. cymbaloidea (SLABER) 1778 E. maccradyi BROOKS 1888 (b) E. maculata (FORBES) 1848 Gen. Eucheilota Mc CRADY 1859 (b) E. quadralis FEWKES 1883 Gen. Eucope GEGENBAUR 1856 (b) E. annulata LENDENFELD 1885 (a) E. hyalina LENDENFELD 1885 (b) E. obliqua Bnooks 1882 E. octona (FORBES) 1848 E. polygastrica METSCHNIKOFF 1872 E. (Phialidium) variabilis CLAUS 1881 (b) — Phialidium varia- bile. Gen. Eucopium HAECKEL 1879 E. quadratum (FORBES) 1848 Gen. Euphysa FoRBES 1848 E. australis LENDENFELD 1885 (a) Gen. Eutima Mc CRADY 1859 E. cuculata Brooks 1882 E. emarginata Brooks 1882 E. gracilis FEWKES 1881 (b) E. limpida AGASSIZ, A. 1869 (a) Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gastroblasta G. raffaelei G. timida . Halitiara H. formosa . Halopsis H. annae . Hippocrene H. macloviana H. mertensi . Irene [. (Tima) pellucida . Laodice L. (Lafoea) calcarata . Laodicea L. calcarata . Limnorea L. proboscidea L. triedra Lizusa L. prolifera Lizzia L. octocilia Mabella M. gracilis Margelis M. britannica M. trinema Melicertidium M. octocostatum . Melicertum M. (Stomobrachium) FEWKES FEWKES AGASSIZ, A. METSCHNIKOFF MERTENS (LESSON) AGASSIZ, A. HAECKEL CLAUS HAECKEL METSCHNIKOFF LESSON AGASSIZ, À. HAECKEL HAECKEL PÉRON et LESUEUR HAECKEL LENDENFELD FORBES . Du PLESssIs FEWKES FEWKES STEENSTRUP HADDON LENDENFELD HAECKEL (SARS) ESCHSCHOLTZ octocostatum M’INrosx Mesonema M. bairdi Microcampana M. conica ESCHSCHOLTZ FEWKES FEWKES FEWKES Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. HISTOIRE DES HYDROÏDES. EYE KELLER 1883 (b) LANG 1886 KELLER 1883 (b) 1882 (a) 1882 (a) 1865 1886 (a) 1834 1836 1865 (c) 1879 1881 (c) 1879 1886 (b) 1843 1862 (a) 1879 1879 1809 (b) 1879 1885 (a) 1846 1888 1881 (b) 1881 (b) 1850 1886 (a) 1885 (b) 1879 1835 1829 1890 (b) 1829 1886 1889 (b) 1889 (b) ee) US 1 — Mitrocoma annae. — Eïirene. — Eïirene pellucida. — Laodicea. —= Laodicea calcarata. — Limnorea triedra. — Bougainvillia ramosa. — Bougainvillia ramosa. — Melicertidium octo- costatum. 22 398 Gen Gen. Gen. . Mitrocomium M. annae Modeeria M. multitentacula M. nutricula sec. Oceania 0. (Tiara) octona O. polvcirrha . Oceaniopsis O. bermudensis . Octorchis 0. (Eutima) gegenbauri . Octorhopalon O. fertilis . Urchistoma O. agariciforme 0. pileus . Pandea P. conica P. minima P. saltatoria . Phialidium P. variabile P. variabile var, CONVexa P. variabile var. globosa P. variabile var. inconspicua P. variabile var. sarnica P. viridicans M. HAECKEL LENDENFELD FORBES FEWKES FEWKES PÉRON et LESUEUR M’Ixrosx KEFERSTEIN FEWKES FEWKES HAECKEL BROOKS LENDENFELD LENDENFELD HAECKEL KELLER (LESSON) LESSON (Quoy et GAIMARD) LENDENFELD (SARS) LEUCKART (CLAUS) M'Ixrosx M'IxTosx M'Inrosa M'IxrTosa METSCHNIKOFF 1879 1885 (a) 1846 1881 (b) — Turritopsis nu- tricula. 1882 (b) — Turritopsis nu- tricula. 1809 (b) 1889 — Tiara octona. 1862 — Clavula neglecta. 1883 1883 1864 1886 1885 (b) 1885 (b) 1879 1884 1843 1837 1827 1885 (b) 1835 1856 1864 1889 — ? Phialidium va- riabile. 1889 — ? Phialidium va- riabile. 1890 (b) — ? Phialidium va- riabile. 1889 — ? Phialidium va- riabile. 1886 (a) — Phialidium varia- bile. Gen. Plotocnide P. borealis Gen. Polycanna P. americana P. (Zygodactyla) crassa P. groenlandica P. (Zygodactyla) groenlandica P. rissoana . Polyorchis P. campanulatus P. penicillata . Protiara P. tetranema . Pleronema P. ambiquum . Rathkea R. octopunctata var. rubropunctata Rathkia R. blumenbachi Rheygmatodes R. globosa Gen. Gen. R. thalassina Saphenia S. bitentaculata Gen. S. dinema Sarsia S. gemmipara Gen. S. minima S. paltersoni S. (Codonium) HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 339 WAGNER 1885 WAGNER 1885 HAECKEL 1879 FEWKES 1886 FEWKES 1886 — Polycanna crassa. (PÉRON et LESUEUR) 1809 (b) FÊWKES 1886 — Polycanna groen- landica. CLAUS 1881 (b) — Polycanna italica. AGASSIZ, À. 1862 (CHamrsso et EYSENHARDT) 1821 (ESCHSCHOLTZ) 1829 HAECKEL 1879 (Péron et LESUEUR) 1809 (b) HAECKEL 1879 (LESSON) 1830 HAECKEL 1879 — Rathkia. GiarD 1888 — Rathkia octopunc- tata. BRANDT 1837 (RATHKE) 1835 AGassiz, L. 1862 (ESCHSCHOLTZ) 1829 (PÉRON et LESUEUR) 1809 (b) ESCHSCHOLTZ 1829 (Quoy et GAIMARD) 1827 (PÉRoN et LESUEUR) 1809 (b) LESSON 1843 WAGNER 1885 — ? Codonium gemmi- ferum. LENDENFELD 1885 (a) — Syncoryne mi- nima. HADDON 1886 (a) 1889 — Syncoryne pul- pulchella M’Ixros chella. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. S. radiata S. syncorvne S. tubulosa Staurobrachium S. stauroglyphum Staurostoma S. laciniata Steenstrupia S. californica S. gracilis S. occidentalis Stomatoca . apacata . apacta un Un . apicata un . periphylla . Stomotoca S. atra S. rugosa . Tetranema T. aeronauticum Thamnitis T. nigritella Thaumantias T. globularis T. hemisphaerica T. (Phialidium) va- riabile var. glo- bosa T. (Phialidium) va- riabile var. conspicua in- M. BEDOT LENDENFELD LENDENFELD (SaRS) HAECKEL (PÉRON et LESUEUR) HAECKEL (AGassrz, L.) FORBES FEWKES Brooks FEWKES NORMAN BROOKS Brooks FEWKES FEWKES AGaAssiz, L. AGASSIZ, À. MAYER, A.-G. HAECKEL (FORBES) HAECKEL (FORBES) ESCHSCHOLTZ M'Ixrosx (GRONOVIUS) M'Inrosx M'INrosx 1885 (a) 1884 (c) 1835 1879 1809 (b) 1879 1850 (a) 1846 1889 (c) 1882 1889 (b) 1869 1882 1882 1881 (b) 1889 (a) 1862 1862 (a) 1900 1879 1848) 1879 1848. 1829 1889 1760 1889 1889 — Syncoryne diata. Ta — Sarsia tubulosa. — Steenstrupia occi- dentalis. — Stomoloca. — Stomotoca T'ugos« . — Stomoloca rugosa. — Siomoloca rugosa. — Stomotoca ptero- phylla. 9 Phialidium va- riabile. ? Phialidium va- riabile. ? Phialidium va- riabile. 4 Gen Gen. Gen. Gen. Gen. Gen. Gen . Tiara T. leucostvla T'. oclona l. papua T. pileata T. pileata var. COCCinea — . pileata var. Smaragdina T. rotunda Tiaropsis T. macleayi l', mediterranea . Tima T. bairdi T. flabellaris : Turris T. episcopalis . Turritopsis T'. lata T. nutricula T. pleurostoma T. polynema Waillia W. occidentalis Willsia W. occidentalis Zygocanna Z. pleuronota Z'ygocannota Z. purpurea . Zygocannula HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. LESSON 1837 METSCHNIKOFF 1886 (b) (FORBES) 18406 (LESSON) 1843 (FoRskAL) 1775 WAGNER 1885 WAGNER 1885 (Quoyx et Garmarp) 1827 AGaAssiz, L. 1850 LENDENFELD 1885 (a) METSCHNIKOFF 1886 (a) ESCHSCHOLTZ 1829 (JOHNSTON) 1833 M'Ixrosx 1890 (b) LESSON 1837 . FEWKES 1881 (b) Mc CRraDYy 1859 LENDENFELD 1885 (a) sec. FEWKES 1881 (b) (Péron et Lesueur) 1809 (b) HAECKEL 1879 AGaAssiz, L. 1862 FEWKES 1889 (b) ForBes 1846 FEWKES 1889 (b) HAEëCkEL 1879 (PÉRoN et LESUEUR) 1809 (b) HAECKEL 1879 (Pérox et Lesugur) 1809 (b) HAECKEL 1879 (Pérox et Lesueur) 1809 (b) Z. undulosa 341 ? Tiara pileata. — Tiara pileata. — Tara pileata. — Catablema ? Tima flavilabris. vesica- — Calycidion formo- — Clavula neglecta. — Wallsia occiden- 342 M. BEDOT LISTE DES CORRECTIONS A FAIRE DANS LES 4 PREMIÈRES PÉRIODES DES MATÉRIAUX De nombreux changements apportés à la synonymie des espèces ont été mentionnés au fur et à mesure de la publication de ces matériaux. Nous ne les indiquerons donc pas dans cette liste et prions nos lecteurs, lorsqu'ils consultent dans une des « Périodes » la synonymie d’une espèce, de voir dans les périodes suivantes si elle n’a pas été modifiée. Les ouvrages qui, par erreur, n'ont pas été cités dans la période à laquelle ils appartiennent, sont placés en tête de l’index bibliographique des périodes suivantes. Are Période. P. 401, ligne 15, lire : Groenlandica, au lieu de : Grœenlandica. » 401 » 416 » (pp. 343 et 442-445), au lieu de : (pp. 442-445). » 403 » 4 après Gmelin 1788, ajouter la note suivante : Hopkinson a cherché à déterminer exactement les dates de publication des différentes parties de la 13° édition du Systema Naturae de Linxé publiée par GMeLIN. D'après ses recherches, la partie 6 du vol. 1, dans laquelle se trouvent les Hydroïides, aurait paru en 1791. Nos lecteurs pourront, s’ils le jugent nécessaire, mettre cette date à la place de celle de 1788-1793 que nous avions indiquée pour cet ouvrage dont les différents volumes ne portent pas de date. Voir : HopkinsoN, J., Dates of publication of the separate parts of Gmelin's Edition (13h) of the Systema Naturae of Linnaeus. In : Proc. Zool. Soc. London (1907), pp. 1035- 1037. London, 1907, 8°. P. 403, ligne 15, lire : 1789 BerkenHouT, au lieu de : 1795 BERKENHOUT. » 406 » 2 après la citation de SAvIGNY et AUDOUIN, Explication, etc. ajouter la note suivante : Il n’est pas possible d'établir avec précision la date de publication de cet ouvrage. En effet, le titre du vol. 1 est * «pil HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 343 daté de 1809 et, en tête de la 4° partie de ce volume, qui comprend l’explication sommaire des planches par AUDOUIN, se trouve une note montrant que cet auteur n’a pu com- mencer ce travail qu'après le 19 mars 1825. . 406, ligne 7, lire : 1809 (a), au lieu de : 1810 (a). 406 » 9 » 218, au lieu de : 217. &06 » 412 » 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 408 » 24 enlever les 4 premières lignes de l'appendice. &13 » 18 lire : 1809, au lieu de : 1810. WA » 21 » Pasythea, au lieu de : Pasytea. 419, dans les Zoophyta heterohyla, l'accolade est mal placée. Les genres appartiennent à la famille des Ceratophyla tubulosa. 420, au dessous de : 3, Cellariées, ajouter : Gen. : Lafoea. -423, lignes 23-24, lire : (Myriophillum) pelagium, au lieu de : (Myriophyl- lum) pelagicum. 432, ligne 6, lire : Blainville 1830, au lieu de : Blainville 1834. k33 » 41 » Blainville 1830, au lieu de : Lamarck 1836. 36 - » 4, après 1777, ajouter : p. 3. 440 » 13 et 14, enlever les citations : Dynamena distans AupouIx et. SAvVIGNY qui doivent être placées à la même page sous : Dynamena distans [Sertularia lamourouxi]. 442, enlever la ligne 19 commençant par : Sertularia pectinata… Cette indication doit rentrer dans la synonymie de Diphasia pinnata. 457, enlever la ligne 12 commençant par : ? Cymodocea ramosa... et la mettre dans les synonymes de Nemertesia antennina. 457, ligne 22, lire : 1809, au lieu de : 1810. | 473, enlever la ligne 7 commençant par : Jameson... et la mettre dans les synonymes de Sertularia fusca. 481, ligne 28, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 482, lignes 7, 12, 16, 26, 29, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 483 » 3, 12, 18, 21, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 483, ligne 23, lire : Laodicea, au lieu de: Laodice. 484, lignes 10, 11, 12, 23, 31, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). k84k » 12 et 21, lire: Callirhoë, au lieu de : Callirhoe. 485 oo» 2, 11, 24, 25, 31, lire : 1809 (b), au lieu de 1810 (b). 485, ligne 17, lire : Pandea, au lieu de : Pandaeu. 486, lignes 2, 5, 12, 16, 18, 19, 23, 26, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 34 gà ) A M. BEDOT 486, ligne 15, lire: Rathkia fasciculala (Péron et Lesueur), au lieu de : Rathkea fasciculata Haeckel. 487, lignes 13, 14, 33, 34%, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). L88 » 10, 14, 16, 19, 23, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 489, ligne 6, lire : 1816, au lieu de : 1815. O1 » 412 » 1830, aulieu dé: 1834. &9% » A1 » Gonothyraea, au lieu de : Gonotyraea. 496 » 143 » Hixcxs, au lieu de : HixKs. 497 » 30 » 1809, au lieu de : 1810. 499 » 2 après: (ELruis et SOLANDER), ajouter : 1786. 499, lignes 22 et 23, lire : 1819, au lieu de : 1820. 503, ligne 32, lire : 1819, au lieu de : 1820. 506, lignes 5 et 34, lire : 1819, au lieu de : 1820. 509, : '».-3,4,/3,78,9, 743; 46, -18::40,-227 26728. lire 2180080 lieu de : 1810. 510, ligne 14, lire : Callirhoë, au lieu de : Callirhoe, 510, lignes 3, 6, 10, 11, 12, 14, 15, 16, lire : 4809, au lieu de : 1810: D11,.: » 2°22,025, 28:31, 52,39, 34, lire : 1809 an lieu-de-= 19106 512 » 8, 11, lire : 1809, au lieu de : 1810. 13. ». 141,13, 416, 18,26, 28,30, 32, 36,1ire : 1809, au leude:"1840 >13, ligne 23, lire : 1850, au lieu de : 1849. 514, lignes 2, 4, 7, 9, 12,44, 16, 18, 24, 25, 27, 29, 34,35, lire : 4809 au lieu de : 1810. 915, ligne 3, lire: 1809, au lieu de : 1810. 515 » 16 » Rathkia Branor 1837, au lieu de : Rathkea BrAnpr 1838... 2e Période. 2, ligne 15, après Milne Enwanps (1828), ajouter : de Tnompson (1831). 9: » 11. »%222%/ajouter pl" fig. 2'el3. 8, lignes 22 ss, modifier comme suit la citation de BRANDT Prodromus : 1835. Branor, J. F. Prodromus descriptionis anima- lium ab H. MerTENsIO in orbis terrarum circumnavi- gatione observatorum. Fasc. 1. In : Rec. Actes de la séance publique de l’Acad. Sc. St-Pétersbourg, tenue le 29 décembre 1834, pp. 201-277. St-Pétersbourg, 1835, 40. 9, ligne 12, lire : 1835 Merrens, au lieu de : 1834 MERTENS. D] HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 345 14, ligne 24, après 234-236, ajouter : pl. 2, fig. 1. 23 48 » » dernière, ajouter : Ce travail a été publié à part, comme thèse de doctorat, à Würzburg, en 1847. 6, après pl. 4, ajouter : fig. 1, 3-13. (Excel. Syn.) 50, enlever la ligne 10 : Laomedea dichotoma TuoMas... qui se rapporte à Obelia longissima. 53, ligne 19, lire : 1824 (c), p. 202, au lieu de : 1824 (b), p. 202. D8 62 63 6% » 26 » 1836, p. 74, au lieu de : 1836, p. 75. dernière, lire : FaBricios, au lieu de : FaBiaus. 6, lire : fig. 3a— 3g, au lieu de: fig. 3 à, g 3. dernière, enlever la citation : Syncoryne pusilla BENEDEN, qui figure déjà à Coryne van Benedeni. 66, remplacer les trois dernières lignes par : OKEN (1817, p. 1541) et Gray (4843, p. 294) écrivent Dynamene. La Dynamene abietinoides de Gray est, d’après BALE (1884), syno- nyme de Sertularia elongata. 69, lignes 27, 29, 32 et 34, enlever les citations de Sertularia pectinata, qui se rapportent à Diphasia pinnata. 70, ligne 6, enlever la citation de Sertularia peclinata, qui se rapporte à 74 76 85 88 91 92 95 96 103 112 117 121 122 126 Diphasia pinnata. 1, lire : Echinochorium, au lieu de : Echinocorium. dernière, lire : 1780, p. 441, au lieu de : 1870, p. 444. 14, lire : Echinochorium, au lieu de : Echinocorium. 16, après p. 222, ajouter : pl. 3, fig. 2, 3. 19, lire : 1851, au lieu de : 1850. ; 1 » cocksi (Vigurs), au lieu de : Coksii G. O. Sars 1873. 7 » 1809, au lieu de : 1810. 21 » 477, au lieu de : 447. 25, enlever : pl. 2, fig. 5-11, qui se rapporte à Stylactis | sarst. dernière, lire : Hydrallmania, au lieu de : Hgdrallmania. 16, lire : tricuspidala, au lieu de : trucuspidata. 26, supprimer la citation : Sertularia fastigiata FABricius, qui se rapporte à Thuiaria fabricir. 25, supprimer la citation : DaLyELL 1847-48, qui se rapporte à Thuiaria cupressina. 28, supprimer la citation : JonnxsroN 1847, qui se rapporte à Tubularia simplex. : 127, lignes 32 et 33, mettre un ? avant Tubularia calamaris. 346 M. BEDOT P.198, ligne 34, supprimer la citation : Tubularia muscoides Thompson, qui se rapporte à Coryne muscoides. 136 » 14, lire : Laodicea, au lieu de : Laodice. 137 » 12 » Laodicea, au lieu de : Laodice. 164 » 4 » Gen. Dynamene OKEN 1817, au lieu de: GRAY 1843. 161 » 9 » Echinochorium, au lieu de : Echinocorium., 164 » 926 » 1809, au lieu de : 1810. 174, lignes 12, 23, 32, lire : 1809. au lieu de : 1810. 175 » 16, 24, lire : 1809, au lieu de : 1810. 175 » 31,32 » 1835, au lieu de : 1834. 176, ligne dernière, lire : 1809, au lieu de : 1810. 177, lignes 10 et 12, lire : 1835, au lieu de : 1834. 178, ligne 8, lire : 1809, au lieu de : 1810. 178, lignes 26 et 28, lire : 1835, au lieu de : 1834. 179 » 1 et 6 » 1809. au lieu de : 1810. 180 » 14, 15 et.39, lire : 1835, au lieu de : 1834. ABLE » 3, 143 et14 » 1835, au lieu de : 1834. 3e Période. . 202, ligne 8, lire : Art. 5, au lieu de : Art. 6. 211 » 8 » parasitism, au lieu de : parasitisme. 222 op» 24 » Hixcxs, au lieu de : Hinxs. 241 » 13, après : p. 39, 40, 82, ajouter : pl. 2, fig. 4. AR: 22 DAT fig. 2, ajouter : et pl. 64, fig. 3. 247 » A1, lire: Eudendrium, au lieu de : Endendrium. 248 » 11 » 1856, au lieu de : 1856 (a). 254 5 A9: 5 phil, fig. h-7, atheu de: pl, 6,9: 294. 5 45. pl fie. MAret 2 raulieu de pl AE 256 » A1 » Campanularia integra. au lieu de : Campanularia neglecta. 271 » 14 après: Allman, ajouter : 1844. 277 » 21 » Syncoryne, au lieu de : Syncaryne. 280, lignes 6 et 7, lire : Joaxson, au lieu de : JOHNSTON. 288, ligne 10, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a). 298 » 4 » Taomson, au lieu de : THOMPSON. 304» 1 » Gonothyraea, au lieu de : Gonothryraea. 308 » 22 » 1874, au lieu de : 1883. 309 » 10 » 1874 (b), au lieu de : 1883. NT CRT EN 316 » à) » HISTOIRE DES HYDROÏDES. — V. 34 En | . 310, ligne 10, lire : Halybotrys, au lieu de : Halybothrys. Hydra, au lieu de : Hydrea. 330, enlever la ligne 14 commençant par Cymodocea ramosa… 333, ligne 24, lire : 1809, au lieu de : 1810. 338 339 343 343 12 23 19 22 Forbes, au lieu de : Farbes. Là au lieu de : 35. 297, au lieu de : 397. 1860, au lieu de : 1862. 343, lignes 23 à 26, à remplacer par : L. AGassiz (1860-62, vol. 3, p. 45, 46) a donné une courte diagnose des genres Parypha et Thamnocnidia, qui rentraient dans la famille des Tubularidae (ibid, vol. 4, p. 342). Ces genres n’ont pas été adoptés, les espèces. 399, ligne 8, après : synonymie, ajouter : ainsi que l’avait déjà fait remar- 374 383 387 387 41% » 24 11, lire : 26 27 6 » » » » quer Hincxs (1872 (c), p. 391). Hincxs (1868), ajouter : THompson, D’A. W. (1879). GEGENBAUR, au lieu de : GKGENBAUR. 1860, au lieu de : 1862. vol. 3, p. 45, 46, au lieu de : vol. 4, p. 342. Thaumantias, au lieu de : T'haumautias. 415, lignes 29 et 30, lire : pl. 9, fig. 9 et 10, au lieu de : pl. 8, fig. 18. 416, ligne 21, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a). dernière, lire : 1856, au Jieu de : 1856 (a). 15, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a). 417 418 419 419 ) » » 13 14 ) » 1856, au lieu de : 1856 (a). Tima gibbosa, au lieu de : Timagibbosu. 420, lignes 17 et 18, lire : 1856, au lieu de 1856 (a). 428, ligne 8, lire : reridicans, au lieu de : viridiscens. 428, lignes 8, 9, 10, lire : 1856, au lieu de 1856 (a). 428, ligne 30, lire : Phialidium, au lieu de : Philidium. 431 436 » » 7 2 » » 1856, au lieu de : 1856 (a). 1856, au lieu de : 1856 (a). 439, lignes 24, 25, 26, lire : 1856, au lieu de : 1856 (a). 454, ligne 13, lire : ALLMAN, au lieu de : Hixcxs. 457 458 460 » » 29 » turricula, au lieu de : turricola. 23 remplacer : Ind. par — Halecium puxillum. 29 lire: —= Nemertesia tetrasticha, au lieu de : ? Nemertesia Tamos«a. 37 » Cymodocea, au lieu de : Cynodocea. 348 M. BEDOT . 466, lignes 6, 22, 23, lire : 1809, au lieu de : 1810. 466, ligne 31, lire : 1860, au lieu de : 1862. 468 » 34 » Aglaophenia angulosa, au lieu de : Plumularia angulosa. 470, lignes 21 et 22, lire : THoMSoN, au lieu de : THoMPsoON. 476, ligne 10, lire : 1860, au lieu de : 1862. 479 » 3 » 1809, au lieu de : 1810. 480 » 26 » 1867. au lieu de : 1866. 81 » 31 » EÉpenthesis, au lieu de : Epeuthesis. 482 » 21 » 1809, au lieu de : 1810. 183 » 412 » 1809, au lieu de : 1810. 8h » 30 » 1809, au lieu de : 1810. L85 » 3 » 1809, au lieu de : 1810. 4e Période. . 217, lignes 26 à 28. Le titre du mémoire d'ULyaniN, 1872, doit être mis entre parenthèses. 258 » 11 et 13, lire : fruticosa, au lieu de : fruclicosa. 259, ligne 22, lire : Hippocrene, au lieu de : Hyppocrene. 259, lignes 25 et 27, lire : Calathophora, au lieu de : Calatophora. 277, ligne 12, après : Allman, ajouter : 1844. 282 » 1 enlever : 1866. 300, ligne 23, lire : 1874, au lieu de : 1876. 300 » 26 » 1874, au lieu de : 1876. 300 » 27 » (1874 (b), p. 476), au lieu de : 1876 (b), p. 276. 301 » A1 » insignis, au lieu de : instgnis. 322 » 21 » (Linné), au lieu de : Lamouroux. 324 » 9 après KIRCHENPAUER, ajouter : 1876. 326 » 16 lire 1809, au lieu de : 1810. 346 » 4 » Rhizocline, au lieu de : Rhizoclina. 394 » 29 » Mereschkowsky, au lieu de : Meretchkowsky. 361, enlever la ligne 28 commençant par : Sertularia flosculus THOMPSON, 1879... qui se rapporte à Sertularia turbinata. 370, au dessous de la ligne 10, ajouter : Voir: Matériaux III, p. 381. 372, ligne 21, lire : Codonium, au lieu de : Codomium. A 373 » 16 » 1871, au lieu de 1876. 373, au dessous de la ligne 16, ajouter : Voir: Matériaux III, p. 387. 383, » » à, ajouter: Voir: Matériaux III, p. 394. 389, » » 1, ajouter: Voir: Matériaux LIT, p. 406. ÉTPIRRTS 410 mb) DR TEA) » à HISTOIRE Lizzella, au lieu de DES HYDROÏDES. — V. . MO, ligne 6, lire: Lizusa, au lieu de : Lizusia. : Lizella. Modeeria, au lieu de : Mooderia. 418, enlever la ligne 24 commençant par : ? Eucopa polygastrica.… qui se 463 D 22 0) » » DR 29 /r DID) DAS) D 2600 rapporte à une espèce distincte (voir: Mat. V). Calathophora, au lieu de : Calatophora. 1809 (a), au lieu de 1809 (b), au lieu de 1809 (b), au lieu de Modeeria, au lieu de : Mooderia. 1809 (b), au lieu de : 1810. : 4810. : 1810 (b). : 4810. 464, lignes 2, 3, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810. 465, ligne 7, lire : 1809 (b), au lieu de : 1810 (b). 465 DATE) Spirocodon, au lieu de : Spirodon. cu É DR A F7 s AE ne LA : DE REVUES SUTSSE DE ZOUMOGTrE Vol. 24, n9 2. = Février 1916. Anomalie de l'appareil buccal d’'Ascaris megalocephala PAR Emile ANDRÉ Genève Avec 2 figures. L'individu présentant la curieuse anomalie décrite ci-dessous faisait partie d’une famille de 37 Ascaris megalocephala, de l'intestin d’un Cheval abattu à Genève, en février 1916. Cet individu était du sexe femelle : il mesurait 245"" de longueur, c'est-à-dire qu'il était de dimensions moyennes. L’intestin était normal et les organes génitaux, en particulier les tubes _ovariens, étaient bien développés. L’anomalie consiste dans le fait que les trois lèvres, ou mâchoires, sont remplacées par quatre appendices en forme de languettes. Ceux-ci sont aplatis, le grand axe de leur section transversale étant tangent à la surface du corps ; ils sont larges, à la base, de 2"" environ, et vont en s'atténuant graduellement jusqu'à l'extrémité libre qui est filiforme. Leur longueur est de 14 à 15". La mâchoire impaire dorsale et la mâchoire droite sont remplacées chacune par un appendice (fig. À, 1 et 2) mesurant, le premier, 15", le deuxième, 14"" ; la mâchoire gauche est représentée par deux appendices (fig. À, 3 et 4), de 14"" de long, dont l’un est interne et l’autre externe. Au milieu de ces appendices s'ouvre la bouche qui est presque béante. Rev. Suisse DE Zooc. T. 24. 1916. 23 DD2 L. ANDRÉ Lorsque l'animal était frais, les appendices étaient mous et souples et ils n'étaient pas étendus parallèlement entre eux, mais diversement contournés. L’Ascaride n’a certainement pas été capable, étant donné la consistance de ces prolongements, d'attaquer la muqueuse de l’intestin de son hôte, soit pour se nourrir, soit pour se fixer. Il a dû se contenter, pour son alimen- tation, du contenu de l'intestin de son hôte, ou des produits de A F16. A. — Extrémité antérieure anormale d'Ascaris megalocephala. Gross. 2 fois ; 1, appendice remplaçant la mâchoire droite ; 2, appendice rempla- çant la mâchoire dorsale ; 3 et 4, appendices remplaçant la mâchoire gauche. Fic. B. -- Coupe transversale d’un des appendices. Gross. 25 fois ; 1, cuticule et hypoderme; 2, muscles longitudinaux. (Le dessin au trait se prête mal à la représentation exacte des stries des éléments musculaires ; celles-ci devraient être beaucoup plus fines et plus serrées.) sécrétion ou de désagrégation de la muqueuse du tube digestif. On admet que, à l'encontre de ce que l’on peut constater chez d’autres représentants de ce genre, l’Ascaris megalocephala ne se nourrit pas du sang de l'animal qu'il parasite ; cela semble être confirmé par les considérations ci-dessus. En effet, si la conformation anormale de la bouche de lindividu que nous décrivons, l'avait empêché de se nourrir comme ses congénères, cela se serait fort probablement traduit par des dimensions au-dessous de la normale, où par un moindre développement des organes génitaux. | ASCARIS MEGALOCEPHALA 399 Les appendices buccaux de notre Ascaride étaient finement mais nettement striés dans le sens de la longueur, surtout sur leur face interne. Cette striation s'explique par la faible épais- seur de la cuticule qui lui permet de mouler exactement les fibres musculaires longitudinales qui remplissent ces appen- dices. Si l’on pratique une coupe (fig. B) au travers de ceux-ci, on constate, en effet, que la cuticule est si ténue qu’elle est presque imperceptible ; de même la couche hypodermique est énormément réduite. Cette ténuité de la couche cuticulaire rend très plausibles la mollesse et la souplesse de ces appen- dices. Comme on peut le voir sur la fig. B, les muscles consti- tuent presque toute la masse des appendices. On voit aussi que la partie contractile des éléments musculaires forme partout, non pas une gouttière, mais un Canal, comme si, dans ces appen- dices, ne se trouvaient que les prolongements des éléments musculaires du corps et non pas des éléments complets. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 24, n° 3. — Février 1916. Le problème de l'orientation lointaine chez les Fourmis et la doctrine transcendentale de V. Cornetz PAR R. BRUN, D' Méd. (Zurich). Dans deux travaux récents, V. Corxerz ! relate quelques expé- riences fort intéressantes concernant la faculté d'orientation nocturne chez la Fourmi Tapinoma nigerrimum Nyl. En inter- prétant ces expériences, et surtout dans une introduction théo- rique précédant le premier de ces travaux, l’auteur revient encore sur sa théorie d’un sens spécial, purement interne, perce- vant des directions absolues de l’espace, en critiquant spéciale- ment, cette fois, certaines opinions que j'ai développées dans ma récente monographie ?. Je remercie Cornerz des compli- ments qu’il a bien voulu me faire à cette occasion, mais j'aurais ! Corwerz, V. I. Observations nocturnes de trajets de Fourmis. Rev. Suisse de Zool., vol. 22, p. 583, 1914. — II. Fourmis dans l'obscurité. Arch. de Psych., XIV, p. 342, 1914. ? Brun, R. Die Raumorientierung der Ameisen und das Orientierungsproblem im Allgemeinen. (Gustav Fischer). Iena, 1913. Voir aussi, du même auteur : Das Orientierungsproblem im Allgemeinen und auf Grund experimenteller Forschungen bei den Ameisen. Biol. Centralbl., 35, p. 190, 1915. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916, 24 356 R. BRUN préféré le voir suivre le fil de mes argumentations de point en point. Tout en rejetant mes opinions qui différent des siennes, il ne fait cependant que reproduire les mêmes anciens argu- ments de ses nombreux écrits, ignorant complètement les nombreuses contre-expériences que j'ai opposées à sa doctrine transcendentale. Ceci m'oblige à une réplique. Je parlerai seulement des divergences que CoRNETz a spécialement mentionnées dans ses deux travaux cités. Elles concernent : 1. La mémoire des lieux, le tournoiement de TurNER, la théorie des « lieux connus » et la vision de grands objets loin- tains de la part des Fourmis. 2. Les nouvelles expériences de CorxerTz et leur interpréta- tion. 3. Le rôle des sensations kinesthésiques et d’un prétendu « sens statolithique » dans l’orientation des Fourmis. 4. Enfin le côté philosophique du problème. Je me suis prononcé, dans mon livre, en faveur d’une vraie mémoire associalive des lieux, existant, au moins, chez les Fourmis supérieures. Ma conclusion était fondée sur une analyse détaillée de nombreux faits que j'ai observés moi-même ou que lon trouve dans la littérature. Certaines de ces observations me paraissaient aussi confirmer l'opinion de Sanrscur' et d’au- tres, que les Fourmis (comme du reste les Abeilles) n’appren- nent que peu à peu à connaître les environs de leur demeure ?, 1 Sanrscoui, F. Comment s’orientent les Fourmis. Revue suisse de Zool.Tome 21, p. 411, 1913. ? A l'endroit cité par Cornerz (p.142) j'ai écrit textuellement : « Die nähere und fernere Umgebung ihres Nestes » ; voulant indiquer par ces comparatifs mêmes l'étendue relativement restreinte de cette connaissance acquise des lieux. Or, il paraît que je n'ai pas su me faire comprendre de M. Cornerz comme je l'aurais désiré, puisqu'il traduit mes mots par «...les environs proches et loin- tains de leur demeure..., » ce qui donnerait à ma phrase une signification beau- coup plus absolue et générale que je ne le voulais. un F- ) FOURMIS 97 © au cours de voyages d'exploration répétés souvent, et de plus en plus étendus (« Orientierungsreisen »). Or, selon CorNErTz(l. c., n° 1), cette opinion ne serait qu'une croyance vulgaire touchant un peu à l’anthropomorphisme et depuis longtemps réfutée par ses expériences sur le tournoiement de Turxer ’. Tout en don- nant un résumé assez circonstancié de ces dernières expé- riences, CoRxeTz ne tient cependant aucun compte des obser- vations positives parlant en faveur de mes opinions ci-dessus citées et que j'ai mentionnées en plusieurs endroits de ma monographie. Ainsi, à la page 141 de mon livre, j'ai attiré lat- tention du lecteur sur la curieuse conduite que l’on peut obser- ver chez les Fourmis, quand leur nid a été subitement enlevé et transporté dans un endroit nouveau, loin de emplacement primitif. Rien de plus suggestif alors que l'observation des pre- mières sorties des petits bourgeois auxquels on a joué ce tour. Après avoir longtemps hésité à l'entrée même {si c'est un nid ar- tificiel) ou sur le matériel entassé de leur demeure, on les voit enfin sortir par flots. Tout en s’éparpillant dans les directions les plus variées, les Fourmis ne s’avancent cependant que pas à pas, les antennes en l'air comme pour flairer et se retournant à chaque instant en reculant un peu, paraissant vouloir se graver dans la mémoire les différents aspects de la scène. Ainsi, les Fourmis ont l’air d'explorer méthodiquement d’abord, par des petites poussées collectives, la région proche du nid, avant de s’aventurer plus loin, de sorte que, pendant les premiers jours qui suivent un tel déplacement artificiel, on ne réussit jamais à trouver des exploratrices isolées allant faire un voyage lointain et à des distances considérables. Une conduite tout à fait analogue s’observe aussi dans les premières sorties des Fourmis au printemps, ou encore quand on met un nid artificiel en communication avec un long couloir en verre ou avec une table à expériences. Ce dernier cas a été décrit et analysé par 1 Turner. In : Journ. of comp. Neurol. and Psychol., Chicago 1907, fut le pre- mier à diriger l'attention sur le fait que les Fourmis rentrant d'une excursion lointaine vont fréquemment tournoyer longuement à deux pas de leur trou avant de le retrouver. 358 R. BRUN Ch. Enxsr ! chez la Formica pratensis. En lisant l’intéressant travail de cet auteur, on ne peut s'empêcher d’être frappé par l’étroite analogie du phénomène en question avec le vol d’orien- tation des jeunes Abeilles, connu chez les apiculteurs de langue allemande sous le nom de « Vorspiel ». Or, depuis les belles expériences de v. BuTrEL-REEPEN *, FOREL* et autres, on sait que les Hyménoptères ailés à demeure fixe s’orientent à l’aide de la vue, soit à l’aide d’une mémoire visuelle des lieux, successivement acquise et toujours enrichie par des asso- ciations nouvelles. Le « Vorspiel » n’est que le premier anneau dans cette chaîne associative ininterrompue, acte instinctif dont le but est l'acquisition d’un certain nombre d’engrammes indivi- duels, représentant, dans leur ensemble, une connaissance rela- tive (quoique extrêmement limitée) du monde environnant. Donc, ayant constaté un phénomène tout à fait analogue chez les Fourmis, on ne se trompera guère en l’interprétant de la même manière. CORNETZ (1, p. 594) fait valoir contre cette interpréta- tion le fait que les Tapinoma font souvent la première étape de leurs excursions lointaines sur une voie commune avant de se séparer pour faire des voyages isolés. Mais c’est là évidemment un fait secondaire, qui n’a rien à voir avec le phénomène que je viens de décrire et qui est précisément caractérisé par l’absence de toute excursion lointaine durant une assez longue période initiale. L'existence du « voyage d’orientation » chez les Fourmis m'a paru être un argument contre la théorie de Corxerz. En effet, si les Fourmis étaient capables de revenir à coup sûr d’un endroit quelconque, à l’aide d’une donnée sensorielle interne de direc- tion pure, elles n'auraient évidemment pas besoin d’une explo- ration méthodique, de loin en loin, des environs de leur nid. - ! Erxsr, Ch. Xritische Untersuchungen über die psychischen Fähigkeiten der Ameisen. Arch. f. d. gesamte Psychologie, 1914. ? v. Burrec-Rexpen. Sind die Bienen Reflexmaschinen ? Biol. Centralbl., 1900. — Leben und W’esen der Bienen. Braunschweig, 1915. 3 Fonec. Expériences et remarques critiques sur les sensations des insectes. Riv. di Se. biol. IL et 111, 1900-1901. — Das Sinnesleben der Insekten. München (Reinhardt), 1910. FOURMIS 399 Cette objection m'est retournée par CorNETz (I, p. 594). Il répond à son tour que « justement, la constatation de cette faculté de l’œil-boussole devrait avant tout modifier lopinion anthropo- morphique supposant la nécessité d’une connaissance acquise progressivement avant d'aller au loin. » Après quoi, CoRNETz cite le cas des Messor, qui, revenus à proximité du nid, d’une course lointaine de 25 à 30 mètres dans « l’inconnu », vont errer lamentablement à deux pas de leur trou (Phénomène de TURNER), là où leurs deux moyens d'orientation, agissant séparément ou conjointement, lœil-boussole et le « sens des attitudes » {soit le sens de direction absolue) ne leur servent plus à rien. Or, on se rend facilement compte que les Fourmis, même dans leurs voyages isolés, loin du nid, ne se trouvent que très rare- ment dans « l’inconnu » dans le sens absolu du mot, livrées exclusivement à leur boussole optique ou encore au sens mysté- rieux de CorNETz. On aime à citer comme preuve d’une pareille supposition le phénomène de PréRox ': la marche parallèle ou conservation de la direction ancienne après transport latéral. Mais comment se fait-il alors que ce phénomène fasse presque régulièrement défaut(mêmechezles Fourmis psychiquement inférieures), lorsque le transport laté- ral a eu lieu en un terrain essentiellement dissemblable à celui de l’emplacement primaire ? Dans la très grande majorité des cas, les Fourmis se montrent alors complètement désorientées, au lieu d'exécuter la marche parallèle de PrÉRoN, comme elles le font lorsque l'emplacement secondaire est sem- blable au premier. À mon avis, ce fait négatif est une preuve indiscutable que les Fourmis, dans leurs voyages loin- tains, font usage aussi de certaines données mnémi- ques générales relatives aux propriétés topochimi- ques et visuelles du terrain parcouru, — nolions qui se coordonnent en s’associant au repère fourni par l’œil-boussole, contribuant ainsi, dans une certaine mesure, à l’orientalion de la petite bestiole isolée. Ce n’est qu’en cas d'absence complète ! Bull. Inst. gén. Psychol., 190%. 360 R. BRUN de tout repère topo-visuel différencié que le mécanisme de Sanrscui1 fonctionne seul, mais ce cas simplifié est si rarement réalisé dans la nature que j'avais été obligé d’en créer artifi- ciellement les conditions afin de pouvoir étudier isolément la puissance pure de la faculté de l'œil boussole ou encore de la faculté olfactive. Il y a aussi lieu de croire que ces notions mnémiques générales du terrain parcouru ne résultent pas uni- quement de l'aller récent, mais qu’elles ont été successive- ment acquises au cours de nombreuses excursions antérieures, faites dans la même direction. En tout cas, il faut convenir avec Sanrscui que la preuve certaine que telle ou telle Fourmi, voyageant seule aux envi- rons du nid, se trouve en terrain inconnu pour elle, ne pourra être établie que très exceptionnellement. En passant maintenant à l’analyse expérimentale du tournoiement de Turner, si bien faite par CoRNETz ! et citée par lui contre l'opinion en question, il y a lieu de constater, tout d’abord, que ces expériences, loin de fournir un argument contre l'existence d’une mémoire des lieux chez les Fourmis, la confirment plutôt, tout en ne permettant aucune conclusion sur la manière dont cette connaissance relative des lieux a été acquise. L'expérience de Counerz consistait à capturer des Fourmis à l'entrée de leur nid et à les transporter ensuite en un lieu quel- conque, à une distance de plusieurs mètres. Il est vrai que Cornerz, avec des Fourmis à courte vue indistincte (Fourmis qu'il qualifie, non sans raison, d’ « espèces inférieures »), obte- nait, à de rares exceptions près, des résultats négatifs, vu que ces Fourmis, après un tel «transport primaire », n’exécu- taient que des tournoiements déréglés et ne retrouvaient leur trou que par pur hasard. Chez les « espèces supérieures », à 1 Cornerz. Texte explicatif de l'album faisant suite aux trajets de Fourmis, p. 1-8, Mém. Inst. gén. Psychol., Paris, 1912. k — La connaissance du monde environnant pour une Fourmi d'espèce supé- rieure. Rev. des Idées, 1912, — De lu durée de la mémoire des lieux, ete. Arch. de Psychol., 1912. FOURMIS 301 vue relativement distincte, le résultat est différent. Ici, lon voit presque toujours, après un court trajet initial plus ou moins méandrique, se produire un acte de soudaine reconnais- sance, de sorte que la Fourmi, en un endroit quelconque qui, le plus souvent, ne diffère en rien de son entourage, va tout à coup se diriger droit vers le nid. Capturée de nouveau à l'entrée de celui-ci et replacée en ce « lieu connu C1 », elle s'y reconnait de suite, prenant de nouveau la direction à peu près exacte vers le nid. En la reportant maintenant à un point inter- médiaire (J) du trajet C& — N qu'elle venait de parcourir (point qui peut même être rapproché jusqu'à un mètre du lieu connu C1), on la voit de nouveau livrée au hasard, errant çà et là, jus- qu'à ce qu’elle ait trouvé un second lieu connu C2 où le phéno- mène de reconnaissance (prise de la direction vers N) se repro- duit. Corxerz croit devoir conclure de ces résultats que même Îles Fourmis supérieures n’ont qu’une connaissance très imparfaite de la région proche de leur gîte; mémoire discontinue « comme un petit catalogue de lieux connus C isolés dans l'in- connu. À chaque image visuelle d’un tel lieu s'associe le sou- venir de la direction à peu près exacte C — N. » J'ai fait deux objections à cette interprétation (1. €., p. 156). Premièrement, la supposition que les Fourmis puissent fixer des images visuelles différenciées d’un petit lieu quelconque, situé par exemple au milieu d’une place déserte et ne différant en rien de son entourage, cette supposition, dis-je, m'a paru extrémement invraisemblable. Puis, je me suis efforcé de démontrer qu'une pareille con- naissance locale isolée, même si elle existait, devrait être par- faitéement inutile à la Fourmi pour s'orienter vers un second lieu N. Logiquement, la prise d’une direction ne peut résulter que d’un acte d'association sensorielle du point de départ avec le point final du voyage à exécuter !; cette association peut être 1 C'est au fond l’axiome géométrique disant qu'une ligne est déterminée par deux points au moins. 362 R. BRUN directe ou indirecte, au moyen de points de repères intermé- diaires. Supposer la possibilité d’une mémoire pour la prise d’une direction absolue de l’espace, non déter- minée par des points de repère, revient donc à préco- niser une hypothèse transcendentale (métaphysique) inconcevable à la raison logique et inadmissible en science. La première objection n’est pas même prise en considération par CoRNETZ. Quand à la seconde, il la reconnait irréfutable, n'essayant guère de la contester et déclarant seulement que ce phénomène de réorientation en un lieu C lui avait paru telle- ment énigmatique qu'il s'était cru obligé de recourir à une hypothèse métaphysique. Or, j'ai donné une explication simple du phénomène en question, en suggérant que ladite réorienta- tion mystérieuse en ces « lieux connus C » n’est pas, dans la plupart des cas, due à une reconnaissance de ces lieux-mêmes, mais plutôt à la réidentificalion visuelle de certains grands objets lointains auxquels la position relative du nid est associée. Corxerz, préférant toujours son hypothèse transcendentale, me réplique que cette supposition ne lui expliquerait pas pourquoi cette reconnaissance ne s’effectuerait que dans un lieu restreint C et non pas en un lieu J tout rapproché de C et intermédiaire du trajet C — N que les Fourmis venaient de parcourir. Il paraît donc lui avoir échappé que j'ai prévu cette dernière objection et y ai répondu quelques lignes plus bas, à la page 156 de mon livre, où j'ai textuellement écrit : « ...Und der Umstand, dass die plôtzliche Richtungsänderung nur an ganz bestimmten Punkten erfolgt, kônnte damit zusammenhängen, dass das betreffende Objekt nur solange erkannt und mit der Lage des Nestes assoziiert wird, als es unter einem ganz bestimmten Gesichtswinkel erscheint... » J'ai comparé l'effet produit par des objets lointains (arbres, murailles, etc.) proches du nid à Pelfet du phare indiquant de nuit au marin la position du port. Il va sans dire, cependant, que la réidentification visuelle d’un tel objet, plus ou moins sombre et indistinctement perçu (quoique ayant une forme définie par comparaison à une simple zone lumi- FOURMIS 363 neuse), demandera une concentration aperceptive beaucoup plus élevée que l'orientation sur un centre lumineux, tel que le soleil. IL est du reste fort probable qu’il s'agit souvent, dans ce cas, plu- tôt de reconnaissance d’une constellation, c’est-à-dire d’un ensemble de plusieurs objets lointains, formant un groupement caractéristique, que de récognition d’un seul repère. Quoi qu'il en soit, on fera bien de se rappeler que l'acte psychique de la reconnaissance différenciée (homophonie mnémique de SEMON !) est toujours un phénomène relativement complexe. IL résulte d’une représentation interne de plusieurs impressions (engramimes)associées, dont la réalisation («ecphorie»)ne dépend pas seulement de la vivacité des engrammes en jeu, mais en- core de bien d’autres circonstances accessoires, comme : degré de perturbation de la bête lors du transport, son activité psychi- que générale à ce moment, etc., bref, de cet ensemble de circonstances diverses que SEMON a désigné sous le terme de « situation énergétique générale, externe et interne. » Ainsi s'explique le fait que l’on est quelquefois surpris par une réaction négative de la part d’une Fourmi que l’on croit avoir replacée exactement dans la même situation que celle d’une première expérience. D'autre part, il ne faut pas non plus oublier qu’à cette limite inférieure de l’activité cérébrale plastique, telle qu’elle est repré- sentée par les Insectes sociaux, même les associations indivi- duellement acquises s'effectuent dans des voies extrêmement bornées. Attachées, le plus souvent, à des situations étroite- ment déterminées, elles ne peuvent se réactiver qu’à condition que ces situations spécifiques se reproduisent au complet. Une légère dissemblance suflira souvent pour arrêter net un tel automatisme secondaire qui, en tant qu'il ne laisse qu'un jeu minime à cette association combinée connue chez l’homme sous le terme de « représentation raisonnée », affecte quelque- 1! Skmox. Die Mneme. Leipzig, 1908 (2, Ed.). La terminologie exacte et neutre de SemMoN me parait particulièrement bien convenir à la psychologie comparée en tant qu'il s'agit de la désignation des phénomènes mnémiques. 364 R. BRUN fois le caractère des « réflexes conditionnels » de PAwLow et de KALISCHER !. Pour en venir aux exemples, il me suflira de citer les trois cas suivants, que J'ai observés plus d’une fois au cours de mes nombreuses expériences de contrôle et qui démontrent que les choses ne se passent pas toujours aussi schématiquement que CorneTz veut bien nous le faire croire. En effet, il n’est pas rare que l’on puisse observer les faits suivants : 1. Des Fourmis capturées près du nid, ou sur un parcours collectif, ou encore en voyage isolé, et transportées en un lieu x tout à fait quelconque, s’y reconnaissent de suite, courant droit vers le nid, sans tournoiement préalable. (Voir dans mon livre les observations 36, 1 b et d, p. 168, et 36, 4 y, p. 173.) 2. Par contre, d’autres, après un tel transport, paraissent complètement désorientées au premier abord, mais, reve- nues par hasard, au cours d’un tournoiement excen- trique, en ce même lieu inconnu de tout à l’heure, s’y reconnaissent cette fois, et prennent la direction du nid:(O0bs.:30"#6€,-p."173.) 3. Enfin, il arrive parfois, qu'une Fourmi reportée en un « lieu connu C » où elle avait fait acte de reconnaissance tout récent, ne s y reconnaît plus celte fois, mais se met à tournoyer au hasard. (Obs. 40, b 6, p. 192.) De tels résultats paradoxaux d’une expérience fort simple en apparence nous apprennent que, dans les cas réels, on ne se 1 L’éminent physiologiste russe PawLow a fait l'intéressante découverte, chez le Chien, que des stimulants actuels tout à fait hétérogènes (par exemple opti- ques), lorsqu'ils accompagnent constamment un acte instinetif tel que le manger, finissent à s'associer étroitement à ce dernier acte. Cette association se mani- feste par le fait que plus tard la seule réapparition de ces stimulants accessoi- res, en l'absence de toute nourriture, suffit pour produire le réflexe de la saliva- tion qui primairement est exclusivement lié au contact d’un aliment. Or, chose plus intéressante encore, si l’on applique maintenant un changement minime à ce slimulant secondaire (en remplaçant par exemple un disque rouge par un carreau de la même couleur). on voit aussitôt aboli ce réflexe conditionnel, qui se montre ainsi exclusivement lié à une forme toute définie. Ce dernier fait a élé ingénicusement utilisé par KaLiscHEer et d’autres pour déterminer le degré d'acuité des différentes facultés sensorielles, comme par exemple l’acuité acous- tique, chez les animaux supérieurs. FOURMIS 30) trouve pas toujours en présence d’une simple alternative. En psychologie comparée, il faut toujours tenir compte des diffé- rents degrés par lesquels les phénomènes psychiques peuvent se manifester. Passant maintenant à la question principale, à savoir si les Fourmis sont capables ou non de percevoir des grands objets éloignés et de s’en servir comme repères, je dois formellement insister sur ce point, que la vision lointaine des Fourmis n'est pas, comme CornerTz le prétend (1, p. 586-87) « une supposition aucunement démontrée », mais qu'il s’agit d’un fait établi. D'abord, ce fait a été directement constaté par FOoREL 1, SANTSsCHI et autres. FoREzL versa un jour un sac rempli de Lasius fuliginosus au milieu d’une route ensoleillée. S’étant accroupi auprès d'elles pour les observer, il se vit aussitôt poursuivi par ces Fourmis lucifuges qui, d’un seul élan, se dirigèrent rapidement sur lui et le suivirent partout où il se tourna, et cela jusqu’à 5 mètres de distance! Afin de bien juger la portée de cette observa- tion fortuite, il faut savoir que cette Fourmi ne possède que 200 facettes environ à chaque œil et qu’elle se range par consé- quent parmi les « espèces inférieures » par rapport au déve- loppement de sa faculté de vision distincte. SanrscHi?, ayant trouvé un nid de Camponotus maculatus subsp. barbaricus, au pied d’un Palmier isolé dans une plaine découverte, captura un certain nombre de Fourmis et les sema dans un rayon de 2 à 3 mètres autour de l'arbre. Au lieu de tournoyer longuement (comme elles font d'habitude en pareil cas), la plupart de ces Fourmis se mirent aussitôt à courir con- centriquement vers le Palmier et retrouvèrent ainsi le nid en très peu de temps. «Quelques-unes », ajoute SaNTSsGHr, « étaient momentanément désorientées lorsqu'elles passaient au fond d’une dépression (sillon d’un terrain de labour) qui pouvait leur cacher le Dattier ». Cette dernière constatation est particulière- ! Forez. Fourmis de la Suisse, 187%, p. 120-21. 2 Sanrscui, L. c., p. 382-83. 366 R. BRUN ment intéressante parce qu’elle confirme une objection de Corxerz disant (1, p. 587) que cette prétendue vision lointaine serait à chaque instant sérieusement compromise, vu la peti- tesse de l’Insecte, par rapport à laquelle la moindre bosse du sol prendrait les dimensions d’une colline masquant lho- rizon. C’est là précisément ce qui arrive, mais il paraît que pour le maintien d’une direction générale il suffit pleinement que le repère visuel éloigné soit perçu par intervalles. Il est du reste fort probable que, durant ces courtes éclipses, la kines- thésie (sens des déviations) puisse intervenir dans une certaine mesure pour garantir la continuation quasi rectiligne de la direction générale. Il suflit de se rappeler le cas d'un homme se dirigeant à travers une forêt clairsemée, pour se faire une idée d’un pareil mécanisme visuo-kinesthésique associé. Jai moi-même provoqué expérimentalement le phénomène de déso- rientation passagère décrit par SANTScHt en entassant devant une F. sanguinea retournant à sa demeure une barrière de sable haute de 10 centimètres et longue de 3 mètres environ (L. e., fig. p. 26, 159, texte p. 163, 7). La Fourmi en fut visible- ment troublée; déjà 20 centimètres avant d'arriver à l'obstacle, elle dévia fortement à gauche, faisant un long crochet pour le contourner. Mais comme elle n’en finissait pas, elle revint sur ses pas et se décida à franchir la barrière, reprenant seulement alors son orientation primitive. Parmi mes propres expériences, ce fut surtout la suivante (L e., p. 124, observ. 26 c) qui me suggéra pour la première fois La possibilité d’un repérage visuel sur des grands objets plus ou moins éloignés et vaguement perçus, de la part de cer- taines espèces de Fourmis. En mai 1913, j'assistais à un démé- nagement d’une grande colonie de F. rufa, dans mon jardin. À un moment donné, il y avait deux parcours parallèles, traver- sant un chemin du jardin à une distance de 4 mètres. J'en- ferme une recruteuse ! marchant sur Ty1 dans une boîte et je la transporte sur T}», en terrain similaire. Je m'attendais à la voir continuer son chemin sur ce second parcours allant au même but ie , Dh Fourmi portant une congénère. FOURMIS 367 et à peu près dans la même direction. Il n’en fut rien, car aussitôt qu'elle fut sortie de la boite, ma Fourmi tourna à droite, et, corrigeant entièrement le considérable déplacement latéral, ne reprit son orientation primitive qu'après être rentrée en Ti ! L'analyse du cas est simple : transport latéral de 4 mètres sur un terrain de parcours absolument analogue au terrain primitif, comme direction et comme caractères lopochimiques. Néan- moins, la marche parallèle de Préron (orientation virtuelle de SANTSGHI) n'a pas lieu, mais il y a, au contraire, abandon de la direction primitive et réorientation directe sur Tp1. Par consé- quent, ni l’olfaction, ni l’œil-boussole de Saxrscni, ni non plus le mystérieux sens de CorxETz, ne peuvent êlre en jeu. La « kinesthésie » (repérage sur les positions successives de l'axe médian du corps) est également exclue, par la simple raison que le déplacement imposé à la Fourmi se fit par transport passif. A force d'exclusion, nous arrivons donc à la seule explication possible, soit que cette Fourmi avait reconnu en Tp2 quelque grand objet distant (ou une constellation d'objets pareils) qui lui avait servi de repère pour le maintien de sa direction générale sur Tp1, dans cette partie spéciale dudit parcours. Afin d’élucider la question à fond, je me suis servi d’une nou- velle méthode qui peut suppléer aussi dans une certaine mesure à l'observation pénible des voyages isolés, assez rares chez cer- taines espèces par rapport au nombre des courses collectives. Dans cette méthode, que j'ai appelée l'expérience de la marche forcée, l’on procède comme suit. On force des Four- mis à s'enfuir de leur nid ou de leur parcours habituel, puis on leur fait exécuter, en les dirigeant avec les mains, un trajet arti- ficiel d’une étendue et d’une configuration fixées d'avance, dans une direction quelconque. La Fourmi avec laquelle j'expéri- mentais de préférence était la F. sanguinea. Un nid de cette espèce se trouvait sur les bords d’une grande place sablonneuse qui me servait d'arène. Je fis d’abord exécuter des trajets simples de 5 à 10 mètres dans une seule direction. Le résultat fut invariablement le même : aussitôt libérées, les Fourmis regagnaient leur point 368 R. BRUN de départ par la ligne la plus directe ; à peine y avait-il une légère sinuosité. Je leurs fis faire alors des trajets rectangu- laires jusqu’à 17 mètres de distance, dans deux directions successives. Elles en revenaient promptement, mais, cette fois, en fermant directement le polygone par la ligne de l’hypothé- nuse, donc, à l'encontre de la règle de CornEerTz qui leur aurait prescrit la réversion successive des deux directions de laller. Ce retour direct ne pouvait done s'expliquer ni par l’œil-bous- sole de Sanrscui, ni par le sens directeur absolu de CoRNnerz. Mais peut-être les points terminaux f du voyage forcé étaient- ils des « lieux connus CG » pour les Fourmis ? Une simple expé- rience de contrôle nous démontre qu’il n’en est rien. Pour le vérifier je n'avais qu’à transporter mes Fourmis préalablement en f'avant de leur faire exécuter le trajet angulaire. Or, après ce transport passif, elles étaient absolument incapables de se réorienter vers le nid, alors que ces mêmes Fourmis, reportées en N et forcées maintenant de faire le trajet N — f sur leurs propres jambes, retournaient promptement « à vol d’Abeilles », comme d'ordinaire. Reste la théorie de la kinesthésie, soit l'acquisition d’une «représentation d'ensemble » du polygone décrit et de la compensation à faire, au moyen d’une association compliquée de la notion musculaire de l'angle avec la sensa- tion « podométrique » des deux longueurs parcourues. Il fallait donc empêcher le fonctionnement de la kinesthésie. Dans ce but j’impose à mes Fourmis des voyages compliqués en leur faisant-faire des demi-cercles énormes ou encore des trajets polygonaux d’une forme tout à fait quelconque, à nombreux crochets et détours. Mais les Fourmis retournaient toujours sans la moindre hésitation; dans le premier cas elles suivaient à peu près la sécante, dans le second elles prenaient la résul- tante approximative de la somme totale des diverses directions de l'aller. Serait-on disposé à soutenir là encore l'hypothèse de la kinesthésie ? Ce serait les déclarer capables de résoudre à l’improviste un problème de p'animétrie, qui donnerait des maux de tête à l'élève d’une école supérieure, même s'il avait à le calculer sur le papier. * FOURMIS 309 Jusqu'ici, les résultats de notre analyse parlent singulière- ment en faveur de la supposition d’une réorientation visuelle, aux points terminaux / de ces voyages forcés, au moven d’une réidentification de quelque grand objet éloigné situé près du nid ou derrière lui, et servant de repère grâce à cette position relative. Pour en avoir la preuve directe, il faudrait donc supprimer ce mécanisme, soit en éliminant les objets supposés dudit repérage (objets inconnus du reste !), soit en les cachant à la vue directe de la Fourmi. Pour des raisons faciles à concevoir, je choisis la seconde éventualité. Je fis exécuter à une Fourmi un trajet angulaire énorme, de 34 mètres, trajet qui la conduisit loin au delà de l'arène habituelle de mes expé- riences, en un point final f d’où la vue directe était barrée par des arbres interposés. Néanmoins, ma Fourmi revint. Cepen- dant, au lieu de reprendre directement par lhypoténuse, comme toutes ses amies avaient fait lorsqu'il s'agissait de trajets angu- laires, elle commença cette fois en reprenant la seconde direc- tion de l'aller, conformément à la règle de CorxerTz. Mais dès qu’elle eut regagné la grande place de sable, elle changea brus- quement de direction et revint au nid par l’hypoténuse. Je fis enfin les expériences de contrôle suivantes : 1. Je supprimai le sens visuel chez ces Fourmis « supérieu- res » en noircissant la cornée de leurs yeux à facettes d’après la méthode de Forez! Les individus ainsi traités étaient absolument incapables de retourner directement, même après un trajet forcé rectiligne de 2 mètres seulement, et ils étaient obligés d'attendre le passage d’une congénère pour se faire emporter. 