EN ed KOTS 7D . 4 Ed TEGRALES D EEINIES PAR A dt . . BIERENS DE HAAN = D ker Een Publiées par l'Académie Royale des Sciences à Amsterdam. 1 Kl TROISIEME PARTIE. w AMSTERDAM, C. G. VAN DER POST. 1858. VERHANDELINGEN. [AAE AAM EAN TREDEN - HHIDN EFO HA HIER YW PEN 4 i Rr Pe á ed Ke 4 E EE H rid Kes Ä af wi ik f „en VERHANDELINGEN KONINKLIJKE AKADEMIE WETENSCHAPPEN. VIERDE DEET. Ee De AMSTERDAM, C. G. VAN DER POST. 1858. " 8 1 _ De Ke ARO, rc A rad hae adr wen 4 NG IEN IE £ OD 0; LD VENKRTAE { Br wd ie 8; ’ Lj e ANRA TA EEY 8 „ « ATEN | GEDRUKT BIJ W.J KRÖBER B: Gans TABLES DINTEGRALES DEFINIES D. BIERENS DE HAAN. ä a . . t ut if Ei U Me hd … de " r « Ee ed AT AIVD ZR AANDAT ATEN _ i ANW AK AEKKARTR M k ‚ _ dl „4 ls _ en, k er iS SOMMAIRE. ik Page, Ne, ee Bet AE TE m OBSERVATIONS ET CORRECTIONS, EN PARTIE CRITIQUES . … … … … … … … … … «… XVI. DEVSTONDESKLABEES Bac Mtik dl ak Reider hl rblen done ded als Pemmee Bor via 3. NOMMAERBSDESSUNBLES EJ SOE ED EE EE A SE PA 5. ABRÉVIATIONS ET NOTATIONS. . . . .. la neen raedt Pra twee 20. AFER VANLONS RED ANSITEE (SOMMAIRE) 2 te en oe vanen Een Wree eN at ol edn 24, OREMUSEENE RATEN Mt Prent a pt a PN Nest Ark er Beerse Î 25. Ombra JEMIE Len oee elke ere al ee er 167. NOEMEN AET EN ee Vee A ent a Pe et ns KAS en er Tere ei Ee ® n « a Ed En bk] ' £ m NG | 1 1 k Ì Hi u Le ei . * n . hed 1 E Mua hj MLK i 8 vaars) Marakt Gl ROET TARN 1 verg A k E ‚KR b d m é.o A : kl es ' ATD 4 er dv ie DN - e= vam! eer raaf - n oe nl # Le * be dE bn, hi hd AR Me Mlaat de! Rn 4 … kh je é « le zate lde â $ | en, RT TEN N E D Br Oee EN Pinas ei hd Ee ® hd # . « k . ss © n € EK 1 Mg f Bea iej Mi Í â Ga * k _ 5 * * È ‚ m 4 ad . ‘ \ a b í WAN a @® n Ar * . EN ‚À - hl 8 dr f _ ° ssd Aen « H n ON} d Mi ee nn en di R © Kak _ hi De En à PL D 2 Dans la construction de ces Tables d'Intégrales definies j'avais en vue un objet quadruple. En premier lieu je voulais réunir les uns auprès des autres les différents résultats, Épars par-ci et par-là, que Fon avait obtenus au sujet de ces fonctions, par beaucoup de méthodes intrinsè- quement différentes, et pour la plupart plus ou moins indirectes, Il résultait de cette dispersion des formules obtenues, que l'on ne pouvait en tirer tout le profit possible, tant pour la pra- tique, — c'est-à-dire pour les cas, où lon pourrmt avoir besoin des valeurs d'une certaine inté- grale définie, — que pour la théorie elle-même, — c'est-à-dire pour emploi de ces formules dans la déduction d'autres intégrales définies, et pour la vérification de nouvelles formules de ce genre, à Pégard desquelles on pouvait entretenir des doutes, par rapport à la priorité ou à Poriginalité. Une collection d'intégrales définies bien ordonnée peut certainement obvier à tous ees inconvenients. De ce point de vue suivait naturellement une autre considération non moins importante. Après avoir réuni les diverses formules, il importait beaucoup de connaître leur méthode de dú- duction: et cela d'autant plus, que plusieurs méthodes employées en d'autres temps avec une confiance absolue, ne sont maintenant plus à Fabri d'objections, en quelques eas très-fondées. Dès-lors, pour être sûr d'un résultat queleonque, il fallait absolument que Yon fût à même de juger de la validité et de Pexactitude de la méthode employ(e. Or il ne pouvait entrer dans le plan de rédaction de ces Tables, déjà assez volumineuses, d'ajouter à côté de chaque intégrale la méthode à Faide de laquelle on lavait déduite, quand même il eût été possible de Yindi- quer d'une manière courte, précise et certaine: de plus il y a beaucoup de formules, qui peuvent être trouvées de plus d'une manière. J'ai tâché de subvenir à cette difficulté d'une autre manière, qui, À ce que j'espère, ne manquera pas d'approbation. A côté de chaque formule in- A WIS- EN NATUURK, VERH. DER KONINKL, AKADEMIE, DEEL IV. H PRÚFACE. tégrale se trouve une notice bibliographique indiquant, où Pon peut en trouver la déduction, ou même plusieurs déductions diverses, s'il y en a. De cette fagon chacun est mis en état de juger par lui-même de la validité des résultats indiqués, et de répéter lui-même les calculs nécessaires, sil pourrait le juger convenable. Mais par ces notices bibliographiques elles-mêmes il était en même temps possible de remplir un troisième but, celui de donner un tableau historique et bibliographique de cette branche de Vanalyse. Pour que ce tableau fût complet, il aurait fallu que j'eusse pu parcourir tous les ouvrages, où pourraient se trouver des intégrales.définies. Cétait une entreprise à peu près impossible, puisque d'une part je n'aurais jamais pu m’assurer de n’avoir omis aucun livre, et que je ne me trouvais pas dans une condition de pouvoir les avoir tous sous les yeux: tandis que d'autre part le travail serait devenu d'une telle longueur que je n'aurais pas osé l'entreprendre. Néanmoins je dois confesser que de ce cÔté-lá mes désirs, peut-être trop ardents par l'intérêt personnel que je portais natu- rellement au succès de mon entreprise, n'ont pas été remplis comme je l'avais désiré, mi comme je Yavais espéré. J’'avais demandé par la voie de quelques journaux scientifiques envoi des notes ou des mémoires monographiques, qui pourraient exister sur la théorie des intégrales définies: et j'avoue avoir assez compté sur intérêt que les formules, dont je me proposais la récolte, doivent in- spirer aux Analystes, pour attendre quelques fruits de cette démarche: mais personne n'a repondu à Yappel. Tout dépendait done de moi-même et c'est par le sommaire des livres, des journaux et des mémoires consultés (pages 20 et 21) que Fon pourra juger jusqu'à quel point les Tables peu- vent être censées complètes. Si toutefois, comme je n'en doute guère, il y a des écrits, qui portent sur cette matière et qui pourtant ne se trouvent pas sur cette liste, qu'on veuille bien trouver Vexcuse de leur omission dans ce que je viens de dire; lespèce de reproche, qui s'y trouve, n'a son origine que dans mon désir de rendre mon excuse plus fondée. Quant Àà ce sommaire, il donne lieu à quelques observations. Les journaux mathématiques Anglais et Américains y manquent com- plétement, puisque je n'ai pas eu moyen de m’en procurer Pétude: la même observation se repête pour les livres et les moncgraphies de ces pays, que Fon trouve peu chez nous. J'ai été bien fâché que tel ait été le cas, puisque bien certainement le fruit de leurs études m'eût fourni bien des données intéressantes: toutefois le Journal de Mathématiques pures et appliquées, rédigé par M. J. Lrouvmar, nous donne quelques-unes de eês recherches, et j'ai dû me contenter de celles-là. Quant aux Mémoires des diverses Académies et Institutions scientifiques, il y avait de ce côté-là une occasion magnifique et unique pour notre patrie dans la Bibliothéque de FP Académie Royale des Sciences à Amsterdam; et comme lentrée m’y était ouverte primitivement par les soins bienveillants PRÉFACE. HI de M. W. Vrouw, Sécrétaire de cette Académie, et plus tard par les droits acquis par mon titre de membre, j'ai tàché de ne rien laisser désirer à cet égard. Si Pon prend la peine de feuilleter les Tables, on voudra bien admettre, j'espère, que sì tout le matériel ne s’y trouve pas, c'est bien au moins le plus grand nombre des formules trouvées, que lon y rencontre. Je dois encore ajouter ici qu'en général je n’ai admis dans les Tables que toutes les intégrales définies, que j'ai pu trouver évaluées avant la fin de année 1853, lorsque j'ai commencé la rédaction en tables. Voici un sommaire — par ordre alphabétique des noms d’auteurs — des mémoires principaux, contenus dans les diverses Collections Académiques et dans les journaux scientifiques, que j'ai consultés: on y rencontre bien des noms Ééminents. Abel, Cr. 2. 