* RAY: Î Ia: L R { ARTS AAAA de ; Male Ve A AAA / AAA AAA \ AAA AR ARAQANAA An AAA A AA) À AA Wa HARVARD UNIVERSITY. LIBRARY OF THE MUSEUM OF COMPARATIVE ZOÜLOGY. PET GIET OF ALEX. AGASSIZ. pl ler AVAL IU SYSTÈME SILURIEN CENTRE DE LA BOTRME par JOACHIM BARRANDE. Le témoin au juge. l" Partie: Recherches Paléontologiques. Vol. IL Céphalopodes. 8" Série: PL 245 à 350. RTS RS TRS RSS TRS PAS PPS PSS TT DT LT SLT SL LS 186S. Chez l’auteur et éditeur à Prague, à Paris, Kleinseite Nr. 419 Choteksgasse. Rue Mézière Nr. 6 Faubg. St. Germain. rtihy a: CS L £ i n 1 ea | ñ \ 6 \ (PITON { 0 {, Gi 09, CERCLE (LE: : 7 (ui 6 k à CN . : di F . . ere E Sa . L = I Me VE À% , F ps 5 5 - 4 1 : f: Céphalopodes Siluriens de la Bohême. 3 Série: PL 245 à 350. Formes droites. Groupement des Orthocères. Ordre des planches. L: série de 106 planches de Céphalopodes, que nous présentons aujourd’hui au public savant, s’étend à partir de la PI. 245, jusqu’à la PI. 350, inclusivement. Elle sera prochainement complétée, avant la publication du texte correspondant, par une quatrième et dernière série, qui se terminera vers le chiffre 440 et renfermera environ 90 planches. Ces deux séries sont exclusivement consacrées aux formes droites de nos Céphalopodes siluriens, c. à d. aux genres: Bactrites, Bathmoceras, Tretoceras, Orthoceras; en comprenant dans ce dernier les sous genres: Huronia, Endoceras et Gonioceras. Pour échapper à la confusion dont nous menacait la masse des matériaux successivement figurés durant longues années, et pour faciliter la revue générale de nos Céphalopodes par les paléontologues, nous avons jugé indispensable d'établir un certain ordre dans la succession de nos planches. Nous avons d’abord placé en tête de cette troisième série, ce. à d. sur les PI. 245—246, les formes appartenant aux trois types les moins riches, c. à d. Bactrites, Bathmoceras, Tretoceras, qui ne fournissent ensemble que 4 espèces. Nous avons aussi exposé sur la PI 247 les 2 seules formes, qui, dans notre bassin, peuvent être considérées comme représentant le sous-genre ÆEndoceras. Ce sont celles qui portent les noms de: Orth. peregrinum et de Orth. novator. Les sous-genres ÆHuronia et Gonioceras n'existent pas en Bohême. Après cette élimination facile, il nous restait à ranger, d’une manière convenable, les planches occupées par nos Orthocères, parmi lesquels nous distinguons par des noms au moins 430 espèces ou variétés, dont la moitié, environ, est figurée dans la présente série. A l’époque où nous avons commencé à faire dessiner les planches qui suivent, c. à d. il y a plus de 15 ans, nous aurions bien désiré pouvoir les ordonner de manière à correspondre à l’ordre naturel, que doivent occuper les espèces, dans la classification du genre Orthoceras. Mais, notre bonne intention s’est trouvée impra- ticable, pour deux motifs principaux. D'abord, à cette époque, nos idées étaient loin d’être invariablement arrêtées, au sujet de cet ordre naturel et de cette difficile classification, sur laquelle nous avouons humblement, que nous éprouvons encore aujourd'hui de graves hésitations. } En second lieu, malgré la grande richesse de nos collections, il y a 15 ans, en continuant toujours nos recherches, nous avions l'espoir de compléter successivement beaucoup de formes importantes, alors imparfaitement connues. Nous devions donc réserver, pour un temps postérieur, le dessin de ces espèces incomplétes. Malgré ces empêchemens, nous avons pu disposer nos travaux de manière à subordonner, autant que possible, l'ordre de nos planches à un arrangement provisoire, adopté pour l'étude de nos Orthocères et qui devi- endra peut-être notre classification définitive, si nous n'avons pas prochainement la bonne inspiration d'en trouver une meilleure. Cet arrangement provisoire et si l'on veut, artificiel, consiste à grouper nos Orthocères d’après leurs caractères les plus faciles à saisir, c. à d. d’après les apparences les plus saillantes, qui prédominent, soit dans leur forme générale, soit sur leur surface externe. ile IV Sans doute, ces caractères superficiels ou extérieurs ne sont pas fondés sur les variations des principaux organes du mollusque, que nous aurions désiré prendre pour base de nos subdivisions. Mais, d’un côté, la confor- mation à peu-près invariable de l’ouverture, dans les Orthocères, ne nous fournit aucun moyen de distinction, dérivant de la forme de la tête et des bras ou appendices. D'un autre côté, les élémens de la structure interne de la coquille sont souvent inaccessibles à l'observation, ou bien nous montrent une variabilité sans limites saisis- sables. Nous nous voyons donc réduit, pour le groupement des espèces du type Orthoceras, à l'emploi des diffé- rences, que nous observons dans leurs apparences extérieures. D'après ce point vue, nous avons d’abord séparé les espèces de ce genre en deux sections principales, fondées sur leur conformation générale, figurant, soit un cône court, avec un angle apicial relativement plus ouvert; soit un cône alongé, avec un angle apicial relativement plus aigu. Nous avons distingué ces deux sections par les noms de: Orthocères brevicônes et Orthocères longicônes. Ces dénominations ont été définies et réciproquement limitées, dans la première partie de notre texte sur les Céphalopodes, publiée en 1867 (p. 8). Nous rappelons aussi, que des motifs exposés dans lAvis en tête de notre seconde série des planches de ce volume (PI. 108 à 244) nous ont décidé à intercaler les 12 planches renfermant nos Orfhocères brévicônes, (PI. 184 à 195) à la suite des planches de nos Cyrtocères brévicônes, publiées en 1866. Il ne nous restait donc qu’à ordonner les planches de nos Orthocères longicônes, d'après l’arrangement provisoire, adopté pour l'étude des formes de cette section. D’après ce que nous venons de dire, cet arrangement est fondé sur les apparences les plus saillantes de leur surface extérieure et des ornemens de leur test. Suivant ces apparences, nous établissons 4 catégories, en faisant remarquer, que nous plaçons dans deux groupes transitoires toutes les formes qui, ayant perdu leur test, échappent ainsi, en ce moment, à nos moyens de distinction. Nos catégories sont très inégales entre elles et plusieurs renferment un nombre très considérable d'Orthocères. Mais, en rapprochant les espèces, d’après les affinités les plus marquées des ornemens de leur sur- face, on peut aisément subdiviser chaque catégorie en divers groupes, analogues à ceux que notre illustre maître, Léopold de Buch, à établis parmi les Ammonites, sous le nom de famulles. En ce moment, nous nous bornons à séparer les principaux groupes, dont nous esquisserons les carac- tères, après avoir exposé l’ensemble de notre arrangement provisoire, dans le tableau suivant. Nous nous réser- vons de juger plus tard, s’il est convenable ou nécessaire d'établir des groupes de moindre étendue et alors nous publierons les noms qui doivent servir à désigner toutes ces subdivisions des catégories distinguées parmi n0S formes longicônes. Nous croyons convenable de laisser en dehors de ces catégories, principalement fondées sur les Ortho- cères de la faune troisième silurienne, le sous-genre Ændoceras Hall, qui renferme des espèces exclusivement propres à la faune seconde et qui est fortement caractérisé par la forme de son siphon. En considérant, de même, la conformation particulière de cet organe, dans les fossiles originairement nommés Juronia par Ch. Stokes, nous les maintenons séparément dans un autre sous-genre, sous cette dénomination. L'horizon sur lequel se trouvent ces formes, dans l'ile Drummond du lac Huron, a été indiqué comme pouvant correspondre à celui des groupes de Clinton et de Niagara dans l'Etat de New-York, c. à d. aux premières phases de la faune troisième. Mais, cette assimilation stratigraphique aurait besoin d’être confirmée. Nous considérons aussi comme un sous-genre les formes nommées Gonioceras Hall. à cause de leur section transverse très aplatie, et des ondulations de la suture de leurs cloisons. Groupement des Orthocères de la Bohême. Nombre Sections Catégories des Groupes I. Orthocères brévicônes . . . { I. Ornemens transverses . . . 1 Groupes transitoires. Test CHAUDE EME? I. Ornemens longitudinaux pré- JOLHADS NE VERRE NUE RL II. Orthocères longicônes . . . II. Ornementation mixte. . . II. Ornemens transverses pré- HONHTANSe eee LU IO IV. Test lisse ou faiblement strié Genre Orthoceras. . . Breyn CNAITAVELS de Me Me dre Lol Sous-genre Huronia. . . Stokes. . . formes longicônes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 Sous-genre Endoceras..Halll . . formes longicônes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Sous-genre Gonioceras. Hall . . formes longicônes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 Section I. Orthoceres brévicônes. Groupe 1. Nous ferons remarquer, que toutes les espèces d’Orthocères brévicônes, que nous connais- sons jusqu’à ce jour, en Bohême, et dont le nombre est d'environ 30, sont uniformément ornées de stries hori- zontales, ou transverses, plus ou moins régulières et saillantes. Aïnsi, nous les rangeons toutes, en ce moment, dans le premier groupe du genre Orthoceras. Ce groupe pourra être subdivisé en plusieurs autres, suivant les convenances. Section I. Orthocères longicônes. Groupes transitoires. Test inconnu. Groupe 2. Parmi nos Orthocères dépourvus de test, il y en a deux, qui se distinguent de tous les autres, par le contour triangulaire de leur section transverse. Ce caractère les rapproche du sous-genre Gonio- ceras Hall, qui n’est pas représenté en Bohême. Ces Orthocères portent les noms de: Orth. Archiaci, PI. 9251, Orih. victor, PI. 353 (4° Série). Orth. triangulare. À. N. est le type historique de ce groupe. En considérant l'apparence jusqu'ici assez rare de la section triangulaire, nous croyons devoir établir pour ces formes un groupe particulier, car on ne sauraît les confondre avec celles qui restent, jusqu'à plus ample information, dans le groupe suivant et qui offrent une section transverse circulaire ou elliptique. D'ailleurs, ces trois formes à section triangulaire de ce groupe se distinguent aussi de toutes les autres, par les lamelles rayon- nantes, {qui remplissent leur siphon et qui représentent le dépôt organique. Groupe 3. Nous réunissons provisoirement dans ce groupe toutes celles de nos formes d'Orthocères longicônes, dont la section transverse est circulaire ou elliptique et qui échappent à nos moyens de classification, parceque nous ne connaissons pas leur test. Nous ajouterons que, pour la plupart de ces espèces, nous n'avons aucun espoir de parvenir à observer leur ornementation, à cause de la nature de la roche qui les renferme et qui a provoqué la disparition complete du test, sans en conserver l'empreinte, ni externe, ni interne, sur les moules. Nous avons rassemblé une partie de ces formes, à l’état de moule interne, sur 6 planches, à partir de la PI. 247, jusqu'à la PI. 252. Mais, l'insuffisance de l’espace nous a obligé à en intercaler plusieurs dans les planches suivantes de cette série. Malheureusement, ces formes ne sont pas les seules qui, malgré tous nos efforts, restent ainsi très incomplétes. Nous présenterons, en tête de notre quatrième série, comme aussi vers sa fin, d’autres planches réservées à des Orthocères, qui se trouvent dans un état aussi peu satisfaisant et pour lesquels nous avons vaine- ment attendu jusqu'à ce jour des spécimens plus complets. 1e Catégorie. Ornemens longitudinaux prédominans. Groupe 4. Nous associons provisoirement, dans ce seul groupe, toutes les formes dans lesquelles pré- dominent les ornemens longitudinaux, avec une intensité et un relief plus ou moins prononcés, sous l'apparence de côtes, sillons, arêtes, filets, bandes, ou stries, qui attirent principalement l'attention, tandisque les ornemens transverses, beaucoup moins intenses, quoique de même nature, ne jouent qu’un rôle subordonné, dans les inter- valles entre les premiers. Nous citerons comme types des apparences diverses des ornemens longitudinaux prédominans : Orthoc. doricum . . . Barr. PI. 269 PI. 270 ? côtes et sillons. 0. Bacchus . . . Barr. PL 971 O. spectandum . Barr. PI. 266 filets. 0. originale . . . Barr. PI. 267 bandes. ©. Woodwardi. . Barr. PI 259 stries. Il serait difficile d'établir des limites distinctes parmi les espèces, qui se rapprochent plus ou moins de ces types. D'ailleurs, dans ce groupe, comme dans ceux qui suivent, le relief et l'intensité des ornemens ne sont pas toujours constans, sur toute l'étendue d’une même coquille. Nous devons donc considérer seulement la partie la mieux caractérisée, dans chacune de celles-ci; c. à d. la région moyenne et quelquefois la région supérieure. Les formes réunies dans ce groupe occupent 23 planches de la présente série, à partir de la PI. 258, jusqu’à la PI. 275. Quelques autres espèces, qui lui appartiennent également, ont été réservées pour la quatrième série, par suite des motifs que nous avons exposés ci-dessus. Nous ferons remarquer, que les espèces dans lesquelles les ornemens longitudinaux, plus ou moins pro- noncés, sont contrebalancés par les ornemens transverses, ont été réunies dans des groupes de la seconde caté- gorie. Mais elles se trouvent, en partie, sur les planches que nous venons d'indiquer. 2m Catégorie. Ornementation muxte. Cette catégorie est destinée à comprendre toutes les formes qui établissent, par diverses voies, une transition entre les Orthocères de la catégorie qui précède et ceux de la catégorie qui suit. La coexistence fréquente des ornemens longitudinaux avec des ornemens transverses produit des com- binaisons mixtes, très embarrassantes pour le groupement des Orthocères, car il est difficile de décider, laquelle de ces ornementations, en sens différens, doit être considérée comme la plus importante. Cependant, puisque nous pouvons distinguer diverses combinaisons principales, dans la coexistence des ornemens longitudinaux et des orne- mens transverses. nous croyons devoir établir des groupes, qui correspondent à chacune d'elles. Groupe 5. Nous associons dans ce groupe les Orthocères, qui présentent des ornemens longitudinaux très prononcés, sur toute leur longueur, sous l'apparence de filets, stries, &e., tandisque les ornemens transverses ne se montrent que partiellement, sous la forme d’anneaux, avec des stries subordonnées. Le plus souvent, ce sont des anneaux réguliers, qui apparaissent sur la partie initiale de la coquille et qui s’effacent à quelque distance de la pointe. Quelquefois, au contraire, les anneaux se montrent vers la région moyenne, mais avec peu de régu- larité et d'intensité. Nous observons ces combinaisons sur les espèces suivantes: Orthoc. Bronni. . . Barr.. . . PI. 258 filets et stries sur toute la longueur- 0. eléctument- Barr. 0.00 MPlE260 anneaux vers la pointe. ( 272 | filets et stries sur toute la longueur- elle anneaux sur la région moyenne. On remarquera que, par les apparences de la majeure partie de leur longueur, les espèces de ce groupe se rattachent très fortement à celles de la précédente catégorie. Au contraire, les formes, que nous comprenons dans les groupes suivants, offrent des combinaisons plus réellement intermediaires, entre la catégorie des ornemens longitudinaux et celle des ornemens transverses prédominans. Groupe 6. Nous rassemblons dans ce groupe les Orthocères, qui sont ornés de stries ou de filets lon- gitudinaux continus et bien prononcés sur toute leur longueur, tandisque leur surface offre en même temps des anneaux, également constans, sur presque toute l'étendue observée. Nous citerons seulement les 4 formes suivantes, parmi celles qui présentent cette combinaison d’ornemens dans les deux sens. Orthoc-Apaironuse REA ee Pl 2179; 0. Neptuni . . Barr 0. pulchrum PRET Pl 0276: 0. pseudocalamiteum . Barr. . . . PI. 278. 0. SONATIUME- Dar eee EL 2279; On peut remarquer, dans la troisième espèce citée, comme dans d’autres, que l'intensité des ornemens longitudinaux s’affaiblit notablement dans certains individus, tandisque le relief et la régularité des anneaux ne semblent pas varier. Nous croyons devoir adjoindre provisoirement à ce groupe, Orfhoc. solitarium, dans lequel les stries longitudinales paraissent ne pas passer par dessus les sommets des anneaux, mais semblent seulement exister dans les rainures interjacentes. Cette apparence est peut-être individuelle, et pourrait aussi provenir de l'état de conservation. Groupe 7. Ce groupe est destiné à renfermer les Orthocères sur lesquels les ornemens longitudinaux, notablement affaiblis dans leur apparence, sont représentés par de simples stries saillantes et croisées par des stries transverses d’un relief à peu près égal, de sorte que la surface est ornée d'un réseau plus ou moins régulier, sous le rapport de l'intensité des ornemens dans les deux sens. Cette ornementation, réellement intermédiaire entre celles, qui caractérisent les Orthocères de la pre- mière et de la troisième Catégorie, s’observe principalement sur les espèces qui suivent: Orthoc. sericatum . . . Barr.. . . PI. 265. O. loricatum 0. Pacte 2170; O: mimus: 240 Dane RP TO 0. contextum . . Barr. . . . P1.:270. La dernière espèce, en présentant comme les autres un réseau sur son test, offre en même temps la trace d'anneaux dans sa partie supérieure, malheureusement incompléte. Les N°: des planches, que nous venons de citer, pour les types des groupes 5—6—7, montrent que les formes de transition appartenant à ces groupes sont placées, pour la plupart, parmi celles de la première caté- gorie ou du groupe 4. Cependant, quelques unes sont figurées sur les planches principalement réservées aux espèces de la catégorie suivante, et d’autres n’ont pu être dessinées que sur les planches de notre quatrième série. Groupe 8. Nous croyons convenable d'établir ce groupe pour quelques Orthocères, qui se font remarquer par les apparences variables et très différentes de leur ornementation, sur divers individus. En effet, sur certains NII spécimens, ce sont les ornemens longitudinaux qui prédominent sur les ornemens transverses, tandisque, sur d'autres exemplaires, ce sont les ornemens transverses, qui dominent sur les ornemens longitudinaux. Ces espèces nous semblent donc constituer aussi, comme celles des groupes 6 et 7, une véritable transition, entre la catégorie qui précède et celle qui suit. Comme types du groupe 8, nous citerons les espèces suivantes: Orthoc. araneosum . . . Barr.. . . PI. 337 à 340. 0. VICHMA EE PNParr 0 Ne 21-0360 AS 0. nimes ce 0e co 206 (ae Série). Pour épuisér toutes les combinaisons, dans lesquelles les ornemens longitudinaux jouent un rôle de plus en plus secondaire, nous devrons établir un groupe pour les Orthocères dont l’ornementation présente des stries fines, longitudinales, entre des stries transverses plus prononcées. Mais comme, dans cette combinaison, les ornemens transverses prédominent, le groupe dans lequel elle est comprise, appartient inévitablement à la troisième catégorie et il porte le N°. 15, ci-après. 3e Catégorie. Ornemens transverses prédominans. Le plus grand nombre des Orthocères connus appartient à cette catégorie, que nous sommes obligé de subdiviser en plusieurs groupes, d’après l’apparence et l'intensité des élémens de l’ornementation. Ces élémens sont des anneaux, ou des bandes, ou des stries plus ou moins saillantes. Les stries se distinguent entre elles par l'apparence contrastante de leur section, ou profil. Nous comprenons parmi les ornemens transverses, non seulement ceux dont la direction est horizontale, mais encore ceux qui offrent une direction oblique. Cette inclinaison, très variable suivant les espèces, atteint quelquefois 45°. Nous ferons remarquer, qu’il serait impossible de tracer des limites absolues entre les apparences que nous distinguons par les noms d’anneaux, bandes et stries. Cependant, nous sommes obligé d’avoir recours à ces moyens de distinction, quoique imparfaits, parceque ce sont les seuls à notre disposition, pour établir un certain ordre dans le groupement de nos matériaux, trop nombreux pour être présentés en masse confuse. Les ornemens transverses, qui nous semblent les plus importans, sont les anneaux, parceque, dans la plupatt des cas, leur existence, sur la surface externe du test, dérive d’une conformation semblable sur la surface du corps. Au contraire, les ornemens superficiels du test sont produits par des appendices accessoires du manteau. Nous considérons donc les anneaux comme prédominans sur l'ornementation de la surface, qui contribue d’une manière secondaire à caractériser les espèces et qui pourrait servir à subdiviser le groupe 8, dans lequel nous allons réunir les formes ornées d’anneaux. Dans certains Orthocères, les anneaux semblent exister sur presque toute l’étendue de la coquille, en exceptant l'extrême pointe initiale et quelquefois le voisinage immédiat de l’ouverture. Dans d’autres formes, les anneaux ne se montrent que sur une partie plus ou moins considérable de la longueur. Le plus souvent, la partie annelée occupe la région moyenne de la coquille; mais, par exception, elle est quelquefois située vers le petit bout, ou vers le gros bout. Dans certains cas, les parties de la surface, qui sont privées d’anneaux, sont ornées de stries transverses, qui succèdent à ceux-ci, pour s’effacer à leur tour, de sorte que les extrémités de la coquille deviennent lisses. Groupe 9. Nous comprenons dans ce groupe tous les Orthocères qui présentent des anneaux, sur une partie quelconque de leur longueur, pourvû que ces anneaux soient bien prédominans sur la surface et accom- pagnés seulement de stries transverses, rectilignes ou sinueuses. Mais on doit remarquer, que les sinuosités simulent souvent, par leurs alignements, des stries longitudinales. Voici celles de nos espèces qui offrent, de la maniere la plus marquée, les combinaisons diverses que nous venons d'indiquer, dans la distribution de ces ornemens. PI. 294 * | PI 295 | anneaux sur presque toute la longueur PI. 290 | de la coquille. Stries transverses sinueuses. Orthoc. dulce. . . Barr. . . 0. annulatum . SOW. . . . PL 991 0. Agassizi . Barr. : . . PI. 281 0. monte. lie none NA CRU 0. lunaticum . Barr. . . . PI. 328 O O b Nereidum . Barr. . . . PI. 279 | anneaux seulement vers le gros bout. Stries transverses rectilignes. anneaux seulement sur la région moyenne. Stries transverses rectilignes. . rigescens . Barr. . . . PI. 287 L'apparition d’anneaux la plus restreinte que nous connaissons, s’observe sur Oréh. lunaticum, qui n’en présente que 6 à 7 vers le milieu de sa longueur. Nous rappelons que certaines espèces, qui ne montrent des anneaux que vers leur pointe initiale VIIT et d’autres qui sont annelées sur toute leur longueur, ont été rangées dans les groupes 5—6 ci-dessus, à cause de la coexistence d’ornemens longitudinaux, prédominans sur toute l'étendue de la coquille. Les Orthocères ornés d’anneaux, sur une étendue quelconque, occupent 21 planches de la présente série savoir, les PL 276 à 295 et PL 336. Quelques autres formes de ce groupe ont dû être réservées pour la qua- trième série. : Sous le rapport de l'intensité, ce sont les bandes transverses, qui se rapprochent le plus des anneaux. Elles semblent même, dans beaucoup de cas, n'être qu'une transformation de ceux-ci, car elles leur succèdent dans certains Orthocères, durant l'accroissement de la coquille. On pourrait donc considérer certaines de ces bandes comme des anneaux aplatis. Nous connaissons cependant des espèces, dont la surfage est ornée de bandes, sans aucune trace d’anneaux dans l'étendue observée. Les bandes offrent quelquefois une grande régularité dans leur largeur, et parfois aussi elles se montrent très irrégulières, sous ce rapport. Elles semblent également différer entre elles, par la manière dont elles sont produites. Les unes se manifestent par des ondulations très superficielles du test; d’autres sont déterminées, au contraire, par des rainures étroites et profondes, qui sillonnent la surface externe et qui se reproduisent sur le moule interne; d’autres, enfin, semblent représenter seulement la trace successive de l’étranglement habituel, qu’on observe un peu au dessous du bord de l'ouverture. Dans tous les cas, la surface de chaque bande est ornée de stries plus ou moins fines et qui suivent la même direction. Nous faisons abstraction, en ce moment, de l'imbrication apparente des bandes, dans certains Orthocères. Groupe 10. Nous réunissons provisoirement dans ce groupe les Orthocères, qui présentent des bandes transverses sur leur surface, quelle que soit l’origne de ces apparences. Nous indiquons les espèces les plus remarquables, sur lesquelles on peut les observer. Orthoc. pedum .. :Barr.. . . PI. 316 } ondulations superficielles, anneaux aplatis. 0. TIVAIE = DAT: 6 0e PnE ; È PI. 216 | rainures profondes dans le test et sur 0. fasciolatum .Barr.. . . PI. 319 le moule. 0. aphragma . . Barr.. . . PI. 327 10: zonatum . .Barr.. . . PL 319} étranglemens plus ou moins arrondis. La disparition presque subite des bandes et des rainures, vers la base de la grande chambre, dans Orthoc. fasciolatum, est un phénomène analogue à celui que nous avons signalé pour les anneaux et que nous allons aussi constater pour les simples stries. Les espèces de ce groupe sont disséminées sur les planches destinées aux Orthocères, sur lesquels les ornemens transverses prédominent, à partir de la PI. 296 jusqu'à la PI. 335. Mais, quelques unes sont aussi figurées dans la quatrième série. Nous venons de faire remarquer, que les anneaux en s'aplatissant se transforment en bandes transverses. De même, nous pourrions concevoir, que les bandes en se retrécissant se transforment en stries, et que, récipro- quement les stries en s’élargissant deviennent des bandes. Dans tous les cas, nous fondons notre distinction entre les bandes et les stries sur ce que les bandes sont toujours plus larges que les rainures interjacentes. Ainsi lorsque les rainures deviennent aussi larges ou plus larges que les bandes, celles-ci se réduisent à des stries. Malgré ces définitions, il n’est pas toujours facile de reconnaître la limite, qui sépare les bandes des stries, lorsque ces ornemens se succèdent dans la longueur d'un même individu. Mais, pour déterminer le genre d'ornementation, dans chaque cas, nous avons égard à l'apparence des ornemens, sur les régions moyenne et supé- rieure de la coquille, plutôt qu'à leur apparence vers la pointe initiale. Il est important de remarquer, pour notre groupement, que les stries transverses présentent, dans leur, section ou profil, trois apparences faciles à distinguer. Nous avons déjà défini dans notre texte Vol. IL, p. 9, les deux formes les plus caractérisées de ce profil, sous les noms de: émbrication directe et imbrication inverse. Nous rappelons que, dans l’imbrication directe, les stries se recouvrent dans le même sens que les cloisons; la strie recouvrante est située du côté de la pointe de la coquille. Au contraire, dans l’imbrication inverse, la strie recouvrante est la plus rapprochée de l'ouverture. Dans la troisième apparence que nous distinguons, les stries ne montrent aucune imbrication sensible. D’après ces distinctions, les Orthocères uniquement ornés de stries transverses peuvent se ranger en 3 groupes, que nous allons indiquer, ainsi que leurs types. Nous placerons dans un groupe distinct, à la suite de ceux-ci, les formes qui présentent des stries lon- gitudinales, subordonnées, entre les stries transverses. Nous avons déjà mentionné ci-dessus l'existence de cette combiñaison complémentaire de lornementation mixte, c. à d. de la seconde catégorie. En comparant un grand nombre d'Orthocères, on peut constater, que les stries sont, en général, plus persistantes que les anneaux, sur la longueur d'une même coquille. Cependant, nous les voyons aussi disparaître dans quelques espèces, soit vers le petit bout, soit vers le gros bout. Exemples : IX Orthoc. Hoernesi. . . Barr.. . . PL 333 | coquille striée, petit bout lisse. O. transforme . . Barr.. . . PL 300 } coquille striée, gros bout lisse. Il nous reste à indiquer les groupes des espèces ornées de stries transverses et les planches sur les- quelles elles sont figurées. Groupe 11. Nous réunissons dans ce groupe toutes les formes uniquement ornées de stries transverses, qui se distinguent par l'imbrication inverse. Cette apparence est très facile à reconnaître sur un grand nombre d'Orthocères, parmi lesquels nous citerons les suivans: Orthoc. pleurotomum. . .Barr.. . . PL. 296. 0. PACE Barr El 208; 0. Janus BAT PI 300! 0. Giebel ses JBhtn au STATE Ce groupe occupe principalement 9 planches, à partir de la PI. 296 jusqu'à la PI. 304 Mais, quelques espèces, qui lui appartiennent, sont disséminées dans la présente série et dans la suivante. Groupe 12. Nous associons dans ce groupe les Orthocères, qui offrent uniquement sur leur surface des stries transverses, montrant l'imbrication directe. Cette apparence est commune à beaucoup de formes, parmi les- quelles nous citerons, dans la troisième série: Orthoc. Simoïs. . . Barr... . . PI. 305. 0. DyYChAS Barr CES 05 0. OU DATE PI: 0. asparagus . Barr. PESTE Les espèces de ce groupe occupent principalement 13 planches, à partir de la PI. 305 jusqu'à la PI. 317. D'autres ont été figurées sur les planches de la quatrième série. Nous ferons remarquer que, dans quelques Orthocères des groupes 11 et 12, nous observons, sur la surface, des stries longitudinales accidentelles et peu apparentes. Comme elles ne se rencontrent que sur quel- ques individus et sur une partie variable de la coquille, nous n'avons pas cru devoir les prendre en considération. Groupe 13. Ce groupe comprend un assez grand nombre d'Orthocères, dans lesquels les seuls ornemens consistent en stries transverses, sans imbrication sensible et ne possédant souvent qu'un faible relief. Nous citerons comme exemples: Orthoc.-capaxe Dar 1210529: 0. NainoS CPAS 5 0! O. Hoercnesie Barr Plus: 0. valens ee Barre REP): Les espèces de ce groupe se trouvent associées avec diverses formes des groupes précédens sur les PI. 318 à 340. Quelques unes ont dû être reportées dans la quatrième série. Groupe 14. L’apparence lamelleuse du test nous a causé beaucoup d’hésitation. En effet, d’un côté, nous voyons qu’elle se manifeste, vers l'âge adulte, dans divers Orthocères, d’ailleurs bien caractérisés par les ornemens de leur surface, comme: Orthoc. senile. . . PI 334. . . Groupe 15 } stries transverses et stries longitudinales subordonnées. O. Saturni . . PL 264. . . Groupe 16 } scrobicules et stries longitudinales. stries transverses et stries longitudinales, variant dans 0. araneosum . PI. 339. . . Groupe 8 l TR te AE D'un autre côté, nous connaissons des espèces dans lesquelles le test paraît lamelleux, à partir de la pointe initiale de la coquille, jusqu'à l'ouverture. Nous croyons donc devoir réunir ces formes dans le présent groupe, adjoint à la troisième catégorie. Nous citerons comme exemples: Orthoc. severum . . . Barr. . . . PL. 301—302. 0. squamatulum . Barr. . . . Pl. 302—310. 0. vulpes . . . Barr... PI: "320: 0. Richteri . . . Barr. . . . PI. 322328. Les lamelles se recouvrant suivant l'imbrication directe, et étant le plus souvent accompagnées par des stries transverses, on serait disposé à les considérer comme dérivant d'une origine commune avec les stries à imbrication directe, caractérisant le groupe 12 défini ci-dessus. Mais, il faut remarquer, qu'il n'existe pas de lamelles, qui se recouvrent suivant l'imbrication inverse, combinaison qu'on aurait pu attendre, d’après l'existence des stries à imbrication inverse, s’il existait une intime connexion dans l'origine des lamelles et des stries. Ce fait semble indiquer, qu'il y a dans la nature du test lamelleux une disposition particulière et indépendante de l’exis- tence, comme de l'apparence des stries de la superficie. Cette considération nous à décidé à établir le présent groupe pour les espèces à test lamelleux, qui ne sont pas comprises par d’autres caractères plus tranchés, dans les groupes déjà établis. 2 Groupe 15. Nous avons réservé pour ce groupe un nombre peu considérable d'espèces, qui sont très caractérisées, au premier aspect, par leurs stries transverses, notablement saillantes et habituellement sans imbri- cation prononcée. Mais, dans les intervalles entre ces stries, nous observons des stries longitudinales, très fines et qui ne jouent qu'un rôle subordonné dans l’ornementation. En effet, elles disparaissent avec la lamelle externe et très mince du test, sans que l'apparence de celui-ci paraisse altérée, lorsqu'on l’examine sans le secours de la loupe. Les principales formes qui se distinguent par ces ornemens et qui se rattachent ainsi à celles de la seconde catégorie, présentant une ornementation mixte, sont les suivantes: Orthoc. senile . . . Barr.. . . PL. 334 0. passer . . . Barr.. . . PL 334 { stries longitudinales très fines. O: Eichwaldi .Barr.. . . PL 335 0. Halli ...Barr.. . . PL 303 } stries longitudinales prononcées. Nous adjoignons à ce groupe ©. Halli, dans lequel les stries longitudinales se montrent plus marquées, mais cependant, sans cesser de jouer un rôle subordonné, dans les intervalles entre les stries transverses, qui sont aussi relativement plus fortes et plus saillantes que dans les autres espèces citées. Groupe 16. Nous devons établir ce groupe pour les formes assez rares, dans lesquelles l'ornementation principale consiste dans des scrobicules ou petites perforations du test, qui coexistent avec des stries, tantôt transverses, tantôt longitudinales, tantôt dans les deux sens. Ces formes sont les suivantes: Orthoc. porites. . . Barr... . . PL 277 0. tone bare. 00 0 PIMOBE | scrobicules et stries transverses. scrobicules et stries longitudinales, 0. Saturnie - Barr. - "BLOG | RUE ARATE Te SE #2 scrobicules et réseau de stries 0. subtile. - Darrs ... Pl26 | dE lv daceens. D'après ces combinaisons d’ornemens, nous croyons pouvoir rattacher ce groupe, un peu hétérogène, à la troisième catégorie. On pourrait aussi le reporter dans la seconde. 4m Catégorie. Test hisse ou faiblement strié en travers. Groupe 13. Nous réunissons dans ce groupe toutes les formes d'Orthocères, dont la surface paraît habituellement lisse, sur la plupart des individus, quoique quelques uns offrent partiellement des traces de stries transverses, ou stries d’accroissement. Ces traces sont généralement faibles, irrégulières dans leur espacement comme dans leur relief, et sans aucune apparence constante d’imbrication. Nous citons comme exemples les formes suivantes: Orthoc. aperiens . . . Barr. . . . Pl. 344. 0. Totouum Dante. HIS 4 0. Avions. BAT ne PIRE 0. decipiens . .Barr.. . . PL. 350. Les espèces comprises dans ce groupe sont assez nombreuses. Elles occupent les PI. 341 à 350 dans cette série et plusieurs autres dans la série suivante. Nous devons faire remarquer que, dans certains cas, l'absence de toute ornementation, sur la surface du test, peut être attribuée à la perte d’une lamelle externe, très mince et très caduque, après la mort du mollusque. Dans d’autres cas, comme dans Orth. truncatum PI. 341 à 344, tous les spécimens de la plupart de nos localités paraissent presque complétement lisses, tandisque divers individus montrent des stries assez régulières, dans une localité privilégiée. On pourrait considérer ces derniers comme une variété ornée. Notre Orth. culter PI. 347 donne lieu à une semblable observation. Observation au sujet des Orthocères dits Cochleati ou Nummularii. Il semblerait très naturel et presque indispensable, au premier abord, d'établir une subdivision parti- culière, d’un ordre plus ou moins élevé, pour comprendre les Orthocères, qui possèdent un siphon composé d’élé- mens sphéroidaux, d'apparence variable et dont les principaux types sont: Orthoc. cochleatum Schlot. et Orthoc. nummularium Sow. Nous avons essayé, à plusieurs reprises, de circonscrire cette subdivision et de lui assigner, dans notre classification, une place convenable, par rapport aux subdivisions qui renferment les Orthocères à siphon plus ou moins étroit et cylindrique. Mais, nos essais ont toujours été infructueux et ne nous ont conduit qu à des résultats peu satisfaisans. La cause de cet insuccès se conçoit facilement, si l’on remarque, qu'entre les siphons à élémens nummuloides et les siphons à élémens cylindroides, il y a transition continue et par des voies diffé- rentes, que nous allons indiquer. 1. Les caractères principaux, qui constituent les élémens nummuloides, d'après les types connus, con- sistent dans leur forme et surtout dans leur grande largeur, par rapport au diamètre de la coquille. Or, nous voyons ces caractères s'affaiblir graduellement et même disparaître, si nous rapprochons un nombre un peu con- sidérable de formes d’Orthocères. Nous citons, dans le tableau suivant, une partie de celles qui sont figurées sur nos planches et qu’on peut comparer immédiatement. Nous les ordonnons suivant l’ordre de décroissance du dia- mètre horizontal de leur siphon. Les chifires placés dans la colonne à droite expriment le rapport entre ce dia- mètre et le diamètre correspondant de la coquille. Espèces. Rapport des diamètres. Orthoc:vertebratume HA PIS TU 0:66: cochleatum . . . Schlot. . . 0. crassiventre . . . Wahl. HS Et His. Leth. Suec. PI. X. ©. IMDTICAUN ee NV ARE EP 25 050: 0. COTE EE BP PSS EE 010! 0. EXOLICUIN CR barre El I6 226093 0. SÉOREST DAT CR BL TEE 0 30! 0. Stenine ere Dar IP SEP 025: 0. Pictetite LCA PSE TO PREND IDE 0. BIINPSIE RER BAT El 651022: 0. RICHE CRE RD ART NP TOR CDD: Les dernières espèces citées offrant un siphon, dont la largeur peut être considérée comme très ordi- naire, nous sommes dispensé de pousser plus loin cette série, dans laquelle on pourrait encore intercaler des termes intermédiaires, en recourant aux formes figurées par divers auteurs. Il y a sans doute un grand contraste entre les siphons des espèces placées aux extrémités opposées de notre tableau et on serait bien tenté de les ranger dans des subdivisions différentes. Mais, pourrait-on fixer la limite entre ces subdivisions? Cette limite serait évidemment arbitraire et ne séparerait pas des formes réelle- ment distinctes. En comparant un certain nombre d’espèces, nous voyons donc la conformation nummuloide des élémens du siphon perdre graduellement son caractère prédominant, c. à d. la grande largeur, tandisque toutes les formes rapprochées conservent bien l'apparence sphéroidale de ces élémens. 2. Nous pourrions établir, de même, une série d’autres Orthocères, montrant la transition graduelle entre la forme sphéroidale et la forme cylindroide des élémens du siphon. Mais, ce passage nous est montré d’une manière beaucoup plus frappante, par notre Oréhoc. docens, PI. 250. Nous avons appelé l'attention des savans sur ce fait, dès 1855. (Bull. Soc. géol. Sér. 2. XII, p. 454.) Les quatre sections figurées, PI. 250, sans compter d’autres que nous possédons, démontrent suffisamment que, dans cette espèce, les élémens du siphon perdent graduellement, et assez rapidement, leur forme nummuloide très prononcée. Ainsi, au bas de la fig. 7, le diamètre du siphon occupe 0.50 du diamètre correspondant de la coquille, tandisque vers le haut, ce rapport est réduit à 0.18. Il y a donc, dans l'étendue de quelques loges aériennes de cette espèce, une réduction du diamètre du siphon, comparable à celle que nous venons de constater dans une série d'espèces diverses. Mais, nous devons encore remarquer, sur la figure citée, que, dans l'élément inférieur du siphon, le diamètre horizontal est à la hauteur, dans le rapport de 20:8. — Au contraire, dans les élémens supérieurs, ce rapport devient: 8:8. Ainsi, la forme nummuloide, très prononcée dans la région inférieure du spécimen, s’efface entièrement pour atteindre la limite de la forme cylindroide. Malheureusement, aucun de nos exemplaires ne nous permet d'observer le siphon jusqu'à la base de la grande chambre et de nous assurer si la transformation des élémens est encore plus compléte. Nous rappelons, que la réduction du diamètre du siphon a lieu dans d’autres espèces, quoique d’une manière moins prononcée. Nous citerons Orthoc. imbricatum Wahl. représenté sur nos PI. 228, 233, par des spé- cimens, qui permettent de bien reconnaître ce phénomène. 3. Dans certaines espèces, dont le siphon est composé d’élémens sphéroidaux, mais d’un diamètre rela- tivement peu développé, on remarque une autre sorte de transition entre la forme nummuloide et la forme cylin- droide. Cette transition se manifeste en ce que le côté interne de chaque élément tend à devenir rectiligne, tandisque le côté opposé conserve la courbure sphéroidale. Nous citerons les espèces suivantes: Orthoc. electum . . Barr.. . . PI. 260. 0. Hoernesi tn tPBarr in etP]0393; 0. Senle Par ie P1#8547 XII Voilà donc trois voies diverses, par lesquelles semble s'opérer une transition graduelle entre la confor- mation nummuloide et la conformation cylindroide des élémens du siphon, parmi les Orthocères. Nous trouvant dans l'impossibilité d'établir une limite satisfaisante entre les espèces, qui présentent ces deux conformations différentes, à des degrés plus ou moins prononcés, nous avons cru devoir distribuer dans les divers groupes, qui viennent d'être esquissés, ceux des Orthocères de la Bohême, qui se rattachent plus ou moins au type des formes dites Cochleati. Nous les avons donc associés, d’après l'apparence de leur ornementation, à d’autres formes, dont le siphon est composé d’élémens d'apparence cylindroide. Mais, dans chaque groupe, il sera facile de séparer, dans des subdivisions ou manipules, les formes qui se distinguent les unes des autres par la conformation contrastante et prononcée de leur siphon. Il nous reste à considérer d’autres formes d’Orthocères, dans lesquelles cet organe prédomine constam- ment par ses grandes dimensions et par ses apparences particulières. Sous-genre Huronia Stokes. Groupe 18. Quelque incomplètes que soient nos connaissances au sujet des Orthocères, dont les seuls vestiges consistent dans les Æuronia, les apparences de ces fossiles nous indiquent suffisamment, que les coquilles dont ils ont fait partie étaient longicônes et que, sous le rapport du grand développement de leur siphon, elles offraient de remarquables connexions, d’un côté avec les Ændoceras et de l’autre côté avec les Orthocères à large siphon nurmuloide, dits Cochleati, dont nous venons de parler. Nous avons reproduit dans notre 2. Série, PI. 231, d’après Ch. Stokes et M. le Doct. J. J. Bigsby, les figures de diverses Huronia, provenant de l'ile Drummond, dans le lac Huron. Nous figurons aussi, dans notre gme, Série, PI. 435—436, d’autres formes de la même localité, qui appartiennent à la Société d'Histoire naturelle de Montréal, au Canada. Elles nous ont été confiées par l’obligeante entremise de M. E. Billings, ainsi que nous l'avons constaté dans l'Avis placé en tête de notre 2°. Série. 1866. - En jetant un coup d'oeil sur ces figures, il est facile de reconnaître, que toutes les Juromia présentent un caractère commun ét également bien prononcé. Ce caractère consiste en ce que chacun de leurs élémens se compose de deux parties tres distinctes, savoir: 1. vers le bas, il existe toujours une partie droite et cylindrique, qui s’ajuste dans l'ouverture de lélé- ment placé immédiatement au dessous. 2. vers le haut, on voit toujours une partie plus enflée, c. à d. d’un diamètre plus considérable et dont le profil arrondi est comparable à celui d’un anneau d'Orthocère, ajusté sur la partie rectiligne et inférieure du même élément. Cette partie inférieure, supposée seule, représenterait très bien un élément du siphon d'un ÆEndoceras, tel que Orthoc. duplex, ou de notre forme analogue, O. peregrinum, PI. 247, fig. 18. D'un autre côté, la partie supérieure, considérée isolément, représenterait un élément d’un siphon nummu- loide, comme celui de Orth. cochleatum Schlot. figuré sous le nom de ©. crassiventre Wahl. sur nos PI. 233, 237, (2%. Série) ou comme celui de Orth. nummularium Sow. (Siluria, PI. 26.) L'un des spécimens de Huronia figurés sur notre PI. 435, étant en partie recouvert par la roche, simule cette apparence de manière à s’y méprendre. Ainsi, la coexistence de ces deux parties, dans chacun des élémens des siphons dits Huronia, indique une conformation intermédiaire entre le siphon des formes d'Orthocères nommées Ændoceras, et celui des formes dites Cochleati. Nous observons aussi, dans les diverses formes de ÆHuronia, que la partie supérieure, ou annulaire, occupe une longueur variable sur l'étendue totale de l'élément, à partir de un quart jusqu'à environ la moitié. On dirait donc, qu'il y a progression dans la transition. Cependant, nous ne connaissons jusqu'à ce jour aucune forme de Huronia, dans laquelle la partie rectiligne des élémens soit réduite à une longueur rudimentaire. Par conséquent, en constatant l'existence de ces formes réellement intermédiaires, nous ne sommes pas en droit d'affirmer, qu'il y à eu transition graduelle entre deux types distincts de la conformation du siphon, dans le genre Orthoceras. En attendant plus ample information au sujet des Huronia, nous réunissons toutes les formes de ce nom dans un groupe, dont la position est bien marquée entre les Orthocères dits Cochleati et les Orthocères con- stituant le sous-genre Endoceras, sur lequel nous allons appeler l'attention. Sous-genre Endoceras Hall. Nous comprenons dans ce sous-genre tous les Orthocères à large siphon cylindrique, qui caractérisent les premières phases de la faune seconde silurienne, sur les deux continens, et qui ont été particulièrement désignés, dans le Nord de l'Europe, par le nom de Vaginati, et par celui de Endoceras, en Amérique. XIII à Les espèces, auxquelles cette dénomination collective a été habituellement appliquée, ont semblé pendant longtemps posséder un second caractère commun, dans la position marginale de leur large siphon. Mais, dès 1847, le Prof. J. Hall a décrit et figuré, sous le nom de Ændoc. proteiforme, des formes qui montrent un large siphon, placé à une distance notable du bord de la coquille et tendant à atteindre l'axe de celle-ci. (Paz. of N. York. I. PI. 49—53—57). En 1860, M. le Chev. d'Eichwald a fait aussi connaître, sous le nom de Ændoc. hasta, une espèce Russe, à large siphon central. (Leth. Ross. Livr. VII. p. 1247, Pl. 46, fig. 7. a. b.) Nous voyons de plus, sur la même planche, (fig. 1—a—b) des apparences très analogues dans la largeur et la position du siphon de ÆEndoc. megastoma. Dès 1855, nous avons nous même découvert en Bohême, dans notre bande schisteuse d 1, un Orthocère à large siphon central. Nous le figurons sur notre PI. 247, sous le nom de Orth. novator. Il est associé sur la même planche avec notre Orfh. peregrinum, qui, possédant un siphon également large, mais submarginal, représente évidemment le type des Vaginati, c. à d. des Endoceras, sur son horizon habituel, dans notre bassin. Enfin, nous constatons qu’en Juillet 1864, nous avons vu, dans la belle collection de M. de Verneuil, un fragment d'Orthocère, récemment rapporté par lui du Département de la Sarthe, où il à avait été recueilli dans la tranchée de la grand-route, près du village du Creux. Ce fragment, dont nous avons pris un croquis, reproduit toutes les apparences de notre Orth. novator. C'est également un moule interne, qui ne permet pas d'affirmer l'identité spécifique, mais qui permet de la présumer. D'après ces faits, on ne peut plus regarder le sous-genre Endoceras comme caractérisé par la position constante et marginale de son siphon. Nous sommes obligé, au contraire, d'admettre, que cet organe est incon- stant, sous le rapport de la place qu'il occupe dans les Endoceras, comme dans les divers groupes de nos Ortho- cères longicônes. La largeur prédominante dans le siphon cylindrique des Ændoceras reste donc leur prin- cipal caractère. Groupe 19. D’après ces observations et le nombre exigu de nos espèces, à large siphon cylindrique, nous les réunissons dans un même groupe, que nous ne saurions autrement caractériser, en ce moment, que par les grandes dimensions et la forme cylindroide du siphon, car les apparences de la surface externe de la coquille nous sont jusqu'ici inconnues. Ce groupe est donc transitoire, jusqu'à plus ample information. On peut le con- sidérer comme correspondant au groupe 3, ci-dessus établi, pour les Orthocères longicônes, dont le test est inconnu et la section transverse circulaire ou elliptique. Nous reproduisons le nom de nos espèces de ce groupe, auxquelles on pourrait adjoindre diverses autres formes, imparfaitement connues. Orthoc. peregrinum. . . Barr.. . . 0. HOVATO SN AT ES PI 247. 0. insulare . . . . Barr.. . . Pl. 430—431. O. duplex. . « . . Wahl. . . PI. 233—2536. L'espèce que nous figurons, sous le nom de ©. insulare, dans notre quatrième série, provient de la faune seconde l'ile de Terre Neuve, et elle a beaucoup d’affinité avec le type d'Europe, O. duplex. En appliquant aux formes connues du sous-genre Endoceras les moyens de distinction, que nous avons employés pour nos Orthocères longicônes, on pourrait établir des groupes correspondants. Nous n’avons pas les matériaux nécessaires pour entreprendre ce travail, mais nous indiquerons seulement un de ces groupes, dont les types principaux, bien connus de tous les paléontologues, se trouvent dans le Nord de l'Europe, tandisqu’une autre forme analogue a été signalée en Amérique, sur un horizon comparable, dans la hauteur occupée par la faune seconde silurienne. " Groupe 20. Les trois types de ce groupe appartiennent à la grande zône septentrionale et nous ne connaissons aucune forme semblable dans la grande zône centrale d'Europe. Ce sont: Orthoc. vaginatum. . . Schlot. (Min. Taschenb. VIT. p. 69). Orthoc. trochlearis . . His. (Beth. Suec. 28. PI. 9.) Endoc. annulatum . . Hall. (Pal. N. York 1. PI. 44.) Orthoc. Marcoui. . . . Barr. PI. 431. (4. Série.) Cette dernière espèce a été découverte par notre honorable ami M. Jules Marcou, dans les lentilles calcaires des schistes de Phillipsburgh, au Canada, sur un horizon qui paraît correspondre à l'origine de la faune seconde. Le caractère commun, qui distingue toutes ces formes parmi celles du sous-genre Ændoceras, est très apparent sur leur surface externe, car il consiste dans des anneaux très prononcés. Sur les formes d'Europe, ces ornemens sont accompagnés par des stries, qui suivent la même direction. Mais, les espèces d'Amérique étant répréséntées par le moule interne, on ne peut pas voir si l'ornementation de la superficie offre une appa- rence analogue. Dans tous les cas, ce groupe nous paraît bien défini et il représente, dans le sous genre ÆEndoceras, le groupe N°. 9, que nous avons établi ci-dessus parmi nos Orthocères longicônes. Sous-genre Gonioceras Hall Groupe 21. Nous ne connaissons jusqu’à ce jour qu'une seule espèce, qui représente ce groupe. Elle a été décrite et figurée, en 1847, par M. le Prof. J. Hall, sous le nom de Gomioc. anceps. (Pal. of N. York I. p. 54. PI. 14.) Le grand paiéontologue américain à très bien fait ressortir les deux principaux caractères, qui distin- guent cette forme de tous les autres Orthocères, savoir: 1. La conformation très aplatie de sa section transverse, dont les axes sont entre eux dans le rapport de 1:4 où de 1:5. 2. Les courbures que présente la suture des cloisons, dont il signale la remarquable analogie avec la suture des cloisons dans certains Goniatites. Ces deux caractères sont prononcés, non seulement dans les deux spécimens figurés par le Prof. J. Hall, mais encore dans tous ceux que nous avons eu l'occasion d'observer, soit dans diverses collections, soit dans la nôtre. Nous les retrouvons également sur les figures d’un spécimen du Canada, données par M. E. Billings. (Geol. of Canada, p. 150. 1863). Nous n'avons pas cru convenable d'associer cette espèce américaine aux Orthocères de l’ancien continent, qui composent notre groupe 2, défini ci-dessus, et dont le type historique est Oréhoc. triangulare A. V. En effet, bien qu'il existe entre ces diverses formes une certaine analogie, déjà indiquée, elles nous semblent suffisamment distinguées, par les différences suivantes: 1. La section triangulaire des Orthocères de notre groupe 2 s'éloigne peu de la forme d'un triangle équilatéral, et ses trois angles sont peu inégaux, tandisque la section de Gonioc. anceps est un triangle très aplati, dont les angles latéraux sont très aigus et très différens de l'angle au sommet. 2. Les ondulations de la suture des cloisons sont très prononcées dans Gonioc. anceps. Au contraire, presque toutes les formes de notre groupe 2 montrent une suture simple. Cependant, Orthoc. triangulare présente, sous ce rapport, une analogie éloignée avec l'espèce d'Amérique. Voir les figures données par M. M. d’Archiac et de Verneuil. (Trans. Geol. Soc. VI. PI. 27) et par les Docteurs Sandberger. (Verst. Nass. PI. 16.) Mais, nous observons des ondulations analogues, sur d’autres Orthocères, qui ont une section transverse à peu-près circulaire, comme notre Orth. docens PL 250. Ainsi, ce caractère n'est pas en rapport constant avec la forme de la section. 3. Toutes les espèces de notre groupe 2 sont caractérisées par la présence d'un dépôt organique, qui remplit leur siphon, sous la forme de lamelles rayonnantes. Ce caractère commun est d'autant plus remarquable, que, parmi tous les Orthocères à notre connaissance, ces espèces sont les seules qui présentent ce mode de rem- plissage, d’ailleurs assez fréquent parmi les Gomphoceras, Phragmoceras et Cyrtoceras. Par contraste, les spécimens figurés par J. Hall, comme tous ceux que nous avons observés, ne montrent dans leur siphon aucune trace d'un semblable dépôt, qui se manifeste toujours par des lamelles, commençant sur la paroi du siphon et tendant à s'étendre vers l'axe de cet organe. Nous voyons, au contraire, sur la section du spécimen Canadien déjà cité, que M. Billings indique un axe central, un peu étoilé. Cet axe paraît formé par la roche, dans le canal vide, au milieu du dépôt organique, habituellement composé d’anneaux obstructeurs, dans les siphons à élémens nummuloides, comme celui de Gonioc. anceps. Outre ces différences, fondées sur les caractères des formes comparées, nous devons aussi faire remarquer le contraste qui existe entre elles, sous le rapport de l'époque de leur apparition. En effet, les espèces qui appartiennent à notre groupe 2 ont existé durant la dernière phase de la faune troisième silurienne, en Bohême, et d’autres, dans les faunes dévoniennes. Elles ont donc apparu tardivement, durant l'ère paléozoïique. (Vois notre texte. Céphalopod. p. 448, 1867.) Au contraire, Gonioc. anceps caractérise exclusivement le groupe de Black-River, dans l'Etat de New- York, ainsi que le constate le Prof. J. Hall. (7. c. p. 55.) M. E. Billings assigne également à cette espèce l'horizon correspondant, au Canada. Gonioc. anceps a donc eu le privilège d'une antériorité très prononcée, puisque le calcaire de Black-River se trouve à peu près vers le milieu de la hauteur occupée par la faune seconde, en Amérique, et dans la partie où cette faune n'avait pas encore acquis tout son développement. Si cette forme singulière avait existé vers la fin de l'ère paléozoïque, c. à d. après celles de notre groupe 2, on pourrait se figurer idéalement, qu’elle représente le résultat d’une série très prolongée de variations successives, qui ont graduellement modifié dans le même sens la section transverse de certains Orthocères, jusqu'à cette extrème limite, laissant bien loin en arrière la section triangulaire des espèces de notre groupe en question. Mais, les faits, que nous venons de rappeler, constatent précisément l'ordre contraire, dans l'apparition des formes comparées. (C'est la forme triangulaire la plus aplatie et la plus exagérée, qui s’est manifesté la pre- mière, et à une immense distance de temps avant les autres, qui pourraient représenter des formes intermédiaires, à partir du cercle, section naturelle et initiale dans tous les Orthocères. Pour compléter ce contraste, il faut encore tenir compte de deux circonstances importantes, savoir: 1. Les Orthocères paraissent avoir été rares en Amérique, durant les temps antérieurs au dépôt du calcaire de Black-River. D’après les descriptions publiées dans la Palaeont. of N. York, le nombre des espèces connues, au dessous de cet horizon, se réduisait à 8. Nous n’en comptons que 15, dans les formations correspon- dantes, au Canada, sur le tableau de distribution annexé par M. Billings à la Geology of Canada. 2. Parmi les Orthocères figurés, à notre connaissance, et qui caractérisent les dépôts siluriens placés au dessous de l’horizon de Black-River, il n’y en a aucun, qui paraisse offrir une section triangulaire, tendant à la forme que présente Gonioceras. Ainsi, Gontioc. anceps paraît être, jusqu'à ce jour, un type original et isolé, parmi les Orthocères d'Amé- rique. Nous croyons donc convenable de placer dars un groupe particulier cette forme sporadique, occupant par ses apparences une position extrême, parmi les espèces du genre Oréhoceras. SLLILSSS SSI SIT SD PSE LLLI PTIT .. Après avoir indiqué les bases de notre groupement provisoire des Orthocères et l'ordre suivant lequel nos groupes sont disposés sur nos planches, dans la présente série, nous prions les savans de vouloir bien nous excuser, s'ils rencontrent quelques formes appartenant à l'un de ces groupes, parmi celles d'un groupe difié- rent. De telles irrégularités ne sauraient être évitées, quand il s’agit de centaines de planches, qui n'ont pu être composées que par parties successives, durant toutes les vicissitudes qu'éprouvent inévitablement des préparatifs et des études, qui n’ont pu se faire que dans diverses résidences et durant un long intervalle de temps. Aussi souvent que les circonstances nous l'ont permis, nous avons figuré, soit sur une même planche, soit sur plusieurs planches consécutives, tous les spécimens d’une même espèce, qui nous ont paru instructifs ou dignes d'attention. Ainsi, Orfhoc. araneosum occupe les PI. 337—338—339— 340 et Oréhoc. truncatum les PI. 341—342—343—344. Mais, comme nos découvertes ont été successives et quelquefois très espacées pour une même espèce, nous avons été obligé de disséminer sur nos planches les représentans de certaines formes spécifiques, très impor- tantes. Ainsi, Orthoc. Murchisoni reparaït sur 8 planches différentes et Orth. subannulare se trouve dans le même cas. Bien d’autres espèces n’ont pu être complétées qu'à l’aide de spécimens isoïés, sur des planches diverses. Des chiffres placés immédiatement sous le nom de chaque espèce, dans l'explication des figures, indi- quent les autres planches sur lesquelles la même forme est dessinée. Cependant, nous devons prévenir les savans, que, dans certains cas, ces chiffres n'indiquent pas des formes absolument identiques, mais seulement des formes très rapprochées, qui méritent d'être comparées. Ces cas sont assez rares. Le genre Orthoceras étant incomparablement le plus riche en espèces, parmi tous les types des Nauti- lides, est aussi, par ce motif, celui qui a opposé le plus de difficultés à nos études, pour distinguer ses espèces et fixer leurs caractères, en leur donnant des noms. Nous ne nous flattons pas d'avoir été assez heureux, pour que toutes nos dénominations correspondent à des natures spécifiques absolument indépendantes. Mais, du moins, nous avons fait tous nos efforts pour appliquer les noms, d'une manière plausible, d'après les apparentes différences des formes représentées par nos fossiles. Les hésitations, que nous avons éprouvées dans ce travail, souvent revu et corrigé, ont été beaucoup aggravées par la richesse relative et croissante de notre collection, en spécimens des formes les plus fréquentes et les plus caractéristiques de nos formations. Dans bien des ouvrages, où l’on a figuré des Orthocères, nous voyons la plupart des espèces repré- sentées par un ou deux spécimens, que nous devons considérer comme les mieux caractérisés, dans le petit nombre de ceux qui étaient à la disposition de l'auteur. On remarquera, que les espèces ainsi établies se montrent habi- tuellement très distinctes les unes des autres. ; Si nous nous étions borné, de même, à figurer, pour chaque forme spécifique, un ou deux spécimens, soigneusement choisis comme types, nos centaines de formes d'Orthocères pourraient aussi paraître très nettement séparées, en espèces indépendantes. Cette pratique aurait d'abord pour effet, de donner à nos déterminations un air d’exactitude, qui tournerait à notre honneur. Elle aurait aussi l'avantage d'offrir à l'esprit de nos lecteurs des résultats entièrement satisfaisans, qui ne troubleraient en rien leur quiétude scientifique, souvent peu assurée en paléontologie. Nous avons préféré suivre une méthode tout opposée, en nous efforçant de transmettre à ceux qui voudront étudier notre ouvrage, aussi bien les sujets de nos incertitudes, que les preuves à l'appui de nos convic- tions. Nous avons donc fait figurer, pour beaucoup d'espèces, une série de spécimens, destinés à montrer simul- tanément, la constance et la coexistence d’un ensemble de caractères, dans un nombre limité d'individus, et les variations ou diversités secondaires, que chacun de ces caractères semble subir, lorsque le nombre des exemplaires XVI comparés devient très considérable. Ces variations n'ayant pas lieu en même temps, le cercle des formes, qui nous semblent constituer chaque espèce, n’est pas rompu à nos yeux. D'après nos dispositions, chacun trouvera done sur nos planches les plus importans documens à l'appui de nos déterminations, comme aussi les élémens nécessaires pour les rectifier, selon ses propres vues. » Ces explications feront concevoir à nos lecteurs les motifs, au moins excusables, de l’apparente prodi- galité de figures, par laquelle nous avons grossi nos séries de planches. Mais, à nos yeux, cette surabondance elle même ne doit pas rester sans quelque fruit. : En fouillant, durant 30 ans, les nécropoles de notre bassin, nous avons pu nous faire une idée des myriades de Céphalopodes, qui animaient la mer silurienne de la Bohême et qui contribuaient, pour une si large part, à représenter la vie, durant cette période si reculée. Leur merveilleuse richesse de formes, ou apparences extérieures et l'innombrable fréquence des individus de certaines espèces, ne sont dépassées, durant aucune des époques géologiques postérieures, par les Mollusques du même ordre. Cette considération ne nous fournit, il est vrai, aucune mesure exacte du développement de la nature organique, aux diverses époques comparées. Cependant, elle nous inspire un certain sentiment d'appréciation, dont nous sentons la bienfaisante influence pour notre instruc- tion. Nous voudrions bien faire partager ce sentiment à ceux, qui ne peuvent voir les restes de nos Céphalo- podes, ni entassés dans certaines couches calcaires de notre terrain, ni même rassemblés dans nos collections. Mais, si nous voulions essayer de dénombrer ces richesses paléontologiques, ce que pourraient dire nos chiffres et ce que pourraient ajouter nos paroles serait d’un effet bien moins puissant que l'impression, peut-être involontaire, que#ecevront les savans, qui voudront bien jeter un coup d'oeil sur nos planches, en pensant, qu'en somme, elles ne représentent que quelques échantillons, empruntés à deux faunes du plus exigu de tous les bassins siluriens. Prague, 2. février 1868. J. Barrande. 