2. J'ai aussi appliqué la méthode de la marche forcée à des « Fourmis inférieures », à courte vue indistincte (Lasius niger, Myrmica laevinodis), en leur faisant faire des trajets de 4 à 6 mètres seulement, rectilignes ou à deux directions successives. Les résultats furent caractéristiques. Dans le premier cas (tra- jets simples), il y avait bien des retours directs, mais ces retours 1 Forez. Das Sinnesleben der Insekten, p. 48. München, 1910. 370 R. BRUN manifestaient un manque de précision remarquable (erreurs latérales jusqu’à 30°). Dans le second cas, ce manque de süreté était encore plus marqué: la marche diagonale ne se manifestait qu'au commencement, pendant les premiers décimètres ; puis apparaissait une vague tendance à prendre la seconde direction de l'aller, et enfin le « retour » dégénérait en un tournoiement excentrique. Toutefois, il y avait là une intéressante différence entre les deux espèces. Le Lasius (ayant environ 180 facettes à chaque œil, d’après mes observations) finit par atteindre le bord de la place (avec une erreur latérale de 1",6, il est vrai, et après avoir fortement sinué) et s’y réorienta tout à coup vers N, tandis que les Myrmica (n'ayant que 105-115 facettes d’après FoREL) se perdaient en un tournoiement sans fin. Je pense que ces expériences sont concluantes. Procédant par la méthode de l’exclusion, nous avons élucidé progressivement la nature de ce facteur inconnu qui a permis à des Fourmis supé- rieures de se réorienter immédiatement, après les péripéties les plus variées, vers leur point de départ, dans un lieu f quel- conque distant de plus de 10 mètres. Après avoir soigneuse- ment écarté toute autre éventualité, nous nous sommes arrêté à la seule interprétation possible, soit que ce facteur inconnu était bien la vision, à savoir la vision différenciée, plus ou moins distincte, permettant l’aperception de certains grands objets éloignés dont les formes sont associées avec la position relative du nid. Au point de vue physiologique, on ne peut rien objecter de sérieux à cette interprétation des faits. Il me paraît au contraire que la physiologie de l’œil composé impose a priort l'existence du mécanisme visuel décrit, étant donné que chaque objet du monde environnant doit forcément se dessiner sous quelque forme dans le système dioptrique de l’Insecte et que laper- ception plus ou moins nette de ces formes projetées dépend principalement de la grandeur de l’objet correspondant !, Puis Il y a lieu de remarquer ici que l'opinion vulgaire, qui représente les Insectes comme des « myopes », ne tient pas debout dans le sens littéral (opti- que) du mot, Dans une intéressante brochure (Wie die Tiere sehen, verglichen FOURMIS al il y a des considérations d'ordre plutôt phylogénétique parlant également en faveur de ladite interprétation : c’est le fait que chez les autres Hyménoptères sociaux on a la preuve que lorien- tation lointaine est presque exclusivement visuelle. Dans la plupart de mes expériences sur la marche forcée, l’image visuelle des objets-repères était probablement simulta- nément associée avec la position relative du nid. Mais le cas de cette Fourmi qui, après un trajet énorme (34 mètres) sul réaliser un retour direct, ce cas, dis-je, me semble clairement indi- quer que les Fourmis supérieures (comme organisation psychi- que) sont capables même d'enregistrer un complexe d’engram- mes successivement associés, correspondant à une série de plusieurs repères visuels se succédant au cours d’un seul et même voyage. Car, évidemment, la Fourmi dont nous avons parlé avait dû se fixer un second point de repère au moment où, dans sa progression involontaire, elle venait de perdre de vue le premier, et celte même nécessité s'était peut-être imposée encore une ou plusieurs fois avant que le point final f du voyage füt atteint. Un mécanisme pareil ne diffère plus, en principe, de celui de l'orientation visuelle lointaine telle qu’elle est réalisée chez l'homme et chez les animaux supérieurs, et qui se base sur une vraie mémoire des lieux, c’est-à-dire sur la présence d’un certain nombre d’engrammes différents, liés entre eux par association successive continue. La présence d’une telle mémoire chez les Fourmis supérieures (du moins dans ses commencements) me paraît être hors de doute. J'ai vu par exemple des Fourmis(F. rufa, sanguinea) qui, replacées sur l'emplacement d’un ancien nid abandonné depuis 15 jours et à plus de 30 mètres de distance du nouvel établissement, s’y reconnurent de suite, courant droit vers le nouveau nid en mit dem Menschen, Wien, 1915) Tscarrmak fait sur cette question la remar- que suivante : « ...Anderseits liefern die Facettenaugen auch von fernen Objek- ten fast ebenso scharfe, allerdings weniger gut aufgelôüste Bilder als von nahen Gegenständen, Die übliche Bezeichnung der Gliedertiere als « kurzsichtig » ist also nur mit Vorbehalt anzunehmen. » Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 25 372 R. BRUN suivant exactement l’ancien terrain de parcours, si souvent parcouru, lors du déménagement. Jai déerit (1. c. p. 164-174) une série d'observations similaires, en les analysant en détail. Il y a donc lieu de modifier quelque peu l’axiome de CoRNETz disant que « le retour est fonction de laller », dans ce sens qu'un retour actuellement observé chez telle ou telle Fourmi ne doit pas nécessairement se fonder uniquement sur les données mnémiques d’un aller actuel, mais qu’il peut se baser aussi sur des ecphories d’engrammes fixés au cours de nombreux voyages antérieurs. Il va sans dire que, chez les Fourmis, celte mémoire des lieux ne peut être exclusivement — ni même de préférence — une mémoire visuelle. Ce n’est que la locomotion orientée, la prise de direction par exemple d’un lieu N vers un second lieu N1, qui est déterminée en première ligne par la vision lointaine. Quant à la récognition elle-même de ces lieux, — acte primaire devant nécessairement précéder la prise de direc- tion, — elle est très probablement due autant à certains engrammes topoolfactifs qu'a l’aperception visuelle des détails desdites localités, en supposant toujours que ces lieux se distinguent de leur entourage par un cachet topochimique indi- viduel. Cette dernière condition était remplie par exemple dans le cas de ces Fourmis que nous avions replacées sur le dôme à matériaux de leur ancien nid abandonné depuis 15 jours. C'était probablement la recognition topoolfactive de ces décom- bres familiers qui fit d’abord surgir, dans le cerveau des Fourmis, le souvenir du parcours N — N1 si souvent répété autrefois. Les complexes visuels lointains correspondant à la première étape de ce chemin furent ensuite recherchés, el ainsi de suite, la réitération successive de ce parcours se réalisa d'étape en étape, selon la loi mnémique de l’ecphorie succes- sive (SEMON). Nous avons vu du reste, au commencement de ce chapitre, que le sens topochimique ne cesse de fournir des données mnémiques générales sur toutes les étapes de la marche elle-même. Cette engraphie coordonnée se simplifie considé- rablement lorsqu'une partie du chemin est pour ainsi dire FOURMIS 19 «canalisée » par des contours topiques préformés, comme pieds de murs, bords de trottoirs, talus, etc. Il est clair que, par le fait de la localisation asymétrique (unilatérale) de ces complexes visuo-topochimiques, les deux directions rela- tives d’un tel chemin seront immédiatement déterminées, de sorte que la Fourmi, à chaque étape de son voyage, sera au courant de la direction relative du point terminal qu’elle cherche à atteindre, par rapport à celle du point de départ. L'existence de ce mécanisme, depuis longtemps présumé par TurNER, CoRr- NETZ, SanTscHi, ERNST et autres a été physiologiquement démontré par moi-même (1. c., p. 92 ss.) chez le Lasius ‘fuligt- nosus, à l’aide d’une nouvelle méthode permettant l’étude isolée des facultés topoolfactives, à l'exclusion de tout autre repérage, notamment de l’œil-boussole. Il Dans ses nouvelles expériences, CoRNETz croit tenir la preuve certaine que, chez les Fourmis, la reprise d’une direction quel- conque maintenue auparavant dans l’espace, peut, en principe, s'effectuer indépendamment de tout repère sensoriel externe. La première série desdites expériences, publiée dans cette Revue, n’est qu'une répétition, la nuit et en grand, de la vieille expérience de BoxxET. Par une nuit sombre (sans lune) CORNETZ interrompt une piste très fréquentée de Tapinoma nigerrimum Nyl, par balayage et lavage violents du terrain, sur une longueur de 3 à 4 mètres. En observant ce qui se passe au moyen d’une lampe, qu'il « masque de temps en temps », il constate que la communication se rétablit dans le même laps de temps, que si l'expérience avait été faite de jour, soit en 15 à 18 minutes. Le soir suivant, CorNerz répète l'expérience, mais cette fois il fait poser un plancher en bois sur le milieu de la partie détruite de la piste, recouvrant le sol sur 2 mètres de large et 1 à 2 centi- mètres au-dessus du terrain. La piste se reconstitue dans le même temps de 15 à 18 minutes. Ces expériences sont sans doute intéressantes, mais je ne Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. PAST 374 R. BRUN trouve pas que les repères externes y aient été suflisamment éliminés. D'un côté, CoRNETZ a opéré la nuit afin d’enlever aux Fourmis toute possibilité de s'orienter par la vue, de l’autre, il introduit cette même possibilité en se servant d’une lampe pour observer. À moins que, durant l'observation, ee phare providentiel ait continuellement changé de place, il a dû donner un excellent repère secondaire aux Fourmis traversant les premières l’espace interrompu de la piste, suivant la règle générale que des impressions secondaires peuvent varier pour un stimulant vectoriel principal disparu, lors- qu'elles ont constamment accompagné ce dernier avant sa dispa- rition ?, L’occultation temporaire d’une telle source lumineuse n'empêche aucunement les Fourmis de se repérer, sans compter le fait qu'une occultation telle que Corxerz l’a pratiquée laissera toujours une périphérie de luminosité relative du côté de « l'astre » éclipsé. Il est vrai que, dans la seconde variante de l'expérience, le plancher improvisé cachait l'aspect direct de la source lumineuse aux Fourmis s’engageant en dessous. Mais, en revanche, l'intervalle qu’il y avait entre le sol et ladite planche laissait filtrer une longue bande de lumière du côté éclairé par la lampe, formant comme une zone unilatérale de luminosité relative, dont l'intensité était relevée encore par le contraste avec l'obscurité régnant sous la planche. Les expériences de la seconde série (Arch. de Psychol.) sont plus difficiles à expliquer. Il suffira pour nos besoins d’en résu- mer ici la variante la plus perfectionnée : une attrape (os de côtelette) est posée, le jour, en un lieu +, non loin d’une colonie de Tapinoma nigerrimum. Afin d'habituer les Fourmis à obscu- rité, la provende est recouverte d’un couvercle métallique cireu- laire reposant sur trois petites cales, de façon à ne laisser qu'une mince fente de 2"" environ entre son bord et le sol. Bientôt, deux files de Fourmis s’établissent vers la provende, l’une par- tant d’un nid situé dans l'Ouest, l’autre d’un nid dans le Sud- Ouest. Quand la nuit est tombée, l'os, couvert de 300 à 400 ? Voir p. 36-37 de mon livre. FOURMIS 319 Fourmis, est rapidement enlevé et porté en un second lieu 1, préparé d'avance sous une tonnelle de jardin. En déposant los, Corxerz le fait encore tourner de 90-180°, puis remet le cou- vercle. Ces manœuvres ont forcément dû s’exécuter à l’aide d'une lampe, mais aussitôt que le couvercle est posé, CORNETz laisse la scène dans l'obscurité, se contentant de revenir tous les quarts d'heure pour voir ce qui s’est passé. Ce qu’il constate alors, en relevant le couvercle, est en effet très curieux : peu à peu l’on voit se former deux groupes distincts de Fourmis sor- tant par-dessous le converele et poussant à peu près dans les mêmes directions générales (Ouest et Sud-Ouest) dans lesquelles les deux pistes Les auraient conduites si elles avaient été trans- portées en même temps. Aucune Fourmi n'est vue errant dans les autres directions. Ce résultat est en effet étonnant. Mais, en y réfléchissant, on doit pourtant se dire que même ces expériences, du reste admi- rablement conduites, n’offrent pas la garantie d’une élimination absolue (dans le sens physiologique du mot) de tout repère sensoriel externe. La plus noire des nuits, sans lune ni étoiles, n'est pas encore identique à l'obscurité absolue, surtout pas dans les centres civilisés où l’on rencontrera toujours quelque part de faibles lueurs, réflexes de la blancheur d’une façade éclairée ou provenant d’un bec de gaz lointain !, etc. Toutes ces lueurs donneront naissance, dans leur entourage, à des zones moins sombres que d’autres situées du côté opposé, et cela même sous la tonnelle de Cornerz. Aussi longtemps quil y aura encore cette mince fente de 2"" entre le couvercle et le sol, il faudra donc admettre la possibilité que les Fourmis qui se trouvent au dessous soient capables de percevoir et de localiser lesdites zones différentes sur leurs yeux à facettes. On dira qu'une pareille perception est des plus invraisemblable à cause de l'extrême faiblesse d'intensité des lueurs en ques- tion. Or, cette objection tombe d’elle-même en considérant le 1 On sait que ces sources artificielles abondent en rayons ultra-violets, rayons auxquels les Fourmis sont particulièrement seusibles. 376 R. BRUN fait physiologique que la susceptibilité de la rétine à la lumière peut accroître, dans la chambre noire, jusqu’à 1400-8000 fois sa puissance normale"! CornerTz dit avoir fait l'expérience nocturne afin d'éviter une des principales sources d’erreur du procédé de LugBock, qui, selon lui, consisterait « à poser une boîte fermée sur une ou plusieurs Fourmis marchant dans un milieu éclairé... La Fourmi se montre toujours plus ou moins perturbée et il y a de quoi »! Et plus loin: «Il est clair que la perturbation que l’on observe peut tout aussi bien provenir du violent contraste des luminosités que de la suppression d’un repérage visuel éven- tuel. » La fameuse expérience de LusBocx eut le malheureux sort d'être généralement mal comprise, car, comme je l’ai démon- tré dans mon livre, elle fut également citée à faux par BETHE et même par WasMann. En réalité, LuBBocx fit exactement comme Corxerz, c'est-à-dire qu'il habitua d’abord ses Fourmis (Lasius niger) à s'engager librement sous sa « hat box » et à la traverser en file avant de commencer son expérience. Cette dernière ne consistait donc pas, comme CORNETZ s’ima- gine, à poser la boîte sur des Fourmis « marchant dans un milieu éclairé », mais bien à faire tourner de 180° le disque sur lequel elles marchaient, au moment où les Fourmis se trouvaient engagées sous la boîte. Sur 30 Fourmis qui traver- saient la boîte, 19 ne paraissaient pas s’apercevoir de cette conversion?, puisqu'elles continuaient à marcher dans la même direction relativement au support, alors que, dans une première expérience, où elles avaient eu l'horizon libre au moment de la conversion, toutes les Fourmis avaient tourné en sens inverse, de manière à garder leur orientation absolue dans l’espace. D'autre part, LuBBock avait démontré que la con- version du support restait toujours inaperçue des Fourmis 1 Voir: Ticensrenr, Lehrbuch der Physiologie, Il, p. 240, 3me édit., Leipzig, 1905. 2 Le reste en fut probablement averti par le renversement de luminosité qui eut lieu au trou d'entrée et de sortie de la boîte, par suite de la conversion. FOURMIS SPP quand la source lumineuse participait au mouvement de rotation. CorxerTz prétend en outre (II, p. 343) que, avant lui, l’on ne s'était servi que du procédé de LusBock pour éliminer léclai- rage. Il paraît donc lui avoir échappé que j'ai décrit dans ma monographie (p. 68) une méthode permettant d'éliminer à coup sûr le mécanisme de l’oeil-boussole, sans sup- primerl'éclairage etmème sans aucunement perturber les Insectes mis à cette épreuve. On y arrive en se servant du principe de « l'éclairage bipolaire. » Un nid artificiel contenant une colonie de Fourmis se trouve en communicalion avec la périphérie d’une grande table circu- laire, tournant dans tous les plans de l’espace. La nourriture, ou des larves à rechercher par les Fourmis, sont placées exacte- ment dans le centre du disque. L’éclairage est donné, non pas par une, mais par deux bougies (ou lampes électriques) de taille et longueur égales, placées en deux points diamétralement oppo- sés de la table, soit dans l’axe transversal, soit dans lPaxe lon- gitudinal par rapport au trajet N — C à exécuter. Tout ce système se trouve encore au milieu d’une chambre noire, dont les parois n'offrent aucun point de repère à la vision distincte des Fourmis. Il est clair que, par une disposition pareille, toute Fourmi en sera réduite à la plus complète impossibilité de discerner visuel- lement entre les deux directions relatives de leur axe d'orienta- tion, lorsque, se trouvant dans le centre du système, elle voudra repartir vers le nid. Car elle recevra des deux côtés des impres- sions absolument identiques (comme qualité et localisation sen- sorielle) et sujettes aux mêmes déplacements relatifs, qu'elle parte dans la direction du nid ou dans la direction opposée. Par contre, elle ne sera pas empéchée de se servir de son œil- boussole pendant l'aller de N en C, tant qu’elle n'aura pas atteint le centre. I. Dans une première série, j'expérimentai avec le Lasius fuliginosus. Pour des raisons techniques (en vue d’autres obser- vations à faire), je fis marcher ces Fourmis sur un pont en papier 378 R. BRUN traversant la table par le centre et se terminant en une petite plate-forme, à l’autre extrémité du diamètre. Ces préparatifs terminés, je fis les expériences suivantes. 1. Je verse une grande quantité de larves sur la plate-forme ; un vif service de transport s'engage. Les Fourmis porteuses d’une larve se précipitent généralement sans hésitation sur le pont, qu’elles traversent rapidement dans toute sa longueur, arrivant ainsi au nid sans accident. 2. Quelques heures plus tard, toutes les larves qui restaient sont ôtées de la plate-forme et mises au milieu du pont. Les Fourmis arrivant du côté du nid s’arrétent toutes auprès de ce tas et se promènent longuement dessus en examinant les larves; finalement, ayant fait leur choix, chacune s’empare d’une larve et veut partir vers le,nid. Pas moins de 50 °/o s’en vont, cependant, dans la fausse direction, s’égarant ainsi sur la plate-forme et cherchant désespérément l’en- trée de leur tube. 3. J'ajuste maintenant une mince balustrade en papier au côté gauche de la partie moyenne (traversant le cercle interne du disque) de mon pont, de sorte que les Fourmis voyageant du nid vers la plate-forme ont cette balustrade à leur gauche, tandis qu’au retour elles la touchent constamment avec l’antenne droite. Je leur donne trois jours pour se familiariser avec cette disposition, après quoi je répète l'expérience 2. Le résultat est frappant. Cette fois, les trois quarts des Fourmis partant du milieu se précipitent dans la bonne direction, et parmi les autres 1 Les lecteurs connaissant les expériences de Berne se demanderont peut- être pourquoi ces Fourmis n'ont pas suivi l'indication directrice ressortis- sant de la soi-disant « polarisation olfactive » du chemin ? Or, lors d'une révi- sion des expériences de Berme, je fis la découverte que le phénomène de Berre (désorientation des Fourmis devant une partie de piste tournée de 1809) n’est positif que sur les « pistes à Pucerons », tandis qu'il disparait rapidement sur toutes les pistes qui ont servi pendant un certain temps à un transport de couvée. Par une autre série d'expériences, j'ai encore démontré que ce curieux phénomène n'est point dû à une « polarisation » dans le sens propre du mot, mais bien à une décroissance progressive d'intensité de certains composants odorants dans les deux directions de la piste. ss FOURMIS 379 qui s'étaient trompées, un grand nombre corrigent leur route, bien avant d’avoir atteint la plateforme, quand leur antenne gauche vient par hasard en contact avec la balus- trade. Je tourne alors le cercle interne de ma table de 180°, de sorte que ladite balustrade va maintenant flanquer le côté opposé du pont. Aussitôt, la proportion indiquée se renverse : les trois quarts des Fourmis courent maintenant dans la mau- vaise direction et un quart seulement dans la bonne. Les Fourmis sont donc capables, non seulement de distin- guer les impressions topo-olfactives venant de leur côté ‘droit, de celles: provenant de leur gauche, mais encore d'associer ces impressions constam- ment unilatérales avec la direction relative de leur route. Il. Une seconde série d'expériences à éclairage bipolaire a porté sur la Formica rufa, espèce plus intelligente que la première, mais presque incapable de suivre une piste odorante. Je supprimai le pont, laissant les Fourmis se promener libre- ment sur la table. Leur tâche était de trouver du miel au centre et de se récrienter ensuite vers le nid. Comme le tube de sortie était exactement posé dans le rayon, les Fourmis se dirigeaient généralement assez droit vers le centre, en continuant la « cana- lisation topokinétique » de leur marche de début. Mais, pour le retour, elles ne se tiraient pas mieux d’affaire que les Lasius. Incapables de distinguer la bonne direction du côté opposé, elles en étaient réduites à hésiter continuel- lement, pendant des heures!) entre les deux côtés, n’osant s'éloigner définitivement du centre qu'après unvtémpstresrlong,-et. lorsque, ayant désespéré de sortir de ce dilemme, elles se livraient à un tournoie- ment excentrique. Une fois, au moment où une Fourmi de taille énorme venait d'arriver au miel, j'éteignis les bougies, laissant la bestiole dans l'obscurité la plus complète. Le jour suivant je la retrouvai sur le disque, toujours errante et à bout de forces. Je varie alors l'expérience en donnant au disque de ma table 380 R. BRUN une inclinaison de 20° du côté du nid. Les Fourmis doivent donc monter sur ce plan incliné pour aller du nid au miel, et descen- dre pour regagner le nid. Elles montent, en effet, en se dirigeant assez bien. Pendant qu’elles mangent, je renverse doucement l'inclinaison du disque, de sorte que le nid occupe maintenant le point culminant de la périphérie. Le résultat de cette expé- rience, sept fois répétée, est invariablement le même. Après une hésitation de 2 à 5 minutes, les Fourmis descendent toujours vers le point le plus bas de la périphérie, cher- chant là vainement, pendant un certain temps, l'entrée du nid, et se livrant ensuite à un tournoiement déréglé : Orientation virtuelle sur la gravitation (« baresthésie »). Cette dernière expérience est particulièrement intéressante parce qu'elle nous permet de trancher une question qui, depuis longtemps, avait donné lieu à une vive controverse, à savoir si les Insectes sont sensibles ou non à la force de la gravitation. On sait que R. pe Gourmoxr !, Cornerz ? et autres, pour des raisons théoriques, ont cru devoir répondre négativement à cette question. Une fois de plus, les faits l'ont emporté sur la théorie. Je pose maintenant cette question : Siles Fourmis sont capa- bles de se diriger au moyen d’une donnée interne de direction absolue de l’espace, comment se fait-il alors que cette faculté mystique va justement disparaître dans les cas d'élimination exacte du repérage externe, c’est-à-dire, là, où elle aurait été de la plus haute utilité ? Jusqu'à nouvelle démonstration, on fera donc-bien de soup- conner toujours la présence persistante d'une source lumineuse localisée, la où l’on constate la marche parallèle de PréRoN après l'expérience de transport ou après conversion du sup- port ÿ. !R. pe Gourmonr, Promenades philosophiques. 1. Le sens topographique chez les Fourmis. Revue des Idées, 1909. 2? Cornerz, Le sens topographique chez Les Fourmis. Ibid., 1909. 3 N'est-il pas aussi significatif que ce phénomène n'est jamais obtenu chez les espèces aveugles, comme par exemple Solenopsis ? FOURMIS 381 [IT L'interprétation que CorxerTz lui-même donne à ses dernières expériences differe essentiellement de sa conception originale. IlLest vrai qu'il continue à supposer une cause effective interne, puisqu'il croit avoir constaté la reprise d’une direction, aupara- vant maintenue, en l’absence de tout repère sensoriel externe: Mais cette donnée interne n’a plus rien à voir avec la « mémoire absolue d’une direction isolée dans l’espace », dont l’auteur parlait dans ses publications antérieures ; c’est une donnée interne relationnelle, en tant qu'elle résulte du « repérage interne successif et ininterrompu d'une position du plan médian du corps par rapport à une position dominante (sens interne des déviations) ! ». C'est donc cette faculté d'orientation kinesthé- sique que P. BonNiER a appelée le « sens des attitudes», et qui, bien avant BoNNIER, avait déjà été préconisée par DARWIN, L. MORGAN, REYNAUD. PIÉRON et autres. Je conviens qu'il n'y a aucune difficulté à faire intervenir un tel mécanisme dans l’expérience première de CoRNETz, où il s'agissait, pour les Fourmis, de rétablir, la nuit, une piste inter- rompue sur quelques mètres. Dans ce cas, en effet, les Fourmis n'avaient qu'à maintenir leur direction générale à travers la zone détruite, au moyen de ce sens très fin des déviations, afin de retrouver, à l’autre bout, la continuation de leur piste recti- ligne. Il en est autrement pour la seconde série de ces expé- riences nocturnes. Ici, la suppression de la trace odorante est combinée avec le transport passif et avec la conversion du sup- port. Il y a donc là interruption de successions d’atti- tudes et, par conséquent, perte du repère de la position domi- nante, à moins que les Fourmis ne se soient aperçues du trans- port, ainsi que du sens et du degré de la conversion qu'elles avaient subie. Mais les Fourmis, comme les Insectes en général, manquent entierement de l’organe statique indispensable pour Bec. pra92 392 R. BRUN la perception de déviations passives (dans le plan horizontal) de l’axe médian du corps À. CoRNETz paraît identifier plus ou moins le « sens des atti- tudes » avec la fonction statique. Or, les organes statiques (canaux semi-circulaires du labyrinthe, statocystes) ne trans- mettent à l'organisme qu’une modeste partie de cet ensemble de sensations internes, «proprioceptives », dont l’enre- gistrement combiné (simultané et successif) sert de base à l'orientation dite « kinesthésique ». Ils n'indiquent que des changements brusques, actifs ou passifs de la position du plan médian du corps dans les trois dimensions de l’espace. Les stimulants respectifs sont transmis à un centre spécial (le cere- bellum), où ils déterminent un « réflexe statotonique » qui aboutit à un renforcement du tonus ou à une contraction subite de certains groupes de muscles, engagés dans la compensation du mouvement subi, empêchant ainsi une chute passive. Il est vrai que le résultat de cette action réflexe peut s'enregistrer secondairement dans un centre supérieur («sens myostatique »). Mais la majeure partie de ce réflexe compliqué reste sous le seuil de la conscience, se passant dans des centres auto- matiques inférieurs (moelle épinière, moelle allongée, rhomben:- céphale, mésencéphale.) Les centres sensuo-kinétiques supé- rieurs de l’écorce cérébrale (lieu dépositaire des engrammes kinétiques successives) sont surtout renseignés par les sensa- tions musculaires combinées provenant des mouvements actifs. Le «sens des attitudes » est donc en premier lieu un enregistrement complexe de « figures kinétiques » sériées, au moyen de la myesthésie active, consciente. Il est vrai que les Tapinoma de CorNETz s’apercevaient du transport subi, car elles s’en montraient toujours plus ou moins perturbées, courant pêle-méle sur leur os dans toutes les direc- ! Nous avons vu, du reste, que des rotations passives du support restent inaperçues des Fourmis lorsque le repère optique tourne en même temps ou que le sens visuel est supprimé. Ce n'est que par négligence de ce fait capital que Berue (Pflügers Archiv, 1898) avait pu interpréter le tournoiement de Lussock comme étant dû à un réflexe statique. FOURMIS 383 ons, pendant plusieurs minutes. Il faudrait donc admettre que tous ces mouvements déréglés soient encore rapportés à la « position dominante » que les Fourmis avaient maintenue en marchant sur leur piste vers la provende. Il va sans dire que l’'accomplissement d’une tâche pareille dépasserait de beaucoup les facultés associatives de nos petits Insectes, impliquant la présence d’un cerveau hautement perfectionné. Lorsque CORNETZ croit quand même devoir admettre une supposition aussi invrai- semblable, je lui retourne le compliment d’anthropomorphisme qualifié qu'il a bien voulu me faire. La supposition d’une faculté kinesthésique particulièrement développée chez les Fourmis s'appuie surtout sur les expé- riences de Szymaxsxy !. Cet auteur faisait dévier des Formica rufa de leur chemin collectif en leur mettant en travers un obstacle infranchissable. Après avoir contourné cet obstacle, les Fourmis regagnaient leur piste invariablement par l'hypoténuse, par un angle de 75° environ, quelle que fût la longueur de la barrière. Sanrseui ?, qui a contrôlé l'expérience de SZYMANSKkY chez le Messor barbarus (espèce à courte vue indislüincte) n’a pu retrouver cette même constance. D'abord, l’angle de recou- pement de la piste était des plus variable ; puis, il arrivait sou- vent que ces Fourmis continuaient à marcher dans la direction déviée, longtemps après que l'obstacle avait été dépassé. Parfois elles finissaient même par se perdre. Dans l'expérience de la marche forcée, nous avions constaté une différence analogue, entre Fourmis supérieures et infé- rieures, par rapport à la capacité de réaliser un retour direct après des trajets forcés angulaires de grande étendue ; tandis que les Formica étaient toujours capables, en pareils cas, d’exé- cuter un retour en ligne diagonale, cette faculté surprenante était rudimentaire chez les Lasius et surtout chez les Myrmica. L'analyse expérimentale nous a révélé ici la marche diagonale comme étant un phénomène visuel. Il y a donc lieu de partager 1 Szymansky, Zin Versuch, das Verhäliniss zwischen modal verschiedenen Reizen in Zahlen auszudrücken. Pflügers Arch. f. d. ges. Phys., 138, 1911. He: pe 414 8: 384 R. BRUN l'opinion de Sanrscui, que cette régularité de lPangle de recou- pement observé par SzyYMaxsky ne résulte guère d’une « repré- sentation kinétique d'ensemble » de l’angle décrit (Winkelvor- stellung), mais qu'elle est également due à un repérage visuel ". Toutefois, je ne conteste pas que les Fourmis ne soient pas aussi aidées, dans une certaine mesure, par des données kiné- tiques simples, telles que par exemple : « déviation à droite, nécessité d'une compensation à gauche », etc. Quoi qu'il en soit, il faut se souvenir que les expériences de Saxrsoui (et les miennes) ne parlent pas en faveur d’une faculté kinesthésique particulièrement raffinée chez les Fourmis. Pour élucider cette question à fond, il faudra répéter les expériences dans les con- ditions exactes de ma méthode d'élimination du repérage visuel. IV Tout en admettant actuellement la possibilité d'un repérage interne relationnel comme cause effective dans certaines de ses observations, CorxETz n’a nullement renoncé à sa concep- tion originale d’un sens de direction absolu. Mais il a ré- servé celte hypothèse pour ces cas extrêmes où des Fourmis se seraient manifestées capables de reprendre une direction quelconque de l’espace, auparavant maintenue, en l'absence de tout reptre sensoriel externe et après un long intervalle impliquant une interruption de successions d’atti- tudess A l'heure actuelle, CornEerz se rend pleinement compte du 1 Vue directe de la piste à regagner (Sanrscni), recognition de quelque grand repère visuel éloigné, ou encore concurrence sensorielle des deux localisations successives de la source lumineuse. La dernière de ces trois suppositions me paraît la plus vraisemblable. * Ce cas serait par exemple réalisé, selon lui, chez ces Fourmis qui, après une pluie de plusieurs jours, — pluie changeant entièrement le monde minus- cule de ces « lilliputiens », — retournent directement et sur la même voie qu'au- trefois à un lieu de provende antérieurement visité. Comme SaxTscui et moi l'ont démontré, ce miracle apparent s'explique cependant très simplement comme acte de mémoire visuel, c'est-à-dire comme orientation visuelle successive sur les anciens repères visuels (grands objets éloignés). | | FOURMIS 389 caractère transcendental de cette hypothèse. Il avoue qu’en admettant la possibilité d’un « sens et mémoire d’une direction isolée dans l’espace », il se place «en dehors du domaine de la raison logique », faisant un « saut dans l'inconnaissable ». Il réalise fort bien qu'une telle supposition devra être qualifiée d' « imagination inconcevable », puisqu'elle va à l'encontre des règles de la raison logique, et que « cette possibilité n’est pas admissible pour la théorie de la connaissance ». Il reconnaît que, par conséquent, son idée ne représente pas «un dire scien- tifique, mais bien métaphysique et même mystique », impliquant « la croyance à l’inconnaissable. » On ne saurait s'exprimer mieux pour se dédire d’une hypo- thèse reconnue insoutenable. C’est un suicide philosophique. Mais Cornerz se tire d'affaire en déclarant simplement que « l’inconcevable n’est pas par cela méme l'impossible », et que, pour lui, « les deux domaines, celui du raisonnement et celui de l'imagination (sentiment) peuvent fort bien coexister sans conflit. » Il ne voit donc aucune nécessité de se plier à la tyrannie de Kanr qui a défendu d’inventer des hypothèses transcenden- tales lorsque les explications physiques manquent; et, se refu- sant « à toujours trainer ce quadruple boulet de la raison logique qui est: espace, temps, causalité et rapport du sujet à l’objet », il réclame d’un geste superbe « le droit de librement imaginer. » Cet ordre d'idées me paraît ressortir d’une double erreur. 1. Corxerz ignore les frontières entre les deux domaines : celui de la science (raisonnement) et celui de l'imagination. Il a parfaitement raison lorsqu'il dit que ces deux domaines peu- vent fort bien coexister sans conflit. Ils le peuvent précisément parce qu'il n’y a aucun rapport possible entre eux. La science n’embrasse que le monde des phénomènes physiques, dont les notions nous parviennent sous la forme d'aperceptions sensorielles. Elle ne fait que rechercher, au moyen de toutes les ressources de la sensualité inerme ou armée, les causes physiques (déterminantes) des aperceptions variées ; elle a expliqué un phénomène lorsqu'elle en a déterminé toutes les 380 R. BRUN conditions d'apparition, ou, en d’autres termes, lorsqu'elle Pa réduit à d’autres phénomènes déja connus. Quand ces condi- tions sont actuellement indémontrables pour tel ou tel phéno- mène, à cause de l’état arriéré de notre connaissance, la science est en droit d'établir une hypothèse péremptoire. En tant qu'une pareille hypothèse indique le chemin'à suivre pour les. efforts de la recherche expérimentale, elle peut être favorable à cette dernière et souvent mener à la découverte des détermi- nants inconnus. Mais quel sens peut bien avoir une hypo- thèse qui, en ramenant un phénomène à une cause métaphysique, le rend à jamais insaisissable pour la raison logique? 2. L'erreur essentielle est cependant là où CorNErTz croit pou- voir s'affranchir des règles de la raison logique elle-même. Il ne s’est donc pas tout à fait rendu compte de la provenance de ces règles! Il parait lui avoir échappé que ce ne sont pas des « lois » dans le sens commun du mot, lois que l’on peut recon- naître ou enfreindre selon sa fantaisie, mais que ce sont ces chaînes éternelles, forgées par l’organisation même de notre cerveau humain et qu'il est impossible de franchir tant que l'on ne peut pas sortir de son cerveau. Ce sont, en un mot, les conditions formelles, nécessaires, de la possibilité de l’aperception et du raisonnement, les règles que Kaxr a appelées les notions (ou catégories) à priori de Paper- ception et de la raison. Les notions a priori de l’aperception (notion empirique ou expérience sensorielle) sont : l’espace et le temps. Jamais l’on ne rencontrera un phénomène qui ne se manifeste pas dans le cadre de ces coordonnées. De même, les catégories de la raison logique ne sont autres que les conditions formelles de la pos- sibilité du raisonnement rationnel. On ne saurait concevoir une notion rationnelle en dehors des formes de la pensée humaine. Comme ces dernières notions ne sont, elles-mêmes, que des. abstractions de notions aperceptives, il est clair que la raison ne peut s'appliquer qu'aux objets réels, c’est à-dire qu’elle doit. rester dans le monde des phénomènes. D > u2 "à FOURMIS 307 La causalité est du nombre de ces catégories de la raison logique. On ne saurait imaginer un phénomène sans forcément lui supposer une cause physique. Supposer des causes surnatu- relles à des phénomènes physiques n’est qu’un faux-fuyant, car la causalité ne saurait s'arrêter à une « dernière cause » ; allant de fil en aiguille, elle se verra aussitôt forcée de se demander quelle pourrait bien être la cause physique de ladite « cause » métaphysique ? En refoulant un problème dans le domaine de l’inconnaissable, on ne l’a donc, certes, pas « expliqué ». Une fois dans ce domaine, la fantaisie est libre de se promener dans des idées vides !. Autant dire alors que les Fourmis se dirigent par l’intervention d'une « force spirite », que de leur supposer une « mémoire pour des directions isolées dans l’espace. » Je ne conçois pas de différence essentielle entre ces deux manières de voir. CONCLUSIONS 1. Les Fourmis « supérieures » (à vue relativement distincte) sont capables de percevoir par la vue de grands objets lointains et de s’en servir comme repères indicateurs de la position rela- üve du nid. Dans une certaine mesure, cette faculté appartient aussi aux espèces «inférieures », à courte vue indistincte. 2. Les Fourmis supérieures sont capables de fermer directe- ment un polygone par l’hypothénuse, même à des distances très considérables. Cette faculté n’est pas due à la kinesthésie (sens des angles), mais bien à la fixation d’un repère visuel lointain. 3. Chez ces mêmes espèces, une vraie mémoire associée des lieux existe jusqu’à un certain degré. La recognition des « lieux connus » est probablement fonction du sens topochimique, tandis que la prise de direction s'effectue surtout par mémoire visuelle (réitération successive des repères visuels différenciés). ! A vrai dire, mème la fantaisie ne peut sortir du domaine des catégories. La fantaisie n'est que le libre jeu d'esprit consistant à inventer des combinai- sons nouvelles de causes déterminantes physiques déjà counues. Ainsi, même les « esprits » des contes de Fées et des spirites doivent toujours « apparaître » sous quelque forme matérielle, pour se manifester à l'aperception des mortels. 388 R. BRUN 4. Des données topochimiques, d’un ordre plus général, y jouent cependant aussi un certain rôle comme repères secon- daires. En cas de localisation nettement linéaire, elles peuvent même dominer l'orientation. 5. L'orientation virtuelle après transport (la marche parallèle de PréRoN) est toujours fonction de l’œil-boussole, c’est-à-dire de la localisation zonale d’une source lumineuse dans les yeux à facettes. Démonstration : Incapacité d'orientation dans l’expérience à éclairage bipolaire. 6. Les Fourmis sont incapables d'associer une succession complexe de positions diverses du plan médian du corps. Un tel repérage interne relationnel (sens kinesthésique des atti- tudes) n'existe probablement que dans des limites restreintes. 7. Un sens statique fait entièrement défaut chez les Fourmis. 8. Par contre, les Fourmis sont sensibles à la force de gravi- tation et elles sont même capables de se repérer, sur un plan incliné, à l’exclusion de tout autre repère sensoriel externe (baresthésie). 9. Un repérage interne absolu : « sens et mémoire d’une direc- tion isolée dans l’espace », n'existe ni chez les Fourmis, ni chez aucun être vivant. a) Démonstration expérimentale : Incapacité des Fourmis de s'orienter en cas d'élimination totale de tout stimulant rela- tionnel, externe et interne. b) Démonstration philosophique : Impossibilité, pour la raison logique, de concevoir une direction isolée dans l’espace. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 24, n° 4. — Mars 1916. Notes helminthologiques suisses PAR le D' O0. FUHRMANN, / (Neuchâtel). Avec la planche 1. I. Sur une nouvelle espèce de cercaire à queue fourchue. Au mois d'octobre de l’année passée nous avons rapporté d’une excursion au bord du lac de Neuchâtel, près d’Auvernier, un certain nombre de Limnea auricularia qui furent distribuées dans trois petits aquariums contenant huit Macropodes jeunes et adultes ; trois heures, après tous ces Poissons étaient morts. Sans nous rendre bien compte de la cause de cette mortalité subite, mais supposant pourtant que la présence des Mollusques devait être une des causes de cette mortalité, nous les avons tous jetés (une vingtaine) dans un grand aquarium à eau cou- rante contenant 150 litres d'eau et renfermant diverses espèces de Poissons. Le lendemain, une dizaine de Poissons, Ablettes, Epinoches, jeunes Truites et jeunes Brochets avaient subi le même sort que les Macropodes. Il devenait évident que la présence des Mollusques était la cause de cette mortalité, et en disséquant une Limnée, nous trouvâmes dans le foie de cet Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 26 390 O0. FUHRMANN animal une quantité énorme de cercaires à tous les stades de développement. C'est sans doute l’éclosion de ces cercaires, s’attaquant en grand nombre aux Poissons, qui avait été la cause de leur mort. Ces cercaires, pénétrant en grand nombre dans les voies circulatoires, à travers la peau et les branchies, avaient sans doute, à l’aide de l’armature de l'extrémité anté- rieure du corps et de la ventouse ventrale, produit des hémorra- gies et obstructions de capillaires. Nous avons omis de recher- cher ces lésions, mais BLocHmanx ‘, dans une intéressante étude intitulée : Sterben von Aquariumfischen durch Einwanderung von Cercaria fissicauda La Val, avait déjà observé et étudié le même phénomène. BLocaMaxx, en étudiant le cœur et le sang, ainsi que le cerveau, y trouva de nombreux cercaires. Ces Vers en migration produisent des extravasions ; il en trouva dans la cavité du péricarde et dans les vaisseaux branchiaux, dans l’or- bite ainsi que dans ke corps vitré de l'œil. Il observa dans la chambre de l'œil et dans le corps vitré, mais surtout à travers la rétine, les lésions très nettes produites par la pénétration des larves. Sur une vingtaine de Limnea auricularia, trois seulement se montrèrent infestées par les sporocystes de Trématodes, et, chez deux surtout, l'infection était énorme. Les cercaires que contenaient les sporocystes appartiennent à un groupe intéressant dont nous ne connaissons en Europe que neuf espèces, dont six ont été trouvées en Allemagne et trois en Italie ?. Les cercaires à queue fourchue se rencontrent dans Viviparus viviparus (Cercaria sp.), V. faciatus (Cercaria minuta Ercol.), Bithynia tentaculata (Cercaria sp.), Planorbis corneus (Cercaria gracilis La Val.), Limnea stagnalis (Cercarta furcata Nitzsch, C. fissicauda La Val., C. ocellata La Val.), et Limnea auricularia (Cercaria aculeata Ercol.). La Cercaria bipartita Sons. provient d'un Mollusque inconnu. Dernièrement, Corr ? ! Centralblait f. Bakt. u. Paras. Abt I, vol. 56, 1910, p. 47-49. ? Lüne, M. Trematodes in: Die Süsswasserfauna Deutschlands, Heft. 17, 1909. ? Corr, W.-W. Larval Trematodes from North American fresh water Snats. Journal of Parasitology, vol. I, 1914, p. 65-84. NOTES HELMINTHOLOGIQUES 391 a trouvé à Chicago, dans Limnea reflexra, un cercaire du mème type qu'il a appelé C. douthitti. Cercaria letifera nov. sp., ainsi que nous appellerons le nou- veau parasite trouvé dans Zimnea auriculartia, ressemble à l’es- pèce observée par Ercoraxi ! en Italie. Il se développe dans des sporocystes de forme cylindrique atteignant 2"",3, exception- nellement 3"" de long, et dont le diamètre est généralement Q"m 1, rarement 0"",18. Ces sporocystes vermiformes ressem- blent beaucoup par leur forme au Turbellaire Stenostoma leucops et ils présentent des mouvements de reptation d'Annélides assez vifs. On distingue très nettement une région antérieure céphalique qui, pendant que l’animal est en mouvement, est dirigée en avant, et se trouve même, dans certains cas, délimitée par un étranglement. Cette partie du corps est compacte et remplie de cellules, tandis que le reste du corps est creux et présente une paroi formée d’une simple couche de cellules, épaisse de 0"",009. Les œufs parthénogénétiques qui y naissent ont un diamètre de 0"",009. Ercorant (loc. cit. p. 47) dit des sporocystes de Cercaria aculeata, la seule forme qui entre en ligne de compte pour savoir si notre espèce est nouvelle, qu'ils sont longs de 1"" avec un diamètre de 0"",08 à l'extrémité postérieure. Cet auteur ajoute plus loin : «L’estremità anteriore termina un vero poro, che non pud dirsi buccale, perchè nellinterno non vidi traccia d’'intestino. » Les sporocystes de notre espèce sont de forme plus élan- cée et ne montrent pas trace de pore en avant. L'intérieur est en général rempli de jeunes cercaires à tous les stades de développement, ainsi que de quelques exemplaires complè- tement développés. Ces derniers doivent sans doute s'échapper du sporocyste par un pore que nous n'avons pu observer. Le nombre énorme de sporocystes qui peut se trouver à l’inté- rieur du foie du Mollusque parle en faveur d’une reproduction ! ErcoLant, G. Dell'adattamento della specie all'ambiente. Nuove ricerche sulla storia genetica dei Trematodi. Mem. Accad. Sc. Istituto Bologna. T. 3, 1881. p 42. 392 O. FUHRMANN asexuelle, par division transversale du sporocyste. Sur les coupes transversales, nous constatons que les sporocystes ne se trou- vent pas dans les tubes glandulaires, mais dans le tissu con- jonctif qui enveloppe les tubes hépatiques. Dès que les œufs parthénogénétiques sont arrivés au stade de 16 blastomères, l'embryon forme une petite masse cellulaire compacte, presque sphérique, dont le diamètre est de 0"",027. Lorsqu'il a déjà atteint une longueur de 0"",054 et un diamètre de 0"",039, on ne constate encore que des cellules sans aucune trace de différenciation d’organes. C'est seulement quand l'embryon a atteint une longueur de 0"",1 que la formation de la région caudale apparaît par un léger rétrécissement du tiers postérieur de son corps ; une différenciation des organes inter- nes ne semble pas encore commencée. Lorsque l'embryon a atteint 0"",11, l’'appendice caudal est un peu mieux développé, et à son extrémité apparaissent déjà deux petits bourrelets indiquant le commencement de la formation de la partie bifur- quée de la queue du cercaire. À ce stade, on remarque nette- ment le commencement de la formation de la ventouse buccale et mieux encore celle de la ventouse ventrale, très rapprochée de l'extrémité postérieure. Dans la larve longue de 0"",0144, les deux appendices de la queue sont déjà longs de 0"",018, et la partie antérieure de la queue mesure 0"",36, tandis que le corps est long de 0"",09. La larve avant atteint une longueur de 0,225 la région caudale se délimite beaucoup plus nettement du corps, et, dans des larves longues de 0"",28, le corps, qui a 0®®,14, montre l'appareil digestif bien développé et la ventouse ventrale bien différenciée, mais encore dépourvue de son arma- ture: Les cercaires complètement différenciés, ayant quitté les spo- rocystes et nageant très activement, sont longs de 0"",6. Le corps a de 0"",2 à 0"",26, la partie impaire de la queue mesure de 0"",18 à 0"",2, landis que sa partie fourchue est longue de 0"",16 à 0"",2. La largeur du corps est de 0"",44 à 0°",056; celle de la partie impaire de la queue 0"",032 à 0,036. NOTES HELMINTHOLOGIQUES 393 Le corps du cercaire est, comme celui de Cercaria aculeata Ercolani, armé de fins crochets à son extrémité antérieure seulement; ces rangées de crochets, qui sont au nombre de 4 à 5, ne s'étendent que sur 0"",014 à 0%%,016, tandis que dans l'espèce d'Ercorant c’est le tiers antérieur du corps qui en est couvert, d’après sa description, mais d’après son dessin ce n'est que le quart antérieur du corps qui porte de fines épines. En outre, la ventouse ventrale, qui chez C. letifera a un diamètre de 0®",027 et une profondeur de 0"",03, est armée, sur tout son bord, d’une cinquantaine de petits crochets (0“",0027) bien plus grands que les très fines épines de l'extrémité antérieure. Cette armature manque complètement à C. aculeata Erc. Tandis que chez cette dernière la ventouse ventrale se trouve un peu en arrière du milieu du corps, chez C. letifera la ventouse est située presque en entier dans le dernier tiers du corps. Nous n'avons pu voir, de l’organisation interne, que le système digestif et les gros troncs du système excréteur. La ventouse buccale avec un diamètre de 0"",23 est profonde de 0"",054 et suivie direc- tement par un petit pharynx long de 0"",028. Le pharynx se trouve entouré par quatre grosses cellules probablement glan- dulaires. L’intestin s'étend déjà jusque près de l’extrémité postérieure. C’est là qu’on voit une petite vésicule excrétrice, de laquelle deux troncs partent en avant. La région caudale impaire est, chez l'animal vivant, régulièrement segmentée à sa surface ; elle porte en outre des soies tactiles très nombreuses. Il n'ya rien de particulier à signaler sur sa structure interne. Nous ne pouvons, malheureusement, donner aucun renseigne- ment sur l’évolution de ce parasite, dont l'hôte intermédiaire est sans doute une ou plusieurs espèces de Poissons et dont l'hôte définitif doit probablement être cherché dans le groupe des Poissons ou des Oiseaux piscivores. 