22. Abria, L. 4. 248. Arndt, Gr. 4. 436. — Gr. 6. 187. — Gr. 6. 434. — Gr. 10. 225. — Gr. 10. 233. — Gr. 10. 240. — Gr, 10. 247. — Gr. 10, 250. — Gr. 10. 253. — Gr. 10. 455. — Gr. dr 40: Bertrand, L. S. 110. Besge, L. 14. 31. Bidone, Mém. Turin. 1812. 231. Bierens de Haan, Verh. Kon. Akad. Amsterdam. Dl. 2. bl. 19. — Gr. 13. 193. Binebn Ch Rn9r39 == Ce Rr 12953 =P: 2123 Á Bjórling, Gr. 21. 26. Boncompagni, Cr. 25. 74. Ossian Bonnet, L. 6.238. — L. 14. 249. — L. 17. 265. Boole, Phil. Trans. 1844. 225. — L. 13. 111. ‚ Catalan, L. 4. 323. — L. 5. 110. — L. 6. 340. — L. 6. 419. — L. 8. 239. Cauchy, Mém. Paris. 1823. 603. — Sav. Etr. 1. 1827. p. 3. Notes. — Sav. Etr. IL 1827. BRB Ch Revdde 1008 Cr Rerl6sARLe Pla le B 28: 17 Cayley, L. 12. 281. — L. 13. 245. — L. 18. 264. Cellérier, L. 8. 255. Chev. Cisa de Grésy, Mém. Turin. T. 20. 1S21. 209. Clausen, Cr. 7. 809. — Gr. 3. 336. Clausius, Cr. 34. 123. Dedekind, Cr. 45. 310. Af LV PRÉFACE, Delaunay, L. 2. 355, Dienger, Cr. 34, 15. — Cr. 37. 363. — Cr. 38. 266, — Cr. 38. 331. — Cr. 41. 137. — Cr. 42, 285, — Gr. 8. 450. — Gr. 10. 107. — Gr. 10. 341. — Gr. 11. 88. — Gr. 11. 94. — Gr. 12. 81, — Gr. 12. 97. — Gr. 12. 210. — Gr. 12. 409. — Gr. 12. 416. — Gr. 13. 280. — Gr. 13. 424. — Gr. 14. 223. — Gr. 15. 119. Dirksen, Ber. Abh. Berlin. 1848. 120. . Euler, N. C, Petr. 6. 115. —-N. C. Petr. 14, 129. — N. C. Petr. 16. 91. — N. C; Petr. 19. 3. — N. C. Petr. 19. 30. — N. C. Petr. 19. 60. — N. C. Petr. 20. 59. — Act. Petr. T, 1, 1777. P. 2. p. 3. — Act. Petr. T. 1,-1777. P. 2. p. 29. — Mém. Péters- bourg. T. 6. 1814. Fuss, Mém. Pétersbourg. T. 11. 1820. Grunert, Cr. 8. 146. — Gr. 2. 266. — Gr. 4. 118. — Gr. 6. 448. — Gr. 17. 813. MCS OA Sr Cr SRS Cr LO 2E Hoppe, Cr. 40. 139. — Cr. 40. 142. Jacot, Ge. 10-1010, Hr BON EEN Or ber Ie Oe IIR NB em Rh DD, Jürgensen, Cr. 23. 143. Kausler, Mém. Pétersbourg. T. 3. 1811. Kummer,Or.sl4 148 se Or allel Or Cr ARS Ors Oe Ore IR Lame, L. 2. 147. Laplace, Mém. Acad. Paris. 1778. 227. — Mém. Acad. Paris. 1782. 1. — Mém. Inst. 1809. 353. — P. 15. 229. Lebesgue, L. 15. 215. Lefort, L. 11. 142. Legendre, Mém. Inst. 1809. 416. Lejeune-Dirichlet, C. R. 8. 157. — Abh. Berlin. 1835. — Cr. 4. 94. — Cr. 15. 258. — Cr. 17. 57. Libri, Cr. 7. 224, Lindmann, K. Danske Handl. 1850. — Gr. 16. 94. — Gr. 17. 455. Lrouville, Cr. 11. 1. — Cr. 13. 219. — L. 2, 185. — L. 4. 817. — Ie 5.311. — Le Mk 464, — L, 17. 448. Lobatto, Cr. 9. 260. — Cr. 11. 171. — L. 5, 115. Lobatschewsky, Mém. Kasan. 1835. 1. — Mém. Kasan. 1835. 211. — Mém. Kasan. 1836. l. — Cr. 24, 162. PRÉFACE. Malmsten, K. Stoekh. Handl. 1841. — Cr. 35. 55. — Cr. 38. 1. Mösta, Gr. 10. 449. — Gr. 10. 455. Oettinger, Cr. 35. 13. — Cr. 38. 162. — Cr. 38, 216. Pioch, Mém. Cour. Bruxelles. T. 25. 1843. Plana, Mém. Turin. 23. 1818. 7. — Mém. Turin. 25. 1820. — Mém. Brux. 10. 1837. Cr. 17. 1. — Cr. 17. 163. — Cr. 17. 845. Poisson, Mém. Inst. 1811. 163. — Mém. Paris. 1816. 71. — Mém. Paris. 1823. — P. 315. — P, 11. 612. — P. 18. 295. — P. 19. 404, — P. 20. 222. — P. 19. 60. L. 2. 184. — L. 2. 224. Raabe, Cr. 15. 355. — Cr. 16. 219. — Cr. 23. 105. — Cr. 25. 146. — Cr. 25. 160. Cr. 25. 169. — Cr. 28. 10. — Cr. 37. 356. — Cr. 42. 348. Ramus, Danske Afh. 7. 265. — Overs. Danske Forh. 1844. — Cr. 24. 257. William Roberts, L. 10. 453. — L. 11. 157. — L. 11. 201, — L, 11. 471. — L. 449. — L. 15. 238. — L. 16. 1. Schaar, N. Mém. Bruxelles. T. 23. 1850. 117. — Mém. Cour. Brux. T. 22. 1848. Schaeffer, Cr. 30. 277. — Cr. 37. 127. Schellbach, Cr. 48. 207. . Scherk, Cr. 10. 97. Schlömilch, Cr. 33. 268. — Cr. 33. 316. — Cr. 33. 325. — Ur. 33. 355. — Cr. 36. 268. Cr. 36. 271. — Cr. 42. 125. — Gr. 1. 263. — Gr. 1. 360. — Gr. 1. 417. — Gr. 3. 9. Gr. 3. 218, — Gr. 4. 23. — Gr. 4. 71. — Gr. 4. 167. — Gr. 4. 316. — Gr. 4. 364. Grot goGrb be Cr 5. ZO4r Gr 67 SS MON IOO GE 1e 20E Or Obe Gr. 10. 340. — Gr. 10. 424, — (Gr. 10. 440. — Gr. 11. 189. — Gr. 12. 198. — Gr. 12. 208. — Gr. 18. von Schmidten, Cr. 5. 392. Serret, L. 8. 1. — L. 8. 489. — L. 9. 193, — L. 9. 436. Smaasen, Cr. 42. 222. Stegmann, 1. 21. 317. il Stern, Gr. 7. 108. Svanberg, L. 11. 197. Tchebicheff, L. 8. 255. 200, — Gr. 6. 213. — Gr. Gr. 9. 307. — Gr. 9. 379. 16. 12. 7. 11. 63. — Gr. 11. 174. — Gr. 391. VI PRÉFACE, Thomson, L. 10. 137. . Tortolini, Cr. 34. 101. Winchler, Cr. 45. 102. Enfin je m’étais encore proposé un quatrième but: savoir la critique des intégrales définies, que je trouvais. Mais de ce còté-là surgirent bien des obstacles. I’on ne pourrait exiger, que jeusse fait la révision de tous les calculs, en général assez longs, dont les résultats seulement remplissent tant de volumes: mais la seule et la moindre difficulté ne se trouvait pas là; une autre était d'une importance bien plus grande pour la rédaction de ces Tables. Ce n'est pas seulement pourtant contre les anciennes méthodes, que se sont levées des objections dont j'ai parlé précé- demment, mais plusieurs des méthodes nouvelles ou récemment appliquées ont subi le même sort. En un mot telle, méthode employée, et par suite admise par tel Analyste, est rejetée comme fausse par un autre: donc les résultats obtenus par lun ne sont pas admis par celui d'une opinion contraire, Fallait-il que je me fusse posé en juge? Je me suis souvent fait cette question: mais je m'osais le faire, je ne croyais pas les fondemens de cette partie de Analyse toujours basés sur des principes d'une telle stabilité, que Fon aurait le droit absolu de juger sans merci les pensées, les recherches d'un autre. C'est pourquoi j'ai aussi admis dans les Tables les résultats obtenus par des méthodes, que pour moi-même je ne saurais regarder comme valides. Je m’y suis résolu d'autant plus volontiers que lannexion des noms des auteurs, qui ont déduit ces résultats au moins douteus, donne pour ainsì dire des poids, qui en indiquent et en mesurent Ja eertitude et la validité. Dans cette catégorie tombent par exemple toutes les intégrales définies, qui se trouvent Partie T, Section IV, Tables 96, 97, 98, 102, en tant que les fonctions cir- culaires directes aient la première puissance de la variable pour argument. Ces intégrales de fonctions circulaires directes de a seulement, prises entre les limites zéro et l'infini, — dont les valeurs, entre autres d'après M. Raar, ont obtenu leurs places aux Tables indiquées — sont évidemment indéterminées selon ma manière de voir: néanmoins, d'après les principes exposés j'ai cru devoir les admettre dans les Tables. Quiconque parcourt ces Tables peut s’assurer lui-même, par inspection des citations bibliographiques de lexactitude et de la validité de la méthode de M. Raapr. Il y a encore une autre classe d'intégrales définies, que je m’'oecupe d'étudier, savoir celles qui contiennent un Élément A, que Von fait diverger vers Yinfini: jusques Àà présent je ne suis pas toujours du même avis que plusieurs auteurs, qui en ont fait usage: mais puisque en premier lieu mes recherches n'ont pas encore atteint le but proposé, et que d'un autre côté les Tables ont déjà été rédigées avant la fin de année 1854, j'ai jugé à propos de ne pas admettre mes résultats dans PRÉFACE. vii les Tables: pourtant je dois avertir que les