1 OO © À Où © © œ = [=] = ù => ce NO D D NW EH » me M be pm YU D À © © D 1 A OC À Distribution verticale des Céphalopodes siluriens de la Bohême 3me Série. Planches 245 à 350. Genres et Espèces Cyrtoceras Goldf. (Suppl.) acyrtos pugio (Orthoc.?) residuum . . . Bactrites . Sandhergeri . . . . . Bathmoceras . . complexum . . . praeposierum . Tretoceras . . . ss Salter parvulum. . . . . . . . Barr. Orthoceras accedens . BUISE Se Acteon . . Agassizi alpha ambifarium ambigena. . annulatum aperiens « . ADR ONENO OO Var. de fransiens . aphragma. . . ADONDE RE Re - cd approximans . . . Var. de Hoernesi . araneosum . Archiaci . asparagus astutum Bacchus . . . bifidum Billingsi . bipellis Faunes siluriennes D E di|d2 d3|d4|d5l|e 1/e2 EEE HEREFRFEFEF+ + + FHFFEFT: Planches 245—413 328-365-410-412-424? 320 227-228-280-281-282-353-424 219 308 268 225—290—291—424 344 293 | 277—319—327 255—262—327 333—384 337—338—339— 340 251 325—329—364 221—347—4108 317 | 324 213—270—271 251 211—257—263 308— 402 XVIII Faunes siluriennes I Il | I] D E FE | G H d5letle2|r1f2lgt(g2[g3/h1[h2[h3 Nr. Genres et Espèces AB Planches d w CA © y — Orthoceras (suite.) 24 Bohemicum. . + + . . . Barr.|| Abd... ea ANR M or 215 288-289-3110 25 ont Gt 5e oo ne || .HI. ll ll l.N. let. le. |.1.1228—247—413 26 Bron Er ie arr ; «|. |+|. ie 11258 27 Caduceus ee barre NSP IHEle : . . | 297 caelebs . TR RUE Barr || Fi PEN de dulce à + 0. Barr: |f | A EE 29 CAPAX ee ee ce MC PAITe . | 322—329—426 325—357—394 RE EE 8259 8261 Re NOIRE EN NL 88) (+1. |.1.|1.1.1.1319 . | - | 346 : 309 || En En ee 0 2299 38 COMPIUMIe Ce Pare) | ne en NAN EE ES EN EE et EE EN Et 03325937, 39 CONCOrS en ce en: Barr. |} NE EC ae QE Se ET 40 concretum . . . . . . . Barr.| . 2 | CUS) Pen en EC ES RS RENAN IA IG Ll,.|.1.|.1.1.1.1.1329 A Et En En EN 0 En ES 05 43 consolans . . . . . . . Barr. , Dee ER A ANR EE EN ES or 44 conspieuum. . . . . . . Barr.| . 2 EN EEe |RRE AE ES AR SE En A SE En en 2 TE 22 A Ca OR EE A contrahens . . . . . . . Barr.| Var. de pellucidum . . . Barr. } : Aou EE ARR AE 2e RAR NES 47 conlumax . . . . . . . Barr.| . D ESA nr AE A Le PE en SPP 30 CAPUIOSUINE. 00.0. 0 Dart. | SEA O |. + 31 carcerale. . . . . + . . Barr.| +. lie en] Es A2 carminatum . . . . . . . Barr.| . 5 No Por ae 33 centrifugum. . . . . . -Barr.| . RE ES ER ES Le HET + - + + —+ 34 ClEpSY dre Ne Ce Barrie nr een 35 columela 0e A barre ESS en EE 36 CoOluMEN RS. He Ce ce Danre||'Ee Sr IR ESIe ++ 37 COMAUME Le ee Darre||b Enter nl El 41 confraternum . . . . . . Barr. 0 AM Ale 42 consobrinum <. . . . . . Barr.| . ANR NRE ENIEES e 45 Conextimi ste: 0-2 Barr. Pen ES A EE A 48 COrticOBu ee 2. c0- Bart. ||. à % = ebenboledto ln nee 49 CULELE. PR NES Barr.||N à - *|.|.1.1.1|239—347 50 CURIUMS RS C- Barr:| Ne 0 A EPA EE en EE et EE NS SNS STE 51 CAVICTRR RS RS M Banre|LNe DEA ee EE ee EE Ar AE ET ES ES ES 22 0 6 52 decIPIENSe ee ee Dante A SU AG Re SE +|+ |... Il. |.1.1217—318—324—350 53 deletum eee Men te Barre JE PE SNS ATEN | 54 despectum .+- 0 0 barre RARE EE H1.1.1. 1.101... 1268 55 discrete 0-0 ect Barr. E ER HAS QT MEET er en EN E 270 156] disjunctum'. . . . . . .Barr.| . | EE DE EN A EI SON Sn ER ES EN GS Le .N.1-|1.1.1.1.1212-—285—324—392 |... |. 1.1 335—357—40 65 DOVONHE RS NN ER ADAL||RE lee ME MINE | 66 ECM EN EE MENRATE. | soi ||LEM | SN eQU UE 67 PIeCIOM PRE Ve ibarr. . | 57 LiSDATPAE SN CNE CCS M Barr:|| #4 EM RS RUE EEE NS IE 151.1 110262 | 58 HDCENS Ce Ce eee Bar) ae ne .|H1.|-Ne le let. |.) 1250 DORA dou NUE Barre eu Een Le APE ES Ho Re EN OnANENtE) 60 AOUNCUNE CRC ES CU De NDaLL)| AN #1Fe 4] leu NAS [+]. lle... 1.1269 61 DOS ee CN EU B arr || AI MAEAlE . (+1. . | 321 | 62 dome CC IDarr Ne AR RARE HI: - 268 | Col. 63 JU NE NE der Barr’) hs Hi) .|.|.1t|.|.1.1294—295—357 64) Cape. hat 0 Barr net RTE +]. ee 80S |. +]. .l.l. 1.1. 1.1.1260—327—362 UE RENE En ER OT 68 EndYMION Le 0e 1. er -4barr.|l CIE FT: +. + XIX 87 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 Genres et Espèces Orthoceras (suite). equisetum . . . . €TOSUM . . . + « evanescens , . . . evictum . . . . . evocandum . . . . explanans . , . . . extensum . «+ + , + EXTEMUM Sn .-L0. fasciolatum . . . . Ganymedes . . . . GENE EEE Grewingki . . . . Gruenewaldti . . . gurgilum . . . . . HAUTES 2e ee HASUICR RER EE heluO HOernesl Ne. Men Humberti. . . . . HYIAS METTRE 1BROLUM Eee uen HE 0 cie LANCE impatiens . . . . inchoatum . . . . INCISUR- ee IDdeX ee DA Var. de éruncatum infirmum . . . . « innotatum . . . . INSCIUNN- Re de InsSONS , .« «+ + « intermittens . . intricatum . . . . INVLEUINEE. Se ne ANUS EME EE Jones lee Peu ce Jovellani . . . . . DeMHoni SOA OT MNENE UNE littorale . . . . . . Var. de zonalum longissimum loricatum . . . lUTaLCUME EME 0 0: Dychas en IE ar NES Faunes siluriennes 0e FETE FEFTT F+: NET SESSIIESLESSE ++: TETTT ++T Planches 262—319 251—413 258—265—326—361 291 262 213—254—326—388? 336 300 319—412 239—306—327 —389 304 306 217—315 252 303 332 328 213—333 258 306 324—376 293 262 330 209-239?-310-368-369 268—423 344 259 215—307 319 239—347 259 2 308 225—300—327—367 253—404 254, Espagne, dévonien 223—286 299 265 —402 299—366—386 275—322—424 328—418 305 336 Faunes siluriennes Planches Genres et Espèces H h1[h2[h3 Orthoceras (suite). EEE ES ES 1289 PAS 44 253 304 212-222-309-348-377 Me ae279 SEA E30 ; 329 . |. | 350—399—423 254-303-310-316-320- |. ||.) 321-331-4108 305 à 329 . |. | 222-258-272-273-274.401-488 Merise Re 0-0 Darre| ee 31e MaNCHM A 0e 0. 0. bar: | lente . MEMOTEE Lee ec Cbarr. || SNLOMIE CES |I"S micromegas . . . . . . . Barr.| : NUS TAN = EAU. = g DIESEL SSELERNMIESTESSE AMEN Ne ee er - 1: DAT. PR EAN E MINOR COR. 0. Darr:|iere NRA MOdestum .-". . . .:.. Barr. . 2h atclts Morris CO Barr) PME Mur CISCO 0 e-PIDArL: . . MAS PPS Re Me dene ls ae MYEmiHO MC Re IDATr: Neptunicum. . . . .:. . Barr.| |... elle. Nereldum ee. 0-0. Barr.) DS MONA ES lRc |. . . + | 279 INÉSLOB EN CO Barr. © |. . eee 317 noble ester. ie Barre|#t- = ee Poll : - 228-284-311-312-313 Oran D vale EU. 2 Barr. ele: So 247—415 ERA NI ST 2717 DOCS CCE MRMANL TT . |. |. OSCAR Ce DATE a A MEME Qi Ov ONE lee obsolescens . . . . . . . Barr. » O8) 208) RON] O0 ||. [1.126 OCCIDTEDS NE CC barre || PRIE EEE ON PCI 320—419 occultum 0: Barr |) cN| SNS) PANNE) CAUNEN TS ; 247 omega . . Darre||ID A OS PAU EEE A A ES . |. | 294—295 Var. de dulce NE EPS Barr A) ODOUMEEM et Barr|ul LRU EE AN en en Al APN PE PR EEE Ra CASE SS oririnale eee Tam) BAR || PE 2e SERIE EEE .|.|. +7. |.1267—425 1. Parallel ne VEN ME UBarr:| EN ACIER ; Dee AR een PE PENTE: PASS EL ee ess des ADalra | En RE A EN ISS ARS eNrS Nr . |. | 334 PAS ENACa ee Ne iBATC: Ne AA AR ON ONE ee NES 248—330 RATONUS ne Lee DAEr 2 Bo ele Noel folle (AIRE + 1.1.1. 228-262-275-307-123-121 PAUDEMENRC PC --DAlr: AE ed MIeMAEl ere 257 pectinatum . . Barr. +|., ; 261—275 DedumNeneMs let ee Barr||e da] SUP ERA IS ÉER . ï 316 pellucidum . . . . . . .Barr.| . ER A USE la s 261 —266—400—420 pereerinum M0 Barr. | ON OA RE FOR EC Lo PLAN En PNEU Le 247—415 319 h Perstricte 00 0-0 /Barr.|ue CM VON CO EC EE EE RE CP BIC Coeur :Barr. | A ESA PS A A OS EL ALAN CA CES e pinguis . . + . . . . .Barr.|] RO PR LP 6 DE PEN EEE DEL PE LC OR AN 298 VaraleNrerese ne Se BATTe|||f MIACENS EN sr Darr | SAN PUISE |A ES ENS SN ASS SA Po Ge RE 299-—391—408 DAC Re Barre) Hi -helsletele}e He pleurotomum . . . . . . Barr. T ++: . Na polveaster 0... 0.0. .Barr.| MEME AP +|. -l. |. 346 DONTeTOBU Me ee PTT.) NE eu) Ee SR AI ||. 266—274 partestncuaates bi 2reBanes|t00n | MR, eee ent 217 prabdes ue 0e Bar a) ERA EAN + | 300 ! 1 Faunes siluriennes Nr. Genres et Espèces AB LL Li Planches E F &G H di|d2|d3|d4|d5le1|e2|r1[f2]g11g2]g3/h1|h2[h3l Orthoceras (suite). 158| praeda . . Barr. ol ele +]. : 11299 159] princeps . . Barr. Eure +- : 266—392 160! pristinum . Barr. 5 HI. fe. . | 286 161| progrediens . . Barr. É |. 5 . | 280 162|Meprotendens Me Barr. |. RARE Eole - NES 163| pseudocalamiteum . Barr. EEE. . | 217-222-278-286-361 Do NDTe RE Re. Barr, .l.[+1.1.1. . | 344 165] pugio (Cyrtoc.?) . . . . . Barr. SIREel ere 308 166! pulchrum . Barr. MINES SEEIRS RADEON 167 pullus . . Barr. . [+ . | 262 168 puteolus . . . . Barr. (ll. ). : 328 169 reluctans . . Barr. A En EI EE 277—422 170 Richteri . . . . Barr. | 1.1.1. . | 318-322-323-349-409 7h rigescens . . . . Barr. RE . |. | 287—357—393 172| robustulum . . - Barr. SEE . = 300 173| rude. : Barr. . |. [+1 255 17 sacculus . . Barr. DES . | 345 175 sarcinatum . . . . Barr: ||. Hi: l. 341 176| Saturni . Barr. EI EI: £ . 255—264 177| semilaeve . Barr. es . (+: 280 IS RMSEne EN . Barr. . +1: 223-334-405-420 179| sericatum . . Barr. : . [+]. . | 265—400—402 180| serratulum . . Barr. CINE 298 181| severum . . Barr. . : CIE £ Re ed 182|" signatulum : . + . . . : Barr. Llte a lÈE 279 183 Simoïs . . . « Barr. . + 239—305—401 184 Sinon . . Barr. : + . | 263—322—326 1309—213—222—227- 185] socium .. . . . . . . . Barr. RER 307—355—370—372 tol:|| 313-315-3817-4041-4106 186| solitarium . Barr. : [érlle 12109 187| spectandum . . . Barr. PIÈGE 266 188 spiculum . . . Barr. . (+1. 1. . | 305 169 Msplendidunt.- #10. Barr: : HA: . | 254 190! squamatulum . . Barr - [El : 4 . | 302—310—370 191] Steiningeri . . Barr. 5 |" + | 248-249 192 SIORESIE Re Re Ur ee Dart |. . |. +1. 5 + | 255—257—261 193] striato-punctatum . . . . Münst. . Hi+). . | 268—420 194] subannulare . . . . Münst.| . A ILE +). : à OR 105 eubnoiatumeee 0-00 Barr || . [+]. = 307 D D HET) Ts 197|Msubsiructum . ..".". Barr. |. ù .l. HI. 1. - |PUIÈ307 198 MSEUDIE ME NNE -N 0 Barr: . . |. +). : . 265 199] sylphideum. . . . . . . Barr.| . Hill. k alt 323 200 MAteNAIE CEE NN Vbarr. || ë HI... |.) ). 224—314 XXII Genres et Espèces Orthoceras (suite). Telephus . temperans teres timidum . Tiphys Hro ne transforme transiens . . Tritonum . truncatum valens . . venustulum . vermis . . vicarians , vulpes . . Woodwardi . Xanthus . . | zonatum . Sp. indéterm, . Faunes siluriennes D d2|d3 ESA ELSSISSIESSE: Planches 217-315-327-396-424 306-317-333-376-425 263 300 218-224-292-293-402 345 —346—423 341—342—343—344 239-327-335-101-106-412 219—286 262 311 320 259 297 319—346 327 PI. Fig. 3. 10. EXPLICATION 25. Etage, Bathmoceras complexzum. Bar.. . D Spécimen vu par la face latérale. Moule interne mon- trant le bord de l'ouverture, l'impression creuse sur la grande chambre et la suture incomplète de plusieurs cloisons en voie de construction. Vosek. id. vu par le côté dorsal, montrant les mêmes éléments, sous un autre aspect. id. vu par le côté ventral, sur lequel la trace du si- phon est effacée, par suite de l’état de conservation du fossile. id. section longitudinale suivant le plan médian. Elle montre l'étendue graduellement croissante des cloisons en voie de construction. id. vu par la face inférieure, montrant les arrachements partiels des cloisons. Aucune d'elles n'est compléte. Autre spécimen vu par le côté dorsal, montrant di- verses cloisons en voie de construction. Vosek. id. vu par la face inférieure, montrant la position du siphon et les arrachements partiels des cloisons, indi- quant leur étendue horizontale, graduellement croissante, | à partir du bord dorsal, en allant vers le siphon. ou bord veniral. Autre spécimen vu par le côté ventral. Moule interne montrant le relèvement brusque du bord des cloisons au droit du siphon. Les lignes longitudinales creusées sur la surface paraissent accidentelles. Vosek. Bactrites Sandhergeri. Bar... . .D voir PI. 413. Spécimen vu par le côté ventral. Moule interne mon- trant une série de loges aériennes, tres irrégulières sous le rapport de leur hauteur. On voit, au droit de chacune d'elles, le lobe formé par la suture des cloisons. Vosek. Autre spécimen, représentant une partie du moule in- terne de la grande chambre. On voit la cloison ter- minale et la saillie de son goulot. La surface repro- duit les stries fines transverses, qui ornaient le test de cette espèce. Vosex. DES Fig. 14. 20. 21. FIGURES. Etage. Autre spécimen plus jeune. représentant le moule in- terne de 4 loges aériennes avec la suture des cloisons et le lobe correspondant. Vosek. Autre spécimen, représentant le moule interne d’une série de loges aériennes. On reconnaît, vers le haut, le lobe des sutures, tandisque, vers le bas, la sur- face du fossile étant altérée. on voit le moule interne du siphon. dont le test a été dissous. Vosek. Autre spécimen, représentant le moule interne de quel- ques loges aériennes. La surface étant altérée. on voit seulement l'impression du siphon sur la roche injectée dans l’intérieur de la coquille. Un fragment du moule interne du siphon est resté sur la loge inférieure. Vosek. Auire spécimen. Moule interne, sur lequel on voit la suture d’une série de cloisons avec les diverses apparences de leur lobe. suivant le degré d'altération subi par la surface. au droit du siphon. Vosek. Autre spécimen, représentant la base de la grande chambre et une loge aérienne. On voit. sur le moule interne, la trace des stries de la surface et aussi le goulot à la base de la grande chambre. Vosek. id. vu par la cloison terminale, montrant la position marginale du siphon. Autre spécimen, trés endommagé. Il est destiné à in- diquer les dimensions qu'alteignait ceite espèce, tandis que son siphon restait toujours exigu. Vosek. Auire spécimen, vu presque de profil et montrant di- verses apparences du lobe des sutures. Wosek. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes. correspondant à l'âge moyen. Moule interne, montrant diverses apparences du lobe de la suture, par suite de l’altération de la surface. Vosek. id. fragment du test, fortement grossi, d’après le moule externe de divers exemplaires. id. section longitudinale du test, indiquant l'imbrication directe de ses ornements. dont la saillie est très peu prononcée. PL 24 Imp Lenercier r de Seine b7 Paris Humbert lith A AR Pi EE = =. Fa SE Sn E — ES LE fs PI. Fig. 2. 3. 2146. EXPLICATION Etage. Bathmoceras praeposterum. Bar. D voir PI. 413. Spécimen vu par le côté ventral. Moule interne, mon- trant l'apparence du siphon et du bord des cloisons. Les sutures de celles-ci s'effacent graduellement vers la partie supérieure du fossile, de sorte que le nombre des cloisons incomplétes parait avoir été très consi- derable. (Musée Bohéme.) Localité inconnue, mais probablement située sur la bande d 1. Autre spécimen vu par le côté veniral. Moule interne, placé un peu obliquement. Il montre le bord de l’ouver- ture, la grande chambre, la trace du siphon et les sutures incomplètes de plusieurs eloisons en voie de construction. Vosek. Autre spécimen vu par le côté ventral. Moule interne, montrant une partie de la grande chambre, le siphon et les sutures incomplètes de plusieurs cloisons, en voie de construction. Vosek. Autre spécimen, montrant des apparences analogues à celles du précédent, mais un peu différentes. Vosek. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant les arrache- ments progressifs des cloisons et la trace du siphon. Autre spécimen. représentant 3 loges aériennes. On a reporté sur sa surface l'impression du test. qui est restée sur le moule externe. Vosek. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements, dont J’apparence est très irrégulière. Autre spécimen, vu par le côté dorsal. Moule interne, montrant la trace incomplète de diverses cloisons, en voie de construction. Vosek. DES Fig. 10. 16. FIGURES. Etage. Autre spécimen, vu presque de profil. I montre la base de la grande chambre, le siphon el la trace in- complète de plusieurs cloisons en voie de construc- tion, Vosek. Auire fragment, probablement d’un adulle, monirant des apparences analogues à celles du précédent, mais ce- pendant différentes, sous le rapport des sutures des cloisons commencées. Vosek. Autre spécimen, vu par le côté veniral. Moule interne, montrant quelques loges aériennes el le siphon. Vosek. id. vu par la face inférieure, montrant les arrachements progressifs des cloisons, dans le voisinage du siphon. Auire spécimen, vu par le côté ventral. Moule interne, montrant une partie de la grande chambre, le siphon et quelques cloisons en voie de construction. Vosek. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant le siphon et les arrachements progressifs des cloisons. Autre spécimen vu par le côté ventral. monirant la grande chambre presque complète, quelques loges aéri- ennes et le siphon, sans aucune suture de cloisons en voie de construction. On voit la trace d'un étrangle- ment prononcé. sous le bord de l'ouverture. Vosek. Autre spécimen vu par le côté ventral. Il représente quelques loges aériennes et le siphon, dans la cavité duquel on voit la tête d'un Trilobite. N. B. Les détails relatifs à la struclure singulière du si- phon de celle espèce sont représentés sur la PI. 413. 57Paris ercerrde Seine Imp.Lem Humbert lith. D EL DS NUS PL 247. Fig. 3. 11. 12. 13. Etage. Orthoceras Donrrumn. Barr. . . . . voir PI. 228 —413. Spécimen vu par le haut, montrant la concavité d’une cloison. On voit. au milieu, l'ouverture du siphon, avec l'apparence rayonnante, provenant de l’anneau ob- structeur. L’axe central est le moule du canal resté vide, au milieu de l’anneau, pendant le remplissage organique du siphon. Vosek. Autre spécimen vu par le même côté. L'intérieur du siphon est moins bien conservé. On reconnaît, sur la surface, la trace imprimée par le bourrelet adhérent à la face convexe de la cloison. Vosek. id. Vu par la face inférieure, montrant le bourrelet saillant. Les trois perforations accidentelles corres- pondent à celles du siphon, en partie détruit, fig. 2. Autre spécimen, montrant la trace du bourrelet saïllant, sur trois cloisons consécutives. Vosek. id. cloison terminale, convexe, montrant l'apparence du bourrelet, appliqué sur la surface et celle du siphon avec son axe central et ses rayons verticillés. id. cloison intermédiaire, également vue par le côté convexe et montrant les mêmes apparences que la cloi- son terminale, fig. 5. Autre spécimen, dont la surface a été fortement enta- mée. Il montre une série de loges aériennes, dont toutes les cloisons sont dissoutes, en laissant un vide correspondant. Le moule interne de chacune de ces loges permet de reconnaître la trace du bourrelet sail- lant sur leur surface convexe. Vosek. Autre spécimen, dont la surface est moins altérée. Il est, comme les précédents, à l’état de moule interne et il représente 4 loges aériennes, dont les cloisons sont dissoutes. Le bourrelet saillant est très apparent, sur la base de chacune d’elles. Vosek. id. cloison, vue par le côté convexe et montrant les apparences du hbourrelet et du siphon. Autre spécimen, représentant une seule loge aérienne vers la pointe de la coquille. Moule interne, montrant le hourrelet saillant sur la cloison terminale. Vosek. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant le bourrelet et le siphon. N. B. Les anneaux obstructeurs ont été dissous dans tous les spécimens figurés. Les rayons apparens sur les fig. 1, 2, 5, 6 représentent la roche injectée dans les vides des plis, résultant de l’aplatissement des sphéroides de la membrane siphonale, entre les anneaux obstrucieurs, pendant le remplis- sage organique du siphon. Orthoceras occultarm. Barr. . . . .D Spécimen montrant le moule d’une loge aérienne, avec la carène et le siphon. Vosek. id. cloison terminale, montrant la position submargi- nale du siphon. La partie centrale est detériorée. Fig. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 26. 27. 28. EXPLICATION DES FIGURES. . Etage. Orthoceras peregrinaamn. Bar. . .D voir Pi. 415. Fragment montrant une série de loges aériennes. Moule interne, partiellement ouvert et montrant le siphon à une petite distance du bord de la coquille. Vosek. id. vu par la face intérieure, montrant la position et le diamètre du siphon submarginal. Auire spécimen, représentant quelques loges aériennes. Moule interne, dont la surface, en partie brisée, per- met de voir le siphon. Vosek. (Coll. Schary.) id. vu par l’extrémité inférieure, montrant la position et le diamètre du siphon submarginal. Autre spécimen, appartenant probablement à la même espèce et représentant le moule interne d'un siphon isolé. Ce moule est vu par sa face latérale, et montre la trace oblique du contact de 5 loges aériennes. Le grand diamètre de ce spécimen prouve que Orth. pe- regrinum atteignait des dimensions aussi considérables que celles des autres Orthocères du groupe des Vagi- nali, qu'on trouve dans la grande zône septentrionale, sur les deux continens. Vosek. OGrthoceras novalor. Barr. . . . . .D voir PI. 415. Fragment représentant une seule loge aérienne. Moule interne, dont la surface est ornée de stries longitudi- nales. Vosek. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant la position centrale du siphon et l'espace vide autour du moule interne de cet organe, par suite de la dissolution du test. id. fragment du moule interne, grossi, pour montrer ses stries longitudinales. Autre spécimen, montrant une série de loges aériennes. La partie inférieure est ouverte. de manière à montrer le moule interne du siphon. L'espace vide, qui en- toure ce moule, représente la paroi siphonale dissoute avec une partie de la roche ambiante. Vosek. id. vu par le bout inférieur, montrant la position cen- trale du siphon. Autre spécimen, montrant une cloison et une partie du moule interne du siphon. Vosek. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant diverses bri- sures, qui indiquent la compression du fossile, dont les contours concentriques sont devenus elliptiques. Tretoceras parvulaum. Bar. . . . .D Spécimen de grandeur naturelle. Moule interne. Vosek, id. fortement grossi. On voit, sur la paroi du moule, la rainure longitudinale, qui simule un siphon mar- ginal. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant en même temps la trace du siphon sub-central et celle de la rainure marginale. = PL PI. 24 Imp Lemercerr de Seine 57.Pans Se RSS KES + Humbert/hith PERS Tor ü LL re « ACT TRS PL. 248. Fig. Etage. Orthoceras Sreiningeri. Barr. . . E voir PI. 249. Spécimen dépouillé du test el montrant une longue série de loges aériennes. A cause du défaut d'espace, la partie supérieure a été supprimée. La surface de ce moule présente de belles ramifications d’un Bryo- zoaire, que nous nommons provisoirement: Bryozo0on Steiningeri. Dvoretz. id. section longitudinale suivant le plan médian. Elle montre les cloisons bien conservées, ainsi que la plupart des éléments du siphon. On voit, au droit des goulots, des anneaux obstructeurs, qui se développent gradu- ellement en allant vers la pointe de la coquille, tandis qu'ils ne sont pas même indiqués dans sa partie su- périeure. Tout le remplissage intérieur consiste en cal- caire spathique, coloré par du carbone. id. section transverse, orientée comme la fig. 2 et mon- trant la position excentrique du siphon. Fig. Qt RIT a EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras pastinaca. Barr. . . F-G voir PI. 330. : Moule interne. Section longitudinale d'une série de loges aériennes. Sur une partie de la longueur, les cloisons sont brisées et on voit leurs fragments dans l'intérieur de l'espace qu’elles occupaient. Les autres cloisons, vers les deux extrémités du morceau, sont bien conservées, ainsi que leur goulot, tandis que le siphon est entièrement détruit. Hluboéep. $ 3. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen vu par l'extérieur et montrant une par- tie du test, sans aucun ornement. Konieprus. f 2. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées avec leur goulots, tandisque tous les élé- mens du siphon sont détruits. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. ]Barrande Syst Stlur de Bohème Vol.Il. Humbert lith, Hnp.Lemercierr de Seine 27 Paris. PI. 249. Fig. 3. Orthoceras Picteti. Bar. - . - - - -E Moule interne. Section longitudinale suivant le plan mé- dian. La plupart des cloisons sont conservées, tandis- que tous les éléments du siphon sont détruits, excepté deux. Au contraire, tous les anneaux obstructeurs sont conservés au droit des goulots et on voit que leur vo- lume augmente graduellement. en allant vers la pointe de la coquille. Certaines loges aériennes sont totale- ment remplies par le spath calcaire blanc, tandisque d’autres ont été envahies par le calcaire compacte noir, après le dépôt d’une couche spathique sur les deux fa- ces des cloisons. Viskocitka. id. partie inférieure du même spécimen, vu par le côté externe. Le défaut d'espace n'a pas permis de figurer tout le morceau. id. seetion transverse, monirant la position légèrement excentrique du siphon. Fig. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras Sreiningeri Barr. . . _E ; voir PI. 248. Spécimen représentant une série de loges aériennes. Moule interne. Les cloisons sont un peu plus espacées que dans le grand spécimen. PI. 248. Dvoretz. id. section longitudinale, montrant les cloisons partielle- ment conservées, ainsi que quelques éléments du siphon. On voit une legère apparence de dépôt organique au droit des goulots. Les loges aériennes ont été remplies, pour la plupart, par le spath calcaire blanc, tandisque le calcaire compacte noir a envahi quelques vides. id. section transverse, orientée comme la fig. 5 et mon- trant la position excentrique du siphon. 1 1 PI.249 Lis ue 7 LT LE “ lumbert lith r de Seine 57 Paris PL. Fig. 250. EXPLICATION Etage. Orthoceras docens. Bar. . . . . . .E Moule interne. Section longitudinale, montrant une sé- rie de loges aériennes. On voit les cloisons bien con- servées, ainsi que la plupart des éléments du siphon. Dans les élémens de la partie inférieure, on reconnaît le dépôt organique, qui se développe graduellement en allant vers la pointe de la coquille. Dvorelx. Dans ce spécimen, comme dans les suivants, on peut observer la décroissance graduelle du diamètre horizon- tal des éléments du siphon, en allant du bas vers le haut. Cette décroissance n'a lieu qu'entre certaines li- mites, au delà desquelles le diamètre paraît à peu près constant. Autre fragment, moule interne, représentant une série de loges aériennes. Section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées ainsi que quelques uns des éléments du siphon, dans la région moyenne. L'en- veloppe siphonale est détruite dans la région inférieure, tandisque ïes anneaux obstructeurs se sont bien con- servés. Dans l’intérieur du siphon, se trouvent 3 frag- ments d'Orthocères, adventices. Dvoretx. Autre spécimen, moule interne. Section longitudinale, montrant les cloisons et quelques éléments du siphon bien conservés, tandisque les autres sont détruits. Les anneaux obstructeurs sont de plus en plus développés, en allant vers le bas. Une partie des loges aériennes est complétement remplie de spath calcaire blanc, tan- disque les autres ont été envahies par le calcaire com- pacte noir, après avoir été tapissées par un dépôt spa- thique blanc. Dvoretz. DES FIGURES. Fig. 10. Etage. id. vu par l'extérieur et montrant les sinuosités que présentent les bords des cloisons. Elles sont symé- triques par rapport au plan médian. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. id. développement linéaire de la suture des cloisons, afin de montrer ses sinuosités. Le point milieu de celte ligne correspond à la ligne médiane de la fig. 4. Auire spécimen; moule interne, représentant une longue série de loges aériennes. Section longitudinale, mon- trant les cloisons en partie conservées, ainsi que les éléments du siphon, dans la plus grande partie de la longueur. On voit les anneaux obstructeurs bien eon- servés et graduellement plus développés en allant vers la pointe. Dvoretxz. 4 Autre spécimen, vu par l'extérieur. Il montre une série de loges aériennes et une partie du test, dépourvu d'ornements. A l'extrémité inférieure. on voit deux éléments du siphon mis à nû. Karlstein. id. 2? éléments du siphon indiqués sur la fig. 8, et vus par l'extérieur, afin de montrer la décroissance de leur diamètre, vers le haut. id. Les mêmes éléments vus d'en haut et montrant le canal interne du siphon, rempli par la roche compacte. ee te at bot on mnt ame tt, ie MD LES SDS. Léna hé, ans ts JBarrande Syst Silur. de Bohéme Vol.Il. PI.250 J Imp Lemercier r de Seine 57 Paris Humbert lh . Fig. 351. EXPLICATION Etage. Orthoceras Archiaci. Bar. . . . . .G | voir PI. 353: Spécimen vu par la grande face, ou côté ventral. La surface étant fortement dénudée, on voit une partie des loges aériennes et le siphon, dans toute l'étendue du spécimen. tes les cloisons sont disloquées, de sorte qu'on ne peut pas bien juger leurs relations avec le siphon. Dans la partie supérieure, principalement. elles sont à la fois brisées et aplaties. Leur tranche est indiquée par les lignes blanches. Hluboéep. id. section longitudinale. conservé et présentant, de chaque côté, la trace des la- melles rayonnantes, qui constituent le dépôt organique. Le canal interne, restant au milieu de ce dépôt, a été rempli par la roche ambiante. Les cloisons ayant été disloquées. ne conservent pas leur position naturelle par rapport au siphon, dans la moitié inférieure. Elles sont encore plus brisées et défigurées par la compres- sion, dans la partie supérieure, où leurs fragments se montrent sous la forme de lignes blanches, dans la | roche. id. vu par l'extrémité inférieure. On reconnaît la forme triangulaire de la section transverse du fossile, malgré la déformation subie par suite de la compression. On voit le siphon submarginal et montrant la trace des lamelles rayonnantes du dépôt organique. Par l'effet de la compression. presque tou- | Elle montre le siphon bien | DES FIGURES. Fig. Etage. id. vu par l'extrémité supérieure, montrant la position du siphon, la trace de ses lamelles rayonnantes et le canal interne, qui occupe la partie centrale. Cette exiré- mité est beaucoup plus défigurée que l’autre, par la compression subie. id. fragment du siphon, vu par la face latérale. Il montre les anneaux obliques, qui représentent chacun des élé- ments et la trace des cloisons, dans les rainures inter- jacentes. Orthoceras Difidum. Bar. . .. . .E Spécimen conservant une partie du test. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre et quelques lo- ges aériennes. La cloison la plus élevée n’est pas achevée, sur une partie de son pourtour. Hinter- Kopanina. id. section transverse, sans trace du siphon. id. le même spécimen grossi, pour rendre sensibles les ornements du lest. id. fragment du test, fortement grossi, pour monirer ses ornements. Les stries se bifurquent sur une partie de leur étendue. Cette bifurcation a lieu sans que leur surface soit aucunement altérée. ; £ Seine > Paris de 2ICIEr L 1) Humbert lith - Re PL 252. Fig. Etage. Orthoceras gurgitaum. Barr. . . . .G Spécimen dépouillé du test et vu par l’une des deux faces les plus larges. Il montre la grande chambre complète et le bord de l'ouverture presque intact. Dans la partie inférieure, on voit 3 loges aériennes et la convexité d’une cloison. Hlubocep. EXPLICATION DES FIGURES. Fig. Etage. 2. id. section transverse, prise au droit de la seconde loge aérienne en descendant, et réduite à moitié des diamètres. Elle montre la position excentrique du siphon, placé sur le petit axe de l’ellipse. JStrohmayer nn al Sen u lith. Wien : Lithou gedr i.d.kk-Hof uw. Staatsdruckerer. Fr (SN (12448 mA  9 4 nc tr PL. 3. ot 253. Orthoceras Jonesi. Bar. . . . . . .E voir PI. 404. Spécimen vu par la face externe, montrant une partie du test. Bulovilz. id. section transverse, montrant la position subcentrale du siphon et l'étendue relative des divers dépôts. id. seclion longitudinale, montrant les cloisons bien conservées ainsi que le siphon, sauf un seul élément. | Les anneaux obsiructeurs, au droil des goulots, aug- mentent graduellement, en descendant vers la pointe. Dans presque toutes les loges, à l'exception des deux dernières vers le haut, on voit le dépôt organique, sur Ja paroi concave des cloisons, sauf quelques globules sur la paroi convexe. Le reste des cavités des loges et du siphon est rempli par un dépôt chimique, eom- posé de calcaire spathique. Cependant, quelques par- ties internes de ces cavités sont injectées par le cal- caire compacle, noir, qui a postérieurement rempli les vides. Auire spécimen plus rapproché de Ja pointe de la co- quille et vu par la face externe, montrant une partie du test. Butovitz. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Les anneaux obstrucieurs ang mentent graduellement vers le bas, où ils finissent par se rejoindre. Dans les loges, on voit le dépôt orga- nique, sous des formes très irrégulières, mais constam- ment beaucoup plus développé à gauche qu'à droite. Le reste des cavités des loges et du siphon est rempli par le calcaire spathique, plus ou moins pur. Dans | la seconde loge à partir du haut, un vide interne est | rempli par le calcaire compacte, Au droit de la cloi- son la plus élevée, on voit une brisure transverse, qui a été occupée par du spath blanc. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer les ornemens. id. seclion horizontale du même fragment, pour mon- irer la saillie des filets longitudinaux. 10. 11. 12. 13. 14. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras memor. Bar. . . . . . _E Spécimen vu par la face externe, dépouillée du test et représentant une série de loges aériennes, d'inégale hauteur. Viskoëtlka. : « id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Les anneaux obstructeurs sont très développés au droit des goulots, sans obstruer complètement le canal. A l'exception de la loge située à chaque extrémité, on voit le dépôt organique dans les loges intermédiaires. Mais il n'existe que dans la partie à droite du siphon et il ne recouvre que la paroi concave des cloisons. Tout le reste des cavités des loges aériennes est rempli par le dépôt chimique, qui est du spath calcaire plus ou moins pur. L'inté- rieur du siphon a été partiellement injecté, vers les deux bouts, par le calcaire compacte, noir. Puis. les vides ont été remplis par le dépôt chimique, blanc. id. section transverse, sensiblement elliptique, montrant la position excentrique du siphon et l'étendue relative des divers dépôts. Le siphon est situé sur le pe- tit axe. Orthoceras sub-annulare. Münst. .E voir PL 210—212—253—283—323 392 399% Fragment vu par la face externe, conservant une partie de son test. Karlstein. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le si- phon bien conservés. Les anneaux obsiructeurs, au droit des goulots, sont peu développés. Le dépôt or- ganique se présente sous des formes très irrégulières, dans les diverses loges aériennes. Il est plus déve- loppé à droite qu'a gauche du siphon. Sur sa surface, à droite, on voit une petite quantité de calcaire com- pacte, noir, qui paraît également dans le siphon. sur la paroi correspondante et qui indique le plan de gisement du fossile. Le reste des cavités des loges et du siphon est rempli de spalh calcaire plus ou moins pur, con- stituant un dépôt chimique. Il reste un vide dans les deux loges les plus élevées. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon et l'élendue relative des divers dépôts. id. fragment du test, fortement grossi. montrant les ornemens. | PL 259 rar CU TD =) Lemerci Enp. Humbert hth.. PL Fig. EXPLICATION Etage. Orthoceras Jovellani. Vern. Fragment un peu arqué. Moule interne, dont la surface est décomposée par les intempéries et montre une sé- rie de loges aériennes. Sabero, en Espagne, dans 'le terrain Dévonien. " id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées, ainsi que le siphon. Dans l’intérieur de celui-ci, on voit un dépôt organique, sous la forme de lamelles rayonnantes. Ce dépôt remplit toute la cavité du siphon vers le petit bout, mais il diminue graduellement d'épaisseur, en allant vers le gros bout, où on reconnaît un canal irrégulier, restant au centre et rempli par du spath calcaire. Les cavités des loges aériennes sont occupées par des dépôts de calcaire cristallin, de diverses nuances, et en couches ré- gulières. id. section transverse, sub-triangulaire dans son en- semble, montrant Ja position du siphon et l'apparence des lamelles rayonnantes dans son intérieur. Orthoceras FMarchisoni. Barr. . . .E voir PI. 303— 310—316—320—321 —331—408. Fragment vu par la face externe, montrant une série de loges aériennes et un reste du test. Jarov. Section longitudinale, montrant les cloisons bien con- servées, tandisque le siphon est détruit sur le côté interne. On voit, vers l'extrémité de celui-ci, un frag- ment d'orthocère adventice. Les loges aériennes sont remplies par deux dépôts chimiques, successifs, de calcaire spathique, de nuances différentes. La couche la plus ancienne de ce dépôt, enveloppant chacune des cloisons, se distingue par sa couleur foncée et elle contourne le goulot. Ce fait montre que l'enveloppe siphonale était déjà détruite, lorsque ce premiér dépôt chimique a eu lieu. Nous n’apercevons dans ce fos- sile aucune trace de dépôt organique. Section transverse, montrant l'étendue relative des dé- pôts chimiques et de la roche compacte, noire, qui a pénétré dans quelques parties. DES FIGURES. Fig. 10. 12. 13. ke c Etage. Orthoceras splendiduamn. Bar. . . .E Spécimen vu par la face externe, la plus large, et mon- trant une série de loges aériennes, en partie recouver- tes par le test. A l'extrémité inférieure, le remplis- sage spathique de la dernière loge aérienne s’est di- visé suivant la surface de moindre résistance et l’on voit le siphon saillant, avec le cône tronqué qui l’en- veloppe. Butovitz. e 2. id. section longitudinale, suivant le plus pelit axe de la section transverse. Les cloisons et le siphon sont très bien conservés. La vase noire a pénétré dans quelques loges aériennes et dans une partie du siphon. Tout le reste est rempli par le spath calcaire blanc. Il n'y à aucune trace de dépôt organique, ni dans les chambres, ni dans le siphon. Les traces des surfaces de moindre résistance sont très apparentes, dans di- verses parlies de la section. La position du calcaire noir dans le siphon indique le plan de gisement du fossile, sur sa grande face à gauche. id. extrémité inférieure, montrant un fragment de la cloison terminale, tandisque tout le reste de la figure représente la surface de moindre résistance, entre les deux dernières eloisons. Le siphon est en saillie, avec le cône tronqué qui l'entoure. id. fragment du test, fortement grossi. montrant ses or- nemens, très caractéristiques. . CA tr 12 Orthoceras éxplanans ? Patti voir Pl. 3—826—388. 324€ Fragment vu par le côté externe, montrant une série de loges aériennes et une partie du test. Dauha Hora. id. section longitudinale, montrant, vers le bas, trois cloisons qui persistent, avec deux élémens du siphon. Dans iout le reste de la cavité, les cloisons ont été brisées, et l’on voit leurs débris dans le spath calcaire, qui forme le remplissage chimique. Une partie de calcaire compacte, noirâtre, se montre vers le gros bout. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. .E J. Barrande Syst. Silur de Bohème Vol. Il. Humbert hih. Imp Lemercierr.de Seine 57 Paris. PI. 3. EXPLICATION Etage. Orthoceras Stokesi. Barr. . . . . . .E voir PI. 257—261. Spécimen vu par la face externe, dépouillée du test et montrant une série de loges aériennes. Dvorelx. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Dans celui-ci, les anneaux ob- structeurs sont trés développés à droite, et beaucoup moins à gauche. Le vide interne du siphon est rempli partiellement par du spath calcaire impur et par une injection de vase noire. Cette vase, répandue unifor- mément sur la partie la plus développée des anneaux, montre que ce côté de l’orthocère était immédiatement placé sur le plan de gisement. Dans les loges aéri- ennes, il n'existe pas de dépôt organique. Elles sonl remplies par du spath calcaire impur, laissant quelques vides, dans lesquels la roche noire a pénétré. id. section transverse, notablement elliptique et mon- trant la position excentrique du siphon, sur le pelit axe. | Orthoceras 7'ade. Barr. . . . . . . .E Spécimen vu par Ja face externe, dépouillée du test et montrant une série de loges aériennes. Bulovilz. id. section longitudinale, montrant les cloisons conser- vées en partie, tandisque le siphon a presque totale- ment disparu. Les anneaux obsiructeurs, bien déve- loppés, persistent au droit des 3 goulots inférieurs. Les loges aériennes sont remplies, en partie, par le cal- caire compacte et, en partie, par un dépôt cristallin. On ne voit pas de dépôt organique sur les cloisons. id. section transverse, montrant la position du siphon, dans le voisinage de l'axe. DES FIGURES. Fig. 11. 12. 13. 14. Etage. Orthoceras Saturni. Bar. . 4 col voir PI. 264. Spécimen vu par la face externe, recouverte par son test. Hinter-Kopanina. e 2. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. On voit, au droit des goulots, des anneaux obstructeurs peu développés. Tout le reste de la cavité du siphon et des loges aériennes a été rempli par un dépôt calcaire, dont les cristaux sont plus apparens sur la zône occupant le milieu de la distance entre deux cloisons. id. section transverse, montrant la position du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, montrant ses ornemens. Orthoceras Apollo. Bar. . . . . . .E voir PI. 262?—327. Spécimen vu par la face externe, montrant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, en partie recouvertes par le test. Tachlovitz. id.section longitudinale, montrant les cloisons et le si phon conservés presque totalement, sous la base de grande chambre. Celle-ci et le siphon sont remplis par la roche compacte noire, qui parait à peine dans les loges aériennes, dont les cavités sont occupées par le calcaire spathique, plus ou moins pur. On remar- quera l'obliquité du siphon, par rapport à l'axe de Ja coquille. id. section transverse, montrant la position sub-cen- trale du siphon, près de la base de la grande chambre. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer les stries horizontales très fines, entre les filets longi- tudinaux, qui prédominent. É Paris 57 rrde Seine rcIer Imp Leme Humbert lith PL. Fig. 296. Orthoceras Curvieri Bar. . . .. Spécimen représentant une longue série de loges aéri- ennes. Section longitudinale par le plan médian, mon- frant les cloisons généralement bien conservées, ainsi que le siphon. Dans l'intérieur de celui-ci, on voit un dépôt organique, sous la forme d’un anneau. ob- structeur, au droit des goulots, et augmentant gradu- ellement en volume vers le bas. Deux fragments ad- ventices d'Orthocères ont pénétré profondément dans cet organe. Le dépôt organique se montre dans une série de loges aériennes, vers le petit bout et il décroit successivement en remontant. Lochkov. N. B. On remarquera que l’excentricilé du siphon est plus marquée vers la pointe des spécimens que vers le gros bout; fig. 1—4. id. 4 éléments du siphon grossis, pour montrer l'appa- rence du dépôt organique, vers le petit bout du spé- cimen. id. 3 autres éléments du siphon grossis et pris dans la partie où le dépôt organique n'existe pas. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloisons en partie conservées et en partie détruites, ainsi que le siphon. Celui-ci présente, dans sa partie inférieure, des anneaux obstructeurs, moins développés que dans le spécimen précédent. Il n'existe aucun dépôt organique dans les loges aériennes. Konieprus. EXPLICATION DES Fig. FIGURES. Etage. id. vu par l'extérieur, montrant la trace des cloisons. A cause du défaut d'espace, le bout inférieur du spé- cimen a été supprimé. Il reste sur la surface quel- ques fragments du test. id. section horizontale, orientée comme la fig. 4 et montrant la position légérement excentrique du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, montrant ses stries longitudinales, qui sont invisibles à l'oeil nû. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de cloisons bien conservées, ainsi que les élé- ments correspondants du siphon. La forme un peu allongée de ces éléments indique le voisinage de la grande chambre, comme dans la partie supérieure de la fig. 1. Il n'existe aucune trace du dépôt organique dans toute cette région. Le calcaire compacte, noir, a pénétré dans toute la longueur du siphon, où il forme une couche indiquant la position du plan de gisement. Tout le reste des cavités internes est rempli par le spath calcaire, blanc. Konieprus. yst.Silur de Boheme. VolIT & D JBarrande Imp Lemercierr de Seine sy Paris Humbert th Fig. 3. Orthoceras Srokesi. Barr. . . . . voir PI. 255—261. Spécimen vu par la face externe, conservant une partie du test. Dvorelx. id. vu par le côté interne, présentant une section lon- gitudinale, produite par la décomposition naturelle de la roche. On voit la trace des cloisons et les éléments du siphon, dont le diamètre diminue sensiblement de bas en haut. id. section transverse, prise vers le bas du spécimen et montrant son état de conservation. id. fragment du test, fortement grossi, afin de montrer ses ornements. Ceux de la lamelle externe sont repré- sentés par la partie supérieure de cette figure. La partie inférieure expose l'apparence de l’ornementation différente, sur la lamelle interne du test. Nous ferons remarquer, que la disposition des filets longitudinaux n’est pas toujours aussi régulière que celle qui est figurée. Voir PI. 261, fig. 7, un autre fragment du test, pris sur un autre spécimen. Orthoceras Billingsi. Barr... . . . .E voir PI. 211—263. Spécimen vu par la face externe, montrant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, dépouillées de leur test. Butovitz. id. section longitudinale, montrant seulement une partie du spécimen, dont les cloisons sont en grande partie brisées. Les éléments du siphon ont disparu, mais on voit encore quelques goulots intacts et on reconnaît les anneaux obstructeurs, au droit des deux cloisons inférieures. Dans l’espace qui correspond aux cloisons brisées, des fossiles divers se trouvent mêlés à des fragments d'Orthocères, dans le remplissage inor- ganique. id. section transverse, orientée comme la fig. 5, el montrant la position centrale du siphon. Fig. 10. 11. 12. 13. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras erosuwan. Barr... . . . . .D voir PI. 413. Moule interne. Spécimen de grandeur naturelle, repré- sentant deux loges aériennes. Koenigshof. . id. grossi, afin de montrer l'érosion horizontale, qui correspond à la suture des cloisons. sur le moule interne. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant la section transverse, la position centrale du siphon et la surface plissée qui correspond à l'érosion. Orthoceras pauper. Barr... .F Spécimen dépouillé du test. Il paraît représenter une partie de la grande chambre, dans laquelle a penétré un autre orthocère. Konieprus. Autre spécimen qui semble composé d’une série de lo- ges aériennes, recouvertes par leur test. La trace des cloisons est complétement invisible. Konieprus. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment grossi, afin de montrer la forme des ‘än- neaux, figurant l'imbrication directe. Vol.[E. CME A ur de Boh @ ù J.Barrande. Syst. D ge Imp.Lemercierr de Seine 57 Paris. Humbert hih, 2 er A 2. 3. « 10. 11. 12. Etage. Orthoceras Br'onrni. Bar. . . . . .E Spécimen représentant la grande chambre dépouillée de son test, mais conservant la trace des ornements sur le moule interne. Le bord de l’ouverture paraît intact. Kozorz. id. cloison terminale, vue par le côté convexe. Elle est orientée comme la fig. 1 et montre la position ex- centrique du siphon, durant l’âge adulte. Autre spécimen un peu arqué, montrant la base de la grande chanibre et la plus grande partie des loges aéri- ennes, recouvertes par leur lest. Koxorïz. id. cloison terminale, montrant la position presque cen- trale du siphon, dans le jeune âge. id. fragment pris vers la partie inférieure et grossi, afin de montrer les anneaux et la disposition générale des ornements du test. id. fragment du test, plus fortement grossi el pris vers la grande chambre, afin de montrer les principaux or- nements, savoir: les filets longitudinaux, les stries longitudinales au fond des rainures et les stries creuses ou incisions transverses. id. fragment du test, plus fortement grossi, montrant les stries longitudinales et les stries fines transverses, occupant le fond de chaque rainure. entre deux filets longitudinaux. : Autre spécimen. Section longitudinale montrant la base de la grande chambre et une longue série de cloisons bien conservées. Le siphon, détruit dans la partie moyenne, s’est maintenu dans les deux parties extrê- mes. On voit que son excentricité va en croissant de bas en haut. On aperçoit une faible trace du dépôt organique dans les goulots, mais on reconnaît aisément ce dépôt dans quelques loges aériennes, vers le bas du fossile, dans la partie à droite du siphon. Le rem- plissage de ces loges consiste en spath calcaire blanc, tandisque le calcaire compacte, noir, occupe la base de la grande chambre et pénètre dans le haut du siphon. Koxorx. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. On voit un rudiment de dépôt organique, au droit des goulots. Orthoceras Æarmbherti. Barr. . . . .E Spécimen montrant la plus grande partie de la grande chambre, une série de loges aériennes et quelques fragments du test. On voit, sur le moule interne, les rainures irrégulières, horizontales et interrompues, qui distinguent cette espèce. Karlstein. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par la face convexe. Elle est orientée comme la fig. 10 et montre la position excentrique du siphon. Autre spécimen, montrant une partie de la grande cham- bre et quelques loges aériennes, avec un fragment du test. On reconnait, sur le moule interne, les mêmes rainures transverses, discontinues, que dans le spé- cimen précédent.Karlstein. 14. 18. 19. 20. 21. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre spécimen, montrant la base de la grande chambre, une longue série de loges aériennes el une partie du test. Le moule interne porte la trace des rainures ir- régulières comme dans les 2 spécimens qui précédent. Karlstein. id. section longitudinale. Presque toutes les cloisons sont brisées et on reconnaît leurs fragments dans l'in térieur du fossile. Quelques éléments du siphon se sont maintenus en place, vers l'extrémité inférieure, entre 2 cloisons persistantes, tandisque les cloisons intermédiaires ont disparu. Nous n'observons aucune trace de dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Le remplissage de celles-ci con- siste en spath calcaire, blanc. La base de la grande chambre est remplie par le calcaire compacte, noir. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes, vers la pointe de la coquille. Les cloisons sont conservées aussi bien que le siphon, qui paraît central à l’origine. tandisqu'il diverge graduellement de l'axe, vers la grande chambre. id. 3 éléments du siphon. grossis, avec la trace des cloisons. Fragment de la surface du moule interne, grossi et montrant les stries creuses qui, dans cette espèce, ont la direction longitudinale, au lieu d’être dirigées trans- versalement, comme dans tous les auires Naulilides, que nous connaissons. Fragment du test, fortement grossi, montrant les stries d'accroissement extrèment faibles, ainsi que les stries longitudinales, qui ornent la surface. G? Orthoceras evanescens. Barr. . be voir PI. 265—326—361? Spécimen représentant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, recouvertes de leur test. L'’extrémité inférieure montre une courbure acci- dentelle, qu'on ne rencontre pas dans les autres exem- plaires de la même espèce. Butovitz. e 1. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées ainsi que leurs goulots, qui sont très dé- veloppés. Au contraire, tous les éléments du siphon ont disparu. Il n'y a aucune trace du dépôt orga- nique, ni dans cet organe, ni dans les loges aériennes. Le remplissage consiste en spath calcaire, plus ou moins coloré. Le calcaire compacte, noir, a rempl quel- ques vides. id. section transverse, orientée comme la fig. 20 et montrant la position un peu excentrique du siphon. PL258 Vol.IT. heme ] Î J Barrande Syst. Silur. de Bo 4 l = ll (l DD) \ Paris 57. Imp.Lemercier r.de Seine Humbert hth . PL. Fig. a 10. 11. Etage. Orthoceras carcerale. Barr. . . . .E Spécimen représentant une série de loges aériennes, en partie recouvertes par leur test, dont on reconnaît deux lamelles distinctes. Dlauha Hora. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées ainsi que la moitié du siphon, dont la partie inférieure a été détruile. On ne voit aucune trace du dépôt organique. Le remplissage consiste principalement en spath calcaire, blanc, mais le cal- caire compacte, gris, a pénétré dans la partie droite du siphon et des loges aériennes. id. 3 éléments du siphon, grossis. avec la trace des cloisons. id. section transverse, orientée comme la fig. 2 et mon- trant la position excentrique du siphon, ainsi que la saillie des ornemens longitudinaux. id. fragment du test, fortement grossi, afin de montrer tous ses ornements, dans le sens vertical et dans le sens horizontal. Orthoceras 22efèrmeavm. Bar. . .- . .E Spécimen représentant une série de loges aériennes. conservant une partie du test. Dlauha Hora. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées ainsi que le siphon. On voit, au droit des goulots, de faibles anneaux obstructeurs, qui se déve- loppent lentement, en allant vers le bas. Il existe une trace du dépôt organique dans les loges aériennes, vers le petit bout, à gauche du siphon. Le remplissage consiste principalement en spath calcaire de diverses nuances. id. 3 éléments du siphon grossis, avec la trace des cloisons, et l'indication des anneaux obstructeurs. id. section transverse, elliptique, orientée comme la fig. 7 et montrant la position très excentrique du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer les stries fines longitudinales, qui ornent les deux la- melles dont il est composé. Orthoceras éntermitiens. Barr. . .E Fragment conservant son test, de telle sorte qu'on ne distingue aucune lrace des cloisons. Il est vu par la face la plus large, sur laquelle les ornements trans- verses font un léger sinus. Butovitz. id. vu par la face étroite, sur laquelle les ornements transverses forment des lignes obliques. id. fragment du test, fortement grossi, montrant l’appa- rence intermittente des ornements longitudinaux. id. section transverse au petit bout. Elle est orientée comme la fig. 12 et montre la position centrale du siphon. EXPLICATION DES Fig. 15. 16. 22. 23. 24. FIGURES. Etage. Orthoceras FWoodwardi. Barr. . . .F Spécimen représentant une partie de la grande chambre, tronquée vers le haut. Moule interne, conservant quelques fragments du test, dont il reproduit, en par- tie, les ornements. Konieprus. id. fragment du test, grossi, pour montrer tous ses or- nements. La partie inférieure de la figure représente la surface du moule interne, sur laquelle se reprodui- sent quelques ornements longitudinaux. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes, recouvertes par leur test., Konieprus. id. section transverse au pelit bout. Elle est orientée comme la fig. 17 et montre la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, qui présentent quelques variations, par rapport à ceux du spécimen précédent, fig. 16. id. section transverse du test, montrant le relief relatif des ornements longitudinaux. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes, en partie recouvertes par leur test, dont les stries longitudinales sont égales et régulièrement espa- cées. Konieprus. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes, conservant une partie de leur test, contrastant avec celui du spécimen précédent. Konieprus. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées ainsi que le siphon. On voit que cet or= gane, notablement excentrique vers le bas, devient cen- tral à la partie supérieure. Il n'existe aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Tout l'intérieur est rempli de spath calcaire, blanc. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments qui différent de ceux des autres spécimens, fig. 16 et 19; principalement par un plus grand nombre de stries longitudinales et l'absence de stries fines transverses, dans leurs intervalles. Fragment préparé de manière à montrer le siphon en relief et la trace des cloisons. Konieprus. Autre spécimen, dont la partie inférieure, brisée sui- vant une direction longitudinale, montre une série de cloisons avec les éléments correspondants du siphon, en relief. Quelques uns de ces éléments ont conservé leur enveloppe cristalline, bi-conique. Konieprus. N. B. Dans ces deux spécimens, comme dans celui. de la fig. 23, tout l’intérieur de la coquille est rempli de spath calcaire, blanc, EDS Imp.Lemercierr de Seine 57 Paris. VolIE. 6ME JBarrande. Syst Siur de Boh Humbert lith. in TEE Ne PI. 260. Fig. ot 11. 12. 