2. Une nouvelle espèce de cercaire sans queue. Le nombre des formes de cercaires complètement dépourvus de queue est assez restreint et la plupart ont été observés dans 394 O. FUHRMANN des Mollusques terrestres. L'Index-catalogue de W. Srices et A. Hassarr ! signale trente et une espèces différentes, dont un assez grand nombre doivent sans doute être rayées, parce que l’on ne sait s'il ne s’agit pas simplement de jeunes Distomes enkystés. Dans les Gastropodes d’eau douce, cinq espèces seu- lement ont été observées (v. LÜKE, loc. cit. p. 208); trois furent trouvées dans des rédies, habitants des Limnées et des Planor- bes, deux espèces dans des sporocystes de Limnea lacustris et Acroloxus (Ancylus) lacustris. Notre nouvelle forme ressemble surtout à Cercariaeum paludinae impurae Fil, parce que, comme chez cette espèce, toute la peau est armée; mais ce sont des” écailles et non des épines qui couvrent le corps de notre espèce. En disséquant une Limnea auricularia var. ampla, du petit lac de St-Blaise (près Neuchâtel), nous avons trouvé dans le foie de cet animal cinq rédies, dont la plus petite mesurait 2"",2, la plus grande 3"",5, avec un diamètre de Om, 4, Ces rédies possè- dent une petite ventouse buccale d’un diamètre de 0°",06 et un intestin sacciforme qui occupe toute la largeur de la rédie et n'est long que de 0"",36 ; il est rempli d’une masse brunûtre, provenant sans doute du foie, et qui forme chez l'animal vivant une pelite tache visible à l'œil nu. Le corps de la rédie ne possé- dait aucun appendice. Toutes ces rédies sont remplies de dix- sept à trente cercaires sans queue, arrivés tous au même degré de développement. On ne voit que de très rares amas cellulaires non différenciés contre les parois de la rédie. Le cercaire est long de 0"",36 et sa cuticule, qui est armée d’écailles, est plus épaisse en avant (0"",0072) où ces formations cuticulaires sont beaucoup plus grandes qu’en arrière (0,036). Les petites écailles recouvrent toute la surface du corps, à l’ex- ception d’une étroite zone médiane située entre la ventouse buccale et la ventouse ventrale (fig. 11, 12). Les écailles sont larges de 0"",0036 jusqu’à la hauteur de la ventouse ventrale ; ? W. Sries and A. Hassazr. /ndex catalogue of medical and veterinary z0ology. Trematoda. Hygienic Laboratory, Bulletin n° 37, 1900. NOTES HELMINTHOLOGIQUES 395 de là, elles deviennent beaucoup plus petites et sont souvent difficiles à voir. Sur le pourtour des ventouses, et surtout sur la ventouse ventrale, se trouvent quelques rangées d’écailles très fines. Ces écailles s'étendent même jusqu'au bord interne de sa cavité. La ventouse ventrale a un diamètre de 0"",108 à 0,128, sa profondeur est de 0"",08; elle est donc aussi grande ou même un peu plus grande que la ventouse buccale qui, elle, a un diamètre de 0"",1 à 0"",112. Le pharynx qui a une lon- gueur de 0"",4, se trouve, comme chez Cercariaeum planorbis carinati, immédiatement en arrière de la ventouse buccale ; l’æœsophage est très court. Sur tous les individus renfermés dans les rédies nous avons trouvé à l'extrémité postérieure un testicule (diamètre 0,072) nettement développé et, devant lui, un petit ovaire. Cette disposition indique que nous nous trou- vons en présence de la larve d’une espèce du genre Asymphylo- dora Looss, caractérisée surtout par l'existence d’un seul testi- cule. Si nous parcourons la liste des espèces du genre susnommé habitant nos Poissons, nous trouvons que À. tincae seul possède un corps couvert d’écailles cuticulaires. Ces écailles, larges de 0"%,0036 chez notre larve, ont 0"",004 chez l'adulte. Nous pen- sons donc avoir trouvé la larve du Distome À. tincae (— Disto- mum perlatum Nordm.), assez répandu dans l'intestin de Tinca tinca. Comme les cercaires sont dépourvus de queue, il est fort probable qu’un second hôte intermédiaire manque et que la Tanche s’infecte en mangeant les Mollusques dont le foie con- tient des rédies remplies de cercaires. Max LünE (loc. cit. p.93) croit que la larve de À. tincae est Cercariaeum paludinae impurae (Fil.), vivant dans Bithynia tentaculata, où Ficrppr a trouvé des rédies dont l'intestin sacciforme occupe le premier tiers de l'animal, tandis que chez notre espèce cet organe occupe seulement 1/; à ‘/6 de la longueur du corps de la rédie. En outre, les écailles de l'extrémité antérieure du corps sont si distinctes que Fizipp1 ! n'aurait pas écrit que l'animal est couvert ! Fiuiepr, Ph. pe. Troisième mémoire pour servir à l'histoire génétique des Trématodes. Mem. R. Acad. Sc. Torino, T. 18, 1859, p. 201. 396 O. FUHRMANN d’épines si tel n’était pas le cas. Nous croyons donc que l'espèce que nous venons de décrire se rapproche plus de À. tincae que le cercaire de Fizrpp1, mais n’ayant pas pu faire des expériences de nutrition avec les larves que nous avons trouvées, nous pro- posons de nommer ce cercaire Cercariaeum Squamosum. EXPLICATION DE LA PLANCHE 1 FiG. 1. — Sporocyste de Cercaria letifera n. sp. Fi. 2, 3, 4, 6, 10. — Développement de la Cercaria letifera n. sp. F1G. 7, 8. — Cercaria letifera n. sp. FiG. 9. — Rédie de Cercariaeum squamosum n. sp. Fic. 11, 12. — Cercariaeum squamosum n. sp. 7 * Rax Suisse de Zool. T. 24. 196. ass ie cree D pee vs Fuhrmann:— Cercaires RENMUDEESUTISSE DE :ZOOrOGIE Vol. 24, no 5. — Avril 1916. Fourmis du Congo et d'autres provenances récoltées par MM. Hermann Kohl, Luja, Mayné, etc. Aug. FOREL Avec 7 figures dans le texte. Je laisse de côté les formes déjà fort connues ou n’offrant pas d'intérêt. l'e Sous-famille Ponerinae Lep. Ponera coeca Sant. ®.S'-Gabriel, Congo (KouL). Ponera ergatandria For. r. Petri n. st. $. Longueur : 2,9, Ressemble à la r. cognata Sant., mais elle présente au milieu de lépistome, devant, un sillon longi- tudinal qui rappelle celui de la sulcatinasis Sant. Du reste, beaucoup plus grande et avec l’écaille moins épaisse et plus haute. Les yeux sont plus grands que chez la r. cognata, com- prenant 5 à 6 facettes plates. La tête est plus large, surtout der- rière, aussi plus échancrée et un peu plus courte. La couleur Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 27 398 A. FOREL est d’un brun roussâtre ou d’un roux brunâtre avec les antennes et les mandibules d’un roux jaunâtre. La pubescence est plus forte que chez la r. cognata, mais moins forte que chez la sulcati- nasis. Peut-être ferait-on mieux de rapporter cette forme comme race à la sulcatinasis. S'-Gabriel, Congo (Ko. Plectroctena minor Em. 5. Q. S'-Gabriel, Congo (KouL). Platythyrea Conradti Em. 5 G. S'-Gabriel, Congo (Kour). Habite des arbres creux et leurs branches. Les trous de sortie sont recouverts de fines matières végétales, dans lesquelles on trouve des Fourmis para- sites. Piqüûre fort douloureuse. Platythyrea modesta Em. $. S'-Gabriel, Congo (Ko). Pachycondyla (Bothroponera) Svent n. sp. Longueur : 9%%—10"",5, Bien plus grande que sa parente la gabonensis André. Mandibules lisses, luisantes, avec de gros points épars et quelques rides vers l'extrémité, armées de quatre dents usées; le bord terminal peu distinct du bord interne. Tête rectangulaire, un peu plus longue que large, aussi large devant que derrière, à bord postérieur légèrement concave et à côtés faiblement convexes. Epistome sillonné au milieu, mais sans dents devant (avec 2 dents chez la gabonensis). L’épistome est avancé devant ; son bord antérieur est convexe. Yeux assez grands, convexes, situés distinctement en avant du milieu. Le scape dépasse un peu le bord postérieur de la tête. Articles 2 à 6 du funicule plus longs qu’épais ; articles 7 à 10 aussi épais que longs. Suture promésonotale distincte ; suture mésoépinotale obsolète. Pronotum 2 fois plus large que long, un peu subépaulé. Epinotum armé de 2 épines divergentes, obtuses à l'extrémité, aussi longues que l'intervalle de leurs bases et plus longues que cette dernière, dirigées en haut et un peu en arrière. Face déclive FOURMIS DU CONGO 399 avec une légère carène longitudinale. Ecaille semblable à celle de la gabonensis, mais les épines sont bien plus longues (com- parées avec la figure de la v. s/riatidens Sant.). Les 2 épines latérales sont presque aussi longues que la hauteur de lécaille. Les 3 épines médianes sont étroites et très longues, mais plus courtes que les latérales ; la médiane environ 5 fois plus longue que la largeur de sa base. Abdomen à peine rétréci derrière son premier segment. Entièrement male ou subopaque ; thorax et tête plutôt subopa- ques. Tête assez grossièrement réticulée avec un peu de fine sculpture au fond des réticulations, et, entre deux, avec des rides longitudinales, surtout sur le front. Thorax grossièrement réticulé et assez finement et irrégulièrement sculpté au fond, avec des rides transversales grossières sur le pronotum; écaille plus luisante, avec des mailles réliculées, allongées, assez gros- sières. Sauf sa face antérieure, l'abdomen est mat, assez densé- ment et finement strié en long, avec des réticulations allongées entre les stries et des points piligères, saillants et épars. Pilo- sité dressée abondante, assez épaisse, mais pointue au bout, plutôt courte, d’un brun roussâtre sur le corps, rousse sur les membres. Pubescence assez abondante et formant un léger duvet sur les membres, qui sont subopaques et densément ponctués. La pubescence est éparse sur le corps. Noire. Mandi- bules, scape, pattes, lobes des arêtes frontales, devant des joues et de l’épistome, bord postérieur des segments abdominaux et bord antérieur des articles du funicule roussâtres. Cuisses et reste des funicules bruns. Congo (Kour). Reçue par M. Wasmanx. Cette espèce diffère de la gabonensis par les longues épines de lécaille et de Pépi- notum, par sa grande taille, par le manque de dents à lPépis- tome, ainsi que par sa sculpture, etc. Leptogenys Stuhlmanni Mayr r. camerunensis SUtz V. angus- ticeps n. var. | $. Longueur : 9"",7. Diffère du type de camerunensis par sa tête plus étroite et sa couleur bien plus foncée, brune, avec les 400 A. FOREL pattes, les antennes, les mandibules et les extrémités des segments abdominaux seules roussâtres. Chez le type de la camerunensis, qui est entièrement roussâtre, la tête est aussi large devant que sa longueur, tandis qu'elle est bien plus longue chez la v. angusticeps, avec les côtés distinctement plus convexes. S'-Gabriel, Congo (KouL), un seul exemplaire. Je crois devoir faire une race distincte de la camerunensis Stitz. Anochetus Traegaordhi Mayr. ÿ. Congo (Ko). Anochetus Bequaertt For. | ©. Congo (Kouxr). Q@ (non encore décrite). Longueur : 7°",5. Tout à fait semblable à l’ouvrière ; les mêmes dents obtuses et courtes à l'épinotum. Mésonotum subopaque, densément strié en long. Ailes un peu enfumées. Couleur du corps un peu plus claire que chez le type, d'un brun roussâtre. Pronotum avec quelques rides transversales. Phyracaces nkomoensis n. sp. $. Longueur : 4"",2—4"",6. Fort rapproché de Cooperi Arnold et de Foreli Sant. Mandibules lisses et luisantes avec de gros points épars. Arêtes latérales des joues, courtes, luisantes, mais élevées. Yeux au milieu, convexes, occupant près du tiers du côté de la tête. Articles 2 à 7 du funicule 2 fois plus épais que longs ; les 3 derniers articles forment une massue. Le scape atteint le tiers postérieur de la tête. Celle-ci plus longue que large (d°1/: à peine), avec les côtés convexes, mais aplatis derrière et bordés en dessous ; le bord postérieur large- ment échancré et un peu plus large que le bord antérieur. Thorax fortement convexe d’avant en arrière, plus faiblement de droite à gauche, sans sutures, mais avec un bord aigu, tout le long des côtés et entre la face basale et la face déclive de l’épinolum ; ce dernier bord est interrompu au milieu. Le dos du: thorax n’est pas tout à fait 2 fois plus long que large. Face déclive de Pépi- notum très abrupte, plane, bordée latéralement, ayant vers son FOURMIS DU CONGO AO milieu deux petites carènes longitudinales ; elle est séparée de la face basale par deux très petites dents. Pétiole rectangulaire, 11}: fois plus large que long, concave devant, convexe de côté et derrière, bordé devant et de côté, distinctement convexe dessus, ayant à ses angles postérieurs deux petites dents trian- gulaires, plus grandes que celles de l’épinotum. Sa face anté- rieure, un peu concave, est verticalement tronquée et bordée aussi de bas en haut. En bas, dessous, le pétiole a un lobe trian- gulaire. Postpétiole 1 ?34 fois plus long que le pétiole et 17/4 fois plus long que large. Distinctement plus large que le pétiole, avec les côtés un peu convexes, surtout assez fortement convexe dessus et dessous, ayant bien plus l'aspect d’un segment abdo- minal étranglé derrière que chez le Coopert, il est néanmoins bordé et concave devant, ayant dessous, devant, une dent obtuse. Abdomen proprement dit largement articulé au postpétiole avec lequel il forme du reste un fort étranglement. Pattes moyennes; les cuisses ont un lobe articulaire fort grand à leur extrémité postérieure, avant laquelle il est d’ailleurs amine. | Luisant, avee une forte ponctuation profonde, égale et assez dense, sur tout le corps, bien plus fine et plus espacée, et bien plus superficielle sur les membres. Pilosité dressée, roussâtre, irrégulière, assez longue, éparse sur le corps et sur les mem- bres, plus abondante sur l’aplatissement postérieur subbordé du pygidium. Pubescence éparse, peu apparente partout. Noir; pattes et antennes brunes ; tarses, aplatissement du pygidium, extrémité des mandibules et massue des antennes roussâtres. S'-Gabriel, Congo (Kour). Diffère de Coopert et de Braunst par la forme du postpétiole ; de Foreli par sa sculpture tout autre. Le thorax est bien plus franchement bordé que chez Cooperi. La tête est plus large derrière et plus échancrée que chez Cooperi r. congolensis. Phyracaces Cooperi Arnold r. congolensis n. st. $. Longueur : 4"",2. Diffère du type d’ARNOLD par sa tête bien plus étroite derrière et plutôt plus large devant, puis sur- tout par sa ponctuation infiniment plus fine, aussi fine sur tout 402 A. FOREL le corps que sur l’abdomen, plus espacée que chez nkomoensis. Les antennes forment une massue bien moins distincte que chez ce dernier. Les angles de l’épinotum et du pétiole sont à peine dentiformes. Le postpétiole, bien plus nodiforme que chez nkomoensis, bien moins largement articulé à l'abdomen pro- prement dit, est distinctement plus large que long, tout à fait rectangulaire, bordé de côté. Du reste, comme le type. S'-Gabriel, Congo (KouL). D’après Arnozp le Cooperi diffère de Braunsi par sa taille plus grande, ses yeux plus petits, ses scapes plus longs et sa ponctuation plus forte. 2% Sous-famille Dorylinae Leach. Dorylus (Anomma) funereus Em. g' Congo (KouL). Dorylus (Anomma) Wilwerthi Em. g' Congo (Ko). Dorylus (Anomma) Stanleyi For. g' Congo (KouL). Dorylus (Anomma) opacus For. g' Congo (Ko). Dorylus (Anomma) Emeryi Mayr. $ Congo (KoxL), recu par M. Wasmaxwx. Chez l’opacus Ÿ, la tête est plus plate que chez l’'Emeryr. Dorylus (Anomma) Kohli Wasm. v. Frenisyt n. var. $. Longueur : 4""—-8%% 5, Plus petit que la forme typique et surtout beaucoup plus mat, surtout la tête qui est à peine un peu subopaque, presque mate. La tête est aussi légèrement plus plate avec les côtés un peu plus droits que chez le type. Congo (KouL). Dorylus brenipennis Em. v. Marschalli Em. ? Congo (Kouz, reçu par M. WasManN). FOURMIS DU CONGO 403 3% Sous-famille J/yrmicinae Lep. Sima (Pachysima) aethiops Sm. ÿ ©. Watikaia sur le fleuve Chopo, Candolo sur lOkiavo- Lindi, dans les branches creuses d’une plante myrmécophile (Barberia fistulosa Mast.). Sima Oberbecki For. ® Leopoldville, Bas-Congo (KouL), dans la même plante que S. (Pachysima) aethiops. ® non encore décrite. Longueur : 7°", Mésonotum à peine plus large que le reste. Les ailes manquent. Du reste absolu- ment semblable à l’ouvrière, mais la tête est encore plus longue, 1 ?3 fois plus longue que large. Il s’agit d’une petite @ à peine aussi grande que l’ouvrière typique. Sima Mocqueryst André. $ÿ Congo (Kour), même plante que les précédentes. Sima anthracina Sant. ÿ S'-Gabriel, Congo (Kohl), même plante que Les précédentes. Sima Prelli For. v. odiosa n. var. ÿ. Longueur: 6%", Diffère du type par sa couleur entière- ment noire, avec les mandibules, les antennes et les pattes rous- sâtres, les cuisses brunes et le milieu des funicules obscurei. La tête est aussi un peu plus longue et les funicules légère- ment plus grêles. Prise avec la Sima Mocquerysi, au même endroit. Sima ophthalmica Em. $ Bengemeza et S'-Gabriel, Congo (Kour), même plante que les précédentes ; élève des Pucerons. Les Ÿ sont un peu plus grandes que le type, d'environ 4"". L’épinotum est fort bossu ; ses deux faces passant de l’une à l’autre. Le pétiole est bas, étroit ; son nœud également convexe, très peu distinct de son court pétiole antérieur et bien 2 fois 404 A. FOREL plus longs que large. Le postpétiole plus large, cupiliforme, est un peu plus long que sa largeur postérieure. Myrmicaria eumenoides Gerst. $ Q Romé près Stanleyville Congo (Kouz). M. KouxL a aussi récolté la v. congolensis. Myrmicaria exigua And. Congo (KouL). Myrmicarta exigua And. v. rufiventris For. ÿ Makanga Congo (Kouz). Ici encore M. KoxL a trouvé cette forme dans de petits nids sur les feuilles, mais il dit qu'ils sont faits avec une toile tissée ou filée, entremêlée de matériaux végétaux, et non en simple carton. Cremastogaster concava Em. ÿ @ ©. Pris plusieurs fois à S'-Gabriel, etc., sur des nids de Termites, dans les cases supérieures d’appendices coniques, au haut des dits nids. Envoyé aussi par le prof. Wasmanx. Cremastogaster pauciseta Em. r. grossulior n. st. ?. Longueur : 2%",9-=3%,2." Difrére avant tout de lespese typique par sa taille bien plus large et bien plus robuste. La tête n'est pas rétrécie, ni convexe derrière les yeux comme chez l’es- pèce typique, mais elle est large avec un bord postérieur à peu près droit. Les scapes sont un peu plus courts, dépassant le bord postérieur seulement de leur épaisseur. Le thorax a à peu près la même forme, mais il est plus robuste ; l’'échancrure mésoépi- notale est moins profonde, la face basale de l’épinotum bien plus longue, avec des épines bien moins longues, plus courtes qu'elle et moins verticales. Thorax et pédicule bien moins lui- sants. Epinotum et pronotum subopaques, assez fortement réti- culés. Couleur d’un jaune plus roussâtre, plus foncé, avec seule- ment la moitié postérieure de l'abdomen brune. S'-Gabriel, Congo (KouL), dans les nectaires floraux d’un buis- son. Mon Cr. dolens (1910) n’est guère qu’une race de pauciseta Em., auquel je l'avais déjà comparé du reste. FOURMIS DU CONGO 405 Cremastogaster luctans For. v. rugosior. Sant. $ Congo (KouL). Cremastogaster Ruspolit For. v. atriscapis For. Pris une fois à S'-Gabriel, dans une plante myrmécophile, et une autre fois dans un grand nid de carton (aussi à S'-Gabriel) appliqué sur une plante de Cacao où il cultivait des Coccides en grand, arrêtant ainsi le développement des fruits. Parfois les fruits étaient eux-mêmes recouverts de carton. Cremastogaster nigeriensis Sant. V. wtlniger n. var. ÿ. Longueur: 2""—2"",1, Plus petite que le type et de cou- leur plus foncée, brun clair, avec les */; postérieurs de l'abdomen et la tête d’un brun foncé, la massue des antennes et les tarses d'un roux jaunâtre. Le reste des antennes et des pattes d'un brun clair. Les épines sont plus longues et bien plus pointues, de moitié plus courtes que la face basale. La tête est aussi plus étroite, un peu plus longue, plus rétrécie et plus convexe der- rière ; les articles de la massue sont un peu plus longs et plus grêles et le scape plus long. L’Insecte est moins lisse, la tête un peu subopaque, distinctement réticulée, de même que le thorax. Du reste identique. ©. Longueur : 8"",1. Même couleur que lP Ÿ. Quelques fai- bles stries longitudinales sur la tête. Mésonotum lisse. Epino- tum inerme, avec une courte face basale ridée en travers et presque horizontale et une haute face déclive subverticale. Les ailes manquent. Tête rectangulaire, plutôt plus large que longue. Le scape atteint à peine le bord postérieur. S'-Gabriel, Congo (KouL), dans une plante myrmécophile. Cette forme diffère du Wéllwerthi Sant., sa voisine, par la sculp- ture plus faible du thorax, par son pronolum sans angles et bien plus convexe, seulement subbordé. Elle me paraît néanmoins constituer un passage du nigeriensis au Willwerthi. Elle res- semble aussi au Muralli For., mais en diffère par son pétiole élargi devant, par son thorax étranglé, etc. 406 A. FOREL :; Cremastogaster censor For. r. Junodi n. st. $. Longueur : 3"",3. Plus petit que le type dont il diffère en outre par une carène longitudinale au milieu du mésonotum qui est un peu moins concave derrière. La tête est en outre un peu moins large et surtout subopaque, presque mate, avec des rides longitudinales très serrées et fines, tandis qu’elle est lisse chez le type du censor. L’abdomen est par contre fort lisse, plus que chez le type. La couleur est la même, à part la tête qui est brune. Récolté par M. Juxon au Transvaal à Shilowana (Musée de Genève). Dans ma description du type j'ai oublié le caractère principal, c’est-à-dire la forme du thorax qui est toute différente du senegalensis dont j'en avais fait une race. Chez le senega- lensis le promésonotum est fortement convexe en tous sens; chez le censor la moitié antérieure du pronotum est ascendante, passe par une courbe brusque au reste du pronolum et au méso- notum qui sont presque plats. à peine convexes. Par suite, l’épi- notum est à la même hauteur que le mésonotum, séparé de lui seulement par une suture profonde et enfoncée. C’est pourquoi je crois devoir séparer le censor, comme espèce distincte, du senegalensis. Cremastogaster australis Mayr v. sycites n. var. $. Longueur: 4"",2. Bien plus petit que le type, avec les deux nœuds plus étroits, le pétiole peu élargi devant et la couleur plus foncée, d’un brun roussâtre, avec le vertex et l’occiput bruns et l’abdomen noir. Townsville, N. Queensland, reçu de M. DonISTHORPE. Cremastogaster vulcania Sant. r. Godefreyi For. v. forami- nicipoides n. var. Longueur : 3"",8—4"",6. Noir, mandibules, antennes et pattes brunes ; tête subopaque, presque mate, très densément et finement striée, avec d’assez gros points enfoncés, rappelant ceux du foraminiceps Sant. Bulawayo, Rhodesia (ArnoLp) (N° 108). Je l'avais considéré dans le temps (Annales Soc. Ent. Belg. 1913, page 124) comme simple variété du vulcania, sans lui donner de nom. FOURMIS DU CONGO 407 J'ai eu le tort de rattacher la r. Godefreyt au foraminiceps Sant., dont le pronotum bordé et presque concave en dessus à une toute autre forme. Les épines sont aussi bien plus courtes chez le Godefreyi. Du reste toutes ces espèces sont très voisines et pleines de transitions. Cremastogaster Menilekt For. r. Satan n. st. $. Longueur: 3"%,6—4"",1. Sculpture et épinotum d’alulai Em., mais le mésonotum et le pronotum sont bien plus conca- ves, comme chez le type du Menileki. La couleur est d’un brun roussâtre, avec la tête presque noire. Les épines sont pointues et assez courtes, le pétiole en trapèze renversé, assez long et à côtés droits. Postpétiole petit, sillonné. La tête est lisse. Congo (KouL). Cremastogaster Menileki For. r. Satan For. v.satanula n. var. $. Longueur: 2"",4—2"",6. Diffère du précédent, outre sa petite taille, par son abdomen presque noir, par ses scapes un peu plus longs, dépassant distinctement le bord postérieur, et par ses épines plus longues aussi. Trouvé dans la fente d'une écorce d’arbre couverte d’une toile avec matériaux végétaux. S'-Gabriel, Congo (Kour). Les deux formes précédentes diffèrent de pronotalis Sant. par leur post- pétiole sillonné et leur pétiole moins anguleux. D’après SANTscui, le C. alulai serait une race de Menilekt, tandis qu'EMERrY veut rattacher mon scrutans comme race à l’alulai. Le dédale des transitions est presque infini. Cremastogaster kasaiensis For. $ ® S'-Gabriel et autres lieux, Congo, récolté par M. KouL sous 28 numéros différents. Les ailes de la © sont d’une couleur brune assez foncée, fort accentuée. L’énorme différence entre l$ et la © est partout la même ou peut s’en faut. L'ouvrière varie entre 2", 1 et 3"",2, Toutes les Fourmis ont été récol- tées dans les internodium de plantes myrmécophiles. L'ana- logie du Cr. kasaiensis avec diverses races du Buchneri est telle que je suis obligé, malgré tout, d’en faire une simple race 408 A. FOREL de cette espèce. La ® surtout ressemble à s’y méprendre à celle de la r. Winkleri For. J’ai donc pensé qu'il pouvait s’agir de simples fourmilières commençantes, d'autant plus que M. Ko a trouvé souvent une © seulé avec les $. Néanmoins, dans 8 numéros différents, il m'a envoyé entre 50 et 100 ouvrières de chacun. L'un d’eux avait plusieurs 9. Il est danc inadmis- sible que toutes ces fourmilières fussent commençantes et je dois maintenir le kasaiensis, au moins comme race. La taille de la © varie entre 7"",8 et 97,3. Cremastogaster impressa Mayr sens. strict. $ © o Kilongalonga, Congo (KouL), dans une tige creuse de Buchnacrodendron speciosum Gürke et dans d’autres plantes myrmécophiles à S'-Gabriel. g' encore inédit. Longueur : 3°",6. Mandibules formant une seule dent aiguë. Epinotum inerme. Pétiole en trapèze renversé fort élargi devant. Mésonoltum densément strié en long. Entière- ment noir, avec les antennes, les tibias et les tarses roussâtres, les cuisses brunes et les ailes subhyalines. Chez la Q, la pre- mière moitié des ailes est brunâtre (un peu comme chez certains Lasius d'Europe). Cette espèce est très voisine de la forme que j'ai appelée Cr. excisa, r. Andreï, surtout de sa variété gordo- nensis For. Ces formes constituent un passage de lexcisa à l'empressa. Cremastogaster impressa Em. v. sapora n. var. $. Longueur: 3"",6—4"%, Diffère du type par son proméso- notum subopaque et réticulé, sans rides longitudinales. Les épines sont beaucoup plus courtes, à peu près comme chez l’excisa v. Kohliella For. La couleur est variée de roux et de brun foncé sur le thorax ; la tête est brune derrière, roussâtre devant. Du reste comme le type. ®. Longueur : 5"",4. Beaucoup plus petite que le type, avec les ailes presque hyalines (légèrement brunâtres chez Le type). L’épinotum a deux faibles dents obtuses. La tête est plus large que le thorax. Du reste comme le type. k MEL FOURMIS DU CONGO 409 Congo (Kour). Cette forme fait un peu transition à l'ercisa Mavr. v Cremastogaster excisa Mayr.r. Andret For.v. Kolhliella n. var. = ÿ. Longueur : 2"",7—3"%,6. Très semblable au type de la race, mais les épines sont plus courtes, longues à peine comme 1 de leur intervalle. La portion tronquée du mésonotum, der- rière, est très abrupte, formant presque un angle droit avec le dos. S'-Gabriel, Congo (KouL) dans des plantes myrmécophiles. Cremastogaster Buchneri For. v. Graeteri n. var. 5. Longueur: 3"",5—3"",7, Beaucoup plus petite que le type, auquel il est du reste fort semblable. La tête est un peu plus longue, distinctement plus longue que large et moins échan- crée derrière. Epines plus courtes, longues comme à peine 1/3 de leur intervalle. La sculpture, surtout sur la tête, est plus superficielle, seulement subopaque. Du reste identique. S'-Gabriel, Congo (KouL), nid fait en carton. Cremastogaster Buchnerti For. r. Winkleri For. ? Congo (Kour), dans une plante myrmécophile. Cremastogaster Buchneri For. r. Winklert For, v. Ficken- deyt For. ÿ Leopoldville, Congo inférieur ; S'-Gabriel, etc., Congo (KouL) avec des Coccides, 1 fois vers des Termites, nichant autour des plantes. En outre M. KouL a récolté diverses formes intermédiaires entre la r. Winklert et la v. Fickendeyt, une fois dans un nid, probablement volé, de Tetramorium aculeatum, d'autres fois dans des plantes myrmécophiles, ou dans des nids de Termites. Le n° 68 porte la très intéressante remarque suivante : « Fourmi « des plantes. Vit dans et sur la plante myrmécophile Plectronia « laurentit de Wilde. À 5 mètres du sol, se trouvait un tronc « portant le nid en carton de la Fourmi qui avait 40 à 50 cm. de 410 A. FOREL « haut. Mais La Fourmi habite en même temps toutes les bran- « ches creuses de la plante. Makanga sur le fleuve Okiavo. » De là, on peut conclure qu’il n’y a pas contraste absolu entre les nids en carton du Buchnerti et l'habitat des tiges creuses. Cremastogaster Buchneri For. r. Winkleri For. v. transversi- ruginota n. Var. $. Longueur: 3"",2—4"%, Aussi grand que les plus grands Winkleri, dont elle se distingue par son mésonotum bien plus fortement tronqué derrière (presque comme chez lercisa r. Andrei). et dont la carène s’arrète derrière, vers le milieu. Puis, la face basale de lépinotum a des rides transversales grossières. Le pétiole est un peu plus large devant; tout le thorax est un peu plus robuste. Motombe sur le fleuve Okiavo. Pris dans un nid de carton de 50 cm. de haut. Cette forme ressemble beaucoup à l’impressi- ceps Mayr v. Lujana For., mais ce dernier a le promésonotum fort et uniformément convexe, plus convexe mème que l’im- pressiceps typique, et sans carène. Cremastogaster Buchnerti For. r. Laurenti For. v. theta For. $ ® S'-Gabriel, Congo (KouL), dans les buissons. Une fois déménageant la nuit de nids de carton qui se trouvaient sur un arbre coupé. ® (encore inédite). Longueur: 5"",7—6"". Brune, avec les pattes, les anterines et les mandibules roussâtres. Scutellum et postsculellum verticalement tronqués, face déclive de l’épino- tum de même. La face basale, courte et oblique, se termine par 2 épines pointues plus longues que la largeur de leur base. Pétiole presque circulaire. Postpétiole sans sillon distinct (dis- tinct chez | $). Luisant et presque lisse, sauf quelques rides superficielles sur la tête. Celle-ci bien plus large que longue. Cremastogaster Buchneri For. r. africana Mayr v. Camena n. var. ÿ. Longueur: 3%%,3—3"%,7, Très près de la var. variegata FOURMIS DU CONGO 411 Mayr, dont elle se distingue par sa couleur un peu plus fon- cée, sa taille un peu plus grande, puis surtout par ses épines bien plus courtes, subdentiformes, très épaisses à la base, par la carène plus nette du mésonotum et par la suture promésono- tale plus enfoncée, faisant un peu feston de côté. Même sculp- ture que variegata. Chez le type de la r. Laurenti For. la suture promésonotale est aussi enfoncée que chez la var. biemarginata For. de la r. africana. Olombo, Congo (Kouz). Si Je récapitule l’étude précédente, j'en tire la conclusion qu'il y a là un dédale de formes transitoires qui, à mon avis, nous forcera de réunir les espèces suivantes comme races au Cr. Buchneri For.: kasaiensis For., vulcania Santschi, émpressiceps Mayr, excisa Mayr, impressa Em., Kohli For., Alulai Em. et même Menileki For. Peut-être même devra-t-on aller plus loin, mais pour le moment je m'arrête. En effet, la longueur des épines, la formé et la carène du mésonotum, la forme du prono- tum, celle du pétiole et du postpétiole varient tellement que les caractères qu’on a donnés autrefois comme spécifiques ne tien- nent plus debout. Les mœurs cartonnières et internodiales, nous venons de le prouver, montrent aussi des transitions. Cremastogaster {(Atopogyne) Luciae For. ® Congo (KouL. Cremastogaster (Oxygyne) Stadelmanni Mayr. 5 S'-Gabriel, Congo (Kour), dans de grands nids de cartons contre les troncs d’arbres. Cremastogaster (Decacrema) solenopsisoides Em. r. flavida Mayr v. convexiclypea n. var. ÿ. Longueur : 2""—2""%,5. Se distingue du type de la race par son épistome beaucoup plus convexe et par sa couleur encore beaucoup plus pâle, d’un jaunâtre terne. Le mésonotum est aussi fortement creusé en long d’un bout à l’autre entre les 2 arêtes, plus que chez le type. Les épines sont un peu plus longues. Du reste identique. 412 A. FOREL PA @ Longueur : 4"",6. Antennes de 10 articles, comme chez l’ ÿ. Ailes faiblement teintées de jaunâtre, à nervures pâles. Tête bien plus longue que large ; le scape n'alteint que son cinquième postérieur. Massue moins distinctement biarticulée que chez l’ouvrière. Thorax plus étroit que la tête. Deux épines assez pointues à l’épinotum. Couleur d’un jaune un peu plus brunâtre que chez l’ouvrière. g Longueur : 1"",5—1""9. Mandibules très courtes, ne se rejoignant pas, obtuses à l'extrémité. Thorax un peu plus large que la tête. D’un jaune brunâtre sale ; pattes et antennes jaune clair et pâle. Du reste comme la Q. S'-Gabriel, Congo (Kout). Dans une plante myrr mécophile. Cremastogaster (Decacrema) petiolidens n. sp. ÿ. Longueur : 1"%,6—2"%, Mandibules étroites, lisses, lui- santes, ponctuées. Tête rectangulaire distinctement plus longue que large (d° 1/3 environ), avec les côtés convexes et le bord pos- térieur un peu convexe aussi et plus étroit que le bord anté- rieur. Epistome court, un peu déprimé dans le sens longitu- dinal. Les yeux, petits et plats, situés à peine en avant des côtés, n'ont qu'une dizaine de facettes. Scape court, distant du bord postérieur d'environ 2 fois son épaisseur. Massue épaisse, de 2 articles. Funicule de 9 articles ; dont les 2" et 3"° peu dis- tinctement séparés ; articles 3 à 5 deux fois plus épais que longs. Pronotum assez distinctement épaulé. Sutures distinctes. Le pronotum a, entre son cou et son dos, un escalier antérieur fort abrupt. Mésonotum faiblement, mais distinctement convexe, nullement excavé, ni en long, ni derrière. Pas d’échancrure mésoépinotale marquée, mais simplement un assez fort enfon- cement de la suture. Face basale de l’épinotum un peu plus large que longue, convexe devant, concave entre les deux épines. Celles-ci sont triangulaires, à base très large, à peine ou pas plus longue que cette dernière, constituant deux très larges dents pointues. Face déclive plus courte que la basale. Pétiole carré, à peine ou pas plus large devant que derrière, muni de 4 dents ; les antérieures petites, mais les postérieures très appa- 7 + FOURMIS DU CONGO 413 rentes, pointues et fortes. Le postpétiole très étroit, avec un sillon médian étroit, mais fort distinct. Pattes courtes. Lisse et luisant, avec une fine ponctuation éparse. Quelques fines stries sur le devant de la tête et quelques réticulations sur l’épinotum. Pilosité dressée extrêmement éparse et très courte. Pubescence très courte et diluée. Roussâtre ou rougeûtre avec la tête et l'abdomen bruns. Congo (KouL), sans reniarques spéciales. Cette curieuse espèce diffère du solenopsisoides par la forme du thorax et du pétiole, par ses petits yeux, etc. Elle ressemble aussi au Muralti For., mais celui-ci a 11 articles, pas de dents au pétiole, le postpétiole sans sillon, la tête toute autre, etc. Pheidole speculifera Em. v. cubangensis For. %. Vers le poste de Lisala au dessus de Nouvel-Anvers sur le Congo. Cette variété est plus près du type de lespèce que la race crassinoda Em., à laquelle je l'avais autrefois rapportée. Pheidole Bucholzi Mayr. $ © Makanga, Congo (KouL), chez des Termites, reçue aussi par M. Wasmanx avec la Q. ® (encore inédite). Longueur : 8"",6. Mandibules luisantes grossièrement striées et poncluées, à bord externe presque droit. Tête un peu plus large que le thorax, concave derrière et grossièrement ridée en long, les rides divergeant en arrière. Le scape atteint le 5"* postérieur de la tête. Mésonotum et scutellum un peu moins grossièrement ridés en long que la têle, finement réticulés et subopaques comme elle. Epinotum ridé en travers avec de larges épines. Postpétiole un peu plus large que long, 3 fois plus large que le pétiole, rhombiforme, ridé en travers et subopaque. Premier segment de l’abdomen subopaque, densément réticulé. Les ailes manquent. Couleur d’un roussâtre uniforme. Du reste comme le 9}. Pheidole caffra Em. r. Bayeri n. st. %. Longueur : 5"". Tête plus petite que chez la var. amoena Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 28 44 A. FOREL For., un peu plus longue, plus étroite derrière, où elle est plutôt moins large qu’au milieu. Elle est aussi moins déprimée à l’occiput, à peu près comme chez la r. abyssinica For. Le scape est plus long que chez toutes deux; 1l atteint presque le tiers postérieur de la tête. Le thorax est aussi plus grêle que chez les deux autres formes citées ; le tubercule supérieur du pronotum est plus faible. Par contre le mésonotum est plus profondément enfoncé au milieu, présentant un bourrelet anté- rieur et un postérieur fort élevés. Face basale de l’épinotum bien plus longue que large, plus étroite que chez amoena et abyssinica ; épines subverticales, assez grêles, pointues, longues comme les ?;; de leur intervalle. Postpétiole un peu plus long que chez la r. abyssinica, mais à peine plus étroit ; du reste conformé de même. Le pétiole est un peu plus long et plus étroit. La tête est luisante avec des rides très régu- lières sur le front où elles ne sont pas réticulaires ; elles le deviennent sur les côtés et surtout sur l’occiput où elles diver- gent et qui n’est nulle part lisse. Ces rides sont plus grossières, mais bien moins serrées que chez la r. abyssinica. En outre, l’occiput a derrière une large impression médiane qui est à peine sensible chez l'abyssinica. Thorax ridé en travers, abdo- men lisse. Pilosité dressée roussâtre et éparse. Scapes et tibias avec une longue pubescence adjacente. D'un brun foncé presque noir. Mandibules, scapes et cuisses bruns. Funicules, tarses et articulations roussâtres. $. Longueur: 2"%,7. Tête bien plus longue que large, plus longue que chez abyssinica. Elle est surtout plus rétrécie et convexe derrière, formant à peine un bord postérieur distinct. Le scape dépasse la tête des ?/5 de sa longueur (d’un tiers chez abyssinica). Mésonotum et épinotum comme chez le 9%, plus allongés que chez abyssinica, de même que les deux nœuds du pédicule. Lisse avec quelques stries obliques sur les joues ; épinotum réticulé. Presque noire, mandibules jaunâtres, mem- brés comme chez le %, ainsi que la pilosité. Kasindi, Congo (D' Bayer), reçu du Musée de Bruxelles par M. SCHOUTEDEN. é VPN"... FOURMIS DU CONGO 415 Pheidole Aurivillit Mayr r. kasatensis For. $, 4, © Congo (Koui,. ® (encore inédite). Longueur : 5"",1. Relativement petite. Mandibules luisantes, ponctuées, striées à la base. Tête en tra- pèze, rétrécie devant, un peu plus large derrière que longue, à bord postérieur droit. Thorax court à dos aplati. Abdomen tronqué devant. Tête plutôt luisante, grossièrement ridée en long. Sauf le devant du scutellum, tout le reste est mat, le thorax densément ridé et l'abdomen densénient réticulé-ponc- tué. De gros points piligères, surtout sur labdomen. Pilosité et pubescence comme chez le 9. D'un noir brunâtre ; cuisses brunes au milieu ; le reste des membres, les mandibules et une tache à l’angle antérieur de l’abdomen, roussâtres. La Q a été trouvée à S'-Gabriel, dans un nid de Termites abandonné. Pheidole megacephala F. rx. nkomoana n. st. %. Longueur : 2"",6—3"",1. Mandibules avec une fine ponc- tuation plus abondante que chez le type de l'espèce. La tête est relativement plus petite que chez le type; ses côtés sont moins convexes et ses angles occipitaux bien plus aigus, laissant entre eux deux une concavité plus grande. Les yeux sont plus con- vexes et le scape est plus long, atteignant le tiers postérieur. Le promésonotum est moins convexe, avec des tubercules supé- rieurs plus accentués et une impression transversale nette au milieu du mésonotum. Les pattes et les antennes (massue y comprise) sont sensiblement plus grêles. Les arêtes frontales se prolongent jusqu’au quart postérieur de la tête, laissant en dehors un espace un peu plus lisse, et les rides longitudinales vont même un peu plus loin, jusqu'au 5° postérieur. Pilosité un peu plus longue, plus espacée et plus fine. Epinotum plus luisant et plus lisse. D'un roux jaunâtre. Pattes et antennes jaunes. Pédicule et tête d’un roux un peu brunâtre. Milieu de l'abdomen brun. La couleur varie du reste ; souvent la tête est brune et l'abdomen jaune-brunâtre. Tout le reste est comme chez le type de l'espèce. $. Longueur: 1"",8—2"",2, Tête rétrécie et convexe derrière 416 A. FOREL avec un bord postérieur indistinct, fort étroit, un peu moins convexe. Yeux fort convexes. Le scape dépasse l’occiput de plus d’un tiers de sa longueur. Promésonotum moins convexe que chez le type, avec une impression transversale indistincte au mésonotum. Face basale de l’épinotum 2 fois plus longue que large. Nœud du pédicule, comme tout l’Insecte, plus allongé que chez le type. Membres, pilosité et pubescence comme chez le 9}, de même que les variations de couleur. Sculpture comme chez le type, un peu plus lisse. ®. Longueur 5". Tête moins rétrécie devant et plus concave derrière que chez Le type. Mandibules comme chez le 4. Arêtes frontales très distinctement prolongées jusqu'au 5"° postérieur de la tête, laissant en dehors un espace lisse. Postpétiole 2 fois plus large que long. Rides de la tête comme chez le type, mais un peu plus lâches. Pilosité, pubescence et couleur comme chez le %. d'. Longueur: 3,5. Les yeux fort grands atteignent presque le bord antérieur de la tête en surplombant un peu ses côtés. Thorax beaucoup moins large que chez le type. Aïles faiblement jaunâtres, avec des nervures assez pâles. Les ocelles sont beau- coup moins grands que chez le type et la tête est plus prolongée derrière entre les yeux. Brunâtre, mandibules, antennes et pattes jaunâtres. S'-Gabriel, Congo (Kouz). Trouvé plusieurs fois sous 6 numé- ros différents, toujours dans des plantes myrmécophiles, tandis que M. KouL a trouvé plusieurs fois les Pherdole megacephala et punctulata, mais avec leur autre habitat bien connu. Cette race diffère des r. Santschi et atrox par la forme de locciput. Elle se rapproche un peu de la r. Gietleni For. de Madagascar, mais en diffère aussi. J’ai reçu par M. Wasmanx la même race, mais d'une variété un peu moins différente de l’espèce typique. La r. nkomoana mérite peut-être de constituer une espèce dis- tincte. Pheidole rotundata For. r. impressifrons Wasm. %, $ Congo (KouL), reçue par M. WasMANN. FOURMIS DU CONGO 417 Je maintiens mon sous-genre Al/lopheidole contre l'opinion de M. EMERy. Oligomyrmex angolensis Sant. r. congolensis n. st. %. Longueur : 1",4—1"%,5., Un peu plus grand que le type ; sculpture identique, ainsi que la forme de la tête, mais celle-ci a une très petite crête, de chaque côté, sur locciput. Le thorax n'a par contre presque pas d’échancrure. L'épistome est forte- ment échancré au milieu de son bord antérieur, mais il n'a pas les carènes latérales que dessine et décrit Saxrscui chez le type. La tête est subopaque et densément striée devant. Le reste du corps est assez luisant et peu sculpté, d’un jaune terne et sale. Tête d'un jaune brunâtre, antennes et pattes jaunes. L'extrémité du scape dépasse à peine le milieu de la tête. Les dents de l’épinotum sont plus courtes que chez le type, petites et trian- œulaires. $. Longueur : 0"",9. Sculpture de la tête, qui est mate, un peu plus réticulaire et moins striée que chez le 4. Le scape atteint le quart postérieur. Echancrure mésoépinotale un peu plus forte, les dents de lépinotum aussi. Le pétiole est plus épais et plus arrondi au sommet que chez le 9, où son nœud parait plus haut et plus comprimé que chez le type. D’un jaune un peu roussàtre assez uniforme, avec les pattes jaunes. Congo (Kour). Cette race diffère de Jeanneli Sant., qui a la tête lisse, par ses côtés convexes et non droits. La tête du 4 est bien plus longue que chez Alluaudi, mais moins longue que chez Jeanneli; elle est un peu intermédiaire entre angolensis s. str. et Alluaudui. Monomorium albopilosum Em. v. Thales For. $ Shilowana, Transvaal, récolté par M. Juxop et reçu du Musée de Genève. La v. diserta For. du M. Salomonis doit être rapportée à la r. termitarium et non pas au Salomonts s. str. Le Monomorium Schultzei For. est très rapproché de la race /ermitarium For. du Salamonits L. 418 A. FOREL Monomorium Oscaris For. r. springvalense, Y. paterna For. ÿ S'-Gabriel, Congo (Kour), dans une plante myrmécophile. Cette forme ressemble aussi assez au M. Schultzei For. Monomorium rhopalocerum Em. v. gabrielensis n. var. $. Longueur: 1"",2—1"",4. Diffère du type par le nœud du pétiole plus court, bien plus comprimé d'avant en arrière, plus pointu au sommet et aussi moins large. L'échancure du thorax est encore plus profonde. Du reste comme le type. ©. Longueur : 3,2. La tête a les côtés convexes ainsi que le bord postérieur ; elle est presque aussi large derrière que longue. Le scape dépasse le bord postérieur d’à peine son épais- seur. Thorax court et fort convexe. Pilosité du corps fine et assez abondante. Celle des membres, subadjacente. Pétiole comme chez l’ouvrière. Jaunâtre, avec l'abdomen d’un brun foncé, tronqué devant. Les ailes manquent. S'-Gabriel, Congo (KoxL), dans un petit nid de Termite. Monomorium (Mitara) exiguum For. r. flavescens n. st. $. Longueur: 1""—1"",3, Entièrement d’un jaune sale avec la tête un peu plus foncée, d’un jaune un peu brunâtre. La tête est plus allongée et plus rectangulaire que chez le type, d'un tiers plus longue que large. Les scapes, plus courts, n’attei- gnent que le tiers postérieur de la tête. L'étranglement du thorax est sensiblement plus fort que chez le type qui est presque noir, comme la var. bulawayensis For. S'-Gabriel, Congo (Ko), pris trois fois dans des plantes myrmécophiles. J'ai décrit la var. bulawayensis en 1913. Comme j'ai décrit sous le même nom un Monomorium amblyops Em. r. bula- «wayense en 1914, et que dernièrement on commence (je pense avec raison) à interdire l'emploi du même nom pour les variétés du même genre, je me permets de changer le nom précédent en M. amblyops Em. r. Prossae n. st. Podomyrma Delbrücki For. & Townsville, Nord Queensland, envoyé par M. DoNISTHORPE. FOURMIS DU CONGO 419 C’est une variété chez laquelle les dents du pronotum sont un peu plus fortes et pointues et où les côlés du mésonotum ont aussi une protubérance dentiforme plus nette. Je ne lui donne pas de nom spécial. Atopomyrmex Mocquerysi André var. curvbispina For. Lumbulumbu, Congo (KouL), courant sur un tronc d'arbre. Rhoptromyrmex Rothneyi For. v. intermedia For. $ MontMatang, Sarawak (G.-E. BRyYANT), envoyé par M. Doxis- THORPE. Rhoptromyrmex opacus Em. $ Congo (KouL). Rhoptromyrmex globulinodis Mayr r. Alberti n. st. $. Longueur: 2"",1—2"",5. Diffère du type de Mayer par son occiput bien moins concave, par les côtés de la tête moins convexes, le scape un peu plus long, le pétiole plus étroit et la couleur d’un jaune roussâtre avec les membres jaunes. Mais il est lisse et luisant comme le type, ce qui le distingue d’opacus. Congo (Koui). Tetramorium guineense F.r. Peutli n. st. $. Longueur : 2"",4—2"%,6. Ressemble à la v. Phasias For., mais elle s’en distingue, et bien plus encore du type de l'espèce, par la forme du nœud du pétiole. Celui-ci est plus bas et plus arrondi devant, comprimé en toit au sommet, presque sous forme d’arête s’élevant en arrière. Sa face postérieure est un peu con- cave, du reste abruptement tronquée. Les épines sont larges, fortes, recourbées en avant. La sculpture est plus grossière que chez la var. Phasias, plus semblable à celle du type de l’espèce, mais la tête est plus réticulée et moins ridée. Couleur comme chez le type de l'espèce, mais la Fourmi est bien plus petite. Les articles 2 à 5 du funicule sont très courts et très petits. ©. Longueur : 3"",1. Beaucoup plus petite que le type de guineense. Comme du reste chez l’ouvrière, les arêtes frontales, prolongées jusqu’au 10"*° postérieur de la tête, laissent entre 420 A. FOREL elles et les yeux presque un demi-scrobe, ou, si l’on veut, un scrobe superficiel avec faible sculpture. La tête est rectangu- laire, d’un quart plus longue que large. Les mandibules sont, comme chez l’ouvrière, lisses et luisantes avec des points épars et très fins (subopaques et sculptées chez le type, luisantes, mais bien plus ponctuées chez la v. Phastas). La tête est aussi large à son quart antérieur que derrière, un peu plus large que le thorax. Epines très épaisses, peu courbées en avant. Les épines inférieures de lépinotum ne sont pas beaucoup plus courtes ; elles sont translucides et courbées en avant. Ailes un peu jau- nâtres, à nervures pâles. Tout le reste, en particulier le pétiole, comme chez l’ouvrière. La pilosité et la pubescence de l’ouvrière et de la ® sont comme chez le type. Congo (KouL), reçu par M. WAsMann. Tetramorium aculeatum Mayr. 5 © SS'-Gabriel, Congo (KouL), dans de petits nids de carton construits sous une feuille, souvent très fréquents sur le même arbre, jusqu'à 50 ou plus. Cette espèce aime les bas-fonds humi- des. Trouvé aussi par M. KouL au Poste de Lisala et ailleurs. Tetramorium aculeatum Mayr v. major For. $ © S'-Gabriel, Congo (KouL), nids plus grands que chez le type. Tetramorium aculeatum Mayr v. Wasmanni For. $ Q S'-Gabriel, Congo (KouL), nichant comme le type sur une feuille de Palmier. Tetramorium aculeatum Mayr v. rubroflava n. var. ÿ. Longueur : 2"",6—3""1. Tout semblable au type de l’es- pèce, dont il a aussi les longues épines et toute la forme du corps. Néanmoins, les épines sont moins divergentes, le bord postérieur de la tête est un peu plus distinct et les membres sont légèrement plus grêles, le scape dépassant le bord posté- rieur d’un peu plus du tiers de sa longueur. La sculpture est aussi un peu plus fine et un peu plus serrée. Couleur entière- FOURMIS DU CONGO 421 ment d'un jaune à peine roussâtre. Quelquefois la tête, le pro- thorax et les cuisses un peu brunâtres. S'-Gabriel, Congo (KouL), trouvé dans des nids tissés en soie, fixés sur les feuilles, et que M. Kouz dit être semblables à ceux des Oecophylla et des Polyraachis. De ce fait, je conclus que le carton des nids du 7. aculeatum n’est probablement que super- posé à une toile filée (combinaison de carton et de toile), comme je lai prouvé pour beaucoup de Polyrhachis. Tetramorium africanum Mayr. $ S'-Gabriel, Congo (KouL). Construit des nids semblables à ceux du 7. aculeatum, mais beaucoup plus grands; sa piqûre est horrible, pire que celle de la Pachysima aethiops, et on la craint beaucoup. Tetramorium sericeiventre Em. r. inversa Sant. $ S'-Gabriel, Congo (KouL). Tetramorium camerunense Mayr v. Gegatimti n. v. Se bongueur : 12,327". D'un roux jaunâtre clair, avec les membres jaunes, le postpétiole et l'abdomen bruns. Les stries de la tête sont aussi plus serrées que chez le type de l'espèce. ©. Longueur : 2"",6. Tête un peu plus large que le thorax. Scape distant du bord postérieur de son épaisseur. Mésonotum et scutellum régulièrement striés en long. Le mésonotum est bordé sur le dos de chaque côté par une arête noirâtre qui n'existe pas chez l’ouvrière. Face basale de l’épinotum ridée en travers. Epines fortes, aussi longues que leur intervalle. Cou- leur comme chez l’ouvrière, mais la tête et Le thorax plus foncés, roussâtres ; Le thorax varié de brun. Les ailes manquent. S'-Gabriel, Congo (KouL), dans un nid de Termites abandonné. Tetramorium simillimum Sn. $ © S S'-Gabriel, Congo (Kour), sous une tuile. En compa- rant le type de la © du Tetramorium pygmaeum Em., que m'a donné dans le temps M. Emery, je la trouve absolument iden- tique à la © du sémillimum, et par conséquent synonyme. 