valeurs des intégrales mentionnées sont d'une grande influence sur plusieurs autres intégrales définies, dont on acquiert la valeur au moyen d’elles *). Néanmoins des observations critiques de ma part ne se font pas désirer: on les trouve là, où les résultats divergents de différents Mathématiciens demandaient un jugement: là aussi, où une faute de calcul, qui me frappait, rendait le résultat vicieux. Voilà mes considérations, quant au but que je me suis proposé et à la manière dont j'ai cherché à Yatteindre — en recueillant les formules déduites par d'autres auteurs. Je ne manquais pas de reconnaître bientôt, que je me trouvais dans une position favorable pour en déduire des résul- tats nouveaux, et je vais m'expliquer dans quelle voie je me suis engagé À cet égard. En premier lieu il était aisé quelquefois de déduire d'autres intégrales par voie d'addition ou de soustraction des résultats déjà obtenus. D’une autre part plusieurs des sections me semblaient présenter des lacunes en quelques points, ef n’être pas assez complètes; j'ai tâché d’y remédier en transformant les intégrales définies d'une autre catégorie, par la méthode connue de transformation de la variable, en d'autres formules telles, qu'elles pussent prendre place là, où ces lacunes se trouvaient à remplir. Il va sans dire que je n'ai pas eu lintention d’épuiser toutes les substitutions possibles; j’ajou- terai seulement que je ne les ai appliquées que là, où cette application était directement permise, c'est-à-dire où dans la détermination des limites elles n’offraient pas des maxima ou des minima, qui pouvaient donner lieu à des incertitudes ou au moins à des objections. De plus j'ai toujours donné la préférence à de telles intégrales résultantes, qui pouvaient se prêter à la méthode sui- vante, qui m'a fourni en grande partie les résultats nouveaux, que lon trouvera dans les Tables. Cette méthode, exposée et appliquée plus amplement dans une „Note sur une méthode pour la réduction d'intégrales définies et sur son application à quelques formules spéciales”, que l’Aca- démie Royale des Sciences m’a fait Phonmeur de faire imprimer dans le deuxième Volume de ses Mémoires, revient à celle d’intégration partielle. Elle est contenue dans la formule b b id Í PEAP (@) OPO) | + | F(@)d.f(2) =O. a On peut appliquer cette formule de transformation à une intégrale définie, aussitôt que la fonc- tion intégrée se laisse diviser en deux facteurs dont Pun peut être considéré comme la différentielle de quelque fonction connue; car dès-lors cette intégrale définie rentre sous la forme du troisième *) Depuis cette Note a été présentée ct se trouvera dans le Volume VII de ces Mémoires. VII PRÉFACE. terme de Yéduation précédente, et la formule donnera lieu à la détermination du premier terme, — qui est une nouvelle intégrale définie, en général d'une forme tout-à-fait différente, — à moins b que le deuxième terme f (z). F (w)} , c'est-À-dire pris de la limite a jusques à l'autre b, n’offre a de diffieultés ou d'obstacles, qu’il reste continu entre ces limites, et que sa valeur soit finie et assignable pour ces limites elles-mêmes. L’on observera sans peine dans les Tables les fruits, que cette méthode a portés. Quant aux résultats — leur nombre est près de trois mille deux-zent — que j’obtenais ainsi par une des méthodes mentionnées, et qui n’étaient pas encore trouvés par d'autres, ils se distinguent par un manque de bibliographie; on y trouve seulement un renvoi vers une autre intégrale définie, dont elle a été déduite en général À aide d'une des trois méthodes précédentes. Je n'ai pas ajouté de quelle méthode j'ai fait usage dans chaque cas spécial, puisqu’en général on peut aisément s'en assurer par observation et par la comparaison de la formule employée et du résultat obtenu. De la sorte chacun peut lui-même reprendre les calculs nécessaires pour s’assurer de lexactitude d'une telle intégrale définie, faculté qu'il m’importait beaucoup d'offrir, et qui était rigoureusement nécessaire afin que ces résultats nouveaux pussent être d'un même poids que les autres, que j'avais recueillis et munis de leurs passe-ports de bibliographie, Ensuite j'ai encore à ajouter quelques observations explicatives, et justifiantes au besoin, sur la rédaction et la classification de ces Tables, qui n'ont pas laissé de me causer quelquefois maint embarras. Il me paraissait nécessaire en premier lieu que la division fût naturelle, d'une autre part que la recherche d'une intégrale définie put toujours se faire aisément. Mais quiconque veut se souvenir de la variété des formes, qui se fait observer parmi les intégrales définies, reconnaîtra qu'une division bonne, naturelle et simple n’est pas chose aussi facile, que cela peut paraitre au premier abord. Lincertitude sur le nombre de formules à enrégistrer, dont dépendait naturellement le nombre des Tables, rendait cette division encore plus difficile au commencement, et j'ai été obligé de temps en temps à modifier les règles qui me servaient à la classification. C'est pourquoi exposition des principes que j'ai suivis pourra montrer de quelle manière j'ai cherché à atteindre ce but, aussi près qu’il m’était possible. La première division (voir Page 3) en trois Parties est fondée sur le nombre de fonctions, qui se trouvent sous le signe d'intégration définie, suivant que ce nombre est d'une seule, de deux ou de plus de deux. PRÉFACHE. Ir La deuxième division en trente-cinq Sections ne donnera guère lieu à plus de difficultés. Jai pris en considération les cinq fonctions diverses: Algébriques, Exponentielles, Logarithmes, Circulaires Directes (autrement dites goniométriques), Circulaires Inverses: et chaque Section [ à V contient les intégrales définies, dont l'argument ou la fonction intégrée appartient exclusivement A une seule de ces fonctions. La Section VI contient les autres fonctions, telles que fonctions Elliptiques, le Logarithme Intégral, P'Exponentielle Litégrale, la Sinus Intégrale, la Cosinus Inté- grale, les fonctions B' (xj et B’ (z) de M. Raarr. Les fonctions Hyperboliques, qui peuvent être représentées par des fonctions Exponentielles, ne sont pas admises comme distinctes, et Pon trouvera toujours leurs valeurs exprimées à l'aide de ces dernières. Dans la deuxième Partie, Sections VII à EX; qui contient les intégrales définies, dont les arguments sont composés de deux sortes de fonctions différentes, les six sortes de fonctions mentionnées précédemment se trouvent combinées deux Àà deux en respectant Yordre donné à ces fonctions dans la Partie première. Enfin dans la Partie troisième, le même ordre est observé dans les combinaisons respectives. Elle contient Sections XXI à XXXIV les intégrales définies d'un argument, qui est composé de trois sortes différentes de fonctions, et dans la Section XXXV celles, qui en contiennent plus de trois. Les diverses combinaisens y sont à peu près toutes représentées; car‚ dans la Partie deuxième manque seulement la combinaison: Fonctions Circulaires Inverses et Autres; et dans la Partie troisième, — si on excepte la catégorie de „Autres Fonctions”, qui ne s’y trouve que cinq fois — seulement la combinaison: Fonctions Exponentielles et Logarithmes et Circulaires Inverses. Il faut toutefois faire remarquer, que plusieurs de ces Sections ne sont représentées que par un petit nombre d’intégrales définies. Nl fallait subdiviser ces Sections en Tables. En premier lieu la considération des limites, entre