13. Etage. Orthoceras electarm. Barr. . . . . .E voir PI. 327—362. Spécimen adulte, montrant une partie de la grande chambre avec un fragment du test. On voit, au des- sous, la section longitudinale d’une série de loges aériennes, dont les cloisons sont bien conservées. Le siphon central s’est maintenu dans la moitié inférieure, tandisqu'il a disparu dans la moitié supérieure. Il n'y a aucune trace du dépôt organique, ni dans le si- phon, ni dans les loges aériennes de ce spécimen. Le calcaire compacte. noir, a pénétré dans 5 loges aéri- ennes voisines de la grande chambre, tandisque toutes les autres sont remplies par le spath calcaire blane. id. fragment du test, grossi. pour monirer ses orne- ments. Les stries secondaires. longitudinales, sont nom- breuses dans chacun des intervalles entre les filets. | Autre spécimen, montrant le moule de la grande cham- bre avec une partie du bord de l'euverture. La partie inférieure est la section longitudinale d'une série de cloisons. Le siphon subcentral est bien conservé ainsi que les cloisons. Il y a absence de dépôt or- ganique. Les 3 loges inférieures et leur siphon sont | remplis par le calcaire compacte, noir. Tout le reste | est occupé par le spath blanc. Butoritz. id. section transverse, orientée comme la fig. 4 et mon- | trant la position du siphon. | id. fragment de la surface du moule de la grande chambre, grossi, pour montrer les stries creuses, dont | elle est ornée. Autre spécimen, légèrement courbe et vu par la face latérale. Il montre la base de la grande chambre, une | longue série de loges aériennes et une grande partie du test, dont les ornements sont identiques avec ceux de la fig. 2. Butovitz. id. section transverse, orientée comme la, fig. 6 et mon- trant la position un peu excentrique du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de cloisons bien conservées ainsi que le siphon. qui est central sur la majeure partie de la Jongueur et légèrement excentrique vers le petit bout. On voit la trace du dépôt organique dans quelques uns de ses élémens, vers le bas du spécimen, dont tout l'intérieur est rempli par le spath calcaire de diverses nuances impures. Butovilz. id. section transverse près du petit bout, montrant le | siphon subcentral. id. fragment de la surface, grossi, pour montrer l’im- pression des filets longitudinaux et des stries trans- verses, sur la Jlamelle interne du test. Aulre spécimen, représentant la grande chambre, avec une loge aérienne et un fragment du test. Le bord de l'orifice est intact et montre l'échancrure ventrale, ainsi que l'étranglement très distinct, sous l'ouverture. Butovitz. | id. cloison terminale, vue par le côté convexe. Elle montre la forme circulaire de la section et la position | centrale du siphon. | Autre spécimen, représentant une partie de la coquille | voisine de la pointe et dans laquelle les anneaux sont irès-prononcés. Butovitz. 23. 24. 25. 26. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre spécimen, notablement arqué et vu par la face latérale, recouverte par le test. Il représente une par- tie de la grande chambre et une série de loges aéri- ennes. Les anneaux, quoique bien indiqués dans sa partie inférieure, sont moins prononcés que dans le spécimen précédent. Butovilz. Autre spécimen. représentant la grande chambre con- servant son test. Vohrada. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 15. Elle montre la forme circulaire de la section transverse et la position excentrique du siphon. id. fragment du test grossi. Ses ornements se font remarquer par leur forte saillie et par le petit nombre relatif des stries, soit longitudinales, soit transverses. Autre spécimen, représentant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes conservant leur test. Les anneaux sont bien marqués ‘et très rap- prochés. Viskoëilka. id. section transverse, circulaire. montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer l'apparence de ses crnements et la distribution irrégulière de ses stries longitudinales. Aulre spécimen. droit et presque cylindrique, montrant une partie de la grande chambre, quelques loges raéri- ennes et des fragments du test. Lochkow. id. cloison terminale, elliptique, orientée comme la fig. 21 et montrant la position très excentrique du siphon. id. fragment du moule interne, fortement grossi, pour montrer l'apparence qu'il présente au bas de chaque loge aérienne et qui offre quelque analogie avec celle du dépôt organique, PI. 229. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon, en partie bien conservés et, en parlie également détruits. dans deux endroits. Le siphon est excentrique et ses éléments présentent la forme mixle, surtout vers le gros bout. Ce spécimen a subi diverses brisures, qui empêchent de bien juger sa cour- bure. Les ornements de son test sont représentés fig. 2. Il existe un dépôt organique dans quelques loges aériennes, vers le pelit bout, à droite du siphon. Le remplissage du reste de la coquille consiste presque totalement en spath calcaire, blanc. Autre spécimen, représentant la pofnte de la coquille. Les anneaux qui ornent sa surface sont très rappro- chés, ainsi que les filets longitudinaux du test. Dlauha Hora. Autre spécimen, représentant la grande chambre pres- que complète et une série de loges aériennes, expo- sées dans une section longitudinale. Les cloisons sont bien conservées ainsi que le siphon, qui est central au petit bout et qui devient excentrique à l'extrémité supérieure. Il reste une portion du test avec ses or- nements. On n'aperçoit aucune trace du dépôt orga- nique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes, également remplis par le calcaire spathique, blanc. Ta- chlovilz. id. fragment du test grossi, montrant la rareté ou l’ab- sence des stries longitudinales, secondaires et la forte courbure des stries transverses, convexes vers l’ou- verlure. PI.260. Vol A. He JINÉ ê Bohe lur de )1 _. at DAENS & Q . VV J Barrande a LATE) El &r cf AAA D) ll U 57 Panis. Imp.Lemercierr de Seine Humbert lith. F- PI. Fig. EXPLICATION 261. Etage Orthoceras pellucidasm. Bar. . . .E voir PI. 266—400—420. Spécimen un peu arqué, vu par la face latérale. Il montre la base de la grande chambre, une longue sé- rie de loges aériennes el une partie du test. Il est orné de bandes longitudinales, de couleur blanche. contrastant avec la couleur brune de la coquille. Ces bandes se voient par transparence, dans l'intérieur. surtout quand la surface est mouillée. Koxorz. id. cloison prise dans la brisure. vers le milieu de la longueur. Elle est orientée comme la fig. 1 et montre la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant la disposition des bandes, qui ornent le test, el qui sont de largeur très inégale. Orthoceras Siokesi. Bar. . . . . .E voir PI. 255—257. Spécimen vu par l'extérieur. Il montre le test recou- vrant une série de loges aériennes. La partie supé- rieure de ce morceau a été tronquée, faute d'espace. Dvoretz. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon en parlie conservés et en partie détruits. On reconnaîl, au milieu de la roche, les fragments épars des élémens brisés. Le remplissage interne, composé de calcaire noir. a laissé quelques vides, postérieure- ment remplis par du calcaire spathique blanc, soit dans les loges aériennes, soit dans le siphon. ‘Il n’y a au- cune trace du dépôt organique. id. section transverse, montrant la position un peu ex- centrique du siphon. id. fragment du test grossi, pour montrer ses ornements. Leur apparence est un peu différente de celle qui a été figurée, d'aprés un autre spécimen, PI. 257. DES Fig. 10. 11. 12. 13. FIGURES. Etage. Orthoceras peclènaïam. Bar. . . -E voir Pl:275. Spécimen représentant la grande chambre isolée. Il montre le bord de l'ouverture et les impressions très faibles des ornements, sur le moule interne. Butovitz. id. cloison terminale, vue par la face convexe. Elle est orientée comme la fig. 8 et montre la position un peu excentrique du siphon. Auire spécimen un peu arqué et vu par la face laté- rale. Il représente une série de loges aériennes, con- servant une partie du test, à travers lequel on distin- gue les sutures des cloisons. Butovitz. id. cloison vue par la face convexe. Elle est orientée comme la fig. 10 et montre la position excentrique du siphon, vers l'extrémité inférieure. id. partie inférieure du même spécimen, vue par le côté concave et montrant la ligne normale, tracée sur la surface du moule interne. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements. Orthoceras carminatunn. Bar. . .E Spécimen vu par la face latérale, représentant la base de la grande chambre, une série de loges aériennes et quelques fragments du test. Ratinka, près Béraun. id. fragment vu par la face où se trouve la ligne normale. id. cloison terminale vue par la face convexe et mon- irant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements et leur impression affaiblie sur le moule interne, représenté par la partie inférieure de cette. figure. RPDGIE J'Barrande Syst dilur de Boheme Vol IL. Imp.Lemercierr de Seme 57 Paris Humbert lith. PL Fig. 10. 11. 12. 13. 14. EXPLICATION Orthoceras dispar. Barr. . . . . . .E Spécimen montrant le bord intact de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Butovilz. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par la face convexe et montrant la position subcentrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, €. à d. des stries longitudinales sans stries transverses, mais avec de faibles impressions annulaires. Orthoceras émitator. Barr. . E Spécimen un peu arqué, représentant une série de loges aériennes et conservant une partie du test. Viskocilka. id. section longitudinale, montrant le siphon bien con- servé, ainsi que la majeure partie des cloisons. Le siphon est notablement excentrique au petit bout, tan- disqu'il devient central vers le bout opposé. Il n'y a aucune trace de dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Le remplissage consiste principalement en spath calcaire blanc, mais le calcaire compacte noir a pénétré dans quelques loges, vers le petit bout. . id. section: transverse près du petit bout, montrant l’ex- centricité du siphon. id. fragment du test,, fortement grossi, montrant l’inter- valle entre 2 filets principaux. à gauche, représente les stries creuses, trés-fines, qui ornent la surface du moule interne. @rthoceras Telephus. Barr.. . . . .E Spécimen représentant une série de loges aériennes, | conservant leur test. Vallon de St Procop, près Holin. id. seclion longitudinale, montrant une partie des cloi- sons et du siphon conservés, aux deux extrémités, tandisque, dans la parlie moyenne, ils sont détruits. calcaire blanc, mais le calcaire compacte noir a pé- nétré dans quelques loges aériennes, vers le petit bout, ainsi que dans le siphon. Il n'y a aucune trace du dépôt organique. id. seclion transverse, montrant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, un peu trop réguliers sur la figure. Orthoceras patrons. Barr. . . . .E voir PL 228—275—423—424. Fragment du lest, sur un morceau de roche, avec quel- ques resles de Trilobites. Mnienian. id. grossi, pour montrer la disposilion des siries trans- verses passant par dessus les stries longitudinales, au droit desquelles elles font un petit angle saillant. Orthoceras obsolescens. Barr. . . .F Spécimen vu par la face latérale, un peu aplatie. Il montre la base de la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Il a été préparé de manière à exposer la section longitudinale de quel- ques loges aériennes, dont les cloisons sont partielle- ment conservées, landisque le siphon est détruit. Hinter- Kopanina. DES FIGURES. Fig. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. | 22. La partie inférieure, | | 23. 24. 29. 26. | 27. Le remplissage se compose principalement de spath | 28. 29. 30. 31. 32. 33. 34. Etage. id. vu par l'une des faces étroites. id. cloison prise près de la base de la grande chambre. Elle est orientée comme la fig. 14 et montre la posi- tion un peu excentrique du siphon, vers le bout amai- gri de l’ovale. | Orthoceras equiselum,. Bar. . . . .G voir PI. 319. Spécimen conservant son lest un peu altéré, mais mon- trant les iraces des fissures longitudinales. Ælubocep. id. cloison terminale, montrant la position excentrique du siphon. Sa forme elliptique résulte de la com- pression. Orthoceras evocandasrn. Barr. . . .E Spécimen très incomplet, qui paraît représenter une par- tie de la chambre d'habitation. Sa surface est ornée de siries dans les deux sens. Dvorelx. id. section transverse, sans trace du siphon. id. fragment de la surface, grossi, pour montrer les ornements. Les stries transverses figurent l'imbrication directe; les stries longitudinales sont très-faibles. @Grthoceras veramès. Barr. . . . .E Spécimen vu par la face latérale. Il représente une partie de la grande chambre, conservant son test. Ko- nieprus. id. vu par le côté dorsal, montrant la carène et la convexilé des stries vers l'ouverture. id. vu par le côté ventral, montrant la forme concave des stries. id. section transverse, orientée comme la fig. 22. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements. Autre spécimen, représentant le bord de l'ouverture ayec une partie de la grande chambre, vue par la face latérale et conservant son test. Konieprus. Autre spécimen, appartenant à.la pointe de la coquille. Konieprus. N. B. Dans ces deux derniers fragmens, les ornemens du test sont beaucoup plus prononcés que dans le précédent. Orthoceras pullus. Barr. . . . . . .E Spécimen presque complet, montrant le bord de l’ou- verture, la grande chambre et la partie cloisonnée, privée de sa pointe. Konieprus. id. section transverse. Le siphon est invisible. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Orthoceras Apollo? Barr. . . . voir PI. 255. Spécimen représentant quelques loges aériennes et con- servant son lest. Collines entre Bubovilz et Lodenilz. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Les stries longitudinales sont serrées et il n'existe aucune slrie transverse dans leurs in- tervalles. voir PI. 211—257. Spécimen un peu arqué et vu par la face latérale. I montre la grande chambre, dont l'extrémité supérieure est endommagée, une série de loges aériennes et quel- ques fragments du test. Une section longitudinale, sui- vant le plan médian, expose, dans la partie inférieure, plusieurs loges aériennes, dans lesquelles les cloisons et le siphon sont partiellement conservés. Dans le si- phon, on voit des anneaux obstructeurs, trés dévelop- pés et remplissant sa cavité. Dans les loges aériennes, on reconnait un faible dépôt organique. couvrant les deux surfaces de quelques cloisons. Le reste de leurs cavités est rempli par du spath calcaire, vers l’extré- mité du spécimen. tandisqu'un peu plus haut tout l'in- térieur est occupé par la roche noire, et il ne reste aucune trace de la structure interne de la coquille. Kozorz. id. section transverse, légérement elliptique, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements, consistant en stries longitudinales, sail- lantes. subrégulièrement espacées, mais tres faibles et un peu anguleuses. Orthoceras Sinon. Barr... . . . . . _E voir PI. 322—326. Spécimen vu par la face latérale. Il est un peu arqué et montre le bord de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Butovilz. id. section iransverse à peu près circulaire, prise à peu de distance au dessous de la grande chambre. La position du siphon est invisible. Fig. « 10. RE 12. EXPLICATION DES FIGURES. - Etage. id. fragment de la surface, fortement grossi.. La partie gauche montre le test, dont la superficie est lamelleuse et ornée de stries longitudinales, très faibles. La par- tie droite représente les stries creuses, très fines et irrégulières, qui couvrent la surface du moule interne. Autre spécimen plus fortement arqué, représentant une longue série de loges aériennes. en grande partie re— couvertes par le test. Butovifz. id. cloison prise dans la brisure placée vers le milieu - de la longueur. Elle est orientée comme la fig. 7 et vue par le côté convexe. Elle montre la position ex- centrique du siphon. La forme de cette section dif- fère sensiblement de celle du spécimen précédent, qui correspond à un plus grand diamètre. id. fragment du test, grossi. montrant son apparence lamelleuse et les stries longitudinales très fines, dont il est orné. Orthoceras £è27'0. Bar. . . . . . . . Spécimen dépouillé du test. Il montre la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, sur - lesquelles on voit une ligne saillante. longitudinale, figurant la ligne normale. Droretz. id. section transverse, légèrement elliptique et orientée comme la fig. 10—; sans trace du siphon. id. fragment de la surface, grossi. pour montrer l'appa- rence de la ligne normale et des stries longitudinales très fines, qui font saillie sur le moule interne. Ces stries paraissent résulter du progrès de la décomposi- tion, qui reproduit sur le moule les ornements du test. ——— JBarrande Syst. Silur. de Boheme Vol Il. FER ka Sn: è N f À : + 4 j Sn Imp.Lemercier rue de Seine 57 Paris Humbertlith A 4 en PL 264. Fig. ot a Etage. + (D col. Spécimen vu par la face latérale et montrant une cour- bure prononcée vers la pointe. La grande chambre conserve le bord intact de l'ouverture et une partie du test. La série des loges aériennes est presque com- pléte, sauf le petit bout, qui manque, Le test, qui la recouvre parliellement, offre une surface lamelleuse. Hinter-Kopanina. e 2. id. vu par le côté concave. On reconnait, sur le moule de la grande chambre, l'étranglement habituel, un peu au dessous du bord de l'orifice et les sutures rappro- chées des cloisons. id. contour de l'ouverture vu par le haut et orienté comme la fig. 2, pour montrer sa forme elliptique très prononcée, sans compression apparente. id. cloison prise sur la ligne a—b, vers le milieu de la longueur du spécimen. Elle est orientée comme la fig. 1 et monire la position excentrique du siphon, re- jeté vers le bord convexe du fossile. La forme de cette section est faiblement elliptique. id. fragment du test, grossi. Il est pris sur la grande chambre, et montre l'apparence lamelleuse de la su- perficie, qui est couverte de cavités irrégulièrement disposées, en séries longitudinales, tortueuses. id. Autre fragment du test, grossi. Il est pris vers la pointe du spécimen, où les lamelles sont moins apparentes, tandisque la surface présente des stries longitudinales, entre lesquelles on voit les petites ca- vités, disposées sans ordre distinct. Autre spécimen, vu par la face latérale et montrant une courbure prononcée. Il représente une série de loges aériennes, conservant une parlie du test, sur le- quel les stries longitudinales sont visibles à l'oeil nu. Hinter-Kopanina. Orthoceras Saturni. Barr. voir PI. 255. Fig. 10. 11. 12. 13. 14. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section transverse, contrastant par sa forme cireu- laire avec la section elliptique des autres spécimens. Elle est orientée comme la fig. 7 et indique la posi- tion excentrique du siphon, vers le bord convexe. id. fragment du test, grossi, montrant les sitries longi- tudinales prononcées, entre lesquelles se trouvent les scrobicules, sans ordre apparent. Autre spécimen, vu par la face latérale et sensiblement arqué. Il montre la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Colonie Krejci, près Gross-Kuchel. d 5. N. B. Ce spécimen est le premier que nous avons recueilli, dès 1841. Les autres n’ont été trouvés que durant l'année 1857 et les années suivantes, dans la bande e 2, en diverses localités. id. cloison terminale de la grande chambre, orientée comme la fig. 10 et montrant la position excentrique du siphon, plus rapproché du côté concave que du côté convexe, ce qui est l'opposé de ce qu'on observe dans tous les autres spécimens connus. C’est l'effet de la courbure contrastante dans le spécimen colonial: id. fragment du test, grossi, montrant sa surface lamel-— leuse, avec des stries longitudinales, très-rapprochées, entre lesquelles se trouve une seule série de scrobi- cules. Cette apparence n'a été observée que sur cet exemplaire. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes, dépouillées du test. Il montre l’obliquité pro- noncée de la suture des cloisons. Hinter-Kopanina. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 13 et mon- trant la position excentrique du siphon, rejeté vers le bord convexe. Les figures 13 et 14 conirastent avec les figures 10 et 11, sous le rapport de la courbure et de la po- sition relative du siphon. JL Barrande. Svst. Sur de Bohème or Il PL264 Slaalsdruckeret. PL 265. Fig. ot 10. SD N © Etage. Orthoceras evanescens. Bar. . Et voir PI. 258—326—361. Spécimen légèrement arqué et vu par la face latérale. Le test, qui le recouvre complétement, ne permet de re- connaître aucune des divisions de la coquille. Loch- kov. e 2. Section transverse, sans aucune trace du siphon. Autre spécimen, montrant la même apparence du test, ce. à d., de faibles stries longitudinales, croisées par des stries transverses peu prononcées. Cette apparence ne doit pas être confondue avec celle de Orth. pellu- cidum, PI. 266, qui présente des bandes longitudinales, de deux couleurs alternantes, brune et blanche. Koxel. id. cloison supérieure, montrant la position subcentrale du siphon. Orthoceras littorale. Barr. . . . . .E voir PI. 402. Var. de 0. gonatum. Barr. PI. 346. Spécimen représentant la grande chambre isolée et con- servant une partie du test. Le bord de l'orifice est endommagé. Butovitz. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen. Grande chambre isolée, conservant le bord de l’orifice et quelques fragments du test. Koxel. id. cloison terminale, montrant le siphon central. Autre spécimen, un peu arqué. Chambre d'habitation isolée, plus alongée que les précédentes et montrant des étranglements moins prononcés, très peu apparens sur la surface du test, en partie conservé. Koxel. Autre spécimen, recliligne. Grande chambre plus courte | que la précédente et montrant le bord de l'ouverture, ainsi que des fragments du test. Koxel. Fig. 11. 12. 13. 16. 17. 18. 19. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. cloison terminale, montrant le siphon central. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements. L'intensité des stries longitudinales est trop prononcée sur cette figure. Sur une bande longitudinale, il existe une série de fortes stries, lransverses et creuses. Cette bande ne se voit pas sur les autres spécimens, qui offrent, d’ailleurs, les mêmes ornemens , dans les deux sans, lorsqu'ils conservent la lamelle externe. Orthoceras subtile. Barr. .E Spécimen montrant la grande chambre, dont le bord supérieur est endommagé, une série de loges aérien- nes et un fragment du test. On voit une faible carène sur la ligne médiane de la partie cloisonnée. Hinter- Kopanina. id. section transverse circulaire; sans trace du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements, très caractéristiques. Orthoceras sericatlum,. Barr. . . . .E voir PI. 400 —402. Spécimen représentant une série de loges aériennes, recouverles par le test, à travers lequel on aperçoit la suture de quelques cloisons. Lochkov. Autre spécimen, représentant une partie de la grande chambre et quelques loges aériennes, conservant une portion du test. Koxzorx. id. cloison terminale, sub-cireulaire, montrant la posi- tion centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments. Dans la nature, les stries paraissent relative- ment plus déliées, dans les deux sens, transverse et longitudinal. VoLIE. éme. fl ilur.de Bol D PL265. ed.i.d.k.k.Hof u.Staatsdruckerei. o = Lithu J. Barrande Syst. LL Mie .u.lith -0e7 Heinr, Becker n.d.Nat PL. 266. Fig. Etage. Orthoceras ponderosum. Bar... . .E voir Pl. 274: Spécimen notablement arqué, et vu par la face latérale. Il représente une série de loges aériennes, conservant quelques fragments du test. Les sutures des cloisons sont festonnées, par l'effet des côtes longitudinales. Vohrada. N. B. Celte espèce pourrait Cyrtoceras, si la courbure se d’autres individus. Ceux qui seuls, à notre connaissance. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 1 et mon- trant la position excenirique du siphon. Le contour polygonal dérive de la saillie des côtes. ètre rangée parmi les montrait constante sur sont figurés sont les Orthoceras princeps. Bar. . .E voir PI. 392. Spécimen représentant la grande chambre et une série de loges aériennes. Le bord de l'orifice est en partie intact et on reconnaît, au dessous, l’étranglement ha- bituel. Le test, fort épais et lamelleux, couvre plus de la moitié de la surface exposée. Vohrada. id. section transverse, dont le contour est polygonal, par l'effet des côtes longitudinales. Le siphon est in- visible. [ G? @rthoceras spectanduan. Bar. . \E Spécimen d'âge moyen, vu par la face latérale. Il est notablement arqué et montre la grande chambre com- pléte, une série de loges aériennes et des fragments | du test. Konieprus. e 2. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 5 et mon- trant la position excentrique du siphon. Autre spécimen, presque rectiligne et complétement re- couvert par son test, qui cache toutes les divisions de la coquille. Hinter-Kopanina. e 2. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 7 et mon- trant la position excentrique du siphon. Les filets lon- gitudinaux donnent au contour une apparence poly- gonale. EXPLICATION DES Fig. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. | 18. 19. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer FIGURES. Etage. ses ornements. La partie inférieure de la figure expose la surface lisse du moule interne. id. section horizontale du test, pour montrer la saillie des filets longitudinaux, aussi bien sur le moule in- terne que sur le test. Autre spécimen presque droit. Section longitudinale, montrant le siphon presque entièrement conservé, dans toute sa longueur, tandisque la partie médiane de toutes les cloisons a été détruite. Il n'y a aucune trace de dépôt organique. Hinter-Kopanina. e 2. | id. 3 éléments du siphon, grossis, pour montrer leur forme mixte, c. à d., enflée d'un côté et presque rec- üligne sur le bord opposé. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il est légè- rement arqué el représente une série de loges aérien- nes, recouverles par le test. Les ornements longitu- dinaux sont très-rapprochés. Hinter-Kopanina. e 2. ) id. section longitudinale, montrant les cloisons et le = siphon bien conservés. Les cloisons sont plus espa= cées que dans les autres spécimens. Le dépôt orga= nique est à peine indiqué, au droit de quelques gou- lois, et on n'en voit aucune trace dans les loges aéri- ennes. É 4 L ë L- F id. cloison terminale, orientée comme la fig. 14 et montrant la position excentrique du siphon. id. fragment du test fortement grossi, pour montrer ses ornements, relativement plus serrés que sur la fig. 9. id. section horizontale du test, montrant la saillie de ses ornements longitudinaux, très-rapprochés. Orthoceras pellucidum. Barr. . Var. contrahens. Bar. - voir PI. 261—400—420. Spécimen représentant une série de loges aériennes, en parlie recouvertes par le test. Les lignes longitudi- … nales, tracées sur la surface, sont alternativement de # couleur blanche et brune, sans aucun relief. Elles sont. beaucoup moins larges que celles des exemplaires Fr: ‘à 2 sur UE autres HAnpREE sites Butovitz. e 1. tal + est indiqué sur les autres planches. JBarrande. Syst. Silur. de Bohème VolIE. icinr. Becker nd.Nat. seaulith Wien. Lith.u. sed à. &kk.Hof x. Staatsdruckerer. PL Fig. 11. 267. Etage. Orthoceras originale. Bar... (D col Spécimen adulte, notablement arqué. Il représente la grande chambre incomplète et une série de loges aéri- ennes. Le test, partiellement conservé, montre les la- melles dont il est composé, à l'exception de la lamelle externe, qui manque. On voit aussi l'empreinte de ses ornements, sur le moule interne de la grande chambre. Karlstein. id. cloison terminale de la grande chambre, orientée comme la fig. 1 et montrant la position sub-centrale du siphon. Autre spécimen, moins développé, mais presque complet. Le bord de l’orifice est endommagé. On distingue la limite de la grande chambre, une série de loges aéri- ennes et une grande partie du test, qui a perdu ses lamelles extérieures. Il ne reste que la lamelle interne. Hinter-Kopanina. id. cloison terminale de la grande chambre, orientée comme la fig. 3, et montrant la position sub-centrale du siphon. Autre spécimen, presque adulte. rectiligne, et entiè- rement recouvert par son test. Le bord de lori- fice est endommagé. On distingue les lamelles exter- nes du test, en partie conservées, vers les deux extré- mités du fossile, tandisque la lamelle interne se voit seule dans la partie médiane. Lochkov. Auire spécimen, adulte, presque rectiligne. Il repré- sente une série de loges aériennes, dépouillées du test, mais conservant sur le moule la trace des ornements longitudinaux. Cet individu se fait remarquer par son angle apicial très ouvert. Lochkov. Jeune spécimen, rectiligne, montrant la base de la grande chambre et presque toute la partie cloisonnée, recou- verte par la lamelle interne du test. Karlstein. Autre spécimen. Section loggitudinale, montrant la base de la grande chambre, quelques loges aériennes et quelques éléments du siphon, qui est notablement ex- centrique. Koxorz. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de cloisons. Le siphon bien conservé est excen- trique vers le petit bout et se rapproche de l'axe vers le gros bout. Lochkov. id. deux éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. Le goulot est notablement alongé et étroit, dans cette espèce. Fragment appartenant à la grande chambre d’un adulte. I] montre la lamelle externe du test, ornée de stries obliques. Dans la lacune, à la partie supérieure, on voit la lamelle interne, avec la trace des bandes lon- gitudinales. Karlstein. 14. 15. 16. 17. 18. 20. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre fragment, représentant les mêmes éléments du. test, encore plus prononcés. Karlstein. Fragment du test grossi, d’après la fig. 1. La lamelle externe manque. La surface de la lamelle moyenne, occupant le haut de la figure, est lisse, ainsi que celle de la lamelle interne, figurée dans la moitié inférieure. id. section horizontale du test, montrant les trois cou- ches dont il est composé. La couche intermédiaire peut n'être que le remplissage spathique entre les la- melles interne et externe. Fragment du test pris sur la figure 11 et grossi, pour montrer les stries obliques et arquées, mais encore faibles, qui ornent la lamelle externe de ce spécimen et sont croisées par des stries fines, longitudinales. Fragment du test pris sur le spécimen, fig. 12, et grossi, pour montrer les stries obliques inégales, mais très prononcées, qui ornent sa lamelle externe. Leur apparence écailleuse n'est pas suffisamment indiquée. Cette figure montre aussi les stries longitudinales, tra- cées sur la surface, mais loujours faibles. id. section transverse, montrant les trois couches du test et l'imbrication des bandes longitudinales dont il est composé. La bande de gauche tend à recouvrir celle qui lui est contigue vers la droite. Fragment de la lamelle interne du test, grossi, pour montrer les stries obliques qui ornent sa surface, On remarquera que la direction de ces siries contraste avec celle des stries de la lamelle exierne fig. 15 —16, par- ceque ce fragment a été pris sur un autre individu, non figuré et vu par le côté opposé. id. section transverse du test, montrant la saillie des filets tracés sur la surface de la lamelle interne. Autre spécimen, conservant la plus grande partie de son test. La bande longitudinale, qui occupe le milieu de la figure, est ornée de stries transverses, arquées, et elle est un peu plus large que les autres bandes. Karlstein. N. B. Nous n'avons observé aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aéri- ennes de cette espèce, dont nous avons fait scier de nombreux spécimens, pour chercher le siphon, rare- ment conservé. Le remplissage in organique consiste en calcaire spathique, plus ou moins impur, dans les loges aériennes et en calcaire compacte, dans la grande chambre. oran ca COR UC RTS + a then eh Clio hcittisss cité she nues sa ioitméridhn de co ii: PI26 Barrande. SystSilur de Bohême Vol Il 2L erei. d.i.d.k.k. Hof-n.Staatsdruck ill de ë Il uw Uth. Wie ge leinr. Becker 14. Nat PL a 10. aie 12. 13. 14. 15. 16. 17. EXPLICATION 268. Etage. | Orthoceras amhigena. Barr. . . - .E Spécimen représentant une série de loges aériennes, recouvertes par le test. On aperçoit, par transparence, les sutures de quelques cloisons, vers la pointe, qui est lisse. Lochkov. Autre spécimen, montrant une série de loges aériennes, presque entièrement dépouillées du test. Koxorx. id. cloison vue par la face convexe et montrant la po- sition centrale du siphon. Autre spécimen, conservant son test, qui devient lisse vers la pointe. Les cloisons sont presque toutes vi- sibles, par la transparence du test. Slivenetz. id. section transverse, cireulaire, sans trace du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant la base de la grande chambre et une série de loges aéri- ennes, dans lesquelles le siphon et les cloisons sont bien conservés. Il n'existe aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aéri- ennes. Le remplissage se compose de spath calcaire blanc, excepté dans la grande chambre, qui est occupée par le calcaire compacte. Dlauha Hora. id. 3 éléments du siphon grossis, avec la trace des cloisons. id. fragment du test, fortement grossi, montrant la dis- position des filets longitudinaux, dont il est orné et leur intercalation successive. Dans la nature, l’inégale épaisseur des filets est plus apparente que sur cette figure et les rainures interjacentes sont un peu moins larges. id. section horizontale du test, montrant la saillie des | filets longitudinaux.s Les rainures interjacentes sont figurées un peu trop larges. Orthoceras dorulites. Barr.. . . . Spécimen montrant une série de loges aériennes, con- servant la majeure partie du test. Koxoïx. Cloison du gros bout, vue par la face convexe et mon- tant le siphon central. Autre spécimen, représentant les mêmes éléments que le précédent. Koxorz. id. cloison terminale avec le siphon central. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont bien conservés. Il n'y a aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aéri- ennes. Toutes celles-ci sont remplies par le spath calcaire blanc. Mais le calcaire. compacte a pénétré dans le haut du siphon. Lochkov. id. 3 éléments du siphon grossis, avec la trace des cloisons. On remarquera l'identité des apparences avec celles de la fig. 7. id. fragment du test, grossi, pour montrer la dispo- sition de ses bandes et leur intercalation successive. Cette figure contraste avec la fig. 8, par les apparences des bandes saillantes et des rainures. id. section horizontale du test, montrant la saillie des bandes longitudinales. .E | DES FIGURES. Fig. Etage. Orthoceras strialo-punctatum. Miünst. .E 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. voir PI. 420. Spécimen représentant la grande chambre, dans la- quelle le bord de l'orifice est un peu endommagé et une série de loges aériennes. Le test, conservé en grande parlie, montre diverses lamelles. Koxorx. Autre spécimen, représentant la grande chambre incom- plète. II montre les diverses lamelles du test. Koxoræz. id. cloison terminale, montrant le siphon central. Autre spécimen, représentant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, recouvertes par leur test. Lochkow. Autre spécimen. Section longitudinale d’une série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont bien conservés et remplis de spath calcaire blanc. Il n’e- xiste aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Lochkow. Fragment du test, fortement grossi, montrant les 3 la- melles dont il est composé, et les cavités, qui ornent la lamelle externe, dans les rainures entre les bandes. id. section horizontale du test, montrant la disposition des trois lamelles superposées. N. B. Le spécimen figuré sur la PI. 420 montre la trace des couleurs du test. Orthoceras éncésumn. Barr. . . . . .G voir PI. 423. Fragment du test, appliqué sur la roche schisteuse. Vavrovitz. g 2. id. fragment de la surface, fortement grossi, pour mon- irer ses ornements. : Orthoceras despectaum. Bar.. . . .E Spécimen entièrement recouvert par le test, qui cache toutes les divisions de la coquille et qui est composé de 2 lamelles. Konieprus. Autre spécimen, représentant les mêmes éléments. Ko- nieprus. . 5 id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements, sur chacune des deux lamelles. id. section horizontale du test, montrant la disposition de ses deux lamelles et la saillie des ornements de leur surface. soi Egg ty Ge 2 hninigere fit mignon TES 7 8. } PLX lur. de Bohème Vol Il. T L de Syst S ar T al ) ) JF Ron) Pr Re 7 SN DER FLO pe es.u.Jith.W ed.i dk kHof uStaatsdruckere. 6 a) Lithu ni 1en, Heinr. Becker n.d.Nat AR N | CE ‘M a # L PL 269. Fig. 11. 12. 13. 14. 15. Etage. Orthoceras doricaum. Bar. . . . . .E Spécimen rectiligne. Il montre le moule interne de la grande chambre, complet, sauf le bord de l’orifice. On voit une série de loges aériennes, recouvertes par le lest, qui se décompose en deux lamelles distinctes. Viskoëilka. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par la face convexe et montrant la position centrale du siphon. id. cloison terminant le petit bout, et montrant le si- phon placé à une faible distance du cenire. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments. La partie supérieure de la figure représente la surface de la Jamelle interne. tandisque la partie in- férieure représente la lamelle externe, avec des orne- mens plus prononcés. id. section horizontale du test, montrant le relief relatif de ses ornements longiludinaux. id. fragment de la surface du moule interne, fortement grossi, pour montrer l'apparence des stries creuses, très fines. dont elle est ornée. Autre spécimen, rectliligne, représentant une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Les filets principaux de la surface de celui-ci sont bien conservés, tandisque tous les ornements secondaires ont disparu. Viskoëilka. id. cloison terminale, montrant le siphon central. Autre spécimen, représentant la grande chambre et une partie du test. Viskocilka. id. section transverse, un peu irrégulière, à cause des brisures éprouvées par le spécimen, obliquement tra- versé par un filon de calcaire spathique. id. fragment de la surface du moule interne, fortement grossi, pour montrer les stries creuses, très-fines, dont elle est ornée. id. fragment du tesi, grossi, montrant ses ornements, parmi lesquels on remarque l'absence des filets longi- tudinaux secondaires, tandisque les stries transverses sont très-prononcées. id. section horizontale du test, montrant la saillie des filets longitudinaux. Autre spécimen, notablement arqué. Il représente une longue série de loges aériennes, conservant une partie du test. Sa surface est faiblement annulée vers la pointe. Il n'existe point de filets secondaires entre les filets principaux, qui ornent son test. Viskocilka. id. cloison terminale, montrant le siphon, qui n’est pas complétement central. EXPLICATION DES Fig. 27. 28. 29. 30. 31. 32. FIGURES. Etage. Autre spécimen, notablement arqué. Il représente une série de loges aériennes, conservant la majeure partie de leur test. Viskocilka. id. cloison terminale, montrant le siphon presque central. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. Les filets longitudinaux, secondaires, sont réduits à 1 ou 2 dans chaque intervalle entre les filets principaux. id. section horizontale du test. montrant la saillie de ses ornements longitudinaux. Auire spécimen. représentant une série de loges aéri- ennes, conservant la majeure partie du test. On di- siingue des anneaux vers la pointe de ce morceau. Viskocilka. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test. grossi. Dans certains intervalles, on voit un seul filet secondaire, tandisque dans d'au tres il n'en existe pas. id. section horizontale. montrant la saillie des orne- ments longitudinaux. Auire spécimen. Grande chambre isolée, conservant quelques fragments du test. Le bord de l'ouverture présente une dilatation insolite du côté gauche. Viskocita. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant la base de la grande chambre et une série de cloisons bien conservées, ainsi que le siphon. On ne voit au- cune trace du dépôt organique. ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Le remplissage consiste en calcaire compacte noir, dans la grande chambre et en spath calcaire blane, dans les loges aériennes. Viskocilka. id. section transverse, montrant comme la fig. 26, qu le siphon est un peu excentrique. ASF Autre spécimen. Grande chambre isolée, montrant le bord de l'ouverture et conservant la majeure partie du test. Hinter-Kopanina. id. fragment du test, grossi, montrant les filets princi- paux et les stries transverses tres fines, qui couvrent les intervalles entre ces derniers, sans aucun filet se- condaire. : id. section horizontale, montrant la saillie des filets. id. cloison terminale, avec le siphon central. id. fragment du moule interne, grossi, montrant les. stries creuses, très fines, qui ornent sa surface. dns CENT DR Et 1 PL 2 RARE ET RE k (ES ei " sdrue taat 5 Lithu.sedx.dk kHof ren. ith. Rud.Schonn n.d.Nat. sen li PL. Fig. Qt Etage. Orthoceras Bacchus. Bar. . . . . .E voir ‘PI. 213-—271. Partie moyenne d’un spécimen, que l'espace n'a pas permis de figurer tout entier. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. La trace des filets longitudinaux, sur le moule interne, tend à s'effacer vers le gros bout. Viskocilka. id. cloison supérieure a—b. réduite de moitié et mon- trant la position centrale du siphon. id. eloison prise dans une brisure suivant la ligne €—d. Elle est vue par la face convexe et montre la position fortement excentrique du siphon. id. fragment du tesl, grossi, montrant les filets longi- tudinaux, soit principaux, soil secondaires, sillonnés par une fente longitudinale. id. section horizontale du l'apparence des ornements adulte. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon partiellement conservés. Le si- phon converge vers l'axe dans les loges les plus éle- vées. Tout le remplissage consiste en calcaire spathique grisâtre. Il n’y a aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Vi- skoëilka. Autre spécimen, préparé, dans sa moitié supérieure, de manière à montrer le siphon en relief et la trace des cloisons. On voit, au contraire, dans la partie inféri- eure, la surface externe du fossile conservant ses or- nements. Le siphon est notablement excentrique. Koxorx. test, montrant le relief et longitudinaux, dans l’âge Fig. 11. 12. 13. 14. 15. 16. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments. La surface des filets est arrondie el leur tracé est ondulé dans le sens de la longueur. Ils sont d'ail leurs plus nombreux que dans les autres spécimens. id. section horizontale, montrant la saillie relative des ornements longitudinaux. 3 id. cloison prise vers le milieu de la longueur et ori- entée comme la fig. 7. Elle est vue par la face con vexe et montre la position fortement excentrique du « siphon. | Autre spécimen, représentant une série de loges aéri= ennes et conservant une. partie du test. Dauha Hora. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 11. Elle est vue par la face convexe et montre la position ex centrique du siphon. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Le remplissage consiste pres- que totalement en calcaire spathique gris; mais le cal- caire compacte noir a pénétré dans la partie supérieure du siphon. Il n'y a aucune trace du dépôt organique. : id. fragment du tesi grossi, pour montrer ses ornements. Entre les filets principaux, il n'existe qu'un ou deux filets secondaires. 4 id. section horizontale du test, montrant la saillie re- lative des ornements longitudinaux. id. fragment du moule interne, fortement grossi, pour. montrer ‘les stries creuses, discontinues et irrégulières, : dont il est orné. ue 2 Lith u sed. d_k.k .Hof x Staatsdruckeret. Fud.Schonn n.d NX alger uith Wien PL 271. Fig. 3. 11. 12. Etage. Orthoceras Bacchus. Bar. . . . . .E voir PI. 213—270. Spécimen représentant la grande chambre et quelques loges aériennes. 11 montre le bord intact de l'ouverture et quelques fragments du test. Le moule interne ne présente aucune trace des filets longitudinaux. Lochkow. id. section transverse prise au petit bout, et sans trace du siphon. id. fragment de la surface du moule interne, grossi, pour montrer les stries creuses, discontinues, dont elle est ornée. Auire spécimen, sensiblement arqué el représentant une série de loges aériennes, conservant une partie de leur test. Hinter-Kopanñina. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 4 et mon- trant Ja position fortement excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements. Les filets secondaires sont nombreux et leur surface est en partie fendue, suivant la longueur. Leurs intervalles sont ornés de stries transverses, trés fines. On distingue, en outre, de larges ondulations horizontales. ou faibles anneaux. id. section horizontale du test, tive des filets longitudinaux. Auire spécimen, un peu arqué. de loges aériennes, dépouillées du test. Bubovilz et Lodenitz. id. cloison terminale,‘ orientée comme la fig. trant la position excentrique du siphon. Auire spécimen, arqué et représentant une série de lo- ges aériennes, voisines de la pointe de la coquille. Il ne conserve que des fragments du test. Les ondulations transverses, ou faibles anneaux, croisent obliquement la direction des sutures des cloisons. Ces sutures sont un peu festonnées. Collines entre Bubovilz et Lodenitz. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 10, et mon- trant la position très-excentrique du siphon. Autre spécimen, rectiligne, représentant une série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. Viskoëilka. id. fragment du lest, grossi, montrant des filets secon- daires très-nombreux et des stries transverses très fines, montrant la saillie rela- Il représente une série Collines entre 8 et mon- EXPLICATION DES Fig. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. FIGURES. 2° Etage. dans leurs intervalles. Les ondulations horizontales sont bien marquées. id. section horizontale du test, montrant la saillie re. lative des ornements longitudinaux. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 12 et mon- tirant la position excentrique du siphon. ; Autre spécimen , rectiligne. représentant une série dé. loges aériennes, complétement recouvertes par le test. Collines entre Bubovitz et Lodenitx. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Les ondulations horizontales étant très— prononcées, ainsi que les filets longitudinaux, la sur= face prend l'aspect d'un grillage. On distingue des” stries transverses. extrêmement fines, entre les me mais elles sont peu visibles sur cette figure. ] id. section horizontale du test, montrant la saillie re" lative des filets longitudinaux. Autre spécimen, représentant une série de loges aérien nes, dont les cloisons et le siphon sont exposés, dans. une brisure longitudinale. Collines entre Bubovitz et Lodenilz. | ‘ id. section siphon. È Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une M série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon. sont bien conservés. On voit des anneaux obstructeurs \ au droit des goulots. Le remplissage consiste en cal=n caire impur de diverses nuances. Collines entre Bu= bovitz et Lodenilz. iransverse au petit bout, sans trace du. voir PI. 266. Spécimen, représentant une série de loges aériennes, … conservant quelques fragments du test. Collines entre Bubovitz et Lodenitz. di. id. cloison terminale, elliptique, réduite dans ses di= mensions. Elle est orientée comme la fig. 22 et mon-” tre la position centrale du siphon. Nous assimilons ce spécimen, malgré quelques différences, à celui qui est figuré sur la PI. 266. il. 2 1 1eNol II oherr Srlur de D CR Tran (e Ib SYST. ed.i.d.k.k.Hof u.Staatsdruckerei. Fr at) Lithu Le) \Rird.Schônn n.d.Nat.ser.w lith.Wien. (CR NL RES le nt CT or DT PL 272. Fig. 0 ] À 2 — | t Î L Etage. Orthoceras Weplunicuan. Barr... - .E voir PL 222—%38?—273--274—401 43840 k| Spécimen rectiligne, montrant le bord intact de l'ouver- | ture, le moule interne de la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. La surface du test est décomposée de manière à montrer les 3 lamelles qui constituent son épaisseur, et qui sont indiquées par a—b—c. Dlauha Hora. id. cloison terminale de !a grande chambre, notablement elliptique et vue par la face convexe. Elle est orientée comme la fig. 1 et montre la position excentrique du siphon. id. fragment du tesl, fortement grossi, pour montrer l'apparence de ses trois lamelles a—b—€. On recon- | naît sur leur surface la trace des ondulations horizon- tales. Les stries longitudinales de la lamelle externe | a sont très serrées et inégales. On n'aperçoit aucune strie transverse dans leurs intervalles, parceque ce fragment sa trouve assez éloigné de la grande chambre. id. section longitudinale du test, montrant la superposi- tion de ses 3 lamelles { à lamelle exlerne, b . . . intermediaire, € . . |. interne. EXPLICATION DES FIGURES. ; Etage. = Auire spécimen, vu par la face externe. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Dlauha Hora. “4 id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Le siphon est également excen- trique, dans toute la longueur de ce spécimen. Il n’exis= te aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon: ni dans les loges aériennes. Le remplissage a eu lieu, en partie par le spath calcaire gris, et en partie par le calcaire compacte de couleur plus foncée. On peut re= marquer que, dans quelques unes des loges envahies par la vase noire, il n'existe pas de couche spathique blanche, sur les parois en contact avec la roche com- pacte, tandisque dans la sixième loge à partir du bas, … les parois sont tapissées par du spath blanc. La vase noire s’est irrégulièrement étendue dans le siphon. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. 4 id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements; consistant en stries longitudinales, inégales, irrégulière ment espacées, sans stries horizontales dans leurs in- tervalles. 4 id. section horizontale du test, montrant le relief de … ses ornements longitudinaux. s. .Barrande. Syst. Silur de Bohème Vol I Heinr Becker nd Nat.ges.u. lith.Wien. Lithu, gedr i.d.k.k HoË un, Staats druckerei, . ' LL . + . 0 ” \ . Um É ER PL 273. Fig. Etage. Orthoceras NWeptunicuan. Barr.. . .E voir PI. 222—238?—272—274—401—438. Spécimen notablement arqué et vu par la face latérale. Il représente la base de la grande chambre et une longue série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. On distingue dans celui-ci les diverses lamelles a—b—c. Cette dernière, ou lamelle interne est lisse et se voit dans la partie supérieure du fossile. Les lettres a—€ ont. été oubliées par le dessinateur. Dlauha Hora. id. cloison terminale, circulaire. Elle est vue par la face convexe et montre le siphon central. id. partie du même spécimen, vue par la face concave. La lamelle interne, lisse, qu’on aperçoit dans une ou- verture du test, montre une carène longitudinale, qui n'a été observée sur aucun autre spécimen de cette espèce. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer les stries longitudinales inégales, qui ornent chacune des deux Jamelles externes, avec une intensité différente. On ne voit aucune strie transverse dans les intervalles. La lamelle externe à est représentée dans la moitié supé- rieure de cette figure; la lamelle intermédiaire b dans la moitié inférieure. Autre spécimen, notablement rectiligne dans la partie supérieure et arqué dans la partie inférieure. Il repré- sente une longue série de loges aériennes sans test. La moitié inférieure est exposée dans une section longitu- dinale, qui montre les cloisons et le siphon en partie conservés et en partie détruits. Le siphon est central au petit bout et s'éloigne de l'axe en allant de bas en haut. Il n'y a aucune trace du dépôt organique dans cet intérieur, partiellement rempli par le calcaire com- pacte noir, mais en plus grande partie par le spalh calcaire plus ou moins impur. Fig. 10. 11. EXPLICATION DES FIGURES. Etage id. cloison m n, vue par la face convexe. Elle est elliptique et orientée comme la fig. 5. Elle montre le siphon un peu excentrique et rejeté vers le bord con- cave de la coquille. Autre spécimen, rectiligne sur presque toute sa lon- gueur, mais arqué vers la pointe. Il représente une série de loges aériennes, entièrement recouvertes par le test, dont on distingue deux lamelles. Dlauha Hora. id. cloison terminale, elliptique, orientée comme la fig. 7. Elle est vue par la face convexe et montre la position subcentrale du siphon. Autre spécimen, faiblement arqué. série de loges aériennes, Dlauha Hora. id. cloison © p, vue par la face convexe. Elle est presque circulaire et montre la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses stries longitudinales inégales, dont les intervalles sont ornés de stries transverses très-fines. Il représente une recouvertes par le test. PES Heïnr. Becker n.d-Nat.gez.ulith.Wien . Lith.uged.i.d.kk.Hof uw Stuatsdruckerer OL PL. 274 Fig. 9. Etage. Grthoceras Weptomiicuuan. Barr... . .E voir Pl. 222—238? 292—273— 401 —438. Spécimen notablement arqué. Section longitudinale, mon- tant les cloisons et le siphon également bien conser- vés dans la partie inférieure. Le siphon a été en partie detruit dans la région moyenne et dans la région su- périeure. Il est central au petit bout, et sensiblement ex- centrique à l'extrémité opposée. Le dépôt organique est à peine indiqué au droit des goulots et nous n’en voyons aucune trace dans les loges aériennes. Dlauha Hora. N. B. Cette section et les suivantes montrent égale- ment un remplissage interne, presque entiérement com- posé de spath calcaire blanc; mais le calcaire com- pacte noirâtre a pénétré dans quelques espaces très limités. id. cloison vue par la face convexe et montrant la po- sition excentrique du siphon. Autre spécimen, vu par la face externe, montrant une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Dlauha Hora. id. section longitudinale, montrant les eloisons et le siphon bien conservés. Le siphon est excentrique. 11 ne présente aucun dépôt organique. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 4 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant ses stries lon- gitudinales, ‘serrées et inégales, mais non fendues sui- vant leur longueur. On ne voit point de stries trans- verses, dans leurs intervalles. id. section horizontale du test, montrant le relief et la disposition des stries longitudinales. fragment du test, grossi, d’après un spécimen non figuré. Les stries longitudinales, usées à la surface, présentent une fente, qui les fait paraître doubles. Elles sont plus espacées que dans le spécimen precédent et l'on voit une série de siries transverses, trés fines, dans leurs intervalles. Dlauha Hora. id. section horizontale du test, montrant la disposition des stries longitudinales fendues. Cette figure et la précédente représentent un grosisse- ment plus fort que dans les fig. 6 et 7. EXPLICATION DES 10. 11. 17. 18. FIGURES. + Etage. Autre spécimen, vu par sa face légèrement concaye. Il représente une série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. Dlauha Hora. id. section transverse, un peu elliptique, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du lest, grossi, montrant ses stries longitu= dinales, inégales et irrégulièrement espacées. On voit une série de stries transverses, très fines, dans leurs in- tervalles. Autre spécimen, arqué et représentant une série de lo- ges aériennes, conservant la majeure parlie du test. Dlauha Hora. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Le siphon, central au petit bout, s'éloigne graduellement du centre, en remontant vers le gros bout. id. section transverse, prise vers le gros bout et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi. Il montre des filets prin- cipaux. sub-régulièrement espacés, comprenant entre eux trois ou quatre filets secondaires. Dans les inter-« valles, on voit une série de stries transverses, très- M fines et un peu concaves vers le haut. as Fs Autre spécimen; section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Le siphon se à maintient à peu près central, dans toute la longueur. « Dlauha Hora. 3 id. section transverse, montrant la position centrale du M siphon. N. B. Les diverses sections longitudinales de cette « espèce, exposées sur les PL. 272—273—274, s'accor- M dent à constater l'absence constante du dépôt organique, M dans les loges aériennes. (Ce dépôt ne se montre dans le siphon, que sous l'apparence d'anneaux obstructeurs « rudimentaires, au droit des goulots, dans quelques spé- ï cimens, comme PI. 274, fig. 1. | IE. ème Vol Silur de Boh Lpreres-#aft A DA ntenss UPPER PRNTEN Lithu.sed.r.d.k.k_ Hof_u. Staatsdruckerei. Mien. u.hith -Sen. Heinr Becker n.4.Nat PL Fig. 3. D x a w » 10. 11. 12. 13. 279. Etage. Orthoceras conspicuum. Barr.. . _E Spécimen représentant une partie de la grande chambre et cinq loges aériennes, avec quelques traces du test. Dlauha Hora. Autre spécimen, montrant la grande chambre presque compléte, une série de loges aériennes et une partie du test. Konieprus. id. partie inférieure du même spécimen, vue dans une seclion longitudinale. Les cloisons et le siphon sont conservés vers les deux extrémités, tandisqu'ils sont détruits dans la partie médiane, Il n’y a aucune trace du dépôt organique. Le remplissage consiste en spath calcaire blanc, dans la plus grande partie du fragment; mais le calcaire compacte noir a pénétré dans quel- ques loges aériennes. id. section transverse, orientée comme la fig. 3 et mon- trant la position du siphon, un peu excentrique. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, dans leur apparence là plus régulière. id. section horizontale du test, montrant le relief relatif de ses ornements longitudinaux. Spécimen représentant la grande chambre isolée et dé- pouillée de son test. Elle montre un étranglement très prononcé, à une grande distance au dessous de l’ou- verture. Les anneaux s’effacent au dessus de cet étran- glement. Konieprus. id. fragment de la surface du moule interne, fortement grossi, afin de montrer les siries creuses, dont elle est couverte. Grthoceras loricatum. Bar . . . .G voir PL. 322 —424. Spécimen représentant une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Ce morceau, acciden- tellement brisé et courbé dans la roche, a été redressé, pour rendre la figure plus intelligible. Tetin. id. vu par la face opposée, qui a été fortement usée par les intempéries. Elle montre les cloisons, sans aucune trace du siphon, parce que la section n'est pas dans le plan médian. id. section transverse, restaurée, vers le petit bout; sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, figurant un réseau très régulier de mailles à peu pres carrées. Fig. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 26. 27. 28. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras pectinatum. Barr. . . .E voir PI. 261. Spécimen représentant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant la majeure partie de leur test. Butovitz. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées ainsi que le siphon. (Cet organe, excen- trique vers la pointe, devient central dans les loges les plus élevées. (On ne voit aucune trace du dépôt organique, si ce n’est un point noir, au droit des gou- lots. Le remplissage consiste presque uniquement en spath calcaire impur. id. section transverse au petit bout. Elle est orientée comme la fig. 14 et montre la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, qui sont un peu moins raides dans la nature que dans la figure. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. id. surface de la lamelle interne du test, fortement grossie, afin de montrer les stries creuses, trés fines et très serrées, dont elle est couverte. G Orthoceras patronus. Barr. .. { F voir PI. 228—262—423—424. Spécimen arqué et vu par la face latérale. Il montre le bord intact de l'ouverture, la grande chambre et une série de loges aériennes. Le test est conservé, presque entier, et il présente, un peu au dessous de l’orifice, une irrégularité accidentelle, qui paraît provenir d’une lésion durant la vie de l'animal. Konieprus. f 2. id. section transverse, orientée comme la fig. 20 et montrant la position légèrement excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, afin de montrer ses or- nements. id. section horizontale du test, montrant la saillie des ornements longitudinaux. Autre spécimen, montrant une série de loges aériennes, « en partie recouvertes par leur test. Konieprus. id. section longitudinale, montrant le siphon et les cloi-« sons bien conservés, sans aucune trace de dépôt orga= Le remplissage consiste en calcaire spathi-… nique. que, blane. Autre spécimen, représentant la base de la grande cham- La surface est … recouverte par le test et montre en même temps les anneaux très distincts dans l'âge moyen, tandisqu'ls bre et une série de loges aériennes. disparaissent dans l’âge adulte. Konieprus. id. section longitudinale, montrant les clôisons et une partie du siphon, sans aucune trace du dépôt organique. « Le remplissage des loges aériennes consiste en calcaire spathique blanc, tandisque la grande chambre et la loge contigue ont été remplies par le calcaire compacte, grisâtre. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. bn. 1 M EC OUT ' L OOIEN CS TU VTT PIERHE: Imp Lemercierr.de Seine 57 Paris. JBarrande Syst Silur de Bohème Vol. IL. Humbert lith, PL. 276. Fig. 3. Etage. {Fr Spécimen représentant une partie de la grande chambre et montrant le bord de J’ouverture. La surface con- serve des fragments du test et la trace très affaiblie des anneaux, qui se reproduit sur le moule interne. Konieprus. f 2. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. Les filets principaux, dirigés longitudinalement, présen- tent dans leur intérieur une teinte foncée, sous la forme d'une bande un peu irrégulière, qui est très difficile à rendre dans le dessin. Autre spécimen, représentant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant la moitié du test. Konieprus. f 2. Autre spécimen, représentant la grande chambre un peu tronquée vers Je haut. C'est le seul qui appartienne à l'étage G, parmi ceux qui sont figurés. Tetin. g 1. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. Autre spécimen, représentant la grande chambre à peu près compléte et conservant des fragments du test. Les anneaux sont bien marqués sur cet exemplaire, ainsi que sur les suivans, parce qu'ils appartiennent à des individus qui n'avaient pas atteint l’âge adulte. Konie- prus. f2. Autre spécimen, représentant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, entierement recouvertes par leur test. Konieprus. f 2. id. section transverse, montrant la position légèrement excentrique du siphon. Autre spécimen, représentant une partie de la coquille voisine de la pointe, avec des anneaux très prononcés. Konieprus. f 2. Orthoceras pulchrum. Barr. . voir PI. 222. EXPLICATION DES FIGURES. Fig. 10. 11. 12. 17. Autre spécimen, dépouillé du test et montrant la partie inférieure de la grande chambre avec deux loges aéri- ennes. La surface de ce moule interne montre les im: pressions très prononcées des filets longitudinaux, qui s’effacent presque sur le moule interne des adultes Konieprus. f 2. ‘ Autre spécimen, représentant une série de loges aéri= ennes, avec une partie du test. Les loges inférieures montrent le premier degré d’une décomposition, qui se manifeste dans le spécimen suivant. Konieprus. Autre spécimen, représentant une série de loges aériennes. Le test a disparu sur la face visible, qui, exposée aux intempéries, est en partie décomposée. Elle offre un aspect particulier, en rapport avec le remplissage spathique des loges aériennes. Konieprus. f 2. Autre spécimen, préparé de manière à montrer une série de cloisons, avec les éléments correspondants du si phon, mis à nu et en relief. Konieprus. f 2. A Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de cloisons et le siphon. Konieprus. f 2. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de cloisons et le siphon, bien conservés. Konie-= prus. f 2. Autre spécimen, montrant la base de la grande chambre et quelques loges aériennes. Les anneaux offrent ur sinus prononcé, qui ne se voit pas sur la plupart des autres exemplaires. Konieprus. f 2. id. section longitudinale, montrant quelques cloisons et le siphon, dont le diamètre paraît diminuer en appro chant de la grande chambre. N. B. Il n'existe aucune trace du dépôt organiques ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes des di= vers spécimens, dont nous observons la section longi tudinale. Dans tous, le remplissage se compose de spath calcaire plus ou moins pur. | PIED J.Barrande Syst ilur de Bohème Vol IL. Imp.Lemercierr de Seine 57 Paris. Humbert lith, PL 277. Fig. ot 11. 12. Orthoceras r'elucians. Barr. voir PI. 422 Spécimen un peu arqué, représentant une série de lo- ges aériennes. Le test n'existe plus, mais il a laissé l'impression distincte de ses ornements, sur le moule interne. Telin. id. vu par la face latérale, montrant la courbure assez prononcée de la coquille. id. seclion transverse, un peu elliptique, orientée comme la fig. 2 et montrant la position un peu excentrique du siphon. Orthoceras porites. Barr. . . . . . .E Fragment représentant la grande chambre. Moule in- terne, conservant une partie du test. Ko/ednik. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position subcentrale du siphon. id. extrémité inférieure de la grande chambre, forte- ment grossie, pour montrer l'apparence du test et des impressions sur le moule interne. id. fragment du test, encore plus fortement grossi, et montrant les cavités dont il est orné. Grthoceras consolans. Bar. . . . .G Spécimen représentant une série de loges aériennes, dont chacune correspond à deux anneaux. Hlubocep. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment grossi, représentant l'étendue d’une loge aérienne et les ornements du test. Orthoceras obscurum. Barr. . . . .D Spécimen aplali par la compression, mais conservant son test. Koenigshof. d 5. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements qui sont d'une grande ténuilé. Aulre spécimen, également aplati et brisé par la com- pression. Koenigshof. EXPLICATION DES FIGURES. Fig. 14. 16. 17. 18. 19. 20. 21. : Etage. Orthoceras delelavm. Bar. : F 4 voir PI. 406. Spécimen aplati et brisé par la compression. La sur- face conserve quelques nements sont d’ailleurs Lochkov. f 1. id. fragment du test, nements, qui sont trop id. section longitudinale du test, ornements. fragments du test, dont les or- reproduits sur le moule interne. grossi, pour montrer ses O[- réguliers sur cette figure. montrant le profil des à Orthoceras éntricatuamm. Bar. - . .E L | Spécimen vu par la face latérale. Il représente une“ longue série de loges aériennes, en grande partie re= couvertes par leur test. On voit une légère courbure dans le sens longitudinal. Butovitz. id. section longitudinale, montrant les cloisons en partie détruites et en partie conservées, ainsi que le siphon. IL n'existe aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Le remplissage M consiste principalement en spath calcaire blanc; mais le calcaire compacte noir occupe la grande chambre et a pénétré dans les loges voisines. id. section transverse, montrant la position subcentrale, du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, afin de montrer ses ornements. Les rainures transverses ne sont pas assez fortement indiquées et elles devraient être obliques. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. Ces éléments offrent la forme mixte. Orthoceras aphragma. Barr.. . . .E voir PI. 319—327. Spécimen un peu arqué et vu par la facé latérale. Ses apparences feraient supposer qu'il représente une partie de la grande chambre. Listice. id. section transverse, circulaire. visible. id. vu par le côté concave, offrant les mêmes spperees ces que la face latérale. id. fragment pris dans la partie moyenne et grossi, afin de montrer les rainures horizontales, qui ornent la sur. face. Nous ne voyons sur ce spécimen aucune (race des cloisons. Le siphon est in- = — = Q = ad = Ve! (a re [æ) [ae] D aæ) — = = Æ) 5) (2) = (2%) (æ) me) = ao) = Go) ER D) imp. Lemercier r de Seine 57 Paris Humbert lith. PL. 278. EXPLICATION Fig. Etage. G Orthoceras pseudo-calamiterwan. Barr. E voir PI. 217—222—286—361. 4. Spécimen montrant le plus grand diamètre connu. C'est probablement un fragment de la grande chambre. Le test est parfaitement conservé avec ses ornements. Ko- nieprus. 2. 2. id. section transverse, montrant la saillie relative des ornements longiludinaux. 3. Autre spécimen, représentant la grande chambre incom- pléte aux deux extremités, mais conservant son test presque intact. Konieprus. f 2. A. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements, ainsi que l'impression des anneaux et des filets principaux sur le moule interne. Il n'existe généralement qu'un filet secondaire entre les filets prin- cipaux. 5. Autre spécimen, représentant une longue série de loges aériennes, en grande parlie recouvertes par leur test. Les 4 plus élevées sont exposées dans une section lon- gitudinale, ainsi que le siphon. Konieprus. f 2. Autre spécimen, représentant aussi une série de loges aériennes, dans la région voisine de la pointe de la coquille. Les cloisons sont cachées par le test. Ko- nieprus. F2. 7. Autre spécimen, montrant les filets longitudinaux très espacés, tandisque les stries transverses sont très ser- rées et très marquées. Konieprus. f 2. © S. Autre spécimen, conservant son test, sur lequel on voit certains filets principaux plus forts et plus saillants que les autres. Konieprus. f2. id. section transverse, indiquant la saillie des filets prin- cipaux. #0. Autre spécimen, sur lequel s’est déposée une incrustation calcaire, si bien appliquée, qu'on pourrait le prendre pour une espèce différente. On voit, dans une brisure, les véritables ornements du test, qui se trouvent modifiés sur la surface sédimentaire recouvrante. Konieprus. f 2. Â1. Autre spécimen, conservant son test, dont les filets sont inégaux en largeur et en saillie. Les stries transverses sont très prononcées. Konieprus. f 2. 12. Autre spécimen, conservant seulement des fragments de son test et représentant une partie de la grande chambre. Le moule interne montre la trace saillante des anneaux el des filets principaux, qui sont très espacés, comme dans la fig. 7. Konieprus. f 2. Autre spécimen, conservant son test et montrant ses filets principaux, très forts et très saillants. Il n'existe entre eux aucun filet secondaire, mais seulement des stries longitudinales très faibles, au nombre de 1 à 3 dans chaque intervalle, comme on les voit fig. 15. Les siries transverses sont très prononcées. Konieprus. f2. id. section transverse, montrant la saillie des filets prin- cipaux. 13. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. DES FIGURES. Fig. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 30. 31. 32. & Etage. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de cloisons bien conservées ainsi que le siphon. Konieprus. f2. id. fragment grossi, montrant les lignes de brisure dans le remplissage spathique des loges aériennes et l'appa- rence des dépôts bi-coniques autour du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale montrant une série de loges aériennes bien conservées ainsi que le siphon. Konieprus. f 2. id. fragment grossi, montrant la forme de la cristalli- salion du spath calcaire dans les loges aériennes. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes, dépourvues du test. Les loges supérieures sont exposées dans une section longitudinale. Au petit bout, on voit le siphon saillant dans son enveloppe bi-conique. Konieprus. f 2. Autre fragment, dont le petit bout est brisé, suivant les surfaces de disjonction du remplissage cristallin des loges aériennes. Le siphon conserve son enveloppe bi-conique. Autre spécimen, conservant son test, dont les stries transverses sont obsolètes. Tachlovitz. e 1. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Les siries transverses sont presque effacées. Autre fragment, dont le test est semblable à celui du précédent. Section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Butovilz. € À. id. quelques loges grossies pour montrer l'apparence de la cristallisation du spath calcaire dans leur in- térieur. Autre spécimen, analogue aux précédents par son test. La partie inférieure est usée, pour montrer les cloisons et le siphon. Tachlovilz. e 1. Autre spécimen, montrant les filets longitudinaux très rapprochés. Les stries horizontales sont très fines. Konieprus. f 2. id. section transverse, montrant l’espacement des filets. Autre spécimen, montrant les filets principaux faibles et très rapprochés, avec des stries transverses très fines, comme dans le précédent. (Ce morceau repré= sente la majeure partie de la grande chambre. Hinter- Kopanina. e 2. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Fragment présentant les mêmes apparences que le spé- cimen précédent. Hinter-Kopanina. e 2. Autre fragment de même apparence. Hinter-Kopanina. e 2. Autre spécimen, sur lequel les filets principaux sont d’une extrême ténuité, tandisque les stries horizontales sont invisibles. Butovilz. € 1. N. B. On remarquera que, dans les diverses sec- tions longitudinales figurées, il n'y a aucune trace de dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. PL 276. JBarrande Syst. Silur de Bohème VolIT PRESS ERSSTEIE See Faris de Seine 57 L Imp Lemercerr; Humbert Lh. 2. 3. Œ 10. EE 12. 16. 17. 18. 19: 20. EXPLICATION Etage. Orthoceras alpha. Barr... .E Spécimen vu par la face latérale, montrant la grande chambre dépouillée du test, qui recouvre les cloisons à l'extrémité inférieure. Konieprus. id. section transverse orientée comme la fig. 1 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Autre spécimen vu par le côté convexe, montrant la grande chambre et quelques loges aériennes dépouillées de leur test. Dauha Hora. Orthoceras Nereidum. Bar. . . . .E Spécimen montrant le moule interne d'une partie de Ja grande chambre et une série de loges aériennes, re- couvertes par leur test. Ces deux parties contrastent par leurs apparences. Konieprus. Autre spécimen, représentant une plus grande partie de la chambre d'habitation avec quelques fragmens du test, et le moule interne de quelques loges aériennes. Dlauha Hora: id. section transverse, orientée comme la fig. 6, et mon- trant la position un peu excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, sur la grande chambre, tandisque les anneaux disparaissent sur les loges aériennes. Orthoceras mèmaus. Barr. . . . . . .E Spécimen un peu arqué. Il est vu par la face latérale, montrant la grande chambre presque complète, une série de loges aériennes et une grande partie du test. Lochkor. e 2. id. section transverse, orientée comme la fig. 9, et mon- trant la position un peu excentrique du siphon. Autre spécimen, un peu arqué, vu par la face latérale, montrant le moule de Ja grande chambre, une série de loges aériennes et une parlie du test. Koxel. e 2. Autre spécimen. Section Jongitudinale, montrant la grande chambre, une série de cloisons et le siphon, bien con- servés. Il n'y a aucune {race du dépôt organique. La grande chambre est remplie par le calcaire compacte, noir, ainsi que le siphon; mais les loges aériennes ne présentent que du spath calcaire, impur. Kozel. € 2. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont bien conservés, sans aucune trace du dépôt or- ganique. Koxel. € 2. Fragment du test, grossi et montrant les ornements tels qu'on les voit sur les spécimens fig. 9 à 13. Les stries transverses sont faibles et rapprochées. Autre spécimen, un peu arqué et vu par la face laté- rale. Il montre la grande chambre complète, quelques cloisons et une grande partie du test. Butoritx. e 1. id. fragment du test, grossi. Il est pris sur la grande chambre et montre les stries transverses très marquées. Orthoceras venustulaum. Barr.. . .E voir PI. 286. Spécimen un peu arqué, vu par la face latérale, pres- que complètement recouverte par le test. Tachloritz. id. vu par le côté concave, montrant Je sinus des anneaux. id. section transverse, orientée comme Ja fig. 17 et mon- irant la position centrale du siphon. Autre spécimen, vu par le côté convexe, montrant la grande chambre et -quelques loges aériennes peu di- slüincles. Tachlovitx. DES Fig. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 39. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 42. 43: FIGURES. Etage, Autre spécimen, montrant la cloison terminale de la grande chambre et reconvert par le test. Tachlovix. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, €. à d. les :inneaux, les stries transverses et les séries de petites perforations. Orthoceras signatulam. Barr. . . .F Spécimen montrant une série de loges aériennes, en partie recouvertes par leur test. Konieprus. id. section transverse, orientée comme la fig. 23 et montrant la position subcentrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour. montrer ses ornements. Les anneaux ne sont pas indiqués sur cette figure, à cause du fort grossissement. Orthoeceras contextavm. Barr... . . .E Spécimen montrant quelques loges aériennes et une par— tie du ‘est. La moitié supérieure, à l’état de moule in- terne, porte la trace des anneaux, insensibles sur la moitié’ inférieure. Listice. È id. section transverse, orientée comme la fig. 26 et mon- trant la position un peu excentrique du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Orthoceras contumazx. Barr... { ns Spécimen montrant la base de la grande chambre et quelques loges aériennes, recouvertes par le test. Ko- nieprus. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. | Orthoceras solilarium. Bar. . . .E Spécimen dépouillé du test et montrant la base de la grande chambre, ainsi qu'une série de loges aériennes. Il est vu par le côté dorsal, c. à d. opposé au sinus des ornemens. Dauha Hora. id. vu par le côté ventral et montrant le sinus des anneaux. id. vu par la face latérale, montrant l'obliquité des an neaux. id. section transverse, orientée comme la fig. 34 et montrant la position un peu excentrique du siphon. Section longitudinale, montrant les Il n'y a aucune Autre spécimen. cloisons et le siphon bien conservés. trace du dépôt organique. Karlslein. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornemenis. Orthoceras discretaum. Barr. . . . .E Spécimen vu par la face latérale, montrant l'obliquité des anneaux. Le test qui le recouvre ne permet de distinguer aucune cloison. Konieprus. id. vu par le côté ventral, montrant le faible sinus des anneaux. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments. Autre spécimen, vu par la face latérale. Les extrémités usées montrent la forme des cloisons et des goulots. Les élémens du siphon sont détruits. Konieprus. id. seclion transverse, orientée comme la fig. 41 et mon- trant la position subcentrale du siphon. Auire spécimen, représentant la région voisine de la pointe et recouvert par le test. Il est vu par le côté dorsal. AMnienian. PAT hé God PE D ED Bio ad EI 2 LL EVA 0 RE PR RO à IR ET te CN CONS mp. Lemeraerr, de Seine 57 Paris PES TE AT AUDE LL LRU ELLE € SIL LLLEUCEEE FULL RENLELE| mas ES GA LUE EDEN EE) LbE. Tree: OP E Er Er me Vol.IL. ê JBarrande Syst. Silur de Boh Humbert lith . PI. Fig. a 10. 11. 280. Etage. Orthoceras semi-laeve. Barr... . . .E Spécimen à peu près complet, montrant le bord de l’ou- verture, la grande chambre, les loges aériennes et une partie du test. Il est vu par la face latérale, sur la- quelle on distingue les stries trés marquées à droite, tandisque la surface est lisse dans la moitié gauche. Koxel. id. vu par la face complétement lisse. id. vu par la face couverte de stries horizontales. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment de la grande chambre, fortement grossi. Il est vu par la face latérale et montre les siries, qui ne s'étendent que sur la moitié de la coquille. La figure a été placée par mégarde dans une position inverse de celle de la fig. 1; le côté droit étant à gauche et ré- ciproquement. Orthoceras progrediens. Bar. . . .E Spécimen vu par la face externe, montrant une partie de la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Karlstein. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. On remarquera, que le siphon se prolonge, sans former un élément complet, au des- sus de la cloison la plus élevée, qui paraît être Ja base de la grande chambre. Cette apparence ferait sup- poser, que le mollusque a péri durant la période de temps employée à sa progression et que la mort l'a empêché de construire la dernière cloison. La partie du fossile, que nous considérons comme la grande chambre et qui est remplie par la roche noire, ne pré- sente aucune trace de cloisons commencées. Bien que le spath calcaire remplisse toutes les loges aériennes et le siphon, il n'a formé aucune incrustation sur les parois en contact avec la vase noire. Il n'existe qu’une trace de dépôt organique, au droit des goulots. id. cloison terminale vue par la face convexe et mon- trant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer son apparence, sans stries distinctes. Orthoceras Agassiti. Barr. . . . s voir PI. 227—228—281—282—353— 424. Ep) Spécimen vu par la face externe. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Lochkov. e 2. id. seclion longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. On observe. dans le siphon, des anneaux obsiructeurs très développés sur le côté droit, tandisqu'ils sont nuls ou rudimentaires sur le côté gauche. Leur développement, dans le sens de la lon- gueur, suit une progression décroissante, un peu irré- gulière, en allant du petit bout vers le gros bout de Ja coquille. Dans les loges aériennes, le dépôt orga- nique est distribué d'une manière contrastante, puisqu'il se lrouve uniquement dans la moilié gauche du fossile. Il offre, d'ailleurs, une progression décroissante, en harmonie avec celle des anneaux obstructeurs. Dans les loges inférieures, le dépôt organique ayant été par- tiellement dissous, le vide qui en est résullé a été in- jecté par la vase noire. Tout le reste des espaces in- térieurs a élé rempli par le calcaire spathique. On re- connait dans ce cristalin les surfaces de moindre résistance el l'enveloppe biconique autour des élémens du siphon, remplissage Fig. 12. 13. 14. 16. 17. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon et la disposition des substances formant les remplissages organique et inorganique. id. fragment du test, grossi. Il est pris vers le pelit bout et montre les stries transverses, régulières et très- distinctes, qui ornent la surface, sur cette zône de la coquille. Autre fragment du test, pris au dessus de la partie moyenne du fossile et montrant diverses lamelles su- perposées. La lamelle externe est figurée dans la moitié supérieure de la figure. Les stries qui l’ornent s’effacent peu à peu, de telle manière que la surface du (est devient complétement lisse, vers l'extrémité supérieure. du fossile. La lamelle interne du test, avec quelques traces de stries, est représentée au dessous de la lamelle externe. La surface du moule interne, lisse, est indiquée au bas de la figure. Orthoceras severaummn. Barr. . . . . .E voir PI. 219—221—225—229— 239? 301 —302—310? Spécimen vu par la face externe, montrant une série de loges aériennes et une parlie du test, dont la su- perficie altérée ne présente aucune trace d'ornements: Dlauha Hora. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Les anneaux obsiructeurs sont peu développés, mais on voit, dans les deux loges du petit bout, qu'ils tendent à occuper toute la longueur des éléments correspondants du siphon. Dans les loges aériennes, le dépôt organique est très-développé et s'étend principalement sur la moitié gauche de la figure. Sa puissance décroît un peu irfrégulièrement, en allant du petit bout vers le gros bout de la coquille. On peut remarquer, que les loges supérieures du fossile ont été partiellement envahies par la vase noire avant la fossilisation. (Cette vase repose immédiatement sur le dépôt organique et contribue à indiquer le plan de gisement. Bien que tous les vides de la coquille aient été remplis par le spath calcaire, on ne voit aucune incrustation blanche, sur les parois en contact avec la vase noire, dans les loges en question. id. section transverse, à travers la partie supérieure de la coquille. Elle montre Ja position excentrique du siphon et la disposition des diverses substances, qui constituent le remplissage. SC AE NS ne PTE 4 2 SL ERA a DR AL re SR 77,7 PI.260. ol JL. \ 6 ilur de Bohèm _ SL @ 7 Paris. 1 ä D Imp.Lemercierr de Seine JBarrande. Sy Humbert lith, PL 28L. ve —.——” OGrthoceras Agassiti. Bar. voir PI. 227—228—280—282—353—424. Ces deux figures représentent un seul et même spéci- men, composé d'une série de loges aériennes et conser- vant une grande partie du test. Vers le gros bout fig. 1, la surface du test est sensiblement lisse. Vers l'extrémité inférieure de cette figure, on reconnaît la trace des stries obliques, qui deviennent plus sensibles dans la partie supérieure de la fig. 2. En continuant à des- cendre, on voit les anneaux apparaître graduellement et conserver leur relief jusqu'au petit bout de ce spéci- men. Les loges extrêmes sont exposées dans une sec- tion longitudinale, montrant le siphon et les cloisons bien conservés. On y remarque un dépôt organique très développé, qui occupe la majeure partie du siphon et des loges aériennes. Lochkov. e 2. id. section transverse, montrant la position un peu ex- centrique du siphon. Autre spécimen, d'un moindre diamètre que le précé- dent. La série de loges aériennes qu'il représente est presque entièrement recouverte par le test. Les anneaux sont très distincts, sur la majeure partie de la surface, mais ils disparaissent vers le petit bout, où l'on ne distingue plus que des stries obliques. Lochkov. Autre spécimen, de moindre diamètre et conservant la majeure partie du tes. Les anneaux, distincts à la partie supérieure, perdent leur relief un peu plus bas et la surface ne présente plus que des stries, qui s’af- faiblissent peu à peu et tendent à disparaître vers le petit bout. Lochkov. 5 Autre spécimen, conservant son test, sur lequel on re- marque la disparition graduelle des anneaux, en allant vers le petit bout, où il n'existe que des stries fines et régulieres. La suture des cloisons se voit par trans- parence à travers le test. Lochkov. EXPLICATION DES | Fig 10. 11. 12. FIGURES. Etage Autre spécimen, de moindre diamètre, mais conservant ses anneaux dans toute la longueur. Son angle api- cial est sensiblement moindre que dans la plupart des autres exemplaires. Lochkov. 4 id. cloison terminale, montrant le siphon sub central. Autre spécimen de moindre diamètre, représentant un jeune individu. Dans la partie supérieure, on voit la base de la grande chambre et, au dessous, une série de loges aériennes, en partie dépouillées du test. Les an- neaux disparaissent graduellement en allant vers le petit bout. La partie du test, qui est conservée dans la moitié inférieure, a une surface presque lisse et permet de voir par transparence la suture des cloisons. Lochkocv. Autre spécimen, d'un diamètre moindre. Il représente une série de loges aériennes, dont les sutures sont vi- sibles par transparence à travers le test. La surface de celui-ci offre des stries, qui s'efacent peu à peu vers le petit bout. Lochkov. id. section transverse, montrant le siphon un peu ex- cenitrique. Autre spécimen, représentant la pointe de la coquille, recouverte par son test. Les stries, qu'on voit au gros bout, s’effacent presque complétement vers le petit bout, dont l'extrémité est irrégulièrement arrondie. Lochkov. id. petit bout, fortement grossi. Les stries marquées sur sa surface sont trop prononcées dans ce dessin. Fragmens du test grossis : Ces quatre figures sont prises sur quatre points dif- férents de la surface, à partir du gros bout, en allant vers le petit bout. Elles montrent les diverses apparen- ces des ornements, dans la longueur d’un même individu. Fragment du moule interne, grossi, pour montrer les stries creuses, très fines, qui ornent sa surface, sur le spécimen fig. 1. PI.261 e Vol.Il. 1éin J Barrande Syst. Silur de Bol È ÿ Bt 7 Paris p) Imp lemercierr de Seine Humbert lith . PI. 2. ue 382. Orthoceras Agassiti. Barr. . . . voir PI. 227—228—280—281 —353—424. Section longitudinale d'une série de loges aériennes, peu éloignées de la grande chambre, dans une coquille adulte. Les cloisons et le siphon sont bien conservés. Le dé- pôt organique, indiqué par une teinte foncée, montre une diminution très sensible, aussi bien dans les loges aériennes que dans le siphon, en allant de bas en haut. Le reste des cavités est rempli par du calcaire spathique de diverses nuances. On voit, autour du siphon, la trace de son enveloppe cristalline, biconique. Lochkov. e 2. id. fragment du même spécimen, vu par l'extérieur et montrant une partie du test, dont la surface est pres- que lisse. On y distingue plusieurs lamelles super- posées. Les ornements sont plus prononcés sur la lamelle externe. id. Demi-section transverse, orientée comme la ‘fig. 1, et montrant la position excentrique du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale d'une série de loges aériennes, moins alongées que dans la fig. 1, et vraisemblablement plus éloignées de la chambre d’ha- bitation, ce qui semble également indiqué par le dé- veloppement relativement plus grand du dépôt orga- nique, dans toutes les cavités. Lochkov. id. parlie du même spécimen, vue par l'extérieur et montrant des fragments du test, dont les ornements con- sistent en stries obliques, inégalement prononcées et irrégulières dans leur étendue. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. Autre spécimen. Section longitudinale d'une série de loges aériennes, montrant les cloisons plus rapprochées que dans les deux spécimens précédents. Le volume du dépôt organique, très développé vers le petit bout, aussi bien dans les loges aériennes que dans le siphon, diminue sensiblement en allant vers le gros bout. Le reste des cavités est rempli par du calcaire spathique de différentes nuances. Lochkov. id. partie vue par l'extérieur et conservant la majeure partie du test. Dans cet individu, les ornements pré sentent une apparence exceptionnelle, en ce que les anneaux n'ont pas pris leur relief accoutumé. Cepen- dant, on distingue leurs formes rudimentaires et les rainures qui les séparent. Toute la surface est cou- verte de siries fines, un peu irrégulières et semblables a celles qu’on voit ordinairement sur les anneaux. L’ap- parence du test est lamelleuse. 12. 14. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. fragment du test, grossi, pour montrer l'apparence insolite de ses ornements. id. fragment de la surface du moule interne, grossi, pour montrer les stries creuses, dont elle est ornée. Autre spécimen, représentant quelques loges aériennes, recouvertes par le test. La cloison terminale, au petit bout, est recouverte par le dépôt organique, dont la surface est très mamelonnée dans cette espèce. Lochkovw. N. B. Le même spécimen, tronqué vers le haut, est figuré sur la PI. 228. id. cloison terminale vue par le côté convexe et orientée comme la fig. 11. Elle montre la position du siphon et l'aspect du dépôt organique. Autre spécimen, présentant 6 loges aériennes. Les trois loges supérieures sont vues par l'extérieur et les autres suivant une section longitudinale. Les apparences de cette section sont analogues à celles des figures voi- sines. Sur Ja loge la plus élevée de ce spécimen, on voit, à gauche, une partie sur laquelle le dépôt orga- nique a élé enlevé par la percussion, tandisqu'il est encore en place dans les deux autres loges, placées immédiatement au dessous et dont le test est partiel- lement ouvert. Les cavités qu'on aperçoït sur la pre- mière loge représentent l'impression faite sur le moule interne par la surface mamelonnée du dépôt organique, qui a été détaché. Lochkovw. Voir un spécimen présentant les mêmes apparences, PI. 227, fig. 5. id. portion de la surface de Ja première loge, grossie, pour montrer l'aspect des cavités, qui sont couvertes par un réseau très faible et irrégulier. N. B. Il est instructif de comparer ces apparences avec celles qu'offrent les spécimens figurés sur la PI. 229. PIECE Vol I. EME Imp.Lemercierr de Seine 57 Paris. | JBarrande. Syst Siur de Boh Humbert lith PL Fig 283. EXPLICATION Etage E Orthoceras swb-arnulare. Münst.. . { D écl Qt a QU voir PI. 210—212—253—323—336—392— 399. Spécimen vu par l'extérieur. I] représente une suite de loges aériennes, conservant presque tout leur test. Les anneaux, très marqués dans la partie inférieure, dis- paraissent dans la partie supérieure, qui est simplement striée. Karlstein. Autre spécimen, représentant quelques loges aériennes et conservant quelques fragments de la lamelle externe du test, landisque la lamelle interne est presque com- pléte. Lochkov. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 2 trant la position subcentrale du siphon. Autre spécimen, vu par la face externe et représentant quelques loges aériennes, conservant une partie du test. Karlstein. et mon- id. section longitudinale, montrant le siphon et les cloi- sons bien conservés. Le dépôt organique, qui manque dans la partie à droite du siphon, est très développé dans la partie gauche des loges aériennes, où il est indiqué par une teinte de moyenne intensité. Ce dépôt est, au contraire, très exigu dans le siphon, où il se présente avec une leinte presque noire, sous la forme d'un anneau obstructeur, au droit des goulots. Il ne faut pas confondre les sections réniformes de ces an- neaux avec la couche presque continue, mais inégale, de calcaire noir, qui est placée sur la paroi gauche du siphon. On remarquera, qu'au moment où la vase noire | a pénétré dans le siphon, l'orthocére était couché de telle sorte, que le côté chargé par le dépôt organique des loges aériennes était en contact avec le plan de gi- sement. Le reste des cavilés est rempli par du calcaire spathique de différentes nuances. La couche qui tapisse les parois est plus pure et plus dense que la partie centrale de chaque loge. Auire spécimen vu par l'extérieur. série de loges aériennes, Karlstein. Il représente une recouvertes par le test. id. seclion Jongiludinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Le dépôt organique, soit dans les loges aériennes, soit dans le siphon, présente des apparences semblables à celles qui viennent d'être dé- criles pour la fig. 5. Seulement, il apparait aussi dans la parlie à droite du siphon, mais sous une forme ru dimentaire et uniquement sur la paroi supérieure des cloisons. Le spath calcaire constituant le remplissage inorganique est moins pur. Autre spécimen, de moindre diamètre, vu par l'extérieur. Il représente une série de loges aériennes, recouvertes par le test, dont la surface est un peu détériorée, Konieprus. DES FIGURES. Fig. 10. 11. 12. 13. 17. 18. 19. Etage. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Les cloisons sont beaucoup plus rapprochées que dans tous les spécimens préeédents. Le dépôt organique, dans les loges et dans le siphon, présente cependant une distribution entièrement semblable à celle qu'on voit sur la section fig. 7. Le remplissage inorganique est également spathique, mais plus pur. Autre spécimen, de moindre diamèlre, vu par l'extérieur et représentant une série de loges aérienties recouvertes par le test. Karlstein. Autre spécimen, de même diamèlre, représentant une série de loges aériennes et conservant la majeure parlie de son tes. Dans la région supérieure, le moule in- terne présente la trace des anneaux, qu’on voit aussi indiqués d'une manière irrégulière sur le test, dans la partie moyenne du fossile. Mais ces indications des anneaux disparaissent complétement vers le pelit bout, dont test devient à pen prés lisse. Karlstein. Autre spécimen, représentant la partie inférieure de la coquille et conservant son tes. Son angle apicial est un peu plus ouvert que dans les autres fragmens. Les anneaux sont irrégulièrement indiqués sur sa surface, qui est couverte de stries transverses, très fines. Tous ces ornements disparaissent vers le petit bout, où le éest devient complétement lisse. Karlstein. Autre spécimen, conservant son test. Les anneaux, trés distincts dans la partie supérieure, disparaissent presque subitement, et sont remplacés par des stries transverses, trés régulières, offrant l’imbrication directe. Kar{stein. N. B. Nous figurons sur la PI. 336, fig. 17, un fragment qui paraît représenter la pointe iniliale de la coquille de celte espece. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements, immédiatement au dessous des anneaux. id. seclion longitudinale du test, montrant l'imbrication directe des stries. Fragment du test, grossi, montrant les stries qui persi- stent seules dans la partie supérieure du spécimen fig. 4. L'inclinaison donnée à ces stries est plus forte que dans la nature. Fragment du spécimen, fig. 2, fortement grossi. La parlie supérieure montre le test, avec les anneaux et les stries ornant la lamelle externe. La partie moyenne représente la surface de la lamelle interne, sur laquelle sont gravées les siries creuses. La partie inférieure figure la surface lisse du moule interne. Fragment de la surface du spécimen, fig. 11, montrant, dans la direction des stries, une anomalie, probablement due à une lésion faite à la coquille, durant la vie de l'animal. Fragment de la surface à peu près lisse, qui termine“ le spécimen, fig. 12. Elle est fortement grossie, pour montrer les peliles rainures longitudinales et isolées, qu'on voit sur le test, PL285 Vol IE EME ilur de Boh = 1 US } JBarrande Sys Imp Lemercier rde Seine 57 arts Humbert lith. PI. 284. ee 2 3 \ Orthoceras nobhile. Barr: . .. voir PL 228—311—312— 319. Spécimen vu par l'extérieur. Il représente une série de loges aériennes, conservant la plus grande partie du test. La section longitudinale de ce spécimen se voit sur Ja PL. 311, fig. 1. Dlauha Hora. Ces deux figures représentent un seul et même spéci- men; la fig. 2 devant être placée au sommet de la fig. 3. Ce spécimen consiste uniquement dans une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Il est remarquable, parce qu'il offre, dans sa longueur, les apparences trés diverses des ornemens, qui sont indiquées par les grossissements. Vers le haut de la fig. 3 on voit, sur le moule interne, un étranglement qui est purement accidentel. Dlauha Hora. Cloison terminale du fragment, fig. 2. Elle est vue par la face convexe et orientée comme les figures 2 et 3. La forme elliptique de cette section ne paraît pas due à la compression. Il faut remarquer, que la section au petit bout du spécimen est reguliérement circulaire. Le siphon est notablement excentrique et placé sur le grand axe. Autre spécimen de moindre diamètre et un peu restauré. Il représente la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. Les anneaux sont visibles dans toute la longueur. Dlauha Hora. id. cloison terminale orientée comme la fig. 5 et mon- trant la position excentrique du siphon. Autre spécimen de moindre diamètre, montrant les anneaux el le test sur toute la longueur. Dlauha Hora. id. cloison terminale, montrant la position subcentrale du siphon. Auire spécimen de moindre diamètre, et recouvert par le test, sur presque toute la longueur. Les anneaux sont bien indiqués à l'extrémité supérieure, mais ils disparaissent presque subitement au droit de la brisure figurée et il ne reste que des stries régulières, offrant l'imbrication directe. Vers l'extrémité inférieure du mor- ceau, les stries disparaissent a leur tour et la surface du test devient lisse. Dlauha Hora. EXPLICATION DES Fig. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. FIGURES. Etage. Autre spécimen de faible diamètre, représentant une série de loges aériennes, conservant une partie du test: Dans la région supérieure, le test montre seulement des stries régulières; mais on voit, sur le moule interne, la trace distincte des anneaux, qui a été omise sur le dessin. Vers la pointe du fossile, il existe des parties du test qui sont complétement lisses. Dlauha Hora. Fragment du test, grossi et pris sur le spécimen, fig. 2: La surface est divisée en bandes irrégulières, sur les- quelles on n’aperçoit que de faibles indications des stries. La même apparence du test existe sur toute la longueur du spécimen, fig. 2, et du spécimen, fig. 1. id. section longitudinale du test, montrant le relief des bandes transverses, sans imbrication. Fragment du test pris à la partie supérieure du spéci= men, fig. 3. Les bandes conservent leurs siries fines, et régulières, analogues à celles des anneaux. Elles forment un passage intermédiaire entre les ornements, des anneaux, fig. 16, et les bandes irrégulières, fig. 11. id. surface du moule interne des loges aériennes, grossiesh pour montrer les siries creuses dont elle est ornée. Ce. fragment est pris dans la partie supérieure de la fig. 31 id. section longitudinale, montrant la trace des anneaux sur le moule interne. L id. fragment du test pris dans la partie où les anneaux 4 sont prononcés, sur le spécimen, fig. 3. Les stries, qui ornent la surface, sont régulières. { id. section longitudinale du test. À Fragment de la surface, pris sur le spécimen, fig. 9 el grossi, pour montrer la disparition totale des stries, au dessous de la partie uniquement siriée et sans anneaux id. section longitudinale du test. Seine 57 Paris P1.264 de Imp Lemercierr, 1 me Vol.[l. E JBarrande Syst Silur deBoh Humbert lith . PL. 285. Fig: 2. Etage. Orthoceras Daponti. Bar. . . . . .E voir PI. 212—324—392. Spécimen représentant une parlie de la grande chambre, quelques loges aériennes et un fragment du test, La surface de ce test est à peu près lisse. Butovilz. Aulre spécimen, d'un moindre diamètre, présentant une série de loges aériennes, presque complétement recou- verles par le lest. Dans la partie supérieure, la sur- face du test est à peu près lisse, tandisque, vers le petit bout, elle montre distinctement des anneaux et elle est ornée de stries fines, transverses, invisibles à l'oeil nu. Butovilz. id. section transverse, montrant la position subcentrale du siphon. Auire spécimen, représentant une partie de la grande chambre, suivie d'une seule loge aérienne. Il conserve une partie du test, dont la surface est irrégulière et lamelleuse. Elle montre la trace des anneaux, qui sont en voie de disparaître. Les stries fines, transverses, sont très distinctes vers le petit bout, tandisqu’elles s'effacent presque entièrement vers le gros bout. Bu- tovilz. Autre spécimen, plus jeune, montrant la grande chambre, à peu près complète et une série de loges aériennes, conservant un fragment du test. Les anneaux sont très marqués dans la partie inférieure, tandisqu'ils s’ef- facent graduellement en remontant vers l'ouverture. Butovilz. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes, conservant la plus grande parlie du test. Les anneaux, très marqués vers le petit bout, s'effacent gra- duellement en remontant vers le gros bout. Butovitxz. Autre spécimen, de moindre diamètre, présentant une série de loges aériennes. Le test, qui les recouvre presque totalement, porte des anneaux, qui s’affaiblis- sent graduellement vers le gros bout, tandisqu'ils offrent un relief de plus en plus prononcé, vers le pelit bout. Butovilz. id. section transverse, montrant la position subcentrale du siphon. Autre spécimen, de très faible diamètre et qui paraît représenter la même espèce au jeune âge. Dans la partie supérieure, on distingue la grande chambre oc- cupant environ ‘/, de la longueur, tandisque les deux autres liers constituent une série de loges aériennes. La pointe extrême est brisée. On voit des anneaux trés distincts sur toute la longueur de ce spécimen, qui est à l'élat de moule interne. La grande chambre est remplie par du calcaire noir, tandisque la partie cloisonnée est tapissée par une couche de pyrite de fer, jaune. A gauche de ce spécimen, on aperçoit l'embryon d’une espèce lisse. Butovitz. EXPLICATION DES FIGURES. Fig. 10. 11. 12. 13. 14. 16. 17. dl era Etage, id. fragment grossi, avec l'embryon lisse. On distin- gue plusieurs anneaux sur la longueur de chacune des loges aériennes. id. section transverse d’après le fragment grossi. trace du siphon est invisible. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont bien conservés. Le dépôt organique se montre dans le siphon, sous la forme d'anneaux obslructeurs, peu développés, au droit des goulots. On remarque même, que l'anneau n'existe que le long du bord gauche du siphon. On voit un dépôt organique bien prononcé, dans les loges aériennes, mais seulement dans la moi- tié droite du fossile, où il est indiqué par une teinte, grise. Le reste des cavités est rempli par du spath calcaire de diverses nuances, excepté vers le petit bout, dans la dernière loge, où le calcaire compacte noir & pénétré. Cette roche noire occupe aussi une partie des éléments du siphon. On voit qu'elle est placée sur lan paroi la plus voisine du plan de gisement, déterminé par le poids du dépôt organique des loges aériennes Vallon de Slivenelxz. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon conservés partiellement dans une série de loges aériennes. Le dépôt organique, dans Je» siphon, se montre seulement sur le bord gauche, au. droit des goulots, comme sur la fig. 12. Dans les loges aériennes, ce dépôt est très peu développé; mais il est indiqué par la teinte blanche, qui recouvre les cloisons, à droite du siphon. Ce spécimen ayant éprouvé des fractures durant la fossilisation, ses cavités internes sont remplies, en partie, par le calcaire compacte noi et en partie par du calcaire spathique. D’après la di= stribution de ces deux substances, on voit que le bord droit du fossile était sur le plan de gisement, ce qu concorde avec la position qu'occupe la roche noire dans le siphon. L’espacement des cloisons dans ce spécimen présente une grande irrégularité. Butovitz. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. è Fragment du test, dénué d’ornements, comme on le voit. dans la partie supérieure de la fig. 3 et sur Ja fig. 4* Les stries apparaissent vers le bas. | Autre fragment du test, grossi, représentant la partie striée, dans la région où les anneaux tendent à dispa= raître, comme vers le tiers inférieur de la figure 2. Autre fragment du test, grossi, pour montrer la parti où les anneaux sont bien développés, dans plusieur des spécimens figurés. La. PL.289 Imp Lemercierrde Seine 57 Paris pe Humbert lith Fe _ PI 96. EXPLICATION Fig. Etage. Orthoceras Le Honi. Barr. . . . . .E voir PI. 225. 1. Spécimen notablement arqué, vu par l'extérieur, mon- trant la grande chambre incomplète et une série de loges aériennes, conservant une grande partie du test. Les anneaux, très prononcés vers le petit bout, s’effa- cent graduellement et disparaissent vers la base de la chambre d'habitation. Lochkov. 2. id. section longitudinale, montrant quelques cloisons conservées vers le pelit bout, avec les éléments corres- pondants du siphon. A la base de la grande chambre, deux autres cloisons sont également conservées, mais l'élément correspondant du siphon a disparu. Dans l'intervalle entre ces parties extrêmes, toutes les cloi- sons ont été détruites, ainsi que le siphon, et leurs débris se voient encore près du bord gauche, qui de- vait se trouver sur le plan de gisement. On voit aussi, sur le bord droit, et en place, les extrémités des cloi- sons brisées. Il n'existe aucune trace de dépôt orga- nique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Toutes les cavités sont remplies par le calcaire spathi- que de diverses nuances, à l'exception de la grande chambre, presque entièrement occupée par le calcaire compacte noir, qui a aussi pénétré dans la loge voi- sine. Divers filons spathiques traversent la grande chambre. 3. id. section transverse, montrant la position du siphon, près de l'axe de la coquille. 4. id. fragment du test, grossi, montrant l'imbrication di- recte des stries. Cyrioceras residunuun. Bar. . . . .G 9. Spécimen notablement arqué dans toute sa longueur et vu par la face latérale. Il montre la grande chambre complète et la majeure partie des loges aériennes. Bien que ce fossile soit à l’état de moule interne, les orne- ments du test sont très nettement reproduits sur la surface de la grande chambre. H/ubocep. Voir la description de cette espèce. Vol. II. Texte. l°'e partie, p. 643. id. vu par le côté concave, id. fragment grossi, pour montrer les ornements. Les anneaux sont peu saillans, tandisque les stries sont irés prononcées. 8. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. 9. Autre spécimen. Moule interne de la grande chambre, vu par le côté concave. Hlubocep. 10. id. fragment grossi, pour montrer ses ornements, qui conlraslent avec ceux du spécimen précédent, par des anneaux plus prononcés, et, au contraire, par des stries plus fines et plus serrées. En G Orthoceras pseudocalamiteum. Bar. | F E voir PI. 217—222—278—361. 11. Spécimen représentant la grande chambre et quelques loges aériennes. Un peu au dessous du bord de l’ou- verlure, on voit l’élranglement bien prononcé. Buto- vilz. e 1. 12. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. 13. id. fragment grossi, pour montrer les ornements. Les slries lransverses entre les filets longitudinaux sont tres serrées, DES Fig. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. _grossi, pour montrer les stries creuses, qui couvrent FIGURES. à Etage. Autre spécimen, représentant la pointe initiale de la coquille. La moitié supérieure reproduit toutes les formes et ornements, qu’on voit sur les figures 11 et 13. Dans la moitié inférieure, les anneaux disparaissent et la surface, qui paraît lisse à l'oeil nu, est ornée d'un réseau très régulier, formé par les stries longitudinales et les stries transverses, qui deviennent à peu près égales et équidistantes. Le bout extrême est un peu arrondi. Butovitz. € 1. id. section transverse, sans trace du siphon. id. extrémité fortement grossie, pour montrer le ré- seau formé par les stries. Orthoceras venustulaum. Barr. . . .E voir PI. 279. Spécimen un peu arqué, vu par la face latérale, mon- trant la grande chambre et la majeure partie des loges aériennes, recouvertes par le test. Butovilx. id. vu par le côté convexe. id. section transverse, orientée comme la fig. 17 et montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, pris sur le milieu du côté con- vexe. Il représente seulement 3 Stries, fortement gros- sies, pour montrer les séries de cavités, qui ornent leur surface. La figure n'est pas assez étendue pour embrasser un anneau. id. fragment du moule interne de la grande chambre, sa surface. : Autre spécimen, un peu arqué et vu par la face laté— rale, en partie recouverte par le test. Il représente la grande chambre et une série de loges aériennes. Butovitz. id. vu par le côté convexe. À Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant Ja grande chambre, la majeure partie des loges aériennes et quelques fragments du test. Butovilz. id. vu par le côté concave. id. fragment du test, grossi, montrant, entre les an= neaux, des stries faibles avec des séries parallèles de cavités, qui sont quelquefois peu distinctes. id. fragment de la surface du moule interne, grossi, pour montrer les stries creuses, qui la couvrent, sur la grande chambre. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri= ennes, recouvertes par le test. Il est vu par le côlé concave. Butovitz. id. section transverse, légèrement aplatie au droit du côté concave. Cet aplatissement fait paraître le siphon un peu excentrique. id. fragment grossi, montrant les anneaux formés des quelques stries saillantes, tandisque, dans les rainures Ë qui les séparent, les stries sont très faibles et les ran= gées de petites cavités sont, au contraire, très pro noncées el relativement nombreuses. { ‘ MP STE ETES QE 2 AE qd da mur Le ane A PNR en RÉ SM np en Cu Se "= Ÿ Orthoceras pristénaum. Bar. . . D. col. ï Fragment dépouillé du test et montrant quelques loges aériennes. Colonie de Béranka. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. grossissement d'une partie de ce fragment, pou montrer la suture des cloisons, correspondant à jla sailr lie des anneaux. L: Æ J. Barrande Syst Silur de Bohème Vol.Il. 20 A ee ELLES von SCnae, Humbert lith. Imp.Lemercierr,de Seine 57 Paris. PL. 287. Fig. 3. 5. Orthoceras réègescens. Barr. . . .;:F E voir PI. 357—393? Spécimen légèrement arqué. Il représente une longue série de loges aériennes, presque totalement recouvertes par le tést. Les stries tendent à se grouper par deux, dans la partie supérieure. Koxoræ. id. cloison terminale, montrant le siphon subcentral. Autre spécimen, représentant une partie de la grande chambre et le bord de l'ouverture. Moule interne, con- servant quelques fragments du test et montrant la dis- position des ornements à former des anneaux. Koxorx. Autre spécimen, représentant la grande chambre isolée et conservant une partie du test. Les ornements figu- rent des anneaux ornés de fortes stries. Lochkov. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de loges aériennes. Les cloisons sont bien con- servées, tandisque le siphon a disparu. Tout l’inté- rieur est rempli de spath calcaire blanc. Lochkoc. id. cloison terminale, montrant la position subcentrale du siphon. Autre spécimen, représentant la partie inférieure de la coquille, recouverte par son test. Les stries sont très réguliérement espacées. Lochkov. Fragment du test, fortement grossi, d'après la fig. 1. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication inverse des stries, très prononcée. Fig. 10. 11. 12. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras oblitarm. Barr. . . . . .E Spécimen conservant son test presque complet, qui empêche de reconnaître les divisions de la coquille. Il est figuré par le côté convexe. Viskocilka. id. section longitudinale de l'extrémité inférieure, mon- trant quelques loges aériennes, dans lesquelles les cloisons et le siphon sont bien conservés. Il n'y a au- cune trace du dépôt organique. Tout l'intérieur est rempli de spath calcaire blanc. Autre spécimen, Vu par le côté concave. Il montre la grande chambre, le bord de l'ouverture, quelques loges aériennes et la majeure partie du test. Les stries sont légèrement convexes vers l'orifice, ce qui semble indi- quer le bord dorsal. Koxorz. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il montre la grande chambre un peu endommagée, une série de lo- ges aériennes, et une partie du test. Lochkov. id. vu par le côté concave, montrant le sinus des stries plus prononcé que sur la face latérale, et qui paraît indiquer le bord ventral. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, monirant l'imbrication inverse des stries. cl Barrande Syst Silur.de Doi EM e ol ll loliSt r“ohmayer n d'Nat.sey. with Wien. Lit useil.id kkof uw Stantsdruckerct PI. 288. Fig. Etage. Orthoceras Bohemicum. Barr. . . .E voir PI. 214—215—289—310. Spécimen vu par le côté dorsal, sur le milieu duquel les anneaux perdent complétement leur relief et sont seulement tracés par le cours des siries. Malheureu- sement, le dessinateur n’a pas assez fait attention à cette circonstance, de sorte que les anneaux sont trop for- tement marqués sur la ligne médiane. Cet exemplaire présente la partie inférieure de la grande chambre et une série de loges aériennes, en partie recouvertes par le test. Son angle apicial est peu ouvert. Karlstein. id. cloison terminale de la grande chambre, montrant la position centrale du siphon. id. vu par le côté ventral, sur lequel les anneaux pré- sentent leur plus fort relief. Autre spécimen vu par la face latérale, montrant la grande chambre à peu près complète, une série de lo- ges aériennes et une partie du test. Les anneaux sont obliques et presque effacés sur le côté dorsal. Karlstein. id. partie d'un anneau, fortement grossie, pour montrer les ornements du test. Par suite d’une distraction du dessinateur, la figure se trouve renversée. La saillie de l’anneau figuré étant placée à droite, ne se trouve pas en harmonie avec la fig. 4. Autre spécimen, vu par la face latérale. I] montre une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, recouvertes par le test. Les anneaux sont relativement peu prononcés et la partie inférieure de la coquille en est dépourvue. L'angle apicial est très ouvert. Hinter-Kopanina. Fig. 11. 12. 13. 14. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. Fragment de moindre diamètre, vu par le côté ventral, montrant des anneaux très saillants. Karlistein. id. section transverse, sans trace du siphon. id. vu par la face: latérale, montrant l'obliquité des anneaux, presque effacés sur le bord dorsal. Fragment vu par le côté ventral. Dans la partie supé- rieure, les anneaux sont très prononcés, mais ils s’effa- cent peu à peu en allant vers la pointe, de sorte que la surface devient lisse, à partir du milieu æ la lon- gueur. Dvoretz. id. section transverse au petit bout, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen vu par la face latérale. Les anneaux s'effacent graduellement, mais moins rapidement que sur l'exemplaire précédent. L’angle apicial est notablement réduit. Karlstein. Autre fragment, vu par la face latérale. Les anneaux, vers le gros bout, sont extrêmement saillants, mais ils s’effacent rapidement en allant vers la pointe, qui est lisse. L’angle apicial est relativement très ouvert. Kozorz. Autre spécimen. Section longitudinale, sur laquelle on voit quelques cloisons et quelques éléments du siphon bien conservés, tandisque tout le reste est délruit. Il n’y a aucune trace de dépôt organique. Tout l'intérieur est rempli de spath calcaire blanc. Karlstein. € Q J Barrande Syst Silur de Boheme \ol il P1288. lol Strohmaxer n.4 Nat. sen.u lith Wien Litu sed dk kHof u Siaatsdruckeret PI. Fig 289. Etage. . E Partie supérieure d'un spécimen, que l’espace n’a pas permis de figurer tout entier. Il représente une série de loges aériennes et une partie du test, composé de plusieurs lamelles séparables, dont la plus intérieure est lisse. Les anneaux, visibles vers le bas, s’effacent vers le gros bout. Dvoretxz. id. partie inférieure du spécimen précédent. Section lon- gitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien con- servés. On voit quelques traces du dépôt organique dans le siphon et sur les cloisons. Tout l'intérieur est rempli de spath calcaire, coloré par le carbone. id. cloison terminale du même spécimen, montrant la position un peu excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements semblables, sur diverses lamelles superposées, qui re- couvrent la lamelle lisse, qu’on voit sur la partie gauche de la fig. 1. id. section longitudinale du test, montrant la saillie des stries, sans imbrication. Autre spécimen, vu par le côté veniral. Les anneaux, distinctement marqués, font un sinus prononcé sur la ligne médiane. Dvoretz. Orthoceras magister. Barr... . . . Fig. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras Bohemicuan. Barr. . . .E voir PI. 214—215—288—310. Spécimen vu par la face latérale. Il montre la grande chambre presque complète, sauf le bord de l’ouverture; et une série de loges aériennes, dont les divisions sont cachées par le test. Les anneaux obliques sont très prononcés sur le bord ventral, tandisqu'ils disparais- sent sur le bord dorsal. Ils s’effacent aussi compléte- ment vers la pointe de la coquille, qui est lisse. Hinter-Kopanina. id. cloison terminale de la grande chambre, montrant la position centrale du siphon. 