429 A. FOREL Tetramorium simillimum Sm. r. isipingense For. v. Dumezi n.. var. $. Longueur: 2"",1—2"",5. Plus petit que le type de la race. Les dents de l’épinotum sont un peu plus fortes et plus dis- tinctes. Le nœud du pétiole est un peu moins arrondi. Le scape de l’antenne est plus court, distant du bord postérieur, qui est plus concave, de 2 l/: fois son épaisseur au moins. Le demi- scrobe en dehors des arêtes frontales est aussi notablement plus net. Toute la Fourmi a une stature un peu plus robuste. Couleur un peu plus foncée sur la tête, mais plus claire sur l'abdomen. S'-Gabriel, Congo (Koxr) dans une plante myrmécophile. Tetramorium Meressei n. sp. ÿ. Longueur: 2"",6—2"",9. Aussi grand que la r. istpingense ci-dessus. Mandibules luisantes, faiblement ponctuées, à 6 ou 7 dents indistinctes ; épistome caréné au milieu, à bord antérieur à peine ou pas échancré. Tête absolument rectangulaire, d'un quart à peine plus longue que large, à bord postérieur faiblement échancré au milieu. Yeux convexes, au milieu des côtés. Arêtes frontales atteignant presque le bord postérieur de la tête, lais- sant en dehors un demi-scrobe à sculpture plus faible. Une arête latérale distincte est entre les yeux et le bord antérieur de la tête. Le scape atteint environ le 10"* postérieur de la tête. Suture promésonotale obsolète. Angles antérieurs du pronotum obtus, mais assez marqués. Promésonotum médiocrement convexe en tout sens. Suture mésoépinotale pas très distincte; étranglement mésoépinotal très faible, tout juste visible. Face basale de l’épi- notum, un peu moins de 2 fois plus longue que large, sans bord distinct, bien plus longue que la face déclive, qui est bordée et terminée par 2 petites dents triangulaires. Celles-ci sont un peu plus courtes que les dents inférieurs de l’épinotum qui sont aussi plus pointues. Pétiole muni en dessous d'une petite dent oblique ; son nœud, à peine plus long que le pédicule antérieur, est un peu plus haut et surtout encore beaucoup plus arrondi, devant, derrière et dessus que chez le sémillimum r. isipingense pal ME fus dis y J FOURMIS DU CONGO 423 chez lequel il est encore assez nettement cubique. Postpétiole court, encore plus haut que le nœud du pétiole, un peu plus large que lui, aussi large que long, 1 ‘2 fois plus haut que long, verticalement tronqué derrière. Luisant. Tête et thorax assez grossièrement ridés en long, les rides régulières sur le front, plus réticulées ailleurs. Nœuds du pétiole et du postpétiole assez grossièrement et obliquement réticulés de côté, lisses derrière ; abdomen lisse, avec une ponctuation piligère abondante et très distincte. Le nœud du pétiole est comprimé en haut en forme de toit, comme chez le guineense r. Peutli, quoiqu'il ait du reste une autre forme ; le sommet du postpétiole est aussi rétréci. Tout le corps et les membres sont recouverts d’une abondante pilosité très fine, jaune pâle, longue, d'aspect laineux, plus courte sur les membres, mais nullement polyfide. D’un roux un peu brunûtre. Pattes, antennes et mandibules jaunâtres; milieu de Pabdo- men indistinctement brun. Congo (Ko). Cette espèce a une fausse ressemblance avec le guineense r. Peulti. Sa carène latérale des joues, sa pilosité et ses deux nœuds sont très particuliers. Triglyphothrix gabonensis André v. Boulognet n. var. ÿ. Longueur : 3"",5—3"",8. Se distingue du type de l’espèce par les nœuds du pétiole et du postpétiole qui sont tous deux moins larges ; en outre, la sculpture de la tête, du thorax et des nœuds est plus forte et bien plus rugueuse, les rendant subopa- ques (le type est assez luisant et plutôt ponctué). La couleur est aussi plus foncée, d’un brun foncé, avec les membres et les mandibules roussâtres. Congo (KouL). Leptothorax (Goniothorax) Evelynae n. sp. ÿ. Longueur : 2"",3—2"",5, Mandibules assez luisantes, très finement ridées ou réticulées, armées de 4 dents. Epistome sans carène, avancé fortement devant en lobe arrondi, avec le bord entier. Tête rectangulaire, de presque !/4 plus longue que large, distinctement rétrécie d’arrière en avant, à bord postérieur et à 42% A. FOREL côtés presque droits, avec l'angle postérieur arrondi. Yeux plutôt grands, au milieu. Le scape atteint presque le bord postérieur. Dernier article du funicule 3 fois plus long que lavant-dernier ; ses articles 2 à 8 presque deux fois plus épais que longs. Angles antérieurs du pronotum distinctement anguleux, mais pas den- tiformes. Thorax subbordé latéralement. Suture promésonotale obsolète. Promésonotum faiblement convexe. Le mésonotum a une dent latérale obtuse à son quart postérieur. Echancrure mésoépinotale très faible en tout sens, presque xulle sur le dos, mais la suture est distincte. Face basale 1 ?/: fois plus longue que large. Epines un peu obtuses, subhorizontales, peu diver- gentes, aussi longues que leur intervalle. Face déclive plus courte que la basale, assez bordée, munie en bas d’une dent triangulaire. Nœud du pétiole presque conique, mais arrondi au sommet. Sa base est 2 fois plus longue que le pédicule an- térieur et son sommet étroit est néanmoins 1 !2 fois plus large que long. Postpétiole presque 2 fois plus large que long et que le nœud du pétiole, un peu plus bas que ce dernier, néanmoins un peu plus haut que long. Les deux nœuds sont arrondis en tout sens. Cuisses un peu renflées au milieu. Subopaque. Tête parsemée d'assez gros points, fossettes très abondants, mais fort superficiels et en outre, dans les points comme ailleurs, extrêmement finement et faiblement réticulés. Ca et là, surtout devant, quelques stries longitudinales. Le thorax etles deux nœuds ont la même sculpture fine, mais, au lieu de gros points, le promésonotum a d'assez grosses rides longitudinales superficielles et la face déclive de l’épinotum des rides transversales. Abdomen lisse et luisant avec des points épars, finement réticulé et un peu subopaque devant; de même les pattes et les scapes. Pilosité sétiforme obtuse un peu plus longue et moins abondante que chez l’innocens For., nulle sur les membres. Pubescence jaunâtre claire fort distincte et adja- cente sur le corps et sur les membres. Entièrement d’un jaune très terne, à peine teinté de brunâtre, avec l’abdomen et les membres plus clairs, fort pâles. ®. Longueur: 2"%,7, Absolument semblable à l’ouvrière. FOURMIS DU CONGO 425 Tête à peine plus large que le thorax. Mésonotum. distincte- ment ridé en long; rides assez serrées. Ailes un peu jaunâtres,. à tache marginale brune. Tout le reste, aussi la couleur, comme chez l’ouvrière. S'-Gabriel, Congo (KouL) dans une plante myrmécophile. Cette espèce, très semblable à ce que j'avais appelé Tetra- morium (Leptothorax ?) innocens, me prouve définitivement que cette dernière forme était un Leptothorax et non pas un Tetra- morium. L'Evelynae diffère de l’innocens par la forme tout autre du nœud de son pétiole bien plus mince (plus court) et plus arrondi au sommet. Les épines et les scapes sont plus longs, l’échancrure thoracique plus faible, la couleur analogue. Si M. KouL n'avait pas prouvé le contraire, on serait tenté d’attri- buer à l’innocens et à l’Evelynae des mœurs psammophiles analo- gues à celles du groupe Laurae. Tous deux sont des Gontothorax. Leptothorax (Goniothorax) Grisont n. sp. $. Longueur: 2"%,7—2"%,9, Mandibules étroites, densément striées, assez luisantes, armées de 4 dents. Epistome fortement lobé, entier devant comme chez le précédent. Aire frontale dis- tincte, un peu arrondie derrière. Tête presque 1 1}; fois plus longue que large, ayant presque exactement la même forme que chez l'Evelynae. Mais les angles postérieurs sont presque aigus et l’occiput subbordé entre sa face antérieure et sa face posté- rieure. Les veux, situés au milieu, assez grands, paraissent légèrement enfoncés entre deux convexités des côtés. Le scape atteint le bord postérieur. Antennes de 12 articles. Le dernier article du funicule n’est pas 2 fois plus long que le précédent; les articles 3 à 7 ne sont qu'un peu plus épais que longs ; tous les autres plus longs qu'épais. Thorax très peu convexe en tout sens, subdéprimé et subbordé latéralement. Angles antérieurs du pronotum très distincts, subdentiformes. Suture proméso- notale assez distincte, aussi distincte que la suture mésoépino- tale. Aucune échancrure mésoépinotale, pas même d’enfonce- ment à la suture. Epines de l'épinotum obtuses, longues comme les ?/; de leur intervalle. Face basale presque 2 fois plus longue 426 A. FOREL que large ; face déclive bien plus courte. Nœud du pétiole eubi- que, à peine plus large que long, presque sans pédicule anté- rieur, rappelant celui du Leptothorax corticalis Schenk. Postpé- tiole très petit, presque de moitié plus court que le nœud du pétiole, mais au moins 2 fois plus large que long, bien plus large que le nœud du pétiole. Abdomen tronqué devant. Cuisses renflées au milieu. Mat, grossièrement réticulé. Sur la tête, les réticulations sont un peu séparées les unes des autres sous formes de fossettes, rappelant un peu la sculpture de l’Evelynae ; leur fond est rabo- teux. Abdomen lisse et luisant, de même que les membres et la face déclive de lépinotum. Les réticulations ont un aspect légè- rement longitudinal sur le front et transversal sur la face basale de l’épinotum. Pilosité épaisse, très courte (à peine plus longue que chez l’innocens), tronquée, jaunâtre, médiocrement abon- dante sur le corps, nulle sur les membres. Pubescence diluée partout et très adjacente. D’un brun presque noir, avec les scapes, la première moitié du funicule, les mandibules, les tarses et Les articulations d’un jaunâtre sale. Le tiers postérieur de l'abdomen d’un brun clair. q Longueur: 3"". Tête rectangulaire arrondie, à peine plus longue que large. Le scape dépasse un peu le bord postérieur; antennes de 13 articles assez égaux, sauf le dernier. Thorax plus large que la tête ; épinotum inerme, arrondi, sa face déclive courte. Nœud du pétiole plus long que large presque sans pédi- cule antérieur, ailes subhyalines, à nervures et tache pâles. Noir, mandibules et membres d’un jaune pâle. Les mandibules ont deux dents. S'-Gabriel, Congo (KouL), sous l’écorce d’un Mango. Cette espèce rappelle un peu le genre Nesomyrmex Wheeler, mais elle a 12 articles aux antennes. M. EmEery croit pouvoir identifier mon sous-genre Caulo- myrma avec le genre Nesomyrmex Wheeler, fondé sur une seule ©. Mais le genre de WueELEr a la tête bordée derrière. Pour le moment. je crois devoir maintenir mon sous-genre Caulomyrma jusqu'à ce que la question soit mieux éclaircie. FOURMIS DU CONGO 427 Cataulacus Weissi Sant. ÿ Q o'.S'-Gabriel, Congo (KouL), dans une plante myrméco- phile (Randia myrmecophila de Wire). Q® (encore inédite). Longueur : 4"",5. Du reste toute sem- blable à l'ouvrière, mais l’abdomen est presque 2 fois plus long que large, avec les côtés presque parallèles. Mésonotum et scutellum régulièrement ridés en long, un peu plus étroits que la tête. Ailes jaunâtres, à nervures pâles. Du reste comme l’ou- vrière. œ Longueur : 3"%,5. Tête presque triangulaire, très rétrécie devant, aussi large derrière que le thorax, avec 2 dents poin- tues de chaque côté. Epines de l’épinotum longues et grêles, aussi longues que leur intervalle. Un appendice bidenté sous le pétiole. Du reste comme la Q. Cataulacus brevisetosus For. r. Lujae For. Œ & Ÿ S'-Gabriel, Congo (Kour), dans une plante myrméco- phile. Il s’agit d’une variété plus petite encore que le type. ÿ . Longueur : 2°",5—2"",6. ©. Longueur: 3",9—4"%, Gf. Lon- EUeUr 0 1:09. Cataulacus guineensis Sm. $ © Motombé sur l'Okiavo. Dans un nid de Guêpes maçonnes abandonné, sur un tronc d'arbre. S'-Gabriel, courant en para- biose amicale avec un Cremastogaster. Congo (KouL). Cataulacus erinaceus Sttz. ÿ © Congo (KouL). ® (encore inédite). Longueur : 9"",5. Thorax aussi large que la tête. Mésonotum, scutellum et face basale de l’épinotum avec des rides longitudinales régulières. Abdomen seulement un peu plus long que chez l'ouvrière ; les ailes manquent. Strumigenys (Trichoscapa) Escherichi For. r. cognata Sant. Congo (KouL). Strumigenys (Trichoscapa) Maynei n. sp. $. Longueur: 1"",9—2"*, Diffère de l’Escherichi For. et de 428 A. FOREL sa r. cognata par le pronotum plus large, sans carène médiane, très distinctement et assez densément ridé en long. Il n’y a pas d'escalier derrière le mésonotum, par contre une forte échan- crure mésoépinotale, le promésonotum étant fort convexe et la face basale de l’épinotum aussi, sur le profil. Tout l’Insecte est mat, sauf l'abdomen, le postpétiole et les membres. D'un roussâtre franc, parfois d'un roux jaunâtre. La pubescence est bien plus claviforme que chez ÆEscherichi et sa race co- gnata Sant. (partout). Ressemble aussi un peu à la biconvexa Sant., mais bien plus grande, n'ayant pas de membrane à l’épinotum, puis une autre sculpture. Pour le reste, comme Eschericlu. ©. Longueur : 2,5. Thorax un peu plus large que la tête. Mésonotum assez fortement ridé et réticulé, plus faiblement à son milieu, devant. Une tache brune entre les ocelles. Les ?/s antérieurs de l'abdomen bruns. Epines de lépinotum fortes. Pilosité dressée fortement clavée, comme du reste chez l’ou- vrière, et un peu plus courte que chez Escherichi. Les ailes un peu enfumées de jaune brunâtre. Pubescence un peu moins clavée que chez l’ouvrière. g. Longueur : 2"",2. Une petite lacune entre la base des mandibules. Antennes longues et assez filiformes. Scape à peine 2 fois plus long qu'épais. Tête bien plus longue que large; thorax plus large que la tête. Une petite dent triangulaire entre les faces de l’épinotum dont la déclive est plane et oblique. Nœud du pétiole arrondi, plus court que son pédicule antérieur. Abdo- men lisse; tout le reste du corps mat, densément réticulé- ponctué. Ailes d’un jaune pâle à nervures pâles, d’un brun noir avec les membres, les mandibules et le tiers postérieur de l'abdomen roussâtres. Congo (Ko). Une variété récoltée par M. R. MAYNÉ au Congo ($ et Q) se distingue par sa tête un peu plus courte et plus large, et surtout par sa pubescence encore plus clavée. Les stries du proméso- notum sont légèrement plus fines, je l’appelle var. latiuscula n. var. La taille est la même. FOURMIS DU CONGO 429 Acromyrmex Môlleri For. r. Meinerti For. v. globoculis n. var. ÿ. Longueur: 4%,5—5%",2. Se distingue du type de la race par ses yeux plus convexes, hémisphériques. Les épines supé- rieures de l’occiput sont aussi plus courbées, la tête un peu plus étroite derrière, la pubescence un peu plus forte et la couleur un peu plus terne. Ressemble à la r. modesta For., à laquelle elle fait transition, mais qui a les yeux bien moins convexes. Guyane anglaise, reçu par M. CRAWLEY. L'ouvrière de Meinerti est longue de 3 à 5", Elle est bien moins grêle et bien moins pubescente que la modesta. Sa tête est bien plus large, moins rétrécie derrière où elle à des épines obliques et presque droites (horizontales et courbées chez la modesta). Je l'ai reçue des provinces de Rio-de-Janeiro, de Säo Paulo, de Para, etc. 4e Sous-famille Dolichoderinae For. Semonius Schultzei For. ÿ S'-Gabriel, Congo (KouL). Tapinoma Arnoldi For. ÿ (?) (encore inédite). Longueur : 2"",5. Tête rectangulaire, bien plus longue que large, à bord postérieur droit ; plus large que le thorax. Le scape n’atteint que le cinquième postérieur de la tête. Articles 2 à 10 du funicule plus épais que longs. Yeux au tiers antérieur. Thorax allongé, subcylindrique. Pilosité et pubescence comme chez l’ouvrière. Entièrement brune. Les membres comme le reste. Natal, récoltée autrefois par M. Haviraxp. Je rapporte cette Q à l’Arnoldi avec un certain doute. Engramma Kohli n. sp. Q®. Longueur : 1"%,8—2"",2, Mandibules luisantes, fortes, à bord externe fortement courbé, armées d’au moins 7 ou 8 dents, poilues, peu et très finement ponctuées. La forte échancrure de Pépistome occupe le 5° de son bord antérieur; elle est semi- Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. | 29 430 A. FOREL circulaire, aussi profonde que large devant. Milieu de l’épistome presque deux fois plus haut que l’échancrure. La tête est plus ou moins trapéziforme, presque 2 fois plus large derrière qu'à son bord antérieur, un peu moins profondément échancrée der- rière que chez Æ. Lujae For., avec les côtés beaucoup moins convexes ; elle est aussi longue que sa largeur postérieure. Les petits yeux, situés au milieu, n’ont guère que 10 à 12 facettes. Le scape atteint le bord postérieur de l’occiput. Articles 2 à 9 du funicule plutôt un peu plus épais que longs. Promésonotum faiblement convexe. Echancrure mésoépinotale profonde et assez large. Epinotum fort convexe ; sa face basale presque double de la déclive. Ecaille et abdomen comme chez E. Lujae. Entièrement luisante et lisse. Ponctuation très fine et très éparse. Pilosité dressée pâle, très éparse sur le corps, nulle sur les membres. Pubescence jaune, fort distincte partout, très adjacente, formant un faible duvet qui ne cache nullement la sculpture. D’un jaune assez terne, un peu roussâtre. Abdomen brun. ©. Longueur: 4"%,7—6"%, Mandibules comme chez l’ouvrière, mais armées de 9 à 10 dents. Bord postérieur de la tête plus faiblement échancré. Le scape n’atteint pas le bord postérieur ; il s'en faut de son épaisseur. Tête du reste comme chez l’ou- vrière, aussi large derrière que le thorax ; celui-ci assez plat en dessus, y compris la face basale de l’épistome (convexe chez l’ouvrière): face déclive oblique, 2 fois plus longue. L’écaille est marquée devant par un bourrelet convexe ; le pétiole a en dessous une lamelle allongée, longitudinale, pâle, à demi trans- lucide, qui est indistincte chez l’ouvrière. Abdomen grand. Tout le corps assez densément et beaucoup plus fortement ponctué que chez l’ouvrière, ce qui le rend subopaque. Membres moins-densément ponctués. Pubescence et pilosité comme chez l’ouvrière ; cette dernière un peu plus abondante. Brune. Tête et thorax variés de roussâtres. Mandibules, antennes et cuisses roussâtres ; pédicule, tibias et tarses d’un jaune sale. S'-Gabriel, Congo (Ko). Pris sous 4 numéros différents dans des plantes myrmécophiles. FOURMIS DU CONGO 431 Engramma Zimmert For. r. okiavoensis n. st. Longueur : 4""—4"",4. Dillère du type par sa taille plus grande, par les côtés de la tête moins convexes, par son scape bien plus court ne dépassant le bord postérieur que de moins d’'/; de leur longueur. Les arêtes frontales sont encore plus distantes l’une de l’autre que chez le type. L’épinotum est plus long, bien plus long que large. Les deux stigmates de la large échancrure thoracique proéminent au fond du métanotum. L'orifice du cloaque est presque apical, comme chez les Tech- nomyrmex. La couleur est inverse de celle du type: noire, avec l'abdomen, les funicules, les mandibules et le bout des tarses d’un roux jaunâtre. Parfois l'abdomen est brun. Sur le fleuve Okiavo, près de S'-Gabriel, Congo (KouL), dans un grand nid d’un blanc gris, mou, tissé et mêlé de matières végétales fines, adossé à un tronc d'arbre. Le nid avait 50 em. de long, 20 à 30 cm. de large et 3 à 4 cm. d'épaisseur. La partie de l'écorce recouverte par le nid était remplie de grands Coc- cides cultivés par les Fourmis. Celles-ci sont paisibles et répandent une odeur particulière quand on les touche. Cette odeur ressemble à celle des machines. Comme pour le type, c'est avec doute que je rattache cette race au genre Éngramma. Engramma Ilgt For. ÿ Makanga, Congo (KouL) sur des nectaires floraux, cultivant aussi des Coccides. Exemplaires un peu plus petits que le type. Eonseur:2/%,5220",0. Engramma Laurenti Em. v. congolensis n. var. ÿ Longueur: 2"",4—2"",8. Diffère du type par sa couleur beaucoup plus claire, entièrement d’un jaune roussâtre, terne et pâle chez tous les individus. La tête est aussi légèrement moins large, surtout derrière ; le promésonotum est un peu moins convexe et la face basale de l’épinotum un peu plus haute. La pilosité et la pubescence sont un peu plus faibles, la ponctua- tion par contre plus forte, surtout sur la tête, qui est subopaque devant, réticulée-ponctuée. 432 A. FOREL Q (?) Longueur : 5"",4. D’un brun noirâtre. La large et pro- fonde échancrure de l’épistome est comme chez le type de l'espèce et de la race. Subopaque, densément ponctuée, en partie réticulée-ponctuée. Membres et mandibules d’un brun plus roussâtre. Les ailes manquent. S'-Gabriel et Bengemeza, Congo (KouL), dans des plantes myrmécophiles, comme l’Engramma Kohli. Je ne crois pas faire erreur en rattachant la femelle prise isolément à cette même race. Engramma Lujae For. r. Wasmanni n. st. $. Longueur: 2"",7—3"", Même taille que le type de l'espèce dont elle diffère surtout par sa sculpture beaucoup plus forte. densément ponctuée, qui la rend subopaque, du moins en partie, et par sa pubescence beaucoup plus forte aussi. De plus, la tête est moins large, moins profondément échancrée derrière, avec les côtés moins convexes. Les yeux sont notablement plus petits. La couleur est d’un brun noirâtre, avec la tête d’un roux jaunâtre, à peu près comme chez le type. ®. Longueur: 2"",7, Ailes brunâtres avec une cellule dis- coïdale distincte, une seule cellule cubitale et la nervure trans- verse s’unissant à la nervure cubitale à son point de partage. La tête est indistinctement plus longue que large avec les côtés très peu convexes et le bord postérieur superficiellement con- cave. La tête est bien moins large que celle de l’ouvrière, aussi large que le thorax qui est petit et assez plat. Couleur brune avec l'abdomen presque noir ; le front, les joues et les mandi- bules d’un roux un peu brunâtre. Tout le reste comme chez l'ouvrière, en particulier l’épistome. œ. Longueur: 2"",9. Un peu moins luisant que le type de l'espèce ; couleur un peu plus foncée, presque noire; du reste identique. Congo (KouL); reçue par M. Wasmann. Engramma Wolfi n. sp. (Fig. 1.) $. Longueur: 3"",8—4"%,1, Longue et étroite, plus encore que l'E. Zimmeri. Bord terminal des mandibules très long, armé FOURMIS DU CONGO 433 d’au moins dix dents, bien plus long que le bord interne. Echan- crure de l’épistome très large, au moins comme un tiers du bord antérieur, néanmoins semi-Circulaire, presque aussi profonde que sa largeur, suivie derrière, au milieu, d’une impression triangulaire, toute analogue à l'aire frontale. Le milieu de Pépis- tome, comme chez l'E. Lujae, est aussi long de côté qu’au milieu jusqu’à l’échancrure. Aire frontale indistincte. Tête ovale, à côtés très convexes, d’un bon cinquième plus longue qu’elle est large au tiers postérieur, très rétrécie devant et derrière, où ses angles sont très arrondis et où le milieu est concave, le bord postérieur étant indistinet. Yeux très grands, situés plutôt en arrière du milieu, peu convexes, occupant le quart des côtés. Le scape aire frontale impression Freud: Epistome de l’£Engramma Wolfi For. Ÿ. (Emma Forel, del.) dépasse l’occiput des deux cinquièmes de sa longueur. Tous les articles du funicule, qui n’est nullement renflé à l'extrémité, subégaux, presque deux fois plus longs qu’épais. Thorax étroit, allongé ; pronotum un peu plus large que long. Suture proméso- notale enfoncée, séparant la convexité du mésonotum, qui est plus long que large, de celle du pronotum. Echancrure méso- épinotale forte et surtout très large. Au fond, un métanotum fort distinct, avec ses stigmates. Vu de dessus, l’épinotum, encore plus étroit que le mésonotum, est 1 !/2 fois plus long que large ; vu de profil, il est bossu, avec les deux faces convexes, mais sur- tout le sommet. Face déclive un peu plus longue que la basale. Pétiole allongé et étroit, ayant à peine un bord d’écaille un peu aigu devant, entièrement recouvert par l'abdomen qui forme en avant une pointe obtuse avancée. Pattes très longues. Thorax, sauf la face déclive de l’épinotum, fortement réticulé- 43% A. FOREL ponctué et presque mat (chez certains individus seulement densément ponctué et subopaque). Tête densément ponctuée, subopaque ; abdomen luisant, faiblement chagriné, avec direc- tion transversale des rides. Membres ponctués. Pilosité dressée presque nulle, sauf aux deux extrémités du corps et en dessous. Pubescence assez longue et assez abondante sur le corps et sur les membres, sans toutefois cacher la sculpture. Presque noire. Mandibules et membres bruns. Tarses et articulations plus clairs, un peu jaunâtres. S'-Gabriel, Congo (KouL), dans la forêt vierge sur le sol, parmi des feuilles pourries ; prise une fois à la lampe. Cette espèce est très caractéristique, fort différente de Zimmeri et des autres. Reçue aussi par M. WasManNnx. rime +) Sous-famille Camponotinae For. Genre Santschiella nov. gen. ÿ. Antennes de 12 articles. Ouverture du cloaque apicale, circulaire, ciliée. Mandibules triangulaires de forme ordinaire. Epistome triangulaire, arrondi derrière et prolongé entre les insertions des antennes. Arêtes frontales presque nulles, limi- tées au bord intérieur de l'insertion des antennes. Yeux énor- mes, même plus grands que chez les Gigantiops ; ils convergent d’arrière en avant où ils se rapprochent fortement l’un de lau- tre. Trois ocelles frontaux. Tête bordée en dessous, derrière, d’une arête transparente, terminée par un bord abrupt et suivie d’une dent. Thorax profondément échancré entre le mésonotum et l’épinotum. Ce dernier bossu, armé de deux épines à sa face déclive. Pétiole surmonté d'un nœud très épais, qui est tronqué et bordé derrière. Gésier inconnu. Je place ce genre dans ma section des Procamponotinae à côté des Hyrmoteras et des Dimorphomyrmex. Je suis, en effet, obligé de réunir le genre Dimorphomyrmex aux Procampono- linae, eu égard à son gésier qui ressemble beaucoup à celui des Myrmoteras, d’après la figure d'Anpré. Je donne ici la figure FOURMIS DU CONGO 435 du gésier du Genre Myrmoteras et l’on pourra juger (fig. 4). Je n'ai pas osé disséquer le gésier du nouveau genre Santschiella, représenté seulement par deux exemplaires dont je dois rendre l’un. Ce singulier genre de Camponotinae à des affinités diver- ses, d’un côté avec les Dolichoderinae (épistome), de l’autre avec Myrmoteras (arêtes frontales), même avec les Ponerinae (pétiole). Il a tout l'aspect fossile d’un reliquat phylogénique. Frc-n2° Santschiella Kohli For. $#, vue de côté. (Emma Forel, del.) —-- sépales —--- boule Fic. 3. Fic. 4. Santschiella Kohli For. ÿŸ, Gésier du Myrmoteras Binghami For. tête vue de devant. (Emma Forel, del.) (Emma Forel, del.) On pourra fixer définitivement sa position en étudiant plus tard son gésier, quand on retrouvera la Fourmi. En attendant je renvoie aux deux figures 2 et 3. Santschiella Kohli n. sp. (Fig. 2et3.) ÿ. Longueur: 3"",6. Mandibules luisantes, lisses, avec quel- ques points épars très fins, armées de 7 ou 8 dents irrégulières, 436 A. FOREL dont une ou deux très petites ; leur bord extérieur est plus long que le bord terminal. Le bord antérieur de Pépistome est régu- lièrement convexe. Epistome sans carène, avec une fossette clypéale se confondant avec la fossette antennaire. Aire frontale grande, plus haute que sa largeur; sillon frontal indistinct, très faible. Vue de devant (fig. 3), la tête paraît un peu plus longue que large, fortement rétrécie devant, avec le bord postérieur faiblement convexe et trois ocelles fort distincts, mais assez petits. De face, les énormes yeux paraissent bien plus larges que la distance qui sépare leurs extrémités antérieures. Ils sont fortement convexes, surplombant les côtés de la tête. Vue de côté, la tête paraît extrêmement épaisse et courte, pas beaucoup moins épaisse que sa longueur. Son tiers posté- rieur est bordé d'une arête translucide qui s'élève d’arrière en avant, où elle se termine par un bord abrupt. Un peu plus en avant, on voit une seconde dent triangulaire sur le profil. Entre les deux arêtes, la tête est un peu excavée. Le scape atteint presque le 4 postérieur de la tête. Le funicule va en s’épaississant vers l'extrémité ; ses articles 2 à 10 sont plus épais que longs ; le premier et le dernier seuls plus longs qu'épais. Le scape, retiré en arrière, est entièrement caché sous les yeux surplombants, sans qu'il y ait de scrobe. Pronotum, sans le cou, deux fois plus large que long et fortement convexe. Suture promésonotale très distincte, un peu enfoncée. Mésonotum peu convexe, mais abaissé derrière, devant l’échancrure. Au fond de cette dernière, apparaissent les deux stigmates métanotaux. Face basale de l’épinotum fortement convexe (bossue); la face déclive aussi longue que la basale, ayant au milieu de ses côtés une forte épine à large base, pointue à l'extrémité et recourbée en haut. Tout à la base, deux très petites dents obtuses subépino- tales. Le nœud du pétiole est un peu plus haut qu'épais et tronqué devant et derrière, 1 ‘3 fois plus large que long. Mais tandis que sa face antérieure s’arrondit en haut pour passer au sommet, qui est convexe, la troncature postérieure est concave et bordée, terminée de chaque côté, en haut, par une dent trian- gulaire obtuse de chaque côté du sommet. Le bord supérieur FOURMIS DU CONGO 437 du nœud est lui-même relevé. L’abdomen est plutôt petit, de forme ordinaire. Les cuisses antérieures sont un peu renflées. Médiocrement luisante, sauf l’occiput et les pattes qui sont lisses et fort luisants. Tout le reste est extrêmement finement pointillé ou chagriné et légèrement subopaque. Sur le devant de la tête, qui devient presque mat, cette sculplure est plus profonde et plus dense, prenant une direction longitudinale. Pubescence très courte et fort éparse partout. Pilosité dressée nulle, sauf vers l'extrémité de l’abdemen, surtout dessous, où elle est jaunâtre, courte, obtuse et tronquée au bout. D'un roussâtre clair, avec les pattes, les mandibules, les scapes et le premier article du funicule d’un jaune roussâtre. Le reste du funicule et une bande transversale assez étroite à l'extrémité de chacun des deux premiers segments de l'abdo- men d’un brun foncé. S'-Gabriel, Congo (Kour). Je renvoie aux figures 2 et 3. Cette espèce a été prise avec d’autres. Il n’y a pas d'indication sur ses mœurs. Je suppose qu'elle vit sur les arbres, d’où elle était tombée ou descendue. Plagiolepis exigua For. 5 Congo (Ko). Plagiolepis pygmaea Latr. v. punctum For. $ S'-Gabriel, Congo (Ko). Plagiolepis pygmaea Latr. v. mediorufa n. var. $. Longueur: 1"",1—1"",4. Diffère du type de l'espèce par sa taille, et par sa tête plus étroite, qui n’est nullement échan- crée, plutôt convexe derrière, avec les côtés convexes. La cou- leur est caractéristique. Tête et abdomen bruns. Thorax d’un jaune plus ou moins rougeûtre. Cuisses et funicules brunâtres, le reste des membres jaunâtre. S'-Gabriel, Congo (Kour) dans une plante myrmécophile (3 numéros). Cette variété ressemble à s’y méprendre à la PL. (Anacantholepis) Van der Kelleni For. v. polita Sant., mais avec le métanotum d’une vraie Plagiolepis. 438 A. FOREL Acantholepis capensis Mayr. v. anceps n. var. ÿ. Longueur: 2"",4—2"",7. La pilosité est semblable à celle de la race depilis Em. L’'écaille et l’épinotum tendent un peu à la forme de l'A. simplex For. Du reste semblable au type. Congo (KouL), nichant dans la terre. Acantholepis capensis Mayr. r. Junodi n. st. ÿ. Longueur: 2"",5—2"",8. Diffère de la r. incisa For., dont elle a l’écaille bispineuse, par ses pattes et ses scapes, couverts de soies blanchâtres subadjacentes, par les soies jaunâtres et assez pointues du corps, par sa tête beaucoup plus large, par ses scapes plus courts, ne dépassant guère la tête que du quart, enfin par l’incisure moins profonde du thorax. Elle diffère de curta Em. par les épines de l’écaille et par sa tête moins large. Shilowana, Transvaal (Juxon). Reçue du Musée de Genève. Acantholepis simplex For. v. minuta n. var. $. Longueur: 1"",5. Diffère du type, outre sa très petite taille, par sa stature plus robuste et par ses scapes plus courts qui ne dépassent guère le bord postérieur de plus de leur épais- seur. Elle diffère de la v. laevis Sant. en outre par sa couleur noir de jais et par sa tête plus large. Shilowana, Transvaal (Juxop). Reçue du Musée de Genève. Prenolepis Kohlt n. sp. $. Longueur: 37°,6-—47". Mandibules presque mates, très densément striées, armées de 6 dents. Epistome caréné, forte- ment voûté, surtout au quart antérieur et au quart postérieur de la carène. Aire frontale triangulaire ; arêtes frontales presque droites, à peine divergentes ; sillon frontal distinct. Yeux au tiers postérieur, grands. Tête presque d’un quart plus longue que large, à côtés assez convexes, du reste rectangulaire, aussi large devant que derrière, à bord postérieur droit (à peine fai blement concave au milieu et convexe de côté). Le scape dépasse le bord postérieur de la moitié de sa longueur. Articles du funi- cule 3 fois plus longs que larges, le premier plus court. Promé- sonotum faiblement convexe. Mésonotum au moins 1 ‘2 fois FOURMIS DU CONGO 439 plus long que large. Echancrure thoracique assez forte et large. Epinotum bossu ; sa face basale fort convexe ; sa face déclive oblique, presque plane, plus longue que la basale. Les stigmates métanotaux proéminent au fond de la suture. Ecaille très haute, verticale, assez étroite, obtuse au sommet, un peu convexe devant, plane derrière. Pattes longues. Mate ou à peine subopaque. Densément réticulée-ponctuée ; abdomen plutôt subopaque. De gros points enfoncés ou fos- settes un peu allongées sur l’abdomen et l'occiput. Des soies assez grossières, mais pointues, médiocrement abondantes sur l'abdomen et la tête, plus rares sur le thorax, nulles sur les membres. Pubescence diluée partout et courte, entièrement adjacente. D'un roux brunâtre ; pattes et antennes d’un roux Jaunâtre. ® (?) Longueur: 5""—5"",2. Tête bien plus étroite que le thorax, à bord postérieur droit et large. La tête est un peu plus large que longue, dépassée par le scape d’un bon tiers de sa longueur. Le second article du funicule est plus court que les autres, qui ne sont guère plus de 2 fois plus longs que larges. Ailes faiblement enfumées de jaune brunâtre, à nervures brunes. Pilosité plus rare et plus courte que chez l’ouvrière ; écaille moins obtuse au sommet. Brune. Antennes, mandibules ettibias roussâtres. Sculpture, pubescence et tout le reste comme chez l’ouvrière. S'-Gabriel, Congo (Kour). C’est avec doute que je rapporte la Q à l’ouvrière ; elle a un autre numéro, et les différences du funicule et de l’écaille donnent à réfléchir. Cette espèce, malgré son thorax peu rétréci, rentre, comme première espèce afri- caine, dans le genre Prenolepis s. str., qui se trouve ainsi réparti dans les cinq parties du monde, même dans les faunes néarctique et néotropique. Prenolepis (Nylanderia) Butteli For. r. Bryanti n. st. $. Longueur: 2", Aussi petite que le type de l'espèce dont elle diffère surtout par son éclat métallique pourpré. La tête est en outre bien plus étroite derrière, avec les côtés plus con- A) A. FOREL vexes. Le scape est un peu plus court et la scuipture plus forte (tête et thorax presque mats). À part l'éclat métallique, la cou- leur est plus brune. Les tarses et les tibias antérieurs et moyens sont blanchâtres. Mont Matang, Ouest Sarawak (G. E. BryYanT) envoyée par M. DONISTHORPE. Prenolepis (Nylanderia) Grisont n. sp. (Fig. 5.) 5. Longueur: 2"%—2%% 1, Mandibules luisantes, ponctuées, fortement croisées, étroites, à bord terminal fort oblique. Epis- tome subcaréné, convexe. Tête d’un bon quart plus longue que large, presque plus large devant que derrière, où son bord pos- térieur est assez convexe, tandis que les côtés le sont à peine. Yeux au milieu, assez grands et plats. Le scape dépasse la tête Metanotum ---— Epinotum RG 20; Prenolepis (Nylanderia) Grisoni For. Ÿ Profil du thorax. (Emma Forel, del.) de plus des ?/; de sa longueur. Promésonotum assez faiblement convexe. Mésonotum presque 1 1 fois plus long que large. Un long métanotum, aussi long que les % du mésonotum, avec 2 stigmates proéminant en dents au milieu, constituent une constriction notable du thorax. L’échancrure de ce dernier est située entre le métanotum et l’épinotum. Ce dernier forme une bosse très convexe, presque hémisphérique, bien plus haute que le reste du thorax, sans distinction entre face basale et déclive, mais terminée derrière, en bas, de chaque côté, par une petite dent triangulaire, pointue, très nette. Ecaille assez épaisse et fort basse, inclinée en avant, obtuse au sommet, Pattes plutôt longues. Premier segment de l’abdomen avancé devant. Tout le corps lisse et luisant avec des aspérités sétigères et, par-ci par-là, un pli longitudinal. Corps et membres parsemés FOURMIS DU CONGO 441 des soies raides, obtuses, brunes et épaisses propres aux Nylanderia, plus courtes sur les membres que sur le corps. Pubescence très diluée. Abdomen, écaille et épinotum d’un brun très foncé. Tête, cuisses, tibias, scapes et pronotum d’un brun plus clair. Mésonotum, mandibules, funicules, articula- tions et paltes d’un jaune plus ou moins brunätre. Bengemeza, Congo (Kour) dans une plante myrmécophile. Cette singulière espèce, bien caractérisée par la forme de la tête, de l’épinotum et du métanotum allongé, est absolument diffé- rente de Traegaordhi, albipes, Jaegerskiôldi et Weissi, mais il n'est pas impossible qu’elle soit l’ouvrière encore inconnue de Waelbroecki Em., dont je ne connais que le mâle. Prenolepis (Nylanderia) longicornis Latr. v. Hagemannt For. $ S'-Gabriel, Congo (KouL), sous une tuile. Machaeromyrma nov. subgen. Je me permets d’instituer pour le Cataglyphis bombycina Rog. le nouveau sous-genre Machaeromyrma, caractérisé par son grand dimorphisme et par la singulière structure en épée des mandibules du 9}. Le nid et les mœurs de cette espèce sont aussi fort caractéristiques et différents des autres. Camponotus (Dinomyrmex) Wellmannt For. $ major (encore inédite). Longueur : 17°". Tête large de 6°" et longue de 6"",5 (sans les mandibules'. Elle est en forme de trapèze, élargie d'avant en arrière, profondément et largement échancrée à son bord postérieur. Angles occipitaux plutôt étroits, à peine dépassés par le scape obliquement placé. La tête est subopaque, plutôt mate, densément réticulée ou réticulée- ponctuée. Epistome caréné, avec un lobe antérieur rectangu- laire. Tout le reste comme chez la © et l’ouvrière minor. Bamayanga, Congo, Musée du Congo belge. Reçu de M. ScHou- TEDEN. Camponotus(Dinomyrmex) WellmanntiFor.v.rufipartis n. var. $ minor. Longueur : 13"". Tête plus longue et surtout 4492 A. FOREL relativement plus étroite devant que chez le type, plus d’une fois et demie plus longue que sa largeur antérieure : les côtés, assez convexes, divergent bien moins en avant. Le scape ne dépasse le bord postérieur de guère plus que de sa moitié. Le thorax, le funicule et les tarses sont d’un brun roussâtre, en partie roux ; le reste est d’un brun foncé moins noir que chez le type. ?. Longueur : environ 23"", Tête à peine plus longue, mais un peu plus étroite que chez Le type. Couleur comme chez lou- vrière minor, mais les pattes entières, y compris les hanches, et une partie des métapleures sont roussâtres. La pubescence des pattes est un peu plus soulevée que chez le type. œ. Longueur: 12"",8. Mandibules longues à bord terminal tranchant. Epistome comme chez la Q. Tête 1 1/2 fois plus longue que large, à bord postérieur confondu avec le bord articulaire, mais sans cou. Les côtés sont droits et parallèles devant les yeux, convexes et convergents derrière. Le scape dépasse le bord postérieur de ses deux tiers. Ailes teintes d’un jaune un peu roussâtre. D’assez grosses fossettes sur le mésonotum. Brun; tibias, tarses, funicules, mandibules et quelques taches sur le thorax derrière roussâtres. Congo (KouL). Camponotus (Myrmoturba) maculatus F. r. Solon For. ÿ. Lumbulumbu, Congo (KouL), dans un arbre creux. Camponotus (Myrmoturba)maculatus F.r. Brutus For. 5 Q © Congo (Kour). Font la chasse aux Termites et répan- dent une odeur âcre. Camponotus (Myrmoturba) acwapimensis Mayr. $ ©. Fait son nid sous la terre. Congo (Kouxr) (aussi la var. Poultont For.). Camponotus(Myrmoturba) conspicuus Sm. r. Williamsi n. st. ÿ major. Longueur : 10"",5—13%%, Différe du type par ses scapes plus longs, dépassant le bord postérieur de plus d’un FOURMIS DU CONGO h43 tiers de leur longueur, par sa stature plus grêle, par sa tête plus étroite derrière, par son écaille plus épaisse vers la base, par les poils plus longs sur le corps et plus abondants sur les joues, enfin par sa couleur plus foncée, d’un brun châtain uni- forme, avec les hanches et les cuisses d’un roux jaunâtre. Il diffère en outre du fumidus Rog. v. festinatus Wh. par ses poils obliques aux tibias, par ses arêtes frontales plus divergentes, par son épistome plus large devant, par des fossettes sur les joues et par son écaille plus épaisse, presque aussi épaisse à la base que haute. Guadeloupe (Antilles), sur des arbres autour du tronc desquels il construit des tunnels à laide de détritus. Récolté par M. C.-B. Wiziams et reçu par M. DONISTHORPE. Camponotus(Myrmotarsus) nigricans Rog.r. enganensis n.st. ®. Longueur: 18"". Tête, sans les mandibules, longue et large de 5"", Aïles teintes d'un jaune brunâtre. La tête, en forme de trapèze, a Les côtés droit et-le bord postérieur con- vexe au milieu et des 2 côtés, avec une concavité au tiers latéral. Le scape, placé obliquement, dépasse à peine l’occiput. Tète mate, densément réticulée-ponctuée, avec une abondante ponc- tuation espacée. Le front, l’épistome, les lobes occipitaux et les joues sont luisants, seulement réticulés ou chagrinés. Le scape est distinctement déprimé. Mésonotum, scutellum et abdomen lisses et luisants. Epinotum et côtés du thorax réticulés et subopaques. La tête est bien plus large que le thorax. Noir; tarses et funicule bruns. Ile d'Engano près Sumatra, reçu du Musée de Genève. Cette race diffère du type par sa taille plus grande (surtout la tête) et par la sculpture du vertex. Camponotus (Myrmotrema) foraminosus For. s.str. $ Q S'-Gabriel, Congo (KouL), pris nombre de fois dans des plantes myrmécophiles, une fois dans une branche sèche de Cacao, une autre fois dans la Randia myrmecophila v. glabra de WILpE. AAA A. FOREL Q (encore inédite). Longueur : 10""—11"",5. Tout à fait sem- blable à l’ouvrière, en particulier pour la sculpture, la pubes- cence et la pilosité. Mésonotum avec deux arêtes parallèles, mat, ainsi que le scutellum. Les ailes sont colorées de brun roussâtre. Tête plus large que le thorax. Camponotus (Orthonotomyrmex) chrysurus Gerst. r. acutts- quamis Mavr. get ®.c' (encore inédit). Longueur : 11"",8. Ailes d’un jaune brunâtre vers le bord antérieur. Mandibules avec une seule dent et le bord terminal tranchant. Epistome avec un lobe trapé- zoïdal, sans carène. Tête 1 1} fois plus longue que large. Pu- bescence un peu plus faible que chez la Q@. Noir, tarses, man- dibules et funicule brunâtre. Congo (KouL). Camponotus (Orthonotomyrmex) Meinerti For. $ ©. Reçu aussi par M. Wasmanx ; les ouvrières font un peu passage à la r. Reginae For. Camponotus (Orthonotomyrmex) Mayri For. r. Ledieui n. st. $. Longueur : 10%". Plus grand et surtout plus allongé que le type. Tête d’ '/; plus longue que large, avec le bord postérieur fortement convexe, pas plus large derrière les yeux qu'au 6° antérieur. Diffère en outre du type par ses scapes fortement dilatés à leur moitié postérieure, par sa pilosité jaunûâtre fine, bien plus abondante sur tout le corps, oblique sur les membres (longue et dressée sous les cuisses). L’épinotum et le nœud sont en outre grossièrement réticulés et de toute autre forme. L’épinotum n’est pas bordé ; sa face basale est très convexe et se termine derrière, après être redescendue, par une courte face déclive, concave et lisse, sans former d’angle avec elle. Le nœud est aussi épais que sa hauteur, convexe en dessus, très peu plus large que long, avec ses faces antérieure et postérieure subver- ticales (un peu convexes). Cette race diffère de la r. Sankisianus For., surlout par sa sculpture, puis par la forme de l’épinotum et par sa forte pilosité. Le reste est comme chez le type, en particulier la fine sculpture mate, réticulée-ponctuée. FOURMIS DU CONGO 445 Shilowana, Transvaal, récolté par M. Juxon et reçu du Musée de Genève. Un seul exemplaire. Cette race mérite presque de constituer une espèce. Camponotus (Orthonotomyrmex) Maynei n. sp. ÿ. Longueur : 5",3—7"%, % major. Mandibules subopaques, finement réticulées et densément ponctuées : en outre de grosses fossettes, carieuses au fond. Tête d’un sixième plus longue que large, rétrécie et imprimée en travers à son sixième antérieur, puis rectangulaire derrière, avec les bords latéraux à peine con- vexes et le bord postérieur un peu concave; occiput un peu dé- primé derrière. Arêtes frontales longues et divergentes. Epis- tome assez plat, rectangulaire, sans carène, un peu plus long que large, comme chez les Myrmotrema. Yeux au quart postérieur, assez plats. Le scape atteint tout juste l’occiput. Promésonotum peu convexe, subbordé. Pronotum 1 ‘2 fois plus large que long. Mésonotum fortement rétréci derrière. Pas d’échancrure méso- épinotale, mais la suture est fortement marquée. Face basale de l’épinotum carrée, plate, obtusément bordée, légèrement plus longue que large. Face déclive, un peu plus longue que la face basale, plane comme elle, subverticale (faiblement oblique), formant avec la face basale un bord obtus et un angle de peut- être 95 degrés. Ecaille biconvexe, à bord tranchant, médiocre- ment épaisse. Cuisses légèrement renflées au milieu et un peu déprimées. Entièrement subopaque, réticulé-ponctué, avec le thorax mat. La tête est en outre couverte d’abondantes fossettes carieuses au fond, moins denses sur l’occiput que sur l’épistome et les joues, tout à fait identiques à. celles des Myrmotrema. Pilosité dressée assez courte et diluée, d’un blanc jaunâtre, assez épaisse et tronquée à l'extrémité, nulle sur les membres. Une rangée de soies blanches sur l’écaille et 3 ou 4 soies au bout des cuisses et des scapes. Pubescence presque nulle. Noir. Antennes et tarses roux, le reste des pattes et l'extrémité du funicule bruns. $ minor. Tête en trapèze, bien plus large derrière que de- vant, un peu plus longue que large, avec les côtés droits et le Rev. Suisse DE Zoou. T. 24. 1916. 30 446 A. FOREL bord postérieur un peu convexe. Mandibules sculptées comme chez l’ouvrière major. Epistome caréné, de forme ordinaire, en trapèze élargi devant. Les yeux, très postérieurs, sont grands, distants du bord postérieur de la tête seulement du tiers de leur longueur. Le scape dépasse le bord postérieur de plus du quart, presque du tiers de sa longueur. Tout le reste, y compris la face basale de l’épinotum, identique à louvrière major, mais la tête est entièrement mate et n’a aucune grosse fossette carieuse. ®. Longueur : 8"",9. Tête plus longue que large, à côtés et bord postérieur presque droits, distinctement plus large der- rière que devant, avec des angles postérieurs marqués, à courbe brusque. La tête est à peine plus large que le thorax. Face basale de l’épinotum, vue de profil, fortement convexe, séparée du postscutellum par une incisure profonde ; elle est plus courte que la haute face déclive. Du reste comme l’ouvrière major, avec les mêmes fossettes sur la tête. Aïles presque hyalines, très faiblement teintées de jaunâtre, avec les nervures et la tache pâles. Congo (R. Mayxé) Musée de Bruxelles; reçu de M. Scxou- TEDEN. Camponotus (Myrmamblys) Ferreri For. r. akka n. st. $ minor. Longueur : 5"",5. Tête 2 fois plus longue que large, faiblement rétrécie d'avant en arrière, où son bord terminal est en même temps le bord'articulaire. Epistome à bord antérieur laiblement convexe, en forme de trapèze élargi en avant, fort convexe, subcaréné au milieu. Les yeux sont au milieu. Le scape dépasse le bord postérieur des */; de sa longueur. Thorax très étroit (surtout le long épinotum), faiblement et également convexe d’un bout à l’autre. Ecaille conique, épaisse à la base, subacuminée au sommet. Pattes longues et minces. Luisant, faiblement chagriné. Pilosité dressée, très éparse sur. le corps, nulle sur les membres; pubescence très courte et diluée. Tête et abdomen bruns ; tout le reste d’un roux jaunâtre pâle un peu brunûtre. FOURMIS DU CONGO 447 ®. Longueur: 9". Diffère du type (basé sur la Q) par sa pilosité plus éparse, par sa sculpture plus faible devant et par ses mandibules à bord externe courbé. La taille est aussi plus grande, le bord postérieur de la tête plutôt un peu concave au milieu. Epistome subcaréné comme chez l’ouvrière minor. Les yeux sont plus petits, n’occupant guère que le quart des côtés. Le scape est plus long dépassant la tête de plus de 3 fois son épaisseur. La face basale de l’épinotum est bien convexe, mais ne remonte pas distinctement en arrière. Les tibias sont comme chez le type, sans petits piquants. Tout le corps est luisant, faiblement chagriné. Couleur comme chez l’ouvrière minor, mais l’épistome et les joues sont d’un roux jaunâtre bien moins distinct du brun foncé de la tête que chez le type. Congo (KouL). Polyrhachis (Hagiomyrma) ammonoeides Rog. v. Crawleyi n. var. $. Longueur: 5"",5—6"",5. Plus petite que le type. La tête est plus allongée, 1 !/4 fois plus longue que large, son bord postérieur est bien plus étroit et bien plus convexe que chez le type ; la pelisse de l'abdomen est un peu moins mordorée, plus simplement dorée. Du reste identique. Australie du Nord, reçue de M. CRAWLEY. Polyrhachis (Myrma) laboriosa Sm. $ © S'-Gabriel, Congo (KouL). Dans un nid composé de feuil- les, reliées entre elles par un lâche tissus de fils entremêlés de matériaux végétaux. Polyrhachis (Myrma) militaris F. r. cupreopubescens For. v. nkomoensis n. var. ÿ. Longueur : 10"",5—12"", L’épinotum a des épines ver- ticales et fortement recourbées en avant (2 fois plus longues que l'épaisseur de leur base) au lieu de dents, rappelant ainsi la v. epinotalis For., dont elle diffère du reste par sa tête non rétrécie derrière et par sa sculpture qui est comme chez le type de la race. La sculpture est moins dorée que chez le type. Dans ma description de l’epinotalis, j'ai négligé de rendre 448 A. FOREL attentif à sa tête fortement rétrécie derrière les yeux, jusqu’à un bord postérieur presque confondu avec le bord articulaire. Les côtés rétrécis sont néanmoins convexes et les yeux sont très convexes, presque hémisphériques. La stature est aussi plus gréle que chez le type de la cupreopubescens, de sorte que je crois devoir faire de l'epinotalis une race séparée. Q. Longueur : 12"%,5—13"", Tout à fait semblable au type de la race ; ailes brunâtres comme chez le type de l'espèce ; thorax un peu plus large que la tête. L’épinotum n’a que des dents pointues, un peu plus longues que larges. og‘. Longueur : 7%—7mm 5, Ailes un peu plus claires que chez la ®. Subopaque où mate. Pelisse plus faible que chez la Q. Tête 1 !/s fois plus longue que large, avec un bord postérieur convexe assez nel. Congo (KouL); prise avec le Camponotus (Myrmoturba) macu- latus Brutus, faisant la chasse aux Termites. Reçue aussi par M. Wasman. Polyrhachis (Myrma) concava André. ÿ © Congo (Kour). Q (encore inédite). Longueur : 7"",5. Tête comme chez l’ou- vrière, plus étroite que le thorax ; ce dernier n’a de concavité qu'entre les deux petites dents obtuses de l’épinotum, dont la face basale, 2 fois plus large que longue, fortement bordée, est convexe en avant et a les bords latéraux convexes. Le scutellum est subcaréné au milieu. Les ailes manquent. Du reste comme l’ouvrière. Polyrhachis (Myrma) Alluaudi Em. v. anteplana n. var. $. Longueur: 6"",3. Diffère du type de l’espèce, d’après la description, par son épinotum et ses dents plus longues, ainsi que par son pronotum qui est presque plat. La fissure transver- sale mésoépinotale est verticale, très étroite et profonde. Les dents de l’épinotum sont triangulaires, un peu recourbées en avant ; les épines du pronotum sont moins de 2 fois plus lon- gues que la largeur de leur base. Congo (Kouz. FOURMIS DU CONGO 449 Polyrhachis (Myrma) Otleti n. sp. $. Longueur : 6,7, Appartient au groupe de la P. Revoili André et lanuginosa Sant., dont elle diffère par son pronotum bordé. Mandibules subopaques, très finement réticulées, avec d’abondants gros points enfoncés, armées de 5 dents. Tête à peine d’ ‘/; plus longue que large, à bord postérieur convexe et à côtés peu convexes, un peu plus étroite devant que derrière. L'épistome est caréné, peu convexe, fortement avancé en avant en lobe trapéziforme. Le bord antérieur du lobe est court, droit, à peine subdenté à l'extrémité. Arêtes frontales longues, sinueuses, divergentes. Yeux fort convexes, presque semicireu- laires. Le scape dépasse le bord postérieur de presque la moitié de sa longueur. Thorax bordé, à dos assez convexe en tout sens. Les bords du mésonotum et de l’épinotum sont obtus, ceux du pronotum aigus, convexes, se prolongeant devant en deux épines, longues comme 1 ‘2 fois la largeur de leur base. Pronotum 1 ‘2 fois plus large que long; le mésonotum un peu moins large; les deux sutures distinctes. Face basale de l'épinotum rectangulaire, 1 ‘/4 fois plus large que longue, sépa- rée de la face déclive par un rebord transversal très net, un peu interrompu au milieu. La face déclive est oblique, un peu plus courte que la basale, à peine subbordée, un peu concave de profil. Le pétiole a une dent en dessous. Son écaille épaisse et biconvexe est un peu plus haute qu'épaisse, armée de 4 épines, dont les supérieures, 2 fois plus longues que les laté- rales, sont courbées en arrière, à peine plus courtes que leur large intervalle ; le bord supérieur est un peu convexe. Face antérieure de l'abdomen tronquée, un peu concave (faiblement) ; pattes plutôt épaisses, comme la stature de tout le corps qui est robuste. Mate ; abdomen à peine un peu subopaque. Fine sculpture foncière densément réticulée-ponctuée, aussi sur les membres. En outre, la tête et le thorax sont ridés en long, plutôt réticulés sur les côtés. Ces rides et réticulations sont denses, médiocre- ment grossières. Tout le corps et les membres abondamment recouverts d’une pilosité dressée, fine, pointue, jaunâtre, et 450 A. FOREL assez longue, un peu moins abondante sur l'abdomen qui a par contre une pubescence assez diluée, jaunâtre, plus abondante que la tête et le thorax, de même que les membres. Entièrement noire, avec les membres brun foncé; seconde moitié des funi- cules et extrémité des mandibules roussâtres. Q. Longueur : 8"", Toute semblable à l’ouvrière. Tête un peu plus étroite que le thorax. Le pronotum n’a que 2 fortes dents triangulaires. Epinotum, écaille et tout le reste comme chez l'ouvrière. Ailes brunes. Sur le scape on voit très distincte- ment deux sortes de poils, les uns très longs et les autres plus courts. d. Longueur : 6"",7. Tête un peu plus large que longue. Epistome caréné, plus convexe que chez l’ouvrière, à bord anté- rieur convexe, sans lobe. Arêtes frontales très rapprochées devant et très divergentes derrière. Tête un peu plus étroite que le thorax. Ecaille sans épines, épaisse, arrondie au sommet. Articles médians du funicule seulement un peu plus longs qu'épais. Pilosité et pubescence plus faibles que chez l'ouvrière. Couleur identique à celle de la ®, mais les funicules sont entièrement bruns. S'-Gabriel, Congo (Kour). Nid dans la fente d’une écorce d'arbre qui, sur une longueur de 8 cm. et une largeur de 2 i/2, était recouverte d’une toile filée, mêlée de matériaux végétaux. Polyrhachis (Myrma) decemdentata André. ® Congo (KouL). Polyrhachis (Myrma) Spitteleri n. sp. (Fig. 6.) ÿ. Longueur : 4"",5. Mandibules subopaques, très densément striées, avec des points épars et le bord externe assez convexe. Tête en trapèze arrondi, un peu plus longue que sa largeur pos- térieure (au quart postérieur, où elle est large comme 1 2 fois le bord antérieur), avec le bord postérieur très convexe. Epis- tome caréné, biéchancré, convexe, mais sans lobe bien accentué au bordantérieur. Arêtes frontales, sinueuses, divergentes. Yeux médiocrement convexes, un peu en avant du tiers antérieur. Le LL FOURMIS DU CONGO L51 scape dépasse l’occiput d'un fort tiers de sa longueur. Thorax assez convexe, surtout le promésonotum, nullement bordé. Pro- notum 1 !