lesquelles lintégration définie doit avoir lieu, s’offrait comme argument principal: ces limites diffèrent généralement auprès des différentes fonctions et done dans chaque Section. Ici ce sont les limites 0, + 1 et — oo, qui sont les plus naturelles, comme pour les fonctions Algébriques, Exponentielles, Logarithmiques, Circulaires Inverses: là ce sont au contraire les mul- tiples et les parties aliquotes de z, comme pour les fonctions Circulaires Directes. Dans les Parties deuxième et troisième ce sont tantôt les limites de la première catégorie, tantôt celles de la se- conde, qui s’offrent le plus, sans ordre apparent. Le choix des limites a done dépendu en géné- ral du nombre des formules, qui venaient s’y soumettre; les limites, qui ne valaient que pour un petit nombre d'intégrales définies, se trouvant toutes réunies sous le nom de „Limites di- verses.” Jinsère ici un extrait du sommaire des Tables pour offrir un coup d'oeil sur la divisicn B WIS- EN NATUURK. VERH, DER KONINKL. AKADEME, DEEL ÏV, PRÉFACE. à cet égard: cet apergu servira bien mieux à donner une idée de réflexions ou observations ne pourraient le faire. a Ì S [. Sn TLE: 9. IV, sss A se Basn 2 Limites. 1—16. 0,1. L74 sells 18—28. 0, oo, 29, 30. — 0, 0, 31, 32. 1e eos 83, 34. 0,p. 85. diverses. 56—39. 0, o, 4.0. — %, 0, 41. diverses. Add, Oss 45. diverses. 46—52. 0, wij, El 5317. Des af 2 18—86, 0, zr. ST_—_91. 0,2 92. — L 1 Es 4 4 93. — oe 5 en 2 2 94, pr‚qrn 95. Oe 96—99. 0, oo fjorerop an wo B 102. sn oc, . 103, 104. 0, p. S. Pins: Vik VIT. Av cette classificatioh que plusieurs Limites, T. 105—107. ZOEN T. 108. 0 u0 9% 0, co. pen TO: diverses. dl U diverses. Pr 12 On T. 113141. Oce A TT; 149. 0,p. 0: p END T. 151178. 0,1 T. 179—185. 0% 1 beed WSE lar 2d T. 188. 0, p. el Lm keet p,q. T. 190. (Log. de Log.) 0,1. del lij ie Pp, ». T. 192. 0,1 T. 193—281. 0, op T. 232—234. — @, oe, 1.285, 236. ie 1 Ds 5 7. 4 T. 238— 243. 0 5 mT. 2 T. 244— 249. 0, T. 250. 0, Lr T:-95 1252; 0,p. [9p} lop XT. XII. XII. T. 330352. T. 353355. T. 856. T. 357360. IEKE ON 210. 211. 212. 218215. 216. 211. 218285. 286. . 287— 295. 296. ZO. 298, 299. 800. 301. 802. „ 303—829. 256—262. 263—269. PRÉFACE. Limites. | À,u. Pp, oe. diverses. ON 0, oo. doe: diverses. diverses. Qsrca. — @, 0. diverses. Olsmoa. — @, 0. 1 1 U NLD 2 2 diverses. Onkoor 0, oo. 01e Oee Boe Ll Dr S. Dn £ KK XXIV. XXV. XVI. XVII. ‚ XVII. XXII. „ 368, 369. „370372. 313. 374, d15. 516, . 311—881. D84, . 385—5390, 400. 401. 402. „ 403409. 410. ‚411, 412. 415. „ 4l4—419, 420. 421. XI Limites. 0 E] 7 1 5m Â,u diverses. Ot: 1: diverses. 0,7. 2 0, zr. 0,2. diverses. diverses. OFNIE Oda. —= 0 , 00. diverses. 0, ï TT. OP oor diverses. 0, oo. 0, oo. Dille 0, . Orkaon — 0, 00, diverses. B XH PRÚFACE, Limites. Limites. BLS, XXVI BAP HDA Os diel BLU, Se KNIK ORS ON 0, os. Soth: De 8. XXX. T. 486438. O,In. T. 426. 1, oo. 2 T. 427. diverses. T. 430, 0, S. XXVII. T. 428. diverses. 1,440, diverses. 1 S. XXXI. T. 441. (N= Ek Sarde S. XXXIL T. 442. diverses. T. 430. 0, zr. S. XXXTIIL T. 443. diverses. T. 431433. 0’, oo. S. XXXIV. T. 444. diverses. T. 434. diverses. S. XXXV, T. 445 —447. diverses. Mais à présent les intégrales entre les mêmes limites, appartenant Àà une même Section, de- vaient entrer dans des cadres assez nuaneés pour ainsi dire, pour pouvoir facilement faire saisir les distinctions établies entre elles. Il me semblait qu'il devait y avoir de l'inconvénient dans des tables trop étendues, puisqu’alors il serait nécessairement plus difficile de trouver une intégrale définie quelconque, que lon chercherait. D’un autre côté il ne fallait pas rendre les tables trop petites et augmenter ainsi outre mesure le nombre des distinctions devenues par là néces- sairement minutieuses. Là done, où il était besoin d'une telle restriction, je me suis borné au nombre d'environ vingt-cinq formules pour chaque Table; jai'dû régler la classification d'après cette limite arbitraire, et pour cela admettre des distinctions trop minutieuses pour être univer- sellement admissibles. Toutefois ces divisions moins naturelles n'ont été nécessaires que dans un petit nombre de cas: quelquefois même je n'ai pas subdivisé des Tables d'une étendue plus grande (voir, p. a. T. 1, 40, 49, 68, 85, 127, 185, 195, 202, etc). En général je me suis demandé pour les fonctions Algébriques: 1°, si elles étaient rationnelles ou irrationnelles: — c'est-à-dire quant À la forme: p. ex. z’, quoique p fût fractionnaire, est considéré comme rationnel, zP—t au contraire est considéré comme une fonction irrationnelle. 20, si elles étaient entières ou fractionnaires: — de même quant à la forme; zP—l est considéré entier, même dans le cas que p etait assujetti à la condition de ne pas surpasser unité, mais z-P est regardé comme une fraction. 30, si elles Étaient monômes ou polynômes. Les formes (a +4 )P, quoïique proprement des monômes, ont été rangés parmi les polynômes, et bien comme des puissances de binômes. PRÉFACE. XII Quelquefois la subdivision se règle d'après puissances, et alors aussi d'après puissances nu- mériques (pour Vexposant a spécial) et puissances algébriques (pour cet exposant a général). Auprés des fonctions Exponentielles et Logarithmes la même distinction de formes rationnelles ‚ou irrationnelles, de formes entières ou fractionnaires, de formes monômes ou polynômes est retenue: cette distinction offrant là aussi beaucoup de facilité pour la classification. Quant aux fonctions Circulaires Directes, j'ai toujours considéré la Sinus, la Cosinus et la Tangente comme des fonctions entières; pour la Cotangente, la Sécante et la Cosécante j'ai pris en général leurs valeurs fractionnaires exprimées en Sinus et en Cosinus; néanmoins j'ai pensé devoir quelquefois m’abstenir de cette distinction, quand pour la symétrie des résultats il importait de les réunir dans un même cadrer i Les fonctions Circulaires Inverses offraient peu de difficultés: quelquefois seulement j'ai été obligé de faire une distinction entre celles, qui avaient pour argument un simple w, et celles dont Pargument était une fonction quelconque de z. C'est d'après les principes exposés que les intégrales définies sont rangées dans les Tables respectives: le sommaire (voir Pages 5 à 19) en fait voir le résultat: jose espérer que leur emploi ) prouvera que larrangement est convenable. Quelques mots suffiront pour faire comprendre la construction des Tables elles-mêmes. En tête de chaque Table on trouve au milieu son numero, à gauche la description des fonctions intégrées, à droite les limites de Tintégration: ce sont les mêmes trois arguments principaux, qui figurent dans le sommaire des Tables. Alors viennent les intégrales définies elles-mêmes, numérotées, afin de pouvoir facilement les citer: les intégrales plus générales suivent celles qui sont spéciales ou les cas spéciaux des premières. Or ces cas spéciaux des formules générales ne sauraient toujours être omis comme sous-entendus dans celles-ci, puisque d'une part les valeurs deviennent pour la plupart beaucoup plus simples, et que d'un autre côté ces valeurs spéciales de quelque constante sont bien loin d'être toujours permises. Auprès de chaque formule sont notées, s’il le faut, les Équations de limite auxquelles quelque constante peut être soumise: dans le cas contraire les premières let- tres de lalphabet a, b, c,.