1 Barrande. Syst. Silur de Boheme.VoL.I. à 4— Heinr Beckern.d.4 A Nat gez a lith Wien. Lihugedid k.k-Hof u Staataiirnckere. * # : $ Re “SUP EN A L FF P L ACE Par AT PI. 290. Fig 3. ot Etage. G Orthoceras annulaluim. Sow. . À E voir PI. 225—291—424. Spécimen figuré par la face la plus large. Il montre la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Le bord de l'ouverture est endommagé, mais on reconnaît l’étranglement placé ordinairement un peu au dessous. Les anneaux font un faible sinus sur le milieu de ce côté. Les sutures des cloisons se voient au fond des rainures, qui séparent les anneaux. Butovitz. e 1. Les deux couches du test sont figurées. La couche externe montre tous les ornements très prononcés, tan- disque la couche interne est presque lisse et ne pré- sente que de très faibles impressions, qui correspondent aux stries de la surface externe. id. section transverse, orientée comme la fig. 1. est notablement elliptique et sans trace du siphon. id. fragment grossi. La partie supérieure à montre tous les ornements de la lamelle externe du test. La partie moyenne b représente la surface de la lamelle interne. La partie inférieure € figure les stries creuses gravées sur le moule interne. Autre spécimen. Moule interne, représentant la partie supérieure de la grande chambre, dont l'ouverture est un peu endommagée. Les anneaux font un léger sinus sur le milieu de la face large, exposée. On voit qu'ils disparaissent à quelque distance de l’orifice. La partie sans anneaux montre des impressions longitudinales, subrégulières et plus espacées que celles qui figurent la trace des ornements, dans la partie annulée. Collines de Listice. e 2. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés, sauf quelques fractures. Les anneaux de cet individu sont peu sail- lants. L'intérieur des loges aériennes et la majeure partie du siphon sont remplis par un dépôt chimique de spath calcaire. La vase noire a pénétré dans la partie supérieure du siphon. On ne voit aucune trace du dépôt organique. Ce spécimen a subi, dans la roche, diverses brisures, dont on reconnaît les traces. Visko- cika. e 2. Autre spécimen, montrant la partie inférieure de Ja grande chambre et une série de loges aériennes. Sur la ligne médiane de la chambre d'habitation, il existe une légère carène ou ligne normale, passant par le milieu du sinus formé par les anneaux. La série des loges aériennes est vue suivant une section longitudinale, passant par l'axe. Dans la partie supérieure, les cloisons et le siphon sont bien conservés, tandisqu'ils ont dis- paru sur Ja majeure partie de la longueur de ce frag- ment. On aperçoit, cependant, les extrémités des cloi- sons, fixées au test. Tous les vides ont été remplis par du spath calcaire blanc, excepté la partie du si- phon envahie par la vase noire. Viskoëilka. e 2. Elle Fig. 11. 15. 16. 17. 18. 19: 20. EXPLICATION DES FIGURES. Etage id. demi-cloison terminale de la grande chambre, vue par le côté convexe et montrant la position subcentrale du siphon. Autre spécimen, représentant un âge plus jeune. Il est vu par la face latérale, montrant l’obliquité des anneaux et les ornements du test. Collines de Listice. e 2. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen à peu près de même diamètre que le précédent et également vu par la face latérale. Il est dépouillé de son test, dont les ornemens n'ont laissé aucune trace sur le moule interne. Collines entre Bu- bovitz et Lodenitz. e 2. id. section longitudinale, montrant le siphon et les cloisons bien conservés. L'intérieur du siphon a été rempli par la vase noire, tandisque les loges aériennes ne présentent que du spath calcaire, plus ou moins pur. Il n'existe aucune trace de dépôt organique dans le siphon, ni dans les loges aériennes. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, fragmentaire, montrant quatre éléments du siphon en relief et une partie de la surface externe de la coquille, avec ses anneaux. Collines de Listice. e 2. id. vu par le haut, montrant la section transverse du siphon et du contour externe de la coquille. Autre spécimen. Section longitudinale d'une série de loges aériennes. Le siphon et les cloisons sont bien conservés. Le siphon, envahi par la vase noire, ne montre aucune trace du dépôt organique. Les loges sont remplies par du spath calcaire blanc. Collines entre Bubovitz et Lodenitz. e 2. id. section transverse, montrant la position subcentrale -du siphon. Autre spécimen, plus rapproché de la pointe de la co- quille. Il est vu par la face la plus large, sur laquelle les anneaux font un léger sinus. La partie inférieure montre un fragment de la lamelle externe du test avec ses ornements, tandisque tout le resie est recouvert par la lamelle interne, presque lisse. Tachlovitz. e 1. id. section transverse, orientée comme la fig. 17. La trace du siphon est invisible. Autre spécimen, montrant la partie la plus rapprochée de la pointe de la coquille. Les anneaux sont trés prononcés sur toute la longueur. Les ornements du test, qui est conservé, sont à peine visibles. Sedletz. e 2. id. section transverse, un peu elliptique, orientée comme la fig. 19. La trace du siphon est invisible. séesplé = ll M" DOILÈME khnhe: £ Truc Lith.u chonn n_d.Nat.sez ar lith Wien. 4 À Rud.: PI. 291. Etage G Orthoceras annulatam. SOW. . À E voir PI. 225—290-—-424. Spécimen représentant l’âge moyen de la coquille. Il montre une parlie de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant des fragments du test. Les anneaux font un léger sinus au milieu de la face vi- sible, qui correspond au bord ventral. Butovitz. e 1. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par la face convexe et montrant la position centrale du si- phon. La forme est légèrement elliptique. Autre spécimen d'un plus grand diamètre et dont les anneaux sont plus prononcés. Il est vu par la face latérale, montrant l’obliquité des anneaux. La surface conserve des fragments de la lamelle externe du test avec leurs ornements, dont la trace disparaît sur la la- melle interne, couvrant le reste du fossile. Collines entre Lu%etz et Lodenilz. € 2. Fragment du test, grossi, pour montrer les lamelles saillantes, qui forment les ornements. Autre spécimen, sur lequel les anneaux sont très peu prononcés. Il est recouvert seulement par la lamelle interne du test, dont la surface conserve la trace affai- blie des ornements transverses. Collines entre Bubo- viz et Lodenitz. e ?. id. section transverse. Siphon invisible. Autre spécimen, paraissant représenter une partie de la grande chambre. Les anneaux sont presque effacés sur toute la longueur de ce fragment, mais on reconnaît cependant, ça et là, les traces des rainures transverses. Par contraste, les ornements du test sont très pronon- cés. Les lamelles sont fortement espacées et trés sail- lantes. Leurs sinuosités sont disposées sur des lignes droites, longitudinales, comme sur les autres individus figurés. Hinter-Kopanina. e 2. id. fragment du test, grossi, avec ses ornements. lamelles se détachent de la surface sous-jacente. Autre spécimen, représentant une partie de la grande chambre, conservant presque tout son test. Vers l’ex- trémité inférieure, les anneaux sont encore très distincts, mais ils disparaissent graduellement. vers l'extrémité supérieure, dont une partie a été supprimée, faute d’es- pace. Par contraste, les ornements du test sont très prononcés. Leurs sinuosités sont disposées suivant des lignes droites, longitudinales. Hinter-Kopanina. e 2. Les 14. 16. 17. 1860. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section transverse; siphon invisible. id. fragment du test, grossi, montrant l’espace entre les lamelles saïllantes, couvert de siries faibles, dirigées dans les deux sens. Autre spécimen. Fragment de la grande chambre, con- servant la majeure partie du test. Les anneaux sont faibles, mais visibles sur toute la longueur de ce mor- . ceau. Les ornements sont très prononcés dans le sens horizontal, mais les lignes longitudinales ne sont pas neltement indiquées comme dans les exemplaires pré- cédents. Tachlovitz. e 1. id. fragment du test, grossi, montrant les lamelles sail- lantes et les stries transverses concentriques, dans leurs intervalles. Les sinuosités de ces ornements sont plus amples que dans les autres exemplaires. Autre spécimen. Fragment de la grande chambre, pré- sentant des anneaux extrêmement prononcés dans leur relief et dont la saillie est presque aigue. Les orne- ments du test, conservés sur un fragment de la la- melle externe, sont faibles et serrés. On en retrouve encore la trace sur la lamelle interne, qui recouvre presque tout le spécimen, Collines entre Lu%etlz et Bubovitz. e 2. Section transverse, très notablement elliptique. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Orthoceras evictum. Barr. . . . . .D Orthoc. annulatum ? Bull. de la Soc. géol. Sér. 2. XVII. p. 635. Barr. Colon. Fragment du test, aplati dans les schistes de la bande d 5. La surface conserve ses ornemens très distincts, et qui offrent quelque ressemblance avec ceux de Orfh. annulatum, fig. 15—17. Mais sans aucune trace d'an- neaux. Leiskov. d 5. Nous avions assimilé, avec doute, ce fragment à Orth. annulatum, mais aujourd'hui, nous croyons devoir lui donner un nom spécifique particulier, parceque cette identité ne nous paraît pas assez vraisemblable. ) rlur (le Bohenre Vol. If. PL291. | Parrande SMSE Rud.Schônn ndNat.cer.u.Hth.Wien. Lithu sed.r d.k ke. (EME Staatsdruskerer, PL 292. 10. EXPLICATION Etage. ; Orthoceras fransiens. Barr. . . . .E voir PI. 218—221—293-—402. Spécimen presque complet, un peu arqué et vu par la face latérale. Il montre le bord de l'ouverture intact sur celte face; un étranglement prononcé au dessous de ce bord; la grande chambre; et la majeure partie des loges aériennes conservant leur test. On reconnaît, dans l'étendue de cet individu, la variation successive de l'apparence des ornemens du test, qui caractérise cette espèce. Butovitz. e 1. id. vu par le côté convexe, qui paraît être le côté ven- tral, à cause du sinus qu'offrent les ornemens, sur le milieu de cetle face. id. extrémité inférieure, grossie, pour montrer la dispa- rition compléte des ornemens, sur la pointe initiale de la coquille. Autre spécimen, presque droit et vu par la face légè- rement concave, on dorsale. Il montre le bord de l’ou- verture, le moule interne de la grande chambre, con- servant la trace des anneaux et la partie cloisonnée re- couverte par son test. Celle partie est ornée seulement de stries régulières, peu saillantes, qui s'effacent entiè- rement sur Ja pointe de la coquille et qui tournent leur convexité vers l'orifice. Butovilz. e H. Autre spécimen, un peu arqué et vu par la face laté- rale. Il montre la base de la grande chambre et la série presque compléte des loges aériennes, en partie dépouillées du test. La surface de ces loges est ta- pissée par une couche mince de pyrite, comme dans les divers Orthoceres de la même localité, que nous avons figurés sur la Pl. 224 du même volume. On voit la trace des ornemens externes, sur la surface du moule interne. Butovitz. € 1. Autre spécimen faiblement arqué et vu par la face la- térale, complétement recouverte par le test. Il repré- sente la base de la grande chambre et la majeure partie des loges aériennes. Dans son étendue, on reconnaît la variation des ornemens de la surface. Vallon de Slivenetz. e 1. Autre spécimen arqué. Sa courbure n’est pas visible, parcequ'il est figuré par le côté concave ou dorsal, sur lequel les ornemens décrivent une ligne un peu con- vexe vers l'ouverture. On voit le bord intact de l'orifice, la grande chambre et la majeure partie des loges aéri- ennes recouvertes par leur test. La surface de celui-ci montre la variation habituelle dans l'apparence des or- nemens. Butovitz. e 1. Autre spécimen plus jeune, presque droit et presque complet. Le bord de l'ouverture est endommagé. Le test, qui recouvre ce fossile, montre des anneaux très di- stincts et dont la trace se reproduit sur le moule in- terne. Lochkov. e 2. Autre spécimen, presque droit el vu, comme le précé- dent, par la face latérale. J1 montre la base de la grande chambre et une partie des loges aériennes, con- servant leur test. La surface est ornée de stries fines, qui sont insensibles à l'oeil nû; mais on reconnaît, sur- tout vers le petit bout, la trace de faibles anneaux. Lochkov. e 2. Autre spécimen plus jeune, un peu arqué et vu par la face latérate. Il montre le bord un peu oblique de l'ouverture, le moule interne de la grande chambre et une partie des loges aériennes, conservant leur test. Les anneaux de la surface, quoique faibles, sont distincts sur toute la longueur de cet individu. Loch- kov. e 2. DES FIGURES. Fig. 11. 12. 13. 14. 17. 18. 19. 20. 21. Etage. Autre spécimen plus jeune et presque droit. Il est vu par la face latérale, montrant le moule interne de la grande chambre et la majeure partie des loges aérien- nes, conservant leur test. La trace des anneaux est très apparente sur presque toute l'étendue de ce fossile; mais, vers le petit bout, sur une longueur d'environ 5 mm. celte trace est réduite à une forte strie trans- verse, pour chaque anneau. Butovitz. el. Autre spécimen plus jeune et rectiligne. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. La surface de ce test ne présente aucune trace d'anneaux, mais seulement des siries transyerses, irrégulièrement espacées, et dont la saillie figure l'imbrication directe. Vallon de Sli- venelz. € 1. Autre spécimen, plus jeune et faiblement arqué. Il est vu par la face latérale, montrant le bord intact de l’ou- verture, la grande chambre, une série de loges aérien- nes et une partie du test. La trace des anneaux est distincte sur la majeure partie de la longueur de ce fossile, aussi bien sur le moule interne que sur le test. Lochkov. e 2. Autre spécimen. Moule interne de la grande chambre, vu par le côté convexe. Il montre le bord de l'ouver- ture, faiblement échancré, sur la ligne médiane et le sinus correspondant des anneaux, dont la trace est très apparente, ainsi que celle des stries qui les accom- pagnent. On remarquera un étranglement très prononcé, un peu au dessous de l’orifice. Butovits. e 1. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par la face convexe et montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, représentant la série presque complète des loges aériennes, conservant leur test. La surface ne montre aucune trace d'anneaux, mais seulement des stries fines, régulières et serrées, dans la région supé- rieure, et des stries plus fortes et relativement très écartées, dans la région inférieure. Butovitz. e 1. id. cloison placée au gros bout et vue par le côté concave. Elle montre la position centrale du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes. Les cloisons et leurs goulots sont bien conservés, tan- disque tous les élémens du siphon ont disparu. Il n'existe, dans cet intérieur, aucune trace du dépôt or- ganique. La grande chambre est remplie par le calcaire compacte, noir, qui a aussi pénétré dans la loge con- tigue, tandisque dans toutes les autres loges, il n'existe que du spath caleaire grisâtre. Butovitz. e 1. Fragment du test, grossi. Il représente les stries régu- lières, qu’on observe habituellement dans la partie su- périeure de chaque spécimen, et qui offrent l'imbrication directe. Autre fragment du test, grossi. Il représente les anneaux peu saillans et ornés de stries, qui occupent, le plus souvent, la partie moyenne des individus de cette espèce. Les stries figurent l'imbrication directe. Autre fragment du test, grossi. Il représente les siries plus écarlées et plus saillantes qu'on observe, à la place des anneaux, dans la partie inférieure des co- quilles, immédiatement au dessus de leur pointe lisse. * me Vol.IL. e JBarrande Syst Silur, de Boh PI. 292. Fri eR RE = Ben = aris. ie £r de Seine 57 P & C 1er Inp.Lemerc Humbert lth. PI. Fig. 3. 993 EXPLICATION Etage Orthoceras fransiens. Barr. . . . .E et Var. apex Barr. voir Pl. 218—224—292— 402. N. B. La variété apex est représentée par les spéci- mens fig. 1 à 8. Spécimen un peu arqué, vu par la face latérale, mon- trant le bord intact de l'ouverture, la grande chambre, la majeure partie des loges aériennes et de grands fragments du test. La surface de cet individu ne pré- sente aucune trace d'anneaux, mais elle est ornée, dans toute la longueur visible, de fortes stries saillantes, figurant l’imbrication directe. Elles sont très espacées, excepté près de l'ouverture. Butoritz. e 1. id. vu par la face convexe, ou ventrale, sur laquelle les stries font un large sinus, concave vers le haut. Autre spécimen, un peu arqué et vu par la face laté- rale, montrant le bord de l’ouverture, le moule interne de la grande chambre et de 6 loges aériennes, avec quelques fragments du test. Ces fragmens ne présen- lent que de fortes stries, comme dans l’exemplaire pré- cédent, mais leur trace se reproduit sur le moule in- terne, de manière à simuler des anneaux. Bulovitz. e À. Autre spécimen, rectiligne et vu par la face latérale. Il est presque complet, sauf la pointe. Son test ne pré- sente que de fortes siries, très espacées, comme dans la plupart des exemplaires figurés sur cette planche. Le petit bout paraît lisse, mais sa surface est un peu altérée. Butovitz. e 1. id. vu par le côté ventral, sur lequel les ornemens font un large sinus, concave vers le haut. La trace des stries de la surface se reproduit très fortement sur le moule inierne. Butovitx. e 1. id. fragment du test, grossi, sinus indiqué sur la fig. 5. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication directe des siries. Il est pris au droit du DES FIGURES. Fig. Etage, Autre spécimen, un peu arqué et vu par la face laté- rale, montrant la grande chambre endommagée et une série de loges aériennes. Le test, qui recouvre tout cet exemplaire, n'offre que de fortes stries, largement espacées, comme dans les individus précédens. Mais, Fimbrication de ces stries est peu prononcée, sur toute la longueur de la coquille. Elles s’effacent vers le petit bout, qui est lisse. Vallon de Slivenetx. e 1. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position centrale du siphon. Autre spécimen, de petite taille et rectiligne. La face exposée, qui paraît être la face venirale, montre une faible carène sur le moule interne de la grande ehambre. La partie cloisonnée est recouverte par son test, qui est orné de faibles anneaux et de stries fines, invisibles à l'oeil nu, comme dans la plupart des individus figurés sur la PI. 292. Lochkov. e 2. Autre spécimen, représentant la grande chambre isolée et vue par la face latérale, montrant le bord intact de l'ouverture et quelques fragmens du test. Cette partie de la coquille est rectiligne et se distingue particulière- ment par la réduction de l'angle apicial, qui paraît être beaucoup moins ouvert dans cet individu, que dans tous ceux qui sont figurés. Butovitz. e 1. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position centrale du siphon. Orthoceras i/ludens. Barr. . . . . .E Spécimen un peu arqué et vu par la face latérale. Il est w recouvert par le test, de manière à cacher toutes les sutures des cloisons. On ne peut pas même distinguer la limite de la grande chambre. La brisure au petit bout montre seulement le remplissage interne par. la È roche compacte, sans aucune trace du siphon. vitz. e 1. Bulo= 2957 st oiur de Bohème Vol. IE . qe E y || J'Barrand e 57 Paris. in Se de cier &CÈ— Imp.Lemer PI. 3. 204 L] Orthoceras dulce. Barr. . . . Var. omega. Barr. Var. caelebs. Barr. voir PI. 295— 357? Spécimen du plus grand diamètre connu. Il est rectiligne et représente le moule interne de la grande chambre, incomplète aux deux bouts. Il conserve une partie du test, dont les ornemens sont très distincts. Branik. e 2. id. fragment de la surface, grossi, pour montrer les ornemens. Les lignes longitudinales résultent des alig- nemens des petiles ondulations des stries transverses. Un Bryozoaire du genre Aulopora s'est établi sur la surface du test. id. grossissement beaucoup plus fort, pour montrer l'apparence des ornemens, sur diverses parties du test. N. B. Nous distinguons par le nom de Var. omega les spécimens dans lesquels les stries transverses offrent des ondulations prononcées, comme celles qui sont in- diquées sur la fig. 3. Autre spécimen. Moule interne de la grande chambre, complet vers le petit bout, mais un peu endommagé vers le gros bout. Ce fossile est un peu courbe dans la nature. On a fait abstraction de la courbure, qui paraît irréguliere et accidentelle. Branik. e 2. Autre spécimen, rectiligne. Moule interne représentant la grande chambre, qui atteint à peu-près le milieu de la longueur, et une série de loges aériennes. On voit les sutures des cloisons, au fond des rainures inter- annulaires. Près de l'ouverture, les anneaux sont plus rapprochés et moins saillans que sur les loges à air. Au contraire, les anneaux sont plus espacés sur une certaine longueur, qui correspond à l’étranglement habi- tuel sous l’orifice. Koxorz. € 2. id. section transverse, vers le petit bout, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, rectiligne. Moule interne, représentant une longue série de loges aériennes. Dvorelxz. e 2. Fig. 10. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre spécimen, plus jeune et régulièrement arqué. Le moule interne de la grande chambre montre une partie du bord de l'ouverture et l’étranglement habituel, un peu au dessous de celle-ci. La série presque compléte des loges aériennes conserve son test, orné de stries fines, transverses, qui présentent des traces d’ondulations. Koxzorz. e 2. Fragment rectiligne d’une grande chambre, conservant son test, sur lequel prédominent les stries longitudina- les, résultant des alignemens des petites ondulations des siries transverses. (Cette apparence est représentée par la fig. 5., Pl. 295. Elle constitue une variété, que nous distinguons par le nom de Var. caelebs. Konie- prus. e 2. Autre spécimen jeune et fortement arqué. Il montre le moule interne, presque complet de la grande chambre, qui s’amincit graduellement vers l'ouverture, et une série de loges aériennes, également dépouillées de leur test. Butovitz. e 1. 11.=(1S.) Fragment d'un spécimen non figuré. Dans une 12. 13. 14. brisure, il montre l’apparence d’un dépôt organique dans les loges aériennes, comme nous le figurons PI. 227, fig. 5—6 et PI. 229, pour diverses espèces. Dlauha Hora. e 2. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant le siphon et les cloisons bien conservés, tandisque le premier est habituellement détruit dans les autres exemplaires, que nous avons fait scier. Karlstein. e 2. Autre spécimen presque rectiligne. Moule interne, re- présentant la majeure partie de la grande chambre et des loges aériennes. Les anneaux sont relativement plus serrés dans cet exemplaire que dans le Voisin, fig. 8, qui offre à peu près le même diamètre. Koxzorz. e 2. id. cloison prise vers le petit bout. Elle est vue par la face convexe et montre la position centrale du siphon. J Barrande Syst Silur de Boheme Vol. IE. Humbert hth. - Imp.Lemercier,r.de Seine 57 Paris. PI. 295. we QU 10. 11. 12. Etage. fE Orthoceras dulce. Barr. + | D col. Var. omega. Barr. Var. caelebs. Barr. voir PI. 294 — 357? Grande chambre isolée, rectiligne, incomplète vers l’ou- verlure. Moule interne, conservant quelques fragmens du test, qui montre des stries transverses, sans ondu- lations. Les anneaux sont très rapprochés. Hinter- Kopanina. e 2. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position centrale du siphon. Autre spécimen, rectiligne, représentant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, con- servant leur test. La surface de ce test, dépouillé sans doute de sa lamelle externe, est complétement lisse, Hinter-Kopanina. e 2. Autre spécimen, rectiligne, représentant une Érrbe de la grande chambre, une série de loges aériennes et de grande fragmens du test, conservant ses ornemens. Lochkov. e 2. id. fragment du test, grossi, pour montrer son orne- Mmentation remarquable, parceque les stries longitudinales prédominent sur les stries transverses. Cette apparence est celle que nous distinguons par le nom de Var. caelebs, et qui est aussi figurée sur la PI. 294, fig. 9. Autre spécimen, un peu arqué dans le voisinage de l'ouverture. Il représente la grande chambre, occupant plus de deux tiers de la longeur du fossile, et une série de loges aériennes. Le test, partiellement conservé, est orné de stries transverses prédominantes, mais dont les ondulations serrées tendent à figurer des lignes lon- gitudinales, indiquées sur la fig. 28. Koxorz. e 2. Autre spécimen, plus jeune et un peu arqué. Il repré- sente la base de Ja grande chambre et la série presque compléte des loges aériennes. Le test, bien conservé, excepté sur la grande chambre, est orné de stries transverses, légèrement ondulées. Ces stries sont prin- cipalement prononcées dans les rainures interannulaires, tandisque le sommet des anneaux est presque lisse. Cette disposition a été omise parmi les divers grossisse- mens du test. Koxorx. e2 id. section transverse, circulaire. Le siphon, non indiqué, est central. Autre spécimen, à peu-prés de même diamètre que le précédent, mais beaucoup plus arqué. Il représente la grande chambre incomplète vers le haut, et offrant un étranglement alongé. La série des loges aériennes, tronquée vers la pointe, conserve son test, orné de siries transverses, un peu ondulées comme sur Ja fig. 27. Dans quelques parties, où la lamelle externe a dis- paru, la surface du test paraît lisse, comme sur la fig. 24. Koxorz. e 2. id. section transverse, circulaire. qué, est central. Autre spécimen, aussi arqué que le précédent, et égale- ment vers la base de la grande chambre, qui est in- compléte vers le haut. Il ne manque que l'extrême pointe à la série des loges aériennes. Le test, partielle- ment conservé, n'offre que des stries transverses, à peine ondulées, comme sur la fig. 27. Koxoïz. e 2. Auire spécimen, plus jeune, presque droit. La moitié supérieure représente le moule interne de la grande chambre, qui paraît compléte, tandisque la moitié infé- rieure se compose de loges aériennes, recouvertes par leur test. La surface est ornée de siries transverses, très fines, comme sur la fig. 25. Koxoïz. € 2. LU Le siphon, non indi- Fig. 13. 14. 18. 19. 20. 21. 22. 27. 28. 29. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre spécimen de moindre diamètre et presque droit. Il représente le moule interne de la grande chambre, qui paraît compléte, et la partie cloisonnée presque entière, conservant son test. La surface est ornée de stries transverses, un peu moins serrées que sur la fig. 25. Kogorz. e 2. Autre spécimen de même diamètre que le précédent, mais notablement arqué. Il représente la base de la grande chambre et la majeure partie des loges aériennes, con- servant quelques fragmens du test. La surface, dépouillée de la Jlamelle externe, paraît lisse. Lochkov. e 2. Autre spécimen plus jeune et arqué seulement vers la pointe. On voit, au gros bout, la base de la grande chambre. Les anneaux, de moins en moins saillans vers la pointe, finissent par s’effacer. La surface du test ne présente que des stries transverses, très serrées, comme sur la fig. 25 et elle paraît lisse, vers le petit bout du fossile. Kozorz. e 2. Autre spécimen tres jeune et notablement arqué. Il montre la base de la grande chambre, et la partie cloisonnée compléte, avec son extrémité arrondie. Lochkov. e 2. id. partie extrême ou initiale de la coquille, fortement grossie, pour montrer la calotte initiale lisse, suivie d’une partie simplement ornée de stries transverses, et au dessus de laquelle les anneaux apparaissent brusque- ment. Hinter-Kopanina. e 2. N. B. Nous possédons des spécimens semblables, de Lochkow, Kozel et autres localités. id. surface convexe, lisse, de la calolte terminale. Autre spécimen, représentant le moule interne, un peu endommagé vers le haut, d'une grande chambre, faible- ment arquée et montrant un notable étranglement, vers le milieu de sa longueur. Hinter-Kopanina. € 2. Autre spécimen, d'un plus fort diamètre. Il représente aussi le moule interne d'une grande chambre, un peu arquée, presque compléte et également retrécie dans sa partie moyenne. Koxorz. € 2. N. B. Dans ces deux spécimens, les anneaux disparaissent presque entièrement, dans le voisinage de l’ouverlure. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position centrale du siphon. Autre spécimen. Fragment de la grande chambre mon- trant des anneaux très rapprochés et conservant son test, couvert de stries transverses très fines, sans on- dulations. Dlauha Hora. e ?. id. fragment de la surface, grossi, pour montrer ses ornemens. Fragment de la lamelle interne, pris sur le spécimen fig. 3, et grossi, pour montrer sa surface lisse. Fragment grossi de la surface de la lamelle externe dn test, ornée de stries transverses ; très fines, comme on les observe sur divers spécimens. Fragment grossi de la lamelle externe du test, montrant des stries transverses plus fortes et qui présentent des ondulations très peu marquées, comme on les rencontre sur beaucoup d'individus. Fragment grossi de la lamelle externe du test, montrant l'apparence des stries Jongiludinales, résultant de l’alig= nement des petites ondulations du test, comme on les observe sur le spécimen fig. 6. Ces” ondulations ne sont pas convenablement indiquées sur cette figure, mais on les voit très bien sur les fig. 2 et 3, PI. 294. Les lignes longitudinales sont dir moins apparen- tes que sur la Var. caelebs. fig. 5. Fragment du moule interne de la grande chambre, grossi, pour montrer les stries creuses très apparentes, qu' ’on observe sur la plupart des spécimens de cette espèce et qui sont visibles à l'oeil nô. . - . CT NES Pa père = à pr aant lg hs ete tate VEN Vans tin chbres CHAT Shin Be arme ti VS Date M A Pie ee Ou radiée) © de Seine 57 Paris. Lu Imp.Lemercier &C® in VolIT. 1EME J'Barranide Syst Silur de Bar PL. 296. 3. 16. 11. 12. 13. 14. EXPLICATION Etage. SE Orthoceras pleurotomum. Barr.|\p col. voir PI. 224—366? Spécimen vu par la face latérale. Il montre le moule d'une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, presque totalement recouvertes par le test. Butovilz. e 1. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 1. Elle est vue par la face convexe et montre la position excentrique du siphon, sur le grand axe. id. vu par le côté dorsal, montrant la carène sur le moule de la grande chambre et la convexité des stries vers l'ouverture. Autre spécimen vu par le côté ventral. Il montre le bord de l'ouverture, le moule de la grande chambre et une série de cloisons, recouvertes par leur test. Bu- tovilz. id. fragment du test, grossi. Il est pris sur le côté ventral et montre le sinus arrondi des ornements. id. autre fragment du test, pris sur la face latérale et montrant la disparition d’une sirie entre 2 autres stries, plus prolongées vers le bord dorsal. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication inverse, très prononcée, de ses ornements. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il représente la grande chambre isolée d'un adulte, du plus grand diamètre connu. Le bord de l'ouverture est presque complet et il reste de grands fragments du test sur le moule. Butovitz. Autre spécimen, de faible diamètre, vu par le côté ven- tral. Il représente une longue série de loges aériennes, conservant une partie de leur test. Les stries, plus espacées que dans les spécimens précédents, n’indiquent point une variété, mais une différence individuelle. Bu- tovilz. id. vu par la face latérale, montrant l’obliquité des stries. id. section transverse, sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi. Il est pris sur le côté dorsal et montre les stries formant un arc convexe vers l'ouverture. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication inverse de ses ornements, comme fig. 7. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant le bord intact de l'ouverture; la grande chambre, avec l’étranglement habituel; une série de loges aériennes et une partie du test. Butovilz. DES FIGURES. ‘ 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. Etage. Autre spécimen, vu par le côté dorsal, montrant la grande chambre avec sa carène, une série de loges aériennes et quelques fragments du test. Bulovitz. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant une série de loges aériennes et une partie du test. On voit la distance des cloisons diminuer rapidement vers le haut. Butovitz. Autre spécimen, plus jeune que tous les précédents. Moule interne, montrant le bord intact de l'ouverture, la grande chambre et une série de loges aériennes. Il est vu par la face latérale, sur laquelle on distingue l'impression des ornements. Hinter-Kopanina. e 2. Autre spécimen, vu par la face latérale, conservant une : grande partie du test. Par suite d’une brisure suivant le plan médian, on voit en relief le goulot de la cloison inférieure. Butovilz. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il montre une : série de loges aériennes très alongées et une partie du test. Butovitz. Autre spécimen, avec une partie du test. Il montre une série de loges aériennes, très alongées. Celles du gros bout ont été usées de manière à montrer les cloisons et les goulots. Bulovilz. Autre spécimen, vu par la face latérale. La partie infé- rieure a été usée de manière à montrer quelques cloi- sons et leurs goulots. Butovilz. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées avec leurs goulois, tandisque tous les éléments du siphon ont disparu. Butovilz. N. B. Ces diverses sections, fig. 20—21—22, s’ac- cordent à montrer l'absence de tout dépôt organique. Autre spécimen montrant la troncature de l'extrémité de la coquille, qui a été réparée. Butovitz. Autre spécimen vu par la face latérale et montrant éga- lement la troncature de l'extrémité inférieure. Butovitz. On remarquera, dans ces deux derniers spécimens, que l'extrémité réparée par le mollusque offre une forme conique, qui contraste avec l'apparence arrondie des cloisons visibles, fig. 18—21. ; PI.296 Paris. Seine 57 Imp.Lemercier,r de Ar PI. ot «1 10. 297. OGrthoceras Æanthus. Bar. .- .- - .- -E Spécimen vu par la face latérale. en partie recouverte par le iesi. On voit la base de la grande chambre et 3 loges aériennes. tres alongées. Butoritz. Autre spécimen. vu par la face latérale, conservant une parüie du test. Il montre le grand espacement des cloi- sons. Bulorifz. . B. La pointe de ces deux spécimens parait pré- Fur la trace d'une réparation par le mollusque. après la troncature normale. car elle offre une forme conique qui contraste avec la forme aplatie des cloisons. Autre spécimen. vu par la face latérale, en grande par- tie recouverte par le test. Il montre la base de la chambre d'habitation et quelques loges aériennes. Bu- tovilz. id. eloison terminale de la grande chambre. vue par la face convexe et monirant la position subcentrale du siphon. Auire spécimen vu par le côté dorsal, montrant une légère carène sur le tesi. Bulorilz. id. fragment du test, fortement grossi. montrant l'appa- rence de ses ornements. sur la face latérale. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication inverse de ses siries. Orthoceras Endymion. Barr... . . .E Spécimen vu par la face latérale. Il représente la grande chambre. conservant la majeure partie de son test. Le bord de l'ouverture manque. Koxel. id. vu par le côté dorsal, montrant la carène sur le moule interne, tandisqu'elle est invisible sur le test. id. vu par le côté ventral. montrant le sinus arrondi des ornements. On voit les siries se rapprocher et devenir tirés serrées vers l'ouverture. EXPLICATION DES FIGURES. | Fig. | 11. 12. 13. 14. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par. la face convexe et montrant la position un peu excen— trique du siphon. id. fragment du test, pris sur le milieu du côté ventral et grossi pour montrer ses ornements. | id. section longitudinale du test, mentrant l'imbrication - inverse de ses ornements. “4 Auire spécimen, vu par le côté dorsal. Moule interne. de la grande chambre, montrant la carène et une faible - impression des ornements. Vohrada. 4 Autre spécimen, vu par la face dorsale. Moule interne de la grande chambre, montrant la carène, qui tend. à s’effacer vers le bas, comme dans le spécimen pré- cédent. Koxel. : Orthoceras caduceus. Barr. . {5 pe Spécimen vu par la face latérale. Il représente la grande « chambre, en grande partie recouverte par le test. On voit une portion du bord de l'ouverture, tandisque l'ex. trémité inférieure est tronquée. Koxel. | id. vu par le côté ventral, montrant le bord de l’ouver- “ ture et le sinus correspondant des ornements. l id. vu par le côté dorsal, montrant la eonvexité des. ornements et les faibles traces de la carène sur la sur- face du test, tandisque son relief est prononcé sur le - moule interne, visible dans une lacune. id. section transverse, sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi et montrant la convexité des stries vers l'ouverture, sur le côté dorsal. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication inverse de ses ornemenis, trés peu saillans. id. fragment du test, grossi, montrant le sinus de ses. ornements sur le côté ventral. id. section longitudinale du test. P1.29 AAA = = Ë A E] = RNA ES um er fe EL aT A av NA EE FIV Al ASE es t PI. Fig. 3. 13. 14. 18. 19. 298. Orthoceras £eres. Barr. . . Var. pinguis. Barr. voir PI. 299. Spécimen vu par la face latérale, conservant une partie | du test. Il représente la grande chambre tronquée vers le haut. Konieprus. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus aplati des ornements. id. cloison terminale, elliptique, vue par la face con- vexe et montrant Ja position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements, dont l'imbrication est très prononcée. id. section longitudinale du test, inverse de ses ornements. montrant l’imbrication Orthoceras serratulum. Barr. . . -E Spécimen vu par la face latérale. Moule interne, qui montre le bord de l'ouverture, la grande chambre et une série de loges aériennes. Lochkorv. id. vu par le côté dorsal, montrant la carène mince, mais très prononcée, sur le moule interne de la grande chambre et des loges aériennes. id. vu par le côté ventral, conservant quelques frag- ments du test et montrant le sinus arrondi des ornements. id. section transverse, très elliplique, orientée comme la fig. 6; sans trace du siphon. id. fragment du test, pris sur la face latérale et mon- trant les rainures, qui s'effacent en passant du côté ventral sur celte face. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il représente une série de loges aériennes, recouvertes par leur test, sur la face exposée, mais visibles sur la face opposée. Dlauha Hora. id. spécimen vu par le côté ventral, montrant le sinus des ornements. id. fragment du test, pris sur le côté ventral et grossi, pour montrer les rainures dont il est orné. A l'ex- trémité inférieure, on voit l'impression de ces rainures sur le moule interne, Orthoceras accedens. Barr... . . .E Spécimen vu par la face latérale. Il représente la grande chambre, tronquée vers le haut et conservant son test. Lochkov. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des orne- ments. id. fragment du test, grossi, pour montrer l'apparence de ses siries. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position excentrique du siphon. Elle est ori- entée comme la fig. 14. Orthoceras placiduan. Bar. . . . .E Spécimen vu par la face latérale. Moule interne, mon- trant le bord de l'ouverture, la grande chambre et quel- ques loges aériennes. Butovitz. id. section transverse, orientée comme la fig. trace du siphon est invisible. 18. La EXPLICATION DES . | Fig. 20. 21. 22. 23. 24. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. FIGURES. Etage. Autre spécimen vu par la face latérale. Il représente la base de la grande chambre et quelques loges aéri- ennes, recouvertes par leur test. Entre les stries prin- cipales, on voit deux siries secondaires, qui disparais- sent sur le milieu de cette face. Lochkov. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses Orne- ments. Il est pris sur le côté ventral, au droit du sinus arrondi des stries transverses. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication inverse des ornements. id. autre fragment du test, pris sur le côté dorsal, mon- trant la convexité des stries. Vers la partie inférieure, on voit la surface du moule, avec la carène et l'im- pression des stries transverses. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication inverse de ses ornements. Autre spécimen, vu par le côté ventral. Il montre une partie de la grande chambre et une série de loges aéri- ennes recouvertes par leur test. Dans cet individu, la section transverse se rapproche beaucoup plus du cercle que dans la plupart des autres, mais cependant elle est encore elliptique. Lochkon. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par la face convexe et montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, vu par le côté dorsal, montrant la carène, sur le moule de la grande chambre et sur le test des loges aériennes. Lochkov. Autre spécimen, de plus grand diamètre, vu par la face latérale, montrant le moule de la grande chambre et une série de loges aériennes. On observe, sur le moule, quelques lignes longitudinales, dans le voisinage du côté dorsal. Lochkov. Autre spécimen, vu par le côté ventral. Il représente la grande chambre et quelques loges aériennes, en grande partie recouvertes par leur test. On aperçoit, sur la surface, des stries longitudinales, faibles et rapprochées, Lochkov. id. cloison terminale, vue par la face convexe el mon- trant la position centrale du siphon. Elle est orientée comme la fig. 29 Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant la grande chambre, une série de loges aériennes et une grande partie du test, dont la surface présente des stries longitudinales. Lochko®. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il montre le bord de l'ouverture intact, la grande chambre, une série de loges aériennes et la majeure partie du test. La surface présente des stries longitudinales très pronon- cées. Lochkov. Autre spécimen, vu par le côté dorsal, montrant la carène sur le moule de la grande chambre et quelques loges aériennes. La section de cet individu est presque cir- culaire. Lochkov. id. section transverse, très faiblement elliptique, sans trace du siphon. Elle est orientée comme la fig. 35. id. vu par la face latérale, conservant une partie du test, sur lequel on voit des stries transverses très rap- prochées et des stries longitudinales très marquées, for- mant un réseau. 2076 22e RESES RTS RE EE ES » 7 CPP OUPS PSE Bohéme V Seine 57 Paris S Imp.Lemercier re Humbert hth.. PI. 3. Qt QU ne A 42 de lee 12. 13. 299. Etage. Orthoceras comatumn. Barr... . . . .E Spécimen vu par la face latérale, recouverte par son test. Il représente une série de loges aériennes, dont les cloisons ne sont pas toutes distinctes, à cause du test. Lochkov. id. section transverse, circulaire, montrant la position excentrique du siphon. Autre spécimen, vu par le côté dorsal et recouvert par son test. Lochkov. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication inverse des slries principales. Autre spécimen, vu par le côté ventral. Il conserve son test, sur le milieu duquel on aperçoit une carène lon- gitudinale, lineaire, très peu marquée. Lochkov. Orthoceras placens. Barr.. . . . . .E voir PI. RS —406. Spécimen vu par la face latérale, conservant son test. 11 montre une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes. Viskotilka. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus aplati des ornements. id. cloison terminale, circulaire, vue par le côté con- vexe et montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication inverse des stries. LA Orthoceras Wongissènium. Barr. voir PI. 366—386. .E Spécimen vu par la face latérale, montrant la grande chambre incompléte, une série de loges aériennes et une partie du test. Kozorz. N. B. La flexion accidentelle de cette coquille, n'étant accompagnée d'aucune brisure, paraît avoir eu lieu pendant la vie du mollusque. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des orne- ments, qui sont trés peu marqués dans la nature. id. section transverse, elliptique, orientée comme la fig. 12. La trace du siphon est invisible. id. fragment du test, grossi, montrant l'apparence de ses ornements, sur la face latérale. id. section longitudinale du test, indiquant l’imbrication inverse de ses siries, qui est peu prononcée. Fig. 24. 32. 33. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. ; {D col. Spécimen vu par la face latérale, montrant le bord intact de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et la plus grande partie du test. Koxorz. id. vu par le côté dorsal, montrant la convexité des stries vers l'ouverture. id. section transverse, elliptique, orientée comme la fig. 17 et montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, pris sur la face latérale et grossi pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, indiquant l’imbrication inverse des stries. Autre spécimen, vu par le côté dorsal. Il représente la grande chambre et une série de loges aériennes, en partie recouvertes par leur test. On voit une carène, sur toute la longueur du morceau. Koxorx. Autre spécimen, vu par le côté ventral. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre et une série de loges aériennes, avec une partie du test. Kozorz. Autre spécimen, vu par la face latérale, recouverte par son test. Il montre des ornements plus prononcés et plus espacés que dans la plupart des autres exem- plaires de cette espèce. Koxorz. Orthoceras feres. Barr. . . . voir PI. 298. Orthoceras liberum. Barr.. .. At. Spécimen vu par la face latérale, montrant la grande chambre à peu près complète, une série de loges aériennes et une partie du test. Viskocilka. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des ornements. id. cloison terminale, circulaire, vue par le côté con- vexe. Elle est orientée comme la fig. 25 et montre la position un peu excentrique dn siphon, qui paraît filiforme. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, indiquant l'imbrication inverse de ses siries. Orthoceras praeda. Bar. . . . . - .E Spécimen vu par la face latérale. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Koxel. id. section transverse, montrant la positon centrale du siphon. id. fragment du test, forlement grossi, pour montrer les rainures très prononcées, qui sillonnent sa surface. id. section longitudinale du test, montrant l'absence de toute imbrication des ornemens. P1299 lmp. Lemercier rde Seine 27 laris ci RO EC = Eee us | ; OLIS ES RES EEA EE MSI | | Humbert hth ee | J at” HE : rs L. PL Fig. 3. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 300. Etage Orthoceras Janus. Barr. . . .. . .E voir PI. 225—327— 367. Spécimen vu par la face latérale, dépouillée du test. Il montre la grande chambre avec le bord intact de l'ouverture et l’étranglement habituel, un peu au dessous. Au petit bout, on voit une série de loges aériennes. Les cloisons les plus voisines de la grande chambre sont les seules distinctes. Ce morceau offre les plus grandes dimensions connues dans cetle espèce. Konieprus. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant le bord de l'ouverture intact, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Konieprus. id. vu par le côté dorsal, montrant la surface du test, qui est lisse, sur celte partie de la coquille et une faible carène, tracée dans toute la longueur, aussi bien sur le test que sur le moule interne. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments. Il est pris sur le bord de la face latérale, près du côlé ventral. On reconnaît l'imbrication inverse des stries. id. autre fragment du test, également grossi. Il est pris sur le milieu du côlé ventral et montre le sinus des ornements. Autre spécimen, vu par le côté ventral. Moule interne, montrant la grande chambre presque complète et une série de loges aériennes. La surface conserve l’impres- sion des ornements. Konieprus. Autre spécimen, vu par le côté dorsal. Moule interne de la grande chambre, montrant la carène. Konieprus. Autre spécimen, vu par la face latéralé. Moule interne de la grande chambre, conservant l'impression des orne- ments et montrant le bord de l'ouverture ainsi que l’étranglement habituel. Konieprus. id. cloison terminale, vue par le côté convexe et mon- trant la position excentrique du siphon. Elle est ori- entée comme la fig. 8. Autre spécimen, vu par le côté dorsal. Moule interne de la grande chambre, montrant la carène sur une sur- face lisse. Konieprus. Autre spécimen, vu par la face latérale, conservant une partie du test. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre et une série de cloisons, cachées sous le test. Dlauha Hora. Autre spécimen, vu par le côté ventral. Moule interne, montrant la grande chambre et 2 loges aériennes. Sa surface conserve la trace des ornements. Konieprus. Ce petit individu était renfermé dans un fragment d’une autre espèce, dont on voit les débris. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre et une série de cloisons, recouvertes par le test. Konieprus. Orthoceras praecox. Bar. . . . . .D Spécimen vu par la face latérale, recouverte par son test. Lodenilz. id. grossi pour montrer la disposition des stries, qui ornent sa surface. id. section transverse, orientée comme Ja fig. 14. La trace du siphon est invisible. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. Fig. 18. 19. 20. 21. 22. 28. 29. 33. 34. 35. 36. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras extremum. Barr. . . . .E Spécimen vu par la face latérale. Moule interne de la grande chambre, montrant l'impression de ses orne- ments. Dvoretxz. id. vu par le côté ventral, conservant un fragment du test et montrant le sinus des ornements. id. vu par le côté dorsal. id. cloison terminale, elliptique, orientée comme la fig. 18. Elle est vue par la face convexe et montre la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi. Il montre la forte saillie des ornements transverses, leur imbrication directe et les faibles stries longitudinales, tracées sur la surface. « .E Spécimen vu par la face latérale. Il montre le bord intact de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Ko%el. id. vu par le côté dorsal, montrant la convexité des stries vers l'ouverture. id. vu par le côté ventral. id. section transverse, elliptique, orientée comme la figure 23; sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. « H est pris sur la face latérale. Orthoceras robustulum. Barr. . . Cyrioceras acyrtos. Barr.. . . . . .E Spécimen vu par la face latérale. Il montre le bord intact de l'ouverture, la grande chambre avec les cré- nelures de sa base, une série de loges aériennes et des fragments du test. Viskocilka. id. vu par le côté ventral, montrant le siphon mis à nu par une section longitudinale. On reconnaît, sur le test, le sinus des stries et une carène sur le moule de la grande chambre. ÿ id. vu par le côté dorsal. On observe, sur le côté droit, la trace d’une autre carène très faible, qui n'est pas placée, comme la précédente, dans le plan médian. id. section transverse, ovalaire, orientée comme la fig. 28 et montrant la position submarginale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, qui présentent l'imbrication directe. [4 “ Orthoceras transforme. Bar. . . . En Spécimen vu par la face latérale. Il montre la base“ de la grande chambre et une série de loges aériennes, recouvertes par le test, dont les ornements cessent brusquement, à une certaine hauteur. Koxorz. F id. va par le côté dorsal, montrant la convexité des ornements vers l'ouverture. id. cloison terminale, circulaire, vue par la face con- vexe et montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements, dont l’imbrication directe est très prononcée. J'Barrande. Systeme Silur. de Bohème Vol II. Imp Lemeraerr de Seine 57 Paris Humbert liih. PL 301. Etage. Orthoceras severauamn. Barr. .E voir PI. 219—221—225—229—239—280—302—310. 1. 2. Spécimen vu par la face latérale, montrant une série de loges aériennes, presque entièrement recouvertes par le test. Koxorx. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. On voit des anneaux obstruc- teurs, très faiblement développés, au droit des goulots. Il n'y a aucune trace du dépôt organique, dans les loges aériennes, remplies de calcaire spathique, à l’ex- ception d’une seule, qui a été injectée par le calcaire noir, aprés avoir reçu une première couche de spath blanc, sur toutes ses parois. id. section transverse, orientée comme la fig. 2 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer la disposition de ses lamelles et des stries fines dont sa surface est ornée. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication directe des lamelles. Fig. 10. 11. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras subsiructum. Barr... . .E Spécimen représentant une série de loges aériennes. Il est vu par la face latérale, sur laquelle on ne distingue que les ornements du test, faisant un faible sinus. Vallon de S!': Procop, près Holin. (Coll. Schary.) id. vu par le côté dorsal. Vers le gros bout, on aper- çoit la surface d’une cloison, tandisque, vers le petit bout, on distingue le goulot d’un élément du siphon. Les ornemens figurent ur arc convexe vers le haut. id. vu par le côté ventral. Les ornements font un faible sinus, qui contraste avec la courbe convexe vers l’ou- verture, qu'ils décrivent sur le côté dorsal, fig. 7. id. section transverse, orientée comme la fig. 7 et mon- trant la position du siphon. Cette position n’est pas exactement figurée, car le siphon se trouve un peu hors du plan médian, dans le spécimen. id. fragment de la surface, grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l'absence d'imbrication, dans les ornemens. 4 CON É J Barrande Syst Silur. de Bohème Vol.IT. PL501 ERAGARU Humbert lith. Imp.Lemercier r de Seine 57 Fans PL. 302. Etage. Grthoceras severam. Barr. . . . . .E voir PI. 219—221—225—229—239—280—301—310: 1. # ot Spécimen dont la partie supérieure a été supprimée. faute d'espace. Il représente la section longitudinale d'une série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont bien conservés. Dans le siphon, on voit des anneaux obstructeurs peu développés, au droit des goulots. On distingue aussi, dans les loges aéri- ennes, le dépôt organique, inégalement distribué sur les parois des cloisons. Il est beaucoup plus déve- loppé dans le grand espace, à droite du siphon, que dans le petit espace à gauche de cet organe. Il con- irasle, par sa teinte foncée, avec le spath calcaire pres- que blanc, qui constitue le dépôt inorganique. Le cal- caire compacte noirâtre a pénétré dans 3 élémens du siphon, vers le petit bout du fossile. Koxoïx. id. section transverse, orientée comme la fig. 1 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements, c. a d. des lamelles et des stries un peu obliques, qui sont un peu moins règulières dans la nature. Autre spécimen, vu par l'extérieur. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. L'extrémité inférieure est courbée, par suite d'un acci- dent. Dans Ja partie endommagée, vers le haut, on reconnaît plusieurs lamelles du test. Hinter-Kopanina. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés, sauf quelques brisures partiel- les. Il existe de faibles anneaux obstructeurs, au droit des goulots. Le dépôt organique, assez développé dans les loges aériennes, se distingue par sa nuance grise, intermédiaire entre la couleur blanchâtre du spath cal- caire et la couleur noire du calcaire compacte, qui con- slituent partiellement le remplissage inorganique. On peut remarquer, que les parois, soit du siphon, soit des loges aériennes, qui ont été immédiatement recou- vertes par la vase noire, sont généralement dépourvues d'incrustations spathiques. La substance qui recouvre les deux parois de ces cloisons, est le dépôt organique. l Fig. 6. Ti EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section transverse, montrant la position un peu excentrique du siphon. - id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- . ments. La partie inférieure de cette figure représente la surface du moule interne, couverte de stries creuses, irrégulières. Orthoceras squamatulum. Barr.| , pr voir PI. 310—370. Spécimen représentant deux loges aériennes, recouvertes par leur test. Viskoëilka. id section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Il n'existe, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes, aucune trace du dépôt organique. id. cloison terminale, montrant le siphon excentrique. Autre spécimen, représentant une série de 5 loges aéri- ennes, recouvertes par leur test. Dvoretz. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées, ainsi que deux des éléments du siphon. On ne voit aucun dépôt organique dans le siphon, mais il est trés développé dans la partie gauche des loges aériennes. Sa couleur grise contraste avec la nuance blanchâtre du calcaire spathique, qui constitue le rem- plissage inorganique. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments. La figure n'indique pas leur apparence lamel- leuse, très-visible dans la nature, ainsi que leur imbri- cation directe, très prononcée. Lt, PL. 302 Imp Lemercier r de Seme 57 Pans kid J Barrande Syst Silur de Bohème VolIT. Humbert Hith Se QE PL. 2. 303. Etage. Orthoceras Halli. Barr. . . . . . . .E Spécimen notablement arqué et vu par le côté ventral, montrant le bord intact de l'ouverture. Ce bord pré- sente une échancrure prononcée, reproduite par le sinus des ornemens et par divers étranglemens sur la surface du moule interne. Le test bien conservé recouvre une grande partie de ce fossile, qui est incomplet vers le petit bout. On distingue cependant la limite de la grande chambre et une série de loges aériennes, inégales en longueur. On remarquera, que la courbure a lieu dans un plan perpendiculaire au plan médian, de sorte que l'échancrure du bord de l'orifice et le sinus correspon- dant des stries ont l'air de se trouver sur la face latérale. Viskocilka. id. section longitudinale d'une partie du même spéci- men. Elle montre la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, dans lesquelles le siphon et les cloisons sont bien conservés. L'intérieur du siphon est rempli par la roche compacte, que l'on voit à l’ou- verture de la grande chambre fig. 1. Toutes les cavités des loges aériennes et la base de la grande chambre sont occupées par un dépôt de spath calcaire, dont l'apparence est variable, et qui forme des couches dis- tinctes, dans quelques loges. id. section transverse, montrant la position un peu excentrique du siphon. Cette section est faite suivant un plan perpendiculaire au plan médian. id. fragment du test, grossi. Il est pris vers la partie inférieure de la coquille, dans la région où les orne- ments creux, longitudinaux, commencent à se montrer, entre les stries transverses. id. autre fragment du test, également grossi. Il est pris vers la base de la grande chambre, dans la région où les ornements creux sont bien développés, et se mon- trent aussi bien sur les filets saillants que sur les rainures interjacentes. id. fragment de la dernière cloison vers le bas de la fig. 2. Il est grossi, pour montrer les lamelles de cette cloison, disjointes et brisées. L’intervalle qui les sépare est rempli de spath calcaire. Fig. 11. 12. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. autre fragment pris sur la troisième cloison à partir du haut. Il montre également les deux lamelles, dont elle est composée. Autre spécimen, représentant un jeune individu, presque complet et conservant la majeure partie de son test. Il est vu par la face latérale. Viskocilka. id. section transverse, orientée comme la fig. 8 et mon- trant la position subcentrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer l'apparence de ses ornements, sans aucune trace des stries creuses, longitudinales. Orthoceras Murchisoni. Barr. . de Sol voir PL 254—310—316—320—321—331—408. Spécimen d'âge moyen, vu par la face lalérale, mon- trant la grande chambre incomplète et une longue série de loges aériennes. La partie inférieure expose une section longitudinale, dans laquelle on voit une partie des cloisons et du siphon bien conservés, tan- disqu'une autre partie a été détruite. Les cavités des loges aériennes sont remplies par des dépôts cristallins, qui se présentent sous diverses apparences. Celui qui est figuré par une teinte plus foncée et qui présente quelque analogie de forme avec le dépôt organique, n’a été déposé qu'après la destruction du siphon, puisqu'il conlourne les goulots. L'autre, qui consiste en spath calcaire blanc, est postérieur au premier. Hinter- Kopanina. : id. cloison prise dans la brisure, un peu au dessous de la grande chambre. Elle est vue par la face convexe, orientée comme la fig. 11 et elle montre la position un peu excentrique du siphon. PRE JBarrande Syst Silu ï Humbert in Imp-Lenercier r de Seine »7 laris 2 SANTE PI. 304. Etage. Orthoceras Gieheli, Barr. . . . . . .E Spécimen vu par l'extérieur, montrant la grande cham- bre incomplète, une série de loges aériennes et la majeure partie du test. On voit divers fragments d'orthocères, qui ont pénétré dans la cavité de la grande chambre. Butovilz. id. section longitudinale des loges aériennes, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. On voit, dans l'intérieur du siphon, quelques fragments d'Orthocères adventices. Les loges aériennes sont remplies, en grande parlie, par du spath calcaire; mais 2 d'entre elles ont été injectées par la vase noire, après l'incrustation plus ou moins épaisse de leurs parois. Ce sont les plus voisines de la grande chambre. Dans les deux loges, à partir du bas, il est resté un vide, au milieu des inerustations spathiques. S id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements, qui figurent l'imbrication inverse, indiquée sur la fig. 5. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication inverse des stries. Orthoceras parallelum. Barr. . . .F Spécimen représentant une partie de la grande chambre, conservant un fragment du test. Il est remarquable par sa forme complétement cylindrique, de sorte qu'il est impossible de déterminer exactement sa position. Konieprus. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements, sans aucune imbrication marquée. Fig. 10. 11. EXPLICATION DES FIGURES. ; Etage. Orthoceras micromegas. Barr.. . .E Spécimen un peu arqué et vu par la face latérale. Il montre une série de loges aériennes, conservant une partie du test. La partie inférieure expose une section longitudinale, dans laquelle les cloisons sont presque toutes bien conservées, tandisqu’il ne reste que 3 élé- ments du siphon. L'intérieur de cet organe, comme celui des loges aériennes, est entiérement rempli par du spath calcaire, gris-blanc. On aperçoit, au droit des goulots, un dépôt organique très exigu, dont la section figure un gros point noir. Le morceau dessiné est la partie inférieure d'un spécimen beaucoup plus grand, que l'espace ne permet pas de figurer tout entier. Viskocilxa. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements, qui sont très délicats et invisibles à l'oeil nû. ET TS 2 ER APPART * ne Eve AP TAN) EME Ge ge HN Son €; PI. 30#. J Barrande Syst Silur de Bohème Vol IL. Jmp.Lemercier r de Seine 57 Paris Humbert Hh. PE ot 10. 11. 12. 303. Etage. Orthoceras maus. Barr. . . . . . . . .E Spécimen vu par la face latérale. Moule interne montrant le bord de l'ouverture, la grande chambre et quelques loges aériennes. Dvorelz. id. section transverse, orientée comme la fig. 1. trace du siphon est invisible. id. vu par le côté ventral, montrant une faible carène médiane et un fragment du test. Cette carène anomale, sur le côté ventral, correspond au sinus des ornements et à l'échancrure du bord de lorifice. id. vu par l'autre face latérale, montrant des fragments du test avec leurs ornements, transverses, obliques, tan- disque la surface du moule interne offre des lignes longitudinales. id. fragment du test, grossi, montrant l'apparence de ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe, mais très faible, des ornements. La Orthoceras consobrinaamn. Bar. . .E Spécimen vu par la face latérale. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Lochkov. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 7. Elle est vue par la face convexe et montre la position excentrique du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe des ornements. Autre spécimen, représentant une série de loges aérien— nes. Il est vu par le côté le plus éloigné du siphon, c. à d., dorsal, sur lequel existe une rainure longi- tudinale, ou ligne normale. Lochkov. Orthoceras Sémois. Bar. . . . . . .E voir PI. 239—401. Spécimen vu par le côté dorsal. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. Butovilz. id. section transverse, circulaire, montrant la posilion centrale du siphon. id. fragment du est, grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication direcle de ses siries transverses. Autre spécimen, vu par le côté ventral. Il montre la grande chambre, et une série de loges aériennes avec une parlie du test, sur lequel on voit le sinus des ornements. Bulovilz. EXPLICATION DES 21. 18. 22. 30. FIGURES. Etage. Autre spécimen vu par le côté ventral, montrant les mêmes éléments que le précédent. Bulovitz. Autre spécimen vu par la face latérale. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Butovitz. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant une partie de la grande chambre, une série de loges aérien- nes et un fragment du test. Butovilz. Jeune spécimen, vu par la face latérale. Il montre la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Butovitz. Orthoceras spiculaum. Barr... . . . .E Spécimen dépouillé du test. Il montre une grande chambre très longue et une série de loges aériennes. Butovitz. . E Spéeimen vu par la face latérale, montrant la grande chambre, une série de loges aériennes et un fragment du test. Viskoëilka. Autre spécimen, vu par la face ventrale. Il montre la grande chambre, une série de loges aériennes et la plus grande partie du test. Viskoëilka. Autre spécimen, vu par la face ventrale, conservant la majeure partie de son test. Il montre une faible rainure longitudinale, qui paraît être accidentelle. Konieprus. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par la face convexe et montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements, au droit du sinus. id. section longiludinale du test, montrant l'imbrication directe de ses ornemens. @rthoceras duplicans. Bar. . @rthoceras Zychas. Barr. . . . . . .E. Spécimen vu par la face latérale, montrant la grande chambre, avec ses divers étranglements et une série de loges aériennes recouvertes de leur test. Lochkow. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des orne- ments et des étranglements. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par le côté convexe et montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant l'imbrication directe de ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication Dem ee Po PI. 305. me. Vol. IE. e 0] h 0 J Barrande. Syst Silur de B 57 Paris Imp.Lemercierrde Seine Humbert Lüth. À … PI. Fig. fr NS r. 29 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 306. Etage. Orthoceras curéum,. Barr... . . . . .E Spécimen vu par le côté dorsal, montrant les stries légèrement convexes vers l'ouverture. Ko%el. id. vu par la face latérale, montrant le faible sinus des stries. Autre spécimen vu par le côté ventral, montrant le sinus des stries, semblable à celui de la face latérale. Koxel. Autre spécimen vu par la face latérale, conservant son test et montrant le sinus des ornements. On voit, à la partie inférieure, la section longitudinale de quelques cloisons et la trace du siphon. Koxel. id. cloison terminale, circulaire, vue par la face con- vexe et montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, moule interne de la grande chambre, vu par la face latérale et montrant l'impression très faible des ornements. Koxel. Autre spécimen, grande chambre incompléte, vue par la face latérale et montrant le sinus des ornements, sur le test bien conservé. Kox%el. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe de ses ornements. Orthoceras Hylas. Barr... . ....E Spécimen vu par la face latérale, représentant une partie de la grande chambre et des loges aériennes, conservant la majeure partie de leur test. Zmrxlik. id. section transverse, montrant la position subcentrale du siphon. id. fragment du test, grossi, ‘montrant ses ornements. Autre spécimen vu par le côté dorsal, montrant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, en partie recouvertes par leur test. Dlauha Hora. Orthoceras Grewingki. Bar... . . .E Spécimen vu par la face latérale, montrant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes recouvertes par leur test. Dlauha Hora. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication directe des petites bandes. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant la grande chambre presque complète, une série de loges aériennes et une partie du test. Dlauha Hora. Autre spécimen, vu par le côté dorsal, montrant une série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. Dauha Hora. Autre spécimen; moule interne de la grande chambre, vu par le côté dorsal, montrant l'impression des orne- ments et une rainure médiane, ou ligne normale. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par le côté convexe et montrant la position excentrique du siphon. Elle est orientée à angle droit par rapport à la fig. 19. Autre spécimen plus jeune. Moule interne de la grande chambre, montrant le bord presque complet de J'ouver- ture. Il conserve la trace très marquée des ornements. On voit, au bas, 2 loges aériennes. Lochkov. Fig. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 35. 36. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras Ganymedes. Barr. . . .E voir PL. 239—327—389; Spécimen vu par la face latérale. Moule interne, mon- trant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes. Kozorx. N. B. (On remarquera, que les sutures des cloisons ont presque complétement disparu dans la partie infé- rieure de cet exemplaire et sur une longueur très notable. id. section transverse, orientée comme la fig. 22 et montrant l’amaigrissement au droit du côté convexe.’ Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant une partie de la grande chambre, une série de loges aérien- nes et une partie du test. Sa section, non figurée, est amaigrie au droit du côté concave; c. à d. à l'inverse de la section du spécimen précédent. Kozorz. Autre spécimen, vu par le côté convexe, qui est amaigri. Il montre la grande chambre à peu près complète, une série de loges aériennes et quelques fragments du test. Lochkoc. Autre spécimen, vu par la face latérale. Moule interne de la grande chambre, à peu près complète et conser- vant un fragment du test. Lochkov. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant la mäjeure partie du test. Lochkov. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant la trace de quelques cloisons, tandisque les cloisons intermédi- aires ont disparu, ainsi que le siphon. Lochkov. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant le bord de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Lochkov. id. vu par le côté dorsal, un peu amaigri. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 29 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour monirer ses orne- ments, dont l’imbrication directe est prononcée. Orthoceras Tiphys. Bar. . . . . . .E voir PL. 317—333—376? 425? Spécimen de la plus grande taille connue, montrant la grande chambre, une série de loges aériennes et quel- ques fragments du test. Dvoretx. e 2. Jeune spécimen, montrant la grande chambre à peu près compléte, une série de loges aériennes et quelques fragments du test. Lochkov. e 2. Autre spécimen, d'âge moyen, montrant les mêmes élé- ments que les précédents. Lochkov. e 2. id. cloison terminale du jeune spécimen, fig. 34, vue par la face convexe et montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi. pour montrer ses ornements, dont l'imbrication est directe et l'espacement très régulier. PIS 06 J Barrande. Syst Stlur de Boheme Vol Il . Imp Lemercierr.de Seine #7 Paris . Humbert hth. + LT «2. if PI. 307. s Etage. .G Partie inférieure du spécimen fig. 2, tronqué faute d'espace. Ce fossile est vu par la face externe, sur laquelle on ne distingue point les divisions des loges aériennes, cachées par la roche. La surface présente de petites cavités, subréguliérement disposées, et qui paraissent provenir d'un zoophyte. H/ubocep. id. section longitudinale. Les cloisons sont bien con- servées à droite du siphon, et on reconnaît leur prolon- gement à gauche de cet organe, sur une petite partie de leur étendue. Elles disparaissent ensuite dans l’espace occupé par le dépôt organique, c. à d. dans toute la moitié gauche du fossile. Ce dépôt se distingue par sa teinte grise, moins foncée que celle de la roche compacte, qui remplit le reste des loges aériennes. Mais la trace des cloisons se retrouve à leur extrémité, adhé- rente à la paroi interne du test de la coquille. Le siphon. dont la paroi est bien conservée à droite, a été presque complétement dissous sur le côté gauche. On peut cependant très bien distinguer la forme de ses éléments, à l'aide des goulots, qui sont intacts, et du remplis- sage qui occupe leur intérieur. Dans presque toute la longueur du siphon, on distingue une petite bande blanche, un peu oblique, qui est une incrustation spa- thique, appliquée sur la surface des anneaux obstruc- teurs, fortement développés sur la paroi conservée, €. à d. à droite. L'apparence de ces anneaux a été modifiée par les réactions chimiques, qui ont eu lieu dans leur substance. Remarque. Pour l'intelligence plus compléte de cetle section, il est bon de recourir à la description détaillée, qui se trouve dans le texte. Il convient aussi de com- parer ce fossile avec l'Orthocère de Russie figuré par Ch. Stokes et dont nous reproduisons la figure, PI. 232, en expliquant ses apparences. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. id. fragment de la surface, grossi, pour montrer l'appa- rence des cavités dont elle est couverte, sur une partie du fossile. Orthoceras concors. Barr. . . . . Orthoceras subnotatum. Bar... .E Spécimen vu par le côté légèrement convexe. Il repré- sente la grande chambre, à peu près complète sur cette face, une série de loges aériennes et une partie du test. Hinter-Kopanina. id. vu par la face latérale. La partie cloisonnée est exposée dans une section longitudinale, qui montre que le siphon a été détruit, ainsi que la plupart des cloi- sons, dont on voit encore les fragments. Il reste cepen- dant quelques cloisons en place, et elles permettent de reconnaître les goulots. Le remplissage est parliellement composé de calcaire spathique.blanc et de calcaire com- pacle gris. id. cloison terminale de la grande chambre, orientée comme la fig. 6 et montrant la position subcentrale du siphon. id. fragment du itest, fortement grossi, pour montre ses ornements, très-faibles dans leur relief. ; 1 Fig. 10. 11. 12. 13. 14. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras socéem. Barr.. . .. au voir PI. 373. Spécimen vu par la face externe. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Viskoëilka. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées, tandisque tous les éléments du siphon ont disparu. Sur chacune des cloisons, on peut reconnaître le dépôt organique, inégalement distribué. Il est distin- gué par sa nuance plus foncée que celle du dépôt spathique, qui remplit tout le reste des loges aériennes, sous des apparences cristallines variées. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer la disposition de ses ornements, qui figurent l'imbrication directe, très prononcée. Orthoceras innotaluum. Barr. . . .E voir PI. 215. Spécimen représentant une série de loges aériennes, conservant une partie du test, dont la surface est altérée. Dvore!x. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon, en partie conservés et en partie détruits. Les loges aériennes ont été remplies presque entièrement par nn dépôt spathique, coloré par du carbone. Une partie des deux loges supérieures a été envahie par la vase noire. Les parois en contact avec cette roche ne sont point tapissées par une couche spathique. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. SO7 + à a See Humbert lith Im P Lemercier,r de Seine 57 Paris A" PL 308. Orthoceras bipellis. Barr... . . . .E voir PI. 402. Spécimen représentant une série de loges aériennes, conservant une partie du test. La face exposée est la face dorsale, sur laquelle les stries décrivent un are convexe vers le haut. Le moule interne montre la ligne normale, en relief sur sa surface. Viskocilka. id. vu par la face latérale, conservant une partie du test, sur lequel on distingue 2 lamelles. La lamelle externe est ornée de stries serrées, qui se reproduisent sur une partie de la surface de la lamelle interne. Sur le reste de son étendue, celle-ci ne conserve que des stries très espacées et plus prononcées, figurant des rainures. Le moule intérieur est couvert de stries lon- gitudinales très fines. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant les 2 lamelles avec leurs ornements. Orthoceras ambifarium. Barr. .E Spécimen vu par la face latérale. Il montre la grande chambre à peu près complète et quelques loges aéri- ennes. La surface observée est celle du moule interne, qui conserve la trace très marquée des ornements du test. Lochkow. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des orne- ments, traversé par une ligne longitudinale, ou ligne normale. Le siphon est rapproché de cette face du fossile. id. extrémité inférieure, montrant la surface d’une brisure, sur laquelle il reste un fragment de Ja cloison, por- lant la trace du siphon. Cette figure est orientée comme la fig. 5. id. fragment de la surface, grossi, pour montrer son apparence, au droit du sinus des ornements. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. EXPLICATION DES FIGURES. Etage Orthoceras invitum. Barr... . . . . E Spécimen vu par la face latérale. Il montre une série de loges aériennes, conservant une partie du test, dont le moule interne reproduit les stries obliques. Tachlovitz. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés, sauf quelques légères brisures. L'intérieur du siphon est presque totalement rempli par la roche compacte. Cependant, vers la pointe, on aper- çoit sur sa paroi, à droite de la figure, un dépôt orga- nique, sous la forme d’une couche mince, qui dispa- raît au dessus de la sixième loge à partir du bas. Dans l'intérieur des loges aériennes, on ne voit qu'un rem- plissage inorganique, par des couches de spath calcaire, de différentes nuances. Le calcaire compacte a pénétré dans 2 loges seulement. Tachlovitz. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position excentrigne du siphon. id. fragment de la surface, grossi, montrant les stries obliques, plus fortement marquées sur le moule interne que sur la superficie du test, qui est un peu altérée. Cyrtoceras (Orthoc.?) pugio. Barr. F voir PI. 156 (p. 641). Spécimen un peu écrasé vers le haut. Il est vu par la face latérale, montrant la grande chambre avec le bord de l'ouverture, une série de loges aériennes et une partie du test. Lochkov. f 1. id. section longitudinale, dans laquelle les cloisons et le siphon sont en partie conservés. La roche com- pacte noire remplit une partie des loges aériennes, tandisque les autres sont occupées par du spath cal- caire. On reconnaît, dans la cavité de la grande chambre, un Orthocère adventice et divers fragments. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments, qui sont un peu moins réguliers dans la nature que sur la figure. On voit, au bas et à droite de cette figure, une partie de la surface du moule interne de la grande chambre, montrant les stries creuses et fines, représentant l'aspect du manteau du mollusque. N. B. Les stries creuses s’observent très rarement sur les Cyrloceras, ainsi que nous l’avons constaté dans notre texte Vol. II. p. 437 et 446. Cette circon- slance, jointe aux apparences générales de l'espèce qui nous occupe, nous disposerait à la ranger parmi les Orthoceras, malgré la courbure habituelle dans les spécimens connus. JBarrande Syst Silur de Bohème Vol P1 308 ENVOIE hil Humbert With. Imp. Lemercier rde Seine 57 Parts PL. 309. Etage. Orthoceras migrans. Barr. . . . . que voir PI. 212—222—348—377. Spécimen vu par la face externe, montrant une série de loges aériennes et conservant un fragment du test. Butovilz. e 2. id. section longitudinale, montrant le siphon et les eloi- sons bien conservés, sauf quelques fractures, dans les éléments du premier. Presque toutes les cavités sont remplies par un dépôt de spath calcaire, présentant diverses nuances, dans quelques loges. Dans la seconde à partir du haut, toutes les parois sont incrustées par le calcaire spathique, mais l'intérieur a été envahi par la vase noire, qui a donné naissance à un calcaire compacte. id. section transverse, orientée comme la fig. 2 et montrant la position un peu excentrique du siphon. id. fragment de la surface, grossi, montrant une partie du test, qui présente de petites cavités arrondies, pro- bablement dues à l’action de petits parasites, soit avant soit après la mort du mollusque. L'autre partie de la figure expose les stries creuses de la surface du moule interne. Orthoceras socium? Barr. . . . « . .E Spécimen représentant une série de loges aériennes, conservant la plus grande partie du test. Karlstein. id. section transverse, orientée comme la fig. 5 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant l'imbrication directe des stries. (Chacune de celles-ci est subdivisée près de son bord supérieur par une petite rainure horizon- tale. Une semblable rainure, mais moins régulière, se trouve fréquemment aussi, à la base des siries. Fig. 10. 11. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras columen. Barr. . . . . .E Spécimen vu par la face externe. Il est composé d’une série de loges aériennes, presque entièrement recou- vertes par le test, qui offre plusieurs lamelles distinctes. Kozorz. id. section longitudinale, montrant le siphon et les cloisons bien conservés. Dans l’intérieur du siphon, on distingue le dépôt organique, offrant une section réniforme un peu alongée, au droit des goulots. Dans presque tous les éléments de cet organe, on voit une petite partie de calcaire compacte noir, de forme et d’étendue irrégulière, tandisque tout le reste des vides internes est occupé par du spath calcaire. Les loges aériennes présentent un dépôt organique très développé, à droite et à gauche du siphon. La masse de ce dépôt, bien que conservant en partie sa teinte naturelle, foncée, a subi des réactions, qui ont affaibli cette nuance. Entre ce dépôt et le siphon, on observe le remplissage de calcaire spathique, qui a une teinte claire. id. section transverse, montrant la position subcentrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses Orne- ments. Il est pris vers le bout inférieur du spécimen. Les siries sont très distinctes, dans cette partie, tandis- qu’elles vont en s’affaiblissant vers le haut du spécimen. L'imbrication directe est peu marquée. PL309. JBarrande Syst. Silur de Boheme Vol. IL. ELLE 24 HAS Le" pe Pr A4 Fe ÉRNErTe { VRARAAE +, Pre Lx MT | FARM AANE anis ÿP Imp Lemercierr de Seine Humbert lith. PI. LEE 310. Etage. Orthoceras Murchisoni. Barr. . . .E voir PI. 254—303—316—320—321—331—408. Spécimen représentant une série de loges aériennes, dépouillées de leur test. Lochkov. id. section longitudinale de la moitié inférieure, mon- irant quelques cloisons conservées vers le petit bout, tandisque toutes les autres ont été détruites dans le reste de la longueur du spécimen. On distingue leurs extrémités adhérentes aux bords verticaux du fossile et leurs fragments empâtés dans la roche compacte. Le siphon a été également détruit. Les loges aériennes conservées sont remplies par du spath calcaire blan- châtre; mais les 3 cloisons inférieures sont recouvertes sur leurs deux faces par un dépôt de nuance plus foncée, qui, au premier aspect, simule les apparences d'un dépôt organique. Cependant, on peut reconnaître son origine inorganique, en remarquant qu'il contourne les goulots. Ce fait indique qu'il n’a été déposé qu'après la destruction du siphon, e. à d. après la mort du mollusque. La même apparence s’observe sur d'autres spécimens de la même espèce, sur les PI. 320—321. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. Orthoceras inchoatavm. Barr. . . . .E voir PI 209—336—368—369. Spécimen représentant une série de loges aériennes, conservant une grande partie du test. Koxorz. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées, tandisque plusieurs éléments du siphon sont partiellement détruits. On reconnait, dans la moitié droite des loges aériennes, le dépôt organique, figuré par une leinte un peu foncée. Il se montre irrégulière ment sur les deux faces des cloisons, en diminuant graduellement vers le haut. On n'en voit aucune trace sur la moitié gauche. Dans l'intérieur du siphon, il n'existe que des traces presque insensibles des anneaux obstructeurs, au droit de quelques goulots. Le calcaire spathique, blanchâtre, occupe tout le reste des cavités, sauf quelques parties injectées par le calcaire com- pacte noir. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. Elle est orientée comme les fig. 4—5. id. fragment de la surface, grossi. La partie gauche de la figure montre les ornements du test, tandisque Ja parlie droite représente les stries creuses, gravées sur le moule interne. Orthoceras squamatuleum. Barr. . .E voir PI. 302—3707? Spécimen représentant la grande chambre incomplète et un couple de loges aériennes, conservant une partie du test. Viskocilka. id. seclion lransverse, montrant la position excentrique du siphon. id. section longitudinale, montrant 3 cloisons conser- vées, tandisqu'un seul élément du siphon persiste au petit bout. id. fragment du test, grossi, montrant la régularité de ses ornements, figurant l'imbrication directe très pro- noncée. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras severauwm. Barr. . . . . .E voir PI. 219—221—225—229-—239-—280—301—302. 12. 15. 16. 17. 18. 19. Section longitudinale, représentant une série de loges aériennes, dans lesquelles les cloisons et le siphon sont bien conservés, sauf l'extrémité supérieure. Dans les loges aériennes, on voit le dépôt organique, figuré par une teinte foncée, et très développé dans la partie infé- rieure, sur le côté droit. Il diminue rapidement, en s'avançant vers l'ouverture. Il est à peine indiqué dans la partie à gauche du siphon. L'intérieur de cet organe présente de faibles anneaux obstructeurs, au droit des goulots. Tout le reste des cavités est occupé par du calcaire cristallin, blanchâtre, sauf les 3 loges d'en ‘ haut, partiellement envahies par le calcaire compacte noir. Konieprus. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. id. vu par la face externe. La partie inférieure du spécimen a été supprimée, faute d'espace. Le test, par- tiellement conservé, ne présente que des stries trans- yverses, peu prononcées. id. fragment du test, grossi, pour montrer les faibles stries dont il est orné. Orthoceras Bohemicum. Barr. . . .E voir PL 214—215—288—289. Spécimen vu par la face latérale. Il représente une série de loges aériennes, recouvertes par le test. Karlslein. id. section transverse, montrant le siphon excentrique et relativement assez large. Autre spécimen, vu par la face latérale et représentant une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Karlstein. id. section transverse, montrant le siphon central, et relativement étroit, par rapport à celui de la figure 17, quoique le diamètre de celle-ci soit beaucoup plus petit. N. B. Ces deux derniers spécimens, appartenant à la même espèce, d’après tous leurs caractères extérieurs, et provenant d'une même localité, présentent une diffé- - rence sensible, dans la largeur et la position de leu siphon. J. Barrande. Syst Sttur. de Bohème Vol.IL. Humbert hith Imp.Lemercierr de Seine 57 Paris PL. 311. EXPLICATION Orthoceras nobhile. Barr. . . . . . .E voir PL 228—284—312— 313. Section longitudinale du spécimen figuré, sur la PI. 284, fig. 1. Il montre les cloisons bien conservées, tandisque deux des éléments du siphon ont été endom- magés. Toutes les cavités, excepté la loge aérienne supérieure, sont remplies par du calcaire spathique de diverses nuances. On n’aperçoit aucune trace du dépôt organique, ni dans les loges aériennes, ni dans le siphon. Cetie circonstance concourt, avec les apparences du test, à nous montrer que ces loges aériennes étaient peu éloi- gnées de la chambre d'habitation. Dlauha Hora. Autre spécimen, de moindre diamètre. Section longitu- dinale, montrant les cloisons bien conservées, tandisque 3 des éléments du siphon sont endommagés. Toutes les cavités sont principalement occupées par du spath calcaire, mais on voit, dans Je siphon comme dans les loges aériennes, quelques parties de calcaire compacte noir, qui a pu pénétrer à l'état de vase liquide, par les brisures du test. Dlauha Hora. Autre spécimen, de moindre diamètre. Section longi- tudinale, montrant les cloisons et le siphon également bien conservés. Le dépôt organique se montre princi- palement dans le siphon, sous la forme d'anneaux obstructeurs, peu développés, au droit des goulots. Dans les loges aériennes, il paraît être aussi repré- senté, notamment dans la partie gauche, au dessous de chaque cloison. Cependant, les apparences indi- quées par la teinte grise ne sont pas assez claires dans notre spécimen, pour que nous puissions les inter préter d’une manière certaine. Tout le reste des cavités est rempli par du spath calcaire, blanchâtre. La dernière loge du spécimen, vers le petit bout, a été séparée des autres, mais lintervalle est rempli par du calcaire. Dlauha Hora. Autre spécimen, de moindre diamètre. Section longitu- dinale, montrant les cloisons et le siphon bien con- servés, sur presque toute la longueur. Le dépôt orga- nique est représenté dans le siphon, par des anneaux obstructeurs peu développés, au droit des goulots. On ne voit aucune trace de ce dépôt dans les loges aéri- ennes, dont les cavités sont entièrement occupées par du spath calcaire de diverses nuances. Il en est de même dans le siphon, à l'exception de quelques parties de calcaire compacte noir, qui paraissent avoir pénétré par les deux extrémités. On voit un fragment d'Ortho- cère adventice, qui s'est introduit de même, dans l'inté- rieur- de cet organe. On remarquera, que les éléments du siphon étant bien conservés, la vase noire n'a pas pu pénétrer dans les loges aériennes. Dlauha Hora. DES Fig. 12. 13. FIGURES. Etage. Autre spécimen, de moindre diamètre. Section longi- tudinale, montrant les cloisons et le siphon en partie conservés. L'absence de toute trace de dépôt organique semble indiquer, que ce fragment appartenait à un trés jeune individu. Dlauha Hora. j Autre spécimen, dont l'intérieur est partiellement exposé par une fracture longitudinale et oblique. Ce moule interne est entièrement composé de calcaire spathique. On voit 3 éléments du siphon mis à nu et on recon- naît, par leur teinte foncée, les anneaux obstructeurs, au droit des goulots. Dans la loge aérienne, qui est immédiatement au dessus de ces trois éléments, la brisure ayant eu lieu suivant la surface conique de moindre résistance, le siphon se trouve entouré par une masse de spath calcaire de figure régulière, et simulant un solide de révolution, dont on voit la trace dans les autres loges placées immédiatement au dessous. Dauha Hora. id. vu par l'extrémité supérieure. La cavité qu’on aper- çoit ne correspond pas à une cloison, mais à la sur- face de moindre résistance. Au fond de cette surface, on voit le solide biconique, de spath calcaire, qui enve- loppe l'élément du siphon, formant saillie sur la paroi concave, Voir les PL. 221 — 222 sur lesquelles ces apparences sont illustrées. Orthoceras vicarians. Barr. . . . .G Spécimen vu par l'extérieur. Il représente une série de loges aériennes, recouvertes par leur test. H/ubocep. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées, tandisque tous les éléments du siphon ont disparu. Toutes les cavités sont remplies par le cal- caire compacte, sauf une très petite partie, occupée par du calcaire spathique. id. section transverse, montrant la position subcentrale du siphon. id. fragment de la surface, grossi, pour montrer ses ornements principaux. id. section longitudinale du test, montrant la saillie des stries sur sa surface. id. grossissement beaucoup plus fort, destiné à montrer les stries très fines, qui couvrent les intervalles entre les stries principales, et qui sont parallèles à celles-ci. JBarrande Syst Silur de Bohème Vol.IL. PISE 9 wo Humbert li. Imp Lemercierr de Seine 57 Paris PL. 31. 1 sm on Orthoceras nobile. Barr... . . .. voir PL 228—284—311—313. 2. j Ces deux figures représentent un seul et même spéci- men. La fig. 2 doit donc être placée à l'extrémité infé- rieure de la fig. 1. On voit, que le spécimen entier consiste dans une série de loges aériennes, conservant la presque totalité du test. Les apparences de la surface de ce test diffèrent dans la longueur de ce morceau, en ce que, vers le gros bout, on ne distingue que des bandes plates, séparées par des rainures, tandisque, vers le petit bout, les anneaux sont sensibles, sans être très prononcés. D'ailleurs, toute la surface montre égale- ment des siries fines, transverses, très serrées. Dlauha Hora. f Ces deux figures représentent la section longitudinale du même spécimen. Les cloisons et le siphon sont bien conservés, excepté vers le gros bout, où ils sont égale- ment détruits. On aperçoit leurs fragments entassés sur le bord gauche, qui était placé sur le plan de gisement. Le bout des cloisons brisées se voit encore sur le bord droit. Quelques éléments du siphon ont été isolément ouverts dans le reste de la longueur. Le dépôt orga- nique est très faiblement représenté par des anneaux obsiructeurs exigus, au droit des goulots. Dans les loges aériennes, on n’en trouve qu’une trace irrégulière, sur quelques cloisons. On remarquera, que ces vestiges du dépôt organique n'existent que sur la partie, de moindre diamètre, fig. 4 et que la plus grande partie, fig. 3, en est totalement exempte. Toutes les cavités sont géneralement remplies par du spath calcaire de diverses nuances. Le calcaire compacte noir ne se trouve que dans l’une des loges aériennes, où il paraît n'avoir pénnétré que lorsque les parois étaient dejà tapis- sées par le calcaire spathique. Vers le gros bout, la vase noire s'est introduite dans l’espace dont les cloi- sons sont brisées, mais, au moment de sa première invasion, sur le bord à gauche de la fig. 3, elle ne s'est pas élevée au niveau du siphon, par rapport au plan de gisement. En effet, les débris des cloisons, les plus éloignés de ce plan, c. à d. du bord gauche de la figure, sont uniformément recouverts par une incru- station de spath calcaire blanc, qui se prolonge jusque sur la paroi interne du siphon. C’est après le dépôt de cette incrustation, qu'a eu lieu l'introduction d’une nouvelle quantité de vase noire, qui s’est élevée jusqu’au niveau de l'axe du siphon et a même pénétré dans l'in térieur de cet organe. On peut suivre la trace de ce calcaire noir, jusque dans l'intérieur de la cinquième loge, dont le siphon est brisé. Le reste du grand espace, vers le gros bout du spécimen, a été succes- sivement rempli par des dépôts réguliers de spath cal- caire, de diverses nuances, qui se sont modelés sur les contours de la surface occupée par le liquide incrustant, EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section transverse, prise vers le haut de la fig. 2 et montrant la position un peu excentrique du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, montrant ses bandes couvertes de stries fines et régulières. Ce frag- ment est pris vers le gros bout du spécimen. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe des bandes. JBarrande Syst. Silur de Bohème Vol II TT msg pe Humbert lih, Imp.Lemercier r. de Seine 87 Paris. PL. Fig. 3B. Etage. Orthoceras nobile. Barr. .E voir PI. 228—284—311—312. Spécimen vu par l'extérieur, montrant une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Ce test est orné de bandes irrégulières, dans toute la longueur du morceau, sans aucune apparence d'anneaux. On voit deux étranglemens prononcés, sur le moule interne et qui ne sont pas sensibles sur la surface externe du test. Dlauha Hora. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés, dans la plus grande partie de la longueur. Les éléments du siphon ont disparu dans les deux loges du haut et ils ont été endommagés et ouverts dans les quatre loges qui suivent immédiatement, en descendant. Le dépôt organique est représenté par de faibles anneaux obstrucieurs, dans l'intérieur des gouots. Il n'existe pas dans les loges aériennes, dont toute la capacité est remplie de calcaire spathique, ainsi que l'intérieur du siphon. Le calcaire compacte noir a pénétré seulement dans les deux dernières loges aéri- ennes vers le gros bout. Autre spécimen, représentant une série de loges aériennes, conservant leur test, presque complet. La surface de celui-ci est ornée de bandes et des stries, mais on aperçoit cependant la trace des anneaux, vers le petit bout. Deux valves de Cardiola interrupta sont restées fixées sur la surface de cet Orthocère. Dlauha Hora. Fig. 10. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. Autre spécimen, représentant un jeune individu. La grande chambre, dont on voit le moule interne, porte la trace faible, mais distincte, des anneaux, tandisqu’on ne voit que des stries sur la partie inférieure, qui correspond aux loges aériennes, conservant une partie du test. La roche qui enveloppe partiellement ce spé- cimen a été supposée enlevée. Dlauha Hora. id. section transverse, montrant la position un peu excentrique du siphon. Autre spécimen, représentant une série de loges aéri- ennes, recouvertes par le test. Les anneaux sont faible- ment marqués sur toute la surface. Dlauha Hora. Fragment du test, grossi, montrant les bandes et les siries fines de la surface, comme on les voit sur toute la longueur du spécimen fig. 1. Auire fragment du test, grossi, pour montrer le passage entre les anneaux peu prononcés et la surface simple- ment striée, comme on le voit sur le spécimen, fig. 5. Autre fragment du test, grossi, pour montrer le passage entre la surface striée et la surface lisse, vers le petit bout du spécimen, fig. 5. mn, J.Barrande Syst Silur de Bohème Vol.IL. Humbertlith . Imp Lemercier » de Seine 57 Paris PL. Fig. 10. 11. 12. 314. Etage. Orthoceras faeniale. Barr. . . .E voir PI 224. Spécimen d'âge moyen, vu par la face latérale, presque entièrement recouverte par le test. Il offre une cour- bure sensible. Karlstein. id. vu par le côté dorsal. Le bord de l’orifice est un peu convexe vers le haut, ainsi que les bandes du test. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 1 et mon- trant la position subcentrale du siphon, qui tend vers le bord concave ou ventral. id. vu par le côté ventral. Le bord de l'ouverture est brisé, mais on reconnaît le sinus des stries, qui corres- pond à son échancrure. Sur cette face, on remarque une bande longitudinale, irrégulièrement placée, par rap- port au plan médian et qui montre une série de stries obliques. C’est, sans doute, la trace d'un accident. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements ainsi que la bande étroite, obliquement siriée, dont nous venons de parler. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe des ornemens. Jeune spécimen, vu par le côté ventral. Il montre l'échan- crure du bord de l'orifice et le sinus correspondant des sitries. La partie inférieure du test est compléte- ment lisse. Karlstein. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. Autre spécimen, un peu plus développé et vu par la face latérale. Il conserve le bord de l'ouverture et une partie du test, dont les stries disparaissent subitement, dans le voisinage de la pointe. Karlstein. id. section transverse, sensiblement circulaire, sans trace du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées avec leurs goulots, tandisque tous les éléments du siphon ont disparu. Karlstein. Autre spécimen, vu par le côté ventral. On voit le bord de l'ouverture, faiblement échancré. Les stries très-écartées figurent un sinus, en harmonie avec ce bord. Le test recouvrant la majeure partie de ce mor- ceau, on ne peut distinguer aucune division des loges aériennes. Vallon de Rÿepora. EXPLICATION DES Fig. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. FIGURES. Etage. Section transverse, elliptique, sans trace du siphon. Autre spécimen vu par le côté ventral. Le bord supé- rieur est un peu endommagé, mais on distingue l'éten— due de la grande chambre, recouverte par le test, ainsi que la parlie cloisonnée. Vallon de Slivenelz. id. section transverse, elliptique, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, complétement rectiligne et vu par la face latérale. Il montre la grande chambre presque complète, une série de loges aériennes et divers frag- ments du test. Hinter-Kopanina. id. seclion transverse, elliptique, montrant la position centrale du siphon. Chambre d’habitalion isolée, offrant les plus fortes dimen- sions connues. Moule interne à peu près complet et conservant l'impression très-distincte des ornements du test. Il est vu par la face latérale et il paraît sensi- blement rectiligne. Dvorelx. id. section terminale, elliptique, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, dont la partie supérieure est seule figurée, par la face latérale, montrant le bord de l'ori- fice échancré. Le sinus des stries présente une forme analogue, à celui qu'on voit sur le bord ventral. Karlstein. id. vu par le côté ventral, montrant l’échancrure du bord de l’orifice et le sinus correspondant des stries, plus prononcé que sur la face latérale. Autre spécimen, d'âge moyen, vu par la face latérale. Il est rectiligne sur toute sa longueur. Il montre la grande chambre incomplète vers le haut, une série de loges aériennes et une grande partie du test. Nous figurons cet exemplaire à cause de sa section trans- verse, circulaire, contrastant avec la section plus ou moins elliptique des autres individus. Karlstein. id. section transverse, circulaire, montrant la position centrale du siphon. JS trohmayer nd Nat geziih. Wien Lithar gedr. ï d.kk. Hof-ir Staatsdruckerei PE é ( | dÉ pe + | | un | LT ; 1 : re N- ? Sur l VE 5 By EN PI. Fig. 10. 11. 12. 13. 19. 30. Etage. Orthoceras Gruenewaldti. Barr.. .E voir PI. 217. Spécimen vu par la face latérale. Il montre la grande chambre, avec le bord intact de l'ouverture et une série de loges aériennes, recouvertes par le test. Lochkor. id. cloison terminale de la grande chambre, orientée comme la fig. 1 et montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, vu par la face latérale. La partie supérieure de la grande chambre manque. Les loges aériennes sont recouvertes par le test, sur lequel on distingue quelques stries longitudinales. Lochkov. id. vu par le côté dorsal. Les stries transverses offrent une faible convexité vers l'ouverture. On voit aussi quelques stries longitudinales, sur la surface. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des stries transverses, un peu plus prononcé que celui des faces latérales. id. section transverse, légerement elliptique, sans trace du siphon. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il montre Ja grande chambre incomplète et une série de loges aériennes, recouvertes par le test. Lochkov. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 7 et mon- trant la position centrale du siphon. Auire spécimen, vu par la face latérale. La grande chambre est un peu incompléte vers le haut. La sur- face du moule interne conserve quelques traces des stries transverses, principales. On voit une série de loges aériennes et une partie du test. Koxorz. id. section transverse, elliptique, sans trace du siphon. Autre spécimen, presque totalement dépouillé du test. I] montre le moule de la grande chambre, un peu tronqué vers le haut et une série de loges aériennes. Vallon de Slivenetz. id. section transverse, elliptique, sans trace du siphon, Jeune spécimen, notablement arqué. Il est vu par la face latérale. Il montre le bord de l'orifice, la grande chambre, une série de loges aériennes et une grande partie du test. Vallon de Slivenetz. id. cloison terminale, à peu près circulaire, montrant la posilion centrale du siphon. Autre spécimen plus jeune, rectiligne et presque com- plet. Il esl vu par le côté dorsal et montre la con- vexité des stries vers l'ouverture. Vallon de Slivenetx. id. cloison terminale, circulaire, montrant le siphon central. Autre spécimen, très jeune et rectiligne, vu par le côté ventral. Il montre le moule presque complet de la grande chambre et quelques loges aériennes, con- servant leur test. Tobolka. Fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. Le sinus des stries est pris sur la face 1 latérale, fig. 7. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe des siries, qui est très prononcée. N. B. Ces deux figures ne font pas assez ressortir les bandes transverses du test et l'inégalité des siries, qui ornent la surface. Fig. 20. 28- 29. 30. 31. 32. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras fèmidum. Barr. . . . . .E voir PL 217—327 —396— 454. Spécimen vu par la face latérale, montrant une légère courbure. Le bord de l'orifice est incomplet, Le test recouvre la plus grande partie de la longueur, et il est orné de stries transverses, formant un faible sinus. Butovilz. id. vu par le côté dorsal. Le bord de l'orifice est un peu convexe, comme les stries du test. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus concave des siries. Le bord de l'orifice est endommagé. id. section transverse circulaire, sans trace du siphon. Autre spécimen, vu par le côté dorsal. Il montre le moule complet de la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Lochkow. id. section transverse circulaire, sans trace du siphon. Autre spécimen, vu par la face latérale, légèrement aplatie. Le bord de l'orifice est intact. On voit le moule de la grande chambre et une partie du test, recouvrant une série de loges aériennes. Lochkov. id. cloison terminale, très faiblement elliptique et mon- trant le siphon central. Autre spécimen, vu par le côté ventral. Le moule de la grande chambre est complet. Le test recouvre une série de loges aériennes et montre le sinus très-prononcé des stries. Lochkov. id. elgison terminale, sub-circulaire, montrant la position centrale du siphon. ; id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements et leur sinus, sur le bord ventral. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication directe des stries, très prononcée. Autre spécimen, très-jeune, montrant la grande chambre avec le bord intact de l'ouverture, une série de loges aériennes el une partie du test. Lochkovw. ob - J. Barrande. Syst.Silur de Boheme VoL.IT. 24: 18. roses sono tune RCE PP ENT PESIREPE LEE ee LEUR CDTI Joh.Strolumaver udN at se. lit Wien Lib sed.i d.k.k.Hof u.Staatsdruckeret. PL 216. EXPLICATION Etage. Orthoceras Murchisoni. Barr. . .E voir PI. 254—303—310—320—321—331—408. Fragment vu par la face externe, montrant une série de loges aériennes, conservant quelques fragments du test. Les stries tracées très obliquement sur la surface du test, se reproduisent en partie sur le moule interne, mais n'ont pas été assez neltement indiquées par le dessinateur. Hinler-Kopanina. id. section longitudinale, montrant les cloisons conser- vées sur la plus grande partie de la longueur, ainsi que leurs goulots, tandisque tous les éléments du siphon ont disparu. Toutes les cavités du fossile sont rem- plies par un dépôt de calcaire spathique, blanc, sans aucune trace de dépôt organique. On doit remarquer, que ce spécimen est presque le seul, dans lequel le dépôt inorganique présente une apparence simple et uniforme, sans simuler l'aspect du dépôt organique sur les cloisons, comme dans les autres exemplaires dont les sections nombreuses sont figurées et dont l'un, PI. 303, provient de la même localité. id. cloison terminale, vue par le côté convexe et mon- trant la position excentrique du siphon. Orthoceras peduwm. Barr. . . . . . .E Fragment représentant une série de loges aériennes et conservant son test, sur lequel on n’aperçoit, à l'oeil nu, que des bandes transverses, déterminées par les stries principales, sub régulièrement espacées, et simulant des affleuremens de cloisons. Comparer cette figure à la fig. 7. Koxel. id. fragment du lest, grossi, montrant les stries fines, régulières, qui sont presque invisibles à l'ocil nu et qui couvrent la surface des bandes transverses, id. section longitudinale du test, montrant que les stries sont gravées dans la surface et présentent l'apparence de l’imbrication directe, peu prononcée. Autre spécimen, montrant quelques loges aériennes en partie recouvertes par le test. On ne dislingue bien sur la surface du test que les stries principales, qui se reproduisent en partie sur le moule interne, avec leur espacement subrégulier, comme sur la fig. 4. Koxel. DES FIGURES. 11. 12. 13. 14. 16. 17. 18. 19. Etage. id. section transverse, circulaire; siphon invisible. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements, semblables à ceux du spécimen précédent. id. section longitudinale du test, montrant les stries gravées dans la surface. Autre spécimen, conservant son test. La partie infé- rieure est sub-annulée, mais les anneaux tendent à disparaître vers le haut, et se transforment en bandes transverses. Kogel. id. section longitudinale, montrant un élément du siphon, conservé avec les deux cloisons correspondantes. La cavité de cette loge inférieure a été remplie par un dépôt chimique de calcaire spathique, tandisque la vase noire calcaire a rempli l’élément du siphon, ainsi que les deux loges supérieures. On voit un dépôt orga- nique occupant le goulot de l'élément du siphon qui subsiste. Demi-cloison terminale, vue par la face externe et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornemens, semblables à ceux des deux spécimens précédens. id. section longitudinale du test, montrant un anneau faiblement prononcé et l’imbrication directe des stries. Orthoceras concrelum. Barr... . . .E Fragment de la grande chambre, conservant une partie du test. La ligne horizontale qu’on voit vers le milieu de la longueur est une brisure et non l’affleurement d'une cloison. Les stries du test sont très prononcées et de plus en plus serrées vers l'ouverture. On voit, immédiatement sous le bord de celle-ci, un étranglement très marqué. Les stries se reproduisent en partie sur le moule interne. L'épaisseur du test est remarquable dans ce fragment. Koxel. id. fragment du test, grossi, et pris dans le voisinage de l'ouverture, où les stries serrées prennent l'apparence lamelleuse. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe des stries. id. fragment du moule interne, grossi, montrant les stries creuses, sous l'apparence de séries linéaires de scrobicules. Ces lignes offrent un sinus très distinct. ) 6 è 3 Barrande. Syst. Silur de Bohème VolIE. Î l 316. 16. Joh Strohmaver n.4 Natsen.u lith.Wien, Lithu.ged.r. d.k.k. Hot u. Staatsdruckerei. PI. 317. 3. Qt QU Etage. Orthoceras asparagus. Bar. . . .E Spécimen vu par l'extérieur. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. La lamelle externe a est ornée de stries transverses, tandis- que la lamelle interne b est presque lisse. Dvoretx. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés, dans quelques loges aériennes. On voit un anneau obstructeur au droit des goulots. id. fragment du test. grossi, montrant ses stries un peu lamelleuses, mais très-régulières. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication directe de ses stries. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position excentrique du siphon. Orthoceras Nestor. Barr. . .. ...ELE Spécimen vu par l'extérieur. Il représente une série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. Kartstein. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon en partie conservés et en partie détruits. On peut remarquer le dérangement subi par les diverses parties d’un même élément du siphon, dans la troisième loge à partir du haut. Il existe de faibles anneaux obstrueteurs, au droit des goulots. id. cloison mn n, vue par la face convexe et montrant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant ses siries très- inégales, en largeur et en relief. id. section longitudinale, montrant le relief des stries, qui tendent à l’imbrication directe. Fig. 15. 16. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras Tiphys. Barr. . . . . . .E voir PI. 306—333—376?—425? Spécimen montrant la grande chambre, 2 loges aérien- nes et une partie du test. Lochkov. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position centrale du siphon. Autre spécimen, d'âge moyen, montrant le bord de l’ou- verture, la grande chambre, une série de loges aéri- ennes et une partie du test. Kozorz. id. cloison vue par la face convexe et montrant la position centrale du siphon. A id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements. . id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication directe de ses stries et leur régularité incompléte. J Barrande. Syst. Silur de Bohème Vol. Heinr. Becker n.d.Nat geu.u. 1h Wien Lühu.sed.i.d.&_k-Hof uNtaatsdrucherer s » r e (3 - = = STE | AA 220 VV. PER ACIER TS. PL Fig. 318. Orthoceras dominus. Barr. . . . . .F Spécimen vu par la face externe. Il montre la base de la grande chambre et une longue série de loges aérien- nes, en grande partie recouvertes par le test. Konieprus. id. section longitudinale, montrant les cloisons en partie conservées et en partie brisées, tandisque le siphon est intact sur presque toute la longueur. On ne voit dans son intérieur aucune trace de dépôt organique. Toutes les cavités sont remplies par un dépôt inorga- nique de spath calcaire blanc. id. section transverse, orientée comme la fig. 2, et mon- trant la position centrale du siphon. id. fragment de la lamelle interne du test, grossi, afin de montrer les stries creuses, qui couvrent sa surface. Orthoceras Bichteri. Bar. . . . . .E voir PI. 322—323—349—409? Section longitudinale, montrant une série de loges aérien- nes, dont les cloisons sont bien conservées. Les éléments du siphon ont été mis à nû et en relief sur la moitié de la longueur, mais ils n'existent pas dans les loges supérieures. Ce spécimen est traversé par un filon de spath calcaire, produisant un déplacement de position entre ses deux parties. Karlstein. Auire fragment, montrant quelques éléments du siphon en relief et très bien conservés, tandisqu'il n’existe plus aucune trace des cloisons. C’est justement l'opposé de ce qu'on voit dans la partie supérieure de la fig. 5. Karlstein. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras decipiens. Barr.. . . . .E voir PI. 217—324—350. Fragment vu par l'extérieur, montrant une série de loges aériennes et une partie du test, dont la surface est complétement lisse. Collines entre Lodenitz et Bubovitz. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien conservées ainsi que la presque totalité du siphon. On voit, au droit des goulots, des anneaux obstructeurs, qui se développent graduellement, en allant vers le bas. Dans la partie des loges aériennes, à droite du siphon, on reconnaît le dépôt organique, figuré par une teinte grise ot offrant des apparences irrégulières. Tout le reste est rempli par le spath calcaire blanc, mais de diverses nuances. id. section transverse, orientée comme la fig. 8 et mon- trant la position excentrique du siphon. JBarrande Syst. Slur de Bohème Vol.Il. Humbert Iith. Imp. Lemercier r de Seine 57 Pans PI. Fig. 3. 15. 16. 19. 20. 17. 18. 319. Etage. À H G Spécimen sans test et montrant une série de loges aéri- ennes. Hostin. h 1. Autre spécimen, montrant une série de loges aériennes, dépouillées du test. Hostin. h 1. Autre spécimen sans test et montrant une série de loges aériennes. La partie inférieure a été usée jusqu'au plan médian, pour montrer les cloisons et le siphon. Hostin. h 1. id. 2 loges aériennes, grossies, montrant les cloisons avec le siphon. Il n’y a aucune trace de dépôt orga- nique. Tout le remplissage consiste en spath calcaire blanchätre. Autre spécimen, plus développé et montrant une série de loges aériennes conservant leur test, avec ses appa- rences caractéristiques. Hostin. h 1. Autre spécimen, présentant une longue série de loges aériennes et conservant son test bien caractérisé. Hostin. h 1. id. partie supérieure, grossie, montrant la disparition graduelle des anneaux et des fentes longitudinales, à mesure qu'on avance vers la pointe. Autre spécimen, montrant quelques loges aériennes, dans lesquelles les anneaux sont à peine indiqués. Hostin. h 1. id. cloison terminale, montrant le siphon central. Orthoceras equiselum. Barr. voir PI. 262. Orihoceras énsectumn. Barr... . . . .E Fragment de Ja grande chambre, vue par la face laté- rale. Moule interne, conservant quelques fragments du test. Karlstein. id. vu par le côté entaillé. id. vu par le côté lisse. id. section transverse, orientée comme la fig. 10 et sans trace du siphon. id. fragment grossi et vu par la face portant les entailles. Orthoceras zonatum. Barr. . . . . E voir PI. 346. Fragment de la grande chambre. Moule interne, mon- lrant les rainures horizontales. Konieprus. id. seclion transverse, circulaire, sans trace du siphon. Aulre spécimen, montrant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, avec une partie du test. Mauha Hora. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. Orthoceras clepsydra. Barr. . . . .F Fragiment représentant deux loges aériennes, recouvertes par leur test. Konieprus. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. Fig. 21. 22. 26. 37. 38. EXPLICATION DES FIGURES. Etage Orthoceras aphragma. Bar. .- . _E voir PI. 277—327. Spécimen montrant le moule de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant une partie du test, et montrant les rainures transverses, dont il est orné, comme le moule interne. Listice. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. Orthoceras perstriclamn. Barr. . . .E Spécimen dépouillé du test. Il montre la grande chambre et une série de loges aériennes. Le moule interne con- serve la trace des rainures. Listice. Autre spécimen, montrant le moule interne de la grande chambre, avec la trace des rainures. Listice. id. cloison terminale, montrant la position centrale du siphon. Orthoceras fasciolatum. Bar. . ua voir PI. 412. Spécimen vu par la face latérale, montrant le bord intact de l’ouverture, la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant le test presque complet. On recon- naît la brusque disparition des rainures du test, un peu au dessus de la base de la grande chambre. Hinter- Kopanina. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des orne- ments, au droit de l’échancrure du bord de l’orifice. id. fragment du test, grossi, pour montrer les rainures dont il est orné. id. section longitudinale du test, montrant la profondeur des rainures, sans imbrication. Autre spécimen, représentant la grande chambre com- plète et recouverte de son test. On reconnaît, à sa base, la brusque disparition des rainures, qui sont très visibles sur les loges aériennes. Ce spécimen est vu par la face latérale. Hinter-K )panina. id. vu par le côté dorsal, montrant l'are convexe vers l'ouverture, que figurent les ornemens. id. cloison terminale, vue par la face convexe et orientée comme la fig. 30. Elle montre la position centrale du siphon. Autre spécimen, vu par la face latérale. La partie supé- rieure, dépouillée du test, montre la trace des cloisons avec l'impression des ornements. Hinter-Kopanina. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des orne- ments, sur le moule interne aussi bien que sur le test. Autre spécimen, conservant son test. Il montre la dispa- rition brusque des rainures, un peu au dessus de la base de la grande chambre. Konieprus. Autre spécimen, couvert de son test. Les rainures dont il est orné sont notablement plus espacées que dans tous les autres individus de même diamètre, que nous avons observés. Il est vu par la face latérale. Konieprus. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des ornements. id. section transverse, sans trace du siphon. HIRS19 e Vol.I. - onem ilur de B S Syst J Barrande Fr ——— PRET ASS A ét os sata « D Imp. Lemercier nde Seine 57 Paris Humbert lih 3. Orthoceras Acteon. Barr. . . . . . .E Spécimen montrant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes recouvertes par leur test. Koxorz. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par la face convexe ct montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, montrant le profil arrondi des stries, caractérisant cette espèce. Orthoceras Murchisoni. Barr. . . .E voir PI. 254—303—310—316—321—331 —408. Spécimen montrant une longue série de loges aériennes, conservant une partie du test. Lochkov. id. section longitudinale montrant, dans la partie infé- rieure, une série de cloisons conservées avec leurs goulots, tandisque les éléments du siphon sont com- plètement détruits. Dans tout le reste de cet exem- plaire, toute la structure interne a élé brisée, mais on voit, le long des bords, la trace des cloisons, dont les fragments sont accumulés sur la partie gauche, vers le fond de la cavité. Ce bord se trouvait donc sur le plan de gisement. Tout le remplissage consiste en spath calcaire blanc. Mais, dans la partie inférieure, à droite, on remarquera, que la première couche du dépot in- organique, figurée par une teinte foncée, simule l’appa- rence d’un dépot organique. Comme elle contourne les goulots, elle n'a été déposée qu'après la mort du mol- lusque et la destruction du siphon. Beaucoup dé spé- cimens de cette espèce présentent la même apparence; cependant, elle n’est pas constante. Voir PI. 316. fig. 2. id. cloison terminale, vue par la face convexe et orientée comme la fig. 6. Elle montre la position un peu excen- trique du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. id. section longitudinale du test, indiquant la tendance des stries à l’imbrication directe. Autre spécimen, encore jeune, représentant la grande chambre, avec le bord de l'ouverlure, une série de loges aériennes et quelques fragments du test. Viskocilka. EXPLICATION DES Fig. 11. 12. 13. 14. 15. FIGURES. Etage. .E Spécimen représentant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, presque entièrement recouvertes par leur test. Dlauha Hora. id. section transverse, orientée comme la fig. 11; sans trace du siphon. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe de ses lamelles, plus prononcée dans la nature que sur cette figure. Orthoceras vaulpes. Barr. . .. . Orthoceras occludens. Barr. . . . .E voir 419. Spécimen vu par la face latérale. Moule interne, mon— trant l'apparence du bord de l'ouverture, qui tend à se = contracter. Collines entre Lu%etz et Lodenitz. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. PL320 e Bohème Vol.Il. Imp Lemercierrde Seine 57 Paris S = A 5 = Es! LP ARS 14 0 } Fa nu h UNE 1) F 1 ! ”h 4 | TNT APM PAT PI. Fig. e + ot 321. Etage. Orthoceras Maurchisoni. Barr. . . .E voir PI. 254—303—310—316—320—331—408. Spécimen rectiligne, vu par l'extérieur. Moule interne, qui représente la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant quelques fragments du test. Konieprus. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon, en grande partie bien conservés. On voit, dans la grande chambre, les fragments de divers fossiles accumulés. Un fragment d'Orthocère a pénétré dans le siphon, par le gros bout. Il n’y a aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Le remplissage des vides a été opéré par- tiellement par des dépôts de calcaire, soit spathique blanc, soit compacte, noir ou gris. id. section transverse, orientée comme la fig. 2 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant l’apparence à peu près lisse de sa surface, qui n’est peut être pas intacte. Autre spécimen, un peu arqué et dont l’angle apicial est notablement plus ouvert que celui du précédent. Il représente une série de loges aériennes, conservant divers fragments du test. Konieprus. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien con- servées, tandisque tous les éléments du siphon ont été détruits. Dans le canal, qui représente cet organe, on voit 2 jeunes orthocères, qui ont pénétré jusque vers le milieu de la longueur et qui sont emboîtés l'un dans l’autre. Il n’y a aucune trace du dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Le rem- plissage inorganique reproduit les apparences observées sur la fig. 2. id. section transverse, orientée comme la fig. 5 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant son apparence lisse, mais probablement par suite d’une altération. Autre spécimen, un peu arqué, montrant une série de loges aériennes, conservant quelques fragments du test, Lochkov. | Fig. 10. 11. 12. 14. 15. 16. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section longitudinale, montrant une série de cloisons bien conservées dans la partie inférieure, tandisque tous les éléments du siphon sont détruits. Tout le reste de la structure interne a été brisé, et l'on voit les fragments des cloisons dans la cavité, qui s’est formée au dessus de l’une d'elles qui a résisté. Il n’y a aucune trace du dépôt organique. Le remplissage a eu lieu par le calcaire compacte, noir, dans la partie supérieure et par le calcaire spathique de diverses nuances, dans la partie inférieure. La première couche déposée sur les cloisons, dans la partie gauche, simule le dépôt organique, mais elle contourne les goulots, ce qui carac- térise sa nature inorganique. Cette apparence se repro— duit dans les spécimens fig. 2—6 et dans divers autres, figurés sur les planches citées. id. section transverse, orientée comme la fig. 10 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, montrant ses stries trés peu prononcées, mais plus distinctes que sur les spécimens précédens. Orthoceras dorsaluum. Barr. . . |. E Spécimen vu par la face externe, montrant la base de la grande chambre et quelques loges aériennes conser- vant leur test. Lochkov. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Les goulots sont remarquables par leur longueur. Il n'y a aucune trace du dépôt organique. La grande chambre est remplie par le cal- caire compacte, noir, et les loges aériennes par le cal- caire spathique, blanchätre. id. section transverse, ovalaire, orientée comme la fig. 14 et montrant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. PL.321 | Imp.Lemercier rde Seine 57 Humbert liUh PI. Fig. 3. EXPLICATION 322. Etage. Orthoceras Hichteri. Barr. . . . . .E voir PI. 318—323—349—409? Spécimen vu par la face latérale, montrant une longue série de loges aériennes et une partie du test. Koxorz. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés dans la moitié inférieure, tan- disqu'ils sont détruits, en grande partie, dans la moitié supérieure. On voit aussi le dépôt organique, un peu irrégulier et de plus en plus développé dans la moitié gauche des loges aériennes, à mesure qu'on s’avance vers le petit bout. dans le siphon, au droit des goulots. Le remplissage inorganique est composé de spath calcaire, blanc, dans la majeure partie du spécimen. et dans quelques loges vers le bas. Sa position indi- que le plan de gisement de la coquille, sur le côté gauche. Cette indication est confirmée par la place qu'occupe cette même roche noire dans l'intérieur du siphon. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. Ils sont pris vers le petit bout et ils mon- trent. dans leur intérieur, les anneaux obstrucieurs au droit des goulots. La cavité de chaque élément pré- sente une parlie occupée par le calcaire compacte, noir, et l'autre par le calcaire spathique, blanc. id. section transverse, orientée comme la fig. 2 et mon- trant la position presque centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer son apparence lamelleuse, très prononcée, lorsqu'on l'observe avec le secours d’une loupe. Orthoceras Sinon. Barr... . . .E voir PI. 263—326. Spécimen vu par la face latérale, montrant une série de loges aériennes et une partie du test. Viskoëilka. id. section longitudinale, montrant le siphon et les cloi- sons également bien conservés, dans la moitié inférieure. Le siphon persiste seul dans la moitié supérieure, tan- disque les cloisons sont détruites et ne sont représen- tées que par leurs extrémités, attachées à la paroi du test. La forme mixte des élémens du siphon est très prononcée. Il n'y a aucune trace du dépôt organique et tout le remplissage est composé de calcaire spathi- que blanc. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. id. section transverse, orientée comme la fig. 7 et mon- trant la position excentrique du siphon. I n'est que faiblement représenté , Mais le calcaire com- | pacte, noir, a pénétré dans la partie supérieure, à gauche, | DES FIGURES. Fig. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. Etage. Orthoceras capax. Barr... . ....E voir PI. 329—4267? Spécimen vu par la face latérale. Il représente la base de la grande chambre et 4 loges aériennes, recouvertes par le test. Koxorx. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien con- servées ainsi que 3 éléments du siphon. La conser- vation de cet organe est très rare et nous ne figurons ce fragment que pour montrer la forme des élémens, que nous n'avons pas pu rencontrer dans les autres spécimens sciés. Il n'y a aucune trace du dépôt orga- nique dans cet intérieur. La grande chambre est rem- plie par le calcaire compacte noir et les loges aérien- nes par le spath calcaire blanc. id. un élément du siphon , grossi, avec la trace des cloisons. Le goulot est très alongé dans cette espèce. Les cloisons très-épaisses se décomposent en deux lamelles, plus distinctes dans la nature que sur celte figure. id. section transverse, orientée comme la fig. 11 et mon- trant la trace subcentrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer l'apparence de ses stries saillantes et sans imbrication. Ces ornemens sont plus irréguliers dans la nature que sur celle figure, où l’on reconnaît cependant leur épais- seur inégale. G Orthoceras loricatum. Barr. . . A É voir PI. 275—424. Spécimen vu par la face latérale, montrant une série de 4 loges aériennes et un fragment du test. Dvo- relx. e 2. Cet exemplaire se distiupue par l'angle apicial très ouvert. id. section longitudinale, montrant la trace des cloi- sons, tandisque celle du siphon a presque complètement disparu. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements. id. section transverse, orientée comme la fig. 16 et montrant la position subcentrale du siphon. DE522 Seïne 57 Panis Amp Lemeraerr de Humbert lith He PI. 11. 323. Orthoceras sylphideum. Barr. . - .E Spécimen montrant la grande chambre à peu près com- pléte, une série de loges aériennes et une partie du test. Koxel. id. fragment grossi, pour montrer les ornements du test. Il est pris sur la face latérale, sur laquelle les stries sont obliques. id. autre fragment, grossi et pris sur le côté dorsal. Les stries sont convexes vers l'ouverture. id. autre fragment, grossi et pris sur le côté ventral. Les stries présentent un large sinus. Autre spécimen, dépouillé du test. Il montre la grande chambre incomplète et une série de loges aériennes, sur la surface desquelles on voit une ligne creuse, longitudinale, qui semble être la ligne normale. Koxel. id. cloison terminale, montrant la position excentrique du siphon, opposé à la ligne normale. Orthoceras Hichteri. Barr. . . . . .E voir PL 318—322—349—409? Spécimen vu par la face externe. Il représente la base de la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Hinter-Kopanina. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon également bien conservés, sur la majeure partie de la longueur. Dans l'intérieur du siphon, on voit un dépôt, dont la nature nous semble douteuse et qui simule un peu l'apparence du dépôt organique, occu- pant loute la capacité des éléments, vers la pointe de la coquille et diminuant graduellement vers le haut. Dans les loges aériennes, le dépôt organique est très prononcé dans la moitié gauche, tandisqu'il est insensible sur la moitié droite. Tout le reste du fossile est rempli par le spath calcaire, à l'exception de quel- ques points, où la vase noire a pénétré. id. section transverse, orientée comme la fig. 7 et mon- trant la position subcentrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements, très-faibles dans la nature et d'apparence lamelleuse. id. 3 éléments du siphon, grossis. Ils sont pris dans la partie supérieure du fossile, où il n'existe pas de dépôt organique. EXPLICATION DES 12. 13. 14. 16. 17. 18. 19. FIGURES. Etage. Orthoceras centrifuguan. Bar.. . .E Spécimen représentant une série de loges aériennes. Il a été redresse, pour pouvoir être logé sur la planche. Sa surface est complétement dépouillée du test. Dvoretz. id. section longitudinale, montrant les cloisons bien con- servées, tandisque la plupart des éléments du siphon ont été détruits. Toutes les loges aériennes, à l’excep- tion d'une seule, ont été complétement remplies par du spath calcaire, souillé par le carbone. La loge occupée par le calcaire compacte, noir, indique la hauteur à la quelle se trouve la brisure, qui a donné lieu à la cour- bure du fossile, dont nous avons fait abstraction dans le dessin. Il n’y a aucune trace du dépôt organique dans ce fossile. id. section transverse, montrant la position trés excen- trique du siphon. Orthoceras subannulare. Münst.{}, 1e voir PI. 210—212—253—283—336—392—399. Spécimen vu par l'extérieur. I] représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Le côté gauche du fossile a été attaqué par les intempéries, de sorte que son apparence est un peu altérée. Dlauha Hora. Ce spécimen ayant la surface du test un peu détério- rée, ses anneaux paraissent très peu saillans. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. Dans le siphon, on voit des anneaux obstructeurs bien développés, au droit des goulots. On reconnaît aussi le dépôt organique, très volumineux et offrant une apparence très irrégulière, dans les loges aériennes, sur le côté droit du fossile. Le côlé gauche est incomplet, mais il paraît dénué de ce dépôt. Le remplissage inorganique est composé de spath calcaire blanc, mais le calcaire compacte noir a pénétré dans les deux loges du gros bout. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements, c. à d. des anneaux peu saillants, dont la surface est couverte de stries très fines, transverses. id. section longitudinale du test, pour montrer la saillie des anneaux, très peu prononcée. ur de Bohème Vol.Il PL323 Humbert lith Imp Lemercier, r.de Seine 57 Paris ot EXPLICATION Etage. Orthoceras asluluamn. Barr. . . . . .E Spécimen dont l'un des bords est arqué. Il est vu par la face latérale et il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Lochkov. id. vu par la face droite, montrant les sutures des cloisons. id. section transverse, orientée comme la fig. 1. Le bout amaigri correspond au bord convexe. id. Fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments. La partie supérieure de la figure représente la surface externe avec des stries transverses, sans imbri- cation. La partie inférieure montre l’apparence chagrinée du moule interne, sur les loges aériennes. Cette appa- rence, très-difficile à décrire et à figurer, diffère de celle que montrent les autres espèces voisines. Mais elle équivaut vraisemblablement à celle des stries creu- ses, que nous observons habituellement. Orthoceras égnotum. Barr. . . . . .E voir PI. 376. Spécimen très incomplet et dépouillé du test. Il paraît représenter une parlie de la grande chambre, dont la forme a été un peu défigurée par la compression. Vallon de S' Procop, près de Holin. (Coll. Schary.) id. section transverse, montrant la déformation du fossile. Orthoceras Duponti. Bar. . ... .E voir PI. 212—285— 392. Spécimen vu par la face externe. Il représente une série de loges aériennes, presque complétement recou- vertes par le test, qui se décompose en diverses lamelles. Butovitz. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon, en partie conservés et en partie détruits. Dans le siphon, on voit des anneaux obstructeurs peu dé- veloppés. On reconnaît aussi, dans la moitié gauche des loges aériennes, un dépôt organique, peu épais, distingué par sa teinte grise. Dans certaines loges, le spath calcaire, couvrant les parois, a laissé dans le centre un vide, formant une géode, tapissée de cristaux. Dans d’autres chambres, partiellement occupées par la roche compacte noire, on reconnaît qu'il n'y a eu aucune incrustation spathique, sur les parois primitivement enva- hies par l'injection vaseuse, qui repose immédiatement sur le dépôt organique. id. section transverse, montrant la position subcentrale du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses ornements. DES FIGURES. Fig. 11. 12. 13. 14. Etage. Orthoceras decipiens. Barr... . . .E voir PI. 217—318—350. Spécimen vu par la face externe. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Dlauha Hora. : id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés, sur presque toute la longueur. Dans l’intérieur du siphon, on voit des anneaux obstruc- teurs, qui occupent toute la capacité des éléments pla- cés au petit bout, tandisqu'ils diminuent sensiblement, en allant vers le gros bout. Leur plus grand volume correspond au bord du siphon le plus rapproché de l'axe de la coquille. Dans les loges aériennes, le dépôt organique est également très développé et remplit la moitié droite du fossile, à partir du petit bout jusque vers le milieu de sa longueur. Il s’affaiblit ensuite graduellement, à mesure qu’on s’avance vers la grande chambre. Il est très faible, à gauche du siphon. Le remplissage inorganique consiste en spath calcaire, qui a comblé tous les vides, excepté les deux loges supé- rieures, envahies par le calcaire compacte. On remar- quera, dans ces 2 loges, qu'il n'existe aucune incru- station blanche, sur les parois en contact avec la roche noirâtre. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer l'absence de tout ornement sur sa surface. Humbert hUh. Imp.Lemercier de Seine 5y Parts PI. Fig. 10. 11. 12. 13. 14. 17. 18. 32). Orthoceras Argus. Barr. . . . . . .F voir PL 329—364. Spécimen à peu près entier. Il conserve son test, qui empêche de distinguer les cloisons. On reconnaît l’étran- glement au dessous du bord de l’ouverture. Konieprus. id. section transverse, circulaire, prise un peu au des- sous de l'ouverture. Autre spécimen, moins complet, mais conservant éga- lement son test. Par suite de la pression qu'il a subie, il montre diverses fentes obliques et sa section trans- verse est allérée. Konieprus. id. fragment de la surface, grossi, montrant un Bryo- zoaire, qui la recouvre, el qui présente des apparences diverses, suivant son état de conservation. id. autre apparence de la surface, sur laquelle le Bryo- zoaire est plus faiblement marqué, tandisqu'on aperçoit dans ses mailles les siries horizontales, qui ornent le test. id. autre apparence du test, également grossi. Dans la partie supérieure, on voit les ornements naturels de la surface, avant toute incrustation, tandisque, dans la partie inférieure, on aperçoit les premières traces du réseau commencé par un Bryozoaire. Autre spécimen, montrant la grande chambre et quel- ques loges aériennes, dont la surface est détériorée. Les parois mises à nû ne sont pas celles des cloisons, mais celles des surfaces de moindre résistance, dans le remplissage cristallin. Konieprus. Autre spécimen, montrant la grande chambre, conser- vant une partie du test et une seule loge aérienne. Konieprus. id. vu par le petit bout, montrant la position un peu excentrique du siphon. La surface de moindre rési- stance est celle qui est figurée et qui simule une cloison. Autre spécimen, montrant une série de loges aériennes, détériorées et exposant les surfaces de moindre rési- stance du remplissage cristallin. Konieprus. id. vu par le gros bout, montrant le siphon entouré par le dépôt biconique cristallin, saillant sur la sur- face de moindre résistance. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant le siphon et les cloisons bien conservés. Tout l'intérieur est rempli par le spath calcaire, blanc, sans trace du dépôt organique. Konieprus. Autre spécimen, section longitudinale montrant le siphon bien conservé, tandisque plusieurs cloisons ont été brisées. (On remarque l'absence du dépôt organique. Toutes les parois des cloisons sont tapissées par un dépôt spathique blanc, tandisque leur partie centrale est occupée par un dépôt impur de la même roche. Ko- nieprus. id. 2 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons et des divers dépôts spathiques. Autre spécimen, montrant la seclion longitudinale de quelques loges aériennes. A l'extrémité inférieure, on reconnait l'apparence conique du dépôt cristallin, autour du siphon. Konieprus. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant la saillie du siphon, entouré par le dépôt hbiconique. Autre spécimen, incomplet. Le test, bien conservé, montre une blessure, réparée par le mollusque. Ko- nieprus. id. fragment grossi, montrant la partie réparée, dans laquelle les siries sont sinueuses, au lieu d’être trans- verses et reclilignes. On voit aussi le réseau d'un bryo- zoaire, sur une partie de la surface. Fig. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. H Orthoceras capillosuan, Barr. . . . € E voir PI. 357—394. Spécimen montrant le bord de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Butovitz. E—e 1. : Autre spécimen, montrant la grande chambre, une série de loges aériennes et la majeure partie du test, en par- tie décomposé. Le siphon, vu au petit bout, est un peu excentrique. Butovitz. E—e 1. | id. fragment du test, fortement grossi. La partie supé- rieure montre les stries transverses de la lamelle externe. Sur la partie moyenne, on voit les stries creuses, qui couvrent la lamelle interne. La partie inférieure repré— sente la surface lisse du moule de la grande chambre. Autre spécimen. Moule interne, montrant la grande chambre et une série de loges aériennes. Butovitz. E—e 1. . id. cloison terminale de la grande chambre, montrant la position centrale du siphon. Jeune spécimen, montrant la grande chambre et une série de loges aériennes. Butovitz. E—e 1. id. seclion transverse, circulaire, sans trace du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés, vers la pointe, tandisqu'il n’en reste aucune trace dans la partie supé- rieure, dont une partie a élé supprimée faute d'espace. Il y a un faible dépôt organique dans l'intérieur des loges aériennes. Tout le reste est rempli par le cal- caire spathique blanc. Butovitz. E—e 1. id. fragment grossi, pour montrer la disposition irrégu- lière du dépôt organique, dans les loges aériennes. Autre spécimen, de la plus grande taille connue. Il montre la grande chambre avec le bord intact de l’ou- verture et une partie du test. On voit, au dessous, la section longitudinale d’une série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont bien conservés. Les parois des loges aériennes sont fortement tapissées par un dépôt de spath calcaire. Mais la roche noire a pénétré dans la partie centrale de chaque loge. Il ny a aucune trace du dépôt organique dans cet intérieur. Konieprus. e 2. ” Autre spécimen, représentant la grande chambre et quel- ques loges aériennes, également recouvertes par le test. Konieprus. E—e 2. id. cloison terminale, vue par le côté convexe et mon- trant la position centrale du siphon. Autre spécimen, représentant quelques loges aériennes, conservant une partie du test. Mnienian. F—f2. id. section transverse, montrant la position légèrement excentrique du siphon. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés. La position un peu excentrique du siphon, dans ce spécimen, semblerait indiquer une différence spécifique par rapport aux autres. Mais la même excentricité existe aussi dans le spécimen, fig. 20, et par conséquent elle paraît être purement indi- viduelle. ESS r,de Seme 57.Paris Imp Lemercier J.Barrande Syst Silur de Bohème. Vol IL. Humbert Jith . PI. 326. Fig. 3. Etage. Orthoceras explanans. Barr. . . . voir PI. 213—254—38897 Spécimen représentant une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes, dépouillées du test. Lochkov. id. section longitudinale, montrant que les cloisons et le siphon ont été détruits, dans la majeure partie de la longueur. Il reste seulement 3 cloisons intactes, au dessous de la grande chambre et quelques autres plus ou moins brisées, mais persistantes, près du petit bout, avec 5 éléments du siphon. D’après ces apparences, il est clair que la décomposition atteignait les parties internes de la coquille, qui n'étaient pas en contact immédiat avec les agents extérieurs. On remarque, en outre, dans ce spécimen, comme dans le suivant, que les cloisons se conservaient mieux dans le voisinage de la pointe, que vers le gros bout de la coquille; sans doute ou à cause de leur moindre diamètre. Le remplissage inorganique est composé de calcaire spa- thique, blanc, dans toute la partie cloisonnée, excepté dans les deux loges aériennes contigues à la grande chambre, et dans lesquelles a pénétré le calcaire com- pacte, noir, qui remplit cette derniere. id. section transverse, montrant la position légèrement excentrique du siphon. Orthoceras Sinon. Barr.. . . . . . .E voir PI. 263—322. Spécimen un peu arqué, représentant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, pres- que entièrement recouvertes par le test. Koxorz. id. section longitudinale, montrant les cloisons et le siphon bien conservés, dans la partie inférieure, tandis- qu'ils ont été détruits dans la partie moyenne. Quel- ques cloisons, sans siphon, persistent encore au dessous de la grande chambre. Les éléments du siphon offrent la forme que nous nommons mixte, c. à d. presque rectiligne d’un côté et notablement convexe du côté opposé. Ils ne renferment aucun dépôt organique et les loges aériennes en sont également privées. Toutes les cavités sont remplies par le spath calcaire blanc; mais le calcaire compacte, noir, a envahi la grande chambre et il a aussi pénétré dans les 3 loges les plus voisines de celle-ci. E Fig. 10. 11. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. section transverse, elliptique, orientée comme la fig. 5, et montrant la position excentrique du siphon, sur le petit axe. id. fragment du test, fortement grossi. La partie supé- rieure représente les stries transverses de la lamelle externe. Sur la partie moyenne, on voit le faible réseau des stries de la lamelle interne. La partie inférieure représente la superficie du moule, qui est lisse. Orthoceras evanescens. Barr. . À LÉ voir PI. 258—265—361? Spécimen représentant une série de loges aériennes, conservant la plus grande partie du test. Viskocilka. id. section longitudinale, montrant le siphon bien con- servé, tandisque les cloisons ont été en partie détruites. Il n’y a aucune trace du dépôt organique. Tout l'in térieur est rempli par le calcaire spathique, de diver- ses nuances. id. section transverse, montrant la position subcentrale du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements, qui sont très peu prononcés dans la nature. PL.326 me Vol.IL. he () J Barrande Syst Silur de B Le 57laris de Seine ENCIEN T Imp. Lem Humbert lith. LA Fig. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras Zemperans. Barr... . .E voir PI. 222—226—230. Spécimen représentant une série de loges aériennes, dépouillées du test. La partie inférieure expose une section longitudinale, dans laquelle les cloisons et le siphon sont bien conservés. Le dépôt organique se voit dans le siphon, au droit des goulots, sous la forme d’anneaux obstructeurs, peu développés. Il existe aussi dans les loges aériennes, sur les deux faces des cloi- sons, mais il est beaucoup plus faible dans la partie à gauche du siphon. Il est indiqué par la teinte grise. Le reste des cavités est rempli par du calcaire spathique de diverses nuances. Le calcaire compacte, noir, a pénétré partiellement par le bas, dans l'intérieur du siphon. Au milieu de ce spécimen, immédiatement au dessus de la section, on voit le siphon enveloppé dans un solide régulier de spath calcaire, dont l'extérieur représente la surface de moindre résistance et celle de l'enveloppe biconique du siphon. Dlauha Hora. id. demi-section transverse, montrant la position excen- trique du siphon. Fig. 3. PL. 327. Etage. Orthoceras Apollo. Bar. . . ... .E voir PI. 255—262? Spécimen vu par la face extérieure, dépouillée du test. Une partie de sa longueur a été supprimée, vers le haut, faute d'espace. RXepora. id, section longitudinale, montrant le siphon bien con- servé, dans toute la longueur, tandisque quelques cloi- sons ont disparu dans la partie supérieure. Il n'existe aucune trace de dépôt organique, ni dans le siphon, ni dans les loges aériennes. Dans l’intérieur du siphon, on voit une couche longitudinale de calcaire compacte, tandisqu'une autre couche de calcaire spathique com- pléte le remplissage de cette cavité. La situation du calcaire noir dans le siphon montre, que le fossile était placé dans une position d'équilibre instable, sur le plan de gisement, car le centre de gravité se trouve au dessus de l’axe de l’Orthocère. L'intérieur des loges aériennes est principalement rempli par du spath cal- caire de diverses nuances. id. demi-section transverse, orientée comme la fig. 4 et montrant la position excentrique du siphon. PI. Jo. (suite.) Fig. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. Etage. Orthoceras aphragma. Barr. . . E voir PI, 277—319. Spécimen représentant une partie de la grande chambre et conservant la moitié du lest, dont la surface est détériorée. Vers le petit bout, on aperçoit deux rai- nures transverses, ondulées, qui sont aussi marquées sur le moule interne que sur la surface extérieure du test. Il n'existe aucune trace des cloisons. Viskocilwa. Autre spécimen, représentant la pointe de la coquille dépouillée du test, à l'exception de quelques petits frag- ments. La surface de ce moule interne présente un grand nombre d’étranglements, irréguliérement espacés, et qui se reproduisent sur les fragments du test. Il n'existe aucune trace de la suture des cloisons. Vi- skoëilka. id. section transverse, sans trace du siphon. Autre spécimen; moule interne, conservant quelques fragments du test. On ne voit que trois cloisons, a, Db, €, dont la suture fait le tour.du fossile, mais on reconnaît ça et là l'indice d'une cloison commencée et non terminée. Les rainures transverses, irrégulière- ment espacées sur la longueur, sont aussi prononcées sur le moule interne que sur le test. Viskoëilka. id. section transverse, sans trace du siphon. Autre spécimen. Moule interne, représentant presque toute la longueur de la coquille. On n'aperçoit sur sa surface aucune trace quelconque de cloisons. De nombreuses rainures transverses sont irréguliérement espacées sur la longueur, mais on remarque qu'elles disparaissent dans la partie supérieure. Les mêmes rainures existent sur les fragments du test, qui restent sur la face opposée du fossile. Viskocilka. id. fragment grossi, pour montrer les siries creuses, qui couvrent la surface du moule interne, mais qui sont très faiblement marquées. Autre spécimen, trouvé avec les précédens. Moule interne, montrant une série de cloisons, irréguliérement espacées. La portion du test, qui reste sur ce morceau est dété- riorée et ne permet de reconnaître aucune rainure. On voit cependant la trace de plusieurs d'entre elles sur le moule interne. Elles ont échappé à l'attention du dessinateur. Viskocilka. id. section transverse, sans trace du siphon. Autre spécimen, montrant de trés fortes rainures, sur la surface du test. Elles sont également marquées sur le moule interne, qu'on voit sur la face opposée, sans aucune trace de cloisons. Viskocilka. Orthoceras valens. Bar.. { _ pe voir PI. 239—335—401—406—412. Spécimen représentant la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Il est figuré dans le seul but de montrer l'irrégularité qui existe dans l’espacement des cloisons, dont quelques unes n'existent que sur une partie du contour. Butovilz. id. cloison terminale de la grande chambre, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du moule interne, grossi, pour montrer les stries creuses, qui ornent sa surface. Fig. 19. 20. 21. 22. 24. 26. 27. 28. 29. 30. EXPLICATION DES FIGURES. Orthoceras fièmidum. Barr. voir PI. 217—315—396—424. Spécimen représentant une partie de la grande chambre et des loges aériennes. Vers le petit bout, on voit, à droite, le test bien conservé, tandisqu’à gauche, dans une lacune, on aperçoit, sous la trace des cloisons, une longueur notable dépourvue de toute suture. Vi- skocilka. è id. cloison terminale de la grande chambre, montrant la position centrale du siphon. Orthoceras Janus. Barr. . . . . . .E voir PI, 225—300—36æ Moule interne, vu par la face latérale, montrant une partie de la grande chambre et quelques loges aérien- nes. La surface présente l'empreinte des ornemens du test. A la base de la grande chambre, sur le bord gauche, il existe une cloison commencée et non achevée. Dlauha Hora. id. vu par le bord dorsal, ou caréné, sur lequel üil n'existe aucune trace de la cloison commencée sur le bord ventral. id. section transverse, orientée comme la fig. 21, et sans trace du siphon. Orthoceras Ganymedes. Barr. . . .E voir PL 239—306—389. Spécimen montrant une partie de la grande chambre, une série de loges aériennes et des fragments du test. A la partie inférieure, le moule interne présente un long espace dénué de cloisons. Mais on voit, sur le bord gauche, la suture de deux cloisons commencées et‘non achevées. Elles s'étendent inégalement sur la face cachée du fossile. Viskocilka. id. section transverse, orientée comme la fig. 24, sans trace du siphon. Orthoceras 2. Batr: CRE Pointe initiale d’un orthocère, dont l'espèce n’est pas déterminée. Cette pointe est recouverte d’un test lisse. Elle est fortement grossie, le spécimen n'ayant que 3 mm. de longueur. Butovitxz. id. vu par l'extrémité inférieure. Orthoceras electarm. Barr... . . . . LE voir. PI. 260—362. Pointe initiale de la coquille, conservant presque tout son test, sauf l'extrémité. Les sutures des cloisons se voient très bien par transparence et figurent des lignes noires. Collines entre Lodenilz et Bubovizx. id. fragment du test, grossi, pour montrem les ornements. id. cloison de l’une des loges supérieures, grossie et montrant la position centrale du siphon. PS7 J.Barrande Syst Silur de Bohème Volil. rene ie £ ip Lemercierr de Seïne 57 Paris Humbert th . DE de. PI. Fig. 328. Etage. Orthoceras puteolus. Barr. . . . . .E Spécimen conservant une partie du test et vu par la face latérale. Il montre le bord de l'ouverture, l’étran- glement, la grande chambre et trois loges aériennes. Viskocilka. id. cloison terminale, notablement elliptique, orientée comme la fig. 1, et montrant la position centrale du siphon. Orthoceras Zunaticum,. Barr. . . . .E voir PI. 418. Spécimen presque complet, montrant le bord de l’ou- verture. Le test, qui le recouvre entièrement, ne permet de distingue, aucune des cloisons. Un peu au dessous du milieu de la longueur, on voit quelques anneaux trèés-prononcés, tandisque toute la partie inférieure est lisse. La partie au dessus des anneaux ne présente que des stries transverses, irrégulières. Koxorz. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment grossi, montrant les anneaux, qui sont presque aussi apparents sur le moule interne que sur le test. id. fragment du test, pris vers le milieu de la longueur, et fortement grossi, pour montrer les stries inégales, dont il est orné. Fig. 10. 11. 12. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. . .E Spécimen conservant quelques fragments du test. Il mon- tre une partie du bord de l’orifice, et un étranglement trèés-prononcé, mais éloigné de celui-ci. On distingue, sur le moule interne, la grande chambre et une série de loges aériennes. Lochkov. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. Orthoceras helluo. Barr. . . . .. Orthoceras Acès. Barr. . . . . . . . .E voir. PL 365—410 ?—421—424. Spécimen vu par la face latérale. Il montre la partie inférieure de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant presque tout leur test. Les orne- ments de celui-ci sont extrêmement faibles, dans la nature. Koxorz. id. cloison prise vers le milieu de la longueur et orientée comme la fig. 9. Elle est vue par la face con- vexe et montre la position excentrique du siphon. id. partie du même spécimen, figurée par le côté ven- tral, pour montrer le sinus des stries, qui sont trop fortement prononcées dans le dessin. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il montre le bord intact de l'ouverture, la grande chambre et une série de loges aériennes, avec quelques fragments du test. Kozorz. druckerei taats D kk Hof u. dx. d 2e a Litha 10. er — : ds re PR en À PI. Fig. 10. 11. 12. 14. 329. Etaçe. Orthoceras Myrmido. Bar... . . .E Spécimen montrant la grande chambre à peu près com- plète, une série de loges aériennes et une partie du test. La surface est ornée de stries transverses, très- fines, qui font un léger sinus sur la face exposée. Lochko®. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par le côté convexe et montrant la posilion un peu excentrique du siphon. Elle est orientée comme la fig. 1. Orthoceras Argus. Barr.. . .. .F voir PI. 325—364. Spécimen conservant son test, qui cache toutes les traces des loges aériennes. Konieprus. id. seclion transverse, elliptique, sans trace du siphon. Cette forme elliptique peut être attribuée à la com- pression, tandisque les spécimens figurés sur les autres planches citées offrent une section circulaire. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses siries iransverses, très fines et subrégulières. Orthoceras confraternavm,. Barr.. .E Spécimen vu par la face latérale ce. à d. la plus large. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre fortement étranglée, quelques loges aériennes et une partie du test. Dvorelx. id. vu par l’un des côtés étroits. id. cloison terminale, elliptique, orientée comme la fig. 6 et montrant la position subcentrale du siphon. Orthoceras modestaum. Barr. . D Spécimen presque complet, montrant le bord de l’ouver- ture, le moule interne de la grande chambre avee deux étranglements réguliers et la partie cloisonnée recou- verte de son test. Les stries indiquées sur cette partie sont trop prononcées. Koxel. id. cloison terminale de la grande chambre, circulaire, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, montrant le moule complet de là grande chambre et une série de loges aériennes, avec un frag- ment du test. On remarquera la similitude des étran- glemens. Kogel. id. vu par la face opposée, conservant la majeure partie du test, sur lequel les étranglemens ne sont pas mar- qués. Vers le bas du spécimen, il existe des stries faibles, sur la surface. Elles ont été omises sur celte figure. Jeune spécimen, qui paraît appartenir à la même espèce. 1 montre la grande chambre avec un seul étranglement et une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Konieprus. id. section transverse, sans trace du siphon. Fig. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras capax. Barr. . . . . . .E voir PL 322—426? Spécimen de la plus grande taille connue. Il montre la majeure partie de la chambre d'habitation et une série de loges aériennes, également recouvertes par le test. Le bord de l’orifice est incomplet. Nous considérons comme accidentel l'anneau saillant, qu’on voit sur la grande chambre. L'apparence des stries, sur cet anneau et au dessous, semble indiquer une lésion de la coquille et une réparation par le mollusque. Aucun autre‘ exem- plaire ne nous montre une apparence semblable. Koxoræ. Autre spécimen, représentant une série de loges aérien- nes, conservant une partie de leur test. On aperçoit, sur la surface de celui-ci, un fragment de sa lamelle externe, qui manque ordinairement. Lochkovw. id. cloison terminale, vue par le côté convexe et mon- trant la position centrale du siphon. id. fragment du test, fortement grossi, montrant la sur- face des deux lamelles, avec leurs ornementsssemblables. id. section longitudinale, montrant la saillie des orne- ments. Par erreur du dessinateur, la position de la lamelle externe n’est pas en harmonie avec la fig. 18. Autre spécimen, légèrement arqué. Il montre une partie de la grande chambre, une série de loges aériennes et divers fragments de la lamelle interne du test. Lochkovw. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant la base de la grande chambre et plusieurs cloisons bien con- servées avec leurs goulots, tandisque les éléments du siphon ont disparu. Koxorx. Autre spécimen. Section longitudinale, sur laquelle on reconnaît, outre les cloisons et leurs goulots, divers fragments des éléments du siphon. Koxorz. Les éléments du siphon se voient plus complets sur une autre section, PI. 322. N. B. Dans les deux spécimens fig. 21—22, les cavités internes sont remplies par le calcaire spathique blanchâtre. Le calcaire compacte, noir, occupe la grande chambre, fig. 21. Il n'y a, dans ces deux sections, aucune trace du dépôt organique. J.Barrande. Silur de Bohème Volt CM il Hoï y. Staatsdruckeret th:u.sed.Lék Rud, Suhôoun ndNat. ges hith. Wien PI. 3. 330. Etage. Orthoceras Minos. Barr.. . . . .- . .E Spécimen vu par la face latérale. Il montre une longue série de loges aériennes et une partie du test, conservant ses ornements inlacts. Karlstein. id. cloison terminale, elliptique, vue par le côté con- vexe et montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements, qui consistent en filets saillants, séparés par des rai- nures de largeur variable. id. section longitudinale du test, montrant le relief des stries, sans imbrication. Orthoceras impatiens. Barr. . . . .E Spécimen vu par la face latérale. Il montre la grande chambre avec une partie du bord de l'ouverture et l'étranglement qui l'accompagne. On°voit aussi une série de loges aériennes et un fragment du test. Ce spécimen a éprouvé une brisure longitudinale, par l'effet de la pression. Kartstein. id. section horizontale, elliptique, vers la base de la grande chambre, sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer les stries fines et horizontales dont il est orné. Fig. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. À Spécimen dépouillé du test et un peu arqué vers la pointe. Il montre la grande chambre complète et la majeure partie des loges aériennes. Hlubocep. Orthoceras pastinaca. Barr. . voir PI. 248. id. section transverse prise vers le milieu de la partie cloisonnée et montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, montrant la section longitudinale d’une série de loges aériennes. Les cloisons sont conservées avec leurs goulots, tandisque tous les éléments du siphon sont détruits. Tout l’intérieur est rempli par la roche compacte et il n’y a aucune trace du dépôt organique. Joh | Litha sed.rd.kkHofu.Staatsdruckerei. PI. Fig. 2. 3. 331. Orthoceras Murchisoni. Bar. . et Var. suboriens. Barr. voir PL 254—303—310—316—320—321—408. Moule interne, un peu arqué vers le gros bout et vu par la face latérale. Il montre la grande chambre com- plète, avec le bord intact de l'ouverture. Outre l’étran- glement habituel sous l’orifice, on voit, sur le moule de la grande chambre, deux autres étranglements, qui sont un peu trop prononcés sur celte figure et qui n'existent pas habituellement dans les autres individus. La série des loges aériennes, conservées au bas de ce morceau, permet de reconnaître qu'elles sont inclinées dans un sens opposé à celui de l'ouverture et des stries du test, dont il reste quelques fragments. Dvorelx. id. vu par le côté ventral, montrant une échancrure prononcée, sur le bord de l'ouverture, les 3 étrangle- ments déjà mentionnés et la direction horizontale du bord des cloisons, sur cette face. id. section transverse, un peu elliptique, prise vers le milieu de la partie cloisonnée. Elle ne présente aucune trace du siphon. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Var. suboriens. Barr. Spécimen, vu par la face latérale. Il montre la base de la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. Les ornements transverses, les plus apparens sur la surface, présentent une inclinaison oppo— sée à celle du bord des cloisons. Les siries longitu- dinales, qui existent, sont invisibles à l'oeil nû. Dvoretx. id. vu par le côté dorsal, dépouillé du test. Le bord des cloisons offre, dans ce spécimen, un arc convexe vers l'ouverture et déterminant un sinus concave, de chaque côté du plan médian. La trace de ce plan est aussi marquée par une ligne creuse, qui paraît repré senter la ligne normale. On voit aussi, sur le moule, des stries fines et serrées, parallèles à_ cette ligne. Ces apparences ne se montrent sur aucun autre de nos exemplaires. id. fragment du moule interne, grossi, afin de montrer la ligne normale et les stries trés fines, que nous venons de mentionner sur la surface. id. fragment du test, fortement grossi, pour montrer ses ornements, ©. à d. des stries fines, obliques, comme dans les autres individus de cette espèce, mais, de plus, des stries serrées et très fines, longitudinales, que nous n'observons sur aucun autre spécimen. J-Parrande. Syst. Silur. de Bohême. Vol II Toh.Strohmaver md Nat.gezunlitht Wien. Lithcseilt d RkHof x Staatsdruckerer. PL 332. Etage. Orthoceras hastile. Bar. . . . . . .E | Ces deux figures représentent un seul et même spé- cimen et doivent être idéalement ajoutées l’une à l’autre, suivant la ligne horizontale à b. La figure 1 et la partie supérieure de la figure 2 représentent la grande chambre, qui, malgré ce grand développement, est encore incomplète vers son extré- mité supérieure. Afin de montrer toute la convexité de la cloison qui termine cette chambre d'habitation, il a été laissé un intervalle entre cette cloison et le frag- ment placé au dessous et qui représente une série de loges aériennes recouvertes par le test. La surface du test est à peu près lisse et n'offre que quelques stries d’accroissement, irréguliérement espacées. Son épais- seur, indiquée sur la fig. 2, est considérable. A la base de la grande chambre, la surface du moule interne porte: une série d'impressions longitudinales, un peu irrégulières, mais qui rappélent les crénelures qu'on observe fréquemment, dans la même posilion, sur le moule interne des Nautilides de divers autres genres. Koxel. . id. cloison terminale de la grande chambre, vue par le côté convexe et montrant la position centrale du siphon. Fig. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras complum. Bar. . . . .E voir PI. 393? Fragment de la grande chambre, conservant son test. Sur la moitié supérieure, est appliqué un autre frag- ment de la coquille du même individu ou du moins, d'un autre individu de la même espèce. La surface du test est ornée de stries obliques, dont les princi- pales sont subrégulièrement espacées. Dans leurs inter valles, on voit d’autres stries beaucoup plus fines, les unes en creux et les autres en relief. Koxel. La section transverse de ce spécimen, non figurée, faute d'espace, est circulaire. Le siphon est invisible. de Boheine NolIE. — Lithu.ged.i d.k.k.Hof u Staatsdruckerer. Joh Strohmayer nd.Nat. sen. u.lith Wien. PL. 533. 10. 11. 12. EXPLICATION Etage. Orthoceras HHoernesi. Barr... . . . .E voir PI. 213. Spécimen un peu arqué, vu par la face latérale. La grande chambre est complète et permet de reconnaître le bord de l’ouverture avec l’étranglement du moule, un peu au dessous. La série des loges aériennes, ironquée vers le bas, est en partie recouverte par le test, sur lequel les stries diminuent d'intensité en allant vers la pointe. Lochkov. id. section transverse au petit bout, montrant la position trés excentrique du siphon. Autre spécimen à peu près complet, sauf la pointe et quelques parties du test. Il est vu par la face latérale, montrant la courbure de la coquille. Les stries trans- verses du test, qui sont très prononcées sur la grande chambre, diminuent graduellement d'intensité en allant vers l'extrémité inférieure et disparaissent totalement vers la pointe du fossile, qui paraît lisse. Kozorz. id. cloison terminale, vue par la face convexe. Elle est orientée comme la figure 3 et montre la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi. Il est pris sur la grande chambre et montre les stries très saillantes. id. section verticale du test, montrant la saillie irré- gulière des stries, sans imbrication distincte. id. autre fragment du test, grossi. Il est pris vers l'extrémité inférieure, sur la zône où les stries dispa- raissent vers le bas. id. section verticale du test, sur la même zône. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant la courbure plus prononcée dans Ja partie supérieure que vers la pointe, qui est presque droite. On voit le moule de la grande chambre complet, à l'exception du test, qui est conservé en partie sur les loges aériennes. Koxzorz. id. cloison terminale, orientée comme la figure 9, et montrant la position excentrique du siphon. Autre spécimen, vu par la face latérale et offrant une faible courbure Le moule de la grande chambre est complet, sauf le test. La partie de celui-ci, qui est conservée, sur les loges aériennes, présente des stries, relativement très prononcées. Koxorx. id. cloison terminale, montrant la position du siphon. Elle est orientée à angle droit par rapport à la fig. 11. DES FIGURES. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. Etage. id. fragment du test, grossi, montrant ses stries très saillantes. É : id. section longitudinale du test, montrant le relief inégal des siries, sans imbrication. Autre spécimen, dont l’espace n’a pas permis de figurer la partie supérieure. Il représente la section longitu- dinale. Les cloisons et le siphon sont bien conservés, dans la moitié voisine de la pointe. L'intérieur est rempli par du spath calcaire, offrant diverses nuances. Il n'y a point de dépôt organique, excepté un rudiment, au droit des goulots, dans le siphon. Koxorz. id. trois éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. Le dépôt organique ne se montre dans l'in térieur que par un point noir, au droit des goulots. Ces éléments présentent la forme mixte très prononcée. Var. approximans. Barr. . . . . . .E voir PI. 384. Spécimen vu par la face latérale, qui ne présente pres- que aucune courbure. La grande chambre est com- plète, sauf une partie du test. La surface de celui-ci ne présente que des stries très faibles et très régulières, qui ont été dessinées avec trop d'intensité. Koxorx. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 17 et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi. Les stries sont beaucoup trop prononcées sur cette figure, comme sur la fig. 17. id. section longitudinale du test. Les stries sont trop fortement marquées. Orthoceras Tiphys. Barr. . . . . . .E voir PI. 306—317—376?—425? Fragment rectiligne, montrant la grande chambre com- plète, deux loges aériennes et une partie du test. On ne voit aucun étranglement sous l'ouverture. Buto- vitz. € 1. id. cloison terminalé, circulaire, montrant la position centrale du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant ses stries régu- lières, serrées et lamelleuses. Elles figurent l'imbrication directe. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe des stries. IHESÉ | LS Rud.Schonn n.d.Nat.$es.wlith Wien. Lithu.sed.i d.k.k.Hof w Staatsdruckerer. PL 334 11. 12. 14. 15. EXPLICATION Etage. ; G? Orthoceras senile. Barr. . . . . { E voir PI. 223—405—420. Spécimen notablement arqué et vu par la face latérale. Il montre le bord intact de l'ouverture, la grande cham- bre, la majeure partie des loges aériennes et divers fragments du test. Dlauha Hora. e 2. id. cloison prise au milieu de la partie cloisonnée. Elle est vue par la face convexe et orientée comme la fig. 1. Elle montre la position excentrique du siphon, vers le bord convexe. Autre spécimen, fragment rectiligne, montrant le bord de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et une partie du test. La surface du test devient lamelleuse, en approchant de l'ouverture. Lochkov. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- ments. Il est pris vers la base de la grande chambre, c. à d. dans la région où les lamelles ne sont pas développées. Les ornements transverses sont fortement prononcés. id. section longitudinale du test, montrant la saillie de ses ornements transverses, sans imbrication. Autre spécimen, dont la courbure se fait principalement sentir. vers la pointe. Il représente le moule interne de la grande chambre, presque complet et la section longitudinale d’une longue série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont bien conservés, sauf quelques lacunes. Tout l’intérieur est rempli de spath calcaire blanc, sans trace du dépôt organique, excepté dans la partie inférieure du siphon. Dlauha Hora. id. section transverse, montrant la position excentrique du siphon. id. 3 éléments du siphon grossis, avec la trace des cloisons. Ils sont pris vers la pointe du fossile et ils montrent très-bien la forme mixte, c. à d. enflée d'un côté et presque rectiligne du côté opposé. On voit, au droit des goulots, un anneau obstructeur rudimen- taire, existant seulement dans la région inférieure du fossile. Autre spécimen, fragment rectiligne et montrant le bord de l'ouverture, la grande chambre, quelques loges aéri- ennes et un fragment du test. Viskocilka. id. section transverse, sans trace du siphon. Elle est sensiblement circulaire, tandisque celle de plusieurs autres spécimens est elliptique. Fragment du test, grossi, montrant ses ornements. Les stries horizontales sont moins dévelopées que dans le spécimen, fig. 7 et 8 La partie inférieure de la fig. 15 représente la surface du moule interne, avec les stries creuses, très fines, dont elle est ornée. DES FIGURES. Fig. 16. 17. 18. 19. 20. Etage. Var? protendens. Bär.. .......E Spécimen jeune? et un peu arqué. Il est vu par la face latérale, montrant le bord de l'ouverture, la grande chambre, relativement longue et svelte; une série de loges aériennes et des fragments du test. Viskocilka. On remarquera le contraste, qui existe entre les appa- rences de ce spécimen et celles des types de O. senile, figurés sur la même planche. Mais le test offre des ornemens identiques. Le siphon est inconnu. id. section transverse, sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi, montrant ses ornements, qui consistent en stries transverses et stries longitudi- nales, plus fines et plus serrées que dans les exem- plaires typiques de 0. senile, mais d’ailleurs identiques. id. section longitudinale du test, montrant la saillie des stries transverses, sans imbrication. Orthoceras passer. Barr. . . . . . .E Spécimen montrant le bord intact de l'ouverture, la grande chambre, sans trace d'étranglement, une série de loges aériennes très rapprochées et un fragment du test. Le moule de la grande chambre conserve l’im- pression des ornements. Viskocilka. id. cloison terminale de la grande chambre, faiblement elliptique. Elle est orientée comme la fig. 16 et montre la position centrale du siphon, qui contraste avec la position excentrique de cet organe dans 0. senile, figuré sur la même planche. id. fragment du test fortement grossi, pour montrer ses ornements transverses, sans stries longitudinales, là où la surface est altérée. Mais les parties mieux conser- vées du test présentent aussi des sitries fines, longitu- dinales et leur apparence est identique avec celle, qui est indiquée par la fig. 8 pour Orth. senile. id. section verticale du test, montrant la saillie de ses ornements, sans imbrication. id. fragment de la surface du moule interne, fortement grossi, pour montrer les stries creuses, très-serrées, dont elle est ornée. D Barrande Svst. Slur. de Bohème VoLIE | Heinr Becker nd Nat.gez.nlith Wien. Lithu,Sed.id k.kHof u Staatsdruckerer 2e (ob A TPE AT ENS PI. Fig. 3. 10. 11. 12. 13. 339. Etage. Orthoceras valens. Bar. . .. HDi voir PI. 239—327—401—406—412. Spécimen de la plus forte taille connue, montrant Ja grande chambre complète, avec le bord intact de l'ou- verture, une série de loges aériennes et une partie du test. Koxel. € 1. id. fragment du test, grossi. Les stries indiquées sur celte figure sont un trop prononcées. id. fragment de la surface du moule interne, grossi, pour montrer les stries creuses, trés fines, dont elle est couverte. Autre spécimen presque complet, sauf la pointe ei quel- ques parties du test. Koxel. e 1. id. section transverse, montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen plus jeune et aussi presque complet. Les stries ont été marquées un peu trop fortement sur la surface du test. Butovitz. e 1. id. eloison terminale de la grande chambre, vue par le côté convexe et montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen, plus jeune et auquel il ne manque que l'extrême pointe. Le test recouvrant tout le fossile empêche de distinguer la grande chambre et les loges aériennes. Kogel. e 1. Autre spécimen, plus jeune, montrant la grande chambre, relativement très alongée, une série de loges aériennes et une partie du test, sans ornements visibles. Buto- vilz. e 1. Autre spécimen. Moule interne, montrant la grande chambre trés développée et une série de loges aérien- nes. Butovitz. e 1. Autre spécimen, plus jeune. Moule interne, montrant la grande chambre relativement plus courte que dans les spécimeñs précédents. Butovilz. e 1. Autre spécimen, un peu plus jeune. Moule interne, montrant la grande chambre relativement très courte. Butovitz. e 1. Spécimen très jeune. Moule interne, montrant aussi la grande chambre très courte, Butovitx. e 1. Fig. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant la grande chambre et une série de loges aériennes. La chambre d'habitation est presque entièrement occupée par le calcaire compacte noir, tandisque les loges aériennes sont remplies par du calcaire spathique de diverses nuances. Seulement, celle qui est au petit bout a été en partie injectée par la vase noire. Le siphon et les cloisons sont bien ‘conservés. Buto- vilz. e 1. id. trois éléments du siphon, grossis, avec la section des cloisons. Il n’y a aucune trace de dépôt organi- que, dans tout l'intérieur. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant la grande chambre endommagée et une série de loges aériennes. Le siphon et les cloisons sont partiellement conservés. Tout l'intérieur est rempli de calcaire spa- thique de diverses nuances. Dans la grande chambre, la majeure partie de l’espace est occupé par le cal- caire compacte noir, indiquant la position du fossile sur le plan de gisement. Un espace resté vide, le long du bord droit, a éié rempli par le dépôt spathique, comme les loges aériennes. Il n’y a aucune trace du dépôt organique dans cette section. Butovitz. e 1. id. demi-section transverse, montrant la position sub- centrale du siphon. Orthoceras Eichiwaldi. Barr. . . . .G voir PI. 357—420. Spécimen montrant le bord de l'ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et quelques frag- ments du test. Hlubocep. g 3. id. cloison prise au droit de la brisure inférieure. Elle est vue par le côté convexe et montre le siphon central. id. fragment du test, grossi, montrant les stries prin- cipales transverses, entre lesquelles on voit des séries de stries longitudinales, très fines. id. section longitudinale du test, montrant la saillie des stries transverses, sans imbrication. Hn [11 Heinr Beckern.dNat gez.u. lith. Wien. > Bohème: Vol. I 10. RTE it fr bi Loc: Lithiu.gedr. i.d ke. Hof u.Staatsdruekerei PL Fig. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 330. Etage. { H ete G Fragment de la grande chambre, du plus grand dia- mètre connu. Moule interne, conservant quelques restes du test et montrant la trace distincte des anneaux et des stries, qui ornent la surface externe. On aperçoit dans l'intérieur divers fragmens de Phacops fecundus, Var. degener, qui se trouve fréquemment dans la même localité. 