/3 lois plus large que long, bien plus large devant que derrière et moins convexe que chez la monista, portant devant 2 épines un peu aplaties, tout à fait analogues à celles de la m0- nista, mais d’un tiers plus courtes et dirigées subhorizontalement en avant et de côté. Suture promésonotale très distincte, mais nullement enfoncée, au contraire de la monista. Mésonotum 2 fois plus large que long. Au lieu d’échancrure,une incisure étroite entre le mésonotum etl’épinotum, mais de moitié moins profonde que chez la monista. Face basale de l’épinotum rectangulaire, 11/3 fois plus large que longue et terminée par 2 longues épines ; | Ÿ - Epinotum Fic. 6. Polyrhachis {Myrma) Spitteleri For. % (Emma Forel, del.) Profil du thorax. divergentes, subverticales, un peu recourbées en avant, plus longues que la face basale qui est assez horizontale. Face dé- clive subverticale, à peine plus courte que la basale avec laquelle elle forme un angle presque droit, à peine obtus. Ecaille épaisse, biconvexe, mais bien plus haute qu'épaisse, surmontée de 4 épines équidistantes, toutes courbées en arrière, comme chez la monista, les supérieures plus longues que leur intervalle, mais plus courtes et moins fortes que les latérales. Abdomen tronqué et un peu concave devant. Tout le corps mat, finement et densément réticulé-ponctué ; les membres plutôt subopaques avec la même sculpture. La tête et Le thorax sont en outre densément striés-ridés en long (pas très grossièrement). Sur l'abdomen les réticulations font transition à des rides longitudinales plutôt fines. Le corps, surtout le thorax, et aussi en partie les tibias sont couverts de la même pilosité épaisse, presque tronquée, rousse et hérissée 452 A. FOREL qu'on voit chez la montista. Cuisses et antennes sans poils dressés. Pubescence jaunâtre, très courte et adjacente, surtout visible surles membres, où elle est diluée, presque nulle ailleurs. Noire. Tibias, funicules, tarses et extrémité des mandibules brunâtres. Congo (Ko) (N° 5). Cette curieuse espèce (un seul exem- plaire) est très proche parente de la monista Sant., dont elle diffère essentiellement par le manque complet d’incisure pro- mésonotale ainsi que par son épinotum cubique. Le corps est bien moins strié et plus ridé, mat et non pas luisant. Le méso- notum est ridé en long au lieu d'être strié en travers, etc. Polyrhachis (Myrma) monista Sant. ÿ © Kilongalonga, Congo (KoxL), dans un nid de carton qui se trouvait dans une feuille enroulée. Je suppose, qu'ici comme ailleurs, le carton recouvrait un tissu de fils. Polyrhachis (Myrma) Revoilt André. 5 Q © Congo (Kout); pris ensemble. La longueur des épines varie chez l’'ouvrière. Chez les exemplaires de M. Kouz les épines inférieures sont longues comme les */; des supérieures, chez d’autres seulement comme la moitié. L’abdomen est subopaque, parfois assez luisant. Le bord postérieur de la tête est peu con- vexe, presque 2 fois plus large que son bord antérieur extrême. La tête est densément ridée-striée en long, les épines du pro- notum 2 fois plus longues que la largeur de leur base. Le thorax est plutôt réticulé avec direction longitudinale, mais un peu ridé sur le pronotum, dont les épines sont plus larges à la base chez les individus de M. Kouz. Longueur : 5"—6"",5, La femelle, seule décrite par AxpRé, a les ailes brunes. Celles de M. Kouz sont longues de 6."#7—7%%, L’épinotum qui, chez l’ouvrière, a une dent pointue presque verticale et très nette, est, chez la ©, soit complètement inerme, comme le dit ANDRÉ, soit parfois muni d’une petite dent obtuse. Suivant les individus, le mésonotum est simplement réticulé ou il a en outre quelques rides longitudinales. o (encore inédit). Longueur: 4"",5—5"", Ailes d’un brun à FOURMIS DU CONGO 453 peine plus pâle que chez la ©. Mandibules armées de 4 dents. Tête avec un large bord postérieur convexe, presque 2 fois plus large que le bord antérieur. Finement réticulé et subopaque sans sculpture grossière. Ecaille très épaisse et basse, sans dents. Pilosité dressée, éparse partout, très courte et oblique sur les tibias et les scapes. Je ne puis trouver de différences entre Revoili et la descrip- tion de natalensis Sant. Weissi Sant., ne me paraît être qu'une variété plus striée sur le thorax, comme l'indique Sanrsceur. M. Saxrscui a eu la bonté de m'indiquer encore par lettre quel- ques autres différences. Polyrhachis (Myrma) Revoili André v. Donisthorpet n. v. 5 Longueur: 5"",2—5"",6. Epines pronotales bien plus longues que chez le type, mais pilosité identique. Forme de la tête et sculpture, par contre, comme chez la variété conduensis For. North Rhodesia, reçue par M. H. DONISTHORPE. Polyrhachis (Myrma) Revoili André r. Volkarti n. st. ®. Longueur : 6"",5. Beaucoup plus grêle que le type de l’es- pèce. La tête est beaucoup plus étroite et plus allongée, d’un quart plus longue que large, avec bord postérieur un peu rétréci der- rière les yeux, a peine plus large que le bord antérieur. C’est au bord postérieur des yeux que la tête est le plus large. L’épis- tome caréné à un lobe antérieur bien plus long que chez le type. Le scape dépasse Le bord postérieur de plus de la moitié de sa longueur (du moins chez le type). Thorax bien plus large que la tête. Pronotum bidenté. L’épinotum a deux angles à peine dentiformes ; il est du reste comme chez le type. Ecaille plus étroite et plus haute que chez le type; ses épines supé- rieures, fortement recourbées en arrière à l'extrémité, ne di- vergent que faiblement. Les épines latérales sont très courtes, seulement un peu plus longues que la largeur de leur base. Tout l’Insecte est mat, densément réticulé-ponctué ; les cuisses seules sont subopaques. La tête est longitudinalement ridée ; de même les côtés de l’abdomen. Le mésonotum a quelques 454 A. FOREL faibles rides longitudinales. La pilosité dressée est notablement moins abondante que chez le tvpe, surtout sur l'abdomen où elle est rare ; aussi un peu éparse sur les membres. La pubes- cence est, par contre, au moins aussi abondante que chez le type, mais un peu plus courte. Noire, Mandibules et membres bruns ; moitié terminale du funicule roussâtre. Congo (KouL). Un seul individu. L'étude des formes précédentes montre les transitions du Sous-Genre Myrma Bill. au Sous-Genre Cyrtomyrma For. par les formes Otleti, Spitteleri, Monista et Revoili. On peut douter si l’on doit rattacher ces trois dernières formes au Cyrtomyrma ou au Myrma. Par contre, pour les deux suivantes, surtout pour l’'Alexisi, je crois que le doute n’est guère possible. Polyrhachis (Cyrtomyrma) Kohli n. sp. $. Longueur : 4%%,5--5%%,5. Mandibules subopaques, densé- ment ponctuées et striées vers la base, armées de 4 dents, à bord externe peu convexe. Toutle corpstrès étroitetgrèle. Tête 1'/2 fois plus longue que large, sans bord postérieur autre que le bord arti- culaire. Derrièrelesyeux,sescôtésconstituentune forte convexité, à peu près semicirculaire ; devantles yeux, ils sont presque droits, convergeant un peu en avant. Situés au milieu, les yeux sont fort convexes, presque semicirculaires, occupant presque le quart des côtés. Epistome sans carène, avancé devant en lobe arqué, assez convexe de profil. La tête est assez épaisse de dessous en dessus, bordée en dessous d’une arête longitudi- nale. Le front est peu convexe devant, mais fortement courbé au milieu des arêtes frontales qui, jusque-là, sont distinctement convergentes et assez relevées; puis elles divergent modé- rément en S. Le scape dépasse le bord articulaire de la tête des */; de sa longueur. Le thorax est bien 3 fois plus long que large. Le pronotum, un peu plus long que large, a deux dents triangulaires assez obtuses, un peu plus longues que l’épais- seur de leur base. Mésonotum d’un quart plus large que long. Face basale de l’épinotum d’un quart plus longue que large, bordée derrière d’une arête vive assez élevée et interrompue au milieu par une échancrure. De côté, cette arête constitue un FOURMIS DU CONGO 455 angle dentiforme, à partir duquel elle se continue en avant, bordant de côté les premiers ?/; de la face basale. Le reste du dos du thorax n’est pas bordé, à part la première moitié du prono- tum, devant et de côté, bordée par la continuation de sa dent. Face déclive de l’épinotum un peu plus courte que la basale, ayant vers le bas deux stigmates proéminant en dents obtuses et une petite carène médiane vers le haut. Ecaille très épaisse, bicon- vexe, presque aussi épaisse que sa hauteur, surmontée en haut de deux épines droites, subverticales (peu divergentes), aussi longues que leur intervalle. De côté, elle a en outre 2 dents latérales pointues, plus longues que larges et rapprochées des épines. Abdomen un peu concave devant, vers le bas. Pattes longues et grêles. Subopaque. La sculpture consiste partout en réticulations plutôt fines, entremêlées sur la tête et le thorax de rides longi- tudinales plus ou moins distinctes et pas très grossières. Pilo- sité dressée, fine, jaunâtre, plutôt longue, abondante sur la tête, le thorax, les tibias et les scapes, moins abondante sur l’abdo- men et les cuisses. Pubescence longue et très distincte, égale- ment répartie sur tout le corps et les membres, jaunâtre, mais ne formant nulle part un duvet et ne cachant nullement la sculp- ture. Noire ; membres d’un brun foncé ; une grande partie des tarses et des tibias, extrémité des mandibules, et les “/; termi- naux des funicules roussâtres. ©. Longueur : 6"",5. Identique à l’ouvrière, mais le prono- tum n’a que 2 petites dents obtuses. Thorax un peu plus large que la tête et presque entièrement mat. Les ailes manquent. Les épines supérieures de l’écaille sont à peine plus longues que les ?/; de leur intervalle ; les dents latérales pas plus longues que larges. Tout le reste comme chez l’ouvrière. Congo (Kour). Cette espèce est remarquable par sa taille étroite et grêle. Polyrhachis (Cyrtomyrma) Alexisti n. sp. (Fig. 7.) $. Longueur: 3"%,5—4"%, Mandibules luisantes, assez lisses, faiblement ponctuées, armées de 5 dents. Tête trapéziforme, un peu plus longue que sa largeur vers les yeux, à côtés très peu con- 456 A. FOREL vexes. Le bord postérieur, faiblement convexe, est large au moins 1 1/2 fois comme le bord antérieur. Epistome convexe, sans carène, avec un lobe antérieur trapéziforme, bidenté devant, droit entre les dents. Arêtes frontales très rapprochées entre les articulations des antennes, divergentes devant et derrière où elles sont sigmoïdes. Yeux au quart postérieur. Le scape dépasse l’occiput d’au moins les ?/; de sa longueur. Thorax 1 fois plus long que large. Pronotum 2 fois plus large que long, bordé devant et de côté jusqu’à sa moitié, formant à ses angles antérieurs une dent très large, subhorizontale, assez pointue, mais à base si large qu’elle ne la dépasse que de peu, tout en constituant l’angle qui sépare les côtés du devant. Mésonotum 77 Epinotum Fire. 7: Polyrhachis (Cyrtomyrma) Alexisi For. Ÿ (Emma Forel, del.) Profil du thorax. presque 3 fois plus large que long. Suture mésoépinotale peu distincte. Tout le thorax est fortement convexe en tout sens. Mais l’épinotum, extrêmement haut, est aussi extrêmement court, formant derrière, d’abord une forte convexité, dans un sens presque vertical, puis, plus bas, une concavité allant jus- qu'à l’articulation. On peut à peine distinguer une apparence d'angle entre ce qui serait une face basale convexe et une face déclive concave. De droite à gauche, l’épinotum est, de même, fortement convexe, sans trace de bord, de dents ni d’épines. Ecaille biconvexe, assez épaisse, surmontée de deux épines droites, un peu plus longues que la moitié de leur intervalle, et de deux dents latérales pointues, un peu plus longues que larges. Abdomen très convexe. Subopaque. Tête densément striée en long, plutôt réticulée sur les côtés, avec l’épistome assez finement et irrégulièrement réticulé. Tout le reste du corps est densément réticulé ou réti- er FOURMIS DU CONGO 457 culé-ponctué, avec quelques rides longitudinales assez indis- tinctes sur le thorax. Pilosité dressée nulle, sauf aux deux extré- mités du corps, qui ont quelques poils. Pubescence très courte et très diluée sur le corps, un peu plus distincte sur les membres, jaunâtre. Noire, membres brun foncé ; funicule, sauf le premier article, et extrémité des mandibules, d’un roux jaunâtre. ©. Longueur: 5,5. Tête beaucoup plus longue que chez l’ouvrière, d'un bon quart plus longue que large, en trapèze peu marqué, seulement un peu plus étroite devant que der- rière ; Le bord postérieur est peu convexe. Thorax plus large que la tête, court, haut. L’épinotum a une face basale très con- vexe, mais assez marquée, passant par une courbe à une face déclive subverticale et deux fois plus haute qu’elle. Abdomen tronqué et un peu concave devant (chez l’ouvrière aussi). L’épi- notum a des rides transversales assez distinctes, tandis que le mésonotum et le scutellum ont la même sculpture que chez l’ouvrière. Sur la partie postérieure de l'abdomen les réticula- tions tendent à se transformer en ponctuation très dense. Les ailes manquent. Tout le reste comme chez l’ouvrière. Congo (KouL). Cette curieuse espèce ressemble à la P. Cyr- tomyrma) laevissima Sm., mais s’en distingue non seulement par sa petite taille et par sa sculpture, mais encore par la grande hauteur de son épinotum bossu. Je la dédie à la mémoire de mon grand-oncle Alexis FOREL qui guida mes premiers pas dans l’entomologie dès 1859. Nous devons à M. Hermann KouL, outre de nouvelles formes de Fourmis très intéressantes, entre autres celles des plantes myrmécophiles, de fort importantes données biologiques qui viennent éclaircir les mœurs de beaucoup de formes. APPENDICE. L'interdiction récente de répéter le même nom dans le même genre pour les variétés me contraint à renommer les formes suivantes : Camponotus (Myrmoturba) Gallienit n. sp. de Madagascar (= concolor For. 1891 nec. Alu v. concolor 1890). 458 A. FOREL Camponotus (Myrmoturba) oblongus Sm. v. binominata n. var. (— v. opaca For. 1907, nec. Emery 1899). Camponotus (Myrmoturba) maculatus F.r. carolinus n. st. — luteolus Em. 1905 nec. r. hova For. v. luteola For. 1897). Camponotus (Orthonotomyrmex) lateralis OÙ. r. spissinodis n. st. (déjà renommé) (= crassinodis For. 1894, nec. C. macula- tus F. r. mitis Sm. v. crassinodis For. 1892). Dolichoderus Taschenbergi Mayr. v. wheeleriella n. var. (=. gagates Wh. 1905, nec. sp. gagates Em. 1890). De plus je me permets de donner le nom d’Esdras n. var. à une petite variété du Camponotus (Myrmobrachys) planatus Rag. longue de 4-4"",3, provenant d’Orizaba, au Mexique, variété qui se distingue par sa couleur tachetée de roussâtre et de brun sur la tête, le thorax et l'abdomen. Je l'avais appelée variegata in litt., nom déjà emplové par Sm. en 1858. Dernièrement M. Emery (Académie des Sciences de Bologne, 21 mars 1915, page 6) a institué un nouveau sous-genre qu'il nomme Attomyrma du genre Aphaenogaster, avec subterranea comme type. La seule différence appréciable consiste dans le thorax étroit des femelles chez les Aphaenogaster s. str. (type testaceo-pilosa Luc.). M. EmErY supposait alors que les Aphaeno- gaster sens. str. n'avaient pas d'ailes chez la ® ou simplement des rudiments, ce qui est une erreur, car je possédais depuis longtemps des © ailées de testaceo-pilosa et plus tard M. EMERY en a élevé lui-même. M. Emery place de plus les Aphaeno- gaster longiceps et Sagei For. dans ses Attomyrma, lors même que ce dernier n'a qu’une seule cellule cubitale aux ailes. Le fait d’avoir le thorax plus ou moins large variant suivant les races d'une même espèce, même parfois suivant les individus (M. Emery cite lui-même la v. Tyrrhena du Messor barbarus structor), je ne puis admettre qu'on fonde un sous-genre sur pareils caractères et je me refuse à adopter le sous-genre Atitomyrma Em., qui contient des formes hétérogènes. Je laisse le Sage dans le sous-genre Deromyrma For. M. Emery m'écrit qu'il considère mon Atopula Jacobsoni (Fauna simalurensis 1915, page 25) comme un Leptothorax. Je suis d'accord (voir ibidem page 27), mais dans le cas il faudra 59 > FOURMIS DU CONGO aussi faire de l'A. ceylonica Em., avec la var. Taylorti For., des Leptothorax et non des Atopula. M. Emery a fondé une r. æegyptiacus du C. (Myrmoturba) maculatus F., qui n'est à mon avis qu'une simple variété à tibias jaunes (Emery, Bull. Soc. Ent. France, 10 février 1915, p. 79). En effet: 1° M. Emery ne cite pas les caractères de la couleur du corps du maculatus indiqués par LaTReiLze. 2° Je possède moi-même des m#aculatus typiques à tibias brun-noir provenant de l'Afrique équatoriale ($ @ d') qui ne sont pas le melanocnemis Sant. 3° M. Emery n'indique pas les caractères les plus importants du melanocuemis. Ce dernier n’est en tout cas pas synonyme de la var. aegyptiaca Em. qui ne me paraît différer du type que par la couleur des tibias. M. Emery pense que mon sous-genre Caulomyrma (de Lepto- thorax) est synonyme du genre Nesomyrmex Wh. Ce dernier n'est fondé que sur une seule Q et se distingue, outre les an- tennes de 11 articles, par sa tête bordée derrière. Ne connais- sant pas le type de Nesomyrmex, je maintiens, provisoirement du moins, et jusqu'à plus ample information le sous-genre Caulomyrma. Quant à la suppression, ou plutôt à la transfor- mation en sous-genre du genre Dicroaspis Em., je pense aussi qu'il vaudrait peut-être mieux attendre de plus amples connais- sances. Dans le Bulletin de l'American Museum of Natural History, 1915, p. 395, M. WHE£ELER croit devoir identifier ma Solenopsis pylades avec la saevissima Sm., prétendant que la description de Suiru s'applique parfaitement à la Pylades jaune. Il en fait de plus une simple race de geminata, disant que Xyloni Mac Cook et maniosa Wh. sont intermédiaires. Je ne puis absolument pas admettre la synonymie de M. WHE£ELER, car : 1) je possède des geminata et des pylades de toutes les parties de l'Amérique tropicale à l’est des Andes ; 2) Je conteste que la description de Suirx permette de savoir à laquelle des deux espèces appar-. tient sa saevissima. Il ne dit pas un mot de la structure des mandibules et parle même distinctement d'un « worker minor » qu’il décrit séparément de la grande %, ce qui va bien mieux à la geminata qu'à la Pylades. Je maintiens donc le nom de 460 A. FOREL Pylades. Reste la question des intermédiaires que je n’ai jamais vus ni du Brésil, ni de Colombie, ni de l’Argentine où la Pylades seule paraît exister. La différence entre les ouvrières major et les © de Pylades et de geminata est si grande que jusqu’à nou- vel ordre je crois devoir maintenir la différence spécifique, malgré les formes plus ou moins intermédiaires des Etats-Unis. A bien des égardsles $. aurea Wh. et Gayi Spin. ne sont certes pas plus différentes de geminata que la Pylades. Enfin je propose le nom de Myrmoplatys n. subgenus pour le groupe asiatique des Myrmomalis, qui décidément diffère trop du groupe néotropique pour y demeurer. Type: Korthalsiae Em. Dans les Myrmoplatys c'est surtout chez la © et chez l’ouvrière, seulement devant, que la tête est déprimée. La chitine est en général lisse. MM. Morrice et DurranT (Trans. Ent. Soc., London 1914, page 421 [1915]) ont institué en remplacement du Genre Lasius F. (1804) qu'ils disent tombé par synonymie de Lasius Jurine (1801, Apide), un nouveau Genre Donisthorpea. Mais ces auteurs ne tiennent aucun compte des sous-genres Acanthomyops Mayr. Dendrolasius Ruszky et Chthonolasius Ruszky, dont le dernier est à mon avis synonyme de Lasius s. str. et ne pouvait être maintenu. Donc, suivant mon opinion, la synonymie doit être la suivante, si MORRICE et DURRANT ont raison : Genre Acanthomyops Mayr. (1862) — Lasius F. 1804 (non Jurine 1801) — Donisthorpea Morrice et Durrant ; Type : claviger Roger, Subgen. Chthonolasius Ruszky, ‘type : niger L. (flavus ex. Ruszky). Sugen. Dendrolasius Ruszkv, type : fuliginosus Latr. P.S. M. Emery m'écrit qu’à son avis il vaudrait mieux prendre pour Lasius le nom nouvellement déterré par WHEELEr de For- micina Shuck., nom en partie basé sur le Lasius flavus. Je n’ai rien à y opposer, pourvu qu'on en finisse une bonne fois avec ces déménagements perpétuels des anciens noms. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 24, n° 6. — Juillet 1916. Acridides nouveaux ou peu connus du Muséum de Genève PAR J. CARL Assistant au Muséum de Genève. Avec la planche 2. Parmi les Acridides non déterminés qui se trouvent au Mu- séum de Genève, nous avons rencontré un certain nombre d'espèces nouvelles, de provenances diverses, et d’autres dont la position systématique ou la synonymie donne lieu à quel- ques remarques. Trop peu nombreuses pour servir de base à une étude monographique, ces observations nous semblent cependant dignes d’être publiées sous forme de notes qui se succéderont au fur et à mesure de nos recherches. Des cir- constances indépendantes de notre volonté nous obligent à adopter ce mode de publication, bien qu’il manque d'unité au point de vue systématique et géographique. Pour remédier jusqu’à un certain point à cet inconvénient et pour faciliter aux spécialistes la consultation de ces notes, nous donnerons à la fin de ce mémoire un index des espèces et des genres dont nous parlerons. I. PYRGOMORPHINÆ. Tapesia cuisinieri n. sp. ©. Espèce de grande taille. Brune ; la tête et Le pronotum brun rougeûtre ; ce dernier passant au jaune vers le bord postérieur. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 31 462 JS UICARE Ù Antennes, dessous du fastigium et pattes antérieures noirs. Fémurs intermédiaires et postérieurs noirs sur les faces interne et inférieure, bruns sur les faces externe et supérieure ; genoux postérieurs noirs ; übias intermédiaires et postérieurs noirs, avec la moitié basale de la face externe brune à l’exception du condyle ; tarses noirs. Métanotum et la base des 1°" et-2%° segments abdominaux noirs ; chaque segment ventral avec une petite tache noire brillante dans l’angle antérieur ; plaque sous- sénitale noire, avec deux taches triangulaires brunes. Fastigium un peu plus court que large à la base, légèrement ascendant et un peu concave, étroitement arrondi à lextrémité, avec les côtés peu courbés. Front, vu de côté, sinué en angle obtus. Antennes atteignant vers l’arrière le bord postérieur des lobes latéraux du pronotum. Pronotum très semblable à celui de T.spumans, avec la prozone un peu plus large que la méta- zone ; celle-ci légèrement élevée, avec les bourrelets radiants très obtus, Le bord postérieur arrondi et offrant quatre petites côtes. Elytres ovalaires, avec la nervulation testacée et les aréoles noirâtres. Ailes très atrophiées. Abdomen lisse et brillant ; les tergites cependant assez régu- lièrement ponctués vers leur bord latéral. Fémurs postérieurs faiblement et graduellement atténués vers les genoux, non sinués devant ceux-ci; carènes obtuses. Fémurs intermédiaires distinctement dilatés vers l'extrémité. ©. Longueur du corps : 60"". » des antennes : 19". » du pronotum : 17". » des élytres : 1677. Largeur » TES Longueur des fémurs postérieurs : 26". 1 ©. Konakry, Guinée française. (L. Cuisinier leg.). Cette espèce est, par certains caractères, voisine de deux autres espèces de l'Afrique occidentale, T. oberthüri Bol. et T. anchietae Bol. Elle se rapproche de la première par la forme et la brièveté des élytres et de la seconde par les antennes plus ACRIDIDES 463 longues et l'abdomen non rugueux. Par contre, elle se distingue des deux, outre certaines particularités de la couleur, par sa taille plus grande et par les fémurs postérieurs relativement plus longs. Monistria vinosa n. sp. g'. D’un rouge vineux très foncé; le vertex étroitement bordé d'orange, cette couleur se continuant sur la carène fron- tale entre les antennes; une étroite bande ferrugineuse com- mence à la base des antennes, traverse les joues et se prolonge, en devenant plus large et plus floue, dans la partie inférieure des lobes latéraux du pronotum. Les tergites abdominaux por- tent sur les flancs une série de petites taches rouge clair, à peine calleuses, une bordure latérale jaunâtre et des marbru- res jaunâtres au-dessus de celle-ci, sur les derniers segments ; le ventre jaune porte une bande médiane pourpre, diffuse, qui s’élargit sur les derniers segments et renferme ici des macu- les jaunes. Pattes de la couleur du corps, les fémurs posté- rieurs un peu plus clairs en dessous ; épines des tibias blan- châtres, à pointe noire. Front non sinué. Fastigium du vertex à peu près aussi long que large. Antennes épaisses, courtes, à peine plus longues que le pronotum. Apophyse du prosternum semiélliptique, creuse vers l'avant, non épaissie à l'extrémité comme chez HW. pustulosa. Elytres ovalaires, larges. Extrémité de l’abdomen comme chez le œ de M. pustulosa Stäl . Longueur du corps : 23". » du pronotum : 5,5. » des élytres : 2"",5. » des fémurs postérieurs : 13%, L '. Kosziusko, Nouvelles-Galles du Sud, 1600 à 2000 m. d'altitude. Cet exemplaire se distingue du SG de 1. pustulosa Stäl par le 464 JAICARÉ corps plus robuste, la couleur générale, l’absence des callosi- tés, la brièveté des antennes et la forme de l’apophyse du prosternum. Il se pourrait que ce soit le G° de M. ligata Bol. Monistria profundesulcata n. sp. Q. Gette espèce se distingue de tous ses congénères par son pronotum qui, vu de profil, n’est pas légèrement bombé en avant du sillon typique, mais très légèrement enfoncé, et porte des sillons très marqués; le premier sillon, près du bord anté- rieur, qui, chez les autres espèces, est nul ou indistinct sur le dos, est ici très profond et large sur tout son parcours ; lPétroit espace entre ce premier sillon et le bord antérieur du prono- tum, ainsi que la métazone, sont densément et assez grossiè- rement ponctués ; l’espace entre le premier et le dernier sillon est lisse sur les côtés, très finement ridé sur le dos entre les sillons. Couleur générale jaune-ferrugineux ; les */; distaux des an- tennes, le mésothorax, les côtés du dos du métathorax et une tache sur la base des élytres sont noirs. Les arcs géniculaires des fémurs postérieurs sont rouge-brun, les tibias postérieurs deviennent foncés vers l'extrémité, surtout en dessous. Le corps ne porte pas de callosités colorées. Antennes relativement longues, presque deux fois aussi lon- gues que le pronotum. Fastigium du vertex plus long que large et distinctement ascendant. Front vaguement sinué. Apo- physe du prosternum en forme de langue, à bord tranchant et non épaissi au sommet comme chez M. pustulosa. Elytres en ovale très large et un peu irrégulier, le bord interne moins fortement courbé que le bord externe. Longueur du corps : 34". » du pronotum : 7", » des élytress tn » des fémurs postérieurs : 14", 1 ©. Australie. a ACRIDIDES 465 Genre Pseudomorphacris n. gen. L'examen du type ® de BRuNNER, conservé au Musée de Gênes, et d’un exemplaire identique de Palon (Pegü) nous a montré que Westra notata Br. n'appartient pas au genre Tagasta Bol. (— Mestra Stai), mais doit être considérée comme type d’un genre nouveau, intermédiaire entre les sections Tagastae et Atractomorphae de Bozivar. Il se distingue des Tagastae par les fémurs postérieurs, dont la face inférieure externe est aussi large que la face externe médiane et se rencontre avec celle-ci sous un angle presque droit. Les lobes réfléchis du pronotum ont le bord postérieur légèrement et régulièrement arqué et l’angle postérieur aigu, mais non prolongé en arrière (par opposition à Afractomorpha et Buyssoniella). Les tibias postérieurs sont ronds dans les 2/3 basaux et ont les bords supérieurs obtus dans le 1}; distal, comme chez Tagasta. Le 2" article des tarses postérieurs est beaucoup plus court que le 1°" (ce qui le distingue du genre malgache Schulthessia Bol.). Le prosternum a le bord antérieur épaissi, mais complètement dépourvu de tubercule. Pseudomorphacris notata (Br.) Chez la Q, les élytres sont beaucoup moins fortement arron- dis à l’extrémité, qu'ils ne le sont d’après la figure de BRUNNER chez le G', plutôt subacuminés. La lame supraanale et les cerci de la ® se prolongent en pointe spiniforme. Orthacris incongruens n. sp. d. Tête et corps d’un vert olivacé intense, avec une étroite bande latérale claire depuis les antennes jusqu’à la base des hanches postérieures ; cette bande est jaune devant les yeux et sur les pleures, vert clair sur les joues et sur le pronotum, et bordée de callosités rouges sur ce dernier, du côté supérieur ; les pattes antérieures et moyennes sont d’un vert rougeûtre, les fémurs postérieurs sont roux, les tibias postérieurs, par contre, 466 FICRET vert olivacé comme le corps. Le tympan du 1° segment abdo- minal est bien développé. Les tibias postérieurs sont pourvus d’épine apicale externe. Le sommet du vertex est très obtus. Le prosternum porte un tubercule conique aigu assez long. Les lobes mésosternaux sont séparés par un espace plus large que la moitié de chaque lobe. Dernier tergite abdominal sinué de chaque côté, mais assez profondément incisé (non sinué en arc) au milieu ; ses deux lobes sont triangulaires obtus. Lame supra- anale triangulaire, carénée. Gerci coniques, légèrement recour- bés vers le bas à l'extrémité, pas beaucoup plus courts que la lame supraanale. Lame sous-génitale en capuchon presque hémisphérique, non comprimée, offrant une petite carène médiane dans sa partie ascendante. Longueur du corps : 20". » » pronotum : ns pe » des fémurs postérieurs : 10". 1 G. Indes. Cette espèce se rapproche beaucoup de ©. filiformis Bol. et ruficornis Bol., par la présence du tympan et de l’épine apicale externe sur les tibias postérieurs, comme aussi pour la colora- üon du corps; mais elle s’en distingue par les fémurs posté- rieurs plus longs, l'intervalle mésosternal plus large, la lame sous-génitale non comprimée, etc. Verdulia dohrni Bol. Deux © très décolorées correspondent assez bien à la diagnose de cette espèce, connue de Sumatra; mais les élytres et les fémurs postérieurs sont plus longs : Longueur des élytres 22", des fémurs postérieurs 19", 2.Q. Java. Geloius finoti Bol. Cette espèce est remarquable par son dimorphisme sexuel tres prononcé. Bozrvar le fait ressortir pour ce qui concerne ‘dé ACRIDIDES 467 la forme des antennes, des fémurs antérieurs et la taille, mais il ne mentionne pas les grandes différences de coloration. d. Le pronotum est brun foncé, avec quelques granulations claires au milieu du dos et deux grandes taches arrondies, jaune clair, un peu calleuses, penchées l’une vers l’autre, dans la moitié inférieure des lobes réfléchis. Le mésonotum et le mé- tanotum sont jaunes, avec quelques petites taches foncées ; les pleures sont noirâtres. L’abdomen, en dessus, est brun fon- cé, faiblement bariolé de jaune ; l'extrémité et le ventre sont jaune-brun. Fémurs postérieurs jaune paille sur toute la face externe, avec la face interne bleuâtre jusqu’au milieu et oran- gée vers les genoux. Tibias postérieurs orangés dans la moitié basale, noirâtres dans la moitié distale. La ® est beaucoup plus bigarrée. Le pronotum est en ma- jeure partie jaune, avec un dessin brun en forme d’aigle double sur le dos, quelques petites taches noires sur les lobes réflé- chis et une rangée de taches punctiformes noires le long des bords antérieur et postérieur. Les segments de l’abdomen sont jaunes, avec des marques foncées assez constantes, notamment un triangle brun sur le dos au bord postérieur et 5 points noirs disposés en triangle, dont la base est le bord antérieur du segment et dont la pointe est marquée par le plus grand de ces points et se trouve au milieu du dos de chaque segment, à la même place que la pointe du triangle brun ; en outre, chaque segment porte sur les côtés 3 points noirs un peu plus grands, disposés en triangle obtus. Ventre jaune brunâtre. Pattes mar- brées de brun et jaune. Fémurs postérieurs bruns sur la face externe et plus ou moins marbrés de jaune, avec une grande tache antémédiane arrondie, jaune, qui occupe toute la largeur de la face externe et supérieure; les genoux sont également jaunes ; la face interne est noire, marquelée de jaune vers les genoux. Tibias postérieurs noirs, avec une petite partie basale jaune correspondant à la longueur des genoux des fémurs, et la face supérieure tout entière, ou au moins son bord externe, jaune. Ces différences de couleur du corps et des pattes des deux 468 J. CARL sexes sont si marquées et si constantes qu’onse croirait en pré- sence de deux espèces différentes !; mais la couleur de la tête est la même dans les deux sexes : elle est jaune terne; le fasti- gium du vertex est brun; le vertex offre une bande brune, élar- gie vers l'arrière, où elle est rejointe par deux stries brunes obliques, qui partent de la partie supérieure des yeux; la face porte une bande transversale brune entre les yeux et une autre bande au milieu, cette dernière se prolongeant à travers les joues. Tous ces dessins de la tête sont un peu moins apparents chez la © que chez le &. | II. CYRTACANTHACRINEÆ. A. Espèces asiatiques et australiennes. Quilta mitratum Stal. Le genre Quilta a été très bien caractérisé par SrâL. La seule espèce qu’il renferme, Q. mitratum Stäl, des Iles Keeling ? dans l’Océan indien, n’avait pas été retrouvée depuis sa découverte. Les exemplaires du Muséum de Genève, provenant de Java, concordent bien avec la description originale, sauf pour ce qui concerne la couleur. Ils portent tous une bande foncée, très étroite chez la ©, un peu plus large chez le G', qui commence derrière les yeux et s’étend le long du bord supérieur des lobes latéraux du pronotum jusqu’à l'insertion des élytres ; Les fémurs postérieurs portent le long du milieu de la face externe une série de points noirs au nombre de 3-10. Ces différences de coloration peuvent s'expliquer par le fait que les exemplaires de Sri étaient conservés à l’alcool. Les cerci du G' sont grèles et relevés presque verticalement, la plaque suranale est forte- ment acuminée vers l'extrémité, sillonnée dans sa moitié basale. ! Nous nous sommes adressé à M. Bozivar pour avoir la confirmation de ce fait ; mais nous n'avons pu obtenir jusqu'à présent aucun renseignement. ? Non pas Keelong, comme l'indique Kirsy (Syn. Cat.Orthopt. vol. 3. p. 392). ACRIDIDES 469 Longueur du corps : G 22"", ® 26"". » du pronotum : G 4"",5, Q 6". » désélytres:/0' 18"; 92278, » des fémurs postérieurs : gf 12", Q 14%, é 0:09 0° Java. [| Q. Cochinchine. Ce dernier exemplaire représente peut-être une espèce auto- nome ; il ne porte point de bandes sur la tête et le thorax, ni de points noirs sur les fémurs postérieurs ; par contre, les genoux postérieurs sont noirs, le lobe postérieur du pronotum, la base des élytres et le fastigium du vertex sont brun fuligi- neux. Les élytres sont plus longs que chez les exemplaires de Java. Rexx ! a décrit sous le nom de Quilta pulchra, une espèce de Sumatra, qui se distinguerait de Q. mitratum Stal précisé- ment par l’absence des principaux caractères génériques de Quilta ! Cette espèce appartient donc à un autre genre. Genre Macroquilta n. gen. Genre appartenant au groupe des Oxryae Br. Q@. Front, vu de côté, modérément oblique ; carène frontale effacée à proximité du clypeus, largement sillonnée dans toute sa longueur, à bords très obtus et droits ; carènes latérales assez saillantes, légèrement déviées vers les yeux au-dessous des antennes. Yeux un peu plus longs que la distance entre leurs bords inférieurs et la base des mandibules. Fastigium du vertex plus large que long, obtus. Pronotum arrondi dans la prozone, légèrement déprimé dans la métazone; vu d’en haut, légèrement ensellé et un peu di- laté vers l'arrière, dépourvu de carènes latérales. Métazone un peu plus courte que le reste du pronotum, son bord postérieur obtusément arrondi. Bord inférieur des lobes réfléchis formant au milieu un petit lobe arrondi; ce bord est épaissi en 1 Bull. Amer. Museum of Nat. Hist., vol. XXVI, p. 190, fig. 14, 15. — 1909. 470 J. CARL bourrelet sur toute sa longueur, mais surtout dans sa partie postérieure, qui de ce fait est distinctement relevée vers l'angle postérieur, formant en dessus une sorte de gouttière et offrant en dessous un court pli dans lequel s’engage le bord supérieur des hanches antérieures; angle postérieur saillant, émoussé. Tubercule du prosternum long, conique, aigu. Lobes mésosternaux et métasternaux distinctement séparés. Elytres et ailes bien développés. Bord apical dorsal des fémurs postérieurs avec une épine médiane très distincte et les angles supérieurs interne et ex- terne prolongés en une épine (comme chez Quilta Stäal). Lobes géniculaires prolongés en une épine très aiguë. Tibias postérieurs dilatés vers l’extrémité, à bords lamellai- res et tranchants ; l’épine apicale externe bien développée. Valves génitales de la @ crochues à lextrémité; leur bord denticulé. Ce genre rappelle Quilta Stäl par les angles dorsaux très aigus des genoux, mais s’en distingue par le fastigium du ver- tex beaucoup plus court et diffère de tous les genres de ce groupe par la conformation du bord inférieur du pronotum. Certains caractères des élytres.et de la lame sous-génitale de la © ont peut-être dans ce cas, eux aussi, une valeur généri- que ; mais comme ils se présentent sous une forme analogue aussi chez certaines espèces du genre Oxya, mais font défaut chez d’autres espèces de ce genre, nous préférons les réserver pour la description de l’espèce. Macroquilta longipennis n. sp. Fig. 1, 2. Q.Vertjaunâtre. Tête presque unicolore, avec de faibles ponc- tuations foncées sur la face et des traces d’une ligne postocu- laire oblique ; le bord du fastigium du vertex assombri. Pronotum lisse et luisant, faiblement coriacé dans la méta- zone; la carène médiane distincte seulement près du bord an- nu RE ACRIDIDES 471 térieur et dans la métazone, mais remplacée par un fin sillon dans la mésozone ; le bord antérieur du pronotum arrondi et très faiblement sinué au milieu, le bord postérieur faiblement échancré au milieu. Les lobes réfléchis portent au-dessus du milieu une strie longitudinale olivâtre, diffuse vers le haut, mais limitée et rehaussée sur ke côté inférieur par une large bordure jaune clair. Le tiers supérieur des méso- et métapleures est noir, bordé de jaune vers Le bas. Elytres longs et étroits, dépassant de beaucoup l'abdomen et même les fémurs postérieurs, obtusément arrondis à lPex- trémité, membraneux et transparents, mais coriacés et jaune opaque dans leur quart basal, où le champ médiastin se dilate en un large lobe arrondi dont le limbe est membraneux ; ner- vure médiastine jaune, courbée et saillante sur la courbe; les nervures radiales sont très foncées dans leur moitié basale ; le champ anal offre, dans son tiers basal, derrière la veine ulnaire antérieure, une strie couverte d’une pubescence jaunâtre très dense, fine et courte. Ailes longues et étroites, hyalines. Fémurs postérieurs avec les arcs géniculaires interne et ex- terne foncés. Tibias postérieurs avec une ligne brune sur le bord externe de leur face inférieure ; les épines au nombre de 9 de chaque côté, jaunes à pointe noire. Lame sous-génitale de la Q terminée en un lobe médian obtus et une apophyse conique de chaque côté, offrant sur la face inférieure une impression longitudinale lisse, de chaque côté une carène denticulée, aiguë, et entre l’impression médiane et les carènes une pubescence fine et très dense (comme chez cer- taines Oxrya). Longueur du corps : 38", » du pronotum : 9,5. » des élytres : 45", » des fémurs postérieurs : 21", 1 9. Rockhampton, Australie. 72 JHGARE = Oxya minuta n. sp. q, ©. Taille très petite. Corps couleur de paille, avec une bande olivacée peu apparente derrière les yeux et dans la partie supérieure des lobes latéraux du pronotum ; cette bande parfois bordée d’une strie blanchâtre; le disque du pronotum et l’oc- ciput sont parfois également assombris, brunâtres, cette cou- leur se confondant avec la bande latérale ou séparée d’elle par une strie pâle. Pattes unicolores ; le bord postérieur des seg- ments abdominaux brun châtain. Elytres raccourcis, ne dépassant pas le bord postérieur du 3" segment abdominal, ne se touchant que dans leur moitié basale ; ils sont acuminés à l’extrémité et ont l’aire médiastine distinctement dilatée. Lame sous-génitale de la Q sans carènes et sans dents, fai- blement prolongée entre la base des valves et faiblement inei- sée au milieu du bord postérieur. ! Cercei du S'très grèles et très aigus, subspiniformes. Plaque PART VS suranale du G' assez brusquement rétrécie derrière le milieu. Longueur. du corps: 9 192%, G'A5mms, » duspronotum :0 A0 5 oem, » dés fémurs post.:0 42m 0x 0eme » desrélptres s OH: CDR À fi "ol 4 GS G', ® ®. Java; (D' L. ZEHNTNER lepg..). Voisine de ©. rufipes Br., dont elle se distingue aisément par ses élytres encore plus courts, les pattes postérieures unicolo- res, le bord postérieur du pronotum plus fortement arrondi, avec l’angle à peine indiqué, les cerci du G' encore plus grêles et la lame supraanale du G plus brusquement rétrécie. Tauchira mirabilis n. sp. d,?. Tête et corps noir brillant, avec les dessins blancs ou blanc jaunâtre suivants : Une bande étroite depuis le fastigium du vertex par l’occiput, le pronotum etles ?/; du bord supérieur ACRIDIDES 473 des élytres ; une ceinture irrégulière, interrompue par la carène frontale, sur la tête au-dessous des yeux, prolongée sous forme d’une bande étroite le long du bord inférieur du pronotum et sur les méso- et métapleures, où elle est interrompue ; une tache dorsale carrée sur le segment abdominal 1; une petite tache dorsale près du bord postérieur des segments abdominaux 2, 3 et 4; une ceinture occupant toute la partie dorsale sur les segments abdominaux 5, 6 et 7; une étroite bande passant par les stigmates et formant la bordure latérale de tous les segments abdominaux dorsaux, séparée des ceintures dorsales des seg- ments 5, 6 et 7 par une zone noire plus ou moins large; une petite tache à la base des mandibules. Poitrine noire, avec des taches brunes diffuses ; ventre brun, devenant noir vers l’extré- mité. Antennes avec la face supérieure blanc terne ou blanc verdâtre ; la face inférieure noire, passant au bleu-vert vers la base. Pattes antérieures et moyennes rouge sanguin, avec les tarses et parfois aussi les tibias verts. Fémurs postérieurs noirs, avec une macule basale rouge, ronde, sur le côté externe près de l’articulation et Le plus souvent avec un anneau subapical rouge plus ou moins distinct. Tibias postérieurs bleu d'azur ou bleu de Prusse, avec les épines de la même couleur. Antennes très longues, égalant chez le G‘ la longueur de la tête, du pronotum et des deux premiers segments abdominaux pris ensemble, chez la © un peu plus courtes. Front, pronotum, métanotum et pleures assez grossièrement ponctués ; la partie dorsale des segments abdominaux 1 à 4 moins fortement ponctués, les segments suivants lisses. Elytres rudimentaires, latéraux, étroits, légèrement élargis dans la partie apicale, avec l’extrémité arrondie ; ils atteignent le bord postérieur du 1° segment abdominal. Ailes absentes. Apophyse du prosternum terminée par 3 tubercules, dont les deux latéraux sont beau- coup plus grands que le médian. Bord postérieur du pronotum très distinctement émarginé au milieu. Tibias postérieurs avec 10 ou 11 épines sur le bord interne et 9 ou 10 épines sur le bord externe ; l’épine apicale externe distincte. | Plaque sous-génitale de la ® avec le bord postérieur presque 47% TUCARL régulièrement arrondi. Dernier tergite du G‘ avec une petite dent très obtuse de chaque côté du sinus médian ; cerci coni- ques, aigus, de la longueur de la lame supraanale, qui a la forme d’un triangle régulier. Longueur du corps : SG 16*", @r9DDmM, » du pronotum : 6° 3"", Q 47". » dés élyirés "02878 0uSee » des fémurs postérieurs : G 10"",5, Ç 12%%,5. 10 9,9%. Bua-Kraeng, Célèbes mérid., à environ 1700 m. d'altitude. ; Cette espèce est bien caractérisée par son dessin très net et très apparent et la richesse des couleurs; sauf les variations indiquées, le dessin semble être très constant chez les individus de la même localité. Tauchira samanga n. SP. œ. Très semblable à l'espèce précédente pour la coloration de la tête et du thorax, la forme, longueur et couleur des élytres ; mais le front est entièrement noir par le fait que la bande blanchâtre ‘inférieure ne forme pas une ceinture autour de la tête, mais s'arrête aux carènes externes en se prolongeant vers le haut entre celles-ci et Les yeux; mandibules, elypeus et labrum en majeure partie blanc verdâtre ; poitrine rouge. La couleur de l'abdomen et des pattes entièrement différente. Les tergites abdominaux noirâtres, avec une étroite bande médiane blanchâtre, une large bordure latérale blanchâtre et des traces d’une petite tache claire sur le bord postérieur de chaque seg- ment. Pattes antérieures et moyennes vertes. Fémurs posté- rieurs orangés, avec les genoux noirâtres, un anneau subapical jaunâtre précédé d’un anneau olivâtre, une tache oblique et une tache longitudinale subbasale olivâtres dans l'aire externe. Tibias postérieurs bleu verdâtre. Le front, le thorax et la partie dorsale des tergites abdomi- naux ont une ponctuation un peu plus dense que chez T. mira- ACRIDIDES 475 bilis. L’apophyse du prosternum est comme chez cette espèce. (Notre unique exemplaire étant mutilé, nous ne pouvons fournir aucune indication sur les antennes, les tarses postérieurs et les pièces anales.) Longueur du corps : g' environ 18". » du pronotum : 3"",5. » des élytres : 272,5. » des fémurs postérieurs : 117%. 1 G'. Samanga, Célèbes mérid. Tauchira vidua n. sp. ©. Taille plus grande que chez T. lucida Krauss et T. mira- bilis n. sp. Le dessin est presque identique à celui de 7. samanga, mais les bandes sont moins apparentes, étant jaune-brun sur un fond châtain ou brun foncé; labre, clypeus et mandibules brun foncé; palpes jaunâtres ; antennes brun clair; la large zone latérale foncée des tergites abdominaux renferme sur chaque segment une strie courbe jaune-brun, peu apparente ; poitrine brune; ventre brun, légèrement plus foncé vers l’extré- mité. Pattes de la 1'° et 2"° paire vertes. Fémurs postérieurs avec les faces inférieure et interne rouge sanguin, sans taches, la face externe orangée et munie d’une strie médiane foncée dans la partie épaisse, la face supérieure avec 3 taches foncées peu nettes ; Les genoux noirâtres. Tibias postérieurs noirs, avec une strie verdâtre en dessus, les épines noires. Tarses postérieurs verts. La ponctuation du corps est un peu plus fine, mais beaucoup plus dense que chez les espèces précédentes ; elle se trouve, quoique plus éparse, aussi sur les côtés de l'abdomen et sur les derniers segments abdominaux. Le bord postérieur du pro- notum est très faiblement émarginé. Apophyse du prosternum bituberculé, le tubercule médian étant entièrement oblitéré. Elytres dépassant un peu le bord postérieur du 1° segment abdominal, de la même forme que chez T. mirabilis, mais le 476 J. CARL champ anal légèrement dilaté près de la base. La plaque sous- génitale de la ® a le bord postérieur distinctement prolongé au milieu et obtus-arrondi. Les tibias postérieurs portent sur le bord interne 12 épines et sur le bord externe 10 épines ; l’épine apicale externe est réduite à un petit tubercule. Longueur du corps : 29". » du pronotum : 57". » des élyires* 57%; ) des fémurs postérieurs : 16". 1 ©. Patunuang, Célèbes méridional. Malgré la grande ressemblance dans le dessin du corps, nous ne croyons pas pouvoir considérer cette espèce-c1 et 7. samanga comme étant les 2 sexes de la même espèce, à cause des grandes différences dans la coloration des pattes postérieures. En outre, la différence de taille entre ces 2 exemplaires est beaucoup plus grande qu’elle ne l’est d'ordinaire entre les deux sexes de la même espèce chez les Tauchira (p. ex. T. lucida Krauss, buae Bol. et mirabilis n. sp.). Racilia exigua n. sp. æ.®. Couleur générale verte; une étroite bande noire de cha- que côté derrière les yeux, passant par le pronotum et prolongée sur les élytres, dont les bords antérieur et postérieur seuls res- tent pâles ; les bords du fastigium du vertex sont noir-brillant ; antennes brunes, avec le dernier article pâle et l’article basal vert; labre glauque. Pattes vertes; les fémurs postérieurs du d passant souvent au rouge sanguin dans la partie épaisse, avec les genoux entièrement ou en partie noirs; tibias posté- rieurs bleu-vert, leurs épines brun-jaune à pointe noire. Fastigium arrondi en avant dans les deux sexes, distincte- ment plus long que large chez le G', à peu près aussi long que large chez la ©. Antennes de la Q un peu plus courtes, celles du & 1 ‘2 fois aussi longues que la tête et le pronotum pris ensemble. Ponctuation assez forte sur le front et le pronotum, 2 ACRIDIDES 477 faible sur le dos des tergites abdominaux. Bord postérieur du pronotum tronqué et tres légèrement émarginé. Apophyse du prosternum avec le bord apical divisé en 4 petits tubercules subégaux. Elytres rudimentaires, ne dépassant pas le milieu du 2"° segment abdominal, environ 2 fois aussi longs que larges, avec le bord anal droit, le bord costal régulièrement courbé et l'extrémité arrondie. Ailes absentes. Tibias posté- rieurs dépourvus d’épine apicale externe. ÿ Dernier tergite du g' avec une petite dent obtuse de chaque côté de l'incision ronde du milieu. Lame supraanale du G triangulaire-aiguë, avec deux carènes qui divergent vers l'arrière ; cerci coniques, aigus. Valves gé- nitales de la & presque droites, inermes ; lame sous - génitale @ tronquée. Longueur du corps : ® 18"", of 14". RU DEGNOQUm: 0 "anR 5 SUR, » desrelyires ON 5 mm » des fémurs postérieurs: Q 11%, G' 9m, 12 S c', 4 Q ©. Pasoeroean et les Mts. Tengver, Java orient. OO Cette espèce a l’habitus des Tauchira précédemment décrites, mais les caractères distinctifs du genre Racilia (longueur du fasugium, valves génitales de la © inermes). L’épine apicale externe des tibias postérieurs étant déjà atrophiée chez les Racilia, son absence complète ne justifie pas la création d’un genre nouveau; il en est de même de l'absence des ailes et de l’atrophie des élytres. Par contre, le bord postérieur du prono- tum est décrit comme formant un angle obtus plus ou moins distinct chez À. femoralis S\à et aurora Br., tandis qu’il est tronqué-émarginé chez l'espèce de Java. Genre Æreroglyphus Krauss. Afin de faciliter la détermination des espèces, d'établir leurs affinités et d'attirer l'attention sur certains caractères morpho- logiques négligés jusqu'à ce jour, nous faisons précéder les Rev Suisse pe Zooz. T. 24. 