…. désignent en général des quantités entières, les lettres p‚, q, r‚… au contraire des quantités queleonques, entêres ou fractionnaires, rationnelles ou irrationnelles. Toutefois toutes ces quantités sont regardées comme positives, à moins que le contraire ne soit expressément Énoncé; rz est toujours réservé pour indiquer la variable de Yintégration. XIV PRÁFACE. Dans les valeurs des intégrales définies l'on observe diverses fonctions, outre celles dont il a été question déjà à l'occasion de la division des Tables: on les trouve Page 22, 23, avec les notations respectives, ainsi que je les ai employées. Ce sont: les quatre fonctions Hyperboli- ques, — les coefficiens du binôme, — les factorielles c*%, laquelle notation exprime le produit ele Hb) (e 426)... (e + [a — 6] b), — les coefliciens Bernouilliens B24—1, tandis que les fonctions correspondantes Ba, désignent les coefficiens de la série pour la sécante, — les trois séries hypergéométriques de M. Kuumer, — la fonction L (a) de M, Lonarscnewsky. De plus la lettre « désigne souvent une quantité arbitraire ou indéterminge, et k une quantité qui devient infinie: # est la racine carrée de lunité négative, la quantité ainsi dite imaginaire la plus sim- ple, — A la constante du Logarithme Intégral, évaluée à 18 décimales (voir Grunerr, Archiv der Mathematik und Physik, Th. XI. Seite 323), — e la base des Logarithmes naturels, évaluée à 105 décimales (voir Grunerrt, Archiv der Mathematik und Physik, Th. [IL Seite 28), — zr le rapport de la circonférence du cercle à son diamètre, évalué à 530 décimales. Quelquefois on rencontre des sommations, c'est-à-dire des séries, soit finies, soit infinies; elles a et rd hd . . . sont désignées par le signe 2, où a et b sont les limites entre lesquelles on doit donner à lar- b gument, qui est représenté par le lettre n, toutes les valeurs entières possibles, Lorsqu’il y a des sommations doubles, la première se fait ordinairement suivant argument xn, la seconde suivant Yargument m: la forme des sommations elle-même en décide toujours aisément. Encore une observation quant Àà la notation des fonctions Circulaires Directes. Il me semblait plus clair de prendre le signe Sin.* z pour la seconde puissance de Sin. , tandis que la Sinus d'une Sinus de z est désigné par Sin.(Sin.x): on sait que dans les derniers temps on a pro- posé le premier signe pour la seconde fonction. Encore Sin. z? ou plutôt Sin. (x*) est ici la Si- nus de z?. De même j'ai donné la préférence aux signes Arcsin. , Arccos. x etc. sur les autres signes — „z, etc, et cela seulement pour Yexactitude de Yimpression, car je craignais que Ln Sin.’ Cos. dans les formules, où des fonctions Circulaires Directes se trouvaient mêlées à des fonctions Cir- . : $ 1 1 culaires Inverses, Pon ne confondît entre les deux fonctions absolument diverses Sin ® et Eine Finsiste sur ces raisons pour le choix de ces signes, puisque d'un point de vue purement théorique les autres notations pourraient bien être préférables. PRÉFACE. XV Comme la publication de ces Tables est la première entreprise de ce genre, je ne doute pas quelles ne soient sujettes à des défauts: je n'ai qu’à prier ceux, qui en feront une Étude par- ticulière, de vouloir bien me faire part de leurs observations critiques, que je recevrai avec re- connaissance. Il me reste enfin À faire observer, que je dois impression de ces Tables, dont la précision et Pélégance, faisant honneur À la typographie de M. Kröger, m’ont beaucoup facilité la cor- rectibn, à la munificence de Académie Royale des Sciences, qui a bien voulu les insérer dans sa collection de Mémoires, et en a ainsi rendu la publication possible. D. BIERENS DE HAAN. Deventer, Décembre 1855. DLD Pendant que ces tables d’Intégrales Définies étaient livrées à Pimpressìon je me suis occupé de la théorie de ces fonctions et de la critique des diverses méthodes d'évaluation. Lorsque ce travail était assez avancé, j'ai pu confrouter mes résultats avec ceux, que j'avais accueillis dans mes Tables, sans toutefois en avoir alors revisé les calculs, comme je viens de dire plus haut. Le résultat de cette confrontation n’était pas toujours favorable à mes Tables; quelquefois une faute s'y était glissée par suite d'un signe ou d'une notation mal copiés, — et une transcription totale, quatre fois repétée durant la rédaction, n'en avait pas diminué le danger; tantôt j'avais admis un résultat lui-même fautif. Et‚ ce qui ne valait guère mieux, ces fautes s'étaient nécessaire- ment repétées dans les nouvelles intégrales, que j'en avais déduites. Par la nature des fonctions en question, les formules juxtaposées ne donnent lieu en général à aucune comparaison mutnelle "et sont tout-à-fait indépendantes les unes des autres, et même elles se déduisent souvent de for- mules qui se trouvent éparses dans toute Pétendue de cet ouvrage; de sorte que la correction des épreuves, — ouvrage naturellement assez Épineux et dont je ne pouvais partager les difficultés avec un autre, — ne mettait pas ces fautes en Évidence. Comme l'exactitude pourtant est de première nécessité pour ces Tables, j'ai pris le parti de faire moi-même le calcul de chaque formule, et ce travail, souvent assez pénible, m’a fourni la liste suivante de corrections et d’observations eriti- XVI PRÁÉFACE, ques: elle faillit plusieurs fois me décourager de mon ouvrage, qui contenait encore tant de fau- tes, notamment dans les quarante-trois feuilles déjà imprimées avant cette révision : toutefois je puis alléguer en ma faveur que près de six-cents formules fautives sont telles par suite d'une faute qui se trouvait dans un résultat acquis par un autre. Mais en même temps j'étais contraint à présent de me déclarer à l'égard de la validité de certains résultats, déjà indiqués ci-devant: je Yai fait en les pourvoyant d’un signe d’interro- gation ou en les notant comme fautives dans la liste mentionnée. Parmi les résultats que jê n'ai pas révisés, se trouvent ceux qui dépendent des facultés à un nombre fractionnaire ou négatif de b Jd, termes de Mr. Orrrincer, savoir a° ° at/d, ainsi que les résultats de M. Loparscurwsky, con- signés dans un Mémoire en langue Russe. Deventer, Mars 1858. Bap: "Hi: OBSERVATIONS ET CORRECTIONS, EN PARTIE CRITIQUES, Ad Page 22. Après les chiffres de la Constante du Logarithme Intégral ajoutez encore (après avoir té le dernier 1): 06065124, où les deux dernières figures ne sont pas certaines: voyez Grunerts Archiv, Th. 29. S. 240. Quant aux 530 déeimales de zr, je les donne ici, non puisque on en fera usage dans le calcul, mais comme un exemple intéressant de la perfection des méthodes dans Analyse, qui nous permettent une telle exactitude sans éxiger pour cela des travaux extraordinaires. J'insère un tableau des diverses recherches rélatives à cette constante, qui offre des données curieuses sur les progrès de ces méthodes dans le cours de vingt-et-un siècles: encore faut-il observer que les quelques décimales des siècles passés ont éxigé des calculs bien autrement longs et pénibles, que les derniers rosultats. Anneés. Calculateurs. Dée. cale. Dée. exactes. Litérature. 250 (a J.C.) Archimède 2 _Archimedis, de dimensione circuli. 1464. Regiomontanus 3 _Regiomontanus, de quadratura cireuli adversus Nic. de Cusa, 1580 Joh. Rheticus S __Rheticus, Canon Doctrinae Triangulorum. 1585 Adr. Metius S Metius, Manuale Geometriae Practicae L. B. 1579 Fr. Vieta 11 Vieta, Canon Mathem. s. ad Triangula. Par 1579. 1597 Adr. Romanus 16 Romanus, In Archimedis Circ, Dimens. Exp. et Anal. Wiürzb. 