4 l'aval de Choteëxz. g 1. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. Fragment du test, grossi, pour montrer ses stries, d'après un autre spécimen moins grand, mais mieux conservé. id. section longitudinale du test, montrant l’imbrication inverse des siries. Auire spécimen, de faible diamètre. Moule interne, représentant la grande chambre incompléte vers le haut et une série de loges aériennes. Il ne reste sur la surface aucune trace des ornemens du test. 4 l'aval de Choteix. g 1. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. Autre spécimen, représentant la base de la grande cham- bre et 3 loges aériennes. Il conserve un fragment du test, avec ses ornemens, semblables à ceux des fig. 3—4. À l'aval de Choteëx. g 1. id. section transverse, sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- mens, sur la surface externe. La partie droite de la figure expose aussi l'apparence des stries creuses, sur le moule interne. Fragment du spécimen fig. 11, pris dans sa partie moyenne et grossi, pour montrer ses ornemens, rela- tivement plus serrés que sur les fig. 7T—9. Spécimen renfermé dans les schistes. 11 montre la grande chambre écrasée, tandisque la partie cloisonnée a résisté à la pression. La surface conserve une parlie du test. Moulin de Vavrovitz, à l'aval de Chotetxz. g 2. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment du test, plus fortement grossi que sur la fig. 10, pour montrer l'absence d'imbrication dans les siries. Orthoceras opimuan. Barr. . voir PI. 423. Orthoceras extensum. Barr. . . . .G Spécimen conservant son test, qui ne permet de recon- naître aucune division interne. Comme il est rempli de spath calcaire blanc, contrastant avec la roche ambi- anlte noire, il paraît représenter une série de loges aériennes. Karlstein. id. seclion transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment grossi, pour montrer les stries extréme- ment fines et serrées. EXPLICATION DES Fig. 17. 18. 19. 20. 21. 21. 26. 27. 28. 30. 31. 32. FIGURES. Etage Orthoceras sub-annulare? Miünst. . E voir PI. 210—212—253—283— 323392 399. Fragment représentant la pointe arrondie de la coquille et conservant son test. Karlstein. Section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment de la surface, grossi, montrant les anneaux et les stries, coexistant dans la partie supérieure du spécimen. : id. autre fragment de la surface, grossi, pour montrer les siries, qui existent seules sur la partie initiale de la coquille. id. section longitudinale du même fragment du test, montrant l'absence d’imbrication dans les stries. Orthoceras Lynx. Barr. . . . . . . .E Jeune individu, de grandeur naturelle, montrant une partie de la grande chambre et toute la série des loges aériennes, jusqu'à la pointe arrondie de la coquille. Lochko®v. id. grossi et représenté tout entier. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment pris dans la partie supérieure et grossi, pour montrer la coexistence des anneaux et des siries, très espacées. id. autre fragment, pris dans la partie inférieure et grossi” de même, pour montrer l'absence des anneaux et la présence de stries plus fines et plus serrées. id. autre fragment, pris sur le moule interne de la grande chambre et grossi, pour montrer les stries creu- ses, très fines, mais très distinctes, qui couvrent sa surface. Orthoceras corticosuwm. Barr. . . .E Fragment conservant son test. On voit, dans une bri- sure, sur Ja face non figurée, qu'il représente la base de la grande chambre, dont on reconnaît la cloison ter minale. Lochkow. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses stries saïllantes, sans imbrication. Orthoceras sub-annulare? Miünst. . E voir PI. 210—212—253—283—392—3909. Fragment de la grande chambre, conservant une partie du test. Drorelz. id. section transverse, circulaire, sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer l'imbrication directe des ornemens. _ FRE re Ex E NES Humbert lith. Imp.Lemercier & C!r de Seme 57 Pans. PI. 537. Fig. 2. 3. Etage. Orthoceras araneosum,. Bar. . . .E voir PL 338—339—340. Spécimen droit, montrant la grande chambre compléte, avec le bord intact de l'ouverture et quelques fragmens du test. La partie inférieure, représentant une série de loges aériennes, est entièrement recouverte par le test, qui ne permet pas d'apercevoir les sutures des cloisons. Kozorx. id. cloison terminale de la grande chambre, montrant | la position subcentrale du siphon. id. fragment de la surface du moule interne de la grande chambre, grossi, pour montrer l'apparence des stries creuses dont elle est ornée. Autre spécimen droit, représentant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant une partie du test, sans altération. Hinter-Kopanina. id. fragment du test, grossi, pour monirer ses orne- mens, dans lesquels les stries longitudinales prédo- minent. Autre spécimen, plus jeune, très peu arqué, représen- tant la base de la grande chambre et une longue série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. Koxorz. id. cloison prise au droit de la brisure indiquée sur la fig. 6. Elle est orientée comme le spécimen et elle montre le siphon excentrique, plus rapproché du bord eonvexe que du bord concave. Fig. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre spécimen, plus développé et arqué. Section lon- gitudinale, montrant toutes les cloisons bien conservées, tandisque presque toute la moitié supérieure du siphon a été détruite. Le dépôt organique est à peine indi- qué au droit des goulots, par un anneau obstructeur rudimentaire. La vase noire a pénétré dans l'intérieur du siphon, vers les deux bouts du fossile. Tout le reste de cet organe et toutes les loges aériennes sont remplis par le spath calcaire blanc, sauf quelques peti- tes parties dont la nuance est plus foncée. Hinter- Kopanina. On remarquera que, sur toute la longueur de cet individu, le siphon se maintient plus près du bord concave que du bord convexe de la coquille. Cette disposition est opposée à celle que nous observons sur la plupart des exemplaires de celte espèce et notam- ment dans toutes les autres sections longitudinales, figurées sur la PI. 340. id. section transverse, près du petit bout, orientée comme la fig. 8 et montrant la position subcentrale du siphon, à cette extrémité, tandisqu’elle est très excentrique au gros bout. On voit, sur la fig. 8, que le siphon s'éloigne gra- duellement du centre, jusqu’à un tiers du rayon. “J}Barrande Syst Silur de Bohème Vol.Il. PISS97 Humbert hth. Imp Lemercier el C!r de Seme 57 Paris. mp 1 je” At x RÉF Fig. 1—2. Etage. | Fig. Orthoceras araneosum,. Barr. . . .E voir PI. 337—339—340. N. B. Les spécimens figurés sur cette planche ont été choisis pour montrer la prédominance relative des stries longitudinales sur les stries transverses. Spécimen faiblement arqué, montrant la grande chambre un peu endommagée vers le haut, une longue série de loges aériennes et une grande partie du test. Koxoïx. La fig. 2 exemplaire. le test. id. section transverse près du petit bout. Elle est orientée comme la fig. 2 et elle montre la position excentrique du siphon, qui est plus rapproché du bord convexe que du bord concave. représente la partie inférieure du même Les sutures des cloisons sont cachées par id. fragment du test, grossi et pris vers l'extrémité inférieure du spécimen. Les stries transverses figurent, par les alignemens de leurs petites ondulations, des stries longitudinales, qui ont l'air de prédominer. Il y a aussi quelques rides horizontales, irrégulières. Autre fragment du test, grossi et pris sous la base de la grande chambre. Les lignes longitudinales, plus espacées, résultent de même des petites ondulations des stries transverses, très fines. Les rides horizontales sont irré- gulières. id. section verticale du test, montrant l’imbrication directe des stries transverses. Autre spécimen, rectiligne, représentant la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, recou- vertes par leur test. On voit, sur cet exemplaire, quel- ques filets longitudinaux, dont le relief est prononcé et dont les longueurs inégales sont alternantes. Ils convergent tous vers la pointe de la coquille, mais leur espacement est irrégulier, Nous n'observons ces appa- rences sur aucun autre spécimen. Dlauha Hora. S. LÀ 10. 11. 12. 13. 14. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. extrémité inférieure, figurant une ellipse, orientée comme la fig. 7? et montrant la position un peu excen- trique du siphon. id. fragment du test, grossi. Il montre les siries trans- verses prédominantes, par rapport aux slries longitu- dinales, qui résultent de leurs petites ondulations. Les siries horizontales font un sinus concave vers le haut, en passant sur l'un des filets indiqués. Autre spécimen, notablement arqué. Il représente une série de loges aériennes, conservant la majeure partie de leur test. Viskocilka. id. fragment du test, grossi. Il montre les stries lon- gitudinales très prononcés, comme sur le spécimen fig. 1 à 5. Mais le dessinateur a oublié d'indiquer les rides horizontales, qui sont très marquées sur le spé- cimen fig. 10, et qui contribuent à caractériser Oréh. araneosum. Autre spécimen, un peu arqué et représentant une série de loges aériennes, vers la pointe de la coquille. I conserve quelques fragmens du test, sur lequel les stries longitudinales prédominent, comme sur la fig. 11, mais sont plus irréguliérement espacées. Lochkov. id. section transverse, notablement elliptique. Elle est orientée comme la fig. 12 et montre la position excen- trique du siphon, plus rapproché du bord convexe de la coquille. Autre spécimen, un peu arqué et vu par la face laté- rale, Il représente la majeure partie des loges aéri- ennes, recouvertes par le test. Les stries longitudinales prédominent sur la surface, comme sur celle des autres individus figurés sur cette planche. On voit cependant les stries transverses, très fines et surtout les rider caractéristiques, horizontales, inégalement espacées, sur toute la longueur du fossile. Hinter-Kopanina. JBarrande Syst.Silur de Boheme Vol IL. PL.336. ren dut lts ti Humbert lith. Imp Lemercier &C!'r de Seine 57 Paris PI. Fig. 2. ot 339. Etage. Orthoceras araneosum,. Barr. . . .E voir PL. 337—338—340. N. B. Les spécimens figurés sur cette planche ont été choisis pour montrer la prédominance relative des rides el des stries transverses sur les siries longi- tudinales. Spécimen rectiligne, représentant une longue série de loges aériennes, conservant la majeure partie du test. La surface de cet individu est caractérisée par des rides transverses, trés prononcées, et qui correspondent à Ja structure lamelleuse de la coquille. Hinter-Kopanina. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position excentrique du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- mens. On voit les stries longitudinales, irrégulières et interrompues en passant d'une lamelle à l'autre. Les stries fines, transverses, sont faibles, mais très distinc- tes, dans la nature. id. section longitudinale du test, montrant l'imbrication directe, tres prononcée de ses lamelles. Autre spécimen, représentant 4 loges aériennes, avec une parlie du test. Le moule interne montre une rai- nure médiane, peu profonde et dont la largeur dépasse un millimètre. Elle peut être considérée comnie la ligne normale, que nous n'observons sur aucun autre indi- vidu de cette espèce. Dlauha Hora. Auire spécimen, rectiligne, représentant la grande cham- bre avec le bord intact de l'ouverture et quelques loges aériennes. Le test, qui couvre presque toute la face exposée, se fait remarquer par la prédominance des ornemens transverses, €. à d. des stries et des rides subrégulières, tandisque les stries longitudinales sont relativement peu prononcées. Vohrada. Fig. 7. 8. 10. 11. 12. 13. 14. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. fragment du test, grossi, pour montrer la disposi- tion de ses ornemens. Autre spécimen, rectiligne, représentant une série de loges aériennes, avec la majeure partie du test. Comme dans l'individu précédent, les ornemens transverses pré- dominent; mais cependant les stries longitudinales sont très apparentes, sur toute l'étendue du fossile. Lochkoc. id. fragment de la surface, grossi. Il montre: 1. dans la partie supérieure, à gauche, la lamelle externe du est, avec ses ornemens. 2. au dessous, une lamelle intérieure lisse. 3. la lamelle la plus interne, couverte de stries creuses, très fines. 4. la surface lisse du moule interne des loges aériennes. Autre spécimen, notablement arqué et représentant une série de loges aériennes, presque compléte vers le petit bout. Le test, bien conservé sur toute la longueur, montre la prédominance des ornemens transverses sur les siries longitudinales, qui sont très faibles, surtout vers la pointe de la coquille. Hinter-Kopanina. id. fragment du test, grossi, pour montrer la disposition de ses ornemens. Autre spécimen, un peu arqué, représentant la partie initiale de la coquille, sauf l'extrême pointe. Le test, qui recouvre toute la surface, montre, à l'oeil nu, la trace très faible des ornemens, soit transverses, soit longitudinaux, qui existent cependant, ayec une égale intensité dans les deux sens. Hinter-Kopanina. id. section transverse, circulaire, vers le petit bout, sans trace du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- mens. On voit les petites ondulations des stries trans- verses, au droit des stries longitudinales. se el Barrande Syst Silur de Bohème Vol IE. PL. 339. Humbert hth . 3 sit TE Là 2 $ dr aiae EPES old Imp.Lemercier &C£ r de Seine 57 Paris PI. Fig. Qt 310. Etage. Orthoceras araneosum. Bar. . . .E voir PI. 337—338—339. Les spécimens figurés sur cette planche ont été choi- sis pour montrer les apparences diverses du siphon et les variations dans sa posilion. Il est important de comparer ces figures avec la fig. 8. PI. 337. Spécimen un peu arqué, dans la région voisine de la base de la grande chambre. Il représente une série de loges aériennes, exposées dans une section longitudinale, suivant le plan médian. Les cloisons et le siphon sont bien conservés, dans la moitié inférieure, sauf quel- ques lacunes, tandisqu'ils ont été également détruits dans la moitié supérieure. On reconnait la trace des cloi- sons adhérente à la paroi interne de la coquille et leurs débris dans la cavité du fossile. Le dépôt organique n'est indiqué que par des anneaux obstructeurs, rudi- mentaires, au droit des goulots, vers le petit bout. Tout le reste du remplissage interne se compose de spath calcaire, blanc, qui a laissé quelques vides, figu- rés par la teinte noire. Hinter-Kopanina. N. B. On remarquera dans ce spécimen, comme dans tous ceux qui sont représentés sur celle planche, que le siphon est plus rapproché du bord convexe que du bord concave de la coquille, mais que l'intensité de son excentricité est variable, suivant les individus. Cette position du siphon contraste avec celle qu'on observe sur la section longitudinale figurée PI. 337, fig. 8, où l'on voit cet organe plus rapproché du bord concave que du bord convexe de la coquille. id. seclion transverse, circulaire, montrant la position du siphon. id. fragment du test, grossi, pour montrer son appa- rence fruste, sur certaines parties de la surface, qui montrent une lamelle intérieure, tandisque la lamelle externe, conservée sur d'autres parties, offre des orne- mens semblables à ceux qui sont dessinés fig. 5, d'après un autre spécimen de la même localité. Autre spécimen, un peu arqué, représentant la section longitudinale d’une série de loges aériennes. Les cloi- sons et le siphon sont bien conservés. Les élémens du siphon sont relativement plus alongés et moins larges que dans le spécimen précédent. Le remplis- sage interne de cet organe et des loges aériennes est uniquement composé de spath calcaire blanc, laissant quelques vides, indiqués par la teinte noire. Hinter- Kopanina. id. fragment du tesl, grossi, pour montrer ses orne- mens, dans lesquels les rides horizontales sont prédo- minantes, mais moins régulières que sur celte figure. Autre spécimen, un peu arqué, représentant la section longitudinale d'une série de loges aériennes. Les cloi- sons et le siphon sont bien conservés. Les élé- mens de ce dernier sont alongés comme dans le spé- cimen précédent, mais ils paraissent un peu plus étroits ; peut-être parcequ'ils ont élé plus attaqués par le trait de scie. Le remplissage interne consiste entièrement en spath calcaire blanc, excepté dans la loge supéri- eure, dans une partie de laquelle le calcaire compacte a pénétré. Dlauha Hora. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- mens, très marqués dans les deux sens. EXPLICATION DES Fig. 11. 12. 13. 14. 16. 17. FIGURES. * Etage Autre spécimen, presque rectiligne, montrant la section longitudinale d’une série de loges aériennes. Les cloi- sons et le siphon, bien conservés, vers les deux extré- mités, ont été également détruits dans une partie inter- médiaire. Les élémens du siphon sont relativement alongés, surtout dans la moitié supérieure du fossile. Tout le remplissage se compose de spath caïcaire, blanc; mais on voit des anneaux obstructeurs rudimentaires, au droit des goulots, vers le petit bout du spécimen. Quelques élémens du siphon ont été partiellement injec- tés par le calcaire compacte. Konieprus. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- mens, semblables à ceux du spécimen fig. 4—5. id. trois élémens du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. Ils sont pris dans la partie inférieure du fossile et ils montrent les anneaux obsiructeurs rudi- mentaires, au droit des goulots. Autre spécimen, représentant la section longitudinale d'une série de loges aériennes. Les cloisons et le siphon sont bien conservés. La position du siphon est très excentrique, vers le bord convexe de la coquille. Son intérieur est occupé en partie par la roche compacte, tandisque tout le reste du remplissage est composé de spath calcaire blanc. Il n'existe aucun dépôt organique, dans cet intérieur. Dlauha Hora. On remarquera, que la largeur des élémens du siphon, dans cet exemplaire, est relativement plus considérable que dans celui de la fig. 6, qui provient de la même localité. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses orne- mens, dans lesquels les stries et rides horizontales pré- dominent sur les stries longitudinales. id. trois élémens du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. Ils sont presque remplis par la roche com- pacte et ils ne présentent aucune trace du dépôt or- ganique. N. B. Les figures suivantes sont destinées à mon- trer les diverses apparences des siries creuses, dans cette espèce, d’après des exemplaires de notre collection, que l'espace ne nous a pas permis de figurer. Fragment montrant: 1. vers le haut, à gauche, la lamelle externe du test, sur lequel prédominent les stries longi- tudinales serrées. 2. Au dessous, la lamelle interne, couverte de stries creuses. 3. La surface lisse du moule interne des loges aériennes, avec la trace d'une cloison. Fragment montrant: 1. au sommet, à gauche, la lamelle exierne, ornée de stries longitudinales et de siries trans- verses. 2. au dessous, la lamelle interne, couverte de stries creuses. 3. plus à droite, la surface du moule interne de la grande chambre, couverte de slries creu- ses, semblables, mais un peu plus inienses. Autre fragment, pris sur une autre partie du même moule interne. Il montre une autre apparence des siries creuses, figurant partiellement des lignes continues et des lignes de points isolés. Autre fragment, pris sur un autre moule interne. Les stries creuses sont très écartées et composées de séries linéaires de points creux, très inégalement espacées. Nous rappelons, que nous avons figuré, sur Ja PI. 337, fig. 3 et sur la PI. 339, fig. 9, les apparences des stries creuses de deux des spécimens dessinés. Elles présentent le même caractère de disconlinuité, plus ou moins prononcé, ainsi que l'espacement vari- able des lignes de points creux. JBavrande Syst Silur de Bohème Vol IT. PleS T0 Æ æ RES eee RE qd TO TTE ns Humbert lith. Imp.Lemercier &C'° r de Seine 57 Paris. PI. Fig. 3. 311. Etage. E Orthoceras truncatum. Bar. . LR voir PL. 342—343 —344. Spécimen vu par la face latérale. Il montre le bord de l'ouverture, la grande chambre, 5 loges aériennes et une partie du test. On voit, sur le bord droit, le test de la coquille se prolonger sur la calotte termi- nale, dont une partie est conservée. Sur l'extrémité inférieure, il reste une portion du dépôt conique, dont les couches extérieures se sont délachées par la per- cussion. Zmrzlik. id. vu par le petit bout. On distingue, sur la surface, les siries longitudinales, inégales, qui convergent vers le siphon, ainsi que la rainure médiane, très marquée à gauche. Sur le bord opposé, c. à d. à droite de la figure, on reconnaît le fragment de la calotte terminale, qui a été conservé. id. fragment de la surface du dépôt conique, grossi, pour montrer ses Ornemens. id. même vue que sur la fig. 3 et conservant la même orientalion. Seulement, dans la moitié gauche de la figure, la couche extérieure du dépôt conique a été enlevée, de sorte qu'on peut voir la surface de la couche immédiatement placée au dessous, et qui est la pre- mièére appliquée sur la cloison dénudée. Sur cette sur- face, on aperçoit la trace du siphon et la rainure médi- ane, dirigée comme dans la fig. 2. id. fragment de la surface à gauche de la fig. 4, forte- ment grossi, pour montrer que ses ornemens diffèrent de ceux de la couche superposée, fig. 3. Auire spécimen, vu par la face latérale. Il montre la grande chambre, dont le bord supérieur est endommagé; 5 loges aériennes et une partie du test. L'extrémité inférieure conserve une partie du dépôt conique, sur la surface duquel on voit un fragment du test, au bord droit de la figure. Hinter-Kopanina. id. vu par le petit bout. On y distingue: 1° à droite, un fragment du test. 2° sur la grande moitié de la figure, la seconde couche du dépôt conique, offrant une dépression concentrique au bord. 3° Le siphon. Dans la petite moitié de la figure, vers la gauche, Ja partie inférieure représente la première couche du dépôt conique, appliquée sur la cloison, dont la surface lisse se voit au dessous de ce dépôt. id. fragment grossi, montrant l'apparence différente des deux couches superposées du dépôt conique. Par suite d'une distraction du dessinateur, cette figure est orientée à l'inverse de la fig. 7. id. partie inférieure du même spécimen, vue par le | bord placé à droite dans la fig. 6. Elle montre la ligne normale, légérement tracée sur les deux loges aériennes inférieures, et le dépôt conique, appliqué sur la dernière cloison et conservant un fragment du test de la coquille. id. section longitudinale, montrant la disposition des cloisons et des premières couches du dépôt conique, sur l'extrémilé inférieure. Fig. 11. 12. 13. 14. 16. 17. 18. 47 20. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il montre la grande chambre, à peu près compléte, une série de 5 loges aériennes et une partie du test. A l'extrémité inférieure, on voit le dépôt conique presque complet, et un fragment de la couche ornée de stries égales, lon- gitudinales, recouvrant ce dépôt. Hinter-Kopanina. id. vu par le petit bout. On reconnaît, sur la surface conique, des stries grossières, qui convergent vers le siphon, dont la trace est très-apparente , au sommet du cône. Autre spécimen, vu par la face latérale. Il montre la grande chambre incompléte et quelques loges aériennes. Le test de la coquille se prolonge, sans solution de continuité, sur la calotte terminale, en partie conservée et ornée de stries transverses, un peu effacées. Au dessous de la couche qui porte ces stries, on voit, sur la droite du fossile, le dépôt conique appliqué sur la dernière cloison. Zmrælik. id. vu par le petit bout, montrant, dans la moitié à gauche, un grand fragment de la surface du test, en réparation, avec des stries transverses, concentriques au siphon. Le reste de la figure montre le dépôt conique, sur lequel on distingue, à droite, la rainure médiane, dirigée vers le siphon. Autre spécimen, représentant un bout restauré, de très grande dimension et qui a été trouvé isolé. Il est vu par la face inférieure, ou bombée. On reconnaît, au centre, la trace du siphon, autour du quel s'étend une surface lisse. Le reste de la superficie est orné de stries concentriques au bord. Elles sont suillantes et forment deux sinus symétriques, dont les sommets sont placés sur un même diamètre oblique. Butovitz. N. B. Nous possédons un autre spécimen semblable par toutes ses apparences, mais dont les dimensions sont un peu moindres. id. vu par la face latérale. La partie supérieure est un peu endommagée, sur ce coté du fossile. id. fragment de la surface, fortement grossi, pour mon- trer l'apparence des stries. / id. section longitudinale, montrant l'épaisseur du dépôt calcaire, accumulé sur la dernière cloison. Orthoceras sarcinatam. Barr. . . .E Fragment vu par la face latérale, sur laquelle on recon- naît, à droite, une partie de Ja calotte terminale, recou- vrant une autre surface, qui porte plusieurs sulures. Butovilz. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant Jes deux surfaces mentionnées et les diverses sulures, qui con- vergent vers le siphon, dont Ja trace est un peu excentrique. N. B. Nous donnons provisoirement un nom parti culier à ce fragment isolé, en atlendant que nous ayons l'occasion de reconnaitre l'espèce à laquelle il appartient. Humbert lith. Imp.Lemercierr.de Seine 57 Paris PL Fig. ex 3P. Etage. Orthoceras {runcalaan. Barr. . nus voir PI. 341—343—344. Moule interne, conservant quelques fragments du test, sans ornemens. Il est vu par la face latérale et montre la grande chambre complète, le bord intact de l’ouver- ture et une série de loges aériennes. Butovilz. Autre spécimen, presque entièrement recouvert par son test, sans ornemens, et vu par la face latérale. Il mon- tre la grande chambre, le bord de l'ouverture et, au bout opposé, la calotte terminale, formant la prolon- gation ininterrompue du test. La ligne a-a indique la suture entre le test et la calotte. Butovitz. Autre spécimen, vu par la face latérale, La grande chambre est complète, mais dépouillée de son test. On voit, au contraire, une partie du test bien conservée et montrant la trace des ornemens sur les loges aériennes, qui restent. Ce test se trouve brisé à l'extrémité infé- rieure, de sorte que la calotie terminale manquant, on aperçoit la surface de la cloison. Butovitz. id. cloison terminale, vue du côté convexe et montrant la position du siphon. Autre spécimen, consistant seulement dans le moule complet d’une grande chambre, dépouillée du test, et vue par la face latérale. Butovitz. Cette grande chambre et relativement courte. id. cloison terminale, vue par le côté convexe et mon- trant la position un peu excentrique du siphon, sur le grand axe de l’ellipse. Fig. 10. 11. 12. 13. EXPLICATION DES FIGURES. à Etage. Autre spécimen, plus jeune que les précédents et vu par la face latérale. Sauf quelques lacunes, le test couvre complètement ce spécimen, depuis le bord intact de l’ouverture, jusqu’à l'extrémité inférieure, sans au- cune interruption. La ligne a-a indique la suture entre le test et la calotte terminale. Butovitz. id. cloison terminale vue par le côté convexe, mon- trant la position un peu excentrique du siphon, sur le grand axe. Autre spécimen, de taille plus que moyenne et conser- vant seulement quelques fragments du test. Il montre la grande chambre presque complète et quelques loges aériennes. Près du bout inférieur, on voit la trace du goulot, qui est mis à nu par une brisure. La calotte terminale manque. Koxorx. Autre spécimen, de moindre diamètre, vu par la face latérale. Le haut de la grande chambre est un peu endommagé. Le test, en grande partie conservé, s'étend sans interruption sur la partie inférieure, en formant la calotte terminale. La ligne de suture n’est pas visible, par suite de l'altération de la surface. Koxorx. id. section transverse, orientée comme la fig. 10; sans trace du siphon. Autre spécimen, représentant de très fortes dimensions, dans sa section transverse. Moule interne, montrant la grande chambre à peu près complète et quelques loges aériennes. Vohrada. id. cloison terminale de la grande chambre, vue par le côté convexe et montrant la position un peu excentrique du siphon, sur le grand axe. anne. Rud.Schonn n.d.Nat.ées.u.lith.Wien. Litharéed.in dkkHof u.Staatsdruckerei. PI. Fig. 3. 10. 3B. Etage. E Orthoceras fruncatum. Barr. 1 a. voir PI. 341—342—344. Spécimen vu par la face latérale. Il montre une partie de la grande chambre et une série de loges aériennes. Le test, conservé en partie, s'étend sans interruption jusqu’au bout inférieur. La ligne a—a indique la suture entre le test et la calotte terminale. La surface de cette calotte n'étant pas complétement achevée, montre des stries concentriques et lamelleuses. Hinter-Kopanina. id. vu par la face latérale opposée, qui présente diver- ses brisures. Dans la partie supérieure, on voit la grande chambre pénétrée par un fragment d’un autre orthocère. Vers le petit bout, on reconnaît, à la faveur d’une brisure, la couche interne du dépôt calcaire em- ployé à la réparation. Ce dépôt est orné de stries lon- gitudinales, tandisque la surface de la calotte terminale qui le recouvre, est complétement lisse. id. extrémité inférieure, montrant la calotte terminale, en partie brisée. On voit la position du siphon, et le sinus que font les siries de chaque côté, au droit du grand diamètre. Dans la brisure de la calotte, on voit la surface inférieure couverte de stries longitudinales au lieu de stries concentriques. Autre spécimen, montrant seulement l’extrémité inférieure, vue par la face latérale et complétement recouverte par le test. La suture entre le test et la calotte terminale est indiquée par la ligne a—a. On voit sur la calotte les siries concentriques, constatant qu’elle est en voie de construction. Hinter-Kopanina. id. vu par l’une des faces étroites et montrant le sinus des siries de la calotte terminale, au droit du plan médian. id. extremité inférieure, orientée comme la fig. 5. Elle montre la position du siphon et le sinus des siries, de chaque côté, au droit du grand diamètre, qui, par exception, dans ce spécimen, ne dépasse pas la lon- gueur du petit axe. Jeune spécimen, presque complet et recouvert par son test. Vers l'extrémité inférieure, on reconnaît la suture à a, qui sépare la calotte terminale. La surface de celle-ci étant inachevée, présente des stries concen- triques, horizontales. Hinter-Kopanina. id. extremité inférieure, montrant Ja position du siphon et le double sinus des stries, au droit du grand diamètre. Autre spécimen, plus jeune, montrant l'extrémité infé- rieure recouverte par le test. On voit la suture a-a, indiquant la jonction de la calotte terminale, dont la surface est ornée des stries conceniriques, horizontales. Hinier-Kopanina. id. calotte terminale, montrant la position du siphon et les sinus des siries concentriques. Le contour est cir- culaire, comme dans la fig. 6. Fig. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Auire spécimen, d'âge moyen, très svelte, vu par la face latérale. Le test, conservé en grande partie, a été enlevé dans la région inférieure, de sorte qu'on voit la surface du dépôt calcaire, qui est au dessous de la calotte terminale. A partir de la ligne de suture a-a, cette surface du dépôt conique couvrant la cloison, est ornée de stries longitudinales, qui convergent vers le siphon. Hinter-Kopanina. id. vu par le petit hout et montrant les stries longitu- dinales. Cette figure est grossie au même degré que la suivante. Le siphon est notablement excentrique, sur le grand axe. id. extrémité inférieure, vue par la face latérale et grossie, afin de montrer les stries longitudinales, cou- vrant la surface du dépôt calcaire. Autre spécimen, incomplet. Les fragments du test, qui restent, montrent des stries transverses, obliques, rare ment visibles. La calotte terminale étant enlevée à partir de la suture a—a, on voit les siries longitudinales, sur la couche interne du dépôt calcaire couvrant l'extrémité tronquée. Lochkov. Autre spécimen. Fragment montrant la section longitu- dinale, suivant le plan médian. Les cloisons subsistent avec leurs goulots, mais il ne reste aucun élément du siphon. La teinte plus foncée, autour de l'extrémité inférieure, formée par le dépôt conique, indique la calotte terminale, dont le calcaire offre une apparence différente. Lochkov. Autre spécimen, montrant le moule interne de la grande chambre avec le bord intact de l’ouverture. Vohrada. Ce spécimen, appartenant à un individu très développé, montre bien le retrécissement graduel de la grande cham- bre vers l'ouverture. Autre spécimen, presque complet, vu par la face laté-— rale. Le test est parfaitenent conservé sur la partie cloisonnée et sur la calotte terminale. Il montre les stries concentriques sur celle-ci, ainsi que la ligne de suture A—a, indiquant sa jonction avec le test. Zmrælik. Autre spécimen, plus jeune, vu par la face latérale. Il montre une partie du test, faisant corps avec la calotie terminale, dont la surface est lisse. Zmrzlik. id. section transverse de la grande chambre; orientée comme la fig. 18. Autre spécimen incomplet. Le test, conservé presque entier, est brisé à la partie inférieure, de sorte que la calotte terminale est enlevée. Hinter-Kopanina. id. section transverse de la grande chambre; orientée comme la fig. 20. Autre spécimen, jeune et à peu près complet. Le test, parfaitement conservé sur la partie cloisonnée, fait corps avec la calotte terminale, dont la surface est lisse. Hinter-Kopanina. id. section transverse, prise dans la partie inférieure et orienté comme la fig. 22. ge D atsdrucker Sta UE LK.k Hof age th Li Wien. ith al 4 0e Rud Schônu nd Nat. PI. Fig. 3. 311. Etage. Orthoceras fruncatum,. Bar... . . .E Var. index. Barr. voir PI. 341—342— 343. Spécimen presque complet, à l'exception du contour de l'ouverture. Il est vu par la face latérale, montrant le test, qui fait corps avec la calotte terminale. On recon- naît la ligne de suture a-a et les stries horizontales, sur la surface inachevée de la calotte. Hinter-Kopaninu. id. extrémité inférieure, retournée à angle droit, par rapport à la fig. 1, pour montrer le sinus des stries, au droit du plan médian. id. vu par l'extrémité inférieure, montrant la position un peu excentrique du siphon et le sinus des sfries, sur la calotte terminale, orientée comme la fig. 1. Autre spécimen plus développé et presque complet, sauf le bord de l'orifice. On voit la ligne de suture a—a, ainsi que les stries horizontales, qui ornent la calotte ter- minale. Zmrzlik. Autre spécimen, plus jeune, vu par la face latérale. I] montre le bord intact de l’ouverture, la grande chambre, et la distance considérable entre les cloisons. On voil la suture a—a et la calotte terminale, dont la surface est lisse. Hinter-Kopanina. id. section transverse, vers le milieu de la longueur; sans trace du siphon. Orthoceras mancauamn. Bar. . .E Spécimen montrant la grande chambre dépouillée du test et présentant un étranglement près de chaque exirémité. On voit, au dessous, quelques loges aériennes avec un fragment du test, dont la surface est lisse. Butovitz. Autre spécimen consistant uniquement dans la grande chambre, plus courte que celle de la figure précédente et présentant aussi deux étranglements, moins marqués sur la surface du test que sur le moule interne. Butovilz. id. cloison terminale vue par le côté convexe et mon- trant la position centrale du siphon. Fig. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. | 18. 19. 20. 21. 22. 23. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras puer. Barr... . . ....E Spécimen vu par la face latérale, conservant une partie du test. On voit la grande chambre compléte, et deux loges aériennes. Dlauha Hora. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 10 et mon- trant la position subcentrale du siphon. Orthoceras aperiens. Barr. . . . . .E Spécimen vu par la face latérale, conservant une partie du test. Il montre la grande chambre et deux loges aériennes. Butovilz. e 1. : id. cloison terminale, orientée comme la fig. 12, et montrant la position un peu excentrique du siphon, sur le grand axe. Autre spécimen, vu par la face latérale. La grande chambre est dépouillée du test, mais elle montre le bord de l'orifice intact. Le test est conservé en partie sur les loges aériennes, dont les cloisons sont plus rappro- . chées que dans le spécimen précédent. Butovitz. e 1. id. section horizontale, vers le milieu de la longueur. Autre spécimen, conservant une partie du test et vu par la face latérale. Il montre la grande chambre avec le bord intact de l'ouverture. On voit, vers le bas, une série de loges aériennes. Butovitz. € 1. Autre spécimen, vu par la face latérale et conservant des fragments du test. Il montre la grande chambre et quelques loges aériennes. Butovitz. € 1. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 17 et mon- trant la position excentrique du siphon, sur le grand axe. Autre spécimen plus jeune. Le bord supérieur de la grande chambre est endommagé. Les loges aériennes conservent la majeure partie du test. Bulovitx. € 1. Autre spécimen, plus jeune et presque complet. On voit, dans son ouverture, un fragment d'un autre orthocère. L’extrémité inférieure montre quelques loges aériennes. 11 n'existe aucun fragment du test. Butovitz. e 1. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 1 et mon- trant la position excentrique du siphon. Autre spécimen, plus jeune et dépouillé du test. Il mon- tre la grande chambre compléte et une série de loges aériennes. Lochkov. e 2. id. section transverse, prise vers le milieu de la longueur PE Ê & P BR SERRE Rud.Schônn nd Nat.Ses ulith Wien. Lthugedid.k kHof u Staatsdruckere: PL. Fig 10. 11. 12. 35. Etage. Orthoceras sacculus. Barr. . . . . .E Spécimen vu par la face latérale. Moule interne, mon- trant la grande chambre, l’étranglement sous le bord de l'ouverture, une série de cloisons obliques et un frag- ment du test, qui est lisse. Lochkov. e 2. id. section transverse, orientée comme la fig. 1; sans trace du siphon. Autre spécimen, plus jeune et montrant les mêmes élé- ments que le précédent. Les sutures des cloisons sont presque horizontales. Koxorz. e 2. Autre spécimen vu par la face latérale. Moule interne, montrant les mêmes éléments que les précédents. Les cloisons les plus élevées sont très obliques et très rapprochées. Butovitz. e 1. id. vu par le côté ventral? Les cloisons présentent, au milieu, un léger sinus convexe vers le haut. id. vu par le côté dorsal? Les cloisons supérieures figurent une courbe convexe vers l'ouverture. Les cloi- sons inférieures sont horizontales. id. section transverse, sensiblement circulaire; sans trace du siphon. Orthoceras disjuncetaum. Barr. . . .E Moule interne, vu par la face latérale, montrant la grande chambre compléte, et quelques loges aériennes, exposées dans une section longitudinale. On aperçoit les goulots, au droit des cloisons. Butovitz. Autre spécimen, vu par la face latérale, conservant quelques parties du test. La grande chambre est com- pléle et le bord de l'ouverture est intact. Le test, brisé vers l'extrémité, ne recouvre pas la cloison terminale. Butovitxz. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 9 et mon- trant la posilion peu excentrique du siphon. Autre spécimen, vu par la face latérale, conservant la majeure partie du lest, qui, abstraction faite des lacunes accidentelles, s'étend d'une manière continue à partir du bord de l'ouverture et recouvre la cloison terminale. La ligne horizontale la plus basse n’est point, comme on pourrait le croire, le bord d’une cloison, mais une ligne noire, existant dans le test et représentant la suture entre celui-ci et la calotte terminale. Le spéci- men est donc parfaitement complet, sauf les petites brisures indiquées. Butoritx. id. calotte terminale, orientée comme la fig. 11 et mon- trant la position du siphon, qui perce à travers le test. Fig. 13. 14. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras Tritonum. Barr. . . . .E voir PL. 346—423. Spécimen un peu arqué et vu par la face latérale. Il montre le bord intact de l'ouverture, la grande cham- bre relativement courte, une longue série de loges aériennes et divers fragments du test. Kozo”x. Autre spécimen vu par la face latérale. Il est plus arqué que le précédent. Il montre la base de la grande cham- bre et une série de loges aériennes, en grande partie recouvertes par le test. Koxorz. id. cloison terminale, elliptique, orientée comme la fig. 14 et montrant la position un peu excentrique du siphon, sur le grand axe. Autre spécimen, sensiblement rectiligne. Il montre la grande chambre, plus développée que dans les autres exemplaires, le bord de l’ouverture, une série de loges aériennes et une partie du test. Viskocilka. id. section transverse, elliptique, orientée comme la fig. 16; sans trace du siphon. Autre spécimen très-peu arqué. Moule interne, montrant la grande chambre, dont le bord supérieur est conservé à droite, et une longue série de loges aériennes. Lochkov. id. section transverse, elliptique, orientée comme la fig. 18; sans trace du siphon. Autre spécimen, rectiligne, dont l’angle apicial montre le maximum de 11°, observé dans cette espèce. On voit la grande chambre incompléte et une série de loges aériennes, présentant leur face latérale. Viskocilka. Autre spécimen, Section longitudinale, montrant la trace des cloisons, qui sont partiellement conservées avec leurs goulots, tandisque tous les éléments du siphon ont été dissous. Le dépôt organique n'est représenté que par des traces rudimentaires, au droit des goulots. L'intérieur des cavités est rempli par le spath calcaire impur. Mais le calcaire compacte, noir, a pénétré dans les loges aériennes vers le petit bout, et dans le milieu du fossile. Lochkov. Autre spécimen figuré par le bord ventral. Moule interne, montrant le contour de l'ouverture, avec une échancrure, la grande chambre et une série de loges aériennes. Viskocilka. Fe LE 3. Barrande vst Nilur.de BohèmeVol.It. . dE k ; É— ù i sedii Pere SA RudNSchônn n dat. sen. ulith Wien. ; Lithuwgedi dkkHof u.Staatsdruckerei. $. £ , ! ds de d'u) x (4 La " LE Nr a : à L : VOIR à P ' . a É- PL. 346. CL 11. 12. 13. 14. Etage. Orthoceras zonatam. Barr. . . . . .E Var. de O. littorale. Barr. PI. 265—402. voir PI. 319. Spécimen légèrement arqué. Moule interne, montrant la grande chambre, deux loges aériennes et quelques frag- ments du test. Butovilz. e 1. id. cloison terminale, circulaire, vue par la face con- vexe et montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen un peu arqué, montrant la grande chambre, très alongée, le bord de l'ouverture, quelques loges aériennes et une partie du test. Les étranglemens sont très nombreux sur cet individu. Butovitz. e 1. id. cloison terminale, circulaire, montrant le siphon central. : Autre spécimen, rectiligne, montrant la grande chambre, le bord de l'ouverture, une série de loges aériennes et une partie du test. Butovilz. e 1. id. cloison terminale, circulaire, montrant le siphon central. Autre spécimen, rectiligne, dont la partie supérieure manque. Les loges aériennes sont recouvertes par le test. Les étranglemens paraissent moins nombreux sur cet exemplaire. Butovitz. e 1. Auire spécimen, rectiligne, montrant le bord de l'ouver- ture, la grande chambre et une série de loges aériennes, recouvertes par le test. Butovilz. e 1. id. cloison terminale de la grande chambre, montrant le siphon central. Autre spécimen, rectiligne, trés jeune, montrant la grande chambre et une série de loges aériennes, expo- sées dans une section longitudinale. On y voit les cloi- sons et le siphon bien conservés. Viskocilka. € 2. id. 3 loges aériennes, grossies, afin de montrer la forme du siphon. Il n'y a aucune trace du dépôt organique. Le remplissage est composé de calcaire compacte, noirâtre. Orthoceras polygaster. Barr. . . . .E Spécimen vu par la face latérale. Il montre le bord oblique de l'ouverture, la grande chambre, quelques loges aériennes et des fragments du test. Les étrangle- ments qui existent sur le moule de la grande chambre sont obliques comme le bord de l'ouverture, mais ne sont pas assez fortement indiqués sur le bord gauche, ou ventral. Ils s’effacent sur le bord droit, ou dorsal. Lochkov. id. vu par le côté ventral, montrant le sinus des étran- glements, concordant avec l'échancrure du bord de l'orifice. id. cloison terminale de la grande chambre, montrant la position centrale du siphon. Fig. 16. 17. 18. 19. 20. 21. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. .E Spécimen vu par la face latérale. Il montre le bord intact de l’ouverture, la grande chambre, une série de loges aériennes et quelques parties du test. On remar- quera la diminution graduelle des diamètres de la grande chambre, et le long étranglement sous l’orifice, sur cette figure comme sur les suivantes. Karlstein. id. vu par le côté dorsal, montrant une rainure médiane, dans la partie supérieure de la grande chambre. id. vu par le côté ventral. La figure ne représente que la partie supérieure de la grande chambre, afin de montrer une rainure très courte sur la ligne médiane, comme sur le côté dorsal. id. section horizontale, orientée comme la fig. 15; sans trace du siphon. Orthoceras columella. Barr. . . Orthoceras Tritonum. Bar. . . . .E voir PI. 345—423. Spécimen rectiligne et vu par la face latérale. Il montre la grande chambre à peu près complète, l’étranglement sous le bord de l'orifice, une série de loges aériennes et une partie du test. Lochkov. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant la base de la grande chambre, une longue série de loges aériennes et une partie du test. Vohrada. id. section horizontale, elliptique, orientée comme la fig. 20; sans trace du siphon. D) A — = \ Le ; +) TBarrande Syst.Silur de Bohème. \'olE. PIS AG. £ Sons nd. Nat.Senar lith Wien. Lith u.$ed.1.d.kk.Hofu Staatsdruckere. PI. 347. Fig. we ot «} 10. 11: 12. Etage. Orthoceras Arion. Bar. . . . . . . .E voir PI. 221—408. Spécimen incomplet, mais conservant une grande partie de son test. Il montre la base de la grande chambre et une longue série de loges aériennes. La trace des cloisons se voit par transparence à travers le test, par- tout où celui-ci existe. Viskoëilka. id. cloison terininale de la grande chambre, vue par la face convexe et montrant la position centrale du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant les cloi- sons et le siphon bien conservés. Il n’y a aucune trace du dépôt organique dans cet intérieur, qui est complé- tement rempli par le spath calcaire, impur. Viskocilka. id. partie fortement grossie de l'une des cloisons supé- rieures, afin de montrer les deux Jamelles distinctes, dont elle est composée et qui sont séparées par une couche mince, de couleur plus claire. Orthoceras culter. Bar... . . . . . voir PI. 239. Spécimen vu par la face latérale. Il montre le bord intact de l'ouverture, la grande chambre, quelques loges aériennes et une partie du test. Hinter-Kopanina. id. cloison terminale, ovalaire, faiblement amaigrie et montrant la position subcentrale du siphon. id. Yu par le côté dorsal, montrant une faible ligne creuse, qui figure l'un des bords de la carène, plus marquée sur les autres spécimens. Auire spécimen, vu par la face laiérale. Il montre la grande chambre, dont le bord supérieur ne paraît pas complet et une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Lochkov. id. vu par le côté dorsal, montrant une carène très- prononcée, qui s'étend sur toute la grande chambre et sur quelques loges aériennes. id. cloison terminale, notablement ovalaire, orientée comme la fig. 8. Elle est fortement amaigrie, et montre la position centrale du siphon. Jeune spécimen, vu par la face latérale, Moule interne, montrant le bord de l'ouverture, la grande chambre el quelques loges aériennes. Konieprus. id. seclion transverse, ovalaire, orientée comme la fig. 11 et fortement amaigrie; sans trace du siphon. EXPLICATION DES Fig. 21. 22. 23. 24. FIGURES. Etage. id. vu par le côté dorsal, montrant la carène très- distincte, sur toute la longueur du spécimen. Autre spécimen, vu par la face latérale, montrant la base de la grande chambre, une longue série de loges aériennes et quelques fragments du test. Hinter-Kopanina. id. section transverse un peu amaigrie et orientée comme la fig. 14. Autre spécimen, vu par la face latérale. 11 montre le bord de l'ouverture, la grande chambre et quelques loges aériennes. Hinter-Kopanina. id. section transverse, ovalaire, et orientée comme la fig. 16; sans trace du siphon. Autre spécimen, vu par la face latérale. Moule interne, montrant le bord intact de l'ouverture, la grande cham- bre, relativement très courte et une série de loges aéri- ennes. Hinter-Kopanina. id. section transverse, faiblement ovalaire et orientée comme la fig. 18; sans trace du siphon. Autre spécimen, conservant la plus grande partie de son test. Il est vu par le côté dorsal, qu'on reconnaît à la carène. La surface, au lieu d'être lisse, présente des stries très-fines, convexes vers l’ouverture, et qui dis- paraissent sur les faces latérales. Koxorx. Autre spécimen, vu par le côté dorsal. Il montre.la grande chambre, une série de loges aériennes, la earène et une partie du test. La surface de celui-ci est ornée de stries faibles, convexes vers l'ouverture. Hinter- Kopanina. id. section transverse, ovalaire, orientée comme la fig. 21; sans trace du siphon. Orthoceras insons. Barr.. . . . . . .E voir PI. 239. Spécimen vu par la face latérale. Moule interne, mon- trant Je bord intact de l’ouverture, la grande chambre et une série de loges aériennes. Deux Orthocères, étran- gers à cette espèce, sont placés en travers du fragment figuré, l’un au gros bout et l'autre au petit bout. Lochkov. id. vu par le côté dorsal. id. section transverse, elliptique et orientée comme la fig. 23; sans trace du siphon. | Barrande.Svst Silur de Bohème Vol. Lithu.gedidkkHof_uStaatsiruckeret. PI. 348. Etage. Orthoceras migrans. Bar. . . . { E voir PI. 212—222—309—3177. Spécimen vu par la face externe, montrant une série de loges aériennes et une partie du test. Lochkov. id. cloison placée à l'extrémité supérieure. Elle est vue par le côté concave et montre la position un peu excen- trique du siphon. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant le siphon et les cloisons bien conservés, sauf quelques petites brisures. Il n’y a, dans cet intérieur, qu’un remplissage chimique, par le spath calcaire, sans aucune trace du dépôt organique. Ce remplissage contraste, par ses apparences confuses, avec les apparences régulières, qu'offre l'intérieur du spécimen fig. 5. Fig. ë 5. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. id. fragment de la lamelle interne du test, fortement grossi, pour montrer l’apparence de sa surface, cou- verte de petites aspérités irrégulières et représentant les stries creuses, habituelles. Cette figure laisse beaucoup à désirer, pour son effet. Voir PI. 309, fig. 4 et PI. 377, fig. 6, les apparences plus exactes des stries creuses de cette espèce. Autre spécimen, plus développé. Section longitudinale, montrant une série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont bien conservés. Le remplissage inor- ganique des loges aériennes, par couches régulières de spath calcaire, de nuances diverses, doit être remarqué et indique des dépôts chimiques, successifs, dans des circonstances différentes. On n’aperçoit aucune trace du dépôt organique, ni dans les loges aériennes, ni dans le siphon. Butovitz. e 2. id. cloison a—b, vue par la face convexe et monirant la position excentrique du siphon. 145. al sdruckerei al St LkKk Hof-u. Lithaugedr. ez.u lith. Wien. to o ud.Schônn n.dNat. à, + CN + x va PI. 349. Fig. Etage. Orthoceras Richter. Barr. . . . . .E voir PL 318—322—323—409? Spécimen vu par l'extérieur. Il représente une série de loges aériennes, conservant une partie de leur test, composé de 2 lamelles lisses. La surface n'est pas in- tacite. Dlauha Hora. id. section longidudinale, montrant les cloisons en grande partie persistantes, tandisque le siphon est détruit sur les deux tiers de la longueur, et n'est con- servé que dans le tiers inférieur. La plupart des loges aériennes ont été remplies par un dépôt spathique blanc, mais quelques unes ont été injectées par la vase noire. Dans ce cas, les parois ne sont pas régulière- ment tapissées par une couche blanche de spath cal- caire. Le dépôt organique n’est représenté que dans le siphon, par des anneaux obsirucleurs, au droit des goulots, Leur volume augmente graduellement en des- cendant vers le petit bout. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position centrale du siphon. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. Ils sont pris vers le petit bout du fossile et ils montrent les anneaux obstrucieurs, au droit des goulots. On reconnait des substances étrangères, intro- | duites dans les divers éléments, entre ces anneaux. | Fig. 10. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Autre spécimen. Section longitudinale, montrant une série de loges aériennes, dans lesquelles les cloisons et le siphon ne sont bien conservés que vers le petit bout. Tout l’intérieur est rempli par le spath calcaire blane et il n'existe qu'une trace du dépôt organique, dans le siphon, au droit des goulots. Lochkov. id. cloison terminale, vue par la face convexe et mon- trant la position subcentrale du siphon. id. 3 éléments du siphon, grossis, avec la trace des cloisons. On voit, au droit des goulots, des anneaux obsiructeurs encore rudimentaires. Autre spécimen, vu par l'extérieur. Il représente la base de la grande chambre et une série de loges aériennes, conservant une partie du test. Lochkov. id. section longitudinale, montrant la majeure partie des cloisons bien conservées, tandisque presque tous les éléments du siphon sont à moitié détruits. Le siphon, central au petit bout, devient sensiblement excentrique vers la partie supérieure. L'intérieur du fossile est rempli par le calcaire compacte noir, dans la grande chambre et par le calcaire spathique blanc, dans les loges aériennes. Il n'y a aucune trace du dépôt organique. id. cloison prise vers le petit bout et un peu elliptique. Elle est vue par la face convexe et montre la position centrale du siphon, vers cette extrémité. st Sir de Bo | PL. 349. Heinr. Becker n.4.Nat. dez-u.lith Wien. Lith u_sed i.d.k KkHof us nl hu_sed.1.d.k KkHof u Staatsdruckere. . ; CE si , : . x - . - \ . . “ ù + < ‘ ‘ » LI \ ' ’ k > - # LU à . # | \ , | ‘ Ven + £ Ê la .* : j« € : ’ » , à CU : th ni > . ‘ MU . AP dt L fr I Mi -ù TR PR: VOS 0 NES TP RE Tr AU A NE ANT (Por LE SEA (Has PI. Fig ot 390. Etage. Orthoceras decipiens. Barr... ...E voir PI. 217—318—324. Spécimen montrant le bord intact de l'ouverture, la grande chambre, la majeure partie des loges aériennes et des fragments du test. L'étranglement sous le hord de l'orifice est notablement prolongé. La coquille paraît droite sur la majeure partie de sa longueur, mais elle présente une faible courbure vers le petit bout. Le des- sinateur a fait abstraction de quelques brisures. Dlauha Hora. id. cloison terminale, vue par la face convexe. Elle est orientée comme la fig. 1 et monire la position excen- trique du siphon. Autre spécimen, Section longitudinale, représentant une longue série de loges aériennes, dont les cloisons et le siphon sont généralement bien conservés. Les vides sont remplis par du spath calcaire de diverses nuances. On aperçoit sur les cloisons, à droite, vers la pointe, un léger dépôt organique, tandisqu'il n'en existe aucune trace dans le siphon. La coquille est légèrement arquée Dlauha Hora. e id. demi-cloison, prise au petit bout et montrant la position un peu excentrique du siphon. Autre spécimen, un peu arqué. Section longitudinale. montrant quelques éléments du siphon et quelques eloi- sons conservés, vers le petit bout. La vase noire a envahi la majeure partie de la longueur de ce frag- ment. On voit, sur le côté droit, les extrémités des cloisons brisées et tapissées, comme la paroi interne du test, par le calcaire spathique blanc. Les débris des cloisons sont accumulés sur le côté gauche de la figure. Dlauha Hora. Auire spécimen, représentant une série de loges aérien- nes, plus rapprochées de la pointe de la coquille. Tous les éléments du siphon et les cloisons sont bien con- servés. L'intérieur est rempli par du calcaire spathique de diverses nuances. Le dépôt organique ne se montre que sous la forme de points noirs, dans le siphon, au droit des goulots. Dlauha Hora. Autre spécimen, rectiligne et montrant la grande cham- bre, suivie d’une série de loges aériennes, conservant une grande partie du test. Le bord de l’orifice est intact sur une grande partie du contour, mais on est surpris de ne pas voir, immédiatement au dessous, sur le moule interne, le même étranglement qu'on remarque sur Ja fig. 1. Celle différence tient peut-être à l'âge des individus. Karlstein. id. cloison terminale, vue par la face convexe. Elle est orientée comme Ja fig. 7. Le siphon est un peu trop rapproché du centre et devrait être vers le milieu du rayon, où nous le voyons, dans la nature. Fig. 17. 18. 19. EXPLICATION DES FIGURES. Etage. Orthoceras Morrisi. Barr... . de voir PI. 399?—423. Spécimen vu par la face aplatie. Il montre la grande chambre avec le bord intact de l’orifice, une partie du test et une série de loges aériennes. La suture des cloisons figure un large sinus sur ce côté. Karlstein. id. seclion transverse, un peu elliptique. Siphon invisible. id. fragment du test, grossi, pour montrer ses siries transverses, à peine visibles, et trop fortement indiquées sur les figures de ce spécimen. id. vu par le côté étroit, montrant une ligne normale médiane, sur les loges aériennes. id. trois loges aériennes, grossies, pour montrer à la fois, la ligne normale et les stries transverses très fines, tracées sur la surface du moule interne. Autre spécimen, plus petit et presque complet, sauf la pointe. Il montre le bord de l'ouverture, au dessous du quel on voit un étranglement très prononcé. Les cloisons serrées, sous la grande chambre, semblent indiquer que la croissance de l'individu a été arrêtée, Karlstein. id. cloison prise vers l'extrémité inférieure, dans la brisure indiquée. Elle est orientée comme la figure 14, et monre la position excentrique du siphon. Autre spécimen plus jeune. Moule interne presque com- plet, sauf la pointe. Bien que le bord de l'ouverture soit intact, on n’aperçoit presque aucune trace d'étran- glement. Koxorx. id. section transverse, sans trace du siphon. Autre spécimen très jeune. Il montre la grande chambre complète et une série de loges aériennes. On voit un étranglement prononcé au dessous du bord de l’orifice. Karlstein. id. cloison terminale, orientée comme la fig. 18, et montrant la position excentrique du siphon. ere A1) SES \ \ QE el = - k.k_.Ilof_ù Sta use. 1.4 QUES Il 1e. et. fith. W ô Le) Heinr. Becker n.4.Nat. TUE | ur, FN) ï ar tn + ERNST MAYR LIBRARY TUE 2 V” VVV FES a WU A A MAT uv AU CA TUE ARE EdE ÿ IX AS SU CUT Ÿ 9 VUE ME SEULE BEL VU ARÈRE 13 JUS Ÿ SUUË RNA PP NAN NAT 17 VEVVN | N AAA MAN AE ee vai A a M ju 1 AV: nan V UUUU : Re 5 UUYVVV UV) VEUU ER: VER DA REAN - NT SM Re Ra NI ses RMC uen SLA ANS PAUAVR" ve NOUS VV . 4 CA A w EVARSE VENUE AS AAA : KR LE EEN PEAU SYSYYYVLEE FU Ÿ NX 7 VEN \ CR VELY SYVEVYEESS EN) DZ ne W DA AE ù AS MY V ( CUS ARR NS HSE UOUOUSUUSE Mur WE ue VEUVE FESBCUVEÉ Mo “UGUUEUUNUUT N EVE Ÿ à NÉE RSR EE NUOIENY k ENS UN pre OUT - VOIES FÉVINPEMMEESE UM VUS de VU NANSUES L VY VESNN VV Ÿ CS NY M Sr re MA A AE 7 ù AU AS VU JUUUUUUVEUUT VU VU À AN SE ARE CE JE RAA EMA M "Uvy SN \ Nr - VUVS HU YPA VV Ÿ ann, W A de EE e NU SEA D: rs UP TT EE, UE AE My \ Sie uv y “UV: U JŸ nat AAA LU” (97 GÙ L PAR | - AC YE\ AU UUT "ose Sivee CEE UNESNEENNE VONIN YPVGYFNENUNE | À re PA ETEE < « VU - VYUU: MA) VV A AU VU A UV ° ARR Y V3 VV \V PARA TE UU SÉAEHUE - AVE EE vue HN TT