1916. J2 478 J-ACARE descriptions des espèces nouvelles d’un essai de groupement d'après différents caractères. I. Lame sous-génitale ©. 1. Pourvue de 2 carènes den- ticulées : Æ. tarsalis Stâl, citrinolimbatus Br., tonki- nensis n. SP. 2. Dépourvue de carènes : daganensis Karsch, furcifer Serv., or'yZzivorus n. Sp. IT. Valves génitales supérieures ©. 1. Fortement acu- minées vers l’extrémité : /{. furcifer, tarsalis, citrino- limbatus, tonkinensis. 2. Beaucoup moins fortement acuminées : Æ. daganen- SiS, OrYZVOrUS. III. Lame sous-génitale du SG. 1. Acuminée : Æ. daganen- sis, furcifer, tarsalis, citrinolimbatus. 2. Comprimée latéralement, tronquée et formant une arête verticale vive : A. vastator n. sp. IV. Cerci du G'. 1. Brièvement bifurqués à l’extrémité : A. furcifer. 2. Obtus-tronqués à l'extrémité et saillant en petit tuber- cule obtus sur le côté interne : X. daganensis. 3. Atténués en pointe : /. tarsalis, citrinolimbatus. 4. Très obliquement tronqués en pointe dans leur tiers apical : Æ. vastator, (?) oryzivorus. V. Lobes mésosternaux. 1. Subcontigus au milieu; leur intervalle par conséquent pointu vers l’avant: #. daga- nensis (S', ®), oryzivorus (®), vastator {S). 2. Nettement séparés par un intervalle légèrement biconcave : A. furcifer (S', ®), tarsalis (X, Q®), citrino- limbatus (S, ®), tonkinensis (©). VI. Dernier sillon du pronotum. 1. Distinctement et régu- lièrement courbé vers l'avant, sur le dos : Æ. daga- nensis, furcifer, oryzivorus. 2. Offrant seulement une petite saillie vers l'avant, au milieu du dos : /. vastator. 3. Droit sur le dos: H. tarsalis, citrinolimbatus, tonki- nensis. ACRIDIDES 47 VII. Métazone du pronotum. 1. Ayant “} de la longueur du pronotum ; son bord postérieur en angle arrondi: 77. tarsalis, citrinolimbatus, tonkinensis, vastator. 2. Ayant ?/; de la longueur du pronotum ; son bord pos- térieur largement arrondi ou en angle très obtus et émoussé: /1. daganensis, furcifer, oryzivorus. Ce tableau montre que certaines espèces se trouvent toujours dans le même groupe, quel que soit le caractère visé. Il en est ainsi pour /1. tarsalis, citrinolimbalus et tonkinensis, qui, en raison de leurs grandes affinités morphologiques, pourraient être considérés comme des formes géographiques de la même espèce. Des rapports très étroits existent également entre H. daganensis et H. oryzivorus. Si nous donnons néanmoins à tonhinensis et oryzivorus le rang d'espèces, c’est parce que nous n'en connaissons encore que la ®. D'autres parties du corps varient aussi plus ou moins, sui- vant les espèces, mais ces variations ne se prêtent pas à un aperçu synoptique, vu qu'elles sont reliées par des formes de passage. C’est le cas pour la forme de la plaque suranale du & et pour le bord inférieur des lobes réfléchis du pronotum. Dans les descriptions des espèces nouvelles qui suivent, nous ne considérerons que les caractères distinctifs non contenus dans les tableaux analytiques et, en première ligne, la coloration. Hieroglyphus tonkinensis n. sp. ®. Vert jaunâtre, avec très peu de marques noires. Face et ver- tex offrant une ponctuation foncée assez dense. Antennes comme chez A. tarsalis et citrinolimbatus. Le fond des sillons du pronotum est noir sur les côtés du dos seulement, mais non au milieu et sur les lobes latéraux; l’ourlet du bord postérieur n’est pas orangé comme chez citrinolimbatus. Aux pattes postérieures, le fémur ne porte extérieurement qu'un petit point noir à la base de l’arc géniculaire et intérieurement une strie transversale, irrégulière, noire devant les genoux ; le tibia offre une petite tache noire supéro-interne derrière le con- 480 JÉCARE dyle et une autre à l'extrémité, à la base de léperon interne ; les tarses postérieurs sont unicolores, vert jaunâtre (chez tar- salis et citrinolimbatus, les tbias sont noirs sur tout leur pourtour près de la base et à l’extrémité, et les articles 1 et 2 du tarse sont noirs, avec une tache jaune à l'extrémité). Elytres dépassant un peu les fémurs postérieurs, mais n'atteignant pas l’extrémité de l'abdomen. Longueur du corps : 55°". » du pronotum : 10%". » des élytres: 357%. ) des fémurs postérieurs : 247%. 1 ©. Than-Moi, Tonkin. Hieroolyphus oryzivorus n. Sp. 5". y ©. Probablement vert à l’état frais. Face sans ponctuation foncée. Antennes brun noir, devenant olivacées vers la base. Sillons du pronotum noirs sur les lobes latéraux seulement, et le premier sillon dorsal à ses deux extrémités. Méso- et méta- pleures avec les soudures noires. Pattes postérieures sans la moindre tache noire, ou avec une fine strie médiane foncée sur le dessus des genoux. Elytres raccourcis, n’atteignant pas l’ex- trémité des fémurs postérieurs. 1 ©, Murshidabad (Hindoustan). L ©, portant l'étiquette : «Pha-pha »; détruit le riz dans le dis- trict de Bilaspia, Indes centrales. MaxweLL-LErroy, dans un rapport sur les dégâts causés par les criquets dans l'Hindoustan en 1903-1904 ? cite « Hterogly- phus furcifer Serv. » parmi les espèces nuisibles. Il l’appelle : «The rice grasshopper » et ajoute: «This is the familiar Pha- pha of the Central-Provinces, of Gujarat, Belgaum, Mysore and ? Mem. of the Dept. of Agriculture in India, vol. I, p. 53-54, PI. VIII, fig. 4 et PI. X, fig. 7 et 8, 1906. "4 k, ACRIDIDES 481 other parts of India. It occurs chiefly in rice land or other wet land and is very widely distributed in India ». Il est probable que les indigènes donnent le nom de «Pha- pha » à plusieurs espèces de Æieroglyphus. L'espèce figurée par MaxwELL LEFROoY n'est certainement pas //. furcifer, parce que les cerci n’ont pas la forme caractéristique pour cette espèce et parce que, d’après la figure, les pattes postérieures ne portent point de marques noires. Ces figures se rapportent donc pro- bablement à //. oryzivorus, dont le & se rapprocherait par la forme des cerci de //. vastator n. sp., tout en étant bien dis- ünct par la coloration. Il aurait les élytres beaucoup plus longs que ceux de la ©, dépassant considérablement les fémurs pos- térieurs; mais c’est là un caractère qui varie beaucoup chez certaines espèces de Hieroglyphus, même chez les individus du même sexe (4. daganensis p. ex. possède une forme gf à élytres longs et une autre forme c' à élytres très raccourcis). C’est précisément le fait qu'on trouve dans les Indes centra- les un Æieroglyphus S concordant avec 4. daganensis et ory- ziworus pour la coloration, mais se distinguant du premier par la forme des cerci, qui nous engage à considérer oryzivorus de l’Inde comme spécifiquement distinct de daganensis du Sé- négal et de lui attribuer ce Œ. Quoi qu'il en soit, il est certain que d’autres espèces de Hieroglyphus, et probablement 7. furcifer, causent des ravages dans les plantations. Hieroglyphus vastator n. sp. g'. Vert jaunâtre. Face sans ponctuations foncées. Pronotum offrant de larges stries noires un peu irrégulières le long des sillons ; ces stries sont interrompues au milieu du dos et réu- nies en haut de chaque côté du dos par une ligne longitudinale noire qui part du premier sillon et se prolonge, en divergeant un peu, sur la métazone jusqu'au bord postérieur du pronotum ; les deux premières stries sont réunies, elles aussi, en bas, par une strie longitudinale noire, la deuxième et troisième émettent 482 J. CARL une saillie triangulaire vers l’avant, au milieu des lobes laté- raux. Pleures marquées de bandes obliques noires presque aussi larges que les intervalles et finement bordées de noir au- dessus des hanches. Elytres dépassant de beaucoup les fémurs postérieurs et même l'extrémité de l'abdomen, assez transpa- rents ; la nervure radiale devenant foncée vers la base. Pattes postérieures ayant les genoux entièrement noirs, sauf la partie distale des lobes géniculaires, qui est pâle; tibias postérieurs offrant un anneau noir près de la base et une strie noire sur la face inférieure ; l'extrême bord apical des tibias et les éperons également noirs, les épines pâles, à pointe noire. Tarses uni- colores, pâles. Lame suranale du G‘f obtuse, graduellement atténuée vers l'extrémité (chez daganensis, et moins distinctement chez tarsalis, citrinolimbatus et furcifer, elle est subitement rétré- cie un peu avant l'extrémité). Longueur du COrpS : 35m : du pronotum : 9,5. » des élytres : g7um » du fémur postérieur: 20", L g' des Indes, portant la mention: «Cet Insecte causerait des ravages ». Abstraction faite de ses particularités morphologiques (voir es tableaux analytiques), cette espèce se distingue à premiere vue de toutes les autres par le grand développement des mar- ques noires sur le pronotum et les pattes postérieures. Genre Parahieroglyphus n. gen. Ce genre a tout à fait l’habitus du genre Æieroglyphus. Ws’en distingue par les élytres très courts, les ailes abortives, seule- ment de moitié aussi longues que les élytres chez la © et en- core beaucoup plus courtes chez le G‘ et par la conformation de l'extrémité de l'abdomen dans les deux sexes. Chez la ©, la lame sous-génitale présente à l'extrémité deux ineisions qui la è “ mr Di 0°. ‘ft Aie DS ACRIDIDES 483 divisent en un lobe médian sémielliptique et deux lobes laté- raux digitiformes un peu plus courts (fig. 5). Chez le œ, l’ab- domen (fig. ") s'épaissit graduellement depuis le milieu vers l'arrière; les cerci sont volumineux, dirigés vers le haut et divisés en trois parties. Le c'est beaucoup plus petit que la @. Parahieroglyphus bilineatus n. sp. Fig. 3-5. d,®.Jaunâtre (peut-être vert à l’état frais), avec les marques foncées suivantes : un trait oblique surles joues au-dessous des yeux, tantôt très distinct et noir, tantôt à peine indiqué; une ligne longitudinale noire de chaque côté, entre le dos et les lo- bes latéraux du pronotum, n’atteignant pas son bord antérieur, mais se prolongeant en arrière sur la nervure radiale des ély- tres ; une marque noire en forme de L sur les lobes latéraux du pronotum, descendant le long du deuxième sillon et brisée vers avant ; un trait oblique noir sur les mésopleures et les méta- pleures ; les fovéoles et un étroit bord latéral sur le mésoster- num, noirs ; sur les tibias antérieurs et moyens, en dessus, une petite tache basale noire et, séparée d’elle, un trait brun plus ou moins distinct le long du bord supérieur externe; sur les fé- murs postérieurs, le bord apical supérieur finement brun, une petite tache noire à la base de chaque arc géniculaire et une autre, plus petite encore, sur les bords inférieurs des genoux à la base de chaque lobe ; sur les tibias postérieurs (probable- ment vert marin à l’état frais) un petit anneau basal noir, sou- vent décomposé ou réduit chez la ©, parfois (o‘) un trait brun dans la partie basale du bord supérieur externe, une strie brun- noir occupant toute la face inférieure du tibia dans la partie ba- sale, mais effacée ou réduite à une fine ligne sur Le bord ex- terne vers l’extrémité, toujours séparée de la marque noire à la base. Tête, vue de profil, un peu plus oblique que chez les Æiero- glyphus. Le fastigium du vertex court et large, convexe en avant, avec un sillon transversal vague à sa base. Antennes minces, filiformes, jaunâtres. Pronotum avec une faible carène 484 Jet CARL médiane lisse, également distincte dans toute sa longueur et parcourue d’un sillon très fin. Toute la surface du pronotum ponctuée ; la ponctuation est plus dense et un peu plus fine sur la métazone, dont la longueur est un peu plus d’un tiers de celle du pronotum tout entier et dont le bord postérieur forme un angle très obtus et arrondi. Les sillons transversaux du pronotum un peu moins profonds que chez les Hieroglyphus, les deux antérieurs ondulés, le dernier très légèrement courbé vers l’avant sur le dos. Lobes mésosternaux contigus au milieu chez le &, subconti- gus chez la Q. Elytres lancéolés, raccourcis, ne dépassant pas le 2° seg- ment abdominal, mais se couvrant un peu par la partie basale de leur bord postérieur. Ailes très rudimentaires et dépassant à peine le métathorax chez le G, un peu plus longues, atteignant presque l'extrémité du 1° segment abdominal chez la © ; jaunâtres, avec une strie longitudinale foncée, assez large à la base; elles semblent ne pas pouvoir s'ouvrir et ne plus servir au vol. Valves génitales de la © non crochues à l'extrémité. Lame sous-génitale du & courte, conique, émoussée. Dernier tergite du SG large, à bord postérieur très légèrement concave ou droit, étroitement noirci. Lame suranale du & triangulaire, assez aiguë, à bords latéraux renflés dans la moitié basale. Cerci du d' (fig. 3°, c) très gros, divisés en 3 parties inégales : une partie externe en forme d'oreille, concave vers l’intérieur, à bords noircis ; une partie intermédiaire en forme d’une large spatule arrondie sur une tige très courte, à bords noircis; et enfin une partie interne beaucoup plus courte, en forme d’apophyse sty- loïde. Longueur du corps: Q 39%", g' 22m, » des élytres : (®) 102%: q GHncE: » des'ailes 2104520 tam. » du ‘pronotum®s © Jin EC anne » des fémurs postérieurs: Q 19%, c 12m, 129,13 5, 1 larve. Indes orientales, Himalaya. ACRIDIDES :85 leratodes brachypterus n. sp. Fig. 6. La © se distingue de la seule espèce de Teratodes connue jusqu’à présent, 7. monticollis Gray (fig. 7), par les caractères suivants: la crête du pronotum est moins élevée, par consé- quent moins arquée, denticulée depuis le premier tiers ; la méta- zone est un peu moins fortement prolongée en arrière; ses bords postérieurs ne forment pas un sinus huméral large, mais sont très faiblement et régulièrement sinués sur toute leur longueur. Elytres tres courts, ovalaires, ne dépassant pas le 3° segment abdominal. Carène supérieure externe des fémurs postérieurs dépourvue de denticules, n’offrant que de petits nodules. Couleur générale vert intense; les tibias postérieurs et le bord de la crête du pronotum sont vert jaunâtre, les bords pos- térieurs de la métazone, jaune pâle. La sculpture diffère à peme de celle de 7. monticollis, mais la taille est beaucoup plus pe- tite et les fémurs postérieurs sont plus longs par rapport au corps et aux fémurs antérieurs. Longueur du corps : 45%". (60"".) » du pronotum: 22". (37°".) Hauteur maximale du pronotum : 16", (26"".,) Longueur des fémurs antérieurs: 7%",5. (10"%.) » » » postérieurs: 227". (22%%.) Les chiffres entre parenthèses indiquent les mesures corres- pondantes d’une ® moyenne de 7. monticollis. 1 ©. Madura, Indes méridionales. Genre Zonkinacris n. gen. Corps robuste. Tête, thorax, ventre, élytres et pattes cou- verts d’une pubescence blanche, très fine, pas très dense, sauf sur les tibias postérieurs, où elle est sensiblement plus dense. 486 I VEABL Tête grande, un peu plus large et plus haute que le prono- tum. Yeux grands, peu obliques, elliptiques, un peu plus longs que la partie infraoculaire des joues; leur intervalle un peu plus étroit (g') ou de la même largeur que la carène frontale; celle-ci droite, basse, non saillante et à peine dilatée entre les antennes, effacée vers le labre, à bords obtus et subparallèles ; carènes latérales obtuses, légèrement réfléchies vers les yeux au-dessous des antennes. Front plus haut que large. Fastigium du vertex court et obtus, très incliné et passant sans limite nette dans la carène frontale. Antennes minces, filiformes. Dos du pronotum arrondi, vu de côté droit, sans trace de ca- rènes latérales ; carène médiane très faible, distincte sur la métazone seulement. Métazone plus courte que le reste du pronotum, à bord postérieur obtusément arrondi. Ailes et ély- tres raccourcis dans les deux sexes. Apophyse du prosternum conique, aiguë. Lobes mésosternaux plus larges que longs, et plus larges que leur intervalle, qui est subcarré chez la 9, mais plus long que large chez le G. Lobes métasternaux séparés. Pattes robustes. Fémurs postérieurs épais; leur carène su- périeure lisse, prolongée à l’extrémité en une petite épine; les lobes géniculaires arrondis. Tibias postérieurs arrondis, non dilatés vers l'extrémité, à épines nombreuses et régulièrement disposées, mais dépourvus d’épine apicale externe. 1% article des tarses postérieurs deux fois aussi long que le deuxième. Valves génitales de la © légèrement courbées à l’extrémité, acuminées, les supérieures denticulées sur le bord. Abdomen du & légèrement épaissi vers l’extrémité, dont les pièces sont formées et disposées comme dans le groupe amé- ricain des Melanopli. Ce genre rappelle, par son habitus général et par sa livrée, le groupe des Coptacrae ou les Traulia, mais s’en distin- gue par le pronotum plus régulièrement arrondi, la carène supérieure des fémurs lisse. Il se distingue des Traulia, en outre, par le front droit, non sinué au-dessous des antennes, et par le fastigium plus court et plus fortement incliné. ACRIDIDES 487 Tonkinacris decoratus n. sp. © ,0'. Frontet partie inférieure des joues verts, ponctués. An- tennes ferrugineuses, brunes vers l'extrémité et jaunes à la base. Vertex et pronotum parcourus par trois larges bandes noires, séparées par des bandelettes jaunes, soit une bande médiane, qui commence entre les yeux, et, de chaque côté, une bande postoculaire aussi large que la hauteur des yeux; cette der- nière est bordée, en bas, d’une bande jaunâtre qui commence à la base des antennes, passe au-dessus des yeux et se confond plus ou moins sur le pronotum avec la couleur olivâtre claire de la moitié inférieure des lobes réfléchis. Pronotum offrant une ponctuation très dense et assez gros- sière, qui se transforme en une sorte de réticulation rugueuse sur le dos de la prozone; la carène médiane, distincte sur la mé- tazone, nulle (®) ou à peine indiquée (g) sur la prozone; les sillons distincts, le dernier assez profond. Bord antérieur très largement arrondi, suivi sur le dos d’une gouttière étroite et vague, prolongeant le 1° sillon des lobes réfléchis. Bord in- férieur de ceux-ci formant un angle obtus, leur partie anté- rieure légèrement sinuée, la partie postérieure droite, l'angle postérieur émoussé. Pleures ponctuées, poitrine lisse. Elytres lancéolés, à pointe arrondie, raccourcis dans les deux sexes, n’atteignant pas le milieu des fémurs postérieurs, de couleur brun noirâtre, avec une assez large bande ulnaire jaune et un éclaircissement jaune ou jaune-brun diffus au mi- lieu de la partie antéradiale ; ces différentes couleurs sont dé- terminées en même temps par le fond et par la nervulation. Ailes arrondies, légèrement enfumées. Pattes antérieures et moyennes vertes. Fémurs postérieurs ornés de 2 bandes transversales noires, presque complètes ou seulement indiquées par des taches dans l'aire supérieure et des stries sur la carène inférieure externe ; parfois il y a encore une tache basale supérieure ; les faces inférieures et internes rouge orangé Ou sanguin; genoux noirs, avec un étroit bord apical pâle. Tibias postérieurs vert glauque, devenant plus pâles 488 J. CARL vers la base, qui est occupée par un anneau noir; la face infé- rieure noire dans le tiers apical; épines présentes presque jus- qu'à la base, au nombre de 10-12 sur chaque bord. Abdomen jaune-brun; les tergites devenant parfois jaune vif vers le bord latéral. Lame sous-génitale du G‘° courte, arrondie et prolongée en une petite pointe acuminée au milieu. Dernier tergite large- ment et profondément sinué, avec deux petits tubercules au milieu. Lame suranäle triangulaire, avec deux carènes longitu- dinales assez rapprochées dans la moitié basale, ensuite brus- quement brisées vers l'extérieur et très écartées l’une de l’au- tre. Cerci comprimés, recourbés vers le haut et terminés en pointe obtuse. Longueur du corps : 5° 28"", © 42mm, » dupronoturm Grer, O; 40 » des élytres : g' 13m, © 18mm, » des fémurs postérieurs: cf 17"", © 22mm, 13,3 ©, Than-Moi, Tonkin, Juin-Juillet (Frunsrorrer leg.) B. Espèces africaines et malgaches. Oxyrrhepes elegans Bol. Fig. 8. On ne connaissait jusqu’à présent que la © de cette espèce. Le GS‘ est de taille beaucoup plus petite que la Q et a les fé- murs antérieurs et intermédiaires distinctement épaissis. Co- loration comme chez la ®. Elytres dépassant un peu l'extrémité de l'abdomen; cependant leur longueur semble varier un peu chez la © ; le Muséum de Genève possède 3 © chez lesquelles les élytres atteignent ou dépassent même un peu l'extrémité de l'abdomen. L'extrémité abdominale (fig. 8) diffère considérablement de celle des autres espèces d’'Oxyrrhepes. Le dernier tergite est profondément échancré en arc au milieu et porte de chaque côté de l’échancrure un tout petit tubercule, encore plus petit ACRIDIDES 489 que chez O. extensa (Walk.) (— lineatitarsis StÂL, d’après KirBY) (fig. 10), au lieu de la dent aiguë appuyée sur la plaque suranale que présente ©. procerus (fig. 9). Plaque suranale terminée en angle obtus, sillonnée dans toute sa longueur, les bourrelets qui accompagnent le sillon ne formant pas une figure en pointe de lance derrière le milieu, comme c’est le cas chez O. procerus Burm. Cerci tout autrement conformés que chez ©. procerus, assez larges à la base, ensuite amincis et cylindriques, puis de nouveau comprimés et de largeur égale jusqu’à extrémité, qui est arrondie ; depuis le milieu, ils sont légèrement courbés vers le bas: ils dépassent considérablement la lame suranale. Lame sous-génitale assez obtuse, ne dépassant les cerci que d’un tiers de sa longueur. Pour mieux faire ressortir les différences dans la forme des parties anales et génitales, nous figurons, à côté de celles de O. elegans, celles de ©. procerus et de O.extensa. Ces diffé- rences Justifieraient presque une coupe générique. Chez ©. procerus, la lame sous-génitale s’élève derrière l’ex- trémité de la plaque suranale en un tubercule conique. ©. ex- tensa (Walk.) est caractérisée par la plaque suranale brusque- ment rétrécie derrière le milieu et terminée en angle aigu, et par ses cerci grêles, aigus et presque droits. Des exemplaires provenant de Ruanda (Afrique orientale alle- mande, J.Carz leg.), que Bozivar a déterminés comme Paroxyr- rhepes karschi Bol. , ainsi que deux exemplaires du Came- roun portant le nom d’Oxryrrhepes karschi Bol. (étiquetés de la main de Borivar) sont absolument identiques aux exemplai- res désignés par KarscH comme ©. procerus Burm. (« Barom- bistation, Kamerun, ex. coll. Karscu »). De même, la séparation spécifique d’O. /radieri Bol. ne semble pas être justifiée. Mesambria ferrugata Brancs. Le G' seul était décrit. Notre exemplaire G° correspond bien à la description de BraxcsiK, sauf pour quelques détails dans 1 Nous n'avons trouvé ces deux noms nulle part dans la littérature. P 490 VEUGARL la coloration. Sur le pronotum, toute la partie des lobes réflé- chis située en dessous et en arrière de la bande oblique noire est testacé très clair. Chez les deux sexes, l’ourlet postérieur du pronotum porte de petites taches noires sur de petits tuber- cules ou sur des rugules longitudinales. Les élytres n’ont pas toute la moitié antérieure noire, mais seulement les ?/; ou #4 de sa longueur, tandis que la partie apicale est envahie par la couleur ferrugineuse de la moitié postérieure. Enfin, sur les fémurs postérieurs, les bandes foncées médiane et postmédiane du dessus s'étendent plus ou moins sur laire interne des fé- murs. Sur ces deux derniers points, nos exemplaires Q concor- dent avec le G'. Mais les lobes réfléchis du pronotum de la Q sont unicolores, sans la tache noire et la partie inférieure éclaircie de ceux du &. ®. Longueur du corps: 32". » du pronotum: 6,5. » des élytres : 6". » des fémurs postérieurs : 18", 19,2 9. Madagascar. Cyrtacanthacris schistocercoides Brancs. Une série de 23 exemplaires nous permet de constater quel- ques variations de couleur: la grande tache claire dans la par- tie inférieure des lobes latéraux du pronotum est tantôt blan- châtre, tantôt jaune et même jaune vif. Chez certains exem- plaires, le pronotum porte une étroite bande médiane jaune, qui se prolonge aussi sur le vertex. Les fémurs sont rarement unicolores, mais portent souvent des traces de 2 anneaux plus foncés ou, au moins en dessus, deux taches transversales fon- cées distinctes. Genre Parallaga ner. Tête médiocre. Yeux très grands, saillants, en ellipse large, obliques, beaucoup plus hauts que la partie infraoculaire des ACRIDIDES AO joues, séparés par un intervalle très étroit. Sommet du vertex très incliné, vu de dessus sinué en angle obtus en avant, cette sinuosité correspondant au relief de la carène frontale qui n’est pas sillonnée, mais présente d’un bord à l’autre une dépression large et peu profonde; les contours de la carène frontale rap- pellent un fer à cheval, dont les branches se rapprochent gra- duellement au-dessous des antennes et s’effacent sans atteindre la soudure clypeale ; cette carène a sa plus grande largeur entre les antennes. Carènes latérales distinctes, légèrement conver- ventes vers le haut et déviées vers les yeux au niveau des anten- nes. Front large et bas, très oblique lorsqu'on le voit de côté. Antennes minces, filiformes. Thorax nettement déprimé; prono- tum sans trace de carènes médiane et latérale, arrondi sur les côtés du dos, qui est légèrement aplati, avec les lobes réfléchis beaucoup plus longs que hauts, à bord inférieur presque droit, angle antérieur obtus, angle postérieur arrondi, bords antérieur et postérieur droits, obliques en sens inverse, ce dernier sans sinus huméral; sur le dos, le bord antérieur est légèrement arqué, le bord postérieur largement sinué en angle obtus ; mé- tazone très courte, ayant au milieu moins d’un quart de la longueur du pronotum. Tubercule du prosternum court, épais et obtus. Lobes mé- sosternaux courts, avec l'angle interne postérieur très peu accusé, séparés par un intervalle très court et à peu pres aussi large que chaque lobe; lobes métasternaux contigus le long d’une ligne de soudure assez longue. Elytres et ailes absents. Fémurs antérieurs et moyens épaissis. Fémurs postérieurs épais, courts, restant épais sur toute leur longueur et faible- ment rétrécis devant les genoux ; la carène supérieure externe obsolète ; la carène supérieure médiane lisse, effacée sur les genoux; l'aire inférieure externe normale, non dilatée; lobes géniculaires et angles supérieurs des genoux arrondis. Tibias postérieurs sans épine apicale externe. 2° article des tarses postérieurs beaucoup plus court que le 1°". Abdomen cylindrique, non épaissi à extrémité. Plaque sous- 492 J. CARL anale courte, naviculaire; lame supraanale large, arrondie à l'extrémité, largement canaliculée au milieu dans le tiers basal. Cerci amincis derrière le milieu. Dernier segment abdominal largement sinué sur le dos, avec deux petits tubercules, entre lesquels l'anneau est complètement interrompu. Ce genre doit être proche du genre Allaga Karsch, de Zan- zibar, dont il se distingue par l'absence d’élytres et d’ailes et par les dimensions normales de l'aire inférieure externe des fémurs postérieurs du SG. Il en diffère peut-être aussi par la forme de la carène frontale, que KarscH n'a pas décrite chez Allaga. Parallaga pigra n. sp. d. Brun-châtain clair. Antennes foncées, avec la base jau- nâtre. Tête et thorax offrant une ponctuation dense et assez grossière, qui s’efface graduellement sur l'abdomen. Pronotum avec une ligne médiane anguleuse et les sillons noirs ; son bord antérieur accompagné tout autour d’un sillon large, qui est suivi du 1°’ sillon ordinaire, interrompu sur le dos. Tergites abdominaux ornés d’une étroite bordure postérieure brune et d’une bordure antérieure noirâtre, plus large et élar- gie sur les côtés ; ces bordures sont plus étroites et moins nettes sur les derniers segments. Fémurs postérieurs ne dé- passant pas l’abdomen, un peu plus foncés que le corps, avec les genoux assombris et les arcs géniculaires noirs. Tibias pos- térieurs armés de chaque côté de 9 épines robustes, noires, avec la base jaune terne. Longueur du corps : 27"". » du pronotum : 5". ) des fémurs postérieurs: 13", Te Madagascar. Genre T'hisotcetrus Br. Comme Borivar!, nous considérons comme principale diffé- rence entre les genres Thisoicetrus et Euprepocnemis la forme ! Acridiens d'Afrique .… Mem. Soc. ent. Belg., T. XVI, p. 125, 1908. ACRIDIDES 493 des cerci, étant donné que le nombre des épines des tibias pos- térieurs est un caractère inconstant, différent parfois même suivant le sexe, de telle façon qu'en se basant sur ce caractère, on attribuerait le g' à Euprepocnemis et la Q à Thisoicetrus. Aperçu de quelques espèces et variétés. 1. Lobes mésosternaux séparés par un intervalle 2-3 fois aussi long que large. Fémurs postérieurs portant sur les deux faces une rangée de taches en chevron. (Elytres non tachetés) : T. jucundus n. sp. 1.1. Lobes mésosternaux séparés par un intervalle sub- carré où un peu plus long que large. Fémurs postérieurs presque unicolores, ou ornés de grandes taches, bandes ou anneaux noirs. 2. Elytres tachetés. 3. Taille grande. Cerci du G‘ arrondis à l'extrémité, unico- lores : 7. littoralis var. aethiopica n. var. 3. 3. Taille moyenne (©) ou petite (&); cerci du o noirâtres dans la moitié basale, blanchâtres dans la moitié apicale, très larges, terminés en pointe émoussée : T. speciosus (Sjôst.). 2. 2. Elytres non tachetés. Ailes bleues ou violettes vers la base. à . Champ anal des élytres entièrement vert; fémurs posté- rieurs avec de grands anneaux et des taches noires ; tibias postérieurs rouges dans la partie distale: 7. praestans n. Sp. 4. 4. Champ anal des élytres avec une strie jaune-vert; fémurs postérieurs avec peu de noir sur la face externe; tibias postérieurs bleu-vert dans la partie distale : T. brevicornis n. Sp. Thisoicetrus littoralis (Ramb.) Var. aethiopica n. var. Comparés aux exemplaires du Bassin de la Méditerranée, 1 og et 1 © du Sénégal frappent par leur taille plus grande. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 33 49% J. CARL Longueur du corps: ? 50°", 6° 397". » des élytres: 9 38%, 28", La bande médiane du pronotum est très claire, d’un brun jaune, mais bordée de deux lignes d’un noir intense. Sur les fémurs postérieurs, la tache basale fait défaut, les deux bandes sont effacées (g‘) ou presque effacées en dessus et réduites sur les faces externe et interne à une tache appuyée contre la carène supérieure. Les élytres portent chez la © les bandes nébu- leuses de T. liüttoralis, tandis que chez le G elles portent des taches plus foncées, de forme et grandeur très variables, qui sont disposées d’une façon irrégulière et ne confluent pas pour former des bandes. Par les taches des élytres, le G rappelle un peu la Q de T. speciosus (Sjüst.). Malgré ces différences, nous ne croyons pas devoir séparer ces exemplaires spécifiquement de 7. littoralis, étant donné que les pièces anales et génitales du GS‘ ne présentent pas de différences appréciables avec cette espèce. 15,1 9 Sénégal. Thisoicetrus speciosus (Sjôst.)! Fig. 15. Euprepocnemis speciosa. Ssôüsrepr, in: Arkiv für Zoologi. Bd. 8, N° 6, p. 23, Taf. I, Fig. 3. 1915. g, @. Brun marron clair. Tête à ponctuation très faible et éparse sur la côte frontale, un peu plus forte et plus serrée sur les côtés du front et dans la partie inférieure des joues chez la 9, plus forte et plus uniforme chez le S. Carène frontale à bords subparallèles, légèrement rétrécie au-dessus des antennes chez le G', moins distinctement chez la Q. Joues avecune bande infrao- * Nous publions la description complète de cette espèce, telle que nous l'avions rédigée avant de connaître le travail de Ssüsrenr. Dans la descrip- tion qu'en donne cet auteur, les dimensions des deux sexes sont interverties ; les ailes sont décrites comme étant plus ou moins teintées de bleu, tandis qu'elles sont hyalines chez nos exemplaires. ACRIDIDES 495 culaire noire, qui descend jusqu'aux angles des mandibules, pré- cédée d’une étroite bande perpendiculaire, jaunâtre diffuse, qui longe le bord antérieur des yeux et s'étend jusque sur les man- dibules, et suivie d'une bande postoculaire de la même couleur qui n’atteint pas le bord inférieur des joues et qui est limitée de noir en haut et en arrière. Vertex avec une large bande mé- diane brune et, de chaque côté de celle-ci, une bande jaune plus étroite; ces 3 bandes s'arrêtent à l'angle supérieur des veux. Yeux unicolores, bruns, non rayés. Antennes du & plus longues que la tête et le pronotum pris ensemble, comprimées et légèrement dilatées, brun-rouge, à la base et vers l’extrémité brun foncé; celles de la Q un peu plus courtes, nettement filiformes et plus claires. Pronotum avec la bande médiane brune très large, à bords subparallèles ou très légèrement arqués, séparée des carènes latérales par une strie vert jaunâtre, très étroite en avant, mais sensiblement élargie sur la métazone. Carènes latérales bien prononcées sur la pro- et la mésozone, mais effacées vers le bord postérieur de la métazone. Les lobes latéraux grossière- ment ponctués et rugueux dans la pro- et la mésozone, mais présentant une sculpture plus fine et plus serrée dans la mé- tazone, le disque faiblement rugueux dans les parties vertes, mais lisse dans la bande brune. Elyires atteignant à peine ou dépassant légèrement l’extré- mité de l'abdomen, mais n’atteignant pas l'extrémité des fémurs postérieurs ; verts, Le champ anal unicolore, le reste parsemé de nombreuses petites taches brun-noir, subcarrées ou arrondies, irrégulièrement disposées dans la moitié basale, mais formant souvent des séries ou même des bandes transversales dans la moitié distale de l’élytre ; l'extrémité de celui-ci toujours en- tiérement occupée par une tache foncée, plus grande, mais un peu plus claire que toutes les autres. Ailes hyalines, avec lex- trémité des champs enfumée. Lobes mésosternaux séparés par un espace presque aussi large que long (©), ou même un peu plus large que long. Tu- bercule prosternal très obtus, faiblement incliné en arrière. 496 JMCARE Fémurs postérieurs brun clair en dessus et à l'extérieur, jaunâtre en dessous et à l’intérieur. La face externe avec une strie foncée dans la partie médiane le long de la carène supero- externe et un autre tronçon de strie ou une petite tache vers l’angle des deux carènes; ces deux mêmes stries sur la face interne, où elles se dilatent en forme de taches. Les tibias pos- térieurs portent dans la moitié basale un anneau jaune entre deux anneaux noirs, souvent effacés en dessus; la moitié dis- tale est verte ou olivatre sur les faces interne, externe et supé- rieure, mais composée d’une partie proximale jaune pâle et d'une partie distale noirâtre sur la face inférieure; épines blanchâtres, à pointe noire, au nombre de 12 sur la carène ex- terne et de 10-12 sur la carène interne. Les tergites abdomi- naux 4-9 du avec une petite tache noire, oblique, sur les côtés. Cerci du c' (fig. 13) courts et larges, leur bord supérieur en arc assez régulier, le bord inférieur beaucoup plus faiblement courbé et formant avec le bord supérieur un angle aigu émoussé; la moitié basale des cerci est brune, la moitié distale blanc terne. Lame sous-génitale sans tubercules ; lame supra- anale subtriangulaire, légèrement sinuée de chaque côté avant l'extrémité, qui est émoussée. Longueur du corps: & 28%", © 37-4100, » des élytres : G' 16", © 24-297". ) des fémurs postérieurs : G' 18"", Q 24-28", 6 9,3 of. Colonie du Cap. Thisoicetrus jucundus n. Sp. Fig. 15. ? Cyrtacanthacris pictipes. Warxer, Catalogue of Dermaptera TIT, … p. 575,576. 1870. S', Q. Brun verdâtre. Tête presque unicolore, olivâtre, sans bandes: perpendiculaires sur les côtés ; la bande médiane brune du vertex assez étroite, de sorte que les bandes jaune-brun, peu apparentes, qui l’accompagnent, s'étendent vers l’avant jusqu’au ACRIDIDES 497 fastigium. Front à ponctuation plutôt faible et éparse. Yeux le plus souvent rayés de brun. Antennes des deux sexes filifor- mes et cylindriques, à peine aussi longues que la tête et le pronotum pris ensemble, jaunâtres dans leur partie basale et devenant brun ou brun-pourpre dans la partie distale. Prono- tum avec une bande médiane brun foncé large, à bords presque parallèles et, de chaque côté de celle-ci, une bande vert brunâtre très étroite en avant et dilatée vers lPextérieur sur la métazone, où les carènes latérales, obtuses déjà sur la pro- et la mésozone, s’effacent complètement. Lobes réfléchis olivâtres ou bruns, souvent avec des indications de taches claires dans la pro- et la mésozone, la métazone passant sou- vent au vert vers le haut ou entièrement verte; la pro- et la mésozone présentent d'assez grandes aires lisses ; la métazone par contre présente une ponctuation régulière et très dense. Tubercule du prosternum jaune clair, assez long, incliné en arrière et atteignant presque le bord antérieur du mésoster- num, légèrement étranglé à la base. Elytres dépassant l'extrémité de l'abdomen et des fémurs postérieurs, légèrement brunis à la base, mais subhyalins de- puis le premier tiers, avec deux étroites bandes peu appa- rentes, jaunes par la nervulation , dont l'une derrière la veine ulnaire postérieure et l’autre, moins distincte encore, devant la radiale antérieure; du reste, la nervulation est brun foncé. Ailes hyalines, non enfumées vers l'extrémité. Lobes du méso- sternum aussi longs que larges, à bords internes convexes; leur intervalle très étroit, 2!/: fois aussi long que large. Pattes antérieures et moyennes, ainsi que les fémurs posté- rieurs, olivâtres sur les côtés supérieur et externe, vert-jaune sur les côtés inférieur et interne. Les fémurs postérieurs por- tent sur les faces interne et externe une série médiane de taches noires en chevrons, au nombre de 10-12; cette série commence à une certaine distance de la base, et se perd vers l'angle apical; les lunules géniculaires sont noires, réunies en-dessous par une bande noire; lobes géniculaires jaune vif. Tibias postérieurs jaunes dans leur partie basale, avec deux an- 498 JNCART neaux foncés diffus, souvent en partie effacés, et l’étranglement, derrière le condyle, noir; la partie distale est rouge sanguin ; les épines, 10 sur le côté interne et 10 ou 11 sur le côté externe, sont d’un blanc jaunâtre avec la pointe noire. Tarses postérieurs rouge sanguin. Cerci du G'(fig. 15) beaucoup plus longs que la lame supraanale, incurvés derrière celle-ci et légèrement re- courbés vers le bas; leurs bords supérieur et inférieur presque parallèles, Pextrémité acuminée. Lame supraanale obtuse. Longueur du corps: Q 48", c 382, » WU DrON OPUS 20 POP UGUNANES » desélytres: 9:937e8 29m, ») des fémurs postérieurs : (®) PNR e; J2mm 2; o', & 9. Cap de Bonne Espérance. Cette espèce occupe dans le genre Thisoicetrus une position un peu isolée en raison de la longueur des lobes mésosternaux et de la forme très étroite de leur intervalle, ainsi que par son tubercule prosternal et par la coloration de ses fémurs posté- rieurs. Au point de vue de la coloration, elie concorde bien avec la description que donne Waiker de Cyrtacanthacris pictipes, du sud de l'Afrique, espèce que Kirpy (Syn. Cat. of Orthoptera, vol. II, p. 561. — 1910) place dans le genre Eupre- pocnemis. Mais les dimensions différant beaucoup de celles données par WaIkER, nous nous voyons obligé de décrire notre espèce comme nouvelle. Thisoicetrus brevicornis n. Sp. Fig. 14. g,®.Brun. Tête avec une bande infraoculaire noire, précédée d’une bande verticale claire entre les yeux et les antennes, et une petite bande noire postoculaire. Front à ponctuations très éparses et petites chez la ©, plus fortes et plus nombreuses chez le G'. Antennes courtes, distinctement plus courtes que la tête et le pronotum pris ensemble, noires, filiformes chez la ? , légèrementcomprimées chez le &. Une bande médiane brun- sb «. Arme. 6 CHE ACRIDIDES L99 rouge foncé, bordée de noir, s'étend depuis le fastigium du vertex jusqu’au bord postérieur du pronotum; de chaque côté d'elle il y a une bande vert-jaune, dont la largeur atteint à peine la moitié de celle de la bande médiane. Lobes réfléchis du pro- notum bruns, l’ourlet du bord postérieur alternativement brun et jaunâtre. Tout le pronotum est grossièrement ponctué et ru- gueux; la sculpture est un peu plus fine et plus serrée dans la mé- tazone. Bord postérieur du disque du pronotum légèrement con- vexe, tronqué ou très faiblement émarginé au milieu; carènes latérales bien prononcées ; tubercule du prosternum très obtus, incliné en arrière. Pleures, poitrine et abdomen bruns, unico- lores. Lobes du mésosternum à peine plus larges que longs, leur intervalle un peu plus long que large. Elytres bruns, semi- transparents, avec la nervulation brun-rouge et les nervures principales brun-noir, sauf la nervure anale, qui se trouve au milieu d’une étroite bande longitudinale vert jaune, formant le prolongement des bandes latérales du disque du pronotum. Le champ discoïdal présente parfois des traces de taches brun foncé. Les élytres atteignent l'extrémité des fémurs postérieurs ou la dépassent légèrement ; les fémurs eux-mêmes dépassent à peine l’extrémité de l’abdomen chez la Q@, mais sont relative- ment un peu plus longs chez le c. Ailes subhyalines, bleu- âtres, enfumées dans toute la partie antérieure et vers l'extré- mité des champs axillaires. Fémurs brun-gris; l’aire interne porte une grande tache noire au milieu et une autre tache noire, plus petite, dans l’angle des deux carènes ; l'aire externe est plus ou moins fortement obscurcie le long de la carène supérieure ; les lunules géniculaires sont noires; chez le o', les genoux sont entièrement noirs et précédés d’un anneau jaunâtre ou orangé. Tibias postérieurs vert-bleu ; en-dessous, près de la base, il y a des traces d’une bande pâle, un peu plus distinct chez le ‘que chez la Q ; épines jaune-brun, avec la base plus foncée et la pointe noire, au nombre de 9-10 sur le côté externe et de 10-11 sur le côté interne. Tarses postérieurs de la même couleur que les tibias. Cerci du (fig. 14) avec la moitié api- cale recourbée obliquement vers le bas, et formant avec la 500 J:ICARL moitié proximale un angle assez prononcé; la partie distale est plus large que la partie basale et arrondie à l'extrémité. Lame supraanale du G' plus courte que les cerci, avec l'extrémité ar- rondie et formant au milieu une petite pointe obtuse. Segment anal avec une petite dent de chaque côté de l’échancrure mé- diane. Lame sous-génitale très obtuse. Longueur du corps : GRASSE CA RE » des élytres: (®) por ay qymm » des fémurs postérieurs: (®) ADR q dam ? 9,2 of. Madagascar. Cette espèce est remarquable par la couleur peu apparente des pattes postérieures et la grande différence de taille entre les deux sexes. T'hisoicetrus praestans n. Sp. Fig. 16. æ,.®.Vertolivâtre. Tête avec les bandes infraoculaires noires assez larges et occupant aussi la partie basale des mandibules ; les bandes noires postoculaires peu distinctes; bandes mé- dianes du vertex effacées sur le fastigium. Antennes plus lon- œues que la tête et le pronotum pris ensemble, noires, avec les derniers articles jaunâtres en dessus. Front avec une ponctua- tion assez forte, mais pas très serrée. Pronotum grossièrement ponctué et rugueux; lobes réfléchis et pleures unicolores, vert- olive ou brunâtres ; bande médiane du disque brun-noir, légè- rement dilatée dans la mésozone, à peine plus large que cha- cune des deux bandes vertes qui l’accompagnent. Tubercule du prosternum droit, légèrement acuminé. Lobes mésosternaux distinctement plus larges que longs; leur intervalle subcarré. Elytires dépassant l'extrémité des fémurs, avec le champ anal vert, le reste uniformément bruni, subopaque, avec la nervula- tion brune et les nervures principales noirâtres. Ailes subtrans- parentes, bleues, avec Les bords antérieur, externe et toute la partie apicale antérieure et axillaire assez fortement enfumés, surtout chez le G. Abdomen olivâtre clair; les tergites du & dl CONTI El ACRIDIDES 501 noirs sur le dos et dans la moitié antérieure des flancs. Fémurs postérieurs jaunes, avec les genoux entièrement noirs, un an- neau postmédian noir, fermé en dessous, et un anneau médian noir un peu oblique, ouvert en dessous et prolongé dans l'aire externe sous forme d'une large bande jusqu’à la base du fémur; dans les aires internes et supero-interne, il y a une tache sub- basale noire, non reliée avec l'anneau. Tibias postérieurs dans la partie basale avec un anneau jaune entre deux anneaux noirs, dans la moitié apicale rouge vif; les épines, au nombre de 10- 11 de chaque côté, sont de la couleur de la partie corres- pondante du tibia, mais elles ont toutes l’extrémité noire. Tarses postérieurs avec les 1°" et 2"° articles rouge sanguin, le 3° article vert ou brun, plus ou moins fortement noirci vers l’extrémité. Lame suranale graduellement acuminée en pointe émoussée, très légèrement sinuée avant l'extrémité. Cerci lé- sgerement dilatés et faiblement recourbés vers le bas, après le milieu, arrondis à lextrémité (fig. 16). Longueur du corps: $ 52°", g' 35%". » dessélytres : 0: 45%, 5 29", Ù des fémurs postérieurs : ® 30"", G 20"". 1 G', 1 9. Antongil, Madagascar. Par son aspect général et par la couleur des pattes, cette espèce rappelle beaucoup le genre Æoraeocerus Sauss., mais s’en distingue déjà par les antennes qui sont presque filiformes, non fortement dilatées au milieu et comprimées comme chez Horaeocerus SG. En outre, la partie apicale des tibias postérieurs est rouge vif, et non verte, et la tache basale de l’aire externe des fémurs postérieurs est reliée avec le premier anneau noir pour former une bande, alors qu’elle en est séparée chez Ho- raeocerus, où, en outre, l'anneau postmédian est ouvert en des- sous ; le champ anal des élytres est entièrement vert, tandis qu'ilne porte qu’une étroite bande verte chez Horaeocerus ; enfin, les ailes sont bleuâtres chez T. praestans, mais hyalines et moins fortement enfumées vers lextrémité chez A. nigri- cornis. Ces différences de coloration servent surtout à distin- 502 PINCARL guer les ® © des deux espèces, vu que dans ce sexe les carac- tères génériques, fournis par la forme des antennes, sont moins prononcés. _ Une autre espèce voisine, de Madagascar, Thisoicetrus no- bilis (Brancs.), se distingue déjà de la nôtre par l’absence de la bande médiane brune sur le pronotum et la présence d’un seul anneau foncé sur les fémurs postérieurs. C. Espèces américaines. Aeolacris caternaultit (Feisth.) Xiphicera caternaulti. Freisraamez, Mag. de Zool. Sér. 1. VIT. PI. 184. — 1837. Xiphicera octomaculata. Scunner, Proc. Boston Soc. Nat. Hist., p. 337. — 1869. Aeolacris octomaculata. Scupper, ibid., p. 269 (nota) — 1875. » » Giczio-Tos, Boll. Mus. Torino, vol. XIII, n° 311, p. 51. — 1898. Aeolacris caternaultii. Picrer et Saussure, Cat. d'Acridiens, Mitt. schweiz. ent. Ges., Bd. VII, p. 340. — 1887. Aeolacris caternaulti ex p. L. Bruxner, Biol. Centrali-Americana. Orthoptera, vol. Il, p. 224. — 1907. Aeolacris caternaultit ex p. Kirsy, À syn. Cat. of Orthoptera, vol. III, p. 367. — 1910. Aeolacris bella. Reux, Proc. Ü. S. Nat. Mus., vol. XXX VI, p. 114- 117, fig. 3-5. — 1909. Un exemplaire ç', provenant de Cayenne, correspond très bien à la description et à la bonne figure que donne FEISTHAMEL de Xiphicera caternaultii, avec la seule différence que la bande marginale foncée des ailes s'étend un peu moins loin vers le bord interne et que les deux taches jaunes sur les lobes laté- raux du pronotum sont très peu apparentes. Il résulte déjà de la description et de la figure originale que caternaultit appartient au genre Aeolacris Scudd., distinct de cp ACRIDIDES 503 Elaeochlora par l'absence de crête médiane sur le pronotum, dans les deux sexes, et par la dilatation lamellaire des épines basales internes des tibias postérieurs. Scupner (1875), Picrer et SAUSSURE (1887) ont déjà attribué l’espèce de FEISTHAMEL au genre Aeolacris. Mais ces deux derniers auteurs ont fait erreur en considérant Xiphicera octolunata Serv. comme synonyme de Aeolacris caternaultii (Feisth.). L'espèce de SERvVILLE est, comme l’a fait remarquer GiGrio-Tos (Bull. Mus. Torino, vol. XII, n° 301, p. 3. 1897), une Ælaeochlora. Mais Gicrzio-Tos, induit en erreur par la synonymie indiquée par SAUSSURE et Picrer, et appliquant la loi de la priorité, l’a désignée comme Elaeochlora caternaultit. L. BRüuNNER et KiRBY par contre em- ploient le nom juste de Aeolacris caternaultii, mais commet- tent la même faute que leurs précurseurs en considérant X5- phicera octolunata Serv. comme synonyme de 4e. caternaultii (Feisth.). En résumé, l'espèce de SERvILLE doit porter le nom: Elaeochlora octolunata (Serv.) et l'espèce de FEISTHAMEL le nom : Aeolacris caternaultit (Feisth.). Reste à savoir si l'espèce de Scupper, À. octomaculata, est synonyme de À. caternaultit, comme le suppose Kirgy. Jus- qu'à présent, je doutais de cette synonymie pour des raisons géographiques; mais après avoir pu constater qu’un c prove- nant de l’'Equateur et déterminé par GiGrio-Tos comme Aeola- cris octomaculata Scudd. est absolument identique à notre exemplaire de Cayenne et à la description et figure données par FEISTHAMEL, je me vois obligé de réunir ces deux espèces. Récemment, REHN a décrit sous le nom de À. bella une espèce du Brésil qui serait très voisine de À. octomaculata Seud. et ne s’en distinguerait que par des caractères de valeur dou- teuse. Cette espèce est certainement synonyme de À, caternaultii (Feisth.), bien que Rex aflirme qu'il n’y ait pas de rapports étroits entre ces deux espèces («no close relationship exists with Aeolacris caternaultit Feisth.»). Il faut croire que Rex n'a pas consulté la diagnose et la figure originale de cette dernière espèce et a été, lui aussi, induit en erreur par d’autres auteurs. Le fait qu'il compare son espèce présumée nouvelle avec À. 504 NCA octomaculata et ne trouve que des différences insignifiantes vient encore confirmer l’idée que les trois noms caternaultit Feisth., octomaculata Scudd. et bella Rehn se rapportent à la même espèce, dont l’habitat s'étend par conséquent sur une très grande partie de l'Amérique du Sud tropicale. Munatia biolleyi n. sp. Fra ut. œ. Coloration. Antennes violet foncé; front et joues jaune terne, avec une faible macule violette au-dessous des antennes, sur la côte faciale; une large bande violette com- mence derrière les antennes et se continue derrière les yeux. En dessus, la tête présente une bande médiane jaune, mais le pro- cessus du vertex est finement bordé de violet. Les bandes de la tète se continuent sur le pronotum, qui présente donc éga- lement une étroite bande médiane jaune, occupant la crète; de chaque côté de celle-ci, il y a une large bande violette, régu- lière vers le haut, mais descendant en saillie triangulaire jus- qu'au milieu des lobes latéraux, qui sont jaunes, parfois divisés en deux aires jaunes par un prolongement diffus de la bande violette allant le long du 2° sillon transversal jusqu’au bord inférieur des lobes latéraux. Mésopleures violettes, métapleures jaunes dans leur partie antérieure, violettes dans leur partie postérieure. Poitrine et ventre jaune brunâtre. Elytres olivâtre foncé, avec le champ anal jaune vif, cette couleur se prolon- geant sous forme d’un bord étroit jusque près de l'extrémité de l’élytre. Ailes jaune pâle, un peu verdâtres, avec une large bande marginale brun foncé, qui s’atténue vers l'arrière et ne s'étend pas sur le bord interne de l'aile. Cette bordure est assez nettement délimitée vers l’intérieur; elle est traversée par une fine strie claire le long de la veine anale; les veinules trans- versales dans la bande sont un peu plus foncées que la bande elle-même. Pattes gris jaunâtre ; les genoux des pattes postérieures sont étroitement bordés de jaune ; les tibias postérieurs passent au sh ‘ ACHIDIDES 505 violet en dessus, leurs épines internes sont jaunes, avec la point noire sur le côté externe, mais noires sur toute leur face interne. Sculpture. Tête très faiblement ponctuée; la crête fron- tale indiquée sur l’écusson facial par 2 carènes obtuses un peu écartées au milieu. Le pronotum et les pleures ponctués - ru- gueux ; la ponctuation est plus grossière sur les pleures et sur la métazone que sur la pro- et la mésozone du pronotum. Poitrine et abdomen également ponctués, la première plus fortement que le dernier. La face, les joues, le pronotum et les fémurs portent des granulations piligères noires, qui sont le plus nombreuses et le plus distinctes sur la tète et sur les fémurs postérieurs. Formes. La carène médiane du pronotum est élevée en une crête assez régulière, finement crénelée, très faiblement échancrée par les deux premiers sillons transversaux et accom- pagnée de chaque côté d’une impression large, très nette, derrière le 3° sillon transversal. Elytres à bord antérieur régu- lièrement courbé dans toute sa longueur. Ailes 2 !