1619 Lud. van Ceulen 32 L. à Ceulen, De circulo et adscriptis. Kd. Snellius L. B. 1619. 1621 Will. Snellius 34 Snellius, Cyclometricus de circ. dimens. L. B, 1621, ezel Abr. Sharp 15 72 A. S (harp) Philomath, Geometry improv’d. Lond. 1717. ah, Machin 100 Jones's, Synopsis Palmariorum. 1719 de Lagny 128 114 Mém. de Paris 1719, p. 155. 1790 de Vega 141 ISOR ANNE AcumPetr tn De MES) p. Al 1842 Rutherford 208 152 Phil. Trans. 1841. P. 2, p. 293. Hoe (Anonyme) 154 Manusecrit de la Bibliothèque Radcliffe à Oxford. 1844 Dahse 205 200 Journ. v. Crelle, Bd. 27. S. 198. Clausen 256 Astron, Nachr., N. 184. 1853 Shanks 818 Proceed. Royal Society, Jan. 20. 1853, p. 273. 1853 Richter 353 830 Grunert’s Archiv, Th. 21. S. 119. 1854, Richter E 400 Grunert's Arch, Th. 22. S. 473 — corrigé. ib., Th. 23.8. 476. 1855 Rutherford 440 _ Proceed. Royal Society. Jan. 20. 1853, p. 273. 1855 Richter 500 Grunert's Arch., Th. 25. S. 472. 1553 Shanks 530 Proceed. Royal Society. Jan. 20. 1853, p. 2713. Ad. Page 23, lère Ligne, au lieu de: q +2 lisez: q +1 Ge WIS- EN NATUURK. VERH, DER KONINKL. AKADEMJE. DEEL IV. ce 20 or au lieu de: „bte bel 5. fautives? RO 17/1 pt} NE . fautive ? (Ltp) 3. a1(l + a)P el Jara „Ide al pil +py „ a (partout) 1 TT À DA oe ‚de b ‚ gP+1 Sin. qz lr a2 (Ap ly- lisez: bel bel 1 2 — Ì 11/1 Fe aP (1 + a)? r(b)T (c—b) E3 5) 0 n a - 1 (L 42)? alg pr (1 + p)? wle a 10° À „de 6 qr Sin. pr l— zt a+-1/2 (2p— lef? La—b+1/1 OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES. Ri A an lieu de: lisez: 9. S, atb? all 10. 4 gatb 13. 2 +1 bt 3 (10. 11. U on Oni = (—1)e ll. 5 à 7. fautives? 12. 4. (l—z)p (1 — 7)?P 16. +1” 3 - +33 19 Àà 22. fautives? 13. 2. (Ll—?) (la)? 3. (lr?) (L—z°) 9.3 d ls Biet ge 2 5. (l— 9) (1 — 29)p V. Schubert. 6. (Ll — xt) (partout) (1 — z2)— 7, S, 10, 11, 18 à 21. fautives? 15. 13. fautive? TE VL 4 18. DE ri 16,5. Be T* 12. r/ ( ) (partout) La (OE 17, 1, 2. fautives: la valeur est 0. 18. 9. ne vaut qu'entre a et + oo. 10. gr q 11. (14 z)e 14 zt 19. (l4-z)2atl , zp? (lo), zp 24. c—b ed bl1 25. cb +2 eb HI 26. bel , pa bel , 19. 3, 4’, 4. fautives; la valeur est 0. TI ME F7 }2. fautive; elle est: er sin SL 3 18. +gq dE qì TE 7 On — „Rattle 55 Za 2ac 10. a1 elle est w. 1: (qerije (q eri) —a 16 kid den q q iS zet 2. a—l a bites = 6. fautive? S. — 212 + 212 6. fautive: a est 1. 13. ne vaut qwentre O0 et 1. 1 den — 2 17. Tang. Cot. 19. Tgred-CotPx, pr TgPizt Cot riet apr 2, 3. Jab zad2bH de edi Cos.+ 7 21 Cast Cos.* «. Tang.r z AN Ee EE 3 “1483 Sin.?r.Cos.*r 1—3 Sin? 1. Cos. p. 92. (titre) monôme. _binôme. En. CA 19. dz Tang.rda Br Daed 6 Za 2—a ET E Jak WU == == — 1 12, ts Sin. À 16. — Sin « + Sin.x 19, 21. 4 s 24. Cos. 22 Sin. 22 25. 14-p lp V.T.31.N°.25. 28. qT (24) AT (29) 29, 27 pr 2q 2 8, 9. dz en Cos. x ET au lieu de: lisez: 50. 14. Sec. Cogec. Ls , 9, 10. fautives? ll. = == 7 18. 2/3 SL 7 Sin.i1z. Cos.1 z 2 Sin4+! «. Cos.4—-1z zaet {(Cos.n — Sin. ) {(Cos.* z— Sin.* z) 1 197 == p: 53. 18. Sinr SinP—lz ed l 22. (ze ze 54. 2.q—l , g—? 7. (Zal) p* (Za—lj? —p? 15. Wp +1 gp+l 55. 12,16à 18. Partout a > b. 56. 4. 1d? ga/2 8,9. bH2 | 10 à 12. Cos.z Cosl x atb a—b 16. Er TA: 1 57. 1. 2a—b b—?Za 5. 2a—2b Ub—2a 7 1 8, 15 ee ge 14. 1e-1 Jep 58. 2. ne vaut que pour b = —l. 3 À 7. ne valent que pour c= 0. 59. 7, 12 à 15. fautives? 60. 2, 3. a (partout) az 4, Un tl Inl 9. fautive. 62. 4, 5, 7, S. fautives? 63. 1. qz 4qe A n — 4 a 1 4, pa ide 66. 67. 69, 70. 12. 74, OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES. N. au lieu de: lisez: 8. pl p—1 DIA Oos Are Cos,° 2e 8. Cos. 22 Cos. 2 z. Cos.* 14, CosPta-lz SinPptal 5. 10. q p 15. 2 8 ptn et 2 Cos.* 1 10. — l— l—8 21, 1 Hat —l ta 22. 1 He? 1—a? V. T.23.N°.2. dS lei 1+p V.T.81.N°.22. 4 —I — 2 — Sin. À 13. 1p*q?* +7 Sp'q: +3 1d 15 6p%g= 2p°q° gE = 2 d4 8 4. 138 l— 26. TangP er TangPt? a A 30. 4 2 1E 9. ll À Sin.A—1 8, 4, 11 À 14. fautives? 20. — Cos? z „Cos? z 9, 4, 7 à 10, 12 à 14, 17. fautives? 16. Zn +1 Un—l WS IE == ab 2 1, 11. 2 gn? 6. 4 B} 7. fautive. 18 à 15. Cos. Cos. x 3 14. 25 +1 1 21, 23. 21/3 813 1. FP ( F ze lj 14, dede 18. 19. 82. 83. S4, N. au lieu de: 2 55 EE by (a Jb) a F’ Br EG 20. 3—p? 24. A Sind 1 | 1 4, TET Pe ALS PIE 1 Be p° 1 1. Dams 18. (p0=1), 704) XXI lisez: Za R 7 sG est le co- br (a +b) efficient de tout le reste. F' lp? — Sin.? à a—b +1 dd! Ep t 1 pl) df Pp he lp? EN. Pz 1 tp ee en 18. Sin.* u Sin. u 20. 4 2 1, 2. pour k—= pour £ — 0 3, 22a Z2a+l dink Ei 14. fautive: il y manque le facteur: z. 15. (—1)% (— let 8. afl abl/1 19. }'aH1 }2.2e LE = 1 12, 13. ne valent qu’entre 0 et ne 14. Sin. 15, 20. p® 25. Cos. Ze se HOLE 24. je 30. 2 82. fautive, sa valeur est 5. =2 Sin.* pe! Sin.2ex == NH ): 2p1 co. 1 OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN TNG au lieu de: lisez: 86, 13. B F MM, 15. p°Hgp'—g pi 42 pr 0 MM. p*q ba 3 15. gr” gr NEE NE SS, S. fautive, sa valeur est 0. 89. 10, 12. a—1l a+1 15.274 2m U Mij 90. 21. £ x à 2 23. 5 an 2 92. 12. = == — 93. 1. b—2 b—l lake 2 2 albe sf Bee1 dsten D4, 2. ne vaut que pour a == %. 4. fautive, Ul == == 05. “Dead nT 6.1 7 == EN 96. 1 Àà 6, 12, 14, fautives. 97. 1 Àà S, fautives. Ee li == == 7 à 9, fantives. 99. 1 à 4. yv Sin,v” Cos, Sin. 1” , Cos. v7 5, 6. fautives. ie WOE MIER 7 q O2 PB RDE PIBg tutives, 104. 4, 2 Cos.° u 2 Cos. u 7 à 9. (Sin. u,g) (Sin. », 4) 10 à 12. Sin. À Cos? Ì 14. Sin, u Sin. v 1 12 3n/2 105. 5 Sint Ans en Ez 106. 107, 108. Ju IL14, N. au lieu de: lissx : 5. Sin,2atl 2 Sin2al 4 14 Sin. u 17. Sn, TT ied Sin.u F Sin.o\ _Sin.u.Sin.À Cos. _\ Sin.u 2Cos.d 1 21. RG Sin. u Sin. u 1 DP pie Ep RE Ee: 6. Sin. —p Sin. p ar n° 10, = === — 16 16 2, 3, 7 à 10. fautives: elles sont co. 2. fautive: elle est oc. B in mr 4. 71 2 4, = Je —_lr P] 2) Pp d2m 4 p+2ml lee 2 5. ne vaut qwentre O et op, 7, 12. fautives. d d RI ene, da da 8, af ak 9. er n e= 15. abi abe 17. ajoutez: Raabe, Cr. 48. 160, 3 4 == ak 10. Ötez ee? 1. fautive, zl 1 DAN == 3 8 Pes) a 8. 2 (—t)? De 0 0 9. a p 8. 256 252 4. 1680 240 11, 12, 1410 1 PARTIE CRITIQUES. TT Ab au lieu de: lisez: [7 Mal MOE an EL 1127. 23. Zal Zal IEI Ee 7e ‚ 128. ' 129. 2. erg ee Mor B NIEJE NP, 5: 5 4T ll) F(q +1) V. T. 117. NE. 46907. 8. et (— €) 130 120. ai Dn — ” Ka ì 5 132 DEN: — IT 6. —e 17 + e-17 S. 3 Sec.® 2 Sec. Ser PE Lhd Ve Ì 19. Sin. Cos 134. MA. dl Te enz, e-4r, (2 br), qr \ ‚oùg? =a? b* Z 1, a arbitraire. NE et bre Thi Le 7, S. changez les coefficients p + get p—gq: dans les numérateurs liez les puissances de e par le signe +. 10. err — ,e7t err ETE 135. 123. 5 Zal ne ta sap zal 124. 9. — 2 Cos.h,3 Sin.h + 2 Cos. h, Sin.  LEN Aide me le. 2 126. 3. =— == 4 à 7, 17. fautives? Oer Er? 10, 11. ne valent que pour a négatif. 136. 12, 14. ne valent que pour b négatif. 127. 18. b—a be U == =— 21. de 2de OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES. XXII N. au lieu de: lisez: 29. =S Pp, 1 0 38. g* lg q°1g 6, (—1je (—l)st1 V.T. 168. N° 20. 5. © Ti 10. fautive. ll 47, —q 2. (—pg)r=! pgr! 11, 13. fautives. uu „ e-P1 Ei (p q) . + eP1 . fautive. 10. changez le dénominateur avee N°. 12, 13. lr == ep1 Ei (— pg) — €P1 k El) tl) E ‚ fautive: sa valeur est l——— 5. Zp 2 6. (le Prjelatl)z (ets Ie-PtI2 bl Ne 2 14. òtez: (5 2 16. eP2 + eEr_— 10, 15. ajoutez: Féaux, Funct. Franse. 18 + kl et dx if 1 18. da (Fn IP | © Er Ë le 19. —e-? He? 24, 25. ell—aìr e{l—P)z 3de Pt Iig pq— 1 lt 3 _ nd 30. ITE : 1 ) 31. eipz ep 8 == == EL qz 2p Ap 5. EIT 17 (esz — 12)? 10. fautive. 137. 185. 141. 142. 145. OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES, N. au lieu de: lisez: had de x k de … 18. de esi liez les fractions par +. Ki 1, 2. fautives. 8. de (le)? dz 6. er +, Sec.* er — , Sec. LR (p — ni) (p + n) 4,7. ajoutez: Poisson, P. 20. 222, pr. 9. ie s 4 dg 12. de dz S. cen enh 1 10. (—4) 1 Te (— gg)" IDLE == =— 15. spr” Pra 17, 18. 42}, —a} + p},—p} 16, 17. fautives. 22, 7 27 23. —r Zn 24. e-2 (partout) er a-p, (a+ b)-P alP, (a + b)l-P 9. 71 2 4, 5, e2ar ear 5. ef, Tang. er Tang. — 8, g. == ; == an at2 an ad2 IS nn en et che ha et a “2p 2b Je/l Ja—l/1 hs — gal ae/l 8. = =— ONES ge NT TELNR 10. g 41 gl 12. Sin.p — Sin.pa + 1 . Sa valeur est 5 ni, | pd li 146, 147, 148, 149. 150. 152. 153. au lieu de: lisez: Un 22. enertf 5 Jer e1z,eqr,(2bn), qz où g° = a? b? Z 1, « arbitraire. 27. (2 75)et! (2 zr)2a+t1 BÀ 5. 4pg dr pg 4, 5. aan (ad n — 1/1 12, 18. changez les conditions, 1, 5. fautives? 5. (—-le2E1 =(—l)r 8, eZ (elt—eir)t 22)? Zer, (er J-2e-2—2)",(U2)? Denz et 1. (plet Het) (pt +1) (edele {(p° —1erhe Hp? +1} 12 lees Le 1 prl(ErHIH Ap Hljet 1 ln Ee rd 3. fautive. 11. (limite) q _ 2lg 15 Ilp — lp 1, WA zij : 1 te AG gp EE pret 1. (121 2 (—l)r 13. pt l,‚ptö pt2optt 15. { L- 1. fautive: sa valeur est o2. 5, 6, 20. le id z 160. 161. 165. 165. OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN N. au lieu de: 12e ap 13. —aP+4 1 14. = — 2 Se 9. 1680 4,10. > 3,9, a/l lin 5) 3,9. zb‚o-?, \ lisez: 240 Pp) 1 a—1/1 b—l/1 al ‚bn 24,24, (Ubzr),gr ‚où ge =a?b? Z 1, « arbitraire. be Za—= 6. = (—1e Mt A. 1? Meens “Ip: a? 18,’ 14) 4 vo 4, 8, 9. fautives. eld! 4. Lr 6. q* S. —g* „EF (p,i) . Sin. WIS- EN NATUURK. VERH, Za—l zb=1 (L4 22)? He 1 p Ip 2ldp? —l lx? —_l I(—r;elle ne vaut | quenire —1l +1. q +g* {F (p,2)}* Sin.? 1165. 2 166. 168, PARTIE CRITIQUES. XXV N. au lieu de: lisez: 19. —4 — a? 21. FP) + F'(P)— 25. 1/2 3n/2 27. F(p,d) F (1 (lp?) i} (AREN Zp 3. Cos? u, Cot. Sin.® « , Tang. 9. vlos: (Cos, 5 Ge == == r 2 Sin.* À 2 Sin. À A (la? Sin? Â)* e(l—a? Sin? 1) OR, De) 0 1 Ii dm Idea 15. (pn +1) (pn 1): l 20. rb rè je een De U == =— Blah) garde) 9 85 =E 1 Yo 1 4. ZX 1 q° o 6. An—2 2nt2 14. ep? Ei (pq) eP1 Ei. (— pg) 15. Ll +4pg lr,l_—pg 16. lpg lpg jj 1 Be Ld —_l—_— mls xls 2. Z' (partout) Lr 8. (Ll — zP) 11 (Ll — 1) ap a—l | z OT OE 8 / la +1 { Ee er es ; dj GO e q Tr Ree ted Tu Dn T (a — b + p) Aplat Utp) Hg) „EUtgb D(L 4 ptr)T(l ge) DER KONINKL. AKADEMJE, DEEL IV. D OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES. NAVI 5 A au lieu de: 1 l 171. 26. Kn laf sl 2, 7. fautives. de 2p 1. dz 218. de ed 3 „A zn Ì Oe —U 4 9. 2q3,2g F1 10. 14e? 1 IN Zn 14. q° zz? stile 17 Ted lx? 18. 1/7 2,3. fautives, GET 13 ltr? 9, ap 12. dg? le Ì Dee e 4. le? DE 0 4,5. ap! 6. —7 en (ee) TT 6. lr 1 9. —7 2 13, 14. 2npa lisez: dv lr qr 4. p ede (2 7) 2n 1 dr 2q43n,2g ha | ! rx? 2 VT 138.N° 18! (Ll —z?)de lr? —_ ZP + lara V.T.135.N’.27, rlr | Ek > Alz V.T.138.N°. 18, 1 . LG N. au lieu de: lisez: 15. gd" aad 1. 2 5 r 2 Tiet ES l— zi l—z* 1, gal zp Ne , Pr, 1 o Oi Mader —lz 8.g> 20 1>p>0 3. zl P,p tl tP‚p—l De B’ 16. Cot. Tang 17. nest pas À sa place ici. 2. (lx)? Lz 5. (lx)? Dj Eze a a 2p 2b 15. lg — lg + 19. = — —= 22. 24 q 8. 2 geel (2 zer du 10. dr =p len lg 1. (19°) Pk 11. pg pr 5,6. zb,eb,gr,an 21,2 4,ba, gr OUA AG 0E 15. lq _— LN: lg 18. JP (partout) l. Uz 16. | oe jp UL + z) 27 157. 189, 190, 192. 193. N. au lieu de: 8. — \ 2 35 U ISS 5 Er UE == d Den T TUD 11, 12. fautives. 13. g=pe® (lx)? 4. yr (Zn +1) 5. {—} 6. HA S. Lv (2n +1) L +, 13. n’appartiennent pas iei: dans 4) il doit eregi 9. 5 1 WS: >) & OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES. XXVII lisez: B AM au lieu de: lisez: Si eh 195. 15 à 17. Dansles conditions changez pen q et q en p. —_le 197. 20. 125 115 1 „IL99. 5. où =p. att VT 16O.N 500. 6, a —1 d aal 9, et T. 184. N°. 14 201. 5, 13, 14. fautives. gede (202. 14. r— 1 rh 1 1 UD == — Wi En) 25. — Un)! — — Zu)! + ND 32. a—l a 1 dele ER maal b ) ù 2 86. — — +1 Nel Ù re (2n 41) 40, Al. 2p4-q Uptae Se l203. 10. lom L2a/1 ds 11, 12. « y deit être unité. 1204. 9, 10. fautives: elles sont infinies. Í 15. ajoutez: Liouville, P. 21. 71. Û 205. 8,4, 12 À1S, 26, 27. fautives: elles sont imfinies. ltr 5 206. 3ÀS,11,12, 15 à 19. fautives: elles sont infinies. 2 | 13, 14. at —z? era? 3/5 AD == nn ke 2 zE 207. 1 à8. fautives: elles sont infnies. == 1 Nem Cos: En —a Cos. ee == 2 b de 18 le he on ES da T° gb b + 26. & En 2 22 gp 27. q2e- Dd get l(z?) 1209. 10. Zag Zag Vv (2n1)V.T.381210. 1Àà4. ne valent qu’entre les limites — oo et oe. Ne, 14. 1, 2. gd 2he ge + QUhiez (lj { +} 5. fautive. Et 11 à13. fautives: elles sont infimies. Ln 212. 5, S à 11. fautives: elles sont infimies. 14, 15. eP9 (e-PI — U) 15. Cos.p Cos.pa—l =(— 1)" 16. 4 ; 2 1 In 1 Za pis. AB, l4ee= ne 2e, 19. (b + wé)-a (partout) (b + zij-al 1 à 11, 21 à 23. fautives? pt XXVIII OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES. gE AM au lieu de: lisez: Ln ANG au lieu de: lisez: 214 à 218, ne valent pas. 229. 10 Je | ak 219. 6. = — MER 2u 2q 2. 5, 6. e2ac H e-2uc e2aq + e—2ac 230, ler 27 Zan ; + Ei 6. qe? qe He? 246, SÀ12. fautives, quoique Cauchy ordonne 7. Cos.Zaarde (p + Cos.Zar)d la différentiation. S, 9. fautives. Bl Meik oer Sin, 10. de zede 232. 4, 7. r gi qeri 1 Jenn Jp 14. = ( = (— 13. p* (numérat.) ME: 19, 20. 3 9 221. là4,18À 20. fautives. 233. 8,1. r+gqi geri 1. l—pet l + pe? 20, Sin.rt— Sin.rt + 10. 2q 2p 22. bt b1 15. Cos.rz Cos.2rz 23. —2pz H2pz 222, 2, 18, 14, fautives, 24. at 1 Zal RE TE 234. 2 à 4. fautives. zg 2g° 235. 2à7,10Àà13.) fautives, quoique Cauchy ordonne ed ds 236. 3à Ee la différentiation. 8, 10, — eZ + g—2ae | 228. fautive. | 21, pour a pour 7 224. 16 à 23. fautives. (237. S. (1 s {2 Vv, T. 288. N°. 19. 225. 3 à 10, 22, 24, 26 À 33. fautives. Dele ie 16. 2 3 10. Cos? z Tang. r 23. mest pas fautive. li == == 226. 5, 6. fautives, IG El JT d. 3 E zE | 1 1 E zel. & EN NE 238. 2. zit ze V. T: Z6L UN 9, 10. sans restrictions pour a. 19. {l— 2 228. 2àG6, SÀ12. fautives, quoique Cauchy ordonnej239, 2. 4 rr LN Ja différentiation. 0 tee 229. 1. = — = de (IE (— Ir! » » —l m—?2 m2 bs v2Esin| :) TN np ded 1 1 7, 17. fautives; elles sont infnies. l >» E 2n—l \ @ 6. Fedd zr 2ooef «) 15, +(—I)"Za,2nl }H E(—1)"Za,2n 1 4 1 1 1 L zl 2 pl 1012 8. — > 20. An? (elEp | a ir 2: | 2 2 LA2 5 p 2 1 1 1 1 7 9. (14- 22. — en 4g q agr eg 2q Pp
© |
812. 10 AE Zal (353
af 5 Vai Sanik. |362.
918. Je IH 7 1363.
1. —(p +9) + (p +9) Í
Slá: 2416 S 1369
916. 9. zr 1
dh VA Ef 812.
818. 10. Cotrr, F — CotPax,
5 0
819. 9. Sin. Sin. |
320. 3, 10. 2 122 (22e
18. dw Sec.Zrdr 1374.
20. 4 "2 |
a » ‚À kid 1 4 Al ( l375.
821. 16. l Tang. | — +,‚= + Tang. |—-— |, == —|
z E an | |379.
822. 22. fautive. 388.
325. 1.8 4 |
Is Ee AL |
821 de dal Tang. (390.
_ UTang.x |
829, 15. l Cot. « I
Cos. 2x sos
22. Sin. Cos. | x
1 1
831. 10. 072 die |
2 n |
12. Sin. p Sin. ‚599
OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES.
N. au lieu de:
8. (qe
‚2p—l,4p
rt
ker
l
5. Sind +
2. LCos.a.da
1. )n
zo
ab
Tet p
2. fautive.
3, 5. Cosat! Cost!
l4, où p = Sin. À,
2. pgta— pgha—l
20. (—1ljr! (— Ir V.
N°: 018:
22. ar Zax V.T.439. N°.11.
15, 16. ne valent pas, puisque T. 116. N° 4
ne vaut plus pour q >2.
el ed el — ed
99 Mn es
4 2
el el
AB (et — 1)
2 à 8, 10 à 16. fautives?
Sin9 « —
LSin. c.de
2
3 v(ltat—ta v(l4b*—2b,n’,
jé q LE
411,
418.
,
2E
„+ (eP7
au lieu de:
9. pt <<
6, 12, 13. p? <
(erz
lisez:
Ze
425,
439.
422.
OBSERVATIONS ET CORRECTIONS EN PARTIE CRITIQUES.
N. au lieu de: lisez:
8 dr dr
: er
EJ 9
El ap l—-z? TZ
1
Din == = —
2
24, changez 1 (Ll —x?) et (iÌ—z?).