/; fois aussi longues que larges. Œ. Longueur du corps: 45"", (Q 75). » du pronotum : 12,5. (Q 20). » des élytres: 46°". (Q 60). » des ailes: 41%, (© 56). Largeur maximum des ailes: 18". (© 24). Longueur des fémurs postérieurs: 29%%, (9 35). Nous rapportons à cette espèce une ® qui se rapproche du par la sculpture, la forme des élytres et le développement de la carène médiane du pronotum, mais s’en distingue de la façon suivante: La taille est beaucoup plus grande, le corps et les élytres sont couleur de feuilles mortes, sans bandes jaunes; la bande marginale des ailes est plus diffuse etentièrement effacée vers l'avant. La crête du pronotum est légèrement arquée, plus distinctement crénelée et accompagnée de chaque côté, aussi sur les sillons transversaux antérieurs, d’une petite impression. 506 FLCARE 2 œ. Costarica (Carillo, « herbes, au soleil »), P. Brozzey leg. 1 ©. Costarica. La seule espèce de ce genre signalée jusqu’à ce jour en Amé- rique centrale, Wf. punctata Stàl, est trop brièvement décrite pour fournir une base de comparaison, en ce qui concerne les formes et la sculpture. Par la couleur, elle semble différer considérablement de MW. biolleyi, notamment par la présence de 4 taches noirâtres sur les côtés du thorax du c'. Ces taches font cependant défaut chez le G' non adulte que REHN a déter- miné comme M. punctata Stäal. Il se pourrait que cet exem- plaire représente un jeune de M. biolleyi ou d’une espèce voisine. De même, M. australis L. Br. ', du Paraguay, porte une livrée plus modeste que M. biolleyt et est en outre beaucoup plus petite que celle-ci. Munatia decorata n. sp. Fig. 12. œ. Bien distincte de l'espèce précédente par les caractères sui- vants : La bande violette derrière les yeux peu prononcée, pas- sant insensiblement au jaune-vert des joues ; la bande médiane jaune du pronotum un peu plus large; les lobes latéraux vio- lets, avec deux taches jaune soufre, rondes, un peu calleuses, dont l’une placée dans la prozone à demi-hauteur du lobe, l'autre plus grande, un peu plus bas dans la méso- et la méta- zone. Les méso- et métapleures portent chacune une tache jaune. Les élytres sont vert jaunâtre dans le champ marginal et anal, violettes dans le champ discoïdal. Le disque des ailes est jaune soufre, sans nuance verdâtre, mais légèrement rosé sur les deux côté de la veine anale; la bande marginale est brun clair et se perd lentement vers l’intérieur; elle devient brun-noir dans le champ huméral de l'aile. L’abdomen porte parfois une bande latérale jaune pâle. Pattes vertes; Les tibias ! Proc. U. S. Nat. Mus. vol: XXX, p. 644. 1906. 9 $ ACRIDIDES 507 postérieurs vert-jaune en dessous, olivâtres ou violets en dessus. Face et joues fortement ponctuées, la face plus fortement arrondie, sans traces de la crête frontale. Les granules noires sur la tête, le thorax et les fémurs postérieurs font défaut. La carène médiane du pronotum est distincte, mais non pas élevée en une crête comme chez M. biolleyi; il n’y a point d'impression à côté d’elle sur le dernier sion transversal. Le bord antérieur des élytres est presque droit dans son tiers apical, les élytres par conséquent plus étroits dans cette partie et plus aigus à l'extrémité que chez M. biolleyi. Les ailes sont plus largement arrondies et plus étroites, trois fois aussi longues que larges, avec le champ huméral plus aigu à l’extrémité et dépassant davantage le champ axillaire, qui de son côté est plus nettement détaché du champ postaxillaire sur le bord. gd. Longueur du corps : 45", » du pronotum : 13". » des élytres: 50", » dés'ailes: 1402 Largeur maximum des ailes: 42m, Longueur des fémurs postérieurs : 17", 2 Œ of. Costarica (Carrillo 600 m., Cariblanco 600 m., ver- sant Atlantique). P. Biozzex leg. Deux larves G de la même provenance présentent la même coloration du corps que les G adultes. Diponthus invidus n. sp. d,®.Brun jaunâtre. Front et partie inférieure des joues bruns, densément et assez grossièrement ponctués-rugueux ; la partie postoculaire et le vertex à ponctuations plus fines et plus éparses, la première vert cuivré; le vertex peu incliné, occupé par une bande médiane ferrugineuse. Antennes noires, avec les deux articles basaux bruns. Pronotum, méso- et métapleures densé- ment ponctués-rugueux, avec un assez fort reflet de graisse. 508 IS CARIE Disque du pronotum, vu de côté, un peu renflé dans la prozone, mais plus bas et tout à fait plat dans la métazone, où il forme, avec les lobes réfléchis, un angle droit et assez fortement accusé; le bord antérieur est légèrement échancré en arc au milieu, le bord postérieur forme un angle obtus et émoussé; 1l n'y a pas trace de carène médiane ; le disque offre une bande médiane régulière, testacée, entre deux bandes noires, assez apparentes sur la métazone, qui est testacée, mais se confon- dant extérieurement sur la prozone avec la couleur brun foncé ou noirâtre des parties latérales de cette zone; le bord anté- rieur de la prozone est jaune vif depuis l'angle antérieur jus- qu'à la rencontre des bandes noires près de l’échancrure mé- diane ; il n’y a pas de bandes obliques sur les lobes réfléchis. Méso- et métapleures unicolores, brun profond chez la Q, noi- râtres chez le Œ. Poitrine et abdomen brun-châtain, ce dernier avec une strie médiane dorsale plus claire. Tubercule du pro- sternum comprimé, obtus, droit, non recourbé vers l’arrière. Mésosternum et métasternum assez fortement et grossièrement ponctués ; les lobes mésosternaux séparés par un intervalle un peu plus large qu'eux chez la ®, mais un peu plus étroit chez le . Elytres atteignant à peine l’extrémité des fémurs posté- rieurs chez les deux sexes, dépassant un peu l’extrémité de l'abdomen chez le SG, mais ne l’atteignant pas chez la Q ; ils ont leur plus grande largeur au premier tiers et sont symétrique- ment arrondis à l’extrémité; opaques, jaunâtres en lumière transmise et brun enfumé en lumière réfléchie, avec les ner- vures et nervules noirâtres, sauf les radiales antérieure et moyenne d’une part et l’ulnaire postérieure et l’anal et les ner- vules entre elles d'autre part; celles-ci sont jaunes et détermi- nent ainsi deux stries jaunes sur l’élytre. Ailes translucides et un peu jaunâtres dans la partie antérieure, subhyalines dans la partie postérieure. Pattes antérieures et moyennes brun clair. Fémurs postérieurs avec les faces supérieure, inférieure et ex- terne couleur café au lait, cette dernière lavée de brun, avec la ligne médiane zigzaguée noirâtre ; face interne bleu-noir jusque près du genou ; lobes géniculaires internes noirs. Tibias = FAITES TPFEALE ACRIDIDES 509 postérieurs d’un rouge vineux, passant au brun sur la face ex- terne ; épines jaunes ou brunes, avec la pointe noire. Tarses bruns. G‘: Cerci grêles, styliformes, aigus, pointus à l'extré- mité. Plaque suranale avec les côtés arrondis, mais lextré- mité prolongée au milieu en petite pointe obtuse; sa surface offre près de l’extrémité une petite carène noire formant un angle ouvert vers la base ; le segment anal qui la précède porte de chaque côté de l’échancrure médiane une dent spiniforme noire. La différence de taille entre les deux sexes est plus considé- rable que chez les autres espèces, sauf D. dispar et D. permistus. Longueur du corps: 6 30"", Q 48%". » du pronotum: 0 677,5, 0: 102,5. » des’élytres::c" 220%, © 28m", » des fémurs postérieurs: G' 16"", © 23", 2 © co‘. Brésil; 2 © Q Theresopolis (Sta. Catharina), Brésil méridional ; 1 ® Uruguay. Cette espèce se distingue de presque tous ses congénères par sa livrée très peu bariolée et par la coupe des élytres, qui se rétrécissent graduellement depuis le 1° tiers et sont régu- lièrement arrondis à l’extrémité, tandis que chez les autres espèces Le bord antérieur est plus fortement courbé vers l’ex- trémité. Elle est, en outre, bien caractérisée par la sculpture dense et plutôt grossière du thorax et par la forme du prono- tum, qui rappelle un peu celui de D. puelchus Pict. et Sss. mais a le disque de la métazone encore plus plat, plus fortement pro- longé vers l'arrière, distinctement plus long que la prozone et formant avec les parties latérales un angle plus prononcé. Par la coloration des ailes et des élytres, elle rappelle un peu D. electus Serv., espèce suffisamment distincte par la forme et les autres particularités de la coloration. Enfin, elle doit avoir une certaine ressemblance superficielle avec D. crassus L. Br., du Paraguay (Ent. News, vol. XXI, p. 303-304. 1910), espèce dé- crite avec très peu de détails sur les formes, mais sans doute spécifiquement distincte de la nôtre en raison de sa taille plus Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916 HS 1 510 J. CARL petite, de l’absence de stries jaunes sur les élytres, dont la ner- vulation est testacée sur un fond très foncé, de la correspon- dance de couleur entre les faces interne et externe des fémurs, etc. Arnilia saussurei n. sp. Corps vert; une bande pâle s’étend depuis l’extrémité infé- rieure des yeux à travers les joues, le long du bord inférieur des lobes latéraux du pronotum et sur les pleures, jusqu'aux hanches postérieures ; cette bande est plus ou moins distincte suivant les individus et surtout apparente lorsqu'elle est accom- pagnée vers le haut d’une zone vert foncé. Antennes foncées, les deux articles basaux jaune-vert; les tarses postérieurs rouge rose ou rouge sanguin. Ailes hyalines, légèrement bleu- âtres vers la base et au bord antérieur. Le disque du prono- tum teinté de violet. Abdomen vert, avec une bande dorsale diffuse bleu-vert, renfermant sur chaque segment deux petits traits jaunes. Antennes filiformes chez les deux sexes, chez le o' aussi longues, chez la @ un peu plus courtes que la tête et le pronotum pris ensemble. Fastigium du vertex un peu plus long que large à la base et muni d’un petit sillon médian chez le c', un peu plus court, plus obtus et moins distinctement sil- lonné chez la ©. Tête lisse, thorax et pleures avec une ponctuation dense et assez forte, mais la prozone et la mésozone des lobes latéraux sont lisses par place; une ligne lisse indique, sur la métazone, la carène médiane du pronotum, qui est presque entièrement effa- cée sur la prozone et la mésozone. Pronotum légèrement selli- forme. Tubercule du prosternum cylindrique, épais, très obtus et presque droit. Tibias postérieurs avec 7 ou 8 épines sur le côté externe. Fémurs postérieurs atteignant à peine l'extrémité de l'abdomen dans les deux sexes. Elytres dépassant l’extré- mité des fémurs postérieurs avec un peu plus d’un quart de leur longueur. Plaque sous-génitale du G‘ un peu plus longue que large, enfoncée le long de la ligne médiane, avec les angles obtus, non ACRIDIDES 511 prolongés en forme de dents ou d'épines; elle est surmontée par un appendice impair, en forme de tête d’Oiseau lorsqu'on le voit de côté, étroit et lancéolé lorsqu'il est vu de dessous. Plaque suranale et cerci comme chez À. vttreipennis Marsch. Longueur du corps : o' 23,5, Q 28", nc'Alsriroa. $ 95 » des € y tres oo" 210m © ,25mm;, » des fémurs postérieurs: ‘12,5, © 15mn- og c', 8 ®. Cayenne. Cette espèce appartient au groupe de A. vitreipennis Marsch., marschalli L. Br. et minor L. Br.', mais s’en distingue par la lame sous-génitale du &', qui est plus courte et dont les angles postérieurs ne sont pas prolongés en dents. 2 o' provenant de Cuba (Gunpracx leg.) représentent pro- bablement une variété géographique de cette espèce. Ils s’en distinguent par les sillons transversaux du pronotum moins profonds et moins distincts sur le dos, par les angles de la pla- que sous-génitale un peu saillants, en forme de tubercules obtus, mais non de dents aiguës comme chez vitreipennis et minor, et par une légère différence dans la forme de l'appen- dice de la lame sous-génitale. Le genre Arnilia n'avait pas encore été signalé aux Antilles. Henia frenata Marschall. Un of de Bânos, dans l’Equateur, correspond à la descrip- tion donnée par MARscHALL et complétée par, Gi@rio-Tos, sauf pour certains caractères de coloration: l’occiput ne porte au- cune tache ou bande noirâtre; les genoux des fémurs posté- rieurs sont noirs et précédés d’un anneau jaune terne peu appa- rent; les tibias postérieurs sont bleu verdâtre vif et deviennent vert-marin pâle vers la base; leur extrémité n'est pas assom- brie. Sur les ailes, le bord antérieur est distinctement bleu et les nervures principales sont bleues dans leur partie basale. 1 Comp. Brunxer L., Biologia Centrali-americana, Orthoptera, vol. 2, p. 255. 1908. 512 J. CARL Dellia multicolor n. sp. ®.Espece voisine de Dellia insulana Stäl, mais bien distincte de celle-ci par la coloration et par quelques caractères mor- phologiques. Tête, pronotum et pleures verts, avec des bandes jaunes plus étroites que les parties vertes qui les séparent, notamment de chaque côté une bande jaune commençant derrière la partie supérieure des yeux et s'étendant jusqu'au bord postérieur du pronotum ; une autre bande jaune commençant au-dessous des yeux, passant par la partie inférieure des lobes latéraux du pronotum et se prolongeant sur les méso- et métapleures, plus ou moins découpée par les sillons verts du pronotum et par les soudures obliques des pleures. Antennes rouge-sanguin, passant au rouge pourpre dans la moitié apicale, avec les deux derniers articles blanchâtres et les deux premiers articles verts. Métanotum et tergites abdominaux brun clair, avec une strie médiane et de chaque côté une strie subdorsale noirûtre ; les flancs, au-dessous de cette dernière, sont rouge-sanguin sauf le bord postérieur de chaque segment qui est noir. Ventre égale- ment rouge. Fémurs antérieurs et moyens rouge-sanguin ; les tibias verts, avec une strie noirâtre sur la face antérieure; tarses testacés. Fémurs postérieurs brun très clair, avec la par- tie interne de l’aire inférieure rouge-sanguin; genoux noirs, sauf la partie distale des lobes géniculaires externes et l’ex- trême bord postérieur des genoux en dessus, qui sont brun- jaune. Tibias postérieurs vert très pâle dans la partie basale, devenant noirs dans la partie apicale, sauf une strie entre les faces externes et supérieures qui reste vert pâle; épines bru- nâtres, avec la pointe noire ; tarses postérieurs pâles, le méta- tarse noirâtre en dessus. Elytres très courts, n'atteignant pas le bord postérieur du métanotum ; jaune terne avec les bords et une strie médiane foncés; ils sont lancéolés, avec l'extrémité arrondie. Bord pos- térieur du pronotum largement et faiblement sinué au milieu, 4 br ACRIDIDES 513 mais plus distinctement que chez insulana. Valves génitales un peu plus courtes que chez insulana, les valves supérieures non droites et lisses comme chez insulana, mais légèrement courbées, avec leur bord supérieur distinectementcrénelé. Cette dernière particularité est exceptionnelle dans le genre Dellia, mais ne nous semble pas justifier la création d'un nou- veau genre ou sous-genre, vu la concordance parfaite qui existe dans tous les autres caractères morphologiques importants entre cette nouvelle espèce et le type du genre Dellia, D. in- suland. ©. Longueur du corps: 22mm, » du pronotum: 4"m,5, » des élytres : 27m, » des fémurs postérieurs : 13", 2 @Q ©. Cuba (H. pe SaAussURE leg:.). Adimantus cubiceps (Gerst.) Cette espèce n'avait pas été retrouvée depuis que GERSTÂCKER (1873) l’a décrite du Brésil. Kirgy, dans son catalogue, l’attribue au genre Adimantus Stl. Elle concorde en effet avec ce genre en ce qui concerne l’habitus général, la configuration si carac- téristique de la tête, les sillons du pronotum, la poitrine, l’ex- trémité abdominale des deux sexes, les pattes, etc. Mais elle se distingue des deux autres espèces, À. ornatissimus Burm. et A. oitticeps Blanch. par le fait que la métazone du pronotum n’est pas surélevée, mais se trouve presque sur le même plan que la prozone. Bien que ce caractère serve de guide dans le tableau dichotomique des genres donné par GiGzio-Tos (1898), nous ne croyons pas devoir le considérer comme essentiel, étant donné que le genre Adimantus possède tout un ensemble d’autres caractères, qui permettent de le distinguer des autres genres du groupe des A/euae. Nos quatre exemplaires concordent assez bien avec la dia- gnose originale du &', sauf pour la taille, qui est plus grande. 514 TIRCART Longueur du corps: 35%, Ç 40-45mm, » du pronotum: g'6mu, © 8mm, » des élytres 79" 302,0 400, » des fémurs postérieurs : ct 19m, © 24mm, GersrTÂckeR indique pour l’envergure des élytres 52m; chez nos ‘elle est de 65m, Les ailes sont légèrement teintées de bleu vers la base. Les genoux postérieurs ne sont pas entièrement noirs, comme le dit GERSTÂcKER, mais portent seulement en dessous une petite tache basale noire ; les deux barres noires de la face interne se trouvent l’une au milieu, l’autre aux */: de la longueur des fémurs. Les articles des antennes sont étroitement bordés de jaune à l'extrémité. La lame sous-génitale du G‘ n’est pas trian- gulaire-aiguë, comme la décrite GERSTÂCKER, mais courte, scaphoïde, avec le bord supérieur très obtusément pointu au milieu. 1 g. 2 ©. Rio-Grande do Sul, Brésil. 1 S. Montevideo. Adimantus vitticeps (Blanch.) Cette espèce, à moins qu'elle ne soit synonyme de À. orna- tissimus (Burm.), n’était connue jusqu’à présent que du Brésil occidental et du Paraguay. Outre un c‘ de provenance incon- nue, nous possédons une Q provenant de Ce ce qui prouve combien vaste est l'habitat de certaines espèces d’ Qi thoptères dans le continent sud-amérieain. Dichroplus fraternus n. sp. Pre17> ®. Très semblable à D. amoenus Stäi pour la taille, l’habitus général, les élytres, la forme et la coloration du pronotum et la présence de huit épines externes aux tibias postérieurs, maïs différent par les caractères suivants : ACRIDIDES 2515 Le front et les joues sont brun très foncé, mouchetés ou mar- brés de brun plus clair, les joues parfois brun-roux. Les ély- tres sont moins arrondis que chez amoenus et un peu plus longs, atteignant presque l'extrémité du troisième segment abdominal ; ils sont presque unicolores, brun testacé, ou un peu plus foncés dans la partie antéradiale, mais n’offrent pas la strie radiale claire, distincte chez D. amoenus. Les pattes antérieures et intermédiaires sont olivâtre foncé. Les fémurs postérieurs sont brun-roux, avec les genoux brun foncé et les deux bandes noï- râtres, interrompues en dessous seulement ; sur la face externe, les deux bandes sont anguleuses vers l’avant et la bande anté- rieure se prolonge obliquement vers la base de telle façon qu'elle renferme une petite tache ovalaire claire près de la ca- rène inférieure externe; la base porte en dessus une petite tache diffuse foncée. Les tibias postérieurs sont vert olivacé, avec le condyle basal noir, suivi d’une étroite zone subbasale pâle. Longueur du corps: 26m, » du pronotum: 5m, » des'élytres:-82n, » des fémurs postérieurs : 15m, , 4 Q Minas Geraes; (FRUHSTORFER leg.). Cette espèce rappelle aussi, par son aspect général, D. vitta- tus L. Br. (Sec. Rep. of the Merchants’ Locust Invest. Comm. p. 72, 78, fig. 43. 1900); mais elle s’en distingue par les élytres un peu plus courts, sans strie radiale claire, par extension plus grande des marques foncées sur les fémurs postérieurs et par la présence de huit épines externes (au lieu de neuf) sur les tibias postérieurs. 516 J. CARL INDEX. L: PYRGOMORPHINAE. Pages. 1... Tapesia- Cuisiner En ER ENPS CAE GRENIER ER 2. Montistrid vins 0 Sp: HTML TPE RSA CIRE 3. Monistria profundesulcatan."Sp:2 24.0 2000 Pseudomorphacrisn gen PSE I CORRE 4; Pseudomorphacris notata(Br.)" 1 901,114 0000 5., OrthatGrts inconpruens un; 8p: 2000200008 000 6. -Verdulie'dohrnt Bols Part RON ES Te ARTE 7... Gelotus RO BELL ET EN RE EEE UT SP TORRES IT. CYRTACANTHACRINAE. A. Espèces asiatiques et australiennes. 8.. Quilta; mitraltmrStaliesie CU NC PSP Macroguiianésens5;t; Der TELE RESTES 9. Macroquilta longipennis ny Sp" 40520410 ER 40. OLya MERrULan. pee 0 8 DS 0 RP ANSE TORRES 11. Tauchira mirabulisn Sp "27710 0 PRE | 12. Tauchira' samanga n: 8pi LL OP TANT MENRREE ; 13.' Taucliratidua 1 8par 4 Re UNE TON ANR F 14. Racilia erisut nn 6p:; 50 RP MINE CHOISIE de Hieroglifhus Rise TOP TER 0 | SD NU IE 15: Hieroglyphus tonkinensis n./8p.1: 1, 24,744 00808 16. Hteroglyphus oryzivorus n8p0, 17,7... 2 17. Hieroglyphus Vastaionen: spi. 7e ONE | Parahieroglyphusn: gen CUS En, 2 LITE A ES | 18. Parahieroglyphus\bilineatus:n. sp... 406 SOMSSE ; 192 Teratodes braclyprerusin- ep het 2700 ICRA lonkinacris 0 Gen rire re TEE ME . . 485 20. Tonkinacris decoratus n. APE D a RE TOUTES 487 [SA 30. SL: 32. 57 À 34. 35. 36. 37. 38. 39. D D ND D D =] D ACRIDIDES B. Espèces africaines et malgaches. Oxyrrhepes elegans Bol. Mesambria ferrugata Brancs.. sr Cyrtacanthacris schistocercoides Brancs. . Parallaga n. gen. Parallaga pigra n. sp. Thysoicetrus Br. Thysoicetrus littoralis RnB: var. aethiopican. Thysoicetrus speciosus (Sjüst.) Thysoicetrus jucundus n. sp. Thysoicetrus brevicornis n. sp. Thysoicetrus praestans n. sp. C. Espèces américaines. Aeolacris caternaulti (Feisth.). Munatia biolleyt n. sp. Munatia decorata n. sp. Diponthus invidus n. sp. Arnilia saussuret n. sp. Henia frenata Marschall Dellia multicolor n. sp. Adimantus cubiceps (Gerst.) Adimantus vitticeps (Blanch. Dichroplus fraternus n. sp. ar. Pages. 488 489 490 490 492 492 493 494 496 498 500 502 504 506 507 510 511 512 513 514 14 c = cerci; d. s.v. — dernier segment ventral ; L. sa. — lame suranale; l. g. et [. sg. — lame sous-génitale; y. g. — valves génitales. Fig. 1. — Macroquilta longipennis n. sp. ©. Tête et thorax, vus de côté. Fi. 2. — Macroquilta longipennis n. sp. Q. Tête et thorax, vus d’en haut. F6. 3. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. Gf. 1, 5 X 1. Fc. 3°. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. cf. Extrémité de l’ab- domen, face postérieure. Fic. 4. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. @.1,5 X 1. Fic. 5. — Parahieroglyphus bilineatus n. sp. ®. Extrémité de l’ab- domen, vue de dessous. Fi. 6. — Teratodes brachypterus n. sp. ©. Partie antérieure du corps. Lx 1. Fic. 7. — Teratodes monticollis Gray © . Partie antérieure du corps. LEA. Fi. 8. — Oxyrrhepes elegans Bol. G‘. Extrémité de l'abdomen. Fic. 9. — Oxyrrhepes procerus (Burm.) Extrémité de l’abdomen. Fig. 10. — Oxyrrhepes extensa ( Walk.) Extrémité de l'abdomen. FiG. 11. — Munatia biolleyi n. sp. Elytre et aile droits. Fic. 12. — Munatia decorata n. sp. Elytre et aile droits. Fi. 13. — Thisoicetrus speciosus (Sjôst). Œ. Cercus. Fic. 14. — Thisoicetrus brevicornis n. sp. cf. Cercus. Fi. 15. — Thisoicetrus jucundus n. sp. cf. Cercus. Fic. 16. — Thisoicetrus praestans n. sp. c‘. Cercus. Fiç. 17. — Dichroplus fraternus n. sp. Q. Fémur postérieur, face J. CARL EXPLICATION DE LA PLANCHE 2 Abréviations. externe. 2 X 1. CT TE PA TS Rev. Suisse de Zoo. T. 24 1916. TC Acrdides nouveaux. REVUELSURSSEUD'EWZO'OLOGIME Vol e22- n°027" inner t9To Sur l'Orientation chez les Fourmis. PAR V. CORNETZ A propos des lignes que me consacre M. le D'° Brux dans cette Revue, il y a une chose qui me paraît d'importance au point de vue objectif. Il s’agit de la vieille expérience de Boxer, c’est-à-dire du balayage d’une piste de Fourmis, expérience que j'ai perfectionnée en la faisant de nuit, sur plusieurs mètres, avec lavage en grand du sol et couverture de ce sol au moyen d’un plancher, puis que j'ai relatée dans cette Revue. De cette vieille expérience, Gaston Bonxier avait déjà dit qu'elle lui paraissait concluante en faveur d’un sens particulier. M. le D' Brux admet à ce propos « ce sens très fin des déviations ». Ceci est ma propre expression et je suis heureux de faire cette constatation. En effet, le but principal des polémiques que j'ai soutenues, à propos du retour de la Fourmi au gîte, était de faire accepter aux myrmécologues qu’il y avait dans ce retour, dans bien des cas, quelque chose de tout autre qu'une reconnais- sance visuelle, tactile ou olfactive, du milieu extérieur, quelque chose d’interne. Du moment que l’on admet la possibilité de ce sens très fin des déviations, c’est donc qu'il faut appliquer aux Fourmis les idées de P. Boxnier sur le « sens des attitudes » et celles d’Exxer sur « le sentiment et la mémoire des positions et des différences de position dans l’espace du plan médian du corps ». Cette idée d’Exxer, dont l'expression est un peu longue, ne m'a été connue que récemment par un travail de Revue suisse de zoologie, vol. 24 (1916), p. 381, lignes 21 et suivantes. Rev. Suisse DE Zoo. L. 24. 1916. 35 520 V. CORNETZ Szyuaxski!. Elle correspond, de par ses termes, à l’idée émise dans mon tout premier mémoire sur les Fourmis et que j'expri- mais sous la forme «sens des angles décrits » ou « sens de l’angulation ». Je crois me rappeler que M. le D' Brux ne cite pas ExNER dans son livre. Cette petite polémique a donc eu un résultat pratique, me parait-il, car Popinion de M. le D' BruN nrest très précieuse, en ce qui touche la myrmécologie et la biologie. Quant à la philosophie, je ne répondrai rien à ce sujet, le rationa- lisme kantien me paraissant, à moi et à bien d’autres, depuis longtemps suranné, dans sa plus grande partie. Je dois dire, cependant, que, dans un autre ordre de faits, j'ai conservé intacte mon opinion touchant une faculté qu'aurait d’après moi la Fourmi en plus du sens très fin des déviations. Je veux parler de tous les cas de conservation d’une direction après un très long temps écoulé, cas que j'ai exposé jadis dans cette Revue. Je crois toujours fort possible que la Fourmi puisse avoir « la mémoire d’une direction isolée dans l’espace » et je le crois encore plus depuis que j'ai lu M. le D' Brux sur ce sujet, parce que je comprends mieux, après cette lecture, le désaccord irréductible entre nous à ce propos. En effet, M. le D'Brux étant kantien, l’espace est pour lui une forme a priori de notre enten- dement (Kanr). Pour moi, qui n’ai jamais accepté le dogme kantien, l’espace est une notion a posteriori, notion subjective découlant de nos sensations humaines. C’est pourquoi je ne vois aucune difficulté à supposer que l’espace peut être quelque chose de tout autre pour la Fourmi que-pour l’homme. Homo- gène pour l'esprit humain, l’espace peut fort bien être hétéro- gène pour la Fourmi. T Szymansxr. Versuche über den Richtungssinn beim Menschen. Arch. f. ges. Physiol., Bonn, 1913. — Voir aussi: V. Corxerz. Le cas élémentaire du sens de la direction chez l'homme. Bull. Soc. Géographie d'Alger, 1913. np RE VUE" SUISSE DE*ZOOLOGIE Vol 24 /n0,8 "Juillet 1916: Viguierella coeca Maupas. Ein Beitrag zur Entwicklungsgeschichte der Crustaceen (unter Benützung eines Manuskriptes von E. Maupas) VON P.-A. CHAPPUIS. (Aus der Zoologischen Anstalt der Universität Basel). Hiezu Tafel 3 u. 4. GESCHICATLICHES Im Jahre 1891 erschien in den Comptes rendus de l'Académie des sciences eine kleine Notiz von Maupas (19) über einen in Al- gier aufgefundenen Harpacticiden, den er Belisarius viguterti nannte. Im folgenden Jahre verôffentlichte Mrazek (20) einen Beitrag zur Kenntnis der Harpacticiden des Süsswassers, in welchem er ein dem Belisarius ähnliches Tier als Phyllogna- thopus paludosus beschrieb. In einem Nachtrag nimmt er Stel- lung zu Maupas’Belisarius und sagt : «obgleich die Beschrei- bung ziemlich kurz gehalten ist und jeder Abbildung enthehrt, erkannte ich doch sogleich in dem Belisarius viguieri Maupas meinen Phyllognathopus.» Seitdem wurden diese zwei Beschreibungen nicht mehr ver- glichen, und es ist daher erklärlich, dass während zehn Jahren der Irrtum — denn als solchen muss ich die von MRrAZEK vorge- nommene Identifizierung ansehen — bestehen blieb. Rev. Suisse DE Zoo. T. 24. 1916, 36 D22 P.-A. CHAPPUIS Da der Name Belisarius schon von einem andern Autor einem blinden Skorpione verliehen worden war, taufte Maupas den von ihm gefundenen Krebs um, und bemerkt dazu in den Arch. d. Zool. exp.:(3) T°77/;p: 566 (Fussnote): « Lorsque je fis connaître (Comptes rendus de l’Académie des sciences, 11 juillet 1891) cet intéressant et nouveau Copépode d’eau douce, je l'avais baptisé du nom de Belisarius vigutert. Mais j'appris presque immédiatement que M. E. Simon avait déja employé le nom de Belisarius comme terme générique pour un Scorpion aveugle. Afin de remédier à ce double emploi, je changeai sur les tirages à part de ma note Belisarius viguteri en Viguierella coeca, dénomination sous laquelle ce Copépode est cité à plusieurs reprises par M. PERRIER dans son grand traité de zoologie. Très peu de temps après moi, MRAZEK, qui avait rencontré la même espèce en Bohême, la publiait (Zool. Jahrb. Abt.f. Syst., Bd. VIII, p.97) sous le nom de Phyllogna- thopus paludosus. Sa synonymie ainsi bien établie, c'est sous le nom de Viguterella coeca qu'elle devra dorénavant être citée. » Wenn ich in meinen früheren Verôffentlichungen (23) den- noch den Namen Phyllognathopus anwandte, so geschah dies, weil KESSLER unter der gleichen Bezeichnung einige Monate früher vom Excretionsorgan, das ich in diesen Schriften zu erklären versuchte, gesprochen hatte. 1595 erwähnt HarrwiG (14 und 15) den Cruster aus der Mark Brandenburg, in einer seiner Faunenlisten, zum ersten Male 8; unter dem Namen Phyllognathopus viguiert. Er konstatierte ebenfalls als erster einen Unterschied in der Furcalbewehrung zwischen seinen Exemplaren und den Abbildungen MrAzer’s. SCOURFIELD (23) fand den Krebs in England und gibt ein gutes Habitusbild des Tieres, das er unter dem Namen Belisarius vigutert citiert. KessLer (17) erbeutete Vigutierella in einem Schulaquarium in Dresden. Im Sommer 1913 fand auch ich diesen seltenen Copepoden in einem Pumpbrunnen der Umgebung Basels in Gesellschaft von Bathynella natans (3). Ich bestimmte ihn als Phyllognathopus viguieri; doch fielen mir sofort die später genannten Unter- : ; VIGUIERELLA COECA 523 schiede zwischen meiner Form und den Abbildungen MRazEK’s auf. Ich beobachtete den pulsativen Apparat in der Maxillen- drüse, den MrAzEek nicht sah und als eine, durch Muskelkon- traktionen hervorgerufene Täuschung erklärte. Um meiner Be- stimmung vôüllig sicher zu sein, bat ich Herrn Maupas mir eine ZLeichnung oder ein Exemplar von Viguterella zur Verlügung zu stellen. Da der franzôsische Forscher durch Krankheit verhin- dert war, die angefangenen Arbeiten selbst zu vollenden, über- gab er mir in hochherzigster Weise das gesamte Dossier über diesen Kruster. Ich stellte die Indentität meiner Tiere mit den- jenigen Maupas fest, konnte an Hand des reichlichen Materials, das sich in meinen Zuchtgläsern vorfand, die Beobachtungen Maupas kontrollieren und vervollständigen und fand seine Auf- zeichnungen in allen Punkten bestätigt. Ich môchte an dieser Stelle Herrn Maupas meinen herzlichsten Dank für sein Zutrauen aussprechen und hoffe, das von ihm mir überlassene Material voll ausgenützt zu haben. Gleichzeitig sei es mir gestattet, Herrn Prof. D'F. ZscHokkE und Herrn D'R. MExzEL für das rege Interesse, das sie meiner Arbeit stets entgegenbrachten, sowie für manchen Rat bestens zu danken. Im Laufe meiner Untersuchungen gewann ich die Ueberzeu- œung, dass Viguierella coeca Maupas und Phyllognathopus palu- dosus Mrazek nicht identisch seien, sondern zwei verschiedene Formen darstellen, die ich im folgenden nüher beschreiben werde. Viguierella coeca Maupas. (Taf. 3, Fig. 1, 2.) Das Weibchen misst im ausgewachsenen Zustande, die Fur- calborsten nicht eingerechnet, zwischen 570 und 600 y; das Männchen, welches etwas kleiner ist, 530—560 u. Der Kôürper ist walzenfürmig, schwach in dorsoventraler Richtung zusam- mengepresst, und zeigt im Allgemeinen die Eigentümlichkeiten des Harpacticiden-Habitus. Er bestehtaus zehn Segmenten beim Weibchen und, dem entsprechend, 11 beim Männchen. Bei 524 P.=A. CHAPPUIS Viguierella ist das Kopfsegment nicht mit dem ersten Thora- calring, der das erste Beinpaar trägt, zusammengewachsen ; die Thoracalsegmente werden hierdurch um eines vermehrt, was diese Gattung von Canthocamptus, Epactophanes u.s.w. unter- scheidet. Das erste Segment oder Kopfsegment geht nach vorn in ein ziemlich breites, nach der ventralen Seite zu gebogenes Rostrum über, das in eine Spitze ausgezogen ist und zwei Sinneshaare trägt. Die erste weibliche Antenne (Fig.9) ist achtgliedrig und reicht, zurückgebogen, etwa bis zum ersten Toracalsegment. Sie wird gewôhnhch horizontal getragen und besitzt am vierten Segment einen Sinneskolben, der bis zur Hälfte des siebenten Gliedes reicht. Die erste Antenne des G'(Fig. 10) ist ebenfalls achtgliedrig und prähensil. : Sie dient bei der Kopulation zum Festhalten des @ an den Furkalborsten. Im ganzen Aufbau gleicht diese Antenne der der Canthocamptiden. Die zweite Antenne (Fig. 11) besteht aus vier Segmenten mit einem eingliedrigen Aussenast, der dem zweiten Segmente entspringt und fünf Borsten trägt. Die Mandibel (Fig. 12) trägtan ihrer Kaufläche einige kleinere Zähne und besitzt einen zweiästigen Palpus, dessen Aeste ein- oliedrig sind. Die Maxillen sind kräftig gebaut ; ihre Form ersieht man am besten aus den Figuren 13 und 14. Der Maxillarfuss (Fig. 15) bildet eine breite Platte mit reicher Beborstung. Die zweite Maxille und der Maxilliped sind auf gleicher Hôühe inseriert. Die Schwimmfüsse. Die vier ersten Schwimmfusspaare sind bei beiden Geschlechtern gleich und bestehen beim ersten bis dritten Paare aus einem dreigliedrigen Exopoditen und einem schwächer beborsteten dreigliedrigen Endopoditen. Das vierte Fusspaar hingegen hat einen zweigliedrigen Endo- und einen dreigliedrigen Exopoditen. Der fünfte Fuss desQ (Fig. 16) besteht aus zwei durch.eine tiefe Spalte getrennten Teilen. Der innere VIGUIERELLA COECA 525 Teilträgt, wie bei den meisten G'Canthocamptiden, zwei dickere Borsten, während der äussere deren vier von geringerer Länge zahlt. Ein Aussenranddorn ist vorhanden. Beim 5. Beinpaar des S'(Fig. 17) ist das Basalglied verkümmert und besteht nur aus einer Dornenreihe und einem darüber sich befindlichen dreieckigen Fortsatz. Das Endglied ist länglich, mit sechs Borsten. Die Abdominalsegmente sind, das letzte ausgenommen, alle ungefähr gleich lang, und tragen, mit Ausnahme der ersten, in ihrem vordern Viertel einen Borstenkranz. Das zweite weib- liche und das zweite und dritte männliche Segment besitzen ausserdem an ihrem hintern Rande eine ununterbrochene Reihe feinster Härchen. Die sonstige Beborstung des Hinterleibes von Viguterella coeca scheint ziemlich variabel zu sein. Die weibliche Furka (Fig. 26) ist von der des Männchens ver- schieden. Die plumpen quadratischen Furcaläste tragen die bei den Harpacticiden übliche Anzahl von Borsten. Eine Abweichung besteht in einer ungleichmässigen Entwicklung der Apical- borsten. Es sind nämlich statt der zweiten und dritten, die zweite und vierte vom Innenrand aus gezählt grüsser wie die zwei andern, die nur noch als zwei kleine Härchen vorhanden sind. Beim Weibchen sind die zwei gut entwickelten Borsten halb so lang und doppelt so breit wie die des Männchens. Sie bilden eine Lamelle, die an ihrem äusseren Rand gefiedert ist. Die männlichen Borsten sind schlank, die grôssere ist fünf mal so lang wie die kürzere. Der weibliche Geschlechtsapparat (Fig. 19) besteht aus zwei Ovarien, die nahe beieinander in der Näühe des Ge- hirnes, auf der dorsalen Seite des ersten Toracalsegmentes liegen. Von da aus führen zwei schlauchartige Oviducte zuerst rostral bis zum ersten Drittel des Kopfsegmentes, um dann, nach unten umbiegend, kaudal bis zum Beginn des neunten Seg- mentes weiterzuführen, wo der erste immer mit Eiern ange- füllte Teil aufhôrt. Von da aus wenden sich die Eileiter wieder nach vorn bis etwa ins zweite Toracalsegment, biegen dann wieder um und münden, sich verbreiternd, am fünften Seg- 526 P.-A. CHAPPUIS mente aus. Die beiden Oviducte haben wie die der andern Har- pacticiden getrennte Geschlechtsüffinungen (Fig. 18). Bei der Kopulation heftet das Männchen den Spermathophor an die cen- tral zwischen den zwei fünften Füssen gelegene Vulva. Von dieser aus führen zwei dürine Kanäle zu den zwei in der Fort- setzung der Oviducte gelewenen Receptacula, in denen die Sper- matozoen aufbewahrt werden. Wir kônnen am Eileiter drei verschiedene Teile unter- scheiden : 1. die Reifungszone, die vom Ovarium bis ins neunte Segment reicht, und in welchem das neugebildete Ei den zur Entwicklung des Embryos nôtigen Dotter erhält ; 2. den ablei- tenden Teil, der vom neunten Segment wieder aufwärts führt und nach einer Umbiegung im zweiten Kôrpersegment im vierten in den dritten Teil übergeht, in welchem die Eier, die gelegt werden sollen, befruchtet und mit einer Schicht klebrigen Stoffes umgeben werden. Entgegen der bei der Behandlung der Eiablage von Maupas geäusserten Ansicht, dass die zwei beiderseits in der Verlän- gerung der Oviducte gelegenen Schläuche den Klebstoff liefern, mit dem die Eier an der Unterlage des Weibchens befestigt werden, bin ich der Meinung, dass diese zwei Gebilde die Recep- tacula darstellen. Der Klebstoff der bei andern eiersäcketragen- den Arten den Eisack bildet, wird von dem mit grossem excreto- rischen Zellen ausgekleideten Endteil des Eileiters geliefert. In diesem Teile findetauch die Befruchtung statt. Durch ein dünnes, stark hyalines Rohr wird der Samen vom Receptaculum in den Eileiter geführt, in welchem das Ei von dem noch dünnflüssigen Klebstoff umgeben liegt. Bei noch unreifen Weibchen ist die erste Schleife des Oviductes noch nicht gebildet. Der Eileiter geht direkt vom Ovarium aus nach hinten zu der Geschlechts- üffnung. Derobere Teil zwischen dem Ovarium und dem zweiten Toraxsegment ist elastisch und dehnt sich nun je nach der Bil- dung der Eier nach hinten zu aus. Er bildet so jene erste Schleife, in der die Eier solange liegen bleiben, bis sie genügend Dotter angesammelt haben. Die Eier sind sphärisch, mit einem Durch- messer von ca. 50u. Es wird zu gleicher Zeit aus jeder Ge- VIGUIERELLA COECA 527 schlechtsüffnung je ein Ei ausgestossen. Das Weibchen trägt keine Eiballen, die Eier werden einzeln abgelegt. Das männliche Geschlechtsorgan (Fig. 21). Der un- paare Hoden liegt im vorletzten Abdominalsegment. Der Samenleiter steigt, nachdem er eine erste Schlinge im zweiten und dritten Abdominalsegment beschrieben hat, bis zu Anfang des zweiten Thoracalsegmentes, um dann caudal umbiegend am ersten Abdominalsegment auszumünden. Der Spermatophor ist schlank, flaschenfürmig, mit einem langen Pedunculus ver- sehen. Er liegt am Ende des Samenleiters. Auf der gleichen Seite wie der Hoden befindet sich in der Hühe des Ausführungs- ganges eine Drüse, die allem Anscheine nach die Funktion einer Klebdrüse übernommen hat. Sie besteht aus einem länglichen keulenfürmigen Drüsenteil und einer kugligen, stark lichthre- chenden Sammelblase. Diese Drüse scheint der umgeänderte zweite Hoden zu sein, denn 1. trifft man entweder den rechten Hoden entwickelt und dann liegt der Drüsenapparat links, oder es ist umgekehrt der linke Hoden entwickelt und der drüsige Apparat liegt rechts ; 2. findet man hin und wieder, in seltenen Fällen, dass der Hoden sich ebenfalls als drüsiger Apparat ent- wickelt, so dass wir keine Hoden sondern zwei symetrisch nebeneinander liegende Drüsen haben (Fig. 20). Maupas nannte in seiner vorläufigen Mitteilung dieses Organ die Kopulations- drüse, da sie, wie wir sehen werden, bei der Begattung eine wichtige Rolle spielt. Die Homologie der Hoden und der Kopu- lationsdrüse betrachte ich alserwiesen, obwohles mirbeimeinen Untersuchungen nie gelang, ein anormales Männchen mit zwei entwickelten Hoden zu finden. Das Excretionsorgan von Viguierella besteht vom ersten Copepodit-Stadium an aus einer Maxillendrüse, während der Nauplius eine Antennendrüse besitzt, die aus einer doppelten Schlinge besteht, in dessen Zentrum das Cœlomsäckchen liegt. Die Zahl der excretorischen Zellen ist wegen der Kleinheit des Organs nicht festzustellen. In meiner Mitteilung über dieses Organ (2) wurde die Funktion dieses äusserst interessanten und von MRazek angezweifelten Organs eingehender beschrieben. 528 P.-A. CHAPPUIS [ch verweise hiemit auf meine frühere Verôffentlichung, aus der ich folsæendes entnehme: «Die Maxillendrüse, welche das ein- zige Excretionsorgan abgibt, besteht aus einem vielfach gewun- denen Gang, der seitlich am hintern Rande des Cephalothorax sich befindet. Die Ausmündung selbst ist nicht schwer zu er- kennen, das Verbindungsstück zwischen dem excretorischen Teil und der Mündung aber ist so mit Muskeln überdeckt, dass es verschiedener Aufhellungsmittel bedurfte, bis ich den Ver- lauf dieses Teiles des Apparates feststellen konnte. » «Das Coelomsäekchen ist glockenformig. Von Rändern dieser Glocke zieht sich eine hyaline Membran gegen das Innere, wo sie an einem kugelfürmigen, hin und wieder flachen, mit kôrnigem Plasma angefüllten Zellkomplex sich anheftet. Diese Zellen sind einerseits durch einen Muskel mit dem Binde- gewebe verbunden, während sie anderseits mit einem elasti- schen Bande am Grunde des Bechers angewachsen sind. An das Coelomsäckchen schliesst sich dann der Nephridialgang an, welcher, soweit es sich beurteilen lässt, von einer strukturlosen Membran gebildet wird. Die Anordnung der Windungen des Nephridialkanals scheint auf Grund Maupas’ und meiner Beob- achtung konstant zu sein. Die Bewegungen die von MAUPAS, SCOURFIELD, KESSLER und mirin der Maxillendrüse beobachtet worden sind, entstehen nun dadurch, dass sich der Muskel im Coelomsäckchen zusam- menzieht und so eine Bewegung des Zellkomplexes hervorruft, die schon mit geringer Vergrôsserung (> 100) zu bemerken ist. In der Verôffentlichung im Zoologischen Anzeiger ist leider ein Fehler stehen geblieben. Es heisst dort: « Seltsamerweise mündet der ausführende Gang nicht, wie es bei allen andern Copepoden der Fall ist, am hintern Rande der zweiten Maxille aus, sondern, wie dies schon von Maupas festgestellt worden ist, erst ein Segment weiter hinten, am ersten Maxilliped. » Viguierella macht in dieser Hinsicht keine Ausnahme, und ich bin jetzt überzeugt, dass die Ausmündung dieser Drüse sich an der gleichen Stelle befindet wie bei den andern Cope- poden. VIGUIERELLA COECA 529 Das Blutgefäss- und Nervensystem bieten nichts besonderes. Sie sind wie bei andern Harpacticiden gebaut. Viguterella paludosa (Mrazek).! Das von Mrazek in Bühmen gefundene Tier, Phyllognathopus paludosus, welches von ihm sofort als mit Viguterella identisch erklärt wurde, unterscheidet sich in folgenden Punkten von Viguierella coeca Viguierella coeca Phyllognathopus paludosus Länge ohne Furkalborsten 570-6002 650u IT. Antenne viergliedrig dreigliedrig Mandibelkaulade: verjüngt sich eine breite Platte Furka © : die zwei entwickelten Bor- gleich lang sten halb so lang wie beim Männchen Analplatte ohne Dornen mit 7-11 Dornen Excretionsorgan mit pulsatil. Apparat ohne Apparat Wir haben es also hier mit einem Tier zu tun, das sich von Viguierella erheblich unterscheidet. Ich schlage daher vor, diese zwei Formen als zwei verschiedene Arten der Gattung Viguie- rella aufzufassen. BIOLOGIE Als blinder Kruster ist Viguierella meiner Ansicht nach ein Hôhlentier, das, wenn auch hin und wieder in Moospolstern auftretend, nur zufällig an diese Orte gelangt. Die unterirdi- schen Gewässertreten an manchen Stellen an die Erdoberfläche, wo sich dann mehr oder weniger ausgedehnte Moospolster bilden. In diesen künnen sich Tiere wie Viguierella, die an wenig Feuchtigkeit gebunden sind und sich durch hervor- ragende Fruchtbarkeitauszeichnen, ansiedeln und fortpflanzen. Die andern moosbewohnenden Harpacticiden, wie Æpacto- ! So muss in Zukunft, wie aus der Notiz Maupas’ hervorgeht, die Mrazek’sche Art genannt werden. - 530 P.-A. CHAPPUIS phanes sind, obwohl noch nicht subterran nachgewiesen, wahr- scheinlich auch Hôhlenkruster, oder haben ihre Augen durch beständiges Bewohnen des lichtarmen Untergrundes der Moos- polster eingebüsst. Maupas, der erste, der Viguterella fand, berichtet in seinen Notizen folgendes über den Ort, an dem er diesen Kruster ent- deckte: «Vers la fin de novembre 1891 je trouvai deux femelles adultes de ce petit Crustacé sur une de mes cultures de Dero furcata. Elles se nourrissaient de jaune d’œuf et des défécations du Naïdien. D'où venaient-elles ? je l’ignore. Je les isolai sur une préparation à part avec couvre objet supporté par de gros poils. En leur donnant de temps en temps un peu de jaune d'œuf ou des déjections de Dero, elles vécurent en très bonne santé et pondirent de nombreux œufs. Retrouvé en mars 1901 au Jardin d’Essai d'Alger. J'avais gratté, à la surface de la coupe pourrie d’une tige de Bananier tronquée à ras de terre, des débris plus ou moins décomposés de cette tige, en vue d’y rechercher des Nematodes. J'ai été très surpris d’y rencontrer d'assez nombreux exemplaires de Viguie- rella de tout âge, nauplius, metanauplius et adultes. Ils vivaient dans cette matière végétale en décomposition, très humide et presque liquide. » MRAzEKk fand seinen Phyllognathopus in feuchtem Moos, das «in Alt Bunzlau in Bühmen auf einer Sumpfwiese unweit der Elbe gesammelt worden war». Er bemerkt noch: «die Tiere wurden zwischen Hypnum gefunden, und es ist fast unglaublich wie wenig Wasser sie zu ihrem Gedeihen bedürfen; denn sie erhielten sich am Leben in Moos, das mehrere Tage hindurch fast trocken dastand ». HarrwiG fand seinen Phyllognathopus in Material das am 5. Mai 1890 am Ufer des Scharmützelsees bei Buckow gesam- melt worden war. SCOURFIELD bemerkt zu seinem Funde : «This /Belisarius) has only been obtained in this country from the Royal Botanic Gardens, Regen’s Parc, London and Kew Gardens, where I find it almost constantly in the cups formed VIGUIERELLA COECA 531 by the leawes of the Bromeliaceous plants. On one occasion at Kew I also found it in pitchers of one of the Pitcher plants. » Kesscer entdeckte diesen interessanten Kruster in einem Dresdener Schulaquarium : « Nachforschungen über die Her- kunft des Materials sind bis jetzt ergebnislos geblieben. Man wird aber wohl den Ursprungsort in der Dresdener Umgebung annehmen dürfen »; berichtet er in seiner Notiz im Zoologischen Anzeiger Bd. 43, und an anderer Stelle: «Seit 1911 besteht also die Kolonie in einem kleinen Aquarium, dessen Boden mit einer hohen Humus- und Moosschicht bedeckt ist. Es wird nichts für die Tiere getan, von Zeit zu Zeit wird nur das ver- dunstete Wasser ersetzt, ja es kann sogar vorkommen, dass das Aquarium ganz austrocknet, ohne dass es den Tieren schadet. » Von mir wurde Viguierella in vier verschiedenen Sod- oder Pumpbrunnen aus der näheren Umgebung Basels gefunden, und ausserdem noch in einem Schulaquarium in Glarisegg bei Steckborn (Kanton Thurgau). Die obengenannten Tiere lebten in Brunnen, die von einer grüsseren Wasserader des Grund- wassers durchflossen wurden und sich stets am Fusse eines Hügels befanden. In zwei Fällen lebten die Tiere in Gesellschaft von seltenen Vertretern der Grundwasserfauna, wie Bathynella natans VEsp. und Parastenocaris fontinalis mihi, was unzwei- felhaft auf die subterrane Herkunft unserer Tiere hinweist. Auch ich stellte fest, dass Viguierella sehr wenig Feuchtig- keit braucht, um zu leben und sich fortzupflanzen ; trocknet das Wasser aber ganz aus, so sterben alle Kruster ab. Die Tem- peraturunterschiede, die Vigutierella ohne Schaden ertragen kann, sind beträchlich. Maupas konstatierte, wie wir später sehen werden, dass sich seine Versuchstiere bei einer Temperatur von 15°-29° entwickelten. In den Brunnen Mittel-Europas ist die Temperatur ziemlich konstant. Sie schwanktzwischen 8° und 12°. Die Nahrung unseres Copepoden besteht aus Detritus sowie aus allen organischen Stoffen, die durch die Spalten des üfters schadhaften Brunnendeckels durch das Regenwasser hinunter- geschwemmt werden. 592 P.-A. CHAPPUIS Kopulation. Die Kopulation wurde von Maupas in seinen No- tizen eingehend beschrieben. Er sagt dort über seine Beobacht- ungen !: «2. Juni 6 Uhr morgens. Endlich konnte ich einer Kopula- üon beiwohnen, und habe sie in allen äusserlichen Einzelheiten beobachtet. Die beiden Individuen waren die Nr. 6 und 7 die ich am 28. Mai isoliert hatte, um die sechs letzten Entwicklungs- stadien beobachten zu kônnen. Gestern Abend um sieben Uhr konnte ich feststellen, dass keines der beiden Versuchstiere die elfte und letzte Häutung vollbracht hatte. Heute Morgen um fünf Uhr fand ich dieselbe vollendet. Diese zwei Tiere haben also ihre endgültige Form zwischen sieben Uhr abends und fünf Uhr Morgens angenommen. Um sechs Uhr führte ich sie auf ein frisches Präparat über. Sogleich fasste das Männchen das Weibchen bei den Furkalborsten, sich mit den Antennen daran festhaltend. Darauf krümmte es sich nach hinten, und mit der Ventralseite an der des Weibchens anliegend, versuchte es seine Genitalüffnung mit der des Weibchens, das sich ruhig verhielt, in Verbindung zu bringen. Nach zwei bis drei schnell aufeinanderfolgenden vergeblichen Versuchen gelang es dem Männchen, sich Bauch an Bauch eng an das Weïbchen zu fixieren. In diesem Augenblick umklammerten seine Antennen immer noch die weiblichen Furkalborsten und die Tiere verharrten etwa eine halbe Minute in dieser Stellung. Nach dieser Zeit liess das Männchen die weiblichen Furkalborsten fahren und bemühte sich, sich vorwärts und rückwärts krümmend vom Weibchen loszulüsen. Das Männchen haftete nur noch mit der Genital- ôffnung am Weibchen. Sofort lüst sich der Kontakt ein bischen, und die zwei Tiere blieben nur noch durch einen kurzen, dicken Faden vereinigt, der die zwei Genitalôffnungen verband. In- folge von zwei bis drei Erschütterungen lüste sich der Faden vom Weibchen und wurde vom Männchen fortgetragen. Als dieser Faden sich loslüste, entdeckte ich einen Spermathophor, ER. * Die franzüsischen Notizen Maupas’ werden im folgenden in môglichst wôrt- | licher Uebersetzung citiert. é : roc VIGUIERELLA COECA 533 der an der Genitalüffnung des Weibchens angeheftet war, und auch dort blieb. Das Weibchen scheint bei diesem Akt, der im ganzen 1 2 bis 2 Minuten gedauert hat, eine ziemlich passive Rolle zu spielen. » «In den Kulturen in denen sich mehrere Männchen und Weibchen zusammenfinden, kann man ôüfters beobachten, wie die ersteren sich mit ihren ersten Antennen an die Furka der Weibchen anklammern. Zahlreiche Fälle wurden bis jetzt be- obachtet, und ich sah immer die Weibchen, sich heftig bewegend, nach kurzer oder längerer Zeit sich der Männchen entledigen, trotz den Bemühungen derselben sich mit der Ven- tralseite an diejenige ihrer Gefährtinnen zu legen. » « Die Männchen machen also üfters erfolglose Kopulations- versuche. Wahrscheinlich lassen sich diese Misserfolge darauf zurückführen, dass die Weibchen schon befruchtet waren und darum die Annäherung der Männchen nicht ertragen konnten. » «In der eben beschriebenen Beobachtung hingegen hatte ich ein junges Weibchen, das in der Isolation reif geworden war, und das Männchen, sobald ich es ihr gab, annahm. Zweilels- ohne würde es genügen, die gleichen Bedingungen wieder her- zustellen um einer neuen Kopulation beizuwohnen. Es ist sehr wahrscheinlich, dass das Spermatophor durch die allgemeine Kontraktion des männlichen Kôürpers, während er sich nach hinten krümmt, übergeführt wird. Da die zwei Geschlechtsüft- nungen in diesem Moment in unmittelbarer Berübrung sind, wird der Spermatophor beim Austritt aus der männlichen Oeff- nung direkt an die weibliche Oeffnung gelangen und dort fest- gekittet, ohne dass die Beine bei diesem Transport eine Rolle spielen. Ausserdem scheint mir der kurze und dicke Strang, der bei den Krämmungen des Männchens nach rückwärts er- scheint und aus welchem der Spermatophor austritt die Existenz eines etwas protraktilen Rohres anzuzeigen, mit Hülfe dessen der Spermatophor vom Ende des Vas deferens nach der weiblichen Geschlechtsüffnung getragen wird. Durch das Ab- tôten eines Weibchens unmittelbar nach der Kopulation habe 534 P.