30. #? Cos? À z* Sin? À
15. par (partout) pe
XXXI
PARTIE TROISIEME.
Page 485.
WiIs-
EN NATUURK. VERH. DER KONINEL. AKADEMIE. DEEL IV,
62
F. Algébr. s
Expon. TABLE 576. Lim. Oet 1.
Logar. d,
l—e
fan lode EA 2 Neer,
e
1
afer aat gelede = — or {la-ljeep1} VT. 2 NL
a
—l
jf- (2? —lelede= in VREDEN
e
5 l—e
4) fe-e-assta —odr — NE 1E 376ANe:3:
€
if
5) fer ml(l=jder > eV. Te 2. N% 2
€
2e 2 1
B asen ene:
(z +1): 2
FF. Algébr. ent.
Expon. monôme. TABLE 577. Lim. Oet oo.
Logar.
DME rde == dr (p) Cauchy, P. 28. 147. P, 1. 6 6. — Lejeune-Dirichlet, Cr. 15. 258. —
) j dp Grunert, Gr. 2. 266. — Lobatschewsky, Mém. Kasan. 1835. 211.
Dope ie e
2) |= arl Ll — D {la Z'(p)} Cauchy, P. 28. 147. L € 6. — S hlämilch, Stud. I. 14.
pk
5/1 b 1
fees rde — ie aen Schlömilch, Gr. 4, 167,
a’ 1 2
fte perte ds (pj ERIS NSS
g 3e I
5) per (Pl) ap lledr = rr V.N 115. N° 5.
Zp
1
6) fe-P2° (pe? —a)mallede —= tal V. T. 114. N°. 9
a(2p)*
Zal
| er (let —Za—lealeder — ee V. T. 114. N°. 6.
1
ofer per ram Ijserrde ==
2 (2p
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Wiek DALAM Gd
Pp :
Page 487. 62%
F. Algébr. ent.
Expon. monòme. TABLE 577 suite. Lim. 0 et ze.
Logar
ofer ter Bart za zn [er (la° — 21 Ei (—p4)} +
wats IMF]
3n/1 AE pgr}
a—l
+2 (1dpgerrB(—pg)} U TE U —pg)t 42.3 DE iz |
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1 EN Je.
vo) formsectie dr == perl PE {ta° — eri ki(pg)} T
4 a—l a—2 (— p g)” n Jon+11 Ì
+2 {lpgePtEi(pg)} 2e E 2m (pgyr 23E JE! |
0 0 DEN Po, KROM
sdb dh 9)"
Pal Lg? — 121 epa Pi. (—pq) TT — 12! epa Ei. ODE Tri +
2
u fever” —z) de = Peri
+ Z2a—l/l 5 = 5 Tar = Er 12n—2m/l (p? g* gel -- 3Z2a-2l 5 5 |
} 2n—1l/1
Eeen U (p? zl]
(pgr
vl
1 n fesrmsen U(q*—z°)° de EP id
rn 12at Uig -piEi(py)E
o 1 0
a+1l 1 n—l 1
+ 22all 2 5 Tare pe af J Zal > PE Lan 2m/l (p? 1]
2jn
no free (2 42°) de = re eenige — 12 {2Oi(pq).Cos.pq +2 Silpg). Sinpg—rSnpi} zin q°)
a 2n —1
H 1241 {2 Ci. (pq). Sin. p q— 2 Si (pq). Cos. p qd Cos.pi} = Nn
n—l
ee E rm (pt 2]
]2n—1/1
-- Z2a—l/1 Elan Ee TE enaar (— p? q° ze) J 3 32a—2,1 LE |
Lont
0
14) fePra2atlg? 4e) dem er 12e {2Ci (pq).Cos.pq +2Si.(pq..S: S, En kbs
q zeen i.(pg).Cos.pq (pq.Sin.pqg—rSin.pg} = Ln +
RC ME EP
J 12e Ci (pq). Sin. pq — 2 Si (pq). Cos. p qr Cos. pq} = 1211
ot U en) \ a l n=!
+ gaf 5 E kT bi ef nk he et A eee > Tartt (SN |
r Laan % í te En
no former —rijt dr = SH4lg? + (pg —l) Zer1 Ei (—pq) + (pq +1) Zer Eilpg) —
—2pg {2 Ci (pq). Sin. pg —2? Si. (pq). Cos.pq Har Cos.p 9} —2 (Ci. (p 0). Cos.pa +2 Si (pj). Sin. pq—a Sin. pq}
Page 488,
F. Algóbr. ent.
Expon. monôme. TABLE 577 suite. Lim. Oet oe.
Logar.
vojfervarrgr eraa == U H8lg? —(p°q? —2pgt2)Zert Eil pg) —
— (p2q? H2Upgh2)ZeriEi (pg) —Apgq {2 Ci (p q). Sin. pq —2 Si (pq). Cos. p qd Cos. p 9) +
+ (p?g°—2)2 {2 Ci (pq). Cos. pq + 2 Si (p q).Sin.p qr Sin.p q}
ufo U(q*—es)tde —= 833 H24lq? + (pq Bp? gt +ópg—6Zert Eil — pq) —
— (pg? +3p*q*+6pgt6)ZePiEilpg)t-p°q— 6)2pq{2Cilpg)Sin.pg—2Silpg).Cos.pq+nCos.pg} —
+ (p?g? —6)2 {2 Ci. (pq). Cos.pq + 2 Si (pq). Sin. pq — zr Sin (p4)}
Sur les intégrales 9) à 17) voyez Bierens de Haan, Verh. K. Ak. v. Wet. 1854, bl. 19.
1
EN Cd (gat —p)arilsdae = Tp V.T. Mo. N° 9,
a? qr
F. Algébr. fract. àdén. mon. et bin.
Expon. monôme. TABLE 578. Lim. Oet oo.
Logar.
% —
nfrte tE a == rp ern pl
Ohm, Ausw. 26.
‚Pp el,
Legendre, Exerc. 4. 133 — Plana, Mém.
Turin. 1818. 7. MH. 11. — Boncompagni,
Crr25: 74.
Ohm, Ausw. 26.
Boncompagni, Cr. 25. 74. Elles ne valent
que pour p° <1.
F. Alg. rat. fract. à dén. b? + z°.
Log. l(az).
Circ. Dir.
TABLE 417.
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Page 536.
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Lim. Oet co.
Schlömileh, Gr. 5, 204.
F.Alg. rat. fract. àdén. b° +2.
Log. l(az). TABLE 417 suite. Lim. Oet ze
Circ. Dir.
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F. Alg. rat. fract. à dén. b" + 2". î
Log. TABLE 418. Lim. Oet 2
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Page 537.
PA Alg. rat. fract. à dén. b' + 2”.
Log. TABLE 418 suite. Lim. Oet oo.
Circe. Dir.
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Sur les intégrales 4), 5) voyez: Plana, Mém. Turin. 1818. 7. IL. 15.
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Page 538.
F. Alg. rat. fract. à dén, bet.
Log. TABLE 418 suite. Lim. Oet oc.
Circe. Dir.
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F. Alg. rat. re) à Zuire dén. |
Log. TABLE 419. Lim. Oet oe.
Circe. Dir.
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— —_— Cogec. A. Arcsin. 4 ——__—__ : Eet
Ap? Ek onm Sannes)
Sur les intégrales 1) à 3) vovez: Plana, Ri Turin. 1818. 7. IT. 9.
da er Plana, en Turin.
a ftareneureten, Ie pen
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7
: nt en s 1; 1818. 7, II, M.
haa 2 gt Ar Fog: (EFpet PS où dee
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Page 539.
F. Alg. rat. fract. à autre dén.
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Log. TABLE 419 suite. Lim. Oet oc.
Circ. Dir. |
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tE ORE We AAN CRN en :
in 2g° Ly {p* F2 p e—4rCos.à Oos. (qr Sin. à) J e—24rCos. zj} Tee
Les formules 5) et 6) sont trouvées par Plana, Mém. Turin. 1818. 7. IT. 8.
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WF. Alg. rat. fract. ED
Log. TABLE 420. Lim. — coet oo.
Curc. Dir.
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2 e2pgSin.) Sen. (2 p q Cos. )
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Ces intégrales se trouvent chez Plana, Mém. Turin. 1818. 7. II. 12.
Page 540.
F. Alg. rat.
Log. — TABLE 421. Lim. diverses.
Circ. Dir.
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ij 2 Zal 2 Zal Lindmann, Gr. 16. 94,
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6) == er? glad mrt (fantive)
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À 14 Sin. z , Cos. o p= Sin.hCosec.p;
»f [aa cone! TT 2) mi RI 2 TU da —
, 1—Sin. «f Sin.? zy (Cos.*a— Cos. 1(L—Cos.° h.00s.* 2) Legendre, Exerc.
Suppl. 49.
zr Cos.° à Pi TSG, a Cos. À OEE
Sin. A. Sin. p p‚7) Sin. À Po) + Sin.® À
Lt ie
Page 54L. 69
WIS- EN NATUURK. VERH. DER KONINKL, AKADEMIE. DEEL IV.
F, Alg. rat.
Log. en num. TABLE 422. Lim. Oet 1.
Circ. Inv.
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Page 542,
F. Alg. rat.
Log. en num. TABLE 422 suite. Lim. Oet 1.
Circ. Inv.
1
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2/5
15) Arne (+ He) de = Ti Et) VT. 163 N°: 5.
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17) f arco (1 Fleet de =— (te) Ver Dnl6 Ste N ende
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Page 543. GOS
F. Alg. rat.
Log. en num. TABLE 422 suite. Lim. Oett.
Circ. Inv.
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Log. en num.
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Circe. Inv.
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F. Alg. irrat.
Log. en num. TABLE 425 suite. Lim.0 et 1.
Circ. Inv.
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