-A. CHAPPUIS ich eine Erklärung der Rolle erhalten, die die Drüse, die ich fortan Kopulationsdrüse nennen werde, spielt. » «Ich sah, dass in der Tat die ganze Oberfläche des Genital- segmentes dieses Weibchens von einer dicken Schicht einer in Zickzack ausgezogenen hyalinen Substanz überdeckt wurde, die gleiche die immer das Reservoir der ebengenannten Drüse anfüllt. Diese Schicht überdeckte in der Breite den ganzen Raum zwischen den zwei Geschlechtsüffnungen des Weibchens und griff sogar über ihre äusseren, lateralen Enden hinaus. In der Länge breitete sie sich fast bis zur hinteren Grenze des Segmentes aus. Die Schicht hatte ihr zickzackf6rmiges Aussehen beibehalten, nur waren die Winkel weiter geüffnet. Der Pedunculus des Spermatophors war vollständig in dieser Masse eingegraben, die ihn mit seinem Ende genau in der Mitte zwischen den zwei weiblichen Geschlechtsüffnungen festhielt. Daraus folgt, dass die Drüse die Aufgabe hat, eine klebrige Masse zu produzieren, die bei der Kopulation im gleichen Au- genblick wie der Spermatophor ausgestossen wird und dazu dient, den letzteren an das Weibchen zu befestigen. » «Man kôünnte die Sekretion der Kopulationsdrüse mit der der männlichen Nematoden vergleichen, die diese auf der Vulva der Weibchen zurücklassen. Die beiden Klebstoffe gleichen sich sehr und spielen allem Anschein nach die gleiche Rolle. » Dies sind Maupas’ Beobachtungen, zu denen ich nichts wei- teres beifägen kann, denn seine äusserst genaue Beschreibung stimmt in den hauptsächlichsten Punkten mit dem was ich ge- sehen überein. Eiablage. Auch darüber finden sich Notizen von Maupas vor, die ich hier in extenso gebe. Eine Eiablage konnte ich selbst nicht beobachten. «Heute habe ich zum erstenmal einer Eiïablage beigewohnt. Im Moment, wo ich dazu kam, trug die Mutter auf jeder Seite ein Ei, das unterhalb des rudimentären Fusses angehängt war. Die zwei Eier waren wahrscheinlich soeben aus den Eileitern | VIGUIERELLA COECA 239 Minute mit den Eiern herum, und liess sie dann auf einem Haufen Detritus, der sich auf ihrem Wege befand, liegen. » « Diese Art scheint also ihre Eier paarweise zu legen, um sie dann einzeln auf ihrem Wege fallen zu lassen. » «Ich habe nie ein ® mit Eiersäcken getroffen, wie man es bei Cyclops und andern Copepoden findet. » « 27. Februar 1892. — Ich habe zum zweitenmal einer Eiab- lage beigewohnt. Das Q hat wieder gleichzeitig zwei Eier ge- legt, die es auf geratewohl wie das erstemal hat fallen lassen. Es war je ein Ei auf jeder Seite des Leibes. » «17. März 1892. — Ich habe soeben einer neuen Eiablage beigewohnt, und habe sie besser beobachten künnen als die zwei vorhergehenden. » «Ich habe nun die Gewissheit, dass die Q Q immer zwei Eier auf einmal legen, und dass infolgedessen jeder Eierleiter einen elgenen Ausgang besitzt, den man übrigens ein bischen seit- wärts unterhalb des fünften Beinpaares deutlich sieht. » « Als ich das © erblickte, waren die Eier eben aus den Ei- leitern ausgestossen worden, und befanden sich, durch die im Oviduct erfahrene Compression noch etwas deformiert, in der Nähe des fünften Beinpaares. Das © lag unbeweglich auf dem Rücken und stellte sich sehr vorteilhaft für die Beobachtung dar. Nach etwa einer Minute wurden die Eier, auf Grund ihrer eigenen Elastizität vollständig sphärisch. Das Q setzte sich dann wieder in Gang, sich auf der Seite mit den Füssen forthe- wegend. Zu dieser Zeit mussten die Eier mit einer klebrigen Masse umgeben sein, da verschiedene im Wasser schwimmende Trümmer an ihnen hängen blieben. Von Zeit zu Zeit blieb das Q wieder stehen, und bemuühte sich, mit den Füssen die leichte Last von sich zu werfen. Nach wenig Zeit gelang es ihm auch, sich davon zu entledigen, und die Eier wurden im Präparat liegen gelassen. » « 18. August 1892. — In der Eiablage die ich am 17. März be- obachtete, habe ich die Viscosität der Eier im Moment wo sie den Eileiter verlassen, constatiert. Dieser Klebstoff muss den ®, die im freien Zustand auf fester Unterlage herumkriechen 536 P.-A. CHAPPUIS und laufen, die Befestigung der Eier an ihre Unterlage ermüg- lichen. Ich habe übrigens ôfters beobachtet, dass unter den Eiern die auf meinen Präparalten d. h. zwischen zwei Gläs- chen gelegt worden waren, einige so fest hafteten, dass ich sie nicht durch einen zwischen diese Gläser geleiteten Wasser- strom entfernen konnte. Diejenigen Eier, die nicht am Glase befestigt waren, waren stets von Trümmern jeder Art umgseben. » « Diese Eigenschaft mussihren Ursprungin einer Klebschicht haben, die das ganze Eiï umgibt. Der Klebstoff selbst muss aus dem länglichen Reservoir herstammen, das unterhalb des Geni- talporuses in nächster Nähe der Oeffnung des Oviductes liegt. » « Der längliche Behälter wird von einer Drüse, die an seinem inneren Ende liegt gespeist, und dieser ganze Apparat entspricht, wenn auch nicht homolog, so doch analog der Cementdrüse mancher parasitischer Copepoden » (siehe Bemerkung pag. 6). Entwicklung. Die Entwicklung dieses hüchst interessanten Harpacticiden ist bis jetzt nur aus der kurzen Notiz in Maupas’ vorläufiger Verôflentlichung bekannt. Ich kann nun diese An- gaben aus den wertvollen Aufzeichnungen Maupas’ und aus eigenen Beobachtungen vervollständigen und werde versuchen, eine môglichst genaue Beschreibung des Werdens von Viguie- rella zu geben. Nachdem das Ei von der Mutter losgelüst, auf einer Unterlage festgeklebt oder mit Detritus umgeben, drei bis vier Tage ge- ruht hat, schlüpft der junge Krebs aus. Ueber diesen Akt lie- gen auch noch einige Beobachtungen Maupas’ vor: «9. Junt 1892. Ich habe soeben gesehen, wie drei Nauplien aus den Eiern geschlüpft sind. Dies geschieht genau wie ich es schon bei Canthocamptus staphylinus beobachtet habe. ». « Die Eihülle zerreisst plôtzlich wie durch eine Art Explosion; im gleichen Augenblicke schrumpft sie stark zusammen und stüsst den Nauplius aus. Er befindet sich nur noch von einer feinen hyalinen Membran umgeben. Diese zweite Hülle ist an-. VIGUIERELLA CO£ECA 537 nach schwillt sie jedoch an, wahrscheinlich unter dem Einfluss osmotischer Kräfte. » | «Anfänglich und noch während etwa einer Minute, bleibt der Nauplius unbeweglich, doch bald fängt er an, sich in sei- nem engen Gefängnisse zu regen, und in dem er seine Glieder reckt und sich nach allen Seiten herumdreht, trägt er dazu bei, die Wände der zweiten Eihuülle zu erweitern. » «Er bleibt auf diese Weise drei bis vier Minuten einge- schlossen, bis durch das Zusammenwirken seiner Bemühungen und der Osmose die feine Membran nachgibt und zerreisst. Der Nauplius ist frei und schwärmt im freien Wasser herum. » « Welche morphologische Bedeutung haben diese zwei Mem- branen ? Ist die erste ein Chorion und die zweite eine vitelline Membran, oder ist die erste eine vitelline Membran und die zweite ein Produkt des Embryos ? » «Jurixe beschreibt das Ausschlüpfen von Wonoculus quadri- cornis rubens mit Einzelheiten, die beweisen, dass diese Art das Ei in einer Membran eingehüllt verlässt, die der Genfer Beobachter nicht gesehen hat, wahrscheinlich wegen ihrer ex- tremen Feinheit. » Nachdem der Nauplius nun ausgeschlüpft ist, folgt eine Serie von Häutungen, elf an der Zahl. Maupas hat auch darüber sehr eingehende Untersuchungen angestellt und um ein vollstän- diges Bild der Arbeïtsweise dieses Forschers zu geben, werde ich alle Versuche Maupas”, wie sie in seinen Notizen angegeben sind, hier aufführen. «Die Zeiten die auf den Tabellen angegeben sind, geben nicht die genaue Zeit jeder Häutung an, da ich dieselben nicht beobachten konnte, sondern einfach die Stunde in welcher ich sah, dass die Häutungen vollbracht waren. » Isolierung A. Den 17. Januar ïisoliere ich ein Q@ das nächstens reif wird und das noch mit keinem c‘ in Kontakt war. Am 25. und 26. legt es zehn Eier und hält mit der Eïablage an. Ich lasse es bis zum 29. auf dem gleichen Präparat, wie die Eier und behalte diese bis zum 5. Februar, ohne dass sie ausschlüpfen. Rev. Suisse De Zooz. TL. 24. 1916. PAT CS LJ 7 538 P.-A. CHAPPUIS Den 29. Januar versetzte ich das Q auf ein neues Glas, in- dem ich ihr zwei G' als Gefährten beigebe. Am 1. Februar sehe ich, wie die o' & das ® verfolgen und sich mit den ersten An- tennen an den Furkalzweigen festklemmen. Es schüttelt sich energisch, ihren Copulationsversuchen Widerstand leistend, und es gelingt ihr in wenig Zeit, sich der Umklammerung zu entziehen. Die Œ G', ihre Verfolgung fortsetzend, fassen das Q wenige Zeit später wieder, und der Kampf beginnt von neuem. Leider kann ich dem Ausgange desselben nicht beiwohnen, da ich meinen Beobachterposten verlassen muss. Den 2. Februar finde ich einige Eier DCS » » » 15 Eier und ET eu » » »y _25—30. Den 5. bemerke ich die ersten Nauplien die soeben ausgeschlüpft sind. Es ist daher offensichtlich, dass die zehn ersten Eier, die in der Abwesenheit der g° q' gelegt worden waren, steril geblieben sind, da sie nicht befruchtet waren. Am 3. März ist das ® gestorben. Ich hatte es am 17. Januar,, als es die Reife erreicht hatte, von einem Prà- parat genommen, auf dem sich nur jugendliche Exemplare befanden. Es hatte noch keine Eier gelegt, konnte demnach zu dieser Zeit etwa 15 Tage alt sein. Angenommen, das Q sei am 1. Januar geboren worden, so ergibt sich eine Lebensdauer von ca. zwei Monaten. 31. Januar 1892. — Es werden zwei Nauplien isoliert. Nr. 1 ist am 30. Januar, Nr. 2 am 31. Januar ausgeschlüpft. Temp. Datum | Nr Nr. 2 Bemerkungen 15° 91. Januar | 1. Häutung 152 1. Februar ve » 1. Häutung 1162 Le » oe » 2, » 10 34 » a » D. » i72 Ge » La » 4, » 1710 Le » 6. » 4. » 7 6. » qe » De » 7 7 » 8 » 5e » = OR | © oO © © ES © © D ot dé À tm DE : Dé VIGUIERELLA COECA 539 Femp. Datum Nr: 1 Nre2 Bemerkungen 16° | 10. Februar 11. Häutung 7. Häutung Nr. 1 erwachsen 149 AE » 7 » 4140 | 2e » 8. ) 13° 15: » E » &O 1%. » 9° » 140 05: » 10. » 15° 16. » 10. » Nr.lverschwunden 16° APS 11. » Nr. 2 erwachsen 18. » Nr.2 verschwunden Die zwei Exemplare, die hier isoliert, und in ihrer Entwick- lung verfolgt wurden, waren & ©. Nachdem sie beide ihre Reïfe erreicht hatten, verschwanden sie von dem Präparat ohne irgend welche Spur zu hinterlassen. Dieses Verschwinden kann sich nur durch das Entweichen des Tieres aus dem Präparat erklären. In der Tat ist dieser kleine Copepode sehr wander- lustig und in einem feuchten Orte kriecht er behende von dem Wassertropfen weg, indem er sich auf dem Glase herumwälzt. Meine zwei o' &', die im Wasser des Präparates nicht mehr die ihnen zusagenden Existenzbedingungen fanden, oder viel- leicht von dem bei diesen Tieren sehr ausgeprägten Sexualtrieb auf die Suche nach einem @ getrieben, sind aus dem Präparat herausgekrochen und auf dem Objektiräger fortgeschlichen. Von dem vierten Stadium an hat das Nr. 2 verschiedene Verspä- tungen in seiner Metamorphose erlitten, während die vier ersten Stadien in der gleichen raschen Weise einander gefolgtwaren wie bei Nr. 1. Diese Verspätungen rühren von einer Manupulation her, die am 4. Februar ausgeführt wurde, und in der ich mittelst Pi- petten die zwei kleinen Crustaceen von dem ursprünglichen Präparat auf einen neuen Objektträger überführte. Es ist nun môglich, dass bei dieser Uebertragung das Nr. 2 zu Schaden kam und in seiner Entwicklung gehemmt wurde. 12. Februar. — Ich finde, dass Nr. 2 aus dem achten Stadi- um in das neunte übergegangen ist; es hat seine vier Bein- paare und die sieben Segmente, aber auf der linken Seite zeigt 540 P.-A. CHAPPUIS sich eine Schwellung an, die sich von der Mundgegend bis zum vierten Beinpaar hinunterzieht. Die Geschwulst ist voll- ständig hyalin. 13. Februar. — Nr. 2 hat, indem es die neunte Häutung voll- brachte, die gewühnliche Gestalt wieder angenommen. Den 28. Mar 1892 isoliere ich einzeln sechs Metanauplien Li NE teint) Datum'|Temp-/Ne SL Nr. 24Nr. 2 ENr 4 Nr: 5 Nr. 6 29. Mai! 25° |6.Htg.\5. Htg.|5. Htg.|5. Htg.|5. Hig.|5. Htg. 30. » 240 728 6,7 6 6 67%) 66,7 a. 2 23° 9,404 8,9 7,8 8.9 8,9 8 luna? 11 10 9,10 10 10 9,10 9. h. morgens de 2770) — 11 — WT — — 7 h. abends DETON 244 == == 11 — a 11 ù h. morgens ® g' @| ® (ej Q Bei einer Temperatur von 24—25° erfolgen die Häutungen alle vierzehn Stunden. Ich behielt dasQ Nr. 4, indem ich ihm das G'Nr.3 gab. Eslegte sein erstes Ei den 2. Juni um ein Uhr abends, d. h. ein bischen weniger als 24 Stunden nach der Häutung. 4. Juni 44 Eier, von neuem isoliert TOR TRS » » » » LUN ES MED » » » » VS PSS TRE PE » » » » DD 0 AOC » » » LOST NS) » » » Da ue SON CEE 2 » » » AGE D PES EE » » » 29. » 42 » » » » 2. Jul 2 » das Q ist gestorben Total 418 Eier. Am 17. verschwand das G spurlos. Die Temperatur vom 25.—28. Mai betrug im Mittel ein wenig mehr als 26°. Ich bin sicher, dass die zwei Eier von denen ‘} VIGUIERELLA COECA 541 das Pärchen stammt, frühestens den 24. abends gelegt worden waren, und dass sie am 26. ausschlüpften. Das Q lebte also 38 Tage, das Œ mindestens 52. Juni 1892. — Es werden zwei Eier, die im Laufe des Nach- mittags des 3. Juni velegt worden sind, isoliert. Datum |Temp. Zeit Nr Zeit Nree2 3..Juni | 24° isoliert isoliert LEE 299 | nichts neues nichts neues ;} Na 25° 7 ha. | ausgeschlüpft ha ausgeschlüpft GE 2749 8 h. m. | 4. Häutung 12m 1. Häutung TE 5 249 5 h. m. 2 » 5 h. m De » A Qu: 240 8 h. 30 m o: » 121h0m ae » 8: 9 JE 5 h. m &. » ion 4, » 8: » 20 6 h. m 5 » 10 h. m 5. » SA» 249 9h. a 6. » — — 9. » 249 — — D h. m. 6. » SEA 240 9 h. m 7 » TNISLEX 7e » 11MES 249 5 h. m 8 » 5hh:om: 8. » AO > 240 8 h. 30 m. 9 » J'hsar 9; » 10. » 240 10 h. a. .| 10 » == — 10 1» 249 === == 5 h. m 10. » 5 1 }S ere 249 10 h. a. nichts neues 10. h. a. nichts neues IPS 25° SEM 11. Stadium 9:h0m: 11. Stadium 19-95 26° 5 h. m. d' nichts neues | 5. h. m Q nichts neues l'E) 26° | 12 h. a. die ersten Eier Diese Kultur, in der durch Zufall ein © und ein ç° auf das gleiche Präparat kamen, liefert mir den Beweis, dass der Ge- schlechtsunterschied keine Aenderungen in der Schnelligkeit der Entwicklung bringt. Sie bestand aus : 1. Die Periode der embryonalen Entwicklung 2 Tage 3.-5. Juni o F5 » des freilebenden Larvenstadiums6 » 5.-11. » d: » » bis zur Reife 2 » PRE A » Total der zur Entwicklung nôütigen Zeit 10 Tage, bei einer mittleren Temperatur von 241/2° C. Den 7. Juniisoliere ich zwei Eier, die um 9 h. m. gelegt worden waren. 2e ds lé sis pi tint Mass 542 P.-A. CHAPPUIS Datum Temp. Nr: | Nr°12 7. Juni 249 Isolierung | Isolierung (0 1), 249 10 h.15 m. schlüpft aus 12 h. m. schlüpft aus 122000) 250 6. Stad. 7 h. a. 19 000 26° 6. Stad. 5 h. m. 157400) 26° 11° 1Stad. 45 h9m;: 41. Stad./#7"Hh.4a; Periode der Entwicklung im Ei — 2 Tage » » freien Larvenstad. Nr. 1 weniger als 6 Tage » » » » Nr. 2 mehr als 6 Tage Die zwei Nauplien schlüpften in einem Zwischenraume von 15/4 Stunden aus, aber das Nr. 2 führte seine elfte Häutung mindestens zehn Stunden nach Nr. 1 aus. Isolierung B. 10. März. Ich finde die ersten Eier auf dem Präparat, auf dem ich am 13. Februar das Q und die zwei o go‘ (von Isolierung A) isoliert hatte, und auf welcher es wieder begonnen hatte Eier zu legen. Die wenigen Eier, die ich heute zählte, waren durch drei oder vier reife Q gelegt worden. Angenommen diese ® entstammen den Eiern, die am 20. bis 24. Februar gelegt worden waren, was sehr gut -môglich ist, so sehen wir, dass sie 18—19 Tage benôütigen, um sich zu entwickeln. Nach meinen Aufzeichnungen waren die fraglichen Q® am 24., spätestens am 25. Februar, aus den | Eiern geschlüpft. Die elf Häutungen, die je alle 24 Stunden erfolgen, führen uns bis zum 6. März. Von diesem Datum an verflossen noch vier Tage, während welcher die kleinen Crustaceen, obwohl äusserlich erwachsen, noch keine Eier legten. Diese Periode ist ohne Zweifel der Entwicklung der A ne gewidmet. Die ganze vorgeschlechtsreife Entwicklung lässt fn somit in folgende drei Perioden einteilen : 1. Periode der Entwicklung im Ei 4 Tage 2. Periode des freien Larvenstadiums FL 3. Periode der Reifung der Geschlechtsdrüsen A : Total der vorgeschlechtsreifen Entwicklung 19 Tage «A. _, fe bis di VIGUIERELLA COECA 543 Die Temperatur schwankte zwischen 17 und 20° Celsius. Ich habe die jungen Tiere, die auf dem Präparat vom 15. Februar waren, aufsgezogen und 22 Q und 24 6° erhalten. 9. März. Ich isoliere ein junges © und zwei junge og‘ c', die ich dem Präparat vom 15. Februar entnehme. Die Eier, denen diese Tiere entschlüpften, waren am 20. Februar auf dem oben erwähnten Präparat gelegt worden. Ich konnte in ihr, trotzdem ich sie gründlichst untersuchte, zur Zeit der Wegnahme des © und der g c' keine Spur eines Eies bemerken, ein Zeichen *dafür, dass die Q noch keine reifen Eier besassen. 13. März 24 Eier 144» "40 Por 44 LOS. 90 NON 300 DU EE 20 1% 52522 PUS 2 stadien. » und 3 Nauplien » 8 » » 15 » » viele » zahlreiche » und Metanauplien » » » » Total 70 Eier » » » » 3 Copépoid- Ich entferne die zwei Œ œ und das © und versetze sie auf ein anderes Präparat. 21März 5 RU 12 AL 518 D 27 AD En >: : A0 5 Nauplien Ich entferne abermals das Weibchen mit seinen zwei Männ- chen und versetze sie auf ein neues Präparat. 26. Mürz 2 Eier AT: » 7 Den nr 27 5 1 COUPE SR 2 1. April 40 A one," 40 » » ein oder zwei Nauplien sechs bis sieben Nauplien. 544 P.-A. CHAPPUIS Ich entferne abermals das Weibchen mit seinen zwei Männ- chen und versetze sie auf ein neues Präparat. 6. April 3 Fier FL » 1765 8. » 19 °» 9, » 35 ‘°» 10. » einige Nauplien 11. » 27 Eïer, mehrere Nauplien. Versetzung des @ und der GG‘ auf ein neues Präparat. 12. April 4 Eier APS SSRÈCE he LI 2 RES LAS LOS LÉ MONET 16. » 36 » und vier Nauplien LAS STD D: SÉCRE PP) Erneute Versetzung des ® und der G G auf ein neues Prà- parat. 21. April 6 Eier ASE ST MAS CS D: ID AUD Verzetzung des Q und der S ©. Fe 4 27: April'-6"Fier:.= 5 DE FD 95 30. » 14%) 2 Mai 2 » ein Nauplius AN 16 » vier » 8. » das ® ist gestorben. Ich behalte die zwei GG, indem ich ihnen ein neues © beigebe. 11. Mai ist das eine œ verschwunden. 21. » » » zweite G', das seit einigen Tagen dahinzu- siechen schien, gestorben. Das junge @ und die Infusorien, die mit ihm lebten, sind gesund, so dass nur das hohe Alter des 4 Krebses als Todesursache angesehen werden kann. À Das Q®, das hier isoliert wurde, lebte vom 24. Februar, dem L er VIGUIERELLA COECA J49 Tage des Ausschlüpfens aus dem Ei bis zum 8. Mai, also 74 Tage. Während seiner Reife, die am 10. März begann, habe ich mit Gewissheit 306 gelegte Eier gezählt, aber diese Zahl müsste noch ein wenig erhôht werden, da das Zählen einige Schwierig- keiten bereitet. Ich bin überzeugt, einige Eier übersehen zu haben. Die Eier wurden regelmässig während der ganzen Reife- periode gelegt, und wenn einige Unterbrechungen vorkamen, so sind diese dem unvermeidlichen Wechsel in Qualität und Menge der Nahrung zuzuschreiben. In den letzten Tagen er- fuhr die Zahl der gelegten Eier eine Abnahme, die sich durch das Alter des Tieres erklären lässt. Das Maximum des Geleges innert 24 Stunden betrug 18—20 Eier. Das &', das ich bis zu seinem Tode beobachtete, lebte vom 24. Februar, dem Tage seines Auschlüpfens, bis zum 21. Mai, also 87 Tage, oder 13 Tage länger als das ©, das am gleichen Tage geboren und unter den gleichen Bedingungen ernährt wurde. » Die c' scheinen übrigens immmer länger zu leben als die Q: In der Tat waren die zwei GG der Isolierung À noch wohl- auf beim Tode ihres ©. Leider hatte ich nicht die exakte Zeit ihrer Geburt notiert, und kann nun keine bestimmten Schlüsse ziehen über die Zeit, die das c' länger lebt als das ©. In dem Versuche B waren die zwei G'Œ zur gleichen Zeit geboren wie ihr ® und beide haben es überlebt. Das eine c° ist leider drei Tage nach dem Tod des © entwischt, sodass ich nicht, wie mit dem zweiten, die genaue Zeit bestimmen konnte, um die es das © überlebte. » « Algier, Juli 1892. Zucht im Dunkeln. «Am 1. Juliisoliere ich fünf Eier, die dem Ausschlüpfen nahe sind, und stelle sie in eine Dunkel- kammer. Datum Temp. Hub, 26° Nauplius AU 26° 1. Copepodidstadium. RE 27° reife Tiere 546 P.-A. CHAPPUIS Datum Temp. 8. Juli 26€ die ersten sechs unbefruchteten Eier 05 DT viele Eier 10.16) 27° 1 Nauplius, ich entferne die 5 erwachsenen 112409 28° viele Nauplien 135% 29° 1. Copepodidstadium 16: PTE reife Tiere 1790 27 die ersten Eier 1205 2 ich isoliere drei © und drei c' auf dem gleichem Präparat » 27° einige Eier 220 26° einige Nauplien, ich entferne die erwach- senen Tiere. Isolierung eines © ohne c. «Ich isoliere sechs junge © die vom © der Isolierung B her- stammen. Ich hatte sie als Metanauplien dem andern Präparat entnommen, und als ich sicher war, sechs © vor mir zu haben, vereinigt. «Sie begannen Eier zu legen am 1. April, 13, am 11. April sind es neunzig. 11. April. — Die Eiablage hat sich in denletzten Tagen sehr vermindert, es scheint, dass die © die ohne g'isoliert sind, die Fähigkeit Eier zu legen verlieren. « Die neunzig Eier sind, obwohl ich sie längere Zeit auf- bewahrte, nicht ausgeschlüpft. «Am 11. April überführe ich die © in ein neues Glas und gebe ihnen 9 cf bei.» 12. April 14 Eier 43 » 45 » 16. » zahlreiche Nauplien des ersten Stadiums 17. » immer zahlreicher werdende Nauplien. A; die ersten neunzig Eier haben sich nicht entwickelt, da sie nicht befruchtet waren. » : VIGUIERELLA COECA 547 Soweit Maupas. Fassen wir die Ergebnisse seiner Beobach- tungen zusammen. Der Krebs durchläuft während seines freien Larvenlebens elf verschiedene Larvenstadien und erhält bei der elften Häutung seine endgültige Gestalt. Diese elf Stadien bestehen aus sechs Nauplien und fünf Cope- poditstadien. Bei einer mittleren Temperatur von 16° C. entwickelt sich Vi- guterella innerhalb zwülf Tagen vom Ausschlüpfen aus dem Eï an gerechnet. Also eine Häutung alle 24 Stunden. Bei einer mittleren Temperatur von 18° C. ist die Periode der Entwicklung im Ei 4 Tage » des Larvenstadiums LE RS » bis zur Reife L'AE Total der zur Entwicklung nôtigen Zeit 19Tage: es erfolgt eine Häutung alle 23 Stunden. Bei einer mittleren Temperatur von 25° C. erfolgen die Häu- tungen alle 17 Stunden. Bei einer mittleren Temperatur von 25° ist die Periode der embryonalen Entwicklung 2 Tage » des freilebenden Larvenstadiums 6 » » bis zur Reife 25 Total der zur Entwicklung nôütigen Zeit: 10 Tage. Es erfolgt eine Häutung alle 13 Stunden. Bei einer mittleren Temperatur von 27° erfolgen die Häut- ungen alle neun bis zehn Stunden. Die Anzahl der Eier, die gelegt werden, schwankt zwischen 306 und 418. Die Lebensdauer ist bei den® © bei 18° C. 74 Tage, die Zeit, die das Ei zum Reifen braucht, nicht eingerechnet. Bei ebenfalls 18° C. lebte das © ca. 63 Tage, während bei 26° C. die Lebensdauer sich auf ca. die Hälfte reduzierte, d. h. 38 Tage. Die Männchen leben etwas länger. Besprechung der Stadien. Die elf Larvenstadien von Viguie- 224 548 P.-A. CHAPPUIS rella künnen in drei von eimander- verschiedene Entwicklungs- stufen getrennt werden: Zwei Orthonauplius-, vier Metanau- plius- und fünf Copepoditstadien. Was die Gliederung und efiederung der Extremitäten bei jedem einzelnen Nauplius- stadium anbetrifft, so müchte ich auf die Abbildungen ver- weisen. Der Nauplius selbst misst beim Verlassen der Eïhülle 75% und wird nach jeder Häutung durch Ausbildung eines neuen Seygmentes grôüsser. Die neugebildeten Segmente tragen meis- tens noch keine Extremitäten; doch künnen sie bei genauer Beob- achtung deutlich von einander unterschieden werden. Die Zahl der Orthonauplien beträgt zwei. Die Orthonauplien tragen alle drei Gliedmassen, die, wie auch der übrige Kôrper, unter dem Kopfschild verborgen sind und als erste und zweite An- tenne und Mandibel gedeutet werden müssen. Diese Extremi- tâten sind die einzigen voll ausgebildeten Beinpaare der Nau- plien. Stark dorsoventral abweplattet, erscheint der erste Ortho- nauplius (Taf. 3, Fig. 3) fast kreisrund. Er besitzt beim Aus- schlüpfen aus dem Ei die drei den Nauplius charakterisierenden Gliedmassenpaare, die je ein Segment des Kôürpers bezeichnen. Den Abschluss des Tieres bilden zwei kurze, auf beiden Seiten des Afters inserierte Borsten, die durch alle Entwicklungssta- dien zu verfolgen sind. Sie bilden das vierte Segment, welches als erste Anlage des Furkalsegmentes zu betrachten ist. Nach der ersten Häutung sehen wir, dass ein funftes Segment gebildet worden ist, das später die Maxille tragen wird. Von die- ser selbst aber ist bis zum ersten Metanaupliusstadium nichts zu sehen. Bei der Häutung schiebt sich zwischen dem dritten und vierten Segment ein neues ein, sodass das ehemalige vierte Segment nun zum fünften geworden ist. Dieses Segmentist sehr undeutlich vom dritten getrennt, da es nicht durch eine Chitin- falte abgegrenzt wird. Der Kôrper selbst ist ein wenig länger geworden und das ganze Tier misst nun schon 90% (Taf.3, Fig. 4). Immer noch vom Kopfschilde ganz verdeckt erscheint uns der erste Metanauplius(Taf.3,Fig.5), der die 1. Maxille als kleine VIGUIERELLA COECA 549 Borste angedeutet hat. Die Zahl der Segmente ist auf sechs gestiegen. Bei scharfer Beobachtung kann man am Ende des fünften Segments eine Andeutung der 2. Maxille und des Ma- xillipeden bemerken. Es sind nachweisbar die zwei verküm- merten Extremitäten zweier Segmente, die aber nun zusammen- sœeschmolzen sind. Auf diesem Stadium besitzt der Nauplius schon alle Anlagen für die Gliedmassen, deren zugehôrige Segmente, vom ersten Copepoditen an, das Kopfsegment bil- den. Der Abschluss des Kürpers, das sechste Segment, bleibt von dieser Häutung an fast in der gleichen Form bis zum ersten Copepodit bestehen. Die kleinen Aenderungen, die es erfährt, weisen immer deutlicher auf die zweiästige Form des zukünfti- gen Kôürperendes hin. Die nun folgenden Häutungen dienen der Anlage der Schwimmfüsse. Bei dem zweiten Metanauplius (Taf. 3, Fig. 6) entsteht schon eine Andeutung einer Gliederung des Kürpers. An den Seiten des neu hinzugekommenen sech- sten Segmentes tritt ein kleiner Zipfel auf, der die Anlage des ersten Beinpaares darstellt. Die 1. Maxille hat sich ebenfalls umgeändert und erscheint nun als zwei kleine Dürnchen. Von der 2. Maxille und dem Maxillepeden ist noch wenig zu sehen, sie bleiben auch auf dem dritten Metanaupliusstadium in ihrer Entwicklung stehen. Dieses dritte Metanaupliusstadium (Taf. 3, Fig. 7), das aus der vierten Häutung hervorgeht, hat wieder ein Segment mehr, das des zweiten Schwimmfusses. Aenderungen in der Gestalt der bisher gebildeten Gliedmassenanlagen sind nicht zu bemerken. Erst nach der fünften Häutung, auf dem vierten und letzten Metanaupliusstadium (Taf, 3, Fig. 8), tritt ein grosser Unterschied gegenüber dem vorhergehenden Stadium auf. Die 1. Maxille, die bis jetzt nur durch zwei feine, äusserst hyaline Borsten angedeutet war, tritt nun in Form einer Lamelle hervor, die zwei kurze apikale und eine längere mediane Borste trägt. Diese Borste, die am Innenrande der 1. Maxille inseriert ist, ist an ihrer Wurzel verdickt und gewôühnlich nach der In- nenseite zu gebogen. Die 2. Maxille und der Maxilliped erschei- nen als eine zweilappige Ausbuchtung am Ende des Kopfseg- mentes, und sind beide auf gleicher Hôhe inseriert, wie dies ja “a AS 350 P.-A. CHAPPUIS auch beim erwachsenen Tiere der Fall ist. Die zweite Maxille besitzt noch unbestimmte Formen, während der Maxilliped schon eine der endgültigen Form ähnliche Gestalt angenommen hat. Die zwei ersten der vier noch folsenden Segmente tragen schon fertige Anlagen der Schwimmfüsse, während das dritte nur eine Andeutung seiner späteren Gliedmassen besitzt. Die drei primären Extremitäten des Nauplius sind fast ohne Ver- änderungen durch alle Stadien hindurch gleich geblieben. Auch in dem vierten Metanaupliusstadium erfahren sie keine Modi- fikationen. Der Uebergang vom letzten Metanaupliusstadium zu dem ersten Copepodit bedeutet einen gewaltigen Fortschritt in der Entwicklung unseres Krusters. In diesem erscheint zum ersten- male das Tier im Prinzip in seiner endgültigen Gestalt. Die dem Nauplius eigentümlichen Extremitäten sind zur ersten und zweiten Antenne und Mandibel geworden, deren Gliederung noch nicht ganz durchgeführt ist. Die Maxillen und der Maxillar- fuss stellen sich in ihrer definitiven Form dar. Von den Schwimmfüssen, sind die zwei ersten schon als zweiästige mit eingliedrigen Exo- und Endopoditen versehene Fusspaare vor- handen. Das dritte Fusspaar ist durch eine mit Borsten verse- hene Schuppe am dritten Thoraxsegment angedeutet. Es folgen 5 nun noch zwei Segmente, von denen das erste durch die Häut- ung neu hinzugekommen ist, während das zweite, das Endseg- ment des vierten Metanauplius darstellt, das bei dieser Häut- ung die als zwei Hôücker angedeuteten Furkaläste abgetrennt hat. Das Endsegment, das schon beim Nauplius durch Teilung bei jeder Häutung ein neues Kôrpersegment bildete, behält diese Funktion der Segmentbildung bei. Die Stelle an der die Teilung stattfinden wird, ist äusserlich zu erkennen, indem. dieser immer grüsser als die andern Segmente sich darbietende 3 Kôrperteil sich durch einen Bôrstchenkranz auszeichnet, derin halber Hôhe sich rings um den Leibesring hinzieht. Die nun folgenden fünf Häutungen bringen den jugendlichen ] Copepoden immer näher der definitiven Gestalt. In jedem. Stadium besitzt der Harpacticide ein Kôrpersegment mehr als VIGUIERELLA COECA 501 im vorhergehenden, die Beinpaare wachsen nach und nach und erhaltenihre typische Gestalt. Schon im ersten Copepoditstadium kônnen wir die Bildung von Anlagen der Geschlechtsorgane erkennen. Sie bestehen bei zukünftigen Weibchen aus zwei kleinen, eiformigen Gebilden, die in der Nähe des Gehirnes liegen, und einen dünnen Schlauch von ihrem vorderen Ende gegen das Endsegment, das noch ungeteilte sechste Kôrpersegment, hinsenden. Parallel der äusseren Entwicklung schreitet auch die innere Organisation vorwärts, sodass nach der elften Häutung das Tier, wie wir schon gesehen haben, bei günstiger Temperatur nur vier Tage braucht, um die ersten Eier zu legen. Der erste Autor der sich eingehend mit der Entwicklung der Copepoden beschäftigte und die Zahl der durchlaufenen Stadien mit einer speziellen Berücksichtigung der Gliedmassen festzu- stellen versuchte, war OBErG (21). Das Material, das er durch Planktonfänge in der Kielerbucht erhielt, bestand fast aus- schliesslich aus Gymnopleen-Larven, sodass dadurch der Kennt- nis der Cyplopiden- und Harpacticiden-Entwicklung nicht viel gedient war. Diese Tatsache brachte Dierricn (7) dazu, die Süsswassercopepoden zu bearbeiten, wobei er, sich eng an OBerG haltend, alle drei im Süsswasser freilebenden Familien dieser Ordnung berücksichtigte. Das Hauptresultat von Dier- RicH’s Arbeit ist die genaue Feststellung und Beschreibung der verschiedenen Stadien bei je einem Vertreter dieser Familien. Wie wirim Vorhergehenden gesehen haben, besitzt Viguie- rella sechs Naupliusstadien, während Drerricn für Cyclopiden und Harpacticiden deren fünf feststellte. Daraus sucht er durch Ueberlegungen biologischer Natur die Tendenz dieser Familien zu erklären, die Zeit, die sie als Larven zu leben haben, müg- lichst zu verkürzen. OBERG, wie auch Drerricn, konnten an ihren Naupliiden keine Segmentation feststellen, sondern schlossen nur von ausgebil- deten Extremitäten aufein zugehôriges Segmentzurück; manch- mal war sogar eine Längenzunahme des Abschnittes zwischen dem zuletzt angelegten Extremitätenpaar und den Schwanzbor- 552 P.-A. CHAPPUIS sten der einzige Anhaltspunkt für die Annahme der Bildung eines neuen Segmentes. Dass bei jeder Häutung ein neues Segment entsteht, scheint eine feststehende Tatsache zu sein, und dass eine Concentra- tion in der Entwicklung der Cyclopiden und Harpacticiden statt- findet, müssen wir als hôchst wahrscheinlich annehmen, da uns nur hôchstens sechs Stadien zur Bildung von sieben neuen Segmenten zur Verfügung stehen. Viguterella zeigt nun als Nauplius eine gewisse Segmentation des Kürpers, und bildet frühzeitig die Anlagen der Thoracalbeine aus, so dass wir ganz deutlich den Uebergang eines Stadiums in das andere beob- achten kôünnen. Auf dem vierten Naupliusstadium bildet sich die Anlage des ersten Thoracalbeinpaares aus, und von da an wird jeweilen bei jeder Häutung bis zum ersten Copepoditen nur ein einziges Segment angelegt. Die Concentration hat also. früher stattgefunden, undzwaraufdemzweiten Naupliusstadium, wo die zwei Segmente, die die grôsste Tendenz haben zu- sammenzuschmelzen, das der zweiten Maxille und das des Maxillipeden gebildet werden. Da man nun bei Viguierella genau die Bildung der Thoracal- beinpaare verfolgen kann, und eine Anlage der ersten Maxille, obwohl diese noch nicht äusserlich sichthar ist, schon beim zweiten Naupliusstadium sich erkennen lässt, sehe ich mich veranlasst, wenigstens für das von mir untersuchte Tier die Annahme OgerG’s, dass beim Verlassen der Eibülle die Nauplien nur drei Segmente besitzen, für Vigutierella nicht in Anwendung zu bringen. Der Auffassung KorscHEeLT's und HEIDERS wäre hier eher beizutreten ; sie lautet : €Wenn auch am Kôrper des Nauplius eine Segmentierung äusserlich nicht erkennbar ist, so müssen wir an demselben doch folgende Segmente trennen. Ein vorderes präorales oder primäres Kopfsegment, den hintersten Kürper-Abschnitt als das End- oder Analsegment, und die dazwischengelegenen … echten Rumpfsegmente. Alsletztere werden wir den derzweiten Antenne zukommenden Leibesabschnitt, ferner ein Mandibular- segmentannehmen müssen. Der Nauplius wäre sonach aus dem PR. POUR | : VIGUIERELLA COECA 553 primären Kopfsegment, zwei aufeinanderfolæenden Rumpfseg- menten und dem Endsegment zusammengesetzt. Môglicher- weise ist auch die Region der ersten Antenne ein eigenes Rumpfsegment, welches frühzeitig seine Selbstständigkeit ver- loren hat. Das Kopfsegment und Endsegment sind zu den Rumpfsegmenten in einen gewissen Gegensatz zu stellen, inso- ferne nur den letzteren echte Extremitäten zukommen. Das Endsegment des Nauplius enthält die hinterste, zum späteren Analsegment sich ausbildende Kürperpartie, und eine an der vorderen Grenze derselben gelegene Knospungszone, von welcher die stetige Produktion neuer Rumpfsegmente ausgeht. » Das vierte « Segment» wäre also kein Segment im wahren Sinne des Wortes, sondern ein Kürperabschnitt, dem die Funk- tion der Neubildung von Segmenten gegeben ist. Wie wir im folgenden sehen werden, fällt das Auftreten einer Extremität nicht mit der Bildung des Segmentes, dem sie an- sehôrt,zusammen, sondern erfolgt erst auf dem darauffolgenden Stadium. Das erste Copepoditstadium zum Beispiel besitzt drei Beinpaare, wovon das dritte aus einer ungegliederten Lamelle besteht. Auf diesem Stadium aber tritt dieses dritte Beinpaar als neue Extremität auf, währenddem das vierte Segment die aus der entsprechenden Häutung hervorgegangene Neubildung darstellt. Aehnlich verhält es sich bei dem zweiten Copepoditsta- dium, bei welchem das vierte Beinpaar auftritt und das fünfte Thoracalsegment gebildet wird. Wir haben also hier einen An- haltspunkt für die Bildung der Gliedmassen und Segmente der Naupliuslarven. Die Ansicht Korscaezr’s und Herner's, der wir in den vorhergehenden Zeilen beigetreten sind, dass die frisch aus dem Ei ausgeschlüpften Nauplien nicht aus drei, sondern aus vier deutlich voneinander zu unterscheidenden Segmenten bestehen, wird bekräftigt. Auf dem dritten Naupliusstadium tritt zum erstenmale die erste Maxille auf; diese gehôrt aber zu einem Segment das, wenn die obenerwähnte Beobachtung verallgemeinert wird, schon im vorhergehenden Stadium gebildet wurde. Es besitzt also schon das zweite Orthonaupliusstadium fünf Segmente. Rev Suisse DE Zoo. T. 24. 1916. 38 a 4 D: P.-A. CHAPPUIS Æ Es ist daher selbstverständlich, dass im ersten Orthonauplius die Scheidung zwischen Endsegment und Mandibelsegment vorgenommen werden muss, da ja kein Anhaltspunkt dafür vorhanden ist, dass vom ersten auf den zweiten Orthonauplius zwei Segmente gebildet werden kôünnten. Eine Bestätigung dieser Ansicht ist die Beobachtung OBErG's, der bei Oithonia im zweiten Orthonaupliusstadium einen Hôcker mit zwei langen, aber äusserst dünnen Borsten bemerkt, die an der gleichen Stelle inserieren, an der nach der darauffolgen- den Häutung die Borste auftritt, die als erste Anlage der ersten Maxille gedeutet wurde. O8ErG selbst konnte sich, da er auf dem ersten Orthonaup- liusstadium nur drei Segmente annahm, diese Erscheinung nicht erklären. Er bemerkt dazu: «Es träte hier also die Andeutung einer Extremität auf, ehe das dazu gehürige Kürpersegment ge- bildet wäre, denn von diesem findet sich sonst keine Andeut- ung, im Gegenteil ist sogar die Trennung von Mandibel und Analsegment nur undeutlich. » Die Segmente, die später beim erwachsenen Tiere den Cepha- lothorax abgeben, sind auch bei den Naupliuslarven nie deut- lich von einander abgesetzt, und erst das erste Beinpaar bei Viguierella und das zweite bei Epactophanes sind von dem vor- hergehenden Segmente durch eine mehr oder weniger deut- liche Chitinfalte getrennt. Die Bemerkung O8Eer&s betreffend die Trennung zwischen Mandibel und 1. Maxillarsegment ist daher hinfällig. Die Behauptung, dass eine Extremität nicht zu gleicher Zeit wie das dazugehôürige Segment selbst, sondern erst im darauf- folgenden Stadium auftritt, scheint mir ziemlich allgemein gül- tig zu sein, wenivstens traf dieses Gesetz bei allen von mir un- tersuchten Gattungen der Harpacticiden zu. Demnach wäre also die Auffassung über die verschiedenen Neubildungen der Seg- mente, die Dierricx in semer Arbeit für Canthocamptus an- gibt, umzuändern. Maupas betont an zwei verschiedenen Stellen seiner Arbeiten | die Genauigkeit seiner Beobachtungen Canthocamptus staphy- VIGUIERELLA COECA 5959 linus betreffend, bei dem er sechs Naupliusstadien beobachtet haben will. Aufeine Anfrage meinerseits antwortete mir sein Freund Herr Prof. Viauier: «Il (Maupas) m'a prié de vous affirmer à nouveau son absolue certitude relativement au nombre des mues, qu'il a toujours vues au nombre de six. Etant donné le soin apporté par M. Maupas à ses cultures, je considère comme impossible qu'il ait pu se tromper plusieurs fois à ce sujet. Il esthien plus vraisemblable qu’un des stades a échappé à M. Dierricu, car il serait un peu surprenant, quoi- que je ne voie pas de raisons pour que ce soit impossible, que ses Canthocamptus staphylinus diffèrent en cela de ceux d'ici. » Dieser Erklärung Maupas’ steht eine ebenso kalegorische Dierricæs gegenüber: «Man künnte mir hier den Einwand machen, ich hätte die ersten Stadien beider Familien übersehen. Dem müchte ich entgegen- halten, einmal, dass ich die Nauplien habe unter dem Deckglas schlüpfen sehen, zum andern einen Hinweis auf die Literatur. ... Craus hat eben geschlüpfte Nauplien mit starker Be- wehrung gezeichnet. Ferner müchte ich auf Hozcx hinweisen, der das Bild eines zweiten Nauplius (erster Metanauplius mit Anlage der Maxille) ausdrücklich als «Larve von Canthoc. sta- phylinus nach einmaliger Häutung » bezeichnet. » Dass sich Maupas bei der Bestimmung des Harpacticiden ge- irrt hätte ist, obschon diese Familie zu dieser Zeit noch wenig bekannt war, unwahrscheinlich. Es wäre hier vielmehr in Er- wägung zu ziehen, ob nicht bei den europäischen Formen die Verkürzung in der Entwicklung erst nach der Bildung der Mittelmeersenke entstanden sei, und dadurch die nordafrikani- schen Formen unabhängig von den europäischen sich haben entwickeln kônnen. Dass nicht alle Podopleen diese Verkürzung in der Entwick- lung durchgemacht haben, zeigt die im vorhergehenden Teile beschriebene Entwicklung von Viguierella. Auch bei Epacto- phanes habe ich mit ziemlicher Sicherheit die Sechs-Zahl der Nauplien festgestellt. Von den Harpacticiden des Süsswassers 590 P.-A. CHAPPUIS würde also nur das Genus Canthocamptus fünf Nauplius besit- zen, während die andern mit Ausnahme von Witocra, Apsteinia, Moraria, Parastenocaris üu. s. W., die noch nicht untersucht worden sind, deren sechs besitzen. Wie die Podopleen OBErG’s und DrerricH’s zeigt auch Vi- guterella die Tendenz, den Gang der Entwicklung abzukürzen. Dieser Vorgang ist aber bei dieser Form noch nicht so weit ge- diehen und ermôglichte mir den verschiedenen Naupliusstadien jeweilenihre zugehôürigen Neubildungen zuzuweisen. Bei Vigute- rella, ähnlich wie bei Canthocamptus, macht sich diese Tendenz bemerkbar, die neugebildeten Extremiläten, mit Ausnahme der ersten Maxille, während des ganzen Naupliuswerdeganges als Anlagen bestehen zu lassen, um erst beim ersten Copepodit- stadium mit mehr oder weniger fertigen Beinpaaren aufzutreten. Dieser Prozess der Verkürzung des freilebenden Larvenstadi- ums ist bei Viguterella erst in seinem Anfangsstadium, wäbhrend er bei Canthocamptus-Arten weiter gediehen ist. Das Extrem in dieser Hinsicht aber leistet Cyclops fimbriatus, der, wie ich ôfters zu beobachten Gelegenheit hatte, auf dem vierten Meta- naupliusstadium nur die erste Maxille als neugebildete Extre- mität besitzt. Auch die bescheidenen Andeutungen von Bein- paaren, wie sie bei C. strenuus vorhanden sind, werden unter- drückt. Otthonia nimmt eine Mittelstellung ein, obwohl diese marine Form als solche nicht mit den im Süsswasser vorkom- menden Formen verglichen werden kann. Die Erklärung, die Drerrica für die geschilderte Tendenz gibt, ist ziemlich einleuchtend, doch wäre ihre Richtigkeit an Hand eines grôsseren Materials zu kontrollieren. Die von Drerricn untersuchten Formen waren fast ausschliess- lich pelagisch oder doch litoral in grôsseren Wasseransamm- lungen lebende Tiere. Für C. strenuus gibt A. GRÂTER eine pe- lagische und eine litorale Form an, und Canthoc. staphylinus ist einer der wenigen Harpacticiden die in Planktonfängen er- wähnt werden. Da nun Dierricu die Tendenz einer Verkürzung der larvalen Lebensdauer auf Momente biologischer Natur zu- rückführt, so wäre eine Untersuchung der kriechenden, also der VIGUIERELLA COECA 557 am ausgesprochensten an geringe Wassermengen gebundenen Formen ein wertvoller Beitrag zur Entwicklungsgeschichte der Copepoden gewesen. Zugleich hätte die Entwicklung dieser, den Witterungseinflüssen wie Kälte, Hitze, Eintrocknen und Einfrieren, am meisten unterworfenen Formen eine Bestätigung der von ihm aufgestellten Behauptungen, wenigstens für Cyclo- piden geliefert. Eine solche Arbeit fällt nicht in den Rahmen dieser Mitteil- ung. Sie soll nur ein kleiner Beitragzur Entwicklungsgæeschichte der Crustaceen sein. Doch môchte ich hier die Aufmerksamkeit der zukünftigen Bearbeiter der Entwicklungsgeschichte ir- gend einer Familie der Crustaceen darauf lenken, die verschie- denen Entwicklungsstadien nicht beim ersten besten Vertreter der Familie zu verfolgen, sondern nach Berücksichtigung der biologischen Verhältnisse die zwei Extreme herauszugreifen und zu bearbeiten. In unserem Falle hätte Dierricn, um nicht unvollständig zu bleiben, zum Beispiel Cyclops strenuus und Cyclops fimbriatus, der eine ausgesprochen kriechende Form und sehr verbreitet ist, untersuchen sollen. Dieser letztere hat auch den Vorteil, einer der zur Beobachtung der verschiedenen Stadien sich am besten eignenden Cyclopiden zu sein, da er in geringen Wasser- mengen und bei relativ hohen Temperaturen leben und sich fortpflanzen kann. Meine an diesem Copepoden angestellten Versuchen ergaben sünstige Resultate. Die Tiere lebten drei Wochen auf einem Objektträger unter einem Deckglase das durch Plasticinfüsschen unterstützt war. Ich konnte so die Entwicklung verfolgen, ähnlich wie es Maupas für Viguierella getan hatte. Die Angaben, die Dierricn für die verschiedenen Entwicklungsstadien von Cyclops strenuus gibt, stimmen im allgemeinen auch für die verschiedenen Sta- dien von C. fimbriatus; nur zeigt sich bei dieser kriechenden Form das Bestreben der Verkürzung der iarvalen Form noch deutlicher. Der auffälligste Unterschied zwischen den zwei er- wähnten Formen ist bei letzterer Art der Verlust aller äusseren 558 P.-A. CHAPPUIS Gliedmassen-Anlagen, mit Ausnahme der ersten Maxille, bei den neu auftretenden Segmenten, bis zum ersten Copepoditen. Von den Harpacticiden wären in Frage gekommen, nicht die zwei einzigen littoral auftretenden, und in jeder grôüsseren Wasseransammlung vorkommenden Formen, sondern eine dieser beiden und Canthocamptus pygmæus oder zschokket, die in jedem Moospolster auftreten. Es zeigt sich bei den Harpacticiden überhaupt eine starke Tendenz von der Lebensweise im offenen Wasser nach und nach zum Aufenthalt in Moospolstern überzugehen. Erst seit dem diese näher untersucht worden sind, hat auch die Zahl der bekannten Harpacticiden, die noch vor einigen Jahren gering war, zugenommen. Die Züchtung dieser Tiere stôsst indessen auf grosse Schwierigkeiten, da die Eier sehr selten, und dann nur in ge- ringer Anzahl geleot werden. Auch verlangt das Beobachten auf Moospolster lebender Copepoden umständliche Manipula- tionen. Fassen wir die Resultate dieser Arbeit zusammen, s0 sehen wir, dass Viguterella Wwahrscheinlich ein blinder Kruster von phylogenetisch hohem Alter ist. Für diese Annahme sprechen die verschiedensten Momente wie z. B. die Zahl der Nauplius- stadien, die noch in hrer ursprünglichen Anzah]l vorhanden sind, die getrennten Geschlechtsüffnungen und die unpaare Copula- tionsdrüse, die als Rudiment des zweiten Hodens der œ anzu- sehen ist, und das Vorhandensein eines freien ersten Thoracal- segmentes mit dem ersten Beinpaare. Vielleicht kann auch der Besitz eines pulsatilen Apparates in der Maxillendrüse, der auch bei Bathynella natans, einem Kruster dessen Verwandte schon im Perm und Carbon vorkommen, allerdings nicht in gleicher Form, doch mit gleicher Funktion, auftritt, als altertümliches Merkmal aufsefasst werden. Die verschiedenen Fundstellen von Viguierella weisen aufein sehr geringes Feuchtigkeitsbedürfnis unserer Form hin; doch … scheint diese, obwohl sie allein von mir in subterranen Gewäs- sern gefunden worden ist, in solchen ihren Ursprung zu haben. VIGUIERELLA COECA 559 Für diese Behauptung sprechen die Augenlosigkeit und das Alter der Form. Man kônnte mir hier den Einwand machen, die wenigen Fundorte, an denen ich Viguierella subterran lebend vorgefunden habe, seien durch Zufall von diesem Kruster bevôlkert worden und Blindheit sei keine unbedingte Folge. des Hühlenlebens. Dem gegenüber müchte ich bemerken, dass Viguterella ein Bewohner der Spalten und Risse der Erdrinde ist, und sich in die von RacovirTza aufsestellte Gruppe der «Troglophiles» stellt. Viguierella Wurde noch nie in Hôhlen gefunden, weil dieses Tier sich gar nicht dort aufhält und andere Orte, wie die dem Menschen unzugänglichen Spalten, wurden bis jetzt noch nicht untersucht. Die oberirdischen Fundorte deuten darauf hin, dass Viguierella, die vor Zeiten gezwungen oder freiwillig die unterirdischen Gewässer als Wohnort angenommen hatte, nun wieder zur Erdoberfläche zurückkehrt und dort infolge ihrer grossen Anpassungsfähigkeit sich ansiedelt. SYSTEMATIK Wie wir am Anfang schon gesehen haben, weicht Vigute- rella coeca Maup. in einigen Merkmalen von Phyllogna- thopus paludosus Mrazek ab. Wir haben es also hier mit zwei von einander verschiedenen Formen der gleichen Gattung zu tun, deren Diagnose im Anschluss an Vax Douwe (Nr. 24) fol-. gender Massen lauten würde. Subfamilie LONGIPEDIHDAE. : Gattung Viguterella Maupas. Erster Thoracalring nicht mit dem Kôrper verwachsen, daher Rumpfdes © aus zehn, der des g'aus elf Segmenten bestehend ; erste Antenne achtgliedrig, Nebenast der zweiten Antenne ein- gliedrig. Mandibulartaster aus zweigliedrigen Aëesten bestehend, zweiter Maxillarfuss undeutlich zweigliedrig. Auf das etwas 560 P.-A. CHAPPUIS stärker chitinisierte Basalglied folgt das beinahe kreisrunde Endglied, welches ausser verschiedenen gewôhnlichen Borsten drei kurze, zahnartige und befiederte Borsten trägt. Sämtliche Beine kurz. Eiballen nicht vorhanden. Spermathophoren keulen- formig, mit langem Hals. Viguierella coeca Maupas. Erste Antenne achtgliedrig, zweite Antenne viergliedrig; Rostrum ventralwärts gebogen, in eine Spitze ausgezogen, mit zwei Tasthaaren. Maxilliped undeutlich zweigliedrig, blatt- formig. Analplatte glatt, unbedornt. Furka schlank, dVR Borsten beim © halb so lang wie beim ©, kurz, blattformig. Beim of nur eine gut entwickelte, ziemlich kurze, normale End- borste; erstes bis drittes Bein in beiden Aesten dreigliedrig, viertes Bein Enp. zwei-, Exp. dreigliedrig. Fünftes Bein Q: Basal und Endglied gleich lang, an der Basis verschmolzen. Fünftes Bein Go‘: Basalglied verkümmert, nur aus einer Stachel- reihe und einem darüber befindlichen dreieckigen, beborste- ten Zipfel bestehend; Endglied länglich mit sechs Borsten. In der Maxillendrüse ein pulsatiler Apparat. Länge 570—600 ®, 530—560u S. Viguierella paludosa Mrazek. Erste Antenne achtgliedrig, zweite Antenne dreigliedrig. Rostrum fast viereckig, mit zwei Tasthaaren. Maxilliped : « zweigliedrig, blattf‘rmig. Analplatte mit sieben bis elf kleinen Zähnen. Furka schlank, divergent; nur eine gut entwickelte kurze Endborste. Erstes bis drittes Bein in beiden Aesten drei- gliedrig. Viertes Bein : Endopodit zweigliedrig, Exopodit drei- gliedrig. Fünftes Bein des © : Basal und Endglied gleich lang, ‘4 an der Basis verschmolzen. Fünftes Bein des G‘: Basalglied ver- kümmert, nur aus einer Stachelreihe und einem darüberbefind- lichen Dorn bestehend. Endglied länglich, mit sechs Borsten. Ueber den Bau des G‘ist sonst nichts bekannt. Maxillendrüse 4 ohne pulsatilen Apparat. Länge 650 x ©. nn à dE" tien ds 2e De 7 VIGUIERELLA COECA 561 GEOGRAPHISCHE VERBREITUNG Viguierella coeca Wurde bis jetzt an folgenden Orten gefunden: Algier, an zwei Orten, von Maupas. Deutschland, in der Mark Brandenburg, von HarTwIG, und in Dresden, von KESSLER. England, im botanischen Garten von Regentspark und in Kew Garden, von SGOURFIELD. Schweiz, in Basel und im Kanton Thurgau, von P. A. CHaPpPuis. Viguierella paludosa wurde von MrRazek in Bühmen beo- bachtet. LITERATURVERZEICHNIS. 1. Cazmax, W.T. Crustacea; in: Treatise on Zoology, edited by Sir Ray Lancaster, Part. VII, Fase. III, London. 1909. 2. Cuappuis, P. A. Ueber das Excretions-Oroan vor Phyllognatho- pus viguieri. Zool. Anz., Bd. 44, 1914. 3. In. Bathynella natans und ihre Stellung im System. Zool. Jahrb., Abt. Syst., Bd. 40. 1916. 4. Craus, C. Zur Anatomie und Entwicklungsgeschichte der Cope- poden. Arch. f. Natgesch., 24. Jahrg., Bd. 1. 1858. 5. In. 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Die Fortpflanzungsverhältnisse unserer einheimischen Copepoden. Zool. Jahrb., Abt. f. Syst., Bd. 22. 1905. ET: dns nr Lohan 2e Pat An din Sie it DE SDS de Sd Sd D'OR VIGUIERELLA COECA 563 ERKLÂARUNG DER TAFELN TAFEL 3. Die bei den Naupliusstadien angegebenen Zahlen beziehen sich bei allen Stadien auf die gleiche Gliedmasse, und zwar bedeuten : D = O1 æ Co IUT Erste Antenne. Zweite Antenne. Mandibel. Erste Maxille. Zweite Maxille. LA ) © I o Ot — Maxilliped. — Erstes Beinpaar. — Zweites Beinpaar. — Anlage des dritten Beinpaares. — Furka-Anlage und Analsegment. Die Figuren 1 und 2 sind von Maupas selbst, die anderen teilweise nach seinen Skizzen gezeichnet. Frc. Fic. Fic. Fic. Fic. Firc. Fic. Fic. Habitusbild von Viguierella coeca Maupas. Q Vergr. x 220. » » » Erstes Naupliusstadium. Vergr. >< 300. . Zweites . Drittes Viertes . Fünftes . Sechstes » » » œ » > PAU » >Tal0: » >< 300. » >< 300. » >< 300. » >< 300. 564 Er: F1G. lite Fré: Fc. Frc. Frc. FrG. Fire: Fc: Fi. Firc. FrG. FiG. Pics re: FiG. Firc. 9 10. . Zweïte » GA . Mandibel. . Erste Maxille. . Zweite » D D ND D 2 ROIS NUIRS Qt … + © me P.-A. CHAPPUIS Erste Antenne Q. Erste » Œ: . Maxilliped. . Fünftes Beinpaar Q. . Fünftes » ei ®, Geschlechtsfeld mit Spermatophor. . Lweïites Beinpaar. Viertes » Drittes » . Erstes » ©, Furka. TAFPEL &. . ®, Geschlechtsorgane. Anomalie des Geschlechtsorgans des G'- . , Geschlechtsorgane. à | Lt Beck & Frur.-Cenéve: Maupas et PA.Chappuis del. P. A ChappuiSi- Viguierella. Rev Suisse de Zool. T' 24-1916. : Mi Lith. Reck & Frur,-Genéve. P A Chappui$ :- Viguierella. REVUE SUISSE DE ZOOLOGIE Vol. 24, n° 9. —_ Décembre 1916. RÉSULTATS SCIENTIFIQUES DE LA MISSION ZOOLOGIQUE SUÉDOISE AU KILIMANDJARO, AU MÉROU, ETC. (1905-1906) SOUS LA DIRECTION DU PROF. Dr YNGVE SJOÜSTEDT Araignées du Kilimandjaro et du Mérou (Suite!) PAR R. de LESSERT Avec 26 figures dans le texte. IT Pisauridae. Genre EuProsrHenors Pocock 1897. 1. Euprosthenops proximus n. sp. (Fig. 1 à 4.) Forme très voisine d’£. bayaonianus (Brito Capello), dont elle se différencie surtout par la forme de l’apophyse tibiale des pattes-mâchoires et l’aire des yeux médians en trapèze aussi long (mais non plus long) que large en arrière. Chez E. baya- ontanus, l'aire des yeux médians est, d’après Simon (1898, p. 12), à peine plus longue que large en arrière et, d’après Srrann (1908, p- 104), un peu plus longue que large. ! Pour la première partie Cf. Rev. suisse Zool.. vol. 23, pp. 439-533. 1915. Rev. Suisse pe Zoo. T. 24. 1916. 39 566 R. DE LESSERT Le G d'E. bayaonianus n’est connu que par une figure de Simox (1892-1903, vol. 2, p. 286, fig. 299 A), représentant la patte-mâchoire droite du côté externe et une description de SrrAND, loc. cit. Ce dernier auteur ne mentionne toutefois pas la forme de lapophyse tibiale des pattes-mâchoires. E. prospiciens O. P. Cambridge 1907, p. 827, pl. 50, fig. 38 à 4A0(— GS dE.australis Simon, d’après Simon, 1910*, p. 206)se rap- proche d’'E. proximus n. sp. par le tibia des pattes-mâchoires présentant « 4 BRACHIOPODES FOSSILES 22 pl: Le, Genève 1919... - MN ras Livraison : re 4 D 1e POLYPES, ANNÉLIDES et CONC ns rsstu IS NP Rs pe 4°, — Genève 1912. Fa 3m Liv aison : CONGAIFÈRES, on vai VAE * QUIL Demers N LE] mn + L + CRE He CHA DE) * » LICE] +... LD] LR + + 0 vs... * * . "0 + . , ” CRÉRLRORN 27 CÉHELOR RER , (RON EE (4-8 pt Le A … CRC ... RER EN Vs CRPRCRE CHE . F PRCARORE L4 + C] + …_ à LL] L4 LA LRO RE] * CRRRRRNRE ZE) » . CHE] PRCRORCE REPARER 1! DCR) LEE] + LSMR AS CRAN] .- 2] LA , 0 ; ï. e : ? f: * ÿ , LRRRAEPER DORE RCE LEE] L LI »—.-.-3- +. + LATE] “.. LALEL] » - . , ... LED) LCR A] LAC RAEPE] CREER CADEPCRTNPER = 5 LP SES Nes us ne © .. CHRMEENE PRET Re . 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